E TEN ACTA SUCIETATIS SCIENTIARUM FENNICA. TOMUS XXXII. HELSINGFORSIE. Ex officina typographica Societatis litterariæ fennicæ MCMVI. TABLE DES ARTICLES CONTENUS DANS CE TOME. Page. Etat du personnel de la Société des Sciences de Finlande au 1 Janvier 1906 r. Décedésidepuis le. 1 >Novembreu1903E 3 22 77 Wr NT Beiträge zur Kenntniss Vegetation der Alluvionen des Nördlichen Eurasiens, von A. K. CAJANDER, Cand. Phil. I. Die Alluvionen des unteren Lena-Thales. Mit 4 Kartentafeln. Neubabylonisches Namenbuch zu den Geschäftsurkunden aus der Zeit des Sa- maSs$umukin bis Xerxes, von Knut L. TALLQVIST. Studien über die Vegetation des Urwaldes am Lena-Fluss, von A. K. CAJANDER. Die Summa Theologica des Antonin von Florenz und die Schätzung des Weibes im Hexenhammer, von D:r HJALMAR Cmonws, Dozent in Helsingfors. Note supplémentaire sur les polygones au plus petit périmètre circonscrits à une ellipse, par L. LINDELÖF. Tafeln der Kugelfunctionen P,(x) und ihrer abgeleiteten Functionen, von Hz. TALLQVIST. Aiakos in der Unterwelt, von Epv. REIN. Sagengeschichtliche Untersuchungen über Aiakos, von Epv. REIN. Minnestal öfver senatorn friherre Georg Zachris Yrjö-Koskinen, hället vid Finska Vetenskaps-Societetens årsdag den 29 April 1904 af K. E. F. Ianarrus. 45694 A ^ E " Vn ov "T | A D , ya * / u PO (EU ; MR eV T m / Li N en - 1 mm uiu ETAT DU PERSONNEL DE LA SOCIÉTÉ DES SCIENCES DE FINLANDE AU 1 JANVIER 1906. MEMBRES HONORAIRES. . JEAN-DANIEL-CHARLES LIEBLEIN, Professeur à l’Université de Christiania. . CHARLES-HERMANN-ÅMANDUS SCHWARZ, Conseiller privé, Professeur à l'Université et Membre de l'Académie des Sciences de Berlin. . Wıruram Lorp KELVIN, Professeur de physique à l'Université de Glasgow. . Gaston DarBoux, Professeur à la Sorbonne, Membre et Secrétaire perpétuel de l'Académie des Sciences de l'Institut de France. . Oscar BACKLUND, Conseiller d'État actuel, Directeur de l'Observatoire de Poul- kova. * x E 1 . . JACQUES-JEAN-GUILLAUME Lacus, Conseiller d'Etat, ancien professeur à l'Univer- sité de Helsingfors. . EUGENE WARMING, Professeur de botanique à l'Université de Copenhague. . JULES-HENRI PorNcARÉ, Membre de l'Académie des Sciences de l'Institut de France. . ÖHARLES-ÉMIL Prcarp, Membre de l'Académie des Sciences de l’Institut de France. . Maewus-GusrAvE MrrrAG-LErrFLER, Professeur de mathématiques à la Haute École de Stockholm. . SvANTE ARRHENIUS, Professeur de physique à la Haute École de Stockholm. . MICHEL RYKATCHEW, Directeur de l'Observatoire central de physique et Membre de l'Académie Impériale des Sciences de St.-Pétersbourg. . JEAN GUILLAUME Hirrorr, Professeur de Physique à l'Académie de Münster. M. M. Il JEAN-FRÉDÉRIC-GUILLAUME-ÅDOLPHE VON BAEYER, Professeur de chimie à l'Aca- démie des Sciences de Munich. . Maurice Loewv, Membre de l'Institut, Directeur de l'Observatoire National à Paris. (Élu le 11 Avril 1904.) . Davi». Gi, Astronome Royal, Directeur de l'Observatoire du Cap de bonne espérance. (Élu le 11 Avril 1904.) . THÉODORE-GUILLAUME ENGELMANN, Professeur de physiologie à l'Université de Berlin. (Élu le 11 Avril 1904). . Henri Mon, Professeur, Directeur de l’Institut. météorologique de Christiania. (Élu le 11 Avril 1904.) . Hvao HILDEBRAND-HILDEBRANDSSON, Professeur, Directeur de l'Observatoire mé- téorologique d'Upsal. (Élu le 11 Avril 1904.) . Gurcraume-Loupovic-Prerre THOMSEN, Professeur de philologie comparée à l'Uni- versité de Copenhague. (Élu de 11 Avril 1904.) . Frépéric Deurscx, Professeur d'assyriologie et Directeur de la Section Asia- tique des Musées Royaux de Berlin. (Élu de 17 Avril 1905.) . le Baron Urric von WILAMOWITZ-MÖLLENDORFF, Conseiller privé, Professeur de philologie classique à l'Université de Berlin. (Élu le 17 Avril 1905). . Taéopore NÖLDEKE, Professeur de langues sémitiques à l'Université de Strass- bourg. (Élu le 17 Avril 1905.) . CHarres-Gusrave MALMSTRÖM, Directeur des archives de l'Etat à Stockholm. (Elu le 20 Novembre 1905.) MEMBRES TITULAIRES. I. Section des Sciences mathématiques et physiques. . LavgENT-LÉoNARDp LINDELÖF, Conseiller d'Etat actuel, Secrétaire perpétuel de la Société. . FRÉDÉRIC-JEAN Wuk, ancien professeur de géologie. . AuavsrE-FRÉDÉRIC SUNDELL, ancien professeur extraordinaire de physique à l'Université de Helsingfors. EDOUARD-IMMANUEL HJELT, Conseiller d'État, Professeur de chimie et recteur de l'Université de Helsingfors. IT! . EDOUARD-RODOLPHE NEOVIUS, ancien sénateur. . ANDRÉ-SÉVÉRIN DONNER, Professeur à l'Université et Directeur de l'Observatoire astronomique de Helsingfors. orégé de chimie . le Baron AveusrE-BENJAMIN AF ScHULTÉN, ancien professeur agrég à l'Université de Helsingfors. . Vicror-Tréopore HoMÉN, Professeur de physique à l'Université de Helsingfors. . ApnoLPHE-ÜssrAN ASCHAN, Professeur extraordinaire de chimie à l'Université de Helsingfors. . FRANGOIS-CHARLES-OTTO-ÅUGUSTE-ERNEST BIESE, Directeur de l'Institut météoro- logique central de la Société des Sciences. . GuILLAUME Ramsay, Professeur de géologie et de minéralogie à l'Université de Helsingfors. . HJALMAR MELLIN, Professeur de mathématiques à l’Institut polytechnique de Helsingfors. . CHARLES-Fr£EDERIC SrorrE, Professeur de physique à l’Institut polytecknique de Helsingfors. . JACQUES-JEAN SEDERHOLM, Directeur de la Commission géologique. (Élu le 11 Avril 1904.) . ERNEST-LÉONARD LinveLör, Professeur de mathématiques à l'Université de Hel- singfors. (Elu le 21 Novembre 1904.) . Gustave MELANDER, Professeur agrégé de physique à l'Université de Helsing- fors. (Elu le 17 Avril 1905) . AxEL-HENRI-HJALMAR TALLQVIST, Professeur de physique à l'Institut polytechni- que de Helsingfors. (Elu le 17 Avril 1905.) II. Section d'histoire naturelle. . Orro-Enouarp-AuGusre HJELT, Archiátre, ancien professeur d'anatomie patholo- gique. . Ovo-MoRANNAL REUTER, Professeur extraordinaire de zoologie à l'Université de Helsingfors. . PregRE-AponPHE KARSTEN, Professeur de botanique à l'Institut d'agrieulture de Mustiala. . Conran-GaBrrez HÄLLSTÉN, Conseiller d'État, ancien professeur de physiologie. M IV . le Baron JEAN-AxEL PALMÉN, Professeur de zoologie à l'Université de Helsing- fors. JEAN-PIERRE NORRLIN, ancien professeur e. o. de botanique à l'Université de Helsingfors. ERNEST-ALEXANDRE HomMÉN, Professeur d'anatomie pathologique à l'Université de Helsingfors. . JeAN-RENAULT SAHLBERG, Professeur e. o. d'entomologie à l'Université de Hel- singfors. FnépÉRrc-EuiL-VorwAR ELrvinG, Professeur de botanique à l’Université de Helsingfors. » . ALFRED-Üsvarnp KIHLMAN, ancien sénateur. JEAN-GUILLAUME RUNEBERG, Professeur de médecine à l'Université de Helsing- fors. VicTor-FERDINAND BmorHERUs, Professeur de mathématiques et d'histoire natu- relle à l'École de demoiselles suédoise de Helsingfors. CHARLES-MAINIO LEVANDER, Professeur agrégé de zoologie à l'Université de Helsingfors. . ROBERT-ÅDOLPHE-ÅRMAND 'TiGERSTEDT, Professeur de physiologie à l'Université de Helsingfors. Huco-Üsrex-Léonarp Hozsri, Professeur e. o. de médecine à l'Université de Helsingfors. Ernesr-Epouarp SUNDVIK, Professeur de chimie physiologique et de pharmaco- logie à l'Université de Helsingfors. (Élu le 17 Avril 1905.) GusrAvE-HzALMAR GRÖNROOS, Professeur d'anatomie à l'Université de Helsingfors. (Élu le 17 Avril 1905.) ÖHARLES-FRÉDÉRIC-RODOLPHE KorsrER, Professeur agrégé d'anatomie pathologique à l'Université de Helsingfors. (Élu le 17 Avril 1905.) Enzıo-RArarL REUTER, Professeur adjoint d'entomologie à l'Université de Hel- singfors. (Élu le 17 Avri 1905.) III. Section d'histoire et de philologie. : . n . Crarzes-Gusrave ESTLANDER, Conseiller d'Etat, ancien professeur d'esthétique et de littérature moderne. Orro DONNER, Sénateur. V . AxEL-OLOF FREUDENTHAL, ancien professeur e. o. de langue et littérature sué- doises à l'Université de Helsingfors. . CHARLES-ÉMILE-FERDINAND IGNATIUS, Sénateur. . JEAN-RÉNAULT ÁAsPELIN, Archéologue de l'État. . CHARLES SYNNERBERG, Conseiller de chancellerie, ancien inspecteur général à l'Administration centrale des écoles. . JEAN-RICHARD DANIELSON, Conseiller d'État, Professeur d'histoire, chargé des fonctions de vice-chancelier de l'Université. . Anvip-Oscan-GusrAvE GENETZ, ancien sénateur. . MAGNUS-GOTTFRID SCHYBERGSON, Professeur e. o. d'histoire à l’Université de Helsingfors. . ÖHARLES-GABRIEL-THIODOLPHE REIN, Conseiller d'État actuel, ancien professeur de philosophie à l'Université. . JEAN-JAcQUs TIKKANEN, Professeur e. o. de l'histoire des arts à l'Université de Helsingfors. . CANUT-LÉONARD 'Tarrqvisr, Professeur de littérature orientale à l'Université de Helsingfors. . Eurr-NEsTroR SeräLi, Professeur de langue et littérature finnoises à l'Université de Helsingfors. . Ivar-Auguste HEIKE, Professeur de littérature grecque à l'Université de Hel- singfors. . Furponr-WrapiwIR GUSTAFSSON, Professeur de littérature romaine à l'Université de Helsingfors. (Élu le 17 Avril 1905.) . JARL-WERNER SÖDERHJELM, Professeur de littérature germanique et romaine à l'Université de Helsingfors. (Élu le 17 Avril 1905.) . CHARLES-GABRIEL VON Bonsporrr, Professeur e. o. de l'histoire des peuples du nord à l'Université de Helsingfors. (Élu le 17 Avril 1905.) VI DÉCÉDÉS DEPUIS LE 1 NOVEMBRE 1903. Membre honoraire: M. Otto von BöHTLING, f le 1 Avril 1904. Membres titulaires: M. le Baron GEORGE-ZACHARIE YRJÖ-KOSKINEN, Ÿ le 13 Novembre 1903. M. CHARLES-SÉLIM LEMSTRÖM, Ÿ le 2 Octobre 1904. . ACTA SOCIRTATIS SCIENTIARUM FENNICÆ TOM. XXXII. X 1. BEITRÄGE ZUR KENNTNISS VEGETATION DER ALLUVIONEN NÖRDLICHEN EURASIENS A.K. ORTEN DER. CAND. Pis. DIE ALLUVIONEN DES UNTEREN LENA-THALES. MIT 4 KARTENTAFELN. : NS t Ee , Aie, "n rm "did TE ud T b" 3 " a CONTES Vorwort. Auf den Excursionen, die ich in den Jahren 1898 und 1899 im westlichen Nord-Russland (an der Onega, am Swirj ete.), 1901 in Ost-Sibirien (an der Lena), so- wie 1902 in Nord-Finnland (an den Tornio- und Kemi-Flüssen) unternommen habe, ist die Vegetation der Alluvionen der hauptsächlichste Gegenstand meiner Untersuchungen gewesen. Es hat sich nähmlich als zweckmässig erwiesen, nicht die Vegetation aller Standörter gleichmässig, sondern fastmer nur die einer engeren. Gruppe derselben näher zu studieren. Dass meine Wahl auf die Alluvionen gerathen ist, beruht hauptsächlich darauf, dass man in Nord-Russland und Nord-Sibirien meist die Flüsse entlang fährt . und also immer Gelegenheit hat, die Alluvial-Vegetation zu beobachten. Das Thal der unteren Lena, mit dessen Alluvial-Vegetation die Publication die- ser Untersuchungs-Serie begonnen wird, ist in einer Hinsicht instructiver als die der meisten anderen annähernd so grossen Flüsse des nördlichen Eurasiens. Es giebt nähm- lich an keinem anderen Flusse so weite ganz unbebaute Gegenden, wie an der unteren Lena, wo man hauptsächlich nur mit ursprünglichen Naturverhältnissen zu thun hat. Man findet jedoch auch dort — südlich von der Aldan-Mündung — dichter bewohnte Gebiete, die gute Vergleichungspunkte mit den ersteren darbieten. — Andererseits aber sind die praktischen Schwierigkeiten einer Reise einen solchen Riesenfluss wie die Lena entlang sehr gross. Man ist überhaupt zu abhängig von allerlei äusseren Ver- hältnissen, um planmássigere Untersuchungen ausführen zu können. Dazu kommt noch, dass die mir zu Gebote stehende Excursionszeit im Verhältniss zur Grösse des zu untersuchenden Gebietes so überaus kurz war; vor Allem konnten die nördlich- sten Theile des Lena-Thales nur sehr flüchtig durchforscht werden. Ich bin mir des- wegen wohl bewusst, dass die vorhegende Arbeit sehr mangelhaft und unvollständig ist, wage jedoch zu hoffen, dass sie als ein erster Versuch, eine Seite der Vegetationsver- hältnisse Sibiriens eingehender zu erläutern, ihr Ziel nicht gänzlich verfehlt hat. Es ist mir bei dieser Gelegenheit eine angenehme Pflicht meinem hochgeehrten Lehrer, Herrn Professor J. P. Norrlin meinen ehrerbietigsten und herzlichsten Dank für das ausserordentliche Wohlwollen auszusprechen, mit welchem er meine Studien ge- leitet hat. Es drängt mich ferner, den Herren Professoren Fr. Elfving und A. O. Kihl- man meine aufrichtige Erkenntlichkeit für die wohlwollende Anleitung, die ich von ihnen während meiner ganzen Studienzeit genossen habe, auszudrücken. Ausserdem bin ich den Herren Professoren J. A. Palmen, W. Ramsay und J. E. Rosberg sowie Herrn Docenten G. Melander, die während meiner Arbeit mich mit Rath und That unterstützt haben, zu vielem Danke verpflichtet. — Für die freundliche Bestimmung der von der Reise mitgebrachten Carices und Kobresim bin ich Herrn Pfarrer G. Kükenthal in Thü- ringen und für die Bestimmung der Moose Herrn Amanuensis H. Lindberg verbunden. Schliesslich möchte ich nicht die Gelegenheit vorübergehen lassen, ohne der » Societas scientiarum fennica“, in deren „Acta“ es mir verstattet wurde, die Resultate meiner Untersuchungen zu veröffentlichen, meine tiefste Dankbarkeit auszudrücken. Helsingfors, Mai 1903. A. K. Cajander. Inhalt. I. Allgemeiner Theil. II. Specieller Theil . Die Hydrophyten- insotrationen : Die Gehölz-Associationen . Die Grasfluren-Associationen . : Die Moos- und Flechten-Associationen III. Schlussbemerkungen Verzeichniss der angeführten E ai PRE camen - Verzeichniss der wichtigeren Oertlichkeiten, an denen Excursionen angestellt D ndo Verzeichniss der angewandten Litteratur . . . . =» Allgemeiner Theil. Die Lena, der .„„Ulachan-Eryss“ der Jakuten, nimmt ihren Anfang an der West- küste des Baikal-Sees. Anfangs fliesst sie eine kurze Strecke, etwa bis zum Dorfe Katschug, in der Richtung WSW, dann bis Ustj-Iga NW—NNW, später aber bis Ustj-Kut hauptsächlich NNE, um alsdann eine NE-Richtung zu nehmen. Diese Haupt- richtung behält sie bis in die Nähe des Dorfes Muchtujsk, macht ferner bei Berjosofka, eine Biegung nach Süden, schlägt aber dann eine ENE-Richtung ein. Von Ulachana (nahe von der Stadt Jakutsk) wendet sich der Fluss ziemlich gerade nach Norden, beschreibt aber später, zwischen der Aldan-Mündung und dem Dorfe Bulun, eine sehr lange, schwache Krümmung nach Westen. Die letzte Strecke von Bulun bis zur Mündung ins nördliche Eismeer fliesst die Lena i der Richtung NNW—.N. Die Länge der Lena ist nicht gemessen worden und wird von den Auctoren ziemlich verschieden angegeben, von 4060 Km. (Larrix 1879, p. 91) bis 6000 Km. (vgl. Stanuma 1901, p. 56) Der schiffbare Theil derselben beträgt nach officiellen Daten (vgl. Sseroscuerskus 1896, p. 9) 4523 Km. und zwar der der oberen Lena (Shigalowa—Jakutsk) 2706 Km., der der unteren aber (Jakutsk—Eismeer) 1817 Km. Die Totallinge dürfte also 5000 Km. ziemlich nahe kommen. Die Lena hat eine Menge — etwa 1000 grüssere und kleinere (SSEROSCHEFSKIJ 1896, p. 11) — Zuflüsse. Es verdienen folgende oberhalb der Stadt Jakutsk erwähnt zu werden: Kirenga, Tschaja, Tschuja, Witim, Peleduj. Njuja, Patom, Oljokma mit der Tschara, Ssinjaja und Batoma; unterhalb der genannten Stadt: Aldan mit der Amga und der Maja, Ssitta, Kenkema, Wiljuj mit der Tschona, der Marcha und dem Tjunj, Manuruschka, Tschirimyj, Bachanaj, Edssan, Naschim, Shiganka, Yngyr, Menkerä, Muna, Natara und Molodu. — Die genannten Nebenflüsse sind von sehr verschiedener Grösse. Die grössten sind Witim, Oljokma, Aldan und Wiljuj, deren Länge aus folgender Ta- belle hervorgeht: N A. K. CAJANDER. Gesammtlänge: Schiffbar: rti o SED on a nme IO ITI URGES ()hokma CIE AAC E — > 1000 , Aldan cue WM c uber 2000, 1500, NAT RE ee nl OS NU C RUES 12000 (Reczus 1881, p. 761 u. 765; Sseroscherskus 1896, p. 12—15). Das Areal des ganzen Flussgebietes dürfte etwa 2395000 Km? (NoRDENsKIÖöLD 1880, p. 357) betragen. Der grösste Theil des Gebiets gehört zum Ost-Sibirischen Tafellande '), welches im NW an das Taimyr-Gebirge grenzt, im Osten von dem Werchojanschen Gebirgs- bogen und dem Aldan-Gebirge, im SW, S und SE von den Gebirgen, die die Um- rahmung des „Amphitheaters von Irkutsk” bilden, begrenzt wird. Das Tafelland besteht: 1) aus einer weiten palæozoischen Tafel, die unter dem ganzen Tafelland-Ge- biete vorhanden sein dürfte; es kommt sowohl Kalkstein (Cambrium) als Sandstein mit Gyps und Salz (Silur) vor; 2) aus einer Anzahl grösserer und kleinerer Schollen von pflanzenführenden Schich- ten, entweder der „Angara-Serie“ oder der tertiären Gruppe zugehörig; diese Binnen- landbildungen bestehen aus Sandstein, Conglomerat, seltener aus Schieferthon, oft von Kohlenflótzen begleitet und kommen im südlichen Theile des Tafelland-Gebietes sowie an der unteren Lena bis zum Fusse der Werchojanschen Berge vor; 3) aus Transgressionen des mesozoischen Meeres; sie strecken sich von der Eis- meerküste sogar bis zum mittleren Wiljuj (etwa 62° n. Br.); und 4) aus Ergüssen basischer Laven (Plagioklas-Basalte, Olivin-Diabase, gabbroartige Gesteine), die im westlichen Theile des Gebietes, am oberen Wiljuj, etwa bis 116° à. L. die palæozoische Tafel decken. In der Gegend der Wasserscheiden zwischen der Lena nebst dem Wiljuj einerseits, der Nishnjaja Tunguska, dem Monjero und dem Olenek andererseits giebt es mehrere Tafelberge mit steilen Abfällen. Sie bestehen aus einem Fuss von rothem Silur und einer Decke von basischem Eruptivgestein. Die Höhe derselben beträgt 600—700 M. In der Gegend der Biegung der Lena zwischen Witimsk und Berjosofka strecken sich die Randgebirge des Amphitheaters von Irkutsk am weitesten gegen Norden. Der nördlichste Vorsprung derselben, das Patomskoje Nagorje erreicht beinahe das Thal der Lena. Die höchste Spitze desselben, Teptoro, ist 1794 M. hoch. — Weiter nach Süden kommen mehrere Gebirge vor: das Hochland am Witim, die Nord- und Süd-Mujskije Chrebty, der Malchanskij Chrebjot nebst mehreren anderen Höhenzügen, die hauptsächlich im südlicheren 'Theile des Witim-Oljokma-Gebietes und in der Gegend der Wasserscheide gegen die Zuflüsse des Amur gelegen sind. Sie bestehen aus ge- 1) Die Darstellung der geologischen Verhältnisse basiert sich auf SuEss 1901. Tom. XXXII. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 3 falteten archaischen, da und dort aus eruptiven Felsarten mit wenigen Schollen jüngerer Süsswasserbildungen. Gegen das Ochotsche Meer wird das Flussgebiet der Lena (resp. des Aldan) durch das Aldan-Gebirge und zwar durch den etwa 1200 M. hohen Dshugdshur (Por- phyr, Granit, Gneiss-Granit) begrenzt. Das Flussgebiet des Aldan ist aber selbst — von dem Höhenzuge Köch-Kat abgesehen — als eine östliche Erweiterung des Ost-Sibi- rischen Tafellandes zu betrachten. Nördlich von dem unteren Aldan und östlich von der unteren Lena läuft der Werchojansche Gebirgsbogen (Silur, Devon, Carbon, Trias, Jura, Granit vgl. v. Torr 1894 p. 445 und 1899). Die höchsten Spitzen desselben, an einem Quellenfluss der Indigirka, dem Kerachtach, erreichen nach Tscuerskıs (1893 p. 8) eine Höhe von bis etwa 2300 M. Nach Westen und Norden wird das Gebirge allmählich niedriger. So sind die Berge am Tjukulanschen Pass (am Postwege von Jakutsk nach Wercho- jansk) etwa 1675 M. hoch (vgl. Hırkıscn 1897, p. 43), nicht weit von der Eismeer- küste übersteigen sie kaum 900 M. (v. Torr 1894, p. 445). Der Felsgrund wird meist von einer + dicken Schicht von Sand oder Schutt be- deckt. Moränenbildungen kommen im Witim-Oljokma-Gebirgslande vor (KroPorkiN 1873, Kosrmx 1890, Osrursoner 1891); ausserdem sind solche zwischen der oberen Indigirka und der Kolyma (Tscuerskıs 1893, p. 26—27) sowie bei der Anabara-Mündung (v. Torr 1894, p. 447) gefunden worden. Die klimatischen Verhältnisse des Lena-Gebietes und überhaupt des östlichen Sibiriens sind äusserst excessiv. Im Winter stellt sich das grósste und konstanteste Barometermaximum der ganzen Erde ein, begleitet von einem klaren Himmel, einer ruhigen Luft und einer ausserordentlich niedrigen "Temperatur; die Niederschläge sind spärlich. Im Sommer ist alles umgekehrt: niedriger Barometerstand, hohe Temperatur, stärkere Winde und viel reichlichere Niederschläge. (Vgl. Hann 1883, p. 522—543, Wozrkor 1887, Il, p. 319—341). Am typischsten finden wir diese Verhältnisse in der Gegend Marcha—Ustj-Maja— Werchojansk ausgeprägt. Die für das Verstehen der Vegetationsverhältnisse des Lena-Gebietes wichtigeren Climatologica sind in folgenden Tabellen veranschaulicht worden. Die Werthe sind nach in den Jahren 1891—1900 gemachten Observationen, welche von dem russischen Central- Observatorium publieiert worden sind, berechnet worden, nur diejenigen von Ssagastyr beziehen sich auf die Observationen von 1882— 1884, bearbeitet von EIGNER. Temperatur (internationale Scala). re Ta | ! I | | Januar | Februar | März April | Mai Juni | ER SEA | DRE | r | , || b | t T I | | | Omoloj (1894—1900) . «7 274 — 8,—524|—233,|— 1,3|—4841|— 14,3 -- 11, — 41,7 — 1,1| 4- 23,9 — 80a + 74|4-254|— 13,8|-- 1552| 4-32,3| — 2,4 Kirensk (1892—1900) . 1291 - 2,6 -57,3|- 23,1] + 1m — 55,0, — 13,2 + 8,2|— 42,1 — 1| +21 314 7,8| + 26,1 | — 14,5| 4+16,2|+33,7|— 4,2 Blagowjescht. (1891 — 1900) | — 31,3) — 4,4 — 54,2 — 26,9 — 04|- 53,0 | — 16,3 + 10.3 -43,| — 5,5|+ 15,7 E + 46|+21,5 — 195 | + 13,0 +32,1| — 45 Oljokminsk (1891—1895) . | — 34,6 — 125) — 56,8 | — 27,0 — 9,|—57,5|—155|- 94 E 3,|-- 91|—259| 2- 7,41|-2-24,0| — 142] +16,2| + 3051| — 2,5 Ustj-Maja (1893 — 1895). -40,7 — — |-80s — | — |-195| — — |= 55 -«14s| — |+ 5s|4-167| — |+ 138) 4-260 — Marcha (1891—1900) . .| — 45,6 — 15,5| — 60,5 | — 37,4 | — 12,0 — 65,0! — 22,9 + 8,0/—43,2|— 82 +120 —30,5|+ 6,3 |+ 16,1 Eole 0,5 Wiljujsk (1898—1900) . || — 42,8 — 18,3 — 57,8|| 32 — 12,3 — 53,5 | — 22,2 — 2,0| — 46,31] — 9,5| + 15,6 = 35, + 44 1+13,2 +28,5 — 44 | Werchojansk (1891-—1900) | — 51,5 -224|— 67,3) — 442 — 9,9 — 69,8 | — 30,3 + 3, — 58,2] — 12,7 +11,0|-545\+ 3,6 | -I- 13,6 | + 31,5 an Kasatsche (1895-1896) .| 349 21,511 — 26,5) 11,0|- 394] - 242|— 90] —456)—154|— Os -35,711- 2 + 92] 4-195] — 1, Ssagastyr (1882—1884). . || 36,5| — 224 — 47,| — 38,0 — 19,8) 53,2] — 34,4 | — 18,6 | — 47,5] — 21,5; — 43| —874|— 9,6 + 0,0 +12, — 12,6 RC I EE | | | | i | | Juli | August | September | November | December | Jahr | | -—-| 7 - | || — —_ | | Ele cm Eget EE ct Res | slt) s)É sels IRIS Fins RIEIIR E ee = a. za Ds E B Zee as | | | | | | | | | | | | (nolo M + 0,3] + 15,3 + 33,9 | — Ba 7,3) + 27,2) — 1 |+ 4,3 — 428) 234) — 3,5|—48,|— 3,5 +347) — 524 Kirensk -— 0,4 -- 16,2 + 34,1| — 5,31 + 7,3| 4- 25,8| — 90) + B, — 43) — 23, | + 1,7] — 51,31] — 3,4 +341) — 57,3) Blagowjeschtschenskij. . _ 0,6) + 13,4 + 35,5] — 3,|-- 5,3 + 25,9) — 14,6 E 1,3) —44,)9| 26,9) — O,2|=47,6|—, 6,3) + 35,5 | — 54,2| Oljokminsk . . . . + 4, 414,21 +29,8| + 02 + 72,+212|— 6,2 = 1,01 — 42,8 — 34,7 — 6,3| — 54,2 — 6,5 +33,2 | — 57,8 | TINGEN) a ERE E — |+ 13,1, + 27,0] — | 6,4 | + 16,0! — — | | 37,11 | |— 8,9 + 28,0 | == | Marcha é + 62|+15,1|/+32,1/—= 1,0|+ 69|+ 26,0] - — 4,0) — 4650] = 39,0) 36|—57,|— 105 43550) — 65,0) UNIS PRES + 0,0 | + 14,6 +340| — 6 + 5,2| + 23,0| — 10,0! = la = 47,4 — 38,6 | — 10,5 | - 95,5 — 10, | + 34,0, — 57,6 Werchojansk . . . = 2,3) + 10,38 | + 29,1| — 6,3) + 2,5 | + 22,3| — 16,3 + 0,3 A _ 18,0 | — 641) — 15,1| +33,1| — 69,8 | IMKASateChe T T NT TOM 3i + 15|+ 9,0 | + 26,5 | — 14] + 3,9, + 20,0 = = 5,0! — 39,2 — 34,3) — 21,3 | — 49,44] — 11,5 | + 29,0) — 5144 | Ssagastyr. . 2. = 02+ 3,5|--198|— 1.2)+ 0,3|+11,0| — 12,3 — 12,3| — 38,1 | — 33,5| — 14,8 | — 49,2] — 17,2; + 12,8 | — 53,2 | 1) Nach den Monatsmitteln berechnet. 16 | 1€ | 06 | O6.| 16 | 28 | ee | Y 6€ | 0 DS D Ir |0 || 63 | 9 | oe | 98 | i£ | TE | 86 | SG | t€ | TE |" * (00611681) xsuefoqoxe A. te | te | oe |o | 88 | ec el Lo le |o lo jo MT | 0 | za | 2 | 63 | Es | te | 16 | se | | 16 | I£ |^ " (0061—8687) em | IE | T6 | OE | ces te) ve 6) |- ho? lo | 0% | 1 |o ere | oe | zu | 1€ | 16 | 8c | 86 | ter TE (006L—168T) wqorem | 16 | 16 0€ | os los | 27 8 "0 10 to-|co- 0 0 | o er | 08 | er | 1e | 8a | 86 | 88 | 16 | TE |" ' "(C68L—T68D) xsurunxofto | Te | Te | 06 | e |o 2 jor|r |e [o |o |o |* Jon | 0€ | St | 16 | 62 | 86 | 88 | Te | 18 | ° " * (0061—1687) nos wie oe 2) 2e be ns Ir lo lo lo |r |o der )o de) 2 |15|sz| s | s | TÉ. ve | (0061—268T) susct be | 16 | oe | 82) sg er arr |t |o |o |o le lo ler | o Me s EG | ge | 86 | 1€ | 16 |" " * ' (o06L—T08D) loroug Réal RE | PA) I Era | | | | = © © S | o =] | e B S © =) | = | = | - © =S | = = © e (=) © = | vi VIT V V V VI | v VIL | M vi vi | vi wi | vi vir | Vil Vir | V Vil | Vv VI. |. Vit | VI | | À -m im rs eme mie AA |A | mes Sn A |A A | À A |A). | ‘29(] | AON 10 “dog | gsnSuy up run fp Uem dy | .Zzrew 1019 1 | Tenue | I (0 > 'xeN) A99J9MNEUL ouuo o3e] pun (0 > ui) e3933sod,qp I9P Iyez 6 A. K. CAJANDER: Geschwindigkeit des Windes (M. pro Secunde). Januar April | Jahr emu I year Pre MOI DIO Omoloj (1894— 1900) . 1:1: 9,5-| elec er Mol E]: sr ol nal Se BS ke Kirensk (1892— 1900) 2,0 | 2,2 | za 236. 54513] 2251 | 1599 el TG | 2,6 | Sa sl 22:27 3.0280 Blagow. (1891—1900) On | Os! Os] O7 | 235 | ly | 04| 21) 101 0,7| 1,72| O8 (OSA 1,7| Os Oljokminsk (1891—1895) 0,2 | 131 | 0,01 1,4 | 28 | la ae RE GC Dal SE = Marcha (1891—1900) . Zu 20 BE 3,0 | 4ı| 32| 31| 46| 251 31| 381 36] 2,5 36| 25 Ustj-Maja (1898) 0215007821 CO ES CT ET 3:7 ENG ES 2,2 2 Wiljujsk (1898—1900) 1,6 | 1.9 | 12] 2:30) 38 | 231| 3»| 39| 1,7| 235) 36) 271 26| 35 2 | Werchojansk (1891—1900) 0,5 1-05 ! 0,5 |! 0,9 | 23| Ol 22 | 33 19! 11] 14| 12 (0723922 teo Kasatsche (1895—1896). I 32| 26; 3:3] 354 45 3,9] 5,5; . 5; | 3, | 3,2 | 3,51 4,0) 42| 4,0 Ssagastyr (1882—1884) . 429] 481 51] 51| 5,7 | Sol 8$] Gel all 67 Wo) 681 6,1 |. 6,8. 60 Häufigkeit der Winde. ‘Hana | allen | | | | am PTT N | NE | E | SE | S |SW| W NW| N INE E | SE! S|SW|W Nw | | | De RE Fa Omoloj (1894—1900) . EC 0710243 1 ctu Md OUS | 461249 0x38 | NE AS 7 Kirensk (1892—1900) 7 lf MR AN rat) (SS ON 12 M EI) 3 6 6 8 | 16 | 14 | 10 Blagow. (1891—1900) i! 10) 0 | 28] 10e 606 ile) 2 3 2 | 10 3) 11 7 Marcha (1891—1900) . 231. |: 440 |) 0) 5 228332 | anıl all 7. BN RN Ustj-Maja (1896— 1898) . 28 (KSR 00,000: EON eC (41 12:12 au s eio TES MS C c vo Wiljujsk 1898—1900) 2 ala a 5 Se 1 10.111 ie c 7 |. 10 |. 15 | 13 Werchojansk (1891—1900) | 3| 2| 1, 1| 2|130|14| 4| 13| 16| 5| 1| 5| 7| 3| 5 Kasatsche (1895—1896). .| 6| 9| 4| 1|111 18| 16. 1110| 9| 9| 5| 7j 4| 17 | 12 Dh! Juli | Oktober Tom. XXXII. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 7 Bewölkung (Decimalscala). Januar | April Juli | Oktober Jahr MAL = Bet. | u ar 7 1 9 | 7 1 9 7 1 9 7 1 9 allen 9 | | | | | | | | | | Omoloj (1894—1900). . . . .| 69| 6,71) 5,31 63| 7,5! 49| 65| 63| 61) 84 8 | 6,5 || 7,2) 70| 5, Kirensk (18921900) 0 . .| 6,71 6,3 | 561 7:11 73 601 65| 6,7 631]| "86 | 8j at | 7.3 | FUME Blagow. (1891—1900) ol 7| 56) 621 69| 5:11M63 070 5,| 83|8|66 Zul Zu| 5s Oljokminsk (1891—1895) . . .| 52| Zw| 45| 53| sl 38] 54| 59| 6,0) 8ı| 7,0 | 48| — | 6,4 | — Marcha (1891—1900). == = a .| 3.| 3,9 | 353| 6,4 | 64 | 64 6532 TT Een are 91625] 1891: EG Ustj-Maja (18938—1898) . . . .| 33| 4:| 39| 3:5, 3y| 36) 41] 34| 4] 5s| 53 | 54] 3| 4o| 3, Wiljujsk (1898—1900) . . . .| 5,6| 53| — | 4e| 54| 49| 57| Ba) 67) 8o | Te) Tell 62] 62] — | Werchojansk (1891—1900) . .| 2», 32, 25| 44| 4s| 4o| 62| 64| 62] Zul 6:1| 57) 51! 53] 4| Kasatsche (1895 —1896). . . .| 6,61 5,1| 3,9! 6» | 5s| 5s] Tub At] 63] 7,5 6,7 | 63| 7,0) 68| 5» | | | Ssagastyr (1882—1884). . . .| 321 58 34| 541 511 Sal Bal Tal Gal Zul 821 641 63) 66| 5,01 Relative Feuchtigkeit ("/, der Sättigung). ] V I 2 | Januar April Juli | Oktober Jahr | as pc = I u | | | | | | | 7 1 | 9 gie n On cz nd 9 | CO ET 9 7 1 9 I I I | | Omoloj (1894—1900). . . . .| 80 | 74 | 79 | 73 | 47 | 71 | 75 | 51 | 80 | 83 | 65 | 81 79 | 59 | 79 | Kirensk (1892—1900) . . . .| 8l | 77 | 80 | 74 | 49 |. 62 | 77 | 52 | 73 | 85 | 64 | 77 | 80 | 60 | 75 | Blagow. (1891—1900) . . . .| 78 | 75 | 78 | 76 | 53 | 71 | 75 | 52 | 77 | 86 | 64 | 81 | 79 | 61 | 76 | Jakutsk (1895—1898) . . . .| 82 | 82 | 821 75 | 60 | 67 | 75 | 53 | 69 | 90 | 76 | 85 | 80 | 68 | 78 | I I | | Ssagastyr (1882—1884). . . .| 85 | 85 | 85 | 87 | 87 | 87 95 | 90 92 88 | 88 | 89 | 89 | 86 | 88 Niederschläge. | Januar Februar | März April | Mai | Juni ae mer ER er Mm ie mecs De eer qe m i En Nieder- Schnee- | TE Nieder el Ru Nieder- Sehnee- | cp Nieder- Green) ÖT | Nieder chao: Re Nieder-|Schnee-| | | Mm. | schlag | fall | Mm. | schlag | fall | Mm. |schlag | fall | Mm. | schlag | fall | Mm. | schlag | fall | Mm. | schlag | fall | | [ [ | | | Omoloj (1894—1900) . .! 9 13 13 | 8 12 12 | 8 12 12 12 10 8 | 26 11 4 39 11 0 Pense (ee 1600) dis 1 1831.18.33: 18] 48-| -9 | 18 | 130) 12 30) eo ala | 00 | Blagow. (1893—1900) . .| 13 | 12 | 12 | DEOS 100 al su RR te Et oa OS | Oljokminsk (1893—1894) . | 7 6 CNRS 11 11 5 9 9 6 4 4 12 7 1 40 9 TN | Marcha (1893—1900) da ale) (N 5 5 5 6 6 14 7 7 19 7 4 | 38 9 0 | Amginsk (1894— 1900) . 5 b) 5 | 8 3 3 | 1 2 2: | 10 6 5 13 5 2 | 24 7 0 | | Ustj-Maja (1895—1900) Bios 7 | au 5 29 es 3 3 8 5 4 7 4 07. 31 9 0 | | Wiljujsk (1898—1900) . 5 10 10 | 5 Oleg | 3 | 6 6 | 3 5 5 113, e EN es ENT 48 11 0 | Werchojansk (1893—1900) 4 7 d LU 6 63 | 4 471 6 4 | 4 7 6 3 41 10 OU Rosatsehe iso) mel) 2110) Ib P8 2 ERO | A| 30 9 gar 3 NR 9 | 46 9 2 | | Juli | August September | Oktober | November | December | Jahr !) Jl | | | | | | | Nieder- 'Tage mit | Nieder- Tage mit | Nieder- Tage mit | Nieder- Tage mit Nioder- | Tage mit | Nieder- Tage mit | Nieder | Tage mit | Ssehlags- | —— |schlags- ——— —— -— —|sehlags- |- | schlags- : — |schlags- 3 | schlags-|- == ——|schlags- = —— menge | Nieder- | Schnee-| menge | Nieder- Schnee- | menge | Nieder-| Schnee- | menge | Nieder-| Schnee-|| menge | Nieder- Bchnoo-| menge | Nieder-| Schnee-| menge | Nieder- | Schnee- Mm. | schlag fall Mm. | schlag fall | Mm. | schlag fall Mm, | schlag fall | Mm. | schlag fall | Mm. | schlag | fall || Mm. | schlag fall | | | | | | | | | | IR rol] e ERE od .| 60 12 0 | 55 13 | 0 | 48 14 | 3 | 25 18 | 14 | 16 | 20 19 | 12 18 18 | 314 | 164 | 103 IRSTEnSk en ee A END 12 0 41 SE Sol er: 13 4.25 18 | 14 26 | 21 21 || 26 20 20 | 326 | 179 117 Blagowjeschtschenskij . 46 13 0 59 12 0 | 29 11 4 31 15 14 | 28 17 1718028 14 14 334 | 145 | 97 | Oljokminsk . . . . . .| 21 Od EEE ze: RCE PAS DOS oe ee re TS Ro en. Cite 0250| 102 |. en Maroha et. EN Ne AO 7 0 | 36 7 0 | 33 | 10 1 19210 9: 12° - 10, 102] 12 8 | 8 | 243 | 92 | 56 | Amginsk . APE PTS | 37 6 in) | 26 5 0 30 7 1 | 16 7 6 | 13 7 7 8 GENS 191 66 | 36 aUst Maja ee, 50 10 0 | 24 8 0 34 8 ep ER 8 8 | 8 5 5 8 4 4 198 | 83 | 38 unns D 5 ee il) 0 | 58 8 0 |-98 | 12 eem ee NS eos era € 223. la 0 | Werchojansk . . . . .| 29 9 0 | 29 9 id IT 8 3 9 7 7 | 9 9 9 4 7 76103 86 | 51 Kasatscher 2, zn 2, d lA 6 0 18 10 3 | 24 17 6 20289 NEST 11 20 14 14 | 10 3) |) 193 131 | 97 1) Die Werthe aus den Monatsmitteln hergeleitet. Sr Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 9 Maximale Dicke!) der Schneedecke (in Cm.). | TE HAN. 4l | | Omoloj | Kirensk | Blagow. | Marcha | Maja | Wiljujsk | Werchoj. | Kasatsche | | | | | | 1892 | — 58 63 — — = = = — 1803 | — 32 73 = = = =. e£ = 1894 | = (port 79 — - — — — = 1895 35 36 A Re 45 45 = = (44) == 1896 | (28) 36 | (61) 88 AE 2 38 (23) (18) 1897 | (40) 56 | (55 2 (23) (24) ET 33 (33) 1898 (40) 50° "|. -(86 de |. 252 30 43 = = 1899 | — 64 58". | 100 51 33 43 m = - 1900 | ' 54 60 | 7510 de (235) | (84 44 = = Mittlere Zahl der Tage mit Schneedecke. — - 3 | ———— Omoloj Kirensk Blagow. Marcha | Amginsk | Ustj-Maja | Wiljujsk Werchoj. | Kasatsche m mmm (1895—1899)(1897—1898) (1899) (1896—1897) (1896 -1897) | | | | 184 | 191 215 216 Be: M 193 | 220 | 223 | 251 Auf- und Zugang der Flüsse. CTS | | [ | | | | 1891 | 1892 | 1893 1894 1895 1896 | 1897 1898 1899 1900 | "bes n PO LUN T2 b. E & E —T| : j^ ll leIs/iels/ieisieisiejisielsieisieisieisieis El ee RES AN ES | ee Late ef ee PSI EURE ELXEBMESEBSEUESESESEXIESCSI MESE SEE | | | «œ | | | | | Lena bei Omoloj. .| — |— ESS 7x | */v sx) !/v [25/x.|92/v. 95/x. | ]rv.| 2/xx 99/1 yx | | | Il a 5 Kirensk pu — [sv /xr 23/ıv zB bs [89 / 1v j28/x: HO /vr six S Le 3Iv Lib nv ie 1/w HER 2/V 23/x NUS a | TT PU RUD LE "an a 7 — — | == | cmm om » oo» Oljokminsk| — [S/S | */xr rjv] ae) — le || — lev | — | — |28/x — > ^ » Marchinsk | — | — ET &fx1| — | — y box [sve | xnepv | — | — | — [ev ftx [25/v X 1 — | — Kirenga bei Kirensk | — | — | !*/v '*/x1 ?3/1v ?!'/x1) */v | — öv | — || — | — | 3/v [13yx0l ®,v |1;xi !/v. |'2/x1 | 5/v. | /xi Witim bei Blagow. ne WES = APN fl — | — | = — | ee eese Amga bei Amginsk. | = — | = 18/x Pa) 3x | — [rix Juv nx iv nix tv. 207% | öv | — Wiljuj bei Wiljujsk.| — | — || — | — | — | — | — | — | — ea jv | — | — | — lev [x ev Box lav | — !) Maximum der für jeden !/,-Monat gerechneten Mittelwerthe der Schneedicke. N:o 1. 10 A. K. CAJANDER. In engem Zusammenhang mit der ausserordentlich grossen Winterkälte resp. der davon bedingten niedrigen mittleren Jahrestemperatur (unter — 2° C.i) steht das stetige Gefrosensein des Erdbodens; nur der oberste Theil des Lena-Thales, derjenige ober- halb von Muchtujsk, liegt ausserhalb des Gebietes des Eisbodens (vgl. die Karte bei ‚JATSCHEFSKII 1889). Die Mächtigkeit der gefrorenen Schicht scheint grossen Schwan- kungen unterworfen zu sein. Auf Grund geothermischer Observationen nimmt v. Mrnnex- DORFF für die untere Grenze des Eisbodens folgende Tiefen an: M. M. x „ [Sehergin-Schacht. 187—204 — & E f Amginsk-Grube . .unter 61 55 y Leontjef-Grube . . . 116 = 2 | Dawydof-Grube . . 21—30 ss ) Mangan-Grube . . . 82 Oljokminsk-Grube . . 18 FU Sehilot-Grübe NO MOI (v. MippENponer 1848, p. 157—164). Auch die Mächtigkeit der aufthauenden Bodenschicht oberhalb der stetig gefrore- nen ist eine sehr verschiedene, was nicht nur von klimatischen Verhältnissen, sondern auch von Bodenart, Exposition, Oberflächenform, Vegetation u. s. w. abhängt. An trocknen sonnigen Hügelchen muss man oft 1 '/,—3 '/, M. tiefe Gruben machen um die gefrorene Schicht zu erreichen (SsERoscuErskr; 1896, p. 40). In den Umgebungen von Shigansk war der von dem Moose bedeckte Waldboden (Mitte August) schon in einer Tiefe von 15—35 Cm. steif gefroren. In den nórdlicheren Theilen des Gebietes der gefrorenen Erde kommen Steineis- bildungen vor, theils recente, theils quartäre (vgl. v. Torr 1897). — Characteristisch für das Eisboden-Gebiet sind ferner die Aufeisbildungen oder Taryne (über dieselben vel. v. MIDDENDORFF 1867, p. 439—453, v. Dirmar 1890, p. 62—69, v. Maryoerı 1896, p. 1—33 u. a.). Die Lena fliesst in einer alten Erosionsfurche. Die Wände der Furche bestehen meist aus steilen Schutt- und Sand-Abhängen, sehr häufig tritt jedoch auch der feste Felsgrund zum Vorschein. Von einer Menge Thäler sind die Erosionsabhänge tief ein- geschnitten, wodurch sie oft die Form isolierter Berge erhalten. Stellenweise ragen sie gleich am Wasserrande empor, gewöhnlich aber sind sie durch schmälere oder breitere allu- viale Niederungen von der Lena getrennt. Die relative Höhe derselben beträgt etwa 250—300, sogar bis 415 M. (Erman, nach Citat bei Krororkın 1873, p. 184). Bei der Fahrt in einem Boote oder in einem Dampfer erhält man daher leicht den Eindruck, als ob die Lena ein Gebirgsland durchfliesse, besteigt man aber einen von den Ufer- bergen, bemerkt man nur eine schwach undulierte Ebene (vgl. SsEroscHErsKiIJ 1896, p. 7). Die Uferfelsen bestehen bald aus rothem, kalkbemengtem Sandstein — so be- sonders an der obersten Lena bis Kirensk — bald aus gelblichem bis weissem oder grauem Kalkstein — von Kirensk nach unten (vgl. Krororkın 1873, p. 163—183). Gegen die tiefgrüne Farbe des Urwaldes bilden sie einen scharfen Contrast und verlei- hen der Landschaft ein characteristisches Gepräge. Nennenswerthe Felsen sind die schó- Tom. XXXII. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 11 nen, rothen Sandstein-Berge zwischen Katschug und Wercholensk, die grauweissen Schtschoki und Pjanoj-Byk etwa 270 Km. von Kirensk abwärts, die weisslichen Felsen an der Grenze des Jakutischen Gebietes, sowie die gelblichweissen, hübschen „Stolby“ (Säulenberge) nicht weit oberhalb der Stadt Jakutsk. Von der genannten Stadt abwärts sind die Uferabhänge viel niedriger, höchstens etwa 100 M., die meisten aber nur 20—30 M. Die höheren unter denselben bestehen vorzugsweise aus grauweissem Sandstein. Es sind folgende, alle an der westlichen Seite der Lena gelegen: der Ssurgujef-Kamenj (45 M. hoch, nach Bunge 1895, p. 6) zwischen Jakutsk und der Aldanmündung, der Longko-Chaja bei der Mündung des Wiljuj, sowie der Tschirimyj-Chaja (bis 75 M. hoch, nach "TseuEekANorskr 1896, p. 208) und der Bachanaj-Chaja (bis 90 M., nach 'TscHEKANOFsKIJ 1896, p. 210) zwischen der Wiljuj- Mündung und dem 66" n. Br. Etwa vom 66" n. Br. an bis zum 70" sind die Ufer- abhänge zu beiden Seiten auf langen Strecken durchschnittlich 30—100 M. hoch und bestehen aus weisslich grauem Sandstein, in welchem stellenweise (z. B. bei Naschim, bei Shigansk etc.) bis 3 M. dicke Steinkohlenschichten eingelagert sind. Von der allgemeinen Regel, dass die Umgebungen der Lena Ebenen darstellen, machen die Gegenden zwischen Witimsk und Berjosofka, am oberen Laufe des Flusses, eine Ausnahme. Dort sind nähmlich die Patomschen Berge in der Ferne sichtbar, ja ein "heil der Vorberge kommen sogar ganz nahe an die Ufer der Lena. — Ebenso erreichen an der unteren Lena die Vorberge („die Aldanberge* bei Buxce 1895, p. 7) des Werchojauschen Gebirgsbogens an mehreren Stellen zwischen den Mündungen der Nebenflüsse Wiljuj und Aldan das Thal der Lena. Gerade der Mündung des letztge- nannten Nebenflusses gegenüber kommt eine lange Reihe zu diesen Vorbergen gehören- der ,Goljtsy^ (Berge mit waldlosem Gipfel, ,Glatzkôpfe“) vor. Weiter nach Norden entfernen sich die Berge wieder mehr und mehr nach Osten, so dass sie z. B. bei Shigansk nur als unbedeutende, weissliche Gipfel am Horizonten sichtbar sind. Noch weiter aber gegen Norden kommt die nórdliche Fortsetzung der Bergkette, die Chara- Ulach-Berge, abermals näher zum Flussthale, und die letzte Strecke von Bulun bis zum Eismeer ist das Lena-Bett in einem tiefen Thale zwischen dieser Bergkette und den Tafelbergen des westlichen Ufers eingeengt (vgl. v. Torr 1899, p. 8). Die Breite des Flusses ist an verschiedenen Stellen eine sehr verschiedene. Beim Dorfe Katschug beträgt sie nur etwa 65 M. (Larkın 1879, p. 92, SsERoscHEESKIJ 1896, p. 9), bei Kirensk 640 M. (Sseroscuerskn 1896, p. 9), schon oberhalb der Schtschoki 1 Km. (Gwszuw 1752, p. 297), den Schtschoki gegenüber nur etwa 215 M. (GMELIN 1752, p. 297—8, SsEmoscuErski; 1896, p. 10), gleich unterhalb der Witim-Mündung schon wieder über 1 Km. (Buwar 1895, p. 4, v. Mavoern 1896, p. 303). Zwischen Oljokminsk und Jakutsk (Ulachana) dürfte die Breite an mehreren Stellen 3, vielleicht sogar 4 Km. betragen, jedenfalls nirgends unter 1 !/, Km. (SseroscHersKkis 1896, p. 10) '). !) v. MavpELLs Angabe (1896, p. 303), dass die Lena dort „wohl nirgends unter vier Werst von Ufer zu Ufer“ messe und das die Breite ,stellenweise . . . eine noch viel bedeutendere* wäre, betrachte ich als unzuverlässlich. Dasselbe gilt von den Angaben desselben Auctors (p. 302) für die Breite der unteren Lena (10—16 Werst). N:o 1. 12 A. K. CAJANDER. — Bei Ulachana, nicht weit oberhalb der Stadt Jakutsk, erweitert sich das Flussbett sehr bedeutend. Schon in der Nähe der Stadt soll es — von der schmalen Stelle beim Ssurgujef-Kamenj abgesehen, wo die Breite nur etwa 3—4 Km. ist (SSEROSCHEFSKIJ 1896, p. 10) eine Breite von 10—16 Km. haben (v. Minpexporrr 1867, p. 238, Buweg 1895, p. 6, Sseroscuerskıs 1896, p. 10), nach den Einwohnern der Stadt soll an einigen Stellen sogar eine Breite von 18 Km. vorkommen. Weiter gegen Nor- 1 hat die Lena eine durchschnittliche Breite von 18—32 Km. (Jürsens 1885, p. 252), doch giebt es Stellen, wo der Fluss die ungeheure Breite von 40, nach den bee der Eingeborenen sogar 50 Km. oder vielleich noch mehr (?) erreicht (Bunce 1895, p. 7). Es ist daher gar nicht zu verwundern, dass man auf einer Fahrt die Lena entlang „auf einem grossen See zu fahren“ glaubt, „nur die Strömung erinnert daran, dass man sich auf einem Fluss befindet; nach N und S wird der Hori- zont häufig durch eine unbegrenzte Wasserfläche gebildet^ (Buxce 1895, p. 7). Die breitesten Stellen befinden sich in den Gegenden zwischen den Mündungen der Neben- flüsse Wiljuj und Aldan. Weiter gegen Norden nimmt die Breite nach und nach ab, ist aber jedenfalls etwa bis zum 66° n. Br. immerhin eine sehr beträchtliche. Noch weiter nordwärts verschmälert sich das Flussbett noch mehr; so ist die Breite: Km. bei ‚Shigansk.! „4.1. otio 1016 noissiktjacll is HOUR a 4 s bini is moved Dus Kumach-Surı au 1:35 (Currror 1856, p. 58, Jörgens 1885, p. 254, Buxak 1895, p. 9—12). Gerade an ihrer Mündung (bei Turachtach) ist die Lena wieder etwa 10 Km. breit (Curmor 1856, p. 58). ke: 7 Auch die Tiefe des Flusses ist bedeutenden Schwankungen unterworfen. Von chu abwärts beträgt sie nur 2 M. (Larkin 1879, p. 92). Von der Witim- Mündung an abwärts ist die Tiefe des Fahrwassers selten unter 10 M. (SSEROSCHEFSKIJ 1896, p. 11)'), von Shigansk nach Norden bis 32 M. (Jürszns 1885 p. 253), bei der Mündung der Ssemejka ist (im Hochsommer) sogar in der Tiefe von 36 M. kein Grund gefunden worden (Buxer 1895, p. 12). Die tiefsten Stellen überhaupt sollen 40 M. und noch mehr messen (SsEnoscuErskn 1896, p. 11). Die Neigung des Flussthales ist anfangs recht gross, wird von Kirensk abwärts geringer, unterliegt aber auch weiter nach unten gewissen Schwankungen. Folgende Data über die absoluten Höhen der Lena- "Ufer können eine gewisse Vorstellung von der Neigung geben: : ') Schon zwischen Saborje und Kirensk wird eine Tiefe von 15 M., den Schtschoki gegenüber sogaı von 25'/, M. angegeben (v. WRANGEL 1839, I, p. 131—132). Tom. XXXII. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 13 M. M Mansurka 2: on u. 630 Tee ns 16 ASE , 0. alt. s 564 96 Km. unterhalb Wercholensk . . . . 542 Tandis esos rte ut69 bhipalowa3... "#0 . 475 Kabakanskoje . . . 158 COMPOSER 946 Aldan-Mündung . . . 141 BR RUN PH. 316 Wiljuj-Mündung. . . 129 Marköwal. >. v. … .- 285 Tschirimyj-Mündung . 115 Kirensk 273 SHARE er 08 Itschorskaja 254 Menkerä-Mündung . . 66 Witimsk 239 SSSR neo: ie 48 Muchtujsk . 228 (ou NCLL. hes, 2 140 Nochtujsk . 214 Bunter curd. (oi HS Oljokminsk 203 Stolbowop u$ le. ud. wn da Krestjach . 187 Babuschkin Belkiöj . . 6 (MöLLEr 1894, p. 12—13). Vorausgesetzt, dass die Observationspunkte in Bezug auf die Wasserfläche der Lena gleich hoch gelegen seien, was übrigens nur annäherungsweise der Fall sein dürfte, wäre die durchschnittliche Neigung folgende: Cm. auf 1 Km. Mansurka—Shigalowa . . . . fast 100 Shigalowa—Kirensk. . . . . . . 28,5 Kirensk— Witimsk . ERR LS e NT A15 Witimsk — Nochtujsk e" LEM Nochtujsk—Oljokminsk . . . . . 3,0 Oljkminsk—Jakutsk . . . . . . 3,8 Jakutsk—Aldan-Mündung . . . . . 165(?) Aldan-Mündung— Wiljuj-Mündung . . 5, Wiljuj-Mündung—Shigansk . . . . 7,3 Ghigansk--Ssiktjach "Arm nn ad bsiktjach— Bulun ! . CERN LEES Die Strömung der Lena ist, da keine Wasserschnellen vorkommen, eine ununter- brochene. Anfangs ist die Geschwindigkeit recht gross, wird aber weiter unten, wenig- stens von Kirensk an, bedeutend geringer. Eine gewisse, wenngleich sehr ungenaue Vorstellung von der durchschnittlichen Geschwindigkeit der Strómung oberhalb Jakutsk kann man erhalten, wenn man sich erinnert, dass die Pawoski (grosse Prahmen, über dieselben vgl. v. WRANGEL 1839, I, p. 127, Buxce 1895, p. 3—4, v. Mavpeir 1893, p. 19) im Frühsommer in 18 Tagen die etwa 2800 Km. lange Strecke von Katschug bis Jakutsk schwimmen kónnen, und dass die Postdampfer, die den ganzen Sommer hindurch N:o 1, 14 A. K. CAJANDER. einen regelmässigen Verkehr zwischen Ustj-Kut und Jakutsk (wenig über 2300 Km.) unterhalten, für eine Reise nach unten etwa 6 '/, Tage, in entgegengesetzter Richtung aber 11'/, Tage brauchen"). — In der unteren Lena, von Jakutsk abwärts, ist die Geschwindigkeit überhaupt eine viel geringere, leider kann ich aber keine Data darüber anführen. Am geringsten schien die Stromschnelligkeit ein wenig unterhalb der Aldan-Mündung an der Wiljuj-Mündung eine Strecke abwärts zu sein. Weiter gegen Norden nimmt sie wieder zu und dürfte in den Gegenden zwischen Bulun und Kumach-Sur kaum derjenigen der obersten Lena (Katschug--Shigalowa) nachstehen. Beim Beginn des Deltas nimmt sie rasch ab. Uebrigens ist die Geschwindigkeit an verschiedenen Stellen eines jeden Quer- schnittes eine sehr verschiedene (vgl. Prxck 1894, p. 268—69). Während z. B. bei der Mündung des Aldan ganz nahe am rechten Ufer ein sehr starker Strom herrscht — es ist eine recht schwierige Arbeit dort ein Boot den Strom aufwärts zu rudern — ist die Strömung am entgegengesetzten (westlichen) Ufer kaum merkbar. Auch ist die Geschwindigkeit während des Hochwassers, das im Frühling sich einstellt, um vielmal grösser als im Spätsommer, wenn die Wassermenge ihr Minimum erreicht. Von der Lena werden grosse Quantitäten verschiedener Sedimente mitgeschleppt: Geröll, Sand, Gyttja ^), Dy nebst allerlei + unzerstörten vegetabilischen Abfällen, wie Bäumen, Blättern u. dgl. In der oberen Lena ist der Strom, wenigstens im Frühling, noch stark genug, um grobes Geschiebe fortzuschleppen, so dass die dortigen Alluvionen zum grossen Theil aus Gerüll bestehen. Alles Geröll wird indessen schon oberhalb der Stadt Jakutsk abgelagert (bezw. zerkleinert), so dass unterhalb derselben bis nach der Aldan-Mündung kein Geröll mehr vorkommt. Vom Aldan sowie von einer Menge kleiner Gebirgsbüche am rechten Ufer der Lena, zwischen den Mündungen des Aldan und des Wiljuj, werden jedoch wieder grosse Quantitäten groben Geschiebes der Lena zugebracht. Da die Strömung der Lena selbst dort ziemlich stark ist (vgl. oben), ist auch das Lena-Wasser im Stande, dieses Geschiebe kleinere Strecken fortzuschleppen. Im Frühling werden an verschiedenen Stellen von der Aldan-Mündung bis Batylym (halben Wegs zwischen den Mündungen der Flüsse Aldan und Wiljuj) von dem mit Eisblöcken gefüllten Fluthwasser gewaltige Mengen Geröll in hohen Wällen auf dem öst- lichen Lena-Ufer angehäuft. Auf diese Geröllhaufen sind ferner kolossale Quantitäten Holz vom Wasser aufgeworfen worden. Dort kann man riesige, Jahrhunderte alte Lärchen-, Kiefern-, Fichten- und Pappelstämme finden in bunter Mischung mit jüngeren 1) Von GMELIN werden folgende Data über die Stromgeschwindigkeit angegeben: M. in 1 Stunde Gleich oberhalb der Kirenga-Mündung . . . . Etwa 850 Von der Kirenga-Mündung bis 4 Km. nach unten 3 3420 Oberhalb der Tschaja-Mündung . . . . . . . E 4800 (GMELIN 1752, p. 280 u. 293). 2) Lehm wurde von mir im Thale der unteren Lena gar nicht angetroffen, Tom. XXXII. Vegetation der Alluvionen des unteren. Lena-Thales. 15 Bäumen, Sträuchern, Zweigen u. dgl. 1901 lagen dort sogar die Reste von zwei gros- sen Pawoski. — Weiter gegen Norden kommt Geröll hauptsächlich nur auf den Deltas einiger Nebenflüsse vor. Dagegen trifft man überall am Fusse der aus Sandstein be- stehender Uferberge, groben Schutt und Blöcke, die sich durch ihre oft scharfecki- cen Formen auszeichnen. Erst in den Gegenden von Gowor bis Tit-Ary, vorzugs- weise aber bei Bulun und Küsür, findet man wieder bis über 20 M. hohe, aus alluvia- lem Gerólle bestehende Uferwälle. Geröll kommt noch ziemlich häufig auf den der Mündung der Lena zunächst gelegenen Inseln vor, ist aber in den nórdlicheren Theilen des Deltas eine grosse Seltenheit (Bunce 1895, p. 37 u. 38). Der überaus wichtigste von allen genannten Sedimenten ist der Sand. Derselbe wird theils an den Ufern selbst, theils in der Form isolierter Fluss-Inseln abgelagert. Die Lena ist in der That von Ulachana an etwa bis Gowor sehr reich an Inseln, unter denen mehrere die stattliche Länge von 10—20 Km. besitzen (vgl. v. Mayverr 1896, p. 302). Sie haben im Allgemeinen eine der Stromrichtung + parallel gestreckte Form. — Zwischen Jakutsk und der Wiljuj-Mündung ist die Mehrzahl der Inseln am westlichen Ufer gelegen, wogegen „der Hauptstrom in einem majestätischen Spiegel meistentheils am rechten Ufer“ fliesst (v. Mavxpezz 1896, p. 302). Weiter nach Norden ist der Strom- strich mehr in der Mitte des Flusses gelegen, sich bald dem einen, bald dem anderen Ufer nähernd, im Allgemeinen jedoch näher zum westlichen als zum östlichen '). Dem- gemäss sind auch die Inseln an den beiden Ufern beinahe ebenso zahlreich vorhanden, ein kleines + kommt jedoch denen an dem östlichen Ufer zu Theil. Von Shigansk abwärts kann man hierin keine Regel mehr aufstellen: der Hauptstrom läuft bald dem einen, bald dem anderen Ufer näher. Von Gowor an kommen bis Tass-Ary keine Inseln in der Lena mehr vor. Tass- Ary ist eine grosse (etwa 20 Km. lange, 5—10 Km. breite, nach Buner 1895, p. 15), theils aus Sand, theils aus Geröll bestehende Insel. Die darauf folgende Insel ist die aus Sand bestehende, etwa 15 Km. lange Tit-Ary. Gleich nach der letztgenannten Insel beginnt das etwa 150 Km. lange, 200 Km. breite (Jürsens 1885, p. 255, Buner 1895, p. 20) Lena-Delta, welches aus einer ungeheuren Menge Sand-Inseln und Sand- bänke besteht, zwischen denen die Lena „mit 50 Stromarmen* (Buxce 1895, p. 35) in’s nördliche Eismeer mündet. Die Ablagerung des Sandes, sowie die der Sedimente überhaupt, geschieht über eine grössere Fläche nicht ganz gleichmässig, sondern gewöhnlich entstehen abwech- selnd höher und niedriger gelegene Stellen: Wällchen und Thälerchen. Alle diese Unebenheiten haben eine parallel der Stromrichtung gestreckte Form. Die Thälerchen können eine verschiedene Tiefe besitzen und demgemäss während des Niederwassers (im Spätsommer) entweder trocken sein oder Wasser enthalten (Tümpel bezw. Seen). In den genannten Thalbildungen, wo die Sedimentation schwächer ist, wird haupt- sächlich gyttjabemengter Sand oder oft sogar reine Gyttja, vielleicht mit der „Flod- 1) Dass der Hauptstrom „wohl ausnahmslos am rechten Ufer“ hinlaufe (v. MAYDELL 1896, p: 254) ist durchaus nicht der Fall. N:o 1. 16 A. K. CAJANDER. Gyttja* von H. von Posr (1861, p. 11—12) identisch, abgelagert. In solchen Thä- lern, die nur während des Hochwassers eine kurze Zeit mit der Lena kommunicie- ren und in welchen auch dann nur ein sehr schwacher Strom herrscht, findet man Mischungen von Gyttja (oft auch von Sand) und Dy („Gyttja-Dy“, bei v. Post) oder auch reines Dy (bezw. Dytorf). Dieses Dy dürfte theilweise aus Sedimenten des Fluss- wassers herstammen, meistentheils jedoch aus der an Ort und Stelle wachsenden Vegetation. Angeschwemmte Bäume, Zweige, Holzstückchen u. dgl. findet man überall auf den Inseln, überhaupt spielen sie jedoch dort eine relativ untergeordnete Rolle. Dasselbe gilt von den Blatt- und Stroh-Fragmenten etc., die sich während des Hochwassers dem unteren Theile der Stämme der Sträucher und Bäume des Ueberschwemmungsgebietes anheften. Unter den Stoffen, die in gelöstem Zustande vom Wasser transportiert werden, sind besonders CaCO, und NaCl zu erwähnen. Wie früher bemerkt wurde, bestehen die Ufer-Berge und -Abhänge entweder aus Kalkstein oder aus kalkbemengtem Sand- stein. Demzufolge kommt CaCO, im Flusswasser immer gelöst vor. Nicht desto weni- ger scheint der Gehalt der Alluvionen an CaCO, sehr gering zu sein, wenigstens gaben die mitgebrachten Boden-Proben aus der Gegend von Jakutsk mit HCI-Lüsung eine kaum wahrnehmbare Reaktion). — NaCl kommt an verschiedenen Stellen vor. Reiche Koch- salzquellen giebt es beim Dorfe Ustj-Kut (vgl. Gwen 1752, p. 263—267), andere am Bache Ssoljanka (GMELIN, p. 306—307), an der Itschora (GuELIN, p. 291 u. 294) u. s. w. Die reichlichsten Kochsalzmengen befinden sich aber an einem Nebenfluss des Wiljuj, dem Kampedsaj (Gwznm, p. 349—351, 373—378, MEINSHAUSEN 1871, p. 17—19, SsrRoscuErsku 1896, p. 14). Infolge des Vorkommens dieser Salzquellen ist das Lena-Wasser immer schwach salzhaltig, der Salzgehalt der Alluvionen dürfte aber äusserst klein sein. Mehrere mitgenommene Proben gaben nähmlich mit AgNO,-Lósung nur eine schwache Opalescenz '). Die Concentration von NaCl erreicht ihr Maximum in den Thälerchen solcher Alluvionen, die nicht mehr, wenigstens nicht jährlich, über- schwemmt werden (vgl. unten). Beim trocknen Wetter krystallisiert das Salz oft als dünne, gräuliche Krüstchen von deutlich salzigem Geschmack aus; so besonders in den Umge- bungen von Jakutsk. Die Möglichkeit des Vorkommens auch anderer Salze (z. D. Sulfate) in diesen Krüstchen ist wohl jedoch nicht ausgeschlossen. Durch fortgesetzte Sedimenten-Ablagerung werden die Alluvialbänke hóher und höher, bis sie eine gewisse Maximalhóhe erreicht haben. Dieses Maximum entspricht - im Allgemeinen der durchschnittlich maximalen Höhe der jährlichen Ueberschwemmun- gen, welche in der Gegend zwischen der Wiljuj-Mündung und Shigansk etwa 9—10 M. in Bezug auf die Wasserflüche im Spütsommer, zwischen Bulun und Kumach-Sur aber etwa das Doppelte beträgt *). Auf den Inseln trifft man nur sehr selten Stellen an, die gewóhnlich nicht über- schwemmt werden. Dagegen giebt es auf den Ufern des Festlandes weite Alluvionen, 1) Für die Ausführung dieser Analysen bin ich Herrn Doct. Phil. A. W. FORSBERG verbunden. ?) Selbstverständlich sind die Ueberschwemmungen jedes Jahr keineswegs gleich gross. In selte- nen Fällen soll sogar bis über 30 M. hohes Fluthwasser sich einstellen (SSEROSCHEFSKIJ 1896, p. 34). Tom. XXXII. Vegetation der Allwionen des unteren Lena-Thales. 17 die — wenigstens in normalen Jahren — keiner Ueberschwemmung mehr unterliegen. Solch eine alte Alluvion stellt der niedrige Boden am westlichen Lena-Ufer zwischen Jakutsk und der Aldan-Mündung dar, sowie Theile des Uferbodens zu beiden Seiten der Lena zwischen der Aldan-Mündung und Shigansk. Ferner gehört hierher die flache Niederung bei Bulkur und gewisse Partieen der Inseln Tass-Ary und Tit-Ary. Der allgemeine Bau dieser Gebiete ist der der Alluvionen überhaupt: sie bestehen aus zahlreichen kleinen Wällchen — Hügelchen und niedrigen, gewöhnlich langgestreck- ten 'lhülerchen. Sie sind also, wie die Lena-Alluvionen überhaupt sehr uneben, die Unebenheiten aber sind so klein, dass der Gesammt-Character der Alluvionen der einer Ebene wird. — Von den Inseln der unteren Lena stellt die Agrafena (, Dsheljach* der Jakuten, nach SsERoscuErski; 1896, p. 16; ,Stolb^ bei JürGexs 1885, p. 253 u. Buxce 1895, p. 8) eine „falsche“ Alluvion dar. Der Kern dieser Insel besteht nähmlich aus einem Sandsteinfelsen, der einst mit dem Bachanaj-Chaja in Zusammenhange gestanden haben dürfte ('TscuEekANorski 1896, p. 211). Zur selben Kategorie gehören mehrere Inseln nahe an der Lena-Mündung (Bunse 1895, p. 8), sowie eine Insel der oberen Lena bei Kamenofsk (Erman 1843, p. 163). Die Form und Grósse der Inseln, sowie die der Alluvionen überhaupt wird indessen nicht nur durch den oben beschriebenen Zuwachsprocess bedingt, sondern es geht auch ein entgegengesetzter Process, der der Erosion, vor sich. Die Ufer werden nach und nach untergraben und sobald dieser Untergrabungsprocess weit genug fortgeschritten ist, stürzt das resp. Bodenstückchen mit den darauf wachsenden Bäumen und Sträuchern in’s Was- ser. Wenn man einem solchen Hohlufer (solche werden ,Jar* genannt) entlang führt, hórt man immer fort das Sausen und Krachen der Bäume und Bodenklümpchen, die in's Wasser niederfallen. Am stärksten ist die Erosion im Frühling und wird dann von den Eismassen in hohem Grade unterstützt. Die Verwüstungen des Eisganges werden jedoch dadurch vermildert, dass der Boden zugleich in eine feste Masse gefroren ist (v. MivpzNponr 1867, p. 241). Näheres über den Eisgang vel. bei SsgRoscugrski 1896, p. 33—34. Durch die beiden Processe, den der Sedimenten-Ablagerung und den der Erosion, sind die Alluvionen stetigen Umgestaltungen unterworfen und im selben Maass verändert sich auch das Fahrwasser unaufhórlich. Kann dureh die Sedimenten-Ablagerung an einer Stelle, wo früher tiefes Wasser war, in relativ kurzer Zeit eine Sandbank entstehen, so kónnen an der anderen Seite durch die erodierende Thätigkeit des Wassers ganze In- seln verschwinden und das Baumaterial derselben weiter gegen Norden geschleppt wer- den. — Eine häufige Erscheinung ist, dass die Südenden der Inseln wegen der Erosion in stetigem Einsturz begriffen sind, während die Nordenden durch neu entstehende Sandbänke immer zuwachsen (vgl. BvxeE 1895, p. 7—8). Es muss noch die Thätigkeit der Winde mit einigen Worten erläutert werden. — Wenn die Sandbänke im Sommer über die Wasserfläche emporzuragen beginnen, sind sie anfangs von einer sehr dünnen, vielleicht aus kleinen Algen bestehenden (vgl. GRAEBNER 1901, p. 84) schlüpfrigen Schicht bedeckt. Während des Sommers trocknet diese Schicht. spaltet sieh und bildet nebst den gleich darunter liegenden Sandschichten dünne, N:o 1. 2 18 A. K. CAJANDER. kleine, + quadratische Krüstchen, deren Ränder sich nach oben krümmen. Bis dahin ist der Sand vor der Einwirkung der Winde geschützt gewesen. In demselben Grad aber, als die Krüstchen sich krümmen, wird der darunter liegende Sand dem Winde ausgesetzt und beginnt zu fliegen. Die Krüstchen folgen mit und der Sand wird mehr und mehr blossgelegt. Im Hochsommer bestehen die vegetationslosen Sandbänke überall aus leicht fliegendem Sand, der durch Winde weite Strecken transportiert werden kann. Es geschah oft, wenn wir uns am Abend in der Nähe eines Sandfeldes lagerten, dass wir am darauf folgenden Morgen mit Sand bedeckt waren. Wirkliche Dünen sind jedoch nicht häufig. Dieselben findet man in den relativ windigen Gegenden bei der Wiljuj- Mündung, sowie in den noch windigeren an der Mündung der Lena selbst, z. B. bei Tschekurofka, auf der Insel Tit-Ary ete. Auf dem Lena-Delta spielen die Winde eine grosse Rolle bei der Umbildung der Inseln (Buxce 1895, p. 36). Auf solchen Alluvionen, die jährlich überschwemmt werden, und desgleichen an dünenartigen Stellen (vgl. WarmixG 1895, p. 209), kommt keine wahrnehmbare Hu- musbildung vor. An Stellen dagegen, die sehr kurzzeitig überschwemmt werden, findet man oft Mischungen von Humus und Sand (resp. Gyttja) Wo der Boden gewöhnlich gar nicht überschwemmt wird, tritt im Walde und desgleichen auf den Tundren eine wirkliche Bildung von saurem Humus ein. In den Grasfluren aber ist der Boden nur äusserst schwach — kaum merklich mit Humuspartikelchen bemengt. Nur auf den Steppen um Jakutsk kommt eine sehr dünne .,Schwarzerden“-Schicht vor, die durch Infiltration der oberflächlichsten Bodenschicht mit Humusstoffen (vgl. ANDERSSON 1898, p. 33—37) entstanden sein dürfte. In den Seen und Tümpeln im Bereiche der nicht oder wenig überschwemmten Alluvionen kommt es zu einer typischen Dy- und Torfbildung. Unter den Nebenflüssen der Lena scheinen der Aldan und der Wiljuj dem Mut- terfluss am ähnlichsten zu sein. Nur ist der Stromgang im Aldan bis zu der Mündung ein viel stärkerer, „ona Gyxeauno mure 075 Öbmennaro óbra* (SsEROscuEFSKI) 1896, p. 12) und das Wasser viel durchsichtiger als das von Schlammpartikelchen grau gefärbte Wasser der unteren Lena. Der Wiljuj dagegen strömt in der Nähe seiner Mündung langsam und hat ziemlich dunkles (von Humusstoffen?) Wasser. Von den Nebenflüssen der Lena hatte ich Gelegenheit nur die Shiganka zu un- tersuchen. Die Shiganka (Strekalofka) ist klein, nahe bei der Mündung während des Hochsommers nur etwa 40—60 M. breit, weiter nach oben aber viel schmäler und so untief, dass sie nicht einmal für Kanote („Wjätki*) fahrbar ist. Im Frühling aber steigt das Wasser an ihrer Mündung ebenso hoch als das der Lena und dann werden weite Alluvialfelder überschwemmt. Grosse Mengen der Sedimente, hauptsäch- lich Sand und Gyttja, werden vom Wasser mitgeschleppt und auf den niedrigen Allu- vionen ihres unteren Laufes abgelagert. Die Shiganka beschreibt mehrere Mäander und die beiden Processe, der der Erosion und der der Accumulation (Sedimenten-Ablagerung). finden nach dem typischen Schema (vgl. Pexcx 1894, p. 345—351) statt: der erst- genannte Process überwiegt an der concaven Seite, der letztgenannte an der convexen. Keine grüsseren Inseln kommen vor. Am untersten Laufe des Flüsschens, wo die Geschwin- Tom. XXXII. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 19 digkeit sehr klein ist, im Sommer sogar kaum wahrnehmbar, werden Gyttja (resp. Schwemmtorf u. Dy) und Mischungen von Gyttja und Sand abgelagert. Weiter nach oben aber ist die Geschwindigkeit grösser, und dort überwiegt die Ablagerung des San- des. Noch weiter nach oben soll, nach den Angaben der Eingeborenen, sogar Geröll vorkommen. — Auch das Thal der Shiganka ist eine Erosionsfurche, die zu beiden Sei- ten von 25—50 M. hohen, aus Sandstein bestehenden, steilen Abhängen begrenzt wird. Die kleinen Bachthäler, von welchen mehrere nördlich vom 70° n. Br. gelegene un- tersucht wurden, wiederholen diese Verhältnisse im Kleinen. Mehrere unter -densel- ben nehmen ihren Anfang auf den Bergabhängen und haben dort den Character von „Wildbächen“. Noch am unteren Laufe derselben ist die Wassergeschwindigkeit oft eine beträchtliche. Die Ufer bestehen demgemäss aus Geröll, am unteren Laufe auch aus Sand; in den trichterförmigen Mündungen derselben kommt jedoch Gyttja vor. Nur an den Mündungen dieser Bäche sind die Alluvionen ziemlich weit, sonst aber sind die Ueberschwemmungs-Ufer schmal und relativ steil. Die Vegetation ist in den verschiedenen Gegenden an der Lena sehr verschie- denartig. In ihrem obersten Laufe fliesst die Lena durch einen Theil der Balaganschen Steppe, später aber wird sie auf einer Strecke von etwa 4500 Km. Länge von dem gros- sen Sibirischen Urwald, der „Taiga“, umgeben, wogegen ihre Mündung im Bereiche der arktischen Tundren gelegen ist. Der Urwald an der oberen Lena besteht abwechselnd aus Kiefern- und Lürchen- Beständen, nur in den feuchtesten Thälern kommt die Fichte vor. Bestände von Laub- hölzern (Birken, Espen, Erlen etc.) findet man ausschliesslich in der Nähe der Dörfer. Auf den Inseln und die überschwemmten Ufer entlang findet man Weiden-Gebüsche, seltener Fichten- und Lärchen-Gruppen. — Aecker und Grasfluren kommen nur in ge- ringem Maasstabe vor. An der unteren Lena besteht der Urwald fast ausschliesslich aus Lärchen. Kie- fernbestände findet man nur auf trocknen, sonnigen Südabhängen bis 64° n. Br. Die übrigen Baumarten spielen eine durchaus untergeordnete Rolle. — Waldlos sind — abgesehen von den steilsten Uferfelsen — die Gipfel der ,Glatzkópfe* bei der Wiljuj- Mündung, desgleichen die derjenigen an der Lena-Mündung. Bei Bulun ist die alpine Waldgrenze noch auf einer Höhe von etwa 150—200 M. (nach Augenmass) gelegen, weiter nach Norden aber sinkt sie mehr und mehr. Die polare Waldgrenze geht zwischen Kumach-Sur und Tass-Ary. Insuläre Lärchenbestände findet man noch bei dem 72°. Näheres hierüber in: CAJANDER, Om vegetationen i urskogen kring floden Lena, Fennia 20. Das Alluvialgebiet der unteren Lena ist bis zur Aldan-Mündung als eine Park- landschaft zu characterisieren: schöne, weite, von kleineren Gebüschen, Hainen und Wald- ungen unterbrochene Grasfluren. Weiter nach Norden sind die Fluren zwar häufig, aber sehr klein. Dort sind die Alluvionen hauptsächlich von Gebüschen eingenommen, unter de- nen die weisslich grauen Bestände von Salir viminalis die hervorragendste Rolle spie- len. Hie und da kommen auf kleineren Arealen Wälder von Fichten, Lärchen und N:o 1. 20 A. K. CAJANDER. Birken vor, bis zum 67° n. Br. von wo an, ausser Gebüschen, die gegen Norden immer niedriger werden, nur Lärchen auf den Alluvionen auftreten. An der Lena-Mündung kommen nur Moos- und Flechten-Felder, sowie Grasfluren vor, die erstgenannten auf nicht überschwemmtem, die letzgenannten auf überschwemmtem Boden. Betreffs der Fauna des Lena-Gebietes verweise ich auf den vorläufigen Bericht von Porrius (in: CAJANDER u. Porrius 1902) sowie auf die Darstellungen von PoLJAkor (1873), Buxce (1883, 1884) und SsrnoscuEski (1896). — Ueber die Hausthiere vgl. unten. Die hauptsächlichsten Volkstämme, die das Lena-Gebiet bewohnen, sind die Tun- gusen (incl. Lamuten), die Jakuten und die später eingewanderten Russen (incl. Tataren, T'scherkessen, russificierten Deutschen, Juden u. s. w.). Die letzgenannten haben sich vorzugsweise an den Ufern der Lena sowie an denjenigen einiger ihrer Nebenflüsse (Kirenga, Witim, Wiljuj. Aldan etc.) niedergelassen und wohnen in Dörfern resp. Städtchen. An der obersten Lena sind die Dörfer ziemlich gross und wohlhabend und liegen relativ nahe von einander (etwa 5—10 Km.), von Kirensk abwärts kommen meist nur „Postdörfer* vor. d. h. Dörfer, die auf Distanzen von 20—30 Km. von einander angelegt sind, um den Postverkehr zwischen lrkutsk und Jakutsk zu unterhal- ten. Unterhalb Witimsk sind auch diese klein und unbedeutend (vgl. v. Mayvern 1893, p. 27) und von Jakutsk nach Norden vermisst man dieselben gänzlich. Erst in Shigansk, Ssiktjach und Gowor findet man wieder einige russische Familien, etwas reich- licher in Bulun. Unter den wichtigsten Russenansiedelungen können erwähnt werden: Katschug, Wercholensk (1200 Einw.)'), Shigalowa, Ustj-Kut, Kirensk (1625 Einw.) '). Witimsk, Nochtujsk, Matscha, Kyllach, Oljokminsk (845 Einw. nach Turrs 1897, p. 268), Jakutsk (5938 Einw., nach Tiers 1897) und Wiljujsk (474 Einw., nach Turers, p. 1897). Die Tungusen (incl. Lamuten) nomadisieren in den weiten Wildnissen seitwärts von den Hauptflüssen, besonders an der oberen Lena und an der Eismeerküste; in den letztgenannten Gegenden haben sie sich jedoch mit den Jakuten + vermischt (Buxce 1895, p. 15). Die ganze Anzahl der Tungusen (incl. Lamuten) des Jakutischen Ge- bietes betrug 1895 nach Tarers (1897) 12755. — Die Jakuten—Jäger, Viehzüchter, Ackerbauer, Fischer, Handwerker u. s. w. (vgl. SsERoscuErskr; 1896) — sind haupt- süchlich auf 3 Bezirke concentriert: auf die Umgebung von Oljokminsk, auf die von Ssuntar am Wiljuj, sowie auf die Gegenden zwischen Jakutsk und der unteren Amga. Sie haben feste Wohnplätze, die Familien leben aber meist vereinzelt an den Taiga- Flüsschen. Im Jahre 1895 gab es im Gebiete Jakutsk 238963 Jakuten ("uigrs 1897). Die Bevülkerungs-Menge und -Dichtigkeit war 1895 in den drei Kreisen (Okrugi) Jakutsk,. Oljokminsk und Wiljujsk folgende: 1) Nach: Powangoss, d. II. Cnónperiü roproro-npownunenubii w enpasouubri kaemjapb Ha 1897 von. Tom. X XXII. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 2] Dichtigkeit Menge auf Km? Jakutsk so ov 6 OU 0.194 Olokmmsker a a 16026 0,042 Malmiske .. . coy odd 0,076 ('THiers 1897, p. 268). Es muss noch speciell hervorgehoben werden, dass das Thal der unteren Lena fast menschenleer ist. Von Jakutsk bis zu der Aldan-Mündung kommen zahlreiche Jakuten-Niederlassungen vor, vom Flusse selbst aber sind sie nicht sichtbar. Weiter nach Norden findet man zwar im Sommer gelegentlich kleine Fischfangskolonieen (Ja- kuten bezw. Tungusen) auf den Sandbänken. feste Ansiedelungen aber giebt es bis Shigansk gar keine (vgl. Jörgens 1885, p. 253, Bunee 1895, pag. 8). Weiter nach Norden folgen Krassnoje, Ssiktjach und Bulun, sowie mehrere Sommer-Ansiedelungen (Choronko, Ajakit, Bulkur u. s. w.). Die wichtigsten Nahrungszweige sind Ackerbau, Viehzucht. Jagd, Fischfang. Handel, sowie verschiedene Handwerke. Sammeln von Mammutknochen, Postbefórderung u. s. w. An der oberen Lena wird Ackerbau allgemein, obgleich in ziemlich geringer Scala, von den russischen Bauern getrieben; weiter nach unten aber hauptsächlich nur von den verschickten Skoptsen unweit Jakutsk (Marcha!), Oljokminsk und Wiljujsk. sowie von den Jakuten derselben Kreise. . Im Jahre 1894 war die Aussaat der drei Kreise Jakutsk, Oljokminsk und Wiljujsk folgende (Turers 1897, p. 269): Winter- Sommer- Weizen Gerste Hafer roggen roggen Sakutsk) . „140,7 HY. "7761, Al 1695, EI 6720.0: EN. 1092 HI. Wijokmnse MN 14 05, 00763 0,20 12152, MINSKA 272 MIR Wiljujsk . 58.8 . 9455 TOU SU 30 ze 6,3 Im selben Jahr war die Ernte des ungereinigten Getreides folgende: Winterr. Sommerr. Weizen Gerste Hafer Jaknisk . . 564. Hl. 34391; Hl. 10854211. 31546.27H1. 556,5 Ei. Olokmınsk . 11977, 162183 5 COS TS SERIE 2 MailuSke . 506.1 „ SP S 5649 , 2106027, , DARE Von den Einwohnern der nördlicheren Dörfer (Shigansk— Bulun) wird kein Acker- bau getrieben, es gedeihen jedoch die Kartoffeln, Rettige und Mohrrüben sogar bei dem 70° n. Br. in Ssiktjach (Bunez 1895, pag. 11). Rinder- und Pferdezucht wird hauptsächlich von den Jakuten getrieben, im 'l'hale der Lena selbst jedoch nur bis zur Aldan-Mündung im Norden. In den nórdlicheren Gegenden, vorzugsweise an der Hismeerküste werden Rennthiere und Schlittenhunde gehalten. Der Viehstand war 1895 folgender (Tuiers 1897, p. 269): N:o 1. 29 AV K. CAJANDER. Jakutsk Oljokminsk Wiljujsk Kinder . 150248 13778 46887 SRE CORNE TON 8513 3442() Selten rst > e 214 — = jxchweine E 19 — = Rennthiere . . . . 2002 — 1014 Schlittenhunde . . . — — ? Die Jagdausbeute des Jakutischen Gebiets war 1894 folgende (Tiers 1897, RichSsene let: NICE NES AL FÄR TS 5 BlMTCIS s S ow API Rennthiere u. wilde Schafe — 2007 oboli a ot USA SM 15 TÉISSCRMEN TER PRO 936 Biber: Mode di od RE 40 FIChOMCIEN m e e EU DH» IB ATEN cda e 148 Hérmelne lil Hlenthierers . ft 267 Liasen RE ER IS 0 2 Mit dem Fischfang beschäftigen sich an der oberen Lena die Russen, jedoch in kleinem Maasstabe. Viel intensiver wird derselbe an der unteren Lena von den Jakuten, vorzugsweise nahe bei der Lena-Mündung getrieben; auch einige Russen (Gro- mof u. a.) und der Norweger Torgensen haben ansehnliche Fischereien. Der Fischfang betrug 1894 in der Lena-Niederung 82000 Kg., entsprechend 20000 Rbl. (Turers 1897, p. 270). Die wichtigsten Fische sind Njeljma Muksunj, Omulj, Taimenj, Sterlett u. s. w. Handel wird hauptsächlich von Russen, auch von Jakuten getrieben. Grosse Jahrmärkte finden jährlich in Kirensk, Witimsk, Matscha, Kyllach, Jakutsk u. s. w. statt. Der Handelsverkehr wird an der oberen Lena von etwa 20 Dampfschiffchen unterhalten, zwischen Jakutsk und Wiljujsk sowie Jakutsk und Neljkan (an der Maja) von je 1—2, zwischen Jakutsk und der Lena-Mündung aber nur von der „Lena“ (Be- gleiterin der ,Vega*). Von Katschug (Wercholensk etc.) werden jedoch die meisten Waaren in grossen Prahmen, ,Pawoski*, nach Jakutsk geschleppt, ebenso von Neljkan die Maja und den Aldan entlang. Tom. XXXII. IL. Specieller Theil. Ehe zur Schilderung der Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales über- gegangen wird, mögen einige erläuternde Worte über die in dieser Arbeit angewandte pflanzengeographische Nomenklatur vorangeschickt werden. Mit dem Worte Bestand verstehe ich eine + homogene Pflanzendecke, die sich durch das dominierende Auftreten entweder einer einzigen oder mehrerer einander + gleichwerthiger Pflanzenarten als ein abgeschlossenes Ganzes characterisiert. So nenne ich eine Kiefernwaldung einen Bestand, ein Salir viminalis-Gebüsch einen Bestand u. s. w. Die als Beispiele angeführten Bestände, in denen nur eine Art als maassgebend auftritt, sind als einfache Bestände bezeichnet worden, darunter als reine solche, die überhaupt nur aus der maassgebenden Art bestehen oder in denen die Beimischungen jedenfalls minimal sind. Zusammengesetzt dagegen sind solche Bestände, in denen mehrere Pflanzenarten eine gleich dominierende Rolle spielen, z. B. die „Mischgebüsche“ des unteren Lena-Thales. — Grössere Bestände sind gewöhnlich nicht ganz homogen, über- haupt ist die Vegetation an verschiedenen Stellen innerhalb eines und desselben Be- standes etwas verschieden zusammengesetzt. Demgemäss können verschiedene Theile eines Bestandes unterschieden werden. — Wo Bestände an einander grenzen, ist die Grenze zwischen denselben selten scharf ausgeprägt. sondern es kommen an der Grenze gewisse Uebergangsbestände vor. Dieselben sind von den oben erwähnten, selbständig auftretenden, zusammengesetzten Beständen principiell durchaus verschieden, in der Praxis aber ist es oft schwierig, dieselben von einander zu unterscheiden. Weil die Uebergangsbestände überhaupt nur eine untergeordnete Rolle in der Vegetation der fraglichen Alluvionen spielen, sind sie meist nicht berücksichtigt worden. — Die Benen- nungen der Bestände sind nach dem Vorbilde Salicetum viminalis (sc. Salicetum Salicis viminalis) gebildet worden; in Betreff der zusammengesetzten Bestände sind jedoch an- derweitige Benennungen zur Anwendung gelangt. N:o 1. 24 A. K. OATANDER. Diejenigen Bestände, in denen dieselbe Pflanzenart oder dieselben Pflanzenarten dominieren, bilden, als Gesammtheit betrachtet, eine Einheit, die hier Association ge- nannt worden ist. Der Definition nach gehören z. B. alle Kiefernbestände zur selben Association, der Association von Pineta silvestris, alle Espenbestände zu einer anderen u. s. Ww. Es giebt einfache und zusammengesetzte Associationen. — Dieselbe Associa- tion tritt nicht überall als völlig gleichartig auf. So hat z. B. die Association der Kiefernwälder im südlichen Finnland eine andere Zusammensetzung der Vegetation als dieselbe Association in Lappland, von derjenigen in Ost-Sibirien nicht zu reden; auf trocknem Boden ist die Vegetation derselben anders zusammengesetzt als auf feuchterem. auf Kiesboden anders als auf Kalkboden u. s. w. Wir haben hier mit „Formen“, „Varietäten“ etc. der Associationen zu thun; sie sind mit den Namen Facies belegt worden. Um die Darstellung der Vegetation nicht umsonst compliciert zu machen, habe ich vermieden, verschiedene Facies-Einheiten (Subassociation, Facies, Subfacies u. Ss. w.) zu unterscheiden. — Die Associationen des Alluvialbodens an der unteren Lena habe ich in folgende 4 Klassen gruppiert: 1) die Hydrophyten-Assoeiationen, 2) die Gehölz-Associationen, 3) die Grasfluren- Associationen und 4) die Moos- und Flechten- Associationen. Wie in den Schlussbemerkungen noch näher besprochen werden wird, spielen die Niveau- (resp. Feuchtigkeits-) Verhältnisse eine durchgreifende Rolle in der Verthei- lung der Associationen des Alluvialbodens. Diese kommen nähmlich in Bezug auf ein- ander auf ganz bestimmten relativen Niveaus vor. Demgemäss sind sie an den Ufern oft gürtelweise hinter (oben) einander angeordnet. Der Entwickelung der Alluvionen gemäss herrscht ferner ein genetischer Zusammenhang zwischen den Associationen: nach- dem der resp. Alluvialboden durch die sich jährlich wiederhohlende Sedimentation mehr in die Höhe gewachsen ist, geht die für denselben characteristische Association in die des nächsthöheren Niveaubezuges über. Auf jeder Alluvion kommen also mehrere Associationen nach einander zur Ausbildung. Eine solche konstante, nach den Niveau- (resp. Feuchtigkeits-) Verhältnissen gegliederte Reihe der Associationen, zwischen deren einzelnen. Gliedern in der Regel ein genetischer Zusammenhang herrscht, nenne ich eine Serie. Auf verschiedener Polhöhe, auf verschiedenen Bodenarten u. s. w. kommen verschiedene Serien vor. Wie aus der beigefügten Tabelle ersichtlich ist, bilden gerade diese Serien die Grundlage der Form nachfolgender Darstellung der Vegetation, nur konnte die Serien-Eintheilung nicht überall gleichmässig durchgeführt werden, weil über gewisse Associations-Gruppen weniger vollständige Untersuchungen vorlagen. Der Begriff des Pflanzenvereins (,Plantesamfund*) sensuv Warning ist in diese Arbeit nicht eingeführt worden, weil die physiologisch-ækologischen Untersuchungen ganz ausserhalb des Rahmens meines Arbeitsplanes lagen. Tom. XXXII. I A) Die Serie der Associationen an der Lena von: 1) Saliceta viminalis 2) Fruticeta mixta 5) Alneta incanæ 4) Alnastreta viridis 5) Betuleta odoratæ 6) Piceeta obovatæ 7) Piceeto-Lariceta 8) Lariceta dahurieæ 9) Hainartigen Waldungen 10) Pineta silvestris. III. Die Hydrophyten-Associationen. II. Die Gehólz-Associationen. B) Die Serie der Ass. an der Shiganka von: 1) Spiræeta salicifolize 2) Saliceta viminalis 3) Fruticeta mixta 4) Alneta imcanæ D) Alnastreta viridis 6) Piceeta obovatæ 7) Lariceta dahuricæ. C) Die Serie der Ass. an nördlichen Bächen von: 1) Saliceta viminalis 2) Saliceta phylicifoliæ 3) Saliceta hastatæ 4) Saliceta lanatæ 5) Betuleta nanæ 6) Myrtilleta uliginosæ 7) Alnastreta viridis. Die Grasfluren-Associationen. A) Die Serien der Associationen nördlich von der Aldan-Mündung. a) Die Serien der Ass. des Gyttja- und Dy-Bodens von: bodens. b) Die Serien der Ass. des Sand- N:o 1. 1) Heleochariteta acicularis 2) Arctophileta fulvze 3) Equiseteta arvensis 4) Heleochariteta palustris 5) Equiseteta fluviatilis 6) u. 1) Cariceta acutæ resp. C. aquatilis 8) Calamagrostideta phragmitoi- dis. a) Die Serie südlich von der In- sel Agrafena. p) Die Serie unweit Shigansk. y) Die Serie an der Lena-Mün- dung. e. Die Serien der Ass. des Geróllbodens. Die Serie unweit der Aldan-Mündune. p) Die Serie an der Lena-Mündung. den A. K. CAJANDER. B) Die Serien der Ass. südlich von der Aldan-Mündung. a) Die Serie der Ass. des Gyttja- b) Die Serien der Ass. des Dy- u. Sand-Bodens von: u. Torf-Bodens von: 1) Equiseteta fluviatilis 1) Scirpeta lacustris 2) Heleochariteta palustris 2) Acoreta calami 3) Cariceta acutæ 3) Glycerieta aquaticæ 4) Ranunculeta repentis 4) Scolochloëta arundinaceæ 5) Beckmannieta eruciformis 5) Equiseteta fluviatilis 6) Triticeta repentis 6) Cariceta acutæ 7) Schedonoreta inermis 7) Calamagrostideta phragmitoidis 8) Alopecureta nigricantis 9) Hordeeta pratensis 8) Cariceta distichæ 10) Equiseteta arvensis 9) Cariceta stenophyllæ 11) Elymeta dasystachyos 12) Galieta veri 10) Glauceta maritimæ 13) Lineta perennis 11) Atropideta distantis. 14) Lychnideta sibiricæ 15) Onobrychideta arenariæ 16) Rumiceta acetosæ 17) Arenarieta graminifoliæ 18) Die Associationen der trockne- sten Stellen. C) Die Serien der Ass. der Jakutischen Steppen. a) Die Associationen des nicht b) Die Serie der Ass. der salinen salinen Haupttheiles der Step- Steppenniederungen von: pen von: 1) Potentilleta anserinæ I) Beständen von Festuca ovina, 2) Glauceta maritime Eritrichum pectimatum, Arte- 3) Salicornieta herbaceæ mäsia pubescens etc. 4) Atropideta distantis. 2) Potentilleta bifurcæ. IV. Die Moos- u. Flechten-Associationen. A) Die Associationen der Bulkur-Tundra. — B) Die Associationen der Tit-Ary-Tundra. Tom. XXXI. I. Die Hydrophyten-Associationen. In der oberen Lena, wo der Boden meist aus Gerüll besteht und das Wasser, wenigstens gegen den Herbst, sehr durchsichtig ist. giebt es eine reichliche Hydrophyten- Vegetation, bestehend hauptsächlich aus Potamogetonen (P. perfoliatus, P. gramıneus, P. prelongus) und grünen Algen. Die letztgenannten treten vielerorts so reichlich auf, dass der Boden auf weiten Strecken grün aussieht. In der unteren Lena dagegen vermisst man jede Spur von (macroscopischer) Vegetation. Wahrscheinlich ist das Wasser zu undurchsichtig und der bewegliche Sand- boden dürfte für die Befestigung derselben sehr ungeeignet sein, vor Allem aber würde eine etwa vorhandene Vegetation bald unter den massenhaft sich ablagernden Sedimen- ten begraben werden. Dagegen trifft man eine ziemlich reichliche Hydrophyten-Vegetation in den klei- nen Alluvial-Seen und -Tümpeln an, vorzugsweise jedoch nur in solchen, deren Boden aus Dy besteht. Dort kommen, ausser gewissen Moosen (Amblystegium fluitans, A. giganteum) und Algen, folgende Pflanzen vor: Potamogeton perfoliatus Lemna trisulea Hippuris vulgaris P. gramineus L. minor Nuphar pumilum P. compressus Caltha natans Nymphea tetragona Sparganium spp. Ranunculus radicans Callitriche verna. Sagittaria natans Myriophyllum verticillatum Alle oben erwähnten, besonders aber dje beiden erstgenannten Potamogelonen, Caltha und die Nympheceen können bestandbildend auftreten. Die Bestände (die Lem- neten natürlich ausgenommen) sind oft deutlich nach der Tiefe des Wassers angeordnet, nähere Beobachtungen konnten aber nicht gemacht werden, hauptsächlich weil es sehr unbequem war, eine Kanote auf den Excursionen mit zu tragen. Nördlich von der Aldan-Mündung findet man nur Potamogeton gramineus, Spar- ganium sp, Nagittaria natans, Ranunculus radicans, Myriophyllum verticillatum, N:o 1. 28 | A. K. CAJANDER. Hippuris vulgaris, Nymphea tetragona und Callitriche verna. Nymphea tritt in den tieferen Seen und Tümpeln oft massenhaft auf, Sagiltaria nalans zieht ganz niedrige Tümpel vor, desgleichen Ranunculus radicans, die übrigen spielen eine mehr unter- geordnete Rolle. — Ranunculus radicans findet man noch in den kleinen Tümpeln an der Hinterseite der Uferwälle bei Bulun, stellenweise sogar in Massen. In den Tundra-Tümpelchen bei Bulkur und auf der Insel Tit-Ary kommt ka- nunculus Pallasii spärlich vor. Tom. XXXIL. IL Die Gehölz-Assoeiationen. Die neuerdings entstandenen Alluvionen entbehren anfangs jeder Vegetation. An vielen Orten, besonders in der Gegend zwischen dem Tschirimyj-Chaja und der Agrafena, wurden mehrere Km. lange, ganz niedrige Sandbänke gesehen, die gar keine Pflanzen aufzuweisen hatten. Die erste Vegetation ist überhaupt sehr bunt zusammengesetzt. Unter den ersten Pionieren befindet sich aber immer Salix viminalis. Als die einzige (macroscopische) social auftretende Pflanzenart der fraglichen Gegend, die eine so lange andauernde, von der starken Sedimenten-Ablagerung begleitete Ueberschwemmung ertragen kann und sogar dort am besten zu gedeihen scheint, bildet sie den ersten Pflanzenbestand aller Alluvio- nen des unteren Lena-Thales (etwa bis 70° n. Br.) In dem Maasse wie die resp. Alluvionen mehr in die Hühe wachsen, werden die Saliceten von anderen Gebüschen, und diese ihrerseits von verschiedenen Waldbeständen verdrängt. Die Serien der Gehölz-Associationen an der Lena selbst (sensu stricto), an der Shiganka und an den nórdlichsten Zuflüssen ähneln einander in mancher Hinsicht; an- dererseits sind aber auch die Unterschiede gross genug, um eine gesonderte Darstellung zu rechtfertigen. A. Die Serie der Gehülz-Associationen an der Lena. Auf den Alluvionen des unteren Lena-Thales findet man die Associationen von: 1) Saliceta viminalis, 2) Fruticeta mixta, 3) Alneta incanæ, 4) Alnastreta, viridis, 5) Betuleta odoratæ, 6) Piceeta obovatæ, 7) Piceeto-Lariceta und 8) Lariceta dahuricæ. Zu diesen gesellen sich zwischen Jakutsk und der Aldan-Mündung: 9) die Associationen der hainartigen Wälder und 10) die Ass. von Pineta silvestris. 1. Die Association von Saliceta viminalis. Wie oben erwähnt wurde, ist Salix viminalis die erste bestandbildende Pflanzen- art, die sich überhaupt auf einem jugendlichen Alluvialboden ansiedelt. Gyttja- und Sand- N:o 1. 30 A. K. CAJANDER. Boden verhalten sich in dieser Hinsicht ein wenig verschieden. Es wird nähmlich der erstgenannte immer viel früher von der Salix-Vegetation eingenommen als der aus Sand bestehende, was wahrscheinlich darauf beruht, dass die jungen Salız-Keimlinge vom Winde sehr leicht unter dem beweglichen Sand begraben und im Frühling mit einer dicken Schicht von neuen Sedimenten bedeckt werden, wogegen sie an Gyttja-Stellen mehr geschützt sind. Die jungen Saliceten des Gyttjabodens sind gewöhnlich sehr dicht und „rein“. Beigemischt kommen gewöhnlich nur /Zquiselum arvense und Nasturlium palustre vor und sogar diese + vereinzelt. Seltener sind Heleocharis acicularis, Juncus alpinus, J. bufonius, Polygonum aviculare, Corispermum sp., Slellaria crassifohia, Bidens platycephalus, Gnaphalium uliginosum, Inula brilannica. Die jüngsten auf Sandboden gelegenen Saliceten sind bald ebenso dicht als die letztbeschriebenen, bald + undicht. In den ersteren sind die Beimischungen sehr spärlich, in den letzteren ein wenig reichlicher. Oft sind sie am reichlichsten auf kleinen offenen Flecken innerhalb dichterer Gebüsche. Die Zusammensetzung der Vegetation variiert in sehr hohem Grade, und zwar scheinen die Variationen von den etwaigen Unterschie- den der Boden-, Feuchtigkeits- etc. Verhältnisse ziemlich unabhängig zu sein. Es spriessen überhaupt dort allerlei Pflanzen auf, deren Samen zufälliger Weise dahin ge- langt sind, vorausgesetzt dass sie nur die lange andauernde, von der starken Sedimenten- Ablagerung begleitete Ueberschwemmung ertragen können. Am häufigsten treten folgende auf: Equisetum arvense Era cespitosa Dontostemon pectinatus Beckmannia eruciformis Corispermum sp. Erysimam cheiranthoides ; oft findet man ausserdem folgende Gräser: Alopecurus nigricans Schedonorus inermis C. aquatilis Agrostis laxiflora Triticum repens C. vesicaria Calamagrostis phragmitoides +") Hordeum pratense * Juneus filiformis Poa pratensis Heleocharis palustris J. bufonius P. subfastigiata Carex acuta J. alpinus Atropis distans 7 und folgende Kräuter ^): Polygonum awieulare RB. acetosa + St. erassifolia P. lapathifolium Chenopodium rubrum Cerastium alpinum Rumex salicifolius Ch. glaucum Nasturtium palustre RB. maritimus Stellaria graminea Barbarea vulgaris 7 1) Der Uebersichtlichkeit halber sind in dieser Arbeit meist nur die „Colleetiv“-Arten angeführt worden, durch ein angefügtes + wird angedeutet, dass es sich nicht um die gewöhnliche (Buropäische) „Form“ handelt. 2?) Unter den „Kräutern“ werden im Folgenden immer auch „Stauden“ sowie Allüum-, Selaginella-, u. a. Arten verstanden. , Tom. XXXII. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 31 Sisymbrium sophia 1 Plantago major Artemisia vulgaris Potentilla supina. * Aster sibiricus Senecio Jacobæa 7 P. stipularis Inula britanniea Crepis teetorwm = Linaria vulgaris 7 Tanacetum vulgare + Unter den Holzgewächsen findet man bisweilen einzelne Exx. von Salix triandra. — Von den obengenannten kommen die mit * bezeichneten nur südlich von der Aldan- Mündung vor. Wo auf den Sandbänken, ehe sie von den Saliceten eingenommen worden sind, eine Vegetation überhaupt vorkommt, besteht sie aus ganz vereinzelten Exx. der oben angeführten Pflanzenarten. Salix viminalis wächst schnell, und so entstehen aus diesen jungen, niedrigen Beständen in relativ kurzer Zeit hohe Gebüsche. Physiognomisch sind die älteren Sali- ceten ziemlich verschiedenartig, so dass man 3 Typen unterscheiden kann: 1. Die Mehrzahl der älteren Saliceten sind sehr dicht, die einzelnen Exx. nur am Wipfel verzweigt und belaubt. Mit zunehmendem Alter sterben jedoch nach und nach einzelne Salices, wodurch die Zwischenräume zwischen den einzelnen Exx. ein wenig grösser werden. Solche Saliceten können die Höhe von 4—7 (—8) M. erreichen, sel- ten aber ist die Dicke der Stämme über 30 Cm. im Umkreis. -—— Durch ihre characte- ristische Physiognomie haben diese Saliceten immer die Aufmerksamkeit der Reisen- den auf sich gezogen. Von NorpexskıöLn (1881 p. 367) werden sie (nomine Salicis vitellin®) mit den Bambusa-Wäldern der Tropen verglichen, von Bunge (1895, p. 7) mit Rohrdickichten u. s. w. 2. Es giebt aber auch ganz undichte Saliceten. Die einzelnen Exx. haben dort die Form grosser Sträucher, die schon am Grunde verzweigt und belaubt sind. Diese Saliceten erinnern sehr an gewisse Strauch-Plantagen der Städte. 3. An dünenartigen Stellen sind die Saliceten zwar strauchförmig, zugleich aber niedrig und äusserst dicht; die Zweige sind gewöhnlich so in einander verflochten. dass es unmöglich ist, durch dieselben zu dringen. Trotz der grossen Unterschiede in physiognomischer Hinsicht, ist die Zusammen- setzung der Vegetation in allen genannten „Typen“ ziemlich dieselbe (betreffs des drit- ten vgl. jedoch weiter unten), so dass sie kaum als verschiedene Facies aufzustellen sind. Viel grössere Verschiedenheiten von einander bieten die nördlicheren und südlicheren Saliceten dar, und zwar können in dieser Hinsicht 2 verschiedene Facies aufgestellt werden. Facies l. Die Saliceten von der Aldan-Mündung nach Norden. Von dem Ty- pus 1 besitze ich folgende Annotationen: N:o 1. Sehr hohes (etwa 7 M.), diehtes (9) '), weites Salicetum in der Mitte einer Insel in der Aldan-Mündung. Boden: gyttjabemengter Sand, frisch, oben theils ') Die Dichtigkeit der Bestände sowie die Copiocität der einzelnen Pflanzenarten ist, mit wenigen Ausnahmen, mit der Decimalseala bezeichnet worden. NOËL: 32 A. K. CATANDER. mit gefallenem Laube bedeckt. Moose: nur am unteren Theile der Stämme (Stereo- don polyanthos). N:o 9. Ebenso dichtes (9) Salicetum am Hohlufer einer Insel zwischen dem Tschi- rimyj-Chaja und der Insel Agrafena. Boden: ziemlich trockner Sand, kaum gyttjabemengt. Moose: sehr spärlich an den Stämmen ‘). N:o 3. Der vom Ufer entferntere Theil desselben Bestandes (N:o 2); ein wenig niedriger gelegen. Boden: schwach gyttjabemengt, ein wenig frischer. Moose: sehr spärlich. — N:o 2 und N:o 3 bilden lange, schmale (je etwa 20—30 M. breite) Gür- tel; nach hinten ^) folgt ein Mischgebüsch (fruticetum mixtum). N:o 4. Zwischen einer Wiese und einem Mischgebüsch gelegener, sehr dichter (9 - 10) Salix-Gürtel auf der Insel Agrafena (Vgl. Taf. II, Fig. 3 u. Taf. TIT E19 SE Boden: schwach gyttjabemengter Sand. Moose: auf dem Boden sehr spärlich Funaria hygrometrica, an der Basis der Stämme einige Exx. von Astrophyllum (cuspidatum). N:o 5. Hohes, dichtes (9—) Salicetum am Ufer einer Insel unweit. Shigansk; schmaler, langer Gürtel. Boden: schwach gyttjabemengt, oben theils mit gefallenem Laube bedeckt. Moose: fehlen beinahe gänzlich. — Einzelne Exx. von Alnus incana sind beigemischt. N:o 6. Fortsetzung gegen Norden desselben (N:o 5) Bestandes am selben Ufer; noch dichter (9—10), sehr dunkel; Beimischung von Alnus 1—2. Moose: fehlen. N:o 7. Der hintere Theil desselben Bestandes. Sehr dicht (10—). Boden: frischer als in N:o 5 und N:o 6, stark gyttjabemengt. Moose: auf dem Boden etwas Protonemas nebst einigen sterilen Astrophyllum- und Amblystegium-Exx.; am unteren Theile der Stämme Stereodon polyanthos spärlich. — Beigemischt kommen Alnus incana (1+) und Salix hastata (1) vor. Die Gräser und Kräuter sind folgende: | N:o 1.| N:o 2.| N:o 3.| N:o 4.| N:o 5.| N:o 6.| N:o 7. Gräser: | | Agrostis laxiflora . . . . «| — | — — — 1 | — — Calamagrostis phragmiloides - . Di ST 2 1 | 2 | 1 1 Beckmannia erueiformis . » » | — — xs Mr UNT — | Bouspratensiss re. Sl Er: 2 = = Il ie aa — Schedonorus inermis .« » . . .| — 1 1 zd — Tritieum repens . . 2 0s s m — — — — 1 | = — Carex acuta . . . . LSU as — 3 — | — M OG aquatilis E SERT SET MES 1, Ji = 20 1) Die Bestimmung der Moose an Ort und Stelle war oft mit unüberwindlichen Schwierigkeiten verknüpft, weil ja dieselben auf überschwemmtem Boden im Allgemeinen in sehr wenig vorgerücktem Sta- dium, oft dazu von Schlamm + bedeckt, auftreten. Im Folgenden sind deswegen die Moosnamen oft gänz- lich weggelassen oder aber es sind nur die Gattungen angeführt worden. 2) Im Folgenden bedeutet „nach hinten“ = weiter vom Ufer entfernt und „nach vorn“ = näher zum Ufer. Wenn die Ufer steiler sind, habe ich die Bezeichnungen „nach oben“ und „nach unten“ (bezw. „unter- halb“, „oberhalb“) angewandt. Tom. XXXII. Vegetation der Allunionen des unteren Lena-Thales. 33 | | | N:o 1.| N:o 2.| N:o 3.| N:o 4. N:o 5.| N:o 6.| N:o 7.| Kräuter: | | | oquiselum. arvense | "a 9 7 7 9 6 5 Slellaria erassifolia 1 1 1 — — — 1 Ceraslium alpinum 1 — = — = — = Caltha palustris 1 — — — — 1 1 Anemone dicholoma . . . . . — — — 1 2 — — Ranunculus acer f . . . . . | 1— — — — — — — UITODOns M RI E 1 2 — 2 — = Nasturtium palustre . . . . . | — 1 = E 1 - 1 Cardamine pratensis. . » . . | — — | — — — 2 — Erysimum cheiranthoides . . .|1 | 1 — — Comarum palustre . . . . .| — — 1 1 — — 1—2 Lathyrus paluster . . . . . . 1 — — 1 — — 1 Veronica longifolia . . . . . 1 = — 1 | 1+ -— 1 Plarmica cartilaginea . . . . fel 1 — — 1+ nn — Arlemisia vulgaris . soc . . | 1— 1 — — — — — Mulgedium sibiricum . . . . b — — 1 1 - — Auf den "Typus 2 beziehen sich folgende Annotationen: N:o 1. Undichtes (6— 7) Salicetum auf dem Festlands-Ufer der Lena, nicht weit von der Mündung der Shiganka. Boden: ziemlich trockner Sand. Moose: sehr wenig (Astrophyllum sp. Timmia megapolitana, Stereodon arcuatus). N:o 2. Fbensolches, undichtes (7) Salicetum am Hohlufer der Nord-Spitze der Insel Agrafena (vgl. Taf. II, Fig. 3). Boden: reiner Sand. Moose: sehr wenig. N:o 3. Ziemlich undichtes (8—) Salicetum am Hohlufer einer Insel unweit Tschi- rimyj-Chaja. Boden: ziemlich trockner Sand. Moose: sehr spärlich. N:o 4. Dem vorigen ähnlicher, sehr weiter Bestand auf einer anderen Insel derselben Gegend. Boden u. Moose: wie in N:o 3. | N:o 1.| N:o 2.| N:o 3.| N:o 4. Gräser: | | Beckmannia eruciformis . . . — 1 — -— Calamagrostis phragmitoides 7 . | 1 1 1 1 f ZEra cæspitosa . . . . . i| — — 1 == POST OLENSIE AKS D TIRE 1 — — -— Schedonorus inermis . . : . . 1 — — = Kräuter: Equisetum arvense . so . - . 9 10 | 5—7 7 Calthatpalustrismee s All: = = — RONUNCUTUS repens... os oc 1 2 So | Nasturtium palustre « » . . . — (OM 1 — Armoracia sisymbrioides sat = = 1 = y N°01 5 34 A. K. CAJANDER. | N:o 1.) N:o 2.| N:o 3. N:o 4. | Comarum palulre . ss . . . — 2 — 2 Datnrusspalusteris s E Ea RTE) EN el Planiago major. "NN — — 2 | — | Gallum, boreale.- » , nn. 1 — _ | — | Tanacetum vulgaret . . . . . 1 — 1 | (Ap Ptarmica cartilaginea . . . .| 1 | — — | — | Von dem dritten Typus, dem der Dünen-Saliceten, wurden nur einige Bestände gesehen. Sie waren alle beinahe rein; beigemischt kamen nur + vereinzelte Exx. von Equisetum arvense, Calamagrostis epigea, ©. phragmitoides 7, Galium boreale und Tanacetum vulgare 7 vor. Sowohl auf Grund der angeführten Annotationen als verschiedener anderer un- vollständigerer, theils aber auch floristischer Annotationen mag hier eine kurze Uebersicht der Zusammensetzung der Vegetation der Facies 1 gegeben werden, wobei hauptsächlich der Typus 1 berücksichtigt wird. Unter den Holzgewächsen findet man, ausser der dominierenden Salix viminalıs, oft folgende ver- einzelt auftretende: Salix triandra, S. hastata, Alnus incana, Cornus sibirica; die Halbsträucher (Æricinéen ete.) fehlen gänzlich. — Flechten fehlen immer, oft auch die Moose. Von den letzteren findet man jedoch häufig spärliche Exx., vorzugsweise von Marchantia polymorpha, Astrophyllum cuspidatum, Timmia megapolitana, Bryum spp., Funaria hygrometrica, mehrere Amblystegium-Arten, Stereodon arcuatus und Clima- cium dendroides; am unteren Theile der Salix-Stämme, an angeschwemmten Bäumen u. s. w. findet man sehr häufig kleine Gruppen meist pleurocarpischer Moose (Leskea paludosa, Stereodon polyanthos u. s. w.). — Von den Gräsern dürfte Calamagrostis phragmitoides 7 überhaupt nie fehlen, doch kommt sie immer nur sehr spärlich (1—2) vor; häufig sind ausserdem: “Era cæspitosa, Poa pratensis, Schedonorus inermis, T'ri- licum repens, Carex acuta resp. etwa vom 66° n. Br. nach Norden C. aquatilis; + häufig — selten Beckmannia | eruciformis, Alopecurus nigricans, Agrostis laxiflora, Poa subfastigiata, Atropis distans 7, Arctophila fulva, Festuca rubra, Heleocharis pa- lustris, Carex vesicaria, C. rostrata. Von den Kräutern bildet Æquisetum arvense sehr oft eine + zusammenhängende Vegetations-Decke; sehr häufig sind ausserdem: Stellaria erassifolia Comarum palustre Plarmica cartilaginea Caltha palustris Lathyrus paluster Mulgedium:. sibirieum : Ranunculus repens Veronica longifolia Nasturtium palustre beinahe ebenso häufig — etwas seltener: Tom. XXXLl. Stellaria palustris Cerastium alpinum Anemone dichotoma seltener: Allium schenoprasum Iris setosa Corispermum sp. Meehringia lateriflora Stellaria graminea Delphinium elatum selten: Veratrum album 7 Rumex acetosa T- Thalictrum kemense Th. simplex Tetrapoma barbareifolia Barbarea vulgaris 7 Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 35 Cardamine pratensis Erysümum cheiranthoides Galiwm dahuricum Ranuneulus acer + Armoracia sisymbrioides Parnassia palustris Vicia eracca V. amena Euphorbia esula Arabis pendula Dontostemon pectinatus Sisymbrium sophia + Potentilla stipularis Astragalus alpinus Geranium pratense Galium boreale Tanacetum vulgare + Artemisia vulgaris; Myosotis palustris Valeriana officinalis Aster sibirieus Inula britannica Senecio nemorensis ; Linum. perenne + Epilobium palustre Archangelica officinalis 7 Plantago major Artemisia borealis Cacalia hastata. Von den obengenannten drei physiognomischen Typen ist der Typus 1 der vorherrschende, der Typus 2 ist viel seltener und der Typus 3 kam nur bei der Wiljuj- Mündung vor. Die Typen 1 und 2 haben eine beinahe ganz ähnlich zusammengesetzte Vegetation, wogegen der Typus 3 ein wenig abweichend zu sein scheint, nur hatte ich so wenig Gelegenheit denselben zu untersuchen, dass es mir verfrüht erscheint, denselben als eine gesonderte Facies zu beschreiben. Facies 2. Diese Saliceten gehören beinahe sämmtlich zum Typus 1. Sie sind überhaupt ziemlich niedrig, selten über 5 M. hoch. Im Vergleich zur Facies 1, zeichnen sich diese Saliceten durch den viel grösseren Reichtum an Gras- und besonders Kraut- Arten aus. Von der Facies 2 besitze ich aus einer Insel unweit Tulaginskaja folgende Annotationen: N:o 1. Ziemlich undichter (8), an das westliche Hohlufer grenzender Saum eines Salicetums. Boden: reiner Sand, ziemlich trocken. Moose fehlen. N:o 2. Weiter vom Ufer entfernter Theil desselben Salicetums, dichter (9+). Boden: schwach gyttjabemengter Sand, ein wenig frischer als in N:o 1. Moose: sehr wenig (Funaria hygrometrica, Stereodon arcuatus, Climacium dendroides). N:o 3. Noch weiter nach hinten gelegener Theil desselben Salicetums, sehr dicht (10). Boden: wie in N:o 2, an der Oberfläche theils mit gefallenem Laub be- deckt. Moose: wie in N:o 2. N:o 1. 36 A. K. CAJANDER. N:o 4. Auf trocknem, schwach dünenartigem Sandboden gelegener Theil des Salicetums am östlichen Ufer derselben Insel. Ziemlich undicht (8). Moose: sehr spär- lich (Pohlia nutans, Funaria hygrometrica). N:o 5. Dem letztgenannten ganz ähnlicher Theil desselben Salicetums an demsel- ben Ufer. N:o 6. Zwischen N:o 4 und N:o 5 gelegener Theil des Salicetums, ziemlich un- dieht (7). Boden: äusserst schwach gyttjabemengter, ziemlich fester Sand. Moose: fehlen. N:o 7. Hinter N:o 5 gelegener, dichter (9+ ) Theil des Salicetums. Boden: Sand, ziemlich trocken, theils von Laub bedeckt. Moose: sehr spärlich (Stereodon arcuatus). N:o 8. Noch dichterer (10) Theil des Salicetums hinter N:o 7. Boden: fri- scher, schwach gyttjabemengter Sand, von einer + vollständigen Schicht des Laubes bedeckt. Moose: sehr spärlich. N:o 9. Ebenso dichter, ein wenig trocknerer Theil desselben Bestandes. Moose: fast fehlend. N:o 1.| N:o 2.| N:o 3. N:o 4.| N:o 5.| N:o 6.| N:o 7.| N:o 8.| N:o 9. Gräser: - Beckmannia erueiformis . . . — E 1 = = -— x. = AB Agrostis laxifora. .*. M- — — = = = 1 2 er -— Calamagrostis phragmitoides 7 . 1 2 2 1— ] 1 1 1 ] CARTE e ee er — 1 — = = = = = = CREDIT EEE A — 1 — E = = -— x er Poa pratensis 1 2 3 1 2 1 2 1 1 P. subfastigiala 1 1 — — 1 — — ze Atropis distans F- . - - » 1 1 — 2 1 Le + ny iX Schedonorus inermis . . . . . 3 24- 2 24- Us 2 | 1 2 Festuca rubra . 2 2 2 = — 1 = — — Triticum repens 1 2 = 2 = = zz LE -— Jg Cy (Eo EM en. 221523] = T 9 2 set 2 OA Elymus dasystachys . . . . . | — = = 1%) 2 — - —|-— Hordeum pratense . » 2... l 2 = == E 1 = EL Kräuter: | Equisetum arwense . . . . - 1 24- 4 |2—3 4 2 | 3-4 il v s) Alliwm schanoprasum . . . . = 1 | == 1 = E E e TALES TACELOR ie TE RS 1 = 1 1 1 1 _ — L— SUPNEITEDENS Er RETO ENT NI 1+ | = = = — = = 2E Cerastium maximum . . . . 1 — | — Ga pn Que 2 14 1 1 1 1 = 2 1 Thalictrum kemense . . . . . | — = = 1 = = EIN ar du Ti simples ON EEE — = = = 1 ze 1 Ranunculus acer f - = » . . | — — — = = = 1 1 a Nasturtium palustre . . . . .| — — — 1 = == 1 — = Tom. XXXII. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 37 | = I N:o 1.| N:o 2.| N:o 3.| N:o 4.| N:o 5.| N:o 6.| N:o 7.| N:o 8.| N:o 9. Barbarea vulgaris F . - . » . | — — — = = 1 Arabis pendula. - .:.. — — | 1 — = 1 = Ed = Dontostemon pectinatus . . . - 1 | 1+ 1 2 2 2 1 Sisymbrium sophia T . . . . | — — | — — Erysimum cheiranthoides . . .| — 1: c ete MET = 2 1 — 1 Armoracia sisymbrioides . . .| — — — | 1 — = — = = Potentilla stipularis . . . . - 1 — 1 — — — | — — — TER Cd ion Ce : 1 — |1+ 3 1 — |2-3 1 1 Lathyrus paluster . . . . . .| — = | — — 1 = | = STEN UT Linum perenne T . . os . . 1— — | — ques - - — — Epilobium angustifolium . . .| — IM — 1 -— — — = — Stachys paluster F . . . . . | — — | — = E — — | — 1 Linaria vulgaris fo. . . . . | 3+ 2 2 1— 2 1 — — = Veronica longifolia . . . . . | — 1 1 — — 1 — 1 — Castilleja pallida . . . . . . 1 — = 1 -— — — = — Euphrasia officinalis. . . . .| — 1 — — — — — — — Galium uliginosum . . . . . | — — 1 — — — — | — — (EL DUDAS a ELS Se — — 1 — — = — — Aster sibirieus . . . . . || = | — de = 2 |, — = = Ec Erigern acer . . . AKT S gr E -— 1 = = = = > Achillea millefolium . . . . | 1 — 8 = EM = == FT E Tanacetum vulgare 7. . . — — |1— E — — — == 4 Artemisia dracuneulus . 2 ARSCH ts 1 — = = = 1 — T =. 1 A. scoparia A. dacwalg . » 0... 4 .| 1— — — — — — — 1 — EL GUIAS CC ve HE 1 ll 1+ 2 1 Mulgedium sibirieum |. . . . 1 | 1+ 2 -- 1 1 — — Grepissteewrum2 2 2 s v. 1 — 1 1 1+ [5] —— m [ov] | | Uebersicht der Facies 2. Den Holzgewächsen hin und wieder beigemischt tritt Salix triandra auf, viel seltener Alnus incana und Cornus sibirica. Die Moos- Vegetation ist etwa aus denselben Arten zusammengesetzt wie weiter nach Norden (vgl. oben Facies 1). — Unter den Gräsern treten beinahe immer auf: Calamagrostis phrag- mitoides 7, Poa pratensis und Schedonorus inermis, sehr häufig T'riticum sp., häufig Beckmannia | eruciformis, Poa subfastigiata, Festuca rubra, Triticum repens, Elymus dasystachys, Hordeum pratense, + häufig Alopecurus nigricans j, Calamagrostis epigea, Atropis distans 7, seltener Agrostis laxiflora, Calamagrostis neglecta, Era cæspitosa, Carex acuta, zufällig Hordeum jubatum ete. — Unter den Kräutern dürfte Æquisetum arvense nie fehlen, bisweilen kann sie eine + zusammenhängende Vegetation bilden; meist treten auch folgende auf: N:o 1. 38 Cerastium alpinum Dontostemon pectinatus Erysimum cheiranthoides A. K. CATANDER. Vieia EFACCA Linaria vulgaris + Artemisia vulgaris sehr häufig sind ausserdem: Allium schenoprasum Rwmex acetosa T häufig : Stellaria crassifolia Ranunculus repens Nasturtium palustre Arabis pendula + häufig: Corispermum sp. Silene repens Moœhringia lateriflora Stellaria palustris St. graminea Caltha palustris Delphinium elatum Thalietrum simplex seltener — selten: Veratrum album 7 Stellaria radians Cerastium maximun Thalictrum kemense Tetrapoma barbareifolia L Barbarea vulgaris + Lathyrus paluster Veronica longifolia Armoracia sisymbrioides Linum perenne + Euphorbia esula Castilleja pallida Anemone dichotoma Ranunculus acer + Cardamine pratensis Sisymbrium sophia 7 Parnassia palustris Comarum palustre Vicia amena Myosotis palustris Potentilla stipularis Epilobium angustifolium Archangelica officinalis 7 Stachys paluster + Galium uliginosum G. dahuricum , Mulgedium sibiricum Crepis lectorum; Artemisia. dracuneulus 4. scoparia; Euphrasia officinalis Tanacetum vulgare + Artemisia sacrorum Senecio Jacobæa T ; Galium boreale G. verum T Valeriana officinalis Aster sibiricus Erigeron acer Ptarmica cartilaginea Achillea, millefolium; Inula britannica Artemisia borealis A. lacimata Cacalia hastata Senecio nemorensis Taraxacum officinale. Am Rande solcher Saliceten, die an Wiesen grenzen, ist die Vegetation gewöhn- lich anders zusammengesetzt als in der Mitte der Bestände, und zwar kommt die domi- nierende Wiesenpflanze gewöhnlich in grosser Menge auch im angrenzenden Salicetum vor. Je nach der vorherrschenden Pflanze der Gras-Vegetation können mehrere Sali- cetum-Facies unterschieden werden: Die Facies mit Carex aquatilis. Hierher gehört der Rand der meisten an Wie- sen grenzenden Saliceten nördlich vom 66° n. Br. Von denselben besitze ich folgende 2 Annotationen: Tom. XXXII. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales 39 N:o 1. Undichter (7) Theil des Salicetums N:o 4 (pag. 32), am Rande eines Bestandes von Carex aqualılıs auf der Insel Agrafena (vgl. Taf. II, Fig. 1). Boden: gyttjabemengter Sand, oben theils von moderndem Laube bedeckt, frisch. Moose: sehr spärlich (Astrophyllum cuspidatum und Amblystegium spp.). N:o 2. Dem vorigen ganz ähnlich, auf derselben Insel. I N:o 1. N:o 2. | N:o 1.| N:o 2. Gräser: | Calamagrostis phragmiloides + . 1 1 | Inns"selosner rn ee 1 — Poa pralensis . NA ET -— 2 Stellaria erassifolia . . - ; -— 1 Garexsaguatis EN ON ENG, 5 Comarum palustre l 2 C. vesicaria (var Grahami!) . . | l | Vicia cracca . "EIE 1 — M | Lathyrus paluster. . . AN 2 3 Er Galium boreale . . EN RE Cr — vquisetum arvense AR 3 3—4 | Ptarmiea cartilaginea . . 4 i 1 — Wo ein Bestand von Calamagrostis phragmitoides 7 den äussersten Rand der Wiese bildet, ist sie gewühnlich auch am Rande des angrenzenden Salicetums sehr reich- lich vorhanden. Leider liegen keine Annotationen vor. Die Facies mit Carex acuta. Durch diese Facies wird südlich vom 66" n. Dr. die mit C. aquatilis ersetzt. Annotation: An Caricetum acutæ grenzender Rand eines Salicetums einer Insel in der Wil- juj-Mündung. Ausserst dicht (10), ziemlich niedrig (2—3 M.). Boden: stark gyttja- bemengter Sand, frisch. Das einzige Gras: Carex aeuta D—b; Kräuter: Equisetum fluviatile 3 Ranunculus repens 1 Lathyrus paluster 1 Stellaria palustris 1 Comarum palustre 2 Pturmica carlilaginea 2: Caltha palustris 2 Moose: äusserst spärlich. Die Facies mit Schedonorus inermis. Dieselbe kommt nur in der Gegend süd- lich von der Aldan-Mündung vor. Annotation: Langer, schmaler Salix-Bestand bei Ytyk-Chaja, zwischen zwei Schedonoreta ge- legen. Boden: Sand, frisch. Das Gesträuch dicht (9). ziemlich hoch (4 M.). Moose: sehr spärlich. N:o 1. 40 A. K. CATANDRER. (sräser: Beckinannia eruciformis 1 Poa pratensis 2 Schedonorus inermis 6 Alopecurus nigricans 2—5 P. subfastigiata à Carex acuta 2: Calamagrostis phragmitoides 7 > Kräuter: Equisetum arvense 2 Erysimum cheiranthoides 1 Veronica longifolia 1 Thalictrum simplex 1 Armoracia sisymbrioides 1 Mulgedium sibiricum 1. Ranunculus repens 2—3 Die Facies mit Elymus dasystachys findet man sehr häufig in den Umgebungen der Ælymus-Felder bei Kytylyk. Annotationen: N:o 1, N:o 2 und N:o 3 beziehen sich alle auf an Elymeten grenzende, schmale Ränder der Saliceten. Die Salices wachsen ziemlich undicht (7—8). Boden: trockner Sand. Moose: sehr spärlich (Pohlia mutans, Funaria hygrometrica, Ceratodon purpureus). | | ! | | | N:o 1.| N:o 221N:0,3. | N:o 1. N:o 2.| N:o 3. Grüser: SN CEE - Beckmannia eruciformis . . . 1 — = Vicia eracca . 2 1 2 SERIE LEON = do Lalhyrus paluster . ir - 1 — Calamagrostis phragmitoides + . | — = 2 Linumperenme tn: UN 1 1 1 Jin WU s 5 5 mw L9 1 = Seutellaria galerieulata + . . . | 1+ — 2 Schedonorus inermis . . . . . | 2 1 1 Linaria vulgaris 7 . . . .|1—2 | — 2 SHERIDAN A 2 — | Veronica longifolia . . . . . | — 1 — Triieum repens . . . 2... NES 2 1 Castilleja pallida . . . . . .| 1 1 — 7i rs a crew SU o a d teta oe s 3 1 : Van DON 6 9 So — — 1 Elymus dasystachys . . . . . 5 5 6 ET ARON ador ET OT [ERE 1 — T mula rilanmica E — 1 Hun: | Artemisia dracunculus . . . .| 1+ 3— — Equisetum arvense . . . . . | — |2—3 3 A. scoparia . RE ONU lä 1 Allium schenoprasum . . . . 1 — = ASKED UTG TS RS 0 3 2 3 Cerastium alpinum . so os s. 1 1 = ISEN ECO Jacobi T" se 1 — Thalictrum simplex . » ss sl = 1 — Mulgedium sibirieum . . . . 24 23 1 Dontostemon pectinatus. . . - 3 3 1 (7422): UTR ORAN ee 2 — | Zrysimum cheiranthoides . . . | 1+ | 1 — Wie oben erwähnt wurde, wird Gyttjaboden viel früher von der Salix- Vegetation eingenommen als der aus Sand bestehende. Um so auffallender ist, dass auf niedrigem, (feuchtem—nassem) gyttja- bezw. dyreichem Boden keine ältere Saliceten angetroffen wur- den, wohl dagegen natürliche Wiesen. Die einzige Schlussfolgerung, die daraus zu zie- Tom. XXXII. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 41 hen ist, ist, dass die auf solchem Boden zuerst entstandenen Saliceten sich später in natürliche Wiesen umwandeln. In der That fand ich auf einer Insel unweit Shigansk in gyttja- resp. dyreichen Thälern mehrere, gerade im Absterben begriffene Saliceten, mit einer reichlichen Unter- vegetation von entweder Æquisetum fluviatile, Carex aquatilis oder Calamagrostis phragmitoides 7, und es dürfte kaum dem Zweifel unterliegen, dass diese Salice- ten mit der Zeit in die resp. Wiesen übergehen werden. Ueber dieselben besitze ich folgende Annotationen: N:o 1. Langes, nasses Thälerchen, von — höher gelegenen — Saliceten und Mischgebüschen umgeben. Boden: stark dy- und torfbemengter Gyttjasand. Das Ge- sträuch sehr undicht (4—5), etwa 2 M. hoch, die meisten Zweige vertrocknet. Moose: sehr spärlich (Astrophyllum sp., Amblystegium sp.). N:o 2 und N:o 3 dem erstgannten ganz ähnlich. N:o 4. Eine etwas höher gelegene Partie um N:o 2 herum. Moose: spärlich (3—4, Astrophyllum sp., Amblystegium sp., Stereodon arcuatus). | I I | N:o 1.| N:o 2.| N:o 3.| N:o 4. | | Gräser! | T Calamagrostis phragmitoides + . 1 1 — 6 Carex aqualilis. . ar OST RSK M EE IE? DENS Kräuter: Equisetum fluviatile . . . . . 6 6 T 2 | Caltha palustris. . . . . . 2 1 = = Cardamine pratensis. . . . .|3—4| 3 1 2 Comarum palustre — . TIER 1 1 3 3 Epilobium palustre . . . "T -— — 1 Galium dahurieum . ss sc — | — 2 — Verbreitung. Auf jährlich überschwemmtem Boden sind die Saliceta viminalis die häufigste Pflanzen-Association bis in die Nähe von Gowor im Norden. 2. Die Association von Fruticeta mixta. In demselben Maass als der resp. Alluvialboden durch jährlich wiederhohlte Sedi- menten-Ablagerung höher geworden ist, werden dem ursprünglich reinen Salicetum ver- schiedene andere Sträucher und Bäume beigemischt. Diese vermehren sich sowohl an Individuen- als an Art-Anzahl und so entsteht ein aus vielen verschiedenen Holzge- wächsen bestehender Mischgebüsch-Bestand. Die hauptsächlichsten Elemente der Misch- gebüsche sind folgende: Picea obovata, Salix triandra, S. viminalis, S. pyrolifolia, N:o 1. 6 42 A. K. CAJANDER. S. hastata, Betula verrucosa, B. odorata, Alnus incana, Almaster viridis, Ribes pube- scens, HR. dikuscha, Prunus padus 7, Rosa acicularis, Crategus sanguinea, Sorbus aucuparia, Cornus sibirica und Lonicera cerulea. Das Höhenniveau, bei welchem sich eine jede Strauch- (resp. Baum-) Art ein- findet, schien ziemlich konstant zu sein, leider war es aber schwierig, hierüber genaue Messungen auszuführen. Am frühsten kommen — ausser Salir triandra Almus incana und Cornus sibirica, gleich darauf Salix pyrolifolia, Rosa, die beiden Ribes- Arten u. s. w. vor. Zuletzt finden sich die Betulæ und Picea ein. Characteristisch für die Mischgebüsche ist ihre ausserordentliche Dichtigkeit: die Sträucher wachsen so dicht neben einander und mit den Zweigen so in einander ver- flochten, dass sie oft völlig undurchdringlich sind. — Mit Rücksicht auf die grosse An- zahl verschiedener Holzgewächse, aus welchen die Mischgebüsche bestehen, könnte man annehmen, es sei die Vegetation derselben grossen Schwankungen in Betreff ihrer Zusam- mensetzung unterworfen. Das ist jedoch im Allgemeinen nicht der Fall, sondern dieselbe ist ziemlich gleichartig, wenigstens ebenso gleichartig wie die der Associationen von Saliceta viminalis, Piceeta etc. Es müssen die Mischgebüsche natürlich je nach ihrem relativen Alter, nach kleinen Verschiedenheiten der Bodenbeschaffenheit, Feuchtigkeit etc. eine etwas verschiedenartige Vegetation aufzuweisen haben, die Unterschiede in dieser Hin- sicht sind aber äusserst klein. Viel grössere Unterschiede werden dagegen durch die verschiedene Polhöhe hervorgerufen, und zwar können in dieser Hinsicht 3 verschiedene Facies unterschieden werden: 1) die Mischgebüsche zwischen der Stadt Jakutsk und der Mündung des Aldan, 2) die Mischgebüsche zwischen der Aldan-Mündung und der Insel Agrafena und 3) die Mischgebüsche von der Insel Agrafena nordwärts. Facies I. Die Mischgebüsche zwischen der Stadt Jakutsk und der Aldan-Mün- dung. Diese wurden nur ganz wenig untersucht. Von denselben besitze ich, von einer Insel unweit Echedej, folgende 2 Annotationen: N:o 1. Mischgebüsch am Südende der genannten Insel. Boden: gyttjabemeng- ter Sand, frisch. Das Gehölz dicht (10—): Salix viminalis (6), Alnus incana (2), kibes pubescens (2—3), Cornus sibirica (7). Moose: an den Stämmen spärlich (Stereo- don polyanthos). N:o 2. Mischgebüsch am östlichen Hohlufer derselben Insel. Boden und Moose: wie oben. Das Gehölz dicht (10—): Salix viminalis (6—' 7), Rübes pubescens (2), Cornus sibirica (7). | N:o 1.| N:o 2. N:o 1.| N:o 2. Gräser: Kräuter: = | Calamagrostis phragmitoides 7 . 1 | 2— Equisetum arvense . . . . . | 5-6 | 5-6 POONDRRIENRSIEN a ANNEE EE 1 Rumen! acelosal an ON 1 Festuca rubra... v i odo — 2 Mehringia lateriflora . . . . 1 1 Hordeum pratense . » . . .| — 1 Stellaria graminea . . . . .| — 1 Tom. XXXII. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 43 N:o 1.| N:o 2.| | N:o 1.| N:o 2. Thalietrum simplex . . . . . 1 1 Veronica longifolia . . SA | 1 Anemone dichotoma . . . . . 1 — Galium dahurieum . . . . .| 1+ 1 Erysimum cheiranthoides . . .| — 1 Gore eu ete, à 1 — Potentilla stipularis . . . . .| — 1 Valeriana officinalis . . . . .| — | 1 | EE TAG RA EEE XE SUR CS e 1 Aster sibiricus . . . . . . .| — 2 Tathyrus paluster. : . . . .| 1+ | — Senecio Jacobea + edet mene Tr Myosotis palustris. . -. - - - 1 Cs Mulgedium sibirieum. . . . .| 14 iJ Linaria vulgaris F . . . . . 1 | — Orepisttecorum 1 NO. IE Sie sind besonders durch das Fehlen von Almaster, Ribes dikuscha, Prunus, Cratæqus und Sorbus characterisiert. Verbreitung. In den Gegenden zwischen Jakutsk und der Aldan-Mündung wurden Mischgebüsche ziemlich spärlich und eigentlich erst nördlich von Nikolskaja angetroffen. Facies 2. Die Mischgebüsche von der Aldan-Mündung bis zu der Insel Agra- fena. Auf dieselben beziehen sich folgende Annotationen: N:o 1. Aeusserst dichtes (10+) Gebüsch auf einer Insel in der Aldan-Mün- dung, an einer kleinen Altwasserinne. Boden: schwach gyttjabemengter Sand, frisch. Das Gehölz besteht aus folgenden Arten: Salir viminalis (50 "/,), Ribes pubescens u. H. dikuscha (10 °/,), Rosa acicularis (10 °/,), Cornus sibirica (30 °/,). Moose: spär- lich am unteren Theile der Stämme. N:0 2. Ein etwas älterer Bestand am Hohlufer derselben Insel. Boden gyttja- bemengter Sand, oben theils von vermoderndem Laube bedeckt, frisch. Der Bestand dicht (10): Picea obovata (1), Salix viminalis (6—T), S. pyrolifolia (1), Betula ver- rucosa (2), B. odorata (3), Alnus incana (6), Alnaster viridis (1), Ribes pubescens (2), R. dikuscha (2), Rosa acicularis (1), Cornus sibirica (4). Moose: sehr spärlich. N:o 3. Ein undichterer Theil des letztgenannten Bestandes, mit sonst etwa derselben Zusammensetzung der Gehülzvegetation wie in N:o 2, nur sind die meisten grösseren Bäume (vom Winde, vielleicht auch vom Eis) gebrochen worden. Moose: sehr spärlich. N:o 4. Sehr dichtes (10+) Mischgebüsch am Hohlufer einer Insel in der Wil- juj-Mündung. Vom Eis sind die Sträucher so zu Boden gepresst worden, dass man förmlich auf denselben spazieren kann. Boden: gyttjabemengter Sand, frisch. Das Gehólz besteht aus: Salix viminalis (40°/,), Alnus incana, Alnaster viridis, Ribes pu- bescens, Prunus padus f, Rosa acicularis. Moose: sehr spärlich. N:o 5. Dem letztgenannten ähnliches Mischgebüsch am Hohlufer einer anderen Insel in der Wiljuj-Mündung. Boden: gyttjabemengter Sand, frisch. Das Gehölz (10) N:o 1. 44 A. K. CAJANDER. besteht aus: Salix vimmals (40-50 °/,), Almus incana, Alnaster viridis, Ribes pu- bescens, Prunus padus 7, Rosa acicularis, Sorbus aucuparia. Moose: ? N:o 6. Ziemlich dichtes (8 bis 9 +) Mischgebüsch am Hohlufer der Insel Machan-Bare in der Wiljuj-Mündung (vgl. Taf. II, Fig. 2). Boden: ziemlich trock- ner, -|- loser Sand. Das Gehölz besteht aus: Salix viminalis (50 °/,), S. pyrolifolia (vereinz.), Betula odorata (spärl.), Ribes pubescens (spärl.), Prunus padus 7 (spärl.), Rosa acieularıs (zerstr.), Crategus sanguinea (vereinz.), Sorbus aucuparia (spärl.), Cornus sibirica (zieml. reichl.). Moose: fehlen. N:o 7. Der etwa in der Mitte derselben Insel (vgl. Taf. II, Fig. 2) befind- liche Theil desselben Bestandes. Boden: schwach gyttjabemengter Sand, frisch. Das Gehólz dicht (10): Salir viminalis, S. pyrolifolia, Betula odorata, Alnus incana, Aln- aster viridis, Prunus padus f, Rosa acicularis, Orategus sanguinea, Sorbus aucu- paria, Cornus sibirica, alle in buntestem Gemisch. Moose: ? N:o 8. Völlig undurchdringliches (10 +) Gebüsch auf derselben Insel wie N:o 4, weiter vom Ufer entfernt. Boden: gyttjabemengter Sand, frisch. Das Gehölz be- stand aus einem bunten Gemisch von: Salix viminalis, Betula odorata, Almus incana, Alnaster viridis, Bibes pubescens, Prunus padus f, Rosa acicularis, Orategus san- gwinea, Sorbus aucuparia, Cornus sıbirica. Moose: ? N:o 9. Dichtes (10) Mischgebüsch in der Mitte einer Insel unweit der Wiljuj- Mündung, von Saliceten umgeben. Boden reiner, ziemlich trockner Sand. Das Gehölz besteht aus: Salix viminalıs (45 "/,), Alnus incana (20 °/,), Crategus sanguinea (5 °/,), Cornus sibirica (20 °/,), nebst Salix triandra, Betula odorata, Ribes pubescens, Sor- bus aucuparia. Moose: sehr spärlich. N:o 10. Hinter dem Salicetum N:o 4 auf der Insel Agrafena gelegenes Misch- gebüsch (Vgl. Taf. II, Fig. 3). Boden: schwach gyttjabemengter Sand, zieml. trocken. Das Gehölz (9) besteht aus: Salix viminalis, Alnus incana, Rosa acicularis und Cor- nus sibirica in beinahe gleichen Verhältnissen. Moose: sehr spärlich auf dem Boden und an den Stämmen. N:o 11. Am Ufer gelegener "Theil des vorhergehenden Bestandes (vgl. Taf. II, Fig. 3). Boden: zieml. reiner Sand, frisch. Das Gehölz (9) besteht aus: Picea obo- vata (1), Betula odorata (3), Salix viminalis (5—6), Salix pyrolifolia (1), Ribes pubescens (3), R. dikuscha (2), Rosa acicularis (4—5), Sorbus aucuparia (2), Cornus sibirica (6), Lonicera cerulea (2). Moose: ? N:o 12. Mischgebüsch am Hohlufer der Lena unweit der Mündung des Flusses Naschim (vgl. Taf. IL, Fig. 1). Boden: schwach gyttjabemengter Sand, frisch. Das Gehölz (9) besteht aus: Picea obovata (2—), Salix viminalis (3), S. pyrolifolia (4), Betula odorata. (4—5), Alnus incana (4), Alnaster viridis (4), Ribes pubescens (3—4), Rosa acicularis (4—5), Sorbus aucuparia (2), Cornus sibirica (3). Moose: sehr spärlich. Tom. XXXII. Gräser: Calamagrostis phragmitoides 1 . 1 Poa pralensis . Asp: Schedonorus inermis Triticum caninum Tr. repens Carex acuta Kräuter : Equisetum arvense Rumex salicifolius . Chenopodium album Ch. glaucum Corispermum sp. . Silene repens Mechringia lateriflora Cerastium maximum C. alpinum Delphinium elatum . Thalietrum kemense. Th. simplex . Anemone dichotoma . Ranuneulus repens . Nasturtium palustre . . Erysimum cheiranthoides . Rubus arcticus Sanguisorba officinalis . Astragalus alpinus . Vicia eracca V. amena Lathyrus paluster Linum perenne + Epilobium angustifolium . ÆEgopodium alpestre Conioselinum tataricum Myosotis palustris Linaria vulgaris + . Veronica longifolia . Castilleja pallida . Pedicularis resupinata . Galium dahuricum . G. boreale G. verum +. Adoxa moschatellina Valeriana officinalis N:o 1. Vegetation der Alluwionen des unteren Lena-Thales. 45 u | | E N:o 1.| N:o 2.| N:o 3:| N:o 4.| N:o 5.| N:o 6.| N:o 7.| N:o 8.| N:o 9.[N:010.|N:011.|N:012. I 3—4| 5 1 1 Bl sr 5 7 Sl esu Metas = — 3 = = tes I == = 1 = == = 2 en a 1 = SE — Er = = = 2 = = ae = -- ie = 1 E A Te res 20), = I RIRE = TORO ee => = er > == x == 1 = = EIC en 1 = — — c — — — = pus — | 2 2 1 1 4 1 1 Tea 2 I Es Les = El 1 = ir = u > E: E = 2 m 1 = ] EL = = s Se e" E = = 1 = = = = — = - | - = = EN - = 2 = = = = es = 1] | — 2. A A ER NIME ME TN RS = = 1 — 2 — ET = 1 1 EC = 1 1 an = ho) — NS SAN e | 1 = 1 — | — — 1 1 =, ne 1 HE = = _ 2. 2t 1 1 — Ee E E = — 2 = = = = ] — = = et = = = " 1 — = > = 1 Re | = = Te RQ NT 1 = = = =, 1 = => SA = — — = = = ES a 1 = = = = — = 1 2 - = = = 1 ] 1 = = | = = — = zt = = = = 21 = — = 1 = = I 1 = — = —. — = == — = =S Na er I grew ex zn 1 ER = = 1— — 2 1 1 1 2 1 1= 1 1 1 2 — 3 = = = = 1 — = = — 1 1+ [2-3 | — 1 1 2 1 2 3 i 1 ER — == = = => 1 #2 - = = = = = 1 = = 1 EN = — rM A x 2 1 LE = = = = = — =? xm = L— ES 1 — — —| = —, = == = E NIMES ee Tras NK ch T ee ES EE TE Mes 1 SA ees ] — | = Zul = — = 1 |1—2 | 2=3 | — — — 1 1 2— | — = _ = = = = = = = = 1 = = EN LE "I x ] 1 m m HE DANSE 3 1 2 1 SALE 1 2 Du og 1 = 2 2 = = 2 1 2 2 = 1 = = 2 = = = 1 BIS — En E EN E we — SM E = (ENS = es er = ex = E 1 1 = = MID ets 46 A. K. CAJANDER. N:o 1.| N:o 2.| N:o 3.| N:o 4. N:o 5.| N:o 6.| N:o 7.| N:o 8. N:o 9.|N:010.|N:011. N:o 12. | Campanula glomerata . . . . - — — — = = 1 1 es = Em ee istenzsibirieuss I Sea: 1 — — — = — 1 1 — — 4 e Plarmica cartilaginea . . . .| — — — -— — 1 — = eg = = Re IRE Gui to 5 UR Te cO T — == 1 — == = ÅL = = 1 e is Tanacetum vulgare + . os - . ] 1 1 — E 1 — | — A1 = = 1 Senecio Jacobea T >. . . — — — — = = =. = = 1 ES 24 "b VOGUEN S. S. o. dom qs — 1 1 = 1 — - 1 — — _ — Qacaliahastata ON — — 1 1 — 1 1 — == RN = Mulgedium sibiricum . . . . 1 2 1 1 1 — 1 1 1 1 1 1 Uebersicht der Vegetation der Facies 2. Das Gehölz besteht aus Salix viminalis, Betula odorata, Alnus incana, Alnaster vridis, Ribes pubescens, Rosa acicularis und Cornus sibirica, nebst Salix pyrolifolia, Prunus padus +, Cratequs sanguinea, Sorbus aucuparia, oft auch mit Beimischungen von Picea obovata, Salix triandra, Ribes dikuscha, etwas seltener von Salix hastata, Lonicera cerulea und süd- lich von der Wiljuj-Mündung von Betula verrucosa, selten von Spiræa sorbifolia, Sy. salicifolia +, Ribes nigrum und Rubus ideus 7'). Der Untervegetation fehlen bei- nahe nie Æquisetum arvense und Calamagrostis phragmitoides +. Von diesen kann die erstgenannte Art, besonders in den jüngeren Mischgebüschen, reichlich auftreten, in den älteren dagegen bisweilen Calamagrostis phragmitoides 7. Unter den Gräsern sind, ausser der obengenannten Calamagrostis, + häufig, aber immer spärlich vorhanden: Poa pratensis, Festuca rubra, Triticum caninum, Tr. repens, Tr. sp. Carex acuta, resp. C. aquatilis, seltener Agrostis laxiflora, Calamagrostis epigea, Poa subfastigiata (zufällig?), P. sp., Schedonorus inermis (+ zufällig), Elymus dasystachys. Von den Kräutern kommen, ausser Æquisetum arvense, beinahe immer, aber nur spärlich vor: Vicia cracca Galium dahurieum Mulgedium sibiricum ; Lathyrus paluster sehr häufig ausserdem: Veronica longifolia Tanacetum vulgare + Cacalia hastata ; Galium boreale Senecio nemorensis häufig: Cerastium alpinum Erysimum cheiranthoides Valeriana officinalis Mehringia lateriflora Myosotis palustris Aster sibiricus; Anemone dichotoma 1) BUNGES (1895, p. 7) Angabe, dass die Gebüsche u. a. aus Viburnum und Rhamnus beständen, wurde nicht bestätigt. Tom. XXXII. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 47 + häufig: Allium schenoprasum Silene repens Stellaria graminea St. erassifolia Caltha palustris Delphinium elatum Ranunculus repens seltener — selten: Veratrum album + Iris setosa Stellaria radians St. palustris Cerastium maximum Thalietrum kemense Th. simplex Ranunculus acer + Barbarea vulgaris + Arabis pendula Nasturtium palustre Cardamine pratensis Parnassia palustris Comarum palustre Vicia amana Epilobium angustifolium Dontostemon pectinatus Rubus arcticus Potentilla stipularis Sanguisorba offieinalis Astragalus alpinus Geranium pratense Linum perenne + Euphorbia esula Epilobium palustre - Linaria vulgaris + Galium verum + Campanula glomerata Achillea millefolium Artemisia vulgaris Senecio Jacobæa 7: Ægopodium alpestre Conioselinum tatarieum Archangelica officinalis + Castilleja pallida Pedicularis resupinata Adoxa moschatellina Ptarmica cartilaginea Pt. sibirica Artemisia dracunculus ; + zufällig sind mehrere Chenopodiwm- Arten, Rumex salicifolius u. s. w. Die Moose sind ein wenig reichlicher vorhanden als in den Saliceten. Die Arten sind überhaupt dieselben (pag. 34), oft findet man ausserdem Polytrichum com- mwne und Hylocomium triquetrum. Es kommen auch Mischgebüsche bisweilen auf dünenartigem Sandboden, besonders in der Nähe der WiljujMündung vor. Im Frühling werden sie überschwemmt, im Som- mer wird Sand aus nahe gelegenen niedrigen, vegetationslosen Sandbänken auf dieselben getrieben. . Die Gebüsche sind ziemlich niedrig, aber gewöhnlich undurchdringlich. Annotation. Dünen-Mischgebüsch vorne weite Sandfelder. auf einer Insel in der Wiljuj-Mündung, Boden: reiner Sand, mit ganz niedrigen Dünenhügelchen. Das dichte (10+) Gesträuch besteht aus einem Gemisch von Salix viminalis, Alnus incana, Rosa acicularis und Cratæqus sanguinea. Gräser: Calamagrostis epigea 2 Poa pratensis 1 Kräuter: Equisetum arvense 1 Stellaria graminea 1 Corispermum sp. 1 N:o 1. Elymus dasystachys 2 Vicia cracca 1 Inula britannica 1 Tanacetum vulgare + 1 Moose: fehlen. Triticum repens 1; Artemisia draeuneulus 1 A. borealis 1 A. vulgaris 1. 48 A. K. CAJANDER. Verbreitung. In der Gegend zwischen der Aldan-Mündung und der Insel Agrafena sind die Mischgebüsche sehr häufig und bedecken weite Areale. Nur die Saliceten sind umfangreicher. Facies 3. Die Mischgebüsche unweit Shigansk. Zwischen 66° und 67° n. Br. unterliegen die Mischgebüsche durchgreifenden Veränderungen. Unter den Holzgewächsen erreichen ihre Nordgrenze: Ribes pubescens, Hh. dikuscha, Prunus padus T, Crategus sanguinea und Sorbus aucuparia; Cornus sibirica kommt nur spärlich vor. Dagegen ist Salix hastata sehr häufig und bildet gewöhnlich den Hauptbestandtheil der Vegeta- tion. Neu hinzugekommen sind: Ribes glabellum und Myrtillus uliginosa. Auch die Untervegetation ist theilweise eine andere. Diese nördlichen Mischgebüsche sind ziemlich niedrig (2—4 M.), aber ebenso dicht wie die südlicheren. Folgende Annotationen sind alle auf einer Insel unweit Shigansk gemacht worden: N:o 1. Hinter dem Salicetum N:o 7 (pag. 32) gelegenes Mischgebüsch. Boden: gyttjabemengter Sand, frisch ('/,—1 M. höher gelegen als das Salicetum), oben theils von moderndem Laube bedeckt. Das Gebüsch dicht (10): Salix viminalis (6), S. hastata (6—7), S. pyrolifolia (2), Betula odorata (2), Alnus incana (4), Alnaster viridis (3), Rosa acicularis (1). Moose: spärlich (Marchantia polymorpha, Astrophyllum cuspida- tum, Timmia megapolitana, Hylocomium triquetrum, Stereodon arcuatus). N:o 2. Von Salicetum viminalis umgebenes Mischgebüsch, weiter vom Ufer entfernt. Boden: gyttjabemengter Sand, frisch; reichlich moderndes Laub. Das Gesträuch (10) besteht hauptsächlich aus Salix hastata, + reichlich beigemischt sind: Salix vimı- nalis, S. pyrolifolia, Betula odorata, Alnus incana, Alnaster viridis, Ribes glabellum, Cornus sibirica, Lonicera cwrulea. Moose: spärlich (Astrophyllum sp., Stereodon arcuatus). N:o 3. Rings um eine kleine Grasflur gelegenes, weniger dichtes (8) Gebüsch von: Salix viminalis (3), S. hastata (6), S. pyrolifolia (2), Betula odorata (4), Al- nus incana (3), Alnaster viridis (2), Lonicera cerulea (1). Moose: spärlich (Astro- phyllum sp., Amblystegium sp., Stereodon arcuatus). Boden: gyttjabemengter Sand, frisch. N:o 4. Dem letztgenannten ähnliches Gebüsch, ein wenig dichter (9). Boden: gyttjabemengter Sand, frisch. Die Holzgewächse: Salix viminalis (5), S. hastata (6), S. pyrolifolia (2), Almus incana (4), Betula odorata, Ribes glabellum (2), Cornus sibirica (1—). Moose: sehr spärlich. N:o 5. Aeusserst dichtes (10--), beinahe undurchdringliches Mischgebüsch nahe vom Ufer gelegen (zwischen dem fraglichen Gebüsch und dem Ufer kommt ein schma- les Salicetum vor). Boden: gyttjabemengter Sand, oben theils von Laub bedeckt. Das Gesträuch besteht aus: Salix viminalis (5), S. hastata (8), S. pyrolifolia (2), Alnus incana (5—6), Betula odorata (2), Ribes glabellum (2). Moose: sehr spärlich. Tom. XXXII. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 49 N:o 1.| N:o 2. N:o 3.| N:o 4.| N:o 5. Gräser: Agrostis borealis . . . . . . 3 Calamagrostis phragmiloides + b3 D — N -_ Do - TESTEN EL IE RSC INA RE Id POM s — 2 — = Carex aquatilis . C. ccespitosa . Juncus arcticus. T à t | | | | Kräuter: . Equisetum arvense . . . . . 5 4 D t2 | | JH. variegalum. - » » 9 5 1 = TASNECIOS CR RT TUE EUR CIE = = = Polygonum viviparum . . . .| — 2 Galtha,palusims v o 1 1 E REN ul Anemone dicholoma . . . . . 1 1 1 Ranunculus repens . . . . . | — — = = 2 Saxifraga cernua . . . . . . | — = = 2 1 Parnassia palustris . Ver = 1 — en ze TRUDUSTARCHeUS. 2 NII 3 — au 1 Viciacaraccas ee Lie, SM = = 2 Conioselinum tataricum T . . . | — 1 — 1 Epilobium palustre . . . . .| — == = 2 1 Veronica longifolia 2 Euphrasia officinalis 1 2 Galium uliginosum . . . . . 3 2 G. boreale 1 Aster sibiricus . 1 Ptarmica cartilaginea . . » .| — = — 1 1 Ian CDR 0,0 NONE T EINEN S 1 — — — — Tanacetum vulgare fs » » . | — 1 1 n2 Petasites frigidus . . . . . .| — — — — il Welchen Umwandlungen die Mischgebüsche weiter nordwärts unterliegen, hatte ich nicht Gelegenheit zu studieren. Nach dem was man vom Dampfer sehen konnte, bestehen die auf den nördlicheren Inseln befindlichen Mischgebüsche hauptsächlich aus niedrigen Exx. von Salix hastata. Sie sind etwa bis Gowor sehr häufig. 3. Die Association von Alneta incanæ. Unter den Holzgewächsen der Mischgebüsche des Lena-Thales können Alnus incana und Alnaster viridis bisweilen selbständige Bestände bilden. Sowohl die Alneten als die Alnastreten sind jedoch + selten, und die Bedingungen, unter welchen sie entste- hen, wurden nicht näher ermittelt. N:o 1. 7 50 A. K. CAJANDER. Wie schon oben (pag. 42) bemerkt wurde, gehört Alnus zu den ersten Holzge- wächsen, die sich in einem reinen Salicetum viminalis einfinden. Solche, hauptsächlich aus Salir viminalis und Almus incana bestehende Gebüsche sind in den Gegenden zwischen dem 63° 30' und dem 66" n. Br. nicht besonders selten. Dieselben bilden den Uebergang zu den eigentlichen Alneten '). Im Gegensatz zu den Mischgebüschen sind die Alneten gewöhnlich nicht beson- ders dicht, von einer graugrünen Farbe. Characteristisch für dieselben, wenigstens für die von mir gesehenen, ist die zieml. reichliche Untervegetation von Calamagrostis phragmitoides 7. Von + typischen Alneten besitze ich folgende 3 Annotationen: N:o 1. Etwa 30—60 M. breiter Alnus-Gürtel an einer Flussbucht (,Protoke“) an dem Festlands-Ufer der Lena, unweit des Tschirimyj-Chaja, zwischen einem Calam- agrostidetum und dem Alnastretum N:o 2. (pag. 51) gelegen. Boden: gyttjabemengter Sand, frisch, oben von moderndem Laube bedeckt. Das Gestrüuch (S—9) besteht aus: Salix viminalis (2), S. pyrolifolia (2), Betula odorata (1), Alnus incana (6—7), Alnaster viridis (3), Ribes pubescens (2). N:o 2. Alnus-Gebüsch, hinter einem Salicetum einer Insel nahe bei der Wiljuj- Mündung. Boden: schwach gyttjabemengter Sand, oben mit einer dünnen, unvollständi- gen, aus moderndem Laube bestehenden Schicht bedeckt. Holzgewächse (8): Salix vimi- nalis (20 °/,), Almus incana (60 "/,), Alnaster viridis, Ribes pubescens, R. dikuscha, Prunus padus 7 und Sorbus aucuparia. Moose: sehr spärlich. N:o 3 bezieht sich auf ein ähnliches Gebüsch auf derselben Insel. Das Gebüsch (8) besteht aus: Salix viminalis, Alnus incana (60/,), Alnaster viridis, Prunus pa- dus 7, Rosa acicularis, Crategus sanguinea, Cornus sibirica. Moose: sehr spärlich. N:o 1.| N:o 2.| N:o 3. N:o 1.| N:o 2.| N:o 3. Gräser: | TERN Calamagrostis phragmiloides t . | 6 | I 6 Vici Or aon EE NN 1 — — POREDEALENSISI N re UE = DES Lathyrus paluster.- © 2» .| — 1 = Ægopodium alpestre « . . . . | 1— — = — Archangelica officinalis + . . . 1 — = Equiselum arvense . . . . .| — — 1 Myosotis palustris. . . . . . — 2 2 Delphinium elatum . . . . . | 1— — — Veronica longifolia = . . . .| 1+ — — Anemone: dichotoma . . . . .| — pop = Galium dahuricum . . . . . | 2 3 3 Ranunculus repens 3 — — Gboreale «or ME — 1 Rybuskarctions 2 2 2 no an lese Valeriana offieinalis. . . . . 2 | — — Comarum palustre - . . . . | 2T EN ID !) Streng genommen gehören also die Alneten nicht zu derselben „Serie“ wie die typischen Mischge- büsche, denn es ist keineswegs bewiesen, ja sogar ziemlich unwahrscheinlich, dass Alneten aus typischen Mischgebüschen entstehen kónnten. Tom. XXXII. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 51 Verbreitung. Die Alneten sind, wie oben bemerkt wurde, an der unteren Lena ziemlich selten; am nördlichsten wurden sie beim Berge Ulach-Chaja gesehen. 4. Die Association von Alnastreta viridis. Alnastreten habe ich nur dreimal gefunden. An einer Localität kamen ein Al- netum und ein Alnastretum (unten N:o 2) neben einander vor, und zwar das letztgenannte auf höher gelegenem Boden. Daraus darf man wohl schliessen, dass die Alnastreten ein mehr vorgerücktes Entwickelungsstadium als die Alneten repräsentieren, auch ist es höchst wahrscheinlich, dass die Alnastreten, wenigstens oft, aus Alneten entstehen; jedenfalls können dieselben nicht direkt aus Saliceten entstehen, weil ja Alnaster nie in typischen Saliceten auftritt, wohl dagegen in Alneten. Die Alnastreten sind den Alneten sehr ähnlich und, wie diese, nicht allzu dicht. Sie sind von etwas niedrigerem Wuchs als die Alneten und von reiner grüner Farbe. Annotationen: N:o l. Alnaster-Gebüsch auf dem Festlands-Ufer der Lena beim Ulach-Chaja, zwischen einer Calamagrostis-Wiese und einem Fichtenwald gelegen; die Breite etwa 20 à 30 M. Boden: gyttjabemengter Sand, oben theils von moderndem Laube bedeckt, frisch. Das Gehölz (8) besteht aus: Sali» viminalis (2), S. pyrolifolia (1), Alnus incana (3), Alnaster viridis (6), Ribes. pubescens (2), Rosa acicularis (4), Sorbus aucuparia (1), Cornus sibirica (2), Lonicera cerulea (2). Moose: nur wenig am unteren Theile der Stämme. N:o 2. Dem vorigen ähnliches Gebüsch zwischen einem Fichtenwalde und dem Alnetum N:o 1 gelegen, etwa 40 M. breit. Boden: gyttjabemengter Sand, oben mit einer dünnen, unvollständigen Humusschicht bedeckt, frisch. Das Gehólz (8) besteht aus: Salim viminalis (2), Alnus incana (3), Alnaster viridis (6), Ribes pubescens (2—3), R. dikuscha (3), Rubus ideus ÿ (2), Cornus sibirica (1), Lonicera caerulea (1). Moose: sehr spärlich (Polytrichum commune, Astrophyllum cuspidatum, Amblyste- gium sp.). [N:o 1./N:o 2. N:o 1.|N:o 2. Gräser: | | NU] Calamagrostis phragmitoides + . | 5—6 | 2-3 (CEN SALON ORK OG NOA FR KA 1 — : Adoxa moschatellina. . . . . 2 1 Kräuter: | Senecio nemorensis . . . . . I 1 Equisetum arvense . . . . . Ne = Mulgedium sibirieum . . . .| 1 | 1 Thalictrum kemense . . . . .| — | 2 | TEXTHATENQUNGATSTI e nn | 1 | 1 : Archangelica officinalis + . . .| — 1 Dun Galium dahurieum . . . . .| 3 | 3 Atragene alpina FT . . . . . | — 2 | N:o 1. 52 A. K. CAJANDER. Das dritte von mir angetroffene Alnastretum war nahe an der Mündung eines Baches bei Buru gelegen. An der einen Seite grenzte es an eine Wiese, an der anderen Seite an den weiter unten (pag. 61) zu beschreibenden Lärchenwald. Breite des Alnaster-Gürtels etwa 30—40 M. Boden: schwach gyttjabemengter Sand, oben fast vollständig von moderndem Laube bedeckt. Das Gehölz dicht (9+ ), aus Alnaster viri- dis bestehend, mit Beimischungen von Salix phylicifolia (1), Ribes glabellum (2) und Rosa acicularis. Moose: spärlich (Sphagnum squarrosum, Polytrichum commune, Hypnum trichoides, Hylocomium triquetrum). Gräser: Calamagrostis phragmitoides + > Colpodium latifolium 1 Carex globularis 1; Kräuter : Meehringia lateriflora 1 Saxifraga punctata 2 Boschniakia glabra 2 Ranunculus lapponicus 1 Pyrola rotundifolia + 3 Valeriana capitata 1. Rubus arcticus 5 5. Die Association von Betuleta odoratæ. Je höher der resp. Alluvialboden durch fortgesetzte Sedimenten-Ablagerung wird, um so mehr nehmen die Birken und Fichten des Mischgebüsches (resp. der Alneta und Alnastreta) zu, und das Gebüsch geht so allmählig in einen Wald über. Es kommen auf den Alluvionen der unteren Lena sowohl Birken- wie Fichten- Wälder vor, und zwar an ungefähr ähnlicher Localität. Beide wurden nirgends neben einander angetroffen, so dass eine sichere Basis für die Feststellung der Serienfolge der- selben nicht gefunden wurde. Aus Messungen über die resp. Niveaus in Bezug auf die Lena-Oberflüche ging jedoch hervor, dass die Betuleten ein früheres Entwickelungs- stadium als die Piceeten repräsentieren, und auch die Zusammensetzung der Vegetation derselben schien die Richtigkeit dieser Anschauung zu bestätigen '). Die Birken (Betula odorata) der Alluvionen der unteren Lena wachsen zieml. hoch (bis über 15 M., nach Augenmaas) und gerade. Infolge des + vollständigen Fehlens ') Die gegenseitige Serienfolge verschiedener Pflanzen-Associationen des Alluvialbodens kann durch folgende Methoden bestimmt werden: 1) Wo Bestände der resp. Associationen neben einander vorkommen, ist es gewöhnlich leicht zu entscheiden, welcher auf hóher, welcher auf niedriger gelegenem Boden auftritt. Wo dies aber nicht der Fall ist, muss die Bestimmung geschehen: 2) durch direkte Messungen der Niveaus, auf welchen die resp. Bestände auftreten. Dies kann am leichtesten dann statt finden, wenn die resp. Bestände an steilen Hohlufern gelegen sind. Weil aber das Lena-Wasser den ganzen Sommer hindurch in stetigem Fallen begriffen ist, müssen alle Messungen, die sich auf die Oberfläche der Lena beziehen, ungefähr gleichzeitig gemacht werden. Leichter geschieht die Be- stimmung 3) dureh den Vergleich der Zusammensetzung der Vegetation der betr. Associationen, die in den Serien successiven Umwandlungen unterliegt. Tom. XXXII. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 53 der Epiphyten ist die Rinde der Stämme und der älteren Zweige + rein weiss. Die Stämme sind unten astlos, so dass der Wald ziemlich undicht erscheint. Die meisten Sträucher der Mischgebüsche kommen zwar auch in den Birkenwäldern vor (Salix vimi- nalis fehlt jedoch oft), bilden aber meist kein undurchdringliches Unterholz. Characte- ristisch ist das reichliche Vorkommen von Rosa acicularis. Von Birkenwäldern besitze ich nur 2 Annotationen: N:o 1. Weiter Birkenbestand am hohlen Festlands-Ufer der Lena, etwa 40 Km. südlich von der Insel Agrafena. Boden: Sand, sehr schwach gyttjabemengt, frisch. Das Oberholz besteht aus: Betula odorata (8), das Unterholz aus: Salix viminalis (1), S. pyrolifolia (2), Ribes pubescens (2), Prunus padus 7 (2), Sorbus aucuparia (1), Rosa acicularis (7), Cornus sibirica (2), Lonicera cerulea (2). Moose: sehr spärlich, am unteren Theile der Stämme jedoch stellenweise reichlich (Amblystegium uncinatum, Stereodon polyanthos). N:o 2. Dem vorigen ähnlicher Bestand am Hohlufer des Festlandes bei der Mündung des Nebenflusses Naschim (vgl. Taf. U, Fig. 1). Boden: beinahe reiner Sand, oben theilweise von Laub bedeckt, frisch. Das Oberholz besteht aus: Betula odorata (T—8) und Alnus incana (1), das Unterholz aus: Salix pyrolifolia (2), Alnaster viridis (3), Ribes pubescens (3) und Rosa acicularis (1). Moose: sehr spärlich. N:o 1./N:o »| N:o 1./N:o 2 Gräser: | fuv Calamagrostis phragmitoides 7 .| 4 3 TIAS CYRUS ee CE TERT E | | | Pyrola rotundifolia F . . . .| — 1 Y | Trientalis europea . . . . .| — 1 BTE | Galium dahurieum . . . . . 1 2 Equisetum arvense . . . . . I (Er a | qe or a a 1 Stellaria crassifolia . . . . .| 1 1 | Adoxa moschatellina . . . . . | 1 1 Verbreitung. Die Birkenwälder sind auf den Alluvionen ') der unteren Lena ziemlich selten und kommen nur in der Gegend von der Aldan-Mündung beinahe bis Shigansk vor. Dass sie so selten sind, dürfte zum Theil dadurch bedingt sein, dass die Fichten- wälder an etwa ähnlicher Localität vorkommen, und dass alle Birkenwälder früher oder später — vorausgesetzt dass der resp. Alluvialboden seinen typischen Entwickelungsgang hat — sich in Fichtenwälder umwandeln. — Den Dünen-Mischgebüschen analoge Bir- kenwälder wurden nicht angetroffen. !) Ausserhalb des Alluvialbodens wurden sie gar nicht beobachtet N:o 1. 54 A. K. CAJANDER. 6. Die Association von Piceeta obovat&. Die Fichtenwälder des unteren Lena-Thales sind hoch (bis über 20 M.), dicht und dunkel. Die einzelnen Fichten, die ohne Ausnahme der „Art“ P. obovata zuge- hören, haben meist die für dieselbe charakteristische schmale Pyramidenform und sind gewöhnlich bis nach unten verzweigt. — Von den Fichtenwäldern besitze ich folgende Annotationen: N:o 1. Weiter Bestand am Hohlufer einer Insel in der Aldan-Mündung. Bo- den: schwach gyttjabemengter Sand, frisch. Das Oberholz besteht aus: Picea obovata (8) und Larix dahurica (1), das Unterholz aus: Salix viminalis (4), Ribes pubescens 2), R. dikuscha (2), Sorbus aucuparia (1) und Cornus sibirica (3). Moose: sehr spärlich (Riccia sp., Astrophyllum sp. Amblystegium sp.). N:o 2. Vom Ufer entfernterer "Theil des Bestandes N:o 1. Boden: wie in N:o 1. Das Oberholz dichter: Picea obovata (9— ), Larix dahurica (1), das Unterholz ein wenig spärlicher, bestehend aus den genannten Ribes-Arten, Rosa acicularis, Sorbus aucuparia und Cormus sibirica. Moose: spärlich. N:o 3. Dichter, weiter Fichtenwald am Hohlufer beim Berge Ulach-Chaja. Boden: schwach gyttjabemengter Sand. Das Oberholz besteht aus: Picea obovata (8—9) und Betula odorata (1), das Unterholz aus: Alnaster viridis (3), Ribes pubescens (4), Rosa acicularis (6) und Cornus sibirica (2). Moose sehr spärlich (Astrophyllum sp., Amblystegium sp.). N:o 4. Durch eine lange Wasserstrasse von dem vorigen getrennter, weiter Fich- tenwald. Boden: wie in N:o 3. Das Oberholz besteht aus: Picea obovata (8), Betula odorata (1), Alnus incana (2), Sorbus awcuparia (1), das Unterholz (vom Oberholz kaum zu trennen) aus: Salix viminalis (1), Alnaster viridis (2), Ribes pubescens (2—3), Rosa acicularis (6) und Lonicera cerulea (1). Moose: spärlich. N:o 5. Weiter Fichtenwald am Hohlufer des Festlandes unweit des '"l'schirimyj- Chaja. Boden: schwach gyttjabemengter Sand, oben von einer undeutlichen, aus modern- dem Laube gebildeten Humusschicht bedeckt. Das Oberholz besteht aus: Picea obovata (8—9), Larix dahurica (1), Betula odorata (2), Almus incana (2—3), das Unterholz (5) aus: Rosa acicularis und Ribes pubescens, nebst R. dikuscha, Alnaster viridis, Cor- nus sibirica und Lonicera cerulea. Moose: ziemlich spärlich (3—4, Astrophyllum sp., Amblystegium sp., Hylocomium proliferum, Climaciwm dendroides). N:o 6. Dem vorigen ähnlicher Fichtenwald bei Timir-Bache. Dürfte nur sehr selten überschwemmt werden. Boden: schwach gyttjabemengter Sand, an der Oberfläche mit Humuspartikelchen gemischt. Das Oberholz besteht aus: Picea obovata (7), Larix dahurica (2), Alnus incana (2) und Sorbus aucuparia (1), das Unterholz aus: Alnaster viridis (2), Ribes pubescens (4), R. dikuscha (1), Spirea salicifolia 7. (1), Rosa acicularis (3—4) und Cornus sibirica (1). Moose: ziemlich reichlich (6—7, Sphagnum squarrosum, Polytrichum commune, Spherocephalus palustris, Hylocomium proliferum). Tom. XXXII. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. Qt An icu | | 1 |N:o 1./N:o 2.| N:o 3.|N:o 4. N:o 5. N:o 6. Gräser: | Calamagrostis phragmitoides + . Ile — 1 1—2 1 Trisetum flavescens . . . . - 1 — — — = | = Resuenrouna nen UN | 2 — — = | — DRACUMISD SS ee | P ox 1 — = — — Kräuter: | | | Equisetum arvense . . . . . 2 2 1 | 4—5 3 3 Stellaria erassifolia . . . . . | — 1 — = | = 1 Delphinium elatum . . . . .| — 1 — — — |1— Anemone silvestris. . . . .| — 1 — — = = VRR, ce. CB oc ee e d. 1 1 — = = N | [rammcna wes re a 1 — - — 1 TANUM DETEN TEST + 22 nen (EIRE — E -— — Juphorbia esula . S . 2. ..| 1 1 — — — = Ægopodium alpestre « . . . . 1 Archangelica officinalis T. . .| — = = — UT Pyrola rotundifolia + + . . .| 3 JN — OS | "Ptseounda Puls se AST ein: 1 | — | — — — | — | I Thymus serpylum . 2...1— | ı | Adoxa moschatellina . . . . .| | 1 1 Galium dahuricum . . . . .| — Ji 1 1 2 2 | GADOrER AIRE. x oc rc STE — 3 1 IA Linnea borealis . . . . . . 2—3 Tanacetum vulgare F . . . : | — | — 1 — — 1 Artemisia vulgaris . . » . . — 1 il — = — Senecio Jacobea T . . . . . 1 — — 1 — — DS LEMONETISTS ES E = ie 1 — — 1 = Hieracium umbellatum . . » .| — 1 = — — — Lianen: | Airagene alpina |... . . . .| — | 1 1 — — 1 | Halbsträucher: | | Vaceinium vitis idea . . . .| — | — — -— 3 6 Uebersicht der Vegetation. Wie in den überschwemmten Gehólz-Associatio- nen überhaupt, spielen die Moose und Flechten auch in den Fichtenwäldern eine ziem- lich unbedeutende Rolle, doch kommen die ersteren dort reichlicher vor als in den bisher behandelten Gehölzen, und in den schwächer sedimentierten Fichtenbeständen (z. B. N:o 6) können sie relativ reichlich auftreten; auch einige Flechten (Peltidea aphtosa) treten bisweilen spärlich auf. — Das Gehölz ist gewöhnlich in ein Ober- und ein Unterholz differenziert. Das erstere besteht hauptsächlich aus Picea obovata mit Beimischungen von Larix dahurica, N:o 1. 56 A. K. CAJANDER. Betula odorata, Alnus incana *) und Sorbus ‘), seltener von Betula verrucosa. Im Un- terholze treten Alnaster viridis, Rosa acicularis und Ribes pubescens am häufigsten und reichlichsten auf, häufig sind ausserdem Salix viminalis, S. pyrolifolia, Ribes diku- scha, Prunus padus 7, Cornus sibirica, Lonicera cerulea, + häufig Salix hastata, Cra- laus sanguinea, seltener Pinus pumila (selten), Salix triandra, Ribes nigrum, Spirea sorbifolia, Sp. salicifolia 7, Rubus ideus 7. Bemerkenswerth ist das Vorkommen von Halbsträuchern (Vaccinium vitis idea, seltener Myrtillus uliginosa), die an moosreiche- ren Stellen ziemlich massenhaft auftreten können (Vaccinium). — Unter den Gräsern kommt Calamagrostis phragmitoides 7 sehr häufig vor, nie aber so reichlich wie in ge- wissen Mischgebüschen, Alneten und Alnastreten; + häufig, aber spärlich, treten auf: Poa pratensis, Festuca ovina, F. rubra, Triticum sp., Carex cespitosa, C. globularis, seltener Trisetum flavescens, Colpodium latifolium, Carex sparsiflora, C. amgunensis. Von den Kräutern sind sehr häufig: Equisetum arvense Galium dahuricum G. boreale, Pyrola rotundifolia T diese treten aber nur sehr spärlich auf, Æquisetum arvense und Pyrola rotundi- folia. 7 ausgenommen, die bisweilen reichlicher vorkommen; häufig sind ausserdem: Stellaria crassifolia Linum perenne + Artemisia vulgaris Delphinium elatum Euphorbia esula Senecio Jacobæa 7 Vicia cracca Adoxa moschatellina S. nemorensis V. amena Tanacetum vulgare + Hieracium umbellatum ; + häufig: Meehringia lateriflora Nasturtium palustre —. Trientalis europæa Stellaria graminea Comarum palustre Veronica longifolia Cerastium alpinum Lathyrus paluster Galium uliginosum Caltha palustris Pyrola secunda + Linnea borealis Ranunculus repens Myosotis palustris Mulgedium sibiricum; seltener: Equisetum scirpoides Anemone silvestris Conioselinum tataricum Veratrum album + Spiræa aruncus Valeriana officinalis Smilacina trifolia Egopodium alpestre Thymus serpyllum Thalictrum kemense Archangelica officinalis + Petasites frigidus. Von Holzlianen kommt nur Atragene vor. 1) Bald dem Ober- bald dem Unterholz zuzurechnen. Tom. XXXII. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 57 Verbreitung. Die Fichtenwälder sind auf den Alluvionen von der Aldan- Mündung bis zur Insel Agrafena häufig und nehmen oft ziemlich weite Areale ein. Zwischen der genannten Insel und Shigansk wurden nur einige kleine Bestände ange- troffen, bei Shigansk und weiter nordwärts aber keine einzige. Südlich von der Mün- dung des Aldan wurden kleinere Bestände hie und da beinahe bis Nikolskaja beobach- tet, näher zur Stadt Jakutsk aber nicht. 7. Die Association von Piceeto-Lariceta. Die Mischwälder von Picea obovata und Larix dahwrica repräsentieren die letzte Entwickelungsstufe der Serie der Gehólz-Associationen des überschwemmten Bodens. Zwar wurden einige isolierte Fichtenbestände beobachtet, die auf höherem Boden gelegen waren als die niedrigst wachsenden Fichten-Lärchenwälder, wo aber Fichtenwald und Fichten-Lärchenwald neben einander vorkommen, was sehr oft der Fall ist, tritt der letztere immer auf höher gelegenem Boden auf. Die Mischwälder von Fichten und Lärchen gleichen den einfachen Fichtenwäldern. Sie sind im Allgemeinen hoch, dicht und dunkel. Von denselben besitze ich folgende Annotationen: N:o 1. Weiter Bestand am Hohlufer des Festlandes unweit des Tschirimyj-Chaja (etwas höher gelegen als das Piceetum N:o 5). Boden: schwach gyttjabemengter Sand, oben mit aus moderndem Laube entstandenem Humus bedeckt. Oberholz: Picea obo- vata (5), Larix dahurica (6), Betula odorata (2), Alnus incana (2—3), Sorbus au- cuparia (1); Unterholz: Salix viminalis (1), S. pyrolifolia (1), Alnaster viridis (2), Ribes pubescens (2), R. dikuscha (3—4), Rosa acicularis (3), Lonicera cœrulea (2). Moose: ziemlich spärlich (4, Marchantia polymorpha, Dieranum scoparium, Am- blystegium uncinatum, Hylocomium proliferum, Climacium dendroides). N:o 2. Dem N:o 1 ähnlicher Bestand, von demselben durch ein kleines Thal (Sa- liceten, Mischgebüsche etc.) getrennt, am Hohlufer unweit des Tschirimyj-Chaja. Boden: sehr schwach gyttjabemengter Sand, oben von einer unvollständigen, dünnen, torfartigen Humusschicht bedeckt. Oberholz: Picea obovata (6—7), Larix dahurica (5— 6); Unter- holz: Alnaster viridis (3), Ribes pubescens (1), R. dikuscha (1), Rubus ideus f (2), Rosa acicularis (4), Lonicera cerulea (1). Moose (4—5, Astrophyllum sp., Hylo- comium proliferum, H. triquetrum, Climacium dendroides) ; Flechten: sehr spärlich (Pel- tidea aphtosa). N:o 3. Kleinerer Bestand innerhalb eines Fichtenwaldes unweit des Tschirimyj- Chaja. Boden: wie in N:o 2. Oberholz: Picea obovata (7), Larix dahurica (5); Unterholz: Ribes pubescens (3), Rosa acicularis (1). Moose: ziemlich reichlich (haupt- sächlich Hylocomium proliferum, daneben Astrophyllum sp., Pohlia mutans, Schwartzia montana, Climacium dendroides). N:o 4. Weiter Bestand am Hohlufer des Festlandes bei Timir-Bache. Bo- den: wie in N:o 2, oben jedoch von einer deutlicheren, dünnen Torfschicht bedeckt. N:o 1. 8 58 A. K. CAJANDER. Oberholz: Picea obovata (6), Larix dahurica (5); Unterholz: Alnaster viridis (4), Ribes pubescens (2), Rosa acicularis (3). Moose: sehr reichlich — fast ununterbro- chen (Ptilidium ciliare zieml. reichl., Astrophyllum sp. vereinz., Spherocephalus palu- stris zerstr., Hylocommum proliferum reichl., H. parietinum z. reichl., A. triquetrum spärl.). Flechten: spärlich (Peltidea aphtosa). N:o 5. Sehr weiter Bestand am Hohlufer des Festlandes beim Tunguss-Chaja. Boden: schwach gyttjabemengter Sand, fleckenweise spärlich Torf. Oberholz: Picea obovata (6), Larix dahurica (5), Betula odorata (1), Alnus incana (1); Unter- holz: Pinus pumila (3), Salix viminalis (1), Ribes pubescens (3), R. dikuscha (1), Spirea sorbifolia (3), Rosa acicularis (4). Moose: zerstreut (Astrophyllum sp., Am- blystegium uncinatum, A. sp, Hylocomium proliferum, Olimacium dendroides). N:o 1.|N:o 2.|N:o 3. N:o 4.|N:o 5. Gräser: L Calamagrostis phragmiloides T. . | 3—4 1 2 | 3— JE y ED CRE CR CONS De Colpodium latifolium . . . .| — — — — [S] | | | THARCUMIEDE NE CU | — Kräuter: Equiselum arvense . . ss . 3 1 3 = EIS SCI OOIDES ÄT SA m o | = — 1 = Smilacina trifolia. . . . . . 2 — | — — — Meehringia lateriflora 1 Delphinium elatum. . . . . .| — — | — — | = Thalictrum kemense . . . . .| 1 la -— o Pyrola rotundifolia f . . . . 1 3 | 5 5 3 JEk CIE Dee 3 5 BI T — — = Boschniakia glabra. . . . . | | 1 | — Galium dahurieum . . . . .| 3 — — Gore le d E ENDS XT JU Linnea borealis | t2 r2 — Pelasites frigidus . Senecio memorensis c gm py yc Mulgedium sibiricum Lianen: [ov] A Olim P oe cam wmm Y 2 Halbsträucher: | Vaccinium vitis idea . . . . 1 eod © C | Uebersicht der Vegetation. Die Vegetation dieser Wälder repräsentiert eine Zwischenstufe zwischen den Fichtenwäldern und den (gar nicht überschwemmten) Tom. XXX. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 59 Lärchenwäldern. Die Moose sind überhaupt reichlicher als in den Fichtenwäldern vor- handen, bilden aber nie oder nur äusserst selten eine ununterbrochene Matte; die Moos- vegetation besteht an stärker sedimentierten Stellen hauptsächlich aus Marchantia poly- morpha, Polytrichum commune, Astrophyllum-Arten, Timmia megapolitana, Funaria hygrometrica, Schwartzia montana, Amblystegium-Arten, Hylocomium triquetrum, Ste- reodon arcuatus, Climacium dendroides u. a., an seltener überschwemmten und weniger sedimentierten Stellen, wo die Moosmatte am besten entwickelt ist, besteht sie vorzugs- weise aus Hylocomium proliferum, mit + reichlicher Beimischung von Ptihdium ciliare, Sphærocephalus palustris, Dieranum-Arten, Hylocomium parietinum, Ptilium erista castrensis u. a. Flechten giebt es spärlich (Peltidea) oder sie fehlen gänzlich. — Das Oberholz besteht hauptsächlich aus Picea obovata und Larix dahurica, mit Beimischungen von Betula odorata, Almus incana und Sorbus aucuparia, seltener von B. verrucosa ; das Unterholz vornehmlich aus Alnaster viridis, Ribes pubescens und Rosa acieularis, oft auch aus Aibes dikuscha und Lonicera cerulea ; als + ausgeprägte Relikte treten Salix viminalis, S. hastata, S. pyrolifolia, Crategus sanguinea und Cornus sibirica auf; von selteneren seien erwähnt Pinus pumila, Prunus padus f, Spirea salicifolia f, Sp. sorbifolia, Rubus deus 7. Von den Halbsträuchern tritt Vaccinium vitis idea sehr häufig und + reichlich, besonders an moosreicheren Stellen, auf, seltener ist Myrtillus uliginosa. — Die Gräser sind dieselben wie in den Fichtenwäldern. Von den Kräutern kommen Pyrola rotundifolia7 und Linnea borealis beinahe immer vor, am reichlichsten auf Moos-Flecken. Häufig sind ausserdem: Equisetum arvense G. boreale Mulgedium sibiricum ; Galium dahuricum + häufig ferner: Mehringia lateriflora Pyrola secunda 7 Petasites frigidus Stellaria graminea Adoxa moschatellina Senecio nemorensis; Delphinium elatum Tanacetum vulgare + d seltener: Equisetum scirpoides Anemone silvestris Ægopodium alpestre Smilacina trifolia Spirea aruncus Boschniakia glabra; Thalictrum kemense + zufällig mehrere andere, wie Linum perenne f, Euphorbia esula etc. Häufig kommt Atragene alpina 7 vor, die unteren Theile der Bäume und die Sträucher umwindend. Verbreitung. Die Mischwälder von Fichte und Lärche treten in denselben Gegenden wie die Fichtenwälder ziemlich häufig auf, besonders auf den Alluvionen des Festlandes. Südlich von der Aldan-Mündung wurden sie nicht beobachtet. N:o 1. 60 A. K. CAJANDER. 8. Die Association von Lariceta dahuricæ. Einfache Lärchenbestände kommen nur auf solchem Alluvialboden vor, der gar nicht mehr überschwemmt wird. Den Inseln — Tit-Ary (und Agrafena) jedoch aus- genommen — fehlen sie daher gänzlich, dagegen findet man sie an dem westlichen Fest- lands-Ufer der Lena zwischen den Mündungen des Aldan und des Wiljuj, an einigen Stellen südlich von der Aldan-Mündung und an einigen Orten zwischen den Mündungen des Wiljuj und der Shiganka, ferner bei Buru und am nördlichsten auf der Insel Tit-Ary. Diese alt-alluvialen Lärchenwälder haben vollständig den Character der eigentli- chen Taiga. Sie sind im Allgemeinen dicht und dunkel. Die Bäume können bis über 20 M. hoch werden, sind aber gewöhnlich etwas niedriger. Die Zwischenräume zwi- schen den älteren Bäumen werden nicht selten von einer Unmasse jüngerer gefüllt, dagegen fehlen die meisten früher erwähnten Sträucher (Ribes, Rosa etc.) oder sie sind viel spärlicher vertreten. Halbsträucher findet man oft reichlich, und die Moose können ununterbrochene Matten bilden, oder aber sind die letztgenannten ziemlich spär- lich, wenn der Boden hauptsächlich von Lärchennadeln bedeckt ist. Annotation: Weiter Lärchenwald nahe an der Mündung der Manuruschka. Boden: Sand, oben von einer dünnen Torfschicht bedeckt. Der Wald dicht (9), etwa 15—18 M. hoch, die Bäume meist nur im oberen Theile verzweigt. Beigemischt kommen einzelne Exx. von Picea obovata und Salix caprea vor. Sträucher: Alnaster viridis (2), Ribes pubescens (1), Spirma chamædryfolia 7 (1); Halbsträucher: Vaccinium vitis. idea (5). Moose: ziemlich reichlich (Ptilidium ciliare, Spherocephalus palustris, Hyloco- mium proliferum, H. triquetrum). Gräser: Calamagrostis phragmitoides 7 1 Poa pratensis 1 sterile unbestimmbare 1: Kräuter: Equisetum pratense 2 Pyrola rotundifolia 7 2 Linnwa borealis 5 Goodyera repens I+ Trientalis europea 1 Tanacetum vulgare 7 1—; Holzlianen: Atragene alpina 7 1—-. Der oben beschriebene Lärchenbestand bei der Mündung der Manuruschka reprä- sentiert die gewöhnlichste Facies der Lärchenwälder südlich von Shigansk. Die nörd- licheren, bei Buru und auf der Insel Tit-Ary. sind ziemlich abweichend. Tom. XXXII. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 61 In dem Lärchenwald bei Buru, nahe an der Mündung eines kleinen Baches, be- steht der Boden aus, von einer gut ausgebildeten, dünnen Torfschicht bedecktem, ziem- lich feuchtem Sand. Das Oberholz dicht (9), bestehend aus bis 15 M. hohen Lär- chen. Sträucher: Alnaster viridis (1), Ribes glabellum (1), Rosa acicularis (1). Halbsträucher: Myrtillus uliginosa (2), Vaccinium vitis idea (4), Ledum palustre (1). Die Moose (Ptilidium ciliare, Sphagnum squarrosum, Spherocephalus palustris, Di- cranum elongatum, Hylocomium proliferum und H. triquetrum) bilden eine fast un- unterbrochene Matte, beigemischt kommen Flechten ( Peltidea aphtosa, Oladoma cornuta) spärlich vor. Gräser: Poa sp. 1 Colpodium latifolium 1; Kräuter: Stellaria graminea 2 P. secunda } 1 Boschniakia glabra. 1 Saxifraga punctata. 1 Cortusa Matthioli + 1 Linnea borealis 5. Pyrola rotundifolia + 3 Pedicularis lapponica 2 Mitten in diesem Lärchenwalde findet man mehrere kleine, moosbewachsene Vertiefungen mit etwa folgendermaassen zusammengesetzter Vegetation: Moose: Sphagnum obtusum. vereinz. — Meesea triquetra fleckenweise Hypnum trichoides sprl. spärl. Spherocephalus palustris zerstr. Olimacium dendroides zerstr. Polytrichum commune vereinz. Amblystegium vernicosum reichl. Gräser: Carex cespitosa à Colpodium latifolium 1; Kräuter: Rubus chamemorus 2 Pedicularis lapponica 1 Petasites frigidus 1—2. Der Lärchenwald der Insel Tit-Ary gehört zu den nördlichsten ,insulären“ Lärchenbeständen jenseits der Grenze des zusammenhängenden Waldes. Die Insel ist hauptsächlich mit einer Moos- und Flechten-Matte („Tundra“) bedeckt. Der Lärchen- bestand befindet sich in dem etwas höher gelegenen, mittleren Theile der Insel. — Die Lär- chen sind krüppelhaft, + krumm, unregelmässig verzweigt, etwa 3 bis 5 M. hoch, voll epifytischer, schwarzer Alectorien. Die Moose (Ptilidium ciliare, Sphagnum rigidum, Spherocephalus turgidus, Hypnum plumosum v. turgidum, Hylocomium proliferum) und die Flechten (Platysma nivale, Peltidea aphtosa, Cladonia spp. Dactylina N:o 1. 62 A. K. CAJANDER. arctica) bilden eine ununterbrochene Matte. Der Boden war fast gleich unterhalb der Moos- und Flechten-Matte gefroren. Der „Wald“ besteht aus Larix dahurica (4). Gräser : Hierochloë alpina 1 Luzula areuata 2 sterile unbestimmbare 3; Kräuter: Polygonum bistorta 2 Draba spp. 1 Rubus chamemorus 3 P. Pawlowskianum 2 Saxifraga hieracifolia 1 Dryas octopetala 1-- Stellaria graminea 1 S. hirculus 1 Pyrola rotundifolia + 4 Parrya nudicaulis I+ S. punctata 2 Saussurea alpina 2; Halbstrüucher und niedrige Stráucher: Salix (phylicifolia) 59—4 Ribes glabellum 1 Myrtillus uliginosa 2—5 S. glauca 2—3 Rosa acicularis 1 Cassiope telragona 3 S. polaris 2 Empetrum nigrum 1 Arctostaphylus alpinus 2— S. reticulata 1 Vaccinium vitis idea 5—4 Ledum palustre 3. Betula nana 7 1+ Auch auf der Insel Tass-Ary kommen nach Buxce (1895, p. 15) „strauchartige, fast kriechende Lärchen“ vor, einen eigentlichen Wald giebt es aber dort nicht. 9. Die Associationen der hainartigen Waldungen. In der Gegend der weiten Grasfluren zwischen Jakutsk und der Aldan-Mündung werden die wenig oder gar nicht überschwemmten Wälder oben beschriebener Art grös- stentheils durch kleine Laub- oder Nadelholz-Parcellen mit einer ziemlich abweichenden Vegetation ersetzt. Die aus Laubgehólz bestehenden, hainartigen Waldungen kommen im Allgemei- nen auf feuchterem Boden vor als die Nadelholzparcellen. Sie umfassen eigentlich meh- rere verschiedene Associationen, werden aber, weil sie nur ganz im Vorbeigehen unter- sucht wurden, hier alle unter einer Rubrik behandelt. Die Bestünde sind gewóhnlich ziemlich dicht, aber niedrig, gebüschartig. Annotationen: N:o 1. Ein etwa 2 Hektare umfassendes, von steppenartigen Wiesen umgebe- nes Gebüsch beim Ytyk-Chaja. Boden: feiner Sand, oben von einer dünnen Humusschicht bedeckt, frisch. Das Gehölz dicht (94), bestehend hauptsächlich aus Salir vagans 7 ') 1) Diese Salix kann über 4 M. hoch werden. Tom. XXXII. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 63 (etwa 80°/,); beigemischt treten folgende auf: Salix pyrolifolia, Ribes pubescens, R. nigrum, Rosa acicularis, Cratagus sanguinea und Cornus sibirica. Moose: sehr spür- lich am unteren Theile der Stämme (Stereodon polyanthos). Grüser: Calamagrostis phragmitoidest 2 C. supina. 1 sterile unbestimmbare 2— 3; Carex pallida 1 Kräuter: Mehringia lateriflora 1 Vicia cracca 1 Veronica longifolia 1 Euphorbia esula 1— V. amena 2 Pedieularis resupinata 1—2 Delphinium grandiflorum 1 Lathyrus paluster 1 Galium boreale 1 Thalictrum kemense 1 Linum perenne + Valeriana officinalis 1 Anemone dichotoma 1 Viola Mauritii 2 Campanula glomerata 1 Arabis pendula 1 Pyrola rotundifolia + 1 Taraxacum officinale 1 Sanguisorba officinalis 2 Phlomis tuberosa 1 Mulgedium sibirieum 2. N:o 2. Salix vagans 7-Gebüsch in einem kleinen Thale, zwischen zwei mit steppenartiger Vegetation bewachsenen Wällen bei Kytylyk. Boden: feiner Sand, oben schwach humusbemengt, feuchter als in N:o 1. Das Gehölz ziemlich dicht (8), haupt- sächlich aus S. vagans 7 bestehend; beigemischt kommen vor: Aübes pubescens, Rosa acicularis, Crategus sanguinea und Cornus sibirica. Moose: wie in N:o 1. Gräser: Calamagrostis phragmitoides + 2 Schedonorus ciliatus 2 C. cœspitosa 2 Poa pratensis 2 Hordeum pratense Kobresia capillifolia + 1: P. subfastigiata 1 Carex capillaris + 1 Kräuter: Equisetum arvense 2 A. dichotoma 2—35 Galium boreale 3 Allium schenoprasum 1 Potentilla stipularis 1 Valeriana officinalis 1 Rumex acetosa 3 2 Sanguisorba officinalis 1 Campanula glomerata 1 Polygonum viviparum 2 Vicia eracca 2 Aster sibirieus 2 Silene repens 2 V. amana 2 Erigeron acer 1 Stellaria graminea 1 Archangelica officinalis + 3 Leontopodium alpinum + 1 Thalictrum kemense 1 Pleurospermum austriacum 1 Ptarmica impatiens 1 Th. simplex 1 Castilleja pallida 2 Artemisia saerorum 5 Anemone silvestris 2 Pedicularis comosa f 2 Mulgedium sibiricum 2 Diese 2 Annotationen können leider nur eine sehr mangelhafte Vorstellung von der Mannigfaltigkeit dieser an Areal ziemlich kleinen Gebüsche geben. Die Annotation N:o 1 kann jedoch gewissermaassen als maassgebend für die meisten Gebüsche in den Gegenden vom Ytyk-Chaja bis Nikolskaja gelten. N:o 1. 64 A. K. CAJANDER. Unweit des Ytyk-Chaja findet man ausserdem ziemlich feuchte Gebüsche, bestehend aus den oben genannten Sträuchern nebst Almus incana und Betula odorata, mit einer zieml. reichlichen Untervegetation von Pyrola rotundifolia 7. Dort findet man ferner Iris setosa, Aconitum | Kusnetsowii, Galium dahuricum u. a. Bei einigen Gebüschen war der Boden so nass, dass Calla palustris auftreten konnte. Hainartige Gebüsche kommen überall auf den Steppen in der Umgebung von Jakutsk vor. Sie sind gewöhnlich in kleinen Thalniederungen gelegen, meist auf + feuchtem Boden. Annotationen: Die Gebüsche, auf welche folgende Annotationen sich beziehen, sind beide ziem- lich klein, in + feuchten Thälerchen gelegen, von trocknen Steppenfeldern umgeben. Der Boden besteht aus Sand, oben mit einer dünnen Humusschicht bedeckt. Moose giebt es nur wenig (meist Amblystegium sp.). N:o 1. Gehölz: Salix vagans ÿ (4), Betula odorata (5), Spiræa salieifolia 7 (4—5), Rosa acieularis (4—5), Potentilla fruticosa (2), Crategus sanguinea (3), Cornus sibirica (1). No 2. Gehölz: Salix vagans 7 (4), Spirea salicifolia 7 (5), Rosa acicularis (b) Crategus sangwinea (2—3), nebst vereinzelten Exx. von Picea obovata und Pinus silvestris. N:o 1.| N:o 2. N:o 1. N:o 2. Gräser: EGET ee — aan Hierochloë borealis T . . . - - | 2-3 | — Anemone dicholoma . . . . . 1 3 Alopecurus nigricans | — 1+ Potentilla anserina N Calamagrostis sp. . M 1 P. bifurca 2 I Poa pratensis Bar P. stipularis . 2 1 Triticum repens 2 = Sanguisorba officinalis . 2 1 Carex stenophylla . 2 — Vicia amena = 2 C. Schreberi . DESEE Geranium pratense 2 — C. Maximowiezü. . — | 1+ Euphorbia esula 1 = Galium boreale . 2 2 Kräuter: G. verum T - Wo 1 — Iris selosa 6 4 Achillea millefoliwm . 2 — Rumex acetosa 7 2 1 Ptarmica cartilaginea 1 - Mechringia lateriflora 3 2 Artemisia lacimiata 3 2 10. Die Association von Pineta silvestris. Die Kiefernbestände der Umgebung von Jakutsk bestehen meist aus kleinen, jugendlichen Bäumen. Gewöhnlich sind sie nicht besonders dicht. Tom. XXXII. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 65 Annotationen: N:o 1. Sehr weiter, ziemlich undichter (6) Kiefernbestand. Boden: feiner Sand, von einer etwa 1—1'/, Cm. dicken Humusschicht bedeckt. Sträucher: Spiræa cha- medryfolia 7 (1), Rosa acicularis (1), Potentilla fruticosa (1); Halbsträucher: Vacci- mum vilis idea (7). Moose: sehr spärlich (Pohlia mutans, Spherocephalus turgidus, Ceratodon purpureus). N:o 2. Trockene Kiefern-Anhóhe innerhalb N:o 1. Boden: feiner Sand, + flugsandartig, ohne Humus. Der Wald undicht (5), einzelne Exx. von Larix dahurica beigemischt. Sträucher, Halbsträucher und Moose: fehlen. N:o 3. Kleiner Kiefernbestand, auf einem Steppenhügelchen gelegen. Boden: Sand, oben humusbemengt. Oberholz (7): Pinus silvestris (etwa 80 °/,), Larix da- hurica (5 °/,), Betula odorata (15°/,); Sträucher: Spirea chamedryfolia 7 (3), Rosa acicularıs (2), Crategus sanguinea. (2); Halbsträucher: vereinzelte Exx. von Vaccinium vitis idea und Arctostaphylus uva ursi. Moose: fehlen. N:o 4. Rand eines grösseren, von der Steppe umgebenen Kiefernwaldes. Bo- den: Sand, oben schwach humusbemengt. Oberholz: Pinus silvestris (5); Sträucher: Spirea chamedryfolia 7 (1); Halbsträucher: Arctostaphylus wva wrsi (14). Moose: fehlen. Flechten: spärlich (Platysma nivale). N:o 5. Der Haupttheil desselben Waldes. Boden: Sand, oben von einer äus- serst dünnen Humusschicht bedeckt. Oberholz: Pinus silvestris (6); Sträucher: Be- tula fruticosa (1), Spirea chamedryfolia 7 (1), Rosa acicularis (1). Halbsträucher und Moose: fehlen. N:o 6. Undichterer Theil von N:o 5. Boden: Sand, trocken, beinahe ohne Humus. Oberholz: Pinus silvestris (A—5); Sträucher: Spiræa chamedryfolia 7 (14-), Rosa acicularis (1); Halbsträucher: Myrtillus uliginosa (1), Arctostaphylus uva ursi (3), A. alpina (1). Moose: spärlich. (Pohlia nutans, Ceratodon purpureus). | N:o 1.| N:o 2.| N:o 3.| N:o 4.| N:o 5.| N:o 6. Gräser: RE I IN rs ms — — 1 — 1 PMSD EC sant do lle 2 xs 1 1 Avenamnalensis NN NN = — — 1 — Kaleria eristata oes 1 RICA ENT tbc ms 1 |24 — — — — Festuca ovina 2 Hordeum pratense - . . ...| — — — | — — - DI | Carex pediformis . : 2 2 | C: 'amblyolepis - - $$ 3 1 1 3 — |1+ Qmelanocdrpa. 3 4 2 VU. .|- — 1 E = 2 = t2 DD Kobresia capillifolia T, . . . .| — — 1! — — - N:o 1. 9 66 A. K. CAJANDER. N:o 1.| N:o 2.| N:o 3.| N:o 4.| N:o 5.| N:o 6. Kräuter: | Equisetum pratense . . . . . 1 — — — — — Selaginella rupestris. . . . .| — 3 = — = = TPS SCO SAN Eee — |2-3| — — 1 Diamthus sinensis. . . . ..| — — — — 1 1 Stlene meDens. UN ME OT TUE — = — 1 = Lychnis\ 81017 ica s s dumm — = — |2-3| — Meehringia lateriflora . . . . | — — 1 — — 1 Aconitum barbatum . . . . .| — — — — — 2 Pallsatilla paten se NO NU — 1 2 3e 1 RANUNCUIUS acer AI — — — — 1 Papaver nudicaule . . . . .| — — = — 1 3 Sazxifraga bronchialis . . . .| — 2 — 2 |1—2| — RO Teva hrs DTE so v s 1 — 2 IDestopularis NS TR RE IE — 2 i p ISE 2 Sanguisorba officinalis . . . . 1 — 2 Trifolium lupinaster . . . . . 1 — = — = — (VERZIERT ced, 5" 20: SKE — — 2 1 — VO SY auus oor a 89 e 91 ES — il = 1 — VE up ar s eso Tas O48 6 1 — = 1 = — Qrobus humilis 2 a zen: 1 = = — = — Euphorbia esula ee so scn os dh — — = 1 = = Vrolairupestr Es CRE — — — — — Pyrola rotundifolia . . . .| — — — — = = Eritrichum pectinatum . = . . _ 2 — 1 — — Androsaces septentrionale f . . | — — — 1 == = Thymus serpyllum |. . . . . — — — 1+ 1+ — Phlomis tuberosa . . . : . . | — — — — — 1 TEMO CURAR Noo S mr OE 1 — — 2 |2+ 3 Galium boreale. - . » . : | — — 1 GwVerum Eee RR D M — 1 1 — 1 Campanula rotundifolia . . . 1 = — JUS ess — GL giomeratad.s sense ge el E — — — — Asteralyınust 2 =. vecta gu — — 1 Artemisia laciniata . . . . . | 1+ 1 1—2 1 3 PAÉDUVESTENS RR RENE DE — — = ND = + mi AR ND IN Seorzonera radiala . . . . . 1 — — — Verbreitung. Kiefernbestände von etwa obiger Zusammensetzung sind in den Umgebungen von Jakutsk sehr häufig, meist aber klein an Areal. Stellenweise findet man in den Kiefernwäldern + moorartige Stellen. Folgende Annotation bezieht sich auf einen heidenartigen Kiefernmoor in der Nähe der Stadt; rings um von trocknem Kiefernwald umgeben. Boden: feiner Alluvialsand, von ziemlich trocknem, festem, etwa 30—40 Cm. dickem Torf bedeckt. Oberholz: Pinus sil- Tom. XXXII. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 67 vestris. (3—4); Sträucher: Betula fruticosa (3), B. fruticosa »« odorata (1); Halb- stráucher: Ledum palustre (1). Die Moose und Flechten bilden eine ununter- brochene Matte: Polytrichum | commune (50 °/,), Dicranum sp. (5?/,), Sphæroce- phalus palustris (30 °/,), Cladonia sp., Cladina uncialis, Cl. rangiferina und Ol. sil- vatica (zusammen 15 ?/,). Gräser: Carex cespitosa C. sparsiflora 1 Poa sp. 1— ; C. globularis 2— i Kräuter: CL MAREA *4 e y^ Iris levigata 1— | Sanguisorba officinalis 1— Vicia multicaulis 1—. Re Die Associationen der hainartigen Waldungen und der Pineta silvestris könnte man vielleicht mit den, nicht näher untersuchten, kleinen, in der Mitte der Wiesen und Steppen der Umgebungen von Jakutsk und anderen Ansiedelungen befindlichen Saliceta viminalis, nebst den etwa vorkommenden analogen Fruticeta mixta, als eine besondere Serie aufstellen. B. Die Serie der Gehölz-Associationen an der Shiganka. Auf den flachen, aus Gyttja bezw. gyttjabemengtem Sand bestehenden Ufern der untersten Shiganka kommen dem Wasser zunächst ziemlich grosse natürliche Wiesen vor, zu beiden Seiten von den letztgenannten aber Gehölz-Associationen. Weiter aufwärts am selben Fluss fehlen die Wiesen, und die Gehölze werden höchstens nur durch schmale Streifen vegetationslosen Sandes von dem Flussbett getrennt. 1. Die Association von Spiræeta salicifoliæ. Die erste Association, die auf den Gürtel der Uferwiesen folgt, ist gewöhnlich die von Saliceta viminalis, ganz wie an der Lena selbst. Bisweilen findet man aber zwischen dem Wiesengürtel und dem Saume der Salix-Grebüsche + weite Bestände von Spirea salicifolia 7. Die Spiræeten sind niedrig (etwa 1'/, M.) können aber oft sehr dicht sein. Im Spätsommer, wenn Spiræa in voller Blüthe ist, haben die Spiræeten eine hübsche hell-rothviolette Farbe. Annotationen: N:o 1. Spirea-Gebüsch (vgl. Taf. I u. Taf. III, Fig. 6). Boden: gyttja- bemengter Sand, von moderndem Laub + vollständig bedeckt, zieml. feucht. Das N:o I. 68 A. K. CAJANDER. Gesträuch besteht aus: Salix viminalis (1) und Spiræa salicifolia 7 (8); von Halb- sträuchern giebt es Myrtillus uliginosa (1—). Moose: fehlen beinahe gänzlich. N:o 2. Kleineres Spirea-Gebüsch (vgl. Taf. I). Boden: wie in N:o 1. Das Gesträuch (8) besteht ausschliesslich aus Spirea salicifolia 7. Von Moosen kommen Sphagnum squarrosum, Amblystegium sp. und Olimacium dendroides spärlich vor. N:o 3. Spiræetum an einem Bache unweit der Naschim-Mündung (vgl. Taf. I, Fig. 1). Boden: gyttjabemengter Sand, feucht, theils von Blättern bedeckt. Moose: spärlich (Astrophyllum sp. Amblystegium sp.). Gesträuch: Spiræa salicifolia 7 (8). N:o 1. No 2.| N:o 3. N:0 1. N:o 2.| N:o 3. Gräser: Calamagrostis phragmiloides + . 6 5 3 Ranunculus repens NN, — 1 1 ÉOURDTOIENSIS er so I -- 1 RUDUS ameieus en 2 ee — 1 Carex cespilosa 2 — = Comarum palustre . . . . . | 2—3 2 2 i Sanguisorba officinalis . . . . | — — 1 PUISE Lathyrus paluster … . . . =. 1 1 2 Equisetum arvense . . . . . | — — 1 ROTAR ED DENT RENE 3 — = RUMELIAQUATICUS NN EN 1 1 Veronica longifolia . . . . .|1—2 1 1 Stellaria radians, - | = jS MUST | (Cft yas RER i — — Caltha palustris. . . ».. 2 — 13) Ptarmica carlilaginea . . . . 2 1 1 Es ist auffallend, dass Spiræa salicifolia 7, die auf den Alluvionen der Lena selbst ziemlich selten ist und und nirgends in grösserer Menge auftritt, im Thale der Shiganka so weite Bestände bildet. Das Vorkommen von Spiræeten bei der Naschim- Mündung (vgl. oben die Annot. N:o 3), sowie an einigen Stellen am Flüsschen Yngyr deutet, darauf hin, dass die Spiræeten für die Thäler der zwischen dem 66° und dem 68" n. Br. gelegenen Nebenflüsse der Lena überhaupt characteristisch seien. Spiræeten wurden nur auf gyttjareichem Boden beobachtet. 2. Die Association von Saliceta viminalis. Die Saliceten der Shiganka ähneln denjenigen der Lena sehr, sind aber niedriger (2—4 M.) Die dort (desgleichen am Yngyr) auftretende Form der collectiven Salix viminalıs ist jedoch nicht dieselbe wie an der Lena, sondern sie besitzt viel kleinere, + kahle, grünliche Blätter. 2 verschiedene Facies können unterschieden werden. Facies l| Die Saliceten des gyttjareichen Bodens. Diese sind ziemlich undicht, mehrere Aeste, sogar ganze Sträucher können vertrocknet sein. Characteristisch ist das + reichliche Vorkommen von Calamagrostis phragmitoides 7. Die Annotationen beziehen sich alle auf zieml. gleichartige Saliceten an der untersten Shiganka (vgl. Taf. I). Der Boden besteht aus stark gyttjabemengtem Sand, Tom. XXXII. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 69 oben kommt jedoch eine dünne Schicht modernden, in Gyttja + eingebetteten Lau- bes vor. N:o 1. Gesträuch: Salix viminalis (7), Alnus incana (1) und Spiræa sali- cifolia 7 (4). Moose: sehr spärlich. N:o 2. Gesträuch: Salix viminalis (6), Alnus incana (2), Spirea salici- folia 7 (2) und Rosa acicularis (2). Moose: sehr spärlich. N:o 3. Gestrüuch: Salix viminalis (Y) und Spiræa salicifolia ÿ (4—5); Halbsträucher: Myrtillus uliginosa (3). Moose: spärlich. N:o 4. Gesträuch: Salir viminalis (5), Alnus incana (1) und Spirea salici- folia (2); Halbsträucher: Myrtillus uliginosa (2). Moose: spärlich (Sphagnum squar- rosum, Sph. fimbriatum, Amblystegrum sp. Climacium dendroides). N:o 5. Gesträuch: Salix viminalis (8) und Alnus incana (1—). Moose: fast 0. N:o 6. Gesträuch: Salix viminalis (8) und Alnus incana (2); Halbsträucher Myrtillus uliginosa (3). Moose: sehr spärlich. N:o 1. N:o 2.| N:o 3.| N:o 4.| N:o 5.| N:o 6. Gräser: | Calamagrostis phragmitoides + . 6 6 8 6 5 5 YAT Eb. co ee d NS T | 2 1 — 1 — (grex aqualils..... AUS — — — 2 — GXCERDALOBUSS sata säs eo eM NS -— — — — 2 Kräuter: Equisetum arvense y bes i 3 1 3 Iris selosa l 1-2| — 1 — | 1+ Stellaria radians . . . so. . 2 2 2 1 = — Calthapalusire .» » -» : s .| = — |1-2]| — — 2 Cardamine pratensis. . . . . | — — — 1 — — Armoracia sisymbrioides . . .| — 1 — — — — Comarum palustre . . . . . 2 |1+ 1 3 2 2 PIC ME EME OL SIN 1 -— _ — _ Lathyrus paluster . . . . . .| — 2 — 1 — 1 Veronica longifolia = . . . .| — = = — — l Galmanzboreale. . a nn 1 1 = = = =" Ptarmica cartilaginea . . . - = 1 — — = i Facies 2. Die Saliceten dieser Facies kommen vorzugsweise etwas mehr auf- wärts an der Shiganka vor, und auch dort nur an den convexen Ufern, wo der Boden aus ziemlich reinem Sand besteht. Sie sind meistens sehr dicht. Folgende Annotationen beziehen sich auf 2 solche Saliceten (vgl. Taf. 1). Gesträuch: Salix viminalis (10). Moose: fehlen. N:o 1. 70 A. K. CAJANDER. N:o 1. N:o 2 No 1.| N:o A üq ^ | — Eee Kräuter: | | Calamagrostis phragmitoides 7 . | 1— — | Equiselum arvense 4*5 56 IFonypnatensts e SCELERIS — Garner squati ls e 1 2 Verbreitung. Die Saliceten sind an der unteren Shiganka sehr umfangreich (vgl. Taf. I), die meisten gehören zur Facies 1, wogegen die Saliceten der zweiten Facies gemeiniglich nur schmale Streifen an den sandigen convexen Ufern bilden. 3. Die Association von Fruticeta mixta. Die Mischgebüsche des Shiganka-Thales weichen in vieler Hinsicht von denjeni- gen der Lena ab. Von der Facies 2 (pagg. 43—48) unterscheiden sie sich durch das Fehlen von Ribes pubescens, R. dikuscha, Prunus padus 7, Cratæqus sanguinea, Sorbus aucuparia, Cornus sibirica ete. Aber auch Salix hastata (vgl. Facies 3) ist nicht besonders häufig und tritt immer nur spärlich auf. Dagegen bestehen die Ge- büsche hauptsächlich aus Salix viminalis, S. phylicifolia, Spirea salicifolia 7, und Rosa acicularis, spärlicher treten Betula odorata, Alnus incana, Alnaster viridis, Salix pentandra und S. pyrolifolia auf, + selten Betuta adenophora ') und Ribes glabellum. Die Gebüsche sind ziemlich niedrig und undicht, mit einer Menge abgestorbener Zweige; die Blätter waren meistens durch Insecten-Frass und von Phytoptiden + beschä- digt. — Der Boden besteht im Allgemeinen aus gyttjabemengtem Sand, oberst kommt jedoch eine Mischung vor Gyttja, Sand und Torf vor (der letztgenannte aus allerlei Ab- fällen, wie Laub, Stroh u. dgl. entstanden). Annotationen: N:o 1. Das hinter dem Salicetum N:o 2 (pag. 69) gelegene Mischgebüsch. Gesträuch: Salix viminalis (A—5), S. phylicifolia (4), Alnus incana (1), Spiræa sali- cifolia 7 (2), Rosa acicularis (2). Moose: spärlich. N:o 2. Weiter nach hinten befindlicher Theil desselben Bestandes, ein wenig höher gelegen. Gesträuch: Salix pentandra (1), Salix viminalis (4—5), S. phylicifolia (4), Rosa acicularis (3); Halbsträucher: Myrtillus uliginosa (3). Moose: sehr spärlich. N:o 3. Hinter dem Spiræetum N:o 2 gelegenes Mischgebüsch (zwischen beiden kommt ein schmaler Salix-Gürtel vor). Gehölz: Salix pentandra (1), S. viminalis (4), S. phylieifolia (5), S. pyrolifolia (1), Spirea salicifolia 7 (2), Myrtillus uli- ginosa (5). Moose: spärlich. 1) = B. nana + sibirica x B. odorala als Blendart. Tom. XXXII. Vegetationen der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 71 N:o 4. Mischgebüsch an der Shiganka. Boden: schwach gyttjabemengter Sand. Gesträuch: Salix viminalis (4), S. phylicifolia (5), Betula adephonora (3), Alnaster viridis (1); Halbsträucher: Myrtillus uliginosa (5). Moose: spärlich. N:o 1.| N:o 2.| N:o 3.| N:o 4. Gräser: E Calamagrostis phragmiloides T. . | 5—6 5 2 1 IFOUIDIOIENSIS RO E 2 1 — = Garepreapitosa, 2. EME 1 1 2 2 Kräuter: Smilacina trifolia . . . . .| 1-2 1 1 1 | 1 1 1 Stellaria radians... . » .. 2 2 — — Armoracia sisymbrioides . . .| 2 = = = Comarum palustre . . . . - 2 — = 1 Vidialeracca ses cos ON IIS 1 — — Lathyrus paluster . . . . . . 2 — — 1 Galium dahurieum |. . . . . — | 1 — — Verbreitung. An der Shiganka bedecken die Mischgebüsche sehr weite Areale. Die Association von Alneta incanæ, An der Shiganka wurde nur an einer Stelle ein Alnetum angetroffen. Dasselbe kommt hinter einem schmalen Salix-Gürtel vor (vgl. Taf. I). Der dem Salicetum (von Facies 2) zunächst liegende Theil desselben ist auf fast reinem — schwach gyttjabe- mengtem Sandboden gelegen. Das Gestrüuch ist äusserst dicht (10), ausschliesslich aus Alnus incana bestehend. Die ganze übrige Vegetation besteht aus vereinzelten, sterilen Exx. von Calamagrostis phragmitoides 7 nebst desgleichen vereinzelten Exx. von Æqui- selum arvense. Der Haupttheil desselben Almetums ist durch eine ‘/,—*/, M. hohe Terrasse von dem oben beschriebenen getrennt und repräsentiert eine andere Facies, entsprechend der Facies 1 der Association von Saliceta viminalis der Shiganka. Der Boden be- steht hauptsächlich aus einer Mischung von Torf und gyttja- (resp. stellenweise + dy-) bemengtem Sand, tiefer aber vorzugsweise aus gyttjabemengtem Sand. Das Ge- sträuch ist ziemlich undicht und niedrig, bestehend aus: Picea obovata (1+), Salix phylicifolia (3), Betula odorata (2), B. adenophora (2), Alnus incana (6), Alnaster viridis (2), Rosa acicularis (1); von Halbstráuchern kommt Myrtillus uliginosa (6) vor. Moose: zerstreut — spärlich (Sphagnum squarrosum, Astrophyllum sp., Climacium dendroides, Hylocomium proliferum, H. triquetrum), die meisten von Gyttja grau gefärbt. N:o 1. A. K. CATANDER. Gräser: Calamagrostis phragmitoides + 1 Carex cespitosa 1+ ; Kräuter: Pyrola rotundifolia 7 Die Association von Alnastreta viridis. Das oben beschriebene Alnetum geht weiter vom Ufer entfernt allmählich in ein Alnastretum über. Dasselbe wird schwach überschwemmt, die Sedimentation aber dürfte sehr gering sein. Der Boden besteht aus gyttjabemengtem Sand, der oben von gyttja- und dybemengtem Torf bedeckt ist. Alnaster bildet dort ein niedriges, ziemlich undichtes (6) Gebüsch. Beigemischt treten folgende Bäume und Strüucher auf: Picea obovata (2), Larix dahurica (1) Be- tula odorata. (2), B. adenophora (1), Almus incana (1). Die Halbsträucher sind reichlich vorbanden: Myrtillus uliginosa (Y), Vaccinium vitis idea (1). Die Moose sind ziemlich reichlich (Sphagnum squarrosum, Sph. fimbriatum, Sph. (Warnstorfi), Hypnum trichoides, Hylocomium proliferum), die Flechten (Peltidea aphtosa) vereinzelt vorhanden. Gräser: : Carex cespitosa 1 Eriophorum vaginatum 1; Kräuter: Pyrola rotundifolia + 1. Andere Alnastreten wurden an der Shiganka nicht angetroffen. 6. Die Association von Piceeta obovatæ. Eigenthümlicherweise findet man Fichtenbestände ') im Shiganka-Thale, während sie an der Lena selbst schon etwas südlicher aufhören. Die Piceeten der Shiganka sind aber verkrüppelt und sehr undicht. Die Bäume sind kaum über 3—6 M. hoch, von einer sehr schmalen Pyramiden-Form, mit kurzen, aber dieken Zweigen; oft kommen an den Stämmen lange, ganz astlose Partieen vor. Bisweilen tritt die Fichte so spär- lich auf, dass man eher von Fichten-reichen Mischgebüschen als von eigentlichen Fich- tenwäldern sprechen könnte. 1) Birkenbestände dagegen wurden nicht angetroffen. Tom. XXXII. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 73 Der Boden besteht aus einem Gemisch von sandbemengter Gyttja (resp. Gyttja- Dy) und Torf, tiefer hauptsächlich aus gyttjabemengtem Sand. Moose kommen im Allgemeinen nicht besonders reichlich (3—6) vor (Sphagnum squarrosum, Sph. ob- tusum, Sph. Warnstorfü, Sph. fimbriatum, Polytrichum commune, Astrophyllum sp., Sphærocephalus palustris, Amblystegium spp., Hypnwm trichoides, Hylocomium proli- ferum, H. triquetrum), alle + in Gyttja eingebettet. Annotationen: N:o 1. Fichtenwald am Hohlufer der Shiganka (vgl. Taf. I). Boden: vgl. oben. Holzgewächse: Picea obovata (5), Salim viminalis (1), S. phylicifolia (3), Betula odorata (1+), B. adenophora (1), Alnus incana (2), Alnaster viridis (3—4), Spiræa salicifolia 7 (1), Rosa acicularis (1), Myrtillus uliginosa (9). Moose: zerstreut. N:o 2. Dem vorigen ähnlicher Fichtenwald. Holzgewächse: Picea obovata (5) Betula adenophora (2), Alnus incana (2), Alnaster viridis (2—4), Spiræa sali- cifolia 7 (1), Rosa acicularis (3), Myrtillus uliginosa (9). Moose: zerstreut. N:o 3. Fichtenwald, weiter vom Ufer entfernt. Holzgewächse: Picea obo- vata (3—4), Salix phylicifolia (3), S. chlorostachya (1), S. myrtilloides (1+), Be- tula odorata. (1—), B. adenophora (3), B. nana 7 (2), Rosa acicularis (1), Empe- trum nigrum (2), Myrtillus uliginosa (8), Cassandra calyculata (2). Moose: zieml. spärlich. N:o 1.| N:o 2.| N:o 3. s 1.| N:o 2.| N:o 3. Gräser: Kräuter: Calamagrostis phragmitoides 7 . 1 1 — Smilacina trifolia. . — — 1 Colpodium latifolium. . . . .| — -— 1 Iris selosa 1 1 1— | Eriophorum vaginatum . . . .| — 1 1 Comarum palustre = — jode | Carex cespitosa ©... | 1—2 1 2 Verbreitung. Fichtenwälder findet man an der Shiganka erst in einer Ent- fernung von etwa 3 à 4 Km. von der Mündung aufwärts, von dort an aber sind sie ziemlich häufig und bedecken weite Areale. 7. Die Association von Lariceta dahuricæ. Die Lärchenwälder des Shiganka-Thales sind im Allgemeinen ziemlich undicht und niedrig. Die Bäume sind + verkrüppelt. Der Boden wird meist von einer fast ununterbrochenen Moosmatte bedeckt. Die Lärchenwälder werden nicht überschwemmt. Annotationen: N:o 1. Weiter Lärchenwald, hinter dem Piceetum N:o 3 gelegen. Boden: fast reiner Sand, oben von einer 2—4 Cm. dicken Torfschicht bedeckt. Holzge- N:o 1. 10 74 A. K. CAJANDER. wüchse: Picea obovata (1), Larix dahurica (4), Salix phylieifolia (1), S. chloro- stachya (1+), S. hastata (1), S. vagans 7 (1), S. glauca (1), Betula adenophora (3—), B. nana 7 (1+), Rosa acicularis (1), Myrtillus uliginosa (8), Vaccinium vitis idea (1—2), Ledum palustre (2). Die Moosdecke ununterbrochen (Spherocephalus pa- lustris reichl, Sph. turgidus zieml. reichl., Dieranum elongatum. spärl., Hypnwm tri- choides zerstr., Hylocomium proliferum sehr reichl.). Gräser: Colpodium latifolium 1 Carex cespitosa 1 C. globularis 2; Eriophorum vaginatum 1— Kräuter: Ranunculus lapponicus 1 Valeriana capitata 1 Petasites frigidus 2. Pyrola rotundifolia + 1 N:o 2. Moorartiger Lärchenwald weiter aufwärts an der Shiganka. Boden: feiner Sand, mit einer etwa '/, M. dicken Torfschicht bedeckt. Holzgewächse: Larix da- hurica (b), Picea obovata (1), Betula nana 7 (2), Betula adenophora (1), Myrtillus uliginosa (3), Vaccinium vitis idea (1), Oxycoccus microcarpus (3), Cassandra caly- culata. (4), Ledum palustre (4). Die Moosmatte ununterbrochen: Sphagna (4, Sph. strictum, Sph. fimbriatum, Sph. rubellum, Sph. Angstrümii), Spherocephalus palustris (6), Sph. turgidus (1), Hypnum trichoides (7 —8), Hylocomium proliferum (1). Gräser: Eriophorum vaginatum 1 C. macrostigmatica 1 C. descendens. 1— : Carex cœæspitosa 2 Kräuter: Smilacina trifolia 1 Rubus chamemorus 4. Verbreitung. Die Lärchenwälder treten in demselben Gebiete wie die Picee- ten auf, nirgends aber an den Ufern selbst, sondern weiter in's Land hinein zu beiden Seiten des Flusses. Die beiden Facies, als deren Repräsentanten die obigen 2 Annotatio- nen gelten können, sind beinahe gleich häufig. Selbständige Piceeto-Lariceta wurden nicht gesehen. C. Die Serie der Gehölz-Associationen an den nördlichsten Zuflüssen der Lena. Diese kleinen Bachthäler sind von niedrigen, dichten Gebüschen' eingenommen. Nur an den Mündungen kommen kleine Wiesen vor. — Die Zeit, die ich der Vegeta- Tom. XXXII. -] Qt Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. tion derselben widmen konnte, war leider sehr kurz, so dass die Untersuchungen nicht anders als sehr oberflächlich werden konnten. Da die Kenntniss der Vegetation derselben jedoch nicht ganz ohne Interesse sein dürfte, werden unten die von mir gemachten Annotationen mitgetheilt. Folgende Pflanzen wurden in diesen Bachthälern bestandbildend angetroffen: Salix viminalis, S. phylicifolia, S. hastata, S. lanata, Betula nana 7, Myrtillus uli- ginosa und Alnaster viridis. 1. Die Association von Saliceta viminalis. Diesbezügliche Saliceten wurden nur in der Umgebung von Küsür und Bulun gesehen, wo sie in den Deltas der Bäche, auf + gyttjabemengtem Sandboden auf- treten. Sie sind ganz niedrig (?/,—1 '/, M.), oft aber sehr dicht. Amnnotation. Ein etwa 10—20 M. breiter Salir viminalis-Gürtel zwischen den Uferwiesen und dem dahinter gelegenen Salicetum hastatæ, an der Mündung des Baches Bulunkan unweit Bulun. Boden: gyttjabemengter, ziemlich feuchter Sand. Ge- sträuch: — Salir viminalis (9). Moose: fehlen. Gräser: Calamagrostis phragmitoides T 4 Festuca rubra 3 Eriophorum Scheuchzeri 2; Poa sp. 2 Kräuter: Polygonum viviparum 2 Ranunculus acer } 1 Archangelica officinalis 1 Stellaria graminea 1 Conioselinum tataricum + 2 Pyrethrum bipinnatum 1. Caltha palustris 1 2. Die Association von Saliceta phylicifoliæ. In einem kleinen Bachthale unweit Küsür wurde ein Salir phylieifolia-Gebüsch angetroffen. Auf der Landseite grenzte dasselbe an ein Salicetum hastat®; näher zum Wasser kamen nur ganz vereinzelte kleine Gruppen von Salix viminalıs vor. Bo- den: gyttja- und sandbemengtes Geröll, feucht — nass. Holzgewächse: Salix phylici- folia (6), S. hastata (2), S. lanata (3), S. glauca (2). S. myrsinites f (3), S. sp. (2), Alnaster viridis (2), Myrtillus uliginosa (3—). Moose: sehr spärlich. Gräser : Calamagrostis sp. 2 Festuca rubra 1 Carex aquatilis F 2; Trisetum agrostideum 1 N:o 1. 76 A. K. CAJANDER. Kräuter: Equisetum arvense 1 S. punctata 1 Pedicularis verticillata 2 Ranunculus hyperboreus 1 Comarum palustre 1 RS DEL Saxifraga cernua 1 Sanguisorba officinalis 1 P. sceptrum. Carolinum 1. Ausser dem oben beschriebenen wurden keine anderen Saliceta phylicifoliæ beobachtet. 3. Die Association von Saliceta hastatæ. Die Salix hastata-Gebüsche sind etwa 1 M. hoch und gewöhnlich dicht. Ueber dieselben besitzte ich folgende Annotationen: N:o 1. Oberhalb des oben beschriebenen Salicetum phylicifoliæ gelegener Salix hastata-Gürtel; etwa 2—4 M. breit; grenzt nach oben an ein Myrtilletum. Boden: gyttja- und sandbemengtes Geröll. Holzgewächse: Salix phylieifolia (2), S. hastata (8), S. lanata (4), S. glauca (3), S. myrsinites 7 (3), Betula nana 7 (2), Alnaster viridis (2), Myrtillus uliginosa (5). Moose: sehr spärlich (Polytrichum commune, Astrophyllum sp., Amblystegium sp.). N:o 2. Salicetum hastatæ eines anderen Bachthales bei Küsür, zwischen dem Wasserrande und einem Myrtilletum gelegen, etwa 20 M. breit. Boden: wie in N:o 1. Holzgewüchse: Salix phylieifolia (2), S. chlorostachya (1), S. hastata (1—8), S. myrsinites 7 (1), Betula nana f (1), Alnaster viridis (1), Myrtillus uliginosa (3). Moose: sehr spärlich. N:o 3. Der obere Rand des vorigen (N:o 2) Bestandes. Boden: wie in N:o 1, jedoch mit ein wenig Torf zwischen den Steinchen, Holzgewächse: Salix phyh- cifolia (2), S. hastata (9), S. myrsinites 7 (1), Alnaster viridis (2—3), Myrtillus uli- ginosa (6). Moose: ziemlich reichlich (meist Amblystegien). N:o 4. Ziemlich weites Salix hastata-Gebüsch in dem Delta eines Baches dem Dorfe Bulun gegenüber, gürtelförmig die Delta-Wiesen umgebend. Boden: Geróll mit gyttjabemengtem Sand gemischt. Holzgewächse: Salix viminalis (1—), S. phylicifolia (2—3), S. hastata (9), S. lanata (2), S. lapponwm (1), S. glauca (2), Myrtillus uliginosa (3). Moose: sehr spärlich. N:o 1.| N:o 2.| N:o 3.| N:o 4. Gräser: n Calamagrostis phragmitoides 7 . 1 | 2+ 2—3 4 Colpodium latifolium |. . . . | 1— — — 1 POGÉSD ERE RD 2 — 2 — Ara emspiosu . . . -. . . — 2 — |1— FIESVUCAENIUDN c e ler oe o c 2 2 1 1 Tom. XXXL, + -l Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. N:o 1.| N:o 2.| N:o 3.| N:o 4. Eriophorum Scheuchzeri . . ,| — 1 — 2 Carex Maximowiezü. . . . .| 1—2 1 = = Juncus castaneus . . . . . . — 1 1 1 Kräuter: Equisetum arvense . . . . . | — 1 — 2 Polygonum viviparum . . . . 1 | 2—3 3 3 P. polymorphum . . . . . .|1—2 1 — = Kenigia islandica. . . . . .| — 1 = = Stellaria graminea . . . . . | — 1 1 = DÉACTASSU ONG EN. ES — 2 = Cerastium alpinum . . . . .| — 1 = 1 Anemone Richards nü . . . .| — — — 2 Cardamine pratensis . . . . | — 1 = > Arabis Detrea . . ... 2.1 — 1 = Saxifraga cernua . . . . . .| — 1 — i: So Dunctatam., ra sng ME 1 1 1 1 Sanguisorba officinalis . . . . 1 |1—2 2 1 (Uy irODt34 8D. CO CR EI — 1 — Astragalus alpinus . . . . .| — 1 = — Hedysarum obscurum . . . .| — | — 21: Pyrola rotundifolia + 2 — — — Pedicularis verticillata . . . . 1 1 1 2 P. sp. 1 — 1 = P. sceptrum Carolinum . 1 — 1 = Polemonium humile . . . . . | — 1 — = Galium verum - . . . . . | — 1 I — Valeriana capitata |. . . . . 1 1 -— — Campanula rotundifolia . . .| — — 2 — Pyrethrum bipinnatum . . . .| — 3 — 2 Artemisia vulgaris T . . . . . | 1+ 2 — 2 | Etwas anders zusammengesetzt war die Vegetation eines Salix hastata-Gebüsches an der Mündung eines Gebirgsbaches, der Insel Tit-Ary gegenüber. Dasselbe ist zwischen dem Wasserrande und einem Salir lanata-Gebüsch gelegen. etwa 5—15 M. breit. Boden: Sand, mit feinerem Geröll gemischt. Holzgewüchse: Salix hastata (6), 8. lanata (3), S. sp. (2), nebst mehreren Polarweiden (3, wohl meist Salix polaris, u. S. reticulata ')). Moose: spärlich. !) Die Blätter waren schon theilweise weggefallen. N:o 1. 78 A. K. CAJANDER. Gräser : Poa sp. 2 Juncus triglumis 2 J. castaneus 2; Kräuter: Veratrum album + 1 Saxifraga stellaris 1 Myosotis silvatica + 1 Oxyria digyna 2 S. hieractfolia 2 Valeriana capitata 2 Polygonum bistorta 1 S. hireulus 2 Artemisia vulgaris 7 2 P. viviparum 3 S. cernua 2 Petasites glacialis 2 Wahlbergella apetala 1 S. punctata 5—4 Saussurea alpina 1. Cerastium alpinum 2 Pedicularis verticillata 1 Verbreitung. Die Saliceta hastatæ dürften kaum einem einzigen Bachthale der Gegend in der Nähe der Lena-Mündung gänzlich fehlen. Oft sind sie umfang- reicher als alle anderen Gebüsche zusammen. 4. Die Association von Saliceta lanatæ. Gleich oberhalb des letztbeschriebenen Salicetum hastate kommt ein etwa 5 M. breiter Gürtel von Salix lanata vor, der oben an ein Myrtilletum grenzt. Boden: Gemisch von Sand und Geröll, + unvollständig von Torf bedeckt. Holzgewächse: Salix hastata (2), S. lanata (6), S. glauca (2), S. sp. (1), S. reticulata (3), S. ber- berifolia (1), Betula nana (2), Alnaster viridis (3), Myrtillus uliginosa (3), Cassiope tetragona (1), Ledum palustre (2). Moose: spärlich (Amblystegium spp., Hylocomium proliferum, Stereodon arcuatus); Flechten: sehr spärlich (Peltidea aphtosa). Gräser: spärlich (meist schon ganz verwelkt, unbestimmbar) 3; Kräuter: Oxyria digyna 5—4 Saxifraga hireulus 2—5 Valeriana capitata 2 Polygonum bistorta 2 S. cernua 2—5 Petasites glacialis 2 P. viviparum 2 S. punctata 3—4 P. frigidus 2 P. Pawlowskianwm 2 Pyrola rotundifolia 7 2 Saussurea alpina 1. Stellaria graminea 2 Pedicularis spp. 1+ Nur das oben beschriebene Salicetum lanate wurde angetroffen. 5. Die Association von Myrtilleta uliginosæ. Myrtillus uliginosa bildet niedrige, dichte Bestände gleich oberhalb der Saliceta hastate. Im Herbst besitzen sie eine chracteristische dunkelbraune Farbe. Tom. XXXL. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 79 Annotation. Myrtilletum uliginosæ bei Küsür, 2—8 M. breiter Gürtel. Boden: geröllgemischter Sand, oben von torfartigem Humus + unvollständig bedeckt. Holz- gewächse: Salix phylieifolia (1), S. hastata (3), S. lanata (2), S. glauca (1), S. sp. (1. —), Betula nana 7 (2), Alnaster viridis (2), Empetrum migrum (3), Myrtillus uliginosa (8), Vaccinium vitis idea (2). Moose: ziemlich reichlich (meist Amblystegien). Gräser: Calamagrostis sp. 1 Poa sp. 1; Kräuter: Polygonum polymorphum 1—2 Sazifraga punctata 2 Valeriana capitata 1 Stellaria graminea 1—2 Pyrola rotundifolia + 5 Petusites frigidus 1. Verbreitung. Die Myrtilleten sind in der Gegend von Bulun und Küsür nicht selten, auch in der Tit-Ary-Gegend wurden sie beobachtet. 6. Die Association von Betuleta nans y. In den Bachthälern bei Küsür und Bulun folgt an mehreren Stellen oberhalb des Myrtilletum-Gürtels ein Gürtel von Betula nana 7. Die Betuleten sind niedrig und ziemlich dicht, im Herbst von einer braunrothen Farbe. Annotation. Betuletum, oberhalb des oben beschriebenen Myrtilletums. Boden: geröllbemengter Sand, von einer sehr dünnen Torfschicht bedeckt. Holzgewächse: Sa- lix phylicifolia (2—3), S. hastata (2), S. lanata (1), S. glauca (2), Betula nana 7 (7), Alnaster viridis (3), Empetrum nigrum (2), Myrtillus uliginosa (4), Vaccinium vilis idea. Moose: reichlich (Amblystegium sp., Hylocomium proliferum (10 °/,), H. parietimum). Gräser : Calamagrostis sp. 1 Colpodium latifolium 1; Kräuter: Polygonum polymorphum I+ Pyrola rotundifolia + 1 Saussurea alpina 1—. Sanguisorba officinalis 1— Petasites frigidus 1 Verbreitung. Betuleta nanæ + wurden in mehreren Bachthälern bei Küsür und Bulun beobachtet. N:o 1. 80 A. K. CAJANDER. 7. Die Association von Alnastreta viridis. Auf den höchsten Punkten treten in diesen Bachthälern Bestände von A/naster viridis auf‘). Sie haben im Herbst eine gelblich grüne Farbe. Annotation. Alnastretum in einem Bachthale bei Küsür, oberhalb des Gür- tels von Salir hastata gelegen. Boden: gerüllbemengter Sand, von einer dünnen Torf- schicht bedeckt. Holzgewächse: Salix phylieifolia (2), S. hastata (1), S. glauca (1) Betula nana 7 (4), Alnaster viridis (6), Empetrum nigrum (1), Myrtillus uligi- nosa (2), Vaccinium vitis idea (3). Moose: reichlich (Sphagnum sp., Spherocepha- lus palustris, Hypnum trichoides, Hylocomium proliferum und H. parietinum, die bei- den letztgenannten zusammen etwa 70 ?/, der Moosvegetation ausmachend). Gräser : Calamagrostis phragmitoides 1 Colpodiwm latifolium 1 Eriophorum vaginatum 1; (0 sp: I Kräuter: Saxifraga punctata 1 Rubus chamæmorus 3. Verbreitung. Alnastreten wurden ziemlich häufig in den Umgebungen von Küsür und Bulun angetroffen, stellenweise ausserdem bei Ajakit, Küpsaraj und Tit-Ary. Oberhalb der Alnastreten folgt die aus krüppelhaften Lärchen bestehende Taiga oder, weiter nordwärts, die nicht überschwemmte Tundra. 1) Ob diese wirklich alle auf Alluvialboden oder eher auf sehr schwach überschwemmten Erosions- abhängen gelegen seien, mag hier unentschieden bleiben. Tom. XXXL. III. Die Grasfluren-Associationen. Wie im Allgemeinen Theile erwähnt wurde, ist die Verbreitung der Grasfluren - in den verschiedenen Theilen des unteren Lena-Thales (sensu ampliori) verschieden, und zwar nehmen dieselben südlich von der Aldan-Mündung sehr grosse Areale ein, während sie nördlich von derselben nur beschränkte Flächen bedecken. Dazu kommt, dass die letztgenannten Grasfluren ') als vollständig natürliche zu betrachten sind: sie werden weder abgemäht noch abgeweidet, wogegen die ersteren jährlich abgemäht und später, gegen den Herbst, als Weide für Pferde und Rinder angewendet werden. Die Grasfluren („Steppen“) um die Stadt Jakutsk, sowie in den Umgebungen anderer Ansiedelungen, wer- den in noch höherem Grade von der Cultur beeinflusst, indem sie den ganzen Sommer hindurch ja sogar im Winter (für Pferde) als Weideplatz benutzt werden. Die Serien der Grasfluren-Associationen können in der That am natürlichsten in folgende 3 Gruppen eingetheilt werden: A) die Serien der Associationen nördlich von der Aldan-Mündung, B) die Serien zwischen der Stadt Jakutsk und der Aldan-Mündung und C) die Serien der Steppen-Associationen von Jakutsk. A. Die Serien der Grasfluren-Associationen nördlich von der Aldan-Mündung. Es wurde schon früher (pagg. 40—41 ) darauf hingewiesen, dass die auf niedrigem Gyttja-Boden entstehenden Saliceta viminalis nicht lange fortleben, sondern dass sie früher oder später in natürliche Wiesen übergehen. Es kommen demgemäss überall auf niedrigen, aus Gyttja resp. Dy bestehenden Ufern kleiner „Protoken“ (Wasser- strassen) und Tümpel innerhalb des Alluvialgebietes natürliche Wiesen vor. Hin und wieder trifft man kleinere Wiesenbestände auch auf den Festlands-Ufern der Lena an, !) Die Serie III. A. b. o. jedoch ausgenommen. N:o 1. 11 82 A. K. CAJANDER. wenn der Boden hauptsächlich aus Gyttja besteht. Ferner findet man sie sehr häufig an analogen gyttjareichen Stellen in den Thälern kleiner Bäche und Nebenflüsse der Lena. Von der Aldan-Mündung bis zu der Insel Agrafena wurden sie in ziemlich kleinem Maasstabe beobachtet, auf der genannten Insel, sowie im Thale der Shiganka, sind sie ein wenig umfangreicher. Weiter nordwärts wurden natürliche Wiesen haupt- süchlich in den Deltas kleiner Nebenflüsse angetroffen. Ausser den genannten Wiesen kommen noch andere Arten von Grasfluren vor. Wie früher erwühnt worden ist, erreichen die Ueberschwemmungswälder (Betuleta, Pi- ceeta und Piceeto-Lariceta) ihre Nordgrenze etwa in der Gegend zwischen der Insel Agrafena und dem Dörflein Shigansk. Weiter nach Norden aber werden dieselben nicht durch Gebüsche, etwa eine Art Mischgebüsche, sondern durch + undichte Grasfluren ersetzt. Die von mir angetroffenen Grasfluren dieser Art waren alle ziemlich klein an Areal, entweder auf reinem oder auf sehr schwach Ee US frischem — trock- nem Sandboden gelegen. Eine dritte Art Grasfluren findet man an gerüllreichen Stellen, hauptsächlich auf Gerüllwällen der Lena. Diese Grasfluren sind gewöhnlich ziemlich undicht und bilden, wegen des + reichlichen Vorkommens der Holzgewächse, einen Uebergang zu den Gehülz-Associationen. Sie bedecken nur unbedeutende Areale. a. Die Serien der Grasfluren-Associationen des Gyttja- oder Dy-Bodens. Die Vegetation dieser Grasfluren besteht aus einer ziemlich geringen Anzahl Pflanzen-Arten, nicht destoweniger aber kónnen zahlreiche Associationen unterschieden werden, nähmlich die von: Heleochariteta acicularis, Arctophileta fulvæ, Equiseteta arvensis, Heleochariteta palustris, Equiseteta fluviatilis, Cariceta acute, Cariceta aqua- tilis und Calamagrostideta phragmitoidis 7. 