SUITES À AU PLANCHES ) lé + # « I TA ddl tt L 2 Ds ‘} é } ER NS al foi PR (JT Î : NS pa. | a + 4 dt PARTS AUA LIBRAIRIE ENCYCLOPÉDIQ( LED RORET: Rue Hautefeuille. N°10 bis. EXPLICATION DES LPLANRGMES DE L'INTRODUCTION A LA BOTANIQUE. PLANCHE TI. ORGANES ÉLLMENTAIRES, Pie, x. — Tissu cellulaire arrondi de la c capucine (/ropæ- olum majus) , YU au microscope avec un grossissement de 130 fois. — a, cellules coupées transy eréiléments aus m, mcats intercellulaires pleins de sucs. — n°, les mêmes, vides. Fig. 9. — Coupe du tissu cellulaire régulier de la tige de citrouille (cucurbita pepo), grossi 260 fois: OffVUit que les parois des cellules ne se joignent pas complètement , surtout aux-angles, Ces deux figures d'après Kicser (Mém. orvan.). Fig. 3. — Tissu cellulaire carré ct ponctué de la moelle du SE ms d'après M. Tindles-( Pntr. 70 bor.). Fig. 4. — Coupe verticale d'une branche de gui (aiscum albumÿys ruse 520 fois. — a, cellules hexagones de Ja moclle, remplies de ponctuations que Kicser regarde comme des granules d’amidon, — d, tissu cellulaire allongé, ponctué cet rayé. Fig, 5. — Portion d’une coupe verucale d’une branche d’un an de thuja occidentalis , grossie 520 fois, On voit cinq cel- lules allongées, comme elles le sont ordinairement dans le bois. Les points arrondis sont propres à quelques familles, no- tamment aux conifères, Les figures À et 5 d'après Kiescer. Fig. 6.— Parenchyme des feuilles d'oncidum altéssimum, d'apres M. Lindley (nir. to bot. ), — a, cellules ordmaires. — b, cellules que M.L indley nomme spirales oblongues. Elles ressemblent à celles que M, Purkinje a découvertes dans l’en- dothecium des antheres. INTR, À JA BOTANIQUE, PLANCHES, a EXPLICATION DES PLANCHES, Fig. 7.— Coupe transversale (dans l’épaisseur) d’une feuille de lis (4lium candidum), d'après M. Ad. Brongniart (Ann. des se. nat., XXI, pl. 8), vue sous nn grossissement de 2 à 300 dià- mètres; figure réduite dans ce dessin. — a, cellules qui com- posent la cuticule supéfieure , qui, dans cette plante, n’a pas de stomates. Au-dessous se Touvent des cellules ponctnées, verticales, adhérentes à la cuticule, en sorte que celle-ci ne peut pas être séparée äisément. —Ÿ, cuticule inférieure, tra- versée par des stomates s , lesquels sont coupés cn travers — C, cavités situées sous les stomates , entre la cuticule et le paren- chyme. — c”, autres cavités intérieures de Ja feuille. — p, parenchyme intérieur ou-mésophylle ; dans lequel les cellules ne sont point pressées les unes contre les autres, et laissent entre. elles beaucoup de méats. . Fig. 8. — Coupe du parenchyme d’une feuille d'irès ger- manica , dans le sens de son épaisseur , d’après M. Brongmiart (Ann. des sc. nat., XXE). Grossissement de 2 à 300 diamètres.— a, cellules de la cuticule supérieure, qui, dans cette espèce, a des stomates. — c , cavité situce sous un stomate, — 27, méats intercellulaires. — p, cellules du parenchyme central ou méso- phylle. — +, Stomate divisé en deux , dans le sens de son plus petit diamètre. — +, cellules oblongües , qui , par leur r'appro- chement , ferment le stomate , et qui l’ouvrent par eur écartement sous l'influence de la lumière. Elles sont coupées par le milieu. Voyez leur apparence extérieure en 16 et 17, &. 7 PTT FE 0 == Pradhéetrmatanier (mt a paradisiaca), grossie 130 fois, d’après Kieser. Elle est déroulée dans Ka partie inférieure , et l’on voit à l'extrémité qu'elle se compose dé 9 filets réunis en une bande spirale. Elle est entourée de tissu cellulaire allongé, et sur les côtés 1} y a de ces cellules quadri latères , appelées quelquefois muriformes. Fig: 10.— Trachée extraite de la racine de jacinthe, par M. Valentine (dans Lindley, /ntr. to bot.). On voit sa terminaison supérieure. Elle paraît enveloppée d'une membrane transpa- rente. : = Fig. 11.—Poil en navette du chrysophyllum caïnito (d’après Lindley). à Fig. 12. — Coupe verticale d’une tige de citrouille (eucur- bita pepo), grossie 130 fois, par Kieser. — a, tissu cel lulire régulier. — à, tissu cellulaire allongé. — v, vaisseau ponctué. — t, trachées. == Fig. 13. — Coupe verticale de la tige de ronce (rubus fru- EXPLICATION DES PLANGHES. 3 licosus), grossie 130 fois, par Kieser. — b, cellules allon- gécs.