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D bd bed mes LE ES RÉSULTATS à PRINCE DE MONACO 74 D == ce Z La 2 se Æ. és, 1916 Ÿ S à. 55) SY À + M re RÉSULTATS CAMPAGNES SCIENTIFIQUES ACCOMPLIES SUR SON YACHT PAR . ALBERT |” PRINCE SOUVERAIN DE MONACO PUBLIÉS SOUS SA DIRECTION . AVEC LE CONCOURS DE M. JULES-RICHARD Docteur ès-sciences, chargé des Travaux zoologiques à bord FASCICULE XLIX | Chétognathes provenant des campagnes des yachts HIRONDELLE el PRINCESSE-A LICE (1885-1910) PNPONNNES CAT Î Par L. GERMAIN rer L. JOUBIN AVEC HUIT PLANCHES ET SEPT CARTES ui à dut Ad AN GLS set à Dé LAS LS dé TN son jan Inatito DT ne Ne PR \ 2251206, tiopgl Muse {il ven IN NUE JMPRIMERIE DE MONACO 1916 CHEÉTOGNATHES PROVENANT DES CAMPAGNES DE L'HIRONDELLE ET DE LA PRINCESSE-ALICE (1885-1910) RS à fit fn tua LL AE 0 Late ART di APN) LEON LAS : pm de du done D dou cond ion Duett Rd SL NN CHÉTOGNATHES PROVENANT DES CAMPAGNES DE L'HIRONDELLE ET DE LA PRINCESSE-ALICE (1885-1910) PAR L. GERMAIN ET L. JOUBIN Les Chétognathes sont des animaux pélagiques extrêmemeut répandus. Bien que peu nombreux en espèces, ils abondent dans le plancton de toutes les mers, aussi bien à la surface que dans la profondeur, et il n’est guère de coup de filet qui n’en ramène de spécimens. Aussi n'est-il pas étonnant que, pendant ses croisières océanographiques, entre 1885 et 1910, S. A. S. le Prince de Monaco ait pu rassembler une collection considérable de ces animaux, collection qui comprend des milliers d'individus. C'est le résultat de nos laborieuses recherches sur cet important matériel que nous présentons ici. Nous prions S. A. S. le Prince de Monaco, qui a bien voulu nous confier cette étude, d'accepter l'expression de toute notre gratitude pour cette marque de haute bienveillance. * A 4 Les espèces recueillies au cours des multiples campagnes accomplies sur le yacht PRINCESSE-ALICE de 1885 à 1910 sont au nombre de 18 réparties dans les cinq genres Sagitta, Eukrohnia, Pterosagitta, Spadella et Krohnitta. Le genre Sagitta est celui qui est le plus abondamment répandu, aussi bien en espèces qu’en individus. En classant ces animaux par ordre de fréquence décroissante on obtient la liste suivante : Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard Sagitta hexaptera d'Orbigny Sagitta lyra Krohn Eukrohnia hamata Môbius =. es Sagitta macrocephala Fowler Sagitia arctica Aurivilius Sagitia inflata Grassi Sagitta tenuis Conant Sagitta serratodenta Krohn Spadella cephaloptera Busch Sagitta plancionis Steinhauss Sagitta neglecia Aïda Sagitta elegans Verrill Sagitta minima Grassi Pterosagitta draco Krohn Eukrohnia Fowleri Ritter-Zähony Krohnitta subtilis Grassi Eukrohnia Richardi Germain et Joubin Ce tableau a été établi en tenant compte de l’ensemble des stations où ont été effectuées des pêches planctoniques c’est-à-dire dans la Méditerranée occidentale et dans l'Océan Atlantique entre les 15° et 78° de latitude nord. Comme ces pêches ont été beaucoup plus nombreuses dans l'Atlantique méridional, notamment entre Madère, les Açores et les Canaries, que partout ailleurs, il se trouve que certaines espèces, fort abondamment répandues dans d’autres régions, prennent place ici parmi les Chétognathes relativement rares. Tel est, notamment, le cas du Sagiita arctica Aurivillius, forme arctique du Sagitta elegans Verrill, toujours extrêmement commune dans le plancton des mers boréales. Il est cependant possible de comparer ces résultats avec ceux obtenus par E. L. Michael après une étude consciencieuse des Chétognathes de la baie de San Diego (Californie). Voici de quelle manière l’auteur américain classe les espèces d’après le nombre des spécimens recueillis * : Sagitta bipunciata Quoy et Gaimard... 51.670 individus. Sagitta inflata Grassi...:.....,....... a — Sagitta serraiodenta Krohn............ 6:57 — Sagitta lyra Krohn.............. ne 271 — Sagitta neglecta Aïda................. 5 — Eukrohnia hamata Môbius............ 72 — Krohnitta subtilis Grassi.............. 50 — Sagitta plancionis Steinhauss.......... 41 — Sagiita hexaptera d'Orbigny........... 28 — Pterosagitta draco Krohn............. I — En comparant ce tableau avec celui qui ressort de nos recherches on constate d’abord que, dans les deux cas, le Sagitta bipunciata Quoy et Gaimard, arrive en tête de liste. C’est qu’en effet, cette espèce est de beaucoup la plus commune, celle qui, toujours, offre un nombre énorme d'échantillons comparativement à celui fourni par les autres Chétognathes. Nous n'avons pas compté, comme l'a fait E. L. Michael, tous les exemplaires que nous avons examinés, mais nous * Micra (E. L.) (#68). — VIII, no 3, 27 Décembre 1911, p. 114. Le D pouvons affinmer cependant que la prédominance indiquée par l’auteur américain pour le Sagitia bipunctata Quoy et Gaimard, est pour le moins aussi marquée dans le matériel recueilli pendant les campagnes de la PRINCESSE-ALICE. L'ordre n'est plus le même pour les autres espèces. Nous avons constamment trouvé le Sagitta lyra Krohn, en grande abondance : c’est, de beaucoup, le Chéto- gnathe le plus répandu du groupe dont le Sagitta hexaptera d'Orbigny peut être pris pour type. Presque chaque coup de filet ramène les deux espèces ; mais tandis que la première est toujours représentée par de très nombreux individus, la seconde ne l’est que par deux ou trois spécimens. | L'Eukrohnia hamaia Môbius et le Sagitta macrocephala Fowler sont également très communs, mais nous verrons plus loin que ces espèces sont, géographiquement parlant, assez étroitement localisées. Parmi les autres Chétognathes, les Sagitta inflata Grassi, Sagitta serratodenta Krohn, Sagitia planctonis Steinhauss et, par places, les Sagitta elegans Verrill et Pierosagitta draco Krohn, sont encore des animaux abondants, que le filet ramène souvent en grande quantité, mais qui n’ont plus la distribution presque universelle des espèces envisagées précédemment. Quant aux Sagitta tenuis Conant, Krohnitta subtilis Grassi, Spadella cephaloptera Busch, Sagitta neglecta Aïda, Sagitta minima Grassi, Eukrohnia Fowleri Ritter- Zähony, et Eukrohnia Richardi Germain et Joubin, ce sont des animaux qui semblent où étroitement localisés * ou réellement peu répandus. x #. #- Les cartes annexées à ce Mémoire (Carte I à VII) résument la distribution géographique des Chétognathes recueillis pendant les croisières de la PRINCESSE- ALICE. Il nous suffira de donner quelques indications complémentaires pour chaque espèce. Sagiita hexapiera d'Orbigny. — Cette espèce, trouvée dans toute la zone. explorée, c'est-à-dire depuis le 14° de latitude nord (un peu au sud des îles du Cap Vert) jusqu'au 78° de latitude nord, est surtout abondante entre les Acores, Madère et les Canaries. La variété magna Langherans, commune dans la Méditerranée occidentale, n’a pas été rencontrée au nord du 40° de latitude nord. Sagiita lyra Krohn. — Très commun dans la Méditerranée et l'Atlantique, ce Sagitta remonte jusqu'au 50° de latitude nord ; vers l’ouest il n’a pas été recueilli au delà du 46° longitude ouest. Sagiita plancionis Steinhauss. — Toujours peu répandue (on la recueille, dans le filet pélagique, par 1, 2 ou 3 échantillons), cette espèce a été récoltée dans la Méditerranée occidentale et, dans l’Atlantique, entre Gibraltar, les Acores, le 45° de longitude ouest et les îles Canaries. * Soit à la surface, soit, plus probablement, à certaines profondeurs encore ignorées. D — Sagitia inflata Grassi. — Le Sagitta inflata Grassi, est plus commun dans la Méditerranée que partout ailleurs. Dans l'Atlantique, il remonte jusqu'au 50° de latitude nord, mais il est rare au-dessus de 40°. Quelques spécimens, d’ailleurs peu nombreux, ont été récoltés, dans la mer du Nord, vers le 56° de latitude nord (par 5° de longitude E.) Ce Sagitta est bien plus abondant, vers le sud, entre Gibraltar, les Acores, le 42° de longitude ouest et les îles du Cap-Vert. Sagitta serratodenta Krohn. — Accompagnant souvent le Sagitta bipunciata Quoy et Gaimard dans la Méditerranée et l'Atlantique, son aire de dispersion est beaucoup plus limitée. La carte IV montre qu'elle constitue une sorte de polygone intérieur à celui qui, pour la même région, indique la distribution géographique du Sagitia bipunctata Quoy et Gaimard. Les angles de ce polygone sont sensi- blement : Gibraltar à l’est, le 63° de latitude nord et les Acores au nord, le 45° de longitude ouest vers l’ouest, enfin les îles Canaries au sud. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. — Cet animal, le plus commun et le plus répandu de tous les Chétognathes, a été trouvé dans toute la Méditerranée occi- dentale et, dans l'Océan Atlantique, depuis le 14° de latitude nord (au sud des îles du Cap Vert), jusqu'au 78° de latitude nord (Spitzberg, par 12° de longitude E.) Il est particulièrement abondant, dans l'Atlantique, entre les Acores, Madère, les Canaries et Gibraltar. Sagitta elegans Verrill. — Cette espèce est limitée à l'Atlantique méridional : on la trouve depuis Gibraltar jusqu'aux Açores, puis de cet archipel jusqu’au 45° de longitude ouest ‘, et de ce point aux îles Canaries. Sagitta arctica Aurivillius. — Particulière aux mers boréales, cette espèce très commune vers 70°-80° de latitude nord, descend jusqu'au 50° de latitude nord. Sagitta neglecta Aïda et Sagitta minima Grassi. — Ces deux espèces affines se retrouvent sensiblement dans les mêmes parages, notamment aux Açores et, vers l’ouest, entre les 30° et 32° de latitude nord, au voisinage du 40° de longitude ouest. Sagitta tenuis Conant (Carte V). — La zone occupée par cette espèce dans Îles régions parcourues par la PRINCESSE-A LICE est comprise dans un quadrilatère dont les quatre sommets sont : à l’est, un point situé vers le 11° de longitude ouest et le 35° de latitude nord, au sud-est du banc Gorringe ; à l’ouest et au nord, les Açores ; au sud-ouest, un point situé par 35° 30 environ de longitude ouest et 25° 30° environ de latitude nord : enfin, au sud-est, l'archipel du Cap-Vert. Le Sagitta tenuis Conant est toujours peu commun. Sagitta macrocephala Fowler (Carte V). — C'est une espèce de l'Océan Atlantique moyen. Commune dans les parages des Açores et des Canaries, moins fréquente aux environs de Madère, elle s'avance vers l’ouest jusqu’au 44° de lon- gitude ouest; vers l’est jusqu'au 11° de longitude ouest, au sud-est du banc Gorringe; ? Par 350 de latitude nord. BU VE 0 PP OO ES NE NO PP OL CU PONT RS PET TP OR RE CN dt M ds et au nord jusqu’au 47° de latitude nord (par 12° environ de longitude ouest). Le Sagitta macrocephala Fowler ne pénètre pas dans la mer Méditerranée. Eukrohnia hamata Môbius (Carte VI} — Très commun dans l’Atlantique jusqu'aux îles Canaries, cet Eukrohnia atteint, vers l’ouest, le 45° de longitude ouest. Il est surtout répandu dans les parages des Açores. Plus rare vers le nord (notamment dans le golfe de Gascogne), il en a cependant été récolté quelques échantillons vers le 78 de latitude nord (Spitzberg). L'Eukrohnia hamata Môbius est peu commun dans la Méditerranée. | Eukrohnia Fowlert Ritter-Zähony et Eukrohnia Richardi Germain et Joubin (Carte VI). — Ces deux espèces sont rares : la première n'a encore été trouvée qu'aux îles Canaries et la seconde au sud du banc Gorringe. Pterosagitta draco Krohn (Carte VII). — Uniquement rencontrée dans l'Océan Atlantique, cette espèce se pêche assez fréquemment, mais toujours en petit nombre d'individus (le plus souvent deux ou trois). Le point le plus au nord où elle a été trouvée est situé au large de la pointe Saint-Mathieu, par 10° de longitude ouest ; le point le plus sud aux îles Canaries.Elle s’avance, vers l’est, jusqu'à Gibraltar et, vers l’ouest, aux environs du 45° de longitude ouest. Spadella cephaloptera Busch (Carte VIN. — Les croisières de la PRINCESSE- ALICE n'ont pas rapporté cette Spadelle du sud de larchipel des Acores. Par contre, c'est l'espèce qui s'avance le plus vers l’ouest (vers le 47° de longitude ouest, par 45° de latitude nord). Sa distribution géographique affecte la forme d’un vaste triangle dont ce dernier point est le sommet ouest, le sommet est se trouvant, dans la Méditerranée, non loin de Gibraltar et le dernier sommet aux Açores. C’est un Chétognathe rare. Krohnitta subtilis Grassi (Carte VIT). — Vivant dans la Méditerranée et dans l'Atlantique, cette espèce descend jusqu’au 35° de latitude nord (par environ 34° de longitude ouest) et s'étend, vers l’ouest, jusqu’au 42° de longitude ouest. Elle ne dépasse pas, au nord, l’archipel des Açores. L'étude de la répartition bathymétrique des animaux est toujours fort intéressante et celle des Chétognathes nous eût permis sans doute, par comparaison avec les résultats obtenus par E. L. Michael, de formuler des conclusions précises. Malheureusement nous n’avons ici que des données insuffisantes, la plupart des pêches pélagiques ayant été faites avec un filet ouvert qui a recueilli tous les animaux rencontrés depuis la profondeur maximum atteinte par l'engin jusqu à la surface. Il n’est donc pas possible de faire état de ces pêches pour l'étude de la répartition bathymétrique. Les seuls éléments que nous avons trouvés sont résumés dans le tableau suivant : Eukrohnia hamata Môbius 449 54 N. 4° 38° 30 1700 W. 1549 459 30 N. 50 50 W. SET UE RES EEE LR A A DC SP I D EE PE VE EE D 1500 sr À NUMÉROS PROFONDEURS NOMS DES ESPÈCES DES LATITUDE a —_ STATIONS MÈTRES 209 410 28? N. 120 E. 519 Sr 300 Port de Monaco 16 Sagitta hexaptera d’Orbigny 1333 30° 30 N. 29° 02’ W. 1900 1500 {nasse) * 44° 34 N. 4° 38 30” W. 4330 RSR SR EEE PRE PRE EE ERREUR SRE eus | Sagitta hexaptera var. magna 3y7 430 33 30” N. 7 3 E. Le Langerhans | 283 43° 06” N. 80 54 E 1000 209 419 28 N: 120 E 519 372 400 39° 30. NN. 543 E 1000 | Sagitta lyra Krohn 459 360 32° 40” N. 110 45’ W 1408 1048 (nasse) ” 410 47 N. 70 14 E 2276 1358 370 42’ N. 290 02? W 403 | 1549 45° 30° N. 50 50? W 1500 75 470 14 45” N. 70.12 5577 W. 31 . Sagitta inflata Grassi 302 400 31° N 130 09’ Fr. 827 372 420 53° 30” N 50 55? Eee 1000 | | Sagitta elegans Verrill | 1322 (nasse) ‘ | 380 39? 5 | 290-0607 "15 -W. | 3020 Sagitta bipunctata Quoy et 6 … . sh, ire Gaimard 117 + 10 - 27° 19 47 - | 00 - 350 Sagitta serratodenta Krohn | 1479 (nasse) ‘ 44° 30? N. | 20 IT W. | 1414 Sagitta planctonis Steinhauss 740 | 370 39 N. | 260 20° 45” W. | 1000 | 505 34 N. o 38 39” W. 7 Sagitta macrocephala Fowler hs _ a FAT Te 1549 45° 30 N. 59 50° VF. 1500 * Dans le cas des pêches à la nasse, le filet de la nasse arrêtait peut-être les Sagitta pendant la montée. Les indications données par cet instrument devraient donc être vérifiées au point de vue qui nous occupe ici. 4 PTE Bien que peu nombreux, ces faits sont cependant intéressants par plus d’un point. Le Sagitta hexaptera d'Orbigny est généralement considéré comme une espèce mésoplanctonique dont l’extension maximum est voisine de 600-800 mètres. Il est donc curieux de retrouver ce Chétognathe, non seulement dans cette zone, mais encore à une profondeur beaucoup plus grande, puisqu'elle atteint 4330 mètres. Espèce également mésoplanctonique, surtout abondante entre 360 et 540 mètres, le Sagitta lyra Krohn semble s'enfoncer moins profondément, puisqu'il n’a pas été recueilli en dessous de 2276 mètres. Par contre, il vient à la surface pendant la nuit. C’est ainsi qu'il a été pris, au chalut de surface, nombre de fois vers 22 heures. Bien que considéré comme épiplanctonique par tous les auteurs, le Sagitta inflata a été ramené d’assez grandes profondeurs, puisqu'un coup de filet, donné à la Stn. 372, l’a recueilli à 1000 mètres. Ce fait n’est cependant pas isolé : pendant le voyage du GAUSS, cette même espèce a été capturée à 1000 mètres dans l'Océan Atlantique (parages du Cap de Bonne-Espérance) et jusqu’à 3000 mètres dans les régions voisines de l’île de l’Ascension ‘. Le Sagilta bipunctata Quoy et Gaimard, est encore une espèce épiplanctonique. L’abondance des individus trouvés à la surface ne permet pas de mettre en doute cette notion acquise depuis longtemps. Cependant les recherches de E. L. Michael, qui ont principalement porté sur ce Chétognathe, ont montré que les variations de sa répartition bathymétrique sont assez considérables et dues à des causes diverses parmi lesquelles la température de l'eau et la luminosité ont une importance primordiale *. En tous les cas, le Sagitia bipunctaita Quoy et Gaimard, ne s'enfonce que rarement dans la profondeur. Les recherches effectuées à bord de la PRINCESSE- ALICE Viennent corroborer ce fait puisque sur les 124 stations, où cette espèce a été pêchée, il n'en est qu'une seule où elle a été récoltée à plus de 300 mètres (entre 300 et 350 mètres). Par contre, à la surface, de nombreux échantillons ont été recueillis après le coucher du soleil, entre 20 et 22 heures (en juillet-août). Ces constatations correspondent assez aux conclusions de E. L. Michael, qui a observé deux maxima d’abondance du Sagitta bipunctaia Quoy et Gaimard à la surface : l'un, le matin, une heure après le lever du soleil ; l’autre, le soir, pendant l'heure qui suit le coucher du soleil. * RiTTER-ZanonY (R. von). — (483%), 1911, tableau, p. 65 et p. 67. | * MicuaeL (E. L.). — (108), var, no 3, 1911, p. 115-145. En ce qui concerne le Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, E. L. MicxaeL arrive aux conclusions suivantes : Cette espèce est typiquement épiplanctonique ; elle est plus abondante entre o et 35 mètres que partout ailleurs et ne se rencontre que rarement au-dessous de 140 mètres ; elle atteint son maximum deux fois par jour entre o et 30-35 mètres ; à la surface, son maximum d’abondance a lieu le matin, une heure après le lever du soleil, et le soir, une heure après le coucher du soleil ; l’espèce est plus abondante à la surface quand la température de l’eau oscille entre 150 9 et r70 5 et quand la salinité varie entre 33,605 et 33,648. CSA? 2e À Le Sagitta serraitodenta Krohn est une espèce mésoplanctonique dont le maximum de fréquence est voisin de 1200 mètres. Elle ne remonte presque jamais vers la surface, sauf pendant la nuit. Il est donc très normal qu'elle ait été ramenée de 1414 mètres. Il en est exactement de même du Sagitta planctonis Steinhaus qui semble, en général, fréquenter des régions encore un peu plus profondes. Quant au Sagitta macrocephala Fowler, il ne vit qu’à une profondeur assez grande. G. H. Fowler, qui le considère comme mésoplanctonique, l'indique entre 731 et 3657 mètres dans le Golfe de Gascogne ‘, et entre 1500 et 1536 mètres dans l'archipel malais * ; R. T. Günther le signale à 2760 mètres dans l'Atlantique moyen à; enfin R. von Rütter-Zähony entre 700-1000 et 1200 mètres dans l'Atlantique également. Les chiffres de 1500-1700 mètres donnés dans le tableau de la page 8 sont donc normaux. Enfin l’Eukrohnia hamaita Môbius est encore une espèce mésoplanctonique. Elle est ici signalée avec certitude jusqu’à 1700 mètres. Mais elle descend certainement beaucoup plus bas, puisqu'elle est connue, dans l'Océan Atlantique, jusqu'à 3000 mètres au moins. Un fait intéressant, et sur lequel il convient d'insister, est celui-ci : les espèces qui vivent dans les eaux profondes sont toutes pourvues d’une puissante armature buccale. C’est le cas des Sagitta macrocephala Fowler, Sagitia planctonis Steinhaus et Eukrohnia hamata Môbius. Le Sagitta serratodenta Krohn, s’il n'a pas une armature buccale aussi développée, possède, par contre, des crochets serrulés. Le Pseudosagitta Grimaldii, que nous avons décrit en 19125, a été pris dans le filet à grande ouverture entre o et 4000 mètres. Il est probable qu’il ne vit qu’à une profondeur relativement considérable. Dans les nombreuses pêches pélagiques faites à bord de la PRINCESSE-ALICE, il est des coups de filets qui portent, comme indication, de o à 4000 mètres. Presque toujours ils ramenaient les espèces de profondeur : Eukrohnia hamata Môbius, Sagitta macrocephala Fowler, Sagitta plancionis Steinhaus, en nombre plus ou moins grand d'individus. En cherchant à classer, au point de vue bathymétrique, les espèces que nous avons étudiées, nous sommes arrivés à distinguer les trois groupes suivants : 1° Les Chétognathes bathyplancioniques : 6 Sagiita macrocephala Fowler. 7 | © FowLer (G. H.). — (4%), vol. x, part. 3, janvier 1905, p. 65. * FowLer (G. H.). — (48), avril 1006, p. 58. * GÜNTHER (R. T.). — (90), vol. Li, 10907, p. 367. * RiTTER-ZaAHoNY (R. von) (188), 1911, p. 17. * GERMAIN (Louis) et Jourin (Louis). — (3@), 10 mai 1912, p. 6, fig. 6 à 13. . ; ® Nous proposons ce nom pour les Chétognathes actuellement connus comme vivant aux plus grandes profondeurs. 7 Les espèces sont classées en partant de celle qui habite les plus grandes profondeurs. Eukrohnia hamata Môbius. Sagiita plancionis Steinhaus. Sagitta serratodenta Krohn. 2° Les Chétognathes mésoplanctoniques : Sagitta lyra Krohn. Sagitta hexaptera d'Orbigny. Krohnitta subtilis Grassi. 3° Les Chétognathes épiplanctoniques : Sagitta inflata Grassi. Sagitia bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitta neglecta Aïda. Sagitta tenuis Conant. Sagitta minima Grassi. Spadella draco Krohn. k MEL Résumons maintenant les notions actuellement acquises sur la répartition géographique et bathymétrique des Chétognathes. Les Chétognathes sont des animaux à distribution géographique extrêmement étendue. La plupart des espèces doivent être considérées comme cosmopolites. Si quelques-unes semblent actuellement assez bien localisées, comme le Sagitta Friderici Ritter-Zähony ‘ aux îles du Cap Vert, le Sagitta archica Aurivillius dans les mers boréales, le Spadella profunda Doncaster * dans la mer Tyrrhénienne, le Spadella schizoptera Conant ? aux îles Bahamas, les Æukrohnia Fowleri Rüitter- Zähony et ÆEukrohnia Richardi Germain et Joubin dans l'Atlantique méridional, cela tient, sans aucun doute, à une connaissance insuffisante de leur habitat. Il est certain que des recherches ultérieures feront retrouver ces animaux en de nombreux points du globe, si bien que les Chétognathes se présentent à nous comme des êtres essentiellement ubiquistes, ce qui est un phénomène assez général chez les éléments planctoniques. La distribution bathymétrique est plus variée. Des études faites jusqu'ici, …1l paraît résulter assez nettement, qu'à côté d'espèces vivant presque uniquement soit à la surface, soit dans les couches marines superficielles, et ne s’enfonçant qu'exceptionnellement dans la profondeur, il existe d’autres Chétognathes habitant normalement à une profondeur assez grande, voisine de 1000-1200 mètres et quelques espèces, moins nombreuses et mieux armées, s’enfonçant plus profondément encore. Ces dernières sont réellement des êtres bathypélagiques. ? RiTTER-ZAHONY (R. von) (8%) 1911, p. 10, fig. 13, 14, 17. ? DoncasrTer in Lo Branco (S.) (9%) xvi, 1903, p. 267. 3 ConanT (F. S.) (8%) xiv ; no 119, juin 1895, p. 77, fig. vi. Comme presque tous les animaux vivant dans les couches profondes de la mer, les Chétognathes ne restent pas cantonnés à des profondeurs déterminées. Sous des influences encore mal connues, ces animaux remontent périodiquement vers la surface qu’ils atteignent, presque chaque nuit, pendant les heures qui suivent immédiatement le coucher du soleil. Ainsi s'établit, entre la surface et la profondeur, un courant migrateur, périodique et régulier, dont les recherches ultérieures nous feront sans doute connaître les caractéristiques. Mn 3 Le CHÉTOGNATHES DES ACÇORES Sagitta hexaptera d'Orbigny. Sagitia elegans Verrill. Sagitta hexaptera d'Orbigny var. magna Sagitta tenuis Conant. Langerhans. Sagitta minima Grassi. Sagitta lyra Krohn. Sagitta macrocephala Fowler. Sagitta plancionis Steinhaus. Eukrohnia hamata Môbius. Sagitia inflata Grassi. Pterosagitta draco Krohn. Sagitta serratodenta Krohn. Spadella cephaloptera Busch. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Krohnitta subtilis Grassi. CHÉTOGNATHES DES CANARIES Sagitta hexaptera d'Orbigny. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitta hexaptera d'Orbigny var. magna Sagitta elegans Verrill. Langerhans. Sagitta tenuis Conant. Sagitta lyra Krohn. Sagitta macrocephala Fowler. Sagitta planctonis Steinhaus. Eukrohnia hamaita Môbius. Sagitta inflata Grassi. Eukrohnia Fowler: Ritter-Zähony. Sagitta serraiodenta Krohn. CHÉTOGNATHES DES ILES DU CAP VERT Sagitta hexaptera d'Orbigny. Sagitta inflata Grassi. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. — 14 — CLASSIFICATION Bien que les Chétognathes constituent un groupe parfaitement homogène, la classification de ces animaux, presque uniquement basée sur les caractères tirés des nageoires et de l’armature buccale (dents et crochets), a subi les plus grandes vicissitudes. P. Langherans * admet trois genres caractérisés de la manière suivante : Le genre Sagitta [Quoy et Gaimard, 1827 *] dont les espèces possèdent 2 nageoires antérieures, deux nageoires postérieures, des crochets buccaux et deux séries de dents (dents antérieures et dents postérieures). Le genre Xrohma [Langherans, 1880] pour les espèces pourvues seulement de deux nageoires latérales et d’une seule série de dents. Enfin le genre Spadella [Langherans, 1880] pour les espèces n'ayant également que deux nageoires latérales, mais pourvues de deux séries de dents. À la même époque O. Hertwig ne distingue que deux genres uniquement établis sur les nageoires : le genre Sagitia caractérisé par deux paires de nageoires latérales et le genre Spadella par une seule paire de nageoires latérales. Un peu plus tard, B. Grassi*, considérant que les nageoires, les crochets et les dents n'ont pas une importance morphologique suffisante, propose une nouvelle classification. Il adopte, pour critérium, la présence ou l'absence d’une musculature transverse dans le tronc. Toutes les espèces possédant cette musculature transverse constituent le genre Sagitia tandis que toutes celles qui en sont dépourvues appartiennent au genre Svadella. Un premier et grave inconvénient de ce système est de ranger dans le genre Spadella presque toutes les espèces qui, auparavant, constituaient le genre Sagitta et réciproquement. L'application de cette classification provoquait ainsi de regrettables confusions. Aussi les genres de B. Grassi ont-ils été abandonnés à juste titre et S. Strodtmann ÿ revient aux trois genres Sagitta, Krohnia et Spadella tels qu'ils avaient été définis par P. Langherans. En 1905 P. Abric 6,se basant uniquement sur la forme et le nombre des nageoires, propose une classification compliquée ne comportant pas moins de 9 genres réunis en deux grands groupes. Voici un très court aperçu de ce classement : * LANGHERANS (P.). — (8), xxxiv, 1880, pp. 132-136. * Quoy (J. R.) et Garmarp (P.). — (122), x, p: 232. * HerTwiG (O.) — (96), xiv, 1880, P. 196. * Grassi (B). — (68), 1883, p. 8. * STRODTMANN (S.). — (#48), 1802, P- 10, p. 20 et p. 22. * ABRIC (P.). — {M}, t. 151, 1005, P. 222-224, bi et A nn ed à on de Le hd à dt be à AISNE Éd sde PT RP CPP OP [Ye APR T ARR A. GASTROPROCTIDAE. 1. Genre Scoitochæius * « caractérisé par le fait que le système des nageoires, paires et caudale, est absolument continu ou contigu : il y a un commencement d’individualisation de la nageoiïire caudale ». ? 2. Genre Krohnochætus [Abric] 5 différent du précédent en ce qu'il n’y a pas de « continuité entre les nageoires paires et impaires ». 3. Genre Lyrochætus ee dont le type estle Sagitta lyra Krohn. Dans les deux premiers genres il n y a qu'une seule paire de nageoires latérales ; dans le troisième, ces nageoires latérales commencent à se diviser en deux, mais la division n’est pas encore définitivement accomplie. 4. Elle est parachevée dans le genre Sagitiochætus [Abric] qui correspond, à peu près, au genre Sagiita des auteurs. 5. Genre Conantochætus [Abric] créé pour le seul Spadella schizoptera Conant, des îles Bahamas. Si maintenant la portion de nageoire qui, dans les Krohnochætus ou les Lyro- chætus correspond aux nageoires antérieures des Sagittochætus avorte complètement, nous avons des Chétognathes ne possédant plus qu'une paire de nageoires latérales et que P. Abric range dans les trois genres suivants : 6. Genre Svpadellochætus [Abric] qui correspond à la plupart des Spadella et au Krohnia hamaita Môbius. 7. Genre Grassiochætus [Abric] pour le Spadella Claparedi Grassi. # 8. Enfin le genre Dracochætus [Abric] dont les espèces possèdent, « dans la région ovarienne, deux touffes de soies, l’une droite, l’autre gauche, dont le rôle physiologique est douteux ». ? I B. NoTOPROCTIDAE. 9. Genre Gourretochætus [Abric] pour le Svadella Mariont Gourret. 6 Telle est cette classification dont le plus grand mérite n’est pas la simplicité. Elle n’a pas été acceptée et cela parce qu'en dehors de sa complication, elle s'appuie sur des données manifestement erronées. C’est ainsi que, pour citer seulement quelques faits, P. Abric prend pour type de son nouveau genre Gourretochætus le Spadella Mariont Gourret, simple synonyme du Sagitta bipunciata Quoy et Gaimard; que le type de son genre Grassiochætus est le Spadella Claparedi Grassi, * Le type de ce genre est, dit P. Abric, une espèce, ni nommée, ni décrite, mais figurée par T. Scott en 1806 [Annual Report Fish Board of Scotland ; xiv, 1896-1897, p. 165, pl. 1v, fig. 16-17]. ? ABric (P.) — (#)t. 151, 1905, p. 222. * Le type de ce genre est, dit P. Abric, le Xrohnia foliacea Aïda [ (4) 1, 1897, p. 13, pl. rm]. Or cette espèce d’Aïda est synonyme de l’Eukronia hamata Môbius. # Grassi (B.). — (@8), 1883, p. 17, tav. 1, fig. 1. Espèce synonyme de Spadella cephaloptera Busch. P. Agric (loc. supra cit., p. 224) rapporte à ce genre le Drachochætus Krohni Abric [— Sagitta draco Krohn] ; le Drachochætus Strodimanni [— Sagitta draco Strodtmann, loc. supra cit., ; 1892, p. 26, fig. 20]; et le Drachochætus Vougai Béraneck [— Spadella Vougai Béraneck (445 IT, 1895, p. 155] qui, tous les trois, sont manifestement synonymes du Pterosagitta draco Krohn. 