1. Die Association von Heleochariteta acicularis. Unter allen oben angeführten Associationen kommt die von Heleochariteta acicu- laris auf niedrigstem Niveau vor. Selbst die Heleochariteten erstrecken sich aber nie bis zum Rande des Niederwassers, sondern werden immer durch einen schmäleren oder breiteren Gürtel von vegetationslosem Boden von demselben getrennt. — Die Vegetation ist ganz niedrig; die vorherrschende Farbe ist, wenigstens gegen den Herbst, bräun- lich grün. Von Heleochariteten können zwei Facies unterschieden werden. Facies 1 kommt auf niedrigen, aus geröllreicher Gyttja bestehenden Festlands- Ufern der Lena vor. Sie ist durch eine ziemlich undichte Vegetation characterisiert. Folgende Annotation bezieht sich auf einen, etwa 1 bis 3 M. breiten, etwa 30 M. langen Gürtel auf dem Ufer der Lena ung. 30 Km. von der Aldan-Mündung Tom. XXX. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 83 weiter abwärts. Boden: stark geröllbemengte Gyttja, nass; oberhalb und unterhalb des Gürtels Kommt vegetationsloses Geröll vor. Die Vegetation ist ziemlich undicht: Equisetum arvense spärl. Era cespitosa vereinz. Nasturtium palustre vereinz. Heleocharis acicularis z. reichl. Polygonum amphibium zerstr. — Inula britannica spärl. Ausserdem einige Keimpflanzen von Salix viminalis. Verbreitung. Diese Heleochariteta wurden nur an einigen Stellen zwischen den Mündungen der Nebenflüsse Aldan und Wiljuj beobachtet und waren alle von einem sehr beschränkten Umfang. Facies 2 kommt auf den niedrigen, aus Gyttja bestehenden Ufern der unteren Shiganka vor. Diese Facies zeichnet sich durch eine ziemlich — sehr dichte Vegeta- tion aus, nur der dem Wasser zunächst liegende Rand derselben ist undichter. Nachfolgende Annotationen N:o 1—5 beziehen sich auf verschiedene Heleo- chariteten auf den Ufern der Shiganka und ihrer Zuflüsse (vgl. Taf. I und Taf. III, Figg. 5 und 6). = | | N:o 1.| N:o 2.| N:o 3.| N:04. | N:o 5.| Gräser: Agrostis laxiflora . . . . . .| — 1 — — — AT IGERDUOSA.. ere eR NS 1 1 1 — JAHR DO Y EIN Co RW c — — — 1—2 — Arctophila, fulva... s — — 2 — Heleocharis acieularis . . . .| 8 | 10| 8 | 7 | 8 HS DOIVENT 4 1 — 2 — Juncus filiformis . . . . . .| 1— 1 — — — Kräuter: Equisetum arvense 2—3 2 2 2 1 E. fluviatile . 2—3 | — = = — Stellaria crassifolia . . . . .| — — 1 = 1 Callka palustris . . . . . .| — 1 = — | 1— Ranunculus radicans . . » . | — — — 1 1 Urentans c eA USE 1 — = |1— Nasturtium palustre . . . . . | — — -— — |1— Gallitrichewena s 2 — | — — |1— Uebersicht der Vegetation der Facies 2. Die Vegetation ist, wie oben bemerkt, gewöhnlich dicht, die Beimischungen ziemlich spärlich. Moose (und Flechten) fehlen gänzlich. Unter den Gräsern treten Era cæspitosa und Heleocharis palustris sehr häufig auf, häufig Poa pratensis, Arctophila fulva, Juncus filiformis, + häufig — seltener Agrostis laxiflora und Carex aquatilis. N:o 1. 84 A. K. CAJANDER. Unter den Kräutern findet man beinahe immer Æquisetum arvense; häufig sind ausserdem: Equisetum fluviatile Ranunculus radicans Nasturtium palustre Stellaria erassifolia R. reptans Plarmica cartilaginea; Caltha palustris seltener: Rumex aquaticus Hippuris vulgaris. Ausserdem findet man oft einige Hydrophyten: Sagillaria natans (selten), Calli- triche verna (zieml. häufig). Verbreitung. Diese Facies der Heleochariteten wurde nur am Unterlaufe der Shiganka angetroffen, ist aber dort häufig und bedeckt ansehnliche Flächen. An der Lena selbst wurden, ausser der Facies 1, keine Heleochariteta acicularis beobachtet. Die entsprechenden Localitäten, auf niedrigen Ufern der Protoken, besassen entweder gar keine oder nur eine äusserst spärliche Vegetation. Auf der Insel Agra- fena z. B. bestand die ganze Vegetation des Gyttja-Ufers einer Protoke (vgl. Tafel III, Fig. 1) aus Flecken von Nasturtium amphibium 7, mit spärlicher Beimischung von Æqui- setum arvense, Arctophila fulva, Heleocharis acicularis, H. palustris, Stellaria crassi- folia und Ptarmica cartilaginea. Ähnliche, durch das Auftreten von Nasturtium amphrbium 7 characterisierte, undichte Bestände wurden auch an einigen Protoken des Festlandes zwischen den Mündungen der Flüsschen Tschirimyj und Bachanaj beobach- tet, und sie können gewissermaassen als für Heleochariteta acicularis vicarierend auf- gefasst werden. 2. Die Association von Arctophileta fulvæ. Gleich hinter dem Gürtel von Heleocharis acicularis resp. Nasturtium amphi- bum; oder, wenn diese fehlen, hinter dem vegetationslosen Uferrand folgt gewöhnlich ein + gut differenzierter Gürtel von Arctophila fulva. Die Arctophileten sind ziemlich niedrig, von einer brüunlich grünen Farbe. Ueber dieselben besitze ich folgende 5 Annotationen: N:o 1. Arctophiletum auf dem flachen Gyttja-Ufer einer kleinen Protoke beim Tschirimyj-Chaja. Vorne vegetationsloses Ufer, nach hinten folgt ein Gürtel von Carex acuta. Areal: etwa 100. M^. Moose: fehlen N:o 2. Arctophiletum auf dem Ufer einer ähnlichen Protoke etwa 40 Km. südlich von der Insel: Agrafena, zwischen einem Nasturtietum amphibii + und einem Caricetum aquatilis gelegen. Areal: etwa 250 M°. Moose: fehlen, Tom. XXXII, Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 85 N:o 3 und N:o 4. Arctophileta auf Gyttjaboden auf der Insel Agrafena (vgl. Taf. III, Fig. 1). Moose: fehlen. N:o 5. Kleines Arctophiletum innerhalb eines Equisetetum arvensis an der Mün- dung des Flüsschens Bulunkan, unweit Bulun. Boden: sehr gyttjareicher, geröllbe- mengter Sand, nass. Moose: fehlen. Gräser: Agrostis laxiflora . . . . . .| — = Ara cespitosa . "| Pour aiensisy d NN es Ma Arctophila fuwaı - . . V. 9 Heleocharis acieularis . . . .| — IIS pas RS RE TI EY Carex aquatilis (incl. T) . . .| — = Kräuter : Equisetum arvense . . . . . 2 1 Rumex aquaticus . . . . . . 1 = Stellaria crassifolia . . . . .| — = Ranunculus radicans . . . . 1 — RTEDENS D. LE ANRT I 1 Nasturtium palustre . . . . .| — 1 N.amphibhumt . .. ...|— 1 Hippuris vulgaris. . . . . ., — 1 Inula britannica . . . . . .| a — Ptarmica cartilaginea . . . .| — |1— .| N:o 3.| N:o 4.| N:o 5. = 2 It — -— 1 1 — | 8 (Pw went] 9 1 — i 43 ieu = l 1 | | | 3 1 1 = 1 = | Uebersicht der Vegetation. Die Arctophileten sind ziemlich rein, die Beimi- schungen spärlich. Unter den Gräsern sind sehr häufig Poa pratensis, Heleocharis acicularis und Heleocharis palustris, häufig Carex aquatilis (im südlichen Theile auch C. acuta), Era cespitosa, + häufig Juncus filiformis, seltener Agrostis laxiflora und Carex vesicaria. Unter den Kräutern kommt Æquisetum arvense beinahe immer beigemischt vor; häufig sind ausserdem: Stellaria crassifolia Ranunculus radicans Caltha palustris R. repens + häufig — seltener: Equisetum fluviatile Stellaria radians Rumex aquaticus Ranunculus reptans Polygonum amphibium (selten) Nasturtium amphibium 7 N:o- 1 Nasturtium palustre ; Inula britannica Hippuris vulgaris Ptarmica cartilaginea. 86 A. K. CAJANDER. Moose fehlen gewöhnlich. Die nördlichen Arctophileten bei Bulun-Küsür sind durch das Vorkommen von Eriophorum Scheuchzeri, Carex aquatihis 7 stans, Pedicularıs vertieillata u. a. ausge- zeichnet und sind vielleicht am richtigsten als eine eigene Facies zu betrachten. Verbreitung. Die Arctophileten sind im Thale der unteren Lena, etwa von der Gegend um den Tschirimyj-Chaja wenigstens bis Bulun-Küsür ziemlich häufig, immer aber relativ klein an Areal. Im Shiganka-Thal kommen nur vereinzelte kleine Be- stände vor. 3. Die Association von Equiseteta arvensis. Hinter dem Arctophiletum oder, wo das letztgenannte fehlt, hinter dem Heleo- charitetum acicularis (resp. Nasturtietum) folgt gewöhnlich ein Gürtel von Eqwisetum arvense. Die Kquiseteta sind niedrig, von einer grasgrünen Farbe. 3 verschiedene Facies können aufgestellt werden. Facies l. Die Equiseteten des gerüllreichen Bodens zwischen den Mündungen der Flüsse Wiljuj und Aldan. Diese Equiseteten sind auf ein wenig höherem Boden gelegen als die Facies 1 der Helochariteta acicularis; die Vegetation ist gewöhnlich nicht besonders dicht. Annotation: Equisetetum an einer Gyttja-Stelle am niedrigen Geröll-Ufer der Lena bei Cha- lym (30 Km. abwärts von der Aldan-Mündung). Areal: etwa 150 M^. Moose: fehlen. Gräser: Carex Maximowiczii 1- ; Kräuter: Equisetum arvense 5 P. aviculare 1 Plantago major 2 Polygonum amphibium 1 Nasturtium palustre 1 Inula britannica 2. Verbreitung. Diese Equiseteten sind in oben erwähnter Gegend (Aldan-Mün- dung— Wiljuj-Mündung) nicht besonders selten, sind aber immer nur sehr klein an Areal. Facies 2. Die Equiseteten des reinen oder sandreichen Gyttjabodens der Gegend von der Wiljuj-Mündung bis Bulun-Küsür. Ueber dieselben besitze ich folgende 4 Annotationen. N:o 1 und N:o 2 be- ziehen sich auf Equiseteten auf der Insel Agrafena (vgl. Taf. IIL, Fig. 1), N:o 3 und N:o 4 auf solche an der Shiganka (vgl. Taf. III, Figg. 4 und 5). Tom. XXXII. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 87 | N:o 1. N:o 2.| N:o 3. N:o A Gräser: | | Poa pratensis DEN 1 1 — = | Amato fatua" S 2 — 2 — Heleocharis acicularis 1 — 2 JE TTC RENE NE NME LI 2 — 2 Garextaguatils EE MEE 2 — — Juncus filiformis . . . . . .| — |1— 1 1 Kräuter: Equisetum arvense . . . . . 8 8 8 8 Stellaria crassifolia . . . . . 1 1 1 — Ranunculus repens... so . . 1 1 — 1 To reptans, ET Ce RAN — 1 — Nasturtium palustre . . . . . 1 1 1 1 Ns ramphibvuumf . NN NN — 1 — — Hippuris vulgaris. . . . . .| — — I m Inula britannica . . . . . .| — l — | — Plarmica cartilaginea . . . .| — 1 — — Uebersicht der Vegetation. Die Beimischungen sind in diesen Equiseteta nicht besonders reichlich. Die häufigst beigemischten Gräser sind Heleocharis acicularis, H. palustris und Juncus filiformis, häufig sind Poa pratensis, Arctophila fulva, Carex aquatilis resp. C. acuta, + häufig Era cæspitosa, seltener Agrostis laxiflora, Calam- agrostis phragmitoides f, Beckmannia eruciformis und Carex vesicaria. Unter den Kräutern sind sehr häufig: Stellaria erassifolia Ranuneulus repens Nasturtium palustre; häufig: Rumex aquatieus Caltha palustris; seltener: Equisetum fluviatile R. reptans Inula britannica Stellaria palustris Nasturtium amphibium F Plarmica cartilaginea. Ranunculus radicans Hippuris vulgaris Moose fehlen meistentheils. Verbreitung. Die Equiseteta der Facies 2 gehören zu den häufigsten Wiesen- Beständen der fraglichen Gegend an der unteren Lena, und, was die Nebenflüsse derselben betrifft, kommen sie wenigstens an der Shiganka sehr häufig vor. Wahr- scheinlich giebt es ähnliche Equiseteten auch auf den Inseln südlich von der Wiljuj- Mündung, nur wurden dort keine Inseln besucht. Von Shigansk nach Norden wurden N:o 1. 88 A. K. CAJANDER. sie mit ziemlich unveränderter Vegetation wenigstens bis Buru beobachtet. Ueberall bedeckten sie nur kleine Areale. Facies 2. Die Equiseteten bei Bulun-Küsür und weiter nach Norden. Sie zeich- nen sich durch das Vorkommen vieler nördlicher Pflanzen-Arten, sowie durch auch sonst etwas abweichende Vegetation aus. Annotationen: N:o 1. Relativ weites Equisetetum in dem Delta eines Baches dem Dorfe Bu- lan gegenüber, an der östlichen Seite der Lena; nach dem Bache zu durch einen vege- tationslosen Ufersaum, auf der Landseite von einem Caricetum begrenzt. Boden: gyttja- bemengter Sand. Moose: äusserst spärlich. N:o 2. Equisetetum-Gürtel am Ufer der Lena, nicht weit von der Mündung des Bulunkan (unweit Bulun). Langer, ziemlich schmaler Bestand, theilweise von vegeta- tionslosen Geröllstreifen unterbrochen. Boden: sehr gyttjareiches Sand-Geröll. Nach un- ten: vegetationsloser Boden; nach oben: Caricetum. Moose: fehlen. N:o 3. Der oberste, trockneste Saum des Equisetetums N:o 2. Boden: Gyttja-Sand. N:o 4. Ziemlich weites Equisetetum in dem Delta des Flüsschens Bulunkan (un- weit Bulun). Boden: gyttjabemengter Sand. Nach unten: vegetationsloser Ufersaum, nach oben: Caricetum. Moose: fehlen. N:o 1.| N:o 2.! N:o 3. N:o 4. Gräser: m Alopecurus alpinus . . . . -| — — 2 — Calamagrostis phragmiloidesf . | — — 3 3 Poa (pratensis) - . . + : «| — — _ 1 JBMUXBSDILOSR . - - =. a la 2 2 1 Arctophilarfulvar SON 1 1 = 1 Eriophorum Scheuchzeri . . . | — 1 1 — Carex Maximowiezü. . . . . | — | — — 1 GTaguatilisy NN Se MES — — 2 Juncus arctieus . » » . . .| — 1 — — Kräuter : Equisetum arvense . . - . + 8 8 7 8 Rumexacktosa | voa — Stellaria crassifolia . . - . = 1 — 1 —- St DHITANN 60 d € to Ar — — 1 Cerastium alpinum -. . . . . | — — 2 — Calthamalustris 2 LEE = = 1 Armoracia sisymbrioides . . .| — — — 1 Sanguisorba officinalis . . . . | — — 1 1 Archangelica offieinalis . . - hy x: = l Pedieularis verticillata . . . . 1 | — | 1 — Pyrethrum bipinnatum . . . . (ned 1 -— Tom. XXXH. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 89 Verbreitung. Die Equiseteta arvensis der Facies 3 gehören zu den häufig- sten Wiesenbeständen der Umgebungen von Küsür und Bulun. Weiter gegen Norden wurden sie wenigstens bei Kumach-Sur beobachtet. Weil Equisetum arvense die Lieblingsspeise der Gänse ist, waren die Equiseteten überall von diesen + gefressen und niedergetreten. 4. Die Association von Heleochariteta palustris. Auf der Insel Agrafena, sowie an der Shiganka, kommen stellenweise schmale Gürtel von Heleocharis palustris vor, desgleichen an den Festlands-Ufern der Lena zwi- schen den Mündungen der Nebenflüsse Wiljuj und Aldan. Die Heleochariteta palustris sind niedrig, von einer + dunkel brüunlich grünen Farbe. Facies I. Die Heleochariteta palustris zwischen den Mündungen der Flüsse Aldan und Wiljuj. Folgende Annotation bezieht sich auf ein etwa 5—15 M. breites Heleochari- tetum palustris am niedrigen, hauptsächlich aus Gerüll bestehenden Ufer der Lena bei Chalym. Boden: Gerüll-Gyttja. Moose fehlen. Gräser: Era cœæspitosa 2 Heleocharis palustris 5—6 Carex acuta 2; Kräuter: Equisetum arvense 2 Plantago major 1 Inula britannica 1. Verbreitung. Die Heleochariteta obiger Art wurden ziemlich selten, haupt- sächlich zwischen Batylym und der Aldan-Mündung beobachtet. Facies 2. Die Heleochariteta der Insel Agrafena und des Shiganka-Thales. Die Annotation N:o 1 bezieht sich auf ein Heleocharitetum der Agrafena (vgl. Taf. III, Fig. 1), N:o 2—4 auf solche des Shiganka-Thales (vgl. Taf. I, Fig. 3 und Taf. III, Fig. 6). Alle resp. Bestände waren auf ziemlich reinem — schwach sand- bemengtem Gyttjaboden gelegen. Moose: fehlen. | N:o 1.| N:o 2.| N:o 3.| N:o 4.| I Gräser: | Era emspilosa, - eldas net) 1 1 = "DON prater ES TR al 3 2 1 Arclophila fulva . . . . . . | 1— ARE Heleocharis acicularis . . . .| 1 — E 3 ThwpaUusiris MT UT SSESINTESSAS—9 7 | (aen wadqiuatiis EQ T ET — — fur N:o 1. 12 90 A. K. CAJANDER. N:o 1.| N:o 2.| N:o 3.| N:o 4. Kräuter: Equisetum arvense . . . . . 2 |2—3 2 3 Rumex aquaticus . . . . . . — 1 1 = Caltha palustris. . . . . . | — 1 1 == Ptarmica cartilaginea . . . .| 2 2 1 — Verbreitung. Bestände von Heleocharis palustris sind im Thale der unteren Shiganka nicht selten, im Thale der Lena selbst aber wurde (ausser Facies 1) nur das oben beschriebene Heleocharitetum auf der Insel Agrafena beobachtet. Alle von mir angetroffenen Bestände waren sehr klein. 5. Die Association von Equiseteta fluviatilis. Die oben beschriebenen Wiesen-Associationen von Heleochariteta acicularis — Heleochariteta palustris bilden eine zusammenhängende Serie, die mit den Associationen von Cariceta aquatilis resp. C. acute und der von Calamagrostideta phragmitoidis + endigt. Sie tritt auf solchem Boden auf, der überwiegend aus dyfreier Gyttja besteht. Auf hauptsächlich aus Dy resp. Torf bestehenden Ufern kleiner Tümpel und Seen innerhalb der schwächer sedimentierten Alluvionen kommt eine andere Serie der Wiesen-Associationen vor, welche die Associationen von Cariceta aquatilis und von Calamagrostideta phragmitoidis + mit der vorigen Serie gemeinsam haben, in welcher aber alle übrigen Associationen von der von Emquiseteta fluviatilis ersetzt werden. Es treten also die Equiseteta fluviatilis gewissermaassen vicarierend für die oben beschriebenen Associationen auf. — Æquisetum fluviatile bildet bald dichtere, bald undichtere Bestände, von etwa 75 Om. Höhe und von einer + dunkelgrünen Farbe. Annotationen: N:o 1. Equisetetum in einem, von einem Piceetum umgebenen, Thälerchen bei Tunguss-Chaja. Boden: gyttja- und dybemengter Torf, nass. Areal: etwa 250 M°. Moose: sehr spärlich (Amblystegium sp., Stereodon arcuatus). N:o 2. Equisetetum an einem See der Insel Agrafena (vgl. Taf. III, Fig. 1). Boden: stark torfbemengtes Gyttja-Dy. Moose: sehr spärlich. N:o 3. Breiter Equisetetum-Gürtel um einen See auf einer Insel unweit Shigansk. Boden: gyttja- und dybemengter Torf. Moose: sehr spärlich. Hie und da Reste von abgestorbenen Exx. von Salix viminalis. N:o 4. Equisetetum an einem kleinen See innerhalb der überschwemmten Ge- büsche der Shiganka-Alluvionen (vgl. Taf. I). Boden: gyttja- und dyreicher Torf. Moose äusserst spärlich. Tom. XXXII. Uebersicht Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 91 Gräser: Beckmannia eruciformis Calamagrostis phragmitoides + . | Arctophila fulva Heleocharis acicularis H. palustris . Carex aquatilis C. acuta Kräuter: Equisetum arvense E. fluviatile . Rumex aquaticus . Caltha palustris Ranunculus repens Nasturtium palustre . Cardamine pratensis . Comarum palustre. Hippuris vulgaris . Epilobium palustre Petasites frigidus . N:o 1.|N:o 2.|N:o 3. N:o 4 | E = E = Lui m Q) t9 rm der Vegetation. Unter den Gräsern sind häufig — sehr häufig beigemischt: Heleocharis acicularis, H. palustris, Carex aquatilis (resp. C. acuta), ziemlich häufig: Calamagrostis phragmitoides 7, Poa pratensis, Arctophila fulva, selte- ner: Beckmannia eruciformis, Carex rostrata und C. vesicaria. Die häufigst beigemischten Kräuter sind: Rumex aquaticus Ranunculus repens Comarum palustre Caltha palustris Nasturtium palustre Epilobium palustre; + häufig: Equisetum arvense Anemone dichotoma Hippuris vulgaris Stellaria radians Ranunculus reptans Ptarmica cartilaginea St. palustris * Cardamine pratensis Petasites frigidus; seltener — selten: Allium scheenoprasum Veratrum album + Iris setosa Parnassia palustris Armoracia sisymbrioides Seutellaria galericulata. Die Moose sind gewöhnlich sehr spärlich vertreten oder fehlen bisweilen fast gänzlich. N:o 1. 92 A. K. CAJANDER. Verbreitung. Die Equiseteta fluviatilis sind an der ganzen unteren Lena sehr häufig und können hin und wieder ziemlich weite Areale einnehmen. Kleine Bestände wurden noch bei Bulun beobachtet. 6. Die Association von Cariceta acutæ. Die Cariceta acute sind, wie oben bemerkt wurde, gemeinsam für die beiden Serien, die der Heleochariteta acicularis und die der Equiseteta fluviatilis. Je nach dem sie zu der einen oder der anderen Serie gehören, haben sie eine etwas verschiedene Zu- sammensetzung, und zwar können demgemäss 2 Facies unterschieden werden: Facies I. Die Cariceta des gyttjareichen Bodens. Von denselben besitze ich nur folgende Annotation, die sich auf einen Caricetum-Gürtel am Geröll-Ufer bei Cha- lym bezieht. Breite des Gürtels: 15—30 M.; länge: etwa 100 M. Boden: geröllreicher Gyttja-Sand. Moose: fehlen. Gräser: Era cespitosa 2 Heleocharis palustris 1° Carex acuta 5; Kräuter: Equwisetum arvense 3 Polygonum amphibium 1 Hedysarum obseurum 1 E. fluviatile 1+ P. divaricatum 1 Inula britannica 1. Verbreitung. Die Cariceta acute obiger Art (der Facies 1 der Ass. von Heleochariteta acicularis, H. palustris und Equiseteta arvensis entsprechend) kommen in der Gegend zwischen den Mündungen der Flüsse Wiljuj und Aldan nur spärlich vor. Der Facies 2 der Associationen von Heleochariteta acicularis — H. palustris entspre- chende Cariceta acutæ wurden gar nicht beobachtet. Facies 2. Die Cariceten des dyreichen Bodens. Annotation. Carex acuta-Gürtel, zwischen einem Equisetetum fluviatilis und einem Salicetum viminalis, an einer Protoke unweit des Tschirimyj-Chaja gelegen. Boden: stark dy-(u. gyttja-)bemengter Torf. Moose: äusserst spärlich. Gräser: Calamagrostis phragmitoides + 1 Carex acuta 8—9; Kräuter: Equisetum fluviatile 3 Ranunculus repens 3 Comarum palustre 2 Stellaria crassifolia 2 Nasturtium palustre 1 Veronica longifolia 1. Caltha palustris 1 Tom. XXXII. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 93 Verbreitung. Diese Cariceta acutæ wurden nur in der Gegend von der Aldan- Mündung bis Tschirimyj-Chaja, jedoch an vielen verschiedenen Stellen, beobachtet. Die meisten waren ziemlich Klein, höchstens einige Hektare gross. — Sie sind im Allgemeinen dicht, von einer dunkelgrünen Farbe. 7. Die Association von Cariceta aquatilis. Etwa von dem Tschirimyj-Chaja an werden die Cariceta acutæ durch Cariceta aquatilis ersetzt. Auch die letztgenannten sind den beiden obengenannten Serien gemein- sam. Es kommt sogar bisweilen vor, dass ein Caricetum der Heleocharis-Serie kleine Thälerchen und Tümpel einschliesst, in oder an denen Fquiseteta fluviatilis vorkommen. Auch von Cariceta aquatilis können also in dieser Hinsicht zwei Facies unterschie- den werden, die zu der einen und die zu der anderen Serie gehören. Die erstgenann- ten kommen auf Gyttja oder auf Mischungen von Gyttja und Sand vor, die letzteren dagegen auf solchem Boden, der + stark dybemengt ist. Die Cariceta aquatilis sind im Allgemeinen zieml. dicht, etwa 80—100 Cm. hoch, von einer ziemlich dunklen, + gräulich grünen Farbe. Facies I. Die Cariceta der Equisetetum fluviatilis-Serie. Annotationen: N:o 1. Caricetum an einem Altwasser der Shiganka (vgl. Taf. I). Boden: sand- bemengtes Gyttja-Dy. Moose: sehr spärlich. N:o 2. Gürtelförmiges Caricetum rings um den kleinen See beim Dorfe Shigansk. Boden: Gyttja-Dy. Moose: sehr spärlich (Amblystegien). N:o 3. Sehr weites Caricetum an einem grossen Alluvial-See einer Insel unweit Shigansk, zwischen dem Fquisetetum N:o 3 und einem Calamagrostidetum gelegen. Bo- den: Gyttja-Dy. Moose: sehr spärlich (Astrophyllum sp., Amblystegium sp., Stereodon arcualus). Einzelne abgestorbene Sali-Stráucher. N:o 1.| N:o 2.| N:o 3. N:o 1.| N:o 2.| N:o 3.| Gräser: Calamagrostis phragmitoides + 2 1 Callha palustrs | — — 2 Gorezraguatiis. . - o. BONS 7 Ranunculus repens . so . . .| — - 2 COS nAA MEN ur cias rel m — | 3—4 Cardamine pratensis. . . . .| — — 3 ^ Comarum palustre . . . . . 2 4 2 Hoten Galium uliginosum . sm . . | — — 2 Equisetum fluviatile . . . . . 2 1 |3-4 Petasites frigidus . 1 — — Rumex aquaticus . . . . . .| — — 1 Verbreitung. Diese Cariceten gehóren zu den häufigsten Wiesenbeständen des ganzen unteren Lena-Thales vom Tschirimyj-Chaja an nordwärts. Die nördlichsten Bestände dieser Serie werden von C. aquatilis 7 stans gebildet. N:o 1. 94 A. K. CAJANDER. Facies 2. Die Cariceta der Heleocharitetum-Serie zwischen dem Tschirimyj- Chaja und Küsür. Hierher gehören folgende Annotationen: N:o 1. Carex aquatilis-Gürtel am Ufer eines kleinen Zuflusses der Shiganka (vgl. Taf. I). Boden: Sand-Gyttja. Moose fehlen. N:o 2. Carex-Gürtel an der Shiganka (vgl. Taf. I, Fig. 3). Boden: Sand- Gyttja. Moose: fehlen. N:o 3. Caricetum an der Shiganka (vgl. Taf. III, Fig. 4). Boden: stark gyttjabemengter Sand. Moose: fehlen. N:o 4. Caricetum an der Shiganka (vgl. Taf. I, Fig. 2). Boden: stark gyttja- bemengter Sand. Moose: sehr spärlich (Stereodon arcuatus). N:o 5. Caricetum an einem Nebenfluss der Shiganka (vgl. Taf. III, Fig. 6). Boden: Gyttja-Sand. Moose: fehlen. N:o 6. Caricetum an der Shiganka (vgl. Taf. III, Fig. 5). Boden: Gyttja-Sand. Moose: sehr spärlich (Amblystegium Kneiffü, Stereodon arcuatus). N:o 7. Caricetum auf der Insel Agrafena (vgl. Taf. III, Fig. 1). Boden: stark gyttjabemengter Sand. Moose: fehlen. N:o 8. Weites Caricetum an einem, mit der Lena in Verbindung stehenden Altwasser am Festlands-Ufer etwa 40 Km. südlich von der Insel Agrafena; zwischen einem Arctophiletum und einem Calamagrostidetum gelegen. Boden: Gyttja. Moose: fehlen. Ta | | | N:o 1.| N:o 2: N:o 3.| N:o 4.| N:o 5.| N:o 6.| N:o 7.| N:o 8. Gräser: | Beckmannia eruciformis . . .| — | m = 1 Calamagrostis phragmitoides + . 2 — | — eM VEHIT CIE SP SO ETE DL M 1 | — 2 | — 1— — — JE VUA m o. o t ed vc 1 3 2 2 Arctophila fulva -. .....| — — | — | — ee Heleocharis palustris. = . . .| 1 1 1 Carex aqualilis. . . . . . .| *—8 T 7 LOS TTTE TITO Eo Tee S S19 EE EN — = | = — = = = C'ATOSMOLARE Ec he — = = — — == = C SDESICOMI EN PS MERE TE — — = — — — 1 — Juncus filiformis . . . . . .| — 1 — — 1 2 = — Kräuter: Equisetum arvense . . = . . 2 4 2 1 — 2 2 1 IS UUIOUIE CRC IR = — | 1 — | — = = Allium schenoprasum . . . .| — | — — |1— | — — | — — Iris) sétosn se 2. ue ON C | ON NE E d Nn Jin? QIDXUPRSE a s ER I | | | Stellaria palustris. . . . — | —— pem =, NE 1 — — | St: erassifolia URS wa o essi re AT 1 Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 95 Fo em | I N:o 1./N:o 2.|N:o 3. N:o 4. N:o 5. N:o Eos 7.| N:o 8. Gonzales. Jens] 21 i pe HE IS e nut 1 Ranunculus repens . . . . .| — 1 1 = ER EN | Nasturtium palustre . . . . .| — — — — — | — | — | N omphihum d 2: 2 SS — = =S | as = — | | 1—2 Cardamine pratensis. . . . . 1 Ei Ev | Comarum palustre . . . . .| — best | Lathyrus paluster . . . . . .| — = Al | 1 1 Veronica longifolia . . . . .| — 2 — zs I 11 — — ee Ptarmica cartilaginea . . . .| — — — 1 Cineraria palustris . . . . .| — = |" = mc = Uebersicht der Vegetation. Von Gräsern kommen beinahe immer beige- mischt vor: Poa pratensis und Heleocharis palustris, sehr häufig: Calamagrostis phrag- mütoides 7, Era cæspitosa und Juncus filiformis, häufig oder + häufig: Beckmannia, Arctophila fulva, Heleocharis acicularis, Carex acuta, seltener: Poa subfastigiata, Carex rostrata und C. vesicaria. Von den Kräutern sind sehr häufig: Equisetum arvense Caltha palustris Comarum palustre; Rumex aquaticus häufig sind: Stellaria crassifolia Nasturtium palustre Veronica longifolia Ranunculus repens Lathyrus paluster Ptarmica cartilaginea ; Cardamine pratensis + häufig: Equisetum fluviatile St. palustris Ranunculus reptans Stellaria radians Anemone dichotoma Epilobium palustre; seltener — selten: Allium schenoprasum Nasturtium amphibium + Seutellaria galericulata Veratrum album + Armoracia sisymbrioides Cineraria palustris Iris setosa Parnassia palustris Petasites frigidus. Die Moose entweder fehlen oder kommen sehr spärlich vor (meist Amblystegien und Stereodon arcuatus). Verbreitung. Die Cariceta aquatilis der Facies 2 sind im fraglichen Gebiete, von dem Tschirimyj-Chaja etwa bis in die Nähe von Küsür, sehr häufig. N:o 1. 96 A. K. OAJANDER. Facies 3. Die nördlichsten Cariceta der Heleocharis-Serie sind von Carex aqua- Lilis 7 stans gebildet und zeichnen sich durch den viel niedrigeren Wuchs, sowie durch eine etwas abweichend zusammengesetzte Vegetation aus. Von denselben besitze ich folgende Annotationen: N:o 1. Ziemlich breites Caricetum-Gürtel an einem Bache dem Dorfe Bulun gegenüber, zwischen dem Equisetetum N:o 1 (pag. 88) und dem Salicetum hastatæ N:o 4 (pag. 76) gelegen. Boden: gyttjabemengter Sand, geröllgemischt. Moose: äus- serst spärlich. N:o 2. Breiter Gürtel von Carex aquatilis 7, zwischen einem Equisetetum arven- sis und einem Calamagrostidetum am Flüsschen Bulunkan bei Bulun gelegen. Boden: eyttjabemengter Sand. Moose: fehlen. | N:o 1.| N:o 2. N:o 1.| N:o 2. | EN | Gräser: Calamagrostis phragmitoides T . 1 | — Stellaria crassifolia . . . . . | 2—3 1 Era cespitosa . 2 2 StNgrommea NME UE ER | 3 Eriophorum Scheuchzeri 2 1 CE a 203 3 9 5| — B Carex aquatilis 7 . 6 6 Cardamine pratensis. . . . . 2 1 3 Sanguisorba officinalis . . . .| — 1 Kräuter: Archangelica officinalis T . . » | — 1+ Equisetum arvense . so so . . CRE" Conioselinum tataricum T . . .| — 1 Polygonum viviparum . . . . | — ld Verbreitung. Die Bestände von Carex aquatilis 7 stans sind in der Gegend Küsür—Tit-Ary sehr häufig, gewöhnlich aber ziemlich klein an Areal. Am südlichsten wurden einzelne Bestände bei Gowor gesehen. 8. Die Association von Calamagrostideta phragmitoidis +. . Die Calamagrostideten bilden das letzte Glied der beiden oben besprochenen Wiesen- Serien. Konnte man aber noch von den Cariceta acutze und C. aquatilis die zu der einen und die zu der anderen Serie gehórigen Facies unterscheiden, so ist das mit den Calam- agrostideten nicht mehr thunlich, sondern es müssen in dieser Hinsicht alle Calamagrosti- deten von der Aldan-Mündung nordwärts zu derselben Facies gerechnet werden. Die Calamagrostideten sind etwa 100 Cm. hoch, dicht, gegen den Herbst von einer braungrünen Farbe. Tom. XXXII. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. (Je) 3 Annotationen: N:o 1. Ziemlich weites Calamagrostidetum in einem Thale nicht weit vom Tschiri- myj-Chaja, rings um von einem Salicetum umgeben. Boden: Gyttja-Sand, feucht. Moose: sehr wenig (Amblystegium sp.). N:o 2. Ziemlich weites Calamagrostidetum an einem Bache bei der Mündung des Naschim (vgl. Taf. II, Fig. 1). Am Ufer selbst kommt ein schmales Caricetum vor, nach hinten wird das Calamagrostidetum von dem Spiræetum N:o 3 begrenzt. Bo- den: Gyttja-Sand, feucht. Moose: sehr wenig. N:o 3. Weites Calamagrostidetum beim Dorfe Shigansk (vgl. Taf. I). Boden: Gyttja-Sand, feucht. Moose: beinahe fehlend. N:o 4. Der dem Ufer näher liegende Theil des letztgenannten (N:o 3) Calama- grostidetums. Boden: Gyttja-Sand, ein wenig trockner als in N:o 3. Moose: äusserst spärlich. N:0 5. Calamagrostis-Gürtel am Ufer der Shiganka (vgl. Taf. III, Fig. 5). Boden: stark gyttjabemengter Sand, feucht. Moose: sehr spärlich (Amblystegium Kneiffüi). N:o 6. Calamagrostidetum an einem Nebenfluss der Shiganka (vgl. Taf. I). Bo- den: Gyttja-Sand, feucht. Moose: sehr spärlich (Amblystegium Kneiffii, Stereodon arcuatus). N:o 7. Ganz wie N:o 6 (vgl. Taf. III, Fig. 6). N:o 8. Schmaler Calamagrostis-Gürtel am Ufer des kleinen Sees beim Dorte Shigansk, zwischen einem Salicetum und dem Caricetum N:o 2 (pag. 93) gelegen. Boden: + dybemengter Gyttja-Sand. Moose: spärlich (Astrophyllum sp., Amblystegium Kneiffü). N:o 9. Calamagrostidetum an einem Altwasser-See der Shiganka (vgl. Taf. I). Boden: dyreicher Gyttja-Sand. Moose: sehr spärlich (Astrophyllum sp., Amblystegium cordifolium, Climacium dendroides). i I | N:o 1.| N:o 2.| N:o 3.| N:o 4.| N:o 5.| N:o 6.| N:o 7.| N:o 8.| N:o 9. Gräser: E asc | 2 Calamagrostis phragmitoides } . 9 |8-9| 8 9 | 8-9 8 9 8 9 Poa pratensis 2 — 2 2 | Schedonorus inermis . . . . . | — — — = 1 — — — — Heleocharis palustris. . . . . | — — 1 EE 1 = 1 = | = CoreRaquNs SPSS ALE fö AN — — 1 — 2 1 — — 2 CHACUN RTE — — — 1 Kräuter: Equisetum arvense . . . . . 3 2 — 1 4 — — | — JURE, ATIS d c LL | — — 1 1+ 1 -- 1 — Rumex aquaticus . 1 | = 2 | 1— | Stellariolradians'.. JU v 2 1 | 1 1— + 2 2 2 | 1+ SR mkt sd. Heec e mem He RS SRE NIREE NME O 1 N:o 1. 13 98 A. K. CAJANDER. ? | N:o 1.| N:o 2.| N:o 3.| N:o 4. Stellaria erassifolia . . . . .| — — = — Valtha palus SE ATEN ONE 1 1+ — 1 Ranunculus repens . . . . . 1 2 — — Cardamine pratensis. . . . .| — = 2 — Comarum palustre . . = . =» 1 2 2 3 Vae etudiio © tea Be 1+ — — LDathyrus palusir. NN 2 2 — — Veronica longifolia . . . . .| 1+ 14- =" = Galium boreale . Plarmica cartilaginea . soc 2 2 1 3 Mulgedium sibiricum I pm y | | n | | N:o 5.| N:o 6.| N:o 7.| N:o 8.| N:o 9. 1 = se à = em = Ne u Ilt S 1 = m m 1 2—3 2 j inh 1 1 det iy | ixl za UY a Uebersicht der Vegetation. Die am häufigsten beigemischten Gräser sind Poa pratensis und Carex aquatilis resp. C. acuta, häufig ist Heleocharis palustris, + häufig Beckmannia eruciformis, Era cæspitosa, Schedonorus inermis, seltener Agrostis laxiflora. Unter den Kräutern fehlen selten: Stellaria radians Comarum palustre sehr häufig — häufig sind ferner: Equisetum arvense Rumex aquaticus Iris setosa Caltha palustris + häufig: Stellaria palustris Cardamine pratensis St. crassifolia Vicia cracca "Ranunculus repens Epilobium palustre seltener: Allium. schenoprasum Parnassia palustris Veratrum album + Impatiens noli tangere Ranunculus reptans Scutellaria galericulata Armoracia sisymbrioides Valeriana officinalis Moose: im Allgemeinen selir spärlich vorhanden. Etwas abweichend war die Vegetation der nördlichsten Calamagrostideten von Bulun an. Folgende Annotation bezieht sich auf ein ziemlich breites Calamagrostide- Ptarmica cartilaginea ; Lathyrus paluster Veronica longifolia : Galium boreale Mulgedium sibiricum ; Ptarmica sibirica Petasites frigidus Cineraria palustris. Tom. XXXII. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 99 tum am Flüsschen Bulunkan unweit Bulun; zwischen dem Salicetum viminalis (pag. 75) und dem Caricetum N:o 2 (pag. 96) gelegen. Boden: gyttjabemengter Sand. Moose: sehr spärlich. Gräser: , Calamagrostis phragmitoides +6 Eriophorum Scheuchzeri 1 Carex aquatilis 7 3—4; Poa (pratensis) 2 Kräuter: Equisetum arvense 5 Caltha palustris 2 Pedieularis sp. 1. Stellaria crassifolia 2 Sanguisorba officinalis 1 Verbreitung. Die Calamagrostideten sind an der unteren Lena häufig und bedecken bisweilen bedeutende Areale. Im Shiganka-Thale übertreffen sie an Grösse alle übrigen Wiesenbestände. Anhangsweise werden hier drei Annotationen über die, den oben besprochenen Wiesenbeständen analogen Bestände auf der Insel Tit-Ary angeführt. Die Annotationen beziehen sich auf die lange Altwasserrinne, die zwischen dem Lärchenwalde (pagg. 61—62) und dem östlichen Insel-Ufer gelegen ist. | N:o 1. Der Wasserrand besteht aus fast reiner Gyttja. Moose: fehlen. Gräser: Era alpina spärl. Arctophila fulva zerstr.; Kräuter : Kenigia islandica reichl. Ranunculus hyperboreus fast Epilobium palustre vereinz. Sagina intermedia spärl. ununterbr. Cineraria palustris reichl. N:o 2. Etwas weiter vom Wasserrande besteht der Boden aus stärker sand- bemengter Gyttja. Moose: äusserst spärlich vorhanden. Gräser: Era alpina 5—4 Arctophila fulva 1 Juneus arcticus 2; Colpodium latifolium 4 Kräuter: Rumex areticus 1 Kenigia islandica 2 S. intermedia 2 R. acetosa + 1 Sagina nodosa 2 Stellaria graminea 1 N;o 1, 100 A. K. CAJANDER. Ranunculus hyperboreus 6—98 Saxifraga cernua 2 Pedicularis sp. 1 Cochlearia arctica 2 S. punctata 1 Cineraria palustris 4. Holzgewüchse: fehlen. — Diese Ranunculeta hyperborei der Insel Tit-Ary kón- nen gewissermaassen als vicarierend für die Heleochariteta acicularis resp. Nasturtieta amphibii + aufgefasst werden. , N:o 3. Zwischen dem letztbeschriebenen Gürtel und der eigentlichen Moos- und Flechten-Tundra kam ein etwa 5—10 M. breiter Gürtel mit abweichender Vegetation vor. Boden: gyttjareicher Sand. Moose: sehr spärlich. Gräser: Alopecurus alpinus 1 Colpodium latifolium 4 —5 Juncus castaneus 2 Era alpina 2 Eriophorum Scheuchzere 5—4 Luzula arcuata 1 Poa sp. à Carex aquatilis + 1 Js Gn». de Kräuter: Kanigia islandica 2 Saxifraga hieracüfolia 2-5 S. punctata 2 Polygonum viviparum 1 S. hireulus 1 Polemonium hamile 1 Stellaria graminea 1 S. cernua 1+- Artemisia vulgaris + 2; Holzgewächse: Salix glauca à S. rotundifolia 2 S. reticulata à. S. sp. 2 b. Die Serien der Grasfluren-Associationen des Sandbodens. Hierher gehörige Grasfluren wurden hauptsächlich auf Inseln unweit Shigansk angetroffen, ferner nahe bei der Lena-Mündung, vorzugsweise beim Dorfe Tschekurofka und auf der Insel Tit-Ary. Ausserdem wurden südlich von der Insel Agrafena an vereinzelten Stellen kleine analoge Fluren angetroffen. Die letztgenannten waren in den nüchsten Umgebungen einiger Fischfangsplütze gelegen und verdankten diesem Umstande ihre Existenz. «. Die Serie südlich von der Insel Agrafena. Diesbezügliche Grasfluren wurden nur ganz spärlich, vorzugsweise auf den Inseln in und bei der Wiljuj-Mündung beobachtet. Alle bestanden aus ausgerodeten Partieen von Gebüschen und Wäldern. Folgende Annotation bezieht sich auf eine etwa 400 M^ messende Grasflur am Hohlufer einer Insel in der Wiljuj-Mündung; von 3 Seiten von Mischgebüschen umgeben. Boden: Sand, frisch. Moose: fehlen. Tom. XXXII. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 101 Gräser : Calamagrostis phragmitoides 7 Schedonorus inermis 3- 4 Poa pratensis 2— 5: 5-6 Kräuter: Equisetum arvense 2—5 Lathyrus paluster 1 Aster sibiricus 2 Rumex acetosa + 1 Linum perenne + 1 Artemisia. laciniata 2 Thalietrum simplex 1—2 Thymus serpyllum 1 A. vulgaris 1 Anemone silvestris 1 Veronica longifolia 1 Achillea millefolium 1 Erysimum cheiranthoides I+ Galium boreale 1 Senecio Jacobea 7 14 Potentilla stipularis 1 G. verum F 3— Taraxacum officinale 1 Vicia eracca 2 Valeriana officinalis I+ Mulgedium sibirieum 1+. V. amena 2 B. Die Serie unweit Shigansk. Man findet diese Grasfluren sehr zahlreich auf der grossen Insel, die dem Dorfe Shigansk gerade gegenüber gelegen ist. Sie sind meist klein, die grössten messen nur etwa einige Hektare. Wie die Alluvialbildungen der Lena überhaupt, haben auch diese Fluren eine langgestreckte Form. Sie werden gewühnlich von Salix hastata-reichen Mischgebüschen umgeben. Im Frühling werden sie überschwemmt, die höchst, gewöhnlich in der Mitte gelegenen Partieen augenscheinlich jedoch nicht jedes Jahr. Von meinem Reisegefährten Mag. Phil. R. B. Poppius wurden sogar einige, + dünenartige Flecken angetroffen, die überhaupt keiner Ueberschwemmung mehr unterliegen ') Es schienen meist gewisse Misch-Associationen auf diesen Grasfluren vertreten zu sein. Weil ich aber dieselben nirgends anderswo Gelegenheit hatte zu studieren, will ich nicht die Associationen gesondert beschreiben, sondern werde eine mehr sum- marische Darstellung geben. 1. Die dem Gebüsch-Saume näher liegenden, frischeren Theïile dieser Grasflu- ren haben eine relativ dichte, + frisch-grüne Vegetation. Annotationen: N:o 1. Der Rand einer kleinen Wiese nahe vom westlichen Insel-Ufer. Boden: schwach gyttjabemengter Sand. Moose: sehr spärlich. Sträucher: vereinzelt (Salix vimi- nalis, S. hastata, Alnaster viridis, Ribes glabellum, Cornus sibirica). N:o 2. Ahnlicher Rand einer anderen Wiese. Boden: schwach gyttjabemengter Sand. Moose: sehr spärlich (Bryum sp.); Flechten: ganz vereinzelt (Peltigera sp.). N:o 3. Etwa 200 M^ weite Wiese innerhalb eines Mischgebüsches. Boden: schwach gyttjabemengter Sand. Moose und Flechten: fehlen. Sträucher und Bäumchen: vereinzelt (Salix hastata, Almus incana, Betula odorata). 1) Auf denselben und in ihrer nächsten Umgebung wurden nähmlich u. a. solche Carabiciden ange- troffen, die nicht auf den einer totalen Ueberschwemmung unterliegenden Inseln zu finden waren. N:o 1. 102 A. K. CAJANDER. N:o 4. Eine etwa 180 M° umfassande Wiese. Boden: schwach gyttjabemeng- ter Sand. Moose, Flechten und Holzgewächse: fehlen. N:o 5 und N:o 6. Randpartieen grösserer Wiesen etwa in der Insel-Mitte. Boden: schwach gyttjabemengter Sand. Moose: sehr spärlich (Bryum sp., Stereodon arcuatus). Holzgewächse: vereinzelt (Salix hastata, S. pyrohfolia, Betula odorata, Alnus incana). N:o 1.| N:o 2.| N:o 3.| N:o 4.| N:o 5.| N:o 6. Gräser: Aogrostisnboxenlien 2 2 2 Er 3 2 2 6 3 1 Calamagrostis phragmitoides ? . | 2— — 1 — — — (DITE EE M Poa pratensis 2 IHlestucanrubras B TR LATE 3 Triticum sp. . 1 Carex tinolor ER ENTRE — — | —-—— pc m Juncus arcticWs - 2 2: >. ES — Kräuter: — œ [99] Equisetum arvense . . . . .| — 4 Baner acelosa P I wir. IS 1 Polygonum viviparum . . . .| — 3 — == acc 9 2 Bychnisssibirica m SCOR amodo. NS ONE EN | = 3 — — — Stellaria graminea . . . . .| — = = 2 | 2—3 2 Cerastium alpinum . sco . . | — = = 2 Anemone dichotoma . » . . . | — = — — — Victd Mer agp o e TII A 3 — 1 | 3—4 | 3—4 Conioselinum tataricum T . . . | — = — 1 — Thymus serpyllum. . » . . . - — — = — 2 Veronica longifolia . . . . . | — Euphrasia officinalis 5 Castilleja pallida . . . . . . 1 Gentiana barbata . NL 4 (Gr ENGEL is s PRET EE — Aster sibiricus . | | t2 DD m = Ir - DD 19 [592 Erigeron acer | | | Inula britannica D t2 © © 1 Ptarmica cartilaginea 1 TEST a ar — — — — 1 Tanacetum vulgaref. . . - - 1 2 — l 2 3 [S] | | Artemisia commutata . . . . 1 zi MDOTEQUS m E NN VENUS — -— — — 1 — ISenecto m amabo NT — |1+ == — 2 Hieracium umbellatum . , . . | — — | 1 1 -— 1 Tom. XXXII. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 103 2. Die trocknesten, sandigen Mittelpartieen dieser Fluren haben eine sehr un- dichte Vegetation. Annotationen: N:o 1. Trockene, + dünenartige Partie in der Mitte der oben beschriebenen Wiese N:0 1. Boden: Sand. Moose: fehlen. N:0 2. Ähnliche, + dünenartige Partie innerhalb der Wiese N:o 2. Moose: fehlen. N:o 3. Trocknes, + dünenartiges Sandfeld in der Mitte der Wiese N:o 5. Moose: fehlen. N:o 4. Ähnliches Sandfeld in der Mitte von N:o 6. Moose: fehlen. | N:o 1.| N:o 2.| N:o 3. N:o 4. Es | Gräser: | Calamagrostis epigea. . . . . 103 ı | = Eoouprulensisg a. Er =.) 8 | — HESVICONQUNAN NEC re 1 il. 4] A aV OT er Un en SRE 1 2 l 1 | INNE a SD 1 — Kräuter: | | | | Equisetum arvense . oso . . . rn 1 1 il. «| Timex acelosm. E TREES | — = 1 1 | CORMEDEMUMEED ER RE = |. — 15 | Stellaria graminea . . . . . | — -— 1 i Cerastium alpinum . . . . . | — = — 1 "Arabispendula > 2 so -— -— um Vicia eraca. . . . . . . .| 1 14- 1 — Euphrasia officinalis. . . . . 2, = I om Castilleja pallida . . ... . .| — | — 1 Galium boreale . 1 — -- — Aster sibiricus . 1 1 1 1 Tanacetum vulgaref. . . - . 1 1 -- — | Artemisia commutata l 1 1 1 | Senecio Jacobæar . . . » . . | — — — 1 y. Die Serie an der Lena-Mündung. Meine Beobachtungen beziehen sich auf die + dünenartigen Grasfluren beim Dorfe Tschekurofka und auf der Insel Tit-Ary. Beim genannten Dorfe besteht das westliche Ufer der Lena aus feinem alluvialem Sand. Der Uferrand selbst ist flach und niedrig, ohne jegliche Vegetation. Weiter nach hinten folgt eine hohe Sand-Terrasse und auf derselben kommen Sandfelder mit kleinen Dünenhügelchen vor. Sie dürften überhaupt nur während der höchsten Ueber- schwemmungen in den Bereich des Fluthwassers gerathen. — Auf der Insel Tit-Ary N:o 1. 104 A. K. CAJANDER. kommen am östlichen Ufer ganz ähnliche Bildungen vor. Nach hinten werden die Sandfelder bei Tschekurofka von der Taiga, auf Tit-Ary von der Moos- und Flechten- Tundra begrenzt. Auf diesen kleinen Dünenhügelchen kommen Elymus mollis-Bestände vor. Annotationen: N:o 1. Elymetum auf den Dünenhügelehen am Rande des Sandplateaus bei Tschekurofka. Moose: fehlen. Alle Pflanzen kommen nur auf den (etwa '/, M. hohen) Hügelchen vor. ; N:o 2. Elymetum auf etwas grósseren Hügelchen an einer anderen Stelle des Sandplateau-Randes. Moose: fehlen. N:o 3. Elymetum am östlichen Ufer der Insel Tit-Ary, auf ähnlichen Hügel- chen wie in N:o 1. : N:o 1. N:o 2 N:o 3. Grüser: E Era alpina - — — spärl. Poa sp. spärl. vereinz. zerstr. Festuca rubra . zerstr. spärl. spärl. Elymus mollis . reichl. reichl reichl. Kräuter: Rumex acetosella + vereinz. — zerstr. Polygonum polymorphum . — — spärl. P. Laxmanni zerstr. spärl. vereinz. Arenaria graminifolia spärl. vereinz. - Stellaria graminea — — spärl. Papaver nudicaule zerstr. spärl. vereinz. Arabis petrea . spärl. — vereinz. Parrya nudicaulis . vereinz. — — Oxytropis sp. — vereinz. — Hedysarum obscurum — vereinz. — Armeria vulgaris 7- — vereinz. vereinz. Polemonium humile — — spärl. Artemisia vulgaris T- - — -— zerstr. Pyrethrum bipinnatum . spärl. spärl. vereinz. Senecio Jacobea 7 . vereinz. — — Holzgewüchse: Salix sp. . spärl. — — Die Association von Ælymus mollis scheint im östlichen Theile der nordasiati- schen Eismeerküste eine grosse Verbreitung zu besitzen (vgl. KJELLMAN 1882, p. 245—6); auch dürfte sie in dem Delta der Lena häufig sein. Tom. XXXII. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 105 Ausser den Elymeten findet man auf diesen Sandfeldern, vorzugsweise an solchen Stellen, wo der Sand mehr gebunden ist, verschiedene andere Bestände (Pyrethreta, Thy- meta etc.), die möglicherweise eine + grosse Verbreitung besitzen, möglicherweise aber auch nur locale Bildungen sind. Annotationen: N:o 1. Das gleich hinter dem Elymetum N:o 1 gelegene Sandfeld mit niedri- gen, durch die Vegetation gebundenen Sand-Hümpelchen. Moose: fehlen. N:o 2. D:o hinter dem Elymetum N:o 2. N:o 3. Der noch weiter nach hinten (als N:o 2) gelegene Theil desselben Sandfeldes. Moose: fehlen. N:o 4. Eine etwas höher gelegene Partie hinter N:o 1. ohne Hümpelchen. Moose: fehlen. N:o 5. Ein noch etwas höherer Theil desselben Sandfeldes an einem Bach-Ufer. Moose: fehlen. N:o 6. Zwischen dem Elymetum N:o 3 und der Tundra gelegenes ebenes Sand- feld auf der Insel Tit-Ary. Moose: fehlen. N:o 1.) N:o 2.| N:o 3.| N:o 4.) N:o 5.| N:o 6. Gräser: Calamagrostis sp. = «= «= . . .| — — — | — — 2 NN POR ERSTER RENT IR -— — — - 1 Poa sp. 2 2 -— 1 2 2 RESTUEUITUPIU a leken NU 5 2 5 3 1 3 Elymus mollis . 2 | 3—4 3 1 — 2 On CMS EN jen ec RIRES = 2 — = = Juncus areticus . . . . . . | — 1 — — — 2 Luzula areuata. . . . . . . | — À — = — — Kräuter: Equisetum arvense . . . . . | — 1 — — — — Rumex acelosa 7 2 1 2 — — 1 HR. acetosellaf . 2 1 1 _ E 1 Polygonum viviparum . . . . — — — = 1 = IP pohmorphum ran s 1 = — — — 1 IPpammuonnite- ort 4 4 2 — — — Dianthus sinensis « - . . . | = — — 1 1 — EJDAXCRIGU. sm OST ROTE = — — 2 — ATSINEVENA ees - — 2 2 — Arenaria graminifolia . . . - 1 2 | 2—3 2 — — Stellaria graminea . . . . .| — — — 1 — 2 Cerastium alpinum . . . . .| — 2 — |2—3 2 — Pulsatilla patens. . . . . . 1 — — — 2 — Papaver nudicaule DER Y. ER SGT 2 2 2s None 14 106 A. K. CAJANDER. N:o 1.| N:o 2.| N:o 3.| N:o 4.| N:o 5.| N:o 6. - en | DD in | [S^] Ar ADB Det CC | | | BY DD S ENS SSR bira | IDPyaSNOCIOPETIL eR E Sanguisorba officinalis . . . .| — r2 DM to | | m | ANSLAG GA Gh a 6 ow 6: de = ON MOPISNSD 0 TN CEE 1 — Hedysarum obscurum. . . . 1 1 — — — | — Vicia multicaulis . . . . . . I — — — — — Linum perenne? « s. | — — — -- Androsaces seplentrionale . . . — = — — Armeria vulgaris! . . . . + 1 1 1 Q2» D D D 1 Polemonium humile . . . . . ü — — 3 Myosotis siwatca - - - . -| — == — 1 Thymus serpyllum |. soc . . 1 = 1 2 PelliCulAriS SD 2 2 2 ESTIS -- = = = ] Campanula rotundifolia . . . — = = 1 2 _ Artemisia vulgaris . 2 Pyrethrum bipinnatum . . » - 2 3 2 | 6—7 1 | 2—3 Senecio Jacobæa T . 1 Saussureonalpina Re — = 1 x Crepislchrysant > . 2 2 — -— = ll c. Die Serien der Grasfluren-Associationen des Geröllbodens. Wie früher (pagg. 14—15) erwähnt worden ist, kommen Geröllufer, speciell aber hohe Geröllwälle hauptsächlich nur auf einer kürzeren Strecke von der Aldan-Mündung abwärts, sowie in den nördlichsten Gegenden des Lena-Thales vor. Auf ganz niedrigen Geröllufern findet man entweder gar keine oder — vorzugs- weise an mit Gyttja gemischten Stellen — sehr wenig Pflanzen; höher auf den Wäl- len aber kommt eine ziemlich artenreiche Vegetation vor. Im Allgemeinen treten die Arten in buntestem Gemisch auf; fleckenweise können sie jedoch zu kleinen einfachen, bisweilen sogar zu reinen Beständen (z. B. Thymeta, Polemonieta etc.) gruppiert sein. Leider konnte ich aber nur eine sehr beschränkte Zeit diesen, von den übrigen Gras- fluren ziemlich abweichenden Geröllbodenbeständen widmen, auch sind meine Annotatio- nen ganz summarisch gehalten. Nicht destoweniger glaube ich, dass sie eine gewisse Vorstellung der dortigen Vegetation geben Können. a. Die Serie unweit der Aldan-Mündung. Die niedrigsten, dem Wasser zunächst liegenden Partieen der Geröllufer haben, wie oben bemerkt wurde, meist absolut keine Vegetation aufzuweisen. In dem darauf Tom. XXXII. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 107 folgenden Gürtel, bis zum Fusse der Uferwälle kommt eine sehr spärliche Vegetation vor. An einer Localität bei der Mündung des Aldan wurden folgende Pflanzen gefun- den, alle vereinzelt auftretend: Agrostis laxiflora C. levirostris Hedysarum obscurum Schedonorus inermis Polygonum divaricatum Euphorbia esula Triticum. repens Cerastium alpinum Aster sibirteus. Carex Cajanderi Auf einem Geröllufer, etwa 40 Km. von der Aldan-Mündung abwärts wurden annotiert: Eqwiselum arvense Sanguisorba officinalis Aster sibiricus Tritieum sp. Astragalus adsurgens Tanacetum vulgare + Carex acuta Hedysarum obscurum Artemisia draeunculus Polygonum divaricatum Galium verum + A. borealis. Armoracia sisymbrioides Alle kamen vereinzelt vor. Auf die Geröllwälle beziehen sich folgende Annotationen: N:o 1. Etwa 10 M. hoher Geröllwall an der Mündung des Aldan-Flusses. Moose: fehlen. Einzelne Sträucher und junge Bäume kommen vor: Salix viminalis, S. pyrolifolia, Populus suaveolens, Alnus incana, Spirea salicifolia 7, Rosa acicularis. N:o 2. Geröllwall am Ufer der Lena etwa 25 Km. abwärts von der Aldan- Mündung. Moose: sehr spärlich (Pohlia mutans, Climacium dendroides). Sträucher: Spirea sorbifolia (zerstr.), Spirea salicifolia + (vereinz.), Rubus ideus (vereinz.) und Rosa acicularis (vereinz.). N:o 3. Geröllwall etwa 40 Km. abwärts von der Aldan-Mündung. Moose: sehr spärlich. Holzgewächse: Salix viminalis (1—), Populus suaveolens (1), Alnus incana (1—), Spirea chamedryfolia 7 (2), Sp. salicifolia + (1), Sp. sorbifolia (2—3), Rubus ideus 7 (2), Rosa acicularis (1+). Auf allen diesen Wällen sind grosse Mengen groben Holzes vom Wasser ange- häuft worden (vgl. pagg. 14—15). N:o 1.) N:o 2.| N:o 3.| Io 1.| N:o 2. N:o 3. | Gräser: | | Agrostis lamiflora 2 oc a 2. 1 — — Schedonorus ciliatus . . . . .| 2 — — Calamagrostis phragmitoides F . | — 3 — Triticum. caninum. |] — = Æra cespitosa . | 3 _ DA Tepe. ee a 1 Poa sp. 3 3 N:o 1. 108 Kräuter : Equisetum arvense E. pratense . Rumex acetosa 7 Polygonum divaricatum Silene repens Cerastium maximum C. alpinum Thalietrum kemense . Anemone silvestris A. dichotoma Delphinium elatum Arabis hirsuta . Erysimum cheiranthoides Sedum fabaria . Sanguisorba officinalis . Astragalus adsurgens Trifolium lupinaster . Vicia cracca . V. amena Hedysarum obscurum Linum perenne T Euphorbia esula A. K. CAJANDER. | i N:o t N:o 2.| N:o 3. N:o 1.|N:o 2. N:o 3. | & | — | 2 — Hypericum attenuatum . 1 -— — | 1—2 e 3 Epilobium angustifolium 2 2 2-3 | 3 1 2 E. latifoliwm 1 1.444 | 3 tst Heracleum dissectum. . . : 1 1 1 1 | 2 EES | Peucedanum baicalense . 1 — = 1 | 9 = Thymus serpyllum . 3 1 3 | 1 | — — Linaria vulgaris 7 1 2 2 | 1 | Ex 1 Veronica longifolia 3 1 — — | i Mr = Castilleja pallida . . . . . « — 1 1 1 == 1 Gabwniboreale: EE 1 — 2 | 1 — (NOÉ Ta LES 1 3 ar 1 == Campanula rotundifolia 1 _ — HS ] 1 UU UIomeratu EN 1 — 1 en = 2 C. punctata . 1 | 2-3 1 2 = = Aster sibiricus . 1 = 3 2 1 | 1+ "irigeron? OCEAN | EE 1 = = 1 Tanacetum vulgare . - » - . 2 1 2 1-2| — 2 Artemisia dracunculus . 1 2 1 2 2 i Ataboreabist Eos An Hoyer e de — 2 9 1 — POUCES Moo à uw uw ou 2 3 D 1 _ D Mulgedium sibirieum. . . . .| 2—3 3 |1—2 2 1 = Hieracium umbellatum . . . - — — 1 | Die am höchsten gelegenen Partieen des Walles N:o 1 werden nicht mehr über- schwemmt und besitzen demgemäss eine abweichende Vegetation. Das Geröll ist theils von Lärchennadeln, theils von Flechten (Cladinæ, Stereochaula) und Moosen (Hyloco- comium rugosum) bedeckt. Einzelne Exx. von Larix dahurica kommen vor. Die übri- gen hier auftretenden Holzgewächse sind: Alnaster viridis (1), Spiræa folia? (2—), Rosa acicularis (2—), Vaccinium vitis idea (1+) und Arctostaphylus wa ursi (2). Gräser: Poa sp. 3 Kräuter: Equisetum pratense 2 Allium strictum 2 Polygonum divaricatum 2 Dianthus sinensis 2—5 Silene repens 2 Pulsatilla dahurica 1 Sehedonorus ciliatus 2—23; chamædry- P. patens + 1 Sanguisorba officinalis 1 Anemone silvestris 2—5 Vicia eracca 2 Aquilegia parviflora 1 V. amena 1 Arabis hirsuta 1 Euphorbia esula 1 Saxifraga bronchialis 4 Peucedanum baicalense 2 Potentilla nivea 3 Epilobium angustifolium 2 Tom. XXXII. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 109 Thymus serpyllum 2 G. verum + 2—3 C. punctata 1 Veronica incana 1 Campanula rotundifolia 2 Aster sibiricus 1 Galium boreale 1 C. glomerata 2 Artemisia vulgaris 1. DB. Die Serie an der Lena-Mündung. Nahe von der Lena-Mündung entbehren die Geröllufer immer und oft auch die Abhänge der Uferwälle der Vegetation. Nur an solchen Stellen, wo das Wasser den ganzen Sommer hindurch langsam hinuntersickert, kommen Pflanzen vor. An einer sol- chen Stelle beim Tulach-Chaja wurden folgende Pflanzen annotiert: Gräser: Era cespitosa 1 Eriophorum Scheuchzeri 3 Juncus arctieus 3 Colpodium latifolium 1 Carex aquatilis } 2 J. castaneus 3 — 4; Festuca rubra 3 Kräuter: Rumex aquatieus 1+ Wahlbergella affinis 1 Pedicularis verticillata 1—2 R. acetosa + 2 Alsine verna 2 P. sceptrum Carolinum 1 Polygonum bistorta 1 Conioselinum tatarieum + 2 Senecio Jacobea + 1. P. viviparum 2 Androsaces filiforme 2 Auch wo der Geröllwall von einem kleinen Bach durchbrochen wird, findet man auf dem, hauptsächlich aus Mischungen von Geröll, Sand und Gyttja bestehenden Thalboden eine artenreiche, wenngleich ziemlich undichte Vegetation. An einer solchen Stelle bei Küsür war die Vegetation folgendermaassen zusammengesetzt: Moose: äusserst spärlich ; Holzgewächse: Salix hastata 1 SSD dö Gräser: Alopecurus alpinus à Festuca rubra 2 Carex aquatilis + 1; Æra cespitosa 3—4 Kräuter: Equisetum arvense 4 Polygonum viviparum 2—5 Sagina intermedia 2 Rumex acetosa + 2 P. polymorphum 1— Stellaria crassifolia 2 R. acetosella + Wahlbergella affinis 1—2 Cerastium alpinum 2 N:o 1. 110 A. K. CAJANDER. Papaver nudicaule 1-]- Astragalus alpinus 1 Je... 3 Arabis petrea 2 Epilobium latifolium 1 Pyrethrum bipinnatum 3 Saxifraga cernua 2 Armeria vulgaris + 1+ Artemisia vulgaris + 2—3. Sanguisorba officinalis 1 Pedicularis verticillata 2—5 Ähnliche Grasfluren sind bei Küsür und Bulun nicht selten. Dieselben vermit- teln den Uebergang zur Serie des Gyttjabodens, speciell, wenn Æquisetum arvense oder Carex aquatilis 7 veichlicher auftritt, zu den Equiseteten und Cariceten. Auf den Kamm der Geröllwälle beziehen sich folgende Annotationen: N:o 1. Uferwall beim Tulach-Chaja. Zwischen den Steinchen ziemlich viel Sand. Moose: fehlen. Holzgewächse: sehr spärlich (Alnaster viridis, Salix sp.). N:o 2. Geröllwall beim Dorfe Küsür. Sehr wenig Sand. Moose:? Holzge- wächse: sehr spärlich (Salix lanata, S. glauca, S. sp.). N:o 3. Wall dem Dorfe Bulun gegenüber; ziemlich reines Geröll. Moose: fehlen. Holzgewächse: Salix lanata (1), Rosa acicularis (1), Empetrum nigrum (1). N:o 4. Dem vorigen ähnlicher Wall bei Küsür. Moose fehlen. Holzgewächse: Salix lanata (1). N:o 5. Ähnlicher Wall unweit Küsür. Moose: sehr spärlich (Hylocomium ru- gosum). Holzgewächse: Salix sp. (1), Rosa acicularis (1), Arctostaphylus alpina (1). N:o 6. Uferwall der Lena, etwa 30 Km. südlich von Kumach-Sur; sand- reiches Geröll. Moose: äusserst spärlich. Holzgewächse: Salix glauca (1), S. sp. (1). — Auf diesen Wällen kommt angeschwemmtes Holz ziemlich wenig vor. | N:o 1.| N:o 2.| N:o 3.| N:o 4.| N:o 5.| N:o 6. Gräser: I Hierochloë alpina . . SU Mp — — 1 =, = Alopecurus alpimus . . . . .| — — = = = 2 Agrostis laxiflora . = . . . . 1 — — — — 1 Calammngrostis sp a NN — — — = 2 N EINS 50 B. oo op mm 2 — — = 2 ‚Kıeleriarhirsutar = 2 ar 1 2 1 — |1+ — "oap: vx oer EET TT 1 2 145 2 2 1 Colpodium latifolium |. . . . = = 1 = = a IRESVUCORTULTA RER ENCORE 3 4 3 2 2 2 Trineum'sp.2 2 2.2.22 2030 — 3 | 1+ — — -Elymus' mollis NN ME — 1 | 1+ — Carex rigido NOIRE — — = = Mr Kräuter: Bumex ACELOSAN s e 2 — — = PIRE "Ri Nacetose ag NN OO | = = — 1 = Tom. XXXIL N:o .1. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. Polygonum viviparum P. polymorphum u. P. Lax- manni 5e Wahlbergella affinis . Alsine verna Stellaria graminea Cerastium alpinum Papaver nudicaule Arabis petrea Sisymbrium sophia T . Parrya nudicaulis Draba hirta . Saæifraga bronchialis S. hieraciifolia . 5. punctata. Potentilla stipularis Sanguisorba officinalis . Oxytropis sp. Hedysarum obscurum Vicia multicaulis . Linum perenne f . Epilobium latifolium Androsaces septentrionale . Armeria vulgaris} Polemonium humile . Myosotis silvatica + Valeriana capitata Campanula rotundifolia Achillea millefolium . Pyrethrum bipinnatum . Artemisia borealis . A. vulgaris}. A. lagocephala . Senecio resedifolius S. Jacobæa 1 . Saussurea alpina . Arnica alpina . Youngia pygmea T Taraxacum officinale. N:o 1. — — CC t2 © Ueber die Vegetation des Gerüllwalles der .| N:o 3.| N:o 4.| N:o 5.| N:o 6. Li | no eS > | 2—4 2 2 1 Ze = 1 | === 1 1 PS AE 1 1 y | 1 E = 2 TE EN MR 2 m 2 —|—|-/| 1 = | ES) = 2 = = S | = = | = 1 = | — | — | 1+ = er 2 - - | e 1 OMM e 1 E 1 1 — 1 2 c 2 de = RN 1 1 | — | — = 1 1 = 2 = ù | = Zu Noel = == ENT 1 DES A ILE 1 —— 1 L— —, 1 = 2 ai! = | = | = 1 2 = 1 = API 1 = Lee 1 — | — | — 1 = m 1 1 = = = Bulkur-Tundra vgl. weiter unten. 111 112 A. K. CAJANDER. B. Die Serien der Grasfluren-Associationen südlich von der Aldan-Mündung. Wie theils schon im Allgemeinen Theile bemerkt wurde, sind in der Gegend von der Aldan-Mündung bis etwas südlich von Jakutsk nicht nur die Fluss-Inseln, sondern ausserdem weite Areale am westlichen Festlands-Ufer von alluvialem Ursprunge. Das alluviale Gebiet streckt sich dort vom Kangalaskij-Kamenj bis nach der Aldan-Mündung und vom Fluss-Ufer bis 10, stellenweise sogar bis 20 Km. (SsEmoscurrskr; 1896, p. 16) nach Westen. Nur beim Ssurgujef-Kamenj (Ytyk-Chaja) besteht das Alluvialland aus einem schmalen Ufersaum am Fusse der fast 50 M. hohen Erosionsabhänge, so dass das ganze Alluvialgebiet an der angeführten Stelle in zwei Theile, ,Jakutskaja Kotlo- wina^ und „Namskaja Kotlowina“ (Sseroscherskss 1896, p. 16) gespalten wird. Der überaus grösste Theil der genannten Alluvial-Ebenen ist von weiten Grasfluren einge- nommen; die Wälder bilden meist nur kleine Parcellen innerhalb der Fluren (vgl. pag. 19). — Auf den Inseln überwiegen bald die Grasfluren, besonders in der Nähe von Jakutsk, bald die Gebüsche und Wälder, gewöhnlich der Fall weiter nach Norden. Näher zur Aldan-Mündung sind die Grasfluren sowohl auf dem Festlande als auf den Inseln spärlicher. a. Die Serie der Grasfluren-Associationen des Gyttja- und Sand-Bodens. In dieser Serie sind eine Menge Associationen vertreten, nähmlich die von: Equiseteta fluviatilis, Heleochariteta palustris, Cariceta acutæ, Ranunculeta repentis, Beckmannieta eruciformis, Triticeta repentis, Schedonoreta inermis. Alopecureta nigri- cantis, Hordeeta pratensis, Equiseteta arvensis, Elymeta dasystachyos, Galieta veri +, Lineta perennis +, Lychnideta sibiricæ, Onobrychideta arenariæ, Rumiceta acetosæ +, Are- narieta graminifoliæ sowie mehrere unbedeutendere an den trocknesten Stellen. Die niedrigst gelegenen der obigen Associationen kommen nur auf gyttjareichem Boden vor: niedrige, aus reinem Sande bestehende Ufer sind an der ganzen unteren Lena vegetationslos. Die höchst gelegenen Partieen dagegen, die entweder nur kurzzei- tig oder gar nicht überschwemmt werden, sind auf ziemlich reinem Sande gelegen, weil ja Gyttja oberhalb des Niveaus des höchsten Fluthwassers nicht vorkommt. Die zwei Serien, die des Gyttja- und die des Sand-Bodens, die man vielleicht als getrennte Serien aufstellen könnte, bilden also die gegenseitige Fortsetzung von einander. 1. Die Association von Equiseteta fluviatilis. Die Equiseteta fluviatilis repräsentieren zwischen Jakutsk und der Aldan-Mündung die niedrigst gelegene Association des Gyttjabodens. Sie gleichen den nördlicher (auf dyreichem Boden) gelegenen, sind aber gewöhnlich von höherem Wuchs (bis 1 M.). Tom. XXXL. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 113 Annotationen: N:o 1. Equisetetum an einer Altwasserstrasse (Protoke) einer Insel der Tu- laginschen Gegend; von einem Bestande von Æquisetum arvense x fluviatile und nach- her von einem Salicetum viminalis umgeben. Areal: etwa 900 M'. Boden: Gyttja. Moose: fehlen. N:o 2. Fquisetetum an einer langen, schmalen Protoke beim Ytyk-Chaja. Breite 20—40 M. Nach oben von einem Carex acuta-Gürtel begrenzt. Boden: sandbe- mengte Gyttja. N:o 3. Equisetetum am blinden Ende derselben Protoke beim Ytyk-Chaja, von Cariceta acute umgeben (vgl. Taf. III, Fig. 8). Boden: Gyttja. Moose: fehlen. N:o 4. Schmaler Equisetetum-Gürtel an einer Protoke unweit Nikolskaja (vgl. Taf. III, Fig. 2). Nach oben von einem Heleocharitetum begrenzt. Boden: sandbemengte Gyttja. Moose: fehlen. N:o 5. Equisetetum am Ufer einer ähnlichen Protoke bei Nikolskaja. Nach oben von einem Heleocharitetum palustris begrenzt. Breite: etwa 20—30 M. Boden: sandbemengte Gyttja. Moose: fehlen. N:o 6. Equisetetum am Ufer einer breiten Protoke auf einer Insel unweit Nikol- skaja. Nach oben von einem Caricetum acute begrenzt. Breite: etwa 40—70 M. Boden: Gyttja. Moose: sehr spärlich. | N:o 1.| N:o 2. N:o 3.| N:04. | N:o 5.| N:o 6. I Gräser: | Beckmannia eruciformis . . . 1 — 1 | = 1 — Alopecurus migricans . . . . .| — | | 1 E Schedonorus inermis . . . . .| 1 — Glyceria aquatica . . . . . . | — _ 1-2 | — — 1 Heleocharis acieularis . . . . | — 1 1 | — 1 1 THEpalusts e cef s 1 Tu 1 — Garen aca e vl obl 1 — — io 1 1 Cibuesicaria köl à mc NAME | Kräuter: Equisetum fluviatile . . . . . 9. 1:9—10/:9—10| 8 8 8 Alisma planiago - » 2.2... 1 — 1 | — — 1 Rumex aqualieus . . . . . . | — |1— — 1 1 — Polygonum amphibium . . . .| — 1 — | 1 1 — Caltha palustris. » . . . . 1 E 1 — = — Ranunculus repens . . . . .| — 1 1— — 1 — Nasturtium palustre. . . . .| 1 1— — 1 1 1 Lysimachia thyrsiflora . . . .| — — 1 -— — -— Inula brianmica . 2. ..| — = — — 1 — N:o 1. i3 114 A. K. CAJANDER. Uebersicht der Vegetation. In den dem Wasser zunächst liegenden Par- tieen treten die Equiseteta entweder gänzlich rein auf, oder man trifft in denselben vereinzelte Exx. von Alisma plantago, Potamogeton gramineus, Cicuta virosa, Sium latifolium f, Lysimachia thyrsiflora ete. beigemischt an. — Weiter vom Wasser entfernt sind die Beimischungen reichlicher. Unter den Gräsern sind sehr häufig Heleocharis acicularis, H. palustris und Carex acuta, beinahe ebenso häufig Deckmannia eruci- formis und Glyceria aquatica, + häufig — seltener Alopecurus migricans, Poa pratensis, P. subfastigiata, Schedonorus inermis, Scolochloa festucacea, Carex vesicaria, selten Carex aristata. Alle kommen + vereinzelt vor. Auch treten die beigemischten Kräuter beinahe immer nur vereinzelt auf. Die häufigsten sind: Alısma plantago Polygonum amphibium Ranunculus repens Rumex aquaticus Caltha palustris Nasturtium palustre: + häufig sind ferner: Stellaria erassifolia Comarum palustre Ptarmica cartilaginea Cardamine pratensis Lysimachia thyrsiflora Inula britannica ; seltener — selten sind: Allium schenoprasum Armoracia sisymbrioides Mentha arvensis Iris setosa Myosotis palustris Stachys paluster 7. Ausserdem findet man oft mehrere Wasserpflanzen: Sagittaria natans, Potamo- geton gramineus, Utricularia vulgaris etc. Moose entweder fehlen oder sie treten sehr spärlich auf. Verbreitung. Die Equiseteta fluviatilis sind in der Gegend von der Aldan- Mündung bis Jakutsk sehr häufig. Sie kommen im Allgemeinen an jedem aus Gyttja bezw. gyttjareichem Sande bestehenden Ufer vor. Wie oben bemerkt wurde, wird das Equisetetum fluviatilis N:o 1 von einem Bestand von Æquisetum arvense x fluviatile umgeben, der seinerseits von einem, an Equwisetum arvense sehr reichen Salicetum viminalis begrenzt wird. Die Breite des E. arvense x fluviatile-Bestandes ist etwa 2—20 M. Boden: stark gyttjabemengter Sand. Moose: fehlen. Gräser: Beckmannia eruciformis I+ Heleocharis palustris 14 Carex acuta 1; Kräuter: Equisetum arvense 2 Stellaria crassifolia 1 Ranunculus repens 1 FE. arvense x fluviatile 8 Caltha palustris 1 Nasturtium palustre 1. Tom. XXXI. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 115 Einen ähnlichen Bestand von Æquisetum arvense X fluviatile fand ich auf einer Insel in der Mündung des Aldan. — Wir haben hier einen von den seltenen Fällen vor uns, wo ein — vielleicht nicht als ganz primär anzusehender, aber jedenfalls nicht als eigentlicher Blendart auftretender — Bastard Bestände bildet. 2. Die Association von Heleochariteta palustris. Nach hinten (oben) von den Equiseteten folgt gewöhnlich ein Gürtel von Heleo- charis palustris. Heleocharis palustris bildet immer nur sehr schmale Bestände, die denjenigen der Shiganka etc. physiognomisch ganz ähnlich sind. Annotationen: N:o 1. Schmales Heleocharitetum hinter einem Equisetetum fluviatilis beim Ytyk- Chaja, am Ufer eines Armes der Lena (vgl. Taf. III, Fig. 8); nach oben von einem Beckmannietum begrenzt. Boden: gyttjabemengter Sand. Moose: fehlen. N:o 2. Schmales Heleocharitetum am Ufer einer Protoke bei Nikolskaja, gleich oberhalb des Equisetetums N:o 4 (vgl. Taf. III, Fig. 2). Nach oben folgt ein Cari- cetum acutæ. Boden: gyttjabemengter Sand. Moose: fehlen. ; N:o 1.| N:o 2. N:o 1.| N:o 2. Gräser: Beckmannia eruciformis 2 2 Brdigwiatue, s 2 3 Schedonorus inermis . . . . .| — 1 Caltha palustris . . . . . .| — 2 Glyceria aquatica . 2 — Nasturtium palustre . . . . . | — 1 Heleocharis palustris . 8 7 Sium latifolium . . . . . . | — 1 Gareräacuia I Se — 2 Ptarmica cartilaginea . . . . | — 1 Inula britannica 2 — Kräuter: Equisetum arvense . . . . . | — 3 Verbreitung. Die Heleocharis-Bestände sind im fraglichen Gebiete ziemlich häufig aber klein an Areal. An solchem Stellen, wo es keinen gut ausgeprägten Heleocharitetum-Gürtel giebt, ist sowohl der obere Rand des Equisetetums als der untere des Caricetums oft durch reichliche Beimischung von Heleocharis palustris ausgezeichnet. Annotation. Schmaler oberer Rand des Equisetetums N:o 6. Boden: schwach sandbemengte Gyttja. N:o 1. 116 A. K. CAJANDER. Gräser: Glyceria aquatica 1 H. palustris 5 C. vesicaria 1; Heleocharis acicularis 1 Carex acuta 2 Kräuter: Equisetum arvense à E. fluviatile 6—7 Caltha palustris 1. 3. Die Association von Cariceta acutæ. Die Cariceta acute gleichen physiognomisch vollständig den nördlich von der Aldan-Mündung auftretenden. Annotationen: N:o 1. Caricetum an einer Protoke beim Ytyk-Chaja, zwischen dem Equisetetum fluviatilis N:o 3 (pag. 113) und dem Ranunculetum -repentis N:o 2 (pag. 117) gelegen. Boden: gyttjabemengter Sand. Moose: fehlen. N:o 2. Caricetum an einer Protoke bei Nikolskaja. Zwischen einem Heleo- charitetum und einem Schedonoretum, bezw. Triticetum repentis gelegen (vgl. Taf. III, Fig. 2). Boden: Gyttja-Sand. Moose: fehlen N:o 3. Schmaler (8—10 M.) Carex-Gürtel, zwischen dem Equisetetum N:o 6 und einem Salieetum viminalis, auf einer Insel unweit Nikolskaja gelegen. Boden: Gyttja-Sand. Moose: fehlen. | N:o 1 N:o 2. N:o 3. N:o 1.| N:o 2.| N:o 3. Gräser: ON Alopecurus nigricans. . . .| 1 — — Ranunculus repens . . = . . 9 1 1 Heleocharis palustris. . . . . | — 2 1 Nasturtium palusire . 22... 7 1° 2 (Dira aM. cS. a Scu d 5e 8 8 8 Cardamine pratensis. . . . . le — 1 CPTETANAR =, 2 TS ee ee — 2 Armoracia sisymbrioides . . . | 1— — — Laihyrus paluster . . . . . « 1 2 — Kräuter: Lysimachia thyrsiflora . . . . | 1—2 | 1 — Equisetum arvense . . . . .| — 1 2 Meniho, arvenss a nn... I = oque — 196 Bd ENS I 2 Blaniago major RC CT ME — 1 Rumex aquaticus . . . . . .| — | — 1 Ptarmica cartilaginea [es i -— GahasmalusU dS ET TES 1 | 1 1 Uebersicht der Vegetation. Die meisten Cariceta acutæ des Gebietes sind ziemlich rein. Das häufigst beigemischte Gras ist Heleocharis palustris, + häufig sind Beckmannia eruciformis, Alopecurus nigricans, Poa pratensis, Schedonorus iner- mis, Triticum repens, Heleocharis acicularis, Carex aquatilis, C. vesicaria, etwas sel- tener Poa subfastigiata, Glyceria aquatica, selten Carex aristata. Tom. XXXI. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 117 Unter den Kräutern treten beinahe immer auf: Equisetum fluviatile Caltha palustris Ranunculus repens sehr häufig — häufig: Equisetum arvense Rumex aquaticus Cardamine pratensis + häufig: Polygonum amphibium Stellaria graminea St. palustris St. crassifolia Lathyrus paluster Lysimachia thyrsiflora Erysimum cheiranthoides Armoracia sisymbrioides Comarum palustre Potentilla anserina seltener — selten: Veratrum album + Allium schenoprasum Iris setosa Rumex acetosa + Thalictrum kemense Anemone dichotoma Parnassia palustris Onidium dahurieum Vieia eracca Myosotis palustris Moose: fehlen oder treten sehr spärlich auf. Nasturtium palustre : Plantago major Ptarmica cartilaginea ; Archangelica officinalis + Veronica longifolia Inula britannica Taraxacum officinale; Mentha arvensis Stachys paluster 7 Valeriana officinalis Ptarmica sibirica. Verbreitung. Die Cariceta acute sind im Gebiete ebenso häufig wie die Equi- seteta fluviatilis. 4. Die Association von Ranunculeta repentis. Die Ranunculeten der unteren Lena sind ein ganz unbedeutendes Gebilde, das vorzugsweise dann zur Entwickelung zu gelangen schien, wenn ein Salicetun an ein Caricetum grenzt. Die Ranunculeten können dann schmale Gürtel zwischen dem Carice- tum und dem Salicetum bilden. Die Vegetation ist niedrig, ziemlich dicht. Annotationen: N:o 1. Langes, schmales Ranunculetum an einer Protoke beim Ytyk-Chaja, zwischen einem Caricetum und einem Salicetum gelegen. NE D Boden: gyttjabemengter Sand. Moose: ? Völlig ähnliches Ranunculetum an einer anderen Protoke beim Ytyk- Chaja, zwischen einem Salicetum viminalis und dem Caricetum acute N:o 1 gelegen (vgl. Taf. III, Fig. 8). Boden: gyttjabemengter Sand. N:o 1. Moose: fehlen. 118 j A. K. CAJANDER. N:o 1.! N:o 2. N:o 1.| N:o 2. Gräser: | EE Alopeeurus nigricans. . . . .| — 3 Ranunculus repens . . . . .| 8—9 8 "«Donepr.alonsis ECS TEE — Nasturtium palustre . . . . .| l4 = Schedonorus inermis. . . . .| — |3—4 Armoracia sisymbrioides . . . | — 3 Priieuminepensn Dee 2 Potentilla anserna . . . . . 1 — Heleocharis palustris. . . . - 3 — ieiancnaccan EEE IE 1 Care AG 8 ee Lathyrus paluster . . . . . . | — 1 CDS LANE oo 3 NO NC de les Archangelica officinalis T . . . | — 1 Euphorbia esula . . . . . .| — 2 Kräuter: Lysimachia thyrsiflora . . . . 1 — Equisetum arvense . + so . . 3 1 Mentha arvensis . . . . . . 1 — Rumex aquaticus . - . . . . 1 = Veronica longifolia . . . . . 1 2 Polygonum amphibiun . . . . 1 — Inula britannica . . . . . . | — 1 Stellaria gramina . . . . . 5 — 2 Artemisia vulgaris . . . . . 1 — Caltha palustris 2 — | Verbreitung. Ranunculeten wurden nur unweit des Ytyk-Chaja und Önkyr- Yrä beobachtet, dort aber an vielen verschiedenen Stellen. 5. Die Association von Beckmannieta eruciformis. Oberhalb der Cariceten (resp Heleochariteten) findet man bisweilen schmale Gür- tel von Beckmannia. Diese Bestände sind gewöhnlich nicht besonders dicht, von etwas höherem Wuchs als die Cariceten und von einer hellgrünen Farbe. Annotation: Beckmannietum am Ufer eines Armes der Lena beim Ytyk-Chaja, zwischen dem Heleocharitetum N:o 1 (pag. 115) und dem Schedonoretum N:o 1 (pag. 119) gelegen. Boden: gyttjabemengter Sand. Moose: spärlich (Riccia sp.). Gräser: Beckmannia eruciformis 6 Schedonorus inermis 2 Carex acuta 2; Agrostis laxiflora 2 Heleocharis palustris 1 Kräuter: Equisetum fluviatile 1— Nasturtium palustre 1— Ptarmica cartilaginea 2. Ranunculus repens 2 Inula britannica 1— Verbreitung. Beckmannieten wurden nur sehr selten, beim Ytyk-Chaja und bei Nikolskaja, beobachtet. Tom. XXXII. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 119 Es ist bemerkenswerth, dass die Bestände von Beckmannia eruciformis gerade denjenigen Platz, zwischen den Cariceta acutæ und den Schedonoreta inermis (resp. Triticeta repentis) einnehmen, wie die von Phalaris arundinacea in Nord-Russland. Die Association von Phalarideta und die von Beckmannieta sind als vicarierende Asso- ciationen aufzufassen. 6. Die Association von Triticeta repentis. Eine fast ebenso unbedeutende Rolle, wie die Beckmannieten, spielen die Triticeten an der unteren Lena. Wo sie vorkommen, bilden sie nur schmale Gürtel, von einer + graugrünen Farbe. Annotation. Triticetum am Ufer einer kleinen Protoke bei Nikolskaja, zwi- schen dem Caricetum N:o 2 (pag. 116) und dem Schedonoretum N:o 2 gelegen (vgl. Taf. III, Fig. 2). Boden: schwach gyttjabemengter Sand. Moose: fehlen. Gräser: Beckmannia erueiformis 2 Triticum repens 6 Heleocharis palustris 3 Poa subfastigiata 3 Hordeum pratense 1 Carex acuta 2; Schedonorus inermis 2—3 Kräuter: Equisetum arvense 2—3 Nasturtium palustre 1 Euphorbia esula 1 Allium schenoprasum 1 Armoracia sisymbrioides 1 Mentha arvensis 1 Iris setosa 1 Potentilla supina 1 Inula britannica 5—4 Polygonum amphibium 1 Vicia eracca 1—2 Ptarmica cartilaginea 1—2. Verbreitung. Triticeten wurden nur unweit Nikolskaja und Kytylyk beo- bachtet. 7. Die Association von Schedonoreta inermis. Auch die Schedonoreten spielen im Lena-Thale eine viel weniger hervorragende Rolle als z. B. in Nord-Russland, gehören jedoch zu den häufigeren Wiesenbeständen der Lena-Ufer. Sie bilden lange, schmale Gürtel oberhalb der Cariceten (resp. Tritice- ten und Beckmannieten). Das Gras ist etwa 1—1 '/, M. hoch, von ziemlich hellgrüner Farbe. Annotationen: N:o 1. Schedonoretum beim Ytyk-Chaja, zwischen dem beschriebenen Beckmannie- tum und dem Alopecuretum nigricantis (pag. 121) gelegen. Boden: fast reiner Sand. Moose: sehr spärlich. N:o 1. 120 A. K. CAJANDER. N:o 2. Schedonoretum zwischen dem Triticetum (vgl. oben) und dem Hordee- tum N:o 8 bei Nikolskaja gelegen (vgl. Taf. IIT, Fig. 2). Boden: schwach gyttjabe- mengter Sand. Moose: sehr spärlich. N:o 3. Etwa 5 M. breiter Schedonorus-Gürtel an einer Protoke unweit Nikol- skaja zwischen einem Caricetum und einem Hordeetum gelegen. Boden: schwach gyttja- bemengter Sand. Moose: fehlen. 1 N:o 1.| N:o 2.| N:o 3. N:o 1.| N:o 2.| N:o 3. Gräser: = Alopecurus nigricans 1 — = Rumex aquaticus . . . . . , | — 1 1 JENE 3 v0. o OR 1 2 3 Polygonum aviculare. . . . . 1 — — P. subfastigiata 2 1 = Thalicirum kemense . . . . . | — = 1 Schedonorus inermis . . . . . | 7—8 7 7 Ranunculus repens. . . . . 3 1 2 Triticum repens 1 EIS Nasturtium palustre . . . . - 1 1 Hordeum pratense . ss soc . 1 1 3 Armoracia sisymbrioides . . .|1—2| — = Heleocharis acicularis . . . . - Ian Plantage major . » . . . . | — 3 — HSDAUUS ISERE EEE NIS = 3 2 Inula brilannica . » » . . . 3 3 1 CE GRR MMS m ENT n e 1 2 1 Plarmica cartilaginea . . . . | 1-2 2 1 CPGE ler 1 — — Taraxacum offienae . . . . | — 1 — Crepis tectorum = «= = os 2m dms 1 u Kräuter: Equisetum arvense . . . . . 2 4 4 | Uebersicht der Vegetation. Die Schedonoreten sind im Allgemeinen nicht so rein als die Cariceta acute. Von den Gräsern findet man beinahe immer Carex acuta, Poa pratensis und Hordeum pratense, sehr häufig Beckmannia eruciformis, | Alopecurus nigricans, Triticum repens, häufig Poa subfastigiata, Heleocharis palustris und H. acicularis, seltener Agrostis laxiflora, Carex aquatilis, C. vesicaria, selten Carex aristata. Von den Kräutern fehlen beinahe nie: Equiselum arvense Nasturtium palustre Ptarmica cartilaginea; Ranunculus repens Inula britannica sehr häufig — häufig sind: Rumex aquaticus Armoracia sisymbrioides Taraxacum officinale Polygonum aviculure Plantago major Crepis tectorum ; Caltha palustris + häufig: Allium schenoprasum Polygonum amphibium St. crassifolia -wmez acetosa 7 Stellaria graminea Thalictrum simplex Tom. XXXII. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 121 Anemone dichotoma Archangelica officinalis 7 Veronica longifolia Ranunculus acer 7 Comarum palustre Linaria vulgaris + Cardamine pratensis Potentilla anserina Aster sibirieus Erysimum cheiranthoides P. stipularis Tanacetum vulgare 7- Euphorbia esula Vieia eracca Artemisia vulgaris; Cnidium dahuricum Lathyrus paluster seltener — selten: Equisetum fluviatile Cerastium alpinum Seutellaria galericulata T Veratrum album 7 Thalictrum kemense Stachys paluster 7 Iris setosa Parnassia palustris Valeriana officinalis Polygonum viviparum Sanguisorba officinalis Ptarmica sibirica Stellaria palustris Mentha arvensis Senecio nemorensis. Verbreitune. Die Schedonoreten sind zwischen Jakutsk und Nikolskaja sehr Ie] a häufig, die Bestände sind aber immer klein (schmal). 8. Die Association von Alopeeureta nigricantis. Die Alopecureten sind meistens nicht gürtelförmig wie die bisher behandelten Bestände, sondern nehmen grössere Flächen ein. Die Bestände sind selten rein, etwa 100 à 120 Cm. hoch. Annotation. Alopecuretum an einem Arm der Lena beim Ytyk-Chaja, hinter dem Schedonoretum inermis N:o 1 gelegen (vgl. Taf. III, Fig. 8). Areal etwa '/, Km.’ Boden: schwach gyttjabemengter Sand. Moose: spärlich (Riccia sp.). Gräser: Alopecurus nigricans 6—7 Schedonorus inermis 5 Carex acuta 2: Poa subfastigiata 2—5 Tritieum repens 5—4 Kräuter: Rumezx acetosa 7 1—2 Euphorbia esula 2 Plarmica cartilaginea 2 Stellaria graminea 1 Cnidium dahurieum 1-2 Tanacetum vulgare 7 1 T'halictrum kemense 1 Archangelica officinalis 3- 1 Artemisia vulgaris 2 Ranunculus acer 7 1 Veronica longifolia 2 À. sp. 1— Armoracia sisymbrioides 2-52 Linaria vulgaris 7 2 Senecio Jacobæa 7 Erysimum cheiranthoides 1 Inula britannica 5 Taraxacum officinale 2. Vieia eracca 2 Verbreitung. Ausser dem annotierten Alopecuretum wurden mehrere unweit Nikolskaja angetroffen. N:o 1. 16 122 A. K. CAJANDER. 9. Die Association von Hordeeta pratensis. Die Hordeeten sind unter allen überschwemmten Wiesen des Lena-Thales die wichtigsten. Sie bedecken oft sehr grosse Areale auf schwach gyttjabemengtem Sandboden. Hordeum bildet Bestände von etwa 80—90 Cm. Höhe und von einer characte- ristischen braunen Farbe. Das Gras ist dünn und weich. Annotationen: N:o 1. Hordeetum pratensis am Ufer einer Insel in der Marcha-Gegend (vgl. Taf. III, Fig. 7). Weiter nach hinten wird es vom Caricetum acutæ einer Protoke begrenzt Boden: ziemlich reiner Sand. Moose: fehlen. N:o 2. Etwa 200 à 250 M? weites Hordeetum beim Ytyk-Chaja, von Sali- ceta viminalis und Equiseteta arvensis begrenzt. Boden: ziemlich reiner Sand. Moose: sehr spärlich (Riceia sp., Amblystegium fluitans). N:o 3. Sehr weites Hordeetum am Hohlufer der Lena beim Ytyk-Chaja. Nach hinten von einem Salicetum viminalis begrenzt. Boden: schwach gyttjabemengter Sand. Moose: fehlen. N:o 4. Sehr weites Hordeetum bei Kytylyk, von (höher gelegenen) Elymeten, Onobrychideten, Lychnideten etc. umgeben. Boden: ziemlich reiner Sand. Moose: sehr spärlich (Riceia sp., Stereodon arcuatus). N:o 5. Gürtelförmiges Hordeetum rings um einen mit Cariceten und Calama- grostideten bewachsenen 'l'ümpel bei Kytylyk; von Onobrychideten umgeben. Breite: etwa 10-20 M. Boden: ziemlich reiner Sand. Moose: sehr spärlich (Amblystegium sp., Stereodon arcuatus). N:o 6. Hordeetum hinter dem oben beschriebenen Schedonoretum N:o 2 bei Nikolskaja (vgl. Taf. III, Fig. 3). Boden: Sand, schwach gyttjabemengt. Moose: fehlen. N:o 7. Der an das Hohlufer der Lena grenzende Theil von N:o 6. Boden: reinerer Sand. Moose: fehlen. N:o 8. Der an das Schedonoretum N:o 2 grenzende Rand von N:o 6. Boden schwach gyttjabemengter Sand. Moose: fehlen. N:o 9. Sehr weites Hordeetum auf einer Insel unweit Nikolskaja. Boden: ziemlich reiner Sand. Moose: sehr spärlich. I I N:o 1.| N:o 2.| N:o 3.| N:o 4.| N:o 5. N:o 6. N:o 7. N:o 8.| N:o 9. | | | | Gräser : EIER | Beckmannia eruciformis . . . — = = 1 = — = = Alopecurus nigrieans. . . . . 1 = 2 2 | — IPog pratensis e e ee | SI 2 4 RE 2 3 sub GS UOTE So sow d 1 2 |2—3 D D er 3 4 1 Schedonorus inermis . . . . . 2 2—3 — -— — | — — 2 2 URL OTHER AMA ee IE e robos 2 — — — | 4—5 3 — = DAMLCUMENODEN SIN ER 1 | = Tom. XXXII. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. N:o 1.| N:o 9, N:o 3.| N:o 4.| N:o 5. N:o 6. N:o 7. N:o 8.| N:o 9. | | | Hordeum pratense . so . . . 7 8 | 7—8 1 8 AIO 7 8 Heleocharis palustris. . . . . | — | — |1— 3 = = = I Carences the s el m — | — — = EL = = GLGpspiose 2 3 el = Hd fe 1 — = | = — = C.(Marimowiezü) . . . . . EE — 1 2 — — — — Kräuter: | Equisetum arvense . . . . . 3: || ACIER ei 2 |4— |2-3 2 Allium schenoprasum | 1+ = = — I BE SEE TE: 1 Veratrum album. . . . .. | i 1 | | = Lilium spectabile I . . . . - LA 1 — — — — = = = Vo Re er À _ 1 Eum -— = Rumex aquatieu . . . . . . AM 1 — 1 1 | 1— 1 — = TP), (OCR DS fan ER RS SURT [NEAR EE | — = — ||, 2 1 i Polygonum viviparum . . . . | | p 1 — — | P. amphibium . . . . . . .| — — |2-3| — —. |1-2| — — = Siene'repens 2.3 I 229 |o — LEA a ecl = = = Stellaria DOUTE ox ve [Lei — — — — — — = = SENUTOMINEUNEE Een = a ta, de | = PURES a RES Cerastium maximum . 1151 — — — = = = = -— C. alpinum 2 — — — _ 1 — — => Caltha palustris 2 | 1—2 2 2 2 — — 1 = Thalictrum kemense ... . . .| — — |3—-3| — — = = 2 == Th. simplex. 3|14+ 2 3 | 1-2 2 2 SMILE Anemone dichotoma . so so . . 1 21 E E SN — 1 RANUNEUUS acerf » 2 . «| 2-3 MIT = — E 2 2— = = HR OUPICOMUS er Ba... = 2 = = — = = =, Jt QU LO le — 23 — = = = = == Armoracia sisymbrioides . . . 1 Da ZH EN 2 |1+ 2e Erysimum cheiranthoides . . . 1 — = — | — — — 1 | — Polen Ville anserma . » » . .| — — = MTS — 1 = = I -eSiamuaris SEE cs ele — a 1 ee — = c D Sanguisorba officinalis . . . ., M >03 1 1 2 | 2— 2 1 Astragalus adsurgens . . . . | — = | — == = — = 1 xx Fk EEE Po Er dese AA = | S Trifolium lupinaster . . . . .| — NR — — er = VTT ga TE lag eR ne 3 2 1 — | — 2 | 3—4 3 Lathyrus paluster … . . . . . 2 Um E Pl 2 |2— |2— 11 2 Ianumemerenneo: à CCD OIL RE == = = = = = — Goranvumepratonsc m RE OI = | = 1 — -- — — = Euphorbia esula . . - . . .| — — | — — — = o Et = Cnidium dahuricum . . . . . Dj qo — 1 1 — |1« == Archangelica officinalis 7- 1 2 Tr — — |1+ — — >= TE RKOIEER 5 CS ae _ — — — — 11 — = Scutellaria galerieulataf . . . | — — — = = E = 1 E N:o 1. 124 A. K. CAJANDER. N:o 1.| N:o 2.| N:o 3.| N:o 4.| N:o 5.| N:o 6. N:o 7.| N:o 8.| N:o 9. Linania vulgaris oo. soc os al = = = — — = = 1 — Veronica longifolia . . . . . 2 14- — = = 1 1 Pedicularis resupinata . . . . 1 Valeriana officinalis . . . . . 1 Galium boreale. . . . . . 2—3 — — 1 1+ — (ss UO Or A LT UNIS Mm 2 — — = == HE Aster sibiricus . Inula brütannica 2.3 2 — -— — — 1 1— | Ptarmica cartilaginea . . . . — — 1—2 1 - IE -- — Achillea millefolium . . . . . 1 Tanacetum vulgare f. . . . . — 1 - — E -— 1 Artemisia draemeulus . . . . - — 1 A. sacrorum . uu. 2 antem ote UNSER TEE 2 — -— — — 1 SÅ SKU MIG ARTS NR AVENUE 1 — = — 1 B > 9 Senecio Jacobæa 1 . 2 3 Taraxacum officinale . . . . 2 | 1+ 2 — 1 — l 1 — ORCHISL IELLORWM EE NN KET — — — — |23—3 | 1+ 4 Uebersicht der Vegetation. Die Hordeeten sind bisweilen relativ rein, ge- wöhnlich aber ist die Anzahl der beigemischten Arten grösser als in den bisher beschrie- benen Associationen. Von den Gräsern scheint Poa subfastigiata nie zu fehlen, sehr häufig ist ferner Poa pratensis, beinahe ebenso häufig Alopecurus nigricans, Schedonorus inermis, Festuca rubra, "Triticum repens, häufig Beckmannia, Heleocharis palustris, Carex cespitosa, C. acuta, + häufig Calamagrostis neglecta, C. phragmitoides 7, Carex stenophylla, C. disticha, selten C. pseudocuraica und C. (Maximowiezü). Unter den Kräutern sind beinahe immer vorhanden: Equisetum arvense Armoracia sisymbrioides Lathyrus paluster : Thalietrum simplex Sanguisorba officinalis sehr häufig sind ausserdem: Allium: schenoprasum Vicia cracca Ptarmica cartilaginea Rumex aquaticus Cnidium dahuricum Senecio Jacobæa 7 R. acetosa + Archangelica officinalis + Taraxacum offieinale Jaltha palustris Veronica longifolia Crepis tectorum; Ranunculus acer + Galium boreale häufig: Iris setosa Stellaria graminea Anemone dichotoma Polygonum amphibium Thalietrum kemense Ranunculus repens Tom. XXXII. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. Erysimum cheiranthoides Potentilla stipularis Euphorbia esula + häufig: Polygonum viviparum Stellaria palustris St. erassifolia Cerastium alpinum Ranunculus auricomus 7 Nasturtium palustre Cardamine pratensis Parnassia palustris seltener — selten: Veratrum album 7 Lilium spectabile Polygonum polymorphum Thesium longifolium Silene repens Cerastium maximum Delphinium elatum Galium verum 7 Valeriana officinalis Aster sibiricus Comarum palustre Potentilla anserina Astragalus adsurgens A. danicus Trifolium repens Linum perenne + Geranium pratense Seutellaria galericulata + Trifolium lupinaster Vicia amena Primula farinosa Gentiana barbata Mentha arvensis Pedicularis resupinata Inula britannica Achillea. millefolium Artemisia vulgaris ; Linaria vulgaris + Plantago major Campanula glomerata Tanacetum vulgare + Artemisia dracunculus A. scoparia À. sacrorum Mulgedium sibiricum; P. comosa + Campanula silenifolia Galatella dahurica Ptarmica sibirica Artemisia commutata À. Sp. 125 Moose kommen, wie in dieser Serie überhaupt, nur sehr spärlich vor (Riceia spp., Astrophyllum cuspidatum, Funaria hygrometrica, Amblystegium spp., Stereodon arcua- tus u. a.) oder fehlen sie gänzlich. Verbreitung. Die Hordeeten sind im fraglichen Gebiete überall äusserst häufig. 10. Die Association von Equiseteta arvensis. ” Die Equiseteten des Gebietes sind im Allgemeinen klein an Areal. Sie ähneln physiognomisch den nördlicheren Equiseteta (pagg. 86—89), haben aber eine von den- selben sehr abweichende Vegetation. — Diese Equiseteta sind jedoch keineswegs alle einander gleich, sondern kann man zwei ziemlich scharf ausgeprägte Facies unterscheiden. Von diesen kommt die eine auf stärker sedimentiertem Boden vor, hauptsächlich auf den Inseln, die andere auf schwach sedimentiertem Boden, vorzugsweise auf dem Festlande. Facies l. Die Equiseteten des stärker sedimentierten Bodens. Annotationen: N:o 1. Ziemlich weites Equisetetum am Hohlufer der Lena bei Nikolskaja, nach hinten von einem Salicetum begrenzt. Boden: Sand, äusserst schwach gyttjabe- mengt. Moose: sehr wenig (Bryum sp.). N:o 1. 126 A. K. CAJANDER. N:o 2. Kleines Equisetetum am Hoblufer einer Insel unweit Nikolskaja, von Elymeten und Hordeeten umgeben. Boden: Sand. Moose: fehlen. N:o 3. Kleines, von einem Salicetum umgebenes Equisetetum am Hohlufer einer Insel bei Echedej. Boden: Sand. Moose: fehlen. N:o 4. Dem N:o 3 ähnliches Equisetetum auf einer anderen Insel nicht weit von Echedej. N:o 1.| N:o 2.| N:o 3. N:o 4. Gräser: Alopecurus nigricans . 4 Calamagrostis neglecta . 1 POUIMOLENSIS SCORE 3 P. subfastigiata 2 ROUE Schedonorus inermis . . . . . — ENVOIE Par s 9 3 2 55 wl o-— -— N © — DD | JITQWIEDTID QUT] orm ee orm mS ENS EB EN | | -— 2 1 Elymus dasystachys . . . . .| — | 2 Hordeum pratense 3 b2 1 | | | | e Carex disticha . (CE LT ANRN M 1 = = ia Kräuter: Equisetum arvense . soc . . SEIN | 7 =] Rumex aquaticus . . . . . . ] > = Zu Hi. EP SH. A TS vs mE 1 2 1 t2 Polygonum viviparum . . . . = | = TER NED s Bow s ee = "e l SERBE NTEDERS EE D nt A 2 1 Stellaria palustris... . . .. = 1 Ao OU a S S m a n 1 zn PER Cerastium maximum. . . . . — les 3 Coralpinum t o P HC ts 1 1 = Caltha palustris. . . ... UT 2 Thalietrum simpleæ . so . . .| 1 — 1 Ranunculus acer f | ss sm .| — — = I By EDEN SE N 1 er = Es Nasturtium palustre . . . . . -- 1 = Fe Armoracia sisymbrioides . . .| — 1 Erysimum cheiranthoides . . . | — x Dontostemon pectinatus. . . .| — 1 Potentilla stipularis . . . . .| — >= Sanguisorba officinalis . . . . | — = NR 0 -— Vicia cracca . V. amena CCR | | Lathyrus paluster . | | | Tom. XXXII. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 127 N:o 1.| N:o 2.| N:o 3.| N:o 4. | Linum pereme $T . . . . . .| — 1 2 1 Cnidium dahurieum . . . . .| — — IE 1 Euphorbia esula . . . . . .| — 1 2 2 Linaria vulgaris T... . . . .| — 2 = = Veronica longifolia . . . . . i — UE T Galnmniboreale. c». v NES — ALS G. verum 7 SCR IP — 1 — Campanula rotundifolia . . .| — 1 — EN Aster sibirieus . . . . . . .| — — 1 | — | IRALIGIOTEÉQNMCL =. al 1 | — | — Ptarmica cartilaginea | 1 | — — I. — «PI rebiricq, Ue le — -- 1 Pyrethrum bipinnatum « . . .| — | — 1 = | Tanacetum vulgaref - - - "| — | 1 2| 2 Artemisia dracunculus . . . .| — 1 = | = A. vulgaris koc 1 1 1 Senecio Jacobea . . . . . . Me — | — 1 Mulgedium sibirieum . . . .| — 2 2 2 Crepis tectorum 2 l 1 1 Uebersicht der Vegetation der Facies 1. Die Beimischungen sind im All- gemeinen ziemlich reichlich. Von Gräsern treten Poa pratensis und P. subfastigiata bei- nahe immer auf, sehr häufig Schedonorus inermis, Festuca rubra, Triticum repens, Ely- mus dasystachys und Hordeum pratense, häufig Alopecurus nigricans und Triticum sp., + häufig Calamagrostis neglecta, C. epigea, seltener Carex stenophylla, C. disticha, C. cæspilosa, selten Kobresia capillifolia 7. Unter den Kräutern findet man beinahe immer: Vicia cracca Artemisia vulgaris Crepis tectorum ; sehr häufig: Rumex acetosa + Thalictrum simplex Armoracia sisymbrioides Dontostemon pectinatus häufig : Silene repens Cerastium maximum N:o 1. Linum. perenne 7- Euphorbia esula Cnidium dahuricum C. alpinum Erysimum cheiranthoides Veronica longifolia Tanacetum vulgare 7- Mulgedium sibirieum ; Sanguisorba officinalis Vieia amena 128 Linaria vulgaris + Galium boreale + häufig: Allium schenoprasum Rumex aquaticus Polygonum viviparum P. amphibium Thesium longifolium Corispermum sp. Stellaria graminea Delphinium elatum Caltha palustris Thalictrum kemense Anemone dichotoma Ranunculus acer + seltener — selten: Veratrum album + Iris setosa Polygonum polymorphum Dianthus sinensis Stellaria palustris Verbreitung. Equiseteten der A. K. 'CAJANDER. Aster sibiricus R. repens Nasturtium palustre Cardamine pratensis Sisymbrium sophia + Parnassia palustris Potentilla stipularis Astragalus adsurgens A. danicus Trifolium repens Lathyrus paluster Geranium pratense Archangelica officinalis 7- Arabis hirsuta A. pendula Trifolium lupinaster Androsaces septentrionale + Castilleja pallida Inula britannica : Seutellaria galericulata 7 Plantago major Galiwm verum + Valeriana officinalis Campanula rotundifolia C. glomerata Erigeron acer Ptarmica cartilaginea Pyrethrum bipinnatum Achillea millefolium Artemisia dracunculus A. sacrorum; Pedieularis resupinata P. comosa + Plarmiea sibirica Senecio Jacobea T S. nemorensis. Facies 1 kommen beinahe überall auf den Inseln, sowie oft auf den Festlands-Ufern vor, sind aber immer klein an Areal. Facies 2. Die Equiseteten des schwächer sedimentierten Bodens. Annotationen: INIRE Equisetetum auf einem langen Walle, zwischen dem Onobrychide- tum N:o 2 und einem Salicetum beim Ytyk-Chaja (vgl. Taf. III, Fig. 8). Boden: Sand. Moose: fehlen. N:o 2. Dem vorigen ühnliches Equisetetum beim Ytyk-Chaja; von 2 Seiten von Saliceten, von 2 von Hordeeten umgeben, auf etwas hóherem Niveau als N:o 1. Boden: Sand, oben mit Humuspartikelchen schwach bemengt. N:o 3. Schmales Equisetetum bei Önkyr-Yrä, am Abhange eines Walles; nach oben von einem Linetum, nach unten von einem Caricetum begrenzt. Boden: Sand. Moose: fehlen. Moose: sehr wenig (Bryum sp.). N:o 4. Zwischen dem Hordeetum N:o 6 und dem Linetum N:o 2 gelegenes Equisetetum bei Nikolskaja (vel. Taf. III, Fig. 3). Moose: sehr spärlich. Humus bemengt. Boden: Sand, oben schwach mit Tom. XXXIT. N:o 1. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. Gräser: Alopecurus nigricans . Agrostis laxiflora . A. borealis Poa pratensis P. subfastigiata Schedonorus ciliatus . Keleria cristala Festuca rubra . Triticum repens Hordewm pratense Carex capitata. . Kräuter : Equisetum arvense E. pratense . Veratrum album T Allium schenoprasum Iris setosa Rumex acelosaf . Polygonum viviparum Dianthus sinensis . Silene repens Lychnis sibirica Stellaria palustris . St. graminea Cerastium alpinum Thalictrum kemense . Th. simplex . Anemone silvestris A. dichotoma Ranunculus acer 7 RB. auricomus T . Armoracia sisymbrioides Sanguisorba officinalis . Potentilla stipularis . P. nivea Trifolium repens . Tr. lupinaster Vicia eracca . V. amena Geranium pratense Linum perenne 7 . Archangelica officinalis + Androsaces septentrionale 7 Myosotis intermedia . N:o 1.| N:o 2. [o] TM DD — | = © 0 D oc N:o 3. N:o 4. 17 129 130 Uebersicht der Vegetation der Facies A. K. CAJANDER. N:o 1. Seutellaria galericulata T . . . | — Linaria vulgaris T... . . . . | — Veronica longifolia . . . . . | — Castilleja pallida . . . . . . | — Pedicularis resupinata . . . . 1 P ACOTROSQ T re Bat Rhinanthüs SD 2 2 u, al — Plantago eanescens = os » . . 2 Galium boreale . 2 CÉUARTIOSP ES D ad on, Ro Valeriana officinalis . . . . . 1 Campanula glomerata . . . . 1 Astep BlOWICUS: | FENG MOTU GAP o o oe wm slm Achillea millefolium . . . . . 1 Ptarmiea sibirica - . . 2 2 — Tanacelum vulgare a Artemisia lacmata . . . . .| — Senecio Jacobea J- - - . . .| — Orepusitecetorum ETT N:o 2. D D [86] D ie N:o 3.| N:o 4. = 1 Le la — 512 1 — = 1 Ban 1 Le 1 1 f 1 1 2 = ] 1 1 — 1 1 u— — 2 Die häufigst beigemischten Gras-Arten sind Festuca rubra und Hordewm pratense, sehr häufig Agrostis borealis, Poa pratensis, Schedonorus ciliatus, häufig oder + häufig Alopecurus nigricans, Agrostis laxiflora, Poa subfastigiata, Keleria cristata, Schedonorus inermis, Triticum repens, Elymus dasystachys, Carex stenophylla, ©. capillifolia 7. Unter den Kräutern fehlen selten: Allium. scheenoprasum Rumex acetosa 7 Sanguisorba officinalis Geranium pratense Linum perenne T sehr häufig sind: Polygonum viviparum Cerastium alpinum Potentilla stipularis Vicia eracca Archangelica officinalis T- háufig sind ferner: Equisetum pratense Dianthus sinensis Silene repens Stellaria graminea cespitosa, selten C. capitata, Kobresia ralium boreale Achillea, millefolium ; Pedicularis comosa + Senecio Jacobæa 1: Cerastium maximum T'halictrum simplex Tom. XXXII. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 131 Vicia amena Euphorbia esula Androsaces septentrionale + Linaria vulgaris 7- Pedicularis resupinata + häufig: Polygonum polymorphum Lychnis sibirica Stellaria palustris Delphinium grandiflorum Thalictrum kemense Pulsatilla patens T Anemone silvestris A. dichotoma Ranunculus acer 7 RB. auricomus + seltener — selten: Veratrum album + Allium senescens A. tenuissimum A. strictum Iris setosa Thesium longifolium Aconitum barbatum Galium verum + Valeriana officinalis Campanula glomerata Aster sibiricus Armoracia sisymbrioides Parnassia palustris Potentilla sericea 7 P. nivea Astragalus adsurgens A. danicus Trifolium repens Tr. lupinaster Onobrychis arenaria Cnidium dahurieum Arabis hirsuta A. pendula Peucedanum baicalense Primula farinosa Gentiana decumbens Cuscuta sp. Myosotis intermedia (zufällig?) Erigeron acer Tanacetum vulgare T Artemisia laciniata A. sacrorum ; Seutellaria galericulata + Veronica longifolia Plantago canescens Campanula rotundifolia Artemisia dracunculus A. scoparia A. vulgaris Taraxacum officinale Mulgedium sibiricum Crepis tectorum; M. silvatica + Rhinanthus sp. Castilleja pallida Galatella dahurica Leontopodium alpinum T Ptarmica sibirica. Verbreitung. Kleine Kquiseteta der zweiten Facies wurden ziemlich häufig zwischen Jakutsk und Echedej beobachtet. Beide Facies der Equiseteta sind durch zahlreiche Uebergänge mit einander verbunden. 11. Die Association von Elymeta dasystachyos. Die Elymus-Bestände sind ziemlich hoch (gewöhnlich etwas über 1 M.), aber nicht besonders dicht. Das Gras ist hart und steif, die Farbe graugrün. — Alle Ely- meten sind auf trocknem Sandboden, auf etwas höherem Niveau als die Equiseteta ge- legen, man kann aber auch von den Elymeten zwei verschiedene Facies unterscheiden, die denjenigen der Equiseteta arvensis völlig entsprechen. Facies l. Die Elymeten des stärker sedimentierten Bodens. Sie sind im Allge- meinen am Hauptstrome gelegen, gewóhnlich auf den Inseln. Die Bestände sind nicht besonders gross. N:o; 1. 132 A. K. CAJANDER. Annotationen: N:o 1. Etwa 600 M.” umfassender Bestand am Hohlufer einer Insel unweit Nikolskaja, von 3 Seiten von Saliceten umgeben (von der vierten Seite vom Ufer). Bo- den: trockner Sand. Moose: fehlen. N:o 2. Etwa 50x20 M" weites Elymetum auf einer anderen Insel unweit Nikolskaja, von 3 Seiten von Saliceten umgeben. Boden: wie in N:o 1. Moose: fehlen. N:o 3. Dem letztgenannten ähnlicher Bestand an einer anderen Stelle auf derselben Insel. Wird von 2 Seiten von Saliceten, von der dritten von einem Equise- tetum arvensis umgeben. Boden: Sand. Moose: fehlen. | | N:o 1.| N:o 2.| N:o 3. N:o 1. N:o 2.|/N:o 3. Gräser: Calamagrostis epigea . . . . . 2 1 -— VTED EN OTUAE ST RT 1 — — Schedonorus inermis . . . . . -— — 2 loan srl = 5 s s m elm — 1 iRestucaurubmar E NS qz — Linaria vulgaris + 2 2 2 TRUC mepens ET 1 — 1 Veronica longif olia 1 — 1 DIS D cg UP oot mes. TS TE 1 1 | 1—2 Scutellaria galericulata + 2 1 = Elymus dasystachys . . . . . | 6—7 7 | 7—8 (DIDIT OUAMUDTP. o 8 $9 9 s | — "Aster subitus e 1 — = Kräuter: VER no DE 9 s wj m — 1— ÆEquisetum arvense . . I . . 3 3 — Inula brilanmica . . . = . . 1 — — Allium schenoprasum . . . . | — — 1 Artemisia dracunculus . . . .| — |2—3 2 BRumex acelosa] 2 EE | — 1 1 dido GPA - s uw 5 2 a ol c | de Dianthus sinensis ar . . . . . — — 1 ANSCOPOTID EME EE CA 1 1— — Dontostemon pectinatus. . . . 2 1 — Senecio Jacobeuf. s s Mr 1 1 Erysimum cheiranthoides . . . | — 1 1 Mulgedium sibiricum . . . . 1 — 1 «WZCIDIOLGGOUl a ee 2 2 3 COTES NEC OUR RE CN RUE 1 1 UG COUT one CR SK -— Verbreitung. Elymeten dieser Facies wurden an vielen verschiedenen Stellen zwischen Jakutsk und Nikolskaja beobachtet, vorzugsweise auf den Inseln; gróssere Areale bedeckten sie aber nirgends. Facies 2. Die Elymeten des schwächer sedimentierten Bodens. Diese Elymeten kommen in den Umgebungen von Kytylyk in sehr grossem Maasstabe vor. Folgende Annotationen stammen alle von Kytylyk her: N:o 1. Der dem Hohlufer der Lena zunächst liegende Theil eines Elymetums. Boden: trockner, reiner Sand. Moose: fehlen. N:o 2. Der Haupttheil des obigen Bestandes. Wird nach hinten von einem hauptsächlich mit Hordewm pratense bewachsenen kleinem Thale begrenzt. Breite: etwa 30 à 40 M. Boden: Sand. Moose: fehlen. Tom. XXXII. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 133 N:o 3. Etwa 30-60 M. breiter Elymus-Gürtel hinter dem letzterwähnten Hor- deetum, nach hinten von einem Salicetum begrenzt. Boden: Sand. Moose: fehlen. N:o 4. Weites Elymetum weiter vom Ufer entfernt, von Onobrychideten, Line- ten, Saliceten etc. umgrenzt. Boden: Sand. Moose: fehlen. N:o 1.| N:o 2.| N:o 3. N:o 4. Gräser: "Agrostis borealis, . . . . de — | 3—4 3 "Poa/ qtensiS NS NT 2 3 P. subfastigiata 2 2 Schedonorus ciliatus . . . . .| 3—4 2 Bestucarubta . ola 1 1 4 3 Elymus dasystachys . . . . . 6 7 Hordeum'pratense ^3 a NI — 2 — Carexsienophyla NI — 2 Gcdisticha uix M. adt. LM EE — — 1 Kräuter: DI r2 [£v] RUMELIACEOEG eo Polygonum polymorphum . . .|2 Dianthus sinensis. . . . . . 1 — SUCRE TEEN SN, IS m ae Lychnis sibirca » Lem „u. om D 1 1 Cerastium maximum. . . . . 3 2 Delphinium grandiflorum . . . 1 | 2-3 [ DD | [22 Thalictrum kemense . . . . .| — 2 Bulsatilla patenst . « S Al — 2 Anemone: silvestris. . . . . . 1 2 Sedum. fabaria, MN CE — -— Sanguisorba officinalis . . . .| — 1 1 1 Potentilla sericeat . . . . .| — — 1 1 ERS MONS, 0 5000 ous MUR — — 2 Astragalus adsurgens . . . . 1 1 1 Hiciakeraeca MEN US 2 1 2 V. amena : 3 2 Geranium pratense . . . . . 2 — 2 Linum perenne T. . 4 2 Euphorbia esula . . . . . .|2— 2 Veronica longifolia . . . . .| 2-8 2 — — ‘ Einaria vulgaris. . . . . . MT 1 — Pedieularis comosa -. . . . .| — 1 | 3—4 2 Plantago canescens . . . . . 2 | 2—3 3 2 Galium boreale. . . . . . . 2 2 — — COTE a o. m e d RR || ml 2 — Valeriana officinalis . . . . .| — 1 2 — 2 Campanula glomerata . . . . | 1+ 1+ N:o 1. 134 A. K. CAJANDER. N:o 1.|N:o 2.| N:o 3. N:o 4. VASTE STOLE CURES ee 3 |2—8 | — |2— Galatella dahurica . . . . . | 2—3 2 2 2 Leontopodium alpinum . . . | — — — 1 Achillea millefolium . . . . .| — -— 2 2 Tanacetum vulgare T . Artemisia dracunculus . . . . 1 — — ] ZA-vcommaiiala, are: — 1 VA SG CROP MIN bokens e RETENIR 2 |2—3 3 ANTOINE PECES 2 2 Senecio Jacobea T. . . . . .| 1+ — | 2—3 | 2— Uebersicht der Vegetation der Facies 2. Diese Elymeten sind stets + unrein. Unter den Gräsern findet man beinahe immer Schedonorus ciliatus und Festuca rubra beigemischt, sehr häufig Agrostis borealis, Poa pratensis, P. subfastigiata, häu- fig Hordeum pratense, Triticum repens, Carex stenophylla, C. disticha, + häufig Calamagrostis epigea, Schedonorus inermis, Triticum sp., Carex capitata, C. Schreberi, C. supina, Kobresia capillifolia 7. Unter den Kräutern kommen beinahe immer vor: Rumex acetosa 7 Silene repens Delphinium grandiflorum Anemone silvestris Astragalus adsurgens Vicia cracca Linum perenne + Euphorbia esula Plantago canescens Galatella dahurica Senecio Jacobæa T ; sehr häufig sind: Dianthus sinensis Lychnis sibirica Cerastium maximum Pulsatilla patens + Sanguisorba officinalis Vicia amena häufig : Equisetum arvense Stellaria graminea Thalictrum kemense Th. simplex + häufig: Equisetum pratense Allium schenoprasum Geranium pratense Veronica longifolia Linaria vulgaris + Pedicularis comosa + Galium boreale G. verum 7 Potentilla sericea T P. stipularis Artemisia dracuneulus Polygonum viviparum P. polymorphum Campanula glomerata Aster sibiricus Achillea, millefolium Artemisia sacrorum A. laciniata; A. commutata A. scoparia A. vulgaris ; Thesium longifolium Stellaria palustris Tom. XXXII. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 135 Cerastium alpinum Delphinium elatum Ranunculus acer 7 R. auricomus 7 Armoracia sisymbrioides Parnassia palustris Potentilla nivea Trifolium repens seltener — selten: Veratrum album + Allium: senescens A. tenuissimum A. strictum Lilium spectabile Verbreitung. Tr. lupinaster Astragalus danicus Onobrychis arenaria Archangelica officinalis + Androsaces septentrionale + Gentiana decumbens Seutellaria galericulata + Castilleja pallida. Aconitum barbatum Arabis hirsuta A. pendula Sedum fabaria Peucedanum vaginatum Valeriana officinalis Campanula rotundifolia Erigeron acer Tanacetum vulgare + Taraxacum officinale Mulgedium sibiricum Crepis tectorum ; P. baicalense Cuscuta sp. Myosotis silvatica + Pedicularis resupinata Leontopodium alpinum T. Elymeten der zweiten Facies wurden hauptsächlich bei Kyty- lyk angetroffen, wo sie sogar Kilometer-weite Flächen einnehmen; kleinere wurden an verschiedenen Stellen zwischen Echedej und Jakutsk beobachtet. 12. Die Association von Galieta veri T. Galium verum 7 bildet stellenweise auf den Inseln kleine Bestände auf etwas höherem Niveau als Æquisetum arvense (und Elymus dasystachys?). — Die Bestände sind ziemlich niedrig. Annotationen: INFO N:0 2. Gebüsch-Gürtel getrennt. (Bryum sp.). Gräser: Alopecurus nigricans . Calamagrostis sp. . Poa subfastigiata . Keleria cristata Festuca rubra . Triticum repens Hordeum pratense . N:o 1. Etwa 400 M° um von Mischgebüschen umgeben. Ahnlicher Bestand auf derselben Insel, von N:o 1 durch einen schmalen Boden: Sand, etwas feuchter als in N:o 2. Boden: Sand. N:o 1.| N:o 2. N:o 1.| N:o 2 275 Kräuter: — 1 Equisetum arvense . . . . .| 3 4 - I Veratrum album 7 I — 1 2 Allium schenoprasum . . . .| 3— — 1 — A. striebum . 1 = 3 4 Rumex acetosa + 3 3 1 — Polygonum viviparum 2 1 2 3 P. polymorphum — 2 weites Galietum auf einer Insel unweit Echedej, rings Moose: fehlen. Moose: spärlich 136 A. K. CAJANDER. | N:o 1.| N:o 2. N:o 1.| N:o 2. | | Thesium longifolium . 1 1 Linaria vulgaris + 1 — Silene repens 2 | 1—2 Veronica longifolia 1 1 Stellaria graminea 3 — Pedicularis comosat . 1 — Anemone silvestris 1 — Plantago camescens . . . . . 1 — Ranunculus acer T- 1 — Galium boreale . 2 2 Armoracia sisymbrioides 1 1 G. verumf . 6 7 Potentilla stipularis . 2 — Campanula glomerata . . . .| 2—3 1 Sanguisorba officinalis . à 1 AS ETS SURIS EE EEE" 1 Astragalus adsurgens 1 = Galatella dahuriea . » . . . 1 1 Trifolium lupinaster . . . . . | — 2 Plarmiea sibiriea «e o — 1 Va) utar. teo m moe. 72 Tanacetum vulgare. . . . . Ie 1 Dinum perenne; . . »....| — 1 Artemisia sacrorum . . . . . 1 1 Geranium pratense . . . . «| 2-8 2 AN VAC ER RR TIER — Cnidium dahurieum . . . . . 2 | 1+ Senecio Jacobea T. . . . . . 1 — Archangelica offieinalis? . . .| — 1 S; nemorensis- . een 1 Androsaces septentrionale . . 1 — Verbreitung. Ausser den oben beschriebenen wurden einige Galieten unweit Nikolskaja beobachtet. 13. Die Association von Lineta perennis {. Auf den Alluvionen des Festlandes folgen nach den Elymeten die Lineten. Schon die Elymeten dürften nicht jährlich überschwemmt werden; mit den Lineten dürfte dieses nur während der höchsten Überschwemmungen der Fall sein. Von den Lineten (resp. Flymeten) an gehören also die Associationen dieser Serie zu den Grassteppen SENSU Krasnor (1894). Die von mir angetroffenen Lineten sind ziemlich klein an Areal. Sie sind nicht besonders dicht, ziemlich niedrig, von einer blassblauen Farbe. Annotationen: N:o 1. Linetum auf einem Walle bei Önkyr-Yrä, zwischen zwei Emquiseteta arvensis gelegen. Boden: Sand. Moose: fehlen. N:o 2. Linetum unweit Nikolskaja (vgl. Taf. III, Fig. 3). Boden: Sand, theils von Gängen von Spermophilus Eversmanni durchlöchert. Moose: fehlen. Tom. XXXI. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 137 | | | N:o Ace | N:o 1. N:o 2 Gräser: E Agrostis borealis — 2 P. stipularis = 1 Festuca rubra & ovina 301203 Sanguisorba officinalis . 1 1 Triticum repens 1 — Astragalus adsurgens 1 — Hordeum pratense . A A. danicus = il ME | | Trifolium lupinaster . — 1 re | Vicia amena 1 1 Equisetum arvense > — Geranium pratense — 2 Allium schenoprasum - | 1 1—2 Linum perenne T... (MIN Rumex acetosa 7 | 8x 0 Ne Euphorbia esula 1 1 Polygonum viviparum IE — Gentiana decumbens . — | 1—2 P. polymorphum 1— — Castilleja pallida . 1 — P. divaricatum . 1— _ Pedieularis resupinala . 2-—3 | — Dianthus sinensis Lope P. comosa 7: . 1 — Silene repens 1 1 Plantago canescens 2 2 Lychnis sibirica 1 1 Galium boreale . 2, |2— Stellaria palustris 2 | — G. verum T- 2 2 Sl. graminea — | 1 Valeriana officinalis . -— 1 Cerastium alpinum o ox Erigeron acer l — Thalietrum simplex == Xiao. Achillea millefoliwm . — 1 Anemone silvestris 1 | 2= Artemisia laciniala 1 1 Armoracia sisymbrioides 1 = Senecio Jacobeat . l 1 Potentilla nivea TOM ET Verbreitung. Kleine Lineten wurden hie und da auf den Festlands-Alluvionen von Jakutsk bis Nikolskaja beobachtet. 14. Die Association von Lychnideta sibiricæ. Die Lychnideten dürften einer Ueberschwemmung nur äusserst selten ausgesetzt sein. Sie sind ebenso klein an Areal als die Lineten, oft + dicht, aber sehr niedrig, von einer weisslichen, in's Violette spielenden Farbe. Annotationen: N:o 1. Ein etwa 400 M'. weiter Lychnis-Bestand bei Kytylyk, von Onobrychi- deten, Elymeten etc. umgeben. Boden: Sand. Moose: fehlen. N:o 2. N:o 1 ähnlicher Bestand in derselben Gegend. N:o 1. 18 138 A. K. CAJANDER. | N:o 1.| N:o N:o 1.| N:o 2. Gräser: . | Agrostis borealis 2 2 Astragalus adsurgens 1— | 2 Poa pratensis 1 = Vicia eracca . 1 a Avena pratensis 1 — Onobrychis arenaria . 2 = K&leria cristata 3 1 Geranium pratense 3 — Schedonorus ciliatus . 2 ] Linum perenne T. 2 3 Triticum repens 1 - Peucedanum baicalense . — 1 Hordeum pratense. 3 2 Gentiana decumbens . 1 — Kobresia capillifolia 7 1 I Castilleja pallida . 2 | 1— Pedicularis comosa T . 2 l Zus Plantago canescens 3-4 3 Allium schenoprasum — 1 Galium boreale . 2 == Rumex acetosa T 1 2 G. verum T |a ra Dianthus sinensis . 1 1 Campanula glomerata |o 1 Silene repens 1 2 Valeriana officinalis. . — 1— Lychnis sibirica 8 8 Leontopodium alpinum 7 1 — Thalietrum simplex 1 = Artemisia laciniata DD . Pulsatilla patens 7 2 1 A. sacrorum . des = Anemone silvestris (el 1 A. pubescens . 1 | = Potentilla nivea 2 1— Senecio Jacobæa T - QE UST Verbreitung. Lychnideten wurden stellenweise bei Kytylyk und Nikolskaja angetroffen. 15. Die Association von Onobrychideta arenariæ. Die Onobrychis-Bestände sind bis etwa 1 M. hoch, von einer hellrothen Farbe. Stellenweise ist der Sandboden von einer sehr dünnen Schwarzerden-Schicht bedeckt. Oft ist derselbe von Spermophilus Eversmanni-Gängen durchlöchert. Annotationen: N:o 1. Onobrychis-Bestand auf einem Walle beim Ytyk-Chaja (vgl. Taf. III, Fig. 8), zu beiden Seiten von Gebüschen begrenzt. Boden: Sand, oben eine dünne Schwarzerden-Schicht. Reichliche Spermophilus-Gänge. Moose: fehlen. N:o 2. Onobrychidetum auf einem anderen Walle (vgl. Taf. III, Fig. 8) beim Ytyk-Chaja. Boden: Sand. Moose: sehr wenig (Pohlia mutans, Hypnum sp.). N:o 3. Sehr weites Onobrychidetum bei Kytylyk, von Gebüschen, Lineten, Lychni- deten, Pulsatilleten ete. umgeben. Boden: Sand. Moose: fehlen. — Einige Flecken mit abweichender Vegetation sind ausgeschlossen worden. N:o 4. N:o 3 ähnliches Onobrychidetum bei Kytylyk, nieht weit von N:o 3. Boden: Sand. Spermophilus-Gänge spärlich. Moose: fehlen. Tom. XXXII. N:o 1. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. Gräser: Poa pratensis Avena pratensis Keleria eristata Schedonorus ciliatus . Festuca ovina Triticum caninum Tr. repens : Elymus dasystachys . Hordeum pratense Kräuter: Equisetum pratense Allium senescens A. tenuissimum Rumex acetosa + Polygonum divaricatum . Thesium longifolium . Dianthus sinensis . Silene repens Lychnis sibirica Stellaria palustris . Cerastium maximum . Delphinium grandiflorum . Thalictrum kemense . Th. simplex. Pulsatilla patens + Anemone silvestris Ranunculus acer 7 Parnassia palustris Sanquisorba officinalis |. Potentilla sericea T P. nivea P. stipularis . Astragalus adsurgens Oxytropis sp. Trifolium lupinaster . Onobrychis arenaria . Vicia cracca . Geranium pratense Linum perennef . Euphorbia esula Myosotis silvatica 7 Androsaces septentrionale + Gentiana decumbens . Castilleja pallida . N:o 1.| N:o 2.| N:o 3.| N:o 4. M 1 2 x 3 3 — — 1 2 1 1 ea ES 3 2 — 3 2 2 1 = = E 1 1 2 2 = — — 1 2 2 2 — EC eof 1) ee T 1 2—3 | — = = 2 1 zn 2 1 1 1 1 = CN au | — | 2-3 1 — 1 1 1 2 = 1 — 1 1—2 3 |2—38 3 I 2 eL E — — 1 E 3 1 = 2 2 — 1 — — — 1 — 2 1 | 2-3 1 2 1 2 DIR = 1 — 2 = 2 1 1 14- ME EL 1 ver - 9 c E — 2 1 1: 2 2 = — — 2 1 2 — 1 -— 2 6 | 6—7 6 7 — — — 1 2—8.| 2 3| — 1 2—3 2 — 1 2—3 | 1—2 1 2 > 2 A Ex = 1 Ix = — = — 1 — |1— 2 2 139 140 A. K. CATANDER. — T = ———! | N:o 1.| N:o 2.| N:o 3.| N:o 4.| Pedieularis comosa T . . . . . 3 2 — |2—3 Plantago canescens . . . . . d eee 3 2 Galium boreale. . . . . . .|1+ 3 — 2 (EIS OZONE QS 3. oS RR NEP | S 2 — il Valeriana officinalis . . . . . 1 = — = Campanula glomerata . . . . 2 2 1 2 Aster sibiricus . 1 = 1 — Galatella dahurica . . . . . | — 2 2 1 VEUT ON NACRE | -— — 1 Leontopodium alpinum . . . | — 1 1 1 Achillea millefolium . 2 — 1 — Artemisia laciniata 2 2 2 1 ATSCODARLa UE it dle ee en 2 = 2 A. vulgaris 2 — 2 = Senecio Jacobæa 7: - 1 1 1 2—3 Cineraria campestris . 1 il 1 = Uebersicht der Vegetation. In den Onobrychideten sind die Beimischungen ziemlich reichlich. Unter den Gräsern findet man in den meisten Fällen Schedonorus ciliatus, Keleria cristata und Triticum repens, sehr häufig Poa pratensis, Avena pra- lensis, Festuca ovina, Hordeum pralense, häufig Agrostis borealis, Elymus dasy- stachys, Carex stenophylla, + häufig Triticum caninum, Kobresia capilhfoha 7, selten Carex Schreberi, C. supina. Unter den Kräutern kommen beinahe immer beigemischt vor: Rumex acetosa + Dianthus sinensis Lychnis sibirica sehr häufig: Delphinium grandiflorum Thalictrum kemense Pulsatilla patens + Potentilla stipularis Oxytropis sp. Geranium pratense Linum perenne + häufig: Allium senescens Thesium longifolium Anemone silvestris Sanguisorba officinalis Euphorbia esula Castilleja pallida Pedicularis comosa 7 Plantago canescens Galium boreale G. verum 7 Silene repens Cerastium maximum Artemisia laciniata Senecio Jacobæa T ; Campanula glomerata Galatella dahurica Leontopodium alpinum + Achillea. millefolium Artemisia scoparia Cineraria campestris; Thalictrum simplex Potentilla sericea 7 Tom. XXXII. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 141 P. nivea Androsaces septentrionale 7 Aster sibirieus Trifolium lupinaster Gentiana decwmbens Erigeron acer Astragalus adsurgens Valeriana officinalis Artemisia vulgaris; Vieia eracca + häufig: Equisetum arvense Ranuneulus acer 7- Linaria vulgaris 7- E. pratense Parnassia palustris Tanacetum vulgare + Polygonum viviparum Trifolium repens Artemisia saerorum P. polymorphum Vicia amena A. pubescens P. divaricatum Archangelica officinalis + Taraxacum officinale Stellaria palustris Seutellaria galericulata + Crepis tectorum ; St. graminea seltener — selten: Alliuwm strietum Delphinium elatum Thymus serpyllian A. schenoprasum Aconitum barbatum Pedicularis resupinata A. tenwissimum Arabis hirsuta Artemisia dracuneulus Lilium spectabile Cuseuta sp. A. commutata. Cerastium alpinum Myosotis silvatica 7- Verbreitung. Die Onobrychideten sind an dem westlichen Festlands-Ufer der Lena zwischen Jakutsk und Nikolskaja sehr häufig und können Kilometer-weite Areale bedecken. Die an Areal grössten Onobrychideten wurden bei Kytylyk beobachtet. 16. Die Association von Rumiceta acetosæ T. Einen Bestand mit Rumex acetosa 7 heematinus als dominierende Pflanze fand ich am Hohlufer eines Flussarmes bei Nikolskaja, auf trocknem Sandboden. Das Areal betrug etwa 1400 à 1500 M". Es kamen keine Onobrychideten in der Nähe vor, so dass das relative Niveau in Bezug auf die Onobrychideten nicht ermittelt wurde. In einem untiefen Thale in der Mitte des Zbwmer-Bestandes gab es jedoch ein Lychnidetum, dessen Niveau also niedriger gelegen war. Physiognomisch erinnert das Rumicetum hæmatini der Lena vollständig an die Rumiceta auriculati des Onega-Thales, nur ist die Zusammensetzung der Vegetation eine grundverschiedene. Gräser: Agrostis borealis 2 Festuca ovina à Hordeum pratense 1+ : Schedonorus ciliatus 2 Elymus dasystachys 1—2 N:o 1. 142 A. K. CATANDER. Kräuter: Equisetum arvense 2 Sanguisorba officinalis 1 Gentiana decumbens 1 Rumezx acetosa + 5—6 Oxytropis sp. 2 Castilleja pallida 2 Thesium longifolium I+ Linum perenne 5 Galium boreale 2 Dianthus sinensis 1 Geranium pratense 2 G. verum T 2 Silene repens 1 Euphorbia esula I+ Artemisia laciniata 2 Lychnis sibirica 1 Onidium dahurieum 1 Senecio Jacobea F 1. Ccrastium maximum 1 Moose: fehlen. 17. Die Association von Arenarieta graminifoliæ. An derselben Protoke wie das Rumicetum acetosæ + kam, näher zum Dorfe (Ni- kolskaja), ein Bestand mit Arenaria graminifolia als die dominierende Pflanze vor, und zwar auf etwas höherem und trocknerem Boden als das Rumicetum. Der Bestand war ziemlich weit, aber nicht ganz homogen. In der beifolgenden Liste sind die ab- weichenden Flecken nicht berücksichtigt worden. — Moose: fehlen. Gräser: Agrostis borealis 1 Elymus dasystachys 3 Carex stenophylla 1; Festuca ovina 3 Kräuter: Equisetum arvense 2 Sanguisorba officinalis 1 Linaria vulgaris + 1 Ruinex acetosa 7 2 Oxytropis sp. 5— 4 Plantago eanescens à Thesium longifolium I+ Onobrychis arenaria 1 Galium verum F 2—5 Dianthus sinensis 2—3 Linum perenne + 2 Campanula glomerata 2 Lychnis sibirica 1 Euphorbia esula 2 Achillea millefolium 1 Arenaria graminifolia 6 Gentiana decumbens 1 Artemisia pubescens 2. 18. Die Associationen der trocknesten Stellen der Grasfluren. Die höchst gelegenen, trocknesten Stellen besitzen eine ziemlich niedrige, rein steppenartige Vegetation. Der Boden besteht immer aus trocknem, feinem Sand; an der Oberfläche kommt bisweilen eine dünne Schwarzerden-Schicht vor. Diese sind der Lieblings-Aufenthalts-Ort von Spermophilus Eversmanni, von dessen Gängen der Boden oft völlig durchlöchert ist. Es sind eigentlich eine Menge verschiedener Associationen, theils einfache (Pulsa- tilleten etc.), theils zusammengesetzte auf diesen Wällen vertreten. Im Allgemeinen ist die Vegetation derselben ziemlich verschiedenartig. Weil ich aber nicht Zeit hatte, "Tom. XXXII. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 143 diese sehr Kleinen Bestände näher zu untersuchen, so kann ich nur eine summarische Darstellung der Vegetation geben. Annotationen: N:o 1. Sehr trockne Partie in der Mitte eines Onobrychidetums beim Ytyk-Chaja. Areal etwa 80 M^. Boden: Sand, voll von Gängen. N:o 2. Dem vorigen ähnlicher Flecken innerhalb eines anderen Onobrychide- tums beim Ytyk-Chaja. Ein wenig grösser. N:o 3: Etwa 60 M'. grosser Flecken innerhalb eines Onobrychidetums bei Ky- tylyk. Boden: sehr trockner Sand; Spermophilus-Gänge reichlich. N:o 4. Etwa 40 M. breites Pulsatilletum in der Mitte eines Onobrychidetums bei Kytylyk. Boden: Sand. Gänge weniger reichlich. N:o 5. Sehr trocknes Wällchen, etwa 10—15 M. breit, in der Mitte des Pulsa- tilletums (N:o 4) bei Kytylyk. Spermophilus-Gänge sehr reichlich. N:o 6. Sehr trocknes, ziemlich breites Wällchen innerhalb eines Elymetums bei Kytylyk. Boden: Sand, wenig Schwarzerde; Spermophilus-Gänge sehr reichlich. Moose: fehlen an allen angeführten Stellen. N:o 1.| N:o 2.| N:o 3.| N:o 4. N:o 5.| N:o 6. | | | Gräser: | Tuer | Agrostis borealis 2 | TEN Tel ebok En a Ka 2 2 = Du en P. attenuata . 2 1 Avena pratensie - . . ... 2] — Keleria eristata 3 Schedonorus ciliatus . . . . . 8 Festuca ovina 2 Triticum caninum. . = = . .| — IR GOLD - SE ro YO REA IS 9 Elymus dasystachys + . . . . | 2 4 Hordeum pratense . . . . . | — == x t2 N BH Carex stenophylla « = » : - . 2 — 3 (REN LEN o. ee N es = == a. 1 E Kobresia capillifoliaT . . . .| — — = | 1 = — Kräuter: | Equisetum arvense . . . . .| 14 UTD T GLerSE A MERE ees v] t 1 — — | - — Allm senescens "IN | — [s 1 — 2p | — A. lenuissmum |. . : . . .| — — — 2 3 Rumex acelosa 7 3 Dianthusısinensis. zen: 1 Silene repens 1 1 Lychnis sibirica - (4 - [Cv] 19 co Cerastium maximum. . . . . - — N:o 1. 144 A. K. CATANDER. N:o 1.| N:o 2.| N:o 3.| N:o 4. N:o 5.| N:o 6. Delphinium grandiflorum . . . | — E 2 2 T'halictrum kemense . . . . .| 1 = = 1 Pulsatilla patens. - - . . .| — = 2 6 2 Anemone silvestris... . . .| — = = 2 Potentilla sericeaf - - . . .| — TEE = NE DATES hehe AE 1 — Cal 2 TE | Astragalus adsurgns . . . . | — 1 — | 1—2 D rm ND 1 OLULTODISES DEEE EEE — — E 1 Onobrychis arenaria . 2 Geranium. pratense 2 Linum perenne]. . ...| | 102 1 1 — = Euphorbia esula TS Gentiana decumbens . 1 Veronica ineana . se . . . | — = = = SWE Castilleja pallida... ..— $e = — ES ER Androsaces septentrionale7 . . 1-2 | — — = u i«Dlantagnicnnesuvns NEC ET) | Galium boreale. . . . . . .| 1 G. verum T. . 2 VAGA CHE EUEJ S 3 d IB roro — = = 1 = Galatella dahwrica |. . . . . | — = = 1 12- Me Leontopodium alpimun d . . .| — = — 1 2 > Achillea millefolium . . . . . 2 1 = == = er Artemisia dracunculus . . . .| — — 1 — — — 92 ERGITEE RATIONE DONE NOT CONSO PO d — — — 1 er — ALTEN BROR or ta EURE 2 1 = TENN zs ANNETTE Ne 5 ea | il 1 1 1+ 2 Senecio Jacobma T. . . . . . | 1—2 1 1 — — Uebersicht der Vegetation. Die Vegetation der trocknesten Stellen der Grasfluren ist, wie oben bemerkt wurde, ziemlich niedrig und undicht. Gräser und Kräu- ter sind oft in ungefähr gleicher Menge vorhanden, bald aber überwiegen die Gräser, bald die Kräuter. Die häufigsten Gräser sind Keleria cristata, Schedonorus ciliatus, Elymus dasystachys. Carex stenophylla, sehr häufig Agrostis borealis, Poa pratensis, P. attenuata, Festuca ovina, Triticum repens, häufig Avena pratensis, Triticum canı- num, + häufig Hordewm pratense, Carex pediformis, Kobresia capillifolia 7, selten Carex supina. Unter den Kräutern kommen beinahe immer vor: Rumex acetosa + Gentiana decumbens Galium verum 7 Dianthus sinensis Plantago canescens Artemisia pubescens: Lychnis sibirica Tom. XXXII. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 145 sehr häufig: Allium senescens. Silene repens Pulsatilla patens + häufig: Allium tenuissimum Cerastium maximum Delphinium grandiflorum Thalictrum kemense + häufig: Equisetum arvense E. pratense Stellaria graminea Thalietrum simplex Potentilla stipularis Trifolium lupinaster Vicia eracca seltener — selten: Allium strictum Lilium spectabile Polygonum divaricatum Aconitum barbatum Parnassia palustris Potentilla nivea Astragalus adsurgens Linum perenne + Anemone silvestris Potentilla sericea + Oxytropis sp. Onobrychis arenaria V. amena Seutellaria galericulata + Linaria vulgaris + Veronica incana Castilleja pallida Pedicularis comosa + Galium boreale Chameerrhodes erecta Geranium pratense Peucedanum vaginatum P. baicalense Myosotis silvatiea + Moose: fehlen gewöhnlich. Euphorbia esula Artemisia laciniata Senecio Jacobæa T; Androsaces septentrionale + Galatella dahurica Achillea. millefolium Artemisia saerorum; Aster sibirieus Erigeron acer Leontopodium alpinum T Tanacetum vulgare + Cineraria campestris Taraxacum officinale Crepis tectorum; Thymus serpyllum Pedicularis resupinata Aster alpinus Artemisia dracunculus. Verbreitung. Trockene Grasfluren-Partieen mit etwa in obiger Weise zusam- mengesetzter Vegetation sind überall zwischen Jakutsk und Nikolskaja häufig, an Areal aber waren alle von mir angetroffenen ziemlich klein. b. Die Serien der Grasfluren-Associationen des Dy- und Torf-Bodens. Hierher gehórt die Mehrzahl der Associationen an den Ufern der Seen und Tümpel im Bereiche der nicht oder nur sehr kurzzeitig überschwemmten Alluvionen. p Die Association von Scirpeta lacustris. Die Scirpeten des Lena-Thales ähneln sehr denjenigen unserer einheimischen Gewässer. Sie sind im Allgemeinen ziemlich rein. Einzelne Exx. von Phragmites N:o 1. 19 146 A. K. CAJANDER. communis, Scolochloa arundinacea, Glyceria aquatica, Siwm latifolium 7, Cicuta virosa, Lysimachia thyrsiflora, sowie von Potamogeton perfoliatus, P. gramineus, P. compressus, Sagitlaria natans, Nuphar pumilum, Nymphea tetragona, Myriophyllum verticillatum und Utricularia vulgaris kommen vor. Verbreitung. Die Scirpeten kommen in den Seen und Tümpeln der nicht über- schwemmten Alluvionen auf dyreichem Boden ziemlich häufig vor. — An etwa ähnlicher Localität wurden, z. B. bei Kytylyk, Phragmiteta communis angetroffen. 2. Die Association von Acoreta calami. An etwas untieferen Stellen als die Seirpeten findet man oft kleine Bestände von Acorus calamus. Sie sind gewöhnlich ziemlich rein. In einem Acoretum am Dy- Ufer eines Sees bei Nikolskaja wurden vereinzelte Exx. von Scolochloa arundinacea, Glyceria aquatica, Carex acuta, C. aristata, Cicuta virosa, Sium latifolium f und Utricularia vulgaris gefunden. Verbreitung. Acoreten wurden hie und da beim Ytyk-Chaja, bei Kytylyk und Nikolskaja gefunden. 3. Die Association von Glycerieta aquaticæ. Glyceria aquatica bildet in untiefen Tümpeln und am Ufer der Seen kleine Be- stände. Diese sind an untieferen Stellen als die Scirpeta (und Acoreta?) gelegen. Folgende Annotation bezieht sich auf ein Glycerietum eines Tümpels bei Kyty- lyk; rings um von einem Calamagrostidetum phragmitoidis + umgeben. Boden: Dy. Gräser: Beckmannia eruciformis 2 Glyceria aquatica 7 Carex aristata à; Seolochloa arundinacea 2 Kräuter: Equisetum fluviatile 2 Lysimachia thyrsiflora 2 Ptarmica cartilaginea 2. Sium latifolium + 2 Verbreitung. Glycerieten wurden bei Kytylyk und Nikolskaja beobachtet. 4. Die Association von Scolochlo&ta arundinaceæ. Die Scolochloëten kommen an etwa ähnlicher Localität vor wie die Glycerieten, jedoch, wie es schien, etwas untiefer. Folgende Annotation bezieht sich auf ein Glycerietum eines Sees bei Nikol- skaja; zwischen einem Seirpetum und einem Caricetum distichæ gelegen. Boden: Gyttja-Dy. Tom. XXX. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 14 (Gräser: Calamagrostis neglecta 2 Glyceria aquatica 2 C. aristata 2 Seolochloa arundinacea 6 Carex disticha 2 C. rostrata 3; Kräuter: Equisetum fluviatile 3—4 Cicuta virosa 2—3 Lysimachia thyrsiflora 1. Caltha palustris 1 Sium latifolium + 1 Verbreitung. Die Scolochloëten schienen im fraglichen Gebiete ziemlich häu- fig zu sein. — An fast ähnlicher Localität wurde bei Kytylyk ein Ptarmicetum carti- lagineæ beobachtet. 5. Die Association von Equiseteta fluviatilis. Die Equisetum fluviatile-Bestände dieser Serie sind von derselben Physiognomie wie diejenigen von der Aldan-Mündung nordwärts, mit welchen sie auch als völlig analog zu betrachten sind. Annotation: Schmaler Equisetum fluviatile-Gürtel am Ufer eines kleinen Sees bei Önkyr-Yrä, zwischen den Hydrophyten-Beständen (Nymphæeten, Nuphareten) und einem Caricetum acutæ gelegen. Boden: dybemengter Torf. Moose: spärlich (Amblystegium cordifolium, A. giganteum). Gräser: Carex acuta 1 C. aristata 1+ C. rostrata 1; Kräuter (incl. Hydrophyten): Equisetum fluviatile 8 Sium latifolium + 1 Utricularia vulgaris 1 Cicuta virosa 1 Lysimachia thyrsiflora I+ U. intermedia 1. Verbreitung. Diese Equiseteten sind sehr häufig. — Sie sind durch zahlreiche Uebergänge mit denen der Serie des Gyttjabodens verbunden. 6. Die Association von Cariceta acutæ. Die Cariceta acutæ ähneln denjenigen des Gyttjabodens, oft ist jedoch der Wuchs kräftiger. N:o 1. 148 A. K. CAJANDER. Annotation: Etwa 200 M.” umfassender Bestand in der Mitte eines Calamagrostidetums bei Nikolskaja. Boden: stark dy- und gyttjabemengter Torf, nass. Moose: sehr spärlich (Amblystegium fluitans, Stereodon arcuatus). Gräser: Beckmannia eruciformis 2 C. neglecta 2 Carex acuta 7 Calamagrostis phragmitoides 7 Poa pratensis 1 C. aristata 2 3—4 Hordeum pratense 2 C. rostrata 1+; Kräuter: Eqwisetum fluviatile 5—1 Thalietrum simplex 2 Lathyrus paluster 2 Rumex aquaticus 2 Ranunculus repens 2 Pedicularis palustris 1+ Caltha palustris 2 Armoracia sisymbrioides 1 Ptarmica cartilaginea 2. Verbreitung. Diese Cariceten kommen häufig vor. 7. Die Association von Calamagrostideta phragmitoidis y. Die Calamagrostis-Bestände im fraglichen Gebiet sind von viel höherem Wuchs als diejenigen weiter nordwärts; das Gras kann nicht selten sogar die Höhe von bis über 1'/, M. erreichen; sonst gleichen sie physiognomisch den nördlicheren Calama- grostideten. Annotationen: N:o 1. Calamagrostidetum an einem kleinen See beim Ytyk-Chaja (vgl. Taf. III, Fig. 8). Näher zum Ufer befindet sich ein schmaler Caricetum acutæ-Gürtel. Boden: + dybemengter Torf. Moose: spärlich (Amblystegium fluitans, A. cordifolium). N:o 2. Weites Calamagrostidetum in einem untiefen, nassen—feuchten Thale beim Ytyk-Chaja. Boden: wie in N:o 1. Moose: sehr spärlich. N:o 1.| N:o 2 No 1| No 2. Gräser: | ERA | Beckmannia eruciformis 1 | — COS RAA PEER 3 | 2—3 | Calamagrostis phragmitoides + . TS Carisintaue dd a S S e e 2 2 | C. neglecta En 3 N | Eriophorum vaginatum . . . . | — | 2 SERIE | Carex pseudoeuraiea 2 ZZ Equisetum fluviatile . . . . . 1 — | (CAES 8 o 5 5 à . | 3—4| — Allium schenoprasum . . . . | 1— 3 | Tom. XXXII. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 149 I I | | No 1.| N:o 2 | N:o 1.| N:o 2.1 | | | | IR SEKO NET ORNE 1 | = Lathyrus paluster. . . . . . 1 SN Stellaria palustris. . . . . .| — | 1 Sium latifoium . . . . . .| 2 |1— | Calthaspalusirs NN us] 1 | 1— Lysimachia thyrsiflora . . . .| — 1n . B B | Anemone dichotoma . . . . .| — | 1 - AMyosotis palustris. . . . . . 1 2 | Ranunculus radicans . . . .| — | 1 Pedieularis palustris « . . . .| 1 | = | Cardamine pratensis. . . . . 1 — | Ptarmica cartilaginea . . . . Placa Verbreitung. Die Calamagrostideta phragmitoidis + gehören zu den häufigeren Beständen des dyreichen Bodens. 8. Die Association von Cariceta distichæ. Von den oben besprochenen Associationen schienen die 1—4 gegen den Salzge- halt des Bodens (resp. Wassers) ziemlich indifferent zu sein, die folgenden 5—7 aber, vor Allen 7, schienen salinen Boden zu vermeiden und durch die Associationen von Cariceta distichæ und C. stenophyllæ, auf noch salinerem Boden von den von Glau- ceta und Atropideta ersetzt zu werden. Wir haben also hier wieder (vgl. pag. 90) mit Parallel-Serien zu thun, in denen die Associationen von Scirpeta— Glycerieta gemeinsam sind, die Associationen von Equiseteta—Calamagrostideta und die von Cariceta disticha — C. stenophyllæ, sowie die von Glauceta — Atropideta für einander + vicarieren. Die Carex disticha-Bestände sind bis etwa '/, M. hoch. Folgende Annotation bezieht sich auf einen einige M. breiten Carex disticha- Gürtel an einem See bei Nikolskaja, gleich oberhalb eines Scolochloétums. Boden: stark dybemengte Gyttja. Moose: spärlich (Stereodon arcuatus). Gräser: Alopecurus nigricans 1 Poa pratensis 2—5 C. disticha 7 Calamagrostis neglecta 2 Carex stenophylla 2 C. cespitosa 2; Kräuter: Triglochin palustris 1 Potentilla anserina 1 Sium latifolium 7 1 Stellaria palustris 1 Vicia craeca 1 Primula farinosa 2 Caltha palustris 2 Lathyrus paluster 1—2 Pedicularis palustris 1—. Verbreitung. Kleine Cariceta distichæ wurden an Alluvial-Tümpeln und -Seen auf einer Insel in der Tulaginschen Gegend, ferner bei Onkyr-Yrä, Kytylyk und Nikolskaja gefunden. Nor: 150 A. K. CAJANDER. 9. Die Association von Cariceta stenophyllæ. Das oben beschriebene Caricetum distichæ wurde von einem Caricetum steno- phylle-Gürtel umgeben; dieser grenzte seinerseits an Atropideten, Elymeten u. a. Boden: dybemengte Gyttja. Moose: fehlen. Gräser: Calamagrostis neglecta 1 P. subfastigiata 1 C. disticha 1 Poa pratensis 1 Carex stenophylla S C. cespitosa 1; Kräuter: Equisetum arvense 2 Ranunculus acer + 2 Primula farinosa 3 Allium. schenoprasum 1+- Potentilla anserina 2— Pedicularis comosa 7 1 Triglochin palustris I+ P. stipularıs I+ Achillea, millefolium. 1 Stellaria crassifolia 1 Vicia eracca 1 Artemisia Sieversiana 2— Caltha palustris 2 Cnidium dahuricum 1 Saussurea amara. 1—. Verbreitung. Nur einige Cariceta stenophyllæ wurden bei Kytylyk und Ni- kolskaja gefunden. 10. Die Association von Glauceta maritime. Glauceten wurden an vielen verschiedenen Stellen auf einer grossen Insel unweit Pokrofskoje gefunden. Die Jahreszeit war leider jedoch zu weit vorgerückt, um Anno- tationen zu machen. Die Vegetation derselben schien nicht viel von derjenigen der Glauceten der Jakutischen Steppen (vgl. pag. 155) abzuweichen. Potentilla anserina und Plantago major waren oft zieml. reichlich beigemischt, desgleichen Carex stenophylla. ll. Die Association von Atropideta distantis |. Die Atropideten sind niedrig, von einer blassgrünen Farbe. Annotation: Etwa 700 M^. umfassendes Atropidetum bei Kytylyk, von Cariceta stenophylla. Hordeeta u. a. begrenzt. Boden: ziemlich reines, dunkelfarbiges Dy, von deutlich salzigem Geschmack. Moose: fehlen. Gräser: Atropis distans + 7—8 Hordeum pratense 1 Carex stenophylla 1; Tom. XXXII. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 151 Kräuter: Potentilla anserina 2+ Primula farinosa 1+ Saussurea amara 1 Peucedanum baicalense 1 Pediculuris comosa ff 1— Taraxacım officinale 1. Onidium dahurieum 1 Artemisia Sieversiana 14 Verbreitung. Die Atropideten sind im Bereiche der nicht überschwemmten Alluvionen ziemlich häufig. C. Die Serien der Associationen der Jakutischen Steppen. Wie pag. S1 bemerkt wurde, werden die Grasfluren der Umgebung der Stadt Jakutsk stark geweidet und niedergetreten. Dadurch haben sie nicht nur eine sehr ab- weichende Physiognomie erhalten, sondern auch die Zusammensetzung der Vegetation weicht von derjenigen der bisher besprochenen Grasfluren ab. Sowohl die Zusammen- setzung als besonders die Physiognomie der Vegetation dieser Steppen erinnert in hohem Grade an die der Balaganschen Steppe zwischen Irkutsk und der Lena, die ich auf der Durchreise nach Jakutsk Gelegenheit hatte zu studieren. Die von mir untersuchten Theile der Jakutischen Steppen werden nicht mehr überschwemmt. Der Boden besteht aus Sand mit einer sehr dünnen Schicht Schwarz- erde; in allen kleinen Thälern aber kommt ziemlich schwarzes, salzhaltiges Dy in dicken Lagen vor. a. Die Associationen des nicht oder kaum salinen Theiles der Steppen. Dieser Theil der Jakutischen Steppen ist sehr trocken und wird von einer niedrigen, nicht allzu dichten Vegetation, in deren Zusammensetzung sowohl Gräser als Kräuter eingehen, bedeckt. Sie besteht hauptsächlich aus Kealeria cristata, Festuca ovina, Lychnis sibirica, Potentilla nivea, Eritrichum pectinatum, Artemisia pubescens u. à. die in buntestem Gemisch auftreten. Zwar kann an einer Stelle eine, an einer anderen Stelle eine andere Pflanzenart etwas reichlicher auftreten, solche Flächen aber, wo irgendwelche Pflanze einzig maasgebend aufträte, wurden überhaupt wenig gesehen. Die Vegetation des Haupttheiles der Jakutischen Steppen repräsentiert also eine zu- sammengesezte Association. Annotationen: N:o 1. Weites, ziemlich horizontales Steppenfeld. Boden: trockner Sand mit einer dünnen Schicht Schwarzerde. Moose: fehlen. N:o 2. Niedrige Steppen-Anhöhe. Boden: Sand, oben schwach mit Schwarzerde gemischt. Moose: fehlen. N:o 3. Weites, + horizontales Steppenfeld. Boden: trockner Sand, die Schwarz- erden-Schicht dünn. Moose: fehlen. N:o 1. 152 A. K. CAJANDER. N:o 4. Trockner, nach S schwach abschüssiger Steppen-Abhang eines Walles. Die Schwarzerden-Schicht sehr dünn. Moose: fehlen. N:o 5. Trockner, nach W schwach abschüssiger Steppen-Abhang. Boden: fast reiner Sand. Moose: fehlen. N:o 6. N:o 4 ähnlicher Abhang. N:o 7. Das + horizontale Steppenfeld am Fusse des Abhanges N:o 6. Boden: Sand, mit einer dünnen Schwarzerden-Schicht. Moose: fehlen. Flechten: spärlich. N:o 8. Trockner, nach S abschüssiger (10°) Abhang. Boden: fast reiner Sand. Moose: fehlen. " ; N:o 9. Weites, + horizontales Steppenfeld. Boden: Sand mit einer dünnen Schwarzerden-Schicht. Moose: fehlen. Flechten: sehr spärlich. N:o 1.| N:o 2.| N:o 3.| N:o 4.| N:o 5.| N:o 6.| N:o 7.' N:o 8.| N:o 9. Gräser: | Agrostis borealis . - TIT — | 2 1 = | = ss "Pom wpratensis EE AE SS RES = | — E = == = I8 WM s c5 os | = = — = = ie ER EE eres Æra cespilosa . . . . sv] = = 3 = = ees m cM 54 Koleria eristata . - - . - . 2 3 2 "Atxopissdistans [= 2.2 RS — E = = EM Schedonorus ciliatus . . . . .| — = 1 1 Bestuca:wina - . = . "1 . . 3 4 1 3 4 rituum Rene s EC EC 1 — — — 1 = ss Carex stenophylla. . . . . . | — = 1 1 2 Kräuter: Selaginella rupestris . . . . . 1 = = = = = == = er Rumez acetosa F . - . . . .| — — = = = _ PT LE Corispermum sp. . . . . . . | — = = ol — 1 = 1 Le Dianthus sinensis. - . . . . | — = E l 2 2 ac ES 1 OO GR eue ss c minm lare o d 2 1129 Pulsatilla patens ft \— — 1 Anemone silvestris. . eve li = = = Papaver nudicaule . . . . . | — = 1 = = = = = = Hesperis APT 2 222. — — = = — — = P es Potentilla bifurea . . . . . .| — 1 9 d AN TDI chc NU ULM ESTNE ES 3 4 2 9 9 Chamarrhodes erecta . . . . . = ton = wm w [27] Le] + [2-] Ti:hersnopsisssps 2 OAI = il (USD IRI LOADS EEE SN E = 2 = 3 DD -— | [n + Peucedanum baicalense . . . .| — = = = = 1 = = = Euphorbia esula . . . . . . | — == — = L = = 1 24s Myosotis silvatica 7 Eritrichum pectinatum . . . . Me 5 w (Se) + + | Tr - D [ » TERRI EV VÄG RESET NERA | | — 1 = Tom. XXXII. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 153 | | | I | I N:o 1. N:o 2. N:o 3.| N:o 4.) N:o 5.| N:o 6.| N:o 7. N:o 8.| N:o 9. Veronica incana . . . . «| — 1 Androsaces septentrionale 7 . .| — | 1 1 — 1 2 — 1 Statice speciosa. . . . + . . HN «9 Nepeta multifida . . . . . .| — — — — — 1 -— — — Thymus serpyllum . . . . . | — | — — — — = |1+ — — HORRORE S Nr = — — |1— 1 — — 1 Gentiana decumbens . . . . .| — | — — 1 — — — = 1 Galiwn verum . . . . > . | — — 1 — 1 = 1 — 1 Aster alpinus ue 1 Leontopodium alpinum t . . . d AES — — 2 Artemisia pubescens . Arlacmialar 2. 2 nt — - — = — | = 2 = = A. Sieversiana . . . . 2 2: — — 2 = — = — — ar Senecio. Jacoobeaf. . : 2. 1 1 1-2 | — — — — — 1+ Saussurea amara . . . . . . — 1 1 1 2 — — — — Taraxacum officinale = . . .| — — -— 1 | — 2 1 — 2 An Waldsäumen ist die Vegetation mehr wiesenartig: dichter, von einer fri- schen grünen Farbe. Folgende Annotation bezieht sich auf den die Kiefernwaldung N:o 3 (pag. 65) umgebenden Rand der Steppe. Gräser: Agrostis borealis 4—5 Schedonorus ciliatus 1 Carex amblyolepis 5 Keleria cristata 5 Festuca ovina 5 C. pediformis 4; Kräuter: Lychnis sibirica 1 Statice speciosa 2 Aster alpinus 1 Pulsatilla patens + 2 Myosotis silvatica + 5—4 Leontopodium alpinum 7 1 Anemone silvestris 1 Phlomis tuberosa 1 Artemisia pubescens 2 Potentilla nivea 2—3 Phloz sibirica 1—2 A. laciniata 2 Thermopsis sp. 1 Pedicularis comosa + 2 Cineraria campestris 1 Oxytropis sp. 2 Euphrasia officinalis, 1—2 Senecio Jacobæa 7 1 Astragalus danicus 1—2 Galium verum 7 1 Seorzonera radiata 1. Androsaces septentrionale + 1 Am Rande der Wege und an anderen mehr niedergetretenen Stellen tritt Po- tentilla bifurca bestandbildend auf. Die Potentilleten sind an ihrer gelben Farbe schon in der Ferne sichtbar. Annotationen: N:o 1. Weites Potentilletum bei den Kosacken-Wohnungen. Boden: Sand mit einer dicken Schicht Schwarzerde. Moose: fehlen. IN-ORIE 20 154 A. K. CAJANDER. N:o 2. Potentilla-Streifen am Rande eines Weges. Boden: Sand mit einer dünnen Schwarzerden-Schicht. Moose: fehlen. N:o 1.| N:o 2. | N:o 1.| N:o 2. Gräser (meist sterile, unbe- stimmbare). . . . . . .|4—5 4 Eritrichum pectinatum . . . . | 3+ — Echinospermum lappulat . . . 1 — Kanne: Sculellaria galerieulata t . . . 2 — Corispermum sp. 1 2 WE oT RUD GT — 1 Isopyrum fwmarioides . 1 — Achillea millefoium . . . . . | — 2 Potentilla bifurca . 6 6 Artemisia pubescens . 1 | 1-2 Oxytropis sp. 1 = A. Sieversiana . 1 3 Androsaces septentrionale T- 1 2 Senecio Jacobea T . 2 2 A. maximum . 1 — Saussurea amara » . . . ... | — 1 Siatice speciosa . 1 1 Taraxacum officinale . . . . 2 1 b. Die Serie der Associationen der salinen Steppenniederungen. In den kleinen Thälern der Jakutischen Steppen kommen den unter III. B. b. angeführten analoge Serien vor; nur sind diese Thälerchen alle ziemlich salin und demgemäss wurden die Associationen 5—7 dort nicht gesehen. Die Röhrichtassociationen der Jakutischen Steppenseen sind im Allgemeinen die- selben wie III. B. b. 1—4. Sie wurden nicht specieller annotiert. Die übrigen dort annotierten Associationen sind folgende: 1. Die Association von Potentilleta anserinæ. Um einige kleine Seen bildet Potentilla anserina schmale Ufer-Gürtel. Annotation. Potentilletum anserinæ eines Tümpelufers nahe von der Stadt. Bo- den: schwarzes Dy, feucht—nass, salin. Moose: fehlen. a Gräser : Agrostis borealis 3 Carex stenophylla 3 C. secalina 1—; Heleocharis palustris 2—5 Kräuter: Polygonum amphibium 1 Primula farinosa 1 Glaux maritima 2. Potentilla anserina 6 Tom. XXXII. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 155 2. Die Association von Glauceta maritimæ. Nach oben folgt auf das annotierte Potentilletum anserinæ ein Glaucetum-Gürtel. Boden: feucht. Moose: fehlen. Gräser: Hierochloë borealis I Agrostis borealis 2 Triticum sp. 1 Alopecurus nigricans 1 Poa pratensis 1 Carex stenophylla d ; Kräuter: Potentilla anserina 2 Glaux maritima 7 Plantago major 1+. Verbreitung. Die Glauceten sind zieml. häufig. 3. Die Association von Salicornieta herbaceæ. In kleinen untiefen Steppenthälern, auf + feuchtem Boden trifft man sehr häufig Bestände von Salicormia an. Sie sind sehr niedrig, grün. Annotation. Salicornietum in einem kleinen Thale ganz nahe von der Stadt. Boden: + feuchtes Dy. Moose: fehlen. Gräser: Atropis distans + 3 Festuca ovina 1: Kräuter: Salicornia herbacea 5 Potentilla nivea 1 A. Sieversiana 3 Sueda maritima 1—2 Statice speciosa 2 Senecio Jacobea f 1 Sisymbrium. salsugineum 1 Artemisia pubescens 1 Saussurea amara 1. An etwa ähnlichen Localitäten wurden ferner Bestände von Suæda maritima und Artemisia Sieversiana beobachtet. 4. Die Association von Atropideta distantis T. Die Atropideta distantis + sind häufig in sehr untiefen Niederungen, auf frischem oder schwach feuthtem Boden. Oft umgeben sie gürtelweise die Bestände von Salı- cornia, Suæda u. a. Die Annotationen N:o 1 und N:o 2 beziehen sich auf Atropideten nahe von der Stadt. Moose: fehlen. N:o 1. 156 A. K. CAJANDER. N:o 1. N:o 2. Gräser: Atropis dislams- - -. . . .. reichl reichl. Kräuter: Salicornia herbacea . . . . . spärl. zerstr. Sueda maritima . . . 20.0 spärl. zerstr. Teychnas sibirica 2 2 nn. vereinz. | — Sisymbrium salsugineum . . . vereinz. spärl. Italice SDECLOSQ Er vereinz. == Artemisia Sieversina . . . - spärl. spärl. Saussurea amara . » . . . . vereinz. — Die Ruderatenplätze der Stadt Jakutsk wurden nicht näher untersucht. Dort tritt eine grosse Zahl Pflanzen bestandbildend auf: Chenopodium album, Ch. ficifolium, Salicornia herbacea, Sisymbrium sophia, S. juncewn u. s. w. In der Umgebung von Marcha sollen sogar Aecker auf alluvialem Boden vorkommen; dorthin aber wurden keine Excursionen gemacht. IV. Die Moos- und Flechten-Associationen der Tundren an der Lena-Mündung. | Ich hatte nur Gelegenheit, die südlichsten Tundren, bei Bulkur und auf der Insel Tit-Ary, und sogar diese nur in grösster Eile — während eines Nachmittags auf Tit- Ary und während 3 Stunden bei Bulkur — im Anfang September, also in einer Jahres- zeit, als die grosse Mehrzahl der Pflanzen abgeblüht, ja die Holzgewächse sogar schon theilweise ihre Blätter gefällt hatten, zu besuchen. Die Untersuchungen fielen deswegen sehr mangelhaft aus‘). — Mit dieser ausdrücklichen Reserve werden im Folgenden die dort gemachten Annotationen mitgetheilt. A. Die Bulkur-Tundra. Bulkur ist ein kleiner Fischfangsplatz am westlichen Lena-Ufer nahe am Beginn des Deltas. Das Dörflein wird von einer weiten, schwach undulierten Tundra-Ebene umgeben, die weiter nach hinten von waldlosen Höhen begrenzt wird. — Eine Menge untiefer Tümpel und einige kleine Bäche kommen vor. Der + feuchte Boden besteht aus Sand mit dünnem Torf; weiter vom Ufer entfernt giebt es einige schmale, niedrige Geröllstreifen, alte Uferwälle der Lena. Der grösste Theil dieses Bodens wird von einer Moos- und Flechten-Matte bedeckt, deren Zusammensetzung auf einer Fläche nahe von der Fischer-Ansiedelung folgende war: Dicranum sp. (1), Spherocephalus turgidus (4), Hypnum trichoides (6—7), Hylocomium proliferum (7—8), Stereodon rufescens (1), Platysma nivale (5), Cladina rangiferina (4), Dactylina arctica (2), Thamnolia vermicularis (1). !) Eine gründlichere Schilderung dortiger Vegetation ist wohl jedoch bald von Herrn Mag. Phil. N. H. NILSSON zu erwarten, der sich eine längere Zeit in der fraglichen Gegend aufgehalten hat. N:o 1. 158 A. K. CAJANDER. Gräser: Calamagrostis sp. 1 Luzula arcuata 1 Unbestimmbare 6 (wohl meist Poa sp. 1 Carices und Eriophora) ; Kräuter: Polygonum Pawlowskianum 1 S. punctata 1 Saussurea alpina 1 Stellaria graminea 2 Dryas octopetala 5 Senecio resedifolius 1; Saxifraga hireulus 1—2 Pedicularis spp. 2—3 Holzgewächse: Salix phylicifolia 1 Betula nana 2 Cassiope tetragona 2— S. glauca 1 | Vaccinium vitis idea 1+ Ledum palustre 1+ S. sp. 4 Arctostaphylus alpina 1+ Diapensia lapponica 1. S. polaris 1 i Eine artenreichere Vegetation findet man auf den der Lena und den oben ge- nannten Tundra-Bächen zugewandten Abhängen. Annotationen: N:o 1. Tundra-Abhang am Lena-Ufer; Schiefe nach E etwa 10—-20°. Boden: Sand, von einer dünnen Torfschicht unvollständig bedeckt, frisch. Moose und Flechten: sehr reichlich (Polytrichum strictum spärl, Bryum sp. spärl., Hypmum plumosum var. turgidum spärl., Hylocomium rugosum veichl., Lecanora sp. zieml. reichl., Platysma nivale spärl., Thamnolia vermicularis spärl.). N:o 2. Eine andere Stelle desselben Abhanges; Schiefe 15—-30°. Boden: Sand, die Torfschicht dünn und unvollständig. Moose und Flechten: reichlich (Polytrichum strictum, Dieranum sp., Sphærocephalus turgidus, Bryum sp., Amblystegium sp., Hyp- num plumosum var. turgidum, H. trichoides, Hylocomium proliferum, H. rugosum). N:o 3. Uferabhang eines kleinen Tundra-Baches. Boden: wie oben N:o 1 u. N:o 2. Moose: reichlich (vorzugsweise Polytrichum | strictum, Amblystegium sp., Hyloco- mium rugosum); Flechten: spärlich. N:o 1.| N:o 2. N:o 3. N:o 1.| N:o 2.| N:o 3. | | Gräser: | Kräuter: Alopecurus alpinus . so so . . | — ]- AN Equisetum arvense . . . . . | — 1 1 Trisetum agrostideum . . . . | — 1 ! Tofieldia coccinea . . . . . . | 2-3 2 — Drasubspicatum dör NE 1 2 (uias digunoxs qo Ma ERES = 2 — JEO Spo ce LR eed wed 1 l — Polygonum bistoria . . . . . 1 2 |2—3 JOE OM INTER AB S S 1 — — | PRCANDARUM NT OUT CT | 1 1 Tnzula arcuata d. s 2 ler 1+ — Wahlbergella apetala . = .. . .| — 1 1 | Sterile, unbestimmbare . . . 2 3 4 AISINENGICUCLE 03 — = Tom. XXXII. Alsine macrocarpa. Arenaria capillaris 7 . Cerastium alpinum Delphinium elatum Anemone Richardsonii . Cardamine microphylla . Parrya nudicaulis Draba spp. Saxifraga oppositifolia . S. stellaris S. nivalis . S. hieraeüfolia . S. hireulus S. cernua . S. punctala . Dryas octopetala Sanguisorba officinalis . Oxytropis sp. Hedysarum obseurum Lathyrus maritimus . Pachypleurum alpinum . Armeria vulgaris T- Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 159 1.| N:o 2. N:o 3. N:o 1.|N:o 2.| N:o 3. = — Myosotis silvatica + — 2 2 1 — Pedicularis spp. 1 1+ 1 NES Valeriana capitata al 1 1 = | A Artemisia borealis . 2 1 = Wet A. vulgaris + = 1 2 2 |1+ Petasites glacialis . — | 3—4 2 1 = Senecio resedifolius — 1 — 1 1 Saussurea alpina . 2 — 2 — = Taraxacum officinale — — |2—3 | 1 E Holzgewächse: 2 2 Salix hastata — — 1 2 | 2—3 S. glauca . — — 1 3 3 S. polaris . 4 4 2 2-—3 1 S. rotundifolia . 4 1 1 1 2 S. reticulata . — 3 = RQ EL FALSE 1 2 2 — — Betula nana T. . 2 — 2 2 2 Myrtillus uliginosa 1 1 1 1 — Cassiope telragona 3 3 1 1 - Rhododendron fragrans . 1 1 2 1 = Ziemlich abweichend ist die Vegetation der genannten Geröllstreifen; sie erinnert gewissermaassen an diejenige der alpinen Abhänge der Berge derselben Gegend. — Die Steinchen sind von Krustenflechten bedeckt. Zwischen den Steinen und in den Spalten derselben findet man ziemlich reichlich Moose und Flechten; es wurden an einer Stelle annotiert: Polytrichum sp., Dicranum sp., Grimmia hypnoides, Orthotrichum sp., Hy- locomium rugosum, Alectoria divergens, A. ochroleuca, Platysma mivale, Cetraria is- landica und Thamnolia vermicularis. Gräser : Poa arctica 1 Carex rigida + 1 Kräuter: Woodsia glabella 1 Tofieldia coccinea 2+ Lloydia serotina 1 Alsine arctica 1 N:o 1. Kobresia scirpina 1 Luzula parviflora 1 Arenaria capillaris + 1 Papaver nudicaule 1 Draba spp. 2 Saxifraga oppositifolia 3 L. Wahlenbergii 2 L. arcuata 2; S. flagellaris 1— S. bronchialis 2 S. hieracüfolia 1 S. hirculus 1 160 A. K. CAJANDER. Saxifraga cernua 2 Potentilla nivea 1 Artemisia borealis 2 Dryas octopetala 2 Androsaces villosum + 1 Saussurea alpina 1; Sieversia glacialis 1 Senecio resedifolius 1 Holzgewächse: Salix berberifolia 1— Cassiope tetragona 3 Ledum palustre 2 Myrtillus uliginosa 2 Rhododendron fragrans 3 Diapensia lapponica 2. Arctostaphylus alpina 1 B. Die Tundra von Tit-Ary. Tit-Ary ist eine grosse Insel etwa 15 à 20 Km. nördlich von Bulkur gelegen. Die Mittelpartie der Insel, wo der schon (pag. 61—62) beschriebene Lärchenwald sich befindet, ist höher als die übrige Insel. Das letzterwähnte Areal wird hauptsächlich von einer Moos-Flechten-Tundra eingenommen, nur die dem Ufer näher liegenden Par- tieen desselben (vel. pagg. 103—106) sowie gewisse Altwasserrinnen (vgl. pagg. 99— 100) werden überschwemmt und besitzen eine Grasfluren-Vegetation, die jüngsten Sand-Allu- vionen ausgenommen, die völlig vegetationslos sind. Annotationen: N:o 1 bezieht sich auf einen, dem östlichen Ufer näher gelegenen T'heil der Tundra. Boden: Sand, von einer '/,—1 '/, Dm. dicken, feuchten Torfschicht bedeckt. Die Moos- u. Flechten-Decke ist ununterbrochen, bestehend hauptsächlich aus: Diera- num sp. Spherocephalus turgidus, Meesea triquetra, Amblystegium sp. Hypnum plu- mosum var. turgidum, H. trichoides, Hylocomium proliferum, Stereodon rufescens, Dactylina arctica, Peltidea aphtosa, Platysma nivale, Cetraria islandica. N:o 2 bezieht sich auf einen dem Lärchenwald näher liegenden Theil. Boden: wie in N:o 1. Die Moos- u. Flechten-Decke ununterbrochen: Riccardia pinguis (1), Polytrichum | strictum. (1), Dieranum sp. (1), Meesea triquetra (2), Spherocephalus turgidus (4), Amblystegium stellatum (2), A. sp. (1), Hypnum plumosum var. turgi- dum (1), H. trichoides (2), Hylocomium proliferum (8), Stereodon rufescens (1), Dac- tylina arctica (2), Peltigera sp. (2), Platysma nivale (4), Cetraria islandica (3), Stereo- chaulon paschale (2). N:o 1.| N:o 2. N:o 1.| N:o 2. | Gräser: TTR NE Kräuter: Colpodium latifolium. . . . . ] — Polygonum bistoria. . . . . 1 = Carex rigida 7 . = 1 Arenaria graminifolia . . . . 1 = C. aquatilis 7 2 1 Siellaria gramınea E 1 TUE UA ED A034 es e o Qr S 1 1 Delphinium elatum . soc . . 1 — Sterile, unbestimmbare . 2 | 1+ Papaver nudicaule . . . . . 1 — Tom. XXXII. N:o 1. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. gg Parrya nudicaulis Braya. alpina Draba spp. Saxifraga hieraciifolia |. S. hirculus S punctata . Dryas octopetala Lathyrus maritimus . Pyrola rotundifolia + Pedicularis spp. Valeriana capitata Saussurea alpina . N:o 1. | M — mm © rn DH FR t3 N:o 2. Holzgewächse: Salix glauca . S. lanata . S. polaris . S. reticulata . Alnaster viridis Myrtillus uliginosa Vaccinium vitis idea Arctostaphylus alpina Cassiope tetragona Ledum palustre N:o 1.| N:o 2. 2 1 1 3 2—3 1 1 — 2 3 1 2 — 2 1 3 1 1 1 1 161 Tir Schlussbemerkungen. Die Pflanzen, welche im Thale der unteren Lena auf jährlich überschwemmtem Alluvialboden vorkommen, gehören hauptsächlich zu den Gräsern und Kräutern sowie zu den Sträuchern und Bäumen. Auch sind die dort auftretenden Associationen fast ausnahms- los entweder Grasfluren oder Gebüsche und Wälder. — Die Vegetation ist im Allge- meinen üppig: die Gehölze sind oft beinahe undurchdringlich und die Grasnarbe der Fluren dicht. Die grösste Dichtigkeit der Grasflurenvegetation ist gewöhnlich nicht gleich an der Bodenfläche, sondern auf einem gewissen Niveau oberhalb derselben gele- gen. Unter den Gehölzen liefern das beste Beispiel hierfür die den Bambuseten ähn- lichen Saliceta viminalis, deren einzelne Exx. nur im Wipfel verzweigt und belaubt sind. An dünenartigen sowie an geröllreichen Stellen ist die Vegetation oft undichter, des- gleichen an dem, gegen den pflanzenlosen, aus Sand oder Gyttja bestehenden Ufersaum gelegenen äussersten Rande der Grasfluren und Gehölze. Halbsträucher (Æricineen, Empetrum u. dgl.) fehlen bis zum 66° n. Br. überhaupt allen deutlicher überschwemmten Alluvionen der Lena. Auch vom 66° n. Br. an gegen Norden kommen sie auf den Alluvionen der Lena selbst nur spärlich vor, oft aber reichlich an der Shiganka und desgleichen an den kleinen Bächen zwischen Küsür und dem Lena-Delta, wo sie sogar bestandbildend auftreten können '). — Holzlianen fehlen den niedrigeren Alluvionen vollständig, auf den schwächer überschwemmten findet man Atragene alpina 7 spärlich in den Gehölzbeständen. Moose fehlen den jüngsten Alluvionen. Auf etwas älteren findet man kleine, ge- wöhnlich sterile acro- und pleurocarpische Moose, bisweilen auch Sphagna und Lebermoose; ') Gewissermaassen könnte man ja auch die Bestände der Associationen von Alnastreta und Piceeta, theilweise auch von Alneta und Lariceta an der Shiganka als Halbstrauch- (Myrtillus uliginosa-) Bestände mit + reichlich beigemischten Bäumen und Strüuchern auffassen. Tom. XXXII. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 163 gewisse Arten halten sich vorzugsweise am unteren Theile der Stämme der Holzgewächse auf. Je kurzzeitigerer Ueberschwemmung die resp. Alluvionen ausgesetzt sind, desto reichlicher treten die Moose in den Wäldern auf, bis sie zuletzt an den am schwächsten überschwemmten Stellen fast ununterbrochene Matten bilden können. Auf den Gras- fluren aber sind sie überhaupt immer spärlich vertreten, abgesehen davon ob sie mehr oder weniger überschwemmt werden. Wie Beobachtungen aus Nord-Finnland lehren, sind jedoch die Ueberschwemmungen an und für sich der Moosvegetation keineswegs schäd- lich, wohl aber die starke Sedimentation, welche im Lena-Thale jeder Ueberschwemmung folgt. Ist die Moosvegetation ja auch im Shiganka-Thale, wo die Sedimentation gerin- ger ist, viel reichlicher ausgebildet als auf den Alluvionen des Mutterflusses. — Flech- ten fehlen im Allgemeinen dem Ueberschwemmungsboden der Lena. Nur in den kurz- zeitigst überschwemmten Wäldern kann man hin und wieder einzelne Exx. von Peltidea oder Peltigere antreffen. Wegen des ziemlich trocknen Klimas kommen sie auch als Epiphyten nur spärlich vor (vgl. z. B. Nompewskióonp 1880, p. 367); erst an der Lena- Mündung sind sie reichlicher. — Pilze findet man nur ausnahmsweise. Sogar die Para- sitenpilze, sowohl grössere (Polyporaceen ete.) als kleine (Rostpilze, Erysipheen u. a.) waren auf überschwemmtem Boden viel spárlicher vorhanden als auf nicht überschwemm- tem, wo die letztgenannten auf Thesium, Pulsatilla etc. oft verheerend auftraten. — Ueber das Vorkommen der Algen wurden Beobachtungen nicht angestellt. Oberhalb der Grenze (des Niveaus) der Ueberschwemmung hat die Vegetation einen anderen Character. Weil aber die Ueberschwemmungen keineswegs jedes Jahr gleich gross sind, ist auch der Uebergang der Vegetation nicht allzu scharf ausgeprägt. An der Lena-Mündung haben die nicht überschwemmten Alluvionen — den krüp- pelhaften Lärchenbestand der Insel Tit-Ary ausgenommen — etwa denselben Vegeta- tions-Character als die analogen, nicht alluvialen Tundren: eine + gut entwickelte Moos- und Flechten-Matte mit + reichlich eingesprengten (hochnordischen) Halbsträuchern, Kräutern und Grüsern. — Weiter nach Süden besitzen die resp. Alluvionen die gleiche Vegetation wie die analogen Partieen der eigentlichen, nicht alluvialen Taiga: dichter, dunkler Nadelwald mit einer + gut entwickelten Moosmatte, spärlichen Kräutern und Gräsern, oft aber mit reichlichen Halbsträuchern. — Südlich von der Aldan-Mündung, wo der Wald auf weiten Strecken ausgerodet worden ist (vgl. weiter unten) findet man trockene Grasfluren, die in ihrer am meisten differenzierten Form, in der Umgebung von Jakutsk, aus einer niedrigen, ziemlich undichten Gras- und Kráüuter- Vegetation bestehen, die nicht selten die grósste Dichtigkeit gleich an der Bodenfläche besizt. Die Vegeta- tion dieser ,Steppen“ erinnert in merkwürdig hohem Grade an die der nicht alluvialen Balaganschen Steppe zwischen Irkutsk und der Lena. Einen Gegensatz zu den gar nicht mehr überschwemmten Alluvionen bilden die- jenigen, die auch während des niedrigsten Wasserstandes vom Wasser bedeckt sind. Eine Vegetation kommt vorzugsweise nur an dyreichen Stellen, also nur in den Tüm- peln vor, und zwar treten dort mehrere Hydrophyten bestandbildend auf. Gewöhnlich werden die Tümpel von Grasfluren umgeben und auf Dyboden können einige von diesen Grasflurenbeständen sogar im Wasser selbst auftreten. Dagegen entbehren im Thale N:o 1. 164 A. K. CAJANDER. der unteren Lena die Gyttja-Stellen oft, der Sandboden aber immer der Vegetation. Vor Allem ist die Lena selbst in ihrem unteren Laufe vegetationslos. Schon ein flüchtiger Blick belehrt, dass die Niveauverhältnisse eine durchgrei- fende Rolle in der Verschiedenartigkeit der Alluvialvegetation spielen. Eine jede Asso- ciation des überschwemmten Bodens einer Gegend kommt, in Bezug auf den höchsten und niedrigsten Wasserstand, auf ziemlich konstantem Niveau vor. Es bilden die Asso- ciationen einer Gegend Reihen (Serien), deren Glieder eine konstante Ordnungsfolge haben. Zwar können ein oder mehrere Glieder fehlen — die ganze Anzahl ist sogar ziemlich selten vollständig vertreten — die gegenseitige Ordnungsfolge der übrigen Glie- der aber bleibt unverändert. Durch das Vorkommen von Thälern, Tümpeln, Seen u. dgl. werden die Niveau- verhältnisse verwickelter. In solchen Seen und Tümpeln, die auch während des höch- sten Wasserstandes der Lena mit der letztgenannten nicht in Communication stehen, kommt selbstverständlich keine Ueberschwemmung in dem gewöhnlichen Sinne des Wor- tes vor, wohl kann man aber auch dort Hoch- und Niederwasser unterscheiden. Im Früh- ling sammelt sich nähmlich dort Schmelzwasser von den Umgebungen, wodurch sich der höchste Wasserstand einstellt. Während des Sommers verdunstet das Wasser nach und nach, bis zuletzt im Spätsommer der niedrigste Wasserstand eintritt '). Es ist aber auch dann die Wasserfläche dieser Bassins höher gelegen als die der Lena selbst. — Es giebt ferner eine Menge Seen und Tümpel, die während des Hochwassers eine längere oder kürzere Zeit mit der Lena in offener Verbindung stehen, während des Niederwas- sers aber von ihr abgeschnürt sind. Dieselben unterliegen im Frühling einer normalen Ueberschwemmung, während des Niederwassers aber gleichen sie den oben erwähnten Tümpeln und Seen. Auch um alle Tümpel und Seen, sowie in allen Thalbildungen überhaupt, sind die Associationen in Reihen (Gürteln) angeordnet. Wäre es möglich, den Durchschnitt durch einen Alluvialboden mit Thälerchen verschiedener Art zu machen, würde man aber finden, dass die absoluten Niveaus einer und derselben Association am Ufer der Lena selbst und in den verschiedenen Thälerchen durchaus verschieden sind, und zwar sind sie am niedrigsten an der Lena selbst, am höchsten in den erst besprochenen Thäler- chen gelegen. Allein die gegenseitige Reihenfolge der Associationen ıst an allen ver- schiedenen Stellen dieselbe. Sie ist sogar — über die Association von Fquiseteta ar- vensis vgl. jedoch weiter unten — dieselbe in den verschiedensten Gegenden des unteren Lena-Thales. Die Niveauverhältnisse sind als eine Folge der Einwirkung der jährlichen Ueber- schwemmung auf die Vegetation zu betrachten, und dürften im Wesentlichen ein Aus- !) In regnerischen Sommern dürften mehrere Hochwasserperioden eintreten können; im trocknen Sommer 1901 kam solches nicht vor. Tom. XXXII. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 165 druck für die Länge der Ueberschwemmungszeit und für die Mächtigkeit der Fluthwas- serschicht an resp. Stellen sein. Auch unterhalb der Grenze des niedrigsten Wasserstandes, in den Alluvial-Seen und -Tümpeln, sind die Pflanzen gürtelweise nach den Niveaus angeordnet. Dort ist natürlich nur der letzterwähnte Factor, die Mächtigkeit (Tiefe) der Wasserschicht von Bedeutung '). — Oberhalb der Grenze der jährlichen Ueberschwemmungen spielt die Trockenkeit des Bodens eine etwa ebenso durchgreifende Rolle wie die Ueberschwem- mungen unterhalb derselben. Weil aber die Alluvionen meist aus + gerundeten, lang- gestreckten Wällen und Thälerchen bestehen, sind die höchst gelegenen Partieen, d. h. die Kämme der Wälle, gewöhnlich auch die trocknesten, und demgemäss haben wir auch oberhalb der Ueberschwemmungsgrenze nicht selten mit wirklichen Niveauverhält- nissen zu thun. Eine sehr wichtige Rolle spielen die Verschiedenheiten der Bodenbeschaffenheit. — Die Einwirkungen der physischen Verschiedenheiten derselben äussern sich haupt- sächlich auf zweierlei Weise: 1. Gewisse Associationen und Facies derselben sind an gewisse Bodenarten ge- bunden. In dieser Hinsicht liefern die Grasfluren die besten Beispiele. Von den Parallel- Serien von III. A. a. ist die eine auf Gyttjaboden, die andere auf dyreichem Boden, die Serien von III. A. b. auf Sand- und III. A. c. auf Geröll-Boden beschränkt. Desgleichen kommen die Associationen 1—9 der Serie III. B. a. fast ausschliesslich auf reinem Gyttjaboden oder wenigstens auf + gyttjabemengtem Boden, die Associationen 10—18 derselben Serie fast nur auf reinem Sandboden, die Serien von Ill. B. b. dagegen auf Dy- u. Torf-Boden vor. Ueber die Hydrophyten-Vegetation vgl. das oben gesagte. Auch in der vierten Klasse, der der Moos- und Flechten-Associationen, werden durch ver- schiedene Art des Bodens (Sand, Geróll) grosse Verschiedenheiten der Vegetation her- vorgerufen. Nur in Bezug auf die Gehölze sind die Einwirkungen weniger augen- fällig, es ist hier jedoch z. B. an die 2 verschiedenen Facies der Saliceten und Alneten an der Shiganka zu erinnern. 2. Die Bodenverhältnisse wirken modifierend auf die resp. Niveaus der Asso- ciationen ein. Obgleich keine genauen Messungen in dieser Hinsicht gemacht wurden, mögen dennoch einige Beobachtungen angeführt werden. Die Association von Equiseteta fluviatilis tritt auf Dyboden oft sogar im Wasser selbst auf, wogegen die Equisetetum- Localititen auf Gyttjaboden während des Niederwassers stets wasserfrei sind. Desglei- chen sind die Niveaus der Associationen von Cariceta acutæ bezw. C. aquatilis und Calamagrostideta phragmitoidis T auf dyreichem Boden niedriger gelegen als auf Gyttja- boden. Diese Thatsache kann man am deutlichsten an solchen langen Altwasserrinnen wahr- nehmen, deren Boden an dem einen (blinden) Ende hauptsüchlich aus Dy, an dem anderen 1) Die Einwirkungen des Wassers sind vorzugsweise durch sein Vermögen, Wärmestrahlen zu ab- Sorbieren, bedingt (vgl. MAGNIN 1893, p. 313—315). N:o 1. 166 A. K. CAJANDER. (mit der Lena communicierenden) Ende aus Gyttja oder Gyttja-Sand besteht. — Wie gewisse Beobachtungen aus Nord-Finnland lehren, können einige Associationen stärker als andere von diesen Verschiedenheiten der Bodenbeschaffenheit beeinflusst werden, so dass sogar die Serienfolge der Associationen in einigen seltenen Fällen dadurch geän- dert wird. Das einzige etwa so zu deutende Beispiel im Lena-Thal liefert die Associa- tion von Equiseteta arvensis, die auf + reinem Sandboden (Serie IIT. B. a.) oberhalb, auf Gyttjaboden (Serie III. A. a.) aber unterhalb der Associationen von Cariceta aqua- tilis resp. C. acutæ auftritt; innerhalb der beiden genannten Serien ist aber die gegen- seitige heihenfolge der erwähnten Associationen konstant. Nun ist aber im Allgemeinen die Menge der jährlich sich ablagernden Fluss- sedimente an dyreichen Stellen geringer als auf Gyttjaboden und dort viel geringer als auf Sandboden. Weil also die Oscillationen der Bodenbeschaffenheit und die der Intensität der Sedimentation + parallele Erscheinungen sind, ist es schwierig, in jedem Einzelfalle die combinierte Einwirkung derselben in ihre zwei Componenten zu zerlegen. Der Vergleich mit dem Auftreten derselben Associationen in Nord-Finnland und Nord- Russland lehrt jedoch sogleich, dass dem letzterwähnten Factor viel grössere Bedeutung zukommt. — Dass die Gliederung der Associationen von Elymeta dasystachyos und Equiseteta arvensis der Serie IIT. B. a. in zwei Facies durch die Menge der jährlichen Sedimentation hervorgerufen ist, wurde schon früher (pagg. 125 und 131) angeführt. Die Alluvionen des unteren Lena-Thales dürften überhaupt sehr schwach kalk- haltig sein (vgl. pag. 16). Welchen Schwankungen der Kalkgehalt in verschiedenen Gegenden oder sogar an verschiedenen Punkten einer Gegend unterworfen sein mag, ist mir nicht näher bekannt, und ebensowenig der Einfluss, den diese etwaigen Schwankun- gen auf die Vegetation ausüben. Es muss jedoch ausdrücklich betont werden, dass die Vegetation der Alluvionen der unteren Lena nirgends derartige grössere Verschiedenheiten darzubieten schien, die sich auf einen verschiedenen Kalkgehalt des Bodens hätten zu- rückführen lassen. — Mehr hervortretend ist der Einfluss des Gehaltes der Alluvionen an Kochsalz. Der Salzgehalt erreicht sein Maximum in den Thälerchen der nicht oder nur sehr kurzzeitig überschwemmten Alluvionen (vgl. pag. 16.), und dort findet man mehrere eigenartige Associationen vertreten (III. B. b. 8— 11, III C. b.). Dass das Klima auf der langen Distanz vom 62° bis zum 72" n. Br. grosse Verschie- denheiten hervorrufen muss, ist ganz natürlich. Auch giebt es nur wenige Associationen (z. B. die von Equiseteta arvensis), die über die ganze oder fast ganze Strecke verbrei- tet sind; alle übrigen sind auf engere Bezirke begrenzt. — Jenseits der Grenze ihres Vorkommens werden die Associationen keineswegs immer von ühnlichen Associationen ersetzt (vgl. unten die vicarierenden Ass.). Es werden sogar die Associationen von Betuleta, Piceeta und Piceeto-Lariceta etwa vom 66" n. Br. an nicht einmal von Holzgewüchs- sondern von Grasfluren-Associationen ersetzt (vgl. pag. 82). Solche Associationen, die grüssere Verbreitung von S nach N besitzen, sind auf verschiedener Polhöhe betreffs der Zusammensetzung der Vegetation von ziemlich ver- Tom. XX XH. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 167 schiedenartiger Beschaffenheit: die Mehrzahl solcher Assoeiationen sind in verschiedene kli- matische Facies gegliedert. Folgt man den Veränderungen von S nach N, so findet man, dass nach und nach einzelne Arten seltener, andere dagegen häufiger werden, einige hóren gänzlich auf, andere treten neu hinzu. Die Veränderungen sind im Allge- meinen ziemlieh allmählich, so dass sie erst auf längeren Distanzen augenfällig werden. An diesem Orte mögen die vicarierenden Associationen Erwähnung finden. Vica rierend nenne ich solche Associationen, die in den Serien einander + vollständig er- setzen. Vicarierend sind z. B. die Associationen von Cariceta acute und C. aquatilis: beide kommen an fast ähnlicher Localität vor, nur ist die erstgenannte im ganzen nörd- lichen Eurasien eine südlichere, die letztere eine nördlichere Association. Vicarierend sind noch, wenigstens gewissermaassen, die Associationen von Heleochariteta acicularis, Nasturtieta amphibii + und Ranunculeta hyperborei an der Lena, ferner die von Phalari- deta arundinaceæ (Nord-Europa u. West-Sibirien) und Beckmannieta (Lena), reta cæspitosæ (Nord-Europa u. West-Sibirien) und Hordeeta pratensis (Ost-Sibirien). Im nördlichen Fennoscandia tritt die seltene Association von Saliceta triandræ vicarierend für die Association von Saliceta viminalis Nord-Russlands und Sibiriens auf. — Wenn man die Bestände verschiedener Micro-Arten, ,vicarierender“ Arten u. s. w. als eigene Associationen aufstellen will, wird die Zahl der vicarierenden Associationen natürlich viel grösser; man erinnere sich z. B. an Larix sibirica u. L. dahurica, Picea excelsa u. P. obovata, Carex aquatilis u. C. stans, Rumex auriculatus u. R. hematinus etc. — Ob die verschiedenen ,Facies* der Fruticeta mixta alle als eine Association oder richtiger als mehrere vicarierende Associationen aufzufassen sind, mag dahinstehen. Ausser den oben erwähnten geographisch resp. klimatisch vicarierenden Asso- ciationen, die in verschiedenen geographischen (resp. klimatischen) Gegenden einander vertreten, giebt es Associationen resp. Associationsgruppen, die auf verschiedener Boden- art in derselben Gegend für einander vicarieren: edaphisch vicarierende Associationen bezw. Associationsgruppen. In den Serien von III. A. a. vicarieren die Associationen 1—4 (oder wenigstens 1—3) und die Ass. von Equiseteta fluviatilis für einander; wei- tere Beispiele liefern die Parallel-Serien von III. B. b. In Betreff der Einwirkungen der Winde auf die Vegetation der Alluvionen kann vor Allem an den eigenartigen Character der Gebüsche (pagg. 31, 34 u. 47) und Gras- fluren (III. A. b. B. u. jy.) an + dünenartigen Stellen erinnert werden. Hie und da wurden Bäume gesehen, die wahrscheinlich durch Wind gebrochen worden waren, im Allgemeinen dürften aber die Einwirkungen der Winde auf die Alluvialvegetation des grössten Theiles des Lena-Thales ziemlich bedeutungslos sein, schon weil die Winde dort ziemlich schwach sind. In den nördlichsten Gegenden dagegen, wo dieselben stär- ker sind (vgl. pag. 6), dürften sie die Vegetation in beträchtlicher Weise beeinflussen. Die Einwirkungen des Fisganges sind hauptsächlich zerstörender Art. Da und dort kamen Gebüsche vor, die von den Eismassen fast zu Boden gepresst wor- N:o 1. 168 A. K. CAJANDER. den waren, so dass man buchstäblich auf den Sträuchern spazieren konnte (vgl. pag. 43). Auch die ziemlich häufige Erscheinung, dass die Gebüsche an ihrem Wipfel + nach Norden geneigt sind, dürfte von der Strömung des mit Eismassen gefüllten Hochwassers herrühren (vgl. Jürsens 1885, p. 253, Bunee 1895, p. 7). — Dass der Eisgang (im Zusammenhang mit dem „Einfrieren der Stämme im an- geschwollenen Strome“) die Gehölzvegetation vernichten und dadurch Platz für Grasfluren bereiten könne (GRAEBNER 1895, p. 517), habe ich weder in Sibirien noch in Nord- Russland oder Nord-Finnland beobachtet. Zwar sind ja die Gehölze an solchen Stellen bisweilen sehr geschädigt worden, keineswegs aber vernichtet. — Durch Eisstauungen in schmalen Flussarmen können wahrscheinlich locale Verschiebungen der Niveauver- hältnisse hervorgerufen werden, keine directen Beobachtungen liegen aber aus dem Lena- Thale vor. Der Einfluss der grösseren Thiere auf die Vegetation schien im Allgemeinen ziemlich bedeutungslos zu sein. Es ist schon früher (pag. 89) erwähnt worden, dass die Association von Equiseteta arvensis, besonders der Serie III. A. a., von den im Lena- Thale massenhaft sich aufhaltenden Gänsen (Anser segetum, A. bernicla u. a.) + gefressen und zertreten, zugleich aber auch gedüngt werden. Viel geringere Bedeu- tung kommt den verschiedenen Enten, Sterna- und Larus-Arten u. s. w. zu. Wo es reichlich Bären giebt, z. B. auf der Insel Agrafena, werden die Grasfluren und auch das Gras der Gehölze von denselben stellenweise ziemlich gründlich niedergetreten, Sträucher und junge Bäume gebrochen u. s. w. Zu erwähnen ist noch die kleine ,dewraschka^ (Spermophilus Eversmanni), die sich in den trocknen Steppen aufhält und den Boden mit ihren Gängen durchlöchert, wodurch die Trockenheit desselben aber- mals erhöht wird. Der Einfluss der wilden Rennthiere wurde nicht studiert. — Schon oben (pag. 163) wurde erwähnt, dass die Vegetation des Ueberschwemmungsbodens von den parasitischen Pflanzen viel weniger inficiert war als die der nicht überschwemmten Allu- vionen. Nach von meinem Reisegefährten Mag. Phil. R. B. Poppius gemachten Be- obachtungen, dürfte dasselbe auch für thierische Parasiten Gültigkeit haben. Es kann einem nicht entgehen, dass die Vegetation, vor Allem die Gehölzvege- tation, an der Lena selbst, an der Shiganka und an den nördlichsten Zuflüssen der Lena unter einander grosse Verschiedenheiten aufzuweisen hat. Bis mehrere analoge Fälle bekannt worden sind, muss jedoch auf ein näheres Eingehen auf diese Frage verzichtet werden. Als die wahrscheinlich wichtigste Ursache der Verschiedenheiten zwischen der Lena und der Shiganka dürfte wohl jedoch die Intensität der jährlichen Sedimentation an- gesehen werden; in Betreff der genannten nördlichen Bachthäler hat man ausserdem vor Allem mit dem Klima zu rechnen, — meine Beobachtungen über die Gehölzvege- tation der Lena selbst beziehen sich nähmlich fast ausschliesslich auf das südlich vom 67° n. Br. gelegene Gebiet. Tom. XXXII. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 169 Zuletzt muss noch der Einfluss des Menschen auf die Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales erwähnt werden. Der Einfluss des Menschen äussert sich haupt- sächlich in der Existenz 1) der Parklandschaft südlich von der Aldan-Mündung und 2) der Steppen um die Stadt Jakutsk. Dass die Parklandschaft südlich von der Aldan-Mündung nicht ursprünglich, son- dern durch Menschenthätigkeit entstanden ist, geht aus folgenden Thatsachen hervor: 1. Die Grenze zwischen der Parklandschaft südlich von der erwähnten Fluss- Mündung und der Waldlandschaft nördlich von derselben ist allzu scharf, um völlig na- türlich zu sein. Es können nähmlich die kleinen Verschiedenheiten des Klimas — man vergleiche die klimatologischen Data für Marcha (Jakutsk), Amginsk, Ustj-Maja, Wil- jujsk und Werchojansk mit einander — und die etwaigen der Bodenschaffenheit schwer- lich eine so scharfe Grenze hervorrufen. Die grosse Verbreitung der Grasfluren im ge- nannten Gebiet wird aber ganz einfach dadurch erklärt, dass der Wald dort ausgerodet worden ist, — dasselbe ist ja „relativ“ dicht bevölkert und der hauptsächlichste Nah- rungzsweig der Bevölkerung ist Viehzucht; den Gegenden nördlich von der Aldan-Mün- dung aber fehlen bis Shigansk alle feste Ansiedelungen und weder in Shigansk noch weiter nach Norden wird Viehzucht getrieben. — Dass jedoch nördlich von der Aldan- Mündung die Existenzbedingungen analoger Grasfluren keineswegs fehlen, beweist schon der Umstand, dass solche Fluren in der That in den unmittelbarsten Umgebungen der Fischfangsplätze an der Wiljuj-Mündung vorkommen (Serie Ill. A. b.«.). Und anderer- seits sind die grösseren Grasfluren auch an der oberen Lena, von Pokrofskoje aufwärts, vorzugsweise nur auf die Umgebungen der Ansiedelungen beschränkt. 2. Die allgemeine Regel, dass die Associationen einer Gegend — von den Einschränkungen in Betreff der Thalbildungen und der Bodenbeschaffenheit abgesehen — in Bezug auf die Wasserfläche der Lena auf konstanten Niveaus auftreten, behält auch auf die Grasfluren und Gehölze als Gesammtheiten betrachtet ihre Gültigkeit: die Grenze zwischen Grasflur und Gehülz einer Gegend ist konstant. In dieser Hinsicht nimmt allein das Gebiet südlich von der Aldan-Mündung eine Ausnahme-Stellung ein: die Grenze der Grasfluren nach oben ist beliebig. Das letzterwähnte Verhältniss wiederhohlt sich überall in cultivierten Gegenden, wo Wald in Wiesen (resp. Aecker) verwandelt worden ist. 3. Viele dieser Grasfluregegenden waren noch bei Menschengedenken von ho- hem Walde oder wenigstens von kleineren Waldungen bedeckt (vgl. SsEROsCHEFSKIJ 1896, p. 76). Vielerorts wurden Wiesen beobachtet, die ganz neulich durch Holzschlag und Brennen gerodet waren. 4. Das Gras dieser Fluren wird jährlich abgemäht, wodurch ein Wieder-Auf- wachsen der Gehölze verhindert wird. Ausserdem werden die Grasfluren gewöhnlich im Frühsommer von den Jakuten gebrannt (vgl. Sseroscurrskıs 1896, p. 75). Dass jedoch diejenigen Grasfluren-Associationen, die unterhalb der Grenze der Association von Saliceta viminalis, auf Gyttja- oder Dy- (resp. Torf-) Boden, vorkom- men, als ursprünglich zu betrachten sind, steht ausser Zweifel, sicher ist aber auch, dass sie von der Cultur nicht unbeeinflusst geblieben sind. N:o 1. 22 170 A. K. CAJANDER. Dass die Steppen (der Serien von III. C.) um die Stadt Jakutsk nur eine von der Cultur und zwar durch Weide und Niedertreten mehr beeinflusste Grasflur obiger Art darstellen, geht aus Folgendem hervor: 1. Beide sind auf ähnlichen Alluvionen der Lena gelegen. 9. Die Steppen kommen nur in den näheren Umgebungen der Stadt vor und gehen weiter von der Stadt entfernt allmählich in mehr wiesenartige Grasfluren der Serien von III. B. über. Umgekehrt findet man an mehr zertretenen Stellen auch weiter von der Stadt entfernt ähnliche Steppen; nach Angaben der Bewohner kommen sie so- gar überall in der Nähe der Jakuten-Wohnplätze des fraglichen Gebietes vor. Auch an der oberen Lena findet man häufig kleine, ganz ähnliche steppenartige Grasfluren, theils auf Alluvial-, theils auf Nichtalluvial-Boden, aber nur in der Nähe der Dörfer. Auch die hainartigen Waldungen, die die Parklandschaft characterisieren, sind als Halbeulturbildungen zu betrachten. Die Hypothese stützt sich darauf, dass das Vor- kommen derselben ausschliesslich auf das genannte Gebiet beschränkt ist, und auf die Thatsache, dass auch anderswo in dichter bewohnten (Alluvial-) Gegenden etwa analoge Bildungen auftreten, z B. auf dem Delta des Tornio-Flusses, wo die ursprünglichen Nadel- wälder in den Umgebungen der Dörfer und Wohnplätze + mittelbar durch Menschen- thätigkeit in hainartige Laubwälder umgewandelt worden sind. — Ob es in den Um- gebungen der jetzigen Stadt Jakutsk auch ursprünglich Kiefernbestände auf Alluvial- boden gegeben hat, kann ich nicht entscheiden. Sehr wahrscheinlich sind aber die jetzigen Kiefernparcellen der Steppen nicht als directe Ueberreste des ursprünglichen Waldes zu betrachten. Jedenfalls muss die Vegetation derselben seit jener Zeit in sehr hohem Grade von der Cultur beeinflusst worden sein. Weil der grösste Theil der Alluvial-Gehólze auf Flussinseln gelegen sind, sind sie vor den Waldbränden, die in der Taiga grosse Verheerungen zuwege gebracht ha- ben, ziemlich geschützt gewesen. Nur an den Festlands-Ufern traf man oft gebrannte Wälder. — Kaum erwähnt zu werden braucht, dass ganz vereinzelte Waldbestände durch Holzschlag für Dampfer vernichtet worden sind. Mehrere Fragen haben oben keine Berücksichtigung gefunden, theils weil die dazu nöthigen Data z. Z. noch allzu dürftig sind, theils weil die Behandlung derselben erst nach dem Erscheinen der in Nord-Russland und Nord-Finnland gemachten Unter- suchungen vollständiger stattfinden kann. cpm C Nom. XXXH. Verzeichniss der angeführten Phanerogamen und Gefässkryptogamen. Woodsia glabella R. Br. Equisetum pratense Ehrh. E. arvense L. KE. arvense X fluviatile (E. litorale Kühl.). E. fluviatile L. (incl. E. limosum L.; E. heleo- charis Ehrh.). E. variegatum Schleich. (E. tenellum (Liljebl.) Krok). KE. scirpoides Michx. Picea obovata Led. Larix dahurica (Fiseh.) Turez. Pinus silvestris L. P. pumila (Pall. Reg. Sparganium spp. Potamogeton perfoliatus L. P. prælongus Wulf. P. gramineus L. P. compressus L. (P. zosterifolius Schum.). Triglochin palustris L. Alısma plantago L. Sagittaria natans Pall. (S. alpina Willd., 8. sagittifolia L. + tenuior Whlnb.). Hierochloë borealis (Schrad.) R. et Sch. + da- hurica (Trin.) Trautv. H. alpina (Liljebl.) R. et Sch. Beckmannia eruciformis (L.) Host. Alopecurus alpinus Sm. A. nigricans Horn. (A. arundinaceus Poir., À. ruthenicus Weinm.). Agrostis borealis Hn. (2). A. laxiflora R. Br. (A. bottnica Murb.). N:o 1. Calamagrostis phragmitoides Hn. (C. purpurea Trin. + Zangsdorfit (Link) Almqu. (?). Calamagrostis neglecta (Ehrh.) Fr. (C. stricta (Timm) Nutt.). C. epigea (L.) Roth. Avena pratensis L. (?). Trisetum flavescens (L.) Beauv. Tr. agrostideum (Læst.) Fr. Tr. subspieatum (L.) Beauv. Era cespitosa L.: Æ. alpina L. (?). Phragmites communis Trin. (Arundo phrag- mites L.). Keleria eristata (L.) Pers. K. glauca (Schk.) D. C. K. hirsuta (D. C.) Gaud. Poa arctica R. Br. P. attenuata "Trin. (?). P. pratensis L. P. subfastigiata "Trin. (Glyceria s. (Trin.) Led.). P. spp. Colpodium latifolium R. Br. (Arctagrostis L. (R. Br.) Gris.). Arctophila fulva (Trin.) Rupr. (incl. A. pendu- lina (Læst.) Ands.). Seolochloa arundinacea (Liljebl.) (Se. festuea- cea (Willd.) Link). Glyceria aquatica (L.) Whlub. Atropis distans (L.) Gris. + tenuiflora (Turez.). Festuca ovina L. F. rubra L. (incl. F. altaica Trin.). Schedonorus inermis (Leyss.) Beauv. 172 A. K. CAJANDER. Schedonorus ciliatus (L.) Kjellm. Tritieum caninum L. Tritieum repens L. Triticum. sp. Elymus mollis "Trin. KE. dasystachys "Trin. Hordeum pratense L. H. jubatum L. Heleocharis acieularis (L.) R. Br. H. palustris (L.) R. Br. Scirpus lacustris L. Eriophorum vaginatum L. E. Scheuchzeri Hoppe. Carex capitata L. ©. obtusata Liljebl. C. stenophylla Whlnb. (incl. + duriuscula (Mey.) Trautv.). C. disticha Huds. (C. intermedia Good.). C. pseudocuraica Schmidt. C. Schreberi Schrank (C. precoz Schreb.). C. pallida Mey. C. Cajanderi Kükenth. C. bicolor. All. C. macrostigmatica Kükenth. C. rigida Good. + Bigeloviz (Torr.) Tuck. C. aquatilis Whlnb. y stans (Drej) Boott. C. acuta Auctt. (C. gracilis Curt.). C. cespitosa L. C. Maximowiczii Schmidt. C. descendens Kükenth. C. amgunensis Schmidt (incl. + chloroleuca (Meinsh.) Kükenth.). . amblyolepis Trautv. et Mey. . melanocarpa Cham. . globularis L. . supina Whlnb. pediformis Mey. sparsiflora (Whlnb.) Steud. secalina Whlnb. capillaris L. + Karoi Freyn. aristata R. Br. levirostris Bl. et Fr. (C. rhynchophysa Mey.) rostrata With. (C. ampullacea Good.; incl. + utriculata (Boott.) Bail.) C. wesicaria L. (incl. C. vesicata Meinsh. und C. udensis Meinsh.). Kobresia seirpina Wild. (K. Bellardi (Al) Degl.). AAN K. capillifolia (Deene) Clarke filöfolia (Turez.) Kükenth. Acorus calamus L. Calla palustris L. Lemma trisulea L. L. minor L. Junceus arcticus Willd. J. filiformis L. (coll.). J. bufonius L. J. triglumis L. J. eastaneus Sm. J. alpinus Vill. Luzula parviflora (Ehrh.) Desv. L. Wahlenbergii Rupr. L. arcuata (Whlnb.) Sw. (coll.). Tofieldia coccinea Richards. Veratrum album L. + Lobelianum (Bernh.). Allium strietum Schrad. A. schenoprasum L. A. tenuissimum L. (?). A. senescens L. (?). Lilium spectabile Link (L. dahuricum Gawl.). Lloydia serolina (L.) Sweet. Majanthemum bifolium (L.) Schmidt. Smilacina trifolia (L.) Desf. Iris levigata Fisch. I. setosa Pall. Goodyera repens (L.) R. Br. Salix pentandra L. S. triandra L. (S. amygdalina L.). S. viminalis L. (coll.). S. phylicifolia Sm. (S. bicolor Ehrh.). S. chlorostachya Turcz. S. hastata L. S. pyrolifolia Led. S. vagans Ands. + cinerascens (Whlnb.) Ands. S. myrtilloides L. S. lanata L. S. glauca L. S. myrsinites L. + Jacquiniana (Willd.) Koch (?). S. berberifolia Pall. S. polaris Whlnb. S. reticulata L.. S. spp. Populus suaveolens Fisch. Betula verrucosa Ehrh. B. odorata Bechst. (B. pubescens Ehrh.). B. odorata »« fruticosa. B. fruticosa Pall. Tom, XXXIL. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 173 D. nana L. + sibirica Led. (B. glandulosa Michx. + rotundifolia (Spach) Reg.). D. adenophora (Trautv) = B. nanar x odorata als Blendart). Alnus incana (L.) D. C. Alnaster viridis (Chaix) Spach (A. fruticosus (Rupr) Led. Alnus alnobetula — (Ehrh.) Hart.). Rumex salicifolius Weinm. R. maritimus L. R. arcticus Trautv. R. aquaticus L. (BR. hippolapathum Kr.). R. acetosa L. + hematinus (Kihlm.). R. acetosella L. + graminifolius (Lamb.) Schrenck. Oxyria digyna (L.) Hill. (0. reniformis Hook.). Kenigia islandica L. Polygonum bistorta L. P. viviparum I. P. polymorphum Led. (P. alpinum All.). . divaricatum L. . Laæmanni Lepech. . Pawlowskianum Glehn. . amphibium L. . lapathifolium Ait. (P. tomentosum Schrank). . aviculare L. (coll.). Thesium longifolium Turez. Chenopodium album L. Ch. ficifolium Sm. Ch. rubrum L. Ch. glaucum L. Corispermum sp. Salicornia herbacea L. Suæda maritima (L.) Dumort. Claytonia arctica Adams. Silene repens Patr. Wahlbergella apetala (L.) Fr. W. affinis (Vahl) Fr. Lychnis sibirica 1. Dianthus sinensis L. (coll.). + repens (Willd.) Trautv. Sagina intermedia Fenzl (S. nivalis Auctt.). S. nodosa (L.) Fenzl. Alsine verna (L.) Whlnb. (coll.). A. arctica (Stev.) Fenzl. A. macrocarpa (Pursh) Fenzl. Meehringia lateriflora (L.) Fenzl. Arenaria graminifolia Schrad. A. capillaris Poir. + formosa (Fisch.) Reg. Stellaria radians L. N:o 1. eaae a ao av) Stellaria palustris (Murr.) Retz. (coll.). St. graminea L. (coll.). St. crassifolia Ehrh. Cerastium maximum L. C. alpinum L. (coll.). Nuphar pumilum (Timm) Sm. Nymphea tetragona Georgi (N. pygmæa Ait., N. fennica Mela). Caltha palustris L. C. natans Pall. Isopyrum fumarioides L. Aquilegia parviflora Led. Delphinium grandiflorum D. €. D. elatum L. Aconitum. Kusnetsowii Rchb. A. barbatum: Patr. Atragene alpina L. + sibirica (L.) Reg. et Til. Thalictrum kemense Fr. (coll.). Th. simplex L. (incl. Th. amurense Maxim.). Pulsatilla patens (L. Mill. + Wolfgangiana Trautv. et Mey. P. dahurica (Fisch.) Spreng. Anemone silvestris L. A. dichotoma L. A. Richardsonii Hook. Ranunculus Pallasii Schlecht. . reptans L. . lapponicus L. . hyperboreus Rotth. . radieans Mey. (R. Purshii Auctt.). . acer L. + borealis (Trautv.) Reg. . auricomus L. + sibiricus Glehn (AR. Richteri Borb.). R. repens L. Papaver nudicaule L. (P. alpinum Auctt.). Nasturtium amphibium (L) R. Br. + natans (Patr.). N. palustre (Leyss.) D. C. »Tetrapoma barbareifolium (D. C.) Turez.“ Barbarea vulgaris R. Br. 3 planisiliqua (Mey.) (?). Arabis hirsuta (L.) Scop. (coll.). A. petræa (L.) Lam. (inel. + ambigua (D. C.) Reg.). A. pendula L. Cardamine bellidifolia L. C. pratensis L. C. microphylla Adams. C. macrophulla Willd. TU EU SU Ed Eu EJ 174 A. K. CAJANDER. Parrya nudicaulis (L.) Boiss. (P. macrocarpa R. Br.). Braya alpina Sternb. et Hoppe. Hesperis aprica Poir. Dontostemon pectinatus (D. €.) Led. Sisymbrium: sophia L. + sophioides (Fisch.) Trautv. S. junceum Bieb. S. salsugineum Pall. Erysimum cheiranthoides L. Draba hirta L. Dr. spp. Cochlearia arctica Schlecht. (non Auctt. scand.). Armoracia sisymbrioides (D. C.). Sedum fabaria Koch. Saxifraga bronchialis L. S. flagellaris Willd. S. oppositifoha L. S. stellaris L. S. hieraciifolia Waldst. et Kit. S. nivalis L. S. hirculus L. S. cernua L. | S. punctata L. (S. æstivalis Fisch. et Mey.). Chrysosplenium alternifolium L. (coll.). Parnassia palustris L. Ribes pubescens (Sw.) Hedl. (A. rubrum. L. T pubescens. Sw.). R. glabellum (Trautv. et Mey.) Hedl. (A. ru- brum L. + glabellum Trautv. et Mey.). R. nigrum L. R. dikuscha Fisch. Prunus padus L. + borealis (Schüb.) (Pr. pe- trea Tausch, Pr. padus L. T pubescens Reg. et Til.). Spiræa chamedryfolia L. + media (Schmidt). Sp. salieifolia L. + alpestris Pall. Sp. sorbifolia L. Sp. aruncus L. Dryas octopetala L. Sieversia glacialis (Fisch.) R. Br. Rubus ideus L. + aculeatissimus Mey. (T stri- gosus (Michx.) Maxim.). R. arcticus L. R. chameemorus 1. Chamærhodes erecta (L.) Bunge. Comarum palustre L. Potentilla supina L. P. sericea L. + dasyphylla (Bunge) Kjellm. et Lundstr. P. anserina L. P. bifurca L. P. nivea 1. P. stipularis L. P. fruticosa L. Sanguisorba officinalis L. Rosa acicularis Lindl. Crategus sanguinea Pall. Sorbus aucuparia L. Thermopsis sp. Melilotus suaveolens Led. Trifolium repens L. Tr. lupinaster L. Oxytropis spp. Astragalus adsurgens Pall. A. danicus Retz. (A. hypoglottis Auctt.). A. alpinus L. Hedysarum obseurum L. Onobrychis arenaria (Kit.) Ser. Vicia eracca L. V. multicaulis Led. V. amama Fisch. Lathyrus maritimus (L.) Big. L. paluster L. Orobus humilis (Fisch.) Ser. Geranium pratense L. Linum perenne L. + sibirieum (D. C.) Cham. Euphorbia esula L. (incl. E. Maackii Meinsh.). Callitriche verna L. Empetrum nigrum L. Impatiens noli tangere L. Hypericum attenuatum Chois. Viola epipsila Led. V. Mauritii Tepl. V. rupestris Schmidt. Epilobium angustifolium L. E. latifolium L. E. palustre L. (incl. E. dahurieum Fisch.?). Myriophyllum vertieillatum L. Hippuris vulgaris L. Cicuta virosa L. Ægopodium alpestre Led. Sium latifolium L. + cicutifolium (Gmel.) (?). Pachypleurum alpinum Led. Conioselinum tatarieum Fisch. + cenolophioides (Turez.). Onidium dahuricum Fisch. et Mey. Tom. XXXII. Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 175 Pleurospermum austriacum (L.) Hoffm. Archangelica officinalis Hoffm. + decurrens (Led.) Lallem. Peucedanum vaginatum Led. P. baicalense (Redowsk.) Koch. Heracleum dissectum Led. Cornus sibirica Lodd. Pyrola rotundifolia L. + incarnata (Fisch.) D. C. P. secunda L. + obtusata Turez. Ledum palustre L. Rhododendron fragrans (Adams) Maxim. Myrtillus uliginosa (L.) Drej. Vaceinium vitis idea L. Arctostaphylus uva ursi (L.) Spreng. A. alpina (L.) Spreng. Cassandra calyculata (L.) Don. Cassiope tetragona (L.) Don. Trientalis europea L. Lysimachia thyrsiflora L. Glaux maritima L. Androsaces villosum L. + chamejasme (Host). A. septentrionale L. + lactiflorum (Pall.) Trautv. A. filiforme Retz. A. maximum L. + Turczaninowi (Freyn). Cortusa Matthioli L. + sibiriea (Andrz.). Primula farinosa L. (coll.) Armeria vulgaris Willd. + arctica (Wallr.) Trautv. Statice speciosa L. (Goniolimon sp. (L.) Boiss.). Menyanthes trifoliata L. Gentiana barbata Fral. G. decumbens L. G. tenella Rottb. Cuscuta sp. Polemonium humile Willd. (P. pulchellum Auctt.). Phlox sibirica L. Diapensia lapponica L. Eritrichum pectinatum (Pall.) D. C. (coll.). Echinospermum lappula (L.) Lehm. + anisacan- thum (Turez.). Myosotis palustris (L.) With. M. silvatica (Ehrh.) Hoffm. + suaveolens (Waldst. et Kit.). M. intermedia Link. Mentha arvensis L. Thymus serpyllum L. Nepeta multifida L. (N. lavandulacea Xi. fil.). Phlomis tuberosa L. COUT. Stachys paluster L. + baicalensis (Fisch.) Turez. Seutellariæ galerieulata L. + scordiifolia (Fisch.). Reg. Linaria vulgaris Mill. + acutiloba (Fisch. Freyn). Limosella aquatica L. Veronica longifolia L. V. incana L. Castilleja pallida Kunth. (coll.). Euphrasia offieinalis L. (eoll.). Rhinanthus sp. Pedicularis palustris L. . lapponica L. . verticillata L. . resupinata L. . comosa L. + venusta (Schang.) Trautv. . spp. (P. Langsdorfii Fısch., P. lanata Willd. u. 3). . sceptrum. Carolinum L. Boschniakia glabra Mey. Utricularia vulgaris L. U. intermedia Hayne. Plantago major L. (incl. Pl. asiatiea L.). Pl. canescens Adams. Galium uliginosum 1. G. dahuricum Turez. G. boreale L. G. verum L. + ruthenieum (Willd.). Lonicera cerulea L. Linnea borealis L. Adoxa moschatellina L. Valeriana officinalis L. V. capitata (Poll.) Link. Campanula rotundifolia L. C. silenifolia Fisch. C. glomerata L. C. punctata Lam. Aster alpinus L. A. sibiricus L. Galatella dahuriea D. C. Erigeron acer L. (coll.). Leontopodium alpinum Cass. sibiricum (Cass.) Herd. Gnaphalium uliginosum L. Inula britannica L. Bidens platycephalus Oersted (B. radiatus Thuill.). Ptarmica cartilaginea Led. Pt. sibirica Led. (Pt. mongolica (Fisch.) D. C.) Pt. impatiens (L.) D. C. ne ases eite] "v 176 A. K. CAJANDER. Achillea millefolium L. Tanacetum vulgare T. boreale (Fisch.) Trautv. et Mey. Pyrethrum bipinnatum Wild. Artemisia dracuneulus L. A. pubescens Led. A. scoparia Waldst. et Kit. A. commutata Bess. A. borealis Pall. (coll.). A. sacrorum Led. À . laciniata Willd. (incl. A. macrobotrys Led.) A. vulgaris L. T Tilesii Led. A. lagocephala Fisch. (?). A. Sieversiana Willd. A. spp. Petasites glacialis (Led.). P. frigidus (L.) Fr. Arnica alpina Olin. Cineraria campestris Retz. (C. integrifolia (L) Murr., Senecio campester (Retz) D. C.). C. palustris L. Senecio resedifolius Less. S. Jacobea L. + ambraceus (Fisch.) Trautv. et Mey. S. nemorensis L. Saussurea alpina (L.) D. C. (coll.). S. amara (L.) D. C. Cacalia hastata L. Scorzonera radiata Fisch. Taraxacum officinale Web. (coll). Mulgedium sibiricum (L.) Less. Youngia pyamæa Led. + nana (Richards.) Led. Crepis chrysantha (Led.) Frœl. + tubiformis Led. Cr. tectorum L. Hieracium umbellatum L. (coll.). Dem Prineip der Priorität in dieser Arbeit zu folgen habe ich nicht als nöthig erachtet, weil dadurch nur eine Menge seltene und für die Mehrzahl der Pflanzen-Geo- graphen und -Topographen weniger bekannte Namen einzuführen gewesen wären; vel. übrigens auch dass in der Fussnote N:o 1 pag. 30 Gesagte. — Die ungenauen Bestimmun- sen etlicher Sippen, deren genaue Determination z. Z. noch nicht durchführbar war, werden später in einer, theils schon in Vorbereitung befindlichen, Flora des Lena-Thales verbessert werden. Verzeichniss der wichtigeren Oertlichkeiten an der unteren Lena, an denen Excursionen angestellt wurden. 1) Pokrofskoje (19/,). 2) Insel unweit Pokrofskoje (?5/,). 3) Umgebung von Jakutsk (29/,—3/-, 25/0). 4) Insel unweit Marcha (5). 5) und 6) Inseln der Tulaginschen Gegend (5/7). 7) Ytyk-Chaja (5/;, 9/.). 8) Önkyr-Yrä (7/.). 9) Kytylyk (8/;). 10) Nikolskaja (?/;). 11) Insel unweit Nikolskaja (10/- 12) Insel Bachan (?:/,). 13) und 14) Inseln zwischen Nikolskaja und Echedej (11/;). 15) Echedej am rechten Ufer (12/.). 16). und 17) zwei Stellen unweit Turij-Noss (em 20/5): 17) Insel der Aldan-Mündung (15/;). 18) Nürdliches Ufer des Aldan nahe von der Mündung (16/;). 19) Nördliches Ufer der Lena bei der Aldan- Mündung (1/;, 1*/., 17/-). 20) 21) 22) und 23) verschiedene Oerter am nórdlichen Ufer der Lena zwischen der Aldan-Mündung und Eksenja (15/;, 19/-). 24) Timir-Bache (1). 25) Eksenja (2/5). 26) Batylym (29/.). Tom. XXXII. 28) 29) 31) 39) 33) 35) 36) 37) 38) 39) 40) 41) 42) 43) 44) Vegetation der Alluvionen des unteren Lena-Thales. 17 Gebirge der Mündung des Wiljuj gegen- über (21/;—%/;). Insel Machan-Bare in dung (25/;). und 30) Inseln in der Wiljuj-Mündung (?*/;). Tchimilkan, am östlichen Ufer (17/,). Mündung der Manuruschka (27/7). und 34) Inseln zwischen den Mündungen der Manurusehka und des Tschirimyj (?5/;). Tunguss-Chaja (16/,). Tschirimyj-Chaja (15/,). Insel unweit des Tschirimyj-Chaja (??/.). Westliches Ufer etwa 45 Km. südlich von der Insel Agrafena (?"/.). Ulach-Chaja (1/5). Insel Agrafena (%1/,, 1/s). Mündung des Naschim (?/.). Umgebung von Shigansk (?/,—??/.). Mündung der Menkerä (?3/, 3/9). Mündung der Natara (1/,). der Wiljuj-Mün- 45) 46) 47) 48) 1 Bissiktjach (12/,). Krassnoje (11/,). Buru (?*/;). Ssiktjach (11/,). Gowor (11/0). Tulach-Chaja (19/,). Küsür (25/,—28/;). Bulun (?3/,—3/,). Ajakit— Bulun (?/9). Tschekurofka (5/9). Oestliches Ufer zwischen Tschekurofka und Kumach-Sur (7/9). Kumach-Sur (7/9). und 58) verschiedene Oerter am westlichen Ufer, der Insel Tass-Ary gegenüber (Küp- saraj, */o, 9/9). Bulkur (°/,). Insel Tit-Ary (*/,). Gebirge der Insel Tit-Ary gegenüber am östlichen Ufer (?/,). N:o 1. Verzeichniss der angewandten Litteratur '). ANDERSSON, G. 1898. Om de ryska stepperna. Geol. fören. i Stockholm förhandl. Bd. XX. 1898 (b). Studier öfver Finlands torfmossar och fossila kvartärflora. Fennia 15. Beck, A. GÜNTHER. 1902. Ueber die Umgrenzung der Pflanzenformationen. Oestr. bot. Zeitschr. BoaonAs, W. G. 1900. JamytH. Semresexenie. BunGrE, A. 1883. Naturhistorische Nachrichten aus der Polarstation an der Lena-Mündung. Bull. d. l'acad. imp. d. scienc. d. St. Pétersbourg. T. XXVIII. 1884. Naturhistorische Beobachtungen und Fahrten im Lena-Delta. Bull. d. l'acad. imp. d. scienc. d. St. Pétersbourg. T. XXIX. —— 1886. 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Ilpeasapnreasusiä OTYÖTE 0 GoTannieckuxR M3CABIOBAHIAXT bagaraHckaro okpyra u okpecuocteä r. Vpkyrexka. llam. Boer. cu6. ora. uwm. pycck. reorp. 06m. T. XXIII. RappE, G. 1861. Berichte über Reisen im Süden von Ost-Sibirien. Beitr. z. Kenntn. d. russ. Reiches. Erste Folge, Bd. XXIII. RecLus, E. 1881. Nouvelle géographie universelle. Th. VI. RICHTHOFEN, F. FR. von. 1886. Führer für Forschungsreisende. RYKATSCHEW, M. 1896—1902. Annales de l'observatoire physique central Nicolas. Années 1895 —1900. ScHEUTZ, N. J. 1888. Plantae vasculares Jeniseenses inter Krasnojarsk urbem et ostium Jenisei fluminis hactenus lectae. K. svenska. vet. akad. handl. Bd. 22. SCHIMPER, A. F. 1898. Pflanzengeographie. SCHKLOFSKIJ, J. W. 1894. Ouepkn npupoxs mH HaceseHia kpaiiusro cbsepo-soeroka Cnôupu. 3ew- JeBeJenie. ScHMIDT, FR. 1872. 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Mekomaewma zeunmuku Homo-Omónpekuxe OCTpoBoBE, nx orHoureHie Kb TPYHaM% MAMOHTOBB H Kb JCAHUKOBOMY nepiory. Sal. HMI. pycck. reorp. 06m. T. XXXII. 1899. Beiträge zur Kenntniss des sibirischen Cambrium I. arm. umm. aka. HayKb, HO oH3. MAT. orgy. T. VIII. — —— 1899. Oyepk» reogoriu Hono-Ouóupekuxs oerpoBor m BaHbiris 3aJauH H3CJIbIOBAHis HOJS3pHHIXb CTpaHb. Jam. HMI. aka. HayKb, MO oua. MAT. OTA. T. IX, N:o 1. 182 A. K. CAJANDER 'l'áCHEKANOFSKIJ, A. L. 1896. JIHeBHUKS okemegmumiu mo pskamp Huxueii Tyaryck, Ouexeky u Jens BB 1873—75 rogaxs. Jam. AMN. pycck. reorp. 06m. T. XX. TSCHERSKIJ, J. D. 1893. IlpexBapnTelHHiË OTAËTE 068 H3CIHAOBAHIAXE mo 061aCTU PbKB KoJBMH, Huaurupen u Au. San. uum. aka. HayKe. T. LXXIII. WARMING, E. 1890. Fra vesterhavskystens Marskegne. Vid. Medd. fr. nat. Foren. Kjebenhavn. 1891. De psammophile Vegetationer i Danmark. Vid. Medd. fr. nat. Foren. Kjobenhavn. - 1894. Exkursionen til Fano og Blaavand i Juli 1893. Bot. Tidsskr. XIX. — 1895. Plantesamfund. —— 1897. 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Pag. 3 Zeile 8 unten Niederschläge. (Vgl. statt Niederschläge (vgl. AO, 12 oben Ulachana „ der Ssinjaja-Mündung TE 6 unten Nymphwceen » Nymphæaceen ae 22—23 oben Insel Agrafena , Mündung des Naschim ” 48 ” 15—16 ” ” ” ” ” ” ” ” 48 ” lE » ” ” » » » » "RDUM 4 unten Schwartzia , Swartzia SM ADO 5 oben 5j 5 ? „= 660% 24 n unter N:o 6— » 1— » » » 25 ” ” ” ” ” ” 2: 589105 5 Ti 5 Carex cespitosa „ Carex cespitosa 2 > Sek rtm 18 unten Alluvionen » überschwemmten Alluvionen Die N:s der Associationen pagg. 71 und 72 sind hinzuzufügen. ——————— —— C — —— Pres es 7 nei y : —— SES e aquatilis o^ H X Galamagrostidetum ^^ Dorf Shigansk |; M No 3 22 ; N fr ed fi —-" Fi " ee KT | j viminalis Fig. Ad / SME Salicetum viminalis N:o 1 zi Uebersichtskarte des untersten S ra N n Shiganka-Thales. / PS) Die Strecke A—B etwa 5 Km. a E Fruti j i icetum mixtum Vegetationsloser \ : > Sand : ; N Fruticetum ^ | L «87 | mixtum : E AR EN No 4° 5 = N DES V Galamagrosti NN en is 4 ; detum N:o 9 we viminalis Nob\\’ S S Fig. 2, Pa) 3 Shiganka z^ pun Heleocharfietun_acfculari == erum arvensis = __Sandufer ^3) Alnetum pa | : Caricetum aquatilis N:o 4 N) Piceetum obovata 27^ alamagrosFideFum No2. 7 Salicatum viminalis : > 2 1 Shiganka m —Caricetum aquatilis N:o 2 -- - Calamagrostidetum Salicetum viminalis Fac.2 N:o 2 Salicetum viminalis G. ARVIDSSON, K.FORS, Auf allen Tafeln ist der Norden oben. Tafel II. Fig. 1. : | d ex b Mündung des IURIS Calamagrostjdetum ". ; : pos No 2 Lon / Fig. 4. nsel unweit der Fig. 3. Tschirimyj- Es Fig 2. Münd Insel Agrafena ndung Insel Machan-Bare Salicetum vim. \ "d I ^ Fruficerum / mixkum Fig. 6. Insel unweit Nikolskaja eu Etwa 1!/4 Km mE - a piejpues seso[guom) 9fe. A Salicetum Salicetum viminalis viminalis G. ARVIDSSON, H.FORS. PF. 2r, : CS RARE dix ue Tafel III. Fig. 2. Fig. 8. Wiese unweit Hordeetum pratensis N:08 Wiese unweit Nikolskaja Schedonoretum inermis N:o 2 Nikolskaja (Vgl. Fig. 3) — Qaricetum acute N:o 2 2 Triticetum repentis =... Hordestum u um palustris N:o 2 > u — << Equis.fluv.N:o Le RR = Salicerum Hordeetum pratensis viminalis Etwa 500 M. Salicetum viminalis N:o 2 m viminalis Salicetu: Vegetati Y z Me ses Oyttja- Salicetum viminalis Wiese an der Shiganka-Mündung Etwa 150 M. licetum Fig. 5. Fig. 7. Salicetun 5 lis Fig. 6. Wiese an der \Wiese unweit Marcha yımina Wiesen am ersten Shiganka Nebenfluss der Shiganke N : -.- Equiset. arv. N:o 3 e \ -— Heleoch, palustris Salicetum A: aN viminalis GrficeFum aquarills Nasturt- am] Facies mit Carex aquatilis N:o 2 Hordeetum pratensis N:o 1 Garicetum acute Equisetetum fluviatilis Salicetum viminalis Equiset. flaviat. - Heleoch, pal. N: Hainartiges tatis Equiset. fluv. N:o 3 "|. Caricet. acut.Nol Ranunc. repent.N:o 2 ie = vimin. partie beim. x : SIYE CHAR Etwa_% Km Onobrychidetum N:o 1. Hainartiges Gebüsch Onobrychidetum N:o 2 Equisetetum arvensisNoi Alopecuretum nigricantis M Becknaniet. | | Ii G. ARVIDSSON, H. FORS. "Su03'W 'NOSSAIAUY ”D UIIMUS8JQ A SQ OL -auqnjezeh saqejsieuansg sep V Jap QOPU yalıyaRsjdnen IV --— — — 8u97 ueJejup . dep SUENSIUOISIOQOf] WOUMUSBAQ A^HSO DEL "sejyergeBissn| J-euo sep e13i1e31jS1uorsageqe(]1 AI SL ACTA SOCIETATIS SCIENTIARUM FENNICZE. Tow. XXXII, No. 2. NEUBABYLONISCHES NAMENBUCH ZU DEN GESCHAFTSURKUNDEN AUS DER ZEIT DES SAMASSUMUKIN BIS XERXES VON KNUT L. TALLOVIST (EINGEREICHT AM rs. DECEMBER 1902.) Vorwort. Die keilschriftliche Namenforschung hat sich in der letzten Zeit ein reges Interesse zugezogen. Keilschriftliche Namenbücher sind von mehreren Seiten in Aussicht gestellt worden (vgl BE Ser. A, Vol. IX p. 8). Im III. Band der «Beiträge zur Assyriologie» p. 390 spricht DELITZSCH von seinem Aeilschriftlichen Namenbuche, das in Vorbereitung ist. Eine sehr ver- dienstvolle Leistung ist Early Babylonian Personal Names from the published Tablets of the so-called Hammurabi Dynasty von H. RANKE, ein Werk, das unter den «Researches and Trea- tises» der von HILPRECHT besorgten grossartigen Publikation «The Babylonian Expedition» in diesem Jahre erschien, von mir aber leider nur noch für das letzte Kapitel der Einleitung und die Nachträge Beachtung finden konnte. In der genannten Sammlung wird endlich V. W. DIPPFL Neo-Babylonian Proper Names from the published Texts veröffentlichen (bereits citiert in BE Ser. A, Vol. X). Meinerseits sprach ich schon vor fünfzehn Jahren im Vorwort zu meiner Erstlingsarbeit Die Sprache der Contracte Nabina ids die Absicht aus, die in den neubabylonischen Geschäfts- urkunden sich findenden Eigennamen in einem besonderen Werk bald zu behandeln. Aus verschiedenen Ursachen verzögerte sich aber die Verwirklichung meiner Absicht bis jetzt. Inzwischen mehrte sich das Material reichlich, besonders durch die ausgezeichneten Textpubli- kationen STRASSMAIERs — «Inschriften von Nabuchodonosor — Nabonidus — Cyrus — Cambyses — Darius». Vergeblich wartete ich aber, dass die Veröffentlichung der «Inschriften von Darius», die mit dem im Jahre 1897 erschienenen III. Heft das 23. Jahr dieses Königs erreichte, abgeschlossen würde. Während der Vorbereitung bez. während der Drucklegung meiner Arbeit wurde das Quellenmaterial noch erheblich vermehrt durch die von HILPRECHT und CLAY veröffentlichten Business Documents of Murashü Sons of Nippur aus der Zeit des Artaxerxes I. und Darius II. Diese Texte konnten von mir nur theilweise berücksichtigt werden, was zum Glück um so weniger bedauert zu werden braucht, da die genannten Texte mit «Concordance of Proper Names» versehen sind und ausserdem eine verhältnismässig späte Epoche repräsentieren, in welcher ganz neue Personen auftreten und fremdländische, besonders persische und jüdische Namen zahlreich vorkommen. Der Haupttheil meiner Arbeit, Abschnitt I—VII, berücksichtigt somit nur Namen, welche in den publicierten Geschäftsurkunden aus der Zeit des Sama&sumukin bis Xerxes angetroffen werden. Einige spätere Urkunden, für welche man die Einleitung Kap. I nachsehe, sind mehr nebenbei berücksichtigt worden. Trotzdem glaube ich, dass die allermeisten zur Zeit sich dar- bietenden neubabylonischen Personennamenbildungen in dem Buche vertreten sind. Das Buch ist durchgängig konkordanzartig, indem im allgemeinen sámmtliche Belegstellen der als Quellen bezeichneten Urkunden, von mehreren innerhalb eines und desselben Textes a * IV Vorwort. gewöhnlich jedoch nur die erste, notiert sind. Diese Anordnung, bei der ich viele verstümmelte oder verlesene Namen zu identificieren in der Lage war — siehe die Belege in eckigen Klammern — wird sich hoffentlich bei inhaltlicher Erforschung der Texte nützlich erweisen. Um genealo- gische Studien und Aufstellungen von Stammtafeln zu erleichten vgl. PEISERS Stammtafel des Egibihauses, Aus dem Babylonischen Rechtsleben IV p. 22 — ist betreffs genealogisch charakterisierter Personen im Abschnitt I nicht nur der Name jeder Hauptperson als eigenes Stichwort aufgenommen worden, sondern auch die Namen des Vaters bez. der Mutter und des Stammvaters mit Hinweisung auf den Hauptnamen, unter welchem sie sich finden. Dies war eine sehr mühsame Arbeit — vel. unter Ævzë und Épes-ili —, die erwünschte Resultate in genealogischer Hinsicht dennoch leider nicht immer gewährt, weil die Mehrzahl der Personen entweder Zeuge oder Schreiber sind, über deren Familienzugehörigkeit der Inhalt der Texte keinen Aufschluss giebt, Das Vorkommen einer Person als Zeuge oder Schreiber ist jeweils durch schräge bez. fette kleine Ziffern gekennzeichnet. In den Abschnitten II—IV ist der Plan meiner Arbeit ein wenig erweitert. Hier sind nämlich nicht nur die im Abschnitt I bereits verzeichneten neubabylonischen Personennamen, welche mit Namen von Göttern, Ländern, Ortschaften und Tempeln zusammengesetzt sind, noch einmal systematisch zusammengestellt, sondern auch solche altbabylonischen und assyrischen Namen aufgeführt worden, welche Namen von Göttern etc. enthalten, deren in den neubabylo- nischen Geschäftsurkunden Erwähnung gethan wird. Dies geschah in der Absicht eine möglichst reichhaltige Sammlung der betreffenden zusammengesetzten Namenbildungen zu gewähren. Im Wörterverzeichnis sind auch solche Personennamen beachtet worden, welche sich nicht in den früheren Abschnitten finden, aber ein semitisches Wort enthalten, das als Kompositions- glied in den Personennamen der genannten Abschnitte vorkommt. Was endlich die Einleitung betrifft, verweise ich insbesondere auf das Kapitel über den religiösen Gehalt der Namen, welches hoffentlich auch Nicht-Assyriologen, besonders Religions- historiker, interessieren wird. Da, wie oben schon hervorgehoben wurde, eine recht lange Zeit verflossen ist, seitdem ich die Ausarbeitung dieses Werkes in Angriff nahm, da weiter die Arbeit in Intervallen ge- trieben werden musste und da sich endlich der Druck des Buches fern von meiner Heimat vollzog, ist es nicht ausgeblieben, dass sich einige Unebenheiten und Inkonsequenzen einschlichen. Besonders in der Übersetzung der Namen wäre manches auszugleichen gewesen. In wie weit ich im übrigen die Namen richtig aufgefasst und erklärt habe, entzieht sich meinem Urtheile. Ich wünsche nur, dass meine Arbeit für den Fortschritt der keilschriftlichen Onomatologie nützlich befunden werde. Helsingfors, im September 1905. Knut L. Tallqvist. Inhaltsverzeichnis. VIGDA RP Mo er EE RE EE TS DS ica em T II—IV Inhaltsverzeichnis . . . : DURS LUE TEM ve V Erklàrung der p A biürzungen ois e UP CURES race Eum E VI—VII Einleitung: ND Ouen ee x. 8 EX WEOSHENEQOO SNO CS IX— XII IL Schreibung und Lesung der Personennamen . . . . . . . . - XII—XIV III. Namenbildung. Namenkürzung . . uo Mem XIV—XIX IV. Übersicht der babylonisch-assyrischen Narbe SOS ES S OXIENE ASSAI IUE RENsiosen Gehalt der Namen - M XII ETT IMPErSOnennamen oo. M ETS LEP Rz I—220 II. Götternamen und mit ihnen zusammengesetzte Personennamen . . . . 