—"v, vaisseaux ponctués, avec des raies blanches parallèles ct obliques ; deux de ces vaisseanx sont coupés à moitié vers leur partic inférieure. — {, trachées. + Fig. 14. — Vaisseaux ponctués du haricot ( Phaseolus vut- gas), grossis 4oo fois, d'après Kieser. —_a, cellules nctuces. — +, vaisseaux, dont un est entamé longitudinale en , pour montrer la nature des raies blanches transversales Tr, qui dans ce vaisseau sont parallèles. Fig. 15. — Un faisceau de vaisseaux rayés, tirés d’un lr- copodium , par M. Griffith (Lindley, /nérod. to bot.) Fig. 16. — Cuticule de la surface inférieure de la feuille d'amaryllis formosissima , grossie 260 fois, par Kieser. — a ; cellules transparentes de la cutieuJe, — +, stomates ouverts ; bordés de deux cellules en croissant, ponctuées , placées entre les autres cellules de la cuticule, Fig. 17. — Stomates du limnocharis plumiert, d’après M. Lindley (/ntrod, to bot., pl. 3). Ils sent au milieu des cel- Jules carrées de la cuticule. L'un , s', Cst fermé, les autres, s, sont béans. RE EE no née PLANCHE If. TIGES. Fig. 1.°— Coupe PMVÉPETE et verticale l’une tige Tgnense de dicotylédone (sophora japonica). — & , aubicr, — 4, bois. — c, @y intervalle des couches du corps ligneux, On voit que eet-arbre avait dix ans, et que les cmq couches Les plus an- ciennes se sont transformées en bois. — e , écorce. — r r, rayons médu/laires vus sur la portion horizontale de la COUpe. — 7 7”, les mêmes vus sur la partie verticale. à Fig. 9. — Coupe longitudinale d’un ognon d’ornithogale (monocotylédone), de moitié plus peut que nature.— f, feuilles anciennes transformées en écailles. — r, racines qui naissent chaque année à l'extérieur des anciennes sur le pourtour de la base de la tige. — +, tige réduite à ün plateau charnu , caché par les feuilles. — ”, portion centrale où naissent chaque année es feuilles nouvelles et la hampe florale. — #; portion de la tige.qui s’enlève aisément en arrachant les feuilles, et qui se séparésouvent à la dessiccation du réste de la tige : c’est une sorte d’écorce. Fig. 3. — Coupe transversale et verticale d’une tige de mo- 4 EXPLICATION DES PLANCHES. nocotylédone arborescente (yucca), réduite au ticrs de la gran- deur naturelle et présentée obliquement. — «, enveloppe cellulaire du tronc , portant à l'extérieur des vestiges de feuilles. — b, fibres ligneuses , très-serrées à la circonférence du tronc. — D’, fibres du centre qui sont plus lâches et plus grosses. Fig. 4. = Goupe longitudinale de la même tige de yucca.=— b, fibres qui vont du centre à la circonférence, et Foie de là dans les feuilles. — c, fibres longitudinales, nombreuses et serrées sur les bords. — f, reste d'anciennes feuilles qui for- ment avec l’enveloppe cellulaire sous-jacente une espèce d’écorce. Les feuilles les plus nouvelles sont vers la partie supérieure. Fig. 5. — Mème fragment vu du côté extérieur. — bb, fibres sortant du centre pour entrer dans les anciennes feuilles. — c, fibres parallèles longitudinales. — f, reste des anciennes feuilles, Les fig. 3, 4 et 5 d'apres nature. Fig. G. — Figure idéale faite par M. Mohl, pour représen- ter la manière ordinaire dont on conçoit la direction des fibres de monocotylédones. = aa, enveloppe cellulaire couverte de vieilles feuilles. — De x à 1’, fibres de la premiére année, se rendant aux feuilles 1” et 1”. — De 9 à 2’, fibres de la seconde année , se rendant à des feuilles plus récentes. — 3 à 3”, 4à 4”, fibres plus récentes encore. Les fibres qui répondent aux feuilles nouvelles on centrales, étaient supposées partir toujours du milieu des anciennes. Des-lors il ne devait pas y avoir d’entre- croisement : toutes les fibres devaient être parallèles, Fig. 7.— Figure idéale faite par M. Mohl, pour représenter son opinion sur la direction des fibres de monocotylédones. — De r à 1”, premières fibres ou fibres les plus anciennes. — De 2 à 2”, fibres plus récentes, qui, dans le haut, sont en dedans des premières, mais qui les croisent en db. — De 3 à 3, fibres encore plus récentes, qui croisent les deux autres, savoir :.les premières en ce, et les secondes en dd. On voit que les fibres qui sont au centre vers le haut seraient à l'extérieur dans le bas. Gette dernière figure indique des directions de fibres compli- quées ; étant idéale, elle est faite avec une précision géemcé- tique, que l’on ne doit pas s'attendre à retrouver dns la nature. Selon l’opinion ancienne représentée par la figure G, les fibres ne devraient jamais se croiser ; elles seraient emboitcées comme