6 GourRET (P.). — (@%), 11, n° 2, 1884, p. 103. EE synonyme du Spadella cephaloptera Busch, que notre auteur fait rentrer dans son genre Spadellochætus, etc. Depuis, R. von Rüitter-Zähony, après avoir consciencieusement étudié les matériaux de plusieurs grandes expéditions, a repris les anciens genres en y faisant les quelques modifications devenues indispensables. C’est ainsi qu'il a gardé le genre Pierosagitta autrefois créé par A. Costa pour son Pterosagitta mediterranea ” ; proposé le nom d’Eukrohnia * pour remplacer celui de Krohnia antérieurement employé par A. de Quatrefages 3; et établi les deux nouveaux genres Heterokrohnia * (type : Heterokrohnia mirabilis Ritter-Zâähony) et Krohnittaÿ (type : Sagitta subtilis Grassi). Enfin, tout dernièrement, L. Joubin et L. Germain ont créé les genres Pseudosagitta (type : Pseudosagitta Grimaldii Germain et Joubin) et Krohnitella (type : Krohnitella Boureei Germain et Joubin) 6. La classification adoptée dans ce mémoire est celle qui résulte de ces dernières recherches. Elle se présente de la manière suivante : 1. Genre SaGiTra Quoy et Gaimard, 1827. Type : Sagitia hexapiera d'Orbigny. 2. Genre PsEuposaGrrra Germain et Joubin, 1912. Type : Pseudosagitta Grimaldii Germain et Joubin. 3. Genre Euxronnia Ritter-Zähony, 1909. Type : Sagitta hamaia Môbius. 4. Genre HETEroKROHNIA Rüitter-Zähony, 1911. Type : Heterokrohnia mirabilis Ritter-Zähony. | 5. Genre PrerosaGirra Costa, 1869. Type : Sagitia draco Krohn. 6. Genre SpanerLa Langherans, 1880. Type : Sagitta cephaloptera Busch. 7. Genre KROHNITTA Ritter-Zähony, 1910. Type : Sagitta subtilis Grassi. 8. Genre KROHNITELLA Germain et Joubin, 1912. Type: Krohnitella Boureei Germain et Joubin. Quand on examine les espèces de Sagitta parvenues à leur maturité sexuelle, on s'aperçoit que les unes ont des ovaires très développés tandis que les autres ont des ovaires qui restent constamment très courts. Ces caractères sont toujours parfaitement marqués et permettent souvent de distinguer, sans ambiguïté possible, " Cosra (A.). — (8%), v, 1869, p. 54. Le Pseudosagitta mediterranea Costa est Synonyme du Sagitta draco Krohn. ? RiTTER-ZaHony (R. von). — (128), xxxiv, 1909, P. 702. * QUATREFAGES (A. de). — Histoire naturelle des Annélides marins ét d’eau douce, 1, 1865, p. 157. * RITTER-ZAHONY (R. von). — (483%), 1911, p. 42. * RITTER-ZAHONY (R. von). — (484), xr, part. 2, 1910, P. I40. * GErMAIN (Lours) et JouBin (Louis). — ($@), 10 mai 101%, (+ 280 D, 11. EN PONT RO EN EN ET PNA 1 1% deux espèces affines. Tel est le cas, par exemple, pour les Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, et Sagitta serratodenta Krohn. E. L. Michael avait déjà noté, sur plusieurs espèces, ces particularités de l'appareil sexuel . Il nous semble que ces caractères ont une réelle valeur morphologique et qu'ils peuvent être d’un grand secours pour la détermination des espèces. Aussi avons-nous essayé, en étudiant le matériel considérable qui nous a été remis, de préciser avec soin l’état des ovaires chez les divers Sagitta. En partant de ces données, le tableau suivant groupe, dans un ordre aussi naturel que possible, les espèces de Chétognathes recueillies pendant les campagnes de la PRINCESSE-ALICE et étudiées dans ce Mémoire. " Micuagr (E. L.). — (408), var, no 3, 27 décembre 1911, pp. 55 et suiv. 1 I 2 3 Ut NES que J. Genre Sagitta, Quoy et Gaimard 1827. A. — Groupe du SAGITTA HEXAPTERA, d'Orbigny. x. Oyaires longs . Sagitia hexaptera d'Orbigny. bis, Sagitta hexaptera d'Orbigny, variété magna Langherans. . Sagitta lyra Krohn. . Sagitta planctonis Steimhaus. 8. Ovaires courts Sagitta inflata Grassi. Sagitta elegans Verrill. Sagitta arctica Aurivillius. B. —- Groupe du SAGITTA BIPUNCTATA, Quoy et Gaimard. x. Ovyaires longs Sagtitta serratodenta Krohn. 8. Ovaires courts Sagitia bipunctata Quoy et Gaimard. 9. Sagitta neglectia Aïda. 10. ÉE. pe Sagitta tenuis Conant. Sagitta minima Grassi. C. — Groupe du SAGITTA MACROCEPHALA, Fowler. Sagitia macrocephala Fowler. Il. Genre Eukrohnia, Ritter-Zähony 1909. Eukrohnia hamata Môbius. Eukrohnia Fowleri Ritter-Zähony. Eukrohnia Richardi Germain et Joubin. III. Genre Pterosagitta, Costa 1860. Pierosagitta draco Krohn. IV. Genre Spadella, Langherans 1880. Spadella cephaloptera Busch. V. Genre Krohnitta, Ritter-Zähony 1910. Krohnitta subtilis Grassi. ne 2 24 dd Pa de 1 Peu Qu MAR LAC EL à bei pe ERA RO NS ER EEE 1827. 1880. 1883. 1002. 1905. 1905. 1903. IOII. IOII. 1843. 1843. 1844. 1844. 1856. 1870. 1880. 1881. 1883. 1883. 1892. 1903. 1905. 1906. 1008. 1009. 1909. 1010. 1010. PARTIE: DESCRIPHWVE CHÆTOGNATHA, Leuckart Genre Sagitta, Quoy et Gaimard Sagitta, Quoy et GAIMARD, (#®®%), x, p. 232. — LANGERHANS, (89), xxxIV, P. 134. Spadella (part.), Grass, (@S), v, p. 8. Sagitta, STRODTMANN, (4%), p. 10. Lyrochœtus, ABric, (fl), t. 151, p. 223. Sagittochæœtus, ABric (A), t. 151, p. 223. Gourretochætus, ABRriC, (fl), t. 151, p. 224. Sagitia, RITTER-ZAHONY, (A4), XXIX, P. 10. — RITTER-ZAHONY, (135%), p. 4. A. Groupe du SAGITTA HEXAPTERA «. Espèces à ovaires longs Sagitta hexaptera, d’Orbigny (Carte r;° Pl. fig.it à:7 5 PI. vi, figé5, 9, 10 et 14) Sagitla hexaptera, d'OrBIGNY, (MAG), v, part. 1t, P. 140, pl. x, fig. 4-5 (subn. exaptera). Sagitta mediterranea, ForBes, Addit. Nucleobranchia Molluscous Fauna; Report 3oth Meeting British Associat.; p. 73. Sagitia hexapiera, DARWIN, (8), XIII, p. 2. Sagitta bipunctaia, Kronw, (8%), 11, p. 108 [non Quoy et GAIMARD|. — —- GEGENBAUR, (%%), p. 5. Sagitta tricuspidata, KewT, (8%), 4° série, v, p. 268. Sagitta hexaptera, HerrwiG, (9@), xiv, p. 1006. Sagitta longidentata, Grassi, (8%), 2° sér., xIV, P. 213. Spadella hexaptera, Grassr, (@8), v, p. 10. Sagitta Darwini, GRassi, (@8), v, p. 19. Sagitta hexaptera, STRODTMANN, (BA), LVIIL, I, P. 340 et p. 367 (tirés à part, p. 10, m1). —— — KrumsBacH, (8%), Systemat., xvirr, p. 633, 634, fig. P. —— — (Spec. indeterm. I) FOwLER, (4%), 2e série, x, p. 73. —— _— FowLer, (48), p. 11, n° 4, pl. 1, fig. 30 à 37. — — Rirrer-ZaHoNY, (M2@G), Lxxxiv ; tirés à part, p. 0. — — STRODTMANN (4%), x, p. 13, n° 13, fig. 1-3. — —— RiTrer-ZaAHony, (428), xxxIV, P. 7809. — —— RiTTER-ZAHONY, (ABO), 1V, p. 2. — — RiTTER-ZAHONY, (AA), XI, P. 140. 1911. Sagitta hexapiera, RiTTER-ZAHONY, (1838), p. 4. IOII. — — RITTER-ZAHONY, (A SA), xxIx, p. 12, fig. 6-7. 1911. — — RITTER-ZAHONY, (18%), v, tirés à part, p. 7, fig. 1. I9I1. — — E. L. MicHaez, (408), vx, no 3, p. 30, pl.i, fig. 2; pl. 1x, fig. 15; pl.1v, fig. 28 et pl. vi, fig. 44 (paru en 1912). 1915. — — GERMAIN, (88), p. 95. Campagne de 1887 : Stn. 142. Surface. Un exemplaire. Campagne de 1888 : Stn. 215. Surface. Un exemplaire. — Stn. 246. Surface. Deux exemplaires. Près de Prainha. Campagne de 1891 : Sin. 283, profondeur 1000". Quelques exemplaires. Au nord de l'Ile Rousse (Corse). — Stn. 299, profondeur 510". Quelques exemplaires. Campagne de 1894 : Stn. 390, profondeur 16". Quelques individus. Port de Monaco. — Stn. 430. Surface. Nombreux et beaux exemplaires. Campagne de 1897 : Stn. 778, profondeur 2225". Un spécimen. — Stn. 815. Surface. Très beaux individus. — Stn. 822. Surface. Beaux exemplaires. Campagne de 1898 : Stn. 1020, profondeur 1020". Deux exemplaires. A l'entrée de l’Isfijord. Campagne de 1901 : Stn. 1176, profondeur 300-350". Deux exemplaires. Au S.-W. des îles du Cap Vert. Campagne de 1002 : Stn. 1260, profondeur 1473". Un spécimen. Environ à 60 milles dans le S. S.-E. du Cap Saint-Vincent. — Stn. 1333, profondeur 1900". Un exemplaire. À 55 milles au N. N.-W. de Fayal. Campagne de 1903 : Stn. 1500, profondeur 4330". Un exemplaire. — Stn. 1540, profondeur 0-1500". Beaux exemplaires. Campagne de 1904 : Stn. 1639, profondeur o-3000". Beaux exemplaires. — Stn. 1715, profondeur 0o-1000®. Nombreux exemplaires. — Stn. 1724. Surface. Deux exemplaires. — Stn. 1739. Surface. Un individu. A trois milles de Fuencaliente (Palma). — Sin. 1748. Surface. Un exemplaire jeune. — Stn. 1749, profondeur 0-2500". Beaux spécimens. — Stn. 1755. Surface. Quelques exemplaires. — Stn. 1768, profondeur 0-3000". Nombreux individus. — Stn. 1781, profondeur 0-5000®. Nombreux et beaux spécimens. — Stn. 1704, profondeur o-3000". Beaux individus. — Stn. 1797, profondeur 0-2000®. Nombreux individus. — Stn. 1800, profondeur o-1000". Beaux spécimens. — Stn. 1802, profondeur o-5000". Quelques très beaux individus. — Stn. 1805. Surface. Un exemplaire. — Stn. 1834, profondeur 1440". Assez nombreux spécimens. Au sud de Säo Miguel, sur le banc de Monaco. — Stn. 1844, profondeur o-1500" Assez nombreux individus. — Stn. 1849, pro- fondeur 0-3000". Quelques individus. — Stn. 1851, profondeur 0-3000". Quelques spécimens. — Stn. 1856, profondeur o-3250". Beaux exemplaires. — Sin. 1876, profondeur 0-2000®. Nombreux individus. — Stn. 1767, profondeur o-2100". Deux exemplaires. Campagne de 1905 : Stn. 1985, profondeur 0-1500". Trois exemplaires. — Stn. 1991, profondeur 0-2000". Quelques exemplaires. — Stn. 2001, profondeur 0-1500*. Quelques exemplaires. — Stn. 2004, profondeur 0-2000". Quelques exem- plaires. — Stn. 2016, profondeur o-1800". Quatre exemplaires. — Stn. 2022, pro- fondeur 0-4000®. Quelques exemplaires. — Stn. 2040, profondeur o-1000". Quelques exemplaires. — Stn. 2052, profondeur 0-4000". Quelques exemplaires, — Stn. 2058, profondeur 0-500°. Quelques exemplaires. — Stn. 2082, profondeur 0-4880. Trois exemplaires. Stn. 2087, profondeur 0-2225". Huit exemplaires. — Stn. 2002, profondeur 0-1500". Très beaux spécimens. — Stn. 2090, profondeur o-1500". Quelques individus. — Stn. 2105, profondeur o-2000". Une dizaine d’exemplaires. — Stn. 2113, profondeur 0-1500". Quelques exemplaires. — Stn. 2114, profondeur 0-3000". Une douzaine d'exemplaires. — Stn. 2115, profondeur 06-2000". Quelques exemplaires. — Stn. 2117, profondeur o-1000". Quelques exemplaires. — Stn. 2130, profondeur 0-3000". Quelques exemplaires. — Stn. 2138, profondeur o-2500". Quelques exemplaires. — Stn. 2149, profondeur 0-2000". Quelques exemplaires. — Stn. 2153, profondeur 0-2000". Une dizaine d'exemplaires. — Stn. 2159, profondeur 0-2500°. Quelques exemplaires. — Stn. 2162. Surface. Un exemplaire. — Stn. 2168, profondeur 0-2000". Quelques spécimens. — Stn. 2185, profondeur o-3000". Beaux spécimens. — Stn. 2187, profondeur o-2500". Beaux exemplaires. — Stn. 2194, profondeur 0-2000®. Quelques spécimens. — Stn. 2200, profondeur 06-1500". Quelques exemplaires. — Stn. 2212, profondeur 0o-1200". Quelques exemplaires. — Stn. 2244, profondeur 0-3000". Quelques individus. — Stn. 2264, profondeur 0-3000". Un exemplaire — Stn. 2206, profondeur o-1700". Quelques individus. Campagne de 1906 : Stn. 2311, profondeur o-2460". Deux exemplaires. — Stn. 2449. Surface. Trois exemplaires (dont un ayant perdu ses crochets). Campagne de 1908 : Stn. 2683, profondeur o-223o". Un exemplaire. — Stn. 2688, profondeur 0-2025®. Deux exemplaires. — Stn. 2695, profondeur 0-2595". Quelques spécimens. — Stn. 2699, profondeur 0-2170". Quelques individus. — Stn. 2714, profondeur o0-1400". Quelques individus. — Stn. 2738, profondeur 0-4800". Treize exemplaires. Campagne de 1909 : Stn. 2810, profondeur o-2180". Quelques exemplaires. Au large de Monaco. — Stn. 2826, profondeur 0-850". Quelques individus. — Stn. 2829, profondeur o-2000". Quelques individus. — Stn. 2836, profondeur 0-1160. Assez nombreux spécimens. — Stn. 2870, profondeur 0-5700". Quelques exemplaires. — Stn. 2876, profondeur o-1000". Beaux exemplaires. — Stn. 2882, profondeur 0-2000". Spécimens nombreux. — Stn. 2885, profondeur o-3000". Une quinzaine. — Stn. 2902, profondeur o-1800". Quelques échantillons. — Stn. 2916, profondeur 0-1000®. Dix exemplaires. — Stn. 2921, profondeur o-1500%. Quinze spécimens. | ae Campagne de 1910 : Stn. 2955, profondeur o-2000". Nombreux individus. — Stn. 2959, profondeur 0-1750%. Spécimens en très bon état. — Stn. 2961, profondeur 0-2650®. Dix exemplaires. — Stn. 2983, profondeur 0-4500". Cinq échantillons. — Stn. 3021, profondeur 1550". Échantillons peu nombreux. — Stn. 3036, profondeur 0-4740". Quelques exemplaires. un: Rs Les nombreux exemplaires que nous avons étudiés, parfois en excellent état de conservation, permettent de suivre les variations de ce Sagitta. D'une manière générale, le corps est transparent; son aspect est celui d’une lame de cristal légèrement colorée en jaune. On distingue, au travers des téguments, le ganglion ventral, le tube digestif et les ovaires, qui, sensiblement plus opaques, se présentent, après conservation dans le formol, sous une apparence blanchâtre assez caractéristique. L'aspect général de l'animal est d’ailleurs donné sur les figures 5, 9, 1o et 14 de la PI. vin. Le corps est de forme très allongée; la tête est petite, séparée du corps par un cou très court. Il n’y a pas de collerette. La couronne ciliaire est courte, grossièrement ovalaire, plus large en avant qu’en arrière. Les nageoires antérieures sont petites, étroites, semi-elliptiques, absolument transparentes et soutenues par des rayons serrés, très délicats. Leur position est très variable, mais, dans la majorité des échantillons, elles occupent sensiblement le milieu du corps. Les nageoires postérieures sont plus développées. Elles ont une forme trian- gulaire et s'étendent depuis un point situé à quelques millimètres au-dessus du septum jusqu’au voisinage des vésicules séminales, mais sans jamais atteindre ces dernières. Elles présentent leur maximum de développement en largeur à peu près au niveau du septum, puis s’atténuent beaucoup plus brusquement vers la région postérieure que du côté de la région antérieure. Ces deux paires de nageoires sont toujours très nettement distinctes et la distance qui les sépare, quoique variable suivant les individus considérés, reste constamment très inférieure à la distance entre l'extrémité antérieure des nageoires antérieures et la tête. Il arrive quelquefois que les nageoires antérieures forment un développement un peu plus considérable; en même temps, les nageoires postérieures s’allongent vers la région antérieure de l'animal. Il en résulte ainsi un acheminement vers la fusion des deux paires de nageoires que nous observerons chez le Sagitia lyra Krohn. La rame caudale est petite et n'empiète pas sur les vésicules séminales. Elle est soutenue par de fins rayons subégaux et serrés. Les crochets sont au nombre de 6 à 9 et exceptionnellement de 10. Ils ont la forme de lames minces, longues et étroites ; leur courbure est assez accentuée. Très caducs, quelques-uns de ces crochets sont parfois absents. L'animal n’en possède plus alors que 2 ou 3 ce qui lui donne un aspect tel qu'on en a fait une espèce particulière, le Sagitta tricuspidata Kent. : Il y a de 2 à 4 dents antérieures, le plus souvent 3, d’une forme très caracté- ristique (PI. 11, fig. 7) : elles sont fort longues, bien isolées les unes des autres, longuement coniques et souvent inclinées. Les dents postérieures sont plus courtes, de forme conique et assez élancées. On en compte de 2 à 6, le plus ordinairement 3 ou 4. © KENT (S®), 1870, 4e série, v, p. 268. monté D À : cu Les dimensions de l’animal varient dans de grandes proportions. ainsi que le 2 montre le tableau suivant : , Longueur Longueur Distance de la tête | Longueur Nombre Nombre Nombre totale de la au des de de dents de dents du corps |région caudale | ganglion ventral ovaires crochets antérieures | postérieures 60 mm, 12 1/2 mm, 15 mm, 18 1/2 mm, 9-9 3-4 5-5 55 — 10 — 14 — 18 — 7-8 3-3 6-5 50 — 9 3/4 — 13 — 10 — 7-6 3-2 5-5 43 — 9 1/2 — 13 — 15 —- 7-7 3-3 5-6 42 — 8 — 12 — 17 _ 7 4-? 5 38 — 8 1/2 — II 1/2 — 16 — 8-8 3-4 5 36 — 8 1/4 — II — 2 — 7-7 4-3 5-6 LE 6 te bp Dre 7 (+1) 3 6 32 — 6 — 10 — 9 — 7-7 3- 6-5 30 — 5 — 9 — O 1/2 — 6 4 5 | 27 — 6 — 10 — 9 — 6-6 (+1) 3 5-6 24 — Si 815 + Me se , 3 5 21 — 4 1/2 — 8 — } — 7 (+1) 5 5 res 5 ee 8 de 7 nd 4 4 18 — 5. — «) — 7 — 6-6 3 4 Les ovaires sont très allongés : 1ls atteignent généralement le milieu du corps, au niveau de la partie la plus large des nageoires antérieures. Mais il arrive, lorsque les ovaires ne sont pas à maturité, que leurs dimensions sont beaucoup plus petites. Les vésicules séminales sont toujours petites et en forme de sacs arrondis placés à la naissance de la rame caudale. Sagitta hexaptera, d'Orbigny ; variété magna, Langherans (Carte u; PL. 1, fig. 6-8; PL x, fig. 2; Pl. vu, fig. o, vo et 14) 1880. Sagitta magna, LANGHERANS, (S®), xxxrv, p. 135. 1883. — — GRaASSI, (GS), v, p.11. 1903. — — KrumBacH, (8%), xvir, p. 634, fig. Q. 1906. Sagitta hexaptera f. magna, FowLer, (AS), PI. 1, fig. 38-41. Campagne de 1894 : Stn. 377, profondeur 800". Un exemplaire. Au large de Monaco. | Campagne de 1895 : Sin. 522. Un très bel exemplaire. Campagne de 1904 : Sin. 1749, profondeur 0-2500%. Quelques individus. — Stn. 1760, profondeur 0-3000®. Quelques exemplaires. — Stn. 1768, profondeur 0-3000*. Quelques spécimens. — Stn. 1781, profondeur o-5000". Quelques exem- plaires. — Stn. 1797, profondeur 0-2000". Quelques beaux individus. — Stn. 1800, profondeur 0-500". Une dizaine de beaux individus. — Stn. 1834, profondeur 1440". Ouelques individus. Au Sud de Säo Miguel, sur le banc de Monaco. Campagne de 1905 : Stn. 1965, profondeur 0-2175". Trois exemplaires. — Stn. 2011, profondeur 0o-1500". Beaux exemplaires. — Stn. 2058, profondeur 0o-500". Beaux spécimens. — Stn. 2092, profondeur o-1500". Trois magnifiques exemplaires. — Stn. 2115, profondeur 0-2000. Beaux exemplaires.— Stn. 2130, profondeur 0-3000". Une dizaine de beaux exemplaires. — Stn. 2149, profondeur 0-2000". Quelques exemplaires. — Stn. 2185, profondeur o-3000". Magnifiques spécimens. Fosse de l’'AIRONDELLE.— Stn. 2187, profondeur 0-2500". Magnifiques exemplaires. Fosse de l’'HIRONDELLE. — Stn. 2194, profondeur o-2500. Beaux exemplaires. — Stn. 2200, profondeur 0-1500". Quelques exemplaires. — Stn. 2244, profondeur o-3000". Trois spécimens. Campagne de 1906 : Stn. 2320, profondeur 0-2300". Sept exemplaires. Campagne de 1908 : Stn. 2714, profondeur 0-1400". Quelques individus. Campagne de 1909 : Stn. 2832, profondeur o-1000". Quelques exemplaires. — Stn. 2836, profondeur o-1160". Assez nombreux et beaux individus. La variété magna Langerhans n’est que très peu distincte du type. Nous lui avons cependant conservé son individualité parce qu'à l'inverse du type, qui est universellement répandu dans le plancton de presque toutes les mers du globe, la variété magna Langherans se rencontre à peu près uniquement dans la mer Méditerranée et dans l'Océan Atlantique central, notamment dans les parages de Madère, des Açores et des Canaries. La variété magna Langherans se distingue par sa forme encore plus étroitement allongée que dans le type hexapiera; par ses nageoires plus petites, surtout les antérieures qui sont très étroites, de forme longuement elliptiques et placées plus postérieurement. Par suite de cette disposition spéciale, la distance qui sépare les nageoires antérieures des nageoires postérieures est, proportionnellement, plus faible que chez le type. Le corps est, dans la variété magna Langherans. absolument transparent. Quant à l’armature buccale, elle ne présente pas de différences appréciables, bien que Grassi indique de 10 à 13 crochets, 4 dents antérieures et 2 ou 3 dents postérieures. Mais il s’agit là de cas exceptionnels, Grassi ayant eu devant lui des spécimens de Sagitta hexaptera d'Orbigny, armés de nombreux crochets et ne possèdant que peu de dents ou ayant perdu une partie de ces dernières. En résumé, la variété magna Langherans est un Sagitta hexaptera d'Orbigny de forme très allongée avec de très petites nageoires, les antérieures étant fortement rapprochées des postérieures. | dr Sagitta lyra, Krohn (Carte 1; Pl: 1, fig. 7; PL nu, fig. 4,5, 6, 8, o et 10 ; PI. vi, fig. 3) 1853. Sagitta lyÿra, Kroun, (8G), xix, no 1, p. 272. 1880. — — HErRTwIG, (9%), p. Gr. 1883. Spadella lyÿra, Grassi, (GS), v, p. 11. = 1892. Sagitta hexaptera, SrroDTMANN, (MAS), Lvur, 1, p. 342, no 2 (tirés à part, p. 12, no 2) [non D'ORBIGNY|. 1896. Sagitta furcata, STemnHaus, (AAA), p. 8, Taf. 1, fig. 3-4-5. 1806. Sagitta Whartoni, FowLER, (Æ@), p. 902. 1903. Sagitta furcata, KrumBaAcu, (8%), xvinr, p. 630, no 3, fig. M. N. 1903. Sagitta Whartoni, GÜNTHER, (@9), x1r, p. 336. 1905. Sagitta furcata, FowLer, (4%), x, p. 63, PI. 1v, fig. 7-15. 1905. Sagitta Sp. Indet: 111, FOwLER, x, p. 74, PL. vi, fig. 41. 1907. Sagitia hexaptera, Morrscnanorr, (4@%), x, p. 209 [non d'OrBIGNY|. 1908. Sagitta lyÿra, RiTTER-ZAHoONY, (AG), LxxxIv, tirés à part, p. 10. 1910. — — RiTTer-ZaHony, (180), 1v, p. 3. 1911. — — RIiTTER-ZARONY, (188), p. 5. rOTr. — — - RITTER-ZAHONY, (MSA), xxIx, p. 13, n° 2, fig. 8. 1OII. — — RiTrer-ZaHony, (88%), v, tirés à part, p. 8, fig. 3. 1911. —.. +. E.L. Micnarsr, (108), vin, no 3, p.32, Pl:r, fig.3; Ph, fig. 6: PLiy, fig. 20, | et PI. vi, fig. 43 (paru en 19712). Campagne de 1885 : Stn. 16. Surface. Un exemplaire. Campagne de 1887 : Stn. 115, profondeur o-1". Un exemplaire. — Stn. 137. Surface. Quelques exemplaires. — Stn. 148. Surface. Quelques exemplaires. Campagne de 1888 : Stn. 256, profondeur 2200". Quelques exemplaires. — Stn. 258, profondeur 781". Nombreux spécimens. Campagne de 1891 : Stn. 283, profondeur 1000". Quelques exemplaires. Au nord de l'Ile Rousse (Corse). — Stn. 299, profondeur 510". Quelques exemplaires. Campagne de 1893 : Stn. 372, profondeur 1000". Environ 11 milles dans le sud du Cap Cépet (Toulon). * —… Campagne de 1894 : Stn. 459, profondeur 1408". Au voisinage du Banc Gorringe. Un exemplaire d'assez forte taille. Campagne de 1897 : Stn. 822. Surface. Beaux exemplaires. Campagne de 1899 : Stn. 1048, profondeur 2276". Un exemplaire. Environ 60 milles au large d’Ajaccio. ; | Campagne de 1902 : Stn. 1358, profondeur 403". Un exemplaire. Campagne de 1903 : Stn. 1549, profondeur o-1500". Beaux exemplaires. Campagne de 1904 : Sin. 1639, profondeur 0-3000". Nombreux exemplaires. — Stn. 1715, profondeur o-1000". Beaux exemplaires. — Stn. 1749, profondeur 0-2500%. Quelques exemplaires. — Stn. 1760, profondeur o-3000". Quelques spécimens. Stn. 1768, profondeur 0-3000". Nombreux individus. — Stn. 178r, 46:17 Sie profondeur 0-5000". Nombreux spécimens. — Stn. 1794, profondeur 0o-3000*. Beaux individus. — Stn. 1797, profondeur 0-2000". Nombreux spécimens. — Stn. 1800, profondeur 0-500". Quelques individus. — Stn. 1834, profondeur o-1000". Assez nombreux spécimens. Au sud de Säo Miguel, banc de Monaco.— Stn. 1844, profondeur 0-1500". Nombreux spécimens. — Stn. 1849, profondeur 0-3000. Assez nombreux individus. — Stn. 1851, profondeur o-3000". Très nombreux individus — Stn. 1856, profondeur 0-3250". Très nombreux et beaux spécimens. — Stn. 1876, profondeur 0-2000". Nombreux individus. Campagne de 1905 : Stn. 1991, profondeur 0-2000". Quelques exemplaires. — Stn. 2001, profondeur 0-1500". Nombreux exemplaires. — Stn. 2016, profondeur 0-1800". Quelques exemplaires. — Stn. 2022, profondeur 0-4000". Quelques spécimens. — Sin. 2052, profondeur 0-4000". Nombreux exemplaires. — Sin. 2058, profondeur 0-500". Quelques exemplaires. — Sin. 2099, profondeur 0-1500". Nombreux individus. — Stn. 2105, profondeur o-2000". Nombreux exemplaires. — Stn. 2113, profonideur o-1500". Nombreux exemplaires. — Stn. 2114, profondeur 0-3000". Nombreux spécimens. — Stn. 2130, profondeur 0-3000". Nombreux exemplaires. — Stn. 2149, profondeur 0-2000". Nombreux spécimens. — Stn. 2153, profondeur 0-2000". Nombreux exemplaires. — Stn. 2159, profondeur 0-2500". Nombreux et beaux exemplaires. — Stn. 2168, profondeur 0-2000". Nombreux spécimens. — Stn. 2185, profondeur o-3000". Nombreux exemplaires. Fosse de l'HIRONDELLE. — Stn. 2187, profondeur 0-2500". Nombreux exemplaires. Fosse de l'HIRONDELLE. — Stn. 2194, profondeur 0-2500". Très nombreux spécimens. — Stn. 2200, profondeur 0-1500". Nombreux exemplaires. — Stn. 2212, profondeur 0-12007. Nombreux exemplaires. — Stn. 2244, profondeur 0-3000". Nombreux spécimens. — Stn. 2264, profondeur o-3000". Deux exemplaires. — Stn. 2206, pro- fondeur 0-1700". Quelques exemplaires. — Stn. 2301, profondeur 0-2375", Assez nombreux spécimens. . Campagne de 1908 : Stn. 2683, profondeur o-2230". Quelques exemplaires. — Stn. 2688, profondeur 0-2025", Trois exemplaires. — Stn. 2695, profondeur 0-2595". Nombreux spécimens. — Stn. 2699, profondeur o-2170". Huit individus. — Stn. 2704, profondeur 0-1665*. Nombreux individus. — Stn. 2714, profondeur 0-1400°. Nombreux exemplaires. Campagne de 1909 : Stn. 2810, profondeur o-2180". Une vingtaine d'exemplaires. — Stn. 2826, profondeur 0o-850". Nombreux individus. — Stn. 2829, profondeur 0-1000". Une douzaine d'exemplaires. — Stn. 2836, profondeur o-1160". Très nombreux et beaux spécimens. — Stn. 2850, profondeur 1664". Nombreux exem- plaires. — Stn. 2854, profondeur o-1410". Une vingtaine de spécimens. — Stn. 2870, profondeur 0-1500". Quelques exemplaires. — Stn. 2875, profondeur 0-5700". Une trentaine d'individus. — Stn. 2876, profondeur o-1060". Très beaux échan- tillons. — Stn. 2885, profondeur 0-3000". Une trentaine d'exemplaires. — Stn. 2897, profondeur 0-2500". Quelques individus. — Stn. 2902, profondeur o-1800". Une quinzaine d'exemplaires. — Stn. 2905, profondeur o-1200". Quatorze spécimens. — Stn. 2910, profondeur o-520". Une quinzaine d'individus. — Stn. 2916, profondeur 0-1000". Quelques spécimens. — Stn. 2926, profondeur 0-2800". Quelques individus. — Stn. 2931, profondeur o-1500". Huit individus. — Stn. 2937, profondeur o-1150°. Spécimens assez nombreux. Campagne de 1910 : Stn. 2942, profondeur 0-2350". A 30 milles de Monaco. Quelques spécimens. Stn. 2955, profondeur 0-2000". Nombreux individus. — Stn. 2959, profondeur 0-1750". Nombreux échantillons. — Stn. 2961, profondeur 0-2650". Quelques exemplaires. — Stn. 2983, profondeur 0-4500". Nombreux indi- vidus. Stn. 3003, profondeur 0-4900". Beaux individus. — Stn. 3010, profondeur 0o-1500", Quatorze exemplaires. — Stn. 3021, profondeur 0o-1550". Beaux individus.— Stn. 3036, profondeur 0-4740". Nombreux échantillons. — Stn. 3050. Surface. Échan- tillons en mauvais état provenant de l'estomac d’un Globicephalus melas g' harponné, le 12 septembre r910, à 12 milles dans le sud d’Adra. Tandis que, dans la plupart des pêches planctoniques, le Sagitta hexapiera d'Orbigny est pris par 2 ou 3 individus, ou même par échantillons isolés, le Sagitta lyra Krohn est toujours ramené en nombreux exemplaires. C'est de beaucoup le plus répandu de toutes les grandes espèces du genre. Le Sagitta lyra Krohn est une espèce transparente, de couleur légèrement grisâtre, laissant voir, au travers de ses téguments, le ganglion ventral, le tube digestif et les ovaires qui apparaissent un peu opaques. La forme générale du corps est moins allongée que chez le Sagitta hexaptera d'Orbigny ; la tête, assez petite, est réunie au tronc par un cou large. Il n'y a pas de collerette. La couronne ciliaire est courte, ovalaire pyriforme, presque toujours entièrement située sur la tête. Les nageoires sont très développées. Les nageoires antérieures sont longues : elles commencent un peu en dessous du premier tiers antérieur du corps, à peu près au niveau du ganglion ventral, et se terminent sensiblement vers le deuxième tiers. Leur largeur maximum est voisine de leur extrémité postérieure. Leur forme, très variable suivant les spécimens considérés, est celle d’un long triangle. Les nageoires postérieures sont beaucoup plus courtes ; elles sont subtrian- gulaires ‘, plus ou moins semi-elliptiques, commencent au-dessus du septum et s'étendent à peu près jusqu'aux vésicules séminales. Les nageoires antérieures et postérieures sont toujours réunies par une petite lame de même tissu, généralement très étroite et dont la longueur varie suivant les individus considérés. 1 Moins nettement que chez le Sagitia hexapiera d’Orbigny. Ro vo La rame caudale reste assez petite et n’empiète pas sur les vésicules séminales. Elle a parfois une forme bifurquée et c’est principalement sur ce caractère que s’est basé ©. Steinhaus pour établir son Sagitia furcata. L’armature buccale est bien développée. On compte de 6 à 9 crochets, le plus ordinairement 8. Ils ont la forme de lames plates, de courbure assez prononcée et présentent une base assez caractéristique. Les dents antérieures varient de 3 à 7. Il y en a généralement 4-5 obliquement placées, de petite taille, coniques et assez serrées les unes contre les autres. Les dents postérieures sont plus espacées ; également coniques ou subconiques, elles sont plus courtes que les antérieures et varient en nombre de 3 à 12 (le plus souvent 8-0). Voici un tableau donnant les principales caractéristiques de quelques exem- plaires. L2 RS RTE: Longueur Longueur Distance du ganglion | Longueur Nombre Nombre Nombre totale du ë des des des dents des dents segment caudal| lextrémité antérieure ovaires crochets antérieures | postérieures 48 mm, 9 mm, 10 mm, 12 mm, 5-6 5-6 7-8 40 — 7 me 9 = 13 1/2 — 6-5 8-89 8-9 38 — 8 a. 8 1/4 — 8 — 4-5 ? 