221—290 III. Namen von Ländern und Ortschaften . . . . = . . : : ; 290— 296 IV. Namen von Tempeln und mit Tempelnamen zusammengesetzte pones nemen : xr rr EO TEC EO NC 296—298 V. Namen von Kanälen und Flüssen SON MEET PE e a 298—299 UIN Amen MOM Strasse nn een: 299 VII. Namen von Thoren . 300 VIII. Wörterverzeichnis 300—336 Nachtege nc PS CITE MO NC 6 © MO NON 336— 338 AJSL BAG BB BE BL BV BzA CIS CT DAG DAHW DP EB HABL HBE JADB JADD JRBA KA? KB KLH ZDMG Erklärung der gebrauchten Abkürzungen. The American Journal of Semitic Languages and Literatures. C. P. TIELE, Pabylonisch-assyrische Geschichte. Gotha 1886. H. ZIMMERN, Dabylonische Busspsalmen. Leipzig 1885. The Babylonian Expedition of the University of Pennsylvania. Series A. Cuneiform Texts. Ed. by H. V. HILPRECHT. R. E. BRÜNNOW, À classified List. Leyden 1880. F. E. PEISER, Pabylonische Verträge. Berlin 1890. Beiträge zur Assyriologie und semitischen Sprachwissenschaft. Hrsg. von F. DELITZSCH und P. HAUPT. Corpus [Inscriptionum Semiticarum. Cuneiform Texts from Babylonian Tablets, &c. in the British Museum. London 1896 ff. F. DELITZSCH, Assyrische Grammatik. Berlin 1889. F. DELITZSCH, Assyrisches Handwörterbuch. Leipzig 1806. F. DELITZSCH, Wo lag das Paradies? Leipzig 1881. Encyclopedia Biblica. Ed. by CHEYNE and SUTHERLAND BLACK. Assyrian and Babylonian Letters, by R. F. HARPER. I—VIII. Chicago 1892—1902. = BE; C. H. W. JOHNS, An Assyrian Doomsdaybook. Leipzig 1901. 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VII Al= Alexander; Ant = Antiochus; Ars — Arsaces; Cb = Cambyses; Cr — Cyrus; Dem = Demetrius; Dr = Darius; Ev — Evilmerodach; Knl — Kandalanu; Lab — Làbàii-Marduk; . Nbp = Nabopolassar; Nd — Nabünäid; Ng — Neriglissar; Nk — Nebukadresar; Sel — Seleucus; . Smd = Smerdis; Smk = SammasSéumukin; Xr — Xerxes. Vgl. Einleitung, I, Die Quellen. ab. = altbabylonisch; äg. = ägyptisch; anb. = alt- und neubabylonisch; ar. — aramäisch; arb. — arabisch; äth. = äthiopisch; ba. = babylonisch-assyrisch; bi. = biblisch; he. — hebräisch; mab. = nabatäisch; nb. = neubabylonisch; pa. = palmyrenisch; pe. = persisch; phó. = phöni- zisch; sab. = sabäisch; ws. — westsemitisch. Die übrigen Abkürzungen werden ohne weiteres verständlich sein. . - i - | , ; ue H Einleitung. I. Die Quellen. Aus der Zeit des Samassumukin (669—647): a) 1 Urkunde, publicirt von E. A. WALLIS BUDGE in ZA III p. 228f, bezeichnet Smk ZA III; b) 2 Urkunden, publicirt von F. E. PEISER: Babylonische Verträge des Berliner Museums in Autographie, Transcription und Übersetzung herausgegeben und commentiert, Berlin 1890, No. I—II, bezeichnet Smk P (1—2); c) 3 Urkunden, publicirt von ALFRED B. MOLDENKE: Cuneiform Texts in the Metro- politan Museum of Art, New York 1893, II 2—4, bezeichnet Smk M (II 2-4); d) t Urkunde, publicirt in Cuneiform Texts from Babylonian Tablets &c. in the British Museum, Part IV, Pl. 31, bezeichnet Smk CT IV. — In allem 7 Urkunden. Aus der Zeit des Kandalanu (647—625): 2 Urkunden, publicirt von A. B. MOLDENKE a. a. O., II 5— 6; bezeichnet Knl M. Aus der Zeit des Nabopolassar (NVabä-aplu-usur, 625—604): a) 19 Urkunden, publicirt von J. N. STRASSMAIER in ZA IV pp. 136— 147, bezeichnet Nbp ZA IV (2—20); b) 9 Urkunden, publ. von A. B. MOLDENKE a. a. OÖ. bezeichnet Nbp M (II 7—1:5); c) 1 Urkunde, publ. von THEO. G. PINCHES: Inscribed Babylonian Tablets in the Possession of Sir Henry Peek, Lon- don 1888, No. 2, bezeichnet Nbp Pi; d) 1 Urkunde, publ. in Cuneiform Texts, Part IV Pl. 14 (Bu 88-5-12, 554), bezeichnet Nbp CT IV; e) ı Urkunde, (ohne den Namen des Königs), publ. ibid., Part II Pl. ro (Bu 88-5-12, 201), bezeichnet Nbp CT II; f) ı Urkunde, publ. von F. H. WEISS- BACH: Babylonische Miscellen, Leipzig 1903, Taf 15 Nr. 2, bezeichnet Nbp WM (konnte nur theilweise berücksichtigt werden) — In allem 32 Urkunden. Aus der Zeit des Nebukadresar II (604—561): a) 460(-3) Urkunden, publ. von J. N. STRASS- MAIER: Babylonische Texte: Inschriften von Nabuchodonosor, Leipzig 1889, bezeichnet Nk (r—460); b) 4 Urkunden, publ. von J. N. STRASSMAIER: Die Babylonischen Inschriften im Museum zu Liverpool (Nrr. 3, 7, 8, 21), bezeichnet Nk L; c) 1 Urkunde, publ. von F. E. PEISER: Babylonische Verträge (Nr. III), bezeichnet Nk P; d) 2 Urkunden, publ. in Cuneiform Texts, Part IV Pl. 14 u. 38, bezeichnet Nk CT IV (14, 38). — In allem 467(-3) Ur- kunden. Aus der Zeit des Evilmerodach (Aw6/-Marduk, 561—559): a) 24 Urkunden, publ. von B. T. A. EvETTS: Babylonische Texte: Heft VIB: Inscriptionsof theReigns of Evil-Mero- dach, Neriglissar and Laborosoarchod, Leipzig 1892, bezeichet Ev (1—24); b) 2 Urkunden, publ. von J. N. STRASSMAIER: Die Babylonischen Inschriften im Museum zu Liverpool (Nrr. 9, 10), bezeichnet Ev L; c) 1 Urkunde, in Transscription und Übersetzung mitgetheilt von No. 2. b X Knut Tallqvist. - J. KOHLER und F. E. PEISER: Aus dem Babylonischen Rechtsleben, II p. 47, bezeichnet Ev KP. — In allem 27 Urkunden. Aus der Zeit des Neriglissar (Vergal-Sar-usur, 559—555): a) 72 Urkunden, publ von B. T. A. EVETTS a. a. O, bezeichnet Ng (1—72); b) 3 Urkunden, publ. von J. N. STRASSMAIER in Travaux de la 6e session du Congrés international des Orientalistes à Leide (Nrr. 11, 12, 123), bezeichnet Ng L; c) 3 Urkunden, publ. V R 67, bezeichnet Ng V R. 67, (1, 2, 3); d) r Urkunde, publ. von H. WINCKLER in ZA II p. 168, bezeichnet Ng ZA II; e) 1 Urkunde, in Transscription und Übersetzung mitgetheilt von KOHLER-PEISER, a. a. O. II p. 48. — In allem 80 Urkunden. Aus der Zeit des Laborosoarchod (Z464$-Marduk, 555): 6 Urkunden, publ. von B. T. A. EVETTS a. a. O., bezeichnet Lab (1—6). Aus der Zeit Nabunaids (555—538): a) 1134 Urkunden, publ. von J. N. STRASSMAIER: Baby- lonische Texte: Inschriften von Nabonidus, Kónig von Babylon etc, Leipzig 1887, bezeichnet Nd; b) 8 Urkunden, publ. von J. N. STRASSMAIER: Die Babyl. Inschriften im Mu- seum zu Liverpool, bezeichnet Nd L; c) r Urkunde, publ. von F. E. PEISER: Keilschrift- liche Actenstücke aus babylonischen Städten, Berlin 1889, bezeichnet Nd Pa; d) 7 Ur- kunden, publ. von F. E. PEISER: Babyl. Verträge, bezeichnet NdP; e) 41 Urkunden, publ. von A. B. MOLDENKE a. a. O, bezeichnet Nd M; f) ı Urkunde, publ. in Corpus inscriptionum semiticarum, Pars II, T. I, Nr. 6r, bezeichnet Nd CIS; g) 5 Urkunden, publ. von THEO. G. PINCHES a. a. O. (Nr. 3—5, 11, 15), bezeichnet Nd Pi; h) 1 Urkunde, publ. von THEO. G. PINCHES in PSBA XVII p. 278f, bezeichnet Nd 82-9-18, 3812; i) 2 Urkunden, publ. in Cuneiform Texts, Part IV Pl. 30, 41, bezeichnet Nd CT; j) 1 Urkunde, publ. von J. N. STRASSMAIER in TSBA VII 408 (mir nur zugänglich in Übersetzung bei KOHLER-PEISER a. a. O. I p. 29); k) 1 Urkunde in Transscrip- tion und Übersetzung ibid. II p. 20ff. — In allem 1202 Urkunden. Aus der Zeit des Cyrus (538—529): a) 384 Urkunden, publ. von J. N. STRASSMAIER: Baby- lonische Texte: Inschriften von Cyrus, Leipzig 1800, bezeichnet Cr; b) 1 Urkunde, publ. von J. N. STRASSMAIER: Die Babyl. Inschriften im Museum zu Liverpool, bezeichnet Cr L; c) 2 Urkunden, publ. von F. E. PEISER: Keilschriftliche Actenstücke, bezeichnet Cr Pa; d) 14 Urkunden, publ. von F. E. PEISER: Babyl Verträge, bezeichnet CrP; e) 1 Urkunde publ. vor TH. G. PINCHES a. a. O. (Nr. 16), bezeichnet CrPi; f) 1 Urkunde, transscribirt bei KOHLER-PEISER a. a. O. I p. 10; g) 1 Urkunde, übersetzt ibid. IV p. 69. — In allem 404 Urkunden. Aus der Zeit des Cambyses (529—521): a) 441 Urkunden, publ. von J. N. STRASSMAIER: Babyl Texte: Inschriften von Cambyses, Leipzig 1890, bezeichnet Cb; b) 5 Urkunden, publ. von J. N. STRASSMAIER: Die babyl Inschriften im Museum zu Liverpool, bezeichnet Cb L (18, 19, 27, 34, 169); c) 12 Urkunden, publ. von F. E. PEISER: Babyl. Vertráge, bezeichnet Cb P; d) 1 Urkunde, publ. in Corpus inscriptionum semiticarum, P. II T. I 64, bezeichnet Cb CIS; e) 2 Urkunden, publ. von GEORGE A. BARTON in Hebraica XVI p. 67, bezeichnet Cb Ba; f) ı Urkunde, publ in Cuneiform Texts, Part IV Pl. 27, bezeichnet Cb CT. — In allem 462 Urkunden. Aus der Zeit des Smerdis (Barszza): a) 9 Urkunden, publ. von J. N. STRASSMAIER in ZA IV p. 147—152, bezeichnet Smd ZA IV; b) 3 Urkunden, publ. von F. E. PEISER: Babyl. Verträge, bezeichnet SmdP; c) 1 Urkunde, publ. von J. N. STRASSMAIER: Die babyl Inschriften im Museum zu Liverpool, bezeichnet Smd L. — In allem 13 Urkunden. Aus der Zeit des Nebukedresar III: 3 Urkunden, publ. von J. N. STRASSMAIER: Babyl. Inschriften von Nabuchodonosor (Nr. 3, 4, 17; vgl. KB IV p. 298), bezeichnet Nk 3, 4, 17. T. XXXIL Einleitung. XI Aus der Zeit des Darius (521—485): a) 579 Urkunden, publ. von J. N. STRASSMAIER: Babyl. Texte: Inschriften von Darius, Heft I—III, Leipzig 1892—97, bezeichnet Dr; b) 6 Urkunden, publ von J. N. SrRASSMAIER: Die babyl Inschriften im Museum zu Liverpool (Nrr. 20. 23—26. 33), bezeichnet Dr L; c) 15 Urkunden, publ. von F. E. PEISER: Keilschriftliche Acten- stücke, bezeichnet DrPa; d) 50 Urkunden, publ. von F. E. PEISER: Babyl Verträge, be- zeichnet DrP; e) r Urkunde, publ. von E. A. WALLIS BUDGE in Za III p. 224f, bezeichnet Dr ZA-III; f) 1 Urkunde, publ. von A. H. SAYCE in ZA V pp. 276—280, bezeichnet Dr ZA V; g) 5 Urkunden, publ. in Corpus inscriptionum semiticarum, P. II T. I, bezeichnet Dr CIS (65. 68. 69. 70. 71); h) 3 Urkunden, publ. von TH. G. PINCHES a. a. O., bezeichnet Dr Pi (6. 7. 12); i) 1 Urkunde, publ. in Cuneiform Texts, Part II, bezeichnet Dr CT II; j) 27 Urkunden, publ. von G. A. BARTON a. a. O. (das Meiste ist unleserlich), bezeichnet Dr Ba; k) 5 Urkunden, publ. in Cuneiform Texts, Part IV, bezeichnet Dr CT IV; 1) 6 Urkunden in Transscription und Über- setzung bei KOHLER-PEISER; m) 1 Urkunde, publ. von WEISSBACH a. a. O., bezeichnet Dr WM (konnte nur theilweise berücksichtigt werden) — In allem 700 Urkunden. Aus der Zeit des $amas-erba (für die Zeit dieses Herrschers beachte, dass /ddin-Marduk Nr. 26 als Zeuge in zwei Urkunden aus dem 1:7. Jahr des Darius und in einer Urkunde aus der Zeit Samaëerbas vorkommt): 1 Urkunde, publ. von J. N. STRASSMAIER ZA III p. 157, bezeichnet Sm&erba. Aus der Zeit des Xerxes (485—464): a) 4 Urkunden, publ. von B. T. A. EVETTS a. a. O, bezeichnet Xr (2—5); b) 1 Urkunde, publ. in Cuneiform Texts, Part IV Pl. 34, bezeichnet Xr CT IV. In allem 5 Urkunden. Aus der Zeit des Artaxerxes | (464—424): a) 1 Urkunde, publ. von J. N. STRASSMAIER: ZA III p. 158, bezeichnet Art ZA III; b) ı Urkunde, in Transscription und Übersetzung mitgetheilt von F. E. PEISER, KB IV p. 312f, bezeichnet Art KB IV; c) 2 Urkunden, publ. in Corpus in- scriptionum semiticarum P. II T. I 66 f, bezeichnet Art CIS; d) 4 Urkunden, publ von G. A. BARTON a. a. O, bezeichnet Art Ba; e) 2 Urkunden, in Übersetzung bei KOHLER-PEISER, a. a. O, bezeichnet Art 82-5-12, 310 und 84-5-22, 311. In allem ro Urkunden. Für die von HILPRECHT und CLAY, BE IX, veröffentlichten Urkunden aus der Zeit des Artaxerxes vgl. unten Aus der Zeit des Arsaces (Arsakå): 9 Urkunden, publ von J. N. STRASSMAIER, ZA III p. 143 ff, bezeichnet Ars. Aus der Zeit des Seleucus (Sz//#): a) 1 Urkunde, publ. von J. N. STRASSMAIER, ZA III p. 152, bezeichnet Sel. ZA; b) 1 Urkunde, publ. in Cuneiform Texts, Part IV Pl. 29, be- zeichnet Sel. CT. Zusammen 2 Urkunden. Aus der Zeit des Antiochus II (An#'ikusu): 1 Urkunde, publ. von J. N. STRASSMAIER, ZA III p. 150f, bezeichnet Ant. Aus der Zeit des Demetrius (2éwitrisu): 2 Urkunden, publ von J. N. STRASSMAIER, ZA III p. 148 ff, bezeichnet Dem. Aus der Zeit des Alexander (Aliksandar): a) 1 Urkunde, publ von J. N. STRASSMAIER ZA III p. 150, bezeichnet Al; b) 1 Urkunde, publ. in Cuneiform Texts, Part IV Pl. 39, be- zeichnet Al. CT. Zusammen 2 Urkunden. Aus den hier aufgeführten (c. 3400) Urkunden habe ich sämtliche Eigennamen, im allgemeinen an allen Stellen, wo sie vorkommen, verzeichnet. Für den II. Abschnitt: Gótternamen und mit ihnen zusammengesetzte Personennamen sowie für das Wôrterverzeichnis sind ausserdem zahlreiche andere, sowohl neubabylonische als assyrische und altbabylonische, Urkunden benützt worden. Besonders sind folgende Werke, aus denen ich Material geholt habe, zu nennen: Assyrian and Babylonian Letters belonging to the K. Collection of the British Museum, heraus- gegeben von R. F. HARPER, Assyrian Deeds and Documents und An Assyrian Dooms- No. 2. b* XII Knut Tallqvist. day Book von C. H. W. JouNs, BEZOLDs Catalogue of the cuneiform Tablets in the Kouyunjik Collection of the British Museum, Alphabetisches Verzeichnis der assy- rischen und akkadischen Wôrter von J. N. STRASSMAIER, Cuneiform Texts from Baby- lonian Tablets &c, in the British Museum und die von HILPRECHT und CLAY heraus- gegebenen, mit Concordance of proper Names versehenen Cuneiform Texts der ame- rikanischen Expedition nach Babylonien, welche aus der Zeit des Artaxerxes I (464—424) und des Darius II (424—404) herrühren. II. Sehreibung und Lesung der Personennamen. Die babylonischen wie die assyrischen Personennamen werden bekanntlich theils phone- tisch, theils ideographisch geschrieben. Es giebt eine Menge von Namen, die durchgängig mit Ideogrammen bezeichnet werden, während andere bald phonetisch, bald ideographisch geschrieben sind und in noch anderen ein Theil mit einem Ideogramm, ein anderer Theil mit phonetischer Schrift ausgedrückt wird. Welche Ideogramme in den Personennamen vorkommen, die in diesem Werke be- handelt sind, ersieht man aus dem folgenden Verzeichnis, wo auch die betreffenden Werthe der Ideogramme angegeben sind: A = aplu. "A AM — "Apil-Addu. "RKU — Sin? "A.LAL.SAR = "Aur. (DA.U — CD Apil- Addu. MZU = åså. "AB — Bel, AD — abu; AD-AS — abu-apli (oder abu-edi oder abu-iddin?); AD-NU-ZU = a;-z/-édi. "AK = "Naóz'. AM = garradu, AMAT = amtu. AN = zu; AN. GUD = gar- radu; ANN. SALAM = sz/z/u. ARAD = ardu. ARAGUB GUNÜ — sd. ÅS — eau (nb), zza, aplu (selten), nadànu (as), Atur*; ÁS-SES = edu-ugur (nb., auch as. wenn nicht nådin-ahi), COÂS + SUR — Asur?. AZAG = e//u. BA = bana (selten, s. u. band), gasu (zgésa(-3a); BA.TI.LA = dalätu ls. BÁD — düru. BÁD.AN.KI — Dir; BÁD.SI.AB.BA. KI — Parsip. BAL = pali (as.), eui. "BABBAR — 1Samas\. BE— kabtu, mitu)), "BE-— "Ea? "BU — “Sin. DA = Z, zr, ita. DAMAL = 2nmu. DV — Sulmu, salamu M s, DI-a — Sullumå, Dl-in = usallim, D-mu = Sullumu, mu-D = musallim. DWTAR = dûnu, daianu, dinu; "DI. TAR — ZSulmån, s. aber unter diesem Worte. DIM = danü. DINGIR = zz. DIS — ana; DIS — 2 Ann, * Ea*. DU — a/à£u, Eànu Ia, könu, kittu, UU-iz = 3uzziz; DU-SI — ålik pâni. DÜB — Sapäku. DUG(.GA) = /àóu. DUGUD = £aëtu. DUQ. QA. BUR = paharu. E = Bâbilu, gibii(igbi). E — bitu,; É.GIR.AZAG — Nergal?; E.MAS — Sang. EGIR — arkåt. EN — 682, DEN — 00 Belt, "EN.LÍL — 2 Ber; i EN.ZU — à. Sint, "ES (XXX) — " Sin!. GA.TU = rat (i). GAL — raóz. GÁL = baså I, CARE N — utabXi. mu-GÂL-H — musabä, GAR — Såkånu; GAR-MU = Såkin-Xumi. "GASAN — 2 Beht?. GAZ? = karábu. Gl— Salam (usallim, musallim, Sullim); G\.NA— ukin, kinu, zanáqu. GiL — agi. GÍR-LAL — nàs-patri. GIS — Air; GIS.KU — tuklat (as); GIS.MÁ — e/ippu; GIS.MI — siu; ?GIS.NU = ?Sa- mai; !"GIS.SIR (BL 1652) = 7Sa;za3?; GIS.SAR = urgu. GU.ZA = kusså. GUR = uter, mutir, ter. GURIN = zzz. HA.LA = ctv. MAL = Sem (lame, Sine). "WAR — "Bunene??).. "HI = "Asur!; HI.LI — kusbu. | = n&id. "MB — ? Urax. ID = idu: WD.DÂH = su; ID.GÅL = ZZ, Zu. ILLAT = latu. IM = Säru;, COM — Adau?; IM.TUK = zd. AR = allaku. YT BL 9432) = tukultu. KA = amätı, pé; KMis = páris; KA(DUG). GA — igbi; KA.KA — dabåbu, dabibi. KÅ = bäbu; "KA — " Bau?; KÄ.GAL — abullu. KAK — band (ibni, Dani), epésu (meistens mit phonet, Komplement -z3/$u[e3); UKAK-zu — 2Bånitu, KAK.A.BI = kalt, Æullatu; KAK-AN = épis-ili. KAL = agru, damäqu*), du- 1) Unrichtig ist die Lesung JVa2Z-hél (statt mit)-uballit, BE X p. 56, ebenso NViziö-bel (statt kaëti)-ahêÿu, ibidem p. 59. 2) Siehe unten p. 241. 3) Der Werth damågu des Zeichens KAL lässt sich erschliessen aus den Gleichungen Dr 367, 28 = Dr 158, 15 (Sin-da-ma-qu|KAL) und Nd 443,11, 1111,8 — 442,7 (Mu-S1G-ig|KAL-Addu). Es ist wohl möglich, dass anstatt des von mir gegebenen dazzz an einigen Stellen zzudammig zu lesen ist. KAL-A ist (nicht Dazza-a sondern) Agar-aplu zu lesen, vgl. Nk WM 15, 24, 38, wo die Schreibungen KAL-A und A-gar-A wechseln. T. XXXII. Einleitung. XII nanu. KAM = eresu. KAN = eresu. KAR = eföru (meistens mit phonet. Komplement -#), ezébu III: (u3éz25, Süzubu, Süzib, musezib), karu. KAS oder KAS.KAS = Harran. UKAS — i. Sin3. KAT — kasaru (kâsir, kusur). Kl= t. KI(-%) = irsiti. KI.AKA (ab) = råmu. KU = igru. KU.HI.A = lubüsu (à); KU.MAL = agiru; KU-(tu) — tukultu; KU.UT = aslaku. KUR = kasådu(?), måtu, Sad, #KUR.GAL — 5272, vgl. aber BE X p. 8. LAH = »zzu; LAH-zr = 224227; LAH.LAH — 260. LAL = ensu, tarsi; LAL(-in) = taggin (2); LAL-zs = tåris. LIB.ZU = Assur: LID — 747. LIL — ZZ). LU = etêqu IIT1 (LU(-zg) = musetig), sabåtu (asbat, sabat); LU.ARAD = zuzniru. LUB.A = Sellibu. LUGAL = sarru. "LUL — "Eat. MA.AN.SUM — idinnam. MÁ.DU.DU = malahu. MAH = söru. MAN = Sarru (besonders as), Sarratu; “MAN — ZSamas3. "MARAD.UD = Marduk. MAS — asaridu. MAS — “Mini? MAS MAS — “Nergal®. MEME — Gula? MI = sillu @ ab.) MU = amåtu (Nd 109, 8), za (?), nadånu (iddin, nàdin), Sumu; MU-A = nådin-apli, auch = SE-na-a; MU-ÁS = iz;- iddin (? as.); MU-DU(-zz) = MU-GI.NA — 3772-242»; MU-GIS = 3zzz-Zr; MU.MES — Sumåti, Su àtu; MU- MU = Szian-iddin"); MU-PAP — MU-SES — szz;-su7?). MULU — azzéZw. MUN.HI.A = 7a2/w. "NE.UNU.GAL = Nergal*. NER? = Sépu. NI = e/équ. NI. GAB von mir gzPz gelesen, besser — 4#, s. KB VI p. 391; NI.NI = 2%. NIGIN-z = upahhir. NIN (BL 7337) = bé/tu; ?NIN = 2 Bélit?; NIN-Z = eristu; "NIN.IB — i! Nimb!: "NIN.LIL — 22277. NIR.GAL — ezi;. NU — salmu, ul; NU.AB = zisa&£u; NU.GIS.SAR = amel-urgi. NUN.ME = aôkallu. NUNUZ = pir u. PA = a£/u; "PA — " Naóz?; "PA.KU — "IVus£u ; iPA.UGUR = "Verga/*. PAP = au, nagàru (usur, nåsir), PAP.ME = aZ; PAP-ÁS — å/-iddin (as); PAP-MU — nåsir-Sumi (? nur einmal belegt: Samas- -); PAP-PAP — à/-usur = PAP-SES; “PAP.SUKAL 3 Papsukkal. "PAT (XV) = "73tar*.. PP? = usnu. PIG = ibku (ab.) PIN (-e3) = eres. QU = ufu. RAM = am. "BI = Stars. RU (-z)) = RU.RU — Sirigtu. SÅ — nabñ (2). SAG = risu (as); SAG.DU = gaggadu; SAG.GIL = kabtu; SAG(.KAL) = asaridu. SE = nadånu (nådin, selten iddin); SE-na = iddina, als mittleres Glied eines dreitheiligen Namens sowie als erstes Glied eines (ab- gekürzten) zweitheiligen Namens auch = nådina (st. cstr.)*); SE-PAP = nådin-alu. S\.DI = Zsir, einmal — kittu. SÍB — ré à. SIG — ensu. SIGISSE (bis) = karåbi. SILA = sågqu. "SILIG.MULU.HI — X Marduk". SIMUG = nappahu. SU = erébu (érib, erba). SUG (BL 7602) = eresu. SUR — eféru. SA.BA = gåsu, gestu; SA.DU = Zudurru; SA.GA — makkür. SAL (BL 5519) = ému. SE— magäru(?); SE.BA — ipru; SE.GA — sem, magáru; SE.ZIR — siru. SES — alu, nasaru (nasir, usur); SES .KAK — Nusku?; "SES.KI — Sin; SES.ME — SES.MES — ahé; SES-MU — à/-iddint); SES-SES = àZ- usur?). SI= inu (auch mit Dualiszeichen), pånu, amáru (amur, lèmur); SVDU = ålik-mahri; 1) Namen wie Marduk-MU-MU werden von einigen Assyriologen Marduk-nädin-Sumi gelesen. So liest z.B. Hır- PRECHT, BE IX p. 22 f., während er MU-MU ohne einen Gottesnamen mit Sum-iddin umschreibt, obgleich MU-MU aus dreigliedrigen Namen wie Marduk-MU-MU abgekürzt ist (s. unten p. XVI). Ich kenne nur einen Fall, wo für MU-MU die Lesung »ädin-Sumi durch eine Variante »a-din-MU gefordert wird, nämlich in dem Namen des Sohnes Sanheribs Asur-nädin-sumi, Babyl. Chron. II 30, 36. Dagegen werden die Namen Marduk-Sum-iddin Nr. 23 und Nabü-Sum- iddin Nr. 33 theils -MU-MU, theils -MU-SE-na (d i. Fwm-iddina) geschrieben und anderseits ist Marduk-Süum-iddin (MU-MU) Nr. 22 — Süm-iddina (MU-SE-na) Nr. 19. Eine genaue Regel für die Lesung der Zeichen MU-MU kann somit nicht festgestellt werden. Ich lese MU-MU überall — #em-iddin, wo nicht eine Variante die Lesung nådin-Sumi verlangt. Vgl. auch DELITZsCH, BzA III p. 387 f. 2) MU-SES bez. PAP werden von anderen nådin-ahi gelesen (HILPRECHT, BE IX p. 22). In der That wird diese Lesung durch mindestens eine Variante gefordert; der Name des Vaters des Aimüt-BEl 33 wird Nk 368, 12 AMU- SES, aber Nk 403,17 SE-za-SES geschrieben, vgl. unter Bél-iddin Nr. 69. Anderseits wird die Lesung S#w-wsur durch mehrere Varianten gestützt: der Vater der /Zzsabftum Nr. 3 = Marduk-MU- SES |å-sur Cb 349,4, der Vater des Z/#-Marduk-ba- låtu Nr. 20 — Marduk-MU-SES|#-sur Nk 17,12, der Vater des Marduk-gisanni Nr. $ — Marduk-MU- SE S|t-sur. Dr 266,3, der Vater des Vädin Nr. 29 — Marduk-MU-SES|PAP|ü-sur Nd 987,35, u. s. w. Es muss also dahingestellt bleiben, wie die Zeichen MU-SES bez. MU-PAP in jedem einzelnen Fall zu lesen sind. 3) Anstatt /ddiza-ahe (s. unten p. 69) ist Mädina-ahi (= SE-na-SES) zu lesen. Dass SZ-za das Participium dar- stellt zeigt SZ-na se-im Cr 268, 15. 4) Varianten = zäsir-Sumi sind mir nicht bekannt. 5) Variante SES-Z-sur s, unten Marduk-ah-usur Nr. 1. HILPRECHT liest nåsir-ahu. No. 2. XIV Knut Tallqvist. 2$1.DU — Nergal! (Ninib3); S1.LAL— amáru (amur, låmur). SIG — damáqu (damqu, dumqu, udam- mig, mudammig). "SIT — ""Marduk>. "SU —? MarduE?. SÜ— gämil, gimillu, gätu (auch mit Dualis- zeichen); SÜ-GUR — gimil-tirra; SÜ.HA — bi'iru; SÜA — gallabu. SUB — pâris 2). TA — iti. T = balätu M 1 (ballit), TILA = Galètu Ia. (uballit, ballit), baltu; TI.LA.BI = balätisu, ballitsu. TIG.GAB.A.KI — A777. TIL = baså (2). TIL.GID.DA — gipu. TIN = balåtu, bullit, uballit, TIN-i = bullit, uballit; TIN.TIR.KI = Båbilu. "TU.TU = Marduk? TUK-Si = irassi. TUR — aplu, måru; TUR.SAL — märtu; TUR.US — aplu. TUR (BL 2664) — tarbasu. U — bel (as.), kissatu, WU — Addu? (ab. as). UB.LA — upahhir. UD — Samsu; UD.DA = 2772; UD.DU — as%; UD.KIP.NUN.KI = Sippar; “UD. SAR = " Nazzaru. (;UGUR — Nergal!. UHU.KI— Up. UN — ziiw. UR — båsu, bastu, kalbu. UR.SAG — garradu. "USLANU (BL 3051) — Star? US — emêdu, sikaru; US.BAR — ziparu. ZAB. DAH/GAB — ziraru. ZAG(.LU) — imittu. ZI — napistu, ZI.MES — ZI.ZI — zapiár. ZIR = zöru. ZU — idu, lu. BL 1387 — agü; 2667 — bäntni; 11209 — esü. Da, wie oben hervorgehoben wurde, einige Namen immer ideographisch geschrieben werden und anderseits die Ideogramme oft mehrdeutig sind, ist die genaue Lesung vieler Namen noch immer zweifelhaft. Die einzige zuverlässige Garantie liefern, in vielen Fällen, nur phonetisch geschriebene Varianten. Auch die Analogie anderer Namen gewáhrt eine gute Richtschnur. Aber gemeingültige, genaue Regeln für die Lesung babylonisch-assyrischer Personennamen lassen sich kaum aufstellen. Dies hat z. B. HILPRECHT, BE IX p. 21, in Hinsicht auf zweigliedrige theophore Namen überzeugend dargelegt. Ob in XAX-Addu das Ideogramm /dni oder Dani, ob in Marduk- TIN(-it) das Ideogramm wballit oder muballit oder bullit zu lesen sei, lässt sich nur mit Sicherheit ausmachen, wo Varianten vorhanden sind. Um möglichst konsequent zu sein, habe ich mich bemüht in der Weise zu verfahren, dass ich, um bei dem Beispiel KAK zu bleiben, wenn ich zu einem Namen mit KAK an erster Stelle die Variante //-;z7 fand, während anderseits für ba-ni an derselben Stelle keine Variante KAK sich darbot, XAX an erster Stelle immer mit Ibni transskribierte. In Bezug auf dreigliedrige Namen, welche aus Subjekt, Verb und Objekt bestehen und in welchen sich an erster Stelle ein Gottesname als Subjekt findet, giebt HILPRECHT für die Lesung des Ideogramms, welches das Verb bezeichnet, zwei Regeln: 1. wenn das Ideogramm in der Mitte steht, ist es mit einem Particip zu transskribieren!), ausser wenn das dritte Glied ein Personalsuffix ist, in welchem Falle Präteritum eintritt; 2. wenn das Ideogramm am Ende steht, kann esals Prásens oder Práteritum gelesen werden. Diese Regeln sind gewiss richtig und geeignet unrichtige Lesungen zu verhindern. Einige andere Regeln ähnlicher Art kónnten noch gegeben werden, aber ich verweise statt dessen auf das unten sich findende übersichtliche Exposé der babylonisch-assyrischen Namenbildungen. III. Namenbildung. Namenkürzung. Wie die indoeuropäischen Personennamen in formaler Hinsicht zwei grosse Gruppen: zusammengesetzte und einfache Namen, bilden, so verhált es sich auch mit den semitischen. Was die zusammengesetzten Namen der Semiten betrifft, unterscheiden sie sich aber wesentlich von jenen der Indoeuropäer, und zwar sowohl innerlich in Hinsicht auf ihren allgemeinen 1) Richtig bemerkt HILPRECHT, BE IX p. 22, dass Namenbildungen wie Marduk-ukin-aplu unmöglich sind, An- statt Sin-iddina-ahé, welche Lesung Jouns, Deeds and Documents III p. 198, als eine Ausnahme von der Regel bezeichuet, ist Sin-2ádina-ahé zu lesen. Lies auch anstatt J/-iddima-ap/u (unten p. 36) und Wabñ-ittan-ahu (p. 132) Pê/-nâdina-apli und Nabü-taddan-usur. Falsch ist ebenso die Lesung Aammüän-sum-näsir (SAYCE, in BE a. a. O.). Dagegen kommt Dagan-bêl-nâsir (PAP-ir, MI R 1, I 31) vor, wo zásir als Attribut zu fassen ist. In Pé/-aké-ba-ni ist ba wahrscheinlich Ideogramm für az, so dass i/zi zu lesen ist. Auch sonst werden Ideogramme verwendet, um nur eine Silbe des be- treffenden Wortes zu bezeichnen, ba-GIM = bäni BE I 2 p. 23 A. 2, Bel-4- SES — usur 83-1-18, 394, Marduk-zza- PAP (= násir-aplu, KAK (= Ib)-na-a.a Dr 349, 12, T. XXXII. Einleitung. XV Gedankeninhalt als äusserlich der Bildungsart nach. Die indoeuropaischen Personennamen haben, um es kurz zu sagen, einen vorzugsweise profanen Charakter und drücken im allge- meinen eine Eigenschaft des Namenträgers aus. Die weitaus grössere Mehrzahl der semitischen Personennamen ist dagegen religiösen Inhalts. Sie fassen die Beziehung des Menschen zur Gott- heit ins Auge, drücken eine Thatsache, einen Wunsch oder ein Gebet aus. Dieser innere Unter- schied wurzelt gewiss tief in der Verschiedenartigkeit der allgemeinen Geistesrichtung der Indo- europäer und Semiten. Der äusserlich zu beobachtende Unterschied der Namen der beiden Völkergruppen hängt wiederum von dem verschiedenen Charakter der betreffenden Sprach- familien ab. Bei den Indoeuropäern handelt es sich um wirkliche Wortkomposita wie griechisches xepi-xAvtoc, englisches Archi-bald, deutsches Eber-hard u.s.w. Bei den Semiten dagegen, deren Sprachen derartige Wortkomposition nicht kennen, bilden die zusammengesetzten Namen einen Satz, der aus zwei bis fünf Worten besteht (/dadin-Marduk, Nabü-miti-uballit, Papsukkal-Sa- igbu-il-inu), oder sie enthalten zwei Worte, die in Genetivannexion mit einander verbunden sind (Ardi-Samas). Diese beiden Arten zusammengesetzter Namen kamen bei allen semitischen Völkern vor. Doch sind von den einen Satz bildenden Namen bei den eigentlichen Arabern nur . C . . . . . . 5 E 50 wenige Spuren vorhanden !), wie die arabische Namenbildung mit ihren drei Typen pl oder SG < - : SEN und kif überhaupt eigene Wege gegangen ist?. Während Namen, die aus einem Satz bestehen, allen anderen Semiten ganz geläufig waren, unterscheiden sich die zusammen- gesetzten Namen der Babylonier und Assyrer?) von den entsprechenden Namen der Hebräert), Phoenicier5), Aramäer®), Palmyrener?), Nabatäer*) und Minäo-Sabäer®) durch ihre Vorliebe für lange, aus mehreren Gliedern bestehende Bildungen. Ob drei- und mehrgliedrige Namen als eine babylonisch-assyrische Neubildung zu gelten haben, oder ob sie schon in gemeinsemitischer Zeit gebräuchlich waren mag dahingestellt bleiben. Es soll nur darauf hingewiesen werden, dass der- I) Vgl. lå Bi. 2) Für die Namen der Araber s. HAMMER-PURGSTALL, in den Denkschriften der K. K. Akad. der Wissensch. zu Wien 1852 p. 1—73, G. A. WALLINs första resa fran Cairo till arabiska öknen, Helsingfors 1853, GARCIN DE Tassy, Mémoire sur les noms propres et les titres musulmans, 2 &e edit, Paris 1878, NÖLDERE, Beiträge zur semitischen Sprach- wissenschaft, Strassburg 1904, pp. 73—106. 3) Über babylonisch-assyrische Eigennamen s. besonders Jo. MÉNANT, Les noms propres Assyriens, Paris 1861, EBERHARD SCHRADER in ZDMG 26 (1872) pp. 118— 167, OPPERT & MÉNANT, Documents juridiques, Paris 1877, pp. 349 bis 366, FR. DELI1ZSCH, Prolegomena eines neuen Hebr.-aram. Wörterbuchs, Leipzig 1886, pp. 198—212, HILPRECHT in BE IX pp. 20—29, 47— 77, BE X Preface, C. H. W. Jonns, ADD III, Cambridge 1901, C. HOLZHEY, Die theophoren baby- lonischen Eigennamen (Bibl. Studien VI (1901) p. 97—103, HERMANN RANKE, Die Personennamen in den Urkunden der Ham- murabidynastie, München 1902, A. T. CLav (1904) in BE X pp. 15— 21, 37— 72, die Namenverzeichnisse in den Werken von STRASSMAIER und PEISER etc. 4) Die ältere Litteratur über hebräische Namen s. bei EBERHARD NESTLE, Die Israelitischen Eigennamen nach ihrer religionsgeschichtlichen Bedeutung, Haarlem 1876, pp. 1—16. Von neueren Arbeiten sind hervorzuheben DELITZSCH, Prolegomena, G. BUCHANAN-GRAY, Studies in Hebrew Proper Names, London 1896, NÓLDEKE in EB, Art. Names, 1902, GEORG KERBER, Die religionsgeschichtliche Bedeutung der hebräischen Eigennamen, 1897 (s. die Litteratur p. 4), LIDZBARSKI, Die semitischen Kosenamen, in Ephemeris für semit. Epigraphik 1903, vgl. auch Fr. ULMER, Die semitischen Eigennamen im AT, Leipzig 1901 (Diss), ABr. SARsOWSKy, Die ethisch-religiöse Bedeutung der alttestamentlichen Namen nach Tal- mud etc., 1904 (Diss.). 5) A. BLocH, Phoenicisches Glossar, Berlin 1891, MARK LIDZBARSKI, Handbuch der nordsemitischen Epigraphik, Weimar 1898. 6) STANLEY A. Cook, A Glossary of the Aramaic Inscriptions, Cambridge 1898, LrpzsaRskis Handbuch. 7) E. LEDRAIN, Dictionnaire des noms propres Palmyréniens, Paris 1886. 8) J. EuTING, Nabatäische Inschriften aus Arabien, Berlin 1885, Sinaitische Inschriften, Berlin 1891. 9) FR. HoMMEL, Südarabische Chrestomathie, München 1903, Die altisrael. Überlieferung, München 1897. No. 2. XVI Knut Tallqvist. artige Bildungen schon in der Hammurabi-Zeit vorkamen!) und dass auch das Hebräische drei- gliedrige Namen aufweist. Eine ausführliche Übersicht der babylonisch-assyrischen Namenbildungen in formaler Hin- sicht wird unten gegeben, wo auch nôthige Analogien der anderen semitischen Sprachen Be- achtung finden. Hier soll zuvor noch eine in die Namenbildung tief eingreifende und für die Namenerklärung hochwichtige Erscheinung kurz erörtert werden. Ich meine die Namenkürzung. Die Namenkürzung verdankt ihren Ursprung dem sehr natürlichen Bedürfnis im täglichen Gebrauch über möglichst kurze Namen zu verfügen und der Vorliebe der Eltern für kosende Ruf- namen. Die einfachste Art der Namenkürzung war, dass man ein Glied des Namens oder, wenn möglich, mehrere wegliess. Ein weiterer Schritt war, dass man den in dieser Weise entstandenen Kurznamen mit einer besonderen Endung versah oder seine ursprüngliche Form sonst irgend- wie änderte. Namenkürzungen kommen gewiss bei allen Völkern vor?), wo sie überhaupt möglich sind, und ebenso gewöhnlich ist der Gebrauch von Kosenamen. Viele scheinbar einfache Namen stellen sich bei einer genauen Prüfung als Kürzungen von Vollnamen heraus. Diese Erscheinung ist innerhalb der semitischen Onomatologie nicht unbeachtet geblieben‘). Auch auf babylonisch- assyrischem Boden, wo Kürzungen wegen der Beliebtheit langer Namen a priori angenommen werden konnten, haben verschiedene Forscher ähnliche Erscheinungen notiert.4) Wegen der Wichtigkeit der Namenkürzung lasse ich hier ein Verzeichnis sämmtlicher mir bekannten Fälle wo Vollnamen und Kurznamen bei derselben Person angewendet werden, folgen. Aus diesem Verzeichnis wird man zu gleicher Zeit sehen, auf wie mannigfache Weise die Kürzung erzielt werden konnte. Das erste Glied eines drei- bez. mehrtheiligen Namens wird weggelassen; dieses Glied ist ent- weder a) ein Gottesname oder b) eine Präposition. a) das erste Glied ist ein Gottesname: Marduk-Sum-iddin no. 22, 45 IF Sum-iddin no. IO, 35 Sulman-Sum-iddin no. 2 | = | Sum-iddin no. 25 Nabü-Sum-ukin no. 1 = ? Sum-ukin no. 3 Addu-zir-ibni no. 3 = ? Zir-ibni no. I Nabiü-zir-ukin no. 39 = Zir-ukin no. II | ? Sum-usur no. 3 Tabtani-usur no. I Bän-zir 1, 2, 4 Nabü-Sum-usur no. 8 Nabi-tabtani-usur no. 1 Nabü-bän-sir no. 2, 4, 8 | Nergal-bänümu no. I — Däanimu no. 7 JEa-épis-uli 9) = Epis-i) Ninib-mutir-gimil = Mutir-gimil BE IX Marduk-Sakin-Sum no. 7, 12, 15 = Såkin-Sum no. 7, 13 Marduk-Säpik-zör no. 7, 12, 15 = Såpik-sir no. I4, 20, 54 Bel-kin-aplu (DU-A) BE X 88: U. E | — ( Kin-aplu (DU-A) BE X 82, ıs Lo. E, vgl. BE X p. 16,4. Nabü-kin-ap-lu|A no. 34 = Av-na-apíu (bez. -a) no. 28 I) Vgl HoMwEL, Altisr. Überl. p. 70 £, RANKE, p. 13. 2) ERMANN, Aegypten und ügyptisches Leben im Altertum, p. 233, FICK, Die griechischen Personennamen, KARL SUNDÉN, Elliptical Words in modern English, etc. 3) Als Kürzungen aus Vollnamen erklärt z. B. NESILE Namen wie 727, ^23, 322, j27 etc. 4) PEISER, Babyl. Verträge p. 228, Anm. I, 2, HILPRECHT in BE II p. 17 Anm. 6, 7, p. 43, Anm. 2 DEMUTH in BzA III p. 415, RANKE a. a. O. p. 38 ff. T. XXXII. Einleitung. Nabü-kin-zir no. 8 Samas-kin-zir no. 1 Nergal-ina-esi-elir no. 4 b) das erste Glied ist eine Präposition: Ana-Böl-eres no. 2 / Ana- Tasmetum-aikal Ana-amät-Bel-atkal * Ana-Nabü-Salamu-eres /Ina-Esaggl-belit Ina-Esaggül-kin-aplu Ina-Esaggil-hlbur /Ina-Esaggül-rämat no. Y, 3 Ina-Esaggil-sadiunu no. 2 Ina-Esaggül-Sum-ibni no. I Ina-Esaggül-sir(-ibni) no. 2, 3 Ina-eSi-étir no. 8 Jna-sil-Xarri no. I / [na-bau-magári-alsis Ina-sillu-Ninib XVII = I Kın-sir no. 3 = | KZu-zir no. 4 — ? Ina-esi-etir no. 5 — Bel-eres no. 8 = I Tasmötum-atkal = Amät-Bel-atkal = Bel-atkal Nabü-3aldmu-eres I Essaggil-bélit = Esaggül-kin-aplu = Esaggil-lilbur | | = /(E)Saggül-rämat no. T, 3 = Esaggul-sadunu no. 4 = Esaggil-Sum-ibni no. I «9, = Esaggu-ztr(-ibni) no. I, — Ati-ehr n0. 2 = Si-Xarri no. I = /Bau-magäri-alsıs = Sillu-Ninib BE IX Das zweite Glied eines drei- oder viergliedrigen Namens wird weggelassen: Samas-ah-iddin no. 16 Nabi-ak-ittannu no. 9 Nabü-aplu-iddin no. 19, 55 Nabü-miti-uballıt no. 1 Samas-Sum-ukin Rimit-bel-ılani no. I Lüsi-ana-nüri Sulum-ana-Báàbili Samas-ina-esi-Etir no. I Mint-ana-Bel-daiann — Samas-iddin no. 34 = Nabi-ittannu no. 66 = ? Nabü-iddin 18, 37 = ? Nabd-uballit no. 6 = Samas-ukin‘) = Rimnt-ilani no. 5 = Lüsi-nür = Sulum-Bábili = Samas-etir no. 12 ; = Minü-Bel-daianu Das dritte bez. vierte Glied eines drei- oder viergliedrigen Namens wird weggelassen: Marduk-nåsir-aplu no. 4 Nabü-nasir-aplu no. 3 Nabi-balti-ilani Nabü-bullitsu no. 38 Nabü-usur-Su no. 6 Ahe-iddin-Marduk (? Nd 1020) "Ana-Nabü-Salamu-eres Asur-etil-ılani-ukinni Jna- Esaggil-s£r-ibui Rapas-silli- Ea Zir-kitti-lisir La-basi-Marduk no. 3, 5, 9 Zanig-pi-Su-Samas 1) LEHMANN, Samaëÿumukin p. 7. 2) RANKE, a. a. O. p. 34. No, 2. = Marduk-nasir no. 12 = Nabi-nasir no. 37 = Nabir-baltum = Nabñ-bullit (Dr 406) = Nabü-us'"r no. I — Ahé-iddin (Nd 756, 3) = Ana-Nabü-Salamu = ASur-etikilani = [na-Esaggil-str = Rapas-silh?) n = Zir-kuu BE IX — Lá-bá$i no. 22, 27, 51 = Zamig-pi-Su?) XVIII Knut Tallqvist. Das erste und das zweite Glied eines drei- bez. viergliedrigen Namens werden weggelassen; Itti-Marduk-balàfu no. 43 = Balätu no. 100 Ana-amät-Bel-atkal = Bél-atkal Das erste und das dritte Glied eines dreigliedrigen Namens werden weggelassen; das beibe- haltene Kompositionsglied bleibt unverändert, oder es wird durch Anhängung der Kasusendung zum flektierbaren Namen verwandelt oder endlich mit einem Rufsuffix versehen!): Nabü-balätsu-igbi no. 24 = Balätsu no. 6 Nabn-talimu-usur no. I = Talinu no. 3 Samas-pir-usur no. 5 = Pi no. 8 Nabü-nädin-zir Königsliste = Nádinu Babyl. Chron.?) Nabñ-tabni-usur no. 12 — Tabnea no. 43 Nabü-kin-aplu no. 34 = Ki-na-a no. 28 Bel-aplu-iddin no. 9 — ? Apla-a no. 12 Ina-sil-Esaggü = Sılla-a-a BE IX p. 25 Nabñ-aplu-iddin no. 31 —?Apla no. 34 Das zweite und das dritte Glied eines dreigliedrigen Namens werden weggelassen; das beibe- haltene Kompositionsglied wird behandelt wie oben: Marduk-aplu-usur no. 2 — Marduka no. 14 Kabti-ilàni-Mardu£ no. 1 = Kabtia no. 25 Marduk-rönanni no. 5 — Marduk Das erste Glied eines zweigliedrigen Namens wird weggelassen; das beibehaltene Kompositions- glied bleibt unverändert, oder es wird in der Weise, wie oben angegeben wurde, erweitert. Auch kommt es vor, dass, wenn das beibehaltene Glied ein Prät. der Stämme Il: oder III: ist, dies mit dem entsprechenden Inf. vertauscht wird. Marduk-nasir no. 19 — Nasır no. 4 Ina-Esaggila = Esaggilä Nergal-usallim no. 14 — ? Sullumu no. 13 Nergal-usezib no. 12 = Säsubu no. 10 Ea-uballit no. 2 = ? Bullutu no. 4 Bel-upahhir no. 6 — Puhhuru no. I Das zweite Glied eines zweigliedrigen Namens wird weggelassen; das beibehaltene Komposi- tionsglied wird wie in der vorigen Gruppe behandelt: /Amti-Belit no. 5 = /Amtia no. 3 Ardi-Istar UI R 46 no. 6 — NUN (Arda) Ardi-Bel no. 49 [| Ardia no. 72 Ardi-Naóà no. 17 — | Ardia no. 86 Gahal-Marduk — Gahal Gimil-Marduk — Gimillum RANKE p. 38 lddina-Nabi no. 72 = Jddinà no. 22 /gisa-Marduk no. 12 — /gisa no. 23 Kidin-Marduk 3a, 7, 13 = Kidinnu no. 2, 4, 13 Marduk-rimanni CIS II 68 = 570 (Marduk) Musibsi-Marduk = Musibsi Nàdin-Yeim no. 1 = Nädin no. 63 I) Vgl. RANKE, a. a. O. p. At. 2) KB II p. 275 Anm. T. XXXII, Einleitung. XIX Nidinti-Bel no. 6, 23, 25 | Nidintum no. 23, 32, 57 Nidinti-Marduk no. 2 — | Midintum no. 35 Rimu-sukun BEX p. 17 = wmm (Reid) Rimüt-Gula no. 4 Rimäl no. 121 Réànat-Naón no. 11a, 12 | Rimit no. 78 Rimüt BE IX Rémüt \) Rimat-Ninib Rimanni-Bel : Sulmän-asarid = Sulmàánu?) Musezib-Marduk no. 44 = ? Süsubu no. 7 Samas-mu-Si-zi-ib — Såa-am-Si-ia ?) Tagiÿ-Gula no. 12 — Tagis no. 4 Zir-ukin no. 3 — 7710 00 IO Zir-Babili no. 5 = Ziría no. 30 Näheres über abgekürzte Namen und Kosenamen, die nach Analogie der hier angegebenen Beispiele des thatsächlich nachweisbaren Sprachgebrauches gebildet sind, siehe unten. Hier mag nur noch die Aufmerksamkeit auf die eigenthümliche Erscheinung gerichtet werden, dass die Kürzung der Vollnamen unter anderem dazu führte, dass Götternamen wie auch Tempel- namen allein als Personennamen verwendet wurden, vel. Addu, Bunini, Marduk, Marduka, Esaggil\) IV. Übersicht der babylonisch-assyrischen Namenbildungen. A. Zusammengesetzte Namen. I. Theophore°). Die Götternamen, welche zur Bildung von neubabylonischen Personennamen verwendet wurden, finden sich unten im Abschnitt II verzeichnet. Die Gesamtsumme dieser Götternamen ist ziemlich gross, indem sie, wenn einige fremdländische Götternamen mitgerechnet werden, die Zahl 84 erreicht. Hierbei ist jedoch zu beachten, dass einige mit mehreren Ideogrammen ge- schriebene Götternamen in Wirklichkeit vielleicht verschiedene Göttergestalten repräsentierten. Die Summe der im Abschnitt II gebuchten theophoren Namen ist ungefähr 2730. Dagegen be- laufen sich die unten übersichtlich gruppierten theophoren Namentypen nur auf c. 940. Hieraus ersieht man sogleich, dass ein und derselbe Bildungstypus in Zusammensetzungen mit mehreren Götternamen vorkommen kann, was der Leser im Abschnitt VIII, Wörterverzeichnis, deutlich dargelegt findet. Um zu zeigen, welche Typen in Verbindung mit nur einem Gottesnamen belegt sind, ist der betreffende Gottesname unten in Parenthese gesetzt worden. Um endlich ein Bild von der Anzahl von Zusammensetzungen zu geben, in welchen die einzelnen Götternamen ange- troffen werden, lasse ich hier eine Tabelle der am häufigsten verwendeten babylonisch-assyrischen Götternamen folgen. Die erste Zifferkolumne bezieht sich auf neubabylonische, die zweite auf I) Beachte Nd 697: Rimanni-Belsa sumsu Rimüt imón. 2) Salm. Balaw. I 1, DAL p. 51. 3) Warka 26, 34 — 25, 3. 4) Für Götternamen als Personennamen bei Hebräern, Phoeniciern und Indoeuropäern s. KERBER, a. a. O, p. IOf. und die dort angegebene Litteratur. 5) Zu dieser Gruppe werden nicht die mit i/x zusammengesetzten Namen geführt. No. 2. c* XX Knut Tallqvist. altbabylonische !) und die dritte auf assyrische?) Namen, während die in Parenthese stehenden Ziffern die Gesamtsumme der im Abschnitt II notierten Zusammensetzungen mit dem betreffen- den Gottesnamen bezeichnen. Es soll nur noch nachdrücklich hervorgehoben werden, dass die Zahlen, aus mehreren leicht einzusehenden Ursachen, nur annähernd und relativ sind. Nabe io IS 250 (507) él. mds 200 20 (B?) 90 (342) Samar N ae 150 150 60 (314) NAT M 35 40 (190) Sin er o 165 40 (253) EAN EM VE DR 070 20 3 (91) Eddie 0 000 08 40 70 (168) NEA es s xs (99 I 35 (81) NME Nc EMO 8 35 (77) Belit: aa 4, e UR I 15 (49) Nanà 32 2 4 (40) Goo 7 210; 5 5 (29) OUEN CU 20) I 145 (165) rase Dé urs err DO 4 I (24) Bantur m RO O 3 (23) Zamalnal 20 5 3 (24) SDU oum. ee 6) I O (21) Biene 5 gs 29 5 I (23) Bau NEM. OD VUE 5 4 (25) Sulmán . . . . 16 2 3 (24) Nuskus e s I2 3 5 (18) IStar IO 23 72 (107) Tasmetum 7 Oo 2 (8) AC 7 I (e) (8) Zariqu 6 I (6) (7) ISum 4 3 (e) (7) Ningal 4 2 I (6) TUR.E 4 O I (7) Anunitu 3 4 [e (7) A-a. 3 23 9 (36) Für die Erforschung des babylonisch-assyrischen Kultus giebt die obige Tabelle einen beachtenswerthen Fingerzeig. Bestimmte Schlüsse daraus zu ziehen wäre jedoch verfrüht und ist hier nicht am Platze. In formaler Hinsicht bilden die teophoren Namen drei Gruppen, zwei-, drei- und vier- oder mehrgliedrige Namen, und zwar kann der Gottesname die erste, zweite oder dritte Stelle unter den Kompositionsgliedern einnehmen. Die Frequenz der einzelnen Bildungstypen inner- halb dieser Gruppen ist sehr verschieden. Die Anzahl der zweigliedrigen Typen ist c. 350, die der dreigliedrigen c. 500, aber die der vier- und mehrgliedrigen nur c. 80. Am häufigsten nimmt der Gottesname die erste Stelle ein (die Zahlen für die drei Gruppen sind resp. 200, 380 und 60), weniger oft findet sich der Gottesname an zweiter Stelle (160, 55, 2), verhältnismässig öfter an der dritten Stelle (70, 20). I) Vgl. die Tabelle bei RANKE, a. a. O, p. 14. 2) Unter die assyrischen Namen habe ich auch die s. g. Probenamen («Specimen Names») eingereiht. T. XXXI. Einleitung. XXI I. Zweigliedrige. a) Der Gottesname steht an erster Stelle. «) Der Gottesname stellt den Nomininativ dar; das zweite Glied ist eine Verbalform, Präsens (selten): (Sin)zragam, (Nabü)-éraÿu, (Ea)-i$emu, Präteritum): -erda (zriba), -êre, -ibni, -iddin (idin, idinnam), (Sin)-édi, -iksur, -iltama, -imbi, -ipgid, -ipus, -igbi, -igisa, (Sin)-iram (), (ASur)-iröi, (Nabu)-iskip, -iskun, -ittannu, -itår, (Sin)-ublam, -uballit, -udammig, -ukin, -unammir, -upahhır, -usabsi, -uSallim, (Sin)-usébi, -u3ézib, -utaggin, -utir, Präkativ?): (Addu)-Zikin, (Bel)-/udammdiq, (Ninib)-/ukêr, (Bel)-Ziksur, (BEl)-Zgdi, Participium ): -båni, -båri, -damig, -dämgat, -da'in (dånu), -épit, (Belit)-Erat (?), -Efir, -êtirat, -gåmil, -gämelat, (Marduk)-kasis, -hatın, (Samas)-kazi, -hasir, (Nabü)-känik, -kâsir, -kasid, -kasir (kisir), (Nanà)-kéfirat, -mägir, (Sin)-malik, -nadin, (Addu)-nagt, -n&id, -näsir, (Sin)-nasi, (Sin)-na-ve-ir, (BEl)-paris (2), (Sin)-patir, -ga'isat (ki-i-Sat), -räimat), (Addu) -Sam(m)e, -Söme (Fm), -tàris, (Nabü)-zäkir, -zägip, -muballit, -mudammiq, -mukallim, -mukin, -mu- Sallim, (Addu)-musammir, -muêsi, -musesir, -musezib, (Sin)-mustäl, (Samas)-mustösir, -mutakkil, -mutaggin, oder ein Nomen (Substantiv oder Adjektiv) >): -abu, (Samaß)-adäri, (Samas)-aditu (2), (Sin)-adal, (íBélit)-agZ*, -ahe*, -a-a-/u (ia-a-h), (Samai)-a£/u, (Nabü)-a/Z/u, -amme (hamme, imme, amma), -asıı, -asaridu, (Sin)-ód/a, -balatuÿ, -barakka, -bulta®, -daianu, -dannu, -dannat, -emügi, -ennam, -etillu, -gabri, -güszuf, (Samas)-hammu, (Samaë)-Zé ga//u, -hutnu, -ilu(#), (fBau) "lat, -illatti, -imittu, -irfu, (SamaS)-itét, (Sin)-izzu, -kapkapi, (Nanä)-karäbi*, (Bêl)-kidduri, (Bel) -Ridini*, -kinu, -kitri, (Nusku)-labanu, -lamazi, (Nabü)-Z/fu, -/£2, -mati*, -milki, (Nabü)-naburu, (Sin)-zapisti*, (BEl)-nasabi, -nirari, -nüru, (Nergal)-gardu, -garrad(u), (Gula)-gasdu, (Nabü)-gatari, -rabi, -rê à, -reütu, -riméni, -ris*, (A-a)-résat $, (Nanä)-szrat$, -sulülu, (Sin)-fadà, -Xalammu*T, -Samhu (Samuk), -Sarru, -Sarrat, -taiar, -tappé*, (Addu)-taqummu, -tukulti (tuklatum), -fabu, (EI Ar- kattum)-/abat, -ummu, (Sin)-Upia*, -usätu, (Nabü)-uzubu, (Sin)-zagappi, -zer*, (Sin)-zuzanum. 8) Der Gottesname stellt den Vokativ dar; das zweite Glied ist ein Imperativ); -ballit (budlit), (Nabü)-Aullim, -dammig, -nammir, -napáir, -putram, -silim (silmi £), -Sabsi, -Sallım, -Sezib, -Sime, -tuggin, -türam, -usur, Permansiv: (Ninib)-pagidat, (Samaë)- dàru(abgek.), oder Präteritum Sg. 2 P. bez. Prákativ in den abgekürzten Namen: -tabni, -léÿir, (Samas)-Ziblut. y) Der Gottesname stellt den Akkusativ dar; das zweite Glied ist eine Verbalform: (Asü, Nabü) -dugul, (Sin)-pilah, -usalli, (Sin)-usili, (Nergal)-usippi, (Sin)-ludlul, (Samas) -ümur; diese Namen mögen zum Theil abgekürzte sein, wie sicherlich fTaSmét-aZ£a/, Ninib etc. -taklåk. 1) Entsprechende Namenbildungen mit Impf. an zweiter Stelle kommen im Hebr. vor (B^p^bN, hwhÈN etc.), sind aber selten, s. GRAY p. 217. 2) In anderen semitischen Sprachen entsprechen diese Bildung Namen mit Perf, an zweiter Stelle, z. D. he. MT, Baum", *3TbN, vn N, phön. jn», "Oben, nab. MDP, xoovatavoc. 3) Namen wie S/z-lifir und Samas-liblut sind TS Abkürzung aus dreigliedrigen Namen entstanden. Dem Namen Samas-liblut entspricht he. SN", in welchem >N wohl doch vokativisch zu fassen ist, gegen NOLDEKE, EB 3283, 35 und GESENIUS-BROWNS Hebrew and English Lexicon. 4) Die hierhergehórigen Namen sind zum Theil aus dreigliedrigen Namen durch Abfall des dritten Gliedes ent- standen, vgl. unter 2) a. Bei anderen ist es fraglich, ob das zweite Glied wirklich Participium des I. Stammes oder vielmehr Permansiv ist; Schreibungen wie -ma-a-gir sind sehr selten. ' 5) Typisch für die Namen dieser Gruppe ist, dass die Glieder Subjekt + Prädikat darstellen. Es ist dies eine ge- meinsemitische Namenbildung. Nur äusserlich gehören hierher a durch Abkürzung entstandene Namen; bei den mit * bezeichneten zd das dritte Glied (eine Verbalform), bei den mit $ bezeichneten ebenfalls das dritte Glied (ein Genetiv) und bei den mit T bezeichneten das erste Glied (eine Präposition) ee Andere mögen in noch anderer Weise ent- standen sein. 6) Es ist möglich, dass einige hier aufgezählte Verbalformen nicht Imperative sind, sondern Präterr. darstellen, deren erster Vokallaut in der Schrift nicht ausgedrückt wird, weil identisch mit dem Schlusslaut des vorhergehenden Gottes- names; somit würde Madnsabsi für Nabü-usabsi geschrieben sein, vgl. BE X p. 16, 4. — Auch die Namen dieser Gruppe sind zum Theil durch Abkürzung aus dreigliedrigen Namen entstanden, No. 2. XXII Knut Tallqvist. b) Der Gottesname steht an zweiter Stelle, «) Der Gottesname stellt den Nomininativ dar; das erste Glied ist eine Verbalform, Präsens !): Ili-, Präteritum ?): Era-, Ibni-, Id(d)in-, Igmil-(Sin), Imbi-(Sin), Imgur-, Imlik-(Sin), Imur-, Iptur-(Sin), Ipus-, /gbi-, Igipi- (Marduk), Igis(a)-, Issur-(Ninib), ZSkun-, Isme-, Ittannu-, Izkur-, Ubailit. Ukin-, Upahhir-, Imtagar-(Samas), I Tagesa-(Belit?), Präkativ: Zz4-(Bunene), ZZrur-(Marduk), Zzrio- (Bel), Zi8öbi-(Samas), Participium >): A-li-ib-(Samas), Asir-(Addu), Bänli)-, Damig-, Dän(ı)-, Etiru- (Samas), Nabi-, Nadin-, Na'id-, / Na’idat (Nä'itta)-, Nazi-, Pasihu-(Addu), Mudammig-, Mu-di-qu- (Addu), Mukönu-(ASur), / Mukinat-(IStar), Munahhis-(Marduk), Mupahhir-(ASur), Musallim-, Musé- sib-, Musibsu-, Mutakkil-, Mutaggin-(ASur), oder ein Substantiv oder Adjektiv‘): Adu-, Ani- -(Samaÿ), Baltu-(S Hamas), , Damqi- (Sin) Dannu-, Dannat-, Düru-, Elfu-(IStar), / Ellita-(Nanà), Ennam ()-, /Eristi-, Etil- (Samas), Ju). Imdi-(Bel), /Sdi-, Kabti-, Kiribtu-, Kitri-(Star), Auzbu-(IStar), La- mazzi-(Papsukkal), 72% (2)-(ASur), Müränu-(Gula), Nir?)-, Qur di-, Sillu-(Bèl), Rasbi- -(Ninib), Röméni-, Sim (2)-(Samas)., Szr-(Ninkarrag), Samhu-(Samaÿ), Sami, Sarru-, Tåb-, Ti 12gar- (Samaÿ), Tukulti-. — Abgekürzt sind die Namen Summa-Nabü etc. und Zö-Nergal. B) Der Gottesname stellt den Vokativ dar; das erste Glied ist ein Imperativ®): /2-, 7x-(Bel), Röm-, QB-, Putur-(Sin), Silim-, Ü-sur-(/Ma-lik CT VI 30, 408, ı9).”) Vereinzelt sind Afhulap-Sama, / Tagtsa-Belit, Taram-Addu/Sin und Tabni-. y) Der Gottesname stellt den Genitiv dar; das erste Glied ist ein Substantiv*): Addu-, Ahi(?)-, /Amti-, Amel-, Apil-, Ardi-, Bür-, Dalil-(IStar), Gimil-, Inbi-(ASur), Kalbi-, Kidin-, Kisir-, Kudur-, Libit-, Makkür-, Mar-, / Marti-, Migrat-(Sin), Naram-, Nemel-(Sin), Nidinti-, Nidnat-(Sin), Pir-, Pusur-, Qisti-, ? Rabitt?)-, ? Rimüt-, Ri-, Sangir-, ?Sarrüt-(Sin), Sirigti-, Sumuh-, ? Tánitti-(Bel), Ubår-, I Ubårti-, Zir-, Ziti-(Nabü). Der Form nach gehören zu dieser Gruppe zahlreiche durch Abkür- zung entstandene Namen, deren erstes Glied ein Nomen, eine Präposition !) oder das Genitiv- zeichen ia!!) ist: /Amät-, Ine@)-Sin; Kisåd-(Sin), Palé-(Samaë). Pil?) -(Samaÿ), Qati-, Qib£-(Beb, Oibtt-, Rıtti-(Istar), Silli-, Sár-, Sep-, Sulum-, Utuk(Bel), Itti-, Ki, Sa-. d) Der Gottesname stellt den Akkusativ dar!?); das erste Glied ist ein Präteritum bez. 1) Vgl he. DNs", banmn, bwprm^, bwnnb^, SNOMS4, ENYAUN, phó. path, b»z3mh, südarab. Fasına-iiu, Fuawwis-ihr, SNYSIN etc. 2) Vgl. he. Ynsım, 155555, ms, phôn. b»2:n^, 523257, südarab. Sa'ada-Wadd, Wahaba-ilu etc., syr. Qamiso- Jesus ist auferstanden», EB Sp. 3278. 3) Vgl. he. bN32"i12 4) Vgl. he. BNSDN, YUAN, MANN, dazu GRAY pp. D — 86, pho. YANN, Syn. 5) Vér-Addu wird z. B. von HOMMEL, Altisr. Überl. p. 62 «Licht des Wettergottes» übersetzt. Die Schreibung Nu-ur- scheint in der That für die Annahme einer EN UN zu sprechen; da aber andere Bildungen wie AVz- mûti-Bêl und Sin-nüru die Gottheit «Licht» nennen (vgl auch Mi 7,8 "5 "IN mn"), halte ich die Übersetzung «Licht ist der und der Gott» für richtig. 6) Vgl. he. 5a". 7) Auch Z-din-(Marduk, ab.) könnte hierher gehören, aber dz steht wenigstens im nb. mitunter für iddin (Nk 301,2 S) Diese Bildung, welche die Person als Knecht, Magd, Gabe etc. eines Gottes bezeichnet, ist gemeinsemitisch, vel. he. byawn, nn, dnmau, bN("jTmS, phó. wuaemms, pa. bynY2s, arb. A| due, PN dus, Ue! yh sa, bN*9BS, nab. bw-aN, üth. Walda Xréstos etc.,, vgl. NOLDEKE, Beiträge p. 103. 9) Die mit ? bezeichneten Namen gehören vielleicht zur Gruppe «) Vgl. aber RANKE p. 27 A. 4. 10) Namen bestehend aus einer Prüposition vor dem Gottesnamen kommen bekanntlich auch bei anderen Semiten vor; hierher gehören he. 5N5, bwwab, pho. b»anN IK 16,31, pa: WAWb, arb. xÀJ, xls (Namen der Tôchter des Dichters Abul’atähija), sa. ^nP22, äth. Paëde Märjam, s. die Zusammenstellung bei NÖLDEKE, Beiträge p. 104f. Es ist mir wahrscheinlich, dass diese Namen Kürzungen von Vollnamen sind, vgl. Z#%-Bê7 mit ZIti-Böl-balätu, xA ls mit o A Namen wie Al, Carl «Ms main! u. À, s. GARCIN DE TASSY, a. a. ©. p. 53. II) Ähnlich ist die bei den Abessiniern vorkommende Bildung von Namen mit za (29): Za Kréstos, Za Johannes aufzufassen, s. NÖLDEKE, Reese p. 104. 12) Vgl. he. BNARDND p, Sybbm“ (?), [ns5z51), phó. FAWN (BLocH, a. a. O. p. 32: «er fürchtet den Esmun»). ; T. XXXII, Einleitung. XXIII Präkativ oder ein Imperativ: Astamar-(Addu), Zullstamar-, Atamar-(Sin), Ludlul-, Dugul- (IStar). 2. Dreigliedrige. a) Der Gottesname steht an erster Stelle. c) Der Gottesname stellt den Nominativ dar; das zweite Glied ist ein Nomen (Objekt), das dritte Glied ist eine Verbalform, selten Präsens: (Nabi)-Zu/fa-//ei, (Nabü)-gadbi-ilei, (Ea)-gälu-isimme, (Nabü)-Sarku-ubasa, (Nabü)-Fésubu-il, (Nabü)-zör-irassi, meistens Präteritum: -@h-eres, -ah-ibni, ah-id(d)in (-akam-idinnam), -Ah-igisa, -Ah-ittannu, -ah-uSabsi, -ahe-erba, -ahe-Eres, -ahe-ibni, -ah£- iddin, (Nabü)-ahé-ittannu, -ahe-igisa, -ahé-usabSi, -aplu-erba, -aplu-iddin (idinnam), -aplı-ittannu, -aplu-ukin, (Nabü)-dalät-eres, (Nabü)-6a/at-iddin, (Ninib)-0é/-zóni, (Samaë)-bé/-iddin, (Nabü)-4/ra- ukin, (Nabü)-dZui-éres, (Sin)-dinam-idin, -dini-ipus, (Nabü)-dür-ukön, (Samas)-ennam-ukin, (Nabü)- ensu-erba, -enSu-eres, (Nabü)-halga-utirri, (Ea)-ilüta-ibni, (Sin)-kaläma-idi, -karäbi-isme, (Nabü)- kin-erba, (Samas)-köinam-idi, (Ea)-Audurri-ibni, -mät-ibni, -miti-uballit, -napistim-iddin, (Nabü)- napistim-iram, (BEl)-napsät-ibni, (BEl)-pir-iöni, (Sin)-pirhi-ukin, (BEl)-riski-ibni, (Ea)-Sin-ibni, -Sar-ibni, (Addu)-3àz-iddin, (Sin)-Sar-iskun, -Sum-Eres, -Sum-ibni, Sum-iddin, -Sum-imbi, (BEl)-Sum- ipusu, -Sum-igisa, -Sum-iSkun, -Sum-ukin, -Sum-usabsi, -sör-eres, -zir-ibni, -sir-iddin -zir-igisa, -sör-ukin, -zör-uSabsi, (Nabü)-zir-usallim, (Nabü)-Zu£té-erba, (Nabü)-feme-utir'),; das zweite Glied ist ein Präteritum, das dritte Glied ein Pronominalsuffix: (Nabü)-erdannz, (Nabü)-erbasunu, -danni, (Sin)- Zdinnassu, -ingur(r)anni, (Nabü)-igdisu, -igisanni, (BEl)-irkassunu, (Sin)-ismeanni, (IStar)-ismesu, (BEl)-zdaltirsu; das zweite Glied ist ein Participium (st. cstr.), das dritte Glied ein Nomen (Genetiv): -alıik-pani, -ban-ahi, -ban-ahe, -ban-aplı, (Samaë)- ban-kalbi, (Sin)-bani-bel, -bån-siri, (ASur)-da’in-apli, (ASur)-dd'in-farri, (Ea)-épis-z/0), (Nabü)-erid-ahe, (Bel)-Etir-ahe, (Nabü)-erir-aple, -éfir-napsáti, (Sama&)-Zà3id-aiabi, -nadin-ahi, -nàdin-ah, -nädin-aplu, Nabü)-nadin-bel, (Nabü)-nadin-zpri, (Nabü)- nädin-napistim, -nådin-Sumi, (Nabü)-nadin-Se, -nädin-ziri, -nàsir-aplu, -nasir-Sumt, (Marduk)-zászr- Bin, (Samaß)-päris-dini, (Nabü)-ram-napistun, (Bel)-ram-nise, (Nabå)-råm-siri, (ASur)-ramim-Sarri, -sabit-gäti, (Nabü)-Sakin-röni, -Sakin-Sumi, (Nabü)-Sakin-uddu, -Säpik-ziri, -sakir-Sumi, (Bel)-zakar- Same, (Sin)-sanig-p2, (Nabü)-ságzp-ensi, (Sin)-mudammig-unninu, (BEl)-müde-nise, (Ninib)-DU-rifé, (Nergal)-ukên-pale, (Ea)-mukin-Sumi(), -musetig-urri, (BEl)-musesib-ahi, (ASur)-mutakkel-ah, -mutir- gimil; das zweite Glied ist ein Nomen (Substantiv oder Adjektiv im st. cstr.), das dritte Glied ist ein lönen im Genitiv ?): (ASur)-abu-apdi (D, (Nabå)-abkal-ilåni, (Ninib)-apil-ekur, (Samaë)- asuk-nisi, (Sama&)-asarid-i/i, -barhu-ilànt, (Nabü)-baltum-ilani, -bêl-aph, -bel-biti, -bél-dåni, -bêl-ilani, -bel- kalåma, -bel-måti, -bel-napsåti, (Addu)-bé/-sihiti, (UraS)-bel-Same, -bel-Sumålti, -bel-usati, -bel-ziri, (fA-a)-béZit-nisi, (Nabû)-dannu-tlâni, (Ea)-dipari-ili, (Nabü)-dumqi-ifani, (Samas)- -dür-apli, (Nabü)- dür-beli, -dür-edi, -dür-ensi, -divr-makt, -dür-pani, -dür-gali, -etil-ilàni, (Sulmän)- haman-lanı, (Nabü)-Zamme-iläni, (Sin)-2/-ba-ni, (Marduk)-2/raphari, -in-mäatim, -kabti-iläani, (Bel)--&tra-sarri, (Aïa)-kusub-mâti, (Nabü)-W-kissati, -W-kullati, (Marduk)-xisak-ili, (Nabü)-mar-i PD, -nür-matum, (Sin)-zär-Samas, -garrad-ilàni, (Ea)-salam-ili #), (Nabü)-söri-iläni, -Yar-ilàni, -3àr-mátim, (Sama&)- Sar-ki-tim, (Nabü)-Sarhi-lani, (Bel)-zarsi-Samema, (Ninib)-tukulti-Asur, (Nabü)-Zu£u/tr-edi, (Nabü)- tukulti-ensi, (A-a)-sömat-mäti, das zweite Glied ist ein Nomen (bez. ein Participium) das dritte Glied ein Personalsuffix: -252« (abi-ia), (Samaÿ)- -abñni, -abusu, (Nabü)-arni-ia, (Bel)-àsza, (Ninib)-asarid- sunu, -bani-ia, (Anu)-båni-ni, -banünu, -belani, (Nabü)- belsu, -belsunu, -dà inanni, (Sin)-emu£a, (Sin)- emusu, -hamatüa, -illatsu, -ilia, (Samas)- Uukani, -ina-ia, (Samas)- z$di-ia, (Nabü)-kissuna, (ASur)-£z£ I) Scheinbar gehört hierher auch Nabå-salämu-eres, abgekürzt aus Ara-Nabñ-Salämu-êres. 2) Selten sind Namen wie Dagan-belu-näsir (?), Nabü-dür-sirum, Bêl-Sarru-dannu. Durch Kürzung ist Samas-ahl- edi entstanden, No. 2. XXIV Knut Tallqvist. sunu, (Samas)-kumta, -lamaszaÿu, (Nabü)-tsu, (Nabü)-attia, (IStar)-mukön-ia, (Bänitum)-nasıa, -réüa, -ré ani, (Addu)-reussu, -ré'üsunu, (Nabü)-rimáa, -rilnsüa, -Xadüa, -Sadınu, -Sarrani, (Addu)- Se-a, (Samas)-zabbasu, -luklatèa, (Nabü)-Zu&latsu, (IStar)-ummi-ia, (IBelit)-uzemzana, (IStar)-ummasa, (Sin)-zdar-ia, (Ea)-zittisu, das zweite Glied ist eine Partikel: -iia, (Nabü)-7-läni; (A&ur)-/à- kuppuri, (Addu/Sin)-/4-Fanan !). 8) Der Gottesname stellt den Vokativ dar; das zweite Glied ist ein Imperativ, das dritte Glied (Objekt) ist meistens ein Personalsuffix ?): -amuranni, -bal,/litanni, -bullitsu, (BEl)-dumeganni, -etiranni, -oun(i)lanni, (Nabü)-Azsanni, (Samaë)- z015u(?), (Nabü)-kalullimanni, -killanni, - killinni, (Nabü)-kinanni, an anni, -kusursu, -Pilnanni, -gisanni, -rimanni, (Nabü)-rimansu, -sabatanni, -Sallimanni, -Yà|°- sibaumi, -Simanni, -Sullimajnni, -Sallimsunu, (Nabü)-sunmidanni, -Sus(z)isanni, (Bel)-takkilani, (Nabü)-Zzug(ge)n]tignanni, (Nabü)-tur(ra)sanni, -usuranni, -usur$u, (Nabü)-usanni, (Nabi)-zugpanni, selten ein Nomen: -kin-alm, -kön-aplu, -kön-zir, (Nabü)-nör-dabibi, -Sallim-ahe, (Nabü)-$akunu-balätn, (Nabü)-szu/lim-aplu, (Nabü)-usur-napistim, (Nabü)-sugup-kina;, das zweite Glied ist ein Nomen (Objekt), das dritte Glied ein Imperativ: -abu-bullit, -abu-usur, -agü-usur, -Ah-usur, -Ah-bullit, -ah-tugna, (Sin)- ah-Ssubsi, -ahe-bullit|ballit, -ahe-Sullim|Sallim|Sullumu, -ahé-ugur, -aplu-usur, (BEl)-baku-pitin, (Nabü)- bel-Sussiz, -bEl-ka'in| kön, -bêl-tagqin, -bel-usur, (Belit)-deltu-usur, (Nabü)-dün-Sütur, (Nabü)-dabibi-ner, -d£ut amur, (Nabü)-dini-bullit, (Sin)-dfnam-dént, -d£ni-epus, (Nabü)-dür-kusur, -dür-usur, (Bel)-edi-pitin, -edu usur, (Nabü)-gabbu-usur, -gimiktirri, (Nabü)-hötu-mesu, (Nabü)-isdi-kin, (Nabü)-karäbdi-Sime, -kibsu-usur, (Nanä)-kilil-usur, (Nabü)-kzn-ballit, (Nabü)-kin-dugul, (Nabü)-kin-idi(idi?), (Nabü)- kin- ubib, (Nabü)-kissu-Suszis, -kittu-usur, -kudurri-usur, (Ninib)-Zipi-usur, (Nabü)-mäku-usur, (Samas)- marsu-usur, (ASur)-mat-taggin, -mät-usur, -napestim-ugur, (Nabü)-nar-nammir, (Sin)-pani-alik, (Sa- mas)-Pi2)-dam-usur, (Nabü)-péusur, -pir-usur, -gâta-sabat, -remu-Sukun, (Nabü)-ribi-usur, -rihtu- usur, -rIS-IST, (Samaë)-rA-usur, (Nergal)-rumme-usur, -supe-muhur, (Bel)-sule-Sime, -Sar-bullit, -sar-usur, (Nabü)-3zp-usur, -Sulum-Sukun, (Nergal)-3zm-efir(étir?), (Nergal)-Sume-rabbi, -Sum-usur, (Nabü)-Zahki-seme, (Nabü)-zalimu-usur, (Nabü)-zamma-usur, (Nabü)-Zaribi-usur, (Nabü)-tukte-tirri, (Nabü)-zummu-sullim, (Bel)-zzr-Fini, -z£r-usur; das zweite Glied ist ein Präteritum Sg. 2. P. (stellt einen &&4c-Satz dar), das dritte Glied ist ein Imperativ: -tabni-bullit, -tabni-usur, (Marduk)-tabtani-bullit, (Marduk)-zadtani-usur, (Nabü)-Zadda] mnu|tattanu-usur, -tagifa-bullit, (Sin)-tagifa-usur; mit diesen Bildungen verwandt sind Nabü-/agbdr-Z8ir, Gula-/agése-Zió/uf, Nabü|Sin-/ultabsi-Ksir, das zweite Glied ist ein Substantiv (Subjekt oder Objekt), das dritte Glied ist ein Präkativ: -aplu Cedu)-lisir, (Nabü)-2zzz-ZXir, (Nabü)-pzr Sir, (Nabü)-22% (? kittu)-lisir, -Sumu-lbur, ‚Nabü)- Sumu-lilbir, -Sumu- USir, -sir-USir, (Nabü)- ahe-Iumur; zu dieser Gruppe gehören auch Bél/Samai- là-dàri, Bèl-là-balat, Bel-azza-tale, Samaÿ-atta-talime. b) Der Gottesname steht an zweiter Stelle. c) Der Gottesname stellt den Nominativ dar: Summa-SamaS-Samas, ? Irsiti-Bel-Wsesir, Mâdita- Sin-2$ kun. t 8) Der Gottesname stellt den Genitiv dar; das erste Glied ist ein Substantiv (meistens Ob- jekt): Agar-BEl-Zumur, Idäte-BEl-alaka, Mansas-Addu-asbat, Nür-Bel-Ztnur, Pau-x-làmur mur, Á d qe d CO Sdr-x-fàbu, Sangh-ASur-Ulbur, Sep-ASur-asbat, Sépit-x-asbat, Sulum-bel-lasme | lümur (£)?), eine Präposition: Ana- Sin-emid, Ana-Béleres, Ana-x-takläk, Ana-Bel-upagu, Ana- Samaÿ- Js, Ana-Samaë- Atür, Ana- Samas-Zér , Ina-Bel-ultarah, Itti-Bel-abnu, Téti-x-limnir, Itti-x- ) Als Kürzungen sind die folgenden Namen zu erklären: B2l-ehösu, -balätsu, Bel-bünaia, Samas-apilsunu, Nabü- giri-ia, IStar-pa-ia, Nabu-pälihsu,ASur-gätsu, -qat s)sun(u), Samas-Sumusu, Bél-uzza-ia, Bel-ana-mörihti, auch Bel-/ü-iuZum. 2) Eine Bildung dieser Art scheint he. W72D92N zu sein, vgl. GRAY p. 220. 3) QOdü-Bel-Sakan ist durch Kürzung entstanden. T. XXX Einleitung. XXV lümur; / Ana-A-a-uzni, Ana-Samaë-kalèma, Ana-Nabü-Salamu (abgek.), /#- Addu-a/tu, liti-Addu- aninu, Itti-x-balätu, Itti-Marduk-danü, Itti-BEl-dini, Itti-x-güsu, Itti-Sama$-ite, Itti-Bel-nimittu, Itti- Bel-pasar, Itti-Nabü- nühu, Itti-Sin-kinnu, Itti-ASur-Sammsu, Páni-x-fému, oder das Genitivzeichen Sa: /Sa-Nanä-anini, Sa-Bél-atta, Sa-x-à, /Sa-Nanä-s, Sa-x-bani, PSa-x- gammäil, Sa-Bél-zà'id, Sa- Nabü-salıım, Sa-Marduk-zaqup, Sa-ASur-dubbu, Sa- Samas- kaliñma, Sa-x X-SUINU, < Sa-Bélit- ada, /Sa- Bànitum-Zgzr. 8) Der Gottesname stellt den Akkusativ dar: Fa-Sin-iönz. c) Der Gottesname steht an dritter Stelle. «) Der Gottesname stellt den Nominativ dar '): Ah-iddin-(Marduk), A4£-iddin-(Bel), Bit-ukin-(Bau), Sim-usabsi-(Samas); Ih -bullut-(Marduk), /&nanni-(Addu), Uballitsu-x; Bel-etiru-x, An-dunani-(Gula), BEl-gabbi-(Nabü), Bêl-kummu-(A-a), Bel-mäti-(Marduk), Bel "Pitum-(Bel) BE X, Dür-mak -(Addu), Etil-pi-x, Il-biti-(Gula (2), Zl-m£tiarrum-(Marduk), Kaóti-iàni- (Marduk), Lå-båsi-(Marduk), /Lamazi E (SamaS), Nür-mäti-(Bel), Rikis-Ealàma-(Bel), Zünig-fé-(Sama3); Ilu-bi( pi)-x, Zikar-Sarrum- (Samas), Zikar-ka-(Sin), Itti-baku-(Bel). 8) Der Gottesname stellt den Vokativ dar: A7/azz;-(Istar), Romannı-x, Simanni-ASur, Susranni- (Marduk), JSüzibinni-(Istar), S&zibXu-(Bel); Sum-usur-(Nabü), Tanit-Yézib-(Bél); Zir-/iir-(Nusku). y) Der Gottesname stellt den Genitiv dar): Usur-amat-x, Zàb-asap-(Marduk), Lzmur-dumqi- (Bel), Tab- eter-(ASur), Lümur-gimil-(Samaÿ), Måd-gimil-(IStar), Mannum-giri- -(Samaÿ), Tab-giri- (Samas), Amur- ilätu-(ASur), Usur-me- (Samaÿ), Szn-nür- (Sama), Tab-pala- (Sama), Ikün-bi-x, Sa- pi-x, Táb-rigimatu-(Addu (2, Rapas-sil-l (Ea), Tab-sil-x, Tåb-sulé-(BEY), Mannum-sànin- (Samaÿ), Tab- Far-x, Ninib-tuklat-(ASur), Tab-utli-(Bel); 1 Si "gat-Xa- (Sama); Mannu- akt-x, Aqar-ana-(Nabü), Atkal- ana-(Bau), Ebib-ana-(Nabü), Gabbu-ana-(ASur), Taklak-ana-(Bel), Mannum-balà-(Sin), Kullum-ki- (Apil-Addu), Mannu-ki(ma)-x. Aus viergliedrigen Bildungen abgekürzt sind die mit Präp. be- ginnenden Namen?) /na-gäti-x, Ina-gibit-x, (OIna-silli-x. 3. Vier- und mehrgliedrige. a) Der Gottesname steht an erster Stelle. a) Der Gottesname stellt den Nominativ dar: -Öaläfsu-igbi, (Ea)-ili-ia-ibni, -ina-est-éfir, (Nabü)- ana-mada-utir, (ASur)-etil-iläni-ukinni; (Nabü)-alik-id-ensi, (Nabü)-a/i&-zdi-za, (Nabü)-aZz£&-pani-ia, (Sin)-6@ni-ahña, (Nabü)-&àn-aAétu, (Bel)-érib-adi-ia, (Nabü)-erid-ahe-Su, (Nabu)-ram-ahe-su, (Bel)- ramim-niSi-Su, (ASur)-mukin-palüa, (BEl)-musallim-apli-Su, (ASur)-baltu-nise-Su, (Nabü)-bel-ahe-su, (Nergal)-6é/-kumña, (ASur)-bel-ni$e-Su, -dür-alisu, (Nabü)-dür-ini-ia, (ASur)-il-balåti-Su, (Samas)- În- ali-Su, X-kabti-ahe-Su, -Yàr-ahé-Yu; (Ninib)-Sa-kunna-irämu, (Papsukkal)-fa-igbu-ul-inu. Bei den folgenden Namen ist ein Verbum hinzuzudenken: Nabü-ana-ali-ia, Ea-ana-kussi-Su, X-ana-mäli- Su, X-ana-biti-Su. B) Der Gottesname stellt den Vokativ dar: (Nabi)-z/Zi-edi-aZie, (ASur)-etil-Same-u-irsiti-bullit-su, (Bel)-Ztdi-ia-biui, (ASur)-etil-kin-aplu, (ASur)-gårda-niri, X-af-rimanni|,, (BEl)-gata-sabbatannı, (Bel)-Nippuru-ana-asrisu-ter, (Marduk)-tappe-edi-Subsi, (Sin)-apil-Sarri-usur, (Nabü)-ana-f-usur, (ASur)-bani-ia-usur, (Ninib)-pé-ia-usur, (Nabü)-Sum-kittu-usur, (Nabü)-ur-kittu-usur; (BEl)-Ritu-ul-idi; (Nabü)-aZsz£a-ul-aó6à$, (Nabü)-alsika-ablut; (Gula)-Sum-edi-ubsi, (Nabü)-Sum-kitti-Usir, (Nabi)-zzr- kitti-lsir, (Nabü)-zör-napistim-USir, (ASur)-mätka-danin, (Nabü)-nür-ka-lümur, (BEl)-mannu-mala-ka. I) Vgl. he. 541323, NUS, phôn. b»252N (?), "I968aAoc (= >23 MN). 2) Vgl. he. DNS, "15202, ENT (2). 3) Vgl. he. "3523 Neh 3, 6, iubes, phön. bN"^2, abes. Baéda Maryam, Basalöta Mikael etc., s. EB Sp. 3278. No. 2 d XXVI Knut Tallqvist. y) Der Gottesname stellt den Akkusativ dar: (Nabü)-ire-Esaggil-lumur, (Nabü)-ina-kari-Iumur, (Bau)-rubima-dume-lumaur. b) Der Gottesname steht an zweiter Stelle. Es sind mir nur drei Namen dieser Art bekannt: //Z-X-Zui-ia !), Sa-Marduk-z/-ina. c) Der Gottesname steht an dritter bez. vierter Stelle. a) Der Gottesname stellt den Nominativ dar: 6/-za62;B6l-ummu, — E/i-zani-rabi-Marduk, Summa-ilu-là-Samaë, Zömig-bi-$u-Samas. 9) Der Gottesname stellt den Vokativ dar: /ö-/udasanni-Addu, ? Züsi-ana-nir-X. 7) Der Gottesname stellt den Genitiv dar: Ultu-pani-BEl-In-Sulum, Ina-gàti-Bèl-lumkur, Ina- gati-X-Sakin, Ina-gati-X-bultu, Gabbi-ina-gäti-Samas, Ina-qibi-Bel-usursu, Ina-sär-Bel-alak, Ana- muhhi-Bel-amur, Ana-muhhi-Nanä-taklak, Minü-ana-BEl-daianu, Güzu-ina-Bél-asbat, Mannu-ki- ASur-/'u, Mannu-kima-B£el-hätin, Mannu-kima-Addu-rabn. II. Nicht theophore. I. Zweigliedrige. a) Bestehend aus Nomen bez. Participium + Genitiv bez. Personalsuffix. Primäre hierherge- hörige Namen sind Adi-abi, Abu-biti, Ahi-a-bu-u BE X, / Ahat-bü, / Akat-sunu, Ahu-Sunu, A-hu-Si- na (ab), A-pil-a-bi (ab. CT VIII 35, 859, 20), Düni-il, April] Loc | Inbi| Sumi-irsitim, Kidin-Eubmas, Zir-Baäbili, ? Zir-kitti, sowie zahlreiche als Eigennamen verwendete Berufsnamen: Asel-sisz, Amel-urgi, Hasil-gime, Kanik-babi, Mär-Sipri, Masar-abulli, Masar-bàbi, Nädin-Seim, Nas-patri, Nisur-gine, Rab-bäne, Rab-käri, Rab-parzilli, Rab-Sussi, Rab-tarbasi, Rab-ñrà, Sangü-Bábili. Als Kürzungen aus Vollnamen sind dagegen die folgenden zu erklären: Ahösu, Balatsu, Baninu, Bän-zir, Böl-ziri, Épit-ili v, Éribtu, Etil-pi, Nadin-aht, Nödin-aplu, Nàdin-Mh, Nådinsu, Sil-Sarri, Såkin-Sumi, Salåm-måré, Sarranni, Såpik-ztri, Tabtisu, Zåkir-Sumi. B) Bestehend aus einem Nominalsatz?): Adz-ilum, Abu-nadib, Abu-nüri, Ahu-bani, Ahu-imme, Ahu-nüri, Agar-aplı (2), /Belti-magirat, Iu-bäni, Hu-gabri, Hu-mukin, Ilu-nöid, Sarru-düru| könu| mukin|n&idinèr, Sulum-máda, Nilistum-tåbi, / Ummu-tábat. Durch Kürzung sind Namen wie Ekur-gamil, E&ur-zàkir, I Esaggil-belit, Esaggil-sir, Esaggil-gammil entstanden. 7) Bestehend aus Verbum + Nomen bez. Personalsuffix. Primäre hierhergehörige Bildungen sind einige mit 7/7 zusammengesetzte Namen wie //ui-, lai. Igbi-, Atar-, Ibassi- 140), weiter der ab. Name Agdi-ahum (RANKE p. 37), Zakil-Sumäatu und vielleicht Zzbur-mäti, Atanak-ilu, Tusparka-ilu, Usur-agallim und Usur-amelu. Als Kürzungen von mehrgliedrigen Bildungen sind dagegen mit Sicherheit zu erklären ///-óuutu, Üsi-nérum, Lisu-nüri, / Danàti-Esaggul, Kin-zir, / Gimilinni, KuSudsu, Mugursu, Susranni und a. del. d) Bestehend aus Nomen + Verbum: //u (Ilitt)-iddin|ipus|ublam etc., Ah-ittabsi, Aham-arsi (CT IV 45), Mannu-igabbi. Auch die Namen dieser Gruppe sind zum grössten Theil aus drei- gliedrigen theophoren Namen abgekürzt: /*#i-erbaliddin, Ah| Ahe| Sum] Ztr-iddin, Ita] Sum] Zer- ion, Ahe-igisa, Sum-iskun, Säum|Zir-ukin, Zir-ipusuligisa, Palhu-usézsib (vgl. AT2a a), Dabibi- nir, Edu-Sallim|usur Süm-usur, Remu-Sukun, Ahi-liblut| Bburam, Abu| Alu) Imittu| Kittu| Stum]| Zir- lisir, Sumum-libii|/£i (ab.) (vel. A I 2 a 8), EXz-efzr, Ih-amtahar. Andere Kürzungen sind Zsagegz- idinnam|lilbur, f Esaggit-namrat|ràmat, | Ezida-igita, Abu | Au | Alu |ASSur|Båbilu| Ebabbarra- lumur w.s. v. 1) Im Hebräischen liegt ein Name dieser Art vor in "22"5N. 2) Im Syrischen kamen Namen dieser Art noch in christlicher Zeit vor, z. B. Shbha zakhe «das Kreuz siegt», NOLDEKE, EB Sp. 3278. T. XXXII. Einleitung. XXVII e) Andere Namenbildungen: 21777222:-2/u, / Atanah-simini, Ittabsi-USir, Lidbubu-lipusu, Lustamar- Ududu, /La-magirtum, Lå-båsi, La-kuppuru, Lü-balat, / Li-baltat a. à, welche wenigstens zum Theil als Kürzungen zu erklären sind. 2. Drei- bez. viergliedrige. a) Namen, welche keine Verbalform enthalten. Sie haben theils profanen Charakter, wie die Verwandtschaftsnamen Akt-abi-ia, Au-ummi-iu, À Ahöt-abi- -$a| Su, /Ahät-imma-a-a, / Ahät- ummi-Su, Sumi-ahi-ia (ab), die Berufsnamen Ardi- -elppi-igri und Sa-üre-$u, der Spitzname Sa- pi-kalbi (vgl. Sa-pi- kari), die patriotischen Namen Sarru-baltu-nise, Sarru-itti-ia|rehalrusta|Sam- Sa, Itti-Sarri-ini-ia|balatu, wohl auch Sarru-ili-ia, Mär-Sarri-ilña, die Sklavennamen Pé/tum- kima-abi, / Ana-bel-kaläma und vielleicht Ardi-ahésu sowie einige Namen, welche, wie es scheint, einzelne Mitglieder der Familie verherrlichen: Adiia-kisri, Ahi-ia-nhri, Sü-nür-hali, ? Mannu-ki- ahi, ?Ahatisu-tabat. Theils sind sie religiösen Inhalts, wie zahlreiche Namen, welche das Wort iu oder einen den bestimmten Gottesnamen stellvertretenden Ausdruck, besonders das Suffix der 3. P. Sg, enthalten: Gimzil-ili-su, Nisi-ini-$u, Zitti-lamasi-nu, Sa-nási-u, Sa-pi-ili-ia, Sa-täbti- Su, Arkaät-ilani-damgati, Dimgi-Sa-ülani-damgu, Amät-su-dumga, Gabbi-ina-gäti-ili, | [ln-itti-ia, Ih-ia-gamil|hatanu, Iu-ni-sarrum, Ilu-su-balum|banilabusulillatsu, Itti-ili-iski, Ahu| Dannu|Bêl- dalli-ili-ia, Tab-Sär-ıli| Esabad, Ekur-5a-namir, Ekur-Su-rabü, Mannu-aki| didi-iläni, Mannu-kima- ili-ia|balü-ilisu| giru-Xu| máhir-iu, Mannu-aki-Uruk, Summa-ilu-là-ilu, vgl. noch Mannu-itti-ia, -/n-Sulum, -ki-nüri. — Abgekürzt sind Namen wie OAna-ali-su|biti-Su| makáni-3u| máti-Xu | nüri-3u, Pani-ilüt-su, / Gabbi-ina-gati, Ina-qaàti-Màni, Ina-sil-Sarri, Ina-sil-bit-akitum und zahlreiche andere mit oder ohne zza beginnende, einen Tempelnamen enthaltende Personennamen. b) Namen, welche eine Verbalform enthalten. Sie haben die Form einer Aussage !): Alamar- annüsu| dumgi-ili, Amur-dannüsu, 51 asahur-ana-alısa (ab); /Panät-ina-Esaggü, Takil(-ana)- ilisu, Taklak-ana-beli-ia, Navir-nürsu, Salim-palih-Su (ab), Watar-nür-Xa (ab), Ana-muhhi-Su-tak- lak, I Ana-pi-e-mahrat; Etillu-máti-ibasst 2), Hu-ukallanni, llusu-ibni-Su (ab), Dannu-ahesu-ibni?), Bel-ili-igbuni, Sarru-sim \zir-ukin, Ina-est-étir (abgek.), Abi-ul-idi, ldäte-bel-alaka, Ina-Sär-beli-alak, Ina-ili-ia-allak, Sepitsu-asbat,; eines Wunsches, einer Versicherung oder einer Bitte: Zinxh-Wöbi-il, Lüsi-ana-nüri, Linras-hbbi-ili, Libbi-ili-limras(ab.), Libur-nädi-Su, Lulabbir| Terik-Sarrüt-su, Aläksu- lümur, Päni-Diri-limur, Sulum-beli-lasme|lümur, Ina-Esaggit-lilbur, Abu-ina-ekalli-lilbur, Sarru- In-dari, /St-In-darat, Ahi-ia-likin, Zir-Bütti-litir, Eris-ana-Esaggil, Ina-in-bel-iani-Iu-damig, Usan- ni-ilu, I La-tubasinni, Rimanni-ilu, Ekur-Sallimanni, Tlu-kusursu|usursu, Hu-Xàr-usur, Gabbi-ilånil Bit-irani-Sär-usur, Ili-pi-usur, / Salam-dininni, Ak-edu-Sukun, Singi-Sa-amur, Gabbu-ilani-eres, oder einer Frage: Mannu-ibassi-belanum (ab), Mannu-idatsu-£di, Minä-ahti-ilu, Mini-laanst. Inhaltlich schliessen diese Namen sich am nächsten der vorhergehenden Gruppe an. D B. Unzusammengesetzte Namen. Die unzusammengesetzten oder einstämmigen Personennamen bilden eine Gruppe, welche, obgleich recht gross, im Verhältnis zu der vorigen klein zu nennen ist. Die meisten hierher gehörigen Namen sind sogenannte Kurz- bez. Kosenamen oder Hypokoristika, welche von Voll- namen und zwar meistens von theophoren Vollnamen ihren Ursprung herleiten. Ihr Kennzeichen ist somit, dass sie als Kompositionsglieder von mehrtheiligen Namen vorkommen, und hierdurch 1) Vgl. den arab. Spitznamen 5 el> «seine Läuse sind hungerig», EB Sp. 3278, he. 73 wm bb mn, NA ANU, Dh, DDANR etc. 2) Dannu wird BE X 9,34 mit dem Gottesdeterminativ geschrieben. No. 2. d* XXVIII Knut Tallqvist. unterscheiden sie sich von den übrigen einstämmigen Namen, welche als primäre Namen be- zeichnet werden können, weil sie, obgleich zum Theil deriviert, dennoch nicht von Wörtern, die selbst als Personennamen verwendet wurden, gebildet sind. I. Primäre einstämmige Namen. a) Berufsnamen, mit oder ohne Determinativ “2, in neubabylonischer Zeit meistens als Familiennamen, selten als Individualnamen !): «rz «Lohndiener», allaku «Bote», åsa «Arzt» (f. åsitu), axXgandu «Verwalter» (mand. NTIUN), askapı «Schuster», askaru(?), aKlaku «Wäscher», åta (ame NI. GAB) «Wächter», 6d iru «Fänger», håna «Bauarbeiter», bihiru(?), dikt (f. dikitu), dupsarru «Tafel- schreiber», é;;i4|; «Pflüger» (arb. @,l>, wenn nicht Hypokoristikon), ga//abu «Haarscherer», nel HAR. HAR, hazsánu «Vorsteher», ? zdiunu, iXparu «Weber», kuddimmu «Metallarbeiter», /àftz «Beschwörer» (?), malahu «Schiffer», mandidu «Zumesser», mukallimu «Seher» (D, munnabittum «Flüchtling», zzesaz «Wächter», zaggaru?) «Tischler», nagiru «Vogt», zappahu «Schmied», nå- sihu, paharu «Töpfer», purkullu «Steinmetz», gipu «Vorsteher», radimmu (f radimtum), rêà «Hirt», sasinnu «Juwelier», Sangü «Priester», sirku, saiadu «Jäger» (Rm 165, 21 — JADD 161). b) Herkunftsnamen als Personennamen: Akkada-a-a,Aramma-a-a, Arba-a-a, Arbail-a-a, AS$ar-a-a, Babila-a-a(-4), Barsip-a-a, Harräna-a-a, Hatta-a-a, Isinna-a-a, Kisa-a-a, I Küta ftum, Larsam-a-a, Misir-a-a, Süha-a-a, Süga-a-a, /Süga-a-a-i-tum, Taballa-a-a u. à. c) Von Monatsnamen hergeleitete Personennamen: Addara-a-a, Düza-a-a, Tebita-a-a, Ulila-a-a (vel. K 241, IX 19— 21, 25). Vielleicht gehört hierher auch Azzz[.za-a-a vom Monatsnamen - nina, vgl HOMMEL, Aufs. u. Abhandl. p. 464, RANKE p. 37. Verwandt mit diesen sind Namen, welche das Kind nach seinem Geburtstag benennen, beachte ” ^» [V KAM g-a, m &m X X KAM_g-a K 241, IX 22£.>) d) Der Pflanzenwelt entnommene Namen 5: A//anu (YN), A-mu-Se(-e), A-ra-ru-um (ab. CT II 40, 368, 18), Durasu «Pinie» (?), / Hunnatu «Rebe», /Karänatu «Weinstock», Nanahu, *Quddu, / Suluppá (aus suluppu «Dattel»), Subultu «Aehre» (ab. RANKE Pp. 45). e) Der Thierwelt entnommene Namen >): Mimrum «Panther» (ab. RANKE p. 45), Müru «Thier- junges», Mülsränu «junger Löwe», /Kalbatlı) «Hündin», Bibbna (aus bibbu ein Raubthier), Se//ibz «Fuchs» (vgl. / SeZióbuttum), Aialum «Hirsch» (ab.), Arana (=? he. ^N), Gad «Böckchen», /mmeri- ia (aus zmmeru) «Schab, Kalümum «Schaf» (ab), Arnabatum «Häsin», Kuddinnu «Maulpferd», Sis? «Pferd», Sabitu «Gazelle» (ab), Hans.ör (vgl. arb. Hinzir) «Eber», Sat «Schwein»; Issuru «Vogel», Bzsu, Eliribi «Rabe», Hahhuru «Rabe», Hazá, I Sininu «Schwalbe», Mina (aus nünu) «Fisch»; Baggu «Fliege» (?), Nübu, / Nubtà «Biene», Pursü «Floh», Sasza (aus såsu) «Motte», Sansiluru, Zirbibi (= zirbabu?), Zumbu (als Kosename Zumbå) «Fliege». f) Namen unbelebter Gegenstände als Personennamen s): AS-pi-e (aïpu ein Stein), Æ/né- 1) Im he, sind Eigennamen dieser Art nicht mit Sicherheit belegt, im arab. finden sich nur wenige Beispiele, EB, Names 70. — Für zweistimmige Berufsnamen s, A II 1 a. 2) Im arab. kommt das aus dem ar, entlehnte „eu schon früh als Eigenname vor, s. FRAENKEL, Aram. Fremd- wörter p. 254. 3) Vgl. RANKE p. 36f., röm. Quintus, Sextus, griech. Toıratog, he. "nav Iapparaiog, "än, arb. Nas «an a S ou — » 5 -u , einem Regentag geboren», Um AA) qos Namen von Beduinenkindern, die an den «glücklichen Tagen», Donnerstag und Sonnabend, geboren werden (WALLIN). 4) Für he. und arb. s. EB, Names 69. 5) Für Thiernamen als Personennamen im Hebräischen vgl. EB, Names 68, im Arabischen TH. NÖLDEKE, Beiträge zur semit, Sprachwissensch. pp. 72— 90. 6) Vgl. he. enn «Siegelring», p32p3 «Flasche», bei den Beduinen su etc., s. EB, Names 71. XIE Einleitung. XXIX Sum (RANKE p. 45), / Inatum, Hulali (Namen von Edelsteinen), //rsabtum «Ohrring», Kuppu «Quell». g) Kindernamen als Eigennamen !\: are, /Immirtu, /Aplatum, /Batiltu «Mädchen», Aplu, Batül, Zikaru «Knabe», Båbåia (aus båbu, wie Dada aus) Dadum (ab CT. IV 25, 712,22) «Kind». h) Zahlreiche andere Namen, welche als Kompositionsglieder nicht belegt sind, deren Grup- pierung sich aber vorläufig nicht durchführen lässt, weil ihre Bedeutung sowie die genaue Lesung noch unbekannt oder doch unsicher ist: /Arastuum, A-a-bu-u, / Akiltum (gefrassig ?), Akkaï «wie» (?), Alla «wehel» (D), Amburu, Aqquóu, Arahu, Basüru, /Bazitum, Dazi;zu «Er- beuteter», /Bu'itum «die Begehrte», /Bililitum, Bunanu «Geschöpf», /Dunanitum, Buraqu, / Busasa, Da'iqu, Dullubu, Dåsu, / Ebatum, / Gigitum, Gudadü, / Gudaditum, / Guzummu, / Guzitum, Haba- siru, I Habasirtum, /Habasinnatum, Habbasu, Habdum (ab.), Haguru, Haianu (klein?), Haluln, Hambaqu, Hammasu, /Hanası, Hastuga, /Hil„busitum, /Histum, Hubasu, / Hu(m)bustum, Hulibusu, Hunzü, Hupü, Hüru, Husábi «strotzend von Kraft», Æuzalu, Kamakka, Kasdakka, Kirüru, Kitu «Ende» (?), Kullh, Kupputu, / Kupputum, Labuttum, Lalim (ab.) «Üppigkeit», Lagipu, / Lagiptum, /Lasahittum, / Littum «kräftig», Lult «Üppigkeit», /Mahitum, Malultum, / Miza- Zum, Mulussu, I Murasitum, Murasa, / Naittum «die Hehre», /Namirtum «die Glänzende», /Nasz- katum «Fürstin» (?), Minegu «Weisheit», Nigudu (= "Pp ?), Nuhasu, Padakka, Padèsu, Pappasu, «Entschädigung», Palu «Grenze», Oubbar, /Oudäsu, / Ounnatu, Raksu «gebunden» (?), Rıbatu «Vermehrungen» (Sprösslinge), Rikki, Sammaku, Samu «dunkelfarbig», / Sikku, Suddurtum, Su- rundu, Sabbalu, Salala, / Sidatum, Sisturu, Su åtu «dieser», Subabu, Talla, / Tammisu, Tapara, /Tappara, Uliqugu, FU] iqupatum, Zamóaqu, Zambubu, Zanné, Zannétu, Zasakku «strotzend», J Zazitum. II. Sekundäre einstämmige Namen. Als sekundäre einstämmige Namenbildungen bez. Kosenamen oder Hypokoristika be- zeichne ich Namen, welche von anderen Personennamen deriviert sind?) Die meisten sind aus zusammengesetzten Namen (Vollnamen) durch Kürzung entstanden, weswegen sie auch Kurz- namen genannt werden. Der Form nach zerfallen die sekundären einstámmigen Namen in zwei Abtheilungen: Hypokoristika ohne Suffix und solche mit Suffix. 1. Hypokoristika ohne Suffix. Hypokoristika ohne Suffix entstehen in der Weise, dass ein Kompositionsglied eines Voll- namens losgetrennt und zu einem selbständigen Namen gemacht wird, wobei das betreffende Wort — ein Nomen, eine Verbalform oder selten ein Adverb — entweder völlig unverändert bleibt oder durch Anhängung der Kasusendung (auch Mimation, besonders im ab.) in ein flektir- bares Nomen verwandelt wird.?) a) Nominalformen stellen dar): Adkallum|., Ahtıtu, A-a-bi, / Amtuf, Aplumx°) (ab.), Arah(h)u, Asaridu, Balátu|;z, Barikit, /Belit({tum), Dunanu, Eriftu(m), Etillu|; im, / Etillitum*, Gahal, Gi- I) Vgl. he. r5, arb. ou; u. à. 2) Anders C. H. W. Jouns, Some secondary Formations among Assyrian Proper Names, in AJSL XVIII pp. 149 — 166, 246—253. 3) Vgl. oben p. XVIII. 4) Zahlreiche altbabylonische hierhergehórige Namen finden sich bei RANKE, p. 39f. — Für Kurznamen der nämlichen Art im arb., sab., üthiop., he. etc. s. EB, Names 49. T Die mit einem Kreuz bezeichneten Namen kommen auch mit besonderem Kosesuffix versehen vor, s. unten. 5) Vielleicht primärer Eigenname, vgl. oben. | * Die mit einem Sternchen bezeichneten Namen sind als Kompositionsglieder von zusammengesetzten Namen nicht No. 2. XXX Knut Tallqvist. millulen)y, Halt, Hatanu, / Mat, Imbum (ab.)f, Kidin(nul), Kiribtul; ont, Kisirt, Kittumt, Kiti, Kudurru, Kurbannul; Labirum®, / Làmassi (as), Merihtulm]|:), Namirtum*, NapiliSftuml|; Na- ràmum (ab.), I Naråmtum", Nidnum (ab), Nidinit, © /) Nidintu[i nt, Mürt, /Nüratum*, Pir (a), Pirku(m)f (ab), Qàti, Oistumy, Röhtuy, Riksu, Rimiüt(u, i), / RéSatum, Salamu, Sulummu, Sulilu, Salàmu, Sirik(kul;, a), I Sirikkatum“, Sirigti| um Taim(?), Talim(u), Tanittu(m), Tappulm), / Ta- batum]; Ubarluli),f, Ubartum, Tukte, Zikari. Dass auch Gótternamen (Adduf, Amumy, Bunini, Marduk; etc.) als hypokoristische Personennamen vorkommen, wurde oben p. XIX gesagt. b) Verbalformen stellen die folgenden Kurznamen dar!) und zwar Präsens: /4a/ut*?) (ab), Präteritum: Andahar (vel. Ih-amtahar), Éfir(umyt, Idin, Idinnu, Idinnam, Iddinut (ab), Le- millum (ab.), Igipum (ab.), Igist, Imgurrum (ab.), I Tablusu?, / Tablutu*, Taddannu, Taktamam“, TappaKar)rul*, Tagés(3u), Tartibi, Tastebi, I Taslimu, Tattadannu, Usalli, Präkativ: Zibluf(u|.), sukir$u), Participium: Dazzg(ur, Etir(u), / Etirtum, Häsirulm), Käsir(u|:), /Kágirtum*, Mähir, Náàdin(uyt, / Nd idatum = Na itum, Nasir(u|i), I Ra-in-du, / Ri--indu* (= ra'imtu), Sápik(u), Zàá- kir(u), Mukallim, Mukinnu, Musatlim(u), Musézib(u), Musibsuli, Mutakkillu, Mutarrisu, / Muÿe- sibtum?, / Rimat, À Tà&iltum* (2). Eine besondere, kleine Gruppe bilden Kurznamen, welche in der Form des Infinit. Ili oder III; auftreten, während das entsprechende Element des Vollnamens das Partic. oder Präter. darstellt?: Jufmyp Gummuru, Dummug(ula), INummuru, Puhhuruf, Sullum(a)t, Süusubu, Tukkullum. c) Endlich kommen auch Adverbia als Kurznamen vor: Ammeni «warum?», vgl. Ammeni-in. 2. Hypokoristika mit Suffix. Diese unterscheiden sich von den unter 1. hehandelten Namen dadurch, dass ein kosendes Suffix (-2, -£ -à, -ia, -àn, -üt) an das aus seinem Zusammenhang losgetrennte Kompositionsglied bez. an einen primären einstämmigen Namen angefügt wird. a) Das Suffix à ist nur in wenigen Namen belegt! Alu-u-u, Ahe-u-u, Amelu-u)-%, Agarl-u)-u, Du-du-u* (as), vgl. Baftammu- und Hama-tu-. b) Häufiger findet sich die Endung i?) Didi, 18%, Ri-si-i, besonders in Namen assyrischer Urkunden: Ad-di-i, Ad-di-i (HABL 767, 1), A-di-i, Am-si-i*, Apli, A-si-i, As-si-i, A-ti-i*, Ba-di-", Ba-hi-i*, Ba-la-si-i, Ba-si-i (auch f.), Bi-bi-i, Di-di-i, Di-Si-i", Gu-gi-i, Ha-ni-i, Ha-na-si-i* (JADB), Kabti, Kiribti, Mardi, Nargt*, Nirgt*, Pa-di-i, Qurdi, Sa-si-i, Urdi*, Zabdi, Zasi*, Zist*, Zirûti etc. Beachte auch Namen wie Da-/a-ta-ni-, Ha-na-ni- Na-ma-ri-, /Mullÿ, Ha-di- Ra-a-pi- (Sarg. Ann. 269), welche zum Theil fremdländisch sein mögen. belegt, scheinen jedoch als Hypokoristika aufgefasst werden zu müssen. Die neben den männlichen sich findenden weib- lichen Kosenamen mögen zum Theil (z. B. /Nüratum) sekundär von männlichen Kosenamen gebildet sein (wie he. n. pr. f. 277 neben phön. N39 Yanno). Dass dies jedoch nicht bei allen der Fall ist, wie RANKE p. 41 anzunehmen scheint, zeigen Namen wie SEtirtum und #Wé’idatum, die auch in Vollnamen vorkommen. So nunmehr auch RANKE, PN p. 9. 5 I) Vgl. he. jn5, IN, NEA, pnx^, arab. dy u.ä. 2) Zbalut kann ebenso gut primär sein: «er (scil. der eben geborene Knabe) lebt», ein Ausruf der Mutter oder der Geburtshelferin. 3) Vgl. oben p. XVIII f. 4) Kurznamen auf # sind in Syrien und Äthiopien häufig; im AT sind zu beachten Namen wie 1923, 550 und 195, s. LIDZBARSKI, Ephem. p. 11, NÓLDEKE, EB Names 49. * Das Stammwort der mit einem Sternchen bezeichneten Namen ist als Kompositionsglied eines Vollnamens bez. als primürer einfacher Name nicht belegt. Viele von den in diesem Abschnitte (b) behandelten Namen treten mit ver- schiedenen Suffixen auf. 5) Vgl he. "^*N, ^p5, "75 etc. | T. XXXII. Einleitung. XXXI c) Verhältnismässig selten sind Kurznamen, welche auf é endigen, wobei es unentschieden bleiben muss, wie dieses ? zu erklären ist, als Umlaut aus 4 oder ai oder als Analogiebildung. In nb. Texten finden sich Danne, Dide, Mukke und Sippe, in as. Urkunden A-si-re-e, Za-zi-e, Zi-si-e u. à. d) Sehr beliebt war die Endung à, die auch in hebräischen, jüdischen, phönizischen und aramäischen Kurznamen häufig vorkommt. Das auslautende 4 wird sowohl mit a als mit dem Zeichen des Hauchlautes bezeichnet: Ab-da-a (JADB), .4é-da-' = N729 (BE IX), Adalà, Ad-da-a (as), A-ha-a (JADB), Akilà, Ambá*, Aplà, Ardà (RTS III R 46 no.6), Arsa-a[|*, A-Si-ra-a (JABD), A-ta-a (as), A-za-a* (JADB), /Båbå, Ba-da-aà* (SAN), Ba-la-ta-a (BE IX), Bammá*, J/Banátà, Barügà, Pibà (= w203 BE X 125), Bi-i-sa-a® (JADB), /Bissåt, Bi-sa-a® BE X, Piitta-*, Bu-ba-a (Bu-ü-bu as.), Bultu)tà, Bunnà, Dàdà, / Damqà, Danà, Dannà, Dina, / Düdá*, Du-mu-qa-a (as), Düra, Erbà, Tribä (beachte SU-a = *à3"w BE IX 66a), Étirá, Ga-da-a|* (as), /Gágá*, Ga-ah-la-, Gi-ra-, I Gubbáa*, Hadda, /Hammä, Haÿd&*, / Hasdà*, / Hip(a)tà*, Hurà, Ibna, Ibå, Ida, Iddà, Iddina, Ik-la-* (BE IX), Z£à*, Illumö*, Ità*, ("D Imbà, In-ba-a (as), /Inba, /Inniba, Igisa (beachte = "DpN STEVENSON 34), lribà, Kabbá*, / Kabtà, Kalbà, Kallà, Kasità, I Kaxiá*, / Kibtà*, Kinä (2), Kuna, / Kunnå, I Kudda?, / Kullà*, I Kusbà, Kusurra, / Manantà*, Marduk-a (= w221w2), Mukka (BE IX), Margá*, / Nadà, Nadnà, Nidinta-a| (BE X), /Nubtà*, Nåhå (BE IX), Nüna, Padà, Puda, Pirità?, Pukhurà (BE IX), Qagqadà, Qarha-a|, /Qisà, Qudà*, Qunna* (BE X), Rabba, /Riba, JRihtä, \Rima =) Ne“ (BE X 17), /Sagga*, Sa-ah-ma-a|', /Sippa, JSuluppa*, Su Aa-a* (as), Si-la-a (as), Silläa, /Sira, 1 Sahna*, Sakibbä*, À Sannö*, Sara, / Sépit(t)à, Si-da- (BE IX), Sul, Sullumà, Sumá, Ti un(n)*, Tugnà, Ur-da-a* (as.), USså, Uz-na-, Za-ab-da-a (as), Za-sa-a* (as), Zimma* (BE IX), Zrà, /|Zittà, Zumbå, Zunna*, Züzá* etc. (BE XD. Offenbar sind viele von diesen Namen fremden, aramäischen oder kanaanäischen Ursprungs.!) e) Noch grösserer Beliebtheit erfreute sich bei der Bildung von Kurznamen das Suffix ia, über dessen Natur und Ursprung die Ansichten weit auseinander gehen, indem einige darin das Nominalsuffix der 1. P. Sg.?), andere sogar den Gottesnamen mw?) und noch andere eine postpositive Interjektion !) erblicken. Meinerseits möchte ich mich der Meinung derjenigen an- schliessen, welche, in engster Übereinstimmung mit der letzterwähnten Ansicht, das Element Za der betreffenden Namen als ein postpositives Rufesuffix erklären 5), mit welchem das arabische propositive l5 bei Vokativen zu vergleichen ist". Geschrieben wird dies zz mit den Zeichen- gruppen za, id, aa, ea, ua, da, nach vorausgehendem z oder z auch mit a. Weil die Schreibung somit mit der Bezeichnung des Nominalsuffixes der ı. P. Sg. übereinstimmt, ist in einigen Fällen unmöglich zu entscheiden, ob ein wirkliches Hypokoristikon mit dem Rufesuffix za oder eine Kürzung eines das Pronominalsuffix enthaltenden Vollnamens vorliegt’), Das Wort, dem I) Vgl. LIDZBARSKI, Ephemeris II, p. 10, A. 2. 2) DELITZsCH, Prolegomena, p. 205, Assyr. Grammatik p. 201; RANKE, p. 42; LIDZBARSKI, Ephemeris II p. 12; vgl. auch JOHNS, Secondary Formations, a. a. O. p. 158. 3) PINCHES, PSBA XV, pp. I3— t5. 4) Zuerst MARTIN JAGER in seiner vorzüglichen Abhandlung «Der Halbvokal i im Assyrischen», BzA I p. 470. 5) Siehe HirPRECHT in BE X p. XV, CLay ibid. p. 17. 6) Eine andere und zwar sehr schwierige Frage ist, ob mit diesem ze auch 77 in he. Namen wie mp und 192377 identisch sei, s. M. JasrRow, Hebrew Names compounded with 75 and 7", in Journal of Biblical Literatur, XIII (1894) pp. 101—127 (war mir nicht zugänglich) und ZA X p. 229. Jedenfalls muss die von JAGER bemerkte Thatsache in Betracht gezogen werden, dass einerseits das enklitische za nicht nur in Kurznamen, sondern auch sonst als hervor- hebende Partikel bei Vokativen (NE 44, 68) und in Interrogativsätzen (Sintfl. 310, vgl. n. pr. /#i-manni-ia-Bêl) vorkommt, und dass anderseits 7% im Hebräischen ganz ähnlich angewandt vorzuliegen scheint in m"PEN'2, mom und n^nzn55 (Jer 2, 31. Ps 89, 9. HL 8,6). Und wie ist das he. n. pr. mp2Pp2 zu erklären, wenn papa «Flasche» bedeutet? 7) Ba-ni-ia z. B. kann ebenso gut ein Kosename zu "Marduk-bän-ahi sein als eine Kürzung aus A8l-bäni-ia No. 2. XXXII Knut Tallqvist. das Suffix angehängt wird, kann ein beliebiges Glied eines Vollnamens sein, eine Verbal- oder eine Nominalform, und endigt auf Konsonant oder Vokal. Zwischen dem Vokalauslaut — meistens a oder z, selten # — und dem Suffix wird bisweilen das Hiatuszeichen geschrieben. Eine viel besprochene Frage ist, ob der Vokalstammauslaut lang oder kurz sei in Fällen, wo er aus etymologischen Gründen nicht als lang anzusehen ist. JÄGER behauptet in seiner oben genannten Untersuchung über den Halbvokal 7 im Assyrischen, das a der Akkusativform und das daraus umgewandelte e(z) seien immer lang. Aber er geht von der Annahme aus, dass Apläia, Ardeia (Ardia) von Aplà und Ardå aus gebildet seien, was keineswegs bewiesen ist. Das e in Dan-ni-e-a, Nu-ur-e-a etc. braucht ja nicht nothwendig einen langen é-Laut zu bezeichnen; mit dieser Schreibung wollte man wahrscheinlich nur einen Umlaut aus a oder 7 veranschaulichen (vgl. Tofia neben Tof). Gewöhnlich wird der Vokal als lang aufgefasst auch bei Schreibungen wie Ba-su-u-a, welches neben Da-su-ia (und Pa-si-1ala|aa) vorkommt. Hier scheint jedoch die Zeichengruppe za lediglich von dem vorangehenden z veranlasst zu sein, um die Lesung za bez. uia zu bezeichnen) Da andrerseits keine einzige Schreibung wie etwa Apli-i-ia oder Apla-a-ia (vgl. dagegen Gentilicialbildungen wie Ar-ma-a-ia) belegt ist, muss daran festgehalten werden, dass die Schreibweise der Babylonier-Assyrer für die behauptete Lange des Vokallautes vor za in den betreffenden Namen kein bindendes Zeugnis ablegt. Namen dieser Art?) sind Addi-ia| ia, Addila-ia, A-hu--ia, Ahu-u-aa (as), Ahu--ua, SES- hi-ula), Afif-ealas, Ah-hi-ea, Ahuláp-ia*, Akaku-a* (JADD 42), Akki-ia®, " A-ma-ti-ia (ab.), / Amti- ia, Ak-Sa-ia® (ab. CT IV 47, 711, u), ?Anum-aa, Apli-ta, Aplu-ua, Appara-ac*, Agabi|u-ia, Ardi(-)- idlaa, Ar-sa-aa”, Assi-(i)a, Bäbila-ia, Bâku-ta, Ba-la-tu-a, Baltila-ia, Bana-aa, Bäni-ialsa, Bariki-(i)a, Ba-si-ia, Basu-ia|aa|ua*, "Beh-(i)a|aalea, Bibbu-ua, Bibb)i-ea, Bina-aa, Bunna-aa, Büri-ia, Dädi-ia, Dàda-aa, Da-ha-aa*, Da-hu-ha*, Da-mria, Damgila-ta, Da-na-ia, Dan-na-ia|aı, Danni- (2)a]ea, Didi-ea, Di-ki-ia”, Dini-ea, Düdu-&a*, Düri-ia, Edu-&a, Erba-aa, Esaggil(l)- fa aa, Esira-aa* Eulmas-aa, Gabbi-ia| za, Gabrida: FA Gigi-ia", Gi-lu-ta", Gimil-id, Gira-ad", / Ghgu-ia®, ; Gu-sa-aa?), Güzi-ia = 71% BE X 104, Zaódi-ia, Ha(d)-di-ia*), Halli-ia, Hamma-aa, Hanni-ia*, Hasdi-ia, Hasada-aa“, Hi-ba-ri-ia?, / Hinni-ia*, Hi-ta-ia, Hétu-&a, Ibna-aa, /Ibmi’-ia, Lôou-na, ldda-aa, Iddi-ia, Iddin-aa, I-din-aa JADD 265, /kkar-ia® BE X, Ih-ialas, Imbi-ia, Imbu-ia, Im- miri-ia, Ini-ia, In-nu-u-a (Srgn St. II 36), /nsz-ia?, Jriba-aa, Ipri-ia, Irsiti-ia, ISki-aa, Kabti|s-ia|id, Ka-di-ia*, Kak(k)i-ia", Kalbi-ia, / Kalbati-ia, Kalla-aa?, Käri-ealia, / Kassa-aa*, Kis()r-1a, Kittila- idlaa, Kuddi-ia®, La-ba-ni-a|, Li-ea, Luttu-a?, Mardu-ua* (JADD 256), Marduk-ea, Milka-ialaa, Nhlki-ıa,/ Mista-aa*, Mukki-ea, Nabåria as Nabñ(-ù)-ua, Nadna-aa, Nam-mu-2a" (Mrdkbldn St.IV 39), Nan(n)i-ia, Nanna-aa, Nargtia*, Na-zi-ia, Nergal-aa, Nikka-aa*, Ninib-aa, Nuhsa-aa, Nu-nu|.-aa, Nu-ni-ia, Nüri-ia, Nür-ea ua, Pa-di-ia, Pappa-aa*, Pa-si-ia*, Pir EPUM PisSi-ia", Pu-di-ia, Oabu-4a, Oariki-ta*, Qésti-ia|ae, Oitri-ia, Qud(d)a-aa*, Qurdi-ia, Ralımu-ha, Rapa-ia, Rihti-ia, Ri-sa-aa*, Ri-su-ua|;i* (ab.), Risi-ia, RéYu-&a, "^. I Sagei(I)-ia, Saggil(l)a-aa, Sa-mi-ia, Sa-mu-ta*, Sappa-aa, Sappi-ea?, Sa-ri-ia, / Sa-ra-aa, Sa-sa-aa, Sa-si-ia, Sikku-ua", /Sindi-ia*, Sinni-gi- id, Sö he ti- Za, Su-la-aa, Su-li-1a (as.), Süsi-ia (vgl. Su-u-su as), Salla-aa, Silla-aa, Sa-bu-ta, Sa-kil-ia® * (as.), Sami- ae Sullu-áa* , Sullumu- a, Sigu- ua, Suma- aa, Sumi-ia, Tabni- ialea, Tu-na-aa*, Tabi-ia — 39 «Bél ist mein Schöpfer». Dies hebt CLAv BE X p. 17 A. 4 mit Recht hervor, nur ist das Beispiel 77-/-/a schlecht ge- wählt, weil 7/-/-;z (Nk 365) kein Name ist, I) Vgl. JÄGER, BzA I p. 482; CLAY, BE X p. r9. 2) Für ab. Namen s. RANKE p. 42f., für das as. vgl. JoHns, Secondary Formations, a. a. O. pp. 163—165. + Das Hauptelement der mit einem Sternchen bezeichneten Namen ist als Glied eines zusammengesetzten Namens bez. als selbständiger Name nicht belegt. 3) Nach HirPnEcHT (BE X p. 49), der auf Ku-sa-aa (JADB) hinweist, Hypokoristikon von einem Z/QZsw ent- haltenden Namen. 4) Kaum mit Addi]4-ia zusammenzubringen, gegen BE X p. 37. T. XXXII. Einleitung. XXXIII BE X 132, Ubår(i)-ia, Ubi-ea*, U-di-ia, U-du-na, U£ka-aa*, Urpadi-ia*, Ussa-aa, Zabdi-ia, Za-bi-ia, Za-ba-aa, Za-za-ialaa, Ziri-ia|aa, Zizi-ia, Zu-zi-ia. f) Auch die Endungen -ân und -ün wurden, wie es scheint, zur Bildung von Kosenamen verwendet !), wie im Hebräischen und Aramäischen zur Bildung von Deminutivis. In vielen Namen auf -#2 mögen lediglich Bildungen nach der gemeinsemitischen Nominalform er vorliegen; solche Namen sind Bunånu «Geschópf», Hazänu «Vorsteher», Mz j|;rànu «junger Löwe». In anderen Namen auf -ani bez. -Gni und -änu liegt offenbar das Suffix der I. Pers. pl. vor, vgl. Sarra(n\mi?), Bönünu, Sadünw. Eine genaue Scheidung zwischen Namen dieser verschiedenen Arten ist nicht leicht zu bewerkstelligen. Als Kosenamen auf -4x oder -;t mögen eventuell einige der folgenden Namen zu erklären sein: A-ha-nu, A-hu-nuln, Ahu-lu-nu (aus diesem gebildete Kose- namen zweiten Grades scheinen Ahu-u-ni-i und Ahu-t-na-a darzustellen), /Ahatani, Am-ma-nu, Appaln-nuln, A-ra-nu, A-ve-la-ni (ab. CT IV 47, 475,26), /Ba-bu-nu, Ba-ba-a-nu, Be-el-a-nu-um, Bel-a-ni, Bi(-e)-ba-nu/n, Bi-ib-ba-nu, Bi-bi-ba-a-nu, Bit|B=*-ta-nu, Da-da-nu, Di-hu-nu, Ga-la-la- an (-nu BE IX), Gu-za-nu, Hal-ta-a-nu, Ha-am-nu-nu, Ha-ri-sa(-an)-nu, Har-ba-ta-nu (BE IX), Ha- ri-ba-nu (BE IX), Hu-um-ma-nu, Lbu-nulu, Id-di-nu-nu, Id-di-ra-nu, Il-ta-ni (ab. CT IV 33, 565, 34), Na-ad-ba-nu, Nap-sa-nu, Na-ra-am-ta-ni (ab. CT IV 46, 705, s), Nu-uh-Sa(-a)-nıt[na, Nu-ra-nu, Nau-ur-za-nul|na, Re a-a-nı, Sa-am-Sa-nu (vgl he. wo), Ta-hu-üu-nu, Uz-na-nu, Za-an-ga-nu (BE IX). g) Als Kosebildungen müssen auch einige Namen auf -üt aufgefasst werden?): JA (vgl. aber Ztti-Addu-ahütu), Ardüti, Arrakütu, Bañtu, Babütu, Bar-zi-ku-tá (JADD 448), Bu-bu- u-tt (JADD 175), /ddütum, Ha-az-zi-bu-tum (ab. CT IV 42, 636), / Kalbütu, Ma-ha-ru-tu (DIR 44, IV 3), Malkütu, Nabütu, Nani '&tu, Saggilütu, /Sikkütu, Samsütu, / Selibbuttum, Tukkuttum, Zirütu (neben Zzratz(a). h) Endlich gehören hierher einige räthselhafte Bildungen auf (i)atu oder (i)àtu!): .4-2;-/a- tum (ab. Ahu-ia-tum (ab. CT IV 31, 552, 12), Ha-li-ia-tum, Idin-ia-tum, Mastuk-a-ta]; (vgl. auch Marduk-it-ta), Nu-ra-tum (ab), Si-na-tum, Sin-ia-tum, Sin-na-tum, Sin-tum, Si--at, Sz- [ia-a- | tum etc. V. Religiöser Gehalt der Personennamen. Der weitaus grössere Theil der babylonisch-assyrischen Personennamen ist, wie aus dem im vorigen Abschnitt Gesagten hervorgeht, mit Götternamen bez. mit dem Wort z/u «Gott» oder deren Aequivalenten zusammengesetzt, woneben eine grosse Menge von Namen aus theo- phoren gebildete Hypokoristika darstellt. Alle diese Namen haben schon deswegen einen religiösen Charakter. Aber auch der übrige Theil der babylonisch-assyrischen Namen nimmt vielfach auf das Walten der Götter und auf das Verhältnis der Menschen zu den göttlichen Wesen Bezug. I) RANKE p. 43, wo mehrere ab. Namen auf -# aufgezählt werden. Personennamen auf -4z wurden auch von Städtenamen gebildet, wie Murzänz von AVurzu (?vgl. HOMMEL, Grundriss der Geographie und Gesch, des alten Orients p. 286, Zamranu von Tamiru etc. s. JoHNs, Secondary Formations, a. a. ©. p. 248. 2) Die Vermuthung JouNs', AJSL XVIII p. 168, dass Serrdzi ursprünglich der Pluralis von sarru sei und eine Kür- zung etwa aus NVadü-bel-Sarräni darstelle, ist schon deswegen unbegründet, weil Vollnamen wie A-6-ÿ nicht belegt sind. 3) Vgl. Jonns, AJSL XVIII p. 16o f. 4) So HowMzr, Altisr. Überl. p. 275 und RANKE p. 45, welche in den betreffenden Namen Feminina pluralis erblicken, während LIDZBARSKI, Ephemeris II p. 19, arabische Vokative wie eel G und col b zum Vergleich heranzieht. No. 2. e XXXIV Knut Tallqvist. Man kann mit gutem Recht sagen, dass die meisten babylonisch-assyrischen Personen- namen dem religiósen Sinn der Babylonier-Assyrer entsprungen sind. Es ist daher erklarlich, warum diese Namen in Bezug auf die in ihnen enthaltenen Gedanken und die Ausdrücke sich vielfach mit den babylonisch-assyrischen Hymnen und mit den hebräischen Psalmen berühren. Ihr Gedankeninhalt ist durch und durch religiöser Art, aber dessen ungeachtet höchst mannigfaltig. Die Namen nehmen Bezug auf eine grosse Menge Eigenschaften und Thätigkeiten der Götter, sowie auf all die wichtigsten Momente des menschlichen Lebens, von der Geburt bis zum Tode, und berücksichtigen nicht nur das private, sondern auch das öffent- liche Leben, Vaterland und König. Diese Namen lassen uns deutlich sehen, wie die Babylonier- Assyrer von dem alles durchdringenden Walten der Götter’ tief und innig überzeugt waren. Mit Recht hat man gesagt: «Wenn die Überzeugung, die aus diesen Namen spricht, that- sächlich in Kraft und Geltung war, dann hat es im Alterthum kaum ein Volk gegeben, auch die Israeliten nicht ausgenommen, das die Babylonier an Stärke des religiosen Empfindens über- troffen hätte» !). Wenn auch der tiefreligiöse Charakter der babylonisch-assyrischen Namen schon öfters hervorgehoben wurde, hat meines Wissens noch Niemand den religiösen Gedankeninhalt dieser Namen, die zusammengenommen die Götterlehre und das Glaubensbekenntnis ihrer Träger in sich schliessen, ausführlich behandelt?. Ich will daher versuchen, den religiösen Gehalt dieser Namen übersichtlich darzustellen, so weit es auf Grund des mir bekannten Materials thunlich erscheint. Verhältnismässig selten sind solche Namen, welche eine singuläre Aussage über einen Gott, bez. über das Verhältnis eines gewissen Gottes zu anderen Göttern enthalten. Dieser Art sind die Namen «Ea ist das Urbild der Götter» (Ea-salam-ih@#2)?), «Ea schuf die Gottheit» oder «meinen Gott» oder «den Mondgott» (Za-ilüta|ilia|Sin-ibni), «Sin ist das Licht des Sonnen- gottes» (Sin-nür-Samas), «Ninib ist die Stärke A$urs», «Marduk ist der Priester (znisak) der Götter», «Gut ist die Beschwörung Marduks (746-afàp-Marduk)#) u. à. Andere Namen, welche ebenfalls etwas Singuläres von einem gewissen Gott auszusagen scheinen, z. B. ihn als den grössten oder als Fürst der Götter feiern, verdanken ihren Ursprung der subjektiven Auffassung einzelner Individuen, welche eine besondere Veranlassung hatten, den betreffenden Gott höher als andere zu stellen. Dieser Art sind «Grösser als die Götter ist Marduk» (Eli-tlåm-rabi- Marduk)?) «Nebo ist die Kraftfülle» (daltu), «der Fürst» (kamma), «die Fackel (diparı) der Götter» etc. Dass solche Namen subjektiver Bevorzugung einzelner Götter entsprungen sind, zeigt ‚deutlich der Umstand, dass z. B. nicht nur Marduk, sondern auch ASur, Bel, Ea, Nabü, Sin und Samaë «Herr der Götter» (belilanı) genannt werden. Im Allgemeinen berücksichtigen die Namen die Eigenschaften, Handlungen u. s. w. der Götter nur insofern, als diese sich im menschlichen Leben manifestiren. Und als Regel gilt, dass die in den Namen enthaltenen Aussagen, Gebete, Versprechungen etc. sich sowohl auf den einen 1) C. HorzHey, Die theophoren babylonischen Eigennamen, Biblische Studien, VI, 1 p. 98. 2) Eine kurzgefasste, diesbezügliche Übersicht der altbabylonischen Namen findet mar bei RANKE p. 21f. Das Alter der verschiedenen Aussagen und überhaupt die Entwicklung der religiósen Vorstellungen mit Hülfe der Personen- namen eingehend zu beleuchten — ein interessantes Problem, worauf RANKE zuerst die Aufmerksamkeit richtete — lässt sich vorläufig nicht mit gutem Erfolg thun. Jedenfalls habe ich im Folgenden auch diese Frage beachtet. Es scheint, dass die ab. Namen mit den as, und nb. in Bezug auf ihren religiósen Gehalt im Allgemeinen auf einer Stufe stehen. Vielleicht ist der Gedankeninhalt in späterer Zeit jedoch reicher. 3) Ea wird auch mamma «Urform» Merod.-Bal. St. III 5 genannt, vgl. HEHN, BzA V p. 280f. 4) Marduk war bekanntlich der Gott der Beschwórung, vgl. ina siptika elliti sa baläti IN R 19, 12/13 b. 5) Vgl. K 3132 (IV R 26, nr. 4): Marduk ina ilàmi mala Sum nabü a|tta at}rât «Marduk, unter den Göttern, so- viele existieren, bist du übergewaltig» (BzA V p. 333); 2 Chr 2,4: «Unser Gott ist grösser als alle Götter». T. XXXII. Einleitung. XXXV wie auf den anderen Gott anwenden lassen. Alle Götter waren ja «Offenbarungsformen der einen grossen göttlichen Gewalt» ". Im Folgenden schreibe ich daher der Kürze wegen «Gott» anstatt «die Götter». Gott existirt?): Basi-ilu (ab.), Ibassi-iläni (as.). Hierher gehören auch einige Namen, welche die Form eines Schwurs oder eines negativen Fragesatzes haben: «Wenn Samas nicht Gott ist», Summa-ilu-là-ili-ia «wenn mein Gott nicht Gott ist», Lä-Nergal, Lå-båst-Marduk «existirt nicht Marduk?» Gott ist unentbehrlich: Manum-balum-ilisu/1Star/Sin «wer kann ohne seinen Gott (Istar, Sin) existiren» (ab.). Gott ist fürwahr Gott9): -7/%, -/az, -ıli-ia (mein Gott), //umi-i/« «unser Gott ist Gott» (ab.) Il-biti-Gula (der Gott des Hauses, der Familie ist G.), Samas-i-ili «S. ist der Gott der Götter» (ab). Gott ist unvergleichlich ?): Mannu-kimalakéili-ia|ilèn «wer ist wie mein Gott» oder «wie die Götter», x-/a-sanan (ohne Gleichen), Mannu-sanin|güri- Sama, Bel-mannu-maläk>). Gott ist erhaben 9: -z44-, Na’idat-, Tanitti-Bel, Nabü-sirz-zlani, -sirat, Tizgar- -Sama$?). Gott ist Stärke, starkS): -adari, -adal, -alülu, -dannu, -dannat, -dunni, -illati, -illatsu, -kap- kapi, -naburu, Kraft, mächtig: -emägi. -kabti(-iläni-), -P-. -Wü, Mannu-ki-ASur-Uü, Liti-, -litsu, -gardu, -qarradu, -qurdi, -kissumu, allmächtig: -gabbi-ilei, -W-kissatilkullati, vgl. im Koran 7205 2 s de $2 Hierher gehórt auch der ab. Name Årik-idi- Bel «lang ist der Arm Bels», d. i. weit erstreckt sich seine Macht. Gott ist gross ): -båla, -rabi, Rabüt-, Mannu-ki-Addu-rabü, -irbi «hat sich gross erwiesen», gewaltig, furchtbar: -/z:z. Rasdi-, herrlich: -gasdu, Agar-Bel-Zumur. Gott ist strotzende Fülle, verschwenderische Pracht 1): Baltu-, Nabü-daltu-iläni, ASur-baltu- nisesu, An-dunáni-Gula, -hegallu, -Samhı-, Sumuh-, Kuzbu-, -kusub-mäti, IAia-zimat mâti, Munah- his- («verleiht Überfluss»). Gott giebt und schenkt !'): -nådin-, -gaisat, -iddin-, -ittannu-, -igisa-, -iqisanm, I Tagisa- Belit, /göpi-Marduk, giebt Leben: -nådin-nåpistim, -napistim-iddin, -balät-iddin, giebt Obrigkeit!?): -nadin-beli, -bellSar-iddin, giebt Lebensunterhalt: -nådin-ipri, giebt Nachkommenschaft 1°): 7. I) WINCKLER, Die babylonische Kultur, 2. Aufl. p. 18. 2) Dem Sinne nach: es giebt eine góttliche Weltregierung. Im Gegensatz dazu behaupten die Gottlosen: es ist kein Gott (Ps r4, 1). 3) Vgl. he. bw"bw, à*5w. I Rg 18,39: «Jahwe ist Gott», Ps 100, 3: «Erkennt, dass Jahwe Gott ist!» — K 2962,16: Marduk ilum sa ilàmi «Gott der Götter». Vgl. auch Afamar-annûsu «ich habe seine Gottheit gesehen». 4) Jer 10, 6: »Deinesgleichen giebt es nicht, Jahwe!» Ps 35,10: «Jahwe, wer ist wie du?» Vel. nn. pr. 5w2*2, n7252. In den ba, Hymnen ist ein gewóhnliches Epitheton ornans der Götter $a mähira lå isn. 5) Vgl. IV R 9,51: au ilu maläka imsi «welcher Gott hat deine Fülle erreicht?» K 2962,18: Marduk sa Sänina la isü. K 69,32: bölum mannu maläka mannu Säninka «o Herr, wer ist wie du, wer kommt dir gleich?» 6) Vgl. he. bn, phó. eb», sa. DIN, syr Rämisoc «Jesus ist erhaben» (EB Sp. 3285) u. s. w. 7) Tizgaru ist auch Epitheton des Feuergottes und Marduks, Maqlü, p. 29 Anm. 6f. 8) Vgl. he., phó. und sa. nn. pr. mit 13, he. DRE — Auf die Bos der Gótter beziehen sich wohl auch die Namen Müränu-Gula und Marduk-nisu «Gula bez. Marduk ist ein Löwe», vgl. S. 954, 13, Hi 10, 16, Jes 38,3 und Addu- rim-ill «A. ist ein Wildochs unter den Göttern», vgl. rimu garnñ Addu, BANKS, Sumer.-babyl. Hymnen p. 24, Hi 39, 9 f. 9) Vgl. he. "5*5, 175543", phô., pa., nab., sa. SN, sab. ^3zbW. 10) Der Mondgott £usóu u lalå mal& IV R 9,21, Marduk musabsi simri u kubuttè mukin hegalli «der Reichthum bereitet und schwere Fülle, der Überfluss bestimmt», KB VI I p. 34, BzA V p. 288. II) Allgemeine und gemeinsemitische Vorstellung; vgl. he., nab. und pa. Namen mit rn», phó. mit m, ar. mit 7737, arb. und sa. mit 3774 u. s. w. 12) Vgl. Dan 4,22: «... dass der Höchste über das Königthum der Menschen Macht hat und es geben kann, wem er will». Rm 13, 1 13) Ps 127,3: «Fürwahr, ein von Jahwe verliehener Besitz sind Söhne, ein Lohn die Leibesfrucht», vgl. Gen 33, 5. No. 2. e* XXXVI Knut Tallqvist. ahe, aplu, Sumu, ziru mit vorangestelltem -»adın- oder nachfolgendem -iddin|ittannu|iqisa, -idinnassu, vgl. auch die imperativischen Namen Q£i-, -gisanni, -àk-rimanni und die präkativen Lümur-gümil- Sama, /na- -gati-Bel-Zumhur, daher wird das Kind als Gabe oder Geschenk der Götter bezeichnet): Gimil-, Kurban ")-, Nidin-IStar, Nidnusa, Nidinti-, Nidnat-, Oisti-, Sirigti-, Sirgat-Sa- Samaë. Gott mehrt (die Familie)?): -érib(-ahé|ahia|ahéesu), -(ahe|aplu|ensu|kin|tukte)- erba, Nabü- erbannilerbasunu, Mäd-gimil-IStar, Mådita-Sin-i$kun, Nabü-ana-mäda-utir?), daher die ein Gebet enthaltenden Namen Nabü-Sunmidannı «N., mehre michl», Ribam-ili, Rib-Nunu (ab.), vgl. Lirib-Bel. Gott ist Mann (Held): -a-a-lu|ia-a-li, -gabri*), Zikarka-Sin (), Zikar-Sarrum- -Samaë. Gott ist Herrd): -G/7, -ettillu-, Herr der Götter®): -abkall|bél|etil-ilåni, Herr seiner Brüder: Nabü-de/ahesu, Herr des Himmels: Uraÿ-0é/-famé, des Himmels und der Erde”): AsSur- etil-Same-u-irsiti-bullitsu, Herr des Landes: -del-mati, Herr des Lebens: AéZzapistim-Sin, Herr der Lebewesen, der Menschen, seiner Unterthanen: -döl-napsati, *Aia-belit-nisi, ASur-bel-misesu, Bel-röitum-Bel, Bêl-dallili-ia, Herr der Nachkommenschaft: -del-aplilsumati| 5ère, -belsu, -belsumu, Herr des Hauses (der Familie): -64/-6%%, unser Herr: -belani, Herr des Alls: bêl- kalälma), Bel- gabbi, -il-naphari, vgl. Gabbi- -ina-qáti-Samas, Gabbu-ana-Aÿur, Ana-Samaë-kalèma, Sa-Samaë- kalñma, Rikis-kaläma-Bel; Fürst, König): -afaridu, -barakku (2), -hammu, -Sarru, -Sarrat, Sarrüt-, ein mächtiger König: Bel-sarrz-dannu, König der Götter: -kamme|Sar-iäni, -asarid-ıli, des Landes: Sin-Sar-mätim (ab.), unser König: -Sarranni; Regent (Hirt 9): -72z, -re'üa, -ré ani, -reussu, -ré itu, LBéL-]riftum-B6l, dessen Regiment gut ist: 746-palà- Samas, weil die Gottheit treu und gerecht ist 19): -könu, U-misarrum-Marduk, Samai- Sar-ki-tim. — Der Mensch ist Diener!^, Unter- than, Klient der Götter: Addu-, /Amti-, Amel-, Ardi-, Dalit-, Kalbi-, Kudur-, Kidin-, Ris-, oder ihr Eigenthum !?): Kisir-, Makkür-, Nemel-, Zitti-, Sa-, Sa-Nanä-antni, Sa- Bél-atta, Sa-x-Y&, / Sa-Nanà- #, Sa-Nabü-Sumu, /Söt-x (ab), vel. Kusudsu- («nimm ihn zu eigen!»), Sin-/igima, Nabü-zraiu, -sör| Stimm] ahe-irassi, Råsi-ilu. Anderseits ist Gott Besitz des Menschen: Ea-:7##$4 («Ea ist sein Antheil»), !Zi-i4-iSqi (2), vgl. he. *rpzn. ÄR fe Ge - an Id I) Vgl. he. "2m, arb. T Las, kabe, all pn — Zu dieser Gruppe gehören vielleicht auch AVa2- Sa-ni «N. doppelt», Us-/a-an-ni «er (der Gott) hat verdoppelt», vgl. ANa/z-z-5a-az-ni, Us$-tas| ta-as-ni-iu (ab.) und RANKE, PN p. 150 A. 4. — Kurbån-Marduk ist vielleicht richtiger aufzufassen im Sinne von «dem Marduk dargebrachte Gabe», s. HOLZHEY, a. a. OÖ. p. 99 Anm. u. u. > - 2) Vgl. he. ro"bM, Bon, arb. O35, plos. ou 3) Schöpfungsepos KB VI 1 p. 34: Marduk sa mimmåni isu ana mádé utirru «der alles Geringe in Menge verwandelt». 4) Vgl. he. NASA 5) Vgl. he. 175358, phó. yaUN37N. 6) Vgl. oben p. XXXIV. 7) Ähnlich von Jahwe Gen 24, 3. Vgl. IV R 29,2526 a: Marduk iarru Same u irsitim. 8) Vgl. he. ack ‘19222, phón. ab» 2, bwan^pba und die häufige Bezeichnung Jahwes als König, Ps 5, 3etc. 9) Die bildliche Anwendung des Wortes «Hirt» kommt schon in ab, Texten vor. Im AT häufig: Jahwe der Hirt Israels, 2Bs227.,80, 2,5, Vels ferne lg 28, 22etc. 10) Vgl. he. 972477", sa. 5Xp72. Ein Epitheton Marduks war musesir kittu «der das Recht leitet». 11) Vgl. die bei den Hebräern, Aramäern, Phóniciern und Arabern überaus häufigen Namen mit “add (der Prophet RIDE ADS. „0 3 sagte duss des Le e =) abess. Namen mit gadra, phó. und ar. Namen mit MAN. 12) Vgl. he. n3pbN, map, bN5, pa. WAWh, phó. manw>b u. a. dgl. AP, SOUL Einleitung. XXXVII Gott befiehlt): -igbi, -igbisu, -balatsu-igbi, Sa-pi-x, (Ina-)Oibi| Qibit-x; IKu)-bipè)-x, Etil- pix, «ein Gott, ein Herr des Wortes (des Befehls oder der Verheissung) ist x»; Gottes Wort oder Geheiss ist erhaben: Å-/i-at-awåt-Sin (ab.), gnädig: /Amätsu-dumga?), zuverlässig: Ikån- bi-x (ab), Ana-amåt-Bel-atkal?), unwiderruflich: .Sa-Marduk-z/-£w, Papsukkal-$a-igbü-ul-inu, Nusku-/4-6n1-pifu 1) und muss beobachtet werden: Usur-amät-°). Gott ist Entscheider 9): -påris(-dini), Sin-målik, Imlik-, -milki-, Samas-abitu, Sin-mustål (2), Richter?) (richtet, schafft Recht): -daainu, -dà'm, -dån-, Sin-dinam-idin, -bêl-dani, ASur-da'in- apli| arri, Itti-Bel-déni, -dini-éres|ipus, -dini-bullit| epus | amur| dini*). Gott vertritt den Menschen ®): Samai-£oza, Bel-kummu-Aia, Nergal-2é-£mnüa, erhebt Einspruch !?) (zu Gunsten des Sünders, HOMMEL, Altisr. Überl. p. 73): Sin-iragam (ab.), vgl. 746- rigimatu-Addu, führt die Aufsicht!!): -ipgid, Ninib-pagidat, leitet 2): -»uXóXir, -mustösir, Sama&- mutabilsu «S. ist sein Führer», mit seinem Geist (&àru!?): Ina-Sör-Bel-alak, Jma-anmnita-allak (ab.), dessen Leitung glückbringend ist: Sår-x-fåbu, Täb-Sär-x; daher wird in den Namen um Gottes Leitung gebeten: Susranni-Marduk, Irsiti-Bel-/isésir. Gott ist Helfer!5: -GsZz, -àsza, -böl-usäti, -hamátka, -nirarı, -tukulti, -tuklatüa, -tuklatsu, -tukulti-edi|ensi (des einzigen Kindes, des Schwachen), -råsåa, -kåsir|ktsir, -kisirat, Kusranni- Marduk, ist mit dem Menschen !°): -z#/«, geht an seiner Seite !9): -ålik-idia, -alik-id-ensi, -itti-edi-alik, geht vor ihm: -2/%-pania, -päni-alik. Gott ist Bundesgenosse: -£/;7, -kitru-Sarri, fasst den Menschen bei der Hand !7): -såbit-gåti, -gåta-sabat, (-gàta)-sabatanni, richtet auf 15): -zågip (-ensi (den Schwachen), I) Vgl. SON «sprechen, befehlen» in he. M31" w2N, pa. NU" 2N, sab. wa2NS9TWM, ws. Amar-ilu, Ilu-amara, Apil- Addu-amara|; Für die Namen mit giö% vgl. KING, Magic 9, 10: ina gibitika sirti lublut luslimma «auf dein erhabenes Geheiss möge ich leben, wohlbehalten sein», Z. 22: balåt napistia gibi «Erhaltung meines Lebens befiehl!» 2) Ps 19, 9: «Die Befehle Jahwes sind recht, erfreuen das Herz». 3) Ps 119, 74: «Ich habe auf dein Wort geharrt», Ps 33, 4: «Denn das Wort Jahwes ist wahrhaftig und all sein Thun ist Treuen». 4) Vgl. die häufige Phrase: ina qiüMika sirti sa ul utltakkaru u annika kinim $a ul in&, Maqli I 120 f. 5) Sir 3,23. Vgl VR 63,9a: Nabunäid, dessen Herz voll Erfurcht ist und av ilåni nasru «das Geheiss der Gótter beobachtet». 6) Vgl. das häufige Gottesepitheton påris purussé. 7) Der göttliche Oberrichter war bekanntlich Samai, Maqlü p.29f, KA3 p. 368. — Vgl. he. 5N(*):9, zEw"bw, DEV, oBU, phôn. z555»2. 8) Die Phrase dini-din (vgl "ar Aman Ps 43,1 etc.) kommt oft in religiösen Texten vor, Maqlü I 114, II 95, 118. 9) Jes 38, 14: «Jahwe, bedrängt bin ich, tritt für mich ein!» Vgl. Ps r19, 122. Hi 17, 3. IO) Vgl. über Fürsprache einlegende Gottheiten KA? p. 419 mit Anm. 6. 11) Ps 8,5: «Was ist der Mensch, dass du seiner gedenkst, und das Menschenkind, dass du s$5;pEm». Nergal wurde «der grosse Aufseher» pâgidu rabz genannt, K 4809, 15. i I2) S. 787, 6: Samai mustösir téniséti ; Vel PSS 0m 25, 20 7924107, 7. UOS 13) Es scheint mir, dass s@rz ziemlich denselben Sinn hat wie 75%; Jouws, PSBA 21 p. 140, ADD III p. 410 will $2rz im Sinne von «Speech» verstehen, s. aber KA? p. 526. Im babyl Schôpfungsepos KB VI I p. 34 wird Marduk il Sâri tdi «Gott des guten Windhauchs» genannt, ebenda ina puÿgi danni nisinu Sârisu tâbu «dessen guten Windhauch (Geist) wir in arger Noth verspürten». Für jérx fåbu vgl. endlich Ps 143, 10: «Dein guter Geist (n332 771) leite mich auf ebener Bahn!» i 14) Vgl. he., phó. und ar. Namen mit "3 und SW" 15) Vgl. he. PATES. Jer 20, 11: «Jahwe ist mit mir "HN wie ein gewaltiger Held». — Hierher gehören viel- leicht auch Arzdahar und Ili-amtahar, wenn sie abgek. sind aus */7Zi-ili-amtahar, wozu Gen 4,1 nmm MN DAN np zu vergleichen wäre (?). Anders RANKE, PN: «I beseech my god». 16) Dt 31,6: «Jahwe, dein Gott, zieht selbst mit dir (> Zinn), er wird dich nicht loslassen, noch dich im Stiche lassen». Beachte auch n. pr. Z#-idia und vgl. ilu musallimu ina idi-ia lu ka-a-a-an «der Schutzgott sei beständig an meiner Seite, BzA VI p. 348. 17) Vgl. bx" und pr3 Hi. mit 79993 und 7", Jes 41,13. 45, 1. 18) IV R 19, 39/40: Samaë ilu rimini zägip hassu hätin ensi «barmherziger Gott, der du aufrichtest den Gebeugten, schützest den Schwachen; K 3459: Marduk Zazaggap enÿa pisnuga turabba «du richtest auf den Schwachen, machst gross den Geringen». Ps 145, 14: «Jahwe richtet alle Gebeugten auf Ena4227-525 gp) No. 2. XXXVIII Knut Tallqvist. -sugpanni, -suqup-kina, -laris, -turrasannı, -Suzsizanni, -bél-3usziz, Vásst nicht zu Schanden werden ^): Láà-tubüSanni-, / Lä-tubasinni «lass mich nicht zu schanden werden!», Nabu-a/szka-eblut| ul-abäs «zu dir, N, schrie ich, ich blieb am Leben/ wurde nicht zu schanden», schlägt den Feind nieder: -iskip, -kasid(-aiabi), -Sarhu-ubasa, -nir-dabibi, -dabibi-nir, ASur-garüa-niri, bringt zurück, wieder zu recht): -z/r, -feme-utör, Bitam/BeEl-Nippuru-ana-asrisu-ter, Nabü-Zranni, rächt: -mutir-gimil, -eimilltukte (?)-tirri. Auf die Hülfe des Gottes beziehen sich auch die Ausrufe: Adi-mati-ili (ab.), Ahulap-, Ammeni, Atanah-ilu. Gott erschafft, macht?): -båni, -zöni-, Tabni-, -Epis, -tpus, -iSkun-, -Eres, -ban-ahi|ahe|aplı) belil kalbi|zeri, (Sin)-bân-ahüa, (Nabü)-dan-ahesu, -ah(e)|zir-ibnileres, -bellpir|riski-ibni, -Sar-ibni| iskun, (Ea)-kudurri-iöni, -mät-ibni, Nabium-palihsu-ibani «N. ist der Schöpfer seines Verehrers» (ab), Bel-napsät-ibni, -Sum-Eres|ibnijöpus|iskun, -Säkin-Sumi, -Söpik-siri, -il-bani, -banta, -banini, -banünu, WuSu-dani, TuSu-zbnisa, beruft, ersieht: NVadr-, -imbi-, -Sum-imbi, Ibi-, Husu-ibbi, Ii- ibbanni (ab.), -sakir(-Sumi), Iskur-, (IStar)-taskur, -tdanni, -kinam-idi; bestellt ®): -mukin-Sumi, -aplu| Pirhi|Sum!ser-uken, -kön-ahu]| aplu| zör, -zir-kini, (ASur-etil)-kör-aplu; bringt ins Dasein: -z0/a7z, Samai- abilsunu (ab.), -Sabsi, Musibsu-, (-ah(e)|Sum|zör)-usabsi, (Sim)-at-Suosi, (Marduk)-Zappé-edi-3uóS, Sumum-libsi, (Gula)-$um-edi-libsi, öffnet den Mutterleib5) (in ab. Namen): -påtir, Iptur-, -putram, Putur-; bringt das Kind ans Licht 9): -»z/iesz, -usbebi, Lisöbi-, Lizsi-ana-nt&r(-Marduk), Ana-Samas-lisi; Gott ist Urheber des Lebens”): Z//-x-óa/àf4, ASur-7/-balatisu, Ina-gati-x-bultuS), Ih-Öullut-(Mar- duk); -&w{a-ile 1%); giebt Leben, macht lebendig, erhält am Leben !9): -nådin-napistim, -balät-iddin| iskun|éres, -muballit-, -uballit-, -uballitsu, -miti-uballif), daher imperativisch und optativisch: -bullit, -bullitanni, -bullitsu, -abu|ahu|ahé|&tn|3ar |tabni| tabtani| taddannu|tagifa-bullit(su), (Nabü)- Sukunu-balåtu, (Samaë)-liblut, (Gula)-zagisa-hbluf, (BEl)-/ü-balat, Vásst gedeihen (optativisch): -aplu| Ain |pirhi|pir | umu|Sum - &itti V))| tagbz| tultabsi | zör | zör-kitti 9) | sir - napistim - iir, Alu] Imittu| Zir- Zisir; giebt Glück 1%): -z/, vgl. Täb-asäp-(Marduk); zieht gross: (Nergal)-ÿwwe-rabbi, (Mirra)-zzu- rabbi, (Nabü)-dun-Sütur; verlängert das Leben !5: -musétig-urri, (Nabu)-Sum-lilbur, Sangi-ASur- 1) Ps 25,2: «Auf dich vertraue ich, lass mich nicht zu Schanden werden (ne3N-bw Innos T2). Ps 119, 31: «Jahwe, lass mich nicht zu Schanden werden! '"s 107, 6: «da schrieen sie zu Jahwe in ihrer Noth; der errettete sie aus ihren Ängsten». Ps 22,6: «zu dir schrieen sie und wurden errettet, auf dich vertrauten sie und wurden nicht zu Schanden». 2) Vgl. he. 2"^w^5N. Ps 80,4: «Gott stelle uns wieder her!» Zu dieser Gruppe gehören auch die he., phön., ar. und sa. Namen mit NE^ «heilen». 3) Vgl. Namen wie n"N^2, bwnes, HN, phön. SSH. 4) Hierher gehören gewiss viele Namen mit dem Verbum Zzz II1, welches die nämliche Bedeutung wie he. DPA zu haben scheint: Nachkommenschaft erwecken Gen 38,8. Sonst bedeutet az II 1 festigen. 5) Vgl. Gen 30, 22; he. nn», nrE^, sa. bNnrE; GOLDZIHER, Der Mythos bei den Hebräern p. 114, NESTLE p. 168 f., NOLDEKE, EB Sp. 3280, 27, RANKE p. 2I. 6) Vgl. Gen 25, 26, Hi r, 21. 7) Ps 36,10: «Bei dir ist die Quelle des Lebens». 8) Vgl. Hi 12, 10. Dan 5, 23. 9) IV R 29, Nr. r, 23/24: Marduk sit $a mita bulluta irammu «der barmherzige, der es liebt, Tote lebendig zu machen»; Maqlû VII, 107: Marduk 681 baläti. 10) Vgl he. 5X", phó. pan. KING, Magic 4,32: Oullutu Sullumu baÿà ittiki (Bau). IV R 9,26: der Mond- gott a balåt naphar mäti gätussu tamhu «in dessen Hand das Leben des ganzen Landes gehalten wird». MARTIN, Textes religieux III 2: bullitannima ana gäti damgáti $a ilia u Istari-ia ama Sulum u balätu pigdanni. II) Vgl. mubdallit min in den Beschwörungstexten. 12) Ps 101,7: «wer Lügen redet, soll nicht bestehn vor meinen Augen». Für die Namen mit Zr vgl BzA V p. 351 Z. 75: ima pânika fumi u piri lisir «vor dir möge mein Name und meine Nachkommenschaft gedeihen!» 13) Vgl he. bw""5. — Zu Züb-aiáp-Marduk vgl. K 2962,36 Marduk par balätu kummu «die Beschwörung des Lebens ist dein», Surpu VII 78: Marduk masmas ilåni rabüti Sa ima Siptisu mitum iballutu «durch dessen Beschwörung der Tote lebt». I4) Vgl. 1 Reg 3, 14. T. XXXII. Einleitung. XXXIX lilbur, X-In-dari. Zu dieser Gruppe gehören auch Namen, welche die Gottheit als Vater !) be- zeichnen: -abu, -abna, -abia, -abusu, abuni, (ASur)-abu-apli, MuSu-adusu, oder als Mutter: -272724, (IStar)-ummnia|ummasa, (Belit)-zomnanu und Namen, welche den Menschen Kind, Spross oder Werk der Gottheit nennen: p^, Mär-, / Mart, Büni-ili(ab.), Bür-, Inbi-, Pir-, Pirhi-, Zir-, Libit-x”). Am nächsten verwandt mit diesen sind wiederum Namen, welche den Gott als Bruder (bez. ihren Träger als Bruder des Gottes): Samas-atta-zalömu, Itti-Addu-ahütu, Ahi-ilia oder als Ver- wandter, Genosse bezeichnen: -*ammö| imme|hamme, (Sin)-emuka, -ubäria, Ubär-, / Ubârti-(Samaë) «Genossin des Sonnengottes», (Samas)-/abbasu. Gott ist Licht): -zzru-, -nür-iläni, (Nabü)-dzpári-z££*) (die Fackel der Götter), (Sin/Samas)- nàr | in-mäti?), Insu-tna-måtim, Nir-Qlisu, (Samas)-Zu-álitu, -inàia, Nüranni-ilu, Itti-x-inia, [tti-Bel- abnu, Sa-Bél-ami, Jtti-x-limmür; Gott ist Sonne*): Samsi-, (Apil-Bel)-Samsum-Same, Itt-ASur- Xamiu; Gott ist glänzend, strahlend (herrlich, aber auch = freundlich): #//x-(IStar), / Ellita-(Nanà), (fBau)-e/Zt, (Nusku)-/abanu (2), -nàgz, -namir, Nür-ih-nawir, Nawir-nürsu, Watar-nürsa, Gott er- leuchtet ): -mukallim, -kullim, -kullimanni, erheitertS): -wnammir, schafft Licht: -Såkin-uddu. Hierher gehören auch: -(gZ7)-zamumir, (Nabü)-kér-ubrib, Nür-Bêl-lümur «das Licht Bêls will ich sehen!» Gott ist wissend ®): -Z7/, allwissend !0): Sin-kalåma-idi, Bel kennt die Leute (Bél-zZa2-232); Gott ist weise!!): -z3u, -müdi (ab.), -mustal, unerforschlich !?): Aannu-idassu-idi, Puzur-, ein- gedenk!?: Marduk-Aäsis, besorgt für die Menschen: Zéwmras-ibbiili, Libbi-ili-Zmras (ab.); Gott I) Vgl. die Hymne an Marduk, BzA V p. 350 Z. 34: kima abi u umme ina ameluti fl tabassi «wie Vater und Mutter unter den Menschen bist du». 2) Vgl. W. ROBERTSON SMITH, Die Religion der Semiten, pp. 27—36. Beachte Zikir-ilisu (ab.) »Sohn seines Gottes» oder «Ebenbild» (JENSEN, KB VI1 p. 402), vgl. Bål-mmussil «B., mache gleich!» und Gen 1, 262). — Für a, ah, © amm etc. als Gótternamen s. KA3 p. 480 ff. 3) Vgl. he. 51572, ^?N^* S. Das Licht und das Strahlen ist das Bild der Freundlichkeit, des Glücks, der Freude u. s. w., vgl. schon die Inschrift Samsuilunas KB III p. 132: «Die grossen Gótter blickten mit ihrem strahlenden Antlitz (d. i. huldvoll) auf mich»; zpmeru pänusu «es erheiterte sich sein Gesicht»; Nm 6, 25: «Jahwe lasse sein Angesicht über dich leuchten und sei dir gnädig!»; Ps $0, 4: «lass dein Angesicht leuchten, dass uns geholfen werde!» Ps 4, 7. Hi 29, 24 etc. In gleicher Weise scheint ?22 «Auge» verwendet zu sein, s. RANKE p. 26: JIlu-inåia — 5x I Chr $, 20; vielleicht ist dieser Name abgekürzt aus Z//i-1/;-imá ia. 4) Vgl. BzA V p. 310, Z. 34: Marduk dipäru namru. K 155 obv. 6: Sarhat dipäraka «riesig ist deine Fackel, o Mondgott». 5) S. 787 + S. 949, obv. 8: (Samas) s&pi när mátáti. 6) «Sonne» des Landes oder ihrer Unterthanen nannten sich die babylonisch-assyrischen Könige, so schon Hammu- rabi. In Personennamen kommt samas als Appellativum nur selten vor. Im AT wird Jahwe nur Ps 84, 12 Sonne genannt: «Jahwe ist Sonne (doch hat Targ. &^ ^35) und Schild», wozu man vergleiche Tell el Amarna 149, 52f.: «Du bist die Sonne, die aufgeht über [ihn], und die Mauer aus Erz, welche schützt ihn». Vgl. den Engelnamen Sampsiel — betiav. 7) Vgl. he. n^npe. Wenn der ab. Name Aham-kallim «zeige einen Bruder!» bedeutet, beziehen sich die Namen mit Æwl/umu vielleicht auf die Geburt des Trägers (RANKE p. 37). 8) Ps 18, 29: «Du lässt meine Leuchte scheinen; Jahwe, mein Gott, macht mein Dunkel helle». BzA V p. 350 Z. 35: attama (Marduk) kima Samas eklitsina tusnammar «wie der Sonnengott erleuchtest du ihr (der Menschen) Dunkel». 9) Vgl. he. 390405, ar. *"^bN, pa. 533994, sab. ENV u. à. IO) IR 35, Nr. 2, 3: Mabñ müdk mimma Sumsu, K 69,27: Nergal müde mimma Sumÿu. Ngl Ps 139, 1—6. II) Vgl. Ps 104, 24, Rom 16,27, Hi 12,13. ÆVabñ irsu müdi KING, Magic 22,37. Ea ist 607 nîmegi «der Herr _ unergründlicher Weisheit», Marduk bân nimegi «der Vater der Weisheit», Aammata kullat nimegi «der alle Weisheit be- sitzt» BzA V p. 280. Vgl. n. pr. Nimegu. 12) Jes 40, 28: «Jahwes Einsicht ist unausforschlich», vgl. Ps 139, 6, n. pr. n^NbE. Rom 11,33: «wie gar unbe- greiflich sind seine Gerichte, und unerforschlich seine Wege». IV R 9 rev 16: kätu amätka mannu ilammad «dein Befehl, wer kann ihn erlernen». KING, Magic 11,11: alakti il mannu ilammaa «der Weg Gottes — wer erkennt ihn?» 13) Wahrscheinlich im Sinne von Gen 30, 22, vgl. he. Namen mit ^2: und 237, sab. >NY27" etc., EB Sp. 3282, 32, NESTLE p. 168. ; | NO: 2. XL Knut Tallqvist. sieht): -2677, sein Auge ist erhaben Ini-il-Kögi (ab); Gott hört?): -zsemu, -Söme, Isme-, -iSın(e)anni-, -iSmesu, -Simanni-, hört das Rufen: -gälu-isimme, das Gebet: -karäbi-isme, -karäbi| suleltahhi? -Sime; vel. auch -supe-muhur, Nabü-alsika-ablut|ul-abas, / Atanah-Xinini ?). Gott ist gut): -/22z-, freundlich, gütig ): -damig, Damqi-, -damgat, -dumgi (-ilåni), -udam- mig, -mudammig-, -ludammigq, -dumeqanni, Lümur-dumgi-, Atamar-dumgi-ili «ich habe die Güte Gottes gesehen (erlebt)», Diungi-Sa-vlani-damgu, Arkat-ilani-damgäti, -magir, Imgur-, -imgurannı, Imtagar-, gnádig9): -sälım, (Bélit)-Zas/zz, sieht gnädig an die Menschen: /mur-, -amurannı, -kin-dugul, Vi-zppalzam, Naplis-ilu (ab.)”), ist barmherzig, liebevoll®): -zZzéz, -iram, Taram-, -napistim-iràm, -ràm-ahés$u|napistim |nise|nisiSu]| Sarri|z£ri, -S@kin-rimi, Rimüt-, -römia;, der Mensch ist Liebling Gottes: Migrat-, Naräm-, Nisi-inisu, Gott besänftigt sich, wendet sich wieder den Menschen zu): Pashu, -taiar, -itür, Samas-/üram, Ili-zepasram (ab), / Tappasra, Nishur-Bel, / Tasahar-ana-äliSa; hierher gehören auch die abgekürzten Namen (Nabü)-aza-à/a, (Ea)-ana-kussisu, x-ana-bitiSulmatifu 9). Daher die ein Gebet enthaltenden Namen: Zimah-hbbi-ih!!) «des Gottes Herz beruhige sich!» -zapsir !?2) «werde wieder gut!», -Zäram, -mugursu, -silim, Rim-, -rimanni-, -rimu-Sukun, -rimansu «erbarme dich!», Nabü-hitu-mesu «N. vergieb die Sünde» 1°). Gott ist Hort !%): -Sadz, -Sadıa, -Sadünu, -gatari, Schutzwehr, Mauer !5): -szZz, -düru-, Schutz- wehr der Unterthanen (Samas-asuk-nisi), eine hohe Mauer (Nabü-dür-sörum), Mauer des Sohnes (-aplı), des Einzigen (-edı), des Herrn (-227), des Schwachen (-ez37) des Bedrückten 1%) (-nak2), des Gesichts, des Auges (-påni, -fnta), der Rede (-g44), der Stadt (-à//3:); Schirm, Schutz 17): -57/2/u, weit ist der Schirm Eas (Kapas-sil-Ea), gut und zuverlässig ist der Schutz des Gottes (744- silx, Ana-sillisu-&mid), Stütze, Grundlage 5): -zmdi-, /sdi-, bei Bel ist Stütze (/#-Bêl-nimittu), Samaë ist meine Grundlage (-isdia). Gott schützt 19): "Belit-eraz (2), -Aatın, -hutnu, -hatànu, Mannu-kima-Bel-hätin, -häsir, -häsirat, 1) Vgl. he. DNA, ON u. 4. Gn 16, 18: "NI DN TEN. Sir 34, 19: «vor Gottes Augen ist nichts verborgen». IV R 40 Nr. 1, 119: 2 ina inäka tabarri gimrétu. i 2) Vgl. he. und phó. Namen mit 32%, Ps 18,7 etc. Marduk wird im Schöpfungsepos KB IV I p. 34 als 24 faimé u magäri «Herr des Erhórens und Willfahrens» gefeiert. 3) Ps 5,2: «höre meine Worte, Jahwe, vernimm mein Seufzen!» 4) Vgl. he. bN32, 9012. 5) Ps 100, 5: «Jahwe ist gütig (332), seine Gnade währt ewig». Vgl. phón. Duras). 6) Vgl. he. phó. nab. und pa. Namen mit 33r. 7) BBI 8: «Blickst du (o Göttin) einen Menschen (erbarmend) an (tappalasi 8) Vgl. he. bNar", 79994, 4958, sab. bx". 9) Vgl. he. SNA, sab. SNS, EB Sp. 3282, 31. IO) Vgl. KING, Magic 6, 87f. ili-ia Sabsu littwra . ..ilu äli-ia... linüha «mein zürnender Gott... der Gott meiner Stadt kehre zurück . . . besänftige sich!» 11) Vgl. BB III 8: Zibbaki linüh «dein Herz beruhige sich!» 12) K 143, 14: Ili-ia silim istari-ia napsiri «mein Gott, sei gnädig, meine Göttin, besänftige dich». ), so lebt dieser Mensch». JADE 13) Zu diesem hochbedeutsamen Namen eines babylonischen Sklaven vgl. K 143, 10 me-e-es gillati-ia ligi unnini kåsa, Rm 601 rev. 5: arzi hiti u gillati itti Marduk izakkıı (bei MARTIN, Textes religieux). Unklar ist wie 1L227-72/u-uZ- idi aufgefasst werden muss; wenn ?dz die 1. P. darstellt, ist Minå-ahti-ili «wie habe ich gesündigt, o Gott?» und Ps 19, 13: «Verirrungen, — wer wird sich aller bewusst» zu vergleichen; wenn 247 die 3. P. darstellt, mag man Ps 25,7 vergleichen. 14) Vgl. he. Eigennamen wie 587712 und die häufigen Bezeichnungen Gottes als Fels, Hort: j3N Gn 49, 24, 3199, »5b und ^*5X. à vi 15) Vgl. die metaphorische Verwendung von Main I S 25,16, däri siparri Tellelamarna 149, 53; Ps 84, 12: «Jahwe ist Zinne [E^ ^*2] und Schild». 16) Ps 9, 10: «Jahwe ist ein Fels für den Unterdrückten, eine Burg in Zeiten der Drangsal». 17) Ps 32, 7: «Du (Jahwe) bist mein Schirm» ("3 And); vgl. die bildliche Verwendung von 5X Schatten-Schirm, Schutz (Nu 14,9. Ps 121), auch in Namen z. B. bx5X2. — Marduk wird sz/27 måti genannt BzA V p. 347 Z. 6. 18) Pr 10,25: «Der Fromme steht auf dauerndem Grund». Vgl. he. 1h 2204. 19) Im AT häufig von Jahwe gesagt; vgl. nn. prr. he. ma, phó. Nawbsa, nab, SNYD3. T. XXXII. Einleitung. XLI nàsir-aplu| 3umni|s£ri ), Issur-, ASur-patinnu, Ea-pattanu. Ausserordentlich allgemein sind Namen, welche den Imperativ zszr (und Prin) enthalten und in welchen der Mensch sich den Schutz der Gottheit ausbittet, für sich: -wswrannr, -pitnanni oder seine Mitmenschen: -wswr$”, besonders für die Mitglieder seiner Familie: für den Vater: -abu|bånia-usur, die Kinder: -edu|/ah|ahe| talimulaplu|pèr | umu]|z£r |tabui| tabtani|taddannu|tagésa-ugur, Bél-edu-pitin, Sum-usur-(Nabü), für den Hausherrn oder die Herrin -6é//bêltu-usur, oder für Land und Fürst: -Audurri|mät|Sar-usur, (Sin)-apil-Sarri-usur, für den Menschen: Usur-amelu, für das Leben: -napistim-usur, -usur-nafastum, für den Wandel des Menschen?) -kibsu|Sip-usur und für sein Reden?) -dabab|pz| pia|usur, (Nabü)-aza-pé-ugur, für den Bedrückten und den Kranken: -mäaku|marsu-usur, (? BEl)-daku-pitin, für den Gerechten®): -Zamma-usur, für die Wahrheit: -kittu|Sum-kittu| ur-kittu-usur, überhaupt für alles, was göttlichen Schutz nóthig hat: -gabbu-usur, vgl. noch -ag%|ki/ili| dür|pidam (3)! ribilrihtulris|tarıbi-usur. Jedermann huldigte einem Gott als seinem besonderen Schutzgott; daher die Namen: x-/amaszsillamaszasu, Lamazzi-x. Gott bewahrt, erhält unversehrt): -£åsir, -iksur, -liksur, -kusuranni, -kusursu, -dür-kusur, -musallim, Bel-musallim-aplisu, -uSallim, -Iusallim, -Sallim, -Sa| ullimannı, -Sallimsunu, -Sallim-ahe aplu, -ahé|ummu-Sullim, -zör-uSallim, Ultu-pani-Bel-In-Sılum, -Sulum-Sukun, Sa-Nabü-ia/im «wer dem Nebo gehört ist wohlbehalten», Sa/im-påliksu «wohlbehalten ist sein Verehrer;» versorgt: Ilu- ukallannı®), -killanni; vgl. auch Mma-gati-x-sakin. Gott schont, errettet 7): -é/z-, -irat, -éir-àAé| aplé|napsáti, -etiranni, Dél-éfiru-X, -Sum-etir, -ina-eX-étir, Tàb-etór-A&ur; -gàmil, -gàmelat, Iemil-, -gimilanni, Sa-Nabü-gamil; -muiézib-, -ué- sib, -Sözib, -Sàlezibanni, Suzibanni-IStar, Szzibiu-Bel, Bel-musezib-ahi, Palhu-usezib, erlöst: Nabü- pasir, Itti-BEl-pasär, Sin-pidima, Sama$-tabba-pidi (ab.); (Nabü)-Aalga-utirri («Nebo hat das Ver- derben zurückgehalten»). Gott verleiht Festigkeit, Kraft, Muth: -zukin-, / Mukinat-, -ukin, Mupahhir-, -upahhir, -mu- taggin, -utaggin, -mulakkil, Sin-nasi, -dür-ukin, Bit-ukin-, -mukinia, -muktn-nisé|palé|palia, ASur- etil-ilàni-zeinni, -mutakkil-ahi. Daher sind Namen häufig, welche eine Bitte um Festigkeit, Kraft und Muth enthalten: -/ikin, -lukin, Sumu-lébur, -bel-kina-taggin, -iSdi| iSdia-kin, -tuggin, mát- tagqin, -Sum-taggin, -ah-tugna, -kissu-suzsiz, ISi-Bel, -ris-isi, -kinanni, -taqqinanni, -takkilanni. Gott ist Gegenstand der Erfurcht: 2;/77-Addu, Sin-pila/h (ab.)°), der Verehrung, des Gehorsams: Dugul-IStar, -dugul, Ludhul-, Sin-Zudful, (Pan)-x-lfümur |fàmur|adaggal, [tti-x-limur, Ina-muhln- I) Vgl. K 143, 23: (zu) násir napisti-ia musabsu ziri-ia. 2) KING, Magic 22, 60: [475]sa isara Sukun ina SXipdia. ı Sam 2,9: «Die Füsse seiner Frommen behütet er», Ps 37,23: «Von Jahwe aus werden eines Mannes Schritte gefestigt, vgl. Ps 66,9. Prv 3, 26. 3) KING, Magic 9, 13: Suskin kittu ina piia «mache Wahrheit in meinem Mund wohnen!» IV R r7 rev. 35: mass pi-ia Sutêÿira «segne meine Reinhaltung des Mundes!» Ps 141,3: «Setze meinem Mund eine Wache, Jahwe, bewahre die Thüre meiner Lippen!». vgl. Ps 34, i4. 39, 2. Mt 12, 36. 4) Ps 31,24: «Die Treuen behütet Jahwe». Ps 145,20: «Jahwe behütet alle, die ihn lieben». 5) Vgl. he. *1vabw»a, phó. pbwb»S, 6) Ps 55,23: «wirf deine Bürde auf Jahwe, er wird dich versorgen» (7>2>2*). 7) Diese Verba beziehen sich wahrscheinlich direkt auf die Geburt, vgl. NÖLDEKE, EB, Names 59, RANKE p. 21. Die imperativischen Namen wie -etiranni, -gimilanni, -pituammi, -Süzibanni verdanken ihren Ursprung der Angst der Mutter während der Geburtswehen. Ebenso verstindlich als ein Angstruf des Vaters ist der in seiner Art einzige Name Nabü-zrmu-Sullim «N., erhalte die Mutter unversehrt!», welcher ein schönes Zeugnis von der Werthschätzung der Frau bei den Babyloniern ablegt (vgl. Ummi-sam$i «die Mutter ist meine Sonne») — Vgl. he. DbEbN, NAME, pa. bN*u5, phön. b»axbm etc. ; 8) Prv 3,7: «Fürchte Jahwe!» Vgl. Salim-pålihsu «wohlbehalten ist wer ihn (den Gott) fürchtet» mit Ps 112. 147, 11. Sir 10,23. Sämtliche mit gpalåhu zusammengesetzte Namen sind altbabylonisch. «Die Furcht vor den Göttern spielt in den Namen keine grosse Rolle» (RANKE, p. 22). No. 2. f XLII Knut Tallqvist. Bel-anur, Nabü-ina-Esaggillina-kari-timur, Páni-Mütsu, Atamar-annüsu|Sin ), Aszamar-Addu, Lultammar?)-, der Anbetung: -zsa// -usippi, (Ana-)Sin-iselli, Sep] Manzas]Sepit-x-asbat®), vgl. Tab-rigimatu|sule|utl-x, zuversichtlicher Hoffnung); Aza-Bêl-zpaqu, Taklak| Atkal-ana-x, Ana- (-muhhi)-x-takläk, Ana-Sin-Emid, Ana-Bél-éres, (Ana-)x-uznäia?), vielleicht gehört hierher auch Itti-z-india 9). I) Vgl. KING, Magic and Sorcery 2, 36: pånika atamar lüsira anäku «dir war ich ergeben (voran geht #4/4ka), möge ich gedeihen». Besser aber vielleicht zu erklären «ich habe Sin d. i. die Thaten Sins geschaut», vgl. Ps 46, 9. 2) Vgl. die häufige Phrase der Hymnen Zuiszammar ilülka ludlula dalilika «ich will verehren deine Gottheit, ge- horsam dir dienen». 3) Vgl. Ps 99, 5. 132,7. 4) Vgl. nsn, Sn. Mi 7,7: «Ich will ausspähen nach Jahwe, will harren auf Gott, der mein Heil! Mein Gott wird mich hören!» IV R 17,1920 a: «die Bewohner der Gesamtheit des Landes 740% wpaggäka harren auf dich (Sama) gar sehr». 5) Vgl. K 2962, 51 (IV R 29 nr. 1): «die Menschheit — die Gotteswesen etc, soviele ihrer sind — ana kåsama uznäsina blaså) «auf dich (Marduk) steht ihr Sinn gerichtet». 6) Vgl. he. "i"rüntbw. I. Personennamen. * Aó-di-ia id (cfr. he., pa. 7235) Nd 828, « IUOS sons a. A-ta- -ri-du Dr 337, 1. as A-ri-is-Su Dr 474, 15. 3. alé WNabü-ri ..... Cb 351, 14. A-bi-a-bu, ""'* Abi-a-bi («Grossvater»), s. "Naóa- belsunu 14. 1. as Å-ti-ka-am Art (CIS II 66). Abi-ia-&is?-ri Dr 180, 32. A-bi-ul-i-di, AD-NU-ZU («der Vater ist unbe- kannt») Cr 190, 2. (329,10. 340,7) Dr 379, 5. S. Ahusunu 11, 12, Alu-lümur 1, "Bel- | erbå 14, -ittannu 26, -upahhir 2, Erba 2, Gimil-" Nergal v, Iddin-aplu 31, Kal-ba-a 2, Låbåsi 37, 45, "JMarduk-ah-ibui 1, -ri- manni 4, Müranı 13, 34, Musalfim-" Mar- duk 13, "Nabü-Sum-ibni 2, -Sum-lisir 1, -usursu, Rimüt 51, Sápib-sir 16, Sum- iddin 39, Zirütu 8. I. as Mar-duk Nd 1054, s. 2. as Sin-àk-iddin DrBa 23, 9. Ab-kal-lumila, """NUN.ME (oder Apgallu, «Machthaber») Nk 135, 50. Nd (632, 5). S. Ardia, Bånia, lddin-aku. I. als "Bel?-Sum-iskun Nk 32, a. 2. a. @nölgslaku, s. Musesib-"Bel, #Nabiñ-ban- alu, -ibni. Abu biti (mit Determ. ^"*) Cr (111, 17. 161, 55). S. Balåtu 34, Da-si-ia 10, Ba-zu-zu 13, #Bêl-ahè-iddin 2, -àsia Y, -eres 11, -2ddin 153a, -ıgisa 18, 19, "Bé/t-qa isat 1, "Bel- uballit 15, 59, 96, Jtti-" Marduk-balätu 15a, Kabti-Màni-" Marduk 2, Kidin-"Marduk 12, Kina-aplu 3, / Kupputtum 1, Marduka 13, Mitrånu 13, 22, "Nabü-ahé-iddin 9, 10, No. 2. | Abu-na-dibdi-ib (cfr. he. -bél-Xumáti Y, -iqisa 4, -kasir 7, -kin-aplu 3a, 42, -kin-zir 26, -kisir 3, -nadin-alu 9, -Sapik-zir 3, -Sum-ukin 43, Naid-"Bel s, Nidinti 47, Rimüt-"Bel 50, Sılim-"Bel 6, Sad'inu 4 Säkin-Sum 4, I Samas-etir 15, Séllibi 15, /Sinbana 4, Sullumu 14, Sum- ukin 21, Ugupu 25. Abu-i-tam te-mes («der Vater hat ihn erhórt»), s. "/ Samas-aft-iddin. Abu-lu-mur (vgl. Abu-la-mur K 241, X 5, «den Vater will ich sehen»), ^"^ sipirri Cb 344, 2. | aW) 1. as Îli-ia-ha-ta-a-nu? Nk 266, 3, 6, 7. Abu-nu-üár ri («der Vater ist Licht», vgl. he. 1328), s. Ap-pa-nu, Tug-nu-es-Su. A-da-da,. A-a-da-da, s. "Nabu-da-la-. Toda AMA. oe Nk 227, zs. A-da-la-a, s. " Ea-tilóa du. Ad-di-ia (vgl. [Ad]-da-ia K 323, 17 (JADD 68) und Addu; BE IX), s. ?Apil-Addu-natanu, 4d-di-ia. Ad-du (als Probename K 241, XI 38), ^v? asarıd Sarri Nd 782, 5. 7 Addu?-abu-bullfit, s. Ardi-"Marduk, Has-di-ia 22, "Sasas-igita 6. 7 4ddu?-ahé-Dil-lhit | TIN 1. als Dannea a. Nür-"Sin NAM 11, ss. 2. a. Nür-"!Sin, s. lJddin-"Nabü. 7 Addu*-ahé-iddin 1. al$ Kin-zir a. Egibi Nd 755, iz. a. Egibi Dr P (117, 36), s. Aemaüt-* Del. 3. a. Nür-"Sin, s. Jddinunu. 2 Addu?-afé-Xullim (beachte Nd 573, 2: SES-Sullim), s. Arrabi 7 Addu- 5 Knut Tallqvist. Addu-ah-iddin, """ purkullu Nk 430, 5. 1. als Marduk-kal?-lu? DrBa 19, 1. 2. a|$ Rimüt Dr 325, 4. 2Addu?-aplu( TUR. US)-iddin I. al$ Tabnea a. ^"? $ang? "Addu Nk 26, 13. 7 Addu?-ba-ri, s. "Addu-sir-ibni. 7 Addu?-bel-si-hi-ti? Cr 135, 1. 7 Agddu?-eres (KANKAM|PIN-es), s. Kalba-a 19. 1. as ENabt-àl-iddin Nd 1001, 7. #Addu?-gab-ri, S. Ardi-"Samas. 2 Addu?-ia-a- (?) Cr 360, 27. i Addu?-i6-ni KAK, s. " Bél-iddin 10, "Nergal-etir, Römüt-"Bel + s. 1. als ZAddu-killanni Nd 354, «s. als "Nabh-sör-USir a. Ii-bullutu Nk 283, ss. 3. al$ YZa-ri-qu-str-ibni a. ""Sangi "Za-ri-qu Ng 2, se. 7 Addu?-id-ri- Dr 532, 3. il Addu?-im-me-e, s. 2 Ea-sir-iqisa 1. il Addu?-kil-la-an-ni, s. "Addu-ibni. # Addu?-kin-zir t. a|$ " Addu-násir a. "2 angá "Addu EN 23, 24. il Addu?-la-bak?, s. "Addu-zir-ibni. #Addu°-li Dr (39, 9). 7 Agde ?-[i- bin fein um as Sa-bu-ü-a Nd 881,2. 892, 1, 10. il Ad-du-lu-ü-sa-lim, ?"* qallu Nd 892, s. Addu?-na-sir| PAP Nd 264, s. S. / Esaggil-nuam- rat, Igisa-aplu 15. 1. als Apla-a a. ""? angi "Addu Ev 23, 7,9,13,28. 2. a. ""? angl #Addu, s. "Addu-kin-zir. #2 AqquV?-na-tan|ta-nu (ar.) Nd 201, 9. Visti lec cine -zddin Dr 375, 4, 7. 2. als ?Marduk-usursu Dr 336, i. 9i! Addura-ha-mu (vel. Addu’-ra-hi-mu Rm 193 (JADD 268) Nk (118, 9). 2 Ad-du-ra-hi-i, s. "Sin-abu-usur. = Ad-du-ra-pa- (cfr. he. 5NES, INDY (Nd 935, 3. 7 Addu2-sa-ra-ah (cf. sab. MSN, INT") 1. al$ Marduk-Sim-usur CrL 16, io. il Addu2-Sa-lam-mu Dr 370, 10b. 2 Addu?-Sa-al-tum (cfr. he. SNSTÈNÉ — Sal-ti-ilu) amel gallu Cr 99, s. 7 Addu?-$am-me-e, -Sa-me-e (Cr 114, 9) Nd: 743, 18. Cr 184, 17. 255,4. S. Ardi-*B4/ 11, Ardı- Gula, " Bel-etir-napsati 2, -iddin 11, 195, -usallim 26, 27, " Gula-ztr-ibni 2, Has-da-a 13, Jddin-"Naóu 99, Kidinnu 4, Kidin- X! Marduk 7, "Marduk-nasir 8, -Sum-usur 41, 2 Nabü-ban-ahu 14, -etil-ilåni 6, -iddin 13, -Sum-iddin YO, -Sum-usur 31, -uballıt 2, -usursu 31, Romut 23, "Samas-nadin-Sum 1, 27, "ZA. MAL. MAL-ıdam 2. #Addu?-Sàar-iddin, s. Da-su-id. 7 Addu?-Sar-usur (PAP) Cr 328,24 Dr 291, 7 S. " Bél-uballit 7, " Ninib-ah-iddin. 1. als #Nabi-usezib Cr 328,9. 329, 18. 2. als "Samas-il-a-a-bi? Dr CIS II 68. il Addu?-$e-e-a, s. I Nabta-belsunu 11. X Addu?-Se-zib (vel. auch ”Ra-am-ma-ni-Se-zib). 1. als Ri-ma-a-tt Dr ZA III 224, zr. DENE Dr 180, 31. 7 Addu-Sum-eres (DA2-MU-KAN PIN-es KAM), s. Ardi-" Nergal 2, "Bel-aplu-iddin 14, 29 Belsunu 15, Etillu 2, Igisa-"Marduk 9, Itti-" Bél-lisésir 1, Kurbanni-" Marduk 5, Labasi 29, Marduka 14, 17, "Marduk- aplu-usur 2, Musesib-" Bel 27, 34, "Nabü- balätsu-igbi 51, -bel-ziri Y, -kin-aplu 18, -Sum-lisir 11, 23, Nidintum-"Bel 36, /Nu- ub-ta-a 8, Såkin-duppi (2) 3, Sum-ukin 16, Susranni- Marduk 1. I. als Nürea a. Mukallim Nd 801, 23. SA-la-a 2. als Sarru-ru-su-d-a NE 242, 2. 2 Addu?-Sum-ioni, "mar Sipri Nd 54, 9. 1. al Kudurru a. ""? $angá "Addu Nbp (ZA IV) 19, 37. il Addu?-$um-iddin Cb 84,23. ^" mandidi Nk 16, ». Nd 81,3. S. Bél-aplu-iddin 26, *Marduk- aplu-iddin 4. I. a. "nel qllakı, s. il Samas-Sum-lisir. 2. a. "Sin-Xadt?, s. Iddin-" Nabi. il Adgu2-5um-sam-ie-e(2), s. "Bel-kısır 6. il Adau?-Xuai-usur.PAP, s. fAmtia 3, ZAmti- De- lit 5, " DéLetir 45, fQudåsu 5, Tagis. #Addu?-ta-qu-um-mu, s. "Sur-na-ta-nu. ? Addu2-tug-gin Cb 130, 19. #Addu\?-uballit ( TIN-it) Ev 23, 2. S. Ba-ni-ia. Nd 821, e. 1. als Da-di-ia Cr 96, a. als "Nabü-sum-iddin Nd 616, 3. s. 813,8. Neubabylonisches Namenbuch. 3 3. a. [Ë-#Marduk, s. Ba-ni-ia. 2 Addu>-unammir (LA) I. aj Sis-si-ru Nd 564, s, 13. 2 Addu?-usabsi 1. a. Täabu-" Marduk, s. "Nabt-uballit. 2 Addu?-usallim, s. " Bél-abé-usur. dAddu?-ü-Se-zib, s. Bu-ra-Su. 7 Addu>-zir-ibni, s. Ahusunu, "Bel-uballit, /Zu- nn-na-a. 1. af " Addu-ba-ri Nd 992, re. als Addu-la-bak? Nd M II, 60, ss. als Kiribtu a. Mukallim Nd 122, 2. 4. a. "Sin-tab-ni, s. Uballitsu-"! Marduk. U Addu?-z£r-iddin Cb 27,5. S. A-hu-nu, Ap-la-a. I. als Itti" Samas-balätu Cb 110, »6. A-di--ilu, Ja-di--Zlu (cfr. he. 58179), s. Kön-sir. SA-di-na- (cfr. he. n. pr. m. 89779) Dr 75, Ad-ma- I. a. "Nabi-i-da-nu Cr 360, 26. F Ad ?-ni-ip-te-e? 1. als A-mu-nu-ta-bu-na-ah-ti Dr 301, 18. Ad-ri-nu, s. Sa-mi-i. A-du ....? Nk 24,2. #A-è-eres, s. Sullumu. ? A-e-iddin Nd 991, 10, 13. S. "I Vaóü-nástr. 1. als “Nergal-iddin a. Ardi-" Ea Ng 58,2. npe Mn erba, s. I Nabn-sum-is£un. 813, 6. 3. a. X" Ea-il'tta-bni, s. "Marduk-Sum-ibni. ? 4-6-na' id 1. a. Bel-ia-u, s. "Marduk-näsir. ? J-e-ré u-i-a Nd 930, 3. 2 4-e(var.?)-uballit ( TIN-ıt\, s. * ASur-idan. 2 4-e-usabsi I. a. 6/75 sist, s. !Nabü-sadünu. A-ei-ri, 6 KU. MAL («Miethsklave») Nk 443, 9. Ng 46, s. Nd 525, 22,2. S. Ap-Ja-a 14, Belsunu 11, /na-eït-etir 4. 1. als Jddin-" Nab Nd 638, s. Ah-abi-ia («mein Onkel», vgl. bi. A878), s Iqupu. A-ha-nu (Nd 457, 7), vide A-hu-nu. / A-hat-abi-Xu («Schwester seines Vaters»), vgl. talm. mans etc. CIS II p. 124), gallatu Nk 408, 6, 1. Nd 102, s. * An-at-bu-t (ar. ann CIS II 122). I. as Kal-ba-a Dr 576, 2. JA-hat-su-nu («ihre Schwester») Dr 429, 3. No. 2. | /A-hat-ummi-Su («Schwester seiner Mutter», vgl. ph. mans, sy. ai) Dr 379, 42 Ahta, Ahza («o Bruder!» SZS-e-q, SESP-a-a Nk 50, 4. Cr 46, s. 161, 51 (Ahé-sa-a?) Ah- ki-e-a Nk 64,15, SES-ki-ü(-a) DAS cxt SES--4-a Ant ZA III) NbpM II 15, . Nk 64, 13. Cr 46, s. 161, 51. S. "Bel-Eusgursu 1, ! Nabn-ah-iddin, “Nergal-ak-iddi. 1. als Igisa-aplu a. Ir-a-ni Nd 681, 13. als Marduka Nk 50, 4. 52, zs. als Na:-da-na-lani Dr 75, », 1. 4. a. Ardi-" Nergal, s. Défsunu. Ahe-(-a)-u, s. Balätu 51, 62, Pir 4, Rzmüt-" Del 20, Ziria 12. AÄh-e-du-sü-kun («schaffe einen einzigen Bru- der!») It QN Nd 1114, 3. Ahé-iddin|, («er hat Brüder gegeben») Nd 229, 2. Cb:57, 22. Dr (459, 1): 480, 5. S. /Efirtum, Jddin-! Nabt, " Nabx-ah-ittannu, /Quana- tum 1, ?Samas-näsir. 1. als * Del-ahe-erba Nd 526, iz. als Belsunu a. Egibi DrP 73, 27. als Nad?-na-« a. Sigha Nk 73, 8 als "Nergal-nasir Nd 342, s. 5. als Zul? St)-la-a a. Nür-" Marduk DrPa 12,5. [5 ceto rale HERE a. m yar Sipri, s. "Nabu-bulhitsu. a. e" yisir-a-a Nk 274, 3. a. Mukallim, s. "Bel-ittannu. IO. a. *"? sang? " Addu, s. "Nabn-usursu. a. ^"? kane? I Nergal, s. "Bel-iddin. 12. a. ^"? angi? Ninib?,s. Ardta," Nabu-balatsu- iqbi. Ahe-iddin-" Bel', s. "Bel-aplu-iddin. Ahe-iddin\.-"Marduk\;?, abgekürzt: Ahe-iddinia Nd 156,4. Cb 79, 26. 158, 4. 274, 28. 277, 4. 281,13. 440,2 S. "BéL-aplu-iddin 5. $ Apla-a a. * Ea?-épis-ilàni Dr 486, r. 4 *BéL-ahé-erbà a. Kalbi-".Sin? Cb 208, 15. als Bu-ü-su Nk 5,4. & Erbå- Marduk (a. ^"? angi "Istar Bå- bili) Nd 558,5. [635, 5). 907,16. 932, 5. 999, (1113, 5) NdPirr,# Cr 170, s. I7 2, NC ror. IC CIC 240, 18. 5. als Ginil-{Marduk Cb 35, 3. I* 4 Knut Tallqvist. als Itti-"Marduk-balåtu a. Sirha Nd 323, ». als "Maduk-nàsir a. Bu-ü-su Nd. 1110, sr. as (Marduk-)fàkin-Sum a. Etiru Cb 73, s. 153, 2. as "Nabü-musetig-urri à. 605, 13. Arrabtum Nd 10. a Såkin-Sum a. Etiru vide no. 8. a. Ardi-"Ea, s. "Beliddin. a. Erba-" Marduk Nd 799, e. a. ""? $angi "Istar Babili Cr 26,25. S. Übal- litsu-* Gula. | I4. a. Sigha DrPa (21, 19). Ahe-iddin-" TA. HAR-RI Cr 173, 7. Ahé-igisa («er i. e. Gott hat Brüder geschenkt») 7 Nabü-usallim a. Mudammig-" Addu Dr 300, »6. Vgl. ?Bekigesa 16. Ahe-Sa-a (NdPa 2,41. Cr 238, 6) 5. Bel-gör 1. Ahésu («seine Brüder», SES?(-e)-$u, A-hu-e-Su I. als Nd 152,10, zu diesem Kurznamen vel. Ardi-ahesu, Bel-ahesu, * AYur-ahésu-eres, X Nabü-ban-ahesu, "Nabrt-bel-ahesu, -erba- 2 Addu-, "'Nabü-, "Ninib-kabti- ahesu, * Bél-, * Nabü-, "Sin-Sar-ahesu u.ä.) Nd 865, 10. 1050, 4. Cb (19,4). S. Balåtsu, Ja-Yü-um-mia Y, Kzn-sér. ahesu, 1. als "Belit?-um-ma-nu Nk 66, s. Ahta-likin («meinen Bruder möge er bestellen!» SES-ialid-li- DU bin) Nd 693, 1. S. Sa-pé- kalbi. 1. als ZNaba-a-a-lu Nd 693, 1, 6, 14. Ali-ia-nu-ru («mein Bruder ist Licht») Cr 360, 27. Ah-iddin (seinen Bruder hat er gegeben»), s. Palatu. I. als Ap-la-a Cb 322, 1. als Ardia Ng 8,1. 32,4,1. Nd 107,2. Vel. X Nergal-ah-iddin 2. als Ardi-"Nabü Nd 627, 10. 4. al$ Sam-iddin Dr 389, 1. 390, 12. Ah-iddin-"Marduk! I. a. # Nabü-zir- ..... Nk 125, o. Äh-im-me-e) 1. als Gi-gi-ia Nd 7, s. 2. als 2Nabt-er-ba Nd 553, 3. An-ittabsi (SES(-iti)-tab-Si, als Probename PAP- it-tab-ài K 241, XI I «ein Bruder ist ins Dasein gebracht») NETS DIES bullitsu a. Ki-sir Dr 100, 7. als La-ki-pi Nd 122, r4. 253, 3, 11. as X" Nabü-ma-lik Ng 66, 3, 11 68,9. 69, 2. Ne VR 67 4,4 Nd 5, 5. Ak-li-ia, SES-N-ia Cr68,12. 93,6. 180,21. 360, 36. Cb 239,7 Dr 8,5. 54,11. Te Se: zddina Cb 368, o. DE OS Del Cb 19, 4. * Jh-Si-ia-ar-3 su, Ah-Si-i-mar-su («Xerxes»), Jarru Xr 3,2. 5, 20. CT IV 34. Ahu-bani (A-hu SES(-4)-KAX(-i)|ba-ni(-i| B A-i (Nd 336), auch mit Determ. ^"^), S. Ap-la-a 17, Ardia 2, "Bél-asaridu 1, -iddin 74, 138, 184, 196, «annu 34, Pelsunu 41, Dibbanu, lddin-*Nabi 39, Ina-est-etir 1,6, I[tti-! Marduk-balatu 16, * Marduk-usallim 4, AMusalfim-" Marduk 10, "Nabü-ahe- Öullit 41, -bullitsu 15, -eres 2, 17, -kin- aplu 4, 20, -nadin-Sum6, -Sum-iSkun 8, 33, Na-din 30, Römiüt-belilani. A-hu--ia a. Egibi, s. Igesa-aplu. Ålm-ili-ia («ein Bruder ist mein Gott»), s. 7Sa- mas-iddin. Ahu-likin (SES-U-DU, vel. Akéa-likin), s. Iddi- nunu. Ahu-lir (GIS|SI. DI) («der Bruder möge ge- deihen») Nbp (ZA IV) 20, ı. Cb 261,8. S. J/gisa-aplu. I. al$ Remüt Dr 363, zs? Ahu-lu-mur («den Bruder will ich sehen», vgl. PAP-la-mur K 324, 35 — JADD 470 u. 6.). NpdM II, 7,5. Nd 374, 1s. 828,10. 865, v. Cb 87, 25. 159, ». Dr 370, 21. lin Nk 452,3s. S. Pa-si-id. i. als "LUM. LUM-ahe-iddin Dr 296, 21. als "Nabü-tabmi-usur Dr 431, 2. 3. a. Belsunu Nk 458, a. A-hu-ma-a (cfr. he. Yan), s. Azmuüt. A-hu-nu, A-ha-nu (als Probename A-hu-ni R 241, X 33; «unser Bruder») Nk 459,7. Nd 124,3. 450, 6. 457, v. *"" nu-Xa-Eil alpe Nbp (ZA IV) 17,11 S. 2Nabdü-etir, Ni-qu-du 25, ANaréa, Rémdat, X Samas-ipus. 1. as "Addu-zir-iddin Nk 193, 7. Ahu-nu-t-ruri («der Bruder ist Licht», v Ahta-nuru), s. SQudasu. 1. as "Nabü-na-din-ahne Nd 1113, s. T. XXNIL ol. o Neubabylonisches Namenbuch. A-hu-su-nu, SES-Su-nu (sihr Bruder») Nd 449, s. 734, 3. 1096, 2. 1108, 5. Cr 244, 7. Cb 64, 10. IDEE Oo re rZ bzo JEDE, 10. Art. CIS II 66. erélgallu Nk 448,2. ‘ré Nbp (ZA IV) 19, s. "el sabu NE 340, 1. S. Bel erba, * Nabt-ah-iddin, Nidintun. 1. as " Addu-zir-ibui Dr 346, ni. als Ardı-..... Dore as "Bel-abu-usur Dr 235, 16. as X Bel-etir Dr 502. 5. als "Bel-massarati a Amél-bilti? Dr CIS1165. als Belsunu DrBa 17, 17. als "Bel-uballit Dr 122, 14. als Er-ba DrCT IV 44, c. als Gimillu Nk 400, rr. 10. als Hu-um-ma-nu Dr 75, 5. als Jddin-" Nabu a. Abi-ul-ıdi DrP 74, ». as Lisiru a. Abi-ul-idi Dr 409, 22. as *Naóü-uballit a. Da-si-ia Dr 501, u. as Na-din Dr 414, s. 15. a$ Nérgal-ibni a. Ib-na-a-a Cb 317, 4. Dr I75, 4. as ? Ninib-àh-éres Nd 151, 10. 152, 3. as ?"Samas-..... Cb 426, 4. als ?" Samai-ah-iddin Nd 987, 7. als ?" Samsa-a-a Dr 552, 3. 20. als Sellibi a...... Dr P 60, 23 a. Ardi-" Papsukal, s. * Dél-iddin. a. Arrabtum, s. "Nabu-Etir-napsati. a. Etiru, s. Mukkea. 24. a. Na-din Nk 458, u. Akütu (SES(-)-4-tu, SES-ia-u-tu (Cr 114,1. 141,11), «Bruderschaft», vgl. /#4-“Addu-ahütu) Nd 551,2. S. Kabtia 3, Kärea 1, Musezib- Marduk 26, ! Nabü-balätsu-igbi 26, -Sum- iddin 28, -Sum-usur 16, -uballit 8,18, Na- din 39. Se a. €" 22 sist Nd 959, s. 2. als Ra-mu-an-ni NdL 44, 3. Ahu--& Nk 132, 2. 176,2. S. " Bél-zir-ióni. A-a-ah-ha- 1. al$ Sa-ni-ia-a-ma Nk 361, s. 4 1! A-a-a-gar-rat Dr 43, 5. SA-a-ar-tum (vel. SA-a-as-tum) Cr 332, 3, 15 etc. / A-a-a$-tum Dr 43, a. A-a-bi («Feind»), s. ^Sur-af-iddin. A-a-bu-i SmkM II 3, s. No. 2. Un A-a-i-da- Dr 366, s, 9. A-id-a >) Nbp M II 9, u. Ak-du-lu-mur Nd Pi 15, 2. A-ki-la-a L as La-an-ni-an:-ni-" Marduk a. """$angi Gula Nd 697, s. JA-kil-tum Cr 135, 10. Ak-ka- (= akk&i «wie»(D, s. Darikta. Ak-ka-da-a-a («aus Akkad gebürtig») Dr 253,13. Ak-ka-du Nk 70, 7. = J£-Ra-3r-ar-3i («Xerxes»), arru 4, 20; vgl. Åh- Si-ta-ar-Su. Ak-ki-ia (vgl. DAHW p. 52b und @ bit ”Ak-ki-e BE IX), s. /ddin-"Marduk, Sum-ukin. 1. als St-ma-a Nk 83. * Ak-Si-ak-ar-Su («Xerxes», vgl. Ak-ka-$i-ar-$i), Sarru Xr 2, 12. /A-lak-Su-lu-mur (sihren Lebenswandel will ich schauen»)oder A/ak$u-lükin(ihren Lebens- wandel möge er (i. e. der Gott) fest- stellen») Nd 39, 3. 40, 3. 42, 2. * 4-Nik-sa-an-dar («Alexander»), farru Al (ZA ICO) AC 9772 Selle El VE>2g: Al-la-a («wehe»), s. Ardia 32. Allaku (IR «Bote») Cb 87, 29. .5. Amt" Belt 4, Ardi-"Nabü 4, Balätu 65, " Dél-etir 31, / [na- Esaggl-bélit 3, Kidinnu 6, Musezib- X Marduk 29, " Naón-bàn-ahu 7, -ittannu 34, -napistim-usur. 5, -ztr-igtsa 6, ? Samas- Sum-lisir Y, Sum-usur 7. Al-la-nu (cfr. he. 35N «Eiche», vgl. MSAW p. 8), s. #Bel-usallim 24, "Nabü-sum-usur 3. FAl-tak-Sat-su Art EIS II 66. (cArtaxerxes»), Sarru | Al-ta-ma, Il-ta-a-ma, s. Ba-su-ru. Alu-Iu-mur («die Stadt will ich sehen»), s. il Bel- uballit 99. 1. als 2 Nabü-Sum-iddin a. Abi-ul-1di Nd 727,10. A-mat-"Bel'-at-kal, abgekürzt aus Ana-amat- 2 Bel-atkal q. v. YA-mat-su-dum-ga (sein i. e. des Gottes Befehl ist Gnade»), gallatu Nd 248. A-mat-su-ul-tam(? lah?)-hu, s. " Nabu-taónu-usur. Am-ba-a 1. as Kina-aplu Dr 466, is. Am-bu-ru (= Abburu, cf. he. MAN), pu-sa-a Nd. 237,15; vgl. BE IX. 6 Knut Tallqvist. Amel-! Asur!, s. Labası-" Marduk 8. Amel! Bél*, s. "Nabu-Sum-iskun 25. Amel-bilti(2), s. Ahusunu 5. Amét-! Ea*?, s. Ap-la-a $2, Ardi-" bel 27, " Bel- -aplu-iddin 12, -Miannu 24, -kåsir 48, -uballit 2, 100, -usallim 40, Bullutu 3, J Etllitum 1, Jóka 1, Labañ 13, "Marduk-bel-zir 1, -kin-aplu YO, Musezib-"Marduk 43, 48, ? Nabü-etir-napsati 28, -ittannu 50, -kasir 25, -nadin-ahn 13, -Sum-lisir 16, Nergal- iddin 14, Nidintum 57, Nidintum-" Bel 25, Taddannu 14, Zu-um-ba-a 5. Amél- Marduk (777 SN), Sarru Ev 1, o u. ö. Amel" Nabn I. als Sä-la-a Nk 94, 8. 2. af Talimu Dr 288, i7. Amel-"Na-na-a Nd 19, 16. Cr 173, 18. nu 24. Amel-"!Sin®-Sadu-u(), s. 7Samas-kin-aplu. Amel-sist (? «Pferdemann»), s. Süsubu 1. AméL Sagas Nk 452, 2. S. Ugupu. 1. a. "Nergal-ah-iddin Cr 117, 6. Amelu-u, Amèlu--4 (mit oder ohne dem Per- sonendetermit.), s. Ardi-" Marduk 15, Ardi- “Nergal 4, 15, " Bél-uballit 75, Iddin-* bel 31, /ddin-" Marduk 21, Kidinnu-" Marduk 10, Låbåsi 18, "Marduk-sum-usur 25, X Nabü-balätsu-igbi 87, -napistim-usur 7, Nadin 47, Sil-la-a 9, Sum-iddin 2, 32, Tukultu-" Marduk 2. Amêl Ua? Dr Pa (21, 2). Amel-urgi (NV. GIS. SAR, «Gärtner»), s. Ba- latu 35, Musezib-"Bel 81. Am-ma-, s. Rimüt 67. ahe-iddin 19, -ahe-igesa 12, -efir 13, S. Gu-sa- = Jni-ina-da-a-t& (pe. vel. Ummadatu), ""* daianu Dr 435, 15. An-ma-nu, s. Sar-ukin. Am-me-ni («warum?», vel. Am-me-nm-iu), s. * Pu- nene-ibni 11, "Samas-balätsu-igbi. Aye-me-ni-tlu (als Probename 81-1-18,605, III 10, «warum, o Gott») 1. a. * Nabü-litsu, s. " Nabü-ahé-hullit. Am-nu-zu, 5. Ume-ilu. Am-ri-im-me, s. " Bunene-atu-usur. fAmtia (AMA T-ia, «meine liebe Magdh, Kose- name, no. 3 abgekürzt aus /Amt-" Belt 5), altı Ap-la-a Cr 287, 4 gallatu Nd 665, s. 668, 10. 679. 682. 760, 10. 1125, s. re Tree Sel ZA II. ms Ib-na-a a. Da-bi-bi Cb 165, 7. ms * Nabi-erbå a." Addu-$um-usgur Cb 55, 2 —SAmti-"Beht 5. ms 2 Samas-pir-usur a. Epes-ilu, assat X Nabü-Sum-usur Cr 154, 2. /Amti" Bau (AMAT = An-di DrPa 13, 10=15 -2B42), alti ? Marduk-nasir-aplu Dr 26,6. 273,3. 379, 56. alt Sirgi Dr 470, 6. 1. m/s [tti-! Marduk-balatu a. Egibi Dr m|* Kalba-a a. Na-ba-a-a Dr 119,2. 429, 5. 457. 3. m|s "Samas-iddin).„ Dr Pa 13, 10.15. 14, 7. 16,3. T7 EET 6 LOG: /Amti-" Belit! (abgekürzt als Kosename: /Ayti-1a, s. no. 5) Nk 161,2. 377,18 Nd 314,6. Dr 496, 4. alti Labaÿi Cr Pa 3, 27. Dr P 117,9. zonmu $a? Nabn-balatsu-igbi Nd KP II p. 20. Ev L 10, 2. ms Balätu als Sügaa a. Egibi CrP 24, 6. CHR 2p n 26 dio 277 (55 ms "Bel-usallim a." Bel-aplu-usur, alti La- bası-" Marduk Cr 161, 31. ml Ina-Esaggil-belit m/s "Nabu-kin-aplu a. ame! a]lakı Nd 147, 4. 5. nis "Nabi-erbä a. 304, 23; = Amie 3. ml Sirigtum a. Nür-"Sin Cb 379, 2. 7. ms Zir-Babili a. """hahari Nd NdL 15, 2. 2. 242, 3. 2 36, 2. t3 I. us X Addu-sum-usur Dr 1025, 2. | /Annti-" Na-na-a Dr 568, 11. 1. ms Ith-"Marduk-balätu a. Nür-" Sin 145. 193, >. ms Labasi a. Nubu Cb 306. 3. m/s "Marduk-Xum-usur a. ^"? NT. SUR-gine Nd 597, 3. 845, 2. LAmtu 1. AS "Marduk-Xum-usur NAM 28,2; vgl. /Amti-"Na-na-a 3. = A-mu-nu-ta-pu-na-ah-u (eg. «Amon ist seine Stärke» (?), vel. Zab-na-ah-t Ann. Asrbpl Col. 1 101 und STEINDORFF BzA I pP. 352), s. Ad-ni-ip-te-e. A-mu-se-e (vel. amüsu eine Pflanze und m. pr. A-mu-se K 486) Nd 1,13. S. "Bel-iddin. T. XXXII. Cb in Neubabylonisches Namenbuch. SA-na-ali-su pr. ENabi-ana-alisu K 241, IV 45), gallatu Nd 635, 3. A-na-a-mat-"BDel)-at-kal (abgekürzt: A-mat- " Bell-at-kal Nd 642,3. 647,2. 835,18, MU- UBell-at-kal Nd 109, 8 und 7Aekat-kal Nd 563,3.) Nd 109, s. 173, 13. 208, v. 365,3. (vel. n. m. h 374. 450,2 452,2. 454,3 455,2 457,2. 550,2. 554. 556,2 559,3. 560,2. 571,31. 642, 3. 647,2. 729, 2. 835, 18. 907,3. 909, 2. 910, 6. OII, 1108, 2. A-na-" A$ur!-tåk-lak, s. “Nabi-sagip. Ana-" Bel-eres (A-na-"B!-KANer-es DrP 71, 17; no. 2 abgekürzt: #B6/1-KANle-ri-i3 Dr 69, 13). 1. as Liblutu a. Kalbi-" Sin? Dr 559, IV 40. as "Nabn-aplu-iddin a. Il -" Mardu& Dr 4165 27 DER OO 052 70,17. 77,702 78,3. 96,19. 172/7355 IN) 58 TAT, kürzt: Bel-eres. 3. a. Kalbi-"Sin:, s. * Ea-iddin. A-na-" Bel'-ü-pa-gu'ga(vgl.den Kurznamen * #6/1- t-pa-ga). 2 919, 9. 921, 4. 922, 2. 999, 1. D! 7. 147, ir, abge- Y L as " Bé-Sam-is&un a." $a tabtisu Nk 127,1. als I Bél-zfr-ibni a. ^"? a'iri Dr 407,2 = Dr P 104, 2. als Kudurru a. ..... Cr IO, 15. als "Samai-erbà Dr 502, rz. 5. als “Samaë-erbà a. Mun-na-\öit\-tum Dr 112, 2. a. "VER s. "Nabü-balat-eres. 7. a. ""? ano? "Istar Båbili, Musezib-" Bel. A-na-biti-$u (zur Bildung vel. “Anum-, “Bel. X Nergal-, #Sin-, i Samas-, “Uraÿ-ana- offi) Nd 374, 6. Cr 287, 27. 1. a. "Nabü-ban-ahıt 410, zo. SA-na-biti-su Dr 379, a». A-na-di-ib (vgl. A-na-e-di-ib), s. Ha-na-nu. A-na-e-di-10 1. als Ha-ma-tu- Dr 413, 14. A-na-ma-ka-ni-Su (zur Bildung vel. /Ana-àlifu), märat Sipri sa /Qudásu Cr 177, 1. SA-na-muhln-" Banitumitu(-tak-lak) Dr CT IV, 43, ch Ip A-na-muhhi-"»Bell-a-mur, ve gallu Nk 101, 7. amëly gb ban? Nk 134, 18. SA-na-muhhi-" La-as-täk-lak Dr 379, ss. No: 2. ST | Al-na-muhhmi-" Nabü-tak-lak I. as Ri-ba-a-ta Dr 379, a. / l-na-muhfu-" Na-na-a-tak-lak Dr 379, a». / l-na-muh-fi-3u-tá&-la& («auf ihn i. e. den Gott vertraue ich»), qa//atu Dr 163, s. A-na-" Nabü-sa-la-mu, auch “Nabü-GI-PIN-es, beide abgekürzt aus "Ana-" Nabü-Salamu- | eres. I. als "Nabü-musetig-urri a. " Ea-ilittu-ibni Cb 120, 8. 338, 7. /A-na-nu-ri-Su, gallatu Nk 198, s. SA-na-pi-e-mah-ra-at, gallatu Dr. 379, 50. A-na-"Samas-täk-lak, s. Taddannı. SA-na-" Tas-me-tum-at-kal, abgekürzt: * Tas-me- tum-at-kal, gallatu NÅ 314, 5. 668, 10. Ån-da-gi | r a Kalba-a Smk (ZA IV) 7, zs. | An-da-har (< amtahar, «ich habe (ein Kind) empfangen») Dr (520, ). Dr Pa 15,21 S. Ardia 28, “Pélit-taÿ-lim, Iddin-" Bel 27, Kurbanni-" Marduk 9, Liblut 31, *Nabt- uballit 14, -usursu 26, * Nergal-zir-ibni 5, e 1. als Apla-a a. *"" $a-na-Si-3«. Ev 15, 9. Nidintu 56, Sisubu as Pa-da-a Dr 523, 3. /An-di-" Bau vide SAmti-" Bau. An-dunani KAL)-" Da- ..... 1. af Sa-mi-e-id-ri- Nk 7,2. An-dunani-" Gula (An-KAL-a-m-" Gu-la) 1. a. rl ane? Gula, s. Di-na-a. An-dunani-" La-ma- (Dr 379, a4), s. /ddina-aplu. An-sa-bu (Cr L 17,2?) s. Na-din 6. * An-b--ku-su(«Antiochus»), sarrı AntZAlllı 50. # A-num? LABELS URI S Dr 261, 73. 2 Anum-ah-iddin (A-numnu-um-SES-MU) Nd 348, 13. Cr (349, 4). ss (TESTS! 2. als "Istar-Süm-eres a. Ardi-! Ea Nd 348, 19. X A-mum-ah-u-sur I. as Hi-tu-it-a Cr 239, s. ? J-num-a-na-ófti-3u Cr 349, s. I. al$ Müranu Dr 372, 16. ? A-num-tiddin, s. "Bel-sar-usur. als ?Bel-igbi Nd 74, 3. ? d-num-im-me Nd 958. X A-num-Sär-usur, s. Has-da-a-a. 8 Knut Tallqvist. 7 A-num-Satm-ÜSir 1. aj$ "Mardu£k-nàsir Nk 27 ? A-uum-ubadlit ( TIN-ıt), s. Iddina-" Nabn. X A-num-upahhir (NIGIN-ir) 1. als Labasi Dr 163, ». X A-nu-um-sir-iddin I. als 7 A-nu-m-tum-ibni Cb 268, s. X A-nu-ni-tum-ü-Se-zib Nd 1, 11. il Apil-addu-amara (HA TUR. US-IM ad-du-a- ma-rajri) 1. als " Apil-addu-natanu Nd 356;20,35. | 1104, 2]. ? Apil-addu-natanu (#A| TUR. US-IM ad-du-na- tan|ta-uu, Ap-la-da-na-ta-nu Nd M 18, 5), s. /Nubta. I. als Ad-di-ia|Ni-ik-ba-du- Nd 85, 5, 7 187, 3. 356, 2, 5, 11, 15, 19, 34. Ap-la-a, A-a, TUR-aNd 68,2, TUR.US-a (Kose- name gebildet aus "Adl-aplu-iddin (vgl. “ Nabü-zir-igisa 2 — 4) u. à) Nbp (ZA IV) 17108 Nd 5792/0: 25556. 368,7. 375,08. 453, 2 990,7. 1117,18. Cr 147, 16. 280, 4. Dr 25,15. 218, 10. 532,8 Dr KP II p- 61. ane up ando.) Nk 234,2. S. Ah-iddin, Ardaa, " Bél-ahé-iddin, [ddin-! Marduk, Jddin-! Nabu, Itti-" Nabk-balàtu," Marduk- nasir, * Nabtt-ahé-3ulttm, -ban-ahu, -étir- napsati, -nàsir, -sir-ukin, /Namirtum, Rimüt-" Bel, Sil-la-a, i Samas-iddin, S#- la-a. TER SER ee Dr’389, 4. 415, 24. Qi ede "Marduk a. Su-ha-a-a Dr 316, 8 vgl. no. 24. as " Addu-zir-iddina Dr 379, so. als Ardi-"Bel a. «"?atlabi Ev 22, ss. 50, 21. 830, 16. 5. als Arrabi Dr 300, 22. Balatu Nk 48, c. Balätu a. ^"* Bairi Dr 318, 7. als Ba-ni-ia Dr 390, s. Dr KP II p. 36. Cb 192, 3. als Da-zu-zu a. Dábitu Dr 550, is. 10. als "Bel-ah-iddin a. "^"^ pahari Nk 9t, ». als * Bél-eàmil a. ^"? ;35ari NkL 21, ro. aj "Bel-iddina a. Egibi Nk 188,15. Nd 426,2. 566,4. Dr 349,2 Vgl. ?Bel-aplu-iddin 9, X Nabü-aplu-iddin 9. Nd as als als "Bel-iddin a. Épes-ilu Nd [248,76]. 343, zz. Cb 193, 9. as * Bél-igisa a. "^"^ agir? Nk 142, 13. 15. als " Bél-/Pt a. Egibi Dr 260, ». als * Bél-fei a. " Sin-imittum Nd 68, 2. als ?Bel-uballit a. Ahu-ba-ni Ng 42, 1. as Bi-ba-nu Dr 520, 2. 18a als Daian-" Marduk a..... Ev KP II p. 47. Dannea Dr P 138, 3. 5 Di-na, "“MU-tu Nd 780, a. * Er-ba-a a. “Sin-Fadi Dr 339, i5. Gimillu Dr 309, 22. 405, 5. Iddina-ahu a. Siena Nk 78, ». as Tddin-Marduk a. massar abulli Dr 544, 7. as dddin-" Marduk a. Su-ha-a-a Nd 36, is. x Jgisa-aplu Dr 332, 5. * /gisa-" Marduk a. """ nappahi Dr 142,25. as Kabtia a. Da-mi-qu Ng 58, 4, 9. Kal-ba-a Dr 497, 17. * KZua-aplu Nk 291, 2. Cr 95, 3. 105, 3. Kina-aplu a. """ bd iri Nk 198, 15. Labasi a. báàbittu Dr 325, 33. 402, 13. 492, 14. Lisiru a. Siena Dr 270, so. 7 Marduk-eres Srk ZA IX, 2. X Marduk-Sum-usur. a." ang? parakki Dr 473,70. Vgl. #Nabt-aplu-iddin 31. as "Marduk-sir-ibni a. Dannea Nk 212, 2. 35a als Mu-na-his-! Marduk a. Babutu DrP 112,:2. as Musallim-" Marduk Nd 128, 12. 187, 15. 260, 16. NdL 2, 21. as Musallim-" Marduk a. lddin-" Bel” 242, 3. als Musezib-"Bel a. """) sisi Cr 213, 7. as Musezib-"Marduk a. *Sin-Sadi Dr Pi 12,7. Vgl. “Samaÿ-aplu-iddin 1. als 2 Nabü-..... Nd 1129, s. als #Nabi-akè-iddin Nk 116, z. als * Nabi-a-a-/u Nd 605, vr. als " Nabü-balatsu-igbi a. """ ang? #Nonib Dr På 16, Jt als "Nabü-etir a. Egibi Nk 142, 4. 212, 14. 214, 16. 44a as ? Nabi-etir-napsáti a.” Sin-tabni Cb 2, 14. 45. as "Nabü-kisir a. Iranni Nd 178, 46. als * Nabü-rimanui Art CIS II 66. as Nabia-Sum-iskun Ng 29, 13. m Un 8 [5 as x AS c2 Un (Cie 40. T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. af “Nab-ta-lim ... Dr Ba 16, s. als * Nergal-iddin Dr 369, 12. 405, 2. 50. als i Nergat-uballfit a. D Bél-etiru Nk 172, 24. Nd 65, 23. 67, 18. als #NIN. GIR.SU-balätsu-igbi a. """ Sang? “Nimib: Dr Pa 18, 2 vgl. no. 43. als Pir’u a. Amel-" Ea DrP 77,4. 78, 13. [80, 75]. 52aals Roimüt-ilani Cb 236,16. als Säga-a-a a. Lussi-ana-nür-" Marduk Nk 12, 6. (Ap-la-a) | qus VOD = ^ als "Samas-iddin a. Mubanni Dr 250, c. 55. als Sulum-[Båbili?] Nd 1022, s. al Süm-ukin NkL 3, 1. | als Sum-usur Nk 62, 9. 86, 14. | as Sunm-ugur a Habs yr a2. Sama Cri 71, 1o. af Sázubu a. Bábütu Nk 109, 23. 60. als Tab-ni-e-a Cr 212, 5. | a. Ardi-"Bel Nd 513, 4. a. Ardi-"Nergal, s. Rimüt. a. ÄS-Sur-a-a, s. * Nabü-zir-üiabst. a. "HD; s, 7 Marduk-Sum-ibui, "Nabiü- kisir, -sfr-igita, !Samas-zir-ibni. 65. a. ^"? hani, s. * Bél-uballtt. a. WBel-etiru, s. Balätsu, * Bél-etir, Iddin- ? Nabit, "Marduk-näsir, -Sum-iddin, -Sum- usur, "Nabü-etir-napsäti, -mutir-gümil, 2 Nergal-usezib, "Samas-uballit. a. "Bel-imbi, s. Tagis-" Gula. a. "Bel-silmu, s. Hammaa. a. Bibótta, s. /"KAS. DIN. NAM-3arrat (Nk 350, 5). 70. a. Da-bi-bi, s. "Bel-uballit. a. ^"? qdibj s. Su-qa-a-a. a. " Ea-epis-ıli, s. Ahé-iddin-? Marduk. a. ? Ea-[itsu, s. " Nabi-musétig-urri. a. X Eg-lid ?-is-ili, s. "Nabü-musetig-urri. 75. a. * Ea-3adünu, s. " Bél-iddin. a. Egibi Smk (ZA III) 1, s. /xa-Esaggil- Sadünu, "Marduk-sum-ibni, X Nabü-uS£zib, -sir-iqisa. a. Épes-ilu Dr (245, as), s. 7Sulmän-zör-ibni. a. Gahal, s. *Marduk-Sum-ukin, -uS£zib, Mur ast, Musallim," Nabü-ahe-bullit,!!Ner- gal-usezib, Sum-ukin, Tabnéa, " ZA. MAL. MAL-Sum-iddin. a. Gimillu Dr 349, zs. No. 2, -SUM-USUN, So. a. Hu-sa-bi, s. "Bel-zör-ibni. Jrani, s. * Bét-uballit, Murasi. Kin-aplu Nd 733,2. 743, 10. 847,3. 987, 2. . enc kuddimmi, s. Dummuq. d. ame zyandidi, s. ?Nabü-Sum-iskun. It" Bel-lummir, [o2] PA . @melppassar abulli, s. Kalbi-" Bau. ame yun-na-kit-tum, s. Kin-zir. . Musezib-! Nd 748, u. . * Nabü-zir-usabsi NÅ 513, 6. aneinappaht, s. " Nabü-nädin-ahn. . nas patri (kari) Dr 168,7. S. Daian- Marduk. . När- Sin, s. "Nabn-eres. . me paharı Smk I, 2. S. . nl pap-pa-a, s. Dumug. Qaqgadu-"Bån tum, s. * Nabå-mukin. a. ^"? qipi, s. Ardia, " Nabü-ban-ahi. a. ^"? 45 bani Smk ZA II, zs, s. J Hibtà, 2 Nabü-Sum-iskun. a. ?"H yb Sussi, s. H Samai-ad-iddin. Saggil-a-a, s. * Bél-iddin. 2 Sin-karba-isime, s. " Bél-erbà. a. " Sin-nàdin-3um, s. " Nabü-nàdin-Xüm. . #Sin®-Sadi Smd L (22, 3). . Su-ha-a-a, s. * Nabü-Xum-ukin. 2Samas-Ah-iddin Nd 201, 16. . "e $g-na-Si-Su, s. Andahar. Qzsti-! Marduk. 95. a. aq. 100. . mel$angi, s. Bånia. . amel$angi *Addu, s. "Addu-näsir. a. ^"? '$ano? #Ninib DrPa 17,18 S. Muse- zib-" Marduk. a. ^"? fang? "Samas, s. Lisir. a. St-mi-usur Cr 34, 4. 110. a. Sum-lib-Si Ng (43, 20). 116. a. Tabnea, s. Na-din. Ap-la-da-na-ta-nu (NAM 18,5) vide Apil-addu- natanu. E Ap-la-tum 1. m/s Na-din a. Bi-na-a-a Dr 140, 2. Aplu It: 2 Samai-nàsir Ap-pa-nu|ni Ng 18,12 70,6. Nd 350,17. 398, 21. 513,5. 525,3.6. 718,14. 1022,24. 1088, s. Cr 46,5. 262,6. meljyrisu Nd 699, 1. S. Iqupu. 1. als Abu-nür Cr 332,10. Nk 77, 7. 10 Knut Tallqvist. Ap-pa-ra-a (CF 9S0: Ap-sa-nu (vel. Nap-sa-nu) 1. als #Nergal-uballit a. Dannu(K AL) Addu Dr 154, 9, 4. 509, zo. Ap-pu-nu (= Ap-pa-nu) Nk 323, 2. A-ga-bi-ia, A-ga-bu-ia, s. Iddin-" Nabu, Ku-sur- ra-a. | 1. als Tu-t-ia Nd 542, 2. A-ga-bi-ilu (ar. *s83p9 BE IX) Nk 393, 4. ame sa SBunanitum NÅ 356, 24, 31. A-ga-bu-ia, vide A-ga-bi-ia. A-gar-a-na?-" Nabü', s. I Nabü-Sum-ukin 22. A-gar-aplu Cr 349, 2 1. a. Ardi-" Ea, s. "Nabü-sir-ibni. a. Dullubu, s. Balatu. a. Egıbi, s. "Marduk-etir. a. Ifi" Marduk Nbp Pi 2, 16. . Ina-ili-etir? (Iddin-" Addu?) Nk 90, 27. a. Na-ba-a-a, s. Iddin-" Nata. a. Sip-pi-e, s. Iddin-" Bel. 8. a. A-qar--& Nk 70, ro. JA-qu-ba-, FA-qu-ba-tum I. 72/5 Ardia Dr Ba 7. 8,2. 11,3. 12. 229259207 2820. Ag-qu-bu (cfr. he. 33py) Cb 84, 10. A-ra-bi, vide Arrao. A-ra-hulli, A-ra-ah-hu (cfr. he. mw) Dr 93, ». S. Hu-iddin, “Nabi-kasir. 1. als * Naóü-àh-usur. Dr 346, 7. A-ra-am-ma-a-a (cfr. he. YEN «Aramáer») 1. al$ Gu-za-nu Dr Pa 12, zo. A-ra-nu (cfr. bbl. 328), s. "Nabä-aplu-iddin. Ar-ba-a-a (mit Determin. ^77, «Araber»?) TS aie Dr 162, 18. | Ar-ba-(-)il-a-a (als Probename YArba-ilu-a-a | K 241, IX 13, «aus Arbela gebürtig»), s. | 2 Apil-Sarri-ilia, Da-li-l-es-Su. 3! Ar-ba--il-Sar-usur («Stadt Arbela schütze den König!») s. ?Nabn-ah-iddin. Ar-bi, vide Arrabı. | Ardi-ialid, Ardi--ia Cb 57, 1», Ardi-a Nk 243, 9. Nd 184,15. Cr 384,2, Ardı-a-a Dr 470, 10, Ar-di-ia Cr 345,4 Cb 116,10. Nd 787,21u.6. Kosename, abgekürzt aus 4rdi-"BZ, Ardi-" Nabü, Ardi-"Nergal u.ä. Nbp (ZA | IV) 19,» Nk 243,5. 459,1. Nd 747, 1. apu Sigha, s. SBuråsu. 14,2. 19,2. 781,6. 831,2 858,10. Cr94, 14. 233,10. 384,2. Cb 84, 15. 87, 23. 99, 11. 103, 10. 130, 11. Dr 63, 11. 170, 4. (337, 17. 430,9. 496, 15.) 555,6. amé ... Nd 248,10. “"gnisir-a-a Dr 5, e. am? basi Nd 115,2. S. Àk-iddin, A-qu- ba-, "Beläh-usabsi, -ana-merihtumn, -erba 20, -uSallim, JIddina-aplu, Iddin- i Bel 39, Låbåsi 67, Liblutu, " Nabu-ahe- iddin, -balätsu-igbi, -iddin 49, -ina-kari- lu-mur Y, -ittannu 70, -kin-aplu, -Sum- iddin, -zsör-ibni, "Nergat-àah-iddin, -1ddin, Nidintum, Remiut-" Bel? Samas-uballit+3 7 -unammir, Sum-ukin, Taddannu, Za-bi-ia. rast Ne 66, 22. AIR ee a. A-hu-bani-ia Cb 284, ro. Datis a. Da-su-zu DrP 139, 5. QS e tS S a. Muséztb-? Marduk Dr 346,2. I als Abkallum Cr 345, 4, 17. Dr 515, s. 5. als Ahe-iddin a. ^"? ang? "Ninib? Cb 116,10. als Apla-a Srk ZA IX, z. als Apla-a a. élgipi Nd 512. 3. als Balàtsu Cr P 20, 14. als Bän-zir Dr Ba 21,14 22, 11. 23, 12. 10. als * Bél-aké-iddin a. "rei Ng 71,12. Nd 11,3. 46I, r4. 741,17. 1120, & Cr 351,5. Vgl. Ardi- Gula 3. als “Pêl-ahè-iddin a. *Sin-imittu Nk|407, 11. Nd 787, 21. als "Bel-ahe-igisa a. Egibi Cb 286, 19. 12aa|* * Béft-au-Se-ti-iq-urri Dr CT IV 43, s. bajs #Belt-näsir-ri-an-ni Dr Pa 14, 25. als ?Bel-Sum-usur Dr 177, 17. als * Bél-uxalfim a. Misir-a-aNd 505, 12. 506,7 (Schreibfehler!). 15. als Da-di-ialid a. Na-ba-a-a Dr 202,12. 214, 7. 215,12. 220,13. 232, 5. 263,8. 273,23. 278, 6. 289 8. [310, vo]. 338, re. 339, 2. 347, 1. 358, 14: 379,215. 382,13. 413, 13. 420; 29: AAT,G. 443, 11. als Da-di-ia a. ^"? nappafhi Dr 132, 6. 178, 5. als Gimillu a. *rétbäni Nk 4,28. Nd [396, ro]. 597,18. 903, rr. Gr 302, 72. Cb 166,7. 208, 14. 245, r2. [338, zo]. 370, ir. als Gimillu a. (Ea)-êpes-ili Nk [381,3]. 382,7. Ng 1, 1,4, 10, 12,18. 44,3. Nd 248,3. 412. Vel. Ardi-"Gula 9. als lö-na-a Cr 158, ss. T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. (Ardia) 20. 30. 40. 45. 55: . als Js als Jadin Cb 225, 20. | als Jddin-" Nabü a. Dannea Dr 155, 16 als Igisa-aplu Nk 195, ss. als Kâsir Nk 43, 2 15s LIEN AIM 29, 2. p a. Ardi-" Ea Ng SÅ Lå a. Epes- -Uu Dr Ton als Ki «a 1 Ne QR Eu IS E ROC ques [1] "m, PU "i. à = S. & M. HI S EN à : Gu E S PA ^ - MI NS t = 5 als Müranu Dr 177, 14. als Musézib-" Marduk Cr 357, 4 als Nabi-àk-iddin "^"? DAM Sarri Nd 17, 17, 20. als Nabñ-bêl-Fumäti a. Al-la-a Dr 308, 17. als "Nabü-igisa a. Mastukku Nd 257, 14 als "Nabü-käsir Nd 446, o. als i Nabå-kisir a. """$ang? belit Båbili Nd 204, 2. | als * Nabü-nàsir Cr 379, o. als Nabü-uballit a. " Sin-ilu Nd 433, s. I * Nabü-uSabsi Cr 311, 16 x X Nabü-zir-ukin a. Da.... 7 Nergal-iddin Dr 309. X Nergal-Sum-iddin a. Mu.... als X Nergal-Sum-iddin a. "Sin-imittum Nd 827,9. 931, 4. als Nigudu Nd 241, 7. als Nürea a. **2mallahi Dr 380, 22 als Pursüu Dr 528, 10. a|3 Rimüt a. © pahari Cr 255. Suim-" Bél a. Da-bi-bi Dr 371, 7 Sium-"Bel a. "re Yang? "!Ea Cr 242, 4. i Sin>-Sadu Cr 210, 4. it Samaÿ-erbà Dr 302, 4. U Sqmas-iddin a. Liga Dr CT IV 32, z. 2Samas-zir-ibni Nd 1130, s. af Sa-" Nabi-Sumu a. Gahal-"Marduk® Dr 393, 5 als Tab Nk 141, 5 Dr275, 77. . Ahu-bani, s. Ina-eït-etir. . am? aslaki, s. !! Nabü-aplu-iddin, Ni-qu-du. | . Ca Ty; s. " Nabü-nàsir, Ubar. | ame! hänt, s. Rümuüt-* Bel. a. Ba-si-ia, s. Tåbi-ia. No. 2. d. II 60. a. a. a. a. i Bel-ahe-erba Nd 781, 3. Cr 34, 4. 7" Bel-aplu-usur, s. "Bel-idain. il Bel-etiru, s. Ta-bi-ia. i? Bel-usallim Nd 351, 7. Cb 58, 10. a. Dannu-" Addu, s. " Bel-kåsir. EnXHu)-sa-bi, s. "Bel-limur. E-ri-su Nk 45 Etiru, s. [tti-" Marduk-balatu. Hu-ul (Ore TAS 1e Hu-sa-bi, s. "Bel-Iimur, . Itti-"Marduk Cb 274, s. a. "Marduk-etir Dr 109, 1. amélimassar abulli = Ardi-" Bel 49. Na-ba-a-a, s. Nidintum, Ubár. X Nabu Nd 1115, 5. Oaggadannitum, s. ”Bel-usezio. . mélqipi, s. Iddina-” Bel. . 2 Sin-ılu, il Nabu-bulhtsu, -udammig. il Sin3-$adiu Cr 78,7, s. Nidintum. 7 Ner.gal- 583, 17. Cr 92,6 65. 2, 27. 2,2 Sul-lu-ma-a. 70. aq. aq. a. s. -ıttannı, . (amél) $q na-Si-Su Nd 855,3. S. usezib. a. néant Sama, a. Sigha, s. I Nabirliu. Ardi-"Nabi 17), s. I Bel-ittannu. 80. a. Sá--a-tá (= SP ıddın. t. als 7? Nabü-etir a. Etir Dr 48, 4. Ardi-" Addu? 1. als " Marduk-uballit? Nd 7, : Ardi-ahe-Su («ein Diener seiner Brüder») Ng 46, 6. 62,5. Nd 271, s. 365, 10. 638,13. Cr 262,7. ""?alaridu Cb 79,4. S. 7 Samas- ah-iddin. AS AU ee © Cb 426, 5. 2. a. Î-ta-a Nd 782, 4 Arch-" A-nu-ni-tum Nk 450, 19. Nd 237, 2. 662, s. Ch 2 107 12, 48718 DEC em bk amd fis Sa “rSangüu Sippar Dr 72 en vb gasti Nd 1058,3. S , 23. S." Bel-ittannu 49. als * Naóü-Eillim Dr 457, 5 Ardi-" Banitum(-" KAK-tum/ti), ^"? ràb. PIN-Su Nk 452, 21. S. ?Sin-ana-bitisu. Ardi-" Ba-ü I. als a. «mel Pa-$e*: Dr 289, o als Belsunu a. vélyab bani NÅ 273,16, 323,14. 2* 12 (Ardi-"Ba-u) als Musézibi-" Marduk a. *"* aslaki Dr 296, 5,7. 379, 79° 466, s. [467, 10?]. 571, zs. als "Nergal-uSezib a. Egibi Dr 156, 1. 5. a. ^"€o$lgybi Dr 358,19. AIO, 26. 466, 15, — DO 3. Ar-dıi-"Bel!, Ardi-"Bel! (no. 49 = Ardia) Nk 107,2. 172,9. 322,4. 428,20. 452,25. Ng 17,6. 56,3. Nd 160,5. 169,19. 435,2. 444,7. 627,4. 659, 4. 722,8. 810,2. 865,12. Cr 61,6. 160,8. 161, 51. 226, e. 336,17. 363. Cb 79,21. 93, 19. 1772712182415 ERIC LE 227) 40547 11. 0 DCE 217, TO 6 VAT: OO) 10: 2s Eb 249,5. 414,13. 421,8. melisparu Cb 312. amelgflu Sa émandidi”! Dr 432,3 S. Ap-la-a61," Bel-etir62,-ibni,-rinanni,-Sär- usur, Düsu, Id-da-a-a 6, Iddina-aplu, Itti- #Marduk-balètu, Ku-sur-ra-aplu, Musezib, 2 Nabü-ittannu, -r&üsunu, -usursu, * Ner- gal-Sar-usur. Se Cr 332. 31. 350,8 Dr 427,6. als Ardi-"Nabi Nd 530, a. als Balätsu a. Båbitu Nk 356, s. ull QUAM e E Nd 198, rr. Cr 368,18. ms od SUE ooa a. #Sin-ilu Dr 191, rz. als * BéI-etir Nk 42, 20. QUE yg mna rade a. amét E-sag-Iu aa Nd 1028, ro. als Belsunu a. Sa-al-la (Sa-la-la) Cr 160, 13. 231,18. Cb 287, 1». als Pél-uballit, me sirig? "Marduk Cr 345, 45+ 10. als "Bel-usallim Nd 630, 2. 1016, 2. als "Bel-usallim a. " Addu-sam-me-e Ng (ZA IT) 14. Nd 1001, 9. Cr[183, 36]. [255, s]. 281,16. 307,14 318,17 328, 21. 339, 22. Cb 10, 28. 386, 14. 398, 11. 17. Dr 27, 4. als Dam-gí-ia a. Nädin-Se-im Dr 339, i. als Dummug a. Ardi-" Ea NAM 13, sn. als * Ea-zir-ibni a. Nür-'Sin Dr 275, 13. als Ha-ad-da-a Dr 499, 19. als Has-da-a a. ..... Dr 210, 5. als Iqisa-aplu a. Épet-ilu Nd 199, &. L5. 17a als Jgí$a-apdu a. Sarru-a-ra-zu-u Dr P 135, 74. als Kabtia a. Pap-pa-a-a Ng 63,2. Nd 419, s. 575, 4. Knut Tallqvist. als Kal-ba-a a. Mukallim Cb 182,4. 253,4,5. Dr 307, s. 20. als Marduk Cr 57, 9. |* 2 Marduk-rimannu a. Etiru Cb 251, i. als ?Nabu-ahe-iddin Nd 166, e. |* * Nabü-ahé-iddin a. et) Paseti Nd 79,4. Nd M II 46, 15. als * Nabü-àh-iddin a. Mukallim Nd 451, ss. 7 Nabi-aplhu ...... Nd 353, 4. 2 Nabu-etir Nk 53, s. 2 Nabü-iddina a. Amel-"Ea Nd 203, #. ? Nabü-kin-aplu a. Rab ba-ni-e Dr 172,16. 2 Nabh-zir-Usir a. ^"? Pase! Ch 44, 35. * Na-din Nd 919, s. Na’id-" Marduk a. v 5 272, 3. v 5 N Ih-?Marduk Cr als Rémá|tu| Dr 25. als Sk-la-a a. [nås patri] kâri Nk 194, 10. . als Ziria Nd 473, 2. als Zir-ukin a. "mas patri Dr 216, 5, n. CAE SENTE Dr. 91, 10. a. Ardi-"Ea, s. "Marduk-Sıum-iddin. a. Arrabtum, s. 2 Nabü-etir. 40. a. """ aslaki, s. Ap-la-a, "Bel-iddin. a. "C" bay, s. "Bel-nädin-aplu. a. elbant, s. *Nabt-bullitsu 2Samas-ah- iddin. a. Belsunu Cb 154, 3. a. Egibi, s. "Bau-bel-biti, "Nabn-aplu-iddin, -sum-iddin, Sil-la-a, f Tasmetum-ramat. 45. a. Epes-iln, s. Ubar. . Etillu, s. Na’id-"Bel. a. Igbi-" ..... s. {Sal-lat-tum. . Marduku, s. Jddin-! Naba. amélmassar abulli (= Ardia 71) Dr Pa 775 3105 9X Sullumau. 50. a. Mukallim, s. Nidintum. a. Na-ba-a-a, s. Sadimu. a. Pap-pa-a-a, s. /Insabtum, Sáqa-a-a. a. "Yang? ? Sama, s. "Bel-ahe-iddin. 55. a. Siena Dr 39,2. S. Ba-ba-a. Ardi-" Belit s. * Nabü-sir-iddin. Ardi-" Béll-sar-bi I. als Nürea Dr 244, 7. Ardı-"Bu-ne-ne Nd 230,4 Cr 68,7. Dr 370, 27. ameljyyisu NK 452,43. ("2 MU-ta-nu) sa T. XXXII. tS m SR Neubabylonisches Namenbuch, 13 (Ardi-* Bu-ne-ne) bit gatı Nd 510, 18. 1122, 6. Cb 296, 7. ^" | AU. KAK Dr 277, >. I. al$ * Nabi-zir-lisir a. Ardi-"Nergal DrPa IO, 30. als Na’id-"Marduk a. Il-"Marduk Dr III, 6. als Na'id-! Marduk als "Samas-balötsu-igbi | Nd 113,7. | 4. a. "Nabü-näsir Nd 379, c. | Ardi-" Bunene*()) Nk 150,11. Cr 34,3. 93,8. 145,5. 209,4. 342,3. Cb 243,3. 244,2. 273,4. 333,4. Dr 1,9. 4,7. 8, 10. 46, 2. [54,13]. "#2 abu biti Cb 87, 17. ^"" HU. KAK(2) Cb 350, 10. Dr 72,13. nappalu Nd 220, 2. Xa bit alpi | Cr 113,4 a dit gati Nk 11, 10. Cb 256, s. amél Y yp i Sana Dr 46,7. Sa Xutum Sarri Cb 256,14. S. Ardi-* Nabñ, Ubar. 1. a. Mar-duk-a Dr 40, s. Ardi-" Eat? (mit dem Determin. ^"? Nd 48, 19) Dr 306,2. Dr Pa (21, 30). S. ZAe-iddin 1, | X Anum-ah-iddin 2, Ardia 25, Ardi- Bel 13, Palatu 68, "Bel-iddin 13, -ittannu 45, -uballit 17, 63, -usallim Yo, Esagoil-a- dünu, Iddin-" Marduk 24, Kabtia 5, Kal- ba-a 29, Kalbi-" Bau 3, Läbasi 16, Lisir 15, Marduk 10, * Marduk-Sum-iddin 4, 39, Muraÿà 9, * Nabi-ahé-bullit 2, -aplu-iddin 13, -balatsu-1qbi 9, -nåsir 31, -Sar-usur 5, -zir-ibni 2, Nergal-Sum-ibni 3, Nidintum- Bel 34, Rimüt 16, Rimüt-" Bel 61, ? Sa- mas-uballit 21, Säpik-zör itis cei Sum-ukin 24, Un-da-$e-ri 1, Ziria 15. Ardi-elippi-igri (ARAD-GIS-MÁ-KU) I. als "Nabü-zir-uSabsi a. ”"malahi Dr 193, as. Ardi-! Eria (ARAD-XEDIN BL 4524 -4-al*A. EDIN BL 11484 -Z) | 1. als *BéF-àh-usabsi a. ”Esangi Gula Dr IOS, ro. 2. als " Nabü-3à-pib-zi-ri a. Sip-pi-e Dr 298, 17. | Ardi-" E. SA. BAD LI. a. ^" 64 iy], s. Iqupu. | ZArdi-! Guías? Nk 249,28. 452,24. Nd 1,14. 278,11. 668, 4. Nd M II 51,16. Nd Pi 3,11. Cr 180, s. 233,15. 300,9. Cb 350,1». 367, 16. Dr 22, 10. | 379, 5. 495, s. ^" ard; ekalli Dr 72, e. ré! | nappaku Nd 118,5. 425,2. 428,12. 472,3. No. 2. [o] in 35- 530, 7. 549, 8. ré Ch rr» S. Ber Sarru-dannu, Nâdin 59, / Tabatum. Valse s ue ENT CON, als Balätu Nd 515, ss. als * Bél-ahé-iddin a. re’! NdL 73, vgl. Ardia 10. als ?Bel-iddin Nd 911, 10. .als #PBél-iddina a. ...... Cb 44, #6. al "Bel-iddin a. Sa-na-$i-$u Cr 28, 14. als ?Bel-uballit a. ^"? ba'iri Nd 756, is. als Esaggil-a-a a. Musézib Dr 490, ro. al Gimillu a. Epes-ilu Nk 360,1. Vgl. Ar dia 18. . als Jtti-! Marduk-balatu a. i Samas-båri Dr 272, 19. als Kin-sir a. Egibi CrP17, 6. Cb 116, 8. als Kiribtu Nd 962, 3. als Kiribtu a. Dullubu Ng 14,2. Nd 6, 4. NdP 9, 14. als Kıt-ti-ia a. "^"? Sang? ?..... Nd 531, ». . als * Mardu£-sium-usur a. Etiru Dr 67, 13. als *Marduk-Sum-usur. a. Na-ba-a-a Dr 45, 8. 64, r4. 158, 14. 165, 13. 205,8. 207, 12. 212, 56 (verlesen!). 246, 9. 265, 30. [287, tr]. 325, 27. 359, 72 379, 78. , als *"Nabü-balàtsu-igbi a. As-kan-du Nd 665, 18. als ENabt-lià a. ^" 6d iri Nd 314, s. als *Nabü-mu-zib(sicl)-urri a. ré dam- ga Cb 117, 17. als ? Nabü-zir-iddin a. ^"? aslaki Dr 463, 16. als * Nergal-iddin a. Épes-ilu (Gr 275. 7s 1DI6 153, 9 als Silim-"Bel a. Diki Cr 236, is. als Sil-la-a Nd 95, ra. als Sá-/a-a Nd 342, 4. 490, s. Cb 32, s. . a. vrélabi biti, s. Sadünu. a. ? Addu-im-me-e, s. * Ea-zir-igisa. a. " Addu-Sum-eres, s. Ardi-" Nergal. a. * Addu?-Sam-me-e Ng VR 67, 1, ırb. a. "bay, s. ? Nabn-ittannu, -Sum-iSkun. a. "Bel-iddin Nd [643, 9. 743]. a. Dikt, s. Itti-" Nabt-balatu. a. Egibi, s. Bél-zir, Liblut. a. [fi-! Marduk, s. Belsunu. a. drani, s. *Nergal-uballit, Qabà, /Sinaba'. a. Lultammar-! Addu, s. Na-din, Sàpib-zir 14 Knut Tallqvist. (Ardi-" Gula) . #Marduk-etir Cb 70, 15. . Na-ba-a-a, s. !Bel-erba. . Nu-ur-za-nu, s. * Bél-ittannu. e"nU PE, alpi, s. Rimüt. . Rihitu Nd 1127, 4. . Sa-bi-na-Si-3u, s. 2 Samas-ibni. a. Så-la-a Cb 58, 17. 70,6. Dr 28, e. 40, 11. 43. a. Ziria, s. " Bél-iddina. Ardi-" HAR, vide Ardi-? Bunene?. Ardi-ıli («ein Gottesdiener») Nk 315, 10. Ardi-ifi-balàtit, s. 2 Nabá-uXurxu 16. Ardi-il-la-a? Cb 316, 13, 16. Ardi-" In-nin-ni I. a. Sadı, s. Gimallu. Ardi-"La-as I. als ”Sin-ah-eres DrP 55, x. Ardı-"Marduk (Ar-du- Dr 205,12) Nd 231, 20. Dr 273,2. 299, 9. 367,43. S. /ddina-" Nabn, LábaM 5, Murası 7, "Nabh-ahe-Sullim, -elir-napsati + 48, ” Samas-Sar-usur. La ua a. "El pahari DrP 54, vr. als "Addu-abu-bullit? Lab 5, s. als "Bekiddina a. "^"^ (Ya) tabtisu Dr 380, rs. 494, 30. als Etillu a. "Nabü-lt-su Nd 367, i. 5. als Igisa-aplu a. Nür-" Sin Nk 27,2. Cb 272,4. als Kittia a. ^"? ang? "Ea Nd 131,11. 183, 9. 323,15. 340,16. 434 ro. 533,17. 632,13. 657, 9. [rrrr,e1]. Nd M 21, 18. 25,17. Nd Li, 18. Cr 114, 2. Cb [180, 7]. Dr [102, 14]. 206, 4. al$ Låbåsi a. Sa-bi-na-Si-Su Nd 854, is. als ?Marduk-etir a. ^"? $a tabtisu Nd 479,3. 605,15. Nd M 22, 3. als #Marduk-näâsir a. Ardi-.... Cr 349, 23. 10. als ”Marduk-sir-ibni Dr 419,2. als Musezib-"Marduk a. Sang? Gula DER JM cg als Musiézib-" Marduk a. "ange "tar Båbili Cb 397, 15. als Nabü-aplu-iddin a. Kanik-babi Dr 332, 1. als "Nabü-kasir a. Damga Dr 321, zo. 15. als ?Nabü-napsatim-usur a. amelu-u Dr 321, 37. AIO,2r. als * Nabü-Sum-iddin? a. Nür-"Sin Dr 85, s. als "Nabh-Süum-lsir Ev 16, a. als *"Nabü-sir-Bsir a." Sin-Sadünu Dr 372, s. 40. SEITEN SE SS ES IS 2 Nabóü-zir-u&n a. ^"? báà'iri Dr 26, 37. 20. a|3 " Nergalt-ubalfit a. Muÿézib ..... Cr 172,15. $ Piru a. Epes-ilu Cr 249, s, 18; vgl. folg. als * Samas-pir (2)-usur a. El pes-ilu]| Cr 362,2. als ?Samas-udammig a. """ ang? "Samas (Gr 324, ss. als Sa-mi-hir-karabea? Cb L 15, 15. 25. als Ziria a. Na-ba-a-a Cb 279, s. Gore Ste Nd (248, 4). Vi ET Dr (219, 16). a. "Bel-etir, s. Tagis-" Gula. a. Kalbi-" Sin, s. * Nabü-etir-napsäti. 30. a. Nür-"Sin, Nd 613, 2 (Jddzn-" Mardu£?). a. "Sin-karäbi-isme, s. " Nabn-tultabsi-Asir. a. " Szn-Xadünu, s. Zu-um-ba-a. a. ^"Hy5oe? "Ea Dr 227,99. 312,16. 321,42. 379,81; Dr L 179,39? Identisch mit no. 6. S. #Marduk-belsunu Máürànu * Nabü-bul- litsu -nadin-ahu. a. ^"? San et, "Istar Babili, s. " Marduk-Sum- 7 Nabit-ahe--usullim. 35. a. *"?' $a. tabtisu, s. " Nabü-Ein-aplu. Ardi-"Nabü! (no. 18 = Ardia 81) Nd 562, s. 627, 2. 1002,4. Cb 295,3. 3a båbi rab Cb DNS EN SO Åh-iddin, Ardi-! Bel, Ba-zu-zu, " Bel-Etir-napsäti,Has-da-a,Labası,Mannu- da-nu-u 2, Musesib- Bel, #Nabñ-ittannu, -miti-uballit, -nàsir, -uballıt, * Samas-erbö, St-la-a 43. I als Ardi-"Bunene? Nk 22. (Al SHE Sn Dot als Has-da-a Nk 122, 9. als Itti-"Bel a. ^"? Allaku Dr 205, 3. $ #Marduk-nasir a. "Ea-WMüta-ibui Cb 120, 78. als " Nabü-zir-ibui Nd 505, 5. Nd M II 46, 4. als Rimüt a. *'naggarı Nd 680. als Såkin-Sum a. ""? $a. tåbtisu Cr P. 16, 2. nn SAUT P MEE: 10. a. " Ea-épes-ilu, s. " Bél-erbà. a. Mukallim, s. *Bél-iddim. a. INür-" Sin, s. "Nergal-usallim, Sulla. a. Rei, s. Ibna-a. a. Sa-na-Xi-Yu, s. " Nabü-Sum-ukin. I5. a. ^"? ang? ? Addu, s. "Bel-ahe-iddin. a. Sápik-zir Cb 109, 2. 17. a. Su'átu (= Ardia a. Su átu), s. " Ea-idain. T. XXXII, Neubabylonisches Namenbuch. Ardi-" Nergalb? (no. 40 = Ardia 39? auch mit Determ. #7 Nd 149,3. 282,11. 515,14 u. Ô.) Nd 546, 16. Dr 80, 50. ardu Sa Belsunu Dr 274,6. 476,5. S. Ardı-"Bunene 1, "Bel- elir 54, -ibni 10, -iddin 109, 171, 185, iqisa 14, -kåsir 5, -kin-zir V, rimanni 17. Belsunu 1, Bel-usallim 29, -zir 5,-zir-ibni 6, Da-di-ia 4, Esaggil-gammil 1, Gimillu 30, Güzanu 20, Iddin-" Bel 14,40, Jddin-" Mar- duk 23, lddin-"Naón 22, 100, 113, /na- Esaggil-zir 4, /Insabtum 43, Itti-"Bel- balätu 2, Kabtia 12, Kurbanni-" Marduk 7, Lábàsi 26, 58, "Marduk-etir 18, -Sum- usur .45, -sir-ibni 13, 21, Müranu YO, Musezib-" Marduk 55, " Nabü-étir-napsati 14, 16, -Zfannu 47, 64, -musétiq-urri 34, -nadin-ahi 4, -nasir 6, -Sum-imbi 3, -ubal- lit 29, -usursu 11, -uSallim 2, Nâdin 32, “ Nergal-iddin 5, -Sum-ibni 5, Rimit 7, 80, Rimit-" Bel 60, ? Samas-ibni 2» Såpik-zir 3, /Sinbana’ 3, Uballitsu-" Gula 5,6, "ZA. MAL. MAL-utirri 1. TR Seen a. Egibi CbP 25, s. als Ardi-" Gula a." Addu-Sum-eres Dr 97, 18. als "Bel-ahe-iddin a. Na-ba-a-a Dr 490, 1s. als ?Bel-käsir a. Ga-hi Dr 181, 2. 2I DIR cec a. amêlu- Dr 289, iz. 5. als " Ea-z£r-igfsa a. Babutu Dr L 33, «s. als Etillu Nk 374, e. * Liblut Dr 354, z2. als Musezib-"Bel a. Da-bi-bi Dr 423, ss. Musezib-"Marduk a. Mastuk Dr 265, 32. 2 Nabü-bàn-ahi a. *"" pahari Dr 389, vr. 390, 10. 391, 4. als ?Nabü-etir a. nai patri Cb 432, 4. alé * Nabü-Ein-sir a. Epes-ilu Nd 1059, 9? Dr 354,3. Vgl Zddin-" Nergal 2. als "Nabü-muk-ki-e-hb(p) a. Egibi Cr P [21, 7]. Cb P [25, s]. 128, s. als ?Nabü-na-din-Sum a. """ ane? "Gula Dr 314, zs. als X Nabü-napistim-usur a. Amêlu-n Nk IO, 15. als #Nabi-nasir a. Damga Nd 459, n. al$ Piru a. Épet-ilu Dr Pa 6, 1». 7, s. a. A-si-i, s. “Nabñ-bullitsu. a. Ib-ni-ilu, s. Silim- Bel. No. 2. IO. 15. 15 20. a. Kalbi-"Sin?, s. "Nabir-etir-napsäti. Ardi-" Ninib? Nd 571,50. "^ yb bür-tim $a ^"?! ik- karatu Nk 458. Ardi-" Papsukal, s. "Bel-iddin 14. 1. a. ^"? $aug? "Ea, s. "Marduk-belsunu. Ardıi-" Sin‘, s. Labäsi. 1. aj$ Na’id-"Marduk a. 404, 10. 2. a|& Rimüt a. "Sin-da-a-a-in DrP 87, 3. Ardi-"Sind-Sadi? t. aj “Marduk-Sarrani a. Na-an-na-a-a Nk 390, 14. 2. a. *"" alat, s. Hahhuru, Musezib-" Bel. Ardi-"Su-ti-tum]ti 1. al$ Kidinnu a. Na-na-?-ri Dr 388, 4, s. Ardi-" Sarpanit(-* AZAG . SUG BL 9906, vgl. Ardi-! Era). 1. als Jddina-afu Nk 76, 12. 106, 12. Ardi-"Samas! Nd 278,14. 828,13. 1127,5. Cb A1, 9. 211,7 228,8. Dr 81,13. S. Süm-iddin 10. I. als ?Addu-gab-ri Dr Ba 20, 9? als "Nabu-eEtir-napsäati à. 333, 13. 3. af i Samas-erbå Nk 458, 10. Ardi-! Sulnán Dr 537, 2. Ardi-ta-?-a-a-la? ""*a$arid Sarri Nd 282, 23. Ardi-! Tas-me-tum Nk 374, as. Ardi-* Urast, s. Liblut. 1. als " Bél-z£r a. """ Sanez Dilbat*! Nd Pa 2,39. als #Bel-zir a. Sigha Dr Pa 18, a. 3. la. Yang? Dilbat*', s. * Nabi-iddin. A-ridi-" Na-ua-a Ars 78-7-30, 11, 7. A-ri-1$-$u, s. Ab-di-ia. Arköt-ilöni (Ar-Eat|EGIR-AN?, vel. Är-kat- dàni-damqáti? VR 46, 63), s. Ezida-igisa 1, Jddin-" Nabü 68, 2 Nabå-kin-aplu 11. Ar-rab, Ar-ra-bi, Är-a-bi Nk 360, 12, Ar-rab-br, Är-bi Dr 400,11, A-ra-bi (wechselt mit Arrabtum) Nk 439,6. Nd 115,15. [212, 3]. 233,16. 1082,4 Cb 256,6. mukabbü Nd [115]. 137,9. 179, 2. 222, 4. 415,7. mel gallu Na M 17,3. EUR. GAM Nd 37, 4. S. Ap-la-a, " Bunene?-àf-iddin, -ibni 12, Ju - din, Kusurra-aplu, " Nabt-aptu- iddin, " Nergal-usallım, i Samas-iddin 40. 1. als ?Addu-ahe-Sullim NÅ 564, 1, 1. 573, 2. als Ardi-"Nabi Ev 84-2-11, 30. Gahal Nd 300, 13. 7 Ea-nasir Dr 16 Knut Tallqvist. (Ar-rab) als ?Bel-iddin a. 767 Nd 6, is. als Belsunu a. mye: alpi Nd 204, 10. 5. a]. Belsunu a. ""? Yang? #Samaÿ Cb 257, 14. als "Marduk-erba a. Mukallim Dr 434, a. als ? Nabü-sir-ibui Nk 452, n. als Saggillu a. “"rab bane Nk 183, 5 als Sa-"Naön-Si Nk 360, 2. IO. a. Abt-ul-idi, s. Kal-ba-a. a. Ir-a-ni, s. Belsumu, Tabnea. a. "A nappahı, s. "Bel-iddin. 13. a. *"? angi Bâbili, s. Sa-pi-kalbi. Ar-rab-tumltülti, Är-rab-tum Dr 409, 20, Ar-ra- ab-tum Nd 838, 15, A-ra-ab-tum Dr 388,12, s. Ahe-iddina-"Marduk 9, "Bel-erbä 11, -iddin 31, Esaggül-zir 2, [tti-" Nabü-balatu II, Krdinnu-'Marduk 2, " Nabü-balátsu- igbi 6, 57, -elir 4, -étir-napiáti 2, -musetig- urri 23, -nàdin-ahu 14, -nib-ana-iläni 1, -Sabåbu 1, J/Nubtà 3, Rémát-"Naóàz 9, 2Sqmas-uballit, Sellibi 10, Ubàru 9. 2Samas-uballit. Ar-. -sa-a, Ar-sa- (cfr. he. NYNN und Ar-sa-a-a K 468, 3, 13), s. ? Béliddin. ae NS. apil Sarri Nd 270, ». + Ar-Sa-ka-a, Ar-Sa-kan Ars. #/ Ay-ta-ga-a-tum (pe.) Dr 476. "Ar-ta-ru-su (pe), ^"*rab damkar? Cb 384, 11. * Ar-ta-Sa-a-ta (pe.) Dr 476, 2, s / Ar-ti-im (pe.?vgl.aberazuz; Blume MSAW p.18), Amme der Tochter des Königs Xr 2,1, 5. Dr 339, 2. #As-pu-me-ta-na- (pe.) 1. als As-pu-ta-ti-ka Cb 384, 4 #As-pu-ta-ti-ka (pe), s. As-pu-me-ta-na-. A-si-i, s. ?Nabu-bullitsu 7a. JA-si-tum (f. v. àsit Arzt) Nd 1,5. As-si-ia, As-si-a (Nd 987, 4. Dr 370, 13b. «o Hel- I. als An-tar-a-bi, ^"" galla Sa "Bel-sar-usur * A-sa-pa-3i-2n-. . .. fer»?, vgl. MSAW p. 12), s. "Sazai- erba + 15. A-su-u, meA.ZU («Arzt») s. Jddin-aplu 2, Iddin-"Marduk 26, Kabtia 13, Liblut 15, Munahhis-"Marduk 6, * Nabü-bullitsu 36, -dMiannu 11, -kin-zir 41, -usursu 37, "Ner- gal-iddin 18, Sil-la-a 20, Tabnea 8. #Nabi-nàdin-ahi A-ÿa-ri-du, SAG.KAL («Oberster») Nd 14, 7, s. Balåtu 38. 1. als Bullutå Dr 286, 4. als Nabi-ubalhit a. Etiru Dr 371, 2. 3. a. Sa-na-&-$u Knl M II 5, 1o. AS-ha-Su Dr P (103, 3). 4/7 AS-ka--i-ti-eres (KAM), gallatu Nd 700, 2. ÄS-kal-"Bel\(?), s. "ZA. MAL. MAL-iddin. AÁ-ban-du|da da , As-ga-an-da (Nk 271, 9), Sá- kan-du (Cb 233,4), A$-kan-na (Cb 351,10), As-kan-nu (Dr ZA III 2,30), Sakan (BL 8975) -da (Nd 693, 16), ame Sq- ban-na (Nd 314, 16, Saknu «Bestellter, mand. N7339N ZA VI p. 348), s. Ardı- Gula 17, *Pêl-iddina 150, 162, -rimanuni 10, -uballit 79, -usallim 2, Gimillu 7, Gu- za-nu 6, Kurbanni 1, "Nabü-kin-aplu7, 23, Nigudu 11. A$-ka-pu (mit Determ. “7, Se = NDS AN JENSEN, Kosm. p. 293 Anm. 2, vgl. Dr 321, 4), s. Musézib-" Marduk 71. A$-ka-ri Dr (224, 13), s. Rzmzt + 99. Aaku (""" KU. UT), s. * Addu-Sum-usur 1, Ap- la-a 4, Ardi-"Bau 3, 5, Ardi-* Gula 20, "Bél-ahé-iddin 3, -iddin 20, -igisa 24, -kasir 31, Dummug 11, "Ea-ban-zir 2, Erbà 13, Hahhuru 1, Kin-zir 7, Kurbanni- 7 Marduk 2, Låbåsi $3, Liblut 39, * Mar- duk-qisanni 7, -rimanni 17, -Sum-iddin 29, Mürünu 24, 29, Musezib-"Bel 3, 6, 2 Nabir-aplu-iddin 4, -balatsu-igbi 17, -bàn- afi 2, -efir 18, -ibni Y, -kin-zir 7, -Sum- uin 7, -Sum-usur 19, -sir-ukin 20, Nidin- tum 13, Nidintum-" Bél 17, Ni-qu-du 2, Nu-na-a 2, Såkin-$im 2, 2 Samas-uballit 33, Sa-"Nabn-si 9, Selhbi 14. Äs-pi-e (2 Nd 534, 13), s. 7 Nabü-Säpik-zör. Äs-$ur (auch mit Determin. 2”), s. Böl-usezib 4, Làbàsi 14, "Marduk-sir-ibni 12, Mu- Sallim-" Marduk 3, * Nabi-étir-napsáti 17, -iddina 43, -uballitsu 1, Rémüt-"Bél 16, i Samas-sir-iddin 1, Su-la-a wg. JE MAL.MAL-pir-usur 1, Zir-Babili 2 s. 2Nabü-zir-usabsi 3, Vorsteher», AS-Sur-a-a («Assyrer»), Rimüt-" Bel 44. Ar (LÍB . ZU)-Iu-mur («die Stadt ASsür will ich sehen») Nd (1030, 4). T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. , il A$ur!-abu-usur, s. " Nabi-sir-ibni. X ASur>-ah-usur (PAP) 1. als “Nabü-nädin-apli Nd 573, i». 2 ASur-aplu-iddin Dr 128, 12. 2 Ajur -dan-nu SmkM II 3,2. X Asur-er-ba Dr P 117, 11. 7 ASur-iddin, s. " Bél-abu-usur. I. als ?A-e-ubalfit Dr 319, ». 7 ASur!-i-pu-us, s. Da-su-zu. 2 Aur M Bi-it-ru, s. ? 5. ulman-uballıt. 7 ASur-kit-su-nu, s. Rimit 100. X ASur)-la-a-al' Cb 22. S. Jddin-"Nabn. X ASur'-magir(? SE), s. "Nabh-zir-iddin. 7 ASur\-ri-man-an-ni I. als "Nabü-balätsu-igbi Nd 245, 13. 2 ASur!-Sar-usur I. als Jóna-a Nd 474, v. X ASur)-ta-ri-bi Nd 659, s. Dr 140. 2 A$ur!-sir-ibni, s. * Nabü-Sum-iSkun. 1. als "Nabü-balätsu-igbi Nd 294, s. A-ta-mar-an-nu-su, A-ta-mar-an-nu-us-su, A-ta- mar-"a-nun-su (NdP 0,12 («ich habe seine Gottheit gesehen»), s. /ddin-"Nabü 26, X Marduk-igisanni 4, “Nabi-aplu-iddin 15, Na-din 62. A-ta-na-ah-ilu («ich seufze, o Gott»), s. ”Nergal- iddin, "Sa-par-ri-ibni. /A-ta-na-ah-Si-mi-ni (sich seufze, höre mich!») Nk 72, 7. * 4-tar-ba-nu-us I. als Ba-ga-da-a-t4 Art CIS II 66. A-tar-di?-e-su? Nk 148, 3. A-ta--ri-du, s. Ab-di-ia 1. /A-tar-ra Cr 360, s. Z-tar-ri-id-ri, s. Ulila-a-a. /A-tas-$u ... Nd 305, s. A-t-ka-am, s. Abu-abi. At-kal-ana-"Bau?, s. Kina-aplu. At-kal-a-na-*Bel\, e? aal]. P go, s. At-kal-a-na "Marduk Ng 45,4,10. "2 ga//u Cr 64, 2. 315,2. At-kal-a-na-" TUR. SAG. GIL + 1. als "Sin-bel-usur, rd asaridu sa Kambuzia apil Sarri Cr 270, 3. /Ba-ba-a 84-2-11, 172 I. z4|3 Ardh-"Bel a. Siena Dr 77. No. 2. 17 | 2 | 2.n]$ ?Nabü-zir-Lsir a. Egibi Nd 65, 2. | Ba-ba-ia, Ba-bi-ia («mein liebes Kind!») | Cr 243, 8. als #Marduk-eres Nk 129, 2. 3. a. ”"Enappali, s. " Bél-étir Ba-bi-la-a-a, TIN. TIR"(-la)-a-a («Babylonier»), s. I Naóü-nàsir 4, Ziria. Båbilu (TIN. TIR -Eudt-din 1. af Balatsu a. Sag-gil-a-a Dr L 26, 5. Båbilu (TIN. TIRE )-Iu-mur Nk 450,17. S. Ztti- ” Nabü-güzu 2. /Ba-bu-nu («unser Kind!») | mis "Nabá-ià Nd 680, 2. | Dábütu (Babu|Ba-bu(-t)-tult mit oder ohne De- terminat. ^"^ auch: ?Däbu-ü-tu NAM 27,1 «Kindschaft») Dr (429, 25. 462, 12. 531, 15). S. Ap-la-a 9, 31, 35a, 59, Ardi-" Bel 3, Ardi- #Nergals, Balåtsu 13, Dalatu 32, Ba-zu- zu Y, * Dél-aplu-iddin 19, -êtir 63, -ibni 29, -iddin 25,87, 203, -kasir 12, 36, -Sum-iskun 5, -uballit 69, -usippir, Erba 16, Gi-lu-4-ax, /Ha-am-ma-a 2, Has-da-a 15, Jd-din-apdu 12, /ddin-" Bel 57, Iddin-? Nabi 107, Igisa- aplu 19, 40, Itti-" Nabi-balåtu 39, Kal-ba-a 16, “Marduk-erba 20, -êtir 16, -Sum-ibni 17, -Sum-iddin 25, -Sum-usur 23, Musat- lim-" Marduk 11, Musezib-"Bel 19, Muse- zib-"Marduk 39, 62, "Nabü-balätsu-igbi 47, -belSunu 13, -bullitsu 19, 42, -iddin 6, 36, -ina-eSi-elir 3, -Ulannu 9a, 45, -muk-ki-ehip 1, musetig-urri 41, -nasir 37, -nasir-apli 4, -sum-iddin 15, -Sum-ukin 10, -tabni-usur 10, Na-din 44, “Nergal-êtir 15, =uballit IO, Nidintum-"Bel 12, /Nu-ub-ta-a 16, | Pir 8, Rimüt 47, Süga-a-a 13, 1 Samas- pir-usur 5, -Sum-lisir 2, Séllibi 2, Sirig- tu Marduk 1, Sum-ukin 8, / Tab-lu-sux, Tabnea 24, Zir-bi-bi 4. Babüt-iläani(? Babuf-ANF'), s. 2Samas-iddin 29. EBa-di-ili?', enlaydi ekalli Nd 1040, s. La. aj S#?-di-ni-dui Nk 432, io. #/Ba-ga-bi-i-na-$i (pe.) 1. m/$ Pu-uh-hu-ru als Nergal-iddin Dr 473. | *Ba-ga-da-a-tu (pe. B(Mayadarne, vgl. BE IX), | s. Å-tar-ba-nu-us. | *Ba-ga-a-pa-na (pe. Meyaxavoc, vgl. BE IX) Cb 316, 3, 7, 11. [27] 18 +Ba-ga-pa-a-ta (pe.) 1. al$ Pi-ir-mi-is-di Dr 301, . *Ba-ga(-)-sa-ru-4, Ba-ak(-ka)-salsu-ru-u (pe.) amöiKAN-zsa-ba(mat)-ru Dr 296,2. 527,4 any käsir Dr 105, 2, 4,5. MX mar Sipri Dr 534, 5, 6. Bat-hi-ir (Nd 373, 2), s. 7 Samaÿ-iddin. B&iru (7? SU. HA, «Fischer, Jäger»), s. Ana- #Bêl--pa-qu 2, Ap-la-a 7, 30, Ardi-" Gula 7,18, Ardi-"Marduk 19, Ba-ni-1a 9, 19, 21, * Dél-àsia 2, -bullitsu 9, -éfir 35, -ibni 9, -iddin 93, -igtsa 4, -nâdin-apli Y, nà- sir 5, 6, -uballit 92, "Ea-erba 2, -ibm 4, -nasir 2, -zir-ibni 1, Erbå17, Gimillu 24, 32, Gimillu-" Gula 7, Gu-sa-nu 25, Has-da-a 14, Ib-na-a-a 2, Id-di-ia 2, Iddin-aplu 18, Iddina-" Naba 76, Ina-qibi-" Bel 3, Iqisa 2, Iqupu 4, Itti-" Bél-lummir 15, Ftti-" Mar- duk-balatu 20, Itti-"Samas-balätu 6, Kal- ba-a 6, Kåsir 8, Kidinnu-" Mardu£& 8, Marduka 3, "Marduk-mu-Se-zib Sum 4, -Sapik-zir 4, -Sum-ibni Y, -Sum- usur 6, Musezib-" Bel 5,43, Musézib-? Mar- duk 9, 28, "Nabü-ahe-bullit 23, 34, -aplu- iddin 28, -êtir 26, 32, -elir-napsati 3, -ina- esi-clir 2, -Mttannu 5a, 17, -kisir 1, -mudam- uus, IO, -napıstim-usur 2, -nasir 7, -Sum-iSkun 6, -usursu 36, -usal- lim 16, -zir-igisa Y, -zir-Lsir 25, Na-di- nu 34, 42, "Nergal-uballit 4, Nürea 4, Rimuüt 2, 37, 69, 86, 102, Rimut-" Bel 18, 46, Silim-"? Bel 16, 19, i Saqmas-iddin 11, -pir'- usur 2, -uballit 26, -z£r-ibui 3, -zir-usabsi 2, Sirikku 8, Su-ma-a As Tagis-"KAN.TE 1, Ubår 1, MAL-iddin 8, Ziria 17. Ba-is-ni-tum Dr (407, 10). Da-i-ti-illàni), "Ba-i-t-ilani Nk 404,7. Ngl 28, 56. ®Da-ak(-ka)-salsu-ru-u vide Paga sara. Ba-ku-ü-a, Ba-ku-u Nd 284, 24, [Ba]-a-ku-t-a Nd I, -Sakın- -nadıin-ahi Tabnea 13, 27A.MAL. 979,3 («o über das weinende (Kind)!») Nk - 348,2. Ng 57,8. Nd 7,3. 247,4 546,11. 885,6. Cb 84,16. ^"? 7%paru bez." A sa” Naba- nasir-apli Nd 174,2. [217,5]. 242,6. 302, 349. 361,6. 465,5. 492, 2. 494, 4, 11. Re 544. 546,1. 547,6. 723,6. 751,5. 783, s. 788,4. 789, 10. 826, 13. 879, s. 880, 4. 908, 6. Knut Tallqvist. 048, 11. 952,4. 079,3. 1015,2. ZK II 326. CCE WO, uy ES Porn. [232,3] 250, 7. 206, 3. 352, . KB IV 292. S. B67- Sunu, Iddin- Bel, Rimüt 103, Su-ga-a-a 32, / Ubårtum. I. als Étiru Dr 417, 77. als Y Nabü-musétig-urri à. 666, 74. SAS Sumr-iddin a. Sa-na-Xi-Yu Dr 326, so. Da-la-hu (Dr 154, 14), s. #PBêl-ittannu 13. Ba-lat-su, TIN-su («sein Leben!»; 6 abgekürzt aus ”Nabn-balätsu-igbi 24) Nbp M II 8, 10. Nk 144. 140, 6 us 4. 249, 21. (313, 10, 16). 427,5. Nd 1075,4. Cr (170, 11). par 17 bez. naggarı Nk 163,2. 169,4. 190,2. 278,4. S. Ardia, Dalàtu, " Bél-aplu-ugur 2, -étir, Gimillu, Iddin-"Nabn, Igisa, Kina-aplu 5, Lisiru, Musezib-" Marduk, Na-din 36, 65, Nad-na-a, *! Samas-aplu-usur 8, -nasir 11, ? Ea-imbi Nd v Sum-ukin 30. ROSE Nk 236. als Ahesu Nk 361, 16 als Apla-a a. ' Bél-etiru Nd 194, 6. Cb 73, e als "Bel-ahe-erba a. Irani Nk 368, is. 5. als ?Bel-ahe-iddin Nk 406, 13. als Iddin-"Marduk a. Egibi Nd 501, 2,13 = X Nabü-balatsu-igbi 24. Ku-up-pu Nk 106, 9. Marduk zör-ibni a." ee Nk9r,s. als Musallim-" Marduk Nk 32 10. als "Nabü-ahe-bullit Nk ont 4. als #Nabñ-kasir a. "rei sis? Nd 55, r2. als i Nabáü-Sim-ukin a. Dannea Nk 216, vr. als ?Nergal-uballit a. Babätn NK 141, za. als " Szn-na-din-Xum a. Na-na-hu Nd 178,5. p als X Sulmán-igita a. ...... Nd 165, 2. Js Zirûtu a. """5ahari Nk 307, 13. (EHE son X Nabü-musétig-urri. a. AS-pi-e, s. I Nabü-Yàpik-str. a. bábütu, s. Ardi-" Bel, *Pêl-iddin. . nëlp@iri, s. Ib-na-a, Nürea. a. GBélétiru Smk (ZA III) 2o ana-nur- Marduk, Mürànau. a. Dannéa, s. Etillu, “Nabñ-Sum-lifir, Sitzm- Bel, Ziria. a. Êpes-ilu, s. Jddin-" Bel, Sadımu. a. Pl gallabi, s. "Nabü-Sum-Usir. S. Lussi- T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. (Ba-lat-su) 25. Q. aq. . a. aq. 30. a. a. Ad. 43. «a Balåtu (Ba-la-tulti, Ba-la-tı Nk 41, llc als SEEN: Nd 570. 884, 15. . X Nabü-Xe-e(-me), s. Iddin-! Nabi. . ane pahari, s. Süga-a-a. . mel Paq-se#, s. X? Nabü-zir-igiSa. wnelyab bane, s. Na-din. . Raba-a-Sa-" Ninib, . Rimüt-ilani, s. "Nabü-ahe-bullit. | . Su-ha-a-a, S. . Sa-na-Si-Su, 4O. a. amd FAR. HAR, s. "Bel-iddin. Jrani, s. " Bél-ahé-iddin. | Lultammar, s. Iddin-aplu. | ame! zyalahı, s. " Nabü-na Mi-sir-a-a, s. Erba, Gimillu. | Nabima-a-a, s. *Nabñ-sèr-lifir, " Samas- etir. | s. 2 Marduk-kin-aplu. Sag-gil-a-a, s. Bäbilu-kud-din. 2 Bel-ahée-iddin. s. # Nabü-Sum-iddin. | Sangi-"Nin-ib, s. Ziría. amél$anot ? Star Båbili, X Nabü-Xum-iqisa, -Xum-usur, s. * Der-ztr-lesir, -sir-ÜSir. amel$angi Sin, s. " Nabi-rimannu. Sa-tabtisu, s. # Nabü-usursu. Nd 263, 3. TIN-tu Dr 452,17, Z/N; wahrscheinlich abgekürzt aus /2t-"Marduk-balätu o. à. Als Probename Da-/a-tu K 241, XI 35). | Nk 185,2 211. 401,7 Nd 6,1: 5954,12. 736, s. 883,. Nd CT IV 41,7 Nd M II A8 10: ^ Cr/ 34) 287,33. Ch 142, 6. 302,8 402,16. Dr 152,5. 199,5. 404,2. "laklı Sa | amëlypandidu?! Nd 175,5. 236,2 "mar Sipri Nd 298, 2. "si-pir? Sa kurummåti Dr 314, s. ^"? ST. DUP Dr Pa 11,18. S. Ap- la-a, Ardi-" Gula, "Bel-edu-pitin, -iddin | + 115, -Sar-usur, Belsunu, 2Bel-uballit 104, -upahhir 9, /Hi-ib-ta-a, Iddin-" Bel | 29, / Insabtum 5, Kasir, Labasi, "Marduk Sum-ibni 4, Musezib, " Nabü-balätsu-igbi 59, -iddzn 30, -i-ra-$t, -kasir, -kin-aplu 25, -musetig-urri 42, -Sum-iSkun 23, 27, -tabni-usur, Na-din," Nergal-usallim, -uÿé- sib 8, Nidintum 80, Remüt + 54, Silim- Bel, 2$Samas-ahé-iddin I, -erba, -iddin 42, -kin-aplu, Sullumå, Sum-iddin + 12, U$$sa-a-a. a. anél $a oz 7 Nabi? Nd 830, "e IO. 30. als 40. . af SN E 19 als Ah-iddinla Dr 309, 24. 542, 16. als A-gar-aplu a. Dullubu Nk 202, 17. Balätsu Cr 87, 6 als Bel-Harran-Sadü-a Nd 427, 4 als * Bél-iddina Cb 142, 6. Dr 453, 6 als * Bél-Xum-is&un a. " Ea-pattanu Nk 54, o. al Du-muq a. Gahal Cr 268, i. als Er-ba Nk 175, rz. 223, 6. Ng 47, 12 als Gimillu Ng 32, 5. Nd 900, e. als Gimillu a. Ba..... Cb 245, 6. IS Lba-a a. """ ane? parakki Nd 790, 8 |$ Zôna-a a. Egibi NdP 6,3. [10]. CbP 24. 26, 3. * Jó-na-a a. Kalbi-"Sin? Dr 127, is. al Iddina-ahu a. ^"? ràb bànf Nd 477, so. Y Jddin-! Bel a. "Sin-da--in Dr P 64, 9. 5 Ina-esaggil Nk 381, z. als [na-est-étir a. n [105,7]. Igisa-aplu. Nd 821, als I-gu-pu NÅ 1074, s. al$ Kal-ba-a Nd 221, s. als Ki-na-aplu a. "^""'nahpahi Nk 172, z. als Kurbanni-" Marduk a. ^"?ràb bàni Cr Pu6LEsPa 3,5 Nd 357, 24. als #Marduk-erba a. "nappahi Ng 14,72. Nd 6, x. Cr 29, 8 als * Marduk-nàsr | a. 600, 3. als ?Marduk-näsir a. “"nalahi Nk 82, 10. als 2 Marduk-ztr-ibni a. Uballitsu-" Marduk Nd 932, s. AMi-sir-a-a Dr 431, 2. Musallim-" Marduk Nd 611, 5 ^ ad — ame! HAR. HAR Nd als | Musezib-"Bel a. Ba-bu-ti CbL 18, ss. |$ Na Dress LE ENabt-dbaltilum(-tlènr a. abi biti Dr P 59,.5. 65, 4 als * Naóí-bal-tum-ilani, 20, 4. als *Nabü-bàn-zir a. ^"? Massar abulli Dr 308, 15. x "Nabü-erba a. ^"" nabbahi NdP 9,2 labi-étir a. Asaridu Nd 1025, 7. 5 "Nabü-naps Dr 543; a. als "Nabü-nasir Nd 562, rz. ? Nabü-Sum-iskun Cb 97, n. 3* a [4/ amel urgi CrP 20 Knut Tallqvist. (Balåtu) als Nabi-uballit Nd 315, 4. als 2 Nabå-usallinm a. Epes-ili Co i5, oz Cb L [18, 32]. als * Nabóü-u$allim a. """ ang? "Nana Dr 302, 15. 45. als ?Nabü-zör-ibni Nd 197, 15. 399, 2. als * Nabü-z£r-igiSa a. ...... Dr 415, 13, vel. It" Marduk-balåtu 23. als Na’id-" Marduk a. Sag-di-di Nk 69, rn. als Nar?-tu a. Kanik-babi Nd 258, 25. als Silim-"Bel a. Kanik-babi Nk 424, ro. 50. als 7 Sin-iddin a. Kalbi-"Sin?: DrP 59, 14. [5 Sil-la-a a. Ahe--.... Nk 41. als 2Samas-ah-iddin Nadine IE 2Samas-erba Dr 430, re. als 2Samas-uballit Ne 32,9 [33, w]. Nd 36, 4, 17. 55. al! Sa-" Nabn-%ü Nbp (ZA IV) 5,5. Nd 6, «. als Sum-usur a. Bel-etiru Dr P 75, zz. als Uqupu Nk 435, 13. als Zikari Nk 73,20. 153, ». 157, 4. als Zikari a.” Pa-$e*! Nk4836,:5. Ng 54, us. CARTE Nd 27,2. S. Labañ. d INRT ,S. Jdadin-" Bel. 61a a. abi biti, s. " Nabü-kin-aplu. a. Ahe--a-ü Smk P 1, sz. a. Ahu-bani-i, s. * Nabü-Ein-aptu. a. Ahu-ba-ni Dr (351, 16). 65. a. *"?a]/ab; Dr 227,7. 491, v. a. Amel sist, s. Sitzubu. a. An-Sa-bu, s. Na-din. a. Ardi-ŸEa, dupsar bit "Marduk Cr 345, 47. a. wti, s. Apla-a, 3 Samas-zir-usabi. . mel hänt, s. Belsunu. a. Egibi, s. / Amti-" Délit, Esaggil-kin-aplu, 7 Esaggil-ra-mat, / Gigitum, / Ina-Esaggil- Nabu-ahe-bullit, -êtir-napiat, -tabni-usur. a. Er-ba Nk 274, 2. Nd 292, 4. Cr 288, 9. a. Esaggil-a-a Nd (405, s). Nd M (II 57). a. Gimil-" Nana, s. Sum-ukin. 75. a. lddin-"Ea Nk 420, 19. a. Iranı, s. Kina-aplı. a. "hay, s. * Bel-igisa, "Nabü-udammig. a. Kalbi-"Szn? Dr 227, s. | a. Kanik-babi, s. Lu-di-ia. ra-mat, 80. a. Kasir Nk 30, 12. . Kidin-" Marduk, s. Süga-a-a. . nö mandidi Dr (464, 21). oe Nd M II 58, s. MOT AU Ru es Nd 230, zs. . Mastukku, s. "Marduk-s£r-ibnz. . Mi-sir-a-a, s. " Nabü-rimanni, -usur Fu. . Mukallim, s. Na-din. anc yoa-ba-a, s. !* Nabg-ittamuu. . "Nabü-ah-ittannu Dr 379, 1. ? Nabü-uXézib, s. "Samas-kin-aplu. . Y Nabü-zir-ibui Nd 278, 12. eénappali, s. "BDel-iddina, Kabtia. . /Na-si-ka-tıum Nk 109, 3. Nür-?Sin, s. À Samas-Sum-iddin. and pahari, s. "Marduk-Sarranı. ame! Pa-Yo*i s. X Nabü-sir-ASir. . emölyab bant, s. "Bel-usallim, Igesa-aplı, Kalba-a, *Nabi-aplu-iddin, Tab-sil-" Mar- dur. a. "yb h-ru-h, s. Ina-gibi-" Bel. a. Sip-pi-e, s. " Nabu-belsunu. a. Sa-na-Xi-Yu (= /tti-" Marduk-balàtu 43), s. "Nabü-aplu-iddin. a. "ange ? [$tay, s. Gimillu. a. ^"? ano? ? Naná, s. Nabt-uallim. a. ""? aye? " Nimb, s. "Bel-kasir. a. ^"? ono? parakki, s. " Nabü-tabni-ugur. IOS. q. Siena, s. 2$Samas-sir-iqisa. a. Sam-iddin, Cb 268, 9. a. Tu-na-a, s. Bånia. a. Umug, s. Ibna-a. IIO. a. Ugupu Nk 249, ss. Da-at-ta ..... , S. "Bel-i-da-ni 1. Dal-tam-mu-, s. Sadammáànu. Ba-al-ta-in? Dr 504, e. Bal-ti-ia? 1. al$ U-bal-lit- Marduk Nk 363. Ba?-lu-lu Nd 647, 9. Ba-am-ma-a (BC 81-2-4, 452, vgl. as. Da-mu-u 83-1-18, 366 = JADD 167) I. a. "pg eoqyi Smk CT 31, 0. /Ba-na-ta-a 1. z2]5 ?Marduk-süm-usur Dr 431, 5. JBa-na-ti-E-sag-gM, IB a-na-at{-E)sag-gillgit, JKAK(-a)-tültum-E-sag-gM Cr 128. Cb IIO, 8. 85. 90. 95: SOUS SES SU SAS ST RTE ESS ES 100. T. XXXII, Neubabylonisches Namenbuch. (ZBa-na-ti- E-sag-g) i Zu Da-li-li-ei-$u NKI S, a, 10. D ml$ " Nabàü-sam-iddin Nd M 16, 1, 10. /Ba-na-th-ina-E-sag-gil («in Esaggil ist sie ge- schaffen»). 1. m/s Igesa-aplu a. "ENT, SUR gi-na Dr Pa 10, 33. Ba-ni-ialié, KAK-ialid, KAK-a| var. Ba-ni-e-a Ys 20. Ce IEEE Nk 115, 25. Js Abkallu Nd 875, 13 (Cr 321, 12. NdL 1; beachte AAK-a sonst = lb-na-a(-a); vgl. as. Ba-ni-i KK, 316, 26. 344, 12. 512, 2, he. "33; Kosename gebildet aus da-ni, siehe die mit diesem Worte zu- sammenges. nn. pr.; «mein lieber 7a-z;l») Nk 79. Nd (232,9) Dr (39, 10. 452, 17). amölzyar Sipri Nd 618,2. S. Apla-a, 2 DéL- erba, Délsunu, "Bel-usallim, Gimillu 41, Iddin- Bel 33, Jddin-" Gula, Iddin-" Mar- duk, Kin-aplu 33, / Mi-sa-tum, * Nabiü-bul- litsu, -iddin, -kin-aplu, -rimannı, -Sum-usur 35, Nana-iddin, Oät-"Bel-Sakan, Rimiüt, Sabbalu, Sum-ukin. d 205, 9. 473, 12. l3 ? Addu-uballit Cr 15, 10. 37, 1o I$ Apla-a, ""? Sangit sa bit "Del? NK 109, 28. | Tu-na-a Nk 346, 13. LE Etiru a. Epes-ili Nd 165, 27. |* Zgëÿa-aplu Nk 302, 2 IS Itti-" Marduk-balåtu a. Sigia Nd 261, ss. Balåtu a. als Ku-na-a a. "%4@iri NÅ 1048, ss. D ^ ^ A Vv avs Js 7 Nabi-belsumu a. Epes-ili Nl 63, s. 5 #2 Nabü-kullimanni Nk 164, 10 X Nabü-liu a. Sag-di-di Cr 217,7 il Nabü-sim-iddim a. 2 Ninib? Na M 16, 3, 16. ame S aquo DONS als Nådin-Söhi Nk 94, ro. Y als 223 d Rimüt a. Epes-ili Ng 34, ro. : Ms A als Rimär- Bel a. Sigia Nd 352 à ISESadundnam ATI Nd 343, zs. als Su-la-a a. Si--a-tum Ng 24, 19. d als Süzubu a. "bó iri Nd 1047, is. als Tabnéa NdP 10, z. als 760, , 18, 761, 14. als Tagés-" Gula Nd 742, rz. als Ziria a. ^"? báni Cb 31. a Ahu-bani, s. * Nabü-eres, No. 2, Tabnéa a. """ba?ri Nd 395,9 438, 9. -Yum-akun. 40. 45. 50. 52. aq. a. 2I Ardi-! Nergal, s. " Bel-kasir, !Nabü-nasir. ArrabilArrabtum, s. * Dél-iddin, *Nabi- balätsu-igbi. anl y jp], s. "Bel-igesa," Nabiüt-ina-esi-eir, -uàstr. s. * Bêl-iddin. 7 Bél-étiru, s. "Bel-ahe-igtsa. . Büsu Nd (74, 7). Dannu-! Addu, s. Jddin-" Nabt. Egibi, s. Munahlis-": Marduk. Épes-ili, s. #Nabi-uYallim, Sá-La-a. . Jrani, s. *Marduk-nasir. p CX SPIRE RSS 2 Samaÿ-erba. . Känik-båbi Cr (268, 10). . Marduk desse Ne (27, 6). Misir-a-a, s. Dél-ztri. Mu-sul-mu Dr (50, 13). . Na-ba-a-a, s. Bél-id dina, * Marduk-balat- su-igbi, Nabi-balatsu-iqoi. il Nabü-ztr-ibni Cr 380, 10. Na-din Cr 99, 14. on yaggari, s. Itti-" Marduk-balåtu. Pap-pa-a, s. Labast. GU, s Us Samas-erba. amdlyab Sussi, s. "Marduk-kin-aplu. il Sin-ilu, s. Müranu. . 