les étuis concentriques d’une lunette d'approche ; or, les fig. 4 et 5, dessinées d’après nature, montrent qu'il y a un entrecroise- EXPLICATION DES PLANCHES, Li ment de fibres, La figure 7 représente une théorie qui explique cet entrecroisement ; elle devient semblable à la fr. 4, si on suppose un plus grand nombre de fibres, vues dans un trajet moins long. En regardant lé haut de la fer. 5, les nouvelles fibres 4 4’, dans leur partie supérieure, sortent bien du centre des anciennes, ce qui explique comment on est arrivé à l'opinion généralement reçue que les fibres nouvelles cheminent dans le centre du tronc. En ne considérant que la partie supérieure , le mot cndogène , appliqué à cette classe de plantes , est toujours vral. PLANCHE TIT. FLEURS. Thalamiflores. Fig. 1. — Bouton de l’hibbertia grossularioides (dille niacée). — a , lobes du calice ou sépales soudés par la base. — b, pétales dont on ne voit encore que le sommet. Fig. 2. — Fleur épanouie. — D, pétales, entre lesquels on voit passer l'extrémité des lobes du calice. Au centre sont les étamines et pistils. Fig. 3. — La même coupée en long ct grossie. — 4, un lobe du calice. — à, pétale. — «, étamines. — d, pistils. —#, torus. Fig. 4. — Étamine. — à, anthère biloculaire. — /. filet. Fig. 5. — Pistil apres la floraison. — &, ovaire très-velu. — b, style. — c, stigmate. Fis. G. — Coupe transversale de l’ovaire , pour montrer en ms ji ; o l’un des ovules. Fig. 7. — Fleur de crucifère (arabis albida). — a, ca- lice. — b, pétales. — p, pédicelle. Fig. 8. — Ta même grossie et dont on a enlevé un pétale pour montrer l'intérieur. — a, l’un des deux sépales externes, renflés à la base, — 2, pétale, qui, dans cette fleur, est rétréci à la base en un onglet, et épanoui vers le haut en un limbe oboyé. — c, l’une des quatre étamines égales , situées entre les pétales et le pisuil , opposées deux à deux aux sépales internes. — c’, une des deux étamines plus courtes, naissant en dehors des autres, et opposée aux sépales externes. — d, sommet du pisül , ou stigmate. — n, nectaire, ou filet bifide propre à cette espèce de crucifère, et partant, comme les ctamines , d’un torus jaunâtre , de nature glanduleuse. 6. EXPLICATION DES PLANCHES. Figi:ge — Étamine vue à part. — a, anthère déhiscentez les ponctuations représentent Les grains de pollen. — #, filet. L 4 Fig.10.— Coupe transversale de l’anthère peu avant l'émis-- sion. — €, conneeUf. — p, pollen. Fig. 112 — Plan géométrique de la fleur, supposée vue d’en bant , afin de montrer que les crucifères ne rentrent pas dans la symétrie commune. — a; sépale extérieur. — @, Sépale inté— rieur. — D, pétale. = ec, étamines internes. — c”c', étamines externes plus courtes. — 4, pistil, qui deviendra une silique et où l'on voit la position des ovules dans les deux loges. sv Caliciflores. Fig. 12.— Fleur de spiræa opulifolia (rosacée), au moment de l'ouverture ou floraison. — a, tube du calice 5-fide. — b; pétales alternes avec les lobes du calice. Fig. 13. — La même fleur épanouie. — a , lobes du calice. — b, pétales. — c, étamines terminées par de petites anthères arrondies. — d, stigmates qui terminent les styles. Fig. 14. — La mème fleur coupée en long, pour montrer L'insertion des organes. — a, calice. —0, un des pétales. — e, filets d'etamines-qui naissent sur le tube du calice , ainsi que les pétales. — d, stigmates. — e, ovaires, qui sont libres d’avec les autres organes, mais soudés entre eux Jusque vers le milicu. Fig. 15.— Fleur de cydonta japonica (rosacée , de la tribu des pomacées).— a, tube du calice soudé à l'ovaire, — 6, la partie libre d'avec l'ovaire. — €, lobe du calice. — d, origine des étamines et des pétales qui sont tombés. — e, stigmates. — f, loges de l'ovaire, lequel est soudé au calice. , Cete-tleur ne diffère du n° 14 que par l’adhésence du tube du calice avec les ovaires déjà soudés entre eux. Le n° 14 a le calice inférieur et l’ovawe supérieur ; Le n° 15 a le calice-supé- rieur et l'ovaire inférieur, re Fig. 16. — Fleur de LEGUMINEUSE (eytsus alpinus). — p, pédicelle. — a, calice. — b, etendard.—-c, ailes. — d, carène dans laquelle sont cachées les étamines. Fig. 47. — Petales de la même fleur arraches du calice et séparés, en conservant leurs positions relatives. — b, ctendard. — c, ailes. — d, carène dont on voit par les deux bases l’eri- gine double, . 