8-8 Des Se 8 — 4 — 8-6 6-8 9-10 35 — re 8 1/2 — 15 — 7-7 5-7 8-8 24 — 5 se 7 — 6 — 8-8 5-6 7-8 | SU 4 ei LEURS 7 2 7-0 5-5 8-10 | Les ovaires sont fortement allongés. Leur taille est extrêmement variable. suivant leur degré de maturité. Chez deux exemplaires de mêmes dimensions (35 millimètres de longueur totale) les ovaires ne dépassaient pas, chez l’un, les nageoires postérieures et n'avaient que 4 millimètres (PI. 1, fig. 5); ils atteignaient 15 millimètres et s’étendaient au moins jusqu'au milieu du corps chez l’autre (Pt, H, US. 0). Les vésicules séminales sont ovalaires-arrondies et de taille médiocre. Enfin le ganglion ventral, de forme elliptique, OCCupe une position constante. Il est évident que le Sagitta furcata, décrit par O. Steinhaus ‘, est synonyme de cette espèce. L'examen des figures et de la description montre la parfaite concordance avec les nombreux spécimens de Sagitia lyra Krohn recueillis au cours des croisières de S. A. S. le Prince de Monaco. Il en est de même de © STEINHAUS (O), (AÆ4), p. 8, Taf. 1, fig. 3-4-5. Lalande he à dede di huit it) à hat à pti IL ES DAS Tr l'excellente description donnée par G. H. Fowler ‘ qui, de plus, donne le tableau suivant des principaux caractères des individus étudiés par Jui. Longueur Rappot: Nombre Nombre Nombre du DUR Heu des des dents des dents MiNu Le Hi 01: drochets antérieures | postérieures * Longueur totale du corps 35 mm, 17 of° 6-8 5-7 11-12 33. — 17-18 0/o 7-8 7-8 9-10 | 31 — 18-20 0/0 8-9 6-7 9-11 28 — | 18-21 0/0 7-8 6 9-11 26 —- 19-21 0/o 8-9 6 10 23 — 19 °/o 8-9 5 8-9 21 — 18-21 0/o 7-9 5 7-8 19 — 18-21 0/0 7-8 5-6 17 — 17-25 0Jo 8-9 4-5 7-8 15 — 20-23 0/o 8-9 4 6 13 — 17-23 0/0 8-9 4-5 5-7 12 — 24-29 o/o 8 E 5-6 On voit qu'il y a concordance avec le tableau de la page précédente *. Rütter- Zähony $ ne doute pas non plus de l'identité des deux espèces et considère le Sagiita furcata Steinhaus comme une forme jeune de Sagitta lyra Krohn. Cette opinion a été admise, plus récemment, par E. L. Michael 4 qui a également prouvé l'identité du Sagitta lyra Krohn et du Sagitta Whartoni Fowler 5. RAPPORTS ET DIFFÉRENCES. — Rapproché du Sagitta hexaptera d'Orbigny, le Sagitta lyra Krohn s’en distingue très facilement : Par la forme générale moins allongée de son corps; par ses nageoires antérieures plus développées en longueur, de forme différente, et constamment confluentes avec les nageoires postérieures; par les caractères particuliers de son armature buccale et, notamment, la forme de ses dents antérieures. Mais c'est avec le Sagitta Gazellæ Ritter-Zähony 6 qui, dans les mers antarc- tiques semble remplacer le Sagitta hexaptera d'Orbigny 7, que le Sagitta lyra Krohn présente le plus d’affinités. La forme générale du corps est sensiblement la même et les nageoires antérieures et postérieures sont également confluentes chez le Sagitta * FowLeEr (G. H.), (4%), 2e série, Zoology; vol. x, part. 3, janvier 1905, p. 63, PI. 4, fig. 7-15. * G. H. FowLer ajoute d’ailleurs [ (4%), 1905, p. 64)] : « S. lyra Krohn, very likely had furcata before him ». $ RiTTer-Zanony (R. von), (428%); xIv, 1908, p. 12. * MicHaëL (E. L.), (408), vin, no 3, décembre 1911, p. 35. FowLer (G. H.), (&@), 1896, p. 992. ° RiTTer-Zanony (R. von), (188), xxx1v, n° 26, 21 septembre 1909, p. 787, fig. à la page 788. 7 GERMAIN (Louis), (88), 1913, p. 05. des Gazellæ Ritter-Zähony. Mais, chez cette dernière espèce, la longueur du segment caudal est proportionnellement plus petite et les crochets, qui ont une forme assez particulière ‘, sont au nombre de 8 à 10 (le plus généralement 7). Ce ne sont là évidemment que de bien faibles différences et il est possible que le Sagitta Gazellæ Ritter-Zähony ne soit qu’une variété de grande taille, adaptée aux eaux froides, du Sagrita lyra Krohn. Enfin quelques auteurs ont réuni au Sagitta lyra Krohn, le Sagitta maxima Conant *. Il ne semble pas que cette assimilation soit suffisamment fondée. Il y a, ‘évidemment, de très grandes analogies entre les deux espèces, mais je crois préférable de considérer, jusqu'à plus ample informé, le Sagitta maxima Conant, comme une variété de très grande taille, sinon comme une espèce représentative, du Sagitta lyra Krohn, variété presque uniquement répandue dans les mers froides et plus spécialement dans les mers boréales. Sagitta planctonis, Steinhaus (Carte ar ; PI. 1, fig. 3; PI. 11, fig. 1-2-3-4 et 8; et PI. vu, fig. 1-2) 1896. Sagitta plankionis, SteinxaUS, (AAA), p. 7, Taf. 1, fig. 1-2 ; p. 29 et p. 30. 1896. . — hexaptera, ConANT, (84), v, no 216, p. 85, no 4 {non d’ORBrGNY). 1905. + : Zetesios, FOwLER, (49), 2e série, x, p. 67, PI. v, fig. 22-27. 1905. Sagitia ? planctonis, FowLer, (4%), 2e série, x, p. 71, PI. vi, fig. 36-40. 1906. Sagiita Zetesios, FowLER, (AS), p. 22, no 12. 1900. — planctonis RITTER-ZAHONY, (H®S), xxx1V, P. 700. TOTT- — — RITTER-ZAHONY, (488), p. 10. 1911. — — RITTER-ZAHONY, (8 BA), xxIx, p. 25, no 10. IOII. — —- RITTER-ZAHONY, (ABS), v, tirés à part, p. 20, fig. 32 à 36. IOII. — — E. L. MicHaez, (AQS&), vin, no 3, p. 44, PL. 1, fig. 6; PL. rx, fig. 21; PL. 1v, fig. 33; PI. v, fig. 42; pl. vu, fig. 46 et PI. vin, fig. 48 (paru en 19r2). Campagne de 1896 : Stn. 740, profondeur 1000". Un exemplaire. A l’ouest de l’île S. Miguel. Campagne de 1897 : Stn. 822, surface. Deux individus. Campagne de 1904 : Stn. 1749, profondeur 0-2500". Quelques exemplaires. — Stn. 1768, profondeur o-3000". Quelques spécimens. — Stn. 1781, profondeur 0-5000". Trois très beaux individus. — Stn. 1794, profondeur o-3000". Beaux spécimens. — Stn. 1797, profondeur 0-2000". Un bel exemplaire. : Campagne de 1905 : Stn. 2092, profondeur o-1500". Un exemplaire. — Stn. 2099, profondeur 0-1500". Deux spécimens. — Stn. 2114, profondeur o-3000". Un spécimen. — Stn. 2115, profondeur 0-2000". Deux exemplaires. — Stn. 2130, profondeur 0-3000". Trois beaux exemplaires. — Stn. 2138, profondeur o-2500". * GERMAIN (Louis), (&8), 1913, fig. 1-2. * ConanT (F.S.), (88), xv, no 126; juin 1806, p. 84, no 2. RE run Deux exemplaires. — Stn. 2153, profondeur o-2000". Frois exemplaires. — Stn. 2185, profondeur 0-3000". Quatre exemplaires.— Stn. 2187, profondeur 0-2500". Très beaux spécimens. Fosse de l'AIRONDELLE. — Stn. 2194, profondeur 0-2500". Deux exemplaires. — Stn. 2200, profondeur o-1500". Deux très beaux exem- plaires. — Stn. 2212, profondeur o0-1200". Trois spécimens. — Stn. 2296, pro- fondeur 0o-1700" Un spécimen. Campagne de 1908 : Stn. 2688, profondeur o-2025". Un exemplaire. — Stn. 2714, profondeur 0-1400". Deux spécimens. Campagne de 1909 : Stn. 2882, profondeur 0-2000". Un spécimen. Campagne de 1910 : Stn. 2961, profondeur 0-2650". Un bel individu. — Stn. 2983, profondeur 0-4500". Un grand spécimen.— Stn. 3036, profondeur 0-4740". Un bel exemplaire. Cette espèce de grande taille — elle atteint jusqu’à 40 millimètres de longueur — est de forme allongée, mais assez ventrue. C’est le plus trapu de tous les Chétognathes. Son corps rigide, gardant bien sa forme après conservation dans l’alcool ou le formol, est d’un blanc jaunâtre opaque, quelquefois de couleur crême, parfois même un peu bleuâtre, ne laissant voir qu'assez difficilement, par trans- parence, le tube digestif. La tête est de taille médiocre, de forme arrondie, de couleur plus franchement jaune que le reste du corps dont elle est séparée par un cou nettement indiqué. La collerette est étroite mais s'étend, en arrière, jusqu'aux nageoires antérieures. La couronne ciliaire a la forme d’une ellipse très allongée, un peu pointue en avant, plus élargie en arrière ; elle est située sur la tête et sur le cou. Le segment caudal n’est pas très développé; il est conique, lentement et régulièrement atténué en pointe à l'arrière ; 1l atteint de 20 à 28 °/, de la longueur totale du corps. Les nageoires antérieures sont très développées. Elles naissent à peu près au niveau de l’extrémité antérieure du ganglion ventral et s'étendent sur 20 à 24°/, de la longueur totale du corps. Elles sont de forme triangulaire, assez élargies (le maximum de largeur est voisin de leur extrémité postérieure) puisqu'elles atteignent ou dépassent légèrement, de chaque côté, la demi-largeur du corps. Les nageoires postérieures sont séparées des premières par un espace court. Elles sont plus petites que les antérieures, n’atteignant que 16 à 19°/, de la longueur totale de l'animal ; leur forme est subtriangulaire-elliptique avec un maximum de largeur au niveau du septum. Elles n'arrivent jamais jusqu'aux vésicules séminales et sont un peu plus développées en avant qu’en arrière du septum. | La rame caudale est tronquée ; elle s'étend, antérieurement, jusqu'aux vésicules séminales. RE Voici, pour plus de précisions, quelques mesures prises sur un exemplaire bien typique : Longueur totale du corps............. DRE du. 32 1/2 millimètres. Longueur de la région caudale...,5...,.,:.. Haies don ue — Loneueur totale de la région céphalique..:.....:...,00 1: 31e ra Distance de l'extrémité antérieure du corps à l'extrémité antérieure du ganglion: ventral suicide au its uk set 6e me Longueur des nageoires antérieures. sus sien. senti ur ni, 5 — Longueur des nageoires postérieures................. near -b = Distance entre les nageoires antérieures et les nageoires RUES POS AFS 1 si sr Je — LGnpueur des. ovaires... ....... A Re 14 — On compte de 7 à 9 crochets, très rarement 6 ou 10, le plus souvent 8-0. Ils sont très élancés, fortement recourbés, à base étroite, terminés par une pointe fine et aiguë. Les dents antérieures varient de 5 à 9 (quelquefois 10), mais il y en a géné- ralement 6-7. Elles sont longuement coniques, élancées, serrées à leur base les unes contre les autres, ne devenant libres que vers le tiers supérieur de leur longueur. Elles sont fortement colorées. Les dents postérieures sont très nombreuses : on en compte 12 à 20, le plus souvent 16-17 chez les individus bien adultes. Elles sont également très allongées, encore plus serrées les unes contre les autres et proportionnellement plus hautes et plus étroites que les antérieures. Les ovaires sont excessivement étroits. Lorsqu'ils sont arrivés à leur pleine maturité, ils s'étendent jusqu'au ganglion ventral, Leur longueur varie alors de 35 à 45°/, de la longueur totale du corps. Les vésicules séminales, situées à peu près au tiers inférieur de l'extrémité caudale, ont l'aspect de sacs pyriformes relativement gros. Le Sagitta zetesios, décrit par G. H. Fowler', est bien certainement cette espèce, les seules différences qu'il soit possible de remarquer entre la description originale de G. H. Fowler et celle donnée ci-dessus portant sur des détails rentrant dans les limites de la variabilité du Sagitta planctonis Steinhaus. RAPPORTS ET DIFFÉRENCES. — Bien que le Sagitta plancionis Steinhaus soit une espèce particulièrement facile à distinguer, on peut cependant le rapprocher du Sagitia Bedoti Béraneck *. Cette dernière espèce se sépare : par son corps plus transparent et moins trapu ; par l’absence de collerette ; par ses nageoires antérieures * FowLer (G. H.), (A), 2e série, Zoology ; x, part. ur, janvier 1905, p. 67, PI. v, fig. 22-27. * Beranecx (E), (44), m1, 1805, p. 147, PI. xv, fig. 9-14. HS proportionnellement plus longues, séparées des nageoires postérieures par un espace très court ; enfin par ses nageoires postérieures s'étendant jusqu'aux vésicules séminales, ce qui n'a jamais lieu chez le Sagitta plancionis Steinhaus. B. Æspèces à ovaires courts Sagitta inflata, Grassi {nom. emend.) (Carte nr; Pl. 11, fig. 3; PI. vmr, fig. 8) 1880. Sagitta lyÿra, LANGERHANS, (88), xxxiv, p. 135. 1887. — enflata, Grassi, (@%), 2e série, xIv, p. 213. 1883. — — GRassi, (68), v, p. 13. 1892. — — STRODTMANN, (#49), vu, 1, p. 348, n° 7, Taf. xvur, fig. 16 (tirés à part, p. 18, no 7). 1805. — — BÉRANECK, (MA), 1x, p. 154. 1896. — flaccida, CoNANT, (84), xv, n° 126, p. 85, no 5. 1806. — enflata, STeInHAUS, (RAA), p. 24, p. 36 et p. 41. 1897. — — Aipa, (4), 1, p. 75. : 1902. — — DoncAsTER (89), xLvI, p. 371 (tirés à part, p. 20). 1902. — Gardineri, DoNcASTER, (AA), 1, p. 212. 1903. — enflata, KrumMBACH, (8%), xvut, p. 632, no 4, fig. O. 1005. — — Fowzer, (48), p. 8, no 2, PI. 1, fig. 9-17. 1907. — brachycephala, MocrscHanorr, (80%), xrr, p. 208. 1908. — furcata, Micuaaet, (4@2), xv, p. 68 (non STEINHAUS). 1909. — inflata, RITTER-ZAHONY, (AG), LxxxIV, tirés à part, p. 47. | 1909. — _ australis, JoHNSTON, (#®), vis, no 4, p. 251, PI. Lxxr. 1910. — enflata, forma typica + Sagitta enflata, forma Gardineri, RiTrer-Zanony, (484), System., Suppl. xt, part. 2, p. 130. IOIT. — — RiTTER-ZaAnoNY (1388), p. 6. TOII. — — RITTER-ZAHONY, (#4), xxIx, p. 16, no 5. IOII. —— — RITTER-ZAHONY, (AB), v, tirés à part, p. 13, fig. 0. 1911. —— — E. L. MicHaez, (#08), vu, no 3, p.28, PL. 1, fig. 1; Pl. mi, fig. 14; PI. 1v, fig. 26; pl. v, fig. 39; PL. vx, fig. 45 et PL. vrur, fig. 47 (paru en 1912). Campagne de 1885 : Stn. 21. Surface. Un exemplaire. — Stn. 34. Surface. Quelques spécimens. — Stn. 37. Surface. Quelques individus. Campagne de 1886 : Stn. 67. Surface. Un exemplaire. — Stn. 75, profondeur 31". Quelques exemplaires. — Stn. 78. Surface. Un exemplaire. Campagne de 1888 : Stn. 168. Surface. Assez nombreux spécimens. Au large de Belle-Ile. — Stn. 246. Surface. Assez nombreux exemplaires. Près de Prainha. — Stn. 302, profondeur 821". Un exemplaire. | Campagne de 1893 : Stn. 372, profondeur 1000". Quelques rares spécimens. À environ 11 milles dans le sud du Cap Cépet (Toulon). Campagne de 1894 : Stn. 496. Surface. Très nombreux exemplaires. Campagne de 1895 : Stn. 508. Surface. Quelques exemplaires. | ; Campagne de 1901 : Stn. 1200. Surface. Deux exemplaires. A 3 milles dans le N.-E. de l’île de Maio (Cap Vert). Campagne de 1903 : Stn. 1560, profondeur 0-500". Quelques exemplaires. 5 On Campagne de 1904 : Stn. 1736, profondeur o-500". A l'abri de Palma. Quatre exemplaires. — Stn. 1744. Surface. Un exemplaire. — Stn. 1749, profondeur 0-2500". Quelques exemplaires. — Stn. 1768, profondeur 6-3000". Quelques spécimens. — Stn. 1781, profondeur o-5000". Quelques individus. — Stn. 1834, profondeur 0-1440". Quelques spécimens. Au sud de Säo Miguel. Campagne de 1905 : Sin. 2016, profondeur o-1800". Un exemplaire. — Stn. 2092, profondeur o-1500". Quelques individus.— Stn. 2149, profondeur 0-2000". Quelques beaux exemplaires. — Stn. 2269, profondeur o-3000". Quelques spécimens. — Stn. 2286. Surface. Un exemplaire. — Stn. 2287. Surface. Une vingtaine de beaux spécimens. — Stn. 2292. Surface. Trois exemplaires. Campagne de 1906 : Stn. 2311, profondeur 0-2460". Quelques exemplaires. — Stn. 2558. Surface. Une quinzaine d'exemplaires. Campagne de 1908 : Stn. 2688, profondeur o-2025". Cinq exemplaires. — Stn. 2690, profondeur 0-2170". Quinze spécimens. — Stn. 2701. Surface. Beaux exemplaires. — Stn. 2801. Surface. Quelques spécimens. : Campagne de 1909 : Stn. 2916, profondeur o-1000". Quelques individus. — Stn. 2920. Surface. Trois individus. Campagne de 1910 : Stn. 2944. Surface. Deux individus. — Stn. 3053. Surface. Deux spécimens en mauvais état (détermination douteuse). — Stn. 3054. Surface. Cinq exemplaires. Le Sagitta inflata Grassi, qui n’est pas très répandu, est de beaucoup le plus transparent de tous les Chétognathes. Lorsque cette espèce a été conservée dans le formol, son corps est absolument comme une mince lame de cristal au travers duquel on aperçoit le tube digestif et les ovaires qui, beaucoup plus opaques, sont colorés en jaune-brun clair, quelquefois même, comme chez quelques individus des Açores, en marron rougeâtre. Les nageoires sont tellement transparentes qu’elles sont à peu près invisibles si on ne fait pas une coloration #n toto de l'animal ; la rame caudale est plus facile à distinguer. Conservés dans l’alcool, les spécimens de cette espèce perdent une partie de leur transparence tout en restant, cependant, nota- blement moins opaques que les autres Chétognathes. | Le Sagiita inflata Grassi est une espèce de taille moyenne, dépassant rarement 25-26 millimètres de longueur totale, mais pouvant atteindre, exceptionnellement, jusqu’à 29-30 millimètres. La forme générale du corps est ovalaire allongée. propor- tionnellement plus large que chez les Sagitta hexaptera d'Orbigny et Sagitta lyra Krohn. Ce caractère est surtout bien marqué dans la région antérieure, le cou étant à peine indiqué. Il n’y a pas de collerette. La couronne ciliaire est souvent absente : quand elle existe, elle est courte et presque entièrement située sur la tête. Les nageoires sont peu développées. Les antérieures sont très petites, de forme triangulaire, avec un maximum de développement en largeur voisin de leur tiers me He inférieur. Elles sont situées sensiblement en dessous de la moitié antérieure du corps, très loin du ganglion ventral. Les nageoires postérieures sont également petites, mais plus longues et plus larges que les antérieures ; elles ont aussi une forme triangulaire, le sommet du triangle étant très postérieur. Elles s’avancent, antérieurement, au delà du septum et atteignent, postérieurement, sensiblement le milieu de l’espace séparant le septum des vésicules séminales. Ces deux paires de nageoires sont absolument transparentes et soutenues par des rayons extrêmement délicats ; elles sont toujours nettement séparées par un intervalle un peu variable mais qui, ordinairement moins grand que la longueur des nageoires postérieures, n'atteint que très rarement la longueur de ces dernières. Cette disposition rappelle celle du Sagita hexaptera d'Orbigny, variété magna Langerhans : dans les deux cas, les nageoires antérieures sont très courtes et situées loin du ganglion ventral. La rame caudale est étalée, médiocre, n’atteignant pas tout à fait les vésicules séminales. ; | L’armature buccale comporte de 8 à 9 crochets (généralement 9). Quelquefois on en compte seulement 7, plus rarement leur nombre atteint 10. [ls sont étroits, présentent une courbure accentuée et leur base est étroite. Ils sont transparents, de couleur paille claire, terminés en pointe acérée. Les dents antérieures sont au nombre de 5 à 10, plus rarement 11. Chez les exemplaires recueillis au cours des croisières de S. A. S. le Prince de Monaco, 1l y en a généralement 8-9. Elles sont courtes, coniques, bien serrées les unes contre les autres. : Les dents postérieures varient en nombre de 8 à 17. On en compte ordinairement 14-16. Elles sont plus longues que les dents antérieures, très serrées à leur base, bien divergentes à leur extrémité libre qui est fort pointue et de couleur jaune paille. | Les divers auteurs qui se sont occupés de cette espèce indiquent un nombre assez variable de dents. Tandis que G. H. Fowler * compte de 7 à r0 — le plus souvent 8-9 — dents antérieures, et 15-17 — généralement 13-14 ou 15-16 — dents postérieures et Ritter-Zähony * de 7 à 11 5 dents antérieures et de 14 à 17 dents postérieures, ce qui correspond sensiblement aux chiffres que nous venons de donner, E. L. Michael constate des différences notables. Il n'a trouvé, en effet, chez les nombreux spécimens de la Baie de San Diego (Californie) examinés par lui, que de 5 à 8 (généralement 7). dents antérieures et de 8 à 12 (le plus souvent 11) dents postérieures 4 Comme tous les autres caractères sont concordants, il est probable que les individus de la baie de San Diego appartiennent à une variété locale, d’ailleurs peu différente du type. ? FowLer (G. LR (AS), 1900, p. 9. ? Rirrer-Zaony (R. von), (A&&%), 1011, p. 17. 3 Exceptionnellement : 12. # MicHaeL (E. L.), (808), vi, no 3, 27 décembre 1911, p. 20. ST Rs Les ovaires restent constamment très petits, très courts, contrairement à ce que l’on observe chez le Sagitta hexapiera d'Orbigny et chez le Sagitta lyra Krohn. Leur longueur maximum oscille entre 1/4 et 2 millimètres, cette dernière dimension n'étant atteinte qu'au moment de la plus grande maturité sexuelle. E. L. Michael, qui a étudié la variation des ovaires chez Sagitta inflata Grassi, arrive aux mêmes résultats. Il conclut, après l’examen de 33 spécimens, que les ovaires varient, en longueur, de 5 à 10 °/, de la longueur totale de l'animal et qu'ils n’atteignent jamais l’extrémité antérieure des nageoires postérieures . Les ovaires se développent avant les vésicules séminales, mais leur maturité sexuelle a lieu sensiblement en même temps que celle de ces dernières qui, relati- vement grosses, présentent l'aspect de petites sphères placées à peu près à égale distance de l’espace séparant l'extrémité postérieure des nageoires postérieures de la rame caudale. Le ganglion ventral est petit ; il est situé au premier quart antérieur du corps. - Au Sagitia inflata Grassi il faut rapporter, comme synonyme, le Sagitia Gardineri Doncaster * qui n’est qu'une variété de grande taille atteignant jusqu'à 28 et 30 millimètres de longueur. Cette forme major a été recueillie pendant les campagnes de S. A.S. le Prince de Monaco. C'est encore à l’espèce de Grassi qu’il faut rapporter le Sagiita flaccida, décrit très brièvement, et de la manière suivante par T. S. Conant 3 : « This species was collected by D' Andrews at Bimini, in the Bahamas. Length, 13-18"%. Breadth, 1,25%%. Caudal segment about one-sixth total length. Fins 5 — the middle and anterior comparatively short. Scizing hooks, 8 or 9. Anterior teeth, 7 or 8, the inner very much longer than the outer. Posterior teeth, 10-12. Corona ciliata almost wholly confined to the head, of an irregular oval outline. Ovaries, containing well advanced ova, short. No diverticula from digestive tract. Caudal segment not divided longitudinaily by incomplete, accessory septa, but showing an arrangement of the testes and developing spermatozoa like that figured by Grassi for S. hexap- tera (Taf.9, Hg. 7) Muscles of body slenderly developed, causing the preserved specimens to have a very limp appearance. Epidermidis but slightly thickened around the neck, if any at all. € Of the European forms, S. flaccida resembles hexaptera and magna the most closely. It differs from them, however, is being much smaller, in having a larger number to teeth, in the smaller size of the caudal segment, and in the shape of the corona ». Quant à la variété de Sagitia inflata Grassi, si bien décrite par P. Hallez #, et * MicaeL (E. L.), (8@8), 1911, p. 57. ? Doncasrer (L.), (ÆA), 1902, 1, p. 212. * ConanT (F. S.), (84), xv, no 126, juin 1896, p. 85, n° 6. ‘ Harzez (PauL), (84), 5e série, 11, 1909, Notes et Revues, no 2, p. 20. ie BY ve provenant du Portel (Pas-de-Calais), 11 faut la rapporter au Sagitta setosa Müller , espèce répandue dans toute la Mer du Nord. RAPPORTS ET DIFFÉRENCES. — Comparé aux Sagitia lyra Krohn et Sagitta hexaptera d'Orbigny, le Sagitta inflata Grassi se sépare très facilement : Du premier, par sa taille plus petite, son corps plus transparent, la disposition de ses nageoires qui ne sont ni réunies n1 confluentes, la petite dimension de ses ovaires. Du second, par sa taille, la transparence de son corps, la petitesse de ses ovaires et les caractères de son armature buccale, notamment la forme de ses dents antérieures. Parmi les autres espèces, on peut encore rapprocher le Sagitia inflata Grassi du Sagitta pulchra Doncaster *, mais cette dernière est plus élancée, sa tête est proportionnellement plus petite et elle possède une collerette bien marquée qui manque toujours chez le Sagitta inflata Grassi. Sagitta elegans, Verrill (Carte 1: Pl. 2x, Mig. 6, 7,0, 10/11, 16,77 €t418) 1873. Sagitia elegans, VEerRiLL, (A&@), 1, p. 440 et p. 626. 1882. Sagitta falcidens, Leiny, (8%), p. ro2. 1885. Sagitta gracilis, VerRiLz, (48%), xr, pl. xLur, fig. 190. 1892. Sagitia bipunctata, STRODTMANN, (44%), Lviux, 1, p. 344, Taf. xvir, fig. 14 (part.) (tirés à part, p. 14, no 5), [non Quoy et GAIMARD|. 1892. Sagitta minima, STRODTMANN, (AA), Lvir, 1, p. 348, n° 8 (tirés à part, p. 18, no 8) [non Grassi]. 1806. Sagitta elegans, CoNaNT, (84), xv, n° 126, p. 84, n° x, fig. 5. 1009, Sagitia flaccida, GaLzow, (5%), xxvrir, p. 12 [non ConanT|. 1010. Sagitta bipunctata, RITTER-ZAHONY, (M®9), v, part. 1, p. 255 {part ), [non Quoy et GarmarD] (exclure forma typica). 1011. Sagitta elegans, RiTTER-ZanonY, (48%), p. 11, fig. 4-7 et 8 4,8 8. 1911. — — elegans, RITTER-ZAHONY, (8 SA), xxIX, p. 17, n° 7a, 1911. — -— RITTER-ZAHONY, (88%), v, tirés à part, p. 14. 1911. — — E. L. Micnaez, (803), var, n°3, p. 69, pl. 11, fig. 12-13 ; pl. x, fig. 24 etpl. 1v, fig. 38 (paru en 1912). Campagne de 1902 : Sin. 1322, profondeur 0-3020". Quelques exemplaires en mauvais état. À 50 milles de Säo Miguel. Campagne de 1904 : Stn. 1749, profondeur 0-2500". Quelques spécimens. Campagne de 1905 : Stn. 2105, profondeur 0-2000". Quelques exemplaires. — Stn. 2114, profondeur 0-3000". Quelques exemplaires. — Stn. 2130, profondeur 0-3000". Quelques exemplaires. — Stn. 2159, profondeur o-2500". Cinq exemplaires. — Stn. 2168, profondeur 0o-2000". Quelques exemplaires. — Stn. 2185, profondeur * Muzcer (J.), (A4), 1847, p. 158. + DoncasTer (L.), (AA), 1902, 1, p. 215. Re 0-3000". Quelques spécimens. Fosse de l’HIRONDELLE. — Stn. 2194, profondeur 0-2500". Quelques exemplaires. — Stn. 2200, profondeur 0o-1500". Quelques spécimens. — Stn. 2244, profondeur 0-3000". Quelques individus. Campagne de 1909 : Stn. 2900. Surface. Cinq exemplaires. Longtemps confondue avec le Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, cette espèce appartient en réalité au groupe du Sagitta hexaptera d'Orbigny ; mais elle s’en distingue à première vue par un caractère très net : son corps n'est plus transparent, mais bien assez opaque, laissant difficilement voir les organes internes, surtout lorsque l’animal a été conservé dans l'alcool. Le corps est jaunâtre, plus ou moins teinté de marron et de forme allongée. La tête est séparée du tronc par un cou bien marqué. Il n’y a qu’une collerette extré- mement réduite, si peu développée qu'elle semble très souvent absente. La couronne ciliaire, très longuement elliptique étroite, est plus longue sur le cou que sur Ja tête. Les nageoires antérieures atteignent 16 °/, de la longueur totale du corps ; leur forme est celle d’un triangle allongé (la hauteur étant 1, la base égale 10) avec maximum de largeur au voisinage de leur extrémité postérieure. Les nageoires postérieures sont subtriangulaires, très notablement plus larges que les antérieures et.s'étendent jusqu'au voisinage des vésicules séminales qu’elles atteignent quelquefois. Un peu plus longues que les antérieures, dont elles sont séparées par un espace égalant 12-13 °/, de la longueur totale du corps, leur largeur maximum est sensiblement au niveau du septum. La rame caudale est petite, quelquefois bifurquée. On compte de 9 à 11 crochets et, le plus souvent, 10. Ils sont fortement incurvés (PL. x, fig. 3), transparents et de couleur claire. Les dents antérieures sont assez longues, étroites, pointues, serrées les unes contre les autres. Il y en a de 5 à 6, ordinairement 6. Les dents postérieures sont plus nombreuses : de 14 à 18, très rarement 10, généralement 15-16. Elles sont longues, un peu incurvées, très pointues, avec une base élargie ; leur surface est garnie de très fines stries longitudinales (PI. nr. fig. 9-10). Les ovaires restent courts même à maturité : ils ont alors de 12 à 14°/, de la longueur du corps. La taille oscille ordinairement entre 20 et 30 millimètres ; quelques individus ont cependant jusqu'à 35 millimètres. Ils constituent une forme major qui a été recueillie, au cours des croisières de la PRINCESSE-ALICE, en divers points des parages des Açores. RAPPORTS ET DIFFÉRENCES. — Appartenant au groupe du Sagitia hexapiera d'Orbigny, le Sagitta elegans Verrill se distingue très facilement par la nature ee opaque de son corps. Il est plus voisin du Sagilta Bedoti Béraneck, mais cette dernière espèce se sépare facilement : Par la disposition de ses nageoires qui, proportionnellement, sont beaucoup plus développées, puisque les antérieures, naissant au niveau du ganglion ventral occupent de 30 à 33 °/, de la longueur totale ; par ses nageoires postérieures qui s'étendent jusqu'aux vésicules séminales ; enfin par le nombre plus considérable des dents postérieures (on en compte de 21 à 33 suivant les individus). R. von Rütter-Zähony a rapproché le Sagitta elegans Verrill du Sagitia bipunctata Quoy et Gaimard jusqu'à considérer le premier comme une simple variété du second * ; depuis, cet auteur a nettement séparé ces deux Chétognathes *. Bien qu'il existe entre eux de nombreux caractères communs, il semble que l’indi- vidualité du Sagitta elegans Verrill soit suffisamment marquée pour qu'on le conserve comme espèce distincte. Sagitta arctica, Aurivillius (Carte 1) 1879. Sagitta bipunctata, Moss, (A4), xiv, p. 124 [non Quoy et Garmar»]. 1896. Sagitta arctica, AURIVILLIUS, (8), p. 188. 1907. Sagitta glacialis, MorrscHaNorFr, (#@%), xt, p. 205. 1907. Sagitta melanognatha, MorTscHanorr, (A@%), x11, p. 206. 1907. Sagitta rapax, MorrscHANorr, (8@%), x11, p. 207. 1909. Sagitta glacialis, Garzow, (8%), xxvirr, p. 13. 1910. Sagitta bipunctata forma arctica, RITTER-ZAHONY, (8®®), v, part. 1, p. 255. 