2. Sin’-Sadi, s. "Marduk-gisanni. . 2 Sin-tabni, s x vev . SA-NA-ST-SU, S. . en] $qngt #Nonib, s. Munahhis-" Marduk. Miranu. ? Nergal-iddin. . am guo? il Sin, S. Sápit- Sr. Bani-E-zi-da ji: als St-su-bu Ev 12 S# Ba-ni-tum-agi(GÍL)-usur, qallatu Cb 193, 2. / ! Ba-ni-tum-bel-usur Cb L 169, e Lil Bánt-tum|tá-dan-na-at Nd 958, 2 1. m|s Zab-di-ia Nk |276, 2]. i Dant-tá-ere$ Nk 443, 17. S. Dél-rimauni, ” Nabi- usura. JS Bünt-tum-e-ti-ratlru 1. ul 7 Marduk-Xim-usur a. "NI. SUR gine Nd [597, 3]. 845, 2. Si Báüni-tum-gu-u-zu Ng 50, 4. Cb 307, 3. £i Ba-ni-tum-lu-mur. (vgl. /Sa-? Bánttum-lu-mur) Nk 368, ». Jil Bani-tt-na?-Su2-u-a Nd 992,6 SL Ba-ni-tum-ra-mat Nd 257, 2. t3 l3 2 JT Bant-tum-réu-4-a Dr P 88, 12. SL Bane-tum-r&u-ü-tu DrP 71, LB åni-tu-ri-su-4-a Dr 379, 44. JL Ba-ni-tum-si-il-ii Cb 193, 3. /"/ Ba-ni-tum-su-pi-e-muh-hur, /" KAK-tá-su-pi-e- mu-uh-ru Nd 508, 3. Dr 370, 49. LE Båni-tum-Sul-lisn-in-ni, gallatu Nd L 1, s. SL Banitu-taddin V"KAK|Ba-ni-tum-ta(-ad)-di- nulta-din-nu), gallatu Nd 772,4. 832. Dr 379, 19. TASER EE RER Dr 355. / Banitum-tuklat (" KAK|Ba-ni-tum-tu£-lat|fa- Zum) Nk 386, s. Nd 769, 11. I: Bani-tum-um-ma Ng 2, 4. Dànü ("DIM «Bauarbeiter»), s. Ardia 17, Bånia 23, * Bél-ahé-iddin 34, -iddin 104, 167, -it- tannu 8, -käsir 42, 44, -rimanni 22, Bel- Sunu 5, 40, "Bel-uballit 9, Bul-lu-ta-a 16, #Bunene-ibni 8, * Ea-Yum-usur 1, Gimil- i Gula 8, Gimil-"!Samas 2,8, Iddin- Bel 30, /ddin-"Nabu 85, lddinünu 4, Iqisa- aplu 37, Itti-” Nabi-balåtu 48, Kabtia 26, Kal-ba-a 4, Kin-aplu 5, Låbåsi 39,01, Lisir 18, ”Marduk-kin-aplu 3, -rimanni 22, -sum-iddina 42, 46, Munahlis-" Mar- duk 8, Musezib-" Marduk 30, "Nabiüt-ahe- iddin 17, -ahé-Sullim 5, -aplu-iddin 26, 62, -balatsu-igbi 2, 54, -bullitsu 6, -ittannu 60, -kin-aplu 32, -musctig-urri 33, -nâdin-alei 9 2, 9. v E 21, -nasir 43, -Sum-imbi 2, -Sum-is kun 9, II, -Sum-lisir 13, -Sum-ukin 8, -usursu 15, Ni-gu-du 22, Rimüt 40, Rimüt-! Bel 8, Silim-"Bel 17, Süga-a-a 16, "Samas-ah- iddin 4, Süt-ma-a 4, Sum-ukin 17, 38. Da-nu(-ü)-nu («unser Schópfer!», no.7 abgekürzt aus ?Nergal-banünu)Nk 202,2. 324,3. 432,2. Ev 3,4. Nd 608, s. 742, s. 760, 9. Dr 115,3. S. 2Bel-uballit 26. I. als Kıribtul; a. Dullubu Nk 339, 2. 347, a. 364, 2. als Musezib-"Bel a. Da-bi-bi Dr 27,6. DrBa 9, M. als * Nabü-éfir a. ^"? rib ban: CbP 28, 16. als * Nergal-usallim a. yet sisi Dr 490,15. 5. als Sil-la-a a. ^"? rzàb bàni Ng 42, 11. 55, 14. 58, zo. Ng L 12,5. V R 67, 2, 20, Nd 132, s. 165,5. 251, 2. 536, a. Knut Tallqvist. a. nel bank $arri, s. Kal-ba-a. a. ëlyab Dui, *"daianı Nd 495, 20 = X Nereal-bàn&nu 1. S. ?Bel-käsir, Erba- X Marduk. 8. a. .Sz--ti, s. Jddin-" Marduk. Bän-sir (KAK|BA Dr Ba 12, 10 -Z/R; 1, 2, 4 ab- gekürzt aus "/VaóZz-bàn-sir) Nk 210,4. Nd 739, 15. Cr (102,10). Cb 88, e. 180, e. 410, 6. Dr66/6, 11885, 86,103 21222 1) M: Ardia, Iddin-" Bel. 1. als * Bél-£àsir a.Sag-di-di Dr 205,7 —"Nabü- ban-zir 2. als Daian-" Marduk a. *Sin-Sadinu Nd 1091, 3. Cr 86, 3. Dr 56, 5 = ”Nabü-ban-sir 4. als Låbåsi a. Su-ha-a-a Dr 332, 16. als Na’id-"Marduk a. ^"? i35ar) Nd 178, 5 = !Nabü-bàn-sir 8. 5. als Rémaüt-!* Bel Dr 33, 2. als Rimüt-"Bel a. Pase? Dr CT 21, ss. als Sápik-sír a. """Yangi "Sin Dr 472, 19. a. Rimüt-" Bel Cr 285, v. Cb 274, 10. 9. a. Sin-fadinu, s. 2 Samas-iddin. Da-qa-su ..., Ss. Uballitsu-" Gula 4. Bag-qu, Da-ag-ga Dr 163, c. I. als /ddina-" Nabi a. "^"? yàb bant DrP 114,2. JH Ba-ra-izi-ba-ri-t-a Nd 520, s. Bar?-bar-ra-at, s. Du-uh-hu-ba-at. Ba-ri-hilhu (cfr. he. m*3 und Ba-ru-li-ilu), S. X Bau-bel-biti 2, * Nabn-Sum-usur 23. Ba-ri-ki (cfr. 19992, Baoeixeıs BE IX), s. ”Naba- sir-iddin. Ba-ri-ki-ia (cfr. he. mana, Bageyxias) I. a. Ak-ka- Cr 50, s. Ba-ri-kilku-" Addu? (cfr. phó. 59253, pa. 13538 ES) GT (Cd 2, 18: DBa-ri-ki-ilu & (cfr. he. 58392) Nk 343,3,7. 408, 7. Nd 1113,0. S. 2Bel-uballit, 2Samas-ibni. Ba-ar-qu-erba? Cb L 169, 9. Bar-sip" (wohl = Barsip-a-a), s. Jddin-" Nabí 121, “Nabü-etir-napSäti 65. Dàr-sip-a-a 1. al$ Tabnea a. 7"? Yang? ? Sopa Dr 406, 7. Ba-ru-li-ilu (cfr. " Nabtt-bar-hu-ilàni K 241 II 3, 2 Sin-bar-hi-li KK 1550. 5380) Nk 361, 7. Ba-ru-ga-a, ^"? ardu AT CT IV 39. 7 Ba-ru-qu Cb 387,16. ?Ba-ru-qu-nu ...., s. Da-si-ia. T. XXXII, Neubabylonisches Namenbuch. 23 * Bay-zi-ia («Smerdes»), farru Smd P 37,17. 38, 22. 30,15. SmdZA IV. Ba-ri-zi-ia Smd (ZA IV) 4, 7 Ba-si-ialié, Ba-su-id (DrBa1,,9), Da-si-a(Nk 31,13) (as. Da-su-a-a83-1-18,405 —J su-u-aK416—]JADD 266, cfr.? 02) Nd 622, 18. 650,18. 754,9. Cr(3,8). 248,4. 300,7. Cb AT, er 57,13. 255,12. Di 91,7. 435,18. 517,19: amel epissanı Nd 893,9. "^" sumit? Sarri Cr 300, 7. S. Ahusunu 13, Ba-si-ia 13, "Bel- ahe-iddin 13, -iddina + 124, 174a, Gu- sa-nı 244, 13, 20, "Nabü-balätsu-igbi 43, -elir 12, -kin-aplu 27, -muselig-urri 4, -nadin-ahi xj X! Marduk-näsir 2, -rimanni 5, -näsir 20, -Sum-ibni Y, -Sum-iddin 25, -Sum-ukin 38, Nidintum 42 Tabia 3, "Uras-kásgir 1. 1. als ? Adda(-Xàr-iddin) Dr Ba 11, 4, 9. als * Ba-ru-qu-nu .... Dr Ba 16, v. als "Bekiddin a. "" Szn-Sadinu Dr 312, i5. als Ina-esi-Etir a. "rei sisi Dr 388, 1. 5. als Igisa-aplu a.? Cb 349, 11. als Kidin- Marduk a. """ràb bàn DrP 76, 9. als Låbåsi a. " Ea-Epes-ii Dr 386, zo. 2 Bel-aplu-usur? Si-si-ia 1, als 2 Marduk-Sum-uSur a. DAR 56, 23. als Muselzib)-"Bel a. ^"? nita Dr 490, 56. IO. als Nabñ-Süm-iddin a. "abi biti Dr 282, 15. als #Nabi-Sum-iddin a. Sa-bi-na-si-su Dr Pire: als Rimüt-" Bel Cb 223, 14 als Su-qa-a-a a. CL Dr 429, zz. ali Si-la- Art CIS II 66. 15. a. Ahåtu, s. Kabtia. a. Egibi, s. *Nabt-ahé-iddin. a. Epes-ili s. "Bölerba. a. Na-ba-a-a, s. * Nabi-balatsu-igbr. a. Pa-Xe*, s. #Samaÿ-uballit. 20. a. ëlyàb ? Ninib, s. " Bél-Zpus. a. Si-ia-tum (Is--at), s. "Nabü-bullitsu. 22. a. Tagis Cb 131, 19. 202, 10. 398, 5. 430, 7. Ba-su-id vide Pa-si-ia. Ba-su-ru Nk 459, s. Nd 365, 9. 559, 4. 734,4. 791, 10. O11,5. 1080, 18. Cr 142,3. Cb 50,9. 420, 3. Dr 216, 2. 370, 2ıb. S. it Samaÿ-erba. No. 2, 1. af Al-ta-ma-|ll-ta-a-ma Nd 728, 5. 987, o. Cb [426, s]. als Musezib-"Marduk Dr CT 43, 22. 3. a. Tak-ta-ma-am Cb 50, 7. Ba-ta-ni-tum, s. *Ea-rimanni 1. X Ba-ti-il-ha-ra Nd 1133 #Ba-ti-il-ÿe-sib 1. al$ Lussu-ana-nür Dr 372, i. Dat- um Marduk\-êtir Nd 531, 3. Ba-tu-ul (batälu «Jüngling») Smk M II 3, 3. /Ba-tu(-ü)ul-tu («Jungfrau») Nk 369, 4, 9. X Bau >-ah-iddin 1. als *Nabi-ibni Nd 936, 14. a. nel han, s. " Nabk-Xum-i bun. id Nd 16, 1, s. .an|* Ardi-"Bel a. Egibi Nd 533, 1, 11. 2. ms " Nabü-balátsu-igbi a. Ba-ri-hi Cb 120, s. 315, 4. 338, 3, 21. " Bau-erba, s. "Bel-ah-iddin. Bau 2eres (KAN|PIN-es) Nk 94, u. 452, 7, 11. S. #Bunene?-ibni 13, Er-ba, Kal-ba-a + 53, *Nanö-iddin, Tuïparka-ilu. 1. als X Nabü-ahe-iddin NÅ 943, v. als #Nabi-bar-ahi Nk 366, a. als " Nabü-ri-bi-usur Dr 351, 3. als Sü-lum-ma-a-du Cr 328, is. 5. a. mölb@iri, s. Kal-ba-a. a. #Nabñ-ga-ta-ri Nk 412, 3. 7. a. *"? sane? na-ta-bit? Smk P 2, 5. £3? Ba-h-e-filfi-rat Nk 201. alti "Marduk-erba a. Mi-sir-a-a Nd 50,3. ummu sa * Nabü-Sum- usur Cr 154, 19. I. 2205 i Samas-ipus Nd 103, s. X Bau-iddin. 1. a. Arrabtu, s. "Nabü-ni-ib-ana-ıanı. 2. a. Musesib, s. *Nadt-aké-bullit. f Ba-h-i-lat Lb 3,3 1. 21] Bi-bi-e-a Nk 166, 15. ST Ba-á-ma-ga-ri-al-si-i$ Nd 508, 4 — //na-babi- magari-alsıs q. v. 7 Ba-ü-tu, s. Sum-iddin 2. Ba-zi-bel? Nk 169, 9 SBa-zi-hım Dr 43, 11. ""?"a-ta-uu Nk pe 3. UM- mu ia Na-din als “Bêl-igiÿa Ng 36, s. Ba-zu-zu («Gefangener»?) Nd 324, 5. 350, 11. 385, 9. 554,8. 79I, 1. 1080, (Cie aS. 247,3 [326, 17]. 339. Cb 87, 7. [204, s]. Dr 379, ac. 24 (Ba-zu-zu) | amelgalluNg 23, 2. Nd 13, 3. Cb 62, 4. 67, s. S. Ar día, "Bel-ittannu, Ii-ia-ga-mit, Lisir, X ZA. MAL-MAL-ah-iddin. | a. Båbiutu Dr 365, o. als Ardi-"Nabi, «""sipra a bit eap Sarri Cr 199, ro. LE ? A$ur-ipus Dr 522, z;. 20 DAT 238, 13. ‘ Dummuga a. Mi-sir-a-a Dr 321, 5. als *Ea-10m Dr P 82, is. Ss Etillu a. **!ispari Cb 286, s. als Jddin-"Nabü a. Etiru Dr 67, 4. als Ki-na-aplu a. Iddin-" Papsukal Nk 5 7Bekigisa .. ; 30. 10. als “Nabñ-lalga-utirri Nd 900, s. als "Nabü-käsir Nk 308, 3. | als "Nabü-näsir Cb 56, s. | als "Nabüu-Süm-iddin a.”!abi biti Dr 337, 17. als Rimütu Cb 375, 1. 15. als Römmt-" Bel a. "Sin-imittu Dr 484,10. | als " Samas-ibni Nd 103, ». | als 2 Samas-uballit Ev 20, 7, 15. Nd 112,3, 1. | als Så-la-a a. 2 Bel-&tiruNd 481,7. Cb 375,29. | a. Bäbitu, s. Ap-la-a, Selibi. | 20. a. Étiru, s. /ddin-" Bel. ane Cr 110, 4. a. Mukallim, s. Itti-" Bel-lummir. 23. a. Zirütu Cb. 391, zs. 2 Bel!-abu-usur Nk 131,7. Nd 583, 3,7. 1022, 1. | Cr 353, 4. Dr Ba 32, 5. ?84-2-11, 172. «" | mandid ekalli Nk 311. S. Ausunu,? Nabü- nasir 53, -usabsi, " Nergalt-ina-est-étir. | I. als ASur-iddin Xr CT IV 34, 12. | als "Nabü-ztr-ibni NK 452, 10. als "Nergal-da-a-nu Nd 718, 7. | 4. a. Sigha, s. Dibnug. | #Bêl-alè I. al$ Ziria a. sang? " Za-ri-qu Dr 474, 15. 2. als a. Na-din-Se-im NK 5, s. X Bell? Nabü)-ahe-ba-ni?? I. als Romüt Dr Ba 6, s. X Bel\-ahe-bil-Ut| TIN-it NK (12, 16). 1. a] Sü-la-a Nk 373, 19. (f oio n god o Dr (97, 11). a. Da-i-qu, s. * Bél-iddin. a. Sag-di-di, s. Itti-" Bél-Iummir, Läbäst. SA e Ah , S. Reni. #Bêl\-akè-er-ba| SU SmkM II 2,2 Knl M II 6, 2. Knut Tallqvist. Nk 149,2. 230,6. 404, 3. Nd (3,7 124, s. 333,4). 351, 4, 18. (450,11). 1022,16. Cr 92,3. Dr 110, 11. 343,4. S. Ahe-iddin, Ardia 60, X Ea-Sum-iddin, dddin-"Nabáí, Måirånu, 2Samas-erba. 1. als XBel(Nabü)-uSesıb a. Da-bi-bi Nk 193, o. Nd 518, 3, 10, 15, 16, 19. als Dumug a. " Sin-imittu Nd 44, 15. 65, zz. 67, 2. als Kal-ba-a a.Uballitsu-" Marduk Nd 498, 7. als Zisiru a. """ràb bànt Nk 179, 7. 327, 6. 5. als #Nabu(Bel)-balätsu-igbi a. ""nappalı Dr537,20,,15, DE RAC NE als ENabi-nâsir a. ^"? 5ahari Nk 358, 4. als Naóg-Xam-ü-hín a. Kalbi-iSzn?Nd 790,6. a|$ Na-din a. Epes-ilu Nd 693, 77. als Rimüt Nd 536, 2. IO. als Ziria Dr Pa 21, zc. a. Babülu, s. 2 Nabu-mukkea. a. be ir, s, ESamas-pir -usur. a. Ba-si-ia, s. " Nabu-Sum-is kun. a. " Bél-aplu-ugur, s. Sa-pi-i Bel. . Büsu, s. Kudurru. a. Då-bi-bi Nk 432, 12. a. Dannéa, s. " Nabü-zir-Usir. a. Egibi, s. "Nabü-ugursu. q. Epes-ili, s. Musezib-" Bel. 20. a. Ii - Marduk, s. Itti-2Samas-balåtu. a. Ir-a-ni, s. Dalátsu. a. melispari, s. Di-na-a. a. Kalbi-* Szn?, s. Ahe-iddin-" Marduk, * BéL- kasır, " Naóü-usursu. a. *" 22 sist, s. Muxézib-" Bel, "!Nabü-ba- låtsu-igbi. 25. a. " Szn-udammiq, s. Na-din. a. "Ya tabtisu, s. S Tábatum. a. Tu-na-a, s. "Nabü-ré un. 28. a. Uk-ka-a-a, s. Sullumu. " Bél-ahé-iddina. ((BY-SESP| SES| PAP. ME- MU|SE-na) Nbp (ZA IV) 7, ». Ng 61, s. Nd 54, 10. [233, 13). 398, 12. 444, 4. 583, 22. 891. 1102, 14. Cr 117, 26. 135, 5. Cb 286, 13. Dr 370,3. 417, 18. ^"? a$arid $arr Ng 44,2. Nd 260, 3. (bel pigit) Xa Esaggil Nd 558,7, 18. 629,3. éldaiann Nd 355,15. S. Dalatsu, i Bel-usesib, /Habasirtum, Jddina-aplı, lt Marduk-balätu, Ki" Nabi,” Marduk- T. XXXIT, Neubabylonisches Namenbuch. 25 (Bel-ahe-iddin|a) balätsu-igbi, -rimanni, " Nabü-balatsu-igbi 61, -belsunu 19, -gamil, -nasir, -udammıg, Sakin-Sum, Sirik. li. D Saone Dr 447, 3. D ala bin Nbp(ZAIV) rt, re. SE are a. @melaslaki Ev 9, 18. a]$ ...... a. Mukallim Dr 474, x. 5. als Apla-a Nk 134, 1s. ali Ardi-! B&L a. ""? angi ? Sama Nd 947, 13. als Ardi-"Naók a. 7""$angi "Addu Nd 1025, 16. Cr 231, 20. als Balåtsu a. Ir-a-ni Nd 837, 17. als Balåtsu a. Su-ha-a-a Nd 750, c. $ #PBélig-bi-" Bel a. Bél-êtiru Dr 554, n. $ "BéL-ittannu Dr 274, 1. ? Bel-nåsir a." Sin-imittu Nk 300, r1. 307,11. $ YBel-Sum-iddin a. Ba-si-ia Cb P 34, 12. als "Bel-Sum-iSkun a. Dullubu Nk 241, s. als #Bel-Sunm-iskun a. Iddin-" Mardu& Cb 326, 9. als Esaggül-Sum-ibni a. "Sin-da-ma-qu Ng IG 2 10: alt Gimillu-"Samas Dr 272, s. als Gu-da-du-ù Nk 129, s. als Låbåsi a. amél-" Ea, """ablu Esaggü Dr 437, vo. als X Marduk-Sum-ibni a. Marduku Ng 44, ro. als * Marduk-zir-ibni a. Egibi Nk [420, 7, 17). als "Marduk-zir-ibni a. Usur-amät-" Ea Ng 36, 24. als Musésib-" Marduk a."ispariNd 995,14. Nabñ-balatsu-igbi Nd 581, 17. als “Nabi-ban-aln a. *PBèl-êtiru Nd 123. als "Nabü-bel-Sumäti à. Babili* Nk 101, 5. als * Nabü-étir a. "Sin-ibni Cb 326. i Nabü-Fin-aplu a. Disu Nd 193,22. NdL 13,7: als “Nabi-naid a. "Bel-igisa Nk 185, ı7. . als * Nabü-Sum-iddin a. Nür-"Sin Cb 326,12. als "Nabü-zir-usabsi a. Lussu-ana-nûri Cb 8, s als Na-din a. ! Nà-Ó6u-un-na-a-a Nd 801, is. als " Nergal-éfir a. el... Nd 123, 7. als Sur-" Addu a. ^"? bani NkP 3, 2. No. 2. 25 amigo IS TA. x X qu « Sakin-Süum ..... Nd 233, s. * Sá-ma-a a. """Pa-ie*? Nk 350, rs. > Sasubu a. Kånik-båbi CrP 15,8 21,14. [19, 122). als Taqés-" Gula a. Siga Ng 23, 5. aan Az Bel-zir. . amel-!Ea, s. Labası. . Ardi-" Nergal, s. "Nabu-nädin-ahi. . nha s. 7 Nabn-Sum-i eun. . * Bé-aplu-usur, s. Musezib-" Bel, " Nabü- usallon. a. "Belu--u, s. Tabnea. a. Dullubu, s. Itti-" Nabi-balåtu. a. Egibi, Kal-ba-a. . Ib-na-a Nk 375, 5(?). . Na-ba-a-a, s. Ardı-" Nergal. ? Nabü-lit-su Nk 342, 6. amélyappali, s." Marduk-str-Üsir, Rapsu- Marduk, Uqupu. a. nölyas patri(karri), s." Nabü-éfir-napsáti, Ziritu. a. NI SUR gine, s. Tagis-" Gula. a. Nür-" Sin, rédaianu Nd [356, 45]. 495, 22. 608, 15. S. Zti-" Marduk-balätu. . anölpahari, s. Kal-ba-a. . Qagqadinu, s. Musezib. . Qaqqaduunitum, s. Silim-" bel. an yab bant, s. " Nabi-Dullitsu. .amÜVER s. Ardia, Ardi-! Gula. ame y P sist, s. "Marduk-näsir. 2Sin-damaqu, s. Rimüt-" Bel. 7 Sin-imittu, s. Ardia, Belsunu. ? Sapuai-ibni Cr 360, 16. 1 i Samax-uballitt, s. " Bél-iddin. 65. a. Sigha, s. X Bel-usallim, Iddina-" Nabü. 7 Bel-ahe-igika (UB\-SES#| PAP.ME-BA-Sa) Nk 244,7. 262,2. Nd 317,11. 929, 5. IOIO, 18. 1038. Dr (487, s). ”*gzpi (Ebarra) Nd 321, v. 489, 13. 548, 6. 637, 7. 718, 3. 899, 16. 986, 4. Cr 26. 28,5. 364,7. S. "BeL-Xum- abun, Ina-sil-!Nergal 1, Saddinnu. Nk 134, 10. Ba-ni-ia a. #Bêl-êtiru Cb 185, s. 2 Bel-al-usabsi a. "Del-etiru Nk 320, 5. Ev 22, amel S. aaa Ico e 40. 45. s. "Dél-udammiq, Dummuga, R OR 50. 55. IQ. 26 Knut Tallqvist. (PBél-ahè-iqi$a) | als "Bel-aplu-usur a. Im-bu-Si-ia Cb 306, 15. 5. als " Bé-étir Ng 39, 16. | aj$ Belsunu NAM 19, 6. | |* Bu-na-nu a. "nappahi Cr 242, 14. als Musezib-"BEl à. "él malahi Nd 203, #. als "Nabu-balätsu-igbi Nd 184, 56. 270, 2 CrP 20, 16. IO. als "Nabi-Sum-iddin a. ^"? Nådin-Se-im Nd 435, 1. Cb 174, zs. 179, #4. a|$ Nad-na-a a. Sag-di-di Nk 203, rr. als Szim-"* Bél a. Amel-!"Ea Nk 68, o. als Ubár a. """nabpahi CrP 19, 15. a. "Baütu, s. Sum-iddin. . Y Ea-epes-ıli, s. " Bel-iqbi. | Egibi, s. Ardia. | Na-din-ni-e, s. * Nabi-bullitsu. anélyet alpi, Ss." Naba-bän-alu. Sag-di-di, s. Iddin-"Bel. 20. a. mel sip-e-a, s. "Bel-Sum-iskun. XBel)-ahe-Sul-Iu-mu|GI, s. Arrab. 1. als "Bel-ah-iddin a. Tug-na-a-a Nk 117, 12. RT ONE Cb 438, 19. 3. a. Egibi, s. Itti-" Marduk-balåtu. "Bél'-ahé-usur. (PAP). 1. als ?Addu-usallim Cr 328, 13. 329, 20. 7 Bell-ahe-uSabSi, s. Så-la-a 47. "Bell>»-ah-iddin(-MU(-nu) Dr 440, s. 476, ıs. Art Ba 32,4. S. “Nabü-bullitsu, -Etir-napsäti, Rimut-ili + 6, * Samas-uballit, Sa-" Nabi- så, Sulum-Bábili. 1. als " Bau-erba Nk [422, 6]. als "Marduk-erba Nk 94, 6. als * Nabü-étir-napsáti Cr 308, c. als * Nabá-na-din-ahi Nk 104, n. | 5. a. “Pêl-aplu-t-sur Nk (269, 9). a. "mar Sipri, ss Rimit-il. a. "na-din Se-im, s. " Nabi-mudammig- Jani. a. ”Epahlara, S. Apla-a. a. "Szn-Xadimnu, s. Musézib-" Bel. 10. a. Sip-pi-e, s. Nabñ-êtiru. a. ^") igne? "Bel, s. ? Marduk-Såkin-sum. a. Tu-na-a, s. St-la-a. 13. a. Tug-ua-a, s. "Bel-ahe-Sullum. "Dell-ah-igisa. I. a. Sag-di-di, s. Iddina-"Be£l, {N} IE. 8&RRRR #Bél\-àl-it-tan-nu, s. " Bél-ubalfit. 1. als "Szu-Mu a. "Bel-Etir Dr Pi 12, 5. "Ber-àh-usur| PAP, “"'ak-ka-du-a Nd 923, ». 1. als Musezib-" Bel Dr Ba 16, zz. 2. als " Nabóá-Xàr-usur NdP 4, 6. 2 Bel-ah-usabsi (!BY-SESIPAP-GÁL-Si-Xib-i Dr 325,9 Nk 231. Nd 821,6. Cr 326, v. en? pu-sa-a-a Nd 1130, 11. S. IQisa-aplu, " Nabut-kasir, " Nergal-3um-ibut, /Süga't- tum. 1. als Ardia Cr 96, 3. als Etillu Nd 383, s, s. als Etillu a. Ekur-zåkir Nd 348. als * Nabü-ahe-bullit a. Mu-an-bit-tum? NgL iUo de 5. als " Nabü-àh-iddin a. fa tabtisu Cr 230, 6. af Noid-#Marduk a. ? Sin-imittu Nd 655, 1, 10. 903, 13. als Susranni a. amélfangé "Gula Nk 309, 14. 03 55 3 A. , S& 772 a. " Bél-étiru, s. "Bel-ahe-igisa, -sir-ibni, X Marduk-giSanni, -Sum-iddin. IO. a. Kas-si-tir-ku, s. Lüsa-ana-nüri. a. ""lyyalahi, s. "Sulmön-ah-iddin. a. Marduk Nd (177, 13). a. Pap-pa-a-a, s. "Bel-nädin-apl. a. one? alpi, s. *Nabi-tddin. a. 2 Samas-a-ba-ri, s. Sum-iddin. 16. a. ^"? $ano2 " Gula, s. Ardi-" Erna. #Bêll-a-na- ...... Cb 79, 9. 2 Bell-a-na-biti-Su, S. Kisir-id. X Béll-a-na-me-e-ri-ih-ti,-mi-ri-hi-tí|tum Dr 379,38. I. als Ardia Dr [423, 5). als La-ba-a-si Dr [424, vr). 3. als " Sulbnán-Xüm-ibni a. Nür-" Sin Dr 434, 21. " Bel-aplu-iddin (B\-A| TUR.US| ap-lu-MUISE- za) NbpM II 10, 11. Nk 16, 12. Nd 207, 4. 208, 4. 402, s. 607. 784, 14. 909. 941,5. 975. 981,3. Cr 369,3? 373,3. Cb P 31,3. Dr 306, 5. ame! hel pigittum NÅ 245,2. ""? SA. KU Bå- bili Dr 154, 3. 206, 6. "Efangn Ebarra Cr 31,3 TU (bit) “Sama (Sipparti) Cr 339, 7. Cb 44, a. S. ?Bel-ibni, -uballit AT, Itti-" Bel-balåtu, L£siru," Nabü-kusursu, ENergal-êtir 13, Sum-iddin. TMS RES Cr 34, 30. 96, rv. Dr 427, 15. als ..... a. Nabt-ht-su NAM 24, 2. T. XXXIL Neubabylonisches Namenbuch. 27 (* Bél-aplu-iddtn) Due a. Sag-gil-a-a Nk 210, 2. F Ahe-iddin-" Bel Dr 520, 26. Ahe-iddin-" Marduk Dem? 9. Ardi-" Gula a. Epes-ii Dr L 25, is. EI ACH ee a. * Sin-da-ma-qu Dr P 67, i5. al " Bàl-étir a. Maïtukku Cb 127, 7. 337, ır. als ?Bel-iddin a. Egibi Ev 19, 19. Vgl. Ap- la-a 12. IO. als ?Bel-N’u a. ""pahari Nd 335, ro. als *Ber- TUR. NAM? Dr Ba 8, n. als "Bel-uballit a. Amel-"Ea Dr 226, rr. Etillu Nd 524, 3, vgl. Nd M 10, s? Nd als als Etillu a. 508, 22. als Iddin-"Istar a.”Bel-aplu-usur NÅ 335,12. als Iddina-"Marduk Cb 423, 5. als Itti-" Nabir-balåtu a. Liéa Nd 680, #6. Dr 123,4: af Kabtia Nk 333, 2. Is Kabtia a. Babütu Nk 333, rz. 2 Marduk-etir a. Sigta NK 333, rz. #Marduk-nâsir Ant (ZA ID), iz. 7 Marduk-Sion-ibni Nd 1120, 7. 7 Marduk-sum-iddin a. ®""sangi Gula Cb 208, 12. als Mas Nd 966, 4. . als * Nabü-étir-napsàti Nd 700, 16. als * Nabü-ibni a. "Addu-Sum-iddin Nd 523, ro. Nd M (24, 9]. als "Nabü-kisir a."* $angt “Nana Dr 340,15. Dr 159, »6. af #Nabñ-nàsir a. "Addu-Sum-eres Cb 272, 1o. als "Nabü-Sum-iskun a. """$angi "Ninib Nk 357,11. 384, u. 397, 11. als * Nabü-zstr-iddin a. Iddin-" Papsukal Dr 282, 16. af Na’id-" Marduk a. Etiru N g 36, zr. amöiyas patri Nd i Addu-Sum-eres VID 15. als "Nabü-miti-uballit a. ....... 30. als "Nergal-usallim a. 829, 17. ; 33a als Rimüt a. "Bel-etiru DrP 107, ss. als Rimüt a. """5ahari Cb 330, 14. 331, s. 35. als Römüt-"Bel a. ^"?! nappahi Dr 437, 14. als Römüt-" Bel a. Nür-"SinNd23S, ro. 239, zo. als 7Sin®-Sadü Cr 255, 5. Cb 89, s. als 2 Sin3-Sadıa a. "Sangi Sippar * (2. Sa- No. 2. mas) Nk 228, 4. Nd 599, 2. 636, 12. 637, r2. 854, 9. 907, 12. 932, 13. 987, 16. Nd Pi 11, zs. Cars, re Choice al$ Tåbi-ia a. Sa-na(-Si)-$u Dr 552,10. 573, ro. als Ziria a. "Bel-aplu-usur Cb L 19, zo. als Zir-ukin a. "Nabü-Sum-iddin CrP 11, 16. a. Di-di-i, s. 2 Samas-sir-USir. a. Egibi, s. " Marduk-Xum-ibui, "Nabü-zir- iqisa. a. Gahal, s. Bi-ba-nu. 45. a. Ir-a-ni, s. "Nabü-kin-zir. a. #Nabt-êtir Cb 321, 6. a. ^"? NT, SUR gine, s. Itti-"Marduk-balåtu, Itti-" Nabu-balätu. a. "yb ban, s. *Nabi-ittannu. 40. a. Sag-git-a-a, s. "Nabü-kin-zir. 50. a. Sa-la-la, s. "Nabü-ah-ittannu. a. e" Sanoi Sippar" Cr 26, s. | Bêl-aplu-usur (4B)-A-SES| PAPit-sur), s. /Amti- XBelit 3, Ba-si-ia 8, "Bel-aplu-iddin 15, -iddin 19, Gimillu 13, Jddin- Marduk, Itti-" Bel-balatu 6, "Marduk-Sum-usur 24, 30, Musesib-" Del 9, “Nabt-aplu-iddin 60, -bullitsu 38, -Elir-napsati 24, -kin-zir 28, -Sum-ukin 27, -usallim 6, -zir-usabsi 14, Nidintum 79, Römüt-" Bel 53, Rimiüt-" Nana 1, Sa-pi-"Bel x, Si Tasmetum-damgat 1, 7UZA. MAL.MAL-$um-iddin 2. 1. als ?Bel-usursu a. Da-bi-bi Dr 393, 14. a. Balåtsu Cb 64, c. a. Im-bu-Si-ia, s. 2 Bél-afé-iqisa. 4. a. "Sin-Sadü, s. [na-eM-étir. ? Bel-a-su-&(-a) Dr 379, 4. e-pis-Sa-nu NK 277, 4. 1. al$ Jaddin-"Marduk? a. Bibbia Dr 117, v. 2. als " Nabü-ittanuu a. ^"? bairi Dr 67, xr. " Bél-asaridu (MAS) 1. als Römüt a. Ahu-bani-i Nd 426, ro. #Pel-at-kal, abgekürzt aus Ana-amat-"Bel-atkal q. v. #Béli-at-ta-ta-li-e, gallu Nd L 13, 12, 16. " Bel-balåtsu-igbi (*B'| Nabü- TIN-su-Eliqbi), s. #Nabt-ahè-bullit. I. als ?Bel-bullitsu Ant(ZA), 19. als "Nabü-nipsari Cb 298, s. 3. a. ""?'nabbahi, s. Igisa-" Marduk. "Bé[.-ba-ni, Bêl-ba-ni Cb 123, u? S. #Nabt- napistim-usur 8. 4* 28 il Bell-ban-zir 1. a Nårea a. ®"$angi "Nana Cb 260, s. 2 Bêli-4 Bel? 1. als " Nabü-udammig Dr 454, 15. 461, n. il Bel?-bel-a-ni 1. als XBel-kid-ri-i NkL 3, zs. ÜBel'-bel-ilani Dr 10, 15. I als Maranu Nd 130, 2. X Bel!-bel-Su-nu 1. a. La-kup-pu-ru, s. * Nabü-Sum-u&in. X Bel?-bul(bal)-Ut. 1. al$ Sa-" Nabü-ü Cb 79-4-19, s (CIS II p. 65). X Bel-bullitsu (BA TIN] biwl-Ut|-su) Dr 379, 16. 476, 20. S. ?Bel-balätsu-igbi, " Marduk- nasir-apli, * Nabü-St-mu-Su, -usursu. 1. als ”Bel-erba Xr 4, 56. als "Marduk-rimanni Dr Pi 12, 5. 2 Nabü-iftannu a. emd... Xr 3, zc. $ #Nabü-musetig-urri Dr 383, 4. als * Nabü-Sum-iSkun a.Sag-gil-a-aDr 435,3. 485, 2. als 2Samas-ina-est-btir Dr 482, s. 7. a. Ardi-" Nergal, s. 2 Samas-ibni. ZBEN-dal-Üß, s. St-ma-a. X Bel-dan I. a. IN]. SUR gine, s. ? Nabu-iddin. 2 Bel!-da-nu? Nk (232, 18). X Bell-da-an-na Cr 360, 20. 2 Bel-di-i-ni-ipus(-KAK-us) 1. a. Pa-ki-i-!-ri Cb 104, 15. i Bel\-Ebarra (cfr. Bêl-Ebarra-ibni), s. "Samas- uballit. Bel-Ebarra-ibni Nd 414, 3. " Bel-edi-pitin (XBD'-: IS] e-di-pi-ti-in, -pit-ni|nu) I. als Ba-la-tuli Dr 392, 17. 413, 3, s. X Bel!-er-bal|SU Nd 255,2. 324,3. S.Del-bullitsu, UNabt-sèr-usabsi, Nidintwm. Nk 430, 18. Ng 63, x. Dr 493, 2. als a I un 573 14. as Ahu-Su-nu NÅ 273, 20. als Apla-a a.? Sin!-kar-ba-i-Si-me Nd 648, s. als Ardi-"Gula a. Na-ba-a-a Dr 246, 10. 290, 14. 5. als Bani-ia Dr 405, ra. als Ba-si-ia a. Épes-ili Dr 523, zs. als " Bunene-ibni Dr 486, zz. | Knut: Tallqvist. als ITddin|a-” Nabt a.(* Ea)-épes-ili Dr 379,75. 417,2. 491, 18. als Kal-ba-a Dr 163, 5. 569, 9. 84-2-11, 102. IO. als Kal-ba-a a. Mukallim Dr 544, 9. 552, rz. als "Marduk-nasir a. Arrabtum Dr 147, 10. als Müränu Dr 533, 3. a|* Musesib-"Marduk a. ré... Dr 544, ro. a|* * Nabu-belsunu a. Abi-ul-idi Dr 435, 2 [485, 12]. 15. als “Nabü-rimanni Dr 296, 23. als Pix Dr L 24, ». als Pir a. Ir-a-ni Cb 370, 4. als R£mát-" Bel a. Za-an-ni-e-tu CrP 17,9. a|t Sâkin-Fum a. Siena DrP 52,18. . Ardia Cr 360, 18. a. Ardi-" Nergal,s. Iddin-" Bel, Iddin-" Nabi. a. "bày s. " Marduk-kin-aplu. a. Ba-si-ia, s. " Natà-musétig-urri. a. Bunnakitum, s. Iddin-" Nabt. . Da-bi-bi, s. "Bel-iddin. a. Na-ba-a-a Dr 249, 13. a. ""HVPL s. Ni-qu-du. 28. a. Sip-pi-e, s. " Gula-zir-ibni. X Del-eres (* BS ?- KAN|PLIN-esle-ri-i3 DrP 69, 15; no. 8 abgekürzt aus Ana-"Böl-eres 2) Nk 082 IDA (CA ER JON 912/7777] PAC 191,3. S. Bel-iqisa, " Bél-Xar-usur, Kal- ba-a, "Marduk-etir 30, Musallim-ilu. I. als Esaggü-Sadımu a. Epes-ih Dr Pa 6, ss. 7, 11. 8, 6, 12. * Glin-na-a Dr 229, ;, — no. 4. als Ina-Esaggil-Sadimu DrPa 8, o, 12 — no. I. Ki-na-aplu Dr 505, 4. 506, 2; vgl. no. 2. Y Ku-na-a Nk 52, is. aj Liblut Dr: 371, 14. Y Musezib-("Marduk) a. Gahal Nd 990, 26. Cb P 25, 26. als * Naód-aplu-iddin a. Ana-*Pêl-ere 2. $ 2 Nabü-Sum-usur a. Rimüt-"Ea Cb 2, zs. Nad-na-a ... Nd 803, 14. |i Pir a. "ab; biti Dr 204, 5. Sil-la-a a. """»a0-di-di Nd 757, 10. Sápib-zir a. aret man-di-di Nd 102,10. 199, 10, 346, 10. 578, 13. als Tagis-" Gula a. ^"? Yang? Dilbat* Nd Pa 2,37. 9, 24. [li -#Marduk = T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. 29 (7 Bel-eres) 15. a. Epes-ili, s. Sadunu. a. Kalbi-"Sin?, s. Musezib-" Marduk. a. ene zyan-di-di, s. " Sulinün-Sum-usur. i Bel-btirlu (1 BV 2]ENIBM (Nd 67, 1) -SUR(-ra), -KAR-ir, -e-tir KAR tilti-ir/rilra/ru) Nk 206, 6,22. Ng 38,4. Nd 144,4. 236,7. 480, 21. 560, 3. 580, 2. 614, 4. (730,7. 746,18). 918, 3. 1093, 2. Cr 56,2. (160, 17). 162,9. 179,5. Cb HS 114,2. 216,8. 200, 9:332, 9 AOT, 3- 438, 18. Dr 100, 11. (102, 13). 125, s. (221,7). 313, s. Dr Pa (15, 19). a //aku Dr 438, 10. a"? Jaianu NÅ 355,15. 356, as. 668, 23. «mel e-piS-Sa-nu Nk 1, 4. Nd 57,9. 424, 6. 456, s. 586, 4. 595,3. 628,3. 667, s. 737,12. OI4, 3. 1094, 6. Cr 66,a. Cb 47,5. 61,4. 134,4 275,3. 438, 12. Dr 143, 2. 197, 3. 239, 11. ^"*ga//u Dr 105, 3. ?""ràb bàri Sa Gubaru Cb 96, s. an, Nd 735,2. «€ TU bit #Ninib Kol MIL 5,8. S. Akusunu, Ap-la-a 50, Ardi- 2 Bel, Balätsu 3, 21, Balatu 56, Ba-zu-zu 18, “Pêl-ahé-iddin Yo, 25, -ahé-1giÿa + 2, 3, -ak-itlannu 1, -aplu-iddin 33a, -étir 4, 41, -iddin So, 180, -pu 11, -kåsir + 53, -ré unu 2, -uballit 36, -udammiq 2, -uXézib, -str-ibni 4, * Ea-usallim 2, Erba- ii Marduk 4, 16, Gimillu 11, 23, Has-da-a 9, Jddin-" Marduk 37, Iddin-?! Nabi 9, 35, 60, 62, Ina-Esaggul-sir-ibni 4, Ina-gibi- "DeL Igisa-"Marduk 2, 3, 19, /ssuru 1, Itti-"Marduk-balatu 24, Itti-" Nabu-balàtu + 10a, 16, 18, Itti-"! Samas-balätu 5, Kabtia 15, Kidinnu 2, Kidinnu-"! Marduk, * Laga- mal-iddin 2, Lussi-ana-nür-" Marduk 1, ? Marduk-bän-zir X, -êtir 9, 17, -nadın-ahı, -näsir, -gisanni 3, 5, 8, -rimanni 10, -$um- ibni 31, -Sum-iddin 3, 5, -Sum-usur 2, 15, 37, Müranu 4, Musesib-"Bel 55, Muse zib- X Marduk 27, * Nabü-ah-iddin Y, -aplu- iddin 36, 55 a, -baläatsu-igbi 36, -Etir-napsatı 4, 59, -iddin + 23, -ittannu 30, -kin-zir 13, -mutir-gimil 2, -näsir, -Sadünu 2, 4, -Sum- lisir, -taddannu-usur 3, Na id-" Bel,“ Ner- gal-iddin 3, 10, 19, 28, -nåsir 6, -uballıt 6, -uSezib 1, Nidintum 43, 72, 81, Ri-bat, Rémát-! Bel + 2, 17, 38, Rénüit-" Nabu 8, 16, Saggillu 1, 2 Samas-abu-usur, -bån- No. 2. IO. ahi 2, -uballit 2, 9, 30, Séllibi 1 7 Sul- lumu, Tagis-"Gula 4, Tabia 4, Uqupu 12, 2 ZA.MAL.MAL-igisa 1, Ziria 41, Zir- ukin. alt m Dr 244, 20. 84-2-11, 165. ARE ah-iddin a. I -? Marduk Dr 110, 12. DS a. "e Yano? "Ea Dr 341, 5. alt Ap-la-a a. * Bll-éfiru Ct 64,4. 315, 5. . als Ba-bi-ia a. ^"? nafpali Nk 317, 9. als Ba-lat-su Dr 341. als "Bel-iddin a. .... Dr 551, n. als "Bel-iddin a. Mastukku Dr 433, 14. X Bel-iddin a. """ryàb banı Dr 335, vr. als ?Bel-ittannu Art 82-7-14, 152 (CIS II p: 72), DrBa 19; 10.% Y Belsunu a. Nür-"'Sin Ev 22. 2 Bel-uballit Dr 312, 15. 550, r7. X Bel-uballit a. amel-"Ea Dr 399, x. x 2 Bel-uballit a. "Sin-bnittu Dr P 66, 13. Dumug a Sin-mudammig-unninu Nk 97. U Ea-ban-zir a. Mi-sir-a-a Dr 328, is. Y U Ea-ip-Su a. Na-bu-nu-na-a-a Dr 347, 3. Gu-za-nı Dr 426, 55. Ha-ba-si-ri a. Pap-pa-a Dr 48, vr. Ha-a-an-nu-eres? Nk 326, 4. $ Jadinla-" Nabt a. ""nappahi Dr 481, is. 22, 16? als li Marduk a. Da-bi-bi Dr 189, zo. als Igisa-aplu a. " Ea-pat-ta-nu Dr 523, 14. als Kabtia a. Da-bi-bi Nk 406, vr. . a]j$. Ki-ne-na-a-a Dr 301, zo. als Kin-zir a. Egibi Nd 755, is. als Kurbanm-" Marduk a” Samas-bariCrPa 3, 46. als Kurbanni-! Marduk a.” sangt ? Samas Dr 325, s. als Liblut Dr 78, s. . als * Marduk-kin-aplu a. "Sin-da-ma-gu Nd 597, 20. : als Musezib a. ""allaku SmS-erba (ZA IIT) 157,74. als Musezib-2 Marduk a. ®“!naggarı 135, 16. als Mu-XibXub-3i a. Nür-"Sin Dr 287. DrL 23, 5. als Mu-Sib-Si(-"Marduk) a." Nabü-na-a-a Dr 225. 252. 358, »s. DrL 24, zs. Nk 30 (PBêl-êtir|u) 35. als " Nabü-ah-iddin a. éb@iri Dr 76, 13. als * Nabü-baltsu-iqbi a. Epes-ili Nd 193, zo. Cb 317, zo. als Nabñ|Pêl-balètsu-igbi a. ”"Enappali Dr 37, 11,18. DrP 43,7 94, ıı. als "Nabü-belsunu a. %...... Dr 469, z.. 481, 15. 38a als "Nabu-etir-napsati a. Da-bi-bi Dr 139, 17. als "Nabü-Etir-napsäti a. "^"? pahari Dr 79, 73. 119, 8. 124, 25. 126, 26. 129, 73. 176, zz. als "Nabü-iddina Xt A, ı7. 5 Y Nabü-iddina a. * Bel-etiru Cr 188, so. als *Naba-li'u a. INür-".Szn Nd 760, z. Y 7 Nabü-muk-ki-e- [lip] a. Léa Nd 576, 15. [577 r2]. als "Nabü-Sar-usur Dr 372, 5. 40. als ENabi-Sum-usur a. X Addu-Sum-usur NdM 27,9. als ENabi-Süm-usur à "yb 254, rr. Y " Nabóü-usuriu Dr 393, 19. X Nergatt-abu-usur Ng (VR 67, no. 3), zs. " Nergal-etir Xr 5,2, 8, 11. Nüréa Nk 322. Si^-4-bu-4? Dr 398, 6. Su-qa-a-a a. """$anei "Ea Dr 325, 35. 492, 15. als Sadünu Xt Dez als ? Samas-Sum-ukin a. Ardi-" Nergal Dr 124, 5. 318, s? al} Süum-ukin a. Damga Nk 387, 0. NSL 123,9. S77 Sao Ne CO, SE als Ziria a. Da-bi-bi Nd 526, 6. , S. Ina-gibi-" Bel, * Marduk-etir, 45. 50. al 55. (HOMO CNRC DE N s. " Bél-iddin. X Marduk Nd 996, 4. a. Aha, s. * Bel-kusursu. Ardi-"Bel Xr 3, 18. a. Båbitu Nk (431, 14). . "UP, s. Ina-qibi-" Bel. a. * Bunene?-àfh-iddin Cr 221, 5. . Bu-ra-qu, s. Bélsuna. a. Damga, s. Musezib- Bel. Knut Tallqvist. a. Dullubu, s. Rimut- Bel. a. * Ea-epes-ili, s. Igupu. a. Egibi Nk (428, 2). S. " Nabá-s£r-ukin. 70. a. Ir-a-nu, s. " Bél-iddin. a. Lultammar-" Addu, s. " Bél-usallim. a. Mastuk, s. " Bél-aplu-iddin. a. Mudammig-" Addu, s. Itti! Marduk-ba- låtu. a. Munnabittu, s. 2 Be-supe-mulhur. a. #Nabi-ittannu Dr 100, c. a. Na-bu-un-na-a-a Dr 361, 12. a. "el mappahi, s. Nabi-Xum-Bsir. a. Nür-" Sin, s. * Bél-iddin, -kasir, Ina-gibi- z Bel. a. Pa-seti, s. Erba-" Marduk. a. vrélyet sist, s. "Marduk-zir-usur. 75: 80. a. "Sin-Uu, s. Sum-ukin. a. "Sin-tabni, ®"daianı NÅ 495, 23. 608, 16. S. Esaggil-3adünu. a. Su-ha-a-a, s. Kal-ba-a, Zirutu. 5 d Samas-ah-iddin Cb 06, 3. a. YSamas-bäri Nk 164, 48. a. Sa-na-Xi-Xu,s. Itti-" Marduk-balä tu," Mar- duk-etir. a. liant "Nana, s. "Nabü-Sum-ukin. a. nl Sang i anas, s. ZBel-usursu. a. Zab-di-ia Dr 209, e. 92. a. Zir-ukin Cb 146, 14. "BélV-éfir-ahé, s. Nidintum. Bel-etir (KAR)-" Bunene?, sa kurummat Sarri Cr 343, 5. Bel-etir-"Nabü (EN| EN-KAR-! NY) Nd 257, ». Cr 68, 8. Cb 129, 1. Dr 379, 45. "7-7 Cr 291, zz. S. Od-H. 1. als Ki-na-aplu Nd 819, 4 2. al$ "Mardu£- .... DrP 134, e. X Del-etir-napsati (X D\-KAR-ZIP!) Nd 223,4. 571,14. Nd M II 57, s. 1. als Ardıi-"Nabü Cb 85, 18. als * Marduk-nádsgir a. *Addu-Sam-me-e Dr 35, 5. al Såzubu a. ""ràb båni Cb P 29, 7. 4. a. apr biti, s. "Bel-uballit. Bêl-êtir-! Samas (EN|#EN-KAR|SUR-"S CD 129, 16. 230,8. #ÿirik "Sama Cr 281. Bel-gab-bi-"Nabü! Dr [420, 2). 1. als Ina-suU- Bel, ^""aydu Dr 483, 2. 490, 2. T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch, # Belb?-oa-mil] SU, s. Ki-i-ti. 1. al$ Na-din Nk [422, 7]. a. ^"? iSpari, s. Ap-la-a. 3. a. Su-ha-a-a, s. Bél-iddina. "Bel ei-mil-an-ni Cr 335, 3. 7 Ber?-ha-hu, s. "BAD Bêl-Harrän-Sadila, -Xadünu vide ?Szn?-$adZ. etc. VU Bell-ha-tin als #Bêl-uballit Sel (ZA UI) 6. I BelM-hi-fu-ul-i-di Cr 34, 28. ?/pel-hul-ig I. a. Egibi, s. "Marduk-kin-aplu. Beh-iala-a, s. Làbási 54, "Marduk-Sum-iddin 13, Tagis-" Guía 8. I. a. ?"? Yao? “Star Bábili, s. Nidintu. #Bél-ia-a-tu-nu (cfr. phön. jn»>»2 Baljathon), s. Ili-Sarri-inia. GDBe/1-;a-h, -id-u Nd (1014, 5). S. “Ea-ibni 2, SE Gula-qà isat 1, "Marduk-balätsu-igbi 3, -nasir 3. il Bel42-ib-ni]KAK NbpM II9,s. Nk6,3. (157, 18). 249, 12. Smk 1,3 Nd DL NO wc. (Cr 223,0. 229,10. 287,30. Dr 47,15. 427,6 557,12. S. “Bel-iddin + 207, -zir-iddin, Kittum Y, "Nabü-kin-aplu, -nadın-Sum, -nasir, -zir-iddin, Nidintum. EEE RIDERS d: 4] ceca oe Eo Or 0174772 fS OE Ardi-"Bel Nd 687, 9. #Bêl-aplu-iddin? Dr 178 X Bél-ha-hu Nk 66, s. #Bêl-igtÿa a. "Sin-näsir Nk 51, 8. Bel U pee AD STIG. X BéfSunu a. ré ré? sis Dr 194, 41. als Zddin-#Nabñ a. ^"? ba iri Cr 334,7. 315, 21. als Ina-esi-étir a. Ardi-" Nergal Cb 147, ss; vel. ?Bel-zir-ibni 7. * /na-gibi-" Bel Nk 77, 5. Là båx a. Sarru a-ra-zu-á. Nd 892, 1. als “Lagamal-iddin Dr 265, 11. Y Musezib-" Marduk 135, 4 als ? Nabi-ahé-iddin a. .... DrP 69, x. als * Naód-apdu-iddin a. "Sin-ahe-bullit Nd 52, 2. als "Nabir-balätsu-igbi Dr Da 5. No. 2. Cb Nk a. "enaggari 15. 31 IK als * Nabá-Dàn-ahi a. "NI SUR gina Nd 63, 18. als # Nabh-bullitsu Dr 122, 16. 20. als "Nabü-käsir a. Sippea Nd 282, 56. 20a als " Nabü-Xàr-usur a. Gahal Dr CT IV 32,77 als I Nabü-s£r-iddin a. Damga Nd 128, s. als * Nabü-zir-u&in a. Gahal Cb 356, ro. als ?Nabü-zir-usabsi a. Damqa Cr L 16, 15. als Na-din Ng 22, s. 25. a/$ Na-si-ri-na-ta-nu Dr 364, 3. BI NEAR. Sun ge DES als “Nergal-iddin Nd 738, s. als "Nergal-zir-ibni a. ^"? ang? "Nana Cb 167,16. 218,16. 257,1. [292, 22]. [322, 22]. | 409, 18. Dr 105, 12. 164, 19. [167, 18]. als Romüt a. Babütu Dr Pa 11, zs als Rimüt a. "Szu-nàsir Nd 130, zo. als SSilim-" [star Nk 283, 27 Sapik-zir a. Nür-" Marduk Dr 132 Säpik-zir a. ene $0502 “Ea Dr 319, >, 7. $ 2Sulmän-zir-ibni a. Epes-ili Dr 348, ı Sá-ma-a Srk ZA IX. Tabnea a. Nür-"Sin Nd 400, 5. 509, 15. Marduk-nàsir. AS-ga-an-da, s. Gimillu. 7 Bel Nd 1127, 17. . V Bél-étiru, s. "Nergal-iddin. . " Bél-upahhir Nk 124,4 Gahal, s. Ndintum. . Péloallabi, s. Dél-usalfun. . *Nabü-erba? Dr 364, 12. . Na-bu-un-na-a-a, s. "Samas-Sum-ukin. o3 PA ES E Ce a. " Addu-Sam-me-e, s. 40. 45- .U V, Dant s. "Del-ittannn. rest Nd (275,8). . Re-si-ta, S. . e" ano? parakkı, s. "Bel-supe-muhur. . ("apos Sippar" NbpM II 11,9. ZA IV 16, ur. Nk 63, re ame Sani Sama, 7 Uras-usallim. so. s. Rimnt. Ies Uh a er s. Usur-amát-" Ea. | X Bel’-i-da-nılnu Dr 82-7-14, 142 (= "Nergat- | usallim). mss als 7 Nabt-zir-ibni a. Ba-al-ta Dr 330,16. We als i Samÿa-a-a Dr Ba 20, ro. #Bêliddinla ("Be?-MU|SE-na|id-di-ua| MU-nu Dem 2?/MU-na Ars 1, 3) Nbp (ZA IV) Nk 14,3. (374, 15). Nd 40, 10. 81,2 I7, 10. 32 Knut Tallqvist. C Bel-iddin|a) 86, v. 207, 4. 278, 11. (463, 2). 478, 5. 523, s. 583, 11. 687,10. 878,3. 956,5. 964,5. 1003, 2. 1024, 8. 1100, 3. 1122, 5. Nd M 47, 2. Cr 34, 26. 94,13. 109,9. 233,10. 276,5. 364,30. 374,2. Cb7,3. 63,5. 79,8. 84,7. 87,5. 100,8. 105,5. 123,6. 133,3. 150, 10. 300, 7. 313, 4.385, 15. 432, 19. Dr 8, 20. 47, 10. (85, 8). 98, ». 122, s. 179, 5. 291. 344, 2. 367, 38, 44. 4OO, 9. 445, 3. 450, 19. 459, 10. (476, 13. 520, 22, 24). 532, 4. 549,17. 551,2. DrP 49, 14. Dr 84-2-11, 148, 165. Sel ZA III, 20. ^"" 55; Nd 69r, ». an? g$aridu Cr 318, 16. "7 007 pihäati Esag- gu Dr 315,7. 2 dup-Xarru Nd 776,16. Cb 131,6. Dr 299,3. 558. epissanu Cb 136, 5. Dr 32, 3. ^""eueal/um Nk 183, s. "mar Sipri Nd478,s. 888,2. ’lypandidi Nd 510, 13. ynandiditu Dr 42,6. /pappalu Nk 177, 4. """»jsgbeut Nk 177,4. ^"? »à5 .... Dr 20, 1s. ^"? rb Gilum Cb 107, 17. 437, 8. any» Sussi? Nd 1045, 3. ^""ràb Sat-tum Nd 1026, 7. ^"? $angá; Ebarra Cr 31,3. S. Arabi Ardi-" Gula, Balätu, " Bel-eres, -uSal- lim + 46, ”Bunene-ibni + 41, Gimillu, Gimil-"Samas, Has-da-a, Iddin-" Bel, Itti- X Bel-immir, Itti-" Nabn-balätu, / Kab-ta-a, Käsir, "Nabü-ahe-bullit, -ibni, -Xum-usur, -sir-usabsi, Na-din 66, "Nergal-Sar-usur, -uballit, -usal-lim, Nr, 2$Samas-sir-ibni, Sa-! Nabá-3à, Taddannu, Ubår 35, Zab- di-ia, Ztrütu, Zu-um-bu 1. AS erster stets Nd 765.036, 11. Cr 161,5. 332, 29. Cb Ba 2. Dr 15,11. 316,25. 402,8. Art Ba 32. AS: aplu-iddin Dr Ba 26, 12. als .... elir a. """ yàb bana bitäti Cb 43, s. TAPER ? Marduk.a.Nür-" PapsukalCb 399. on usallim a. *"" rà6-bàn£ Nd 105, 9. N co a. Da-bi-bi Nk 202, 77. SEEN: a. Mi-sir-a-a Dr 157, rz. AS a. “"pahari Dr 572, ro. ISI e: a. "Sin-tabni Nd 1132, 3. 9a alé Ad-di-nu DrP 9s, zz. IO. als " Addu-ibni Dr Ba Io, 25. als ”Addu-$am-me-e Cr 278, 1. als Alé-iddin a."""" angi ? Nergal Cb 366,12. als Ahé-iddin-" Marduk a. Ardi-" Eq Dr P 47, 12. | 30. 35: 40. 45: 50. * Afu$unu a. Ardi-# Papsukal Dr P 79, 4. A-mu-Se-e Dr CT IV 2r, 56. Ap-la-a a. "' Ea-Sadimu Nk 300, 16. Ap-la-a a. Saggil-a-a Nk 117, 15. Apil-Esaggil-ibni Cr 378, s. als Arabi a. "nappahı Cr 25, 7. Ardia a. "Bel-aplu-usur Dr 383, s. Ardi-" Bél a. mölaslaki Ev 22, rr. 5 Ardi-" Gula a. Ziria Cb 349, 9. als Ardi-” Naba a. Mukallim Nd 523, iz. als Ar-sa-a Dr 339, s. Qi SUD Jr EU Cr 270,6: als Balåtsu a. Båbitu Nk 409, zz. als Dalätsu a. "^"" har-har? Nk 137, 4. als Balatu Cr 313, 16. als Dalatu a. ..... Dr 437, ı7. 489, as. als Balatu a. “"nappahi Cb 362, 5. Vgl. HO 7s. als Da-ni-ia a. .... Dr 280, zo. 577, 14. als Bänia a. Arrabtum|i Nd 508, 17. 529, 1. 585,3. 602,3,13. 671,19. 832,18. 838, 2. 953,3. Nd L 104,6. Nd M 29, 4, 7, 20. CID CT RES Nd 603, 9. als Bånia a. Na-ba-a-a Cb 356, 12. Dr 492, v2. als Da-si-ia Dr 542, is. als *BéF-abé .... Dr Ba 12, z. als #Bêl-ahe-bullit a. Da-i-qu Cb 319, 9. als "Bel-ahe-iddin a. "Samas-uballit? Cr 45, 12. als “Dêlerba a. Da-bi-bi Ng 35, 15. < 01591052 [^ Tip an anne. Cb 43, 20. 428,18. als * Bél-éfir à. Ir-a-nilnu Dr (514, r2]. 537, 15. 560, 2. als ZBel-etir a. Nür-" Sin Ev 22, 1. als ZBel-ioni Dr P 59, 7. als *Bél-bàsir Dr 425, zs. als "Bel-ki-Sir a.” Szn-Xadünu Dr 410, zs. als *Bél-musétig-urri a. " Ea-iumbi Cr 195. als "Del?-nasir Nk 104, ss. als * Bél-nàsgir a. mel Sang? Gula Cr 277, 22. l als ?Bel-nipsaru a. Sarru a-ra-zu-& Cr 264, 14. (318, 12]. Dr Pa 6, 27. als * Bél-rimanni a. Siena Cr 171, n. als EBe-sum-iskun a. ^"? r2? sist NK 4, 20. Dr 257, 73: als "Bel-Sum-iskun a. ? Szn-tabui NÅ 552, 3. 600, 14, 657, 18. 688, 4, zz, 697, 22. T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. 33 (Bél-iddin|a) als "Bel-Sum-iskun bili Cr 227, 8 als "Bel-uballit a. "ri sisi Dr 44, 10. . als ?Bel-uballit a. "Sin-nasir Cb 379, ro. as “Bel-upahhir a. Da-bi-bi Ng 66,18. 67, 14. Nd 4,18. 5,12 II,14 15,15. 18,1. 34,12. 42,17. 68, 8. 103, 21. 107, 12. 130, 10. 145,12. 148, 16. 151,12. 152,18. 154,11. 157,16. 160, r2. 210, 16. Nd L 44, 12. als *Bél-uXallim Dr 495, 4 als * Bér-usallim a. Épes-ili Dr 82, 15. als "Bel-u-Sib-Si à. ré ang? "Za-ri-qu Ng a. ^"? ano? "Istar Bå- 2, 17. . als * Bél-zir Dr 313, vr. als Bül-ta-a a. Gahal Dr 497, i5 als Bu-na-nu Cb 321, 5. 62aa|$5 Erba-"Marduk a. *"*,... DrP 100, ss. bajs E-fir a. Ti-bullut-” Marduk Nk 357, 9. als Gimillu a. Di-ki-i Cr 29. als Gu-za-ua a. * Ea?-sa-lam-ii Dr 400, 14. 65. als Gu-za-mu a. !yab båni Dr 174, 16. als Gu-za-uu a. " Sin-Sadünu Dr 275, 15. als Ha-la-bi? ... Nd 35, 2. as Ha-nu-nu Nd 44, :6. als Jddin|a-ahu a. Mastukku Dr 37, 34 DrP al UWE OTIS 70. als Jddina-aku a. "^"? sang? " Ea Dr 165, 16. 450, 10? als Ina-eït-étir Dr 30, 7. als [na-qibi- Bel a. ^"? $ang? Sippar* Nk 436, 12, als Itti-" Ea-balàtu Dr 524, 13. als ltti-®Marduk-balêtu a. Ahu-ba-ni Dr 156, 3. 460, 7. Smd P 30, 12. 75. a|3 /tti-* Marduk-balåtu a. ”Enappali Cb 356, s. Vgl. no. 30. als Kabti-ia a. """phahari Dr 573, 1 als Kal-ba-a a. Na-ba-a-a Dr 473, 9 als Ka-si-ru a. Nåär- Sin Cb 285. als Ki-sir-# Naóz Nd M II 50, 11. So. als Kudurru a. "Bel-etir Cb 319, 10. als Låbåsi a. Bábütu Dr 266, 14. 464, 10. als Liblut Dr 378, 19. als Eiblutu a. .... DrP 84, ». als Li-bu-ru a. " Éa-épet-ili! Cb 14, a 85. als Lisir a. Musezib Nd 600, rs. No. 2. als Li-si-ru a. Saggit-a-a NAM II 65, ,4 als Marduka Nd 102(?). als * Marduk-erba a. ^"* nappahi Nd P 9, 15. als #Marduk-kin-aplu a. Iti-" Marduk Cr 245, 4. 268, s. 88a als *Marduk-Sa-kin-Sum Dr P 106, 2. 109, 2. als * Mardu£-3àpik-zir a. Na-gi-ri Dr 93, 4.9. 90. als * Marduk-Sum-ibni """ràó ME?- ME #Bêl Nd 955, 3 a. melyab bant . g0a als Mår-Esaggil-ibni Cr 378, 5 als Musetig-urri a. "2 ang? *' Ea Cb 180, 20. Ps Museszib-"Bel Cr 183, 55. js Musezib-"Bel a. "UD E. als Musezib-" Mar dukDr 159,15. 263,6. 437,2 Dr 459, :6 95. als Musézió-" Marduk a. Etiru Dr ER 280, 2. 336, 13. 347, 3 aj$ Musézib-" Marduk a. """5955ahi Cb 321,7. DE TIO; 7 129, 722 202, # 2506, r2: als Musezib-" Marduk a. Sin-nadin-Sum Dr 455, 2. 456, 7. als Musézib- Marduk a. "Sin-Sadımu Dr 463, ı5. DrP 52, 7. als ? Nabü-ahé-bullit Ng 26,4. Nd 562, 17. 100. als 2 Nabü-ahe-bullit a. " Ea-pattannı Cb P DNS als * Nabü-ahé-iddin a. "^"? oz» Dr 468, i. als "Nabu-balätsu-igbi (a. Egibi) Dr 12. 144, 17. 437, 16. als * Nabü-balatsu-igbi a. Mu...... Cb 54, s. als "Nabu-belsunu a. 7"? ban? Dr 418, 16. IOS. als 2 Nabü-6élSunu a. *"" rab bâni NÅP 5,11. Cb 26, 18. als ?Nabu-belsunu a. *Sin-nasir Nd 832, 19. als #Nabi-êtir a. "!yab bami Cr 224, 12. Dire als #Nabi-êtir a. Rimüt-ilàni Dr 37, + als "Nabu-etir-napsäati a. Ardi-"Nergal Dr 312,9. 110. als XNabü-etir-napsati a. Damga Cb 346, ». Dr 220, ır. als "Nabü-etir-napsali a. Etiru Nd 967, : als "Nabü-gamil Su-ha-a-a Dr 379, a. 409, 17. als "Nabü-kin-aplu a. Bu-ra-gu Cr 137, 9. als "Nabü-kin-aplu a. Etil-pi Nd 203,4. 1. 5 34 (C Bel-addin|a) 115. als ?Nabu-kin-zir a. Ba-la-ti Cr 337, ze. als "Nabü-kin-zir a. * Sin-Xadünu Cr 291, 18. Cb 8,12. 53,11. 54, 16. Cb L, 27, 19. als ? Nabü-&ul-lim Nd 17, 10. 13 2Nabü-lud? .... a. vrélyàb bàn? DrP 73 26. als * Naóü-musétig-urri a. Mukallim Dr Pi V 120. aff ”Nabü-musetig-urri a. Sag-di-ti Nd 808, 14. als X Nabiüt-na-din-ahi Dr 502, 15. als "Nabü-na-din-ahi a. Na-ba-a-a Dr 527,18. 561, 15. 571, 12 als "Nabü-na-din-ip-ri a... Ea-Mu-ü-tu-ibii Dr 206, 16. als "Nabü-nasir a. Ba-si-ia Dr 75, 17. 140, 16. 125. als "Nabü-näsir a. Dannu-" Addu Nd 126, zs. 2/4, 18: as "Nabü-rimanni a. ? Szn-nàgir Dr P 73,13. als *Naóá-5am-..... a. ^"? yàb bani Nd Ó15. als "Nabü-Sim-iddin Cb 223, is. als *Natü-Xum-iddin a. Egibi Cr 83,3 | 130. af “Nabñ-Süm-iddin a. Siena Cb P. 34, 13. | als #2 Nabiu-sum-iskun à ...... Cb 142, 3. als "Nabn-Sum-iskun a. #Sin-tabni Nd nno 1% als #Nabü-Sum-USir a.” malahi Nd 251,12. als "Nabü-Sum-USir a. ”Esangi ? [star Ba- bili Nd 999, 3. Cr 126,19. 170,22. Cb 03,77. 194, zs. Dr Bu 88-5-12, 26, ss. 135. al$ 2 Nabü-Sum-usur a. ..... Dr P 48, 12. als Nabñ-Sñm-usur a. Épei-ili Dr 433, vo. als #Nabñ-usur$u a. Egibi Cr 240,11. 248, 1r. als "Nabu-usallim a. Ahu-bani Nk 345,7 Ev 20, r2. Ng 8, Op p 66, I$. als "Nabu-zir-iddin Dr 167, 14 140. als ?Nabn-zir-igisa a. Qaqqada-a-mi-tum Cr 224, 1o. als "Nabu-zir-ukin Dr 341, 2 | als "Nabü-zir-usabsi Dr A 2. 400,4. 430, 4. 142aa$ Na-dın Dr CT IV 41, zz. als Na-din a. Epes- zi Dr [152, 24). 478, 77. | als Na-di-nu a. ”Sin-sadiunu Nd 477,7 | 145. als Nergal-étir a. ""$a-nı-e-Su Nd 158, 9. | als * Nergal-uballat a. ^"? ? NAM 13,3,6,10,11. Knut Tallqvist. 35 2Nergal-usezib Ng ZA II. 147a als ?Nergal-usezib a. Ih-"Marduk Dr P II3,13. 114,70. 119,9, 74. als Nidinti Dr 461, 13 als Ni-qu-du Cb 31,16. Dr P 115, ro. Y Ni-qu-du a. Asgandu Dr 437, 13. Nürea a. "Bel..... Dr 520, 25. Päan-iit-su? NK 311, e. Romüt Dr 426, 16. Rimüt a. "abi biti Dr 102, s, 10. * Rimüt a. (armé) Di-ki-i Nd 184,2. Cr 177,5. Rünüt a. Iltammar-" Addu Cb 145, s Rimüt a. Sik-ku-d-a Cr 137, 11. Ri-[mut) a. *"? Sa-bi-na-Si-Su Cr 361, 17. Rimüt-ih Nk 365, 13. Silim-" Bel a. Damquja Nd 772, 6. 832,5. * 2, Sin-eres a. Epes(Ibmi?)-ii DrL 33,3 |$ 2 Sin-etir Dr CIS 65. 2 Sin-ilu a. ÅS-kan-nu Dr ZA II so. a|$ Su-ga-a-a a. Lussalu-ana-nür-" Marduk Cr 120, zz. Dr 236, 4. als Sil-la-a a. ..... Cr 9I, zs. 165. a|3 Si/-la-a a. "Sin-Sadinu Nd 353, ro. * Silla-a a. Siga Nd 153, 9 2Samas-ahé-erba Cr 221, s. 2Samas-åb-iddin a. ""?bàni Nd 858, a. 2Samas-aplu-usur a. Egibi Nd 750, 3. 170. ajf 7Samas-uballit Cb 273, 14 * Sapik-zir a. Ardi-"Nergal Dr 322, ; 530, zz. Dr P 100, zo. als Såpik-zir a. Mu-dam-ig-" Addu Nd 648, à. als sa fabtisu Nk 111, n. als Sá-la-a Nd 26, s. 174a als Sü-la-a a. Ba-si-ia DrP 113, z. 175. ajs Sá-la-a a. Na-bu-un-na-a-a Nd 59, zs. $ Så-la-a a. Nür-"Papsukal Cb ass 377: als St-la-a a. """$ang? "Gula Nd 884, 14. 964, 20. als Sum-iddin a. Sa-la-la Dr 119,4, 1. 246, 4. 289, 19. als Süm-ukin a. "Bel-Etiru Dr P ae 180. al! Sum-ukin a. Epes-ili Nd 412,9. NdL 13, 26. DS a. Hu-la-li Cr 83,13. als Tabnea Nd 570, e. Tiabnea anzu DrP 44, 16. Tabnea a. Ahu-bani Nd 552, 14. Tabnea a. Ardi-"Nergal Cb 14, 18. T. XXXII. Ix qs als was mm co Unt Neubabylonisches Namenbuch. 35 (7 Bel-iddin]a) 188a a/s 190. 195. 200. 205. 210. 220: Tabnèa a. Sa-na-Si-Su Dr 573, 2. als * TUR. É-igbi a. ^"? naggari Dr 378, 4. 5 Ulula-a-a Nd 470, 1s. Za-ri-tu(?) a. "^"? &d'iri Dr P 141, iz als Zir-Bäbili Cb P 26, z;. als Ziria a. Ir-a-ni Nd 650, 2 als Ziria a. Na-din-$e-im Cb 3, 15. 31,15. CURES Nk 285,19. S. Ardi-" Gula, "Bel- enr, Iqupu, * Marduk-Sum-iddin. a amel « ai s. 2 Nabü-bullitsu, Su-qa-a-a. a. * Addu-Xam-me-e, s. "ZA. MAL. MAL- iddin. a. vrélaciri, s. Belsunu. a. Ahu-bani Cr 161, 28. a. Allanu, s. "Nabü-Sum-usur. Ardi-! Ea, s." Bêl-uballit,-uSallim, Nabi- balåtsu-igbi. a. Ardi-"Nergal Cr (317), s. Säpik-zir. a. Asgandu, s. "Nabü-kin-aplu. a. ve qslakı, Nigudu. a. AS-Sur, s. Romit-" Bl. a. Babütu Dr 402,19. S. Kalba. a. vnelbäant, s. " Nabü-Sum-ukin. a. Ba-si-ia, s. "Nabu-nadin-ahi. LABEL NS. Cr 360, 35. Dr 444,5. a. "Bel-ibni Nk 458, 7. a. 4 Bélit, s. " Nabü-àh-ittannu. V s. i Nabü-Xum-uktn, Nidintum, a. 2Bel-usallim Nd. 351,8. 781,6, 18. 1133, 17. Cr:92, 7. Cb. 58; 11. a. Da-bi-bi, s. Liblut, "Marduk-ztr-ibui, AMuséz ib" Bel. Dannea Smk ZA III ». a. Di-ki-i, s. * Nabü-éfir(-napsati), Na-di-nu. a. * Ea-épes Nd 907, 5. a. "Ea-iluP-ibni, s. Uqupu. a. "Ea-imbi, s. " Nabi-balatsu-igbi. a. "Ea-pattanu, s. Ubar. a. Egibi (Nd 787,2). S. Aplà, # Bél-aplu- ltti-Marduk-balatu, *’Nabi-aplut- iddin, Nidintum. a. Épei-ili (Nd 139, 0). S. Aplà, Kurbanni- #Marduk, ? Marduk-zir-ibui, Sullumö. a. Etiru, s. 2 Marduk-Sarrani, " Nabu-etir- nafsatı, "Nergal-usallim, Qisti-? Marduk. a. lddina Nd (1117, 6). No. 2. iddin, 222 t3 t3 Un [S] 9) o D [667 Ur o aa. Lzéa, s. NOR Syn Zr a. Irani SmkMII2, 6. S. Erbà, Nabñ-aplu- iddin, -ittannu, Nidintum. a. Kalbi-! Szn?, s. "Nabü-nädin-Sum. Nidintun. a. Lisiru Nd 351, 18,33. 781,9. Nd Pi 4, 7. Cr 92,9. Cb 58, 15. a. Mastukku, s. " Bel-etir. . a. Mi-sir-a-a, s. Ardea. a. Mu-Sib-Su® Nbp M II 9, 13. a. * Nabü Cb 255, 15. . X Nabü-silim Cr 229, 14. 2 Nabå-Sum-lisir Cr 285, 17. . a. * Nabü-sír-ibui Nd 791, s. a. Due Nbp M II 9, u. 4 patri (kari), Qiii? Marduk, Rimut. EEE NS WR napsatı. a. *" aha, birahé-bullit, * Samai-ibni. GILT, s. "Nergal-usalfin, gina, s. "Nabi-éür- s. Belsunu, "Bunene-ibni, ! Na- . a. Qaq-qa-da-a-ni-tum, s. Has-da-a-a. a. Ra Nd 1127, 9. a. ^"? vàb bnt, s. I Bél-éfir, -rimanni, -usat- lim, Liblut. ami yg, ...., S. A-ra-di, Sadüni. alpi, s. " Nergal-usalfim. a. "3? sist Dr 453,7 S. JIgisa-aplı, 2 Marduk-étir, /Qudàsu, Tablutu. Ri-si-i, s. SOudäsu. : Sag-di-di, s. Mint-ana-"Bel-daiann. a. Sag-gil-a-a Nd M II 50, 4. s. Nidintum(-" Bel). a. a. amél 77 a. * Sin-násir, s. a. V Szn-3adünu, s. Da-si-ia, Saddinnu. . 2 Sin-tabni-usur, s. Labasi-" Marduk. a. Si-si-ia, s. Uqupu. a. " Sama3-bàri, s. Nidintum. . Sa-na-- Su, s. Ardi-"Gula, balätu. a. "angi "Bel, s Itti-" Gula- Lil Kas-tn-nam...... il Nabü-sir-ukin. a. ^"? $qngi " Gula, s. / Kalbuttum. a. *" ane? ! Ninib,s. BélSunu, Iddin-" Nabi, ? Nabü-ahe-bullit. 7 Marduk-erba. a. " Sum-Xi-tu? Dr 450, 16. Tabtisu, s. Ard?! Marduk. a. Zir-ukin Dr 4,3 a. Sigüa, s. un 36 ? Benl-zddina-aplu 1. a. Damga, s. 2 Nabü-balàtsu-iqbt. #Bêli-1k-sur Dr 136, 12. 1. als Belsunu a. ^"? $angi I Ninib Dr 372, 1s. Mis IPIE TR ee Dr 459, 14. al! Ki-na-aplu a. Epes-ili Dr P 107, ss. als Kurbanni-! Marduk Dr 208, 6. 5. als *Marduk-nàsir a. Da-bi-bi Smirb ZA III 157, x. als Murasa a. Mukallim DrP 66, rr. als Ni-qu-du a. ^"? ràb banı Smérb ZA III, 157, zz. als Rzmüt-bél-Máni a. Känik-"babi (sic!) Dr 278, II. f 2Samas-ah-iddin Dr P 64, zs. 10. als Taónéa a. Sa-la-mu Dr Pa 17, 14. " BerV?--pu-us KAK|KAK-us(-Su) Nk 125,2. Nd 764,7. wel? DrZA V 280,» S. Marduk + 19, * Naóü-balàtsu-igbi, -Sum-lisir 27, Rimiüt-" Nan. Dr 314, 7. $ Ba-si-ia a. ""*'yàb I Ninib Dr 289, rr. * La-a-ba-si a. Liga Dr 312, vr. 3a als “Marduk-bêunu a. Ir-a-nu P 149, 4 als ”Naba-balåtsu-igbi a. Ra-ba-a-sa-"Ni- nib? Dr 265, 32 a 5. als * Naó£- ur a. Mukallim Dr P 81, 2. als ? Nabü-Sum-USir a." Ea-Epes-ıli Dr 266, 15. als Na-din a. Uballitsu-" Marduk Cb 174,5. | als Nar-gi-ia a. ^""r?j Dr 171, z. Ra-dim(-mu) a. ^"? nappahi Nk 252, Ev 12,3. 18. 20,5. Ng [10, vo]. 21,2. 2 26,2. 35, 3. 43, zs. als Ri-mut a. "pr? Cb 429, zs. 5 Ri-mu-tu a. "BéLéfiru Dr 519, 74. U-bar a. "r£? sis? Dr 482, u. als Ziria a. Epes-ili Nk 57, 16. 76, zo. GN LÉ a oan 15. a. Mi-sir-a-a, s. "Nabü-sum-iddina. a. Musesib, s. " Nabü-na id. a. Nür-'Sin, s. Nasir. a. Sag-di-di, s. Tagiÿ-* Gula. 20. a. " Sin-tabni, s. Ba-ni-ia, * Nabi-ban-ahi. X Bell,>-ig-6i Nbp M IL 7. 13,2. Nk 52. Nd [454, 9]. 563, 5. AXES p» 2? IO. a Ix Qs s. " Nabi-gåmil. als Jddzna-" Naóg a. Nür-"Sin Dr 84, ro. 883,2. Cr 99, 3,15. S. ? Apum-iddina. | als "Bel-ahe-igisa a. *Ea-êpeÿ-1li Dr 400, 19. | Knut Tallqvist. als Muras& a. Mukallim Dr 399, ri; 2 Bel-ik-sur 6. als 2Samas-ah-iddin Dr P 64, 5; vgl. Bel ik-sur 9. V Bel)-ig-bi-" Bel?) 1. a. Bel-etiru, s. * Bél-ahé-iddin. | #Bêl\-igifa (— BA-lali-ki-Xa|ià Nd 293,3) Nd | (293, 23). 476, 11- 592, 3. 620, 3. 1011, 7. Cr 69,6. 78,8 Cb 422,3. 7""epiianu Nd 683,4. 850,6. Cr 314,5. """nappahu Nk 187,9. S. Ba-zu-zu, "BéLahé-iddin 29, -kasir, Ina-esi-etir 21, / Kaÿ-ÿa-a, " Nabn- | bél-iàni, -nipsari, Na-din, Nürea, ? Samas- | sir-ibni. vgl. I SDS ho Nk 435, 15. (Cie 230, rg. Dr 127 s 2 Addu Nd 945, zz. Balatu a. ^"? ;$5ari Nk 161, zs. 4 Ba-ni-ia a. ^"? ba iri Nd P 10, ss. 7 Bel-eres Nd 348, 15. "BéL-rimanni a. ^"*075; Dr 310, 16. * Belsunu a. Mi-2 Marduk Cr 268, 16. 7 Bel-usallim Dr P 136, s. Kudurru a. Dannea Nbp (ZA IV) 6, >. Lábàsi Cb 422, 4 Dr 305, 4. Låbåsi a. élpahari Dr 280, 3. #Marduk-sir-ibni a. Egibi Nd 65, x. 516, x. NdL 13, >. als * Nabáü-bàn-zir .... NAM II 64,4. . als ?Nabü-kin- .... a. Sp pes Nk 373, 3 als 2 Nabá-bin-aplu a. Ardi-"Nergal Dr Pa 75122: als " Naóü-usursu a. Tu-na-a DrP 51, 2. als * Nabi-usaltim a. Mudammig-" Addu Ng | 36; vgl. Ake-igisa 1. 7 (5s als * Nergal-usalfin a. "Sin-karabi-isme Ev 17,12. Nd 244,19. Cr 177, 20. 317,14. Vgl. Nd M II 47, 4 als # Papsukal .... a. *"? abi biti Nd 657, vr. alé Sellibi a. ^"? abi biti Cb 189 = " Nabà- iqisa 4. als Sü-la-a a. Munnabittum NK 185, 4. Munnabittum Nk 256. als Zirüt Dr 310, zs. RER NE s. ZBel-Wü. 23aa. élaviri, s. Ap-la-a. a. Ardi-" Nergal, s. BEl-zir. 25. a. """as/aei Nbp (ZA IV) 4, so. als Zir-ukin a. T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. (?BEl-igisa) a. Áx-Xur, s. Löbösi. a. * Bél-étiru Dr (531, 16), s. Römüt-" Bel. a. Dannea, s. Musezib-" Marduk. a. Gahal, s. " Nabi-aplu-iddin. . Gallabi, s. ! Nabå-kåsir. a. Ir-a-ni, s. Nidintum. a. Musézib, s. Rimüt. a. "nappa, s. * Bél-uballit, Nidintum. a. Nu-ü-bu, s. " Nabü-Sum-uk£n. . Mélhahari, s. "Nabü-Sum-ukin. . Qaqqadániti, s. Murasi. . V Szn-násir, s. " Bél-ibni. 2Sin-tabni Nd 355, 16. a. ?"? Yang "Nana, s. Belsunu. 40. a. Sa tåbtisu, s. " Marduk-Xarrani. i! BéLigisanni(-BA . SA-an-ni) Nd 804, 16. i? BéL-ir-ha-a3-3u-nu .... Dr 300, s. a Bel-isdi-ialid-ukin Cb 343. 361, 3. 1. als * Nabü-etir-an-ni Nk 175. / Be-li(-tum «Herrin») Nk 334, s, 10 Dr 537, 4. S. ? Nabü-ah-ittannu 3. 1. m|s Remát Dr 128. Li? Belit!-ab-ni Nk 29, 5. J#Delit!-bel-biti 1. u$. Bunene?-àk-iddin Dr CT IV 32, 2. SH Belit\-e-rat (= -étirat}) 1. m|$ I Nabü-Sum-ibni Cb P. 34, 2. il Belit?-eres(-PIN-es|KAN) 1. a|$. /ddina-aplu Nd 196, 15. als i Samas-uballit Dr L 24, e. 3. a. Ha-ri-za-nu Cr 221, 14. FH Belit\-e-ti-rat m/s "Nabü-näsir a. ""2$angi "Ea Nd 165. Fi Beht!-gu Nd 615, 4. FH Belit!-i-lat Nk 318, s. #Bêht?-1lani-a-a(?) Nk 134, s. X Belit?-i-pu-us, s. Na-din. - #Bêlit?-ig-bi Ng 54, e. SH Belit!-ku(? tuS)-mi.... Cb 307, 3. Li Belit!-ga--Sa-ti DR Sellibi a. *"?abi biti Cb 356, s. fil Belit\-reü-ü-a Cb 365, 2. JE Beht!-si-Iimlil-mu NÅ 59. 787, 11. 796,7 Cr 380, s. Cb 193, 4 Dr 370, 46. SBe-lit-su ms X? Nabir-zir-ukin Nk 386, 7. No, 2. | Jr 2/ fPe-lit-su-nu Nk 135,4. Nd 75,12 S. /Ma-na- an-ta-a. DR Sá-la-a Nk 368, 3. 403, 5. | /" Bélgti-Sa-du-i-a Nd 1039, 7. "UBeLit-tan-nu|a,i (-it-ta-an Dr 367, 31) Cb 236, 9. Dr 78,4. 355,9. 368,18. 384, v. 497,28. Dr P 71,10. """aviru Sa Ebarra Ur Bu 88- 5-12, 26, ». 2êlXa-Jam Dr 82-2-11, 148. S. 7 Bel-ahe-iddin, -êtir, " Nabi-ibni. I. als a. melyas patri Dr 289, vo. ae M a. " Sin-iu Dr 288, 14. Ahé-iddin a. Mukallim Dr 484, 13. Ardia a. ré Yay e?! Sama Dr CT IV 4152. als Ardi-" Gula a. Nu-ur-sa-nu Dr 561, i5. 5. als Ba-zu-su Dr 463, 19. Dr P 73, 28. 79, 12. 86, 12. sa af *BéLibni a. ""rab bón? DrP 115,9. als "Bel-usallim .... Dr 314, « als Di-na-a a. "Ea?-di-pa|-ri|-/àmi Dr L 33, 20. as Ea-iddin a. ®"®banı DrP 83, xs. als Has-da-a-a a. Etiru Dr 210, 6: Jddina-aplu Dr 502. rr. Jddina-"Nabü a. Gahal Dr 536,11. 539, 72. als Igisa-" Marduk a. Kalbi-" Sin? Dr 287, 7. 458,17. 465,14. 467,17. 475,12. 488, 6. 489,2. 492, 5. 498, 5. 531,2 DrL 33, zo. als Itti-" Nabi-balátu a. Ba-la-hu Dr 154,13. Kal-ba-a a. Gahal Dr 430, 5. Liblut a. Epes-ii Dr 85, 2. Lu-ü-i-di-ia a. Na-ba-a-a Dr 425, ı7. * 2 Marduk-Sar-usur Dr (ZA I), 25. als Musezib-" Marduk a. Pa-se* Dr 497,3. * 2 Nabh-aplu-iddin a.... Dr CT IV 32, :s. 7 Nabü-ban-ahi a. Da-bi-bi DrP 135, 19. Nabü-muselig-urri Art 82-5-12, 310. als * Nabü-napıistim (sic!) a. ^"" nappahi Dr 560, 12. als "Nabü-tabtannuli-usur a. ^"? Sang? " Ea IDE BIS are 13077191]: als * Nabi-uballit a. Etiru Dr 371, 2. 494, zo. . als " Naói-uballit a.” kuddimmiDrP 75,19. als #Nabü-usursu a. Abi-ul-idi Dr 127, 14. 2 Nabü-usursu a. ^" ràb bani Dr 450,7. al *Nabü-usgursu a. """ Sangiardi " Ea Dr 267,23. 204,16. 318,15. 347,15. 357,12. 300,17. 378,20. 382,18. 386,78. 401,18. 403,14. 404,16. as 3a als als als a x als 38 Knut Tallqvist. (Bel-it-tan-nula, i) OJ o G3 Urt 40. 30. co 52: 415,16. 423,70. 420,27. 440,17. 446,20. 447,22. 449, 9. 458,72. 473,11. 401,79. 408,10. 523,7. als Na-din Cb CIS II p. 65. . af Na-sir a. Epes-ili DER ı13, : als *Nergat-usalfim a. IA, 142. als Nedintum Dr ZA UI 26. Dr CT IV 41,7 als Ni-qu-du Dr 426, iz. als Ni-qu-du a. Ahu-ba-ni Smirb ZA III 157, 16. Epes- -2li Dr? 8 82-7- . als Römüt Dr 333, ro. als Rimüt a. Etiru Dr P 72, c. als Sag-gil-a-a DrP 78, 15. als 2$amas-åh-iddin DENIS, s a|s Samas-napistim-usur a. Dr 507, rs. als 7Samas-uballit Dr CT IV 21, ro. qs. 9 Samas-uballit a. Sa-na-Si-$u Dr CT IV s Gb SED. GE als Söpik-zör a. Sigha Dr 431, zr. Sá-la-a Cr 379, ». Sullumu a. 'Sin-karabisisme Dr 465, 22. T Qs ns als . als Sum-iddina a. Ardi-"Ea DrP 81, z als Sam-iddin a. anciano *Addu DrP 67,7. Ta-gis-"Gu-la Dr CT IV 44,6 als Za-an-si-ri a. élimandidi Dr 486, : a. Ardi-" Anunitum Dr 6, 15. a. Efiru s. Musezib-" Bel a. Ifi -"* Marduk Cb 231, » a. Kalbi-" Sin? Dr 575, 17. als X Belit?-tas-lim als An-da-har Cb 68, 3. " Bel-ittta Art 84-5-22, 311. "Belit?-un-ma-nu, s. Ahésu. "UBelit?t-h-sal-lila Nd 525, 16. Cr 34, 2. #Bélit\-sir-ibni, s. SSinibana. YBeN-ka-sir)kösir SmkM II 2, s. Nbp (ZA IV) 9,14. Nk 211,6. 268,3. 282,2. 294,2. 304,11. 388,4». 306,2 447,3 Nd 310,18 475,0. 612, 11. 710, 6. 991, 4. 1060, 13. 1080, 15. Cr 79, 6. 116,5. 184,2. 260, 5. 365,6. Cb 249,3. 302,2. 385,16. Dr (477,9). mar Nd 1055, u. S. #Bêliddin, "Nabn-bullitsu, -etir-napsäti, -r&üsunu, Nidintum, Nidin- tum=-" Marduk. Nk 435, 16. ame nappali Mri a. Nür-"Sin Nd 946, 3. Cr 230, 15. s]. no. 9. a. Sip-pi-e Nk 112,14. Nd 1057,16 5 Balatu a. "^"? ang? ? Ninib Nk 32, ;. Bäni-id a. Ardi-"Nergal Dr 308, 16. Banıimu a. *"" yb bani Dr 93, zo. als * Bél-ahé-erba a. Kalbi-" Sin? Cr 325, 16 als * Bél-étir Nd 135, 4. 1033, 2 " Bél-étir a. Nür-" Sin Ev 22,9. Nd 558,5. Vel. no. 2. als * Bél-zg£sa Nk 315, 12. als #Bêl-rimanni Nd 1077, ro. als * Bél-rimanni a. Pábitu Ev 6,23. Ng 16. Nd 44, 17. 133, 10. Nd M 12, 19. Belsunu a. Epes-ili Dr 468, ir. x "BéL-uballit a. """nappahz DrP 11, 56. Y Bél-usalla a. " Sin-tabui Nk 202, 16. als 2Bel-usursu Ant ZA II, x. Dumugqu Nd 1008, zo. X Ea-iddin a." Sin-Xadánu Cb $5, 17. 56,13. als Esaggil-sadimu a. "Sin-tabni-usur Dr 522,18. Vgl. Käsir 3. als Habasiru Dr 400, ri. als Iddin-aplu(? Suma-a) a. Dannu-" Addu Dr 401, 11. Vgl. no. 30. als Iddin-"Nabt a. Gahal Dr 287, 22 22aa|3 Ina-esi-Etir a. " Ea-nasir Dr CT IV 2 21,17. t3 Unt als Igisa-apla a. ^"*" ràb banz Dr P 61, ro a|$ Titi Nabáa-balàtu Dr 454, 1. als Kabtia a. Ardi-"..... Nd 1098, 7. 5 Kabtia a. Egibi Nk 232, 1. * Kal-ba-a a. vë/ÿ-e-a Nd 26, 7. $ Kal-ba-a a. vélyàb bani NdP 8, x. 'STERbası as ul, TyciBaur Meo: . aj$ Marduka a. Dannu-*Addu Dr 309, 26. Vgl. no. 21. als #Marduk-usallim a. 2 aslaki Dr [97]. 134, 3 SEEN Dr Pa 10, ss. als "Nabü-belsunu a. Når-2 Sin Dr 76, 16. als ENabi-kin-aplu a. Bu-ra-qula Cr 194, n. Cb L 18, 37. Dr 298, ;«. . als "Nabü-Sum-iddin a. Egibi Nd 874,4 5 2 Nabü-sum-usur a. Bábütu Dr 551, s $ 7 Nabü-zir-ibni a." Nabü-na-a-a Dr 439,25. als Na-di-nu a. Saggil-a-a Nd 380—M II 54, vel. ZA III p. 366. TAXI Neubabylonisches Namenbuch. (Bel ka-sir|kåsir) als * Nergal-étir a. Gahal Nd 995, 15. 40. als Ni-gu-du a. ^"? Pa-se* Dr Bu 88-5-12, 26, 3. als Römüt-"Bel a. Nür-" Marduk Dr 551, 22. als Sil-la-a a. "hän: Cr 177, i. Sakin-Sum a. Marduku Nk 359, 12. i Samas-zir-ibni a. """bàni Nd 326, 4. i Samas-zir-ibni a. ^"? r2? sis Nd 436, 1. als Sul-lu-&-a a. 9. .... Dr P 86, ;;. Sulluma-a a. Da-mi-qa Dr 522, 22. Ziria a. amél-" Ea NdP 5, i5. als Z£ría? a. Iddin-" Sin Cr 48, rn. Nar Nx Ng (63, 13). a. Ardi-! Ea, s. R£müt. a. Babütu, s. " Nabü-iddin, -ina-e$i-êtir, -it- 45. tannu. a. 2 Belétir Nd 864, s. Cr 33, 4. a. "Ea-ipus-ili, s. Musezib-" Bel. . a. "Ea-hd?-is-ik, s. "Bel-uballit. a. Egibi Dr (439,16), s. ?Bel-römanni, Iddin- 2 Nabü," Nabü-ibni,-napistim-usur, Sk-la-a. a. Épes-ili, s. Zir-bi-bi. a. Esaggil-a-a, s. Kudurru. a. Esi-etir Dr 180, s. a. Gahal, s. Ardi-"Nergal. a. " Nabü-Yum? .... Nd 743,3. a. énappalr, s. ("Nabü-ban-)zir. a. Nür-"Marduk, s. Iddin-"Bel. a. ^" yb bane, s. " Bél-Sum-iEun, Rünüt. DS. a. erelyabusa ss... , S. Liblut. a. Sag-di-di, s. Bän-zir, " Nabü-bàn-sir. a. " Szn-inuttu, s. Musezib-" Marduk. a. Sin-lie(? DA)-a, s. #Samaÿ-uballit. a. " Szn-Xadünu, s. * Bél-iddina. . a. Sa-la-la, s. lddin-- Marduk, Mustzib- Marduk. a. crélfanoi parakki, s. Igisa-aplu. a. Sigha, s. " Sulmán-éfir. 74. a. Sá-la-a? Nd 996, is. V Bel!-kid-du-ri I. als Igisa-aplu a. ""? Sang? Enamtila (bit ba- lati) Nd 1070, s. X Bel?-kid-ri-i, s. " Bel?-bel-a-ni. 2 Bel!-kid-ru-Sarri I. als Musezib-" Nabñ Nk 302, 7. 5. ZBell-kin-aplu No. 2. amdlyabüu sa 39 1. aj$ "Nabü-na-din-sum Cb 226, 9. a. mel han, s. Gimillu-"Samas. 3. a. Sag-di-di, s. Kudurrn. i Bel’-Ein-zir Nd 803, 7. 1. als Nabt-kin-aplu a. Ardi-Nergal? Ng 21,4. it Bell-ki-Sir Cb 372, 9. I: al ee a. E-gi-bi? Nd M 29, 2. ISSN a. "Sin-Sadinu Dr 496, :. als "Nabü-kin-aplu a. *"®pahari DrP 120,7. als Sir-ki-a a. """5ghari Dr 312,1. 5. ali St-la-a a. Egibi Ev 13, 2, 7, 13. Cr 284, 6. 302. Cb 189, 2. 195, zz. 226, 8. 286, rs. als Sim-ukin a. Gahal Dr 174, ır. als Sü-zu-bu a. "Addu-Sim-Sam’-me-e Dr 199, 3. a. Egibi Smk M II 2,7. S. ?Nabü-musetig- urri. a. Etiru, s. /gisa-aplu. 10. a. a. Na-ba-a-a, s. "Marduk-rimanni. 2 Sin-Sadimu, s. " Bél-iddin. I3. a. ?"? ang? I Ea, s. "Nergal-Sum-ibni. JBép-pu-? ré pappal parzilli Dr 183, 2. UBel-bu-sur-5u 1. als #Bél-êtir a. Ahi?a Ant ZA III, 3. 2. a| Ittannu-"Bel Dr 393, ». 2 Bel-la-an-ni-Sum-iddin? I. als Si-la- Cb 144, &. 2 BelN2-Wil-DAlh-u) Nk 162,2. 239,8. Cr 92, >. 233,9. Cb 53,3. Dr 40,6. "2 HU.KAK Nk 162,2. Sel ZA III, 7. *"?* SA. KU Båbili Smk ZA I, 4 S. #Bekuballt, -usallım, Itti-" Nabü-nihu, Musezib-"Bel, * Naóbn- aplu-iddin, -eres, * Nergal-zir-ibni, Nidin- Ir-a-ni, s. * Nergat-nàsir. tum, Rimüt, 2 Samas-ibni. a. Marduk Cr 381, 5. EVENTS ICT CEE Nk 9r, is. 2 Bel-Sum-iskun a. """ ràb bànt Nk 72,4. Kin-aplu a. Sigha Cr 91, 5. 5. al$ La-a-ba-ÿi a. Epes-ili Dr P 56, ». 5 #Nabü-miti-uballit a. Dannu-*Addu Dr 189. alf Su-la-a a. Epes-ih Nk 343, 8. NdL 13, 24. CARE dore Nk 154,2. S. ?Bel-ıbni. a. Ahütu, s. Ka-ri-e-a. a. "Hb ip, s. Musezib-" Marduk. a. Egibi, s. Apla, "Nabu-balatsu-igbi. 40 B&py3- li CD Alti-n)) a. Épes-ili, S. Etirn, Shsubu. a. Esaggil-a-a Cr 345, s. a. Ib-na-alKAK-a Nd 351, 6. 781, s. . ®nölyappahi, s. Rimüt, Sullummu. a. rel pahari SmkP 1,14 S. 7 Bel-aplu-iddin. a. "Sin-imittum, s. Apla. 18. a. ?Sin-udam|mig) Nk 371, 15. UBelV-P-Rullat(-DA-KAK. A. BT) 1. als” Nabü-bu-un-Sü-tur a. Ri-Si-4-a Cb 233,45. ? Béll-[u-dam-mi-iq (Cr 303,1), vide” Bel-udammig. XBel>-Iu-ü-da-ri, ""* gugallu Nk 244, s. 2 BelV-hugiu-mir 1. al$ Sa-" Nabá-X Dr 489, s. a] Sá-/a-a a. Egibi Cb L 34, s. " Béll-lu-mur Nd 550, 8. 554,13. 647,7. Dr 379,15. ? 84-2-11, 172. S. Ztti-" Nabü-gázu. als Ardia a. Hu?-sa-bi Dr P 67, 5. als La-a-ba-Si Dr 495, s. als 2Sulmån-Sium-iddin a. ?! Ea-lu-mur. Dr 490, ız. Dr P 57, 2. " Bél-[u-h-ul-mu|Yi-lum Dr 310, 4. I. a]$ Kal-ba-a Dr 242. ?Bél-massarat(? -EN. NUN?) L à. Amel bilti?, s. Ahusunu. X Bell-mu|-bal-h])-it 1. aff 2 Nabü-Xum-isbun a. Étiru Nd SOI, 9. @Bel'-mu-Sal-Lın 1. als X Nergal-ina-eXi-étir Dr 491, 22. @Bel!-mu-Salmi? ent TU biti "ZA.MAL.MAL | Knl M II 5, 6. | ? Bél-musétig-urri (-LUjmu-Se-tilig- UD. DA), s. | Ardia 12a. | 1. a. ? Ea-zn-Ói, s. * Bél-iddin. L a. Szgu-tt-a, s. Itti Bél-lummir. © BelF-mul-3il?, s. Erbá-? Marduk 8, Silim-" Bel. " Bell-na-din I. a. "2 mukalliım, s. " Mardu£-Sum-iddin. “Bel\-nadin-ahe(-MU-PAP. ME) Cr 324, 9. X Bél'-na-din-afi I. a. Ir-a-ni, s. " Naóg-éfg. ?" Beél-nàdin-apli- M ULÁSIna-din-A| TUR.US )Nk 30, 8. 309, s. 313, 20. "hel pihati Esaggil Dr 58,2. *""ràb nikasi Nd 780. S. Nidin- tum + 82, Rémüt, Sum-uabii, Taqis- | Gula. | I. als Ardi-" Bel a. ^"? yiri Nd 256, 2. Knut Tallqvist, als " Bél-àf-u$ab3i a. Pap-pa-a-a Cr 316, 4. als "Bel-uballit a. **'pahari Dr 212, 213,6. als Ina-esi-etir a. "ange Sippar“ Nk 228, ro. 5. als " Marduk-Xum-iddin a. Cr 8, 14. als ? Nabå-kin-sitr a. Sigha Dao als X" Nabü-Sum-iSskun a. VE kuddimmu Dr 217, & als * Naóa-udammniq a.” nappalı Nd 141,1. als * Nabi-usabsi a. Egibi Ng 50, 17. . als #Nergal-usallim a. [ÿ-#Marduk Nd [353, s]. 575, 3. 603, 2. als #Nergal-u-Se-zib a. me Sanoi I Ninib Cb 290, 77. als Ri-mut-"Bel a. Sip-pil-e-a) Dr 410, 27. als Ta-li-mu Dr 193, s. a. "Ea-salam-il, s. Igisa-aplu. 15. a. "Nabit-ki-Sir Cb 288, 7. a. Sik-ku-h-a, s. Kina-aplu. a. Sa-na-Xi, s. " Nabü-ana-mérihtum. a. öl angi ? Sagas, s. Mu-Xib-Xi-? Marduk. a. "El Sangi "Za-ri-qu, s. Mukinnu. 20. a. ""?' fábtisu, s. Labası-" Marduk. X Bell-na-din-Yum I. a. Ga-hul, s. "Bel-Sum-iskun. "Be M-na id (-na--id I F-id| LM. TUK) Nk 48, s. S. Kalbà, ?Nabi-uballit, -zir-uSabsi. x 2 Bel-usallim Nk 102, 3. als Jddina Sel ZA III, 1s. als Jddin-" Nabü a. Egibi Cb 315,2. Dr 487,14. als * Nergal-iddin ameldypsar E-gal Dr 393,77. a. A-ta-mar-an-nu-us-su, s. Jddin-? Naón. 6. a. Épei-ili, s. Täbia. 7 Bell-nap-Sat-ibni, s. " Samas-mukinnu 1. | Bel-napsätim (EN-ZI(-tim)#), s. * Nabi-bullitsu 23, -pir -HSir 1, -sir-ukin 16, Zir-ukin 4. 7 DBe[y5A ud vip (PAP|SES|na-sir|si-ir) Nd 155. 574,8. 583,5. 047,8. 976,22. Dr 288, 6. Dr P (21,2) mûr Sipri Nd 562. ""?" angi Marduk Nbp M II 11,7. ?"? ang Sippar Nbp (ZA IV) 16, ro. NbpPi 2, ». S.#Bel- iddin, Hi-ta-ia 1, Igis-a-aplu, * INabü-bàn- alu, -elir, -ittannu, -Salàmu, -zir, -sir-ukin 35, Nür-! Sama, Sarru-Einu, Taba. 1. als ?Bel-uballit Dr CT IV 41, z. als Jddina-aplu a. ^"? nà$ patri Nk 195, 17. T. XXXI. Nådin-se-im Neubabylonisches Namenbuch. (BEI 1-nàsir) als "Marduk-Sum-usur a. "rei sis Dr 409, 24. als Mudammiq-"Nab£ a. """»b bàn£ Dr 22, 28. DrP [70, 18]. 5. a|3. Mu-se-zib-"Bel a. Mu-kal-lim Nd 9, is. als " Nabü-aplu-iddin a. “Sin-ilu Nd 15, 12. a" daian Sarri Cr 301, 13 als Nabil a. ^"? ba'iri Nk 359, 14. als X Nabü-Sum-igisa Nk 78, o. a. Ardi-" Nergal, s. "Nabü-£tir-napsäti. a. Ar-rab-tum, s. Kidinnu-" Marduk. a. "6a Typ s. Marduka Marduk-Sum-usur, il Nergal-uballt. a. Gimillu, s. " Nabü-kin-aplu. a. Rab bani, s. Kurbanni-" Marduk. a. " Szn-étir, s. "Nabü-ahe-iddin. EE ? Bel-ahé-iddin. a. "apo? Gula, s. " Bél-iddin. 17. a. Tu-na-a Nbp (ZA IV) 16, zz. X Bell-näsir(PAP?)-apli Nd 1062, 10. "Bel" Nabü)-nasir-ri-an-ni, s. Ardia. PBel-na-Sa-Ssu? I. al$ Musezib-" Bel a. Kalbi-"Sin DrP 132, 18 7 Bel?-na-tan|a-uu NK 459, 4. 1. als ZL-táZ-na-ta-uu Nd 497, s. UÜBeP-na-za-bi, s. "Nabi-näsir. X Bell-mi-ip-Sa-rulrilra Nd 720, 21. kin-aplu a. Epes-ili Don af Na-din a. Siena Nk 31, o. Ben: Sarru-a-ra-zu-u, s. * Bél-iddzn. X Bel)-pit-na-an-ni, *"* qallu Nd 392. 1. al$ Ü-qu-pu Cb 365, 2. #Bêll-gâta-sab-bit-an-ni Dr 381. 2 Bel-gisanni (-BA-Sa-an-ni, oder -gé$éauni) Nd 304, 16. Der. . *" Nabü-5um-igfsa. 3. als OMM a. Su-ha-a-a Dr 177, 9 2. a. mel E.sag.lu, s. Ardi Bel. X Bel\-ra-mi-um-ni-Si-Su Cb 92, 3 ZBel-ra-am-nise (UN), s. Musezib-" Bel 74. XBell-reü-Su-nu I. als Belsunu Ant (ZA III), ». 2. als Rimüt-bel-ili a. 2Bel-étir Dr Pi 12, 19. UBeI?-y;i-hi-tá-usur. (PAP), s. "Bel?-zir-ibni. 7Bel-rimanni (-ri-malman-an-nilnu) NK 390, 16. Nd 49,9. 214,16. 237,21. 567,14. 746, 15. No. 2. IO. HU Sin-imittu, S. I. als EE I5. a 20. als * Naóü-Xum-ukin a. "^ rab bant, 41 804, 11. 283015 282, 5. 1086 211,4 Ch IA, 17. 285, 21. Cb 150, 12. 266, 10. 278, 5. 201, 3. 294, 3. 300, 18. 345, 4 378,4. 383, 5. 392,7. Dr 14, 1v. 16, 8. 98, 4. amet ? Ka # Anunitum Cb 347, 12. ^"? alu (a an zyandidiütu) Cr 324,2. Cb 353,4. 358,4. 359, 6. 406,4. 427,3. Smd (ZA IV) 3,5. 4,4. 5,4. S. * Bél-básir, -uballıt, Nabñ-bêlfunu, -iddina, Nidintum-" Bel. (Cir 318, If. als Ardi!Bel? Dr 370, ısb. ? Bani-ti-eres? Nd 474, 8 ? Bel-iddin a. ^" ràb bän? Dr ZA III, zs. X Bel-käsir a. Egibi Dr 560, s. Du-um-mu-qa a. Mi-sir-a-a Dr 321,5 795, 13. 189, 24. |* " Ea-3um-ibni a. """ ano? 2$amas Nd 326, 11. als Hi-ta-id a. *"" ang? #Ninib Cb 272, >. als Itti-"Marduk-balätu Dr 35. als Labasi-" Marduk a. ""* a3-ran-du|dülsa- kan-na Nd 314, 15. 665. 668, 2. 660, 3. als La-a-ba-Si-"Marduk a. Egibi Nd 609, s. als "Marduk-kin-aplu a. Ev 15,2 Nd 77,9 300, re. 400, rz. 509, zz. DORMI EL P BAND SYNA 584, zs. 680, 19. 681, 9. 687, 37. als "Marduk-usallim Nd M 24, s. als Musézib-" Bel a. Ih" Marduk Nd 837,19. 1047. 1048, 2. Nd TSBA. alé Mu-Xib- 3i? Marduk| Mu- GÁL-Xi-? Mar- 2 a. 9" $5107 ? Saga Cr 260, 1, 15. Dr X Sin-da-ma-qu duk” Bu 88-5-12, 26, 30. als "Nabü-belsumu a. ^"* rib bàn Cr P 16, v. Cola 2 DR 4e a PAID als "Nabu-etir-napsati a. Ardi-"Nergal Ng 42, 18. als "Nabü-ipus? a. Kalbi-" Sin? Cr als * Nabü-Süm-iddin NÅ 570, s. 183, 34. amelgjela Esaggil Dr 437, n. il Nabü-sir-iddin a. Épes-ili Nk x Så-la-a a. ^"? bánf DrP 70, 12. als Sum-ubin a. "yab bant Cr 207, 3 als Ta-gis-"Gu-la a. """nà$ patri ka-a-ri Dr 171, zs. us EIN Nk (424, 2). a. Babütu, s. 2 Bel-kåsir, Sum-ukin. 6 als 246, 19. a) (7Bell-rimanni) a. Balätu, s. 2 Marduk-Sum-ibni. a. Ba-si-ia, s. 2 Nabia-Sum-ibni. a. Dam-qa-id, s. Iddina-ahn. . Egibi, s. Ha-ba-si-ru. a. Gahal, s. Kin-zir. a. Mu-lu-us-Su, s. Kal-ba-a. | a. Mu-Sib-Si-"Marduk Cb 288, n. a. Na-\ba-a-a| Dr 106, 7 . amélgipi, s. Bel-igisa. a. tyàb but DrP 45, 1. a. Sag-di-di, s. Gu-sa-nu. a. Se-el-li-bi Nd 225,13. Dr 99, 7 . Si-gu-t-a, s. #Bôl-iddin, "Nabü-étir- napsáti. ? Bell-ri-is-bi-ibui Cb 387, 1s. " Bél-ri-su-it-a Nk4,17. 449, a. Nd 9. 50, 7, 12. 461, s. bai, U-ba-ri-ia. " Bel!-si-lim, -sit-mu|me, ^"? gallu Nk9,2 Cb 120,17. Cb P 26,8,15. 27. 121,8. ^"?! i-su-U Cb 234, 4 1. als * Naón-á-sur-3u. Cr 213, 2? XBel'-su-pil-e)-mu-hurimuh-ru, daianu Dr P. 116. ame! gallu Nk 250, 3. Nd 1044, >. 1. als * Bél-étir a. Mun-na-óit-tà. Cb 253, 15. als ?Bel-ib-ni a.”$angi parakki Dr P 50, 4. 3. als "Naó£-éfir a. """ ane? "Za-ri-qu Cr 149, zr. Bel’-sa-bit-gati?, ^"? la-mu-ta-nu Cb 195, 6. 2 Bel!-su-l-e-St/sim-222elmu NK 301,9. NgL 12,5. Nd 126,3. 182, 4. 274, 3. 499, 6 2 Bel?-Sadıa(-KUR-u-a), ^"?.... Nd 807, 2. 2 Bel’-Sa-du-nu I. als "ZA. MAL.MAL-si-iem a. 2-s2-z] Nd 601, 11. ? Bell-Sakin-Sum Cr 360, 3 Hs als Za-bi-ni Nk 42, s. ue rene Nk 40, 22. 2 BelL2-Sär-bal-lt Nd 278, 5. 332,5. 386,2. 546,15. [662,8]. 686,14. 824,2. 3a kurummåt sarri Nd 401, v. 1043, 4. S. /ddin-" Naóz. 2 Bell-Sar(MAN)-iöni Nd. 804, 13. 7 Bel?-Sarr-a-ni Dr 379,2». ^"? ga/fu S. Jddin-aplu, Lä- amét 4,52 Si- I. als Belsunu a. Mu-kal-lim Nd 50, 5. 2. als Ki-nu-na-a-a Nk 106, vr. 42 Knut Tallqvist. XBEl-Sarru-dan-nu 1. als Ardi-"Gula Dr Ba 20, s. ?Bell-Sar-usur| PAP Cr 243,6. 364,1. Pi 8. mår Sarri Nd 50, 13. 184,4. 270,4. 581,2. 668, 3. amëla$arid Sarri Cr 178,3. la eh biti- 312,5. nepjhati Dr 42 S. Mi- rànu, * Nabi-Sum-iddin. I. aj$ ? A-num-iddin Nk 438, 15. als Ardi-" Bel Nd 300, re. als Ba-la-tu Nd 19, 3, 10. 36, 10. als "Bel?-eres Nd 42, : 5. als Mürea Nd 111, 7. 6. a. Ardi-"Ea, s. Labası. "7 Bell-Si-man-an-ni Nd 795, 12. 2 Bel-Sul|sa-lim-an-ni Nk 191, 4. 379, 43. 2 Bel!-Sü-Lum-Sh-kun Ng 28. X BEN? Sum-eres, s. "Nabü-zir-igesa 8. I. als X Nabü-ah-iddin Er 203, 14. ZREND>-Sum-ib-ni KAK, s. Rimüt. 1. ali Jddin-" Mardu a. Épet-ilu Cb 401? als Itti! Marduk-balätu Nd 412, ro. als * Naóg-aplu-iddina a. Iddina-? Marduk Cb 233, 46 (e Nabå-$ium-iskun Nk 46, 3. 5. a. Mi-sir-a-a Nk 328, e. 6. a. ”"Epahari, s. " Nabü-iddin. 7 Bell>2-Sum-iddin|a NdL 104,2 S. aplu, -Sum-usur 38. Su Or (GE, DIE i Nabü-kin- 1. als 2Sulmån-Sum-ibni Nk 235, a. Da-si-ia, s. ?Bel-ahé-iddin. a. Epes-iln s. #Marduk-näsir. 2 BElN-Sum-ipusul-KAK-Su) Cr 34, 24. 2 Bel>2-Sinn-iskun(-GAR(-un)) Smk CT IV 31,3. Nk 276, 10. Ng ZA II. Cb (300, 17): S. 42- kallum, ”Nabt-sir-usabsi, "INergal-Sar- usur, Ni-qu-du, Sil-la-a, Saddinnu, Ziria, Zirütu + 11. 1. als "Bel-ahe-igisa Nk 314, s. als "BEl-ahe-igisa a. ""sip-e-a Nk 301, s. 5 #2 Bel-käsir a. """ràb båni DrP 61, z als ?Bel-na-din-Sum a. Ga-hul Dr P 55,3 $ Er-ba a. Ba-bu-tu NK 57, x. als Lussi-ana-nür a. Sa-na-Xi-iu Nd 43, 22. als ? Marduk-aplu-iddin a. """$ang? "Ea Nd 002, 18 als ”Marduk-eres Nk 62, ro. T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. 43 (ZBelN>-Sum-iSkun(-GAR(-un))) als "Marduk-na-din-Sim a. Sip-pi-e Ng 24, 2, 15, 16. IO. als ?Marduk-zir-ibni a. Ir-a-ni Nk 67, i«. als "Nabü-balätsu-ig-bi a. Da-bi-biNk 135,10. [196, 2]. als *Nabü-zir-usabsi a. *"" ahi Cr 16, 14? als * Nergal-iddin a. Nür-"Sin Cr 381 als * Nergal-ta-kal(t rib) a. ^"^ yg? sis Nd 474, 19. 15. als "Samas-unammir NK 116, i5. v als Sü-la-a a. "Szn-ilu Dr 272, ı7 als Tab-ni-e-a a. "^"^ nag.eari Ev 6, 20. 13,16. Pet Nk (431, 2). a. Ahu-ba-ni, s. ”"Nabü-bullitsu. 20. a. Ardi-" Ea, s. Kab-ti-1a. a. “Pélêtiru, s. ! Samai-uballit. a. Dul-lu-bu, s. " Bél-ahé-iddin. a. * Ea-pat-ta-uu, s. Dalatu. a. Iddin-" Marduk, s. " Bél-ahé-iddin. 25. a. Ir-a-ni, s. " Nabü-aptu-ittannu, -ittan-afu, -taddannu. a. La-kup-pu-ru, s. "Nabü-iddin. a. Mi-sir-a-a, s. "Bel-uballıt. a. ®ölyaggari, s. Rimüt-" Béf. a. “nölyappahı, s. "Nabu-ahe-Sullim. 30. a. Nür-"Sin, s. Kudurru. a. *"?o?5; Cb 306,6. S. Liblut. a. ^"? Rab bani, s. *PBêl-lrà. a. e" VU sist, s. "Dbél-iddina. a. "Sin-tab-ni, s. 2 Dél-zddin, DIDIT TION Sum-ukin. CEST IGN oe , S. Zddin- Pet. a. emel$sangi Gula, S -usallım. s. 2 Nabi-nasir. a. ""? $ano? "Istar Babili, s. "Bel-iddin. a. ^"? $a tabtısu, s. Ana-" bél-upaqu. 40. a. Sigha, s. Lba-a. il Bel-Sum-ukin SE Dr 357, 21. als Rimüt a. "^"? 5ahari Cb P 129, 5. a. "Hb iy, s. ld-di-1a. i Bel-Sum-ü-pag- .... Nd 72, 1. "Bel. Yum-ugur Dr 385. S. Ardia, Pulluta,? Nabi- aplu-iddin, Sa-" Nabá-Xà. als * Nabü-Sa-pik-zir? Nd 518, 24. a. *" yg-Ia-hu, s. "Nabü-muk-ki-e-lib. €) Bel-Su-nu (= Fö CIS II 59; vgl. "527, ? Mar- No. 2. IO. duk-, "Nabi-belsunu) Nbp M II 9, 15. 13,9. Nk 36, 14. 131,6. 230,18. (313,14). Lab 1,23. Nd 35,6. 583,2? 656,7 774,21 787, 16. 1006, 5. Cr 140, 6. 184, 10. Cb 64, 11. 347, 6 Dr 476, 6. Dr ZA V 279. S. Ahu-lu-mur 3, Ardi-"Bel 43, "Bel-ahe-igisa, -rPütunu, Ina-esaggü-zir-ibni, Kin-aplu 35, "Marduk-Sum-usur, 7 Nebü-aplu-iddin, -bullitsu, -ugur-napistun, -utirri, * Nergal- iddin, Ninib-uballit, * Samas-iqisa, Sáü- la-a, Sum-ukin, Za-bi-i-ni 1, Zirûtu + 12. Ahusunu, alt Ah-hi-e-a a. Ardi-Nergal Nk 64, 15. GS TEEN a. Ir-a-ni Nk 45,3 als Ardi-" Gula a. Ti (Eti)-? Marduk Cb 145,3. als Ba-ku-ü-a Cb 102, s. als Balåtu (a. “*“bani) Nd 123,5. 657, 12. Dr 529, zz. Art KB IV 132, 4. als Ba-ni-ia Nd 1028, n. als ?Bel-ahe..... Nk 376, 9. als “Bel-ahè-erba a. "ré? sisi Nd 1039, >. [1077, 9]. als X Bel-ahe-iddin a. ? Sin-imittu Nk 300, s. [407, 9]. 426, r2, Ev 16, 19. Ng 7118. Nd [8, 6]. 53,13. 126,15. 204, rr. 244,4. 257,15. 274,16. 300, 4. 787,5. 995. 1031,z4. [1068,4. NdL 73,3, (61:104 4: [2545-7] 2745 $: 310,1 338, 1s. Cb 317, s. 431, 0. Cb L 169, 2. als *BéL-étir a. Bu-ra-qu Nd 367, 2. als ?Bel-iddin a. ^"? agiri Cb 319, 3 4 ZBel-iddin a. *“!pahari Nd 854, is. als X Bél-iddin|, a." Sang?" Ninib Cb 325, 14. Dr 165, 12. (372, 9]. als *Bél-igé$a a. """$angi 713, 2. Nd M 390, s. als Iddina-ahu a.“ Addu-sum-eres Nd 477,10. als Idain-"Bel a. Mudammiq-" Addu Cr 222, 3 223,9 x A suli-* Na-na-a Dr 393, 15. * Igisa-aplu Cr 217, 1. XNa-na-a Nd I a) al als Ki-i-"Nabüu Dr 144, 16. als La-ba-$i .... DrPa 13, a» als Ei-Si-ra a. m . Ev 9, zz. IR als ne une a. 166, g. als " Nabü-afé-iddin Cr 183, 32. al "Nabit-ahe-iddin a. Bu-ü-su Nd 564, is. Cb 68, =? il Sin>-Sadu Dr 6* 44 Knut Tallqvist. (OBel-Su-nu) 25. als "Nabu-ahe-iddin a. 1068, 4 vide no. 4. als "Nabü-aplu-usur Ant ZA III 2, sc. als *Nabü-balatsu-iqbi a. "Sin’-Sadi Dr CT IV 32, 20. 43, 21. als "Nabü-iddin .a. Mi-sir-a-a Cr 3, 26. als "Nabü-kin-aplu Nk 48, 2. 30. als "Nabü-usursu a. ? Szn-Xadünu Dr [407, 2 ex De woxL ze als "Nabü-zir-iddin Cb 219, 3. als "Nabü-zir-uSabsi a. ré Pa-e*! Ng 7,19. 55, zs. 60, rs. Nd 8. als Nad-na-a a. ""?ofp; Nk 102, ro. als Nasir?-" Bél Dr Ba 27, ». 35. als "Nergat-étzr a. Sag-gil-a-a DrP 138, 6. als Ri-mut Nk 395, s. SER MU Ga LA E Nd 992, rr; vgl. Nd M II 60, 73. af Sarru-ki-i-nulm Dr 468, 1. 505, 6. JE 7S%-bu-bal-eres Nd 1008, rr. $ Süm-ukin a. "UU Dni DrP 142, 14. $ Us-sa-a-a a. Ahu-ba-ni-i Ng 9, rz. als Za-an-ni-e a. Mu-Se-zib Dr 133, 12. . Abt-ul-i-di, s. *Marduk-rimanni. a. Ahe--u, s. Rimüt-"! Bel. 45. a. Ardi-”Ea, s. "Nabü-aplu-iddin. a. Ba-bu-tu, s. "BEl-u-sip-pi. a. Da-bi-bi, s. *Marduk-êtir, * Nabü-étzr. a. "Ea-pattanu, s. * Nabüt-musétiq-urri. a. Egibi, s. Ahe-iddin. 50. a. Epes-ilu, s. * BéL-kásir, X Nabü-ztr-iqisa. a. Gahal, s. * Naói-nádin-afi. a. Iddin-" Bel Cb 82, 4. a. Il" Marduk, s. "Bel-igisa. a. mel öniklu babi Cr 111,13. S. Såpik-sir. 55. a. Mi-sir-a-a, s. "Marduk-Säkin-Sum. a. Mu-kal-lim, s. "Bel?-Sarranı. a. Musezib-"Marduk a. Ina-silli-" Bel. a. Na-bu-un-na-a-a, s. Sâpik-str. a. 2 Nabü-zir-ukin Nd Pi 4, 4. 60. a. "Üna-si-hu, s. Iddin-" Nabi. a. "nas patri (bri), s. Jlddin-" Naóg, Mu- Xézib-" Marduk, Sum-ukin. a. Nür-" Sin, s. " Bé-étir, I-qu-pu. a. El paharı, s. Iddin-" Nabt. a. Poser, s. ? Nabn-ummu-Sullin. [Sen]-zmittu NÅ [44 a 40. a E 65. a. rl ràb bant Dr (46,5), s. Ardi-" Bau, Ma- Sezib-" Bel, *Uraÿ-apik-sèr. a. 4" y22 alpi, sist, s. Arrabi, "Bel-ıbni. a. "Sin-bel ..., s. Itti-" Ea-balätu. a. "Sin-imittu,s.” Nabü-ah£e-Sullim,-kin-aplu. a. Su(-)-ti-ia, s. "Marduk-Sum-usur. 70. a. Sa-al-la, s. Ziria. a. Sa-al-la, Sa-la-la Cr 160, 13. S. Ardi- 7 Ber. a. Sa-na-Xi-Xu, s. Nürea. a. *lSangi-"Ea, s. (Ina-) Esaggil-zir. . né ano? Gula, s. Iddin-"Nabi. an ano? ? Ninib, s. ?Bel-iksur. 1077028 177 7102 ?! Soma, s. Arabi. Ziri-a-a, s. Rimut- Bel. Zirütu Nd 200, v. 684, 5. 1054, 2. 1127, s. INd Pi 3, 15. 7 Bel\-Suzibanni (-KAR|Sd-zib|l-au-ui) Nk 258, 17. ante yb biti NK 411, 3. 1. af Sum-ukin Ng 26, ır. X Bel\-Sü-zis-an-ni Dr 465, 4. [467]. 2 Bel’-täk-lak(-ku) Cr 287, 26. S. MAL-Sar-usur. X Bel!-ta-lu?-ka Cb 273, s. "B&n- TUR. NAM, s. Bel-aplu-iddin. X Bell-fabut, s. * Nabu-sir-iddin. XBel\-u, s. Müränu 11, Tabnea 5. #Béll?-%-bal-lit- TIN-ıt) Kol M II 6, s. Nd 36, s. 95, 6. 307, 5. Ng 18, 1s. 70,15. Nd 7,6. 84,2. 142,3. 230,14. 333.7. 673. 676,13. Nd P1459. Cr 28,6. 221,6. 233,12. Cb 13. 58,13. 359,18. Dr 36,13. 414, 10. 476, 12. 495, 3. 519, 4. Dr L 20,8. ^"? Jaiann 7" rab SussiNdL 73,28. 29 yappahu NÅ 10, v. 429, 3. 431, 7. 432, 5. 489,11. sangen Sippar* Cr 181, v. 184, 2501: 301,12. 318, 2. 324, 10.328, 428332) 8] 00: 340,5. CD OL 70, 12 21, 6 IRD, Mori, 273,4 408,4. 412,9. 417,9. Art 82-65-12, 310. S. Ahusunu, Ardi-"Bel, #Bel-êtir, -håtin, -nåsir, Marduk + 20, *Marduk- kin-aplu, -nasir, " Nabü-aplu-iddin, -Sar- usur, -Sum-iSskun, -zivr-ukin + 36, Nidin- tum, Såkin-duppi 1, 7Samas-ibni 1 4, -ubal- 75: SES SES 78. ad. LS MEAE, lit 38. 1 ES ae Dr 288, x. 485, 29. 490,22. DrP 107, 32 Als a. amel-"Ea Dr 38, ro. T. XXXII, (ZB IO. SEE 30. Neubabylonisches Namenbuch. 2 2-bal-lit(- TIN-it)) I“ ali a. Bu-ra-qu Dr 191, 5 a. Egibi Dr 488, 13. a. (* Ea-)épes-ilu Nk 29, 9 als a ete Dr a. "Sin-Sadimu Nd 442, vr. Is "Addu-sar-usur Cb 17, r6 |$ 2 Addu-zör-ibni Dr 272, 15. 273, 22 als Ap-la-a a. ^"? bán? Dr 446, rs. |* Apla-a a. Da-bi-bi Nk 37, ri |$ Apla-a a. Ir-a-ni Cb 184, 4 $ Ba-ri-ki-ilu Cr 328, 12. 329, 18, 22. 5 ZBel-ah-ü-tan-nu Nk 270, a. als "Bel-etir a. Ir-a-nılu Dr 462, 2. 507, 2. 515, 2. 536, 2. (537, 15]. 539,2. 545,3. 560, 4. als * Be-étir-napsáti a. ^"^ abi biti Dr 499, 2 vide no. 59. "Bel-iddina a. ..... Dr 551, a. i Bel-iddin a. Ardi-"Ea Cb 1797 17, 2 Bel-igqisa a. ""Ünaphahi Ev 13, 15 #Bél-kasir a. " Ea-Epis-Uäani Dr 73, rz. 2 Bel-li’ü Dr Ba 21, » 7 Bel-rimanni Nd 154, s. X Bel-Sum-iskun a. Mi-sir-a-a Nk 164, zo. UD 2 MSaUSD 2... NG 153, & IS ?Bekusallim a. Da-bi-bi Cb 46, s. * #Pél-sèr-ibni a. "Nas patri Ng 38,5 Bu-ü-su? a. Ba-nu-nu Nd 523, 3 Du-um-mu-qu a. Egibi Dr 498, ro. Gimil-" Gula a. Egibi Dr 463,7. DrP 96,27 Gimil-! Gula a.? Sin-Sa-dan-nu Dr 173, 16. als Ha-ba-si-ru a. Mi-sir-a-a Dr 235, rr. Ha-as-da-a-a Dr 122, 5. Ha-as-da-a a. Mandidi Dr Pi 12, 16. Jddina-ahu Nd 959, ve. Jddina-aplu a. Saggil-a- a DrP 108, als Zddin-*1 | als & I & [D ES CIN ac ^ IM Me 158, 3. EIN p» S N x Me ES & Axis me labi a. Samaë-ba-a-ri DrP 71,16. Igisa-aplu a. NT. SUR gi-nalsat-tuk Nd 313, 9. Cr 119. [318, z;]. 349, zz als Itti-" Nabi-balåtu a. Bél-e-ti-ru Dr 316,6: als Ki-rib-tt a. Nür-"Sin Dr 156, 2. als Kiribtum (a. "ange Sippar") Nd 342, 15. 417, 19. 483, 5. 497, 12. 599, 13. 636, 15. 637,13. 638,12. 846,8. 932, 16. 934,1. Cr 126, 6. Cb 42, zs. 102, 15. als Kur-ban-ni a. In-di-il-ki-la-a-ni Nd 796, I3. No. 2. Nd 45 40. al La-ba-a-Si Dr 271, 6? als La-a-ba-3i a. "Bel-aplu-iddin Cb 365, i als La-a-ba-a-si a. Étiru Dr 401, 16. als Lib-lut Xx 5, i. als Li-Si-ru a. """$augli parakki Nd 238, s. 239, 9. 45. als Zussi-ana-nür a. .... Dr Pa 8, >. als #Marduk-er-ba a. ..... Nd 311, 2. als "Marduk-erba a. ^"? £5e$ ii Dr 257, 14 als 7 Marduk-Sakin-Sum a. Sa-na-si-su Nd 251, zr als #Marduk-Säkin-Ssum a. "ang? "Ea Nd 1098, 13. 50. als " Mardu&-5am-ibni Dr 338, 2. «" gipu Sa a-hu-ul-la- Nk 109, 27. als "Marduk-Sum-ibni a. ^"? ? Nd 615, s. als * Marduk-usallim a. Dannu-! Addu Nd 140, 10. Y Mi-nu-á-a-na-"BéLda-a-nu a. Nür- i Marduk Nk 116, 14. als Mu-ra-nu Dr 177, 56 55. als Musallim-"Marduk a." Sin-Sa-du-nu Cb 116, 11. als " Nabü-ahé-Xut-lim Dr P 72, s. als "Nabu-ba-lat-su-ig-bi a. " Ea-e-pis-ilz Nd 293, 12. als * Nabü-béL-ilàni a. """ràb bàn? Dr 193,6. als * Naóu|bét-étir-napsati (a. abi biti Dr 60, 3.11. 300,18. 310,17. 330,76. 334, 12. 339,8. 356,1. 378,16. 370,6, 28. [410, 77]. 434, 16. 464, 18. [499, 2], vgl. no. 15. 60. als ”"Nabü-ga-mil a. Egibi Ng VR 67, 2, als "Nabu-iddin a. ‘étyàb båni Dr ir 11. als * Nabü-id-ri-i Nbp (ZA IV) 14, 9 als * Nabü-Eásir a. Ardi-" EaDr511,18.571,18. als "Nabü-kin-zör a. Mukallim Dr Pi 7, a. 65. a| ”Nabü-mu-Se-tig-urri a. Sarru-a-ra-zu-l Nd 613, 6 65aals Nabü-na-sir Nd CT 30, 3. 68a aj 2 Nabü-sum-iddin a. Epes-ilu Dr 494, 29. als Nabñ-Sim-iddin a. Ilu-ta-ibni DrPag,:r. 2 Nabü-Sum-ÜSir a. """ ange“ [star Bå- bili Cb 397, 1o. 7 Nabü-Sum-ukin Art 82-5-12, 310. 2 Naóáü-Xum-usur. a. Ba-bu-tu DrP 67, 9 7 Nabü-usursu Dr Ba 18, zz. 2 Nabh-zir-Iir a. Sa-na-Xi-u Dr 330, 77. 46 Knut Tallqvist. (?Bel>--bal-lit(- TIN-it)) Na-dın Ev 6, 1, 5, 7, 9, 10, 12, 17. Na-din a. "Nabü-ht-su Nd 314, 20. Nad?-na-a a. Etiru Nd M II 52, 2. 7 Nergal-Sum-ibni a. Amelu--u Cb 122, r4. als ”Nergal-uballit Nd 819, s. 76a als Ri-mut-"Bel a. Da-bi-bi Dr P 134, 24. als Ri-mut-"Bel a. Mu-kal-lim Dr 131,7. als ?Sin-ahe-iddin a. Pir Nk 251, s. als 7 Sin-ilu a. ÅS-kan-du Dr 551, as. 80. als Säga-a-a Cb 164, vr. ‘ Sil-la-a a. Sa-bi-na-Si-Su Cb 315, 1. als #Samas-ah-iddin Dr Ba 8, 3. S2a als 7Samas-ba-a-ri Dr CT IV 44, 2. à Me Me ne Ge als 2 Samakerba a. Mi-sir-a-a Cb 287, 1. 422, 17 als 7Samas-iddin a. ""? NI.SUR gine Dr ZA III, zi. 85. aJ Såpik-sir a. Ili- Marduk Nd 344, u. af Se-el-li-bi a. Epes-iln Dr 520, 2. 556, 3. als Så-la-a a. Mi-sir-a-a Nk 328, s. als Sul-lu-mu a. " Nabá-li-e-à Nd NS 3 als Sá-ma-a a. Ir-a-ni Nk 203, 4. 90. al} Süm-ukin a. “Sin-fa-du-nu Nd 372, 2. 720, 3. als Sum-usur a. "ano? 2 Samas Xr 3, 29. als St-zu-bu a. """ bYiri Cb 192, 26. als Zir-Babili a. E-til-lim Nd 440, 6. Vgl. 7 Nabü-uballit 32. als Ziria a. II -" Marduk Nd 829,76. 1013, 17. IDE nao OB LP ON NE SOS and TU biti * Sapa Cb 44, 2. S. ”Nabü-balätsu-igbi, -kin-zir. a. ^" a5; biti Dr 302, 16. 319, 22, vgl. no. 59. a. ^" agiri, s. Ina-esi-Eır. a. Ahu-ba-ni, s. Ap-la-a. a. Ålu-lu-mur Nbp (ZA IV) 17, 4. 100. a. Amel-"Ea Nd M II 63, 15, s. ?Bel-aplu- udin, -étir. a. Ardi-" Nergal, s. " Nergal-iddin. a. nl as, s. Nabt-ittannu. a. "UBL s. Ardi-" Gula. a. Balätu Dr 180, e. 105. a. "Bel-etiru, s. I-qu-fu. a. Bu-ra-qu, s. Ubár. a. Dan-ni-e-a, s. "Nabü-ban-zir. a. Egibi,s.Iddin-" Marduk," Nabü-nädin-ahi. a. Épet-ilu, s. "Nabi-iddin. 110. a. Gahul, s. Iddin-aplu. a. IW-" Marduk, s. "Marduk-zir-ibni. a. Ir-a-ni Dr 536, 13. 539, 4. S. Daian- X Marduk, (Ina-)Esaggil-str-ibni, Rimüt. a. Ispari, s. * Bel-usallim, Na-din. a. Ki-rib-tum Nd 546, 2. 115. a. Man-di-di s. Saddinnu. Mi-sir-a-a, s. Gu-sa-nu. Mudammig-" Addu, s. " Nabü-iddin. AMu-Xe-zi-bu, s. Musezib-" Marduk. Na-gi-ri, s. "Marduk-Sapik-zir. Na’id-" Marduk Cr 92, 15. . nilyappahi, s. "Bel-kasir, "ZA. MAL. MA L-z£r-iddin. a. ^"? NT. SUR gi-ni-e, s. Liblut, *Marduk- rimannt. a. rl pahari, s. "Del-nadin-apli, " Nabüu- iddin, Na’id-" Bel. a. nel Pa-Ye* Nbp M II 8,9, s. Ina-est-etir, ? Nabü-kin-zir, -sir-uktn, ? Samas-ibni. . amölyab Sussi Nd 13, 1v. 64, s. 1128, 35. a. e" v7? alpi, s. Liblut. a. only sisi, s. "Bel-iddin. . 2 Sin-imittu, s. " Bêl-êtir. a. " Sin-näsir, s. "Bel-iddin. a. " Sin?-Yadi-i, s. " Mardukb-Xum-usur. 130. a. "Szn-Sadünu, s. Rimüt-" Bel. a. "!Sin-tab-ni, s. "Marduk-rimanni. a. (emel) su-ha-a-a Dr (177, 9), S. i Gula. a. "Hane? Gula, s. "Marduk-Sum-usur. a. omilsangi "Istar Båbili, s. *Marduk-kin- aplu. 135. a. möl$ange Sippar“ Cr 26, 24. a. "gno? 2, Samas, s. "Za-ri-qu-iddin. a. ^" $j-yjg Nk 117, s. a. Tåbltisul? s. “Nabi-ittannu. 145. a. Uballitsu-"Marduk Nd (1102, 12). j Be 2=üllu-dam-mi-ig\SIG-ig, s. Rimáüt-iláni. 1. als ?BellNabh-ahe-iddin a. Egibi Cr 275, 2. 303,11 337,19. 338,17. CrPi 16,1. Cb 38,8. 285, 9. 2. als Kabtia a. Bel-etiru Nbp (ZA IV) 3. #Bêli-nmé(UD?!)-i-la-a-a Nd 1022, 11. 7 Bel-umné-nu-i-ru|nu-tr Dr Ba (9, 14). I: als NV Nd 936, I2. SE SS SES Ardı- T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch 47 3 Belh2-u-pa-hir, -NIGIN-ir Nbp M II 7, u. Nd 87,5. S. #Bél-ibni 24, Kabtia. Ile CPAS Nd (1111, 3). als Erbà a. Abi-ul-idi Dr 386, 19. 395, z. 396, 19. als Musezib-" Marduk a. Bu-ra-qu DrP 86, o. als *Nabi-balätsu-igbi a. """ sangi Dilbat“ Dr Pa 6, 10. 5. a|$ ?Nabü-mu-Se-ti-ig-urri a. Na-bu-tu Cb 122,073. Di 35, 7 OS: als "Nergal-iddin Dr 345, 4, 16. als Ri-mut Dr CT IV 41, s. als * Samas-ah-iddin RES Dr 520, 2. SSR S. /tt-" Marduk-balåtu. Ba-la-tu Nd (15, 7). Da-bi-bi, * Bél-iddin, -zir. Eeibi, s. Kabtia, Sá-la-a. Épes-ilu, s. Mi-2 Marduk. I4. a. "Sin-uballit, s. Kabtia. #Bêl\-4-pa-qu (abgekürzt aus: Ana-” Bêl--pa-qu) Nbp (ZA IV) 19, a. " Bell-h-sa-mat(? ti) I. a. Man-di-di, s. "Nabü-kasir (Nd 562, 16). Bel-usåtu (-4-sa-tulté|sat NbpM II 7,8. ZA IV 9. 1. als I Naba?-Sum-igisa a. Nür-" Sin CbP 30,55. als Ni-qu-du a. Nar-".Szin Nd 380, ZA III 733604 CD". SNS DES förstor als Nbp M II rr, 12. ? Bel\-u-sib-bi L a. na-na-a-a Smk CT IV SIT ? Del\-u-sip-pi 1. als Bel-Su-nu a. Ba-bu-tu NdP 9, 13. X Bell-ü-sal-la-a, *Bêl?-4-sal-lun als "Nabü-ahe-iddin Nbp (ZA IV) 14, vr. 2. a. "X" Sin-tab-ni, s. "Bel-kasir. 2 BEN --sur-SulSES-Su Nd 977,2. ""?ardu Sa Mi- it-ra-a-tum Dr 274,4 ^"? aa//u Dr 476, s. S. I Bel-kåsir, Issiru, *’Nabñ-nâdin-fum, 7 Sulmån-Sum-iddin 7 1. als * BéL-éfiru a. "2 angi P Samas Dr 303, als Lib-lut Dr 274, 13. als Ni-din-t4 Dr Pa 14,5 a. Da-bi-bi, s. * Bél-aplu-usur. 5. a. Na-bu-un-na-a-a, s. " Naóü-kasir. 2 Bel-usabsi (-GÁL Dr ZA III 222, 25 IGÁL-Ni/A- 316-5; Dr 61,2. Ng 2,17) Cr (360,6). S. Bel uballit. No. 2. 500, 2. R 10. S RUNE 1. al$ ?Nabü-balätsu-igbi Dr (ZA I), + als * Nergal-iddin a." nas patri Nk 207, 77. a A: Nd 839, 11. a. Nür-" Sin, s. Nabi-étir. 5. a. nel aye? " Za-ri-qu, s. "Bel-iddin. X Bell 2-usallim (- GI|DIün|ü-Sal\sat-lim|li-in) Nk 50,2. 57,4. 239,9. 294,2. 315,10. 382, 26 Ng 52,5, 10. Nd 201,22. 247,4. 457,9. 622,18. 633,11. Cr 34, s. 111, 1». Cb 64, 3. Dr (489, 12). 548,5 melji-i-pi Nk 436,5 "Arab ban Nk 391, 2. ^"":5-bj Cb. 302,4. S. Ardia 63, Ardi-" Bel, "Bel-iddin — 209, -iqisa, -ittannu, -naid, Gimillu, Kabtia 32, Musezib-" Marduk, " Nabü-balätsu-igbi, -zir-USir, JRa-mu-u-a 1, /Sik-ku-ti, Za- ab-di-ia. ar: Cr 1 SE: ipus a. As-kan-da Nd 105, ro. ANRT iddin a. "#$angi "IStar Båbili Cr2727e a|$ Ardi-ia Nd [39, 5]. 40, ss. Cb r9, s. 5. als Ba-la-tu a. ^"? yàb båni Ev 10, 13. als Dàmi-id, """$angk Sa "Nerga! Nd 410, 9. als X Bél-afé-iddin a. Si-gu-h-a Cr 329, as “Bel-etir a. Lut-tam|-mar|-" Addu Nk Sr als "Bel-ibni a. "^"? gallabi Cb 246, 3. 325, 4. 337, 3 10. als ?Bekiddin a. Ardi-" Ea Dr 472, ı als *Bé-iddin a. ^"? ràb bani DrP 74, 1. als ?Bel-h’ü? Cb 403, ss. als "Bel-näsir? ... Nd 539, 74. als ?Bel-Sum- ann a. 2 Sin-tab-ni Nd 552, 687, 4. 6. 15. als #Bêl-uballit a. Isparu Nk 203. IS Gi-mil-lu a. Epes-ilu (Cia) itv a|* Lussi-ana-nür a. Liga Nd 335, 8. LE X Marduk-Xim-ibui a. Gahul Dr 568, 27. als XMarduk-sir-ibni a. Épes-ilu Y Nd 727, 9. 20. als #Nabñ-ahè-bil-lit Nd 448, 4. als Nadbi-àl-iddin a. ^""5ahari Nd 135,34. als 2 Nabü-aplu-iddin a. Ih-"Marduk Cb P a7. als X Nabü-bel-Sumati Nk 115, 34. als #Nabt-êtir a. Al-la-nu Dr Pa 9, so. 25. aj #Nabü-usursu a. "^"? Pa-Xe*! Cb 379, s. 48 (Bell ?-u$allin) als Nabñ-uSabÿi a. "Addu-Sam-me-e Ng 20, ro: als " Nabü-zir-iddin a. "Addu-Sam-me-e Nk 242, 3. als Ni-gu-du a. Liéa Dr ZA III, so. als Ri-mut a. Ardi-“Nergal Nd 412, n. 30. als Ri-mut a. Su-ha-a-a Nk 54, 15. 3 #Sin-tab-ni Nd 687, s. il Samas-udammig a. mel 22 sist Nd 48, s. als Sü-/a-a Nd 538, s. JE Sum-ukin a. "Sin-Sadimu Nd 570, t YES 477, 13. 504, 3. als Ta-gis a. Mi-sir-a-a Nd 79, 2. als Ziria a. Na-ba-a-a Nk 269, 11 271, 1». 283,7. 344,2. 345, 4,18. Ev [11, 11. Nd 280, 13. Nd M II 53, zr. (9 9s osea Gb VIAE a. Abi-ul-idi, s. Gimil-" Nergat. a. "Addu-Sam-me-e, s. Ardi- Bel, "Nabü- iddin, Rimüt, * Sama-náàdin-Xum. a. Ahu-ia-ü-tu, s. " Nabü-uballat. a. Amel-"Ea Nd (1070, 2). S. /Etillitum, #Marduk-bêl-sêri. a. Ardi-" Nergal, s. "Nabü-usursu. a. Ar-kat-iläni, s. " Nabt-Ffn-aptu. a. A-ta-mar-an-nu-su, s. ”Marduk-iqisanni, ? Nabü-aplu-iddin. 45. a. Da-bu-tu, s. "Nabü-Sum-ukin. 45a a. "Bér-aplu-usur, s. /Amti-" Belt. ? Bêl-iddin Cb 80, s. a. ^"? bj-hi-yu, S. Nergal-ina-est-étir. a. Da-bi-bi, s. "Bel-uballt. a. "Ea-epes-ih Nd 687, 43. 974, 1s. HON Epes-ih, s. " Bel-iddin,” Marduk-Sum-ibni. a. Etiru Dr (520, 19). a. Ir-a-ni, s. lddin-! Nabóà, 2 Naba-ukin. a. "Marduk-näsir, s. Niqudu. a 35. 40. ds a. Mi-sir-a-a, s. Ardéa, 1 Samas-nösir. 55. a. "naggarı, s. "Nabü-musetig-urri. a. Nür-" Sin, s. Iddin-" Nabn. a. "lari SmkP 1,5. S. Nidintum. a. Pap-pa-a-a, s. Iddin- Bel. a. öl Pa-SeH, s. UH Marduk-Sum-usur. 60. a. "b bani, s. Bullut, " Nabi-kin-zir. a. "Sin-näsir, s. Gimillu. a. " Szn-Sadünu, s. Liblut, MuSezib-" Marduk. Knut Tallqvist. a. "Sin-tab-ni(-usur), s. Kina-aplu, 2 Nabá- musetiq-urri. a. ne sj|-pi-ri| Dr 379, s. a. Su-ha-a-a Ng (36, 19). 65. a. 1 Samaë-idadin Cb 57, 23. 67. a. " Sum-ugur Nd 358, s. | 7Belh>-u-Se-zib|KAR Dr 242. | ? Nabü-musehg-urri. I. als Ardia a. Qaqqa-du-an-ni-tum Dr P 86, ». | [96, 16]. 102, zz. 105,9. als * Bél-ahé-iddin Nk 315, c. S. Musezib-" Del, als * Bél-étir Nk 33, 3. als Has-di-ia Nbp (ZA IV) 14, ze. 5. als Jtti-" Nabü-balätu a. ^"? d-Yur Dr 235,14. als Ki-din-nu Nd 446, s. als "Nabü-Sum-u-kin .... Cb 240, re. als ?.Szn?-Xadá a. Sip-e-a als Zirittu Nk 106, re. IO. a. Da-bi-bi, s. "Bel-ahe-erba. a. Egibi, s. * Ea-lu-mur. a. 9" yan-di-di Smk P I, 16. a. Sag-gil-a-a Dr 485, ss. I4. a. Sa-na-Xi-iu, s. / Be-li-h-tum. 2 Bel-u-Sib-Si, vide *BéL-uxabsz. UD BeL-zári (vgl. "Marduk-bel-zöri) Nk 284, s. Ng 5,4. Nd 941,2. Cb 80,1» ^"? a0u-di-dz Nk 77, 10. 157,19. 435,6. S. Gimäillu, Iddi- na-" Nabi, * I-tá?'-i-la-a-a 1, Låbåsi. x Ahe-sa-a a. ..... Nd Pa 2, 41. Ardi- Gula a. Egibi Dr 328, 1s. Bäni-ia a. Mi-sir-a-a Cb 287, i. 7 Bel-ahe-iddin a. ""7. .... Nk 9r, zo. 5. als ?Bel-igesa a. Ardi-" Nergat Dr P 110, 3. als * Bél-upahhir a. Da-bi-bi Nd 169, i. als Kudurru a. Nür-"Sin CbP 33,10. 130, zz. * Musezib-"Marduk a. """nabpahi Dr y 24 als 2 Samas-äh-usur Er: 370: als 2Samas-Sum-ukin a. Ilÿ#!Marduk Nd 43, 19: Ren ku, s. " Nabü-sum-iskun. a. "Addu-Sum-eres, s. Kurbauni-! Marduk. IO. a. Du-ra-qu, s. Sèga-a-a. a. Bu-t-su, S. "Nabü-kin-aplu. I5. a. Egibi, s. "Nabü-aplu-iddın. q. Épei-ilu, amöldmanı Nd 64,9. Nd L 73,29. a. élpan-di-di, s. " Nabi-Xum-iddin. T. XXXIII. Neubabylonisches Namenbuch. (@Bel-zöri) a. mél Pa-Seki s, Samaÿ-ibni. a. Sag-di-di, s. Samas-uballit. 20. a. " Sin-tab-ni Dr (361, 10), s. Zddin-* Marduk. a. "e? Yane? Dilbat* s. Ardi-" Ninib, Nabå- balatsu-igbi. a. Si-gu-i-a, s. Ardi-" Ninib. 23. a. Sum-ukin Nd 658, s. 2 Bell2-zir-ibni Nk 356,2. Ev 19. Cr 34,10. S. Ni- ri-ia-a-ma, ? Samas-ba-la-tu. js Aet ME Dr 398. s. als Ahu--u, """ rib ki-sir Sa eli gi-hi-it-um Nbp (ZA IV) r9, c. Apla-a a. Hu-sa-bi Ev 21, zz. 2 Bel-åh-usabsi a. " Bél-étiru Ng 16, 7. 7 Bel-yi-hi-tá-usur. NK 110, 2. * /na-esi-etir a. Ardi-" Nergal Cb P 29, o, vgl. ZBél-ibni 10. als als "Nabü-ki-Sir a. "*!naggari Nk 281, 10. als Sapik-zir a. %lpappali Nk [179]. 327. als U-bar a. Tu-na-a Nk 194, 8. . ame! qslaki, s. "Nabü-balätsu-igbi. . mel pair, s. Ana-" Bél-d-pa-qu. . Dan-ni-e-a, s. Kabtia. . Esaggil-a-a, s. " Nabit-imusétiq-urri. anétyabbahi, s. "Marduk-aplu-usur. amas patri, s. "Bel-uballit, IgiSa-aplu. . Sag-di-di, s. Sum-iddin. IO. 15. Sag-gil-a-a, s. Ni-qu-du. 18. a. X Sin-Sa-du-nu, s. Iddin-” Marduk. 2 Bely2-zir-iddin Nk 323,3. Cb 387,13? S. "Nabu- kusursu, -röüsunu, Ztrütu. 1. als ?Bel>-ibni Nk 86, 13. als * Nabü-mu-ki-in Dr 440, 14. 3. a. "Nür-" Sin, s. "Nabü-Sum-lsir. ? Bell-zir-igisa 1. als *Marduk-Sarrannı a. Saggil-a-a NdS, s. 2. a. X Sin- ... ibm, s. Iddin-" Marduk. ZBel-zir-U8ir (ST. DI/GIS) Dem, s. 1. al$ Balätsu a. "ange star Babili Nd 687, 10, a. Egibi, s. " Ea-zir-ibni. Buri. Epes-ilu, s. Jtti-" Nabü-balátu. i Bel!-sir-usabsi Dr (163, 20). I. a. Dél-éfiru, s. Iddina-" Nabi. Bi-ba-nul;, Bi-e-ba-nu, Bi-ib-ba-nu, Di-bi-ba-a-nu, s. Ap-la-a, "Nabü-ahe-bullit, Ri-ba-a-tu. No. 2. 49 1. als Ahe....? Nd 564, 12: al$ Ahu.... Dr 447, z. als * Bél-aglu-iddin a. Gahal Dr 541, zr. als La-a-ba-$i a. ..... e-H-ri Dr 298, ro. 5. al " Marduk-bàn-ahi Dr 316, ss. als " Nergal-3ar-ugur. Dr 310, zz. Bi-ib-bu-ü-a, Bi-bi-e-a (cfr. bbl. 123), s. "P'a-a- iat, "Bél-àsáa JUKAS.TIN.NAM- Sarrat 1, 2 Nabü-ahe-bullit 14, -Sum-iskun 18, Zu-um-ba-a 1. lo ec oc KM Bi-e-lu-ha-lu-su 83-1-18, 350 (CIS II p. 37). Bi-hi-ri, ^"? bi-hi-ru Nk (431, 14), s. ?Nergal-ina- est-êtir 2. SBilBi-li-li-tum Nk 251,5. 318,7. Nd 355,7. 350,3. 381,15. S. 2 Nabn-Sum-lsir. 1. m]k 7Bel-ü-Se-zib a. Sa-na-Si-Su| ee Sip-ri Ng 23. 42,4 Nd 13. Bi-na-a-a (vgl. dau «Samenknospe» u. dgl.), s. / Aplatum 1, /Nu-ub-ta-a 15. / Bi-is-sa-a (cfr. n. pr. m. 02) Nd 6, ss. 1. m|S Igisa-aplu a. Ku-du-ur-ru Nd 697, 28. Bit-ir-a-ni-Sar-usur, ^"? pihätu Cb 127, 2. I. als Li-$ir Nd 360, 12. Bit-ta-nu, Bi-it-ta-nu P 154,2 155, 7. Bit-ukin-" Bau?(?) Nd 746, 12. Bit-zi-bit-dur-ri? s. " Samas-iddin. / Bulétum ( Bu-i(-i)-tum|tá|ti, «die Begehrte») Nk 39,3. 60,2. 166,2,9. Nd 253,38. 313, 8, 22. 570,12. 615,2. Cr 51,6. 160, v, 23. 16I, 40, 60. Cb 233, 18. I. m|s Jddina-ahu a. 7"... .. Cb 233, 32. m/s *Nabü-6àn-ahi a. """Yangi "Gula Cr 2 2) IÓI, 16. m|3 ENabt-ban-alni a. ^"? angi ? Ninib Nd 964, 11. ms *Nergal-uballit a. Nür-" Sin Nd 790. Bu(? Gzd)-/a- Nk 443, 16. Bullut (BüllBu-ul-lu-utltullut, als Probename: Bullut K 241, X 19; abgekürzt aus //7-óuf- lutu- Marduk oder dgl.) Nk 313,10. Nd 30101539349 5513:993774 711228 002 7 RID E22 2778. 533,10. S. Jddin-" Nabu 123, "Nabü-iddin, -kin-aplu, Na-pu-us-tum. 1. als ?Bel-usallim a. "råd bàn? Nk 116, 16. als La-a-ba-$i a. Sag-gil-a-a DrP 66, 6 (var.: Bill-ta=a). 50 (Bullut) als ?Marduk-kin-aplu a. Amel-" EaDr 357,13. als Na-din Cb 13, 16. 5. als Pir- a. Mu-kallkäl-Lm Nd 46, 11. 802,14. 807, 14. 946,11. Nd M II 58, 9. als 2 Samas-sir-uSabii a. "Sin-Sa-du-nu Dr 405, 12. 473, 4. als Sa-ud-ra-an-ni-"Mardu£ a. Sancti 2 Gula Cr 146, 14. HR RU TNT ‚s. 2Marduk-rimannı. a. Jddin-" Marduk a. Bu-su Cb 329,18. 391,15. [410, 21]. IO. a. La-ba-Si Cb 385, s. a. "Nabn-zör-ukin Cr 360, 15. a. @ölyappahi? DrP 132, 14. a. Nür-" Sin, s. Sullumu. 14. a. ^" yb bani, s. Ubar. Bül-lu-ta-a, Bül-ta-a (Kosename zu Bullutu, mit welchem es wechselt) Nk 351,7. Nd 109, 4. 659, 9. 686, 5. 814, 4. Dr 36, 11. 52, 19. 74, 3. 88, 6. 92, 6. 94, 6. 99,5. 116,7: 146,3. 158,6. IQI. 209, 4. 211,5. 241,2. 414,15. ^"? giu | (Sa ^" mandidi?)) Dr 54,3. 71, 6,9. 90, a. 106, 11. "? mandédi Dr 72,27. ^"? ràb GIS. BAR Dr 136,5. S. Aÿaridu, lddin-"Bel, 7 Nabü-I ü-bullut. 1. als * BéF-Simi-usur? Dr P 138, 16. als Etillu a. “Sin-ilu Dr P. 113, 28. als Gimillu a. """Yangi *Istar Dábi Nd 335, 11. Ha-ba-si-ru a. 8762 apli Dr 215. 217,77. Ib-na-a a. Sag-gil-a-a Dr 449, 7. Jddin-" Bél Dr 411, 16. Iddin-"Nergal a. Épet-ilu Dr 541, 24. I 2, AER als La-a-ba-Si a. Sag-gil-a-a Dr 300, 7. IO. 427, 3. Nabü-kis-e-hbl; Dr 371, 14. Na-din Dr 271, zs. Na-sir? Dr 415, i. LL ur I5. a C« C« C« Me SR s eL ME d EE Dr 264, 4. als Ri-mut a. ""? pahari Nk 344, M. $ Kud(Sad?)-din-nu a. Nür-" Sin Dr P 66,2. als #Marduk-erba a. ^"? Pa-se® Dr 216, a. * Mu-ra-3á-& a. ré $angi " Samas Dr 406,9. 7? Nabü-aplu-iddin a. Pa-Sse" Dr 170,16: " Nergal-Sum-ibni a. ^"? bán? NKP 3, re. Knut Tallqvist. als Ri-mut-"Bel a. Nür-"Marduk Dr ZA III, zo. als Sad(Kud?)-din-nu a. Nür-"Sin Dr [399, 2] D'13P166; o: 115, s. TAT, >. als 2Samas-iddina Dr 482, rz. als Si-rig-tå a. ? Sin-udammig DrP 6, ss. al! Ü-bar Dr 296, 21? a. Ga-hul, s. 2 Bél-iddina. 25. a. "? yy patri, s. " Samas-éir. 26. a, «t'y vost, S. Rimüt. /Bu-na-ni-tum|ti, a3$at * Apil- Addu-natanu Nd85, 6,8. 187,4 356. 1104, 4. assat ?Nabü-kin- zör Nd 300, 4. 391. S. /Nu-ub-ta-a. 1. 7] /Qu-da-3u Cr 217, e. | Bu-na-nu, Bu-un-na-nu, Bu-na-an-nulni («Ge- schöpf») NkL 7, 3. Nd 659, 21. Dr 368, 16 84-2-11,102. S.”Bel-iddin,” Nergal-uballit. I. als ”Nabü-ahe-iddin Nk 110,15. [115,29], 118, 20. 10. 235, 3. als * Nabü-Sim-isEun a.” man-di-di Dr187. als * Nergal-á-Se-zib a. .... Nd 132, e. als Su-ga-a-a a. "Sin-ga-mil Dr 500, is. re Bi Nk 249, 20. a. (2 Ea-)epes-ilu, s. Nåsir. a. Ir-a-nı, s. Mårånu. a. ”"nappali, s. "Bel-ahe-igisa, "Nabi- akè-ig%a, -uballit. a. lyab banı, s. Iqisa-aplau. | IO. à. emölfangi Babih Cr 17. X Bunene-l-abu-usur. (PAP) 1. als Am-ri-im-me Cb Ba 1. 7 BuneneV?-àf-iddin Nd 136,11. Cr 343,4. dp rısu Nk 452,2. S. “Bêél-êtir 64, "Belit- bel-biti. I. al$ A-ra-bi Dr CT IV 32,6. 2. a. Ha-ah-hu-ru Nk 458, 18. #Bunene?-aplu-iddin Cb 130, 13. #Punene*?-i6-ni\KAK Nbp(ZA IV) 13,3. Nk 36,17. 146, 2. 148,10. 219, 3. 221,5. 237,3. 239, 8. 321,2. 402,» 443,14 452,9 Nk 37, 7. 49, 5,11. 80, 4. 146,6. 303, 3. 381,5. 449, s. 450,9. 464,10. 502,4. 500.3. 618,6. 656, 3,18. 691,16. 696,29. 717,10. 856,4. 880,7. 1003,14. 1028, 2. IOSI,4. 1060, 18. 1075, 10. 1076, 9. 1134,2 Cr IOI,2. 145. 173,6. 174,8. 180,2. 187, 2. 207,2. 209, 2. 233, 13. 305, 2. 326, s. 353,6 (CA Oh 103/22 195, 87 17708. T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. (2 Bunene?-ib-ni|K AK) DOTE ZERO 16. 268, 11. 332,3. 420,2. Dr 2,19. 8,8. 20,10. 46, 3. I49, 2. 186, 3. 578, 8. ame? Nd 259,3. “mel bit ga|-ti] Nd 546, 19. and jyyisu Cb 296,5. "nappahu Nk 92, s. 418,4. ""t5aharu Nd 357,16. 414,6. Cr 204, v, 13. Cb 5,3. 168, 3. 201, 9. 234,9. Dr 50,3. étpu-sa-a-a Nd 281,4. 805,2 qa- ta-nu Nd 351,16. ^"" rab bit killilkil-li-tå INIKSTO Es Ndier e 2141829 Cr 20529 11211 205,5 CH 202 1274 7 389,3. (A22 c kurummät Sarri Cb 84, 20. Sa bit alpi Cb 23,6. Dr 162, 8. 218, 17. 203,6. Sa det Beht Sippar Cr 204, 9, 14. Cb 256,15. ^"? $anez 2 Belt Bäabili Nd 759,3. amel urgi Cr 176,9. S. “Pélerba, lddin-"Nabu, Itti- 2Samas-balötu, Musézib- Bel 75, " Nabá- kin-aplu, Nidintum-" Bel, Rimüt + 106, il Samas-bel-ilt, -bel-usur Y, -udammig 6, Siriq. . als " Bél-iddin Nd 379, s. Y #Bêl-iddin a." pahari Cr28,13. Cb49,rr. X Bel-?-ukin Ng 47, 13. Lab 1, 24? Lu-bu-Su-pi-ia Dr 397, 16. ? Nabü-erba Dr 365, 10. ? Nabg-na-6u-ru Nd 883, 14. il Nabü-udammig a"! r£ (sis) Nk 147,14. [272, 3]. Ev 21, 9. Ng 10, ra; als ?Nabü-usursu a. "hån Dr 395, 20 — 396, 18 (? Samas!-ibni). als Pän-di-ru-lu-mur, Pan-Dür-ih”-Iu-mur Nd [298, 3]. 656, 13. 1028, 5. CREE Nd 781, 10. . Am-me-ni Nk 205, 2. Nbp (ZA IV) 2, s. . Ar-ra-bi Cb 129, 13. . XBau-eres Cr 229, s. . YBel-iddin Nd 934, 2. amölyyar Sipri Sa gipi Nd 22, s. . Musezib-" Bel Cb 146, 15. X Nabü-nàsir Cr 99, 1. . Na-din Nd 351,13,3». Nd Pi4,& Cb 58,14. 19. a. ”"Epahari Cr 44, i. 7 Bunene!-1ddin Nk 456. 7 Bunene?-ilant Cb 130, 14. 2 Bunene?-käsir IO. 158 SI 7 Bunenel-ri-man-ni Dr 578, 2. 2 Bunene?-Far-ibni Cb 93, 18. 2 Bunene?-Sarranni (-MAN-an-ni) Cb 359, 7 Bunene"2-Säar-usur|PAPNd 228,6. Cr 260,6. Cb [146,5]. 248. Dr 111,2. "2 iyrisu Nk 452, 30. amölyaggarı NÅ 237,8. Sa bit .... Dr 49,9. amélfangi Nd 909, 7. 1. al$ Jddina-aplu Cr 213, s. Dr 111,7. 2. a. Sum-ukin Cr 89, X Bunene?-Si-man(-an)-ni Nd 21,2. Cr 4,7. 295, 4. 29 2 C4, 40 148, 130 286 6 250 402800, 7- 374,10 415,4 430,4 Cb CT IV 27,1. Dr 629072 T2 T1136 6 200 13422 108 1528,,5 547, 2. I. als Så-la-a Cr 313, 5. il Bunene?-$i-nin-ni Cb 99, 23. 2 Bumene?-Sum-iddin, sa kurummaät sarri Dr 200, 14. X Bunene?-z£r-ibui. Nd 467, 6. 865, e. 981, s. Bu-un-na-a(-a) (cfr. bbl. 33) Dr 163. S. Zu-um- ba-a 2. Buè-unè-na-ki-tum, s. Jddin-" Nabu 23. Bu-ra-quiga (cfr. he., pa., phón., sa. pn3) Dr 545,8. S. V BéL-iddin 113, -kåsir 34, Bel- Sunu 10,” Bel-uballit 3, -upahhir 3, Iddina- Bel 42, "Nabü-Elir 52, -r'manni 7, Su- ga-a-a 8, 27, Ubar 6. /Bu-ra-Sü|su (vgl. 52 «Cypresse») Ng (VR 67) 3,4. Nk 43,8. Cr 111,5. 332,7. 84-2-11, 165. assat Ardi-Bel Nd 999, 6. assat "Sin-iddin Nk 137, 4. 1. mjS ? Addu-ü-Se-zib 84-2-11, 165. m/s A-gar-aplu a. Si-gu-t-a Nd 1111, 14. 3. m/s Gi-mil-lu a. Epes-ilu Nd 343, 5. 1098. Bu-ru-sir-iddin, ^"? damgar Nd 887, 2. /Bu-sa-sa Cr 135, 9. Bu(-z)-su (ein Vogel DAHW p. 181a), s. Ake- iddina-"Marduk, Ba-ni-ia 30, "Bel-ahe- iddin 28, BélXunu 24, Bullut 8, Itti-" Bel- lummir 8, Kudurru 3, "Nabü-ahe-iddin 39, -belsunu 20, -bullitsu 44, kin-aplu 12, Sum-iddin 24. I. a. Ba-nu-nu, s. "Bel-uballt. Da-a-nu-ha-ta, s. I-tuP'-nu-ür X. Da-bi-bi, Da-bi-6bi (auch mit Determ. ^?) Nd I. a. ?"? Pa-seki, s, ?Samas-ahe-usabst. “Bunene?-rêéu-t-a Cr 126, No. 2. (181,6). Dr (398,5). S./Amtia 2, Ardia 47, | Ardi-"Nergal 8, Ba-nu-nu 2, "Bel-ahe- 7x 52 Knut Tallqvist. (Da-bi-bi) erba Y, 16, -aplu-usur 1, -êlir 22, 24, 38a, 57, -iddin 6, 38, 56, -iksur 5, -ittannu 20, -Sum-iskun Yr, -uballıt Yo, 24, 76a, -zir 6, Dan-a-na-“{ Bel 1, *Ea-erba 1, Etillu 1, Ib- na-a 16, lddin-aplu 30, Iddin-"Bel 5, 28, lddina-?Nabñ 43, 58, 78, 115, Jgésa-apfu 50, /gisa-" Marduk 20, ? [-Yum-6a-ni 1, Itti- UNabñ-balètu 26, Kabtia 22, LàbàSi 52, Liblut 5, 50, "Marduk-aplu-iddin 3, -ba- lätsu-igbi 6, 8, -belsunu 3, 6, -étir 6, 13, -nasir 20, -zir-ibni 6, Musezib-" Bel 11a, 20, Musezib-"Marduk 40, 57, "Nabu-ahe- bullit 28, -Ah-ittannu 9, -aplu-iddin 19, -balätsu-igbi 63, -bullitsu 24, -étir 9, -iddin 18, -ittannu 67, -kasir 8, -kisir 2b, -nådin- ahi 11, -Sum-ukin 34, Na'id-"Marduk 6, il Nergal-Sum-usur 1, -usallim 28, Qisti- Marduk 5, Römüt 27, /Sikka v, "Sin-ilu 35 Sökin-Sum 8, Sá-la-a 2, Sá-ma-a 3; Sum-ukin 15, Tabnea 14, 19, Taddannu 9, Zir-ukin YO, Zirütu 13. Da-bi-bi-ni-ir (vgl. "Nabur-KA.KA-ni-ir K 241, IV 42), ^"?! ga//u Nk 438, 13. Da-da-a (Dr 397,4) vide Da-di-ia. Da-da-nu («unser Liebling») Nd 729, 22. Da-di-ialia, Da-ad-di-ia, Da-di-di-ia (sic Dr 229, 13), Da-da-a (Dr 397, 4) (cfr. he. 1717) Nk (380,9. Nd 557,8. 948,6. 952,13. Cr 127,11. ?84-2-11, 172. ?P 153,2. 154,2. S. ?Addu- uballit, *Nabñ-sir-iddin. lio Co aurca Dr 288, s. als Musesib-"Marduk a. Ni....nu Dr 318, zo. als "Nabu-Etir Cr 57, 10. als Süga-a-a a. Ardi-"Nergal Dr 280, i. 5. als ?Samas-erba a. met Pa-Sek Dr 397, 4. Ro à Cr 135, s. Dr 180, 12. a. Ardi-" Nergal, s. Mürànu. a. Na-ba-a-a, s. Ardia. a. Na-din-Se-e, s. INidintum-" Bel. 10. a. nappali, s. Ardia. Da-gi-il-ilñni («unterthan der Götter») 1. als Za-am-bu-bu Nk 101. Da-ha-a-a, Da-ku-t-a, s. *" Nabz-ittannu 13. 1. als Di-ku-um-mu a. Épei-ilu Dr 392, zr. Das-has-nu, ”!nappahu Cb 259, s. Daian-" Marduk (DI. TAR-"M)?), s. Nabaå-ba- latsu-igbi 19. 1. als Apla-a a. "näs patri Nk 54. 55, 72,2. als "Bel-uballit a. Ir-a-ni Nd L 14, 16. RASE Cr (341, 13), s. Ap-la-a, Låbåsu. a. !Bel--ü, s. Müranu. s. a. Mu-Se-zib, s. na-Esaggü-Sum-ibni, "Na- bü-musetig-urri. a. "Sin-ifu, s. "Nabu-balatsu-igbi, -musetig- urri. a. "Sin"3-Sadünu, s. Dàn-ztr,! Nabu-bän-zir. a. am? Sy erf, s. 7 Nabü-balätsu-igbi. a. Sarru-a-ra-zu-ü, s. " Nergal-iddin. IO. q. Sum-usur, s. Ina-Esaggil-$um-tbni. Da--ig, Da-iqu, s. "Bel-iddin 37, " Nabu-bel- Sunu 6. Da-li-li-es-Su (vgl. Da-Ul-"Tstar), s. ZDa-na-at- Esaggü. 1. al$ Ar-ba--Ü-a-a NkL 8, 2, v. Da-mi-ig, Da-mi-qu, e"*0 Dam-galqu («fromm»?) Nk 367, s. Cr (368, 17). Dr (245, 32). S. 4g- la-a 27, Ardi- Gula 19, Ardi-" Marduk 14, Ardi-"Nergal 16, "Bel-etir 55, -ibni 22, 23, -iddin 110, 159, -kasir 47, Gimillu 21, Marduk, ?"Marduk-Sum-iddin 26, -z2r- iddina Y, Liblut 36b, Musezib-!Bel 11, 7 Nabü-aplu-iddin 46, -belsunu 9, -ittannu 48, -sör-uSabsi 2, 19, 17, Sulum-Bäbili 6. /Dam-ga-a Nk 67, 15. ?84-2-11, 165. 1. ın|$ Ina-est-étir, assat Ardi-" Gula Nd 314,4. 668, 4. ms (Zna-)es£-étir a. Mar-duk-4 Nk 359, 2. Nd 626. ms X Marduk-..... a. Egibi Cb 31, 4. Dam-ga-id, Dam-ki-ia, SIG-ia (Kosename zu Da-mi-qu), s. Jddina-ahu 4, /Kab-ta-a. 1. als Di-ki-\i) a. ^"? pur&ulli Cr 203, vr. als " Marduk-kín-aplu a. " Sin-damaqu Ev I5, 7. Nd 552, zz. als I Marduk-3um-ib-ni. a. "^"? Pa-3e DrP 70, 6. als Ni-qu-du a. Ir-a-ni Cr Tr. 58 als SEULE (05. 0 505 ois Nd 518, 22. a. Ga-hal Smk M II 3, 13, S. Jddin-" Marduk. a. Na-din-Xe-im Dr (310, 12), s. Ardi-" bei, Nidintu, Zir-bi-bi. 8. a. """ Yang? 2 Sama, s. " Nabü-str-liir. AT. XXXIT, Neubabylonisches Namenbuch. 53 Da-na-a Nk (125,5), s. Zam?-gi-bi-ilu. Dan-a-na-" Bel? I af Rémüt-" Dél a. Da-bi-bi Smd L 22, 6. Dan-na-a, Dan-ni-e-a, Dan-ni-ialid, Dan-ni-a (Nd 251, 10), Dan-ni-e (Cb 426, ıs), KAL-a (Nk 77,3. Nd 135,3) (Kosename: «mein lieber Dannu», vgl Dannu-"Addu und dgl.) Nk 318. Nd 956, 2. 991,9. S. Aps la-a + 35, Ardia 21, Balätsu 12, 2 Bel- iddina 211, -igisa 8, Etillu 1, Hahhuru 2, Itti-"Bel-balätu 4, Kabtia 9, Kal-la-a-a 1, Kasir 11, " Marduk-Sum-ibni 27, Musesib- X Marduk 6, "Nabü-ahe-bullit, -ban-zir 3, -bullitsu 30, -bünu-Sütur Y, -etir-napsati 56, -nasir 8, -Sum-ÜSir 3, -zör-USir 7, 17, -zér- ukin 15, 25, Silim-"Bel 2, Sil-la-a 18, i Samai-pir -usur 3, -Sum-ukin 12, -uballit II, -z2r-ıbni 10, Såpik-zir, Sirigtum 3 Sum- iddin 9, Stå-us-a I, Tagis-" Gula 11, Ziria 3. OA UT an 00e De22rve a. Nür-" Sin, s. *Addu-ahe-bullit. 3. a. emil Pase®, s. ?* Nabü-ztr-ibni. Dan-ni-ia vide Dan-na-a etc. Dan-nit-ti- Bel? I. als #Nabü-na-sir a. Ir-a-ni Dr 393, s. Dannu-" Addu (Dan-nu|KAL- A!) Nd 401,9. S. ? Bel-iddin 125, -kasir 21, 30, -liu 6, -ubal- lit 52, Gimil-" Gula 4, Gu-za-nu 12, Iddina- alu 2, Iddin-"Nabü 18, 103, Kabtia 24a, Labasi-" Marduk 10, Marduk 6, Musezib- X Marduk 52, "Nabü-bullitsu 3, -musétiq- urri 15, -nasir 35, -Sum-iddin 8, Nap-sa- an Y, Na-pu-uS-tum 6, "Nergal-ina-esi- élir 8, Sa Marduk-Y& 1. Dan-nu-ahe-Su-ibni («ein Mächtiger hat seine Brüder geschaffen»), s. Kina-aplu. Dan-nu-ili-ia («mächtig ist mein Gott»), s. Zzra. Dannu-" Nabü!, s. ? Nabü-izqip 1. Dan-nulna-"Nergal! Nk 148,13. 417,14. Nd 196,13. 824,7. S. Mannu-akt-Uruk". Dan-nu-# Si-da .... Nd (638, 14). * Darius (pe. Da-a-ra-ia-us Dr 214, 15. Da-a-ri- za-a-mu-us Dr 298, 19. 409, 27. Da-a-ri-ia- a-us Dr 193, 27. 545,16 Da-a-ri-ia-mu-us Dr 189,2. 321,4 341,19. 465,16. 568, 29. Da-a-ri-ia-3u Dr 443,18. 446,22 449, 11. Da-a-rtialid-us Dr 37,39. 80,53. 100, 10. No: 2. i) 120, 17 u. ö. (in c. 66 Urkunden). Da-a-ri- im-us Dr 392,26. Da-a-ri-im-u3-3u Dr 39,15. Da-a-ri-i-iut-u3 Dr 50, 17. Da-a-ri-mu-5u Dr 42,4. 116,15. 136,4 473,14. Da-a-ri- mu-ux Dr 27,2. 95,18. 227, a. Da-a-ri--us Dr 133,16. 151, 90. 358,20. 404, 19. 415, 18. 482,4,1. 491,27 Da-a-ri-us Dr 122, 17. °127,19 158,19. 207,15. 313,20. 315, 2, 17. 362, 3.19. 384, 2,23. 387,18. 391,17. 392, 5. 303,24 308,28 403,17 428,16 431, 2. 441,16. Da-a-ri--us Dr 300,15. Da-a-ri-us Dr 249,15. Da-a-ru-es-Su Dr 5,2. 113. 281,3. 320,9. Da-a-ru-ia-es-su Dr 74, 15. 285, 3? Da-a-ru-mu-Su Dr 22, 15. 28,2 Da-a-ru- mu-us-Su Dr 253, 15. Da-ar-us Dr 243, 17. Da-ra-a-us Dr 275,21. Da-ra-mu-us Dr 15,20. Da-ri-a-mu-us Dr 17, 15. Da-ri--a- Su Dr 176, s. 563,17. Da-ri--a-us Dr 159,2. 238, 21. Da-ri-a-us Dr 153,15. 332, 20. 374, 14. 389, 16. 412, 12. 476, 4,16. 485, 22. 496, 19. 505, 13. 506,15. 543,33. 560,16. Da-ri-a--us 380, 24. Da-ri-es-Su Dr 7,14. 517, 2. Da-ri- e?-Su Dr 143,5. 195,13. Da-ri--1a-a-mu-uf Dr 31,13. Da-ri-ia-a-mu-us Dr 44,13. 266,27. 409,19. 413,190. Da-ri-ia-a-Su Dr 67, 17. 117, 14. ISI,17 196,11. Da-ri-ialid-a-us Dr 19,7. 78, 14. 84,14. 204, 16: 211,14. 212, 22. 220,9. 228,4. 244,21. 262,16. 265,36. 267,25? 273, 26. 279, 19. 294, 9. 418, 20. 478, 21. 571, 2,20. Da-ri-ia-es-Su Dr 250,6. Da-ri-id- mu-Su Dr 128,14. 337,19. Da-ri- -ia-mu-us Dr 134,20. Da-ri-ia-mu-us Dr 23,19. 45,15. 93, 24 IIA, 14. 163, 23. 173, 20. 409,7. Da- ri-ia-su Dr 176,18. Da-ri--ia-us Dr 350, 2,15. 361, 14. 372, 20. 494, 27. 502, 17. 504, 2. 507,20. 514, 18. 569, 11. 573, 17. Da-ri-ia|tá- AS Dr 6,3. 10,8. 13,9. 26,19, 26,40. 5.1; 14. 60, 13. OT, 17. 69, 14 u. ö. (in etwa 130 Ur- kunden). Da-ri-im-us Dr 349, 17. Da-ri-i- mu-su Dr 110,18 Da-ri--i-5t Dr 38, 16. Da-ri-i-$u Dr 414,5. Da-ri-i-us Dr 329, 9. 346,14 Da-ri-mu-es-Su Dr 7, 6,18 71,14 Da-ri-mu-mes Dr 110, 13. Da-ri-mu-sa Dr 535,11. Da-ri- -mu-Su Dr 76, 23. 259,3. 263,2. 345,16. 550,22. Da-ri-mu-SuDr3,16. 4,12. TT, 11. 18,6: 21,4 24,3. 20,8. 30,10. 34,8. 36,15. 40,3. 41. 47,2. 52,2: u. 6. (in c. 80 Urkunden). 54 Knut Tallqvist. (Darius) Da-ri-mu-us Dr 141,12. 287,24. 397,21. Da- ri- -$u 35,17. 70, 22. 124, 20. 126, 21. 169, 18. 203, 16. 255, 17. 257, 19. 260, 19. 276,20. 400, 18. 430, 3,22. 438,2 451,4. 454,3. 459, 21. 536,15. Da-ri--Su Dr 526,17. Da-ri-su Dr 2,3. 8,3. 436, 11. 445,6. 516,2. Da-ri--us Dr 46,9. 64, 20. 73, 15. 77, 18. O7, 16. TO5, 15. 132,13. 164, 21. 166, 18 u. ö. (in c. 46 Ur- kunden). Da-ri-us Dr 75,19. 94, 3. 96, 15. 142, 19. 144, 21. 145, 5. 148,6. 170,19. 100, 8. 208,8. 216,14. 226,16. 240,8. 260,33. 278, 15. 288,26. 327,13. 335,15. 342,14 448,16. 521,11. Da-ri--u$ Dr 138,16. 140,21. 191,18. 206,3, 21. 309. Da-ri-us Dr 56, 19. 218,3. 525, 7. Da-ri-us-mu-5u Dr 121,8. Da-ri-us-Su Dr 1,16. 32,6. 33,8. 49,12. 65,10. 183,9. 365,14. Da-ri--á-5u Dr 53,21. 323, 5. Da-ri-á-3u Dr 245, 38. Da-ri-4-*4 Dr 311, 16. Di-di-e-a (Kosename, vgl. Mannu-di-di-ilani) 1. al Su-ga-a-a Dr CT IV 44, zs. Di-di-i (80-7-19,41, 17, HABL 471. Di-di-eHBE IX), s. " Samas-sir-lisir 1. / Di-d(-Zn)-na-tum Nd 39, 2. 40, 2, 9, 42. Di-di-i-tum 1. a. Sá-la-a Cr DOE: / Di-di-i-tum 1. ms "Nabü-str-lisir Cr 147, 2. Di-gi-rit-3u-uu NK 351, 3. Dilu-hu-um(-mu), (?"*gallu) Nd 072, s. 1013, 10. Cr 204,3. Dr 370,8. ?P 154. S. 2 Nabü- ahe-erbaliddin 40, Samas-ana-bitisu, -unammir. 1. als Säpik-zir MEANS ER: a. Epes-ili, s. Da-hu-u-a. Di-hu-nu, s. "Samas-ibni. Di-ki-iliale, 2” di-ki-i, "e di-ku-u (vgl. emet dj pip Cb 149, 7), s. Ardi-" Gula 22, "Bél-iddin 63, 154, Has-da-a 3, lddin-"Nabü 105, Itti-" Nabü-balätu 3, Kudurru Y, Liblut 33, X Marduk-Sum-iddin 36, -z£r-ibui 16, Ma- ranu 32, “Nabt-êtir 6, -Elir-napsati 10, -iddin 39, -kin-zir 33, -musetig-urri 24, -Sum-iddin 24, 33, -s£r-igésa 22, Na-di-nu II, “Nergal-ana-bitifu 1, -sir-ibni 4, Ri- müt 59, Su-qa-a-a 2, "ZA. MAL.MAL- napistim-usur 2. 1. a. lpurkulli, s. Dam-ki-ia. /Di-ki-i-tum, aiat * Nabü-kin-aplu Nd 270, 13. * Di-mit-ri-su (gr. Anwntoiog), 3arru Dem. Di-na(-a) (as. K 1422) Nd 884, 1» S. Ap-la-a, F-di-hi-ilu, Lagip. I. als An-dunäni-" Gula a. ""?" sang? " Gula Nd 500, 5. als * BéL-afé-erba a. *ispari Nk P 6, zo. als Z£rütu a. Siik-kul-4-a] Cr 126, s. 4. a. " Ea?-di-pa-ru-ile, s. " Bél-ittanna. Di-na-hu? 1. a. Egibi, s. Musezib-" Marduk. Di-ni-e-a (vgl. Di-na-a, vielleicht Kosename zu Dini-" Nabn, "Bel-dim-ipus oder dgl. (Cr 124, 11. Di-i-mi-" Nabt! Nd 917, a. Du-ub2-bi (Nd M 20, 11), s. Zddin-" Nabi 2. / Du-bu-ut-tum vide ZKup-pu-ut-tum. /Du-da-a, /Du-du-á-a (vgl. "Du-du-u(-a) K 296, 34. Rm 161) Cr 80, s. 381, 11. 1. z:4]3 "Naó&-iddin Cb 17, 22. * Du-uh-ha-b6a-at (arb.) 1. al$ Bar?-bar-ra-at, ^"? ay-ba-a Cb 211, 6. Du-hu-um-mu vide Di-hu-um-mu. 7 DUL?-bul-ta-an-ni Dr 379, so. Dul-lu-bu, s. Ardi-" Gula 13, Balatu 4, Ba-nu- nu 1, *Bél-ahé-iddin 14, Ltti-" Nabu-balatu 4, ?Nabü-Sum-usur 18, Rimüt-" Bel 15. Du-um-mug, Du(-um)-mu-qu|s Du-mug, Du-muq- qu, Du-um-qu Nbp M II 9,se?, s. ?Bel- kåsir, LiXiru, Sàpik-str. 1. a|3 Apla-a a. él kuddimmi Nk 386, 5. 14 Ap-la-a a. pap-pa-a-a Nd 601, ro. als ?Bel-abu-usur a. Si-gu-h-a Dr 371, 15. als ?Bel-ahe-iddin]. a. Egibi Nd 760, 3. Cr 64, 15. 129,10. 130, 17. 362,5. Cb 2, 5; vgl. X Bel-udammig 1. 5. af E-til-lu Nd 360, 9. als Jóna-a a. "Sin-imittu Nk 107. s. als ?Marduk-Sum-usur a. ...... Dr 339, 7. 5 ?Nabü-aplu-iddin a. Ga-hal Nd 45, 18. Js 7 Nabn-belsunu Dr82-9-18,49a (CIS II65). af Nai-di-nu SmkM II 3, x. | ^ 10. $ Ri-mut-"Bel a. ^"? Aslaki Ev 9,13. 14, 18. Ev L 10, 14. à als Ri-mut-"BDel a. "Sin-inittu Dr 302, rr. als U-bar a. X Fa-pat-ta-nu Dr 523, 20. T. XXXII, [4 [44 Neubabylonisches Namenbuch. 55 (Du-um-mug) RE Cr 165, 2. 15. a. Ardi-"Ea, s. Ardi-" Bel. x. Egibi Dr (503, o), s. "Bel-uballit. a. Ga-hal, s. Balatu, * Nabü-usursu. a. Mi-sir-a-a, s. Ba-zu-zu, "bébL-rimauni, Nidintu, Saddinnu. TORUM (S. Sápik-zkr. . ent yappahi, s. " Marduk-eres. a. Sag-gít-a-a, s. Kidin-" Marduk, Låbåsi. a. " Sin-imittu, s. "Bel-ahe-erba. 23. a. X Sin-mudammig-un-ni-nu, s. " Bel-etir. CN Dum-ki-Sa-tläni-damgu («die Gnade der Götter | ist freundlich»), s. "Nabü-Säapik-zir 2. Du-na-nu, s. Rinüt-! Bel. Dup-Sar, ^"? A. BA («Tafelschreiber»), s. ”Nabi- zir-igita 23, ? Samai-zir-ibni 7. I. a. Na-din-Se-e, s. " Nabit-musétig-urri. Du-ra-a, Du-ri-ia (Kosename: «mein lieber Dür (Mauer)»,vgl. Dür-? Addu, Abu-düri,” Istar- dira etc.). a NATI Dem. 4 DI MIz-XUr AGE 127, 7r. Du-á-$u I af Ardıi-"! Bel Dr 382, s. 7 Ea3-qbu-usur 1. a]$ Rimut a. Nür-" Na-na-a Dr 524, 2. 7 Ea®-ahe-iddin 1. als 7" Nergat-éfir a. Étiru N g 36, 10, 18. ? Ea-ahé-Sullim 1. al$ * In-nin-tab-ni-usur a. Gimil-" Na-na-a Cb 109, 11 X Ba-aplu-iddin (2 EV)- A] TUR.US-MU) Cb 428,11. 1. als Musézib|;-" Marduk a. ”nas patri &àri Dr. 151,3. [152, 12. 158, zz] 171,74. |174, 19: 184, ro. 217, 4]. 2. a. pas patri kärı Dr 213, 12 — no. I. 7 Eq'-aplu(l TUR. US)-ugur Nk 397, 8 i EgV?-ba-l[at-su| TIN-su Art 82-7-14, 152 (CIS II CASE anite sib BÀ. I. a. Da-ha-a-a, s. *Nabt-ittannu. il Eah2-ban-zir, s. Musallim. 1. al$ * Nabü-näsir a. ^"? ang? * Ea Dr 280, 10. als Sil-la-a a. ^"? aslaki Nd 178, 42. 203, so. LL QE Xs Musallim. E a. AS-kan-du, s. Kurbannu. No 2. a. Dannu-" Addu, s. Marduk. 6. a. Mi-sir-a-a, s. "Bel-etir. 2 Ea2-bel-ilani,s. Nidintum-"! Del, X Samas-näsir 2) I. a. ^"? gno? "Ea Nk 59, 18. 2 Ea!-dan-nu Nd 1075, 15. 2 Ea\2-di-pa-ri-ıli, s. "Bel-ittannu 7, Uqupu 27. il Ea?-Epes(-KAK-es), s. " Bél-iddin 213, *Nabi- sir-iddin 38. 2 Ea\-Epis-ihi2) (-KARKAK-eslis[usje-pis-AN CAD, abgekürzt: ÉEpis-ilin, beide (Dr 515, 16 auch mit Determin. ^"7) Nd 437,9. S. Ahe-iddina-"Marduk Y, Ardia 18, Ba-si- ia 7, " Bél-erba 8, -iddina 84, -ipu 6, -igbi 1, -uballit 5, 19, 57, -usallim 49, Iddin-" bel 23, lgifa-aplu 20, I-qu-pu 7, Kin-zir 11, Ma?-ni-ia 1, "Marduk-balätsu-igbi 4a, -êtir 8, -Sum-ibni 29, Musezib-"Bel 13, Musezib-" Marduk 66, ”Nabt-bullitsu 22, -musetig-urri Y, -nàdin-afi 18a, -Sum-iddin 16, 34, -Sum-iskun 24, Nåsir 2, 3, "Nergat- Piru 3, -pir- usallim 4a, Nu-uh-sa-a-na Y, Rimüt-" Naba 12, * Samas-näsir Ge usur 8, Ubàr 3, Zu-um-ba-a 6. X Eab2er-ba(SU) Dr 81, 14. S. Kal-ba-a. als Ri-mu-ut a. Da-bi-bi Dr 464, 13. af Så-zu-bu a. ^"? diri Nd 257, 16. X Eab?ibni(-KAK]ib-nila) Nk 35,4 S. Ba-zu-zu, Jddin-" Bel 4, lddin-" Nabi + 49,86, * Nabi- usallim 17. 1. als ?Ea-käsir a. ^"" Yang? "Ea Cr 168,3, 10. Cb 428, 3. 429, 4 als * Nergal-zpus a. "Bel-ia-u Nd 508, s a. Ardi-"Nergal, s. Itti-* Bel-balätu. a. empiri SmkP Ds a. "Bel-ia-u, s. A" Gula-g#ifat. 2 Eqa!-3-;ddinla Nd 136,8. 911,14. Cr 21,11. 138,3. 173,17 Cb 178, 10. 357,12 ^"? man-di-di Nd 297, 13. Cb 123, v. S. Nådin 71, Nidin- Zum, Sul-Lu-ft-a. Tia | Sm Nk 435, 12. als A-na-"Bel-eres a. Kalbı-"Sin? Dr 559, IV A1. als Ardia|Ardi-" Nabi a. Sá (-)-a-tí|us] MUP Nd 807, 5. [832, 77]. 837, 18. 863. Cr 249, rr. OS ABN a. Ih-"Marduk Nd 72. is. 5. als Itti-Sarri-ini?-ia NÅ 375, zo. 619, ro. als Kusud?-su-"Marduk Dr 417, » 56 Knut Tallqvist. (2 Eal=3-1ddin|x) als Marad-duk a. Ir-a-ni Nd 316, is. als * Nabü-ahe-iddin a. Si-gu-á-a Dr 522,23. JDr P 71, re; 81, 26. 138, uz. als * Nabá-étir-napsàti Nd 165, 25. Art 82-5- 12, SG 10. af Ri-mut a. "Szn-uàsir Nd 326, rr. x VSamat-iddin a. ..... Dr 452, 4. [5 Sum-iddin Cr 258, 3? als Sum-iddin a. "^"? nian-di-di Nd 934, 16. a. "Hb y s. " Ea-nasir. 15. a. ban, s. "Bel-ittannu. CAP JP? eat en PASA 2Samas-usallim. a. Mu-kal-lim, s. "Nabü-Sum-ukin. a. "Sin-Sa-du-nu, s. " Bel-käsir. 19. a. Süm-iddin Cr 267, ro. il Ea>-ili-ia-ibni, s. Nidintum 49. X Babilma-iboni(-AN Cr 83,10] AN-taltı Cb 120, o. 343,15]. AN-“-tu Nk 199. Cb 338,8. Dr 207, a7/i-Zu-tu Nk 345,15 -KAK, = "Ea?-/a- tab-ba-ni NK 200,3), s. Ana-" Nabü-salamu 1, Ardi-"Nabn 5, "BéLiddim 123, Jddin- Nada 56, Itti-" Nabü-balàtu 27, *Marduk- sör-ibni 2, ! Nabü-nàdin-apli 1, Nidintum 49°, Kömit-" Bel 58, Sum-ukin 18, Uqupu 9. 7 Ea?-im-bi, s. Ba-ku-u-a 2, "Bel-iddin 45, Itti- X Nabü-balàtu 13, "Nabü-balätsu-igbi o, -bullitsu 41, Tages-"Gula 3. 7 Ea°-ip-Su I. a. Na-bu-un-na-a-a, s. "Bel-£tir. 2 Ea'-itti-ia Nk 156. X Ea°-kabti BAD)-läni, s. 7 Na dat-" Belit 1. 2 EaV2-ba-Xir| KA T 1. als Sil-la-a a. """ su-ha-a-a Nd 63, 7. al ? Samas-erba. a. amëlfanoi 3! Eg Cb 428, 2, 20. 420, 3. 3. a. *"? $aneg? * Ea, s. "Ea-ıbmi. ? Ea>-ki-i-ni, s. /Sag-ga-a. Ea°-ki-Sir, s. *Ea-uballit. ? Ea?-la-tab-ba-ni, s. lddin-"Nabü 56, vgl. *Ea- ilttta-ibmi. X Eat DA), s. Has-da-a-a 23. X Eah2-Iu-mur Nk 197. Nd 804,10. 1123,13. ?84-2- II, 172. S.V Bé-ümur 3," Nabü-ittannu 44. TONS aD a. Egibi Dr 478, 1s. als ?Bel-u-Se-|zib) a. Egibi Dr 415, 3. als Na-din a. "2 gallabi Nd 66, 7. al C3 7 Fa\-lu-u-Se-zib-a-ni, s. Labası 30. # Eat udammig(-mu-S /G-ig) 1. a. "Hang? Marduk, s. "Samas-nösir. 7 Ea\2-na-sir\PAP Nd 466, 4 515,5 S. Ardi- 2 Sama 2, Bél-kásir 22a, Iddin-" Nabí so. ARC quo e RE a. ^"? Yap o2 %Ea Dr 457, 4. als * Ea-iddin a. ^"? ba'zri Dr P 40, r. als Mu-3at-lim|li-imu a. ^"? Sang? " Na-na-a Nd 293, z3. 260, rr. 200, 72: 336; 15. 344, rr. 380, z0.. Nd L 2, zz. Nd M 17, 9? als Zir-ibni a. *"Sin-tab-ni Nd 82, 12. E.AN.NA-iddin, s. Piru. 7 Ea\>-pat-ta-nu, -pat-tan-nu, -pa-at-ta-an-m, S. Balätsu 8, Balåtu 8, "Beketiru 23, -iddin 100, Dumug 13, Iqisa-aplu 24, "Nabü-ahe- bullit 30, -musetig-urri 6, -nadin-ahi 17, Rimüt yir, Rimüt-" Bel 30, 40, 64, Ubar ET Ag 2 Fa°-pir--usur 1. als Na-dın a. Egibi Nd 388,16. 380, r2. X Ea?-ga-a-lu-i-Sim-me, s. Musezib-"Marduk 54. il Ea?-garrad-ii®)(-AN.GUD-ANW)), s. [ddin- "Uras 1, "Nabü-musétig-urri 38, Såpik- gir 9, "Uras-Sapik-zir 2. #Ea?-ri-man-ni 1. al$ Kudurru a. Ba-ta?-ni-tum Nd 256, 10. 2. a. ""Hane? “lstar Babili, s. Gimillu- N e c ’ 7 Says. il Ba'-"! Sin2-ibni, 8. " Nabü-Cfir-napsáti 41. X Ba?-salam-ili(-NU|sa-lam | sal-auu-AINGD), s. il Bel-iddin 64, /Hibta 5, Igisa-aplı 9, 7 Samas|Marduk-näsir. 7 Ea?-Ya-du-nu, s. "Bel-iddin 15. i Ba!-samé(? AN-e, tlé?)-10m, s. Uqufm 9. 7 Ea?-Sum-ibni, "2 ha-za-nu Nd 108,7. S. Ku-na-a. 1. a. 9"? Yançt ? Sagas, s. " Bél-rimanni. 7 Ea?-Sum-iddin)a Cb 433, v. 1. als ?Bel-ahe-erba Ng 14, 1. 2 Ea2-Sum-[isk]-un Cb 9, 16. TEai-Snm-usur 1. al$ Nabt-str-lifir a. ^"? bàn? Nk 247, 25. 2. als ENabårgir-liSir a. rei DrP 3,22. #Ea?-ti-il-ba--du I. af A-da-la-a Dr 386, 77. #Ea?-uballit( TIN-ıt) Kol M II 6, s. 1. als 7 Ea?-ki-ir Cb 432, 6. 2. af Na-di-nu NAM 15, 1s. T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. 57 3 Ea\-udammig (SIG-ig), s. Iddin-Nabi. I. a. Raba-a-sa-" Nini?, s. "Nabit-Sum-ukin. U Ba »>-usallim 1. als "Nabü-Süm-ibni a. Nür-"Sin Cr 368, 4. als 2Sulmän-aht-iddin a. “Bêl-êtiru Cb 185, 7. 3. a. *"? ang? Belt, s. Rimüt. 3 Ea\W-sör-ib-m| KAK, s. Sá-la-a. 1. al$ 7Bel|Nabü-zir-Usir a. Egibi Ng 60, s, 5, 11, 16. Nd 44, 9. 65, v, 9, 12, 15, 20. als Mar-duk-a. ...... Ng 30, 2, 10. a8 #Nergal Dus Cr 361, ra? a. Nür-" Sin, s. Ardi- Bel. 5. a. mel $angi "Ea, s. Musallim-" Marduk. ? Fa!-zir-iddin I. als #Nabü-kin-aplu a. "^"? ba'iri Nd 622, ro. il Fab? sir-iqisa, s. Ki-nu-na-a-a. I. aff Ardi-! Gula a. " Addu-im-me-e Dr 61, o. af Si-la-a Nk so, s. a. Ba-bu-tu, s. Ardi-" Nergal. a. Epes-ili Nd (130, s). 5. a. elyappahı, s. ("Nabit-)kin-zir. U Fa'-sir-na-ta-nu Dr 22, 5. X Fa'-zir-usabsi 1. al$ Mu-Se-zib-"Bel a. Epes-ili Ev 7,4. E-bar-ra-lu-mur, s. Sá-la-a. E-bäar-ra-Sa-du-nu, ame fangi Sippart: Nk 63, 9. 436, 6. I. a. PE Sanor Sippart, s. "Nabü-nasir. JE-ba-tum (cfr. Ha Feindschaft) 1. m/s 7 Marduk-Süum-ibni a. Sá.... NAM I 53, 25. E-bu-ri-di-i-ni 1. al$ Sum-iddin Nd 610, ır. E-du-ü-a (Kosename: «mein liebes einziges Kind»), #7, ,... ? Nerea Cr 360, 23. E-gi-bi, E-gi-bi (wechselt mit E-gi-BA.TI. LA Dr 227, 1; und "A4. KÜ-BA. TI. LA Nk 164, 23,45 und ist wohl somit eine Ab- kürzung des Namens ?A.KU.BA. TI. LA = "Sin>-uballit, vgl. schon STRASSMAIER Nk V 3o, PEISER MVG 1897 no. 4 p. 14), s. " Addu-ahé-iddin 1, Ahé-iddin 2, ^ Amtz- "Bau 1, /Amt-"Belit 2, Aplà 12, 15, 44, Ardia 12, Ardi-"Bau 4, Ardi-"Gula 11, Ardi-"Nergal 13, /Ba-ba-a 2, Balätsu 6, Balötu 14, *PBau-bêl-biti 1, * Bél-ahé-iddin No. 2. | | 21, -aplu-iddin 9, -étir 26, -iddin 102, 129, 137, 169, -igisa 11, -kåsir 26, 35, -kisir 1, 5, 8, -lumir 2, -nådin-apli 9, -na'id 3, -rimanni 5,11, -uballit 4, 27, 28,60, -udan- mig X, 3, -zir 2, /Dam-ga-a 3, Dummuqu 4, "Ea-lümur 1, 2, -fir -ugur Y, -zir-ibni Y, Esaggil-&in-aplux,/ Esaggil-ra-mat1, Esi- etir 3, / Gigitum Y, Habasiru 2, Iddina-aplu 21, Jddin-! Bel 61, Iddin-" Marduk 9, Iddzn- "Nabü 25, 44, 69, Imittu-lisir 1, /Ina- Esaggil-Délit 5, /Ina-Esaggil-ra-mat 1, Ina-Esaggil-Sadimu Y, Ina-Esaggil-sir 2, Jgiía 3, Igisa-aplu 2, 16, 18, 27, I-ki-i 1, [tti-" Bél-lummir 9, Itti-" Marduk-balåtu 6, 18, Itti-"Nabi-balätu 9, 24, 40, Itti- 2Samas-balätu 7, Kabtia 7, 25, Kabti- ilåmi- Marduk 1, Kalba 9, 26, 55, Kin-zir 6, 8, Kit-ta-a-a 1, Kudurru 8, /Kupputtum 2, Läbasi 22, 47, Läbasi-" Marduk 2, La- ba Sama 1, Liblué Y, 3, 16, 23, 25, 36, Lisir 12, / Lu-di-ia 1, Lussu-ana-nür-" Mar- duk 2, 3, "Marduk-aplu-iddin 1, -bélsunu 9, -erba 7, 8, 10, -éfir 2, 11, 12, -kin-aplu 4, 6, -nàdin-apli 1, -näsir 12, -nasir-apli --2, 4, 5, 6, -géfanni 6, -Sum-ibni 2, 3, -Xum-iddima 18, 20, -sum-usur 3, 5, 12, -usursu Y, Min&-ana-! Bél-dànu 4, Munah- Jii-" Marduk 2, Müranu 20, 33, Musezib- Ho. 3, Musezib-"Marduk 14, 15, 20, 42, 47, "Nabü-ahe-bullit 1, 6, 16, 29, 33, -ahe- iddin 4, 7, 29, 31, 41, -ah-iddin 12, -aplu- iddin 5,9, 16, 43, -balätsu-igbi 13, 24, 35, -ban-ahi 23, -étir 38, -étir-nap-3àti 7, 21, -ibni 3, -ittannu 35, -kåsir 12, -kin-aplu 30, -kin-zir 16, -musetig-urri 5, 32, -nàdin- afi 1, 7, -napistim-usur Y, -nasir 17, 25, -Sum-eres Y, -Sum-ibni 3, -Sum-iddin 3, 13, -Sum-ukin 15, 29, -tabni-usur 4, -uballit IIa, 23, -udammig YO, -usursw 8, 15, 35, -zsör-ibni 9, 21, -zör-igisa 2, 4, 11, -zör-USir 12, 15, 29, -zör-ukin 4, " Nergat-étir 9, 16, -iddin 21, 35, -ina-esi-elir 6, -igbi 1, -uÿal- lim 17, 18, -uSezib 2, 5, Nidintum 67, 77, Nidintum-"Bel 14, 16, 33, /Nubta 5, Pir’u 7, Pursà 1, 2, /Qibt tum-q&at 1, /Qudásu 6, Rimüt 3, 79, Nimüt-" Bel 4, 48, Rimit-bel- àni 2, Silim-" Bau Y, Silim- Bel 7, ?Szn- 8 58 Knut Tallqvist. (E-gi-bi) taqisa-bullit 1, /Sågain 3, Sil-la-a 3, Sa- 2 Bel-atta 1, Sadünu 1, 2Samas-etir 2, 7, -iddin 32, -unammir 4, Sapik-zör 10, SEL Li 11a, Sirigtu in. Sirgu A 10 0); Sá-la-a SO MO MIS ZI M52 30; Sullumu 308; Tablutu 3, Taddidu 1, Tagis-"Gula 2, SE Tasmetium-rämat Y, -tabni 1, Ubar 16, 2ZA-MAL.MAL-napistim-usur 5, Ziria 11. I. a. *"*'yP? sis, S. Igisa-aplu. E-gi-uballit{-BA. TI. LA) Dr 227, 17) vide Egibi und 7 Szz5-uballit), s." Marduk-nasir-apti 4. E-kur-ga-mil 1. als Na-din Nk 94, 7. E-kur-za-kir, s. "Bel-ah-usabsi 3, Sum-ukin 12. E-li-iläni-ra-bi-" Marduk, s. Musezib-" Bel 67. E-ne-su?, ^"? rpyiYu Nk 452, 15. EN.GAL.BUL? s. Nidintum-"Bel 13. Epes-ili (KAK-es-AN, KAK-AN Ev 16,21, KAK- eX-Yu-AN Nk 51, un, ^""KAK-e-AN Dr 257, 5, 15) so, nicht Epesän lese ich trotz der Auslegung HILPRECHTs BE IX p. 25f. (vel. auch DELITZSCH in BzA IV p.78 Anm.) und zwar 1) wegen der Schreibung KAK-eÿ-Su- AN, 2) weil Epes-ili aus ?! Ea V- epes-ii\£) abgekürzt ist z.B. Ng 110,13 u. Ö., 3) weil bei Annahme der Lesung Æa- | épisan die Schreibung ”Ea-epis- ANA Nk 116, 15. Nd 293, 13. Dr 73,12. 321,33. 486,17 unerklärlich ist, 4) weil das Determinativ 4"? sch auch vor dem Vollnamen 7" Za- épis-ili ^) findet und 5) weil ? Ea-epzs-z/7 7? in dem Namen "Za-i/Ata-ibmi ein Äqui- valent hat) Nd (458. 598,5. 713,8. 1113, 30). Cr (115, 4). Dr (431, e). Dr Pa (8, a». 15, 24). S. fAmtia 4, Aplà 13, Ardia 26, Ardi- XBel 17, Ardi-" Gula 9, 21, Ardi-"Marduk 21, 22, Ardi-" Nergal 12, 17, Balatu 43, Bania 6, 15, " Bél-ahé-erba 8, -aplu-iddin 6, -erba 6, 8, -eres Y, -éfir 36, -ibni 34, -iddin 58, 136, 143, 160, 179, ASU 3, -ittannıı 15, 30, 31, -iPus 13, -RASIK 13, LÀ 5,7, -niptaru Y, -rimanni 21, -Sum- ibui Y, -uballit 47, 66, 86, -usallim 16, 19, -zör 6, Bulta 7, /Burá$u 2, Daküa 1, ? Ea- zir-uXabii 1, JEsaggil-bêlit Y, Etiru 1, Gimillu 46, Iddina-aplu 28, Iddin-" Bél 9, Jddin-*! Marduk 10, 25, /ddin-" Nergal 2, JIadin-/ Sama 3, Iddinünu 7, Il?" Marduk + 1, Zna-eM-étir 12, Igisa-aplu 55, Igéa- Marduk 6, Itti-* Bel-balatu 3, Itti-" Mar- duk-balätu 15, 17, Itti-" Nabi-balåtu Yo, 37, Itti-" Nabü-guzu Y, Itti-"Samas-balatu 8, Kal-ba-a 8, 27, Kurbanni-"Marduk 3, Läabäsi 48, Liblut 28, Lussu-ana-nür 2, 9, 7 Marduk-erba 11, -êtir 21, -näsir 9, -Sum- ibni 5, 29, -Sum-iddin 11, 24, 41, -Sum- usur 14, -sir-ibni 7,22, Musallim-" Marduk 6, Musezib-"Bel 1, 7, 37, 78, Musezib- ? Marduk 60," Nabü-aplu-iddin 22,-balätsu- igbi 3, -belsunu 5, -bullitsu 42, -êtir-nap- Såti 31, -2ddin YO, -ittannu 3, -kasir 18, -kin-zir 14, 37, -musetig-urri 30, -Sum- iddin 16, -Sum-lisir 12, 19, -Sum-ukin 31, -Sum-usur 9, 24, -usallim 5, -zir-iddin 10, -sr-igia 5, 15, Nädin-apli 1, Nad-na- a-a 2, Na id-? Marduk 1, Nàsir 2," Nergal- iddin 7, 11, 17, -u3ézib 7, Nidintum 31, 63, Nidintum-" Bel 1c, 18, Nigudu7, 14, Qisti- Marduk 4, Rimit 38,78,86, Romüt(-"Nabu) no» Rimit-"Samas 1, Saddinnu 10, Sadimu BÖTA, Säkin-Kum br 2 Samas-iddin 1 7h 44, -zör-usabst, Sellibi Za SSi-da-tum 2 St- la-a 6, 18, Sul-lu-ma-a 4, 2 Sulmån-sir-ibni it; Sum-iddin 20, Sum-ukin AN, Süzubu 2 Tukultu-" Marduk x, 3, "TUR. E-iddin 2, Tåbia 6, Ubár 21, 28, 29, *Uraÿ-erba 1, -iddin Y, Zir-bi-bi 1. I. a. Arrabtum, s. /Nubtà. #E-ra-ak-li-di-e (gr. "HoaxAcióne) Ars 3, 13. | Er-ba, Er-ba-a(Nd 600, 16), Er-6a-a-a (Dr 290, 13), I-ri-ba(-a Nk 314, 3. Cb 349, 7), SU(-a) = sa") CIS II p. 76) Nd 690, 16. Dr 101, e. 565, 3. Dr 82-09-18, 51a (CIS II 70). S. Aku- Sunu, Balâtu + 72, Lagip 3, "Nabá-étir, 2Samas-iddin 7: SQ SUR seta a (CE 328 nt IDR SI CAN PENSE a. Abi-ul-idi Nd 874, 12. als Ba-lat-su a. Mi-sir-a-a Dr 256, 5. als X Bau-eres Cr 329, 19. ls ?Beliddin a. Ir-a-nu CrP 22, 4. Ji Iddina-aplu a. ^""nappahi Dr P 76, s. ıl$ Ip-ri-iá Dr 82-9-18, 49a (CIS II 65). JE Marduk-Sum-usur Cr Pa 3, 14. T. XXXII., Neubabylonisches Namenbuch. 59 a|3 Mu-Sib-Si-” Marduk Dr Bu 88-5-12, 26, 77. 10. als 2 Nabü-aplu-iddin ?P 154, s. als #Nabi-it-tan-nu Dr 361, 3. als ”Nabü-käsir Cb 109, ro. X Nabu-käsir a. "2 aSlaki Dr 488, 15. i Nabü-sir-ibni Dr 359, 18. 505, 7. 15. a] Na-di-nu Cb 349, 7. als Nürea a. bábütu DrP 110, 6. JF Rimüt a. "Ubi DrP 135, 77. als Ri-mut-"Bel a. Sip-pi-e DrP 52, 5. als Sil-/a-a Nbp (ZA IV) 19, ss. 20. als 2Samas-böl-ili Dr Pa 10, 13. als Sa Nabi-Ku-u Dr 206, 9, 11, 14, 16. IE Se-el-ri-bi Nd 225, v. Dr 71,5. 570, 4. IX Sum-usur Dr 214, 2. als Ta-la- Nd 446, 10. 448, 9. 25. a|$. Tig-ra-ha-ma SmkM II 3, 2. a. Abi-ul-idi, s. "Bel-upahhir. a. Ba-bu-tu, s. "Bel-Sum-iskun. a. Egibi, s. St-la-a. DAT AIR Ss. Ubär. dox dA UA re , 8. "Marduk-rimanni. a. ^"? yàb bünt, s. *Marduk-êtir. 32. a. "Sin®-Sadü, s. Ap-la-a, Kid-dan-nu. Er-ba-"Ea! Dr 483, 2. Erba-" Gula), "^"? dupSarru Dr 557, 2. Erba-" Marduk (SU|Er-ba|Fri-ba-"M\2) Nd 138, 2,19. 1075, 12. Dr 465, s. ^"? áp; Nk 77,19. S. Ahe-iddin-" Marduk 12, Igisa-" Marduk, 2Samas-ban-ahi 3. I. a|$ Ba-nu-nu a. *"* Rab båni vide no. 18. als ?Bel-etir a. ^"? Pa-Xe*! Cr 86, un. 5 "Bél-iddim a. Ziri-a-a Dr 484, 4. 5 EBel-iqisa a. " Bél-étiru Dr 84, s. X ?Bel-u-Se-zib a. Mar-duk-u Dr 323, 34 als " Gula-zir-ibni a. ré angi Gula Dr P 73, 18. als Jgésa-" Marduk a. Sip-pi-e Dr P 63, 56. als Kudurril, a. "Bel-mus-Sil(? sir-rit) Dr E22. D 70 a5 #Marduk .... a. *"* yàb bani Dr 530, x. 10. als ? Mardu&t-iddin a. Pir- Cb 116, 4. als * Marduk-igtsa|uni] a. "Sin-Sadü NAM 14, 24. als "Marduk-sir-ibmi a. Båbili Nk 73, ?2. 436, 19. No. 2. andl$gngi "Istar als 2 Nabü-aplu-iddin a. ^""ràb bant DrP 61, 19. 83, 2. als 7 Nabt-kin-zür Dr 360, 11. 15. af Nabñ-kên-cér a. Si-gu-u-a Dr 70, i. af ”Nabü-na-sir a. "Bel-etiru Dr 463, 10. als * Nabü-Xum-ibni a. Sag-gil-li-ia Nd 584. als (Nergal-)ba-nu-nu a. "råd bânêé Nd eh re, CI6182 556 als Rı-müt.... DrPa 8 >. 20. als Ri-mut a. "^"? yàyb banêé DrP 46,7 = 49,7. als Rö-mut-" Bel a. Lie-a DrP 58, zz. als ?Samas-iddin a. ex Raba(-a)-Xa-? Ninib (2MAS. MAS) Nd 480, 4. 990, 22. Cr [17,3]. Dr 563, 4. als ? Sama-mu-kín a. amet Pa-Ye*! Nd 83, s. a. ...-" Addu s. * Nabü-bullitsu. 25. q. LA CU Lab am ., S. " Bél-iddin, Su-ga-a-a. a. élan ba-ni, s. Iddin-" Naba. a. "V Bél-étiru, s. Gimillu, Itti-"Nabu-balätu. a. "Bel-ia-u, s. "Marduk-balatsu-igbi. . XBel-mus-sül?, s. Silim-" Bel. a. Dan-ni-e-a, s. !Samas-uballit. a. Dannu-" Addu, s. !Nabü-Sum-iddin. a. Épek-ili, s. " Nergal-iddin. a. Ibna-a-Sa-ili-ia?, S. lddina-" Nabr. . (em) an-di-di Nk (308,11). S. "Mardu£- usallim, * Nabi-nadin-Sum, Rüinát-* Bél. a. * Marduk-eres, s. Taddannu. a. Musezib-"Nergal Dr 245, 6. a. ^"? yàb bani, s. "Nabü-aplu-iddin. a a [92] un ^ m . UE sist, s. Itti-" Marduk-balatu. . 2Sin-damaqu, s. "Marduk-Sum-iddin. a. ? Sn?-Xadá, s. I Nabü-sir-lsir. a. el $angi "Istar Bübili Nk 63, 13. S. Ahe- iddin-" Marduk, Kz-! Nabi,” Marduk-Sum- iddin, 2Samas-bön-ahi, 10m. 43. a. Si-gu-á-a, s. " Nergal-ahé-idaün. Erba-" Sin! 1. a. ^"? $apno? "Istar Babıli Cr (332, »s). Erba-"Samas! Nd 546, 22. 1062, 4. E-ri-bi (vel. Fri-di) Dr 366, 4. E-rib|is-3u Cr 375, 20. 1. als *Nabü-ma-lik Ng 68, i. Eris-ana-Esaggil (SUD-a-na-E-sag-gil, vgl. RANKE p.9 Anm. 2), s. Habasiru 7, Iddin- Bel 2, ""Nabü-käasir Yr, -kin-zir 27. SX 40. 60 / E-ris|ri-i$-tum (als Probename: / E-r1$-tu 81-2-4, 255 VIII? 5; ab. CT VIII 39; abgekürzt aus | "E-ris(ri-iS)-tNIN )-"A-a Bu 88-5-12, 185 (MBAP 31), 91-5-9, 846,4 (CT VI, 3), 2444 A (CT VIII, 24) oder dgl.) 1. m|S Sa-ri-ia, ummu Sa * Nergal-ina-est-étir Nd 680, 12. 2. nl Si-rig Dr 208, 2. E-ri-3u|; (vgl. Vollnamen wie Ana-*Bêl-eris und | dgl.) Nk 131,3. 238,3. Nd 365,8. 720, 19. aneljkkarı Nbp (ZA IV) 10,10. S. Ardia 66, ? Nabü-aplu-iddin 44, -miti-uballit, Ri-hi-ti. I. als Jddin-"Nabüu a. Gahal NgL 12,6. Nd [239,9]. 239, 25. 243,20. 244, ı7. 267,8. 286,6. als "Nabü-ipus a. "2! ma-la-hu Nk 358, i. als "Nabü-ma-lik Ng 69, nr, vel. E-rib-Su 1. 4. a. "Sin-näsir, s. Rıihetu. E-sag-gil Lab (2, 5), s. ”Nergal-näsir 8. I. a. *"€ y22 albi, s. Gimilln. JE-sag-gil-a , 1. 22]5 V.Sur-ah-2ddin Cb 86, s. E-sag-gillgil-a-a, E-sag-gil-id (Nd 153, 10), É-sag- gil-li-1a (Nd 160, 7), wechselt mit Sag-g2/- | a-a q. v. Dr (210,2). S. Dalätu 19,73. Bel | lid 13, Jddin-" Bel 38, Kudurru 4, Kur- banni 5, Liblut 36a, Lisir 8, "Mardu£- rimanni 18, ”Nabu-aplu-iddin 32, 58, 75, -dannu 1, LAS amas-näsir 10. I. a. Mu-Se-zib, s. Ardi-" Gula. / Ë-sag-gdl-be-lit (abgekürzt aus / a-Esaggil- délit) I. 22]|$ Iddina-ahu a. Epes-ili Green: E-sag-gil-gam-mil 1. al$ Musallim-"Bel a. 393, 77. Ardi-" Nergal Dr E-sag-gil-idinnam(-MA. AN. SUM), s. "Nabá- | ap-lu-iddin A8, -Sum-iddin 19. E-Sag-gil-kin-aplu| TUR.US (vgl. Ina-Esaggil- kin-aplu) I. aff Ba-la-tu a. Egibi NdP ro, ss. PP 121, 26. 2. a. ^""nassar abulli Dr Pa (7, 5). E-sag-gil-u, "galla Nd 141,4 S. 2Samas- usallm. E-sag-gu-lil-bur (abgekürzt aus Ina-Esaggil- lilbur) Cr 374. -gamil 6, -muétig-urri 11, | -usallim 19, -zir-Lsir 19, /Nu-ub-ta-a 14, | Knut Tallqvist. JE-sag-gil-nam-rat I. ul " Addu-na-sir, assat Üballitsu-" Marduk, Ev 23, 23. JE-sag-gil-ra(-am)-mat, -ri-mat (abgekürzt aus /Ina-Esaggül-rämat q. v.) CrP (21,6). Nd 466, s. Nd M 30, 7. I. m|s Balatu a. Egibi Cr P 18,5 = /Ina- Esaggil-rämat 1. m|s *"Nabü-ahe-bullit, assat Silim- Bel Nd 700, 4. m/s Ziria (a. Na-ba-a-a), assat Iddin-" Mar- duk Nd 82,1, 11. 466, s. 697,8. 741,5. 757,4. 820, + — //na- Esaggil-ramat 3. E-sag-eil|gi-Xa-du-nu, -KUR-4-nn (abgekürzt aus Ina-Esaggil-Sadünu q. v. 1. als X Bel-etir a. ? Sin-tab-ni CbP 26,57. 31, 27. 37, 7. 90, ». als [Ina-éM-éfir. a. "Sin-Sa-du-nu Cb [263, s]. 336. 3. a. Ardi-" Ea, ^"? daianu Nd 13, 13. 1128, a. a. Epes-ili, s. "Böl-eres, Pir'u. , amet P,-Yo5: Nd 1102, s. a. "Sin-Sa-du-nu, s. * Nabü-balàtsu-igbr. X Sin-tabni(-usur), s. (2 BéF-)eàsir, " Nabü- nsi. 752 | E-sag-göl-Sar-usur, el yab a-fuè-mu? Cb 276, 7. | E-sag-gU-Sum-ibni (vgl. Ina-Esaggil-$im-ibni) 1. al$ Daian-" Marduk a. Musézib NgL 123,18. 2. a. * Sin-da-ma-qu, s. "Bel-ahe-iddin, " Nabü- ahe-bullt. E-sag-gillgal-zir (abgekürzt aus /na-Esaggil-zir- (-zöni)) 1. als Bel-Su-nu a. ^"? $ang? "Ea Nk 55,9 Ina-Esaggil-zir 1. als Nad-na-a a. Är-rab-tum Nd 203, 4. EY E-sag-gil-zir-ibni (abgekürzt aus /a-Esaggit- sör-ibni q. v.) Dr Pa (21, s). 1. als "Bér-uballit a. Ir-a-mi Nd 300. 633, 2. 652, rr. 653, 15 = Ina-Esaggül-zir-ibni 2. als *Marduk-éfir a. Ib-ni-ilu Nd 1068, a = Îna-E-5-i 3. 3. a. Ir-a-ni, s. *Nabt-kin-aplu. E-sag|-gil-zir]-u&in | 1. a Jgfsa-aptu a. Etiru NdP 91, 20. | E-si-ra-a-a, s. "Nergal®-zir-iddina. | Esi-Etir (abgekürzt aus Ina-esi-étir q.v.) Nd 181,2. T. XXXII. | | | 3.4. Nür-" Sin, s. Musezib-" Bel. | | | Neubabylonisches Namenbuch. (Eïkêtir) Dr 89,7 S. #Bel-kasir 59, Ltti-! Nabi- balätu 10b. T: als Denn. Dr 116, 10. a|t ENabi-l'à a. "Samas-a-ba-ri (ba-a-ri) Nd 756, 4 Dr 323, s. als Nabi-str-lifir a. Egibi Ng 60, 2. als Nad-na-a a. Sag-di-diNk[96,3. 117, 1, 10]. 5. a. Ardi-" Nergal, s. "Nabü-etir-napsäti. a. Mar-duk-u (= Ina-esi-£tir 27), s./Dam- qa-a. a. "Sin-da-ma-qu, s. Sum-iddin. a. Si-gu-t-a, s. Sil-la-a. 9. a. *""'Tabtiu, s. "Nabü-nädin-ahi. E-til-li-tumlti («Herrin») Nk 72, 20. I. m/s * Bél-usalfim. a. Amel" Ea Nk 198, 1, 17. m|s *Marduk-ztr-ibni a. " Szn-Xa-du-uu Nd 390, 9. mS Mu-Se-zi-bu-" Marduk a. Nd 293, 15. m|$ Sá-ma-a Nk 26. 368. E-tit- luli in (abgekürzt aus Etilpt, ASur-, * Nabt- etil-ilani oder dgl.) Nd 1077. (1125,16). Cr P 16, 22. Cb 350, 5. 433,11 S. Ardi-# Nabi, Ardi-" Nergal, " Bel-ah-usabsi, -aplu-iddin, -uballit 93, Dumqu, Ina-pani-* Bél 1, Léfiru, 2 Nabü-zir-USir 21, Nad-" Bé 1, Na’id- Marduk 4, ? Nergal-étir, -uballit 16, Ni- dinti-"Bel 27, Silim-" Bel 26, * Samai-Yum- iddin + 2, 4, Sum-ukin 30, ZA. MAL. MAL-iddin 2. I. als Ba-lat-su a. Dan-ni-e-a Ng 23, s. 45, zs. Nd r2, 4. (13, 9]. als Igisa-aplu a. "Addu-sum-eres Nd 15, 7. 112,7: Y 2 Nabü-uballit a. """ callabi Ng 24, 4. Y Ri-mut a. Da-bi-bi Nk 360, s. Ta-qii-" Gula a. ét ange "Samas Cb 401, 3. re andyab bânê 123 S» Qr Uras. a. * Addu-sum-eres, s. "Bel-aplu-iddin. a. * Bé-étir, s. *Marduk-ban-str. a. Egibi, s. Mutésib-" Marduk, Sullumu. IO. a. a. Etiru, s. Kurbannu-? Marduk. a. ^"; Y5ay? s. Ba-zu-zu, Musezib-" Marduk. a. 9"? Kid?-na-a-a-ta, s. "Nergal-usallim. No. 2. E-kur-za-kir, s"Bel-ah-usabst, Sum-ukin. 61 a. "Nabü-lt-su, s. Ardi-? Marduk. IS. a. Nür-WSin, s. Sum-ukin. a. en vab banni, s. Iddina. a. "Sin-Uu, s. Bul-ta-a. a. ?""Yane? bit balåti?, s. "Nergal-usallim. IQ. a. *"? Yang? "Samas, s. Nidintum. E-til-lu-má-ti-i-a-ai-M («Herr des Landes wird er sein»; die Lesung ist zweifelhaft) Dr 379, 47. E-til-pi, E-te-el(-Iu)-pi (E-te-el-pu-um N ATh 704 — MBAP 81, abgekürzt aus Vollnamen wie Etil-pi( KA)-" Addu Bu 88-5-12, 769, 27, -2 Marduk, - Sama etc.) Nk57,5. Nd321,». S. ZBel-iddin 114, / Hr-ib-ta-a, *Marduk- balätsu-igbi 4, "Nabü-iddina 332, -uballit 32, -zör-ukin, "Nergal-Etir, Zir-Bäbili 4. ti als Nk 56, 9. A as eri aia B2 Nd. 5eT, rs: als Marduk-sèr-ibni Nk 86, 12. > 2 Nabü-ban-ahi Cr 80, 7. 5. als Sil-la-a a. INu-&-bu Ng 7, 2, 9, 18. a. IW-"! Li-e, s. Nidintum. 7. a. "el ane? ? Ea, s. "Nabü-zir-ukin. E-til-pi-i-! Marduk 1. al$ Samaÿ-Sim-lir a. ""? angi 1Samas Nd 132, 78. 599, a. E-tl-Iu)-pi(-i)-"Samas 1. a. *"?H lane? "Sippar, s. Igisa-"Mardnk. E-tir, E-ti-ir, E-tir-ru, E-tilfi-ru abgekürzt aus Vollnamen wie ?B£l-, "Marduk-, ? Nabü- etir(-napsäti) à. dgl.) Knl M II 5,7. Nk 36,3. Dr (187, 24). Dr Pa (21,25). S. Ake-iddin- 2 Marduk 8, Ardi-"Bel2ı, Ardi-"Gula 15, Asaridu 2, Ba-ku-ü-a, Ba-zu-zu 8, "Bel- aplu-iddin 32, -iddin 95, 111, -ittannu 9, 24, 36, -uballit 42, 74, "Ea-ahe-iddin 1, Esaggül-zir-ukin 1, Habasiru 12, Iddiu- Bel 12, Igisa-aplu 8, Igesa-"Marduk 8, Itti-" Marduk-balåtu v, Itti-" Nabü-balatu 30, Kasir 10, K2-? Samas, Kurbanni-! Mar- dak 6, Läbasi 43, Liblut 2, 17, 18, 43, 2 Marduk-belsunu 7, -rimanni 16, -Sakin- Sum 5, -Sapik-zir 3, 13, -Sarranni 4, Muk- ki-e-a 1, Musesib-"Bel 12, Musezib-" Mar- duk 33, "Nabü-ah-iddin 15, -ah-ittannu 7, -aplu-iddin $2, -ban-ahi 11, -éfir 33, -étir- napiáti 11, 26, -kin-zir 12, -na-din-e-e 1, (Æ-tir) -Sum-iddin 35, -Sum-lsir 22, -Sum-usur 6, 17, -uballit 28, -sir-uSallim 1, "Nergal- etir 5, -Xum-iddina 3, -uSallim 6, Oisti- 7 Marduk 2, Rimüt-" Bel 43, Su-ga-a-a 29, 1 Sama-erba 9, -étir 8, Zakir Y, Zu-um- ba-a 4. 1. als ?Bel-hu a. Epes-ili Nbp (ZA IV) 6, 9. als *Nabü-upahhir a. Ilhö-bullut-" Marduk Nk 216, 14. as U-bar a. Sa-na-Xi-iu. Nk 408, rc. a. Epes-ili, s. Bånia. a. Ih’-bullut-" Marduk, s. " Bel-iddin. E-ti-ra-a (Kosename: «mein lieber Etir») Dr 480. Etir(KAR-ir)-" Ben NbpMII 10, 9. JE-tir-tumit (vgl. Vollnamen wie /”Bänztu-, FilBau-, I "Belit-, Li Nana, FH Se-pyu-tt-g- êtirat) Cb 385, 2. Dr. 43, 4. assat Zna-esz- etir Cb 28,3. 29,3. assat Sü-la-a Nk 403, 2. S. 2$Samas-iddin. 1. m|s Ahe-iddina, assat Itti-" Nabü-balàtu Nd 756, 2. [1020, 1, 14]. E-f-ru-! Sama Cr 304, 1. E-ul-mat-a-a Cb IO7, 10. 437, 14. E-ul-maS-kin-ahu, s. Nädin 73. f É-zi-da .... Ct 155,2. E-zi-da- ? -MAH, s. Pa-da-a. E-si-da-igfta I. als XNabu-sir-iddin a. Ar-kat-ilani Nk 201,22. E-si-da-Sum-ibni 1. als ENabñ-Sum-usur a. La-ku-up-pu-ru Nd 187, 13. als ?* Nergal-Xum-ibui a. Sarru-a-ra-su-u Ev 2, 6, 15. a. Sag-di-di, s. "Nabü-Sum-imbi, *Nergal- usallim. E-zi-da-tuk-kul-Sit Nd (627, 3). E-zi-h-uU NeL 11, s. Gab-bi-e-a, Gab-bi-ia (vgl. die verschiedenen Schreibungen des Namens des Vaters des Assyrers #Marduk-Sar-usurs: Gab-bi-i K 404, 2; = JADD 115, 83-1-18, 75, 2 — HABL 767, Gab-bi-e K 1447,31 = JADD 418,82-5-22, 131, Ga-07-a J ADD 429, Gabbi-e 83-1-18, 382 = JADD 116 u. vgl. gaz, gabbi ein Edelstein; kann auch als Kose- Knut Tallqvist, name zu einem mit gabbu «Gesammtheit» zusammengesetzten Namen aufgefasst werden), s. Kal-ba-a, "Nabü-a-gab-bi, -ba- làtsu-igbi, -Sum-iddin. 1. a|X. Lib-bi-si-im-mu Cb 110, 2. Gab-bi-" Bel)-um-ma 1. als Nabi-sa-ba-du Dr 297, rz. Gab-bi-ilèm-Sar-usur, s. Ha-Sa-da-a-a. 1. als X II-te-ri-ha-na-na Cr 177, 2. /Gab-bi-ina-gati? («alles ist in den Händen (der und der Göttin»)) Nd 75,10. Cr 284, s Gab-Di-ina-qàtit-À Samas! (Cio GIO hts Sn enr na-nu, " Nabü-kusuranni. Gab-ri-ia (vgl "Addu-gab-ri, Uu-gab-ri, he. Sya) 1. als Ri-mut Dr 482, zs. Ga-du-4 («Böckchen», cfr. he. 173 2 K 15, 14, 17), amëlGallu Dr 431, 23. | JGa-ga-a (vgl. gâgu ein best. Schmuckgeräth) Nk 370,0. assat Pir'u als * Marduk-usaltim Nk 346. 408, a, »4. S. /Nu-ub-ta-a. AIS TASER Nd 1113. Ga-hal, Ga-kül (abgekürzt aus Gahal-” Marduk?) s. ? Marduk-Sum-usur 19= 20) Nk (182, 14). S. Ardi-! Nergal 3, Ardi-"Sin 1, Balátu 9, * Bél-ere$ 7, -ibni 20a, -iddina61, -ittannu II, 14, -kåsir 23, 20, -kisir 5, -Sum-1Skum 4, -usallim 18, Dibàmu 3, Dummuqu 8, Damgia 6, E-ri-Xu 1, Iddin-aplu Yo, Iddin- Marduk 13, Igisa-aplu 38, Itti-"Samas- balåtu 11, Kabtia 10, Kidinnu-" Marduk II, Kin-zir 3a, Kuddinnu X, Läbasi 34, Libur 7, "Marduk-nåsir 11, -Sakin-Sum 9, -Sum-ibni 8, -Sum-iddin 12,15, -Sum-lisir 1, -Sum-usur 19, 39, Müränu 21, Müranu- Gula Y, Murasü 1, Musallim 1, "Naba- ahe-bullit 4, -ahé-iddin 43, -aplu-iddin 2, 11, 25, -bullitsu 29, -etil-ilåm 2, -ittannu 20, -kin-zir 10, -kisir 2, -kusursu 5, -nàdin- ali 6, -nädin-Sum 7, -nàsir 13, 39, -Sar- usur A, -Sum-ukin Y, -usur-napistim 3, -usursu 12, * Nergal-ubalfit 21, -uXalfim 13, -uXézib 3, Nidintum 12, Rémüt 64, * Samas- uballhtı2, Såpi b-sår 12, Sum-ukin 3, Tabnea 3,6, Uballitsu- Marduk 2, Ubår 23, Uqupu 21, #ZA. MAL. MAL-ah-iddin 5, -Sum- iddin 1, -sir-ibm 1. T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. Ga-halllıul-"Marduk® (abgekürzt: Gahal q. v.), s. Ardia 52, "Marduk-Sum-iddina, -Sum- usur 18, 20, !Nabü-balätsu-igbi 49, -mutir- gini 4, -zir-ibni 16. Gallabu (amet Ü. L cHaarscherer» ?)s.# Bél-uxallim 9, * Ea-lümur 3, Etillu 3, Iddina-aplu 43, #Nabi-ctir 39, 4, -Sum-lisir 4, X Nergal-iddin 26, -Sum-ibni 4, Rimüt-! Bel ar, "ZA. MAL. MAL-napistim-usur 3. Ga-ti, vide Od-ti etc. GAZ-KU.DA (mit Determ. hasıl qimné «Müller», ZEHNPFUND, BzA I p. 632), s. Jddin-" Nabir 89. Gi-dil?-lu Nbp (ZA IV) 8, 15. Gi-gi-ia, s. Al-im-me-. I Gi-gi--tum 1. m|$ Ba-la-tu a. Egibi CrP 21,4 CbP [128,21]. 2. m|s "Nergal-Sar-usur, Sarri Bâbili Ng 13,4. Gi-lu-ülu-a Nk 57, 1 I. als Sá-ma-a a. Ba-bu-tu NK 54, 22. a. Da-bi-bi, s. Rimat. a. Ga-hal, s. Kabtia, 2Samas-uballit. IOS Nk 206, 12. 5. a. "Sin-Sadünu, s. Iqisa-aplu. Gi-mil-id («mein lieber Girl») als Pa-te-u-" Addu? Cb Ba 1, 7. /Gi-mil-in-ni (vgl. Vollnamen wie "4 B27, # Nabi- gunilannt) Ng 2, 5. Gi-mil-lu, SV (Dr 400, 16. Nd 335,11; Hypokori- stikon von Gil" Marduk und dgl., vel. Bu 88-5-12, 532, RANKE p. 38 f£) NkL 7,3. Ng (12,31). Lab 1. Nd r, 12. Cr 124, 4. 173, 11. 174,5. 213,4. 229,9. 253,10. Cb 156,5. 190,4. 237,6. 380,8. 416,7. Dr 20, 5. 80, 52. 125, 10. ameiq]laku Nk 448,2. Cb 83,9. ?P 148. amelban... Ch 225,25. ""y$paru Nd 1072, 3 Cb 90,4. 256,17. ^"? ga//u Nd 57,4. S. Ahu- Sunu, Ap-la-a + 79, Balåtu, Gu-za-mu, X Nabü-bullifsu, -iddin, -kin-aplu 8, i Syl- mön-eres, Sum-ukin, Ziria. I. als Nd 107, 5 af ....... a. #Sin-Sa-du-nu Nk 380, 2. als Ardi-" In-nin-ni a. Sad? Nd 348, is. als Balät-su Dr 12, zz. 5. als Ba-lat-su a. Mi-sir-a-a Nd 194, 2. als Ba-la-tu a." ang? [star Båbili Nk73,2 als *BéEibni a. As-ga-an-da Nk 271, 7 No. 2. -kasir amel , 63 7aal$ "Bel-iddin Dr P 142, 15. 30. 40. . als BEl-sir .... als Bél-ufallim Nk a. 7 als "Bel-usallim a. "Sin-nasir Nk 58, vr 59, 22 429, 9 Dr 571, 24 Y Erba-" Marduk a. "Bel-etiru Dr 365, n. X É-sag-gM.... a. Rei alpi Nd 701, s. als Jddin-aplu a. "Bel-aplu-usur Nk 241, vr. Is Itti-Esaggil-sir a.” Sangi " EaNk 164,6. Kur-ban-ni-"Marduk a. 7"? ràb bani er PIG: als Lu-ut-tu-a Ng 67, 3 als *Marduk-Sum-ibni a. *^""nappahi NkP Dorado e1b/2277:9 ChiR 28,7: 30, 2. 1302 Smd Bi 38, 0: P. T2T, 27. $ ?Nabü-ahé .... Nd 1099, 15. FE il Nabü-iddin a. 7"? Sangi* Gula Cb 81, 16. !* X Nabi-igbi a. ""nappahi Nk 201, z * /Nabü-Iru a. Da-mi-qu NK 135, 39. a a. "Sin-umittu Cr 88, 40. als #Nabü-na-sir a. "Bel-Etiru Dr 463, 17. a. melbairı Nd 990, s. SU als * Nabü-sum . . al$ 2 Nabü-Sum-lisir a. Ma-lul-tum Cr 12,13. 27, 22: als Nabñ-ukin a. """ angi Gula Cr 3, 28. als #Nabi-zir-igesa a. Sit-id NdL 15, o, zo. als Nu-um-mu-ru a. ^"? ang? Nk 45, 17. als Ri-mut-E Bel a. ZA I >. als Säkin-Suüm a. Ardi-" Nergal Nd 353, s. als i Samas-zir-ibni (a. Sin-$a-du-nu, "ab käri Xa Sarri) Nk 357, 2. 358, 2 307, 2. NkL 21. Ev 8,2. Nd 30, 2. als Sâpik-ctr a. ""? Bäiru Cb 117, 5 af ? Sulmön-zir-ibni a. """ ang? ? Nergad Cb 336, CA alf Så-ma-a Nk 97,4 ali Süm-ukin a. .... CrPa4,7 als Sum-usur a." ang? parakkiNd 3 oe RO SIS Nd (946, 2). a. AÁt-Xur, s. Musallim-! Marduk," Nabu-étir- napsatı, "ZA. MAL. MAL-pir-usur. a. Ba-bu-tu, s. " Nabn-bullitsu. a. mölbgiri, s. Igtsa. a. Ba-na-a-a NEP 3,4 a. "Dan: s. Ardia. Dr amet & ang? 2 Samas 50, 15. 64 (Gi-mil-lu) a. Di-ki-i, s. 2Bel-iddin. a. " Ea-Epes-ih. s. Ardia. 45. a. I Ea-garrad-ili?', s. Säpik-zor. a. Epes-ili Cr (111,2). Cb (142), s. Ardia, Ardi- Gula, Bel-usallim,fBurösu, Sit-la-a. a. Ga-hal, s. Tabnea. | a. Hu-ul-la- Cr 176, 4 Cb 141, s. a. Hu-un-zu-á, s. "Nana-iddin. 50. a. Ir-a-ni, s. Itti-" Marduk-balötu, ?Nabi- usallım. a. Ki-din-" Sin, s. 2 Nergal-ibni. a. Mu-kal-lim, s. Kal-ba-a. a. Mu-na-bit-tum, s. * Marduk-igtsanni. a. lpappaln, s. Iddin-"Nergal. 55. a. “Nergal-uballit Cr 89, 14. a. "yb bünt, s. Kalbi-babi, " Nabü-ittannu. a. mel vb bris. ZA. MAL. MAL-Sar-usur. a. " Sin-na-din-Sum, s. "Samas-iddina. a. Sip-pi-e-a, s. "Nabü-uballit. 60. a. ?"? ang? "Addu, s. "Nabü-balätsu-igbi. a. *"H$ape$ ? Eg, 5." Sin-zör-USir, Su-ga-a-a. a. ?"HYano? "Istar Dàübili s. Bul-ta-a. 64. a. Sápi£-zir Nd214,6. 1029,4. CbOO, 10. 140,5. Gimil-"Bumene? Cb 35, s. Gi-mil(lulSU )-! Gu-la Dr (230, 2. 481, 9). 1. als *Marduk-na-sir a. Mi-sir-a-a Nd 30, x. als ?*Nabà-étir a. Iddina-aplu Dr P 137, x. als Su-ga-a-a .... Nd 635, 2. als Sákbin-Xim a. Dannu-'Addu Nd 16, 14. 5. af Sum-ukin a. "" yàb bânt Nk 335, 18. als Ziri-ia Ng 34, a. als Ziri-ia a. empiri Nd 945, 16. als Ziri-ia a, "Hände Nd [254, ro). 520, zo. 1111,77 Cr 268,3. Cb 179, x. Dr 280, 26. Dr 23, 1r. a. Egibi, s. * Bél|Nabá-uballat. IO. a. In-di-ıl-ki-la-ni, s. /Sz-ra-a. a. Jr-a-nui-" Marduk Ng VR 67, 1, sb. a. ^"? này patri, s. "ZA. MAL. MAL-napis- m-usur. I3. a. "Szn-Xa-dan-uu, s. "Bel-uballit. Gi-millSÜ-=!Marduk', s. Aht-iddin-"Marduk. Gimil-" Na-na-a, s." Ea?-ahé-Xullim 1, Sum-ukin 5. Gi-mil-"Nergal! I. als ?Bel-usalli-im a. Abi-ul-idi Nd 807, s. Gi-mik-lu|SU ! Sama ! Nk450,5. Nd264,11. 351, Knut Tallqvist. 21. 544,7. Cr 61,5. Cb 146,16. 385,14 S. 7 Bél-ah£-iddin, -kin-aplu 2, Ki- Bel. 1. als * Bél-iddin Smd (ZA IV) 7, 7. als * Bél-bin-aplu a. "hån Dr 431, 16. aj* ? Ea-ri a. 9" opo? "Star Bâbili Cb 25, 22. als Lisirlu a. 2Samas(-a)-ba(-a)-ri Dr 155,7. 313,5. 353, 4. 425,4. 5. als Mar-duk a. Mu-Se-zib Cr 147,3. 158, 2. ZU 2x als 2Nabn-ban-zir a. Na-ba-a-a Nd 553, 16. ÓI5, 9. als * Nabi-Xum|sér-iddzn Ng 68, 12. 69, 72. als Qaqgad&a a. ^"? bàn? Dr 304, 18. als Ri-mut Dr Ba 3, 9. als Re-mut .... x. "UYanue? "Istar Babil Cb 422, 19. als Sul-lu-mu a. Na-din Dr 158, 17. als 2ZA.MAL.MAL-erba Nd 855, s. a. Epes-ili, s. Igíta-? Marduk. a. * Nabü-aplu-iddin Nd 351, 3, 29. 15. a. Ri-mut Cb 190, 2. Gi-in-na-a (as. Rm470,9. Gi-na-a-a Bu 91-5-9, 179, JADD III p. 420; wohl Aöra-aplu zu lesen) s. * Bél-eres. Gi-ra-a-a (as. K 330, 1 = JADD 621, vel. Gz-zi- ? Add; Slmnsr Monol. I 35, *Nabñ-gi-ri-1a BE IX, JMaunu-gi-ri|ru-3u und ? Asur?-ga- ru-u-a-n-ri),""* ardulgalfuDr337,2. 380,2. 410, 3. Gi-ra-ahu(? usur?) vgl. * Bit-gi-ra- BE IX), s. ? Nabü-str-ibnz. Gis(Rabü?)-Sa-imeri, s. ? Nabü-Elir 20. GiS-Sa-pa-eres (-KAN|PIN-es, auch mit Determ. CAN GMT ee (Co) As, Die 120); & Jddin-"Nabu 84, Låbåsi 56, 57, 75. "Gu-ba-ru (pe. «Gobryas») Cb 96, s, 4, s. TGu-ub-ba-a, gallatu Nd 310, 4. Gu-da-di-tum]ti, gallatu Nd 165, 13. 253, 6. 273, 3, 13. 1083, 2. Gu-da-du-u, s. "Bel-ahe-iddin. 1. a|$ Hi-in-ni-ilani a. 2! yab bani Nk 366. /Gu-gu-ü-a, (ohne 7 Zeichen Ng 60; cfr.? uten «Spinne») altu "Bel-ahe-erba Nd 67, is. I. ms Za-kir a. ere Pa-3e*! Ng 60, 1,15. Nd 44, a, 8. 65. 67. ms Za-kir, s. # Nergal-ina-esi-Etir. T. XXXII. IO. Neubabylonisches Namenbuch. X Gu-la-ah-iddin Cr 225, 33. EC U El * /gisa-aplu a. *!rab bàn? Ng 45, 17 a. Oag-ga-du-ni-tum, s. Musallim-" Marduk. SH Gu-la-ga-(-i)-Sallsa-at I. m/s " Ea-ibni a." Bel-ia-u Nd 461,4,10. 508, 10. I. als 2. mjs SSi-lim-" [star ml er su a. Sa- na-si-su Nd 283, 4, 6 JS N Gu-la-ri-mi"-ni NAM 11,2. 12. V Gu-la-Sar-usur Cb 71, s. 1. a. " Samas-bel-ili Nd 617, 6. 7 Gula?-sum-ibni VIER eterne , S. 2Nabn-Sum..... Dr 70, 1s. 2. a. Na-an-na-a-a, s. Zir-Babil. #Gula?-sir-ioni Nd 352,89. DrP 45,9. S.7Samas- sir-ibnt. "BéLer-ba a. Sip-pi-e NK 97, ı * Ra-dim a. " Addu-Sam-me-e NÅL 14, ; i Samas-$um-liSir Nk 175, 18 * Zir-Båbili Dr 138,» a. I a-ni Cr Pa (4, 3 e I. als 6. a. ^"? $ano? Gula, s. Erba-" Marduk. Gu-ul-ta"-am, s. Ràmüt. Güm(Hum?)-mu-ru in LUE CPE Nk 118, 3. Gu-sa-a-a (BE IX), f Gu-si-gi 1. 742]3 ? Nabü-Snm-uk£n a. Ki-din-! Sin Cb 338,11. Gu-za-nu Nk 407,2. 429, v. 510,8. 546, 16. 704, 2. 851,2 Cr236,s. Cb 269, s. Smd L 22, 1». Dr 163,2. 346,4. 480,12. 533,7. Dr 84-2-11, 102. "re gal-Ia-bi Cb 181, s. Nd 670,5. "mar Sipri Cr 46,3. re e Dr 408, 1». 557, 3. Bu 88-5-12, 26,2. S. Å- ra-am-ma-a-a,* Bel-erba, -Elir, Bel, s. " Nabü-ah-rimanni, Remit. X Nabi-ahé-ittaunug-ittannu-usursuy! Ninib- iddin, Rimaut-" Bel. 1. als "Bel-ri-man-ni a. Sag-di-di Cb 125,7 als * Bél-uballit a. Mi-sir-a-a Dr 424, rs. als Gz-mi-lu Dr 163, 3 als Itti-" Marduk-balätu a.Si-gn-i-a Cr317,10. 5. af Kal-ba-a a." angi * Na-na-a Dr 359,19. als Musallim-"Marduk a. AS-gan-di) AS- kan-na Cr 274,4. Cb [351, 9). als Musezib-" Marduk DrP 41, 4. BSEENaBi.2. 3. Cr102,8: als "Nabi-ahe- ulli Dr 300, ;;. No. 2. ?P 149, s. amd zyandıidı als * Nabi-etir a. ""!Pa-Se" Cb 337, 9 als Nabü-miti-uballit Dr 144, 8. als 7 Nabi-mu-Se-t-ig-urri a. Dannu-" Addu Nd 683, 3. als #Nabñ-naid a. Liga Smd (ZA IV) 1,72. als # Nabü-Xim-usur. a. "2 Sang? "Istar Bå- bili Dr 300, zz. 15. als " Naóg-usabsi a. Tu-na-a-a Nd 314, 27. Na’id-" Marduk Dr 447, 18 Y Pir-u a. Mu-Se-zib Nk 21, o. als Ri-mut a. Ardi-"Nergal Nd 280, 11. 375, 1059, 3 Su-qa-a-a Cr 172, 4. Su-la-a a. Ardi-"Nergal Nd 619, is $ Sa-kin-$um Dr 431, zo. Süm-ukin Dr 224, 5. $ Sum-ukin a. Iddin-" Papsukal Dr 169, a. i TUR.E-iddin a. Amel-"Na-na-a Dr 357, 14. als Zir-Dábili a. Ba-si-ia Dr P 61, 25. " Nergal-usallim. IO. [s REPRISE a. ve Allaku, s. "Nabü-sir-igisa. a. ^"? 5r; Dr 152,6. S. *Nabi-ittannit. a. ! Ea-sa-lam-ili, s. "Bel-iddin. Epes-ili, s. #Marduk-sum-iddin. a. Etiru s. #Nabü-Sum-usur. a. Itti-" Marduk-balatu Dr 463, 28. a. Mu-Se-zib, s. Igtsa-aplu. 7 Nabit .. (Ore Se 35. a. " Naóü-ni-ip-sa-ri Cr 13, 6. a. Ni-in-ni-e-a Dr 254, 2. a. "Urb bani, s. " Bél-iddin. a. Sa-am-ma-ku Cr 379, 5. a. "Sin-da--in Dr 529, 16. 40. a. " Sin-Sa-du-nu, s. "Bel-iddin. 41. a. Zir-ki-t-ia, s. Napustum. Gu-zi-iali& (Kosename, vgl. Gzzu-ina-" Bel-asbat, TRAIN abü-guzu) Nd 884, 12. Éd do Dr 392, 23: / Gu-zi-tum I. fs 7 Sulmån-Sium-iddin a. Nür-" Sin Cb 397- Gu-su-ina-! Bel\-as-bat, "étqallu Cr 325, s. / Gu-zu-um- “ua Nk 37, 2. 207, 3. 1. als $ SSa-bu-ul-la-tum Nk 201, Ha-ba-sür(|si-rilru) Nd 176,7. 916,4. 1099,4. Nd Pi a LÖR GONE NASA NEO C0 3 CD 9 66 Knut Tallqvist. (Ha-ba-sir(|si-rilru)) 178,3. 197,4. 347. Dr IOI. 209,2. 227,7. 408,7. DrL 175,7. ^"? damgar Dr 141,10. a bit ka- si-ra-nu Cb 384,15. S. ?Del-kasir, Na-din. Tall Segen. 7 Marduk Cb 169, v. als ?Belri-man-ni a. Egibi Dr P 52, 6. als Kur-ban-ni-" Marduk Dr 60, ro. als Lib-lut Cb 257, 4. 5. al$ Mu-Se-zib-" Bel Nd 973, 6. als "Nabü-Fin-aplu a. Mu-kal-lim Cb P 30,18. als Ni-din-tum a. Eri-a-na-Esaggil Dr 439, 20. 5 Ni-gu-du Cb 309. 388, 3. $ Ni-qu-tu Dr 263, vr. IO. af Sa-du-nu a. éliy-a-ni Cr 291, ro. ks di Samas-åh-iddin a."yaggariNdS16, :2. * Sü-la-a a. E-fir-ru Cb 329, i. 5$ Tab-ni-e-a DrP 40, s. Re ie Dr 4, 5. 15. a. Egibi, s. /Nu-ub-ta-a. a. Mi-sir-a-a s. "Bel-uballit. a. Musezib-"Marduk Dr 72, 22. a. Mu-tak-kil-lu, s. Kin-zirs a. "lmappahi, s. Liblut. 20. a. Pap-pa-a, s. "Bel-etir. a. "yb banı, s. Liblut. any ES alpi, s. Dulta. /Ha-ba-sir-tum, gallatu Nd 762, 2. 772,3. 832. 1. zd]$ "Bel-ahe-iddin, assat " Nabü-sér-ukin Nd Sor, ». /Ha-ba-si-tum? Dr 379, 2. / Ha-ba-Sin(-na)-tum 2o 1. mms " Nabaå-Sum-iskun a. Kasir Nd 258, 17. 671. 675, a. 2. m|s Sü-la-a a. Nür-"Sin Nd 82, 3. Hab-ba-su, s. Kalba 58. Ha-ab-di-ia (Ha-ab-du-um CT IV 16: 256, 20), s. La-a-" Bel. Ha-ad-da-a, s. Ardi-" Bel. Ha-di-e-ri-eslis (Dr 318, 11. 377, 4), s. ”Nabü-kın- aplu 28, "Sin-ibni 1. Ha-gu-ru, s. Ka-ti-mu-. Ha-ah-hu-ru («Rabe», vgl. MS p. 37) Cr 379, 4. Cb 232, 5. Pi 9, 4. DrP 81,10. ?Dumene-ah- iddin 2, 7 Samas-ah-iddin. 1. als Ardi-"Sin-Sadi a. "2 aslaki Dr 287, rs. als” Nabu-Etir-napsäti a.Dan-ni-e-aDr 215, ro. 4 Nad-na-a Nk 110. 115,2. 235, 2. ali Tab-ni-e-a a. Mu-kal-lim Dr 249, 10. 5. q. 0... ZBel-iddina? Dr 2, s. Ha-a-a-nu, s. Süm-usur. a IL Ha-a-an-nu-eres?, s. "Bel-etir. / Ha-la-a, ummu xa / Täbat-"IS-sar Cr 307, 18. Ha-la-bi ...., s. " Bél-iddin. | Hal-ta-a-nu Dr 214, », s. 2 Naba-kin-aplu. | *Ha-lu-&á Dr 501, 13, s. Æali-mmilhi. Ha-lu-lu Nd 442, 4. * Ha-lu-ü-mi-U-ki 1. al$ Ha-lu-4 Dr 501, zz. Ha-ma-tu- (Dr 413, 13), s. A-na-e-dı-ıb. | Ha-am-ba-qu (as. K. 309a — JADD 207), s. Iddina- BEN: 1. al$ Ina-" Bel-ul-ta-ra-ah Dr 466, 17. 467, is. /Ha-am-ma-a, s. / Là-tubasinni. 1. m/s Apla-a als "Bel-ah-iddin Nk 9r. 2. ml " Nergal-iddin a. Ba-bu-tu Nk 101. Ha-am-ma-a-a, s. "Nabü-ahe-bullit 15, Nidin- Zum 50. Ha-am-ma-su 1. a. " Nergal'-usézió Cr 360, 11. Ha-am-nu-nu (as. 81-2-4, 150 = JADD 231) Nd 764, 5. *Ha-na-nu (cfr. he. X39, HBE IX) 1. al$ A-na-di-ib Dr 505, 10. / Ha-na-3u Ng 7, 3, s. /Hi-ib-ta-a 2. /Ha-ni-na-a Cr 380, v. Nd Pi 15, s. Ha-ni-ni Cb 385, 19. J Ha-an-na--34 NAM 16, 9. Ha-an-sistirlri Cr 36, 4. Dr 105, v. * Ha-an-ta-Sa-nı (vgl. ? HBE IX: Ha-an-da-Sa- an-ni = he. "ln, Ha-an-da-sa-ni 83-1- 18,201. Bu 89-4-26, 32 = JADD 113, 119). I. a. LR Marduk, s. Sullumá. * Ha-an-ta-Su, s. Iddin-" Naba, SSi-da-tum. * Ha-an-tu-u-Su, Ha-an-tu-Si (ar., cfr. bi. yen; 83-1-18, 330, 23 — JADD 246) 1. al$ Kat-tat-mu-$u-ilàni Dr 435,7, Salá(Sult)- mu-Su-i-lu Art CIS II 66. #Ha-nu-nu (cfr. he. Yan), s. “Pél-iddin, Nadin, Nargta, Pa-da-a. + Ha-pi-dis?-bal-la? (äg. Ha-pi — "en CIS II 123 DIS) 1. al$ Pi-Sa-mi-is Cb 85, s. Jer TAE Nd 250, ». T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. HAR. HAR, mit Determ. we, iddin 27. Ha-ri-sa-a-a (vgl. Hi-ri-sa-a-aK 305,26. K 329,2». K 421,34; aus harisu «Stadtgraben», wie Sy- qa-a-a aus sü-qu «Strasse»), s./ Punanitun. Ha-ri-sa(-an)-nu Dr 379,58. S. Samaÿ-rê unu 1, il Belit?-eres 3 INS Sel. Nic. ZA III 152. als Kina-aplu Dr 301, 15. als "Marduk-erba Cr 255, 13. 4. a. "Samas-kin-ahu Cr 221, is. Har-ra-na-a-a (mit Determ. ^"^) Ng 1. Ha-si-ru (ab. CT VI 17; IV,ss. 22: 364,20) Nd 1107, . Ha-sa-da-a vide Has-da-a. /Ha-Sa-da-a-a--i-tum Dr 429, 3. Has-da-a(-a), Ha-3a-da-a-a (Dr 379, s), Has-di- ialié Nk 384, 2,18. 450,9. Nd 662, 13. 702, 2. Cr 180,13. Cb 135,10. 325,24. 373,4. 385,93. Dr 157,13. 327,10. 378,2. P18. ^"? bur Eulfu galla Sa apil Sarri Cr 325,5. Sa bit alpi Nd 662, 13. 702,2. S. Ardi-" Naóàa, "Bel- uballit, -usesib, Liblut, * Lum-lum-abu-usur, il Nabh-Etir,-zör-ibni, Na-dinj! Samas-iddin, U-bar-ia. s. Balâtu 27, "Bel- ale ee Ng 12, zs. als * A-num-$ar-usur Dr 301, 27. als Ardi-" Gula a. ere di-ki-i Cb 276. 3a als Ardi-" Naóx Nd Pi 11,4. als "Bel-iddin Dr 270, 7. 5. als "Beliddin a. Oag-ga-da-a-nı-tum Dr 431, 22. als Gab-bi}-iani-Sar-usur Dr 379, 7. als Zbna-a Nd 997, s. als Ki-na-aplu Dr 328, 56. 520, 23. als Kud-din-nu a. * Bél-étiru DrP 58, 55. IO. als ?Marduk-erba a. Sin-Sa-du-nu Dre 73,17. als * Marduk-Süm-iddin à." $ang? parakki Dr 527, zs 11a als Musallim? a. Babutu DrP 137, 55. als * Nabá-t-erba Dr 82-9-18, 49a (CIS II 65). als I Nabü-ahé-Óullit a. Addu-sam-me-e Dr 397, 18. als * Nabü-aplu-iddin a. "Sin-Sadimu Dr P IO5, 2. als "Naéü-erba a. ré 6a iri Cb 55,4. 56, 3. als Nabü-kin-zir a. Ba-bu-tu Dr 575, 2. als "Nergal-uballit a...... 1 S75 Dr 314, 9. No. 2. 15. als #NIN. BAD=-Sar-usur Dr 511,6. al Nür-"Samas Cb 96, 2. 151, 3. als Sápik-zir a. “"$ange Dülbat# DrPa I2, 4r. IA, 24. IO, 27. als Te-rik-Sarru-ut-su Nd 693, 2. (12. CE de , S. Ardi-" bél. 2 Addu-abu-bullit Nd 201, 18. #Ea?-liu Cb 233, 20. Etiru, s. Bel-ittannu. amédj.$; s. Musezib-" Bel. , antt zyandıdi, s. " Dél-uballit, " Nabu-etir- a. a. napsatı. Da. Toten NAY525,10: /Has-da-a, gallatu Nk 12, s. Hasil gimè(? er! GAZ-KU. DA «Müller»), s. /ddin- i Nabi 89. 7 Ha-aX(Has)-Xd- -i-tum, gallatu Art CIS II 66. Ha-as-tu-ga I. as DrP 60, 6. Ha-ta(-a)-nu (vgl. Ifa-hatanu) NK 419, a, s. MHa-at-ta-a 1. al$ “Nabü-er-ba Nd 553, 4. DENE , S. Ardi-# Bel. #Ha-sa--ilu (Nd 797, a; ar. Sn), s. "INabü-étir- napsäti, -nasir. Ha-za-a-nu, s. Marduk. Ha-zut-á Ha-at-ta-a-a («Hethiter»), s. /925a. Hi-ba-ri-ia (Dr P 57, 15), s. 2 Nabå-usallim. 7 Hi-ba-tum vide / Tåbatum. J/ Hi-ib(z92)-ta-a (als Probename /Æ/i-16-ta-a-a 82- 3-23, 135 rev. 4). Cr 339. Dr 30, 3. 180, 14? TD C 110), 1. m/s Apla-a a.” ràb bàn, ummu sa" Nabu- balätsu-igbi Ng P 126, ss. m|s Ba-la-tu a. "^"? ràb bàni DrP 85,3. 95,2. m|S Etil-pè u /Ha-na-su, assat "Nergalt- uballıt Ng 7, 5. m3? Marduk-Sar-usur als" Nabü-éfir Ng 25,5. 5. m|s Sil-la-a a. * Ea-sal-mu-ili Ng P 126. I Hi-bu-si--i-tum, assat Nidinti-" Bél als ”Nabi- kin-aplu Dr 358, 3. | /Hi-bu-su, vide /Hu-bu- su. | SL Hi-li-bul pu?)-ni-i-tum Dr 379. 16. | /Hi-in-ni-ia (m. HBE IX), assat Sama-iddin CH 7 8 68 Knut Tallqvist, Hi-in-ni-iàni Dr (149, 3) I. a. ?"" 530r banüti, s. Guaadu. /Hi-pa-ta-a (vgl. /Hi-ip-ta-a), assat Ahusunu als ? Nimib-ah-eres Nd 152, s. J/ Hi-13-tusm Cr 146, 13. Hi-tat-ia|iá 1. a. "Bel-näsir Cr 285, 3 2. a. ^"? Yang? ? Ninib, s. " Bél-rimanni. Hi-fu-á-a («o meine Sündel») Cr 239,4. S. 7 Anum- ah-usur. Hu--a-a (Dr 461, 10), s. Ubar 33. Hu-ba-su, s. Rimut 114. / Hu-bu-us-tum, I Hu-um-bu-us-tum 1. ms X Nergal-ubalht Nd /Hu|Hi-bu-su Ev 10, 17. assat "Nabü-nasir als #A-è-iddin Nd 151, a. 1. 2/205 " Marduk-5sarrani Nd 355, 1, 8, 11. Hu-la-li (Hu-la-la Rm 217,7 = HABL 468; ku- alu ein best. Edelstein), s. ?Deliddin 181. Hu-ul-la-, s. Ardia 68, Gimillu 48. / Hu-ul-ti, / Hu-li-i-ti, assat AdZ ilu als "Nabu-zir- iddin Nk 70, 2 /Hu-ma(ba?)-a-a-tum Dr 379, 47. 381, 6, 14. J Hu-um-bu-us-tum, vide /Hubustunn. /Hu-mim-an-ni 1597/2 ee nt Nd 570, 13. Hu-um-ma-nu (Dr 75, 5), s. Ahusumu. 4 » Hu-un-na-tum(«Rebe»), gallatu Cb 330,2. 331,8. Hu-un-zu-u, s. "Nana-iddin 3, Nidinti 52. Hu-pu-á Nd M (28, 4). Hu?-ra-a Dem? Hu-ur:-ru-ba-su (Nd 796), s. “Nergal-bêl-usur. Hu-ü-ru, ^"^" ardu Art Ba 32, n. Hu-sa-bi («strotzend», DAHW), s. *BéfF-lu-mur I, -zör-ıbni 3, Op à 2; Su-ma-a 2. Hu:-za-lu 1. a. "dl pahari Smk CT IV EIE EHu-2i-ri, 9 hi-in-da-na-a Cr 287, 4o. Jet eerte eie Nd 176, 6. ®Ja-a-bi-bi (cfr.? bi. 3335) Nbp (ZA IV) r5, v. #/a-di--1lu, A-di--ilu (cfr. he. 582979), s. KZn-zir. 1. als " Nabü-s£r-id-din Nk 70, 1, 7. 12. 2. a. 2 Nabü-s£r-iddin, s. Marduka. la-a-ha= ...... (Cr 360, 39), s. 7Samas-iddin 46. * la-an-su-ru. Nbp (ZA IV) 8, i». 4 la-a-qar-ra-tum Nd 1, n. *Ja-Se--ia-a-ma (Cr 307, he. MW), s. / Täbat- 7 Ts-$ar. Ja-Sá-um-ma I. als Ahesu Nk 361, ss * fa-a-tu-na (phó. IM, vgl. Baljathon, Balithon), amd ip Nd 33,5 EN s s ots Cr 43. Fba-a (K 1351. 3102; . vel. HBE IX, JENSEN WZKM VI p.213) Nk 187,10. S.“Nabu-Uu. 1. als "Bel-Sum-iskun a. Si-gu-át-a Nk 301, zs. als Sil-la-a a. """ naeceari Nd 85, a. als Zir-ukin Nk 322, 5. a. Hu-[sa]-bi, s. St-ma-a. 5. a. élpahari Smk CT IV 31, z. 6. a. ^"? ane? parakki, s. Balatu. Ib-na-al-a) KAK-a(-a), KAK-na-a-a (Dr 349, 12; JENSEN WZKM VI p. 213: entstanden etwa aus Del-ibni, beachte KAK-a Cr 321,12 = Pa-ni-e-a) NplM II 9,32. Nk 84,5. 31,15.) NkCT IV 14 Nd 165,9. 1092, s. Dr 533,7 S. Afusunu 15, Ardia, Aÿur- Sar-usur, * Bel-ahe-iddin 48, -/ru 14, Has- da-a, lddin-" Nabir, Iqupu, Miranu, * Nabàá- balätsu-igbi + 37, -étir-uapsati, -kin-aplu + 29, -nadin-ahi 22, Nidintum 58, Rimit- X Bel, Sil-la-a, Tagis-" Gula 9, * Uras-nasir. I al$ Ardi-"Naóü a. reger Nk 37, s. als Ba-lat-su a. ^"? bd'iri Nk 164, 8 als Balätu a. y. muk Nk 272, o. als (2 Iddin-" Marduk a. Si-gu-t-a Nd 468, 4 s. af X Marduk-zir-ibni a. ^"^ nappahiNk 37, ro. als Nabi-unamamir? Nk 65, s, s. als * Nabü-unammir a. SU. TAG. GA Nbp (ZA IV) 14, s. als "Nergal-sir-ibni Dr 541, a. l5 Ri-mut-" Ba-üu Dr 365, 2 Sum-ukin Nk 100, 1, s. De ee Cb (338, 23). a. " Addu-Sam-me-e, s. " Nabü-Sum-iddin. a. Arrabtum, s. Itti-" Nabi-balatu. a. end g-su-h, s. Liblut. UN RAT 2/17 MES Sákin-Xum. a. Da-bi-bi Nd (140, s), s. il Nåbi, Sum-uk£n. /Amtia, Iddina- a. Dannu-i Addu, s. "Nabü-muselig-urri. a. Egibi, s. Balätu, Iddina-" Nabü,“ Marduk- Sum-usur, Silim-"B au. T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. 69 (46-na-a(-a)) a. Ir-a-ni, s. Kina-aptu, * Nabü-kin-aptu. 20. a. Kalbi-" Sin, s. Dalátu. a. Mas-tuk-ku, s. Sü-la-a. a. I Nergal-um-ibni Cr 360, 28 a. Sag-gil-a-a, s. Bulta. a. "Sin-imittu, s. Dummuq. 25. a. "sang? Dilbat", s. " Nabü-Sum-ukin. a. el $aqngi-" Na-na-a, s. "Nabü-Sum-ukin. 27. a. ^"? Sang? parakki, s. Iddin-" Bel. Jbna( KAK)-a-Sa-ili-ia(?), dein Nai 40, lqisa- aftu 1, "Marduk-nasir 36, "Nabit-musetig- urri 40, "Nabü-udammig4, TUR. E-igbi 1. /Ib-m--ia Nk 62, 3. Jóni-! Addu?, s. * Nabü-ahe-bullit 22. Ib-ni-ilu, KAK-ilu? s. * Bél-iddin 1602, Ina-Esag- eul-zir-ibui 3, “Marduk-êtir 39, Musezib- I Marduk 22, Silim-Bel ı, ZA.MAL. MAL-àk ... 1. | F-bu-ü-a (vel. F-ba-a) I. als Bel... a. Amét-" Ea Nd 111, Lbu-ni Smk ZA III 228, 2 (Zôu-nu Srgnst. II, 15). [-da-a Nd 518, s. 4d-da-a(-a), Id-di-iali& Nd 865, s. Nd M 25,2. Dr 230, 10. gallu Nk 31, 1. S. Nådin, N un tum, Ü-ba-ri-ia. I. af Ad-di-ia Nd 436, 2 als ?Bel-Sum-ukin a. "^"? ba iri DrP 141,9 als Ki-i-"Sın .... Cb 245, 5 als "Nabü-usallim a. Ir-a-ni Cb P 36, 4. * Rab-bu-u Dr 145, 3 a. or. di" Bel Cr 75,4 a. Raba-a-sa-" Ninib, s. Niréa. ST ES HGT ee - (S. Marduk. | Wand. 0:2: Nd 1041, 5. Cb 255, 13. I. als Eth-lu a. ^" ràb bant Ev 23, 17. Iddina-a (1d-din-a-a K 241, IX 31), vide /ddina- aplu. Iddina-ahu (SE-na-SES, SE-SES Nk 106, is, MU-SES Nk 368, 122) Cr 160, 20. 161,57. | and! al lj-in-da-na-a-a Dr 379,32. nas patri Nk 156, 2. ^""ràb mu-Se ... Nbp un S A D (ZA IV) 19, 23. S. Ardi-" Sarpánit 1, * Bél- uballit. ee OS SE EE Nk 273, 3. Nd 410, 3. ee ee a. Dannu-" Addu Dr 437, 19. al; Abkallu Nd 1030, ss. | aX “Pêl-ri-man-ni a. Dam-ga-ia Nd 943, 4 5. als Igisa-aplu .... Nd 248, ss. als Ki-din-"Marduk a. "25angi * Gula Cr 161, 33. als Muségib ..... a. Si-gu-u-a Dr 284, vo. als Nabü-ka-sir a. Sik-ku-ü-a NK 247, 24 als * Naná-karabi Srk (ZA IX) oo. 10. alé "Sin-iddin a. Ki-di-nu-” Marduk Nk 135, 37- dE ES LIL: a. Addu-$inn-ereÿ, s. Belsunu, “ Nabü-kin- aplu. a. Ba-bu-tu, s. Musezib-" Bel. a. X! Bél-étiru, s. Saggillu. 15. a. "Ea-pattanni, s. Rimüt-" Bel. a. Egibi, s. " Nabü-étir-napsáti. a. Epes-ili, s. FEsaggil-belit. a. Iddin-" Papsukal, s. Rimüt-" Nabi. a. Mas-tuk-ku, s. "Del-iddina. 20. a. Mu-di-qu-" Addu, s. * Nabü-li u. a. Mu-kal-lim, s. Rimüt. a. "n? Paxet, s. Nadia. a. 9"? yàb bàni s. Balätu. a. nälsaqngi 2 Ea, s. " Bel-iddina. 25. a. Si-gu-ft-a, s. Ap-la-a. Iadin -aplu (SE-na|MU-ADrP 66,5 — 67,4. Statt dieser herkömmlichen Lesung wird /ddina- a die richtige sein, alsHypokoristikon von Iddina-"Nabi (beachte no. 22) oder dgl.). Nk338,3. 371,14. Ng52,5,11. Nd27,3. 206,59. 659,15. 916,8. 1053. 1113,14 Cr287,9. 377 Cb 46, 3. 84,17. 149,4. 422,9. Dr 128, 12. (149,15). 180,13. 291,2. 342,3. 407, 11. 414,7. 430, 11. 532, 4. S. “Bélit-eres, "Bel-itannu, X Bunene-Sär-usur, Gimil-" Gula 2, Kasiru, il Nabü-Dullitsu 40,-gamil, -zir-iddin, Nidin- tum, Nidintum-" Bel, Rik-ki, Rtmüt,* Samas- unammur, Séllibi. I: ASS EEE - €b 402,7. CbL 18,36. Xr 3,7. Dr 407, zs. alte a. ^"? asi; Dr 387, ro alt ? Marduk a. .... NdM Il 57, 2. als An-dunani-" La-ma- Dr 379, 34. 5. a|$ Ardia Dr 400, ze. als Ardi-" bel Dr 334, 4 als Ba-lat-su a. Lul-tam-mar Nk 111, 7 als * Bél-ahé-iddin Dr 488, 16. 70 Knut Tallqvist (Jdd'in|s-apéu) 45. a. Ga-hal, s." Marduk-nasir,"Nabü-kin-zir. als * Bél-ri-su-á-a Dr 165, s. a. ^"? gallabi Dr 367, 3. 10. als * Bél-uballit a. Ga-hul Dr 482, 9. | a. rel zyan-di-di SmkP Il, sch als Da8-sip-par-ru? Cr 255, 2. | a. öl massar? babr, s. Rimüt. als Igisa-aplu a. Ba-bu-tu Dr 507, 14. a. "appalti, s. Bél-étir, Erbà, Séllibi. als Itti-" Marduk-balätu a. Sag-gil-a-a Dr 50. a. ^"?nà$ patri. s. "Bel-nasir. 485, 3. a. élhahari, s. " Nabu-ittanna. als Kabti-ià Dr 336, 16. | a. "2$ sist, s. Silim-" Bel. 15. a/s Kal-ba-a Dr P 1 BUS ? a. Sag-gil-a-a,s.Nidintum-" Bel" Bel-uballit. als La-a-ba-si NK 321, a. Sip-pi-e-a, s. Nu-nu-a. als “Marduk-bêl-ilani a. ve Dr551,2 | 55. a. "ange "Addu, s. " Nabu-ittannu. als Musezib-"Marduk a. ^"? bari Nk 31,1. | a. "ane? parakki, s. "Nabu-ittannu. QI SEPA 5 or Dr 529, zo. a. Siena, s. Zu-um-ba-a. 40. als "Nabü-ahe-iddin Cr 142, 4. ^"? åsibu Cb | 58. a. Tu-na-a, s. Igisa-aplu Rimüt. 384, 9. Iddin]a-" Bel"? Nk 44,5. Nd 283, 11. 746, 6. 886, 15. als Se ahe-iddin a. Egibi NÅ 570,2. 738,6. | KO Or ya HO sen sten tr (CIN (9, ir Cr 58, 2, 6. 194, 2. 123,23. 436. Dr94,14. 440,2. 533,18. ban als "Nabu-ban-zir a. amd yappahi Cb P 32,2. Nd 773,4. 912,8. 1035,72. Cr:30, 2 Emme 57,3 — ladina-"Nabü etc. q. v. pahu Cb 126,6. S. Aplà 37, Belsunu 52, als Nobi-étir a. ^"? nappahi Nd 681, se. Bultà, lddin-'Nabz, "Marduk-erba 25, als ENabi-tab-ni-usur a. ^"? ang? ! Ea Dr | it Nabü-bullitsu, -éfir-napsáti, Sum-iddin. 166, 72. | I WS 6 an 6 D? 27/5) Ut QA als "Nabü-usursu a. "^""* nay patri kari Dr P CREER a. Eris? a-ua Esaggil Dr 439, n. 104, 2. LÉ EL ee a. Ha-am-ba-qu Dr 551, zr. als * Nabi-usursu a.""" Sangt * Ea Dr 261,18. ISA i MU a. * Ea-i0-na Dr 335,6 492, 20. Te cu sir-ibni a. Da-bi-bi Nd 1114, 6 als * Nabü-zir-iddin a. Na-din-Se-am Cr als A-gar-aplu a. Sip-pi-e CrP 22,75. DrP 190, 10. 42, 16. als Na-di-nu a. Épeÿ-ili Dr 309, zr. 315, zz. als Ardi-ia a. ""gipi Dr 486, 16. als Nasir Dr Bu 88-5-12, 26, 15, 19. als Ba-ku-t-a Dr 25, 14. als * Nergal-Süm-usur a. Da-bi-bi Cb 15, ss. als Balåtsu a. Fipes-ili Colt als Ni-qu-du a. Abi-ul-idi Dr 498, 15. IO. aff Ba-la-tu a. *"" rab ..... Dr 514. als Ri-mu-tu Cb 375, s. als Báàn|Ba-zir DrBa 11,7. 12,70. 19,9. 21,72. als Ri-mut a." Sin-imittu Dr 399,72. Dr P 66,2. 226020 7 DE CH Nesaer as il Samas-iddin a. Mas-tuk-a-ta Dr CT als Da-su-zu a. Etiru Dr 235, IV 21, 24. als * Bél-àh-igisa a. Sag-di-di Dr 207, 13 . als Tâbia Dr 362, 1. | Dr L 24, 6. (t STE , 8. * Nergal-iddin. | als Bêlerba a." Ardi-"Nergal Dr 319, is. a. Ardi-"Ea, s. Nidintum-" Bel. 15. als * Bél-iddina (Mu-na) Ars (ZA III) 1, a. a. * Bél-aptu-usur, s. Gimilfu. als *BéE-kàsir a. Nür-" Mardu& Dr 486, >. a. "Bel-iddin, s. Zu-um-bu. als * Bél-Xiin-isbun. a. 7?" $augi "...... Cb a. Dannu-" Addu, s. I Bel-Eásir. | 351,72 a. "Ea-kabti-ılani, s. Na’dat-" Beat. | als 2Bél-usallin a. #4... Ersag, 22 a. Egibi Dr(204,3), s. Imittu-lisir, Het, Liblut, als #Bêl-uÿallim a. Pap-pa-a-a Cb P 126, 6 #Marduk-nàsir-aplu, Pursü, Sirku. 20. als Bül-ta-a Dr 478, ss. a. Épeÿ-ili, s. Nad-na-a. als Gu-za-nu Dr 361,2. 526. Etiru, s. Liblut. * Jó-na-a |a. ^"? sang? parakkı Dr 351,7. T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch, = Al (/ddinla-* Bel?) | a. "2 Mu-dammig-" Addu, s. Belsunu. als Jddin-" Marduk a. «"* ? Ea-Epes-ihi Dr | a. Musezib, s. Itti-" Marduk-balätu. 515, 16. | a. Nür-" Sin, s. Iqufu. als Jddin-"Naóx Dr 78, o. 65. a. " Sin-da--in, s. Dalátu. 25. als Kti-" Nabi-balatu Dr 336, >, 6. a. " Sin-Xa-du-nu, s. Marduk-Sum-ibni. als La-a-ba-Si a. ”Enappali ? P 90, rz. a. nel $angj " Gula, s. / In-ni-ba-a. als Lussi-nu-ur a. An-da-har Dr 541, 2. a. el Yao? “Iftar Båbili, s. " Nabü-ittannu. als "Marduk-ban-zir a. Da-bi-bi Dr 108, o. 69. a. Si-gu-í-a, ame daianu Dr L 25, zr. als “Marduk-erba a. Ba-la-tu Dr 138, iz. Jddin-" Ea)? (Nk 420, 19), s. Balåtu 75, Sá-la-a Ly 30. als X Marduk-Sum-iddin a.” bånia Cb 308,7. | Jddin-" Gula" als Mu-ra-Yá-& a. amelu-u Dr P 138, 72. | als Båni-ia Cr 328, ro. als Mu-Se-zib a. "rab bani Dr 196, a. lddin-" Istar? als Musezib-" Marduk a. Ba-si-ia Cr 381,3. | 1. a. ?Belaplu-usur, s. "Bekaplu-iddin. SEBNOR Eee Dr 305, 18. | Jadin)a-"Marduk (MU]|SE(-na|I-din|I-di-" M\,2)) 35. als "Nabü-ahe-iddin a. "Sin-tab-ni-usur Dr | Nk 43, 16. 113,3. 254,3 269. 272, s. 290, " 530, 14. | 333,3. 3424. 356, 5. 387, 2. 402, 4. Ev 18,4. als Nabt-êtir a." ange"! Ninib CrP 22,16. | Ng 15,3 [21,10]. 26,8. 35,4 67,9. NgL als * Nabz-it-tan-uu Dr 408; is. HO ANA MO 82 RIZ 6 ' 1.3474: als “Nabñ-it-tan-nu a. (E-)Sag-gil-a-a Dr P 167,2 1600 203758 595.8562, 4'657, 5. 81, 19. IIO, 74. | 800. 872, 3. 900, 5. 1008, 5. 1059,5. 1109, 4. als * Nabü-Xum-/sir a. Ardi-ia Dr 284,11. | Cr 375,2. 376, ». 377. Cb 72,». 86,6. 127,4. 40. als "Nabü-Sum-lsir a. Ardi-"Nergal DrP | 178,4. 233,13. (362,9). CbL(18,r). S.2 221 64, 15. | ahe-iddin 15, -aplu-iddin, -nådin-aplu Y, als Nabi-usur-Su Dr 426, 5. Dr P 86, s. | -sum-ibni 3, Iddin-" Nabi + 70, /Ima-bäbi- als ”Nabå-usur-Su a. Bu-ra-qu Dr P [81, a]. | magäarl-alsıs, Kidinnu + 8, "Marduk- 82, 4 103, 3. nasır-aplu, -Sum-iddin 31, -Sum-usur, al * Nabü-usur-Su a. Mi-is-ra-a Dr321,10.17. | Musezib-" Bel 38, “Nabi-ailu, -balátsu-iqbi als Na-din Dr P 67, 16. | 30, -bån-alu 25, Na'id-" Marduk 9, Sirig. 45. als Na-din a. Sag-di-di Dr 153, 72. |. EE NC TUN Nd 83, 4. als Na-pu-us-tum Dr 439, 3. | als Ak-ki-ia Nk 361, 14. 366, 14. als * Nergal-iddin Dr 400, r2. | als Apla-a Nk 235. als Ni-qu-du Dr 345, 14. als Bani-ia Dr 174, i. als Ri-mut a." Sin-da-|a-a-in DrP 87,3. 132,5. | 5. als Ba-si-1a ...... Nd 1125. 50. aj Sa-pi-" Ea? a. Sik-ku-u-a Dr 287, 15. | als *Bél-aplu-usur. Dr 383, 3. als 2 Samas-äh-iddin Dr 527, 17. als #Bêlkâsir a. Sa-la-la Dr 132, &. a|* “Samaÿ-iddin a. "Samas-ba(-a)-ri Dr | ajs "Bel-Sum-iSkun a. ®"gipi NAM 23, 10. II, 4. 482, ro. 498, 14. | als *Bél-uballit a. Egibi Nk 161, s. a|3 ? Samas-tab-ni-u-sura.Mi-sir-a-aCb499. | 10. a|t Bêlsir a. " Sin-tab-ui NÅ 212, 16. al$ Se-el-li-bi a. Nås patri kâri Pio, +. | als "Bel-zir-ibni a. "Sin-Sa-du-nu Nd 553, 13. 55. a “Sulmän-êtir? Dr P 95, vr. | als * Bél-zér-igisa a. "Sin-?-ibni Nd 816, 13. a|$ Sum-ukin Smd (ZA IV) 7, i» als Damgi-ia a. Ga-hal Cr 60, ro. Cb [195, 3]. a Sü-zu-bu a. Ba-bu-tu Dr P 51,0. als Jna-ex£-éfir. a. "'Sin-tab-ni Cr 308, 16. a. ""U band, s. X Nabi-usursu. | 15. al$ Igisa a. """ angi Sin Cb 208, s. a. " Ea-épes-ili, s. " Nabü-bullitsu. | als Igisa-aplu Dr 57, 3. 60. a. Egibi Nd (953, 5). | als Igisa-aplu a. Nür-"Sin Nk 67, e. 258, >. a. "Marduk-Sum-iddin Nd 658, 4. Cb 241,3. | 261. 265,2. 281,2. 283,26. 301,2. 11. 308. 339, 4. | 314. 333,5. 344,5. 345,2. 367. 379, 11. 384,3. No. 2. 72 Knut Tallqvist. Uddin]a-" Marduk) a. Bi-ib-bu-t-a, s. "Bel-asna. 100,2 ENS? 21109010, eZ, 10020 sU. 21 a. Bu-su, s. Bullutu. Ne! SESTO SET NET 50822. 18:082 4:919 962 0 IE 40. a. " Ea-öpes-ıli, s. Iddin-" Bel, " Marduk-etir. 32, 2 43,2 66. 71,2. NgL 123,2. Ng VR a. Egibi, s. Dalàtsu, " Nabü-balätsu-igbi. On. 4,2. Lab 3,2 Nd 5, 11,2. 30,9 42, s. a. Epes-ili Cb (365, 10), s. “Marduk-êtir, O3 u, Sr 160) Koh 1160), NL 128, -SUm-Usur, 7 Samas-zir-usabS. 145,2. I48,2. 151,2. 152,2. 153. 154. 158, 2. a. UP massar abulli, s. Apla. 160, s. 169,3. 187. 253. 256. 260, 2. 263. | a. Nür-"Sin Nd 122,4. 750,9. Cb 54,6. 164,3. 26821 2713,16: 2582 287,2. 294.2 3 0 590] 61: 167,3. 218,3. Vgl no. vy. S. "Béf-Xum- 325,2. 326,2. 344. 356,8. 369. 392,5. 427,2. | ion" Marduk-rimanni, -usallim, Nidintum- 443,7 425 us 8582. OL 5735: 570, | i Bel, Nubtà. 577. 581,4. 619. [632]. 663,2. 660,72 675, s. | 45. a. """ràb bani, s. Iqisa-aplu. (578 Mose as 722 o OD FAO | a. "Sin-na-din-Sum, s. "Nabü-nädin-aln. 741,2. 755,3. 808,2. 813. 820,3. [858, 2.] a. Su-ha-a-a, s. Apla. 943, 2. 966, v IOIA, 2 1020, 9. 1039, s. a. langt ? Eg, Dr (326, c). [1079]. 1091. Nd L 2,1. 44, 1. Cr 8,3. 12,3. a. "ang? tar Båbili, s. "Nabn-ittannu, D AS (655 Cs MÖR ee CONTACT -SUM-USUT. 149,9. LOT AR: 1695.21... 222,2, 2238 2240. 50. a. Si-en-U-a, s. /b-na-a. 340, 4. 362,8 NdM 1. NAM II 53,3. | Zddin]a-"Nabh (MU] SE-na|Id-di-in-" NY) Nd 1,20? CrL [16,1]. Cb [8,4]. 15, 4. 46,2. 81. 88,2. 444,2. 770,6. 962,5. 1023,s. 1069,8. 1080, 6. 147,1,14. 210. 410,2. 422,5. 431,4. CbL 27, | Nd Pi 4, 10. Cr 129, 5. 130,5, 316,18. 332,2. 4,9. Dr 56,2. 187,9. Vol. /Zddina-" Marduk Ch/89, 8. 105,3. 130, 12. 170,5. 372, 11. Di und no. 44. | 205, 4. (487, 9). 532, 6- 541,16. DrP 43,10. als Itti-" Marduk-balätua.”pa-Se* Cr148,1. 51,2. 87,1. milgaianı Dr 435, 12. ^"? rab als Kal-ba-a a. Épes-ili Cr 339, zz. 368, 152 | karri Cb 306, 2 S. Agri, Jddin-" Bei, 20. als Li-Mr a. amelu-t Dr 383, s. X Nabü-étir- napsåti, -ittannu, -lü-sa-lim, als "Marduk-ü-sur a. Sa-bi-na-Xi-Xu Cb45, zz. Nidintum, * Samas-iddin A7, Sellibi. (Sb [93, 14]. I. als ae sus eus Nd 632, "ua GIN 2, 20% als 7 Marduk-zir|Sum-ibni a. Ardi-"Nergal | NSS a. Du-ubi-bi Nd M 20, 4. Nd 282, so. 1032. | HS CEE a. erappali NdP S, 16. als 7 Nabi-bän-ahi a. Ardi-"Ea Nd 713,8. | als ?Addu-ahe-bullit a. Nür-" Sin Dr 265, 37. INICIA DE IDie 1051, 418, 13. 474, 19. als *Nabü-étir- Be a. Epes-ii Nk 71. 5. als LAddu-Sum-iddin a. "Sin-Sadi Cb 260, rr. 25. a|$ "Nabü-kin-zir a. ^"? dsij Cr 161, 10. als Ahe-iddin Dr P 57, 16. als " Nabü-usallim a. "Sin-na-din-Sim Dr | als A-num-uballit Dr P 56, zo. 455, zr. 456,9. SmSerba ZA III 157, ss. | als Apla-a Nd 627, 13. als *Nergat-h ...... a." Sin-Xadi Ng 30,16. | als Apla-a a. " Bét-étiru Nk 316, 1. als Mi-qu-du Dr 174, à. | IO. aj* A-ga-bi-ia Dr Pa 9, o. als Ri-mut a. Na-bu-un-na-a-a Dr 499, 20. als A-gar-aplu a. Na-ba-a-a Nd 5t. 30. als il Samas-na-sir Dr 351, ss. | als Ardi-"Bel a. Mar-duk-u Dr 275, 19. al Sul-lu-mu Cb 2 5, zz. | als Ardi-" Marduk Dr 499, 19. als Tab-ni-e-a a. ”"Emandidi Nd 802, x. | als XASur-la-a- Cb 13, 15. als Tab-ni-e-a a. "Szn-taó-ni Cr 236, 16. | 15. als Ba-lat-su Dr 506, 12. a. X Addu-Sium-eres, s. * Nabü-Xum-Btir. | AMP LISE CEE Dr 342, o. 35. a. Da-si-ia, s. " Nabå-etir. als Balåtsu a. “’Nabà-$e-e(-me) Dr 374, 10. a. *Bél-étir Nd 157, 9. 389, 13. 300, 9. 392, 22. Dr L 24, 20. a. "Bel-napsätim, s. "Nabi-bullitsu. | als Bani-ia a. Dannu-" Addu Nd 261, 15. T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. 73 (Jadin|a-" Nabit) als Ba-nu-nu a. Si--ti Nd 276, 14. 20. als * Bél-ahé-erba, ""* a$arid Sarri Cb 341, 10. als "Bel-ahe-iddin a. Si-gu-t-a Dr 151, 74. als ?Belerba a. Ardi-'Nergal Dr 266, 23. 267, 20. Vgl. Jddin-"Bel 14. als * Bél-erba a. Du-un-na-ki-tum NÅ 504, s. als "Bel-iddin a. """$augl "Nim? Nd 404, 7. 552, zr. SI6, ro. Cr 303, & 25. als I Bel-kåsir a. Egibi Der als #PBêl-naid a. A-ta-mar-an-nu-us-su Cr 148, 3. als * BéP-Xar-óut-ft Dr 235, 12. als Bel-Su-nu a. ""na-si-hu Nd 597, 77. als Bel-su-nu a. 7"? nà$ patri kari Dr 154, r2. ' go. als Böl-Su-nu a. ^"? pahari Dr 266, 24. als Bel-Su-nu a. ^"? ang? Gula Cb 161, ro. “Bel-usallin a. Ir-a-ni DrP 69,77. = # Bel-usallim a. Nür-" Sin Dr 117, 6. 120,2. ls * Bé/-zir Dr 502, zs. 35. als "Bel-zir-uSabsi a. "Bel-eliru Dr 425, 19. 426, 20. als X Bu-ne-ne-ibni Dr 550, 2. 575, 7. als * Ea-ibni Dr Pa 18, 26. als "Ea-udammig Cb 43, re. als Erba-" Marduk a.” ahu-ba-ni Dr 203,10. 40. al Er-ba-"Marduk a. Ibna-a-sa-ili-ia Cb 349, 56. als Ha-an-ta-Su Cb 397, rz. als Ibna-a, ^"? ? Nd 916, s. als Jó-na-a a. Da-bi-bi Nd [71,72]. 171, = 243,24 396,9. AIO. 903,:« 954,7. NdM [20, z.] 21, 5. Cr- 123, zz... 140, 9. als Ib-na-a a. Egibi Nd 133, 8. ANA MIT 2... a. ölnappahi Cr 25,3. 5 Jddin-"Bel? Cb 436, s. als Iddin-" Marduk Dr 256, r4. als Igisa-aplu Nd 993, 4. 1102, 15. Cb 64, zz. Cb 254, 3. als Igisa-aplu a. "Ea-ibni Nd 764, 5. 973, 19. 1056, 3,13. Nd M. 31,8 Cr 48, x. Dr 23, v. 50. als Igisa-aplu a." Ea-nàsir Nd [966,15]. 967,7. als Kur-ban-ni-? Marduk Cb 261, 16. als La-a-ba-$i a. "Sin-iu Nk 8, vr. als Li-ib-lu-tu Dr P 246, 2. als Liblut a. Sigüa Dr(ZA III) 20. 55. als Lussu-ana-nùr a. ®"® pahari Dr 193, zz. Q I ^ Qs ^ d à) 5 n Ix Ss 60. 70. 75: 80. 2 als Mar-duk a.“ Ea-iu-ü-tu-ibnilla-tab-ba-ni Nk 108. 199. 200. als * Mardu&-bél-usur a. ? Ü-sur-a-mat . T" Nd 616, 15. als “Marduk-nâsir a. Da-bi-bi Dr 207, ro. als #Marduk-näsir a. ^"? ang? "Istar Pa- bili Dr [397, x]. 433, 5. als X Marduk-ki-Sa-an-ni a. "Del-etiru Dr 527,16. 561,4. als " Marduk-Sar-a-ni a" yàb ? DrP 88,7. als " Marduk-um-usur a. "Bel-Etiru Dr DER als “Marduk-Süm-usur a. Nu-ha-su Nd 258, 30. als Mi-h-a-ta Dr 556, 2. . als Musezib-"Bel Nd 973,5. Cr 217,15. Cb 334 335,3. Dr Pa 10, ss. al$ 2Nabü....... a. ! Samaÿ-a-ba-ri CbP 34. als Nabi-ahè-bul-lit a. [r-a-ui Dr Pa 12, 5s. als i Nabü-ahé-iddin a. Arkåt-ilåni Dr 486, 21. N .a| X Nabi-ahe-iddin a. Egibi Nd 858,18. Cr 147,35 @by37, 17.320, 3, Chi [IG als "Nabü-balätsu-igbi a. [ddin-" Marduk Cb 145, 14. als "Nabü-bän-ahi a. """ $a fa-ab-ti-u Nd 1048, 16. als #Nabt-ban-sèr a. """5nabhahi Nd 990. NdP [8,5]. CrP 13,6. IA,r. 15. 17,3. 10,5. Da CoEar 3, 42. Ch AT CBP 25,2. 28, 1,9929, 2, 310382 322 33,2035,4. 36 3745. 128 4180 52.131. Dr 37, 12,17. 522. DrP 4201 AM ADB 43,102 AA 41553: 40, 547,4 48,3. 50. 51,4 52,3. 54,5. 55,6. [57,3]. 58,4. 60, 2. 62,5. 63,4. 64,5. 65,3. 68,3. 69, 2. FO ENS NE rS telo pcs (oops Toi (oS "Bt e TRE isis IS TUE. TEES SE RIPA SmtdR 38,6. 39,2. nET49 150, 25 vol. Jddina-aplu etc. als "Nabü-eres Dr 492, rs. |* ?Nabu-etir Ng 31, 4. als " Nabd-étir-napsáti a. Pi..... Dr 406, 5. JE ? Nabü-iddina a. """ba'iri Cb 379, 77. als *Nab&-E£n-str a. ...... Dr 464, vr. als *Nabit-kin-zir a. Da-bi-bi Dr 379, se. als * Naói-mu-Se-ti-iq-urri a. Im-bu-pani-ia Nd 855, 7. als X Nabü-musétig-urri a. Nu-ha-suNd 11,17. Io 74 (dain|,-Nabt) 153,6. Ng 66,7. Ng VR 67, 4, 10 — Ng L 123, 10. als " Nabü-mu-Set-2ib? Nd 36, rs. als Nabi-nadir-ahi Cr 27, 15. als I Naba-sum-iskun a. Si-ik-ku-ü-a Dr 347, 16. als “Nabü-Sum-ukin a. Gis-sa-pa-eres Dr 428, 6. 85. aff ”Naba-Sum-usur a. "hån Dr Pa 7, ro. als 2 Nabü-Sum-usur a. * Ea-ibni Dr Pa 8, 33. 9,34. 13, 24. IA, 26. I5, 26. IÓ, 20. IO, 31. als " Naóz-Xum-á-sur a. ""rab båni Nd 1013, 55. als " Nabá-ta-lim-usur. Art CIS II 66. als "Nabü-usallim a.” hasil gimé Nd 359,72. 9o. als 7 Nabü-zir-ibni Nd 83. als X Nabü-zir-Lsir a. "Sin-Sa-du-nu NÅ 652, 15. [653, 16]. a|$ Na-di-nu a.”nappalhiCrP 15,5. CbP 28,» als "Nergal-na-sir a. Nür-"Marduk Dr Pa ft, GE al Nergal-uballit a. Nür-"..... Nd 650, so. 95. a| Nu-um-mu-ru a. véallaki? Dr 335, s. als Pir-u a. "Nanılütu) Dr Pa 8, 23 als Pir-u a. "Samas--i-tu(-ma) CbP 131, 10 Dares ey als Kz-mut Dr CT IV 44, se. als Ri-mut-"Bel a. "Addu-sam-me-e Cb 182, 74. 100. a] Ri-mut-"Bel a. """apdis)Nersal Dr 134, zs. als Si-lim-” Bel Dr 427, r als Sa-du-nu a. Sarru-a(-ra)-zu-á Dr 336, zs. Smd L 22, 18. als "Samas-zör-igia a. Dannu-" Addu? Ng VER CG, 2, 18 als Sa-pik a. Sa-na-Xi-Yu. Nd 916, ro. 105. af Såpik-zir a. Di-ki-i Dr 266, 22 als St-la-a Cb 06,18. 115, 3. als St-la-a a. Ba-bu-tu Dr 392, is. als Sä-la-a a. ^"? ràb. band CrP 12,6. 18, v. als Sá-ma-a a. 2Sin-nåsir Nd 674, 3 110. als Sü-zu-bu a. Ka-nik-bäbi Dr 487, ro. DrP 54, & 61, rr. 100,74. SmrdP 38, 20 Nong 6. 152 als Ta-gis-"Gula Dr 12, 12. Knut Tallqvist, is 120: 140. 145. 150. 151. . a. Da-bi-bi, . a. OA kanik babi, S. als #ZA.MAL.MAL-iddinDrP 136,4. 142,5 as #ZA.MAL.MAL-iddin a. Ardi-" Nergal [D I3DATSO S TAG: als *ZA.MAL.MAL-s£r-ibui Cr 8, 5. als Ziri-ia a. Da-bi-bi NK 42, 16. als Zu-si-ia Dr L 24, 3, 4. a. Abi-ul-idi, s. Ahusunu, X" Marduk-ah-ibni, AMürànau. a. Abu biti, s. " Nabü-nadmn-afi. a. Ardi-! Ea, s. Kalbi-" Bau. a. "Da yp s. " Bel-zbni. a. Dar-sip CbP 31 a. I Bél-éfiru, s. Kidinnu, Kidinnu-" Marduk. a. bül-lu-tu? Cb 285, 13. a. Du-ü-su] s. Itti-" Bel-Dummar. s. I Nabü-aplu-iddin, -bullitsu, -iddian. a. Dan-m-e-a, s. Ardia. a. ( Ea-)épes-ili, s. " Bél-erba. a. Egibi, s. " Bél-ua id, Igisa-a, “Marduk- Sum-usur, "Nabáü-nàsir, -str-liXir, ?' Szn- tages-bullit. a. Epes-ili, s. " Bél-erba, Niqud. 72 Etiru, s. Ba-zu-zu, Liblut. a. Ga-hul, s. "Bel-ittannu, -kasir, E-ri-Su. a. nel gallabi, s. Rimüt-" Bel. a. Im-bu-Si-ia, s. Nidinittum. 7 Nabü-ittannu. X Nabü-balatsu-igbi, a. Ir-a-ni, S. Nidintum-" Bel. . * Nabh-Se-e-me Dr 412, 10 a. a s. Ina-Esaggü- o a. Enappali DrP (79, u). Sellibi, / Tablutu. a. Na-sir Nk 448. a. * Nergal-uballit Cb 58, 12. 254, 2. a. Nu-ha-su, s. "Nabü-uttannu. a. Nür-" Sin, s. 2Bel-igbi. a. «mel Paseki, s. Zikari. a. vrélyàb ban, S. a. Sip-pi-e Dr 375,21. S. Miriktum. a. "Cp C E s. Bêl-uballit. a. "Samas-iddin Cr 294, 8 a. ^"? Sangi parakki, s. Tukultum-" Marduk. a. Sá-a-tim, s. Itti! Nabh-balätu. a. Sht-la-a Cb 84, 3,18, vgl. no. 106. 720977 7577 ES S. I Bé-étir, MWiranu. TENNIS Neubabylonisches Namenbuch. 75 Jddin-"Nergal! Nk 336, s. Dr 309, 20. 1. als Gimillu a. ”"“nappahi Dr 400, 15. 430, 20. 452, 19. 450, 18. als "Nabü-kin-zir a. Épe-ili Dr 333,2. Lies Ardi-Nergal q. v. o2: Epes-ili, s. Bulta. Jddin-"Papsukal, s. Ba-zu-zu 9, "Bel-aplu-iddin 31, Gu-sa-nu 23, "Nabi-aplu-iddin 50, 65, -kasir 24, -napistim-usur 6, -Sar-ahesu 1, -zir-ukin 21, Nürea 11, Rimüt-"Bel 34, Rimüt-"Nabu 3. Jddin-" SinV?, s. "Bel-käsir 49, * Nabü-tagbi-USir. Iddin-! Samas! 1. als Igtsa-aplu a. INür-ilàni Nd 52, 5(?). als "Samsa-a-a Dr 82-9-18, 49a (CIS II 65). 3. a. Epes-ii Cr (184, 15). Td-di-nu-nu, SE(-na)-nu-uu NplM II 9, 16. 1. als "Addu-ahe-iddin a. Nür-"Sin Dr 468, r4. als Ahu-li-kin Ng 66, 7. Ii VET Bo Dr 174, 18: als Musezib-"Bel a. "håna Cb 46, re. 5. als * Naóz-nàgir a. Man-di-di Cb 328, o. als 2 Nabi-udammiq Cb 400, 3. 5 Pir-u a. Épes-ili Cb 165, zr. 8. a. "Bell-etiru, s. "Marduk-Sum-usur. Jddin-*! Uras I. als Ki-na-aplu a. * Ea?-qarrad-iláni Dr Pa 13, z&. [17, z7]. * [d-di-ra-nu (ar.?), ^"^" asarid Sarri Dr 366, zz. Id-du-ü-tum? Ng 54, 7. * [-di-hi-ifi0) (HBE IX: *Za-a-di-hau-i, Ja-di-ih- ili, cfr. bi. 5v) s. ”Sin-tabnu. 1. als Di-na-a Nk 365, 3. I-di-ifu (vgl. he. n°97, sa. 37558) Nbp (ZA IV) 13. J-di-in, s. Kabtia. J-din-uu (mit Determ. ^"^ Dr 450, 13), s. Kabtia 27, "Marduk-Sum-iddin 43. 7 [-din-tum Dr 43, s. *[d-ra- (ar. cfr. he. NM»), s. Sarru-düru. Lgigi SmkM II 3, 4. Flat I. m a) v $ VNabü-étir Ng 34, 5. 2. m|s Ri-mut Cr 200, s. Ih-ialid, [i-a-a («mein Gott!») Dr Pa (15, 25), s. 7 Nabu-éfir 27, -kin-zir 38, -usallim 15, Midintum 54. Ili-a-di-nu Ng 66, 6. S. *Nabüt-ah-iddin. No. 2. ASS Ili-ia-ga-mil («mein Gott erhaltet») I. als Ba-zu-zu Dr Ba 18. Il-ia-ha-ta-a-nu («mein Gott ist Schutz»?), s. Abu-na-di-ib. | Zai)-5addin Nk 452, 30. Cb 146, 6. S. “Nabä-alik- påni. I. al$ A-ra-bi Cb 315, 2. 2. a] A-ra-hu Dr 346, ro. In-it-ti-ia («mein Gott mit mirl») Cb 84,4 S. Ki Samas. IND-pi-i-ü-sur\SES («mein Gott, schütze den Mund!») Dr 379,19. *”®/a-mu-ta-nu Dr 362,5. Iit-qa-nu-á-a (vgl. Hu-ga-na-a 83-1-18, 695, II as, he. mp5) Ng 76-10-16, 17 (CIS II 62). ü-um-mu (vgl? Uu-im-me K 370, he. Dyra) Cb 85,18. S. “Nabü-silim. Z-h2-"Bel:, DA- Bel! Nd437,2. Cr 264. 316,2. CrT. TS Dr 331, s. 2. a. Dn-bu-páni-iá, s. Sum-iddin. Ili -bül-Iu-tu (Kurzname, vel. Z/-bullutu-* Mar- duk), s. “Addu-ibni 2. Ii -bullut-" Marduk (Lk-|DA-bél-lut|lit|lu-tu- M), s." Bel-iddin 62b, Etiru 2, "Marduk- Sum-ibni 20, 32, "Nabü-kin-zir 36. Ilt -! Li-e UD .GÁL-!L) Cr 144, s. Nidintum 26. JI -!Mardu£& (DAIMUH = Eh Cb 145,4. Dr P 83, 1s |LD. GÁL] I-li-e Dr 76,11 -"MW2; vgl. Ili -bullut-" Marduk) Nd 43,14 738, 1. 710000 MAC 0 Dr. 141,4. Lente 1207. biti ?! Sama Nd 958,3. S. Ana-"Bél-ere 2, A-gar-aplu 4, Ardi-"Bel 31, Ardi- X Bunene 2, "Bel-eres 8, -étir 2, -iddin 88, 147a, -iqisa 7, -nadin-aplu 10, -rimanni 14, Belsunu 3, "Bel-uballit 85, 94, -usallim 22, Bél-sir 10, " Ea-iddin 4, Izkur-# Mar- duk 1, Itti! Sama-balátu 2, Kal-ba-a 30, 44, Kalbi-" Bau 3a, "Marduk-kin-aplu 7, -zir-ibbui 8, Müränu 29, Murat 11, 12, 7? Nabü-balatsu-igbi 29, 32, -etil-ilåni 4, -etir-napsatı 38, -iddin 31, -kin-aplu 41, -kin-zir 20a, 23, -musetig- urri + 25, -nasir 21, -Sum-usur YO, -tul- tabsi-lisir 3, -usallım 12, -zir-iddin 17, il Nergal-usallim 22, -zir-ibui 2, Nidintum A7 -belsunu 23, 45, 73, Pa-sá-& 1, "Samas-igisa, -Sum- ukin Y, -uballit 32, Sapik-zir 13, Sullumä 5, Süzubu 11, Tahünu 1, Ziria 31, Zirütu. 10* 76 Knut Tallqvist. JI - Marduk 1. al$ Pél-upakhir a. Epes-ili Nd 1047, 1. 1048, 19. als Épes-ili Nd TSBA. Cr 44, 9. als * Nabå-Sum-lisir a. """ ang? Babili Nd 855,11. Cr [347, zz]. 5. af Si-a-a a. ""? Yang? ?'.... Nd 690, 19. a. Da-bi-bi, s. " bél-étir. a. Epes-ili, s. Nidintum. a. Ir-a-ni, s. " Nabü-musétiq-urri. a. wel paharı Nd 803, 19. 10. a. Sa-na-Xi-Yu Nk (283, 21). Il-ka-a Cb P 127, 6. I-lu-ma-a, s. "Nergal-ipus 1. Tl-ta-a («mein Spross!»), s. Ardi-ahesu. D-ta-a-ma vide Al-ta-ma-. I-tam-mar-" Addu? (vel. s. ?Bel-iddin 155. 87 JJ-te-ri-ha-na-na (Cr 177, 2), s. Gabbi-iäni-Sar- usur. 2 II-tu-GAB-usur Nd 1127, 1. 7 II-titf'-i-la-a(-a), auch ohne ” (Cr 360,10), Nd 398, 16 1583, m] GE 34 cer 5 np TT Nk 452, 18. I. a. Bel-zöri Cr 360, 10. * //-tuß-na-ta-nu, s. " Bél-na-ta-nu. II-táf - na-ur I. a. Da-a-nu-ha-ta Cr 50, ©. Tu-a-ni-ri(?) Nd 483, n. Tu-a-ga-ba (Cb 86), s. "Nabu-ah-iddin. Uu-balät-iléki... (AN-BA.TI. LA-AN#!-f . .?) 1. al$ Za-bi-da-a Cb 79-4-19, 3 (CIS II 64). Uu-ba-ni, s. Musézib-" Bel 41. Ilu-bit-2 Gula!? (Nd 1025, 1s). 1. a. ^"? $ano? Gula, s. Kina-aplu. Ilu-gab-ra|ri (vgl. he. 587933) I. als ? Mar-tu-ztr-ibni, ^"? galfu Nd881,3. 892,16. #//u-La-na-nu I. als Gab-bi-ina-gati?-"Samas Nd 17, 16. [lu-iddin vide Iit-iddin. J-Iu-i-pu|-us] Nd M II 47, 6. Tlu-mus?-se-nu (Nk 73, 4) I. a. ^"? $ono? Agane, s. Rimüt. Jlu-nad(? AN-I Dr 366, 17, «Gott ist erhaben»), s. X T'AR-i(sam?)-su-ra-fu-id? Jlu-Xa-bu-mu(? Cr 87, 3). als #Nabn-Sum ..... Lultammar-" Adda), Ilu-Sär-usur («Gott, schütze den Konig!») 1. al$ * Nergal*-iddin Cr 87, 7. [u-ü-kal-la-an|-ni, «Gott erhaltet mich», Probe- name 83-1-18, 695, II 26) s. Sal. Du-ü-sur-Su («Gott, schütze ihn!») NdM (II 64, 15). Ilitta-ibni (AN-ta-KAK Dr Pa 9,27, Kurzname, vel. 2 Ea-z/ta-ibni), s. "Bél-uballit 67. Im-ba-a, Im-bi-ia (etwa aus bnbi-” Sin oder Ber- 21201, JENSEN WZKM VI p.213) Nk (423, 15). S. / Nérgalt-étir. NN ET 423. 95 S n8 3 96 Nk 374, 24. als "Nabü-Sum-ukin a. Mu-kal-lim Nk 183. Ps der Nk (210, 4). a. Ih-" Marduk, s. Iskur-" Marduk. 5. a. *"? ano "Ba Nk 50. Im-bi-" Sint, ^"? Sangü Uru^ Nk 109, 20. Im-bu-pånil? ST)-ialid Dr 342,11. S. #Bel-ahe- iqisa A, Iddin-"Nabü 79, Mint-ana-"Bel- da-an-ni 4, " Nabü-ahé-Xullim 10, -éfir 24, -Sum-iddin 49, Nidintum 30, R£müt-" Bel 39, Sum-iddin 8, Taddannu 6. Dnittu-lifir (2 ZAG.LU-GIS) I. a|3 Jddina-a a. Egibi Di 473, s. Im-ma-du-bu s. Ki-di-ni + 12. Immiri-ia (LU. ARAD-ia) 1. al$ Rimini a. Dam-|ga)-"Addu Nk 326, 9. SImn-mir-tum («Mädchen») Nd 787, 10. /Ina-bab-magärt-alsis Una-KA-SE. GA|ma-ga- ril-al-si-is, abgekürzt: " Pa-u-ma-ga-rt-al- Si-1$) 1. 223 | Zu-mur-dum-ki-" Bel), gallatu Nd 400, 4. 495, 2, 12. 508, 4. 509, 4. Ina-" Bell-ul-ta-ra-ah, s. Hambagu. I Ina-bit-belit-banimi-alsis (> Ina-E-BL 2667 -al-si- 23) Dr 379, 22. Ina-E-bar-ra-h-im-mir (Cr 221, 6), s. *Bel- uballit. Ina-E-sag-gM ....... Nk 420, 9. S. Balatu. fis AS NG à a. Sa-na-Xi-3u, êLSA. KU Babili Dr 577, 3. Ina-E-sag-gil-a-a E-sag-gil-a-a, Kosenamen zu /na-Esaggil-Ulbur o. à), (abgekürzt: s. Läbasi, " Nabü-uSézib Y, -zir-igesa 13, Nidinti- Bel 21. I Ina-E-sag-gi-ba-na(-a)-at|ta 1. m|$ Szau|Sá-mu-ubin a. Musallim Nd 243,3. 498, 2. T. XXXIL, Neubabylonisches Namenbuch. Ina-Esaggil-belit (ASIEna]-E-sag-gillgil-be-Ut), vgl. SEsaggül-belit) Cr 313, 2. Dr 79, s. 1. ın|$ Jddin-?! Nabu a. ? Sin?-h-tu, aSSat? Nabü- Szon-ukin Dr Pa 11, 2. 1328; ms Itti-"Marduk-balatu als “Nabñ-ahe- iddin a. Egibi Cb 215,6 (assat Itti-" Nabi- balatu als "Marduk-ban-zir a. "Bel-etiru). ms X Nabü-kin-aplu a. ""?" alla&i Nd 147, 2. S. SAmti-" Belit. m|s "Naóg-usallim a. Ir-a-ni Nd 390. 5. an] Ri-mut-"Bel a. Egibi Cb 348, 5 (assat Nüréa a. Ir-a-nı). Ina-E-sag-gil-bu .... Ng 11,4. Ina-E-sag-gil-kin (vgl. folg.) — I. a. Ina-E-sag-gil-a-a, s. "Nabü-usesib. Ina-E-sag-gil-kin-aplu (vgl. Esaggil-kin-aplu) oo 12,12. I. a. Sag-gil-a-a, s. Nabü-étir. 2. a. ! Sin?-ad?, s. (" Nergal-)ina-esi-etir. Ina-E-sag-gít-lil-bur, (abgekürzt: Esaggu-lilbur q. v.), ^"? Ygngá Sippar Dr 27, 7? 128, 4. /Ina-E-sag-gillg-ral-am)-mat, --ri-mat, (abge- kürzt: LEsaggil-ra-mat und SSag-giu-ra- mat), Nd [355,6]. 359,2. 466,3. 727,4. Cr P [11,22]. 21,6. DrP 40,5. assat Jddin-" Mar- duk, vide au|3 Ziria. marat arri Nd 1043,3. 1. zu] Ba-la-tu a. Egibi CrP 11,5. 12,1. 18, s. 20, 2. 21, 3. D 20810 CDIP2715 512859: 129,4. Dr 522,27. DrP 43,2 46,3. Bow 01.22 02 3004 13 070807 >, 132,8, 130, 3: 142, 3. m|Y La-ba-Si-" Marduk, atti * Bel-iddin Dr P 109, 5. 2. m|s Ztría a. Na-ba-a-a, assat Iddin-" Mar- duk als Igisa-a a. Nür-"Sin Nk 147, s. PORET Ndlsarı.ıı. OLD, 9. 657,3. 697,8. 743,58. 757,4. 820, 4. Cr 27, 7. 48,6. [51, a]. 65. 161,49. 284. 303. 321. Cb [263,6. 279,2]. 307,5. 370, 2. Dr 410, 4. Ina-Esaggil-sadunu (ÄS-E-sag-eil-KUR]Sa-du|- nulni, abgekürzt: Esaggil-Sadinu) 1. af Apla-a a. Egibi Nk 390, vr. a. Épeÿ-ili, s. * Bé-eres, Pir'u. a. "Sin s. Liblut. 4. a. “Sin-tab-ni, s. " Nergat-étir. /Ina-E-sag-eil-Si-mi”-ni Dr 379, n. 22 22, 2n 2,2 Ina-E-sag-gil-Sum-ibni, abgekürzt: Esaggil-Suum- ibni Nk 193, 2. No: 2. | | 77 1. als Dannu-"Marduk a. Musezib Nd 39,5. 40, 17. 253, 16. '2. a. "€ yàb bani, s. Làbàsi. Ina-E-sag-gíllgirstr (abgekürzt: Esaggil-zir(-ibni), beide aus Ina-Esaggil-sir-ibni) Dr 50,4. S. Labasi 9. 1. al$ Bél-su-nu a.” Sangi-" Ea NK 55,9. 72,7. als Kal-ba-a a. Egibi Nd 575, x. al$ * Nergal-uballit a. Sag-di-di Cb 315, 16. [x 3 Ri-mut a. Ardi-" NergalNd495,10. 508,78. 5. a. "abu. bit, s. Silim-"Bel. a. Är-rab-tum s. Ubåru. a. Ir-a-ni, s. " Nabü-kin-aplu = Esaggil-sir- ibni. a. Nür-"Sin, s. Kidinnu-" Marduk, Müránu, Nürea. 9. a. *"? ang? "Ea, s. " Nabü-nàásir. Ina-E-sag-gíl|gi-str-ibni, abgekürzt: Esaggil-sir- ibni und /ma-Esaggil-zir I. als Bel-Su-nu Nd 633, 9. als * Bél-uballit a. Ir-a-ni Nd 300. 433, >. 580, I$. 633, 2. 652, [25 653, 3. Cr 231,77 = Esaggül-sir-ibni 1. als “Marduk-êtir a. 1b-ni-ilu Nd 516,2. 1068,2. als * Nabü-Xim-ukin a." Bél-éfiru DrP 105,77. 5. a. """ Yay? "Bel, s. * Nabü-Sum-iddin. Ina-E-sag-gíl-sir-iddin? Dr 547, s. Ina-ext-étir (ÄS|I-na|- BL 11209 -SUR| KAR-ir ; abgekürzt aus: Nergal-, ” Nabü-ina-esi- etir, vgl. Eñi-êtir) Cr (203, 2). 361, 11. Cb 29,2. 198,6. Dr 72,21. ^" dazanu Dr 379,90. S. #Bêl-iddin, /Dam-ga-a, " Nabit-kin-zir, -sir-ukin, "Samas-uballit. 1. al$ Ardi-ia a. Ahu-bani-i Nd 881, 7. als *Bél-aplu-usur a" %)Sin-SadiNk 147,12. 282/94 20 3: als #Bélubalhit a. "^"? Pase** Nk 236, zr. als * Ea-uballit a. ^"? Agiru Nk 69, r. s. al. Ina-Esaggit-|ein-aplu] a. *Sin?-$ad? Cb oo 1, 10; vgl. #Nergal-ina-est-elir 4. als #Marduk ...... a. Ahu-bami-i Nd 55,15. als #Nabü-kin-aplu, "2 daianu Dr 379, v. als Nabñ-lu a.” Samas-a-ba-ri Nd 576, ro. [577, o]. 1020, 4. als Na-di-nu,"!damgarSarriNk 127.334, 2r. 10. als Na’id-"Marduk a. "NT. SUR-gine Nk 251. 78 Ina-est-etir als Ni-qu-du a. exe Pa-seti Dr CT IV 32, zs. als Såkin-Sum a. Epes.... Nk 350, 77. N 5 A 3 MAT fg als Sapik-zir a. ”raba-a-$a-" Ninib? Nd Dr 479, v. als Ziri-iaa."? angl * SamasNk4 5,24. 430,15. Abu biti, s. * Nabü-Eásir. Ardi-" Nergal, s. * Bel-(zör-)ibni. ames s. Tabnéa. amöl qS-Sur, s. Zir-Babili. #Bél-igi$a Nd 201, 11. 870, 2. 969, 2. Bi-ib-bu-ü-a, s. Nabü-ahe-bullit. Da-bi-bi, s. Musezib- Bel. Ea-im-bi, s. Itti-" Nabu-balätu. . "Ea-näsir, s. ?Bel-kasir. . Epes-ili, s. Nidintum-" Bel. . E-sag-gil-a-a, s. Balátu. . Étiru, s. " Nabü-Fin-str. . Mar-duk-4, s. / Dam-qa-a. . Na-ba-a-a, s. " Nabü-étir, Niquda. . mölyab bani, s. Niqudu. . am Vg sist, s. Da-st-ta. . 4 Sin-Ya-du-uu Nd 534,5. S. Esaggit-Xa- a. a. dina. . X Sin-tab-ni, s. Iddin-" Marduk. 2 Samas-a-ba-ri, s. Nabñ-kôn-str. 2 Samas-ah-iddin Nd 201, 14. Sa-na-Si-Su (vel. *Nabü-ina-esi-etir 4), | s. " Nabi-iddin, Nidintum, Ubår. a. ^") $ano? Sippar, s. "Bel-nädin-apli. 38. a. yu-mug, s. I Nabü-zfr-usabsi. Jna-ili-étir (® Edu-ilu-êtir STR., Jddin-" Addu?) Nk (90, 21). Ina-påni- Bel? 1. a. E-til-lu Nd 1074, s. Fna-gat?-"Bel'-lu-um-hu-ur Dr 370, 17. Ina-gati?-"Bel!-Sa-kin (vgl. Qàti-" Bel-sakan) ent gallulardu Nd 232,4. 244. 738. Cb 361,5. 365, 3. Ina-gatı?-" Marduk! 1. a. "Bel-etir, s. " Nabia-kin-sir. Ina-gati?-" Nabi-bil-tu, ""2gallu Cr 248. Ina-gati?-" Nabü'-Sa-kin Dr 301, 190. S. Musezib. Ina-ki-bi-" Bel! (vel. Oibi-" Bel) Nd 299, 4. 753,16. Dr 503. ?84-2-11, 172. S." BéLzbni, / Purdsu, Su-qa-a-a. | /na-sil-biti-sa-bad?, qallatu Nd 243, s. Knut Tallqist. 1. als Ba-la-tu a. """ràb ü-ru-u Cr 128, 6. als Ba-la-tu a. re? sis Dr 193, 2. als #Peélétir a. *”"®ba'iri Dr [Y77, 23. 384, zo]. 448, I2. als "Bel-ehir a. Når Sin Ev 22, 9. 5. aj * Nabáü-Ximn-iddin a. Si-gu-4-a Nd 442,1. als "Nergal-zör-ibni Nd [40, re]. 42, ze. a. nas patri, s. " Nabi-Sum-iskun. a. *""$ano? Sippar, s. "Bel-iddin. 9. a. Sa fabtisu, s. "Sin-iddin. Ina-ki-bi-" Marduk®, s. * Nabü-ittannu 36. Ina-ki-bit-" Nabu, s. Rimüt. Jna-si-* , belu Sa Sutum Sarri Nd 998, 19. Ina-sil-"A-a (AS-GIS.MI]sil-"A.A) Nd 013, 4. 988, 16. Ina-st-* BAL (A S- GIS. MI! BY) Nk 336,6. Cr 377,4. 380,6. Cb 250,3. 340, 3 ""t'mapngidu Nk 133,14. 772/9577, E 17,8. Nd 299,3. 909,4. S. Bel-gabbi-" Nabà, Musésib-" Bel, Nadın, Siqa-a-a. 1. als Béf-Xu-nu a. Musezib-" Marduk Dr 330, 7. als La-ba-Si a. Ir-a-ni Cr 293, 9. 3. a. "Nabü-ahe-iddin Nk [178, 32]. lna-sil-bit-a-ki-tum, ""? qalfu Nd 212,3. Cr 110,4. I als Musézib-" Nabia Cr 227, 3. 2575 3 803,6. 807, 6. Dr [379, 18?). ZA IV 281. Ina-söl-E-sag-gil Nd 996, 2. i. calls DA re Ina-silli-a-a Ng 51,2 Nd 357, s. Ina-sil-" Nabu! Cr 203, s. Jna-sit-* Na-na-a, s. Bélsunu. Ina-sül-"Nergal! Nk 337,12. Nd 234, 6. Cr 234, 2. Cb 105, 4. 262, 6. 1. al$ "Nabü-étir-mapiti a. amel jj-i-pi Ebarra Cr 170. Ina-sil-Sarri (abgekürzt: Su-Sarri q.v.), s.”Nabu- iltannu. 1. als Kabti-id Cb 391, ro. Jna-sM-0D Tas-mit I. a. mel gipi, s. Itti-" Anum-balatu. fI-na-tum (vgl. inäte ein Edelstein, DAHW qv»), assat Apla-a Nd 516,4. /In-ba-a, / GURLN-a (Kosename aus zuów; vgl. /In-ni-ba-a) Dr 273,2. S. /Ra-in-du. Prairie Nk 316, 4. ipus Ev 6. X Bel-ahe-igisa, I. ms Neubabylonisches Namenbuch. 79 /In-ba-a nl ...... Sum-etir, assat "Nabü-balätsu- igbi Nd P 8, 14. | "Bel-ahe-iddin a. Sip-pi-e Dr 194, 15,23? 5. 27h id C CM a. Si-gu-t-a IDE 529,1 41. 325,12. 326. DR usan s s "BALuballi 39, "Nabi- muselig-urri 20, /Si-ra-a 1. Lni-ia (Ng Kosename, vgl. /#-* B ånitu- Nabi- Nusku- M : 38,5), SZ1alia, SJ-i-ni-ia («mein Auge!» Samas-Sarri-inia, il Sjn-Samas-in-mätim etc.) Nk 402,10. ^"? asarid Sarri Nd 261,3. S. * Nabü-usallim + 30, Ubår. 1. als * Za-ri-qu-ri-man-ni Nd 1019, is. IIn-ni-ba-a (vel. / In-ba-a) 1. ms Jddin-"Bel a. ^"? Yang? Gula Cb 287. 2 In-nin-nu-iddin, s. INzdintum. il In-nin-tab-ni-usur I a. Gimil-" Na-na-a, s. * Ea°-ahe-Sullim. /Insabtum (/In-sab|ga-ab|-tum, /In-sa-ab; «Ohr- ring») Cr [198]. 287, 10. S. /Nu-ub-ta-a. ils. AN Dr 43,6 m|s Ardi-"Bel a. Pap-pa-a-a, assat Mu- nahhis-" Marduk Cb 375, s. ms "Marduk-Süm-usur a. Ardi-" Nergal, as- Sat Nàdinu Cb 349, 4. 362, 2. as ?Marduk-zir-ibni a. Kalbi-* Sin Cb 377,2. 5. zu|3. " Naba-Xum-ItSir a. Ba-la-tu Dr 554, 4. In-Si-ia (oder: In-pani-ia?) I als Tu-ti-ia Nd 542, s. Ip-ri-ialid (Kosename, vel. “Nabä-nadin-ipri) Cr 94, 16. 349, 11. Cb 187,2. ^""'abu biti Lab 1,2 S. Erba-a. I-ki-pi-" Marduk" als Sáü-la-a a. Mas-tuk Nk 425. Igisa (BAL I- Ei -3a|sd, Kurzname etwa aus ”Bél- igi5a o. dgl.) Nd 455, s 659,27. S. Låbåsi, ? Nabü-Sum-istun. I. als Dalät-su Nk 220 10. als Gi-mil-lu a. *"" ba'iri Nk 344, 12. 3. als Jddina-" Nabit a. Egibi Nk 7,6. Cb 315,3. Igisa-a, so ist überall statt /7/a-aplu zu lesen. Igisa-aplu (B.A|I-Ej-3a-A; die richtige Lesung dieser Zeichen wird /g2$a-a sein, vgl. schon PEISER BV p.228 Anm. 2; no. 21? u.23 = Jgisa-* Marduk) Nk 36, 10. [61, 11]. 135, 50. 375,11. 422. 440,2. Nd 3,5. 60, 6. 608, s. No. 2. 034,10. 1076,8. Cr 333,5. Dr 296,3. 370, 19b. ? 84-2-11, 344. *"" &uddimmi Cr [300, s]. amelyyar Sipri Nd 1050, 4. S. Apla, Ardia, Balåtu, Ba-ni-ia, Ba-si-ia, Bölsunu, Iddina- alu, Iddin-" Marduk, Iddin-" Nabü, Kiribtu, Kudurru, "Nabü-ban-ahi? -bélSunu, -ibui, -zir-ubtn, Rimat- Bel," Samas-uballit, -zir- ibui 18, Sulum-Bábili, Ziria 48. I: dU] Set er a. lóna-a-Sa-i/i-ia Dr 489, 7. als A-hu-?-ia a. Egibi NAM 26, ro. als Ahu-lsir Nbp (ZA IV) 14, i. als Dalàtu a. *""ràb bàni NdP 8, 7. 5. als " BéF-àh-usabsi Dr 326, s. als i Bél-iddina a. ""? ri sisi Dr 399, s. Dr P (66, 3]. als YBel-ka-sir a. """$ane? parakki Ng IONS 49 9:271 4? als Bél-Ei-Xr a. Étiru Nd 1044, vo. als * Bél-na-din-aplu a. "Ea-salam-ıli Cr IPIE. gaals "Bel-näsir Nk 102, >. IO. als * Bél-zir-ibni a. ""nas patri Nd 434, vr. 518, 23. als Bu-na-nu a. """yàb bani NÅ 2 a|X Borbe a. *"* 27 sz Cr 252, 3. als Gi-lu-dl-a a. *Sin-Sadünu Ng 9, 1, 6. als Gu-za-uu a. Mu-Se-zib Dr 415, zz. 14a al /ddina-a a. Tu-na-a DrP 107, 26. ?P IIS, 17. bals Iddin-" Marduk a. råd bàn£ DrP 115,3. I5. als Zi... a. " Addu-násgzr Dr 260, ss: als Kudurru a. Egibi Nd 68, s. als Kudurru a. Nür-"Sin Nk 216, so. Ev 1,7. Ng 24, zz. Nd 68, 4. us 2. 697. als Li-Si-ru a. Egibi Nk 191, ; als ? Marduk-SXim-Bsir a. Ba- x tu Nk258,72 (4 Ea?) Épes-iti 80, 1, 11. Y 20. als " Marduk-Sim-usur à. Dr433, 7 Dr CT IV 43, 7: als Mu-Sal-lin a. ^""5ahari Nd 404, 3. = Igisa-"Marduk 11? als "Nabü-ahe-bullit a. ""!ispari Cb 431, ze. als "Nabü-balätsu-igbi a. """ nappahi Dr P 43,3. Smrd P [39,4]; = /g2$a-"Marduk 12. als "Nabü-kin-aplu a. "Ea-pat-ta-nı Dr 334 70 als N a. Ir-a-ni Dr 402, ali Ni-din-tum a. e" yb .... Dr Pa 16, 16? 80 IQisa-aplu 40. 50. 55: 60. 65. Knut Tallqvist. als Ra-ÿi-ilu a. Egibi Cb 15, ss. als Si-lim .... a. Zab-za-nu Nd 147, ze. Szl-la-a Nd 966, s. Sa-du-nu a. "Sin-Sa-du-nu Nd 383,14. als 7Samas-iddin a. am solari Nk 135, 36. 7 Samas-nåsir a. mlsangi À Samas Nk 45, 13: als ?Samas-Sör-usur Cr 328, 1. AS Samas-udammig Nd 430, 3. als Süm-iddin a. xt buddimmi NÅP 10, 16. (CRV ul, en C] 1 216) s MO cn ss als Sum-ukin a. Mu-dam-mi-ig-" Adda Nd 203, 6. 1005. als Tab-ni-e-a a. banıı Dr 265, 34. als Tab-ni-e-a a. Ga-hal Nd 209, z. Ziri-ia Nd 916, 2. Y Ziri-ia a. Ba-bu-tu NAP 6. a. Abi-ul-idi, s. " Nabit-Sum-ibnt. a. "Addu-eres, s. Kalba-a. a. YAddu-Sum-eres, s. Etillu. a. Ahu-ia-u-tu, s. * Nabü-balatsu-igbi. a. Ba-bu-tu, s. Iddina-a, UH Sanua-Xum-Hiir. a. "UD pL s. "Nabü-nadin-ahi. a. "bánh, s. " Nabi-ahé-Xullim. | a. " Dél-ibni, s. Iddin-"! Naba. | a. "Bel-nasir, s. Iddin-" Naón. | a. Da-bi-bi Dr 366, x. S. ?Nabit-kasir. a. Dan-ni-e-a, s. Sum-iddin. | a. 2 Ea-ibni, s. lddina-“ Naba. a. "Ea-pat-ta-nu, s. *Bêl-êtiru. a. Egibi, S. Kudurru, Silim-" Bel. | a. Epes-ili Smk CT IV 31,7; s. Ardi-" Bel. a. Éfiru, s. Esaggü-zir-ukin, "Mardu£- Sapik-zir. a. Ga-hal, s. "Marduk-Sum-ibni. a. Ha-am-ma-a-a, s. ”Nabirahée-bullit. a. Iddin-"Ea, s. Sá-la-a. a. Ir-a-ni, s. Aféa. a. Ku-du-ur-ru, s. Di-is-sa-a. a. ? Marduk-Sum-iddin Dr 240, 4. a. *Marduk-Süm-usur Dr 368, 20. a. Mudammig-" Addu, s. * Nabü-Xum-iddin. a. ""?'nabhahi, s. Nabü-nasir. ac a. ENT, SUR-gi-na'sattuk, s. /Ba-na-tu- ina-Esaggil, "Bel-uballit, “Nergal-Sum- iddin, "Samas-kin-aplu. a. Nür-iläni, s. Iddin-"Samas. a. Nür-" Sin, s. Ardh-" Marduk, Iddin-" Mar- duk, Kâsir, "Marduk-rimanni, Naid- Marduk. a. mel Pa-seki s, #Nadñ-bullitsu. a. y 65 bang, s." Bel-kasir, " Gula-balátsu- zgbi. a. Raba-a-(-Su)sa-"Nimib? SSi 1, 10. S. "IVa bu-balätsu-igbi, Silim-" Bel. a. Sag-gU-lat-su, s. Rimüt-"Nabn. a. " Sin-ibni? Cr (3, 25). a. "Sin-ka-ra-bi-i-Se-melisimu, s. *Marduk- erba, "Nabü-usallım. a. "Sin-Sadünu, s. " Nabü-balätsu-igbi. a. " Szn*-uballit, s. " Nabn-belsumu. a. Sil-la-a, s. "Nabü-ahe-iddin. a. rl $a(-62)-na(-a)-Ni-3u, s. Kalbà, Musezib- Marduk. a. vrél$angé ? Ninib?, s. * Nabi-étir. 80. a. """ Yang? E. NAM. TI. LA, s." Bel-kidduri. a. "gne? "Sin, s. Iddin-" Marduk. a. Sarru-a-ra-su-u, s. Ardi- Bel. a. Si-gu-h-a, s. Ziria. 87. a. *""'au-nk, s. "Marduk-näsir. Igisa-"..... Cb 266, 14. Igisa-"Marduk‘ (BA-Ya| var. SA. BA Dr 498, 13 ZU nos, 12, — 772507 GI OS SENS Dr 392, 1. 8, 10, 15. 16. (526, 13). Dal e I (BIDS als Apla-a a. V" Bél-étiru Nk [377, 152). 305, 12. 325, 15. 420, 14. als Ba-la-tu a. "Bel-£tiru Cb 334, 20. 335, 9. als Erba-"Marduk Nd 70. 5. af E-Ull-In)-pi(-i)-"Samas a. "él aug? Sip- par kil Sama Nd 231,5. Cr 170, 27. 200,1. 330, 78. [347, ro]. Cb [19, ze. 407, zz]. 408, zo. al Gimil-"Samas a. Epes-ili Dr Bu 88-5-12, 26, 26. als Kalbi-" Sin? Nbp (ZA IV) 11,1. al$ “Marduk-êtir a. Etiru Ng VR 67, 1,20. als "Marduk-Sa-kin-Sum a." Addu-Sum-Eres Nd 443, 5. als "Marduk-zör-ibni NÅ 1116, 16. als Mu-Sal-lim a. élpahari Nd 580, 4. Igisa-a 21? als * Naóa|" Bel-balät-su-ig-bi a. "!nappalı Dr 37, 11, 18. — Igtsa-a 23. 75. Cb IO. T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. SI Rimüt-" Gula 3, /Si-na-ba- 1, Sum-iddin 34, Sum-ukin, Tabnea 4. | L-a-ni-Marduk\, s. Gimil-" Gula 11. as Nabi-nasir Nd 1028, n. | Fri-ba(-a), vide Er-ba-a. 15. als Sa-du-nu Nd 139. | Lri-bi (vgl. E-ri-M) s. Liblut. als Sü-zu-bu a. Kanik-babi Nd 990, s». CrP | Irsiti-"Bel-lisesir (KI-u-" B-N-Se-Sir) | | | (Igisa-"Marduk?) als * Nabu-bel-su-nu a. * Nabi-bu-nu-na-a-a Dr 260, 23. 12,74. 14,74. 10,15. Cb 45,16. CbP 26,22. 31,23. 1. al$ 7 Nabü-näsir a." Addu-Xum-eres Cr 45,10. 35,12. 36,14. 37,13. Dr P 63,21. 71, 74. 90,7. | *Zs--at]|.Si-za-tum, s. "Nabn-bullitsu 9. Smrd P 38, 7%. ?P 121, 29. 122, 6: | £5 Hu-un-na-tum («Rebe»), gallatu Cb 330, 2. Dee a de Nk (21, 11). Cr (196, s). | same: a. Ardı-"Ea Dr Pa 21, x. I-sin-na-a-a («aus Isin gebürtig») Nk 131,5. Dr a. " Bél-étiru Nk a, 51. Cb 375,84. Dr [152,27]. | 414, 14. 20. a. Da-bi-bi NÅ 475, 4. Is(2,s?)-qu-ud-du Dr 379, 40. a. élifpari Nd (1032, 24). Is-si-ru a. Kalbi-!Sin?, s. "Bell! Nabt-ittannu. 1. als ?BEl-u-sur-su Lab 3, 14. a. ""nappahı, s. Apla-a. Ig-sur, Is-su-ru («Vogel») a. élpahari, s. " Samai-pir-usur. 1. als Kudurru a. * Bél-étiru Cr 188,38. DrP 25. a. "Szn-nàásir, s. Mu-Sib-Si- Marduk. GI, ro. 26. a. Sip-pi-e, s. Erba-" Marduk. | a. Silla-a-a, s. " Nabü-ittaunu. /Iqupatum, vide / Ugupatu. | 3. a. ^"?! $a. tabti, s. " Nabu-ubalhr. Iqubu, vide Ugupu. | Is-sur-ahu(? BAR) Ir-a-nılnu, Ir-a-an (Ng 59,10), Ir-an-ni(Nd 178,46), | 1. als Za-bi-da-a Nd 17, 2. ameljy-a-ni (Cr 291, 10), 22 SIB(reü})-a-ni | LX (Dr 345,15, mit Determ. 4"), s. Musezib- (Nd 973, ıs). Dr (66, 12). 268, 4. S. Ahca 1, “Bel 18. Apla-a 45, Balätsu 4, “Bêl-akè-iddin | IS-ki(-i) («Mein Kind») Dr 427, u. 8, -erba 17, -iddin 40, 190, -{pui 3a, 1. al$ lddina-a a. Egibi Dr 76, c. -Sum-iskun 10, Belsunu 2, "Bel-uballit | IS-ki-iddin? II, 14, 89, 112, Daian-"Marduk 2, I. als il Samasi-uu-&r Dr 427, 6. Damgia 3a, Dan-nit-ti-* Bél 1, Ea-iddin | IS-ki-"Za-ma-du (Dr 427, 20), s. Pi-e-mar-di-. 7, Er-ba + 5, Esaggil-ibni 1, Esaggil- | If-ku-$u («sein Kind»), s. Kalba-a. zör-ibni, Habasiru 10, Id-da-a-a 4, Iddin- | paru (US.BAR mit oder ohne Determ. we; " Nabit 32, 67, /Ina-Esaggil-bêlit 4, Ina- « Weber») Cb 87, 27. S. Ap-la-a 11, Bån- Esaggil-zir-ibui 2, Ina-sil-" Bel 2, Igisa-a 25, It" Marduk-balatu 12, Itti-" Naóàá- balätu 38, Kina-aplu 6, 7, 28, "Marduk- nasir 5, -Sar-usur Y, -zir-ibni 14, Müränu 9, Murasü 2, "Nabü-aplu-iddin 10, 18, -aplu-ittannu Y, -balätsu-igbi 41, -bullitsu 26, -éfir 7, -ütan-ahu 1, -ittannu 9, 22, 54, sir 4, Da-zu-zu 7, " Bél-ahé-iddin 23. -igifa 3, -usallim 15, Di-na-a 2, Igtsa-a 22, Kab- ta-a 2, "Marduk-sum-iddin 23, Musezib- 2 Marduk 16,23," Nabü-ahe-iddin 28, -aplu- iddin $3, -ban-zir 8, -liu A, -Sum-usur 20, -udammiq 2, Na-din 13, "Nergal-ıddin 16, Rimüt 83, Rinüt-"Gula 2, 1 Samas- -kin-aplu 14, 17, 19, 24, 34, -kin-zir 2, erba 5, #ZA.MAL.MAL-àk-iddin 2. -muselig-urri 17, -nåsir-aplu Y, -Sum-ukin | IS-ri-- (Nd 7, 18), s. Sullumu. 57, -Sum-usur 2, -taddannu-usur Y, -ukin 1, | I3-tar-àf-iddin, "2 si-bi-ri Nd 478, 12. -usallim 7, 20, -zir-ibni, -sir-iddin 15, -zir- | "IS-tar-e...bi? ukin, Na-din 26, * Nergal-ina-esi-étir 7, 1. als ?Bu-ne-ne-ibni Cb 13, 2. -nåsir Y, -Sum-iddin 2, -uballit 2, -uSallim | " IStar?-Xum-eres 4, -usezib YO, Nidintum Y, 15, 17, 36, 66, I. a. Ardi-"Ea, s. "Anum-ah-iddina. Niqudu 21, Qa-bu-t-a 1, Rimüt 22, 46, | "Is-tar-Sum-iddin Dr P (57, 14). No. 2. II 82 7 []-Sum-ba-ni I. als a. Da-bi-bi Cb 403, 15. 2 T-Sum-uballıt 1. a. "Bel-ctiru, s. "Nergal-uballt. "ITIBL 9426)-ri-ma"-an-nu Cb 385, e. It-tan-nu-! Bel, s. "Bel-kusursu. Itti-" Anum-balàtu (KI- DIS]? A-num- TIN) 1. aj3 Ina-su-ED Tas-mit a. "2 gipi Dr [77, 3). 524, 4,15. 543, 5. It-ti-ba-a-ku-ilu (Cr 313, 14) s. Rihetu. 1. als "Nabu-zir-ukin a. Mi-sir-a-a Dr 335. / [tti-! Banitu-inia ( KI-* KA K-tu-STia) Dr 379, 43. Itti-2 Bel a. ^"? Allaku, s. Ardh-" Nabi. Itti-" Bel!-ab-nulniNg [50,2]. Dr 340,2,10. ^"? gallu Nd 498, 4. Itti-"Bel)-ahü-tt Dr 379, so. Itti-" Bel-balatu, s. "Ea-ibni 3, "Nabü-käasir. 2 Bel-aplu-iddin DrBa 17, 14. 2 Ea-ibni a. Ardi-"Nergal Cb 373, ro. Kud-din-nu a. Épes-ili Dr P rrr, 2. XNergal-nasir a. Sag-gil-a-a Dr 526, 2. IG als Sul-lu-mu a. Dan-ni-e-@ Dr 514, n. Y Süm-ukin a. Si-gu-t-a Dr 379, se? 7. als Tab-ni-e-a a. Bél-aplu-usur Nd CTIV 30. It-tu-"Bel\-gu(-ü)-zu, étgallu DrP 73, 2. 74, e. J [tti Bélit!-balàfu Nd 849, s. In" Bel-limmar (K1[11-4]|-% B-ünlum]|bon]lu-um]ü -um|-mir Cr282,4 Dr 197,9. 431,12. 520,22. 531,4. S. *Nabü-nàsir. 1. als .... Marduk a. “"nappahi Dr 17,9. als Ap-la-a a. ”Emassar båbi Nd 622, a. Cr 188, 36. als Ba-zu-zu a. Mu-kat-lim Dr 499, 18. als “Pélahé-bullit a. Sag-di-di Cb 68, m. 125, 9. 127,10. [147, 21]. 161, 8. 279, 15. ”Bel-iddin Smd (ZA IV) 7,7. X Bel-iddin Cr 119, 16. 