3: DA . A Fig. 18. — Étamines monadelphes de la même plante, doubles de leur grandeur naturelle. — 4, tube formé par la EXPLICATION DFs PLANCHES. D. soudure des filets. — à , anthères. — c , extrémité du style. — t, reste du torus qui a été tronqué en enlevant le calice ct la corolle, * PLANCHE IV. Fe FLEURS. Autre caliciflore (composée). Fig. 1. — Tête de fleurs de cineraria platanifolia. — «& Ru: x SU Ge ee, A, pédoncule. — 4, involucre. — c, fleurons stériles ligulés. — d', fleurons tubuleux fertiles. Fig. 2. La même coupée longitudinalement. — 4, involucre. —e, tube du calice de l’un des fleurons. — p, pappus de plusieurs fleurons. = 7, réceptacle. Fig. 3.— Tête de fleurs plus avancée , coupée longitudinale- ment, et dont on a enlevé tous les fleurons sauf un seul, — 4 ; involucre. — e, fleuron dont la corolle est tombée. et qui est devenu un fruit (akène) — r, réceptacle. — +, alvéoles garnis de poils (fimbrillæ } qui entourent la base de chaque fleuron. Fig. 4. — Fleuron fertile isolé. — 4, tübe du calice. — 4, pappus. — €, corolle. — d, étamines soudées par les anthères en un tube qui entoure le style. On voit au sommet les deux branches du style. Fig. 5.— Fleuron stérile. — a, tube du calice, — 8, pappus. — €, Corolle étalée à partir du milién en nne lame (ligula) dentée au sommet. — e, branches du style. IL n’y a pas d’éta- mines. - PR Fig. 6. — Corolle, étamines et style d’un fleuron fertile gross, — ©, corolle détachée du calice , rétrécie à la base en un tube €. — d, anthères soudées. On voit que les filets sont libres. — e, branches du style. Fig. 7. — Tube des étamines fendu en long, étalé et gross. — a, filets. — D, articulation qui sépare les anthères des filets. — €, extrémité pointue ( cuspidata des anthèrcs. Fig. 8. — Branches du style grossies, portant sur le dos les poils collecteurs. Les glandes stigmatiques disposées par raies-, au bord et à Ja base, de chacun des lobes, sont peu apparentes el ont été omises. Fig. 9. — Akène grossi. — a, fruit ou akène proprement dt, c’est-à-dire péricarpe soudé au tube du calice, — d, pappus. Fio. 10,— Un des poils du pappus vu à la loupe { pappus piosus), 8 EXPLICATION DES PLANCHES: Corolliflore. Fig. 11. — Fleur du phlox procumbens (polémonidée), — a, calice 5-fide. — ÿ, tube de la corolle. — c , lobes. Fig. 19. — Corolle fendue et étalée pour montrer l’adhé- rence des étamines. —- e, étamines , un peu inégales en hauteur, de mème que les lobes de la corolle sont un peu inégaux. Les filets adhèrent à la corolle dans presque toute leur longueur , et on en voit la trace en f. G’est au point » que chaque filet se sé- pare de la corolle , en sorte que l’étamine semble naître en ce point, — g, gorge (faux) de la corolle. Fig. 13. — Etamine vue par le dos et grossie. . !, » « Fig. 14. — Ktamine vue en face, du côté où les loges s’ou- vrent longitudinalement , en a. Fig. 15. — Galice et pistil coupés en long et grossis. — eo, calice. — 0, ovaire ; avec placenta dans chaque loge. — s, style, — t, torus relevé en un bourrelet où anneau glanduleux , qui suinte du nectar, en dedans du tube de la corolle. Fig. 16. — 0, coupe transversale de l’ovaire, pour montrer les trois loges. — p, pédicelle. — 1 ,torus glanduleux et relevé. Fig. 17. — Sommité du style, épanouie en trois stigmates. Monochlamy dée. Fig. 18. — Rameau d'ulmus campestris (orme). — a, bourgeons.—b, agglomération de fleurs, qui s'ouvrent avant les feuilles. Fig. 19. — Une fleur isolée et grossie. — a, filets des éta- mines. — b, anthères dont une a été retranchée; deux d’entre elles émettent du pollen. — p, périgone 5-fide, — s, stigmates hérissés de papilles en forme de poils. Fig. 20. — La même fleur, toujours grossie, dont on à coupé le périgone pour montrer la base des étamines, l'absence d'organes entre les étamines et le périgone, et la forme ovoïde de l’ovaire. Fio, 21, — Fruit (samare) de l’orme. — p, périgone des- séché. — s, stigmates desséchés. — 7, ailes membraneuses du péricarpe, — #, origine de l’un des deux ovules. Fig. 22. — Coupe transversale de la samare. — 0 , ovules solitaires dans chaque loge, mais dont un avorte pendant la maturation, — w , aile du péricarpe. EXPLICATION DES FLANCHES. 9 Monocotylédone. Fig. 23. — Tête de fleurs d’allium ciliatum (Nliacée), — a, pédoncule. — D, spathe. — c, pédicelle. Fig. 94. — Une fleur isolée et grossie. — a, périgone à six parties dont trois extérieures et trois intérieures (ce qui se voit bien dans la préfloraison). — b, anthères.