1911. Sagitia elegans arctica, RiTTER-ZAHONY, (884), xx1x, p. 18, no 7b. 1911. Sagitta elegans forma arctica, RITTER-ZAHONY, (84%), v, tirés à part, p. 15. ig11. Sagitia elegans, E. L. MicnaeL, (8O8), vit, n0 5, p. 69 (part.) 1913. Sagitta arctica, GERMAIN, (8%), n° 2, p. 107. Campagne de 1906 : Stn. 2449. Surface. Quelques exemplaires. Au mouillage de Hollandar Point (Spitzberg). — Sin. 2522, profondeur 0o-320". Très nombreux spécimens. Dans la Baie Cross (Spitzberg). | Campagne de 1907 : Stn. 2667. Surface. Une dizaine d'exemplaires jeunes. Le Sagitta arctica Aurivillius n’est bien certainement qu'une variété du Sagitia elegans Verrill. Lorsque l’on compare ces deux Chétognathes, on constate que le Sagitta arctica Aurivillius est généralement de taille plus grande, puisqu'il atteint jusqu'à 40-44 millimètres de longueur ; que lintervalle séparant le ganglion ventral de la nageoiïire antérieure est plus considérable ; que les ovaires sont nota- blement plus courts et plus étroits; mais surtout que les dents postérieures sont toujours plus nombreuses. Tandis, en effet, qu'on ne peut en compter que 19 au * RiTTER-ZAHONY (R. von). — (8®%), v, part. 1, 1910, p. 255. ? RiTTer-ZAHONY (R. von). — (A4), xxIX, 1011, p. 17, n° 7. a maximum chez le Sagitia elegans Verrill, on en trouve presque constamment plus de 20 (ordinairement de 21 à 25) chez les spécimens bien adultes de Sagitia arctica Aurivillius. Ces différences, qui semblent bien constantes, suffisent à séparer les deux formes. Le Sagitta arctica Aurivillius est souvent coloré en jaune-brun plus ou moins clair, la tête étant toujours plus foncée que le reste du corps. Voici un tableau résumant les principaux caractères de quelques individus. Nombr N | Longueur Longueur Longueur ombre Nombre ombre de la des des des dents des dents totale D . Fe Fi région caudale ovaires crochets antérieures | postérieures 7 1/2 mm. 10-12 6-9 19-25 | 7 = 8-9 7-9 22-24 ave — 9-9 9-9 22-22 7 + 9 8-9 18-19 6 1/2 — ) 8-9 19-19 6 3/4 — 8-9 8-9 18-19 7 — 9 8-9 18-20 6 — 8 8-8 17-19 4 = 9-9 3-7 12-16 ° 9-9 4-6 7-10 8 2-3 2-4 R. von Rüitter-Zähony ‘ qui, avec raison, rapporte le Sagitta arctica Aurivillius au Sagitta elegans Verrill, divise ce dernier en trois sous-espèces auxquelles il donne les noms de : Sagitta elegans elegans pour la forme type, correspondant à la description que nous avons précédemment donnée et vivant surtout dans le plancton des Océans Atlantique et Pacifique jusque vers le 45° de latitude nord. Sagitia elegans arctica pour la forme que nous venons de définir et propre aux mers froides boréales. Enfin Sagitia elegans balthica pour une forme de taille plus petite (longueur : 19-20 millimètres), dont l’armature buccale comprend 8-9 et exceptionnellement 10 crochets, de 4 à 6 dents antérieures et de 11 à 15 dents postérieures. Cette variété présente un rudiment de collerette et ses nageoires antérieures, très petites, sont disposées comme chez les Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard et Sagitta serratodenta Krohn. © RiTTER-ZaHoNY (R. von). — (884), xxix, 1911, pp. 17-18. — A1 —. B. — Groupe du SAGITTA BIPUNCTATA x. Espèces à ovaires longs Sagitta serratodenta, Krohn (Garte 1V; PI fig 12, #3 19, 20 et.25) 1853. Sagitta serrato-dentata, KroHN, (SG), xix, n° 1, p. 272, fig. 2. 1854. Sagitta Sp. innom., GEGENBAUR, (84), v. p. 15. 1870. Sagitta Gegenbauri, Fo, (A%), xxvI, p. 103. 1880. Sagitta serratodenta, HERTwIG, (3@), x1v, p. 250. 1883. Spadella serratodenta, Grassi, (68), v, p. 14. 1903. Sagitta serratodenta, KrumBACH, (8%), xvur, p. 636, no 7, fig. S. 1905. — — FowLer, (4%), 2e série, x, p. 58, PI. 1v, fig. 1 à 6. 1905. Sagitta serrulata, CLEVE, (8%), 1V, p. 127. 1908. Sagitta serratodenta, RITTER-ZAHONY, (A®4Æ), xIV, p. 15. 1909. —— — RiTTER-ZAHONY, (HG), LxxxIv ; tirés à part, p. 8. IOII. — — RITTER-ZAHONY, (183), p. 17. TOII. — — RITTER-ZAHONY, (884), xxIx, p. 22, n° 14, fig. 13. IOII. — — RITTER-ZAHONY, (88%), v, tirés à part, p. 22, fig. 21-22. IOII. — _—— E. L. MicnaeLz, (8608), vas, no 3, p. 390; PL. 1, fig. 45 PL xx, fig. 20 ; PI. 1v, fig. 30 ; et PI. v, fig. 41 (paru en 1912). Campagne de 1885 : Stn. 5. Surface. Quelques exemplaires. — Stn. 16. Surface. Nombreux spécimens. Campagne de 1888 : Stn. 179. Surface. Nombreux spécimens. Campagne de 1894 : Stn. 440. Surface. Quelques individus. Campagne de 1897 : Stn. 776. Surface. Quelques exemplaires. Campagne de 1903 : Stn. 1479, profondeur 1414". Quelques exemplaires. Campagne de 1904 : Stn. 1711. Surface. Quelques exemplaires. En vue de Ténérife. — Stn. 1714. Surface. Quelques individus. Près de Ténérife. — Stn. 1749, profondeur 0o-2500". Quelques exemplaires. — Stn. 1844, profondeur 0-1500". Quelques individus. — Stn. 1851, profondeur 0-3000". Nombreux et beaux spécimens. — Stn. 1872. Surface. Une dizaine d'individus. Campagne de 1905 : Stn. 2050. Surface. Quelques exemplaires. — Stn. 2052, profondeur 0-4000". Quelques exemplaires. — Stn. 2054. Surface. Quelques exemplaires. — Stn. 2130, profondeur 0-3000". Quelques exemplaires. — Stn. 2168, profondeur o-2000®. Une douzaine d'exemplaires. — Stn. 2185, profondeur 0-3000". Quelques spécimens. Fosse de l'HIRONDELLE. — Stn. 2187, profondeur 0-2500"* Quelques individus. Fosse de l’AIRONDELLE. — Stn. 2191. Surface. Quatre individus. — Stn. 2194, profondeur o-2500". Assez nombreux spécimens. — Stn. 2195. Surface. Quelques individus. — Stn. 2200, profondeur o-15007. Une 6 GE — 42 — vingtaine d'individus. — Stn. 2212, profondeur o-1200". Quelques exemplaires. — Stn. 2242. Surface. Quelques spécimens. — Stn. 2244, profondeur 0-3000". Quelques individus. — Stn. 2266. Surface. Trois spécimens. — Stn. 2268. Surface. Deux exemplaires. — Stn. 2277. Surface. Deux spécimens. — Stn. 2298. Surface. Six exemplaires. — Stn. 2301, profondeur 0-2375". Deux exemplaires. Campagne de 1908 : Stn. 2692. Surface. Quelques individus. Le Sagitta serraitodenta Krohn est une espèce très élancée, longuement étroite, d'apparence rigide, ayant assez, selon l'expression de Fowler, l'aspect d'une épingle ‘. Le corps opaque, d’un brun quelquefois un peu roussâtre, se termine par une tête petite *. Il n’y a pas trace de collerette. La couronne ciliaire, très étroitement allongée, à bords irrégulièrement festonnés, est plus développée sur la tête que sur le cou. Les nageoires antérieures sont longues et étroites : elles prennent naissance au niveau du ganglion ventral et s'étendent sur une longueur variant de 18 à 25 ‘face la longueur totale du corps. Leur forme est triangulaire, avec un maximum de largeur très voisin de leur extrémité postérieure. Les nageoires postérieures sont également bien développées, séparées des précédentes par un espace très court ; elles s'étendent jusqu'aux vésicules séminales. Leur forme est grossièrement ovalaire, avec un maximum de largeur voisin de leur tiers inférieur. La rame caudale prend naissance aux vésicules séminales et s'étale assez nettement. Les crochets varient de 5 à 8 : on en compte le plus souvent 6,.rarement 7, le nombre 8, indiqué par Fowler 3, restant exceptionnel. Ils ont la forme de lames élargies à leur base (PI. m, fig. 19, 20) et sont très fortement recourbés à leur extrémité ; leur bord interne est finement serrulé, caractère unique chez les Sagitia. Les dents antérieures, au nombre de 5-6 à 0, beaucoup plus rarement 10, ordi- nairement 8-9, sont courtes et triangulaires. Le nombre des dents postérieures varie de 10 à 20 mais oscille généralement entre 15 et 17. Elles sont de forme analogue aux dents antérieures, mais plus courtes et serrées les unes contre les autres. * FowLer(G. H.), (4%), 2e série, Zoology ; x, part. 3, janvier 1905, p. 58. * Les ovaires, le tube digestif et le ganglion ventral sont encore plus opaques que le reste du corps. * Fowzer (G. H.), (4%), 1905, p. 50. Voici les caractéristiques principales de quelques individus. Rapport : Longueur Longueur Nombre Nombre Nombre du re des des des dents des dents corps ovaires crochets antérieures | postérieures Longueur totale du corps 25 12 mm, 56 18 mm, 6-6 7-7 14-15 26 ; 13 —- = 4,25 — 6-6 8-9 16-17 24 14 — + 4 — 6-6 6-7 15-15 26 15 — . 43 — 6-7 7-8 16-16 23 15 — ns | 5 — 6-7 6-8 16-17 26 7 = FS 6-7 8-8 16-16 Les ovaires, lorsqu'ils sont bien développés, atteignent une taille considérable, égalant sensiblement 40°/, de la longueur totale du corps ‘. Ils occupent alors toute la région entre le septum et le ganglion ventral (PI. 1, fig. 12) sous forme de sacs allongés et bien arrondis à leur extrémité antérieure. : Quant aux vésicules séminales, elles ont très sensiblement la même forme que celles du Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. D'après E. L. Michael”, elles peuvent être dans un état quelconque de développement au moment de la maturité des ovaires. | RAPPORTS ET DIFFÉRENCES. — (Cette espèce rappelle beaucoup, par sa forme générale, le Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard avec lequel il est facile de la confondre au premier examen. Elle s’en distingue cependant : Par sa taille sensiblement plus grande ; par son corps beaucoup plus opaque, plus fortement coloré ; par le développement plus grand de ses nageoires, séparées par un espace beaucoup plus court, les antérieures atteignant le ganglion ventral ; par les caractères spéciaux de son armature buccale; enfin par la très grande longueur, à l’état de maturité, de ses ovaires qui, au contraire, ne dépassent pas l'extrémité antérieure des nageoires postérieures chez le Sagitia bipunciaia Quoy et Gaimard. Par rapport à l’ensemble du corps, la place occupée par les ovaires est caracté- 1 MICHAEL (E. L.), [ (408), vux, no 3, 1911, p. 62], indique, pour la longueur des ovaires, de 28 à 44 0/o de la longueur totale du corps. ? MicuaeL (E. L.). — (403), 1911, p. 62. 3 Le corps du Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard est toujours transparent. re ristique : ces organes garnissent la région submédiane, la distance entre leur extrémité postérieure et l'extrémité postérieure du corps étant à peine inférieure à celle séparant leur extrémité antérieure de la partie terminale de la tête. Ù 8. ÆEspèces à ovaires courts Sagitta bipunctata, Quoy et Gaimard \ (Carte, iv; PI. mr, fig. 5, 14 et 15 ; PI. 1v, fig. 1 à 05 PI. vi, fig. 4, 11 et 12) 1827. Sagitia bipunctata, Quoy et Garmarp, (422), x, p. 232, PI. 8 c, fig. 2-6. 1851. Sagitta rostraia, Buscu, (20), p. 08. 1853. Sagitta multidentaia, KRoëN, (SG), xx, no 1, p. 271. 1856. Sagitta bipunctata, Busx, (@4), 1re série, 1v, p. 16. 1858. Sagitta Germanica, LEuckART et PAGENSTECHER, Arch. Anatom. Physiol. Wiss. Med., p. 503. 1802. Sagitta setosa, KEFERSTEIN, (SA), ur, p. 135. 1871. Sagitta germanica, ULIANIN, (AA), 1x, P. 77. 1880. Sagitta bipunctaia, HERTwIG, (#2), p. 258. 1883. Spadella bipunctata, Grassi, (GS), v, p. 13. 1884. Spadella Marioni, GOURRET, (68), 1, p. 103. 1892. Sagitta bipunctata, STRODTMANN, (8Æ®), Lvur, 1, p. 344, n° 5 (tirés à part, p. 14, no 5). 1898. : Spadella hamatïa, AuriviLLrus (8), p. 117. 1903, Sagitta bipunctata, KrumsacH, (8%), xviu, p. 628, no r, fig: K. 1905. —— — FowLer, (4%), 2e série, x, p. 69, PI. v, fig. 28-31. 1906. — — FowLer, (ÆS), p. 31. 1908. — _ RiTTER-ZARONY, (#@@), LxxxIv; tirés à part, p. 15. 1908. Sagitta.decipiens, E. L. MicHaEL, (A@®),:xv, p. 68. 1908. Sagitta pulchra, E. L. MicnaeL, (4@®), xv, p. 68. 1910: Sagitta bipunctata forma typica, Rrrrer-Zanonv, (489), v, p. 255, Taf. v, fig. 1 (seulement). 19104 — — — — RITTER-ZAHONY (884), Suppl. xt, part. 2, p. 138: 1911. Sagitta bipunctata, RITTER-ZAHONY, (883), p. 15. I9II. — — RITTER-ZAHONY, (884), xxix, p. 10, n° 8, fig. 11. IOIT, — — RiTTrER-ZAHONY, (83%), v, tirés à part, p. 16, fig. 15 (à la page 10). IOII. — — E. L. MicHaez, (808), vu, n°3, p.41, Pl:, fig. 5, PL. ri, fig. 18-19 ; PL. rv, fig. 31-32; et PI. v, fig. 40 (paru en 1912). 1913. — — GERMAIN, (8%), n° 2, p. 108. Campagne de 1885 : Stn. 5. Surface. Nombreux exemplaires. — Stn. 15. Surface. Quelques spécimens — Stn. 17, profondeur ro". Nombreux individus. — Stn. 21. Surface. Nombreux exemplaires. — Stn. 32. Surface. Très nombreux spécimens. — Stn. 34. Surface. Nombreux individus. — Stn. 37. Surface. Quelques exemplaires. Campagne de 1887 : Stn. 150. Surface. Quelques exemplaires. Campagne de 1888 : Stn. 179. Surface. Nombreux exemplaires. — Stn. 200, Surface. Quelques exemplaires. Au large de la baie de Horta. — Stn. 208. Surface. Quelques spécimens. Campagne de 1893 : Stn. 320. Surface. Quelques exemplaires. Dans le port de Messine. Campagne dé 1894 : Stn. 401. Surface. Quelques exemplaires. Dans le port de Peñon de Velez (Maroc). — Stn. 440. Surface. Quelques individus. dy Campagne de 1805 : Stn. 520. Surface. Nombreux individus. — Stn. 522. Surface. Quelques exemplaires. Campagne de 1897 : Stn. 776. Surface. Quelques exemplaires. — Stn. 813. Surface. Quelques individus. — Stn. 815. Surface. Assez nombreux spécimens. Campagne de r9o1 : Stn. 1159. Surface. Quelques spécimens. Vers le $. W. des îles du Cap Vert. — Stn. 1176, profondeur 300-350". Plusieurs individus. Au S. W. des îles du Cap Vert. — Stn. 1200. Surface. Nombreux exemplaires. Dans le N. E. de l’île de Maio (Archipel du Cap Vert). Campagne de 1904 : Stn. 1596. Surface. Nombreux exemplaires. Au nord de Berlinga (Portugal). — Stn. 1597. Surface. Nombreux exemplaires. Au nord du Cap Roca. — Stn. 1629. Surface. Quelques spécimens. — Stn. 1696. Surface. Deux exemplaires. Près des îles Salvages. — Stn. 1705. Surface. Trois individus. En vue d'Orotava. — Stn. 1714. Surface. Nombreux spécimens. Près de Ténérife. — Stn. 1715, profondeur o-r000". Nombreux exemplaires. — Stn. 1736, profondeur 0-500". A l’abri de Palma. — Stn. 1730. Surface. Quelques individus. A trois milles de Fuencaliente (Palma). — Stn. 1742. Surface. Quelques exemplaires. — Stn. 1748. Surface. Quelques exemplaires. — Stn. 1749, profondeur 0-2500"., Nombreux individus. — Stn. 1762. Surface. Quelques exemplaires. — Stn. 1768, profondeur 0-3000%. Nombreux exemplaires. — Stn. 1771. Surface. Quelques individus. — Stn. 1772. Surface. Nombreux individus. — Stn. 1773. Surface. Six spécimens. — Stn. 1781, profondeur o-5000®. Nombreux individus. — Stn. 1797, profondeur 0-2000%. Nombreux exemplaires. — Stn. 1802, profondeur o-500". Nombreux spécimens. — Stn. 1805. Surface. Quelques exemplaires. — Stn. 1818. Surface. Nombreux individus. — Sin. 1834, profondeur 1440". Nombreux spécimens. Au sud de Säo Miguel. — Stn. 1839. Surface. Quelques exemplaires. Près de Ponta Delgada. — Stn. 1844, profondeur 0o-1500". Nombreux individus. — Stn. 1847. Surface. Cinq individus. — Sin. 1849, profondeur 0-3000". Très nombreux spécimens.— Stn. 1851, profondeur o-3000". Très nombreux individus. — Stn. 1856, profondeur 0-3250%. Nombreux individus. — Stn. 1872. Surface. Une douzaine d'exemplaires. Campagne de 1905 : Stn. 1991, profondeur 0-2000". Quelques exemplaires. — Stn. 2019. Surface. Très nombreux exemplaires. — Stn. 2020. Surface. Nombreux exemplaires. — Stn. 2022, profondeur 0-4000". Assez nombreux spécimens. — Stn. 2023. Surface. Quelques individus. — Stn. 2041. Surface. Quelques exem- plaires. — Stn. 20409. Surface. Quelques exemplaires. — Stn. 2050. Surface. Nombreux spécimens. — Stn. 2051. Surface. Quelques individus. — Stn. 2052, profondeur 0-4000". Nombreux exemplaires. — Stn. 2054. Surface. Quelques spécimens. — Stn. 2063. Surface. Un exemplaire. — Stn. 2064. Surface. Une douzaine de spécimens. — Stn. 2068. Surface. Une dizaine d'exemplaires. — Stn. 2073. Surface. Très nombreux spécimens. — Stn. 2084. Surface. Huit spécimens. — Stn. 2085. Surface. Trois exemplaires. — Stn. 2086. Surface. Une douzaine d'exemplaires. — Stn. 2087, profondeur 0o-2225". Quelques exemplaires. — Stn. 2088. Surface. Quelques exemplaires. — Stn. 2091. Surface. Quelques spécimens. — Stn. 2092, profondeur 0-1500". Nombreux individus. — Stn. 2096. Surface. Quelques spécimens. — Stn. 2099, profondeur o-1500". Nombreux spécimens. — Stn. 2113, profondeur o-1500". Assez nombreux échantillons. — Stn. 2114, profondeur 0-3000". Nombreux exemplaires. — Stn. 2130, profondeur 0-3000". Nombreux exemplaires. — Sin. 2131. Surface. Trois exemplaires. — Stn. 2138, profondeur o-2500". Une trentaine d'exemplaires. — Stn. 2149, pro- fondeur 0-2000". Nombreux spécimens. — Stn. 2150. Surface. Quelques exemplaires. — Stn. 2151. Surface. Une vingtaine de spécimens. — Stn. 2153, profondeur 0-2000". Nombreux exemplaires. — Stn. 2159, profondeur 0-2500". Nombreux exemplaires. — Sin. 2162. Surface. Quelques exemplaires. — Stn. 2168, profondeur 0-2000". Nombreux spécimens. — Sin. 2170. Surface. Quelques exemplaires. — Stn. 2173. Surface. Quatre spécimens. A 12 milles au S.-W. de Ponta Delgada (Acores). — Stn. 2175. Surface. Deux exemplaires. En quittant Ponta Delgada (Acores). — Stn. 2185, profondeur 0-3000". Nombreux exemplaires. Fosse de l’IRONDELLE. — Stn. 2187, profondeur 0-2500". Nombreux individus. Fosse de l'HIRONDELLE. — Stn. 2191. Surface. Quelques individus. — Stn. 2194, profondeur 0-2500". Très nombreux exemplaires. — Stn. 2198. Surface. Quelques spécimens. — Stn. 2200, profondeur 0-1500". Nombreux exemplaires. — Stn. 2212, profondeur o-1200". Nombreux spécimens. — Stn. 2238. Surface. Un exemplaire. — Stn. 2241. Surface. Trois exemplaires. — Stn. 2244, profondeur o-3000". Nombreux exemplaires. — Stn. 2245. Surface. Dix exemplaires. — Stn. 2249. Surface. Deux exemplaires. — Stn. 2252. Surface. Cinq spécimens. — Stn. 2259. Surface. Une vingtaine d'individus. — Stn. 2263. Surface. Une douzaine de spécimens. — Stn. 2267. Surface. Quatre exemplaires. — Stn. 2269, profondeur 0-3000". Quelques exemplaires. — Stn. 2270. Surface. Cinq exemplaires. — Stn. 2276. Surface. Quelques exemplaires. — Stn. 2292. Surface. Quelques spécimens. — Stn. 2294. Surface. Dix spécimens. — Stn. 2296, profondeur o-1700". Cinq exemplaires. — Stn. 2297. Surface. Deux exemplaires. | Campagne de 1906 : Stn. 2522, profondeur o-320". Nombreux exemplaires. Dans la Baie Cross (Spitzberg). — Stn. 2557. Surface. Nombreux exemplaires. Campagne de 1907 : Stn. 2588. Surface. Une vingtaine d'exemplaires. — Stn. 2667. Surface. Quelques spécimens. Campagne de 1908 : Stn. 2688, profondeur 0-2025. Une dizaine d'exemplaires. — Stn. 2692. Surface. Quelques exemplaires. — Stn. 2704, profondeur o-1665". Quelques spécimens. — Stn. 2711. Surface. Très nombreux exemplaires. — Stn. 2714, profondeur o-1400". Nombreux individus. — Stn. 2799. Surface. Nombreux individus. — Stn. 2800. Surface. Très nombreux spécimens. mn AT mm Campagne de 1909 : Stn. 2837. Surface. Assez nombreux échantillons. — Stn. 2839. Surface. Une vingtaine d'exemplaires. — Stn. 2858. Surface. Quelques spécimens. — Stn. 2870; profondeur o-1500". Une douzaine d'exemplaires. — Stn. 2875, profondeur 0-5700". Quelques spécimens.— Stn. 2876, profondeur o-1000". Quinze exemplaires. — Stn. 2882, profondeur 0-2000". Quelques individus. — Stn. 2898. Surface. Échantillons en mauvais état. — Stn. 2903. Surface. Beaux individus. — Stn. 2906. Surface. Trente exemplaires. — Stn. rte Surface. Dix échantillons. — Stn. 2920. Surface. Nombreux spécimens. — Stn. 2024. Surface. Dix-sept exemplaires. — Stn. 2932. Surface. Quelques spécimens. — Stn. 2034. Surface. Quelques individus. Campagne de 1910 : Stn. 2944. Surface. Quelques individus. — Stn. 2045. Surface. Trente-cinq échantillons. — Stn. 2946. Surface. Quelques spécimens. — Stn. 3021, profondeur 00-1550". Nombreux exemplaires. — Stn. 3054. Surface. Notnbren spécimens. — Stn. 3037. Surface. Quelques individus. —— Stn. 3040. Surface. Quelques exemplaires. — Stn. 3054. Surface. Sept exemplaires. — Stn. 3056. Surface. Quatre spécimens. — Stn. 3058. Surface. Trois individus De tous les Chétognathes, le Sagitta bipunciata Quoy et Gaimard est le plus répandu : une seule pêche pélagique en ramène toujours des centaines d'individus. Le corps, long de 10 à 15 millimètres ‘, de forme étroitement allongée, se terminant par une tête petite, est tout à fait transparent, cristallin, laissant apercevoir le ganglion ventral, le tube digestif et les ovaires qui se détachent en jaune clair opaque. L'animal est pourvu d’une collerette très étroite, courte, difficile à déceler lorsque les individus ne sont pas parfaitement conservés. Le segment caudal est bien développé : il occupe de 21 à 25, rarement 26-27 °/, de la longueur totale. Les nageoires antérieures sont petites, de forme triangulaire allongée, l’angle du triangle opposé au corps étant plus ou moins fortement émoussé. Elles ne s'étendent jamais antérieurement jusqu'au ganglion ventral et leur diamètre maximum est voisin de leur extrémité postérieure. Les nageoires postérieures sont très notablement plus longues et plus larges ; elles sont sensiblement aussi développées en dessus du septum qu'en dessous où elles atteignent les vésicules séminales. Leur forme est également triangulaire, le maximum de largeur étant toujours situé en dessous du septum. Les deux nageoires sont séparées par un intervalle qui varie selon les échantillons considérés mais qui reste inférieur — ou au plus égal * — à la demi longueur des nageoires antérieures. * La longueur totale atteint rarement jusqu’à 20 millimètres. ? Ce dernier cas est rare. — 48 ee Voici, d’ailleurs, les dimensions principales d’un échantillon très typique : Longueur PUS AD CO DR Le Pers mis reve este: couree- tie 16 2 UNIES. Distance de l'extrémité antérieure du corps +. la naissance nageoires antérieures........ ÉD Nate rs + aid — Distance de l'extrémité antérieure du corps à la naissance des nageoires postérieures......... Se ed 9 ROUE 0e 14 HAlODIEE AMÉTICUTE, 4 ns à à sas eas avec — Longueur de-la nageoire postérieure........... Si dei. 2 — DRITHLE GUICC 106 CÉUSR MADOOIPÉS. .. Le ee cest. cos “is 3/4. _. Distance de l'extrémité postérieure de la nageoïire postérieure | M OA PCIe DISLOFICUIG CU CORDES. 148. m0e ee duc ce <: 2} — Chez quelques individus la nageoire postérieure perd sa forme typique : à peu près aussi développée en dessus qu’en dessous du septum, elle montre, en face de ce septum, un étranglement assez net, un peu analogue à celui observé parfois à la nageoire antérieure du Sagitta lyra Krohn (PI. 1v, fig. 3). La rame caudale, bien étalée, s'étend jusqu'aux vésicules séminales ; elle est, chez certains individus, en forme de fer de lance (PI. 1v, fig. 3). L'armature buccale comprend de 8 à 10 crochets, très généralement 8-8 ou 8-0. Ils sont minces, bien courbés dans leur partie antérieure. Les dents antérieures sont au nombre de 6 à 8 ; rarement on en observe seu- lement 4°; ordinairement on en peut compter 6-7. Très obliquement placées et serrées les unes contre les autres, elles sont de forme conique.: Les dents postérieures, sensiblement de même forme, sont proportionnellement plus larges, transparentes et de couleur de corne claire. Il yen a de io à 16, le plus souvent 11-12 OU 12-13, rarement 8-0. Les ovaires ne sont jamais bien longs, même lorsqu'ils sont arrivés à leur complète maturité. Ils ne dépassent que très rarement 2 1/2 millimètres, leur longueur moyenne oscillant entre 1/2 et2 millimètres, c’est-à-dire entre 12 et Ab de la longueur totale du corps. Ils ont la forme de sacs relativement larges, terminés en pointe à leur partie supérieure et atteignant, au plus, la limite antérieure des nageoires postérieures. E. L. Michael * a montré que les ovaires arrivent à maturité à peu près en même temps que les vésicules séminales. Ces dernières forment alors deux poches très saillantes de forme assez particulière (PI. rv, fig. 2). Comme dans les exemplaires recueillis, au cours des Campagnes de la Princesse- -Alice, à la station 1714. G. H. FowLer [(4%), 2° série, Zoe. vol. x, part. 3, janvier 1905, p. 69] avait déjà signalé un fait analogue. * Micuagz (E. L.), (808), vu, no 3, 1011, p. 50. ne dd — RAPPORTS ET DIFFÉRENCES. — En dehors des analogies constatées à propos des espèces étudiées précédemment, le Sagitia bipunctata Quoy et Gaimard se rapproche surtout du Sagitta decipiens Fowler ‘. Les deux espèces sont extrêmement voisines ; cependant un examen attentif permet de saisir les différences suivantes. Le Sagitta decipiens Fowler, dont la forme du corps est la même et qui possède aussi une collerette rudimentaire, est généralement plus petit (il varie de 8 à 11 millimètres) et son segment caudal est, proportionnellement, beaucoup plus grand, puisqu'il atteint de 28 à 40 °/, (ordinairement 30 à 35 °/,) de la longueur totale, tandis que chez le Sagitia bipunctata Quoy et Gaimard il est seulement de 20 à 24 °, (le plus souvent 22-23 °/). De plus, le Sagitta decipiens Fowler n’a que 5-6 crochets ; par contre, le nombre des dents postérieures est généralement plus grand, puisqu'on en compte de 13 à 18 et, le plus souvent, 15. Ritter-Zähony identifie même, à cette espèce, des Sagitta qui ont jusqu'à 23 dents postérieures. ? Nous avons indiqué précédemment les caractères qui différencient cette espèce du Sagitta serratodenta Krohn. Sagitta neglecta, Aïda (Carte v; PL 1v, fig. 10) 1805. Sagitta bipunctata, BÉRANECK, (44), zx, p. 153 (non Quoy et GAIMARD). 1897. Sagitta neglecta, AïA, (4), 1, p. 16. 1902. Sagitta septata, DONCASTER, (ÆA) 1, p. 214. 1906. Sagitta neglecta, FOoWLER, (48), p. 15. IOII. — — RITTER-ZAHONY, (484), xxIX, p. 22, no 15. IOII. — — RiTrEer-ZAHONY, (48%), v, tirés à part, p. 23, fig. 23-26. IOII. — — E. L. MicxaeL, (408), PL. 1x, fig. 22, et PI. 1v, fig. 34. Campagne de 1904 : Stn. 1876. Surface. Quelques individus. Campagne de 1905 : Stn. 2094. Surface. Trois exemplaires. Campagne de 1910 : Stn. 3034. Surface. Quelques spécimens. Le Sagitta neglecta Aïda est une espèce très allongée, gardant bien sa forme, même après conservation dans l'alcool ou le formol, assez opaque, d’une couleur brune parfois foncée, les ovaires, l'intestin et le ganglion ventral apparaissant plus opaques que le reste du corps; par contre, le segment caudal est plus clair. La tête est petite, séparée du corps par un cou très marqué. La collerette, bien qu'’assez développée, n’atteint jamais le ganglion ventral; la couronne ciliaire est de forme irrégulièrement ovalaire, très allongée, portée à la fois sur la tête et sur le cou, mais n’arrivant pas tout à fait au niveau de l'extrémité postérieure de la collerette. ; * FowLer (G. H.), (4%), x, part. 3, janvier 1905, p. 70, pl. v, fig. 32-35. ? RiTTrer-ZaHoNY, (R. von), (884), xxIX, 1911, p. 25. RSS en 7NO Le segment caudal atteint de 26 à 30 °/, de la longueur totale du corps. Il a très régulièrement la forme d’une aiguillette. Les nageoires antérieures naissent au niveau de l'extrémité postérieure du ganglion ventral ' et s'étendent, en moyenne, sur 19-20 °/, de la longueur totale du corps; elles ont la forme d’un triangle fort étroit dont la largeur maximum est voisine de l’extrémité postérieure. Elles ne sont séparées des nageoires postérieures que par un espace très court. Ces dernières sont plus longues, mais surtout beaucoup plus larges ; elles s'étendent, postérieurement, jusqu'aux vésicules séminales avec un maximum de largeur au-dessous du septum. Ces nageoires postérieures ont un caractère qui facilite la détermination de l'espèce : leur longueur est toujours plus grande sur le segment caudal que sur le tronc. La rame caudale est médiocrement développée ; elles n’atteint pas tout à fait les vésicules séminales lorsque ces dernières sont en état de maturité sexuelle. Le nombre des crochets varie de 6 à 9; ordinairement 1l y en a 6 et surtout 7? Ils sont élancés, de courbure modérée et leur extrémité est fort aiguë. Les dents antérieures, assez courtes, peu divergentes et avec une base élargie, sont au nombre de 3 à 7. Les dents postérieures sont plus longues, plus élancées, également peu diver- gentes. Il y en a de 8 à 18. Les auteurs qui ont étudié cette espèce ne sont pas d'accord sur le nombre des dents antérieures et postérieures. Le tableau comparatif de la page 51 fait ressortir ces différences. Bien que ces variations soient assez sensibles, je pense qu'elles tiennent aux divers habitats où les individus ont été observés. Quand ils sont bien développés, les ovaires sont courts et étroits, ne dépassant jamais la limite antérieure des nageoires postérieures. (Ils ont de 6 à 15°/, de la longueur totale du corps). RAPPORTS ET DIFFÉRENCES. — APPARUE au groupe du cie bipunctata Quoy et Gaimard, le Sagitta neglecta Aïda s’en sépare : Par son aspect beaucoup moins transparent ; par la disposition très particulière de ses nageoires postérieures qui atteignent toujours les vésicules séminales ; enfin par son armature buccale. L'espèce de T'. Aïda est encore beaucoup plus voisine du Sagitta regularis Aïdaÿ et les seuls caractères permettant de distinguer ces deux Chétognathes sont les suivants : * Il arrive, assez souvent, qu’elles n’atteignent pas cette limite antérieure. * Les nombres 8, et surtout 9, sont exceptionnels. Le chiffre 8 est indiqué par Aïda. E. L. Michael a communément trouvé 8-0 crochets dans le matériel de la baie San Diego (Californie). ' * Aïpa (T.). — (4); 1, 1807, p. 18, pl. 11, fig. 1. G. H. Fowler (&S ; 1906, p. 16) considère cette espèce comme synonyme du Sagitta neglecta Aïda. den MY suce La collerette du Sagitia regularis Aïda est plus longue, puisqu'elle s'étend jusqu'aux nageoires antérieures tandis qu'elle n’atteint pas le ganglion ventral chez le Sagitta neglecta Aïda; les nageoires postérieures ne sont pas disposées de la même manière : la partie située derrière le septum, sur le segment caudal, est Longueur Nombre Nombre Nombre d de de dents de dents Auteurs u Corps FT je crochets antérieures | postérieures IO tm, | 6-7 14-15 9,9 Re Fi 7 15 8 — 6-7 4-6 0-14 G. H. FOowLER 7,5 — 6-7 4-5 10-13 de 6-7 4-6 9-12 7,5 mm 6-7 7 16 7 6 5 5 : à R. von RITTER D 6-7 6-7 14-15 ZAHONY 6,8 :— 8 6 16-17 6,6 — 6 13-18 à Rouen 12-50 8-9) 3-3 I0-II LR 8-8 4-4 9-10 | 12. — 8-7 4-4, 11-10 E. L. MicHaEL toujours proportionnellement plus développé chez Sagitia neglecta Aïda. Enfin on ne compte que 4 à 6 dents postérieures chez le Sagitia regularis Aïda. Il y a là, évidemment, un caractère assez net, mais il faut bien observer que la variabilité, dans le nombre des dents, est toujours très grande chez les Chétognathes. Sagitta tenuis, Conant (Carte ; .PL v, fig. 1) 1806. Sagitta tenuis, ConNANT, (84), xv, n° 126, p. 85, n° 6. IOII. — — Rirrer-ZaHony, (83%), v, tirés à part, p. 49 (/ncertæ sedis). IOII. — — E. L. Micnaez, (408), vu, no 3; p. 72, PL. 11, fig. 11 (paru en :19r2). 