2 Bel-musetig-urri a. Si-gu-ü-a IDye sic 10. al Sad-din-nu a. Nür-" Sin Dr CT IV 43, 24. als 2 Samas-pir--usur a. "Sin-Sadünu Cr 158, 6. als Sa-" Nabü-sü Dr LEVA al} Sá-/a-a a. Tu-na-a Dr 339, 9. Knut Tallqvist. als Sulmän-Sim)bel-usur a. Nür-!"Sin Dr 431, 3. 434. . als Ziri-id a. vrétb@iri Nk 166, 19. a. Ba-si-ia, s. ?Nabñ-nasir. a. "V uascar abulli, s. Itti-" Marduk-balatu, Liblut. a. vélnappali, s. * Nabü-ittannu. a. Sag-di-di vide no. 4. 20. a. Si-gu-ü-a Dr (242, 5). Itti-" Bel'-lIu-mur Cr 238, 6. | [tti Bel\-ni-mit-tum Dr 370, as. J Itti-bit-belit-banini(2 BL 2667)-bu-nu-u-a Dr 379,45. Itti-" Ea3-balatu Cr 89, 1, s. ?Bel-iddin. 1. als Belsunu a. " Szn-bél.... Dr 39, iz. Itti-E-sag-gül-sir Nd 1104, 6. I. a. 9"? gone? En, s. Gimillu. Itti-"! Gu-la-6alàtu 1. als "Bel-iddin a. Sa-na-ii-Xu Nd 43, 2. Li-ti-ilani ...., s. "Nabn-iddin. Itti- Marduk! Cb 274, 25. S. Ardia 70. Itti-2 Marduk-balåtu (KIHt-ti]- MV?- TIN|ba-la- Zulti; no. 44 abgekürzt: Balåzu) NdL 15,9. Dr 84-2-11,128. Dr (152,14. 232,13). 200,8. amd! gallu NÅ 877, 5? S. "Bel-rimanni, Gü- sanu 32, Za-bu-nu. Ardi-ia a. Etiru Dr 481, 74. Ardi-" Bel Nd 479, 15. Nd M 22, 15. ‚Ba-ni-ia a. lnaggari Dr P 77, s. XBel-ah.... Cr 361. 7 Bél-ahé-iddin Dr 275. v #Bêlè-ahè-iddin a. Egibi Cr 161, a. * " Bel-ahe-iddin a.Nür-" Sin Cb 193. 432,8. 7 Bel-etir a. Mu-dammig-" AdduDr 239,8. t 2 Bel-etir a. "re Sa-na-Si-Su Nk 196, s. X Bel-upahhir a. .... Nk 244, 15. als Erba-"Marduk? a. "re? sist Smd (ZA IV) 7, 14. als Gi-mil-lu a. Ir-a-ni Cr 355 o. als Iddin-"Bel a. Musésib Ant (ZA III) a. als Itti-" Bel-lum-mir a. étinassar abulli DrP 84, 7s. 14a als Ki-na-aplu Dr 107, zz. 15. als Ki-rib-tu-" Marduk a. Epes-ili Dr 312, r2. 15a af ?! Marduk-erba a. "^"? abi biti Nd P 91, v6. als “Marduk-Süm-usur a. Ahu-bani-i Nd 270, 17. als "Nabü-ahe-bullit a. Epes-ili Cb 193, zz. T. XXXII. IO. I 23a als 25. als Neubabylonisches Namenbuch. 83 (Zeti-" Marduk-balatu) als * Nabi-ahé-iddin a. Egibi (* A. BA-ubal- Zt) NK 3,2. 4,3. 5,2. 8,2. 10, s. Ev L [9,5]. Nd 77,3. 199. 289,3. 299,2. 308. 311. 346,2. 367, 7. 372,4. [380, 7]. 391, 9. 392, v. 400, 7. 404, 2. 433. 443. 461. 468, 1s. 470, 3. [479]. | 495,6. 500,2. 508, 6. 520643. 531,8 5Al. 578, 2. 584, 12. 585. 587, 2 600. 602. 605,2. 610,3. 625. [632,6]. 633,3. 635,5. 652. 653. 660,6. 674, 2. 675, 6. 679, 2. 681, 4. 682, 2. 687, 19. 688,7. 701,5. 715. [716,5]. 720. 742,4. 755. 79:6) Gs VASTE 6700 2772 22 7170, 6. 187,4. 700, 3. 801, 12. [816, 2]. 829, 5. 830. 837, 3. [838,6]. [845,5]. 853,3. 861. 863, 3,11. 874,3. 875,2. 903,4. 931,3. 945 953,2. 967,2. 973,2. 974- 995,3. 1005,11. 1013,3. 1031,6. 1047,3. 1048,6. 1056. IOQI,5. IIIO. III3,23. III4,2. 1120. Nd M 26. 27. Nd L 1, s. 14,8 104,3. Nd TSBA. Cr 15,3. 20,3. 37,3,11. 49,3. 64, 2. 120,4. 129,2. 130, 2. 140,2 143. 161, 43. 1/2: 21:92 22415-02272 . 240. 242. 245. 248. 249. 2 4. 264,2. 268. 270. 274,13. I 5 3. 3IÓ, 2. 320,4. 322 5. 334,4. 335,6. 337,6. 338,3. 23. 346,7. 381, 5? Cr Pi 16,1. Cr T. Cb 2. 17,2 38,2 43. 68,2. 97. IO4, 2. 143. 509, 7. 512,2. 552. 566. 572, 2. 171,4. 317; 3. 144, 2. 153,4. 165, 3. 173, 3. 174, 2 179, s. 182. 185. 187, 3. 189,6. 192, 16. 195. 208. AIS 20 217.4223» Kan 253,2. 257, 2 id 276,11. 34. 169, s. Smd (ZA IV) 2, 7. 26, 30. 70. 93,6. Dr L 173, s. als ?"Nabü-aplu-iddin a. ""nappahi Cr 37,9. als " Naóü-Ein-aplu a. ^"? Ga iri! Cr 175, 5. 184. Cb L r9. als "Nabü-Xum-is£un. a. " Addu ..... Nd 378, 114 als ENabñ-Sum-usur a. ....... SES Dr P 84,5. als * Nabaå-zir-igisa a. Sag-gil-a-a Dr 166, 14, vgl. Balåtu 46. ANür-" Sin Dr 84-2-11, I Tab-ni-e-a a. “Pèl-étiru Dr 38, 1. Tab-ni-e-a a. Su-ha-a-a Dr 258, s. a. Ahu-ba-ni(-i), s. * Bél-iddin. No. 2. 22. als TOTT & | So I 8,3. 0,3. Dr | 30. 40. 47. Itti-" Nabir-balåtu a. "!Bel-etiru Dr (556, 20). a. Da-bi-bi, s. " Marduk-bélsunu. a. Di-Ei-ü s." ZA. MAL. MA L-napistim-usgur. qu He Dr (102, 5). a. Egibi vide no. 18. S. /Amti-" Bau, Ina- Esaggil-bêlit, Liblut, " Marduk-aplu-iddin, -kin-aplu, -nasir-aplu, Musezib-" Marduk, X Nabü-ahe-bullit, -ahé-iddin, " Nergal-use- sb, Pursü, Sirku, Sirigti, / Tablutu. a. Étiru, a. "Marduk-abusu, s. Nidintu. a. Na-bu-un-na-a-a Nk 164,49. Nd (1104, s). S." Marduk-bel-usäti, Munahhis-" Marduk, 7 Nabü-zir-USir. s. XNergal-£tir. . a. énappali, s. "Del-iddin. a. êlnàs patri, s. Iqupu. a. Nür-" Sin, /Amti-" Na-na-a. a. 7" Pa-Se®, s. Iddin-" Marduk. Iddina-a. a. " Sin-udammiq, s. Sirigtum. a. Su-ha-a-a Dr 73, 13. a. “Samaÿ-ba-a-ri, s. Ardi-! Gula. a. Sa-na-Si-Su (s. " Nabit-aplu-iddin) = latu a. Sanäsisu. a. Si-gu- #-a,s. Ahé-iddira-"Marduk, Bania, Güsanı. a. Sag-gil-a-a, S. Ba- (KT Ut-ti|- NI TIN|ba-la-tu) Nk 244,4 406,7. Nd 266,2. 956,6. Cb 149, s. 276,3. 361,2. Dr 118. 410,5. ^"? TUR-maSs- Sül-ul-lu)? Cb 436,16. S. ?Bel-kasır, Iddin- X Bel, !! Nabü-ahe-bullit, -Sar-usur. ee Cb 263, 4. Nd M II 57, 14. als Apla-a Nd 715, 24. als Ardi-" Gula a. ""?di-bi-i Cr 274, 10. als #Bel-ahe-iddin a. Dul-lu-bu Nd 273, 17. 5. als * BéL-aplu-iddin a. ^"* NT. SUR gine Nd [772, 19]. 802, 3. 815, 23. als ?Bel-etir Xrx 5, 16. als " Bél-iddin Dr 270, s. als "Bel-iddin a. ..... Dr 279, zz. als " Bél-iddina a. Egibi Nd 533, 5. 10. al$ “Bél-sir-lifir a. Epes-ili Nd [1068, 13]. CE 302544 10a als Erba-” Marduk a. “Pêl-êtiru Dr 114, 7. bals Eÿfétir CbP 131,6. als Ib-na-a a. Ar-ra-ab-tum Nd 838, 15. als Iddin-" Naba a. Sk-a-tim Dr 478, 14. II* 84 Knut Tallqvist. Utti-* Nabüt-balatu) 15. 40. . als 2 Nabü-sir-igé$a . a. * Ea-im-0i Nd 388, rn. Cb 88, 15 als Ina-esi-etir als Kal-ba-a a. 419, 13. als La-ba-$i.... Dr 543, ze. als 2 Marduk-bön-zir a. CO Bel-etiru Nk 13, 10. Nd 953,7. 956, 9. 966, 15. 967, 12. 1044, 4 NdM 31,10. [20,26]. Cr 143,6. 249, 9. 322, 7. a on Sue, es (GEIL, n9 zn (C]8) 2,8 14, 81,17. 110,4. [118,742]. 164,4. 166,18 (Schreib- fehler?) 184,18. 187,13. 189,19. 214,3. 215,7. [216, 9]. 217,5. 246,15. 280,14. 287,19. CbL 34,11. Dr 23. 70, 13. 95, 22. 171,4. 245, 9, 19. DrL 173, 1». Dr Pa [82, 79]. als ?Marduk-bän-zir a. ? din-it Nd 610, 7 2 Sin-Sa-du-nu als "Marduk-na-sir a." Bel-e-tir Cb 164, 18. als "Marduk-ri-man-nu Dr 472, 20. a| X Marduk-Sum-usur a. """51ap-ba-hu Nk 10,17. 17,12. Cb 286,22. 349,34. 362,19. 365, 13. 370, 14. 372, 20. 376,14. Smd (ZA IV) 8, 14. Dr 26, 39. 80, 53. als * Marduk-zir-ibni a. "Sin .... Nd 829,55. als Mu-ra-nu a. Epes-ili Dr 350, 7. als MusSezib-" Marduk a.” Sin-tab-ni Cb 161, 4, 18. CbP 29, u. 31, 24. |50, ro]. als " Nabz-ahé-iddin a. Egibi Nd 1059? als ”Nabü-ahe-iddin a. "Sin-tab-ni Dr P6t,n. als *Nabá-bàn-sír a. Da-bi-bi Nk 343, 2. als " Nabn-bel-Su-nu a. "Ea-iu-ta-ibni Cb 120, 79. als 2 Nabn-bel-Su-nu a. """ ràb bàn? NÅ 541,7. als * Nabü-sa-m Nk 22, ro. als Nabt-kin-sirlsèr-ukèn a. Etiru Dr P 56, 5. 61. als ""Nabu-ki-Sir a. ame Sa tabtisu Cb 410, r7. als "Nabü-musetig-urri Cr 87, 3. als ENabñ-nâsir a. EN], SUR gine Nd 1091, 5. als "Nabh-Sum-ukin a. | Na-ba]?-a-a Dr 76,19. 550, 20. > Die 472, 8. als "Nabü-zir-igeSa a. ah Nd 1013, 6 als " Nabü-zér|sum-Hsir a. Ir-a-ni Dr 67, 7. als Na-din|Nad-nu a. Ba-bu-tu Dr 187, 18 300, 15. als "Nergal-esi-etir a. Egibi Dr 275, 14. als XNergal-uballit a. Sag-gil-a-a Nk 258, 5. 45. 50. 55. 60. 65. 68. | Zt" Nabi-gåzu (KI-* N'-ou|oé(-À)- als Ni-din|-tum) Dr 485, zs. als Ri-mut| Ri-mu-ti Nd 441, 10. 466, 3. Cr 379, 10. als Römüt-"Bel a. Bu..... Cr 154, 16. als ? Samas-ah-iddin Nd 756, 18. af 2Samas-Küm-ü-kin a. Ku-du-ra-nu Dr 26, 36. als 2 Samas-uballit a. Mukallim Dr Pi 7,6 als Sapik-zir a. we hån NK 3,10. Cr 160, 11. [161, 32). 239, zz. als Sá-la-a a. Egibi Ev 13. Nd 75,13. 634,9 787 201 CE MOD 720) ISO NS 1220) 17 29/7 198245 100 302 CDR ET ENS TE als Sum-ukin a. Si-gu-U-a Dr 284, ı6. 312,2 (379, 26°). 409, 16. 519, 2. als Tab-ni-e-a a. "Szn-idinnam CrP 23, zr. als Ziri-ia Nd 344, 2. 756, 2 1020, 2. als Zir-ukin a. Sigu-t-a DrL 20, s. als Zu-ub-ba-a-ti-i-lu Cb 309, 14. Zu-ub-ba- a-t-ilu Smd (ZA IV) 2, 1. a. Ardi-" Ea, s. Un-da-Se-ri. s. * Bel-usézib. a. Ba-la-hu, s. 2Belittannu. a. " Bél-étiru, s. * Bél-uballit, " Mardu£k-étir. a. Da-bi-bi Dr Pa (21, 20). a. " Ea-épes-ii, s. INuhsàna, " Marduk-ba- latsu-igbi, Ma?-ni-1a. a. * Ea-pat-tan-nu, s. Ubar. a. Egibi Dr (269, 4). S. "Nabü-zér-ibui, ^Su- qa-a-a-i-ti, Ziria. a. Li éa, s. * Bél-aptu-iddin. a. nappali, s. * Nabu-belsunu. a. "yb bani, s. Nidintum/(-" Marduk). a. #Sin-[tab-ni] Cb P 3 qu UU EE m. JEU a. ^" ano? "Istar, s. Ubar. a. Si-gu-4-a Dr Pa |19, 29]. a. ame RE 23 2,18, vol, soy. 23: sulsılsa) Nd 407. 420, 2. 482, 7. 510, 4. 517,2. Cb 99, 20. 204,3. SmdL22,6. Dr248. 384,3. ^" ràblsa bit kil-li Nd 292,2. 318,3. 743,22. Cb 199,3. Sa bit nisirti Dr 200, 16. af Mu-ra-nu a. Epes-ili Dr 302, zo. a. Babilu-lu-mur Nk 458, 2. Itti-" Nabii-inia (KI|I-til-7N 1 SIOi-ni-ialid Nd ur 650. s. élgallu Nk 37. Nd 817,6 al! /Ü-bar-tum, *"?gallu Nk 201. T. XXXII, Neubabylonisches Namenbuch. Itti! Nabi-lu-um-mir, -limmir Dr 82-7-14, 143. | S. * Nabü-etil-iàni. [tti-"! Nabü-nu-uh-hulnu-hu 1. als Bêta, ^" daianu Dr L 25, 56, 25. | 2. als [/Nuréa]? Dr 27, in. Itti-"Nusku-inia (KI NT-SI-ialid) I. as Nusku-a-a-lu Dr (ZA IIT) 4. Itti-" Samas-balàfu — (KT |It-ti-" SV- TIN|ba-la-tu) NK 65, 11. 324, 16: 1106,5. Cr 225,8. 372, 6. | Chi So ur DE 253,19 293, 7. 533,9. Xa bit immeri Cb 359, s. S. "^ Adda- zir-iddin. Nd 1099, 7. " Bel-ahö-erba a. Ill -" Marduk Nd 72, 1. i Bu-ne-ne-ibni Nk 220, 1. 5 Mar-duk Cb 93, s. 2 Marduk-ban-zir a. " Bél-étir Cb 118,742 vgl. Zt" Nabi-balatu. als "Nabü-kin-aplu a. "^"? by iri Cb 240, s. als * Nabód-z£r-liSir a. Egibi Nk 368, 14. Ng 34, sr. Nd 243, 22. 286, 7. 393, 6. 404, 9. Nd Ib als Sum-ukin a. ""? Yang? ?..... po 22,0 I als a. Ardi-!Samas, s. Sum-iddin. IO. a. Ga-hul Nd 293, 1. a. Iddin-" Papsukal Nd (139, n). | a. Na-din-Se-im, s. Nadınu. a. Mar-duk Nd 1127, 6. a. Samas-erba Cr 292, 10. 15. a. 2Samas-kin-ahu (sir?) Cr 221, 10. Itti" Sama-inia (KI-!S’-ST>-ia) Cr 292, s. Itti-"Samas'-Iu-mur Nd 1127, s. Itti-Sarri-balätu, ^"* a$arid Sarri Nd 573, ro. 1. als * Nabi-di-i-ni-bullit, """ asarid arri Cb 368, s. Itti-Sarri-inta (KI-L UGAL-SI 2li-ni]-ia), s. "Ea- | iddin. | | | I. a|$ Bel-ia-a-tu-nu Nd 282, s. Iskur-" Marduk (Is-kurlku-ur-" MY) 1. al$ Im-bi-ia a. IMi- Marduk Nk 247. 2. als Kur-ban-ni-" Marduk a. Si-gu-á-a 349, 35. e | L-si-bi (Cb 57, 3), s. “Samaÿ-erba 16. | Kab?-ba-a Nk 195, 2. /Kab-ta-a, fBAD/DUGUD-a (vgl. Kab-ti-ia) Nd 346, s. Cr 277,4. gallatu Cb 15, 2. No 2. 85 1. m|s * Bét-iddin, assat Ardia Dr CT IV 43, 2. m|s Dam-ki-ia Dr P 108, 3,9. 113,5,7 118, IIO, 6. ms Na-din a." ispari, ummu $a Bel-ahé- iddin Cb 286, zo. x 4. m| 3, 9. 4 Ta-imlu a. "Sin-tabni-usur, ummu sa Nidintum“Bêl Dr P 56, », 7. Kab-ta-it, Kab-ti-ialiàh(Nk251,9),BAD/DUGUD- zalia (als Probename: Xabti-i K 241, X 16; Kosename zu Kabti-lani-" Marduk, be- achte no. 25) NE 77, 22. 120, 5. Nd 165, 1s. 690, 22. 1002,3. 1082, 2. Cr (52,5). DrPa (14, 4). S. ?Belaplu-iddin, Iddina-a, Ina- s-Xarri Marduk, "Marduk-ahé-iddin, -sör-ibni, Musézió-"Mardu& 92, "Nabü- ahe-bullit, -Sum-iskun, Rimüt-" Nabi, Sil- la-a, Sil-Sarri, Sa-pi-kalbı, Sullumu, ? Sul- män-ah-iddin 3, Tabia. Nd 977, 13. Cb 78, zs. * Ba-la-tu a. ""* »aphahi Nd 666, 3. Ba-si-ia a. Ahu--&-tu Dr P 85, ro. 4 VB... a. "Sin-tab-ni Nd 621, s. "BOL-Yum-iseun a. Ardi-" Ea Nk 309, i. X Bel?-upahhir Nk 116, 22. ”Bel-upahhir a. Egibi Nk 78. [110, 4]. 133, 19. 334, 2. @ Bel-upahhir a. "Sin>-uballit Nk 164, 45. X Bel-zir-ibni a. Dan-ni-e-a Nd 224, is. Gi-lu-u-a a. Ga-hal Nk 334, 20. I-di-in Ng 66, s. X Marduk-na-sir a.Ardi-" Nergal NkY39,. 5 "Marduk-zir-ib-ni a. """ sg Nd 67, zo. 7 Marduk-zir-ibni a. ^"? paharı Nk266, 12. Musallim-" Marduk a. Bel-etir Nd 16,2. * "Naóg.... a. Rab-dum Dr 447, 7. als " Nabü-àh-ere$ a. Pap-pa-a-a? Nbp (ZA IV) 20, ro. X Nabü-ki-Sir Nd 505, 4. " Nabü-naid a. Man-di-di Nk 207, 2. Na-di-nu a. Su-ha-a-a Nk 339, u. Na’id-" Marduk a. "NI. SUR gine Nk 251,79 als Ri-mut a. Da-bi-bi Nk 73, «s. als " Szn-ahé-3ullin: Cr 310, 15. 350, 9. alé Sökin-Sim a. ""? hahari Cb 379, is. 24a als i$Samas-iddin a. Dannu-" Addu DrP 143, 74. 15. 86 Knut Tallqvist, (Kab-ta-ià) 25. als Tab-ni-e-a a. Egibi (Nd 133, 4 vide Kabti-ilåmi-” Marduk no. 1 als Zir-ukin a. "håna Ev 19, 21. als Zir-ukin a. "2 i-din-nu Nd 687, 56. 184, 12), a. " Addu?-Sum ...., s. "Nabü-ahé-iddin. DATE de , s. * Bél-Rasir. 30. a. Ba-bu-tu, s. "Bel-aplu-iddin. 1. Bêlêtiru, s. " Bél-udammüiq. 1. "Bel-usallim Cr 287,8 a. Da-bi-bi, s. * Bél-étir. a. Da-mi-qu, s. Apla-a. . Egibi, s. "Bel-käsir, Marduk. a. Ga-hul, s. a. Ir-a-ni, s. Nidintum. a. I Nabn-Se-e-me, s. " Nabü-uballit. | a. "re pahari, s. "Bel-iddin. | 40. a. Pap-pa-a-a, s. Ardi-" Bel. | a. Rab ba-ni-e, s. Rimut- Bel. | s. Rimüt-" Nabi, " Sulmàn- Labasi, Labasi- 2 Marduk-Sum-iddin. a. ""Sin-tab-ni, ahe-iddin. Su-ha-a-a, s. Marduk-Sum-ibni, Müranu, X Nergal-usezib. 45. a. """ Sangi Sin, s. Romut-" Bel. Kabti-1lant ..... Cr 161, s. Kabti-ilàni-" Marduk (DUGUD|BAD|Kab-t- AN?-!M!, abgekürzt als Kosename: Kabtia, vgl. PBV p. 228 Anm. 2 1. als "Nabn-tab-mi-u-sur| Tab-ni-e-a a. Egibi Nd 116, 27,30. 132 133, 4 184,72. | Kabtia 25. a. *"? 5405; biti Nd 116, 48. 178, 49. 203, 46. 3. a. Su-ha-a-a Ng VR 67, 1,22b. Nd 85, 18. IIÓ, 46. 203, 43. Kabti-" Marduk (DUGUD-* MY) Cr 312, 32. | Ka-di-i& Dr 57, 4 | Ka-ki-ia, ma-da-a-a Dr 51,2 /Kalabitum? Dr? 82-7-14, 142. fKalabñtum, vide £Kalbutum. Kal-ba-a, Ka-al-ba-a, UR-a, lieber Xa/bu», Kosename gebildet etwa aus Aalbi-"Bau o. del.) Knl M II 6, 6. Nk 158,4. 351,6. 398,7. 459,6. Nd 51,5. 108,8. Kal-bi-ia («mein 201,8. 410,2. 525,24. 583, 26. 666, 22. 7 729,6. 1006,4. 1075,9. 1082. Cr43,2 117,14 12224-0258 15:9 CD ALT TION a7: 15. 385, 21. Dr 40, 10, 12. 159, 4. 101, 16. 370, 19. 379,65. 533,8. ^"?? a-a Nd237,5. "2 allaku Nd 851,3. 2lgrrisu Cr 73, 6. 80,10. reis paru CbP 31,6. ^"? kuddimmu Nk 414,4. Cb 160,4. relsı-pi-ri Nd 245,0. "mar ipri Nbp (ZA IV) 19,2. S. Äh-at-bu-u, An- da-gi, Apla-a, Balatu, "Bel-erba, Iddina-a, Ku-la-u, Murasi, " Nabn-aplu-ıddin, -étir- napsati, -eàmil 22, -kasir 33, -Sum-iddin 22, Nadin, Nidintum, * Samai-nàásir 13. Y Nk 430, 6. 4 Ar-rab a. Abi-ul-idi Nd 820, 9. 3 Ba-la-tu a. "^"? yb bânt Nd 53, 2. * Da-nu-á-nu a. ban Sarrı Nk 364, 5. * ZBau-eres Nd 583, 14. 987, 2. UBaa-eyeY a. ""UD Ip Cr 175,6. 240, 6. (AOI EM cs 88,0% Nk 175,16. Nd 846, 2 als *BM.... a. Epes-ili Nk 430, 15. als Bell Nabit?)-ahé-iddin a. Egibi Dr 465,4. 467, 16. Cb als * Bél-ahé-iddin a. ^"? 5ahari Nk 317, 3. als "Bét-ere$ Ng 30, is. als *Bél-étir a. Su-ha-a-a Cb 334, ro. als "Bel-na’id Nd 736, c. als X Bél-ri-man-ni a. Mu-lu-u$-$u NK 301,7. als *Ea-erba .... Nd 165, rs. als “Ea-iddin a. Ba-bu-tu Nd 600, rr. 633, s als Gab-bi-ia Ng 55,4 als Gi-mil-lu a. Mu-&al-luu? Ng 32,11? Nd 663, I2. als Iqisa-a a. "Addu-eres Nd 36, re. 20. als Iqisa-a a. *"? $a-bi-na-a-3i-3u Nd 116, az. Y J$-ku-$u a. .... Nd 107,2. Ki-na-aplu Nd 1022, 7 7 Marduk-erba Nk 409, 4. * ?Marduk-na ..... Ng 12,3. 7 Marduk-zir-ibni Ng 34, s. X Nabü-ahé-iddinla a. Egibi Nk 13, 12 Na 71, 14. 066,8. 967,5. Nd M 21,2,9. 31,2, are, ICONS Ut CCS 214 az: Dr 35,13. 114. 123,14. 126,15. 129,15. 171,18. 104,22. 266,17. 305,74. 310,77. 319,74. 336,22. 338, 17. 353, 16. 468, 2: 488, zs. 492, r7. als "Nabu-ahe-iddin «a. Epes-ili Dr 441, 7o. als " Nabü-ahé-iddin a. "*pahari Nk 302, 15. als "Nabü-balätsu-igbi a. Ardi-" Ea Nd 251,5. T. XXXII. ES S any p D S R à C. me D n Qui. s au Me C« Me ES IM Neubabylonisches (Kal-ba-a) 30 35 40. 45. 50. 55. 60. 65. . als ”Naba-balåtsu-iqbi a. Ili -" Marduk Dr 504, ır. Vgl. Kalbi-" Bau 3a. als " Naóm?-basir a. Sum-usur? DEBA no, c ENabñ-Sum-iddin a. Mas-tu& Cb 198, s. X Nabü-tuk-te-e-erba Ng 55, 3. * #Nabt-uballit Dr 294, :5. il Nabü-zir-iddin a. 7" ma-sa-ar Nd 532,12 Na-din a. Massar-abulli Nk 379, 72. $ XNergal-ü-Se-zib Nk 370. als Pa-Si-hu-" Addu Nd 740, i. Ri-mut Nd 315, 2. * Sil-la-a|Si-il-la-a a. Na-ba-a-a Nd 367,1. . als ] 282 2010340 9 Gb 287, 4 305,9: 207, 77. 330,16. 331,12. 334,25: 335, & 330,7 339,18: 360. [368,7]. 372,4. Dr 26, 15, 22. 95,11. 242, 20340), 1 8. Dr D. 173, om. als Sam(Ü)-Sü-ha-ad-du Cr 37. Sü-la-a a. ""? Yang? ili Båbili Nd 26, is. Sam-ukir Nd 9o, 10. 289, ro. 393, 9. Sá-zu-bu a. Ili" Marduk Dr DIE X Uras-sim-ibni Nk 315, 5. Za-ki-ru a. "Bel-etiru Ng VR 67, 1, s. 5 VLA? 0% a 3005) 44, 44: a. 2... bit-XBel Dr 180, 22. a. Ahu-ba-ni, s. " Nabü-kin-aplu. a. Ardi-* Ea, s. Marduka. a. Ba-bu-tu, s. Nidintum-" Bel, Suga-a-a. QUEDA QT. s NA 1022, 10: X Bau-eres Nd [398, 15]. Cr 34, 13. 229, c. " Fa-epes-ih, s. Nasiru. a. Egibi Dr 468,20. S. /na-Esaggil-sir. a. Epes-ili, s. /ddin-" Marduk, "Nabü-aplu- iddin. a. Ga-hul, s. " Bél-ittannu. a. Hab-ba-3u Nd 583,6. 718,6. Cr 34,7. 117, 9. EI DI CE 1766: a. Kil-lu-3u (? Hab-ba-$u?), ^"" ràb nartabi Nd 716, 7. a. emeljy’ea, s. T Bel-basir, Liburu. a. " Marduk-usaltim Nk [349,5]. a. Mu-kal-lun, s. Ardi- Bel, 7 Ner,gal-£tir. 2 Bel-erba, a. Na-ba-a-a, s. SAmti- Bau, "Bel-iddin, Sul-lu-ma. a. "Nabü-etir-napsäti Cb 141, e. No. 2. Namenbuch. 77- /Kal-ba-ti|bat («Hündin»), gallatu 87 a. UNabt-ka-sir Nd 351, 17,34. 781,15. NdPi A 5: CE 02,18: Cbr58, 16. a. "il yappalı, s. "Nabu-ahe-bullit. a. ^" of, s. Kidin-" Marduk. a. "8 yàp bant, s. Bél-básir," Naba-usallim. a. Sag-di-di, s. "Nergal-etir. a. ? Szn-dàmiqu, s. " Nabü-ahé-iddin. a. X Sin-Sa-du-nu, s. [tti-" Nabu-balätu. CH202 us: a. "ano? "Na-na-a, s. Gazanu. a. "Samas-kin-aplu a.... a. ""? Yang? ! Sama, s. "Nabi-käsir. a. Üballitsu-" Marduk, s. "Bél-ahé-erba. Nd 680, s. Er 33,5 Kal-bi-ia, vide Kal-ba-a. Kalbi-* A-a T a. * Ea-satam-ilàni, s. "Samas | Marduk- nasir. Kal-bi-" Ba-4|* Bab|babi Cb 274,1». Dr 24,5. 5. Kina-aplu. 1. als Apla-a a. élynassar abulli Dr 243, 5. als Gi-mil-lu a. """yàb bàn? CrP 15, ro. als Jddina-" Nabit a. Ardi-" Ea Dr 456, 2. 3a als "Nabu-balatsu-igbi a. Ih-"Mardur Nd 84-2-11, O1. als " Nabü-á-mirt-ir Cb 329, 4. 5. a|$ * Nabü-á-nam-mür a. yet sist Dr 144, z5. als Rz-mut a." Sang Dilbat* DrPa 17,5. 18,5. als i Samas-iddin Nd 1001, 3. 8. a. I Nabå-Sum-lisir Cr 285, 10. Kal-bi-" Marduk I. als 2 Samas-iddin Nd 95, 4, 9. Kalbi- Sin? Dr P (62,9). S. Ahe-iddin-" Marduk 2, Ana-! Bel-eres 1, Balátu 15, 50, 78, DéL- ahe-erba 7, -ittannu 12, 52, -kasir 7, -na- Sa-Su Y, -rimanni 18, " Ea-iddin 2, /In- sabtum 4, Iqisa-”Marduk, Lussu-ana-nür 11, #Marduk-etir, -Sum-usur 17, -32r-ibni 10, 20, 26, Musezib-" Marduk 5, "Naba- eres 18, -etir-napsati 5, 6, -ıtlannu 25, -napıstim-usur 3, -uballit 25, -usursu 9, Nädin 27, Römiüt 39, Sadımu 11, 7 Samas- Ah-ıddin Yo, Sü-la-a 18. Kal-bi-! Samas! Dr 320. fKal-bu-ut-tum, /Ka-la-bu(-ut)-tum, /Kal-la-bu- ut-tum Cr 317, v. Cb 435, 9. 88 (SKal-bu-ut-tum) 1. m|s Bél-iddin a. Sangı "Gula Nd 817. 2. m|s "Nabü-ahe-iddin Cr 188, 10. Kal-da-a-a (Nd 45, 11), lies Kit-ta-a-a q. v. Kal-la-a-a 1. a. Dan-m-e Cb 426, 18. / Kat-la-6u-ut-tum, vide I Kal-bu-ut-tum. Ka-ma-ak-ka Dr Pa (21, es). *Kambusia (pe), Sar Babili far mätäti apil Kuras. Kam-6u-si-id Cb 26,4. 35, u etc. Ka-am-6u-zi-ia Cb 39,15. 40, 6. 46, 17. 288 IEC: Cb 261, 19. 322,5 etc. Kan-bu-si-ialid Cr 177. 270, 4. So SA Co DEC OS Sit 7,3 etc. Kan-am-bu-si-talia Cb 1, 14. 16,20. Gam-bu-si-id 219,14. 337,14. Ka-ba-st-id Cb 144, 12. ga-bu-zi-ia Cb 135, & Aan-zi-ia Cb 203,7. 207, 8: Kan-da-la-nu, sår Bäbili, Knl M II 5,18 etc. Kanik-bäabi (Ka-nik|niklnaklni-ku]- KÄlKÄ, mit Determinat. 2” passim; «Notar») DrP (50, 8). S. Ardi-” Marduk 13, Balåtu 48, 49, "Bel-ahe-iddin 37, -iksur 8, Belsumu 54, Jddina-"Nabü 110, Igtsa-" Marduk 16, Kidinu 5, Lu-di-ia 1, Musallim-"Marduk 14, Musezib-" Marduk 93, "Nabü-ahe-id- din 32, -balatsu-igbi 25, -musallim 2, Ni- dintum-" Bel 11b, Qzstum-"! Marduk 6, Ri- mut" Bel 81, Silim-" Bel 15, Sana-Xum 102 1, Såpik-zir 5, Säasubu 8. Kan-ma-da ..... /Ka-ra-na-tım («Weinrebe»), assat Kina-aplu Nk 26, 4. */ Ka-ar-da-ra- Cb 384, c. Ka-ri-e-a, KAR-a? (Mrdpldn Stein IV 7; Kose- name, 7 Nabi-ina-kàri-lümur) Nk 402,18. Nd 201,13. Dr 533,4? S. ZSz- qa- -i-tunm. 1. als "Bel-li’u a. Alu-ü-tu Dr 260. al Sarru-ki-i-nu, "mar ipri Sa rélràb käsir Nk 350, 2. Kar-ri (? Etir-ri) Dr 379, as. Kas(-si)-dak-ku|ka, s. Lüsa-ana-nür 1, "Mar- duk-balätsu-igbi 7, "Nabu-etir-napsäti 60. / Kàs-sit-hu Nd 11, s. J/4KÀS. TIN. NAM-? 1. u$ EBeliddin a. "^"? $ang?... Dr Pa 8, 37. vgl. Knut Tallqvist. /"KÀS. TIN. NAM-Sar-rat | 1. ms Apla-a a. Bi-ib-bu-u-a Nk 350, 5. Ka-sir, Ka-si-ru, Ka-sir-ri (Dr 348,15), Ki-sir | (Dr 523,2) Kurzname, vel. *P6/-kâsir etc.) Nk 254,4. Cr 298, 1». Dr (211, 10). 475, 14. (amel) opissanu Cr 279, 10. Cb 152, 11. 247, 4. S. Ardia, Balätu 80, /Habasinnatum 1, | Musallim-" Marduk 9. I. als Balätu Dr 452, 18. 523, 2, a. als "Beliddin:Cr 1, 4. als E-sag-gu-Sa-du-nu a. "Sin-tab-ni Dr P 74,3, Vgl. ZBel-kåsir no. 19. als Jddina-a Nd 1132, ro. s. als Igisa-a a. Nür-"Sin Nk [37,5]. 67, >. 207, 6. 216, 3. Ng 60, 9. als Lu-us-ana-nür a. ^"? naevari Dr 348, 15. als "Nabü-aplu-iddin a. Sag-gil-a-a Dr P 79 s. als "Nabu-bel-Su-nu a. ""? ba'zri Dr 67, v. als Sü-la-a Dr 261, 3. als Süm-ukin a. Etiru Dr 484. vs. a|* Tab-ni-e-a a. Dan-ni-e-a CbP 27, iz. a. *"?jY5ari s. "ZA. MAL. MAL-ah-iddin. a. Nür-" Sin, s. "Bel-iddin. a. n p)? Smk M II 27 15. a. Sa-ma-Xi-Yu, s. * Nabi-ahé-bullit. /Ka-sir-tum Dr 379, 23. Ka-si-ta-a (Nk 95, 4), s. Tabnea. /Kas-Sa-a(-a), /Kas-Sa-ä(ad? Dr 93, 2). Nd 6, 24. [381, 2]. Cr 161, 34 Cb 24, s. 244, 3. 1. m|s "Bel-igisa, assat " Bel-ahé-erba Nd 518, 4, 10, 15. ms Musezib-"Nabu Cr 142. ms "Nabü-bàn-ahi Nd [375, s). 619, 2. m|s "Nabü-ér a. "UU rab bani Dr 93, 2. s. ms ? Nabü-Sum-iskun a.” !man-di-diCb 15. m]y Sit-la-a a. "Sin:-ü-tu, ummu Sa Marduk-Sum-ibni als Nabu-sum-ukin a. Ih’-bullutu-Marduk Nd 655, 4. (829, 11]. 837, 7. 903, 5. m/s Sum-iddin a. ”"Ekyddimmi, assat Ba- låtu als Ib-na-a a. Egibi NdP ro, v. CbP 26. 27. | Ka-as-sü-tu, éim-bu-ku-a-a Dr 458, 16. * Ka-ta?-mu-Su-ili?, s. Hantüsu (Dr 435, 7). = A'a-ti-mu- 1. als Ha-gu-ru Nk 366, s. T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. Kr Bel! (abgekürzt aus: Mannu-ki-" Bel) Cr 182,5. Xr4. "gallu Nd 817, 15. 894, 2. anb aple Sa Sarri NÅ 245, a. I. als Gimil-"Samas Cb 80, 6. / Kib-ta-a (vel. / Kaó-ta-a) 1. 20$ St-la-a Cr 297, 1. Kàd?-dan-nu I. als Er-ba-a-a a. * Sin?-$adi; Dr 290, >. 2. als /d-di-ia a. "Marduk-eres Dr 377, 13. Ki-din, Ki-din|a-nuln: (abgekürzt bez. Hypokori- stikon aus HKidin-" Marduk (no. 2, 4, 9) 0. d. g.) Cb 387,1. S. 7Bel?-usesib, I Sin- aplu-iddin. 1. als Jdain-" Marduk Nd 1019, ss. als Iddin-" Nabh a. €) Bé-étiru [Cb 110,18). DrP 43, +» = Kidin-" Marduk 3a. als Im-ma-du-bu? Ng 20,8 = L 116, s als "Marduk-etir a. " Addu-Sam me-e NAM Kıiddin-" Marduk 7. 5. als " Nabü-bàn-ztr a. Ka-nik-babi DrP 55, 14. /x I Nabü-Sum-usur a. ©" allaki Dr 282,75. als I2, r$ — X Nergal-Sum-usur a. " Sin-nàsir NgL Li opus als ? Sulmän-zir-ibni a. Iddin-" Marduk Nk 311, 23. als Ziri-ia a. """ame? Gula Nd 153, a. NdL 2,6. = Kidin-” Marduk 13. IO. a. * Bel-etir, s. " Marduk-vimanni. . Jóna-a-3a-ii-ia, s. " Nabi-udammiq. SS Zin-ma-du-bu? Ng 20,8; vgl. no. 3. a. Na-na.?..ri, s. Ardi-" Su-ti-u. 14. a. énappalii SSi 1,12. Ki-din-"Bel! Ng [49, al, s.Lösiru. Ki-din-E-ul-maS (Nd 1124, 3), s. "Nabü-nädin- aplu 3. Kidin(nu)-"Marduk (Ki-din(\di-nu)-" M V. ?; raus der Kurzname A7d;» und Hypo- koristikon Kidznnu) Cr 3, 11. 160, 5. 161, 15. S. /ddina-ahu 10, ? Naóáü-bàn-ahi 12, Su- da- ga-a-a 5. s tA o m. plaie Nd 632, 12. als EBel-nåsir a. Ar-rab-tum Dr 147, 4. als Du-um-mug a. Sag-gil-a-a Ev [7, 147]. Y Zddin-" Nabu a. "Bel-etiru Cr 82-2-11, 5. a|$ Kal-ba-a a. ré gipi Dr 511, 16. No. 89 als Lüsi-ana-nür-" Marduk Dr 358, rs. als Marduk-êtir a. 265, 18 — Kidinn 4. als * Marduk-ztr-ibni a. ^"? bàiri Nd 165, 24. 7 Marduk-zir-ibni a." Sin?-Sad? Ng 44,7. Mu-ra-Sü-u a. Amelu-ü.... Dr P 84, 5. Na-din a. Ga-hal Cb 375, 30. Samas-zir-igisa a. él abu biti Nd 964, ro. als Ziri-ia a. ""?$ang? "Gula Nd 613, 10. 1032/5 M1070 10000, [I1 60775: 16T, 21. Cb 81,3. — Krdinnu 9. a. Mas-tuk, s. " Bel-adagsat. 15. a. ""? rb bant, s. Ba-si-ia. 17. a. ré Yanoe? Gula, s. Iddina-ahu. Ki-din(-nu)-" Sin‘, s./ Gu-si-gi 1, Labasi 41," Nabi- aplu-iddin 45, -Sum-ukin 26, " Nergat- ibni 1, Nidintum-" Bel 30. Kid(sah?)-na-a-ta, mit Determinat. *" s, X Ner- gal-usallim 9. 7 Nabåa Nd 804, 15. Nd 525, 7. Ki-e-su? ...ilu Nd 729, 15. Ki-il-li-gu-ug (Nk 26, 3), s. Kina-aplu. Kil?-lu-Su (Hab-ba-Su?), s. Kalbia 60. Kz-i-'Nabü! (abgekürzt aus Mannu-ki-" Nabir) Nk 30,9. Nd 81,2. 86,7. 208,5. 704,9. 747,9. 773, 5 909. 9II,13- 939, 5. 975,3. 1038, 3. 1099. 1100, 4. 1122, 4. NdM II 51. Cr 133. 136, 2. 260,10. 286, 2. 305. 365, 14. 369, 4. y/o En. Co, MEET 108,34. 2100 5: S. Béltunu, Nur-" Sama. 1. als Erba-" Marduk a.” [Yang] "Istar Dà- bil Nd 846, 10. 2. als ?Bel-ahe-iddin Ev L 9. Kinla-aplu (DU|Kz-na|GI-in-na-A (Kurzname aus | #Nabñ-kin-aplu(beachte no. 28) odera. del.) Nk39,». 196,8. 313,10. 351,70 443,8. 450,19. Nd 188, 14. 201, 21. 360,4. 379,3. 398, ss. 455,9. 525,9. 642,4, 12,14 835,4. 033,2: 935,22 1069, ir. 1075; 7 Cr 34, 28; 135, 4: 244,9. 287,15. Cb 9r,s. 268,13. Dr (35, 4. iuh Ste SON JDke Vets peu) uet Pads Ng 55,7 Dr 112,7. ^"? gugallı Cb 79,16. 83,3. Dr 81,15. """»zaecaru Nd 876,5. Cb 359, 16. 2 gallu Nd 850,4. S. Am- malba)-a, Apla-a + 82, "Bel-eres, -étir- 12 #Addu-Sam-me-e Nk IO. s ? Nabü-musétiq-urri, Pan- 90 Knut Tallqvist. (Kön|a- aplir) . alt Kudurru Nd 936,3. Nd Pi 3, 15. X Naba, Harizanu,Has-da-a, Itti-" Marduk- balatu, Kal-ba-a, Marduka," Nabk-àdrittan- nu, -ittanmu, -1ddina, -Sar-usur, -taddannu- usur, -zir-iddin, 2 Samas-kösir He ES AR dür-e-du Nd 897, i». | CRE PE na-a Dr 12, e. | ae su-ru a. éaqbu biti Dr 158. als At-kal-ana-" Bau Dr 300, ss. als Ba-lat-su a. "håna Nd 648, 1r. 954, 6. | Ba-la-fu a. Ir-a-ni Cr 355, 12. Ba-ni-e-a|KAK-a a. Ir-a-ni Cr 321, rs. 338, 16. Vgl. "Naóz-&fn-aplu 17. als * Bél-na-din-aptu a. Sik-ku-iu-a Dr 153,7. als * Bel-usallim a." Sin-tab-ni-usur Dr 302,2. | als Dan-nu-ahesu-ibni Dr 310, s. | X Hu-bit" Gula? a. vélfanoi "Gula Nd | 1025, 18. * Kal-bi-"Bau Dr 273, 22. als Ki-il-li-gu-ug Nk 26, a. Kin-zir Nd 378, 10. als Låsi-a-na-när a. """buddunmi Nd | 1056, 10. | IS NAT S nrc Nd 539, 15. | als *Nabü-aplu-iddin Dr 177, 3. 401, 10. als "Nabü-kin-aplu a. *"..... Dr 267, 77. als "Nabh-kin-zir Nd 497, 14. 542, u. als "Nabü-na-dan?!-an-na Nk 322, 16. | als Nad!..... Nd 305, zz. | als Na-di-nu Nk 382. - | als Na-din a. .... DrP 96, 22. als Na’id-"? Cb 144, ;. | als "Nergal-ha-zu-ilu Nd 17, 6. als ? Nergat-uballit a. Mu-Se-zib Dr 340, 18. als Ni-qu-du a. Na-ba-a-a Dr 204, 14. a|* Nür-e-a a. Ir-a-ni Nk 3,8. Cr 252,72. 32, ra Cio; 916, Se Il en WO) ER 189,18. 215,10. 280, r;. 285,5. 286,16. 305,11 326, $ 328,7. 338,26. 348,3. 491,9. CbL 34,9. Smd (ZA IV) 8, z ? Nabit-kin- aplı 34. als Ri-mutNk[125, 7). Nd 900,7. Dr84-2-11, 128. Vgl 2Nabn-kin-aplu 37. . als *.Szn-iddzn Nk 100, 9. CEST an men Nd 165, ro. als Ta-qi3 Cr 297, 6. .0q0]5 ir, s. Ap-la-a. a. Dbàni-id Cr 287, 25. a. Ba-si-ia, s. " Uras-kasir. . Bél-u-uu Cr 92, 14. a. " Ea-qarrad-ilàni, s. Iddin-" Uras. a. Egibi, s. Liblut, Säpik-sir. a. Epes-ili, s. " BéLiksur, -ufsar u. a. Etiru, s. i Samas-erba, Zåkir. 40. a. Ga-hul, s. " Marduk-Sum-lisir, * Nabi- ittannu. a. Jddin-" Papsukal, s. Ba-zu-zu. a. Ih’-"Marduk, s. * Nabü-nàsir, -usalfim. a. nappalr, s. Balätu. a. Nür-" Sin, s. Nidintum. a. elyab bant, s. Labasi, " Marduk-násir, 2 Uras-bel-samé, -êtir. CAE nn (CR SOT a. 2Samas-ah-iddin Nd 604, 10. a. ^"" opo? Dilbat”, s. Labañ. DATES aper ? Saas, s. #Nergal-iddin. 45. 50. a. Si-gu-í-a, s. "Bel u. a. Tu-na-a, s. * Naód-musétig-urri. Ki-na-a-a-tum? Ng 24, ı. Ki-ne-na-a-a, Ki-ne-ne-a-a, Ki-ne-ne-na-a-a, Ki- ne-nu-na-a-a, Ki-nu-na-a-a, Ki-Inu-nu| nun|-na-a-a (vgl. ZA VII p. 280) Cb 139,4. Dr 42,9. 293,8. 379,48. ^"? allaku Cb 155,6. Dr4,10. 281,8. S.#B6l-êtir, * Bêl-Sarr-a-ni, X Nabi-dini-epus. I. als ? Ba-zir-igesa a. ”..... a. " Addu-sam-me-e Dr P (111, 9). 3. a. Jddin-" Papsukal, s. " Naóg-3àr-ahésu. Kin-nu-ılani, s. * Samas-Sar-usur. Kin-zir(? Mukin-zör! abgekürzt, no.3 aus #Nadn- kin-zir, no. 4 aus ?Samas-DU-ZIR) Nk 60,3. NkL 3,7. Nd 100, 0. Cr 279,9. Cb 252,3. 404,7. Dr118. S. Azn-aplu,""Nabü-eres. I. als Ahesu Nd 152,7. 253,74. 445, s. |1059,:r.] 1109, 7. als Apla-a a. " mun-na-bit-tun NAM U OI, ro. 2aa|* "Dölrimanni a. Gahal Cr Tr. als "Ea-zir-igisa a. "nappahı Cb P 27, 5. 33, 1. 127, 14. Dr P 47, x. 48, 10 = “Nabt- kin-zir 8. als Ha-ba-|si-ru) a. Mu-täk-kil-Iu Dr P 75,6 = ! Samas-kin-zir 1. | TIROL Neubabylonisches Namenbuch. (Kèn-sèr) * ZalA-di-'-ilu Nk 70, rz. 7 Marduk-etir a. Egibi Nk 76, s. 7 Marduk-Sum-ibni a.”'aslaki NÅ 801,7. 7 Nabü-ahé-iddin a. Egibi Nd 799, 9. X Nabü-balät-eres Nd 196. il Nabi-Etir-napsäti Nd (787, s]. * 7 Nergal-ipus a. * Ea-épes-ili Nk 309, 3. Pir- Nk 34, 2. 2 Samas-ah-iddin Nk 240, 3. tis Da Samas-na-sir a. Na-an-na-a-a Nd 47, s. a. Ardi-" Ea, s. Ardia. a. Egibi, s. " Addu-ahé-iddin, Ardi-" Gula, "BRL. 17. a. X Sim?-5adi,s. Musézib-" Bel Nabu-nipsari. Ki-rib-tulté|tunlti (Kurzname, vgl. Kiribtu-” Mar- duk) Nd 476,27. (970,5). 1062,7. Cr (151,10). amêl fist Nd 1113,34. Nd TSBA. S. Ardı- Gula, "Bel-uballit 114, "Marduk-erba, il Nabü-zir-iddin, Tabnea. I. als Igisa-a Nd 821, 10. ont EN. BAR. GAL.BUL] = AS] « (ne &R på IO. & ASS! C Une C« C U« 15. als [Lisiru à. Dr P 73, ze. als * Nabü-Xum-usur à. "!yab bnt Dr 340,12. als Sá-la-a a. ""? Pa-seki Nk 183, 16. . mH PE) s. "Samas-iddin. a. "Bel-aplu-usur, s. "Nabü-etir-napsati. a. Bela-a-a, s. "Marduk-Sim-iddin. a. Dul-lu-bu, s. Ardi-" Gula, Bânünu. a. Egibi, s. Lüsi-ana-nür-" Marduk. IO. a. Erest-ana-Esaggil, s. "Nabü-kasir. a. I/i-" Marduk, s. *Marduk-kin-aplu. a. Mastuk Sm ZA III 229, 17. a. Mu-kal-lim, s. (2 Addu-)zir-ibni. a. INür-" Sin, s. " Bél-uballit. 15. a. ""? Yang? Sippar", s. "Bel-uballit. a. "Hang ? Sama, s. !Nabü-supe-muhur. TER: U-bal-Ut-su-"Marduk, s. Römüt. Ki-rib-tu/ai-tum Marduk! I. als Se-el-li-bi a. Mas-tuk-a-taltı Dr [437, :5]. 457, re. 498, rs. a. Da-bi-bi, s. " Nabü-nàdin-afi. 3. a. Épei-ili, s. Itti" Marduk-balátu. Ki-ru-ru Cr (360, 25). Ki-i-" Sin! Cb 245,5. S. Zd-di-ia. Ki-sir, s. Åh-ittabsi 1. Ki-sir-ialid, Ki-is-ri-ia (Kosename etwa No. 2. aus OI Kisir- Bel) Nd 546,2. Dr (447,2). S.”Ner- gal-ibni 4. I. al ?Bel-a-na-biti-su Nd (CIS II 61). 2. al$ Uk-ku-ma- Nd 203, +. Ki-sir-! Bel! Cr 336, 6. Ki-sir-"Nabu! Nk 381,4. Cr 336,4. S. " Bél-iddin. +Ki-Sa-a, gallatu Cb 287, a. Ki-Sa-a-a («aus Kis gebürtig»?) (Dr 80, 14), s. X Nabü-uballit 27. Ki(-i)-"Samas! (= ww CIS II 65, abgekürzt aus Mannu-ki-"Samas) Nk 165, 2. 168, 10. 173,6. 443,18 Cr 221,2». Cb 99,1. S. 2 Samas-iddin. 1. al$ Éfiru Dr 82-9-18, 49a (CIS II 65). 2. als Ii#-ittia Cb 85, à. Ki-Sik(sik, pik)-"Nabi, we ki-sik-" Nabü, s. Su- ga-a-a 19. 1. al. * Nergal-da-o-nu Nd 674, 6. | AKi-is-ri-in-ni («stehe mir beil») Ng 2, s. Ki-ta-ra-bu-? («erweise Huld ...!» (?), ^"? gzpu Nd 528, 2. Kit-ta-a-a, Kit-ti-ia|id, Ki-it-ti-id (Cr 114,2; «mein lieber Au») : 1. a 2 Nabü-sir-Iir a. Egibi Ev 17,9 Nd 45,17 171, ro. a. Egibi, s. " Nabü-Easir. a, e opa? MN , S. Ardi-" Gula, *Nabt- iddin. 4. a. MlSangi "Ea, s. Ardi-" Mardu£, *Mar- duk-balätsu-igbi, (?Nabü-)tabtani-usur, 7 Nabu-usursu. Ki-it-tum, GI-it-tum («Wahrheit», vgl. Vollnamen wie Nabñ-kittu-usur, -zuqup-kilti, -z0r- kitti-lisir etc), s. #“Nabt-ubalhit 40. 1. a. 2Bel-ibni Cb 123, >. Ku-ub-bu, vide Kuppu. / Ku-ub-bu(-ut)-tum, vide /Kupputtum. /Ku-ud-da:-a Nd 442, s. Kud-di-ia, s. * BéP-uiézib. Kuddimmu( AZAG-dim(-mu),«Goldschmied»), s. #Bêlittannu 25, -nâdin-aplu 7, Dum- mug 1, Iqisa-a 35, /Kas-Sa-a 7, Kin-aplu 16, Lisi-ana-nür-! Marduk 5. Kud-din-nu(? «Maulpferd», vgl. Sad-din-nu) Nk SEDE 1. alé ? Marduk-Xum-ugur() a. Gahul Dr P IOO, 19. 12* 92 Knut (Aud-din-nu) a. Epes-ili, s. tti" Bel-balätu. a. Jti -" Marduk, s. " Nabü-balätsu-igbi. 4. a. Nür-" Sin, s. Bul-ta-a. Ku-du-ra-nu, s. Itti-" Nabi-balåtu 46, “Nabi- belsunu 7, -uballit 4, -usallim 14. Kudurru (SA. DUIKu-durldu-ur|-ru, als Probe- name $4.DU K 241, XI 17; vel. Voll- namen wie Vabi-kudurru-usur) Nbp M II 8,0 MN 2 7 JOE IDE se SPBi-1s-sa-a 1, Kin-aplu, Kudurru 9, Lå- basi-"Marduk, “Nergal-uballit, Nigudu Rimat, Silim-" Bel, 1 Samas-kin-aplu 2 T5507] 50 Der a. Di-ki-i Ng 28, 20. IS edet VETT) Ai ce Nk 105, ». als * Bél-aké-erba a. Bu-ü-su Nd 74, 2. #Bél-ka-sir a. Esaggil-a-a Nk 91, x. " Bel-kin-aplu a. Sag-di-di Dr 260, 2. "BéLum-ist&un a. Nür-"Sin DrP 56, 16. Igtsa-a Nk 32-34. 38,2. [39]. 43. 46, >. 47. 51,2. 60. 69. 89. 94. als Iqisa-a a. Egibi Nk [53,2]. 54,3. 55,3 56. 58,3. 64, 3. 65, 20. 68. 38 3. 76,5. 82,2. 88, 3. 429, 3. 5. als als |* as CNRS ILE der s a. Ku-du-ur-ru Nk 26, ro. TO ee s. Ana-" Bel-ut-pa-ga, Sápik-str. a. "Addu-Sum-eres, s. /Nubta-a, Sum-ukin. a. An-da-har, s. Süzuba. a. À$-kan-du, s. Niqudu. a. Ba-ta-ni-tum, s. * Ea-rimanni. | . V Bél-étir, s. " Bél-iddin, Issuru. | a. Dannéa, s. "Bel-igisa. a. Egibi, s. Igisa-a. v Épes-ili, s. Lüsi-ana-nür, Marduk, * Nabit-kin-sir. a. Ibni-ilu, s. Musezib-" Marduk. . pari, s. Musezib-" Marduk. a. Lüca, s. "Bel-igisa, U-bi-e-a. a. 2Nabi-un-na-a-a, s. * Nabå-kåsir. a. Nir-" Sin, s. "Bél-z£r, Iqisa-a, Musésib- | i Bel. a. ^"?'halhari, s. Låbåsi, "Nabü-ban-ahı. | . "HE sie Nbp M II 11, zz. | a. "Sin-karäbi-isme, s. ?Samas-Etir. cts Musalmu- a. méSonoi..., S. Nadin. | 28. a. *"? Sano? ? Addu, s. ? Adau-Sum-ibni. | / Kul( Gul, Qul?)-la-a Cr 236, s. Tallqvist. Kul-lu-u Dr 234, 2. Kul-lum-ki-i-" Apil-ad-du, s. Nàdin (Nd 742, 2). Ku-lu-ü 1. als Kal-ba-a Cr 307, 3. /Ku(Tur, Tus?)-me(-ip)-pi-tum 1. m|$ 7Samas-zir-ibni a. ^"? y?$ sist Dr P 71, 1,3, 7, 11. 88, 4. Ku-na-a Nk 77,15. 348,3,1» Nd 659, x. 934, 2. Cr 121, s. Cb 435, v. S. #Böl-eres, Nabt- ah-iddin 17 1. als ?Ea-Sum-ibni Nk 50, 10? a. "bg ip, s. Dänta, " Marauk-Xàkin-Sun, Rimutu. a. Ga-hal, s. Säpik-zir. 4. a. @möl kånik bel pihåti, s. 2Samas-sir-ibni. SKu-un-na-a (= V(p?), égallatu Nk 439, s, J4SUK-a-a Cr 127, 122. Cb 79-4-19, 3 (CIS II 64). Ku-up-pu («Qvell»2), s. Balåtsu. Kup-pu-tu 1. als "Nabü-usursu a. Raba-a-3u-3a-" Ninib Dar 138, z;. TKu-up-pu-ut-)tum, / Kup(-up)-pu(-ut)-tum,""?gal- latu Nd 585,6. 602,8. 843, s. 953. Nd M 29. Cr 311, 5 Cb 149, 19. Dr 379, 15, 4s. 1. m|s Mar-duk-a a. "2 abi biti Dr L 26, 4. 2. m|s Silim-"Bel a. Egibi Dr L 26, ». * Kuras («Cyrus»), Ku-ras Cr 16,5. 18,2. 19, 6. 25,13 etc. Cb 425,3. Ku-ra-as Cr 1,15. 2, v. 4,10. 8,18 etc. Kur-as Cr 239, 17. Ku-ra-Xu Cr 52,7. 60,18. 117, s etc. Cb 46,19 Ku- ras-su Cr 165,5. Aur-rd$ Cr 49,13. 119, 19. 127,13. Kur-ras? Cr 306,5. 318,175 Ku ra-aÿ Cr 12,15. 44, 15. 45, i5 etc. Cb 421, 4. Kur-ra-ds Cr 194,13. Ku-ur-ra-as Cr 3,2. IO, 19 etc. Ku-ur-ra-Su Cr 3, 225, 14. 29. Ku-ur-$u Cr 222, 13. 290, 4. 299, 4 etc. Kur-ban-nilnu («Gabe») Nd 546, 23. 775, s. 793,4. 913,9. 928,2. Cb 416,5. S. 7 Nabü-méti-ubalt- lit, ? Sin-ibui, Siriggi 10. 1. al$ ? Ea-bàn-zir a. Ái-kan-du Nd 232, ro. als Sag-gü-lul; Cr 271, 16. Cb 131, 11. a. "Bel-£tiru, s. Rinüt-! Bel. a. In-di-il-ki-la-a-ni, s. * Bél-uballit, "Nabi- musetig-urri. 5. a. Sag-gil Nd 908, s. Kur-ban-ni-*...... ELA T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. 93 Kurbanni-"" Marduk (Kur-ban(-ninu)-* MV?) Nbp CT IV r4. Nd M II63, 15. Cb (8,s). Pa (5, 3). S. ?Bel-iksur, Habasiru, Iddin-" Nabi. I. al$ Za-"Nergal Nd M II 55, 1». als ?* A-2| TUR. Ë-ahè-iddin a. élaÿlaki Nk 308, 10. 314,14 NEP 3, re als " BéLiddin(a) a. Epes-ili Nk 203, 9. 403,14. als "Bel-na-sir a. *"" rb band Nk 408. als bel-sör a. "Addu-Sum-\eres) Ev 8, a. als E-tl-Iu a. Etiru Cb 118,15. 187,16. 214,10. 215,14 217,14 290, 20. 334, 16. 335, 11. als * Marduk-Sum-ibni a. Ardi-"Nergal Nd M II 56, 7. zaals "Nabü-etir-napsäti a... Dr P 107, 24. alé Sum-ugur a." Sang? parakki Nk 334, 10. als Sá-zu-Óu a. An-da-har Ev 14, s. . Ardi-" Nergal, s. Låbast. Un a. Bi-ib-bu-ü-a, Ss. Zu-um-ba-a. a. Épes-ili s. Romütu. a. "yb bau? Cr 160, 12. 161, 53. S. Dalátu, Gana. a. PTE sisi, s. " Marduk-Sum-usur. I5. a. Sag-di-ti Smk (ZA III 226), 6. a. Samaÿ-ba-a-ri, s. "Bél-éfir, Labasi- (Marduk). a. "Sane parakki, s. " Marduk-zir-ibnt. a. "ane? #Samas, s. ! Bél-tir. IS. a. Si-gu-i-a, s. JZekur-" Marduk. Kur-bat-#Nabñi-sab?-bat, ^"? gallu Nd 572, 5, 11. Ku-ri-gat-zu I. a. nel $a-na-si-Su, s. f£ Suzn-" tar. Ku-ri-ha-ad-du? Lab 4, s. Kur-ru-la-a-a, ""? gallu Dr 82, 1, 5. i KÜUR-Se-zib, ^"? $anoz Nd 738, 10. 1113, zs. Ku-sur(-ra)-aplu (A) Nd 729, 18. Dr 533,6. Nidintum, * TUR. E-iddin. Xrx Sn is als A-ga-bi-ia Dr Pa 9, 10, 42. als A-ra|Ar-bi Dr 400, i. 452, 18. als Ardi- Bel Dr Pa 16, 7. 5. a|$ Bani-ia a.? Dr 154. Ku-us-Sa-a-a, s. Nidinti. Kusud(? KUR)-su (Nd 378, 9). un Kusud(? KUR)-su-” Marduk" (Dr 417,11), s. 7 Ea- iddin. / Ku-ta--i-tum («aus Kutha gebürtig»), assat | X ZA.MAL.MAL-Sär-usur Nd 539, 4. No. 2. Kut(Has?)-u-bi, s. Pi-sa-aplu. 4 Ku-uz-ba-a Dr 260, s. La-ba-si, La-a-ba-3i, La-a-ba-a-si, La-ba-ÿe-e (Nd 708, 14?), La-ba-fu (Nd 132, 21) (abge- kürzt aus Zabası-" Marduk) Nk 11,8. 77,20. 157,7. 276,11? 342? 420,2. 435,8. Ng 28, 4. Tab 1,2. Nd3,6. 70,9. 201,15. (212,5) 345, 4. 386, 2. 398, v. 462, 14. 562, 2. 570, 22. 708,14? 795,11. 799, 12. 804,7. 1062,6. NAM II 48, ». Nd Pi 4,10. Nd 84-2-11, 61. Cr8,». 124,14. 244,6. 294,5. Cb 175,9. 200,8. CbP 31,5. Dr 8,15. IOI, s. 185, 5. 320, 8. AIA, 15. Dr Pa 19, 18. ^"? eeu Dr 250, 4. ^" aa£u Nd 1000, 6. Cr214,4. ÜGAL-u-ta Nd 478,3. «"? eueallu Cb 268, 1. Dr 136, s. S. 2 Anum-upahhir, " Bél-a-na-|mérihti, -igisa, -kasir, -Itmur, Bél$unu, * Bel-uballit, Bullutu 10, Iddina-a, "Marduk-nasir 39, Miwrönu 41, Musallim-" Marduk, "Nergal- êtir, -Simanni, Nidintum. CAE motor Dr 270, 5. SEE a. "rl ymassar abulli Dr 544, n. SCHERE a. Sag-gül-la-a-a Cr 115. VAS s eos ar Cr 181, 2 5. ali .... Marduk a. Ardi- Marduk Nd650,5. als Ardi-"Nabi Nd 486, 2. als Balatu Nd 3, s. als Balätu a. ..... Nd 849, 3. Dr 219, zc. 4 Ba-la-fu a. Ina-Esaggil-zir? Dr 73, 5. 10. aj Balätu a. Sag-gí-a-a Nd 1116,3 NAM II 52, 3. [62, 3. 64, 5]. al Bani-ia a. Pap-pa-a DrP 69, c. als “Pêl-ahè-bil-lit a. Sag-di-di Nd 1123, 16. |$ Bél-ahé-iddin a. Amel-" Ea Dr 169, 12. |* ?Bel-igisa a. Äs-$ur Nd 1132, 9. 15. als * Béf-ri-su-á-a Nd 815, 12. 945, 3. als ?Bel-Sar-usur a. Ardi-" Ea Ng 12, 1. |* #Bel-zir Dr 309, 24. [ Nd 132, z. 273, 6. alt Du-um-muq a. Sag-gil-a-a Nd 308, s. Nd M II 54,37. 53, 19- 20. a|$ Ina-Esaggil-Sum-ibni a." ràb bani Nd 256, 8. als Igisa Art (ZA III) zs. als Kabtia a. Egibi Cr 321,17. 322,10. 323, 14. 94 (La-ba-$i) 346, 16. Cb 301,7. 343, zz duk 3: als Kin-aplu a. """ rb båni Dr Pa 17,7. als Ki-na-aplu a. """$ang? Dilbat Dr Pa Labası-" Mar- 13, 77. 25. als Kudurru a.” Paharu Cb 88,72 419, n. als Kur-ban-ni-"Marduk a. Ardi-"Nergal Nd 307, 16. als Kurbanni-" Marduk a." Samas-bäri Cr P 13,3. CrPa 3,3 — Zabdasi-"Marduk 5. als Li-nu-uh-lib-bi-ili Nk 9. als Mar-duk-a a." Addu-Sum-eres Dr204, 13. 30. als “Marduk-balat-su-ig-bi a. E q- In-h-Ye- sib-a-ni Dr 249, s. als " Marduk-balat-su-iq-bi a." Sin-Sa-du-nu Dr 227, as. als "Marduk-etir a. "Sin-Sa-du-nu Nd 53, 10. als *Marduk-náàsgir. Cb 131, 15. als “Marduk-Süm-léfir a. Ga-hal Nd 665, 22. 35. als *Marduk-Sum-usur a. Mas .... Nk 246, à. als *Marduk-z£r-ibui Ng 34, 2. als X Marduk-sír-ibni?. a. Abi-ul-tdi Dr $06, s. 37gaa|$ "Mardu&-zir-ibni a. """nabpahi NkP I25, 3. als Musallim-" Marduk Nd 1070, 9. als Musallim-" Marduk a." banıı Nk 300, 4. 40. als Musezib-"Bel a. Nür-"Sin Nd 211, 3? 724, 9. als "Nabu-ban-ahi a. Ki-din/nu-" Sin Ndr123, 6. Ch 32T, 2. Dr 340, 7. als "Nabü-dan a. Mukallim NAM II 56, 55. als "Nabü-ki-sir a. Etiru Dr 380, 6. a "Nabu-mu-Se-b-ig-urri Ng 16, a, o. 45. aff "Nabu-näsir a. Abi-ul-idi Ev 24, 17. als ? Nabü-násir a. " Nan(SES. KT)-ù-tu Dr Bu 88-5-12, 26, 29. als #Nabü-Sum-ereS a. Egibi Nk 368, 10. als " Nabi-Xum-iddin a. Epes-ih Cr P. 16, >. als * Nabå-Sum-iddina. Sa-na-Si-Su Nk 377,12. 50. als * Nabü-zzr-iddin? Xrx 2, 19. als Na-din a. "^"? $apng? i Samas Cr 255, 15. Vel Låbåsi-" Marduk 9. als "Nergal-sum-ibni a. Da-bi-bi Cr 337, 2. als ?Nergal-ü-Se-zib a. ^"? aslabi Nk 317, 7. als ?Nergal-zir-ibni a. Bell EN)-a-a Cb 341, 14. 356, 13. Cb L 169, 9. Knut Tallqvist. als Ni-din-ta-" Bel a. "ra tabtisu Dr Pa iia s. TOY (9 ali Nür-e-a a. GIS. SA. PA-KAN(eres) Nd 75; 23. a Ri-mut a. ^"! GIS. SA. PA. PIN-e$ Cb 233, 44. als ? Sama-Xim-ukín a. Ardi-" Nergal Dr 353, 3. 425, 16. als Sum-ukin Ng 5,10. Cb 184, 5. 346, 7. Dr 207, 3. 363, 14. 60. al! Sum-usur a. Sag-gi-la-a-a Dr Pa 7, zr. als Ta-gis-"Gula a. "^"? bàni Cb 253, x. als Ziri-ia a. *"*) Na-ba-a-a Nd 69, 3. 340, 12. 383, 10. 388, ro 390,15. 39I, 13. AAI, 18. 461,3? 499, 15. 500,18. 508, 11,76. 515, zz. 524, 6. 534,182,2r. 564,25. 648,1,v. NdL 1, zs. 104, 13. Nd M 27, s. als Zèru-ü-tu Cb 144, 9. TRES Cb 263,5. Dr 485,77. S. Di-e-ba-nu. a. Afé--4, s. Ziria. a. Amel-" Ea, s. "Del-ahe-iddina. 66a amelu-üu, s. Tukultu- Marduk. a. AArdit--im Cb 57, 19. a. Ba-bu-tuDr(419,u). S.Apla-a,"Bel-iddin. a. "bua, s. Rimüt, Sam-ukin. . * Bél-aptu-iddin, s. "Bel-uballit. a. " Bel-£tir, s. #Nabñ-ittannu. a. ! Ea-epes-ili, s. Ba-si-ia. a. Epes-ili, s. Ardia, Belli. q. Etiru, s. ?Bel-uballit. . ame G]JS.SA.PA.PIN-e$ Cb 233,7 Vgl. no. 57. a. Im-bu-pani-ia, s. Rimut-" Bel. a. Îr-a-ni, s. Ina-sul-" Bel. a. Li-e-a, s. " Bél-fpus. a. Na-ba-a-a Cr (49,5). S. / Tabatum. So. a. "Nabü-ahe-iddin Nk 249, ss. a. #Nabi-nasir Nk 16, 131. Dr 113, 9. a. "Na-gi-ru, s. * Nabü-ittannu. a. lpappaki Dr 210,3. S. Iddin- Bel, 7 Samas-iddin. a. Nu-t-bu, s. / Amti-" Na-na-a. . mel paharı, s. T Bel-igisa. 0 T Y-5, ane daianu DrL 25, n. a. Sag-gil-a-a, s. Bullutu, Dultà, ” Nabü- Rüsir, Nürea. a. "Sin-Uu, s. Iddin-" Nam. 55. 65. oo Un S E Neubabylonisches Namenbuch. (La-ba-$i) a. Su-ha-a-a, s. Ban-zir. 90. a. Sa-(Bi-)na-i-Xu Cb (426,20). S. Ardi-" Mar- duk, Musallim-" Marduk. amel$angi "Addu, s. Itti-" Nabi-balåtu. a. "Hane? "Na-na-a, s. Uqupu. a. a. "Haye ii Sema, s. !Samas-iddin. a. Sarru-a-ra-zu-&, s. 2Bel-ibni. 95. a. ""? $a tabtisu, s. Liblut, " Nabu-nadin-ahi. 98. a. Si-gu-ü-a, s. Ardéa. La(-a)-6a(-a)-3i-" Marduk)? (daraus der Kurz- name: Låbåsi) Cb 18,2. Sarra Lab 1,s, 14, 17, 21, 28, 33, 36, 40. 42. 2, 14. 3, 16. 4, 9. 5, 13. 6,6. S. ZIna- Esaggil-ra-mat. 1, als ?Bel-iddin a." Sin-tabni-usur DrP 105,13. als "Bel-na-din-aplu a. "Sa tabtisu Cr IÓI, 31. als Kabti-ia a. Egibi Cr [334,10.) 335,18. [338,31] = Zabasi 22. als Kudurru, "gallu NkL 21, 22. 5. al. Kur-ban-mi-"Marduk a. !Samas-ba-a-ri Coté c eer ba 3,8 DEP 42") Ass: 117,15 — Labası 27: a|* #Marduk-etir a. """ Yang? "Samas Dr 243, 3. als *Marduk-iddin? .... Dr (85, 5]. als Na-din a. Amel-"Asur Nd 314, 22. als Na-din a. ""* $angz * Sama Nd 126,1, 9. 182,2. 274,1,9. Vgl. Låbåsi 51. als Sul-lu-mu a. Dannu-" Addu Nd 426, u. a. Askanldı), Sakannn, s. ?Bel-rimanni. IO. a. Egibi, s. "Bel-rimanni. 13. a. Lid, s. Musezib-" Marduk. La-a-" Bel! I. al$ Ha-ab-di-ia Dr ZA V 279. La-bu-ru (8 Nd 1014,4, soll wohl sein Za-kup- pu-ru), s. * Nabü-Sum-usur. 1. La-bu-ut-tum Dr 379, as. # La-ea-ma-alt-étir I. als a. Nu-ha-Su Dr 269, 14. X La-ga-ma-al-iddin s. "Bel-ıbni. I. als #La-si als 2Samas-Sum-usur a. "Bel-Etiru Dr Pa 8, 26. IA, zz. 15,3. [19, #]. 3. a|$ “Uraÿ-iddin Dr 265, 10. La-li-$u NK 106, 13. La-ku-up-pu-ru, La-kup-pu-ru, La-ku-up-ru, La- No. 2. a. anéL ye rera Dr 269, 13. SLa-tu-ba-Sin|Si-in(-in)-nılnu 95 kup--ru, s. Ezida-Sum-ibni 1, "Nabiüt-ahe- iddin 16, -àk-ittannu 6, -bel-kalama 1, -bul- litsu 37, -Etir-napsati, -iddin 9, 40, -kin- sir 21, -Sum-ukin 5, 18a, -Sum-usur 1, 2 Samas-käsir 2. / La-ma-gi-ir-tum («nicht Gunst erweisend») Dr 379, 16, 37. La-a-" Marduk! 1. al$ *Marduk-Sihm-iböni a. "nappahi Dr 323, 48. La-"Nergal, s. Kurbanni-" Marduk 1. La?-an-ni-an?-m-" Marduk 1. a. 9" fang? ? Gula, s. A-ki-la-a. Lagipl;, x (La-qiplki(-2)(-pilpu) Nk 24, 3. 155, 4. Nd 647, 12. 720, 17. 872, 7. Cr 34, 25. 225,9. Dr 231,11 reoppur Cb 225,21. ^"? rj; gi-ni-e Nk 20, 6. ^"? fir-ki Nd 842,3. S. Äh-ittabsi, Rimüt-ili, Samsi-ia, Tabi-ia. 1. als Di-na-a (Ki-na-aplu?) Nd M 30, re. a. Ba-si-id, s. INidintum. a. Er-ba Cb 57, 2. 4. a. Nürea Dr 375, 2. /La-gip-tum Dr Pa 21, 7. gallatu Nd 648, s. /La-sa-hi-it-tum? 84-2-11, 214. 7 («lass mich nicht zu Schanden werden (, o Góttin»), (ga/- latu) Nd 243, s. 760, 12. Cb 365, 4. 1. 7u]$ /Ha-am-ma-a Nk tot, 3. Lib-bi-si-im-mu (Cb 110, 6), s. Gabbia, / Nubta-a. Liblutl, a (Lib|Lx-ib-tutllu-tultalut; «er lebe!») Nk 52,5. Nd 471,5. 402,5. 545,8. 770,8. 778,2. 334,2. 1012,6. 1080,7. Cr 246, z. Cb [99, 24]. 189,4. 256,5. 274,29. 295, 14. Dr 40,7. 66,3. 189,10. 235,6. 358,12. 532,21. amölzyandidi Cr 287,5. """ nappafiu Nd 86,2. 447,5. 555,4. 721,3. 924,6. 1007,2. Cr 235,3. 26914.€5)2594.22.207,52 355, 5. DR TT: 34,5. A pu-sa-a-a Dr 281,4. ren Cb 276, ı0. S. Apla-a 31a (Nachträge), Ardi- XNergal, * Bél-eres, -éfir, -iddin, -uballit, -usursu, Habasiru, Iddina-"Nabi, Sa- ENabt-Si. I. als a. Étiru Dr 235, 2. * Ardi-ia Dr 379, si. $ Ardi-" Gula a. Egibi CbP 130, 22(?) Dr P 132,7. als Ardi-" Uras Dr Pa 17, 16. SUSE c [44 96 (Zablut) s. als ”Bel-iddin a. Da-bi-bi Dr 550, is. als ?Bel-iddin a. """ràb bani Dr 395, 26. [396, 24]. als ?Bel-ka-sir a. "Arabi Sa .... Dr 267,2. als ?Bel-Sum-iskun a. ^"? gipi Dr 371, 10. als * Bél-uballit a. "NI. SUR gine Dr Pi 12, 18. i Bel-uballit a. rei alpi Dr 347, r. il Bel-usallim a. ? Sin-Sadü-nu NÅ 504, 0. als Ha-ba-sir a. "2nappahi Dr 575, 6. Ha-ba-si-ru a. ^"? rib bani DrP 61,18. Has-da-a-a Dr 404, 6. 15. als Ibna-a a. PL GIS DrP 55, 11. 68, 2. als Iddina-a a. Egibi Dr |247, 3). 249, s. alt Iddina-a a. Etiru Dr 376, ro. alf Iddin-"Nabh a. Éfiru Dr 351,20. 374, v. als Ina-Esaggül-Sa-du-nu a." Sin ...... DrP 7122: 20. als Zqu-pu a. *"? si-si- Dr 483, 1. als Fri-bi Dr 386, 2. als Itti-" Bél-im|um-mir a. (er) Massar abulli Dr 545, 8. 560, zo. als Itti-" Marduk-balàtu a. Egibi Dr 243, s. 290, 4. als ftti! Nabn-baläatu a. (ré) Si-si-i Dr 384,78. 401, 7. 448, so. Dr L [20, 6). 25. als Ki-na-aplu a. Egibi Dr 252, 7. als Kur-ban-m=-" ..... Dr 574, 5. als La-a-ba-Si a. resa tabtısu Dr 244, 16. als “Marduk-erba a. Epes-ili Dr 172, 14. als ? Marduk-na-sir a. Nür-" Addu Cb 349, 7. 30. als ?Marduk-Sum-ibni a. ^"^" $angz-? Ninib? Dr 231, zr. als ? Marduk-Sum-usur. a. An-da-har Dr 298, zr. [575, 2t]. al$ Muiézib-? Marduk, ""?5ahàtum xa * Sah- rinnu Dr 338, s. als Musézib-" Mardu£ a. Di-ki-i Dr 446, v7. AE NER sas ve a. Si-gu-á-a Dore 35. als 2Nadü-ahe .... Dr 388, 7. als * Nabü-étir a. Egibi Ng 16, x. 36a als "Nabü-näsir a. Esaggil-a-a DrP 113, #. bajs “Nabi-tab-ni-usur$u a. Da-mi-qu Dr P 143, 6. als Nabi-usursu a. "oi^; Dr 235,9. DrP SI 20, ’ Knut Tallqvist. 37aals "Nabü-zir-Usir a. Na-bu-un-na-a-a ? P 122 > 22,7. als * Na-na-a-iddin a. ^"? nappahi Nk 111, 7. als * Nergal-iddina a. ^"? aslaki Dr 469, rs. 40. als "Nergal-usalfim a. H2-" Marduk) Nd 396, 2. als "Nimib>-iddin Nk 52, 16. als Si-lim-2 Bel a. Mar-duk-u Dr 377, 12. als Su-ga-a-a a. Etiru Dr 97, 72. als 7Samas-u-ki ... Nür-" Marduk Dr 575, 15. 45. al$ Sa-pi(-i)-kalbi a. rélgipi Dr 290, 8. 386,28. 486, 19. al! Sapik-zir a. Mu-te-zib. Dr 347, 2. al Sá-ma-a Dr 261, vr. af Su-ma-a a. Sag-gil-a-a Cr 293. als Süm-ukin Dr 108, s. 50. al$ Sum-ukin a. Da-bi-bi Cb 317, 1. soaals Te-[rik-Sarrütsul® Dr CT IV 44, s. als Us-Sa-a-a Cr 313, 5. a. Épek-ili, s. " Bél-ittannu. a. Etiru ?P (149, 9). a. Kalbi-! Szn, s. Ana-" Bel-eres. 55. a. Künik-bàbi, s. Balatu 48? (Nd 258, 25). a. Liga, s. Igupu. a. UVP sist, S. i Samas-iddin. a. "Samas-etir Cr 292, 15. a. ?"? ang? "Ea?, s. "Samas-iddin. 64. a. Sigu--a, s. Iddina-" Nabà. Liburu (Li-bu-rulbur, vgl. Vollnamen wie Vabi- Sumu-lbur) Nd 96,4. 578,19. Cr 362,17. S. R£müt-! Naba. I. af Kal-ba-a a. "lea Nd 578, zr. als Na-bu-un-na-a-a Cr Pa 3,48. Nk 8, 13. als 7 Nabü-zsir-ltir a. Na-bu-un-na-a-a Nk em Cr Ramon: als Såpik?-sir-lisir a. Na-bu-un-na-a-a Cb 284, 2. à. Bu-un-na-a-a, Ss. Zu-um-ba-a. a. * Ea-pesi-ilif^, s. " Bél-iddina. 1 Ga-hul Nd (720, 202). 1. 7 Nati Na-0u|-un-na-a-a Cr [160,16]. 161, 55. 188,41. 337,23. 345,48. Cb 308,1». 368,12. Liéa(? ID. GÁL-e-a, ID. GÁL-£-e-a (Nbp ZA IV 6,3. Nd 974,16), auch mit Determ. ^") Nd (1103,13). Cb L (18, s4). S. Ardia 50a, ”Béel- aplu-iddin 17, -éfir 43, -ipus 3, -iqiÿa 8, T. XXXIL Un n ^, N Neubabylonisches Namenbuch. (Léa) -kasir 27, -usallim 17,28, Erba-*Marduk 21, GZzamu 13, Îqupu 17, Musezib-" Marduk, " Nabü-&tir 40, -igisa 5, -mugqi-e-lib 3, ” Nergat-étir 14, Nidintum 15a, AZiüt-" Bel 13,7 Sulmån-Sum-iddin B U-bi-e-a 1. JLi--i-tum Ng [11,7]. Nd 388, 2. 787, 9. / Lil-li-ka-uu Cb 330, 19. Léntth-libbi-ilit^. (Li-nu-uh-hb-billibbi-ih‘?9, «das Herz meines Gottes móge sich beruh- igen!») Nk 458, 5. Nd 883, v. Cr 174, 7. Cb 268, 15. 387, ». 402, 4. S. Låbåsi, " Mar- duk-erba. Liplah-" Addu (Lip-läh-" LM Nk 55,11. Nd 148, 1. 154,8. 1059, 9), vide Lultammar-" Addu, vgl. BzA I 281. Li-su-nu-ri (vgl. Lüsil-ana)-nür) Nk 402, 17. Lisir (Lisirscrulrüralr, vgl. Vollnamen wie Ahu-Usir, Nabit-aplu-lsir, -zir-USir etc.) Nbp (ZA IV) 13,6. Nk 19, 2. 27, 3. 192,2. 230,12 306,4 338,6. 402, 22. 18,8. 70,8. Nd 398, 20. 583,25. Cr 127, n. 348,4. Cb 141,12. Dr 500,5. ""2jrrisu Nk 452,29. S. ”"Bel-iddin 223, Mannu-akt- 7 Addu, ! Nabü-usursu 18, Rimüt-" Bel. Nk 249, 7. Cr 348, i. Apla-a a. ""? Yang? Sama Nk 45, 15. CECI INC Ba-zu-zu DrP 133, z. 134, zr. " Bél-aplu-iddin Nk 435, 11. Dummugu Nk 310, s. Nd 1074, 7. E-til-lu Nd 991, s. Ng 49, 4. als *Marduk-erba a. (E)sag-gíl-a-a Nk 71,3. 210,2. 273. Nd [105,3]. 111,3. 149,4. [10703]. Sa af “Marduk-ufallim? 84-2-11, 344. 7 Marduk-sör-ibni Cr 111, 4. 10. af Mu-ra-nu a. éthahari Nd 147, ss. |* #Nabi-ban-aki a. "Sin-sa-du-nu Nå 623, s. Cb 166, 3. 173, 4 (Schreibfehler!). Y " Nabü-étir a. Egibi Ng 59, 26. |* i Nabå-nåsir Nk [34, ro]. als *Naó&-usallim Nd 196, 16. | IS Na’id-" Marduk a. Ardi-"Ea Ng L Yt, ss. als Ri-mut a. Pa-ha-ru Nk 82. | Liburu 1, | Ba-lat-su Cb 185, 3. | Ki-din-"LBe/]?, ^"? sa-par bit NIN.GAL | al a| X Ri-mut a. 2Sin-ilu Dr 470, 13. X Sil-la-a a. ""* bàn? Cb 308, 5. as 2Samas-näsir-aplu Dr 543, 28. als ? Samas-uballit Nk 240, 1. a. Abi-ùl-idi, s. Ahusunu. a. amelu-ü, s. Iddin-" Marduk. a. Egibi, s. Igisa-a, * Marduk-erba, * Nabü- USUrSU. a. EN. GAL. BUL? s. Nidintum-"Bel. . Mu-Se-zib, s. " Bél-iddin. a. !Nabü-eres, s. " Nabü-Eàsir, -kin-zir. a. ! Nabü-étir, s. Nabi-zir-igisa. a. énappali, s. Nimüt(-" Bel), Tabnéa. a. ^"? NT..SUR gine, s. "Nabu-etir. . ent yàb bant, s. "Bel-ahe-erba. a. Ri-Xá-h-a, s. Napisti. a. Saggil-a-a, s. "Bel-iddin. a. " Szu-Xa-du-nu, s. "Nergal-uballit. a. Si-si-ia Dr (340, 20). . YSamas-(a-)ba-a-ri, s. Gimil-" Sama. a. "Haye? I Ea, s. Ni-qu-du. a. "Yang? parakki, s. "Bel-uballit. 38. a. Si-gu-&-a, s. Apla-a. Lu-ba-lat («er möge leben») 1. a. " Nabá-na-a-a SmkM II 4, 9. /Lü-baltat (/Lu(-#)-bal-ta-atltat? Dr 319,4; «sie móge leben!» Nk 379,4 Nd 343,3 Dr 319, 4. 370, 15, 40. Lu(Dib?)-bar-ri Cb 99, 10. Lubus(KU. HI. A?}-ili (Nd 534, 2), s. “Nabt- edu-usur. Lul-4i)-di-ialela-al («ein Gott möge an meiner Seite sein!») Nd [906,4.] 1010,19. Cr 244,5. 262,13. S. 7Samas-igisa 8. I. als Ba-la-tu a. ^"? ka-nak babi Dr 563, is. a. Na-ba-a-a, s. " Bêl-ittannu. es d it Sgna-erba. Cr 221, 1. /Lu-ü-di-ia 1. m/s X Nergal-usallim a. Egibi Cr Pa 3, n. CrP [16,16]. DrP 117, 1s. Lultammar(-"Addu) Lul-tam-mar, Ul-ta(-am)- mar-, Lul-tam-" 42. S. "Bel-usallim 8, Id- dina-a 7, Nädin 2, Säpik-zir 1. Lu-lu-n (sÜppigkeit» ?) I. Ri-mut Nk 458, 20. 2 LUM. LUM-abu-usur 1. al$ Has-da-a Dr 345, zz. 98 "LUM.LUM-ahé-iddzn, s. Ahu-Limur. #LUM.LUM-àk-iddin Nd 312, 4. Lümur-dumqi-! Bél(Lu-mur-dum-ki-! BYNd 400, 3. 508. 509,3. Dr 379,17. S./ Ma-båbi-magåri- alsıs. Lu-pu2-Su-pi-ta, s. "Bunene-ibni. Lüsö-ana-nür-"Samas (UD.DU-a-ana-LAH. 751), s ? Nabi-ban-ahi 16. Lüsi(-ana)-nür (UD.DA-a|Lu(-u)-UD(DU)|LU- UDlus(-su)|Lu-su|Lu-UD.DU-a|Lu-sa(-)| Lu-si-(anala-na)-LAHlnu-ür; «(das Kind) möge in das Licht hervorkommen!») Nk 240,19. 287,2. 315,4 394,2,18. 395,7. 401,10. Nd 526,6. 787,9. Cr 94,12. 174,6. 192,2 ("!7nandidi). Cb 70,16. 233, 31. Dr 128, 1. 368, 13. S. " Ba-ti-il-Se-zib, " Bel-ahe-iddin 31, -uballit 45, Müranu, Oubbar, Sun- Eun, Taddannu 7. 1. als "Bel-ah-uSsabsi a. Kas-si-dak-ku Ng 31, ar. als Kudurru a. Epes-ili Nd 680, 10. S IS 2Marduk-erba a. élpurkul DrL 33, 1. |S ? Marduk-ztr-ibni a.?"*nappahiNkL 21,4. 7 Nabü-ahé-iddzn a. Sa-na-:i-su Nk 242,11. als * Nabü-étir-uapsati à. Cb 80, rz. 3OI, 3. * 2 Nabü-ü-tir-ri, """qalflu Nd 681, 2. * "Y Nabü-zir-uXabsz Nd [135, 5]. 2 Nergal-uballit a. Epes-ili Nd 77. IO. als Ri-mut-"Bel a. *"* Paset Dr 433, a. als Si-lim-2 Bél a. Kalbi-" Sin Nk 25, 2. Sam-ukin a. mi! Sangz "IStar Båbili Cr 00,5, DEP 7 «0: als Säum-usur Nk 122, 1. 138, 14. a. An-da-har, s. lddin-" Bel, " Nabi-uballit. 15. a. Ar-rab-tum, s. !Nabü-Sa-ba-bu. a. "Bel-etiru, s. Nidintum. a. Epes-ili, s. " Samai-iddin. a. Ga-hal, s. * Nabü-etil-Mánr. a. Kalbi-" Sin, s. "Marduk-Sum-usur. . n kuddimmi, s. Kina-aplu. a. Liéa, s. ?Bel-usallim. a. "Nabü-ahe-iddin Nk 25, ». 295, ». a. "Nabü-zir-usabsi Nd M II 48, 7. a. élnacvar, s. Käsir, Napistum. . Nik-ka-a Cb 233, 13. a. El pahari, s. Jddin-" Nabi. a. "Sin-Sa-du-nu, s. Silim-" Bel. 2 Sin-näsir | Knut Tallqvist. a. Sa-na-Xi-iu, s. i Bell Nabu-Sum-iskun, Müranı. 29. a. *"?igo[mel| Xrx 3, e. Lüsi-ana-nür-"Marduk (Lu-UD.DU|UD-sujus- sulsa-, UD.DA-a(Cr120, 15) -ana]a-na| LAH- M1). S. Ap-la-a 53, "Bel-iddin 163, Ki- dinnu-"Marduk, | " Nabü-aplu-iddin 29, -musétiq-urri 26, -zir-ukin26, Rimüt-" Bau 1, Su-qa-a-a. 28. 1. als Balät-su a. " Bél-étiru Nd 990, 32. Cr P IT, 17, PP I2T, zo: als Kiribti a. Egibi NAM 21, is. als * Marduk-er-ba a. Egibi Schreibfehler?]. DrP 54, 3. als Mu-se-zib-" Marduk a. 351,4. 5. af Na-din a. ré kuddimmi Cr [227,7] Lussu-ana-nür, vide Lüsi-ana-nür. Lu-ut-tu-a (Ng 67, 3), s. Gimillu. Dr [550, r Su-ha-a-a Cr Ma(Ba?)-gár(gar?)-tum 1. zu]|3 #2 Naó-éfir a. "nappahi Cb P 28, s, s. Ma(Bat?)-hi-ir, s. " Samai-iddin. / Ma-hi-tum 1. m|$ ! Naózt-al-si-ul-a-ba-a$ Cb 79-4-19, 3 (CIS II 64). Malahu (ev? MÄ.DU.DU]Ma-la-hulha «Schif- fer»), s. Ardia 44, Ardi-elippi-igri 1, Ba- làtu 28, "Bel-ahe-igesa 8, -iddin 133, E-ri- Su 2, "Marduk-Sarrani 7, -Sum-ibni 13, -Süm-usur 21, "Nabt-kasir 34, -muk-kt- e-lib 2, -Sum-iskun 32, Römüt 60, ! Sulimán- ah-iddin 1. #Malik?-naid (?GAL-IM.TUK) NbpM II 13, s. Ma-lul-tum (Cr 27, 12), s. Gimillu 25. | >-ma-ma-nu-su-li-U-sur Nd 681. | 4/7 Ma-am-mi-tum-si-lim ? 84-2-11, 165. 1. n|s " Béc-nummiri-an-mi NK 147. / Ma-na-an-ta-a ; 1. m|$ SBe-lit-su-nu Nd 75, 15, 20. Man-di-di (auch mit dem Determin. 272, «Ver- messer»), s. /Bé/-eres 12, 13, -i{tannu 48, -uballit 32, -usézió 12, Bu-na-nu 2, " Ea- iddin 13, Iddina-a 47, Iddin-" Marduk 32, Jddinünu 5, Kabtia 19, 7 Ka3-3a-a 5, "Mar- du£-uxallim 1, Musézib-" Bél 49, "Nabn- aplu-iddin 81, -eres 14, -êtir-napSati 18, T. XXXII: Neubabylonisches Namenbuch. (Man-di-di) -kasir 5, -nädin-Sum 5, -nasir 42, -Sum- iddin 7, -Sum-iskun 4, -uballit 15, -zör- ukin 17, Römüt 76, Rimüt-" Bel 27, Remüt- i Naba 14, Saddinnu 4, 7 1 Samas-Sium- ukin 7, 2 Sulman-Xam-usur Y, / Tábatum 8, il Uras-Sum-iskun Y, Zir-bi-bi 3, Zir-ukin 6. Mandidütu ("2 MU-á-tu), s. Ba-si-ia 9. Man-gi 1. al$ "Nabü-iddin Dr 17. Ma?-ni-ia 1. als Itti-" Nabü-balatu a. "Ea-epes-ili DrP 105, 8. Man-nu-a-ki-i-Addu? I. als Li-sir Nk 360, 122 Man-na-ki-i-ilani, vide Mannu-aki-ilani. Mannu-akt-ilani( Man-nu-a-ki-i| Man-na-ki-i|- AN! «wer ist wie die Götter», vel. ab. Ma-an- nu-um-ki-ma-ii-ia Bu 91-5-9, 301, «s (CT II 22), s. *Nabü-nalid. I. als Nür-e-a Nk 322. Man-na-a-ki-i-" I$-tar-ia. Dr 379, ar. Man-nu-a-ki-i-"Nabi! Art CIS II 66. Man-nu-a-ki-i=" Uruk 1. al$ Dan-nu-" Nergal Nd 448, s. AMan-nu-da-mu-üu 1. als Ri-mut Nk 227, 4. 2. als Ri-mut a. Ardi-" Nabt Nk 175, 14 Man-nu-di-di-ilàni («wer ist der Liebling der Götter?») Cb 381, 3. Man-nu-gi-rulri-Su («wer ist sein Feind?»), s. X Nabü-ban-zir 7, -etil-ilåni 3, Rimüt 50. / Man-nu-i-da-at|ss-su-i-di («wer kennt seine (Got- tes) Zeichen?») CbP 34, 4, 1. S. Sa-pi- kalbi 4. Man-nu-i-qab-{bi], Man-nu-i-ga-bu («wer ruft?») I. als Naba-naid Nk 194, s. F 2. als Na-an-ni Dr CT IV 41, ss. Man-nu-ki-i-ahi («wer ist wie Ahu»; as. Man- nu-ki-i- PAP K 365.83-1-18,381 etc. JADD III p. 98; vgl. Man-nu-ki-PAP KK 241, X4. 294, 8. 316, Man-nu-PAP# K 334 rev. 6) Nd 1, 9. Man-nu-ki-i-" Bel Cr 171. Man-nu-ki-i-" Nabü Nbp M II 14, 7. Mar-di-ni-ia Xrx (4, 2). Mardukla,u (Mar|Marad-duk(-alulu)|du-ku, als No 2. t3 Urt 99 Probename Mar-duk K 241, X 18; «o Mar- duk!» abgekürzt aus Marduk-aplu-usur etc. NbpM II 14,6. Nbp (ZA IV) 8, u. Nk 21, ». (57,8). 315,9. (417, s). Nd 382, 4. 384, 7. 493, 2. 690,3. 714,2. 8IA, 4. 99I, 8. 1085,14. I126,4. Cb 268,16. Sa eli eir Nd 899, 7. ""? sipig " Sama Dr 43. 427, s. S. Abi-ul-idi, Ahéa, Ardi-" Bel, Ardi-" Bu- nene 1, “Bel-ahe-iddin 20, -ah-usabsi 12, -iddin, -kåsir 43, -Wü 1, /Dam-qa-a 2, Erba-"Marduk 5, [ddin-" Nabi 12, Itti- i Samas-balåtu + 13, Liblut 42, Musezib- il Bel, I Nabu-etir-napsäti, -napistun-usur 9, -Sär-ibni, -Sum-ibni 11, -Sum-iskun 13, -Sum-usur, Rimüt, Silim-" Bel, Såkin sum 2 Sum-usur, Zab-di-1a, Y A-di--Uu a. "Nabu-zir-iddin Nk 70, s. it Bel-ipus Nd 568, 4. 1028, s. il Bel-na-sir a. *"" bg iri Dr 488, 14. $ #Bel-uballit Nd 936, a. 5 Dam-qa Nk 283, ss. 5 is R I xL EE De Me 7 Ea-bün-zir a. Dannu-" Addu Dr 309, 23. Ha-za-a-nu Nk 86, i. c oi SES $ Jd-di-id a. ^"? Dr 76, zs. I$ Kabti-ia Nk 227, s. $ Kal-ba-a a. Ardi-" Ea Nd 715, s. Ki-na-aplu Dr 497, 14. #Marduk-Sàr-usur Nk 276, 15. Ri-mut-"Bel a. “abi biti Nd 126, 10. 274, 10. als Såkin-Sum a. "Addu-Sum-eres Nd 128,8. c. € [427, 10]. Cb 328, ». Dr 23, 3 = "Mardu£- aplu-usur 2. auae Nk (290, 9). S. ? Ea-s£r-ibni. a. ""?aby biti, s. / Kupputtum. a. ameta Ig fer, S il Naóü-étir. a. " Addu-Sim-eres, s. Låbasi. a. "Bel-ipus Nd 462, 3. 506,4. 540, 2, vgl. no. 2. a. " Bél-uballit Nd 934,3. Cr 176,7. Cb 141,10, vel. no. 4. a. Dam-ga, s. * Nabü-zir-usabst. a. Dannu-! Addu, s. "Bel-käsir. a. i Ea-ilíta-ibni, s. Iddin-" Marduk, Sum- utn. a. " Ea-la-tab-ba-ni, s. Iddin-" Nabu. a. Épes-ili, s. 7 Nabn-belsunu, -Sum-usur. * 1: us 100 (Marduk) a. öl gallabı, s. Z4. MAL. MAL-napistim- usur. a. Ir-a-ni (Nd 316, 6), s. Nädin. a. Mu-Xe-sib, s. Gimil-? Sama. a. 61763, s. Musezib-" Marduk, * Nabü-étir- napsatı. a Samas-balätsu-igbi Nd 1130, 7. a. #Samaë-iddin Cb 130, 9. 32. a. U-muq, s. Musezib-"Bel. “ Marduk?-abu-Su, -a-bu-Su, s. Nadin 8, Nidinti 34, "Nabiü-tabni-usur 9. 2 Marduk-ahe-builit (M-SES#] PAP. ME-bil. dit), s. " Sama3-na id 1. 30. I. a. ^"? ape? Zariqu (Nk 20, 13. Dr 313, 12), s. Rinüt-" Bel. X Marduk"»2-ahe-iddin Ev |1, a]. I. a|$ Kabti-ia Cb 109, s. 2. a. "€ NT. SUR gine, s. Tagis= Gula 5. X Marduk-ahe-usur, daianu Nd TSBA #Marduk\-àk-ibni Cr 294, 14. 1. als Jddina-"Naëbñ a. Abi-ul-idi Dr 298, 15. 2. a. Ga-hul-" TU. TU, s. "Marduk-Sim-usur. | X Marduk'-ah-iddin I. a. *"?$o592 Y Ea, s. Niqudu. X Marduk-àh-usur (MT LS ES|PAP-SE.S| ü-sur| /2212)) (Ce 360) 1% 1. aff Si-/a- Cb [143, 5]. 144, 4. CbL 10,5. ? Marduk-aplu-iddin|, (#MM-A] TUR. US-MU] SE-na) Nk 156, 6. I. als Itti-" Marduk-balatu a. Egibi Dr 202, s. als "Nabt-Sum-üu-kin a. ve Sange "Ea Nk 363, 3. als * Nabü-á-Sal-fim a. Da-bi-bi Dr P 81, :s. alé Sàbin-tum a. "Addu-Xum-iddin 524, 10. 5. a. *"?! Abi biti, s. Nabi-bêl-Fumati. 6. a. *"? Sape? "Ea, s. "Bel-Sum-iskun. 7 Marduk-aplu-usur (M2 A-SESI PAP, abge- kürzt: Marduka) Nk 351, 9. 1. als X Bel-zir-ibni a. ""?"»a55afi Ev 19, s. als "Marduk-Säkin-Sum a. " Addu-Xim-eres Nd [260, x]. 280,4 NdL 2,18 = Mar- duka 14. als "Nabü-Sum-iddin a. Na-ba-a-a Cr 12, 9. 4. als Sa|-Ein-Xim a. *"Addu-Sum-eres|? Nd 305, 19. Nd Knut Tallqvist, "7 Marduk-balätsu-igbi (*MV?- TIN-su-Elig-bi) Nd 719, s. Dr [152, »j]. Dr Pa 2r, sx. 1. als Båni-ia a. Na-ba-a-a Cr 177,19. Dr 45,1. 64,18. [70, 72?] 93,21. 114, 1. 131,12. 137, zz. Ier 1168,10. 170, 12] PR ke GA 184, 13. 201, ir. als "Bel-ahe-iddin Nd 1048, 9. als Erba-" Marduk a. *PBêl-ia-4 Nk 333, 7. als L-qu-pu a. E-til-pi Dr 472,16. ?P 119, 2. 4a als Titi Nabü-balatu a. "Ea-Epes-ih Dr P IOS, zz. 143, zz. . als Kit-ti-ia a. ^"? ano? * Ea Nd 309, 13. als “Nabü-zir-iddina a. Da-bi-bi Nd [772, rs]. 802, so. 807, 17. 815, 22. IOI3, 13. als Na-din a. Kas-dak-ku Nk 189, ro. als Ri-mu-tu a. Da-bi-bi Nd 442, 12. | a. Ahu-ia-ü-tu, s. Musezib-" Marduk. a. Epes-ili Nd (43, 3). a. Na-ba-a-a, s. *Marduk-rimanni. I2. 2 Sin-Sa-du-nu, s. Labası. |! 2 Marduk’-bal-ht-su Dr 45 5, 21. " Marduk'-ban-ahi Nk (378. 3). S. Bi-ba-nu. X Marduk-ban-ztr I. als E-til-lu a. WBel-etir Cb 73,3. 110, 3. a. "Bél-éfiru, s. Jiti-"Nabn-balätu, Itti- 3 Sapa-balàtu, MuSezib-! Marduk, Nabir- aplu-iddin, "Nergat-iddin, "ZA. MAL. MAL-igtsa. 3. a. Da-bi-bi, s. 1ddin-*Be1. | 2 Marduk-bel-ili (4), s. /Nu-ub-ta-a. I. Q. 22......8. 2Marduk-Sum-iddin. a. "Bel-Etiru, s. " Naóg-iddin. 3. a. Si-gu-ü-a, s. Iddina-a. |" Marduk'-bel-napsäti I. a. ""? ang? ?! Samas, s. " Nergal-afé-iddin. #Marduk\-bêl-Su-nu Cb (320, 11). 1. als Ardi|Ar-du-" Marduk a. ^"? 3ang? I Ea Dr 205, 1. [219,16?]. 268, 4. 286,72. 294, zo. | 318,2 321,38 325,86. 330,20. [33I, zz]. 334, 3. [339, 20]. 376, 14. 429, v. 450, 7. als Ardi-" Papsukal(= Marduk?) a." sang? UE. Dr 356, s als Itti-"Nabü-balätu a. Da-bi-bi Dr 466, 15. 467, 12. als " Marduk-iddin a. *"" nappafi Dr 522, 10. 5. als Musézib-" Marduk à. ..... Dr P 88, 19. als * Nabü-étir-napsati a. Da-bi-bi Dr 481, 1. T. XXI. Neubabylonisches Namenbuch. (X Marduk-bel-Su-nu) als "Nabü-uballit a. Etir Dr 347,19. Dr P 68, 15. als "Nabu-uballit a. ^"? nà$ patri Marduk Dr 305, 16. als " Nergat-iddin a. Egibi Nd 916, 12. IO. a. /r-a-muu, s. ?Bel-ipus. I Marduk!-bél-t-sa-tim 1. als /tti-"! Marduk-balätu a. Na-bu-un-na-a-a Nk 164, 42. Marduk!-bel-usur (PAP) U-sur-a-mat MEN , 8. Iddin-" Naba. X Marduk-bel-zöri 1. als "Bel-usallim a. Amel-" Ea Nk 198, 13. als Sá-la-a a. Ü-sur-a-mat-! Ea? Nd M II 54, 32. a. Amélt-" Ea, s. " Nabü-nädin-ahi. 4. a. Mu-sa-lim, s. "Nabü-igisanni. LSE Marduk'-e a Grein n Marduk" ?-er-balSU Nk 208,3 Cb 15,10. Dr (184, 12). ^"? daz;-qar Nd 958, 13. S. 7 Bel- ah-iddin, -uballit, Harizànu, Kal-ba-a, X Nabü-zir-ukin. E als MATE Ne bs GA Re CRIE Esaggillai Nbp (ZA IV) 3, s. als "Bel-iddin a. Si-gu-á-a DrP 87, 22. * /gise-a a. *'Sin-karabi-iSime Nd 508, : 534, 28. 1032, >=. CrL 16, 2, 1. Cb 81, z« 5. als Kz-rib-tu a. ..... Nd 230. als Li-nu-uh-libbi-ili Dr (ZA I) zo. Y Li-Si-ru a. Egibi Nk 191,72. Nd 47, 5, 17. |$ “Marduk-Sim-ibni a. Egibi Ev 7, a. |3 a b c E à 2 Marduk-Süum-ibni a. "Sin-Sa-du-nu Nd 390, 17. als * Nabü-balàtsu-iqbi a. Egibi Cb P 34, 22 als * Nabü-balátsu-ig-bi a. Epes-ili Cr 37, 9. [58, 4]. c. s IO. als "Nabi-ban-ahi Nd 678, 20. als X Naóü-Xam-iddin a. Mu-Eal-lim Dr 474,13. als * Naba-tåg-bi-lisir a. * Ea .... Dr 38, ss. 15. als " Naóü-zir-ibni NK 313, s 15a als ”Nabü-zör-ukin Art KB IV 312, als Na-din Ng22,:2. 43,4. Lab 3,4. ln als Na-si-ri a. él ang? ! Ea Nk 164, ur. als Ri-mut(- a a. Mi-sir-a-a Nd 9,3. 50. 53. 65, 25. 67, 21 (frs GIGA TIME) S PD UE No. 2. IOI 20. a. Ba-bu-tt Dr Pa (7, 16). a. Ba-la-tu, s. Iddin-" Del. a. Egibi, s. Lüsi-ana-nür-" Marduk, Nidin- tum-" Bel. a. Épes-ili, s. " Bél-uballit, Liblut, * Nergal- iddin, Sellibi. a. Ga-hul, s. "Nabü-aplu-iddin. . Jddin-"Bel Alex ZA III 150. a. Iddin-! Marduk, s. "Nabü-balätsu-igbi. a. Mi-sir-a-a, s. Rémüt-" Gula. a. Mu-kal-lim, s. Arrabi. a. lmappahı, s. Balätu, " Bel-iddin. . ame! Pa-eki, s. Bul-ta-a. a. "HU pur-kul, s. Lüs-ana-nür. a. Sag-gil-la-a-a, s. Lisiru. a. "Sin-ilu, s. 2 Nabå-kåsir, litsu-" Gula. a. "?! Sin-karábi-itme, s. Siriq. . YSin-na-din-Sum, s. ! Nabü-baläatsu-igbi. Rimüt, Ubal- a. " Sin-Sa-du-nu, s. Has-da-a. a. Su-ha-a-a, s. "Nabü-ahe-bullit. a. meiSA.KU sa Uruk# Nk 109, 1°. a. "Haye? "Nimib?, s. "Nabü-ban-ahi. 40. a. """ ane? parakki, s. "Nabü-kàsir. a. Si-gu-ft-a, s. " Nabü-réüXuna. 43. a. """ U-muk, s. Remütu. 7 Mardukl-eres (KAN]PLN-e3) Nk 303,3. Cb 268,14. enölyaggarıu Nk 298,2. S. Ap-la-a, Ba-bi-ia, Bel-Sum-iSkun, Taddannu 5. I. als Du-mug-qu a. """^ah5bahi Dr 552, rr. [569, s]. 572, + Dr L 26, zs. 1 s. #Marduk-zir-ibni. a. "ULL s. Musezib-" Marduk. a. Il’-" Marduk, s. INidintum. 5. /r-a-ni, s. Nabt-bullitsu. 6. Ziria, s. "Marduk-iddin. X Marduk"-e-ti-ir|SUR|KAR-ir NKI 7,4. Nd 515,5. Cr (169, 12). Cb 268, v. Dr 323, 1». 510,7 (572,12). S. Ardia, Ardi-" Gula, Esaggil- zir-ibnt, Musesib-! Marduk," Nabt-ittannu, Nidintu- Bel, X Sin-ibnt. Dr 152, ze. |3 A-gar-aplu a. Egibi Nk 100, re. als "Bel-elir a. ..... Cb 44, 47. |$ #BêLétir a. Sa-na-Si-Su Cr 211,12. 5 #PBêl-iddin a. ^"? y22 sis Nd 593,5 * Del-Su-nu a. Da-bi-bi Nd 293, 39. a. As-sur, 102 Knut Tallqvist. (Mar dukV?-e-ti-ir) i 40. als Erba-a a. "Rab bani Dr 568, 24. als Jddina-"Marduk a. (X Ea-)epes-ih9) Nk 7,3. Små (ANING aa Dr26,3. 150,17. [152, 2]. 321, s». [410, zo]. als ? Itti-"Nabu-balätu a." Bel-£tiriDrP 85,12. als *Marduk-Sim-ibni a. Si-gu-ü-a Ng 1,20. ‘ Mu-ra-nu a. Egibi Dr 156, ro. "Nabü-ga-mil a. Egibi Nd 66, 4. als "Nabü-kin-aplu a. Da-bi-bi Dr 323, 1. als "Nabü-Sum-iskun a. Mu-kal-lim Dr 499,6. DrL 20. als ?Nabüu-usallim Nk 334, 7. als “Nergal-iddin a. Ba-bu-tu NK 101, zz. als #Nergal-uballit a. * Bél-étiru Ng 60, n. Cr 275, 7. als Ri-mut a. Ardi-"Nergal Nd 515, 14. Nd M 25, 74. als Sil-la-a a. Kalbit-" Sin? Ev 10, ır. als Såkin?-Sion? a. 7"? $a. tabtisu Nbp (ZA IV) II, 9 als Sü-la-a a. Epes-ili Nd 724, 7. a. "abi biti, s. "Nabu-ahe-iddin. a. "Addu-Sam-me-e, 5. Kidinu, Kidin- X Marduk. a. vnel yllaki, s. Musesib-" Marduk. . a. A-gar-aplu, s. Musezib-" Marduk. a. Ardi-"Nergal, s. "Marduk-zir-ibni. Tabnea. a. "Dang s. Musesib-"Marduk. a. YBel-eres Dr ZA V. a. "Hb, S. . a. Bi-ib-bu-ü-a, s. " Nabh-Sum-iskun. DREI EAN (BONES) a. Egibi, s. Kin-zir. a. Etiru, s. /gésa-" Marduk, * Marduk-sakin- Sum, “Nabt-ban-aki, -Etir-napsäti. . &. Ga-hal, s. " Nabü-kisir, " Nergat-usalfim. a. Jó-ni-ilu Nd (437,5). S. Ina-Esaggil-zir- ibni. a. Il" Marduk, s. 2 Nabå-balåtsu-igbi. a. Kalbi-" Sins." Nabü-napistim-ugur, Nådin, Sá-La-a. a. "Ki-din-" Marduk, s. " Nabi-bån-alu. a. Mu-dan?-nu(?) Dr L 20, 1. — Mu-kal-lin? a. Enappalr, s. Musezib-" Marduk. a. "nås patri Smk P It ab a. "pahari Dr (245, 30). a. wrêlyab bui DrP 83, 15. 45. a. melyab "Belt, s. "Nabü-kusursu. a. Sag-gíl-a-a, s. Balatu 19. a. V" Szn-Xadünu, s. Låbåsi. a. mH ay o; 1 S aptas, s. Làbàsz-" Marduk. a. 9"? $a tabtısu, s. Ardi-" Marduk. 50. a. Si-gu-t-a, s. "Bel-aplu-iddin. 51. a. Ziri-a-a, s. ! Nabü-étir-napsáti, "Nergal- iddin. Marduk!-ha-tin 1. als Ri-e-mu-tu a. "Sin?-ü-tu Nd 9, 15. 2 Marduk!-ibni Dr 2, 17. TN NSL S. 7Nabü-ban-ahi. 2. a. *""»àb banı, s. "Nabü-igbisu. #Marduk\?-1ddin Nbp M II 14, 4. Nk 36,8. Cr 161, 8. 176, 11. 243, 3. (360, 3). S. 2 Nabu- nàsgir, / Ri-mat. I. al$ Ardi-"Nabu a. ..... Nd 1032, zz? als *Marduk-ere$ a. Ziri-ia NAM 21, #. als ?Nabü-Sum-Usir® a. Toni... Cb 109, 3? als i Nabå-sir-ibm a. ..... Nd 996, 7? 5. alÿ Ziri-ia Ng 10, 14? : a. "T aabbali, s. " Marduk-belSunau. 7. a. Pir-, s. Erba-" Marduk. 2 MarduEVLigkYa(-an-ui),-SA. B A-an-ni(vgl.? Mar- duk-giSanni) Dr 301, 25. 1. als Bäni-ia a. * Szn?-3ad? Ev Li 10, 9. Evo, zs. 16, r4. Ng 2, zs. als ”Bel-åh-usa|;bsi a. "Bel-etiru Dr 164, 15. [167, 15]. 325, 29. [333 7]. als Gimillu a. Mu-na-bit-tum ? P. 118, 14. als Ri-mut a. Bel-etir Dr 278, s. a. Mu-kal-lim, s. "Nabü-ah-ittannu. 6. a. "Sin-Sadü, s. Erba-" Marduk. #Marduk\-2$kun-Sim (Nk 313,22), gewiss ver- schrieben für Marduk-Süm-iskun. X Marduk-kabti-iläni (!M!-BAD-AN#) 1. a. Ga|-hal), s. "Marduk-Sum-iddin. X Mardu£-Ealt-lu?, s. * Addu-ah-iddin 1. 2 Marduk-kin-aplu (*MV?-DU-A| TUR. US) Nd 33,2 S. "Nabü-étir. 1. als Ba-lat-su a. Raba-a-3a-" INinió Nd 634, s. als Ba-ni| KAK-ia a. ^"? yàb $u3-3i Dr 137,14. 138, 13. 140, 19. 207, 11. 266, 19. als * Bét-erba a. ^"? bàn? Nd 282. als ”Bel-limnu? a. Egibi Dr 61, 14. T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. (Marduk-kèr-aplu) 5. a|* " Bél-uballit a. """ ane? “lstar Båbili Dr CT IV 32, re. als Itti-" Marduk-balatu a. Egibi Dr 338, 2. IS Ki-rib-tu a. Mi- Marduk Ev 24, 16. |" Nabu-ban-zir a. "^" nappahi CbP 26, o. E Sul-lu-mu a. Sz-gu-í-a Nd 974, 8. IO. als Sum-usur a. Amel" Ea Nd 678, 21. a. Amel! Ea, s. Bullutu. a [i-UMarduk, s. * Bél-iddina. 3. a. "Szn-da-ma-qu, s. "Del-elir, -rimannı, Dangta. #Marduk\-mu-bal-lit Cb [304, 14]. #Marduk\-mu-bal-lit-su 1. als Nabñ-êtir-napiati a. Dr 455, 9. 469, >. 7 Sin-tab-ni-usur 2 Marduk'-mu-kal-lim, s. "Nabü-näsir. X Marduk’-mu-Sd-lim Cr 111, 21. 1. a. Su-ha-a-a Nd 687, 4. 2 Marduk'-mu-Se-zib I als XBel-näsir a. """ bari Dr 415, o. #Marduk\-na-din Nd M II 57, 10. /» X Marduk'-na-din-am, mar Sarri Nk 382, s. 1. a|3? Nergal-uballit a. Bél-étiru Cr 84-2-11,78. X Marduk'-na-din| MU:-aplu 1. als /tti-" Mardu&-balàtu a. Egibi Dr 123, s. 500, 4 verschrieben für ”M.-na-sir-aplu? 2. al$ Süm-ukin Nd 307, 5? 2 Marduk'-na-din-Sum I. a. Sip-pi-e, s. "Bel-Sum-iskun. 2 Marduk'?-na-sir\SES|PAP (no. 19) abgekürzt: Näsir, beide aus: ”Marduk-nasir-aplu, Nk 50. Nd 398,9. Cr 47,8. 364, s». Dr 25,16. DE BA. Tor, 3. 7077/2077 Ch 123,9. @"lnaggarıu Nk 222, 2. Dr 10, 22. 504? S. ? Anum-Sum-Usir, "Del- aplu-iddin, Labasi, Niqudu 5. à a. "Sin-karabi-isime Dr 488, ro. RER 7 Marduk a. Ba-si-ia Dr 489, o. X #A-è-naid a. Bél-ia- Cb 46, 14. $ Ap-la-a Nd Pi 15. Ba-ni-ia a. Ir-a-ni Dr 266, 27. 2 Bel-ahe-iddin a. rer sist Nk 358, s. X ®Bel-etir Art 82-7-14, 152 (CIS II 67). x 2Bel-ıbni a. " Addu-Sam-me-e Nk 403, 13. ZBel-Sim-iddina a. Epes-ili Dr 568, s. 2 Bel-uballit Cb 17, is. sa bit alpi als Iddina-a a. Ga-hal Nd 1132, 2. 11a alé Igisa-a a. lu, muk Dr P 106, 55. 31a a. 40. 45. . aff 20. als “Sama als Itti-"Marduk-balätu a. Egibi Dr 175,3. 214, 3. 328, 3. 333, 4, 14 = ”"Marduk-näsir- aplu 4. als Ki-na-aplu a. ^"? yàb bani Nd 258, s. als 2 Marduk ..... a. "e $0502! En Cb 142, 17. 7 Marduk-usallim Dr 323, 37. | 2Marduk-uSezib a. "Sin .... Dr 338,7. IS I Nabit-ga-mil a. Nu-ha-su Nk 93, u. $ 2 Nabü-Sum-ukin a. Mu-Se-zib Dr 321, 31. alé Såkin-Sum (a. "ange *Istar Bábili) Nd 297, so. 417,20. 505, so. 599, 15. 854, 16. 907,13. 932,18. 999, zo. NdPi 11,17. Cr 96,12. 126, zs. 170, zo. Cb 74, 18. 44, 4s. 102, 13: Nåsir 4. al a. Da-bi-bi Nd 581, 16. al 7Samas-ah-iddin Nd 678, 3. 808, s. als 2Samas-uballit a. "!Sin-karabi-isime Cr 275,10. als Ziri-ia a. """ràb båni Nk 196, re. @Bel-etir-napsäti, a. 2 Addu-Sam-me-e, s. ? Nabu-bàn-ahi. a. Ardi... s. Ardi-"Marduk. a. Ardi-"Nergal, s. Kabtia. a. Ar-rab-tum, s. "Bel-erba. a. Bel-a-a, s. Taqis-" Gula. a. * Bél-e-tir, s. Itti-" Nabñ-balatu. a. Bu-ü-su, s. Ahe-iddina-" Marduk. a. Da-bi-bi, s. "Bel-iksur, Iddin-" Naón. Dannu-" Addu, s. "Nabi-ban-ahi. a. "Ea-ilüta-ibni, s. Ardi-? Nabi. a. Egibi, s. " Nabü-kin-sir, -Xum-uktn. a. Epes-ili, s. 2 Nabü-kasir. a. ^" HAR.HAR, s. Balátu. a. Ibna-a-Sa-ili-ia Cr 312, 34. a. Il" Marduk, s. Såpik-gir. a. Ir-a-ni, s. 2 Marduk-Sàr-usur. a. La-ba-si Nd 692, 10. a. ^" »ualahi s. Balätu. a. rel man-di-di, s. "Nabü-uballit. a. * Mardu£&-[ubal zt? Nd (830, 12). a. Mi-sir-a-a, s. Gimil-" Gula. a. Mu-dammig-" Addu, s. * Nabü-bàn-afi. a. Nür-" Addu, s. Liblut. a. vélpalari, s. Zäkir. a. *"? yyb ban? Nk (56, u). S. Su-qa-a-a. 104 (MardukY?-na-sir) a. ^" y alpi, s. Musezib-" Marduk. a. " Sin>-Sadıt, s. " Marduk-Sum-iddin. 50. a. Sa-bi-na-#i-Xu, s. Iddin-! Marduk (212). a. ^"? amet ii, s. Asaridu (Ng 2, ra), Såkin- duppi. a. ^"? ayez "1star Babili Cr 26,4 — no. 19. S. Jddin-" Nabi. a. "langt Za-ri-qu, s. Rimüt-" Bel. 56. a. Sa tåbtisu (Dr 245, 36). X Marduk-näsir-aplu (MV?- PAPina-PAPna-sir| siar|ri-A) TUR. USlap-Iulli; no.4abgekürzt: #Marduk-nasir, vel. Nasir) Nd 754, 9. Dr 158, 201,9 200) 8 318,0. 325,6. 3028. 392,4. 384,6. 402,3. 404,4. 467, 6. 523, 4, vgl. no. 4. I. als ?Bel-bul-ht-su Dr 363, s. als Jddina-a a. Egibi Dr 237, 2. 312, 4. 409,3. 446, 4. 491,3. DrL 20,5. Art CIS II 66. als Iddin-” Marduk Dr 187, 14. DEZE: a als Itti-"Marduk-balätu (a. EgibilE-gi-ubal- | ht) Nk 13, s. 17,2. Dr 15/8. 23,10. 26, 6,16. 3063891555295 EL AIRES OT GA 24/0 1070 5060) 0217005, 2 IOS 223 9124)32 120,52 127,3. 12943: [131,4]. 134,2. 137,3,7. 138,6? 140,5. 142,4. AA yeah 355 le, 17, 164, 2,9. 165,4. [167,2]. 170,3. 171,3. 172,2. 173, 3. [174, 2]. 176,4. 187,4. [189,3]. 191, 2. [203]. 205,4. 206, 7,10. 207. 210,4, 14. 212, 6. 213,22 215,32 217,,6,12. 225,3. 227,16. 228, 5,12. 229,3. 238,3. 243,2. 246,3. 255,3. 256. 257,2. 259,4, 8,12. 260, 20. 261,2: 262, 3. [263, 4]. 264,5. 265.: 266,4. [269,4. 271,2],4. 273,4. 278,3. 270,5. 280,1,14. 282,4,8. 284,5. 287,2. 288,4. 290,5. 294,2. 296,16, 19. 300, 6. 302,4. 305, 2, 6. 309, 2, 10, 13. 310, v. 315, 4. SU, ZUC, 6 20 te So ee 330, 4208302282), 3557 2.2 3A s Gs 351. 353,2. 354,4 356,4 359. 363. 374. 376,4. 378,2. 379. 387,2. 389, 2. 390, 391,2. 392,3. 395,2, 5,16. 396,2. 401, 402, 6. 403,2. 410,6. 413. 418,2. 423, 424, 2. 426, 3. 428, 2, 5. 441, 3. 443, 3. 448, 450, 4. 455, 3. 464, 3. 466, 6. 468, s. 460, 472,4. [478]. 483, 3. 490,4. 494,2. 497, oom go P ww A8, 3. 53. 60. | Knut Tallqvist, 498, 2. 499. 501,3 503,3 504,3. 505, 2. 506,3. 509,4, 11. 511,4. 515, 3. 519,3. 527,2. 534,4. 541,2. 542,3. 550,5. 561,2. 571,3. DAS 247220) 02e o Sc 175, 16. = no. 6 und 2 Marduk-nåsir 12. 5. als Musezibt-"Marduk a. Egibi Dr 316, 7. 25 72/277 Ne 2, FMC ARS Sa, 349, 3. 400, 7. 405,4. 430, 8. 452,3. 453,2. (459, 2]; vgl. no. 4 und ”Marduk-näsir 12. S. Nidinti-" Bel. 7. a. ”Enappali, s. Musezib-" Marduk. 2 Marduk’-ki-Sa-an]a-ni, -SA. BA|BA-Sa-an-nilau (vel. Marduk-igisanni) Cb 330. Dr(245,34 ) ee Dr 301, 25. als Ba-niBanil-ia a. "Sin-Xadi Ev 9, n. 16,178. Ng 2,». Nd 51,7%. NdM rr, s. [I2, 2, 14]. als "Bel-ah-usa];bsi a." Pêl-êtiru, vide? Mar- duk-igifanni. als " Bé-usallim a. A-ta-mar-an-nu-su Dr Pa 6, 80. 7, 28. 5. als " Mardu&-Xum-usur a. CN Bêl-êtiru Dr 95,2. 266, 2. Dr L 173,2. als “Nabi-ban-ali a. Egibi Dr 504, xs. als Na-din a. emetaslaki Cb P 27, ss. als Ri-mut a. Bel-etir Dr 278, s. als Ziri-ia a. Mu-kal-lim Cb 393,3. Dr 214, zo. 245, 10. IO. a. Bêl-êtiru, s. Iddin-" Nabi. a. Mu-kal-lim, s. "ZA. MAL. MAL-napis- Zum-wusur. I2. a. #Sin-Sadn, s. Belsunu. X Marduk-rimannil, (2 MY ri-man|mu|(ma(n)-an)- nilnu; abgekürzt: Marduk =) Nd795, 14. Cr 144.6. 188,8. 212,2. 377,2. Dr 408,4. 460. 517,7. 532,25. mär Sipri Dr 457, 7. S. V Bél-bullifsu, Itti-"Nabi-balätu, Ki- dinnu 10. Mui Dr 462, 14. ? P 118, ». als "Bel-ahe-iddin Cr 308, 15. 5 ?Bel-ki-Sir a. Na-ba-a-a Cr 45, s. |* BéL-Yu-nu a. Abi-ùl-idi Nk 265, re. 5. als ?Bel-uballit a. ^"? NT. SUR gi-ni-e Smd (ZA IV) 7,3. Dr 297,3. Dr CIS II 68, aram. Beischrift: 95%. Dr(ZA III)». DrPi 12, s. als * Bé-uballit a. " Sin-tab-ui Cb 287, 56. 337, 7% i T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. (”Marduk-rimanni) 6aa|* Bullutu a. .... DrP 107, 3. als Er-ba-a a. "Nergal ... Dr 339, 5. als Jddina-"Marduk a. Nür-"Sin Nd 1025, 9,1. Cr8,s [10,7]. 86,5. 149, 1, 1s. Cb 97, 16. als Igisa-a a. Nür-" Sin Cr 102, a. als Ki-di|din-nu a." Bél-étiru Cr 84-2-11, 78. Dr 463, 5, 22. 487. Dr P [96]. ? P 123, c. als "Marduk-balötsu-igbi a. Na-ba-a-a Dr 359, 20. 498, 21. als "Marduk-Säkin-Sum(PEISER: aplu-iddin) a. Si-gu-ü-a (CBE a. als "Marduk-Sum-ibni a. Ba-si-ia Dr Pa 9, ss. Mu-ra-nu a. Mu-na-bi-it-tum Dr 244, 13. #Nabt Nd 884, 16. ? Nabit-balàtsu-iq-6i a. Étiru CHIPS TE 2 Nabü-nasir-aplu a. "aflaki Dr 262,2. |* " Nabü-str-igisa a. E-sag-gil-a-a Nd 440, 16. Dr 175, zz. als Su-ga-a-a ... Dr 379, s. . aj Su-ga-a-a a. Ba-si-ia Dr 429, 20. als ? Samas-str-ibni Nd 900. als Sul-lu-mu a. "hån: Dr 356, 2. 379, 79. 410, 20. 446, 4. DrP 112, 74. a. Étiru, s. Ardi-" Bel. a. """ hapbahi, s. " Nabü-eres. 25. a. Sip-pi-e, s. SSa-pi-kalbi. i Marduk?-$a(? a)-bu-Su (Ev 23, 26), s. ""Naba- tabni-usur 9. 7 Marduk-$åkin-Sum("M!-GARI|Sa-kin|-MU;no.7, 12, 15 abgekürzt: Såkin-Sum) MAIS ne Nd 803, z8. als "Bel-ah-iddin a. *"* $ang? " Ea Nd 992,3. Nd M II 6o, 3. als Bel-Su-nu a. Mi-sir-a-a Nk 261, 18. Y Ku-na-a a. ""? 6a iri Nd 760, 22. 761, v. $ #Marduk-êtir a. Étiru Ng VR 67, 1, so. $ U Marduk-Sum-usur.a. Si-gu-U-a Ev 14,18. * Nad-na-a a. “"@!nappahi CrP 19,7. CbP [28, 4] = Sükin-Süm 7. als ?Nergal-etir a. Ga-hal Cr 252, 14. als "Nusku?-idinnam, 2 daianu Ng V R IO. 15. als 67, I, 6b. 10. als Si...... Nd M II 63, 7. a. rel abi biti, é daianu Nd 64, 5. Ng VR 67, D 15 b. No. 2. 105 a. I Addu-Sum-eres (= Såkin-Sum 1 ES Igísa-? Mardu£, " Marduk-aptu-ugur. a. "Bel-Sum-eres, s. "Nabu-zir-igiSa. a. Da-bi-bi, s. Tabnea. a. Etiru, s. Ahe-iddin-" Marduk, Musezib- 7 Marduk. . Nür-" Sin, s. Musezib-" Bel. amëlyàb bant, s. "Bel-iddin. Nd (149, 1). . Su-ha-a-a Dr (25, 17). 20. a. Sa-na-Si-$u, s. " Bel-uballt. a. öl Yanet! Ea, s."Bel-uballit,*" Nabi-Sum- 1Skun. 15 SES SES 22. a. Si-gu-ü-a, s. " Marduk-rimanni. 7 Marduk-Xapi&-sir (no. 7, 12, 15 abgekürzt: Säpik-zir) Nd 451, s. 787, u. DrP 40,6. S. ? Samaÿ-ibni. I. als Nk 9r, ss. als ?Bel-uballit a. Na-gi-ri Cb 16,17. 219, n. 307, 19. 308, 14? 341, 3. [346, 10]. Dr 93, 3. Igisa-a a. Etiru Dr 219, is. Marduk a. ^" 5o y; Nd 316, 11. 5 U Marduk-Xum-ibni a”! rab bamiNk45,4. 5 "Marduk-u3allim a. .... NK 374, 27. |* *Marduk-zir-ibni a. """$aneg? #Ninib Nk 65. 164, 22, 29. 172,7 = Såpik-zir 14. als Mu-se-zib-"Bel a. "Nabü-na-a-a Nd I7 35: als Mu-$e-zió-" Marduk a. Sag-gil-a-a Dr 482, 5. als Mu-se-zib-" Marduk a. Su-ha-a-a Nk 403,1. Vgl Såpik-sir 12. als #Nabi-ban-ahi a. ("90 Na-din $e-im Nd 311,9. als * Nabü-Sum-iddin(a) a. ere) Na-din Se-im Nd [77, rz]. 346,14. 372,11. 390, 18. 391, 15. 392, rr. 434, 12. 442,16. 520,12. 533,13. 572,4. 585,15. 587, 11. 602, rr. 603, 11. 623,13. 687,30. 787,28. TILL, re NdL 1,5. Cr 335,7. Cb esi = Säpik-zir 20. | als * Nergat-éttr a. Etiru Ng 36, 6, 7, 11, 12, 16. als Zzrü-fá a? ""?"Yanei ! Nimib Nk 57, 1, | vgl. no. 7. | . a. Na-din-Se-im, s. " Marduk-usallim. | a. Na-gi-ri, s. * Bél-iddin, 7 Mardukl-Xàr-ibui Cb 20, 7. | I. a. Egibi, s. 2 Nabi-sir-lisir. IO. 14 106 7 Marduk'-Sarr(-a]an)-niNg 55,10. NÅ (197,14). del pihåti Nbp M II 0, 2. S. /Hu-bu-su, ”Mar- duk-Sum-iddin, -Sum-usur 58, Musezib- 2 Marduk, Sum-iddin. Jl: als duo bio Nk 97, 14. als Ba-la-tu, s. Sum-iddin. als Ba-la-tu a. ^"? paharıi Nk 101, 16 als "Bel-iddin a. Etiru Ng 36, as. s. als "Bel-igika a. Sa tábtitu NAM 19, vr. a. ^"? bàn, s. ! Nabüi-aplu-iddina. a. "lmalahi Nk 90, re. a. Na-an-na-a-a, s. Ardi-" Sin-Xadt. a. "Hy NUN-? s. Iddin-" Nabü. 10. a. Sag-gil-a-a, s. "Bel-zir-igisa, " Nabü-zíir- iqisa. a. "Sin-näsir Smk CT IV 31,5. a. Sip-pi-e, s. Nabñ-bêl-ilani. 13. a. Sa-la-la|lu, ""!$a-al-la-la, s. Sum-iddin. 7 Marduk! ?-$år-usur Nk (433, 10). S. "Bel-ittannn, Marduk, Pursü. $ 2 Marduk-na-sir a. Ir-a-ni Nd 51, s. * "Nabü-éftir Ng 25, 1,9. Nd 59. v. 5 7 Naóü-musétiq-urri Dr 202, 10. a. "Sin-da-ma-qu, s. Ubar. 5. a. Säpik-zir Nk 249, 11. /% Marduk\-$u-la-lu--a Nd M II 60, 7. #Marduk?-Sum-ib-ni) KAK Nbp M II 7, 1. Nk 250,7. 380,7. Nd 57,3. 677,6. Cr 279,11. Cb 247,6. Dr 18,3. 162, 16. (237,12). 239, 16. 320, 4, 12. 344,9. 497,22. S." Dél-aptu-iddin, -iddin, -uballit, Mirànu, " Nabü-Sum-uktn, D -Yum-usur, -usallim, -ztr-u&tn. 1. als Ap-la-a a. ^"? bari Nd CT IV 30, 18. als Apla-a a. Egibi Nk 161, x. Cr 303, 9- $ Bel-aplu-iddin a. Egibi Dr P 40, 20. als ? Bel-ri-man-ni a. Ba-la-tu Nk 136, 7. 137, rz. DAT. $ #Bêl-ü-Sal-li-im a. Épet-ili Cb 193, s. $ Jddin-" Bel a. "Sin-Sadü-nu Nd 1123, ss. x als Igesa-a a. .... Cr 341, 7. als Igisa-a a. Ga-hal Nk 376, 3, 10. als Kabti-ia a. Su-ha-a-a Nk 166, 22. | Ss $ Musesib-" Marduk Cr 28, 2. als Mu-se-zib-" Marduk a. "2 ang? ? [star Bâbili, m! TU a bit " Samax Cr 339, 19. Cb 240, »6. Dr Bu 88-5-12, 26, 24. als "Nabn-ah-iddin a." nas patri Nk 76,1. Knut Tallqvist. Gp 20. 30. 40. 45. . als I als "Nabü-ban-ahi a.” malahi Nk 423, rr. als #Nabi-ban-ahi a. """ Yang? Gula Nd 964, 9 als ENabñ-bêl-Sumati Nd 62, 4. a|$ ? Nabü-étir a. "'Sin-Sa-du-nu Nd 193, 9. als "Nabü-ki-Sir a. Ba-bu-tt Ng 15,4,6,8, 11. |* 7Nadn-Sar-ibni ... Dr 497, 9. als "Nabü-Sum-iSkun a." Sin-tab-ni Dr 297, 74. als (?Nabü-)Sum-ukin a. ? I! -bullutu-" Mar- duk Nd 655, 3, 16. 687, 4. 829. 837. 903. als "Nabu-usallım a. ^"... ... Cb 428, ; als "Nabu-zir-igtsa a. ^"?! Pa-Ye* Nd 634, 7. als ?"Nabü-zir-usabsi, ""paharı Nk 189. als Nar-gi-id Dr 554, 15. Rimit-" Gula a. "^"? $angd parakki Cr 42, 10. als Såkin-$um a. Si-gu-i-a Ng I, 6, 9, 11, 17. als "Samas-na-sir a. Dan-ni-e-a Nd 147, 9. 251,9. als Sâpik-sir a. Nür-" Sin Nd 813,9. [1079, 51]. als Så-la-a a. ("Ea-)EpiS-ili#! Cb 260, s. Dr 73,3 82, 3. 160, 2. (224, 2]. 226, 2. 377, 3. als RME a. Si-gu-t-a Nk 100, z. als Sulmån-ahé-iddin a." Bél-étiru Nd 742,18. als Sum-ukin a. Ilf -bullutu- Marduk Nd837 = no. 20. als Sum-ukin a. Mas-tuk CrP 18,7. CbP 24,7. als Tab-ni-e-a Nd 276, 7. . a. Ardi-"Nergal, s. Iddin-"Marduk, Kur- banni Marduk. a. ^"? slaki, s. Kin-zir. a. ^"? b iy), s. " Nabx-aplu-iddin. a. Ba-si-ia, s. " Marduk-rimannı. a. Dan-ni-e-a, s. " Nabü-zir-uktn. a. Dannu-" Nabtt, s. " Nabü-iskip. a. Egibi, s. "Marduk-erba, -Sum-zddina, Miranu. a. Epes-ili Dr (568). S. Nigudu, 7. Si-da-tum. a. Ga-hul, s. 2 Bel-usallim, *Marduk-Fum- usur, Müranu. a. Li Marduk, s. " Nabn-Sum-usur. a. Mar-duk-u, s. * Bél-ahé-iddin. Na-ba-a-a, s. Sellibi. emélnappali, s. Gimillu, La-a-"Marduk, Musézib-? Marduk. ; a. élpahari, s. " Nabü-Xum-ukin,/ Nub-ta-a. T. XXXII, il Nabü-ztr-iddin, IR Neubabylonisches Namenbuch. (2 Marduk'»>-Sim-ib-ni KAKX) a. nel Pa-Sek, s. Damgia. 50. a. Rab bäni, s. "Marduk-sapik-zir. a. "yb ME.ME? $a “Bel, s. "Bel-iddin. a. "Sin-da-ma-qu, s. "Nergal-iddin. a. "Sin-Sa-du-nu, s. "Marduk-erba, Sellibi. 7 Sjn-tab-ni, s. " Nabü-ittannu. a. Sa-ua-Xi-Yu, s. Tabnea. 55. a. ^"? $ang? " Ninib, s. Liblut. a. Si-gu-i-a Nd (352,2). S. "Marduk-éfir Musezib-" Marduk. it Marduk 3-Xüm-iddin|, (no. 22 = Sum-iddin 19) Nd 125,4. NdM II 48,5. Cr 369. 373. "2da- iauu Nd 776, 14. Dr 244, s. amd yaggarı Nd 651, s. ^"^ $augg Sippar ti Nd 897,5. 934,8. 947,12. 976. Cr26,2. 126,2? 170,3. 281,2. 364,24. Cr82-7-14,94. Cb 44,30. 89,4. 102,2. ^"? TU biti Ars.6,6. S. Iddin- Be 61, Rimüt-ilr. amelyq Igtsa-a 62, "Nabü-Sum-usur, a. Mu-käl-lim Dr 462, 19. a. énappali Nd 40, e. als Apla-a a. * Bél-étiru Nd 199, n. Y Ardi-" Bél a. Ardi-" Ea Nd M II 6r, s. X Bel-ah-usabsi a. " Bél-étiru Cb 290, 15. als "Bel-iddin a. ...... Dr Ba to. X Bel-na-din-aplu a. ("0 Mu-kal-lim Cb 208, zo. Smd (ZA IV) 1, zo. als Erba-"Marduk a. "Sin-damaqu DrPa I2, 37. als Erba-! Marduk a. *"? aug? " Istar Bå- bili Cb 42. 10. af Ga-hul-" Marduk” Nd 300, 15. als Gu-za-nu a. Epes-ili Dr 229, 10. als Kab-ti-ialid a. Ga-kül Cb 192, 24. 193, 10. Dr 73, 1s. als Ki-rib-tum a. Bel-a-a Nd 441,4. als "Marduk-bel-ılani a. .... Dr 196, 2. 15. als “Marduk-kabti-ilani a. [Ga-hat?] Nd 806, 15. al *Marduk-nâsir a.” Sin?-Sadáà DrPi 12,72. als "Marduk-Sarr-a-ni Ng 55. als "Marduk-Sum-ibni a. Egibi Dr 266, 25. als "Marduk-Sum-usur a. ^"? yàb bani Cr 169, 14. 20. als "Nabü-balätsu-ig-bi a. Egibi Cb 348, 14. Cb P 27, zs. No. 2. 107 a] ? Nabü-ba-ni-afi a.” $angt * EaNk 10,0. als " Nabáü-bàn-zir a. """nappahi Nd 990. | Nd P 91,2, ?P 121,22. Cb 45. = Sum-iddin. als iNabå-damig(lies: wdammiq)a.7"? ispari Nd 178, 21, 31, 52. als I Nabå-étir a. Épes-ili Cb' 272; 14 als "Nabü-etir-napsäti a. Ba-bu-tu Dr Pa I2, 39. * 2 Nabü-na-din-afdia.""* dam-qa Ur 379,31. $ 2 Nabå-nåsir? Ars 4, 18. Y 2 Nabü-Xum .... a. *"? ràb bani Cr 65, 7. il Nabü-Xum-üá-kín a." aslaki Nd 801, 18. il Nabáü-Xum-usur a. Musallim Dr 462, 4? TOTSPETI 256 als ? Nabü-usursu a. Iddin-*Marduk Dr 366, 19. 464, 16, af #Nergal-étir a. 802, 17. $ 2 Nergal-it-Ye-zib a. Sip-pi-e Ur 194, 33. Ni-din-th a. ®"nappahi Dr 203, i. PSI an san Nele Säpik-zir a. Di-ki-i Dr 265, as. [273, 24]. 418, 18. Y Sapik-zir a. Sag-gíl-a-a Nd 261. Säpik-zir a.” angi" Za-ri-qu Cr 188,15. Si-rik-tum a. Ardi-"Ea Dr 484, i. IX Su-la-a Dr 199, 1? als Sá-la-a a. Épes-ili Dr 38, 2. [219, 4]. Y Sul-lu-mu a. "håna Dr 376, is. 379, &. € Sul-lu-mu a. "7? ;-din-nu Dr 450, 13. Ziri-ia a. Na-ba-a-a Nd 4, is. y ; Gula Nd 61 UNDER and Sant Nd il Nabu-un-na-a-a LS D» 40. | als . als Ziri-ia a. 613, s. 693, 9. a. ene bu? Cr 162, 3,26. S. /ddin-! Béf. Lüsi-nür-"Marduk, s. " Nabt-aplu-iddin. a. Na-din-Se-im, s. "Bel-nädin-aplu. a. "rb bant, s. Nâdin. 50. a. Ri-mut Nd 777, u. 1133, 16. a. "Szn?-Yadá, s. Murasi. a. ^"? ane?! Gula,s." Bél-aplu-iddin," Nabu- aplu-iddin, Sim-ibui. a. ^"? $ang? parakki, s. Has-da-a. 54. a. *"" Yang? Sippart, s. R£müt-iu. 2 Marduk'-Sim-Usir (GIS'SI. DI) 1. al$ Ki-na-aplu a. Ga-hul Dr 169, 15. 304, rz. a. Ba-bu-tu, s. Iqisa-a. 3. a. Ga-hal, s. Lâbañi. I4* 108 2 Marduk'2-Sim-ü-sur|SES|PAP Nbp Pi 2,8. Nk 18,2 372,2. Nd 225, s. 704, 11. 1081, 4. Cr 116,4 267,3. Cb 121,15 236,14 288,8. 350,15 Dr3,11. 22,13 185,4. (279, 1). apil Sarri Nk 372, 2, 5. 393, 2. épissänu Cr 189, 19. S. "Addu-sarah, Amtu, /Ba-na- ta-a, Dummuqu, Er-ba-a, Igisa-a 63, Na- dina, 2Samas-ah-iddin, Ubar. Nd 70, 4. als Ap-la-a a. "Bel-etiru Cb 388,5. Smd (ZMINIENE: als Apla-a a. Egibi Nd 183, 2. als Ardi-"Marduk a. ”Esangi i tar. Ba- bili Nd 616, 73. j Re a. Egibi Nd 149, ro. X Bel-na-sir a. ^"? bairi Dr 465, vr. $ Bel-Su-nu Nd 489, ». y MBel-su-nu a. Su(-)-t-ia Nd 66, 9. "Bel-uballit a. #Sin-Sadi Dr 202, s. 10. als ”Bel-uballit a. ^""Yangi "Gala 817, 19. ss... Nd als "Bel-usallim a. "^"? Pa-Se* Cr P 22, 15. als Ib-na-a a. Egibi Nk 3,7 als Jddin-" Marduk Dr 417, 2. als Iddin-"Marduk a. Epes-ili Cb [407, 1. 408, 13. 14a als lddina-#Nabñ a. Egibi DrP 121, 24. 15. af Jddin-nu-nu a." Bel-etiru Ng VR 67, 1,5. a|$ Kur-ban-ni-"Marduk a. ^" P2 sisi Dr | 154, r7. als Lüsi-ana-nür a. Kalbi-" Sin? Nd 183,3,1. | als "Marduk-ah(sim?)-ibni a. Ga-hul-? Mar- duk Cb 226,u. als * Marduk-SXum-ibni a. Ga-hul Cb 182,17. | . al ?Marduk-Sum-usur(ibni?) a. Marduk? Cb 174, 15. als Mu-Sat-lim-" Marduk a. Nd 116, 44. als Mu-Se-zib-"Marduk a. ""? ang? Sama Nd [877,1]? als * Naói-ahé-iddina a. Ba-bu-tu Nd 340, 4. als * Nabü-aplu-iddina a. "Bel-aplu-usur Nd 757, 8. 25. als *Nabt-balat-su-ig-bi a. Amelu--u Dr 236, s. als "Nabü-bel-Sumati a. Nür-" Papsukal Cr 128, 2, 8. Ga-hul- | and ma-la-ha | Knut Tallqvist. 35. 40. 45. 50. 55. v als "Nabü-kin-zir a. ^"* Ràb båni Dr 351, 16. 22/77 DEP Te * 7 Nabü-Sum-iskun a. ..... Cb 338, zz. Y X Nabü-Sum-isEun a. ^"? pahari Nd 14,3. Y #Nabñ-Sum-ukin a. "Bel-aplu-usur Dr 519, 76. als * Nabü-Suml|sir-ukin a.” 3ang? parakki Dr 184, 15. 265, 2. 266, 13. * Nådin a. élhahari NgP 126, s. X Na-na-a-iddin Cr 203, 13. " Nergal-uxallim Nk 95, 2. Ri-mut-"B&l a. Mi-sir-a-a Cb 86, 13. Si-la-a a. Si--ti-id Nd 138, 15. 480, 16. als Sa-" Nabf-Xá-& a. emelpahari CbP 30,7. Dr 37, 6. als ?Sulmän-ahe-iddin a. “Bêl-êtiru Nd 666. 17. als "ZA:MAL.MAL-iddim a. ""?"ràb bani NkL 8, >. als Ziri-ia a. Ga-hul NdP 6, 1s. CARRE Cb (390, s). a. Addu-Sam-me-e, ^"? daianu NÅ 13, 1. 1128, 32. a. " Addu-Sum-eres, s. Susranni-! Marduk. a. Ahu-bani-i,s. Itti-" Marduk-balàtuy" Naba- nadin-Sum, Nådinu. a. An-da-har, s. Liblut. a. Ardi-“)Nergal Cr 198, 2. SSi-in-ba-na-. S. /Insabtum, a. Ai-tur, s. Så-la-a. a. Ba-bu-tu, s. " Nergal-uballit. a. ^"H by; Cb (285, 15). a. "Bel-aplu-usur? s. Ba-si-ia. a. " Bél-étiru, s. Iddin-"*Nabn, ? Mardu£- gisannı. a. Bel-napsäti, s. "Nabi-pir-Uisir. a. Egibi, s. "Nabü-Sum-iddin. a. (* Ea)-épes-ili, s. Igisa-a. a. E-til-Iu, s. Na’id-" Marduk. a. Etiru, s. Ardi-" Gula. a. Ga-hul, s. Kuddinnu. a. Ga-hul-" Marduk, s. *Marduk-Sin-usur. a. 2 Marduk-Sarr-an-ni Cr 360, 13. a. Mar-duk-4, s. Sàkin-ium. a. Maÿ-tuk-ku, s. Labaÿr. a. Mi-sir-a-a, s. "Marduk-zir-ibni. a. Mu-kal-lim, s. Ubar. T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. 109 (7 Marduk-Sum-usur) | a. Akufl=-ù, s. Pir. a. Na-ba-a-a Dr (342,7), s. Ardi-" Gula. | u. amelu--U, s. Sil-la-a. a. Enargari, s. i Samas-ah-iddin. | a. emélaMaki, s. "Bel-kasir, Nidintum-! Bel. 65. a. ^"? nappahi Cb (360, 14). S. Ztti-" Naba- a. Dannu-"! Addu, s. "Bel-uballit, Musezib- balatu, * Nabü-uballit. 2 Marduk. a. nas patri, s. " Nabü-udammig. IO. a. lman-di-di, s. Zir-bi-bi. a. ^"? NT, SUR giné, s. /Amti-" Na-na-a, 11. a. ""? pahari, s. Rimüt. £F! Bänitum-êtirat. 7 Marduk!-usézib (KAR?) a. Nu-ha-3u, s. Iddin-* Nabi. [S72 HAST e es cic S. " Marduk-nàsir. a. Nür-" Papsukal, s. " Nabü-sum-iddin. i Mardub-za-kir-Yim, 7"? SA. K U Båbili Cb 276,5. 70. a. Pap-pa-a-a, s. Murasü. #Marduk\-sèr? a. mélPa-Seki, s. Taqis. I. a. "Addu-Süum-eres, s. Musezib-" Bel. a. el purkulli, s. " Nergal-ibni. i Marduk'-zi-ri ..? Nd 293, 22. a. ""? yb bäni, s. " Marduk-Xum-iddin, Mu- | " MardukV?-zir-ib-niKAK KnlM 116,18 NbpM Sezıb-" Marduk. II8,. Nk 44,2 Cb 152,12 "TU bit a. ^"? yab Sus-Si, s. "Nabü-kin-zir. Ars 6,6. S. Ardi-" Marduk, Etil-pi, Igisa- 75. a. ^"? y£'2 sist, s. "Bel-nasir. 7 Marduk, Kal-ba-a, Låbåsi, Lifir, Muse- a. " Sin-da-ma-qu, s. Sirigtum-" Marduk. zib-! Marduk, ! Nabü-i-da-an, -iddin, -zir- a. Su-ha-a-a, s. "Nabü-ahe-bullit. -ukin, Sil-la-a, Zirta. a. "El ang? parakki Dr (504,15). S. Ap-la-a, als re Nk 232, zs. Cb 425,7. X Nabü-aplu-iddin. als 7 A-e-iddin a. "Ea-ilütu-ibni Nk 254, s. a. "Hane? #Samas Smk CT IV 31,18. [283, zz]. 345, re 81. a. Si-gu-i-a, s. "! Marduk-Sàkin-Xum. als Apla-a a. Su-ha-a-a Nk 56, 3. 7 Marduk'-Sum-usabsi| TUX-$? Dr P (62, 11) als Ba-la-tu a. Mas-tuk-ku Nd 193, 50. 1. a. Na-an-ia-ü-tu, s. "Nabü-nasir. 5. aJ * Bél-ahé-iddin a. """ nappahi Cb 182, 15. #Marduk-tab-ba-a-ni Knl M II 6, 14. 341,18. Dr 156, zs. 290, ro. 325, 32? #Marduk\-tab-ta-ni-bul-lit als ?Bel-iddin a. Da-bi-bi Dr 351, 10. I. aff " Nabü-zir-Usir Dr P 86, 14. als "Bel-iddin a. Epes-ili Nk 403, 56. #Marduk\-[tab-ta}-ni-usur (PAP) als * Bél-uballit a. I-#Marduk Nd 622, 14. RMS TL sues. Nd 43. al$ Jddini-'Naóü a. """$angi Sama Nd 7 Marduk'-uballit?, s. Ardi-" Addu. 1032, 23. X Marduk'-ü-sur? 10. a Uu-ki-nu?-ibni a. Kalbi-" Sin? Cb 16, s. 1. a. Sa-bi-na-ÿi-$u, s. Iddin#!Marduk. als Kabti-ia Cr 308, s. X Marduk-usursu (#M\-PAPlü-sur)-Su), s. Addu- 11a a Kurbanni-" Marduk a. "^"? Sang? parakki na-ta-nu. IDYeIU fen een iz CMT me a. Egibi Nd 268, ro. | als "Marduk-eres a. Äs-$ur Nbp (ZA IV) 14. #Marduk'-4-Sal-lim| GI Nbp (ZA IV) 13,5. Nk7,4 | als “Marduk-êtir a. ""? ardi Nergal? Nd 319, s. Nd 1062, 11. Cr P 16,16. Dr 315, 10. 282, 13. S. *Bél-rimauni, |Kat-ba]-a 63, Lisiru, | als 2 Marduk-nåsir a. Ir-a-ni Nk 45. X Marduk-nasir, -Sapik-zir, “Nabt-ahé- | 15. a]$. 2Marduk-Sum-usur a. Mi-sir-a-a Cb Sullim, -kin-aplu. 348, ss. 1. al$ Erba-”Marduk a. Man-di-di Nk 379, 14. | als *Nabüt-aplu-iddina a. Di-ki-1 Dr 376, vr. als Jddin-"Marduk a. Nür-"Sin Dr 56, 7. als "Nabü-balätsu-ig-bi a. " Sin-Sa-du-nu als #Marduk-Säapik-zir a. Na-din-Se-im Smd Nd 477, à. L 22,4 Vgl. no. 5. | al * Nabiu-muséetig?-urri a. ?... Ng 24, 23. als #Nabü-Sip:-usur a. Ahu-ba-ni Nd M 17,14. | als * Nabü-Xum-ibni a. ^"? massar abulli Nk 5. al$ Såpik-sir a. Na-din-Se-im Cb 174, s. 386, 13. No. 2. IIO ( Marduks?-z£r-ib-ni|K AK) 20. als Na’id-" Marduk a. Kalbi-" Sin? Nd 52, 14. als Pir- a. Ardıi-"Nergal Dr 93, 16. Y 2 Samas-iddin a. Épes-ili Ng 30, 18. I} Sz-la-a a. """naggari Nk 318, s. | Sä-la-a a. Pap-pa-a-a Na M 14, =. 3 Sul-lu-ma-a a. Si-gu-t-a Nk 73, 7. als " Sulmán-iddin a. Kalbi-" Sin? Dr 129, 14. als Sá-ma? a. ^"? ràb ban Dr Pa 9, 32. QU een Nk 125,1. S. #Nabü-ahe-iddin. a. ^"? abi biti, s. Sàkin-Xum. a. Abi-ul-idi, s. Låbåsi. a. An-da-har, s. Ardia. a. Ardi-"Nergal, s. Iddin-" Marduk, "ZA. MAL .MAL-utirri. a. 4"? ss s. Kabtia. a. Ba-bu-tu, s. Musezib-" Marduk, "Nabü- Sum-iddin. . 0H Da iri, S. Kidin-! Marduk, Ronnt-" Bel. a. Dan-ni-e-a, s. Ap-la-a. a. " Ea-pat-ta-nu, s. Balåtsu. a. Egibi Nk (420, *) S. "Bérahé-iddin, -igisa, * Nabü-Xum-erexibul, Sa-" Bél-atta. a. (X Ea-) Epes-ili, s." Bél-usalfiny! Nabü-Sum- iddin. a. Ibni-2 Addu, s. "Nabu-ahe-bullit. a. Ir-a-ni Knl M II s, 13, s. 7Bel-Surm-iskun, I Nergal-Sum-iddin, Rimit. a. Kalbi-" Sin”, s. / Insabtum. a. Na-bu-un-na-a-a Dr (298, 16). a. Na-din, s. "Nabu-Sum-iddin. 45. a. Na-din-Se-im, s. "Nabü-Sum-ukin. a. énappali, s. Lábàsi, Lussi- ana-nür. a. el pahari Nk (431,16) S. Kabtia. a. Rab SussilRabu Sa imeri(?), s. "Nabü-etir. 40. Ibna-a, a. Sag-gil-li-ia, s. "Nabü-usallim. 50. a. # Sin... .., S. Itti-" Naóü-balátu. a. *! Sin>-Sadi-i, s. Kidin-" Marduk. a. X Sin-Sa-du-nu, s. / Etillitum. a. ""H ano? ? I3tar (Babili), s. Erba-" Mar- duk, *Nabt-kin-str. a. *"" ano? "Ninib, s. "Marduk-Sapik-zir, Såpik-ztr. a. Sarru-a-ra-zu-á, s. 7Samas-iddin. v a. Si-gu-ü-a, s. "Nabu-etir. 55. a. Sh-ri-ut-tum, s. “Nabñ-da-a-nu. Knut Tallqvist, a. U-bal-lit-su-” Marduk, s. Dalátu. 60. a. Ü-sur-a-mat-" Ea, s. " Bél-adé-iddin. ? Marduk!-sir($um?)-iddina 1. a]$ ?Nabü-Sum-usur a. Dam-qa Dr 330, 3. X Marduk!-zir-iqisa 1. als Nk 381, 9. 2. a. E-sag-gil-a-a, s. " Nabü-aplu-iddin. 2 Marduk!-zir-lisir (SI.DIIGIS) Nd 651, s. 1. a. !Samas-ba-a-ru Nd 178, 50. 2 Marduk?-sir- USUT I. als ?Bel-etir a. ^"? y£7? sist Nd 874, ro. als * Marduk-étir a. Ztri-a-a Nk 428, ro. Sud: Si-gu-á-a, s. ?Nabü-bullitsu. Mar TUR)-" Bel-at-kal, ^"? asarid Sarrı Nk 40, 2. ADS Mär( TUR)-E-sag-gil-ibni, s. "BéLiddin, Zir- ukın 1. Màr( TUR)-E-sag-gil-Iu-mur "25300 0), 787 issur 82-7-14, 725 (CIS II 61). Mar-ga-a, s. "Sin-ibni 4. Mar( T UR)-sarri-ifu-á-a 1. als Arbail-a-a NkL 8, z. Mar TUR)-Sip-ri, s. "Bunene-ibui. 15, "”Nabn- ballitsu 4. X Mar-tu-zör-ibni, s. Hu-gab-ra. Ma-sa-ar (mit Determ. 2), s. Kal-ba-a 35. Masar-abulli (EN. NUN-KÁ.GAL mit und ohne Determ. ^"^ «Thorwärter»), s. Åp-la-a 23, Ar di-! Bel 49, Palátu 36, Esaggül-kin-aplu 2, Itti-" Marduk-balàtu 14, Kalbia 36, Kalbi- #Bau 1, Läbäsi 2, Liblut 22, " Mardu£- sér-ibui 19, "Nabü-ahe-iddin 15, -éfir 3, -Sum-ip-te Y, -Sum-ukin 61, -Sum-usur 46, Sullumu 2. Masar-babi (mit Determin. 2”, «Thürhüter»), s. Itti-" Bel-lummir 2, Rimüt 32, 2 Samaÿ- usursu I. Mas Bar?)-di-e-su IR Sarru-ilu--a Cb 85, 4. | Mas-tuk(-ku), Mai-tu-&u (vgl. JENSEN, ZA VII p. 181) DrPa (15,23). S. Ardea 33, Ardi- iNergal 9, "Bel-aplu-iddin 8, -êtir 8, -iddina 69, I-ki-pi-"Marduk 1, Kal-ba-a 32, Kiribti 12, Låbåsi 35, " Marduk-Sum- ibni 33, -sir-ibni 4, " Nabü-étir, -musetig-urri 18, Nigudu, Pan“ Bél-adaggat 1, "Samas- T. XXXII: (ar. Beischrift: ia “Sama Nd Neubabylonisches Namenbuch, (Maë-tuk(-ku)) êtir 17, -Sum-ukin 8, Sit-la-a 16, Sum-usur 9, Taddannu 15. Maï-tuk-a-taltu|/}, s. Iddina-a 34, Kiribtu-? Mar- duk 1. Ma(Ba?)-at-ta-nu Nd 450, 7. * Me-e-gi-mas(bar?)-Su, *"" im-bu-|ku)-a-a Dr 458, 2,8 Vgl. AVz-e-ga-ma-ar-3u im-bu-uk-ka- a-a Dr 457, 13. #Me-na-, * Im-bu-uk-ka-a-a Dr 457, 1. na-, "mar Sibri $a Megimassu Dr 458,5. Mi-na- im-bu-kal-a-a] Dr 260, so. AMit-&u?-* Marduk! (Nd 45, 3), lim 22. "Mi-li-a-ta (Dr 556, 2), s. /ddin-" Nabi. * Wi-na- (Dr 260, 50), vide Me-na-. Mi-nu-ü(-a-nalana)-" Bel\-da(-al-a)-nul„|da-an-ni Art 82-5-12, 310. Me-en- s. " Nergal-usat- VE SEU eee a. Nür-"Marduk NbpM | II t1, s. | als * Bél-iddin a. Sag-di-di Dr 450, un. Dr | ZA V [ro]. | als Musezib-"Marduk a. Im-bu-påni-ia Dr [551,26]. DrZA III as. | als 7 Nabü-bän-ahi a. Egibi Cb 305,3 [338,30]. | 375, 31. 5. a|$ Ri-mut a. Mu-kal-lim NdP 5, 1, 15. als 2 Samas-kin-aplu a. Sang "Spa | Dr P 108, 7. | 7. a. Når-2 Marduk, s. " Bêl-uballit. Mi-nu-u-" Bel-da(-a)-ni, vide Minü-ana-" Bél-da- a-a-nu. Miranu, vide Müranu. Mirasü, vide Murasi. Mi-ri-ih-tum (vel. "Bét-, "Nabü-ana-merihtim) | ESA, A. 1. als Jddin-"Nabü a. Sip-pi-e Dr 504, 14. 2. als "Nabü-bel-apli Dr 364, i. /Mi-is(iz?)-ta-a-a, gallatu Dr 43, s. Mi-sir-a-a, Mi-is-ra-a-a («Ägypter») Nd 636, 5. | Cr 173,19. Dr 81, 3. S. Ahe-iddin 8, Ardea 14, Balätu, Ba-zu-zu 5, * Bél-étir 16, -iddın 7, -rimanni 6, -Sum-ibm 5, Belsunu 28, ?Bel-uballit 22, 30, 83, 87, -usallim 35, Bel-zir 3, Er-ba-a 3, Gimillu 5, Gimil- i Gula 1, Güsanu 2, lddin-"Bél 43, 53, It-ü-ba-a-ku"Bel 1, "Marduk-erba 18, No, 2, ji -Såkin-Sum 3, -Sum-usur 34, -zir-ibni 15, Müráànu 26, " Nabi-aplu-iddin 55, -ere 13, -gamil 4, -iddin 37, -kin-zir 35, -kisir 5, -Ku 5, -musetig-urri 35, -Sum-iddina 5, -Sum-ukin 24, -Sum-usur 27, -usursu 6, -usallim 32, Nidinti 24, Rimüt-* Bel 69, Rimit-" Gula 1, Saddinnu my 4 Samas- dini-Epus Y, -nasir 3, -zir-ibni 14, Süzubu 9, Zaónéa 30. * Mit-ra-a TBV em (EZ UU Eg * Mz-zt-ra-a-ta, s. Nidintum. * Mz-it-ri-ua- 1. af Ü.... Sin Dr 301, 2. 4 Mi-za(sat)-tum|tu, afÿat "Nabü-utirri Nd 815,18. 838,12 gallatu Nd 479, e. 508,2. 858, s. NdM 22,6. Cb 143,2. 144, 2 309, 2. 377, 4. 388. CbL 19. Dr 379, 19. ummu Sa" Nabt- nädin-ipri Cr 368,2. S. /Sepit-" Bélit-agbat. I. z2]$ Ba-ni-ia Dr 84-2-11, 122. 2. ml$ " Nabü-Xum-iXkun a. Si-gu-tt-a Cb 116,2. | Mu-ban-nu-u, s. Ap-la-a 54. Mudam(m)ig-"Addu — (Mu-SIG(-iq)|dam -mi)-iq| KAL (Nd 443, 1. 1111, 8 Cr 140, 11) -7 IM, auch mit Determinat. ^"? (Cr 222, 3 etc.),- s. Ahe-igisa 1, "Bel-iddin 172, "Bel-igisa 16, Belsunu 16, Igisa-a 36, Itti-" Marduk- balatu 8, "Nabü-aplu-iddin 47, -ban-ahi 15, -efir-napsati 43, -idannu, -iddin Yi, -ittannu 38, -Sum-iddin 12, -usabsı 5, "Ner- gal-uballit 9, Süga-a-a 17, Saddinnu 6. Mudammig-"Marduk (SZ G-? M?), s. * Nabü-apta- iddin, Süga-a-a 17. Mudam(m)ig-"Nabtt (Ma- SIGldam-ig-" N!) IDrIDI ed: 2. a. "Arab bant, s. "Bel-nasir. Mu-di-qu-" Addu? Nk 32, n. S. "Nabü-hü 3. Mukallim (Mu-kallkàl-lim, auch mit Determinat. amel\ Nd (46,11). 557,4. Cr(43,6). S." Adda- Sum-eres 1, "Addu-zir-ibni 3, Ardi- Bel 19, 24, Arrabi 6, "Bel-ahe-iddin 4, -erba IO, -iddin 23, 119, -iksur 6, -ipus 5, -igbi 3, -ıttannu 3, -nasir 5, -$àr-a-mi Y, -uballit 64, 77, Bullutu 5, Habasiru 6, Hahhuru 4, Im-ba-a 2, Itti-"Bel-lummir 3, Itti- 7 Nabü-balàtu 47, Kal-ba-a 18, Låbåsi 42, ”Marduk-erba 13, -elir 14, -gisanni 9, 1. als "Nabu-zir-USir 112 (Mukallim) -Sum-iddina Y, 7, Minü-"Bel-daianu 5, Mnusesib-" Marduk 70, "Nabü-ahe-iddin23, | 34 | ak-ittannu 5, -itannu 75, -kin-zir -Sum-iskun 2, -Sum-ukin Y, -Sum-usur 12, -udammig 7, -str-ukin 2, Na-din 7, Na- pistim 7, Näsir 6, “Nergal-êtir 6, -usezib 9, Nidintum 8, Rimit 30, Sadimu 13, Ubår 15, #ZA. MAL . MAL-napistim-usur 4, Zir-ibni 1. I. a. 7" a dy), s. "Nabü-ahe-bulhit. Mu-kin-nu (Kurzname) Nd 612, 18. | 1. als "Bel-na-din-aplu a. ^"? $ang£ " Za-ri-qu | Cr IAI, 13. 2. a. Ri-mut Nd 535, 2. Muk-ki-e(-a) Nd 686, 10. Cr 34,31? 225,5. Dr [2, 14]. amöiglJaku Nd 570,15. *" u-muk-kiNd 20,13. S. ? Samas-iddin. 1. als A-hu-Su-nu a. Etiru Dr 304, s. als "Nabü-er-ba Nd 553, s. 3. alé " Samai-ru-su-í-a Ng 72, 2. /Mu-ul-h- Nk 118, 4. Ma-lu-us-Su (Nk 301, 17), s. Kakba-a 14. Munahhisu-? Marduk — (Mu-na(-ad)-his fa-3uji- M) 1. als Dr P 61, ze Dr Pa 21, zs: als Båni-id a. Egibi Dr [159,18. 353, :5]. Ace als Ba-ni|Dàni-ia a. anélkay e$ ? Ninib*? Cb 365, 1. 375, 3. Dr [155, 4]. 313, s als Itti-" Marduk-balàtu a. Na-bu-un-na-a-a Nd 85, ss. 5. a] *"Nabü-näsir a. "NI. SUR gine NAM 28, 15. a|$ "Nabü-usur-Su a. ^"? asi; Cr P 22, e. a. Ro Dr 551, 30. $ Sü-la-a a. ""?báni Nd 212, ss. 9. a. d "Ba: bu-lu, S. Ap-la-a. Mu-nik-"Bau(Babu) Dr 561, 12), s. Ü-qu-pu. 19. Mun(n)abittum (Mun|Mu-na-bit|bi-itl-tum|té|fi, auch mit Determ. +”) $m ZA III p. 228. Nk (367, 12). S. Ana-" Bél-u-pa-qu 5, * Bél-àh- | usabYXi 4, -igisa 20, -supé-muhur 1, Kin- sir 2, "Marduk-igisanni 3, -rimanni 14, ZN. zou éfir 29, Sil-la-a 11. J/ Muranatum? Dr 82-7-14, 143. Miwånu (Mu|Mi-ra-nu, «junger Löwe») Nk 29, s. 30,6. 148,1. Ng 30,1. Nd 57,8. 135, 10. Knut Tallqvist. 162, 5. 264, 4. 462, 5. 631, 3. 642,11. 658, 27. 686,4 781, 3. 702,8. 800, 10. 852, 3. 862, 4. 899,14. 970,4. 1078,2. Cr 67,4. 73,5. 233,8. 358,18 Cb114,3. 128,5. 134,5. 438,12. Dro98,s. 125,4. 222,6. 230,10. 370,8b. 444,10. amëlallaku Cb 83,10. "NI. SUR(giné) Nd 762, 2. 901,3. S. *Anum-ana-bitifu, Ardia, #Bêl-bêl-ilani, -erba, -uballit, Iqupu, * Nabi- Sum-iSkun, -uballit, Uqupu. 122, 2 22,2. ENS. est Nk 241, 18. als Ahe-iddina a. ... Dr 447, zo. als Ardi- Marduk a.”2$angi-” EaDr 554,15. als Ba-lat-su a. Bél-étiru Dr 321, ss. Ba-ni-ia a. " Szn-ilu Dr P 68, rr. als Ba-ni-ia a. "Sin-tab-ni Dr P 61, 16. als "Bel-ahe-erba Nd 236, 5, vgl. 753, 15. |* ?Bel-Sar-usur Nk 215, 3. als Bu-na-nu a. Ir-a-ni Nd 964, ss. 10. als Da-di-ia a. Ardi-" Nergal Dr P 72, 10. als Daian-"Marduk a. "Bel--u NdP 9, 11. als Zb-na-a Dr P 67, 2. als Jddina-" Naót a. Abi-ul-idi Dr 409, rs. als Jddin-" Nabz a. Z£ri-a Dr P 60, i5. 15. als Ina-E- sag-gM-sir a. Nu-ür- Sin Nd 293, 4 als Ki 2 tiia a. |Su)-ha-a-a Nd 541, s, 10. als Lüsi-ana-nür Nd 220, 5. Nd M II 48, 16. als Lüsi-ana-nür a. Sa 2 Nd M II 46, 24. als *Marduk-Süm-iôni, "mår Sipri Nk 350, 19. 20. als ”Marduk-Sum-ibni a. Egibi Dr 379, s. 483, De als *Marduk-Sum-ibni a. Ga-hal Dr 383, o. als Mu-Sal-lim|GI-#Marduk a. oe abi biti Dr 200, zr. 300, re. 334, 1. 355,8 450, zz. als Musezib-"Bel a. Tu-na-a Nd 611, rr 613, s. als Musézib-" Marduk a. ^"? aslaki Dr 296, 22. 25. als Musezib-" Marduk a. Su-ka-a-aDrP 71,10. als * Nabi-dan-nu-ilàni a. Mi-sir-a-a Smd (ZA IV) r, z. als ?"Nabü-kin-zir a. Nk 273, zs. Nd 512, & als ”Nabü-Sum-iddin Cr 65, s. als "Nabu-sir-iddin a. ^"? aslaki Dr 468, ro. 29a als Ni-gu-du a. Iti-" Mardu£ DrP 107, 29. 30. als Ri-mut Nk 362, 5. Nd 706, s. 763, 2. an xo UV Za-ri-qu amét « A SAN gt Neubabylonisches Namenbuch. (Mitranu) als Ri-mu-tu a. ...... Dr 449, 6. als Såkin-Sum a. me di-ku-u Nk 120, s. aX Se-[pi-Jit-" Nabü-as-bat a. Egibi Dr 298,25. als Sum-iddin, a. Abi-ul-idi Cb 208,5 Dr. 441. Art CIS [II 66]. . alé Sum-iddin a.”"2sangi”Samas Nd947 is. ws un als Süm-iddin a. "Sa tabtifu Nd 148, is. a. Abi-ul-idi, s. Ugupu. a. Ahu-ta, s. "Nabü-uballıt. a. * Bél-ahé-erba Nd 753, 15. 40. a. Egibi SmkM II 3,14, s. "Marduk-étir, Ubar. a. Épex-ili s. /tti-" Nabü-balatu, Itti-" Nabt- nz. a. La-ba-si Nd 259, s. a. Mu-na-bi-it-tum, s. "Marduk-rimannı. a. étpahari, s. Lisiru. 45. a. mel Pa-Ye*^ s. #Nabi-uballit. a. Ri-mut Nd 607, 4. 612, 10. 712 2,3 1060, 14, vgl. no. 30. Al, 10 DEE e RU Sulluma-a. AMu-ra-nu-*Gu-la 1. als " Naba-sir-lisir a. Ga-hal Dr P 81, 7. £Mu-ra-Xi-tum Cr (326, 11]. Dr 379, 17. Murasü(Mu| Mi-ra-St-ulu) Cb 72,5. 123,11. 384,14. Dr 38r, 4. Dr 84-2-11, 148. I. af Apla-a a. Ga-hal Dr 133, 3. als Ap-la-a a. Ir-a-nu Cb 187, 6. 2a als "BéL-igisa a. Qaqqada-ni-ti ? P 149, i. als Kal-ba-a Dr 271, i». als 2 Marduk-Sum-iddin a. "Sin’-sadu-u Dr 156, 7. 5. als " Marduk-sim-usur a. Pap-pa-a-a Dr 68,2. als "Nabü-ahe-iddin Dr 383, 5. als #Nabü|Bel-ahe-iddin a. Ardi-" Mardu£ Dr [268, ro?]. 286, zo? 474, 2. als " Nabá-ahé-iddin(a) a. Na-ni| Sin?-u|u-ta Dr262, 14. 263,20. 265,30. 273,20. 298,9. 380, 77 386, 13. 395, 18. [410, zz]. ALS, zr- 455, zs. als Na-di-nu a. Ardi-" Ea Dr 470, . . als Na-din a. Nür-"Sin Dr 260, ss. als Na’id-" Marduk a. I2 Marduk Cr 272, à. Cb IQ, 22. als Sü-zu-bu a. Ii Marduk Dr 568, 20. als Us-Xa-a Dr 270, 5. No. 2. 306, "7 113 a. amelu-u,s.lddin-" Bel, Kidinnu-*Marduk. . Bél-napkáti, s. "Nabü-zir-ukin. a. Dan-ni-e-a, s. Nabu-bunu-Sidur. a. Mu-kal-lim, s. "Bel-iksur, -ıgbi. a. Mu-nik-"Bau(Dabu), s. Uqupu. a. Na-sir, s. !Nabit-balatsu-igbi. 21. a. ?"? angi jJ Sama, s. Bitl-In-ta-a. Mu-ra-Si-nu I. als Sellibi a. ?" Sin-ilu Dr P 68, 12. Mu-u-ru («Füllen») I. als il Nabü-sir-iddin Nd 875, 3. Mu-ra(3ub2)-3à-À? Marduk! Nd 1101, 6. Mu-sa-lim, s. "Nabi-igtisanni 1. AMualliml, (Mu-sat-BFim|fi-iu|fim-mu, | Mu-Sut- mu Dr 50,13; Kurzname, vel. Musallim- 2 Marduk etc), s. “Ea-näsir Y, /Ina- Esaggil-ba-na-at 1, "Marduk-Sum-iddin 30, Bir 6, i Samas-uballit, Sum-iddin 50, Sum-ukin. 1. als Ap-la-a a. Ga-hal Nd 426, o. als * Ea-bän-zir a. .... Dr [1667]. a. Ba-bu-tu, s. Has-da-a. a. Nabñ-na-a-a, s. " bél-étir. . a. 9" yay patri Fári, s. " Nabi-iddin. a. ^"? pahari, s. Igisa-a, Igisa-" Marduk. a. vélyàb bini, s. " Nabu-igisa. 7. a. ^"? ape? ? Na-na-a, s. ! Ea-näsir. Musallim-" Adda? 1. als “Nabü-ü-sal-Iu Nd 176, iz. Mu-Sal-lim-"!Aÿuri, s. Silim-" ASur. Mu-Sal-lim|GI-?* Bel! Nd 1, 1. 1. al$ Ni-din-tum-"Bel Xxx 4, 1s. 2. a. Ardi-"Nergal, s. Esaggil-gam-mul. Musallim-" Ea? Dr 85, s. Mu-Sal-lim-ilu®9 NkL 7,13. S. Sum-ukin. VOTIS eo o as Nk 236, 4. als "Bel-eres Cb 223, r2. 3. als Rı-[mut...) Nk 134, 12. Musallim-" Marduk (GI|Mu-Sallsalsa-all-Zm|mu- ?7]MVi?) NK 228,6. 313,18 328,16. Nd 54. 214,17. 258,19. 612,19. 630,3. 747,14. 799,3. 864,4. 909,4. IOII,3. 1055,20 NdMII 59, 4. Cr iu) sp, Bon, Gaza, IDG Spike SE Ap-la-a, Balàtsu, Balätu, Labasi, Mu- Sezib- Bel, 1 Samaÿ-erba 18, Zu-um-ma-a. 1. al$ Ardi-" Naót a. .... Cb [109]. als * Ea-ztr-ibni a. ^"? ang? " Ea. Dr 272, 16. I5 Urt 114 Knut 'Tallqvist, (Musallin-" Marduk) als Gi-mil-lu a. As-Kur Nd 426, 7. als 7 Gu-la-balät-su-ig-bi a. Oag-ga-da-ni- tum Nd 293, 38. . als Igisa-"Marduk a. "Sin-nasir Ng 42, 15, vide Mu-Sib-Si-" Marduk. af Kudurru a. Epes-ili Nd 12, 7. a|* Labasi Nd 399,6. 746, 4. 912, ». 1035, 12. 1055, 5. 1087, 2. als Låbåsi a. Sa-na-Xi-iu Nd 900,15. Cr 119, 10, 17. UT als ?Naba-Sum-iskun a. Ka-sir Nd 258. 671, 11. 675, 2? 10. als Na-din a. Ahu-bani-i Dr 265, 29. 10a af Nu-ur-e-a a." ane? ? Na|-na-a| Dr 84- 2-1I, 148. als 2Samas-Ah-iddin a. Ba-bu-tu Dr 56, 12. ch MS 5 A . T als Samaÿ-Sim-ukin a. """ Sang? Sippart Nk 330, ». Ng 49, 2. als Sum-ukin a. Abi-il-idi Nk 198, 21. als Så-zu-bu a. Kànib-bàbi Cr P 13,14. Cb P 35, 7o. Dr SV/ Sk DrP 54, 23. 58, 14. 61, 13. 117, 34 SmrdP 39, zz. als Tab-ni-e-a a. "Sin-Sa-du-nu Cb 285,12. Dr 82, 13. a. nu, s. ?Samas-uballit. a. "rel abi biti, s. Marànu, Nidinti, Sum-ukin. a. Ar-raó-tum, s. ”Nabå-nådin-alu, Sellibi. in a. Al-kan-di, s. Gu-sa-nu. . emölbani, s. Labasi. ANAR oa sr Nd 743, 5. a. "Bel-etir, s. Kabtta, Zäkir. a. Ga-hal, s. "Nabu-bullitsu. a. Jddin-"Bel, s. Ap-la-a. lddin-"Nabu, s. Ap-la-a. a. Im-bu-pani-ia, s. Taddanna. a. rélimalali, s. "Marduk-Sum-usur. a. "Nabü-iddin Cr 233, 14. a. mlnappaln, s. "Nabü-balatsu-igbi, -kin- aplu, -kin-zör, -Sum-iskun. 30. a. Nür-" Papsukal,s*ZA.MAL.MAL-1ddin. a. Qaqqa-da-ni-tum, S. Sellibi. a. Sag-di-di, s. Musezib-" Bel. a. "Sin-Sadimu, s. "Bel-uballıt. a. ^"? ang I Ninib, s. Såpiku. 9B. då Sá-ma-a-a Nd 460, 5. Musallim-" Nabü! Cb P 36, s. | Musézib (Mu-Se-zib|zi-bu . Musetig-urri (LU Mu]-3e-t-iqg-UD. DA; Kurz- name, vgl. #Nabñ-muètig-urri). I. als ?Nabü-zir-uSabsi Nd 275, a? 2. a. ""?'$apo? ! Eg, s. " Bél-iddin. ..., Kurzname, vgl. die Folge.) Nd 567, 3. 690,21. S. Ardı- Gula 8,” Bel-iddin 85, Belsunu 42, Esag- gut-3um-ibni Y, Gimil-! Sama 5, Gu-za-nu 17, Ina-Esaggil-Sum-ibni V, 1gifa-ax4, Itti- X! Marduk-baläatu 13, Kina-aplu 26, Liblut 46, ”Marduk-nasir 18, MuSezib-" Marduk 11, Nabü-ahe-bullit 7, -bullitsu 34, -bulte- t-li-e Y, -ittannu 61, -musehg-urri 12, -ua id Y, -näasir + 33, -Sum-ukin 25, Nâdin, #Nergal-nasi 4, -zir-ibni 3, Nidintum 48, Rimüt 15, Rıimüt-"Bau 2, ham-mu 1. 1. ajs Ardi-" Bel Dr 391, i. als Ba-la-tu, "iSparu Cb 367, 12. als "Bel-ahe-iddin a. Qag-qa-di-uu Ng 43, rs. als "Nabü-etir-napsäti Dr 419, zs. 5. a. el qllaki, s. "Bel-Eir. 6. a. *"?'ràb båni, s. lddin-! Bel. Mu-Se-sib- ..... , S. Ap-la-a 87, Ardi-” Marduk 20. 1. als * Mardu£-bàn-sir a. .... Cb 25, 9. 5 Römüt a. Hu-ba-su NdP 01, 19. als Sulluma-a a. Su-ha-a-a Cr 25, 10. a. Egibi Cb. 14, 16. 5. a. "P pahari, s. "Nabu-ken-aplu. 6. a. Si-gu-ü-a, s. /ddina-ahn. Musezib-" Bel (KAR|Mu-se-ziblzi-bu-" EN) Nk 59, 2. III,3. 301,7 Ng 70,20. Nd 127, 2,8. 166. 421,5. 528,13. 546,12? 583,9. (040,3). 1022, 4. 1062, 3. Nd M 20, 7,10. Nd TSBA? Cr 34, 9. 176,15. 336,20. Cb 64,11. 70,6. 280, 19. ? 84- 2-11, 172, 214. ml puddimmu NK 414, s. amd qallu Nd468,5. Cr 311. 6 St-ta-pi-e(pl.) Nk 116,2. S. Apla-a, "Bel-ah-usur, -iddin, “ Bunene?-ibui 16, Habasiru, Iddin-"Nabi, I Nabi-åh-usur Y, -etir-napsäti, -igtsa, -ittannu, -nàsir, Pix, Rànüt-! Bey, ? Samas- igisa 9, Sullumu, Taddonnu 8, Ubär. LEZ ee à une a. Épet-ili Cb 351,15. DÉS doses leer Sin? Dr P 46/40, zs. $ Abkallum a. ^"? aslaki Dr 289,4. 336, 14. $ (A-na-)! Bél-á-pa-qa. a. ""? Sang? ? IStar Babili Cr 141, 2, 15. Joc 2 Samas- a a IRE (44 m T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. (Museziö-! Bel) M as Ardi-2Sin?-sadi a. """aslaki Dr 23, 16. als Ardi-"Nabu, """6yru CrP 20, 5. als * Bél-ahé-erba a. Épei-ili Ev 7. als Bel-ahe-erba a. "ri sis Nd [405, ul]. 1039, 1, 15. als " Bél-ahé-iddin a" Bel-aplu-usur Nk 269, ;. 10. af ! Bél-afi-iddin a." Sin-Sa-du-nu Cr 160, 15. als * Bet-étir a. Dam-qa Dr 430, rs. 440, ro. os Ur 40. AAI, 22. als ?Bekiddin a. Da-bi-bi DrP 112, 5. " Bel-it-tan-nu a. Etiru Dr 457, ar. "Bel-kasir a. " Ea-épus-ifi Dr 296, 19. als Berlin Nk 272, s. Bel-Su-nu a. "2 rab? banı Cr 272, 10. als "Bel2-ü-Se-zi-ib Dr 205, ro. als E-sag-gil-sir a. Nür-"SinNd 178,4. 203,5. Has-da-a a. ^"? T. ST Dr 345, s. als Jddina-ahu a. Ba-bu-tu Nk 100, 24. . als Ina-esi-etir a. Da-bi-bi Nd 765, rs. als Ima-söl-" Bel Nd 587, 3. Kin-zir a. "Sin’-Sadi-i Nk 436, ı7. als Ku-dur-ru a. Nür-"Sin Cb 293, 7. $ Mar-duk-a Nk 62, 4. 66. 70, vo. (ZA IV) 20, 2. Nbp . als Mar-duk a. (U) MUK Nd 1057, zz. Nd CT IV 30, x. als ?Marduk-Sakin-sum a. INür-" Sin. Nd 480, 14. als "Marduk-zir a. "Addu-Süum-eres Ng 52, 15. als Musallim-" Marduk Nk 124, 2. als Mu-Sal-lim-"Marduk a. Sag-di-di Nk 408, 17. ARNO Te Ot280: 4. al NG oe a. Mel pa-gi-ru Cr 361, 6. als "Nabu-ahe-bul-Ut a. "© Sz5-e-a NK 301,75. als "Nabu-ah-usur Nd 892, i. als "Nabi-aplu-iddina a. "Addu-Sum-eres Nd 666, 15. . AS X Nabit-eresliddin a. ee ang? ®Nabi Nd 578, 3. 830, 18. als "Nabü-etir a. ^""ràb bant Dr 56, i. af *Nabáü-étir-naptáti a. ÉEpes-ili Nk 197,77. Y # Nabu-ibni a. Iddin-*Marduk Nk 272, ro. 2 Nabü-il-ta-ma- Nk 419, ro. Y "Nabü-Irü a. Na-6u-un-na-a-a Nk 320, 2. No. 2. | 50. 60. 65. 115 als " Nabu-sat-lam a. Iu-ba-ni Cr 128, 28. als "Nabü-Sum-iskun Nd 756, ı7. $ 2 Nabü-zir-usabsi a. ^"? ba'iri Cr 175, 6. x Nabu-sir-usabsi a. ^"? Yang? "Addu Cb 410, 76. as Na-di-uu a. "råd bànt Nd 1128, 4. als Na-di-nu a. *'Sin-Sa-tin?-Sum Dr 172,4 als Na'id?-"Nergal? Nk 124, 3. X Na-na-a-eres Nk 129, vr. als Nergal-iddin a. *"* man-di-di Nd468, 15 als Pa-da-a a. 76 Pa-Se" Dr 258, 2. als Ri-hi-e-tlum (a. "Sin-näsir) Nk 51, s. 58. [429]. als Su-lum-ma-da Cb 131, 2. YSamas-eres .... Ne 31, 13. 2Samas-näsir Nk 315, 9. Sü-la-a a. * Bé-étir Nk I94, 12. Ta--im-ba(ma?)-di-e Nd 177, 4. Tabi-ia a. ^"? Sane? Addu Cr 45,3. 65,3. als Ziri-ia a. Na-ba-a-a Nd 160, 4. 160, is. 388, "ca VACAT als Ziri-ia a. "Sin-sa-du-nu Cr 242, 1s. als Zir-iddin Cb 292, 4. Quee Nk 209,9. 369,7. Nd (511,12). Cr (25). a. 9.... uballit Nd (313). y nl pmel urgi Cr 176, s. a. Ardı-"! Ea, s. Såpik-zir. a. Ardi-"Nergal, s. Nådin. a. Ardi-" Sint, s. Labäasi (40). a. Ardi-"Samas Nd M (II 56, 2). a. Ba-bu-ü-tu, s. Dalàtu, Rimit. a. "Hb Typ s. "Bel-iddin. ^ . aq. ^" bani, s. lddininu. a. Bel... TR bare): a. * Bé[-ra-am-nisé Cr 117, 12. a. I Bunene?-ibui Nd 384, 10. a. Da-bi-bi Dr (354, 13. S. Ardi-" IVergal, Banünu. . a. E-li-iláni-ra-ói-! Marduk NgN R67, 1,:72b. a. E pes-ili, anc Jyianı Nd 720, z. S. * Ea- sir-usabsi, Tukultu-? Marduk. a. Ga-hul,s. Uballitsu-* Marduk,"ZA.MAL. MAL-zir-ibni. a. Iti -?! Marduk, s. "Bel-rimanni. a. Kalbi-" Sin, s. Bel-na-Sa-Su? . a. Lüsa-ana-nür-"Samas, s." Nabü-ban-ahi. a. Lüsi-ana-nür-"Marduk, s. Rimüt-! Bau. 15* 116 (Musésió-" bel) | 90. 95. Musezib| -"Marduk (KAR|Mu-Se-zib|si-bilzib-6i- IO. 5. a. WNabi-na-a-a, s." Marduk-3apik-atr," Na- Knut Tallqvist. a. "ula, s. "Bel-ahe-igisa. a. 008 Manaédu-á-tu, s. Ba-si-id. Mu-kal-lim, s. 2 Bel-nasir. bü-iddin, -Sum-iddin. a. Na-an-na-a-a, s. "Nabü-nadin-ahi. a. Nür-"Sin, s. Labasi. a. "A pahari Cb 233,9. S. "Nabiü-kasir. a. Ré? sisi, S. $05. a. Sag-di-di, s. !Samas-uballit. a. #Sin-nâsir Nk 88, ır a. |Silla]-a-a, s. "INabi-zir-iqisa. a. Sü-ban-du, s. ? Nabu-kin-aplu. a. Tu-na-a, s. Müràánu. a. en? (7, MUK, s. Nadbt-usursu. 7 M1?) Nk 197, 5. (420,21). Lab 1,18, 25. Nd 10,9. 28, 6. 75,3. 84,3. 100,6. 105,6. 233,7. | (260, 5). 355, 8. 402,9. 462,18. 595, 4. 667,5. 677,5. 748, 2. 759,3. 784, 15. 859, v. 888, s. 958, 9. 1060,10. 1067,3. IO8I,s. 1094, 7 Cr 182,4. 236,8? Cb 79, 4M#Dr 04,10. 533, 12. | andan Nd 16,10. Dr 379,91. mar arri) | Nk 381,2. "2sangu Sippar®) Nd 70, 10. | 97,2. 113,7. 275,4. 321,8. 476,12. 489,14. | 636,9? 637, 9. 643,4. 718,4. 728,7? Nd MIT | 46, 10. Dr 222,4. S. Ardia + 3, Ba-su-ru, X Bel-iddin, Da-di-ia, Gu-sa-nu, Habasiru 17, Ina-si-" Bel v, Liblut, * Marduk-Sum- ibni, "Nabü-ahe-bullit, -ah-usur Y, -bel- | napsati, -ittannu, -kasir, -usursu + 47, | /Ri-mat 3, Rimiüt, Su-ga-a-a 15, 39, Säpik- 8227. 51. ; als o8 090-0 8 dr Cr 357, 10. Auer la-a a. Su-ha-a-a Dr 50, ir. als Apla-a a. ^"? ang? "Nimb? Ng 2: Balätsu: Stk (ZA IX) 1. | | . af * Bél-ere$ a. Kalbi-" Sin? Dr 484, ı7. | 3 "BéLigisa a. Dan-ni-e-a Nd 523, 14 |* ?Bel-kasir a. " Szn-imittu Dr 176, 14. als "Bel-kasir a. Sa-la-la Dr 178, 7 | 1Bel-l'à a. "Ubri Cb 306, 2. | * Bél-Xu-nu a. ""? nà patri karri DrL33,6. | als Y Be-uballit a. Musezibu Nk 369, 13. 407, 3. 426, 15. [430, 7]. als * Bél-usatfim(?) Nd 477, vr. I5. os o 40. 45. als "Bel-usallim a. "Sin-sa-du-nu Nd 470,11. 652, 13. 653, zs. als Di-na-hu: a. Egibi Nd 258, 5 |* Æ-til-lu a. Egibi CbP 33, «s. als E-til-lu a. """Itbaru Nd 995,4 als SHi-pu-sum|s” Marduk-Sär-a-ni Nd 355,3. af Iddina-ahu a. Sa-na-i-i-Fn Nd 109, 26. als Iqisa-a. a. Sa-na-3i-Su Nd 477, 56. |* Ztti-Marduk-balètu a. Egibi Dr 255, 3. $ Kudurru a. ..... Ng 27, 8. 5 Kudurru a. Ibni-ilu Ev 16, 9. als Ku-du-ur-ru a. “"ispari Nd [106, 9]. 178, 32. 440, 4. als La-ba-Si-" Marduk a. L2 .... Nk 216. als Mar-du-ku a. "Ren Cr 25, 9 als "Marduk-balätsu-igbi a. Ahu-ia-u-tu Cx AES als "Marduk-bän-sir a. " Bél-étiru Cr 237,3. 240, 3. als "Marduk-eres a. ^"? bá'iri Nd 817, 9. af " Marduk-éfir a. ^"? alla&i Nd 244, ss als ZE Marduk-étir a. ^"^" bán? Nk 147, a. >. als *Marduk-etir a. """ naspali Nk 147, 16. 258,4. 271,4? Nd 11,9. 40,5. 287,18. 204,11. 573,14 576,14. 577, 4. [740,14]. 1008, 12. | 1020, 1$]. als “Marduk-nasir a. rer alpi Dr 147, s. als X Marduk-sakin-Sum a. Etiru Cr 146. als X Marduk-Sar-a-ni NÅ 355, 3, s. als * Marduk-Sum-ibni a. """nappahi Dr 369, 13: als 2 Marduk-Sim-ibni a. Si-gu-k-a Ng Iz. als 7" Marduk-Sum-usur a. *""7à5 Gant Dr 515, 20. 536, ro. 537,1,9 als "Marduk-zir-ibni Nd 649, s. als 7 Marduk-zir-ıbni a. Ba-bu-tu Nd 216, 9. [389, s]. 995, zz als "Nabü-aplu-iddin a. Da-bi-bi Ev 23, 20. als pou E a. "Uy farsi Doi als ?Nabu-etir a. Egibi Nk 166, 23. als "Nabit-kasir a. amel-" Ea? Cb 16, 4. als "Nabü-näasir a. "Nas patri Nd 839,2. Vgl SZzubu 7? als " Nabü-nàsir a. ét $ang? " Ea Nd 395,14. Cr60, 11 104,7 270, 7 Chbr153, is. 105,18. 195,18. 431, 13. Cb IL 169, 20. T. XXXII, Neubabylonisches Namenbuch. 7 (Musesibl-" Marduk) PA: 60. N Ont Ut als * Nabàá-ni-1p-Sa-ri. a. "Sin’-sadi, ^" TU bit Sama Cb 240, 11. Iv a|3 "Nabit-Sum-iddina a. Egibi, ""? daianu Dr 379, vt: als ? Nabü-sum-is&un a. amel-" Ea Nd 1070,5. als "Nabü-zir-igesa DrP 53, 6. al Nabi-ctr-kit-ti-lifir a. Sul-lu-ma-nu Nd 830, 3. als Nad-na-a a. Sag-di-di Nk ER als # Nergal-uballit als "Marduk-usallim a. Dannu-" Addu Nd 701, 10. als #Nergal-uballit a. U-du-á-a Nd 293, v. als Nür-e-a a. NIE (YA, Ehre IS Pir- a. Ardi-'Nergal Nk 408, 19. Orsti-" Marduk a. """ naecari Nk 347, 13. s Re-mut a. Da-bi-bi Dr 235, i. A als Ri-mut a. """$anegl "BDelit Ninua Nd X Fa-ga-a-lu-i-Sim-me Ng 230; 14. als 7 Samas-ah-iddin Nd 45, 4. als 2 Samas-pir-usur a. Epes-ili Dar als a Samas-Sim-ü Dr 102, sr. als "Samas-Sum-ukin a. Ba-bu-tu Dr 61, n. Sa-tabtisu Dr als ?Samas-u-damm-ig a. 212, 19. als 2Saqmas-zir-ibni Nd 424,4. 456, 3. 596, 5. 628, 4. 799, 7. als #Samas-zör-ibni a. ^"? ang " [star Bá- bili, ^"? TU bit " Samat Nd 43, 17. Sü-la-a a. X Fa-epes-ili Nd 437, 2. als Sü-la-a a. mi! nappahi Nd 313, 1s. a|$ Sum-ukin Dr 499, 22. 509, als Sum-ukin a. "Sin-Sadi? NAM II 56, ;;. als Sum-usur a. Mu-kal-lim Cb 153, 77. als Za-ki-ru a. ""* ay-ba-hu Dr 321, s. RAS Nd 662, 6. 799, s. Dr 152, ss. X Bel-erba, * Marduk-belsunu. a. Abi-ul-idi, s. Sapik-sir. a. vn allaki, s. "Nabü-ittannu. amel-"Bel Dr Pa 21, 2. a. nel aSlaki, s. Ardi-" Bau, Miranu, na-a. IX y 22 22 SE a. Nu- Tab-lu-su. a. mel bir, s. Iddina-a. a. Da-qa-su?, s. Uballitsu-” Gula. a. Ba-bu-tu, s. So. a. Ba-si-ia, s. Iddin-" Bel. No, 2, | | | | | | | | [0] Ut 90. 100. IIO. uS DN [17 a. "Bel-aplu-usur, s. " Tasmetum-damgat, X ZA. MAL. MAL-Swm-iddin. a. Bu-ra-qu, s. "Bel-upahir. a. Dan-ni-e-a, s. "Nabn-bullitsu. a. Di-ki-i, s. Liblut. a. Egibi, s. "Marduk-nasir-aplu, ”Nabi- ittannu, Rimit-" Bel. a. Épei-ili Nd (713,7). S. Römüt-"Samas. Étiru, s. * Bé-iddin. a. Ga-hal, s. "Bel-eres, " Nabu-uàdin-Sum. a. Im-bu-pani-ia, s. Minü-ana-* Bel-daianu. Ina-ki-bi-" Marduk®, s. " Nabü-ittannu. Ir-a-ni, s. "Nabü-kin-aplu. amtljspari, s. "Del-ahe-iddin. Kabti-ia Nd 649, 11. amel pa-ni-ku babi Cr 111, 16. Mas-tuk, s. Ardi-" Nergal. a. Mu-käl-lim, s. * Nabü-sum-usur. a. "Nabü Dr 162, ». I Nabü-ni-zp-3a-ri Ng 40,5. Nd [747, 1. 91I, 11. 983, 2. [Dr 113, c]. a. i Naba-Sum-iskun Nd 219, s. a. """'aveayri? s. "Bel-étir, -ibui. a. wnappalu, s. " Bél-iddin, -zir, " Nergat- usallım, Sullumu. a. "44 patri karri Dr (152, 12. 158, 12?). S. " Ea-aplu-iddin. a. ^"? pahari Nd (580, 2). a. ene Pa-ye* s, !Bel-ittannu. a. "HV yab Dani, s. JEtllitum, "Nabu-aplu- iddin. a. a. 4. d. a. a. a. a. Sag-gil-a-a, s. "Marduk-sapik-zir. a. " Sin-na-din-Ssum, s. "Bell Nabu-iddina, X Nabü-nadin-ahi. a. X! Sn’-Sadu, ""daianu Nd 13, 15. 1128, 33. S. Ap-la-a. a. " Szn-Xa-du-nu Dr 316, 3. S. "Bekiddin, it Samas-iddin. a. "" Sin-tab-ni, s. Itti-2 Nabu-balätu. a. Su-ha-a-a, s. Lüsi-ana-nür-" Marduk, 7 Marduk-Sapik-zir, Miranu, Säpik-zür. CITES CIC C2 ST UNS i Samas-dannu. a. en sang ! Eg Nd 1091,10. Cr 29, 1. CHL 19, 22. S. " Nabü-nafistim-usur. a. ^"? Yang? "Gula, s. Ardi-" Marduk. a. rl Yang? ! [Star Båbili, s. Ardz-" Marduk, X Marduk-Sum-ibni, * Nabi-ahe-Sullim. 64, 6 118 (Musesib-" Marduk) a. mel Xangé 1 Saas, s." Marduk-|Sum-usur). 117. a. *"?$g fübii$u Dr (494, a1). Musezib-" Nabå (KAR|Mu-Se-zib-" N!) Nd 206, vo. 350,22. 398, 27. 478, 11. 746, 14. 753. 830, 15. 056), 2 (Cie 22,5, sth Dieser SER. E275 5) on gsarid Sarri Nk134,1. "Ja-mu-ta-nu NdM II 53. 2546 Sarrı Cb 409,22. rel $r- tam Nd 297,3. S. "Bel-kidru-Sarri, Ina- sel-bit-akitum, / Ka$-Xa-a-a, ” Nergal-iddin 39, 2 Samas-igika. 1. als ?Nabü-kin-Lsir a. DE CHAR 2. a. * Nabü-Se-me, s. " Nabn-Sum-lsir. Mukézib-" Sama. (KAR|Mu-Se-sib-2S Dy CHE! un] Cr 332, 3, 19. 1. a. Us-Sa-a-a Cr 2027: /Mu-Se-sib-tum, gallatu CbP 24,4. Dr 379,14. 575,4. Mu-sib-$i, Mu-sib-Su NAM II 9,12, Mu-Sub-Si Dr L 23,5, s. “Bél-iddin 226. 1. als Orsti-"Marduk Nd L 13, 22. a. Liga, s. * Nabü-muk-elib. 3. a. Nür-"Sin, s. * BéEétir. Mu-Sib|Sub-Si-"Marduk!, Mu-GÄB-S-X Marduk? (abgekürzt: M7x-820-82), Nd 1101, o, s. Erba, Bel-rimanni 33. 1. als #Pêl-nâdin-apli a. ""? ang? "Samas Nd 48, IQ. als Igisa-"Marduk a. * Sin-nàsir Ng [42, 15]. a. "Nabü-na-a-a, s. "Bel-etir. 4. a. mel ay o i Samas, s. * Bél-rimannui, 1 Sa- mas-iddin. Mu-tak-kil-lu, s. Kin-zir 4, (7Samas-)kin-zör ii: Mu-tak-kil-" Adda! 1. als "Adda Nd 1098, 2. Mu-te-e-ri-su, s. Zir-Babil. Na?-ba-a-hu (Nd 354, 17), s. "Nabü-kin-zir 22. Na-ba-a(-a), *Nabü(Na)-ba-a-a, Na-ba-i& (Nd 999, 2), auch mit Determin. 2”, Nd (1114, 9), s. /Amti-"Bau 2, Ardia 15, Ardi-? Gula 16, Ardi-"Marduk 29, Ardi-"Nergal 3, ? Bel-erba À, 26, -iddinla 34, 77, 122, -at- tamnu 16, -rimanni 34, -usallim 36, Gimillu- Sama 6, Iddin-"Nabi 11, /Ina-Esaggil- ra-mat 3, Itti-"Nabü-balätu 34, Kal-ba-a 40, Kina-aplu 27, Labaÿi 62, "Marduk- aplu-usur 3, -balätsu-igbi Y, -rbnanni 3, 11, Knut Tallqvist, -Sum-iddin 44, Musezib-"Bel 58, "Nabn- balätsu-igbi 7, -elir 14, 35, -ıltannu 7, -usursu 39, Nidintum 6, Nigudu 8, 30, /Nu-ub-ta-a 9, /Silim-" Na-na-a 1, Sa- dünu 3, Söpik-zir 25, Séllibi 8, Sul-lu- ma-a 6, 8, Sullumu 15, 7 Sulmån-iddin 1 : -Sum-iddin 6, Sum-iddin 30, / Tåbatum 4, Ubar 2, Ziria 19, Zir-ukin 3. ? Na-bi-e-im-me-e Nk 76, 14. ? Nabu)-ab-ni-ıli 1. a. ERA, s. "Nabu-ahe-iddin. 7 Nabi-åh-bul-lit s. " Nabu-sar-iddin, -zir-ibni. ? Nabh-ahe-bullit CINY-S ES? PAP - TIN(-it/baul- litléut) Ne L 11,511 EvL 10,7. Nd 161,2 991,1». 1120 8 Cr 312,9. Cb318;5 Dr 369, 4 1. 970,06, 55. 382,1. 00020, 7 80122577 07 Sipri Sa "UU Yay-fe-uu Nd 55,14 Mölgzpi Nd 43,4 S. Dalätsu, " bél-iddin, -usallim, Esaggil-ra-mat, "Nabü-gamil, “Nergal\- ah-iddin, Nidintun-" Bel. RAR Se a. Egibi Dr 155, 11, Y ? a. Ardıi-"Ea Dr 280, 5. 5 Am-me-mi-iu a. * Nabü-lit-su NK 138, ro. |3 Apla-a a. Ga-ha4 Nd 764,1. 1044,14. 1056, 5. JS Da-lat-su a. Ràmnüt-iàni Cr 154, rs. y Ba-la-tu a. Egibi NdP 6, r. X Bau-iddin a. Mu-se-zib Cb 56, M. ? Bel-balätsu-igbi Art (ZA TIT) 17. [5 ?Bel-iddin Nk 79, 11 |$ 2Bekiddin a. ^""5ahari Dr (ZA III) z;. als Bi-ib-ba-nu Cb 257, :6. |* Dan-ui-iá Nd CIS II 6r. I$ Esageül-Sum-ibni a.” Sin-da-ma-qu|S4G UU ^ N Ng 2, 1, 10. als Ina-esi-Etir a. Bi-ib-bu-u-a Nd 566, 12. Igisa-a a. Ha-am-ma-a Nk 82, 12. als Itti-" Marduk-balatu a. Egibi Dr 61, i. 15/4, 0272 00) 20330, Eon Zul, [348,2]. 3585. 367,10. 370,2. [402,4]: 403,3. (404, 4?]. 488, 3. Dr L 26, s. als Itti-" Nabn-balätu Dr 382, 17. * Kabti-ia Ch320: Y Kal-ba-a a. ""mappahki Cb 233, s, qe. al} Ka-sir a. Sa-na-Xi-u Dr 262, 10. X Marduk-erba a. Su-ha-a-a NkM 14, 20. X Marduk-zir-ibni a. Ibmi-" Addu Nåd M as CS als al ly T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. (ENabi-akè-bullit) als Mu-kal-lim? a. """ 647r; Nd 1030, 19. aj Musesib-" Marduk Dr 379, a. | ir als "Nabu-ah-iddin Nd 446, 12. 448, 10. 2/5 Nabi-ba-lat-su-iq-bi a." nabpahi Cb P 30, ‘6. als "Nabü-ga-mil a. Su-ha-a-a Dr 173, 256, 15. als "Nabü-kasir a. Da-bi-bi Dr 138, 10 als "Nabü-kin-zir a. Egibi Dr 428, rr 30. als "Nabü-Sum-iddin a. " Ea-pat-ta-nıu Ev I9, 16. | als ”Nabia-sum-iskun a. ^"? ua$ patri kari | Nk 300, 13. | (CNabi-)Hion-ukin a. ""? angi parakki | CHATS 16%. Ch 24 7 Dali als "Nabu-sir-Lsir a. Egibi Ng 60, x. Nd N 10]. 5 Na-di-nu a. ^"? ba iri Dr 142,14 144,14. 315, zz. 35. al$ Nar-gz-id Cr 311, 6. als Ri-mut Nd 526, x: | als 2 Samas-usallim e: 385, ilic | als Sa... amölpa-gu-dıu sa” Sah-ri-in Cr 328 A| als U-bar Nd 321,3: | 40. als Zir-Båbili a. ”nappali Dr 69, s. | als Zir-ukin a. Ahu-ba-ni-i Ne L 12,4. | als Zérá-tü Nk 390, ; Se Cr (36r, 5). | a. " Addu-Sam-me-e, S. Has-da-a. | 45. a. Amél- Ea, s. i Nergal-iddin. a. rl bans, s. Su-qa-a-a. a. " Bél-iddin a. ”2$angi "Nimib Dr 386, 16. a. Da(? Ih)-na-sir, s. * Nabü-étir-napsátz. a. "Ea-pattannu, s. " Bél-iddin, "Nabü-na- | dn-a fu. 50. q. Epes-ili, s. Itti-2 Marduk-balatu, * Nabü- etir-napsäti, " Nergal-usézib. Ga-hal, s a. Ha-at-ta-a-a, s. Igisa-a. Jddin-" Nabi. a. """j5arL s. Igisa-a. Man-di-di, s. 2 Nabü-zir-ukin. a. Nik au a. Su-ha-a-a E TAS . Mu-an(? nab)-bit-tum, s. ”Bel-åhl-usabsi. en s. Romut-" bau. NOr 2: X Nabu-Sar-usur. a. Ir-a-ni, s Nd 60. ? Nabül-ahé-erba Nd 297, 5 ii X Nabu-ahe-ibni Dr 379, 30. I Nabu-ahe-iddin]a (IN S?- SES?IPAPH- ML NSE(- Un IO. IR IIO a. Pap-pa-a-a, s. "Nabü-Sum-iskun. a. Ri-sü-ü-a Dr Pa (7, 18). a. melsip-e-a, S. Musezib-" Bel. 786, 10. S. 7 Naba- Rap Stim-usur. als Du-hu-um-mu Nk 75,3 DE E198 (231, a2). Lab 1,27. Nd 28, 4. 440,90. 477, 6. 720,7. 742,4. 1077.5 NM. 13,128, C 531947699 208, 2: 236,2. Gb 9, 12. (43). Dr 344, 3. "2 daianu Nd 16, 12. 668, 22. elispar esi Nk 278,4. "&pu-za- a-a Nd 117,4. S. Ap-la-a, Ardi-" Bel," Bau- eres, Belsunu, "Bel-usallum, Bunanu, Id- dina-a, Ina-sil-"Bel 3, / Kalbütum, Labasi 80, Lisá-ana-uur 22, Murasu, " Nabü-zir- na) Nk 141, et. Ng 5, 2 249, 16. 410, 8. ıddin, * Samas-Sar-usur, S#-la-a, 2 Tas- metum-damigat. NE D Nk 431, 17. Dr 427, zs BTE arg Sag-gil-a-a Nd 55, 5, i. als Ardi-ia Cr 49, v. als Ba-si-ia a. Egibi Nd 147, 11. als ?Bel-na-sir a. * Sin-étir Nk 320, 17. als Igisa-a a. Sil-la-a? Ng 63, 9 Us Titi Marduk-balätu a. Egibi Dr 404, 4, ? Nabü-ahé-6ullit 16. als Kabtia a. " Addu-smm .... NkL21, c. als Kal-ba-a a. "Sin-da-ma-qu Cr 293, 5. als #Marduk-ètir a. "labs biti Cr 188, 20, 27. als 7"Marduk-suml-iddin) a. ”Sin?-$adi Dr 134, 15. als 2” Marduk-sir-ibm a. Din Y 2 Nabü-ab-ni-ih a. "RET Nk 409, i5. als ENabt-aplu-iddin a.Su-ha-a-a Cr Pi 16,4. als "Nabü-bän-zir a. "Masar abulli Nd 1059, 12. ? Nabü-bel-Su-nu a. La-kup-pu-ru Cr 27,3. 2 Nabn-elir a. vr bàn? DrP 44, u. 2 Nabü-ki-Sir a. """ naecgari Nk 281, als *Nabóz-la-a?^^' Dr 323, 39. 5 7 Nabü-musétig-urrz Dr 147, 12. I Nabü-mu-Se-ti-ig-urri a. ^"? hahari Dr 367,» als * Naba-Sumr-lisir a. Sag-gil-la-a-a Smd (ZEIT RS 120 Knut Tallqvist. (ENabi-ahé-iddin|s) O3 ut 40. al x #2 Nabu-sum-usur a. Mu-kal-lim Dr 321,52. $ 2 Nabn-usallim a. "rei Nd 1048, i. LE Nad-na-a a. Sag-di-di Nk 117, 14. |S * Nergal-näsir a. Sa-u-ri-e-su Nd 1079, 1. 's Re-ih-t-ia Nd 610, o. |$ Re-mut-!,... a. e" IY5ayu Cb 317, x * S4-la-a (a. Egibi) Nk 107, ms. A9 5815273515 100015 1/222. 188 40 OS 2 212453 214,0. 231,12]. 235,2, 256,3: 266,14. 300. 307,2. 320,3. 325 3,1 361,16. 22, 90. 303,14. 365,15. 366,15, 376. 377,2 [407]. 400, 2. 411. [420, 15]. 426, c. Leo NkL "S I VAG UT N, 91/72 METEO) ANA TE 7015: 915 210,24) 18. 39,12: 42/2, 9 24b, 9: 7: D 16. 59,76. 60,12. Ng 12 2 VR E ^ 83,10. 0,4 13,4. 7425 4: 45,2 51,6. 53,5. 65, ». 66, 2. 77,8. rd 147, 5. 165, 6. 193,6. 194,4. [216, 4]- 224, s. 238, 2 230, 3. . (257, e]. 2678. 270,10. 274,5. 353 2 355, 4 383. 393. 395. 396. 418,3. 433, 5 . 501,3. 520. 530,4. 575,9. 2. 623,2. 634. 671,5. 680,5. 1048, 3. 1111,7. NdL 22 AIS 203,6.21. 2 243,19. 244. b Co a. a Nk 183, 17. 5 ID als Sü-su-bu a. Ka-nik-babi Dr P 58,5 als Ta-li-mu Dr 503, 2. aj sts aq. d. IX U-bar Nd 882, 2. PERS Cb (410). S. ”Bél-ibni. Ardi-" Marduk, s. Muraïi. Arkät-ilani, s. lddin-"Nabn. Ba-bu-tu, s. "Marduk-Sum-usur. Bu-u-su Cb (68, 2), s. Pelsumn. . Di-hu-um-mu Nd 358, 3. Egibi Nk 419,12. Nd 499, 7. (609,4). 1128, 39. Nd TSBA. ^"? daianı Nd 64,11. 356,43. NdL 73, 31. S. *Béf-udammiq, lddina-a, lddin-"Nabn, Itti-" Marduk-balatu, Itti- 2 Nabü-balàtu, Kal-ba-a, Kin-sir, "INer- gal-Etir. 45. 50. 55: 59. « a. Epes-Mi, s. Kal-ba-a, Nidintum-" Bel. a. Ga-hul Dr 435, 9. a. "rlyspari Nd (1032, 20). a. Musesib, s. Nidinti. a. Na-ni-&-tu[| SES . K Lá-tu, s a. nås patri, s. " Nabü-nasir. a. élpahari, s. Kal-ba-a. a. en 4 Po ofi s. Ardi-!Bel. a. Qaqqadu-ni-tum, s. Silim-*Pêl. a. "C? qipr, s. !Bel-iddin. Y a. Rab Sus-Si, Murasıt. ST Liria. s. 7 Nabn-aplu-iddin. a. " Sin-tab-ni(-usur), s. Itti-" Nabt-balatu, Tabatum. a. " Sin-tab-ni-usur, s. Iddina-" Bei. a. Sa-na-si-Su, s. Lussu-ana-nür. a. "Sin-näsir, s Lee a. "U Sano? "Samas, -"Zariqu, s. Tabnèa. a. Sa tabtisu, s. "Bel-ah-usabsı. Si-gu-ü-a, s. ! Ea-iddin, *SA-aplu-iddin. il abir-aftt-igéta (! NV-SESPI PAP? B A-Ya)Cr371. ii 2 2. als amelaypi Nd 947,9. S. Ubár. als Bu-na-nu a. """ nappafi Cr 209, 10. Vgl. I Bel-ahe-igtsa. Tab-ni-e-a Nd 1116, 19. I Nabu-ahé-it-tan-nu als Gu-sa-nu Dr 568, 2 isi abi SR -eres, s. Sum-iddin 51. ile 22, 7 Nabü-ahé-Xullim. (CNY-SES#|F als ? Nabüu-Xum-iddin Nk 115, as. a. Pap-pa-a-a, s. Kabtta. PAPP-GI|sul-lm [Sul-anu|Sá-£um|D Fi Nbp (ZA IV) 13, 1). Nk 97,10. 157,9 NkL 7,1. Ng 28,3. Nd ME (CK 78 78,08 374,02, Chrome: Dr 40,9. 125,9. 162,24. Sa bit alpi Nbp (ZA IV) 13,13 S. Bel-uballit, Gu-za-nu. 25 Ap-la-a Nd 241, 3. [260, 7]. 361, 2 als Ardi(?)-"Marduk a. Båbili Cb 194, 15. [412, 26). als " Bel-Sum-iskun a." nappahi Nk 426, s. als Bel-Su-nu a. "Sin-imittu Dr 300, rr. * Igisa-a a. RER änn Nd 750, ». x 2 Marduks-usallim Dr 243, i. als Musezib-" Marduk à. 7 [Star Bäbih Cr (332,31. 341,11]. Cb 93,13. [240, 21]. als ? Nabü-éfir-napsáti a. ^"? na patri kari IDrP X13 sz ıs Riheti a. "Sin-näsir Nk 60, s. S [star ame! yay er] amer y gy, gi 88. 89,2, s. T. XXXII, Neubabylonisches Namenbuch. (CNabñ-ahë-Sullim) IO. a. *Ea?-ili-ia-ibni, s. Nidintum. 11. a. Im-bu-päni-ia SmkM II 2, s. il Nabül-ahé-usur I. als Cb 436, 17. 7? Nabül-àÀ-ibui NK 157, 10. X Nabü-ah-iddin|, (ZN! -SES|PAP-MU]SE(-na) Nk 315,13. 452,13. Ng 60, 14. 255,5. Cr 343,4. 363,2. Cb 87, 32. 140, ». 255,17. Dr 162,14. 370,26. DrP62,14. ^"? gu- gallu Cb 387, 10 S. ?Addu-eres, Ardea, " Nabü-ahe-bullit, U Bel-Sum-eres, -kasir, -nasir, Sum-iddin. I. als Ahi-e-aNd 445,3, vide *Nergal-àk-iddin als Ahéa. als A-hu-Su-nu Nk 138, 13. als AB... NkL S. als *Ar-ba--U-Sär-usur Nk 335, zz. 5. als Zli?l-a-di-nu Ng 66, e. als Lu-a-ga-ba Cb 86. als "Nabüu-balätsu-igbi Cr 311, ss. als "Nabü-bel-Su-nu a. 154, 13. al} Sakin-Sum a. Sip-pi-e Nk 97, sé. als " Samai-iddin Nk 122, 5. 138, s. af Sa-ri-du (Ataridu?) a. Bél-étiru Nd 26, 2. als Sk-la-a a. Egibi Ng 58, 13 = "Nabü- ahe-iddin? amd hair, s, !Bel-etir. . Balátu s. 2 Nabh-Sum-iskun. 2 Bel-etiru, s. Rimüt-" Naba. Etiru Dr 419, 14. amelyspari Nd (275, 2). . Ku-na-a Nk 238, 2. Mu-kal-lim, s. Ardi-" Bel. on? aa patri, s. "Marduk-Sum-ibnt. . mel pahari, s. "Bel-usallim. ame P? alpi, s. ?! Nabü-&tir-napiáti. a. Su-ha-a-a, s. " Samax-k£n-aplu. 23. a. ?^"? Ya. fübtiXu, s. * Bél-ah-usabsi. X Nabi)-ah-it-tanfza-nulna Dr 245, 35. 379, 14, 4t. Pa 15,13. S. Balätu 80. I. al$ Ahe-iddin Dr 527, s. als * Bél-aplu-iddin a. Sa-la-Iu Dr 434, ro. Ri-mut-ilani Cr IO. — t3 m 8 &*R8RRSRRRR 15. als " Bél-iddin a. / Be-lit Dr 128, 2. als Kin-aplu Dr 474, 15. No. 2. Nd 200, 2. 5. | -Sum-ibni, Nidinti 86, Sama-ilu, 121 5. al$ Marduk-iqfsa(-an-ni) a. Mu-Eat-lim Dr 140, 18. 262, 5. als "Nabü-bel-Su-nu 23, 14. als "Nabü-etir a. Etir 4 Dr 309, 25. als 2 Nabü-Xüm-ugur. a. "ang? " Na|-na)-a Dr 359, 7. als X Uras-käsir a. Da-bi-bi DrPa 17,5. 18,7. IO, 7. IO. a. Ha-am-ma-a-a, s. INidintum. 11. a. " Samai-iddin Nk 458, 9. il Nabü-àf-ri-man(-an)-mi Nk 363, 4. 420, s. Nd (1130, 17). Dr 470, 10. ^"? ga//u Nd 336, 3. amelyyb bar-ri Nd 106,3. S. " Nabü-s£r-ibuz. 1. als Gu-sa-a-a Cb 145, zs. Y 7 Nergal-SES . OR IDA O9: 3. al$ Ri-mut-"Bau a. """ nappafii Cb 110, 15. ? Nabül-àÀ-tug-ua Nd 255, 4. X NabiM-àh-uballit (bullit?) Nd Pi 3, e. ? Nabü-ah-usur («N)-SES|PAP-SES\t-sur| PAP) Nd 554,9. Cr 333, 4. ""?r£'á Nd 54,6. S. A-ra-hu, Musezib-" Bel, " Nabü-eres, Sum- iddin. 1. a. Musezib-"Bel Dr 308, ss. ? Nabü\-ah-uSabsi als ?Nabi-ipus Ng P 126, 10(?). 2. a. ""? angi "Samas Cb 386, 13. a. La-kup-pu-ru Dr | 2 Nabit!-a-a-Iu (?"? qal/fu) Nk 17,4 Cb 125. 279, 5. 308,2. 351,6. 361,4. 369,10. Dr 97,3. 243,6. 269, s. [349, 2]. 361, 4. 379, 21. 305,4 306,4. 413,6. 480,2. S. Ahza-likin, Ap-la-a, " Nabü- edu-usur 3, Rimüt. als "Sin-etir Ng 16. E abit -àlik-pani-D U- ST) bal LIBRAR als Ili&-iddin Ng ZA I p. 168. IVA ee S -al-ga? .... bi? Cb 290, 4. ARD 5 b 2 27 | " Nabüi-al-si-ka-ab-lut Dr 379, 39. oon! ? Nabül-a-Iu-[u (Cb 57, 20), S Dr | il Nabül-al-si-ul-a-ba-a3 Nd 533, [s], 1e. Dr 379, 25. S. /Ma-fhi-tum. . * Nabü-edu-usur 3. 7 Nabil-am-me-e Nk 118, 11. Vgl. "Naódt-zm-me-e Nk 76, 13, -La-am-me-e Nk 122, 12. | ZNabñ)-a-mur-an-ni Nd 1, 15. #Nabñ-ana-àlñia ("N -a-na-ERla-a-lu|-iajia) Dr 379, 48. 561, s. ? Nabü-a-na- K At-tum-si-ri-iht .... s. #Samaÿ-akè-erba 2. (Nd 1054, 3), 16 122 UNabñ)-a-na-ma-da-utèr (GUR) Nd 841, 15. X Nabül-a-na-me-ridh-tum 1. als ?Bel-na-din-aplu a. Sa-na-Xi DrP 76, s. #Nabi\-a-na-pi-i-d-sur (Dr 173, 17), s. “Nabi-na- ta-nu. X Nabü-aplu-iddin|, (AN S24] TUR. USlap-lu- M (0% |SE-nalid-di-na) Nk 139, 3. 210, 2. 230, 10. 249,17 Nd 149, 4. . 424, 10. 565,3. 792, 3. 828,5. 868,7 893,5. 804,3. 1076,7. [1127,37]. Cr 34,27. 225,13. 285,5. 287,9. 312,32. 324,7. 373,9. Cb 61,3. [70, w]. 201, 2. 274, 1s. Dr 2,4. 5,9. 7,9, 28,11, 9"7 75/5 NK T1, Nd 49,1. Dr 3,3. 7,4. 10,9. 21,5. 36,7. S. Ardı- Bel, Erba, Gimillu-" Sama 14, Kina- aplu, "Nabü-aplu-ukin, -erba, -mäku- usur, Tabnea, Tahünu. INO Ee er Nk 232, 6. VR AC ONE a. Ga-hal Dr 437, 16. als A-ra-nu Dr 369, ;s. als Ardi-ia a. “"aslaki Nd 238, n. 239, 21. 5. als Ardi-"Bela. Egibi Ng [45,14]. NgL 12,20. als Ar-ra-bi Nk 314, zz. als Ba-la-tu a. ^"? ràb båni Dr 379, ss. als Balåtu a. ("®BI-)Sa-na-Si-Su (Nd 238. 239. Nd M 11, 1 — no. 20. als *Bér-iddin a. Egibi Dr 541, 26. 10. als X Bél-iddin a. Ir-a-nu Cr P 22,3. Dr P 42,55. als ?Bel-igisa a. Ga-hal Nk 136, 5. rraa]s #B6l-Sum-usur ? 84-2-11, 344. als Bel-su-nu Nk 442, 2. als Bel-Su-nu a. Ardi-" Ea Cr 123, r2. als ?Bel-uballit Cb Ba 1, 9. 15. als “Pêl-ufallim a. A-ta-mar-an-nu-su Dr Ba 6, 24. 3 #Bêlzir a. Egibi Dr 309, 27. $ Erba( Gimil?)-"Marduk a. ""?'ràb bàni Dr P 64, 17. als Jddin-"..... a. Ir-a-ni Dr 469, 19. als Jddin-"Nabü a. Da-bi-bi Dr 170, ss. 20. als (Itti-" Mardu-)Balátu a.(2"?' (B F)Sa-na- Si-Su Nk 108,3. 179,3,8. 185,4. 189,3. 199,3. 200, 4. 327, ll, 8 Ev [9,3]. 1A, 2. 10 10,2. 22,2. Ng 9, 2. Nd 238. 230. als Kal-ba-a Cb 162, s. als Kal-ba-a a. Epes-ili Dole etiru Cr 228,15. al al als "Marduk-bàn-zir a..... Knut Tallqvist als "Marduk-erba a. ....... Nd M II 65, s. als ? Marduk-er-ba a. Ga-hul Cb 306, 16. als *Marduk-Xarrani a. band Ng VR 67, 1, 6. als ”Marduk-Sum-ibni Ng 50,9. Nd 263, 14. als ?Marduk-Sum-ibni a.7"*'b4 iri Nd 468, 16. als 2 Marduk-Sim-iddin a)$ Lüsi-nür-" Mar- duk Cb 85, 19. . als X Marduk-Sum-iddin a. ^"? Sang? "Gula Cr 160, 13. als "Marduk-Sinn-usur a. ^"? Sangi parakki Dr 519, x. 550,74. Vgl. Ap-la-a 34. als "Marduk-zir-igtsa a. E-sag-gil-a-a Nd 139,8. Y Musezib-"..... NdL 15, es. X Mu-Se-zib-" Marduk a.^"*'yàbbántDr 31,5. X Nabáü-afhé-iddin a. ”Sin-nåsir Cb 326, s. i Nabi-balåt-su-ig-bi a. "Bel-etiru Cb 14, 77. als * Nabü-balät-su-ig-bi a. Rabü?-a-na-Ni ... Cb 44, 2, 16. als "Nabi-balätsu-igbi a. "Sin?-$ad? Dr Bu 88-5-12, 26, 25. $ "Nabá-éfir a. vréPa-$e# Dr 170, a. als " Nabü-bágir a. ""!pahari Dr 210, rr. 2 Nabü-kin-aplu a. ®® 5ahari Dr 31, 10. ND 9 s IR ce Cr 239, 15. X Nabu-h’ü a. Egibi Cr 302,6. 345, ar. X Nabu-li a. E-ri-3u Cr 237, 7. X Nabü-li'à a. Ki-din-nu-! Sin Nd 756, 16. UNabñ-mu-Se-ti-ig-urri a. Dam-ga Ev O, 3. Nd [839, 13. 843, 18]. als ! Nabü-na-din-ahi a. Mudammig-" Mar- duk Dr 53, 4. als ? Nabü-Sum-iddin a. E-sag-gil-idinnam Cr 128, 31. als ? Nabá-Xum-ikkun a. ^"? angi" Belit same Dr 260, 21. als ? Nabáü-sir-ibumi a. lddin-* Papsukal Cr 27, 14. 5 2 INabü-zér-iddin Cb 344, 4. |* " Nabü-str-ltSir. a. Etiru DrP 56, ;s. $ U Nabü-zir-Xir a. ^"?'iXbari Dr 30, 12. i Nergal-uSallim a. Zira-á-ti-id Dr 282,11. 55. als Nu(-um)-mu-ru a. Mi-sir-a-a Nd 671, 56. 675, 10. 679, 12. 680, 8. 1031, 16. ILIO, 13. Cr 284, ;7. ; DEN I 35.4 a Me Me TEST 40. 45. al 50. T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. 12 (Nabt-aplu-iddin|la) 55aal$ Ri-mut a. "Bel-etiru ? P 118, rs. 65. 70. 75. 80. 85. Vgl. X Bel-aplu-iddin 33a. als 7Sin’-Sadu-u a. ”Esangi Sippar Nd 846,7. Vgl. ?Bel-aplu-iddin 38. als Sil-la-a Dr Ba 16, 14. 24, 1s. al Sil-la-a a. É-sag-gíl-id Nd 153,10. 158,12. 160, 6. 169, 15. a 7 Samas-aplu-usur a. ‘él Yang? 1Sames Nd 973, 16. Cr 277. ras ^ . . - . als " Samas-zir-ibni a. "Del-aplu-usur Cr 143, 7o. 154, rz. 254, 13. als ?Samas-zir-igisa Cb 403, 1. als Sü-ma-a a. ^"? bàní Dr P 43, zz. als Süm-iddin Nd 103, 2. al$ Sá-zu-bu Dr 96; vgl. Nd M 12,4? als Tab-ni-e-a a. Iddin-" Papsukkal Dr 26,54. als Ta-bi-id a. Su-ha-a-a Nd M 13, 16. als Uballitsu-" Marduk Cr 87, 9. = no. 98. N Nk (380, 10), s. ?Del-ittannu, "Nabü- aplu-ukin, -erba. a. " Addu-Sum-eres, s. Musezib-" Bel. a. "Bel-aplu-usur, s. "Marduk-Sum-usur. a. Da-bi-bi, s. Musesib-" Marduk. a. Di-ki-i, s. "Marduk-zir-ibni. [”Ea-éples-ili, s. " Nabå-Sum-iskun. a. Egibi, s. Nabi-ztr-igiÿa. a. É-sag-gu-a-a Nk 71, s, 9. a. Ga-hal, s. Dummuqu. a. Jddina-" Marduk, s. ? Bel-Sum-ibni. a. I -"Marduk, s. (Ana-)"Bel-eres, usallim, Tahünu. a. Ka-nik-bäbi, s. Ardi-" Marduk. a. Ku-du-ra-nu, s. "Nabü-usallim. a. Man-di-di Nd 232, n. a a i Bel- . el yaggari, s. " Nabü-nadin-Sinn. . Na-na-hu, s. "Nabü-kin-zir. a. énappali, s. Itti-" Marduk-balätu. a. amöl Pa-Ye*. s. Bul-ta-a, Sum-iddin. . "Ub bani DrP 51,10. "2 daianı Dr 379, 73. S. Erba-" Marduk. . Sag-gil-a-a, s. Kasiru. . 7Sin-ahe-bullit, s. " Bél-ibni. . 2 Szm-i/u, s. " Bél-nàsir. X Sin-Sadüunu,s. Ha3-da-a-a,! Nabi-uballit. . Sin-tab-ni, s. "Nergal-uballit. a. Su-ha-a-a, s. " Nabit-ahé-iddin. S ORUSOR & No 2. [#2] a. Sa-la-la, s. Nidintum-" Bel. a. ^"? $ang? Sipparki, s. 2$Samas-iddin. 95. a. Si-gu-u-a, S. Säpik-zir. 98. a. Uballitsu- Marduk Cr L 17, 9. — no. 67. i Nabü-aplu-ittannu (EN! TUR. US-it-tan-nu) 1. als * Bél-Xumn-iXkun a. Ir-a-ni Dr L 23, 13. ? Nabü-aplu-uktn I. al$ X Nabü-aplu-iddin a. ... EvL 10, rr. 2 Nabi-aplu-ugur| PAP Nbp M II 7 etc. ar Bå- bii Nk 116, s. Nbp passim. S. Bélsunu, ? Nabü-étir-napsáti. 1. als #Bêl-2-dan-uballit Dem? a. X Nabitl-a-qab|ga(-ab|-Bi), ^" rab sib-tum Nd 310,4. 1. al$ Gab-bi-ia Cb 110, 6. 2. als Pa-at?-ü-as-tum Cb 85, 17. X Nabül-ár-ni-iia NÅ 242,7. 361,7. ^"? la-mu-ta-nu Nd 174, 5, vgl. 302, s. il Naba -d-ni-e-lib, vide *Nabñ-mukki-e-lib. X Naba!-balåt-eres (KAN|PIN-es) Nk 438, 1. an o$5; Sa Ebabbara Nk 175,5. Ng 47, 4. S. Kin-zir, ! Nabü-usesib. 1. als A-na-" Bél-á-pa-qu. a. "rei ? Nabu-batat-iddin ; 1. als Sil-la-a a. Na-bu-un-na-a-a NAM 20,1. X Nabu-balätsu-igbi(" INT- TIN \ba-latlla-at|-su Elig- bilig-E; no. 24 abgekürzt: PBalatsu) Nk 209, 3. 315,8. Nd 452,6. Cr (15, 9). 180, 4. 210,6. 256,5. (324,2). Cb 33,3. (44,8). 133,7. 2209 C bbs 27 De 926257 119001677 £/57 Dr 10,5. ^"" dazauu Nd 355,15. 668, 23. (GEI 312, NS il Bel-ahe-iddin, -ahé-igésa, -ibni, -usabst, X Nabü-àh-iddin, -ittannu, -tabni-usur, -uballit, Nàdin, Na id-? Marduk, "Nergal- êtir, *Nu-ub-ta-a, Silim-" Bel, 1 Samas- bullitsu, Sadinu, Sulum-Båbili, Ubarri. D SAS RER Nd 849,21. Cr 278,15. DrP 140,9. AJ EEE a. crélb@né NdL 14,1. Vel SmöSerba 5. 7 ASur-rimanni, -zir-ibnt, 5 4 Ardi-ia Nd 858, ro. Y Bäni-id a. Ar-rab-tum Nd M 29, 13. Ba-ni?-ia a. Na-ba-a-a Dr 79,:2? 153, 13. 3 #Bêl-aké-erba a. "étre? sis? Nd 1039,55. 5 #Bêl-iddin a. Ardi-" Ea Dr 490, i5. 10. als " Bél-iddina a. Ea-im-bi Dr 379, zs. 16 * 124 Knut Tallqvist. (2 Nabü-balätsu-igbi) 15. 40. 45. . als Zaddin#Nabt a.” ka-nik babi DrP 71,2. | . als *Marduk-erba a. Iddin-"Mardık Na M . als "Nabu-Etir-napsati a. Egibi DrP 56, 25. als "Bel-iddina Dr 464, 2. | “Bel-ipus? Nk Or, 4. Y "BOIS a. Egibi Nd 282, 1. | als * Bé-uballit a. ..... Dr 263, 13. | 5 YBel-usall-un Nd 477, 40. X #Bel-zir a. ^"? ang? Dilbatt: NdPa 2, 55. s #Bêl-sir-ibni a. ^"" a$Iabi Dr 468, 10. 5 Daian-" Marduk a. "Szn-iu Cr 168, ss. * Daian-" Marduk (a. ami ry eri) Nd536,5. | 776, 5. | als E-sag-gil-Sa-du-nu a. "Sin-Sa-du-nu Cb 336, 10. als Gab-bi-e-a Ng 24, e. als Gi-mil-lu a. ^"? $ang? "Addu NdP 7, 4. Cb P 34, r6. Smrd 30, s. als Jöna-a Dr 78, 7. als Jddin-" Marduk a. Egibi Nk 265, 2; = | Balåtsu 6. | als Igisa-a a. Ahu-ial-ü-tu Cr 114,3,10. 338. als Igisa-a a. Raba-a-su-sa-" Nimib Dr P 41, zo. als Igisa-a a. "Sin-Sa-du-nu Ne 9, a. als Kud-di-nu a. Ih’-"Marduk Nk 247, i. Nd 84-2-11,61. Vgl. Nk 416, 6. II 50, 9. als * Marduk-erba a. "Sin-na-din-Siom Nd Mu-ra-Süt-u a. Na-sir Dr 486, 15. * Mu-Sal-lim|GI-" Marduk a. "nappahi Ng P 126, 7. NdP 8,3. CbP 30, 3. | $ 7 Nabu-kin-aplu a. "Bel-etiru Nd 575, 9. 5 "Y Nabü-kin-sir a. Ibna-a-a Cr 297, 7. $ Y Nabü-ni-ip-Sa-ru Nd 1011, 9. Cr 184, zs. als "Nabü-ni-ip-Sa-ru a. *"Sin>-Sadi-i Cr 175, 13 als "Nabu-Sar-usur Dr 504, ro. I$ #Nabñ-Sum-i$kun a. Ir-a-ni Cb 260, ro. als #Nabü-udammig Art (ZA III 158) 27. Y X Nabü-zir-Lsir a. Ba-si-ia Dr 321, ss. $ Nür-e-a a. ®"Sangt "Sana Cr 207/77, 8 $ Ri-ba-a-tù Dr 78,12. 1 Sama-êtir (£2 RE Goo Cb 44, 10. 2$Samas-Svm-t-kin a. Ba-bu-tu Dr 151,16. 50. 55: 65. 75: 80. 85. 86. a Samas-zir-igiSa a. ®"pahari Cb 110,2. als Sa-"Nabn-MU a. Ga-hal-" Mardu£* Dr 393, % Y Sz-la-a a. ^"? rab ban CrP 11,10. 12,4. Sáü-zu-bu a. " Addu-Xim-eres Ng [38, ro]. Tab-ni-e-a Ev 20, 4. Nd 276, 4. Tabi-ia a. ? Sin-ilu Dr 278, 7. X Ziri-ia a. hån Nd 434,14 536,9. NdM I5, zo. a. amélu(-)-& Nd [356, 47]. 495,24. 720, 19, 28. S. ? Marduk-Sumn-usur. a. Ardi-" Ea, s. Kal-ba-a. a. Ár-rab-tum Nd 527, 3. a. AS-kan-du, s. Ardi-" Gula. a. Ba-la-tu Dr 303, 3? . a. Ba-ri-hi, s. 7Bau-bel-biti. a. * Bél-ahé-iddin Nd 260, ». a. "Bel-Etiru, s. *Nabt-aplu-iddin. a. Da-bi-bi Dr 486, 24. S. * Bel-sum-iskun. a. ? Ea-e-piS-iht!, s. "Bel-uballit. a. * Ea-lu-ü-Se-zib-a-ni, s. Labasi (30). a. Egibı, s." Bel-iddin, " Marduk-erba, ! Mar- duk-Sum-iddin. a. Épei-ili Ev (7, 1), s. ?Bel-£tir, * Marduk- erba. a. Etiru, s. #Marduk-rimanni, Zu-um-ba-a. a. Hu-un-zu-ü, s. Nidinti. a. Iddin-" Marduk, s. Iddin-" Nabà. a. Jl -"Mardu£b, s. Kal-ba-a, Kalbi-"Bau, ? Nabü-kin-zir. a. (Ina-)Esaggil-a-a, s. Nidinti- Bel. a. Mu...., s. 2Beliddin. a. Mu-dammig-" Addu, s. " Nabáü-ittannu. PE PMP) oec cce Nd 934, 14. a. "Nabü-ni-ip-Sa-ri Cb 404, 2. a. ^"Hyo»aocayi, s. * Nabi-ugursa. a. nappali, s. "Bel-ahe-erba, -étir, Igisa- a, Igisa-" Marduk, " Nabti-ahée-bullit. a. el gıpi, Ss." Nabü-Sum-usur, Nergal-Sär- bullit, Sa-pé-kalbi. a. Ra-ba-a-sa-"Ninib, s. " Bél-Zpus. a. "yb parzilli?, s. Musezib-" Marduk. a. Rabü'-a-na-ii? ..., s. “Nabt-aplu-iddin. a. "Sin®-Sadi, s. BélSunu, * Naók-aplu-iddin. a. Sin-Sa-du-nu, s. " Marduk-zir-ibni. a. "öl $angi I Ninib, s. Apla-a. a. "ange Dilbat'", s. "Bel-upahlir. T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. il Nabi-baltum/(-ilåmi) (EN1-77. LAlbal-tum]|ti (-AN?), s. Balätu. I. a. mel abi biti, s. Balatu. il Nabi-ban-ahi ("N-KAKlba-ni|SES) Nk 131,10. Cr 233,12. Cb 416,3. 428,16. Dr 337,3. 380,3. 410, 3. 483,3. 490,3. ""rnalahu Nd 17, 4. emélinar Sipri Nd 402,4. S. Ana-bitisu 1, X Bau-eres, Etil-pi, /Kas-3a-a, " Marduk- erba, "'Nabü-kin-zir 25, "Nergal-uballt, -usallım, Sum-iddin + 52, Såzubu, Zir-ukin. occ IDXe ZUG als Abkallu a.” aslaki Nk 301,19. Nd 131,9. 33, 7. 243, 23. [254, 9]. 267, ro. als Ap-la-a Nk 95. als Ap-la-a a. ""? a5; Nk 129. 2 Bél-ahé-igi$a a. "rei alpi Dr 526, 2. als *Bél-Zpus a. "Sin-tab-ni Cr P 16, 24. als BEIC AN. AB| KUR. GAL)-näsir 276, 6. als Igisa-a a. Na-din-se-im Nd 260, ry. Vgl. Nd M 24, s. als Kudurru a. *""5ahari Ev 16, à. Nk 10. als "Marduk-erba a. "sang? "Ninib Nk 350, ?3. al$ " Marduk-&tir a. Etiru Ng VR 67, 1,20. als “Marduk-êtir a. Ki-din-" Marduk Na 1123, 24. als #Marduk-ibni a. Bul.... Nd 1111, s. als ? Mardu£k-na-sir a. " Addu-Sam-me-e Dr 379, 76. 449, 2. 450, 2, 6. 15. als *Marduk-nasir a. Mudammig| KAL- 7 Addu Nd 442, v. 443, t. IIII, s. als Musézib-" Bel a. Lügáà-ana-nür-! Sama Nk 236, 15. als *Nabz ....... a. "^"? al/aei Nd 95, 16. als # Nabá-étir-napsati, ^"? asarid $arri Cb 309, 17. als "Nabü-iddin a." $ang? Gula Nd 276,1. 20. als "Nabü-kin-aplu Ng 20, 9. als * Naóü-ma-li£ Ng 68, s. * Nabü-na-sir a. énacoarr Nk 135, 42. " Nabü-zir-usabsi a. Egibi Cr [245, 13]. Cb PEN al! Si-zu-bu a. "angi . .? Ng 2, zs. 25. a. Ardi-" Ea,s. Iddin-" Marduk," Nabi-nåsir, Zirt-1a. a. "ba Ir s. Nâdinu. No. 2. a. * Bét-étiru, s. "Bel-ahe-iddin. a. Da-bi-bi, s. " Bél-ittannu. a. Da--i£, s. * Nabi-belsunu. 30. a. Egibi Cb (376, 13). S. “Marduk-qgianni. EL GL S vate (Cr (A a. Ir-a-ni, s. * Nergal-ina-est-étir. a. Ki-din-" Sin, s. Labası. a. “rl malahi, s. "Marduk-Ssum-ibni. . Mu-kal-lim, s. Näsir. amölya-din Se-im, s. "Marduk-Sapik-zir. a. ENT SUR gine, s. "Bel-ibni. a. "C" pahari, s. Ardi-" Nergal. a. "Sin-karäbi-Seme, s. Sum-iddin. 40. a. "Sin-Xa-du-nu, s. Lisiru, * Nabü-eres. a. "HH apo? I Ninib, s. / Bu itum, Sadinu. a. ^"? Yane? "Ea, s. "Marduk-Sum-iddin. a. ^"? Yang? "Gula, s. Buitum, *Marduk- Sum-ibni. a. *""$o tabtisu, s. lddin-" Nan. 45. a. S4...... Nd (377, 19). 2 Nabii-ba-ui Nbp M II 7, e, s. S4-la-a. 7 Nabi-6a-ni-ahi, vide "Nabü-ban-ahi. ? Nabü-bàn-sir (IN - K AK|ba-an-ZLR|zi-ru; no. 2, 4, 8 abgekürzt: Bån-szir), 7 Nabü-étir, -usursu. 1. als * Bél-ka-sir a." nappahı NKP 3,6. 125,2. als “Bel-käsir a. Sag-di-di Cb 328, s = Bån- air 1. als "Bel-uballit a. Dan-ni-e-a Ng 25,6, s. Nd 14, u. 50. als Daian-" Marduk a. *" Sin-Sa-du-nu|l,; Cr 49,3. Cb 73. — Ban-zir 2. 5. als * Nabü-Sum-iS&un a." naggariCb 16,25. als * Nabü-ta-ad-dan-nu-usur. Dr 134, 19. als "Nabü-zir-ibni a. Man-nu-gi-ru-su Nk 335, 10. als Na’id-" Marduk a. 7"? i35ari Nd203,20,29. = Pan-sir 4. als Nüri-e-a a.""* $ang?" Na-na-a Cb 260,13. Dr 206, 3. [302, 9]. Dr (496, 2). a. ^"?ab; biti, s. Rimüt- Bel. a. Da-bi-bi, s. Itti-2Nabå-balåtu. a. Ka-nik-babi, s. Kidinu. a. Man-nu-gi-ri-Su, s. Rimüt. s. ?Bel-igisa, a. ame . élipassart, s. Balätı. a. ""yassar abulli, s. " Nabóg-ahé-iddin. 126 (2 Nabü-ban-zir) a. Na-ba-a-a, S. Gimillu-i! Sama. a. nappali, s. lddina-a, lddin-" Nabi, 2 Marduk-kin-aplu, -Sum-iddin, /Si-ra-a, SSi-da-tum, Siun-iddina. 19. a. ^""ràb bán Dr (245, 32). X Nabu-bel-apli (INT-EN- TUR), s. Mi-ri-ih-tum. Dr 494, 6. S. #Nabi-usur Su. 1. als ?Bel-igesa Nk 48, s. als ?Marduk-Sarr-a-ni a. me Sip-pi-e Nk 246, 16. als Ri-mut a. """ràb tarbasi? Nk 302, v. a. Esaggil-idinnam, s. "Nabü-Sum-iddin. 5. a. ^"? rab bant, s. "Bel-uballit. il Nabá-bé-kalàmu(* NM EN|! EN-KAK. A. P I|Ea- la-mu) I. als " Naóa-étir-napiáti a. La-&ub|Eu-ub|-bu[- ru Dr 323, s, 7, 12, 13, 16 etc. 325, 11, 22. X Nabi-bel-napsati I al$ MusSezib-"Marduk Dr 349, 4. 492. 7? Nabü-bel-Sumäati Ng 29,2. "paru Nk 87, e. NkCT IV 38, 25, 1. Nd 174,6. 544,3 S. 7 Bel-usallim, " Marduk-Sum-ibni, Nâdin. 1. als ?Marduk-aplu-iddin a. “abi biti Dr P 46, zs. als Såkin-duppi? a. *"" ang? "Belit Båbili Nk 117, 17. a. Ål?-la-a, s. Ardia. a. Nür-"Papsukkal, s. "Marduk-Sum-usur, /Oudasu, Tukultu-" Marduk. 5. a. *"? Sangi " Addu, s. " Nabü-Sum-iddin. 6. a. ?" sangi " IStar Båbili, s. "Bel-ahe-iddin. 7 Nabül-bél-3u-nu Nd 233,10. (315, 11). Cr 285, 6. Cb 13,11. ^"" daianu DrP 107,2. S. Dumauq, X Nabü-étir-napsati, Nidintum. I. als a. *lnaggari Nk 430, 16. als Ba-la-tu a. Sip-pi-e Cb P 34, ss. 2aals *Pêl-rêmanni DrP 134, 22. als Igisa-a? a. ".Szn?-uballit Nk 196, 7. als Itti-"Nabü-balätu a. ”"napphali Dr [379, so]. 497, 18. s. al Mar-duk a. Epes-ili Nk 107, x. als ”Nabü-ban-ahi a. Dat--i& Nd 103, 16. als “Nabu-ki-Sir a. Ku-du-ra-nu Ev 14, 5. Ev IIR; 72 Knut Tallquist. als * Nabü-z£r-iddin a. *"" paharı Nk 135, 4. Nabü-zir-usabsi a. Dam-ga Dr 114, s. IO. als Sápik-zir Cr 44, rz. 244, 24. |y Sápib-sir a. " Addu-Ye-e-a Nd 600, i. 679, 10. als Sá-la-a a. Zör-ukin Nk 116. als 7 $Syulmån-äh ... à. Ba-bu-tu Nk 323, 2. a|$ Süm-iddina a. ^"? Abi-a-bi Nd 796, is. OB, or Nk (374, 28), s. ?Bel-etir. a. Abi-ul-idi, s. "Bel-erba. a. "by; s. Kasir. a. md hans, s. "Bel-iddin. a. "Bel-ahe-iddin Alex (ZA UI) 2. a a 15. . Bu-ü-su Cr Pa (4, 32). . X Ea-ilhta-ibni, s. Itti-" Nabü-balätu. a. Epes-ihi, s. Bâni-id. a. Ih’-" Marduk Dr L 25, is. a. La-kup-pu-ru, s. *INabü-ahé-iddin, -àf- ittannu, "Samas-käsir. . Na-bu-un-na-a, s. Iqisa-”Marduk. 20. a. ""?'naecari, s. " Nabit-Dulfitsu. a. Nür-" Szn, s. ?Bel-kasir. a. wrêlgipi Nbp (ZA IV) 16, 13. a. "n? vàyb ban, s. " Bél-iddin, -rimanni, Itti- X Nabü-balàtu, Nabi-sèr-igi$a, * Samas- udammtuq. a. Ri-mut-tilàni, s. "Nabü-ah-iddin. a. #Sin-nâsir, s. "Bel-iddin. a. Su-ga-a-a Cb 274, 7. 2. USamas? ....., s. Bêl-êtiru. 35. a. Såpik-zir Cr 244, 24. il Nabü-bél-usur, s. / Ummu-tábat. X Nabüi-bél-ztri 1. als *Nabü-zir-ukin a. (Civ 231, zs. #Nabñ\-bi-na-an-ni, gallu Smd (ZA IV) 9, 4. #Nabñ\-dbul-lit TS Dr 462, 9. 7 Nabi-bul-lit-an-ni NbpM Il 7,4 afarid Sarri Cb [407, 4. 408, 72]. *"E 587 pigittum Nk 21,4. élgallu Dr457, a Dr84-2-11,122. 2 Nabüu-bullitsu (IN 1- TIN |bul-Kt|-su, abgekürzt: X Nabü-bullit Dr 406?) Cb 244,2. Dr 276,3. 30. t 2 Addu-Sum-eres 314,2. S. ZBel-ibni. ISI Sete Dr 337, 17. 484, 21. SEE te (2017/5 EI Dr 542, 21. AJS ee sers eir a. Dannu-" Addu Cr 171, s. T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. (Nabñ-bullitsu) 5. zaals Ardi-" Nergal a. A-si-i Dr 84-2-11, 148. IO. 20. 25 30. als Ahé-iddin a. """;nàr Sip-ri Dr 380, s. als Ardi-ia a. ".Sin-zlu Dr 380, zo. als Ardi-"Bel a. ré Báni Dr 427, 21. af Ardi-"Marduk a. 7"?"$angb "Ea 310, &. 366, ». als Ba-ni-ia Cr 361, zs. als Ba-si-ia a. 1s--at| Si-ia-tum Dr P 72, a. 73, 27: als * Bél-ahé-iddin a. ^"? ràb bàn? Dr 506, s. als * Bél-aké-iqt$a a. Na-din-ni-e Dr 206, 18. als * Bél-àh-iddin Xrx 5, ss. als “Pél-iddin a. «"?-Yu Dr 395, 22. 396, 2. | : [5 #Bél-kâsir Dr 484, is. Jddin-" Marduk a. 147, rg. als Jddin-" Naba a. 9 Da-bi-bi Dr [182, ro. 187, zo. 238, 14 243, 5. 259, 17. 260, 27. 418, 4. * Igisa-a a. "*!Pa-se* Dr 284, 14. als "Marduk-eres a. Ir-a-ni Dr 131, s. |* ?Marduk-Sum-usur a. .... Dr 264, x. |* #Marduk-sir-usur a. Sti-gu-ü-a Dr Pa I 2 als Mu-Sal-lim a. Ga-fi Dr 84, 5. als Musezib-" Marduk à. Dan-ni-e-a (466, r2]. 467, x. QS Gb 2. Dr 352,2. als 7 Nabü-bel-Su-nu a.” naggari Dr 431,17. als #Nabñ-it-tan-nu a. Na-bu-un-na-a-aDrP 87, 13. . als "Nabit-kin-zir a. ^"? nà$ patri Dr 339, 12. 429, 24. als "Nabü-napistim-usur a.”!&süu Dr P 76,1. als ?Nabü-Sum-u-kin a. La-kub-bu-ru Dr 282, rr. 206, 23. 446. 470, 2. als "Nabu-Sum-usur a. OBEl-aplu-usur Dr 376, 9. 383, 2. 406. 486. No. 2. [511, 74]. Dr X Bel-Sum-iSkun a. Ahu-ba-ni Dr P 68, 4. als Bel-Su-nu Dr 296, 24. Dr als Erba-"Marduk a... .."Addu Dr 550, 19. | als Gi-mil-lu Dr 351, ss. als Gi-mil-lu a. Ba-bu-tu Dr 359, zs. GIE agna eee Day als Jddin-"B&l Dr 261, 15. als Jddin-" Bel a. 2 Ea-épes-ili Dr 360, 14. Bél-napsåtim Cb | als "Nabü-kin-aplu a. Mu-Se-zib Dr 30,8. | 127 2 Nabi-usallim Art (ZA I) 19. 2 Nabü-uSallim a. Iddina-a Dr P 137, i. Ni-din-tum-" Bel Dr 506, 2. Ri-mut a. Bâbütu Dr P 135, 16. Ri-mut a. * Ea-im-bi Dr Pa 9, zs. iSamas-etir a. Fipes-ili PRAG es 45. al$ #ZA. MAL. MAL-Sum-usur Cr 278, 3. a. Bu-ü-su Dr 470, 11. 48. a. Zab-sa-nu Dr Pa 14, 3. 7 Nabu)-bül-ta Nd 686, 13. X Nabi-bil-ta-i-li-e 1. a[$. Na-din a. Mu-Se-zi-bu Dr 265, 54. X Nabü!-bu-ni-i Cr (23, 5). X Nabi-bu-un-Su-lum 1. aj$. 7 Nabü-Sa-kin-Sum a. """ $angz "IStar Bäbili Cb 325, 72. 40. als |! " Nabn-bünu-Shtur ("N -bu(-b)-nulun-St-tur) 1. al$ Mu-ra-Sh-u a. Dan-ni-e-a Nk 258, 15. als U-bar Nbp (ZA IV) 20, 13. a. Man-nu-gi-ru-Su, s. " Nabü-etil-ilàni. 4. a. Ri-Xá-h-a, s. "Bel-h-kullatı. i Nabi -da-a(-a)-nu|DI. TAR Nd 1030,2. Dr 42,». 1. a|$ “Marduk-àk-ibni à. Så-ri-m-tum Dr 332, 14. #Nabñ-da-la- Nk 148, 2. I. al$ A-a-da-da Cr 313, 16. X Nabül-dannu (KAL) Nk (374, 21). 1. aj Za-kir a. E-sag-gil-a-a Nk 71, 10. 2. a. Mu-kal-lim, s. Läbası. 7 Nabü-dan-nu-iàni a. Mi-sir-a-a, s. Miranu. 7 Nabitt-di-i-ni-bullitlbul-tu? "2 la-mu-ta-nu Nd 302,3. S. Itti-Sarri-balåtu. X Nabü-dinijs-epus (2 NI-DI. TARlai(-i)-nilnulnum- KAK]e-pa-lus|$u) Nbp (ZA IV) 13,7. Ng 1,3,7,16. Nd 367. 434,2. 451,4. 508,2. 572, 6. 653, 5, 10. 906, 10. 986, 5. 998, 2. Nd Li 14, s. Cr 205, 3. Cb 265, 13. 1. al$ Ki-ne(-nu)-na-a-a Ng 67, v. Nd 71, 3. 103, 77. [152, rr]. 325, 1r. 740, ro. # Nabit-dini-eres (IN Y-DI- TAR-PIN-es) NKL 7,11. | " Nabil-dür-e-du Dr 379, 43. | * Nabü-dár-ini-za[id) Nk 234,4. Nd 35,6. 245, 11. 421, s. 604, 9, 15. 661. 702, 5. 730,5. 821, s. Cr 301, x ENabi\-dûru-s\MAAH)-rum NÅ 554, 16. 7 Nabü-edu-usur. (2NY-ÅS|e-du Ng 2, 4. -SES) Nk 125,5. Ng 2,4. Nd 374, 9. 308,6. 647, s. 128 (“Nabü-edu-usur) 729,14. 1022,5. Cr 34,5. lamutanu Nk 207. amd! gallu Nk 193. S. Jddin-"Nabu 82. 1. a]$ Lubuÿ?-ilu Nd 534, 20. B . | al$ Ra-ah-a-ni| Ra-hi-an-nu| Ra-ah-ha-ma- nu|Ra-hi-mai-an-uu Nd 17. 294, 3. 325, 3. 369, 3. 3. a. "Nabit-a-allu-lu Cr 117, s. Cb 57, 20. Nabñi-er-ba| SU Cb 48, s S. Àk-im-me-e, 7 Bunene*-ibni, Ha-at-ta-a, Muk-ki-e-a, Nabü-kasır, -Sum-iddin, ! Nergal-iddin, Ziria. 2 Nabn-aplu-iddin a. ..... EvL 10, zz. x 2 Sin?-uballit NkL 3, 16. Sullumu a. "^"? yàp Dr ee Dr 180, 11. 5. a. *Addu-Sum-usur, 2 Belit, FOudäasu. a. "Hb, s. Has-da-a. 7. a. ^"? abba, s. Balätu. X Nabü-eres ("NI-KAN|PIN-esle-ri-is) Ev [3, 5]. Nd 266, 6. 388, 9. 400, 11. 570, v. 1103. Cr 180, e. Cb 100, 4. 107, 9. 437, 13. Dr 448, e. s. /Amti-ia, / Amti- S. Jadin-" Nabiüı, Im-ba-a, "Nabiür-käsir 15, -kin-zir 15, Sadinu. 1. als Ap-la-a a. Nür-" Sin Nk 96. als Ba-ni-e-a a. Ahu-bani NdL 1, vel. no. 17. als Bella Nd 597, 2. 845, 1,10? als Kin-zör Nk 32, 10. 5. als Lib|-uf?| Nk 200, s. als 364, 9. ? Nabi-àh-á-sur Dr 501, ro. * #Nabi-it-tan-nu Dr 323, 40. 7 Nabü-ka-sir a. ""*5ahari Dr 363, 3. als (* Nabh-)Sum-ukin a. "Sin-Sa-du-nu Nd | IO7, o. [418, 1; 5, 8]. IIIT, 4, 6, 11, 19, 15. als " Nergal-Xum-iddin a. Sap-pa-a-a Nd 427, r2. als Nu-um-mu-ru a. Mi-sir-a-a Nd 634, 10. | als Sil-la-a a. (em) Man-di-di Nd 757. NAM | 30, 3, 13. . a|$ Sä-la-a a. "Sin-na-din-Sumi Ng VR 67, 1, 9. als Sum-ukin a." Sin-Xa-du-nu Nd 1111,4 etc. Y als Tab-ni-e-a a. Ahu-bani-i Nd 336, 1, 1s. #Marduk-ri-man-ni a. "^"" nappahi Nk S ? Nabü-ban-ahi as! Sin-Sa-du-nuNd 56419. | Knut Tallqvist. 340,3. 348,3. [367,3. 388]. 400. 434. 495,3. 501, sr. 508, 5, rg. 509. 695,4 NdM 25, 5. Gras, als Tab-ni-e-a a. Kalbi-" Sin Nd 499, x. . Ba-lat-su, s. Nâdin. . Épes-ili, s. 2 Uras-iddin. . an pahari, s. Uras-iddin. . Ri-mut Nk 168, 6. . en? $angi-"Nabn, s. Musesib- Bel. 24. a. Ziri-ia Nk 66, 13. ? Nabi-etel-ilàni ( NY-NIR. GÁL-ANGD)NG 165,8. ame! daianu Cr 312, 33. Nd 776, re. 1. als ftti" Nabü-lu-um-mir Cb 19, z. als Lu-si-ana-nür a. Ga-hal Nk 346, 16. als "Nabüu-bu-nu-Su-tur a. Man-nu-gi-ru-Su Nk 347, 154 als X Nabür-kin-aplu a. I2 -" Marduk Ev 24,19. 5. als " Nabü-Xum-usur à. ràb bani Cr 194, o. a. " Addu-Sam-me-e, "^"? daianı Nd 720, 23. 7. a. Na-din-Se-e, s. Nidintu. 20. IP TTR | #Nabieètir ( NV-SUR|KAR-ir|ru) Nbp M II 9, ss. Ev 3,9 Nd 160, 3,9. 550, 6. 558, 18. 647, 5. 729, 1. Dr A15224 550,5. DERAS ? 84-2-11, 172. e-pis-nu Cr 67,5. ^"? yb büri Dr 551, 3. ^""subl-baLllum ?P 152,2. S. Ardi-" Bel, " Bél-aplu-iddin 46, Da-di-ia, Jddin-" Nabü, /Ilat, " Marduk-Xàr-usur, ! Nabü-étir-napsáti 40, -kisir, zér-igisa 7, Sz/-la-a 13, 1Samas-àh-usur I, -szr-ıbni, Säpik-zör 32, Su-la-a 63. I. als Nk 431, s. Nd 95, 15. 106, 7. als A-hu-nu Nd 90, >. |* Ardi .... a. Massar-abulli Nd 881, 9. als Ardi-"Bel a. Är-rab-tum Cr 311, v. 5. als * Bél-àf-iddin a. Sip-pi-e Cr 115,5. als “Pêéliddina a. Di-ki-i Dr 379, ss. 7 Nabü-étir-napsati 10. * VBéL-na-din-afi a. Ir-a-nı Nk 194, 2. X Bel-nåsir Nk 138, 3. Pél-fu-nu a. Da-bi-bi Dr 224, 14. 2 Bel-u-Sib-Si a. Nür-"Sin Dr 61, 2. Has-da-a-a Nd 964, zr. $ Jddin-"Marduk a. Ba-si-ia Dr 131, zo. X /na-Esagoil-kin-aplu a. Sag-gil-a-a Cb 55,9 56, 1. als Ina-est-étir a. Na-ba-a-a Nd 348, 9, 13. . a|$ Igisa-a a. ""? angi #Ninib? Nk 386, s. T. XXXII. Q Vgl. IO. as Neubabylonisches Namenbuch. (CNabi-étir) als Fri-ba-a Nk 314, s. als Lire a. ENT, SUR VOD 3. Mar-duk a. II, 12. als * Marduk-kin-aplu Dr 369, i5. 20. al "Marduk-zör-ibni a. — Råb-(-si|Rabaå (GIS)-Sa-imeri Nk 330, 11. 386, 12. als ?* Marduk-zir-ibni a. Si-gu-t-aNk 183, 15. als "Nabü-ban-sir . Nd M II 64, s. als ? Nabü-iddina a. "^"? rab bàn£ Dr 465, 13. als * Nabü-5um-iddin a. Im-bu-pani-id Nk T2 Eros gine Dr 227, 15, 21. ense; Nbp (ZA IV) . als * Nabá-Xum-á-sur a. """ràb bant Nd 165, ». | 5 2Nabü-usur-Su a. ^" ba iri Dr 221,9 X Nabü-zir-uXabSi a. Hid Cr 17,9 | 2 Nabü-zir-usabsi a. Sil-la-a-a Dr 10. Na-di-nu a. Mun-na-bit-tum Dr 507, 17. 537, 7 als ?Nergal-asaridu a. "9 y2? sis? Cr 302, 14. 7 Nergal-Sum-ibni Cb 329, 10. Cb L 27, s. X Nergal-Sum-ibni a. ^"? bd iri. Cr 171, 8. als ?Nergal-Sum-ibni a. Etiru Cb 321, 9. als ?Nergal-Sum-ibni a." nà$ patriNd 4,7. | 52, ro. [154, 6]. 176,4, 8. 268, s. 287, 9. 627,178 | 1039, 77. Cr 340, 5 | 35. als Nu-um-mu-ru a. Na-ba-a-a Nk 390, s. Y Nüri-e-a a. Mas-tuk-ku EN 24, 18. als Rab-ba-a Nd 148, I$. * Ranüt-" Bél a. Egibi Nk [166, s]. IOI, 6, zo. NEL Es SU s als Sil-la-a a. "^"? callabi Nd 584, 16. 679, 9 829, 18. 40. als Sil-la-a a. L£éa Dr 95, : Nd M 15, 2, 5, 7. 40a als Säpik-zir a. Rimüt-iläni Ng 126, 4. als Så-la-a a. " Sin-imittu Ng 14,4 als Sá-la-a a. 7 Sin>-uballit Nk 164, 42. als Så-la-a a. era fàbtitu Nbp (ZA IV) [11,2]. Nk 127,4. als Tab-ni-e-a a. Sa-na-Xi-Yu Nd 666. vio RI IN AS 2: a. Abi-al-idi, s. Réimüt. a. Alla-nu, s. * Bél-usalfim. 30. 212,9 Dh 24, 17. a. Ar-rab-tum, s. Rimüt-" Nata. No. 2. 129 a. ASaridu?, s. Balåtu. 50. a. ^"?'byiri Dr (252,6). S. Zéría. a. e"? bán, s. " Nabit-ahé-iddin. a. Bu-ra-qu,""? daianu NÀ 64,4. NÅL 73, 24 52aa. Da-bi-bi, s. Naóü-Kivir. a. Ecibi s. 2 la-a, Liblut, Lisiru, Musé- zib-*! Marduk. a. Epes-ili, s. " Marduk-Xim-iddin. Etiru, s. " Nabü-àh-ittannu. Iddina-a, s. Gimil-? Gula. a. Iddin-"Papsukkal, s. Nürca. a. Ilu-Istar, s. Nidintum. a. Mu-Sal-lim, s. Pi. a. énappalr, s. Iddina-a. 60. a. *"?'náà3 patri, s. Ardi-" Nergal. a. Nergal-êtir Dr 113, 12. a. melPq-SeHi, — s, iddin. Gu-sa-nu, "Nabü-aplu- a. véyab bant, s. Banunu, /Kas-Sa-ad, Musezib-" Bel. a. Ri-mut-ilàni, s. "Bel-iddin. a. X! Sin-ibni, s. "Bel-ahe-iddın. a. Sin-Xa-du-nu Sm P DU S Sum-ibni. Sa-la-la, s. Tabi-ia. a. "ano? ? Ninib, s. Iddina-" Bel. 69. a. "^"? fano? " Za-ri-qu, s. "Bel-supe-muhur. X Nabüu-étir(KAR)-an-ni Nd 2090, 6. il Nabü-éfir-napsáti ("N\-SUR|KAR(-ir)-ZINZT. ZI) Nk 269,2. Nd 23,5. 69,9. 119,6. 150,9. PISA De = 4. 365, 13. 647, 13. OON, c. 1008, 6. 1075, 11. 1123,13. Cb 129,18. 430, 2. Dr 328, ». (329, 2). nd 379,8. 477. ""€ abu biti Lab 1,5. ^""Puddimmu Nd 522,2 ani Qépi Sa mat? tam-tim NK 100,15. S. "Bel ah-iddin, -aplu-iddin, "Ea-iddin, Kal-ba-a 66, Kzn-sir, Musézib, " Nabh-re iunu, -ztr- usabsi, Rimüt-" Nabi, Ziri-ia. 2 Bel-iddin, 65. X Marduk- oder Nabx-suzıbanni DAS rand Cb 410, 3. als Ahu-Su-nu a. Är-rab-tum Dr 411, ; als Apla-a a. "#64 ii Nk 246, is. als Ap-la-a a. "Bel-etiru Nd 14,5. s. af Ardi-" Marduk a. Kalbi-" Sin? Dr 298, s. DrL 33, 1 als Ardi-"Nergal a. Kalbi-"Sin? Cr 86, 13. als Balåtu a. Egibi CbP 32, 17 130 Knut Tallqvist. (Nabñ-êtir-napati) Ws 40. als "Bel-ahe-iddin a. [nås patri] karri Dr P 47, 6. als *Bér-àh-iddin Nk 315, n. . af * Bél-iddin|a a. Di-ki-i Cb 165, ro. CbL 160, s. Vgl. “Nabü-etir 6. als * Bél-iddin a. Etiru Nd 066, 74. als *Bél-iddin a. "NI. SUR gi-na Cr 15728: als ?Bel-kasir Nd 263, 10. als ?Bel-na-sir a. Ardi-" Nergal DrP 56, 27. 2 Bel-ri-man-ni a. Si-gu-á-a Cb 348, 1s. als Esi-etir a. Ardi-Nergal Dr 124, 56. |$ Gi-mil-lu a. ÄS-Sur Nk 409, 5. als Has-da-a a. ”"!man-di-di Nd 540, s. als Ha-sa--ülu Nd 797, 2. als Zö-na-a|KAK-a Cb 261, s. 323, 3. als Iddina-ahu a. Egibi Nd 943, zz. als Zddin-#Nabñ Nd 191, s, 13. 106, 6. as Kal-ba-a Dr 297, 9. als Ki-rib-tul a. "Bel-aplu-usur Nk 27, 6. [252,112] 314,1. 333,14 356,1. 387,1. Ev Do. Mar-duk a. ^"? y22 NgP 126, 9. | 2Marduk-etiru a. Etiru Ne VR 67, 1, 21. als “Marduk-êtir a. Ziraa NgL 11,1. LE 2 Marduk-Sum-usur a. amel 2Ea? Dr kal als Mu-$e-gib-""Bel Nd 325, 9. . als #Nabi-ahè-bul-lit a. Dat-na-sir Ng 15, 14. als "Nabü-ahe-bullit a. Epes-ili Cb 193, zs. 328, 11. als "Nabü-ah-iddin a. ^" r£? alpe Nk 347,4. ? Nabu-bel-Su-nu Dr 260, ss. 7 Nabü-ka-sir a. """nagcari Nk 107, 9. 389,7. NkL 21,1. Ev 8,9. Nd 30, 14. 2 Nabü-na-din-afi a.” Sin-tab-ni Dr 37,35. X 2 Nabü-na-din-aplu a. Ih-"Marduk Dr 568, zs. 5 2 Nabü-Sum-iddin a. ..... Nd 674, s. X ZNabi-ukin als "Nabü-etir Nd 248, is. als Na-di-uu a. " Ea-" Sin?-ibui. Nd 309, a. Y Na-sir a. ^"?'yàb bant Nd 665, 14. 45. 50. 55. 60. 65. 75. als Ni-qu-du a. Mu-dammiq-" Addu Dr 296, 20, als Maud}, a. "Sin-na-din-Sum Dr 466, 16. 467, 14. als "Nusku-ah-iddin DrP 55, zs. als Ri-mut Nd 526, 15. als Ri-mut a. ..... (Gr 320) 5; als Ri-mut a. Ardi-" Marduk Nd 700, 74. als Ri-mui a. "nappahi Nk 309, rr. als Ri-mut-" Bel Dr 274, ir. als Si-h-im-"Bel a. "Sin-karäbi-Semelisime Cb 423,8. Cb 18; ıı. al vt Samas-ibni a. Nür-"Sin Cr 168, 24. als i Samas-na-sir a. Nür-"Sin Ev 23, 1. als 7 Samas-zir-ibni a." Sin-imittu Nd 353, 13. 435, 9. 438, vr. aj$ Så-la-a a. Nür-" Papsukkal Cb 377. al Sá-ma-a a. Dan-ni-e-a Nk 203, 13. as Süm-ukin NK 43, 14. as Sh-zu-bu a. ""? rb bàni Dr 348,18. 301,13. 202 Ero HE MAN 2ER als Tab-ni-e-a a. " Bél-étiri Cb 200, 56. als U-bar a. Kas-dak-ka Dr 117, s. RR Nd (177,11) s. Aurbanni-" Marduk. a. rel abi biti Nd (437,10). S. *BéL-ubalft, 7 Nabi-kisir, Sullumau. a. Ardi-" Nergal, s. "Bel-iddin, -rimanni. a. Ba-bu-tu, s. ”Marduk-Sum-iddin. a. Dar-sip*! Cr 287, s. a. "Bel-ahe-igisa, s. Ina-sit-? Nergaf. a. "Bel-nap-Sat-ibni, s. 1 Samas-mukinnau. a. bi-tum-bu-ü-a, s. Romüt-! Nan. a. Da-bi-bi, s. 2 Bel-Etir, " Marduk-belsumu. . a. Dam-qa, s. "Bel-iddin. a. Dan-ni-e-a, s. Hahhurun. a. " Ea-näsir, s. Ardi-! Sama. a. Egibi, s. "Nabü-balatsu-igbi. a. Épes-ili, s. lddin-"Marduk, Mustzib- X Bel, Ubar. a. Etiru, s. " Bél-iddin. a. Ibna-a, s. Tagis-" Gula. a. La-ku-ub-bu-ru, s. " Naba-bel-kaläma. a. Man-di-di Nk 201, 5. a. ? Nabü-lit-su, s. "Nabüu-reüsunu. . a. ^"? 44$ patri kàri, s. " Naóü-ahé-Sullim. a. ame pahari, S. il Bel-etir. HAS G s. /ddin-"Nabn. T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. (CNabi-étir-napati) a. "Sin Dr 122, 26. a. "Sin-imittu, s. Niqudu. 85. a. a. "Sin-Sadü-nu, 5." Nabü-usurku. a. "Sin-tab-ni, s. Apla-a. a. "Sin-tab-ni-usur, s. " Marduk-muballitsu. 90. a. Sullumu, ""*'irrisu Nk Pi 5, 3. Nabu!-gab-bi-i-li-e, ^"? qallu Dr 534, 5. 542, s. ? Nabu\-ga-ab-bu-usur 1. al$ “Samaï-ri-su-t-a Dr 494, 2 2 Nabi-gàmil (U N'-SUlga-millmi-i! Smk M II 3,2 P 2,5. Nk 51,4. 80,7 (231,17) Nd (109, 11. 268, 12. 625, 6). 865,15. S. Ztti-" Nabñ-balatu, ? Nabit-na iq. I. als X Bel-ahe-iddin Dr Ba 17, 5. als *Bét-épus a. Kalt... NK 9r, 72. Jddina-a Cb 19, 3. als "Nabü-ahe-bül-Lt a. Mi-sir-a-a Nd 1128. Y " Nabü-ki-Sir Nd 849, 9. X Nabu-musétig-urri a. Esaggil-a-a NAM 26, 17. als Ri-ki-e-tu a. ""Sin-näsir Nk 68, 2. 69, 2. a. Egibi, s. * Bél-uballit, * Marduk-étir, Så- la-a. a. Nu-ha-Su, s. " Mardu£-nà-ir. 10. a. Su-ha-a-a, s. "Bel-iddin, "Nabü-ahe-bul- lit, -iddin. ? Nabitl-ha-a-ta Dr 370, 24. ? Nabi-hal-qa-&-tir-ri (Nd 900), s, s. Ba-zu-zu. X Nabi\-ha-am-me-e Nk 122,13 Vel. “Nadü- am|im-me-e. X Nabit-ha-zi DE I50, 6: 2 Nabü-hi-fu-me-e-Xu, "”2gallu Nk 382, v. ? Nati -ibui Nk 28,3. S. " Bau-àfe-iddin, Nidin- tum, 2$Samas-åh-iddin, Talimau. |$ Abkallu a. vrélaflaki Ng 16, x. als "Bel-it-tan-nu Dr 100, s. als 2Bel-kåsir a. Egibi Dr P 89, ro. als Jgé$a-a Nd 323, 4. 5. a. " Addu-Sum-iddin, s. " Bél-aplu-iddin. a. Jddin-" Marduk, s. Musezib-" Bel. 7. a. Na-ba-a-a, s. Ziria, Zir-ukin. X Nabül-i-da-a-ili 1. als *Mardu£-zir-ibui Dr 358, 17. ? Nabü-i-da-nu, s. Ad-ma- 1. i Nabi-iddin|, ("N!-MU|.SSE-najin| MU-na Ant No. 2. U Sin-näsir, s. Lussu-ana-nür. IN IO. US: t3 ur = GS 131 ZA III 1/MU-nu) Nk 310, 4. 449,5. 452,40. Nd 31,4 160,5? 170,5. 265,4. 272, s. 284, 15. 462, 23. 081,4 Cr 38, 9? 326, 13? Cb 69,10. 350,17. 385,17. Dr2,16. 180,25? 557. 572,6. ame! abu biti Cb 196,3. ""? allaku Ng [53,2]. TAPET SEMINE eier CT 73, S? ov $4. KU Nd 170,13 Ja kurummat Sarri Cb 359,19. S. "Bel-etir, / Du-du-a, Musallim-" Mardu£ 28, "Nabü-näsir, Sa- si-ia, ?! Samas-iddin + so. . af Ardi-" Ura$ a. "^"? $ang£ Dilbat* Nd Pa 2, 38. als Ba-ni-ia .... Nd 520, 6? als "Bel-ah-usabsi a. "rei alpi Nd 474, 6. als *Bé-dan? a. NI. SUR gine NAM 28, 12, il Bel-etirlu Dr 337, 16. 377, 2. UBer-basir a. Ba-bu-tu Dr P 64, 14. #Bêl-ri-man-ni Dr 483, :6. " Bel-Sum-ibni a. ""? pahari CbP 34, zo. als FBEl-Sum-iSkun a. La-kub-bu-ru Dr 259, 74. als "Bel-uballit a. Epes-ili Nd 412, 7. als "Bel-uballit a. Mu-dammig-" Addu Dr 289, 14. as * Bél--uballit a. ^"? hahari Dr 212. als "Bek-usallim a. Addu-Xam-ime-e Cb 412, 17. als Bül-lu-tu Cb 373, 2. als Gi-mil-lu Cr 322,4. Cb 3, s. 5 #Gula-Süm-ibni a. Na .... Dr 70, 18? Y Jddina-a a." Sangt parakkiDrPa 12,42. Y Jddin-"Nabü a. Da-bi-bi Cb 373, 9; vgl. X Nabü-aplu-iddin 19. als lna-esi-etir a. Sa-na-ii-u Dr 475, 3- als [t-t-Mani ..... Cb CIS II 64. als Ki-na-aplu Dr 79, v. 173,5. 238,5. 255,5. 270, 4. : als Kit-ti-ia a. """$angl ".... Nk 5,s? als * Marduk-bé-ili a. *Bél-étiru Nk 13, 1. als *Marduk-Süm-ü-sur a. Si-gu-t-a Nd 1098, 9. als *Marduk&-z£r-ibni Art (ZA III) 5. als Mu-Sal-lim a. """nà$ patri käri Ev 23, 19. als Musezib-" Bel a. Na-bu-un-na-a-a? NAM 20, 9. als als I T als dy 132 (?Nabu-iddin|a) als Musezib-" Marduk a. Dr SU 26% 7 Sin-na-din-Sum | als * Nabü-za-mil a. Su-ha-a-a Dr 180, 21. als "Nabu-naid a. Balatu Nd 42, e. als * Nabi-Xum-usur. a. MUH-" Marduk Cb I5, 72. X Nabü-tu-kul-t Nk 326, ». 5 7 Nabü-udammiq a. E-til?-pi Dr 515, 10. als ? Nabü-usursu. Ant (ZA III) a. 35. als "Nabü-u-se-zib Nd 1005, s. als Nad-na-a a. Ba-bu-tu Dr 267, 22. als Nu-um-mu-ru a. LMz-sir-a]-a? Nd 635, 14; vgl. "Na&d-aplu-iddin 55. als Ra-hi-an-ni Nd 18. Ri-mu-tu a. Di-ki-i Nd 688, ro. Cr [177,52] 40. als Ri-mut a. La-ku-ub-ru Dr 326, 2. $ als ?Samas-aplu-usur Cr 4, a. als ?Samas-unammir Cb 308, 16. als Sul-Iu-mu a. As-Sur NK 4, 27. Y als Zir-ukin a. ""?" ang? Gula NAM 24, z. 45. a. "Addu-Sam-me-e, s. “ZA. MAL. MAL- id din. a. Amel" Bél-bitit, s. " Nabi-Sum-iskun. a. Amét-? Ea, s. Ardi-" Bel. a. An-da-har, s. Nidintu. a. Ardi-ia Dr 180, 10. SO uus uu, Biel? (Sor a) a. "bap, s. lddina-" Nada. a. Ba-si-ia, s. " Nabü-kin-aplu. a. " Bét-étiru, s. * Bêl-êtir. a. Dannu-" Addu, s. " Nergat-ina-ext-étir. 55. a. *"?'2y5ay1, s. I Nergal-iddin. a. Mi-sir-a-a, s. Belsunu. a. "el mu-dammig-" Addu Ng VR 67,1, rob, s. Sad-din-nu. a. Nür-" Szn, s. "Nabü-Sum-iskun. a. mölyab bani, s. "Bel-uballit, " Nabü-étür. 60. a. *"?' Yang?" Gula,s.Gimillu,” Nabñ-ban-ahi. 62. a. ^"? $ane? ? Nabü, s. Rimiht. X! Nabi-id-ri(-i), s. Bel-uballit, Zabdia 9. 7 Nabü-ik-sur(?) NkL 7, 9. 7 Nabà-il-ta-ma-, s. Musézib-" Bel. 7 Naóü-um..... Nd 1021, 2. 2 Nabi M imbit SÄ)-a-na-ilöni Nk 134, s. t. al$ " BéLigfta Nk [44, n]. Knut Tallqvist. ? Nabü-im-me-e NkL 3, a. X Nabü-ina-Esaggü-lu-mur, gallu Dr 82-7-14, 143. ? Nabi(-ina)-eX-étir (N'-AS-BL 11209-SUR| KAR-ir, abgekürzt: Ina-esi-etir q.v.) Nd , 5 Hr q 501, 16. 1:02] So Ch ENTE TEN als Bani-ia a. """ bri Cb 309, 15. als " Bél-&àsir a. Ba-bu-tu Cr 64,12. Cb 356, 9. 4. a. Sa-na-ii-Xu, s. Nidintum, Ubår. 7 Nabi-ina-ka-a-ri-lu-mur Nd 1026, 3. Cr 67, 1. 1. a. Ardi-ia Cr 221,9: ? Nabu-ipus,s." Nabü-ah-uSabsi, " St-bu-lal-iddin, Tag, Tagt3-" Gula 18. 1. a|$ Ri-mut a. Sa-na-Ki-u Dr 340, 16. a. Kalbi-! Sin?, s. " Bel-rimanni. 3. a. Malahu, s. E-ri-$u. #Nabt\-ig-bilE I. als ?Nabu-usabsi Dr 348, 77. a. Nd M II 63, 16. 3. a. nappalr, s. Gimillu. ? Nabi!-ig-bi-Su I. als 2 Marduk-ıbni a. ^" bani NAM II OT, IT, 7 Nabn\-i-ki-sa|BA-Sa Nk 202, 4 Cb 372, s. I5 Sea Toner: - Cb 376, 3. Dr 520, zo. als Mu-Sal-lim a. "*!yab band Nd 881, 12. Cr 146, o. als Mu-se-zib-" Bel? Nd 940, 2. a|$ Se-el-li-bi a. rl Abu-biti Cr 32030 6 DE(95920 22 343,05 370, 12. |372, s]. 5. al$ Süm-iddin a. Li-e-a (Dannea?) DrP TIT SP NETT A: a. Mar-duk, s. Niqudu. 7. a. Mas-tuk-ku, s. Ardéa. ? Nabü-igisa-an-mn r. al$ 7Marduk-bel-ziri a. Mu-sa-lim Dr P 64, 11. 7/ Nabh-i-ra-su? Nd 374, s. 1. als Ba-la-tu Dr Ba 18, vr. #Nabt-i-r1-ba 1. als 7 Nabü-mu-selig-urri Dr 519, rz. 2 Nabu'-is-kip 1. als #Marduk-Sum-ibni a. Dannu-"NabxNdAM IS, 9. 2 Nabu'-iSkun, s. "Nabü-musetig-urri. 2 Nabu-it-tan-ahu 1. al$ ?Bel-Sum-iskun a. Ir-a-ni Dr 57, 14. T. XXXII, amel 284,2. 303,3. 356. 362, 16. Neubabylonisches X Nabi-ittannu (UN -it-tanita-an/-nu/nina) Cr 375. | us 30. Cb 189, 4. 201, 15? 210, 12? 371, s. Dr 6, 18. 26,8. 382,3. 465,6. 474,5. Dr P 62, v. 116,6. Dr 84-2-11, 148. mel... Cr 284,9. *"4 dJup- Sarru Sa bit kil:-lam Dr 209,2. "? epis- Sanu Cb 342, u. ^"? ga//u Dr P 40. S. Bel êtir 75, Er-ba, lddin-" Bél, ? Nabü-eres, Sa-" Nabá-Xà, Sum-usur. Dr 270,4. ""*aga//u Dr 339. a. "Sin-da-mal-qu) Dr 380, 26. als Ardi-ia a. Épes-ili Dr 356, so, vgl. no. 4. als Ardi-ia a. #Sin-ilu Dr 187, 26. 258, 7. 287, 13. 289, 7. 338, 19. 410, 16. 429, 15. [466, rrl 467, 3. 468,73 (511, 2]. 571, zr. als Ardi?-"Bel Dr 336, 10. 545, so. Ardi-" Gula a. ^"? 6y iri DrP 107, 27. |$ Ardi-" Nabu Dr 504, vr. * Ba-la-tu à. na-ba-a Dr 257, 16. Y 2 Bel-aplu-iddin a. "7 rab bàn Dr 134,74. * "Bél-iddina a. [r-a-ni Dr 481, 7. Dr P 79, 13. 4 YBel-kasir a. Babitu DrP 112, z. #Bêl?-nasir Dr 415, ro. #Bél-uballit a. "2 asi; Dr 509, re. als "Bel-uballit a. Tabtifu? Dr 127, 16. Y 2 Ea-ba-lat-su q. Da-ha-a-a Dr Pa 12, 34. Dr P 62, 72. Gi-mil-lu a. "^"? »»b bani Dr 491, 2. Gu-za-nu Dr 491, s. Gu-sa-nu a. """ bari Dr 357, 15. Jddina-a a. """5ahari Dr 337, s. Iddina-a a. "^"" ang? "Addu DrPa 11, 77. 20. als Jddin-"BellMarduk a. """ ang? # Star Dr 279, 16. 483, 5, 1s. Dr P 109, >. als Jadin-"Nabü Dr 576, s. als Jddin-" Nabi a. Ir-a-ni Dr 541, ro. Y Jddin-"Nabu a. Nu-ha-su Dr 369, 15. Ina-söl-Sarri Dr 397, 4. Vgl. no. 56. Igisa-"Marduk a. Kalbi-" Sin Dr 494, 25. als Is-sur a. Silla-a-a Cb 329, rs. Itti-2 Bel-lum-mir and nappahıi Dr 314, r2. IS Ki-na-aplu Dr 265, 12. Cr 144, s. Ki-na-aplu a. Ga-hal Dr 224, 16. 226, 12. 377, 16. a|* La-ba-si a. Bel-etir Cb 110, 74. als La-ba-ÿi a. Na-gi-ru Dr 328, 7. No. 2. a. Ix Qs Namenbuch. I > [97] C als "Mardu£-étir Dr P 84, >. 32aa|t "Marduk-stmn-ibni a. "Sin-tabni Dr P 133, 16. ba]* Musézib-" Bél a.... Dr P 134, 2. 40. 45. 50. 55. 65. als Musézib-" Marduk Dr P 41, 4. al Muxézib-" Marduk a. allaki Dr 366, 16? 428, 13: . al. Musezib-"Marduk a. Egibi Dr 481, s. 5757 12: als MuSesib-"Marduk a. Ina?-ki-bit-" Mar- duk Dr 484, 16. als Nabt-balât-su-igbi Dr 362, 56. as * Nabü-balátsut-iq-0i #Addu Dr 491, 25. als "Nabü-ka-sir a. Sa-na-K-Su Dr 321, 30. als #Nabü-h’ü Dr 520, 7. als i Nabi-napıstim-usur a. "Sin-da-ma-qu| KAL Dr 158, x. 367, 28. 379, &. als * Nabü-Sum-iskun a. Nür-" Sin Dr 440, 15. als X Nabü-3um-lisir a. """ Yang? " Istar Bå- bili Dr 116, s. als “Nabü-tag-bi-lsir à. 377, 10. 498, rz. als ENabi-sir-iddin a. Ba-bu-tu Nd 263, i. als " Nabn-zör-Usir a. Nu-ur-"Papsukal Dr 18, 4. Na-din ... a. Ardi-! Nergal Cr 317, re. Na-din a. Dam-ga Dr Pa 6, 29. Y X Nergal-ibui, *irrisu Dr 50, 2. als Ni-din-ti-"Del a. amel ?Ea Dr 358, a. als arétgip Dr 532, >. Ri-mut Nd 225, 5. Ri-mut-" Bel Cb 169, 2. Dr 287, 20. X Rimiut-" Bel a. Ir-a-ni SmdL 22, 55. Y Sz-lim-" Bel a." Sin-Sa-du-nu Dr 484, is. Sil-Sarri Dr 427, 1. Sáin-Yum a. "'Sin-näsir Dr P 77, ır. 2 Samas-aplu-usur Dr 116, 11. Y 2 Samas-Sar-usur Dr P 135, 18. YU Samas-zir-ibni Dr 169, 14. Sápik-zir a. ""?bànt Dr 207, v. Säpik-zir a. Mu-Se-zib Dr 494, zr. Säpik-zir a. Ziritu Dr 434, 13. ali Sá-la-a Dr 515, rs. Y Saum-usur a. Ardi-"Nergal Cr 284, ss. Tab-ni-e-a, ^"*;35aru Dr 182, 2. Tabı-ia Dr 574, 2. a. Mu-dammmig- Fa-lu-mur Dr 134 (CNabi-ittannu) als " Uras-Eásir a. Da-bi-bi Dr Pa8,s. 12,14. Gp Eos AE UD, lo EZ GE als Ziri-ia a. "Sin-üu Dr 278, 5. 68aa|* Zéri-ia a. """ ang?" Za-ri-qu DrP 108, 15. Y Zir-ukin a. "925; Dr 446, zs. Ardat-a-a Dr 479, 10. a. "Hb pL s. T Bél-stta. a. (E)saggil-a-a, s. Jddin-" Dei. a. Ga-hal, s. Ubar. i MS aa Dr 220, s. . Mu-kal-lim Dr 314, s. a. Na-bu-un-na-a-a, s. " Nabu-oullitsu. a. Na-din Dr 438, s. a. Nür-e-a Cb 391, 74. a. Ri-mut, él daianu Dr L 25, 17. 80. a. Sin [Dri a. " Sin-barábi-Seme Dr 434, 21. a. "Szn-Sadünu, s. Nidintum-" Naón. 88. a. Tab-ni-e-a Dr 438, 3. X Nabü-itti-ia. (AN1- KI |it-ti|-zalid) Nd 1, s. 736, 7. an yv biti Nd 892, s. 2 Nabi-itti-edu-alik | ('NY-KI-ASJe-du- DU] a-lik) Nk 458, s. ^"? gallu Nk 175, 4. ? Nabu'-i-tur (Nk 57,13), s. Sil-la-a. ? Nabil-karábi-Xi-iie, ^"? galli Nd 270,8 Nbp (ZA IV) 19, ». X Nabü-kasir(* NT- KA T]Ea|ga-sir|si-zr|rz) Nk 36,12. Nd 284,15. 583,21. 1074,11 Dr 512, 5. cnétgipu Cr 44,11 S. Ardèa, Ba-su-zu, Er-ba-a, Kal-ba-a 67, 2Samas-ah-iddin, -erba 20. A-ra-ah-hu Dr 346, o. Ba-la-tu Nk 89, 12. SI un > E I LÉ 7 Y S v als Y 5 M A) als "Bel-ah-usabsi NdP 6, s. als * Bél-igisa a. éloallabu Nk 73, 10. s. als "Bel-ü-sa-tu? a. Man-di-di Nd 562, 16. als "Bél-ugur-Yu a. Na-bu-un-na-a-a Dr 166, 20. a|3 Ima-est-elir a. """ abi biti Cr 188, 21, 26. Igisa-a a. Da-bi-bi Ev 7, r2. Itti-" Bel-balatu Dr 523, 16. Kal-ba-a a. ”2$angi * Samas Dr 433. 9. Ki-rib-tum a. Eres-a-na-EsaggılNd111,9. als Kit-ta-a-a a. Egibi Cb 118, 72. Ku-dur-ru a. ?Nabü-un-na-a-a Cb 68, is. als La-ba-a-Si a. Sag-gil-a-a Cb 14, s. ES & Ge TON x x & à Knut Tallqvist. als Li-si-ru a. "Nabü-eres Dr 282, 2. als ? Marduk-erba a. "Sin-ılu Nd 63, 4. als * Marduk-er-ba a. ^"? sang? parakki Cb 306, 14. als Marduk-na-sir a. Epes-ili Nd 348, 20. als Mu-Se-zib-" Bel a. ^"? pahari Nd 1125,15. als Mu-Se-zib-"Marduk.... Cb 403, s. Dr 152, 22. * 7 Nabü-ah-iddin Ev 18, 12. 2 Nabü-er-ba a. "8... Dr 510, 1s. s # Nabü-zir-ksir Nd 39. 40. 42, 5. ‘ Nür-" Sin a. Iddin-* Papsukkal Dr 70,3. * Si-lim-" Bel a. amel-" Ea Dr 53, 17. Sk-zu-bu Nk 200, 4. Ev 12, c. a. amel-"Ea, s. Musezib-" Marduk, "! Naóz- Sum-lSir. a. Ardi-"Ea, s. "Bel-uballit. a. ^" sj, s. Munahhis-" Marduk 6. Da-bi-bi, s. "Nabü-ahe-bullit, Taddannu. a. Dam-qa, s. Ardi-" Marduk. a. Epes-ili, s. " Nergal-iddin. a. Kal-ba-a Cr 72, s. a. élpalahi Nk 63, r2. . nëlyp@r Sipri, s. Nadia. a. Mudammiq-"! Marduk, s. Su-ga-a-a. a. Na-ba-a-hu, s. " Nabü-ktn-zir. a. "Nabü-sir-ukin Dr 180, v. a. rélnacoari, s. "Nabü-étir-napsátt. 40. a. ""?"5aghari, s. #Nabt-aplu-iddin, -eres, Nidintum-" Bel. a. vrêlyéi sisi, s. Balätsu. i. [93] Un ^ N a. Sag-di-ai, s. 2 Semal-Xum-ukin. a. "Szn-ili!, s. Nådin. . 2 Sin-tab-nu Dr L 25, 19. a. Sip-pi-e-a, s. "Bel-ibni. 45. a. “nd $a(-bi)-na-Si-su, s. " INabit-ittammu. An: Sium-usur, s. Kal-ba-a. X Nabü-kib-su-usur, s. ? ? Nabül-bi-i-Màni.. S. "Nabu-zir-iddin. ? Nabü-Eilanni (N'-kilkil-la-an-ni) Nbp (ZA IV) 2, 5. Nd (72, 4). 1039, 7. ^"? qa//u Dr 53, 5. 2 Nabi!-kil?-G-im (Dr 457, 15), s. Ardi-" Anu- nitum. 2 Nabn-kin-ahu (*INT-DU-SES), ""?gallu NgL 116,2 mdlgj-pi-ri a"? alla Sa "Bel-Sar- usur mär-Sarri Nd 184, 4 270, 5,12. S. I Nabü-usezib. T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. (Nabi-kin-alu) T: 2. als? Jddin-" Marduk, lgallu Ng 20, 2. a. Epes-ili, s. Iddin-" Nergal. i! Nabü-kin-aplu ('NT-DU|GIN.. NA-A| TUR. US] IO. af-lu; no. 34 abgekürzt: Aön-aplu) Nk 308,13. Ev9,v. Nd 3,2. 218,9. 580,6. 656,6. Cr 380, s. Smd (ZA IV) 2,2. S. Bölsunu, Jna-est-étir, " Nabü-ban-aht, -musétiq-urri, Rimit, X Samas-käsir 8, S-la-a. aa Cr. 350, 7. a|3 Ardi-ia Dr 244, 22. als Ardi-"Marduk a." $a tabtısu Cr 261, 9. aals Ba-la-tu a. ^"? abi biti ? P 147, 10. als Ba-la-tu a. Ahu-bani-i Nk 105, 11. als Ba-ni-id Nk 104, 15. als *Bél-ibni Cb 272, iz. als “Bêliddin a. Sakan-du Nd 693, 16. als *BéF-na-sir a. Gimillu? Nk 207, 12. al * Bél?-Xum-iddin Nd 82-7-14, 725 (CIS II 6r). als Bel-Su-nu a. "Sin-imittu Dr 5111. 57,18. als "Bel-usallim a. Är-kat-ilöni Nd 210, is. als "Bel-zir a. Bu-u-su Nk 273, is. DULL NEA Ti- als " Bunene?-ibni Cr 118, c. als Esaggil-sir-ibni a. Ir-a-ni (vgl. no. 19) Nd [433, v7]. 973, rs. als Hat-ta-a-nu Dr 214, o. als Jó-na| KAK]-a a. Ir-a-ni Cr 228, 3. 261, 7. Vel. Kin-aplu 7. als Iddina-ahu a.” Addu-sum-eres Nd 477,9. a|3 Ina-Esaggil-zir a. Ir-a-mi Cr 172, », vgl. no. 15. als Kal-ba-a a. Ahu-ba-ni(-i) Cb 286, 7. Dr Dale 6. als XMarduk-usallim Dr 430, 14. 21aa|3 Musallim-"Marduk a. """nappahi NP 2072: als Mu-Se-zib-".... a. ^"^ 5ahari NÅ 580, 19. als Mu-Se-zib-"Böl a. Sü-kan-du Cb 233, 4r. als Musezib-"Marduk a. Ir-a-ni Dr 298, s. als *Naóü-na id a. Balätu Nd 40, rz. als X Nabir-ga-na- Nk 302, +. als #Nabü-Sum .... a. Ba-si-ia Nd 716, 9. als X Nabü-Sırm-ukin a. Ha-di-e-ri-es Dr 318,11. als * Nabh-Sum-ü-kin a. Ib-na-a-a Cr 245, 6. No. 2. 30. os un 40. 50. 135 als 2 Nabå-Sum-usur a. Egibi Nd 750, a, 16. il Nabü-zir-iddin Nd P 4, s. als Nabñ-sir-lifir a. *"® band Nd 350, 7. als " Na’id-" Marduk a. "^"? Sane? Gula Nd 392,14. 533,24. 609, zs. 660, 15. 671, ra. 675, 12. Cb 341, 9. als Nüréa a. Ir-a-ni Cb 370, 9. 372,16. 429, rr. Smd (ZA IV) 9, i. = Kin-aplu 28. IX as . af Pir a. U-bal-lit-su-" Gula Nd 243, ss. als Pir a. Uballit-su?-" Marduk? Nd 498, o. als Ri-mut .... Nk 196, 6. als Sá-la-a .... Nk 1068, i». als Sé-la-a a. Sip-pi-e Nd 178, 4. als Sü-la-a a. Zir-ukin Nk 116. alt Szm-iddim a. Ih’-"Marduk Nd 817, 16. als Tab-ni-e-a a. """ abi biti? Ev 7, 16. Go ac Nd 375, 23. S. Kzna-aptu. a. ^" allabi, s. Ina-Esaggül-belht. . a. amêl 2 Ea, s. Nidintum, Nidintu-" Bel. a. Ardi-" Nergal, s. "Bel-igisa, -kin-zir. a. a"? og iri, tl daianu Dr 417, ro... S. * Ea- str-iddin, Itti-"Marduk-balätu, Ithi-"Sa- mas-balätu. a. Balätu, s. Rimüt. a. "Bel-£tir, s. " Nabü-balatsu-iqbi. a. Bu-ra-qula, s. "Bel-iddin, -kasir. a. Bu-ü-su, s. " Bel-ahe-iddin. a. Da-bi-bi, s. "Marduk-etir, * Sin-1lu. a. " Ea-hat-ta-nu, S. Igtsa-a. a. Egibi,s. " Nabá-uballit, " ZA. MAL. MAL- napistim-usur. ^ M . r p . . à. Epes-ili, s. Sakin-Sum, * TUR. E-iddin. a. E-te-el-pi, s. " Bél-iddin. a. Ilia, s. " Nabiu-usallim. a. Ili -* Marduk, s." Nabi-etil-ilåni, -kin-sir, 7 Nergal-zir-ibni. a. Ina-Esaggül-a-a, s. * Nabü-zir-igisa. . a. Ki-nu-nal-a-a) Nk (125, 10). a. Mu-kal-lim, s. Habasiru. a. Mu-se-zib, s. "Nabü-bullitsu. a. Nik-ka-a-a, s. " Nabü-etir-napsatı. a. nö pahariDr 1352,28. S."Bel-kisir, "Nabu- aplu-iddin. : er vox . . AT 5. a. PE Pa-seti, s. #Samaÿ-àk-iddin, -kåsir. a. Rab ba-ni-e, s. Ardi-" Bel. . SAP? s. #Samaÿ-uballit. a. ^"? ane? "Nergal CrP 23,22. EN Dr P 65, 14. 136 (”Nabü-kin-aplu) a. Si-gu-ü-a, s. /In-ba-a. 72. a. Tu-na-a, s. "Nabü-kin-zir. il Nabü-Ein-e-nu(? kenu), "®NI. SUR Cb 395, v. Nabn-kin-Lsir (NI-DU-ST. DI) 1. a... .... S. Musezib-" Nabü. 1 Nabü-kin-zir (NI-DU-ZIR; abgekürzt: A%n- | sr q. v) Nd 33,3. 1024,3. Cb 79, 1». Dr | 15,2 *"? dupiar bit köl-lam? Dr 200, 3. S. Erba-"Marduk, Kin-aplu. | tb (AN Tage AE GO Dane DrP 112,76. | * @Bel-aplu-iddin a. Ir-a-ni Nd 418, zz. #Bêl-aplu-iddin a. Sag-gil-a-a Cb P 35,3. @Beluballit a. ...... i Ng 24, 22. 7? Bél-uballit a. ^"? Pa-Xe* NAM 15, vr. | VBeI-uxallin a. "yb bani Dr 289, 16. 2Ba..... a. welaslakı Dr 244, ı7. CPE re PATI ELI $ ESi-etir a. "Samas-a-ba-ri Dr 325, 9. 7 10. a] Zddina-a a. Ga-hul Nd 633, 7. al Ina-eft-êtir Cr 137, 5. als Ina-esi-£tir a. Etiru Nd 390, 3. 391, 8. als Ina-gati?-"Marduk a." Bel-Etir Cb 73,1. als Ku-dur-ru a. Epes-ili Nd 19,7. Dr 133, c. 15. als Li-Si-ru a. "Nabü-eres Dr 282, n. als "Marduk-na-sir a. Egibi Cr 248, 13. als * Mardu£-Süm-usur. a. ^"? ràb Yu3-Xi Ev I3, 24. als * Marduk-zir-ibni a. ^"? ang" Istar Bå- bili Nk 101, 1s. als Mu-Sal-lim-”Marduk a." nappahz Dr 37 8 37. 20. als "Nabü-aplu-iddin a. Na-na-hu Nd863, ro. 20a al ”Nabü-balätsu-igbi a. Ih’-"Marduk Nd 84-2-11, 61. Dr P 120, 9. als * Nabü-etir-uapsáti a. La-kup-pu-ru Dr 2 LEE als ?Nabü-ka-sir a. Na?-ba-a-lu Nd 354,1. als * Nabi-kin-aplu a. Mi- Marduk Nd 806. [817, 3]. als "Nabü-kin-aplu a. Tu-na-a Dr P 60, 10. . a|$ 7 Nabü-Sar-usur a." Nabü-bän-ahi Smd (ZA IV) 2: als ?Nabü-Sitm-eres a. ^"* abi biti Cr 311, 18. als ?Nabü-Sum-ibni a. Eres-a-na-Esagguül Nd 990, 28. Knut Tallqvist. als ”Nabü-sum-Llisir a. "Bel-aplu-usur Dr 486, 13. $ 2 Nabü-sir-iddin a." Nappali Ng 15, 16. 30. als Na-di-nu a. """ P? sisi Dr 409, ss. x #Nergal-ü-Se-zib Nd 1024, s. * X Nergal-usezib a. ^" ab bánt Nd P115,7. [als] Silim-E Bel a. Di-ki-i Nd 803. als ? Szn-Fi-Xi-zr a. Mu-Eat-fim Nd [678, 23). Dr [298,74]. 321, s6. Sa-kin-zir a. Mi-sir-a-a Cb 431, 2. Säpik-zir a. IN -Dil-lHit-" Marduk Cr 8, o. Sul-lu-mu a. Épes-ili Cr 304, 2. Tagis-"Gula a. lläa DrL 26, 15. U-qu-pu Dr 163, 2. a. Ahu-ia-ü-tu, s. Nådinu. a. "Hg Cr 161, 17. S. Jddin-" Marduk, ? Nerv at-iddin. a. Ba-bu-tu, s. Has-da-a. a. Ba-la-ti, s. " Bel-iddin. a. Da-bi-bi, s. Iddina-? Naba. 45. a. Egibi, s. " Nabü-aké-bulIif. a. Epes-ili, s. Ardi-? Nergal. a. Etiru, s. /tti-" Nabü-balátu. a. Jóna|K AK-nal-a-a, s. "Nabi-balätsu-igbi, Nidintum. a. Jii -? Marduk, s. 2 Nabiä-tuk ... 50. a. Kal-ba-a, s. ”Naba-Sum-iddin. a. Mu-kal-lim, s. ”Bel-ipus, -uballit. a. nas patri, s. 2 Naba-bullitsu. a. re Pa-Se, s. ? Nabü-sir-igtsa. a. re Vb bani, s. " Marduk-Sum-usur, Ra- S "ZA.MAL.MAL-Sum-usur. 55. a. " Sin-Sa-du-nu, s. 2 Bél-iddin. a. "Sin-tab-ni, s. Såpik-zir. a. "Yang? "!Samas, s. Sa-pi-kalbi. a. "tano? "Za-ri-qu, s. Muranu. 50. a. Si-gu-t-a, s. " Bél-nádin-aplu. ? Nabn-kisir ("N -ki-Sir|si-ir) Npb (ZA IV) 12, v. Nk 249, 12. Nd 374,11. 554,5. 647,10. IOII,8. Cb403,11. ? 84-2-11,165. ?""50// Nd 138,4. 2"? aj Nd 800,12. S. *BéL-nadin-aplu 15, Kabti-ia," Nabü-gämil, Sa-" Nabá-Yi, Sun- ukin. I als Apla-a a. ^"? b iri Nd 147, 16. als “Marduk-êtir a. Ga-ha! Nd 183, 7. als “Nabt-êtir ? 84-2-11, 165. als * Nabá-éfir a. Da-bi-bi ? 84-2-11, 165. T. XXXII. I] UT E Dc. e 40. Neubabylonisches Namenbuch. (i Nabi-kisir) als * Nabü-éfir-napsati a. "abi biti Nd 116, 45. als #Nabt-Sa-kin-fum a. Babili Dr 380, 1g. 386, 14. s. als Rz-mut-" Bél. a. Mi-sir-a-a Nd 1005, 10. (Cb. P' (28, 15). a. An-da-har, s. ! Nabi-usursu. a. A-Xur, s. 7 Nabü-uballitsu. a. Ba-bu-tu, s. "Marduk-Sum-ibnt. IO. a. *" bay; s. "Nabi-usallım. a. E-fi-ru, s. Lábási. a. Ir-a-ni, s. Apla-a. a. Ka-!-nu-ilu, s. Rimát. a. Ka-nik-bábi, s. " Samaà-Xim-ibni. an Yaypo "Istar a. amel . Ku-du-ra-nu, s. "Nabi-belsunu. a. "lyaggarı, s. "Bel-zir-ibni, " Nabü-ahe- iddin. a. "angi "Belit Babili, s. Ardéa. a. "ange "Na-na-a, s. "Bel-aplu-iddin. a. "" Sa tabtisu, s. Itti-"Nabi-balätu. 20. a. Za-za-ak-ku, s. Rimüt-bél-iàni. ? Nabül-bi-3á-nu(sis?) Nd 1039, s. ? Nabü-ii-Su-Sá-uz-ziz Dr 53. ? Nabi-kit-ri Nd 348, 3. 962, s. X Nabn-kit-b-ri Nd 804, 14. "Nabü-kudurru-usur (NY 2 SA.D U-SES|PAP| ä-sur, "N'-ku-dur-ru-ü-sur Nk 309, 12, 7 Na-bi-um-&u-du-ür-ri-á&-su-itr Nk 164,51), sär Bäbili Nbp (ZA IV) 19,1. Ev 23,4. Ng 36,3. Nd 293, 3. III3, ». schriften Nebukadresars häufig. ? Nabul-Eul-lim, s. "Bel-iddin. X Nabü-kullimanni (EN -kullku-ull-Lm\h|-an]man- m) Nk 172,8. S. Ba-ni-ia. “ Nabu-Eu-sur(-ra)-au-nt Nk 301,9. Cr 161, 34. S. Nidintum-" Bel, *! Samas-iddin 52. 1. al} Gabbi-ina-gäti?-"Samas Nd 17, s. X Nabü-ku-sur-Su, s." Nabü-Sum-uken, Tu-su-u 1. I. als XBel-aplu-iddin Dr 417, ss. als "Bel-zir-iddin Art (ZA I) zs. als * Marduk-etir a. "Rab “Belit Dr 542, 16. ? Nabü-na-din-Sum Dr 487, 7. 5. als Na-di-na a. Ga-hal DrP |80, 5). 114, 7. 140, > X Nabüt-kuzbu-lani (*NY- HI. LI|Eu-|uz-bu|zib|ba|- AN?!) s. Sü-la-a. No. 2. In den In- 137 1. al$ Sáü-zu-bu a. Si-gu-á-a Cr 264, 2. 2. a. *"?" yàb bani, s. " INabü-Sum-usur. i Nabi -Ja-a479 (Dr 323, 39), s. “Nabu-ahe-iddin. i Nabi-liéa(? "NT GUD-e-a) Nbp M II ro. 7 Naba-li-e-Su? Nd 157, 13, s. ?Bel-uballit 88. " NabiMlillu (LIL) 1. al$ "Bél-uballit a. * Ea?. .. . . Nd 713,4. 2 Nabü-lit-su, s. Ardi-" Marduk 4, "Bel-ahe-iddin 50, -aplu-iddin 2, -uballit 73, “Nabi-ahé- bullit 3, -röüsunu 7. i Nabi- I 1(D.4) Nk(227). Nd 91,6. 571,47. 1075,8. Cr 109, 4. 326,19. "^"? pu-sa-a-a Nd 370, 2. S. /Ba-bu-nu, Ki-ba-, " Nabü-aplu-iddin, -ittannu, 9 Samas-iddin, Zab-di-ia. 1. al$ Ardi-ia a. Sr-gu-í-a Ng 38, w. als [-ba-a Nk 343, 3. als Iddina-ahu a. Mu-di-qu-" Addu Nk 32, n. als *Nabá-Mumn-ikun a. ispari? Nd 945, 15. 5. a|$ Na-din a. Mi-sir-a-a Nk 135, 58. als Za-ki-ru a. ? Sin-na-din-Sum Nd 1044, zs. a. älpgiri, s. Ardi-"Gula, "Bel-näsir, Tabnea. a. Da-mi-qu, s. Gimillu. a. Egibi, s. "Nabü-aplu-iddin. IO. a. E-ri-Su, s. " Nabü-aplu-iddin. a. Ki-din-nu-"Sin, s. " Nabü-aplu-iddin. a. Na-ba-a, S. Sullunu. a. Na-bu-un-na-a-a, s. Musézib-" Bel. a. Nik-ka-a-a Nk (400, 9). . Nür-"! Sin, s. " Bél-étir. a. Raóa-a-Xa-? Nznib?, s. "Nabü-udammig. a. Sag-di-di, s. Ba-ni-ia. 18. a. 7Samas-a-ba-ri, s. (Ina)-efi-êtir. 2 NabiM- I (D A)-odd- lt? 1. al$ Bul-ta-a Ng 15, «s. 2 Nabü-lu-h-da-a-ri, ""* gallu Nd 134, s. ? Nabà M fu(-1t)-salsat-fim, (*"*gallu) Nd 610, s. [Som e. mgeo Cl LIG 8, CHE, Na), ane aslakı Dr 556, 6. 1. a/$ Zddina-* Nabñ Dr P 44, s. #Nabñ\-ma-a-ku-usur PAP Nk[341,2]. Dr 144, 10. 167, 13. I. als “Nabt-aplu-iddin Dr 164, 3. [167, r]. 2 Nabü'-ma-lik, s. Änh-ittabsi, E-rib-Su, E-ri-Su, ? Nabu-ban-ahi, Rimitt. I. als 2 Samas-uballit Nd 34, ro. 18 138 X Nabül-ma-at-tu-i(-a) Nd 756. Knut Tallqvist. 1020, [3]; 13. Cr 376, 14. ? Nabi-miti-uballit (.NY- BAD |mai-i-ti- TIN (-itlıt- 5. bal-lit (abgekürzt: ”Nabü-uballit 6) Nk 456,2. NkCT 14 """afarid Sarrı? Cb 368, ro. ^"? nabbalu Nbp (ZA IV) 13, 1. S. Güzanu. als Ardi-!NabñEv 12,74, vgl." Nabü-uballit6. als E-ri-$u Cb 86, ır. als Kur-ban-ni Nd 490, 12. Dee , S. "Bel-aplu-iddin. a. Dannu-" Addu, s. *Bêl-lrà X Nabi-mudammig (N -mu-SIG(-ig) n À. als D Sege 01 Nk 381, 23. als ZNabñ-na-din-Sim a. "Sin>-Sadu-u Nd 1013, 4 a. e" by y; Cb (213, 6). a. e" yàb bani, s. "Nabü-Sarranı. X Nabü-mudanmmigqt-ilàni (IN! -SIG-ANP ) I, ? Nabi'-mu-ki-in (Dr 440, 14), als Bél-àh-iddin a. Na-din-Se-im Cb 122,16. U Bel-sir-iddin. il Nabu-MU-kin vide N 2 -Sum-ukin. ? Nabi!-murk(-ki)-e-lip/lip Nk 443, 19. Cr P (21, x). 7: an v nartabi Nk 452, »b. S. Bitl-ta-a (13), “Nabi-usuriu. als #Bel-ahe-erba a. Ba-bu-tu Nd 995, ». als X Bel-Sum-usur a. "" ma-la-hu Dr 96,2. af Mu-Sib-S a. Liga Ng (ZA II) zo. als ENabñ-ipus a. Si-id-a-tum Nk [93, 12]? . af Oar-ha-a Nd 648, ro. I . Egibi, s. Ardi-" Nergal. a. Liea, s. "Bel-etir. ? Nabü-mu-Sal-fim, -mu-GI, -DI-im T; 3: als ?Nabü-mu-Se-b-ig-urri a. Når-ilåni Ng Zi er als Såpik-zir a. Ka-nik-bäbi Dr 487, ss. a. Abt-ul-idi Dr 26, 9. 2 Nabiu-mu-Se-Si-ru? a. Nu-ha-Su, s. Sum-ukin (Nd 15, 9) X Nabü-musétig-urri (?NI-LUILU-ig|mu-L Ulmu- $e-LU Dr Pa 9, 26 |mu-se-b-LU Nd 796, 18 [mu-NT Nk 188,15. Cb 338, s |mu-Se-NI Nd 238,6. 597, 19 u. ö. RA UD. DA; oft verschrieben, z. B. Nk 342, 5. Cr 23,9 Ng 22, 15). Cr 160, 1. 161, 44, 58. "Dr 86$. 7. DrPa 21,10. 222/557/4 (Gb 127. °S. "Bel bullitsu, -ittanu, [tti-" Nabu-balatı, Låbåsi, 30. X Marduk-Sar-usur, " Nabu-ahe-iddin,-i-ri- ba, Remit-! Bel, Samas-Sar-usur, Tabı-ia. Y Zp-la-a a. " Ea-épist-ili? Dr 73, 2. Apla-a a. " Ea-l[it-su ... Cb 260, s. Ba-lat-su a. ame lii. Cr 23,9 V" Bél-erba a. Ba-si-ia Nk 247, ss. |! 2 Bel-ki-sir a. Egibi Dr 255, 13. Belsunu a. "Ea-pattanu NAM 12, ELSE [Eke Nee Dr 102, zz. "Bel-usallim a. "”"Engaggari Nk 316, s. 7 Bel-usallim a. “Sin-tab-ni Cb P 31,24 7 Bel-u-Se-zib Nd 111, 18. 7 Bel-zir-ibni a. E-sag-gil-a-a NAM 26, 5. 5 Daian-" Marduk a. Mu-e-zib. Nd 238, c. 239, 7 * Daian-" Marduk a. 2 Sin-ilu Cr 168, so. ‘ Dup-Sar a. Na-din-Se-e Dr 204, s. * /ö-na-a a. Dannu-" Addu Nd 193, s; It -* Marduk Dr 347, ro. * ZW-"Marduk a. Ir-a-nu Cb 285, rr. Ki-din-! Marduk a. Mas-tuk Nd 507, re. Ki-na-aplu a. Tu-na-a Cb 182, rz. Y Kur-ban-ni aln-di-i-ki-la-a-niNd 796,18. ? Nabü-iSkun Art (ZA II) zo. X Nabü-kin-aplu Nd 16, s. 2 Nabn-ni-ib-ana-ilani a. Ár-rab-ti Nk eu [EOD CRUCE Oper Gn v N TN ID Be Me Me ABUS 320 als ae -Sar-ahe-Su a. Di-ki-ia Nk 172,22. als ? Nabü-sir-ukin a. Ill il Marduk Dr 82, 9. 03, 7. Dr P 40, 56. als Na-din a. Lüsi-ana-nür-"Marduk Cb 293, 10. als * Nergal-Sinn-ibni a. Pap-pa-a-aNd 326,0. a|* "Nergal-usallim a. v"#,... Cb [403, 3]. aj$ /Qu-da-3u Cb 120, s. als Ri-mut a. Épet-ili Nd 1031. als Ri-mut a. vétpahari Nk 64, 2. als Ri-mut-" Bel a. Egibi Nk 166. 188, 15. als Sil-la-a a. "band Cr 345, 4. als Såkin-Sum a. Ardi-Nergal Nå 149, 2. als Sàpik-zir a. Mi-sir-a-a DrP 54,10. 58,5, v. als Sépik-sèr a. Na-din-Se-im Cb 174, 4 aj$ Sá-la-a a. Tu-na-a Cb 373,18. Dr[102,r0]. 206, 14. als Süm-ukin a. ! Ea-garrad-ili Dr Pa 9, ze. als Taó-ni-e-a Nk 397,5 . als Tab-ni-e-a a. Ibna-a-sa-ih-ia Dr 265,33. T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. (2 Nabü-musetig-urri) X Ziri-ia a. Ba-bu-tu Nk 64, 17. Ziri-ia a. Ba-la-tu Nd 188, vr. ali Ziri-ia a. " Samai-&a-a-ri DrP 89, i« als Ziri-ia a. """angi "Gula Cr 161, ss. Cb 81, 3. a amel ee Nd (202, 5), s. “Marduk-sir-ibni, X Nabü-Sum-ukin. a. Ar-rab-tum, s. Ahé-iddin-" Marduk. a. Ba-bu-tu, S. Zir-bi-bi. a. Balátu, s. "Samas-aht-iddin. a. Dam-ga, s. " Nabü-aplu-iddün. a. Dannu-"! Addu, s. Gu-sa-nu. a. Di-ki-i, s. Rimüt. a. " Ea-ilu(-ü)-taltu -ibni, s. Ana-" Nabi-ÿa- laämu(-eres), " Nabü-nadin-aplu. a. " Ea-imbi, s. Ba-ku-u-a. a. E-sag-gil-a-a, s. "Nabü-gämil, /Nu-ub- 45. 50. ta-a. 55. a. Im-bu-pani-ia, s. Iddina-"Nabu. a. Kalbi-" Sin®, s. i Samaÿ-àh-iddin. a. Mu-kal-lim NdP (5,u), s. “PBél-iddin. a. Na-bu-tulu, s. "bel-upahhir. a. *"?'nà$ patri, s. Na’id-" Marduk. . Nu-ha-sSu, s. Iddin-" Naba. a. INür-iàni, s. "Nabi-musallim, " Nergat- nâsir, "Samas-udammig. a. "el pahari, 5.” Nabi-ahé-tddina, Pa-da-a. a. "ya bant, s. i Bel-iddin. a. Sag-di-ti, s. "Bel-iddin. 65. a. "Sin-ibui, s. Rimüt-" Nabg. a. "Sin-imittu, s. Gimillu. a. e" sdb Marduk? Nk 342, 5, 7. i SamaS-aplu-iddin Nd (511, 7). 69. a. Sarru-a-ra-zu-&, s. * Bél-uballit. il Nabül-mu-se-zib, s. Iddin-” Nabt. 1. als "Nabü-balät-eres NK 438, s. ? Nabü-mu-tir-gi-muid MT er SG . a. X Sin-Sa-du-nu Dr P 87, 15. als Apla-a a. "Bél-étiru Cr P 11, 55. als # Nergal-usallim a. *Sin-tab-ni Nk 65, Ir. 4. a. Ga-hul-"Marduk® Ng VR 67, 1, 20b. 7 Nabül-mu-zib-urri (UD.DA)? I. a. "" dam-ga, s. Ardi-" Gula. il Nabül-na-6u-ru (Nd 883, 14, s. ”Bunene-ibni. il Nabn-na?-dant-an-na, s. Kina-aplu. No. 2. 139 i Nabñ-nàdin-ahè (NT- SEIS ES), s. #Samaÿ- iddin. il Nabi!-na-din-ali,s.Ahu-nu-t-ri," Bél-ah-iddina, -iddin, il Samas-dannu, -udammig, Zab- di-ia. ING PE a. Egibi Dr 496, 16. al Ap-la-a a. “"nappahi Dr 108, 12. Ardi-" Marduk a." Sangi? EaDr 166,1. als “Bêl-akè-iddin a. Ardi-"Nergal Nd 243. 5. al " Bél-id-di-ua a. Ba-si-ia Nd 85, 16. als Bél-Xu-uu a. Ga-hul Dr 447, 16. JE i Bél-uballit a. Egibi Dr 463, 15. ESi-etir a. ^"? tábtisu Cb P 131, zz. als lddina-" Marduk a. Dr 371, rr. al Iddin-2Nabå a. "abi biti Dr 335, o. il Sin-na-din-Sum 10. a] Igisa-a a. ^"? bd'iri. Ng 7, 2e. Nd 367, 15. als [Ki-rib]-tu-"Marduk a. Da-bi-bi Nd 516, 12, 682, 14. al La-a-ba-Si a. ^"?'$a tabtisu Dr 193, 2. als "Marduk-bel-siri a. Amel-" Ea Nk 198, s. als Musallim-" Marduk a. Ar-rab-tum Nd 393, s. 468, 17. 15. a]$ Mu-Xe-zib-! Bela.Na-an-na-a-aNd682, vo. al MuSezib-"Marduk a. " Sin-na-din-3um Dr 507, 21. als “Nabt-ahè-bél-lit a. " Ea-pat-ta-uu. Cb 348, 1. als # Nabü-Sum-ukin a. Su-ha-a-a Cr 169, is. Dr 50, 6. 18a ali Ri-mut-"BellNabü a. "Ea-epes-Ui DrP IOS, zz. 114,9 IIQ, zs. als Sákin-3um a. Si-gu-u-a Dr 464, 5. Dr P 109, 72. 20. als 2Samas-aplu-ukin a. "Sin®-Sadu-u Cr 324, 74. aj Sapik-zir a. ""ban? Cb 341, rr. als Ziri-ia a. Ib-na-a-a Cr 17, 6. a. ^"? dam-ga, s. "Marduk-Sum-iddin. a. E-til-lu, s. Nidintu-" Bel. 25. a. Ga-hal, s. Iqufu. a. Mudammig-"Marduk, s. "Nabü-aptu- iddin. a. Na-ba-a-a, s. " bél-iddin, Sulluma-a. a. "!Sin-tab-ni Dr (571,17) S. "Nabu-chir- napsätı. 31. a. Su-ha-a-a, s. Igupu. 18 * 140 ? Nabu-nadin-aplu (N!-MU|na-din-A| TUR. US), s. 'Asur-af-usur, Ubår 38. 1. als "Nabn-mu-Se-b-ig-urri a. * Ea-Müta-ibni Cr 83, 8. a. Hi-”Marduk, s. "Nabü-etir-napsäti. a. lKa-nık babi, s. Suim-" Bel. 3. a. Ki-din-E-ul-mas Nd 1124, 3. ? NabüM-na-din-ip-ri|SE. BA Cr 368, 2,7,9,10. Nbp CHAINE 1. a. "Ea-iu-h-tu-ıbni, s. 2 Bél-addin. 7 Nabi!-na-din-$e 1. als ”Nabn-zir-usabsi a. Etiru Dr 38, z. X Nabi-nådin(? MU = Sumu)-su 1. als Jddin-"Bel a. "^"? 5a iri Dr P 67, ss. X Nabu-na-din-á-um|MU NkL 7,2, s. “Nabi- kusursu. STERNE EN 2 5 Bel-usursu Ant (ZA III) zo. 5. als Erba-” Marduk a.” Man-di-diVr [284,3]. 388, 3. 409. als "Marduk-Sum-usur a. 212,1. Vgl. Madin 30. als Musezib-"Marduk a. Ga-hal Nd 990, 4. CAO ME 0128 1007297 16. a. * Nabü-aplu-iddin a. 104, 19. a. *Szn?-3adu-&, s. " Nabü-mu-dammig. IO. a. ^"? ano? Gula, s. Ardi-" Nergal. 2 Nabit\-na-din-ur-ri(ipt-ri?), s. Süzubu. #Nabñ(-un)-na-a(-a), Na-bu(-un)-na-a-a, auch “ Nabü-bu-un-na-a-a) Nd 377,23. (643, 1). 908, 5. Cr (184. S. 7Bel-ahe-iddin 3 “êtir 17, 35, 76, -iddim 175, -kasir 3 Idain-! Marduk 29, Igisa-"Marduk 13, Itti-" Marduk-balàtu 34, Liblut 37a, Liburu + 3, 4, 8, Lu-ba-lat 1, "Marduk-bel-usa- tim Y, -Såpik-sir 8, -Sum-iddin 32, Mu- nahhis-"Marduk 4, Musesib-"Bel 40, #Nabñ-balat-iddin 1, -bullitsu 33, -iddin 27, Ahu-bani Nk Cb amne! Naggarı ba , , NT -kasir 6, 13, -Sum-iddin 18, -Fün-usur 22, 49, -U-sur-napistim 2, -zir-ÜSir À, 14, 35, “Nergal-iddin 40, Sil-la-a 15, ? Samas-etir 3, -Sum-ibni 2, -Sum-ukin 2, -str-ibni 8, -sir- ukin 2, Såpik-zir 6. | 1. a. ^"? $o5e2 "Na-na-a, s. Nabiu-sum-ukin. | Knut Tallqvist # Nabüt-na id ("N Na-bi-um|-Z| LM. TUKlna--id) Nbp II 7, 1s. Nk 36,6. Ng 61, 11. Cb 405, c. sa eZ à (var. a. ^"? Yarzz .. -.) INE 79, s. sar Babih Cr ol, 12 127,9. 332,2, 21. Cb 412,3. In den Urkunden aus der Zeit _ Nabü-naids häufig. S. ” Nabü-Sum-iddin, 1. als * Bél-Zpu$ a. Mu-se-zib Ng 47, ır. als Man-na-ki-i-ilani Nk 322, s. als "Nabü-ga-mil Nk 361. a. Dalátu, s. " Nabü-iddin, -kin-aplıu. . XBel-igisa, s. "Bel-ahe-iddin. a. Li-e-a, S. Gu-za-nu. a. Man-di-di Nk (37,3). S. Kabtiia. a. mna patri, s. Stzubu. 9. a. 2j Mannu-igabbi, Ed ah NES Samas-uballt. " Nabn-napistim-usur | (NY -ZIC-tim)| ZI? |na-pis- tum(-SESlu-sur) 1. als "Bél-Eàszr a. Egibi Dr 537, is. CUT) ot do à a. "og Ty; Cb 245, 13: als Marduk-êtir a. Kalbi-!Sin? Ev 10, 15. als Mu-se-zib-"Marduk a. "ang? "Em Dr 551, 29. 5. als #Nabü-ahe-erba a. "2 ad aki? Dr 328,74. als #Nabu-Sum-u-kin a. Iddin-" Papsukkal (Gr 27, 153: als X" Nergal-u-Se-sib a. Amelu-(-)u Nk 10, s. Np 046, 6. als #Samaÿ-kin-aplu a. Bel-ba-ni Dr 315, 15. als Såpik-zir a. Mar-duk-ü Dr 297,18. . amelu-u,5. Ardi-" Marduk, Ardi-" Nergal. a. ""? ast, Ss. " Nabu-bulhtsu. a. Egibi (Dr 268, 12). a. "EZ mappahı, s. "Bel-iltannu. a. "Sin-da-ma-qu, s. "Nabn-ıttannu. LEZ Sa-na-Mi-$u, "2 daianu Dr L DS I Nabu-nåsir("N!-PA PISES}na-sir|si-ir ino:27— " Nabü-nàsir-aplu) Nk 11,4 60,6. 72, c. 93,4. III,10. 135,5 168,5. Ng 46, 7. Nd 6,2. 165, 13. 1174) 3. 220,212 2/2/45: REGIT foo 570, 4. 583, 20. 690, 9. 726,21. 766,6. 991, 10. 1022152 AGED Gras en Bu 22er 138, 3. 150,8. 152,9. 210,62 ©br 22,82 202: 233,4. 316,3. DrI2T,4 135,3. 148,2 150,13. 195,4. 231,11. 328,3. 378. 559, L1. Dr WM amel 7 Ars (ZA) amel ykelu Dr 197, 5. Nd 136, 9. aneljsparu. NÅ 349, 4. T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch, (“Nabu-nasir) amelgyandidi Nd 225,2. "e pi MA.GÄR# Cb 85,2 S. Ardi-ia, Ardi-" Bunene 4, Ba- latu, Ba-zu-zu, "Bel-uballit, * Bunene?- ibni 17, Igisa-"Marduk, Labasi 81, Lisir, # Marduk-Sum-iddin," Nabü-z£r-uxabsi, Ni- dinti, Rimüt-" Bel + 50a, Süzubu 12. PEZ S erue s Marduk a. """ Yang? " [Star Bå- CONTE I 16, 79. als * A-e-iddin Nd 151, 3. als Apla-a Nk 244? als Ardi-" Naóg ..... Nd 275. als Ba-lat-su a. ”Nabi?-se-im Nk 246, 5. Pâni-ia a. Ardi-"Nergal Dr 315, 14. 5 Bäni-ia a. """ bari Dr 220, s. Bani-ia a. Dan-ni-ia Nk 397, c. Sa alf "Bel-ahe-iddin a. ..... CbPA130, zr. IO. I5. t3 Ut 3 #Bêl-étir Nd 690, 11. als "Bel-ib-ni Nk 47, ro. als "Bel>-na-sa-bi Nk 136, 2. als "Bel-Sum-iskun a. "Sangt Gula Dr 464, 14. als "Bel-usätu a. Ga-hal Nk 54,13. 58, 8 429, 8. als Ebabbara-sadünu a. """$angl Sippar* Ng 49, 9. al$ E-sag-gil-Sa-du-nu a. "Sin-tab-ni-usur CP, 27 t PTOL: als Ha-za-2-Wu, *!daian Sarrıi Cr 301, x. x Jd-di-in-"Nabu a. Egibi Dr 551, zo. ; Ina- E-sag-gil-zir a. "$4402 Eg Nk 72, 15. Nd 286,2, 8. 395,3. 438,3,18. 760,19. 761, 15. als Igesa-a a. """ nappahi Dr 501, zs. als Itti-" Bell" Nabñ?-lum-mir a. Da-si-ia Dr 75,3. [140,4]. 379, 1. Art CIS II 66. als Kı-na-aplu a. HI -? Mardu& Nd 838, 11. als *Marduk-mu ... Nd 902, 2. als "Marduk-mu-kal-lim Cr 57, 12. |210, 12]. als " Marduk-Sum-usab-3i a. Na-an-ia-u-tu Cr 175, 12. 5 UV Marduk-ztr-ibut a. Egibi Nk 76, s. 5 Mu-se-zib Nk 86, 2. NkL 3, ». Mu-se-zib-"Bel Cr 142, 6. Mu-se-zib-" Marduk a. 135, 12. 35: als I Nabi-ahé-iddin a. ^"^ 4à$ patri Nd 17, 21. 176, 14. a al als als anelyaggari Nk No. 2. 40. 45. 50. 55. 65. 141 il Nabü-ah-iddin NÅ 145, ro. als 2 Nabü-ban-ahi a. Ardı-" Ea Dr 69, v. 5 X Nabü-ni-ip-Sa-ru Nd 1055, 15. ? Nabü-Xumn-ibni a. Mu-se-zib Nk 311, 16. $ 2 Nabü-udammiq Cb 409, s. 2 Nabi-uxab3i a. Dannu-" Addu Nd 171,4. als ?* Nabü-ü-4al-lim a. Su-ha-a-a Cr 351. Naädin(-Se-im) a. (ex) Ba-bu-tu Dr 126, s. 187,19. [203,4]. 350,4. 382,16. 404,15. [451,6]. 461, 6. = "Nabir-nasir-aplu 3. als " Nergal-da-nu a. ‘"#Sangi " Samax Cb Sa-si-ia a. Ga-hal Nk 72, iz. x Sil-la-a Nk 266, is. Sa-du-nu Nk 412, i. Sákin-Xum a. ""?nan-di-di Nd 506, 9. als Sá-la-a a. ""? bàn? Ng 30, 1. Sum-usur a. Bábila-a(-a] Nd 72, is. 2 ZA.MAL.MAL-erba Cr 135, 13. als Ziri-ia a. Suáti Cr 277, 24. ele Nd 217, 8. S: Silla-a-a. (US oss Idae Nd 397, s. Knl M II 5, u. a. Abi-ul-idi, s. Làbàsi. a. T Addu-Xim-eres, s. " Bél-aplu-iddin, Ir- siti! Bél-lisésir. a. Ba-si-ia, s. "Bel-iddin. quU Be. Nd 398, 11. Cb 57, 11. a. 2Bel-abi-usur Cr 229, s. a. "Belaplu-usur, s. “Nabü-zir-usabsı. a. " Bél-étiru, s. Gimillu. a. Da-bi-bi, s. Na id-" Marduk. a. Dam-qa, s. Ardı-" Nergal. a. Dannu-“Addu, s. * Bél-iddin. a. X Ea-ibni, s. Nabi-ufallim. a. Epes-ili, s. Sum-iddin. a. Esaggil-a-a, s. Libluf. a. Ir-a-ni Dr (393, $). a. Ma-la-hu, s. Rimitt. a. rl man-di-di, s. lddinunu. a. “Nabñ-iddinu Dem? Sp 94, 27. a. "Enaggarı, s. "Nabu-ban-ahi. a. "Nani(SES.KT)-u-tu, s. Läbasi. a. ^"? nappahi, s. Iqupu. a. e" yas patris. Muxézib-" Marduk, Suzubu. a. ^"? NT. SUR gine, s. Itti-" Marduk-balàtu, Munahhis-* Marduk. a. ^"? paharı, s. "Bel-ahe-erba. el a. ame! 142 (Nabu-nåsir) a. Oag-ga-du-ni-tum, s. "Nergal-usallim. a. "Sin-tab-ni, "C dupsar bit "Marduk Cr 345, 47. a. Su-ha-a-a, s. Iqupu, "Nergal-Sum-usur. . a. #Samaÿ-mu-kal-lim Nd 189, 3. a. réljangt *! Eg, s. ! Bélit-e-ti-rat, Ea-bån- zir, Musézib-" Marduk, * Nergat-étir. 77. a. ^"? $angz Szppar, s. * Nabá-usallim. 7 Nabü-näsir-aplu (N1-PAP/na-sir-A| TUR.US; abgekürzt ”Nabü-näsir) Nd 284, s. 285, 2. 705,5. 751,4. 783,3. 794,7. 898,3. 952,3. IOI5. ZK II 326. Cr 296, 3. Cb 99, s? Dr 264, 9? ameljsparu Nd 465,2. 532,4. 788, 3. 789, 9. 826. 970, 4. Cr 186, s. 202, 14. 232, 2. 1. al$ Ina- E-sag-gíl-zir-ibni a. Ir-a-ai Cb 97, 4. a. nel ySlakı, s. " Marduk-r£mannz. 3. a. Na-din a. Ba-bu-tu Dr 362, s = nasir 37. 7 Nabn- X Naón-na-sir-Yüm Dr 532, s. #Nabñ\-na-taltan-nu (hierher gehört wohl auch ? Nabu-na-ta”-an-na Nk 322, 16), "galla Nd 564,2. 573. S. Ki-na-aplu. 1. al$ "Nabü-a-na-pi-i-ü-sur Dr 173, 17. als * Nabü-á-zib? Nk 43, vr. 3. als Se-el-li-bi Dr 552, 2. ? Nabü -na-tá . .? (Cr 278,16), s. " Nabu-balätsu-igbi. 7 Nabi-m-ib-ana]laaa-àni 1. als * Bau-iddin a. Ár-rab-tum Nk 320, 2,5,7, 10. 2. a. Är-rab-ti, s. ! Nabi-muétiq-urri. X Nabü-ni-bi-rum(? ana?)-ilåni 1. a. X Sin-iu, s. Rimüt-" Bel (542, s). ? Nabü S ?-ni-ib-Sa-ru|ri Nk 35,6. 353,2. Lab r,s,1s. S. * Bé-balátsu-iq0i, Gåzanu 35, Musézib- " Mar duk 98,” Nabü-baläfsu-igbi76," Nabü- nàsir, Nidintum. 1:57 5 ae ahe-iddin a. ""*'yàb bàn£ Dr 216, 7. als "Bel-igisa Nk 103, ». als Kin-zir a. ".Sin?-Yadi-i Ng 54, 7. Nd [43, x5]. 48, 77. 79, 1. 246, 6. als Qistir-ia, "mar Yibri Dr 430, e. 5. a. X Sin>-Sadı-i,s. Musesib-" Marduk,” Nabi- balåtsu-iqbi. " Nabi-nür-ili(?) Nd 356, 25, s», 39. " Nabü-pir -lifir (4NT-NUNUZ-SI. DI) 1. als “Marduk-Sum-usur a. Bel-napsäti Nk 265, 22. Knut "Tallqvist, X Nabü\-ga-na-', s. " Nabu-kin-aplu. ”Nabü-gasir, vide X Nabü-käsir. X Nabu'-ga-ta-ri, s. "Bau-eres 6. X Nabü-ra($ä})-pik-si-ri I. a. Sip-pi-e, s. Ardi-" Erña (Dr 298, 17). X Nabü-r&mu-Sukun (NY- BL 5518/ri-e-mu-GAR] sü-kun) Ng 59, 6. Nd 666, 6. 701, 17. 796, 6. 1116, 4. Cr 168, 13, 16. Cb 428, 4. 420, s. 1. als Süzubu, "råd bari Ya Sarri NAM [23]. Dr 180, 33. 7 Nabü-remu-Su-nu Cb 212, s. 2 Nabü-r£ia. (! N’-SIB-ü-a) Dr 379, 20. " Naóü-ré'ü-Xu-nu Nk 452, 33 Nd 659, 6. 961, 2. 1069, 16. Cb 96, 29. 256, 9. 420, 6. Dr 281,7. 414, 6. 503, 5. I. als Ayar- Bel Dr 311, zz. als "Bel-ahe-erba a. Tu-na-a-DrP |73, 5]. 143, 13. als "Bel-kasir Dr 474, 16. 2 Bel-zir-iddin Dr 529, 15. 2 Marduk-erba a. Si-gu-ü-a Dr 497, 16. ; Nabü-etir-napsäti Dr 505, s. 5 "Nabü-étir-napsáti a. "Nabi-lit-su Dr 506, 6. als ?.Szn-ibui Dr 304, 17. als ? Samas-kin-aplu a. vel pahari Cb 270, r2. 10. al$ Sum-ukin a. Nür-" Sin Dr 484, zo. X Nabit-ri 1. als Na-bai-14 Nd 992, 2. 2 Nabü-ri-bi-usur, s. " Bau-eres. X Nabü-ri-e-su I. als Ü-bar-! Nabir Ev 84-2-11, 30. AMN X Nabü-rihtu-usur (?N-ri-ih-tiltum|t-PAPISES) Nk 94, 2. 422,2. Nd 353,5. S. Rem. 1. als Si-lim-" Bel Cr 183, 30. 7 Nabüu\-rimanni(-ri-man|ma-an|-ni) Nk 308, ». NdM 25,11 Cr 34, 22. Cb 316, 10. 7067 iq Dr 520, s. "el ymandidi Cr 127. S. Ap- la-a, ""Bel-erba, Nidintum-" Bel, Sa-! Nabir- Så, Taddannu. 1. aff Da-lat-su a. ^"" Sang? "Sin Dr Pa 11, 4. 12, 32. als DBa-ni-iá Nd M II 6o, s. als Nabi-za-kir NdP 4, 9. als "Nergal-usaliim a. ^"? $angi 2Samas Cr 323, 7. 346, 13. 5. als Pa-da-a Dr 520, s. Neubabylonisches Namenbuch. (”Nabi-rimannt) als #SUR-uSallim Nd 280, ro. 534, 18. as Süm-iddin a. P u-ra-qu Nk 290,10. Ev 11,3. 8. a. " Sin-na-str, s. "Bel-iddin. ? Nabü-ri-mu-&-a Dr 244, 6. ? Nabü-rimütu(? X NT-ri-mu-^) I. a. Bel-etiru, s. "Nergal-iddin (Nd 769, 1). 7 Nabü-ri-is-su, s. Sa-" Nabü-3& 12. ? Nabu-ri-su-ü-a, gallu NdL 1,3. Cr 135,6. UNabñ-silin (N!-silsil/si-il/-lim) Nk 449, 6. 720, 8. 795, 5. 1022,3. Cr 34,12. ^"? ggarrı Nd 804, 9. ^"?7»p;Yu Nd 202, 10. 718,2. Cr 34, 3. 80, 11. Cb 57, 4. ^"? 7; andzdz Dr 70, e. ane mar Sipri Nd 565, 4. ""gallu Nk 61, 2. 318,55, Nd232,72..C67379,22 Dr 212,370: amv nartabi Nk 452, 23. ^"? simmu Nd 161,8. S. €BéLiddim 228, "Samai-iàr- bullit 1, Tagis 7. I. al$ MHåni-um?-mu Cb 85, 18. 2. als "Nergal-ah-iddin Nd 987, s. ^"? rab rei (CT ? Nabi!-su-[ pi-e\-mu-hur 1. als Kı-rib-tu a. ^"? Sang? * Samas Dr 243, 14. X Nabül-sa-bit-qàti?, ""? asarid Sarri Ng 7,8. 58,6. ame gallu Nk 266,5. "rad biti $a" Nergal- Sar-usur apil arri. Ng 39,2, 19. Nd 270, 3. 688, 2. S. 7 Naóü-usur. ? Natu \-sal-lam I. a. Ilu-ba-ni, s. Musesib-" Bel (Cr 128, as). X Nabit-Xa-ba-bu? 1. als Zu-us-ana-nür a. Ar-rab-tum Nd 650, 12. Nd " Nabü-5a-du-uu I. als ?A-é-uYab$i a. "yet sis Nd 526, 19. 674, 10. 827, 13. 875, 14. als * Nabü-xam-ukin a." Bel-Etiru Dr 68, ro. al$ Sum-ukin ..... 4. als Zir-ukin a. " Bel-Etir Dr 60,1. I Nabi!-$åkin-Sum (GAR Sa-kin-MÜ) I. a. A-qar-a-nai-! Naóg, s. I Nabi-Sum-ukin. 2. a. ^"? $gpof "Istar Babih, s. Sulwm. 2 Nabi!-salåmu (DImu) 1. als ?Bel?-näsir Nk 50, e. X Nabü-xalàmu-eres. (ENI-GI-PIN-es), vide Ana- ? Nabi-SXatamu-eres. X Nabu-Sal-lium I. a. 9"? di-ku-u, s. "Nergal-ana-bitisu. No. 2. ? Nabu-bun- 143 */ Nabn)-Sa-ma-, s. "Nabü-uballit (Cv 312, c). 7 Nabü-3apik-zir (2 N!-DUB|Så — Rälsa-pik-ZIR| si-ri, abgekürzt: Sapik-zir), s. " Bél-Sum- usur. 1. als Ba-lat-su a. ÄSITUK?-pi-e Nd 534, 14. NdM II 53, 2. als * Nabü-usallim a. Dumgi-ÿa-ilani-damga Nd 722, 14. als Sil-la-a a. ""*'abi biti Dr 85, 9. a. Di-ki-i, s. " Naóü-Xum-iddin. 5. à. Sip-pi-e, s. Ardi-" Erita (Dr 298, 17). ? Nabü-Xàr-ahé$u (EN LLUGAL-SES/-Yu), s. Sumriddin. 1. als Ki-ne-na-a-a a. Iddin-" Papsukkal Nk 216, zz. 2. a. Di-ki-ia, s. " Nabá-muiétiq-urri. ENabñ\-Sàar-bul-lit Nk 377,5. """ràb biti Dr 336. S. * Nabü-Sum-ukin. X Nabül-Xàr-ib-ui KAK DrL 24,4. S. "Mardu£- Sum-ibni, Rimüt. 1. als Mar-du-ku Nd 116, s. ENabñ-Sar?-iddin (.NT- MAN?-MU) 1. als “Nabüt-ah-bül-Ut Nd 100, s. " Nabul-sàr-ilàni Nk 90, 2. X Nabü-sarranni (LUGAL-an-nı), s. " Nabn-str- kin. Nabñ\-Far-4-surl SES Nd (305, 3). 621, 2. 920, 3. Cr 287, a4. Cb 387, 11. ^" asarid Sarri Nk 304,3. uälsj... Nd 250, ». "2sukkallu Cr 312, 31. S. ?Bel-ah-usur, -Elir, " Nabü- balätsu-igbi, * Nergal-Sàr-usur, Nidintum. * 2Bel-uballit Nd 1056, vr. als Itti-" Nabü-balatu Cr 151, s. 5 X7-na-aplu Cr 64, 13. Dr 413, zz. als "Nabü-ahe-bul-ht a. Ga-hal Cb 379, 22. 