— c, stigmate pointu. Fig. 25. — Coupe transversale de l'ovaire, après qu’on a enlevé presque tous les organes voisins. — a, un des lobes du périgone. — b, filet d’étamine. — c, loges, qui sont subdivisées presque complètement par un reph des parois au centre de chaque loge, en sorte qu'il semble y avoir six loges. PLANCHE V. POLLEN ET OVULES, Fig. 1, — Coupe transversale d’une anthère très-jeune et fortement grossie de cobæa scandens , d'après Ad, Brongniart. —aa, subdivisions de l’une des loges, dont on à enlevé le tissu intérieur, — b, divisions de l’autre loge. Fig. 9,— Une des divisions de loge, vue sous une autre face et toujours fortement grossie.—«, tissu cellulaire dont se compose l'anthère. — 4, membrane qui contient le tissu où se forme le pollen. — c, tissu cellulaire (masse pollinique) où se forme le pollen, qui se distingue déjà sous forme de ponctuations. Fig. 3. — Portion de la masse pollinique, isolée, plus avan- cée, et plus grossie. Les futurs grains de pollen se voient an centre de chaque cellule. Fig. 4h, — Gellule de cette masse, isolce, plus avancée, contenant quatre grains de pollen, les autres grains ayant avortce. Fig. 5. — Les mêmes grains de pollen arrivés au point de perfection , entremélés de filamens élastiques provenant du tissn cellulaire qui s’est déchiré. La surface des grains de pollen est réticulce , bosselée de petits mamelons, Fig. G. — Grain de pollen de passtflora cærulea; d'après M. Purkinie. Il est assez gros, car il a presque un vingtième de : je «bot, | en 5 ligne de diamètre, — 0 , opercule ; qui se détache naturellement. — r, bandes non colorées selon lesquelles se coupe l’opercule. Fig, 7. — Gran de pollen de scorsonera radiata, d'après 10 EXPLICATION DES PLANCHES, Purkinje, I] a environ un cinquantième de ligne de diamètre réel. Les aspérités qui 1e couvrent sont bien visibles. Fig. 8. — Grain de pollen du dura stramonium , d'après Brongniart. — a, le grain lui-même, — à, le boyau qui sort brusquement quand le pollen est humecté. On voit dans l’inté- rieur des granules plus foncés, qui sont la forl/a. Fig. 9: — Granules de cette fovilla, grossis 1,050 fois. Fig. 10.— Position des grains du même pollen dans le tissu stigmatiqne, — a, grains. — b, boyaux implantés entre les cellules du stigmate. — c, cellules de la surface même du stig- mate. Fig. 11. — Grain de pollen d’œnothera biennis , implanté dans le stigmate, -- @, grain triangulaire. — b, l’un des boyaux. — D”, un autre boyau implanté entre les cellules, Fig. 12. — Pollen d’acacia lophantha, d’après Purkinje; composé d’une agglomération de grains, ayant en tont un dia- mètre réel d'environ un vingt-cinquième de ligne. Fig. 13.— Masse pollinique de l'orchis Latifolia, d’après M. Ad. Brongniart, Elle est fixée à l'extrémité inférieure de chaque loge d’anthère. La longueur totale doit être environ d’une ligne où deux. — a, support gélatineux élastique. — bb, division des lobes indiquée ici par un sillon; quelquefois les lobes sont beaucoup plus séparés. Les grains de pollen se trou- vent dans les cellules de cette masse. Fig. 14. — Ovule de tradescantia virginica , tès-jeune, d’après M. Mubel.— a, base de l’ovule où se trouvent le hile et la chalaze. — p, primine. — +, secondine. — u , exostome. — v, endostome. — x, nucelle où amande. Fig. 15. — Le même ovule plus avancé; les lettres ayant les mêmes significations. Fig. 16.— Le même plus avancé. — u et v ne se distinguent plus , les membranes ayant grandi. Fig. 17. — Graine (orthotrope) de rheum rhaponticum , d'après M. Lindley, — a, albumen. — à, hile. — c, cotylé- dons. — r, radicule. Fig. 18. — Première apparition de l’ovule du cheiranthus cheiri (giroflée), sur les parois de l’endocarpe , d’après M. Mir- bel. Les mêmes lettres que dans les figures précédentes. Fig. 19. — Le même ovule un peu plus avancé, après que es organes intérieurs ont percé la primuine. Toujours les mêmes Lettres. EXPLICATION DES PLANCHES» ai Fig. 20. Le même plus avancé. —/, funicule ou support de l’ovule, — p, primine qui grandit inégalement de manière à courber les organes intérieurs, — , exostome. — x, nucelle. Fig. 21. — Le même plus avaneé encore , mais avant matu- rité. — f, funicule. — c, partie où se trouve la chalaze. — p, primine tout-à-fait recourbée, — uw, exostome qui vient toucher le hile où base de l’ovule. — +, nucelle, Fig, 29. — Première apparition des ovules de cucumis an- guria, d'après M. Mirbel. — a, paroi du péricarpe. Fig. 23.