1 FowLer (G. H.). — (48); 1906, p. 16. ? RiTrer-ZAHONY (R. von). — (883%); 1911, p. 24. 3 MicuaeL (E. L.). — (408); vin, n° 3, 1911, p. 48. ES CE Campagne de 1904 : Stn. 1762. Surface. Quatre exemplaires. Campagne de 1905 : Stn. 2022. Surface. Cinq exemplaires. — Stn. 2055. Surface. Six exemplaires. — Stn. 2056. Surface. Assez nombreux spécimens. — Stn. 2080. Surface. Deux spécimens. — Stn. 2091. Surface. Cinq spécimens. — Stn. 2172. Surface. Deux exemplaires. Presque tous les auteurs ont considéré cette espèce comme incertaine ou l'ont rapportée à des Sagitta déja décrits, notammment au Sagitia bipunctata Quoy et Gaimard ou au Sagitia hispida Conant'. C’est que la description originale est réellement insuffisante. Voici, en effet, ce que dit F. S. Conant ?. € S. tenuis is a small species from Jamaica, very closely resembling S. hispida. Ï am indebted to Mr. C. P. Sigerfoos for the specimens, which were collected by him in Kingston harbor, June, 1893. Maximum length, 5, 25", Breadth, o, 2". Caudal segment, about one-fourth total length. Seizing-hooks, 7-8. Anterior teeth, 4-5. Posterior teeth, 7-10. Shape of fins, of seizing-hooks, corona ciliata, accessory longitudinal septa in caudal segment, number of tactile prominences, and mus- cularity of body — as in hispida. No diverticula from digestive tract. In this form the nervous structures are especially large and prominent. The ovaries were short, though containing ova approaching maturity. Germinal epithelium composed of a single row of high columnar cells, not a double row of cubical, as in the forms like bipunctaia ». Depuis, E. L. Michael 5 a donné une bonne figuration de cette espèce qui correspond parfaitement aux exemplaires recueillis au cours des croisières de la PRINCESSE-ALICE, et dont voici les principaux caractères. C'est un Sagitta de petite taille, puisque sa longueur oscille entre 5 et 3. millimètres, de forme élancée, très longue, étroitement acuminée vers la région postérieure et terminée par un segment caudal formant environ 30 °/, de la longueur totale de‘lanimal. Le corps est semi-transparent, laissant voir le ganglion ventral, l'intestin et les ovaires qui sont plus opaques et de couleur jaunâtre. La tête est petite. Il y a un rudiment de collerette très courte. Les nageoires antérieures sont courtes, semi-elliptiques, très étroites, et naissent sensiblement au niveau de l'extrémité postérieure du ganglion ventral. Elles sont séparées des nageoires postérieures par un espace égalant à peu près leur longueur. Les nageoires postérieures sont plus longues. grossièrement subovalaires et s'étendent jusqu'aux vésicules séminales. Elles sont, à peu près, aussi longues en dessus qu’en dessous du septum. " ConanT (F. S.). — (88), xiv, no 119, juin 1805, P. 78, fig. var. © CoNaNT (F. S.). — (84), xv, no 126, juin 1806, p. 85. * MicHaëL(E. L.). — (#@8), vin, no 3, ror1, P- 72, pl. 1, fig. r1. ont DRE és On compte de 7 à 8 crochets minces et médiocrement recourbés. Il y a 5-6 dents antérieures et 7 à 10 (le plus souvent 9) dents postérieures plus longues ét plus pointues. Les ovaires sont courts et cylindriques, comme chez le Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Enfin les vésicules séminales petites, ovalaires, arrondies, sont rapprochées de l'extrémité postérieure des nageoires postérieures. RAPPORTS ET DIFFÉRENCES. — F,. S. Conant " rapproche son espèce de son Sagitta hispida, mais E. L. Michael fait remarquer, avec raison, que la position des nageotres antérieures ne permet pas cette identification *. Comparé au Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, le Sagitta tenuis Conant montre la même forme générale, la même transparence; les deux espèces ont des vésicules séminales et des ovaires de même forme, mais le Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard a ses nageoires antérieures éloignées du ganglion ventral et séparées des nageoires postérieures par un espace relativement petit, tandis que le Sagitta tenuis Conant a des nageoires antérieures atteignant le ganglion ventral et séparées des nageoires postérieures par un espace beaucoup plus grand. Sagitta minima, Grassi (Carte v; PL 1v, fig. r11) 1881. Sagitta minima, GRASSI, (@%), 2° série; XIV, p. 213. 1883. Spadella minima, Grassi, (@S), p. 15. 1802. : Sagitta minima, STRODTMANN, (8 #9), Lvur, 1, p. 348, no 8 (tirés à part, p. 18, no 8). 1897. — — Arpa, (4), 1, p. 15. 1902. ee — DonCASTER, (89), xLVI, p. 303. 1903. — — KruMBACH, (8%), xvinr, p. 637, no 8, fig. T. I9II. — — RIiTTER-ZAHONY, (88), p. 6. TOI. — — RiTTER-ZAHONY, (8 BÆ), xxIX, D. 24. n°9 17. IOII. — — RITTER-ZAHONY, (48%), v, tirés à part, p. 25, fig. 27-20. Campagne de 1905 : Stn. 2128. Surface. Cinq exemplaires. — Stn. 2187, profondeur 0-2500". Un exemplaire. Dans la fosse de l’'AIRONDELLE. Cette espèce appartient encore au groupe du Sagitia bipunctata Quoy et * ConaNT (F. S.). — (84) ; juin 1896, p. 85. L'auteur dit: « S. tenuis differs from hispida in size, in the prominence of the nervous structures, in the relatively shorter caudal segment, and the absence of diverticula from the digestive tract. It might seem that the specimens were young hispida, were it not for the advanced ova and for the fact that diverticula were not present, while in hispida they are very apparent as early as twenty-four hours after hatching ». ? MicnaeL (E. L.). — (4@8); 1911, p. 73. Gaimard. Voici, d’après les exemplaires recueillis au cours des croisières de la PRINCESSE-ALICE, les principaux caractères de ce Chétognathe. C’est une espèce de petite taille, dont la longueur totale varie de 5 à 9 millimètres et oscille, le plus souvent, entre 7 et 8 millimètres. Le corps est très allongé avec une région caudale longuement étroite, bien pointue à son extrémité, formant de 16 à 20°/, de la longueur totale de l'animal. Les téguments sont à peine sub- transparents, le ganglion ventral, le tube digestif et les ovaires apparaissant très opaques. La tête est petite, dépourvue de collerette. Il y a une couronne ciliaire presque régulièrement ovalaire, à peine plus étroite en haut qu’en bas, entièrement portée par le cou. _ Les nageoires antérieures étroites, longuement triangulaires, naissent toujours postérieurement au ganglion ventral, à une distance de l'extrémité antérieure égalant environ 36 °/, de la longueur totale du corps et s'étendent sur 16 à 20°}, de la longueur de l'animal. Leur largeur maximum est voisine de leur extrémité postérieure. Les nageoires postérieures sont séparées des précédentes par un espace court (6-7°/, de la longueur totale); plus longues (24-25 °/, de longueur totale) mais surtout beaucoup plus larges que les nageoires antérieures, elles ont une forme semi-ovalaire avec maximum de largeur au voisinage du septum. Elles s'étendent beaucoup sur le segment caudal” et n’atteignent jamais les vésicules séminales. La rame caudale est petite et prend naissance à l'extrémité postérieure des vésicules séminales. On compte de 7 à 8 crochets, 7 le plus souvent ; ils sont étroits et leur courbure est médiocre. Les dents antérieures courtes, élargies, un peu espacées, sont au nombre de 3 à 5 (ordinairement 4-5). Elles sont moins longues que les postérieures, qui, de plus, sont plus serrées à leur base. Le nombre de ces dernières oscille entre 7 et 14, généralement entre 9 et 12. Les ovaires sont petits, en forme de sacs peu allongés. Pour un animal de 8 millimètres, ils n’ont que 1/2 millimètre, soit à peu près 6°/, de la longueur totale du corps. Il faut ajouter que nous ne saurions dire si les ovaires avaient atteint leur complète maturité. Les vésicules séminales sont petites et arrondies. RAPPORTS ET DIFFÉRENCES. — Comparée au Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, cette espèce s'en distingue surtout par la forme et la position des nageoires postérieures, et le nombre plus petit de ses crochets et de ses dents antérieures. " La proportion est à peu près la suivante : pour une longueur totale représentée par 3, les nageoires postérieures ont 2 sur le tronc et r sur le segment caudal. ému: 66 ds C'est principalement avec le Sagitta neglecta Aïda que le Sagitta minima Grassi a des affinités. Les deux espèces sont extrêmement voisines et leur forme générale, ainsi que leur armature buccale sont à peu près identiques. Mais le Sagitta minima Grassi se distingue : Par son absence de collerette ; par ses nageoires antérieures qui naissent en arrière de l’extrémité postérieure du ganglion ventral tandis qu’elles atteignent le niveau de ce ganglion chez le Sagitta neglecta Aïda ; enfin par ses nageoires postérieures beaucoup plus développées sur le tronc que sur le segment caudal tandis que, chez le Sagitta neglecta Aïda, elles sont plus longues sur le segment caudal que sur le tronc. C. — Groupe du SAGITTA MACROCEPHALA Sagitta macrocephala, Fowler (Carte V3 PL E 6.43: PL v fle.2 3et4 1905. Sagitta macrocephala, FowLer, (Æ%), 2e série, x, p. 65, PI. v, fig. 16-21. 1906. — —— FoWLER, (48), p. 15, n°5. IOII. — — RITTER-ZAHONY, (183%), Pp. 17. 911. — — RITTER-ZAHONY (A4), xxix, p. 26, no 20. IOII. — — RITTER-ZAHONY, (ASS), v, tirés à part, p. 31, fig. 37-38. IOII. — — E. L. MicHaeL, (808), vin, n° 3, p. 75 (paru en 1912). Campagne de 1903 : Stn. 1505, profondeur 1700". Quelques individus. — Stn. 1549, profondeur 1500". Quelques exemplaires. — Stn. 1586. Surface. Quelques exemplaires. : Campagne de 1904 : Stn. 1639, profondeur 0-3000". Beaux exemplaires. — Stn. 1749, profondeur 0-2500". Quelques spécimens. — Stn. 1760, profondeur 0-3000". Quelques spécimens. — Sin. 1769, profondeur 0-3000". Quelques individus. — Stn. 1781, profondeur 0-5000". Nombreux individus. — Stn. 1794, profondeur 0-3000". Quelques spécimens. — Stn. 1797, profondeur 0-2000". Quelques individus. — Stn. 1834, profondeur 1440". Quelques spécimens. Au sud de Säo Miguel. — Stn. 1849, profondeur 0-3000". Quelques individus. — Stn. 1851, pro- fondeur 60-3000". Nombreux et beaux spécimens. — Stn. 1856, profondeur 0-3250". Nombreux spécimens. — Stn. 1876, profondeur 0o-2000". Nombreux individus. Campagne de 1905 : Stn. 2016, profondeur 0o-1800". Nombreux exemplaires. — Stn. 2022, profondeur 0-4000". Quelques spécimens. — Stn. 2052, profondeur 0-4000". Une douzaine d'exemplaires. — Stn. 2082, profondeur 0-4880o". Trois exemplaires. — Stn. 2087, profondeur 0-2225", Quelques spécimens. — Stn. 2002, profondeur 0-1500". Quelques individus. — Stn. 2099, profondeur 00-1500". = #60 = Quelques individus. — Stn. 2105, profondeur 0-2000®. Une douzaine d'exemplaires. — Stn. 2113, profondeur o-1500%. Une vingtaine d'exemplaires. — Stn. 2114, profondeur o-3000". Quelques exemplaires. — Stn. 2115, profondeur 0-2000%. Une dizaine d'exemplaires. — Stn. 2117, profondeur 0-1000°. Une douzaine d'exemplaires. — Stn. 2130, profondeur 0-3000". Une vingtaine d'exemplaires. — Stn. 2138, profondeur 0-2500". Quelques exemplaires. — Stn. 2159, profondeur o-2500". Nombreux et beaux exemplaires. — Stn. 2168, profondeur 0-2000". Beaux spécimens. — Stn. 2185, profondeur o-3000". Beaux et nombreux individus. Dans la fosse de l’'AIRONDELLE. — Stn. 2187, profondeur 0-2500". Nombreux spécimens. Dans la fosse de l’'IRONDELLE. — Stn. 2200, profondeur 0-1500". — Stn. 2212, profondeur 0-1200" Quelques individus. — Stn. 2244, profondeur 0-3000". Assez nombreux spécimens. — Stn. 2269, profondeur 0-3000". Beaux et nombreux individus. | | Campagne de 1908 : Stn. 2738, profondeur 0-4800". Nombreux spécimens. Campagne de 19090 : Stn. 2854, profondeur 0-1410%. Nombreux individus. — Stn. 2875, profondeur 0-5700". Dix individus. — Stn. 2876, profondeur o-1000". Quelques spécimens. — Stn. 2882, profondeur 0-2000". Assez nombreux exemplaires. — Stn. 2885, profondeur 0-3000". Une dizaine de spécimens. Campagne de 1910 : Stn. 2959, profondeur o0-1750". Quelques spécimens. — Stn. 2961, profondeur 0-2650". Onze individus. — Stn. 3003, profondeur 0-4900". Quelques exemplaires. Voici un Chétognathe qu'il est toujours facile de déterminer en toute certitude, même lorsqu on se trouve en présence d'échantillons défectueux. Le corps est assez élancé, bien qu’un peu trapu, avec un maximum de largeur vers le milieu ; il est opaque, d’un jaune plus ou moins ambré, les organes internes apparaissant plus opaques encore. La forme du corps se conserve après immersion dans l’alcool. ou le formol. La tête est proportionnellement très grande, large, de forme grossièrement triangulaire, tronquée en avant, et possède une armature buccale extrêmement développée. Elle est séparée du tronc par un cou bien indiqué, relativement étroit. Ï n’y a pas de collerette. Le segment caudal, de forme brusquement conique, pointu en arrière, atteint environ le tiers de la longueur totale (de 32 à 35°), rarement 31 °/,, plus rarement encore 36 °/, de la longueur totale). Les nageoires antérieures sont petites, subtriangulaires elliptiques, assez étroites, avec un maximum de largeur voisin de leur extrémité postérieure ; elles n’atteignent jamais le ganglion ventral, Séparées des nageoires antérieures par un espace plus petit que la longueur de ces nageoires, les nageoires postérieures sont plus longues, plus larges, subtrian- 9 gulaires, avec un maximum de largeur dans leur tiers inférieur, c'est-à-dire en dessous du septum qui divise ces nageoires en deux parties sensiblement égales. Elles ne s'étendent jamais jusqu'aux vésicules séminales. La rame caudale est petite, médiocrement étalée. Voici les principales dimensions d’un exemplaire, afin de permettre de fixer les rapports des organes : POSE RO AE A CORRE 2 es dial der asus cine 0 millimètres. l'OuBUEUr dé HApeoirés antérieures, , ......4:..,.. dés a 3 — Longueur des nageoires postérieures........... he oups 5 — Distance de l'extrémité antérieure des nageoires antérieures à l'extrémité postérieure du corps:....,... Re. Ro — Distance de l'extrémité antérieure des nageoires postérieures à l'extrémité postérieure du Cofrps.,...... ons dote NbUe Lie — Jétence cntre ICS HUL napeOi Tes Es... , + 1.2 4. .aù br NE — Distance de l'extrémité postérieure des nageoires postérieures 1 FÉXITÉMMÉ DOSTCrICN IE TU COPDE, eine et dur — L'armature buccale atteint ici un développement exceptionnel dont on ne retrouve l'équivalent que chez le Pseudosagitta Grimaldii Germain et Joubin', Les crochets varient, comme nombre, de 9 à 12. Ils sont très longs, assez courbés, très eflilés dans leur quart supérieur, terminés par une pointe aiguë et de couleur ambrée. Il y a de 6 à 9, rarement 10, dents antérieures. On en compte ordinairement 8-0. Elles sont fortes, longues et élancées, se touchant par leur base et ont une extrémité très aiguë. Leur couleur est cornée, plus ou moins fortement ambrée. Les dents postérieures sont très nombreuses, puisqu'on en compte de 20 à 33 et, très communément, 28-29. Elles sont plus courtes que les antérieures, étroitement élancées,.coniques. Les ovaires sont allongés, étroits, peu développés chez les individus pris pendant les Campagnes de la PRINCESSE-ALICE. Enfin les vésicules séminales, qui restent petites, sont subsphériques. ? GERMAIN (L.) et Jougin (L.), (86) ; n° 228, 10 mai 1912, p. 6, fig. 6 à 13. = 59 Voici les principales caractéristiques de quelques échantillons. Rapport : Nombre Nombre Nombre Région caudale des des dents des dents crochets antérieures | postérieures Longueur totale Longueur totale du corps SRE A ———— 9/0 9-10 8-9 30-32 0/0 10-11 6-7 20-22 0/0 10-10 7-8 26-25 0/0 II-11 8-9 30-31 0/0 11-10 8-7 27-26 0/0 9-10 8-8 32-33 0/0 IO-II 6-7 29-29 0/0 TI-II 8-9 27-28 0/0 IO-II 9-10 28-29 0/0 IO-I1 9-10 28-30 9/0 11-12 8-9 30-31 0/0 10-12 6-7 29-30 | 9/0 IO-I1 9-9 31-33 | | RAPPORTS ET DIFFÉRENCES. — Les caractères si tranchés de cette espèce ne permettent pas de la confondre avec les autres Chétognathes connus. Genre Eukrohnia, Rüitter-Zähony 1880. Krohnia, LANGERHANS, (88), xxxiv, p. 136 [non A. DE QUATREFAGES, 1865]. 1880. Spadella (part.), HerTw1G, (92), xiv, p. 261. 1883. — — GRASSI, (GS), v, p. 8. 1892. ÆKrohnia, STRODTMANN, (849), p. 20. 1905. ÆXrohnochætus, Agric, (M), t. 151, p. 223. 1909. ÆEukrohnia, RITTER-ZAHONY, (8 ®8), xxxIV, P. 702. 1011. — RITTER-ZAHONY, (MSA), xxIx, Pp. 20. IOII. — RITTER-ZAHONY, (A&%), p. 38. Eukrohnia hamata, Môbius (Carte vi; PL 1, fig. 2, 4; PL v, fig. 5 à 13 ; PI. vus, fig. 6, 7) 1875. Sagitta hamata, Môsivus, (4@3), 11, p. 158. 1880. —- —- LANGERHANS, (48), xxxiv, p. 136. 1880. Spadella hamata, HerTwic, (9@), p. 258, Taf. 1x, fig. 11-13. 1888. Sp. Innom., Fewxes, (44), p. 48, tabl. 1, fig. r. 1892. Krohnia hamata, STRODTMANN, (449), Lvur, 1, p. 350 et p. 368, Taf. 1, fig. 3, 4, 7, 17, et 18 (tirés à part, p. 20, no 12, et p. 38. 10e 1896. Xrohnia hamata, Conanr, (BÆ), xv, no 126, p. 84, no 5. 1896. Spadella {Krohnia) hamata, FoWLER, (48), p. 903. 1897. Xrohnia foliacea, Arpa, (4), 1, p. 10. 1903. Krohnia hamata, KrumBaAcH, (8%), System; xvinr, p. 630, n° 0, fig. u. 1905. — — FowLer, (4%), 2° série ; x, p. 74, PL. vi, fig. 42-46. 1906. —— — FowLER, (ÆS), p. 23, no 13. 1907. — — var. borealis, MoLTsScHANOrFF, (A@%), xt, p. 200. 1909. ÆEukrohnia hamata, RiTTER-ZARONY, (A2&), xxxIV, p. 702. 1910. — — RITTER-ZAHONY, (8®@9), v, p. 268, Taf. v, fig. 11-18. IOII. — _ RITTER-ZAHONY, (183), p. 18. IOII. — -— RiTTer-ZaAHONY, (A BA), xxix, p. 30, fig. 1. IOII. —— — RITTER-ZAHONY, (M3%), v, tirés à part, p. 30, fig. 42. I9II. —- — E. L. MicHaEL (#08), vru, n° 3, p.51, PL. 11, fig. 8, et PI. 1v, fig. 35 (paru en r912). Campagne de 1903 : Stn. 1505, profondeur 1700". Quelques individus. — Stn. 1549, profondeur 1500". Quelques spécimens. — Stn. 1586. Surface. Quelques exemplaires. | Campagne de 1904 : Stn. 1639, profondeur o-3000". Beaux exemplaires. — Stn. 1676, profondeur 0-500". Un individu. — Stn. 1715, profondeur o-r1000". Nombreux exemplaires. — Stn. 1749, profondeur o-2500". Assez nombreux spécimens. — Stn. 1760, profondeur 0-3000". Quelques individus. — Stn. 1768, profondeur 0o-3000". Quelques individus. — Stn. 1781, profondeur o-5000". Nombreux et beaux individus. — Stn. 1794, profondeur o-3000". Nombreux spécimens. — Stn. 1797, profondeur o-2000". Quelques individus. — Stn. 1834, profondeur 1440". Assez nombreux spécimens. Au sud de Säo Miguel. — Stn. 1844, profondeur 0o-1500". Nombreux individus. — Stn. 1849, profondeur 0-3000". Nombreux et très beaux échantillons. — Stn. 1851, profondeur o-3000". Beaux individus. — Stn. 1856, profondeur o-3250". Très nombreux et beaux spécimens. — Stn. 1876, profondeur 0-2000". Assez nombreux individus. Campagne de 1905 : Stn. 2016, profondeur o-1800". Nombreux et beaux spécimens. — Stn. 2022, profondeur 0-4000". — Stn. 2052, profondeur 0o-4000". Quelques spécimens. — Stn. 2082, profondeur 0-4880". Trois exemplaires. — Stn. 2087, profondeur 0-2225". Quelques exemplaires. — Stn. 2092, profondeur o-1500". Assez nombreux spécimens. — Stn. 2099, profondeur o-1500". Quelques beaux individus. — Stn. 2113, profondeur o-1500". Assez nombreux exemplaires. — Stn. 2114, profondeur 0o-3000". Quelques exemplaires. — Stn. 2130, profondeur 0-3000". Nombreux et beaux exemplaires. — Stn. 2138, profondeur o-3000". Assez nombreux exemplaires. — Stn. 2153, profondeur o-2000". Assez nombreux spécimens. — Stn. 2168, profondeur 0-2000". Nombreux échantillons. — Stn. 2185, profondeur o-3000".Nombreux et beaux exemplaires. Dans la fosse de l'IRONDELLE. — Stn. 2187, profondeur 0-2500". Beaux spécimens.— Stn. 21094, profondeur o-2500". Très nombreux échantillons. — Stn. 2200, profondeur 0-1500". Nombreux individus. : — Stn. 2244, profondeur 0-3000". Quelques spécimens. Campagne de 1906 : Stn. 2522, profondeur 0-320". Quelques exemplaires. Dans la baie Cross (Spitzberg). D Campagne de 1908 : Stn. 2714, profondeur 0o-1400°. Nombreux individus. — Stn. 2738, profondeur 0-4800". Nombreux spécimens. Campagne de 1909 : Stn. 2826, profondeur o0-850". Nombreux échantillons. — Stn. 2836, profondeur 0-1160". Beaux et nombreux exemplaires. Campagne de 1909 : Stn. 2854, profondeur o-1410%. Nombreux individus. — Stn. 2870, profondeur 0-1500". Quelques individus. — Stn. 2875, profondeur 0-5700”. Assez nombreux exemplaires. — Stn. 2876, profondeur o-1000". Vingt spécimens. -— Stn. 2882, profondeur 0-2000". Quelques exemplaires. — Stn. 2885, profondeur 0-3000". Quinze spécimens. Campagne de 1910 : Stn. 2955, profondeur 0-2000". Quelques spécimens. — Stn. 2950, profondeur 0-1750". Nombreux et beaux spécimens. — Stn. 2961, profondeur 0-2650". Quelques individus. — Stn. 2983, profondeur 0-45007. — Stn. 3021, profondeur o-1550". Abondante dans le plancton d’un grand nombre de régions, cette espèce possède un corps très allongé, bien pointu en arrière, dont la forme rappelle le Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Ce corps, qui garde bien sa forme après conservation dans l'alcool ou le formol, est opaque, d’une couleur jaune orangée parfois assez vive, quelquefois même d'une belle teinte saumonée (PI. 1, fig. 2). Les organes : ganglion ventral, tube digestif, ovaires, se distinguent, au travers des téguments, comme des masses encore plus opaques. La tête est petite, garnie d’une armature buccale fortement développée. Il n’y a pas de collerette. La taille, relativement variable, atteint d'assez grandes proportions : elle oscille entre 20 et 45 millimètres ; elle n’a, le plus souvent, que de 32 à 36 millimètres. Le segment caudal a de 22 à 30 °/, de la longueur totale du corps. Les nageoires latérales sont très longues : elles s'étendent, depuis le ganglion ventral jusqu'à une certaine distance derrière le septum, sur 68-70 °/, de la longueur totale du corps ‘. Elles sont d’abord très étroites, puis s’élargissent notablement dans la région qui correspond à la paire postérieure de nageoires des Sagitia, atteignant leur largeur maximum au niveau du septum *. Les crochets sont au nombre de 8 ou 9; on en compte quelquefois 10, très exceptionnellement 11. Ils sont assez puissants, d’une couleur ambrée, médio- crement courbés, élargis à leur base et terminés par une pointe brusquement " E. L. Micuaez (University of California Publications ; Zoology ; vi, n° 3, 1911, p. 52) indique même jusqu’à 76 et 77 0/0. Il s’agit ici de cas exceptionnels. ? Tout se passe, chez les Eukrohnia, comme si la nageoire antérieure des Sagitta s’allongeait postérieurement jusqu’à rejoindre la nageoire postérieure. Le cas des Æukrohnia n’est ainsi qu’un cas limite qui, à tout prendre, ne diffère pas beaucoup de celui du Sagitta lyra Krohn, où nous avons vu les nageoires antérieures et postérieures réunies par une fine membrane de même nature que celle constituant les nageoires. an OU: ts incurvée (PI. v, fig. 10, 11, 11* et 13), caractère que l’on observe déjà chez les jeunes individus (PI. v, fig. 12). Il y a de 12 à 25 (souvent 20) dents longues, coniques, serrées les unes contre les autres. Voici les dimensions principales d’un échantillon très typique : D OU AU Ole QU COTON. nude rain ad ru Mode 0 UM ob 32 millimètres. Distance de la partie antérieure du ganglion ventral à l'extrémité AAÉTISUES ON CODE Li dieu lie vite Étiee se NT IR 8 ns ÉOMEUEUT DO FOOD CHAUDE. à Rire ar ii pires peint 8 — L'ONBUÉOE UeS HapeolreS ANIOTIGLNeS eo a CR ae een ie 20 — LODUCUL DÉS DANS inc recense tua diet es nie 4 —— Les ovaires sont en forme de sacs ovoïdes dont la longueur varie de 3 à 4 millimètres. RAPPORTS ET DIFFÉRENCES. — Cette espèce ne peut être rapprochée que de l'Eukrohnia Fowleri Rüitter-Zähony. Nous indiquerons, à propos de ce dernier Chétognathe, les caractères qui permettent de les séparer. Eukrohnia Fowleri, Ritter-Zähony (Garte v£: PEN, 68.:r, 2, À) 1905. Krohnia hamata, variété, FowLer, (4%) 2e série ; x, p. 77, PI. vi, fig. 47-49. 1906. — — FowLer, (part.), (48), p. 23, n° 13. 1909. Eukrohnia Fowleri, RiTTER-ZAHONY, (8®8), xxxIv, p. 703. 1910. — — RiTTER-ZAHONY, (BBO), 1V, p. 5. III. —— — RiTTER-ZAHONY, (888), p. 18. IOÉE: — — RiTrer-ZaHoNY, (#84), xxix, p. 30, no 2. III. = — RiTrTer-ZaHoNY, (88%), v, tirés à part, p. 40, fig. 43-45. Campagne de 1904 : Sin. 1768, profondeur 0-3000". Quelques individus. Avec l'Eukrohnia hamata Môbius le filet à plancton rapporte souvent un autre Eukrohnia qui lui ressemble tellement, par sa forme extérieure seulement un peu plus.élargie, qu’on est d’abord tenté de confondre les deux espèces. Cependant un examen plus attentif permet de séparer l’Eukrohnia Fowleri Rütter-Zähony de l'espèce de Môbius . 1 Cette espèce, nommée par R. von Ritter-Zähony, avait été tout d’abord très exactement décrite et figurée par G. H. Fowler comme variété de l'Eukrohnia hamata Môbius. sn D Le corps, également opaque, est coloré en jaune plus ou moins ambré, parfois orangé. Il atteint de 20 à 40 millimètres de longueur. La tête est médiocre, mais possède une armature buccale très développée. Les nageoires sont de même forme, de mêmes proportions et ont la même dispo- sition que chez l’Eukrohnia hamata Môbius. Les crochets sont au nombre de 10 à 13; on en compte exceptionnellement 14 ‘, mais le plus souvent il y en a 11-12. Ils sont fort longs, assez incurvés, terminés en pointe effilée. Les crochets les plus vieux, c’est-à-dire ayant une disposition ventrale, ont leur face interne ou concave dentée én scie (PL VI, 49. 2): Les dents sont très nombreuses : on en compte de 15 à 30. Il n’y en a guère que 10-13 et quelquefois moins chez les jeunes, mais les adultes en montrent ordinai- rement entre 24 et 28. Voici un tableau indiquant les variations de cette espèce. R EF Longueur Ç ee du Nombre Nombre di egment cauda dés des Auteurs er de Longueur totale du corps crochets dents 35 mm, DS ni More 13-14 25-28 : 37 — 23 0/0 IT-12 26-29 Croisières | 38 — 24 oo 12-12 28-28 de la 38 1/2 2 24 1/2 °/o 12-12 20-30 un Princesse-Alice 4I — 26 oo 11-12 28-30 D, 23 mm, 26 oo 12-13 13 20 — 25 90 9-10 9 12 — 25 0/0 IO-I1 10 9 — 27 0/0 TO-5 5 G. H. FowLer ? 8 — 25 0/0 11-06 4 Fe Se 0-7 6 — 25: -0)$ 9-8 2 40 mm 24 9/0 11-12 30 38 — 25. ; fo F2 27 ” — 23-25 0/0 che 26-30 R von Rire 32 1234127201) 06 12-13 24-27 Te 30 — 22-26 1/2 ofo 12-13 22-28 23-27 0Jo 12) 21-24 24-25 ofo 11-12 19-25 RAPPORTS ET DIFFÉRENCES. — Comparé à l'Eukrohnia hamata Môbius, l'Eu- krohnia Fowleri Ritter-Zähony s'en sépare : 4 Par sa forme plus trapue, notablement moins élancée, moins effilée dans sa * Campagnes de la Princesse Alice : station 2016. : FowLer (G. H.), (4%) ; 2e série, Zoology ; x, part. 3, 1905, p. 78. * RiTTER-Zaony (R. von), (ASS), 1911, p. 40. ditatasaih "Lisa Ah tn di À hs démé à deb) bé A région caudale; par ses crochets plus courbés (PI. vi, fig. 6.), proportionnellement plus longs comparativement à la grandeur de la tête, terminés par une pointe bien moins nettement incurvée, en nombre plus grand, et dont les plus vieux sont denticulés sur leur bord interne ; enfin par ses dents toujours plus nombreuses. En résumé, l'Eukrohnia Foswleri Ritter-Zähony est, par rapport à l’'Eukrohnia hamata Môbius, une espèce plus robuste dont l’armature buccale est plus complète et mieux développée. Eukrohnia Richardi, Germain et Joubin (Gare vi PIS, tie re PET Mer, 4 1e] 1912. ÆEukrohnia Richardi, GERMAIN et Jougin, (36), no 228, p. 2, fig. 1 à 5. Campagne de 1905 : Stn. 2022, profondeur 0-4000". Un exemplaire. Cette espèce, de taille moyenne, est remarquable par sa belle coloration d’un vert d’eau plus foncé à la région antérieure et s’atténuant régulièrement vers la queue (PI. 1, fig. 1). Le corps est très allongé (PI. vi, fig. 3), à peine plus large vers le milieu, s’atténuant progressivement au segment caudal. Ce dernier, dont le développement n'atteint pas tout à fait le quart de la longueur totale, est terminé par une rame caudale large, bien étalée, soutenue par des rayons fins et serrés, s'étendant jusqu’à la hauteur des vésicules séminales. Comme chez tous les ÆEukrohma, l'animal ne montre qu’une seule paire de nageoires latérales. Ces dernières sont très longues, étroites, absolument trans- parentes et, partant sensiblement du niveau du ganglion ventral (à 5 1/2 millimètres de l’extrémité céphalique), aboutissent à environ 3 millimètres de l’extrémité du corps. Il est entendu que l'extrémité postérieure du corps se compte à partir du bout terminal de la nageoïire caudale. Elles empiètent donc considérablement sur le segment caudal et occupent ainsi les 17/27 de la longueur totale de l'animal. Les rayons supportant les nageoires latérales sont extrêmement fins, subparallèles, serrés, très obliques et ne faisant qu'un angle très aigu avec la paroi du corps. La tête, bien distincte du corps, est de forme triangulaire allongée surtout lorsqu'on la regarde par la face dorsale (PI. vr, fig. 4). Vue par la face ventrale, on y distingue très facilement la bouche, subterminale et irrégulièrement arrondie. L’extrémité antérieure du corps est occupée par un épithélium glandulaire (PI. vi, fig. 4) assez développé. La musculature dorsale est analogue à celle de l’Eukrohnia hamata Môbius; quant à la musculature du coù sur la face ventrale, elle se compose de fibres longitudinales coupées par des fibres transversales beaucoup plus fines. : \ La tête est armée de crochets et d'une seule rangée de dents. Les crochets sont au nombre de 8 de chaque côté. Ils sont en forme de lames étroites, très allongés, médiocrement incurvés (PI. vi, fig. 7) sauf à la partie terminale où ils sont brusquement recourbés. L’extrémité libre des crochets est absolument transparente, contrastant ainsi avec le reste du crochet qui est d'un jaune ambré assez brillant. On y distingue très facilement le canal central (PI. vi, fig. 5) qui se termine en pointe effilée. Les dents (PI. vi, fig. 12) sont au nombre de 24 par rangée : elles sont très fortement et obliquement serrées les unes contre les autres et de forme conique. Les ovaires ont l'apparence de sacs allongés ne dépassant pas 2 1/4 millimètres de longueur ; ils débouchent au dehors par une ouverture extrêmement étroite. Enfin les vésicules séminales, sphériques et de petite taille, sont situées latéralement, à la naissance de la nageoire caudale. La formule de l'Eukrohnia Richardi s'établit ainsi : HOME AIRIS du COPDS rer, sen rhe rss Mines sshashe 27 millim. bobpasne du senment Sal ss inerte Na curé sève Gi/2 — Segment caudal 24 Rapport Longueur totale du corps RE DE TE ASUS RUN EU Se YA AT NE Ti .. Longueur maximum du corps (y compris la largeur des nageoires) 21/2 — LONGUES ONG IMOS 65 eh DS ane Ne nee dde n iii 2 1/4 — MOMITEC MES COCO. DL Ni re PES Sr de 8 -— PMOHIDIC UNS ENS 7, LUE Ji oimLre se. a dis 24, — L’Eukrohnia Richardi est évidemment voisin de l’Eukrohnia hamata Môbius. Cependant 1l s’en distingue facilement, en dehors de sa coloration verte carac- téristique et jusqu'à présent unique chez les Chétognathes, par la forme très différente de sa tête, beaucoup plus nettement triangulaire allongée ; par ses crochets plus étroitement allongés et par ses dents, au nombre de 24, alors qu’on en compte seulement de 20 à 22 chez l'Eukrohnia hamata Môbius. | Ce grand nombre de dents rapproche également notre espèce de l’'Eukrohnia Foswleri Ritter-Zähony ; mais en dehors du nombre plus grand des crochets (il varie de 10 à 13 etest, très ordinairement, de 11 ou 12), ce dernier Chétognathe possède de 23 à 30 dents (le plus souvent 25 et 26 ou 27 chez les individus bien adultes). De plus, les crochets de l’Eukrohnia Fowleri Ritter-Zähony ont une forme plus arquée et le premier d’entre eux est finement serrulé sur son bord interne (PI. vi, fig. 2) caractère que l’on ne trouve jamais, ni chez l'Eukrohnia hamata Môbius, ni chez l’Eukrohnia Richardi Germain et Joubin. Nous donnons à ce curieux Chétognathe le nom de notre ami, le Dr J. Richard, le savant directeur du Musée Océanographique de Monaco. 