5. als * Nabá-Xüm-ukin a. vélardi " Ea? Nd 418, 15. als 2 Samaÿ-dannu Nd 1034, 6. als Zar?-bi-ia? Cr 310, 2. | a. Gahal, s. * Bél-ibui. | a. " Nabü-ban-aht, s. "Nabü-kin-zir. | Korn amelsangi "Istar Babili, s. Sum-usur. | *Nabü-Xàémé | (7 NY2-$e-e(-me)|se-um|se-me-e) Nd (1120, 5). S. /dain-"Nabü 17,136, Nabü- nasir 5, -Sum-lsir 14, -uballit 12, Na’id- Be 7. ? Nabü'-Si-man-ni Nk 369, s. 144 ? Nabi-Sip?-usur 1. a. Ahu-ba-ni, s. "Marduk-usallün. ? Nabi!-Su-ku?-nu-balåtu? Nd 865, 13. " Nabn-Sum-eres ("N\-MU-KAN]|PIN-es) 342, 12: S. 2Samas-blir 21. L als *Marduk-zir-ibni a. Egibi Nk 64,4 Vgl. 7? Nabu-Sum-ibni 3. a. ^" ani biti, s. 2 Nabü-kin-zir. 3. a. Egibi, s. Labàs. X Nabüi-*um-ibui (X NI-MUlsü-um|-KAKlib-ni Nk 7,4. 176,5. 249,16. ?84-2-11, 172. ^"? pairu Nk 435, 1. S. *BéZt-e[-H]-rat, Nabt- usursu, Ziri-ia. Nd 1. als ?Bel-ri-man-ni a. Ba-si-id Nd 827, i. als F-ki-sa-a a. Abi-ul-idi Nd 293, sr. NÅL 104, 15. als ”Marduk-zir-ibni a. Egibi Nk 53, 10. Vgl. ? Nabü-Xum-eres 1. als * Naóu-ah-iddin Nk 311, is. 5. als " Nabü-sam-iddin Nd 145, 4. als Ri-e-mu-tu a. Sip-pi-e NKP 3, 3. als Ri-mut-" Bel a." masar abulliNg 35,13. Lab [3, 72]. als Sä-ma-a a. "i fa tabtisu Nk 428, 1. a. Dannu-" Addu, s. Napustum. IO. a. Eres-ana-Esaggit, s. " Nabt-kin-zir. a. Mar-duk Cr 53,3. a. ^"Uugsqr abulli, s. 2 Marduk-sir-ibni. a. Nür-" Szn, s. " Ea-uSallim. a. ”Epahari, s. " Nergal-iddin. 15. a. Sag-gil-h-ia, s. Erba-! Marduk. ? Nabü-Xum-iddin|, (2 N!-MU-MU]|SE(-na)|id-din) Nbp (ZA IV) 19,30. Nd(30,7). 399,4. 417,2. 428, 14. (632, 10). 651, 3. 703. 752,7. Nd M 147 251,22C71505.. Ch Rena, DESI 354,11. 398,3. "2 na-za-nu Nd1010. meg risu Nd 398, ss. ab nartabi Nk 452, ax. emölsj-pi-ri Nk 413,3 S. *Addu-uballit, /Banätu-Esaggil," Bé-aplu-iddin 41,-iddin, -rimanni, Gumü-" Samas, Müranu, "Nabik- ah-eres, -Sum-eres, -Sum-ibni, -usursu, Nadin, *Nergal-uballit, INidintum-! Bel, Rimut-" Bel, Süga-a-a, Saddinnu 16, 7 Sa- mas-iddin, Sudum-B ab, ZA. MAL.MAL- p Toto So re etn Nd 958, 7. als Ardi-ia Cr 313. Knut Tallqvist. Ardi- Bel a. Egibi Nk 13,3. Cb 305, ro. |$ Balát-su a. Sa-na-Xi-3u Nk 06, 5. |* ?Bekipus a. Mi-sir-a-a Nk 328, is. 5 XBel2-Sar-usur Nd 90, a. |3 ?Bel-zir a. ^" nan-di-di Nd 48, 20. [5 (Eie 274, 12. als Gab-bi-ia Cr 260, 17. IO. als Jóna-a a. " Addu-Sam-me-e Nd 1068, 9. a Ina- E-sag-gíl-zér-ibui a. amer SON Ba Nd 787, zz. als Igisa-a a. Mu-dammig-" Addu CrP 23, >. als "Marduk-Sum-usur a. Egibi Cb 376, 22. als #Marduk-Sum-usur a. Nür-" Papsukal Eb’120,4 315,27. 338, 2. 349, 37. 15. als “Marduk-sèr-ibni a. Ba-bu-tu Nk 103,1. als * Marduk-zir-ibni a. (7 Ea-) Epes-ili Cr P ane IDYe] Ut TES E oe (Öl, sus als [^ Mardu]&-zir-ibui a. Na-din Nd 1057. als Musezib-" Bel a. " Nabü-na-a-a Cr 120, o. als I Nabü-Dél-iàni a. E-sag-gil-idinnam Cr 128, 27. als "Nabu-bel-Sumäti à. Dr 307, 7. als "Nabü-erba Nk 432, 9. als "Nabu-kin-zir a. Kal-ba-a Cr 128, zs. als * Nabi-na id Nbp M II 10, 4. als * Nabü-Sàpik-str a. Di-ki-i Dr 386, r2 = no 33. 25. als ?Nabü-Sum-ukin a. Ba-si-ia CbL 169, 7. als * Nabáü-sum-usur a. Nür-" Papsukkal Cb amano " Addu als "Nabu-zsir-ukin a. Na-din-Se-um Nk 185, 18. Nd [945, 18]. als Na-di-nu a. Ahu-ia-ü-tu Nd 1047, 17. als "Nergal-u-Se-zib Nd 191. 30. als !Samas-aplu-iddina Nd 70, 2. (E Samas-aplu-usur Nd 717,4. 728,4. 944,9. 989, 2. als X Samas-ibni Ev 120. af Sápib-sir a. (emil) Di-kiile Dr 246, 7. 376, 8. 379,78. 380,13. 305,19. 306,18. 410,2. 429, 17. 446, 14. 456,8. 457,16. 474, 14. no. 24. als Sü-la-a a. (*Ea-)êpes-ili®) Cb [260, s]. 388, 17. Smd (ZA IV) 2,16. Dr 38, 2. 169,2. 224, 3. 226, 3. T. XXXII. EN 35: 40. 45. 50. 65. 68. Neubabylonisches Namenbuch. abiu-Sum-iddin|,) als Su-su-bu a. Etiru Dr 272, 20. als Ulüla-a-a Nk 360, 15. als Zir-ukin Nd 1030, [2], i». a. Abi-ul-idi, s. Alu-lümur. a. *"? ab; biti, s. Ba-si-ia, Da-zu-zu. a. Ardi-"Ea, s. "Nergal-Sum-ibni. a. Balätu, s. !Nabh-Sum-iskun. Pa CALE Re s. “Nabi-êtir-napsàti. a. Da-bi-bi, s. " Nergat-Sim-usur. a. Ea-pat-ta-nu, s. " Nabi-ahe-bullit. a. Egibi, s. "Bel-iddin, -kåsir, Musezib- Marduk, *Nergal-uSallim. a. Epes-ili, s. ?Bel-uballit, Labasi, " Nabit- sir-1Qisa. a. Esaggil-idinnam, s. "Nabit-aplu-iddin. a. Iu-ta-ibni, s. "Bel-uballit. a. Im-bu-pani-ia Dr 327,2. S. “Nabi-êtir. a. Ki-din- Sin, s. Nidintum-" Bel. a. mel ki-sik "Nabü, s. Süga-a-a. a. Mas-tuk, s. Kal-ba-a. a. Mi-sir-a-a, S. * Nab2-Xnm-uk£n. a. Mu-kal-lim, s. *Marduk-erba. a. Mu-Se-zi-bu, s. "Nabü-Sum-ukin. a. Na-ba-a-a, s. "Marduk-aplu-usur. a. Na-din-Se-im, s." Bél-ahé-igisa, * Marduk- Sapik-zür. a. Nür-" Sin, s. Ardi-" Marduk, "Bel-ahe- iddin, 2Sulmån-Sum-usur, 4 Tap-pa-Sar. a. ^"? 22 alpı, s. !Samas-kösir. a. Sag-di-di s. "Nabü-zir-USir. a. "Sin-tab-ni, s. Ri-mat. a. Su-pi-e-"Nabu ..., s. "Sin-ahe-bullit. a. 2Samas-aplu-usur Nd 702, s. 824, 17. a. Sa-! Nabü-St-u Nk 66, 15. a. Sa(-bi)-na-Fi-Fu, s. Ba-si-ia, Labasi. a. 9" sono] %Addu, s. *Nabi-sèr-ibnr. a. é$anoi #Ninib, s. Bänia. a. Si-gu-i-a, s. I Bél-iddin, Ina-qibi-" Bel. X Nabu!-Sum-im-bi ti als Ezida-Sum-ibni a. Sag-di-di Cr 76, 3,1. Ri-mut a. "fån: Dr P 45, ro. Ri-mut-2 Bél a. Ardi-* Nerga! Nd 663, 14. als als NE , 8. * Nabü-str-igísa. 2 Nabi!-Sum-igisa Nk 175,9. S. * Bé-násgrr. LS als GEN SeERNd 212, 1, 10 (“Nabü-zör-igisa?). No 2. 145 als Balât-su a. "^"? ang? “Istar Babili Cr 26, 22. a. UBêl-ra?i .... Nk 249, a. 4. a. Nür-" Sin, s. "Bel-usatu. ? Nabiu!-Sum-iskun (GAR-un) SmkM II 4,4 Nk I4, 4. 275, €. [353,9]. 388, 44. 306,5. 412, 6. 450, 10. Nd 354,5. 570, 11. 668, 24. 1060, 10. 1103, 3. Cb 387,s. Dr 55,6. 98,9. 128, vr. 404,3. Dr WM 16. cl PIN $a i Samas Npl M II 9, 25. S. Apla-a, Balatu, "Bel?- Xazn-ibui, Musézió- Bel, Musézib-" Marduk 99, "Nergal-Xar-usur , Rimüt, Su-ga-a-a, Sa-an-si-ru. I: Dex. Nd 936, 3. Dr P 137, 19. Olsen. a. Mu-kal-lim Nd 765, . als 7 A-e-iddin a. .... erba Nd 313, 16. als Apla-a a. Man-di-di Nd 593, s. 5. als Ap-la-a a. "lyàb båni Cr 10, re. als Ardi- Gula a.” bd iriDr 212,5. [367,29]. als * Asur-zir-ibui Nd 359,74 512,11 541, 8. 552, 15. 570, 21. 602, so. als Ba-ni-e-a a. Ahu-bani-i Nd L 1. “Bau-ah-iddin a. "^"? 5àn£ Ev 16, s. "Bel-ahe-erba a. Ba-si-a Nk 31, zs. "Bel-ahe-iddin a. "band Cr 236, 13. Is XBel-uballit Cr 361, 16. als "Bel-zir a. Marduku? Nd 405, 9. IS Ina-ki-bi-" Bel a. ^"? nà$ patri Nd 400, 14. 509, 14. als Igtsa Nd 212, 12. als Kab-ti-ia Cb 432, 10. al$ Lüsi-a-na-nür a. Sa-na-Si-su Nd 48, 22. 791153 275. 8. als “Marduk-êtir a. Bi-ib-bu-u-a Nd 389, 13. als *Marduk-Säkin-Sum a. ^"? aug? "Ea Nd M 6o, 16. . à Mu-ra-nu Dr 87, 5. als Musallim-"Marduk a. ^"? nappahi Na P 8, 19. als “Nabt-ahè-bil-lita.Pap-pa-a-a Nk246, ı7. als * Nabü-àh-iddin a. Balatu Dr CT IV 32,55. als “Nabu-aplu-iddin a. ["Ea-éples-ili Nk 425, 3. . as X Nabü-iddina a. Amel-" Bel? Dr 462, i. als X Nabü-iddin a. Nür-" Marduk Dr 515, 2. 2 Nabü-SXüm-iddin a. Balatu Dr Bu 88-5- 12, 26, 27. Qi 8 AXE LOT 19 146 Knut Tallqvist. (7Nabi'-Sum-iskun) il Nabi-Kum-U8ir (GIS]SI. DT) Nbp (ZA IV) 19,21. als ? Nabü-zir-ibni a. Nür-"Sin Ng 50, e. Nk 90. Ng 28,28. Nd 574. 630, 11. 635, 10. als ?Nabü-zir-usabsi a. "^"? aibi Cr Pa 3, v. 922. 041,4. 957,3. 1034,5. Cr 40,1015. 47,7. 30. als " Nergal-asaridu a. "re? sis? Cr 320,12 164,11. 189,21. 364, 29. 365,7. 360, 2. 373,2. (var.: * Bél-Xum-iskun). | Ardi-"Marduk, “Bêliddin 229, Kalbi- als ilSamas-erba ...... IDEO: | Pau 8, Rémáti. als 2Samas-Sum-ukin ar?! malakiNk152,13. I. als Apla-a? a. Abi-ul-idi Nk 112, ra. als Tab-ni-e-a a. Ahu-ba- Nd 336. | als Ba-lat-su a. ..... Cb 44, sz. als Za-ru-tu a. " Sin-na-din-Siti DrP 72,72. als Balät-su a. Dan-ni-e-a Nk 207, 19. SEAT , s. * Bél-iddina, " Marduk-Sum- | als Ba-lat-su a. ^"? gallabi NkP 3. usur, Saddinnu. 5. a|$ Balät-su a. Sag-gil-id Nd 59, s, 16. DATA ee , S. Itti-" Marduk-balätu. als Balät-su a. "^"? angi ? [Star Båbili Nd a. Ahu-ia-ü-tu, s. "Nabü-Sum-usur. | [342, 2. 497, 9. [599,10]. 846,5. [854, s]. a. Amel-" Ea, s. Musezib-" Marduk. 907, 1o. Nd Pi 11, 77. Cb 42, 4. 102, vr. a. Ardi-! Ea, s. "Samas-uballit. als * BéF-étir Nk 6, 2. 40. a. Dalátu, s. "Nergal-usezib. als XBel-etir a. ^"? »abbahi Nk 172, rs. a. Bel- Harràn-Xadu-&, s.? Nergal-ahé-iddin. als ?Bel-zir-iddin a. Nür-" Sin Nk 252, 7. a. Etiru, s. " Bél-mu|ball yt, " Nergal-Xum- 10. als PBi-li-li-tum Nd 13,9. iddina. als Jddin-" Marduk a." Addu-Sum-eres NAL a. Ga-hal, s. Rimüt. 104, r2. a. [r-a-ui, s. "Nabü-balätsu-igbi. als Jddin-" Marduk a. Epes-ili Nd 412, s. 45. a. wéliipari, s. " Naón-l d. als Mu-se-zib-"Bel a. ^"? bán? Nd 00, 7. a. Ka-sir, s. /Habasinnatum, Musallim- als Mu-$e-zi0-" Naba a. * Nabü-Xe-me(-e) Nk Marduk. 27,7. 358,14. 380, 10. 400, 12. Ev 8, 14. a. Ki-din-" Sin, s. "Nabü-Sum-ukin. WB GES OUT a a. mel Pa-Se* Cb 46, m. a. "8 kyddimmu, s. "Bel-nädin-aplu. als "Nabu-käsir a. Amel-"Ea Dr 68, 12. a. ^"? nan-di-di, s. Bünanu, / Kas$-5a-a. als X Nabü-Sum-iskun a.” tabtisu Cr 277, 25, 50. a. Mu-kal-lim, s. *Marduk-êtir. als Nabå-sir-iddinlusur? a. Nir- Sin Nk a. ”ilnaggari, s. "Nabü-ban-zir. 269,5. 356,9. 387, & Ev 2, 7. a. las patri kari, s. "Nabü-ahe-bullit. als Tab-ni-e-a a. Épes-ili Dr 278,2. 270, 2, a. Nür-"Sin, s. "Nabi-iltannu. 20. als Ziri-ia a. "Sin-imittu Nk 64, ss. a. "El pahari, s. "Marduk-Sum-usur. als Zir-ukin a. Etiru CrP 13,2. Cb [425, ol. 55. a. "^"? rb bani Nd 64,18. [356, 49]. 608, 17. CbP 36,72. Dr P 48, & |69, s]. 71, zs. 134,2. 720, «4. Nd L 73, 83. Smrd P 38, 77. a. "Hy? alpi Dr (474, 14). a. * Addu-Xim-ereà SmkP 2, 14. a. Sag-di-di, s. "Nergal-uballit. a. Ardi-ia, s. Jddin-" Bel. a. Sag-gil-a-a, s. "Bel-bullitsu, Nidintum. a. Ardi-" Nergal, s. Iddin-" Bel. a. Sibbüa, s. Iddin-" Naba. 25. a. Ba-la-tu, s. 7 Insabtum. 60. a. ? Szn-taó-nui, s. "Bel-iddin, " Marduk-Xin- a. "Bel-aplu-usur, s. "Nabü-kin-zir. ibni. a. "Bel-ipus Nd 351, 1. 781, s. a. ét $ane? Ninib, s. * Bé-aplu-iddin. a. 2 Ea-épes-ili, s. "Del-ipus. a. ré Sane?" Belit-Samé,s." Nabi-aplu-iddin. a. Egibi, s. " Nergat-iddin, Pir. a. ^"? 0502 ! Ey Cr Pa (4, 29). 30. a. E-til-lu, s. " Nergal-ubalr. a. Si-gu-á-a, s. Mi-sa-tum. a. TDR , S. V Marduk-iddin. 65. a. Tåbtisu, s. "Nabi-Xitm-Fsir. a. Ir-a-ni, vide Nabñ-str-lifir a. Ir-a-ni. ? Nabü-Sá-mu-li-bur, ^"* daianu Nd 776, is. | a. él nolui Nk 90, », s. "Bel-iddin. 2 Nabü-Sum-Ul-bir Nd 919, c. a. Ma-lul-tum, s. Gimillu. T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. CNabñ\-Sun-lisir) 35. a. Na-bu-un-na-a-a,s.®Nabi-usur-napistin. a. Na-sir Nk 249, 11 a. Sag-gít-la-a-a, s. "Nabu-ahe-iddin. a. ré $ano? Babili, s. "Bel-iddin, Ir" Mar- duk. 39. a. melsange "Istar Babili Nk 330,14. Nd 373,14. Cr (347,12). S. ?Bel-uballit, " Nabi- ittannu. il Nabü-Xum-ubin (NI-MU]St-um-DU|] GI. NA| kin (Nd 274, 19) [4-kén|ki-in; abgekürzt: Sum-ukin q.v.) Lab 1,3. Nd 444. Cr 141,8. Cb 44, 30. Dr(24,9. 416). ^""Zaianu Nd 355, 14, 20. 668, 23. e-p2S-Sa-nu Cr 238,4. S. Bel-uballit, -uSezib, Siga-a. IS Apla-a a. Ga-hal Dr 133, 6. Apla-a a. Oaggadannitum Nd 34, 3. $ Ap-la-a a. Su-ha-a-a Dr 31, 6. als Ardi-"Nabt a. Sa-na-Si-u Cr 211, s. X Bel-bel-Su-nu a. La-kup-pu-ru Cr 12, à. Vgl. no. 18a. I * Bél-étir a." $ang£" Na-na-a Dr 213,2. 7 Bel-iddin a. ®*!aslaki Dr 520, 14. |* "Bel-iddin a. ^"? báng Nd 587, o. X Bel-i-ki-Sü a. Nu-ü-bu Nd 293, s. ?Bel-igisa a. ®"®pahari Dr? 133, 5. X Bel-usallim a. Ba-bu-tu Nd 216. 267, ‚il. 520, s. * 2 Ea-iddin a. Mu-kal-lim Ng 14, 6. il Ea-udammiq a. Raba-a-$a-* Nini? Nd 480, 12. als Jóna-a a. ^"? sang? Dil-bat“ Nd Pa 2,40. als Jóna-a a. ^"? angi "Na-na-a Nd 314. R 2 = = [ED 15. als “Marduk-na-sir a. Egibi Dr 201, 14. als ?Marduk-sum-ibni Nk 159, 2. als #Marduk-sum-ibni a.” 5ahari Nd 336,16. als ?Marduk-zör-ibni a. Na-din-Se-im Nk II2, 2. 18a als 7Nabü-bel-Su-nu a. La-kup-pu-ru Cr 27, s. Vgl. no. 5. als "Nabü-ku-sur-Su Art (ZA IIT) zs. 20. als " Nabü-mu-se-ti-iq-urri a. "iS .... Dr 437, 15. als * Nabü-na-a-a a. ^"? Sang? "Na-na-a Nd 609, 15. f als * Nabü-Säkin-Sum a. A-gar-a-na:-" Nabü Nk 273, 9: No. 2. 40. 45. 50. 55. 147 als ENabñ-Sàar-bul-lit Dr 367, 5. als *Nabü-Süm-iddina a. Mi-sir-a-a Nd 165, 22. . a|$ * Nabü-Sum-iddin a. Mu-Se-zi-ibNd 343, ro. 806, IH. als X" Nabü-Sum-iSkun a. Ki-din-" Sin Cb 338. als "Nabü-Sim-usur a. "Bel-aplu-usur Dr 335, 70. als Nabi-usur-$u a. Nür-"Sin Cb 379, 2. als “Nabu-zir-igisa a. Egibi Dr Pa1i1,3. 12,13. 13, 7 (Schreibfehler). , als "7 Nabü-ztr-u&tn Nd 1120, s. alt Na-din a. Epes-ili Cr 380, u. als Na’id-"Marduk a. "sa tabti-su Nk 161, 16. als "Na-na-a-iddina Nk 46, 9. 47, i als * Nergal-sarr-a-ni a. Da-bi-bi DrP 59,18. als ? Nergal-usallim a. Si-gu-t-a Cb 1, s als Su-ga-a-a a. Ba-si-ia Dr L 26, x. als i Saqmas-Säkin-Süm Ng 29. als Si-riq-tum- Marduk a. Sim-me-AN2-e, ane TU bit UND Ng 13,1,7. als St-la-a a. vélyàb ba-ni-e Nd [396, 4]. 580, 13. af Sá-Ja-a a. Si-gu-&-a Cr 277,23, vgl. Cr 230, re. Üballitsu-" Marduk Dr 411, zs. als U-ba-ru a. ""?Yangi "Istar Bäbili DrP A4, 13. a. ^""55; biti Nk (328, 17). a. Ardi-" Ea?, s. " Nabü-sar-usur. a. ^" ySlaki,s. ! Marduk-Siin-iddin, " Nabit- zir-ukin. a. Ba-si-ia, s. " Nabü-Sum-iddina. a. "Bel-aplu-usur, s. " Marduk-Sum-usur. a. "Bel-£tiru, s. Ina- Esaggül-ztr-ibui, " Nabü- & pr Sadunu. a. Dan-ni-e-a, s. Balatsu. a. "Ea-garrad-ili, s. * Uras-Såpik-sir. a. Egibi, s. Sá-la-a. a. Epes-ili, s. Nidintu. a. Gis-Sa-pa-eres(?), s. Jddin-" Naba. a. lb-na-a-a, s. "Nabü-kin-aplu. a. Jddin-! Papsukkal,s." Nabü-napistim-usur. a. [b -Dbid-lu-tu-! Marduk, s. " Marduk-5um- ibni. a. Ir-a-ni, ét daianu Nd 356,44. [495, 1]. 608, 14. 19 * 149 (”Nabu-Sum-ukin) 65. 70. 76. 2 Nada L3zi-á-sur| SES] PAPNKk 374,22. Nd643,10. UE . af E-ri-su a. wrélyàb bant NAM II 63, «| . als * Marduk-sum-ib-m] KAK a. Il-" Mar- als * Naóü-&uzub-zlàni a. Knut Tallqvist. a. Kalbi-/ Sint, s. #Bêl-ahé-erba, Sadünu. a. Ki-din-" Sin, s. /Gu-si-g. a. La-kup-pu-ru, s. " Nabü-bullitsu. a. ”Emasar abulli Cb (360, 11). a. Mu-kal-lim, s. Im-bi-ia. a. Mu-Se-zib, s. " Marduk-nàsir. a. Na-ba-a-a, s. Itti-" Nabü-balátu. a. * Nabu-uballit a. "rei Nd 75, 17. a. Nu-u-bu, S. a. ^"" 5ohari s. Niqudu. a. €" yàb Dni, s. "Bel-rimanni. Tabnea. a. Su-ha-a-a, s. " Nabü-nàdin-afi. a. Sa-bi-na-Si-Su Nd 373, 16. | a. Sa-na-aX-Xi-Xu, s. Nidintum. a. "Hang ? Ea, s. "Marduk-aplu-iddin. a. öl ange [tar Båbili, s. * Samas-uballit. | a. wmelsangi parakki, s. " Marduk-Xum-usur, | ? Nabü-ahe-bulht. | SUD, 120077 8 Or JON USA CD 3417 6. Dr 150, 13. 290, 2. 300,3. S. ZBel-etir, Ni- dintum-" Bel. | . a. La-kup-ru Nd 1014, 3. Ar-ra-bi a. Ir-a-ni Nd 441, 16. a Al-la-nu Dr 337, i. X Bel-iddina, ré $a-ki-il kaltme Ars (ZA IIT). \ | Gu-za-nı a. Étiru Dr 499, 16. Y Jddin-" Marduk a. ^"* $ang£ [Star Dà- bili Dr P 88, 16. Mar-duk(-u) Nk 377, sa. Nd 521, 2. als Mar-duk a. Epes-ili Ng 27. " als duk Dr 220, 4, €. 481. Dr P 70, 74. 83, iz als "Marduk-Sim-iddin Cb 35, 9. als Mu-se-zib-" Marduk a. Mu-käl-lim? Smd (CERN TI) ui ex als "Nabu-balät-su-igbi a. ""* afpi Nd 585,7. amelyab bani Nd NO ER 19, AS ee OS En x 7 Nabü-Sum-? als? Rak-zu Dr CIS II 65. y X Naba-Sum-iskuna. Alu-ia-4-tu Dr P 63,7. ? Nabi-uballit a. Étiru Ir. 386, s: | X Nabu-usallim a. Dul-lu-bu Nd 6, 12. | ? Nabi-sir-iddin a. v'étaflaki Dr 79, 15. | 20. 40. 45. 50. 54. I. 2. . zi B . . als ”Samas-iddina als * Nabü-zir-iddin a. vreti$spari Cr 128, 50. Y "Nergal-iddin Nk 399, a. als “Nergal-iddin a. Na-bu-un-na-a-a Ng 49, zz. Nd [197, 16]. 497, zz. [505, 13]. Nür-e-a a. Ba-ri-hu Cr 245, ». Pir- a. Épek-ili Cr 249, 1». oo EL) ZZ ens Ü Samas-pir-usur CT CK ONS | Säpik-zir a. Mi-sir-a-a NdP 5, sr. Smd (ZA IV) ı, a. als Sápik-sir a. «"? NI SUR gini-e Nd 346, s. 623, rr. [625, 4]. 697, 27. 755, 4 . Nd 1077, ı. S. 2Bel-iddin, Itti- X Marduk-balätu, Ziri-ia. . a. rel ab; biti, s. Nadd-* Bel. a. ”Addu-Sa-me-e Cr (114, 9). a. " Addu-Sum-usur, s. * Bél-étir. a. "UU allakt, s. Kidinnu. a. Ba-bu-tu, s. "Bel-käsir, -uballir. a. Bånlia] NdM (15, 9). a. ^"? bong s. Iddin-" Naba. a. "Bel-aplu-usur, s. ”Nabi-sum-ukin. a. "Bel-Sum-iddin Cb 255, 5. a. Dam-ga, s. "Marduk-zir-iddin. a. " Ea-ibni, s. Iddin-" Naba. a. Egibi, s. "Nabü-kin-aplu. a. Epes-ili, s. "Bel-iddin. a. (ER) Marduk, s. X Nabü-idazn. Ng 13, 10, a. La-ku-up-pu-ru, s. Ezida-Sum-ibni. a. *""55,0ser abulli Cb (377, s). a. Mu-käl-lim, s. " Nabi-ahé-iddin. a. Musallim, s. 2 Marduk-Sum-iddin. a. Nabunna-a-a Nd 373,17. 506,13. Cr 26,27 no. 22. a. Nür-" Papsukkal, s. "Nabü-Sum-iddin. a. melyab bant, s. "Bel-£tir?, Iddin-" Nata, Kiribtu, * Nabü-etil-Màni, -Etir, * Nergat- iddin. a. Ri-mut-" Ea, s. " Bél-eres. a..""H Yang? "Istar Babili, s. Güzanu. a. ""? Yang? "Na-na-a, s. " Nabü-ah-itannu. X Nabi!-Sum-usabsi Nk 367, v. S. Sa-pi-kalbi. 2 Nabz?-Xá-mu-3u, " Naón-MU-su als * Bél-balát-su Dr (ZA V) 3. als Jddin-" Bel a. ^"? iri DrP 67, ts. X Nabn - Sá-un-mi-dan-ni, ®"la-mu-ta-nuCb 195,6. T. XXXII Neubabylonisches Namenbuch. Nabi\-Sh-zib-an-ni Nd 161,6. Npl M II 7,20. -KAR- an-ni Nd 200, 6, vgl. Nk 175. il Nabi!-$u-us-sig-an-ni, "22-4 Sa mat tämtim Nk 109, 17. 166, 13. “Nabü'-St-ziz-an|-ni) Cr (287, 24). 7 Nabü-Xá-zu-Du-lt 4 (? DA) Cb 223, s. #Nabñ\-tab-ni-ni NbpM II 10, s. ? Nabü-tabni-usur ("AN -tab]ta-ab (Dr 366, 18) -uz- SESJá-sur; daraus der Kosename 7abnêa) Cb 420,8. S. Ahu-limur. AN: Dr 120, 4. a|$ A-mat-su-ul... Dr 366, is. als Ba-/a-tu Dr P 55, s. als Ba-la-tu a. Egibi Nd P 10, 17. CrP 14,11 18/72 CHE 25,19. Dr 522,73. 550, 7 DISP. 40, 19. 46,4. [62,6. 64,6]. 100, 4. Smrd P 38, 18: PP 121, 27. 5. als Ba-la-tu a. ”2$angi parakki Dr 536, s. als "Nabü-balätsu-igbi Art (KB IV 312) s. als Ri-mut\mu-tu Dr 80, s. 265, 5. 5 Ri-mut a. "URP Cb 428. #Marduk?-Sa?-bu-$u I als aj als Zir-å-tu a. [23, 26]. IO. a. Ba-bu-tu Dr (352, 18). a. Bel-napsäti Cb (388, 16). a. Egibi (= Tabnêa a. Egibi), s. Kabti- Ulami-" Marduk. 13. a. ""? Yang " Ea, s. Iddina-a. il Nabi-tab-ni-usur-Su Ev I. a. Da-mi-qu, s. Liblut. UNabt-tabtanil-usur (Ni-tab(Dr 264, 6?)-éa/tan- nilnu-SES ; abgekürzt: Zabtani-usur Cb 180, | 222) Dr 264, 6? 1. als Kittiidlia a. ^""$augt "Ea Nd 200, 15. [396,12]. Cr 49,10. 284,16. Cb 179, v. 189,22. Dr 44, 7. DrL 23, 9. 2. a. *"? $ang? I Ea, s. "Bel-ittannu. X Nabüt\-ta(-ad)-dan-nu Lab |2, 1]. Nd 277, s. Dr 300, 4. mar Sipri Sa ^"! gipu INK 260, s. S. #Nabi-ban-sèr il Nabi\-ta-ad(-dan)-nu-usur s. I Nabü-ban-str. 1. als " Bér-3am-is&un a. Ir-a-ni Dr 51, 7. 4 Ki-na-aplu Nk 21, 8. St-la-a Cb 329, 14. Tab-ni-e-a a. WBel-etiru Cb 290, as. Dr 44, 4 2 Nabil-ta-ad-din-nu-usur. Nd 32, 7. No. 2, 149 il Nabi\-ta-limlimwrt-surlSES (abgekürzt: Tali- mu), s. Apla-a, Iddin-" Nabi. I. als Ri-kis-kaltma-" Bel Cb 187, 15. 217, as. " Nabü-tagbi-lisir (?N!-tåg-bi- GISISIL.DI) Cr III, Ch 1. a] Sapik-zir a. Iddin-"Sin? Nd 112, 9. 215 E et gone © s. XMarduk-erba. 3. a. ŸEa-lu-mur, s. "Nabü-ittannu. i Nabi!-ta-ri-is|/LAL-is Nd 68, s. Dr P (57,15). S. Taddannu. I als Sil-la-a a. U-bal-tit-su- Marduk Nd 194, 14? als itSamas-eres Nd 463, 6. 3. a. ! Ea-ilü-tu-ibni, s. Rimüt-" Bel. ? Nabu!-te-ka-i-da-', ^"? gallu Nd 316, s. 443, 6. Na-&u-tu|tá, s. "Bel-upahhir 5, Pa-da-a, Zakir. 2 Nabi!-tuk 1. al$ * Nabi-kin-zir a. IN’ -" Marduk Cb 142,19. il Nabit-tuk-te-e-er-ba, s. Kalba-a, "Nabü-zir-ibni. | 2 Nabi-tuk-ti-e-tir-ri Cr 292, 16. 2 Nabi!-tu-kul-ti, s. " Nabu-iddin. il Nabi-tultabVXi-l[tsiru (NV-tul-tab-Xi-ST. DI] li-Sir| C i-ru) 1. als Ardi-" Marduk a. * Sin-karabi-is-me Nk 161, 5. als ?Bel-zir-ibni a. ^" nappahi Nd 335, 3 391, 3. 392, 3. 3. a. Ih’-"Marduk Nbp (ZA IV) 16, s. il Nabi-tugginanni —| (AN -tug-qin|tug|ti-iq|-na|-an| na-ni) Nd 271,10. 365, 6. 385,4 734. 791,3. Cr262,s. Cb 79,17. 426. S." Nabu-sér-iddin. I. als 2Samas-Ah-iddin Nd [638, »]. 987, s. ENabi-tr-ra-sa-an-ni, s. "Nabü-sir-iddin. 1. al$ Ba-ni-ia a. Ga-hal DrP SS, 7. 2 Nabuuballit (4-bal-lit| TIN-it (no. 6 abgekürzt aus #Nabü-miti-uballit) Nk 182. Cr 3, 5. Dr (122, 3). 254,6. ^"? $i-rig-"Marduk Dr 265,5. S. Dalatu, Kal-bi-ia, 2 Samas-Eır. I. VS CSS S Cb 308, 4 Cb L 19, s. GS a. "Addu-Sam-me-e Nk 12, vr. N a. Sa-na-Xi-iu. Dr 176. AjS ete s &pu-us a.Ku-du-ra-nu Nd 1102,12, 5. als ?Addu-usabsi a. Tà6-" Marduk Nd 390, s. als Ardi-!Naóü& Ev 18, v, vgl. *Nabt-mitr- uballit 1. als "Bel-na--id Dr 261, 6. 150 Knut Tallqvist, ("Nabi-uballit) 40. . als ?Marduk-nasir a. als "Bel-usallim a. Ahu-ia-t-tı Dr 428, ro. Bu-na-an-nu a. *""54955ahi Nd 892, 15. Gi-mil-lu a. Sip-pi-e-a Dr 497, re. Gimil-" Gula a. Egibi CbP 131, s. 5 Is-sur a. réa tabti Nd 741, ro. Kabti-ia a. "' Nabü-Se-e-me Cr 128, s. * Kur-ban-ni a. ^" rab bàni Nk 5, 10. Lusi(-ana)-nür a. An-da-har Dr 541, zz. 561, 10. 571,4. Vel. Dr Pa 8, 25. (ex) Man-di-di Cb SAN = Dore re als "Marduk-Sum-ü-sur 377, 8: $ Mu-ra-nu Dr 413, zs. Mu-ra-nu a. Ahátu Dr 401, o. $ Mu-ra-nu a. ^"? Pa-$e* Dr 384, 10. fo] SUV a uL 8a NENNE re Y " Nabü-aplu-iddin a? Sin-Sa-du-nuDr 83,2. I Nabü-balat-su-iq-bi a. . .. Dr 389,2; X Nabüt-kin-aplu a. EgibiNd648, 12. 820,7. ? Nabü-Sa-ma- Cr 312, e. Na--id-" Marduk a. Kalbi-* Si? Ng12, rr. Nidintum-" Bel Dr L 25, 1s. Oi-Sa-a-a, ^"? $i-rig " Mardu£ Dr 80,14. * Sa-kin-Sum a. Etiru Dr 23, is. Y Samas-Sum-iddin a. Ardi-"Nergal Dr På 6, 25. a. Eyappali Cb . als Süm-ukin a. Si-gu-á-a Dr 474, 57; vel. Itti-" Nabt-balätu etc. als 7 Tábatum (gall) Nd 1025, 5. NdL 15,4. als Zir-Babili a. E-til-pi Nd 193, 11, 17. 440, 6. Vgl. ?Böl-uballit 93. a. " Addu-Sam-me-e, s. "Nabh-usursu, Su- la-a. a. Å$-Sur, s. 2 Samas-str-iddin. . a. Ba-si-ia, s. Ahusumu. a. Egibi, s. Nidintum-"Bel, "Samas-etir. a. Etiru, s. Aÿaridu, * Bel-ittannu, " Marduk- belSunu, * Nabü-Sum-usur, ? Samai-étir. a. exe gallabi, s. E-til-lu. a. Kr-it-tum Nd 898, 9. a. ^"? puddimmi, s. " Bel-ittanmt. a. "pas patri $a Marduk, s. 2 Marduk- belsunu. a. «" VES s. U Nabü-Sum-ukin. a. Ri-Sria, s. Rimütu. 45. a. "Szn-iu, s. Ardia. ? Nabül-üt-bal-lt-su 1. al$ #Nabü-ki-Sir a. Ái-iur DrL 25, 2. “ Nabü-udamimig (*ANT-SIG]á-dam-mi|-ig|KAL Dr 176, 15. Nk 249, 17. Dr (454, 15. 461, 14). S. "Bel" Be, Iddininu, *Nabá-balátsu-iqbi, A C Mi -Nasir, Sum-usur. 1s als “Bel-ahe-iddin Dr 302, 7. NdL [r5, 19]. Ardi-ia a. 2Sin-ilu Dr 132, 7. 178, 6. Ba-la-tu a. ""?';Y5ar; Nk 197, 16. Ki-di-nu a. Iöna-a-Sa-ili-ia Nd 946, o. 5. als * Marduk-Sum-usur a. ""?"nà$ patri Dr [447, 19]. 519, 77. als "*Nabü-lu a. Raba-a-$a-"Ninib? Nd 138, II. als Si-lim-"Béel à. Mu-kal-lim Nd 238, ss. als Sa-2Nabi-sa a. «n? yp Nbp M II r1, s. als Zr.... a. ^""'yàb ba-ni-e Nd 134, zz. 10. als Ziri-ia a. Egibi Cb P 24, m. a. Egibi, s. " Nergal-usalfim, Sellibi. a. E-til-pi, s. " Nabü-iddina. a. pari, s. "Marduk-Sum-iddina (23). a. énappali, s. "Bel-nadin-aplu. I5. a. *""'yàb ba-ni-e,s. Sakin-Sum,Sa-" Marduk- ul-i-nu. a. "VP, s. " Bunene-ibni. X Nabü-ukin, """ iYharu Cr (201, 2). 1. als "Bel-usallim a. Ir-a-ni Nd 715, ss. als "Nabü-etir, s. " Naóu-étir-napsáti. a. Sip-hi-e, S. Niqudau. 4. a. ""? gno? Gula, 5. Günillu. X Nabü\-ü-mir-ir(? unammir), s. Kalbi-" Bau. 2 Nabn-wm-mu-sSudlim 1. a]|3 Bel-Su-nu a. ^"? Pa-$e* Nk 428, 12. Na-bu-u-ü-na-ah-hu, s. Sa-nu-&-mu-i. X Nabü-á-nam-mir|LAH-ir, s. 1b-na-a-a. 1. als Ri-hi-e-t Nd 490, 10. a. Na-an-na-a-a, s. ! Nabü-ztr-iqísa. a. "VPE? sıst, s. Kalbi- Bau. 4. a. mel SU. TAG. GA, s. Tb-na-a. X Nabüul-upahhir (NIGIN-ir) 1. a. JI -bullut-" Marduk, s. Etiru. X NabüN-u-sal-lulli, s. Musallim-" Addu, Zirta. #Nabñ'-u-sur (abgekürzt aus *Nabñ-usur$u). I. als Ba-la-tu a. Mi-sir-a-a Nd 500, 7 = ? Nabü-usursiu 6. T. XXXII, Neubabylonisches Namenbuch. (CNabi'-ä-usur) 2. als “Nabü-sa-bit-gäti? Nk 83, 2. il Nabh-usur-napistim (IN!-SESlä-sur-Zlna-pis- tim) Nd 165, s. I al$ Bel-Su-nu Dr 469, 23. als "Nabü-Sum|zir-Lsir a" Nabü-na-a-aCırP 12, 16. DrP 69, 14. [73; x]. 3. a. Ga-hal Dr 552,14. X Nabü-usur(su) * N\-SES|PAPiü-sur(-$u) Nd SE 9. 708,8. 828, 11. Cr94, 1v. 282,5. Dr 476, 1». P 80. epis($a)nu Cb 20,6. 178,5. 188, 4. PAM s TNR Teteres e PETE cete Dr 331, v. S. 2Bel-eliru, "BéLsilin), -uballit, Iddin-" Bel,“ Nabü-iddina, R£mált, Ü Samaÿ-àh-iddin, Sa-pi-kalbi OZEAN MAL.MAL-Sär-usur. Lo oc Dot Dr 167, 16. |* Abi-ul-édi NkL 8, >. IS Ahé-iddin a. ^"? ang? "Addu DrP 56, ro. s Ardi-“Bel CbL 27, 77. $ Ba-lat-su a. Sa-fàbtiiu Nk 345, 16. 5 Balåtu a. Mi-sir-a-a Nd 500, 7. 501, ro. 508,2;. 562, ro. 564, 16. 566, ra. 576, 1r. [577,21]. 587, 7. 701. 801,5. NdM 26,18. Cr254,rr. 261 als *Bàn£ztu-ere$ Smd (ZA IV) 7, i. " Bel Nabü?)-ahe-erba a. Egibi Nd 943, s. #Bêl-akè-erba a. Kalbi-" Sin? Dr 379, ss. $ #PBél-bullitsu Ant (ZA IIT) 19. UV Bel-usallim a. Ardi-"Nergal Cr 147, 8. Du-um-mug a. Ga-hal Nd 245, 7. Gu-za-nu Dr 310. $ Jddin .... Nd 111, zz Jddin-" Bel a. ^"?bàn? Dr P. 76, 1. * Kit-ti-1aa. Ardıi-" TIN? Dr 456,12vel.folg. Kü-t-id a. vélfangi "Ea Dr 325, sr. 379,77. 440,15. 455,16. 457,17. 478,17. AOÏ, 5. td. als Les, a. Egibi Dr [379, 73]. 463, 26. als Musezib-"Bel a. vrélallaki Cr [315, ro]. (Cro NO als Musezib-" Marduk Dr 164, 77. 309, 27. [332, e]. 338, 5. als *"Nabu(Bel?)-ahe-erba a. Egibi NÅ 253, 15. als "Nabü-balätsu-igbi a. 262, rz. als ?Nabü-bän-zir Nd 612, 4. als Nabi-bel-ilåni Cr 222, 9. 223, 10. No: 2. ?P 122, 7. 22,7 IOrZ 20. anönaggari Dr ISI 25. al " Nabü-étir-uapkáti a." Siu-Sadü-nu Dr P 84, 16. als YNabi-ki-Sir a. An-da-har Dr P 68,5. 73, 20. als Nabñ-mukkie-lib Xrx 4, a. als X? Naba-Sum-ibni Dr 302, 1. als " Nabü-3um-iddin Cr 378, 2. il Nabü-Xum-iddin a. ..... Nd [451, 7). il Nabüu-uballit a. " Addu-Sam-me-e Dr 335, 18. Y Si-lam-2Bel a. e"? Yangl "Ea Cr 302, rr. als "Sin-a-na-biti-Su ... Dr 379, 77. Is " Samas-ah-u-sur Nd 764, 5. Sh-la-a a. Egibi Ev 16, zo. als Ta-h-mu a. ^" ba iri Cr 83, xr. als Ukin-2 Marduk a. "as Cr 335, rn. als * Uras-kasir a. "Sang? "Nimb? Dr Pa 18, 22. als Ziri-id a. Na-ba-a-a Nd 128, o. AO ee o dip Dr (380, 23). a. Abi-ul-édi, s. " Bél-ittannu. a. "ba iy; s. !" Nabü-étir. a. Bu-ra-qu, s. Iddina-" Bel. a. Egibi, s. "Bel-iddin. . 4ddin-i! Marduk Dr (337, 10), s. "Marduk- Sum-iddin. a. Mi-is-ra-a, s. Iddina-" Bel. a. Musezib-"Marduk Dr 336, 1s. a. Nür-" Sin, s. I Nabü-Sum-uktn. a. »"Epahari Dr 269, 19. . 50. a. mälPa-Se®, s. "Bel-usallim. RN EIA Gr Gi JENAER a. Rabasu-sa-"Ninib, s. Kup-pu-tu. a. Uva bânt, s. "Bel-ittannu. a. 4" 422 sist, s. "ZA.MAL. MAL-ıddin. 55. a. ?Sin-Sa-du-nu, s. Belsunu. a. e"? angi Dr (354, 10). a. "öl Yano2 I Eq, s. "Bel-ittannu, Iddina-a. 58. a. Tu-na-a, s. "Bel-igisa. 2 Nabit\-usabsi Nd 1069,15. S. Ardi-ia," Nabi-iqbi. 1. als ?Bel-abu-usur Nk 311, 6. a. " Addu-Sam-me-e, s. * bél-usalfim. a. Dannu(? vgl.no. 5) -" Addu,s." Nabü-nàásir. a. Egibi, s. " Bél-na-din-aplu? (Ng 59, ss). 5. a. Mu-dammig-" Addu Nd (323, 13). 6. a. Tu-na-a-a, s. Gu-za-nu. ? Nabü-usallim (7? NYT- G TID F-imn|á-3a/|Sa|sd|-LannD F- mu DrL 33,2). Nk 107. 387, 3. 402, 4. Nd 152 Knut Tallqvist Så Nabi-usallim) 134,3. 160,23. 720,24 753,22 Cr 161, o6. 312,33. CbP 31,v. 36,9. longallda Dr 204, 2,7. S. LiSir, " Marduk-éfir, -Sum-ibni, ? Nabu-bullitsu, Nidintumn, Sum-usur, Tabnea, Ubår. BIRT God dee Nk 330, 8 ASA a. Ardi-" Nergal Nd 230, 3 ASE DCE erba Nd 151, z | als Balåtu a. ve ang?" Na-na-a Dr Pa 12,57. |$ Báni-id a. Épet-ili Nd 817, 18. |* ?Del-ahe-iddin a." Bel-aplu-usur Nk67, 4. als Gi-mil-lu a. Ir-a-ni CbP 27, x |$ Æi-ba-ri-ia DrP 57, is. |$ Zmi-ialid Nk 384, 9. Ev 11, 2. 21,75. Ng ste ehe Die EXE rex Se SL 50, 3. 68, a. 69,5. 71,74. Nd 4, 2. 10,0. 30,6. (99025 2 En A ee UT ISO dp, 210,4. 261, s. IO. als Igisa-a a. "Sin-karabi-isme Nd 611, as. 613,11. 693, 18. 964, 22. [1079, 17]. als Kal-ba-a a. ^"? ràb båni Dr 515, zs. als Ki-na-aplu a. Ili’-"Marduk Nd 477, ss. 1044. 12aals “Marduk-Sum-ibni Dr P. 145, 14. als "Marduk:-zir-ibni a. Sag-gü-l-ia Dr 349, 17. als "Nabü-aplu-iddina a. Ku-du-ra-nu Cb 233, 47. ”Nabi-kin-aplu a. Ili-ia Dr (ZA I) » $ X Nabü-ki-Sir a. "UD; DrP 47, 15. $ 2 Nabüu-näsir a. " Ea-ibni Nk 102, zr. $ I Nabü-na-sir a. ""? angi "Samas Nd 147, 17. als ! Nabü-zír-ibnia. E- sag-gil-li-ia Dr 204,12. 20. als Na-din a. Ir-a-ni Cb 348, ro. als Ri-mut SmkP 2, 2. als Süm-iddin Dr 274, r2. a. A-hu-bani Ev 20, 5. S. ?Bel-iddin. 23a a. Amel-"Ea, s. Ubåru. a. empiri, s. Silim-" BM, Sirikki. 25. a. Da-bi-bi, s. "Marduk-aplu-iddin. a. Dul-lu-bu, s. #Nabü-Sum-usur. a. Dumdqi-3a-ilàni-damqa,s! Nabü-Sapik-zir. q. Epes-ih, s. Balûtu. a. ^"? hil aimé, s. Iddin-"Nabi. 20a a. lddina-a, s. *Nabñ-bullitsu. 15. als al al al 30. a. £m-ialid Nk 389, 4. 406, 3 = no. ro. a. Ir-a-ni, 5. Id-di-ia, Ina-Esaggil-belit, Nabü-zir-iddin. a. Mi-sir-a-a Cr [160,18. 161,56]. Cb 349, 4. Dr 37,57. Dr I; 33, 23, 27, a. Mu-dammig-" Addu, s. Ahe-igesa, "Bel- igisa. a. emHVE s. ? Nabü-ahé-iddin. 35. a. Sin-na-din-Sum, s. Iddina-" Marduk. a. "Sin-Sa-du-nu Nk (182, 15). S. Taónéa. a. "Sin-tab-ni, s. " Nabü-z£r-iddin. a. ^"? ape? “Na-na-a, s. Balåtu. 41. a. U-sur-a-mat-"Ea, s. Ubár. “ Nabi-a-Se-Sillim?) Dr 81, s. Nabñ-4-$e-510| KAR Ng 61,4. Nd 374,5. NAM II, 49,26. ^""' aSarid SarrıNk22, o. ^"? gallu Nd 169,4. Dr (27,9). S. ?Addu-Sar-usur, ? Nabi-iddin,-natannu 2, Nargia, "Samas-' kin-aplu 3, /Se-pi-ta-a. 1. af Zna-E-sag-gilukin a. Ina-Esaggil-a-a Dr 73, zo. als "Nabet-balät-eres Nk 438, s. als "Nabü-kin-ahu? Cr 320, 9. 4. als 2 Samas uballit? ... Dr 414, zs. X Nabü-ü-Sib-Si ? 84-2-11, xt X Nabü-ut£r (*NT- GURJA-tir|te-e-ra|rira)(*"*'galfu (ardu) Nd 516,2. 518, 1.20. 526, 2. 533, s, 9. 605. 674. 769. 776,9. [795,10]. 815,6. 827,5. 838,3. 845,4. 858,3. 874,2. 875. 931,2. 954. note) 7n NOJD es Gut. (Cr BSR ien. us ana-nür. als Bel-Su-nu Dr 482, 1. Nabit’-za(-ab)-ba-duDr 72,1. S.Gabbi-" Bel-umma. ? Nabü'-za-kir, s. " Nabü-rimannz. X Nabit)-za-kir-Sum Cr (89, 13). I NabiM-za-qip als Ana? A$ur-td£-|/a&] Cr 183, 2. X Nabi- als * Bél-nàsir Nd 695, s. X Nabül-z£r-.... Dr (164, 16). " Nabü-zir-ibui (INV- ZIR|zi-ir-KAK]|ib-ni NbpM II 7, 15. 9, 30. Ng 55, 11. Nd 1,24 Cr 147, 16. Cb 385, 21. 434,5. Dr 147, 3. 397, 4- 532, 21. ani yb nartabi Nk 452,9. råd gasti Cb 98, 5. @mölsipir Dr A51, 2. "? Sj-na-mu-& Sa 2 Ha-mu-ru Cb 394,3. S. Ardi-"Nabt, Arrab, Balätu + 91, Bâni-ia 41, "Bér- T. XXXI Neubabylonisches Namenbuch. (CNabñ-sir-ibni) abu-usur,-iddin230, Er-ba-a, Iddin-" Nabt, ! Marduk-erba, -iddina, Nàdinu, 2Samas- erba. LAS a 2 Nk 435, 5. als A-gar-aplu a. Ardi-" Ea Nd 434, 4. Nd L [14, 4]. als Ardi-a Nd 184, 15. als Ardi-ia, ^"*'ràb biti Dr 397,6 5. als “Aÿur-abu-usur Dr 392. als Danna-a (vielmehr: Agar-af/u) a." Pa- Seti Nk 205, 7 als Gi-ra-ahil? usur) Dr 351, 4. als Has-da-a Cb 167, 4 a|3 Jtti-" Nabít-6alàtu a. Egibi Cb 290,7 Dr 124,18. 126,18. 228, so. 205,27. 266, 1 BIO CN er IO. a|$ “Nabi-àh-ri-man-ni, ‘énagearu Nd 411, 3. als ?Nabü-iddin a. ...... dis X Nabü-Sum-iddin à. Dr Pa 13, 29. als "Nabü-tuk-te-e-er-ba Ng 55, 2. als Rihetu a." Sin-nasir Nk 51,13. 58,11. 68,10. 69, 18. 429, 11. 15. als Si-Zim- Bel Nd 18, s Nd L 44, sr. als Sa-" Nabn-MU a. Ga-hul-"Marduk® Dr 393, 5 a. Am-ma-, s. Rimüt. a. Ardi-! Ea, s. Nidintum-" Bel. a. "Hb EL s. Nadin. . a. Ba-al-ta s. * Bél-i-da-ni (Dr 339, 16. 407, 9. Dr P 104, 5). a. Egibi Dr 203, 14. 257, 1. a. lddin-" Papsukkal, s. " Nabü-aplu-iddin. s. “Nabt-ban-sir. a. " Nabü-na-a-a, s. * Bél-Eásir. 25. a. Nür-" Sin, s. "Nabü-Sum-iSkun. a. Sag-gil-li-ia, s. " Nabi-uxallm. a. Samas-iddin Nd 639, 3 . ""H$anel "Za-ri-qu, s. *Za-ri-qu-Süm- 25 un. X Nabül-zir-iddin|, Nk 380. 430, 5. Ng 70, 32. Nd 76,3. (316, 5). Ct. 221, 9: ameıpar Sidri NdM 16, zs. S.2Bel-iddin, Belsunu, Gimil- Sana, Jadi-idu, Labasi, Marduka 1, No: Nk 374, 25. ame $angt 2 Addu Dc. Ou 238,19. 254,5. 255,15? a. Man-nu-gi-ru-Su, 8 153 Miru, " Nabü-aplu-iddin, -kin-aplu, * Ner- gal-iddin, -uballit, Rimut. ANS Nk 380, 11. Ardi-" Bélit Nk 330, +. 7 A$ur!-mågir? Ng VR 67, 3, 1. |* Da-ri-ki Ng 66, 5. 5. als * Bér-zàbu? Cr 328, zo. Da-di-id Nd 260, is. 5 Zddina-a "Nk 195, 6. 4 Ki-na-aplu Nd 18, 9. als Ki-rib-tu Cb 334,15. als ? Marduk-Sum-ibni a. Epes-ili CHPa zer als? ? Nabü-ahé-iddin Nd 446, s. als #Nabi-ki-i-ilani Ng 66, a. I$ ! Nabü-tug-qin-an-ni Nd 90, s. i? Nabü-tur-ra-sa-an-ni Nd 916. 15. als 2 Nabå-usallim a. Ir-a-ni Cb P 36, s. als ? Nabi-uXallim a. " Sin-tab-ni Nd M11,16. $ Y Nergal-zir-ibni a. Ill -" Marduk Dr 93,19. als " Samax-erba Ng qus 5 Ultla-a-a NkL 3, ss 2225 36. a. " Addu-Xam-me-e, s. * Bél-usaltim. a. Ar-kat-ılänı, s. Ezida-igtsa. a. vla Map, s. Ardi- Gula, Miränu, "Nabn- Sum-usur. a. "bai, s. Ta-qis-" KAN. TE? a. Ba-bu-tu, s. " Nabü-ittannu. a. Da-bi-bi Cb (317,11). S.“Marduk-balatsu- iqbi, il Nergal-Sum-usur, Suä-ma-a. a. Dam-ga, s. "Bel-ibni. a. Epes-ıli, s. "Bel-rimanni. . Iddin-" Papsukal, s. " Bél-aplu-iddin. a. enlispari, s. "Nabu-Sum-usur. a. el ma-sa-ar, s. Kal-ba-a. 30. a. *"? na-din-Ye-am, s. Iddina-a. a. ^"?! Nappahi, s. "Nabü-kin-zir. a. Nür-! Sin, s. " Nabü-Sum-USir. 33. a. melpahari, s. "Nabü-belsunu. ? Nabü-zir-igisa ee Nd 212,9. Dr 441, 14. (496, 10). S. Baläafu, Itti- il Nabi-balåtu, Musezib-" Marduk, 2Samas- iddin 24. 1. al$ Ap-la-a a. *!bäiri Nk 438, 18. IO. Val X Nabü-Xun- 20. as Apla-a a. Egibi Nk 10,15. Nd 765, 5. [772, 21. 829,19. 861,6. NdL 104, so. Cr 248, 10. 252,11. 302,5. 320,9. 338, CD 20 154 (?Nabu-zir-igtsa) 206 0034902 SVAR identisch mit no. 4. als Ba-lat-su a. ^"?! Pa-seti Cb 362, 13. als "Bel-aplu-iddina a. Egibi Nk 3,u. Nd 863,7. IOI3. 1044, 77. 1047, 216. Dr 214,11. Dr P 40, 14; vgl. no. 2. 5. al$ @Bel-Su-nu a. Epes-ili Nd 199, ;. 5 Gu-sa-nu a. "^" Alla&u Cr 282, i5. $ Li-Sir a. "Nabü-Etir Nd 663, i5. $ #2 Marduk-Sa-kin-Sum a. 2 BéP-Xüm-eres Nd 461, 15. als “Marduk-Sarr-a-ni a. Sag-gil-a-a Nk 368, zr. 10. als Mu-Se-zib-" Bel a. [Sill]-a-a Lab 5, 10. als Y Nabü-aplu-iddin a. Egibi Cb 309, zz. als "Nabu-bel-Su-nu a. """ràb bàn? NdP 7t (GER Ho, er (Gelesen cc a| ""Nabü-Ein-aplu a. Ina-E-sag-gil-a-a Wahrscheinlich ES a a] [77 = Dr 73, ». als "Nabü-kin-zir a. «""Pa-$e* Cr 119, s. 260, 12, 15. aj " Nabü-Süm-iddin)a a. Epes-ili Dr 227, ss. 228, 8. : als * Nabh-Sum-im-bi a. .... Nk 374, 26. als ENadbi-unammir a. Na-an-na-a-a Nd 147, 20. $ "Nabü-sir-ubin Dr 265, 12. 4 Nad-na-a Nk 120, 20. 20. als Ri-mut Nk 70, 14. 417, 15. als Såkin-$ium Nd M 25, 3. * Säpik-zir a. nel di-ki-i Dr 494, 23. als Tab-ni-e-a a. ^"€ A.[D.A?] Dr 289, 3. x Ukin-"Marduk a. "2! $a-bi-na-si-Su Cr DIOS 25. a. ^"? bay; s. Rimüt. a. Egibi, s. " Nabü-Sum-ukin. a. Epes-ili Dr 265, 10. S. Ztti-" Nabü-balätu. a. (E)saggila-a, s. Itti-!Marduk-balätn, X Mardub-rimanni. a. ME Pq-Set, s. X Marduk-Sum-ibni. 30. a. Qaqqad-a-ni-tum, s. "Bel-iddin. 31. a. Si?-id-a-th, s. Gimillu. X Nabü-zir-kitti-DBtir (IN -ZIR-SI. DI/kit-t-SI. DI) 1. à. Sul lu)manu,”""daianuNd13,16,22. 1128,24. S. Musezib-" Marduk. ? Nabü-zir-litir. (*: NY-ZIR| SE. ZIR-SI. DI]GIS) Knut Tallqvist. IO. 15. 2977 Nd 170, v. (293,24). 461,1». 1082,3. Cr 286. S.Z Di-di-étum,?! Marduk-tabtant-bullit, Mu- dammig-"Nabü, "Nabü-kasir, " Nergat- ina-eX-éfir, Sum-iddin, Tabnéa. HONTE Nk 195, x. 206, 23. CSS IGUAL A. a. mel$q tabtisu Cr 242, xr. als Ab?-du .... Art 82-7-14, 152 (CIS II 67) als Ba-lat-su a. Nabá-na-a-a Nd 682, r2, vgl. no. I4. c . aff Balät-su a. "^"? Sang? " [Star Babili Nd (636, ro]. 932, 72. als Ba-la-tu a. ^"? Pa-$3e* Nd 113, »4. NAM II 46, rr. als " Bél-ahé-erba a. Dan-ni-e-a Nd 501, s. 5 Bel-Su-nu, r!yab bâni Nd 258, 26. y "BéI-uallim Cr 147. als Dam-ki-ia a. él ange" Samas Nd 584, 3. Y Erba-" Marduk a. "'Sin?-Sadı DrL 26, i5. Y Jddin-"Nabá& a. Egibi Cr 345, v. 3 Jna-eX-éfir a. ^"? U. MUR Nd 688, ss. S Itti-" Marduk-balätu a. Na-bu-un-na-a-a Nk 164, #, vgl. no. 4. als ?* Mardu&-3àr ?-ibni a. Egibi Ev 7, 6. als "Nabh-Sum-iddin a. Sag-di-di NAM IA, 2r. als ENabñ-sèr-ukin à. Dan-ni-e-a Nk 228, 16. Cent Js " Nergal-ib-ni Nk 247, 22. als Oista-a-a(?) a. Saggil-a-a Nd 701, 7. | | al > 20. al$ Sa-du-nu Nk 33,17. 38,18. als “Sulnân-fum-usur a. E-til-Iu Dr 323,57. IS Zr a ne Cr 96, zr. a. ^" abi biti, s. Iqupu. a. Ardi-" Nergal, s. Ardi-" Bunene. . a. ëlb@iri NK 102, 13. a. ^"? bày? 5." Ba-Sum-usur," Nabü-kin-aplu. a. Ba-si-ia, s. "Nabü-balätsu-igbi. a. ?"'? dam-ga, s. Sulum-Bâbili. a. Egibi Cr 227, 10. S. £Ba-ba-a, "'Ea-zür- ibni, Est-£tir, Ith-" Bel-hummir, [tti-? Samas- balätu, Kit-ta-a,! Nabü-ahe-bullit," Nergal- ina-esi-Elir, Pir. : . a. Etiru, s. " Nabi-aplu-iddin. a. Ga-hal, s. Miránu-* Gula. a. Jit -bül-lu-tu, s. " Addu-ıbni. a. [r-a-ni, s. Itti-2Nabå-balåtu. a. paru, s. "Nabü-aplu-iddin. Neubabylonisches Namenbuch. (CNabt-sèr-lisir) 35 40. Ali . a. Na-bu-un-na-a-a Ng VR 67, 1,23b. Nd 85,19. 116,47. S. Liblut, Liburu. a. Nu-ür-" Papsukkal, s. "Nabu-ittannu. a. 4"? Pa-Sehki s. Ardi- Bel. a. "VP s. "Ea-Sum-usur. a. "Sin-nàsir, s. Naid-" Bel. i Sin-$a-du-nu Cb 192, 3. S. Ardi-" Mar- duk, Iddin-" Nabi. a. Sa-na-Xi-Xu, s. "Bél-uballit. [12 il Nabi!-gir-ukin (DUIGI.NA; abgekürzt: Zir- IO. 15: uin) Nk 77,2». Lab 1,7 Nd 10,10. 732, 5. 752,3. 791,7. 841,8. 877,6. 915,20. (058, 14). 1027, 3 Nd CT IV 41,16. Cr9,10. 34, 2. 225,26. Cb 18. 74,3. 100, 5. 180. s. 274, 9. 437,1. Dr 99,3. ^"";rri. Nk 131,4. 5a bit immeri Nd 008,7. Cr 5,8. S. " Bel-iddin, / Bélitsu, Bélsunu $9, Dullut 11, "Mardu£- erba, Nabi-kasir 38, -Sum-ukin, -ztr-igfSa, SAga-a-a, Silla-a, Süm-iddin, Ziri-ia. Nk 435, 4. a. Mu-kal-lin Cb 273, i. $ Apla-a Ng 5,9. $ #Bêl-êtir a. Egibi Nk 55, 18. y "Bél-iddin a. """ $angt *Ea Nk 346, 4. 3 “Bel-uballit Nk 157, 16. 292, 2. i Bel-uballit a. ^"" Pa-3e^ Nk 228, i. * E-til-pi Nd 854, 5. Cr 9, 19. E-tilpi a. ^"? $ang? %Ea Nd 987, 19. * Ina-ext-éfir Nd 95, 1». Dr [577, 16?] Ir-a-ni Nk 124. : 2 Marduk-erba a. ...... Ev 9, 16. * 2 Marduk-Sum-ibniNk 77,4. 157,17. 238,5. PSS es S USE als "Marduk-zir(Sum?)-ibni Ng 19, s. als 2 Marduk-zir|Sum-ibni a. Dan-ni-e-a Nk 205, 9. 228. als Mu-ra-ÿt-ù a. Bel-napsäti Dr 507, 56. als "Nabi-ahe-bullit a. Man-di-di Nk 384, 7. als "Nabü-kin-zir a. .... Dr 366, 7. als * Nabá-sarr-an-ni Nd 877, 1, 6. als * Nabü-Sum-ukin a. *?aslaki Nd 316,3. [443, 3]- 468, s. 801. ls Na-din a. Iddin-* Papsukkal Nd 1025, is. als Pür-kul? Cr 57, e. als Sil-la-a Nk 48, 7, vgl. Cb 273, 15. al$ Sa-du-nu Nk 24, 1. No. 2. ES 25. 40. 45. 50. 155 als 7Samas(Marduk?)-Sum-ibni a. Dan-ni- e-a Ng 54, 28. als Så-la-a a. Lu-us-su-ana-nür-"Marduk Nd 635. als Sul-lu-mu a. Si-gu-t-a Cb: 375) 25. als Sá-ma-a Nk ı 29, 9. Y Ziru-ü-tu Cr 57, 2, 13. 309, 10. DrP’67, 12. a. * Addu-Xum-eres, s. Nabt-bêl-siri. s. Ardi-ia. a. Ba-bu-tu, s. Tabnea. a. ebay s. Ardi-" Marduk. . a. !Bel-nasir Cr 267, 9. a. * Bél-uballit Nd 358, 2. [743, 4]. a. Dan-ni-e-a, s. "Nabü-zir-Usir, Sil-la-a. a. 2 Ea-epes Nd (907, 4). a. Egibi (= Zir-ukin a. E.), s. Sá-la-a. a. Ga-hal, s. "Bel-ibni. a. «nel gallabi, s. " Nergal-Sum-ibni. a. Il" Marduk, s. "Nabü-musetig-urri. a. Igisa Nk 434, 3. a. Mi-sir-a-a, S. Itti-ma-a-ku-"Bel Dr 335. a. Na-din-Sem, s. {Nabñ-Fum-iddin. a. Na-ur-Sin (Dr 245, 31)? a. Sag-gil-la-a-a, s. Ziri-ia. a. "! Sin-Xadünu, s. Romit-" Bel. a. Sa-na-Xi-Xu. Cr (195, 5). a. él Yangt parakki, s. "Marduk-Sum-usur. il Nabul-zir-ugur ii al Igisa-a a. """ràb ... NdL 13, 27. 2 Nabi-z£r-uabsi] TIL? Nbp M II 8, 11. ? 84-2-1 1, IO. 344. Vgl ?JNabá-sir- TUK-Si Nd 570, ss. S. Apla-a 88, "Bel-iddin, Lussu-ana-nür + 23, "Marduk-Sum-ibni, Musetig-urri, Nar- AU d Samas-Sum-ukin. on e oit Nk 134, 9. RAT AME a. Dam-ga Nk 147, n. 3 Apla-a a. Ai-Yur-a-a. Cr 48, 15. "BéLerba Stk ZA IX. 2 Bel-iddina Nk 48, 4. X VBéI-naid Nk 313, 13. il Bel-sum-iskun NK 44, 9. 61,9 103. Ng 24, 14. als Ima-esi-etir a. ^"! U. MUK Nd 270, i. al Mar-duk a. Dam-qa Nk 309, 2. 333, 7. SONG EEE ee Cr 308, 2? als * Nabü-étir-napsati Dr 265, 9. 20 * 156 (”Nabi!-sitr-usabsil TIL?) als "Nabu-nasir Nk 386, 9. als * Nabü-nàsir a. "Bel-aplu-usur Ng 25,15. 15. als 2$amas-ibni Nd 103, ss. a. "DL s. Musézib-" Bel. a. Dam-ga Nk 308, 12. S. 2 Belibni, ?Nabñ- belsunu. a. Dan-ni-e-a, S. St-us-a. . Egibi, s. "Nabü-ban-ahi. : Étiru, s. " Nabü-nädin-Se. . Jbna-a-3a-ili-ia, s. * TUR. E-igài. . Jii-ia, s. * Nabü-etir. . Lüsi-ana-nür, s. "Bel-ahe-iddin. en malahi, s. Ardi-elifpi-igri. and yappalı, s. "Nergal-ah-iddin. amölpahari, s. "Samas-ahe-iddin. am pae" s Belsunu. ent gipi, s. "Bell Nabü-Xum-is£un. . Silla-a-a, s. * Naóü-étir. 30. a. ^"? Sang? * Addu, s. Musézib-" Bel. 31. a. "ZA. MAL. MAL-a-tu Nk 156, 12. 7 Nabü-ztr-uxallim RSS Bu es aa. Etiru NkP 3,77. X Nabül-zu-qu-pu Nk 261, s. /Na-da-a Nd 355,6. 359. Cb 351,4. assat " Ea- sir-ibni Ng 30, 3. 10. IA REA cef oe d Cr 183, 3. Na-da-na-il@ni? Dr (75, 2), s. Ahna. Na-ad-ba-nu Cr 226, 4. Na-di Nd 058,6. Na-ai-e Nd 451, 6. Nadin, Nadinu, Nadnu (Na-dinldi-nu|Nad-nu Dr 300, 15/Nad-din Dr 126, 6; abgekürzt aus Nadin-Se-im) Nk 14,5. 321. 452, 28. 460. Ev 4,2. Lab 3,3. Nd 160, 3, 10. 380, 5. 428,15. 537,7, 9. 609, ır. 668,24 672, 2. 991, 12. IOIZ,11. 1035, 7 IO58,9. 1069, 7. Cr 212, v. 320, 22. Cb 9, 1s. 129, 10. 170, 10. Dr 559, I 1s. Art 84-5-22, 311. ^""grq; ekalli Cr 71,3. ^"? biz Nd 237,16. ^" 5d Xpri Nd 986,5. élpacgaru Nk 128, 2. Nd 416,5. 2740 bán? Nk435,20. Nd 245,5. ame 2 abittim Cr 2,4. S. Ahusunu + 24, Ardi- “Bel, Bäni-ia 42, "BéL-ióni, -iddin 1422, -ıttannu, -uballit, Bullutu, Bulta-a, * Bu- nene-ibni 18, Dumqu, " Ea-uballit, Ekur- gamil, Erba, Gimillu-"Samas 11 , Jddin- "Dé, Ina-est-etir, I-ri-ba-a, Ki-na-aplu, t3 9 SR SEE NE Cu S SES Knut Tallqvist. ? Mardu£-erba, *Nabi-ittannu 77, -Süm- iddin 17, “Nergal-nasir + 8, -usallim 33, Nidinittim, " Samas-uballit, -uSallim 6. A dt Nk 435, 9. als Ardi-"Gula a. Lultammar-" Addu Nd 17, 19. 106, 8. 148, 24. 154, & 287, rr. 534, 3. 1050, s. als Ba.... Nk 385, a. als Ba-lat-su a. ré yab bàni Ng 33, 9. [5 Ba-la-tu Nd 831, 9? Cr 87, 2. |* Ba-la-tu a. An-Sa-bu CrL 17, e. als Ba-la-fu a. Mu-kal-lim Smd (ZA IV) 1, s. |$ Bai-nu-nu? a. "Bell? Marduk)-abu-Su Nd 523, 9. als * Bél-ahé-erba a." Sin-udammig Nk 64, rr. als * Bél-étir a. ^""nageari Nk 135, 48. 5 #Bêl-iddin a. Di-ki-i Dr 446, 16. X Bel-iqisa Ng 36, 5, s, 9, 17. "Bél-uballit a. "^"";$5ari Nk 203, ro. y #Beht-i-pu-us Cb 68, 20. 5 Ha-ba-si-ru Art CIS II 66. als Ha-nu-nu Cb 68, c. als Has-da-a Smd (ZA IV +). 5 Jd-da-a-a Nk Aou $ Jddina-ahu a. 7""Pa-Ye* Cb 349, s. 360, 3. 10. als [na-sM-" Bél Nd 716, s. 815, s. 0 2 dan SE 00.0 DIE 114), 5 als tt Samas-balätu a. Na-din-se-im Dr 304, 16. als Kal-ba-a Cr 58. als Kudurru a. ^"? Yang? .... Nd 621, zz. als Kul-lum-ki-i-" Apil-ad-du Nd 742, 2. . al$ Mar-duk a. Ir-a-ni Nk 127, 7. ij sU Marduk-étir a. Kalbi-" Sin? Nk 411,10. als * Marduk-Xum-iddin a. ""? 745 båni Nd [581, 74]. II28, s. als #Marduk-Sum-usur Nd 688, 15. 954, 3. als “Marduk-Sum-usur a. Ahu-bani Nk 166, 2r. 188,76. 101,13. 214,13. Ev 22,21. Nd 687,35. 1132,7. Vgl. “Nabü-nadin-Sum 6. . als Mu-se-zib Nk 111, 4. als Mu-$e-zib-" Bel a. BOO, sa als ”Naba-balåtsu-igbi Cb 283. als Nabå-bån-am a. ^" ba'iri Cb 317, 15. $ 7 Nabtü-bél-Xumáti Nk 180, s. 305, 5. T. XXXII. Ardi-"Nergal Nd a) Neubabylonisches Namenbuch. (Nadin) 35: 40. 45. 50. 55. 65. 70. als "Nabü-eres a. Ba-lat-su Nd 354, 14. als "Nabü-kasir a. "mar Sipri Sa dai ane Nd 310, sö. als # Nabü-kasir a. “Sin-ilif Nd 212, 14. als "Nabü-kin-zir a. Ahu-ia-ü-tu Cb 233,4. X Nabü-sum-iddin Nd 584, 19. ? Nabu-zir-ibni Ng 58, a. il Nabü-sir-ibni a. ^"^" bri Nd 26, 19. ANa-nai--ilu Nk 106, 3. #Nergal-étir a. Ba-bu-tu Nd66, 11. 204,14. 16,11. 224,15. 254,4,11. 572,76. NdM 26,3,21. als Pa-da-a Nd 815, 10. als Ri-mut a. Epes-ili Cor als Ri-mu-tu a. ”2pahari Ng 44,1. Nd 177, 9. Cr 161, 52. 230, 2. als St-la-a a. amélu-& Nk 411,8? I € 59, 7,9, 10,13, 15. Nd 140, 5. als Sum-iddin Nd 253, s. IS Süm-ukin a. amet naggari Ng 50, 7. als Süm-usur Cb 360, a. Ukin-" Marduk Dr 108, s. Ziri-ia a. Saggilla-a-a Nd [380,3] ZA III S. 366. a. ..... Nd L 73, x. S. Kfna-aplu. a. ^"^? Nd M 23, 11. a. Ahu-bani, s. Musallim-" Marduk. Ahu-ia-ü-tu, s. "Nabü-Sum-iddin. a. Amel-"!Asur, s. Labasi-" Marduk. . Ardi-! Ea, s. Murasü. . Ardi-"Gula Nd 963, 5. Ardi-! Nergal, s. “Nabi-ittannu. a. ene aslaki, s. ? Marduk-igtSsannt. A-ta-mar-" A-nun-su Nd P 9, 12. (ame Babütu, s. [tti-" Nabüi-balátu, X" Nabz- nàsir. a. lbairi, s. "Nabu-ahe-bullt, i Samas- uballit. Ba-lat-su Nd 32, 2. X Bel-iddin Dr 65, 3. a. Bi-na-a-a, s. / Aplatum, /Nubta-a. Bu-ü-su, s. Sum-iddin. a. a. a. a. Dam-qa, s. " Nabü-ittannu. a. Dan-ni-e-a, s. Tagis-" Gula. a. "Ea-iddin Cb 210, 16. 2 Ea-"Sin*-ibni, s. " Nabü-étir-napsáti. a. Egibi, s. * Ea-hir -usur. No. 2. a 75a a. 80. ad. 157 ; Épes-ili, s." Bel-ahe-erba, -iddin, Iddina-a, X Nabü-Sum-ukin. E-ul-maS-kin-ahu Nbp (ZA IV) 2, 4. Gahal, s. Kıdinnu-"Marduk, "Nabi- kusursu. . me! gallabi, s. " Ea-himur. Jddina-" Papsukkal, s. * Nabü-z£r-ukin. Ir-a-ni, s. 1gëÿa-a, "Nabü-usallımn. améliipari, s. / Kabta-a. Käs-dak-ku, s. " Marduk-balatsu-iqbi. ame Byddimani,s. Lussu-ana-nür-" Marduk. Lussu-ana-nür-" Marduk, s. " Nabü-mu- Setig-urri. a. Masar-abulli, s. Kalba-a. 8s a. a a [44 d. «. [74 qq. . a. *" 27 sist, s. " Nabü-Ein-sir, Mi-sir-a-a, s. " Nabå-lia. Mun-na-bit-tum. s. * Nabñ-êtir. . Mu-$e-zi-bu, s. *Nabt-bulta-i-li-e, “Ner- gal-zir ... MON ABLE Nk 275, 2. . X Nabü-litsu, s. *PBêl-uballit. . " Nabunna-a-a, s. "Bel-ahe-iddin. . rënappali, s. Iddin-" Nabd. . Nür-" Sin, s. Muraÿt. . emölpahari Nd 64,12. S. "Marduk-Sum- usur, * Samai-Xum-ltir. . Uy, bant, s. Musezib-" Bel. #Nergal- ina-esi-Elir. Sag-di-di, s. Idadin-"Bel. Sag-gil-la-a-a, Ss il Bel-käsir. Sa-a-mu Dr 526, 14. . X Sin-nasir, s. Rimut. U Beliddina, il Sin-sadimu, s. Musesib- il Bel, Remütu. a. Su-ha-a-a, 5. Kabti-ia. a. "Samas-sum ... . Nk 458, 15. A v A DU a. "^"? ane? Sama, s. Labasi-(" Marduk). a v . Si-gu-ü-a, s. Tabnea. 106. a. Ü-bal-lit-su-" Marduk, s. "Bel-ipus. Nadin -ali siehe unter /ddina-ahu. Na-din-aflu (TUR.US) 1. al$ Ri-mut a. Epes-ili Cr 264, s. Náàdin(-Xàm) (Na-din|di Nd 335,2 | .SE-na Cr 268,15 -XYe-elim|am|NI-e Nd 602, 12. Dr 206,19; mit und ohne Determin. ^74, «Getreidehänd- ler», abgekürzt: Nädin) Dr (572,13) S. Ardi-" Bel 12, " Bél-ahé-igt$a 10, -iddin 1, 158 (Nådin(-Sém)) 91, -nådin-aplu 5, Iddina-a 27, *Marduk- Sapik-zör 11, 12, -usallim 3, 5, *Nabñ-ban- al -bullitsu 11, -mudammig-ilåni Y, -musétig-urri 14, 36, -Sum-iddin 27, -Sum- ukin 18, Nådinu 21, Nidintum 23, Nidin- tum- Bel + 1,5,6,22, 35, 40, Sapik-zir 20, Zir-bi-bi. I. a. Ba-bu-tu, s. Nadin. Na-din-3i-i-hi, s. Bani-ia. Na-din-Su Nd M (I 63, 11). Nad-na-a(-a) (als Probename: Nad-na-a-aK 241, IX 29) Nk L 7, 12. Nbp M II ro, i$? KnlM II 6,7? Nk 338. (381,2). S. ?Böleres, Hahhuru, * Nabü-zir-igisa. 1. als Balät-su Nk 115, 27. als Zddina-a a. Fopes-ili NgL 13, 7. a. År-rab-tum, s. Esaggil-zir. 7 Nabir-iddin. mel ani, s. Silim-"Bel. a. Egibi, s. ESt-étir. a. Étiru, s. 7 Bel-uballit. a. Igisa-"Marduk Nd (803, 5). a. Mu-kal-lim, s. * Nergal-uséz 10. a. ”nappali, s. ("Marduk-)s a. *""ojhi s. Belsunu. a. "P Vb Dni, s. Ziri-ta. a. Raba-a-Sa-"!Nimb, s. Saddinuu. Sag-di-di Nd (140, 7). S. "Bét-abé-iqisa, Este fir, Musezib-"Marduk, ”Nabtrahi- 8, " Nabü-näsir, abgekürzt: a. Ba-bu-tu, s. sıb. akin-Sum. ? Nergal-uballit, I4. @ zddin. a. Si-gu-á-a, s. Ahé-iddin. Naggaru ("""NAGAR mit und ohne Personen- determ.; «faber») Cb 87,28. S. Ardz-" Nabñ 7, Ba-am-ma-a 1, *Bél-étir 32, -ibni 14, -iddin 187, -Sum-iSkun 17, -zör-ibni 7, Habasiru 11, F-ba-a 2, Itti-" Marduk-ba- latu 3, Kàsir 6, "Lagamal-iddin 1, " Mar- duk-zir-ibni 23, Musezib-"Marduk 56, “ Nabü-ahe-iddin 18, -ban-ahi 22, -ban-zir 5, -belsunu 1, -bullitsu 32, -êtir-napSati 35, -musetig-urri 8, -nädin-Sum 9, -nåsir 28, -usursu 22, Nadin 10, 49, Napilustum 5, 7 Nercal-&ir 12, Ripüt-" BM 19, ? Samai- ah-iddin 6, -iddin 31 Knut Tallqvist, Na-gi-rilru («Vogt»), s. Ardi-" Bel 32, " Bél-iddin 80, " Marduk-3apib-zir 2, Musezib-"Bel 31, 2 Nabü-ittaunu 31. ZNa-i-da-at-? Belar! 1. ms Iddina-a a. "Ea-kabti-iläni Dr 511, ». 7 Na-'i-da-tum (Kurzname, vgl. Va idat-Béfit) Nd IIIÓ, 17. Na’id-" ? (Cb 144,7), s. Kz-za-aptu. la id-" Bel (I|Na--id-"B') $ Ardi-" Bel a. E-til-lu Dr? P 9o. S UD an oa ER ige y "BeLétir Dr 261, zz. * "Bél-uballit a. ®Ü ^ahari Dr 212. ? Nabü-Sum-usur a. ®* abi biti Dr 114, 9 IIO, 7o. als "Nabü-zir-Usir a. * Sin-ndgir Dr 464, 12. 7. als ? SamaxX-àdy-iddina.? Nabu-Se-meNg 23,1. Na 'id-? Marduk (1|Na--id-" MV?) Nk 239,4. 370,3. 415,6. Nd 28,2: 119,16. 324,3. 1117,5. NAM AS TA 61192 161513923 3:2: 9. ODINGA end paharı Nk 435,14 7""r$6 ban Nk 192, 3. S. "Bel-uballit 120, Güzamnu. . a. Epes-ili Nk 430, 4. als Igisa-a a. Nur-" Sin Cb 16. |$ Kal-ba-a a. ..... Nk 45, 18. 411, 9. als "Marduk-Sum-usur a. E-til-lu Nd 806,11. 5. als 7Nabi-musetig-urri a. ^"? nà$ patri. Nk 343, 7e. als "Nabu-nasir a. Da-bi-bi Nk 67, ır. als ?Nergal-ah-iddin a”"re'2 sisi Nd 974,5. | | [44 als "Samas-balät-su-ig-bi Nd 113. 5 Sä-la-a a. Iddin( NA id?)”Marduk Ng 54, 20. Nd 79, zs. 113, ze. v a IO. als S#-la-a a. ^"? $a tabti Nbp (ZA IV)6, x. GA et ES D Nk (374, 29). a. Ardi-!" Ea, s. Lisiru. . Ba-bu-tu, s. /Nu-ub-ta-a, (! Sama- -) Pir'(- usur). a. Etirn, s. "Bel-aplu-iddin. 15. a. Ga-hal, s. Ardi-"' Sin. a. Ih" Marduk,s. Ardi-* Bel, Arch-" Bunene, Murasü. a. ®"ölyspari Nd 203, 30. S. ( Naba-)B ån-sir. a. Kalbi-"' Sin?, s. "Marduk-zir-ibni, " Nabü- uballit. a. * Nabü-balàt-su-ig-bi Nd 781, 24. 30. a. ENT SUR gine, s. Ina-esi-etir, Kabti-ia. T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. (Na’id-" Marduk) a. Sag-di-di, s. Balatu. a. "Sin-imittu, s. "Bel-ah-usabsi. a. 7 Samas-balåt-su-ig-bi Nd 351,5. S. Ardi- X Bunene. a. "ano? Gula, s. "Nabü-kin-aplu. a. "Ha tabtisu, s. I Nabit-Sum-ukin. 26. a. Sul-lu-ma-nu, s. Tabnéa. Na’id-" Nergal, s. Musézib- Bel. /Na--it-tum («die Hehre») Nd M II 58, 4. / Na-mir-tum («die Glànzende»), assat Kab-ti-ia a. "Bel-upahhir Nk 334, 3. 1. 2/5 Ap-la-a Nd 310, 6. /Na-na-a? Dr 57, 5,9. S. *Pêl-4-sib-br. / #Na-na(-a)-a-na-biti-Su, gallatu Nd 314,6. 668,11. Dr 168, 4. / ! Na-na-a-bél-usur, qallatu CrP 11,3. 12,8. 18,11. Cb 300, 2. 377,4. 388. Art CIS II 66. il Na-na-a-eres(KAN|PIN-es) Nd 780,5. S. Muse- atb-! Bel. 4 i Na-na-a-e-ti|tir-rat, qalfatuNd(|67,3?). Cb 216,. Do Na-na-hu, s. Ardi-" Su-ti-tum, Palàtsu 14,” Nabi- kin-zir 20. X Na-na-a-iddin Cr 328,21. S. " Marduk-Sum-usur, X Nabü-Sum-ukin. 1. als Bäni-ia Dr Pa 10, i. als ”Bau-eres Cr 328, 6. IS Gi-mil-lu a. Hu-un-zu-& Cr 242, 16. IS U-bar Dr 363, 15. 5. a. ”"nappali, s. Liblut. Na-na?-”-ilu (Nk 106, 3), s. Nadin. / * Na-na-a-it-ti|KLia, gallatu Cb 334,2. 349, 2. 2 2 362, 4. X Na-na-a-karabi (abgek.) Srk (ZA IX), s. /ddzna- alu. UNa-na-a-ki-li-li-usur,gallatu Cr 252,6. Cb 349,22: 362.5. S. / Tablutu. £ ? Na-na(-a-)ki-Sı|sir-rat, gallatu Nk 166,3. 175,2. 265, 12. Nd 243, 12. 4 # Na-na-a-ri-sut-ni, gallatu Nk 97, 3. Ng 42. 4 ? Na-na(-a)-si-lim, gallatu Nd 693,3. 1006. 1008. Dr 379, au. 4" Ga-an-da-ru-i-ium Dr 379, 4. 4 # Na-na-a-si-ra-at Nk 97, 11. Na-ni-ia, s. * Nergal-ina-est-étir, Ubar. CA eee NOU LLLA a Naniütu (Na-ni SES. KI|-H]à-£u|ti, An(? Na)-nu- No. 2. 159 an-tá2 Dr 380, 11, Na-an-ia-u-tu Cr 178,12; passim Sinztu gelesen) Dr (440, 10). S. Iddin-" Nabi 96, Ina-Esagoil-bêlit 1,/Kas- Sa-a 6, Låbåsi 46, "Marduk-hätin v, Mu- rain 8, " Nabü-nàsir 24. Na-an-na-a-a, s. Ardi-"Sin®1, Kin-zir 14, "Nabn- nadin-ahi 15, -sir-iqisa 17, Zir-Babili 1. Na-an-ni, s. Man-nu-i-qa-óu. Na-an-sa-nu AICT IV 39, 2. Na-pis-tumlin, Na-pu-us-tumSmdL 22,7. "mu... Nd 55,3. S. Jddina-" Bel. DCN IDE arte Dr 38, 4. als Bül-lu-tu Nd P 8, 7. al Gu-za-uu a. Ziri-?-ia Dr 483, 17. als Li-Si-ru a. Ri-St-ü-a Dr 429, 2. 5. als Lüsi-ana-nür a. ”Enaggari Dr 348, 16. 363, 13. 374, 3. als * Nergal-Sàm-ibni a. Dannu-?! Addu Cb 251,7. 7. als Suh-"Bel a. Mu-kal-lin Dr 302, i5. Nappahu ("®SIMUGlnap-pa-hul AN.BAR.BAR Ev 18,2; «Schmied»), s. Apla-a 26, Ardi- ia 16, Balâtu 23, 26, 37, ”Béel-ahé-erba 5, -ahe-igisa 7, 13, -aplu-iddin 35, -éfir 5, 21, 37, -iddin|a 19, 30, 75, 88, 96, -Zpus 9, -ittannu 22, 39, -käsir 14, -nadin-aplu 8, -uballit 18, Bel-zir 8, "Bel-zir-ibni 8, Bullut 12, Erba 6, Gimillu 17, 20, 16- na-a 5, Iddina-a 23, Iddin-" Bel 26, Iddin- 2Nabü 3, 45, 72, 92, Jadin-"Nergal 1, Igisa-a 23, Igisa-"Marduk 12, Itti-"Bel- lummär Y, Itti-" Marduk-balätu 19, Itti- | UNabt-balâtu 20, Kabtia 2, Kidini 14, | Kin-zir 3, Labasi 37a, 83, La-"Marduk 1, Liblut 12, 38, Lussi-ana-nür 4, / Ma-gár- tum Y, "Marduk-aplu-usur 1, -belsunu 4, -ereY 1, -kin-aplu 8, -Såkin-Sum 7, -Sum- iddin 2, 22, 34, -zör-ibni 5, Musezib-" Mar- duk 31, 35, 67, "Nabü-ahe-bullit 19, 26, 40, -ahe-igisa 1, -ahe-Sullim 3, -ah-rimanni 3, -balätsu-igbi 34, -bän-zir Y, -belsunu 4, -ere 6, -Elir-napsäti 49, -ittannu 27, -kin- aplu 21a, -kin-zör 8, 19, 29, -nadın-ahı 2, -nàsir 19, -Sim-iskun 21, -Sum-lisir 8, -tultabsi-lisir 2, -uballit 9, 16, 2 Nergal- ah-iddin 5, -itannu 1, -uSallim 14, Nidin- tum 17a, Rapsu-"Marduk, Rimüt 19, 41, 160 (Nappahu) Rimüt-"B&l 42, /Si-ra-a 2, Sábin-Xum 7 i Samai-iddin 13, Säpik-zir 4, Sellibi 4, 6, /Si-da-tum 3, Sá-la-a 66, Sullumu 6, 9, 13, Sum-iddin 19, Zablutu 2, Tabnea 12, Tabia 1, Uqupu 6, 23, "ZA. MAL. MAL- sir-iddin 1. lo (225 amél p Nap-sa?-anu|nu 1. als Nergal-uballit (a. Dannu-'Addu) Dr 154, 9, 14. Dr 509, zo. Nar-gi-ia|id (vel. as. Nar-gi-i K 320, 2) Nd 1133,10. Cr 124,15. 328,10. S. ”Marduk-Sum-ibni, ? Nabü-ahe-bullit, Ziria. I al$ Ha-nu-nu Cr |311, 10]. 312. Cb 326, 4. $ Pa-a-tu Nd 1030, 7. * "Nabü-zir-usabsi CbL 27,18. X i Naba-usegib Cr 329, 19. 5. a. "Hy? s. T BeL- epu. Narè-tu I. a. Kånik-båbi, s. Balàtu. Na-si-hu (mit Determ. =”), s. /ddin-"Nabu 28. /Na-si-ka-tum («Fürstin»?), s. Balåtu 93. Nåsir (Na-sir|si-rulri; no. 4 abgekürzt aus ”Mar- duk-näsir) Knl M IL6. Nk 259,4. Nd 207, s. 334,3. 357,20 200,2 368,3. 439,3. 571, 91. 604, 14. 629, 12. 856, 6. 909. QII, 13. 941, s. 975. 1034,5. 1035,9. 1036,85. 1038,2. Cro6,c. 133. S." BéL-iddin 231, Bulluta-a, Iddina-a, Jddin-" Nabt 139, "Nabü-balätsu-igbi 33, -Sum-lisir 36. Y #Bêl-ipus a. Nür-"Sin DrP 70, 5. 5 Bu-na-nu a. ( Ea-) Épet-ili Cd 1075 Dr 64, 4. 259, z5. Nd 760, 12. - N AH p a Au als Kal-ba-a a. * Ea-épes-ili Dr 400, 15. als Sakin-Sum a. vrélfanoi "Istar Båbili Nd 987, 7 7 Marduk-näsir 19. s. a. Ardi-! Ea, s. Sum-ukin. a. Epes-ili, s. "Bel-ittannu. a. "Nabü-ban-ahi a. Mu-kal-lim Dr 237, 5. a. rélyab båni, s. " Nabn-étir-napsatr. 9. a. ^"? Yang? "Ea, s. " Marduk-erba. Nåsir?- Bel, s. Belsunu. Na-si-ri-na-ta-nu, s. 2Bel-ibni. Na-si-ru-ilit!? Cr 199. Näs-patri(-köri, ^"? GÍR. LAL mit u. ohne Per- sonendeterminativ, «Dolchträger», s. Ap- Knut Tallqvist. la-a 90, Ardi-"Bel 34, 36, Ardi-" Nergal 11, ?Bel-aplu-iddin 33, -ittaunu Y, -nágir 2, -rimanni 24, -uballit 25, -usabsi 2, Daian-" Marduk 1, "Ea-aplu-iddin 1, 2, lddina-a 25, lddin-" Bel 54, Iddin-" Nabu 29, Igisa-a 10, Igupu 15, "Marduk-étir 42, -Sum-ibni 12, Musezib-" Marduk 10, 44, 102, "Nabtt-ahé-Dullit 31, -ahé-Sullim 8, -bullitsu 35, -élir 34, -elir-napsati 8, -iddin 26, -nasir 29, -Sum-iskun 14, -udam- mig 5, Na’id-" Marduk 5, "Nergal-usallim 7, -uSèzib 12, Oisti-"Marduk 3, Rimüt 13, il Samai-étir Al 2 Sulnán-Xum-iddin 5, Sum- ukin 11, Sûzubu 6, 7,10, "ZA. MAL. MAL- napistum-usur Y, Zirütu 1. Nas-patri-" Marduk (mit Determ. ve), s, ? Mar- duk-belSunu 8. * Na-ta-an (cfr. he. jn3), s. NA4-Hibbi-ili. Na-si-ia Nk 21, 6, 1. ^"? a$arid Sarri Nk 365, zz. 369, 6. * Ni-e-ga-ma-ar-Su, imbukka-a-a Dr 457, 13, vgl. Vz en ege Dee “Nergal-a-a Smk M II 3, 4. il Nergatt-abu-usur. Nk 442, 4; s. ?Bel-etir. i Nergal'-ahe-iddin 1. al$ Erba-" Marduk a. Si-gu-h-a Cr 8. als ?Marduk-bel-napsati a." Sap ei Samas IDF Ii, eh 3. als 7 Naba-Sum-iskun a. Bel-Harrån-$adu-tt Dr 575, 13: ? Nergal!-ahé-usur, """galfu Cb 31, s. ENergal\-àl-ibni, """ daianu Nd 1113, 29, 32. 2Nergal\1-àk-iddin Nbp (ZA IV) 19,13. Nk 432,3. Nd [445,3]. 562, 2. 650, 4. 1006, 2. 1008, 2. 1075, 16 (VS). Er. 376. S: Amel-"Samas 1, 2 Nabü-silim, " Nergal-uballit 31. I. als Aki-e-a Nd 122,6. 576,3. 577,3. 663, 3. 820. Dr 260, 4. als Ardi-ia Ev 18,18. Vel. Ah-iddin 2. * Ibna-a a. ^"? bán? ? 84-2-11, 165. als Nabt-akè-bul-lit Dr 430, 5 (V). 5 "Nabüá-nàsir a. Su-ha-a-a Nk 103, 12. 5 " Nabü-zir-usabsi? a." nappali Ng 15,18. als Rı-mut ... Cr 271,2. a. ("pP sise, s. Na’id-" Marduk. a. " Sin-karabi-isime, s. Sil-la-a. IO. a. Si-gu-t-a, s. Sad-din-nu. T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. 161 #Nergal\-a-na-bêti-$u 1. als Nabt-Sal-lim? a. ét di-ku-4 Dr 261,55. # Nergal-asaridu ("N'-SAG. KALla-Sa-ri-du) Cb 290, 2. I. a. "" VP sss. X Nabü-Ehr, -Sum-iskun. X Nergal-ba-nu-nu (abgekürzt: Panitnu q. v.) I a. ^" yy) banı, “"!daianu Nd 13, 19. 16, 7. 64, 10. 356, 42, 495, 20. 1128, 38. Nd L 73,30. ? Nergal-Bél-üá-sur| SES DAD, amet gallu Nbp (ZA IN) 1. aff Hu?-ur-ru-ba-su Nd 796, 1, 12. ? Nergal\-bul-Lt-an-ni, ®"gallu Dr 309, 6, 1. 7 Nergal-da(-a)-nu Nk 132, s. Nd 787,10. S. ?Bel- abu-usur, Ki-Sik-" Nabü. X Nergal\-e-du-usur Cr 377, n. ÜNergal\-eres Nd 848, 6. S. 2 Samas-Sim-USir. " Nergal-eit-étir, vide " Nergal-ina-esi-£hir. il Nercall-eti-ir|KAR-ir SUR Nbp (ZA IV) 2, c. Nk 448, 3. Nd 210,6. Cr 78,5. 129,5. 130,5. 316, 18. Cb 126, 9. 288, ». 372, 7. 416, 4. Dr 552,5. S. "BéL-étir, " Nabü-étir 61, Rimüt, 3 Samas- uballit. 1. als ?Addu-ibni Cb 436, s. als E-til-U Sxk (ZA IX) v. als Im-ba-a Cb 54, rj. als Ina-Esaggil-Xadá-ni a. "Sin-tab-ni Cb ZI LET 5. als Ati" Marduk-balatu a. Étiru Dr 45,4, zz. als Kal-ba-a a. Mu-kal-lim Dr 572,3,7. 573,5. als Kal-ba-a a. Sag-di-di NK 8, o. als La-ba-a-3i Nd 214, 15. als "Nabü-ahe-iddin a. Egibi Nk 17,5. Nd Fm 000 45: CE Nye Cha. 21572: NN PAS le 372,8 Sin De 44,9. 80,4,26. TI4, 7. 165, 55. 173,14 201,10: 10. als 7 Nabu-balatsu-igbi NK 115, 26. als "Nabüu-na-sir a. ^"? Sang? Ea Dr 204, 11. als Sa-? Nabü-Xt-& a. ^"? nagcari Cb 412,1. als Ta-qis- Gula a." Bel-aplu-iddinCt 307, 13. a|$ Ü-bi-e-a a. Liga? Nbp (ZA IV) 6, v. 15. a. Ba-bu-tu Nd (211,7. 1111, 20). S. Nådin. a. Egibi Nd 265, 23. a. Étiru, s." Ea-ahé-iddiny! Marduk-sapik-zir. a. Ga-hal, s. "Bel-kasir, " Marduk-Sà£in- Sum, " Nergal-usallim. a. * Nabü-un-na-a-a, s. *Marduk-Sin-iddin. 20. a. Saggil-a-a, s. Belsunu. No. 2. a. "!Sin-karabi-isme, s. Sàpik-ztr. 22. a. ""?'$a-nj-e-Yu, s. "Bel-iddin. #2 Nergal!-ha-zu-ili, s. Kina-aptu. X Nergal\-ib-m|KAK Dr 533,4. Nbp M II 7,13. S. 2 Nabg-ittannu, -sir-lisir, " Nergal-ina-esi- etir, "ZA. MAL. MAL-ah-iddina 4. I. al$ Gi-mil.... a. Ki-din-" Sin Cr 3, 24. als ?Marduk-Sum-ü-sur a. ^" purkulli Dr 26, 35. a. Ib-na-a-a, s. Afusunu. a. Ki-sir-ia Cr 360, 12. 2 Nergal-iddinla Nk 12,14 31,8 NAM 14,5. Cr 77, 1. O8, 10. 124, 10. 173, 21. ? 84-2-II, 172, 214. *"" daianu Dr 149, 14 (NA). episanı Nd 284,19. ^"?7$55aru Nd 110,3. 696,3. 726. anelzyu-kil ap-pat Nk 40. S. Apla-a, Ardi- ia, Ba-ga-bi-i-na-si, * Bél-ió-ni, -na1d(?), -upahir, Iddin-" Bél, Iu-Sar-usur, *Nabt- X Nergal-u-sip-pi, Puhhuru, i Samas-iddin, -uballit. I als Ardi-ia Dr P 80, 2. la als A-ta-na-ak-ilu Nk 12, 74. a Ba-ni-ia a. Sa-na-3i-Xu Dr 212, i. als *Bér-ibni a. "Bel-etiru Nd CT IV 30, sr. als Bel-Su-nu Dr 459, 15. 5. als * Bél-uballit a. Ardi-" Nergal? Dr 266, 15. al$ Daian-" Marduk a. Sarru-a-ra-su-u Nk Sum-usur, 360, 7. als Erba-"Marduk a. Epes-ili Dr 350, 9. QS edades a. qd» eme Nd 403, 3. I als Kzna-aplu a.” sang? SamasNd 861,3, ro. IO. als X*Marduk-ban-zir a. EDBel-etiru Cr 240, 4,12. 302, 13. Cb 110, 4 als 2Marduk-erba a. Epes-ili Dr 378, ss. als *Marduk-êtir a. Ziri-a-a Dr 308, 13. 300,27. 349, 14. [360, s]. als *Marduk-Sum-ibni à. (Ge ee als ?Nabiü-ahe-bullit a. amel-" Ea? Dr 358, 16. 2Sin-da-ma-qiu 15. als ? Nabü-erba Cb 412, s. als * Nabü-iddin a. vrétiÿpari Dr P 71, 10. als "Nabü-ka-sir a. Epes-ili Nk 127,9 Nd [437, 5]. als "Nabü-kin-zir a. ^"" sj Dr 454, ro. als 2Nabi-ri-muf! a. Bêlêtiru Nd 769, 7. 20. als ? Nabü-SXum-ibni a. *""5ahari Cr 12, v2. LE 2 Nabn-Simm-Üsir a. Egibi Cb 16, 5: 21 al 162 ( Nergal"3-iddin|,) als "Nabü-Sum-usur a. ^" yàb båni Dr 31,2. als I Naba-sir-iddina a. .... Nd 765, x. | 23aa]s "Nergal-usalfim a. Tuk-ku-ut-tum DrP IAI, zs. als Ri-mut-" Bel Dr 243, r2. 452, 16. 25. als ?Sin-iddin a. """ Sane? "Addu Nk 26, rr. als 7Samas-ah-iddin a. ame! sallabi Cr 236, o. Smd (ZA IV) 8, 6. als Sá-la-a a. .... Nk 376, 7. | als Sä-la-a a. * Bé-éfiru Cb 246, 13. 310, 12. Dr 93, 5. als Ta-im- Gula a. "Sin-karabi-isme Dr P 43, 13. 30. als Ziri-ia a. Tu-na-a Dr 462, io. a. Ardi-"Ea, s. "A-e-iddin. a. @mel gSlaki, s. Liblut. a. Ba-bu-tu, s./Ha-am-ma-a, " Marduk-etir. | a. Da-bi-bi, s. Såkin-Xum. 35. a. Egibi Dr 382, 4? S. 2 Marduk-belsunu. a. Epes-ili, s. Ardi-! Gula. a. Ita Nk 412, 2. a. Mil gman-di-di, s. Musezib-ABel. a. Musezib-"Nabh Dr L 33, 2. 40. a. "Nabü-na-a-a Nk 132, 3. S. X Naba-sum- usur. ans patri, s. !Bel-usab-si? Nür-"' Sin, s. * Bel-sum-iskun. äl, Samas-btir Nd 410, 4. a. Sa-" Nabn-Sü-i Nk 66, 13. | 45. a. Nür-za-nu(?), s. Niqudu. | ? Nerga(-ina)-eX-étir ! N(-ÁS)- BL 11209-SUR(- ru) KAR(-ir); no. 4 abgekürzt: Ina-esi-etir) Ng L (116, 4), s. *Bé£-musaltim. 1. als ?Bel-abu-usur Ant(ZA IIT) ». als ?Bel-usallim a. bi-hi-ru Nd 348, 77. als /Gu-gu-&-a m|3 Zakir Nd 65, 11. als Ima-Esaggil-kin-aplu a.” Szn?-Xadu-u Dr 73,16 = Ina-esi-elir 5. . als Musallim-" Marduk a. p 32, xr. v Musezib a. Egibi Cb 301,1. 2 Nabi-bàn-ahi a. [r-a-nu Dr 315, 5. ? Nabü-iddin a. Dannu-" Addu Cr 171, a. * 7 Nabü-zir-ltsir Cb 321, s. Na-di-nu a. Eye sist Dr 64, ro. a. Q. a. Sag 2 AU e S I 8 S VI ENSE C € Me UK Knut Tallqvist. als "Nergal-ibni Nd 680, ır. ANS REP Nk (210, 10). a. Egibi, s. Itti-" Nabü-balatu. 15. a. ëlygb bani Ng VR 67, 1, sb. X Nergal-ina-lib-bi?-Etir, ^" $å-tam Dr 182, 4. #Nergal\-ipui I. als Sil-la-a a. Il-lu-ma-a Nk 107, rs. a. Amel-" Ea?, s. Zu-um-ba-a. a. " Bél-a-4, s. Ea-ibni. 4. a. * Ea-épes-ili, s. Kin-zir. X Nercall-ig-0i I. a. Egıibi Dr 403, s. X Nergal'-igtsa I. als U-bar-ia Nd 474. X Nergal!-it-tan-nu I. als "Nergal-usallim a. ””nappalhi Dr 393, zo. X Nergal!-ki-i-nu|nz Nd 1010, s, 10. 7 Nergal-lil, s. Sarrani. " Nergal'»!-na'id Nk 315, s. 1. als "Nabü-zir-iddin a. .... 2t-qa NAM 11,74. X Nergal!-na-sir PAP Nd768,2. Cr331,4 Dr 307,2. 533,5. S. Ahe-iddin, Sum-uktn. I. al$ ?Bel-ki-sir a. Ir-a-ni Nd 282, 55. als * Nabü-mu-Se-ti-ig-urri a. Nür-ilani Ng 21, 15: als Na-din Cb 17,3. 53,2. 54,2. 218,7. 329,7. a|X Sa-pi-i- BM a. Mu-Se-zib Nk 227, w. 7 Addu-Sum-eres, s. Såkin-duppi. 5. 4. a. " Bél-étir Npb (ZA IV) 12, zo. QUESO 0717 CRE Nd 962, n. a. Na-din Cb 104, a. a. Niy-#Marduk, s. Iddin-" Naba. IO. a. Sagoil-a-a, s. Itti-"Bel-balätu. a. Sa-á-ri-e-Xu, s. Nabt-ahe-iddin. 7 Nergal’-reu-ü-a Nk 439, 7. " Nergal-ri-man-an-ni Dr 136, 1. "naggarı Cham: 2 Nergal’-rilusüa (-rilru-su-ülu-a) Cr 377, 3 Cb 125,3. galla Sa Iddin- Marduk a. Nür- 2 Sin Nd 71. 280. [441,2]. 466, 2. 613. 358. 11238, Core 2270228 IN 54, 4. 86,5. 127,3. 167,2. ‘élgallu Xa la X Marduk-balätu Cr 224,4. Cb 43,5. 68. TÖT 2258/5285"; #Nergal\-Sàr-bül-lit, ^"? qipi Ebabbarra Nd 48, 16. Nd M II 46, s. 122783: 2, 2 ‘ Na-ni-ia Dr 25, s. n SS me 1. al$ "Nabü-balät-su-ig-bi a.""? qipi Nd418, 4. T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. #Nergal}-Sarr-a-ni 1. als ”Nabü-udammig a. éyàb Ba-ni-e Nd 819, 11. 2. a. Da-bi-bi, s. Nabñ-Sum-ukir. il Nergal-Sar-usur(#NW4-LUGAL-SES)ü-sur| PAP] u-su-ur) Nk 266, 2. EN SANT AIS 419,2. Nd9,». Cr(151,1). *""$4. KU Kati Cb 432, 20. Sarrı * passim. Lab 1, so, 38. Nd 13,3. Cb 412. S. Bi-ba-nu, /Gigitum. I. als Nk 360, 5. 430,3. Ev L 10, 4. als Ardıi-"Bel Dr [263, 2] (N). als TAR Nk ne 3. 266,4. Evo, 5,8. 14, 6. 16, 10. IQ, 5 als NE 27, 5. 5. al$ * Nergal-ü-Se-zib Nk 22, 3. 438. 6. als Sa-lam-ma-nu I g (V R 67) 3, 15. X Nergal’-Si-man-ni I. al$ La-ba-a-Si Cb 257, 15. il Nergal-Sum-e-tir? Nd 284, s. X Nergal'!-Süm-ibni Nd 284, 18. 285, 3. ^"? Zhi $a Ebabbarra Nd79,9. S. 16-na-a-a22, Nabi- êtir, ” Nergal-uballıt. 1. als "Bel-ah-usabsi Cb 436, 14. als #Bêl-ki-Sir a. rélfangt "Ea Dr 142,16. [144, 19]. als "Nabü-Sum-iddin a. Ardi-*Ea NAM | IT 50,7. als *Nabü-zir-u&in a. ee vallabi Cr 60, 12. 5. a. Ri-mut a. Ardi-* Nergal Nd 1008, 9. 1020, 35. Cb 104,46. 321. [410, zo]. als Sul-Iu-mu a. Uk-ka-a-a Dr 434, 17. a. Amelu--u, s. *PBêl-uballit. a. "DL s. " Nabü-etir. a. ^") bani, s. Bul-ta-a. IO. a. Da-bi-bi, s. Låbåsi. a. Étiru, s. 7" Nabóz-étir. a. ^"? «$$ patri, s. "Nabü-etir. a. Pap-pa-a-a, s. * Nabi-musétig-urri. a. ?""$a5o7 ! E-a (sic) Dr 144, 19. HUE Sarru-a-ra-zu-á, s. Ezida-Sum-ibni. | ? Nergal!-Sum-iddin|a, "2 si-pi-ir Dr 336, 3 5. Ardia, Rimit. 1. als Igisa-a a. "^"? NT. SUR gi-na Dr CIS II 68. als X Marduk-zir-ibni a. Ir-a-ni Dr CIS 1165. als ?Nabü-Sum-iskun a. Etiru Ur P 61,8. als ?Samas-ah-iddin Cb 280, s. 5. als Su-la-a Nd 192, 4 No.,2. als Sum-usur a. !Bel....... Nd 626, 4. a. "Sin-imittum, s. Ardéa, Sadinu. 8. a. Sap-pa-a-a, s. " Nabü-eres. i NersgalM-sum-usur, 7"? dupsar bit kèl-lam Dr 299,2. S. Nummura. als * Nabü-3um|str-iddin a. Da-bi-bi Nd 772. 853, 10. a. Da-bi-bi, s. Sumat-a 3. a. "Sin-näsir, s. Kidinu. X Nergal'-5ü-zib-an-ni, "2 gallu Ev 21, 3. 7 Nergall-ta-&at I. a. *"*€ty22 sist, s. V Bel-Sum-iskun. z o 1-4 a. #Sin>-Sadi-i, s. Jddin-" Marduk. d me i-uballıt Nk 220, 11. 315,15. Nd 1, 10. 76, ». 351, 30. 668, 6. Nd Pi 3,10. Cr 62, 4. 124, 13. 21042 DETOZA 82 122,11. 432,19. 437, 1. erit oallabu NK 77,6. """US bir-mu Nbp (ZA IV) 18,4. S. #Bel-uballit, Gimillu 55, Hasda-a-a, / Hubustum, Iddin-" Nabi 140, Nu-uh-Sa-a-a, Sellibi 12, Zir-Usir. LAS mS .. Nd 638, 5 als Ardi-" Gula a. Ir-a-ni Dr 463,27. DrP 7 3 26. 78, rr. 79, 10. 81, 15. 82,14 102, 13. MO SAUT 2 130, 22: als " Bel-iddin Dr 452, 4, v. [459, s]. als "Bél-nàsir a. ""*b4a'iri Nd 665, 16. Bj E7977 7 20777 RED Nd 1020, 16. als * EXum-uballit a. "Bél-étiru Nk 133. 142,2. 172: als Kudurru Ng 7, 4. als Li-Si-ru a. ES Urdu Nd 727, 7 al$ * Mardu£....... a. Mu-dam-mi-ig-" Addu Nd 701, 9. als * Marduk-Sum-usgur a.Ba-bu-tu Dr 575,14. als #Marduk-usallim a. Dannu- Addu, s. Musezib-" Marduk. als #Nabt-aplu-iddin a.” Sin-tab-niDr 226, 13. als "Nabü-ban-ahi NÅ 445,12. 663,15. 820, 13. [1109,11]. als " Nabü-Xum-iddin Nd 296, 4. 15. al$ 2 Nabü-Sum-iskun a. Sag-di-di Nk 406,4. als ? Nabü-Xum-lisir a. E-til-lu Cb 233, se. ajs * Nabü-zir-iddin Nd 342,5. 400,6. Cr 57,8. Nad-na-a a. Raba-a-sa-"Ninib"? Cr 320, zo. CAPI 16, zz, Ch A31, zr. als #Nergal-àk-iddin Cb 293, o. 2 IO. als 164 (“Nergal'-uballit) 20. als * Nergat-3um-ibui NÅ 59, 12. als Sil-la-a a. Ga-hul Nk 164, 47. als Tab-ni-e-a a. ? NdL 2,4. 22a a. mild s. ÜBel-iddin. a. Ardi-"Ea, s. Rimut-2 Bel. a. Ba-bu-tu, s. Balåtsu. a. ' BéL-étir, s. Apla-a," Marduk-etir, -nàdin- alu. a. Dan-ni-e-a, s. #Samaÿ-sir-ibni. a. Dannu-”Addu, s. Nap-sa-nu. a. Epes-ili, s. Làs-ana-nûr. a. Mu-Se-zib, s. Ardi-"Marduk, Kina-aplu. . Na-gi-ru, s. Ardi-" Bel. a. "Nergal-ah-iddin Nk 583, 15. a. Nür-"! Sin, s. FBwitum, Iddin-"Nabü. a. nö pahari, s. Rimiüt. a. Sag-di-di, s. Ina-Esagsgil-str. 35. a. Sag-gil-a-a, s. Itti-" Marduk-balätu. 37. a. U-du-á-a, s. Muiézib-" Marduk. X Nergal-u-kin I. a. X Sin®-Sadx Nd M II so, 2. Nergal!-u-sip-pi 1. als * Nergat-iddin Nk 43, zo. X Nergal-ü-Sal-lim)GI Nbp M II 7,7 Nd 293, ac. Cri50,5. 380,5. daranı Nd 16,11. 355,14. 608, 12. 668, 22 776,1. """ rb Sus-Si Nd 920, 3 S. "Marduk-Sum-usur. 1. als Ardi-Nabt a. Nür-" Sin Nk 386, 16. als Ar-ra-bi Nd 678, 15. 700. Dr 134, zs. als Ba-la-tu .... Cr 361, zs. als Ba-la-tu a. Ir-a-ni Dr 474, 2. 5. als XBel-iddin Cb 117, ss. als * BéLiddin a. Etiru Nk 3,5. Små (ZA IV) 9, zr. als * Bét-iddin a. nas patri NÀL 1, v7. als *Béf-2ddin a. ^"? RE? alpi Dr 347, 15. als E-til-lu a. ^"? Kid?-na-a-ta Cb 328, 10. IO. als E-hl-lu a. vré$anoi bit balati? Nd 477 37: als Esida-Sum-ibni a. Sag-di-di Cr 308, 1. 11a af Gu-za-mu a. .... DrP 106, 56. als Ku-du-ru a. 9.... ?CrPa3, zz? als "Marduk-etir a. Ga-halNd 390,74. 391,72. 400, 18. [509, 18]. 581, zs. 688, 16. als Musezib-" Marduk a. nappahi NKk17, 10. Dr 26,38. 45,10. 48,15. 70,16. 137,77. 140,17. Knut Tallqvist. 172, zs. 182, 7. lumu 13. . als "Nabü-ban-ahi Cb 127, s. als "Nabü-na-si-ir a. Qag-qa-da-ni-tum Nd 293, 5. als " Nabü-3um-iddin a. Egibi Nd 678, is. als “Nabüu-udammig a. Egibi Nd 90, s. als Na-din a. .... Cb 53, 9. als Si-lim-"Bel a. #Nabñ als ?Samas-Ah-iddin Nd 369, zo. al} Sum-iddina a. Ili" Marduk Nd 45, 3. 257, 12. NgL 12,3. Ng VR 67, 3, 5. 5 Sum-iddin a. ""? Sang? " Addu Dr 287, 19. Sä-su-bu a. .... du-nu Nd £5 TEE Tab-ni-e-a Nd 45, s. Tab-ni-e-a a. "Sin-karabi-isme Nd 353, c. als Ziri-ia Nd 198, s. Wa: 202,9. Vgl Sul- als Ziru-ü-tı a. Da-bi-bi Nk 400, s. a. 22.2.2... DrP (65,12). S. 7 Nabü-musetig- urri. 30. a. Egibi, s. fLu-ü-di-ia. a. Efpes-ili, s. "BDel-ittannıu. a. UP Marduk, s. "Bel-nödin-aplu, Liblut. a. Na-dın Cr 53, 6. a. énappali, s. "Nergal-ittannu. . nas patri, s. "Bel-aplu-iddin. a. Qag-ga-da-ni-tum Cb 306, 5. Dr P. 108, 9. a. "UP sis, s. Dantnu. a. "Sin-karabi-isme Nk (420, »). S. *BéJ- igita, Sàpik-str. a. ""? ane? ? Sagas, s. ?! Nabü-rimanni. q. Si-gu-t-a, ame Jmanı Ndı3,ıs. 64,7. 1128, 36. Nd L 73,27. S. 2Nabü-Sum-uktn, Rimat. a. Tuk-ku-ut-tum,s.®Nergaliddin, Ni-qu-du. 44. a. Ziru-u-ti-1d, s. "INabit-apfu-iddin. #Nergall#4-4-$e-510|KAR KnlM II [5,2]? Nk 452,7. Nd 381, 10. 457,10? Dr 320, 5. 370, 7, 30, 35. 559, Hu. S. ?Bel-iddin, Bu-na-nu, Ham- masu, Kalba-a," Nabü-kin-zör, -Sum-iddin, X Nergal-Sar-usur, S epıt-" Nabü-asbat. 1. als Ap-la-a a. "Bel-etiru Dr 95, ss. als Ap-la-a a. Egibi Nd 954,5. als Ap-la-a a. Ga-hal Nd 697, 24. Cb 343,17. Dr 120, 10, 14. 551,8. 568, m. als Ardi-ia a. Sa-na-&i-$u Cb DIES: 5. a|$. Itti-"Marduk-balötu (a. Egibi) Dr 155, 4. 166,15. 382,77. 402,5. [403,3]. 404,5. 409,27. T. XXXII. 40. Neubabylonisches Namenbuch. (i Nergal)!-ü-Se-zib|KAR) IO. 20. AIO, 74. 415,2. 425,4. 465. 466,4 467, 2. 468,3. 488, 17. 499, s. DrL 33, 2. als Kab-ti-ia a. Su-ha-a-a Nd 687,38. 697,25. | Cb [213]. CbL ro, ax. | 3 Nabü-ahé-bullit a. Epes-ili Cb 193, zz. | " Nabü-Yum-is&un a. Balåtu Nk 139,m. als Nad-na-a a. Mu-kal-lim Dr 213, s. Tab-ni-e-a a. Ir-a-ni Nk 360, 7. als U-bal-lit-su-" Marduk Dr 505, 11. 506, 11. als Ubalht-su-"Marduk a. *"*nà$ patri Dr 227,35. Vgl Süsubu 10. a. Amelu-u, s. "Nabü-napistim-usur. a. Ardi-" Nergal, s. Remüt-" Bel. als als .«. enelgslakı, s. Labası. a. Egibi, s. Ardi-" Bau. a. Ih-" Marduk, s. " Bel-iddin. a. "Uy bant, s. " Nabit-kin-zür a. Sip-pi-e, s. " Marduk-Xüm-iddina. a. """$gng? ? Ninib, s. " Bél-nàdin-aptu. X Nergal!-utir( GUR) T: als Pir a. Nu-ü-bu Dr 245, 29. X Nergal)-zir-ib-m| KAKNk311,2. Cr3,5. Dr379,4. 9. 464, 7. 515,9. S. Ib-na-al-a), Ina-gibt-" Bel, (7Szulman-)Sum-iddin. . als Bela Dr 345, e. als "Nabü-kina-aplu a. Ill-" Marduk Nd 178, 44. als Na-din a. Mu-se-zib Nd 655, 14? as Säpik-sör a. rel di-ki-i Dr 494, 24. a. An-da-har Nd 520, 1. a. bel-a-a, s. Labası. a. Hi-" Marduk, s. "Nabi-sir-iddin. a. "Sin-na-sir, s. Sáin-Xum. a. ^"? Yang? "Na-na-a, s. " Bêl-ibni. 7 Nergalhi-z£r-iddin? Nk 249, 29. Hs als E-si-ra-a-a Nd 85, 17. ? Nergall-s£r-ugur, ^"? $à-tam-mu Nd 192, 2. Nidintum (Ni-din(-it)-tum|ti|til Ni-din-it; Kurz- name, bez. Hypokoristikon, vgl. Nidinti- 2 Bel, - Marduk) Nd 172, 18. 305, v. 659, 13. 804, 12. 886, v. 911, 6. 958,3. 084,2 NdM II 64,16. Cr 40,2. 77,5. 287,32. 313,3. 365,5. Cb 19,5. 131,13. 273,3. 200,9. 313,13. 347,2: 436,18. Dr 1,12. 381,4. 414,9. 440,2. (477,8). 510,2. 556,17. Dr Pari, 13,18. (12,6). ? P 150. ‚amelyab bit? Dr 296, 3. *"'s;-5;-r Dr 200,3. No, 2, IO. 165 sa ina muhhi esr? Nd 290,» (659, 13). amdl$y-tam Dr Pa 15,08 S. 2Beliddin, -ittannu, -usursu, Itti-" Nabü-balätu, Su- ga-a-a, Sulum-Böbili. a. Ir-a-ni Dr 462, is. a. "Samas-ba-a-ri Dr 560, 13. Vel. no. 16. als Ahu-Su-nu Dr 82-9-18, 49a (CIS II 65). a. amelSangi U [foy Babili als A-na Dr 414 20. a|* Ardi-ia Dr 529, r.. 577. x als Ardi-ia a. "Szn?-$adi-i Dr 568, 25. als Ardi-" Bela. Mu-kal-lim Dr 423,14. 424,7. x "BéLerba Dr 208, 5. als "BEl-?-ia a. ""Sangi "IStar Babili Dr Pa’12, sz. als #Bel-ıbni Dr Ba 11, 10. als *BéL-ibni a. Ga-hal Xrx 3, 2. als ?Bel-iddin a. aslaki Dr 296, 22. 339, 14. $ ZBel-ıiddina a. E.... Dr 497, x. . als * Bél-iddin a. Ir-a-uu Cr P 22, s. 15a als 7" Bél-iddin a. Lilea) Dr P 141, 15. 7" Bel-iddina a. ? Samas-ba-a-ri Dr 537,10. als "Bel-igisa a. Ir-a-ni Smd L 22, z;. 2 Beligisa a. "? naphahi DrP 110,7. * VBél-básir Cr 379, v. Art CIS II 66. $ ZBel-Wü DrBa 8,s 18,10 19, & 21, . 22, 9. 26, 20. als * Bél-na-din|MU-aplu Nd 1089,2. Cr 77,13. 2€O, 3. als *Bel-uballit Dr 261, 14. als * Bél-usalfim a. """ pahari Cr 158, 16. als Damgi-ia a. Na-din-Se-im Dr [310, 24]. 316, 22. Vgl. Nidintim-" Bel 6. als Du-um-mu-ga a. Mi-sir-a-a Dr 321, 6. a 1 a) . als E-til-lu a. wö$angi "!Samas Dr (ZA III) 22. E-til-pi a. Il" Li-e Cr 144, 10. Jd-di-ia Dr 275, 9. als Iddina-a Dr 474, s. als Jddin-" Nabít Dr 278, i. als Jddin-"Naód a. Im-bu-päni-ia Dr 27, iz. af Eli-e-"Marduk a. Epes-ili Dr 76, 7. als (Ina-)esi-étir a. Sa-na-Xi-u Dr 478, 3. DrL 33, 2. Vgl. Nidinti-"Bel 23. als " In-nin-nu-iddin Nd 900, s. als ! Y as 166 (Nidintunm) 40. 45. 50. 55. 60. 65. . als Itti-" Nabü-balàtu a. *"" yàb bani Dr P Knut Tallqvist. als Itti-" Marduk-balatu a. " Marduk-abu-$u Dr P 76, rz. 85, 7. = Nidintum-" Marduk 2. 4 Kabti-id a. ly-a-niluu Dr 472, 5. Kal-ba-a DrP 53,3. Ki-na-aplu a. Nür-% Sin Dr [468,18]. 474,27. Ku-sur-aplu Dr 542, 1s. Ku-us-Sa-a-a Dr 502, 2. La-ba-a-Si Dr 271, e. La-gip-pi a. Ba-si-id Dr 563, rr. Lüsi-ana-nür a. #Bêlêtiru Dr 284, 13. X Marduk-aplu Dr 194, 35. X Marduk-eres a. Il’-" MardukDr[462, 12]. | Mi-it-ra-a-ta Dr 500, als Musallim-" Mardurk 227, 37. als "Nabü-ahe-iddin a. Mu-Se-zib DrP 83, ro. als "Nabü-ahe-sullim a. 2 Ea-ili-ia-ióni Dr 278, 9. als "Nabu-ah-it-tan-nu Diele init, it) als "Nabü-aplu-iddin a.Sag-gil-a-a Dr 302, 10. als "Nabü-balät-su-igbi a. Hu-un-zu-u Dr 524, 72. x # Nabü-bel-Su-nu Dr Pa 10, 7. als "Nabu-etir a. Ih-id Cr 17, s. 2 Nabi-ibnz Dr 343, s. ? Nabü-iddin a. An-da-har Dr Pa 13, is. ? Nabü-kin-aplu a. Amel-"Ea Dr 430, 17. Nidintum-"Bel 25. als *Nabi-kin-zir a. IBKAK)-na-a-a Dr 349, 77. af *"Nabü-na Cb 403, 16. as * Nabü-ni-ip-3a-ri Nd 978, a. als * Nabü-Xàr-usur Nd 838,16. NAM II 53,2. Xr CT IV 34, so? als * Nabü-Xam-is&un a. Sag-gíl-a-a Dr 488,2. als * Nabü-Xam-u&in a. Épes-ili Cb P 36, zo. " Nabü-usallim Dr 573, 13. Na-din Dr [65, 13. Dr P. 136, :.. Pir- a. Ir-a-ni Dr 537, 16. Ri-mut a. Egibi Dr CT IV 44, o. Ri-mut a. 9" 125902 "star ... Cr 293, 4. Ri-mut- Bel a. U-tam-mar-! Addu Cb S D» 22, a. "Uyb Df Dr a. Ha-am-ma-a-a 397, 15. / 2 Sin-.. Dr 301, 23. * 2 Sin-ah-iddin Dr 310, 5. 2 Sin-ilu a. * Bél-étiru Dr (ZA II) zs. * Su-ga-a-a a. Ih’-"Marduk Dr Pi 12, zs. Sad-din-nu a. nel yap bånt Dr 478, ss. 74a als " Sama pir -usur a. enälpahariDrP 110,2. 75. als 2 Samas-str-ibni Cr [328, 2o]? al} Sé-la-a a. ""? r£? sisi Nd 932, 10. AS TION sss 0 ETSI. NONE t ox als Ta-A-mu a. ^""ràb bàn Dr 340, 17. als Zir-u-tu a. " Bél-aplu-usur Dr L 33, rs. 80. a. Balatu Cb 385,7. a. * Bél-étir-ahé Dr Ba 11, 12. a. "Bel-na-din-aplu Nd 927, 2. Cb 10, 4. 85. 90. 95 a. "Bel-nädin-aplu a. *"? ang? ? Sama$ Nd 934, 15. a. " Ea-pat-ta-nu, s. U-bar. . Eres-a-na-Esaggil, s. Habasiru. . X Nabü-ah-iddin Cb 84, 19. . Pélnappalr, s. "Marduk-Sum-iddin. s EIU De sep a PEL ou) e cn BR, HR . Sa-lak-kal-ka(®) Dr L 25, zo. 2Samas-aplu-usur (E1222 1004: . a. Zirü-tu Dr 2, ss. / Ni-din-tum]|u Nd 55,2. 953, 4. Dr Ba 9. Nidin uü-"* Bel ny din = til fü, tum” gp 1 j Us abgekürzt: Nidintum) PP 153,4 S. Musallim-"B£l, X Nabü-bullitsu, -uballit. als ? Bel a. Na-din-Se-im Dr 326, 12. als ?Bel-iddin a." Sin-na-sir Dr 395,27. 396,26. Abgekürzt: Nidintum. aa|* ?Bel-ittannu? Art 82-5-12, 310. 2 Bel-rimanni Dr 82-9-18,335* (CIS I168). 7 Bwnene?-ibni Cb 1, 2. Da-di-ia a. Na-din-se-e Dr 338, 23. Damqi-ia a. Na-din-Se-im Dr 271,4. 424,4. Nidintum 23. 7 Ea-bél-ilàni Dr 413, 16. X Ea-iddin Xrx 5, 1s. Jddin-a Xrx 5, 15. Jddin-a a. Ardi-* Ea Dr 478, 16. Jddina-a a. Sag-gil-a-a Cb 321, 16. Jddin-" Marduk a. Nür?-" Sin DrP 109, z. $ Jddin-" Nabi a. Kanik babi Dr P. 106, r2. als Ina-eXM-éfir. a. Épes-ili Dr P [117, ss]. als Kal-ba-a a. Ba-bu-tu Dr 245, s. T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. (Nidinti-" Bel) Ir. t3 un 40. 45: Ni-din-tilum-”"Marduk! (abgekürzt: E als Li-si-ru a. EN.GAL.BUL? DrP 70,7; vgl. DrP 95, 14. 96, ss. als “Marduk-erba a. Egibi Dr 384, 17. 412, 4. Art CIS [II 66]. als #Marduk-etir Dr 297, is. als "Marduk-nasir-aplu a. (ZA III). als ?Mardur-usallim a. ***aslaki Dr 314,7. als "Nabu-ahe-iddin a. Epes-ili ])1:5502 7615 ? Nabü-ahé-bullit Cb 261, 17. * ! Nabü-aplu-iddin a. Sa-la-la Cb 287, rs. 2 Nabü-balät-su-igbi a. Ina-E-sag-gil-a-a Dr 362, 14. 454, 12. 461, rr. als * Nabü-etil-ih a. Na-din-Se-e Dr 272, 22. Sal-na-&-:u Dr Egibi SmSerba als (?Nabu-)\ina-esi|-£tir a. 264, 12. als "Nabü-ka-sir a. ^"*'hahari Dr 212, is. . als * Nabz-Ein-aplu a. Amel-"Ea Dr 326, o. 358, 2, vgl. 323,35. = Nidintum 57. als * Nabü-ku-sur-an-ni Nd 18,3. Nd L 44 o. als "Nabü-na-din-ahi a. E-til-lu Dr 379, ss. $ 2 Nabu-ri-man-ni Cb 88, 13. 419, #2. 2 Nabü-Sum-iddin Dr 351, 2 ? Nabü-Sum-iddin a. a Sin Dr 335,4. Cr Me Me il Naba-Sim-ukin a. Sa-na-a3-Xi-Xu 213, 9]. * 7 Naón-Xum-usur Dr 383, 6. ? Nabü-uballtt a. Egibi Dr 494, ss. ? Nabü-zir-ibni a. Ardi-"Ea Dr 314, M. Na-din-$e-e Dr 424, 16 = no. 40. Dal: ^. à T D 5 à QS Locis pim. C. Cr ^ Au tac als Ni-qu-du a. Addu-Sum-eres Pi-i Dr355, 7. 2Samas-kåsir a. ""! Pa-Sct a. nie à s. " Nabi-ittannu. a. INa-din-Xe-e Dr 271,15 = no. 35. a. ^"? $a tabtısu, s. Läabasi. Dr 431, 24. Nidintum) als * Bé-bàsir Dr 474, 22. als [tti-" Nabüu-balàtu à. óànt Dr amél «Af 522,8. 530,15. Dr P 33,9. 100,4. ILO) IS: IIA, 74. II5, zr. 122,3 — MNidintum 35. BE El AD Dar DAS 80412, 109, 16 — no. 2. Ni-din-tum-" Nabit im als * Nabü-ittaunu a." Sin-Sadinu DrP|82, rr]. 139, z;. No. 2. 167 Ni-din-u-!Nergal!, *"*$à-tam biti Dr 299, s. Nikistum-tabi(Ni-his/hi-is|-tumn-ta-a-bi) Dr 274, s.s. Ni-ik-ba-du- = Ad-di-ia, s. *Apil-Addu-natanu. Nik|Nik-ka-a-a, s. Lüsi-ana-nür 25, * Nabü-Etir- napsati 36. Ni-me-qu £ "NIN.GAL-at)... Man-di-di, s. R£mut. Cb 387, 17. #NIN.GAL-iddin Cb 251, 2 X Nin-gir-su-balåt-su-iqbi I. a. öl ane * Ninib, s. Ap-la-a. il Ninibl-àf-eres(PLN-e3), s. Ahusumu. 7 Nimb2-ah-iddin]a NS SEE Dr 171, 9. als 2 Addu-Sar-usur, """sa-ab-si-uu-tu. Nd 172, 6. als /Sip-pa-a Cr 287, n. 4. a. ^"? 5ahari Ng (30, 4). 2 Nimb\2-iddin, s. Liblut. 1. als Gu-za-uu Dr CT IV 44, 77. 2 Nimb)-Sar-usur(PAP) Nd 615, :3. 2 Nimib-uballiti TIN-it) I. als Bel-su-nu Dr 310, 4. Ni-in-ni-e-a (vgl. Ni-mi-e-aK 566, JADD III p.419), s. Gu-sa-nu 36. 2 NIN.SAR(BAD)-Sar-usur, s. Has-da-a-a. Niqud|, (Ni-qud|qu-du|tu Dr 263,11; vgl. bi. NTYp2) IO. Nk 74,8. 431,7. 452,2. Ev 3,5. Ng 17,3. Nd 201, 7. 228,6. 381,8 455,10. 612,s. 748, 9. 791,9. 897,15. 1062,12. Dr6, 16. 59,6. 110,4. Dr Pa 21. S. Ardea, "Bel-iddin, -1ttannu, Habasiru, dddin-" Dél, ladin-" Marduk, 2Samas-aplu-iddin, -aplu-usur, -iddin. RCE a. Tu-na-a Dr 334, s. Ardi-ia a. "*aSlaki Nk 411, 6. i Bel-erba a. Eye? Nk 200, 12. 7 Bel-Sum-iSkun Dr 502, r7. " Bel-usallim a." Marduk-nasir Dr 244,15. 3 XBel-zir-ibni a. Sag-gil-a-a Nd 1110, 9. aj Iddin-"Nabü a. Epes-ili Dr 400, 5. Ina-esi-etir a. Na-ba-a-a Nd 336, is. als Zna-eit-étir a. vrèlyàb bün2 Cb 284, 13. Kudurru Cr 96, 2 Kudurru a. Äs-kan-du Nd 246, 2. als Li-Si-ru a. ^""$ang? "Ea Nd M II 52, 9. x #Marduk-àk-iddin a. ”2sangi " Ea Dr 168 (Nigud].) als ?Marduk-Sum-ıbni a. Epes-ili Nk 382,24. | als "Nabü-£tir-napsäti a. "Sin-imittu Dr 287, 14. als ”Naba-iqisa a. Mas-tuk Nd 177, s. als “Nabü-kin-aplu a. Sip-pi-e Nd 619, 19. als "Nabu-Sium-ü-kin a." pahari Dr P 75,5. ?P 147, 2. als "Nergal-iddin a. Nür-sa-nulna Dr 308,1. 430, 16. [452, 15. 459, vr). 19a a|$ “Nergal-usallim a. Tuk-ku-ut-tum Dr P IAI, zz. 20. als Ri-mut-" Gula Ngl 58. Y Sil-la-a a. Ir-a-ni Nd 503, 2. Y Såpik-zir a. ""? bànf DrBu 88-5-12, 26,3. y Zir-babili a. Pap-pa-a-a Cb P 129, is. . Abi-ad-édi, s. Iddin-a. . Addu-sSum-eres, s. Nidintum-" Bel. . Ahu-bani, s. "Bel-ittannu. a. A-hu-nu Nd 1127, 16. a. At-kan-du, s. "Bel-iddin. a. Hit-! Marduk, s. Müranu. a. Ir-a-ni, s. Damgta. a. Liéa, s. "Béi-usalfim. a. Mudammig-" Addu, s." Nabü-Etir-napsäti. a. Na-ba-a-a Nk 363, re. S. Kina-aplu. a. Nür-"! Sin, s. "Bél-usát. a. ölpahari, s. Pa-da-a, Pa-da-a-ah-nı. . mel Pq-Set, s. I Bel-käsir, Ina-eSi-etir. a. ^"? ab Dant Dr (459, 12), s. ?BEl-iksur. a. "Pj sist Dr (27,5). S. " Samat-aplu- usur, -erba, -etir. 15. Us o a. Sag-gíl-a-a, s. /Nubta-a. 1. "Sin-na-din-Sum, s. ! Nabi-etir-napsätt. 42. a. Su-ha-a-a, s. Römit-" Bel. Ni-ri-a-bi-ik-nu(?), "2 bal-lLa-mu-& Cb 384, 17. * Ni-ri-ia-a-ma (= nmm) 1. als * BéE-zir-ibni Dr 310, 4. NI. SUR giné|sattu£ (mit oder ohne Determ. +!) S. /Amti-"Na-na-a 3, /Ba-na-tu-ina-Esag- gu 1, "Bánitum-éfirat 1, " Bél-ióni 18, uballit 35, 84, Jna-es£-éfir 10, Itti-i Nabi- balatu 5,33, Kabtia 21, Liblut 9, *Marduk- rimanni 5, Munahhis-" Marduk 5, *Nabi- elir 17, -Etir-napsati 12, -iddim 4, -Sum- usur 28, ”Nergal-Sum-iddin 1, 1Samas- kin-aplu 4, Tagis-"Gula 5, / Táàbatum 3. N Knut Tallqvist. /Nu-ub-ta-a («meine liebe Biene!»), ga//atu Nd 196, 2. alti " Nergal-iddina Nd 437, 11. S. #ZA.MAL.MAL-iddin. Nd M II 56. / Bu-na-nui-tum Nd 356, 22 , 22. Eipes-ili a. Ar-raó-tum Nd 520, 4. /Ga-ga-a Nd 1113, n. |* Ha-ba-si-ru a. Egibi DrP 78, s. m|s dddin-"Mardu£ a. Nür-" Sin, alti Itti- X Marduk-balätu Nd 697,15. 755, 11. 802, 2. Cr 49, 3. 64. 130. Cb 97, 1». * /In-sa-ab Cr 198. Kudurru a. "Addu-sum-eres Nd P 5, 7. La-a-ba-si a. *Na-6a-a-a Nd 508, 11. IO. mjs Lib-bi-si-im-mu, alti Gab-bi-ia Cb 110, 6. 5 U Marduk-bél-ilàgi Nd 652, 4. Y #Marduk-Sum-iôni a. """5ahari 59, 2, 8, 14. mls * Nabn-balät-su-ig-bi Dr 260, 2. mls X Nabü-musetig-urri à. Nd M 26, 4. m/s Na-din a. Bi-na-a-a Dr 140, 2. ms Na’id-" Marduk a. Ba-bu-tu CrP 11. 18,2. 17. m|s Niqu-du a. Sag-gil-a-a Nd 1110, s. Nu-u-bu, s. / Amti-"Na-na-a 2, E-til-pi 5, "Nabü- Sum-ukin 9, "Nergal-utirri 1, Rimáüt-! Bel 57, Tabnea 20. Nu-ha-Su, s. Iddin-" Nabi 63, 80, * Lagamal-étir 1, X Marduk-násir 17,7? Nabn-ittannu 23, Sium- ukin 23. Nu-uh-lib-bi-ili (abgekürzt(?) aus: Linivh-libbi-ili «möge das Herz des Gottes sich be- ruhigen!») 1. als Na-ta-an Dr 501, ro. Nu-uh-Sa-a-a 1. als "Nergal!-uballit DrP 135, s. Nu-uh-Sa-nu, Nu-uh-Sa-a-na 1. als Itti-"Nabü-balätu (a. " Ea-épes-ili) Dr 439, 6. [520, 5]. Nu-um-mu-ru («heiter»), s. Säpik-zir. I. als Erba-"..... Dr 244, 21. als “Nergal-Sum-usur Nk 206, 10. als? Z£ri-ia Cr 224, s. a. "HU allabi s. Iddin-" Naba. 5. a. Mi-sir-a-a, s. *Nabñ-aplu-iddin, -eres. a. Na-ba-a-a, s. * Nabü-étar. .0IU ange” Ea NK 59,9, s. Grmillu. T. XXXII. Ng E-sag-gÜ-a-a uc Neubabylonisches Namenbuch. Nu-mu-Sum? Nk 95, s. Nu-nulna-a (vgl. Nu-ni-ia JADD 57 u. bi. 7%). I als /ddin-a a. Sip-pi-e-a Dr P 86, vr. 2. al$ Musézib-" Marduk a.” aslaki Dr 464,77. Nu-ur («Licht») 1. als "Del-iddi-nu? Dr 364, s. Nür-"Addu, s. Liblut 29. Nu-ra-nu («unser Licht»?), à/u Sa Nu-ra-nu Dr 282, 18. Nür-" Bé-fimur. (LAH|Nu-&r-"B-In-mur) Nk 318,4. Ng 42. S. /Ubårtum. 1. aj ? Samai-iddin|, a. e"? yaba-a-(fn)-(Fa)- ZNinib Nd138,3. 480,,,. Cb 306,2. Dr568, rs. Nürea(LAH-e-a), Nu-ri-ia, Nu-ür-e-a, Nu-ür-ü-a (Nd 47, 10; ab. Vy-ri-1a Bu 91-5-9, 2470, 17 (CT VI,42); Kosename)Nd, 10. Cb (322,19). Dr 375,3. S. Ardi-" Bel-sarbi, * Bét-étir, -Sar-usur, Itti-" Nabü-nühu, Lagip 4, Man- nu-aki-ilant, "Nabü-ittannu 78, 2 $Samas- uballit AY, Sa-an-st-ri. Ioa ers eere Nd 1032, 19. CSL PER u-se-zib Nd 205, s. als A-hu-nulSES-u-nu NÅ 34,9. 134,73. 148,3. 5 als Ba-lat-su a. "^" Bàiru Nd 655, is. $ 2 Bel-iqisa Nd 713,5. 727. 757, s. als ”Bel-iqisa a. ""?"$ang? "Na-na-a Nd 741,3. Nd M 30, 2. Cr ro, s. als "Bel-Su-nu a. ^"? $a-na-Si-Su Nk 316, 2. als Jd-di-ialid a. Kaba-a-3a-" Ninib Nd 877,2. Cb 293, 2. als Ina-E-sag-gil-zir a. Nür-! Sin Nk 67, 1. IO. a|$ La-ba-a-si a. Sag-gíl-a Dr 568, z;. als "Nabn-etir a. Iddin-! Papsukkal Cr 340, s. als ".SUR-àh-iddin Nd 9, 1. als Sápik-zir Nd 657. als Si-rig-tum Nd 95, 3. JUS RE Lor co Cr (10, 10). a. re qbi bit, s. Sellibu. a. Ba-bu-tu, s. Er-ba-a. a. Ba-ri-hu, s. "Nabh-Sum-usur. a. "Bel...., s. "Bel-iddin. 20. a. Dan-ni-e-a, S. Sirigtum. a. " Ea?-gàlu-isimme, s. Musézib-" Marduk. a. ^"? GIS. SA. PA-KAMereÿ), s. Làbàsi. a. Ir-a-ni, s. ("Nabü-)kina-aplu. a. élypallahi, s. Ardia. 25. a. Mas-tuk-ku, s. * Nabà-étir, Süm-usur. No. 2. 1 Mu-kal-lim, s. " Addu-Süm-eres. Na-ba-a-a, s. " Sulmàn-iddin. E 8 a. "ang?! Na-na-a,s. Musallim-" Marduk, ? Nabü-bän-zir, Sa-an-st-ri. a. nö Yano? ? Samas, s. “Nabh-balâtsu-iqhi. 30. a. Ziria, s. ? Sama3-kin-apla. ANütr-ilàni (vgl. Nu-ur-ili K 241, XII 19. 83-1-18, 695, III 11), s. Iddin-"Samas 1, *" Nabi- musallim 1, "Nergal-näsir 2, i Samas- udammig 2. Nür-"Marduk?, s. Ahé-iddina 5, "Belibni 32, -bàsir 41, -uballit 53, Dultà 19, Iddin- ? Bel 16, Jddin-" Nabu 93, Liblut 44, Mint- ana-" Bel-daianu Y, "Nabü-Sum-iskun 26, Sullumu 18. Nür-" Na-na-a, s. "Ea°-abu-usur 1. Nür-" Papsukkal (LAH|Nu-ür/Nu-LAH Dr 181,13 -"PAP.SUKAL), s. *Bel-iddin 4, 176, X Marduk-Sum-usur 26, *Nabi-ètir-nap$àti 55, -zttannu 46, -Sum-iddin 14,26, Qudåsu 4, Tukultu-"Marduk 4, "ZA.MAL.AMAL- iddin 5. Nür-"Sin (LAHINu-ur-! S53) Nd 332, 10. 375, 2. 809, 2. S. “Addu-akè-bullit 1, 2, /Amti- #Bêlit 6, /Amti-" Na-na-a 1, Ardi-" Bel 14, Ardi-"Marduk 5, 16, "BDel-ahe-iddin 30, -ana-mi-ri-ih-tu 3, -aplu-iddin 36, -êtir 11, 33, 42, -ibni 36, -iddin 42, 78, -iqbi 2, -kasir 2, 9, 33, -Sum-iskun 13, -uballit 37, -usätu 1, 2, -zer 7, / Pat itum A, Bulta 8, 20, * Ea?- uxalfim Y, /Gu-zi-tum Y, Habasintum 2, Jddin-" Marduk 17, 44, Iddin-"Nabit 4, 33, Jddinünu Y, Ina-gibi-"Bel 4, Iqisa-a 17, Itt-" Bél-limmir 10, 14, Itti-Marduk-balätu +7, Käsir 5, Kidinnu-" Marduk 4, Ku- durru 6, Låbåsi 40, "Marduk-rimanni 8, 9, -Sum-ibni 28, -usallim 2, Müränu 15, AMurasà 10, Musezib-" bel 17, 23, 26," Nabt- eres1, -éfir 10, -éfir-napsáti 52, 53, -itannu 42, -reüsunu 10, -Sum-iskun 28, -Stn-lifir 9, 18, -Sum-ukin 28, Na’id-"Marduk 2, Nasir 1, " Nergat-usalfim 1, Nidintum 38, Nidintum-"Bel 11a, /Nubt& 6, Niréa 9, Nür-"Sin 2, Silla-a 4, 43, 2$amas-Sum- iddin 4, Sirigtum 4, Sullumu ma Sulmån- Sum-usur 2, Svm-ukin 13, 4 Ti appasır Y, Uqupu 11, 14. 22 170 (Nr? Sin) 1. alé 7Samas-ah-iddin a. *"? ràb bànt Nd679,s. als Tab-ni-e-a a. Nár-"Szm Ng 30, 15. 3. a. Jddin-! Papsukkal, s. "Nabü-kasir. Nür-"Samas(LAH|Nu-ür-"S') Nbp M II 14, 4. Nk 28,10. 173,2. 439,3. 449,4. Ng 65, u. Nd 101, 5. "205,14. 304,2. 328,6. 387,13. 414, 4. 510, 12 642, 3. 662, 15. 732,5. 748, 6. 749,11. 752,3 780,7. 841,8. OI5,9, 20. Cr 16,3. 158,22. (287,17). 332,4. Cb 125,2. 6/70 mutanu NAM II 53. S. Has-da-a, Rimüt, 2Samas-erba 21, -ipus 2. 1. als ?Bel?-usur Nd 1019, 2. 2. als Ki-i-"Nabun Nd 47, s. Nitr-zsa-nu(LAH|Nu-ür-za(Saverlesen? Dr459,12)- nulna; als Probename: Nur-za-nu K 241, VIII 44; vgl. as. Nu-ur-zu K 1608b rev. 1), s. ZBêl-ittannu 4, Igiÿa-a 28, *Nabñ-bul- | litsu 48, Niqudu 19. | X Nusku!-åh-iddin, s. "Nabü-Etir-napsäti. | 2 Nusku'-a-a-lu, s. Itti-" Nusku-inia. il Nusku'!-ba-rak-ku, s. Pa-da-a. 7 Nuskul-edi-usur Nd 881, s. 892, c. ENuskuV?-iddin Cr 173, 10. 7 Nusput-idinnam, s. Itti-" Nabh-balätu 51, " Mar- duk-Sakin-Sum. X Nusku)-la-bat-nu Cr 204, s. 2 Nuspul-lig, ^""naeecaru Nd 612, 17. """an- di-di Nd 618, 13. | 2 NusEul-Yàr-usur|PAP Cr 151,2. 364,9. "del | pigittum Sa birtum Cr 350, s. | 1. als 2 Sin-Si-man-ni Ev 6, 22. | Pa-da-a, Pa-di-ia (vgl. as. Pa-di-i Bu 89-4-26, | UD AS) Ce depasse | rimanni, Na-din, Zab-di-ia. | 1. al E-zz-da- ? Nd 722, s. | als Ha-nu-nu Nd 815,9. | als 2 Nabü-mu-Ye-ti-ig-urri a. """ pahari Cr | 231, 4. | als Mi-qu-du a. ""*hahari Dr 428, o. | s. al$ * Nusku-ba-ra£-ku Nd 1116, 2. a. Na-bu-ut Dr (489, 11). 7. a. ^"? Pa-Ye*. s. Musézib-" Bel. ?"a-da?-a-af-nu (vgl. Pa-da-a) | 1. a)$ Ni-qu-du a. vélpahari Cb 147, 4, 13. Pa?-da-ak-ka, "2! pa-sa-a-a Dr 397, s. Knut Tallqvist Pa-di-e-su, Pa-di-su (Nd 1049, ı2?), Nk 459, 14. Dr 314,4 S. ?Samsa-a-a? * Pa-ad-mitlmus-us-bu-Ü I al$ Pi-ir..... Dr 301, s, ss. #Pa-ad-na-a-$u s. Pi-su-sa-as-ana-ka-a-sa. * Pa-ad?-4-as-tuin (Cb 85, 17), s. *Nadt-agabi. Paharu (DUQ.QA.BUR|Pa-ha-ru, mit u. ohne amêl: «Töpfer»), s. Amti-"Belit 7, Apla-a 10, 92, Ardia 46 Ardi-"Marduk 1, Ardi- #Nergal 10, Balåtsu 16, " Bél-ahé-erba 6, -aplu-iddin 10, 34, -éfir 39, -iddin 8, 76, -igiSa 10, -kisir 3, 4, lid 16, -nàdin- aplu 3, -Sum-ukin 2, Belsunu 12, "Del- usallim 21, 57, Bulta-a 18, * Bunene-ibui 2, 19, Hut-za-lu, F-ba-a 5, Iddin-" Naba 30, 55, Z/l-"Marduk 9, Igisa-a 21, 31, Igisa-"Marduk 11, Kabti-ia 14, 24, Kal- ba-a 10, 28, Läbäsi 25, Lisiru 10, 16, 7 Marduk-étir 42, -Sarrani 3, -Sum-ibni 23, -sum-usur 29, 31a, 36, Musésib- Bel 88, Musézib-? Marduk 103, *"Nabü-ahe-bullit IO, -ahe-iddina 21, -aplu-iddim 40, 41, -balätsu-igbi 48, -ban-ahi 9, -belfunu 8, -eres 10, -iddin 8, 12, -ittannu 18, -kasir 19, -kön-aplu 22, -musetig-urri 31, -reü- Sunu 9, -Sum-ukin 9a, 17, -usursu 49, Nadin 46, 93, Natid-"Bel 4, " Nergal-1ddin 20, Nidintum 22, 74a, Nidintim-" Bel 24, "Ni- mb-ah-iddin 4, Nigudu 18, Nu-ub-ta-a 12, Pa-da-a 3, 4, (-dh-nu) 1, Oisti-" Marduk 1, Rimüt 45, 74, Römüt-"Bel 88, Su-ga-a-a 4, = Samas-ahe-iddin 2, -näsir 9, -Pir-usur 4, -Sum-Üsir 3, "Uras-iddin 2, Za-bu-nu, Zäkir 2. /Pa-hu-nu-ta Dr 245, as. Pa-ki-i-?-ri Cb 104,15. S. ?Bel-dim-ipus 1. Pami-" ASur’-lu-mur,®*2sipiri aplisarri? Cr 364,16. Pa-ni-" Asur!-te-e-me I. als ?ASur!-? -ia Dr Ba 17, 5. Pimi-"Bel-adaggal (SI Pa-ni-!B'-a-dag|da-gal) Cr 90, 3. 287, 12 Dr 379, s. Dr L 25, zz, 29. emélypalaku Cr 55,4 S. Taddannu. I. al$ Ki-din-"Marduk a. MaS-tuk Nd 845, zs. Pàni-Di£ri-limur (SZ | Pa-ni-di-ru|.D ÜR. AN. KT- Ju-mur (Nd 298, 4 656,13 1028,5), s. ? Bunene »*-ibni. Pani-ilûtsu(? SLAN-su Nk 311,6), s. 7Bel-iddin. T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. Pa-ni-" Nabu'-lu-mur, éqallu NK 31, 10. Pa-ni-? Nabå!-te-e-mu (= won) Ng VR 67, Shah : Pap-pa-a-a (vgl. as. Pap-pu-u K 287,4) Nd (1114,11). S. Ardi-" Bel 18, "Bel-Etir 19, -nâdin-aplu 2 Dummuqu 2, Iddin-" Bel 19, 7 Insabtum 2, Kabtia 17, Lábàsi 11, "Marduk-zir-ibni 24, Murasi 5, "Nabü-musetig-urri 27, -Sum- iskun Niqudu 22a, Süga-a-a 3. Pap-pa-su Nd 842, 5. Pai-qud-da-nu Dr 500, 2 * Pa-ar-ta-am-mu (vel. 25 -ta-a-maK 361, JADD 122, III p. 204), *"?5ar-sa-a-a Dr 410, a. Pa-a-si-ia, Pa-si-id, s. "Sin-aplu-Sarri-usur. 1. af Ahu-lu-mur Cr 355,4 Pase (amet (30 Pa-$e*) Cr (184,16). S. Ardz-" Pau 1, Ardi-"Bel 23, 29, Balätu 59, Bän-zir 6, 2 Bel-ahe-iddin 36, -ittannu 18, -kâsir 40, Belsunu 32, -uballit 124, -uSallim 25, But- 22 22) fa-a 10, 12, Da-da-a 5, Damgi-ia 3, Erba-"Marduk 2, 23, /Gugáa Y, Gü- sanu 10, Jddin-"Marduk 18, Ina-esi- élir 3, 11, Kiribtu 4, Lüsi-ana-nür 10, il Marduk-Sum-ibni 22, -Sum-usur 11, Mu- Sézib-" Bel 50, ? Nabü-aplu-iddin 39, -bul- litsu 25, -kin-zör 5, -Sum-igisa Y, -Sum- lisir 15, -uballit 19, -ummu-Sullim Y, -zir- ibni 6, -zir-igisa 3, 14, -sér-lésir 6, -zir- ukin 7, Nàdinu 18, Nidintum 88, Nidintum- 3 B8/ 38, Rimüt 4, 24, "Samas-ahe-u$absi 1, -ah-iddin 9, -ibni + -kasir 3, -uballit 5, 35, Sum-iddin 16, 26, 28, Sum- -usur 2, Taqis 2, JUÜbártum 3, Zikari 1. Pa-Si-hu-"Addu, s. Kalba-a. Pa-Så?-u? als Sü-zu-bu a. Mi- Marduk Dr 327,7 Pa-te-u-" Addu?(?), s. Gi-mil-id. * Pa-ti-za- Cb 384, 7 Pa-a-fu, s. Nar-gi-ia. * Pr-e-nar-di- 1. als Z3-£i-" Za-ma-du Dr 427, zo. Dr 355,7 Pi-ri-ta-a Dem? (ZA IIT). Piru du Pi-ir Dr 301, 28, Pi-zr- 4 Cr Pa 4, 8 , «Spróssling»; no. 8 abgekürzt aus 7 Samas-pir -usur) SmkM II s. Nd 60, s. 70,6. 87,2. étmar Sipri Cr 257,3. S. ?Bel- No. 2. 171 erba, -uballit 78, Erba-"Marduk Yo, Kin- sir, Pa-ad-mi-us-tu-ü. I. als Nk 134, s. $ E.AN.NA-iddin Cr 203, 15. Y (Ina-) E-sag-gil-Sa-du-nu a. (" Ea-)épei- 4 CrPa 4, s, 14. 6, s. als " Marduk-usallim a. Alu?--ù Nk 346. 408, 3. 5. al$ Musezib-"Bel Cr 271, 14. als " Nabá-étir a. Mu-Sal-lim Nd 1116, is Nd M II 52, a? als i Naba-Suml|sir-lisir a. Egibi Nd 310, 14. Ev I7, 1o. al$ Na'id-" Mardu& a. Ba-bu-tu Cr P. 11, 12 = JSamak-pir-ugur. 5. als Sa-du-nu Dr 296, zr. als St-la-a Nd 321, 2 a. ^"? abi biti, s. " Bél-eres. a. Amél-" Ea?, s. Apla-a. a. Ardi-! Nergal, s. "Marduk-zir-ibni, Mu- Sesib-" Marduk. a. I Ea-£pes-ıli, s. Rimüt-" Nabü. a. Epes-ili, s. Ardi-" Marduk, Ardi-" Nergal, JIddinünu,? Nabü-Sum-usur, Rimüt, * Uras- erba. a. Ir-a-ni, s. * Bél-erba, Nidintum. a. Mu-kal-lim, s. Bullutu. a. Mu-Se-zib, s. Gu-za-nu. a. Nu-u-bu, s. "Nergat-uttr. . Raba-a-sa-" INinió, s. Tabnea. a. 2Sin?-[å-tu), s. Jddin-" Nabü. a. " Sin?-pi-lu-lu-Ki, s. Saum-ulin. a. !Samas--U-tu(-ma), s. Iddin-"Nabü. a. ""?Yane? Gula, s. Iqufa. 25. a. Ü-bal-lit-su-! Gula, s. " Nabü-Ein-aplu. 26. a. Uballit-su-" Marduk, s. " Nabü-kin-aplu. * Pr-ir-mi-is-di, s. Ba-ga-pa-a-ta (Dr 301, 17). Pi-sik?-dan-nu, biti nugata Dr 393, 3 * Pj-su-sa-as-ma-ka-a-Sa (vgl. ? (tace CIS II 148) als Pa-ad-na-a-3u Xrx CT IV 34,2 #Pi-Sa-mi-i$ (äg.), s. Ha-pi-dis-bal-la (Cb 85, 5). Pi-iS-Si-ia, vrélyàb biti Dr 534, v. 542, 7. * Pr-i-ti-hu-ru (äg.) Dr 204, [1], 5 Pu-da-a, Pu-di-ialié (Kosename, vgl. Pu-di-ilu) Nd 38, 4. 201, 10. 449, 9 I. a. ?"? Pa-Ye*i s. Rig. ASE [44 IK [7 IO. UE mel $ä-tam 22* 172 Pu-uh-hu-ru («mit Kraft verliehen») I. als ? Nergal-iddin Dr 369, 2. 473, 2. | als Ri-mut-" Bél a. Ab.... Nd 716, re. 3. a. Nergal-iddin, s. /Bagabinasıi. Purkullu ("2 pur-kull pür-kul, «Steinarbeiter»), s. Damqi-ia 1, Lüs-ana-nür 3, " Nabü-str- ukin, * Nergal-ibui 2. Pursü (Pur|Pér-Si-d,? = puru u = "5998 «Floh») Nd 546, 2. Cr42,5. 63,2 168,12 Dr. AO A oa, de en nen (Cre TIO Gh SS Ardi-ia. 1. als Jddina-a a. Egibi Dr 166, 3 235, 3, 18. 470, 5. 560, 5. als Itti-" Marduk-balätu a. Egibi Dr 384, a. 455, 75. als “Marduk-Sar-usur Dr 372, 2. 4. als "Nabü-kit-tum-[usur) Dr 117, 2. Oa-bu-ü-a («o über das Rufen!») I. als Ardi-" Guía a. Ir-a-ni Dr 346, s. /Oa-a--i-Sa-at (Kurzname, vgl. Vollnamen wie L "Béfit-, I "Gula-gä'isat) Cr 331, s. JOa?-pa? Nd 744, s. Oaggada-a (SAG.DU-a; «o mein Haupt») I. a. e" bon s. Gimil-"! Sama. Oaggadanitum (SSAG.DU|Qaq-ga-da| dz|(-a| an)- ni-ü|tz:) Nd 293, 33. Dr 270, 13. S. Bel iddin 140, -uSèsib 1, Has-da-a-a 5, Murasiı 2a, Musallim-"Marduk 4, " INabá-Xam- ukin 2, * Nergal-usallim 16, 36, Silim- Bel 13 Sellibi 11. Oag-ga-di-nu (Ng 43, 18), s. MuSezib 3. Oar-ha-a, Qa-ri-hi-ia (vgl. Qar-ka- BE IX, he. np, sin. nm*op, np), s. 7Nabü-mukki- e-hb, /SZ5-pa-a. JOa-ta? Nd 831, s. Oa-ti (Kurzname) I. als Bel-eteri-"Nabh Dr P 140, s. Oatıi?-" Bel!-Sa-kan (abgekürzt aus na-gati-" Bel- Sakan) I. als Ba-ni-ia CbL 27, 16. /Oa-ti-lu-tum? NAM 28, 2. Qd-ti-" Marduk (abgekürzt aus Zza-qàti-? M.) I. a. ^"? yb bóng Dr P 140, 12. Or-ba- 1. als * Naóz-/ Nk 6r. | Oë-ba(-a)-ku-ilu, lies Itti-ba-a-ku-ilu, rE, ,.. Cr Knut Tallqvist. 126, 1,12. PE] pigitti Sa (karri Ya) *Bit- tabi-" Bel Nd 268, 3. 280, s. | Qi-bi-7Bel! (abgekürzt aus Zna-gibi-"Bel) Xrx A 78, ai. I. als ere ciel 4" Qf-bi- -tum-gí-i-Xat I. ;u|$. * Nabü-ahé-iddin a. Egibi Nd 760, s. Qí-id-di-ia Nd 7, 2. Oipu ("""NI.GABITIL. GID. DA. «Beamter») Cb 87,20. S. Ardia 7, "Bel-iddin 101, -igisa 6, -Sum-iskun 12, 31, Belsunu 33, Iddina- “Bel 7, Jddin-"Marduk 8, Itti" Auum- balâtu 1, Kidin-"Marduk 5, Liblut 8, 37, 45, "Nabü-bän-ahi 4, -belsunu 28, -ittannu +69, -Saum-iSkun 29,-Sum-usur 13," Nergal- Sär-bullit 1, ?Samas-erba 6, Sa-pi-kalbi 5j 4 V Tasmetum-damgat 4. a. Si-gu-ü-a Nk 244, is. /Oi-sa-a Nk 261, 13. gallatu Cb 287, 3. OiS-" Marduk I. [a]5] Zri-ia a. ^"? Sang? " Za-ra-qu Nk 271, 10. Qisti-ia (SA.PBAIBA.SA?-ialidla-a, (Kosename, vgl. Qisz-Marduk£ etc.)), s. " Nabü-nipsari. 1. al$ Zddin-" Nabft a. .... Dr 268, 6. als Sz-zu-bu Dr 520, 6. 3. a. Saggil-a-a, s. " Nabü-zir-Üsir. Q£sti-! Marduk (SA. BAJOL-i8-tum-"M 12 s. Mu- Sibsilu) I. als Apla-a a. ^" 5ghari Nk 377, 3, 15. als ?Bel-iddin a. Etiru Nd 353, zz. als ?Bel-iddin a. ^""»à$ patri NAL 1, x. Vgl. /gisa-"Marduk 6. als Gumil-! Samas a. Epes-ili Dr 365,4. 433: 5. als Ri-mut a. Da-bi-bi Dr 351, zs. als Så-zsu-bu a. Ka-nik-båbi Dr AST, ro. Hier- her gehören auch die unter /gö$a-" Marduk 16 aufgeführten Stellen, welche alle ausser Nd 990, 30 die Schreibung SA.BA."M. haben. 7. a. ”elnaggari, 8. Mausézió-! Marduk. Qisti-" Uras (SA. BA-" IB) I. cas Et a. rl). Dr Pa 8; 22 Or-i-t (oder Kiti «Ende»?) 1. als * Bél-ga-mi! Nd 40, is. Ou-ub-ba-ar 1. ajs Züsi-ana-nüur Dr 382, s. Qu-da-a-a Ars (ZA I) 5. »Qu-ud-du Dr 379, 40. : T. XXXII, Neubabylonisches Namenbuch. / Qu-da(-a)-3u Nk 373,5. Nd 178,22. 760,16. 916, 4. Cr 160, 22. 177,15. 217,6. ? 84-2-11, 172. S. | 4 Bu-na-ni-tum, * Nabü-musétiq-urri. 1. aff Afu-nu-ü-ru Nd 1113, 6. ms "BéF-iddina a. "rei sisi, ummu abi Sa Jddina-ahu Cr 161, 39, 59. 3 XBel-iddin a. Ri-si-i, ummu $a /In-ni- ba-a Cb 287, 9. m|s "Nabü-bel-Sumäti a. "Nür-" Papsukkal Cb 120, 2. 5. m|$ * Nabü-er-ba a." Addu-Sum-usur Cb 55,2. Dr 304, 3. 6. m|$ Sü-la-a a. Egibi, ummu a. Itti-"Mar- duk-balätu, Nd 12. 724,4. Cr 49. 123, 3. Cb 118, 2. /Ou-un-na-tum(bi Dr 452, 5 Schreibfehler?) Dr 438, 4. I. 7u|3 Ahe-iddin Dr 400, s. 452, 5. [459, s, s]. #Qu-ü-su-ia-da- (ws. *yavowp), ^"? rà Sarri Dr 301, 16. Rabá(Xu)-Xa)-" NinibV? (er GAL-" Ninió»? Dr 289,1. DrP 71,21. ^"? GAL(-a)-3a-? Nimib V? Nd 536,s. Cr 17,4 GAL-a-sa-" Ninib? Dr 265,5. GAL-a-Sa-"MAS. MAS (2) Nd480,.. GAL-a-su-Sa-" Nini? DrP 41,1. 2"? GAL- a-3u-3a-? Ninib? Dr P 41,u. "7? GAL-a-5u- Sa-"Ninib! Cb 373,12 Ra-ba-Sa-Ninlio]! Nd 990, 23, vgl. 887, 3(?). *"* ra-6a-.... Dr 563, 4; diese Schreibungen machen die Lesung Rabi-apilsu-Sa-Adar (DEMUTH, BzA III p.420) unmöglich), s. * Be/-Zpus 2, 4, Erba-! Marduk 22, Ina-ê$i-êtir 13, Igisa-a 71, Kup-pu-tu 1, "Marduk-kin-aplu 1, X Nabi-balåtsu-igbi27,-Sum-ukin 12,-udam- miq 6,? Nergal-uballit 18, Nür-" Bel-Iumur, Nüréa 8, Silim-"Bel8, Saddinnu 8, Tabnéa 27, Tukulti-2Bel 1. Rab-ba-a, s. *Nabi-êtir. Råb-båni ("®GAL-ba-ni-e| KAKC?, auch *"" rà) bani bitah, «Baumeister»), s. Ap-la-a 96, Ardi-! Bau 1, Ardı-" Bel 28, Arrabi 8, Ba- latu 16, 24, Dàninu 3, 5, 7, Pa-aq-qa 1, Ba-si-ia 6, "Bel-ahe-erba 4, -éfir 9, -étir- napsati 3, -ibni 2, -iddin 3, 5, 65, 88a, 105, 107,118, 127,-iksur 7, -Utannu $a, 27, -kasir 6, 23, 28, -/rit 3, -nàsir 4, -rimanni 4, 16, No 2. 173 20, 23, 36, -Sum-iskun 4, -uballit 58, 61, -usallim 5, 11, Dullut Y, Erba-" Marduk I, 9, 13, 18, 20, SEtillitum 3, Gimillu 15, Gimil-! Gula 5, Gu-da-du-á Y, "Gula-ba- lätsu-igbi x, /Hi-ib-ta-a 1, 2, Iddina ... 1, Jddin-" Bel 32, Iddin-" Nabu 87,108, Igisa-a 4, 11, 14b, /ti-" Nabü-balätu 28, Kal-ba-a 3, Kalbi-babi2, / KaY-Xa-a? 4, Kiribtu 3, Kur- banni-" Marduk 4,13, Låbåsi 20, 23, Liblut 6, 13, “Marduk-étir 7, 44, -nasir 13, 23, -Yapib-sfr 5, -Sum-iddin 19, 27, -Sum-usur 27, 38, -zör-ibni 27, Musezib-"Bel 15, 36, 45, Musezib-" Marduk 37," Nabü-aplu-iddin 7, 17, 34, 86, -balatsu-iqbi yo, -bullitsu 10, -etil-ilåni 5, -êtir 23, 25, -Ehir-napsati 42, 58, -zgbisu Y, -igisa 2, -ittannu 8, 15, -kin- sir Y, 6, 32, -nipsaru Y, -Sum-iskun 5, 55, -Sum-ukin 39, -Sum-usur 5, 14, -uballit 3, -udammig 9, -usallim 11, -zir-iqisa 12, -sir-Üisir 8, Na-din 4, 27, "Nergal-ba-nu- nul, -iddin 22, -ina-esi-elir 15, -Sarrani Y, Nidintum 35, 74, 78, Nidintum(-" Marduk) 2, 3, Niqudu 9, Nür-"Sin Y, Oa-b-" Marduk 1, Ra-Si-tlu Y, Rimüt 17, 80, Rimut-"bBel 32, 36, Su-ga-a-a 14, Si-il-la-*Marduk IP Sábin-Xum 6, Sa! Marduk-ul-i-uu 1, dj Samas-udammig I, -usallim 4, -2tr-uxabsz 5, Såpik-zir 60, Sá-la-a 32, Täbia 5, Täb- sil-"Marduk 1, 2, "Ubär 7, "Uras-bel- Same Y, -êtir 1, -Sapik-zir 1, "ZA. MAL. MAL-Sum-usur 1. Rab-bel-immirti(? ""@GAL.EN.GANAM BL 10257), s. .Su-qa-a-a 26 (Dr 371, 13). Rab-" Beht!, s. #Nabü-kusursu (Dr 542, 16) 3. Rab-bu-u, s. Id-di-ia (Dr 145, 5), /d-da-a-a 5. Rab-dis-Si, vide Rab Sussi. Rab-dum(?), s. Kabtia 16. Rab-kari (“!GAL-ka-a-ri, vgl. DAHW p. 350a), s. 2ZA.MAL.MAL-Sär-usur 2. Ràó-parzili (""GAL-AN.BAR), s. Marduk 41. Rab#-Sa-nas-Si? ..., s. #Nabt-aplu-iddin 37. Ràó-YuXK (emlGAL-Ÿ-ÿ, beachte GAL-[()-5 Nk 330, 1 = G/S-$a- IMER Nk 386, 13), s. X Bel-uballit 325, Låbåsi 86, *Marduk-kin- aplu 2," Nabü-etir 20,-kin-sir 17, Rimut 129, 2 Samas-ah-iddin 2, Zir-Bäbili12, Ziria 14. AMusézib- 174 Rab-tarbasi ("I GAL- BL 2664, «Hofmeister»?), s. Jddin-"Nabn 61(), “Nabñ-bêl-ilani 3, 2Samas-udammig 4. Rab-ü-ru-ü («Stallmeister»), s. /na-gibi-" Bel 1. Ra-düm(tim2)-mu) NbpM I 0,3 S. 2$amas- ah-iddin, Samsa-a. I. a. " Addu-Sam-me-e, s. " Gula-zir-ibni. a. E-til-pi, s. Zir-Bäbili. 3. a. ve pappalr, s. "Bel-ipus. /Ra-dim-tum Dr 379, 18. Rag-zu, s. * Nabü-Siom-usur 15. ®Ra-ah-a-ni (Nd 325,3), Ra-/-an-ui|nu (Nd 17. 18), Ra-hi-[ma]-an-nu (Nd 369, 3), Ra-ah-ha- ma-nu (Nd 287, 3. 294, 3) (ar.), s. “Nadu- edu-usur, -iddin, Ta-al-la. #=/Ra-hi-ma?- (Sklavin) Nd 257, s. #Ra-hi-me-su Axs (ZA IIT) 5, 15. 6,11. Ra-hi-i-me- e-su Ars 4, 3, 21. Ra-hi-mi-e-su Ars 7, 5. /Ra-in-du, vgl. / Ri-in-du. I. m/s /In-ba-a Dr 194, 39. X Ra-am-ma-ni-Se-zib (vgl. * Ad-du-Se-zib), S. Säpik- gir. /Ra-mu-üt-a, fRam-t-a, Ri-mu-a Nd 343, s. 630, 10. 990,9. assat Bånia NAM 16, a. assat Kidinnu-"Marduk a. "Bel-etir Cr 84-2-11,78. assat Na id-" MardukNd 113,6. aXíat Sü-la-a als Ziri-ia Nk 302, 4. 1. udi. LE-til-li-tum m|s"Del-usallim Nk 198, 4. 2. fé 2Samas-iddina a. %Sin-tab-ni Nd 178, 47. Ra-mu?-an-ni, s. Ahütu. /Rapsu-a-na-ah Nd 273, 2, 13. Rap-Su-" Marduk? Dr 157, zs. Ra-as-bi-" Ninib?, s. #Samaÿ-aplu-usur 5. Ra-Xi-ifu 1. al$ * Nabü-Ein-sir a.""* yàb bnt Dr [463, zc]. 775 IDiel D T (ors UI ro. 2. a. Egibi, s. Igia-a. #/Ra(It?)-ta-ah-Sa-ah, Tochter des Xerxes' Xrx 2,2, * Ra-za-am-är-ma (pe.) 1. als Ra-sa-am-ü-mar-ga- Cb 384, 2. * Ra-za-am-&-anar-ga- (pe), s. Ra-za-am-ár-ma. Ren (er! SIB(-i) alpi, sisi; «Hirt»), s. Akütu 1, Ap-la-a 38, Ardia 10, Ardi-" Gula 3, Arrab 3, 4, Balätsu 11, Banimu 4, Ba-si-ia 4, 2 Bel-ibni 8, 47, -iddin 51, 54, -2pus 8, 10, 12, -kasir 45, -nasir 3, -Sadünu 1, -Sum- iun 14, Belsunu 8, "Bel-usallim 32, Bul- 22 22, Knut Tallqvist. La-a 4, "Bunene-ibni 7, * Ea-Sum-usur 2, Gimillu 12, Ibna-a Y, Ina-gibi-"Del 2, Igisa-a 6, 12, Itti-"Marduk-balätu 11, Kalbi-"Bau 5, Käsiru 14, Kudurru 25, /Ku-me-pi-tum Y, Liblut 10, "Marduk-étir 5, -näsir 6, -Sum-usur 16, -z2r-usur 1, Musezib-" Bel 8, Musesib-" Marduk 25, 32, ? Nabu-ahe-iddin 13, 24, -balät-eres 1, -ba- lätsu-igbi 8, -ban-ahi 5, -étir 30, -etir- napiàti 25a, 32, -iddin 3, -kin-zir 30, -Sa- dünu Y, -Sum-iSkun 30, -tabni-usur 8, -udammig 8, Na’id-"Marduk 7, "Ner- gal-ina-esi-elir 10, -uSallim 8, Nidin- tum 76, Niqudu 3, /Qudasu 2, Rimüt 8, 25, Réinüt-! Bel 9, Silim-"Bel s, Sadáni 7, 2Samas-aplu-usur 3, -bél-ilåni 1, -dannu 3, -erba 12, -êtir 9, -iddin 15, -kåsir 4, -kin-aplu 5, -uballit 20, I Tablutu 1, "ZA. MAL. MAL-iddin 6. ZRi-ba-a Dem ZA III. Ri-bat, Ri-ba-a-ta|tá (vgl. as. Ri-ba(-a)-te 83-1- 18, 342,12 Bu 91-5-9, 209, 10. SU-a-te K 302,15. SU-a-ti Probename K 241, X 28; «Vermehrung»). ^"? ga//u Dr 454,4. 461, 4. S. I Addu-Sezib, Ana-mufhi-? Nabi-taklåk, X Nabüt-balätsu-igbi. 1. als XBel-etir Dr 364, ro. 2. als Bi-ba-ni Xıx 5, s, 7, 13. Ri(-e)-hi(-e)-tumlsi, m, 2 (hypokor. Kurzname, vgl. Nabü-rihti-usur u.ä.) Nd 475,9. 624,3. Cb 123,4. 170.7. 229,3. 230,4. 267,4. Dr 20,1,7. 200, 19. 218,6. ^" aYaridu Cr 204,6. "spara (birmu)Nd 818,4. Cb244,4. 256,16. ^"? galtu Nd 566,3. Cr 248,3. Cb 31. S. Ardi-” Gula 40, Musésib-" Bel, I Nabi-unamuar. 1. aff E-ri-$i Nbp (ZA IV) 20, zz. aff E-ri-Si a. *Sn-násir Nk 88, 9. als It-ti-ba-a-ku-ilu Cr 313, 14. 4. a. "Sin-näsir, s. MuSesib-" Bél, * Nabü-ahe- ulum, -gamil, -zir-ibni. /Ri-ih-ta-a, assat *5Qu-ud-du Dr 379, 40. Ri-1}-ti-ia (Kosename zu *Rihtu) s. ”Nabü-ahe- iddin. JRi--in-du (vgl. /Ra--in-du, /Ri-in-du), gallatu Nd 273,3, 14.0 2. ri -i-tum-#Bel, "* gallu Cb 8, 2. Rikis-kalåmu-" Bel (Ri-kis-KAK.A.BI]ka-lamjla- T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. 175 (Rikis-kalämu-" Bel) mu-! BY) Ng [11,8]. Na MII[65,e]. Cr 380,2. S. * Nabü-talimu-usur, Taltmu. Rik-ki I. al$ Iddina-a Dr 76, o. Ri-ik-su? Nk 276, s. Ri-man-ni (serbarme dich mein!») I. a. Su-ha-a-a Cr 111, 14. Ri-man-mi-! Bel, ré galla (Sa Sumsu Rimüt imt) Nd 697. /Ri-matlma-at? Nk 386, 10. Ng 2, 2, 11. Nd 205, 4. I. m|s "Marduk-iddin Cr 236, a. m|s I Nabh-Sum-iddin a. "Sin-tab-ni Nk 386. 3. a. Mu-$e-zib-"Marduk Nd 231, 19. Römät|„ (Ri-e-mu-utltult, «Begnadigung»; no. 56 abgekürzt aus Aömmnt-(bel-\llani, no. 121 aus Aiit" Gula,no.78ausRimüt-" Nabä(?), s. auch unter Rimannı-" Bel) Nk93,2. 315,12. Lab 3,7 Nd (1, ıs), 347, 3. 397,2 437, 16. 455,7. 488,4. 554,6. 697, 2. 926, 5. 960, 5. 980, 3. 982,3. 1022, 1. NdMII 47,7. Cr (46,2). 84,7. 117,15. 124,12. 135,11. Cb106,5- 135,3. Dr 341,7. 370,28. 510,5. Agade*-u-a Cr 360, 22. ? P 124, 4. “"gugallu Cr 126, 4. 176, 3. Cb 321, v. ^"? 7rryi3u Nk 452, 23. Nd 227,2. 307,8. Cr220,5. "277 år Sipri Cr 263. amelnappalu Nd 745,3. ZK II 324. Cr 30, 2. 276,6. 344,3. 354,7. Cb 98,3. 256,20. ^"? rab albe? Cb 225,6. """ganátu Nk 421, s. amëlfanon Cb 384,14 Cb 276,9? "2 $i-na- mu-4 Nd 640, 2. ^"? za-täk-ku Nd 1055, i. S. " Addu-ah-iddin, Aku-lifir, Ardi-" Bei, Ba-zu-zu, "Bel-ahe-ba-ni(?), -ahe-erba, -iddin, /Belit, "Bel-ittannu, Belsunu, " Bel- upahir, Erba-"Marduk, Gab-ri-ia, Gimil- il Sama 15, Jddina-a, Iddin-"Nabu, /Ilat, Itti-"Nabu-balätu, Kalba-a, Kina-aplı, Luli x, Mannu-damt, " Marduk-Sum-iddin 50, Mukinnu 2, Mirånu + 46, "Nabü- ahe-bullit, -eres 22, -éfir-napsati, -itannu, -kin-aplu, -tabni-usur, -usallim, -zir-igtsa, il Nergal-ah-iddin, /Ri-in-du, Silim-" Bel, J Su-qa- -i-tunt, Salt, 2 Samas-iddin, -uballit + 42, Taddannu + 17, Tâbi-ia, Ziria, JZu-un-na-a. Tr] Seats Nk 435, 1. Dr 75,13. Dr Pa 8,2. a. crêlÿ@iri Cr 196, 7. ARRETE a. Egibi NAM II 63, 4. ae a. ae Pn-Se# Nd 313, 4. 5. als A-hu-ma-a Cr 345, a. als A-ku-nu NAM II 58. als Apla-a a. Ardi-"NergalNd 470, 8. 479,11. 616,1. Cb 330, ». 331,4 Smd(ZAIV)8,rr. Dr 174, 5. als Ardi-" Gula a. ^"? 722 alpe Nd 881, ro. als Ba-la-tu Dr 474, zz. 10. als Båni-ia Dr 147, zr. als il Bel-ahe EN 44, 7: als *BéF-àh-uXabsi a. rl... Dr 378, 7r. als X Bel-ibni a. ^"? nà$ patri kari Dr 386, er. als "Bel-ibni a. ^" Sang? iSamas Nk 73, 15. 15. als * BéL-igísa a. Mu-Se-zib Dr 395, 22. 396, 20. I #Bel-kasir a. Ardi-" Ea Nd 307, is. 2 Bel-kåsir a. ^"? ràb bani Dr P 61, 7. $ "B&P-H& Nk 42, 7. t VBOLITR a. nappali Nk 400, 16. #Bêl-na-din-aplu Nd 69, 2. als 2 Bér-Sum-ibui Nd 466, 4, 12. | 20. $ * Bél-uballit a. Ir-a-ni Cr 264, 10. il Bel-usallim a.” Addu-Xam-me-e Cr 301,15. X Bül-ta-a a. ^"? Pa-se" Dr 319, 77. 5 Bul-ta-a a. "rei sis? Dr 260, s. 4 Y Ea-uXallim a. """3angt "Delit Ninua Nd 231, s. 25. à als Gi-l[u-f-a a. Da-bi-bi Nd 204, 9. als Gu-ul-tam-am NK 357, s. Gu-sa-a-a Dr 440, n. 30. a3. lddina-aku a. Mu-kal-lim Cb 192, 2. Iddina-a Dr 435, 7. als Iddina-a a." masar? bb? Art CIS 1166. als Iddina-a a. Tu-na-a Dr P 110, ss. IX als lut-musi-set-nu a. """$angi Agade Nk 73, 4. als Mna-ki-bit-"Nabun Nd 720, s. ki 35. als Kr-rib-tu a. U-bal-lit-su-" Marduk Nd 194, zr. als Kudurru, "2 gu-gal-la $a *"" abarakku Nk 63, 3. al$ Ku-na-a a. "^"? bri Dr 37,36. al Kur-ban-ni-" Marduk a. Épes-ili Nd 395, zz. Nd M 13, 2. 14, 18 als Kur-ban-ni-"Marduk a. Kalbi-* Sin? Nd 796, 16. Cr 168. 40. a|3 La-a-ba-Si a. "hån Dr 492, 5. 176 (Römitt|.) als Li-si-ru a. ""Unappahi Cr 137. 245, 3,7. als Mar-duk-a Nk 70, is. als 7Marduk-erba a. "Sin-ih‘£) Ev rr, e. Ng 8, so. 43, 16. Nd 63, s. als 7 Marduk-er-ba a. "u. muk Nd 116, as. 45. al$ ”Marduk-usallim a." pahari Dr L 20, r4. als *Marduk-sir-ibni a. Ir-a-ni Nk 316, o. als Mu-Se-zib-"Bel a. Ba-bu-tu Cb 273, 15. als Mu-Se-zib-"Marduk Dr 114, 2. 483, zs. 5 2 Nabü-a-a-hı Cb Ba 1, s. Dr Ba 3. 6. 50. als *Nabñ-ban-sir a. Mannu-gi-ri-su NAM II 65, zs. als #Nabt-êtir a. Abi-ul-idi Nk 172, 20. als * Nabi-iddin a. """aug? "Nabn Nd 108, 13. als "Nabu-kin-aplu Nd M 25, s. als * Nabü-Ein-aplu a. Balåtu Nd 42, 15. 55. als 7 Nabü-kisir a. Ka-?-nu-ilu Nd 82-7-14, 725. (COTES, MC (Gar) als * Nabü-Ei-Xír a. Za-zak-ku Nk 185,15 = KRimii(-bel)-Uani q. v. als Nabñ-lu-è-tir a. ^"" angl ? Addu Nk 330, 5. ) als "Nabü-ma-lik Ng 69, 13. als ?Nabü-mu-Se-ti-ig-urri a? Di-ki-i Cr 275, 9. 60. als " Naóg-nàásir a. ^"? Ma-la-hu Nd 682, is. als "Nabü-rihli)ti-usur Nd 681, 6. 787, 2. 813,3. 884,5. Cr 149, 3. 219, 3. Dr 379, 33. als * Nabü-3àr-ibui Cr 364, 15. als *Nabü-Sum-iskun Dr 362, 22. als *Naóá-Xam-is£un a. Ga-hal Nk 152, 72. 166, 20. 188, 5. 191, 2. 212, ». 214,3. 369, sr. 407,13. Ev 15,5. IQ, ze. Ng 2, 19. 7, 17. 64a aff Nabñ-Sum-lifir a. ... Dr P 116, s. 65. als "Nabü-uballit a. Ri-Si-ia Dr Pa 12, 50. $ X Nabá-ü-sur-3u Nd 463, s. $ #Nabn-zir-ibni a. Am-ma- NdL 2, zo. |* *Nabü-s£r-iddin Dr 272, zr. [5 " Nabü-ztr-igf$a a. ^""ba'iri Cr 345, #. I$ Na-din a. " Sin-nàsir Cb 164, zz. Na-di-nu a. * Sin-Sa-du-nu Ev 23, 5. 477, 7. 906, 12. als "Nergal-etir Nd 526, 14. als ?Nergal-Sinn-iddin Ng 20, 4. als ”Nergal-uballit a. ^"? ^ahari Ng 29, in. Nd Knut Tallqvist. 75: 80. oo Ut 90. 95: 100. 105. IIO. Y als "Nergal-usallim a. Si-gu-U-a Nd 141, 9. Cb 43, zs. als Ni-me-qu a. Man-di-di Nd M 13, is. als N&r-" Sama Cb 417, s. al$ Pir- a. Epes-ili Cr 123,18. — Römåt- 2 Nabü 12. als Su-ga-a-a a. Egibi Dr 494, c. als Sil-la-a a. """ràb bani Nd 116, s. $ 2Samas-sir-ibmi Dr CT IV 21, 4. I$ ?Sulmön-aht-iddina a. "!ispari 742, 10. als St-Ium-ma-du Cr 328, is. als Süm-ukin a. Iddina .... NdL 15, 22. |S Ta-ad-dan-nu a. 2! 6a iri Dr 300, is. a Ta-gis-"Gula a. Epes-ili Dr 319, ze. als Za-kir Cr 200, s. als *ZA.MAL.MAL-napistim-usur a. Ar di- “Nergal Dr 431, ro. QM T , S. Müränu, "Nabü-éfir-uapsáti, 7 Samas-äl .... RE aplu-iddin Dr 180, s. a. nel abi biti, s. "Bel-iddin. a. Abi-ul-tdi, s. Zirutu. LANDES ‚s. Belsunu. a. Ahu-bami-i, s. "Bel-asaridn. a. Ardi.... Cb 44, ss. a. Ardi-" Marduk, s. "Nabü-etir-napsati. a. Ardi-"Nabn, s. Mannu-damn. a. Ardi-"Nergal Cr (91), s. ?Bel-usallim, Gu-sa-nu, Ina-Esaggil-zir, * Marduk-étir, i Nergal-Sum-ibnt. a. AS-ka-ri Dr (224, 13). a. "Asur-kit-su-nu Cr 360, 21. a. Ba-bu-tu, s. * Dél-ibui, "Nabü-bullitsu, Sirigtum-"Marduk. a. pa iri Nk (42, 19), s. Erba-a. a. Ba-ku-ü-a Nd 934, 4. Cb 141, s. a. ^"? and, s. " Nabüi-Sum-imórt. a. " Bél-étir, s. "Bell" Nabü-aplu-iddin, -£pus, 7 Marduk-igisanni, 2Samas-uballt. a. * Bunene?-ibui Cb 141, 7. a. Da-bi-bi, s. " Ea-erba, Etillu, Kabti-ia, 7 Marduk-balätsu-igbi, Muiésib-" Marduk, Oisti-" Marduk. a. Daml|ga)-"Addu, s. Immiri-ia. a. Di-ki-i, s. " Bél-addin, *Nabi-iddin. a. " Ea?-im-0i, s. "Nabn-bulltsu. T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. (Rômütls) 113 115. 25 130. 135. 140. 145. a. “Ea-pat-ta-nu Ng (1, 24). a. Egibi Nd (459, 9), s. Nidintu. a. Épes-ili Nd (1068, 10), s. Båni-ia, " Nabü- musetig-urri, Nàdin, Nâdin-aplu. Etiru, s. " BéLittannu. anét(2 TS. SA. PA. PIN-e3(), s. Låbåsi. Hu-ba-su Nd P (91, 19). Jddina-a Dr 435, 16. Il-tam-mar-" Addu, s. "Bel-iddin. . Ka-nik-båbi, s. Süzubu. . La-ku-up-ru, s. Nabi-iddin. . Liga, s. " Sulmán-Xum-iddin. . Mi-sir-a-a (= Rimüt-" Gula 4), duk-erba. Mu-kal-lim, s. Mináü-" Bél-da(-a)-ui . Na-bu-un-na-a-a, s. Iddin-" Marduk. anölyaggari, s. Ardi-" Naba. . "ea hbafi, s. " Nabi-étir-napisáti. . Nür-" Na-na-a, s. ! Ea3-abu-usur. . rélbahart Cr 160,11, s. Ardi-ia, "Bel- aplu-iddin, -Sum-ukin, Bül-ta-a, Lisiru, " Nabü-musetig-urri, Na-din. amëly ab bani, s. Erba-" Marduk. en yb Sussi? Nk (328, 15). anc yb tarbasi, s. Nabi-bêl-ilani. y ^"? 272 Cb (429), s. "Bél-Zpu3, "Nabü- tabni-usur. Sik-ku-t-a, ? Sin-da-a-a-in, ad. s. 2Mar- ^ s. " Bé-iddzn. s. Ardi-" Sin, Iddin-" Bel. 2 Sin-ilu, s. LiSiru. 2 Sin-imittu, s. Iddina-a. X Sin-näsir, s. " Bél-ibui, " Ea-iddin. 2 Sin?-ü-tu, s. ! Marduk-hatin. Sip-pi-e, s. " Nabü-Xum-ibni. 1. Su-ha-a-a, s. 2Bel-usallim. Sal-la-a-ilu Cr 172, 3. Sa(-bi)-na-i-Xu, s. * Bél-iddina. 2Samas-ba-ri, s. Ziria. s. " Nabü-ipus. CEST DES ep 09 =, Sa-na-S-$u, s. ?Samas-sör-ibni. ame $ange #Bêlit Ninua, s. Musezib- 2 Marduk. or sangi Dilbat, s. Kalbi-" Bau. emêlfanoi Gula Nd (601, s). a. ?"H ano? [stay (Bäbili), s. Gimil-" Samar, Nidintum. No. 2. 177 a. Tapi-pi-i Nd M II 46, e? 152. a. Tu-na-a Nk (141, 13). VRAI os otc I. als * Bél-zr-ibui a. ....? Nd 461, 16. Ri-mut-? Nd 237, 26. I. [a]s] i Samas?-ahé-bullit a. Nk 29, 12. 2. a. @möljspari, s. " Nabü-ahé-iddin. Ri-mut-" Ba-ü|Bábu,"* aal/u Nd 801,3. Dr 379,37. 386, 5. S. Ibna-a. I als Musezib-" Bel a. Lüsi-a-na-nür-" Marduk Cb 125, 5: als "Nabü-ahe-bullit a. Mu-Se-zib Cb 167, 13. 391, 7. 409, 15. 3. a. Enappahi, s. "Nabü-ah-rimanni. Rimit-"Bel (Ri-mutlmu-ut|tu-" BY) Nbp (ZA IV) 12,2. Nd(75,19. 236,15. 278,1» 739,9. 849,12. Cr 118,9. 260,4 312,33 326, 19. 362,9. 364,23. Cb 44, 30. 151. 194,2. 302, 9. Dr 253,1» 299, 10. 328,2. "2 daianu Nd 776, 13. """eucallu Dr 324, 2. Sa muhli esru Cr 258. S. Bän-zir + 8, Ba-si-ia, QUIS 2702 ete X Nabü-étir-napsàti, -ittannu, "Nergat- iddin, Sim-usur. Tow SESS ESAE d Dr 187, 22. 331,4 Ng 72, 10. STR aa Se a. !Bel-£tiru Dr 221, 2. I TOC a. Su-ha-a-a Cb 53, 8 als " Addu-ahé-iddin a. Egibi Dr 409, 25. 5. als " Addu-ióni Cb 436, 4. als Apla-a Nk 235, 1. als Ardi-ia Dr 229, 16. als Ardi-ia a. "hån? Dr 159, ı7. 182,8. 189,78. 215, 9. 217, ro. 249, 11. 273,23. 286, s. 206,23. 318,12. 325,30. 347,17. A1O,25. 439,19. 440, 11. 492, 19. als Ardi-ia a. ^"? y22 Nd 11, zz. 10. a]. Ba-lat-su a. "Samas-a-ba-ri Nd Open &% als "Bel-ahe-erba a. "Sin-umittu Nd 67, i. als * Bél-ahé-iddin a. "Sin-da-ma-qu Dr 210, 13. als * Bel-åh-iddina. ID. GÄL-N-e-aNd974, 6. als *Bél-étir Dr 435, zs. 15. als ?Bel-etir a. Dul-lu-bu Nk 47, 12. als “Böl-iddin a. ÄS-Sur Cb 284, 3 als "Bel-igesa a. "Bel-£tiru Cb 1,11. 55, 12. als "Bel-näsir a. ""bairi Nd 665, 15. X Bel-Sum-iSkun a." naggari Cb 192, zs. 23 178 Knut Tallqvist (Römüt-" Bel) 20. 25. 30. 35: 40. 45. 50. als Bel-Su-nu a. Ahe--u Dr 133, ro. als BéL-Xu-nu a. Zir-a-a Dr 323, 56. als "Bel-uballit a. "Bel?..... Nd 188, 13. als * Bél-uballit a. *Sin-$a-du-nu Ev 23, 3. als ?Bel-zer-ib-ni a. Sa-am-ma- Nd 755, 4. Vel. Nd 461, 16. Nd M 27, 8 Cr 146,1. als “Bêl-sér-ibni a. Sap-pa-a-a Nd 427, 4. a|$ Du-na-nu NÅ 445, ro. 1100, s. als Erba#Marduk a.”Eman-di-di Dr 284,3]. 312, s. [379, w]? 400. als Gu-za-nu Dr 526, ro. als Ibna-a Cr 380, 9. als Zddinla-aku a. *Ea-pattanni Nk 368, ». 403, 7. Nd 102, &. als Jddin-" Nabí a. """ gallabi Dr 399, 9. als Jddin-"Nabh a. ^"? rab bàn? Dr [345, zs. P 66, ol. als Igisa-a Nd 1054, a. als Igisa-"Marduk a. Iddin-" Papsukkal Nd 637, 2. als Kabti-ia (Nd 977,5) vide Römut-" Nabi 5. | als Kabti-id a. "Rab ba-ni-e Cb 8, ro. als Kabti-ia a. ""? Yang? "Sin Nk 161, zz. als Kur-ban-nu-" Marduk a. "Bel-etiru Dr (CA NV 4i, o als La-a-ba-$i a. Im-bu-päni-ia Dr P SS, 5. als Liü-"Marduk? a. *Ea-pat-tan-nu Nd 580, 16. als Li-si-ru Dr 370, sı. als Li-K-ru a. """zappahi Cr 245, 3,7 = Rimüt AL. als "Marduk-etir a. Etiru Nd 216, 6. [803,3]. CrPi 16, 15. af “Marduk-nâsir a. ÄS-Sur-a-a Nd 817,20. als *Marduk-nâsir? a. Sangt "Za-ri-qu Der ue, (ett NIE 20, da: als * Marduk-gir-ibmi a. *2!ba’iri Cb 218, 15. als MusSezib-" Bel Cr 44, ro. y als Mu-Se-zib-"Marduk a. Egibi Nd 325, 13. als *Nab£-ahé-iddina a. ""Sangi "Addu Nd 375, 2r. 619, 17. |* ?Nabü-ban-zir a. ^"? abi biti Cr 362, rr. als * Nabáü-musétiq-urri Cr 120, 2. als "Nabü-nasir Nd CT IV 30, s. |* X Nabü-na-sir aJ Bél-aplu-usur Nd276, 13. Q E Nk 205, vr. | 55. 60. 65. 70. 75: 80. 85. 90. als 7 Nabü-ni-bi-rum-Uani a. "Sin-iu Nd 542, 7. als * Nabü-Sum-iddin Dr 412, 7. als * Nabå-Sum-iskun a. "'Sin-ilu Nd 903, 9. als 7 Nabü-Sum-ü-kin a. Nu-u-bu NÅ 426, a. 974, 3. als "Nabü-ta-ri-is a. 343, 74 als 2 Nabü-zir-ukin a.? Sin-Sadü-nu Nk403, 15. x 2 Nergal-uballit a. Ardi-" Ea? DrP 63, zo. X Nergal-useziba. Ardi-'NergalDr 259,18. Ni-qu-du a. Su-ha-a-a Dr 551, 19. Sum-ukin Dr 164, 17. 167, 3. 310, 2. Saüm-usur(?) a." Ea?-pat-tan-nu Nk 368, r2, vgl. no. 30. * Za-lim Cb 391, 4. |* Ta-gis-"Gula a. Si-gu-á-a Nk 426, 3. als Usabsi-" Marduk a.” ? iddin? Nd 1057,:. | 7 Ba-ilu-tu-ibni Cb als Za-an-zi-ri Dr P. 136, 10. als Ziri-ia Dr 505, 9. als Ziri-ia a. Mi-sir-a-a EN 24, 4. als Zir-ukin Dr 144, 3. CAGE , 8. Puhhuru. a. ^"? obj biti, s. Marduk. a. " Addu-Sam-me-e, s. Iddin-" Nabå. a. (emil) Ardi-" Nergal,s. Iddin-" Nabá,? Nabü- Sum-imbi. a. ^" allai, s. Dummugu. a. Da-bi-bi, s. * Bél-uballit, Dan-a-na-" Bel. a. *' Ea-épes-ili, s. " Nabá-nàdin-afhi. a. Egibi, s. /Ina-Esaggil-bêlit, * Nabá-éfir, -musétiq-urri, 2$amas-unammir. a. Ir-a-ni, s. * Nabå-ittannu. a. Ka-nik-babi Nd 558, 17. a. Liéa, s. Erba-" Marduk. a. élmasar abulli, s. 2 Nabü-Sum-ibmi. a. Mi-sir-a-a, ^"? daianuNd 720,22, s. " Mar- duk-Sum-usur, " Nabü-kisir. Mu-kal-lim, s. "Bel-ubalht. antyappahı, s. "Bel-aplu-iddina. Nür-!"Marduk, s. "Bel-käsir, Bul-ta-a. Nür-" Sin, s. * Bél-aplu-iddin. amt paharı Nk 102, s. amelPa-Seki, s, Ban-zir, Lüsi-ana-nür. . " Sin-imittu, s. Ba-zu-zu, Dumuq. Sip-pi-e, s. " Bél-nàdin-aplu, Erba-a. Å Sa-na-Si-3u, s. SAga-a-a. SRE SES T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. (Römüt-" Bel) a. "rel aye Samar, s. Gimillu. a. Si-gu-tra, s. Ba-ni-ia. 95. a. Ul-tam-mar-" Addu, s. Nidintum. 96. a. Za-an-ni-e-tt, s. " Bél-eróa. Ri-mut-Cbél-ili®) (no. 1 abgekürzt: Rimut-ilit” und Ant) 1. als ?Nabü-ki-sir a. Zazakka Nk 199,8. 200,6. Evorr. 14,74. Abgekürzt: Lmät-ilif 5 und Rimutr 56. af Sul-Iu-mu a. Egibi Nd 802, 12. a. Ahu-ba-ni Ng VR 67, 1, 5b. a. "Bel-Etir, s. " Bél-r& üSunu. 5. a. Ka-nik-" Babu, s. "Bel-iksur. Ri-mut-" Ea?, s. "Bel-eres 9. Ri-mut=" Gula)? Nk 36, 4, s. Nigudu. I. als "Marduk-erba a. Mi-sir-a-a Dr 328, rr. als Sil-la-a a. "*ispari Nk 316, ro. als Sk-la-a a. Ir-a-ni Nk 261,17. Nd 51, 8. a. Mi-sir-a-a (= Rimüt 121), s. "Marduk- erba. 5. a. Sag-gil-a-a, ^"? daiamu Nd 1128, 37. 6. a. ^"? Yang? parakki, s. " Marduk-Xim-ibni. Ri-iiut-ili?) (no. 5 abgekürzt aus Rimit-bel-ilit”) Nd 806, 2. 1099, 5. Cr 163,5. Cb 194, 20. 209,4. 266, 12. 421,6. Dr 89,8 218,& S. Apla-a, "Bél-iddin + 108, ? Nabü-ahé- bullit 5, -ah-iddin 8, -êtir 40a. 1. als *BéF-àh-iddin Dr 111, zz. als "Bel?-udammig Nk 115, 22. als La-ki-pi Cb 2092, 20. als 7 Marduk-Sum-iddin, """ angi Szppar i Cr 181, s. als #Nabñ-ki-Sir a. Za-za-ak-ku Nk 108, 9 = Rimüt-bel-ili 1. 6. a. "Bel-ah-iddin Cb 131, 8. "Ümär Sipri | Nd 649, 6. Ri-mut-mär-Bar-sip Cr 135, 1. Ri-mut-" Nabi‘ (no. 12 abgekürzt: Kant) Y Ardi-" Nabi a.""? $7-rig ?* Naóit Nd7 50,14. 5 ?Belipus Dr 122, 4. Igisa-a a. Saggillatsu Dr L 20, zs. Kabti-ia Cb 109, 6. Kabti-ia a. " Szn-tab-ui Nd 621, 4. Lióu-ru Nd 1110, zz. X Nabü-àh-iddin a. " Bél-étiru Dr 418,7. Jddina-ahua.lddin-" PapsukkalCb120,21. | I | | | | 179 als Nabi-êtir a. Är-rab-tum Cr (198, 5. ISI. 10. a]$ #2 Naóü-éfir-napsati a. ? Dr 551, zz. als "Nabü-musetig-urri a." Sin-ibni Dr P 48,5. ılaal$ Pir- a. "Ea-epes-ili Cr 130, 14. = no. 12 und AvzZzt 78. als ?" Sama-pir-ugur. a. Épes-ili Cr 29, 20. 143,H. 146, 4. 154,4. 362,9. — no. IIa. als " Uras-Sum-iskun a. Man-di-di NdPa 2,4. als "ZA. MAL.MAL-iddim a. Ga.... Dr 133, 18. 15. a. * Bél-étiru Nbp (ZA IV) 12, 13. a. ? Ea-epes-ili, s. " Nabüt-nàdin-af. 18. a. "naggari Dr (388, 16). Ri-mut-" Na-na-a ts A Sama-zir-ibui a." Bel-aplu-usur Ct 254,3. Ri-mut-! Sama 1. af Muiézib-? Marduk a. Epes-ili Nd 479, is. 500, 16. 4 Ri-in-du (vgl. /Ra-in-du) I. 22]3 Ri-mut Dr CT IV 43, 4. Ri-si-i (vgl. as. Ri-sa-a-a K 421,9. Rm 167, 24), s. /Qudásu 3. /Ri-Sa-tum (vgl. Vollnamen wie 7 4-a-ri-*a-at- zlåni) Nd 67, 15. Rıi-Si-ialid (Kosename), s. Azmütu 65, "Urai- Sum-usur 1, uallum 1. Ri-Sh-d-a (= Ri-Si-ta), s."Bel-U-kullati Y, Nabi- ahe-bullit 60, Napistum 4. 7 SAr-aplu-iddin 1. al! 7Nabü-ahl-iddina a. Sigha Dr P. 143,15. Sabasku? gallu Art 84-5-22, 311. Sag-di-diti Nk 311, s), s. Balatu 47, Bani-ia 12, Bän-zir 1, "Bel-ahe-igisa 11, -iddin 120, Est-etir À, Gu-za-nu Y, Iddina-"Bel 13, 45, Jna-Esaggil-zér 3, Itti-" Bel-lummir 4, Kudurru 5, Kurbannu-"Marduk 15, Lå- basi 12, Mznü-a-na-! Bel-daianu 2, Muse- sıb-" Bel 29, Musezib-" Marduk 51,” Nabü- ahe-iddin 25, -ban-zir 2, -Sum-imbi 1, -zír- désir 16, * Nergat-étir 7, -uballit 15, -usal- lim t, 2 Samas-Sim-ukin 4, -Sum-lisir 4, -uballit 10, 18, Sum-iddin 4, Tagis-" Gula 7. /Sag-ga-a I. ın|s X Ea-ki-i-ni Dr 430, 13. Sag-gil, s. Kurbanni 5. 23* 180 Sag-gu-a-a, Sag-gíl-la-a-a, Sag-gil-ia, Sag-gil- li-ia, Sag-gil-a( Dr 568, 1), wechselt mit E-saggil-a-a) Nk 105, s. 420,3. S. Båbilu- kuddin Y, "Bel-aplu-iddin 3, -bullitsu 5, -iddin 17, 86, 243, -itiannu, -kåsir 38, Bel- Sunu 35, "Bel-uballit 33a, -usezib 13, -zír- igi$a 1, Bulta-a 5, 9, Bullutu 2, Erba- #Marduk 17, Iddina-a 13, Itti-" Bel-balatu 4, Itii-”Marduk-balåtu 23, ltti-" Naba-ba- låtu 41, Kasiru 7, Kidin-"Marduk 3, Labäñi 3, 10, 19, 60, Liblut 48, LiSiru 8, X Marduk-säpik-zir9,-Sum-iddin 37," Nabü- ahe-iddin 2, 22, -éfir 13, -kasir 14, -kin- sir 3, -Sum-lisir 5, -uSallim 13, -zér-igita 9, -zör-Usir 19, Nadinu 52, Nidintum 51, 62, Nidintum-" Bel 11, Nigudu 6, Nubta-a 17, Nürea 10, Römüt-" Gula 5, Ziri-ia 24. /Sag-gi-la-a-a, gallatu Nd 584, 7. Sag-gil-lat-su (DrL 20, 13), s. Römüt-" Nabit 4. Sag-gil-lulli Dr P (82,16). S. Kurbanni. 1. al$ Nädin-ahi a. "Bel-£tiru Ng 72. 2. a. melyab bant, s. Arrabi. 4 Sag-eil-ra-mat, vide Zna-Esaggilra-mat. Sag-gu-a?-ta? Nk 40, 4. Sa-ak-kit-ta, """ ei-ba-ra-a-a Dr 458, 14. Sa-la-mu Dr Pa (8, x), s. ?Bel-iksur 10, ?Uras- gir-ibni 1. Sa-ma-ki-ilu (vgl. he. 371990) 1. al$ Sa-lam-ilu Nk 138, 2. #Sa-man-na-pi-ir Dr 301, [1] 29. Sa-am-ma-ku, S. Gu-za-nu 38. Sa-a-mu (sdunkelfarbig»), s. Madin 98. Sa-mu-ü-a (HILPRECHT, BE IX, vergleicht he. rat?) Nk 310, 2. X Sa-par-ri-ibni Cb 410, 14. 1. als A-ta-na-ak-ilu Cb 329, vr. Sap-pa-a-a, Sap(Sap?)-pi-e-a, s. "Bel-ibni 20, ? Nabü-eres 12. Sa-ri-ia (vgl. Sa-ra-a-ilu, Probename 83-1-18, 695, III 15, /Sa-ra-a-a HABL 220), s. /Eristum. Sa-si-ia(Kosename aus såsu(?); vel. Sa-sz-i Probe- name K 241, X 8) 1. als X Nabü-iddina Ev 6, n. Sa-sin-nu (mit Determinat. ^"? «Juwelier»?) DrP | (103, 14). Si [id-a-tu|tum (vgl. Is--at) Nk (93, 13), s. Ba-ni-ia 18, Gimillu 27, " Nabü-muk-ki-e-hb 4. Knut Tallqvist. Sz-ba-gir Cr 226. ... Si-ka-ab-bil, vrélafarid sarri Cr 243. /Sik-ku-t, gallatu Nd 75,1. Cr[284,s]. Cb 189,4. Dr 379, 18,46. assat Läbäsi Cr 294, s. I. zz]|* a a. Da-bi-bi Nd 830, s. 2. m|s I Taf-pa-a$-ra Nd 807, s. Sibbha (Sik-(ik-)ku-u-a|Si-ik-kul-u-al®? Cr 126, 18. S. #Bêl-êtiru, -iddin 156, Di-na-a 3. Iddin-ahu 8, Iddin-" Bél so, lddin-"Nabü 83, Kina-aplu 8. SSik-ku-ut-tum, Sik-ku-ti Nd 316,7. Dr 340, s. 379, 51. I. zu|3 * Bel-usallim Ng 20, 4. SAT I. a. Nür-za-nu, s. Igísa-a. Si-lim-" Asur! L a. Mu-Sal-lim-"ASur! Cr 360, 24. Si-lim-"Ba-ülbäbu (ohne ?), ^"? gallu Nd 769, s. I. a|* Jó-na-a a. Egibi Dr P 75, 16. /St-liam-"Ba-hu Cr 287, 39. | Suim-! Bel (Si-lim]|li-im-"B}) Nk 307,4. Ng 7. Nd | 69,11. 218, 8. 593, 2. 666, v. 967, 2. 1020, 17. S. /ddin-" Naba, * Nabü-rihtum-usur, -zör- ibni,"Nergal-usallim, Sadinu 18, i Samas- Sum-iddin. Ardi-"Nergal a. Ib-ni-ilu Ng N R67, 1,4. als Balät-su a. Dan-ni-e-a Nd 954, 7. IS Ba-la-tu Nk 89, i. 366, 13. x Erba-"Marduk a. "Bel-mus-Sil? Dr 522, 20. DrP 100, 73. 5. als Jddina-a a. “rei sisi Nk 97,10. [210,14]. als Ina-Esaggül-zir a. ""* abi biti Cr 86, o. als Igisa-a a. Egibi Nk 166, is. | als Igisa-a a. "* yaba-a-Su-Sa-"Ninib! Cb 373 1. als Kudurru EV 3, 7. als Lüsi-ana-nür a. "Sin-Sa-du-nu Dr 82,12. als Mar-du-ku Nd 738. als * Naóá Nk 9r, 19. als "Nabü-ahe-iddina a. Qagqada-ni-tum Nk 231, 4. Nd 790, 3, z2. 722, rr. als ?Nabü-balät-su-ig-bi Nd 16, 4. als #Nabñ-na-din-aplu a. Kànik-bàbi? Nd 210, 72. als "Nabn-usallim a. ^"? ba iri Nk 408, is. als Nad-na-a-a a. ^"? bàn Nk 316, zz. als Ri-mut Nd 526, 4. I5. T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. (Szlim-" Bel) af Sum-ukin a. "b@iri Ng 26, o. DEN MENT Nk 240, 26. a. Amel-" Ea, s."Bel-ahe-igisa, " Nabü-käsir, Taddannu. a. Da-bi-bi, s. Ardi-ia. a. Dam-qu, s. "Bel-iddin. a. Di-ki-i, s. Ardi-"! Gula, * Nabü-kin-zir. 25. a. Egibi, s. / Kupputtum. a. E-til-Iu Nk 249, se. a. ?"?jY5ay, s. Tabnea. a. Kalbi-"Sin?, s. Lüsu-ana-nür. . Ka-nik-bäbi, s. Balätu. . Mar-duk-ü, s. Liblut. . Mu-kal-lim, s. " Nabi-udammiq. aneiyappali, s. ?ZA.MAL.MAL-Fm- iddin. a. "Sin-karabi-isme, s. "Nabü-Elir-napsäti. a. " Sin-Sa-du-nu, s. "Naba-ittannu. 35. a. ""? Yang? ! Ea, s. Ardi-ia, "! Nabü-usursu. SSi-lim-" [Star 3, gallatu Nd 348, 10. Nd L 13, 6. Cb 365. S. 2Bel-ibni. 1. m|$ Ku-ri-gal-zu a. Sa-ma-N-iu Nk 283. 342, 2 344,6. 345, 5. 2. M. Sa-na-ii-iu, s. " Gula-qà iat. Si-lim-" Marduk! Cr 40, 13. 4 Si-lim-! Na-na-a 1. m|$ Ziri-ia a. Na-ba-a-a Nd 15. Sz-u-Iu-" Bel! Cr 161, 34, 37. * Sy-Z-Iu-u&, Sarru («Seleucus») Sel CT IV 2r. 2 Sinl-abu-usur I. als ?Ad-du-ra-hi-i Nd 578, c. 2 Sin)-ahe-bil-Ut| TIN, s. 2 Bel-ibni 16. I. a|$ "Nabü-Sum-iddin a. Su-pi-e-2 Nabk . Cr 242, r2. 2Sin!-ahé-iddin Nd 79, s. 1. a. Pir, s. "Bel-uballit. 2Sin!-åh-eres (PIN-es), s. Ardi-" La-as. 7 Sin'ahe-Sullim, s. Kabti-1a. X Sin!-åh-iddin Nk (34,9). Dr 5,4. S. Abi-ud-édi, Midintum. 2 Sin!-ana-bitisu(-anal|a-na-É-$u), s." Nabü-usursu. I. als Ardi-”Båni-tum Dr 366, zo. 2Sin-apil-sarri-usur (S1- TUR-LUGAL-PAP) I. als Pa-a-si-ia, ^"? galfu Nk 382, s. V Sinl-aplu-iddin 1. als Ki-din Ng 49, 1. No. 2. 20. 30. 181 Sin!-ban-beil?) Dr 370, s. 2 Sin'-bel.... (Dr 39, 12). 2 Sin'-bel-u-sur, 7""alaridu sa Kambuzia, s. Atkal-ana-" TUR.SAG.GIL. 7 Sin)-da-a-a-in|da--in Dr (66, 10), s. Ardi-" Sin 2, Balatu 17, Güzanu 39, Iddin-" Bel 49. 2 S5 -da-ma-qu|SIG|K AL Dr 367,28. Dr (407,1), s. * Bél-ahé-iddin 16, -aplu-iddin 7, -étir 30, -rimanni 12, Damgi-ia 2, "Marduk- Sum-iddin 8, *"Nabü-ahe-bullit 13, -ahe- iddin 9, -ittannu 2, 41, * Nergal-iddin 13, Rimüt-" Bel 12, Siriqtum-" Marduk 1, Sum- iddin 6, Ubår 13. /Sı-in-di-ia Cr 287, se. 7 Sin-erba (!S!-SUlerli-rıl-ba), "2 sz .. . . . . Nd 55,4 amél $qartenu Nd 64, 3. 1128, s, 30. 1. al$ ?Samas-Sum-iddin a. .... Dr 30, vr. X Sin'-ere$ (KAN|PIN-es) Nk 125,2, s. " Dél-iddin (Dr WM 5), /Täbatum. 1. a. Ibni( Épest)-ilu, s. * Bél-iddin. 2 Sin!-étir Nd r48,s, s. “Bél-iddin, "Nabü-ahe- iddin 5, -a-a-lu, Sullumu. X Sin’-ga-mil s. Bu-na-nu 4. 2 Sin!-ibni (KAK) Dr 94, 12. 414, s. Cb 402, 13, s. " Bel.ahe-iddin 27, Iddin-" Marduk2?, Igísa- a 73, *" Nabü-ré£'üsunu, Rimát-" Nabü 11. 1. al$ Dzt-di-àni a. Ha-di-e-ri-is? Dr 377, 4. als Kur-ban-ni Cr 183, sr. als *Marduk-éir a...... Nd 313, z« 4. a. Mar-ga-a, *"*galfu Dr L 24, 10. 2Sin!-iddin, ""ÜUgallu Dr 147,3, s. Kina-aplu, Sarru-! Bel. TGS rH Dr 316, 2. als Ina-gibi-" Bel a. "^"? $a tabtisu Nk 137, 3. 428, 5. CNRS. Dr 180, 9. a. Ina-gibi-" Bel, s. / Burásu. 5. a. Kalbi-" Szn?, s. Balatu. a. Ki-di-nu-! Marduk, s. Iddina-ahu. DL STIS EIS Dr 180, 30. 8. a. ""?' Yang? "Addu, s. " Nergal-iddin. | #,Sin-ik-sur Nd 993, 2. U Sin'-ihi(#! Ng 43, 1. Cb 175,6) Nd 146,12. 329, 5. 546, 26. 604,12. Cr 211,72. Cb 158,13. 175,6. 100, s. S. Ardia 37, Ardi-"Bel 5, "Bel- ittannu 2, -näsir 6, -Sum-iskun 16, Bul- ta-a 2, Iddin-"Nabu 52, Lisiru 17, Müranu 182 (5221-41) 5, Murasünu 1, "Nabüu-balatsu-igbi 18, 53, -bullitsu 5, -ittannu 4, 68, -kàsir 16, -mu- Setig-urri 13, -udammig Y, Na-din 37, Nidintu, Rimüt 43, Rimüt-"Bel $4, 56, Sam-ukin 7, Uballitsu-" Gula 3. 1. af " Naóüu-kin-aplu a. Da-bi-bi Dr 132, 9. 178, 8. a. öl gs-kan-dulnu, s. " Bél-iddin, -uballit. a. "Bel-etiru, s. "Bel-ah-ittannu, Nidintu. a. ^" yb belt, s. Süga-a-a. BR: 2Samas-iddin Cb 30, 2. 342, #Sin-imittum(-ZAG.LU)|r5),s. PON a 16, Ardea II, 42, Ba-zu-zu 15, "Bel-ahe-erba 2, -ahe- iddin 12, -åh-usabsi 6, -êtir 14, Belsunu 9, 25, Dumug 6, 12, Gimillu 22, Iddina-a 33, MuSezib-" Marduk 7," Nabü-ahe-Sullim 4, -élir AY, -éfir-napsáti 54, -kin-aplu 10, -Sum-lisir 20, Niqudu 15, R£müt-"bél II, Sadimu 12. 2 Sin!-i-ri-ba, vide * Sin-erba. 2 Sin-itti(? DA)-a, s. Samas-uballit 8. i Sin-karäbi-isime | (SV SIGISSE?|GAZ?|£a-ra| kar|-bi-SE . GA]|i-Xi]im-me]it-me]se-me|i-Xi- mu (CrL 16, 2, 17), s. ?Bel-erba 3, -iqisa 17, -ittannu 81, "Marduk-erba 4, -nasir 1, 22, ?Nabü-etir-napsäti 51, -ittannu 81, -tultabsi-lisir Y, -usallim 10, "Nergal-iddin 29, -usallim 26, 38, Sil-la-a 19, 2$amas- étir 5, 14, -Sum-iddin 2, Såpik-sir 2122 Sirig 7, Sum-iddin 18. i Sin!-ka-sir Pi, 7. 2 Sin!-kid-ri Cr 293, if. X Sin!-kisir (-ki-Sir|Si-ir) : a. Mu-kal-lim, s. 2 Nabå-kin-szir. il Sin!-mudammig-unninu (-SIG-ig-un-ni-nu), ? Bel-etir (Nk 97) 15. 2 Sin\-na-din-St-mi MU Dr 491, 22, s. "Bel-iddina 97, Jddina-"Marduk 26, ""Nabü-balätsu- iqbi 31, -eris 15, -etir-napsäti 44, -iddina 28, -h’ü 6, -nadin-ahi 8, 16, 2, -Sum-iskun 34, "Samas-tddin 9. -nüdin-3am I. a. Na-na-hu, s. Palátsu. 7 Sin!-na-sir|SES|PAP Nk 80,2 (e? paht-hal-a-a) Nd M II 9, 17; s. ZBEl-ioni 6, 30, -iddin 55, 106, 126, * Ea-iddin Yo, Gimillu 9, 1ddin- "Nabü 109, Kidinu 7, Lüsi-ana-nür 6, Knut Tallgvist. 2 Marduk-Sarranı 11, Musezib-"Bel 51, 91, Musibsi-Marduk 2, "Nabü-ahé-3ulum 9, -aplu-iddin 35, -gamil 7, -ittannu 57, -atr- ibni 14, Na’ jd." Bèl 6, Nidintum(-"Bel) 2, Rihétu 2, Rimütt 70, Säkin-Siim 9, Stt-la-a. SZ-in-ni-gi-ia Cb 11,3. 2 Sin\-nür(LAH), s. 2 Samas-ah-iddin. 2Sin?-pi-lu-li-ki?, s. Sum-ukin 26. | 2,Sin3-Sadi]$adi(a) (NB Nd 427,4. Nk 252,9 -Harrön(KAS)-KUR(-iülula, ^"? *KAS- KUR-4 Cb 426, 16) Cr 301, 2. Cb (234, 3). Dr 26,5, s. Apla-a 20, 30, Ardi-ia, Balåtu 6, #Bêl-aplu-iddin, Belsunu 22, 27, Erba- X Marduk 11, lddin-" Marduk 27, Iddin- 7? Nabít 5, Ina-eM-étir 2, 5, Kid-dan-nu 1, Kidin-"Mardu& 9, "Marduk-igisanni 1, -Sum-iddin 16, -Sumusur 9, Murasü 4, Musézib-* Bel 22, Musezib-" Marduk 46, 69, 108, Nabü-ahe-iddin 11, -aplu-iddin 38, -balätsu-igbi 39, -mudammig 2, -nadin-ahi 20, -nipSari 3, -zir-Usir 11, "Nergal-ahe- iddin 3, -ina-esi-Etir 4, -ukin Y, Nidintum 7, i Samas-aplu-iddin Y, -erba 22, -kin-aplu 1. [gt S Nk (318, 9). a. Sip-e-a? s. * Bél-usézib. OR TE ma (SigparF |! Samas) Nd 958, 6, s. #Bel|Nabñ-aplu-iddin, 2Samas-erba. X Sin-Sadünu (7,S»%-Sa-du-nu]sad-du-nu Dr 134, 17 ISa-dan?-nu Dr 173, 16 | K UR-nu|nz Cb 73, 2] KUR-ü-nu Ev 23,3. SmkM II 4, s; auch XKAS-KUR-nu Nd 1091, 3, vgl. schon DEMUTH, BzA III p. 408) Nk (182, 13. 206,3). Nd [1062, 13]. Dr (462, 11). Dr P (21, 24), s. Ardi-" Marduk 18, Ban-zir 2, Ba-sı-ia 3, i Del-iddin 45, 66, 98, 116, 144, 165, -käsir 18, -kisir 2, Belsumu 30, -uballit 6, 29, 55, 90, -usallim 34, Bullutu6, Esaggü-Sadunu 2, / Etillitum 2, Gimillu 2, 31, Has-da-a 10, Jddin-"Marduk 11, Iddin-" Nabu 91, [na-eXt-éfir 32, Igisa-a 13, 30, ftti" Bel- inunir 11, Itti-" Nabn-balätu 14, Làbàsi 31, 32, Liblut 11, Lisiru 11, ”Marduk-erba 9, -Sum-ibni 6, 16, -sér-ibni 17, Musallim- #Marduk 15, Musézió-" Bel 10, 59, Muÿé- zib-! Marduk 13, 109, "Nabü-balätsu-igbi 20, 28, -ban-sêr 4, -eres 8, 11, 16, -étir 66, ittannu 55, -uballit 21, T. XXXII. -nudzr-gun Y, Neubabylonisches Namenbuch. (Sin-Sadinu) -usursu 25, -sir-Üsir 40, "Nergal-uballit | 8, Nidintum-"! Nabt 1, Rimüt 71, Römüt- 2Bel 23, 59, Silim-"Bel 10, Sil-la-a 20, Sadinu 2 Sad-din-nu DR 2 Samas-iddin 6, 31, Säpik-zir 30, Sellibi 9, Tab-bi-it}, Tabnea 22, Zir-ukin, Zu-um-ba-a 1. I. a. Mu-ra-nu Nd (211, 5). il Sin)-$är-bil-lit, rölgipi Ya E-har- Sag Dr 405, 11. 2 Sin-Sar-ıbni 1. al$ Ab-$a-t-Se? Cb Ba' 1, e. #Sin1-Sar-1$k-un, Sarru, Srk (ZA IX). 2 Sin!-$år-usur (vgl. CIS II 88: nt n05% as.), "rad ame! Jamkaré Nd 464, 5. 183 138, 22. Nd 400, 3. 495. 508. 509,3. NdM 16, 6. Cr 380. | ASini-sér-lésir (SI. DI) U Sin!-$a-tin(?)-Sum(MU) Dr 172,4), s. Musezib- | 2 Bel 46. 7 Sin)-Si-man-ni, S. "Nusku-Säar-usur (Ev 6, 22). 7 Sin’-tab-nilnu Dr (367, 32), s. Apla-a 44a, "Bel- etir 82, -iddin 9, 52, 132, -ıgisa 38, -kasir 15, -usallim + 14, *Ea-nâsir 4, | Esaggil-Jadünu Y, Jddin-" Marduk 10, 14, 33, Itti-” Nabü-baláàtu 23, 25, 66, Kabti-ia 4, Kåsir 3, " Marduk-rimanni 6, -Sum-ibni 19, Müranu 6, "Nabü-ban-ahi 6, -éfir- | napsati 37, -ittannu 32a, -kAsir 43a, -mu- Setig-urri 9, -mutir-gimil 3, -nàgir 73, -sir-iddin 16, * Nergal-étir 4, -uballit 12, | /Raämüa 2, /Ri-mat 2, Rimüt-"Nabi 6, Sáin-Yum 26, ! Samai-ztr-iddin 2, Sàpit- s2* 19, 2$ylmån-ahée-iddin 2, -àk-iddin, Uballitsu- Gula, Uballitsu-? Marduk 1. 1. als F-di-hi-ilif! Nk 322, i5. 7 Sin’-tab-ni-usur, s. "Bel-käsir 19, Iddina-? Bel 35, /Kab-ta-a 4, Kina-aplu 9, Läbäsi- 7 Marduk 1," Marduk-muballitsu 1," Nabü- | nàsir 15, /Tábatum 5. 2 Sin-taqts|a-bullit (2 S-ta-gisigi-Sa|Sa-biul-Ut) L als Zddina-“Nabi a. Egibi Cb 301, 9. 336, 14. 338, 14. 349, 33. 372, 18. 393, 9. 2 Sin'-tul-tab-Si-Usir (SI. DT) Nd 7, s. 2 Sin-uballit (#S?2- TIN-ıt, * SS-B A. TI. LA, s. auch unter Egibi), s. Kabti-ia 8, Munahlis- Marduk, "Nabü-ahe-iddin 30, -belsunu 3, | | Su-lum-ma-da, s. Musezib-" Bel. -erba, -Elir 42. 7 Sjn!-udammig (SIG-iq), s. Bulta-a 22, Na-din 9, Sirigtum > /Sinimu QSz-nu-nu/ *Sin\-4-nu Nk 138, 2) Nk No 2. 1. als Gi-mil-lu a. ^"? $ang? " Ea Dr 176, ır. /Sip-pa-a, s. " Ninib-à-iddin. 1. m|$ Qa-ri-hi-ia? Dr Ba 16, 4. [26, 3]. Sip-pi-e(-a) mel sip-e-a, Sapi-fi-e-a Nd 282, 16 (vgl. he. mp, ^EO), s. Ardi-"Erüa 2, "Bé igisa 13, -kåsir 3, -nàdin-aplu 12, -Sum- iun 2,9, -uÿêsib 8, Erba-a 18, Erba- Marduk 7, ! Gula-s£r-ibni 1, lddina-" Bél 6, lddin-"Naóák 145, /In-ba-a 4, "Mar- duk-Sum-iddin 33, Mi-ri-ih-tum 1, Musé- zib-" Bel 32, ! Naóü-àh-iddin 9, -bel-ilåni 2, -belsunu 2, -êtir 5, -kina-aplu 39, -Sum- ibni 6, -uballit 10, Niqudu 17, Nu-nu-a 1, /Sa-pi-kalbi I, Sum-usur 15. (auch mit Determ. 2), St-si-zalid, "rer KUR.RA (Ev 21,9. Ng 10,1, wechselt mit "4" r2, sist), s. " Bunene-ibni 7, Liblut 20, 24, Lisir 34, Ugupu 10. 1. als Su-ga-a-a a. Da-si-id Dr 338, 2r. Si(-)-ti(-ia), Su-”-ti-ia Nd (518,27), s. /ddin-"Nabü 19, 7 Marduk-Sum-usur 8, 35. Su-ub-ma-du(?), s. ?" Samai-la-ma- (Cr 327, x). Su-ud-dür-tum Nk 405, 6. Su-ha-a-a, ""su-ha-a-a (Nd 63,17. 1125,14; «aus Sühu gebürtig») Cr (111, 18), s. Apla-a 2, 24, Bän-zir 3, "Bel-ahe-iddin 9, -iddina II2, -ra-... 1, -uSallim 30, "Ea-kasir I, Zti-"Marduk-balätu 25, 41, Kabti-ia 20, Kabti-ilåni-" Marduk 3, Kalba-a 12, Lüsi-ana-nür-"Marduk 4, *Marduk-mu- Salim 1,-Såkin-Sum 19, -Fâpik-sir YO, -Sum- ibni 9, -zír-ibni 3, Mirånu 16, 25, Muse- zib-"Marduk 2, "Nabü-ahe-bullit 21, 27, 56, -ahe-iddin 14, -aplu-iddin 66, -iddin 29, -nàdin-ahi 18, -näsir 36, -Sum-ukin 3, ”Nergal-ah-iddin 4, -usézib 6, Rimanni 1, Rimüt-"Böl 3, 62, "Samas-ah-iddina 24, -kin-aplu 7, Säpik-zir 17, Uqupu 22, 24, Zirutu 2. Su-Ium-ahi Nk 452,6. Nd 583, 4. Si-si-1 Su-lum-mu, s. " Samas-uballit 44. | Su-lu-uf-pa-a (Kosename aus suuppu «Dattel») Dr 379, as. 184 Su-um-mu..... Nd 692, 4. Su-pi-e-"Nabn ...., s. #Sin-ake-bullit 1. Su-ga-a-a, SILA-a-a («Strassenkind»?) Nd 119, s. 238, 4. 239, 5. 260, 2. 647, 17. 649, v. 707, 4. 926,5. 939,3. 960,4. 982,3. 1126,3. Cr 360,1. Comag. 2550002797207: DAN 94,9. 513,9; ^"?4. DIS? Cb 178,5. ^"? alu Cr 374, v. """5;055ahu Nd 80, 3. 676, 15. 745,2 810,3. 867,3. ZK II 324. "^"? ga//u Nd 405,5. *"565?.... Nd 976,4. S. Bel uballit, Di-di-e-a, Gázanu, "Marduk-ri- manni, "Nabn-belsunu 32, 7Samas-eres, -éfir + 10, Sellibi, Sulluma-a-a. Ix ee. Dr 30, ». als Apla-a a. ^"? di-bi- Dr 268, 73. 288, 18. 372, 11. als Ardi-" Bél a. Pap-pa-a-a Cr 123, 4. als Ba-lat-su a. ”"pahari Nd 665, 5. 5. al$ Balätu a. Ki-din-"Marduk Dr 524, ro. QU D PR Dr 96, 4. als *"Bél-zddzm a. rel... Cb 368, zr. als Bel-ziri a. Pu-ra-qu Dr|342, s. Dr 84-2- II, 108. als Erba-"Marduk a. ^"? ? Art CIS II 66. Gi-mil-lu a. ^"? Sang? " Ea Dr 494, zo. JF Ina-su- Bel Cr 144, 2. als Kal-ba-a Nd 224, 4. Dr 572, 2. |* Kal-ba-a a. Ba-bu-tu Nd 53,72: NAM 27,7. als * Marduk-na-sir a." yàb bàn Nd 258,23. 671, 17. 675, 3. 15. als MuSezib-"Marduk Dr Pi 6, s. al$ ?Nabü-ahe-biül-ht a. ^" bon? Cb 2,7. als "Nabü-ka-sir a. Mudammiq-" Marduk Dr 563, 15. als Nabñ-Sum-iddina Dr 462, is. als * Nabü-Sum-iddina a. omer Ki-sib? "Nabü Dr 515, zs. 20. als #Nabi-Sum-ifkun Dr 501, rr. als *Nabü-Sum-ukin à. ....... e Nd 396, s. als "Nabü-zör-ukin Dr 76, 9. |$ Ni-din-tum Art 82-7-14, 152 (CIS II 67). als Ri-mut a. Sa-na-&-Su Dr 262, o. 25. a|. Ri-mut-"Bel a. Sa-na-Xi-iu Dr 570, 2. als Sin-ili a. """ràb belt Dr 371, als Säpik-sir a. Bu-ra-qu Dr 491, zz. als Så-la-a a. Lüsi-a-na-nür-"Marduk Cr 120, 7. Knut Tallqvist. als Sum-usur a. Etiru Dr 537, 77 30. als “ZA. MAL. MAL-Simi-iqisa Nd 966, c, 1s. a. Ardi-" Nergal, s. Da-di-ia. a. Ba-ku-t-a Cb 121, s. 236, 5. Dr 162,4 a. Ba-si-ia, s. Ba-si-ia, " Marduk-rimanni, ? Nabü-sum-ukin, Si-si-ia. a. ! Bél-étir, s. ! Samat-bàn-afi. 35. a. Egibi, s. / Amti-" Belt, Réimdüt. a. Etiru Dr (449, 6), s. Liblut. a. Il-" Marduk, s. Nidintum. a. Lüsa-a-na-nür(-"Marduk), s. 2 Bel-iddin, Gimil-" Guía. a. Mu-3e-zib-" Marduk Cr 327, a. 40. a. "Sin-ga-mil, s. Bu-na-nu. 41. a. ""? apo? ? Eq, s. "Bel-kliru. Ap-la-a, /Su-ga(-a-a)(-)-i-tum]|ti lo LAND old oi STEEP ET Dr 85, s. 3 "BéLàh-usabS; Nd 348, 6. 3 Itti-"Nabn-balätu a. Egibi Dr 265, 7. $ Ka-ri-e-a Cb 373, 2. 5. zu] Ri-mut Nd 442. Su-ru-un-du Xxx 2, 3. SU. TÁG.GA (mit Determ. ^"), s. Ib-na-a 7. Su(-)-t-ia, vide .Sz--ti-ia. Såb- Marduk? (mit Determ. ^"), s. #Nabñ-mu- Sétiq-urri 67. Salam-Same(? NU. AN. NA(KT?),s.Zu-um-ba-a-a. Sa-al-la, s. Ziria 7. Sal-la-a-ilu, s. Rimät 140. /Sal-lat-tum 1. zu]3 Ardh-" Bel a. Igbi-" .... Nd M 29, 6. Sa-an-si-ri\Sa-si-ru (Sa-an-su-ru K 344,4; «Heu- schrecke»?) s. A/;müt-" Bel (67). 1. a ? Naót-Xum-is&un .... Dr 531,18. als Nürea Nd [977, 14]. Dr 545, 7. al Nèrèéa a. ^"? ang? "Na-na-a Dr 204, 5. 4. a. lypan-di-di, s. * Bél-ittanuu (48). Szl-" A-nim Nd 889, s. SIL" BM (GIS.MIB1) Nd 750, s. 839, 4. 843, 9; abgekürzt aus /na-sil-" Bel q. v. als Abu?-ia-di-ia? Nk 266, 1r. 2. a. Mu-kal-lim, s. INapustum. Sil-la-a, Skil-la-a (Cb 372,15), GIS. MI(-la)-a-a (Dr 349,11; Kosename)Nk 377,19. 417,4. Ev 21,4. Nd 442,2. 460,3. 491. 496, 10. 546,9. 647, 16. 649, 10. 656,17. 686,16. 7 39,3. 775,2. 808,3. 886,4. T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. (Sil-la-a) IO. 15. al (907,6) 91 1,11. 942,2. 965,4. 972,4. 984,2. 985,4. 1076,10. 1094,3. I1 12,2. NdM II (65,2). Cr 40. 365,4. Cb 19,9. 60,3. 76,4. 178,9. ^"? bani Sarri Nd 964,8. S. Ardi-" Gula, Erba-a, Igisa-a, "Nabu-ahe-iddin 6, -aplu-iddin, -êtir 28, -ittannu 26, -nasir, -zör-igisa 10, -sir-ukin, À Samas-ibni, -iddin 58, -uballıt, # Sulman-Sum-iddin 4, " Uras-kasir. TRIES Dr 301, zz. Apla-a Nd 185, 2. Cr 360, 19. Ardi-"Bel a. Egibi Nk 105, 9. * Ardi-"Nabüu a. "Nür-'"Sin Cr 160, 12. IÓI, 53: . als #Bêl-Sum-ifkun Nk 130. 5 Ese-etir a. Si-gu-it-a Ng 52, 14. als Iö-na-a Lab 5, >. als Kabti-ia Nd 384, u vielleicht = (/ra-) al . al Sul-Sarri als Kabti-ia q. v. als "Marduk-usallim a. amelu--it NÅ 534,16. #Marduk-sir-10ni Nk 24, s. 7 Naóg .... a. Mun-na-bit-tun Dr 242, 10. BA ce DL Cu 352» ? Nabü-etir Nd 1030, 8. X Nabi-i-tur NK 57, 13. ? Nabü-na-a-a Smk M II 4, 6. $ #Nabü-nasir a. 7"... Dr 264, ro. " Nabü-zir-ukin Nd 695,2. 739, 6,14. 866,7. * 2 Naba-sir-ukin a. Dan-ni-e-a Nd 558,3. 907, 14. 5 #Nergal-ah-iddin a. "Sin-karabi-isime ? 84-2-11, 165. E Sum-iddin a. USin-ia-du-uu Nk 116,77. E E 2 x als Sum-ukin a. ""!A-su-u Cb 337, 7. d. . UU a0; biti, s. ? Nabü-sapik-sir. bi LANDA ars ol SH SEXIG . Ardi-" Nergal, s. Güzanı. . UU qSlaki, s. " Ea-ban-sir. . amel han, E PNE Nd 730,13. Dr (192, o), s. "P é/-ddin. s. "Bél-básir, Lisir, "Nabü- musétig-urri. 2 Ea-salmn-il, s. /Hibta. Epes-ili, s. Ubár. E-sag-gil-iä, s. " Nabh-aplu-iddin. Ga-hul, s. *Nergal-uballit. amil gallabi, s. ! Nabu-etir. I-lu-ma-a, s. " Nergat-£pus. «2. Ir-a-ni, s. Niqudu. . ameljspari, s. Römüt-" Gula. . Kalbi?-"!Sin?, s. "Marduk-etir. Liéa, s. "Nabü-etir. . rêliman-di-di, s. " BélliNabü-eres. . Na-ba-a-a, s. Kal-ba-a, Säpik-sir. 40. a. Na-bu-un-na-a-a, s. “Nabi-balat-iddin. anölyaggari, s. I-ba-a. . Nu-ü-bu, s. E-til-pi. . Når Sin Ev 23, 2. . e"HofÓ, s. Zri-ia. . ane vb bant, s. Danünu, Rimütu. . "Szn-Xadünu, s. "Bel-iddina. . Si -t-ia, s. "Marduk-Sum-usgur. . Sa-bi-na-Si-Su, s. * Bél-uballit. . "apo? “Mar bábili Nd (45, 10). 50. a. Si-gu-á-a, s. " Bél-iddim. Si-i-la-? Marduk! I. a. 9"? yb bani Dr P (6r, 22). Si-arri (GIS. MI. LUGAL = Ina-sil-Sarri q.v.) Nk 227, 6, s. “Nabt-ittannu. 1. als Kabti-ia Cb 54,15, = /na-sil-arri. ZSi-ra-a Cr 168, s. I. mm Gimil Gula a. In-di-il-ki-la-ni Nd 796,5. 2. m|s "Nabü-ban-zir a. ”nappali Nd 990, s. (OreJE len OJ Ek (OD SUR-" Addu? | La. @wepäni, s. "Bel-ahe-iddin. ZSUR-ahe-u-sur|SES I. a|$ ZSUR-ıbni, "elmaggar Sarri Ev 23,7, 10, 14, 16, 22, 24. #SUR-àk-iddin, s./ Esaggila, Nürea,"SUR-a-pa-". I. als A-a-bi Nd 436, 9. "2 SUR-a-pa-' = "SUR-ra-pa- q. v. I. als .SUR-àfr-iddin Nd 67, s. @SUR-balätu-IK ...? Nd 803, 4. ZSUR-ibni Cr 287, a1, s. .SUR-afhé-usur. SI SUR-na-ta-nu I. als ?Addu2-ta-gu-um-mu NÅ 764, 15. SIS UR-ra-pa- I als Arr Dr CT IV 43,2. VSUR-$àr-usur Cr 34, 23. 2SUR-usallim, s. " Nabü-rimannt. Z Sa-! Banitum-lu-mur, gallatu Dr 568, 3. Sa-ab-ba-lu I. al$ Ba-mi-ia Dr 355, 6. 24 186 Sa-" Bell-at-ta I. als X Marduk-Siom|zör-ibni a. Egibi Dr 380, »e. 446,15. 456,12. 473, 6. 483,12. 488,22. 499,17. : 510, 15. Sa-" B8I-6a-ni, *""aallu Dr 275, s. Sa-! Béll-gam-mil, and gallu Nk96,2. 117,7. 203,2. Nd 300, 3, 7. / Sa-" Bélit!-ddu(u]ud-au|da), gallatu Cb 349, 2. 362, 4. 370,42. DrP 56, 3, &. 61,2 Sa-"! Bel!-näid(I) Nd 920, 4. Sa-" BM Xumu(à), étgallu Dr (ZA. V) a. Sa-bu(pu?)-ü-a (vgl. Sa-ba-ia Sargonst. II 13), s. X Addu-likin. /Sa-bul puè)-ul-la-tum, s. Gu-zu-um-mu. Sa-dan-na-tum Cr 19, s. Saddinnu(Sad| Sa-ad (Cb 423, u)-din-nu oder, wenn din = dun (vgl. BZA Ip. 505f. Anm.), Saddunnu) Nk 380,s. Cb 149,31. Dr 234,0. 202, 4. "el gallu Nd 868, «. ""? rà ku-ru- ub Sa-me-e Cr 370, 2. 5 "Bel-ahe-igisa Dr 182,1. |* " Bél-iddin a. "Sin-Sa-du-nu Dr 314, ro. $ ?Bel-Sum-iskun Cb 304, 3. 5 “Bel-uballit a. Man-di-di Cb 17, r4. $ Du-um-mu-ga a. Mi-sir-a-a Dr 321, c. 5 ? Nabi-iddina. Mu-dam-mig|KAL-" Addu Cr 140, zz. Cb 208, ;5. als "Nabü-sum-iSkun a. (er) Mandidi Cr L 26,4. Cb 423, 11. Cb L 18, 1s. Dr 159. als Nad-na-a a. Raba-a-Su-Sa-!Ninib Cr PUS) 4 als " Nergal-àdh-iddin a. Si-gu-4-a Dr 266, zo. 10. af Såpik-sir a. Epes-ili (CIS a. o a. 7 Sulmön-ahe-iddin a. Si-gu-t-a Dre 453, 2. 472, 2. Quee Ziritu. a. mel gslaki, s. Sellibi. a. "Bel-£tiru, s. Has-da-a. 15. a. “Nabü-Süm-iddin Nd 584, 14. 736, 14. a. Nür-"Sin, s. Bul-ta-a, Itti-" Bél-limmir. 17. a. *"?'yàb bani, s. Nidintum. Sadi (KUR-i), s. Gimillu 3. Sadi-i-ni-hu? Dr 3,. Sadünu (Sa-du-nu| K UR-nu|ni Nbp (ZA IV) 6, 2, auch = Nad-nu = Nàdinuq.v.; «unser Hort», wahrscheinlich Kurzname) Nk (119, 14). I45, 2. Nd 130, 7. 494, e. 611, 4. 636, s. Knut Tallqvist. Nd82-9-18, 3812. Cr(52,3). Cb(78). Dr 149,4. ene. ra-a-a Dr 180, 15. ^""5hpahu Nk 371,139. €*"C»»65 gaste Nd 215,3. 288,11. 462,6. S. Ba-ni-ia, " Bél-étiru, Igisa-" Mar- duk, * Nabü-nàsir, sir-lisir, -sir-ukin, Pir, i Samas-iddin 59, -kasir 10, -réZüa I, Såpik-zir. URS RR a. Egibi Nd 248, 17. a. "Sin-Sa-du-nu Cb 307, rz. als Ardi-"Bel a. Na-ba-a-a Dr 448, o. als Ardi-" Gula a. "^"? ab; biti Cb L 18, ss. |$ Ba-lat-su a. Épei-ili Nd 70, 3. als "Bekeres a. Epessu-ili Nk 51, 10. als "Bel-iddin a. "rei... Nbp (ZA IV) 6,2. als ”Naba-balåtsu-iqbi Nd 636, 2. |* "Nabá-bàm-ahi a. Sangá-"Nimib Nd 700, 15. 10. als “Nabt-ere$ Dr 337, ır. als * Nabu-Sum-ukina. Kalbi-"Sin?Nd 126,19. 274, 19. 300, 15. als "Nergal-3am-iddin a. "'Sin-imittu Nd 931, 7. als "Samas-uballit a. Mu-kal-lim Cr 341, 15. a. Epes-ili Nk 59, 12. S. Itti-"Samas-balätu. I5. a. Ir-a-ni, s. Ha-ba-si-ru. a. NU.AN.NA(KT), s. Zu-um-óa-a-a. a. Si-lim-" Bel Cr 360, 33. a. "Sin-Sa-du-nu, s. IgiSa-a. 19. a. Sarru-a-ra-zu-ü, s. Iddin-"Nabi. Sa-gi-e-se?, S. i Samas-käsir (Dr 574, 7). Sa gi bi? ba? hal Cb 96, u. /Sa-ah-na-a, (gallatu) Nk 100, ». Sa-hu-ü («Schwein») Dr 379, 49. 1. al$ Ri-mut Cb 343, 4. Sa-kib-ba-a Cr GI, 4. Såkin-duppi, statt dieser von STRASSMAIER her- gebrachten Lesung der Zeichen \ El wird Sa-rid die richtige sein, der die Schreibung [Saj-r-du Ng 2,7 zu ent- sprechen scheint; sieh daher unter Sa-rid. Sàin-Xum (GARISa-kin-MU; als Probename K 241, X20; no.7, 13,20 abgekürzt aus: ?Mar- duk-Sakin-Sum) NÅd 996,3, s. " Bel-ahe-iddin, Gu-za-nu, " Nabü-str-igisa, * Samas-näsir, Säpik-sir. I. als XBel-ahe-iddin Nk 233, 3. als Jó-na-a a. "Et aS$laki Dr 95, 16. T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. (Säkin-Süm) als “Marduk-Sum-usur à. 297, 9. YU Marduk-zir-ibni a. ét abi biti Nd 995, s. ”"Nabü-kin-aplu a. Epes-ili Nd 1024, s. ? Nabü-udammig a. "Rab ba-ni-e Cb 72,14. a|3 Nad-na-a a. “"nappahi NdP 9. CrP 20,2. Smd 38, 13. Cb 45, s. = " Marduk- Sakin-Sium 7. als “Nergal-iddin a. Da-bi-bi Nbp (ZA IV) 12; nr. als "Nergal-zir-ibni a.” Sin-na-sir DrP 69, a. als Sum-usur a. Si-gu-t-a NdM II 53, zc. | Vgl. “Marduk-Sakin-Sum 6. als Tab-ni-e-a a. Sa-na-3i-iu Nd 558, 16. Hs po codes Dr (462, 10). a. " Addu-Sum-eres, s. Marduk. a. "Addu-Sitm-iddin, s. " Marduk-aplu-iddin. . a. Ardi-"Nergal, s. Gimillu," Nabi-musetig- Mar-duk-u Cr M = [» 6 5. à als D» IO. urri. a. "Bel-etiru, s. Zir-ukin. a. Dannu-" Addu, s. Gimil-" Gula. a. nel di-ku-u, s. Miarånu. a. Epes ...., s. Ina-eët-êtir. a. Etiru, s. Ahé-iddzn-" Marduk, "Nabi- uballıt. a. Ir-a-nu Dr (472, 9). a. Man-di-di, s. " Nabz-nàásir. a. Mar-duk-u, s. "Bel-kasir. on pahari, s. Kabti-ia. . " Sin-näsir, s. " Nabüi-ittannu. a. "Szn-tab-ni Nd (531, :). a. Sip-pi-e, s. " Nabü-af-iddin. a. ^" apo? "Istar Babil Nd (1133, 10), s. X Marduk-näsir, Nåsir, Si-la-a. | a. Sa-tåbtisu, s. Ardi-" Nabà, * Marduk-étir. ad. Si-gu-t-a, s. " BéEerba, " Marduk-sum- 20. t3 ut 2 40. ibni, "Nabu-nädıin-ahr. Sa-kin?-sir 1. a. Mi-sir-a-a, s. "Nabü-kin-zir. Sa-al? I. al$ Uu-t-kal-la-an|-ri] Nd 539, se. | £ Sd-La-Bél-biti Nd 626, s. Cb 359, 17. | Sa-la-la, Sa-la-Iı, amd $q-al-la-la, Sa-al-la, S. Ardi-!Bel 8, "Bel-iddin 178, Belsunu 71, Jddin-"Marduk 7, Musezib-" Marduk 8, | No. 2. 187 2 Nabü-ah-ittanmu. 2, Nidintum-"Bel 20, Stum-iddin 13, Tâbi-ia 9. Sa-lam-ahu ... Cb 255, v. /Sa-lam|Sa-al-mul-di-ni-in-ni, gallatu Nd 340, 4. 4 390, 5. Sa-lam-ilu, s. Sa-ma-ki-ilu (Nk 138, 12). Sa-lallam-ma-nu (as. Sa-la-ma-nu S 268a, 3) Nd GEL (COTE i Samas-ahé-erba, -ahé-iddin. X Nergal®-Sar-usur, 1. al$ Bal-tam-mu-(?), ”"damgar sarri Ng IVER207,. 3:11: Sa-la-am-mu, "mår Kipri? Nd 362, s. Sa-lam(-mu)-ma-ri-e (22 si-pilpir-ri) Nd 458, 5, 11. (6318902255 60223, 5 Cb/CEIV 27,4 Sa-lam-mau-ni-ri-e Cb 9,18. Sa-lam-nu, véràb kåsir? Nk 175, 1. Sa-lam-ü-mu(?), ""? simmu NK 190, s. #Salti-ilu (he. SNYRÈNE) 1. al$ A-ra-bi, ^"* galfu Nbp (ZA IV) 19, zo. #Sa-ma--ilu (vgl. IWW), s. Sum-ukin. 1. als “Nabu-ah-iddin Nk 86. NkL 3. Sa-" Marduk!-[St-t)] I al$ ....... a. Dannu-"Addu Dr P: 49, 1. Sa Marduk'-ul-i-nilnu 1. als ? Nabü-udammig a. ""? ràb bane Cb 16,15. Dr 176, 15. Sama ba 1. aff emäifangt Sippar ki Cr 26, es. 2Samas-(a)bärı (7 S!|Sa-mas Dr 434, ba(-a)-rilru) Cr 1,9, Dr P 117,28, s. Ardı- ii Gula 10, "Bél-étir 27, 85, -uballit + 34, Esi-etir 2, Gimil-"Samas 4, Iddina-! Bel 2, Jddin-"Nabt 66, Ina-est-étir 8, La- basi 27, Làbási-" Marduk 5, "Marduk-zir- lisir 1, "Nabü-kin-str 9, -musétiq-urri 43, Nüdintum 2,16, Rimut-" Bel 10, * Samas- etir 12, -ina-eÿt-êtir Y, Sa-"Nabir-i-du-Si 1, Süm-iddin 2a, Ziri-ia 27. i Samas!-abu-usur (SESIPAP)Nk450,5. Cb 385,8. Dr 136, s. 1. als ?Bel-etir Dr 366, 7. 2. a. "Samas-iddin Nk 458, 16. 20 -a-Óa-ri| 1Samas-àh ..... Nd 279, 3 295,4. 828,9. Cr 326, 9. I. als Rz-mut a. .... Nd 123,1. il Samas’-ahe-erbaNd 249,8. 402,9. [428,9]. 571,15 906, 6. 99I, 11. 1022, zz. Cr 204, 15. "mar 24* 188 (2 Samas!-alié-erba) Sipri Nd 922, 5. "X masar babi Cb 344, 10. amêlyQb rik-ki Nd 317,10. S. EBeliddin. I. als Sa-lam-ma-nu, "nor sipri Sa gipi Nd [904, 3.] 955, 5. 1017, 3. a. "Nabü-a-na-kat-tum-si-ri-llt...Nd 1054,35. 3. a. “Samaÿ-a-na-biti-$u Cr 292, 18. i Samas'-ahe-iddin Nk 374,7. Ng 62,12. Cb 385,10. 1. als "Nabü-mu-Se-t-ig-urri [a] Balatu Nd 558, 4. als "Nabu-zir-uSabsi a. ”palari Ng 16,13. als Sa-lam-ma-nu Nd 904, 3. 4. als Stim-iddin Nd 959. 2 Sama -ahè-Sul-lin GI Nd 29,3. Cr 68, 10. 77,11. Cb 239, 5. i Samas!-ahé-usabsi (TUK-&) 1. als “Bunene?-kasir a. ^"? Pa-Ye^ Dr Bu 88- 5-12, 26, 32. 2 Samas!-åh-iddin|, (no. 16 abgekürzt: 7 S'-iddin) NbpM II 13,3. Nk 36, 15. 151,2. 285,5. 293. 304, 2. 452, 13. Ng 46, 10. Nd 240,3. 481,11. (543,2). 546,27. 554,7. 506,3. 640,2. (646,9). 647, 20. 690, 4. 731, 3. 865, 5805, 2. OI5, 23. 1060, 10. (1133, 7). Cr 34, 29. 109, 8. 183, 22. (364, 10). Cb 99, 13. 130,16. 357,8. Dr 43,15. 50, 3. 136, v. (236, 11). 472,10. Hel pihati Nd 362, ». . *"*^5a-ha-ru Cr 257,2. «"eyyb banê Cr 272,2. Cb 140, v. ^"?! ràb sik-kat?l Nd 1099, 2. "Cr 20,3. Cb 183,3. Dr 2, 20. S. Arusunu, Apla-a 103, Balätu, " Bel-etir 84, -2ksur, -igbi, -ittannu, -uballit, -upahhır, Jddin-" Bel, Ina-esi-etir 35, [tti-" Naóá- balatu, Kina-aplu Ag, Kin-zir, " Marduk- nasir, Musesib-" Bel, Musezib-" Marduk, X Nabü-tugginanni, "Nergal-Sum-iddin, -usallim, " Samas-ibni, -ıgtsa, -1Sdi-ia, Säpik-zör + 1,65, S4-la-a + 4, 80, Tagis + 8, Zaqéi-" Gala 12. I. al Abu-ü-te-mes Nd 638, s. als Apla-a a. ""?yàb Sus-si? Nk 103, zr. als Ardi-ahe-su Cb 49, s. als Ardi-"Bel a. ^"? fåne Dr 53, 16. 5. als *Marduk-Simm-usur a. ..... Nd 511, 4. als "Marduk-Sum-usur a. "naggarı Nd 808, zz als “Nabü-ibni Nk 315, s. als "Nabu-kasir Nd 769,1. Knut Tallqvist. als "Nabü-kin-aplu a. exe Pa-e^? Cr 9t, is. als " Nabü-mu-Se-INI-urri a. Kalbi-" Sin? Nk 325,5 Y 2 Nabu-ü-sur-Su Cr 267, 5. 34 Ra-dim Ng 68, 13. 69, 14. als 2 Sin-nüri(unammir?) Nk als * Samas-kin-zir Nk Bea: 15. a] Sa-" Nabo-sü-u Nd 17, s. als Tam-gi-biiu Nk 47, 13; "Samas-iddin Nk 46,1. a. "Addu-abu-bullit, s. 1Samas-igisa. : a. Ba-bu-tu, s. Musallim-" Marduk. a amet bo pL Dr (305,17): . mel hand, s. " Bél-iddin. a. nd gallabi, s. " Nergat-iddin. a. "Nabü-Se-me, s. Naid- Bel. a. "Ünaggari, s. Ha-ba-si-ru. a. "UU vb bani, s. Nür-" Sin. . Su-ha-a-a Nk 90, 20. a. * Samai-a-na-biti-iu Cr 292, 6. a. 1Samas-aplu-usur Cb 107, 14. a. "Samas-etir Cb 83, 2. 29. a. it Samas-uballit Nk 458, 1. i Samas!-åh-it-tan-nu Ia OS LEKA soo oe , amel Si-rig 2Samas Nd 172% à Samas’-ah-ri-man-nu Dr 480, 5. i Samaÿ\-àk-4-sur|PAPISES Nd 550, 10. 729, v. 959,3. S. BéL-atr, " Nabh-usursu, " Samaÿ- upahhir 2, Tabnéa. I. a. "Nati-étir Nd 1127, 5. 2Samas-ana-bitisu (%S\-anal a-na-E(-ti)-3u) Nk 168,v. NgÓ1,s 1. 70,7. Nd 398, 1. S. il Samas-ahé-erba 3, -ah-iddin 26, -étir 22, IO. abgekürzt: | US-Sa-a-a 3. 1. als Di-hu-um-mu NK 242, s. | #Samas)-aplu- Co 138,3 i Samat-aplu-iddina (4S’-A|TUR.US-MU]|SE- na) Nd 1118, 2. S. "Naég-musetig-urri 68, | -sum-iddin + 63. 1. al$ Mu-Se-sib-" Marduk a. ”Sin?-$ad? Dr Bu | 88-5-12, 26, 28. Vel. Ap-la-a 39. | 2. als Ni-gu-du Nd 1002, 2. | #Samaÿ-aplu-ukèn | I. a. X Sin®-Sadü, s. " Nabü-nàdin-ahi. | | ? Samai-aplu-usur. (^ S1-A| TUR.US-SES|PAP| | ü-sur, vgl. ^ Samas-pir -usur) Nbp M II 7, >. | Nbp (ZA IV) 9, 0. Nd 476. Dr 20, ». T. XXXII. ]< Neubabylonisches Namenbuch. (Samaÿ-aplu-usur) anelyappahu Nk 226,3 S. -iltannu, Nabit-iddin, -Sum-iddin, Ni-din-it-tum 91, YSamas-ah-iddin DIR acc STE Cr 164, 12, * Ni-gu-du Nd 384, 2. Ni-qu-du a" r&isisiCb417,1. Drisn,a. 7 Samas-ina-esi-elir a. melsangi!! Samas Nd853, 6. 861, s 973,5. 1005, 8. Cr 277,11. 320,3. 334,2. [366,2]. Cb[217,3]. = i Samas- pir-usur 6. 5. als Taó-ni-e-a a. Ra-as-bi-" Ninib Nk 261, 15. ds... Cr 360, 30. #Addu CSL . Ba-lat-su Nd 556, s. . Egit, s. "Bel-iddin. 10. a. ""? aye? ? Sama, s. "Nabü-aplu-iddin. il Samas-asaridu (SI.DU) Nd 72, 6. i Samas!-at-ta-ta-li-mu Nk 456, 3. 4Samas-balötsu-igbi (S\- TIN|ba-lat|-su- Eliq-bi) Nk 370,7. S. Ardi-"Bunene 3, Marduk 30, Na’id-" Marduk 23. I. as Am-me-ni Nk 20, s. 2. a. Ili" Marduk, s. "!Samas-uballit. u Samas'-ba-la-tu Nk 200, 6. I. als "! Béf-zér-ibui Cb 167, 15. il Samas!-bån-alhi Nd 558, 2. I. als Erba-"Marduk a. "ange IStar Nd 599, 14. 637, 14. 854, zr. als Süga-a-a a. "Bel-etir Cb 246, 14. 3. a. Erba-"Marduk Nd 297, 1r. 636,13 = no.1. i Samas)-ban-kalbi(?) Cb 123, 20. il Samas-båri, vide i Samas-abåri. il Samas!-bel-ilie" INS? JO Cha DES: amd! gugallu Cb 79, 6. S. Er-ba-a, " Gula- Sar-usur X. = NN FE S à I als "Bunene-i0-ni ... Dr 222, 1. 2. als " Uras-iddin a. “rei Nk 364, 3. i Samas!-bel-usur| PAP Nk 304, s. 399, s. I. a. " Bunene-ibui. Nd 646, s. 2 Sapa I bål-lt-an-ni Nk 99,2. *""nafpahu Nk 220, 2. 2Samas’-bullitsu (ZIMöut-lit|-su) Cb 225, 18. Dr 22, 4. 1. als “Nabü-balätsu-igbi Ant (ZA IIT) zs. 1Samas\-bél-lu . ... I (rh ne No. 2. Nd (511, 10). 189 Sama -da-a-nu Nk 1705: il Samaÿ\-dama(S1G)-qu/ig NO OS, 2 Cr 225 717. 2 Samas'-dannu(KAL, udammiq?, damig?) Nd 748, 17. 828... S. " Nabü-xàr-ugur. 1. als Mu-Se-zib-"Marduk a." $angi Agade“ Nk 100, 4. als “Nabñ-na-din-ahi NdP 4,2. Vgl.“ Samas- udammiq 3. 3. als Ri-mut a. "y? sist Cr 301, 4. 2 Samas!-dini-ipus (DI. TAR|di(-i)-nilnum-KAK- us) Nd 915, 16. Cr 9,17. Dr 200, 9. ^"? orig i Sama Cr 281, 4. I. a. Mi-sir-a-a Nd 20, 14. 2 Samas!-du . ... Cr 14,9. il Samas'-dür-apli NS T2 3528, 0 70, 4 5: ilSamas-zir-usabsi. 1 Samas!-edu-usur (AS-SES) Ne 62,10. Nd 842, s. 883,5. ^"? gallu Nk 155,2. ^"" rab nartabi Nk 452, 56. S. Ugupu. 2 Samaÿ\-er-ba| SU Nbp (ZA IV) 13,11. Nk 443, 10. 452,14. 459, 13. Ng 62, 11. Nd 31, ». IOI, s. 214711850332] 7313575 0. 13977 2 400,7 525,8: 676,10. 729,23. 734,2. 766,4. 835, 15. 865, s. 1027,4. 1134. Nd M II 48, 17. Nd Pi 3,5. Cr 33,13. 34,6. 189,24. 285,21. 288,10. Cb 65, s. 75,3 123,13. 150,12. 177,7. DroOI,5. 532,25. amd jyyisuDr 370,24b. mår SipriCr 134,3. Sa biti “Aa Cr 215, 4. Sarru SmSerba ZA II 157. S. Ana-! Bét-upáqu, Ardi-ia, Ardi- il Samas, Balátu, Itti-"Samas-balätu 14, Lü-idia 3, "Nabü-Sum-iskun, -zir-iddin, i Samas-kåsir 11. res ANdRes2 Ne Ardi-" Nabå, "mar Sipri Nd 629, 2. As-si-ia Nd 987,4. Cb 426,2, vgl. no. 15. Balätu Cb 409, 16. $ Ba-ni-ia a. ®"iSpari Dr [380, is]. 466, 15. 67 13. Ba-ni-ialid a. "^"? gi5i Dr 395,28. 396, 27. Da-su-ru Cb 50, s. X Bel-ahe-erba Nd 374, 15. Ki-na-aplu a. Etiru Cr 268, vi. i Nabü-ü ...? Dr 335, 22: il Nabü-zir-ibni Cr 57, s. Ni-qu-du a. ""? yg? sisi Nd 436, s. € USzu3-Yad& (a. "sang? Sippar*) Nd 854,13. Cr 206,2. 271,16. 281,14. 307,17. 310,75. [44 5. à IN als IS | als IO. als 190 (£ Sama -er-&a| SU) als Zab-di-ia, "irrisu Nd 548. a. As-si-a Dr 370, 12b, vgl. no. 3. a. [z-21-00 Cb 57, s. 2 Bel-uballit. a. Mun-na-bit-tum, S. Ana-"Bel-ü-pa-qu. a. Mu-Sal-Um-"Marduk Dr 5, 11. . " Nabü-kasir Nd 201, 20. a. Nür-"Samas Nd 854. 868, 4. a. Pa-se, s. Da-da-a. a. *Szn-Sadi? Nd 489, 10 = no. 13. a. ? Samaá- -igé$éa Nd 1127, 12. 25. a. él$angi ! En, s. "Ea-kasir. Sama \-eres (KANPIN-es) Nbp M II r5, s. Nk 443, 15. Nd 781,12, Cr 233,7. DrPa ro ; S. Musézib-" Bel, *" Nabü-tàris. als Su-ga-a-a ?P 149, e. 2. a. "ZA. MAL. MAL-àh-iddin Nd 781, x. Cr 92, 12. Z Samas-esi-tir, vide 7 S.-ina-eH-btir. il Samas-étir CSUR|KAR-ir, vgl. " Sama-ina-esi- Efir) Nbp (ZA IV) 2, 7. Nd 351, 30. 449, 10. 560, 3. 669,5. Cb 273, s. DE 320, 6 371, 4. 385, 7. 444, 12. ?84-2-11, 165. S. Liblut 58, ? Nergal-iddin 43, 2Samas-ah-iddin 28. nr a. Mi-sir-a-a, S. $ $ Bül-lu-ta-a-a a. "nås patri Dr 290,3. [5 Kudurru a. "Sin-karäbi-iSme Nd 346, 7 372, 9. als "Nabü-uballit Dr 386, c. als "Nabü-uballit a. Egibi Dr 320,3. als ?Nabt-uballit a. Etir u Dr 357, 1x als Ni- -gu-du a. "meget sisi Cb 397, 4 IO. als als Su-ga-a-a Dr 82-9-18, 49a (CIS II 65). Sa-ói-na-Si-3u a. ..... Nd 311, zz. 2 Samas-a-ba-ri $ Ry als iSamas-iddin a. Dr 359, 15. d Samas-ina-esi-etir CAVE als 7 Saqmas-uballit (N Baye als Såpik-zir a. " Sin-karäbi-iSme Nd 572,17. L5. al$ Sä-la-a a. "lab biti Nk 88,12. Sangt "Samas Dr a|t Ta-gis-"Gula a. ""?" ang? "Sama Dr Pi 7» 12 als Ziri-ia a. Mas-tuk-ku Nk 246, s. (C CES. Nd 398, 19. A vy» | a. Epes-uli, Knut Tallqvist. s. #Nadi-bullitsu. 20. q. Ili 3... .., s. Nabtt-Daldtsu-iqbi,! Samas- kin? a. "Nabü-Süm-eres Cb 57, s. 2 Samas-a-na-biti-Su Cr 22157 2 Sama V-éfir-naptáti (KAR-ZI?) Nd 62, 2. [^ Sam]aX -pam-mu? I. a. Mu-Se-si-bi Dr Pa 21, 28. | 2 Samas!-ib-ni|KAK Ng 61, 6,7. Nd 357,13. 460,2. | 476,3. 496,10. 527,7. 647,16. 656,17. 686, 16. 730 is 13.075, 2. 00883 008) MOA 1112,4 NA CT IV 4,15. Cr34,11,30. (287,19). Dr 393, 28. ^"? ràb nartabı Nk 452, 31. «"& Sanga "Bel? Nk 109,30. S. Ba-zu-zu, "Bel- ahe-iddin 63, "Nabüh-Süum-iddin, -zir-usabsi, il Samas- -iqé$a 10, Sä-la-a, Zir-iddin. 1. aj Ardi-"Gula a. Sa-bi-na-Si-$u Dr 82-7- 14, 143. | als Ba-ri-ki-ilu Xx CT IV 34, 9. | als * Bél-bullit-su a. Ardi-" Nergal Dr 393, 1. | als "Bel-Wü Dr 82-9-18, 49a (CIS II 65). SC WBel-sir a. ameU Pa- ok: Dr 397, 15. als Di-hu-nu NÅ 1041, 2. als Erba-" Marduk a.” sang? [Star Babili Nd 113, 17. [5 X Marduk-Sapik!-zör? Nd 621, IS Sz/-la-a Nd 476, so. 10. als Samas- ah-iddin = 364, 13. x Samai-zír -igisa Nk 358, so. 1 Så-la-a Nd IIA, 4. ; Sum-usur Nd 666, s. a. "Bel-uballit, ^"? Pa-3e** Nd 636, 14. CANNES RENE Nd 381. a. Nür-" Sin, s. " Nabü-étir-napsatr. 22. HM. RTE 17. a. " Sagad-Yum-iddin Cr 32, 2. i Samas\-iddin|a (MUISE-nalid-din) Nd 36, se. 49, 11. 148, s. 288, 4. 372,9. 443,7 Ng 18, 5, 6, 20. 46,9. 70,4,13. Nd 23,6. 32,4. 197. 237, 3. (398, 35). 401,9. 403. (450, 3). 720, 16. 749, 6. 767,6. 795, 15. 856, 5. 866, s. 869, 8. 905, s. 1076, 5. Cr 5, s. 68, 10. 85, s. 118,9. 133,9. 173,80. 193,8. 225,0. 2 7 TD SINE Cb 41. 48,8. 70,12. 89,8. 93,20. 192,5. 196,5. 132, 10. 274,13. 202, 21. 327,4. 387,19. 420,10. Dr 20, 8. 275, 7. 387, 3. 427, 7. Dr Ba 20. amél p Nd 812,3. 1102, 7. *"?a6u biti Cb 333, v. 359,14. Dr 72,19. ^" ard; ekalli Nd 1018, 2. T. XXXII. ( il IS IO. I9 20. Neubabylonisches Namenbuch. amas-iddinla) and yalahu Nd 925, (ZA IV) 19, 22. 5. mar Sipri Npb and i-sir-a-a Cb 121, 18. amelyaggaru Cb 256, 10. 333,2 «""ràb nartabi Nk 287,5. Sa muhhi esrü Cb 151,2. S. /Amti-" Bau, " Bek-usallim 65, Bulta 21, Jddin-" Nabıt 147, Kalbi-" Bau, Kalbi-" Mar- duk, Marduk 31, "Nabü-ah-iddin, ittannu it, -Sum-usur, -à4- -zir-ibii 27, " Sin-ifu 5, Samaÿ-abu-usur 2, -zör-igisa2, St-la-a, Sul-lu-ma-a 12, Tabnéa 63. e METRI RC SCC DrPa 1o, :s. Dr 443, 5. af Åh-ili-ia Cb P 37, 5. als Apla- a Cb 2 23; 8: als Ba?-ki-ir Nd 373, 2. . als Ba-la-tu Nk 131,10. 132,6. Nd 373,4 Dr 55. 2. als Bån-zir a. "Sin-Sa-du-nu Cr [10 88, 10. 419, 9. Dr 84, CHA als Erba Dr Ba 25, 10. als / E-tir-tum Dr 43,3 als Gi-mil-lu a. “Sin-na-din-Finm Dr 69, 2 492, 16. als Has-da-a Cb 407. 408. als Ki-rib-tu a. ^"? b iri Dr (ZA IIT) 225, zs. a] Ki-"Samas Dr 82-9-18, 49a (CIS II 65). als La-a-ba-si a. *""5h5h5ahi Cb [308, ze]. Smrd P 38, io. als La-ba-si a. "ange" Sama CbL 18, 34. als Lib-lut a. *"? 22 ss? Dr 399, 10. P [66,20]. als Lib-lut a. ^"? ang? # Ea? Dr CT IV 21,20. 32, 22. als Lüsi-nür a. Épes-ili Dr 271, zs. 424, zz. als "Marduk-zir-ibni ; Nd M II 56, s, 12. als Muk-ki-e(-a) Dr 377, 15. 419, 2. aals Mu-sib-Si-" Marduk a. """ Yang? i Sama Dr Bu 88-5-12, 26, 26. b als Musesib-" Marduk IIO, zz. als * Nabü-aplu-iddin a. """ Yang? Sipparki Cr 324, rz. 2 Naba-[rà Dr Ba 23,7 X Nabü-naädin-ahe Nd 7, 5 ? Nabu-sum-iddin Dr 111, ? Nabü-zir-igisa Cr P 20, 12. 7 Nercat-iddin Cb 412,5 Cb 2]. a. Sarru-a-ra-zu-U a. "Sin-Sadünu? 13. * Ni-gu-du Dr 17, 3, 12. als Ri-mut Dr Ba 16, 3. 23. 24. f" Samal...... Dr 414, 19. Såpik-sir Säpik-zir a. " Sin-Xa-du-nu Dr 56, s. als Sá-/a-a a. Egibi Nk 65,13. Tam-gi-bi-ilu Nk 46,1; vgl. ? Samas- zddin. Ta-gis Dr 116, 13. U-bar, """ aYaridu Nk 175, 12. Y XZA. MAL. MAL-ah-iddin a. ...... Ba 4, 19. als Zir-Bábili Dr 56, 16. als Ziri-ia Cr 329, s. a. "lnaggari Dr 307, 9 a. Är-ra-bi Nd 950, 4. ame TS Samaÿ-uballit. . Balatu Nk 370, 10. . Bit-zi-bit-dur-ri? Cb 104, as. . Dannu-" Addu, s. Kabtia. ; Épes-ili Cb 220, 4. 40. 45. TRE 0e vo Cr 360, 29. Iddin-" Nabh Dr 180, a. Li’ea, s. Ardia. . Maë-tuk-a-ta, s. Iddina-a. . Mu-ban-nu-ü, s. Ap-la-a. . "Nabü-iddin Lab 4,3. Cr 287, 23 . “Nabü-ku-sur-an-ni Nd 1130, as. a. MENT SUR gine, s. "Bel-uballit. . mi pahari, s. lgisa-a. 50. ts m 55. duk, Nür-" Bél-ltmur, Tubuiti-* Bel. 2 Sin-tabni, s. Rama. . Sil-la-a Cb 274, 11. 60. Sadi-nu Nd 646, 3. 1127, 1. êtir, -ina-eSi-Etir, Sa-! Nabiri-du-su. : ? Sayuad-igita Cb 99, 13? . 7Samas-ru-su-u-a Cb 99, 17. b one Fon DELETE EE): . @möl$qngi(?) Bábili SmkM II 3, v». enano "Ea, s. Tabi-ia. 69. . 2 Sulmön- ah-iddin Nd 1127, 15. 2 Samas'-i-la-a-a Nd 550, 11. 554, 4. 647, 21. 65. Y "Samai-ztr-igisa a. bàb-ii^ Dr282 191 „72 ah- EOD NE Dr (113, 11. 506, 9). S. ?Ea-iddin. Ga-hal, s. "ZA. MAL.MAL-àh-iddin. . Gre Raba-a-Su-Sa-" INznib,s." Erba-? Mar- ane vb bani, s. "Samas-uSallim, St-la-a. #Samas-(a)bari, s. lddina-" Bel, * Samas- 192 1 Sama -dl-a-a-bi(? Dr CIS 68), s." Addu-Sär-usur. 2$Samas3-ilu Nd 514, 4. 7 Samas(-ina)-ei-êtir (US 1-2ng-11210-.S UR. ab- gekürzt: ^ Sama-êtir u. 2S.-ina-eii Dr 482,6) Nd 748,5. Dr 485,2». S. 7 Bel-bullitsu. I. als 7 Samas-iddin a.? Samas-(a)bariDr 350,3: 387, 12. 412, 8. 482,6. 498,3; abgekürzt: 2 Samas-etir q. v. und ” S.-ina-esi Dr 482,6 (Schreibfehler?). 2. a. ""? sane? "Samas, s. " Samai-aplu|pir- usur. 2Samas’-ipus(-KAK-us) Cr 286, 3. Cb 84,9. S&i 1,2 épappalu Nd 784,5. Cb 87,2. S. J " Bau-etirat. I. a] Ahu-ü-nu Nd 344, zs. 2. a. Nür-"Samas Dr 370, uv. Cb 64, s. 1 Samas-iga Ng 61,7. Nd 202,542. 249,10. 770,7. 824, 2,23. 1069,9. 1080, 16. Cr 77, 20. 192, 11. (221, 16). 260,6. 309, 10. 343, 3. Cb 96, ır. 138,4 275,11. Dr10,21. 186,4 500,3. 7/7 40 bit alpi Nd 1049, v. sa bit alpi Cr 208, a. ex $ag-ga-a-a Cb 06,20. Sa Sutum Sarri | PIA . . | Cb 256, 15. S. 7Samas-erba 24, -iddin 62, | Sullumu. RE Nd 381, 3. als Bel-Su-nu, ^"? $a-ag-qa-a-a Cb 197, s. 5 I -" Mardu£& Nd 1028, se. als Musezib-"Nabü Cr 81, s. |$ 7Samas-ah-iddin Nd 205, 2. cy v. Samas-ah-iddin a. "Addu-abu-bullit? Lab 5, 3. als 7Samas-Sum-iddin Cr 40, 1. a. Lu-t-i-di-e Cb 385, 9. a. Mu-Se-zib-"Bel Cb 176, a. 10. a. 7Samas-ibni Nd 11 27, 10. a. !Samas-unamm-ir Nd 786, ». 12. a. Sum-iddin Cr 189, 18. Sama V-igita( SA. B.A)-an-ni Dr 476, 17. 2 Samas!-isdi(4811)-id-i . .. .. 1. al$ 7Samas-ah-iddin Nd 106, »,. 1 Samas’-it-ti-ia(KI-a? Nd 736,16?) Cr 239,1. 371,5. Dr 379 15. 7Samas'-ka-sir\)KÄ T Nd 795,8. 804, s. 920,7. Cr 39,2. 225,28. 262,912. Cb 99,0. 120,5. 146,2. 211,2. 255. 323,10. 333, s. 385. 387, 1». Dr Su DC NT CL Dir 113, 2, 15. Knut Tallqvist. ils Se Cb 238. als "Nabü-bel-Su-nu a. La-kup-pu-ru Cb 46, s. als "Nabn-kin-aplu a." Pa-se* Cb [407 16]. 408, 14. als "Nabü-Sum-iddin a. rl r22 alpiNd 196,18. 5. a]. Säpik-zör Cr 271, 1. Dr Pa 10, 29. al$ Sa-gi-e-se? Dr 574, 7. a. Kin-aplu Cb 300, 10. a. "Nabü-kin-aplu Dr 28, 9. a. mel Pa-seki, s. Nidintum-" Bel. Sa-du-nu Nk 458, 6. a. "Samas-erba Dr 90, s. 12. a. Sáfik-zir Cb 130. 2$Samas!-kill-la|li)-an-ni Nk 148,5. 443,11. 449,9. Ng 46,13. Nd 455,6. Cr 124, 7. 292, 17. USanas-en ..... 1. al$ " Samak-tir a. IN ...... Cb 44, 9. 7 Samas'-kin-ahu (D U-SES|PAP) Nbp M II 14,5. Nk 393, 3. "2 asaridu Nk 131,23 S. Ha- ri-sa-Nu 4, Itti-"Samas-balätu 15. 2$Samas!-kin-aplu (D U-A| TUR.US) Nbp CT IV I4. Nd 313, 12. 351, 1». 363,3. 366,3. 368,4. 781,17 828,12 Cr 292,9. mår Sipri Nd 527,5. """b rvik-ki Nd 496, 6. 746,0. anölyrigal Ebabbarra Cb 44, 4. Talea a. mel Sjn%-Sadu-4 Cb 426, 16. als Balatu Nd 245,4. 643, » ^"?! ràb Si-ir-ku fa " Sama. als Balatu a. *" Nabi-usézib. Ng (ZA II) vr. als Jg£ta-a a. NT SUR gine Nd 853. IO. q. Da SA a. ""y2? sise Nd 1079, 76. Fl N ae .. a. Si-gu-á-a NÅ 72, 19. als "Nabü-àf-iddin a. """su-ha-a-a Nd 1125, zs. als Nürea a. Ziria NkL 8, zz. als * Sulmön-ahe-iddin a. Si-gu-t-a Dr 543,7. IO. a. "Bel-ba-ni, s. " INabü-napistim-usur. a. Kudurru Nd Pi 4, 12. a. "re pahari, s. " Nabu-réüsunnu. I3. a. mölsang? 1 Sama, s. Mina" Bel-da-a-nı. 7Samas’-kön-zör Nbp (ZA IV) 13,2 Nk 151, 3. S. 2Samas-ah-iddin. 1. al$ Ha-ba-si-ru a. Mu-tak-kil-Iu Dr P 75,6 = 110772577 20718 2$amas!-la-ma Cr 329, v: 2 Saniaxi-Iü (DA) Nk 159, 4. Nd 567, 12. T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. 193 2Samas!-lu-da-ri Cr [5,3]. 9,6. 22,7. Cb 96, is. 420, 8. - " : EI TA AU: il Samas!-mu-kal-lim, s. "Nabü-nasir 75. i Sapa I-nou-Ein(-nu) 1. al$ * Nabu-etir-napsati a. "Bel-nap-Sat-ibni Nd 314, 22. 2. a. *"P5-ye7 s. Erba-" Marduk. i Samas!-na-din-$um 1. als * Bél-usalfim a." Addu-Xam-me-e Cr 183. il Samas!-naid (I) Cb 426, 6? 1. a. "Marduk-ahe-bil-Lt Cb 57, 14. i Samas'-napistim-usur(-ZESES) I. q. öl nappahi, s. "Bel-ittannu. 7 Samas'-na-sir\ PAPISES Nbp (ZA IV) 6,15. 8,1. Nk 336. 452,5. NkPilp. 13. Nd 561, 15. 583,23. 647,9. 933,2. 1003,5. 1022,6. Cr 34,6. 229,11. Cb 49. 123,8. Dr 43,3. 54,8 180, 16. 436,0. 517,1. «""y2$ sine Nbp ZA IV 9,3. 13,12 S. Aplu 1, Jddin-" Marduk, Musezib-" Bel. 1. als Ahe-iddin Dr CT IV 21, »s. als "Bel-usallim a. Mi-sir-a-a Nk 359, 15. als "Ea-mu-dammig a. """ ang? "Marduk Nd 459. als Kalbi-" A-a a. “Ea-salam-ili?! Nk 68, 7. s. al$ Säkin-duppi? a. ? Ea-ópet-ilif! Nk 116, 18. [3 Såkin-Sum Cr 364, 11. ls 2Samas-ü-sur Nk 33, & |£ Se-el-li-bi Dr 6, 7. | Si-rig-tum a. ^"? pakari Ng 47, 14. IO. a|$ Za-kir a. E-sag-gil-a-a Nd 310, 18. a. Balät-su Nk 220, 9. a. Dan-ni-[e-]a, s. "Marduk-sum-ibni. a. Kal-ba-a|UR-a Cr 117, w. Cb 57, 18. a. Na-an-na-a-a, s. Kin-zir. . Nür-" Sin, s. " Nabü-étir-napsatr. a. "ignei a amti(?) Kutà| TIG (obs.l)- GAB.A# KnlM II 5, zz. a. el Yang? " Sama, s. Igfta-a. a. ^"? $a tabtisu Nk 108, 13. 199, 1. I9. a. Sellibi Dr 72, 1. 2 Samas'-nösir-aplu(-PAP-A), s. Litiru. it Sana -nasir-3im( PAP-M. U) Ng 17,5. 2 Samaii-nu-ár, s. J3-Ri-iddin. 2$amas!-påris(? SUB)-di-ni Nk 208, 7. 2 Samas-pir?-ibni I. a. Dan-ni-et-a Nbp M II 11, so. No. 2. 7Samas-pir-usur (? S'-NUNUZ|fir|pi-ir--SES; abgekürzt: Pir q. v.) Nd 574, s. | D e ete a. "$2572? [Tg Cr 23, rr. 4 *BéL-ahé-erba a. ""!ba’iri Dr 193, 2. $ Danna-a (vielmehr: Agar-aplu) Nd 135,5. X Igisa-"Marduk a. ^"? pahari Dr P 56,77. 5. als Na’id-"Marduk a. Ba-bu-tu Cr P. 12,3 — PL del als ? Samai-ina-eXt-éfir. a. ^"?! angi À Samas Cr 323, 4. 346, 5; vgl. “Samaÿ-aplu-usur. qb AE. , S. "Natü-Sam-usur. a. " Ea-épes-ili Cr (129, s). a. Epes-ili, s. SAntia, Ardi-"Marduk, Mu- Sesib-" Marduk, Rimüt-" Nabü. IO. a. "*pahari, s. Nidintum. II. a. "Sin-Sadünu, s. Itti-" Bel-immir. 2 Samas!-gåtY(-su)-sa-bat Nd 398, 13. 1022, 19. 2 Samaÿ\-rê ña (SZB-4-a) Nk 148,6. Nd 408, 11. 485,3. 583,12. 800,3. 1022,23. Cr 34,8. 100,5. 220, 12. 285, 1». [326, 10]. Cb 77,4. 344. “2 gallu Nd 231, v. 1. a. Sa-du-nu Cr 117, ax. 2 Samas-re à SIB)-Fu-nu Nk452,10. Cb 87,18. Dr 281, s. masar bäabi Sa “A-a Cb 256, 11. t. a. Ha-ri-sa-nu Cr 221, 15. 2 Sqmas'-ri-man-ni Dr 370, 16. 2 Samas!-rimu(5519)-S2-kun Ng 51, a. 2$amas Iriru-su-ülu-a Nd 594, 2. Cb 87, »» Dr 72, 12. 200, 7. 218, 7,15. S. Mukkéa, ®Nabt- gabbu-usur, 7Samas-iddin 63. 2 Samas-si-lim, we... Cr 19, 2. lallaku? Nd 237, 14. 2 Samas’-Sökin-Sion, s. " Nabü-Xum-ukin. 3 Samas!-$är-biu-lit I. a. 2? Nabü-si-hm Cr 221, s. 2$amas!-sär-usur| PAP Nk 449. Nd 1,7% 201, 6. SSA Ds Oj NOAA Ni sa Cr: 36, 6. 90, 21. Dr 500. mar sipratum Sa on ab nikasi Cr 44, 1. "? rab zib-tum Cb 248,2. Ya bit gati Nd 840,3. 984,6. S. IgiSa-a, " Nabü-ittannu. 1. als Ardi-"Marduk Dr Ba 3, 3(?). als Kín-nu-ilàni Nd 262, 2. als ? Nabü-ahé-iddina Nd 764, 14. 4. als * Nabü-mu-se-ti-iqg-urri Nd 680, ı7. 2 Samas'-K-man-ni Nd 146, 7, vgl. Zz. 2, 10l? 2 Samas’-Kul-Im-an-ni, «n gallu Nk 72, c. 25 194 Knut 2Samas'-$u-lum-Så-kun Nk 228, 3. 7 Samas!-$um-ibni. Nd 852, ». Cr 38 O2ME SE ? Samas-uballit 45. 1. als “Nabü-ki-sir a. Kanik-babi Ng 1, 23. als Su-ha-a-a a. Na-bu-un-na-a-a Nd 609,6. a. Dan-ni-e-a, s. " Nabü-sér-uk£n. 4. a. Sü-la-a Nd 968, s. | Sama 3in-iddin|(-MU-MU]. D MUR | 5545.35. (Gt 2257/6: 290,5. 324, 8. 332,31. Cb | 70,8. 96,24. 128,3. 267, 6. a 382, s. Dr GC Telus 922, Lui V alabu (oe Tl 232,14. 241, 2. Cb 366,5. £pisnu Cb 66, s. amelysparu Cb 363,3. 413, s. Dr 540, 19... S. 2 Sin-erba, ? Samas-ibni 17, -qisa, Sum- | Nr DEN iddin. DANSE eee Dr 23, Q1 SRI See fes a." Szn-karábi-i$me Nd 947, 16. Cr 23, 18. als . ahe-iddin a. Etillu Nd 1125, 2. Nd L [73, s]. als Balåtu? a. Nür-"Sin Nk 53, 13. 5. als Si-lim- Bel Cb 308, 72. 6. a. Ardi-" Nergal, s. " Nabi-uballit. 2 $Samas!-Sum-iqisa Nd 1076, s. 2Samas!-Saum-iskun? Nk 19, 2. Nd 354, 2. 2 $Samas!-$äm-lsir (GIS|SI. DI) Nk 77, 2. Nd 1062, &. Cb 123,10. 404, 4. ^"? yab.nartabi Nk 452,12. S. "Gula-sér-ibni. 1. als ”Addu-Sum-iddin a. ©" Allaku Nk 201,14. | als Igisa-a a. Ba-bu-tu Dr 372, i5. als Na-di-nu a. ^"? pahari Cr Pa 3, 16. | als * Nergal-ere$ Nk 175, zs. | 5. a. """ angi Sippar", s. E-til-pi-i-" Marduk. | 2Samas-Sum-ukin (*55?-MU-DU|GI. NA-(&)-in) Nk 131,6. 387, 2. Cr 48, 5. 280, s. Cb 7, 4. 262, 8. 352,2. 386. Dr (66,13). """5aharu Nk 77,1. Sa muhhi eir& Cb 151,5. Xarru Smk P 1,19. 2, 19. | 1. als A-kala| KAL-A (Agar-aplu:) a. Hi- Marduk Nk [205, 5]. 436, 7; als "Bel-ibni a. Na-bu-un-na-a-a Nd 959, n. Cr [151, 18]. als Musallim-" Marduk a. Si-gu-2t-a Cb 193,15. als "Nabü-kasir a. Sag-di-di Nd 130, a. 5. als "Nabü-zir-usabsi Nk 334, 23. als 2 Samas-Sum-USir a. Si Man-di-di Nd 26. als Sü-la-a a. Tallqvist, als Säå-la-a a. Maë-tu-bu Nd 116, 40. als Sá-ma-a .... Nk 381, 22. . a. Ardi-"Nergal, s. "Bel-Etir, La-basi. a. Ba-bu-tu, s. Musezib-" Marduk, "Nabu- balatsu-igbi. a. Dan-ni-e-a Nbp (ZA IV) 16, 4. a. Il’-" Marduk, s. Bel-sir. a. Ku-du-ra-nu, s. Itti-" Nabü-balatı. Nr s. " Nabü-Xum-is£un. a. el Pa-te* s. Sum-iddin. 17. a. HUE Ser) x MHusallin-" Marduk. 7 Samas!-$am- -usur (MU- SES)Nk 443,12. Dr 109,6. S. 2SamaS-unammir, Säpik-sär. 1. a. "Bel-Etiru, s. "Lagamal-iddin. 2. a. Ta-gıs, naggarı Cr 221, 12. 2 Samas!-Sum-usabsi (MU-GÅL-Si) Nd 736, ss. (CIO v ü Sama V-tab-ni-k-sur| SES Nd Pi 4,9. Cr [326, 3]. Cb 1366. als Ardi-" Marduk a. "^"? $ang? Dr Ba 3, 10. 2. a. Mi-sir-a-a, s. Idadin-" Bel. äl Samas’-tak-lak, vide A-na-"Samas-taklök. 2Samas’-u-bal-Ut| TIN (-it) Nk 148,9. 308, 5. 452, 4 Ng4,s. 41,3. 65,14 70,10. Nd 550,7. 582,8 647,6. 1127,17. 1134,3. Dr8,1» (17,1. 33,6). 81,10. 136,5. 198,4. 370,9b. ^" ard ekalli Nd 804,19. 777$ Nk 450,13. Dr 198, s. emélinar Sipri Nd 478,7. """nasaru Dr 24,12. épappalu Nk 285,6. ^" PI. ERP(?) Ko MAT CIRA (e aya ce S72 57 immeri Cb 06, 19. Sa ina muhhi esrü Nk 354,2. mel $a-tam(-mu) Nd 233, 15. 297, 4? (417, 16). S. Balatu, Ba-zu-zu, "Bel-iddin + 37, "Belit-eres, "BéLütannuu, ? Nabáü-ma-lk,-uXézib,! Samas- a-iddin 28. Cr 308, s. als Apla-a a. " Bél-tiru NAM 11, s. * Ardi-a Ng 57, 11. * Ar-rab-tum a. NN Dr 194, 34. Ba-si-a a. *"* Pa-3e*! Cb 398, 14. $ #Bêl-àk-iddin Nk 235, 14. als ?BEl-Ebabbarra: Cb 273, 2. and zyalakı, Lisiru, als "Bel-käsir a.” Sin-D A-a Dr82-9-18,335 a (CIS II 68). als "Bel-Sum-iskun a. 2Bel-etiru Nbp (ZA IV) 6, ; 10. aff ?Bel-zir a. Sag-di-di Dr 216, 9. T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. (? Samas'-ü-bal-Ut| TIN(-it)) als Erba-"Marduk a. Dan-ni-e-a Dr 568, 23. als Gi-lu-t-a a. Ga-hal Nd 14. als Jadın-"..... Nd 165, 7. als Ina-efi-êtir a. ...... Cb 28. 15. als Igisa-a Ng 39, 74. als Mu-Sah-lim ...... Nk 380, 8. als Musallim-"Marduk a. ..... Dr 485, 4 S als Mu-Se-zib-"Bel a. Sag-di-di Dr 163, i. 4 X Nabü-kin-aplu a. ZAB#! Dr 82-9-18,49a (CIS II 65). 20. a|$ " Nabü-na id a. "rei alpi Ev 8, 12. als I Nabü-Xum-iskun a. Ardi-" Ea Dr 319, er. als * Nabü-Sum-ü-kin a. ""? angi * [star Ba- bili Cb 240, 22. als X Naón-z£r-/tsir a. ^"? $angt "Istar bà- bili Cb 49, 13. als "* Nabå-sir-lisir a. "Sancti i$amas Dr 338, 22 25. als Na-din Dr 116, s. Na-din a. "bari Dr CT IV 21,7 X Nergal-etir Cb 412, 6. X Nergal-iddin Dr 433, 13. Y Ri-mut Ng 19, s. 30. als Ri-mut a. "Bel-etiru Nk 236, i. [5 Sil-la-a Nk 62. als ? Sama3-balàtsu-iqbi a. Ii“ Marduk Nd 542, o. als il Samas-iddin a. ""? aXlabi Nk 22/7 y als Zab-di-ia Nd 548, 9. . als Za-kir a. emePa-seti Nk 67. QU e o Nd 1127, 8 a. Ardi-id, ^"? amél urqi Ng a. * Bél-uballit Nd 1131, 2? a. Mu-kal-lim, s. Itti-" Nabh-batatu, Sadünu. 40. a. élpappali, s. "ZA. MAL. MAL-Sıan- iddin. a. Nür-e-a Cr 287, 6 a. Ri-mut Cr 292, 12. a. "Sin-karäbi-isme, [#2] Ur 3, 10. s. X Marduk-nàsir. a. Su-lum-mu Cr 117, v. 229, 15. 45. a. 2 Samas-Sum-ibni a. "9... Lu. a. Sa-na-Xi-Xu, s. " Bél-ittannu. a. ré $angt 7 Sana, s. !Samas-etir. 48. a. Ziri-id Dr 368, 21. 2 Samas'-udammiq(? SIG -ig) NK84,». 104,5. 200,6. 388,42. 306,2. 415,3. 445,3 NKCT 14. Nd | INGE 195 168,2. 191, & 376,2. 450,10. 571,32,50. 676,9. 699, 20. 729,20. 753,13, 4 779,2. 862, 5. 1063,2. 1069, 14. Nd CT IV 41,17. Cr 34, 22. 163,2. Cb 89,2. 100,7. 107,13. ^"? re NAM TUS 2 Sangü Agade*! Nk 140,2. S. Iqisa- a, ! Sama-sir-uktn, Sa-pi-kalbi Tre 1. als 7 Nabü-bel-Su-nu a. ^"? rab-ban? Cb 2, s. als X Nabü-mu-Se-t|-ig]-urri a. Nür-ilani Ng 22, 14. als Nabi-na-din-aki Nd i Samas-dannu (KAL) 2 als Sápik-zir a. "yb tar 20 Nk 382, 23 5. als Sá-su-óu Nd [464, 3]. 1130, 5. a. " Bunene-ibni Nk 176,3. 213,6. 220, 3. a. a"? HT. BI Knl M II 5, ss. a. 9" VEI sist, s. "Bel-usallim. a. ""? Yangb ? Sama, s. Ardi-"Marduk. IO. a. *"?$a ftábtisu, s. Musezib-" Marduk. i Samas!-ukin (DUlt-ki-{in] Dr 575,13) Nd 469, 10. Cr 225, so. a. Når-" Marduk, s. Liblut (Dr 575, 15?). i Samas!-unammir (LAH-ir) Nbp M 117, s». 8,6. Nk 398,4. Ng 18,1919. 70, 9,14 Nd 744 228. S. * Bél-YXam-i3 un, X Nabü-iddin, ? Samaÿ- iqisa 11, -upahhir. Y Ardi-a Ng 57, 9. Di-hu-umí(-mu) Ng 47. Nd 95, 5, 7 als Ri-mut-! Bel a. Egibi Nk 214,15. Ng 59,19. als ? Samas-Sum-usur Nd 594, 12. 5. als Suma-a(? ) Nd 910, 5, 2 Samas' -upahhir (NIGIN-ir) Nd 279, 3. 786, ı3. 791,4. Cr 34, 23. (112,6). 244, 15. Cb 80, 11. Dr 370, 10. I. als it SamaS-unammir Cr 118, s. 200} 2 Samas-ah- -usur Nk 458, i. Sama -4- sur, un Neal als 2 Samas- nasır. 2Samas [oum I. a. élipasar babi Cb 256, s. 2 SaniaYi-usabii (GÅL-Si) Nd 179, 7. 1080, ». 2$amas!-usallim Ng 18,16. Dr 71,6. S. *Nabá- ahe-bullit. TS cte Cr 44, 18. als *Ea-iddin a. Hÿ-.... Cb 19, ze. als E-sag-gil-li Nd 1105. als ?Samas-iddin a. ^"? ràb bané Dr 82, n. 5. als SA-la-a Dr 110, 4. 6. a. Na-din Cr 92, 10. ASE 196 2Samas!-ü-Se-zib Nk 459, 11. Nd 365,7 Smk M II 4, 10. 2 Samas!-zsir = "Samas-sir-ibni? ES. Dr Ba r8, 14. 2. a. Sellibi Cb 228, 10. Sama -ctr-ioni Nk 239,5. Nd 1,21. 201,5. 351,19. 423,2. 753,25. 781,17. 784,12. 976,11. IOIO, o. 1078, 5. NP 93 C6 11272: 127,5: 2062,14. Cb/6;7: 7,5. 9,18. 22,6. 151,4. 152,12. 163,1. 22510 Dr 500, 4. mel qd; ekalli Nd 825,2. 1003,4. 1026,4. "yyris Nd 786,9. ^"^) bani Nk 321,4. S.Ardea,” Marduk-rimanni, Musezib-" Marduk," Nabh-ittannu, Nidintu, Rimüt, Ziri-ia. IM Rer. Nd 643, 1». PIS TRS a. ^"?! $ay e? “Ninib Dr 101,15. als Apla-a a. ^"? ba ri Nk 364, 10. als "Bel-iddin a. ..... Che 5. als ZBeligisa Nk 43, >. als “Gula-sir-ibui Cr 183, 29. als Ku-na-a a.""* dupyar bel pahåti Nk 326,7. als Labasi a. Na-bu-un-na-a-a Nbp (ZA IV) TNI als " Nabà-étir Nd 943, 13. 10. als " Nergal-ubalfit a. Dan-ni-e-a Nk 318, 12. als Rimut a. """ $9592. ... Nk 73, s. als “Sami-a-a Dr Ba 18, 14. als Sá-la-a a. Mi-sir-a-a Nd Pi 11, zs. ASE gr ee Re Cr 147, 12. (ES Ar Ae Nk (400, 3). Cr 244, 11 Cb 107, s. a. Gant, s. "Bel-käsir. a. "Bel-aplu-usur, s. " Nabü-aplu-iddin, Ri- miüt-" Na-na-a. a. Zgiÿa-a Cb 141, 9. a. Pret sist, s. "Bel-käsir, / Ku-me-pi-tum. . Sir-imittu, s. " Nabü-Gtir-napsáti. a. "Sin-Sa-du-nu, s. Gimillu. a. *""gpg? "Istar Bâbili Nbp Pi 2,1. S. Musezib-" Marduk. a. Sellibi Cb 437, 4. Dr 161, ». a. Sk-la-a Nd 351, 27. Nd Pi 4, u. Cb 100,5. 354, 6. 437, 6: . a. Ta-gis(-Su) Nd 753, s. 876,4. 1003, 12. [1004,5]. 1124,7. Cr272,11. Cb 131,3. 256,19. i Samaë l-zr-id-din| MU 1. as * Nabá-uballit a. Äs-Sur Nd 874, s. 2. als Ziri-ia a. " Sin-tab-ni Nd 377, 21. l3 Un Knut Tallqvist. 2 Sema V-z£r-igita NbpMII9,4 Nk 36,1 315. 436, 10. NkPi I p. 13. S. 2Nabü-aplu- iddin, "Samas-ibni. 1. als Ba-la-tu a. Si-gu-t-a Ng 36, 25. a. ""? abi biti, s. Kidin-" Marduk. a. Båbliilåni, s. ?Samas-iddin. a. Dan-" Addu?, s. Iddin-" Nada. 5. a. ""?' pahari, s. "Nabü-balätsu-igbi. 1Samas'-zir-KSir (GIS) Nk 443, s. 1. als ?Bel-aplu-iddin a. Di-di-i Dr 50, a. X Samaii-str-tub ....? Nd 780, s. il Samas!-sir-ukin Nd 1100, 5. I. als i Samas-udammig Nk 322, 18. 2. a. Na-bu-un-na-a-a Cr 324, 11. i Sepia i-sir-uxab3i (GÅL-Si) Nk 85,2. Nd 110,2. 179,39. 291,8. 328,8. 389, 149 DOS) 27/0: 048, s. Cr 185, 26. TPE ENT 205, 1 als Balätu a. "^"? ba iri NkP 125, 9. | als Iddin-"Marduk a. Epes-ili Dr P 120, zo. als ?Samas-düru a. ....? NAM II sg, s. 5. als X Za-ri-qu-sir a. ""*'yàb bânt Cr 277,26. 6. a. *Sin-$a-du-nu, s. Bullutu. ESa-mi-e-id-ri-” («der Himmel ist meine Hilfe»), s. An-dunam-"Da.... (Nk7,). Sa-mi-i? L als Ad?-ri-nu SmkM II 3, 7. Sa-mi-lir-karâbi-e-a oder Sukun-mi-hir-ikribi- e-a («schaffe mir was meinen Gebeten entspricht!»),s. Ardi-"Marduk(CbL 18,15). * Sa-am-ilif, ane yy-ra-ma-a-a Dr 265, 9. Sa-am-ma- (Nd 755,4), s. ARemüt-" Bel 24. it $amsa!-a-alia? Cb 308,13 = Sam( U?)-Si-ia Nd 1001, 8; vgl Wa Es 4, s, 17) Ng (66, 9). Nd 865, 10. 928,3. Cb 50, 8. 99, 16. 385, 19. Dr 476,11. ^"?7rri$u Dr 108,7. étgipu Dr 6,5. S. Ahusunu, "Bel-i-da-nu, Jddin- 2 Samas, "Samas-zir-ibni. La-ki-pi Cb 308, 13. | X Nabh-Süur-us-ie? Dr Ba 20. 23, 2. als Pa-di-sit ... Nd 1049, 13. IS Ra-dim Nd 1001, s. 5. als Ta-li-mu Nd 573, i. (COTE ae Dr 370, seb. Sam-Sü-ha-ad-du, s. Kal-ba-a. 2Samsıu'--ü-tn, s. Iddin-" Nabi 97. Sa-" Nabiı 1 Nk 449, s. T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. Sa-" Nabà -gam-mil, "2 gallu Nk 261, s. Sa Nabü-i-da-Xu|i-du-i I. als il Samas-iddin a. [311, rr?l. 434, zo. Sa-" Nabü-Sa-lim Nd 821, 4. Sa-" NabiM- (i| $u-t|u) Nbp M IL 7,15. Smk (ZA III 228). Nk (119,13). Nd 1022,21. Cb 129,15. 387,20. S. Arrabi, Balätu, * Bêl-lummiir, Er-ba-a, Jtti-" Bel-lummir, "Nabü-sum- iddin 64, ? Nergal-iddin 44, "Samas-ah- iddin, Süm-iddin, Sum-ukin. 1. als "Bel-äh-iddin Nk 73, 21. XBel-iddina Nk 38, ro. X Bel-Süm-usur Dr 53, 19. * Zib-lut Dr 127, s. #Nabi-it-tan-nu Dr 360, s. | ? Nabü-ki-sir Cr 378, 3. | " Nabü|Bélt-ri-man-ni Cr 325,15. 334, 0. als " Sudmán-Sum-iddin Dr 502, 10. a «nel q$laki Smk CT IV 31,6. Dr 2 Sa-mas-ba-ri als IX as VORGE a qs e Nk (373, 2). S. S$Z-Ja-a. | a. Ki-rib-tu Nk (61, 1). a. * Nabü-ri-is-su Cr 54, 0. a. élragcart, s. ! Nergal-éttr. a. ®" pahari, s. "Marduk-Sum-usur. 15. a. rélgipi Nbp ZA IV 7. 16. a. *"" rg? s. ? Nabi-udammiq. Sa-" Nabà -Xumu(MU = $42) Art ZA III 158. I. a. Ga-hul(-"Marduk?), s. Ardi-ia, *Nabt- balatsu-igbi, -zir-ibni. | /Sa-" Na-na-a-ba-ni, gallatu Nk 100, 2. /Sa-" Na-na-a-Si-i Nk 129, s. Sa-na-Si-Su, Sa-na-& (Dr P 76, 2), Sa-na-iu (Dr 252, 11), Sa-na-aX-i-u. (Cr 213, 9), Sa-na- Si-i-Su (Nk 109, 27), Sa-BI-na-M-iu, BL Sa-na-Si-su (Nd 238, 239), B I-na-Si-5u mit oder ohne Determinat. 2” wechselt mit a"tél $75-»; (Nd 13), Dr (330, 13. 384, 21). S. Andahar 1, Ardia 79, Ardi-"Gula 6, Ardi-"Marduk 7, Asaridu 3, Ba-Eu-tt-a 3, Ba-si-ia 11, "Bel-aplu-iddin|a 39, -iddin 157, 186, -iaunu 41, -Sum-iskun 6, -uballit 48, 71, 81, ZBz-Di-lFi-tum, Etiru 3, /"Gula-gatisat 2, Jadın-"Marduk 21, Jddin-"Nabü 104, Hi-"Marduk 10, Ina-Esaggıl ..... I, Kb" Gula-balatu Y, Itti-" Marduk-balatu 9, Kal-ba-a 20, La- No. 2. 197 bai 49, Lüsi-ana-nür 5, *Marduk-êtir 4, Müranu 18, Musallim-" Marduk 8, Muse- sib-"Marduk 18, 19, "Nabü-ahe-bullit 20, -ana-merihtum Y, -(aplu-Jiddin 8, 20, -êtir 44, -iddin 19, -ipus Y, -ittannu 39, -napis- tim-usur 15, -Sum-iddin 4, -Sum-iSkun 17, -Sum-ukin 4, 70, -uballıt 3, -zir-igisa 24, X Nergal-iddin 2, -usézib 4, Nidintum 32, Nidintu-"Bel 23, 31, Nürea 7, /Silim- star 1, Su-ga-a-a 24, Säkin-Sim 11, 2 Samas-klir, -ibni 1, Tabnea 15, Ubar TO 22740 Sangà (SANGU|E. MAS|$a-an-gi-e (Gen. Dr 321, 43), mit Determ. "2, vol. as. Sa-an-gi-i K 76, 17, «Priester»), s. Gimillu 28, Lüsi- ana-nür 29, "Nabü-balätsu-igbi 19. Sangá-! "E , S Jddin-"Bel 17, Itti-"Samas- balatu 8, " Nabü-bàn-ahi 24, 2 Samas-sir- ibni 11, Sum-ukin 9. Sangü-! Addu?, s. "Addu-aplu-iddin Y, -kin-zir Y, -nasir Y, -Sum-ibni Y, "Bel-ahe-iddin 7, -ittannu 46, Musesib-" Bel 44, 57, "Nabü- balätsu-igbi 22, -ittannu 19, -Sum-iddin 20, -usursu 3, -zir-ibni 12, "Nergal-iddin 25, -usallim 23, Rimüt 57, Rimüt-" Bel 49. Sangü-Agadek, s. Römüt 33, i Samas-dannu 1, Sü-la-a 28. Sangá- Bábili*s, s. Bunnanu 10, Mi-"Marduk 4, 2Samas-iddin 6 5. Sangü-"Be-it| = Bâbih#, s. Ardia 35, *Nabt- bel-sumäti 2 MÅ ^ Dar (X d : Valerie |! Sangü-" Belt (=) Ni-ná-a, s. Musezib-" Marduk 58, Azmut 26. Sangh-" Belit!-Samé, s. * Nabü-aplu-iddin 49. Sangü-bit-balati(?), s. " Bél-kidduri 1, "Nergal- usallim YO. Sangü- Dilbat^, s. Ardi-!Uras 1, " Bél-ere$ 14, -upahhir 4, Has-da-a 19, Kalbi-babi 6, Lábàsi 24, ”Nabi-balåtsu-iqbi 16, -1ddin 1, -Sum-ukin 13, " Uras-Sum-ukin 1. angi! Eae? (E-a Dr 144, 19), s. Ardia 48, Ardi- Marduk 6, 33, "Bel-etiru 3, 52, -ibni 33, -iddina 70, 91, -iffannu 23, 28, -Sum-is£un 7, -uballit 49, "Belit-tirat 1, " Ea-ban-zir 1, -bel-ilåni Y, -ibni Y, -kasir 2, -nåsir 1, Esaggil-zir ... 1, Gimillu 14, lddima-a 24, 26, Im-ba-a 5, Ina-Esaggil-str 1," Mar- 198 (Sangü-" Ea',”) duk-aplu-iddin 2, -balätsu-igbi 5, -belsunu 2 I, A] -erba 17, -nàsir 14, -Såkin-Sum 2, -Sum-iddin 21, 3, Muÿallim- X Marduk 2, Musezib-"Marduk 45, 113, X Nabü-bullitsu 7, -ina-esi-etir Y, -nadin-aht 3, -napistim-usur 4, -nåsir 18, -Sum-iddin Mir anu II, -Sum-iskun 19, 62, -tablani-usur 1, -usursu 17, 32, -sir-ukin 5, 9, "Nergal- etir YI, -Sum-ibni 2, 14, Niqudu 12, 13, Nummuru 7, "Sin-zör-Usir Y, Süga-a-a 10, 7Samas-iddin 16, Tabtani-usur 1, Tabi-ia 2, 12. Sang Gula)?, s. A-ki-la-a 1, Ardi- Era 1, Ardi-"Marduk 11, Ardi-" Nergal 14, " Bér- åh-usabsi 7, -aplu-iddin 23, -iddin 48, 177, /Buitum 2, Bullutu 7, Di-na-a 1, Erba- Marduk 6, Gimillu 19, 26, Iddina-ahu 6, Jddin-"Nabh 31, /In-ni-ba-a Y, Igupu 26, / Kalbütum 1, Kidinnu 9, Kidin-" Mar- duk 13, Kin-aplu 11, "Marduk-Sum-ibni I4, -Sim-iddin 45, -Sum-usur YO, "Nabit- aplu-iddin 30, -ban-ahi 19, -iddin 44, -kin- aplu 33, -musétiq-urri 44, -násir 12, Sun- ibm 1, Sum-iddina IEEE Susranni- Marduk 2. Sangi-ili, s. Såkin duppi 2. Sangi-ili-Båbili, s. Kal-ba-a 42. Sangü(-" Btar?)-(Båbili) auch Sang& = Båbili (Dr 483, 5 = 18), s. Ahe-iddin-" Marduk 4, 13, Ardi-"Marduk 12, "Bel-ahe-iddin 26, -iddin 53, 134, -uballit 68, -usallim 3, -zér- lsir 1, Dul-lu-fa-a 3, Erba-" Marduk 12, Erba-"Sin 1, Gimillu 6, Gimil-! Sama 3, 10, GZzsanuu 14, lddin“'Nabñ 59, Ki- ? Naba 1, Lüsi-ana-nür 12, *Marduk-kin- aplu 5, -nåsir 19, 52, -Sum-ibni 11, -Sum- iddim 9, -Sum-usur 4, MusSesib-"Bel 4, Musezib-" Marduk 65, "Nabü-ahe-Sullim 2, 7, -Dün-Sulum 1, -ıittannu 20, 43, -kin- sir 18, -kisir 4, -näsir 1, -Sum-igisa 2, Sum-lsir 6, 39, -Sum-ukin 42, -Sum-usur 7, -sör-USir 5, Nasir 4, Nidintum 4, vo, 68, 7Samas-bön-ahi 1, -ibni 7, -pir-usur 1, -uballit 22, 23, Sa-pi-kalbi 2, Sum-usur 6, Uballitsu-® Gula 2, Ubår 12. Sangi-" Marduk(), s. " Samai-násir 3. Knut Tallqvist. Sangá-" Nabi!, s. Balåtu 2, Rimüt 52. Sangá-! Na-na-a, s. Dalatu 44, "Bel-aplu-iddin 27, -ibni 28, Bélsunu 14, " Ea-násir 3, Gü- sanu 5, "Nabü-ah-ittannu 8, -bån-zir 9, -Sum-ukin 6, 14, 21, -uSallim 4, Nürea 6, Sansiru 3, Uqupu 16. Sangá-" Nergal, s. I Bél-iddin 12, -usallim 6, Gi- millu 33. Sangá-" NIN.GAL, s. Litir 7. Sangü-" NinibV?, s. Ap-la-a 43, 51, 107, Ardia 5, Bånia 13, "Bél-aplu-iddin 30, -iksur 1, -kåsir 4, -nàdin-aplu 11, -rimanni 8, Bêl- Sunu 13,7 Bu itum 3, Iddina-" Bel 36, Iddin- " Nabit 24, Liblut 30 (Dr 213,11), Mardu£- Sapik-zir 7, 14, AMunadfus-" Mardu£& 3, Musezib-" Marduk 3, "Nabü-balätsu-igbi 4, -ban-ahi YO, -êtir 15, -usursu 38, Ÿ Samas- zör-ibni 2, Såpiku x, Säpik-zir 14, Ziria 4. Sangá-parakki, s. Ap-la-a 34, Balâtu 13, *Bêl- supe-muhur 2, -uballit 44, Gimillu 36, Has-da-a 11, Igtsa-a 7, Kurbauni-! Marduk 8, “Marduk-Sum-ibni 25, -Sum-usur 31, -sir-ibni 11a, ”Nabü-ahe-bullit 32, -aplu- iddin 31, -iddin 17, -kåsir 17, -tabni-usur 5, Süzubu 25, Tufulti-" Marduk 1. Sangin! Sin, s. Báàn-sir 7, lddin-" Marduk 15, 7? Naói-rimanni 1, Rimüt-" Bel 37, Såpik- UD D. Sangü-Sippar (UD.KIP.NUN|Sip-par ki), s.? Bel- aplu-iddin 51, -ibni 50, -iddin 72, -nadin- aplu 4, -uballit 38, 135, Igisa-"Marduk 5, Musallim-" Marduk 12, * Nabü-aplu-iddin 56, -nasir 14, -rimannı I, 2 Samas-erba 13, -2ddin 20, Säpik-zör 70. Saugk 3a amti() Kuth (TIG.GAB. Aki), s. i Samas-näsir 16. Sangh-Sa-bit-"BeR, s. Ba-ni-ia 4. Sangá-! Sama Is. Ap-la-a 58, Arabi 5, Ardi- X Marduk 23, Bar-sip-a-a 1," Bel-ahe-iddin 6, -aplu-ıddin 38, -éfir 28, ittannu 3a, -rimanni 7, 15, -uballit 91, -usursu 1, Dül- lu-ta-a 11, Etillu 5, Etil-pi-"Marduk 1, Gimillu 29, Ina-eft-êtir 15, Igisa-a 32, Igisa-"Marduk 5, Läbasi 51, Labasi- X Marduk 6, 9, Lisir 2, "Marduk-Sum-usur 22, 77, -zör-ibni 9, Mini-ana-Ÿ Bel-da-a-nu T. XXXII, Musézib-" Bel 35, Neubabylonisches Namenbuch. (Sangá-! Sama!) 6, Mirånu 35, Musibsi-" Marduk 1, *Nabt- ah-usabsi Y, -aplu-iddin 59, -balåtsu-iqbi 44, -kåsir 10, -nasir 38, -rimanni 4, -supé- muhur 1,-usallim 18, -zir-Usir vo," Nergal- ahe-iddin 2, -iddin 9, Nidintum 25, 83, Rimüt 14, 2 Samas-aplu-usur 4, -elir 13, 16, -zddin 14, 19a, -pir-usur 6, -uballit 24, Sa-pi-kalbi 6, Taónéa 17, "Za-ri-qu- iddin 1. Sangá-! Za-ril,a-qu, s. ! Addu-ibui 3, "Bel-ahe- ... I, -iddin 59, -supe-muhur 3, "Mardu£- Sum-iddina 38, Mukinnu 1, Mirånu 27, ? Nabü-ittannu 68a, OlS-" Marduk , Rimüt- “Bel 45, Taónéa 16, 67. Sa-ni-ia-a-ma, s. A-a-ah-ha-. Sa-ni-e-Yu (mit Determ. «"4) s, ? Bé/-zddin 145. /Sa-an-na-a Nd 953. Nd M 20. * Sa-nu-ü-mu-i 1. als Na-bu-üu-ü-na-ah-hu Xrx CT IV 34, 4. Sa-pi-" Bel (Sa-KA|pi-i-! B!) 1. als "Bel-ahe-erba a. "Bel-aplu-usur Nd 6,16. 2. a. Mu-se-zib, s. " Nergal-nàásir. Sa-pi-" Ea? (Dr 287, 15). I. a. Sik-ku-u-a, s. Jddin-* Bel. Sa-pik|pi-Eu (Kurzname, vgl. Säpik-sär) 1. als Mu-Sal-lim-" Marduk a. 7"? ang? * Ninib Nk 164, 43. 20. Sa-na-Si-Su, s. Iddin-"Nabi. Sa-pi-kalbi (Sa-KAlpil-i)-UR|kal-bi; «mit Hunds- maul Versehener») Cb 385,18. ^"? a7 d; ekalli Nd 784, 6. ^"? gallu Nd 392. Xrx 2, 4. Dr 417,15. 563, e. Sa bit sigqurrat? Cb 21, ». e"? sirik? Ya "Sans Nd 842, o. 1. als Åhi-ia-li-kin Dr 105, ir. als Ar-ra-bi a. ""?'Sang? ("Istar) Båbili Nd DUT eS als Kabti-id Dr 360, ro. als ZMan-nu-i-da-at-su-i-di, = gallu Cb P 34, 5. 5. als * Nabü-balátsu-iqbi a. ^"^ q?pi Nd 512, ro. 585, as. fie als "Nabü-kin-zir a. ré Sangt 1Samas Dr 142, 15. als "Nabü-Sum-usabsi Cb 13, 14. als Se-el-li-bi, ""?"nár. Xipri Nd 962, s. No. 2. 199 a. X Nabü-u-sur-Su Cr 285, 1. TON RETAS: Liblut. 11. a. ?Samas-udammig NK 458, i. /Sa-pi-i-kal-bi 1. zu|3. X Marduk-ri-man-ni a. Sip-pi-e CbP 34,6. Såpik-sir (DUB-ZIR; abgekürzt aus ”Marduk- bez. “Nabñ-Sapik-str) Nbp M II 7 s. Nk 286,4. Nd 242,8. 350,6. 450,5. 494,4. 580, 3. 664,6. 676,13. 690,8. 754,10. (800,18). 828, 3. 857,3. 938, 4. 948,12. 1061,7. Nd M II (58). 51,14. Cr34,21. 166,13. 187. 207. 212. 367,3. Cb 79. 99,5. Dr 370, cb. «"" bá» Nd 27,4. 546,17 Nd CT IV 41,18 ^"? euga//u Cr 225, 2,3. ^"? 7$5aru Nd 952,8. """nagcarnu Nk 126, 2. 130,2. S. Ardi-"Naó& 16, Di- hummu, Gimillu 64, Kina-aplu, " Marduk- Sar-usur 5, "Nabü-belsunu + 35, Nürea 2 Samas-kåsir + 12, Sun-usur. I. als a."Samas-ah-iddin Cr 82-7-14,94. Iaaj3 Ardi-! Gula a. Lul-tam-mar-*! Addu Nd 176, 10. $ Ba-ni-ia a. *"? $ang? Sin Nd 293, 37. “Bel-iddin a. Ardi-Nergal Nk 165, i. “Bel-nasir a. """ nappali Nk 121, ro. Bel-Su-nu a. ^"? kanik babi Nd 116, 15. Bel-su-nu a. Na-bu-un-na-a-a Dr 244, is. Danna-a (lies: Agar-aplu) Nk 77, 3. |s Du-um-mug à ..... Nk 423, 3. als Gi-mil-lu a.” Ea-qarrad-Màni Ur Pa 13, :6. IO. als Ki-na-aplu a. Egibi Nk 207, 10. 5 als Kudurru a. ..... Nk 206, s. Y Ku-na-a a. Ga-hal Nk 189, 12. Y “Marduk-nasir a. Ht -? Mardu£& Ev 24, 2. IS “Marduk-sèr-ibm a. "sang Nino Nk 133,4 = “Marduk-Sapik-zür 7. 15. als Musezib-"Bel a. Ardi-" Ea NdM II 56, 16. Mu-se-zib-" Marduk a. Abi-ul-idi Dr 172,6. als Mu-Se-zib-"Marduk a. Su-ha-a-a Ng VR 67, 2, 5. Vgl. “Marduk-sapik-zir 10. als ? Nabü-aplu-iddin a. Si-gu-á-a Nk 78, i. als ”Nabi-kin-zir a. "Sin-tab-ni Cr 219, 12. 242, 15. . als * Nabz-Sum-zddin|, a. (ré Nadıl.(-Sem) Nd71,:3. 199,3. 335. 388,5. 395,2. [400,26]. 433,14. 470,10. 504,2. 509, 16. 516,16. 652,3. 653,3. 669, r4. 675,11. 724,10. 760,20. 903,15. 956,11. 1031, s. 1120,10. NdM 15, 1,6. Cr 200 Knut Tallqvist. (Såpik-sir) 25. 30. 35: 45. 120,14. 140,18. 143,9. 148,15. 228,72. 254,14. 200, 11. 9268,72: NOUS 321133222. 323, 12 338, 12. 346, 4. — "Marduk-Sapık- 227.12. als "Nergal-£tir(?) a. "Szn-karábi-iime Nk 182, 3. als * Nergat-usalfim a.” Sin-karábi-isme Nk 130, 9. TA, 5,18. .[320, zs]. 424; 3. Ng 2, 16. Nd 131, s 184, 14. 243,21. 787, 18. 956, 8. 1031, zs. Nd M 16, x. Cr 177, 6. 137, 16. als Nu-um-mu-ru Nd 278, s. als " Ra-am-ma=-ni-Se-zib Dr 68, s. als Sil-la-a a. Na-ba-a-a Dr 193, 4. als Sa-du-nu Nd 904, 7. af Såkin-Sum NkL 7, s. als 7 Samas-Ah-iddin Nd 174,8. 226,3. 342,14. [543]. 898, 3. 1133, 28. Nk 392 mer, parı birmu. Cr 47,3. 262,2 [281,5 307, 10]. 349, 21. Cb 42, 5. als 2 Samas-Sum-usur Nd 725, s. al} Süm-ukin a." Sin-a-du-nu Nd 372. [418]. 720, 3. als Ta-gis-" Gula a. Ardi-" Ea Cr 345, 2. als Zer-ukin a. “Nabi-êtir Nk 254, 13. als Zérü-fá Nk 34,m. 38,72 [109, 2]. Marduk-Säpik-zer 14. a. " Addu-Se-e-a?, s. "Nabu-belsumu. a. Ardi-" Nergal, s. "Bel-iddin. a. "HO, s. Gimillu. a. ^"? bay? Dr (489, x), s. Jtti-" Nabü-balatu, X Nabü-ittannu, -nadin-ahi, Niquda. a. Du-ra-qu, s. Süga-a-a. a. e?) Di-ki-i, s. Tddin-{Nabñ, "Marduk- Sum-iddin, Vel. X Nabü-Sum-iddin, -str-iqisa, 7 Nergal-ztr-ibui, vel. "Nabu-Sapik-zör À. . a. * Ea-di-pa-ri-ili, s. Uqupu. a. Épes-ili, s. Sad-din-nu, Ubár. a. Iddin-"Sin?, s. "Nabü-tagbi-Usir. a. Ili -bullit-" Marduk, s. "Nabü-kin-zir. a. Ili -" Marduk, s. "Bel-uballit. a. ME ka-nik-babi, s. " Nabü-musallim. a. El man-di-di, s. "BéLeres. a. Mar-duk-u, s. !" Nabü-napistim-usur. a. élipi-sir-a-a Cb (208, s), s. Nabu- musSetig-urri, -Sum-usur, Säazubu, Tabnea. a. Niu-dammig-" Addu, s. "Bel-iddin. 55. q. 70. a. 50. a. Mu-Se-zi-bu Dr (410,15), s. Liblut, " Nabi- ittannu. a. Mu-Se-zib-" Marduk Cb 288, c. a. Na-ba-a-a, S. Süm-iddin. a. "elyaggarı, S. i Samas-iddin. a. Na-din-Sem, s. " Marduk-usatlumn, "Nabu- musétiq-urri. amélnappalr, s. "Bel-sir-ibni. a. ^" NT..SUR gine, s. "Nabü-Sum-usur. a. Nür-" Marduk, s. "Bel-ibni, Sullumn. a. Nür-" Sin, s. "Marduk-Sum-ibni. a. nel yaba-a-Sa-" Ninib, s. Ina-eft-êtir. . UV bäni Nk 22,12. 77, 11. 356, 2. a. "rib tarbasi, s. "Samas-udammig. . Réimüt-Màni, s. Nabü-étir. a. Sag-gíl-a-a, s. Marduk-3um-iddin. a. "Sin-karabi-isme, S. 7 Samas-éfir. a. " Sin-Sa-du-nu, s. 2 Samas-iddin. i 7 Samaÿ-àh-iddin Nd (654,3). 900,5. Cr [244, 12]. 353. a. *"" ang? Dilbat#, s. Has-da-a. a. "Hang? ? Ea, s. "BEl-ibni. a. ^"? $ano? ! Na-na-a Nd (63, 15). a. "ano? Sin, s. Bün-str. ame! apo? ? Szbpap! Nd 373, 5. a. ^"? ane? "Za-ri-gu, s. "Marduk-Sün- iddina. a. ^" $a tabtisu, s. Tabnea. a. Si-gu-h-a, s. " Bél-ittaunu. 74. a. Zirütu, s. " Nabü-ittanna. Sàpik-zir-Iir(? DUB-ZIR-SI. DI) 1. a. Na-bu-un-na-a-a, s. Liburu (Cb 248, 2). Sa-pi-i-" Nabü', me gallu Nd 806, s. Sa-pt-"Uras Dr Pa 8, zs. Sap-pa-a-a?, s. Rimüt-"Bel 25. Sal Gar?)-ra-a Cr 94, 15. /Sar-" Bånttum-tåbu SIM Ba-ni-tum-HI. GA), gallatu Cb 193, 3. Sär(IM)-ZBelta?-bi? .. Cb 291, s. Sa-rid = Sa-ri-du (vgl. unter Sâkin-duppi), der Grossvater des Susranni-" Marduk Nd 490. a.(?) *Pêl-uballit Cr 301. als *Marduk-na-sir a. "Kane? "Nergal Ng 23, , vgl. 2, 14. Nd 50, rs. als * Nergal-na-sir. a. " Addu-Xiin-ere$ Nd 499, 14. j a. "Hb dp, s. TZA. MAL. MAL-iddin. T. XXXII. Neubabylonisches (Sa-rid ) 5. a. “Pélétiru, s. ”Nabi-åh-iddin. a. " Ea-épes-ili^, s. 2 Samas-näsir. 7. a. elSange "Be-ht, s. " Nabi-bel-Sumalı. 2 Sar-Marad-da-tu-kul-tum, GEL 77/77 NT D ME E Sarr-anla-ni (als Probename: MAN-a-ni K 241, X 39; «mein König»; Kurzname, vel. Voll- namen wie ? Be Xarrann u. dgl.) Nd 148, 10. I. als Y Nergal-/à Nd 151, 8 152, 8. Sarru-a-ra-zu-i|u, s.Ardi-" Bel 17 a, " Bél-ibni 12, -ddim 49, -uballit 65, Ezida-Sum-ibni 2, Iddin-" Nabá 102," Nergal-iddin6,! Sama- iddin 18. Sarru-arda-igabu(?) 1. als "Nergat-usalfim a. 82-7-14, 142. Sarru-" Bel I. als X Sin-iddin Dr Ba 23, 20. Sarru-düru (LUGAL-BAD) Dr 435, 1. I. als Zd-ra- Art CIS II 66. Sarru-dür-si Nd 323, s. Sarru-ilu-á-a («der Kónig ist mein Gott») Nk 419. Nd 764,4? S. Mas(Bar)-di-e-su. Sarru-kinu(-GI. NALDU)]Ei-i-nu|num]|ni; König ist gerecht») Cr40,1e. S. ?Delsumn, Karéa. #Ea-êpes-ili Dr? I. als Am-ma-nu NK 365, 1, a. als *Bé?-na-sir Nk 106, 2. 3. als Sim-iddina Cr 297. Sarru-là-dàri(-lu(-n)-da(-a)-ri; as. Sarru-lu-då-ri K 294. 404, 12; als Probename MAN-Zu- dá-ri K 241, IX 1; «lange lebe der König!») KnlM IL (5,4). Cr 162,14 347,7 *"" qoi Ebabbarra Cr 310, 9. Cb 9,11. 19,17. 169,4. | 194, s. 240, 2. Sarru-ru-su-t-a («der König ist mein Helfer»), s. * Addu-Sum-eres. Sarru-! Samti!-ia («der Kónig ist meine Sonne») Cb 84, s. 87, s. Sar-ta-rit-bi? Dr 414, 11. Sa-tåbtisu (Sa-MUN (HK. A)ltilta-ab-ti]-($u) mit oder ohne Determin. «2; vgl. (=) Tad- tiu), s. Ana-"Bel-upägu 1, Ardi- Marduk 3,8, Ardi-"NabuS,"Bel-ah-usabsi 5, -1ddin, Jddin-"Naóün 71, Itti-"Nabu-balätu 31, Lå-båsi 55, Labasi-"Marduk 2, Liblut 27, 2 Marduk-étir 20, -Sarrani 5, Mirånu 36, No. 2. «der | Namenbuch. 20I Musézib-? Marduk 63, 117, "Nabü-etir 43, -iddin 43a, -kin-aplu 3, -nadın-ahi 7a, 12, -Sum-ibni 8, -Sum-ukin 32, -uballit 11, -usursu 5, -ztir-liSir 2, Naid-"Marduk 10, il Sin-iddin 2, “Samaÿ-nàsir 18, Tabnêa 31, /Tabatum 2. Sa-t-ri-e-$u? (Nd 1079,14). S.“Nabt-akè-iddin 26. Se-gu-su, Se-e-gu-su Cr (131, 12). 1. als Ta-la-, ^"? yàb kâri sa Uhu*! Nk 365, 14. J Se-lib-Du-ut-tum Dr 379, as. Sellibi (L UB.A|Se-el-li-bi|Se-li-bi Dr P 102,59; ab. Se-li-bu-um Bu 88-5-12, 53,35 (CT IV, 9); «Fuchs») Cb (131, 14). Dr 475, v. (562, 5), s. Ahusunu, "Bel-rimanni 38, Er-ba-a, ? Nabü-na-ta-nu, ? Samas-näsir + 19, -sör 2, -cér-ibni 23, Sa-pé-kalbi. E San Cbiy272 als Ba-zu-zu a. Ba-bu-tu Dr P 86, 2. als Jddina-a(? MU-A) Dr P 86, 4. als Jddina-a à." nappali Dr 300, 3. [407,4]. 463,4. DrP66,3. 67, 4. 104,4. 105,4. 106,4. 107,18. 108, 8. 109,8. LII, 6. 115,0 118,12. 120 815 1370,00 NAT An 142 IAE DAD: 150,4 153,5. 154,7. 5. als Jddin-" Nabñ Dr 206, s, 7. als Iddin-" Nabü a. *"" nappali CbP 37. Dr 487,5. 522, 16; MOR P^ 72,8. 77,2: 79, 3. 80,4. 31,27 82, 73. 83,3. 104) 2005, 4405, 8: (06, 10]. 102,2,9. IIO, 4. 112,4 113,4 114,3. lo), No, ch 00 230, 2 TAG, NT 143, 5. 155, 6. als Lisiru ?P 153,3. als *Marduk-erba a. Epes-ili Dr [475]. als *Marduk-Sün-ibni a. Na-ba-a-a Cr 142, 8. als ? Marduk-Sum-ibni a." Szn-Sad-du-nu Dr 134, 6. IO. als MusSallim-" Marduk a. Ar-rab-tum Cb P Dee als Musallim-" Marduk a.Qag-qa-da-ni-tum Dr 554, rr. 11a als "Nabau-udammiq a. Egibi Dr P 100, 5. bajs * Nergal*-ubalfit Dr 494, 3. 501, 5. af Nuréa|Nür&a a. """abi biti Nd 47, ro. 53, 9. 203, ar. als Su-ga-a-a .... DrP 107, >. als Sad-din-nu a. ""? aMaki Dr 334, 9- 26 202 (Sellibi) 15. a. *"'? abi biti, s. " Bél-igisa, ”Belt-gå isatt, i Nabü-igisa, I. Si-in-ba-na-. a. Ardi-! Ea?, s. "Nabü-ahe-bullit (2). a. BéL-étir Dr 40, 4? a. Epes-ili, s. *Bél-uballit. a. Mastukátu, s. Kiribtu-" Marduk. 20. a. Näs-patri-kari, s. Iddin-" Bel. 23. a. 2 Sin-ılu, s. Murasinau. / Se-hi]pit-ta-a (Kosename, vgl. 7. Sepit- Bélit-asbat), qallatu Nd 671,3. 760,11. 990, 10. Cr 278, 5. (C9) 2765 1. AS " Nab-á-3e-zib. Cr 355, 2. Sepi(t)-Bel-asbat (Se-pi|pit-"B-as|sa-bat), gallullamutanu Dr 362, 4, 12 379, 14. 392, 8. 424, 6. 534, 9. 542, 8. +S£pit-" Belit-asbat (/Se-pit|pit-" B'-as-bat),gallatu Cb 309, 3. I. zn|s /Mi-za-tum, gallatu Cb 388, 2. Se-pit-il- as-bat, gallu Dr 177, 2. Se-pitlpi-it-" Nabit!-as-bat Nd 147, 1, 14. I. al$ 2 Nergal-usesib Nd 82-7-14, 725 (CIS II 61)? 2. a. Egibi, s. Mi-ra-nu. / Se-pit-su-ag-Dat, gallatu Ng VR 67, 2, 3. FH Si-da-da-lu-mur, gallatu Nk 147, 3. /Si-da-taltiltum, gallatu Nd 655,7. 829, 3. 903. Dr 370, 50. I. mis Ha-an-da-su Nd 610, 5 ms "Marduk-Sum-ibni a. Epes-ili Dr 568, 5. 3. m|s ”Nabu-ban-zir a. élpappali DrP 55,2. Si-gu-b-a («o über meine Wehklage») Nd (608, 13). Cr (230, 12). Dr (66, 11. 520, 20), s. Ahe- iddina-" Marduk 6,14, Apla-a 22, 32, Ardea 27, Ardi-" Bel 55, Ardi-" Uras 2,/Ba-ba-a 1, Da-ni-ia 8, 16, "Bel-ahe-iddin 38, -aplu- iddın 20, -erba 19, -iddim 50, 130, 166, -ittannu 42, -h’ü 4, -nadin-aplu 6, -nipsarı 2,-usallim7,/Burasu2, Dumuqa," Ea-iddin 8, Erba-"Marduk 15, Güsanu 4, I-ba-a 1, lö-na-a 4, lddina-ahu 7, lddina-a 17, Jddin-" Bel 69, Iddina-" Nabi 21, 54, Ina- qibi-" Bel s, / In-ba-a 5, Iskur-" Marduk 2, Itti! Bél-balàtu 6, Itti" Bel-limmäir 7, 20, Itti-"Nabü-balätu 50, 53, 68, Liblut 34, " Marduk-erba 3, -éfir 10, -kin-aplu 9, -rimanni 12, -Sum-ibni 26, amel 837. -Sakin-Sum 6, Knut Tallqvist. 30, -zör-ibni 25, / Mi-za-tum 2, Musezib- Marduk 36, " Nabá-bullitsu 28, -êtir 21, -éir-napyáati 15, -iddin 24, -kuzbu-iläni 1, -lá 1, -nàdin-ahi 19, -r&disunu 5, -Sum- ukin 35, 40, -uballit 30, -sir-ukin 27 “Nergal-ahe-iddin Y, -uSallim 40, Oibi- Bel v, Rimüt 75, Rimüt-" Bel 66, * SA- aplu- -iddin 1, Sil-la-a 6, Saddinnu OR, Såkin-Svm IO; 2 Samas-kin- aplu 6, 9, -Xum- uin 3 3 -zör-igsa Y, Såpik- sir 18, Sá-la-a 37, " Sulmán-étir 1, Tabnéa 25, I Tasmi- tum-damgat 3, Ziri-ia 10, Zu-um-ba-a 2. Si-la-, s. Ba-si-ia, Bél-la-an-ni-Xum-iddin," Mar- duk-ah-usur. J/ Si-la-an-gi-i-tum Dr 370, 40. JSi-i-In-da-ra-at(«lange möge sie leben!») Ng 50,6. Sil? Tar)-ti-bi (vel. as. Sil-te-ba K 299, rev. 6) Nd (131, 2). #/Si-in-ba-an-na-a Nd 597, SSi-na-ba-na-a, assat Lisiru als Balåtsu Cb a s, /Si-na-ba- (Dr P 82,3), /Si-i-ni-ba-na- (Cb 68, 4), /Si- in-ba-na- (Cr 284, s. Cb 349, ss). 1. zn|s Ardi-" Gula a. Ir-a-ni Dr P 82, 3. 103,2. ms "Béüt-sir-ibni Cb 68, à. m|s ?Mardukb-Xum-á-sur. a. Ardi-" Nergal Cb 349, 55. 4. MS Se-el-li-bi a. el bi biti Cr 284, s. Si-i-ni- -za, vide Inta. St-ip?-e-a Dr P (138, 10). Si-rik/rik(-kilkulka), Si-ir|Sir-kulkilka, Si-Xir-Eu (Dr 576,4) mit oder ohne Determ. + Nd 200, 9. 676,6. Dr 168,3. 383. 385,» 454, 5. 461, 5. 475, 4. 477,2. 531, €. Art CIS II 66° S. ZErzstum, ? Bel-uballit 137. Tea Dr 159, zz. als "Bel-ahe-iddin Dr P 67, 15. als "Bunene?-ibui Dr CT IV 43, 25. |* Jadin]a-a a. Egibi ($a Sumusu ant ? Mar- duk-nàsir-aplu als Iddina-a a. Egibi SAN 2160) Dr 132,3. I54,4. 178,2. 182,5. 204, 3,8. 258, 3,10. 268, 4. 270, 2. 286, 5. 336,4, v. 337,4 380,4 346,12. 350, 3. 357, 3, 10. 300: 371,5. 372, 3 380, 3. 406, 3. AIT, s. [417,8]. [435, 4]. 437,3. 439,2. 440,4,7. 447,6. 449,3. 456, 4. 458,3. 470,3. 474,3. 485,6. 496, 3. 489, 5. 502,4. 507,4. 514,15. 520,3. 544, 4. Ti, SSR, a Neubabylonisches (Si-riklrik(-kilku|ka)) 545,5. 552,4.- 560, 3. 572,4. 573,2. 575,3. 546, 4: 577,8. Drill 25,3, 22. 5. als Jddin-" Marduk Dr 75, 6. als Itti-"Marduk-balätu a. Egibi Dr 51,3. 536, 4. 537, 6, 10, 14. 530, 4. als *Marduk-erba a. "Sin-karäbi-isme Dr 187, 6. als * Nab&-usallim a. ^"? 6d iri Dr 437, 12. a. Egibi Dr 132,1. 178, 10. 350, 12. 507, 19. IO. a. Kur-ban-ni Nd 225, 10. II. a. ^" 5ahari s. "Bel-kisir. SSi-rik-ka-tum ? Nd 102, 3. Si-rik-" Nabit (mit Determ. ene); s, Rimüt-" Nabu 1. Si-rig-tum]tultälti («Geschenk», Kurzname) Nk 258,11. 269. 271,6. 356,3. 374,20. Dr532,1s. amél q-su-h4 Cr 382. """Xrib Samas Dr Bu 88-5-12, 26, 1s. S. Nåréa. 1. als Itti-"Marduk-balätu a. Egibi Dr 57, e. als Itti-"Marduk-balatu à. 4 Sm-udammig Ng 25, z3. als Närêa a. Dan-ni-e-a Nk 207, 16. 254, ro. FÖTT. 201, 1292091959 14) 30 36708: als Ziria a. Nür-"Sim Nk 10, r Dr LL 23,3. ECC A cree Dr244e a. Ardi-! Ea, s. " Marduk-Xum-iddin. a. Nür-"Sin, s. Amti-" Belt. a. ^" pahari, s. !Samas-näsır. | 9. a. "Sin-udammig, s. Bul-ta-a. Si rig-tum-" Marduk 1. als “Marduk-Sum-usur à. Dr [407, 16 =] Dr P 104, 14. als Ri-mut a. Ba-bu-tu Dr 399,14. Dr P 66,14. a. Sim-me-ANb-e, s. I Nabir-Sum-ukin. Sir-ki-a a. "él pahari, s. "BEl-kisir. Sir-qät-Sa-"Samas Nd 958, 2. Sis-ru-i (Ahu-Subsit) Knl M II 5, s. Si-Xá-ru, s. X Addu-unammair. Si (-)-a-tü|tim| MU? (Nd 832, 17. Cr 249, 12), s. 2 Ea- | iddin 3, ltti-"Nabü-balàtu 12, “Nabti- | nasir. 46. Sü-ba-bu Nd 263, 3, vide Su-zu-bu. * Sy-ba-bu-sa-ra- I. als Te!-mi-sa-a-a Nk 360, s. it Sy-bu-lal-eres (KAN) Nd 795, 6, s. Dunn. i Sk-bu-lal-iddin 1. als ”Nabü-ipus Nd 445, 9. [1109, s]. No. 2. " Sin-da-ma-qu Namenbuch. 2 S4-di-ni-du Nk (432, 1), s. Ba-di-iläni. Si(.Su?)-ha-a-a, s. Müranu 16. Sü-kan-du (Cb 233, 41), vide Askandau. Sá-la-à Nbp M II 13,14... Knl M II 6, 5. Nk 24. 217,5. 368,5. 420. 433,14. Ev 5,*. Ng 18, 1. 28,31. Nd 163,12. 164,9. 213,4. 329,8. 334,3. 357, 20. 363, 2. 366,3. 368, s. 413, 5? 422, a. 439,3. 449, *. 481,9 502,2. 521, s. 698, 2. 744,2. 749,?. 779, 3. 702,5. 798,2. 856, c. 888,4 1076,4 Cr 170,15. 278,6. 326,2. 367,2. Cb 22,7. wel aslaku Nk 312. erelyab Nk 452. emelyab bani Cr 382, 4. ?! Hal-la-a Ng 70,12. S. Amel-"Nabü, Ardi- Gula + 42, " Bé-ahé-Dullit, -iddin, Belit- sunu, "Bel-ittannu, -käsir 74, -uSallim, #Bunene-Simanni, Damgia, Di-di-i-tum 1, I Ea-zir-igtSa, Iddin-" Nabit + 150, Kåsir, JKib-ta-a, "Marduk-3um-iddin, *’Nabi- ittannu, -kin-aplu, -taddannu-usur, "Ner- gal-Sum-iddin, Pir',* Samas-ibni, -Xum-ibui 4, -usal-lim, -sir-ibni 24. sa Lea na Nk 134, 7. GN a a. Da-bi-bi Ev L 9, s. als edes a. Egibi Nd 1057, 3. P) e Ne hs a. Samaÿ-àk-iddin Cr 153, s. 5. als Ap-la-a Nk 62, x. Y Bâni-ia a. Épek-ili Cr 277, zr. #Bêl-àk-iddin [a] Tu-na-a Nd 50, re. UBél-bàsir a. Egibi Nd 655, ss. Bel-Su-nu Nk 32, 2. als *Pél-upalhhir a. Egibi Nk 78, 1,12. 103, 15. 334, 10. [368]. 403. als ." Ea-zir-ibui Ng 20, 7. NgL 116, 5. IO. als Ebabbarra-lu-mur Nd 93, 3. 186, 6. als Er-ba a. Egibi Nk 436, 2. als Gi-mil-lu a. * .... Nd 806, s. 15. al$ Gi-mil-lu a. Épes-ili Nk [381,3]. Ng 31, s. 44,3. Nd 553. 1098, 6. Cr 230, 4. Cb 56, 2. als Jó-ma-a a. MasStübu Nd 140,3 IST, 3. 257. 393 7 aff Igisa-a a. lddin-" Ea NAM 23, s. als * Mardu£-étir a. Kalbi-# Sin? Ng L 12, 16. als 7 Marduk-Sum-usur a. AS-sur Cb 118, s. 20. als “Nabt-ahé-iddin Nd [5, 10]. 740, 4. als "Nabü-ba-ni Nd L 15, z. als "Nabü-ga-mil a. Egibi Nk 115. als "Nabu-kin-aplu Nd 601. 26* 204 Knut Tallqvist. (St-la-a) 2h 30. 35. 40. 45. 50. als #Nabñ-ku-sib-ilani Nk 138,3]. 46. 47, a. 7 Nabiu-Sum-ukin a. Egibi Nk 112, 4 als "Nabü-zir-ukin a. Egibi Nk 133,3 138. 142, 3 — no. 39. als "Nabu-uballit a. P, 81, 14. als Såkin-Sum a. "?Yangt Agade*! Nk 100,1. als 2Samas-ah-iddin Lab 1,13 Nd 897,4 Cr 26. 70, 2. als 2Samas-ibnilib-ni Nk WM 32. Cr3s7. Addu-Sam-me-e Dr als i $amas-iddin Nk 138, 8. als ?Samas-iddin a. ""? ràb bânt NkL 8,2 als 2$amas-udammig a. Nür-"..... Dr260,16. als Sa-"Nabá-Xà a. IP .... Nk 373, 1, 7. alt Süm-ukin NKI 3,5 als Ziri-ia Nk 302, s. Ziri-ia a. Si-gu-it-a Nk 317. Zir-ukin Nbp (ZA IV) 20, 3. Nk 103, 5? 2E als Zir-ukin (a. Egibi) Nk 42,3. 61, 3. 65, 9 66,2. 70,4. 82,5. 86,3. 94,4. III. DIS. I19,s. 133,3. 136. 137. 138. 