— Un de ces ovules à l’époque où la secondine commence à se distinguer en s. On voit en x le nucelle. PLANCHE VI. FRUITS. Fig, 1. — Carpelles de delphinium. — a; pot où les éta- mines prenaient naissance. — D, un des trois carpelles qui sont libres dès la base. — c, points de déhiscence. Fig. 2. — Carpelle isolé et vu en face. On voit un ovule naïssant sur l’un des bords. Fig. 3. — Carpelles de staphylea pinnata. — a, point où naissaient les organes floraux, — b, carpelles encore jeunes au nombre de deux, soudés par le bas; de manière à former un ovaire biloculaire. — ce, styles qui restent libres. — +, stigmates adhérens, — t, torus, Fig. 4.— Les mêmes coupés longitudinalement pour montrer la naïssance des ovules sur des placentas peu charnus. — 0, ovule. Fig. 5,— Le même ovaire coupé transversalement. — à , une des loges. — c, cloison produite par Ja juxta-position des deux carpelles. On voit que les ovules naissent dans chaque loge sur deux séries longitudinales , c’est-à-dire sur les bords rentrans de chaque carpelle. Ces bords sont à peine renflés en placentas. Fée. G. — Le fruit mûr et coupé en long. I ne reste plus de styles ; ie péricarpe est membraneux. Tous Les ovules ont avorte sauf un par loge. —1, torus Fig. 7. — Silique d’arabis. — a, torus. — b, dos des deux carpelles soudés dans toute leur longueur , et qui se détachent sous forme de valves de bas en haut. — c, cloison formée par Je repli des péricarpes (de Pépicarpe), et sur les bords de la- quelle on voit les ovules attachés sur deux séries. Ils ont un 19 EXPLICATION DES PLANCHES, fanicule bien distinct. —+, stigmates alternes dans leur po- sition avec les loges de la silique. : Fig. 8. — Coupe transversale de la même silique. — 4, dos d’un des deux carpelles. = c, cloison, = o , ovule. Fig. 9: — Légume d’un pois commun (pisum sativum), re- présenté pendant, ce qui est la position ordinaire, et onvert longitudinalement en deux. — 0, ovule adhérent à l’un des bords .— s, restes du style. Fig. x0. — Le même coupé en travers. — 4, suture dor- sale. — », suture ventrale. Fig. 11:— La graine ouverte pour montrer les deux cotylé- dons charnus c, qui remplissent tout le spermoderme; la radi- cule r» du côté inférieur, et la plumule du côté opposé. Fig. 12.— La radicule r et la plumule p, quand on a retran- ché les cotylédons. Fig. 13. — Fruit de berberis vulgaris. — à, péricarpe charnwde l'ovaire uniloculaire, — e , embryon droit dans une graine dressée solitaire , insérée un peu latéralement vers la base ‘de l'ovaire. — 0, ouverture supérieure de l'ovaire. Fig. 14. — Ovaire de lychnis güthago. — +, un des cinq Styles. — 0 , ovules insérés selon dix rangées sur un placenta ceniral. — p , filets qui établissent une communication entre les styles et les ovules. = Fig. 15.— Ovaire de la wio/a tricolor, d’après M. Lindley, Coupé transversalement. — à, intervalle d’un placenta à l’autre, représentant le dos d’un des trois carpelles soudés. — p, un des placentas représentant deux bords de carpelles soudés et non rentrans, Fig. 16. — Capsule d’un ricinus (euphorbiacée), 3-locu- laire, c’est-à-dire composée de trois carpelles soudés, et dont les bords rentrent sous forme de cloisons. — aa, deux des carpelles dont la séparation est indiquée par deux sillons. Fig. 17, — Un des carpelles vu comme il se sépare naturel- lement des autres, et s'ouvre lui-même par les deux sutures de haut en bas, — @, ventre du carpelle, côté par où il adhérait aux autres, — g', graine unique et pendante, déjà détachée de son point d'attache. Dans ce fruit la déhiscence est à la fois septicide et loculicide. Fig. 18.— Fruit de tulipier (liriodendron tulipifera). — a, point où naissent les étamines et la corolle. — b, axe de la fleur qui se prolonge et porte latéralement une infinité de carpelles soudés. = 6, carpelles ouverts par la section longitudinale, et montrant à l’intérieur des ovules isolés ou géminés,— $, styles, qui ne se soudent pas entre eux comme les ovaires, EXPLICATION DES PLANCHES. 15 PLANCHE VII. OVULES, GRAINES ET GERMINATIONS. Fig. 1 .