1869. 1880. 1883. 1892. 1905. IOII. IOII. 1095: 1869. 1880. 1880. 1883. 1802. 1895. 1896. 1003. 1906. IOII. IOIT. IOII. IOII. se 6 Genre Pterosagitta, A. Costa Pterosagitta, CosTA, (83%), v, p. 54. Spadella, LANGERHANS, (89), xxx1v, p. 136. — (part.), GRassi, (68), v, p. 51. — (part.), STRODTMANN, (HAS), D. 22. Drachochætus, ABric (f}),t. 151, p. 224. Pierosagitta, RITTER-ZAHONY, (MSA), xxIX, P. 27. — RITTER-ZAHONY, (185%), p. 33. Pterosagitta draco, Krohn (Carte vue PL Vr Ho. 6,010, ET-Et ri) Sagitta draco, KROHN, (SG), xix, n° 1, p. 273. Pterosagitta mediterranea, Costa (8%), p. 55. Spadella draco, HerRTwIG (8%), xiv, p. 270, Taf. 1x, fig. 3. — — LANGERHANS, (S9), xxxiv, p. 136. — — Grassi, (68), v, p. 23. — — STRODTMANN, (# A9), Lvux, 1, p. 350, no 20 (tirés à part, p. 26, no 20, Taf. 1, fig. 20). Spadella Vougai, BÉRANECK, (AA), 111, p. 155. Spadella draco, Sreinnaus, (A4), p. 26 et p. 46. —— — KrumBacH, (8%), xviur, p. 628, no 2, fig. L. — — FowLer, (4S), p. 25, n° 16. Pterosagitta draco, RiTTER-ZAHONY, (188), p. 18. — . — RiTTEr-ZaAHony, (AA), xxIx, p. 27, n0:1, fig. 15. — —. RiTTER-ZaHony, (18%), v, tirés à part, p. 33, fig. 39-40. Spadella draco, E. L. Micaaez, (808), vu, no 3, p. 54, PL. x, fig. 10, PL. 1, fig. 23 et PL. 1v, fig. 37 (paru en 1912). Campagne de 1885 : Stn. 37. Surface. Deux exemplaires. Campagne de 1887 : Stn. 140. Surface. Un exemplaire. | Campagne de 1004 : Stn. 1736, profondeur 60-500". Deux spécimens. A l'abri de Palma. — Stn. 1749, profondeur 0-2500". Quelques rares spécimens. — Stn. 1755. Surface. Un exemplaire. — Stn. 1768, profondeur o-3000". Quelques spécimens. — Stn. 1781, profondeur 0-5000". Quelques individus. — Stn. 1851, profondeur 0-3000°. Quelques spécimens. Campagne de 1905 : Stn. 2041. Surface. Un exemplaire. — Stn. 2052, pro- fondeur 0-4000". Quelques exemplaires. — Stn. 2058, profondeur 0-500®. Quatre exemplaires. — Stn. 2105, profondeur 0-2000". Quelques exemplaires. — Stn. 2130, profondeur o-3000". Quelques exemplaires. Campagne de 1908 : Stn. 2714, profondeur 0-1400". Quelques individus. Campagne de 1910 : Stn. 3056. Surface. Un exemplaire. Assez rare dans le plancton, cette petite espèce présente des caractères particu- lièrement nets. Le corps est opaque, relativement large, en forme de pointe ne s’atténuant, d'une manière sensible, que dans la région caudale. Le ganglion ventral, le tube digestif et les ovaires sont plus opaques que le reste du corps. L'animal tout entier est ferme, d’aspect solide, coloré en jaune clair très légèrement ambré. Les muscles longitudinaux sont bien développés. L'animal est pourvu d’une énorme collerette atteignant en largeur, de chaque côté du corps, sensiblement la moitié de la largeur totale ; elle s'étend depuis la tête jusqu'aux nageoires latérales. Elle est caduque, aussi n'existe-t-elle plus qu'à l’état fragmentaire chez de nombreux individus conservés dans le formol. La couronne ciliaire est ovalaire-elliptique, les 2/3 de sa longueur étant sur la tête. R La taille varie de 7 à 11 millimètres '. Le segment caudal représente de 40 à 50 °/, (ordinairement de 43 à 45 °/.) de la longueur totale du corps. Les nageoires latérales sont petites, mais assez larges ; elles sont entièrement situées en arrière du septum et leur forme est semi-circulaire. Elles s'étendent jusqu'aux vésicules séminales lorsque ces dernières sont à maturité. La rame caudale part des vésicules séminales ; elle est triangulaire et plus ou moins nettement tronquée. Les crochets sont au nombre de 8-10, le plus souvent de 8-0. Ils sont élancés, médiocrement courbés et quelques-uns sont très finement serrulés dans la région médiane de leur face interne. Les dents antérieures sont au nombre de 6 à 10°. Elles sont assez courtes, serrées les unes contre les autres, subconiques et d'un brun ambré parfois un peu foncé. Les dents postérieures sont plus longues, plus élancées, étroitement serrées, pointues et en nombre variant de 8 à 18 (il y en a, généralement, de 12 à 16). RAPPORTS ET DIFFÉRENCES. — Par les caractères si particuliers de sa collerette, cette espèce ne peut être confondue avec aucun autre Chétognathe. Quant au Spadella Vougai décrit par Béraneck, il est évidemment synonyme du Pierosagitta draco Krohn. " Elle est généralement de 9 millimètres. La longueur de 11 millimètres n’est atteinte que très exceptionnellement. * Dans un spécimen E. L. Michael [(4@8), vu, no 3, 1911, p. 54] indique 4-4 dents antérieures. Il s’agit ici, comme l’auteur le reconnaît lui-même, d’un individu jeune. 1880. 1880. 1883. 1892. 1905. 1905. IOII. IOII. 1851. 1858. 1858. 1863. 1863. 1870. 1874. 1880. 1880. 1883. 1802. 1892. 1892. 1892. 1802. 1903. 1906. 1909. III. IOII. 1011. TT » Genre Spadella, Langerhans Spadella, LANGERHANS, (88), xxxiv, p. 136. —— (part.), HERTwIG, (99), xiv, p. 261. Sagitta (part.), Grassi (68), v, p. 8. Spadella (part), SRODTMANN, (4.9), p. 22. Spadellochætus, ABric, (M), t. 151, p. 223. Grassiochætus, ABric (A), t. 151, p. 223. Spadella, RiTTER-ZAHONY, (M4), xxix, p. 28. — RITTER-ZAHONY, (183%), p. 35. Spadella cephaloptera, Busch (Carte vu Pl: vn, flat 2 Jets. PE vNr fe, 12) Sagitia cephaloptera, Buscx, (28), p. 08. Sagitta bipunctata, Lewes, (9%), p. 250 [non Quoy et GarmaRp|]. Sagitta Mariana, LEewes, (®%), p. 414, PL. v, fig. 1. Sagitta gallica, PAGENSTECHER, (488), xu, p. 308. Sagitta cephaloptera, CLAPARÈDE, (88), p. 9. Sagitta pontica, ULIANIN, (AA), vint, p. 57. Sagitta Batziana, Grarp et Barrois, (@f), nr, p. 517. Spadella cephaloptera, LANGERHANS, (89%), xxiv, p. 136. — — HEerTwiG, (98), p. 66, Taf. 1, fig. 6. Spadella Claparedi, Grassr, (@8), v, p. 17, Tav. 1, fig. 1. Spadella cephaloptera, SrroDTMANN, (A48), Lvrn, I, p. 353, no 14 (tirés à part, p. 23). Spadella Mariana, STRODTMANN, (448), p. 353, no 15 (tirés à part, p. 24). Spadella Batziana, STRODTMANN (#49), p. 354, no 16 (tirés à part, p. 25). Spadella gallica STRoDTMANN (449), p. 354, no 17 (tirés à part, p. 25). Spadella pontica, STRODTMANN, (BÆS), p. 354, no 18 (tirés à part, p. 25). Spadella musculosa, DoNcasTER in Lo Branco, (9%), xvr, p. 266. Spadella cephaloptera, FowLer, (48), p. 34, PI. u1, fig. 95-00. Spadella parvula, MorrscHanorr, (4@), p. 88o. Spadella cephaloptera, RIiTTER-ZAHONY, (# A), xxIx, p. 28, no 1. — —— RITTER-ZAHONY, (8%), v, tirés à part, p. 35, fig. 41. — — E. L. MicHaEL (8@8), vi, n° 3, p. 76. Campagne de 1887 : Stn. 155. Surface. Deux exemplaires. Campagne de 1888 : Stn. 185. Surface. Quelques exemplaires en mauvais état. Campagne de 1908 : Stn. 2705. Surface. Dix exemplaires. De forme subovalaire-allongé, le corps de cette espèce est relativement large, peu pointu en arrière, ferme et opaque, d’un brun jaunâtre clair laissant voir le ganglion ventral, le tube digestif et les ovaires qui apparaissent encore plus opaques. La tête est petite, ovalaire-arrondie en avant, séparée du corps par un cou nettement indiqué, beaucoup mieux marqué que chez le Pierosagitta draco Krohn. La collerette est, ici encore, extrêmement développée : elle commence sur la tête et nn s'étend, en arrière jusqu’au septum où elle se continue, sans interruption, avec les nageoires latérales. Elle a donc sensiblement la même disposition que chez le Pterosagitta draco Krohn mais elle est, toutes proportions gardées, notablement plus étroite le long des parois du corps, son diamètre maximum se trouvant au voisinage du cou. La couronne ciliaire est entièrement sur le cou : elle est elliptique, avec son grand axe transversal et empiète, de chaque côté,'sur la collerette. Quelquefois le bord inférieur de la couronne est incurvé (PI. vu, fig. 2). La taille varie de 4 à 10 millimètres mais oscille, le plus souvent, entre 6 et 7 millimètres. Le segment caudal atteint communément 50 °/, et, plus rarement, 52-54°/, de la longueur totale du corps. Les nageoires latérales sont longues, étroites, de forme elliptique, s'étendant du septum aux vésicules séminales. La rame caudale naît aux vésicules elle est bien développée, spatuliforme. On compte de 8 à 11 crochets (le plus souvent 8-0) très longs, notablement courbés, parfois très légèrement serrulés sur leur bord interne, avec une base étroite et une pointe très courte, recourbée. Les dents antérieures, au nombre de 3 à 5 (généralement 4-5), sont parti- culièrement longues, subcylindriques et rappellent un peu, comme disposition générale, celles du Sagitta hexaptera d'Orbigny. Les dents postérieures, également peu nombreuses (il y en a de 2 à 4), sont beaucoup plus courtes, coniques et élargies à leur base. Les vésicules séminales, très éloignées du septum, apparaissent à maturité comme des sacs ovalaires relativement gros. Enfin les ovaires s'étendent depuis le septum jusqu’au cou. Ün certain nombre d’espèces doivent être rapportées au Spadella cephaloptera Busch. C'est tout d’abord le cas du Spadella gaillica décrit par H. A. Pagenstecher ! sur un exemplaire unique. Ce spécimen, long de 4 millimètres, ne présente aucun caractère bien particulier; il a 5 dents antérieures, 5 Le postérieures ; ses nageoires et sa collerette sont disposées exactement comme chez le Spadella cephaloptera Busch. Le Sagitta pontica découvert par B. Uljanin ? dans la mer Noire est encore un synonyme de l'espèce de Busch. C'est un petit animal de 6 à 10 millimètres de longueur, au corps translucide, et dont le segment caudal est notablement plus grand que le reste du corps. C'est là le seul caractère distinctif de ce Spadella, mais nous avons vu précédemment qu'il n'avait pas grande valeur, puisqu'il se retrouvait chez certains individus de Spadella cephaloptera Busch. © PaGENsTECHER (H. A.). — (#48), x, 1863,.p. 308. * Uzsanix (B.). — (84), vur, 1870, p. 78; et (AB%), 11, 1880, p. 588. se Gg — Enfin le Spadella Batziana, décrit par A. Giard ', doit encore être rapporté à la même espèce. Découvert à Roscoff, ce Chétognathe n'a été décrit que très imparfaitement, mais la figure originale ne peut laisser de doute sur cette identification. ; RAPPORTS ET DIFFÉRENCES. — Les caractères donnés précédemment ne permettent de confondre le Spadella cephaloptera Busch avec aucun autre Chétognathe, sauf peut-être avec le Spadella schizoptera Conant” qui en diffère : par la forme de sa couronne ciliaire qui présente trois cornes et s'étend à la fois sur la tête et sur le cou et par l’absence des dents postérieures. Mais on peut se demander si ce dernier caractère est bien réel, et si Conant a bien observé son espèce qui, par ailleurs, possède 8 crochets et 2-3 dents antérieures longues et crochues comme chez le Spadella cephaloptera Busch. Genre Krohnitta, Ritter-Zähony 1883. Spadella (part.), Grassi, (GS), v, p. 8. 1892. ÆKrohnia (part.), STRODTMANN, (849), p. 20. 1910. Krohnitia, RITTER-ZAHONY, (88), x1, P. 140. 1911. — RiTrTer-ZAHONY, (MBA), xxIx, p. 32. 1OII. —— RiTrer-ZaAHony, (48%), p. 44. Krohnitta subtilis, Grassi (Carte vu : Pl-vir, fn, 5, 6, 7, 8, get 10) 1881. Sagitia subtilis, Grass, (@%), 2e série, x1v, p. 213. 1883. Spadella subtilis, Grassi, (GS), v, p. 23. 1802. Krohnia subtilis, SrRoDnTMANN, (M@9), Lvur, 1, p. 352, no 13 (tirés à part, p. 22, no 13, Taf. 1, fig. 3a, 6). 1905. — — FowLer, (4%), 2e série, x, p. 78, PI. vx, fig. 50-52. 1906. — FowLer, (AS), p. 25, no 15. 1910. Krohnitta subtilis, RiTTER-ZAHONY, (RSA), xI, part. 2, p. 140. IE — — RITTER-ZAHONY, (188), p. 10. 1911. — — RiTTER-ZAHONY, (M4), xxIx, p. 31, no 1, fig. 16. 1911. — — RiTTER-ZAHONY, (48%), v, tirés à part, p. 44, fig. 48 à 51. io11. ÆEukrohnia subtilis, E. L. MicHaez, (808), var, n° 3, p. 52, PI. 1, fig. 25 et PI. 1v, fig. 36 (paru en 1912). Campagne de 1904 : Stn. 1872. Surface. Trois individus. Campagne de 1905 : Stn. 2001, profondeur 0-1500". Quelques exemplaires. — Stn. 2074. Surface. Deux exemplaires. — Stn. 2078. Surface. Cinq exemplaires. En 1 Grarp (A.) et Barrois (J.). — (@A), 111, 1874, p. 517. 2 ConaNT (F. S.). — (88), xiv, no 110, juin 1895, p. 77, n° 1, fig. vi. raison de leur mauvais état, la détermination de ces exemplaires reste un peu douteuse. — Stn. 2079. Surface. Quelques exemplaires. — Stn. 2097. Surface. Assez nombreux spécimens. — Stn. 2187, profondeur o-2500%. Quelques individus. Fosse de l’'AIRONDELLE. — Stn. 2200", profondeur o-1500". Quelques exemplaires. — Stn. 2244, profondeur o-3000". Quelques spécimens. — Stn. 2262. Surface. Quelques individus. En quittant Villafranca (Açores). — Stn. 2274. Surface. Huit exemplaires. Campagne de 1908 : Stn. 2706. Surface. Six exemplaires. Campagne de 1909 : Stn. 2836, profondeur o-1160". Le corps de cette petite espèce est extrêmement long et élancé; bien transparent, il laisse voir le ganglion ventral, l'intestin et les ovaires qui paraissent assez opaques et d'un jaune clair. La tête est petite, séparée du tronc par un cou nettement marqué. La couronne ciliaire est assez courte, de forme grossièrement triangulaire, placée à la fois sur la tête et sur le cou. La longueur du corps varie de 12 à 15 millimètres; elle atteint plus rarement 16 et exceptionnellement 17 millimètres. Le segment caudal est proportionnellement grand puisqu'il formé de 32 à 35 °/, (parfois même 37 °/.) de la longueur totale du COrpS Les nageoires postérieures (qui sont les seules) ont une forme subtriangulaire ou ovalaire ; elles s'étendent en arrière jusqu'aux vésicules séminales et, en avant, dépassent très légèrement le septum *. La longueur totale des nageoires varie de 32 à 38 ‘/, de la longueur totale du corps. Elles sont très transparentes, difficilement visibles, soutenues par des rayons extrêmement délicats. La rame caudale commence aux vésicules séminales ; elle est bien étalée et de forme triangulaire. Les crochets sont au nombre de 7-9, quelquefois de 10, ordinairement de 8-9. Ils sont très fortement courbés, terminés en une longue pointe aiguë, mince et délicate. Les dents sont plus ou moins nombreuses suivant la provenance des individus considérés. Il y en a de 7 à 16, mais on en compte généralement de 11 à 14; elles sont courtes et régulièrement coniques. Les ovaires restent courts, même lorsqu'ils ont atteint leur complète maturité, puisqu'ils ne dépassent pas alors l'extrémité antérieure des nageoires. Mais, dans la majorité des cas, ils sont encore moins développés et leurs dimensions osciilent entre 4 et 7 °/, de la longueur totale du corps. " FowLer (G. H.), [(4%), vol. x, part. 11, janvier 1905, p. 78], indique, pour certains individus, jusqu’à 40 0j, de la longueur totale du corps. Il s’agit ici de cas exceptionnels. * La distance séparant le ganglion ventral de l'extrémité antérieure des nageoires varie de 17 à 20 o/o de la longueur totale du corps. ro RÉ OS ES Es nn One mms Par contre, les vésicules séminales sont assez volumineuses et de forme particulière : elles ont l'aspect d'une vésicule ovalaire munie d’une sorte de verrue extérieure saillante (PI. vu, fig. 9, 10). | Le ganglion ventral est ovalaire-elliptique bien allongé ; il est très sensiblement situé au tiers antérieur de l’animal. RAPPORTS ET DIFFÉRENCES. — Le XKrohnitta subtilis Grassi ne peut guère être rapproché que du Krohnitta pacifica Aïda ‘, espèce que R. von Ritter-Zähony * considère d’ailleurs comme identique. Bien que ces deux Chétognathes aient, en effet, de très grands rapports 3, on peut cependant signaler entre eux quelques différences. C'est ainsi que la forme des dents et des crochets n’est pas la même et que la couronne ciliaire, qui s'étend sur le tronc et sur la tête chez le Krohnitta subtilis Grassi, est localisée sur le tronc chez le Krohnitta pacifica Aïda. Malgré ces caractères différentiels, il est fort possible que les deux espèces soient synonymes ; mais il faudrait, pour élucider cette question, un matériel beaucoup plus nombreux que celui mis entre les mains des zoologistes qui ont étudié le Krohnitta subtilis Grassi, espèce toujours relativement rare. * Aupa (T.). — (&), 1, 1897, p. 19-20, PI. rx, fig. 11 {Krohnia pacifica). * RiTTer-Zanony (R. von), (88%), 1911, p. 45. * FowLer (G. H.), [(4%), x, part. nr, 1905, p. 70] considère également les deux espèces comme à peu près identiques. Échantillons et fragments indéterminables Stn. 18. Quelques spécimens d’une espèce de Sagitta indéterminable. Stn. 23. Quelques spécimens d'un petit Sagitta indéterminable. ; Stn. 32. Quelques spécimens d’un Sagitia indéterminable (espèce voisine de Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard). Stn. 34. Surface. Quelques individus d’un Sagitta indéterminable. . Stn. 93. Surface. Quelques spécimens d’un Sagitia indéterminable. Stn. 115. Deux spécimens indéterminables d'une espèce appartenant au genre Sagitia. Stn. 116. Quelques individus indéterminables d’une espèce appartenant au genre Sagitta. Stn. 125. Sagitta indéterminable. Stn. 140. Surface. Plusieurs individus d'un Sagitta indéterminable. Stn. 148. Surface. Quelques individus d’un Sagitta indéterminable. Stn. 153. Quelques individus d'un Sagitta indéterminable. Stn. 160, profondeur 857". Assez nombreux spécimens d’une espèce qui est peut être Sagiila bipunciata Quoy et Gaimard, mais que son mauvais état de conservation ne permet pas de déterminer avec certitude. Stn. 299, profondeur 510". Deux individus d’un Sagitta indéterminable, Dans les parages de l'île d’'Ischia. Stn. 385. Surface. Quelques Sagitia indéterminables. Stn. 399. Surface. Un exemplaire d’un Sagitta indéterminable. Dans la rade de Melilla. Stn. 821, profondeur 5440". Un spécimen d’un Sagitia indéterminable ramenée dans la drague Vallée. Stn. 1177, profondeur 1000%. Un exemplaire d'un Sagitta indéterminable pris au filet Giesbrecht. Au S. W. des îles du Cap Vert. Stn. 1676; profondeur 0-500". Un exemplaire d'un Sagitta indéterminable. Dans le voisinage du banc Gorringe. Stn. 1851, profondeur 0-3000". Un fragment d'un Sagitta indéterminable. Stn. 1860. Surface. Un fragment d’un Sagitia indéterminable. Stn. 2009. Surface. Deux fragments d’un Sagitta indéterminable. Stn. 2011, profondeur o-1500". Un fragment d'un Sagitta indéterminable. Stn. 2018. Surface. Un fragment d’un Sagitta indéterminable. Stn. Stn. Stn. Stn. Stn. 2019. Surface 2036. Surface 2037. Surface 2038. Surface 2042. Surface = TA, Un Sagitta indéterminable. Quelques exemplaires d’un Sagitta indéterminable. Trois exemplaires d’un Sagitta indéterminable. Quatre exemplaires d’un Sagitta indéterminable. Cinq spécimens d’un Sagitta indéterminable. A l'est de la Grande Déserte (Madère). Stn. Stn. Stn. Stn. Stn. Stn. Stn. Stn. Stn. Stn. Stn. Stn. Stn. SIA. Stn. Stn. Stn. Stn. Stn. Stn. Stn. Stn. Stn. Stn. Stn. Stn. Stn. Stn. 2045. Surface. 2046. Surface. . 2059. Surface. . 2062. Surface. . 2065. Surface. 2068. Surface. 2070. Surface. Quelques Sagitta indéterminables. Quelques Sagitta indéterminables. Un fragment indéterminable d’un Sagiita. Deux exemplaires d’un Sagitta indéterminable. Un fragment indéterminable de Sagitta. Quelques exemplaires d’un Sagitta indéterminable. Un spécimen d’un Sagitta indéterminable. 2073. Surface. Cinq Sagitta indéterminables, en compagnie de très nombreux exemplaires de Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Stn. 2082, profondeur 0-4880". Un fragment indéterminable appartenant au genre Sagitta. 2090. Surface. Trois individus jeunes d’un Sagitia indéterminable. 2092, profondeur 0-1500". Fragment indéterminable (de Sagitta ?). 101. Surface: 2110. Surface. 2121. Surface. 2126. Surface. 2127. Surface. 2134. Surface. 2135. Surface. 2142. Surface. 2143. Surface. 2151. SUIIACE. 2161. Surface. 2171. Surface. 2196. Surface. 2204. Surface. 2266. Surface. 2273. Surface. 2275. Surface. Fragment de Sagitta indéterminable. Un Sagitta indéterminable. Quelques fragments indéterminables. Un fragment indéterminable d’un Sagitta. Un fragment de Sagitta indéterminable. Un fragment indéterminable {Sagitta ?). Un fragment indéterminable /Sagitta). Quelques exemplaires indéterminables d’un Sagitia. Quelques exemplaires indéterminables d’un Sagitta. Un fragment d’un Sagitta indéterminable. Un exemplaire d’un jeune Sagitta indéterminable. Un exemplaire d’un Sagitta indéterminable. Trois exemplaires d’un jeune Sagitta indéterminable. Un exemplaire indéterminable d’un Sagitta. Un spécimen indéterminable de Sagitta. Un spécimen indéterminable de Sagitta. Quelques exemplaires jeunes d’un Sagitta indéterminable. 2285. Surface. Un fragment de Sagitta indéterminable.En quittant Gibraltar. 2290, profondeur 0-1300". Deux Sagitta en mauvais état. 2293. Surface. 2299. Surface. Un fragment de Sagitta indéterminable. Un fragment indéterminable (Sagitta ?). D GE GI. 62. 63. 64. 65. 66. 67. Stn. 2402. Surface. Un exemplaire indéterminable d’un Sagitta. En entrant dans la baie King (Spitzberg). Stn. 2249. Surface. Deux fragments indéterminables (Sagitta). Au mouillage de Hollandar Point (Spitzberg). Stn. 2450, profondeur 16". Deux exemplaires indéterminables (Sagitta). Dans le mouillage de Hollandar Point (Spitzberg). Stn. Stn. Stn. Stn. 2641. Surface. Deux fragments indéterminables (Sagitta). 2693. Surface. Un fragment indéterminable (Sagitta). 2696. Surface. Deux spécimens indéterminables (Sagitta). 2827. Surface. Deux exemplaires indéterminables (Sagitta). dE M ee ORDRE DE FRÉQUENCE DES ESPÈCES DÉCRITES Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitta lyra Krohn. Sagitta hexaptera d'Orbigny. Eukrohnia hamata Môbius. Sagitta macrocephala Fowler. Sagitia inflata Grassi. Sagitta serratodenta Krohn. Sagitta plancionis Steinhaus. Sagitta elegans Verrill. Pterosagitta draco Krohn. Krohnitta subtilis Grassi. Sagitia arctica Aurivillius. Sagitta tenuis Conant. Spadella cephaloptera Busch. Sagitta neglecta Aïda. Sagitta minima Grassi. Eukrohnia Fowleri Ritter-Zähony. Eukrohnia Richardi Germain et Joubin. TABLEAUX ESPÈCES RECUEILLIES DIFFÉRENTES STATIONS 4 de CAMPAGNE NUMÉRO LOCALITÉ PROFONDEUR de DATE Re en OBSERVATIONS STATION MÈTRES LATITUDE LONGITUDE (Greenwich) {ARPPRPOENSENOENEESSP REA SERRE CN RE ANSE RE ONE OR CA ER RC CE SCO RENE DEN VOIES ETS 5 15 juillet 400 07 N. 200 24 45” W. Surface 15 2 août 90019 20" _N. 280 22° 45” W. Surface 16 3 août 380 o6? N. 269 57: 457. Surface 17 5 août 370 37° ae 260 44 45” W. 10 18 20 août 370 40? N. 250 29° 45” W. Surface 21 23 août 420 55? NA se 34 45 W.: Surface 23 24 août 449 44 N. 210 36° 45” W. Surface 32 28 août 47° 53 N. 130 16° 45” W. Surface 34 29 août 47° 37 Ne, 9° 42° 45” W. Surface 37 30 août 47° 34 N: 20 56: 497 E. Surface D DARIIIAUNOIN CAOIAOT CcAMPAGI 67 _26 août #:27 357" N: 120 43 15” W. Surface FE 3r août 47 14 45” N. F0 22-07 We “12 78 | rer septembre 470: 42” 527 °N. 160 49° 55” W. Surface CAMPAGNE 03 13 mai 490 3139: N. 199 02 W. Surface 115 4 juillet 380 38° 45” N. 280 23 W. O-I 116 4 juillet 308 29:59" N. 280 10° 35” W. O-I 125 13 juillet 380 23? A 270 06 15” W. Surface 137 21 juillet 400 46° 35” N. 370 48 45” W. Surface 140 23 juillet 429 27 3v7-N; 390 54 04” W Surface 142 25 juillet 419:57 39° N, 400 36° 45” W. Surface 148 28 juillet 420 50° 26” N. 430 04 45” W. Surface 150 29 juillet 449 04 40” N. 440 24 04” W. Surface 155 31 juillet 450 18 19” N. 44° 31° 30” W. ? 160 2 août 46° 04’ 40” N. 460 42° 15” W. 857 DE 1609 PROCÉDÉ de ESPECES-RECUEILRMIES RÉCOLTE | | Filet fin Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Sagitta serratodenta Krohn. | Filet fin Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. | Filet fin Sagitta lyÿra Krohn, Sagitia serratodenta Krohn. Filet fin Sagitia bipunctata Quoy et Gaimard. Filet fin Sagitta, espèce indéterminable. Filet fin Sagitta inflata Grassi, Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. | Filet fin Sagitta indéterminable. | Filet fin Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Sagitta indéterminable. | Filet fin * Sagitta inflata Grassi, Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Sagitta indéterminable. Filet fin Sagitta inflata Grassi, Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Pterosagitia draco Krohn. DE 1980 Filet fin Sagitta inflata Grassi. Filet à ressort Sagitta inflata Grassi. Filet fin à ressort Sagitta inflata Grassi. DE 1997 | Filet fin Sagitta indéterminable. Filet fin à hélice Sagiita lyra Krohn, Sagitta indéterminable. Filet fin Sagitia indéterminable. Sagitta indéterminable. Chalut de surface Sagitta lyÿra Krohn. Filet fin à hélice Pterosagitta draco Krohn, Sagitta indéterminable. Filet fin en soie Sagitta hexaptera d'Orbigny. Chalut de surface Sagiita lyra Krohn, Sagitta indéterminable. Filet fin en soie Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Filet fin à hélice Spadella cephaloptera Busch, Sagitta indéterminable. Filet fin à hélice Sagitta indéterminable (peut-être Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard). Sagitta inflata Grassi, Sagitta hexaptera d’Orbigny. A PS que CAMPAGNE LOCALITÉ PROFONDEUR en OBSERVATIONS MÈTRES NUMÉRO de STATION | "ER LATITUDE LONGITUDE (Greenwich) 30 juin 45° or 36” N. O6 5F 107, Surface Q juillet 420 35° N. 190 51° 45” W. Surface 185 15 juillet 390 27° N. 276-5549 W. Surface 200 27 juillet c d. Surface 208 31 juillet 339 22° 15° N 310-127 W. Surface 215 3 août 390 34 N JIO-LE- 19 MW. Surface 246 29 août 180-47-47 N: 280 08” W. Surface 256 9 septembre 480 24 48” N 180 18 15” W. 2200 10 septembre 470 42 41” N 170 10? W. 78I CAMPAGNE 283 24 septembre 439 06 N. 00 54 19. P: 1000 299 10 octobre 410 287 N. 120 00° 19” FE. 510 302 20 octobre 400 37° N. 130 09° 15” -E. 821 CAMPAGNE 320 8 août Port de Messine Surface 372 11 septembre 429 53° 30” N. | SUD Te 1000 CAMPAGNE 377 3 avril 439 33.30 N. | 70 38 15” E. 800 385 10 avril 430 34 N. 89 54 15” E. Surface 390 23 août Port de Monaco 16 399 17 juin Rade de Melilla Surface 401 19 juin Port de Peñon de Velez (Maroc) Surface 430 6 juillet 340 4r° N. 80 09 45” W. Surface 440 10 juillet 330 47 N. 70 59° 45” W. Surface 459 27 juillet 360 32° 40” N. 110 44 45” W. 1408 496 27 août 460 52? N. 59 30° 45” W. Surface ES DE 1985 co Pie PROCÉDÉ de RÉCOLTE Chalut de surface Filet fin à gouvernail | Filet fin Filet fin Filet fin Chalut de surface Chalut de surface Filet à gouvernail Filet à gouvernail DE 1991 Filet à rideaux Filet à rideaux Filet à rideaux DE 1995 Haveneau Filet à deux rideaux DE 1894 Filet à deux rideaux Chalut de surface Chalut de surface Haveneau Haveneau Chalut de surface Chalut de surface Sondeur à robinet Chalut de surface ESPÈCES RECUEILLIES Sagitta inflata Grassi. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Sagitta serratodenta Krohn. Spadella cephaloptera Busch (en mauvais état). Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitta hexaptera d’Orbigny. Sagitta hexaptera d'Orbigny, Sagitta inflata Grassi. Sagitta lrra Krohn. Sagitta lyra Krohn. Sagitta hexaptera d'Orbigny, Sagitta lyra Krohn. Sagitta hexaptera d'Orbigny, Sagitta lyra Krohn, Sagitta indéterminable. Sagitia inflata Grassi. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitta lyra Krohn, Sagitta inflata Grassi. Sagitta hexaptera d'Orbigny, var. magna Langh. Sagitta indéterminable. Sagitta hexaptera d'Orbigny. Sagitta indéterminable. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitta hexaptera d'Orbigny. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Sagitta serratodenta Krohn. Sagitta lyÿra Krohn. Sagitta inflata Grassi. . 