142 424,5; vol. no. 26. ZEN Oz)" Dam-ki-ia, *Nergal-iddin. a. nel gbi biti, s. i Samas-etir. a. amelu-u, s. Na-din. Vis eet OTI Nk (374, 23). a. Ardi-" Naóz Cr (161, 30). a. Ba-bu-tu, s. Iddin-" Nabi. a. ^"" banı, s. "Bel-rimanni, Munahhis- 2 Marduk, ? Nabü-nasir. a. Ba-st-ia, "Bel-iddin. a. "Bel-ahe-usabsi Nd 201, 19 a. "BéLéfiru, s. X Nergal-iddin. a. (?Ea-Jepes-ili!, s. "Marduk-Sıum-ibni, Mu- Sezib-" Marduk, " Nabü-Sum-iddin. a. Egibi Nk (369, 14). Nd (181. 597,6), s. "Bel-kısir, -lu-mir, Itti-" Nabn-balätu, ? Nabü-ahé-iddina, -usursu,{Oudasu, ?' Sa- mas-iddin. a. Épes-ili, s. LBel-lin, ?* Marduk-étir, -Sum- ibni, -Sum-iddin. a. Etiru, s. Habasiru. a. Jddin-"..... NAM II (46, 13). s. Ardi-" Bel, Basuzu, Musézib- Bel, 55: 65. [o9] UT 90. . a. Sin-na-din-$um|Så-mi s d CAPUT. U^. sc eg 8 a. Iddin-" Marduk, s. Na id-" Marduk. a. Ir-a-ni, s. Rimüt-" Gula. a. Lu-us-su-ana-nür-" Marduk, | s. zir-ukin, Saqa-a-a. a. Man-di-di, s. 2, Samas-Sim-ukin. a. MasS-tuk, s. I-ki-pi-" Marduk, Sum-ukin. a. Mi-sir-a-a Nk (328, 1), 1 Samas-zir-ibni. a. Mun-na-bit-tum, s. * Bél-igéia. a. *Nabít ..... Nk 249, as. a. "Nabü-etir Nd 583, 24. a. Na-bu-un-na-a-a, s. "Bel-iddin. a. énageart, s. ! Marduk-sir-ibut. a. Naid-"!Marduk, s. Naid-" Marduk. a. énappaliNd313,5,s. Musesib-2 Marduk. a. ^"?'qà$ patri käri, s. Ardi- Bel. a. Nür-"Marduk, s. Ahe-iddina? a. Nür-" Papsukkal, s. "Bel-iddin, 2 Nabi- étir-napsati. a. Nür-" Sin, s. Habasintum. a. Pap-pa-a-a, s. " Mardu£- a. 0" Pa-sekt, s. Kiribtu. Jddin-" Naba, balätsu-igbi, -Sum-ukin. 7 Nabg- T 7 Samas- s. *Bél-uballit, sir-ıbm. a. "yb Dni, s. il Nabü- . a. eve, s. Nidinit. a. Si--a-tum, s. Ba-ni-ia. a. "Sin-uballit, s. " Nabü-ahé-iddin, -Etir. a. "Sin-Uu, s. "Bel-Sum-iskun. a. " Szn-imittu Ng (14, 15), s. Nab-êtir. Nd (518,9), s X Nabü-eris. a. "Sin*-uballit, s. " Nabü-aké-zddin. a. #Sin?-ntu, 5. /Kas-Sa-a. a. Sip-pi-e, s. "Nabü-Ein-aplu. a. ii $Samas-åh-iddin Nd 297, 2. 322 244, 13? Ili -? Marduk. a. """$apnof Båbili, s. Kalba-a. a. "Hanes Gula, s." Bel-iddin, Sum-iddin. a. "sang "Istar babili Cr (28, 1), a. Sa tabtisu, s. "Nabü-étr, Na’id- X Marduk. a. Si-gu-t-a, s. # Nabü-Sum-ukin. a. Tu-na-a, s. Itti-" Bel-lummir, "Nabü- musétig-urri. a. Usur-amät-" Ea, s. "Marduk-bel-zir. T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. (St-la-a) 93. a. Zir-ukin, s. " Nabü-belsunu, -kön-aplu. Sul-lu-t-a I. als ”Ea-iddin Cb 131, 17. DE ter Le , S. * Bél-Eásir. Sul-lu-ma-a, Sul-lu-mu-a, Gla, DLa (vgl. Sul- lum-a HABL 774; Kosename zu Sullumu) Nk 77,8. Cr 61,7. Nbp M II 8, 19. Ca SESS aes s Cr 164, 13. als Ardi-ia a. Hu-sa-bi Dr 484, 3. als Ba-la-tu Dr 378, 19. 452, rz. I$ *BéL-iddzm a. Épes-ili Ders: 5. als Ha-an-da-Sa-nu a. Ii? Marduk Dr P 63, 15. als Kal-ba-a a. Na-ba-a-a Dr 457,12. 504, 9. Dale 33, 22. a| Mu-ra-nu a. ""? angi ...... Dr P 65,2. als "Nabü-na-din-ahi a. Na-ba-a-a Dr 492,17. 542, 24. 545, zr. als Su-ga-a-a Cb 279, 14. 10. a. Da-mi-ga, s. "Bel-käsir. a. Su-ha-a-a, s. Musezib-" ....... a. Sil-la-a, s. "Sulman-Sion-iddin. a. " Samai-iddin Cr 287, 13. a. "ano? Sippar" Cr (332, 29). Do Si-gu-á-a, s. 2 Marduk-Sum-ibui, -str-ibni. Sullumånu vide Sulmånu. Sul-lum, Sul-lu-mu, D Liu (wahrscheinlich Kurz- name, beachte no. 13 = Nergal-usallim) Nbp (ZA IV) 17, s. 124, 9 206,10. wilgyrisu Nk 450,15. S. Jddin-" Marduk, * Nabü-Etir-napsäti 9o. 1. als 2A-e-eres Nd 7, 20. als Ardia] Ardi-" Bel a. *"élypasar abulli Dr 545, 13. DrL 26, se. ANA ce Res a. Egibi Dr 514, zs. als ?Bel-ahe-erba a. Uk-ka-a-a Ev 14, 16. 2 Bel-etiru NK 317, 10. UBL jd a. "nappahiNk 133,78. 142,rr. als Bül-lu-tu a. INür-" Sin Ng 52, 72. E-til-lu a. Egibi Nk 152. 10. als J3-ri-2- Nd 7,18. |$ Kabti-1a Dr Pa 14, 23. als Mu-Se-zib-"Bel Nd 832, se. als Musezib-"Marduk (a. """nappahi) Dr 19, 24. Nd 670,2. Cr Ili?-2 Marduk a. “"nappahi Dr 255, 12? | 205 123,27. 168, 9. [170,24]. 213,70. 237,14. 238,19. 255, 12? 256, 13. 268, 16. 270, 6. 294, 14. 319, iy. 332, 15: 338, 2r. 345, Ir. Vel. Nergal- usallim 14. als “Nabñ-êtir-napfati a.” abi bitiDr 380,17. 15. al$ #Nabñ-Wà a. Na-ba-a Nk 350, 16. $ 2 Sin-elir Nd 310, 2. S8 7 Samaÿ-iqifa Nd 312, s. als Säpik-zir a. Nür-" Mardu£ Dr 472, 16. a. ÄAk-Sur, s. " Nabá-iddina. , amet au? s! Mardut-rimannui-3Sum-iddina. a. Dan-ni-e-a, s. Itti-" Bel-balätu. a. Dannu-" Addu, s. Labasi-" Marduk. a. Epes-ili, s. I Nabü-kin-zir. a. emelj;_din-nu, s. " Marduk-sum-iddin. . 2 Nabü-l-e-3u, s. Bel-ubalht. a. Na-din, S. Gimillu- Sama. a. "Hb. iu. , s. Nabt-erba. a. ^" yb Yu3-Xi? Nk (328, 12). a. X Sin-karabi-isme, s. " Bél-ittannu. . Si-gu-u-a, s. "Marduk-kin-aplu, * Nabá- sir-ukin. 31. a. Uk-ka-a-a, s. "Nergal-Sum-ibni. Sulmånu (Sul|St-ull-Iu)-ma-nu, «Geschenk»), s. Musesib-" Marduk 50, "Nabü-zir-kitti-Lsir I, Tabnea 26. 2 Sulmön-ah .... a. Ba-bu-tu, s. "Nabü-belsunu. 2 Sulmön-ahe-iddin|a (2 S1-SES#1PAP. ME-MU| SE-na) er eo Dr 316, 26. als Kabti-ia a. “Sin-tab-ni Nd 621,3. Cb [78, 4, 10, 17. 109, 5]. a. "Bel-etiru, s." Ea-usallim, "Marduk-sum- ini -Sum-usur. 4. a. Si-gu-t-a, s. Saddinnu, i Samas-kin-aplu. 2 Sulmån-åh-iddina (GSLSES-MUSE-na) Nbp (ZA IV) 13,4. Nbp Pi 2,3. Nk 437,5. Cb 37. amêlin@r Sipri Cr 149,7. ”"&gallu Nd 138, s. S. 2Samas-iddin 69. 1. al$ ?Bel-ah-usabsi a. "*!malahi Nd 375, 4. 619, 3. als Kabti-ia a. "Sin-tab-ni Cb 78, 4, 10, 17. = 2 Sulnön-aht-iddin 2. 3. a. Kabti-id Cr 80,6. Vgl. no. 2. 2 Sulmân-aplu-iddin(?S"- TUR.US-MU )Dr 541,13. 2 Sulmön’-bel-usur\ PAP Cb (303). ""?"ga/lu Nd [570,18]. 1008,4. Cr 141,10. 362,4. Cb 135,4 206 Knut Tallqvist. 1042 107,711. 218,3. 257509. 321, 20,2 369, 8, 376, 2. 301, 2. 400. Dr 177,5. 261, s. 308,2. 400,6. 405,3. 452,92,7. 4590, 1,5, 6. 500, 3. Art CIS II 66. 2 Sulmön’-eres (KAN ) 1. als Gz-mul-lu Cr 322, s. Cb 3, s. 2 Sulmön-Etir (SUR), s. Iddin-"Bel. I. als ?Bel-kasir a. Si-gu-i-a Dr 431,2. 434,3,6. 2 Sulmän’-iddin Nd (724). Dr 300, s, 1. 384, s. 429, 2. 430, 11. Art CIS II 66. als Nu-ür-e-a a. Na-ba-a-a Nd 52, s. 2. a. Kalbi-"'Sin?, s. "Marduk-sir-ibni. 7 Sulmån!-igi$a, "2! ràb bu-lum sa "Bel Nd 27 3,9. S. Balåtsu. 2 Sulmön'-Sör-usur (PAP) Cb (322, 20 gallu. il Sulmän-Sion-ibni, s, ZBel?-Sunn-iddin. 1. a. Nür-"Sin, s. "Bel-ana-mirihtu. 2 Sulmån-Sum-iddin|a ) Cr 146, 2 | (MU-MU]SE-na, abge- | kürzt: Sum-iddin) Nd 134,2. NdM II 65,6. | S. Sa-Nabi-St. TON ANA oc Nd 130, 5. als * Nergat-zir-ibni Nd [253,9]. = Süm-iddin 25. als Ri-mut a. Li-e-a Nd 875,n. 931, 9. alt Sul-lu-ma-a a. Sil-la-a Nk 377, 19. 5. al$ Zir-Bäbihi a. *""nà$ patri Ng 9, ro. D 73. [1083] als Ziri-ia (a. Na-ba-a-a) Nk [326,1]. Ev | 12, 2018,53, 20,2 210015 4 N 0427, 3. 2212024: 1,7,8,11,18. 26,13. 33,5. 35,2. 67. 68,2. 69,3. Lab[3,e]. Nd 19. 30,5. 34,2. 36. 68, zo. 82, 9, 15. 85, 2, 9, 10, 13. IO7,2. II2, ». TAI, 2 a. *Pêl-usur$u Dem? (ZA III). a. " Ea-lu-mur, s. " Bél-limur. 9. a. Nür-" Sin, s. i tum. it Sulmån!-Sum-usur(-MU-SES) 1. als ?Bel-eres a. ”Eman-di-di Cb P 26, 20. als * Nabü-Xum-iddin a. Nür-" Sin Nd 733,5. a. E-til-lu, s. "Nabü-sör-lsir. 4. a. ANür-" Sin, s. [tti-" Bél-limmir. " Sulmån!-uballit- TIN-it) I. als ?Asur-ki-it-ru Cr 120, zr. i Sulmön-zir-ibni Nd 503, 4, 12. 1. al$ Ap-la-a a. Épet-ili NAM 30, v. a. Épek-ili, s. #Bêl-ibni. a. Iddin-" Marduk, s. Ki-di-ru. 4. a. *"" $ane? "Nergal, s. Gimillu. Sum-iddin]a Sü-lum-ahi? Nd 398, 5. "v? ràb nartabi Nk 452,2. Sulum(-ana)-Babili (St-lum(-a-na)-E] TIN. TIR*), s. Ap-la-a. 1. als Ta-as-te-bi Dr 526, n. als ?Bel-ah-iddin Dr 296, ır. als Igtsa-a Dr 244, ro. 5 2 Nabü-balätsu-igbi Dr 431, is. 5. a|3 #2 Nabü-Sum-idain Dr 509, zo. als ?Nabü-zir-Usir a. =” dam-ga Dr 76, n. $ Ni-din-tum Dr 389, ro. 390, 3. $ Täbi-ia Dr Ba ro, 7. 9. als *ZA.MAL.MAL-pir -usur Dr P. 147, 16. Sá-lum-"Béh Dr 533,12. —— Sü-lum-"Bel-Iu-mur Nbp (ZA IV) 19, a. S4-lum-ma(-a)-du («vieles Wohlergehen!»), s. X Bau-eres, Rimüt. | Sk-ma-a(-a), MU-ia Ev 11,11 (hierher gehört ge- wiss wenigstens zum Teil auch MU-a; als Probename S/-a-a-a K 241, IX a5 Kosename) Smk P Tr MIR 2 GS te: Nk 125,4. Nd 157,2 250,16. Srk ZA IX. S. Ak-kı-ia, !Bel-ibni, I Etillitum, Gimillu, Liblut, MuSallim-" Marduk 35, " Nabü-zir- utn, ? Samas-Sum-ukin-unammir. 1. als “Bêl-dal-lil? Nk 33, ro. | Fba-a a. Hu-Fa?-bi Dr 12, ro. als " Nabü-zir-iddin a. Da-bi-bi Nd 832, v. |* Na-sir Dr Bu 88-5-12, 26, 77. 5. al$ Si-la-a (a. ^"? bàni) Cr 222, 10. 223, 12. Dm Ae Cb 279, s. a. Ba-bu-tu, s. Gilira. a. ^" ba iri SmkM II 3, 22. a. e"? bani, s. "Nabü-aplu-iddin. 10. a. Dan-ni-e-a, s. * Nabü-Elir-napsatı. a. Egibi, s. "Nabn-ahe-iddin. a. Ir-a-ni, s. 2 Bel-uballt. a. emil Pa-ÿehi, s, #Bêl-ahè-iddin. a. e"? yx bàn£, s. "Marduk-zör-ibni? 15. a. Sag-gíl-a-a, s. Libluf. a. 2Sin-nåsir Nd 605,6. S. Zddin-"Nabi. 17. a. ""? Ya. fábtitu, s. "Nabü-Sum-ibni. Sum-ibni 1. als EMarduk-Svum-iddin a. ^"? angt Gula Cr 161, 54? (MU-MU]SE-na; no. 19, 35 abge- kürzt aus ?Marduk-Sum-iddin, no. 25 aus 7 Sulmån-Sum-iddin) Nk315,9. 387. Ng 17,4. T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. (Süm-iddina].) INdErS7-10% 169,43: 878, 5: 981,5. CI I, 6 Eb 121,7. 225,6. Dr. 6,0. 517,2. 521. 535,2 amel qklu Nk223,3. Dr 553,5. 574,9. ^"? TIG. EN.NA Dr 559, IV 11. S. Åh-iddin, Ba- latu 106, *Ba-iddin + 19, E-bu-ri- di-i-ni, Iqupu, * Nabü-aplu-iddin, -usallin, Na-din,* Samas-ahe-iddin, -igiSa 12, Sarru- kinu, Süm-ukin, Ubår. Nd 305, 16. als "Del-ahe-igesa a. “Pa-t-tu Nk 108, vr. 199, o. 2a als "Bel-ah-usabsi a. "Samas-a-ba-ri Dr P IO. 15. 142, 13 als * Bél-aplu-iddin Dr Bu 88-5-12, 26, 17. als "Bel-zir-ibni a. Sag-di-di Nk 406, 22. VEL TE N AE597E X Esi-etir a. “Sin-da-ma-qu Nk 101, 13. Jddin-*! Bel Dr Ba 10, 24. Iit -*B& a. Im-bu-páni-id Nk 346, 12. als Igisa-a a. Dan-ni-e-a Cr 12, re. als Itti-"Samas-balätu a. Ardi-"Samas 313, 16. als "Marduk-Sarr-an-ni Nd 963, c. als X Marduk-3arr-a-ni als Balåtu Cb 72, ro. als "Marduk-Sarranln)i a. Sa-la-la]lujer& $a- al-la-la Nd 157, 15. 635,13. Cr 65, 5. 2234396 160. 7 Nabi-àh-iddin Cb 322, 4. X Nabü-ah-usur Cb 261, 3. ‘ X Nabü-aplu-iddin a. Pa-5e^ Dr Pi 12,7. X Nabü-bàn-ahi Nd 947, 11. CI SI, 4. |* " Nabü-bàn-ali a. "Sin-karäbi-isme Cr 200, 14. als *Naba-bàn-zir a. """nappahi Dr P 63,4. 70,5; vgl. "Marduk-Sum-iddin 22. als "Nabü-nasir a. Epes-ili Nd 520, 14. als "Nabu-sar-ahesu Nk 406, 14. X Nabü-sör-lsir Nk 100, is. Y* V Nabü-sir-ukin a. e. Dr 181, zz * Na-din a. Bu-ü-su Nd 74, s. i Nereal-zir-ibui Nd 253, 3 — "Sulmän- Sum-iddin 2 q.v. 2Samas-iddin a. ^"? Pa-e* Dr Pi Marz: 2Samas-Sim-iddina Dr 513, 6. 3 Samas-Sum-u-kin a. me Pa-3e Nd 343. i! $q- Nabáü-Xi-& Nk 52, 15. 62, 14. a v v Ry Y Dr 222; 207 30. als Sápik-str a. Na-ba-a-a Dr $41, 23. 561, 9. (#2) Un 40. 45. 50. 58. Sum-iSkun al Så-la-a a. ""? Yangf Gula DrP 73. 74,4. als "ZA. MAL.MAL-erba a. Amêlu-4 Dr ATI,74. als Ziri-ia Nd 276, 3. als Ziri-ia a. Ir-a-uu Nd 130, s. als Ziria a. """ tang? Gula NdL 2,2 X Marduk-Sum-iddin 45. als Zu-za-nu Dr [75, 56]. 210, 13. 249, 4. pec E Nk 318, 10, 12. a. Åbi-a-bi, s. "Nabü-belsumu. a. Abi-ul-idi Cb 293, 4. S. Miranu. a. Ardi-" Ea, s. "Bel-ittannn. a. Ardi-"Nergal Nd 498, a. 2 Gula. a. Bu-ra-qu, s. "Nabü-rimanni. a. " Ea-epek-ili, s. Zu-um-ba-a. a. Il" Marduk, 5." Nabü-kin-aplu," Nergal- usallim. a. rd kuddimmu, S. LE Tas-me-dam-ga. a. Liéa, s. "Nabü-igisa. a. mel man-di-di, s. " Ea-iddin. a. Mas-tuk, s. Taddannu. SETZE Dr (247, 52). a. Mu-Sal-lim Ng 6, s. a. "Nabü-ah-eres Nk 36, 15. a. " Naók-bàn-ahi Nd 201, 17. a. I Sin-Sa-du-nu, s. Sil-la-a. a a a S. Uballitsu- Igisa-a, IKas-Sa-a, . Sa-la-la, s. I Bél-iddin. 2 Sa-na-Xi-£u, s. Ba-ku-ü-a. . 0 Sau o?) Addu, s." Bel-ittannu,” Nergalt- usallan. a. melsangi 2 Samas, s. Mirånu. a, "7g tåblisu, s. Miranu. 2 Nabit- als Lüsi-ana-nür .. Nd 246,1. Sumr-iskun 17. Sumrlib-3i (vgl. ab. Sä-mu(-um)-li-ib-Si Bu 91-5-9, Go, sc dou sc — ACTA vts) lese Mu-kàl-lim, vgl. Nd 46, u = 802, 1. Sam-ukin (MU|Sá-um Nd 243,2 - DUJGI.NA; beachte MU-DU = zu: CIS II 71; ab- gekürzt aus Vabñ-Fum-ukin u. dgl.) Ng 70,21. Nd 4,11. 288, 4. 374,17 455,7. Cr 20I, s 336, 5 Cb 440, a. Dr 316, x. Dr 82-9-18, 310a (CISII 71) *""azamu 208 Knut Tallqvist. (Sitm-ukin) IO. I5. 30. . als Nd 738,18. 1113,33. Nd TSBA. S. Ap-Ja-a, Bel-zir 23, "Bel-Shzibanni, "Bunene-Xar- usur 2,Gimillu, Güsanıu, 1b-na-a, lddin-"Bel, Kal-ba-a, Labasi, Liblut, "Marduk-nadin- apli, Musezib-" Marduk, * Nabü-étir-nap- Sat, -Sadımu, Rimit-" Bel, St-la-a. Nk 47,9. 435,7 Evi7,s Nd 307,2. (S aaepe a. Tu-na-a Nd 316, zz. als Ap-la-a a. Ga-hal Nd 679, s. Dr 84,4; vol. Nabi-Sum-ukin 1. als Ardi-ia Dr P 41, zz. Y Dalàtu a. Gimil-" Na-na-a Cb 109, s. als Ba-ni-ia Dr 379, 12. "V Bel-etir a. ”Sin-ilu Dr 328, 4. EZ Bel-ri-man-m a. Ba-bu-tu Ng 34, 13. 2 Bel-Sum-iSkun a. ""* angit ... Cb 422, 16. BELSUMU GEN NETS Dr 333, c. Bel-Su-nu a." nas patri kari Nd 441,14. Y E-til-Iu a. E-kur-za-kir Nd 348, ss. als E-til-lu a. Nür-" Sin Dr 402, 16. $ Gi-mil-lu Nk 106. als Zb-na-a a. Da-bi-bi Nd 584, ı7. Kudurru a." Addu-Sum-eres Nk 200, 10. a. RAA gg Cb 210, 10. La-ba-Si . #Nab etc. $ Mu-Sal-li-mu Nd 243, 2, s, 13. $ Mu-Sal-lim-ilu Ng 39, a. * Musallim-" Marduk a. ^"? abi biti Dr ? Nabü-ki-Sir Cr 87, 7. ‘ 2 Nabü-mu-Se-Si-ru? a. Nu-ha-Su Nd 15,9. * Na-sir a. Ardi-" Ea NAM II 56,4. 61. 63,2. |* #Nergal-nasir? Nk 196, is. als Pir- a. Sin-pi-lu-li-ki(?) Dr P 50, o. Sa-ma--ilu Nk ÖT, 10. Sa-" Nabi-$t-2 I € 43, rg. Nd 4, 4. t Süm-iddina Nk 46, ro. x Så-zu-bu a. E-til-Iu Nd ZIG Aa $ Tab-ni-e-a a. Epes-ili Dr 267, ». Ziri-ia Ng 67, 13. a. *""5s$ s. Silla-a. . q, "0p, s. Silim- Bel. a. Balåt-su Nk 249, 30. a. ban Cr Pa (4, so), s. Belsunu. 40. 45. 50. 59. . a. "Szn-Sadünu, s. . " Bé-étiru, s. " Bél-iddina. Da-bi-bi, s. Liblut. Dam-ga, s. "Bel-etir. " Ea-garrad-ili, s. " Nabü-musetig-urri. . Epes-ili, s. 2Bbl-iddin. à Etiru Dr (340, 21), s. Kasir. a. Ga-hal, s. "Bel-kisir. a. Iddina ...., S. Rimüt. a. Iddin-" Papsukkal, s. Güzanu. a. JMir-Dül-lu-fu-" Marduk (= ?" Nabüi-Sum- ukin), s. " Marduk-Sim-ibni. a. Mas-tuk, s. 2 Marduk-Sum-ibrni. a. Mu-dam-mi-ig-" Addu, s. Igé$a-a. a. Musällim, s. /Ina-Esaggil-ba-na-at. 8 a. anilyaggarı, GH Na-din. JESSE SKISS a. Når-2Sin, s. !Nabh-re unn. a. *"" yh bani, s. "Bel-rimanni, Gimillu- Gula. a. "Sin-Sadi(?), s. Musezib-" Marduk. X Bel-uballit, -usallim, Nabh-eres, Sûpik-str. a meer NA (260,7), 8 Itti-" Samas- balatu. a. "P $ano? "star Bäbili, s. Lüsi-ana-nür. a. 9"? fa tablısu, s. " Nabi-iddina. a. Si-gu-u-a, s. Itti-"BEl-balötu, Itti-" Nabá- balåtu, * Nabü-uballit. Sum-usur (MU|Sk-mi Cr 34,4 -SES; Kurzname, no. 3 vielleicht = ?Na6Zi-Simi-usur 8; bis- weilen ist MU-SES = SE-na-SES = Iddina-ahu oder vielmehr Nädin-ahi) Nk 148, 11. möljyrisu Cb (57,18) S. Apla-a + 109, XBel-usallim 67, Er-ba-a, Ina- Esaggül-Sum-ibni, Kal-ba-a 31, Lüssu-ana- nur, Na-di-nu, 2 Samas-ibni, Zir-Båbili, Ziri-ia. . aff Ha-a-a-nu Nk 116, 27. als Igisa-a a. *"" Pa-Ye* Nd 553, zs. als Mar-duk-a NdP 4,10, vgl. ”Naba-sum- usur 8. als * Nabü-it-tan-nu Dr 405, 15. a. Sip-pi-e Nd M II 57,11. als "Nabü-Sar-usur a. ""? $angt "IStar Bå- bili Nk 228, 13. als " Nabáü-udammiq a. ^"" allaki Nd 182. als * Nabá-uXalfim Dr 265, 12. als Nür-e-a a. Mas-tuk-ku Ev 24, 1, 7. T. XXXII. als "Nabü-na ..... Neubabylonisches Namenbuch. (Süm-usur) IO. als Ri-mut-"Bel Cb 110, 77. als Säpik-zör Nk 315, 14. a. Amél-" Ea, s. "Marduk-kin-aplu. a. Ardi-" Nergal, s. Nabü-iitannu. a. Bábila-a-a, s. " Nabü-nàásir. NME Dee , S. Nergal-Sum-iddin. a. #Bêl-étiru, s. Dalátu. a. * Ea-pat-tan-uu, s. Rimüt-"Bel (30. 64). a. Éfiru, s. Szqa-a-a. a. Mu-kal-lim, s. Musézib-? Marduk. . Sag-gÜ-a-a, s. Labäsi. . UU ano? parakkı, s. Gimillu, Kurbanni- 2 Marduk. a. 9"? aye] i Sama, s. Apla-a, "Bel-uballıt. 23. a. Si-gu-ü-a, s. Såkin-Sm. Sum-usur-" Nabi(? MU-SES-! N!) Nk 80, 7. Sum-utabii-'SamaX oder Mu-Såb-Si-S. (MU- GÄL-&-"S') I. a." fange ? Samas, s. " Bél-rfmanni. Sá-pi-e-Yu()), gallu Dr (ZA V) «. Sü-ri-ni-tum(?), s. " Naófü-da-a-uu 1. Sá-ux-a()) I. aff 7 Nabü-zör-usabsi als Dannèa Ng 54,1. St-uS-ra-an-ni 1. a. "sang? Gula, s. "Bei-ah-usabst. Süt-nS-ra-an-ni-"Marduk! I. als XMarduk-Sum-usur a. " Addu-Sim-eres Nd 499, 10. 2. a. ^"? $a5272 "Gula Ne V R 67,1, 1 b. S. Bullutu. Sü-zi-en? Nd 54 n. J/ Sá-zib-in-ni-" Lftars Cr 380, s. Sáü-zu-bu| KAR (DrP 58,14; Kurzname gehörig wie Musesib-Marduk und Nergal-usezib, beachte no. 7 und 10) Nk 200, 7. Nd 160, 19. [561,10]. Dr 1, 1. 161,4. 555,3. S. Bani-Ezida 1," Nabü-aplu- iddin, -kasir, -remu-sukun, * Nergal-usal- zu Namen lim, Oisti-ia, 7Samas-udammig. I. aff Baläti a. Amel-sis? Nd 263, s. 2Bel-Wi a. Épes-ili Nbp (Z AIV) 6,2. Kudurru a. An-da-har Nk 185, s. 2 Nabü-ban-ahi Dr 563, 7. ? Nabih-na-din-ur:-ri Cr 345, 22, 30. as *Nabáü-na'id() a. mas patri Nd 4, 16? No. 2. 209 (St-zu-bu|KAR) als * Nab£-na-sir a. "nås patri NÅ 344, re. Cr 340,2. Vgl. Musezib-Marduk 44. als Ri-mut a. Ka-nik-babi NdP 5, s. as Sápik-sir a. Mi-sir-a-a Dr P 50, is. als U-bal-lit-su Marduk a. nås patri Dr [272, 5] 571, 5; vel “Nergal-usezib 12. als "ZA. MAL. MAL-ah-iddin a. It? Mar- duk Dr Pa 10, 81. Dr Ba 4, 22. als Zirü-tt [a] ”Nabiä-nåsir NK ILE, o. a. Addu-Stm-eres, s. "Nabü-balötsu-igbi. a. * Addu-Sum-Sam-me-e(?), s. ”Bel-kisir. 15. a. An-da-har, s. Kurbanni-" Marduk. a. Ba-bu-tu, s. Ap-la-a, Iddin-" Bel. a. "Hop s. Bâni-ia, " Bél-uballit, ? Ea- erba. a. E-til-lu, s. Sum-ukin. a. Etiru, s. "Nabh-Süm-iddin. a. [RU Marduk, s. Kal-ba-a, Mi-ra-Sh-u, Pa2-St-ü. a. Känik-bäbi, s. " Bél-ahé-iddina, Iddina- “Nabü, Igisa-? Marduk, Musallim-" Mar- duk, ?! Nabü-ahe-iddin, OiStum-" Marduk. a. wölyab båni, s. "BellNabi-Etir-napsäti. a. "Hone il, s. " Nabit-bàn-afi. a. Si-gu-t-a, s. 7? Nabü-buzbu-dàni, I" Tas- IO. metum-damgat. | 25. a. "öl$angt parakki Ng 2, s. Ta-bal-la-a-a, gallu Nk 313, 23. J Ta-ban-nulni, uhtu Sa ! Nabü-baláfsu-iqi a. IN - 2 Marduk Nd 84-2-11, 61. Cb 290. Tab-ba-ni-e-a Cr 332, 9, vgl. Zabnea. Tab-bi-it? I. als X Sin-Sadüunu Smk M II 4, 8. | /Tab-lu-su I. m|S Mu-Se-zib-" Marduk a. Ba-bu-tu Nd 389. /Tab-Iu-tu («sie ist am Leben geblieben |») Nd 953. NdM 29, 2,10. Cr 312,8. Cb 361, 7. Dr 370, ıs, 4. DrP 64, 7. I. ff EBeliddin a. ^"? y22 sist Dr P 71,1. 88. m|s Iddina-?Nabt a. ”Enappali Dr 522, c. DrP [60,4. 71,5]. 100, 3 ? P 122. 147, 2. m|s diti-Marduk-balàtu a. Egibi Dr 242, a. 4. ;u|3 LS Na-na-a-Ei-li-li-usur. Cr 252, 7. Tab-ni-e-(a), Tab-ni-ia (Kosename, vgl Bê/- 27 I. mix Ni-in..... 210 ( Tab-ni-e-(a)) Zabni-bullit, Nabü-tabni-usur u. del) Nk 249, 9. Nd 120, 5. 255,3. 374, 14. (451, 19). 964,4. 1103,2. 1131,4.Cr 124,5. 157,4. Cb 79, 26. 121,10. 160,10. Dr 113,7. Dr WM ». "2 7nar SipriCr 149,7. élye 4 Sa Sarri Nd 1130, 10. S. Ap-la-a, Ba-ni-ia, "Bel-ıddin, Ha-ba- si-ru," Marduk-Sum-ibni,"Nabü-ahe-igisa, balatsu-igbi, -iltannu 88, -muÿétig-urri, # Nergal-usallim. DA MEME Nk 232,3. Nd 123,9 Nd P 5,11. (Cie 3,9 OU otc ! Marduk a. .... Nd 230, zr. als Ap-la-a a. Ga-hal Dr 67, 3. 68, 4. 69, 4. TR SETS n Welt Ls als Ar-ra-bi a. Ir-a-ui Nd 666, 9. 5. als " Béi-ahé-iddin a. "Bel--u Nd [323]. 380, 3. als Gi-mil-lu a. Ga-hal Nd 51, 12. AS Then ec Dot als Ina-esi-etir a. "^"? ds Cr 161, 14. PS Hl oo Nd 279, s. 10. als Ka-si-ta-a Nk 95, 4. |s Ki-rib-tum Nd 247, 9. als Li-sir a. "Enappali Dr 82, zr. als * Marduk-étir. a. ^"? 6a iri Nk 120, 12. als 7 Marduk-3Xàkin-Xin a. Da-bi-bi Nk 382,6. 15. al$ " Marduk-Xim-ibui a. (él) $a(-bi-)-na- 157-501 IDE vg WI DA ON ris a 423, 1. als "Nabu-ahe-iddin a. ^"? Sane? " Za-ri-qu Nd M 17, zz. als #Nabü-ahe-iddin a. "ange ? Samas Nd M 18, 7. als * Nabi-aplu-iddin Dr 80, v. 265, s. als #Nabn-hü a. ^"? ba'iri NK 359, zs. 20. als " Nabü-Xum-ü&-kín a. Nu-u-bu Nd 1024, 7. Nd M [11,17]. Nd Pi 15, 1s. DrP 51, e. $ YNabü-usallim .... Dr 569. 573. 5 Y Nabü-usallim a. ”Sin-Sa-du-nu Ng 60, 7, 19. Nd 65,4. 131,6. 147,7. 194, o. als Nab-sèr-lifir Ev 12,15. Nbp (ZA IV) Su als ?Nabu-zör-ukin a. Ba-bu-tu Nk 350, 2. 25. als Na-din a. Si-gu-u-a Nk 116, 10. dé Na’id-"Marduk a. Sul-lu-ma-nu Nd 383, rz. a c mer a I Knut Tallqvist. (Tab-ni-e-(a)) al$ Pir- a. Raba-a-sa-"Nimib Nd 138, zs. als Si-lim-"Bel a. """ $ang? .... Nd 849, ». al$ 7Samas-ah-usur Cr 379. 30. alé Sâpik-str a. Mi-sir-a-a Nd 622, i. as Sâpik-sir a. Sa tabtisu Nk 197, 19. a. ?, s. * Nergal-uballit. ERS s. * Bél-iddin. a. el abi biti? s. I Nabü-kin-aplu. 35. a. Ahu-ba-nili), s. "Bel-iddin, "Nabü-eres, -Xnm-iseun. a. Ardi-"Nergal, s. * Bél-iddin. a. ^" Day, s. Da-ni-ia. a. mel bani, s. Igtsa-a. a. "Bel-aplu-usur, s. Itti-" Bel-balätu. 40. a. "Bel-etiru, s. Itti-" Mar duk-balatu, * Nabá- etir-napsäati, -taddannu. . Dan-ni-e-a, s. Kasır. . me Jupsarri (A.BA), s. "Nabu-zir-igisa. . Egibi, s. Kabti-ia|Kabti-ilämi-" Marduk. . Epes-ili, s. "Nabh-Küum-INir, Sum-ukin. Ga-hal, s. Igisa-a. Ibna-a-Sa-ili-ia, s. "Nabü-musetig-urri. . Jdain-" Papsukkal, s. " Nabü-aplu-iddina. Ii- Marduk, s. Ziri-ia. . Jr-a-ui, s. " Nergal-usezib. . Kalbi-" Sin, s. "Nabáü-eres. . n? MU, s. Iddin-? Marduk. . Mu-kal-lim, s. Hahhuru. a. "elmaggarı, s. "Bel-Sum-iskun. a. Nu-u-bu Dr P 89, 14. 55. a. JVütr-"? Sin, s. " Bél-ibui, Nür-" Sin. a. " Nus£u?-idinnam, s. Itti-2 Nabu-balätu. . Ra-as-bi-" Ninib, s. 2 Samas-aplu-usur. . Sa-la-mu, s. " Bél-zbsur. 45. 50. Ey mp my Brom & BR Om m ^, m a a a. "'Sin-karäbi-isme, s. 2 Nergal-usallim. 60. a. "Sin-Sa-du-nu, s. Musallim-"Marduk. a. "Sin-tab-ni, s. Iddin-? Marduk. a. Su-ha-a-a, s. Itti-" Marduk-balätu. a. "Samas-iddin Nd 999, s. q. Sa-na-Mi-3u, s. #Bêl-iddin, "Nabu-etir, Sakin-Fim. 65. a. ""? sano? ? Adda, s. *Addu-aplu-iddin. a. "ano? "Sama, s. Bàr-sip-a-a. 67. a. "^"? $ano? " Za-ri-qu Nd M 25, 12. Tab-ta-ni-usur = Nabñ-tabtani-usur. 1. als Kit-ti-ia a. ""? Yang? ? Ea Cb 189, 22. T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. Ta-(ad)-dan-nu («Geschenk») Nd 421,5. 546, s. 711,2. 965,11. 866. OI5,18 940, 6. O7I, 3. 988, 14. 998, 17. 1009, 6. 1049, 9. 1055, 17. 1085, 8. 1098, 4. 1099, 19. 1122, 2. Cr 68, 7. Cb 52, c. 123, 12. 387, 15. Dr 136, 13. IAI, s. 234,5. éoucallu Cr 180,19. """ 1:450 issuri Nd 306, 3. 714, 5. I. als A-na-"Samas-täk-lak (so!) Cb 408, s. als Ardi-ia Cb 68, 20. Is GUZ M ES Nd 196, 11. | #Bêl-iddin Dr 307, ro. |* Erba-" Marduk a." Marduk-eres Dr509,r4. |5 Mu-Sal-lim-"Marduk a. Im-bu-pani-ia Cr 60, 2. Y Zussu-ana-nüur Dr 405, is. als Musezib-"Bel Dr 105, so. U! Nabü-kasir a. Da-bi-bi Dr 469, rs. IO. als “Nabi-ri-man-ni Cb 223, 4. als *Nabü-tàáris DrP 57, 15. Pän-" Bel-a-da-gal Cr 355, zu. Ri-mut Dr 411, 2. als St-lim-"Bel a. Amêl-*Ea Dr 309, ss. 15. al$ Sum-iddin a. Maÿ-tuk DrP 142, 22. a. "Hb IL s. Romüt. 17. a. Ri-mut Cr 292, ir. Ta-ad-di-du 1. als [-qu-pu a. Egibi Dr 339, 2. Ta-ad-nu-? Cr 9, 16. Ta-hu-ü-nu («unser Kind») 1. als 2 Naóg-agplu-iddin a. Ili Mardu& Dr P 135, 5. Ta-imlt I. a. V Szn-tab-ni-usur, s. {Kab-ta-a. Ta--im-ba-ki-e, s. Musézib-" Bel. Ta-im-" Gula 1. a. "Sin-karäbi-iSme, s. " Nergat-idain. ^ Ta-Ril-tum Dr 537, 3. Ták-ta-ma-am (Cb 50, 7), s. Ba-su-ru 3. Ta-/a- (vgl. Tu-la-), s. Er-ba, Se-gu-sa. Talimu (Ta-lillim-mu, Ta-lim; no. 3 abgekürzt aus Vabñ-talèm-usur) Nd 237,9. Dr 105, e. S. Amèl-ÆNabñ, * Bel-nädin-apli, * Nabt- ahe-iddin, Rimut-" Bel, * Samsa-a-a. 1.2/8 ers e Nd 70, 5. als "Nabü-ibni Nk 438, i. als Ri-kis-kaläma-" Bel Cb 195,11 = "Nabu- talimu-usur 1. No. 2. 7/77) a. e" oa iyi, s. " Naót-usursa. 5. a. *"?yàb bani, s. Nidintum. Ta-al-la 1. als Ra-ah-ha-ma-nu Nd 287, 3. Tam Ud, U?}-gi-bi-ilu, s. * Samas-(ah-)iddin. 1. a|$ Da-na-a Nk 42, is. / Tam-mi-su Pi 9, e. Ta-niti-Xe-zib-" Bel 1. a. "Ea?-balät-su Dem? (ZA IIT) 6. Ta-nit-tá|tum («Erhabenheit» (?) hypokoristischer Kurzname aus dem Vorigen) Art(ZA III) s. Dem? Ta-pa-ra Nd 462, 19. /Tap-pa-ra Nd 300, e. / Tap-pa-ax|sar|-ra|ru Nd 807, 7. 1125, 6, 11. CbP 31,10. S. SSikku. 1. ms " Nabáü-Xum-iddin a. Nür-" Sin Cb P 33. 130, 7. Tap-pi-i, s. Rimüt 149. Taq£t (Ta-gis(-Su) (abgekürzt aus 7ag£s-" Gula) Nk 75,6. 224,5. Lab 1,7. Nd 374,10. 1127, 20. Cr (347, 14). Cb 18, 14. 96, 24. 99, 20. 100, 6. 107,11. 354,5. 437,17. Dr (192, 13). 371,8. amtlyyay Sipri Nk 257,3. """ ab... .. Nk 263, 2. S. Ba-si-ia 22, Kina-aplu, i Samas- iddin, -Sum-usur 2, -sir-ibni 26. I. als 2 Addu-imi-usur Dr CT IV 43, 2. als "Marduk-Sum-usur a. ^"? Pa-se® Cr 168, 25. als #Nabx-ipuS Cr 199, 1». als ?Samas-ah-iddin Nk 297, 2. 278,15. Vgl. Taqgis- Gula 12. 5. a. Mi-sir-a-a, s. "Bel-usallim. a AU) 6 5 0 sra Cr 285, 4. . * Nabü-si-lim Cb 22, 9. 8. a. “Samaÿ-àk-iddin Nd 1130, 4. Vgl. no. 4. Ta-gis(-Xu)-" Gula!: ? (no. 12 abgekürzt: Zag&) Nk 311,5. Nd 156, 5. 972, s. Cr 21,4. 40, 13. 78,13. 88,2. 112,3, 118,14. 134,4 180, 16. 210,9. 260,11. 285,14. 306,3, 356, 4. Cb 12,7. 62, 5. 67, 4. 69,12. 92, à. O4, 5. O5, 4. 103, 4. IU QU ER TUA En MO) ins. IU Eb. 1777 68 TO, 2. 203,4. 205,3. 207,5. 210,2. 221,3. 32 DA 230 258,120 2774 93:82 GT «8: 427,5. «"?IYprá-la? Sa gugalli Nk 342, s. S. Ba-ni-ia, "Bel-ittannu, lddin-"Nabü. 27* Nd 264, 2. TR? RR 212 , (Ta-qis(-Su)-? Gula) is CEE DS Nk 244, 3. Dr 342, 10. Ce eee a. Egibi CrP 14, 56. als Apla-a a. “Ea?-im-bi Nd 63, 14. als Ardi-"Marduk a. "Bel-etir Cr 10, is. s. als #Bel-ahe-iddin a. ^"? NI.SUR gine Nd 313, 7. Cr I1I9, 4. [211, zo]. als * Bél-nàdin-apli Nd 799, 17. Cb 131, 10. als * Ea?-Zpu3 a. Sag-di-di Nd 74, 9. als * Marduk-näsir a. Bel-a-a Nk 116, zo. als ?Nabü-etir-napsäati a. Ib-na-a-a Nd 974, 10. IO. a|3 *Nabü-Sum .... Nk 374, s. als Na-din a. Dan-ni-e-a Dr 110, 15. 111,14. als i Samaÿ-àh-iddin Nk435,1s. Vgl. Tags 4. a. Ardi-"Ea, s. Såpik-sir. a. am bani, s. Labäsi. 15. a. * Bél-aplu-iddin, s. "Nergal-etir. a. Epes-ili, s. Rémi. a. Jli-a-a, s. *Nabü-&£n-str. a. "Nabu-ipus Cr 271, 15. a. ^" ds patri käri, s. " bél-rimanni. . nop, s, I" Tasmetum-damgat. a. vrélfangé Dilbat^", s. "Bel-eres. a. rl ano? # Samax Cb 401,4, S. 2 Samas- étir. 23. a. Si-gu-t-a, s. "Bel-ahe-iddin, Rimüt-"Bel. Ta-qis-"KAN. TE? 1. als” Nabü-zir-iddin a. *"" b'iri Dr L 33, 14. #TAR-a-bi(?), s. Ar-sa-? (Nd 270, 20). Tar-bi-ia(?), s. "Naóz-Sàr-usur. X TAR-Sam-su-hi-e-ri(?) Dr 366, s. X TAR-Sam-su-ra-hi-id (t) 1. als Zu-naid()) Dr 366, :7. / Ta-as-li-mu, $ Tas-lim-mu («sie (die Göttin) hat Gnade erwiesen») Ng VR 67, 2,3. Nd 243,9. [257, +] Cb 108, 2. 315, e. Dr 207, 431, 6, 12. 434, 5. JE Tas-me|-tum])-dam-ga 1. zi Sim-iddin Cr P. 14, s. ?P 121, 28. JE Tas-me-tım-at-kal(Nd 314,5), vide /Ana-" Tas- metum-atkal. JE Tas-me-tum-dam-gatlga-at 1. ın|s Mu-Se-zib-" Marduk a. "Bel-aplu-usur Nd 176, 2. m|s "Nabü-ahe-iddina Nd 807, 830, 10. 12. IR Sá-zu-Óu a. Si-gu-á-a COLE Geile Knut Tallqvist. (fl Tas-me-tun-dam-gatiga-at) 4. m|3 Ta-gis-"Gula a. "gigi Nd 479,8 = M 22. JE Tas-me-tum-ra-mat 1. m|$ Ardi-"Bel a. Egibi Nd 65, s. SH Tas-me-tum-tab-ni Cb 149, a, 17, 26. 1. zu]|$ Itti-"Marduk-balätu a. Egibi Cr 143,4. Cb 214. Ta-as-te-bi (Dr 526, 11), s. Sulum-ana-Baäbili. fTa-fa-a- ..... Dr 25, 12. Ta-at-ta-dan-nu Nd 343, s. Tet-mi-$a-a-a (Nk 360, s), s. St-ba-bu-sa-ra-. Terik-Sarrütsu (Tel Ti-rik|ri-ik-LUGAL-ut-su; «seine Kónigsherrschaft lange dauern»), ("Zasarıd Sarri) Cb 93, v. 169, c. 170. 232, 8. 240,13. 271,3. S. Hasda-a, Liblut. * Tig?-ra-ha-ma? (Smk MU 3, 9), s. Er-ba. £ Tub-ki-tum(?) Dr P 73, s. Tuk-ku-ut-tum, s. "Nergal-iddin 23a, Ni-qu-du 19a. Tu-ku-bi-nu Smk P I, 2. Tu-kul-" Marduk! 1. a. Epes-ili Dr 252, 6. Tu-kul-t-" Bel 1. a 7Samas-iddin a. Raba-a-$a-"Ninib Nd 480, 2. Tukulti-* Mardu& (KU|Tu| Tuk-kul-ti| tie] tum- 2 1; 2) Nk 250, 4. Nd 525, 26. 618, s. 656, 5. 1. al Jddin-" Nabü a. ”Esangi parakki Cb 330, 15. 331, 16. als La-a-ba-Si a. amelu-u Dr 440, zz. al} Musezib-"BEl a. Epes-ili Cr 148, i. Nür-" Papsukkal möge als "Nabu-bel-Sumati a. Cr 128, s. Tu?-la- Nk.443, 13. : Tu-na-a(-a)( Tu-un-na-aSargonst.1lI 17),s. Båni-ia 5, "Béf-igisa 15, -nåsir 17, -sir-ibni 9, Gu-za-nu 15, /gesa-a 14a, Itti-" Bel-lummiür 13, Mürünu 23, "Nabü-kin-zir 24, -muse- lig-urri 19, 37, -reüsunu 2, “Nergal- zddina 30, Niqudu 1, Rimüt 152, Så-la-a 7, Sum-ukin 2. j Tug-na-a Dr 379,39. S. "Bel-ahe-Sullum 1. Tug-nu-es-Su I. als Abu-nu-ri Nd P A, s. Tu-ti-ia, s. Agabña, In-Si-ia. Neubabylonisches Namenbuch. A 2I 2 TUR. Ë-ahé-iddin | "A. E-ahe-iddin PAP.ME-MU) I. a. ^"? alaki, s. Kurbanni-" Marduk. 2 TUR-E-id-din| MU Nk 276, s. 1. als Ku-sur-a Dr 78, ro. als * Naóü-kin-aptu a. Épei-ili Cr 146, ro. 3. a. Amel-" Na-na-a, s. Gu-za-uu. i TUR. E-ig-bi 1. als "Nabü-zir-uSabsi a. Ibna-a-Sa-ili-ia Dr 207, 10. 2. a. "Emaggari, s. "Bel-iddin. U TUR. E-igisa Nk 444, 15. Tus-par-ka- -ifu 1. als * Bau-ere$ Cr 328, 11. Tu-Su-u(?) I. als ?Nabü-kusursu DrP 140, is. /Tabat-" Issar (DUG.GA-at-? IS-Sar) I. ms Ja-Se--ia-a-ma Cr 307. /Täbatıum (.DUG(. GA)| Tal-ab)-ba-tum| ti; Kurz- name), assat Itti-" Marduk-balätu Cr 361,2. assat Itti-" Nabü-balatu Dr P 61, 20. assat ? Nabi-musétiqg-urri Nd 1031, 9. gallatu = /Salam-dininnu) Nd 391,4. 392,2. uu Xa / "Nabü-baldfsu-iqi a. Il-"Marduk Nd 84-2-11, 61. ummu 3a Musézió-" Mar- duk Nd 817,11. ummu sa Sahü Cb 343, s. S. 2 Nabü-uballt. 1. m|$ Ardi-" Gula Dr 82-7-14, 143. ms "Bel-ahe-erba a. 7"? $a tabtisu Nd 1025,4. NdL r5, s. m|$ Ina-esi-etir a. NI SUR gine Nk 251, 5. m$ La-a-ba-Si a. Na-ba-a-a Nd 336, s. 508, 11. s. m|s *Nabü-ahe-iddin à. DrP 56, 10, 24. 2 Sin-tab-ni-usur m|s #Sin-ere$ Dr Pa 9, so. m|s U-bal-lit Marduk a ..... Nd 635, 2. m$: X Uras-Sum-iSkun a. Man-di-di NdPa2,2. 9. zu]|$. Zir-ukin Dr Pa 7, 7. Tåbi-ia (DUG. GA]Ta(-ab)-bi-ia/i4; Kosename zu einem mit Zåbu zusammengesetzten Namen) Nk 250, 2. Nd 284, 31. 754,3. 866, 8. | amd epissanu | Nd 692, 9. S. Iddina-a, *Nabi-ittanu, Su- | 1050, s. Cr 372. Cb 274, 2. lum-Babilhi, Ubar. No. 2. CSES | [#2] (Tabr-ia) See a. ®nappahi Dr 489, s. ilderba a. "él Yang "Ea Cb 429, rz. als Ardi-ia a. Ba-si-ia Dr 260, 27. als Ardi-ia a. Bél-étiru Dr 387, 14. 5. al$ Ba-la-tu a. “Trab bani Dr P 44, 2. al * Bé-na'id a. Epes-ili Cr 304, s. als Kab-ti-ia Cb 375, 10. als La-gip-pu Dr 228, 1. als *Nabá-étir a. Sa-la-la Nd 750, zz. 10. als ”Nabü-musetig-urri Cr 218, 4. als Ri-mut Dr 470, 14. als i Samas-iddina a.""? $angi 2 Ea Cb 362, 17. a. "Bel-näsir Cr 285, s. a. Hu--a-a, s. Ubär. 15. a. 7 Sin-Uu, s. "Nabu-balatsu-igbi. a. Su-ha-a-a, s. *Nabi-aplu-iddin. a. Sa-na(-#)-Fu, s. * Bél-aplu-iddin. 18. a. *"? Yang? ? Addu, s. Musézib-" Bel. Tab-" Marduk (DUG.GA-" M! Nd 309, s), s. 2 Nabü-uballit 5. Täb-söl-" Marduk (DUG.GA-GIS.ME&M) 1. als Balátu a." rab baniDrP 44,2. 117,4. 1204. 2. a. êlyàb bani Dr 489,14. Dr P [55, 16]. Tab- sul! Samas (DUG.GA- GIS.MI) |sèl-lu NACT IV 41, 10 sZ[|-^S!) Nd 799, 16. 885, 2 Nd CT IV 41, 10. Tab-sule-" Bel (DUG.GA-su-li-e-# B') Sel CT IV 20, 8. Tab-sar .... Nd 236, 18. 662, 12. Tab-Xàr-* Bel (DUG. GA-IM-" BY) Cb (321, 4). TÀb-Xár-E-sa-bad Dr (201,13). Tåbtisu( MUN. HI. A)-$u mit und ohne Determ. emé abgek. aus (761) Sa tabtisu q. v.), s. Ardi-! Marduk 3, * Nabü-ittannu 12, -Sum- lösir 17. U-bal-lit-2 Gula®2 Nk 18, s. Dr 98, e. Ü-bal-lit-! Marduk!, s. Bat-ti-ia, Tabatum. Uballitsu-” Gula (TIN|U-dal-Ut|-su-”G"?) Nd LOMME Biene) IDEE) En 33/03: IOI, 2. 107,5. 113,19 130,4 291. 344, 3. 471,5. 535,8. 558,4 Dr Bu 88-5-12-26, 9. S. #Nabü-kin-aplu 35. In] SIRE Marduk a Nd 516, s. als Ahe-iddin-"Marduk a. ""? angi * [star Bâbili Dr Pi 12 z. 214 (Uballitsu-” Gula) als "Marduk-erba a. “Sin-ilu Ng 8,1. als Musezib-" Marduk a. Ba-ga-suDr 269, ir. 5. als "Nabu-na-din-ahi a. Ardi-" Nergal Nd 243, 4. 6. als Süm-iddin a. Ardi-"Nergal Nd 498, 10. Uballitsu-" Marduk ( TIN] U-bal-lit|-su-2M 12) Dr 547. 549, 15. S. Balatu 29, "Bel-ahe-erba 3, pus 7, -kén-aplu 36, -uballit 145, "Nabh- aplu-iddin + 98, -Sum-ukin, -taris 1," Ner- gal-uSezib, Rimüt 35. 1. als ?Addu-zir-ibni a.” Sin-tab-ni Ev 23, 21, 23. als Musezib-"Bel a. Ga-hal Nd 232, 3. 3. a. ^"?! nà$ patri, s. " Nergal-uYézib, Sazubu. Ubàr|, (U-bar, Üba-rilru, «Freund», vel. Voll- namen wie U5àr-"Naóz) Nd 1108, 6. Cr 360,31. Dr 280, 27,22. 382,2. 470,9. 480,4. 492,2. enéthar-si-ba-a-a Dr 458, 13. S. BAl-Iu-fa-a, X Nabtt-ahe-bullit, -ahe-iddin, "Na-na-a- iddin, À Samas-iddin, Ziri-ia. I. als Ardi-ia a. ^"? bairi Nk 271, o. als Ardi-ia a. Na-ba-a Dr BLI; 27: als Ardi-"Bel a. (2 Ea-)épes-Mi Dr 257, s. 348,4. 350,17. 353,12. [363, 7». 367,30.) 371,4. 374, 7. 396, 4. 387, rr. 39I, rr. 403, 9. 404, zz. 448, 3. | Ardi-"Bumene? Cb 333, s. |s "Bél-iddin a. *Ea-pat-ta-nu Dr 354, s. " Bél-uballit a. Bu-ra-qu Dr Pa 7, 2. Bül-lu-tu a. ""? yàb bàn? NÅ 1057, 1. als Erba-a a. ""?? Dr 411, zz. als Ina-Esaggül-zir a. A(r)rabtum Dr 388, ır. 409, 20. 6 als Ina-esi-Etir a. Sal-bi)-na-Si-Su Dr 269. 389, 9. 395, 3. 306, 3. 403, ro. 404, 14. 412,2. 425, zs. 426, I4. 428, 4. 443, 13. als Jtti-" Nabüt-6alàtu a." Ea-pat-tan-nu Dr p» IO. 272, rs. als Itti-" Nabü-balàtu a. ^"? Sang? ? [star ... Dr 469, 20, als" Marduk-Sar-usur a.” Sin-da-ma-quCrP | DT, x; als 2 Mardu£-Yum-ugur. Nk 322, 14. no 32, 9. Std 37, 9. als Mu-ra-nu a. Egibi Dr 491, zr. als Mit-se-zgib- Bel Cr 359, 2. No. 2. Knut Tallqvist. (Ubåru) QS au Nd 1098, 4. a|$ "Nabü-ahe-igisa Cb 436, 15. - 20. als X Nabü-balät-su-igbi Dr 434, 17. al$ " Nab&-&fir-napiáti a. Epes-ili Dr 328,28. 330, zs. Dr P 113, so. als "Nabü-ia-est-éfr à. Sa-na-&-Su Dr 392, 24 — NO. IO. als "Nabdn-it-tan-nu a. Ga-hul Dr 568, 22. ? Nabü-usallim Dr 560. 573. ? Nabi-usallim a. Amel-" Ea NKWM as. 24a. als 2 Nabi-uxalfim a. U-sur-a-mat-"Ea Nk 25. al 2 T: 3 I 5 Na-ni-ia Cb 194, 3 239, e. 5 als Ni-din-tum a. *Ea-pat-ta-nu Dr 300, x. als Sil-la-a a. Epes-ili Dr (ZA III) 29. af Sapik-zör a. Epes-ili Dr 360, o. 30. als Si-i-ni-ia (Inta) Dr 235, 16. als Sum-iddin Dr 533, 30. als Tåbi-id Dr 362, xs. als Tåbi-ia a. Hu--a-a Dr 461, s. als Za-am-bu-bu Nk 193, 3. 35. a. " Bél-iddin Cr 360, 14. a. " Ea-pat-ta-nu, s. Dumug. a. Käs-dak-ka, s. " Nabü-étir-napsatr. a. * Nabü-nàdin-aplu Cr 14, 12, a. Vénappali, s. "Bel-ahe-igtsa. 40. a. "" v2? sisi, s. " Bél-pus. a. " Sana Cb 84, 21. a. Sa-na-i-Xu Dr 27170207, 01/553 8/7 B15t 390, 18. 301, 15. 395, 28. 396, 32. 308, 7. 428,14. 441, 13. 448,1. S. Etiru. a. 8 Sangi Star Båbili, s. "Nabü-um- ukin. 45. a. Tu-na-a, s. "Bel-zir-ibni. Ü-ba-ri-ia, Ü-bar(-ri)-ia|id (Kosename zu Ubår) Nk 4,5. 459,5. Nd 440,6. 457, 8. 525, 24. 554, 10. 906, 4. IOIO, 19. 1017, 10. S.7 Nergal!- zgésa. I. als #Pel-ri-su-t-a NK 4, 9. als ?Bel-sa-rid? Nk 227, 1. als Has-da-a(-a) Nd 556, 6. 1118, 4. 4. als Jd-di-id Cb 93, 4. als “Marduk-Sèm-usur a. Mu-kal-lim DrP | U-dar-"Nabn, s. "Nabu-ri-e-su. | £U-bar-tum («Freundin») Nk 207. 265, ui. S. Itti- ? Nabü-tnia. I. m|s Ba-ku-t-a Cr 287, 37. Neubabylonisches Namenbuch. 215 CÜ-bar-tum) m|s Nür-" Bel-Iu-mur Cb 306, 4. 3. m|$ Za-kir a. cr Pa-seti Nk 67. Ü-ba-zi(? ri)-ia Nd 457, 11. U-bi-e-a I. aj Kudurru a. Liéa Nbp (ZA IV) 6, s. 2. a. ID. GAL-li-e-a, s. *Nergal-étir. U-di-ia ; J-du-tt-a , miljm-bu-sh(ku2)-a-a 458, 1. S. Musezib-" Marduk 53. * U-du-da-a-tí, s. Ummadátu. 4 Ü(Sam?)-hi-ia Dr 57, a. Ukin-"Marduk (DU-!"M!) Cr 3,6. S. Na-din. I. als Ardi-"Nabüu a Cr 335. a. rel si, s. * Nabi-usuriu. Dr ana Sa-bi-na-Xi-Xu, s. ? Nabü-zir-igita. Uk-ka-a-a (Dr 434,15), s. ”Nergal-Sum-ibni 6, | Sullumu 4. Uk-ku-ma-', s. Kisri-ia. Dekuba ..... Dr 375, 2. Ul-tam-mar- ?! Addu, s. Nidintum 69. Ul-tu-pa-ni-" BEl-Ia-t-Sa-lum, *"*aalfu Dr 457,2. | Ulila-a-a ("^ QI(-Ia)| Ü-lu-ul-lal-a-a, «Hulaios») Dr 370, 16. S. " Bé-iddin, Nabü-Sum-iddin, sir-iddin, Za-ba-di-ia. I. als A-tar-ri-id-ri Cb 145, vr. ^ ameljzmm-bu-St-a-a Dr 458, 15. * U-mar-za-na- Umél UD?)-i-f/u I. als Am-mi-zu Nbp (ZA IV) 75. * Um-ma-da-a-tH = 'anvalu| 1. al$ Ü-du-da-a-t& Art (CIS II 66). / Ummau-tåbat (DAGAL-DUG- GA-at,»die Mutter ist gute) I. 25 Nabñ-bèl-usur Cb 273. U.MUK(? mit Determ. ^"? s. /óna-a 3, *Mar- duk-näsir 131a, Musesib-"Bel 25, "Nabü- sir-KSir 13, -sir-uSabsi 9, Remiüt 44. Un-da-Se-ri 1. als Itti-"Nabi-balätu a. Ardi-"Ea Dr P 72, 13. SÜL-qu-pa-tum, qallatu Dr 379, 1. Dr P 84, 4. UlF-gu-pu|pi Nk 390. Nd 194. 375,9. 471,6. 619,8. 685, 4. 730, s. 883, 6. Cr 287, 28. Cb 123, 15. 135, 6. 361,6. 365. Dr 170, 3. 440, 3. 538. 12. axel gel urgi Dr 229,2. "mandidi Nd 1088, 5. S. Balatu + 110, ?Nubü-kin-zir. : Dr 390, re. 395, 27. 396, 25. als Ah-abi-ia Dr 447, a. No. 2 | CILE qu-pulpi) als Ap-pa-nu Cb 49, 2. als Ardi-"E-sa-bad a. ""? bá'iri Dr P 85, s. 3 Dr 244, 11. F VBél-ahé-iddin a. ^"? nappahi Dr L 24,55. x 7 Bél-éfir a. *Ea-êpeÿ-ili Dr 491, zs. UBelidgdim a. ..... Dr 463, 25. If #Bêl-iddin a. *Ea-ilè (AN-e) -iöni Dr 561,2. Dr (ZAIIT) 2, z;. $ VBé-iddim a. Si-si-ia Dr 340, re. Bel-su-nu a. Nür-"Sin Dr 330, 19. 7 Bel-uballit a. " Bél-étiru Dr Pa 13, zo. Jóna-a Nd 884, ss. IO. a 15. als Ztti-"Marduk-balatu a." nà$ patri Dr 75; 15: als La-a-ba-f a. """$angi "Na-na-a Dr 287, zr. als Lib-lut a. Li-e-a Dr P 58, x. als Mu-ra-nu a. Abi-ul-idi Dr 199,7. 441, s. als Mu-ra-[Si]-2 a. Mu-nik-" Bau Dr 561, 72. 3 U"Nabáü-àA?.... Dr 75, x. $ #Nabü-na-din-ahi a. Ga-hal Dr 571, 16. $ 2 Nabü-na-din-ahi a. Su-ha-a-a Art CIS als *Naóz-nàsir a. """5appahi Dr 466, 4. 467, 13. als ?Nabü-na-sir a. Su-ha-a-a Dr 435, 8. 25. als * Nabå-sir-lisir a. "abi biti Dr P 63, re. als Pir- a. vrélfangê "Gula Cr 329, s. als Sapik-zir a. " E-a-di-pa-ri-ili Dr 497, 5. a. Amel-"Samas Cr 229, 12. a. Egibi, s. Ta-ad-di-du. a. E-til-pi, s. "Marduk-balatsu-igbi. a. e" sj-si-i, S. Liblut. 32. a. " Samai-edu-ugur. Cb 79, u. 2 Uras-ah-iddin I. a. Re-Si-ia, s. ? Uras-Sum-usur. 7 Uras-Ah-it-tan-nu Dr Pa 10, 4. 2 Uras-a-na-biti-Su I. a. élaydi-tEn Cr Pa (4, 31). i Uras-bel-Samé (AN. NA) 1. al$ Kin-aplu a.” rab baniDr Pa 18,10. 19, 10. #Uraÿ-er-ba 1. a Pir a. Ees-ili Dr Pa 6, 1». # Uraÿ-êtir (KAR-ir) 1. als Kin-aplu a. **!rab bani Dr Pa 17, is. 30. 216 7 Uras-iddin, s. *Lagamal-iddin. 1. al %Nabir-eres a. Epes-ili Dr 392, 2. als "Nabü-eres a. ""pahari Dr 363, vr. a. Mil man-di-di, s. " Uras-Sum-iskum, Zir- uin. a. ame S. Samas-bel-ilöni. 5. a. Sa-la-mu, s. " Uras-zir-ıbni. UUraY-bàsnmr 1. als Kin-aplu a. Ba-si-ia Dr Pa 9, sr. als Sil-la-a Dr Pa 21, 11. a. Da-bi-bi, s. " Nabü-àh-ittannu. 4. a. lancé ? Nrnibs, s. " Nati-uguria. 7 Uras-na-sir I. als Jöna-a Dr 364, 3, c. 7 Uras-Sapik-zir 1. als Bel-Su-nu a. ”!rab båni Dr Pa 9, zo. 2. als "Nabü-Sum-ukin a. "Ea-garrad-ili Dr P 9, 25. 7 Uras-Sar-usur (PAP) Nd 615, 13. 7 Uras-Sum-ibni, s. Kal-ba-a 45. Uras-Sum-iskun 1. al$ "Uras-iddin a. """;nan-di-di Nd Pa 2. 2. a. ME man-di-di, s. Rimüt-" Naba, I Tábatum. 2 Uras-Sum-u-kin I. a. ^"? saue$ Dilbat“ Cr Pa (4, 2). X Uras-Xan-usur "Uras-ah-iddin a. 2, 36. 2 Uras-uSallim I. als ?Belibni a. Ri-$i-ia Dr Pa 9, s, 15. "Uras-zir-ibni I. als ?Uras-iddin a. Sa-la-mu Dr Pa 18, os. Ur-pa-di-ia Dr 535, 3. U-sur-a-mat-"Ea?, s. ?Bel-ahe-iddin 22, Iddin- " Nabh 57, "Marduk-bel-zir 2, Ubär 25, Usur-amäat-! Eq 1. al$ 2Belibm a. U-sur-a-mat-"Ea Cb 245, ss. Ü-Sak-ki-zu Cr 128, s. US-$a-a(-a) Lab 1,3. Nd 01, 2. 164, 9. 398, 10. Cb 99, 7. 107, 7. 437, n. Dr 47, 1. 3a kurum- zit Sarri Cb 227,3. S. Liblut, Mura, Mus6zib-"Samas 1. I. a. Ahu-ba-ni-i, s. BelSuna. a. Ba-la-tu Nd 1001, 3. 35g: 2Samas-ana-bitisu Nk 458, s. Us-ta-an-ni, ^"^ 5aohàt Bàübili Dr 82, ». * Ut-ta-am-mu, ^" par-sa-a-a Dr 379, 3. I. als Ri-Si-ia Nd Pa Knut Tallqvist. * U-zu-ha-2-tu-ra- (vgl. * Uz-pa-ta-ru- BE IN) Dr 375, 28. * Za-ab-da-nu Nk 49, s. "Zabdia (Zab|Za-ab|-di-ia, vgl. he. mar, "937 ar. NAT, "37 etc.) Cr 36, v. 90, ar. 336, 10. anel allvbu Cb 332, s. ^"? aXarzdu Sa Kam- du-si-ia apil Sarri Cr 335,9. röt Nd 659, 1. S. /Bänitum-dannat, *" Bét-étir. 89, 7 Samas-erba, -uballit. 1. als "Bel-iddina Dr P 59, ve. Ry 4 Mar-duk Nd 1054, a. $ ZNaëñ-lÿà Dr 307, ro. 5 Nabñ-na-din-aki Nd 79, s. als Pa-di-ia Dr 541, zs. als U-lu-ul-la-a-a Nd 42, 14. DAN aD: Cb 64, 5. a. " Nabü-id-ri Cr 94, s. *Za-Di-da-a (vgl. pa. NAT), s. /ssur-ahu. Za-bi-ia (Za-ba-a-a K 82, vgl. ab. Za-ab-bi-ia Bu 91-5-9, 447, 18 — CT VI24, pa. u. na. sär Zaßßauog). 1. als ? Ardi-ia Nd 858, o. 9 Za-bi(-2)-nulni (vgl. BEIX; as. Za-bi-ni K 352,4) Dr 20, s. S. ZBEel2-Sa-ma-. 1: a. Bel-su-nu Cb 123, 21. Za-bi-si? (= ... 35) Art 82-7-14, 152 (CIS II 67). Za-bu-uu Nd 829, 1. 837, 6. Dr 35, 2. I. a. lpakari Smk CTIV 31, . Zab-sa-nu, vide Nu-ur-za-nu. Za-kir, Za-ki-ru (wohl als Zäkiru zu fassen, vel. Vollnamen wie Marduk-zakir-Sıami) Nd (367, s), s. Rémüt. 1. af Ki-na-aplu a. Éfiru I € 36, 20. als * Mardu£-nàsir a. ^"^ 5ahari Nk O1, s. af Musallim-"Marduk a. "Bel-Eir Cr 240, 9. Ob oa NEIN Sr 5. a. las-ka-pu, s. Musezib-" Marduk. a. "Bel-etiru, s. Kal-ba-a. a. Egibi Nk (78, 2). 2 a. Esaggil-a-a, s. "Nabü-danunu, Samas- HAS. a. Na-bu-tu SmP 2S: IO. a. ^"? Pa-e* SJ Gu-eu-d-a, ? Samas-uballit, SUbartum. T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. (Za-kir) II. a. "Sin-na-din-sum, s. "Nabu-ln. Za-kir-Sü-um vide [Marduk]-zåkir-Sum. #ZA.MAL.MAL-ah.... I. als a. Ibni-ilu Ev 9, 2. "Z4. MAL. MAL-ah-ıddin Nd 157, s, 6. 160, 115 8. 1Samaÿ-eres 2. I. al$ Ba-zu-zu Dr 226, à. als Ka-sir a. ^""';$5ari Cb 393, 7. a. Il -! Marduk, s. Sázubu. a. " Nergal-ibni Nd 351, 14. 5. a. “Samaï-iddin a. Ga-hal Nk 346, 15. Z4. MAL- MAL-erba,s.Gimillu-"Samas," Nabá- näsir. 1. a. Amelu-ü, s. Sum-iddin. # ZA. MAL. MAL-iddin]a Nd 582. 626, 3. 668, 11. Dr P (80, 11); s. Zddin-" Nabi. 1. al$ Ås-kal- Bel XrCT IV 34, sr. also o a. E-til-lu Dr 411, ro. als "BellNabü-iddin a. " Addu-Sam-me-e Cb 2202533 Dr 129, af E-til-lu a. SES®-ah-u, ""? Ka di-i-di DrL 25, 8. 5. als Mu-Sal-lim-" Marduk a. Nür-" Papsukkal Dr 181, zs. als "Nabü-u-sur-su a. "rei sis? Dr 304, 14. als /Nu-ub-ta-a Nd 1113, 13. als Sa-ri-du a. ^"? bari Dr 245, 3. als Ziri-ia Dr 70, is. IO. a. Ardi-" Nergal, s. Iddin-" Naba. devis , S. Römüt-" Nabü. 12. a. ^"? yàb bant. s. " Marduk-Sum-usur. X ZA. MAL. MAL-igisa I. als 7 Marduk-bel-siri a. " Bél-étiru Cb 110,4. "ZA. MAL: MAL-ü-pi-usur Cr 285,9. Cb 274, s. "ZA. MAL. MAL-napistim-usur (ZI(-tim)-u-sur| SES|PAP) JF Gimil-"Gula a. ^"? nà$ patri Cr 168, 27. als Itti-" Marduk-balatu a. Di-ki-i Dr 298, 2. als Mar-duk a. ^"? gallabi Nk 346, 14. als "Marduk-gisanni a. Mu-kal-lim 245, 11, 16. 5. a|$ ”Nabi-kin-aplu a. Egibi Dr 204, 10. 6. a. Ardıi-" Nergal, s. Rimitt. X ZA. MAL. MAL-näsir (PAP) Dr 415, 15. UZA. MAL. MAL-fir- (abgekürzt aus "Z-fir- usur q. v.) No. 2. I. 4 N Dr 217 | (#ZA.MAL.MAL-pir-) 1. als * Nabü-sum-iddin Nd 39 6. 40, 56. | #ZA.MAL. MAL-pir-usur (abgekürzt: 7 Z.-pir) Dr 299, s. S. Sulum-Båbiti 9. 1. al Gi-mil-lu a. ÅS-Sur Nk 191, 1. 2. a|$ /Gu-gu-á-a m|s Za-kir a. ""? Pa-seki Nd 65, u. X ZA. MAL. MAL-si-lm I. a. *"* y22 sist, s. " Bél-Xadünu. 2 ZA. MAL. MAL-Sar-usur I. als XBeltäk-lak-ku Nd 530, 2. als Gi-mil-lu a. "råd kärı Cr [224,8]. 3. als "Nabü-üu-sur-Su Nd 270, is. 2 ZA.MAL-MAL-Sü.... Nk 41, a. VZA-MAL-MAL-sum-iddin|a I. als Ap-la-a a. Ga-hul Dr 120, zz. als Mu-Se-zib-" Marduk a. "Bél-aglu-ugur Nd 309, »; vgl. "SJ. DU-Xim-iddin als ... a. Bel-aplu-usur Nd 977, 15. als Si-lim-" Bel a. ^"? nappahi Cb 72, 12. 4. af ? Sama3-uballit a. «v? nappahi Nd 210, s. ZA. MAL- MA.L-Sum-iqísa, s. Süga-a-a. 2 ZA. MAL. MAL-Sum-usur, s. *Nabñ-bullitsu. 1. als Nabü-kin-zir a. *"?ràb bânt Cr 278. X ZA. MAL. MAL-ü-tr-ri 1. als "Marduk-zir-ibni a. Ardi-"Nergal Nd 1032, 7. "ZA: MAL. MAL-u-tu, s. " Nabü-z£r-usabsi 31. X ZA. MAL. MAL-zir-ibni Nd 365,11. 781,20; Nd Pi 4,9; S. Jddin-" Nabü. 1. als Musezib-"Bel a. Ga-hul Nd 53, as. #2 ZA. MAL. MAL-zir-iddin I. als * Bél-uballit a. "nappahi Nd 141, 7. X ZA. MAL. MAL-zir-epis (KAK-iS) Nd 314, 7. Za-am-ba-qu Cr (360, 32). Za-am-bu-bu, s. Da-gi-il-ilåni, Ubår. Za-an-ni-e I. a. Mu-Se-sib, s. Belsunu. Za-an-ni-e-tu, s. " Bél-erba 18. Za-an-zi-ri, vide Sa-an-si-ri. X Za-ri-qu-iddin 1. als * Bél-uballit a. """ ang? "Senat Dr 297, 16. #Za-ri-qu-ri-man-ni, S. I-ni-ia. 7 Za-ri-qu-Sum-iskun 1. als * Nabn-sir-ibni a. """$angi "Za-ri-qu Nd 529, zz. 28 218 X Za-ri-qu-str I. a. *"? yàb bani, s. "Samas-sir-uSabsi. 7 Za-ri-qu-sir-ibni I. a. ^"^ ane? "Za-ri-gu, s. " Addu-ibni. Za-ri-tu? I. a. bairi, s. 2Bel-iddin. Za-ru-tu (vgl. Za-ru-ti-i K 316,4, Zir-u-ti-i K 404, 20) 1. a. X Sin-na-din-Sum, s. " Nabü-Xum-ii£un. Za-sak|za-dk|-kalku («strotzend von Kraft»), s. Rimüt 56, Rimiüt-" Bel-iläni 1, Rimüt- ili 5. JZa-sat-akt-ka? Nd 313, 2. JZa-zi-tum (vel. Za-sa-a K 294,3, Za-sii K 287, 2, Zi-zi-i K 329, 27 etc.) Cr 333, 3. Zikari (US]Zi-ka-ri, «Mann»), s. Balâtu 1. als Jddzn-"Naóà a. ^"? Pa-se® Nk 73, 7. 2. a. «"*! Pa- Yeti, s. Balatu. Zir-Bäbili (ZIR-E| TIN- TIR®, vgl. 52377 Zogo- Baßer) Nk 240, s. 321,3. Nd 766, s. 850, 4. 1062, 5. S. "Bel-ıddina, " Gula-s£r-ibni, 1 Samaë-iddin. L al$ "Gula-Sum-ibni a. Na-an-na-a-a Dr P 69, 12. als Ina-esi-Etir a. ^"? d-$ur Nd 113, 13. als Mu-te-e-ri-su Dr 297, 2. als Ra-dim a. E-til-pi Ng 26, a. 5. als Süm-usur Nk 195, z0. a. Ba-si-ia, S. Gu-za-nu. a. E-til-lim, s. "Bel-uballt. a. énappali, s. "Nabü-ahe-bullit. a. *"? này patri, s. "Sulmön-Sum-iddin. IO. a. ^"? pahari, s. I Amti-" Belit. a. Pap-pa-a, s. Niqudu. 12. a. ^"? yb Säs-Ji SmkP I 2: Zir-bi-bi I. als "Bel-kasır a. Epes-ili, amy kart Sa bit Ir-a-nı Dr 268, 2. als Damgi-ia a. Na-din-Se-im DrL 26, ». als "Marduk-usallim a. *"" man-di-di Dr 515,77. DrL 33, ze. als "Nabh-musttig-urri a. 489, 6. 5. al$ St-la-a Nd 108, re? Zi-ri-ia, ZIR-ialiala-a, ZIR-a Dr P 60, 13 (Kose- name, vgl. zu no. 19. 30) Nk 254, 2. 322, 6. (367, 6. 420, 18). 444,14. Nd 13, 9. (305, 18. Ba-bu-tu Dr Knut Tallqvist. (Zi-ri-ia) 947). 1042. 1075, 6. Cr158,5. 161,13. 166,15. Cb 130,5. Dr (462,14). ^"? aklu Sa mt MUP Nk 313,4 laflak Esaggil Nd TSBA. anc hel pihati Sa... Nk 115,2. ^"? sammeru Knl MII 5,9. S. Ardi-" Bei, " Bel-ahe-erba, -ıddina 22, Erba-"Marduk 3, / Esaggil- ramat, Gimil-" Gula, Igisa-a, Itti-" Nabi- balatu, ”Marduk-iddin + 2, -sér-usur 2, Müränu 14, "Nabü-eres 24, -Etir-napsäti 27, Napistum 3, "Nergal-iddin 12, -usal- lim, Nummuru, Rimüt-"Bel + 21, i Sa- mas-iddin, -kin-aplu 8, -uballit 48, Sun- iddin, Süm-ukin, "ZA. MAL. MAL-iddin. I EN Res Cr IÓI, 54. 330, 5. als Ba-bi-la-a-a| TIN. TIR*-a-a Nk 70, x. als Balät-su a. Dan-ni-e-a Ng 42, 5, v, 10. als Ba-lat-su a. ^"? Sang " Ninib Nk 164,30. G5 vel PUISE 50 e Cb 25, 2. als "Bel-Ssum-iSkun, «""58/ pihåt a-bu-lu Nk 311, zs. als Bel-Su-nu a. Sa-al-la Cr 160, a. als Dan-nu-ifi-ia a. .... Dr 236, xe. als Gi-mil-Iu Nd 419, 4. IO. als Igisa-a a. Si-gu-á-a Dr 509, 6. Pa 6, 26. als Itti-" Nabá-balàtu a. Egibi Dr 382, 14. 3 La-ba-a-si a. Ahe--u Nk 346,2. 408, 4. als "Marduk-zir-ibni Nk 60, s. als "Nabü-ahé-iddzn a. """yàb Sus-Si Nk 200, s. 5 ?Nabü-bàn-ahi a. Ardi-" Ea Dr 189, 1. 4 "Nabü-erba Nd 849, 19. Er als "Nabü-etir a. ^"? bá'iri Nk 273, s. als * Nabü-étir-napsáti Dr 27, 15. als #Nabñ-ibni a. Na-ba-a-al"Nabü-a-a Nk 207, 15. 265. 283, zr. 390,2. Vgl. Zir-ukin 3. 20. als ”Nabü-Sum-ibni Nd 145, rr. als "Nabü-Sum-usur a..... Dr 543, 27. | al 25. als Nad-na-a a. ^"? yàb ban? NkP 125, 6. Ng 35,77. Nd 256, ». Cr 144, 8. als Nar-gi-ia Dr L 25, is. als Ri-mut Nd 82-7-14, 725 (CISII 61). af Ri-mut a. "Samas-ba-ri Nk 189, s. JF .Sz/-/a-a a. vrélgipi Nd 14, vo. [44 T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. (Zi-ri-ia) 30. als Süm-usur Nk 60,12. 86, 10. Dáàbili 5. als Tab-ni-e-a a. Mi-Marduk Nd 257, is. als U-bar Cr 311, 7. QC Mu , S. Kal-ba-a. a. Amel-" Ea, s. "Bel-kasir. . a. Ba-bu-tu, s. Igtsa-a, " Nabü-musetig-urri. a. "HD Ip s. Gimil-" Gula, Itti-" Bel-lum- mir. Vel. Zzr- a. Da-la-fu, s. "Nabi-musétiq-|urri]. a. ^"? händi Cr Pa (4, 28). S. Ba-ni-i4, Gimil- X Gula, ” Nabü-balátsu-igbi. a. I Bét-aplu-usur, s. * Bél-aplu-iddin. 40. a. " Bél-éfiru Ev 24, s. a. Da-bi-bi, s. " Bél-étir, Iddin-" Nabt. a. Egibi s. “Nabi-udamnig. a. Epes-ili Nd (473, 15), s. ZBel-ipusu. a. Ga-hul, s. " Marduk-Sum-usur. 45. a. Ib-na-a-a, s. "Nabå-nådin-alu. a. Iddin-" Sin, s. " Bel-kasır. a. Ilt -! Marduk, s. "Bel-uballt. a. Igisa-a Nk 219, 2. a. Ir-a-ni, s. " Bél-iddin, Sum-iddin. 50. a. Mas-tuk-ku, S. ? Sama-étir. a. Mi-sir-a-a, s. Rimüt-" Bel. a. Mu-kal-lim, s. "Marduk-giSanni. a. Na-ba-a-a Nd (169, e), s. Ardi-" Marduk, 2 Bel-usallim, (I Ina-)Esaggil-ràmat, La- basi, "Marduk-Sum-iddin, Musezib-" Bel, X Nabü-usursu,; Silim-" Na-na-a,* Sulmän- Sum-iddin. a. Na-din-Se-im, s. " Bél-iddin. 55. a. ^"? ràb bâni, s. "Marduk-nàsir. a. Sag-gil-a-a, s. Na-di-nu. a. " Sin-Uu, s. " Nabå-ittannu. a. "Sin-imittu, s. 2 Nabå-Sum-lisir. a. X Sin-Sa-du-nu, s. Musézib- Bel. . " Sin-tab-ni, s. i Samai-str-iddin. a. " Sama3-ba-a-ri, s. X Nabü-musetig-urri. a. vréljangi "Gula, s. Kidin-" Marduk, 2 Marduk-Sum-iddin, " Nabü-musetig-urri, Sum-iddin, Zir-iddina. a. "el $a? Sippar |" Samas, s. /na-eÿt- etir. a. *"? Yang? Za-ri-qu,s."Bel-ahe.. ittannu, OiS-" Marduk. No. 2. „2 Nabü- 219 (Zi-ri-ia) 65. a. Si-gu-tra, s. Sk-la-a a. Suáti, s. "Nabü-näsir. 67. a. Tu-na-a, s. * Nergal-iddina. Zir-ibni (abgekürzt, vel. zu no. 1) 1. al$ Ki-rib-tum a. Mu-kal-lim Nd 722, s. Wahrscheinlich — *Addu-zir-10ni 3. a. ^"?! bá'ip; Dr (407, 3). 3. a. "Sin-tab-ni, s. " Ea-näsir. Zir-iddin (abgekürzt), s. Musezib-" Bel. o ts 2Samas-ibni Ev 18, 5. als Ziri-ia a. ^"? $angi "Gula Nd 158, 7. 3. a. Nür-"Sin, s. Sirigti. Zir-ipu-sü (abgekürzt) 1. a. Jadin-"! Sin, s. "Bel-kasır. Zir-igisa (abgekürzt) Nk 132, s. Zir-kitti (DU)-sir| SI.DI (vgl. Nabü-zir-kit-t- /isir) Dr 559, III 39. Zir-üsir (ZIR-GIS|.SI. DI) Nk 243, 6. 1. a|3 *Nergat-uballit .... Nd 197, ss. Zir-Usir-" Nusku (ZIR-SI.DI-" N!) Nd 583, 11. Zir-ukin (ZIR-DU| GI. NA, abgekürzt etwa aus Nabü-zir-ukin, vgl. no. 11, beachte auch no. 3) Nbp (ZA IV) 13, & Nk (60, 10). NES IN 7 2181022 33713 358: Cb 385,20. S. "BéL-éfir 92, -iddin 267, Lba-a, "Nabü-belsunu 12, -kin-aplu 40, -Kim-iddin, Rimát-! Bel, Sá-la-a 38, /Ta- batum, a. Mar-Esaggil-ibui Nd 769, 9 als "Nabü-ban-ahi Nd 7, s. als #Nab-ibni a. Na-ba-a-a Nk 194. Vgl. Ziria 19. als "Nabü-tab-ni-usur a. Bel-napsati Cb 388, 16 (lies: ... kin-zir). s. al$ Såkin-Sum a. “Bêl-êtiru Nd 817, s. als " Uras-iddin a. ^"* jian-di-di Nd Pa 2,3. CHPartNe: a. Ahu-bani, s. ""Nabü-ahe-bullit. a. ^"? bant, s. Kabti-1a. a. " Bé-étir, s. 2 Nabü-*adünu. IO. a. Da-bi-bi Nd 1114, 7. a. Egibi, s. Sá-la-a, vgl. "Nabü-zir-u&n a. Egibr. a. Etiru. s. * Nabü-Sum-Üsir. a. I-din-nu, s. Kabti-ia. 28* 220 (Zir-ukin) Mun-na-bit-tum, s. 2Bel-iqisa. il Nabáü-étir, s. Säpik-zir. ? Nabü-Xim-iddin, s. * Bél-aplu-iddin. anna patri, s. Ardi-"Bel. NE cere IDIE (BYS al), axel gipi, s. ®Nabt-ittannu. USE cs cs Die (927, 9): 2 Sin-Sa-du-nu SmkP 2. enélangi Gula, s. *Nabi-iddin. 23. a. Si-gu-á-a, s. Itti-" Nabü-balátu. Zirütu (ZIR(-4)-tultt, vel. Zàrütu oben; wahr- scheinlich Hypokoristikon zu einem mit ziru zusammengesetzten Namen, vel. zu Marduk-Säpik-zir 14) Nk 32, 15. Nd 513, s. 546,3. 582,2 743, 13. 797,5. 841,11. 873. 940,4. T100, 2. Cr 9,10 22, 10. 32, 10. 36, 5. 15. 57, 15. 92, &. 233, 4. 247,7. 262, 16. Cb 94 s. | IOO, 10. 123, 5. 202, 7. Dr 40, 8. me ki-zu-u Nd23,s """LPuddrmumu Cb 59, 4. alpi Nd 629, u. Sa bit &alümu Cb 131, 12. S. Ba-zu-zu 23, "Bel-igisa, Belsunu 78, | “Bel-usezib, Labasi, "Nabü-ahe-bullit, -ittannu 62, -zör-ukin, Nidintum 95, Så- pik-sir, Süsubu. " Bél-ahé-iddin a. "nås patri Ng 22, 10. ”Bel-etir a. Su-ha-a-a Ng 38, 2. X Bel-iddin Nd 446, 2. 448, 2. A Bel-2:um-iskun Nk 62, 12. * Bel-Su-nu Cr 310, 2. Cb 58, 4. = no. 12. " Bel-zir-iddin NÅ 479, 14. I -?* Marduk Nk 231, 13. Ri-mut a. Abi-ul-idi Nk 325, ro. Sad-din-nu a...... Cr 349, 20. IO. a. "Bel-aplu-usur, s. Nidintum. . "Bel-Sum-iskun Nk 43, r2, vgl. no, 4. a. Bel-su-nu Nd 351, ro. 781, 7, = no. 5. . Da-bi-bi Nbp (ZA IV) 12, 15, s. " Nergat- usallım. R sa bit | Knut Tallqvist. (Ziritu) a. ”Marduk”-al? $a)-bu-Su, s. ”Nabå-tabni- USUr. 15. a. "el pahari, s. baláfsu. a. St-ik-ku ..., s. Di-na-a. 17. a. anse ""Ninib, s. "Marduk-Sapik-zir. Ziru-u-t-id (vel. as. Ziru-u-t-i K 404, 20), s. ? Nabü-aptu-iddin 54. Zitti (HA. LA)-" Naó2! Dr 572. JZi-it-ta-a (Kosename), gallatu Nk 137,6. Ev 84-2-II, 30. Zu-ub-bat-ilu Nk 148, Zu-ub-ba-a-ti-i-lu, Zu-ub- ba-a-tu-ilu, s. Itti-" Nabü-balátu. Zu-bu-du-ru, "mår Sip-pir-ri NK 372, 3. Zu? St)-la-a (Dr Pa 12, as) 1. a. Nür-" Marduk, s. Ahé-iddina. Zu-um-ba-a (Kosename zu Zu-um-bu «Fliege») 1. als Ardi-"Marduk a. DEE NZ r3 H Sin-Sadinu al$ Iddina-a a. Si-gu-t-a Dr [407, u —] Dr P 104, ro. als Kur-ban-m-" Marduk? a. Bi-ib-bu-4-a Dr 500, z. als Li-bu-ru a. Bu-un-na-a-a Dr 487, x. 5. als Musallim-" Marduk Dr 379, 3. 410. als "Nabu-balät-su-igbi a. Etiru Dr 507, 15. XNergal-ipus a. Amel-"Ea Dr 380, is. * Sa-du-nu a. NU.AN. NA (Salam-Same?) DrA07, 2) — Delon: 9. a] Süm-iddin a. # Ea-Epes-ili Dr 491, >. | Zu-um-bu («Fliege», vgl. BEIX) I. als Zddina-a a. * Bél-zddin Dr P 144, 4, 10. /Zu-un-na-a (Kosename aus zunnu «Regen») Nd 990, 8. as$at * Pêl-kâsir Nd 380 (ZA TII S. 366). assat ”"Nabü-ahe-iddin Nk 138, 4. 1. zu] ?" Addu-zör-ibni NkP 3, 1. 2. mjs Ri-mut Nd 584, 4. Zu-za-a, Zu-si-ia NdP 0,8, s. /ddin-" Nabt. Zu-za-nu, *®ir-ri-su Nd 167,4 S. Sum-iddin. Ss AI T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch, 221 II. Götternamen und mit ihnen zusammengesetzte Personennamen.!) “A-a, wahrscheinlich Aya zu lesen, s. JENSEN in m in KB III! p. 201f., ZIMMERN in KA? p. 368, die Gemahlin des Sonnengottes, daher kallatu «die Braut» oft neben Samas (Bu 91-5-9, 413,4 = CT VI 27, Biling. Smk:s 31) sowie unter den Göttern von Sippar erwähnt. NbpMII 12,5, ZI ASI VEA 287 64 INKA 2113, 2 52H0 2592 8015: 312,25. Nk CT IV 38,8. NkL 8,17. Nd 159,3. 163, 4. 195, 4. 283, s. 320, 7, 9. 465, 4. 547, 5. . 694, 5. 696, 6. 699, 6. 726, 6. 737, 2. 751, 2 826, c. 1060,9. Cr 7, v. 40,4: 185, 4, s. 9. 100; 15. IQI, 8. 201,10. 232, 9. 241, 7. 200 8 2001 1ChH20/ 2 130) 2 220712: 363,3. 413,8. 414,7 439,3. Dr62,6. — In Eigennamen bezeichnet die Gruppe AN.A.A nicht immer die Göttin Aja. Denn theils ist 7%-a-a zu lesen, theils bezeichnet die Gruppe (wie auch 4.4 ohne Gottesdeterm.) eine männliche Gott- heit. Für die Auffassung dieser Zeichen in fremdländischen Namen s. KA? p. 467 u. Anm. 7. — Als Gottesbezeichnung scheint 4.41 sich zu finden in den fol- genden Namen: genannt und . An erster Stelle: . A-a-ahé (PAP?) (as. abgekürzt aus *A-a- ahe-iddin oder dgl.) 82-5-22, 41. Rm 160 (JADD 3. 294). *A-a-am-me K 460 (JADD 296); vgl. KA? pp. 467 Anm. 7, 480f. 4/7 A-a-a-gar-rat «A. ist theuer» (?). X A-a-belit-nisi «A. ist Herrin des Volks» (ab.) RANKE p. 27. . IX A-a-dal-hk(ri-ibt) ab. Bu 88-5-12, 256, 6. (? A-a) u II. 20. 91-5-9, 280, 46. 375,24. 421, 41 (CT IV 16. VIII-25: 11.36: VI so). A-a-e-nu-u (as.) K 386, » (JADD 619). A-a-iddin (ÅS) «A. hat gegeben» (as) K 9591 (JADD 720). UD A-a-ka-la-bu (ab. Snblt) KBIV p. 14 I 12, HOMMEL, Altisr. Überl. p. 112. SL A-a-ku-su-ub-ma-tim «A. ist Üppigkeit des Landes» (ab. Bu 88-5-12, 225, ». 91-5-9, 2170, 55 (CT II 13. VIII 46). . A-a-me-tu-nu (as.) 80-7-19, 42 (JADD 69, III p. 110). ##A-a-ram-mulme edom. König KBII p. 9r. * J-a-ri-im-mu Sarg. Ann. 281. KA? p. 467. J#A-a-ri-Sä-at (nach RANKE p.27 abgek. aus /A.-réat-ilani, vgl. IStar resti ilàni Tig. I r3; ab.) Bu 91-5-9, 356, 31. 475, 23 (CHNIESoOSIVZAR): X A-a-Si-da-ti (ab.) Bu 88-5-12, 43,30 (CT II3). #A-a-$i-ti (ab.) Bu 91-5-9, 367, 31 (CT II 34). J#A-a-tum (ab. Hmrbi) Bu 88-5-12, 624, 2 (CT IV 40). * J-a-fu-ri «A. ist mein Fels» (ar.) Bu 91-5-9, 94 (JADD 186). Jil A-a-zi-ma-at-ma-tim «A. ist die Zierde des Landes» (ab. Snblt) Bu 91-5-9, 2173,5 (CT VIII 45, vgl. DAICHES p. 80). An zweiter Stelle: Abu-”A-a «Vater ist A.» (as) Epon. 887. SA-ma-at-"A-a «Magd A:s». Bu 91-5-9, 475, 25 (CT IV 47). /Amät(KA)-"A-a Bu 88-5-12, 332,9 (CT II 15), vielleicht abgekürzt aus "/na-amåt- 2 A-a. 1) Das hier gegebene Verzeichniss berücksichtigt nur solche theophore Personennamen, welche Namen der in den neubabylonischen Geschäftsurkunden namhaftgemachten Gottheiten enthalten, und beansprucht nicht Vollständigkeit,. obgleich auch assyrische und altbabylonische Urkunden berücksichtigt werden. Wo nicht anders bemerkt ist, kommt der betreffende Name in den nb. Geschäftsurkunden vor und findet sich mit Angabe der Schreibweise schon in Abtheilung I, Personennamen, No. 2. 222 (”A-a) / A-na-" A-a-uz-ni «auf A. ist mein Ohr ge- richtet» (ab. RANKE p. 26) Bu 91-5-9, 366 (CT II 33). Bur-" A-a «Sprössling A:s» (ab.) Bu 88-5-12, | 721,32 (CT IV 49). JE-ri-is-u| NIN-b-"A-a «Entscheiderin ist | A.« (ab.) Bu 88-5-12, 185.217. 291 (MBAP Sr CDU AES NIIT: 25. /bik-"A-a (ab., MBAP p. 96) Bu 88-5-12, 419. 9I-5-9, 330, 27 (CT VI 20). Kabti(BE)-”A-a «gewaltig ist A.» (as) K 344, 13 (JADD 22) | Hu-ka-"A-a «dein Gott ist A.» (ab. Bu | 88-5-12, 697 (CT IV 45), RANKE p. 26. Kalbi-" A-a «Diener A: s». Mär(TUR)-"A-a «Sohn A:s» (ab) Bu 88-5-12, 172 (MBAP 5o). 30. Nür-"A-a «Licht ist A.» (ab.) Bu 88-5-12, 185 sr (CT IS). Pi-ri-" A-a «Spróssling A:s» (ab.) Bu88-5-12, | 703l4- Sá-/A-a «dem A. Zugehórig» (ab.) Bu 88- | 5-12, 318, 18 (CT IV 25). /Sd-ad(t})-" A-a (ab.) Bu 91-5-9, 316. 356,25. 366, 52. 586,4 (CT VIII 26. II 30. 33. VI 33). Simn-ma- A-a (as, abgek.) K 326, ss (JADD 412). III. An dritter Stelle: 35. Bêl-ku-um-mu-*A-a «Stellvertreter ist A.» Probename K 241, XII 38. 36. Ina-sil-”Å-a «im Schirme A:s». 2 Addu (1. "Ad-du auch 7A-da-di etc., s. KA? DAS 2 TS FL Tab undfas) westländischer Sturm- und Donnergott 72:3) Nbp M II 12, 1. NkCTIV 38, 10. Nd | 49,8. 78,20. 320,11. 673,5. 604, 22.606,25. 699, 11. 737,5. 777,5. 799, 13. 826, 12. 893, s. 1060, 6. Nd M II 40,18. Cr 7,17. 185, 20. 186, 10. 189, 23. IOI,12. 201,14 202,10. 24I, 19. 270, 10. 285,20. 280,12. 383,5. Cb 148, r. 382,4.413,15. Dr 535,4. — In Personennamen: I. An erster Stelle: I. Ad-du, (nb. vel. bi. 777, südarab. SAD), als Probename K 241, XI 38. Davon(?) der Kosename Ad-di-ia (nb.), [Ad]-da-ia (as.) K 323, 17. Knut Tallqvist. | (Addu) 7 Addu?-abu-bullit «A., erhalte den Vater am Leben!» Addu?-abu-usur(PAP) «A., schütze den Vater!» (as.) K 320, ıs (JADD 711). X Addu?-ahé-bullit «A., erhalte die Brüder am Leben!» . "Addu?-ahe-iddin «A. hat Brüder gegeben» (nb.), 742- PAP#-[ÄS] (as) K 1563 rev. 13 (JADD 247). X Addu?-ahe-Sullim «A., bewahre die Brü- der!» it Addu% >-ah-iddin(-SES| PAP-MU] ÄS|SE- na, nb. as.) «A. hat einen Bruder gegeben» K 313,15 (JADD 622). Addu°-ah-usur(-PAP-PAP, as.) «A., schütze den Bruder!» K 378 rev. 7 (JADD 9o). Addu*-amur(SI LAL)-in-ni «A., sieh mich gnádig an!» (as) K 455, 2 (JADD 86). . " Addu?-aplu( TUR. US)-iddin «A. hat einen Sohn gegeben» (nb.), babyl. König c. 1020, IR 5 no. 22, 1. 2 Addu2-aSaridu(MAS) «A. ist Probename 83-1-18, 695, II 12. X Addu?-ba-ba-u (as) 83-1-18, (JADD 321). X Addu?-ba-ni «A. schafft» (ab.) Bu 91-5-9, 2188, 30 (CT IV 42). X Addu?-ba-rak-ka «A. ist König» (b.) K 938 rev. 5 (HABL 202). Fürst», 134 rev. 5 . X Addu?-ba-ri «A. schaut» (?) X Addu?-bêl-a-ni Probename 83-1-18, 695.116. 7) Addu?-bel-ka’in(? DU] DU-in) «A., festige den Herrn!» Probename K 241, XI 12. Epon. 748. 7 Addu?-bel-si-hi-ti. Addu3-bel-usur(PAP) «A., schütze den Herrn!» (as.) K 9591 (JADD 720). . "Addu?-bel-taggin(? LAL-in) «A., verleihe dem Herrn Festigkeit!» Probename 83- 1-18, 695, II 16. *Addu3-6i--di JADB no. 6, VII6. 8,14. JADD I p. 251. @) Addu? 3-da”-an «A. richtet» (as.) K 1083. 82-5-22, 146. 83-1-18, 350. ? Addu?-du-um-ki «A. ist Gunst» (ab.) Bu 88-5-12, 229 (MBAP 7). T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. (Addu) 35: 40. 45. Addu?-düri «A. ist eine Mauer» (as.) K 8134, II 1 (JADB no. 3). 83-1-18, 695, II 14. X Addu?-eres (nb.), Probename 83-1-18, 695, II 15. “Addu?-gab-ri «A. ist stark». Addu?-hu-ut-ui «A. ist mein Schutz» (as.) 79-7-8, 337,3 (JADB no. 19). " Addu?-ia-a-? . " Addu?-i6-ni K AK «A. hat geschaffen». 7 Addu?-iddin (ÅS) «A. hat gegeben» (as.) K 4746 rev. 4 (JADD 661). 7 Addu?-i-din-nam|DBA. AN.SUM «A. hat gegeben» (ab. B 48. Bu 88-5-12, 229. VATh 1246 (MBAP 44. 7. 33). 9 Addu?-id-r;- (ar. vgl. bi. 179777) Dr 532, s. Addu*-ilu-a-a «A. ist mein Gott» (as) K 4746, 1 (JADD 661). *ÜU dddu?-im-me-e — (nb.), Asrnsrpl Ann. III 59. “Addu?-ip-gid «A. hat bewahrt», Probe- name 83-1-18, 695, II 10. X Addu?-ig-bi «A. hat befohlen», Probename 83-1-18, 695, II 9. #Addu?-iy7-$4 «A. ist weise» (ab) KLH no. 44, 8. X Agdu?-itti-ia «A. ist mit mir» (as.) K 1252 A. 70-7-8, 234 (HABL 342). Addu?-kabti-ahesu(-BE-PAPE'-Su) «A. ist mächtig unter seinen Brüdern», Probe- name 83-1-18, 695, II 5. #Addu?-kil-la-an-in «A., erhalte mich!» X Addu?-kin-zir «A. bestelle Nachkommen- schaft!» #Addu?-la-bak? #Addu?-la-an- TAR(), Probename 83-1-18, 695, II 18. #Addu?-la-$a-na-an «A. ist ohne Gleichen» (ab.) Bu 91-5-9, 2421, 5 (CT VI 44). X Addu ?-h-kin]\ki-in]im «A. möge festigen!» ? Addu?-Irit (ZU) «A. ist stark», Probename K 241, VI «. Addu?-lu-ki-di K 4767, III 13 (JADB no. 4). X Addu?-lu-ü-nasir «A. möge beschützen!» (ab.) Bu 88-5-12, 642, « (CT VI 23). No. 2. X Addu?-im[i-me 223 | (?Addu) so. 7 Ad-du-lu-ü-sa-lim «A. möge gnädig sein!» . * Addu?-erba «A. hat gemehrt», Probename | I 55: 65. ? Addu?-ima-tt (MBAP 52). + Addu?-mil-ki «A. ist König» (ws.) K 455 rev. I3 (JADD 86). 7 Addu?-mu-ba-ltit «A. ruft ins Leben» (ab.) B 27 (MBAP 93). it Addu?-mu-Sam-mir (nach DAHW: «A. tobt», kaum richtig; Probename 83-1-18, 695, II 21; Epon. 789. 7 Addu°-mu-Se-is-si «A. bringt hervor» (as.) K 1608b rev. 7 (JADD 259). 2 Agdu?-1iu-Xe3-ir « A. giebt gelingen» (nicht: Addu-Sitm-násgir, s. HILPRECHT, BE I I p. 34 u. Anm. 5), König von Kardunias K 3045. il Addu?mu-Se-si-1b «A. rettet» (ab) VATh 1075 (MBAP 51). X Addu?-nädin-ahi(-SE-PAP; MRI72777 = adadvadıneyns K III! p. 142f.; nb. as.) «A. giebt einen Bruder» K 4692. Addu?-na-gi «A. strahlt» (as.) Bu 91-5-0, 94 rev.6(JADD 186); vgl. PAP-na-gi JADB NOS (abgek.) Bu $88-5-12, 363 . " Addu°-na-id|I «A. ist erhaben» (ab, as.) 82-9-18, 220 (MBAP 30). CIS II 27. ! Addu?-na-sir| PAP «A. schützt» (anb.) Bu 88-5-12, 188, 27 (CT IV 13), #42- PA P-ir Probename 83-1-18, 695, II 7. 43-PAP-ir (as.) K 376, 1». = Addu\?-na-tanlta-nu «A. hat gegeben» (ws.) 6G» Addu? -mirark ZAB.DAH) «A. ist Hel- fer» (as), Name assyrischer Könige 14.—8. Jhrh. X Addu-nüri «A. unammir (9. V. X Addu?-gas-sun (= gätsun? abgek.? vel. Samas-gätsu-sa-bat, as.) K 416, 3 (JADD 266). Addu-ra-ba-a, "A?-ra-bi «A. ist gross» (as., ab.) Rm II 22 (JADD 177). Bu 88-5-12, 290 (MBAP 32). Bu 91-5-9, 286 rev. II 22 (CT VI 16). #1 Addu-ra-ha-mu «A. erbarmt sich» (ws.) 4 Ad-du-ra-hi-i. Licht» oder Addu- ist Knut Tallqvist. | (2 Addu) | 224 (Addu) #Addu3-ra-li-mu «A. erbarmt sich» (ws.) Rm 193 (JADD 268). 70. Fil Ad-du-ra-am-mulma HBE IX. +) Addu" 3-ra-pa- «A. hat geheilt» (ws.) Nd 035,3 K 311, # (JADD 325). 7 Addu?-ré a-ni «A. ist mein Hirt», Probe- name 83-1-18, 695, II 10. Ad-du-reu-us-Su «A. ist sein Hirt» (nb.) | BE IX. X Addu?-röm-alanni «A, erbarme dich meiner!» Probename 83-1-18, 695, II 13. | Epon. 842. 75. 2 Addu?-ri-me-ni «A. ist barmherzig» (ab.) Bu 88-5-12, 45 (MBAP 36). Bu 91-5-9, 2191, ıs (CT VI 43). 7 Addu?-ri-im-ni-ni «A. erbarme dich | unser!» (?) (ab) VATh 1075 (MBAP 51). | 7 Addu?-ri-su-u-a «A. ist mein Helfer» (as.) | K 345, 3 (JADD 166). 2 Addu?-sa-ra-ah (cfr. sab. nn etc. he. now) CrL 16, 16. X Addu?-Sa-lam-mu (abgek.?). 80. WAddu% 3-Xal-lim «A., erhalte unversehrt!» (as) Rm 182 rev. 3 (JADD 333). Rm 2, 150 (JADB no. 7). X Addu?-Sa-al-tıum. ? Addu?-Samn|sa-me-e. 7 Addu?-Sar-iddin «A. hat den König ge- geben». X Addu?-Sar-rum|LUGAL «A. ist König» (ab.) Bu 91-5-9, 286 rev. III, 36 (CT VI 16). 9I-5-9, 358, »3 (CT VIII ro). VATh 646/7. 965 (MBAP 53. 73). K 113. 85. ? Addu?-3àr-ugur (PAP) «A., schütze den König!» (nb.). ”742-MAN-PAP Probename 83-1-18, 695, II 4. X Addu?-$e-e-a «A. ist mein Freund» (?). X Addu?-Se-mi «A., höre!» (ab.) VATh 1075 (MBAP 51). 2 Addu?-Se-zib «A., rettel» (nb.). Probename 83-1-18, 695, II 17. €» Addu?-Sum-eres(KAN | PLN-es | KAM ). 00. " Addu?-Xian-ibni «A., hat einen Abkomm- | ling geschaffen». X Addu?-Xum-iddin «A. hat einen Abkömm- ling gegeben» (nb.). Babyl. König 13. Jahrh. 95. IO5. IIO. BzA II p. 187. AŸ-MU-SE na (as.) K 397,7 (JADD 105). X Addu?-Sum?-Sam-me-e. X Addu?-Sum-ü-sur|\ PAP «A., schütze den Abkómmling!» (nb. as) KK 183. 492. 568. 583. 60I. 1040 etc. 2 42-MU-SES ba. König BzA II p. 189,40 (PEISER KB III p. 156: Rammän-nädin-ahi). Addu?-ta-ka-a (as.) 81-2-4, 150, zz (JADD 231). Addu?-täk-lak (abgekürzt aus *Ana-Addu- takläk) «auf A. vertraue ich» (as) Bu 89-4-26, 122 rev.9 (JADD 263). X Addu*-tar-ga 7 Addu?-ta-qu-um-mu. X Addu?-tug-gin «A., verleihe Festigkeit!» X Addu\2-ü-bal-Lt| TIN-it «A. hat lebendig gemacht» (nb.). Probename 83-1-18, 695, II 11, (as) Epon. 786. . " Addu?-unammir(LAH) «A. hat erheitert» (nb.). Probename 83-1-18, 695, II 20. X Addu?-uSabSi «A. hat ins Dasein gerufen». X Addu?-usallim «A. hat unversehrt er- halten». 7 Addu?-ü-Se-zib «A. hat gerettet». X Addu?-sèr-ibni «A. hat Nachkommenschaft geschaffen». i Addu-sir-iddin| ÀS «A. hat Nachkommen- schaft gegeben» (nb.). Probename 83-1-18, 695, II 8. I Addu?-sir-igisa «A. hat Nachkommen- schaft geschenkt» (b. c. 1100) III R. 43, I 6. . An zweiter Stelle: 4 A-ma-at-! Addu «Magd A:s» (ab. Bu 62 (MBAP 109). A-me-il-" Addu? «Diener A:s» (ab.) Bu 91- 5-9, 2519, 19 (CT VI 48). Ardi-! Addu «Diener A:s» (anb.) Bu 88-5-12, 290 (MBAP 32). A-si-ir-" Addu? (ab. Bu 91-5-0, 938, 4 (CT VI 40). | Da-ni-" Addu? «A. 842/3 (MBAP 110). #Ba-ri-kulx-"Addu (ws.) Bur-*Addu? «Spross A:s» (ab.) Bu 91-5-9, T. XXXII. schafft» (ab) VATh Neubabylonisches Namenbuch. 225 ('Addu) 439, zz, 2470,18 — CT IV rr. VI 42. Vgl. Bur-" Ra-ma-na. Dan-M)Addu*? «Richter ist A.» (as) K | 122,18. 322.tev. 4 (JADD’631). . Dan-nu| KAL-" Addu? «gewaltig ist A. Dáür-G Addu?3? «eine Mauer ist A.» (as) | K 298 rev. 18 (JADD 446). K 8989. Erba-"Addu «A. hat gemehrt» (as), ein Konig (1o. Jahrh.) I R 28, II 4. Gab-bu-" Addu? (abgek., as) 83-1-18, 366 (JADD 167). Gi-mil-" Addu? «Geschenk A:s» (ab. Bu 91-5-9, 358,22 (CT VIII ro). *Gi-ri-'Addu? Slmnsr Monol I 35. Vgl | KA? p. 444, Anm. 1. F-bi-" Addu? (ab.) Bu 88-5-12, 290 (MBAP 32). Bu 91-5-9, 846, 17 (CT VI 3). F-bi-ik-" Addu? (ab.) Bu 88-5-12, 769, 5. 91- 5-9, 301, 29. /b-£u-" Addu B 43 (MBAP 67). Jb-ui|KAK-" Addu «A.hat geschaffen» (anb.) Bu 88-5-12, 47. 290. 419 (MBAP 6. 32. 42). ' Bu 91-5-9, 442, 13 (CT VI 23). I-bu-un-&a-" Addu? (? ab.) B 43 (MBAP 67). . Jlu-" Addu? «Gott ist A.» Asrnspl Annal. I78. I$ di-" Addu? «Grundlage ist A.» (as.) K 916. Probename K 241, XI 29. Is-man-ni-" Addu? «A. hat mich gehört» (as) K 327 (JADD 172). Is-me-" Addu? «A. hat gehört» (ab.) Bu 91- 5-9, 2462,33; 2463,28 (CT II 50. VI 45). Itti-" Addu*-aháütu (TA-" A2-PAP|SES-u- tültulte) «mit A. ist Bruderschaft», Probe- name K 241, XI 30, (as) KK 358, 4 (JADD 416, nicht Ardi etc. PEISER KB IV p. 112), 14288. Sch II rs. 79-7-8, 309, rev. 28 (JADD 742. 780.) . Titi Addu23-aninu (TA| Var. DA-*IM] Var. U-(a-)ni-nu| Var. ni) «mit A. sind wir» (as) Epon. 679 ITR r, VI2 KK 341. 400. 13C07 (JADD 82. 364). TA- #A%-an-ni Rm 165 (JADD 161). Li-bi-it-" Addu? «Werk A:s» (ab.) Bug1-5-9, 270, 2 (CT VI 6). Lultam(m)ar-" Addu? «A. will ich ver- ehren!» No. 2. (* Addu) /Ma-a-ad-" Addu (? auf der äusseren Tafel Ma-a-ad-gi-mil-Istar (ab.) B 62 (MBAP 109). Mudammig-" Addu? «Freundlichkeit erweist A.» . Mu-di-qu-" Addu?. MusSallim-" Addu? «unversehrt erhält A.» (nb). Mu-DI-A3 (as.) K 381, 5 (JADD 4). Mu-tak-kil-"Addu? «Vertrauen giebt A.» Nä’id-" Addu? «erhaben ist A.» (as.) 89-4-26, 7, 7 (JADD 60). Na-ra-am-" Addu? «Liebling À :s» (ab.) B 4,21. Bu 88-5-12, 636, 16 (CT IV 42). . Nu-ür|LAH-" Addu? «Licht ist A.» (anb.) VATh 755 (MBAP 16). KBIV p. 4. Pa-si-hu-" Addu «A. besänftigt sich». Pa-te-u2-"! Addu?. Oi-bit-Addu\ (abgek.) 80-7-19, 175 (JADD 159). Oisti-" Addu? «Geschenk A:s» (b. K 8748. Ki-is-b-" A? ZA VI 162. . Qur-di-WAddu?? «meine Stärke ist A.» (as.) KK 300,26. 1432 rev. 5(JADD 207.92). Ri-im-" Addu «erbarme dich, A.!» (ab.) Bu 9I-5-9, 270, 18 (CT VI 6). Rimanni-" Addu «erbarme dich mein, A.!» Rim-a-ni-" A? K 347 (JADD 258). Rön- an-ni-" 43 K 1140 (JADD 187). Röm-ni-4° K 655. Ri-is-" Addu? «Sklave A:s» (ab) KLH no. I5, 17. Sa-am-si-" Addu?, Sam-Xi-4 A?| Var. ?UD- St-A3 «meine Sonne ist A» III R r, II Ar. . Si-kil-ti-" Addu? (übers. aus Sumer.) K 4426, III 47 (VR 44). Si-Iinu-! Addu? «hab' Erbarmen, A.!» (as.) K 295, 6 (JADD 307). Sek" Addu?: (abgek, ab. Bu 91-5-9, 2176 A, ss (CT II 44). SUR-" Addu?. Sa-" Addu «dem A. Angehörend» (ab.) Bu 88-5-12, 185 (MBAP 31). Vgl. RANKE p. 34. . Sangü-" Addu? «Priester A:s». Sar-ru-um-" Addu? «König ist A.» (ab) Bu 91-5-0, 2462,25 (CT VI7). Sar-rum- A? VATh 1468/9 (MBAP 49). 29 226 (Addu) Sépi?-il Addu? (abgek., vgl. Söpi-"Bel-asbat; as.) K 413 (JADD 43). Sum-ma-" Addu? (abgek., vgl. RANKE p. 34; as.) K 421 rev. 6 (JADD 623). Ta-ra-am-" Addu? «du erbarmest dich, A.» (ab.) Bu 91-5-0, 272, 17 (CT VI 7) VATh 847/8 (MBAP 94). Ul-tam-mar-" Addu? «ich verehre A. U-gur-"Addu? ( as.) K 1486 (JADD 354). An dritter Stelle: Dür-ma-ki-i-" Addu?, Probename K 241, XI11. DAHW 214a: Dürima-itti-Ramman. E-tl-pi-" Addu? «erhabenen Mundes (Wor- tes) ist A.» (ab) Bu 88-5-12, 769, s. 160. TII. 91-5-9, 286, IV 35 (CT VI 7). La-tu-ba-Sa-an-ni-"Addu? dass mich nicht zu Schanden werden, A.l» (as) K 430 | rev. 11 (JADD 260). 165. Man-nu-a-ki-i-" Addu «wer ist wie A.?» | Mannu-ki-Addu «wer ist wie A?» (as), | Man-nu-ki-1)A.23, Epon. 773. 683. K 533 (HABL 304), Man-nu-ki-Addu® Sm 475, Man-nu-ki-1-* A K 414 rev. 9 (JADD 66). Man-nu-kima-Addu°-rabi «wer ist wie A. gross?» (as) K 419 rev. 1 (JADD 218). 168. Täb-ri-gi-ma-tt-" Addu? «gut hinsichtlich des Rufens ist A.» (as.) K 349,10 (JADD 64). 2A-di-e-su (vielleicht: a«Z7 «Satzungen» mit Gottesdeterm. und Suff.) in Ard" A-di-e- Sa (nb. BE IX. “A-e (s. für die Lesung dieses Gottesnamens KA? p. 358 Anm. 6; statt dieser Schrei- bung bietet Nk 308,1 " TUR-E, vgl. OLZ VI Sp. 440ff.) Cr 277, 17. — In Personen- namen: I An erster Stelle: 1. 24-2|TUR-E-ahe-iddin «A. hat Brüder ge- geben». 7 4-2-eres. #A-è-1ddin «A. hat gegeben». #A-è-naid «A. ist erhaben». 5. 2 A-e-re’ha «A. ist mein Hirt». #A-è-uballit «A. hat lebendig gemacht». #A-è-ufab$i «A. hat ins Dasein gebracht». IL An zweiter Stelle: 8. Na-bi- 4-8 (ab.) Bu 88-5-12, 42,5; (CT VIII6). | Knut Tallqvist. *4-mu-nu (äg. Amen = he. AR — gr. Auuov; vgl. KA? p. 486f.), in *A-;uu-nu-ta-pu-na- af-ti. Anu, ein Obergott sumerischer Herkunft, s. KA? p. 351£. *Æ4-77 Nbp M II 14, s. X A-num Nbp MI 12,13. Nd 699, 19. 799, 13. Nd M II 49, 4. Nd Pa 2, 30. Cr 40, 14. 189, 26. 277, v. 349,9. Dr Pa 7, 2. 8. »>Y-Y s. unten no. 20. A-ni und A-nu-um s. unten. — In Personennamen: I. An erster Stelle: . 2 A-num |nu-um-ah-iddin Bruder gegeben». X A-num-Ah-usur «A., schütze den Bruder!» 2 A-num-ana-bitifu (abgek.). Anu(AN)-ba-ni-ni (HOMMEL, PSBA 21 p. 115:) «Anu ist our begetter», altsemi- tischer König, ROGERS I p. 360, 5. 2 A-num-erba «A. hat gemehrt» (nb.) BEIX. 2 A-numnu-êétir «A. schohnt» (nb) BE IX. «A. hat geschaffen» (nb.) «A. hat einen - # A-munm-ibni BE IX. 2 A-num-iddin «A. hat gegeben». A-ni-illat-ti «A. ist meine Stärke» (ab.) KLH 6, e. . 2 AJ-num-im-me. 2 A-num-kin-aplu «A. befestige den Sohn!» (nb.) BE IX. G) A-num-näsir «A. schützt» (b.) Srgnstein II 14. 2 A-num-réü-Yu-mu «A. ist ihr Hirt» (nb) BE IX. 2 A-num-Sàr-usur «A., schütze den König!» . ZA-num-Sum-Üsir «A., möge der Nach- komme gedeihen!» 2 A-nınm-uballit «A. hat lebendig gemacht». 2 A-num-upalhir «A. hat Stärke verliehen». 2 A-nu-um-zir-iddin «A. hat Nachkommen- schaft gegeben». 7 A-num-sir-Lsir «A., möge die Nach- kommenschaft gedeihen!» (nb.) BE IX. II. An zweiter Stelle: 20. Itti-" A-num-balätu «mit A. ist Leben». 21. .S2L-? A-nim (abgek.). “Anunitu, Göttin, identisch mit IStar. 2 A-nu-m- tum Nk 2, 2. 313, 22 (?A-nu-tum). Nd 31,6. 49,4. 109, 3. 170, 8.,265,16.,300,42,387,8 T. XXXII, Neubabylonisches Namenbuch. (“Anunitu) 415, 6. 447, 4. 480, 12. 641, 6. 662, 10. 694, 14. 606, 16. 6099, 9. 737, 4 753, 17. 767, 4. 777,7. 794, 5. 799, 13. 893, 6. 952,7. 1052, 4. 1060, s. 1061,4. 1122, 7. Nd MII 48,4. Cr 14,4. 21,9. 40, 7. IOO, 4. 136, 5. 158,18. 185,18. 189, 18. 100, 4. IOI, 14. 232, 11. 279, 7. 285, 15. 208,5. 6771983 300D34,6 63.3. 103,9 12/8: 136, 10. 148,9. 150,5. 152,5. 158,3. 175, 4. 7. PR 17771490227 9.2 277,3» 312,16. 318, 8: 413: Mrıorat., 22,3. 28,0. 29,4. 54,8. 50,2 GONG TE NO7 2 130,34. 100,2. 1/708: 223,4. 285,11. 408,3. 421, s. 444, 7. 479, 8. 546. 549,3. 558. unten. — In Personennamen: . An erster Stelle: . X A-nu-ni-tum-ibni «A. hat geschaffen». X A-nu-ni-tum-uSezib «A. hat gerettet». | An-nu-ni-tum (ab.) s. | II. An zweiter Stelle: Ardi-" A-nu-ni-tum «Diener A:s». | Lbi-ik-An-nu-ni-tum (ab.) Bu 91-5-9-2194 (CT II 49). Fbik- An-nu-ni-tum Bu 88-5-12, 234 (MBAP 3). Jb-ku-An-nu-ni-tum Bu | 88-5-12, 47. 55 (MBAP 42. CT VII 3). Ibik- An-nu-ni-tum Bu 88-56-12, 10 (CT VIII 2). 5. Kalbi-An-nu-ni-tum «Diener A:s» (ab.) Bu 88-5-12, 292 (MBAP 69). Nür-An-nu-ni-tum «Licht ist A.» (ab.) Bu 88-5-12, 180, 2. 507, 16 (CT IV 10. 29). 7. Pir-An-nu-ni-tum «Spross A:s» (ab.) Bu 88-5-12, 281 (MBAP 68). ?Apil-Addu'—?, geschrieben 74-IM, # TUR.US- ad-du, Ap-la-da, A-U (vgl JENSEN in JADD III p. 235, KA? p. 468). — In Per- sonennamen: I. An erster Stelle: #2 Apil-Addu"?-a-ma-ral ri 7 Apil(A)-Addu?-ba-”-di (as.) K 344,3 (JADD 22). * Apil(A)-Addu°-id-ri «A. ist meine Hilfe» (as.) K 13075 (JADD 170). ? Apil(A)-Addu°-ilu-a-a «A. ist mein Gott» (as.) 80-7-19, 42 rev. 4 (JADD 69). 5. 2 Apil(A)-Addu°-kil-la-an-ni (as.) K 319b, s (JADD 154). ?7 Apil(A)-Addu®-na--di (as.) III R 47, no. 3,3 "No. 2. 227 (? Apil-Addu) (PINcHES, PSBA XV p.14: Ya is glo- rious). IL An zweiter Stelle: = Apil-Addu"?-na-tanla-nu, Ap-la-da-na- ta-niu. Ili-ia-apil(A)-Addu?(as.) K428 (J ADD 312). III. An dritter Stelle: 9. Kul-lum-ki-i-" Apil( TUR. US)- Ad-du. "A3ka-'-i-ti, eine Göttin, nach JENSEN ZA VII p. 181 = Arkaîh i e. IStar von Erech. In: Lil AS-ka--i-li-ereS. “Asur, der assyrische Nationalgott, geschrieben I. HI, 2. (9 T), 3.>— 4 »1- TER ET"; auch 7? A-Sur. — In Personennamen: I. An erster Stelle: 1. 7ZA$ur?-abu-apli (? ed?) «A. ist Vater des Sohnes» (? BEZOLD, Catal: Aÿwr-abu- iddin; as.) Sm 1942. 2 Aurl-abu-usur «A. schütze den Vater!» (nb). £4?-4D-PAP (as) Rm 167, z (JADD 230). Aiur?-ahé (PALP?D-erba «A. hat die Brüde gemehrt» (as) K 837. : ASur?-ahé (PAPE')-Su-eres (as.) K 430, rev. 14 (JADD 260). . LASur!-åh-iddin «A. hat einen Bruder ge- geben.» (nb). @Asur!®-PAP| SES-ÁS| SE.NA (as) = Yon 2 ASur?-åh-usur (PAP) «A., schütze den Bruder!» (nb.). Afwr?-PAP-PAP(as.)K 179 (JADD 2). Asur=a-lik-pa-ni «A. geht voran» (b. 8. Jahrh) KB IV p. 166. (as) K 1029. 1031 (HABL 783f). X ASur-aplu-iddin «A. hat einen Sohn ge- geben.» (nb.). A2-A-ÄS (as) Sm 649 rev. ; (JADD 320). Atur?-aplu (TUR.US)-liir «A., möge der Sohn gedeihen!» (as. K 919 (JADD 1040). . ÅSur?-aplu-usur (PAP) «A., schütze den Sohn!» (as.) Sm 1089. A$ur?-bal-lit «A., erhalte am Leben!» (as.) 82-5-22, 536. Asur>-baltu(UR)-nise(-Su) «A. ist die Herr- 29* 228 Knut Tallqvist. (7 Asur) lichkeit seiner Unterthanen» (as.) Epon. 804/3. K 541. | 0» A$ur!=3-bån(ba-an)-aplu( A| TUR.US)«A. schafft einen Sohn» (as.) Asur?-ba-ni «A. schafft» (as.) K 556 (HABL 230) Epons/18 INRA AVENT . ASur?-bani-a-a «A.ist mein Erschaffer» (as.) Epon. 846/5. ASur?-bâni-a-a-usur (PAP) «A., mein Er- schaffer, schütze!» (as.) Epon. 856. 826.817. Asur?-bel-da”-in (as) KK 513. 669; vgl. BzA II p. 38. Asur?-bel-da-an (as) K 574, 11. Asur?-bel-iläani «A. ist Herr der Götter» (as.) K 1466 (JADD 267). . Asur-bel-ka'in «A., befestige den Herrn!» (as). A-6-DU K 521, -DU-ui] Var. ka-in Epon. 857, III R 1, IL 7. -ka-in Slmnsr Monol. II 30. Asur?-bel-ka-la «A. ist Herr des Alls» (as.) König c. 1050, IIR 65 no. 1, II 25. ASur2-bel-ki-in «A., befestige den Herrn!» (as.) K 943, » (HABL 452). Asur2-bel-mäti «A. ist Herr des Landes» (as.) K 13058. Asur?2-bel-nise-Su «A. ist Herr seiner Unter- thanen» (as.) König c. 1560, IIR 65 no. 1, 12 . Asur?-bel-säakin (? GAR-in, vielmehr kan zu lesen; as.) K 5264. Sm 1915. 81-2-4, 468. @DAsur!=3-bel-taggin «A., verleihe dem Herrn Festigkeit!» (ba.). K 1107 (HABL 238). 346, (JADD 427). ASur?-bêl-usur(PAP) «A., schütze Herrn!» (as) Epon. 772. 797. 695. 7 ANbel-täg-gin A2-bel-LAL-in K den vH ; : 5 | Aur?-dar-in-anla-ni «A. schafft mir Recht» | (as.) Epon. 733. 685. ASur?-dà(in-aplu «A. schafft dem Sohne Recht» (as.), der Sohn Salmanassars II. A2-da-in- TUR.US Bu 89-4-26, 16 (HABL 872). A2-da„-indan-A IR. 29, so, 52. . Asur?-dan-in-Sarri «A. schafft dem König Recht» (as) K 309b (JADD 27). #ASur?-dam-me-ig «A., erweise Gnade!» (as.)-K 11823 (JADD 713). (Asur) 35: 40. 45. X ASur-dan «A. schafft Recht» (as) Könige c. 1180, 900, 772. I: 7A-Sur-da-a-an IR 15,49 = A?-dan IR 3,19 — A?-da,-an III R 4, no. 3, 10b. II: A23-da,-an IR 17,30, ZA II p. 311. III: A2-da,-an III R 1, III 46. 7 ASuri-dan-mu «A. ist gewaltig». A$ur?-dir-pa-ni-[ia] «A. ist eine Mauer vor mir» (as) Rm 2, 462,2 A2-dür-SLia KK 506. 525. 1175. 9D) A $upyl >-dür-usur(PAP) «A. schütze die Mauer!» (as.) KK 84, rev. 19. 455. 81-2-4, Ds Aurt-edu-usur (A S- PAP) «A., schütze den einzigen (Sohn) (as) K 330,4 (JADD j/ iik 7 Ajurl-er-ba «A. hat gemehrt». X A$url-ere$ (as.) 83-1-18, 370 (JADD 51). CD Au 1—3-e-tzL | NIR. GÁL-ilàni-uki-in-ni) «A., der Herr der Gótter (hat mich be- stellt)» (as), Bruder Asurbanipals IR 8 110-95 SEIS Er OETON2 9: Aur?-etil-bin-aplu( T UR. US) qw. dle. bestelle einen Sohn!» (as), Asarhaddons III R. 16, no. 3, s. Aurd-e-tl-Nomé-u-irsiti-ballitsu (- AN - KT- TI-LA.BT) «A., Herr des Himmels und der Erde, erhalte ihn am Leben!» (as.) Bruder Asurbanipals K 1055. IR 8, no. 2, 1s. 83- 1-18, 81,6 (HABL 658) 387 rev. + (JADD 65). Asur?-etir «A. schont» (ba) K 5463. Aiur?-etir-(KAR-ir)-an-ni «A., erhalte mich unversehrt!» (as) Rm 177 (JADD 76). Asur-gaämilia «A. ist mein Erhalter» (as.) JADD III p. 168. Asur?-ga-ru| garlrı)-u-a-ni-ri(JOHNS:) «Asur slay my enemy!» (as.) KK 307. 411. Bu 91-5-9, 55. 5t. 0) Aur bi ei-ms | SU-tir-ri| GUR(-ra) «A. rächel» (as.) 82-5-22, 166. KK 176. 362. 364. 382. 9921. ASur2-ha-mat-u-alia «A. ist meine Unter- stützung» (as. 81-2-4, 127. 83-1-18, 361. K 1036. Asur2-ib-ni «A. hat geschaffen» K 1867 (JADD 140). Beiname T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. (” Asur) 50. 55. 65. . 2 A$ur>-ki-it-ri Asur?-ida(ZU)-a-ni «A. hat mich ersehen» (as.) 83-1-18, 334 rev. 11 (JADD 255). Asur»>id(d)in «A. hat gegeben» (ba.) Epon. 882. A?-ÁS| Var. i-din IR ı, 1523: il Aÿuri-i-din-nam «A. hat gegeben» (ab.) Bu 88-5-12, 3. 14 (CT VIII 1. 4). ASur?-l-balätisu (? AN-TI.LA.BI) «A. ist | der Gott seines Lebens» (as.) Rm 382. Asur>-ii-a-a «A. ist mein Gott» (as.) Epon. 862. KK 404, ıs. 420, c. #ASur\-i-pu-u$ «A. hat gemacht». Asur-igisa «A. hat geschenkt», Name einer von Tiglatpileser III. erbauten Stadt KB I p. Sf. 7 ASur'-ir-bi (as) Konig III R 7, II ro. Aur?-2s(2)-&a-da,-in (as) Epon. 720. A$ur?-itti-ia «A. ist mit mir» (as. 81-2-4, 156 (JADD 34). ASur?-kil-la-an-ni «A., erhalte mich!» (as.) KK 329. 421. «A. ist Bundesgenossen- schaft». 7 ASur)-kit-su-nu, vgl. "Nabü-kittu-usur. ? ASur!-la-a-al. Asur?-la-kup-| pu-\ri? (as.) Epon.890, ITR 1, I 20. #ASur-li -Ah-iddin|„ «B. hat einen Bruder ge- geben» (nb.). Bel!-PAP-ÅS (as.) KK 354. 1474 (JADD 204. 277). «B. hat einen Bruder ge- schenkt». XBel>-ah-it-tan-nuı «B. hat einen Bruder gegeben». i Bell-åh-usur «B. schütze den Bruder!» (nb) 2B1-PAP-PAP (as) K 288, ro (JADD 127). 1Bél\-àk-utalb# (-SES| PAP-GÁL-ki|á-Xib- 3j) «B. hat einen Bruder ins Dasein ge- bracht». Bel!-am-ma Mrdbldn Stein IV 29. . Bel’-amuranni «B., sehe mich anl» (as.). BEN-SI.a-ni 83-1-18, 406 (JADD 134). 3EN-SI.LAL-ni K 1021 (HABL 309). BeN-SI.LAL-an]a-ni Epon. 737. 691. 686, MIIORSTENVES32VE33730: X Bell-ana-bitisu (abgek.). 2 Bel\-ana-melrihtilu, um (abgek.). X Bel'-aplu-iddin]a «B. hat einen Sohn ge- geben» (nb) MB!-TUR.US|A-SE-na| ÅS (as) 82-5-22, 20, 9. KK 347, €. 7357 rev. 5 (JADD 237. 258. 609). #Bêli-aplu-usur «B. schütze den Sohn!» 30 234 Knut Tallqvist. (“Bel) 2E 35. 40. 45. 50. #Bél-asi(a) «B. ist mein Arzt». "Bel\-aSaridu «B. ist Fürst» (ba). 7B6/1- MAS (nb). BEN-SAG.KAL (as.) K 337,3. 2 Bell-atir (DIR-ir) (nb. HBE IX 82, 1. "Bel'-atkal, abgekürzt aus Ana-amät-"Bel- atkal. #Bêl\-at-ta-ta-li-e. «B. ist übergewaltig» . 7Bel>-ba-a-ku-pi-tin (nb. HBE IX 30. Bel!-ba-lat (abgek., as.) Epon. 815, III R 1 IIO “Bel'-balätsu-igbi «B. hat sein Leben be- fohlen». */ Del>-ba-na (ar. 83253) HBE IX. UD BeIV3- bini «B. schafft». 0052/1-5a-ni (nb.). " Bel°-ba-ni (as.) K 1107 (HABL 238). Bel'-bani-a-a «B. ist mein Schöpfer» (as.) «pond e 24 RAS #0; ”Bel'-ban-zir «B. schafft Nachkommen- schaft». "2 BEl-ba-rak-ki (cfr. pa! BoAfgageyoc) HBE IX. 7 Bg/1-7 Bel «B. ist Herr». "Bel?-belani «B. ist mein Herr». XBell-bel-iläni «B. ist der Herr der Götter». "Bel-belsunu «B. ist ihr Herr». XDel?-bullit(ballit) «B., erhalte am Leben!» #BEl\-bullitsu «B., erhalte ihn am Leben!» "ben- TIN |bul-Ut-su. (nb.). Bel!- TIN|du- ul-h-it-su AH 83-1-18, 1866 (PSBA XVII). Pêli-bu-na-a-a (abgekürzt etwa aus */#- Bel-bu-na-a-a), Probename 83-1-18, 695, I 4. #Bêl\-dal-lil? WBell-dan, -da-an «B. richtet» (as.) K 430, rev. 5 (JADD 260), da*-an, Probename K 241, V 19, Epon. 821, 808, 750, 744, 734, -da-nu (nb.). ”Bel)-da-an-na «B. ist gewaltig». , Bêli-di-ni-a-mur «B., lerne meinen Recht- streit kennen!» (as.) K 653, 10 (HABL 322). " BéD-dini-ipi «B. hat meine Sache ge- führt». "Bel’-du-me-ga-an-ni «B., erweise mir Freundlichkeit!» Übersetzung eines alt- sumer. Namens K 4426, III 46 (VR 44). (BEN) 55: 60. 65. 70. 75: Bel\-düri «B. ist eine Mauer» (as) K 294, 4. Rm 190 (JADD 152): "Bé/?-e-a «o Bell» (b.) III R 43, II 28. " Bel- Ebabbarra, abgek. aus Folgendem. Bel\-Ebabbarra-ibni «der Herr von E. (= d.i Samas) hat erschaffen». 2 Bet- Medi-pitin|pitnu];. " Béll-erba «B. hat gemehrt». CD BEI ?-eresleriY (-K AN | PIN-es| KAM e-ri- 2$ nb). Probename 83-1-18, 695, I 20. @) B1- K A M-eY|.PLN (as.) K 976, s. 83-1-18, 201, 8 (JADD 67. 113). DBél-érib-ali(PAP)-id (as) VR 53, » a. Bél-etillu((NIR. GÁL) «B. ist Herr» (as) K 8754 rev. 11 (JADD 261). " Bél-étir «B. schont» (nb). Bel KAR(?) Probename 83-1-18, 695, I 19. BZ/1-SUR- zr K 13135, » (HABL 299). “Bel'-£tir-ahe «B. schont die Brüder». #Bel\-êtir-napsati «B. schont die Lebe- wesen». “Bel'-gämil «B. erhält unversehrt». ”Bel\-gimilanni «B., erhalte mich!» Dél-ei-ni-e-ereY, Probename 83-1-18, 695, XI 27. XBel?-ha-hu. Bi-e-Iu-ha-lu-su, cfr. phó. ybn>y2, 83-1-18, 350 (CIS II p. 37). “Bel’-hätin «B., schützt», abgekürzt: Håtin "-HBE IX p. 54. " BeD-hi-tu-ul-i-di «B., die Missethat kenne ich nicht» (?), 7BlZz-fa-uli-di VR 68 no. 2, 48, vgl. aber Cr 345, 46. 7 Bel-hul-ig 2 limnu oder SZ G-iq). Belia «o Bélb. 7B67-e-a III R 43, II 28. * BéLia-a-tu-nu. (phön.) @)Bell-ia-ülia-u. “Bel2-ibni «B. hat geschaffen» (nb.). /52/3- 20-11, Übersetzung eines altsumer. Namens K 4426, III 35 (VR 44). EN-KAK Probe- name 83-1-18, 695, I 5. C5B2/1- K AK (as.) 80-7-19, 150. 82-5-22, 42 rev. 6 (JADD 196. IOI). Bél!-ib-ni K 4746 rev. 8 (JADD 661). " BélV-;-6u-ba-aY (nb) HBE IX. #Bêl'-i-da-nili-da-an-ni «B. hat mich er- sehen». T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. — . 235 (Bel) 80. 90. 95. IOO. i Bell-i-da-nu «B. ist an unserer Seite». 2 Bers?-jddin|, «B. hat gegeben» (nb.). £!- AS K 284, ro (JADD 15). B!-SE-na K 93 (JADD 89r). Z5!-27U K 11172. #Bél\-iddina-aplu (jedenfalls anders zu lesen). Be-li-i-din-nam «B. hat gegeben» (ab) MBA P 41. #Bel\-1ksur Bel-liksur «B., bewahrel» Bêli-ili-a-a «B. ist mein Gott», Probename 83-1-18, 695, I 8. Epon. 769. 2 Belb>-2pus(Su) «B. hat's gethan» (nb.). Bel!-KAK-us (as) K 12, Probename 83- 1-18, 695, I 7. il Belb2jgbi «B. hat befohlen» (nb.. 324 iq-bi Probename 83-1-18, 695, I 10, II r. . 2Bel!-igbi-7 Bel! (wohl verschrieben). X Bel!-iqösalu «B. hat geschenkt» (nb.). B6/- igésa Probename 83-1-18,695,I 1 1 (vgl.II 32). ?BélM.-ioisauui «B. hat mir ein Geschenk gegeben» (nb). Bél!-iqisannmi (as. Epon. 792, III R 1, III 24 Probename 83-1-18, 695, I 15. ? Bel. ir-ha-as-Su-nu ... 2 Bel\-iSdia-kini DU) «B. festige meine Grundlage!» (nb). ”Bel-isdi-ia-ki-ni K 3389. #Bêl\-ittan(nuls, i) «B. hat gegeben». ?! Bel-ittia «B. ist mit mir» (nb.). B2/1- K7-za Probename K 241, V 18. 83-1-18, 695, I 17. (as) Rm 147 rev. 3 (JADD 276). i Bell-kasir «B. bewahrt». #Bêl\-kid-du-ri X Bel’-ki-di-ni (b.) BzA II p. 195, is. #Bêli-kil-la-ni «B., erhalte mich!» (as) K 7682, s (JADD 210). ÜBell-ki-na «B. ist treu» oder «B., festige!» (nb.) HBE IX. ? Bel'-kin-aplu «B., bestelle einen Sohn!» i Bel’-kin-zir «B., bestelle Nachkommen- schaft!» 2 Bell-kısir «B. ist Unterstützung!» XBel?-kitri «B. ist meine Bundesgenossen- schaft». "Bell-kitru-Sarri «B. ist die nossenschaft des Königs». No. 2. Bundesge- (Be) 105. IIO. i. I20. X Bel budur-&-sur «B., schütze die Grenze!» Übersetzung eines altsumer. Namens K 4426, III 54 (VR 44). i Bel-kusursu «B., bewahre ihn!» BéD-La-mur|SI. LAL, abgek. etwa aus Pån- Bel-lamur «dem Bel will ich ergeben sein» (as.) 79-7-8, 189 (JADD 9). K 1563 (JADD 247). Probename K 241, V 16. i Bel-la-an-ni-Süm-iddin? X Bel-lik-sur «B. bewahre!», RAT BV Bêl\-lig-bi «B. möge befehlen!» (as) Rm77 (HABL 414). Béli-lixir(GIS|ST. DT) «o Bel, möge (das Kind) gedeihen!» (as.) Epon. 778, III R 1, III 39. K 290 (JADD 31). zBgr?- fu ID. GÁL|DA «B. ist mächtig» (nb). #B211-ID. GÁL 83-1-18, 775. * Bé DA apil Egibi KK 188. 734. 761. 960. 1399. As.: B'-ZU Rm 170 rev. s (JADD 355). "BI-ZU K 1519. 5'-DA K 1134. 2 Bel-lii-kullati(l KAK.A.BI) «B. ist all- mächtig». Bêli-lu-ba-lat «o Bel, möge (das Kind) leben!» (as.) K 318, 3. X Bel'-Iudammig «B. möge Freundlichkeit erweisen!» i Bel?-In-däri «o Bel, möge er lange leben!» (nb.). Bell-Iu-dalda-ri (as) Epon. 730, RE DV Gö | 2 Bel’-lummirllıunir, wahrscheinlich abgek. , o Probename aus /ti-Bel-lummir q. v. XBel-Iimur abgek. aus Ana-muhln-"Bel- Jimur «B. will ich ergeben sein». 2 BeN-In-Sulum]|Sulum (abgek.). i Bel>-man-nu-ma-la-ak, Übersetzung eines altsumer. Namens, nach DELITZSCH, AHW p. 410b: «Bel, wer ist alles was du bist?» — «wer kommt dir gleich?» K 4426, III 43 (V R 44). il Bêll-massarat(?). #Bél-mu-bal-H}-it «Bel giebt Leben». Für 2BE-TIN(-it) vide "Bel-uballit. Bêl\-mudammig(-mu-SIG) «B. erweist Freundlichkeit» (as) Epon. 870, III R 1, I 40. 30* 236 Knut Tallqvist. (Bål) 125. 135. 140. ? Bel3-mu-di-e-misé «B. kennt die Unter- thanen». Ubersetzung des altsumer. Na- mens /7U- UN-ZU- K 4426, III 45 (VR 44). #Bél-mukin-aplu, so liest HILPRECHT, BE IX, vide ?Bel-kin-aplu. 2 Bel -nu-Sat-lim «B. erhält unversehrt» (nb.). Bell-mu-Sal-lim, Probename K 241, iV222: 7 BEIB-muSallim(GI)-apli( TUR. US)-$u «B. erhält seinen Sohn unversehrt» (b.) III R43, II 5 (BzA II p. 118). X Bel’-mu-Se-zib-ahi «B. rettet den Bruder» (nb) HBE IX. @Bel)-musetig-urri «B. fordert das (Lebens) Licht». "BelV-muj-si (0 sir-rum). X Bel\-na-din «B. giebt». “Bell-nadin-ahe «B. giebt Brüder». . ?Bell-nädin-ahi «B. giebt einen Bruder». Bel!-nådin-aplu «B. giebt einen Sohn» (nb.). 733-SZ- TUR.US (b.) König c. 1125, BETA; X Bel\-na-din-Sum «B. giebt einen Abkömm- ling» (nb). 7B2/-.SE-MU III R 43, II 11. #Béli-n@id «B. ist erhaben» (nb). 22/17, Probename K 241, V r5. 83-1-18, 695, I 6. Bel-na-'i-di (as) K 324 rev. 24 (JADD 470). " Bel\-nap-Sat-ibni «B. hat lebendige Wesen geschaffen». 2 Bel 2A-nasir «B. schützt» (nb). YB1-SES- ir (b.) K 808. Als Probename B6/1-PAP- ir 83-1-18, 695, I 18, Z B£/3- PAP-ir ibid. XII 10. 0551-PAP-;r (as.) KK 1573 rev. 6. 4283 rev. zz (JADD 481. 576). Be-li-na- sir (ab.) Bu 91-5-9, 387, 25 (CT II 39). #Béli-nâsir-aplu «B. schützt den Sohn». 7 Bel!(? Nabü)-näsir-ri-an-ni? #27 Bel-na-taln-nu (NI). X Bel?-na-za-bi. Bell-ni-ik-düru(?) Probename K 241, X 45. | ? Bel’-ni-ip-pu-ru-ana-as-ri-Su-te-ir «B., stelle Nippur wieder her!» Übersetzung eines altsumer. Namens K 4426, III 39 (VR 44). "UBéell-uibyaru|;s. «B., werde wieder gut!» | (BEI) 145. 150. 155. 160. 165. X Bel\-nirari(ZAB.GAB) «B.ist mein Helfer» (as.). König c. 1460. Bel!-nür «B. ist Licht» (as.) K 76, 15 (JADD 229). Probename 83-1-18, 695, I 13. ”Bel'-paris(KA-is) «B. entscheidet» (as.) K 1608b (JADD 250). Be-li-pa-ga-ri (ab.) Bu 88-5-12, 172 (MBAP 50). Bel!-pir-ibni(? DIM) «B. hat einen Spröss- ling geschaffen», Probename K241, V 13. “Bel'-pitnanni «B., beschütze(?) mich!» bell-gäata-sa-bal «B., fasse die Hand hilf!» (as. Epon. 811, III R r, III 6. 2 Bel'-gäta-sab-bat-an-ni «B., fasse mich bei der Handl» Xbell-giSanni (oder zgéYanni) «B., gieb mir ein Geschenkl» (nb). Als Probename: Bel!-BA-sa-an-ni 83-1-18, 695, I 15. «B. erbarmt sich 2 Bell-pa-mi-tn-ni-Xt-4u seiner Unterthanen». ? Bell-räm-nise «B. erbarmt sich der Unter- thanen». X Bell-reüsunu «B. ist ihr Hirt». #Bêl?-ri-hi-ti-usur (PAP) «B. schütze den Rest!» “Bell-rimanni «B. erbarme dich mein!» (nb.). Bell-rim-an-ni Probename 83-1-18, (Gor 112 2 Bell-ri-is-ki-ıbni. X Bell-rista «B. ist mein Helfer». XBel'-silim|sibmul. «B., sei gnädig!» X Bel\-supe-muhurlmuhru «B., nimm Gebete an!» XBell-sabit-gati? «B. hilft». Bel!-sule-Sime|Simmu «B., höre die Ge- bete!» @Bel’-su-lum-lum (= sulidum) Schutz» (nb. HBE IX. #Bêl?-Sadia «B. ist mein Hort» (nb.). B6/1- KUR-u-a (as.) Epon. 756, III R 1, IV 13. X Bell-Sadümu «B. ist unser Hort». 7 Bel!-Såkin-Sum «B. schafft Nachkommen- schaft». Bél-Sal-lim: «B., erhalte unversehrt!» (as.) K 8709 (JADD 880). Probename 83-1-18, 695, I 9. die «B. ist T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. 237 (Bål) 175: 180. 185. No. Bél!-Sal-lim-a-ni «B., erhalte mich!», Probe- name Sm 55, XI r5. #7 Bel>-Sa-ma- vuw5y23 «B. hat erhórt». . * Bé[l.-Sazi-hu (b.) K 1239 (HABL 219). Bel’-Sar-ahesu(-MAN-PAPE-$u) «B. ist der Kónig seiner Brüder» (as.) K 411 (JADD 98). 2 Bel">-Sar-bullit «B., erhalte den König am Leben!» X Bell-sar(MAN)-iböni «B. hat den König geschaffen» (nb. €05!-MAN-K AK (as.) KK 288, v. 4692, ır (JADD 127. 45). 2 Bel!-$a-rid (Nk 227, 1). "UBéP-iarrani «B. ist mein König» (nb.). Bêli-MAN-a-ni (as.) K 316, 27. Epon. 699. 2 BelN-Sarru-dannu «B. ist ein gewaltiger König». 2 Bell 2-Sar-usur (= NERW53, WÖNSD) «B. schütze den König!» (nb.). 4- MAN- PAP (as) K 309, 2. PAP 83-1-18, 695, XII 9. Bel'-Se-zib-a-ni «B., rette mich!» (as) K 293,3: (JADD 373). " BEl-Simanni «B., erhöre mich!» (nb.). B6/1- Si-me-an-ni (as.) K 383, so. Bêli-Su-4 (vielleicht abgekürzt aus Sa-Bel- så) (as. K 291 (JADD 147). 2Bel'-Sul(l\imanni «B., erhalte mich un- versehrt!» 2 Bell-Sulum-Sukun gehen!» X BelN2-Sum-eres (nb.), BI-MU-KAM-es (as.) K 279, rs (JADD 160). ?7BeV?-Yugi-clóui «B. hat einen Abkömm- ling geschaffen» (nb.). ”B!-Sum-KAK (as.) K 414, (JADD 66). X BeIV-Yorgn-iddin|, «B. hat einen Abkömm- ling gegeben» (nb.). BI-MU-ÁS (as) K 307,28 ( JADD 307). Kassit. König, 13. Jahrh. 2 Bel3-Sum-imn-di «B. hat einen Abkömm- ling ins Dasein gerufen» (nb) HBE IX. 13. Jahrh. BzA II p. 189, 6. i Bel!-Sum-ipusu «B. hat einen Abkómmling geschaffen». 2 Bell-2-Sum-iskun (dass.). Bel'-Sium-taggin(LAL-in) «B., verleihe dem 2 «B., schaffe Wohler- Vgl #BE-MAN- | (Ben) 190. 195. Abkömmling Festigkeit», Probename K 241, V 20. X Bel-Sum-ukin «B. hat einen Abkömmling bestellt». il BEI-Sum-u-pag .. - i Bell-Sum-usur «B., schütze den Abkömm- ling!» X Bell-Su-nu = Belsunu. i Bel-Susibanni «B. rette mich!» 2 Bel-Suzisanni «B., richte mich aut!» il Belö-tab-ni-bu-ul-Lit «B., du hast geschaffen, erhalte am Leben!» (b.) VR 56, II 25. ? Bel’-ta-dan-nu-bulit-su «B., du hast ge- geben, erhalte es am Leben!» (nb.) HBE IX 79, 13 (nicht — ad-dan-nu —). il BeN-tak-ki-la-ni, -täk-Iu-a-ni — «B., muthige michl», Probename Sm 55 + Rm 567, XI?'16. 17. X Bel'-taklaklku), abgekürzt aus *Ana-Bel- takläk «auf B. vertraue ich» (nb.). 52/!- ták-lak (as.) Epon.758. K 358,12 (J ADD 416). er- . YBel-ta-lu:-ka. Bél-tàris(? LAL) (as) 83-1-18, 344 (JADD 222). Bêli-tàr(@ LAL)-si-Same(?), Probename 83- 1-18, 695, I 16. Bél-tar-si] Nar. LAL|-Xamé?-ma | (nalbas fam?) (as. Epon. 798, III R. 1, III ro. Probenabe K 241, VIII 45. 7 BeIV3-faz-Eur-Yu. «o B., thou hast called him» (nb) HBE IX. . ?Bell-TUR-NAM? X Bell-tåbu «B. ist gut». 2 BEN -Ü. ”BelW2-uballit «B. hat ins Leben gerufen». BéI- TI. LA Probename 83-1-18, 695, 121. (as) K 352, s (JADD 391). Bél\-4-bal-lit-su «B. hat ihn ins Leben ge- rufen», Probename 83-1-18, 695, I 14. . Bêlè-ub-bu-ti-ukèn (as.) Epon. K 1361 (JADD 102, III p. 173f.). X BeIV?-udammig |ludammiq «B. hat Freund- lichkeit erwiesen» bez. «erweise Freund- lichkeit!» Bel'-ukin (DU-in) «B. hat bestellt» (as.) JADD'742 rev. 12. 238 Knut Tallqvist. (“Bel) @Bel\-üme(UDE')-t-la-a-a «der Herr der Tage ist mein Gott». "Bél-üné-nürl, «der Herr der Tage ist Licht» (?). 215. ”Belb?upalir «B. hat Stärke verliehen». "BEl\-upaqu, abgekürzt aus Ana-"Bel-upagu «auf Bel harre ich» (nb.. KB IV p. 166. “Bell-usätl. «B. ist Hülfe» (nb.. Sargon- stein II 15. X Bel'-u-sib-bi. “ Bel'-u-sip-pi (nb.). Srgnstein V 18. . 7Bellb2-usallölusallum. Bélusur(t-SES) «B., schützel» 83-1-18, 394- 2 Bel-usursu «B. schütze ihn!» "Bél-usab3iusib3i «B. hat ins Dasein ge- bracht». BE 2-usallim «B. hat unversehrt erhalten». 225. ?Bel'2-usezib «B. hat gerettet». 7 Bel-usibsi, vide X Bel-usabsi. Bell-uzna?(PT?)-a-a (abgek.), Probename 83-1-18, 695, I 12. D t3 o " BéP-za-bar-Xá-me «B. beruft Nachkómm- | linge», Übersetzung eines altsumer. Na- | mens K 4426, III 41 (VR 44). " Bé[l-zr, abgekürzt aus " Bélzêy-ibni, -lifir, -igiÿa, -usabsi oder aus” Mardu£-,? Nabi- bêl-séri oder dgl. (nb). Als Probename: | Bell-zir K 241, V 14. t3 QU o geschaffen». X Bé[V?- sfp-iddin «B. hat Nachkommenschaft gegeben» (nb). Bål!-sir-ÅS (as) K 371 (JADD 273). “Bel'-zir-igisa «B. hat Nachkommenschaft geschenkt». X Bel®-zir-ki-ni «B., festige die Nachkom- | menschaft!» (b.) III R 43, I 24. J ^ ^ Av . . | #Béli-sir-lifir «Bel, möge die Nachkom- menschaft gedeihen!» 235. " Del-zfr-uYabsi «B’hat Nachkommenschaft ins Dasein gebracht». II. An zweiter Stelle: Ab-di-"Bel\ «Diener B:s» (as) K 7682 (ADD 210). Vgl. Ad-d-">< K 442 (JADD 386). _ . 7Bel\2-sör-ibni «B. hat Nachkommenschaft (Bål Amät(KA)-"BEI(EN.LIL.LAL, ab.) Bu 88-5-12, 616, 28 (CT II 16). Amel-"Bel3 «Diener B:s» (nb). AvelEN. LIL.LÄ (ab.) Bu88-5-12, 725,28 (CT IV 49). Ana-" Bél'-ere$ (nb). A-na-"Bel-KAN Ba- byl. Chron. 84-2-11, 356, IV 42. . Ana-"Bel-upägula «auf B. harre ich», ab- gekürzt: /B2/l-5àqa q. v. Apil( TUR)-" BEl®-Sam-su-um-Sami-e «der Sohn B:s (= Sin) ist die Sonne des Himmels», Übersetzung eines altsumer. Namens K 4426, I 17. A-gar| KAL-@OBEN-In-mur «die Herrlich- keit B:s möge ich schauen!» (vgl DE- LITZSCH BzA II p.42; nb) KK 479, ». 563, 3. 905. 1045, 2 etc. (HABL 26r. 264. 852—857). Ardi-" Bel! «Diener B:s», daraus der Kose- name Ardia. Ardi-! BelN-sar-bi. . At-bat BAM). Da"-a-na-" Bel, Da-ri-bel (abgek.; as) KK 414 rev. 2. 4746 (JADD 66. 661). Gabbi-" Dél-umima, abgek. aus Bel-gabbi- XBel-umma q. v. /Hi-in-ni-be-el, Probename 82-3-23, 135. . Jó-mi-" Bél* «B. hat geschaffen» (ab.) Bu 88-5-12, 769, 23 (CT II 17). I-da-a-te-bél-a-la-ka «at the side of Bel I will walk» (as) K 416 (JADD 266). Jddin]a-"Bel‘? «B. hat gegeben». Ili- Bel «mächtig ist B.» Im-di-" Bel? «Stütze ist B.» (ab.) Bu 88- 5-12, 711, 39 (CT IV 47). . Ina-"Bel-ultaral. Irgiti-" Bel!-INeSir «B. segne die Erde!» ISi-2 Bel «erhebe, o B.» (nb) BE IX. litannu-" Bel! «B. hat gegeben». J[tti-" Bel! «mit B.», wahrscheinlich abge- kürzt aus ZZ-"Bé/-ba/àtu oder dgl. (nb.). Itt" Bel Vater des Sargani-Sär-äli BEM EI"; . Itti-2 Bel-abnul; «with B. I shone» (HILPR.), Itti" Bel'-ahütu «bei B. ist Bruderschaft». Itti-” Bel!-balåtu «bei B. ist Leben». T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. 239 (Ben) 265. 270. It-ti-" Bel®-di-ni «bei B. ist mein Recht» (ab.) Bu 91-5-9, 2369, 5 (CT VI 44). Itti-"Bel\-güzu «bei B. ist... .? Itti! Bél-linimir «mit B. möge er glänzen!» Itti=" Bel)-Iiamur «mit B. will ich schauen!» Itti-"Bel’-nimittum «bei B. ist Stütze» (?). Itti(KT)-”Bel'-pa-Sar «with B. is redemp- | tion» (HILPR.) BE IX. Kr-" Bel! «wie Bel», abgekürzt. Kidin-"Bel! «Schützling B:s» (nb.). din-"Bel® K 4426, III 56 (VR 44). Kisir-"Bel! «Besitz B:s». Ku-dur-"Bé[* König BE I r, PL 25, 64. Ki- La-" bel! (abgek.). t3 NN in 290. La-a-mas-Si-bel! «mein Schutzgott ist B.» |: (as.) Rm 176 (JADD 149). . Li-rib-"B&l®, Übersetzung eines altsumer. | Namens K 4426, IV 33 (VR 44). Lu-ud-lu-ul-"Bel3 «dem Bel will ich er- geben sein!» (ab) Bu 88-5-12, 155, 14. Makkür(SA.G.4)-" Bel! «BesitzB:s» BEIX 6,10. Musallim-"Bel! «unversehrt erhält B.» Musezibu-"Bel! «ein Retter ist B.» . Nädin(ÄS, Iddin?)-Bêl\ «B. giebt» (as) | Rm 166 (JADD 306). Nä’id-" Bel! «erhaben ist B.» Na-zi-" Bel? (kassit.) Mrdkbldnstein V 1. Nidinti-" Bel! «GabeB:s», daraus der Kurz- name JVzdzntum. Nis-hur|Ni-is-hur-"Bel! «B. wird gut» (nb. K r3, s» (IV R 45). 83-1-18, 51, rev. 11 (HABL 791). . Ni-is-sa-har (hur)-"Bel3 BE IX 9, 16. Mis-pa-ti-1-Bel! (as) Epon. 832, 816. Vgl. DAHW p. 684a. Nür-" Béll-l&mur «das Licht B:s will ich schauen». Pani-" Bel!-adag(g)al «des Befehles B:s bin ich gewärtig». Pir--"Bel! «Spross B:s» (nb) K 70, 7. Pu-zu-ur-"Bel? (b.) DAHW p. 519. Oati?-"Bell-Sakan, abgekürzt aus Ina-gåti- ”Bel-Sakan q. v. Qibi- Bel, abgekürzt aus /na-gibi-" Bel q.v. Rimanni-"Bel! «erbarme dich mein, o B.!» (nb). Aöm-a-ni->< (as) Rm 168 rev. 7. No. 2. wieder (4 Bél) 300. 305. 315. Rimüt-"Bel! «Erbarmung B:s» (nb.). Rim- ut-bêl (as) 83-1-18, 354, 15 (JADD 6r). . Römimt-Dbel'-iläni «Erbarmung des Herrn der Götter». Silim-" Bel! «sei gnädig, o B.!» Sillu- Bel! «Schutzwehr(?) ist B.». Silli- Bel! (abgek.; nb.). .S2/-58/! Epon. 807. Sil-Bêli-dal-li (abgek., wenn nicht Aaz- bel-dalli «gross ist der Herr des Elenden» zu lesen ist, vel. P6/-dal-li-ilu-a-a «Herr des Elenden ist mein Gott» 83-1-18,695, XII 20) K 296, III R. 49, sob. Sa-"Bel’-atta «dem Bel gehórst du!» KRAETZSCHMAR BzA I p. 385. Sa-" Bél-ba-ui. «B., dem Schópfer, zuge- hórig». Sa- BEN-gammil «B., dem Erhalter, zuge- hörig». Sa-! BéD-ná'id «B., dem Erhabenen, zuge- hörig». Sa“! Bel!-Sumu «dem Bel gehört der Ab- kömmling». Sam-3i-Bel «meine Sonne ist Bel» (as.) ZA VI p. 326. Sár-" Bél-tat-bi ... Sarru-! Bel «Konig ist Bel». Sépi(£)- Béle-asbat;sabat «den FussB:s habe ich erfasst». Sulum-! Bé, abgekürzt aus Folg. Vel. DImu-bel KK 676. 1079. . Sulum-! Bél'-ltmmur «Wohlergehen, o Bel 2 , , möge ich erleben!» (nb). DLmu-bel-la- mur (as.) Epon. 840, ITR 1, II 24. Rm 167 rev. 5 (JADD 230). Sal DT)-mu-bél-la-as-me (Var. HAL) «Wohl- ergehen, o Bel, möge ich hören!» (as.) Epon. 670, IIIR 1, VI 11. KK 977 (JADD 42). 1359, II 37. 83-1-18, 373 (JADD 99). DI-bel-as-me Sm 167. Ta-nit-t-" Bél(?)) VR 44, IL 24. Za"-zit-t- #Bêl1 (nb.). Tukulti-" Bel! «mein Helfer ist Bel». Tåbu-bél «gut ist Bel» (as.) Epon. 860. 762. 696, III R 1, II 4, IV 7, V 28. Upahhir (NIGIN(-ra)-bEl «Bel hat Stärke verliehen» (as.)Epon.705,IITR1, V 16.5760. 240 Knut Tallqvist. (Bel) II. An dritter Stelle: Ah£-iddin-" Bél! «B. hat Brüder gegeben». Ana-mullu-COBéll-amur «jai regardé à | Bel» BOISSIER, Recherches p. 42; viell: | «dem B. will ich ergeben sein» = låmaur. Atkal-ana-"Bel «ich vertraute auf Bel». Bel-gab-bi-"Bel'-um-mu (nb.) CIS II 66. . Güzu-ina-" Bel)-asbat. Ina-gati-"Bel'-Iumhur «durch B. möge ich (ein Kind) empfangen!» Ina-gati?-"BElN-Sakın «in die Hände B:s ist er gelegt», abgekürzt: Qåti- Bel-Sakan. Jna-qib£-" Bel! «auf Geheiss Bels», abgekürzt: Qibi-"! Bel. [97] b3 o Ina-ki-bi-" Bél'-usur(DPAP)-54 «auf Geheiss Bels schütze ihn!» (b.) 83-1-18, 3. 325. Jna-sM-" Bel! «im Schatten Bels». Ina-Sar ( IM, puluhti BEZOLD) - bel-a-lak | «im Hauche B:s wandle ich» K 582. It-ti-ba-a-&u-" Bel. It-t(KTI)-ma-anlnan-ni-ia-be-luf! Bel 83-1-18, 1846, PSBA XVIII. Lümur-dumgi-" Bel! «die Gnade B:s möge ich erleben!» 330. Mannu-ki-" Bel! «wer ist wie Bel?» Man-nu-Ei-ima-" Bét?-ha-tin «wer schützt wie Bel?» K 4426, III 42 (V R 44). AMin&-(ana-)! Béll-daianu. Nu-ur-mäti-"Bel® «das Licht des Landes ist B» BE IX 6, 11. Ri£is-kalàma-" Bel! «das Band aller Dinge ist Bel». 335. Sa-pt-! Bel «der auf Geheiss Bels (hervorge- rufene)», vgl. KRAETZSCHMAR, BZA Ip. 385. | Sázib( KAR)-Xu-" Bà? BE IX 2, 17. Täk-lak-ana-bêl| Var. Tak-lak-a-na-bel «ich | vertraue auf Bel» (as) Epon. 715, III R 1, Vo. Täk-lak-a-na-"bel K 335 (JADD 382). Täk-lak-ana-bel K 241, XII 40. Ta-nit-Ye-zib-! Bent. Tab-sule-"Bel! «gut sind Gebete an B.» 340. Tà6-3àr-" Bél! «gut ist der Hauch B:s». Tab-ut-h-" Bel? «gut ists zu den Füssen Bels» (DAHW p: 158a) K 4426, II 17. 342. Ulfu-panmi-" Bél-lá-Xulum «von Bel möge Wohlergehen kommen!» “Belit, weibliche Gottheit (s. JASTROW, RBA IK its p. 2261); geschrieben r. ZNIN.LIL, 2. "GASAN, 3. "NIN, 4. NIN (BL 7337); auch /V-/Z und 7 Pe-Z/£, s. unten. "B Ars 78-7-30,3, s. "Belt? Agader Nk 73,1. Nd M II 65,5. *De-ht Båbili Nk 117, 18 etc. s. Sangü "Belt Babili. 7B ekalli Nd Pa 2,9. Dr Pa 6, s. 7,3. 8,2. 0,3. “Belit? Ninua s. Sang& " Bélit Ninua. * bélif? Sippar") Nbp M II 12, 10, ZAIV 8,1. Nk 213,7. 312,1. Nd 48, 62, 9. 78, 16. O7, 4. 98,4. 104,4. 125, 3. 150,5. IG Ok Eh TUS rh PAIS Eh 20 Gh 2479), Gc 6/73 Gh 591, 4. 604, 12. 641, 5. 662, 2. 694, 13. 696,14 699, 8. 767,3. 799, 11. 826, 11. 952, 6. IOOI. 1060, 4. IO9O, v. IIO5, . Nd CT IV A1, 14. Nd M II 49, u. Cr 7,14. 40, 14. 185,15. 189,26. 191, 10. 201, 12. 232, 10. 241, 15. 253,9. 298,7. 358,6. 365,9. 383,2. Cb 4,2. 63, 5. 137, 4- 220, 2. 258, 10. 342, 5. 413, 11. 438, 9. 7Beht! Same s. Sangü "Bélit Same. " Bélti?-ia]id Nd 102,3. Cr 185,11. AI CT IV 39,5. 2Be- lit? Uruk# Nd 270,2 — In Personen- namen: An erster Stelle: fi Bélitl-abni «B. ist mein Hort» (?). SU Behit\-agü (BL r387)..... 81-2-4, 255, Iro: FH Befiti-béL-biti (abgek.?). SL Belit!-bel-usur (PAP) «B., schütze den Herrn!» Probename 81-2-4, 255, 17. . ZE Béhiti-bêltu (BL 7337) - usur (PAP) «B,, schütze die Herrin!» Probename 81-2-4, 255,18. f2Beht\-NIN-PAP ibid. Z. 9. J"Belti-düru «B. ist eine Mauer» (as.) Bu 89-4, 26, 22 (JADD 227). Probename 81- 2-45: 255, Lib: /Bélit\-dûr-usur(PAP) «B., schütze die Mauer!» Probename 81-2-4, 255, I 6. (as.) Bu 89-4-26, ». Li Belit!-e-rat «B. ist schwanger(2», vgl. JU Belit-ummu. 2 Belit?-eres, abgekürzt aus "Ana-"Beht- v eres. . 7" Béfifl-Gfirat «B. schont». #Bélit?-êtir «B. schont» (nb) HBE IX. f Bleu... T. XXXII. (“Belit) un IT. . ZAmti-"Belit! «Magd Belits», daraus der | 40. . Fil Belit‘-kil-h-in-ni «B.,erhalte mich!» Probe- . A! Bélitl-Xadia «B. ist mein Berg». Neubabylonisches Namenbuch. 241 flBêéliti-La-si-na (as.) K 295, s (JADD 307). 2 Belit?-iddin «B. hat gegeben» (nb.) HBE IX 7, ss. JüBélit\-ilat «B. ist Göttin». 2 Belit:-ılif-a-a «B. ist mein Gott». #Bélit?-ipus «B. hat's gethan». X Belit?-igbi «B. hat geheissen». J Béliti-itti-ia «B. ist mit mir» (as) Rm 177 (JADD 76). name 81-2-4, 255, I 2. Fil Belit!-ku(tus)-mi.... Ji Belit!-gaisati «B. schenkt». Fi Belit\-reüa «B. ist mein Hirt». fl Belit!-silimjsilmu «B., sei gnädig!» Ji Belit!-sabatanni(LU-ni) «B., fasse mich | (bei der Hand)!» Probename 81-2-4, 255, er fd Belit!-Sarrat(MAN|sar-rat) «B. ist Köni- gin», Probename 81-2-4, 255, I 3, 4. 2 Belit?-ta-ad-din| Var. -di-na «B. hat ge- | geben» (b.) Sm 1213. X Belit?-tas-lim «B. ist gnadig gewesen». . Bélit?-ummanu «B. ist unser Mutter». Ja Belit'-um-mu «B. ist Mutter» (as) K 457 (JADD 254). | 2 Belit>-u-sal-lali «B. flehe ich an» (nb.). il Béliti-4-sa-la (as) K 451 (JADD 206). | XBelit-usabsi «B. hat (das Kind) ins Da- sein gerufen» (nb.) HBE IX. | #Béliti-sèr-ibni «B. hat Nachkommenschaft | geschaffen». | An zweiter Stelle: | | | Kosename: Ayntia. Ardi-"Belit\ «Diener B:s» (ba) Sm 957, 16 | (JADD 128). | Dan-na-at-! Béli? «gewaltig ist B.» (nb.) | HBE IX. | 1bik-1Bélit (ab.) Bu 88-5-12, 179 (MBAP 74). Isid-"Belit! (as) K 295, 29. | /Itti-"Belit!-balätu «bei B. ist Leben». / Na idat-! Bélit! «erhaben ist B.». Rab-" Belit!, mit Determ. we, /Sa-l-bel-tt (as) K 301, 4 (JADD 308). No. 2. (? Bélrt) Sa-" Belit\-üduludda «der Belit gehört das Licht (des Lebens?)». 45. Sangi-"Be-lit-Bâbili* «Priester der B. von Babeb. Sangü-" Bélit?-Ninua. «Priester der B. von Ninive». Sangü-"Belit\-Same «Priester der B. des Himmels». FSépit-i! Bélit!-asbat «den Fuss der Belit habe ich erfasst». 49. Ta-ki-$a-"Belit? «B. hat geschenkt» (b.) III R 43, II 7. “Bunene, der Wagenlenker des Sonnengottes Samaë (vgl VR 65, sff. BzA I p. 286, KA? p. 368; sonennamen auch “Du-ni-ni geschrieben (MBAP p. 133), 2. "AR bez. HUR. Dieses Zeichen wurde von ZEHNPFUND, BzA I p. 519 unter Hinweisung auf II R 55, ssa Belit gelesen, gewiss mit Unrecht. Auf DELITZSCH, BzA III p. 389, gestützt setzten DEMUTH und ZIEMER, BzA III p. 412, 487 "HAR = Gula. Diese waren aber zweifelsohne verschiedene Gott- heiten, wie mehrere Stellen (Nd 283, 694, 696. Dr 62. Cb 413 etc.) beweisen. Schon im Jahre 1892 erklärte ich ZAR = Bunene (ZA VII p. 279), und die Richtig- keit dieser Auffassung wird durch Texte wie Nd 115. 283. 410. 694. 696. 699. 826. 818. Nk 312. Cr 185. 383. Dr. 62. Cb 126, 413 sowie durch die Varianten des Bunene- ibni No.9 bestätigt; vel. MEISSNER-ROST, Die Bauinschriften Sanheribs p. 107 und KBIV p.268 Anm.7. Beachtenswerth ist, dass " HAR-ibni Dr 395, vo im Parallel- text Dr 306, is A (Samas)-ibni geschrie- ben wird, wenn die Copie übrigens richtig ist. — #Bu-ne-ne Nbp MI 12,9, ZA IV 4, a. 8,9. Nk 213,3. 312,8 Nk CT IV 38, 13. Nd 115,7. 163,5. 333,6. 464,8. 471,4. 699, v. 780, 4. 818, 3 880, 3. 1122, 3. Cr 7, 9. 104,4. 185, 14. 202, 6. 232, 12. 241, 11. 259, 5. 289, 9. I. ZBu-ne-ne, in ab. Per- zwei 383. Cb 39, 10. 66, x 156, 4 Dr 34 4. #Bunene? Nd 217,3. 252. 283,6. 320,8 410, 6. 694, 12. 696, 12.18. 777, 5. 826,» 242 Knut Tallqvist. (’ Bunene) IO. Int IT. II. . V Bunene?-aplu-iddin . Ardi-""Bunene'? «Diener B:s». Cr 104, 2. 20I, 11. 259, 4. 289,10. Cb 126, 5 1361531599 IDOIO2 Me: Als Wagen- lenker des Sonnengottes wird Bunene auch 7/69 Varkabtu bezeichnet Nd 337, s. 699, 12. Nd M II 49, 20. Vgl. ZEHNPFUND, BzA Ip. 529. — In Personennamen: . An erster Stelle: . Bu-ni-ni (ab) VATh 757/8 (MBAP 102). «B. ist mein Vater» (ab. 322 (MBAP 94). 91-5-9, 374,5 ? Bu-ni-ni-a-bi Bu 88-5-12, (CAVE 7 Bunene\-abu-usur «B., schütze den Vater!» X BuneneV?-àf-iddin «B. hat einen Bruder gegeben». «B. hat einen Sohn gegeben». " Bunenes?-i6uni «B. hat geschaffen». ”Bu- nene?-ibni Probename 83-1-18, 695, XII 19. " Bunenel-iddin «B. hat gegeben». X Bunene?-dlàni ..... «B. bewahrt». " Bunene?-r? ita «B. ist mein Hirt». X Dunene-römanni «B.,erbarme dich mein!» X Bunene?-Sar-ıbni «B. hat den König ge- schaffen». 7 Bunene?-kasir #Bunene?-Sarranni «D. ist unser König». X Dunene» *-Sär-usur «B., schütze den Kö- nig!» 7 Bunene?-Ximan(n) «B., höre mich!» 7 Bumene?-Si-nin-ni. 7 Bunene?-Sum-iddin «B. hat einen Abkömm- ling gegeben». X Bu-ni-ni-tu&ul(KU ?)-ti «B. ist mein Helfer» (ab.) Bu 88-5-12, 282, 23 (CT IV r9). X Bumene?-zör-ibni «B. hat Nachkommen- schaft geschaffen». An zweiter Stelle. Auch ab. VATh 796 (MBAP 75). Ar-du-?! Bunene! AH 83-1-18, 1866 (PSBA XVII). Ardi- #PBu-ni-ni Bu 88-5-12, 183,33. 295, 16 (CT Ivanın23): Güunil-! Bunene? «Geschenk B:s». Li-di-iS-"Bunene! (ab) Bu 91-5-9, 473,2 (CI NÄ An dritter Stelle ("Bunene) 23. DéLétiru-" Bunenc? «ein schonender Herr ist B.» “#Da-gan, Da-gan, Da-ga-na, Da-ga-an, ein 8. fremdländischer (philistäischer?) Gott, s. JENSEN, Kosmol. pp.449 —456, KA? p. 358. Neubabylonisch vielleicht in An-dunäni- #Da-{gan?]. — In Personennamen: An erster Stelle: . Da-gan-a-bi «D. ist mein Vater» DE CLERQ Cyl. no. 245 (JK p. 452). Da-gan-bel-näsir(PAP-ir?) (as) Epon. 879 II R68 no. 2 " Da-gan-béla( EN )-ni, Probename 83-1-18, 695, XII 26. “Da-gan-mil-ki «D. ist mein König» (as.) K 383, s (JADD 234). Da-ga-na-mil-ki Sm 1678, rev. 13 (JADD 212). . Da-ga-an-ta-ka-la KBV no. 215/6. . An zweiter Stelle: Jöni-Dagan DE CLERQ Cyl. no. 245 (JK 452). Ts-me-"Da-gan, König von Isin, KB III I p. 87. Ka-ki-"Dagan PSBA 21 p. 135. #DUL in DUL-bultanni. "Ea, der dritte Gott in der obersten Trias, vel. TIELE BAG p. 518ff, JASTROw RBA Pont ete, AMD Re Lettre 2 E-a, in ab. Namen auch ohne 7, 2, #><(; die Lesung Ea nicht B6/ in nb. Namen wurde von mir nachgewiesen in ZA VII (1892) p. 276, s. auch HILPRECHT BE IX pp. 10, 23. 3. "|, ? Ang. 4. *,E|E-, vgl. BL 7270. "Ea! Nd Pa 2, s. " Eq? Cr 232, 2s(?). — In Personennamen: An erster Stelle: dieses Zeichens — vgl. . X Ea°-abu-usur «E., schütze den Vater!» X Fa°-ahe-iddin X Ea®-ahe-Sullim unversehrt!» «E. hat Brüder gegeben». «E., erhalte die Brüder ? Ea°-a-na-kussi-Su, abgekürzt etwa aus =! Ea-ana-kussiSu-likrub (nb.) HBE IX. X Ea\">-aplu-iddin «E. hat einen Sohn ge- geben». T. XXXIT. Neubabylonisches Namenbuch. ("Ea) IO. 15. . VEa?-ilia-ibni “ÆEal-aplu-usur «E. schütze den Sohn!» 2 Fa\>=-balätsu, abgekürzt etwa aus ”Ea- balatsu-igbi «E. hat seinen Leben ge- heissen». HILPRECHT BE IX liest X Za- 6ullit( TIN)-su. 2 FEaV?-ban-zir «E. schaft». X EaV3- 6e iani «E. ist der Herr der Götter» (nb). Z-a-be-el-ili (ab.) B 78, ss (Warka 48). 2 Ea!-dannu «E. ist gewaltig». X Egl-da-uu «E. richtet» (nb) HBE IX. lEaV?-d(Pipari-ili «E. ist die Fackel der Gotter». #Ea?-êpes, abgekürzt aus Folgendem. schafft Nachkommen- Ea\?-épis-ih#) «E. ist der Erzeuger der | Götter»; abgekürzt: Épa-i/U) und “ Ea- êpes. So ist" Ea'-KAK-AN zu lesen, nicht -ba-an oder -bån-ili (ZA XII p. 255), vel. oben p. 58, nunmehr auch BE X p. 16A. 3. "FEaV?-eyba «E. hat gemehrt». #Ea?-êri$ (nb. HBE IX. X Ea! ?-jbnil: «E. hat geschaffen». #Eal=3-iddinf «E. hat Ea -i-din-nam «E. hat gegeben» (ab.) B 44, à (Warka 17). «E. geben». hat meinen Gott oe- ge schaffen». lEa\?-ilütal,-ibni «E. hat die Götter ge- | schaffen». X Fa=-imbi «E. hat berufen». X Ea°-ip-Su. ? Ea'-i-Se-mu «E. hört» (ab) VATh 646/7. | X Fa'-ütia «E. ? Ea°-kabti-iläni «E. ist mächtig unter den Göttern». ? Ea?(Bel?)-kap-ka-pi «E. ist stark», König IR 35 no. 3,2. 7 Ea"?-kasir «E. bewahrt». 2 Ea?-kini «E. ist treu». 2 Ea°-kisir «E. ist Unterstützung». X Ea'-ku-dur-ri-ib-ni (b.) III R. 43, II 3. ist mit mir». il Ea?(Bel?)-ku-dur-usur(PAP) «E., schütze | die Grenze!» (as) König c. 1260, III R 4 no. 3, 3b. U Ea?-la-tab-ba-nı. 2 Ea:-h’ü «E. ist stark». No. 2. (£a) 35: 40. 50. 55. 60. 243 X Bab lur (abgek.). lEa\-lñsèsibani «E. möge mich retten!» Ea'-mas-ka-ni, so DAICHES Bu 91-5-9, 2477 À, s (CT VI 46). X Ea?-mudammig «E. erweist Güte». il Ea'-mu-kin-Siunn(zir!) (b. König c. 1057 KB II p. 272. lEa\?-nasir «E. schützt» (nb). Za!-na-sir (ab.) Bu 91-5-9, 286, II 3o (CT VI 15). X EaV?-patian(m)ul:. X Ea>-pir-usur «E., schütze den Spröss- ling!» ? Ea°-ga-a-lu-i-Sim-me «E. hört den Rub. #Ea?-garrad-ilit#) «E. ist mächtig unter den Göttern». . X Ea°-rimanni «E., erbarme dich mein!» X Ea'-"Sin:(Nannaru)-ıbni «E. hat den Mondgott geschaffen». " Ea?-salam-ili(^) «E. ist das Urbild(?) der Götter». " Ea?-Yadünu «E. ist unser Hort». X Ea!-$amé(ilé?)-ibni. #Ea\-Sar(MAN }-ibni «E. hat den König geschaffen» (as.) K 534, s (HABL 441). Eaï-Sar-rum «E. ist König» (ab) B 74 (MBAP 45). X Ba?-Sum-ibni «E. hat einen Abkömmling geschaffen». X Ea°-Sum-iddin «E. hat einen Abkömm- ling gegeben». «E. hat einen Abkömm- ling geschaffen». 7 Ea?-Sum-iskun X Fa'-süm-usur «KE. schütze den Abkömm- ling!» Ea'-tap-pi-e «E. ist mein Genosse» wenn nicht abgek. (ab.) B 51 (MBAP 1). ? Eq?-ti-il-ba- -du. ? Ea?-uballit «E. hat lebendig gemacht». 2 Ea!-udammig «E. hat Güte erwiesen». 7 Eabusallim «E.hat unversehrt erhalten». #ÆEa2-sèy-ibni «E. hat Nachkommenschaft geschaffen». X Ea'-zör-iddin «E. hat Nachkommenschaft gegeben». X Ea\>-zör-igisa «E. hat Nachkommenschaft geschenkt». gi Knut Tallqvist, 244 (”Ea) I Eal-sfr-nat-fa?-uu «E. hat Nachkommen- schaft gegeben». | 65. ? Ea-zir-u$ab3i «E. hat Nachkommenschaft | ins Dasein gebracht». ” EaV-ziti(HA. LA)-*u «E. ist sein Antheil» | (nb.) HBE IX. II. An zweiter Stelle: Arnel-" Eat? «Diener E:s». Apil( TUR)-" Ea!-$är-ma-a-ti «der Sohn E:s ist König des Landes», Übers. eines altsumer. Namens K 4426, I 16 (VR 44). Ardi-"Ea'? «Knecht E:s» (nb). Arad- "Ea! (as) K 1022 etc. Arad-"Ea° (as.) K 226 rev. 20 (CRT p. 9). 626 rev. 20 (HABL 24). 70. .Erba-" Ea! «E. hat gemehrt». Ibik-E£a! (ab.) Bu 88-5-12, 290 (MBAP 32). ló-ni-Ea! «E. hat geschaffen» (ab.) Bu 88- 5-12; 769, 29 (CT IT 17). lddin-" Ea? «E. hat gegeben», Ilu-ka-Ea‘ «dein Gott ist E.» (ab) B 74 (MBAP 45). 75. Zmu-ur-Eal «E. hat (gnädig) angesehen» (ab.) B 73 (MBAP 78). Fpu-uS-Ea! «E. hat es gethan» (ab.) B 65 (MBAP 39). I5-me- Ea! «E. hat erhórt» (ab.) Bu 88-5-12, 713, 34 (CT IV 48). Jt-ti-Ea!, abgekürzt aus dem Folgenden (ab.) Bu 88-5-12, 769,26 (CT IL 17). VATh | 1473 (MBAP rrr). Itti" Ea? Anu?)-balàfu «bei E. ist Leben». | 80. Jz-bur-Ea! «E. hat berufen» (ab.) B 57. 89 | (MBAP 43. Warka 61). | Ki-din-" Ea® «Schützling E:s» (nb) SAV | 4233. Musallim-" Ea? «E. erhält unversehrt». Na-ra-am-" Ea! «Liebling E:s» (ab. Bu 91-5-9, 377,6 (CT II 36). Ni-din-tum-"Ea? «Gabe E:s» (nb) SAV 4283. | 85. Qti(Ki-is-ti)-2Ea! «Geschenk E:s» (ab) Bu 88-5-12, 12, 42 (CT VIII 3), 57 (MBAP 107). Romit-" Ea? «Begnadigung E:s». Sangü-"EmqL? «Priester E:s». (?Ea) III. An dritter Stelle: E-hl-pi(KA)-"Ea «erhabenen Mundes (Wortes) ist E.» (ab.) Bu 91-5-9, 270, 12 (CT VI 6). Ra-pa-d3-sM-li- Ea! «weit ist der Schatten E:s» (ab.) Bu 91-5-9, 2175 A, 37, 2519, 18 (CT II 43. VI 48). 90. Sa-pi-" Ea! «der auf Geheiss E:s Hervor- 9I. gerufene». Usur-amät-"Ea? «keep the command of Ea» (PINCHES in Hebraica III 21). "Erüa, Beiname der Göttin Sarpantt, als «Kö- I. nigin der Götter» bezeichnet Smk bil. KB III p. 198, 200. — In: Ardi-"Erüa «Knecht E:s». “E-sa-bad in Ardi-" E-sa-bad «Knecht E:s». Vgl. unter «Tempelnamen». "GAL findet sich unter den 20 Synonymen von IL Te 2 2: #A.A (vgl. ZA III p. 357 Anm. 1), welche IR 57, 11-31 ab aufgezählt werden. Nd 478,4. — In Personennamen: An erster Stelle; “GAL-bel-Sumäti «G.ist Herr der Abkómm- linge» Srgn St. IV r6. “GAL-mu-tak-kil «G. ermuthigt» Srgn St. V 19. "GAL-ntid «G. ist erhaben». ”Gula, die Gemahlin Ninibs (TIELE, BAG p. 529f, — Ln JasrRow, RBA p. 175f£, KA? p. 410). 1.2 Gu-la, 2. * ME. ME. Nk 312,1». Nd 49,6. 79518: LL (70252, 5 2087 820, 3000714 694, 15. 696, 22. 699, 10. 767, 5. 799, 1. Nd M II 48,5. Cr 7,15. 33,3. 35, 6. 40,19. 185,19. 189, 20. 241,17. 357,4. 383,4. Cb 103, 10: 413,18 Dr 3, ı0. 62,10. 160, 4 — In Per- sonennamen: . An erster Stelle: . “Gula\-àk-iddin «G. hat einen Bruder ge- geben». Gula-balätsu-igbi «G. hat sein Leben ge- heissen». Sl Gula'-gaisat «G. schenkt». /Gu-la-gas-du «G. ist erhaben» (?) 83-1-18, 364, 4 (JADD 100). NKI Neubabylonisches Namenbuch, (Gula) 5 IO. II. me 25. II. 29. *Hapi der ägyptische Apisstier-Gott 245 Hu-ru, der ägyptische Gott Horus, in Pr-2-Zi-hu-ru. . füGula'-ri-mat «G. erbarmt sich» (as) K | 320, 8 (JADD 711). SJ Gula\-ri-mi"-ni «G. erbarme dich mein!» "Gulal-Xar-usur «G., schütze den König!» I Gula\-Sü-me-e-di-lib-$i «o Gula, möge ein einziger Abkómmling ins Dasein treten!» Übers. eines altsumer. Namens K 4426, II 19 (VR 44). "Gula?-Ynm-ibui «G. hat einen Abkömm- ling geschaffen». kómmling gedeihen!» (nb. HBE IX. X Gula'-ta-ki-Se-lib-lut, Probename K 5656 rev. 4. X Gula'-zir-eres(KANM-es) (as) Bu 91-5-9, 179 (JADD 200). XGula)>-zir-ibni «G. hat Nachkommen- schaft geschaffen» (nb. und as.) 83-1-18, 334 rev ro (JADD 255). An zweiter Stelle: Amél-" Gula! «Diener G:s», Übersetzung mehrerer altsumer. Namen K 4426, II 9, IO, III 49, IV 34 (VR 44). fAm-ti-# Gula! «Magd G:s» 1866 (PSBA XVII). Ardi-! Gula"? «Diener G:s» VATh 1246 (MBAP 33). Erba-! Gula! «G. hat gemehrt». Günil-" Gula! «Geschenk G:s». Iddin-” Guía! «G. hat gegeben». . Jtti-! Gula-balätu «bei G. ist Leben». AH 83-1-18, (nb. und ab.) AMüránu-! Guía! «ein junger Löwe ist G.». | Römüt-" Gula”? «Erbarmung G:s». Sangi- Gula"? «Priester G:s». Ta-im-" Gula!. Tagts].-" Gula? «Geschenk G:s». Uballit-! Gula»? «G. hat lebendig gemacht». Uballitsu-"Gula? «G. hat ihn lebendig gemacht» (nb.und ab.) 77. A4-sau-? Gu/a! Nbk I col. II ro. An dritter Stelle: An-dunáàni-* Guía. Hu-bit-* Guía! «eine Gottheit ist das Haus G:s». San CIS II 123, in Ha-pi-dis?-bal-la? No, 2. la als Gottesname liegt vielleicht vor in //a-a- gar-rat, womit SH A-a-a-gar-rat zu ver- gleichen ist; wenn diese Schreibungen denselben Namen wiedergeben, erhält man für *A-a die Lesung /a (aus oder anstatt Aya?). Sieh übrigens KA? p. 467 f. mit Anm. | 805 fa(-a)-hu(-u), der Gott 33", in jüdischen Na- ? ula uam-lsir(GIS) «G., möge der Ab- | men in den Geschäftsurkunden aus Nippur aus der Zeit Artaxerxes I, s. HBE IX und KA? p. 466. | Ja-a-ma, entspricht he.77 bez. 17% (vel. PINCHES PSBA XV p.14, HBE IX p.27, KA? p.466 mit Anm. 5); vgl. auch A-ga-bi-ia-ma 82- 5-22, 1394 neben A-ga-bu]s-ta Nd 542. — In fremdlàndischen Personennamen, an zweiter Stelle: I. *Ahi-ia-a-ma = mn BE IX, vgl. auch ENTE. "Ga-da-al-ia-a-ma = maa BE IX. "Ga-mar-ia-a-ma = mai 82-9-18, 4215 (PSBA XV p. 14). * Ha-na-ni-ia-a-na = wm BE IX. 5. “Za-diik-ia-a-ma = mm BE IX. * Ja-3e--ia-a-ma = WIN. #/g-da-al-ia-a-ma = nns BE IX. "Na-ta-nu-ia-a-ma = MN) 82-7-14, 550 (PSBA XV p. 14). | * Ni-ri-ia-a-ia = rmm. 10. *Pa-da-a-ma = ME BE IX. 11. *Sd-bu-nu-ia-a-ma = (SU 82-7-14, 4175 rev. 4 (PSBA XV p. 14). Für andere keil- schriftliche Namen enthaltend -za-a-ma und für die Erklärung dieses Bestand- theiles sieh nunmehr auch BE X p. 20 und Editorial Preface p. XV. #7 jq-’-u(?) = WT", in einem verstümmelten Na- men Cr 43. Beachte auch 7a-a-4 in Na- ad-bi-ia-a-ù = nan K 383, rev.9 (JADD 234), ia-u in Ai(PAP)-ia-u = (3)mmns K 304,4 (JADD 176), &Belia-ulia-u mby3 und vgl. KA? p. 465. #2 [[te-pp in *#”//-te-ri-La-na-na. 2 [-tu, (2 I]- tus MIR 66,40€), in * //-£u- GA B(gabbi?)- usur. Für W-tuf, sieh unter Tam-mes. 246 Knut Tallqvist. 2 [m-mir-tum|:; «Jungfrau» (2) Nd 696, 11. Cr 185,9. | "In-nin(-nu|,;), wohl identisch mit ?/n-nin etellit | — IT. 3} bêtêti K 246, II 61 (DAHW p. 157) und 2 In-nin-na Sa tab saharusu målirat supé | «der sich zuzuwenden gut ist, die die | Gebete annimmt» (vel. KB IV p. ro2f, ZA IV pp. 304, 308. — In Personen- namen: . An erster Stelle: . V [n-nin-nu-iddin «I. hat gegeben». ? In-nin-tabni-usur «l, du hast geschaffen, schütze!» An zweiter Stelle: Ardi-" In-nin-ni «Knecht I:s». "[$-ha-ra, Göttin, eine Parallelgestalt der IStar. 13 B Beachte "/i-ÉLa-ra tämtim dazu JENSEN in ZA XV p. 212, als Kriegs- göttin belit li-ti dadına lll R 43, IV 28 und als Muttergöttin åsibat bit Sassurra fa kirib St-an-na® Nk 247, ct; vgl. noch PBV p. 262, KA? pp. 428, 432 — Nk UNION CMD. MD 7a 96, 9. 107, 10. 108,2. 119, ». [190, 2.] P 144 4. 155. — In Personennamen, an zweiter Stelle: Armnel-" IS-ha-ra «Diener I:s» (ab) VATh 828 (MBAP 13). Ardi-" Is-ha-ra «Knecht I:s» (ab) Bu 88- 5-12, 703/14 (MBAP 96). lbik-"Is-ha-ra (ab.) Bu 91-5-9, 286, V 20 (CAP WIE 307) Nu-ür-"Is-ha-ra «Licht ist I» (ab) Bu 88-5-12, 222. VATh 1473 (MBAP 37. 111). Sád-" IS-ha-ra «der Göttin I. zugehörig» (ab.) Bu 88-5-12, 31 (MBAP 103). 60, 22. [$-Sar, in “star, Göttin der Liebe und des Krieges, vel. | KA? pp. 420-435. Geschrieben: 1. //3-Zaz, | I, JTábat-" Is-Sar «gut ist 1.» N auch /i-/a-ra (RANKE p. 14). 2. "IVT, "EIU. 13. "zs. 4. (TAT. 5.04 TT. | " Istar? Nd929. Cr 11,3. */Star?(bêlit) Sippar | Chao Ne 15 Personennamen: An erster Stelle: "RI Nd 661, 6. — In «Meeres I» | VR46,31b, 7 Z sarrat Kısurre® IIR 60,uab, | (”Istar) IR in /# Istar>-agü-usur(PAP), «L, schütze die Krone!» Probename 81-2-4, 255, II 4. “IStar\-ah-iddin «I. hat einen Bruder ge- geben». Star -arba-ilu ... (as.) 83-1-18, 389 ( JADD 292). s Istar®-babi-ah-iddin(-PAP-AS) (as.) 83-1-18, 323 (JADD 138). . Jstar?-bábi-erba (as.) 83-1-18, 368 (JADD 13). IStar?-båbi-eres (K.AM-e3) (as) K 350, 1 (JADD 40). Jstar?-bàbi-ifu-a-a (as) K 859/897 (JADD 826). IStar?-bàbi-nàsir (PAP) K 13030. “Istar’-babi-sa-pi (as) K 288, 13 (JADD 127). . /Istar®-di--ni-ni (as) Sm 649 (JADD 320). “IStar’-düri «I. ist meine Mauer» (as) Epon. 774. 714. 83-1-18, 389 (JADD 292). 7 ]3-du-ri S 1212 (HABL 708). “Istar’-dür-ga-a-l (as) K 320,6 (CIS II p. 29) mit aram, Beischrift 5P97 |. . .]. J#[Star’-dür-usur(PAP) «Il, schütze Mauerl» Probename 81-2-4, 255, II 5. 2 TSstar\-e.... bit die . /#]Star’-ha-am-|me) Probename 81-2-4, 255, II 6. * [5-tar-fhu-un-du, elam. König. Istar?-ilu-a-a «I. ist mein Gott» (as.) K 324 (JADD 470). Istar'-iS-me-Si KLH 86, 10. Istar'-lä-ma-zi «I. ist mein Schutzgott» Cappad. 20, 3. " [Star?-mai-lal-la-a-te (as) K 374A rev. 6 (JADD 87). #JStar®-mitu-ballit «1., mache den Todten wieder lebendig!» (as). Geschrieben 77.3- BAD-TT K 409 (JADD 81), -BAD-tå-bal- lit K 13007 (JADD 82). ”ISar’-mu-kin-ia «I. giebt mir Festigkeit» (as.) K 443, rev. 6. (JADD 177). (2) IStar?-nådin-aplu «I. giebt einen Sohn» (as.) )13-SE] ÁS-A KK 297 (HABL 829). 306 (JADD 420). 82-5-22, 108. " [Star?-nd id. «I.ist erhaben» (as.) K 296,4. T. XXXII. (ab.) «I. hat ihn erhört» Neubabylonisches Namenbuch. (“/Star) 2 35. in 40. II. 45. #/$-tar-na-an-di (elam.) K 13765, I R 37, 484. #/$-tar-na-an-lu-un-di (elam.) VR 6, ss. SH ]$tar®-nap-Sir . 725). i Istar?-pa-ia (as.) K 279 rev. 8 (JADD 160). fil [$tay?-ri-me-ni «l. ist barmherzig» (as.) K 424,5 (JADD 211). . 2 ]Var?-SAR (as.) K 279 rev. 12 (JADD 160). | fil Istar®-sal-lat-ti, Probename 81-2-4, 255, TI X Tstar®-Sum-eres (nb. und as.) KK 317, 32. DOO NNDO TD: il Tstar!-Sum-iddin «I. hat einen Abkömm- or ESS DID] ling gegeben» (nb). 13-MU-ÄS (as) 83- | 1-18, 354,72 (JADD 61). 2 [star?-Sum-igisa «I. hat einen Abkömm- ling geschenkt» (as.) K 537,2 (VR 54). # J$tar?-tab-nil-bullit] «T., du hast geschaffen, erhalte am Leben!» (b.) 81-2-4, 164. JE T$tar?-tak-lak «auf. vertraue ich», Probe- name 81-2-4, 255, II r. il [$star?-ta-ri-bi, -ta-SU (as) 80-7-19, 150 | (JADD 196, vgl. III p. 149). 83-1-18, 398 (JADD 89). Îÿtar®-la-a-si (as.) Bu 89-4-26, 14 (JADD 148). Lil [star’-taz-kür «L, du hast berufen», Probe- name 81-2-4, 255, II 2. [star!-um-ma-Sd «List ihre (seine?) Mutter» (ab.) Bu 88-5-12, 46 (MBAP 104). Istar-um-mi «l ist meine Mutter» (ab.) VATh 638 (MBAP p. 148). 7 [Stay?-umini-M U(ia?) (ab. Bu 91-5-9, 367, 33 (CI IL 34). 2499; 77 (CI VII 44). An zweiter Stelle: Ab-du-is-ta-ra «Knecht I:s» (ab.) Bu gr- 5-9, 361,9 (CT II 32). A-pil| TUR-"Istar®»* «Sohn Ls» (as) K 1614. DT 98 (ab.) Bu 91-5-0, 818, 20 (CT IV 9). Arad-CD[star? «Knecht I:s» (as) KK 76. 295,3. 296, 30. 400, 3. ITR 43 125. Ardi-/Star* (ab.) V A Th 1104 (MBAP 8). Da-li-" [star? Probename K 241, XI 4. No, 2. Ardi-" Istar® (b.) | (? Star) 50. 55: 247 Di-ul-@) Istar? (as.) KK 279,2. 430,30 (JADD 160. 260). Du-gul-Istar> «harre auf L!» (as) K 356, 9 (JADD 37). Ellu-! Istar? «herrlich ist I.» (ab.) MBAP 98. Erba-" Istar? «I. hat gemehrt» (as.) K 316,25 (JADD 328). I-bi-ik|PIG-Istar* (ab. 88-9-18, 220. Bu 88-5-12, 58 (MBAP 30. 35). Jddin-! Istar? «I. hat gegeben». Imur(? SI.LAL)-" [sar? «I. hat gnädig an- gesehen» (as) K 279, 15 (JADD 160). Igbi-"Istar? «I. hat geheissen» (as) K 897 (JADD 826). Isdi-"Istar® «meine Grundlage ist I» (as.) 80-7-19, 42 (JADD 69). [s-ku-un-Istar «I. hat gemacht» (ab. Bu 88-5-12, 281 (MBAP 68). Kin(DU)-a-ni-" [star «gieb mir Festigkeit, o Il» (as.) K 1359, III 38. Ki-sir-IStar? «Besitz I:s» (as) K 3721. 83-1-18, 337 (JADD 311. 330). Kit-ri-" Istar? «meine Bundesgenossenschaft ist I» K 13023. . Ku-lu--" Istar? (as) K 409 (JADD 81). Kuzbu(HI.L1)-" istar? «strotzende Kraft ist L» (as) K 13467 (JADD 902, vgl. III p. 460). Li-bi-it-Istar* «Werk I:s» (ab. B 54. 71 (MBAP 46. 34). OU) Márti( TUR. SAL)-1Xtar* «Tochter I:s» (ab) VATh 926 (MBAP 94). Mil-ki-Istar K 419 rev. 8 (JADD 218). 65. /Mu-ki-na-at-" [star? «I. giebt Festigkeit» 70. (as) Sm 649, 5 (JADD 320). Mu-Sal-lim-" [star? «I. bewahrt» (as.) K 422 reve 77 (Cpu DID) 75, Il 9 en) NY id-"iXtar? «erhaben ist I.» (as) K 296 (JADD 642). Ni-di-in-IStar! «Geschenk I:s» (ab.) B 66,4 (Warka 39). Nu-tr-Lftar «Licht ist I.» B 48(MBAP 44). Pån-IStar?-la-mur «das Antlitz I:s will ich schauen!» (as) K 323, 5 (JADD 68). 9?) Pi-ir-IStar (ab.) Bu 88-5-12, 404,17. VATh 782, 13 (MBAP 14. 17). 249 Knut Tallqvist. (Star) 80. 90. . Sil-ti-ba-Istar3 Oi-bit-" star? «(auf) Geheiss I:s» (as) K 353 (JADD 173). Qu-I3tar* (ab.) V ATh 762,10. I 104,4 (MBAP 105. 8). Our-di-Istar? «meine Stárke ist I» (as) | 83-1-18, 323 (JADD 138): 75. R£m-ut-" Istar? «Begnadigung I:s» (as.) 83- 1-18, 368,5 (JADD 13). Rit-ti-%]ÿtar* oder Lag-t-Istar «HandI:s» (2) Rm 165 (JADD 161, III p. 172). I.» I434 rev. 2. Silii" [Star * 2? «sei gnädig, Sz-uig|/ Sin-qi-IStar? (as) K Rm 177, 4 (JADD 110. 76). SU 1Star?, abgekürzt etwa aus Tåb-sil- " [star «gut ist der Schatten (Schirm) I:s» (as) Epon. 788. auch (ab.) M/?-%/$tar5 Bu 88-5-12, 54, 28 (MBAP 97) und .Sz/£mi?)-/Star! B 51, 4. 54,4 70, 6 (MBAP 1. 28. 27). Hierher gehóren wohl | I Sa-" IBtar3-du-bu «I:s ist das Wort» (as.) | K 437 rev. s (JADD 242). Sa-ISstar?-$å-u «der Göttin I. gehört er», Probename K 241, IX 8. Sangá-" Ista? Babili «Priester der I. von Babel». Sär-WD star’, abgekürzt aus Züb-Sär-Istar «gut ist der Odem I:s» (as) KK 293, 6. 430,2; (JADD 373. 260) 305,9 (CIS II p.25) mit aram. Beischrift.. wN"o. Söp? Istar, Se-pit- star? (as.), abgekürzt aus Söp-/tar-asbat «die Füsse I:s habe ich erfasst» KK 335 rev. 2 356, 2 (JADD 382. 37). K 320, 1 (JADD (as.) ZA): Sul(DI)-mu-Istar (as.) 83-1-18, 354 rev.s | (JADD 61). /Süsibinni-"Istar?® «rette mich, o I!» Taó-ni-" Istar? «Geschöpf I:s» (as) Sm 701 | (JADD 213). Ta-ribi(SU)-Istar® (JADD 69). Tur-su-Istar® (as) K 430 rev. »» (JADD 260. LAL-e-Istar K 323, 4 (JADD 68). (as.) 80-7-19, 42, 2 U-dar-Istar «Freund I:s» (ab.) Bu 88-5-12, | 222 (MBAP 37). 95: IT. 105. 107. | ("fstar) U-ga-ka-Istar+ (ab) Bu 88-5-12, (CT II.5). U-tul- IStar (abgek, ab.) Bu 88-5-12, 12, 40 (CT VIII 3). Un-za-ar-hilnu-Istar® (as) K 1517; a. 957, 7 JADD 600. 128). Zir-IStar3 «Nachkommenschaft I:s» (as.) K 305, 25. 82-65-22, 34, 2; (JADD 327. 447). An dritter Stelle: Dür-ma-ki-" [Star (as.) K 382,7 (JADD 640). E-tl-pi(KA|bi)-Istar «erhabenen Mundes ist L» (ab) KLH no. 42,15. Bu 91-5-9, 2458, 27. La-te-gi] ga(-a-na|ana)-IStar?(as.) KK 336,6. 355, rev. so. 397 rev. I (JADD 50. 63. 105). La-tu-ba-Sa-a-mi-" [$tar? «lass mich nicht zu Schanden werden, o I.!» (as.) Rm II 18 rev. 6 (JADD 243). 155, 5 Sm . Ma-ad-gi-mil-Istar!(?) (ab.) B 62, 1s (Warka 35). Manna-akt-" I3-tar-ia «wer ist wie meine I.?» Man-nu-ki-i-Istar? «wer ist wie I?» (as. 83-1-18, 330, ; (JADD 120). Man-nu-ki-)lstar’-Wi «wer mächtig?» (as) K 374B, x. (JADD 88. 782). AMan-nu-kima-I3tar? «wer ist wie L2» (as.) Rm 973,5 (JADD 603). Ma-an-nu-um-ba-lum-" tar? (ab) VATh 601, s (MBAP 85). Tab(HI. GA)-sil-" Istar? «gut ist der Schat- ten I:s», abgekürzt: .Sz-/s/ar (as) K 1498 rev. s (JADD 288). Jab(HI)-3ar-Co star? «gut ist der Odem I:s», abgekürzt: Sår-IXtar (as.) KK 305, 4. 383,32. 976, tey. 0, (2D IDIS2 72025 2967) PEISER in KB IV p. 114 liest: Zz-zz-Zstar. ist wie I. Sch IV 12 | "-$um, in Personennamen: IL I An erster Stelle: X T-Sum-ba-ni «T. schafft» (nb.), auch Mrdkbldn ‚Stein V 12. X F-Sum-ga-mil «I. bewahrt» (ab.) Bu 88-5-12, 419,9 (MBAP 6). X [-um-mar-du- (nb.) BE IX. UL$um-na-sir «I. schützt» 1473, 4 (MBAP 111). (ab) VATh T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. 249 (?-3um) 5. 2ESum-uballit «I. hat ins Leben gerufen». II. An zweiter Stelle: I-din-" I-Sum «I. hat gegeben» 91-5-9, 2439A, 6 (CT VIII 47). 7. Nu-ür-" I-Sum «Licht ist I.» (nb.) Pi 13, 1,17. 7 jt-tum, "ITI (BL 9426), in 1. 7 Ittum-rimannu «I. erbarme dich mein!» 2. [-din-! It-tum «I. hat gegeben (ab) VATh 643, + (MBAP 55). (ab.) Bu “Kan-te, in Ta-gis-" Kan-te. #Ka-ri-si Nd P 91,9. Dr P 63, 2. " Kàs-tin-nam, in ” Kàs-tn-nam-sarrat «K. ist Kô- nigin». "KUD, vide * TAR. “COXUR(Sadü), Ku-ur, in Personennamen: I. An erster Stelle: 1. KUR-edu-usur(ÄS-PAP) oder -nädin-ahi (as) K 298 rev. (JADD 446). Ku-ur-gal-zu (in nicht-semit. Col.) VR 44, I 23; vel. DAICHES p. 18f. Nk 283 etc. Ku-ri-gal-zu Ku-ur-ha-lum (ab) Bu 91-5-9, 2477A, » | (CT VI 46). il KUR-Sesib «K., rettel» II. An zweiter Stelle: 5. /Amti-"KUR «Magd K:s» (as) 83-1-18, 396 | (JADD 73). "KUR.GAL, vide Bel. */La.ga-ma-al, wohl identisch mit der bekannten | elamitischen Gottheit Zagamar, vgl. KA? p. 485f. — In Personennamen: I An erster Stelle: “Lagamal-êtir «L. schont». #Lagamal-iddin «L. hat gegeben». IL An zweiter Stelle: 3: Bi-1-bi-la-ga-[ma-al] K 9772. “La-ma-’, in An-dunani-" Lama. "Lamassu(? KAL.KAL), der Schutzgott, in I. “Lamassu-iddin «L. hat gegeben» BE IX. “La-az(s?), die Gemahlin Nergals, vgl. BzA I | p. 193. KA? p. 413. — In Personennamen: | I. Ardi-"Laz «Diener L:s». 2. /Ana-muhht-"Las-takläk «auf L. vertraue ich». No. 2. | C)Mrat (TUR. SAL) Ebabbarra, | Lie t. ZZ (ID. GAL)-" Lie «mächtig ist L.» V Lum-lum, in 1. 2 Lumlum-abu-usur «L., schütze den Vater!» 7 Lumlum-ahe-iddin «L. hat Brüder ge- geben», 3. "Lumtum-àfh-iddin. «L. hat einen Bruder gegeben». #Ma-am-mi-tum, in Gilgam.-Epos X Col. VI 37: 7 Ma-am-me-tum, die das Schicksal schafft, nach JENSEN, KB VI 1 p. 479, vielleicht identisch mit ”Mu-mi-tım II R 60, 3 und X Ma-mi oder " Ma-mu, eine Doppelgän- gerin der Muttergöttin Aruru bez. IStar, s. vor allem KA? p. 430, KB VI I p. 286 und beachte nn. prr. Ü-ul-" Ma-mi, wahr- scheinlich abgek. aus *746-utul-" Mami «gut ist's zu Füssen M:s» (ab. Bu 91-5-0, 377,1 = CT II 36), {A-ma-at| Amat-" Ma- mu (ab. Bu 91-5-9, 410,3 = CT II 41, VATh 766 — MBAP 70), Z-din-" Ma-inu (ab. Bu 88-65-12, 711,24 — CT IV 47) — In 1. Lil Ma-am-mi-tum-silim «M., sei gnädig!» «die Tochter des Sonnengott-Tempels», Nd 78, i1. Nbp M II 12, 15. Cr 7, 11. 185, 10. 190, 18. 241,9. 300,3. G) Måråt Ebabbarra Nk 312, . Nk CT IV 38,11. Nd 115,9. 252,2. 1061, e. Nd M II 49, 18. Cr 232, »o. Dr 62, 7. ? Marduk, der Stadtgott Babylons, s. KA? pp. 370ff. Geschrieben: 1. je Y- «SAY, 2. PLI, 3. MF HE «Ef, 4 oe eT ERE 4, 58 pL E, phonetisch: Mar-duk. Nk 125,15. 164, 36. 247,20. 283,19. 307,7. 312,20. 416, s. Nd 696, 24. 893, 7. 1060, . NdM II 49, 6. Cr 185,11. 345,38. 360, 5. 370,2. 371,3. 3782: 6 9315 6183:99127 13 347 2 40D E2547 5: 551, 15. DrP 63, s. — In Personennamen: I. An erster Stelle: 1. Mardukla, u «o Marduk!» (nb.). Probename: Marduk K 241, X 18 — Nasra BE X 121. ? Mardukl-a-bi «M. ist mein Vater» (ab. Bu 88-5-12, 37 (MBAP 100). Marduk?-abusu «M. ist sein Vater». 32 Knut Tallqvist. 250 (Marduk) #Marduk\-abu-usur (PAP) «M, schütze den Vater!» (as) K 363B (JADD 104). 5. 2#Marduk'-ahe-bullit «M. erhalte die Brüder am Leben!» #Marduk\?-ahè-idein «M. hat Brüder ge- geben». "Marduk°®-ah-erba «M. hat einen Bruder hinzu gegeben» (as) K 354 (JADD 277). X Marduk'-ahe-usur «M, schütze die Brü- der!» ? Mardu£l-àh-ibui «M. hat einen Bruder geschaffen». IO. 7 Mardu£-àh-iddin «M. hat einen Bruder gegeben». 2 Marduk? Y-åh-usur «M. schütze den Bru- der!» 2 Marduk'-aplu-iddin]a «M. hat einen Sohn gegeben» (nb. und) Name mehrerer babyl. Könige. Im AT 77853 77573, 17823 7772, im Ptoläm. Kanon Mardokempados. #Marduk\?-aplu-usur «M., schütze den Sohn!» i 7 Marduk!-a?-si-2n? (ab.) Bu 88-5-12, 183,32 (CINE) 15. Mar-duk-a-te(as.)K 1608? rev. s(JADD 250). #Marduk\?-balàtsu-iqbi «M. hat sein Leben geheissen» (nb) Babyl. König c. 820, Übers. eines altsumer. Namens K 4426, II 8 (VR 44). 2 Marduk'-ballitsu «M., erhalte ihn am Leben!» 7 Mardub?-bàn-ahé (DAP) «M. schafft Brü- | der», Probename K 241, V 24. 2 Marduk)-ban-ahi «M. schafft einen Bru- der». 20. 2 Mardu£*-ba-an-apln(.A) «M. schafft einen Sohn» (b.) K 9288. 7 Mar duk'-ban-zör «M.schafft Nachkommen- schaft». #Marduk\-bêl-da-a-ni «M. ist Herr des Recht-Schaffens» (b.) K 3747. X Marduk’-bel-ih‘£!) «M.ist Herr der Götter». X Marduk'-bel-napsäti «M. ist Herr der Kreature». 25. 2 Marduk'-belsunu «M. ist ihr Herr». 7 Marduk'-bel-usatim «M.ist Herr der Hülfe» 30. 35: 40. 45. (Marduk) (nb.). nal. 74. " MardukV?-68l-usur «M., schütze den Herrn!» (nb. u. as.) K 335, 10 (JADD 382). " M.5-bel-PAP Epon. 726. ”Marduk'-bel-ziri «M. ist Herr der Nach- kommenschaft». “Marduk?-da-an «M. schafft Recht» (as.) K 3789A rev. 6 (JADD 73). X Marduk’-dan-an-ni «M. schafft mir Recht» (as.) 83-1-18, 330, 5 (JADD 120). #Marduk\-du-un-ni «M. ist meine Stärke» (ab.) Bu 88-5-12, 37, zz (MBAP 100). Lil Mardukl-e...... “Mardukea ("Marduk'-e-a) «o Marduk!» (vgl. BzA I’p. 470) (b.) IIIR 43, II 22. “ Marduk"2-erba «M. hat gemehrt» (nb. und as.) K 308 etc. X Marduk'-eres (nb.) #M.2-KAM-es Probe- name K 241, V 25. 2MA-KAM-es (as) Bu 91-5-9, 157,4 (HABL 415). Marduk\?-êtir «M. schont». "Marduk'-ha-ni (ab) Bu 88-5-12, 45,26 (MBAP 36). "Marduk'-ha-si-is «M. ist sinnig» (ab.) Bu 88-5-12, 194, 2» (CT VIII 15). X Marduk-hàtin «M. schirmt». #Marduk\-La-si-ir (ab. Bu 88-5-12, 37, 37 (MBAP 100). X MardukS-u-ut-nu (as. Skl.) Bu 91-5-9, 182 obv. 1 (JADD 249). #Marduk\-ibni «M. hat geschaffen». X MardukV?-iddin «M. hat gegeben». #Marduk\-ilu «M. ist Gott» (ab.) Bu 88-5-12, 180, 26 (CT IV ro). #Marduk\-dl-naphari@ DUL) «M. ist Gott der Gesammtheit» (b.) III R 43, I 8 (vgl. BzA II p. 132). #Marduk\2-igifanni «M. hat mir ein Ge- schenk gemacht», abgekürzt: Marduk- M-bel-u-sa-a-te (851) Slmnsr An- ?qisa. X Marduk\-ir-Sit «M. ist weise» (ab) Bu 88-5-12, 37,31 (MBAP 100). Bu 91-5-9, sex eo (CIN THE 13) Li Marduk'-i-ta (ab. Prinzessin) Bu 88-5-12, 229, 5; (MBAP 7). SU Neubabylonisches Namenbuch, (Marduk) 50. 55: 65. X Marduk'-kabti-ilani «M. ist der mächtigste unter den Göttern». ? Marduk’-kalt-Iu? #Marduk\?-kin-aplu «M.,festige den Sohn!» (nb). #M.1-GI.NA-TUR.US (NkT) VR 56, 20. X Marduk'-ku-dur-ri-usur «M. schütze die Grenze!» (b. Nk I) VR 56, 14. ÜMarduk\-la-ma-za-$u «M. ist sein Schutz- gott» (ab) Bu 91-5-9, 2519, ız (CT VI 48). #Marduk?-mât-usur(PAP) «M., schütze | das Land!» (as.) K 13133 (JADD 96). #Marduk\-muballit «M. macht lebendig» (nb.. ?M.I-mu-ba-l-it (ab. B 88-5-12, 292, 1. 91-5-9, 418, 4 (MBAP 69. CT VI 27). X Marduk'-muballitsu «M. lässt ihn leben». | X Marduk-mu-dammi-ig (Fürst von Namri) Slmnsr Annal 94 (nicht MZ.-Sumu-udarn- mig). 2 Marduk!-mukallim «M. lässt sehen ...». | i Marduk!-musalim «M. bewahrt» (nb. ab.) | Bu 91-5-9, 401, 4 (CT VI 24). . 2 Mar duk'-musesib «M. rettet». ? Marduk!-nàdin «M. giebt». 2 Marduk'-nädin-ahe(-SE-PAP?') «M. giebt Brüder» (b.) König c. 1100. 2 Marduk'-nädin-ahi «M. giebt einen Bru- der». 2 Marduk'-nadin-aplu Sohn». #Marduk\-nâdin-Fim «M. giebt einen Ab- kömmling» (nb.), als Probename: 77.2 SE-MU K 241, V 23. 7 Marduk\?-nasir «M. schützt» (nb.), ab- gekürzt: Näsir. M I-na-sir|si-ir (ab.) 82- 9-18, 220aa und bb,» (MBAP 30). Bu 88-5-12, 38 (CT IV 7). 10, 1 (CT VIII 2). «M. giebt einen TU-TU-na-sir Bu 88-5-12, 265,23 (CT | IV 16). #Marduk\?-nasir-aplu Sohn». 2 Marduk?-näsir-zsir «M. schützt die Nach- kommenschaft» (nb.) BE IX. 2 Marduk'-nisak(NU. AB)-ıli (b. 13. Jhrh.) BzA II p. 180, ı7; vel. KB III p. 156. No. 2. «M. schützt den 251 (Marduk) 70. 75: 85. #Maïrduk\-gifannt «M, gieb mir ein Ge- schenkl» 7 Mardukt?-rinanm|, «M., erbarme dich mein» (nb) /7/JZ?|*275-rZm-a-ni Epon. 779, III R r, III 36. #Marduk\-su-lu-lu «M. ist (mein) Schutz», Übersetzung eines altsumer. Namens K 4426, II 7 (VR 44), vgl. OPPERT in ZA VI p. 449, DAHW p. 568b. #Marduk?-Sa?-bu-Su. X Marduk>-Sadu-u-a «M. ist mein Hort» (as) Epon. 796, III R r, III 20. X Marduk'-Säkin-Sum | «M. verschafft einen Abkómmling» (nb.). 122 GAR-MU (as.) K 317,33 (JADD 444). #Marduk\-Sal-lim «M. bewahrel» K 7325. ? Mardu£ -Xat-lim-ahé(PAP^ (as.) K 1063. il M.S-DIE PAP?! 81-2-4, 56. 7 Mardukt5-Xat-lim|DI-anl-ni «M. bewahre mich!» (as) Epon. 751, III R 1, IV 18 mit Var. 2 Marduk'-Säpik-zir «M. ist the pourer out (as.) of seed» i. e. «M. gives abundant seed», vel. JASTROW in ZA IV p. 311; abgekürzt: Såpik-sir. !M.-Sa-pi-ik-zir-rün, -Sd-bi-ik- si-ri-im (b.) König c. 1050, II R 65, 1, II 26; vel. HiLPRECHT in ZA VIII p. r16ff. . #Marduk'-Sar-ibni «M. hat den König ge- schaffen». X Mardu£V-Xarra(n)ni «M. ist unser König». "7 Marduk'?-Sär-usur «M., schütze den König!» (nb.).”M.1-MAN-PAP (as.) Epon. 785. 83-1-18, 8,2 (HABL 478). #Marduk?-Simanni (HAL-LA?-an-ni) «M. erhöre mich!» Probename K 241, V 28. Pl Marduk'-Süt-la-hu-u-a (Sklavin). 2 Marduk‘2-Sion-ibni «M. hat einen Ab- kómmling geschaffen» (nb). ”M2MU- KAK (as) K 6 (JADD 889). 2 MardukV?-Xnm-iddin|, «M. hat einen Ab- kómmling gegeben», abgel.: Sum-iddin (nb) Babyl König c. 850. #15 MU- ÅS (as.) KK 439,25. 444,2; (JADD 474. 236). 2 Marduk!-Sum-igisa «M. hat einen Ab- kömmling geschenkt» (as.) K 9452. 2 Marduk'-Sum-lisir «M, möge der Ab- RES 252 Knut Tallqvist. (? Marduk) 90. 95. 105. IT. 110. kömmling gedeihen!» (nb.. Als Probe- name: 2M.2-MU-GIS K 241, V 26. X Marduk?-Sum-ü-kin «M. hat einen Ab- kömmling eingesetzt», Probename K 241, 2272 7 Marduk\2-Sum-usur «M. schütze den Ab- kômmlingl» (nb). 7M.5-MU-PAP (as) 83-1-18, 201, 4 (JADD 113). 2 Marduk'-Sum-usabsi «M. hat einen Ab- | kómmling ins Leben gerufen». X Marduk\-tab-ba-a-ni. X Marduk'-ta-bi-ik-zi-ri-im, vide Marduk- Sapik-zir. X! Marduk'-tabtani-bullit «M., erhalte am Leben was du dir schafftest!» 2 Marduk'-tabtani-usur «M., du dir schafftest!» X Marduk-ta-ia-ar «M. ist erbarmungsvoll» schütze was (ab) Bu 91-5-9, 365, 7. 585,10 (CT VI 22. | 32). VA Th 743 (MBAP 62). X Marduk'-tap-pi-e-e-di-Sub-SisM.,rufe einen | Genossen des einzigen (Kindes) ins Le- | ben!» K 4426, II 21 (VR 44). #Marduk\-uballit «M. hat ins Leben ge- | rufen». Marduk\-usur «M., schützel» . " Marduk'-usursu «M., schütze ihn!» 7 Marduk'-usallim «M. hat bewahrt». X" Marduk'-usezib «M. hat gerettet». X Marduk'-zäkir-Sum «M. beruft den Ab- kömmling» (nb). Babyl König 704. #Marduk\-sèr, abgekürzt. 7 Marduk\2-zör-ibni «M. hat Nachkommen- schaft geschaffen» (nb). /"JZ?-zz7P-KAK (as.) K 309b, 15 (JADD 27). 7 Marduk -zir-iddina «M. hat Nachkommen- schaft gegeben». X MardukV-z£r-igf&a «M. hat Nachkommen- schaft geschenkt». #Marduk\-sèr-léfir «M, möge der Nach- komme gedeihen!» 7 MardukVv?-z£r-usur «M., schütze die Nach- kommenschaft!» An zweiter Stelle: Amel-"Marduk‘! «Diener Mis» (nb) = (7 Marduk) fir 120. 130. 777058. (ab.) K 4426, I 27, II 4 (VR 44). Bu 88-5-12, 180, 22 (CT IV 10). Ardi-! Marduk! «Knecht M:s» ab.) Bu 88-5-12, 215 (MBAP 4). Bat-ga-" Marduk-éfir. (n. pr.?). Dän-" Marduk? «Richter ist M.» (nb. und Da-mi-ig-"Marduk‘ «gütig ist M.» (ab) Bu 91-5-9, 2485, 2 (CT VI 31). Da-ga-li-*Marduk?, Probename K 241, XII r5. En-nam-" Marduk (ab.) Bu 88-5-12, 199, 20 — (C i ox Erba-" Marduk)”, Iriba-* Marduk «M. hat gemehrt». Gahal| Gahul-" Marduk®, abgekürzt: Gahal| Gahul. Gimil-"Marduk! «Geschenk M:s» (nb. und ab.) Bu 88-5-12, 10,7». 55,2» (CT VIII 2.2) Etc Ib-ni-” Marduk! «M. hat geschaffen» (ab.) Ibi ise ey E22 (CNT MBAP 4). Tddinla-Marduk\? «M. hat gegeben». I-din-" Marduk! «M. hat gegeben» NA Th 630 (MBAP 22). Il" Marduk! ? «M. ist mächtig». Igipi(2 [-Ei-pi)-" Mardu&' «M. hat (mir ein Kind) anvertraut». (ab.) . Jgísa-" Marduk'? «M. hat geschenkt» (nb). Als Probename: 5:A-sa--M2 K 241, X rr. Ir-a-ni-? Mardu£! duk!» (2) Itti-"Marduk\, abgekürzt (nb.). duk? (as.) K 316 (JADD 328). Itti=! Marduk)?-balätu «mit M. ist Leben», abgekürzt: Palâtu (und /tti-"Marduk) (anb., as.) /t-Z-" M. ba-la'-tu K 4426, II 2 (VR 44). KF-"AM.-TIIDR 41, I13. /#t- #Marduk\-TI.LA (as) 83-1-18, 5, 6 (HABL 476). It-ti-! Marduk'-ba-nu-u «mit M. ist das Er- zeugen», Übers. eines altsumer. Namens K 4426, II 3 (VR 44). Iskur-" Marduk! «M. hat berufen». Kabti-Marduk, abgekürzt aus Kabti-ilâni- Marduk. «weide mich, o Mar- TA-" Mar- T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. (Marduk) Kalbi-”Marduk! «Diener M:s». Kidin(nu) Marduk"? «Schützling M:s» (nb), abgekürzt: Kidin(nu). UBARA (BL 4304)-* TU. T'Uim Gilgameë-Epos. Ki-din- Marduk (as.) K 93, 1 (JADD 891). Kiribtul„-" Marduk! «Segen M:s». Kurban(nilu)-"Marduk'?” «Gabe M:s». Ku-us-ra-an-ni-" Marduk «unterstütze mir, M.» DAHW, Kusudsu-"Marduk'(?). La-"Marduk! (abgek.). La:-an-ni-an:-ni-" Marduk. Limur(? ST. LALy! Marduk? (as) K 613 (VR. 54, 48a). Li-rib-"Marduk‘, Übers. eines Namens K 4426, I 24 (VR 44). Mi-£u?-? Marduk". Mudammig-" Marduk? «Freundlichkeit er- weist M.» Munahhis(u)-"Marduk' «ÜberflussgiebtM.» | Musallim-" Marduk? «unversehrt erhält M.» (nb). Mu-Sal-lim-"M.2 (as) 83-1-18, | 398 (JADD 89). | Muséezib- Marduk? «M. rettet» (nb). Mau- | se-sib-mar-duk (as) K 327 (JADD 172). Mu-$e-zib-"! Marduk (= Sü-zu-bu) König von Babylon zur Zeit Sanheribs. Mu-Sibl$ub-si-"Marduk‘ «M. ruft ins Da- sein». Mu-tak-kü-"Marduk? «M. ermuthigt» (as.) K 320 (JADD 711). ANa'id-" Mardu£*? «erhaben ist M.» (nb.). I-mar-du£ (as) K 345, »6 (JADD 166). Na-zi-" Mardu£! NR 56, 12. Nidintilun-"Marduk‘ «Gabe M:s», abge- | kürzt: Nidintum. Mür-"Marduk? «Licht ist M.», oder viell. abgek. Qati-" Mardu£ (abgek.). Qzi-? Marduk. Q£stum-" Marduk? «Geschenk M:s» (nb.). Ki-is-u-"Marduk' (ab.) Bu 88-5-12, 327,6 | (CT IV 26). | Rap-su-" Marduk? . .. | 135. 140. altsumer. 145. 150. 155. Ri-me-ni-"Marduk «barmherzig ist M» (b.) TNI SS efe MIE No. 2. NN (Marduk) 160. 165. 170. III. Ri-15- Marduk! «Sklave M:s» (ab) Bu 88-5-12, 642, 17. 91-5-9, 701,13 (CT VI 29:535): Rit-ti-! Marduk oder Lag-ti-Marduk «Hand M:s» (b.) KB III p. 164, 25. Suim-" Marduk! «hab Erbarmen, M.!» Silla-" Marduk', abgekürzt. Sa-"Marduk|-Si| «dem Marduk gehört er». Sa-"Marduk'-ul-i-nilun «das (Geheiss) M:s ist unwiderruflich». Sa-"Marduk’-za-gup «wer dem M. gehört ist aufgerichtet» (as.) K 427 (JADD 351). Si-riq-tum-! Marduk! «Geschenk M:s». Susranni-"Marduk‘ «leite mich, M.!» Tubul-? Mardu£!, wahrscheinlich verschrie- ben für Zu£ulti-" M. Tukultil un" Marduk? «Stärke ist M.» Tab-" Marduk! «gut ist M.» Táà6-siL- Mardu£' «gut ist der Schatten M:s». Uballit-" Marduk! «M. hat ins Leben ge- rufen». Uballitsu-" Marduk? «M. hat ihn ins Leben gerufen». Ukin-" Marduk"! «M. hat bestellt». An dritter Stelle: Ahé-iddin|,-" Marduk? «M. hat Brüder ge- geben», abgekürzt: ÅAhé-iddina. . Ah-iddin-" Marduk! «M. hat einen Bruder gegeben». A-pi-lim-sd-" Marduk'\-ü-ba (-al)-la-tu- Si VATh 793, auch Bu 88-5-12, 207. 91-5-9, ar cup; — (CID JUL 0 own IV exp «der Sohn Marduks (d. i.Nebo) wird ihm Leben schenken», so erklärt von MEISSNER, BzA II p. 563, diese Erklärung ist aber in Hinblick auf Bu 91-5-9, 534 — CT VI32: a-bi-ia Så "ML. ubalatusu nicht aufrecht zu halten. Atkal-ana-" Marduk" «ch vertraute auf M.» Bel-ma-ti-" Marduk" «Herr des Landes ist M.» (ab) VR 44, 43d. Etil-pt-" Marduk" «erhabenen Mundes (Ge- heisses) ist M.» (anb). Z-44-KA-"M.! Bu 91-5-0, 314 rev. 22 (CT VIII 20). E-til- fiM. K 4426, IL 6 (VR 44). E-til-bi- 254 (Marduk) X Mardu£ BZA IV p.439, dazu DELITZSCH p. 486€: E-nu-bi-Marduk. 180. Ii -bullut- Marduk! «Kraft ins Leben zu rufen hat M» N-mi-Sar-rum-"Marduk‘ «Gott der Ge- rechtigkeit ist M.» (ab.) Bu 88-5-12, 189, 9 (CT VIII 14). Ina-gati?-"Marduk', abgekürzt aus */na- | qati-" Marduk-Sakin. Ina-gibi-" Marduk? «auf Geheiss M:s». Kabti-iläni-" Mardul «der gewaltigste unter den Göttern ist M.» La-basi-" Mardu£*? abgekürzt: Lå-båsi. Si-rat-ki-bit-" Mardu&' «erhaben ist das Geheiss M:s», Übers. altsumer. Namens K 4426, II 22 (VR 44). Tab-asap-"Marduk! «bona vaticinatio Me- rodachi» (OPPERT, vgl. HILPRECHT, BE I I p. 43). DUG.GA-a-sap-"M. IR 66,11b, 185. eines 79, 15. (KB III 168). Zab-sul#Marduk! «gut ist der Schatten M:s». An vierter Stelle: Eli-iläni-ra-bi-"Marduk! «gross über die Götter ist M.» Vgl. Ps. 95, s: rmm 5393 5N DNS 535 qom. 190. Lzsi-ana-nür-'Mardu£&'? «möge er (das Kind) ins Licht kommen, M.!» #MAR.TU, der Gott des Sturmwindes Xa a-bu-be IV. III R. 67, sa, oder £Amurru (ws.) zu lesen, | vgl. JENSEN ZA XI p. 304, KB? p. 433. — | In Personennamen: . Am erster Stelle: . "MAR. TU-ba-ni (MBAP 79. 105). X MAR.TU-na-sir (ab. Bu 88-5-12, 711, 35 (CNE) 2 MAR. TU-zir-ibni. An zweiter Stelle: 5 Amel-"MAR.TU (ab.) B 14,18 (Warka 2). 5. Å-pil(?)-2 MAR. TU (ab) KLH no. 17, e. Ardi-"MAR.TU (ab.) Bu 88-5-12, 60, 23. 91-5-9, 371, zz (CT VI 21). Gimi-"MAR.ZU (ab) VATh (MBAP 5). VATh -— (ab.) INE 642, 4 Ta-aó-a-sap-" M.! VR 56, II 22b 706. 762 | Knut Tallqvist. ( "MAR. TU) Jb-ni-"MAR.TU (ab.) VATh 630, 5 (MBAP 22). I-din-"MAR.TU (ab. Bu 91-5-9, 371, 2 (EINE Am) IO. Mär-"MAR.TU (ab.) B 57 (Warka 30). Nu-ür-" MAR.TU (ab.) B 71 (Warka 50). 12. Silli (Mi-ni?)-2 MAR. TU (ab) KLH 38. #Mil-hi, vielleicht — Milki vgl. KA? p. 471. — In Personennamen: 1. #Mil-ki-abu-usur (nb. BE X. 2 Mil-hi-ta-ri-bi (nb.) BE IX. 3. Nu-ü-hi-" Mil-hi (nb) BE IX. “’Mul-la-e-Su, "Mul-li.e-su, Mul-/i-Su, in I. Ard;-" M. BE IX. "Nabu, Nebo (*35), babylonischer Gott, bes. in Borsippa verehrt; geschrieben: 1. "AK, 2. "PA (bes. as), auch Na-di-e und Na- bi-um. Smd (ZAIV) 7, 2. Nk 125, s. 164, 36. 430, 2: 460, 4. NkL 8, 17. Nd 270,2. 574,3. 849,13. 964,14. Nd Pa 2, 31. Cr 277,18. 286,4. 302,2. 305,2. 369,5. 370,2. 371,8. 372) 3419/79 2 087404089753 187015 [D UNO: 53,7. 159,2. 41/70 12:2 51/77, 6 818 700 2 TO GER IO4, 9. 220,4. 230,4. 2060,19. 309. 339, 3. 357,2. 385,3. 392,2. 303,4. 434,2. 446, 11. 480, s. 557, 4. DrP 135,2. 145, 2. Cb 85,14. 140, 5. 321,7 347,4. “Nabil amd Jupsar Esaggil Nk 247,13 368, 8 — In Per- sonennamen: I. An erster Stelle: I. Na-ba-a(-a), Na-ba-id (Nd 999,2), "Nat ba-a-a, auch "2 na-ba-a-a. @)Nabia «o Nebol (as) 7Nabu>-ulu-a K 350,1. 405,6 (JADD 40. 335). 513, 15 (HABL 245). IIIR 48, 59c. #Nabü?-n-u-a 83-1-18, 407 (JADD 133). 7Na6Z?(-2)-u-a, Probename KK 241, IV Sm ble #Nabñ\-u-a K 4296 (JADD 77). Na-du- 4-a K 184. Na-bu-u-a K 551. ? Nabd?2-abi-ia «N. ist mein Vater», Probe- name K 241, IV 4. ? Nabg?-abkal-ilàni «N. ist Machthaber der Götter», Probename K 241, II 2. 5. 2 Nabüt-ab-ni (2-24. T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. 25 (Nabü) ? Na-bi-um-abut-pa-lam 587,8 (CT VI 34). #Nabñ\-àk-bullit «N., erhalte den Bruder am Leben!» #Nabñ?-ahé(PAP*)-bal-lit «N., erhalte die Brüder am Leben!», Probename K 241, III 14. 83-1-18, 715, s. X Nabit\-ahe-bullit (dass.) 10. “Nabü\?-ahe-erba «N. hat die Brüder ge- mehrt» (nb., as). Probename K 241, III 10. X Nabü?-ahe(PAP#| PAP. ME)-ére$ (KAM] PIN-es) (as) K 288 (JADD 127). Sm 1037. “N2-PAP| Var. PAP#-PIN| Var. KAM |-es Epon. 681; DIR ı, V as. " Nabü-ahé-ibni «N. hat Brüder geschaffen». “Nabu\?-ahe-iddin «N. hat Brüder ge- geben» (nb). 2N.!-SES®-id-din (b.) 81- 7-27, 31. "AN-PAP"-SE-na (as) Epon. 675, MIR 1, VIe “Nabñ?-PAP#-AS Probename K 241, II 15. X Nabir'-ahé-iqisa «N.hat Brüder geschenkt». . I Naóá-ahé-ittannu geben». (ab) Bu 9r-5-9, «N. hat Brüder ge- X Nabü>-ahe(PAP#')-Iu-mur «N., möge ich (die) Brüder sehen!» Probename K 241, I 17. " Nabü-ah-eres (nb.). Als Probename: #N.2- | PAP-PIN-es K 241, II 3. #Nabi?-ahè(PAP#)-Sal-lim «N., erhalte die Brüder unversehrt!», Probename K 241, III s. ? Nabu\-ahe-Ssullim (dass.). . "Nabü\-ahe-usur «N., schütze die Brüder!» " Nabü'-àh-ibni «N. hat einen Bruder ge- schaffen». “Nabü\-ah-iddin «N. hat einen Bruder ge- | geben» (nb) "/Naó£*-PAP-ÁS|SE-na (as) KK 346, 27. 405, 33 (JADD 335. 427), Probename K 241, Il 14 83-1-18, 359, 6 (JADD 253) Nabñ\-àk-1ittannu «N. hat einen Bruder gegeben» (no. 9 abgek: N.-iftannu). ? Nabü -àA-rimanni «N., begnadige mich mit einem Bruder!» Festigkeit!» No 2. . "Nabü-ah-tugna «N., verleihe dem Bruder | Un ("^ Nabd) #Nabñ\-àk-usur «N., schütze den Bruder!» (nb) #Nabn2-PAP-PAP (as) K 370, 7 (JADD 162), Probename K 241, I ». I Nabz-àh-usab3i «N. hat einen Bruder ins Dasein gerufen». #Nabñ\-a-a-lu (nb). “Nabñ?-ia(-a)-li (as.) 81-2-4, 153. 154 (JADD 174. 252). X Nabit?-a-lik-id((LD)-a «N. geht mir zur Seite», Probename K 241, III 43. . " Nabt-ålik (DU -id-ensi(.SIG) «N. geht dem Schwachen zur Seite», Probename Sm 55, I 14. i! Nabi -MiE-pàni (DU-ST) «N. geht voran». il Nabu'-ålik-pånia «N. geht vor mir, Probename. #N2-a-lik-S ia K 241, III as, -DU|a-Hi£-SI|pa-ni| -ia Sm 55,1 uf. X Nabit-al-qa ... . bi. ? Nabit\-alsika-ablut «ich rief an dich, Nebo, blieb am Leben». Als Probename: #N.?- ad-si-ka-aó-|/utf| K 241, III as. 35. I Nabi?-al-si-[ka]-ul-abås(-NU-UR) «ich rief an dich, Nebo, nicht zu Schanden ward ich!» Probename K 241, III 46. ? Nabü'-alsi-ul-abas (dass.). X Nabü\-a-lu-lu «N. ist stark» (?). ? Nabü°-am-ku-ra-ul-ba(), Probename K 241, III 4. #2 Nabi-am-me-e (-ha-am-me, -im-me-e). 40. " Naói-amuranni «N., sieh mich gnädig an!» ? Nabit\-ana-alia (abgek.). ? Nabu>-ana-ali-su (abgek.), Probename K 241, IV as. X Nabül-ana- KA-tum-sirif. ? Nabü-ana-ma-da-utzr. «N. hat (die Nach- kommenschaft) zahlreich gemacht». 45. "INabü-ana-mérihtum (abgek.). 7 Naói-ana-pé-usur. ? Nabi?-aplu (? ÁS, edu?)-erba, Probename K 241, III s. ? NabüV?-ablu-iddin «N. hat einen Sohn gegeben» (nb), babyl Konig c. 879-53. 4 N.,2. 4- 4S (as) K 309 A rev. 6. 309B, s (JADD 207. 27. Als Probename: 7//V.?- A| TUR.US| ÁS-ÁS|.SE-na K 241, II 16-18. Nabu\-aplu-ittannu «N. hat einen Sohn gegeben». 256 Knut Tallqvist. (? Mabu) (? Nabü) 50. *Naba?-aplu-Hsir (2d S-GIS) «N., möge der IV 1. Sm 55, IL ef. Bu 91-5-9, 209 rev. z7 Sohn gedeihen!», Probename K 241, II ss. ? Nabi-aplu-ubin «N. hat einen Sohn be- stellt». X Nabü-aplu-usur «N., schütze den Sohn!» (nb). #N.1- TUR. US-á-su-ur IR 52, no. 6. X N2- TUR-PAP, Probename K 241, I s. ? Nabül-agab(D)i «N., ich rufe» oder in Hin- blick auf Nadx-ha-ga-bi als ws. zu er- klaren, BE IX: «N. rewards». X Nabü\-arni| arnia. . XNabn?-aSaridu(MAS|SAG.KAL) «N. ist Buütst» (as) Rte rev. (JADDZTZ3). | Probename Sm 55, II 15f. X Nabit\-balät-eres (nb.). ?N.2- TT. LA-PIN- es, Probename K 241, II 3. X Nabü\-balat-iddin «N. hatLeben gegeben». | “Nabn\-balätsu-igbi «N. hat sein Leben geheissen» (nb). 7N.2- T7-su-iq-&i| E (as.) KK 282 rev.o 421, » (JADD 349. 623). | [2N.2-] TEsu-KA.GA 83-1-18, 358 rev.7 | (JADD 2841. ?N.?- TI. LA-suig-br, Probe- name K 241, III 15. Abgek.: Pa/atsu. X Nabi>-balåt(? TT)-ta-ba-ni(?), Probename | KR247, Vie. . 7Nabu>-bal-ht «N., erhalte am Leben!» Probename K 241, III 16. ? Naóg?-bal-lit| TT. LA|-an-n! «N., erhalte mich am Leben!» Probename K 241, I 30, 31. il Nabí?-bal-lit-su. «N., erhalte ihn am Le- | ben!» Probename K 241, III 11. 7 Nabu\-baltum(-Uani) «N. ist die Kraftfülle der Götter» (nb.. Als Probename: #N.?- | bal-ti-1lani K 241, I 49. #Nabñ?-ban-aké( PAP?) «N. schafft Brüder» | (as) 81-2-4, 50,2 (HABL 531) Probe- name Sm 55, II s. . U Nabi>-bän-ahesu(PAPF-Su) «N. schafft | seine Brüder», Probename K 241, III 23. | ? Nabü'-bàn-ahi «N. schafft einen Bruder». " Nabüu-bàni «N. schafft» (nb.). 2N.>-da-ni. Probename K 241, II 4. #Nabi\-ban(r)-aki «N.schafft einen Bruder». | Nabü>-ba-ni| KAK-aplu A|TUR. US «N. schafft einen Sohn», Probename K 241, | co (JADD 374; as). . X Naóg-bànunni «N. ist unser Erschaffer» Maqlü I 145 Var. X Naóg-bàn-szr «N. schafft Nachkommen- schaft». 7 Nabü?-bar-hu-idàsi (DAHW p. 186a), Probename K 24r, II s. ? Nabü-ba (mat)-at-tu-it-a). I Nabit?-bél-ahe(PAP27-34 «N. ist Herr seiner Brüder» oder «Urheber der Brüder des Kindes», Probename K 241, III 21. I N.2-BE (= kabti)-PAP#-$u K 4786. . "Nabu\-bel-apli «N. ist Urheber des Sohnes» (nb.). N2-pê1- ÁS (as.), K 324° rev. 10 (JADD 178). “Nabu\-bel-iläni «N. ist Herr der Götter» (nb.). 7 N.2-bel-iläani (as.) K 423, 3 (JADD 125), Probename K 241, 1 4. Sm 55, Il. ”Nabn\-bel-kalömu «N. ist Herr des Alls». “Nabu'-bel-kin(kain!) «N. festige den Herrn!» (as) K 63b, 997 (-DU-in). 7 N.>- bel-DU, Probename K 241, III ss. " Nabit\-bel-napsäti «N. ist Herr der Lebe- wesen». X Nabü-bél-3Yu «N. ist sein Herr». X Nabü)-bel-Sumali «N. ist Herr (Urheber) der Abkómmlinge» (nb.). 7N.?-087.M UF (as.) K 507, s (HABL 79), Probename K £x NI TE . Nabi'-belsunu «N. ist ihr Herr» (nb.) K 6, rev. 12 (JADD 889; as.). " Nabü?-bé/-uzsiz (DU-iz) «N., richte den Herrn auf!» (as) K 5458. BEZOLD, Catal.* 7 Nabü-bél-uszis. X Nabn -bel-usur «N., schütze den Herrn!» (nb) i N2 EN| Var. U-PAP (as) Epon. 745. 732. 672, MIR ı, IV 4,37. VIs. Probe- name K 241, I 1. X Nabl-bél-ziri «N. ist Herr (Urheber) der Nachkommenschaft» (nb), ///.?-66/-zr1, Probename K 241, II as. X Nabu?-Dit-na-ukin (DU), Probename K 241, III a. Vgl. DAHW p. 177 b. . ”"Nabü\-bi?-na-an-ni «N., gieb mir (ein Kind) l»(?). T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. (Nabö) 90. 95. 105. ? Nabü'-bullit «N., erhalte am Leben!» 7 Nabu'-bulhitanni «N., Leben!» (nb.). 7 Nabi'-bullitsu «N., erhalte ihn am Leben!» (nb.). M -du-wl-Ui-it-su AH 83-1-18, 1866 (PSBA XVII). X Nabü\-bulta (abgekürzt aus Folg.). #Nabñ'-bulta-ile «N. hat Macht ins Leben zu rufen». ? Nabu-bün-Sulum. 7 Nabü'-bünu-Sütur «N., mache das Kind erhalte mich am hervorragend!» #Nabü\-bu-ni-i..... 7? Nabu?-dabàb(? KA.KA)-usur(PAP) «N. bewahre die Rede» (), Probename K 241, I 5. ? Nabüu?-dabtibi( KA. KA)-ni-ir «N., vernichte den Verläumderl», Probename K 241, IV a2. #Nabt\-daianu «N. ist Richter» (nb.). ENabñ?-da-a-[a-nu) (as) König c. 1250 K 3045. #2 Nabit\-dala' MHiLPR, BE IX vergleicht (me. 2 Nabh'-da-a-ni «N. richtet» (as.) K 591, 5 (HABL 22). #MN.2-da”-an (as) 83-1-18, 354 rev. 7 (JADD 6r). 2 Nabu?-da”-inini-an-ni «N. schafft mir Recht» (as.) Epon. 742, III R r, IV 27. K 314, rev. 4 (JADD 329). Probename K 241, I 37. . ! Nabü'-dannu «N. ist gewaltig». ? Nabü'-dannu-ilàni «N. ist gewaltig unter den Göttern» (nb.). ? Nabü-di-2-ni-a-mur «N., lerne meinen Rechtstreit kennen!» (ba) KK 342, 77 (KB IV p. 142).644. Rm 72,3 (HABL 430). | #Nabt\-dini-bullit «N., erhalte das Recht | am Leben!» X Nabi?-di-ui-di-ui «N., Probename K 241, V 2. ? Nabi'-dini-epus «N., schaffe Recht!» oder schaffe Recht!» (DELITZSCH, Prol. p. 207:) «N. hat meine | Sache geführt» (nb) *N.>-di-e-nulni- KAK-u3 (as) Epon. 704, III R 1, V zo. K 325, 6 (JADD 141). No. 2. 257 ("Mabá) IIO. 3. 20. ? Nabóa-dür-u&tin(t DU-in) Probename ? Nabu\-dini-eres. 7 Nabi?-du-g& «schaue N. an!» Probename Sm 55, I 1. it Nagñ\-dumgi(S1G)-ilani (nb) #N2-SIG- AN?! (as.) K 1439 (JADD 209). ? Nabü?-dür «N. ist eine Mauer» (as) Sm 957 mit ar. Beischrift 3723) CIS II 42. Probename K 24T, II 55, III 5. 7 Nabaz?-dür-àli-YXu «N. ist die Mauer seiner Stadt», Probename K 241, II ss. UNabñ?-dur-bèli «N. ist die Mauer Herrn» (as) 83-1-18, 828 (JADD 12). ? Nabü?-dür-béli-ia «N.ist die Mauer meines Herrn», Probename K 241, II a. i Nabu'-dür-edu «N. ist die Mauer des ein- zigen (Kindes)». il Naba?-dür-euSi «N. ist die Mauer des Schwachen». Probename K 24r, II se. i Nabül-dür-ini(páni)ia «N. ist die Mauer meines (nb.). 2 N. 2-dür-SI-ia Probename K 241, II 4o. 7 Nabu?-dür-Eu-sur«N.,bewahre die Mauer!» (as.) Bu 89-4-26, 22 (JADD 227). il Nabü?-dür-ma-ki-i «N. ist die Mauer des des Auges» Niedergeschlagenen(?)», Probename K 241, II 3. X Naba?-dür-qa-l]/a (as) K 321 rev. c (JADD 208). Probename K 241, II ss. 2 Nabu'-dür-sirum «N. ist eine erhabene Mauer». K 241, II +. il Nabi?-dür-usur(PAP) «N., schütze die Mauer!» (as) Epon.697 II R 1, V 27. K 316, 4 (JADD 328). Probename K 241, I». 2 Nabü\-edu-usur «N., schütze den einzigen (Sohn)» (nb). So ist vielleicht auch ZNJ3.ÁS-PAP zu lesen (as) K 305,29 (JADD 327), Probename K 241, I ss. I Nabi?-elit-anat-Màni, Probename K 241, II s. | ? Nabü-e-mu-ki-e, Probename K 241, III ss. . 2 Nabü?-enSut-erba, Probename K 241, IIIr. X Nabu?-eusu(? LAL)-eres(PIN-es) Probe- name K 241, II 34. X Nabál-erba (nb). ?N2-SUler-ba (as) K 33 2 58 Knut Tallqvist. (Nabü) 327 rev. so (JADD 172), Probename K 241, II 4 5. Sm 55, II ae. ? Nabü>-erib-ahe(PAP?)) «N. vermehrt die | Brüder» (as.) K 404. 5 (JADD 115), Probe- name Sm 55, II 13. X Nabi?-erib-ahke(PAP?')-su «N. vermehrt seine (des Sohnes) Brüder», Probename K 241, III 24. 130. [WVabi-erbanni] = 33723 «Nebo auxit me» K 3785 (CIS II 39). “ Nabü>-erba-Su-nu «N. hat sie gemehrt», Probename K 241, II 56. X Nabiü-eris. 7 Nabü>-esi-etir| KAR-ir), Probename K 241, III as. ? Nabü-etil-Màni «N. ist Herr der Götter» (nb) "Meu NIR.GÁL-iláni, Probe- name Sm 55, II s, 9. 135. “Nabñi-étir «N. schont» (nb). ?N.2-KAR- ir] SUR Probename K 241, III 3, ss. ? Nabül-etiranui «N. schone mich!» (nb.). EN?-KAR-ir-anla-ni (as)! Epon. 740, | III R. 1r, IV 22. “Nabu-Etir-aple(-SUR- TURA) «N. schont die Söhne» (b.) 81-2-4, 313. Nabñ\-êtir-napsâti «N. schont die Lebe- | wesen» (nb.). Übers. eines altsumer. Na- | mens K 4426 (VR 44, 62d). 2N.2-KAR- | ir-ZI£! Probename K 241, III 54. ENabñ\-gabbi-i-li-e «N. ist allmächtig» (nb.). ZN. 2gab-bu-ZU(Üe'i)ProbenameK 241,1. 140. ”Nabn!-gabbu-usur «N., schütze die Ge- sammtheit (der Kinder)!» " Nabi-gámil «N. erhält unversehrt» (nb). | XN.>-ga-mil Mrdkbldn Stein IV 7, Probe- name K 241, V 9, Sm 55, 1. X Nabi?-ei-mil-an-ni «N, erhalte mich un- versehrt!» Probename K 241, I 43. " Nabü?-ci-mil-li (abgekürzt aus Folg), Probename K 241, V 10. X Nabi?-ei-mil-tir-ra, -SU-GUR «N., ver- gilt!» Probename K 241, Vin Sm 55, Iss 7M2-SU-GUR-+a(), K 241, III ı. 145. "NaóZ!-ei-ri-ia (nb) BE IX. " Nabü-halga-utirri «N. hat die Vernich- tung zurückgehalten». (?Nabu) 2 Nabi?-ha-mat-iju-a «N. ist mein Helfer» (b) KK 145. 617. 630 rev. i1. #N?-a- mat-1a Probename K 241, V 5. "7 Nabi\-ha-am-me-e|am-me-elim-me-e. ? Nabü?-ha-am-me-ilàni «N. ist der Fürst der Götter», Probename K 241, I 48. . 2Nabü'-ha-ga-bi BE IX: ar. ap «N. rewards». Vgl. Nabü-agabi. ? Nabñ\-hâta. i #Nabñi-ka-zi-ir| «N. beschirmt»(?) (nb.). ? Na-bi-um-ha-2i-ir, -ha-sir (ab) VATh 798. Bu 88-5-12, 37 (MBAP 54. 100). 2 Nabu\-hitu-mesu. ? Nabi?-hu-sa-ajan-mi (as) Sm 461 rev. 9 (JADD 491), Probename K 241, I 34. . #Nabü>-te-me-ü-tir(?) Probename K 241, III 57. #Nabñ\-1a-a-fu (PINCHES PSBA XV p. 14: «N. is his God», sic!) (nb.) 82-3-23, 3170. ? Nabi\-ibni «N. hat geschaffen» (nb.). 7.?- KAK]ió-u Probename K 241, II as, a. 7 Nabü-i-da-a-ii. Nabñ\-i-dan-ni «N. hat mich ersehen» (nb) BE IX. #N.2-i-da-an-ni Probename K 241,13; Z. 38 ist wohl zu verbessern N.2-ZU-an-ni." N.\2-ZU-a-ni (as) K 337, 9 (JADD 19). Rm 167, ss (JADD 230). OPPERT: N.-Umadani, PEISER: N.-ili ani, JoHNs: A--Z'àni. . 2 Nabn°-i-da-nu «N. ist an unserer Seite». 7 Nabu)-iddin|* «N. hat gegeben» (nb). zN2.ÁS, -SE-na Probename K 241, II 10, 11. 97 Nabu-id-ri(-i), -id-ri- BE X. 7 Nabh\-iksur «N. hat bewahrt». 7 NabáiM-tama. . X Nabülaimbii-ana-Mànt. X NabiV|" Na-bi-e-im-me-e = no. 39. #Nabñ\-ina-Esaggil-limur «N. will ich in Esaggil schauen!» X NabiN-ina)-eM-éfir «N. hat vom Ver- derben errettet». ? Naba?-(SD)-na-a-a (etwa abgekürzt aus Itti-" Nabü-inäia), Probename K 241, IV 27. . * Nabü-ina-ka-a-ri (abgek) BE X. 2 Nabü-ina-kárt-limur. «may I see Nebo T. XXXII, Neubabylonisches Namenbuch. 259 (”Nabü) 190. p.68. 7 N.!-ina-ka-a-rı-SI BE IX 90, 7. ? Nabih-ipus «N. hat's gethan». #Nabñ\-igbi «N. hat geheissen» (nb.). ?/V.?- Elig-bi (as) K 374a bb (JADD 87. 88). EN ?-1g-bi Probename K 241, V 22. ? Nabü-igbisu «N. hat ihn geheissen». (“Nabü) withen the wall!» (nb.) 83-1-18, 176 Pi. | . #Nabn-igiSa «N. hat geschenkt» (nb.)- “N 2-BA-Sa (as) K 1601 rev.» (JADD 425), Probename K 241, Il. ? Nabü-igtsanni «N. hat mir ein Geschenk gegeben» (nb). ?N.2-BA-Sa-an-ni Probe- name K 241, I +. #Nabt\-i-ra-$u. ? NabüV-i-ri-ha = Nabü-erba. #Nabñ\-1s-kip «N. hat (den Verläumder?) zu Boden geworfen». . ! Nabüt>-iSdi-kin(DU-in) «N., festige meine Grundlage!» (as) Epon. 777, UI R 1, III 38. Vgl. “WNabñ?-1fdi-ia-DU Probe- name K 241, V 3. ”Nabü\-iskun «N. hat geschaffen». #Nabñ\-ittan-aku, verlesen von STASS- MAIER Dr 57, 1, oben p. 132, auch BE X p. 15A, ı verkannt; lies: N.-tad-dan- usur q.v. X Nabir!-ittannu «N. hat gegeben». 2 Naba-ittia «N. mit mir!» . #Nabn-itti-edu-alik «N., geh mit dem Ein- zgenb (nb) IN2KLÅS-a-lik Probe- name K 241, III 40. #Nabñ\-ittr «N. hat sich gnädig zuge- wandt». ? Nabü?-Eabti (D. E)-ahe (DAP?^-Yu «N. ist der mächtigste unter seinen Brüdern», Probename K 241, III 20. Sm 55, II 3. X Nabü?-babti-Mlàni (B.E| DUGUD) «N. ist der mächtigste unter den Góttern», Probe- name K 241, I 50, 51, - P E[ £aó-ti-Màmi Sm 55, II 1, 2. ? Nabi?-bal-lim-an-ni «N., lass mich (Nach- | kommenschaft) sehen!» Probename K | 2AT, 1528: 2 Nabh?-ka-a-nik, Probename K 241, IV 56. X Nabir?-ka-a-nik-[an-ni] Probename K 241, IV 37. No. 2. 195. . * Nabu>-kin(DU)-erba "Nabü'-karäbi-sime «N., höre das Ge- bet!» ? Nabu\-käasir (gàsir) «N. bewahrt» (nb). X N.2-ka-sir (as) K 6 rev. c (JADD 889), Probename K 241, IV 55. 7 Naba?-ka-Sir «N. ist hülfreich» (as) 82- 5-22, 47 (JADD 112). Probename K 241, IV 16. " Nabi\-kibsu-usur «N., schütze den Gang!» (nb. #N.2-fib-si-usur (PAP) Probename K 241,13; vel: K 977 rev. 5 (JADD 42). X Nabü\-ki-ilanı. XNabi'-kilanni «N., versorge mich!» (nb.). AN >2-kil-an-ni (as) 83-1-18, 358 (JADD 284), -kil-la-an-ni Rm 165 (JADD 161). ? Nabt!-kil(si?)-li-im. X Nabi\-kin-ahu «N., festige den Bruder!» (nb). ZN-DU-PAP(as.) Epon. 761.689, III Rr, IV s V a4. Probename Sm 55, I 2. Vgl Zu-DU-PAP 83-1-18, 695, II 25. . ?* Nabü?-hin-an-ui «N., verleihe mir Festig- keit!» Probename K 241, I »6. i Nabi-Rin-aplu «N., verleihe dem Sohne Festigkeit!» (nb). "/V.!- G7. NA-A (b. Kô- nig c. 1000, BzA II p. 171,10. /V?-DU- A Probename K 24r, III 39. 2 Nabi?-bin(t DU)-bal-lit «N, erhalte den Gerechten am Leben!» Probename K 241, III as. ? Nabi?-kin(? DU)-du-gül «N., schaue an den Gerechten!» Probename K 241, V 1. X Nabi)-kin-e-nu(?) «N., verleihe dem Herrn Festigkeit!» «N. hat den Ge- rechten gemehrt» Probename K 241, III 8. 7 Nabü-Ein-idi(ZU) «N. ersehe den Ge- rechten», Probename K 241, IV 1». X NabiM- bin (DU, kittu?)-lifir «N., möge der Gerechte (oder die Wahrheit?) gedeihen!» X Nabü?-bin (DU)-á-bi-ib] LAH. LAH | «N., mache den Gerechten erglànzen!» Probe- name K 241, IV 17, 18. 2 Nabü'\-kin-zir «N.. verleihe der kommenschaft Festigkeit!» (nb.). DU-ZIR Probename K 241, II 4. Nach- X N. 2_ . I Nabü?-kip-pik? (as) K 1608A (JADD 228). 33. 260 C'Nabë) t3 t3 o t3 t3 in 230. . "Nabü>-kit-th-usur(PAP) «N. schütze die . 7Nabü-kusur(r)anni «N., bewahre mich!» . X Nabüt?-la-ti-Sar-a-ni «N., wirf mich nicht Knut Tallqvist. 2 Nabüu)-kisir (= kasır). X Nabü'-kissunu «N. ist unsere Stärke (?)» X Nabu'-kissu-Suzzis «N., bestelle Kraft!» 235. 7 Nabi!-kit-ri, -kittiri «N. ist Bundesge- nossenschaft. Wahrheit!» Probename K 241, I 15. X Nabih »2-kudurru-usur, X! Na-bi-um-kudurri- usur «N., schütze die Grenzel» (nb.). Babyl. König c. 1130. 7N.2-SA.DU-PAP (as) K 336, » (JADD 50), Probename IIo mali. ? Nabü-eut-la-an-mi (nb.) 83-1-18, 122, 1 (HABL 755). 240. X Nabü-eullim. #Nabu\-kullimanni «N., lass mich (Nach- kommenschaft) sehen!» (nb). ?N.2-KAT-an-ni (as.) 83-1-18, 344 rev.» (JADD 222). ?N2-KA T|ku-sur|- an-ni Probename RK 241, I 21, 22. 7 Nabul-busursu «N., bewahre ihn!» 7 Nabiu!-kuzsbu-ilåni «N. ist die Pracht der Gôtter» (nb) #MN2-HI. LEAN? (-m) Probename K 241, II 6. 83-1-18, 715. 245. 7 NabgM ate. i Nabá?-la-di (as) JADB 5, Is (vgl. JADD III p. 429). nieder!» (?) (as.) 83-1-18, 201, 9 (JADD 113). X Nabu-lexu(). ? Nabu!-Wea(?). ? NabaV- llla. | ? Nabi?-lisir, abgekürzt etwa aus Nabn- | tagbi-USir. Probename Sm 55, I 16. ? Nabi!-litsu «N. ist seine Kraft». 2 Nabå'-Ha «N. ist stark» (nb). #N.2>-ZU | 250. (as) Epon. 702, IIR 1, V 22. Bu 91-5-9, | 183, 13 (HABL 340). 7N.2-ZU, -ID.GÄL, | -DA Probenamen K 241, II 51-53. | #Nabi>-Wü-kissati? -ZU-U-ti) «N. ist all- mächtig», Probename K 241, III». BEZOLD | Cat. liest: Nabiuli áti. | ? Nabü-h’ü-kullati-ZU-KAK.A.BT) «N. ist | allmächtig», Probename K 241, III 3. il Nabá-Irüt-máru-&-a(-ID.GÁL- 1 UR-&-a) | 255. C'Nab) «N. ist die Stärke meines Sohnes» (b.) K 1177. BEZOLD, Cat: JVaéZfumáriüa. X Nabü>-h’üt-märi-Su(?) «N. ist die Stärke seines Sohnes» (as.) K 1026 (HABL 109). “Nabn'-In-dari «N., möge er (der Sohn) lange leben!» 2Nabu'-Insal(l)un «N. möge gnädig sein!» 2 Nabü\-mäakru-usur. “Nabü'-malik «N. ist Fürst» (nb.). “Na- bi-um-ma-lik (ab.). Bu88-5-12, 37,30. (MBAP 100). 9I-5-9, 44, zz 690, 9 (CT VIII 22. VI 35). “Nabt?-ma-lik, Probename K 241. V 7. 7 Nabü -mattü(a). #Nabñ\-miti-uballit «N. hat den Todten auferweckt» (nb), abgekürzt: Nadu- uballıt. " Nabü?-BAD-u-bal-lit Probename K 241, Il 1. BE X falsch: W.-Gé/-uballit. "Nabu\-mudammig «N. erweist Freund- lichkeit» (nb) #N.2-mu-SIG (as) 83- 1-18, 334, + (JADD 255). Nabü\-mukin «N. verleiht Festigkeit». Vel. à! Sa! Nabñ-mu-kin. #Nabt'-muk(-ki)-e-lip|lp. ? Nabi\-musal(l)im «N. erhält unversehrt» (nb). #Na-bi-um-mu-Sa-lin (ab.) Bu 88- 5-12, 581, ; (CT IV 35). ZN. mu-Sal-lm (as.) 83-1-18, 399, 7 (JADD 246). 7 Nabü’-mu-Se-si «N. bringt (das Kind ins Licht) heraus» (as) KK 120A. 704. 801. 1359, I3& 5470 etc. X Nabit-muséSiru «N. giebt Gelingen». ? Nabü\-muSetig-urri(ümi? BEZOLD Cat.) «N. fördert das Licht (des Lebens)». 7 Nabü\-muSezib «N. rettet» (nb.). ZN. ?yu- Se-sıb (as. K 372, rev. ro (JADD 185). 2 Nabü\-mutir-gimil «N. vergilt». Nada \-mu-zib-urri(). 2 Nabü-na-bu=ru. #Nabñ?-na-din «N. giebt», Probename K 241, II 19. 2 Nabi'-nådin-ahé «N. giebt Brüder» (nb.). i N2 MU- PAP?! (as.) K 327 rev. ıs (JADD 172). ?N.2-SE-PAP#! Probename K 241, II 1. " Naóü-nàdin-ahi «N. giebt einen Bruder» T. XXXII. EI Neubabylonisches Namenbuch. 261 (?Nabá) (nb.). N°2 ÁS-PAP (as. Epon. K 355,11 (JADD 63). -SE-na-SES V R 46, e. 2Nabi\-nadin-aplu «N. giebt einen Sohn» (nb) 2N.2-SE-TUR.US Probename K 241, II 22. UNabñ?-nadin(MU)-6êl «N. giebt einen | Herrn» (as.) K 7370. #Nabn\-nàdin-ipri «N. giebt Lebensunter- halt» (nb.), auch 55547, 28 (CT XVII, 50). ? Nabü?-nàdin (2 RU )-napistim Probename K 241, IV as. . * Nabu-nàdin-xe(zirit). ? Nabü-nádin (MU)-$u, lies: N.-Sumusu q.v. 2 Nabü\-nädin-Sum «N. giebt einen Ab- | kömmling» (nb) ?N.»2-SE-MU, -na- din-MU (as) KK 21,2 80,2. 174,2 etc. (HABL 49 -5 1). 2 N.2-SE-MU Probename K 241, II 2. 2 Nabü\-nadin-ur (2 ip)-ri. X Nabu-nàdin-zir «N. giebt Nachkommen- schaft» (b.) König 733. = Na-di-nu = | Nadrog bei Ptolemäus, s. KB II, p. 275. . X Nabitl-(un)-na-a(-a), " Nabüt-bu-un-na-a-a, | Na-bu(-un)-na-a-a. X Nabi!|"Na-bi-um-näid «N. ist erhaben» | (nb) #.2-1. (as) K 455 (JADD 86). X Nabü?-nam-mir «N., mache hell!» (as.) | K 371 rev. ; (JADD 273). Probename — ANT-LAH-ir K 241, IV ae, ar. ? Nabü>-napistim-iram «N. erbarmt sich des Lebewesens», Probename K 241, Ia. ? Nabül-napistim-ugur «N., schütze das Lebewesen!» (nb). 72-ZI- PAP, Probe- name K 241, I 14. . *#Nabñ?-na-sa-ka (as) K 361B,u (JADD | 123). X Nabi\-nasir «N. schützt» (nb). ”Na-oi | um-na-si-PAP (sic, ab.) Bu 91-5-9, 397, 5 | (CT VI 24). 7NaóZ?- PAP-ir (as.) KK 316,6 | (JADD 328). Probename K 241, I 19. 2 Nabå'-nåsir-aplu «N. schützt den Sohn». Abgek.: Nabi-nasir. 2 Nabu\-nasir-Sum «N. schützt den Ab- kömmling». #2 Nabi-natanln)ula. 275. Na-bu-un-du = Nabñtu BE IX. NOJ: | (Nabi) il Nabi!-mi-ib-ana-ilåni (vgl. no. 165). 2 Nabit’-ni-bi-rum (?)-Uani. ? Nabü-nipsarul. 2 Nabü-ni-ir-da-bi-bi «N., vernichte den Verläumder» (b.) Mrdkbldn St. V u. “Na- bit>-ni-ir-KA.KA Probename K 241, IV ai. . 2 Nabi?-ni-ir-ha?-da-at? Probename K 241, IV 40. 2 Nabñ?-ni-tr- TUK:-a-a-tà? Probename K 241, IV a9. : 7 Naba?-nür-i (7 «N. ist das Licht der Götter». il Nabul-nür (LAH)-ka:-lu:-mur: «N., dein Licht will ich schauen!» Probename K 241, IV 7. 7 Nabi?-nür (LAH)-nam-mir «N., mache hell das Licht!» (as.) K 406 (JADD 135). . # Na-bi-um-pa-li-ih-su (ab. abgek.) Bu 91- 5-9, 442, 12 (CT VI 23). X Nabir\»2-pa-Sir|$e-ir «N. erlöst» (as) KK 624. 625. 1060. Sm 1386. UNabñ\-pir-lifir «N., möge der Sprössling gedeihen!» il Nabi?-pir-hi-lisir(GIS) «N., möge der Spross gedeihen!» (as) K 330,3 (JADD 621). 2 Nabu?-hi-ugur (-KA- PAD) «N.,schütze den Mund!» Probename K 241, I 4. . #2 Nabü-ga-na- (vgl. N3g5N). i NabuV?-garrad (rim, AM)-iani «N. ist der Held der Götter» (ba. K 4800. 8754 rev. 6 (JADD 261). Probename K 241, la. X Nabü-gäsir, vide Nabü-kasir. 5: Nabü!-ga-ta-ri «N. is my rock» (HILPR., BE IX). il Nabi?-gåta?-sa-bat «N., fasse die Hand!» (as) K 954. Probename K 241, IV 9. . ENabd\-qui-la-nu «N., hab’ Acht auf mich!» (b.) K 13176. #2 Nabu-ra-hi-iia BE X. f! Nabu?-ra-mat (as. Sklavin) 83-1-18, 363 (JADD 315). ? Nabü?-ram-e-ri (as) K 518 (HABL 140), verlesen für NM-ram-nise-su, vgl Sm 268 A. 2 Nabn?-räm-napistim «N. erbarmt sich des 262 Knut Tallqvist. (Nabü) Lebewesens» (as) K 309B (JADD 27). Probename K 241, III 30. Sm 55, II 10. 300. 7 Nabu?-räm-nise-Su «N. erbarmt sich seiner Unterthanen» (as) Rm 50. Sm 268A. | Probename K 241, III 2» Sm 55, II 11. i Nabit\-räm-sir «N. erbarmt sich der Nach- | kommenschaft» (b.) IR 66, 14b. = Nabü-ra-pa-', mit ar. Beischrift Novas] BE X. X Nabit-rat-hib-zi-ri. 2 Nabn'-römu-Sukun «N., erweise Erbar- men!» 305. ”Nabü'-remusunu «N. ist ihr Erbar- mer!» ? Nabu\-resu (vgl. no. 315). i Naba-ré'ia «N. ist mein Hirt». X Nabu-ré sunu «N. ist ihr Hirt». ? Nabu-ri-bi-usur. 310. "Nabu\-rihtu-usur «N., schütze den Rest!» (nb) EN -pi-ik-ta| KAT-PAP (as) K - 295, 9, 18 (JADD 307). Probename K 241, Le. ZN J-ri-hi-tum-ü-sur SAN 5853. 7 Nabu\-rimanni «N., erbarme dich mein!» (nb). #M-LID-a-ni (as.) K 146, 6. AN LID/|ri-ma”/-an-ni Probename K 241, I 24, 25. 2 Nabh\-ri-ma-an-su AH 83-1-18, 1866 (PSBA XVII. 7 Nabü-rimüa «N. ist mein Erbarmer». 7 Nabu-ri-mut! (= rimütu?). 315. 2Nabi'-ri-is-su «N. ist seine Weide» (?). “Nabu'-risüa «N. ist mein Helfer» (nb.) | "N>-ID.DAHlri-sulu-a Probename K 241, III 50, 51. #Nabñ\?-rè$-1-$ «N., erhebe mein Haupt!» (as) KK 280. 636. 1187. 2N.2-SAG-i-&] | GA.TU Probename K 241, III 47, as. ? Nabi?-sa-bip «N. wirft nieder» (as) KK | 367,12 (JADD 151). 613,11 (HABL 76). Probename K 241, IV 25. X Nabü?-sa-£ii-fe? Probename K 241, III 56. . “Nabü>-sa-lm «N. ist gnädig» (as) KK 1337 rev. 6 (JADD 62). 1359, II so. ? Nabü?-sat-tam-mu-eres, Probename K 241, II 33. ? Nabül-siling «N. sei gnädig!» [2n DS o (Mabü) | ws [5n o3 40. X Nabü-supé-muhur «N., nimm die Gebete $1 ’ an!» 2 Naóü-sábit-qàti. «N. fasst die Hand». . XNabü>-sal-la (as) Rm 77, 0 (HABL 414). 7 Nabi-sallam. “ Naóa?-si-ri| MAH-ilàni «N. ist der höchste unter den Göttern», Probename K 241, I 52, 53. ENabñ?-sulilu(- AN. SALAM) «N. ist Schutz», Probename K 241, III 49. 2 Nabü)-Sa-ba-bu. “Nabü?-sab-Si (= usabsi?) (as) K 1608 (JADD 259). “Nabu'-Sadünu «N. ist unser Hort» (nb.). N. >-Sadu-u-ni (as.) K 1421 (JADD 114). Probename K 241, IV s. X Nabu?-Säkin-römi(? GAR-LID) «N. übt Er- barmen aus» (as) K 282,4 (JADD 349). Vel. K 241, IV s. | ENabñ\-Sàkin-Sumi «N. schafft einen Ab- kömmling» (nb). #N2-GAR-MU Probe- name K 241, IV 14. ENabñ?-Sakin-uddu(@ GAR. GAR-UD. DU) «N. schafft Licht», Probename K 241, IV 11. " Nabi-Salàmu-(eres), abgek. aus Ana-N.- Salamu-eres. Nabi-Sallim «N. erhalte unversehrt!» (nb). pbwn2) (= as) K 3788 (CIS II 25). 7 N. >-$al-lim, Probename K 241, III 27. Nabi?-Sal-lim-ahé (PAP?) «N., erhalte die Brüder unversehrt!» (as.) K 1361 (JADD 102). Probename K 241, III 19. #Nabñ?-Sal-lim-a-ni «N., erhalte mich un- versehrt!» Probename K 241, I 23. ? Nabi?-Sal-lim-Så-nu «N., erhalte sie un- versehrt!» (as.) K 327 rev. 17 (JADD 172). ? N2-DIL-$u-uu. K 318, 16 (JADD 26). #2 Nabi-Sa-ma-. “Nabi\-Sa-mi 83-1-18, 1847 rev. VII (PSBA XVIII). ENabñ\-Sàpik-sèri «N. ergiesst Same» (nb.). 2 N.2-DÜB-ziri, Probename K 241, II so. 2 Nabi?-3a-qim (as) K 285 rev. 16 (JADD 383). 97 Nabi-Ya-ra-' (nb) BE IX. T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. ("Nabå) 345: lom Un UT ? Nabü!-Xàr-ahé$u «N. ist der König seiner Brüder» (nb.). 7N.2-MAN-PAPF-$ı (as.) K 96,» (HABL 302). Epon. 82-5-22, 176 (CIS II 30). 83-1-18, 27 rev. 11 (HA BL 518). Probename K 241, III 22. i Nabit-Xàr-bullit «N., erhalte den König | am Leben!» X Nabü?-Xar-hi-ilàni «N. ist übergewaltig unter den Göttern», Probename K 241, Is. ? Nabit?-Xar-hu-á-ba-3a|UR «N. lasst den Gewaltigen zu Schanden werden» (as.) K 858, 3,9 (HABL 512). ? Nabul-iar-ibui «N. hat den Konig ge- | schaffen» (nb) ZM2-LUGAL-KAK (as) | K 13094. . " Nabül-Sàr-iddin «N. hat den König ge- geben» (nb.). (CIS II 29). 110122 (as) 83-1-18, 329 2 Nabi!-Säår-ilåni «N. ist der König der | Götter» (nb). 2N.2-MAN-AN# (as) K 349, 12 (J[ DD 64), Probename K 241, Is. i Nabü\-Sarranni «N. ist unser König» (nb). “N 2-MAN-alan-ni (as.) 80-7- 19, 51 (JADD 70), Probename K 241, I a. !! Nabi'-Sär-usur «N., schütze den König!» | (nb). 2#M2-MAN-PAP (as) Epon. 784, | 682, III R 1, III ss. 81-2-4, 147 (CIS II 38) = 91702). 7 Nabgh?-2;48 «N. erhört». 404, 16 (JADD 64. 115). X Nabü?-Ye-zib-a-ui «N., rette mich!» (as.) K 342,72 (JADD 48). N. >-Se-sib-an-nı, Probename K 241, I». — 7278122 Jer. 39, 13 (SCHRADER, ZK I p. 9). | ? Nabül-Xinanni «N., erhöre mich!» 2 Nabu'-Sip:-usur «N., schütze den Fuss!» ? Nabü-sá-Eut-nu-balàtu «N., bringe Le- ben!» l ? Nabü -Xullin (DI-im)-aptu( TUR) «N., er- | halte den Sohn am Leben!» (b.) K 1009. | ? Nabül-Xum-eres. ? Nabül-Xum-ibui «N. hat einen Abkömm- ling geschaffen» (nb.). Probename K 241, II 45. Nabñ-Süm-iddinf; «N., hat einen Ab- No. 2. . #Nabü?-Se-zib «N., errette!» (as. K 349, 22. XN2-MU-KAK, | 263 (“Nabü) [97 kómmling gegeben» (nb. ”N2-ML LAS] SE-na (as) KK 309B, s (JADD 27). 1050,2. 1053, 2 (HABL 67. 68). yTa[o]h23 83-1-18, 322 (KB IV 146). Probename K 241, II 12. i Nabg -Ymm-inbi «N. hat einen Namen kundgethan». . * Nabáül-Xim-igisa «N. hat einen Abkömm- ling geschenkt» (nb) ”N?-MU-BA-sa, Probename K 241, II s. il Nabi'-Sion-iskun «N. hat einen Abkomm- ling erschaffen» (nb). /M?-MU-GAR-un| is-kun (as) 83-1-18, 359, 6 (JADD 253), Probename K 241, IV 1», 13. Babylonische Könige c. 900, 747. il Nabi?-Xum-Eitti-lisir0-MU-DU-GIS) «N., möge der Name der Wahrheit gedeihen!» (as) K 287,18 (JADD 5). OPPERT: N. mu- nazsis, PEISER, JOHNS III p. 42: N. Sum- kinis-lisir, BEZOLD, Catal: -Sum-usziz. UNabñ2-Sum-kitti(® DU)-usur(PAP), «N., schütze den Namen der Wahrheit!» Probename K 241, I 10. #Nabñ\-Sumu-libur «o Nebo, möge der Ab- kömmling stark werden!» . ENabñ\-Füm-lilbir «o Nebo, möge der Ab- kömmling alt werden!» i Nabit\-Süm-Ksir «N., möge der Abkómm- ling gedeihen!» (DELITZSCH, BzA I 240) (nb). 2N.2-MU-SI.DI|GIS (as) K 425,2 (JADD 235), Probename K 241, II 24, 25. il Nabn-Sum-ukin «N. hat einen Abkömm- ling eingesetzt» (nb.). König c. 731, abgek: Sum-GI. NA| DU Bab. Chron. I6, 17. V2- MU-DU (as.) 82-5-22, 36, 27 (JADD 108), Probename K 241, III sz. il Nabil-mm-usur «N., schütze den Ab- kómmling!» (nb). #N.2-MU-PAP (as.) K 294, 33 (JADD 324). X Nabir\-Sum-usabsi «N. hat einen Abkömm- ling ins Dasein gerufen». . " Nabit ?-Yumusu, abgekürzt. il NabiM-Xá-un-mi-dan-ni (2). X Nabiay -Xüzibanni «N., rette mich!» il Nabül-Yuzubu-i? «N. hat die Macht zu retten!» i Nabü-Xuz(z)isanni «N., richte mich auf!» 264 Knut Tallqvist. (”Nabü) 380. [#8] [o] Ur X Nabu-tab-ni-ni. ? Nabü -tabni-usur «N., schütze den du ge- schaffen hast!» X Nabü-tabni-usursu (dass.). " Nabu! - tab ysytanln)ul;- «sur, abgekürzt: Tabystani-usur. Vgl. u. Marduk no. 95. #Nabi\-taddannu (abgek. aus dem Folg.). . "Nabi-tad(d)annu(tad-dan|ta-ad(-dan)-nu| fat-ta-nu)-usur «N., schütze den du ge- geben hast!» " Nabü'-taddinnu-usur (dass.). ” Nabu°-tah-hi-Se-me(?), Probename K 241, IV se. #Nabi?-tàk-lak, abgekürzt aus Ana-Nabi- taklak «auf N. vertraue ich» (as.) K 361 A,B (JADD 122. 123). " Nabü-talfm(u)-ugsur «N., schütze den Zwillingsbruder!» (nb., abgekürzt: 7a- limu. 241, I 17. . V Nabü?-tamt-ma-usur(PAP), «N., schütze den Rechtschaffenen» (?), Probename K 241, I 16. #Nabii-tagbi-lifir «N., möge er Gelingen haben, den du geheissen hast!» (nb.). ? N.?-tág-bi-ST. DI, Probename 'Sm 55, | I 15. ? Nabüt?-tarıbi(? SU)-usur(PAP), name K 241, I 1$, Sm 55, II 14. " Nabü-tàris «N. richtet auf» (nb). ?M2- LAL-is (as.) K 330, s7 (JADD 621). Epon. 721, UIR t, V 3. Probename K 241, V s. #2 Nabi -fe-ba-i-da-. Probe- . Nabütu (nb). Na-bu-ut-tu Rm 157 (KB IV p- 124). Na-bu-ti K 333,20. Rm 181 (JADD 59. 287) (as) = Nabundu q. v. 2 N2-ta-li-3ine-PAP, Probename K | ” Nabü -tuk-lat-su «N. ist seine Stärke» (as.) | K 872. ”Nabü”-tuk-lat-u-a «N. ist meine Stärke», Probename K 241, IV si. “Nabü'-tukte-erba «N. mehrte die Vergel- tung» (LEHMANN, ZA XI p. 337) (nb.). 2V2- tu£-te-e-SU, Probename K 241, III s. "Nabiü-tukte-tirri «N., bringe Vergeltung!» (nb.). #N.>-tuk-te-tir-ra, Probename Sm 55, I 17: (? Nabu) 400. "Nabá-tu£ulti «N. ist Stärke» (nb.). 7N.>- 405. 410. | 415. KU-ti, Probename K 241, IV 28. il Nabi-tukul-ti-ed(- KU-ti-ÁS) «N. ist die Stárke des Einzigen», Probename K 241, IV ». BEZOLD Catal: -zddin. X Nabü?-tubulti-ensi(- KU-ti--SIG) «N. ist die Stärke des Schwachen», Probename K 241, IV 30. " Nabü-tultabsi-lisir «Nebo, du riefst (das Kind) ins Leben — möge es gedeihen!» DELITZSCH AHW p. 188b). ? Nabü-tugginanni, -tugnanni, -Lgnanni «N., verleihe mir Festigkeit!» (nb.). #N.2-ZALI- in-an-mi()) Probename K 241, I 4; BE- ZOLD Catal: -Fakinanni. ? Nabü-turrasanni «N. richte mich auf» (?) (nb.). OPPERT, ZA VI p. 447: «N. augure de moi heureusement». #N?2-ZLAL-an-m (as.) K 4271. Rm 2, 464. "IV.?-ur-sa-an-ni, Probename K 241, I 40. ? Nati -uballit, abgekürzt aus Naba-miti- uballıt. ? Nabu-uballıtsu gerufen». X Nabh-udammig «N. hat Freundlichkeit erwiesen» (nb) 7MN2-SI/G-ig(damig?), Probename K 241, IV 26. 2 Nabul-ukin «N. hat Festigkeit verliehen» (nb.). UN DUI C Probename "R 24:5 TII ae. ? Nabiü\-u-mir-ir(? -unnammir). 7 Naba-ummu-Sullim «N., erhalte die Mutter «N. hat ihn ins Leben unversehrt!» Na-bu-ü-ü-na-ah-hu. ? Nabi\-unammir «N. hat erheitert» (nb.). ZN2-LAH-i (as) K 360,4 (JADD 286). Probename K 241, IV 4 (oder: Nabu- nammir = LZ. 47). ? Nabü-upahhir «N. hat Stärke verliehen». X Nabü?-ur-kit-tt-usur(PAP) «N., schütze das Licht der Wahrheit!» Probename K 241, I v. ? Nabü-usalfu|; «N. lehe ich an» (nb.). ?N.°- 4-sal-lilla (as.) KK 954. 4752. Probename IS Anas: i Naba'-usur «N., schützel» T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. (“Nabu) 420. 435- 440. . Nabñi-zakir (nb.). ? Nabit? - usur (PAP) - an - ni mich!» Probename K 241, I 20. " Naóül-usur-napistim «N., schütze das Lebewesen!» ? Nabü-usursu «N., schütze ihn!» Abge- kürzt: N.-usur. “Nabü'-uSabsi «N. hat ins Dasein gerufen» (nb). /V.?-4-*a6-37 (as.) IIR 67, 15. 7 Nabul-uxXallim «N. hat halten» (nb.). K 241, III 25, 2. Sm 55, I s. ? Nabü?-ü-Sa-an-ni, Probename K 241, I ss. X Nabi\-üu-Se-Si? unversehrt er- . * Nabü!-uxézib «N. hat errettet». I Nabi-usibsi = N.-usabsi. 2 Nabu-utir. X Nabå”-a-szu-bu «N.ist Entgelt» (? DAHW), Probename K 241, IV 20. #2 Nabh\-zab(b)adu(-sa-bad BE IX), mit ar. Beischrift 737[]25. 2 N2-ga-kir K IV 22. X Nabü)-zäkir-Sum «N. thut einen Namen kund» (nb.). ?N.?-za-kir-MU, Probename K 241, IV a. A Nabáa!-zágip «N. richtet auf» (nb.). 7V?- | za-gip, Probename K 241, IV 23. X Nabü?-za-gip-enSsi(.SIG) «N. richtet den Schwachen auf», Probename K 241, IV 24. #Nabt'-sir (abgek.). name K 241, II 46, -26-nu Srgn St. II 23. #Nabñ\-5èr-iddinla «N. hat Nachkommen- schaft gegeben» (nb) ZN.2-sir-ÅS (as.) K 317, 38 (JADD 444). Probename K 241, II 13. = 7789722 (bi). “ Nabh\?-zör-igisa «N. hat Nachkommen- schaft geschenkt» (nb). “N. =307-BA-Sa, Probename K 241, II o. Nabü-sir-ira$sa(UK-si) «N. Nachkommenschaft». I Nabü-s£r-Eit-ti-liir «N., möge der Same der Wahrheit gedeihen» (nb). V.?-zz7- DU-GIS (as) K 279, s (JADD 160). besitzt die @N.2-GI, -DI Probename | 241, | 265 | (" Nabü) «N., schütze | | 445. II. 2 Nabi-zzr-ibui «N. hat Nachkommenschaft | geschaffen» (nb.) V.?-z27P-K AK, Probe- | | 455. 460. 2 Nabi!-sir-lisir «N., möge die Nachkom- | No. 2. menschaft gedeihen!» (nb.). ?/V.?-277- GAS Probename K 241, II 26. /! Nabüt-z£r-napistim-litir(GIS) «N., möge der Same des Lebewesens gedeihen» (as.) IR 15, II zs. X Nabül-zir-uEin «N. hat Nachkommen- schaft bestellt», abgekürzt: Zir-ukin. X Nabal-sir-usur «N., schütze die Nach- kommenschaft» (nb.). "/V.?-zzr-PAP (as.) K 285 rev. » (JADD 383). #Nabñ\-sir-u$abfi «N. hat Nachkommen- schaft ins Dasein gerufen». X Nabi'-zir-uSallim(Sullim:) «N. hat die Nachkommenschaft unversehrt erhalten». ENabñ?-zug-pa-an-ni «N. richte mich auf!» Probename K 241, I ss. X Nabi\-zu-qu-up-kina(Gl-na), -su-qup- GI- na (as) TR 2,2. KK 137. 9452. «N., richte den Gerechten auf!» X Nabn-zu-qu-pu (abgek.). An zweiter Stelle: Amel-"Nabü! «Diener N:s» (nb). A-ve-1/- #Na-bi-um (ab.) VATh 798 (MBAP 54). 450. ZAm-t&-" Naba! «Magd N:s» AH 83-1-18, 1866 (PSBA XVII). Ana-" Nabü-Salämu, abgekürzt aus Ana- Nabu-salamu-eres. A-na-"' Nabit'-tak-lak «auf N. vertraue ich» (b) KK 1177. 7459. A-qar-" Nabu! (b) K 1559. Ardi-" Nabñ\ «Knecht N:s» (nb). Arad- UNT? (35) K 320, 27 mit ar. Beischrift: 122772. Dannu-"Nabü‘ «gewaltig ist N.» Dini-" Nabi!. Gimil-"Na-bi-um «Geschenk N:s» (ab.) Bu 88-5-12, 37 (MBAP 100). ®Ja-a-da-hu-"Nabü = 12397) HBE IX. Iddinla-"Nabü! «N. hat gegeben». In-na-"Nabü! (abgek.) BE IX. Isdi-" Nabü? «mein Fundament ist N.» (der Grund auf dem ich stehe, DELITZSCH, BzA ll p. 26; as.) KK 11,2. 305,23 (JADD 327). Itti-"* Naóg! (abgek.). Itti-" Nabi!-balåtu «mit N. ist Leben». 34 Knut Tallqvist. | 500. un 266 (“Wabü) Itti-" Nabit-güzu. 465. Itti-" Naba!-inia «mit N. ist mein Auge». Itti=" Nabi'-Immmir, -lummir «mit N. möge er hell (fröhlich) sein!» Itti-" Nabü'-nühu «mit N. ist Ruhe(?)». K?-"Nabü!, abgek. vgl. no. 504. Kisir-"Nabü! «Besitz N:s» (nb). .Av-szr- ? N.2 (as) K 309A, 420 (JADD 207). 470. Kısikt-" Nabik!. Kurbat-" Nabi'-sabbat, lies: Se-pit-N.-as-bat. Ku-tal-la-a-"Nabu!(?) BE IX. Lu-la--"Nabi‘ «abundance of N.» (Hir- | PRECHT) BE IX. Mudammig-"Nabit! «Freundlichkeit erweist N.» 475. Musaltim-" Nabz! «unversehrt erhält N.» Musezib-" Nabå! «Retter ist N.» (nb). Mau- Xe-z16-" N.? (as.) K 4753, IV 7 (JADD 869). Nidintum-"Nabi! «Gabe N:s». an" Nabh-Ihmur «das Antlitz N:s will ich schauen!» Pani-"Nabu!-temu (nb.). SIAN.2-te-me (as.) | K 1361 (JADD 102, III p. 171). 480. Römüt-"Nabi! «Begnadigung N:s». Abgek: | Rimüt. Supe-"Nabü!..... Szl-" Nabit?, abgekürzt (as.) K 305, 3 (JADD 327). Sa-#Nabi\-gam-mil «wer dem Nebo ge- hört bleibt unversehrt» (Skl.). Sa-" Nabñ 1 7-da-Suli-du-St. 485. Sa-" Nabi!-Sa-lim «wer dem Nebo gehört bleibt wohlbehalten». Sa-" Naëñ\-Fà «dem Nebo gehört er» (nb.). Sa-'N.2-$t-u (as) Epon. 656j5, III R 1, VI 28. K 342, 10 (JADD 48). Sa-" Nabül-Xumu «dem Nebo gehört der | Abkómmling». Sangü-" Nabt, mit Determinat. =”, «Prie- ster N:s». Sepit-"Nabh'-asbat «den Fuss N:s habe ich erfasst». 490. Sum-ma-! Nabá? (abgek., as) K 296, s (JADD 642). Uballtt (LN )-su-" Nabg! «N. hat ihn ins Leben gerufen» BE X. 505. 567. | ("Nabá) Ubàar-" NaóZ! «Genosse N:s» (nb). U-bar- X Na-bi-um (ab) Bu 91-5-9, 272 (CT VI7). Zitti-" Nabi! «Antheil N:s». . An dritter Stelle: Agar-ana-" Nabñ. . Bel-£tiru-" Nabñ\ «ein rettender Herr ist N.» Bêl-gabbi-!Nabñ1 «Herr des Alls ist N.» E-bi-ib-ana-* Nabñ\ Übers. eines altsumer. Namens K 4426, III 40 (VR 44). E-til-pi(KA)-#Na-bi-um «erhabenen Mundes ist N.» (ab) Bu 88-5-12, 697, 12 (CT IV 45). Ina-gåti-” Naba-bulfu «in der Hand N:s ist das am Leben Erhalten». Ina-gäti?-" Nabi'-Sakin «in die Hände N:s ist er gelegt». Ina-gibit-"Nabüt «auf Geheiss N:s». Jna-si-" Naói! «im Schatten (Schirm) N:s». Mannu-aki-!Nabñ\ «wer ist wie N.?» Mannu-ki-" Nabh «wer ist wie N.» (nb.). Man-nu-ki-" Nabá? (as.) K 290 (JADD 31). Ma-an-nu-ki-ma-" Na-bi-um(?) Bu 88-5-12, 705,25 (CT IV 46). Sa-pi-"Nabi «der auf Geheiss N:s». Sum-usur-! Nabi\() kömmling, o N.!» Tab-Sar-" Nabü? «gut ist der Hauch N:s» (as.) 83-1-18, 550 (JADD 181). «Schütze den Ab- “Na-na(-a), Göttin, eine Nebengestalt von IStar, im Syrischen in der Form "55, als Name für den Planeten Venus, und 2. Macc. 1, 13,15 als Navaia erhalten (KA? pp. 425, 442). DrP 135,2. — In Personennamen: . An erster Stelle: . /Na-na-a (Kurzname). Na-na-a-a (Smk CT IV 31,8), Na-an-na-a-a, Na-ni-ia (Kosename). £il Na-na(-a)-ana-bitisu (abgek.; Sklvn). Lil Na-na-a-bel-usur «N., schütze den Herrn!» (Sklvn). . YNa-na-a-eres. fi Na-na-a-étirat «N. schont» (Sklvn). X Na-na-a-iddin «N. hat gegeben». #2 Na-na-a-id-ri- BE IX. Na-na--ilu «N. ist Gott» (?). f! Na-na-iras-Si «N. besitzt» (as) Sm 701,3 (JADD 213). JOHNS: -zdassı. T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. (”Na-na-a) IO. IT. III. 40. /! Na-na-a-ittia «N. mit mir!» (Sklvn). ? Na-na-a-karábi (abgek.). Li Na-na-a-kilili-usur «N., schütze Zu» (Sklvn). /! Na-nal-a)-kisir)rat «N. unterstützt» | (Sklvn). /! Na-na-a-ri-mi"-ni «N. erbarme dich mein!» (Sklvn). . /* Na-na(-a)-silim «N., sei gnädig!» (Sklvn). £il Na-na-a-sirat «N. ist erhaben». ? Na-na-a-ü-sal-li «an N. habe ich geflehen» (b.) K 2889. Na-ni-ia (Kosename). . ANa-ni-ü|n-tu, wechselt mit USES. K I-hiji-tu und An( Na)-nu-an-t4(®), auch Na-an- ia-2-tu. An zweiter Stelle: A-Mm-" Na-na . . .(?) (as.) Rm 75 (JADD 652). Amel-" Na-na-a «Diener N:s>. /Amti-"Na-na-a «Magd N:s». Arad-"Na-na-a «Diener N:s» (as) KK 313,19 (JADD 622). 519, (HABL 108). A-ridi-! Na-na-a (nb.). . ElliLAZAG)-ta-" Na-na-a BE IX. Gimil-#Na-na-a «Geschenk N:s». } Ibik-"Na-na-a (ab.) Bu 91-5-9, 286, V 22 | (CT VI 17). La-t&3-g1-! Na-na-a (as.) K 353 (JADD 173). | Naüta(I)-"Na-na-a «erhaben ist N.» (ab.) BE IX. . Nür-" Na-na-a «Licht ist N.» Rimüt-" Na-na-a «Begnadigung N:s». Suim-" Na-na-a «sei gnädig, N.!» 1Sa-" Na-na-a-a-nin|ni-in|-ui «we are Nanàs» (PINCHES) 83-1-18, 1846 (PSBA XVIII). /Sa-" Na-na-a-ba-ni (Sklavin). . /Sa-" Na-na-a-X «der N. gehört sie». Sangü-"Na-na-a «Priester N:s». * Za-bid-"Na-na-a, mit ar. Beischrift N22737, BE X. An dritter Stelle: /Ana-muhhi-" Na-na-a-takläk «auf N. ver- traue ich» (Sklavin). Ina-sil-" Na-na-a «im Schatten N:s». Man-nu-a-ki-i-" Na-na-a «wer ist wie N.» (nb.) BE IX. No. 2. 267 iNannaru (UD.SAR BL 7860), in ”Nannaru- mugur HBE IX. Für UVSES.KI s. "Sin? "Narkabtu, s. u. Dunene p. 242. im G) Mergal (1. LT, 2. (AT) (EI YA, 3.1 > FF (auch = Nini£), 4. »T- Ÿ— EXy (auch Nini), 5. #- EE «p 6 eL EYr-) eine Erschei- nungsform des Sonnengottes, Gott des Krieges, der Jagd etc. (KA? p. 4ı2ff.). i N.!Nk 430,2. Ng 47,2. Nd 75,9. 270, 2. 315. Cr 361,7. Dr 9,2. 275,2. 480,9. 533. Cb 54,13. 149, 5. 423,4. — In Personennamen: An erster Stelle: . ! Nergat-abu-usur «N., schütze den Vater!» (nb). A.!-4D-PAP (as.) K 356, 6 (JADD 37). Nergal'-ahe-iddin «N. hat Brüder ge- geben». i Nergal’-ahe-usur «N., schütze die Brüder!» i Nergal)-äh-ibni «N. hat einen Bruder ge- schaffen». . * NergalsA-àfr-iddin «N. hat einen Bruder gegeben». i Nergal-à-ugur (PAP-PAP) «N., schütze den Bruder!» (as.) 83-1-18, 398, (JADD 314). X Nergal!-a-a. i Nergal®-alik-pani(D U-ST) «N. geht voran» (as.) Epon. 849, III R 1, II 14. ? Nergal)-ana-bitisu (abgek.). . ? Nergall-asaridu «N. ist der erste» (nb.). Ni-MAS (as.) K 400, 17 (JADD 83). i Nergal’-banünu «N. ist unser Schöpfer», abgek.: Danınu. i Nergal3-bel| Var. bill-ku-mu-u-a «N. dient mir als Stellvertreter» (DAHW p. 321. as) Epon. 874, III R 1, I 36. X Nergal3-bel-mäti «N. ist Herr des Landes» (as) Sm 199 rev.s (JADD 180). #Nergal\-bêl-usur «N., schütze den Herrn!» (nb.). 7/V.3-02/- PAP (as.) 79-7-8, 234 rev. 11. S 51, 4 (HABL 342. 466). : #Nergal\-bullitanni «N., erhalte mich am Leben!» i Nergal‘-da(-a)nu «N. schafft Recht» (nb.). N.'-da"-an (as) K 1492, 3 (JADD 310). 34* 268 Knut Tallqvist. (”Nergal) Io» Urt 40. . "Nergall-éfir. «N. . " Nergal-is-bat-da"-in #Nergal-edu-usur «N., schütze den Ein- zigen!» #Nergal\-ere$ (nb). 7?N.4-KAMres Epon. 804. 775, III R. 1, IH is, 40. “Nergal-esi-£tir, vide Nergal-ina-esi-£tir. schont» (nb) FOMI KAR-ır (as. Bu 89-4-26, 120,3 (JADD 201). #2 Nergall-ha-su-ili. “Nergal’-ibni «N. hat geschaffen» N.1-KAK (as) K 443 (JADD 177). #Nergal\-iddin «N. hat gegeben» (nb). XN.JI-SE-na (as) K 8754. 5 (JADD 261). #NergalV3-ili-a-a «N. ist mein Gott» (as.) (as.) (nb.). Epon. 831. 818. 809. II R r, IT as. IDR 1, | II 46, III a. . * Nergal*-illat-zu «N.ist seine Stärke» (ab). Bu 91-5-9, 286, V 26 (CT VI r7). X Nergal(-ina)-eX-éfir. «N. hat vom Ver- derben errettet». #Nergal\-ipuf «N. hat's gethan». " Nergal!-igbi «N. hat geheissen». ”Nergal’-igisa «N. hat geschenkt». (as) Epon. 86r, TEE RIS Is: “Nergal’-ittannu «N. hat gegeben». #Nergali-kinul; «N. ist treu». " Nergal? - kittu- usur (® DU. PAP) schütze die Wahrheit!» 80-7-19, 105. #Nergal-là «N. ist mächtig». «N., . #Nergal’-mu-dam-ig «N. erweist Freund- lichkeit» (as) Epon. 835, III R r, III ss. ? Nergall-mu-kín-pa-li-e «N. festigt die Re- gierung», Probename K 5656, sb. XNergal'»!-naid «N. ist erhaben». “Nergal'-nasir «N. schützt» (nb.). PAP-r (as) Epon. 746, III R. r, IV ss. 2 NA-SES-ir (b.) K 1055,2 (HABL 228). Nergal'-gar-du «N. ist mächtig» (as) K 409 (JADD 81). “Nergal*-r£üa «N. ist mein Hirt». " Nergal*-rimanni «N., erbarme dich mein!» “Nergal'-ril-süa «N. ist mein Helfer». X Nergal!-rum:-me-ü-sur K 5656, 2 v. “Nergal!-Sallim «N., erhalte unversehrt!» (as.) K 415 rev. 6 (JADD 165). | il N. [5 50. 55. 60. 65. | (ZNergal) 45. ”Nergal'-Sar-bullit «N., erhalte den König am Leben!» ”Nergal'-Sarrani «N. ist unser König» (nb.). N.)-MANILUGAL-alan-ni (as) 82-5-22, 96, 2. 83-1-18, 38 (HABL 366. 367). K 7344. “Nergal’-Sar-usur «N., schütze den Kö- nigb "N.LUGAL-á-su-ír IR 67 (nb.). NA} Var. *N.5-MAN-PAP (as.) Epon. 678, ITR 1, VIs. 2N.3-MAN-PAPK 404, 14 (ADD 115). = bi. 728 ^£ byn, bei Be- rosus Nnotylicapos, im ptolom. Kan. Nn91x000414000002. "Nergal-Simanni «N., erhöre mich!» #Nergal\-i-me-li{bi-ra], Probename K 5656, sb. ”Nergal'-Süt-me-rab-bi «N., mache den Ab- kómmling gross!» Probename K 5656, 5 v. “Nergal-Süm-etir «N., schone den Ab- kómmling!» 7 NerczalV3-Yum-ibui «N. hat einen Abkómm- ling geschaffen». X Nergal!-Xum-iddin «N. hat einen Abkömm- ling gegeben». 7 Nergal!-Sum-usur «N., schütze den Ab- kömmling!» (nb.. JV.1-JMU-PAP (as) K 443, 22 (JADD 177). ”Nergal!-Süzibanni «N., rette mich!» X Nergal-ta-kal (abgek.). #Nergal\-tàg-bi-li-tim,Probename K 5656,10. Nergal"-tuk-la2-a-tt-u-a(?) Sm 649,3 (JADD 320, III p. 509). “Nergal'*-uballit «N. hat ins Leben ge- rufen» (nb). *Ml-#-bal-lit (as) Epon. 731, UIR 1, IV ss. #Nergal-ukin «N. hat bestellt». XNergal!(Nmib?)-u-pah-hir «N. hat Stärke verliehen», BE IX 14, 13. “Nergal'-usippi «an N. hab’ ich gebeten». “Nergal!-uSallim «N. hat unversehrt er- halten». X Nergal"!-usezib «N. hat gerettet». X Nergal'-utir. X Nergal!-zir-ibni «N. schaft geschaffen». “Nergal'»*-str-iddin «N. hat Nachkommen- schaft gegeben». hat Nachkommen- T. XXXII, Neubabylonisches Namenbuch. (“Nergal) XNergal'-zir-usur «N., schütze die Nach- kommenschaft!» IL An zweiter Stelle: Ardi-" Nergal? «Knecht N:s». Da”-a-ni-Nergal! «Recht schafft N.» (as.) 83-1-18, 689, (JADD 270). Dannuja-"Nergal! «gewaltig ist N.» (nb.). Probename K 241, VII s. Dan-nu-" Ner- gal! (as.) 82-3-23, 25,5 (JADD 280). Gimil-" Nergal! «Geschenk N:s». lddin-"Nergal! «N. hat gegeben» (nb.). SE-na-N.! Probename K 241, VII zi. IL" Nergal! Probename 83-1-18, 695, XI 5. La-#Nergal (abgek.). Na'id-" Nergal «erhaben ist N.» Nidinti-"Nergal! «Gabe N:s». 70: 75: Qur-di-E) Nergal! «Stärke ist N.» (as) Rm | 69. Sm 649 rev. 1 (JADD 320). Sangü-"Nergal «Priester N:s». 80. Sàr-"Nergal! «(gut ist der) Hauch N:s» (as.) K 1439, rev. « (JADD 209). IIL An dritter Stelle: 81. Ina-söl-"Nergal! «im Schatten N:s. "NIN-BAD? in ?NIN.BAD-Sar-usur. “WIN-GAL «grosse Herrin», später Nikkal 523 ge- sprochen (vgl. JENSEN, ZA XI p. 396ff, KA? p. 363), Gemahlin Sins. — In Per- sonennamen: AnWersten Stelle: . AJ NIN.GAL-at #NIN.GAL-iddin «N. hat gegeben» (nb.). 2N-SE-na (b. as.) KK 112. 1106 etc. #NIN.GAL-sèr-ibni «N. hat Nachkommen- schaft geschaffen» (nb.) 48-7-20, 116, 10 (HABL 815). . An zweiter Stelle: m Ardi-!NIN.GAL «Knecht N:s» (ab) B 16, | (Warka 85). 5. Sangü-"NIN.GAL «Priester N:s». . U-bar-"NIN.GAL «Genosse N:s» B 38a, 28 (Warka 10). NIN.GIR.SU «Herr von Girsu», später mit dem Flurengott gleichgestellt, vel. BL 10994, JRBA p. 56ff, KA? p. 409. — In Per- sonennamen: I An erster Stelle: No. 2. (ab.) 269 (MIN. GIR. SU) 1. #NIN.GIR.SU-balatsu-igbi Leben geheissen». «N. hat sein II. An zweiter Stelle: I-bi-* NIN.GIR.SU (ab.) Bu 88-5-12, 743/4 (MBAP 57). Du-ka-"NIN.GIR.SU (ab. «dein Gott ist N.» Nu-ür-"NIN.GIR.SU «N. ist Licht» (ab.) B 54. 71 (MBAP 46. 34). i NIN.IB (bez. Ninrag(?), HROZNY, Mythen von dem Gotte Ninrag pp. 81—84; s. nun- mehr auch HILPRECHT in BE X p. XVI und CLav ibid. p. 4. 8f), eine Erschei- nungsform des Sonnengottes, s. KA? p. 408ff Geschrieben 1. 7NZN.IB. 2. G)MAS bez. "MAS. MAS (Nd 480, 5). 3." SJ. DU Cr 268, 7. — In Personennamen: I. An erster Stelle: . # Ninib2-ahe-bul-Lt| TIN-it «N., erhalte die Brüder am Leben!» (nb.) BE IX. ? Ninib?-abu-usur «N., schütze den Vater!» (nb) BE IX. X Ninib-àh-eres. Ninib>-ah-iddin(a) «N. hat einen Bruder gegeben» (nb.). i N-SES-SE-na K 22,2, -PAP-ÄS K $59, a (HABL 334f; b), -PAP-ÄS (as) K 287 rev. 3 (JADD 5). Ge 7 Nimb2-ah-usur(SES-SES) «N., schütze den Bruder!» (nb.) BE IX (HILPRECHT: -nasir-aht). "NJ-PAT-PAP (as.) 82-5-22, 42,6 (JADD 101): ? Ninib”-åh-usabsi «N. hat einen Bruder ins Dasein gebracht» BE IX. X Ninib (BIL.DAR)-a-a (nb) BE IX, X p- 14. ”Nimib-alik-pani «N. geht voran» (as.). 2N.2-DU-S1, Epon. 711, III R 1,V is (Var. 2 N )-a-lik-pa-ni). KK 287. 351 (JADD 5. 676). 2 Nimib>-ana-bitisu (nb.) BE IX. . 7 Ninibl-apil-à-kur. «N. ist der Sohn vom Tempel» (as) König c. 1230. ? Nznib?-aplu-iddin «N. hat einen Sohn ge- geben» (nb. BE IX. ? Ninib2-asaridu(BAR) «N. ist der erste» (as. Epon. 813, III R. 1, III 4. = 270 Knut Tallqvist. (“Ninib) 20. . X Nimb>-ib-m| KAK X Ninib -a-Sa-rid-su-nu «N. ist ihr Oberster» K 4426, III 56. #Nimb?-balatsu(® TIN-su) (b.) Sm 471. #2 Nimib>-ba-na BE X. Nimib2-bel-ibni(KAK) «N. hat den Herrn geschaffen» (b.) Rm 2, 134. 2Nimb2-bel-Su-nu «N. ist ihr Herr (= Ur- heber)» (b.) Mrdkbldn St. V 1. XNinib>-bel-usur(PAP) «N., schütze Herrn!» (as.) Epon. 877, IUE JR 5, U sp, 2 Ninib-edu-ugur(ÄS-SES) | «N., den Einzigen!» (nb) BE IX. HILPR, KOTALLA, BzA IV p. 559: N.-nadin-ahr. den schütze | X Ninib?-er-ba|.SU «N. hat gemehrt» (nb). | BE IX. 7/V.2-SU (as.) K 451 rev.s(JADD | 206). X Ninib?-ere$ (nb.) BE IX. X Ninib »?-fir «N. schont» (nb.) BE IX. 2 Ninib>-etir(KAR-ir)-an-ni | «N., mich!» (as) Epon. 863, III R r, II R 68, 1 v. 2 Ninib?-ca-mil. «N. 2 N2SU (as) K schone I schont» (nb.) BE IX. C 821, 8 (HABL 447). «N. hat (nb) BE IX, X. ? NinibV?-ijddin «N. hat gegeben» 2N.2-ÄS (as) Epon. 757, III R 1, IV 1s. UNimbl-ili-a-a «N. ist mein Gott» (as. Epon. 864. 838. 802. 736. 722 geschaffen» | (nb.). | #Ninib\-illat-su «N. ist seine Stärke» (ab) | Bu 91-5-0, 859, r8 (CT VIII 35). Ninib?-ilu? «N. ist Gott», Probename K 241, X 2. . ?Nimib’-igisa «N. hat geschenkt» BE IX. ? Ninib?-babti(D E)-ahésu «N. ist der mäch- tigste unter seinen Brüdern» (nb. BEIX (: -bel-ahésu). ? Ninib2-kib-si-usur(PAP) «N., schütze den Tritt!» (as) Epon. 830, III R 1, II 25. 81- 2-4, 149 rev. 12 (JADD 232). X Ninib2-kittu-usur(®? DU-PAP) «N., schütze die Wahrheit!» (as) Epon. 790, III R 1, III 2. BEZOLD: mukin-usur. ? Ninib-kudur-usur (b. König der VI. Dyn. . V Ninib?-I A (DA) «N. ist mächtig» (nb. BE IX ( -zei). | (£Ninib) 40. 45. 50. 55. IT. UNinb-lu-kin «N. möge festigen» BE X. #Ninib?-mat-usur (PAP) «N., schütze das Land!» (as) K 397 rev. »» (JADD 105). “Ninib’-mukin(DU)-nise «N. giebt den Unterthanen Festigkeit» (as.) Epon. 847. FOSTER MIL sra, JUNI X Ninib?-mu-tir-ri| GUR- ginilli SU ) «N. rächt» (nb) BE IX (: muzrsu). ?N.2-mu- tr-SU II R 51, sie. Abgek.: Mu-tir-ri- gimil (BE IX). X Ninib>-nadin-ahi (? edu-usur) (nb.) BE IX. ? Ninib?!-nådin- aplu(-SE- TUR.US) «N. giebt einen Sohn» (as) K 2815. “Nimib?-na-din-Sum «N. giebt einen Ab- kómmling» (nb) BE IX. #W2-SE-MU (as. Epon. 846, III R 1, II ır. #Ninib>-näaid(I) «N. ist erhaben» (as) K 1576 rev. 7 (JADD 612). X Ninib?-na-sir| PAP «N. schützt» (nb) BE IX. *"N2-PAPZir (as) Epon. 783, III R 1, III 32. ? Ninib!-pa-ki-da-at K 4426, III 3; (VR 44). ? Ninib?-pi(KA)-ia-usur(PAP) «N. schütze meinen Mund!» (as) Epon. 878, III R 1, I 32. ? Ninio!-$a-kun-na-a-i-ra-mu K 4426, III ss (VR 44). “Nimb)-Sar-usur «N., schütze den König!» X Nimb2-Se-zib-a-ni «N., rette mich!» (as.) Epon. 754, III R 1, IV ss. I Ninib?-ta&-la& (abgek.) «auf N. vertraue ich» (as.) 83-1-18, 363, rev. ; (JADD 315). 2 Ninib»2-tukulti( GIS. KU)-@ Asur? «N. ist der Helfer Asurs» IV R 34 no. 2 X Ninibcl-uballit «N. hat ins Leben gerufen». 7 Nznib?-upahhir(UB-LA) (as) Epon. 820, IIR 1, Ils. Vgl. 757. DU-4-pah-hér BEIX. 7 Nsuib?-h-sad-li N. flehte ich» (as) JADB. I Ninib?-uSabsi «N. hat ins Dasein gebracht» BE X. X Ninib2-zar(? sar)-me? (as.) Epon.892, IR 1, lie. An zweiter Stelle: Ardi-"Ninib? «Knecht N:s» (nb.). rev. 8 (JADD 178; as.). «zu K 334 T. XXXII. — Neubabylonisches Namenbuch. 271 (Winib) Dan(DI. TAR)-" Ninib? «Recht schafft N.» (as) Epon. 869, IIIR 1, I u. Vel. Dan- # Ninib?, Probename K 241, XI 3. Günil(S U)-" Ninib! «Geschenk N:s» oder | Oät-N. (ab.) IV R 35 no. 5, 1. 60. /s-sur-Ninib?(?) «N. hat beschützt» Nd 17,2. Vgl. PAP-SI.DU K 327,4 (JADD 172). Atti" Ninib?-£ni(S L?)-1a|id «mit N. ist mein Auge» BE X. Mu-Sal-lim-{Ninib? «unversehrt erhält N.» (as) Epon. 793. K 310 (JADD 651). Mu-D IL N.? Epon. 766. Mu-Se-zib| KAR-" Ninib? «Erretter ist N.» (nb. BE IX. Ki-bit-Nimib? «(auf) Geheiss N:s» (as) K | 356 rev. 2 (JADD 37). . Nä’id(T)-"Ninib? «erhaben ist N.» (nb) BE IX. Rasbi-" Ninib? «gewaltig ist N.» Ri-mut-" Ninib? (nb) BE IX, abgek: Hi mut. Su-"Ninib! (abgek.) V R 44, 26 v. Sz-ni(/£2)-" Nino! (ab) B 74 (MBAP 45). kh Sangá-"! Ninib> «Priester N:s». Si-riq-ti | RU-tu| sn | RU. RU Ninib «Ge- schenk N:s» (nb.) BE IX. Tukulti( KU-ti| Var. GIS. K U-ti-60 Nimib! | Var. JV.? «Helfer ist N.» (as.) König c. 889, DIR 1,12. XU-Nimb? 56-9-9, 132. EITI (BL 9432) -Ninib?2 König c. 1300 K 2673. (= Tuklat-Adar). Tab-" Ninib? «gut ist N.» Epon. 844, III R t, II 20. U-bar-"Ninib! «Genosse N:s» (ab.) Bu 91- 5-0, 2177 A, ss (CT VI 42). . An dritter Stelle: . Ina-s2l(GIS.MI)-" Ninib? «im Schirme Ni- nibs», abgek. .Sz-Zu|GIS. MIN? BE IX. Man-nu-ki-i-" Ninib? «wer ist wie N.?» (as.) Bu 91-5-9, 79 (JADD 85), (nb.) BE IX. TA Rabä(su)-$a-" Ninid 1,2, “Nusku, ein Feuergott, s. KA? p. 416f. Ge- schrieben 1. 2PA.KU, 2.7SES. KAK, auch Nu-uS-ku = 7% und ?Nu-us-ku. — In Personennamen: I. An erster Stelle: No 2. | ("Nusku) 1. "Nus£ul-àÁ-iddin «N. hat einen Bruder gegeben». X Nusku!-a-a-lu. 2 Nusgul-amuranni(SI. LAL-an-ni) «N., sieh mich gnädig an!» (as.) 80-7-19, 52 (JADD 387). I Nusku'-barakku «N. ist König»(?). i Nusgul-düri (as) JADB. . * Nus£ul-edi-usur «N., schütze den ein- zigen (Sohn)!» "Nuspul-idddim «N. hat gegeben» (nb.). 4 N.2-SE-na K 4426, II 16 (VR. 44). I Nusbu?-idinnam (dass.). #Nusku'-ih-a-a «N. ist mein Gott» (as) 82-5-22, 176b rev. ; (JADD 24). Nu-us- ku-ili-a-a 83-1-18, 201 rev. 5 (JADD 113). X Nusku!-la-ba?-nu «N. ist strahlend»(?). 10. 7 Nusku!-L’ü «N. ist mächtig». Vel.(?) 530% CIS II p. 50. X Nusku'-Sar-usur «N., schütze den König!» Ut 2 Nusku!-usabsi «N. hat ins Dasein gerufen» (nb. BE IX. IL. An zweiter Stelle: T-bi-" Nu-us-ku (ab.) Bu 88-5-12, 58 (MBAP 35). I-din-! Nu-us-ku «N. hat gegeben» (ab.) Bu 88-5-12, 176 (MBAP 48). 15. /$di-"Nusku‘ «ein Fundament ist N.» (as.) 83-1-18, 359 (JADD 253). Itti-" Nusku'-inta «mit N. ist mein Auge». Mu-tak-kil-”Nusku! «N. ermuthigt» (as. Konig c. 1150. III. An dritter Stelle: 18. Zir-liXir-" Nusku! «die Nachkommenschaft möge Gelingen haben, o N.!» Papsukkal, der Götterbote. Geschriebeu > PX- Eiff«, in ab. Namen 7NIN.SAH. Nk 247, 11. 416, 4, 9. — In Personennamen: I. An erster Stelle: 1. "Papsukkal-Sa-ig-bu-ul-i-ni «was P. befohlen hat ist unwiderruflich», Übers. eines alt- sumer. Namens K 4426, III 51 (VR 44). II. An zweiter Stelle: Amel-"Papsukkal «Diener P:s», Übers. 272 (Nusku) eines altsumer. Namens K 4426, II u (VR 44). Ardi-! Papsukkal «Knecht P:s». lddin-" Papsukkal «P. hat gegeben!» 5. La-mas-si-"Papsukkal «(mein) Schutzgott ist P.» K 4426, II 23 (VR 44). 6. Nür-" Papsukkal «Licht ist P.» ?"Qi-bi-'-tum, in FI O:i-bi- -tum-gi-i-Sat. #/Qusu, der Nationalgott QóS der Edomiter. Für die Litteratur über diesen Gott s. KA? p. 473. — In Personennamen: 1. *Xu-uÿ-da-na- BE IX. #2 Qu-u-su-ia-da- *y-"otp. #2 Qy-su-ia-a-ha-bi = Sno BE IX. 4. U-&ar-! Ku-u3 (ab) B 46A,5 (Warka 104). 6) Bammán, der Gewittergott; die Ideogramme | 2/IM und WU werden von mir Addu gelesen; vel. KA? p. 443. — In Personen- namen: . An erster Stelle: . TRa-man-ib-ni «R. hat geschaffen» DT 167 (JADD 298). Ra-man-nàdin-aplu(-AS-A) «R. giebt einen Sohn» (as.) Sm 218 (JADD 260). Hi (as.) Ra-man-ra-ba «R. ist gross» (as) K 323 | (JADD 68). ? Ra-am-ma-ni-Se-zib «R., rette!» II. An zweiter Stelle: 5. Bur-“) Ra-man|ma-na (as.) Epon. 848, auch Bir-"Ra-man BzA II p. 623. 6. Sum-ma-" Ra-man (abgek., as.) K 13146 (JADD 139). SA in *SA-aplu-iddin «S. hat einen Sohn ge- | geben». "Sa-par|kur?-ri in " Sa-Par|Eur-ri-ibni. Sin, der Mondgott, geschrieben: 1. XXX, (ab. | und as) auch ohne Gottesdeterminativ, | 2. ?SES.KT, welches Nannaru gelesen | werden kann, aber auch mit Na-na-a wechselt, 3. #KAS = der Gott von Elastan, 4 MEN USER AUOT PU, phonetisch: .S7-zz, auch .S7-, besonders in Harràn, s. (unten no. 23 und) die mit Knut Tallqvist. = . @ Sin bA-a-ha-amla-hbilSES-i-din-nam | (Sin) S7 zusammengesetzten Personennamen, meistens von fremdlàndischem Typus, bei JADB pp. 30f£, 73, 75f. und JADD III p. 567, vgl. schon TALLQvIST, ZA VII p. 285 Anm. Die ältere Form $S#(? liegt vielleicht vor in /Stn-ibana' etc. (oben p. 202b), vgl. JENSEN, ZA VII p. 177 m. Anm. und dazu p. 284 Anm. #Sin! Nk 307,*. Cr 40, 256, s. — In Personen- namen: :Am- erster. Stelle: . 9 SinbA-a-bu-um «S. ist Vater» (ab) Bu 88-5-12, 291,3. 9I-5-9, 685, z; (CT II 14. IV 22. Vgl. 2830 Gn 14, 2 (ZA VII p. 177). (7) Sin-abusu «S. ist sein Vater» (ab.) .S.!-a- bu-Så Bu 91-5-9, 705, 2» (CT VI 36). St a-bu-$t Bu 88-5-12, 318, »4 (CT IV 25). 2 Sin!-abu-usur «S. schütze den Vater» (nb.) US1-AD-PAP (as) Rm 185 (JADD 353). Sin!-a-da-al «S. ist stark» (ab.) Bu 91-5-9, 2188, 37 (CT IV 42). «S. hat einen Bruder gegeben» (ab.) Bu 88- 5-12, 200, 2. 91-5-9, 333,35. 707, 21 (CT II Ko, 27e NA Ey) 2 Sin!