— Ovule de epidium ruderale, après M. Brongniart, avant la fécondation. — a, funicule. — æx, amande retournée. — c, chalaze. — h, hile. — x, exostome. Fig. 2. — Le même après la fécondation. — &, funicule. — æ, amande, — /, embryon, dont la radicule est tournée vers le micropyle où exostome w. — c, chalaze. — }, hile. — pp, primine. — ss, secondine, — x, exostome et endostome ( mi- cropyle ). Fig. 3. — Le même à l’état de maturité. Les lettres sont les mêmes que dans la fig. 2. La primine et la secondine sont confondues à cause de leur adhérence. L'’embryon remplit toute l’amande. — r, radicule. — /, cotylédons, — , plumule. Fig. 4. — Graine fécondée de tulipa gessneriana , et coupée en long, d’après M. Mirbel (fig. réduite). L’ovule est com- plètement retourné. Ainsi , p est la primine, s la secondine.— k, hile. — r, vaisseau du raphé. — c, chalaze. — x, nucelle. — u, exostome. — v, endostomc. Fig. 5. — Graine de ricinus. — a , aille. Fig. 6. — La mème coupée en long. — a, albumen, — c, cotylédons. — r, radicule voisine du hile. Fig. 7: — La même coupée en travers ; an centre est l’em- bryon , dont les deux cotylédons foliacés sont appliqués face à face ; autour de lui l’albumen. Fig. 8. — Germination d’une dicotylédone , le catalpa sy- ringæfolia (catalpa ordinaire). — €, cotylédons. — /, feuilles primordiales. — {, partie de la tige située entre les cotylédons et Ja racine. — pr, racine, Fig. 9. — Un des cotylédons étalé , pour montrer qu'il est rofondément bilobé : c’est une forme peu commune dans cet Î organe. Fig. 10. — Germination de grewia (tiliacce). Les mêmes lettres que pour la Jr. 8. Fig. 11.—Germination de cèdre (confère), d'apres M. Mir- bel. — cc, cotylédons au nombre de neuf. La radicule est coupée. Fig, 12. — Gommencement de la germination d’allium cepa 14 EXPLICATION DES PLANCHES: (monocotylédone), d’après M. Lindley. — «, albumen, — c, cotylédon, — r, radicule sortant de la graine. Fig. 13. — Germination du Zlium monodelphum (mono- cotyledone), dessinée au jardin botanique de Genève, par M. Heÿland. — a, graine de forme aplatie, — X, hile. — c, cotylédon dont l'extrémité est encore dans la graine, — r, ra- dicule qui est sortie la première de la graine. — e, renflement de la base du cotylédon. Fig. 14. — La même germination tronquée, pour montrer, au moyen d’un grossissement , le renflement de la base du coty- lédon , le sillon e dont il est marqué ct au fond duquel on aper- çoit le germe de la seconde feuille, — &, petite protubérance (commencement de racine) dont il y a unc ou deux autour de ce point de liaison des organes. = ss Fig. 15 — La germination un peu plus avancée; la graine a été soulevée ; la radicule s’est beaucoup allongée.— e, coly- lédon, — c’, sommité du cotylédon qui plonge dans l’albumen, et que l’on suppose vue à travers le spermoderme.— d, renfle- ment de la base du cotylédon, marqué du sillon longitudinal e. — r, radicule , couverte de poils radicaux ; et qui s’allonge par son extrémité s sortie la première de la graine. La partie rt était enfoncée dans la terre. Fig. 16. — La mème, un peu plus tard , vue de côté. Les lettres sont les mêmes que dans la /g. 1 5, On voit sortir du sillon e, une feuille primordiale f, one Fig. 17.— La même plus avancée, Les lettres ent la même signification. Le cotylédon ayant absorbé tout l'albumen de la graine s’est desséché , et le spermoderme est tombé avec lui. Le renflement e est encore assez gros et forme une écaille char- nue. La feuille / porte à sa base une petite racine r'; elle émettra à sa base intérieure une troisième feuille, ete. L’extremité s de Ja radicule à pris une couleur brune, avec toute l'apparence des spongioles. PLANCHE VIII. CRYPTOGAMES. Fig. 1. — Tige avec frucufication de l’equisetum palustre (prête des marais). — à, tige ou hampe s’élevant hors de terre. — b, écailles engainantes verticillées. — €, rameaux qui naïs- sent des articulations au-dessous des gaines, ct qui sont 6rga= nisés comme la tige, Chaque article s’étend d’une gaine à l’autre ; il est vide à l'intérieur, — d, épi de fructifications, = e, scu- n EXPBICATION DES PLANCRES. - 15 telles pédicellés, qui montrent le dos et portent en dessous des sporanges, Fig. 2. — Partie souterraine de la même plante, émettant de chaque articulation des racines et des bourgeons. Fig, 3. — Épiderme de la tige d'equisetum ervense. — à, stomate entouré de concrétions minérales superficielles. Fig. 4. — Un des scutelles (Jig. 1, e) renversé et grossi. — a, pédicelle. — b, la tranche de la surface plane du seutelle que l'ont voit extérieurement à la fig. 1, e. — ©, sporanges déjà vides. Fig. 5, — Tun des spores qui remplissent les sporanges, grossi à une forte loupe. Fig. 6. — Le même quand les bras (élatères) se sont éten- dus par leftet de humidité. Le corps central rond est le vrai spore, On voit à l'extrémité des bras des ponciuations pulvéru- lentes , que quelques auteurs disent être du pollen. Fig. 7.