6 | us ne CAMPAGNE NUMÉRO LOCALITÉ PROFONDEUR de DATE Re n OBSERVATIONS STATION MÈTRES LATITUDE LONGITUDE (Greenwich) 508 31 mai 370 597 Ne 0529 157 Ve, Surface 520 22 juin 380 32° N. 160 35° 45” W. Surface 23 juin 380 30° h à LUE RE LS Surface  à: CAMPAGNE 370 30 N. 260 26° 45? W. | 1000 | 21 juin 340 N. 80 09 45” W. Surface 778 22 juin 330 58 Ne 80 38 45” MW. 2225 Vase sableuse rougeâtre 813 10 juillet 30° 58? N. 240 56 45° W. Surface 815 10 juillet 300 47 N. 249 52 45 W,. Surface 821 12 juillet 300 48 N: 25978 15 W. 5440 Vase à globigérines 822 12 juillet 300 48? N. | 290ES. 157 W. Surface 1020 20-30 août | 78608 30 -N. | 139 44-177 W. | 393 | Vase noire | CAMPAGNE 1048 | 7-8 mai | 419 47 N. | JAY -19 W. | 2276 | Vase | ns PROCÉDÉ de ESPÈCES RECUEILLIES | RÉCOLTE Filet Buchet Sagitta inflata Grassi. Chalut de surface Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Chalut de surface Sagitta hexaptera d’Orbigny, var. magna Langh., Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. DE 1990 Filet Giesbrecht mod.| Sagitta planctonis Steinhaus. DE 1597 Chalut de surface Sagitta serratodenta Krohn, Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Chalut Sagitta hexaptera d'Orbigny. Filet Buchet Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Chalut de surface Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Sagitta hexaptera d’Orbigny. Drague Vallée Sagitia indéterminable. Chalut de surface Sagitta hexaptera d'Orbigny, Sagitta lyra Krohn, Sagitta planctonis Steinhaus. DE 1899 Tube sond. Buchanan| Sagitta hexaptera d’Orbigny. DE 1999 | Nasse | Sagitta lÿra Krohn. —————————]—]——————— CAMPAGNE NUMÉRO LOCALITÉ PROFONDEUR | de DATE EE Ua en OBSERVATIONS | STATION MÈTRES LATITUDE LONGITUDE (Greenwich) 1159 30 juillet 149 45? N. 29° 19 45? W. Surface 1176 9 août 149 19° N. 270 13° 45” W 300-350 1177 9 août 140 19 N. 270 1 45°” %W, 1000 1200 16 août 150 17° N. 230 03 457 W. Surface 1269 24 juillet | 369 o6’ N. 79 55-457 MW. 1473 Vase 1322 6-8 août 380 39’ N. 250 06” 15” W. 3020 Vase sableuse volcanique 1333 12-14 août 39° 30? N. 290 02° 45” W. 1900 Vase à globigérines et sable volcanique 1358 24 août 370 42° N. 290 02° 45° W 510 ; Sable fin CAMPAGNE 1479 3-4 août 449 397 N. 20 II W. 1414 1500 12-14 août 449 34 N. 49 38° 30° W 4330 Vase sableuse 1505 13 août 449 34 N. 40 38° 30” W 1700 1549 6 septembre 45° 30° N. 50 507 W ns eu ’ | RES , { -o-500 bi 8 septembre 459 27 N. 60 05 W {(eur fond de 4780) 1586 15 septembre 470 36? N. 70 38 W a Surface ds 1596 22 février 5 milles au N. des Berlinga (Portugal) Surface 1597 22 février 10 milles au N. du Cap Roca ni Surface 1629 5 juillet Par le travers d’Etretat Surface 1039 17 juillet 460 15° N. 7° 00 W. 0-3000 | 1676 26 juillet 350 44 N. 120 52° W. 0-500 | 1606 29 juillet 300 06’ N. 5984 LL WN Surface ARCS RÉEL AS Pt LES Ne EP A SR Er CN fn TU ie à 2 NE = 6 E PROCÉDÉ de RÉCOLTE Filet Buchet Filet Giesbrecht | rame Filet Giesbrecht | Petit filet Hensen DE 1902 Chalut Double nasse à trémail Double nasse à trémail DE 1903 Nasse Tube sond. Buchanan Filet Giesbrecht Filet Richard à grande ouverture Filet Richard à grande ouverture Filet fin étroit ESPÈCES RECUEILLIES Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitta hexaptera d'Orbigny, Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitta indétérminable. Sagitta inflata Grassi, Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitta hexaptera d'Orbigny. Sagitta elegans Verrill. Sagitta hexaptera &'Orbigny. Sagitta lÿra Krohn. Sagitta serratodenta Krohn. Sagitta hexaptera d'Orbigny. Sagitta macrocephala Fowler, Eukrohnia hamata Môbius. Sagitta hexaptera à Orbigny, Sagitta lra Krohn, Sagitta macrocephala Fowler, Eukrohnia hamata Môübius. Sagitta inflata Grassi. Sagitta macrocephala Fowler, Eukrohnia hamata Môbius. DE 1904 Filet fin étroit Filet fin étroit Filet fin étroit Filet Richard à grande ouverture Filet Richard à grande ouverture Filet fin étroit OO De Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitta hexaptera d'Orbigny, Sagitta lyra Krohn, Sagitta macrocephala Fowler, Eukrohnia hamata Môbius. Eukrohnia hamata Môbius, Sagiita indéterminable. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. ER SES SEP ON CN PE D EC SI Sn dE CAMPAGNE NUMÉRO de STATION DATE 30 juillet 1er août 1er août ser août 10 août 12 août 12 août 17 août 18 août 18 août 18 août 21 août 25 août 26 août 26 août 27 août a LATITUDE 290 20° 280 04 280 04 280 04’ 279 Ne ol DIE LOCALITÉ 280 38° 45” N. À trois milles de Fuencaliente (Palma 289 53 N. 290 IN. 300 41° Le 300 41° N. | | | 290 57 N | 200 16? N 29° 10? N 270 45 N 280 03 N 280 10? N 280 13 N 319 o6? N 310 46’ N 320 18 N 320 18 N 330 06’ N LONGITUDE (Greenwich) 100 170 59° 40” W. 189 189 170 170 30° 02? 05° 46” 40 ASS £ = ASS À £ PROFONDEUR en MÈTRES Surface Surface Surface O-I1000 Surface 0-500 Surface Surface Surface Surface 0-2500 Surface 0-3000 Surface 0-3000 Surface Surface Surface 0-5000 0-3000 0-2000 OBSERVATIONS Vase à globigérines me ee RE AS Vase argileuse Vase argileuse bus Lil à hé éaitot ut és le du, bi 2, minute 4: 1 Le ER DE I 904 (suite) « PROCÉDÉ de RÉCOLTE Filet fin étroit Filet fin étroit Petit filet Hensen Filet Richard à grande ouverture Filet fin étroit Filet Richard à grande ouverture Filet fin étroit Filet fin étroit Filet fin étroit Filet fin étroit Filet Richard à grande ouverture Haveneau Filet Richard à grande ouverture Haveneau Filet Richard à grande ouverture Filet fin étroit Filet fin étroit Filet fin étroit Filet Richard à grande ouverture Filet Richard à grande ouverture Filet Richard à grande ouverture Filet Richard à grande ouverture Filet Richard à grande ouverture ESPÈCES RECUEILLIES Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitta serratodenta Krohn. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Sagitta serratodenta Krohn. Sagitta hexaptera d'Orbigny, Sagitta lyra Krohn, Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Eukrohnia hamata Môbius, Pterosagitta draco Krohn. Sagiita hexaptera d'Orbigny. Sagitta inflata Grassi, Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Pterosagitia draco Krohn. Sagitta hexaptera d'Orbigny, Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard (quelques-uns de ces spécimens, mal con- servés, sont d’une détermination douteuse). Sagitta bipunciatä Quoy et Gaimard. Sagitta inflata Grassi. Sagitta hexaptera d'Orbigny, Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitia hexaptera d’Orbigny, Sagitta hexaptera d’Orbigny, var. magna Langerhans, Sagitia lyra Krohn, Sagitta planctonis Steinhaus, Sagitta elegans Verrill, Sagitta inflata Grassi, Sagitta macrocephala Fow- ler, Sagitta bipunctaia Quoy et Gaimard, Sagitta serratodenta Krohn, Eukrohnia hamata Môbius, Ptero- sagitta draco Krohn. Sagitta hexaptera d'Orbigny, Pterosagitta draco Krohn. Sagitta hexaptera d'Orbigny, var. magna Langerhans, Sagitta lyra Krohn, Sagitta macrocephala Fowler, Eu- krohnia hamata Môbius. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Sagitta tenuis Conant. Sagitta hexaptera d'Orbigny, Sagitta hexaptera, var. magna Langerhans, Sagitta lyra Krohn, Sagitta inflata Grassi, Sagitta planctonis Steinhaus, Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Sagitta macrocephala Fowler, Eukrohnia Fowleri Ritter-Zähony, Pterosagitta draco Krohn. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitta bipunctata:Quoy et Gaimard. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitta hexaptera d'Orbigny, Sagitta hexaptera d'Orbigny, var. magna Langerhans, Sagitta Iyÿra Krohn, Sagitta inflata Grassi, Sagiütta plancionis Steinhaus, Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Sagitta macro- cephala Fowler, Eukrohnia hamata Môbius, Pterosagitta draco Krohn. Sagitta hexaptera d'Orbigny, Sagitta lyÿra Krehn, Sagitta planctonis Steinhaus, Sagitta macrocephala Fow- ler, Eukrohnia hamata Môbius. Sagitta hexaptera d’'Orbigny, Sagitta hexaptera d'Orbigny, var. magna Langerhans, Sagitta lÿra Krohn, Sagitta planctonis Steinhaus, Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Sagitta macrocephala Fowler, Eu- krohnia hamata Môbius. Sagitta hexaptera d'Orbigny, Sagitta hexaptera d'Orbigny, var. magna Langerhans, Sagitta lyra Krohn. Sagitia hexaptera d'Orbigny, Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. CAMPAGNE — - nn | NUMÉRO LOCALITÉ PROFONDEUR i de +. DATE alim << 5, jésshéitiéhesr À > © | en OBSERVATIONS | STATION MÈTRES LATITUDE LONGITUDE (Greenwich) | 1805 27 août 340 N. 250 30° W. Surface | 1818 31 août 380 10° IN: 270 50? W. Surface 1834 6 septembre FO 0 1 250 53” 30” W. 1440 1839 6 septembre Près de Ponta Delgada Surface 1844 7 septembre 370 08’ N. 280 28 30” W. Gti 1847 7 septembre 370 03 N. 280 52° W Surface | 1849 8 septembre 360 17 N. 280 53 W. 0-3000 Vase sableuse à globigérines | 1851 8 septembre 360 17° N. 280 55 W. 0-3000 9 septembre 360 46? N. 260 41’ W. 0-3250 Vase sableuse à globigérines 9 septembre 370 N. 260 20? WW. Surface 11 septembre | 370.35 N. 24° 40? W. Surface 12 septembre 370 20° N. 219 40? W. ne Bad de Hbd0ÿ 12 septembre 370 10 LE 210 22 W. Surface CAMPAGNE 30 mars 480 18° 30” N. 70 16? E. 0-2175 Vase 30 mars 47° 17° N. 70 22° E. O-2100 Vase 7 avril 430 02° 36” N. 80 43 E. 0-1500 14 avril 420 53? N. 80 22’ E. 0-2000 20 avril 420 58? N 8e 56! 30” E. O=1500 22 avril 43° 09? N 80 15? FE. 0-2000 21 juillet 400 52? N. 20 38 Fr. Burface Vase 21 juillet 400 28 N 20 14 W. O-1500 : 24 juillet 350 13? N 80 06? W. 0-1800 DE 1904 /suite) PROCÉDÉ de RÉCOLTE Filet fin étroit Filet fin étroit Sondeur Léger Filet fin étroit Filet Richard à grande ouverture Filet fin étroit Filét Richard à grande ouverture Filet Richard à grande ouvertnre Filet Richard à grande ouverture Filet fin étroit Filet fin étroit Filet Richard à grande ouverture Filet fin étroit DE 1909 Filet Richard à grande ouverture Filet Richard à grande ouverture Filet Richard à grande ouverture Filet Richard à grande ouverture Filet Richard à grande ouverture Filet Richard à grande ouverture Filet fin étroit Filet Richard à grande ouverture Filet Richard à grande ouverture ESPÈCES RECUEILLIES ER E Sagitta hexaptera d’Orbigny, Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitta hexaptera d’Orbigny, Sagitta hexaptera d'Orb. var. magna Langerhans, Sagitta lyra Krohn, Sagitta inflata Grassi, Sagitta bipunctata Quoy et Gaim., Sagitta macrocephala Fowler, Eukrohnia hamata Môbius. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitta hexaptera d'Orbigny, Sagitta lyra Krohn, Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Sagitta serratodenta Krohn, Eukrohnia hamata Môbius. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitta hexaptera d'Orbigny, Sagitta lyra Krohn, Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Sagitta macrocephala Fowler, Eukrohnia hamata Môbius. Sagiita hexaptera d’Orbigny, Sagitta lyÿra Krohn, Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Sagitta serratodenta Krohn, Sagitta macrocephala Fowler, Eukrohnia hamata Môbius, Pterosagitta draco Krohn, Sagitia espèce indéterm. Sagitia hexaptera, d'Orbigny, Sagitta lyra Krohn, Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Sagitta macrocephala Fowler, Eukrohnia hamata Môbius. Sagitta serratodenta Krohn, Sagitta indéterminable. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Xrohnitta subtilis Grassi. Sagitta hexaptera d'Orbigny, Sagitta lyÿra Krohn, Sagitta macrocephala Fowler, Eukrohnia hamata Môbius. Sagitta neglecta Aïda (détermination un peu douteuse étant donné l’état de conservation des individus), Sagitta hexaptera d’Orbigny, var. magna Langerhans. Sagitta hexaptera d'Orbigny. Sagitta hexaptera d'Orbigny. Sagitta hexaptera d’Orbigny, Sagitta lyra Krohn, Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitta hexaptera d'Orbigny, Sagitta lyra Krohn, Krohnitta subtilis Grassi. Sagitta hexaptera d'Orbigny, Sagitta lyra Krohn. Sagitta indéterminable. Sagitta hexaptera d’Orbigny, var. magna Langerhans, Sagitta indéterminable. Sagitta hexaptera d'Orbigny, Sagitta lyra Krohn, Sagitta inflata Grassi, Sagitta macrocephala Fowler, Eu- krohnia hamata Môübius. G. F2. CAMPAGNE NUMÉRO LOCALITÉ PROFONDEUR de DATE € CR ne es en OBSERVATIONS se) F LATITUDE LONGITUDE (Greenwich) rte ES 2018 24 juillet 350 15° N 80 50? W. Surface 2019 24 juillet 350 10’ N. 109 W. Surface 2020 25 juillet 340 10° N 110 50? W. Surface 2022 25 juillet 340 02 N 120 21° W. 0-4000 2023 25 juillet 330 55 N 120 45 W. Surface 2036 26 juillet 330 47 N 140 23 W. Surface 2037 26 juillet = 330 40? N. 140 50? W. Surface 2038 27 juillet 330 06” N 150 40° W. Surface 2040 27 juillet 330 07° N 150 40 W. O-1000 2041 27 juillet 330 04? N. 160 W. Surface 2042 28 juillet A l’est de la Grande Déserte (Madère) Surface 2045 28 juillet 320 28? N. 160 38’ W. Surface 2046 31 juillet En quittant Madère Surface 2049 3: juillet 320 28 N. 170 20° W. Surface 2050 31 juillet 320 20° N 180 W. Surface 2051 er août 3ro 24° N 19° 05? W. Surface 2052 er août 310 271? N 19° 09 W. 0-4000 2054 1er août 319 10° N. 199 39 W. Surface 2055 1er août 300 40° N. 19° 507 W. Surface 2056 2 août 290 40? N. 210 02? W. Surface 2058 2 août 200 11° N. 220 OI? W. 0-500 2059 2 août 299 20? N 210 50? W. Surface 2062 4 août 260 55? N 260 25? W. Surface 2063 4 août 260 30? N 270 20? W. Surface 2064 4 août 260 20? N 280 W. Surface 2065 5 août 260 10? N 29° 20? _W. Surface 2068 5 août 250 50? N 300 30? W. Surface 2070 6 août 250 45? N 320 107 W. Surface 2073 6 août 250 45? N 330 30’ W. Surface 2074 6 août 250 50? N 340 W. Surface DE I 909 (suite) PROCÉDÉ de RÉCOLTE Filet fin étroit Filet fin étroit Filet fin étroit Filet Richard à grande ouverture Filet fin étroit Filet fin étroit Filet fin étroit Filet fin étroit Grd filet à 3 plateaux Filet fin étroit Filet fin étroit Filet fin étroit Filet fin étroit Filet fin étroit Filet fin étroit Filet fin étroit Filet Richard à grande ouverture | Filet fin étroit Filet fin étroit Filet fin étroit Filet Richard à grande ouverture Filet fin étroit Filet fin étroit Filet fin étroit Filet fin étroit Filet fin étroit Filet fin étroit Filet fin étroit Filet fin étroit Filet fin étroit ESPÈCES RECUEILLIES Sagitta indéterminable. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Sagitta indéterminable. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Sagitta tenuis Conant. Sagitta hexaptera d'Orbigny, Sagitta lyra Krohn, Sagitta macrocephala Fowler, Eukrohnia hamata Môbius, Eukrohnia Richardi Germain et Joubin. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitta indéterminable. Sagitta indéterminable. Sagitta indéterminable. Sagitta hexapiera d’Orbigny. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Pterosagitta draco Krohn. Sagitta, espèce indéterminable. Sagitta indéterminable. Sagitta indéterminable. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Sagitia serratodenta Krohn. Sagitia bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitta hexaptera d'Orbigny, Sagitta lyra Krohn, Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Sagitta serratodenta Krohn, Sagitta macrocephala Fowler, Eukrohnia hamata Môbius, Pterosagiita draco Krohn. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Sagitta serratodenta Krohn. Sagitia tenuis Conant. Sagitta tenuis Conant. Sagitta hexaptera d'Orbigny, Sagitta hexaptera d’Orbigny, var. magna Langerhans, Sagitta lyra Krohn, Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Pterosagitita draco Krohn. Sagitta indéterminable. Sagitta indéterminable. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitta indéterminable. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Sagitta indéterminable. Sagitta indéterminable. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Sagitta indéterminable. Krohnitta subtilis Grassi. EE — 02 — CAMPAGNE LOCALITÉ NUMÉRO PROFONDEUR | de DATE PR ET Di ES RSC RE RES MAR SE NE en OBSERVATIONS STATION | MÈTRES LATITUDE LONGITUDE (Greenwich) 2078 7 août 250 58° N. 350 07 W. Surface 2079 7 août 260 N. 350 10? W. Surface 2080 7 août 269 20? N. 350 30? W. Surface 2082 8 août 260 37° N. 360 35° W. 0-4880 2084 8 août 260 40? N. 360 36 W. Surface 2085 8 août 260 40? N. 360 40° W. Surface 2086 9 août 270 20° N. 380 W. Surface 2087 9 août 270 367 N. 380 29 W. 0-2225 2088 9 août 270 40? N. 38° 30° W Surface 2090 9 août 270 35? N. 380 40? W Surface 2091 10 août 280 30? N. 39° 30? W Surface 2092 10 août 280 50? N. 400 14 W O-1500 2094 10 août 299 N 400 28 W Surface 2096 10 août 200 20° N 400 50? W Surface 2097 11 août 299 50? N 420 W Surface 2099 11 août 300 04 N 420 29? W 0-1500 2101 11 août 300 N 420 35? W. Surface 2105 12 août BIO TS 07 IN, 429 38 W. 0-2000 2110 13 août 310 48 N. 420 39? W. Surface 2113 13 août 310 44? N. 420 38° 30” W. O-1500 2114 14 août 310 41° N. 420 407 W 0-3000 2115 14 août 319 42 N. 420 40° W. 0-2000 2117 14 août 310 43? N. 420 40° 30” W. O-1000 2121 15 août 310 42? N. 420 45? W. Surface 2126 16 août 310 42’ N. 420 52° W. Surface 2127 16 août 320 N. 420 10° W. Surface DE 1909 (suite) PROCÉDÉ de RÉCOLTE Filet fin étroit Filet fin étroit Filet fin étroit Filet Richard à grande ouverture Filet fin étroit Filet fin étroit Filet fin étroit Filet Richard à grande ouverture Filet fin étroit Filet fin étroit Filet fin étroit Filet Richard à grande ouverture Filet fin étroit Filet fin étroit Filet fin étroit Filet Richard à grande ouverture Filet fin étroit Filet Richard à grande ouverture Filet fin étroit Filet Richard à grande ouverture Filet Richard à grande ouverture Filet Richard à grande ouverture Filet Richard à grande ouverture Filet fin étroit Filet fin étroit Filet fin étroit: AERESEGREDRC DEEE APRES PAP CHEN PARA VAT EOD GRE A QNIGIE SARNIA ROSE SPP TONER EPA IAE EN ALES LORD PIRE D ST DR PU END ANSE ERNST SPRL VA PL LIEN REA OR RPSAQT DL OPEN ESPÈCES RECUEILLIES AE Re CP Krohnitta subtilis Grassi (détermination un peu douteuse en raison du mauvais état des échantillons). Krohnitta subtilis Grassi. Sagitia tenuis Conant. Sagitta hexaptera d’Orbigny, Sagitia macrocephala Fowler, Eukrohnia hamata Môbius, Sagitta indéterminable. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitta hexapiera d’Orbigny, Sagitta macrocephala Fowler, Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Eukrohnia hamata Môbius. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitta indéterminable. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Sagitta tenuis Conant. Sagitta hexaptera d’Orbigny, Sagitta hexaptera, var. magna Langerhans, Sagitta inflata Grassi, Sagitta planctonis Steinhaus, Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Sagitta macrocephala Fowler, Eukrohnia hamata Môbius, Sagitta indéterminable. Sagitta neglecta Aïda. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Krohnitta subtilis Grassi. Sagitta hexaptera d’Orbigny, Sagitta lyÿra Krohn, Sagitta planctonis Steinhaus, Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Sagitta macrocephala Fowler, Eukrohnia hamata Môbius. Sagitta indéterminable. Sagitta hexaptera d’Orbigny, Sagitta lyra Krohn, Sagitta elegans Verrill, Sagitta macrocephala Fowler, Pterosagitta draco Krohn. : Sagitta indéterminable. Sagitta hexaptera d’Orbigny, Sagitta lyra Krohn, Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Sagitta macrocephala Fowler, Eukrohnia hamata Môbius. Sagitta hexaptera d’Orbigny, Sagitta lyra Krohn, Sagitta elegans Verrill, Sagitta planctonis Steinhaus, Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Sagitta macrocephala Fowler, Eukrohnia hamata Môbius. Sagitta hexaptera d’Orbigny, Sagitta hexaptera d’Orbigny, var. magna Langerhans, Sagitta planctonis Steinhaus, Sagitta macrocephala Fowler. Sagitta indéterminable. Sagitta indéterminable. Sagitta hexaptera d’Orbigny, Sagitta macrocephala Fowler. Sagitta indéterminable. CAMPAGNE NUMÉRO LOCALITÉ PROFONDEUR de DATE a en OBSERVATIONS STATION MÈTRES LATITUDE LONGITUDE (Greenwich) 2128 17 août 320 40? N. 410 30? W. Surface 2130 17 août 330 03 N. 41° 08’ W. 0-3000 2131 17 août 330 ro’ N 400 30? W Surface 2134 18 août 330 27 N 390 W Surface 2135 13 août 33° 30° N 380 20? W Surface 2138 19 août 330 41° N 360 55? LS 0-2500 2142 19 août 330 48? 350 50? W. Surface 2143 20 août 340 N 340 20? W. Surface 2149 | 20 août 330. 5r 340 03 W. 0-2000 2150 20 août 340 10 N 330 50? W. Surface Sxr51 21 août 349 50? N 320 30? W. Surface 2153 21 août 349 04’ N FR AE W 0-2000 2159 22 août | 360 24 M: 300 W. 0-2500 2161 22 août 360 30° N 299 50? W Surface 2162 22 août 360 40° N. 290 W. Surface 2168 23 août 360 35? N 270 12 W 0-2000 2170 23 août 360 387 N. 270 06? A Surface 2171 23 août 369 50? N. | 260 50? W. Surface 2172 23 août 360 50? N. 260 50? W. Surface 2173 24 août 12 milles au S.-W, de Ponta Delgada Surface 2175 27 août En quittant Ponta Delgada Surface 2185 29 août 380 04? N. 269 07 30” W. 0-3000 29 août 380 04? N. 269 07° 30” W. É86D f DE 1909 {suite) PROCÉDÉ de RÉCOLTE Filet fin étroit Filet Richard à grande ouverture Filet fin étroit Filet fin étroit Filet fin étroit Filet Richard à grande ouverture Filet fin étroit Filet fin étroit Filet Richard à grande ouverture Filet fin étroit Filet fin étroit Filet Richard à grande ouverture Filet Richard à grande ouverture Eilet fin étroit Filet fin étroit Filet Richard à grande ouverture Filet fin étroit Haveneau Filet fin étroit Filet fin étroit Filet fin étroit Filet Richard à grande ouverture Filet Richard à grande ouverture ESPÈCES RECUEILLIES Sagitta minima Grassi. Sagitta hexaptera d'Orbigny, Sagitta hexaptera d'Orbigny, var. magna Langerhans, Sagitta lyra Krohn, Sagüta planctonis Steinhaus, Sagitta elegans Verrill, Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Sagitta serratodenta Krohn, Sagitta macrocephala Fowler, Eukrohnia hamata Môbius, Pterosagitia draco Krohn. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitta indéterminable. Sagitta indéterminable. Sagitta hexaptera d'Orbigny, Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Sagitta planctonis Steinhaus, Sagitia macrocephala Fowler, Eukrohnia hamata Môbius. Sagitta indéterminable. Sagitta indéterminable. Sagitta hexaptera d'Orbigny, Sagitta hexaptera d'Orbigny, var. magna Langerhans, Sagitta lyra Krohn, Sagitta inflata Grassi, Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Pterosagitta draco Krohn. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Sagitta indéterminable. Sagitta hexaptera d'Orbigny, Sagitta lyra Krohn, Sagitta plancionis Steinhaus, Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Eukrohnia hamaiïa Môbius. Sagitta hexaptera d'Orbigny, Sagitta lyra Krohn, Sagitta elegans Verrill, Sagitta bipunctata Quoy et Gaïmard, Sagitta macrocephala Fowler. Sagitta indéterminable. Sagitta hexaptera d'Orbigny, Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitta hexaptera d'Orbigny, Sagitta lÿra Krohn, Sagitta elegans Verrill, Sagitta bipunctata Quoy et Gai- mard, Sagitta serratodenta Krohn, Sagitta macrocephala Fowler, Eukrohnia hamata Mübius. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitta indéterminable. Sagitta tenuis Conant. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitta hexaptera d’Orbigny, Sagitta hexaptera d’Orbigny, var. magna Langerhans, Sagitia lyra Krohn, Sagitia planctonis Steinhaus, Sagitta elegans Verrill, Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Sagitta ser- ratodenta Krohn, Sagitta macrocephala Fowler, Eukrohnia hamata Môbius. Sagitta hexaptera &Orbigny, Sagitta hexaptera d’Orbigny, var. magna Langh., Sagitta lyra Krohn, Sagitta planctonis Steinhaus, Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Sagitta serratodenta Krohn, Sagitta minima Grassi, Sagitta macrocephala Fowler, Eukrohnia hamata Môbius, Krohnitta subtilis Grassi. > 0 ne ee CAMPAGNE ——_ ” NUMÉRO LOCALITÉ PROFONDEUR de DATE É e RE R T — en OBSERVATIONS STATION : MÈTRES LATITUDE LONGITUDE (Greenwich) RE Ed | TR EIRE APCE NEA ASIE AT SR NE ER 2101 30 août | 390 097 N 260 13 W. Surface 2194 . 30 août 390 36° N 260 05? W. 0-2500 2105 30 août 390 36° N. 260 05? W Surface 2106 30 août 390 38 N. 269 40? W Surface 2108 31 août 390 44° N. 280 25? W. Surface 2200 31 août 390 44’ N. 280 25’ W 0-1500 . 2204 31 août 390 44° N. 290 20? W. Surface 2212 2 septembre 390 26 N. DISPO N O-1200 2238 5 septembre Entre les bancs Acçor et Princesse-Alice Surface 2241 5 septembre 3745 N. 299 W. | Surface 2242 6 septembre 370 06’ N. 280 10° W. Surface 2244 6 septembre 370 04! N. 280 o1’ W. 0-3000 2245 6 septembre 370 ‘03’ N. 270 46’ W. Surface 2249 6 septembre 370 02 30” N. 270 35° W. Surface 2252 7 septembre 380 N. 260 10? W., Surface 2259 8 septembre 2262 12 septembre En quittant Villafranca (Açores) Surface 2263 13 septembre 370 33’ N. 29° 30° W. Surface 2264 13 septembre 370 30? N 220 307 W. 0-3000 2266 13 septembre 370 30° N 220 35 W. Surface 2267 13 septembre 370 28° N 210 30” W. Surface 2268 14 septembre 370 14 N 199 40° W. Surface 2269 14 septembre 370 13° N 199 10’ W. 0-3000 2270 14 septembre 370 12 N 18° 30? W. Surface 2273 16 septembre 360 30° N 130 20’ W. Surface j 2274 17 septembre 360 17 N 110 30? W. Surface | 2275 17 septembre | 360 16’ N 100 50? W. Surface | ontarien Lit ad LÉ SRE RÉ RS Éd RÉ DE 190 suite, PROCÉDÉ de RÉCOLTE Filet fin étroit Filet Richard à grande ouverture Haveneau Filet fin étroit Filet fin étroit Filet Richard à grande ouverture Filet fin étroit Filet Richard à grande ouverture Filet fin étroit Filet fin étroit Filet fin étroit Filet Richard à grande ouverture Filet fin étroit Filet fin étroit Filet fin étroit Filet fin étroit Filet fin étroit Filet Richard à grande ouverture Filet fin étroit Filet fin étroit Filet fin étroit Filet Richard à grande ouverture Filet fin étroit Filet fin étroit Filet fin étroit Filet fin étroit ESPÈCES RECUEILLIES Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Sagitta serratodenta Krohn. Sagitta hexaptera d'Orbigny, Sagitta hexaptera d’Orbigny, var. magna Langh., Sagitta lyra Krohn, Sagitta planctonis Steinhaus, Sagitta elegans Verrill, Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Sagitta serratodenta Krohn, Æukrohnia hamata Môbius. Sagitta serratodenta Krohn. Sagitta indéterminable. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitta hexaptera d'Orbigny, Sagitta hexaptera d'Orbigny, var. magna Langh., Sagitta lyÿra Krohn, Sagitta elegans Verrill, Sagitta planctonis Steinhaus, Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Sagitta serratodenta Krohn, Sagitta macrocephala Fowler, Eukrohnia hamata Môbius, Krohnitta subtilis Grassi. Sagitta indéterminable. Sagitta hexaptera d'Orbigny, Sagitta lyra Krohn, Sagitta planctonis Steinhaus, Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Sagitta serratodenta Krohn, Sagitta macrocephala Fowler. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitta Serratodenta Krohn. Sagitta hexaptera d’'Orbigny, Sagitta hexaptera d'Orbigny, var. magna Langherans, Sagitta lyra Krohn, Sagitta elegans Verrill, Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Sagitta serratodenta Krohn, Spadella ma- crocephala Fowler, Eukrohnia hamata Môbius, Xrohnitta subtilis Grassi. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. : Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Krohnitta subtilis Grassi. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitta hexaptera d'Orbigny, Sagitta lyÿra Krohn. Sagitta serratodenta Krohn, Sagitta indéterminable. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitta serratodenta Krohn. Sagitta inflata Grassi, Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Sagitta macrocephala Fowler. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitta indéterminable. Krohnitta subtilis Grassi. Sagitta indéterminable. ER BE DA DO AS DE A EE LACS RE ER 2 A GS SRE CAMPAGNE LL smmmmmmmmnisnsssss) SR re 2 ———— NUMÉRO LOCALITÉ PROFONDEUR de DATE DU MISE URR AA és OBSERVATIONS soie LATITUDE | LONGITUDE (Greenwich) np ns 17 septembre 360 12° N. 100 W. Surface 17 septembre 360 10? N. 9° 20° W. Surface 19 septembre En quittant Gibraltar Surface 19 septembre 360 20? N. 4° 08’ W. Surface 20 septembre 360 40° N 20 45? W. Surface | 20 septembre 360 51° 307 N 10 30? W. 0-1300 20 septembre 370 N. 00 50? W. Surface 21 septembre SAS N 00 55? É. Surface 21 septembre 38° 02’ N 10 50° Es Surface 21 septembre 380 02’ N 10 50" 30” Es O-1700 21 septembre 380 o2° N 0: 50° 407. E. Surface 21 septembre 380 20’ N 20 30? E. Surface 22 septembre 30° 40? N. 30. 35° E Surface 22 septembre 400 33° N se E 0-2375 CAMPAGNE 9 avril 430 17 N. 7 5o° E. 0-2460 27 avril 430 15° N. 7° 38 E. 0-2300 12 juillet En entrant dans la Baie King Surface 30 juillet Mouillage de Hollandar Point Surface 2450 30-31 juillet Mouillage de Hollandar Point 0-16 2522 27 août Baie Cross 0-320 2557 17 septembre 560 34 N. 59 03 E. Surface 2558 17 septembre 550 59 N. 40 55? E. Surface CAMPAGNE 2588 11 juillet 730 48? N. 180 30? E. Surface 2041 17 août 1509-20! N. 120 23 E. Surface 2667 9 septembre 570 26? N. 40 42’ E. Surface ——— : 24 _ ME EEE = L " DE 1909 [sutle) PROCÉDÉ de ESPÈCES RECUEILLIES RÉCOLTE mn | 1: | Filet fin étroit Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. ; | Filet fin étroit Sagitia serratodenta Krohn. | Filet fin étroit Sagitta indéterminable. | Filet fin étroit Sagitta inflata Grassi. Filet fin étroit Sagitta inflata Grassi. | Filet Richard à grande ouverture Sagitta indéterminable. Filet fin étroit Sagitta inflata Grassi, Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. | Filet fin étroit Sagitta indéterminable. Filet fin étroit Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. | Filet Richard à grande ouverture) Sagitta hexapiera d'Orbigny, Sagitta lyra Krohn, Sagitta planctonis Steinhaus, Sagitta bipunctata Quoy et | Gaimard. Filet fin étroit Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Filet fin étroit Sagitia serratodenta Krohn. Filet fin étroit Sagitta indéterminable. Filet Richard à grande ouverture) Sagitta lyra Krohn, Sagitta serratodenta Krohn. | | DE 1906 Filet Richard à grande ouverture] Sagitta hexaptera d'Orbigny, Sagitta inflata Grassi. Filet Richard à grande ouverture| Sagitta hexaptera d’Orbigny, var. magna Langerhans. Haveneau Sagitta indéterminable. Haveneau Sagitta hexaptera d'Orbigny, Sagitta arctica Aurivillius, Sagitta indéterminable. Trémail Sagitta indéterminable. Filet Richard à grande ouverture] Sagitta arctica Aurivillius, Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Eukrohnia hamata Môbius. Filet fin étroit Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Filet fin étroit Sagitta inflata Grassi. TE — ——]—]—]——]—]——— — —_—_— — —_————”—"——"—"—"."