THEORIE DES FONCTIONS ELLI I>T I QXJ ES . 203
B. — Des fonctions completes.
Supposons successivement dans 1'dquatiori pre'ce'dente
Hi a?, a) — - ri(#, a?) = arL(x ) — a?Z( a),
x = K el x = K-h iK';

en observant qu'on aura
H(a, K) = o,
U(a, K-hi'K') = o,
on en conclut

IJ(K, a; = aZ(K) — KZ(a) = aJ — KZ(a)
et

iK') — D(K) = iaJ'— iK'Z(a).
Telles sont les valeurs des fonctions completes ou bien des inte1-
grales de"finies

= f
"
sin am a ens am a A am a sin2 am .r a?,r
i — /r4 sin* a ma sinsfim.T
'* si n a rn a cos a m a A a m a sin2 arn ,7? dx
r — /c2 sin2am a sin^

R(K-t- sK') - II(K) -- f
. /I7
Si pour un instant on les d^signe respectivement par n et /II', on
aura les relations

I'I(a?-t- ctK, a) = ri(o?, a) + all,
II (a? -4- a t K', a) = II (a:, a) 4- a »n'
et

Kir-riK'=— -
2
Mais nous observerons, a J'e'gard de la fonction de troisierne es-
pece, que 1'int^gration introduit, en modifiant le chemin de'crit
par la variable, un multiple entier positif ou n^gatif de K\/ — i,
de sorte que ces relations n'ont lieu que pour certains modes
d'inle'gration, tandis que les relations analogues relativement £ la
fonction cle seconde espece n'exigeaient aucune restriction de
cette nature.