— Spore écrasé, pour faire voir son contenu granu- eux. Fig. 8. — Spore commençant à germer, et grossi à une forte loupe. Figs 9: — Le même ayant poussé une racine, Le sommet se divise un peu. Fig, 10. — Le même ayant grandi. Fig. 11 et19. — Continuation de la croissance. (Toutes ces figures (x à 19) sont tirées de l'ouvrage de G-W. Bischoff, Cryptog. Gewachs. Dentschl., 1° hvr., pl. 5,4 et 5.) Fis. 13.— Suite de la même germination, urée de Vaucher, (Méim. du mus.,-X.) On voit la tige qui portera les rameaux, les gaines foliacées et les fructifications, s'élever du centre d’une surte de gazon dont les f{g. 8 à 12 montrent l'origine, Fis. 14. — Un jeune pied d'agaricus volvaceus Bull. , coupé longitudinalement à deux époques de son accroissement pour montrer qu'il n’y a pas encore dans Fintérieur de chapeau forme. Fier, 19. — Le même avec le jeune champignon forme au centre, Fis. 16. Le même ayant grandi. — à, coupe de l'enveloppe 5 9 D , Ï PI (volva) qui sera rompue plus tard par lexhaussement du cha- peau b. Fig ag: = L'agaicus volvaceus, dans son état de déve- loppement complet, coupé longitudinalement jusqu'au milieu du pied. — a, tes fragmens de tannée des serres au milieu desquels nait ce champignon; ils sont entremêlés de filets blanchätres qui les font adhérer, mais qu'il est impossible de représenter dans 46. EXPLICATION DES PLANCHES. un dessin de ce genre, — #, les restes de la volva, dont la partie supérieure, enlevée par le chapeau , s’est détruite. — €, le pied (stipes) coupé longitudinalement, afin de montrer qu’il est plein dans cette espèce. — d, les feuillets qui tapissent le dessous du chapeau , ce dernier étant coupé par le milieu. Fig. 18. — Fructifications (asci) insérées sur le bord des feuillets, et vues au microscope.— a, les cellules appelées asci. — b, des spores sortis naturellement des asci. (Les fig. 14 à 18, tirées de Nees, Mycetoidearum evolulio, dans Nov. act, acad. nat. cur., Bonn. , XVI, part. :, pe Get) Fig, 10. — Tuber maculatum Vittad , espèce de truffe qui n’est pas de ceiles que l'on mange : elle est coupée par le milieu. On voit en a les replis de la membrane extérieure qui, en ren- trant, forme les veines intérieures et sur lesquels naissent les fructifications. Fig. 20.— Sporange (ascus ) du tuber maculatum détaché du tissu avant sa maturité, et vu sous le microscope avec un grossissement de 330 diamètres. Fig, 21. — Le même plus avancé, grossi 330 fois. Il con- tient plusieurs globules , dont un très-gros , lequel contient trois spores et des grains qui ont l'air de spores non développés. Lie, 29,—Sept figures indiquant le développement des spores. Fis. 23. — Spore arrivé à son terme ; vu toujours au gros- sissement de 330 fois. (Les fig. 19 à 93, tirées de Vittad., Honogr. tuberac, in-4°, Milan, 1831, pl. 3 et 4). Fig. 24. — Floccaria glauca , moisissure qui se forme sur la gomme arabique, grossie six fois. — a, surface de la gomme. — b, pied blanchätre de la plante, — c, fructifications accumu- lces sur des filets, ayant une teinte vert sale, ct l'apparence d’une tête de choux-fleurs. Fig, 95. — Filets dont se compose cette tête, vus sous le microscope. Les spores paraissent, sous les grossissemens les plus forts, de très-petits grains superficiels , dont plusieurs sont ici représentés. (Les fig. 24 et 25, urées de Gréville, Grypt. flor., pl. 501). FIN DE L'EXPLICATION DES PLANCHES. PILE [74 Dot. {ntroduction. TT HTTP RD TS 5h Bot. {ntroduction.. GO & Ÿ à + Re: SEA D RTE DE ee cn x PA nm SE : l ce Dh on nls — RER — RE RTS — LR CRU D CRE TAC ARE DSC ES RES Es x AE tee + pi Ri 4 sS sa “ ‘ N + S APRES NS | > & SES IN . PRES EL ET ne Horland tot Pot. Zntroduction . Heyland del Borremce fr Plee se Bot. 1ntrodactror. Porromée dir Heyland det Pot. Introduction. PIS: Heuydrnd del Lorromee dir lee À Hougeot PLMON Bot. /ntroduction . D > Jlorrvmes dr PL 7. Bot. Introduction. Jlée Æ Mougeet se romée- dir Heyland del /ntroduction Bot.