—.—— —…"…"”"”"”"_—_—_———— —"”—"—"”—"”—"—"————————_— — — DE 1907 A re em ee es Filet fin étroit | Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Filet fin étroit Sagitta indéterminable. Filet fin étroit Sagitta arctica Aurivillius (jeunes), Sagitia bipunctata Quoy et Gaimard. TL ————— — — —…. - -—]—"— —”—”"’"———— FU CAMPAGNE —_— 2837 19 juillet 480 N. 40 15° £ e2) æ + cu Q ® NUMÉRO LOCALITÉ PROFONDEUR de DATE LR RTE ER tn en OBSERVATIONS as LATITUDE LONGITUDE (Greenwich) ne RSS EE eee | annee nn pen men mr mens 2683 9 mai À 18 milles au large de Monaco 0-2230 2688 10 juillet 410 40 N. 4° E. 0-2025 2692 11 juillet 390 45? N. 4° 18 E. Surface 2603 12 juillet 380 48 N. Jui E. Surface 2605 12 juillet 380 35? N. 30 06? E. 0-2595 2696 12 juillet 380 19° N. 29 14 E. Surface 2609 13 juillet 370 39? N. 00 20’ Es 0-2170 2701 14 juillet 360 297 Ne 20 02 W. Surface 2704 14 juillet 360 18? N. 20 31° W. 0-1665 2705 14 juillet 360 r8? N. 20 31° AV: Surface 2706 15 juillet 360 07 N. 79-397 W. Surface 2711 17 juillet 360 00? 30” N. 80 00? 30” W. 1329 Vase légèrement sableuse 2714 17 juillet 350 56? N. 80 W. O-1400 2738 24 juillet 380 02’ N. 100 44? W. 0-4800 2799 14 septembre 580 50? N. 4° 50° E. Surface 2800 15 septembre 570 30° N. 30 50? Ki. Surface 2801 15 septembre 560 30 N. 30 40? E, Surface CAMPAGNE — : 2810 7 avril Au large de Monaco 0-2180 2826 19 avril 430 N Sosa F. o-850 2827 19 avril 420 57 N 50 42 FE: Surface 2829 20 avril 420 52° 30” N. Go 35? E. 0-2000 2832 21 avril 430 38 N 10 3% E. 0-1000 2836 7 Mai 430 40? N 20:35? E, 0-1160 DE 1905 PROCÉDÉ de RÉCOLTE Filet Richard à grande ouverture Filet Richard à grande ouverture Filet fin étroit Filet fin étroit Filet Richard à grande ouverture Filet fin étroit Filet Richard à grande ouverture Filet fin étroit Filet Richard à grande ouverture Filet fin étroit Filet fin étroit Tube sond. Buchanan Bouteille Richard Filet Richard à grande ouvertnre Filet Richard à grande ouverture Filet fin étroit Filet fin étroit Filet fin étroit DE 1909 Filet Richard à grande ouverture Filet Richard à grande ouverture Filet fin étroit Filet Richard à grande ouverture Filet Richard à grande ouverture Filet Richard à grande ouverture Filet fin étroit EN. OF 7 ESPÈCES RECUEILLIES Sagitta hexaptera d’Orbigny, Sagitta lyÿra Krohn. Sagitta hexaptera d’'Orbigny, Sagitta lyra Krohn, Sagitta planctonis Steinhaus, Sagitta inflata Grassi, Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Sagitta serratodenta Krohn. Sagitta indéterminable. Sagitta hexaptera d'Orbigny, Sagitta lyra Krohn. Sagitta indéterminable. | | Sagitta hexaptera d’Orbigny, Sagitta lyra Krohn, Sagitta inflata Grassi. Sagitta inflata Grassi. Sagitta lyra Krohn, Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Spadella cephaloptera Busch. Krohnitta subtilis Grassi. : Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitta hexaptera d’'Orbigny, Sagitta hexaptera d'Orbigny, var. magna Langherans, Sagitta lyra Krohn Sagitta planctonis Steinhaus, Sagitta elegans Verrill, Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Eukrohnia hamata Môbius,Pterosagitta draco Krohn. Sagitta hexaptera d'Orbigny, Sagitta macrocephala Fowler, Eukrohnia hamaïa Môbius. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitta inflata Grassi. Sagitta hexaptera d'Orbigny, Sagitta lyra Krohn. Sagitta hexaptera d'Orbigny, Sagitta lyra Krohn, Eukrohnia hamata Môbius. Sagitta, espèce indéterminable. Sagitta hexaptera d'Orbigny, Sagitta lyra Krohn. Sagitta hexaptera d’'Orbigny, var. magna Langerhans. Sagitta hexaptera &'Orbigny, Sagitta hexaptera d’Orbigny, var. magna Langh., Sagitta lyra Krohn, Eukroh- nia hamata Môbius, Krohnitta subtilis Grassi. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. ne ee CAMPAGNE É NUMÉRO LOCALITÉ PROFONDEUR DATE ie uma EE 6 MERS en OBSERVATIONS sers LATITUDE LONGITUDE (Greenwich) sus rm 2839 19 juillet 47° 30° N. 50 30° W. Surface 2850 27 juillet 449 03? N. Bo.41" 307:W. 1664 2854 27 juillet 44° 03’ N. 50 40 W O-1410 2858 2 août 430 27 30” N. 80 49° 45” W. Surface 2870 5 août 430 04 N. 190 42’ W. O-1500 2875 8 août 43° 04 30” N. 199 42” W. 0-5700 2876 8 août 430 04 30” N. 190 42’ W. O-1000 2882 10 août 419 207 N 150 44’ W 0-2000 2885 11 août 400 19° N. 130: 47 W. 0-3000 2897 22 août 360 21° N. CHAR E à VF, 0-2500 2898 22 août 360 17° N. 80 21° W. Surface 2900 26 août 360 00? N. 4° of? W. Surface 2902 27 août 360 17 N. 10 58 W. o-1800 20903 27 août 360 20° 30” N. 10 44’ W. Surface 2905 27 août 360 21° 30” N. 10 44” W. O-1200 2906 27 août 360 27° N. 19.21": 307 W. Surface 2907 28 août 370 40° N. 00 207 W. Surface 2910 28 août 370 46° 10” N. 09 05’ W. 0-520 2916 29 août 380 20° N. 19 31° É, O-1000 , 2920 29 août 380 40° N. 10 10° E. Surface 2924 6 septembre 390 19° N. 30 497 E. Surface 2926 7 septembre 39° 36’ N. 50 56? E. 0-2800 2031 8 septembre 400 48’ N. 60 16? E. : O-1500 2932 8 septembre 419 10? À. 60 50? E. Surface 2934 9 septembre 420 19° 30” N. 80 23 E. Surface 2037 12 septembre 420 55? N. 30 07 É: O-I1150 a ——— — 103 — DE 1909 {suite) PROCÉDÉ de RÉCOLTE ESPÈCES RECUEILLIES DES, PR Filet fin étroit Chalut Filet Richard à grande ouverture Filet fin étroit Filet Richard à grande ouverture Filet Richard à grande ouverture Filet Richard à grande ouverture Filet Richard à grande ouverture Filet Richard à grande ouverture Filet Richard à grande ouverture Filet fin étroit Filet fin étroit Filet Richard à grande ouverture Filet fin étroit Filet Richard à grande ouverture Filet fin étroit Filet fin étroit Filet Richard à grande euverture Palancre Filet Richard à grande ouverture Filet fin étroit Filet fin étroit Filet Richard à grande ouverture Filet Richard à grande ouverture Filet fin étroit Filet fin étroit Filet Richard à grande ouverture Sagitia bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitta lyra Krohn. Sagitta lyra Krohn, Sagitta macrocephala Fowler, Eukrohnia hamata Mübius. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitta hexaptera d'Orbigny, Sagitta lyra Krohn, Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Eukrohnia hamata Môbius. Sagitta lyra Krohn, Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Sagitta macrocephala Fowler, Eukrohnia hamata Môbius. Sagitta hexaptera d'Orbigny, Sagitta lyra Krohn, Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Sagitta macroce- phala Fowler, Eukrohnia hamata Môbius. Sagitta hexapiera d'Orbigny, Sagitta planctonis Steinhaus, Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Sagitta macrocephala Fowler, Eukrohnia hamaia Môbius. Sagitta hexaptera d'Orbigny, Sagitta lyra Krohn, Sagitta macrocephala Fowler, Eukrohnia hamata Môbius. Sagitta lyra Krohn. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard ?, Sagitta indéterminable. Sagitta elegans Verrill. Sagitta hexaptera d'Orbigny, Sagitta lyÿra Krohn. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitta lyra Krohn. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitta lyra Krohn. Sagitta hexaptera d’Orbigny, Sagitta lyra Krohn, Sagitia inflata Grassi. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Sagitta inflata Grassi. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitta lyra Krohn. Sagitta hexaptera d'Orbigny, Sagitta lyra Krohn. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitia lyra Krohn (en mauvais état). | L | | | = É | nm rod CAMPAGNE NUMÉRO LOCALITÉ PROFONDEUR de DATE D RE LR NN are. en OBSERVATIONS: HnpEs LATITUDE LONGITUDE (Greenwich) Lib ———_— mn 2042 12 avril A 30 milles de Monaco 0-2350 2944 14 juillet 48° 58° 30” N. 4045 W Surface 2045 14 juillet 480 32 * N. 50 14 W. Surface 2946 14 juillet 47° 42 N. 50 32° W Surface 2955 | 16 juillet (Point douteux) 0-2000 2959 19 juillet 46° 31° 20” :N, 50 13° W. 0-1750 2961 19 juillet 460 29° 15” N. 50 19° 30” W. 0-2650 2099 7 16 août 459 28’ N. 50 43 W. 0-4500 3003 22 août 44° 19 N. 110 19 W. 0-4900 3010 24 août 420 26° 30” N. 9° 29 W. O-I1500 3021 31 août 380 46’ IN, 100 10? W. 0-1550 3034 6 septembre 360 40’ N 110 10” W Surface 3036 7 septembre 36° 06° 40” N 100 18 W 0-4740 3037 7 septembre 36° 06’ N 100 18 W Surface 3040 8 septembre | 360 13° N 80 22° W Surface 50 bre Non LR ee dans le cn se . 3053 13 septembre 370 307 N. 00 07° W. Surface 3054 14 septembre 39° 04? N 00 48? Ex Surface 3056 14 septembre 400 30? N. 20 E. Surface 3058 15 septembre 420 04’ N 20.501756 Surface DE 1910 — 105 — PROCÉDÉ de RÉCOLTE Filet Richard à grande ouverture Filet fin étroit Filet fin étroit Filet fin étroit Filet Richard à grande ouverture Filet Richard à grande ouverture Filet Richard à grande ouverture Filet Richard à grande ouverture Filet Bourée en vitesse Filet Richard à grande ouverture Filet Richard à grande ouverture Filet fin étroit Filet Bourée en vitesse Filet fin étroit Filet fin étroit Harpon Filet fin étroit Filet fin étroit Filet fin étroit Filet fin étroit — Sagitta lyÿra Krohn. ESPÈCES RECUEILLIES Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Sagitta inflata Grassi. Sagitia bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitta hexaptera d'Orbigny, Sagitta lyra Krohn, Eukrohnia hamata Môbius. Sagitta hexaptera d'Orbigny, Sagitta lyra Krohn, Sagitta macrocephala Fowler, Eukrohnia hamata Môbius. Sagitta hexaptera d'Orbigny, Sagitta lyra Krohn, Sagitta planctonis Steinhaus, Sagitta macrocephala Fowler, Eukrohnia hamata Môbius. Sagitta hexaptera d'Orbigny, Sagitta lyra Krohn, Sagitta planctonis Steinhaus, Eukrohnia hamata Môbius. Sagitta lyra Krohn ? (mauvais état), Sagitta macrocephala Fowler. | Sagitta lyra Krohn. Sagitta hexaptera d'Orbigny, Sagitta lyÿra Krohn, Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Eukrohnia hamata Môbius. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Sagitta neglecta Aïda. Sagitta hexaptera d’Orbigny, Sagitta lyra Krohn, Sagiita planctonis Steinhaus. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. Sagitta probablement Sagitta lyra Krohn (en mauvais état, dans l'estomac d’un Globicephalus melas oœ). Sagitta inflata Grassi? (mauvais état). Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Sagitta inflata Grassi. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard, Pterosagitta draco Krohn. Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard. ' 14. G. J. RQ PRET CPAS pe = LS ah dE e REP LES Cha nuire pe er Pat ee Er eaiens < AMRA LE ren Lu arte MST SUN UE PERS TA annees à AE 12. INDEX BIBLIOGRAPHIQUE 2 ————— Agric (P.), Sur la systématique des Chélognathes, Comptes Rendus Académie des Sciences, t. 141, pp. 222-224. Paris 1905. AGassiz (A.), On the young stages of a few Annelids, Ann. Lyc. New York, vol. vin, pp. 303-304, 3 pl. New York 1866. AGASSIZ (A.), Three cruises of the United States Coast and Geodetic Survey steamer BLAKE in the Gulf of Mexico, in the Carribean Sea, and along the Atlantic Coast of the United States from 1877 to 1860 (Vol. 1), Bulletin Museum Compar. Zool. Cambridge, vol. xiv, 314 pp., 194 fig. 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EUKROHNIA Ritter-Zähony............ 16, Eukrohnia Fowleri RitterZähony.. 4, 5, 7, 13, 18, 61, G4, — hamaia Môbius.. 3, 4, 5, 7, 8, 11,13, 18, 880 404, 02, 64, — ÆRichardi Germain et Joubin 4, 5, Bt, 10, 68, Eukrohnia subtilis Michael.................... GOURRETOCHÆTUS Abric .................. 15, GRassroémztus Abric. Gites. 15, HETEROKROHNIA Ritter-Zähony......,... Heterokrohnia mirabilis Ritter-Zähony........ KronniA de Quatrefages............... A a = + ÉAOSEThARR ee 14, 58, Krohnidifohacea: Aïda. durer, Ier 15, —. .:hapñeta Lanperhans: sax. 15, — 1! varièté, Fomler.; 5... RS PACA AM. ni ie —— SUDEUS SMIMANN, 5 seu KROHNITTA Ritter-Zähony............ 16, Érohnitie pacifea ME, er = NOUS Grassis 54 5 2 Fr, +5, 69, KROHNITTELLA Germain et Joubin....... Krohnittella Boureei Germain et Joubin....... KROMOCHETUS APIC.:.. 2-2 dau 15, LYROÔCRETES ADS En I PSEUDOSAGITTA Germain et Joubin....... Pseudosagitta Grimaldii Germain et Joubin.... 16, PTEROSAGITTA Gostaiis: ses... 16, Pterosagitta draco Krohn. 4, 5, 7, 13, 15, 65, 67, 68, Pterosagitta mediterranea Costa ..... 16, 2, SAGITTA Quoy et Gaimard............. F&, Sagitta arctica Aurivillius.... 4, 6, 11, 18, Sagittaca@stralis Johnstan . ..........,.,....... — . Batziana Gard... 11eNiSisek Aneutte Sagitta. Bedoti Béraneck......#. 31; Sagitta bipunctata Béraneck .................. — — Krohni its rar, — — Lames, sise ru, — — Mess ji... i5o na amies: Sagitta bipunctata Quoy et Gaimard 3, 4, 5, d:: QC DE HO AIDR CET, 39, 40, 44, 50, 52, 54, 60, Sagitta bipunctata Siroditmann ............... — brachycephala Molischanoff............ ——-. céphaloptera-Claparède." 11%. +: Darwini Grassi.:: MERE LENS, Sagitta decipiens Fowler... 25". fie, Sagitta decipiens Michael, .................... — draco Krôkn..:.:....:...:}.. 15, “1b, — +: Sirbdimann, SEE RER SRNSE, Sagitta elegans Verrill..... D ROBES TR 37, 59, 40, — — arctica Ritter-Zähony .... 30, — — balthica Ritter-Zähony ........ — — elegans Ritter-Zähony .... 37, Sapitid hate GAQISE:, ns een Bell ss ne — -fHactida Conaué. 2. 20. 33; — SR Re Sagitta Friderici Ritter-Zähony ............... Sagitta furcata Michael :.,:,..1..:,..:., —— —:- Sieinhaus ...::..,.... 25, 24, =. galhes Parensiacher ii en — Gardineri Doncaster .............. 33, Sagitta Gazellae Ritter-Zähony .......... 20, sagsitta GegenheuiiMbl.: sui 4 ina de. = germanics Leuchart 5 see —: glaciols Molechamff ES = gracilis Verre =. hamata MGhins DADIUER AOLADIOPE COMMON se oise eut — — MolbChanof ...::....:.1..,. Sagitta hexaptera d'Orbigny ... 3, 5, 8, o, 13, 18, 19, 24, 27; 37; 38, 0: — — variété magna Langerhans.. 0 1); ID) Mes 39) Sagitta hexaptera Strodtmann ................. SATA HISDIdd GONANT .., 4. essieu: « Me infidia Grassi. 4 5, 6, Q tt, : 15, 33, Sagitta longidentata Grassi ................... Sagitta lÿra Krohn.... 3, 4, 5, 8, o, :x1, 15:18, 2%: 25, 96, :37, 46, sepitte lyra Dangerhans ......} 12,330. Sagitta macrocephala Fowler... 4, 5, 6, 7, 105 13, 118,256, Sagitta magna Langerhans.................... Sagitta Mariana Lemes.;..,.4.:iir.i, liche: Sagitta maxima Conant............. ARS TUS Sagitta mediterranea Forbes... ......,......... — melanognatha Molischanoff............ Sagitta minima Grassi... 4, 5, 11, 13, 18, Sagitta minima Strodimann.........,..... PT multidenttia Krobn. 1.4" Sagitta neglecta Aïda 4, 5, 11, 18, 49, 55, — planctonis Steinhaus 4, 5, 8, oO, xo, 18, 80, — pulchra Doncaster.,,:;,,:.42.:. at Sagitta puichra Michael..." jun us. r POBDCA DMARIR, : MNUR. dirait. re. Papas MoOtschanof. ie JE a dd sa Sopra recularts Aide... in) et à 50, Dapittairpstrata Busch..:...,.,..00i Lou TD DONCOster. ur AMOR. Sagitta serratodenta Krohn, 4, 5, 6, 8, 0, 11, 13, 17, 18, 40, 41, 49, Pr — IIS — Sagitta serratodentata Krohn..............,... ne SO PPA LO MR ire cesarvetmihosre rs mn SOLOSR AO PSE us rimes rev ire se SAPHIE SEL0SA MUMET..;., ide cvs ese se see Sagitta septata Doncaster..;..::, css ss: ee: AUDI CPAS Rat Re do ere rare rs 16, Sagitta tenuis Conant 4, 5, 6, 11, 13, 18, Sagitia tricuspidata AEnE.....,....,...0.. 19, nn: NVArTRONE POMIET essieu ses 25, Ru" Letesios FOMIEr: dirt ro ra se 30, SAGITTOCHATUS ADTIC, 4 re di ere 15, SCOOP TOO RETUS ADR. on sans hr sr mtesmre rés 25 SPADELLA Langerhans....... 14: 05, OT, Spadella Batziana Strodimann ........... 67, + CDIPDUACIAIR GAS, AUS Ji es ce Spadella cephaloptera Busch... 4, 5, 7, 1x3, 10, 2:19; 67, Spadella Claparedi Grassi...........,.... 15, sr EEaCO. FTP RE Gore ee 11, — gallica Strodtmann.............. 67, 0 hamété Henri — D RMI ID UNS. entire ses — hèxamtenn Gus ranioes. ns A INT OPEN ut met ds douce ee —.,1Mariana-Sirodimann.,....,.,.,.... — Marion) Gonrrélisss sr js 15, _ GRIS el EI CL PNR SNL SIT EU — museuiosd Doncaster.: ii rio = Érpaua Mobschanoff ii sion — pontica Sitrodtmann......,...... 67, Spadella profunda Doncaster..,.............. — Schizoptera Conant......... Ih; 15, Spadella:sersatodenta .Grassi. Sin 5,2, — ST CRD Lee RARE. — . iVougai Béraneck.........., 15:03, SPADELLOCHÆTUS. Abtic.. ir. 19116, ERRATUM Page 16 note 1, au lieu de : Pseudosagitta mediterranea Costa, lire : Pterosagitta mediterranea Costa. TABLE DES MATIÈRES | + Pages NS ÉRODOC PR eue te 1 3 CHÉLDEMARRES, AS AÉDÉES. Na ra de da 13 CRÉROBARIRSS dé CRM en ancien ca oi LC 07 13 Ghétopnaites dés Tes dit Cab VOL. 5 dunes ele 15 HTC SIC UE Oo ee à Lin A D 14 PARTIE DESCRIPTIVE : GER SAGITTA ee 2 A : 19 A. — Groupe du Sagitta hexaptera....................... Re 19 «. Espèces à ovaires longs...... Re Se es = ne Le te. 19 Bs FSC RONA COBFIS...., 2e. ra tedhe io 33 D, = Groupe a SUP IPN. LE nues tes à ee ; 41 x. SDO CCS ONCE IODES 2. ire Re 41 B. Pspèces 4 oybires COUStS:. ..:. 2. a Re 44 CG == GE ORpE nl SAM MRC PO ORA ee 55 GRR PRO à EE 58 Genre PERS GrEEs . eo A 65 CR ne. 67 GeNFE ROSE IA. 1... ii cu 69 ÉCHANTILLONS ET FRAGMENTS INDÉTERMINABLES.........e... Re er 72 ORDRE DE FRÉQUENCE DES ESPÈCES DÉCRITES.. .....ceeesesss.e.oeeee Es 75 TABLEAUX DES ESPÈCES RECUEILLIES AUX DIFFÉRENTES STATIONS............... ge PRE PROG PRIOR ne au à Li 107 INDEX ALPHABÉTIQUE DES GENRES, ESPÈCES ET VARIÉTÉS. ...sceeseece. CTS A ne à 118 Te RS Fig. LÉGENDE DE LA PLANCHE I EuxrouniA RicHarDpi Germain et Joubin.................. D’après une note de couleur de M. L. Tinayre. Station 2022. Animal vu par la face ventrale X 3. EUkROHNIA HAMATA Môbius ........ RO VOST EE D’après une note de couleur de M. L. Tinayre. Station 2016; %X 3,5. MAiGICTA PLANCTONIS SIENNE 33 de na eee qi ie cs Station 2185; X 3. EuKROHNIA HAMATA Môbius............. RER he ae D’après une note de couleur de M. L. Tinayre. Station 2187; X 3,5. SAGITTÉ. MACROCHERACR PO NI) anne Perl desire Station 1768; X 7. SAGITTA HEXAPTERA d'Orbigny, variété MAGNA Langerhans.. Coupe passant par le ganglion dorsal. XX 50. SAGITLA: LYIRAKIOM 0 decessoaituee D cp. es Stn, 10915 X 4. SAGITTA HEXAPTERA d'Orbigny, variété MAGNA Langerhans.. Coupe du ganglion dorsal, X 120. 58 30 58 35 23 23 4 D) / 1) . L.Germain et L.Joubin & O.Cassas, del Î Re # Fig.1.EUKROHNIA RICHARDI GERMAIN ET JOUBIN ; 2et4.EUKROHNIA HAMATA MÔBIUS; 3.SAGITTA PLANCTONIS STE 5 SAGITTA MACROCEPHALA FOWLER ; 6et 8. SAGITTA HEXAPTERA D'ORBIGNY ; 7. SAGITTA LYRA KROHI — ; * = 7 M [l = Er : x à ; . Se 2 ï VAR 6 Fig. LÉGENDE DE LA PLANCHE II Pages SAGITTA HEXAPTERA d'Orbigny .......... trie rire 19. Station 1768 ; X 3. SAGITTA HEXAPTERA d'Orbigny, variété maAGNA Langerhans .. 23 MAUON:1715 5 DT DAGITTA INFLATA CPAM... D dire SE Station 2688 ; X 5. DAGIDPA DURE ATOME sages Meier 25 Station 1991 ; X 4. SAGIPTA LYRA KFONR 2.1.2... re RER nv 25 Station 2200. Individu immature ; X 4. DAGIPTA. LYRe ROM, 3 uiesde. cu éitise ie. ss 25 Station 2200. Un crochet céphalique isolé ; XX 120. DAGITTA HEXAPTERA d'OPIgN y. sn eus. ro 19 Station 2162. Région céphalique ; >< 45. BRON ES ras DOM ue ren da io ds te 25 Station 1991. Région postérieure montrant les vésicules séminales ; X 10. SAGITTA LTRA TON... CU Me es tri ct 25 Station 2200. Individu arrivé à sa pleine maturité sexuelle ; >X 4. PAGIFIA LYRA TOME pre sie HIDE ERREUR 25 (Chæœtognathi ; Das Tierreich ; xxix, 1911, fig. 8). CC LL À LL 4 pe "FA 1h | \à V4, HAN | JA N JA AN \ Î ANA N \ \\ 1}, 1} {A (119) /} à HE NN ns tet7 SAGITTA HEXAPTERA D'ORBIGNY; 2 SAGITTA HEXAPTERA D'ORBI © VAR-MAGNA LANGERHANS,3 SAGITTA INFLATA GRASSI; 4ä6e18-10 SAGITTA LYR , RENE ET QE a 44 vs AUS _ Fig. 9, 10. TI. 12. 13. 14. 1%: LÉGENDE DE LA PLANCHE HI SAGITTIA PLANCTONIS SICIMHAUS 77,0, A esvn ii. A Station 2185 ; X< 3,5 environ. SAGITTA: PLANCTONIS SIGINNAUS ses souche sets Pat Schéma, d’après G. H. Fowler (Chætognatha Siboga-Expedition ; pl. "1, 18:73) 6 93 SAGITTA PLANCTONIS Steihaus. .:..,.:..... ÉRSMPRRE SE ee LS Station 2185. Un crochet céphalique isolé ; X 90. SAGITTA PLANCTONIS Steinhaus ........ ED. SAP RE Pie Station 2185. Région céphalique, face dorsale ; >X 50. SAGITTA BIPUNCTATA Quoy et Gaimard ....... Pas dir Schéma de l’animal, d’après G. H. Fowler (Chætognatha Siboga-Expe- dition ; pl. v, fig. 28). VAGITÉA ELEGANS. Vorriihéss ha MM Pas He dues Station 2130; >< 2,5. SACITTA ELEGANS -VértEtih ee PTS OELE. PS fr nine Schéma montrant la disposition des nageoires antérieures et postérieures, leur grandeur et leur forme comparées. SAGITTZA PLANCTONIS SSHÉINAAUSL 4 Le me lus Station 2200. Nageoire caudale ; X 7. SAGITTA ELEGANS-Vérrill ,,....:.,.. SUR ENE A TNT Ta Station 2130. Deux dents postérieures isolées ; x 200. SAGITTA ELEGANS Verrille....,. 2,0 es ares dt de Lo D’après F. S, Conant (Johns Hopkins University Circulars ; xv, no 126, 1896, p. 84, fig. 5). SAGITTA SERRATODENTA Krohn ............. RPC HE Station 1851. Région du septum, montrant les ovaires ; X 25. SAGITTA SERRATODENTA Krohn :.,,.,::5 1200) Fées al Dre PHALION: TSI 5 << 2,5, SAGITTA BIPUNCTATA Quoy et Gaimard............ és Station 2245 ; X 7. SAGITTA BIPUNCTATA Quoy et Gaimard........,,,........ Schéma de l'animal, d’après R. von Ritter-Zähony (Chætognathi; Das Tierreich ; xx1x, 1911, fig. 11, p. 19); X 7. Pages 30 30 30 30 44 30 37 41 41 44 44 , CAMPSCIENT. ) 1 à 4 PRINCE DE MONACO re LBER Conan at LE Joubin del. 13 . 8 SACITTA PLANCTONIS STEINHAUS; 6,7,9 à 11, 16418 SAGITTA ELEGANS VERRILL, 13,19 à 21.SAGITTA SERRATODENTA KROHN, 5,14,15.SAGITTA BIPUNCTATA QUOY et GAFMAI > 12 uit 6 ENDE Pur Le . te DE 7€ Sn ere Cros ere tit Le © scie els ie ; >< 00. ; X 80. ique de ee cie Di dei eve duels eisie ne scie . COR FO RE MEL | ill SAGITTA ELEGANS Verr 30. Un crochet céphal tion 21 Sta SAGITTA ELEGANS Verrill . “A térieures £ an . 30. Dents Stat 1On 21 ; X 60. i æ es ete 50 = je 1070 SAGITTA ELEGANS Verr rieures SAGITTA SERRATODENTA Krohn ............ Station 2130. Dents pos 2 4 Fe UE olés ; X 70 hal LA De SAGITTA SÉRRATODENTA REG +. euros tation 1851. Deux crochets c S 19, 20. iques is D P= Re nre id ed aile ee 21. ieure d’un crochet c _X 950. . 2 halique » ep é antér it Station 1851. Extrémi Fig. D 10. IT. LÉGENDE DE LA PLANCHE IV SAGITTA BIPUNCTATA Quoy ét'Gaimard....,:..,,........4. Station 2099 ; X 6. SAGITTA BIPUNCTATA Quoy et Gaimard........ a Station 2090. Région postérieure du corps de lPanimal ; X 25. SAGITTA BIPUNCTATA Quoy ét Gaithard:« 16 4%.......... Station 1714. Région postérieure du corps d’un individu à nageoires ano- males ; >< 25. SAGITTA BIPUNCTATA QUOY Et GaimMard,...,:., 0.4... Station 2173. X 8. | SAGITTA BIPUNCTAFA Quoy et Gaimard. 1... “e Station 1772. Un crochet céphalique isolé ; %X 75. SAGITTA BIPUNCTATA Quoy et Gaimard............. Si . Station 1772. Un crochet isolé d’un individu jeune ; X 60. SAGITTA, BIPUNCTATA Quoy et Gaimiard........:,....,,... ; Station 2242. Région céphalique ; X 80. SAGTETA BHOUNCTATA OUOY EC OAMArÉ...,.,-......,.... Station 2185. Région céphalique ; X 80. SAGIEEA SiPCNGraTAs QUOY et Cimard.:.., 1.414... Station 1771. Région céphalique ; >< 75. SACITIS NUCLECTA AA El in ns ii ee. «. Station 1876; X 10. SACITCTA MINIMA OT. se du dia "ss Station 2187 ; X 12. Pages 44 44 44 44 44 44 44 49 53 ALBERT IF PRINCE DE MONACO, CAMP SCIENT. A + Herr GHOS ZX D) aa = ES L. Germain et L.Joubin del. * 1-6 (SAGITTA BIPUNCTATA QUOY et GAIMARD; 10 SAGITTA NEGLECTA AÏDA | ee: 1: SAGITTA MINIMA. GRASSE np ee “ie à Fig. 10. II et 11" 12. F3. LÉGENDE DE LA PLANCHE V DACITTA TENUIS COnNaÛt , :::,.,5.2 dus nu Station 2022; X 20. SAGITTA MACROCEPHALA Fowler...... . Station 1768 ; X 7. SAGITTA MACROCEPHALA FOWIEL EL 5853 eds RU Station 1768. Région céphalique ; >X 30. SAGILCLA MACROCEBHALA FOWIEE 41,4... Station 1768. Un crochet céphalique isolé ; X 120. ÉDERONNIA HAMATA NMODIUS- SP it ne. he Station 2016 ; X 3,5 environ. EUKROHNIA HAMATA Môbius............ Station 2016. Région postérieure ; X 10. EUKROHNIA HAMATA Môbius....... ee Schéma de l'animal, d’après G. H. Fowler (Transactions Linnean Society, London, 1905, pl. 6, fig. 42). 0 + + ee © «+ + = © EUKROHNIA HAMATA M6bius........... a Station 2016. Région céphalique montrant les dents. EUKROHNIA HAMATA Môbius........ rue due. he Station 2016. Région postérieure du corps; X 10. EUKROHNIA HAMATA MNObDiIus, 2...) EUKROHNIA HAMATA Môbius....... SN ie Station 1849. Un crochet céphalique isolé ; X 150. EUKROHNIA HAMATA Môbius............ re Station 2187. Deux crochets céphaliques isolés d’un individu jeune ; TOO: EUKROHNIA HAMATA Môbius...... a 58 58 58 58 = "1 a 5 (p) (e = < Le, ei Q “à Fe de, a _ 2 ARS al ae Z a 44 ‘ls Es for nel ] 0 a] sex < = 7 MR RER aise o sen NE €ermal L.G net L.J oubin del. LA FOWLE! 1. SAGITTA TENUIS CONANT; 2-4.SAGITTA MACROCEPHA 5-13. EUKROHNIA HAMATA MÔBIUS. Fig. 12. 13. LÉGENDE DE LA PLANCHE VI EuxronniA Fowzert Ritter-Zähony ............. Schéma de l’animal, d’après G. H. Fowler { Transactions Linnean Society London ; 1905, pl. vi, fig. 47); >< 4. EuxronniA Fowzrert Ritter-Zâähony ............. + e Extrémité antérieure d’un crochet céphalique d’après G. H. Fowler (loc. supra cit. ; 1905, pl. vi, fig. 48) ; X 290. EuxronniaA RicHarpr Germain et Joubin ...... Station 2022. Animal vu par la face ventrale ; X 3. EuxrounraA Ricxarpr Germain et Joubin ......... Station 2022. Région céphalique, vue par la face dorsale ; >%X 20. Euxrounia RicHarpi Germain et Joubin .......... Station 2022. Extrémité d’un crochet céphalique ; X 600. EuxronniA Fowzert Ritter-Zähony ............. Station 1768. Un crochet céphalique isolé ; %X 100. EuxronniaA RicHarpi Germain et Joubin......... Station 2022. Un crochet céphalique isolé ; X 100. PTEROSAGITTA DRACO Krohn ....... a ee Station 1736. Région caudale ; XX 30. PTEROSAGIETTA DRACO KroNn .;,....,.:.. RS ee Station 1736. Animal vu par la face dorsale ; X 10. PTEROSAGITTA DRACO Krohn ....... Se de. Station 1736. Portion d’un crochet céphalique ; >X 1500. PTEROSAGITTA DRACO Krohn ......... rs Station 1736. Région céphalique ; >X 30. EuxrouniA RicHarDt Germain et Joubin ......... Station 2022. Dents ; X 300. PTEROSAGITTA DRACO KTONn .,...,....,...: RER Station 1736. Un crochet céphalique isolé ; 200. CE NT AT on D D EE 63 63 63 O1 65 65 65 63 5.7.12 EUKROHNIA R ONY 3: -ZAH 11-13 PTEROSAGITTA DRACO KROHN F. PSCIENT “10 CAM FOWLERI RITTER 8- co NIA BE FE MONA 5 E DE 2,6 EUKROH 1 8 PRINC Joubin del etL ain 1 Fig. [1O. LÉGENDE DE LA PLANCHE VII SPADELLA CEPHALOPTERA Busch....... in pis Station 2705 ; X 12. SPADELLA CEPHALOPTERA BusCh........:........ Région antérieure, d’après G. H. Fowler (Chætognatha Siboga-Expe- _ dition, 1905, pl. 1, fig. 06). SPADELLA CEPHALOPTERA Busch...... nt as Région antérieure, vue par la face ventrale, d’après R. von Ritter-Zähony (Chätognathen Deutsche Südpolar-Expedition ; 1011, fig. 4.) SPADELLA CEPHALOPTERA Busch 2 Station 2705. Un crochet céphalique isolé; X 75. KROHNITTA-SUBTILIS (Pass, 2 Station 1773. Région caudale ; X 20. RROENITTA SUBTILIS Grass 0 Station 2244. Région céphalique ; X 80. KROHNITTA SUBTILIS Grassi.......... Trio Station 2244. Animal vu par la face dorsale ; X ro. KROHNITTA SUBTILIS Grassi......... FLE Station 1872. Région postérieure ; X 30. KRhOHNITrA SUs tire Grassl. 2 5 0 Station 2247. Région postérieure ; x 33. «ve ee | & = | < £ | r * ; |: | ee ALBERT EE PRINCE DE MONACO, CAMPSCIENT. | | CHÉTOGNATHES RL CHE NN Er: | e 4 pa D À + 1à 4 SPADELLA CEPHALOPTERA BUSCH; 5 à 10 KROHNITTA SUBTILIS GRASSI. IO. IT. 12. 13. 14. LÉGENDE DE LA PLANCHE VIII SAGITTA PLANCTONIS Stéinhaus..........,.,... 1. Station 1781. X 3. 1” Station 1849. X 4. SAGITIA PLANCIONI Steinhhats °° = Station 1749. X 4 environ. DA ETE LÉNA DOI. 3. Station 1849. X 3,5 environ. 3 Station 2836. X 3 environ. SAGITTA BIPUNCTATA Quoy et Gaimard......... Station 1714. X 8. DAGITTA HEXAPTERA d'OFDIÈNY, 0. 5. Station 1849. X 3 environ. 5’ Station 593. X 3 environ. ÉURROMNIA- HAMATA MODELE re 6. Station 1849. X 3,5 environ. 6’ Station 1851. X 3,5 environ. PURROMNIA HAMATA MODIUS: 22 on ee 7, Station 1851. X 4 environ. 7,7 Station 1849. X 4 environ. SAGITTAINDLATA Ciao ne nn ne He Station 1736. X 7,5 environ. Se + + © © SAGITTA HEXAPTERA d'Orbigny, variété magna Langerhans.. Station 815. X 3 environ. SAGITTA HEXAPTERA d'Orbigny, variété magna Langerhans.. Station 2836. X 3 environ. SAGITTA BIPUNCTATA Quoy et Gaimard......... Station 1714. X 7,5. SAGITTA BIPUNCTATA Quoy et Gaimard...... . Station 1714. X 6,5. SPADELLA CEPHALOPTERA Busch.........:...... Station 1749. X 20. SAGITTA HEXAPTERA d'Orbigny, variété magna Langerhans.. Station 815. X 3 environ. 30 25 44 . 58 58 33 23 23 44 44 23 o°£ 002 0°! luuen SUeDD EJJDEÇ € SNipAtNY ‘ POI EJNDES x KuBiquo,p ‘ 222dexay eyes * D ‘sSeuyzeubozoun sep onbiydeu6oef uornqaiusiq ODVNOW 2P 39NIHd 2'S'V'S 2P SANÔIILNII9S SAN9Vd WVI 3idAO3 | pe | | LS TA : g' sbiJeuS) so|] | . 3NIVLI1Dd41H 1 ; « | | 092 ". 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