-ahé-bullit «S., erhalte die Brüder am Leben!» #Sin\-ahè-erba «S. hat die Brüder gemehrt» (nb). @S1-PAPM_-SU (as.) K 122 rev. sz. 405, 23. — bi. anms, bei Herodot. Yava- xaoıßos. 7 Siu -ahé-iddin «S. hat Brüder gegeben». #Sin-à-eres. . 2 Sin!-ahé-$ullim «S., erhalte die Brüder unversehrt». ASin\-ah-iddin «S. hat einen Bruder ge- geben» (nb.). 7.S.1-SES-SE-na (as.) K 821 rev. 5 (HABL 447). 2 Sin’-Ah-i-din-nam (dass, ab.) Bu 88-5-12, 636, 11 (CT IV 42). X Sin'-ah-Sub-Si «S., rufe einen Bruder ins Leben!» 88-5-22, 123. Sin!-ah-usur(PAP-PAP) «S., schütze den Bruder!» (as.) 83-1-18, 328 (JADD 194). . 2 Sin*-a-ia-ba-iddin(? ÅS) (ab.) KLH 15, 4. T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. 27 (Sin) 30. Si-in-Alik-päni(® DU-ST) «S. geht voran» (as. Skl) K 1563 (JADD 247). 7 Sin-ana-bitisu (abgek.). 2 Sin'-apil-Sarri-usur «S., schütze den Sohn des Königs!» 2 Sin'-aplu-iddin «S. hat einen Sohn ge- geben». . 2 Sin>-aplu( T UR. US)-idinnam (dass. ab.) VATR 1473 (MBAP 111). 1 Sint-âsà «S. ist Arzt» (ab.) B74 (MBAP45). | 2 Sint atarid (MAS) «S. ist der erste» (as.) Bu 89-4-26, 7 rev. (JADD 60). 7S.'-a- $d-rid (ab) B 71. VATh 948 (MBAP 34. 77). Si-na-tum (ab.) Bu 91-5-9, 483, x (CT VIII | 36). VATh 762 (MBAP 105). Sön!-za-tum Bu 91-5-9, 360, 27 (CT II 31). ‘Sznt-na- tum Bu 91-5-9, 511 (CT VI 32). Sin?-tum Bu 88-5-12, 332, 2. 91-5-9, 286, rev. IV s (CT II 15. VI 18). Vielleicht gehört hierher auch Sz-a-at (Dr P 72, 4), Si- alia-a-tu| zum (nb.). Sin'-ba-la «S. ist gross» (ab.) Bu 91-5-9, 2176a, 35 (CT II 44). . 2 Sint-balat(TT)-su-1g-61 «S. hat sein Leben geheissen» (as) K 724. 83-1-18, 21, 18 (HABL 839). #2 Sjn!-ba-na (= *83230) BE IX. 7 Sin%6-Ba-ni «S. schafft» (ab.) Bu 88-5-12, 172 (MBAP 50). 91-5-9, 381, 10 (CT II 37). # Sin-bani-alu-d-a meines Bruders» (nb.) 82-5-22, 131. X Sin!-bani-bel «S. ist der Schöpfer des Herrn». 7 Sin\-bar-hi-ıl2D) (nb.) KK 1550. 5380. Sin!-be-el-ap-lim «S. ist der Urheber des Sohnes» (ab.) Bu 88-5-12, 699. 705, 24 (CT IV 7. 46). S.l-Ge-/a-ap-li Bu 91-5-9, 394, »8 (CT II 40). 7,5.1-2e-et-ap-Dirw| TUR. US Bu 88-5-12, 3. 91-5-9, 270, 16. 88-5-12, | 701, = (CT VIII 1. VI6. IV 17). (2) Sinl46e-el-11(NI. NT) «S. ist der Herr | der Götter» (ab.) Bu 91-5-9, 381, s. 387,21 (CT II 37. 39). 2 Sin!-bél-usur «S, schütze den Herrn!» (nb). S.1-52- PAP (as) JADD 216, 2. No. 2. «S. ist der Schöpfer | C3 (Sin) [#2] in 40. 45. 50. Sjn’-bi-la-ah(?) «verehre S.!» (ab) VATh 817 (MBAP 82). . 2 Sint-bi-la-nu(?) «S. ist unser Herr» (ab.) VATh 642 (MBAP 5). il Sjn2-bus-la-na-sir (ab.) B 88, 25 (Warka 60). 3 Sin!-bullit-su «S., erhalte ihn am Leben!» BE IX. i Sjn'-da-a-a-inlda--in «S. schafft Recht». X Sin’-daianu(DI.TAR) «S. ist Richter» (ab.) Bu 88-5-12, 346 (MBAP 10). 3 Sin!-da-ma-qu = dàmiqu) «S.ist gnädig». Sin\-di-nam-di-ni «S., schaffe Recht!» (ab) Bu 91-5-9, 2181, s» (CT II 46). 2 Sin*-di-nam-i-dil-in) «S. hat Recht ge- schaffen» (ab.) VATh 646/7 (MBAP 53). 2 Sin\-di-ni-ipuÿ «S., schaffe Recht!» (nb) K 828 rev. 5 (HABL 291). Sin*2-dul-lum-ma K 1134. it Sjn'-düru «S. ist eine Mauer» (b.) K 1941. il Sin!-dår-usur (PAP, ahi?) «S., schütze die Mauer!» (as) K 186. 2 Sijn4-e-mu-ka «S. ist dein Oheim (Ver- wandter, Genosse) (ab) VATh 847/8 (MBAP 99). Sin!-e-mu-ki «S. ist Kraft»(?) (ab.) Bu 88- 5-12, 616, > (CT II 16). Sin’-e-mu-süu «S. ist sein Oheim» (ab.) Bu 88-5-12, 3 (CT VIII r). "SZyi-e-bu-Xí& «S. hats gethan» (ab) Bu 88-5-12, 345, 2 (CT IV r4). #Sin\-erbalriba «S. hat gemehrt» (nb.). 0D S. 4-e-ri-6a-am. (ab.) Bu 88-5-12, 185,25. 215,18 (MBAP 31. 4). 7S.*-z-ri-da-am (ab.) B 44 (MBAP 108). S.!-er-ba-am Bu 88- 5-12, 705,35 (CT IV 46). X Sin\-eres (nb). ASKAN? (ab.) B 70, 22 (MBAP 27). 7.5.1-e-7;-2$ (ab.) Bu 88-5-12, 769, 24. i Sin!-etir «S. schont». 2 Sin’-ga-i-is(?) (ab.) B 54, 22 (MBAP 46). . ZSin!-gåmil «S. schont» (nb). SA ga-mil (ab. Bu 91-5-9, 301, 32 (CT II 22). mi-il 2188, 34 (CT IV 42). #Sini-cim(e)-la-an-n «S., schone mich!» (ab) B 73 sr (MBAP 78). KLH 9, s. 35 -Q0yy- ga 274 (Sin) Sin’-ha-zi-ir «S. bewahrt» (ab.) Bu 91-5-9, 338, 32 (CT II 28). 2 Sin!-ibni «S. hat geschaffen» (nb). '^S.!- zb-nu (b. Sargon St. Ii. 7,S.1-20-n2 K 4426, IL 13 (VR 44). 7,.5.4-:0-u2 VATh 781 (MBAP 18). 7 Sin!-iddin «S. hat gegeben». 60. @) Sinb»*-i-di(-i) (ab. Bu 88-5-12, 229, 32 (MBAP 7). 91-5-9, 327, 25. 414, so (CT VIII 28. VI 28). (2) Sin »»A-i-din-nam| MA. AN. SUM «S. hat | gegeben» (ab. Bu 88-5-12, 185, s, 22. VAT 799, » (MBAP 31. 19). Bu 91-5-9, 570 À, e (CT VI 39). Sin*-i-din-na-as-sü «S. hat ihn gegeben» (ab.) Bu 91-5-9, 704, 22 (CT VI 36). "HSIni-b-ba-Yd ..... 83-1-18, 695, IV 19. 2 Sin!-iksur «S. hat bewahrt». 65. €D.S75^8-7/-a-a «S. ist mein Gott» (as) KK 400, 15 (JADD 83). 1065,» (HABL 528). 9) Sin'»*-illatu «S. ist Stärke» (ab.) Bu 91- 5-9, 428, 25. 317, 2 (CT VI 30. 19). #Szni-illat-zu «S. ist seine Stärke» (ab.) Bu 91-5-0, 2177 A, 26 (CT VI 40). 2 751-;/;(7) «S. ist Gott» (nb). 75.5677 QVI.NT) (ab) VATh 643 (MBAP 55). Bu 91-5-9, 332, 29. Sin!-ili-ba-ni (ab.) Bu 91-5-9, 729,»s (CT VI 38). 70. #Sin-ilu-ku?-ni (ab. Bu 91-5-0, 2173, 1s = Knut Tallqvist, CT VIII 45, vel. DAICHES p. 80. 7 Sin*-im-gur(-ra)-an-ni «S. hat mir Gunst erwiesen» (ab) Warka 9,12. Bu 91-5-0, 279: (EI WALD), X Sin\-imittu «S. ist die rechte Seite (Glück?)» (nb). Vgl. #S4--y7-# (ab. Bu 91-5-9, 2462, 21 (CT VI 7). Sin I-2-27n-ma-tim (= Sin-fn-máti) «S. ist das Auge des Landes» Bu 88-5-12, 157,75 (MBAP 91). 7S.4-z-na-ma-tim Bu 88-5-12, 645, 12 (CT IV 38). (0) Sin båg ki-Sa(-am) «S. hat geschenkt» o (ab.) Bu 88-5-12, 188, 28; 91-5-9, 286, rev. | II (CT IV 13. VI 16). und bb, 23 (MBAP 30). 82-9-18, 220aa | (Sin) 75: 80. 85. 90. 95: Sin\-i-ra:-ga-am (ab.) Bu 88-65-12, 45, 27 (MBAP 36). Vel. Altisr. Übers. p. 73. X Sin>-irammu(? KT. AKA) «S. erbarmt sich» (ab.) VATh 755, ı» (MBAP r6). 7 Sin-iriba, vide * Sin-erba. X Sin’-i-si-el-i «von wegen S. wird er hoff- nungsvoll sein»(?) DAICHES p. 86; ab. Hmrbi) Bu 91-5-9, 44, 20 (CT VIII 22). (7) Sin'»I-i5-me-a(-an)-ni «S. hat mich er- hört» (ab. Bu 91-5-9, 286, II 24; 88-5-12, IO (CT VI 15. VIII 2). Sin 4-z3-7:2-n (ab) VATh 642 (MBAP 5). Bu 88-5-12, 265, 31 (CT IV 16). X Sin\-it-tan-nu «S. hat gegeben» BE X. X Sin!-itti(?)-a «S. ist mit mir». Sin'-i-ti?-ra-am (ab. Bu 88-5-12, 703/4, 22 (MBAP 06). #Sin-i-tu-ra-am «5. hat sich gnädig zu- gewandt» (ab.) KLH 42, 15. "Sin’-is-zu «S. ist furchtbar» (ab.) Warka 102,9 (MBAP 98). X Sn*-ba-la-ma-i-di «S. ist allwissend» (ab.) Bu 88-5-12, 404, 4 (MBAP 14). X Sin!-kar(ä)bi-iSi)me «S. hat mein Gebet erhört» (nb.). .Szu-£a-raó-23-14e Mrdchbldn St. V 1» (vgl. ZA VII p. 190). iSin!-kåsir «S. bewahrt». )Sin'*-ka-Si-id (abgek. etwa aus .Sza- kaSid-aiabi; ab.) Bu 88-5-12, 681, 2e 91-5-9, 364, 24 (CT IV 45. VI 22). 2Sin!-kisir (= kisir < kåsir) «S. stützt». unter- X Sin\-kitri «S. ist Bundesgenosse». Sin*-la-as-te? (ab.) B 65 (MBAP 39). Sin '-l/a-Sad-na-an «S.ist ohne Gleichen» (ab.) Bu 88-5-12, 713, 30 (CT IV 48). X Sin*-U-e-i «S. ist mächtig» (ab) Bu 88- 5-12, 711, 32 (CT IV 47). 2 Sin’-U--i-kul-la-t «S. ist allmächtig», Übers. eines altsumer. Namens K 4426, II 1« (VR 44). Sin'-l-kit-ma® (ab.) VATh706 (MBAP 79). MSin\-li-Sr|GIS «S, möge er (der Neu- geborene) gedeihen!» (BELZER, BzA II D'ASO0) BE EC X ROIWATIEAPISDZ/ZNSINI p.567 liest Sin-ustesir. T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. 275 (Sin) 105. 110. s. ISin-li-ve-ir (abgek. aus *Zffi-Szn-lumir ; ab) KLH no. 13,13, vgl. BzA IV p. 489. | (2) Sin l-Zu-ud-lu-ul «dem Sin will ich mich ergeben» (ab.) Bu 91-5-9, 338,27 (CT II 28). VATh 766, ;s (MBAP 70). (7) Sin lna-cir Bu 88-5-12, 713, 26. VIII 3). 55, s (CT IV 48. . 2 Sin’-ma-lik «S. ist Berather» (ab.) Bu 91- 5-9, 2378, 18 (CT VIII 38). «S. erweist Gnade» (ab.) | Sın\-mät-ibni «S. hat das Land geschaffen» (as) K 309b, 1« (JADD 27). 2) Sin S 1-55:-ba-[i-1f «S. erhält am Leben» (ab.) Bu 88-5-12, 290, s (MBAP 32). 60,15. "Sin\-mudammig-unninu -napistim-iddin? ZI-MU) «S. hat ein Lebewesen gegeben» (ab. Bu 91-5-9, 280, rev. 60 (CT VIII 25). *S-ZI-MA. AN. SUM KLH Ar, e. "Sini-na-af-3e-ra-am «S., werde wieder gut!» (ab.) Bu 88-5-12, 719,2 (CT VIII 16). | “Sin\-nasir «S. schützt» (nb). No. 2. HS 2ya-si- | (Sin) 20. Sin!-nåri «S. ist Licht» (nb.). irlsir (ab) VATh 990, ;. Bu 88-5-12, 234, 19. 346, 1 (MBAP 3. 10. 58). ” Sin!-na-si «S. erhebt» (ab. Bu 91-5-9, 1725 NCA VITAE) i Sin -na-ve-ir «S. ist hell» (ab) B 32, »3 (Warka 99). SI-in-ni-gi-ia(?). 7 Sin’-ni(?)-ta-pa-du (ab (CN) .) Bu 91-5-0, 364, 17 Vgl. Si-”- nu-ri (as.) K 400, 11. # Sin!-nu-Ur-ma-tim «S. ist das Licht des Landes» (ab.) VATh 755, 5 (MBAP 16). i Sin\-nu-kr-"Samas «S. ist das Licht des Sonnengottes» (ab.) Bu 91-5-9, 408, (CT VI 30). i Sin?-påni-alik(-ST-DU) «S., gehe voran!» (ab.) B 63,28 (Warka 36). Bug1-5-9, 2421,4 (CT VI 44). Sinl-pa-ti «S. öffnet» vgl Gn. 20, 31) (ab.) Bu 91-5-9, (CT VI 42). ? das Mutterleib? 2470, 22 . XSin’-pa-te-ir (= påtir) «S. spaltet (das Leib der schwangeren Frau) (ab) B 54, 2; (MBAP 46). (7) Sin A-5i-di-ma «S., lóse!» (ab. Bu 88- 5-12, 58,29 (MBAP 35), 91-5-9, 2188, 29 (CT IV 42). “ Sin‘-pi-lat-ah (ab.) B 44, 2 (MBAP 108), vgl. no. 34. 7 Sin?-pi-lu-li-ki? “ Sin'-pir-hi-ukin(DU-in) «S. hat einen Sprössling bestellt» (as.) K 167, 7 (HABL 1). Vgl. BzA II p. 22. . (2) Sin "A-pu-ut-ra-am «S., spalte (das Leib der Frau)!» (ab.) Bu 88-65-12, 31, 17. Warka 9, 7 (MBAP 103. 41). "Spi iya-ba-amra-bi «S. ist gross» (ab) Bu 88-5-12, 218, 6 (CT IV 15) VATh 817 (MBAP.82). K 4426, III 57 (= “SES.K1- GU-LA). - “Sin’-reü «S. ist Hirt» (ab. Bu 88-56-12, HAS WEIT IB 49). #Sinl-yi-man-ni «S., erbarme dich mein!» (as. Bu 89-4-26, 131 (JADD 506). S.1- LID-ni K 394 (JADD 47). 25 276 Knut Tallqvist. (Sin) G) Sin »A-ri-me-ni «S. ist barmherzig» (ab.) VATh 642. 1109 (MBAP 5. 12). . Sin!-7i-15 (abgek., ab.) Bu 91-5-9, 2193, 12 (CIE NVIUL 2» Sznl-sa-su...? (as) K 1498 (JADD 288). 2 Sin-si-pi-di (ab) VATh 1473, 1 (MBAP 111). HOMMEL in PSBA XIX p. 31:5: Sin-zi-ia-di. X Sin’-sa (ab. MBAP 41. 2 Sin>-Sadü(a) «S. ist (mein) Hort». 140. 145. ISO. 7 Sin b >»I-Sadüumu «S. ist unser Hort». 2 Sin’-Sallimanni «5., bewahre mich unver- sehrt!» (as) 7S.1-D/-an-mi| Var. -Sal- lim-anla-ni Epon. 747, MIR r, IV 22 mit Var. K 326 (JADD 412). Sin !-Sd-Iu(?)-ul (ab.) Bu 88-5-12, 679, so (CT IV 44). 2 Sin!-Sa-am . (MBAP 36). (ab.) Bu 88-5-12, 45 | Sin!-Sa-mu-uh (ab.) Bu 91-5-9, 2176A, 3 | & X 91-5-9 7 (CT II 44), vel MBAP 27, ır. 109, 32: 7S: 1-Sd- mi u- t. 89, 32. | 2 Sin'-Sar-ahesu(MAN-PAPEP-Su) «S.ist der | Konig seiner Brüder» (as.) K 4692 (JADD | 45). 2 Sin)-Sar-bullit «S., erhalte den König am Leben!» X Sin!-$är-ibmi «S. hat den König geschaf- | fen» (nb). 7.,5.1-MANIKAK (as.) KK 1255. | 6223. 2 Sin!-$är|/MAN-ilåni «S. ist der König der Götter» (as) KK 8754 rev. 15 (J ADD 261). 1350, II 38. ZSin!-$är-is$kun «S.hat den König bestellt» (as. König c. 606 — Yaoazoe. 2 Sin’-Sar-ma-tim «S. ist der König des Landes» (ab.) Bu 88-5-12, 172 (MBAP 5o). | X Sin!-$är-usur «S. schütze den König!» (nb). S1-MAN-PAP, -u-zu-ur (as) KK 179,7. 320, ss (ADD 2 318) = Ic. 2 Sin!-Sa-tin2-Sum? #2) Sin '»I-Se-me(-e), -Se-mi -Si-me-e (ab.) Bu 88-5-12, 45 (MBAP 36), 225, e. 713, 25. 91-5-9, 414,25 (CT II 13. IV 48. VI 28). VATh 759. 1109 (MBAP 23. 12). # Sin!-Simanm «S. höre mich!» (Sin) 155. 160. 165. X Sin>-Sü-me-en(?) ab. VATh (MBAP 49). Sin'-Sum-iddin «S. hat einen Abkómmling gegeben» (as.) 83-1-18, 328 rev. > (JADD 194). d Simi -Xm-litir(-SI. DI. NECS) «S., möge der Abkömmling Gelingen haben!» (as.) K 6065, 6332 (JADD 649. 650). X Sin-tab-ba (abgek., ab.) Bu 91-5-9, 387, 29 (CT II 39). 2 Sin!-tabnilu (abgek.). #Sin\-tabni-usur «S., du hast geschaffen, schütze!» 1468/9, 2 (2) Sin'!-ta-ia-ar(-ma) «S. ist gnädig» (ab.) Bu 91-5-9, 371, 1. 585 (CT VI 2r. 32). X Sin\-tak| Var. ték-lak (abgek. aus Ana- Sin-tak-la-ku, as), Epon. 739, III R r, IV 30. #Sinl-tagila-bullit «S., erhalte am Leben den du schenktest!» (nb). 7.8. !-/a-ki-$a- bäl-lut K 4426, III 53 (VR 44). Sin!-tagis(? BA)-u-sur (ab) VATh 967 (MBAP 60). #Sin'-ta-qu-nu (nb.) BE IX. Sin'-tu-kul-t «S. ist Helfer» (ab.) Bu 9r- 5-9, 2484, 27 (CT VIII 49). #Sin'-tultabÿi-lifir «S., du hast (ein Kind) ins Dasein gerufen; móge es Gelingen haben!» #Sinÿ-uballit «S. hat ins Leben gerufen» (nb). 4*4. 5A-BA.TT.LA Nd M 27, 2. (as) 81-2-4, 95, 4 (HABL 505). Sin'-u-bar-ia «S. ist mein Genosse» (ab) Bu 88-5-12, 705, 27 (CT IV 46). . Snl-udb-lam «S. hat gebracht (ein Kind)» (ab.) Bu 91-5-9, 381,57. 2421, 56 (CT II 37. VI 44). Vel. DAICHES p. 42. 2 Sin!-udammig «S. hat Freundlichkeit er- wiesen» (?). i Sin\-unammir «S. hat erheitert». £i Sin\-u-nu = Sinimu «Schwalbe». Sın!-Upik-ia (ab.) Bu 91-5-9, 2498, 19 (CT VI 48). Sin\--si-li «S. flehte ich an» (ab) Bu 91-5-9, 331,24 (CT II 25). Vgl. DAICHES p. 83. T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. (Sin) 175. 180 IT. 185. 190. Sin!'-2t-$e-bi «S. Kind) hervor- 88-5-12, 33, 22 hat (das gehen lassen» (ab.) Bu (CT VIII 50). X Sin!-utaggin(? LAL-in) «S. hat Festigkeit verliehen» (as.) K 371 rev. 9 (JADD 273). i Szni-%-51(-e1)-/ (ab.) B 7o. 71 (MBAP 27. 50). il Sin?-sanig-piKA-GI. NA) «S. verschliesst den Mund» (ab) Bu 88-5-12, 725, 2 (CT IV 49). Sin'-za-gap-pi (as) 83-1-18, 339 rev. z (JADD 246). "Sin'-za-gip «S. richtet auf», Probename 83-1-18, 695, IV 20. “ Sin'-zör-ibni «S. hat Nachkommenschaft geschaffen» (as.) K 337,5 (JADD 19). i Sin\-zir-Usir «S., möge die Nachkommen- | schaft gedeihen!» Sin '-zu-za-nu-um (ab.) Bu 91-5-9, 2485, 10 (CHUTES); An zweiter Stelle: Amåt(KA)- Sin? (abgekürzt * Usur-amát-Sin; ab.) Bu 91-5-9, 2439 À, 4 (CT VIII 47). Amel Sz? «Diener S:s» (ab) K 4426, I 12 (VR 44). IV 17). .A-ve-4-7"5S. KLH 15, 18 Vel Amel! Sini-ka N ATh 642,26 (MBAP 5), etwa Bu 88-5-12, 701, 23 (CT | aus | AmelSini-LAZ NATh 755,22 (MBAP 34). A-na-"' Sin!-e-mi-id (ab.) B 52, 29 (Warka 25). A-na-! Sin’-ta-ak-la-ku «auf S.vertraue ich» (ab.) Bu 88-5-12, 327, 8, 13 (CT IV 26). A-pil?-@) Sinl4 ab. König. Ardi-" Sin! «Knecht S:s» (nb.) K 485, 3 (HABL 101) (as). Ardi-“ Sin! (ab.) 88- 5-12, 234, v (MBAP 3). Vel. Ardi- Sin!- LAL (ab.) MBAP Ar, zz. Ardi-" Sin’-Sadi? | A-ta-mar-" Sin! «S. hab’ ich gesehen» (ab.) Bu 88-5-12, 180, 25 (CT IV 10). Ba-ni-" Sin! «S. schafft» (ab.) VATh842/3, ze (MBAP 110). Bur(-tr)-Sin\ (ab) Bu 91-5-9, 2191, 5 (CT VI 43). 2Bur-Sin, vgl. BzA Il p: 622ff. Dam-ki-" Sin! «gnädig ist S.» (ab.) Bu 88- 5-12, 58,32 (MBAP 35). No. 2. | 210. t2 SI ST (Sin) 195. t3 o ui il Ea'-"!Sin?-ibni «Ea hat den Mondgott ge- schaffen». En-nam-")Sin"* (ab.) Bu 88-5-12, 222, 19 (MBAP 37). 769, 22 (CT II 17). Erba- Sin! «S. hat gemehrt» (nb). JE-z- ib- Sin! (ab.) Bu 91-5-9, 301, 20 (CT II 22). Gimil(SÜ)-"Sin! «Gabe S:s» König von Ur IR 3, XL Gewöhnlich Gåmil-Sin ge- lesen. I-bi-Sin! (ab.) Bu 91-5-9, 2463, 27 (CT II 50). . Ib-nmi- Sin? «S. hat geschaffen» (ab. Bu 88-5-12, 458, : (MBAP 20). Jddin-! Sin? «S. hat gegeben» (nb). /din- 49.4 (ab) B 54 (MBAP 28). Ig-mi-@)Sin‘* «S. hat verschont» (ab.) Bu 91-5-9, 2181, s. 88-5-12, 10, 2ı (CT II 46. VIII 2). I-ku-bi-" Sin! (ab.) Bu 91-5-9, 2378, 3 (CT VIII 38). I-ku-un-ka-" Sin! (CERNIT 2): (ab. Bu 9r-5-9, 545, 6 . Ila-ka-" Sin! «dein Gott ist S.» (ab) Bu 88-5-12, 471, (MBAP 64). Dnbi-# Sin! «S. hat berufen». Im-gis (2)- Sin! (ab.) Bu 88-5-12, 711, se (CT IV 47). Jnu-gur-6D.Sz75*3 «S. hat Gunst erwiesen» (ab.) Bu 91-5-9, 2181, »» (CT II 46), 88-5- 12, 346 (MBAP 10). Ini-li-i&-".Sin* «S. hat. entschieden» (ab) Bu 88-5-12, 295,5 (CT IV 23). Zm-Z£- 7.5.4 Bu 91-5-9, 318, 27 (CT IV 50). Ine- Sin! «Auge Sins»(?) Sm 1224. /-ne-",S.* alter König von Ur, s. HILPRECHT, ZA VII p. 343f, LEHMANN in ZA X p.94, DELITZSCH, BzA II p. 626, RANKE p. 28. Vgl. no. 199. Ip-tu-ur = lptur)-“ Sin! «S. hat (das Leib der Gebärerin) gespaltet» (ab.) Bu 91- 5-0, 586, 3 (CT VI 33). I-ki-is-" Sin! «S. hat geschenkt» (ab) Bu 91-5-9, 2439 A, 6 (CT VIII 47). Fri-ba-am-" Sin! «S. hat gemehrt» (ab.) B 71 (MBAP 34). Isdi-" Sin «ein Fundament K 1359, II 36. ist S.» (as.) Knut Tallqvist. 278 (Sin) 215. IS-me-Sin! «S. hat erhórt» (ab.) Bu 91-5-9, 381, 32. 690, 12 (CT II 37. VI 35). Itti-" Sin! (abgek.). It-t) KISin*-ki-in-ninum (ab.) Bu 88-5-12, | 699, 23. 685,22. 9I-5-9, 316, 25 (CT IV 7. VIII 15. 26). Kalbi-" Sin? «Diener S:s». | Ka(Pi?)-Sa-"Sin! (ab) Bu 88-5-12, 58 (MBAP 35). 220. Ar-" Sin! abgek. etwa aus "Mannu-ki- Sin. Kıdin-" Sin‘ «Unterhan S:s». Kısad-Sin, s. RANKE p. 27. Ku-dur-Sin! (ab. Bu 91-5-9, 2518, 9 (CT . VI 49). Li-bi-it-@) Sin bt «Werk S:s» (ab) Bu 88- | 5-12, 680, 28. 713, 29 (CT IV 45. 48). 225. Lu-ud-lu-ul-SSin! «S. will ich ergeben sein» . Nür- Sin bt «Licht S:s» (nb.). (ab.) Bu 88-5-12, 332, 25 (CT II 15). Lu-uS-ta-mar-Sin! «ich will S. verehren» (ab.) Bu 91-5-0, 331, x. 332, 26. 338, 25 (CT II 25—27): Ma-du-ta-" Sin\-1$-[ku-un] (ab) Bu 88-5-12, 234 (MBAP 3). Makkür-"Sin? «Eigenthum S:s» (ab. Bu | 88-5-12, 645, 3 (CT IV 38). Mi-ig-ra-at- Sin‘ (ab.) B 71 (MBAP 34). | (Sin) a-bi-G Sin 4 «S. beruft» (ab.) B 65 (MBAP | 39. KLH 42,17. Bu 91-5-9, 380,7 (CT | VIII 26). N& id(1)-#Sin\® BE IX. ist S» (nb) «erhaben Na-ram-" Sin! «Liebling S:s» (ab.) König. | Ne-me-el-” Sin! «Besitz S:s» (ab. Bu 88- 5-12, 760, s» (CT II 17). Ni-id-na-at-@) Sin 1 «Gabe S:s» (ab) Bu 88-5-12, 183, 21. 295, z; (CT IV rr. 23). Bit LAH- 45.1 (as) K 93 (JADD 891). Pu-tu-ur-Sin! «spalte (erlóse?), o S.!» (ab.) Bu 88-5-12, 7034 (MBAP 96). Oat-Sin könnte aus /na-gät-Sin-Sakin oder dgl.abgekürzt sein (vgl. HILPRECHT, Assyr. p. 105) ist aber nicht mit Sicherheit be- legt. Für SU Sin s. Gimil-Sin. Ra-bu-ut-Sin! «Hoheit S:s» (ab.) Bu 88- III. 253. 1-12, 157,28 (MBAP Qr), 91-5-9, 372, »2 (EMI AD! ? Ri-im-" Sin! (ab.) König B 5r, ıs (MBAP 1). . Sull-Sin! «Schatten S:s» (abgek, as) K „1474 (JADD 204). ; Sa-" Sin? vielleicht abgek. aus Sa-Sin-ÿ «dem S. gehört er» (ab) VATh 863,5; (MBAP 38). Sang"! Sin! «Priester S:s». Sar-ru-nt-" Sin «Majestät S:s» (RANKE p. 27; ab.) Bu 91-5-0, 280, 2 (CT VIII 25). Se-ip- Sin! (abgek. etwa aus *S29-Sin- asbat «den Fuss S:s hab’ ich erfasst», ab.) B 71, 2; (MBAP 34). KLH 16, s. : Sü-mu-uhlüh- Sin Va «die Pracht S:5» (ab.) Bu 91-5-9, 2477 A, 17. 2492, 22 (CT VI 46. VIIT 39). Vgl. DAICHES p. 51. Ta-ra-am-" Sin! «du erbarmest dich, Sin!» (ab.) Bu 88-5-12, 405 (MBAP 84). U-bar-" Sin! «Genosse S:s» (ab) B 65,24. 71,30 (MBAP 38. 34). Zi-kär-ka-" Sin! (ab.) Bu 91-5-9, 318,4 (CT IV 50). An dritter Stelle: Bel-napistim-Sin! «Herr des Lebewesens ist 5.» (ab.) Bu 88-5-12, 677, 17 (CT IV 44). . E-ul| E-te-el-p (KA, bi)-" Sin! «erhabenen Mundes ist S.» (ab.) Bu 88-5-12, 318, 18 (CT IV 25) MBAP 98. 91-5-0, 2378, ı7 (CT VIII 38). Ma-nu-um-ba-la-Sin‘ «wer ist (= kann be- stehen ohne S.» (? ab) Bu 9r-5-9, 2193, z; (CT VIII 42). Tàb-Xàr-Sin! «gut ist der Odem S:s» (as.) Epon., IIIRı, VI is. Za-an-bil-ardi-" Sin! (ab) B 57, 39. " $u-ti-tum|ti, in Ardi-" Su-ti-tumjti. “Sar-pa-ni-tum «die Strahlende», Gemahlin Mar- IE 2. duks; auch *4Z4G.EZU (BL 9906) ge- schrieben? Nbp M II 12,8 Nk 247, 20. 283, 24. 368, v. 416,8 Nd 697, s. NdMII [49, 3]. Cr 183,15 Dr 551,16 — In Per- sonennamen an zweiter Stelle: Ardi"AZAG.EZU? Sz-hir-"Sar-pa-ni-tum ="ERU BL 11484) T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch, 279 (“Sar-pa-ni-tum) Übers, eines altsumer. Namens K 4426, III 33 (VR 44). "SUB, Lesung unsicher, kaum .Sz; zu lesen und IO. TT. mit der biblischen Gottesbezeichnung "x zu kombiniren, die auch in sydarabischen Namen sowie als 777; in assyrischen Namen vorkommt (für Belege und Litte- ratur s. KA? p. 477). Wenn man auch in Namen wie "SUR-"^Sz, Bur-"Ra- ma-na etc. mit der Bedeutung «Spross» auskommt (vgl. DEL. in BzA II p. 622 ff), liegt doch ein Gottesname (ZZ?) in den folgenden Namen vor. . ISUR-ahè-usur. USU RK-àh-iddin. "SUR-a-ha- (vgl. no. 8). UVSUR-Óalát- .... . "SUR-ibni (nb.). Probename 83-1-18, 695, XII 24. "SUR-ma--a-di Probename 83-1-18, 695, XII 25. NI S UR-natanu. SI SUR-ra-Pa-. VSUR-Sàr-usur. 2 SUR-Sim-iddin(ÄS) Probename 83-1-18, 695, XII 23. VSUR-usallim. Sá |a, Sa-/a die Gemahlin des Addu-Rammän. lE T II. 5 I* Nbp M II i2,1. NkCTIV 38, s» Nd | [320, 10.] 476, 13. 673, v. 604,23. 606, 26. 699, 17 826,12. CK 7 8 116,9. 185,81. 186, 10. 189,923. 20I,14 232,9 241, 21. 289, 12. 383,4. Cb 413,16 414,10 — In | Personennamen: An erster Stelle: FH Sa-la-bêl-biti. Sa-la-bel-Su-nu (as) K 4754, VIII 1 (JADB). Vgl. K 270, rev.r2 (JADD 160, III p. 268). An zweiter Stelle: Ib-ku-GD$Sd-la (ab. Bu 88-5-12, 47. VATh 698 (MBAP 42.72). Ibik-"Sa-la Bu 89- | 5-12, 705,3 (CT IV 46). 2$amas, der Sonnengott; geschrieben: 1. X, 2. »T- ET exe 3. (IL 4. FB ot, phonetisch Sa-mas, ar. WO s. unten. No, 2. (? Samaÿ) Nbp M II 9. 11. 12, 4. 15. NbpP 2,2. Nbp ZA IV 4,2. 8,5. 16. Nk 23, 5. 63,2. 73, u. 98,3. IO2. 104,4. 205. 208,2. 209. 213. 233,2. 240,3. 280,8. 312,6. Nk CT IV 38. Noa 4950.18. 46,2. 47,2 65,3. NA DORA UD AG. 79,8 TEE, 172,018: 283 11022010. 351,4. 342. 351. 373,2 410,5. 428. 448, 2 483. 497. 505f 539. 542. 547,4 558. 599. 636,2. 643. 660, 3. 690, 14. 692, ». 604, s. 696, 5. 699, 5. 726, 4. 745,2. 788,2. 780, 2. 826, 4. 835. 846, 2. 848, 3. 880,2 883. 907. 934. 936. 954, 2. 958, 8. 987, ». 990, 7. 999, 9. 1015, 5. NdM II 46. 49. Cr 7,5. 26, 5, 12. 31, 2. 40. 54, 3. 50, 3. 62, 2. 73,8. 90. 96, 2. 99. 100, 4. 158. 173,2. 175f. 180. 185,5. 186,4. 180,4. IOI, 6. IO7, 3. 200. 20I, 5. 202,5. 204,3. 211. 225. 232,4. 233. 241, 5. 255, e. 272. 280, 2. 293,7. 313,11. 350, 2. 358,2. Cb 42. 48. 49, 4. 57. 66,2. 93,3. 126,4. 131. 136, 2. 148,8. 156,4. 225. 267,4. 312,6. 344, 5. 382, 2. 402. 413,4. 414,5. 415, 5. 417, 2. 426,7. 439,2. Dr 9, 2. IO, 19. 40. 43. 62, 5. IIO. 180. 198. 427. 433, 7. 436,4 553,4 DrPi7,2 — In Personen- namen: I. An erster Stelle: I. (2)$amas-(a)båril. «S. ist Stärke» (nb.). Vgl. 2S.1.ZI, Probename K 241, VI 22. 1 Samas'-a-bi-tu «S. ist Befehl» (ab.) VATh 926 (MBAP 94). 7Samas’-abu-u-a «S. ist mein Vater» (as.) Epon. 853, III R. r, II ı. K 309a (JADD 207) Probename K 241, VI s. 2Samas'-a-bu-ni «S. ist unser Vater» (ab.) VAT 757/8, 30. 762,3 (MBAP 102. 105). 5. " Sana -a-bu-X& «S. ist sein Vater» (ab.) Bu 88-5-12, 580, s (CT IV 33). i Samas'-abu-usur «S, schütze den Vater!» (nb). ?5.1-4D-PAP (as) JADD 181, 4. 1Samas'-ahe(PAP®})-e-di (abgekürzt; as.) K 350, « (JADD 40. KB IV p. 126). i Samas'-ahe-erba «S. hat die Brüder ge- mehrt». 0 v A . ” zx 2Samas!-ahé-iddin «S. hat Brüder gegeben». EM : À OM Ps D E f IO. "Saunas -afé-Xullim: «S., erhalte die Brüder unversehrt!» 280 Knut Tallqvist. (? $amas) Mp LY t % 2 "Samas-ahe-uSabsi «S. hat Brüder Dasein gerufen». "Samas-ah-iddin (abgek.: Samas-iddin) «S. hat einen Bruder gegeben» (nb). %S.!- | ins | PAP-ÄS (as) JADD III p. 409. Probe- | name K 241, VI se. "Saas-àh-ittanuu «S. hat einen Bruder gegeben». 2 Samas!-ål-rimannu «S. begnadige mich mit einem Bruder!» 2 Sana -af-ugur «S, schütze den Bruder!» | Go, OPEL P? (as) 325 (ADD 141). 2Sa-maÿ-a-a-li (as) K 1498 (JADD 288). 7 Samas!-ak-lu (ab.) Bu 91-5-9, 544, 23 (CT VIII 34). SAPA Bu 88-5-12, 769 (CT INT jy 2Samas'-ana-bitisu abgek. 2Samas'-a-pil-Su-nu (ab.) Bu 91-5-9, 2421,6 | (CT VI 44). | > 2Samas'-aplu-iddin]. «S. hat einen Sohn | gegeben». | 7 Sana -aplu-ukin «S. hat einen Sohn be- | stellt». 2Samas'-aplu-usur «S., schütze den Sohn!» | ? Sama '-a-ram? (ab) V.ATh 828 (MBAP | I3). 2 Sqmas’-a-suk-ni-$i «S. ist eine Schutz- wehr des Volkes» (ab.) Bu 91-5-9, 2477 A,18 (CT VI 46. RANKE p. 27) . #Samas'-asaridu «S. ist der Erste». #Samaÿ-a-Sa-ri-da(id?)-11i(NI. INT) «S. ist | der erste unter den Göttern» 88-5-12, 693, 17 (CT IV 46). Samar -atta-talimu. 2$Samas!- -balat( TI. LA)-zu (abgek.aus Folg.; ab.) Bu 91-5-9, 2455, 18 (CT VIII 42). 2Samas'-balätsu-igbi «S. hat sein Leben geheissen» (nb) Sa-mas- TIN-su-ig-bi (as.) K 84 rev. 20 (HABL 301). (ab.) . 7Samas'-balötu (abgek.). 2 Samas!-bal- lit-an-ni «S,, erhalte mich am Leben!» (as.) K 421 (JADD 623) ? Samas'-ban-ahi «S. schafft einen Bruder». ! Samas’-ban-apli (? KAK-A) «S. schafft K 378 (JADD 90). einen Sohn» (as.) Bu | LE Samas) 40. 43. 50. . 2 Samas'-ban-kalbi(?) 7Saqmas'-ba-ni «S. schafft» (ab) B 57, a. Bu 88-5-12, 234, » (MBAP 43. 3), 269, 77 (CIE) 2 S.3-ba-ni-im Bu 91-5-9, 442,9 (CAD WT re «S. schafft einen Diener». i Samas!-ba-a-ri «S. schaut». 2 Samas'-be-la-ni «S. ist unser Herr» (ab) Bu 85-5-12, 225, 26 (CT II 13). i Samas'-bel- iddin (? AS» «S. hat einen Herrn gegeben» (as. 668) K 387 rev. 5 (JADD 65, III p. 100). it Sama$!-bel-ili(2) «S. ist der Herr der Götter» (nb.). ZS$.!-be-el-NI.NI (ab.) Bu 9I-5-9, 315,23. 368,2». 423,18 (CT II 40. VI 19. VIII 34). 75.1-762-NI.NI Bu 91- 5-9, 938 (CT VI 40). Samaÿ\-bêl-usur «S., schütze den Herrn!» (nb) 75.1-822] Var. -PAP (as) Epon. 865. 852. 710, IIIR 1, Las. Ii V 34. K 358, 1 (JADD 416). i Sama \-bêl-zi-mu (ab.) Bu 88-5-12, 769, ss (CT II 17. VATh 1473, 2 (MBAP rir). Vgl. MBAP 14,14? DAICHES p. 56: -del- napisti- id. 2$SamasY-bi-m-KA-ia — (ab) Bu 91-5-9, 2174, as (CT II 42). 2 Samas'-bullitanni «S, erhalte mich am Leben!» 2 Samaÿ\- bullitsu «S. ., erhalte ihn am Leben!» Sama\-da-ia-an «S. ist Richter» (ab.) Bu 91-5-9, 586, 25 (CT VI 33) 78.1-DV. TAR Bu 88-5-12, 705,4 (CT IV 46). 2 Sama!-da|da"-in-a-ni «S. schafft mir Recht» (as) KK 381. 1379 (JADD 4.57). 2Samas! -dàmiq(u) «S. ist huldvolb. 2 Samas!-dannu «S. ist gewaltig». 7Sgqmas'-dänu «S. schafft Recht» (nb). i/$.1-da-a-an (ab.) Bu 88-5-12, 711, 40 (CT IV 47). 2 Samas-da-ra (as.) 83-1-18, 398 (JADD 89). 2 Samas!-di-m-a-maur «S., lerne kennen den Rechtstreit!» (b. K 764,4 (Hebraica II [3522/1 -déni|dinum-ipuX «S. hat die Sache geführt» oder «schaffe Recht!» T. XXXII. Sama) Neubabylonisches Namenbuch. (/ $amas) 55. 60. 65. il Samas'-dir-a-li-$4 «S. ist eine Mauer seiner Stadt» (ab.) Bu 91-5-9, 2196, 4 (CT VIII 35). il Sama -dür-apli « S Sohnes». Sama -edu-usur «S,, schütze den ein- zigen Sohn!» 2Samas'-e-mu-ki «S. ist Kraft» (ab.) Bu 91-5-9, 365, 22. 368, 1 (CT II 33. 40). 2 Samas'-en-nam (ab.) VATh 780, 15 (MBAP 17). X Samas-en-nam-u-ki-in 364, 30 (CT VI 22). ? Sama '-erba «S. hat gemehrt» (nb.). 75.'- SU (as) K 300,4 (JADD 179). ?S.1-e-z;- ba-am (ab.) Bu 91-5-9, 286, V so (CT VI 17). 2 Sqma$ -eret (nb.). HS 1-KAM-e$ Probe- name K 241, VI 14. i Samas!-est-étir, (ab. Bu 91-5-9, vide Samai-ina-eti-étir. 3 Sama -êtir «S. schont». 2 Samas’-Ötir-napsöäti «S. schont die Lebe- wesen». i SamaS!-ga-mil «S. verschont» (ab.) VATh 1104, zz (MBAP 8). Bu 91-5-9, 705, 20 (CT VI 36). 2Samas’-gu-um-mur (ab.) Bu 91-5-9, 2188,41 (CT IV 42). 2 Samas'- hammıu «S, ist Fürst». 2Samas’- -ha-zi (ab.) Bu 88-5-12, 341, 5 (CT IV 25). i Samas'-ha-sir|zi-ir (ab.) Bu 91-5-0, 565,31; O8 CIN IE 20) i Samas!-hegallu(?) «S.ist strotzende Fülle» (ab. Bu 88-5-12, 58,5 (MBAP 35) Bu 91-5-9, 2518, z; (CT VI 49). . " Sama -i-bi-Yá (ab) VATh 1165, 4 (MBAP 40). Samas'-ibni «S. hat geschaffen» (nb. und as). Probename K 241, VI 15. Samas'-iddin]a «S. hat gegeben» (nb. und as.) K 437 (JADD 242). 2 Samas'-i-din-nam «S. hat gegeben» (ab.) VATh 1246, 1 (MBAP 33). 75.1-BA-AN. SUM VATh 755 (MBAP 16). 7 Samas’-ik-sur «S. hat bewahrt» (as) K 329, 1 (JADD 318). No. 2. ist eine Mauer des | | 80. * 85. 90. (" Samas) 75: i Samaÿ\-i-la-a-a «S. ist mein Gott» (nb). 2S,1-jla-a-a (as) Epon. 819, III R 1, II as. üSa-maÿ-ila-a-a K 334 rev. a (JADD 178). 2 Sama '-il-a-a-bi? i $amas!-illat-su «S. ist seine Stärke» (ab.) Bu 88-5-12, 713,2; (CT IV 48) VATh 1468/9, 3r (MBAP 49). 3 2$amas3-ilu «S. ist Gott» (nb). #S.l-5/" (ab. Bu 91-5-9, 286 rev. II 4 (CT VI 16). VATh 732 (MBAP 15). i Samas!-ilu-ka-m, (ab) Bu 88-5-12, 222, rs (MBAP 37), 91-5-9, 705, » (CT VI 36). Vel. DAICHES p. 80. Sa-am-su-i-lu-na (ab) König. Sama -im-gur-ra-an-ni «S. hat mir Gunst erwiesen» (ab.) VATh 798, 14 (MBAP 54). it Sa-maÿ-im-me (as. Skl.) Rm 189 (JADD 248). 3 Sama(-ina)-e$i-êtir «S. derben errettet» (DELITZSCH, p- 388). il Samas’-i-na-ia «S. ist mein Auge» (ab) Bu 88-5-12, 157, 6 (MBAP 91). 2 Samas’-in(ST)-a-h-i «S. ist das Auge .seiner Stadt» (ab.) Bu 91-5-0, 286, VI a (Cp NAE 2Samas'-in-mätim «S. ist das Auge des Landes» (ab.). 3 S.1-j-in-ma-tim Bu 88- 5-12, 175,30. 91-5-9, 245772 PEE KEIN VI 46). 2S.1-SI-ma-tim Bu 88-5-12, 721,30 (CT IV 49). i $.1-7-5a-ma-tij Bu 88-5-12, 210, 2 (MBAP 95). 2$N-j-im-ma-tim Bu | 88-5-12, 157, 5 (MBAP 9r) Vel. Hır- PRECHT, Assyr. p. 105, RANKE p. 27. 2 Samas!-ipus «S. hat's gethan» (nb.). CAE z-pu-us (ab) KLH 31, e. 2 SamaX'-ig-bi «S. hat geheissen» (as) K 329 rev. is. Sm 1342 (JADD 318. 434). 2Samas’-igifa «S. hat geschenkt» (nb.). Probename K 241, VI s. 7 Sama V-igitanni «S. hat mir ein Geschenk hat vom Ver- BzA III gegeben». 2 Samas!-ir?-$4 «S. ist weise» (ab.) Bu 88- 5-12 » 7434, 17 (MBAP 57: ni-Y4). an «S. ist mein Fundament». 36 Knut Tallqvist, 282 ($amas) 2 Samas'-i-te-e (ab.) Bu 88-5-12, 677,3 (CT N | 2 Samas'-ittta «S. mit mir» (nb) St Kl-ia Probename K 241, VI ro. 95. 2 Samas’-käsir «S. bewahrt». 7 Samax!-Fa-ki-id (abgek. aus Folg. ab.) Bu 91-5-9, 2470, z; (CT VI 42). i Samas!-kåsid(KUR)-a-a-bi | «S. besiegt den Feind» (as.) Epon. 669, III R 1, VI». 7 Sa-ma3- KUR-a-a-bi K 1492 (JADD 310): 7Samas'-kilanni «S., erhalte mich!» (nb.). 2$-ki-la-a-ni (as.) K457 rev.s(JADD 254). 2 Samas'-ki-ma-ili(NT. NT)-ia «S. ist wie mein Gott» (ab. Bu 91-5-9, 286, III ıs 2490, 21 (ETEN TERS VISST): 100. 2 Samas'-ki-in (ab.) Bu 88-5-12, 345,3 (CT IV 14). 2 Samas'-kin-ahu «S. festige den Bruder!» (nb) ZS.DU-PAP (as) K 294, ». 83- 1-18, 134,4 (JADD 324. 321). 2Samas’-ki-nam-i-di «S. hat den Gerechten ersehen» (ab.) KLH 20, 30. 1Samas’-kin-aplu «S, festige den Sohn!» 2Samas’-kin(? DU)-du-gul? (as) Epon. 749, HIR 1, IV »o; vielleicht: Samas-reütsun. 105. 2$Samas!-ki-num = Samas- -kin) «S. ist treu» (ab.) Bu 91-5-9, 286 rev. IV 25 (CT VI 18). 1Samas'-kin-zir «S. festige die Nach- kommenschaft !» | 2 Samas!-ku-mu-u-a «S. vertritt mich» (DAHW p.321; as) Epon. 812, III R r, TII s. #1 Samas?! (Sama ?)-la-di-in | la-din-ni BE IX, X. 2 Samas’-la-ma-. 110. 7Samas’-la-ma-sa-Si «S. ist sein Schutz- gott» (ab.) Bu 9r-5- 9, 2369, 14 (CT VI 44). 2 Samas-li-ib-lu-ut «S., möge das Kind leben!» (ab.) Bu 88-5-12, 685, 25 (CT VARIE ms) #1 Sama?! (Sama$?)-li-in-dar BE IX, X. 2Samas'-U-pi-ir (ab.) Bu 88-5-12, 193, 5 91-5-9, 360, 25 (CT II 31, VIII 7. VATh 762, 20 (MBAP 105). 2Samas!-li-ris (A. SAG; 75718, ss (MBAP 102). ab.) VATh (7 $amas) wich, 125. 130. 135. 1Samas'-h-N-ir «S., möge (das Kind) Ge- lingen haben!» 2 $amas!-lid «S. ist mächtig» (nb.) 75.1-DA (ab. Bu 88-5-12, 185, a (MBAP 31). 7S. 1- ZU (as) K 305, 5(JADD 327), Probe- name K 241, VI 13. iSamas!-lå-dåri «o S., möge er lange leben!» 2Samas'-Iu-mur (ab) Bu 88-5-12, 291, s (CI TITAN. 2$Samas Ina-gir «S. erweist Gunst» (ab.) VATh 766, 5 (MBAP 7o). EM 7 A 5 . V Samasl-marsu(GIG)-usur «S., schütze den Kranken!» i Saura ni-ti-t-ba-li-it «S. hat den Todten lebendig gemacht» (ab.) Bu 91-5-0, 786, 24 (CT VIII 40). 7.S2-.. G.GA- TI. CA (as.) 82- 5-22, 174, ? (HABL 341). Sonayi-gu-ba-li-it «S. erhält am Leben» (ab.) B 71, 27 (MBAP 34). 2 Samas'\(?)-mu-di? (ab.) VATh 704 (MBAP 81). 1 Sama-mukallim «S. lässt sehen». 2 Samas'-mukön(nu) «S. festigt». 2 Samas'-mukön- (17. SR SS Samas-kin- alu. I Saga -mu-Xá?-bi-il-Y& (ab) Bu 91-3-9, 2465, 18 (CT VIII 43). Sama -mu-Sé-lim «S. erhält unversehrt» (ab) Bu 88-5-12, 760, 4. 7 Sama-mu-ui-te-Ye-ir. «S. giebt Gelingen» (ab.) Bu 91-5-0, 712, 20 (CT IV 25). *il Sama? (Samet?)-na-da-ri BE IX 93, 3. 2Samas’-nädin-Sum «S. giebt einen Ab- kómmling». 2 Samat-na-din-zir «S. giebt Nachkom- menschaft» (nb.) BE IX. 2Samas'-na-ah?-ra-ri (ab) VATh 1075,5 (MBAP 51). iSamas!-n&id «S. ist erhaben». 3 Samas!-napistim-iddin (AS ) «S. hat ein Lebewesen gegeben» (as.) 82-5-22, 38 rev. o (JADD 164). 2Samas'-napistim-usur Lebewesen!» 2 Samas'-na- ap-Se-ra? (ab.) Bu91-5-0, 2503,21 (CT VIII 32). «S., schütze das T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. 283 3 (^ Samas) (Sama) i Sagas -nasir «S. schützt» (nb.). il S -na- sir, -na-si-ir (ab.) Bu 88-5-12, 753/4, 6 V A'Th 799, 15 (MBAP 26. 19). K 4426, In. #Sama$'-PAP-ir (as) K 361A, »» (JADD 122). AL Samas-PAP-ir K 527,12 (HABL | 32). 2 Samas-nåsir-apli «S. schützt den Sohn» | (nb.). i SA-na-si-ir-ap-li (ab.) Pi 14, zz. 140. 7Samas!-näsir-Sumi (2 PAP- MU) «S. | schützt den Abkömmling». | 2Samas(?)-nu-ur «S. ist Licht» (nb.). | | | | 9 Sames-niré(nu-ur-ri- BE IX, X. fil S, 1. nu-ri (ab) Bu 91-5-9, 349, > 374 (CT VITIO 4622)! il$SA-nu-ri (as.) Epon. 867, | III R. 1. Las. ZSa-ai-LAH-ri K 397 rev. o (JADD 105). i Samas!-nu-ur-ma-tim «S. ist Licht des Landes» (ab.) Pi 13,14, 27. Bu 91-5-9, 332,27; 88-5-12, 182, 28 (CT II 26. VIII 9). 2 nm (? SUB)-di-ni «S. entscheidet das Recht». 165. il Samas'-pi-dam- #-sur (ab) VATh 1075 | (MBAP 51). 145. 2Samas'-pir-ibni «S. hat einen Sprössling geschaffen». 2Samas'-pir-usur «S., schütze den Spröss- ling!» Abgekürzt: P7. 2 Samas’-pu-ut-ra-am «S., lösel» (ab.) Bu 91-5-9, 370,3 (CT VI 21). i Sqmas'-ga-me(?) JADB 3, III 10. 1 Sama -qar-ra-ad «S. ist stark» (ab. Bu 88-5-12, 199, 28 (CT II 9). 150. UCET n -sabat «S., fasse seine Hand!» 170. i? Samas!-ra-bi «S. ist gross» (ab.) Bu 88- 5-12, 176, 2 (MBAP 48) Bu 91-5-9, 2469. 2, 25; 88-5-12, 282, 22 (CT VI 7. IV 19). #1 Sqmas#!(Sames?)-ra-hi-id BE X. 2Samas'-röü «S. ist Hirt» (ab) VATh 905, 6 (MBAP 88). Bu 88-5-12, 291, s (CT II 12). il Samas!-rö ta «S. ist mein Hirt» (nb). HS 1-SIB-u-a (as) K 309A rev. ; (JADD 207). und, v Samat!-réüunu «S. ist ihr Hirt». #Samaÿ\-ri-a-me (? ab.) Pi 13, sz. 175. No. 2. 1 Saqmas-rimanni «S., erbarme dich mein!» (nb.). JS. I-ri-na-an-ni (ab. Bu 88-5-12, 743/4, 3 (MBAP 57). 4S 1-yêm-a-ni (as.) 83- 1-18, 350 (CIS II 31). it Samas'-rimu-Sukun «S. erweise Erbar- men!» 2 Samas'-ristalrüusiia «S. ist mein Helfer» (nb.). i Sa-maS-ri-su-u-a K 4426, III & (VR 44). . 2Samas'-ri-i$ (ab) Bu 88-5-12, 143, u (MBAP 80); 91-5-9, 368, 19 (CT. 1I 40). i Samas)-ris-usur (-SAG-PAP) ) «S, schütze das Haupt!» Babyl. König, WM p. 14. i Samas!-silim «S., sei gnädig!» il Samas)-sabat(LU)-an-ni (abgek. etwa aus i S. gata-sabatanni «S, fasse mich bei der Hand!») (b. K 303. i Sama -si-pi(? za)-di-im (ab. Bu 88-5-12, 290 (MBAP 32). Vgl. HOMMEL, PSBA 19 P. 315. X Samas\-Sadi-i-ili (INI. NT?) (ab.) Bu 91-5-9, 32, z (CT II 26). 2 Samas!-$åkin-Sumi «S. schafft einen Ab- kómmling». i Samas!-$al-lamllim «S., erhalte unver- sehrt!» (as) KK 285, v 1397 (JADD 383. II). 2 $Samas!-$är-bullit «S., erhalte den König am Leben!» 3 Samas!-$ar-ki-tim «S. ist König der Ge- rechtigkeit» (HOMMEL, Altisr. Übert. p. 71; ab.) Bu 88-5-12, 363 (MBAP 52, vgl. P. 133). h 2 Samas'-Sar-ru-um «S. ist König» (ab. Bu 91-5-9, 2173, 33 (CT VIII 45). 2 Samas!-Sår-usur «S, schütze den König!» (nb). 75.12 Sa-maSs-MAN-PAP (as) KK 285, 6. 416 rev. 12 (JADD 383. 266). 2Samas’-Sd-tum (ab) Bu 88-5-12, 21, 3. 743l4, 2 (MBAP 89. 57). Vgl. HOMMEL, Altisr. Übert. p. 275. 7 Samas!-$e-zgib «S., rettel» (as.) 8r- -7-27, 27 rev. 9 (JADD 240). ? Samas!-3i-bar-a-a (ab.) Bu 91-5-9, 797, :6 (CT VIII 40). 2 Samas!-Simanni «S, erhóre mich!» 36* 284 Knut ($amas) 180. 190. l-yulfiguannz erhalte mich un- 2 Samas «S., versehrt!» 2 Samas'\-Sulum-Sukum «S., schaffe Wohl- ergehen!» 2 Sqmas)-Süum-ibni «S. hat einen Abkömm- ling geschaffen». 7 Samas-Sum-iddin «S. hat einen Abkömm- ling gegeben». 2Samas'-Sum-igesa «S. hat einen Abkömm- ling geschenkt». i Samas!-Sum-iskun «S. hat einen Abkómm- ling geschaffen». 2 $Samas!-$um-lir «S. , möge der Abkömm- ling Gelingen haben!» 2 Samas'?-Sum-ukin «S. hat einen Ab- kömmling bestellt». Abgekürzt: Sarnas- ukin s. LEHMANN, Samassumukin p. 7; ibid. für dieSchreibung: /S.4-Sum- G7. NÅ, = Naosdovyıvoc. 2 Sama -Xam-usur S, schütze den Ab- kömmling!» (nb.). 75.1-MU- PAP ( as.) K 316, 5 (JADD 328). . 2Samas’-Simm-usabsi «S. hat einen Ab- kömmling ins Dasein gerufen». ? Samas I- 3d (?)-mu-S4 (ab.) Bu 88-5-12, 309,15 (CT IV 23) i Samas'-Si-mu-!-? (ab) Bu 91-5-9, 467, s, ». Son) EN MID, FO): 7 Saqmas'-Si-zi-ba-an-ni «S, rette (ab) Bu 91-5-9, 2485, s (CT VI 3 ? Samas\-tab-ba- em (ab) Bu 91-5-9, 280, 44 (CT VIII 25) u 2$amas!-tab-ba- E di (ab.) |Bugr- -5-9, 2485,78 (CAIN): 2 Samas!-tab-ba-Si (ab.) Bu NO, SCIE 319): (CAE INI 20); it Soma! -tabni-ugur « E du hast geschaffen, schützeb (nb). 75.1-1a6-m-PAP (as) K 335 (JADD 382. KB IV p. 110). 2 Samas!-ta-ia-arlru « S. ist erbarmungs- voll» (ab.) Bu 88-5-12, 721, 2r (CT IV 49). VATh 651, 9 (MBAP 61). 2 Samas!-taklåk (abgek. aus Ana-S.-takl&k) «auf S. vertraue ich» (nb. 361 A, 14 (JADD 122). mich!» 88-5-I2, 201, 2 -lap-pa-Su 507, s und as) K Tallqvist. | (”Samas) | 195. 2Samas’-tu-ra-am «S, wende dich gnädig | zu (mir)» (ab.) Bu 62,1 (MBAP 109). 1 Samaÿ'-uballit «S. hat lebendig gemacht». 7Samas -udamnmig «S. hat Gnade erwiesen». | i Samas!-ukin «S. hat gefestigt». | 7 Samaÿ-unammir «S. hat erheitert». | 200. 2Samas'\-upahhir «S. hat Stärke verliehen» | (nb). #S1-%-pa-hir (ab. K 4426, III so | (VR 44). LAS !| Var. 2Sa-mas-UB.LA| Var. ä-pa-hir, " S.-NIGIN]| Var. 4-pal-pall- hir (as. Epon. 875. 708, III R. I, I ss, V se. 2 $Samas!-usur «S., schütze!» | 2Samas'-usursu «S, schütze ihn!» i Samas!-usabsi «S. hat ins Dasein gerufen». 2 Samas’-usallim «S. hat unversehrt er- halten». 205. X Samai!-uézib. «S. hat gerettet». 2Samas’-us-pa (ab.) VATh 847/8, z» (MBAP | 99). | "Samas'-Zl(abäri, kinu oder napistim) Probename K 241, VI is. Sama\-cir abgekürzt. | 2 Samas!-zir-ibni «S.hat Nachkommenschaft geschaffen». 210. 7Samas’-sir-iddin «S. hat Nachkommen- schaft gegeben» (nb. und as.) Bu 91-5-9, 59 rev. 1 (JADD 264). Sama sir-igéta «S. hat Nachkommen- schaft geschenkt». USamal-zir-ir «S., möge die Nach- kommenschaft gedeihen!» 2 Samas'-zör-ukin «S. hat die Nachkommen- schaft gefestigt». 2 Samas)-zir-usabsi «S. hat Nachkommen- schaft ins Dasein gerufen». 215. 2$Samsa'-a-a| ia, Samt-Si-ia «o meine Sonnel», vel. Sarru-! Sam&-ia. Sa-am-Sa-nu, HILPRECHT BE IX vergleicht jvnv, LXX Xauwpov. Sam-Si-" Addu*, Sa-am-si-"Addu? «meine Sonne ist Ae (as) Könige. Sam-sı] Var. sz|-Z/u (as.) Epon. 780. 770.752, III R. x, III av. 47. IV 35. #Sa-am-su-i-lu-na (ab.) König. 220. Fi Sam-tu-haddu. 7 Samsu--u-tu. T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. (? $amas) II. An zweiter Stelle: * 4b-di-" Sam-si (BADA A-hi-" Samas! «Bruder 16, 1. A-hu-la-ap-"Samas! «wie lange, o S.l» (ab. Bu 88-5-12, 488, 4 (MBAP r1). Vel. 4-Zz- li-ip-" Sama! Bu 91-5-9, 272, 13 (CT VI 7). . A-li-ib-" Sama! (ab) Bu 91-5-9, 2196, 21. 2516, 27 (CT VIII 35. 43). Vgl. DAICHES p. 89. Amat(KA)-"Samas (abgekürzt aus Usur- amät S. ?) VA'Th 990, 13 (MBAP 58). (nb). Übers. eines altsumer. Namens K 4426, I 15, IV 57. A-ve-il-" Sama (ab) Bu 88-5-12, 705, # (CT IV 46). Am£l-"Sa-mas (as) K 838, 7 (HABL 449). 1 Amti-"Samas! «Magd SES 5-12, 265, 10 (CT IV 16). A-na-"Samas'-ka-la-ma (ab.) B 62 (MBAP 100). A-na-"Samas’-U-silzi (ab.) Bu 91-5-9, 286, rev. III 15 LS I6). VATh 651. (MBAP 61. . A- ne > iur (ab.) Bu 91-5-9, 473, 20 (CT VI 26). Ana-"Samas-taklak «auf S. vertraue ich» (nb). A-na-"S.1-tak!-la-ku (ab. Bu 88- 5-12, 220,77 (CT VIII 12). MBAP 52, 102,22? A-na-! SamaxV-te-ir(-ri). (ab.) Bu 88-5-12, 291, 20. 91-5-9. 272, 21 (CT II 14. VI 7). An-bi-!Samas! (ab) Bu 91-5-9, 333, 36 (CT JULY 235. Apil( TUR)-"Sama3 «Sohn S:s» (ab) Bu 88-5-12, 705,32 (CT IV 46). Ardi-"Samas! «Knecht S:s» (nb). VATh 759, 9 (MBAP 23, ab.). K 308 rev. (JADD 285, as.). Ba-al-tu-"Samas! «Kraft ist S», Probe- name K 241, VIII 19. | Ba-rikl,i(-ki)- Samas?(Sames) BE IX, X vgl. SamasP-ba-rak-ku ibid. Bir-"Sa-mas (vgl pa. Wawna) Bu 89-4-26, 14, zs. K 389 rev. »» (JADD 148. 281). 240. E-" Sama -ma-an-nu (ab.) Bu 01-5-0,2173,3 | (CT VII, 43), vel. DAICHES p. So. | No. 2. >) K 384, 3(JADD I). ist S» Cappad. t3 Le] in Amel-"Samas! «Diener Sis» (ab. Bu 88- 817, 11 | 285 (/Samas) En-nam-"Samas" (ab.) Bu 88-5-12, 703/4, 25 (MBAP 96). Erba-"Samas! «S. hat gemehrt». E-ri-is-ti-" Samas! (ab. Bu 88-5-12, (CT VIII 9). E-ti- Sama, «erhaben ist S.» 88-5-12, 280, 22 (CT VIII 23). ; Etirn-"Samas! «S. schont». Gimil-"Samas! «Geschenk $:s». I-bi-"Samas (ab) Bu 91-5-9, 473, 26. (CT VI 26. VIII 36). Ib-ni-"Samas' «S. hat geschaffen» (ab). Bu 88-5-12, 10, 8 (CT VIII 2). 185, 19. VATh ee 15 (MBAP 37.19): Iddin-! Samas! «S. hat gegeben». I-din-! Sama (ab.) Bu 91-5-9, 333, 35 (CT II 27 F-li?-"Samas! «Gott ist S» (ab) 1473, 2 (MBAP 111). Fluln-"Samas «Gott ist S.» (ab.) Bu 88-5-12, 43,21 (CT II 3), 229, 3» (MBAP 7). Alu] NT. NI |-Ea-" Samas! «dein Gott ist S.» (ab) Bu 91-5-0, (30 WIL ESIE KLH 10, 4. Im-gur-"Samas! «S. hat Gunst erwiesen» (ab. Bu 91-5-9, 286, III 2» (CT VI 16). VATh 755, 3 (MBAP 16). . Im-ta-ga-ar-"Samas! (ab) KLH 29, a. Itti-"Samas’-balätu «mit S. ist Leben». LitilSamas-inia «mit S. ist mein Auge». Itti" Sama-i-te-e (ab) CT IV 44, 677, 3. Itti-" Samas’-Ihmur. . Kalbi-"Samas! «Diener S:s». KA-Sa|$a-"Samas (ab) vide No. 275. KES, — ww CIS II 65) abgekürzt aus Mannu-ki-Samas q. v. J La-ma-zi AY Samar (ab.) Bu 88-5-12, 677, 6 (CT IV 44). Li-ie-e-bi-" Sama (ab) Bu 88-5-12, 731, 25 (CT IV 50). Bu 88-5-12, 322, x (MBAP 95) ist Zz-3e-e-D)-" Sama! zu lesen. (ab.) Bu 88-5-12, 135,9 (ab) Bu 496, 7 250. VATh isis Pr . La-us-ta-mar-i! Sama! 458 (MBAP 20). Màr(TUR)"Samas! «Sohn S:s» (ab) VATh 762,» (MBAP 1:05. Vel. Mar- saisi K 308, 3 (JADD III p. 498). 286 Knut Tallqvist. (? $amas) Mi-ni-"Samas! (ab. Bu 91-5-9, 361, 26. 2485, 24 (CT TI 32. VI ar). Mustzib-"Samas «S. rettet» (nb). Mu-Se- zib-/5.! Probename K 241, VII 18. Na-bi-"Samas! «S. beruft» (ab.) Bu 88-5-12 185, 26 (MBAP 31). 705, 33 (CT IV 46). . Nö’id-"Samas! «erhaben ist S.» (ab) Bu 91-5-9, 2467, 3: (CT VIII 48). 1-"Sa-mas' (as.) K 1188. Ni-din-tum-"Samas' «Gabe S:s» (nb.) BE IX. Nür-!"Samas! «Licht ist S» (nb). Vu-ur- CASE (ab) VATh 750, 10 (MBAP 23). LAZ- 7Sa-mas!, -" Sama! (ep) oo), il 435 rev. ; (JADD 2. 345). LAH-"S.! Probe- name K 241, XI ». Pa-la-, Pa-li-, Pa-li-e-"Samas', abgekürzt t3 EST o aus 7@ba-pa-la-" Sama q. v. (ab.) Bu 88- | 5-12, 143 (MBAP 80). 91-5-9, 841. 2503, 27 (CT VIII 41. 32). Pi@ KA)-"Samas! (abgekürzt aus Etil-pi- Samas, oder Amät-Samas zu lesen und als Kurzname zu Usur-amät-Samas zu fassen; ab.) VATh 990, 13 (MBAP 58). 275. Pi (2 KA)-Xá-" Samas Bu 88-5-12, 172, s (MBAP 50). 91-5-9, 2192, 2; (CT VIII 18). Ra-bu-ut-"Samas! «die Grösse S:s» (abgek., vgl. RANKE p. 27; ab.) Bu 88-5-12, 332, s. 607 (CT Tt rugs ON. ev Réimát-/ Sama! «Begnadigung S:s». Ri-i8-"Samas! (ab) Bu 88-5-12, 290, 30 (MBAP 32). 618 (CT IV 37). Si-lim-"Samas! «sei gnädig, S.l» (as.) 80- 7-19, 51 (JADD 7o). . SZ(GIS. MI )-" Samas! abgek. (as.) K 663,9 (HABL 322). Si-u-"Samai! «gut ist S.» (?ab.) B 62, s. 70, 4 (MBAP 109. 27). t3 oo o Sa-"Samas! (ab. Bu 91-5-9, 2191, 2 (CT VI 43). Sa-!Samas'-ka-lu-ma? ... (ab.) Bu 91-5-0, | 286, V u (CT VI 17). Sam- hu-"Samas (as.) Rm 2, 4,2 (HABL 410). : Sangá-! Sama! «Priester $:s». Sarru-" Sama! «Konig ist S.» (ab.) Bu 88-5-12, 185, 25 (MBAP 31). I] oo UT ( Sama) 290. S2p2-"Samas! abgek. aus Söp-Samas-asbat «die Füsse S:s habe ich gefasst» (as.) Epon. 791, III R 1, III se; vgl. Söp? MAN III R. r, II 28, III 16. Probename K 241, VII 19. Sum-ma-" Sama (ab. abgek. aus Folg.) Bu 91-5- 9, 797, 5 (CT VIII 40). Sum-mna-! Samati-! Sama$! «wenn S. der Sonnengott ist!» (ab. Bu 88-5-12, 458 (MBAP 20). Vgl. RANKE p. 34. Ti-iz-qar-! Samai! «Oberrichter ist S.» (ab.) VAT 733, 232 (MBAP ror). U-bar-"Samas! «Genosse S:s» (ab.) Bu 88-5-12, 185, 2 (MBAP 31). 4 U-bar-ti-" Sama3!(?) (ab.) Bu 88-5-12, 229 (MBAP 7). Ü-ea-Fa-! Samas! ( ab.) Bu 88-5-12, 175,2» (CHIEN: Um-mi-"!Säm-$i «die Mutter ist meine Sonne» (ab.) Bu 91-5-9, 324, 28 (CT II 23). DAICHES p. 85. . An dritter Stelle: . OBel-£tiri-"Samas! «ein errettender Herr ist $» (vel. DELITZSCH, BzA III p. 388). Ar. Beischrift: wwowoNSa BE IX 116, Etillu)-pi-! Sama! «erhabenen Mundes ist 5.» I-na- -gáti-"Sama3! (abgek.) «in der Hand S:s» (ab) Bu 91-5-9, 387, 28. 709, s (CT II 39. VI 37). RANKE p. 26: Ina-34-"S. «sein Auge ist S.» Lu-mur|nuur-gi-mil-"Samas! «möge ich die Wohlthat S:s sehen!» (ab.) Bu 71,35. - 82, 22. Ma-an-nu-um-gi-ri-"Samas! «wer ist der Feind S:s» (ab) Bu 88-5-12, 721, 2; (CT IV 49). ; Ma-an-nu-um-ki-ma-"Samas! «wer ist wie $. (ab) KLH 29, s». Ma-nu-um-Xá-ni-in-" Samas! «wer kann es mit S. aufnehmen!» (HOMMEL, Altisr. Überl. p. 71) (ab) VATh 782, 16 (MBAP 17). v SSir-kat-Sa-"Samas. Süm-usabsi-"Samas «einen Abkómmling hat S. ins Dasein gerufen». T. XXXII, Neubabylonisches Namenbuch. (#$amas) Taba(DUG-ba)-pa-la-"Samas! «gut ist die Regierung $:s». . Tab-ei-ri-"Samas (ab.) Bu 91-5-9, 2470, ss (CT VI 42). Táb-sM-" Sama! «gut ist der Schatten S:s» (nb). DUG-ab-MI."S. (ab) Bu 91-5-9, | 2462, 5 (CT VI 7). Täb- Xàr - Sama? (DUG . GA - IM- MAN (Sarri?) «gut ist der Odem S:s» 82-5-22, 1763. Usur-amát-"Samas «bewahre das Wort | $:sb (ab) Ursur-KA-4S.! Bu 91-5-9, 70516 (CI MIE30) U-sur-a-ST>-at-2 S.1 Bu: 88-5-12, 183, s. 285,20 (CT IV rr. 20). U-sur-me-e-"Samas! «bewahre den Na- men(?) S:sl» (ab.) Bu 91-5-9, 766, 2; (CT VIII 37). 310. Za-ni-ig-p KA)! Samas\ «S. verschliesst den Mund» (ab.) Bu 91-5-9, 401, 17. 487, 16 (CT VI 24 VIII 33). Vgl. Za-ni-ig-ga-bi- Sama Bu 91-5-9, 286 rev. III 120 (CT VI 16). Za-ni-iq-bi-Ya-" Sama! (ab) VATR 905 (MBAP 88). Vel. HOMMEL, Altisr. Überl. PAT An vierter Stelle: Gabbi-ina-gäti-"Samas‘ «alles ist in der Hand S:s». Láüsá-ana-nári-! Sama. 314. Sum-ma-ilu-la-Samas «wenn S. nicht Gott ist» (ab) RANKE p. 34. Bu 91-5-9, 705, 29 (CT VI 36). i'$àr-Marad-da (LUGAL.MARAD.DA BL 9079. IV. ZA II p. 141. BzA III p. 558. DP p. 220), | in 7Sär-Maradda-tukultum «S.-M. ist Helfer» (Skl.). i$ar-rat «Königin», die Mondgöttin (vgl ZA VI p. 242, 14. KA? p. 363) Nd 60, 10. VSES-la-mi-tum Nd 117, 3. i'Si-da-da, in Fi Sj-da-da-limur, da|-da |. ! $i-i-pak, kassitische Gottheit, in N&id-"Si-i- pak BE IX. Dannu-"St- 2$u-bu-lal (wohl identisch mit ^SZ-óu-/a, die | Stadtgóttin von Sumdula, s. II R 6o, 18a. No. 2. 287 | (C? Sd-bu-lal ) | 61,12», MBAP p. 117, JBA p. 169 und beachte die ab. Namen 75%-bu-la-a-bi | Bu 91-5-9, 493, 22 (CT VIII 37), Armél- 1 S-bu-la Bu 91-5-9, 387, a (CT II 39) und Ar-4S4-bu-/la Bu 88-5-12, 753/4 (MBAP 26), in i Su-bu-lal-eres. : 7,Sy-bu-lal-iddin. ?'$ulmán, geschrieben Sul-man, auch #D/(-ma)- mu, vgl KA? pp. 224, 474. "DI. TAR, von mir Sulman gelesen wird — Daianu sein; vgl. DI. TAR-kur-ba-an = [139227 K 405, auch Da-an-kur-ba-an K 409. — In Personennamen: I An erster Stelle: 1. V Sulmán-afté-iddin «S. hat Brüder gegeben». 3 Sulpmán-ah-iddin «S. hat einen Bruder gegeben». i Sulmån-aplu-iddin «S. hat einen Sohn gegeben». GO Sulmån-asarid «S. ist der Erste». Sul- man-a-Sa-rid Dr 559, I 22. — /DZ-ma-nuj DE-nul-MAS|SAG (as. Könige. 5. 7Sulmön-bel-usur «S, schütze den Herrn!» i Sulmän-eres. il Sulmäan-elir «S, schont». Sul DT)-ma-nu-ha-man-iläni IR 19, ss. 2Sulmän-iddin «S. hat gegeben». 10. Sul-ma-nu-im-me 83-1-18, 358 (JADD 284). . "Sulmán-igfta «S. hat geschenkt». 2 Sulmån-mu-ba-li-it «S. erhält am Leben» (ab.) Bu 91-5-9, 331, x (CT II 25). d Sül-ina-nu-qarrad (UR.SAG) KB I s. 2 Sulmän-Sar-usur «S., schütze den König!» 15. Z Su/n-Xim-ibui. «S. hat einen Abkömm- | ling geschaffen». 2 Sulmån-Sum-iddin «S. hat einen Abkömm- | ling gegeben». 2 Sulmán-Xum-usur «S, schütze den Ab- kómmling!» 2 Sulmån-uballit «S. hat am Leben er- halten». | Sulmån-sir-ibni «S. hat Nachkommen- schaft geschaffen». An zweiter Stelle: | - 10 288 (? Sulmán) 20. Ardi-" Sulmán «Knecht S:s». 21. JL" Su/ián Probename 83-1-18, 695, XII. 7T4. HAR-BI, in Aht-iddin-" TA. HAR. RI. "/Tammes, mit Artikel (7) Z/fammes, "tame, Iltemes. Es ist das Verdienst HILPRECHTS | diesen Gottesnamen mit t'aU5N zuerst identificirt zu haben, s. BE X p. XIIIf. Ob überall in den folgenden ws. Per- sonennamen Samex zu lesen ist, mag vorläufig un- entschieden bleiben. 1. " Tam-mes-ba-rak-ku BE IX. Tam-mes-id-ri K 974. 2 Tam-mes-i-la-a-a Nd 554, 4. Tam-mes-i-Iu Nbp ZA IV 7, a. 5. ? Tam-mes-la-di-in]la-din-ni BE IX, X. 2 Tam-mes-li-in-dar BE IX, X. 2 Tam-mes-na-da-ri BE IX. Tam-mes-na-ta-nu K 961, 15. Tammes oder X Tam -mes -nüri|lnu-ur-ri-|nàri- 82-3-23, 271b ESIXCSXS 7 Tam-mes-ra-hi-iá BE X. Ba-rik|,i-ki-" Tam-mes BE IX, X. "7 Bel-tam-meS-i-la-a-a Nd 1022,11; vgl. No. 3. X Bel-tam-mes-nu-b-rulnu-ur Nd 936, 1». Dr Ba 9, 14. Vel. No. 9, 17. Oben p. 46 Bel umé-màür gelesen. U[Lfa-wes.... Nk 363, 4. Îl-tam-meÿ-i-la-a(-a) Nd 398, 16. 583, 1s. Nk 452, 18. Cr 34, 14. 360,1... Vgl. No. 3, 12 und 2Samaë-i-la-a-a Nd 550, 11. 647, 31. Oben p. 76: I-tåt'-i-la-a-a. Il-tam-mes-na-ta-nu Nd 497, 4. Vgl. No. 8. Il-tam-mes-nu-ur Cr 59,6. Vgl. No.9 u. 13. Abr-il-tam| w-mes Nd 260, 4. 638, 4. 19. Ba-ri-ki-" I-tam-mes BEX. Vgl. No 11. TAR oder KUD (BE X pp. 54, 71: = Daianıu?), vielleicht — 7 Pa-ri-si83-1-18, 695, XII ıs,in X TAR-abi «T. ist (mein) Vater». "UTAR-àh-iddin «YT. hat einen Bruder ge- geben» BE X. UTAR-sam-Ya-hit-e-rit, -rat-fi-ia. X Ta$-me-tum, ) Tas-mit, die Gemahlin des Nabü, IO. ils in Personennamen: I. An erster Stelle: vielleicht | Knut Tallqvist. (” Tas-me-tum) 1. 77 Tasmetum-atkal, abgekürzt aus /Ana- X T-atkal. JE Tasmetum-damga(t) «T. ist gnädig». f Tasmetum-ra|,-mat «T. erbarmt sich». JT afmêtum-tabni (abgek.). II. An zweiter Stelle: 5. Ana-" Tasınetum-atkal «auf T. vertraute ich». Ardi-" Tasmetum «Knecht T:s» (nb.). Probe- name 83-1-18, 695, XI is. SU(GIS. MI)-! Ta*métum (abgek), Probe- name 83-1-18, 695, XI 14. III. An dritter Stelle: 8. Ina-sol-@) Tas-mit «im Schatten T:s». " TUB.E (III R 66 rev. 116), wechselt mit 7A. E q.v. Cb. 147. Dr 367, 4. 378. 379, 10, 11, 33. 428,2. — In Personennamen an erster Stelle: 1. "TUR. E-aht-iddina «T. hat Brüder ge- geben». #TUR.Ë-êtir in dem Namen der elami- tischen Stadt — Dintu-5a-" TUR. E- dir Snhrb Prisma IV s& (OL VI Sp. 443). 2 TUR.E-iddin «T. hat gegeben». 2 TUR.E-igbi «T. hat befohlen». 5. " TUR. B-igisa «T. hat geschenkt». 2 TUR. É-Ya-l[i-ti BzA II p. 183, as. 7. # TUR.E-Süm-ibni BzA II p. 171, 19. ZU.a?, in Amél-? Ua. "Ura$, geschrieben r»Y- ,FY| (vgl II 62, 262), Nd Pa 2/9. CrPa 4, 5 Dr 26.2. 2058: Dr Pa 679: 70e, 2 Os A2 5 ET MB T 9,3. — In Personennamen: I. An erster Stelle: I. ?Uras-ah-iddin «U. hat einen Bruder ge- geben». "Uras-ah-ittannı «U. hat einen Bruder ge- geben». X Uras-ana-bitisu (abgek.). # Uras-bel-Same «U. ist Herr des Himmels». . #Uraÿ-erba «U. hat gemehrt». 2 Uras-iddina «U. hat gegeben». i Uras-kasir «U. bewahrt». i Uras-mu-ba-li-it «U. erhält am Leben» (ab.) Bu 88-5-12, 37, 2» (MBAP 100). T. XXXII. Cn Neubabylonisches Namenbuch. 289 (“Uras) it Uras-nåsir «U. schützt» (nb.). U-na-sir| | si-ir (ab.) Bu 88-5-12. 37, (MBAP 100). | 10. IT. III. 24. #U-ri-gal-la Nk 305, 4, “URU-ra-gal Nd 1012, 5 | #Uraÿ-Sapik-siri. i Uras-Sar-usur «U., schütze den König!» il Uyas-Sion-ibni «U. hat einen Abkömm- ling geschaffen». 2 Uras-Sum-iskun «U. hat einen Abkömm- ling geschaffen». il Uras-Sum-ukin ling bestellt». ling!» it Uras-ukin «U. hat gefestigt» (as.) K 8754 rev. 12 (JADD 261). 7 Uraë-u$allim «U. hat unversehrt erhalten». il Uras-sir-ibni «U. hat Nachkommenschaft geschaffen». An zweiter Stelle: Ardi-" Uras «Knecht U:s». . Jddin-" Ura3 «U. hat gegeben». I-ku-un-ka|ga-" Uras (ab.) Bu 88-5-12, 673,24 (CT VIII 23). Vgl. DAICHES p. 47. Oisti-" Uras «Geschenk U:s». An dritter Stelle: E-til-pi-"Uras «erhabenen Mundes ist U.» (ab) VATh 643 (MBAP 55). Sa-pi-"UraS «der auf Geheiss U:s (hervor- gerufene)». (Beiname Nergals). "U-3d-lum Nd 447,3. 514,3. Vgl. BzA I p. 526. #Za-ma-du, in /3(Mg?)-£i-" Za-ma-du. 7ZA.MAL.MAL oder Zamama, in Personennamen: IE I. An erster Stelle: #Zamalmal-a-bu-um «Z. ist Vater» (ab) Bu 91-5-9, 318, » (CT IV 50). #Zamalmal-ak-iddin «Z. hat einen Bruder gegeben». "Zamalmal- àh - usur (= PAP- PAP) «Z, schütze den Bruder!» (as.) Sm 1678 rev.s (JADD 212). #Zamalmal-erba «Z. hat gemehrt» (nb). Epon. (as.) K 206. . ?Zamalmal-eres (nb) BE IX. 7Z-KAM-es (as.) K 1608b, # (JADD 259). No. 2. | ZA. MAL.MAL) «U. hat einen Abkómm- | . "Uras-Xum-usgur «U., schütze den Abkömm- | IO. I5. U Zamalmal-idding) «Z. hat gegeben». 2 Zamalmal-idinnam (ab.) Bu 91-5-9, 2196. 29 (CT VIII 35). X Zamalmal-igisa «Z. hat geschenkt». 2 Zamalmal-lipi-usur -bur-th Nd 307, 18. Si?-pil?-ti St. Dr 403, 2. Sá-up-pa-tunt, Sup-pat, Sup-pa-tiltum St. (Fa pihät Bäbili, vel. Sapputtum BE IX) Cr 3,2. 160,2. 161, 13. 335,5. Cb 349, 20. Dr 126, 2, 19. 203, 6,15. 362, 18. 454, 1v. 461, 16. Art (CIS II 66). Susan St. ( und zrsitim Sá-fa-an'" a ki-rib Bäbili) Dr 435. 437, 20 2! Sy-Xa-an-na Dr 497, 19. Tag-ri-e-ta ... St. Nk 266, ss. Tah-ba-ak-ka" Cr 29,12. Ta-hu-ba-ak-ka Cr 131,4. Ta-nu-di-e St. Cr 221, 20. Tarbas-kalama (2 ®* BL 2667) Cb 431, 6. TE St. (irsitim Te-e*: $a kirib Babili) Nk 4. 164, 2; vgl. 247, 13. Dr 379, 5. Cb 423, 2. JO SEM IST Tusu, in ^"? tu-sa-a-a Dr P 40, e. U-pi-ia, UHU® St. NK 31,15. 322,20. 361, 17. 363, c. 365, 16. 366, 3,16. 369,16. 419,3. 431, 18. S. auch unter 4^ Samas und Tu-na 206 (U-pi-ia) Nk L 8,28. Ng CIS II 63,17. Cb 143,6. 145,16. | — In (ab.) Personennamen: | Upéti-abu-Xu Bu 88-5-12, 183, s1 (CT IV 11). | Up -idinnam CT IV 7, 699, v». | Upi*-ma-gir CT VIII 50, s. Upi*-ra-bilGAL CT II 36, 25. 39, 387, s. 5. Upiri-$e-mi Bu 91-5-9, 2176 A, 30 (CT II 44). J-din- Upi! Bu 88-5-12, 616, 20 (CT II 16). Imgur-Upt*: CT VI 34, 604. Pi-Sa-Upi CT II25, 331, 4. 9. .Szu- Upé-ia CT VI 48, 2498, 19. Knut Tallqvist. U-ra-zu-me-ta-nu St. Cr 37, 1. Uruk St. Nk 66,5. 109,19. 129, 12. Nd 19, 4. 112, 13 270,2. 348,12. 977,17. Cr 52,5. 89,16. 165, 4. 203,16. 210,18... 242, 19. 301,19. OD 78,8: 109, 13. Dr 524,16. 550, 21. — In n. pr. Mannu- aki-Uruk. U$su (2 PIN )-Su-tabu (mit Determ, AR/M) Cr26,1s. Za-mar-ki-me St. Cb 316, 15. | Za-za-an-nulna St. (DP. p. 220) Nd 483,6. Smd LING 75 ia unleserliche Ortsnamen NdP 4,1. Cr 158,17. Dr 50, 10. 149,11. 346, 13. Xr 2,11 etc. Einige IV. Namen von Tempeln und mit Tempelnamen zusammengesetzte Personennamen. Bit YA-a Cr 215, 4. 298, s. Bit "Addu Nk 313,18 Nd 318,5. 630, 9. 927, 2. 940,8. Cr 40,12. 78,13. 189, 25. 285, 2». 365, s. Che ES MO 1182, CP IDR So ie 98, 4 IOI, v. 179, 6 444,11. 535,4. Der von Nebukadrezar gebaute Tempel des 774 in Babel hiess À. NAM.HE — bit duhdi «Haus der strotzenden Fülle», vgl. Neb. IV 35: Bit a-gi-i Sa "Belt Sippar Nd 104, s. Bit akitum, wohl identisch mit bit nig at sirti, das von Nebukadrezar gebaute Opfer- haus des hohen a#2tu-Festes; in /na-sil- bit-akitum. Bit “Anim (in Borsippa) Nd 699, 1». Cr 40, 1. | | Bit Gula”, ein Tempel der Gula zu Bor- 189, 26. Dr 146, e. Bit ' A-nu-ni-tum (in Borsippa) Nk 313, 22. Nd | 100,3 201,15 20/7215 1004 90-8713 7 41008160 Nd M II 48, a Cr 14, 4 21,9. 40, v. 180, ao. 285,18. 298,5. Cb 63,2. 103,9. 121,6. 152,5. 177,4. 210, 15. 237,3. 318,8. Dr 10,21. 22,3. | 28, 5. 54, 8. 98, 6. 99,7. 130,3. 179,3. 408,3. | 421, 3. 444, 7. 546. Bit balåti (NAM. TI.LA) «Haus des Lebens», | in ^"" ones bit balåti Nd 477, m. Dit belit-banini, in Ina-bit-belit-bantni-alsıs. | Bit " Belit Sippar"', der Tempel der IStar-Anunit, Nd 48,2. 125,3. 159,5. 571,3. 604, 12. 641,5. 662,2. Cr 44,12. 80, 10. 204,9. 279,4. Cb 24, 4. 152, 4 175,5. 100,3. 225,94. 256,13. 433,10: IDŸe 113j0) E Bit ' Bélit. Same, in Düt-BE-AN.NA-Se-mi (ab.) Bu 91-5-9, 729,7 (CT VI 38); vel. u. Bit Subat tasılti. Bit I Bunene ? Nd 432, 3. Cb 123, 12. Bitu dan-nu Sa "Bélit Sippar Cb 258, 10. Bit " Ea, ein kleineres Heiligthum in Esagil, vel. Smk. Stel. S? 64£: E£arzaginna bit [Ea] Ja kirib Esagila ZA II p.184 Anm. 2; Dr 10, 25. sippa, vgl. Neb. IV 54; Nk 18,4. 220, ». 337. Nd 101,2. 156,4. 237,25. 277,5. 795,2. 804, 3. 908, 2. 1088. NdM II 48,5. Smd (ZAIV) 6,s. Cr 38, 7, 40, 9, 23. 180,29. 359. 365,6 Cb/9; 18. 70,14. 121,15. 123,18. 133,2. 150, 9. 177, 6. 236, 12. 281,12 350, 14. 433, 2- DE 02212 30 13 100 5 07 C RP 444, 9. Dr Pi 6, 5. Bit ili Nk 145,3. Cb 402. vgl. u. Götternamen Baiti-ili. T. XXXII, Neubabylonisches Namenbuch. 297 Bit iml;-bi “Anim, pa-pa-lulbit *Ura$ u "Belit | (Ebabbara) (NIN) ekalli u ilani Dilbat" (vgl. Neb. | Grot. II 46, Neb. Winckl. II 61, DP p. 219) iNdibas2 s DrEBarye2r 8. 9,2: 12,3. ^55»: 21, 21. Bit I:-ha-ra Dr P 119, 4 146, 4. 151,7 152, 15. Bit “Star? GIS. TUK Nd 929, 1, 6. Bit “Marduk"?: Nbp M II 12,7. Nd 699, 19. 737, 5? CH270 25208 2 Ch 152,4. 371,2. 43 0:107: Dr 2, 21. 162, es. Bit pa-pa-hu? ... Cb 414, 15. Bit "!Sin(?) Dr 523. Bit ! Samas (= Ebabbarra) Nk 154, s. Nd 739, 17. Cr 281, s. 304, 2. 339, 17. Cb 149, =. | Bit Xassuri (SÅ. TUR.RA BL 8010) «Haus des Mutterleibes», Wohnung der Göttin IShara- | IStar in Sx-an-na* Nk 247, 7. | Bit Subti taÿilti (E-KI. KU-KA. NI), bit " Bélit | Same Sa kisad palgi (hiriti) Sa ali essi Sa kirib Bábili Nk 247, 12. 416, 4. Bit " TUR. E Dr 367, 4. 379, 10 Cb 147. Do UIT DERaT2, 3, nb, 2: | Bit #Za-mal-mal Kndl M II 5, 3. | Bit sig-qur-rat Cb 21, s. E-an-na «Himmelshaus», ein Tempel der Göttin Nanà von Erech (DP p. 222), in Zanna- 2d din, -idinnam (CT VIII 35, 2196, 28), -5222z-. | iddin (BEI 1, 87,7, nach HILPRECHT, Assy- | riaca p. 15 Anm. 3 abgek: «Nana hat in | Eanna einen Namen gegeben». Ebabbara (bit 2Samas ina Sippar' Cr 304, 2), der Tempel des Sonnengottes in Sippar Nk 36,23. 140,5. 162,3. 167.3. 168,2. 175,6. DOE 238535730099 275,3 280,4. 3052: 353,4. 354,4. 372,6. 375,6. 388, 45. 393, 5. | 394, 5. 306, 3. 399, 5. 4OI, 8. 412,4. 415,4. | 418, & 427, 5. 447, 4. Ev 1,4 4,2 5,4 Ng | 1, Debat Byte ZONE CE SEINE 10,8 A310. 72, 2 LOS, 9. 119, ıs. 167,5 170, 11. 180, v. 190, s. 202, e. 227, 3. 220, 3. 2. 265,2. 272,3. 279, 7. 284, 2. 298, 10. | 8. 332,3. 334,4 339,4. 342,8. 368,8. | 308. 450,2. 452,3. 454,4 490,16. | . 525,3. 543,5. 548,7. 563,8. 508, s. . 640,4. 645,3. 656, 19. 685, 5. 698. | 6. 768,9. 780, 11. 786, 3. 780, e. 795, 2. | No. 2. 798, s. 866, 2. 867, s. 882,4 902,2. OII, a. 921, s. 926, 6. 928, 5. 934, 10. 939, 4. 947, 10. 960, 6. 971, 4. 980, 4. 982, 4. 986, s. 988, 10. 989,3. 991,2. 993,3. 997,4. 1016,3. 1017, 1». 1050, 6. 1052, 5. 1067, 7. IO7I 4 1IOB, 3. 1133, 12 Nd 82-90-18, 3812. Cr 1,3. 26,9. 28,6. 31,4. 44,15. 46. 53,4. 57,3. 70,4. 84,7. IOI,s3. 122,3. 125,3. 170,7. 184,5. 190, s. 200, 5. 218, 5. 304, 2. 326, 4. 347,8. Cb 9, 1. 18, 2. 22, 2. 49, s. 76, 2. 89, 2. 146, 3. 160, s. 104,6. 211,2. 232,6. 415,11. Dr 241,2. 368, 3. Dr Pi 7,2. — In Personennamen: Æbabbara- limur, -Sadimu, Bél- Ebabbara (= Samas) abgek. aus; Bé/- Ebabbara-ibni, Ina-Ebab- bara-limmir. E-sa-bad, ein von Nebukadrezar gebauter Tem- pel der Góttin Gula in Babel, s. Neb. E. I. H. IV 40. In Ardi-" Esabad, Tab-Sar- Esabad. Esaggil, Saggil, Marduks Tempel in Babel, Nk 247,19. 368,9. Nd 54, 10. 60,4. 102, 4. 172,16. 273, 10. 558. 620, 4. 846,3. Nd Pa 2, s. Cr 263, 4. 277, 1. DrP 63,3: bit " Marduk. 155. AL CT IV 39, 3. — In Personennamen: Esaggilli, Esaggil(l)-iala-a, /Esaggila, Esaggil-bu-nu-ü-a 1I R43, Il 24, -gammıl (abgek.), -zdinnam, -ki-i-ni-ub-bi-ib 83-1-18, 1847 rev. III (PSBA XVIII) /Zsaggil-nam- rat, Esaggü-Sar-usur, -zör-ukin, Ina-Esag- gila-a / [na- Esaggil-banáta, (Ina-) Esaggil- belit, Ina-Esaggil-bu ..., (Ina-)Esaggil- kin(-aplu) (Esaggil-ki-in-ap-li NR 44, ud), Ina-Esaggil-li-bur Dr 253,4, (/na-) Esaggil- lilbur, SIna-E)saggil-rämat, (Ina-)Esag- gil-Sadinu (Sad-du-u-niVR 44, Meo), //na- Esaggil - Simini, (Ina-)Esaggil-sum-ibni, (Ina-) Esaggil-sir(-ibni), Ina-Esaggu-zir- iddin, Itti-Esaggil-zir, /Banät(-ina)-Esag- gi, Eri-ana-Esaggil, Ina-sil-Esaggü, Nabñ-ina- Esaggil- lümur, Mar - Saggi- lümur, Már- Esaggil-ibui, Atkal- ana- "VTUR-Sageil, Ta-ra-am-Sagila Bug1-5-9, 2176 A. E-ul-mas, der Tempel der Anunit, in Personen- namen: Z-u/-mai-a-a, -kin-ahu, -Sakin- Sumi VR 60, I 29 (-Sa-ki-Sumi DIR 43, 29 38 298 (E-ul-mas) oder -Surgi-tddin HILPRECHT, Assyr. p. 15 Anm. 8), Amél-E-ul-mas WIR 43, Os, Kidin-E-ul-mak. Vel. "Ul-mai-Ni-tum. | | Knut Tallqvist, E-zi-da, der Tempel Nebos in Borsippa Ng 13,2. In Ezida--MAH, -igisa, -Sum-ibni, -tuk- kulsu, Báni-Ezida, E-zi-da-ta K 4163, 11. V. Namen von Kanälen und Flüssen.') Abarakki, geschrieben "4r +"#SJ UM, Nd 709, s. SO ACCRU Ahe-Sul.lim|GI auch Sa-" Ane-Sullim K. (mihrat abulh "Bel pihät Babili) Nk 135,2 Cr 188, 3, 14. DrP 46,2. 49,2. 62,3. 64,19, 75,2, 20. 132, 20. Mrdkbldn St. IV 16. A-ra-am-mu-sa-"Nabü! K. Nk 152, s. Bänitum, geschrieben "ir X Ba-m|KAK-tum, K. Nk 251,3. Nd 1163, 8. 165,5. 760,8. Dr 267, s. DrL 24. Vgl u. Namen von Ortschaften: När-" Bánttum. Barsip, geschrieben 747 @) Barsip@&), K. (vgl. DP p. 192) Nk 347,7: naru ina Barsip". Ev 21,6. Ng 22,6. 66,10. 67,5. Nd 71,6. 344,5. 427,6. | 445, 5. 1100, s. Cb 54,1». 292, v. Dr 144, ». 272,4. 405,9. 533,10 Vgl. u. Ortsnamen: Bäb-näri-Barsip Nd 178,2. 193,2. 203,2. 995. Cb 317, 1. Cb Li 169, 15. BIL.NUN.LAL, mit Determ. * 2, Dr 194, 1. Bit-tabi-B£l, geschrieben "ir É-DUG. GA-"Ben), Ng 21,7. Vgl. u. Ortsnamen: ^ Bit-tåbi-Béel. Essu K. (DP p.192) Nd 353. Cr 123,6. Cb 372, 10. 375, 12,15. Dr 80, 2, 10. 124,2. 265, 4, 18. 321, 7. 425,2. Dr L 33: e-Zu-u. Vgl. u. Ortsnamen: ^! Naru-esSu. Gub] Gu-ub|-ba-tum|ta K. Smk ZA III p. 228, 4. Nd 84-2-11, 61. Dr 123, 2. 488. Harrän-Sarri K. Nk 202, 6. Vgl. u. Ortsnamen. Har-ri K. Nk 115, s. IL 295 Har-ri Sa ^"? apıl ret sis Dr 127, 2. Har-ri Sa apil ” #Sin3-Sadi Dr 26, s. Har-rilra Sa 09 Ha-zu-zu Nd 720, 6. Cr 130, 7. Cb 215,4, 210,2, De ey gr Vgl. KK 95. 578, 1. BzA | Har-rilru Sa ” Ina-ki-bi-" Bel! Nd 753, 16. Dr 193. 503. Har-ri Sa ^"? Uyukki-a-a Dr 405. Har-ril,a Sa Za-bu-nu Cr 130,6. Nd 623,5. 829,11. 837, 6. Dr 238, 2. 255, 2. 402, 2. Hi-rum sa "Ap-la-a K. Nd 990, 7. Hi-rum Sa Za-bu-nu Dr 173, 2. Jdiglat (BL 1878) Fl. Tigris Nd 483, s. Ina-mu-Se-pi-e-su(?) K. Dr 484, 6. IStar, geschrieben *@ 27$-tar, Dr 494, s. Ka-pil-ri) K. Nd 847,7 Vgl. u. Ortsnamen: Båb- nar-Ka-pi-ri. Kıs, geschrieben "47 62 K7$37, Nk 330,2. Nd 65, e. Vgl. u. Ortsnamen. Küte, geschrieben ”” 7/G. GAB. A^ (DP p. 192) Nd 1102,3. Vgl. u. Ortsnamen KVZ, Båb- näri-Kute und INàr-Káté. La-bir-ri K. Cr 62,3. *@ La-bi-ri Ya Küté“ Cr 320, 2. Ma-Se-hu, mit Determ. "ér«"v& Nd 478,6. 483,3. Nabü-kudur-usur K. Nk 104, 16. Ni-ku-di K. Nd M II 46, s. Pai-ru-ga? K. Dr 533, 6. Pallukat K. (Pallügta, Fallüga, Pallacottas, vgl. MEISSNER in MVG 1876, no. 4, p. 1—13). når Pal-kat-ka-tum Ng 3,3. 4,2. Dr 27, 16. rar Pal - lu- ka - tum Ng 18,2». Nd 506, 2. når Pal-lu-uk-ka-tum Ng (70, 10]. Nd 921, 3. når Pal-lu-kat Nd 446,6. 448,7. 463,9. 539, 8. Cr go. 7 Pal-kat-ta .. Dr 113,16. Vgl. u. Ortsnamen. Pi-qu-du K. Dr 152, v. 227, 10. 269, 7. 273. 351,0. 387, 8. 389, v. 390, v. 403, 16. 404, 18. 443, 16. 478, v. Dr IL 175, 10. I) Der Determinativ zárz (bezeichnet mit K, oder Fl) wurde gewiss in vielen Fällen als besonderes Wort in st. constr. gesprochen. T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. Purattum Fl. (Euphrat, DP p. 169ff.). "7 Pu-rat- tum Nk251,4. "27 Sippart: Nk246,2. Ng 22,6. Nd 178,17. 203,17. 350,2. 457,4. 482. 496, 4. 505,7. 506,7. 540,6. 550,6. 560, 4 649, 4. 686, 2. 907, 8. 932,6. 963,3. Cr22,». 161,12. 189. 230,3. 262,3. Cb 9. 54,35. 69. 130, a. 21093223122 242,2, 291,2: 350, 357,2. Dr 5. 26, 10. 54, 3. 89, 2. Su-man-dar K. Ng 70,14. NdÅ 910, 3,4. Vel rar Sy-un-tur(?) Nk 267,» und unter Orts- namen. Su-ur-ra K. Cb. 192. | | | 299 Sa-ahé-Sullim s. u. Ahe-Sullim. Samas, geschrieben "é 7Samas! auch "ja i $amas (vgl. DP p. 190) Nd 327, 10. 423,5. 505, 2. 781. 877, 4. Cr 19. 92,2. Dr/40, 2. Vgl. u. Ortsnamen: Báb-nàri-! Sama. Sarri K. (vgl. Naarsares, Naarmalcha etc. DP p. 193, Bz A I p. 276) Nd 483, ». Cr 26,17. 181, 11. Cb 44, 5. Dr 198, 4. mat Klamti* Dr 411, 9, 17. Sulman, geschrieben *@ DJ. KUD, Ng 31, 2, 1s. Nd 964, 3. Tu-pa-a-Sa K. Dr 393, s. Når Sarri sa VI. Namen Harrån Ki$ und Harrån Sarri, s. u. Namen von Ortschaften. Ma-la-ku 3u "TUR.E Dr 378. a bit " TUR.E Dr 379, 10, 33. Mu-ta-qu * Uras (harrån Sa a-ki-tum) Dr Pa 12,58. Mu-täg-ga *Ma-ga-ru (?) Dr 82, s. Sügu a-su-4 Dr 37,3 Vel. Cr 128, 1. Süg Dür-imgur-"Bel Dr P 83. Såqu la-su-u Dr P. 134, 2. Su-u-gu mul-tag) "Nergal sa ha-di-e Nd 75, 9. Sügu pa-3á-& Nd 1128, 22. von Strassen. | | | Saga ga-ta-nu mu-ta-qu |"N erga! Sa ha-di-di | (L e) Dr 275, 2. 7 Nergal] $a La-di-e Cr 361,7. siiqu KIB (? wahrscheinlich Ideogr. für gazzz oder | rapsu = DAGAL) mu-tag “Nergal sa ha- di-e Nbp WM XV e. sägu qat?-nu mu-\tag] amelnjse Dr 245, s. SZqu gat-ni Pa 1,1... Vgl. Nk 328, s. Sugu qa-at|za-nu a-su-u Cr 128,10. 361,8. Cr Pa 3,7. sugu qat'-nu mu-tlaq | | Sägu ga-atlgar-nu la-a-su-ü Cr 128,12. Cr Pa 3, 15. rapsu (SILA]|su-4-qu\x ra-aplrag-Sulsi) NK 164, 18. Cb 233, »4. 431,5. Dr 256,5. 323,18. 325,7. 367,4 Siqu rap-Sülsu mu-tág ih‘) u sarri Cb 233,22. 349,12. Dr 323,9. Sigu rap-$u mu-ta-qu "Nergal Sa ha-di-e Cb 423,5. rap-$u mu-ta-qu Sa" Nabü u* Nana Dr P 135, 2. gu rapsu (DAGAL) Ninib (Cir 268, 7h SIG Nk 156, s. SIG a-su-ü Nd 258, 6. SIG (qu?) la a-su-u Cr P 3, as. SIG-nu Ng 126, c. SIG-nu la a-su-u Cb 423,7. CbL 18, ». SIG mu-ra-jad närı) Cr 161,29. Su-4-qu SIG mu-rad näri Cr 345, 15. Säqu (Sa) hu-bur(-ru) Ev 24, s. Cb 68, 6. Dr 410. 464, 6. Su-á-qu Sa hu-ur-bi Dr 435, s. Süqu Sa mu-Se-pi-Su Sa hu-bur Dr 474, 4. Scu Sauqu Scu Sügqu Sugu Sugu Saqu No. 2. 38* 300 Knut Tallqvist VII. Namen von Thoren. Abul * Addu (in Borsippa) Dr 367. Abul "Bel? (in Babel) Cr 10, 2. 188, 3. Cb 375, 16. Dr 80, ». 265, 4. Abul e-bi-$u Dr 265, s, 14. Abul gissu, geschrieben z-z*-« Dr 129. 423,2, | giS-Su Cb 187. 226, 3, gi-is Nd 552, s, auch | a-bu-ru gi-i$ Cb 117. Diese Schreibungen zeigen, dass nicht eréb Samsi zu lesen ist, wie ZIEMER will (s. Bz A III p. 477). Abul ? Nab£ (in Sahrin) 173231127 325: Abdul " Nin-ib (in Babel) Nd 293, s. Abul " Samas Nk 05,3, Ev 23. Nd 193, 2. Abul ? Uras (in Babel, bez. in Borsippa) Nd 440, 2. A7 OA ND 20014, ETOO R3 152,38 22745: 466, 2. Dr Pa 14, 2. Abul " Zamama (in Babel) Nd 116, s. 352,5 Gone (e as ID eyApS 3 IBygletn ex Syseral ANNE ex Båbu e-li-nu-4 Cb 53, 3. Bab mu-sat-am?-hi-e-ti Dr 9, 19. Bab nese «Lówenthor» Nd 486, 4. Båbu rabü Cb 256, 18. Bab sa-li-mu Nk 129, s. Båbu siru Sa bit "Belit Szppar? Cb 225, 24. Bábu Xa /Qu-un-na-tum Dr 438, a. 32,2. 437 79 , , 6 VIII. Wörterverzeichnis.') SN,N alu Stadt, Dorf. ER; Nabü-ana-ER|a-a-lı|-ia|ia, Ana-ER-Su, Nabü-ana-ER-su; für die Erklärung dieser I) Gen. in fRapSu-aza- | abgek. Namen beachte /7a-za-hur-a-na-a-£i-. | 3d (s.u. saharu lo); Samas-Zn-a-/i-34; Nabü-, SamaS-dür-ERla-h|-st, Når-a-li-52 (ab. Bu 88- 5-12, 225, 93 = CT II 13; abgek.). — 2) Acc.(?) | in ER-ünar. 2N abu Vater. Ideogr. AD. 1) Nom. in 4-274 D- abi, -biti, -nadib, -nüri, 472/4-27 (ab.) -lA-a, -Bunini, -il-Ctam/.-me$; nach NX meistens in ab. Namen: Bél-, Bunini-, Dagan-, Marduk-, Sin-, Subula (CT VIII dem Typus 37, 493, 22)-, WTAR-, Zamalmal- AD|a-0:|a- bu-um;, Asur-AD-apli (edi?); mit Suff in AD-ia-kisri, Nabü-AD-1a, Bél-, Marduk-, Sama$- AD-u-a, Marduk-, Pir (CT IV 49, | Upiki-AD|a-bul- | 5 721, 24)-, Sin-, Samaÿ-, Sula; Samas-a-bu-ni, vgl. A-bu-nu-um (ab. | Bu 91-5-9, 2470, ıs: CT VI 42). — 2) Gen. | in Abi-ADJa-dila-du, Ah-AD-ia, fAhat-AD- Ju. — 3) Acc. s. u. aru Prek, balatu U ı Iprt., dt, nadânu und nasäru Iprt. — Beachte A-bi-ia-tum (ab. KLH 42, 4). san hell, rein sein in Z-Ö:-ib-ana-Nabü. — II: Iprt. in Esaggil-, Nabü-köni-ud|.-bi-ib] IEANSTSIL ANGE a8, abdu Knecht, Diener (vgl OLZ 1808, Sp. 354) in Ad-dilau-a-zu-zi (K 308 = JADD 285, III p. 498: pu. 17973», -ili (ab. Bu 91-5-9, 2512 = CT VIII 50), -Bél, -iS-ta-ra, -si-har (US EIE ag — AMD) SN, SIS | AS Kosename Abd-di-lalid, vgl. Ab-da- 729 BE IX. mas abitu Befehl, in Samas-a-di-tu. — à 72N abaku verzeihen(?) in Bel-z-du-ka-as. ibku (Ideogr. PIG), in (ab.) PIG|I-bi-ik|I-bik] Ib-ku-A-a, -Ad-du, -Anunitum, -Bélit, -Ea, -IShara, -IStar, -Nana, -Sa-la. 1) In dieses Verzeichnis, welches die in den Abschnitten I—IV gebuchten Personennamen — gelegentlich auch andere assyrisch-babylonische Namen — berücksichtigt, sind aussersemitische Wörter nicht aufgenommen. T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. abkallu (apqallu) Machthaber. In Ad-kal- | lum|la, “"NUN.ME, Nabü- NUN. ME-iàni. abullu (KA. GAL) grosses Thor, in ("#)Masar- | abulit. Fbu-nulni. "2N, abáru stark sein. Pre. in Zé-bu-rulbur, Li- bur-ra-am (ab. Bu 91-5-9, 280,45 — CT VIII 25) (Kurzname), Li-bur-ma-ti (ab. CT II 23, 324, 26), Li-bur-na-di-Si (ab.) Bu88-5-12, 31 (MBAP 103), Ina-Esaggil-Z-éur Dr 253, 4, *A-hi-li-bu-ra-am (ab.) Bu 91-5-9, 399,2 (CT VI 25), Nabü-szaza- li-bur, Nergal-$ume-li[bur]|. | abáru Stärke, in Samaë-a-ba-rilba(-a)rilru. ? Am-bu-ru. na-bu-ru in Nabü-za-óu-rau. San, (bru Freund, in /-ri-iali4 (Kosename), oder es gehört zu 274 q. v. ubáru Freund, in Ubarlba-rilru, U-bar-rum (ab.) Bu 88-5-12, 458 (MBAP 20), U(ab. U)-bar- Star, -Kà$, -Nabü, -NIN.GAL, -Ninib, -Sin, -Samaë, -Zamalmal, U-ba-ri-ia, U-bar(-ri)-ialia, Sin-4-bar-ia. | ubärtum f. Freundin, in” Ü-bar-tum, / U-bar- | /i-Samas, E-bu(sir?)-ri-di-i-ni. Dan, IV 1 Prtc. in Mun Mu-na-bit/bi-it/-tum|tu|ti Flüchtling. ub-bu-ti in BEl?-zb-bu-ti-ukin. Egibi, s. unter den Personennamen. K 6 rev. 8 (JADD 889). Bit Egibi I-gi-gi | agü (BL 1387) Kopfbinde, Krone, in 'Bélit- aga (abgekürzt), fBànitum-, fIStar-agZz-zsar. Vgl. Bêl-a-g2-usur. | "UN, Å-gi-ri, él KU. MAL Miethsklave. | igru (KU) Miethsgeld, in Ardi-elippi-ze77. "83 edu (Ideogr. AS) einer. 1) Nom. in Gula-3- me-e-di-hb-Si. — 2) Gen. in Nabà-fti-e-du) ÄS- alik, Nabü-Zzr-e-dz, -tukulti-ÄS, vielleicht auch in Samas-a//2-e-di, Marduk-zappe-e-di- Subsi. — 3) Acc. (e-du|ai ÄS) s. u. nasärı | Iprt, patånu lprt, Sakänu Iprt. und Salamı Iprt. — Als Kosename Z-4a-£-a. e-di-ib(?) in A-nal-e)-di-ib. _ uddu Licht, in Nabü-sàkin-z4-d und ?'Sa-Belit- No. 2. 301 4-dulud-da, wenn dies nicht Perm. von 77% II: ist. Beachte auch U-di-ia, U-du-ü-a. Jd-da-a-a, Id-di-ia. Id-du-ü-tum. Ü-du-da-a-t4. A(-a)-da-da. SR adallu stark, in Sin-a-da-a/, als Kosename A-da-la-a. | Zdi-in (1133), Zdin-a-a (JADD 265), *"?7-din-nu, I I-din-tum, I-din-ia-tum (ab. KLH 29, 31). *-47N (ar. = he. 79) in Addu-, ‘Apil-Addu-, Nabu-, Sa-mi-e-id-ri(-i]), d-ra-, vgl. Hi-id-ri- BE IX, he. "19% u. dgl. 37, Zi-di-is-Bunene. essu neu, in Da-li-li-, Tuqnu-es-sz. "x urru (Ideog. UD.DA) Licht, auch Lebens- licht wie 8, 1) Gen. in.Bél-, Nabü-zzusézig- urri, Nabü-mu-ziö(?)-urri, -nâdin-ur(2p?)-ri. — 2) Acc. in Nabü-wr-kittu-usur. In ASur- UK- nisésu und Sarru-wr-mifê (Epon. 859) wird UR Ideogr. für daltu sein (keinesfalls für kalbu). TW Iprt. in Nabü-z-Sa-an-ni (DAHW p. 34), I-a-an-ni-ilu 83-1-18, 695, III so. | am, Illı erretten. Ideogr. KAR. Prt. in Addu-, Anunitum-, Bél-, Marduk-, Nabü-, Nergal-, Samas- KAR]Jü-Se-zib, Ea-Iu-ü-Se-zib-a-ni. — Iprt. a) Jézió in Addu-, Ba-ti-il-, Kur-, Nabü-, Rammän-, Samai-ie-zib, Ta-nit-Se-zib-Bel, mit Suff. in Aplu-, ASur-, Bêl-, Nabü-, Ninib-se- zib-an]a-ni, b) Süzıb mit Suff. in / S4-zib-in-ni- Istar, XAR-Yu-Bël, Bël-, Nabü-, Nergal-, Samas- Xü-zib| KAR/$4-zi-bal-an-ni.—Part. in KAR/Mu- Se-3i-iblzi4]2:u12i0-65-Addu, -ASur, -Bel, -Marduk, -Nabü, -Samaë, Marduk-, Nabü-722-$e-z26; mit obj. in Bél-zzu-3e-zz-a4i; als Kurzname: Mu- 3Xe-zib|zi-bu, I Mu-Se-zib-tum. — Inf. in Nabü- Sá-zu-bu-, als Kurzname St-zu-bu|KAR. Iz-st-bu. Nabå-z-zu-bu. | TIN, izzu furchtbar, in Sin-zz-zz. YN uznu Ohr, in Ana-A-a-zs-ni, Bêl-P/?-a-a, Uz-na-, Uz-na-nu JADD 260. 893. Vgl. he. "sa, nab. und pa. MIN, Odawatos, arb. xi331, NÖLDEKE, Beiträge p. 101. nw ahu Bruder, Freund in eigentl. Sinne und als Gottesbezeichnung. Ideogr. SES u. PAP (vorwiegend as.).. Sg. 1) Nom. in PAP-a-bu/ri JADD 26, 68, SES-abia, -ilia vgl 44-/i-ia, A-hil PA P-ba-as[4,-te[tü Ha-ba-aS-ti, Hu-ba-Sa- 302 a-te JADD III p. 49, A-4u|SES(-)-bâni, PAP- li(-i) JADD 24, 124, 4-Z-um-mi-$á (ab. Bu 91- 5-9, 439, 23. CT IV 11), A-A:-Nana, SE S-nüruji, SES-ia-nüru, SES-immé, -ittabsi, -lisir, A- /i-li- ib-lu-ut (ab. CT II 23, 324,2»), Wa-gar-a-ku-um; PAP-düri, -lamaSSi, -nadbi, -tábu, 4-7] PAP- rämu etc.s.JADD.— 2) Gen.a) bei einem Nomen in Sulum-SÆS, b) bei Präp. in Mannu-Z- SES] PAP, c) als Obj. eines Part:s s. u. ezéóu III 1, band, erêbu, nadànu. — 3) Acc. (phonetisch in A-ha-am-arsi ab.) s. u. aru Prec, eresu, balötu TI 1 Iprt, band, baÿn UT 1 Prt. u. Iprt, erébu, kanu I 1 Prec. u. Iprt., nadanı, nasaru Iprt, natänu, gåsu, ràmu lprt, ras, Sakanı Iprt und Z/aganı ll: Iprt. — Beachte noch die Kurznamen SES- -d, SES--ü-a, A-hu--ia, Hu=-a-a, PAP-u-a-a JADD 168, SES-pi-i(-a), SES?t-el-a, Ah-hi-e-a, SES? (-a)-4, A-hu- ma-a, A-ha-nu, A-hu-nuls, SES-ü-nu, auch PAP-u-ni-i und PAP-u-nu (as. JADD UI 329 A-hu|SES-Su-nu — winN Be X 131, A-hu-Si-na (ab. CT VI 46, 2477 A). Pl ahe (SES, SES.ME selten, PAP.ME, wohl auch ohne 1) Gen als Obj. eines Part:s s. u. band, erebu, eteru und zadámu. — 2) Acc. s. u. amäru Prec, erésu, balatu I 1 Iprt, &anz, baÿa III 1, erebu, nadàuu, nasüru lprt., matàmu, Salamu lli Iprt. Beachte auch die abgek. Namen A-a-, Bél-2/é, Sama$-a/-e-di. — Mit Suff. in SESZ$a-a, SESPe)-su, A-hu-e-Su, Ardi-ahe-Su, Nabü-döl-ahesu, Pêl-ahè-Suls, Addu-, Nabü-, Ninib-kadti- PAPF-$u, Bel-, Nabü-, Sin-Sar-PAP# | SES#-u, Nabü-ban- PAPP-Fu, -erib- PAPF-$u, ASur-PAPPl-$u-eres. ahátu Schwester, in /A-kat-abiSu, / AZt- abi-$a (JADD 86), / A4-at-bu-á, / Akat-im-ma- a-a (JADD 256, vel. / /u-ma-a-a App. 7, VI 3), / A-hat-ammisu, / A-hat-su-nu, auch / A-ha-su- nu (ab. CT VIII 25, 280, as), Zl-Za-ti-3u-fa-bat (K 331, 3). ahátu Bruderschaft, in Itti-Addu/Bêl-SÆS) PAP(-u)-tultälte; als Kurzname SES(-ia] )-4-tu. ahulap bis wie lange, in A-hu-la-ap-Samaë. TON, Ideogr. SUR und KAR mit oder ohne phonet. Komple- etéru retten, schonen. PAP#I| | Pl.-Zeichen). | ^v gası, | | TN, /nu (Ideogr. Knut Tallqvist. ment. Eine zuverlässige Scheidung der Prt. und Part. Formen lässt sich nicht durchführen (vgl. DELITZSCH, BzA III p. 388, HILPRECHT, BE IX p. 21); die folgende Eintheilung wird nur mit Vorbehalt gegeben. Prs. m. Suff. in P /tH-ti-ra-nu. — Prt. in Batga-Marduk-£rir, Nabü-, Nergal-, Sama$(-ina)-e%-2tir, abgekürzt: Est, Ina-eft-êtir. — lmp. in Nergal-swn-etir, m. Suff. in ASur-, Nabü-, Ninib-AAX(-ır)-anla-ni. — Part. m. (e-fir(-ru), e-ti-ir, e-tiltè-rulralri, e-ti-ra-am (ab.), KAK(ir/ri), e- KAR, SUR(ir), in Éfiru (Kurzname), Étiru-Samas, Bêl-êtiru (eferi?)-Bunene, -Nabü, -Samai, Anum, Aëur-, Bél-, Belit-, Haldi-, Lagamal-, Marduk-, Nabü-, Nergal-, Ninib-, Sin-, Sama$-, Sulmán-e-zir| SUR|KAR-ir|e-ti-ru, Bel-étir-ahé, Nabü-2tir- aple, B&l-, Nabü-, Samai-ir-mapiáti; f in / Étirtum|;, *Bánitu-, fBau-, fBélit-, fNana-a-, t Serüa-e-filfilfir-rat| K AR-at. — Inf Tåb-eter (KAR)-ASur. | SN, a-a-bu Feind, in 4-a-2; (Kurzname), Samas- | kasid-a-a-bi, ? A-a-bu-U. a-ia-ba in Sin-a-za-ba-iddin? JE-ba-tum, auch ab. Bu 88-5-12, 267, 26 (CT VIII 22). SN a-a-lu in A-a-lum (ab.) Bu 91-5-9, 2439 A, 17 (CT VIII 47), Nabü-, Na-aë-hu- (82-5-12, 176, zz. JADD 25. CISII p. 35), Nusku-, Samas-a-a-/z. fBau-, Nabü-za(-a)-Z. Vgl. DAHW p. 48b. SD Auge, Licht. 1) Nom. (sus ise. SI, i-in, i-na, auch i-im vor folg. #) in Samas-n-à/itu, Sin-, Samas-in-mätim; mit Suff in Nabü-S/na-a-a, Samai-i-na-ia (vel. wy"bN I Ch 8, 20 — Z/u-ináia, RANKE p. 26), Itti- Bánitu/Nabü/Nusku/Samas/5 Sarri-,57@) [z-ui]- ialid; als Kosename: Z-zz-za, SLia, SLi-ni-ia. — 2) Gen. in MMi-Si-2-ni-S2 (ab. Bu 88-5-12, 705 — CT IV 46; DAICHES p. 74: «sein (Gottes) Liebling». — Beachte auch Z/z-i/àmi BE IX. /Ina-tum, vel. ? E-na-tum ab. Bu 88-5-12, 274,19 (CT IV 18). A-a-ri Kind, Spróssling (Nbp M II 7, 5). /A-a-är-tum. /A-a-as-tum. Ü-ku-ba . ..? I-ku-bi-Sin (ab.). Ak-du-lu-mur. INSE Neubabylonisches Namenbuch. "5N, akt Präp. wie, in Mannu-a-ki-i-Addu, -ilip!, -!Ti-tar-ia, -Nabü, -"Uruk. Ak-ki-ia, “Bit Ak-ki-e. Uk-ka-a-a (ukku Noth?). akká'| Frageadv. wie, in Ak-ka-it Ban; A-ki-la-a, FA-kil-tum. aklu, Ideogr. PA in Samas-aklu. ukkumu in Uk-ku-ma-;, vel. "Uk-ku-mu DAHW. I-ku-un-kalga -Addu/Sin/Uras (ab.). ekurru Tempel, Gottheit (E.KUR(. RAM) Nd 114, 10. 476, 7. 630, 6. 686, 3. 739, 17. 753, 35. 799, 16. 885,3 u. Ô. In E£zr-gàmil, -zàkir, Ekur- Su-rabü K 241, XIIe», VIII as, Ekur-Sal-lim-an- ni ibid. VIII as. 5x du Gott, geschrieben AN, NI NTI (ab. = i-li S* I i welches ursprünglich Pl. 7/ = ilé darstellte, dann auch für Sg. 4% bez. ws 5x verwendet wurde) und phonetisch in /-/#- ipus, -Samaë, A-bi-i-/u-um (ab. CT VI 976, 2), Lli-Samaë, Bau-i-/a, II-\Pa-ri-si (83-1-18, 695, XII 15), -Sulmän, Sépit--asbat etc; ist in Personennamen sehr beliebt, vel. JADD III pp.558f, 83-1-18, 695, II 22-37 etc. — Sg. 1) Nom. a) als Subj. in AV] /-/z-a-ni-ri, -aqaba, -ba-ni, | -itti-ia, -mus?-se-nu, | -gabra/, -hananu, -ipus, -ná'id, -qattara, -Sa-bu-nu, -ukallan[ni], A-bi-- AN (HABL 256), Ba-ru-hi-, Ibni-, I-di-, Itti- bäku-, Ra-$i-, Sa-ma-ki-, Sa-lam-, Sama'- AV; b) als Präd. in AN/Z-4///|Z/u-Addu, -A-du-hi, -bit-Gula, -miSarrum-Marduk, -Pa-ri-si, -Samaë, -Sulmän, -!ZIB (83-1-18, 695, XI), Bau-, Mar- duk-, Nanà-, Ninib-, Samaë-, Tam-me$- ANJ;- La, ASur-AN-balatisu, Sin- AN-ba-ni, Marduk- AN-naphari, Summa-AN-lä-Samas, Summa- AN-laAN (ab. KLH 11 4); c) vokativisch in AN-pi-ia/a-usur (83-1-18, 695, II x; K 8390), AN-Sar-usur, -usursu, Ammeni-, offenbar für Pl. steht, auch z/ geschrieben s. unten, in Épi- AN, BeL-AN-igbüni (K 241, X, sj), -milki, Ea-dipari-AN, Ardi-AN, Nabü-i-da-a- AN, Nüh-, Linüh-Zi-AN, Saugá-AN(-Bàbili), Sépit-il-asbat. — 3) Acc. ist nicht mit Sicher- heit belegt. Beachte noch .Sa/AN — samen, A-di--, Ia-di--, Ha-za--, Nergal- ha-zu-, Tusparka", Zubbâti- AN. — Die Schrei- No. 2. Atanah- | AN. — 2) Gen. ZZ, welches in einigen Fällen | 303 bungen AN und AN! wechseln in AN%»-iddin, -itti-ia, -pi-usur, -qanà/qanüa, -um?-mu/im-me, MuSallim-, Sin- (ab. Sin-NI.N]), Sin-barkr., Ba-ri-ki-, Marduk-, Samaë-0ê/-, Ea-dipart, Nabü-etet, Idihi-, Linüh-%64, Nabü-nör-, Nür-, Ea-garrad-, Rimüt-, Rimüt-del-, Ea-sa- lam-, Ea-6pis-AN 75, ebenso die Schreibungen AN? und AN-ia in ANP-a-di-nu = AN-ia- di-nu, vgl. BE X p. XII. — Mit Suff a) za in AN-ialia]a-a, AN-ia-gamil, -hatànu, AN-ia-Apil-Addu, Ahu-, Dannu-, Bel-dalli- (83-1-18, 695, XII 20), Bel-kundi-, Addu-, Apil- Addu-, Apil-Sarri-, ASur-, Au-, Bel-, Belit-, Bél-ümé-, Il-tam-mes-, IStar-, IStar-babi-, Nergal-, Ninib-, Sin-, Samaë-, Sarru-, Se-rumjr- (KK 400. 6951), f" Ur-kit- (JADD 232), !ZIB (83-1-18, 695, XI) -AN-za|ANZ-a-a Nk 134, 5| AN-a-a] AN-Ü-ali-la-a(-a), Sa-pé-AN-ia, KAK- a-fa-AN-ia, Samas-Eéma, NT. NI-ia, Ea- AN-ia- ibni; b) 2. P. Sg. in AN-ka|l-lu-ka (ab) -A-a, -Ea, -Ningirsu, -Sin, -Samas, SamaS-AN-ka-ni:; c) 3. P. Sg. in (ab) A4V-3z-abusu (ab. CT IV 16, 256, 19), Nür-, Naram-NI.NI-su;, d) 1. P. Pl. (ws) in Samsu-zu-za. PL, geschrieben AW, AN.ME (selten), NI.NI (ab. vgl. oben) und ZV/-zi, in ANZ ittia, Mannu-aZz-AUVZZ,, Eh-ANE'-rabi-Marduk, Nabü-imbi?/ni-ib/ni-bi?/NIM-ana- AN?, Nabü- Ei AN?! Nabü-abkal-AN®!, Arkát- AN? Samaÿ- aXarid-INI. NI, Bábu£- AN, Ba-di- AN? Nabü- baltum-, Nabü-barku-, Bêl-AN? (abgek. K 7682,7), Bel-ANZ-Sar-usur (K 368,9 = JADD 23), ASur-, Bel-, Ea-, Nabü-, Sin-, Samaë-46/ AN] AN. ME|NI.NI, Dàgil-AN?, Nabü-dannu- AN, Mannu-di-di-AN?!, Nabü-dumnqi-AN, Dumai-fa-ANW?!-damaqa, AsSur-, Nabü-eze- AN?(-ukinni) Gabbi-ANZ-Sar-usur, Sulman- ha-man-, Nabü-kamme-, Hinni-, Kabti-, Ea-, Marduk-, Nabü-£a6£-, Kinnu-, Nabü-£uzbu-, Nadana-, Ea-, Nabü-gar-rad-, Nabü-sZrz-, Sa- am?-AN#, Abpil-Sarri-AN?!-û- ..., lA-ra-mis (K 11,10)-, Nabü-, Sin-sar-AN?, Nabû-ÿar/r- ANS, iltu Göttin, in Lat, fBau-, fBélit-1-/ar. ilätu Gottheit, in AN-fa-ibni (abgek.), Ea- AN(-#)/i-lu|-taltu|tt-bni, Åmur-AN-tu-ASur, Påni (2 Amur)-AN-su. 304 ul nicht, Ideogr. VU, in Papsukkal-Sa-igbü-, Sa-Marduk-z/--uu|ni, Nabü-alsi(ka)-z/-abäs, Abi-, Bél-hitu-zqi, Amätsu-x/-tam-hu (2), Ina- Bêl-/-ta-ra-ak (2). non, ef über, mehr als. Marduk. illu Spross, in //-{a-a. In £-Z-ilàni-rabi- FN, gehen. Prs. in Idâte-bêl-a-/a-ka, Ina-Sàr- | bêli-a-lak K 582 (HABL 167), I-na-ili-ia-a/-/ak | Tig. VIII 90. — Imp. eZZ[DU in Nabü -itti- edu-a-Z£|DU, Sin-pàni-DU. — Part. àZ£| DU in Nabü-a-Z£-idi-ia, -DU-idi-ensi, Sin- alik-mahri (SI-DU), ASur-, Nabü-, Nergal-, Ninib-, Si-in-a-4k| DU-pani(ia). — Inf. alaku in JS A-lak-Su-lumur. Allaku (^"" TR) Bote. ta-lu-ka Wandel(?), in ! Bél-Za-Zz-£a (Kurz- name ?). Îl-ka-a. 55N allu Stärke, in Al-la-a. illatu dass. Ideogr. KAS + SAD. In Anu-, Sin-z/lat(-t), llu$u- (ab. CT IV 49, 725, es) Nergal-, Ninib-, Sin-, Samai-Z//At-zu. ALla-nu (ein Baum = vss)? a-lu-lu (= ?a///u stark) in Nabü-a-Zu-Zu. 55 e//u hell, glänzend, herrlich, in AZAG- IStar, fBau-e7/. Vgl AZAG-ta-lNa-na-a BE IX. ulülu Monat Elul, in U-Iu-ul-la-a-ajerat Ol -la)-a-a. II-lu-ma-a. SN, alpu Rind, in REA a/pi. SN, e/ippu (ES. MA) Schiff, in Ardi-elippi-igri. | e-lipllèp? in Nabü-muk-ki-e-Zp]löp. ultu von, in Ul-tu-päni-Bel-\ü-Sulum. emu, in Sin-e-mu-ka, -e-mu-St (ab.). EN, amtu Magd. Ideogr. MAT, st. cstr. am-ti (AH 83-1-18, 1866, IV), an-di Dr Pa 13, 10=15), as. a-mat (K 204,3), ab. a-ma-at. In /Amti (Amat)|A-ma-at -Bau, -A-a, -Addu-, -Bélit, -Gula, "Kur, -1Ma-mu (CT II 41, 410, 3), -Nabü, -Na-na-a, -"Su--la (K 294, s = JADD Knut Tallqvist, TAN, emédu stehen (sich verlassen? wie 72% Ez 33,26), auferlegen, in Ana-Sin-e-mz-id, Nabü-nir- US. imdu Stütze, in /#-di-Bèl. nimittum, in Itti-Bel-mz-mit-tum. Vel. den Namen der äusseren Mauer Babylons Ni-zm- it-ti-Bèl. Im-ma-du-bu. mas, amátu Rede, Befehl. Ideogr. KA. In FKA=\A-a, KA-Bél, -Sin, -Samaë, Usur-a-mat- 182, Usur-a-ma-at|KA-Samas, Ana-a-mat-Bel- atkal. Als Kosename: A-ma-ti-ia (ab. CT II 15, 332,2). Mit Suff. in /A-mat-su-dumga, A-mat-su-ul-tam-hu? Am-mi-zulli ur). San, ne-me-e/ Besitz, in Ne-me-el-Sin. | amélu Mensch, Diener. Ideogr. EWD ab. auch 324), -Sama$, -za-ar-ri-qu; als Kurz- bez. | Kosename Ju, /Amti-ia. Vgl. phó. nan, | DANUYNAN etc. Am-bu-ru. a-ve-il s. cstr., im AT entspricht 558. Nach dem Typus Å-ve-il( Amel)-ili (Bu 88-5-12, 725,21 = CT IV 49) in Ameil-Addu, -ASur, -Bêl, -Da- mu (Bu 88-5-12, 216,20 — CT IV 14), -Ea, -Gula, -IM-ra (CT II 15, 332,6), -IStar, -Marduk, -Martu, -Nabü, -Na-na-a, -Papsukkal, -Sin-Sadü}, -Samas, -Si-i-ma-li-ia (IR 65, 27 d. VR IV, so), -Sü-qa-mu-na (ibid.), U-sur-a-ve-lu (ab. CT IV 9, 818). Vel. Amekbulti?, -szs£, Amelu(-")-u. ummu Mutter. Ideogr. DAMAL. 1) Nom. in À Ummi-a-bi-a (JADD III, App.7, VIs3), Um-z- lSamsi, / Ummau-tåbat, "Bänitum-, fBélit-, fGu- zu (?)-, Ili-, IStar-2072-mulmalıniı DAMAL. Unklar sind (Bél-)gabbi-! Bél-z72-777 und Gabbi-!! Bél- mu-ma.— 2) Acc. in Nabü-z7/fwnzu-suldigi. — Mit Suff. in A-Jz-um-mi-3& (ab. Bu 91-5-9, 430, 23 = CT IV 11), fAhat-zzzgz -s2, IStar-2um-ma-sa, Bélit-zzz-zga-zu. *ammu Verwandter (53), als Gottesbezeich- nung, s KA? p. 480ff. In Am-ma- (?), nach dem Typus Z/u-zm-me (as. K 370 — JADD 162) in A-a-am-me, Addu-, Ahu-, Am-ri-, Anum-, Bél-, IStar-, Nabü-, Samat-, Sulmân-Za-am-me- elam-me-e]am-malim-me(-e). Vol. Ja-as-di-ha- am-mu = Bov CT IV 2 rev. 21, MVG 1901, 3 p. 53, Zt-zm-ri-ha-am-mu = BYT ibid. Am-ma-nu. ae Se "E | amméni warum? in Åm-me-ni(-ilu). T. XXXII, Neubabylonisches Namenbuch. PAN, emüqu Macht, Kraft, in Nabü-, Sin-, Sama$-e-mu-kil-e). Ni-me-gu Weisheit. U-muk. ON, leben, mit ana muhhi und pår wahrschein- lich jemandes Wink gewärtig, ihm er- geben sein. Ideogr. S/ und SY.LAL. Prt. I. Sg. (oder Imp.?) in A-mur-da-an-nu-zu (ab. KLH 29, 17), -zlätu-ASur, ASur-Submu-a-mur, 3. Sg. in Amu-ur-Ea, SZ. LAL-IStar, -Marduk, m. Suff in Sarru-e-mur| Var. SZ. LALl-an-ni (IR 1, V 12). — Prec. a) /ämur in Abi-/a- mur (K 241, X 5), Ana-muhhi-Bel-a-mur, Bèl- la-mur]ST. LAL, Pän-ASur/IStar-/a-mur | Var. SZ, Sulmu-Bél-/a-;zur, b) Zur = wes CIS IL 61) in Zx-mur-dumgi-Bel, La-murlmu-uri- gimil-Samaë, Abi-, Ahi-, Nabü-ahé-, Ak-du-, 'Aläk$u-, Älu-, Agar-Bel-, Assür-, Bäbilu-, fBänitu-, Bau-rubima-du-me-, Bél-, Ea-, Ebab- barra-, Itti-Bél-, Itti-Samaë-, Mär-Esaggil-, Nabü-ina-Esaggil-, Nabü-ina-käri-, Nabü- nürka-, Nür-Bél-, Pani-ASur-, Päni-Diru-, Päni- Nabü-, ‘Sa-Bänitum-, Samai-, fSi-da-da., Sulum-Bel-/u-mur | SI] u-mur-ru (K 954). — Imp. azur in Bél-, Nabü-, Samas-dui-a-mur, SSi-in-gi-Sa-a-mur (IN R 68, ob, vgl. DAHW p. 505b gegen OPPERT, ZK I p.271); m. Suff. I. Sg. in Bél-, Nabü-, Nusku-a-zar| SA. LAL) (-anla)-ni, Addu3-SZ.LAL-im(-mP| — Vel ws. "AN sprechen, befehlen, in 4-ar-ilu K 8383 (HABL 329), Ilu-a-warlma-ra K 346, 2. Bu 91-5-9, 84 (JADD 427. 508), Apil-Addu-a- ma-ra ri. amäru sehen, gnädig ansehen, er- I 2 dass. Prt. 1. Sg. in Å-ta-mar-an-nu-su, -dumqi-ili (K 241, X ss), -Sin. "ON u-riudmeme, Am-ri-NI.NI-Su (ab. CT II 42, 2174 A, 18). Vgl. nab. Augucacuov und arab. syd! in Namen. immiru (LU. ARAD) Lamm, in Zmmiri-ia, /Imn- mir-tum. amüsu eine Pflanze in ? A-mu-Se(-e). anu Zustand, in An-dunami-"Da...., -Gula, lama. anutu Gottheit, in Atamar-a-nx(-us)-su|”a- RUN-SU. No. 2. 305 | anaPräp. auf, an etc. 1) in Verb. mit erzedu,amäru, eresu, asit, mahäru, nabñ, nasaru, sarahu, páqu, taru 11 u. I: und Zakadı, s. u. diesen Wörtern; 2) in Verb. mit einem zu ergänzenden Verbum und sonst in A-na-A-a-uzni, SA-na-alisu etc. s. u. ålu u. sakaru, Gabbu-a-nalana-Asur, Sulum(-ana)-B46ili,Minü(-ana)-Böl.dän, Mannu- dan-an-ana-ılı (Epon. 866), (Anum etc.) A-na- bitisu S. u. bitu, A-na(-e)-di-ib, Ea-a-na-kussisu, S/A-na-makanisu, Bél-, Nabü-a-na-merihtum, A-na-Nabi-Salàmu, Aqar-a-za-/Naóz, / A-na- nürisu, Ana-Samas-kaläma. Vel. noch Za-te- ga-ana-Istar. ina Präp. in, bei etc, geschrieben z-7a und AS,’ s. u. eferu und sabätı sowie unter båbu, bitu, Fbabbarra, Esaggil, käru, pânu, gatu, qibii, gibitu, sillu und Saru. Beachte auch /ra-Bel- ul-ta-ra-ah. BN, /nbu (imbu) Frucht, Produkt der Zeu- gungskraft, in Znuz-óu-um (ab. Bu 88-5-12, 256, 22 — CT IV 16), Z/n-óu-34 (ab. Bu 91-5-9, 1051 = CT VIII 42), /m-ba-a, Im-bi-ia, I In- ba-a, / Inba-a, In-ni-ba-a, In-bi-tlisu (ab. KLH 42,6), In-bi-ir-si-tm (ab. CT II 25, 331,31), Zuz- bu-pånia, Mi-na--im-bu-ka(?). Für Ini-bi-ASur. Im-bi-Sin vgl. unter nabı. Z[n-na-ó6a-tum (ab. Bu 91-5-9,2191, 5 — CT VI 43). andi s. u. EN,. MN, beugen, unterdrücken, machen, in Papsukkal-5a-iq-bu-z/-izz, Sa- Marduk-z/-zz|,; !A-a-e-mau-au. Un-zir/za-hu]:-ASur, Un-za-ar-hulhi-IStar. MN, I? seufzen, in A-ta-na-ah| A-tan-ah (83-1-18, 115 rev.4— HA BL 847) -Zu| Vi-Vi (ab. Bu91-5-9, 1203, 6 — CT VIII 8), fA-ta-na-ak-Simim. Vgl. RAT XAR [E TN, unninu Flehen, in Sin-mudammig-un-ni-nu. ungiltig -a-ta-na-ah. ennam Herr (ab), in Zn-nam-Marduk, -Sin -Samaë, Samas-en-nam(-ukin). In-na-Nabü. anínu wir, in Itti-Addu(-a)-ui-zu|,jan-mi, ‘Sa- Nanä-a-nin/ni-in/-ni. a-ni-ri, in Z/u-a-ni-ri. SUN ? dp-pa-nulni, Ap-pu-nu (vgl. ZA VII p. 274). UN ensu schwach, ideogr. SIG, in Nabü-där- 39 * 306 Knut ensi, -alik-ida-ensi, -tukulti-ensi, -zagip-en$i, -ensa-erba(?), -ensa® LAL)-eres. Vgl. Nabü- a-enSi(, E?-ne-$u, In-Si-ia. now, dsû (A. ZU) Helfer, Arzt, in A-sv-#, Sin-àsz, As-si-iala, Bélea-su-Z(-a). /A-si-tum. usätu Hilfe, in Bêl-#-sathsa-tultt, Marduk- bel-ü-sa-tim|u-sa-a-te. TON asukku Schutzwehr, in Samas-a-suk-niä. "ON A-sz-77-Addu. ?PÆ-si-ra-a-a. aplu (oder ablu) Sohn, geschrieben À, TUR (auch — märu), TUR. US, ap-lu, ap-li, auch AS (in Nabà- ÁS-lisir K 241, II es, vgl. ASur- TUR. US- litir, Nabü-4S-erba K 241, III s, Nabü-S- iddina K 241, II 18, Nabû-bél- ÅS K 334 rev. 9; in vielen Fällen aber = ed), ab. a-/um, ap- lim, a-pil. Sg. 1) Nom. in À] TUR-A-a, -irsitim (MBAP 34. 43), -IStar, -Martu, -Sin, -Samaë, A| TUR. US-Addu-amara, -natanu (= Ap-la- da-natanu), TUR-Bel-sam-su-um-Samé (VR 44, 17b), TUR-Ea-Sär-mäti, TUR-Sarri-ilåni-u4.... (Nd 233, u), TUR-Sarri-ilåa (vel. u. märz), Aqar-A, Aëur-, Nabü- TUR. USIAS-/éÿir, Ninib- apil-ekur. — 2) Gen. in ASur-abu-ÅS (edi?), Nabü-, Sin-4êLap-lilim| AS] TUR, Samaë-dér-A, | als Obj. eines Participiums (4| ZUA(. US)[af- | JAN, Catane te der Co bsesios | 2M eo 4 D -P LR /ri-ik SA - Juli) s. u. band, dànu, nadànu, nasâru und Salåmu I, 1. — 3) Acc. (AI TUR. USlap-lu|ap- HAS) s. u. erêbu, kânu I a, kasâru, nadânu, nasaru, natanu. — Beachte noch die abge- kürzten T'UR - Bél - atkal, a-pil-$u-nu und die Kosenamen Ap-/um (ab. MBAP 28), A-a, TUR.US-a, Ap-la-a, A-ia (83-1-18, 44,2 — HABL 533), 4-a-a (K 241, IX s), TUR.US-i (K 241, X 10). Pl in Nabü-£fir- TUR, TAp-la-tum Tochter. Namen Samas- ^EN pru Lebensunterhalt, in Nabû-nàdin-#- SE. BA. Ap-pa-ra-a-a. WDN epesu thun, schaffen, ausüben. Ideogr. KAK. Prt. in Apu-us-Ea, ASur-, Bel-, Bélit-, Nabü-, Nergal-, Sin-, Samas--pa-u3| KAK(-ui- Sa)le-pu-%%; mit Obj. Bél-, Nabü-, Sin-, Samas- dimi-KAK-usle-pu-uslz., BEl-sum-KAK-Su, Zir- KAK-i4, Zamalmal-:#-KAK-15. — Prec. in Li-pu-$u, Ha-di(-e) (Epon. 850)-, KA.KA-, Lid- Tallqvist. bubu-, Muzammeri-Z-?z-34 (K 241, XII 10-14), ?Lu-pu-Su-pia. — Part. in Ea-e-pS KAK(-es| z3|u3)(-24i£^), Ea-ip-Su(?), KAK-es-ih. Is-sur, Is-su-ru, Is-si-ru N ogel(). JA-qu-ba- tum; A-gu-bu BE IX, Ag-qu-bu. U |-qu-pulp, 4 Ü H-qu-pa-tum. A-ra-bı, Är-a-bi, Är-bi, Ar-ra-bi, Ar-rab, Ar- rab-bi, Ar-ra-bu (ab. CT II s, 186, 30), wechselt mit A-ra-ab-tum, Ar-ra-ab]|,as-tum|talti. E-ri-bi, Fri-bi (= ?éribu Rabe). ardu Knecht, Diener. Geschrieben ARAD, ar-di, ar-du (st. cstr.; in ar. Beischrift 723 und IS, s. CIS II pp. 15, 18), in Ardi-ahésu, -elippi- igri; nach dem Typus Ardi-ili in Verb. mit den meisten Götternamen. Als Kurzname Ar-du-um (ab. Bu 91-5-9, 786,6 = CT VHI 40), Ar-dı] Ardi-ialiéla, Ardi--ia. Beachte NN — Ardi-Istar JADD III p. 448; Ardu-u-tu K 241, XI 24. ms, schützen, in ?fBélit-e-za7. urü Pferch, in Ràb-#-r#-#, Sa-t-ri-e-Yu. n^N A-ral-ah)-hulhi, vel. ÅA-bi-a-ra-ab (ab) Bu 88-5-12, 731, 1 — CT IV 50). mérihtu, in Mi-ri-ih-tum, BE, Nabü-ana- me(-e)mai-ri-ihhi-tum|tajt. | rütsu. Ar-ra-ku-tu Sxgn St. Ia. yw Nabü-dr-uiia. A-ra-nu, vgl he. ym. Zr- a-ni vide sub 184". | Ur-pa-di-ia. T^N, irsitu Erde in A-pil/TUR-, Ibik (CT IV 38, 645)-, In-bi (Bu 91-5-9, 331,3 — CT II 25)-, Sá- mi-zr-sz-/& (ab.), K/-ti-Bel-Äisesir, ASur-etil- Samé-u-K/-ballitsu, /7-sz-Z-ia (ab. Bu 88-5-12, 220,5 CISV) Ar-sa-', Ar-sa-a-a (vgl. bi. NES). TN, eristu Verlangen, Lust (oder Ent- scheidung?), in Æ-ri-2f-#]NIN-ti-A-a, -Samaë, LE-rislyiis-tumltu. E-7yi-Su|si. irsu weise, in (ab.) Addu-, Marduk-, Samas-ir-iz. A-ri-1$-Su. : TAN, eresu (vgl bi. mvg») pflanzen, dann theils = 2az£ erschaffen, theils — takålu vertrauen, Geschrieben AAN, K AM, PLIN(-e3), T. XXXII. fAr-ti-im. Neubabylonisches Namenbuch. 307 er-es Dr P 71, 17, e-r1-1$, auch SUG (BL 7602). Prt. oder Iprt. in SUG-ana-Esagsil, Addu-, Aé-, Aëkaïîti-, ASur-, Bani(Bannu)-, Bänitu-, | Bau-, Bel-, Belit-, Ea-, Haldi (as. K 10 119)-, | Ha-a-an-nu-, IStar-båbi-, Marduk-, Nabü-, Nanä-, Nergal-, Ninib-, Sin-, Samai-, Subulal., | Sulmän-, Zamalmal- êrislères oder -eres, welche Namen nach der Analogie von (Ana-)Beleres | vielleicht als abgekürzte zu fassen sind; mit | Obj. in Nabü-, Ninib-, Sin-24-PIN-ef, abgek.: AÄh-e-ri-i BE IX, Nabü-ahe-KAM]| PIN(es), ASur-ahesu- PIN, Nabü-balat- KAN| PIN-es, Nabü-azni-PIN-es, Nabü-ensu-PIN-es, Nabü- satammu-PIN-es, (Ana-)Nabü-Salamu-PIN-es, Addu-, BéL, IStar-, Nabü-$#72-KAN]PIN-es| KAM, Gula-sir-KAM-es; beachte noch Bel- giné- A 447, Ha-di-e-e-ri-es/iS und Samas-Z-r2S. | asgandu (mand. N7:238N ZA VI p. 348), geschrieben A$-gan-du|da|di, As-ga-an-da Nk. 271,9, As- Enna Si-gan-du, Sagan (BL 8975) -dx, ant $a- eau-na. SÖN /sdu Fundament, in /sd-Addu, -Asur, -Belit, -Harrän, -IStar, -Nabü, -Nusku, -Sin, | Nabü-zig7-D U-n; mit Suff Bel-, Nabü-zszz- ialid-Ri-ni| DU, Sama&-itdi-ia-i ..... | müs, esu (BL 11209) Verderben, s. u. etéru. isku Kind, in ASur-i$?-ka-dan-in, IS-kil-), IS- | ku-Su, IS-ki-a-a JADD 167, 12, IS-ki-SIG (dam- zig? DAHW) K 241, X 36. Vel. isqu. DEN As-ka-pu (NDDÖW) Schuster. DEN As-ka-ri. Aslaku, ^" KU.U T. TUN Marduk-a-5z-zz. u3-pa, in Sama&-. Äs-pi-e, vgl. asp ein werthvoller Stein. Isparu, (emen US.BAR Weber. pON i$qu Theil, Besitz, in Z3-£xilu (K 241, | VIII 11), -Zamadu, Ilu-$-#7 Epon. 886, vgl. Ea- sittifu, he. *rmp*r und Ps. 16,5 "par, za mim; Itti-ili-2$-22, 78-ki-it-ti-ili-ia Bu 91-5-9, 332, 24. 338, 28 = CT II 26. 28, vgl. DAICHES p. 49, Zi- ki-erba K 241, X ss, /3-£ziddin. Vgl. iska und JADD III p. 136. SUR, asru Stätte, in Bél-Nippuru-aza-a3-ri-3a-tér. aÿaridu erster an Rang, Fürst. Ideogr. MAS, No. 2. ° SAG.KAL). In Addu-, Bél-, Nabü-, Nergal-, Ninib-, Sin-, Samaë-, Sulmän-MAS/SAG. KAL] a-sa-ri-dula-Sala-rid|ri-ia, Samaë-a-*é-rid- NI NI, Ninib-a-Sa-rid-su-nu, als Kurzname A-Sa-ri-du. v€UN, ussu Fundament, in Us-Sa-al-a). | ms, /tu Seite, in ?Marduk-z-/a (abgek.). bei, seitens, von (= X) wie he. by (— ya Hi. 27,13. Geschrieben it-ti, Kl, TA und DA (selten, vgl. III R 1, VI 2 mit Var). r)In den abgek. Namen 4/7 K7| TA-Bel, -Ea, -Marduk, -Nabü; 2) in Vollnamen a) in Verb. mit einem Verbum s. u. alåku Iprt., amäru Prec. Il ban, (tti Prap zur Seite, mit, auch namäru Prec.; b) in Verb. mit einem Gottes- namen, einem sonstigen Nomen oder Suff., in KI| TA-Addu/B£l-akätu, DA] TA-Addu-aninz, It-ti|K-Anum etc. -balätu s. u. balätu, It-t- Marduk-éauz, KI-bit-belit-banini-unda, [t-ti- Bel-dini, KTI|Itü-Bel|Nabü-gzzz, Jt-ti-bàku- Bél/ilu, K///t-ti-Bànitu etc. -Zuza s. u. uw, It- ti-1li-8%i etc. s. u. qu, Kl|It-ti-Sin-kinnu, Kl Bél-zzpittum, KI-Bel-u£mittum, KTI-Bél-pasar, KI-Nabu-nåhu, TA-ASur-Samsu, KI-Esaggil- sir, KI|IH-ti-man-ni-ia-Bêl; nach dem Typus Hu-KI-i K 241, IX 6, Z/u-KT-iale-a III R. 1, V ao Var. (vgl. he. 583329) in Addu-, ASur-, Bel-, Bel-Harrän-, fBélit-, Ea-, Nabü-, fNanà-, Sin-, Samaë-X7 let-til-1alia. ita in (Itti-)SamaS-z-Ze-e. uns etellu, etillu gross, erhaben, Herr. Ideogr. NIR.GÁL. In E-til-Samas, Asur-etil-kin-aplu, BEI-NIR.GÄL, A&ur-, Nabü-e-t/ VIR. GÁL- ilani-ukinni), Aÿwr-e-til-Samè-u-irsiti-ballitsu, E-til-lu (?)-måti (?)-iba5Si, E-til|eed(-lu)-på Addu, -Ea, -IStar, -Marduk, -Mirra (ab. Bu 91-5-9, 338, 23 = CT II 28), -Nabium, -Ninib, -Sin, -Samaë, -Ura5; als Kurzname E-til-luililm). J£ E-til-li-tum Herrin. utlu die Gegend zu Füssen eines Gottes, in 7Zà5-ut-Li-Bel, Ü-£uL-3Ma-mi. pre, lll i vorrücken lassen, alt werden lassen (? vel. adanna i-ti-ig IV R 60* Bi und he. pn» alt werden Hi21,7. Ideogr. LU und NZ Part. in Bél-, Nabü-zzz-3e-£-zg| LU Dr 147, 12/ LU-ig Cb 285, u [»u-LU Dr 519, 12] 395 308 mu-Se-LU Dr Pa 9, 26 | mu-se-t-LU Nd 796, 18 | mu-NI Nk 188,15. Cb 338, s |z2-Xe-/V7 Nd 238, c. 239, 7. 597, 19 -urri, abgek.: Mu-Se-ti-ig|L U-urri. E-ti-ra-a. JV EUST atta Pron. pers. 2. Sg. m., in Bél-a7-/a-ta-li-e, Samas-az-ta-talimu, Sa-Bél-at-ta. a #782 Addu-, Atar-d2--di, Apil-addu-da-'-di, Ba, di-ılif!. NN,2 /Pu-(-1)-tumltilti «die Begehrte» (?). 5N3 bálu gross, in Iu-Su-6a-a-Zum (ab.) Bu88-5-12, 5220 =O I ng Sing: NGT nee SN,2 bélu Herr. durchgängig) ZN (oder irrthümlich ?ZN), ab. auch de-el, belsi-la, sogar "bel? (Bu 91-5-9, 938 — CV I), ass dr << IIS Rer Ve VI Varr. und 4/7 (III R 1, I 36 Var. Nom. a) als Subj. 9) BE- Ebabbarra-ibni, Bel- Harrån- düru etc. s. u. Harrån; b) als Präd. in Bel- bel, (Nabü-) del-ahesu, Addu-, Bél-, Dagan-, Sin-, Sama$-56X-a) - milbels:- Ja - ulus (vel. die Kurznamen PBé/-a-ni BE IX, Be-la-nu-um CT II 40, 394, 19), Nabü-, Sin-de-ellbe-/a-apl, Bau-, "Bålit-, 'Sala-bé/-biti, Bel-dalli-ili-ia, Aëur- bél-dålöm, Marduk-bel-dåni, Bêl-êtiru-Bunene, -Nabü, -Samaë, Bel-gabbi-Bel-ummu, -Nabü A&ur-, Bel-, Ea-, Marduk-, Nabü-, Sin-, Samaë- be-ell? bel?’ EN-ilil£), Asur-bel-ka-la, Nabû-66/- kalàmu, Bel-kummu-A-a, Nergal-bel-kumita, Bel-mäti-Marduk, A&ur-, Nergal-bé/-ati, Bel- napistim (nopsätim) (-Sin), Marduk-, Nabü-, Samas-bel-napistim, ASur-bel-nisesu, ASur-bél- qala, Addu-bél-si-hi-ti, Uras-böl-Same, GAL. Nabü-66/-$umat, Nabû-6ê/fu, Bél-, Marduk-, Nabü-, Ninib-, Sala-6/$unu, Marduk-6éLusâtin, Bel-zöri, Marduk-, Nabü-22/-z2rz. — Gen. Nabü- dür-beli(ia), Sin-ban-beli, Nabü-nädin-beli. — Acc. (an zweiter Stelle) s. u. bana, kånu Il 1, nazazu llli, nasåru lprt, fagánu Il i. — Be- achte noch 27467 abulli, Rab-bel-immirti, Là- Salim-de-Z, Beli-iala-a, Belsunu (Be-el-Xá-nu ab. CT IV 48, 713, 9). belitu Herrin, in Be-At-tum), f$ Belit-deltu (BL 7337) -usur, *(Ina-)Esaggil-2e-Z, I Be-lit- | Geschrieben meistens (nb. | Knut Tallqvist, su, SBe-lit-su-nu (/Be-ht-su-nu ab. CT VI 46, 2477 A, 2), A-a-belit-nisi, Be-el-tum-kima-abi (ab. CT II 23, 324, a»), /Be-el-ti-ma-gi-ra-at (ab. CT VIII 22, 44,1), /A-na-be-el-ti-kal-la- a-ma (ab. CT VI, 272, 19), /Du-mu-ug-be-el-ti (ab. CT VI 25, 390). N3 dd’iru, ^" SU. HA Fänger. I. bábu Thür, Thor. Geschrieben AA, auch 2 KA. In /Ina-babi-magäri-alsis, *"" kanik bábi, anölmasar bab Istar-babi s. u. Istar. | II. bdbu Kind, in Ba-ba-ia, Ba-bi-ia, /Ba-ba-a, Ba-be-a-nu (K 316,22 — JADD 328), /Ba-du-nu, (ame!) Ba-bu(-)-tu| K Á-tu. bibbu, in Bi-ib-bu-d-a, Bi-bi-e-a, Bi(-ib)-ba-nulni, Bi-e-ba-ba-nu, Bi-bi-ba-a-nu, Bi-i-bi-la- gal-mal). Bu(-ü)-su ein Vogel, vgl. JENSEN, ZA VI p. 349. büru, biru Sprössling, in Bur|Var. Bi-ir-A-a, -Addu, -Ra-ma-na, -Sin, Bir|Bi-ir-Samaë, Bu- ri-ia CT II 36, 377, 19, Bu-re-ia MBAP 89, ai. Als Gottesname in Dx-ra-zir-iddin; vgl. u. SCT tra bäsu zu Schanden werden. Prt. in Nabü- alsi(ka)-2/-a-6a-a3| UR, vgl. Ps. 25,2: Snnmua 72 nu5oN 5x. Hierher gehört wohl auch Za- ba(-a)-Sisee (-Marduk) = wa35 BE X 59. II, zu Schanden werden lassen, in Lå- tu-ba-ÿa-ni-ilu Rm 2, 19,23 (KB IV p.106). Lå- UR-ni-ilu K 370 (JADD 162, KB IV p. 116: La-ta$-ni-ilu), La-tu-ba-Sa-an]s-ni-Addu, -IStar, /La-tu-ba-Sin|zi-in(-in)-nilan, Sa] UR. bastu, baltu (vel. JENSEN, KB VI 398) Kraft- fülle. Ideogr. UR und 77.LA. In /Pa-aÿ- Zum (MBAP 9o, vgl. p. 102), Ahi-da-as-ze etc. s. u. au, Ba-al-tu-Samaë, Nabü-0a/-tumlti-til TI. LA-ilöni, Sarru-UR-nise Epon. 859, ASur- UR-nisesu. Vgl. Ba-alta-in? nr3J Ba-si-tum, vel. Ba-zi-bel, Ba-si-a-am-NI.NI (CT VIII 22, 374, 20), Ba-zi III R. 43, I sob. 112 Ba-zu-su, vgl. Ba-zi-zu (ab.) CT IV 26, 327, s. ^ra Bav, Bi-hi-ri, el bi-hi-ru. rel ?Samaë-/-ni-KA (amäti? pi?)-ia «S. merke auf(?) meine Rede!» ma bru Haus, Tempel Geschrieben Ät). Nom. in AZ-/rami-Sàr-usur. — Gen. in Adu- T. XXXII, Nabü-sazzu-i-ba- Neubabylonisches Namenbuch. biti, D-biti-Gula(?), Bau-, fBélit-, "Sala-0602%, | Etillu-biti-ibasSi(?), /Ina-böt-belit-bäanini-alsis, | Ina-silli-biti-akitum, Anum-, Bel-, fNanà-, Nergal-, Ninib-, Sin-, Samaë-, UraS-ana-bitisu, abgek.: Ana-bitisu. — Acc. in Bit-ukin-Bau. 722 ? Ba(-a)-ku-ü(-a), Itti-ba-a-ku-Bel, -ilu, Bel- ba-a-ku-pitin. Vgl. Il-ba-ki-um-me, Ba-ka-a- | ilu 83-1-18, 695, III 24, XII 17, Br-ik-Ru-u-a BE IX. Bu-la-. Sin-bu-la-na-sir(?). 53 balü ohne, in Ma-nu-um-ba-humlıa-IStar, -Sin, | Mannum-ba-Zu- NI. NI-S2 (ab. CT VIIIS, 1031, ). | Ba?-la-lu. 069 balatu leben. Ideogr. TIN, T/(.LA), BA. | TI.LA. Prs. in Z6a-lu-ut (ab) CT VI 46, | 2477 À, 19. MBAP 24. — Prt. in Nabü-alsika- | ab-lut. — Prec. Lib-lut, Li-ib-lut|m-tultajut, Samaë- | h-ib-Iu-ut, Gula-taqise-/6-lut, Tab-lu-tu. — Perm. in Bel-/2-ba-lat, Lu-ba-laf, / Li-bal-ta- at|tat Dr 319, 4. II, lebendig machen, ins Leben rufen, auferwecken (den Todten, d.h. denKranken), am Leben erhalten (= mn Ps. 119, oo). Prt. in Ubal-lit-Gula, -Marduk, Addu-, Aé-, Anum-, ASur-, Bel-, Bel-Harrän-, Ea-, I5um-, Marduk-, Nabü-, Nergal-, Ninib-, Sin-, Samai-, Sulmàn-4-a/-Zit| TIN-it| TI( LA), mit Obj. in Nabü-à4-ZIN-if, Nabü-, Samaë-w#u-4-ba-li- it| TI.LA|á-bal-Bt| TIN-it, Ü-bal-lit| TIN]-su- Gula, -Marduk, -Nabü, Bél-, Nabü-Z-£a/-Z/f-sz, abgek. U-bal-lit-su BE IX. — Impr. a) ballit (as) in ASur-, Bél-, Nabü-2a/-Zz, mit Obj. Nabü-azé-bal-lir, Nabü-kénu-bal-lit, IStar-u£tu- bal-lit| TI, Nabü-, Samas-bal-lit| TI. LA |-an-ni, Aëur-etil-Samé-u-irsiti-, Marduk (nb.)-, Nabü- bal-lit| TI.LA.BI]-su, b) bullit in Nabü-64/- lit, Addu-aóu- TIN, Nabü-à4-b4l-lit, Addu-, Bél-, Marduk-, Nabü-, Ninib-, Sin-ake-bul-Kt| Var. TIN Nk 138, 19] ZZN-:#, Nabüà-dnz- TIN] bul-tu, Bel-, Nabü-, Nergal-, Sin-, Samai- Jar-bul-lit, Bêl-tabni-bu-ul-lit, Marduk-Zadtanı- bul-lit, Bau-, Sin-tagiÿa-bul-ht|"“*t; "DUL-, Nabü-, Nergal-, Samaë-##/-Zifla-an-ni, Bel-, Marduk, Nabü., Sin-, Samaë-6»-ul-li-it-su| TIN-su|bul-lit-su, Bêl-tadannu- TIN-su. — | Part. in Addu-, Bél-, Marduk-, Sin-, Samai., | Sulmàn-, Urai - zz - bal - lif | ab. mu-ba-li-il, | Marduk-mau-bal-lit-su, /Mu-bal-li-ta-at-\Serüa | No. 2. 309 II R 65, sa. — Inf. in Nabü-2z-a(-z-&-e), Ih- bkl-Iu-fu, Hi -bid-Lutli | lu-tu-Marduk, Nabü- l-bul-lit (sic), Ina-qàti-Nabü-2z/-7z, als Kurz- name: J4/|P«"Lu-fullut|ut, Büll-Iu)-ta-a. . balatu Leben. Nom. in Itti-Anum (Bel, Belit, Ea, Gula, Marduk, Nabü, Samas, Sarri)- ba-lat|ba-la|u-tu|;] TIN] TI. LA, abgek.: Samai- ba-la-tu. — Gen. in ASur2-óalátisu (TI.LA. BI). — Acc. TIN| TT. LA bei eresu, basü II +, nadànu, gibü, Sakanu s.u. diesen Wörtern. Beachte noch die abgek. Namen Ea., Ninib-, Samaë-6a-lat| TIN | TT. LA|-su, Ba-lat-su, TIN- su, Ba-la-tu, Ba-lå-ti, TIN(-fu), Ba-la-fa|u-a, TIN-a BE IX. baltu, in Ba-al-ti-(i)a. 553 PBaè-lu-lu, I Bilpi-li-l-twm. où Ba-la-su (as.) KK 7299 rev. 29. 8535,8(HABL 799. 537). Ba-la-si(-i) KK 185,2. 329,26. / Tab- lu-su. baltu s. u. ©. Bal-tam-mu-. Ba-am-ma-a. 2 binu Sohn, in ?Nabü-Öi-na-ukin (vgl. DAHW p. 177, b), Pi-na-a-a. *w33 (ws.) erschaffen, in Da-na--ılif! BE IX, Bêl-, Ninib-, Sin-da-na (ab). Vgl. Iu-ba-na-a 83-1-18, 695, II ss, fSi-in-ba-na- etc. oben ph 202 Lo eZ 28V IE DT. . mà banü bauen, erschaffen. Ideogr. KAK (vgl. epé3u), selten DIM (K 241, V 13) und BA (in Aku-bän? Nd 336, 2. 495, 4, Pán-ziri Dr Ba 12, 10 und Böl-ahe-BA-ni d.h. ibni Dr Ba 6, s; vgl. MEISSNER, ZA IV p. 72). — Prt. Sg. 2. P. in Zab-ni-IStar, IStar-, Sin-, fTa5métum-/a2- Alu, Bêl-tab-ni-bullit, Innin-, Nabü-, Sin-, Sama5-tablia-as-Ni-UsUr, Nabü-/ab-ni-ni (vel. Tab-ni-ni K 383,32 = JADD 234), als Kose- name Tab-ni-ia, Tab-ni-e(-a), auch Tab-ba- ni-e-a(?), Tab-ni-i (as.); 3. P. a) an erster Stelle nach dem Typus /Z6-ni/KAK-ilu in Verb. mit -Addu, -Bel, -Bilgi (Bu 88-5-12, 244, sı = CT VIII 20), -Dagan, -Ea, -Marduk, -Martu, -Mirra (CT IV 14, 216, 19), -Sin, -Samai; b) an zweiter Stelle in Addu-, Anum-, Anunitum-, Mär- Saggil-, ASur-, Bél-, Bél-Ebabbarra-, Bunene-, Ea-, Haldi (K 358, 10 = JADD 416)-, Marduk-, Nabü-, Nergal-, Ninib-, Ramän-, Saparri-, Sin-, — 5 [9] v ISUR-, Samaÿ-KAXd-milib-nalib-nu Srgn St. II 16/20-27 VR 44, IL 13, in den abgek. Namen Sum-KAK, Zir-KAK|ib-nu K 580, s. unten; c) an dritter Stelle in Marduk-, Nabü-, Nergal- ah-KAK, Bel-, Nabü-a4e-K AK]P A-ni Dr Ba6, s, Ninib-667-K AK, Ea-z/£a-K A K,(Ea-) //ta-K AK, Ea-£udurri-ib-mi, ASur-, Sin-mät-KAK, Bel- napsät-KAK, Bél-pir -DIM, Sama&-pir -KAK, Bel-riski-KAK, Ea-Sin-KAK, ASur-, Bêl-, Bu- nene-, Ea-, Marduk-, Nabü-, Sin-fàr-KAK, Addu-, Bel-, Ea-, Esaggil-, Ezida-, Gula-, Ina- Esaggil-, Marduk-, Nabü-, Nergal-, Samaë., Sulmän-, TUR. E-, Uras-szum-ib-m| KAK, abgek.: Sum-ibni, Addu-, ASur-, Bål-, Belit-, Bunene-, Ea-, Esaggil-, Gula-, Ina-Esaggil-, Marduk-, Martu-, Nabü-, Nergal-, Ningal-, Sin-, Samaë- Sulmån-, Uras-, Zamalmal-, Zariqu-zgör-ib-ni | KAK|ib-nu Srgn St. II 13 /76-i-ni K 11448, ab- gek.: Zir-ibni, llu-5ü-/0-mi-44 (ab. CT IV 36, 635, 3); d) als Kurzname Z?-z-ia (ab. CT VIII 44, 2172 A, s), /ö-na-a(-a), KAK-a(-a), KAK-na-a-a, vgl. KAK-a-sa-ıla Ib-na-tum (ab. CT VIII 27, 320, ss). — Perm. in /Ba- na-allı, | KAX(-a)-tum/#(-ina)-Esaggil, fIna- Esagoil-4a-na(-a)-at|ta, als Kosename /Ba- na-ta-a. — Part. a) an erster Stelle in Ba-ni- Addu, -Sin, vgl. XAX-Ezida; b) an zweiter Stelle, nach dem Typus Zhm-éa-m (NI NF ba-ni-i ab. KLH 42, 2, llu-Sü-éa-zi ab. CT IV 17, 269,17) in Abhu-4a-zi-z| KAK(-7)] D PA-i, Addu-, ASur-, Bél-, Elali (ab. CT IV 23, | 295, 3)-, I$um-, Martu-, Nabü-, NIN.SAH (ab. Bu 91-5-0, 317, 16. 586,26. 2473, x — CT VI r9. | 33. IV 26)-, Sin-, SamaS-da-nilba-nu-um|ba-ni- ip; mit Obj. bez. Suff. in ASur-, Bél-KAK-a-a, ASur-KAK-a-a-usur, Anu-ba-ni-ni, Nabü-ba- | nu-un-ni, Nergal-da-nu-nu (abgek. Da-nu(-Ü)- nu), Marduk-, Nabü-, Samaë-6a-ni|KAK-abi, Sin-KAK-ahüha, Marduk-, Nabå-KAK-ahé(su), A&ur-, Marduk-, Nabü-, Sama$-a(-a)-mi|KAK] ba-an-apli, Sin-KAK-bel, Samas-KAK-kalbi, Bel-, Ea-, Marduk-, Nabü-KAXK]6a-an-s£ri, abgek.: Bån-sziri; c) an dritter Stelle in ? Sin- lu-ba-ni; wie ist Nabü- 77-£a-6a-u; K 241, V e zu erklären? d) als Kosename Da-ni-e-a| Var. KAK-a Cr 321, 12, Ba-ni|/KAK]-ialid, as. Ba- mi-i, Ba-nu(-ü)-nu. Knut Tallqvist. I 2 für sich erschaffen, in ? Marduk-/a2- ta-ni-bullit, (Marduk-, Nabü-) 7ab-tan|sa-ni nu usur. bantı( DIM) KAKA, bünu Kind, in Bau-ni-ilz (MBAP 12,14), Nabü- Ou(-2)-nufun-Sütur, -bu-un-Sulum, vgl. Nabü-du- Bauarbeiter, Råb-ba-ni-e]| nii ...., BEl-du-na-a-a, Esaggil-bu-nu-u-a, fItti-bit-bélit-bånini-62-z22-2-a, als Kosename Bu-un-na-a. bünanu Geschöpf, Sprössling, in Bu(-2n)- na-nu, Bu-na-an-nu| ni. Tab-nu-talti Bz À II p. 193. II. 733 band hell, heiter sein. In Itti-Bél-a2- nulni, "Belit-ad-ni(?), Itti-Marduk-2a-za-u(?), Sa- Bél/Nanà-2a-zi. Mu-ban-nu-u, vgl. ^" nmu-ban-ni(^? Nd 259, 6, 579, 6: 02 Pa-si-ialià, Ba-su-14 Dr Ba 11, 4,9, as. Ba- si-i K 174,7, Ba-su-t-a K 416, 17. À Bi-is-sa-a. , 002 /Du-sa-sa, Ba-su-su JADD 472, rev. 15. 03 Ba-su-ru, dem Sinne nach =)Lis oder je ? PP2 baggu (vgl. ? (82 Fliege), in Da-ag-ga, Bag-gu (auch ab. CT VIII 24, 715, 9). 0278 ? Dar-bar-ra-at. nma bar sehen, durchschauen, von Göttern (vgl. DAHW p. 182a) wie "pr von Jahwe P 44, 22. 139, 1,23. Part. in Addu-da-rz, Samaë- ba-a-ri. rà barhu strotzende Kraft o. à. (vgl. Nrva Ziegenbock), in Nabü-éa7-£u-//aàni, Sin-bar- Lili. Noel. noch Ba-ra-a-hu (83-1-18, 334 = CIS II p. 38), Ba-ri-hulli (vgl. he. mas), Da-ru-hi-iu. *Q443 ws. Da-ri-ki, Ba-rik|ri-kilku-Addu, (Il) Tammes, -ilirl, Ba-ri-ki-ia vgl. unter diesen Namen. 772 barakku Götter- bez. Königsgemach, im Sinne von 4370 barakki, in Addu-, Bel-, Nusku-, Tammes-da-rak-kalkilku; vgl. aber sint p^3 Pu-ra-galqu, Ba-ru-ga-a. Vgl Bur-ga-a-a JADD 711, rev. 13, Dar-ru-gu, Bar-rug(-gu) JADD III p. 85, he, pa. p3, sab. EP. t3 burá$u ein Baum, Pinie, in / Pz-za-Xu[s4. T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. mwa basu sein, existieren. Ideogr. GÄL und TIL? Prs. ibassi in F-ba-as-Si-Uani (as. K 293 = JADD 373), Ma-an-nu-um-i-ba-as-Si-be-la- nu (ab. Bu 88-5-12, 216, 17 — CT VI 14), E-til- lu-mà-ti(j)-—4a-ai-M. — Prec. in Swmu()-li- 20-32, Gula-Xuzze-edi-lib-37. — Part. in Ba-sz-zlu (ab. Bu 88-5-12, 189, 14 — CT VIII 14). III: ins Dasein rufen. Prt. in Addu-, Aé-, Bel-, Bélit, Nabü-, Nusku-, Samas- u-Sablw-HlGÄL-K|GÄL Dr ZA III 225, 25, mit Obj. in Bél-, Nabü-24- GÄL-K]n-Sib-K Dr 325, 29, Bél-a4e- GÄL-&i, Sàr-Bàbili-m AS$ür- GAL, Süm-uxabii-Samas, Marduk-, Nabü-, Samas- Ium-GÁL-X, Bél-, Ea., Nabü-, SamaS-sör- GÅL-Si TIL? — Imp. $absi und Subsi in Nabü- Sab-Si(2), Sin-24-, Marduk-Zappe-edi-Sub-Si. — Part. in Mu-sSio-Silsu Nd M II 9, ı3 | Mu-Sub-Si Dr L 23,5, Mu-sib-Si(-Marduk). III > dass. Prt. in Nabü-, Sin-Zz/-aó-3i-//Xzr. IV 2 ins Dasein treten, in //-1ab-ÿi (Sar- gon St. II x), Zt-Zaó-3i-/£r (K 241, XII 5), Ahi-2t] -taó-34(-2). Ina batülu Jüngling, in Pa-tu-ul. batültu Jungfrau, in / Ba-tu(-4)-wl-tu. Ba-ta-ni-tum. Bit|Bi-it\-ta-nu. pra batgu Riss, in ? Bat-ga-Marduk-éfir? à gabbu Gesamtheit, Alles. Nom. bez. Voc. in Gab-bu-ana-ASur, /Gab-bi-ina-gati? (abgek.), Gab-bujbi-ina-gati>-ili(ProbenameK 241, VIII 20), -Samaë, Gaë-bulbiilir! (K 3784 — CIS II p. 46), | | | | 311 gabbaru stark, in Gab-ba-ru (as) K 309b, s, 3! Subti-gab-ba-ri Be IX. /Ga-ga-a, vgl. gâgu ein kostbarer Gegenstand. I Gu-gu-ü-a, vgl. Ki-il-li-gu-ug? und JADD III p. 161. Gi-gi-ia, I Gi-gi-i-tum. | = Gu-da-du-u, I Gu-da-di-tum|ti. -ilåni-eres (MIR 2,3), -Z/@ni-Sar-usur. — Gen. | in Pél-gab-biBêl-ummu, abgek. Gabbi-"Bel- umma, B£l-gab-bi-Nabü. — Acc. in Nabü-gab- bu|bi-ile \l-tu-GAB-usur, Nabü-ga-ab-bu-usur. — Vgl. noch Gab-br-Addu, Gab-bu-a-mur (JADD 854, s. auch III p. 436), Gaë-bu-ST. LAL (K 241, XII 23), Gab-bu-it-tah-di-an-ni (K 241, XI 24) und Gab-bi-iaje-ali. /Gu-ub-ba-a, gehört vielleicht zu guébu Cisterne, vgl einerseits die bildl. Verwendung von "ia 72% und pa z. B. Prv. 5, 15,18, Cnt 4,12, ander- seits “Na, M82 und DELITZSCH, Prol. p. 204. 0235 gabru in Ilu-gaë-ra/ri, Addu-gab-ri, Gab-ri- (-2) JADD 248, 268, Gab-ri-ia, vgl.he. 33, 58123. No. 2. 551 Ga-la-la-an(-nıu) BE IX. 771 gadó Böckchen, in ?Ga-du-4 (Skl), vgl. "73 2 K 15, 14, 17, auch Ga-di-ia, Ga-di-a, Ga- da-a|, Ga-di-i-, vgl. N33, N75 etc. 535 Gi-díl-lu. 95-4 ws. gross sein, in *Ga-da-a/-ia-a-ma, /e- da-al-ia-a-ma (vgl. 19573, MST). güzu, in Gu-zu-ina-Bél-asbat, Bânitum-g#-4-5u1, wohl auch fBélit-ez[-Z-22], Itti-Bl/Nabü-g7/o (-4)-sulsilzsa. Als Kosename Gu-zi-talia. Vgl. £ Gu-zu-um-ma|mu. |. Gu-za-uu, I Gu-zi-tum. 5m Ga-hallhiul(-Marduk), bit Ga-halK 6,4 (JADD 880), Gi-hi-lu Epon. 689, Ga-ak-la- BE IX. Gu-hu-ru K 640 (HABL 552). 5*5 gílu (? — 5*3 Frohlocken), in Gi-lu-z/u-a. 253 gallabu (""* SU. T) Barbier (253). galzu, fraglich ob semitisches oder sumerisches Wort, s. DAICHES p. 19, in ?Damu- (ab. Bu 91-5-9, 407, 6 — CT VI 26), Ku-ri (Ku-ur)- gal-zu. Ga-/ul K 241, XI o, Gal-lul, Ga-lu-lu JADD III p. 231, vgl. bi. e, 553. La Leben schenken. Prt. in Ze-z/-Sin, als Hypo- koristikon Ze-zz-/um (CT VIII 22, 44, 16). — Imp. in Bél-, Nabü-gi-mil-an-ni, NI. NI (KLH 42, 4)-, Sin-gim-la-an-ni, I Gi-mil-in-ni. — Part. in Bél, Bilgi-, Ekur-, Esaggil-, Ilia-, ISum-, Mirra- (Bu 88-5-12, 185, 3. 291, 30), Muhra (CT VI 46, 2477 A, 27)-, Nabü-, Ninib-, Sin-, Samas- ga-mil| ga-mi-il|5 U] gam-mul, als Kurzname Ga-mil-lu BE IX; f in fBau-ga-me-lat. — Perm. in ?Sa-Bel/Nabü-gam-mil. gimillu Geschenk, Wohlthat. Ideogr. SU. Nom. nach dem Typus Gz-mul-ili (ab. Bu88-5-12, 404, MBAP 14, vgl. SU-NI.NI-&á Bu 91-5-9, 331, 20 = CT II 25) in SU] Gi-mil(-Iu)-Addu, -Bunene?, -Gula, -Marduk, -Martu, -Nabium, -Nanä, -Nergal -NIN.GÜL (ab. CT VIII 4, gamálu schonen, jem. das 312 Knut Tallqvist. 14, 26), -Ninib, -Sin, -Samaë, Mäd-g7-nz/-IStar. — Gen. in Nabü-, Ninib-mair-gi-mil|SÜ. — Acc. (SU]Gi-mil) bei amäaru Prec, tarı I: Iprt., s. unter diesen Wörtern. Beachte noch Nabü-g7-mil-li (abgek.) und die Hy Bo Gi-mil-lu|SU, Gi-mil-id. 025 Gim(Hum?)-mu-ru, Sama$-gx-um-mur; +Ga- mar iàma vgl he. mYves. 533 Ga-na-bu K 1265 (HABL 631), vgl. pa. 822. ginü fest, beständig, Stiftungsopfer, in Bél-gz-uz-e-eres, ^"* NT. SUR-giné. Gi-in-na-a, Gi-na-a-a. Gu-sa-a-a. I Gu-si-gi. 001 Gi-su-su, Probename K 241, XI 19. 0» gard, girü Feind, Widersacher. Nom. in Mannum-gi-ri-Samas, Mannu-g-zu|ri-fu, ASur- gar|ga-ru|-u-a-ni-ri. Sehr fraglich ist ob dieses Wort oder ws. ^3 oder ezr(r)u Weg für die folgenden Namen anzunehmen sei: Gi-ra-à-a (auch as. K 330,1? = JADD 621), Gz-ri- Addu, Gi-ra-SES, Täb-gi-ri-Samas, Nabü-e7-7;-ia, iTUR.US-gi-77. 7 PN:7 Da--qu|ig. 337 dabäbu reden; auf Böses sinnen. Ideogr. KA.KA. In Lid-bu-bu| KA. KA-l-pu-su(Probe- name K 241, XII 10, 12). dabábu (KA.KA) Rede, in ?Nabü-A A4. K A- USUr. da-bi-bu, Ideogr. KA.KA, Verläumder, in | Da|Dá-bi-bi, Da-bi-bi-ni-ir, Nabû-KA.KA-ni- ir, -ni-ir-da-bi-bil KA. KA. dubbu Wort, Rede (vgl. MEISSNER, Suppl.) | in Du-ub-bi(?), Sa-Aëur/ili/IStar-d#(-u6)- -bu. 537 dagálu anschauen, mit (und ohne) påni einem Gott unterthan, gehorsam sein. | Prs. in Påni-Bel-a-dag|da-gal. — Imp. in Dy- gil-IStar, -Pàn-! .... (as. K 316 rev. 3 —JADD 328), !Asü- (DAHW p. 210b), Nabü-du-gxtl, Nabü-, Samas-kön- du-gul. — Part. in Da-gi- il-ilåni. Di-gi-ri-Su-nu. Vgl. Di?-gir?-an-nu Be IX 86, zs. Di-di-i (auch as. 80-7-19, 41, 1; = HABL 471), Di-di-e-a, Mannu-di-di-ilåni, Di-di-i-tum (m. und f£) Di-dil-in)-na-tum. dadu Liebling, Kind, in Da-da-va-gar (ab. Bu 88-5-12, 43,4 — CT II 3), Da-du-um (ab. CT IV 25, 712,22), Da-da-a| Da-di-ia|ia| Da- ad-di-ia (Cr 135, 8), as. Da-da-a(-a) KK 279, 2,7 (JADD 160. 361), Da-di-1 K 548 (HABL 724), ab. Da-di-ia CT VIII 15, 685, 24, Da-da- nu. Vgl. he. 477. düdu in /Du-da-a, / Du-du(-ü)-a, Du-du-u JADD 642 E. 2 "7 dáru lange leben. Prm. m. dåri, in Dä-ri- abu-u-a JADD 213, -bél, -Sarru K 241, IX », Samas-da- ru, Bel-, Nabü-, Samaë., Sarru- lu(-u)-dalda(-a)-ri, as. Sarru-/1-4-da-a-ru K m rev. I4 (HABL 716), I St-Iu-da-ra-at. düru Mauer, metaphor. wie min z.B. I Sas Chut NOEL eO crt 2 DENON E erster Stelle, in Dxr-Addu, -A$ur, Dzr-ma- Fi(-2)-Addu, -IStar; an zweiter Stelle in Addu-, Abu-, Ahu-, Bel-, Bél-Harràn-, Bél-»tI-sa-na-, fBelit-, IStar-, Nabü-, Nusku-, Sin-, Sarru-, fUr-kit-tü-Zzru|du-ri, mit Attribut in Nabü- düru-sirum, in st. cstr. vor nachfolgendem Gen. in Nabü/Samas-ar-á/itu, Samas-dür- apli, Nabü-dür-bel(-ia), -dür-edu, -dür-ensi, Aëur-, Nabû-d#r-pa-ni-ia|S Lia, Nabü-dir-ma- ki-i, IStar-, Nabü-d#r-gali, Sarru-dr-si .... — Acc. bei kånu II 1, kasåru und nasarıu, s. unter diesen Wörtern. Als Kosename Z-ri-ia. Du-u-Su. 277 Du-uh-ha-ba-at(?). nn" Da-ha-a-a, Da-hu-ü-a, Di-hu-nu, vgl. TE- a-a K 381,3 (JADD 4). | ema DulDi-hu-um(-mu). T" danu richten, jemandes Recht ver- treten, jdm. Recht verschaffen, mit ww oder Acc. der Pers. (wie he. 717 z.B. Gen. 30,6. Ps. 54,3). Ideogr. DZ TAR. Prt. in ?Sin-dznam- 2-dil-in|. — Imp. in Nabü-, Sin-dini/dinam-di- ni, *Saläm-di-ni-in-ni vgl. Di-na-hu, f IStar-dz-"- ni-ni. — Part. dû’in aber auch dan (vgl. Part. Dp und Ju für data st. cstr. Wright, Gram- mar of the Arabic? I 240, Rem. b), a) an erster Stelle nach dem Typus Da*-an-ilu 83-1-18, 695, III 19 (vgl. he. pa. 5N(*)52), in Dar-a-nı- Nergal (as.) und ? Da*-a-na-B£l (nb.); möglicher- weise gehören hierher auch Namen wie D/. T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. TAR-Addu (s. unten) und DAN-Ninib (s. unter dannu à. damagu);b)an zweiter Stelle in Addu-, ASur-, Bél-, Ea-, Marduk-, Nabü-, Nergal-, Sin-, Samas-da-a-ui | da-an | da-an| Var. da-a-an| Var. dan (as.)| da--in|Var. da-a-a-in | da(-a)- nu (nb.) | da-a-an (ab.), ASur-, Marduk-, Nabü-, Samai- da"|z,- in - an], - ni | dan(-ni)-an-ni (as.), ASur-da-in| Varr. da”-in|dan-apli (as), ASur- da"-in-Sarri (as), Mannu-da”-an-ana-ili Epon. 866; c) an dritter bez. vierter Stelle in ASur- bel-da”-in|da-an (as), Marduk-6£Z-da-a-mi (b.), ? Nergal-GZS (id/u?)-ka-da”-in, ? A&ur-isEa-da"- in, -mätka(?)-da”-in, Minü(-ana)-Bêl-da-nu |Var. da-a-nu| Var. da-a-a-nu|da-an-nr. Da-a-nu-ha-ta, Da-na-ıa JADD 404 rev. 6, Da-ni-i (Gen.) K 167,12, DI. TAR-(ud id?) K 241, X 29. daianu Richter, in D/. TAR-Addu, -Aëur, -Marduk, -Ninib, Nabü-, Sin-, SamaS-da-ia-an | (ab.) | da-a-a-uu (nb.)] DI. TAR. dinu Recht. Ideogr. D/.TAR. Nom. in Itti-Bél-az-z;, vgl. Di-i-ni-Nabü, Eburi-d-i-ni. | Gen. in SamaSs-paris-di-ni. — Acc. in Bel etc. -di(-i)-ni-amur (s. amäru), Bel etc. -di(-e)-nilnu(m)| DI. TAR-ipus (s. epésu), Nabü DI. TAR-eres, Nabü-di-1-ni-bullit, Nabü-, Sin- di-nilnam-dini, Sin-di-nam-tdin. Als Kosename Di-ni-e-a, Di-na-a. #717 dass. (ws.), in Z2#-a-di-nu nach BE X p. XII = AN-za-di-nu K 435 E 1 (JADD 435). 7137 7" di-ki-ildi-ku-u, Di-ki-iliale, I Di-ki-i-tum. ae Dul-lu-bu. x57 Nabü-da-/a-, vgl. JADD III p. 497. 554 dalälu ergeben sein, verehren. Prec. in | Lu-ud-lu-ul-Bà, -Sin, Sin-/u-ud-lu-ul. MAR-MAL-da-la-li K 241, XII iz. dallu elend, gering, in Sil-bél-dal-li, Bél- dal-h-ilu-a-a 83-1-18, 695, XII s. Vel. Bél- dal-lél. dalilu, dillu Ergebung, Dal|Di-lil-tar, Da-li-li-eS-Su. damü, in Mannu-da-zeau-d|u. Vel. Gehorsam, in pP27 damägu freundlich, gnädig sein. Ideogr. SIG und KAL. Part. in Da-mi-ig-Marduk, | Samai-S/G-qu|ig, Sin- SIG]da-ma-qu| KAL, 'Tasmetum-dam-gat[ga-at,; als Kurzname(?) | Not: Vel. noch | 313 Da-mi-iglqu. — Perm. in I-na-i-in-be-el-NI. NI- [lu?-22]-222-;g (ab. CT II 23, 324, a1). IL 1 Freundlichkeit, Gnade erweisen. Prt in ASur-, Bél-, Ea-, Nabü-, Sin-, Samai- SIG(-ig)|4-dam-mi-ig| K AL-iq (nach voraus- gehendem / auch /u-dam-mi-ig). — Imp. in ? ASur-dam-me-iq, BEl-du-me-ga-an-ni. — Part. an erster Stelle nach dem Typus Mu-SIG- ig-ilu K 241, X u, in S/G|Mu-SIG(-ig) | Mu- dam(-mi)-ig| KAL-Addu, -ASur, -Marduk, -Nabü, an zweiter Stelle in ASur-, Bél-, Ea-, Marduk-, Nabü-, Nergal-n2-5/G(-ig) Imu-dam (-me)-1g, Sin-S/G-ig-unninu. — Beachte noch die Hypokoristika Dx(-um)-mu-gu|ga, Du(-um)- mug, Du-mug-qu, Du-um-qu. damgu hell, freundlich, gnädig, in Dam- ki-Sin, Dumgi-Sa-iläni-S/G, SA.AN.MA (Nal- ba$-Sam£)-5/G|Var. dam-ga Epon. 880, IIIR ı, I so, Arkät-iläni-S7G# Mrdkbldn St. V 10, SIG] Dam-kilga-ia|id, /Dam-ga-a, / Da-mi-ig-tum (ab. CT 22, 2191, 22). Vgl. "2 dam-gu|ga. dumqu Gunst, Gnade, in / Du-mu-ug-be-el-tı CT VI 25, 399, Duni-£Ei-iàni-damqu, Addu-Zz- um-ki, SIG-KA»l-Sarri JADD 40, Nabü-S/G- ilåni, Lümur-dum-ki-Bel. #da-na-’, in Ku-us-da-na-. 727 dannu mächtig, gewaltig. Ideogr. AAZ (vgl. damagu, dànu und ph). In Dan-uua| KAL-Addu, -ilia, -Nabü, -Nergal, -"Si-da...., -kar(gar)-si K 241, VIII 34, JADD 672, Dan- uu|* Dan-nu (BE X) -ahésu-ibni, / Dan-na-at- fBelit, ASur-, Bél-, Ea-, Pi-sik-, Nabü-, Samaë- dan-nu|da-an-na|K AL, (vgl. ? Marduk-, Nergal- da*-an-ni), Nabü-dan-nu-Üäni; Bêl-Sarru-dan- nu; *Bani-tum-den-na-at. Als Kosename Dan- na-a, Dan-na-a-a K 334,4, Dan-ni-e, Dan-ni (-e)-a, Dan-ni-ialid. dannütu Stärke, in A-mur-da-an-nu-zu (ab.) KLH 20, 17. dunnu dass, in Marduk-du-2n-ni (ab.). dananu dass, in Da|Var. Dan-na(-a)-nu Epon. 680. Di-na-nu K 845 (HABL 860). dunänu, in Du-na-nu, An-KAL(-a-ni)-"DA, -Gula, -Lama'. "97 dipáru (tiparu) Fackel, in Ea-di-pa-ri-ili. 40 314 Dup-Sar Tafelschreiber. Di-ig-di-ig BE IX. Da(ll’)-ga-k-Marduk. 4j $33 bringen. Prt. in NI. NI-z2-/azz (ab.)) KLH 29, 40, Sin-w6-lam. — TL 1 in ?Samas-mu-Så- bi-il-$u. son ?4-%-160-Samaë (ab) pu (JENSEN, KB VI p. 326) Sprössling, in Ninib-Z-pr-usur. 20% simtu Schmuck, Zierde, in filA-a-zi-sma- at-måtim. NE! IT hervorgehen, entstehen lassen, schaffen. Prt. in Sin-Z-3e-&7 (ab). Prec. in Li-Se-e-bilb2-Sama$ (ab.). N,X1 asü herauskommen (von dem zu ge- bärenden Kinde vgl. wx^ Gen. 25, 26). Prt. in Ü-zi-nu-ru-um (ab. CT IT 17, 760, s). — Prec. a) Zst in Zr-su-nu-ri, Nürum-Z-:; (ab. CT IV 50, 731, 22), Sá-mu-um-Z-zi (ab. CT VIII 3, 55, 33), Ana-Samas-/i-si/z (ab); b) /äsz in La- sisu-, Lu-us(-su)-, Lu(-u)-UD(.DU-a)-, Lu-sa (-)-ana-nüri, Zu-UD.DU|UD-sujus-sulsa-ana- nür-Marduk, -Samaë, UD.DU-a-ana-nür- Samas. III1 hervorbringen. Part. in Addu-, Nabü- mu-3e(-2s)-st. ^p^ agru theuer. In Wa-gar-a-lu-um (ab. CT II 15, 332,2) KAL|A-gar|-aplu (HILPRECHT, BE IX: A-gar-a), A-gar(-a-na)-Nabü, A-bu- wa-gar (ab. CT II 16, 616, 19), vel. Abi-ia-gar HABL 774 rev. 11. Ein Subst. in Acc. liegt vor in A-gar|KAL-Bel-Zümur. Vgl. noch A- gar--u, 1 A-a-a-gar-rat, "la-a-gar-ra-tum, und Ü-qur-Addu. TN arkatu pl. f. Zukunft(?), in Är-kat| EGIR- dani (-SIG»). Vel. 2 År-kat-tum-tåbat (Sklavin) IDye 3776), zx pm urgu (GIS.SAR) das Grün, in Amel urgi Gärtner. UN asapu beschwören. Marduk. äsıpu Beschwörer, in A--pa-a K 592. Inf. in Tab-a-sap- Sör II: niederwerfen, in ? Nabü-Za-Zi-Xér-a-n. mh atru riesig, übergewaltig, in A-tar-ilu (as. Epon. 673, vgl. sa. 5841, he. ^r»), Wa- tar-nu-ür-50 (ab. CT IV 46, 705, 38). Knut Tallqvist. III ı riesiger machen. Imp. in Nabü- bunu-sü-tur. T Za-bi-ia, Za-ba-a-a, Za-ab-bi-ia, vgl. pa. NA, Va. 227 zumbu Fliege, in Zu-um-bu (vel. Zu-un-bu JADD 201), Zu-um-ba-a. zubbatu, in Zu-ub-batlba-a-t-ilu. *-ar schenken, in ZZZ-za-óa(d)du BE IX, Bêl-za-bad du BE X, Nabü-za-éad | za(-ab)-ba- du, vgl. he. "3758, 731171 etc. — Za-bid-Nanå (82737), Zab-di-ili HA BL 524, Za-aó-da-a K 334, rev. 4, Za-ab-di-i JADD 86, Zab| Za-abl-di-ia, Za-bi-da-a (vgl he. mat, 737, pa. NT), Za-bu-du, Za-bu-da-a| BE X, Za-ab-da-nu. Zu-bu-du-ru? "ar Za-bil-i)-nulni (Za-bi-ni, Za-bi-in, Za-bi-i BE IX, vgl. bi. N37), Za-du-nu. mr zittu Theil, Antheil. Ideogr. 74.2A. In HA.LA-Nabü (vgl. he. \mmpsn), Ea-sitti-$u, ?Zi-ta-a-a K 320, 20, / HAL A-a, / Zi-it-ta-a (vgl. he. n. pr. m. "per. züzu in Zu-sa-a, Zu-si-ia, Zu-sa-mu, Sin- Bu-za-nu-un. zázu Üppigkeit, Kraftfülle(?), in /Za-sa-a (K 1366 = HABL 633, vgl. bi. n. pr. m. NT), JZa-si-tum, Za-za-ia|a-a, Za-a-si-i, Za-st-e, Zi(-e)-zi-i etc. (s. JADD III p. 112£), Za-za-a-al Var. Za-za-a-&u (Epon. 692), Za-sa£|za-a£|- kalku, I Za-za-ak-ka. 27 zakáru nennen, kundthun, ins Dasein rufen. Prt. /2-kur|ku-ür-Ea, -Marduk (vgl. he. 4731. sa. 58737), "IStar-Zas-kur. — Part. in Za-kir|ki-ru, Za-kir-ru K 164 rev. 7 (Kurz- name), Ekur-, Nabü-za-Z£, Marduk-, Nabü- sa-kir-Sumi, vgl. BEl-sa-kar-sit-me. zikru, in Zi-ik-rum (ab. B 54), Zi-kir-NI.NI- Su (ab. KLH 34, 4), vgl. he. "ar. zikaru (Ideogr. US) Mann, in Zi-ka-ri] US, vel. Zi-kar-ka-Sin, Zi-kar-Sarrum-Samas. Za-ku-ri JADD 176. Zut-la-a. Za-am-bu-bu. Za-am-ba-qu. "AT zammeru Sänger, Beschwôürer(?), in MU- za-am-me-ri-i-pu-su K 241, XII 11. za-nu, in Nu-ür/LAH-za-nu/na. T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. Za-an-ni-e, Za-an-ni-e-tá. DT zunnu Regen, in ?/Zu-un-na-a. PT zanäâqu (= sanäqu) verschliessen. Part. in | Za-ni-ig-pi-Samaë, -bi-$ü-Samas, Sin-zånig (GI. NA)-£z, Za-ni-iq-ga-bi(pi)-Samas. mp zagápu aufrichten. Part. in ASur-, Nabü-, Sin-za-qip, Nabü-za-gip-ensi (vgl. IVR 10, sf: Sama sågip hassu håtin enti, K 4359: du Marduk Zasaggap enÿa richtest den Schwachen auf, Ps. 146, 8: &^E355 Apr nm) — Perm. in Sa-Marduk-sa-gup. — Imp. in Nabt-zu-qu-pu, -zu-guplgu-up-kina, -zug-pa-an-ni. Ngl noch Sin-za-gap-fi. "Pr tizqaru erhaben, in Ti-iz-qar-Samas. NW zíru (Yo) Same, semen virile; Nach- kommenschaft, Abkömmling. Ideogr. ZIR und SE.ZIR. 1) Nom. in Zir-Bäbili (vgl bi. 53371, Zogoßaßer), -IStar, Zér-/ir (s. u. 89), Zir-kitti-, Nabü - sår - kitti- lisir, Nabü-sör-napistim-NSir, Itti-Esaggil-227. — Gen. bei einem Subst. in Marduk-, Nabü- bel-ziri, als Obj. eines Partizips (ZZR[zz-ru | zi-ri) s. u. band, nadanı, nasärı, Sakanu, Sapaku. — 3) Acc. (ZIR]zi-ir Dr 266, 16) bei epesu, eresu, bana, bası IIl, kànu Tas, nadanı, nasaru, natånu, gası, rasa, Xalàmu II 1 (s. u. diesen Wörtern). Un- bestimmbar ist die Stellung des Wortes in den abgekürzten Namen Bêl-, Esaggil-, Mar- duk-, Nabü-, Samaë., Zariqu-zzr. Als Kose- name: Zi-ri-ia, ZIR-ialiala(-a), ZIR-i K 241, IX 7, JADD 48, 18. zirütu, in ZIR-ut-ti K 241, X 25, ZIR(-4)-tu/tu, ZIR-á-ti-id, ZIR-u-ti-i K 404, ». Vgl. Za-ru- tu, Za-ru-ti- JADD 44. amm Zir-bi-bi. pw Za-ri-qu, Za-ar-ri-qu MBAP 70. 98. n Hu--a-a. am Ha-ab-di-ia, vgl. Ha-ab-du-um (ab) CT IV 16, 256, 20. Son Ha-ab-lum (ab) KLH 18, 4. Ha-bil-tum (ab.) CT IV 40, 624, 19. yan Hu-ba-su, Hu] Hi-bu-su, / Ha-ba-si-tum, I Hi-bu-si--i-tum, I Hu(-um)-bu-us-tum. No. 2. ramı, | 315 tn Ha-ba-sir|si-rilru, Hu-ba-zi-rum (ab. CT II 25, 331), Jab-sir BE X 99, / Ha-ba-sir-tum. pan Ha-am-ba-qu (auch as. K 309, 36). "n /Z-ba-ri-1a. von Hab-ba-Su, / Ha-ba-Sin(-na)-tum. | pan Urra-Za-&i-it «U. erbeutet (ab. DAICHES p. 61). J Hi-ib-ta-a(-a) oder non / Hi-pa-ta-a; vgl. Ha- ap-pa-tum CT II 15, 332, as. hegallu strotzende Fülle, in Samas-hegallu. "Ha-gu-ru, vgl. bi. "än. 47r Ku-ri-, Sam&u-Za-ad-du, Ha-ad-da-a. mn Ha-di-e-\i-pu-Su K 241, XII 138. Vgl. Ha-dı- e-ri-ei und Nabü-ni-ir-Za-da-at? Mu-ha-ad- di-tum (ab. CT VIII 46, 2170, 52). Sn /Hu-du-ul-tum (ab.) Bu 91-5-9, 2191, 25 (CT VI 43. on sich erbarmen (?). Imp. in Nabü-Z-sa-az|a-zu. *-ew Au-u-ru (Skl), vgl bi Mn, Hu?-ra-a. "gm ZJa-za--ilu (8m), Nergal-Za-za-ilu. mm Nabü-, Samai-a-zz Ha-zu-á. bm Hu-za-lu, vgl. Hu-za-la-a K 1241 (HABL 627), Hu-zu-lum (ab.) CT IV 49, 721, 2. Ha-za-a-nu N orsteher. rm Au-si-ri. Vgl. in. hahu(?), in Bél-Za-Zu. hahhuru eine Rabenart (MEISSNER, Suppl), in Ha-ah-hu-ru (auch K 4734 = HABL 780). Non hitu Sünde, in Belz-tulta-ul-idi, Nabü- Li-tu-mêsu, Hi-fu-á-a. Sum Za-iLiu HABL 524. 17 haíanu klein, schwach, in //a-a-a-nu, Ha- a-an-nu-eres? vn ?/ Hnr-is-tum. #halu Oheim, in Za-Za-a-/u Cb 218, 5, Kur-Za- lum, Sü-nu-ür-ha-li (ab) KLH 22, 4), U-es-ha- Za YII R 43, II 20, Za-a-Z-ilu K 931, vel. JADD III p. 460, HOMMEL, Altisr. Überl. p. 83 ff. Sn Hal-la-ba-a J ADD 386, rev. 10, Ha-la-bi ....; J/ Hi-li-bu-ni-i-tum (Sklavin). non Ha-[u-á, Ha-lu-ü-milki, I Ha-la-a, / Hu-li-i- | Hu-ut-ti. 55m Hal-/u KB I p.2, Halli-ia JADD 288, rev. 15, Hal-li-ax-ra-ka JADD 469, rev. i1. — Æa-lu-lu. — Hu-la-li, Hu-la-la (Rm 217,7 = HABL 468); vgl Zulâlu ein Edelstein. — Za-Z-Zuzz (ab.) CT IV 25, 318, 19. 40* 316 yon Sulmu-Za£-su^ K 241, X a. — *Bi-e-lu-Za- | /u-su, vgl. phó. PT yavs. por Bel-rul-ig(?), Nabû-Zal-ga-utirri. Hal-ta-a-nı. man /Hu-ma-a-a-tum (Sklavin). hamátu Hülfe(?), in Asur-, Nabü-Za-zat-ia|izu-a. Vgl. Ha-ma-tu-. pam vgl DAHW p. 282f, MEISSNER, Suppl. p. 39, KB VI 1 p. 367). hammu Regent, Fürst, in Samai-Zazu-zu, Nabü-Za-am-me-ilani. Vielleicht gehört hier- her auch Ha-am-ma-a-a, vel. aber / Ha-am- ma-a. Für Nabü-ha-am-me-e s. unter *awmu. Hu-um-ma-nu, Er 287, 29. van? in Sulmån-/a-man-ilåni, Ha-ma-ni K 114, rev. s (HABL 542), Ha-am-nu-nu (auch 81-2-4, 150, 3 = JADD 231), Ha-am-na-nu Rm 193 (JADD 268), Ha-mu-na-a-a (as.) K 486, 15. vgl. «""hu-um-ma-nu On Ha-am-ma?-su; vel. I Ha-am-bu-su mit ar. | Beischrift .. war K 281, s. ha-ni, in Marduk-Za-z, vel. Ha-ni-i u. Bir-£a-a- zu JADB. Für lli-iSme-%a-ni-e s. HOMMEL, Altist. Überl. p. 71, BEX p. 15A. am Ha-nab, Ha-an-bu BE IX. Hu-un-da-ru (nb) HABL 791. Vel. pu. sn. Hüu-un-zu-i; vgl. VR 44, II 45 Hu-un-zu- in der nichtsemit. Columne — Bl-mu-di-e-nise. vorn Ha-an-ta-Su, Ha-an-tu(-4)-Xá|Xu (bi. $m). Vgl. Ha-an-da(ta)-Sa-nu etc. S. BE X p. 50 1. 727? hinnu, in / Hi-in-ni-be-el, -ilàni (vgl. 58137), Hi-in-ni--Bèl, Ha-an-ni-ia BE X, Ha-an-ni-i K 318, 17, / Hi-in-ni-ia. hunnu, in Hu-un-ni-i HABL 216. hunnatu Rebe, in /®Hu-um-na-tum; I Hu- um-na-tum (ab.) Bu 88-5-12, 581, » (CT IV 35). "asm ws. Aa-na-ni-jama, Ha-na-nı (auch Epon. 701), Ha-na-na(-'), Ha-na-ni(-) BE X, Ha-ni- na-ia JADD 30, Ha-ni-ni, / Ha-ni-na-a, "Il-te- ri-ha-na-na, Ha-nu-nu, Ha-nın BE X. sein Ha-an-silzi-ir|ri, vel. Hu-un-sa-ra-ru BE IX. vm /Ha-na-Su, vgl. / Ha-an-na--Stt. ocn Marduk-Za-s;-;s (ab.). nen Hu-pu-á. axn Hu-sa-bi strotzend; vgl Za-as-si-Üu-tum ab. CT IV 42, 636. Knut Tallqvist. xn umhegen, beschützen(), vgl. DAICHES, AR p.83, mit welchem ich gegen HOMMEL, ZDMG Bd. 49 p. 525, und RANKE, Personen- namen p. 48f, nicht nöthig finde ws. Ursprung anzunehmen. Findet sich in dem Kurznamen Ha-si-ru (nb), Ha-si-rum Bu 91-5-9, 286, IV ss etc. (CT VI 17), Za-zi-ra-um Bu 91-5-9, 364, 20 (CT IV 22); nach dem Typus NZ NI La-si-ri (KLH 29,1?) in ab. Marduk-, Na-bi- um-, Sin-, Samas-ha-zir]si-ir, 1 Ki-ti-tum-Za- zi-ra-at (Sklavin) Bu 91-5-9, 272, 1s (CT VI 7). "apr = ar. 299 in Nabü-Za-qa-&i q. v. *ha-ra, in !Ba-ti-/-ra-ra. a-ri-ba-nu BE IX. 7277 Au-urt-ru-ba-su. Har-bat-a-nu, Har-ba(t)-ta-nu, BE IX. HAR.HAR mit Determ. 2, Yon harisu Stadtgraben, in (?) Ha-ri-sa-a-a und (as) Ab-ri-sa-a-a K 305,26. 320 22. 329,2». 421, 34. Ha-ri-sa(-an)-nu. Hu-ru-su (ab.) KLH 15, 17. m Hu-ur-ru BE IX. sön Zas|Ha-as|-da-a(-a), Ha-Xa-da-a-a, Has-di- zalid, / Has-da-a, / Ha-Sa-da-a-a--i-tum (4 Has| Ha-as|-da?--i-tum (CIS II 66). mön / Hau-iá-tum. (ab) CT VI 43, 2191, e. Ha-as-tu-ga. Har-bat-a-an häta, in Da-a-nu-Za-fa, Nabü-ra-a-ta. Hi-ta t-ia[iá. nm hatanu schützen. Part. in Bél-, Marduk-, Mannu-ki ma-Bél-Za-Zzz. hutnu Schutz(?), in Addu-, Marduk-, '' TUR. US-Zu-ut-nu/ni. hatánu dass.(?), in Ilfa-Za-fa-a-nu und Ha- ta(-a)-nu (Kurzname). ann HAu-te-ru KK 525,14 1037. Ha-tar-a-nu K 1265 (HABL 631). 2 ON, tému Wille, Entscheidung, Befehl, in Pàni-ASur/Nabü-7e(-e)-ulme, Nabü-fe-me-utzr. Sohle) (a eus he — ner, Thea EG, Iob vin A-a-, Aduni-/u-7;. Vgl. JADD III p. 411. 20 fábu gut, gütig (von Göttern wie 330 von Jahve Ps 25,8 34,9 und in he. Namen, vgl. T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. 317 unten), heilsam. Ideogr. DUG und DUG. GA. Als Präd. a) an erster Stelle nach Ana- logie von DUG. GA-ilu 83-1-18, 695, III 9, bi. nan, nw 390 2 Ch 17,8 und amin, in DUG.GA-ASur, -bél, -Marduk, -Ninib; 7a- ab| DUG.GA-asap-Marduk, DUG.GA-efér- ASur, Tab-gi-ri-Samas, DUG-ba-pa-la-Samaë, | DUG.GA-rigimatu-Addu, DUG.GA|DUG- | v ab-sil-ESarra, -IStar, -Marduk, -Samas, DUG. GA-sule-Bel, DUG-Sär-ili K 241, VIII, so, DUG|DUG.GA-Sär-ASur, Bel, -Esabad, -IStar, -Nabü, -Sin, -Samaë, -Sarri 82-95-22, 1763, DUG-ab-tap-pu-um (ab) MBAP 8r, Tab-uth-Bel; b) an zweiter Stelle, in Bel- DUG.GA, Nihistum-/a-a-07; c) an dritter Stelle, in fSàr-Bánitum-DUG. GA, Sär-Bel- fa?-bi. — Als hypokoristischer Kurzname DUG.GA|Ta(-ab)-bil-ialia, (as.) Ta-bi-1 80-7-19, I 48 (JADD 58), DUG.GA-i K 352 rev. 20. — f. fabat in / DUG.GA-at-I58ar, fUmmu-DUG. GA-at, / DUG(GA)-tum, Ta(-ab)-ba-tum|ti. N gl. noch 7a-du-ni JADD 255, ?7a-bu-su Sm 649. täbtu Wohlthat, in (=) MUN.HK.A)-Su, Sa-MUN. (HI. Ayti| Ta-ab-t)-$u. meo Tummumu (IS.KU.PI.LAL) taub (ab. IKSISEIST2 a: = #Ja-a-bi-bi, vgl. la-bi-bu K 241, XII 1, bi. 33%. ia-a-su, in Nabü-za-a-4; vgl. Za-Si-um-ma, la- | a-Sü-mu K 114 rev. 7 (HABL 542). ^" du, iddu Seite, Kraft (wie he. 1). Ideogr. ID. In Nabü-alik-/D-ensz, -/D-ia, Nabü-z-da- | a-ili, Lu(-ü-i)-di-tala-ale, fLu-ü-di-im (= Li- idia), I-di-i K 320,28, l-da-a, Id-da-a(-a), Id- di-ialiä, 1Sa-Nabü-i-da-3u|i-du-Xi, Bél-, Nabü-, i-da-nu. — Pl. in /-da-a-te-bêl-a-la-ka. ittu pl. idäti Zeichen, Wunder, in fMannu- i-da-atlas-su-êdi. N,7 dû sehen, ersehen, kennen. Ideogr. ZU. Prt. in Zdi-ilu (vgl he. m»7», Sin-z- di(-i), mit Obj. in Bel-Atu-wl-i-di (vgl. ZIM- MERN, BB p. 62, Z. 19f.: anni épu$u ul-idus «die Sünde, die ich begangen, kenne ich nicht), | fMannu-zdässu-i-di, Sin-kalama-1-di, Nabü-, Sama$-kön(am)-i-dil ZU, Abi-ul-i-di| ZU; mit Suff. in ASur-, Bél-, Nabü-ZUa-nili-da-an-m]ı-dan- No. 2. ni] i-da-ni, vel. DAHW p. 305 und HILPRECHT, BE IX p. 22, Bél-zd;-3u BE X. müdá wissend, kundig, in BEl-mx-di-e-nis£. #971 in (ws. Namen) llu-a-Za- (97558) KB III p. 182, Sargon St. I 2, KK 661, 2. 2908, 10, -iá- a-da- K 906, ı (HABL 560, !Qüsu-za-da-', /a| A-di--ilu; vel. auch A-a-z-4a-, Nabü-te-ka-7- da-, !Bati-iliP-4;7. Vel. JASTROW, ZA X p. 230, Ja-di-ih-ia-a-ma, /a-a-da-hu-Nabü, Bêl- ta-a-da-ah etc. BE X. OM ümu Tag, in “Bel-UD£-i-la-a-a, -nüru. fam in ws. 1Qüsu-za-a-ha-bi = *3rncep, Bel-ia- a-hab-bi (BE IX, X). ya^ imittu rechte Seite, Glück(?), in Sin-ZAG (LU)/r5li-mi-ti (ab.); vgl. auch ZAG. LU-lisir. Fja-na_-’ in *A-te-Za-za-. 3T mehren. Prt. (bez Imp.) er-ba|i-ri-ba| SU, ab. e-ri-ible-ri-ba-amler-ba-amli-ri-ba-am (in ar. Beischrift 3?*mw BE X 9); a) an erster Stelle mit -Addu, -A$ur, -Ea, -Gula, -IStar, -Marduk, -Sin, -Samas; b) an zweiter Stelle nach dem Typus Zu (N/.NT)-e-ri-ba-amler- ba-am (ab. KLH 42, 1s. CT VIII 27, 320, 22), in Addu-, Anum-, A&ur-, Barqu-, Bél-, Ea-, IStar- bäbi-, Marduk-, Nabü-, Ninib-, Sin-, Samas-, Uras&-, Zamalmal-SUler-da; c) an dritter Stelle mit Obj. in Marduk-44- SU, ASur-, Bél-, Nabü-, Sin-, Samaë-aké-er-ba| SU, Nabu-aplu-SU, Nabü-en$u-Su, Nabu-kin(DU)-SUV, Nabu-tuk- te-e-er-ba, mit Suff in Java = Nabü-er- banni, E-riblriis-Su, Nabü-SU-Su-nu; als Kurzname .SU|.SU-a| Er-ba(-a)| Fri-ba(-a)|Er- ba-a-a (Dr 290, 13) = "an CIS II p. 76, ^à?N BE IX 66. — Prec. in Zi-riö-Bel?, -Marduk. — Part. in Bel-SU-ahza, Nabü-SU-ahe, -SU-ahesu. ribátu (zur Bildung vel. dtu) Vermehrung, in Ri-Jat = na BE X 99), Ri-ba-a-taltit, as. Ri-ba(-a)-te 83-1-18, 342, 12. Bu 91-5-9, 209, 10, SU-a-te K 302, 15, SU-a-ti Probename K 241, X os. ta-ri-bu (?), in 7a-SU-IStar, IStar-ta-SUri- ba/bi, Milhi-ta-ri-di, Nabü-SU-usur (7). mör Il: Nabü-z-$e-$2(?). #yws helfen, in */a-Se--ia-a-ma = My. "b^ gedeihen. Ideogr. SZ. DJ, GIS. Prec. Zi, in Abu-GZS JADD 80, Ahu-S7.D/, Asur-, 18 [o] Nabü-apéu-GIS, Imittu-GIS, IttabSi- GIS K 241, XII 5, Nabü-D2U-S7. DI, Nabü-pirki- GIS, Nabü-firu-SI.DI, Sü-mu-li-Sér (ab.), Sumu-.S/7-D/ K 241, XIss, Anum-, ASur-, Gula-, Marduk-, Nabü-, Sin-, Samas-Kn-S1. DI|GIS, Nabü-Süm-kitti()-G1S, Nabü-tagbi- SI. DIIGIS, Nabü-, Sin-tultab3i-SI. DI\N-Sirlseru, Zir-SI.DIIGIS, Zir-SI.DI-Nusku, Anum-, Bél, Marduk-, Nabü-, Sin-, Samaë-, Säpik-:#- SZ. DI] GIS]li-Xi-ir (Nd 687,42, Zir-kitti-SI.DI, Nabü-sör-kitti-SI.DI|GIS, Nabü-z£r-napisti- GIS; ohne Subj. in den abgek. Namen Bél., Sin-, Samas-Zi-Xr| SZ. DI| GIS li-Si-ir, als Kurz- name Ze-Sér/$i-rurilralir. III : Gelingen, geben oder leiten. Prec. in Irsit-Bél-Z-3e-Xr. Imp. in St-uS-ra-an-ni, -Marduk. Part. in Addu-zzz-Xes-zr, Nabü-zzz- SE-SI-TU. III» leiten, regieren. Part. in Samas- Vgl. DAHW p. 311b unten. mu-us-te-Se-ir. L . . > . | misaru Gerechtigkeit, in /4mi-Sar-rum- Marduk, vel. Mi-Sa-ru-um-na-si-ir (ab. Bu 91- 5-9, 797, 2 — CT VIII 40). #ns phó. geben, in Bél-a-a-/4-z; Sa-mu-nu- ia-tu-ni = YAN, Ja-a-tu-na. 2 KA-tum in Nabü-ana-KA-tum-si-ri-ih. 225 Kab-ba-a? 022 kibsu Schritt, Gang. Acc. in Nabü-, Ninib- kib-su|si-usur, vgl Ps. 37, 23: 7920 mma 3555 53. L n2» kabtu (Ideogr. DUGUD, BE, SAG.GIL) mächtig, in BE-NA-a, DUGUD-Marduk, Nabü-SAG.GIL, BE-ahe Probename K 241, | XI, Addu-, Nabü-, Ninib-D Z-ahesu, DUGUD- Uani (abgekürzt), DUGUD| BEI Kaó-ti-zlàni- Marduk, Ea-, Marduk-, Nabü-DUGUD|BE| Fab-ti-ilàni, als Kosename DUGUDIBE|Kab- Lılta-talieli (Nk 251,9), DUGUD-z; Probename K 241, X 16, Kab-u-i (as) 81-2-4, 113, /DUGUD| BE]Kab-ta|-a. kibtu Beschweer, in (?)/ Kib-ta-a. Ka-di-ia. 7 Kud?-di-ia, I Ku-ud-da-a. kuddimmu, ^"^ KU. DIM-mu) Goldschmied. Knut Tallqvist, 372 kidinnu (Ideogr. UD ARA in Kidin-Marduk°) Klient, Unterthan (JENSEN, KB il p. 263 Anm. ff, ZAT p. 392 Anm. 2), in X7-din(-nu/uil di-nu/„)-Bel, -Ea, -Eulmas, -Marduk, -Sin, Bél- ki-di-ni, als Kurzname X7-din(-nulni), Ki-di- nu |n. Ka-di-nu BE IX. Kid?-dan-nu. Kid!-na-a-ta. Kud-din-nu Maulpferd. — Bäbilu-kud?-din. "72 kudurru Diener, Grenze, in X7-durldur- Bel, -Sin. Ea-ku-dur-ri-ıoni, Bel etc. SR DUlku-dur|dürldu-ur).a-rulri-usur (S. nasaru); als Kurzname SA. DU]Ku-durlauur-ru. Ku-du-ra-nu. kidduru, in BEl-krd-du-ri. 535 Nabü-£a-/a-an-ni. II i halten, tragen, versorgen (vgl. 5*5 Pilp. Ps. 55,23). Prs. in Ilu-#-£a/-la-an-ni (auch K 286,5 — JADD 698). — Imp. in Addu-, Apil-Addu-, ASur-, Bél-, Nabü-, Samai-Zi/|i;- lalz (-an|.)-mi, 'Bélit-&-Z-zu-mi; vel. In-di-il- ki-la(-a)-ni. DY kümu Stätte, del kümu Stellvertreter, in Samas-ku-mu-u-a, Bel-ku-um-mu-\ÄA-a, Ner- gal-, Samaë-#6//Var. dil-ku-mu-u-a, Ma-nu-um- ku-mi-ıli CT VIII 34, 2504, 27. v5 II: festigen, beständig machen (vgl. Ps. 89, 5: 91 y3N mot» 7), bestellen. Ideogr. DU und G/.NA. Die genaue Lesung dieser Ideogramme,besonders dieScheidungzwischen Imp. und Part. einerseits, Imp. und Zzz ander- seits ist zweifelhaft; die BE X p. 16,4 be- hauptete Kürzung des Parts ewm zu kin will mir nicht einleuchten; jedenfalls ist sie bis jetzt nicht mit Sicherheit zu konstatiren. — Prt. a) ohne Obj. in DU-Marduk, Bel-, Nabü-, Nergal, Samaë-, Uraë-DU}4-kén/-ki- in (? Dr 575,15; b) mit Obj. in Nabü-, Samaë- aplu-DU, Nabå-bi-na-DU, Bit-DU-Bau, Nabü- dür-DU-in, Samak-ennam-ü-ki-in, Sin-pirki- DU-in, ASur-, Bél-, Marduk-, Nabü-, Samaë-, Uras-5z53 -DU | DU-in| GI. NA | ü-kin | ü-ki-in | nach vorausgehendem x auch #7 Nd 274, 19. Dr 353, 14, abgek.: Sum-DU]GI.NA — nV CIS II 71, Bél-zé-óu-t£-DU, Esaggil-, Nabü-, Samaë-:#7-D Ulu-kin| GI. NA, abgek.: Zir-DU| T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch, GI. NA; mit Suff. ASur-etil-iläni-DU-n-ni. — | Prec. in Addu-, Ahu-, Ahia-Z-könll-ki-in]|in| Zi-DU, Ninib-/u-kin. — Imp. a) kan (as.) in Addu-, ASur-bél-£a-zz|Var. DU-ni II R 1, Ir, wohl auch in (as) Addu-, Nabü-#&/-DU-in); b) kön, kina in Eulma$-, Nabü-, Samaÿ-DU- ahu (oder kin oder kütu-usur:), (Ina-)Esag- gil-£zu| DU-aplulap-li, Anum-, ASur-etillu-, Bel-, Marduk-, Nabü-, Sama&-DU]| GI.NA- | aplu, abgek.: DU|Ki-za| GI-in-na|-a (bez. A = aplu), Addu-, Bél-, Nabü-, Samas-DU- zir, abgek: DU-zir = Xivbooc, Xivbnooc, ASur-06/-ki-in, Bél-, Nabü-1fdi(ia)-ki-ni] DU (in), Bel-sör-ki-ni; mit Suff DU-a-ni-IStar, Nabü-DU-an-ni. — Part. Mu-ki-nu-ASur, nach dem Typus Zu-mu-ki-in (K 342, 14) in ASur-, Nabü-, Samas-ma-kin]ki-in(-nu), Sarru- mu-ki-in (K 416 = JADD 266), IStar-mu-kin- ia, Ninib-DU-nise, ASur-, Nergal-mx-kin(-in)- palua, Ea-mu-kin-Sumi, / Mu-ki-na-at-IStar; als | Kurzname Mu-kin-nu. kinu fest, treu von Göttern (= Yan) Jes. 49,7), gerecht, fromm von Menschen (vel. 73). — Nom. in Bél-, Ea-, Nergal-, Samaë-, Sarru- ki-nalkil-i)-nilnu(m)|ki-in|DU/GI.NA;, vel. Ki"- nmu-iliP, Itti-Sin-ki-in-nilun. — Acc. in Esaggil-, Nabü-22-2-n| D U-ubbió, Nabü-D U-ballit, Nabü-, Samaë-D U-dugul, Nabü-suqup-GI. NA, Nabü-, Samas-ki-nam|DU-idi, Nabü-DU-erba. | kittu Wahrheit, Recht. Nom. in ? Nabü- | DU(kinu?)-Lsir, DU-liÿir K 241, XI 27. — Gen. in ?Samai- Sar-ki-tim, Nabü-3zgm-DU-I/r, -Sum-DU-usur, -ur-Eit-tá-usur, -ztir-Fit-ti] DU] SZ.DI-liir, abgek.: Zér-DU-fisir, Zir-kit-ti- lsir BE IX und Zir-kit-ti ibid., Zir-kit-ti-DU JADD 196. — Acc. in Nabü-, Nergal-, Ninib- Rit-tá| DU-ugur. Als Kurzname Az-zt-£um, GI it-tum, Kit-ta-a-a, Kit-ti-ialié, Ki-it-ti-ia. | kunnu Treue, in ?Ku-na-a, Ku-na-a-a K 821,15 (HABL 447), Probename K 241, IX 2». | — 4 Ku-un-na-a = "35 CIS II 64. makánu Standort, in f Ana-za-£a-ni-Sa. 272 kuzbu strotzende Kraft. Ideogr. 47.11. In Z/.LFIstar, Nabü-£z-uz-óu| ku-zib| HT. LI- -ilåni, A-a-£u-zu-ub-mátim;als Kosename / X7- uz-ba-a. No. 2. 319 "> kf Präp. wie, als. Geschrieben %(-2), in Ki- Bel, -Nabü, -Sin, -Samas, Mannu-ki-ASur (-fu) etc, s. unter Nabü-Zz-Z/àni, Kullum-Z7-A pil-A ddu. kima dass, in Samaë-#i-wa-NI.Nlia, s. MANNU, auch unter mannu. ms kitu Ende, in ? Kz--£, ASur-kil-su-nu. * Ka-ki-Dagan, Ka-ki-ia, vgl. Ka-ka- (pe.?) BE X, Ka-ak-ki-ia K 287, 6. Ku-lu--IStar. 355 kalbu (Hund) Diener. Geschrieben UR und Zal-bi (st. cstr). Nom. UR/Kal-bi- A-a, -Anunitum, -Bau, -Marduk, -Sin, -Samaë. — Gen. Sama$S-bån- UR, Sa-pi- UR |kal-bi. Als Kosename Kal|Ka-al|-balsi-alia, UR-a. kalabu, in !A-a-£a-/a-óu; vgl. HOMMEL, Alt- isr. Überl. p. 112f. Kalbatu, in / Kal-batlba-ti, I Ka-al-ba-tz-ia (ab.) CT II 30, 356, 2. / Kal(-Ia)-bu-ut-tum, / Ka-[a-bu(-ut)-tum. $55 kalü, mit verallgemeinerndem za (mu) kalàma|, Alles. Ideogr. KAK. 4.57. Nom. in A-na-be-el-ti-£a/-/a-a-;z2a (CT VI 7, 272,19), Ana-Samaë-#à-la-ma, Sa-Samaë-#a-lu-ma. — Gen. in ASur-, Nabu-bél-ka-la|ka-la-mu|KAK. A.BI, Rikis-ka-lam|u-mu] KAK.A.BI-Bel. — Acc. in Sin-£a-/a-ma-£di. Ku-lu-it, Kul-lu-ü. 555 kullatu Gesamtheit. Ideogr. KAK. 4. 57. In BéL, Nabü-, Sin-4’-kul-la-t| KAK. A. bI. Kal-la-a, Marduk-Za/-/u? 7 Kul-la-a. Ki-il-li-gu-ug (?). kilflu, in *Nanà-£-Z-A-usur. z55 ID; sehen lassen. Imp. in Nabü-ZuZ/zz, -kil- li-im(?), -kal-lim-an-ni, -Rul|zuur- limi- manlan-ni. — Part. in Marduk-, Samas-na- kal-lim; vgl. ^"? Mu-kall käl| TUK (Nd 122, ı2)- Kul-lum-Kki-apil-Addu. in lim. | Ka-lu-mu-um Lämmchen (ab) CT VIII 25, 280, 42. D I»? Tak-ta-ma-am. | m» ?Ninib-Sa-kun-na-a-i-ra-mu. — Ki-na-a-a- tum? 75 Part. in Nabü-ka-a-nik;, (ré) ka-nik/nik/nak] ni-ku-båbi Notar. 320 Ka-na-ak-ka. Kas(-si)-dak-kulka. kussü Thron, geschr. GU. ZA, in Anum- (BE X), | Ea-ana-kussi-Su (abgek.). /Kas-si-hu. Ka-su-pu K 241, XI 7. 02 in Nabü-krp-pik, (9) Ki-pik-Nabu. 9222 kapkapu stark, in BE-#ap-ka-pi, I-gur-£a- ap-ka-pu KB I a. 922 kuppu Quell, in ? Ku-up-pu. — 4 Ku-up-pu (-ut)-tum, / Kupl(-up)-pul-ut)-tum, Kup-pu-tu. 222 ?La-kuplku-up|(-pul)-ru, ASur-la-kup[-pul-ri? 23 vide "Xp. Ka-sı-ta-a. káru, KAR|ka-a-ri, Wall, in Nabü-zza-£a-a-ri (Läimur), 22 rab ka-a-ri. Vgl. KAR|Ka-ri-e]-a, Ka-ri-e BEX, / Sa-pi-i-ka-a-ri = Sa-KA- UR) AH 83-1-18, 1866 (PSBA XVII). 275 I? Huld erweisen, in ?X7-/a-ra-bu ..... karábu, geschr. SIGISSE?|GAZ"|ba-ra|us,-i, Gebet. Gen. in Sukun(? Sa)-mihir- SIGISSE 2 e-a (oder supéa vgl. HILPRECHT, BE IX p. 24). Acc. in Bél- (BE X), Nabü-, Sin-S/GISSE?| GAZ?| ka-rab/|ka-ra|kar-bi-(t)Sime und im ab- gek. Na-na-a-SIGISSE?. kiribtu Huld, Segen, in Ki-rib/,:si-ti|tu|tum- Asur, -Marduk, als Kurzname X3-r10-t4|tultumnl fi (NdM 21, 1); Ki-rio-ti-i Probename K 241, X as. kurbanu, kurbannu Gabe, in Awur-ban(-ni|nu) (auch Kur-ba”-an-ni Nbp CT IV 14) -Marduk, DI.TAR-Zez-óa-az, als Kurzname Kur-ban- nilnu, Kur-ba-ni Probename K 241, X a. DELITZSCH, AHW p.350b: «sei mir gnädig, segne mich!» / Ka-ra-na-tum W einrebe(?). 772 ?Ar-ru-ru. / Ki-3a-a? 7€5 in seine Gewalt nehmen, besiegen Ideogr. KUR. Imp. in KUX-su-Marduk, als Kurzname KUR-su. Part. in Sin-, Sama&-Za- F-id, Samaë-XUR-a-a-bi. kisadu Hals, in Kisåd-Sin. ^P» unterstützen. Imp. in Ku-us-ra-an-ni- Marduk. Part. kåsir > kesir > kisir (vgl. BE X p. 44), in Nabü-ka-sir, Bel-, Ea-, Nabü-, Knut Tallqvist. Sin-kr-Sir]si-ir, Abia-£z3-1, 1 Na-na-a-£z-Xgs£r- rat. Beachte aber JKZz-z3-ri-zu-ni. vu /Kas-Sa-al-a). — Ka-as-Sä-tu. kissatu Allheit, in Nabü-7z- U-Z, Mu-ab- bit-kiS-sa-ti, semit. Übers. von Gulkisar, K 4426, I 15. kissu Macht, in Nabü-/zs-a-3uzziz, -kis-Su- nau? Ku-us-Xa-a-a. kutallu, in Ku-tal-la-a-Nabü. "on Xa-ti-mu-. — Ka-tar-mu-Su-ilirl | MD kitru Bundesgenosse, in Kit-ri-IStar, ASur-, Bêl-, Nabü-, Sin--zt-ra];|ezt-rz|it-ri-2|eit-ti-ri, Bêl-#rt-ru-Sarri. 5 N,5 /a nicht, in Za(-a)-Bel, -Marduk, -Nergal, La(-a)-ba(-a)-Silse.e, Za(-a)-basi-Marduk, -Samaë, La-kup/ru-up(-pu/')-ru, / La-mágirtum, / La-tubà- Sinni, Za-tubäSanni-Addu, -IStar, Za-te-galgi- ana-IStar, Za-tü-gi-Na-na-a, Addu-, Sin-/a- Sanan, Nabü-/a-tü-Sir (?)-a-ni, Samaë. N,> Wü Stier, in ?Nabü-GUD-e-a. MN) potem esse, können. Ideogrr. DAZU] ID.GÁL. Prs. i? in DAIID.GÄL I-li-|I-li-e (auch MUH= eh)-Bel, -Marduk, DA-bullutu, DA|T-li--bullut-Marduk, Nabü-du/ta-i-li-e, -gabbi-i-l-e| ZU, -Suzubu-DA. li'á stark, mächtig. Ideogr. ZD. GÁL|ZU] DA. 1) an erster Stelle in 7D. GÁL - Li-e, -Marduk; 2) an zweiter Stelle in Ah/SES- liia, Ahu-4- BE X, Addu-, ASur-, Bel-, Ea-, Nabü-, Nergal-, Ninib-, Nusku-, Sin-, Samas-D Al ZU] ID. GÄL]-i] > |li-e-i, Nabü- DA-bullit, -ZU-kiffati®), Bél-, Nabü-, Sin- DA|h--i| ZU-kullati, 3) an vierter Stelle in Mannu-ki-ASur/IStar-ZU; als Kosename ID. GÁL(-4i Nd 974, 16. Nbp ZA IV 6, 3)-e-a. — f in fiUr-kit-tü-ZÜ-at; I Lz--z-tum. Iråtu Stärke, Kraft, in Nabà-7D. GÁL- TUR-d-a, -ZU-ut- TUR-Su. lu dass., in ID. GÁL-ti-A&ur, Nabü-Zi-su, Nergal-taqbi-Z-Z;z;:?, Abu-Z-£- BE X, Ahu- h--te K 241, XI», Aku-li-tiial = Hi-li-ti-” BE IX. Summa-ilu-/a- T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. 325 /ibbu Herz, in Z26-bi-simmu, Linûh-/664//40- bi-ili, Nu-uh-/6-bi-i/r. 725 Addu-/a-dak? 725 Nusku-/a-da-nu(?), v BE X. 35 alt werden. Prec. in Abu-ina-ekalli-Z/-ózr (Epon. 855), (Ina-)Esaggil-Z/-zr, Sangü-A&ur- Zl-bur, Bél-, Nabü-Süm-ZZàir (für Prt. mit z vgl BE X p.461) Vel. u. a8. La-bi-rum K 241, XI a. Lu-bar-ri. W325 /ubüsu Kleid, in ? AU. ZUNili. nalbasu, in Bel-tarsi- MA-same, vgl. DAHW p. 372b. / La-bu-ut-tum (Sklavin). * ladinnu, in TammeS-/a-din(-ni), Nabü-/a-di, vgl. a Dür-la-din-niina ZA XII 57 und BE X p. XI Anm. I. là Wunschpartikel, in Zz-balat, Bél-/z-balat, / Lu(-4)-baltat, Bél-, Nabü-, Sama, Sarru- lu(-ü)-däri, fSi-/u-dàrat, La(-4)-idia, / Lu-4-di- ia, Addu-/u-Z-nasir, Addu-, Nabü-Zz(-4)-sa-lim, Bel-/z-2-Sulmu, Ultu-pàni-Bél-/7-Z-3ulum. tr ?Nabü-Z-e-z. Un» La-Lhi-iu Flüsterer, Beschwórer(?); vgl. u. pr. tjr» Neh. 3, 12. n»5 /alü Fülle, Üppigkeit, in Za-/um (ab. KLH 6, 4). lulå dass., in Lu-lu-4, Lu-la--Nabàü. lillu, in Nabü-LZ/L, vgl. *Lz-/um = LIL INR 27, 56/57. SL Lil-li-ka-nu. Nb Samaë-/a-ma-. ol. 2 La-ba-ni-|ia, "385 lamassu Schutzgott, in ZLa-mas-si- Papsukkal, / La-ma-si-SYr--Samaë (ab.), IStar-/a-ma-zi, Marduk-, Na-bi-um (Bu 91-5-9, 270,25, CT VI 6)-, Samai-/a-a-sa-Y4. Beachte auch Abu-, Ahu-, Ki-Za-mas-Si K 241, X 27, XI, 14, La-a-mas-Si-bel, / La-a-mas-3i JADD 72. La- ma-za-ni (ab.) Bu 91-5-9, 797, 19 (CT VIII 40), Zitti-la-ma-zi-nu (Bu 88-5-12, 33— CT VIII 50). lannu? in Bêl-/a-an-ni-Sùm-iddin. vgl. RANKE pp. 18, 24. nib ?/La-sa-hiit-tum (la vielleicht Negation). Np» nehmen. Imp. in ?Sin-Zi-£-ja, -pilu-li-ki. | No: 2 321 mp5 lagípu (g in La-gi-pu Epon. 760, Li-gi-pu K 320, 25), in ZLa-gipiki(-2)(-pilpu), (ab.) La-ki-pi Bu 88-5-12, 311 (CT IV 24). — /La-gip-tum. Lu-ut-tu-a. 2 ma-a, in A-hu-zza-a. NA ma'ádu, mádu viel Ma-ad- gimil-IStar, ?! SUR-zza--a-d;, Su-lum-ma-du, Sulum-ma(-a)-du, Nabü-ana-ma-da-utir; vgl. auch Ma-a-ad-Addu, ma’adütu Menge, in ? Ma-du-ta-Sin-iS-|kun]. "N'2 máru Kind, Sohn. Ideogr. TUR (auch = aplu). In ?Mar-di-ni-ia, TUR-NA-a, TUR- Esaggil-lümur, Mar-Sippar, Nabü-li'üt- ZUR- “a, -Wüt- TUR-$u. Pl. in Salammu-ma-ri-e. märtu Tochter, in / TUR.SAL-IStar. müru Füllen, in Mu-u-ru. sein, in müränu, míránu junger Löwe, in Mu Mi- ra-nu, Mu-ra-nu-Gula. Wan vergeben; Imp. in Nabü-%22u-me-e-Su. 32 magáru Gunst erweisen. Ideogr. SE. GA. Prt. in Im-gur-Sin, -Samaë, -Upiki, Sin, Samai- im-gur(-ra)-an-ni, als hypokorist. Kurzname Dnu-gur-rum N ATh 759 (MBAP 23), Zm-gur- ia Bu 88-5-12, 185 (MBAP 31), Zm-gur-i-a Warka 9 (MBAP 41). — Imp. in Nannaru- mu-gur, Mu-gur-sit (BE IX). — Part. nach dem Typus NI V7-a-a-gir (V. A Th 856 = MBAP 106) in ASur-SE, Sin-, Samaë-, Upikima-gir; f in fLa-ma-gi-ir-tum. — Inf. in f(Ina)Bau- SE. GAlma-ga-ri-alsis. I 2 dass, in /n-ta-ga-ar-Samaë. ?/Ma-gär-tum. migirtu, in Mi-ig-ra-at-Sin, Mi-ig-ra-tum(ab.). 370 (end) Man-di-di Zumesser? Mu-di-qu-Addu. min mitu Todter. Ideogr. BAD, .. G-GA. In IStar-BAD/BAD-ta-ballit, Nabü-, Sama$-BAD] mi-i-t|.. G-GAlmi-ta-uballit. / Mi-za(sa?)-tum]ta. | mma / Ma-hi-tum. nE5 /iptu Werk, in Zi-biit-Addu, -IStar, -Sin; | nna muhhu, mit ana (MUBHImuh-hi) auf, s. u. amäaru und takålu. | ma empfangen, gnádig aufnehmen. Prec. in Ina-gäti-Bel-/u-um-Au-ur. — Imp. in fBàni- ni 322 tum-, BéLl, Nabü-sypê-mmu-lur|muk-lrur | mud |"r74-yu. — Perm. in fAna-pi-e-mah-ra- at. — Part. in Ma-ki-ir, Mannum-zza-A-zr-3á KLH 42, 2. I 2 empfangen, in NI.NI-am-ta-ha-ar (ab.) KLH 20, 20, An-da-har. mahru Vorderseite, in Sin-Alik-mahri(S7). mínu wie?, in Me-i-nu-la-an-Si, -ah-ti-ilu K 241, X a, IX a; vel. ammeni. Mi-ku-Marduk. "2 mákü(), in Dår-ma-ki-ima-ki-Addu, -IStar, Nabü-däür-ma-ki-i, Nabü-ma-a-ku-usur. mukku, in Nabü-MUK(-ki)-e-Lipllip, Muk-ki(-e)-a, Muk-ka-a BE IX. "2 Nabü-az:-£a-ra-ul-ba? makküru Besitz, in SA. GA-! Bel! (BE IX), -Sin. namkuru dass., geschrieben KU. ZU(DAHW p. 408) in Namkur-ASur(?). Mi-li-a-ta. Na /Mu-nl-li-. malü Fülle, in Bél-mannu-zza-/a-a£. n5 malahu Schiffer, geschrieben ‘7 Ma-la- hus] MA. DU. DU. 75 maláku berathen, entscheiden. Prt. in Im-liklli-ik-Sin; vel. */a-am-lik-ilu (ab.) Bu 88- 5-12, 222. — Part. in Ma-lik-Sama$, Nabü-, Sin-ma-lik. milku Entscheidung, Entscheider, in Mil-ki-ASur, -IStar, Addu-, Bel-ili-, Dagan-, Ha-lu-u-, Hüru-, Sin-2l ii ki. Ma-lul-tum. Mu-lu-us-Su. 32 mannu wer? geschrieben Man-nu| Man-na, (ab. Ma-an-nu-um|Ma-nu-um, in Mannu-aki- Addu, -ilàni, -IStaria, -Nabü, -Nanà, -Uruk, Ma-nu-um-balum-Star, -Sin, Mannu-damû, -didi- iläni, -gi-ri-Samaë, -gi-ri/..-Su, /Man-nu-idätsu- idi, Mannu-igabu, Man-nu-itti-ia (BE IX), Mannu-ki-Addu, Al-la-a K 1492,7 (JADD 310), -ahi, -ahè (PAP?!) K 316, -A$3ür, -Bäbili, -Bel, -z-/a-hi-i BE X, -ilàni, -IStar, -Nabü, -Ninib, -zzr; K 352,07, Mannu-ki-ASur/IStar- La, -Addu-raóz, Mannu-E£ma-NI. NI-ia CT II 22, 301, »s, -IStar, -Samaë, -Bêl-Zatin, Man-nu- lu-u-Sst-lum (BE IX), Mannu-mähirsu KLH Knut Tallqvist. 42, 2, Mannu-Xànin-Sama&, Bel-man-nu-ma- la-ak. Beachte auch Z/#-man/»aar-nti-1a-Bêl. minü was?, in Mi-nu-z-(ana)-BEl-da(-a-a)nu. Mu-nik-Bau. / Ma-na-an-ta-a-a. / Mi-is-ta-a-a. rn masaru Wächter, in /a-sa-ar, EN. NUN-abulli, -bâbi, Bel- EV. NUN. Mar-ga-a (Dr L 24, 10). Mar-du- in ISum-mar-du-', vgl. Mar-du-u, Mar- di--i JADD III p. 129, Mar-di-i K 241, XI 1s. YA marásu besorgt sein, in A-bi-ma-ra-as (ab) CT VIII 35, 2196, 3, ZLzm-ra-as-libbi-ili K 241, XII 16, Libbi-ili-Zzz2ra$ CT IV 46, 705, 29, vgl. DAICHES p. 75. marsu krank, in Samas-marsu(GIG)-usur. bön Bél-zu-3u(). ' sön Il 1 ? Un-da-Se-ri. Maë-tuk|n(-ku), Maÿ-tuk-a-ta|ti; vgl. JENSEN, ZA VII p. 181. mätu Land. Ideogr. KUR. Gen. in Béel-ma-ti- Marduk, ASur-, Nergal-#62-KÜR, Sin-, Samaÿ- in-ma-tim, N A-a-kuzub-ma-tim, N&r-K UR-Bél, Sin-, Samas-nör-ma-tim, Apil-Ea-, Sin-Sar- ma-a-tlma-tim, 53 A-a-si-ma-at-ma-tim. Acc. bei Gant, nasáru, tagånu lli (s. u. diesen Wörtern), mit Suff. in ASur-K UR-£a-da"-in. Beachte auch den abgekürzten Namen Addu- ma-ti, Bél-ana-K UR-3u, Ana-KUR-su BE X. metu (ANA, in NA-a-me-tu-nu. mitru Macht, in ? Mit-ra-a. Vgl. Mi-it-ra-a-ta, Mi-it-ri-na-. mattu, in Nabü-;za-at-tu-i(-a). Ma(? Ba)-at-ta-nu. 2 78,3 erhaben, hehr sein. Ideogr. I/IM. TUK. Part. an erster Stelle nach dem Typus NYid- iu K 241, X 3» in //Na--id-Addu, -Bel, -IStar, -Marduk, -Nergal, -Ninib, -Sin, -Samaë, AS pak; an zweiter Stelle, nach dem Typus /z- 44id, in Addu-, A-è-, Apil-Addu-, A&ur-, A-u-, Bel-, IGAL-, Istar-- Kassu-, Nabu-, Nergal-, Ninib-, Sin-, Samas-7|I-id| IM. TUK] na(-)-id|na--di, an dritter Stelle in Sa-Bêl-Z — f in ZNanû, /Na-i-da-at-Belit, als Kurz- name: /Na-1-da-tum, / Na--it-tum. T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. 323 tanittu Erhabenheit, in Zaln)-nit-t-Bel, Ta-nit-Sèzib-Bêl, Za-nit-t4 (Kurzname). "Ni nüru Licht. Ideogr. LA/7. 1) Nom. a) als Subj. in Na-S [e—ir-nu-ur-3& (ab) CT VI 4t, 1137, Wa(S [r-)-ar-nau-&r-Ya (ab) CT IV 46, 705, 38; b) als Präd. eines Nominalsatzes, vor- angestellt nach dem Typus Nx-ur| LAH-ilu (K 241, XII 19. 83-1-18, 695, III u, vgl. ZAH- iP, Nu-ur-NI.NI-süu CT IV 37, 618, Nu-ur- an-mi-ilu K 241, X 37) in LAHIN u-ur ir -a, -Addu, -Bilgi (ab.) -Annunitum, -IShara, -IStar, -ISum, -Kabta, -Marduk, -Martu, -Na-na-a, -Ningirsu, -Papsukkal, -Sin, -Samaë, Nau-tr- mûti-Bèl; nachgestellt in Abu-, Ahu-, Ahia-, Bël-, Bél-ümé-, II-tam-mes-, Si-, Sin-, Samas- nu-ár|nu(-à)-ril|LAH, vgl. die ausländischen Namen Attar-zz-7i-', Bit-ili-477-; mit nachfolgendem Gen. in Nabü- A770, Sin- | Sama$-za-ár-imátim, Sin-nu-4r-Samaÿ, hierher gehört auch der abgek. Name Nu-ur-a-li-Su | CT II 13, 225, 23 — 2) Gen. in Züsi-ana-LAH- Marduk/Samas, abgekürzt Züsi(-ana)-LAHinu- ür|LAFH-eNdM II 48,16, auch Zésu-nu-ri, / Ana- nu-ri-su, Nu-rum-li-zi (CT IV 50, 731,22 — 3) Acc. in ZAH|Nu-ür-Bel-Ztmur, Nabü-LAH- ka-lut-iuur, -LAH-nammir. — Beachte end- lich Nu-ur, LAH-e-a|Nu-ri-ia|Nu-üur-e-a|Nu- ua, Nu-ra-nu, Nu-ra-tım KLH 29, 16. NI néru schlagen, vernichten. Beachte Da- bi-bi-ni-ir, Nabü-K A. KA-ni-ir, Nabü-z-zr-da- bi-bi, - -ha-da-at?, - -TUK-a-a?, A$ur-garta- ni-ri. Dagegen gehören */Vz-ri-ia-a-ma, Ni- ri-a-bi-ik-nu? und Salammu-wi-ri-e wohl nicht hierher. nubtu Biene, in /Nu-ub-ta-a. ND) nabü berufen. Prt. in ? An-bi-Samaë, Im- bi-Sin, Bêl-, Ea-zz:-2;, Bêl-, Nabü-5zzz:-zuz-óz. — Imp. in Zöis-Addu, -Ningirsu, -!NIN.SAH (ab. Bu 88-5-12, 329. 91-5-9, 286, II »s. CT IV 27. NETS) Nuskr -Sin, -Samaë, ?Sama5-i-bi-S2 (ab.) (vgl. aber IuSu-i-bi-Sü CT IV 50, 731, 22), als Kosename ?Lba-a, [-bu-á-a. Part. in Na- di-NI.NI-Sü (ab. CT VIII 23, 673, 20), - -Sin, -Samaë. — Beachte noch Nabt-ni-ib/ni- bil SA-ana-iläni. Na?-ba-a-hu. No. 2. N,3 nigu strahlen. Part in Addu-, Ahi-, Ilu (JADB)-za-27. 63» Na-gi-rulri Vogt. naggaru faber, geschrieben "2 VAGAR. / Na-da-a. | #39 Abu-va-dibldi-ib, Na-ad-bi-ia- a-4 (— 31133); Na-ad-ba-nu. 1? nadánu geben. Ideogr. MU, SE, (as) ÄS und (besonders ab.) BA.AN.SE(SUM). Prt. Soie fBànitum-Za(-ad)-di-uu|ta-din-uu, tBélit-Za-ad-din|a-ua, Nabü-ta(-ad)-dan-nu, Bel-tzad-dan-nu-bullitsu, Nabü-tad-dan Dr 57,11] tat-ta-nulta-ad(-dan)|din-nu-usur, als Kurzname Ta(-ad)-dan-nu, beachte auch Ta-at-ta-dan- nu. — 3. P. 1) ohne Obj. an erster Stelle, in Id-di-in Dr $51,20| /-din Nk 301,2 auch ab.//-di Nk 301, | MU] SE(-na)-ASur, -Bel, -Ea, -Gula, -Iltum, -IStar, -ISum, -Mamu, -Marduk, -Martu, -Mirra (ab. CT II 13, 225, 24), -Nabü, -Nergal, -NIN.SAH (ab. CT II 13, 225,23), -Nusku, -Papsukkal, -Sin, -Samas, -Upi, -Uraë, -Zamal- mal, an zweiter Stelle, nach dem Typus /2(#)- MU |i-din-nam (ab. CT II 17, 769), in A-a-, Addu-, Aë-, Anum-, Aëur-, Bau-, Bel-, Belit-, Bunene-, Ea-, Eanna-, (Ina-)Esaggil-, Inninnu-, Lagamal-, '!Lamassu-, Marduk-, Nabü-, Na- na-a-, Nergal-, !NIN. GAL-, Ninib-, !NIN. SAH- (ab. CT VI 43, 2191, 19), Nusku-, !Pi-ir- (ab. CT IV 6, 838), Sin-, Samaë-, Subulal- Sulmän-, i TUR-E-, Upi*-, Uraë-, ZA.MAL. MAL ;-, Za-ri-qu-MU(-in Nd 981, 4, -za Ars 1, 3, -au Dem :6)| SE-na| ÀS Var. i-din (MIR 1, Ios) | id-din Nk 276, o | id-di-na| BA. AN.SUM (auch nb. Cr P 23,11 VR 67, I 16b)/i-din-nam; 2) mit Obj. A%4-MU-Marduk, Sin-z-din-na-as- xt, Addu-, Anum-, ASur-, Bau-, Bél-, Bunene-, Gula-, IStar-, IStar-bäbi-, * LUM.LUM-, Mar- duk-, Nabü-, Nergal-, Ninib-, Nusku-, Sin-, SUR, Samat-, Sulmän-, Sugamuna-, Uraë., Zamalmal-#2-MU(-nu Dr 476, 18) | SE(-na) | as. ÅS |ab. i-din-nam, abgekürzt Äh-MU, Ahe- MU | SE-na-Bel, -Marduk, -"TA.HAR.RI, Addu-, A-é-, BéL, Ea-, Lumlum-, Marduk-, Nabü-, Nergal-, Sin-, Samaë-, Sulmän-, I TUR. E/A-c -e-aké- MU] SE(-na) |id-din (81-7-27, 31)| as. ÅS, abgek. Ahé-MU|SE-na, Sin-a-ia-ba- ÅS, 41* 324 Addu-, AËur-, Bêl-, Bunene-, Ea-, Marduk-, Nabü-, Ninib-, Sin-, Samai-, Sulmån-aplu-MU | SE-nalid-di-na (Dr 519,13)/as. « IS | ab. PA.AN. SUM, Nabû-6a/àt(@®)- MU, Nabü-, Samas-bbl-ÅS (as), Sin-, Samas-zapiMim-MU]| AS] BA. AN. SUM, Addu-, Nabü-$#r-MU, Addu-, Asur-, Bau-, Bél-, Bunene-, Ea-, Eanna-,Istar-, Marduk-, Nabü-, Nergal-, Sin-, ! SUR-, Samai-, Sulmän-, Zamalmal-s22-MU|SE(-nalin Nd 23, 4) | id-din| as. ÅS, abgekürzt: Süm-MU]SE-na, Addu-, Anum-, A$ur-, Bél-, Ea-, Ina-Esaggil-, Mar- duk-, Nabü-, Nergal-, Samai-, Zamalmal-zzz- MU | SE-na|id-din Nd 874, s?| as. ÅS, abge- kürzt: Zr-MU; als Kurzname /d-di-nu (ab. CT VI 23, 442, 3), I-di-in, SE-na-a, Id-din-a-a, MU-a, la-di-mu-nu|.SE(-ua)-uu-nu. — Part. a) ohne Obj., in Na-din-ilu (ab. CT VIII 46, 2179, rev. 47), Bêl-, Marduk-, Nabü-, Sin-za- di|z;; b) mit Obj, in Addu-, ASur-, Bél., | Kassü- (VR 60, I), Kur- (K 298 rev. 19), Mar- duk-, Nabü-, Ninib-, Sin-va-din| SE(-na)| AS?- afi, A&ur-, Bél-, Marduk-, Nabü-, Sin-.SE(-za)| MU] ÀS-akè, abgekürzt AS|Var SE-ni|-ahé (Epon. 693), Adünu-, ASur-, Bél-, IStar-, Mar- duk-, Nabü-, Ninib-, Ra-man-, Sin-SA(-na) | M U] AS/na-din-aplu, abgekürzt: Na-din-aplu, Nabu-MU-beli, Nabü-na-din-ipri, Nabü-zádin GRU)-napistim(?), Nabü-za-din-3e, Na-din|Na- di Nd 335, 2/ SE-na Cr 268, 15 -Ye-zm, Na-din- Si, Nabå-MU-Su(?), Na-din-iu, ASur-, Bel-, Marduk-, Nabü-, Ninib-, Sin-, Samas-na-din|ai MU Bab. Chron. II » | SZ-umi, Nabü-, Sama$- na-din-ziri, als Kurzname Na-din]a:ı., Nad- nu, Nad-din, Na-di(-e), Nad-na-a(-a). nidnu Gabe, in Ni-id-nu-um (ab. CT II 14, 291, 27), Ni-di-in-IStar, Ni-id-nu-5& (ab. CT IV WT NEA) EP) nidintu dass., in Ni-din-t]tüultum-Bel, -Ea, -Marduk, -Nabü, -Nergal, -Samaë, Ni-id-na-at- Sin, als Kurzname: Mi-din(-it)-tumltülti, Ni- din-it, / Ni-din-tum, Ni-din-ta-a (BE IX). #75 TammeS-na-da-ri, -L-in-dar; Na-di-ir, Na- di-ru BE IX, X, vgl. pa. 543°. an ?Nu-u-bu. mm náhu sich beruhigen. uh-libbi-ili. Prec. in (Li-)nu- Knut Tallqvist, nühu Ruhe, in /Vz-Z-4;-3Mil-hi, Itti-, Nabü- na(-uh)-ha. níhu ruhig, in ?Sadi-ni-/u. T 2 Vu-nu|na-A-A. nm ? Na-si-Bel, -Marduk, Va-zi-za. Beachte aber die kassitischen Namen Vazzbugas, Nazi- marattas. Na-sib-ilu Probename 83-1-18, 695, III 30. 3! Bé]2- na-za-bi. m IT 1 aufrichten. Ideogr. DU. Imp. $usziz, in Nabà-20/-.D U-is, -kiS$u-Sh-uz-ziz, Bèl-, Nabü- SI-uz)-ziz-an-nt. manzazu Stätte, in? GISGAL (2) Asaur-asbat. nahraru, in Samak-na-ah?-ra-ri (ab.). wm Ii Überfluss verleihen(?). Part. in Mu-na(-ah)-his|hi-suliS-Marduk. Na-hislhr-is- tabu BE X, MNi-/ris|niis-tum-tåbi, vgl. Ni-hi-is- tum BE X, Avél-za-4i-z3-tum der II. Dynastie von Ur, ZA XII p. 334, ar. ax) etc. Cook, Glossary p. 81, bi. smöm, tni Nu-ha-su, Nu-uh-Sa-a-a, KAN.NUN-a-a JADD 2 rev. 5, Nu-ub-$a-nula-na, vgl. bi. Er, sa. om. Ni-ik-ilu K 241, IX 3. 505. 83-1-18, 695, III 1. Bél-z;-i£-düru. Summa-ziitilàni K 241, X se. Ni-ik-ba-du-. Nik| Nik-ka-a-a. 52: Samas-na-kil-gam?-Sü? 025 namáru hell sein, glänzen, sich freuen. Prec. in Bêl-, Ina-Ebabbarra-, Itti-Bel-, Itti- Nabü -Z-zn-meir | lum |m(-umy-2nir, nach voraus- gehendem / auch Zx|un-nir, (ab.) Sin-, Sippar-, Samai-Z-ve-ir. — Perm. in "Esaggil-nam-rat. — Part.(? in Na-ve-ir-nürsu (ab. CT VI Ar, 1137), Sin-za-ve-zr, EkurSa-na-mir (81-2-4, 255, VIII 7). IIı erhellen, erheitern. Prt. in Addu- LAHnürt), Nabü-, Sin-LA zr |ü-nam-mir| nam-mir K 241, IV 4, Samas-LAH-ir. — Imp. in Nabü-zZr-zam-mir.— Als Kurzname ZVz- um-mu-ru. {Na-mir-tum Helligkeit(?). öns Nu-mu-Sum, vgl. he. “Se. Na-na-hu ein Gartengewächs. 702 nisakku Priester. Ideogr. NU.AB. Marduk-NU. AB-ilı. /Na-si-ka-tum Fürstin. — Nabü-za-sa-£a. In NI.SUR, in "2 NI. SUR-gine/sattuk. T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. MD) nappahu Schmied. Geschrieben ”S/MUG] | naf-pa-hu, auch ^"* AN, PAR.BAR. tr: napistu Leben, Lebewesen. Ideogr. ZI. Gen. in Bel-ZI-Sin, Sama&-&-ZI-MU, Bit-ZI- bit-dur-ri(?), Nabü-zàdm-Zl, -ràm-ZI, Nabü- sir-ZI-Usir. — Acc. Z/-tim) | ZIP | na-fis-tim bei zadanu, nasáru, ràmu (s. u. diesen Wör- tern), als Kurzname Na-pis|puus-tumli. — Pl. napsati, in Marduk-, Nabü-66/-Z77!, abgekürzt: Bel-ZI(-tim), BEl-, Nabü-, Samas-2tir- ZI ZT. ZI Dr Pa 12, 30, BEl-nap-Sat-ibni. Beachte noch Sin-na-bi-iS-t (abg.). 222 insabtu Ohrring, geschrieben //n-sablsa-as- 5 | tum. ^x: nasaru beschützen, bewahren. Prt. in ?/s-sur-Ninib. — Prec. in li-Z-szr. — Perm. in Addu-Z-SES. — Imp. 1) an erster Stelle in Uswr-a-gal-lim (ab. CT IV 45, 689, 27), -amàt-Ea, -amät-Samas, ?-ma-ma-nu-su- | -avelu (CT IV 9, 818), -mê-Samaë, U-sur- | ilMa-lik (ab. CT VI 30, 408, 19); 2) an zweiter Stelle, in Bél-, Marduk-, Nabü-, Samas-4-sur| ü-SES (83-1-18, 394), Nabü-z-sur | S ES-napii- tim, Sum-SES-Nabü, Bel-Harrän-, Nabü-2A 7 an-ni, Bêl-, Ilu-, Marduk-, Nabü-, Samas- |: ü-surlSES|PAP-Su; 3) an dritter und vierter Stelle, in Addu-, ASur-, Bel-, Bel-Harrän-, Bunene-, Ea-, LUM.LUM-, Marduk-, Milhi-, Nergal-, Ninib-, Sin-, Samaë-, "Urkittu-adu- SES|PAP, ‘Bänitu-, ‘IStar-agà-SES| PAP, | Addu-, Anum-, A&ur-, Bél-, Bél-Harràn-, Haldi- | (as. K 1513 rev. 7 = JADD 241), Marduk-, Nabü-, Nergal-, Ninib-, Sin-, Samas-, ZA. MAL. MAL-aR-ü-sur|SES|PAP, Bél-, Marduk-, Nabü-, Nergal-, SUR-aZé-4-sur| SES| PAP, ASur-, Bel-, Ea-, Marduk-, Nabü-, Samai-ap/u-á-surlá-gu-&r IR 52 no. 6| SES| PAP, Sin-apil-Sarri- PAP. Asur-bani-a-a-PAP, Addu-, ASur-, f Bànitum-, Bel-Harrän-, f Bélit-, Marduk-, Nabü-, fNa-na-a-, Nergal-, Ninib-, Sin-, Sama&-, Sulmân-46/#- sur| SES| PAP, fBêlit-bê/tu-PAP, Nabü-dabab (KA. KA)-PAP, ASur-, fBelit-, IStar-, Nabü-, Sin-dür-PAP, ASur(?)-, Kur-, Nabü-, Nergal-, Ninib-, Nusku-, Samas-edu-SES|PAP(), ab- gek: E-du-PAP (as. K 4746 = JADD 661), illtu-, Nabü-ga5d:-SES, Nabü-, Ninib-kibsu- No. 2. 325 JE fNa-na-a-kilili-SES, Nabü-, Nergal-, Ninib-ZzZu-PAP, Bel-, Ea-, Marduk-, Nabü-, Ninib-Zudurri-t-surlsu | SES] PAP, Samaë., Zamalmal - Z/pi-S S | AP, Nabü-mäku-SES| PAP, Samas-marsu-SES, Adünu- (K 1618 — JADD 513), Marduk-, Ninib-w41- PAP, Nabü-, Samaë-, Zamalmal-zapistim-u-sur | SES PAP. Ili-, Nabàü-22-4-sur| SES] PAP, Uu- (83-1-18, 695, II 30), Ninib-77-za-PAP, Nabü-ana-pi-4-sur, Samaë-pi-dam-ti-sur, ls, Sama$-, Zamalmal- pir-SES, Nabü-ri-&-SES, Bél-, Nabü-röhtu- á-sur| SESIPAP, Samai-zA- PAP, Nergal-7um?- me-ü-sur, Addu-, Anum-, Arba'il-, ASur-, Baiti- ili-, Bel-, Bel-Harrän-, Bél-ilàni-, Bit-Irani-, Bu- nene-, Esaggil-, Gabbi-iläni-, Gula-, Ilu-, Marduk-, Nabü-, Nergal-, Ninib-, Nusku-, Sin-, SUR-, Samai-, Sulm àn-, Uraë-, Zamalmal-ÿar-4-sur|u- zu-ur JADD 2 rev. 2/%-su-ur IR 67| SES|PAP, Nabü-E-£i-ba-PAP, Nabü-Mp?-SES, Addu-, ASur-, Bel-, Ea-, Marduk-, Nabü-, Nergal-, Samaë-, Sulman-, Ura$-, Zamalmal-ÿw-4-sur | SES| PAP, abgekürzt: Sum-SES, Nabü-zz: Ritt (2)- PAP, Innin-, Nabü-, Sin-, Samas-tabni- ü-sur|SES|PAP, Marduk-, Nabü-zadtani-SES | PAP, abgekürzt: Tabtani-SES, Nabü-tad- dannu-SES, Nabü-talm-u- sur | SES| PAP. Nabü-Zam-ma-PAP, Sin-tagiÿa(?})-u-sur, Nabü- ur-kittu-PAP, Marduk-, Nabü-, Nergal-zz- SES| PAP, Ina-qibi-Bél-PAP-ÿu. — Part. 1) an erster Stelle, in PAP-ia-u, Na-si-ru-ili, Na-si-ri-na-ta-nu, PAP|SES-Ninib, 2) an zweiter Stelle, in Addu-, Anum-, AsSur-, Bél-, Damu- (ab. CT VI 17, 286, V 16), Ea-, Haldi- (as. KK 358, 10. 4287), IStar-babi-, Isum-, Marduk-, Martu-, Mirra- (ab. Bu 88- 5-12, 31,7), Nabü-, Nergal-, Ninib-, Sin-, Sama$-, Ura$-, Zamalmal-na-sir)s.,|SES(-ir)| PAP(-ir), na-si-PAP CT IV 24, 397, 5 Addu- lü-nasir, ASur-, Bêl-, Marduk-, Nabü-, Samaÿ- na-sir |na-si-ir|na-sir-rilna-PAP) SES-ir |PAP (-zr)-apli, Nabü-, Samas-na-sir | PAP-Sumi, Marduk-SES-zöri, Dagan-bel- PAP-ir (II R 68 no 2), als Kurzname: Na-sir|Na-si-rulr:. Ni-qud, Ni-qu-dultu. nargu, nirgu, in Nar-gi-ialid, Nar-gi-i JADD 1 rev. 4, Ni-ir-gi-i JADD 498 rev. 2, Nir-gi-i K 10119. 326 T0 Nu-ur-su K 1608b rev. I, Nu-ur| LAH-za- 21|na- ns nararu, niraru Helfer. Ideogr. ZAB.GAB. In Addu-, ASur-, Bel-ZAP. GAB | Var. na-ra-ra. nisu V olk, zi3é Leute, Unterthanen. Ideogr. UN. In Samak-asuk-m-N, IA -a-belit-nisi, Bel- mude- UNE, Ninib-mukin- UN, Bel-ram- UNE; mit Suff. in ASur-baltu- UINZI-$u, -bel-UNE-$u, ASur-, Nabü-räm-UNF-Su, Bel-ra-mi-im=ni- Si-Su. N,®) nasu erheben. Ideogr. GÅ. TU und LAL. Imp. in 7-37! Bél, ASur-, Nabu-ri-i-Si/GA.TU. — Part. in **27/ AL-patri, Na-Si-ilu CBE IX), Sin-na-si, fBànitu-za-sz-z-a. (-aÿ)-Si(-1)-57. nisu Erhebung, mit zz Liebling, in M- -iniSu (ab. CT II rz, 769, »). An-Sa-bu? m) — 77) nadánu geben. Beachte Sa-na Prt. in /#-tan-nu-Bäl, Bél-, Nabü-, Nergal-, Sin-z#-tanlaanl-ni|nitma), | Bél-, Nabü-, Samat-, Uras-àr-it-tan] 1-70 | ua, Nabü-aAé-zt-fan-uu, Nabü-aplu-it-tan-nu. m) Pf. in Va-fa-an, Na-tan-iliv! (BE IX), Addu-, Apil-Addu-, Bél-, Iltu-, Nabü-, Nàsiri-, SUR-, Tammes (K 061, 15)-2a-talran-NUlna, Ap-la-da- na-ta-nu = Apil-Addu-natan, Ea-22r-za-£a-uu, Na-tu-nu (BE IX). "mattan — ra Geschenk, in Ma-at-ta-nu, vel. Ma-at-ta-ni-1ia-a-ma BE X — re. [o] 780 Sa--du-ti-ilu 83-1-18, 695, III 29. Sa(—)-ti-ta, Si(-”)-zi(-ia). Vgl. Si(?)-te-ia-tum (CT II 15, 332, 22). ONO sdmu dunkelfarbig, in ?.Sa-mu-t-a, Sa-mi- za (ab. CT IV 41, 721), vgl. Sa--mu JADD 259. Si-ba-git Su-ub-ba(ma?)-dau. /Sag-ga-a. Sag-di-dilti. Su-ud-dür-tum. po süqu Strasse, in ? S/ZLA/Su-gal-a-a, I Su-ga (-a-a)(-)-2-tum]|r. nno Addu-d24-s2-hi-t. no le zurückkehren, in / Ta-za-hur-a-na-a- li-S4 (ab. Bu 88-5-12, 617 — CT IV 39). Knut Tallqvist. IVı wieder werden. Perm. in Nis|v.i-hur-Bel. Beachte auch JVzzs-sa-Aar- Bel BE IX. — .Sz-4zr-Sarpànitum. Su-hi-ru JADD 412 rev. 12; vgl. DAHW p. 496 b. 720 sikku, Na-bi-si-ik-ki (JADD 388, 19), Sik|siir-ku-t-a. — I Stk-Ru-h, À Sib-Eu-ut-tum. — Sa-ak-kit-ta. — Suk-ka-a-a K 241, IX s. Sz-&il-ti- Addu. 950 Nabü-zs-£ip, -sa-&ip (i), beachte aber Nabü- sa-gi-ip HABL 847, Naàhu-sa-gaó, Sa-gi-bu, Sa-gi-bi-Sarru JADB, Sa-gi-bi-i JADD 72. m>o IL ı anflehen, in Sin--sz-Z/Zt-zi(-e/)-4i, auch Sin-z-sz-e/-/i. — Su-la-a-a K 821 rev. 2 (HABL 447), K 241, IX ao, .Su-Zi-ia Rm 157, 16. 550 silu Schutzwehr in ?.S7-z/-/u-Bel. gut in z5o saláÁmu sich gnädig zuwenden. Prt. in Bélit-/es-Zm, I Tas|taas-lrim-mu. — Amp. in Si-limlim-Addu, -AËur, -Bau, -Bél, -ilu K 241, IX 43, f-IStar, -Marduk, f-Na-na-a, -Samaë, fBànitum-, Bel-, fBelit-, Mammi- tum-, Nabü-, fNa-na-a-, Samat-, Zamalmal- si-Lim]|st-il-milmu|sel-meu|nelsilisiu-lım. — Part. in Nabü-sa-lim, Addu-, Nabà-/Z-sa|sa-/im. — Inf. in Sa-la-ınu. sulmu, in Su-/um-ahu, Su-lum-ma-da, vgl. Su-lu-ma-da, Su-lum-ma-du BE IX, X mit Anm. + (wohl doch nicht — Sulum-ili bez. -ukin, vgl. Sü-Ium-ma(-a)-du), Su-fum-mu. suluppu Dattel, in /Su-/u-up-pa-a. 0 Sa-ma-kiilu, Sa-am-ma-ku, vgl. Sa-ma- kalku JADD 321. 598. simmu, in Libbi-si-zm-mu. — Su-um-mu .... Si-in-ni-g1-ia. SSi-in-di-ia, vgl. sindå ein Baum. sinánu Schwalbe(?), in fSi-nu-nu, auch filSin- ü-nu geschrieben. pio singu, in /Sin-gilSi-nig-IStar, /Si-in-gi-Sa-a- mur IV R 68, sb (DAHW p. 505b). sásu Motte, in ?.Sa-si-ia (auch ab. CT IV 16, 265, 25), Sa-si-i K 241, X s, vgl. Sa-sa-a-a, Sa- su-u, Su-su-4, Su-st-ia (J ADD 742 rev. 25. 204. 320. 415). sísü Pferd, in iir KUR.RA| (exe) sj si-tlialid, ame VET SSA sasinnu Juwelier(?), in *"? sa-szu-ua. T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. Sa-a-pu JADD 652, IStar-båbi-sa-pi. nzo ll 1 anbeten, in Bél-, Nergal-z-sip-pi, 4-sb-bi. supü Gebet, in fBànitum-, Bél-, Nabü-sz- Pil-e)-mu/hur, Su-pi-e-Nabü. 320 sapánu überwältigen. mät-nukurti K 4426, I u. Sap-pi-e-a, Sap-pa-a-a. — Sip-pi-e(-a), ^"? sip-e-a. 7 Sip-pa-a. 720 Sipiru, ein Berufsname. yo Su-ba-bu-sa-ra-. Sa-ri-ia, / Sa-ra-a-a, Sa- ra-a-ilu. no Addu-sa-ra-ah, Nabü-ana-K A-tum-sz-zz-zz. Su-ru-un-du. no sattuku, in ^"? NT..SUR-sat-tuf. satammu, in Nabü-sa?-Zam-nurceres. Part. in Sa-pi-in- 5 pa-ga-ri, in Be-li-pa-ga-ri. nm» padü lösen. Imp. in Sin-#-di-ma; vgl. Samaë-pi-dam-usur, Pad-du-u-ilu 83-1-18, 695, III ez, Pa-di-i K 330, 33, Pa-da-a, Pa-da-a-ma, Pa-di-ia, Pa-da-a-ah-nu(?), Sin-ni?-ia-pa-du, Pu-da-a, Pu-di-ia|;ii, ? Pu-di, Se-ri, Pa-di(-e)-su, Pa-da-ak-ka. p* Il: harren auf, in (Ana-) Bel-%-pa-gu/ga, Pa-ga-ana-Arba'il. 65 puzru Geborgenheit, in Pau-zur- ASur, Pu-zu-ur-Bel?, vgl. DAHW p. 519a. À Pa-hu-nu-ta. And Ill: sammeln, zurechtbringen, festi- gen. Ideogr. NIGIN|UB.LA. Prt. in NIGIN (-ra)-Bél, Anum-, Bél-, Nabü-, Ninib-, Samaë- NIGIN(-ir/rir) | 4 - pal] a - hir| UB.LA, Nabü- NIGIN-an-ni@). — Part. Mu-pa-hi-ru- um Bu 91-5-9, 338, 29, in Mu-NIGIN-ASur. — Inf. in Pu-uh-hu-ru, Pu-uh-hu-ra-a (BE IX) = Hypokoristikon aus ?Bölupahir. — Noel. ?Pah-hir-du (Lip-hur-ilu) Rm 187 = JADD 195. paharu Töpfer. Geschrieben ^"? DUQ.Q4A. BUR|pa-Ra-ru. napharu Gesamtheit, in Vap-Lar-ili (Epon. 729), Marduk-- DUZL(naphari?). Pa-a-fu. 702 patáru spalten (scil den Mutterleib, vgl. on 02 Erstgeburt, mna Gen 29,31 und n. No. 2. 327 pr. &&-ring»), lösen(?). Prt. in Z2-zz(sic)-u- Sin. Imp. in Pr-tu(sic)-ur-Sin, Sin-, Samas- gu-ut-ra-am. — Part. in Sin-pa-te(sie)-ir. Pu-ut-ra-uu K 241, XII s. patru Dolch. Ideogr. GÍR, in arta patri. "5 på Maul, Mund, Wort, Rede. Ideogr. KA. 1) Nom. in Æ#%/-pi, E-te-el-pu-um (ab. MBAP 81), Etil-KA|pi(-ö)|bi (ab. BzA IV p. 439)-Addu, -Ea, -IStar, -Marduk, -Mirra (ab. CT II 28, 338, 23), -Nabü, -Sin, -Samaë, -Ura$; 2) Gen. in Sa-KA | pi(-2)-Bêl, -Ea, -ilia, -kalbi, -Nabü, -Ura&, Za-ni-ig-KA|bi(-ÿ4)-Samas, Sin-zånig- KA; 3) Acc. in Ili-, Nabü-27-z| KA-usur, vgl. Nabü-ana-pi-i-usur, mit Suff. IStar-pa-ia (ab- gekürzt), Lu-pu-ü-#-4, Ninib-KA-1a-usur, Samaë-bi-ni-XA-ia. Beachte noch XA-ÿ4- Sin/Samaë, fAna-pi-e-mahrat. n55 palü Regierung. Ideogr. BAL. 1) Nom. in Tâba-pa-/a-Samaë, abgekürzt: Pa-la|Pa- li(-e)-Sama$; 2) Gen. in ASur-, Nergal-mukön- BALW)-ia| BAL-u-a|pa-£-e. Nabû-abu?-pa- lam. m5D paláhu fürchten, verehren. Imp. pilalh (Form wie limad DAG p.266) in Pi-/a-ak- ii Addu (ab. Bu 91-5-9, 2512, s — CT VIII 50), Sin-pils-la-ah. — Part. in Sá-lim-Pa-Z/// ins (ab. CT IV 49, 721,18. VIII 25, 280,39): Nabü- pa-h-ih-Su. palhu gottesfürchtig, in Pal-hu(-u)-Se-zib JADD 276. 742, 20. 059 IV i mit Erbarmen ansehen, in Ili-#- pa-al-za-am (ab. KLH 9, 4). pánu Antlitz, als Präposit. vor. Ideogr. SZ In SZ | Pa-ui-A&ur| Diri/IStar | Nabü-Zégaur | mur, SI| Pa-ni-Bel-adaggal, SZilütsu, S7| Pa-ni- Aëur/Nabû-7ême, Sin-SZalik, ASur etc.-4/#- SI-ia) | pa-ni(-ia) (s. u. aläku), Imbu-SI-ial;a, Asur-, Nabü-d7z SI (-alid)/pa-ni-ia, Ultu-pa-ni- Bel-lå-Sulum, Pa-ni-ili BE IX. Pa(-a)-si-1a. Pi-sik-dannu. 109 Nap-sa-an mu pappu «Pappa», in Pap-pa-a-a, Pap-pu-u K 287 (JADD 5). Pap-pa-su Entgeld. 328 7p» pagádu Aufsicht führen, bewahren. Prt. in Addu-/p-gid. Perm. in Ninib-pa-kr-da-at. Pa-qud-da-nu. Pa-ki-i=ri. ND pir'u Sprössling, Nachkommenschaft. Ideogr. IA. In ZPiir-IStar, Pi-ri| Pir(-)| Pi-ir-A-a, -Annunitum, -Bel, -IStar, -mi-is-di (?), Bél-, Samai-pir|fir-ibni, Ea-, Ninib-, Samai- ir [pii (-) | NA (-usur), Nabü-Xa -ISir, als Kurzname: Zz(-). n5 pirhu Spross, Sprössling. In Nabü-prr- /n-lSir, Sin-pir-hi-ukin, als Kurzname: Pi-ir- hu(-um) MBAP 28. 41, Pir-ki-ia/a-a JADD. Nona IMa in 7zi-par-£a- ilu. purkullu Steinarbeiter, geschrieben "®pur-kul. Om parásu entscheiden. Part. in ?Bêl-XA-5, Samas-SUB-dini. Pur|Pár-X&-& Floh(?). Pi-ri-la-a. Pa-Sü-uü. mW pasahu sich besänftigen. Part. in Pa-x- hu-Addu. ^t» pasaru lösen. Part. in Nabü-Pa-3ir|e-ir. — Inf. in Itti-Bêl-pa-far. IV1 wieder gut werden. I 7ap-pa-affrar- ru. Imp.(?) in fIStar-zag-3zr..., Bel-, Nabü- mi-ip-Sa-rulrajri, (ab.) Sin-, Samat-na-ap-Se-ra (am). tvn Pi-iS-Si-ia, vgl. pissu ein Gartengewächs. N,nD pitu öffnen, lösen. Part. in PSin-pa-#, Pa-te-4(?)-Addu. 10 patänu schützen (s. HILPRECHT, BE IX p. 53). Imp. in Bel-daku-pi-tin, Bel-edi-pi-ti-in | pit- Nilnu, Bêl-, Nabà (Smd ZA IV 9, 4)-pit-na-an-ni. Beachte auch MASur-pa-tin-nu, Ea-pat|pa- ta|tan|ta-an- Ul ui. x NX sinu gut, in ?,S-2-IStar, -Ninib, -Samai, vielleicht ist aber sz-4 = sill zu lesen. "NX siru hoch, erhaben. Ideogr. MAH. In Sz-ir-Ninkarrag (ab. CT 45, 697, 20), Nabü-sz- ri] MAH-ilåni, Nabü-dür-MAH-rum, Si-rat- qibit-Marduk, f Na-na-a-sz-zar. SSi-ra-a. Knut Tallqvist. Sa-bi-tum Gazelle (MBAP 28). .Sa-6u-tum Verlangen(?) BE IX. max sabátu fassen, mit gàzz die Hand jeman- des fassen, d.h. helfen. Prt. in GZzz-ina- Bêl-as-bat, Manzas?-ASur-LU, Sep-ASur-LU- bat, Sepit-Bel|Belit/il/Nabü-as)sa-bat, I Sépitsu- as-bat. — Imp. in Bél, Nabü-gäta-sa-bat, Samaë-gé{(su)-sa-bat, mit Suff. Bel-gäta-sab- bat-an-ni, ‘Belit-, Sama$-LU(-an)-ni. — Part. in Bél-, Nabü-sa-ditlau-gan. Sab|Sa-bul-ta-a-nu JADD 134f., III p. 228. NX Su-uh-ru (as) K 666, rev. 10. 52 IL; anflehen, in Bël-, Belit-, Nabü-, Na- na-a-, Ninib-#-5a/-/ilra(-a)umumlit-sa-la, beachte auch die Schreibung Nabü-sa/-/z, als Kurz- name U-sal-li Sargonst. II s». — Impr. in À Sa-/i-bêltu (?). sulü Gebet. Nom. in Tàb-saz-Z-e-Bél; Acc. in Bél-sz-Z-e-3zze. 55x sillu Schatten, Schirm, Schutz. Ideogr. (GIS)MI Nom. in Rapas-M/-%-Ea, Täb- GIS. MI| sik-lu)-IStar, -Marduk, -Samaë. — Gen. in /na-GIS. MI] sil-A-a, -Bel, -bit-akitum, f-Esabad, -Esaggil, -Nabü, -Na-na-a, -Nergal, -Ninib, -Sarri, -Taëmit. Unbestimmbar ist der Kasus in den abgekürzten Namen GIS.MI| Sül.Si-it-lalab. MCI) Si-/£-Addu, -Anim, -ASur, -Bél, -bêl-dalli, -IStar, -Marduk, -Martu, -Nabü, -Ninib, -Sin, -Samaë, -Sarri, -Taámetum. Be- achte noch die Kosenamen /na-GIS.MLa-a und GIS. MX-la)-a-a|Sil-la-a. sulülu dass., in Bel-, Marduk-, Nabü-sz-Zu- lu/su-lu”-Ium|AN.SUR (6388), als Kurzname: Su-lu-lu K 823, 9 = HABL 781. Sa-al-la-a K 87, Sal-la-a-a K 241, IX ss, HABL 415,4. Sa-la-a-a-ilu, Sa-li-a-a JADD 221. 872. fIStar-sal-lat-ti, /Sal-lat-tum (vgl. bi. >22). mox Nabü-saz-lam. salmu Bild, Ebenbild. Ideogr. VU. In Ea-NU/sa-lam-iläni. Als Gottesname in ?N U- Sår-igbi, Sal-mu-ahé JADD 60. 163, ar. Arwrbr. Vel. phó. nom. div. 5y27727x. si-pi-di(?), in Sin-, Sama$-si-pi-di(-im). Sa-si-ru, Sa-an-si-ri, Sa-an-su-ru (K 344, 4). 3"x Ardi-Bél-saz-. T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. P Qu (?)-IStar. Na? gibü rufen, befehlen, versprechen. Ideogr. ZIDUG.GA. Prt. 2. P. Sg. in Nabü- täg-bi-lifir, 3. P. nach dem Typus /g-bi-i/u (K 241, VIII 12) in 7g-0z-A&ur, -IStar, in Addu-, Bél-, Belit-, Nabü-, Nergal-, Samaë-, TUR.E- Elig-bi, Papsukkal-ia-zg-2z-ul-i-ni; in Bel-ig-bi- Bel steckt wohl ein Versehen des Schreibers; mit Obj., nach dem Typus Jlu-balåtsu-iq-bi (79-7-8, 32, 20 = JADD 464) in Bél-, Gula-, | Marduk-, Nabü-, Ningirsu-, Sin-,SamaS-daläfsu- Elig-bilig-E| DUG.GA 83-1-18, 358 rev. 7 = JADD 284, !Salmu-sar-E]zg-di; mit Suff. in Nabü-zg-0;-Xu, Bél-ili-zg-6z-u-ui (K 241, X 31). — Prec. in Bêl-Zg-64 — Prs. liegt vor in Mannu-i-ga-bu|i-gaë[-bi], vielleicht auch in Nabü-a-gablyacasy-bi (vgl. aber N.-ha-ga-bi), A-ga-bi-ilu, Ilu-a-ga-ba und A-ga-bilp-ta. — Inf in /xa-ki-bi-Bèl|Marduk, /za-&i-ói- Bel- usuráu und im abgekürzten Az-bi-Bel. Ob Oa-bu-%-a hierher gehört? Vgl noch Nabü- täg-bi-li-tim (2). gibitu Befehl, in Ki-bit-Addu, -ASur, -IStar, -Ninib, Inra-ki-bit-Nabu, Sirat-ki-bit-Marduk. a7 Qu-ub-ba-ar. Qu-da-a(-a). Ki-id-di-ia. Qudg)-di-it}u-ASur. gadnu, in A-Sa-ri-du-ga-ad-nu 83-1-18, 210 = HABL 706. t-p /Ou-da(-a)-Su, vgl. OPPERT in ZK I p. 59. Oa-ad-du-su BE IX. I. **p gálu rufen, schreien. lu-iSinmme; vel. IStar-, Nabü-Zzr-ga(-a)-/2/a. II. 5 gälu schauen, Acht haben auf. Imp. in : Nabü-qz-Za-zz. SP gápu übergeben, anvertrauen. Prt. in L-ki-pi-Marduk; vel. Z-kr-bu-um ab. CT VIII 34, 544, 13. gipu, geschrieben amter. WD gåsu schenken. Ideogr. 24, auch SA.BA. Prt. in Sin-DA(tagisa)-usur, Bau-, Sin-Za- qi5| ri-sajsa - bullit, Gula- ta - ki- Se-hblut, Ta- gis(-su)| Ta-ki-sa-Belit, -Gula, -"KAN.TE ("Dr L 33,1), als Kurzname: Ta-gis(-Su), BA- $a|Var. SA.BA-Marduk, Fki-i$-Sin, BA-ÿa- No. 2. Inf. in Ea-ga-a- ame TIL. GID.DA Be: 329 Marduk, A$ur-, Bau-, Bél-, Ezida-, Nabü-, Ninib-, Sin-, Samai-, Sulmän-, ı TUR .E-, Zamalmal-B A-Sali-ki-Salsu|ab. -ki-Sa(-am); als Kurzname: /-gi BE IX, BA/Fkil-Sa-a = px STEVENSON 34,3 BE X p. 17; mit Obj. in Bel- ah-BA-$a, Bél-, Nabü-a42-BA-3a, abgekürzt: Afhé-igita, IStar-, Marduk-, Nabü-, Samaë-, Zamalmal-iz77-5.4-5a, Addu-, Bél-, Ea-, Mar- duk-, Nabü-, Samaë-:#-B A-fali-ki-Sal*d, abge- kürzt: Zir-BA-$a, mit Suff. in Bél-, Marduk-, Nabü-, Sama$-BA-$a|SA-BAJ-an-ni. — Imp. in Qz-Marduk, A7-;i-Nu-nu (ab. CT IV 49, 725, 5), mit Suff. Marduk-, Samai-54. 24] B. A- -ÿa/ki-fa|-an|a-niluu — Part. in ?Sin-ga-i-is (ab), Samas-BA-Sa-AQ), fBelit-, "Gula-ga-(-2)- Sat/sa-atisa-t, vgl. f! Ki-bi-'-tum-Z-z-*af, als Kurz- name -Qa-a- -i-Xa-at. gistu Geschenk. Ideogr. $4.74. In SA. DB A| Ki-25-tau-Addu, -Ea, -Marduk, -Mirra, -Ninib, -Uraë, als Kurzname: Az-5-£um (ab. CT VI 23, 442, 20), SA. B A-ia]id]a-a. JT Ki-*a-a. "ep Oa-na-a-ilu 83-1-18, 695, III 26. Ilu-ga-na-a (= APN) 83-1-18, 695, IL 35. Nabü-ga-na-. Ili-ga-nu-üu-a. — Qu-ni-i JADB. | Tp Qu-un-na-a BE IX, / Qu-un-na-tum. / Qa fai | "2? gasaru (kasaru) bewahren. Prt. in Bel-, Nabü-, Sin-, Samaÿ-1#-swr. — Prec. in Bél- lik-sur. — Imp. in Ku-sur(-ra)-A, Nabü-azr- ku-sur;, mit Suff. Bel-Harrän-g2-sur-a-ni, Nabü- KÄT]|ku-sur(-ra)|-an-ni, Iu-Eu-sur-3á. K 241, VIII 15, Bél-, Nabü-£z-sur-$u. — Part. in Bél-, Bunene-, Ea-, Nabü-, Ninib-, Sin-, Samai., Urai-KÁ T|£alzs-sirl;p;, als Kurzname Xa- sirlszru)ri, / Ka-sir-tum. gisru Besitz, Eigenthum. In Av-sir-A&ur, -Bél, -IStar, -Nabü, als Kurzname: Ki-sir, Ki- sirlis-ri-ta|id. gaggadu Haupt. Ideogr. SAG.DU. In SAG. DU-a, Oag-ga-di-nu, SAG. DU] Qaq-ga-dala;] (alan)-ni-tamlin. 7p gardu stark, mächtig, in Nergal-gar-du. qurdu Stärke, Macht, in Owr-di-Addu, -ASur, -IStar, -Nergal, -Sarru (MAN) K 381, 10, Qur-di-i K 400 (JADD 83). 42 330 garradu stark, mächtig, in Aëur-, Sul- mànu- UR. SAG, Samaë-gar-ra-ad, Ea-AN. GUD-ili, Nabü-AM-1lani n7p Oar-ha-a, Oa-ri-hi-ia, auch Oa-ri-hi (JADB), Oar-ha- (BE IX). SUP gasdu herrlich, erhaben, in t Gula-ga3-du. gátu Hand. Ideogr. SU mit oder ohne Dualis- zeichen. Gen. in Bél-, Nabu-såbit-SU?, Ina- SUR-Nabü-dultn, Ina-SU*-Bél-Zumfur, Ina- S U2-BEl/Nabü-Sakın, Gabbi-ina-SÜ?-Samas; abgekürzt sind Qàát-Sin, SU?-Bél-Fakan, Ga- &-Marduk, Ina-SU?-ilàni K 241, VIII 1, Zza- SU G-Marduk/Samas, / Gabbi-ina-SU?. — Acc. in Bél-, Nabü-SU®-sabat, Bél-SU-sabbatanni, Samas-SU2-su-sabat; abgekürzt sind Asur- SUsu, Addu-, ASur-gås-sun|suu. Beachte noch /Oa-ta, Où-ti, I Qa-ti-L U(såbit?)-tum. Anp Nabü-ga-ta-ri, Ilu-ga-at-ta-ra 83-1-18, 695, II, ss, Ilirl-ga-fa-ri BE IX; vgl ar. Nr, js Fels. 4 MN," reü Hirt, Hüter. Ideogr. .$/7. In amc S[B(-1)-alpi]sest, Sin-, Samai-.S/B; mit Suff. Ae-, fBánitum-, fBelit-, Bunene-, Nabü-, Ner- gal-, Samai-.S/B-£[,-a, Addu-S/B-ni, Addu- SZB-ui-tu, Anum-, A&ur-, Bél-, Nabü-, Samaÿ- SIB-Su-nu. ri'ítu Heerde, in [B2/]-ri- -i-tum-Bel. ré'átu Hüterschaft, in “Bänitum-S/B--tu. irani geschrieben /r-a-ni Nd 433, 1 = ame S[B-a-ni 973,18, auch S/B-a-nu (BE IX) Ir-an-niln, Ir-a-an Ng 59,19, "ir-a-ni Cr 291, 10, Ir-a-ni-Marduk, Bit-ir-a-ni-Sar-usur., Ra--4 K 318, 11. ENSO rámu sich jem.s erbarmen, lieben. ' Ideogr. X7. AKA ab.| LID| RAM. Prt. in Sin- KI. AKA, A&ur-, Nabü-zapistimi- RAM, Ninib- Sa-kunna-i-ra-mu. Ta-ra-am-Addu, -Sagila, -Sin. — Imp. in Az-zz-Addu, -Sin; mit Suff. nach dem Typus Z/D-an-ni-ilu K 241, VIIL 10. in ZZDX(-a[ap) - mil Ri - man(-an) - ni] na- Addu, -ASur, -Bél, Addu-, Asur-, Bar- ku-, Dél-, Bunene-, Ea-, Haldi- (K 8754), ITI- (BL 9426), Marduk-, Nabü-, Nergal-, Sin-, Samai-, Zariqu-Z/DCanl)-nilri-maluu-an-nilri- Knut Tallqvist. ma" (-am-nij,, beachte noch Addu-zz-zz-zz-ui, fGula-, "Na-na-a-ri-mi”-ni, Nabu-ri-2ma-an-Su; mit dopp. Acc. in Nabü-, Samas-ah-ri-man (-an)-nilı, als Kurzname: Ri-man-ni. — Part. raum bez. ram, in Nabü-RAM-napisti, Bel- ra-am-nisé, ASur-, Nabü-RAM-ni$esu, Bél-za- mi-im-ni-Si-Su, Nabü-RANRsiri, ASur-ra-mi- un-Sarri, ‘Bänitum-, fGula-, f[Ina-]Esaggil-, fSaggil-, fTaSmétum-, “Urkittu-ra(-am)-mat| ri-ınat, als Kurzname: /Ri-matlma-at. — Be- achte noch f Nabü-za-zzat(2), / Ra-mu-ü-a|Ram- á-a / Ra-in-du, I Ri- -in-du. rimu Erbarmen, Gnade. Ideogr. e In Nabü-zz-zzu-á-a, -rimu-Su-nu; Nabü-,Sama$- ye] | ri-e-mu-Xu&un, Remu-Sukun Nam BE X 17, Nabü-$4#in-LID; als Kosename Az- mUu-U-Q. rimütu Begnadigung. In Xéwut|muutitu | LID-ut, Rim-ut-Bau, -Bêl, -bel-iläni, -Gula, -Ea, -ilàni, -IStar, -Nabü, -Nanà, -Ninib, -Samaë, Nabü-ri-mu-?, als Kurzname: AKi(-e)-mu-ut| tu | ti. rimenü barmherzig, in Ae-u-Marduk; Addu-, fIStar-, Sin-zz-zze-zi. narámu Liebling, in Na-ramlraam-Addu, -Ea, -ili$u (ab. CT IV 33, 580, »), -Sin, als Kurzname: Na-ra-mu-um (ab. CT VI22, 364, 21). narámtu dass., als Kurzname: /Na-ra-am- Zum (ab. CT VIII 25, 280, i»). DN," r/Su Haupt. Ideogr. SAG. Acc. in A&ur-, Nabü-.$4AG-i37, Samaÿ-SAG-usur, Sin-, Samaë- ii (abgek.). Vel. u. me". TNA” r/satu Pl. Jauchzen, in! A-a-7;-3d-af(-2/àz2), als Kurzname: / Rr-*a-£uzr. J/ Rr-ba-a, Ri-ba-a-a JADD 125, Nabu-zz-0z-usaur- 227 rabbu gross, in ÆAab-bi-ilu 83-1-18, 695, III 2, Ra-ao-bi-ili?! BE IX, vgl: pa. na. 582%. — Rab-ba-a, Rab-bu-1. Rab-dum. man rabü gross sein, sich gross erweisen. Prt. in ASur-7r-22 (vgl. 179533). II i gross machen. Imp. in Nergal-3z- me-rab-bi. Part. in ! Mirra-zzu-rdó-0i K 5656, s. rabü gross. GAL. Nach Typus Zu-ra-ói (ab. Bu 91-5-9, 2179 rev. 48) in Addu-, Bél-, Ramän-, Sin-, Samaë., Upiki- T. XXXII. Ideogr. dem Neubabylonisches Namenbuch. 331 ra-bi|ra-ba(-alam), Eli-Uäni-ra-bi-Marduk, Mannu-ki-Addu- GAL; «"GAL(Rab)-bäni, -bel-immirti(?), -Belit, -kàri, -tarbasi, -urü, -Sa-na-5i ..., GALlra-ba-a(-Su)- Sa-Ninib. — Ru-ba-tum (ab. CT VI 30, 421, 39). rabütu Majestät, in Ra-bu-ut-Sin, -S -parzilli, -Sussi, -Samas. Rag-zu(?). ON ragamu rufen, Einspruch erheben (vgl. HOMMEL, Altisr. Überl. p. 73). 7-ra-ga-am. rigmatu Ruf, in Tab-ri-gi-ma-tt-Addu, SI KA?-Sarri JADD 40, III. p. 64. nn? ISum-mar-du-, mm Tar-dı-talit-ASur. om Ra-dim(-mu), / Ra-dim-tum. se hoch, erhaben sein, in Ra-ma-ilu 83-1-18, 695, III 14 (vgl. sin. SN, phó. 55227), Abi- ra-muln: (m. und f. KA? p. 482), Ahi-i-ra-me K 383,27, A-hi-ra-mu K 309b, 10, A-a-ram- Mae, -ri-n-mu, Addu-ra-am-mu ma. Prs. in Sin- . o | Pi-e-mar-di- . q^ rísu, rüsu Helfer, in Addu-, ASur-, fBäni- Bél-, Nabü-, Sarru- ID.DAHriu-sul-4l,-a, als Kurzname Ré-su-4-a, ab. Rr-su-ia KLH 29, 4 aan — ws. 797% Addu-, Nabü-, Tammes-za-4i- i(a), XT AR-sam-su-za-/i-id; vgl. HILPRECHT, BE X p. 38 unter Ad-ra-hu-ü. sn ws. lieben, in Addu- ra-ha-mu|ra-Ji-mu, Ra-4i-im-ii^ — ar. Beischr. Bar BE X, Ra-Zi-mul Ri-hi-me-Sarru JADD 352. 237, als Kurzname Aa-A4ipl,. BE IX, X, /Ra-hi-ma-. * Ra-h(-2)-me(-e)-su ge- hört wohl nicht hierher. Ra-ah-ha-ma-nu| Ra-hi-an-ni|n| Ra-ah-a-ni (= Nama «barmherzig»). tn ?Bel-ir-ha-as-Su-nu .... sn ?ASur-, Sar-ta-ri-bi, il A-a-Za-ri-ba-am CT II IO, 200, s. m^ rihtu Rest Acc. in Bel, als Kosename A7-14-ti-ia, ih-ta-a, Ri-e)-hi-e)-tum ti|tu|tz. 02° riksu Band, in Ri-kis-kaläma-Bel,vgl. DAHW p. 621b; als Kurzname A/-£-sz. Risi-i, Ri-sa-a-a SAN 7599; ? Nabü-zz-s-sa, -rz- e-Su. 707 risku, in Bel-7i-is(x,sy kt-ibnm. No. 2. tum-, Nergal-, Samai., sich erbarmen, * Ra-hi-ma-an-nu | Nabü-7-Z|n;- J Rı- Fran ti SH S d ®ypn ws. heilen, in Addu- Nabü-, !SUR-za- pa-/a-pa-, Ra-pa-a K 367, la-ra-pa-a K 1265, Ra-pa-ia K 447,27, Ra-a-pi- Srgn. Ann. 269. t^ rapsu weit. Ideogr. DAGAL. In /DAGAL- ana-àli, Rap-su-Marduk, Ra-pa-as-silli-Ea. St^ rasbu gewaltig, in Xa-aÿ-bi-Ninib. men rasu fassen, zu eigen nehmen. Prs. in Nabü-z-ra-iu. — Sama$-ahe- TUK-$i, Marduk- Sum-TUK-$i, Nabü-, Nanà-, Samai-z£r- TUK- | 4 — Prt. A-ha-am-a;-i; (ab. CT VIII 25, | 280, 1). Vgl. ab. */a-ar-S-ilu (ab. CT VIII 38, | 2378,1), SES-TUK-& K 241, XI ss, TUK-S- ilu K 241, XI 37. — Part. in Re-si-ilu. Mul mi-ra-St-tl,, Mu-ra-3á-nu,/ Mu-ra-si-tunm. | risu Sklave, in ab. Az-z-Addu, | -Bilgi, -Marduk, -Samai, -Subula; als Kose- Ri-Si-ial;a, Ri-St-ü-a (wenn nicht zu Diener, name: ritu Kopf gehörig). | rittu Hand), in Azt-z-Istar, -Marduk. Tv $a Genetivpartikel. 1) an erster Stelle in Sala- ilA-a, -Addu, -IShara, -Sin, -Samaë, .Sa-Bél- atta, Sa-Bél|I&tar| Marduk/Nabü-3Z, / Sa-Na- na-a-M /Sa-Na-na-a-an£ni, Sa-Bel-, / Sa-Na- na-a-0a-n1, Saj;- A&ur|I&tar-du- bu, Sa- Bél/Nabü- | gammıl, Sa-Nabü-i-da-ÿu, Sa-Marduk-#/-i-nilu, Sa-Samas-kalüma, Sa- | Bål-nTid, Sa-nasisu, Sa-ni-e-Su(?), Sa-pi-Bel | | Ea/ilia/kalbi/Nabü/Uras, Sá- ‚ga-ü-A-Sur-na-da | (Rappad.), Sa-Nabü-ia-Zg, Sa-fábtitu, / Sa- Bélit-zdu, Sa-urétu, Sa-Marduk-zaqup; 2) an | zweiter Stelle in Duagi-3a- iáni-damqu, KAK- a-sa-ılia, Pi-Sala- Sin/Samaë, Rab#-Sa-na-Si. Rabä(su)-Sa-Ninib, Rab(-Sa)-Sussti, Saat Samaë. Pron. in Ninib-Sa-kunna- iràmu, Papsukkal-sa-igbu-ul-inu. / Sa-Bånitum-/Zmur, relat. sa, in Ahé-sa-a. seu Getreide, in Nådin-$e-e/am,im|NIe. $u'átu jener, selbiger, geschrieben Sá(-)a- tültim, auch MU. "NT seu(?) Freund, in ? Addu-ie-e-a; vgl. Nabü- nadin-Se? SN D *Sa/ti-ilu = Sanbnw), vgl. auch Addu- | Sa-al-tum. 42* o3 Knut t3 I2 Prt. mustálu Entscheider(?), klug, in Sin-mu-us-ta-al. SN w selibu (ar. Beischr. 35% Dr P 67, 9) Fuchs, geschrieben LUB.A| Se-el-G-bi, (ab) Si-li-bi- im (Bu 88-5-12, 45 = MBAP 36), Se-li-bu-um (Bu 88-5-12, 185 = MBAP 31). I Se-lib-bu-ut-tum. AN, V saru (= ar. Beischr. 0 CIS II p.25) Odem, Hauch. Ideogr. 7/7 Für den Sinn des Wortes in Eigennamen beachte K 8522 Obv. 9: ina pusgi danni nisinu Sarsu tåba «in arger Noth haben wir verspürt seinen freundlichen Hauch» (DAHW p. 121 b), 340 47 Neh 9, 20. Ps 143,1. Nom. in / Sár-Bànitum-/4£u, IM- Bel-/adi, nach dem Typus Z4åb-Sa-ri-ili (ab. Bu 91-5-9, 286 II 17 — CT VI 15) in Tåb-IM- Arba'il/ASur/ Bel / Esabad | Istar | Nabü / Sin / Samaë. — Gen. in /na-IM-b£li-alak. Beachte noch die abgekürzten Namen /M-ASur, -IStar, -Nergal. Sa-bu-ü-a, Marduk-sa-0u-$u, Tlu-sa-bu-na. 22% Nabü-Sa-da-du. Sü-ba-bu, Sir-ba-bu-sa-ra-'. nat Is Za-as-te-di, vel. Tar-ti-bi, Tar-te-ba JADD 628 rev. e, Zar-ti-ba-I$tar, Nabü-far-ti- ba-usur, wenn hier Übergang von $ in 7 an- genommen werden darf. sw Sa-ab-ba-In, Sa-bu-ul-la-tım. Sama&-gu-Xá- bi-il-Su(?). Ean Sä-bu-nu-ia-a-ma = rat. N 30 Sigu Wehklage, in .Sz-gu-£t-a. Sa-gi-e-se, Sel-e)-gu-su. Vel. / Se--gu-i 82-3-2 135, rev. 8C. fa-ad()) in Sé-ad-A-a. 70 sad(d)ü Berg, Hort. Ideogr. KUR. Mit Suff. in Bel-, Bel-Harrän-, f Bélit-, Marduk-, Sin- KÜRISa-dul-&.-a, Sin-, Sippar-KUR-i, Samaë- KÜR-i-NI.NI, Bél-, Ea-, Ebabbarra-, (Ina-) Esaggil-, Nabü-, Sin-, Sippar-Xa-du-zz | Sad- du(-u)-ni\KÜR(h|.)-nul:, abgekürzt: Sa-du-nul;| KÜR-nu|Sad|&.«i-din-na. / Si-da-t|ti| tum, !A-a-Xi-da-ti. S4-di-in-du. Sa-dan-na-tum. su Personalpronomen: er, in Sa-IStar/Marduk/ | Nabü-$%/„-2]a, Bél-*z-4 (absekürzt). I o Tallqvist. | | | Sf Personalpronomen: sie, in /S7-7-lü-dàrat, fSa- Na-na-a-ÿ7-7, IStar-$2-2 (abgek.). sepu Fuss. Ideogr. NER?. Acc. in NER? | Sz- pi-ASur | Bél-agóat, NER?]Se-ip-Addu, -A&ur, -Iitar, -Sin, -Samaë (abgek.). Beachte auch Nabü-ÿ9-1su7 (2). Sépitu Fussende. Acc. (Se-pit/yr)-Bêl/Bélit/ il/Nabü-asdat, /Se-pit-su-asbat, (abgek.) Se- pit-I&tar; als Kosename: /Se-pilyr-ta-a. Sü-si-en? nnt Sa-hu-à Schwein. J Sa-ah-na-a. mo hu, in Nàdin-3z-7-/. Sa-kib-ba-a. 90 ?ÜLfak-ki-su. bat ? Åtal Bel. U Sakdnu legen, thun, machen. Ideogr. GAR. Prt. in /%-ku-un-IStar, Nabü-GAR-un; mit Obj. in Sin-*az- GAR-un, BEl-, Ea-, Nabü-, Ninib-, Samai-, Uraë., Zariqu-sum-GAR(um)| is-kun, abgekürzt: Sum- GAR-un. — Imp. mit Obj. in ÄB-edu-ü-kun, Nabü-, Samai-rémm GAR|SÁ-£un, Bel-, Samai-Yaum-Yá-bun; un- sicher ist Nabü-iZ-£u?-za-baláfu und - GAR- un-Sum. — Part. in ASur-béel- GAR-in, mit Obj. in Nabü-GAR-rimi(?), Bél-, Eulmaÿ-, Marduk-, Nabü-, Samaë- GAR] $a-kin (£i TITR 43, 29)-S7rer, abgekürzt: GAR] Sa-kin-Sumi, Nabü-GAR. GAR-ud-du(®), Sâkin-séri. — Perm. in Ina- qati-Bel/Nabü-$a-kin, Oät-Bel-Sa-kan (abgek.). maskanu, in Ea-mas-ka-ni(?). S4-la-a. | Now Sila. Sul-ln-ü-a. now ?fMarduk-s%-/a-hu-0-a. bb Sa-la-la|m, amel $q-al-la(-la), vel. Sa-la-la-nu BE IX p. 70, IStar-mas-lal-la-a-te. ot Salimu wohlbehalten sein. Perm. in Sd- lim-palih$u, Sa-Nabt-La-lim, Lu-a-lim-bêli (ab. Bu 88-5-12, 624, 20 — CT IV 40). Inf in Sa-lam-ahu, a -ümu, Sa-/am(-mu)-ma-ri-e, -ni-ri-e, Addu-Sa-/am-mu, Nabü-DI/-mu, Ana- Nabü-Sa-/a-mu, Nabü- G/-eres, DI-mu-eres (KAN, nicht zz dd) K 241, XI 16, JS a- lam|Sa- al-mu-dininni, Sa-la-am- nul, Sa-lam-nu, Sa- lam]| a-ma-nu. II i unversehrt erhalten, bewahren. T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch, 333 Prt. in Addu-, BEl-, Ea-, Marduk-, Nabü-, Nergal-, ISUR-, Samas-, Ura$-G/|DAX-im)|ü-Sal|zapa- Him ii», Nabü-327-G/. — Imp. Sullim und (bes. as.) Sallim 1) ohne Obj. in Addu-, ASur-, Bêl., Marduk-, Nabü-, Nergal- Sama5-Sal-limlram, 2) mit Obj. in ASur-, Marduk-, Nabü-JaZ-Z| DIC)-ahé, Nabü-DFim-aplu, Addu-, Bél-, Ea-, Nabü-, Sin-, Samaë-a/é- GI DT-nu] Sal-lim|ful- lim)Sul-mu|St-lum|Sul-lu-mu, ?Nabû-bu-un-$t- Lum, E-du-sal-um K 3789 A 4 (JADD 73, von JoHNs III p. 118 gewiss falsch aufgefasst), Nabü-zz/mYm-G/, mit Suff. in Asur-, Bel-, Marduk-, Nabü-, Sin-, Samas-$al-Um|vaer. DI- an|a-ni| Sullzu-lim-an-ni, fBànitu-Sau-Zm-in-ui, A$ur-, Nabü-2//fal-liml-Sulsi-nu. — Part. 1) ohne Obj. in G// Mu-DI|Mau-$al/sa(-aty-lim|mu- Addu, -A5ur, -Bél, -Ea, -iluP, -IStar, -Marduk, | -Nabü, -Ninib, Asur-, Bél-, Marduk-, Nabü-, Sin-, Samaë-wu- GI) mu-L II DIim| mu-Sall za- lim, 2) mit Obj. in Bél-, ?Nabü-GZaphiÿu; als Kurzname: Mu-Sallza-li| ns-mulMu-Sul-mu. — Inf. in DEmu|Sul-lumlu.un, GI-a] DI-a| Sul- Zulm)-mal mma. Noel. Sul-lum-a HABL 774. Sulmu Wohlbehaltenheit, Wohlergehen. Ideogr. D7. Nom. in Mannu-lü-3z-/z;z BE IX, Ultu-pàni-Bél-Iü-iz-Zuzz, abgek.: Bel-lü-Sz/-mez| Stt-lum, DEmu-su-ilu. — Acc. in DI-mu-Bel- lamur, Sx-lum-Bél-limur, DI-mu-beli-/asıne, ASur-D/-amur, BEl-, Samas-$%-/um-Sukun, vgl. DI-mu-GAR-un JADD 101. Beachte noch die abgek. Namen Sá-Zum | DImu-ahi, -ahesu JADD 165, -ASur, (-ana)-Babili, -Bel, -béli K 241, VIII 7, -IStar, -mádu, -Sarri JADD 5, DI-mu-hal-suP! K 241, X as. Sulmånu Geschenk, geschrieben Su!|Sz- ull(-In)-ma-nu, DI-man. / Si-la-an- g-0- un. Saltum, in Addu-sa-aZ-£un; TUR. Ë-ÿa-/i-ti. Sil-ti-bi l Tar-ti-bi, s. u. mot. Ev sumu Name, Nachkomme, Sohn. Ideogr. ITU. Nom. in Sá-miirsitim (los (CIF INY 25, 318, 25), Sé-mu-um-libi (ab. MBAP 68), Gula- X&-me-e-di-libsz, Nabü-, Nergal-3z-zzul»-£-our, Nabu-MU-ll-bir, Su-mul-um ab. CT. VIII 3, 55, 33)-Zsi, St-mu-li-Sir (CT VIII 37, 493, 21), Anum etc. -MU-Ksir s.u. asåru, Nabü-MU- No. 2. DU-ASir, Sa-Bêl | Nabü-M U(32?). — Gen. in A&ur etc. -nadin-MU] Så-um|Så-mi s. u. nadanı, Nabü-, Samaë-»âsir-MU, Bél-, Marduk-, Nabü- Såkin-M U, abgek. Såkin-MU, Bél-, Marduk- sakir-MU] Sü-me. — Acc. in Bel-27U-zpas, Addu etc. -MU-éres s. u. eresu, Nergal-MU- êtir, Addu etc. -MU]|sa-um-ibui, abgek. MU- ibni s. u. bant, M U-utabti-Samas, Marduk etc. -MU-usabsi, abgek. MU-usabsi s. u. bas, Aëur etc. -MU]Sü-um-ukin, abgek. MU]Su- um-ukin s.u. kanu I 1, Bél-, Nabå-MU-imnbi, Addu etc. -MU-iddin, abgek. MU-iddin s. u. nadanu, M U-usur-Nabü, Addu etc. -MU-usur, abgek. 17 UlSü-mi-usur s. u. zasaru, Bel-MC- ü-pak ..., IStar etc. -MU-iqisa s. u. gasu, Ner- gal-$#-me-rabbi, Bel etc. -MU-iskun, abgek.: MU-iskun s. Sakanu, ASur-, Bel-M C-tagqin. Beachte noch Addu-M7U-Sam-me-e(?), Nabü-, Samaë-4-mu-34 und Sé-ma-a(-a), MU-ia. Pl. in ! GAL-, Nabü-2&2-M U? NOU Semü erhóren. Prs. in Ea-z-se-mu, -galu- 1-Sim-me. — Prt. 1) an erster Stelle nach dem Typus 48-me-ilu 83-1-18, 695, Ill av in Z3-2e- Addu, -Dagan, -Ea, -Sin; mit Suff. in Z3-zzaz- m-ilu 83-1-18, 695, III s, -Addu; 2) an zweiter Stelle in Sin-zizze-a(-am)-9i; 3) an dritter Stelle in IStar-z$-we-$2, Nabü-, Sin-karåbi- SE.GA [2s-meli-Sim]si-melnulse-melsi-me, Sin-pi- Sarri-is-me. — Prek. in Sulum-b£l(-/a)-as-me | Var. HAL. — Imp. in HAL(-e)-ni-ASur, Bel-, Bunene-, Marduk-, Nabü-, Nergal-, Sin-, Samaë., fUr-kit-JAL. LA-an-ni| HAL-a-ni (vgl. JADD III p. 45 1) /s7-me-an-nilsi-man(-an)-ni, ! Atanah-, Bunene-, "Ina-Esaggil-$z-22i” |ani-ni, Bêl-sulé- Si-me|Si-mu/sim-me. — Part. in Addu-Salsan- me-e(?), Addu-, Nabü-, Sin-, ?'Sir-, Upi-se-zz/ Se-me(-e)| Se-im|Si-me-e|se-e-me|se-e Dr L 24, 20, Nabü-tahhi-Se-ne. FN, VV ws. erhóren, in Sa-ma-’-ilu, Bél?-, Nabü- Sa-ma-, Sa-am-ma-. ? Al-ta-ma-. noU Sami Himmel, in ?Sa-mi-i, Sa-mi-e-idri UraS-#£-AN.NA, Marduk-zisa£-AN, Apil-, Bél-azesum-AN- e, ASur-etil-AN-u-irsiti-ballitsu, Bel-tarsi-nalbas-AN, Ea-AN-e-ibnr. Samütu dass., in ?Sin-Sa-mu-ut-telti. | mat Samhu kräftig, in Sam-hu-Samas, Bél- 334 Sam-hu, Sin-Sa-mu-ul, I Sd-am-ha-tum (ab. CT VI 48, 2510, 21), /Sam(U?)-hi-ia. Sumhu Pracht, in Su-mu-uh-Sin, Så-mu-hu- um (ab. CT II 7, 175,3; vgl. DAICHES p. 51. Jumma wenn, in Sion-ma-A-a, -Addu, -Nabü, -ilu- là-Samas, -Samas-Samas, Sum-ma-ilu 83-1-18, 695, III c, K 241, VIII as, -ilir! K 404, 17, Sum- | ma-ni-ik-ilânir! K 241, X 30. "aS I» As-ta-mar-Addu Bz A II p. 563. II 1 Part. in Addu-zza-Xaze-zzr. II? verehren (vgl. DAICHES tam-mar-Addu, Zul-tam(-mar)|ab. Lu-us-ta- mar-Addu, -Sin, -Samas, Zu-u8-ta-mar-il-du- du MBAP 105, als Kurzname Zu-us-ta-mar MBAP 23. Wat Samsu Sonne. Ideogr. Nom. in Sam-#i/il UD-SilSa-am-si-Addu, Sam-Su-haddu, NI o ATE Sarru-/ UD-Si-ia, Ummi-? UD- si (ab. Bu 91-5-9, 324, ss), "!TAR-sam-sz-hi- e-ri?/ra-hi-ia, Apil-BEl’-Sam-su-um-Same, Itti- Asur-Sam-si, Sa-am-su-iluna (ws.); als Kose- -Bel, name Sam-si-ia. Vel. i Sana, Sa-am-Sa-nı, 2 UD -4-tu. Sangü Priester. ENT und Z.MAS; phonet. Sa-an-gi-e (Gen.) In Sa-an-gi-i (as. K 76,17), Sangá-ASur-lilbur. TU Sandnu gleichkommen. Ideogr. Part. Inf in Addu-, na-an. — /Sa-an-na-a. mw Nabü-sa-zz(?). aber GN). in Manum- Fd-ni-in-Samaë. Sin-/a-iá]sa- II i ?Nabü-z-Sa-an-ni (vgl. II 2 ? US-ta-an-ni. noU Sasu rufen, anrufen. Prt. in Nabu-a/-si- ka-ablut, -27-si(-£a)-ul-abàs, f(Ina-)Bàb-magaári- al-si-is, *Ina-bit-belit-banini-a/-s2-2$. Sü-pi-e-Xu (Nb) Dr ZA. V p. 279, v. 42S Sapaku ergiessen. Ideogr. DUB. Part. in Marduk-, Nabü-, Ninib-, Uras-DÜB]sa-pik|pi- ik| XA(RA)-pik-stri, DUB-ziri-\Sir, abgek.: DÜB-siri, als Kurzname: Sa-pik|pi-ku. now Nzs-pa-ti-i-Bel, s. DAHW p. 684a. Dpw Part. in Nabü-Ja-gzz;, als gi-mu DAHW p. 686 b. NY Nabü-ia-za-, Sa-ra--iliv BE IX, vgl. Sa- 7a-a. Sa-rid, Sa-ri-du, Y Kurzname: Sa- Bel-Sa-rid. UD, auch ZUD. | Hammurabi-* UD-ÿ: (ab. CT | p. 82), in Ur | Knut Tallqvist, now ?Ina-Bêl-v/-a-ra-a. Sarhu riesig, gewaltig, in Nabü-sar-/n- nt -Sar-hu- URjüu-ba-Sa. SÁ-ri-ni-tum. TÉ (pne) amél Sj-riklzi(-kilku| ka), Sir |Si- -ir-ku | kil-ka, Sir -HiSi-rik-ki-BA BE X, ISi-rik-ka- tum. sirigtu Geschenk. Ideogr. RU(.RU). In Si-rig-tum| | RU(.RU)| RU-tu-Marduk, -Ninib, Sir-kat-Sa-Samas, als Kurzname: Si-rig-tum| t| ti. py? Sa-ru-su K 241, XI 5. "^! Sarru König. Ideogr. LUGAL und (haupts. as) IAN. Y) Nom. in MAN-imuranni K 241, IX s, LUGAL/Sar-rum]yunm-Addu, -Bel, -Sa- mas, LUGAL|MAN-a-ra-zu-ü|u, -di-li-i-ni JADB, ha-a-bi JADB, -itti-ia JADD 232 rev. 8, -Jü-dàri, -mu-ki-in K 416,5, -nàid K 241, X 34, -nür K 285, ss, -nu-ri JADD 80 — 50 CIS II p. 45, -ré&'u-u-a JADD 232 rev. 10, LUGAL -baltu-nise Epon. 859, -rüsüa, -ilSamSta, MAN-ibni Rm 167, rev. 7, LUGAL|MA.N-iq-bi JADD 40. 137, MAN-Sum- ukin (DU-in), -zir-ukin JADD 619, rev. 11, 151, Dàri-LUGAL K 241, IX 2, LUGAL-Babili- mät A SSur-usabSi, Z/u-m-Sar-rum (ab. Bu 91-5-9, -düru, -ilüa, -kinu, 452,2ı = CT VII 33), Addu-, Ea-, Samas- Sar-rum|ruum, Bêl-, Nabü-, Sin-ZUGAZ| MAN-ahesu, *A-ra-mi$ (K 11,30), Nabü-, Sin-LUGAL|MAN-iàni, Sama$-$ar-ki- tim (irsitim?), ApilEa- Sin-LUGAL]| Sar-matın, Bel-LUGAL-dannu;, mit Suff. in ASur-, Bél-, Bunene-, Marduk-, Nabü-, Nergal-LUGAL| ALAN-an|a-mi, als Kurzname: LUGAL-anla- ni. — 2) Gen. in Agi-LUGAL-iàa, Apil- LUGAL-iàni-á ...., NSur-apil-MAN (abgek.), Sin-apl- LUGAL-usur, Bel-kitru- LUGAL, (Ina-)Sil-LUGAL, Itti-LUGAL-balätu, -inia, Sin-p-LUGAL-iSine, ASur-dd in-L UGAL, -ra- mi-im-LUGAL, -mutakkil-MAN, Sép 2. MAN JADD 163. — 3) Acc. in Bel etc-- ZUGAL- bullit (s. u. balätu TI 1), ASur etc- LUGALI| MAN-ibni (s. u. band), Addu-, Nabü-ZUGAL| MAN-iddin, Addu etc.- LUGAL|MAN-usgur (s. u. zagárz), !Salmu- LUGAL | MAN-igbi, Sin-LUGAL-iskun. Beachte noch LUGAL| MAN-DU-PAP JADD III p. 470. . T. XXXII, Neubabylonisches Namenbuch. 335 sarratu Könizin, iniA-a- fArbail- ASür-, fBélit-, 8 KAS.TIN.NAM-jar-rat| MAN-rat| Sar-ra-at. sarrütu Königsherrschaft, in Sar-ru-ut- | Sin, Térik-, Lülabbir-ZUGAL-ut-su. Sar-ta-ri-bi. * SuS$usechzig, in "2 råb(-$a-) | -3754:-37, wechselt mit ràó IMER. Si-ti, in NA-a-s-%. Sü-us-a? i Ta-àn|, Ta--im-ba-ki-e, Ta-in-Gula. / Tub-ki-tum? / Ta-ban-nu. te-oi, beachte Samai-/e-gi (JADD III p. 163), La-te-gil;.(-ana)-IStar, La-fí-gi-Na-na-a. Ta-ad-di-du. Ta-ad-nu(?). ^n taru sich wieder zuwenden, sich er- barmen. Prt. in Nabü-, Sin-z-/ur | ab. z-Za- ra-am. Prec. Ana-Samas-Zi-tur. Imp. in Sama$- fu-ra-am. IT ı zurückwenden, wiederbringen. Prt. in Nabü-, Nergal-, Zamalmal-GUR/#-tir/se.e- ralrılru, Nabü-kalga-üu-tir-ri, -fóme-tt-tir, -ana- mada-GUR (Imp.?). — Imp. in ASur-, Nabü- gunit- GUR(-ra)|tir-r],,, Nabü-tukte-tr-rilra, Bel-Nippur-ana-asrisu-te-er, Ana-Samaë-/e-ir (-72); mit Suff. in Nabü-GUR-an-ni. — Part. in Nabü-, Ninib-GURhmu-tir(-ri)-gimil, abgek.: | Mu-te-ir-gi-mil-li-ia (N ATh 598 — MBAP 56); vgl. Sa-qa-la-GUR-SU K 313, 4 (JADD 622). taiáru erbarmungsvoll, in Marduk-, Sa- ma$-, Sin-Za-Za-ar],, (vgl. ASur-/a-a-a-ar Cap- pad. r, 3). tázi, in IStar-/a-a-57. tahü Kind(), in Za-hu-üu-nu. ta-ka-a, in Addu-. te-ka in Nabu-te-ka-i-da-'. Tu-ku-bi-nu? ban takalu auf jem. vertrauen, sich ver- lassen. Prt. 1. Sg. in At-kal-ana-Bau/Bel/ Marduk/TUR.SAG.GIL, Ana - Taimétum- (Ana-)Amät-Bel-a7-ka/, ohne ana in Apil-Bél-, Bel-, Tasmetum-ar-kal. — Imp. in ? Nergal-Za- kal, Dagan-fa-ka-la. — Part. bez. Perm. in No. 2. Ta-kil-ana-ilisu (Bz A II p. 187), Za-kr-il-ilisu (KLH 8, 1), Za-Ail-Sunätu K 241, X a, /7a- kil-tum. — Perm. 1. Sg. in ZGZ| ral E|nz-ana- bel (bélia Epon. 888), -ana-Sarri (Epon. 843), Ana-A&ur | Nabü | Sin |Sama&-/4£-/a£| ta-a-/a- ku, / Ana-muhhi-Bàni-tum|La-as/|Na-na-a-/4£- lak, /Ana-muhhisu-täk-Iak, ohne Prep. in Addu-, ASur-, Bél-, Bel-Harrän-, Ilu (83-1-18, 695, II 34)-, fIStar-, Nabü-, Ninib-, Sin-, Sama$- Lak|tar-lak(-ku). Il : ermuthigen. Imp. in Bel-Harrän-ia2- kil, Bel-tak-ki-la-niltak-lu-a-ni, Ezida-tuk-kul- 34 (2). — Part. in Mu-tak|rar-killzu- Addu, -A&ur, -Marduk, -Nusku,! TUR .US-mu-tåk-kil,! GAL- mu-tak-kıl, ASur-mu-ták-Ril-Sarri, als Kurz- name: ÂMut-tak-kil-lu. — Inf als Kurzname Tu£-Fu(L)-Iu(i) BE X. IV 1 auf jem. sich verlassen. ASur-zat] naar EU] iai. Tak-kal-lum, Ta-ki-la-ti SAN. tukultu, st. cstr. fuklat Stärke, Macht, Bei- stand, Helfer. Ideogr. KU|/77 In KU (Zu) LS. KU] Tu] rus-&ul-tu(m)|n| LT Fapil-Esarra, -ASur, -Bél, -Ea, -Harrän, -Marduk, -Ninib, f Bànitum-/z£-/a/|j-!»», Bunene-, Nabü-, Sin-, Sàr-Maradda- K Uti| tu-kul| jur til mm, Ninib-ZS. KU-ASSur, Nabü-KU-£-edi, -ensi; Pl. in Nabü- Zuk-lat-u-a, -tuk-lat-su, Nergal-£u£-la-a-t&-u-a. Imp. in tuktü, nach SAYCE, PSBA 19 p. 75, 87 remains, remnant = blood, vengeance, in Nabü- tuk-te-e-erba, -tuk-te|tuk-ti-e-tirri, als Kurz- name: Zz£-te-e BE IX. = Ta-la-, Tu-la>. ti-1l-ba- -du, in Ea-. fa-lie, in Bêl-affa-ta-li-e(?). Ta-al-la Zwilling‘(?). en talimu Zwillingsbruder. Acc. in Nabü- La-lim|ta-li-mu| meusur, Sam as-atta-ta-h-mu. Als Kurzname: Ta-lim| Ta-hilun-miu. Tami-gi-brilu. tamhu(2), in Amåtsu-ul-tam?-hu. man tammu(?), in Nabü-fam-ma-usur, Salam- tam-mau. Van Za-am-ra-a-nu K 1265 (HABL 631). Vol. @ Ta-mi-ri K 596, a. | 7 Tam-mi-su (Pi, 6). — TeP-mi-Ya-a-a. 336 Knut Tallqvist. Tu-na-a, Tu-un-na-a (Sargon St. II 17). tagünu, in Sin-Za-gu-nu, Ta-qu-u-ni K 2784 tappü Genosse, in Marduk-Zap-pr-e-edi-Subsi, — CIS II p. 46, SAV 8780. Ea-tap-pi-e (abgek.), Tap-pu(ü)-um (ab. Bu 88- | yan tarásu. Ideogr. LAL. Part. in Bêl-ZAZ (?), 5-12, 222. 91-5-9, 685, 26), Sin-Zab-ba, Samas- Nabüû-ZAL-is/ta-ri-is. — Imp. in Nabû-/#7-ra- tab - ba - Eligbi?), -tab-ba -piè-di, -tab-ba-$, sa-an-niltur-sa-an-ni| LAL-an-ni(?). Marduk-/ab-ba-a-ni, Samas-tab-ba-i (Kappad.). II: Part. in Mu-tar-ri-su (83-1-18, 695, Ta-pa-ra, 4 Tap-pa-ra. III 18), Mu-te-e-ri-su, Mu-LAL-ilu 83-1-18 tagümu(?), in Addu-Za-gu-um-mu. 695, III 57. ipn II! Festigkeit verleihen. . Ideogr. ZAZ? tursu, in Zur-su-IStar, wohl auch in ZAZ-e- Prt.? in Sin-ZAZ-in. — Imp. in Addu-zzg-gzz, IStar, beachte noch ZAZ-ASur, Bel-ZAZ-si- Nabü-àZ-tug-na, Addu-, ASur-£/-LAL-in]tag- AN, Bel-LAL|NVar. tar-s-AN-MA (IR 1, gin, ASur-mät-LAL(-in), Nabü-/ug-gin|ti-ig-na]- III 19). anna] LAL-in-an-ni, Tug-na-a. — Part. in | Tu-su-u. Mu-LAL-Asur, ASur-mu-LAL, Bel-mu-LÄL-in. | * Tu-ti-ia, vgl. Ta-ta- BE X, Ta-tu, Ta-at-ti-i, Tug-nu-essu. | Tá-ta-a-i, Ti-t-i JADD III p. 450, BE X p. 65. Nachträge und Berichtigungen. I. Personennamen. S.la unter Adu f füge hinzu Etil-pi 2, Marduk-Säkin-Sum 11; b Z. 8 streiche die Parenthese, füge hinzu Nd 260, 4. — S. 2b Z. 14 1. Ai-la-a-tí; Z. 19 1, Zrsiti- Bél-liséfir. — S. 3 a füge ein: 774-2 TUR. E-aht-iddin a. aslaki, s. Kurbanni-Marduk. — S.4h unter Afu-Iu-mur 1. Nbp M IL 7,5, füge hinzu CT IL 10, 13. — S. 5a Z.3 füge hinzu Dr 533, 16, unten A-a-7i Nbp M IL 7, 5. — S. 6a u. Amöl-urgi l. Musésib-ILBéI 63. — S.7 a Z.9 füge hinzu 691, 4, — S.8a u. Anum-uballit füge hinzu a/s Böl-su-nu a. Su-pi-e-UBEl Dr 470,15; füge ein Apil( TU R)-ZBél-at-kal. Nk 40, 2, 6; u. Ap-la-a: Dr 533, 14. b füge ein a/s Ziblut Cr 311, zz, als Marduk-nâsir-aplu Dr 316, 19, als Mu-se-zib a. Ár-ral-ti Nk WM 34. — S. 9a Nr. 66 füge hinzu Zgisa-Mardu; b Z.8 1. amölmun-na-bit-tum;, Nr. 102 füge hinzu Marduk-zir-ibni, — $,10a schreibe Af-pa-ra-a-a; füge hinzu A-gar|KAL-aplu a|i Bé-usallim a. amelispari Nk WM 15,24,38; Z. IO v. u. lies Már-arri-ilàa. — S. I3 füge ein a. Äpes-ili, s. Böl-aplu-iddin. — S.14 b. Nr. 9 füge hinzu Marduk-iddin, Musallim- Marduk. — S.15 b Z. 20 füge hinzu Musezid-N B£/ 67; unten: J'iAr-kat-tum-tâba-at Dr 379,46; bei Arrad füge hinzu Nk 195. — S. I6 b Z. 9 füge hinzu As-kar-an-du Nk WM 30. — S. IB b u. Za/á/su füge ein a/s Ib-na-a a. A3 kan-an-du Nk WM 30, a. amelbäni, s. Kin-aplu. — $.20 a füge ein a. Böl-ätiru, s. Igisa-Marduk, a. Ina-Esaggil-zir s. Lábási, b a. aneyab,... s. Iddin-Bél, a, «mély?1 sist s. Ina-gibi-Bel, a. Saggila-a, s. Låbåsi. — S, Ala Z. 17 streiche ZZdiz-?Bél 33. — S.22h u. Pa-ri-ki-ilAddu füge ein a/s Za-ha-a-lu Cb 218,4. — S.23a Z.8 füge hinzu Dr 285, 14, Z. 12 Zddin-Bél 33, Jddin- Marduk, b streiche Z. 19. — S. 24 b Z. 4 schreibe Mårånu 39; Nr. 24 füge hinzu Aé/suzu. — S. 25 b Nr. 511. Marduk- zirióni; füge ein a. Sip-pi-e, s. fIn-ba-a. — $.26a Z. 16 v. u. streiche /Bau-erba, führe Nk 422, 6 zur folg. Zeile; — S.27 h u. Pél-aplu-usur füge ein a. Si-si-ia Nk WM 7. — S. 30 b Nr. 70 füge hinzu Béluballit. — S. 31a streiche Z. 2; b Z. 5 v. u. ergänze Dr [407, 9] Dr P [104, 8]. — S. 32a Z. 4 füge hinzu 1051,5; b Z. 5 1. Mär-Esaggil-ibni. — S. 33h füge ein a/s Nabñ-aplu-iddin a. Ir-a-ni Dr $41, 18. — S. 34h füge ein a/s Siz-éóre$ Dr WM 5. — S. 35a Nr. 210 füge hinzu Nk WM 5, 11, bei Nr. 212: Dr 265,25; Z. 7 v. u. 1. Z#i-Nabñ-balätu. — S. 38a Z. 1 1. #Bêl-nâdina (SE-na)-aplu. — S. 4a Z. 14 v. u. schreibe Pé/-gâta-sab-bat-an-ni. — S. 43a füge ein roa a/s Mu-se-zib-Bel Dr 520, 13; bei Nr. 31: Iddin- Marduk; b Z. 5: Dr 274, 6. — S. 44 b Z. 28.1. Nk 36, 5. — S. 46 b füge ein: 114a Aw-du-ra-nu Nk WM 36. — S. 47 a Nr. 6: = Puhhuru 1. — 8. 48a füge ein a, amelispari Nk WM 14. — S.49b Z. 15 füge hinzu Nk 374, 37. — S. 50a Z. 6 v. u. 1. Nabå muEki-e-lib]s. — S. 51h Z. 10 füge hinzu Nd 146, 2. 492, 4. 664, 10. 696, 30. 848,11. — S. 53a Z. 5 1. Agar-aplu (für KAL-a); Z. 24 1. Tan-nit-ti-WBôl. — S.55h Z. 3 v. u. füge hinzu Nd 197,11. — $.56a füge ein 13a a. Ba-bu-tu, s. Kal-ba-a; Z. 15 v. u. 1. ZEa-ka-sir; b u. Ea-uballit füge ein a. amelAgiru, s. Ina-esi-etir. — S. 58 a füge ein Egibi-usur(?) Dr (295, 12), Z. 14 Nk 422, 7; Z. 16 1. Mustzib-Bel 75. — S. 62 h Z. 121. /Z/i-ha-za-nu, — S. 63 a Z. 14 v. u. füge hinzu Dr 18, 4; b Z. 27 1. Si-id-a-té; füge ein: 30a a/s Samas-Sum-lisir Dr 351, 14. — S. 66h Z. 6 1. /Zitta-a. — S. 68a füge ein Za-Za-a-/u (Cb 218, 5). — S. 69 a anstatt Zadina-ahu wird Nådinla-ahi zu lesen sein; Z. 5 v. u. füge hinzu: s. Bél-iddin 69, Nådinu 18; b Z.3 v. u. füge hinzu Dr 307,3. — S.70 b füge ein: (Iddina-Bél) ame! NI. GAB Cb 420,12. — S. 71h Z. 3 v. u. füge hinzu Nk 252,2. — S. 72a Z. 14 füge hinzu Nd 757,5. — S. 75 b Z. 9 1. (Z/-it-ti-ia) Cb 85,5; u. Z//-Marduk füge hinzu Nd 45, 3. — S. 76 a Z. 23 1. *Z/-tam-mes-i-Ja-a-a Nd 398, 16. [583, 18], Z. 27 */Z-tam- T. XXXII. Neubabylonisches Namenbuch. 337 nx -na-ta- nu, Z. 28 *Il-tam-mes-nu-ür, ergänze "illl-ta-mes .... Nk 363, 4, vgl. BE X, p. XIII. — S.77a füge ein Zza- Esaggil-li-bur Dr 253, 4; b u. Zna-esi-etir füge hinzu Cb 183, 4. — S. 78 h u. Ina-sil-Sarri füge hinzu Dr 293, 11. — S. 79h füge ein a/s Bil?-bél-a-ni a. Su-ha-a-a Nk 135, 15,21. — S. 82 a zwischen Z. 10 und 11 füge ein Zi-ti-Da-a-ku-?1 Bel; S. 83a Z. 15 v. u. füge hinzu Cb 334, 6. 335—337 341. 343, 2. [346.] 348. 349, 2. 356, 4. 362, 6. 368. 370, 6. 372, 2. 373,5. 375,2. 376. 388,5. 391, 3. 393. 400, 9. [410.] 429, 9. 431; b Z. 19 v. u. füge hinzu Dr 520,5. — S. 84 b Nr. 51 1. Nusku?-idin- nam; bei Nr. 62 füge hinzu :/Marduk-kin-aplu. — S. 85 a Z. 11 v. u. füge hinzu Dr Tee 3; b Z. 14 streiche Marduk-ahé- iddin. — S.90 a füge ein 7a a|: Böl-iddina Nk WM 4. — S. 91 a füge ein (Kin-zér) als Samaÿ-ib-ni Nk WM 37, (Xïribtu) a/s Ea-ahé-iddina Nk I 35. — S.93a Z. 19 v. u. l. Se-pit-Nabå-as-bat, — S. 94a Z. 14 |. Nabü-balätsu-igbi; b füge ein 71a a, Bunene-ibni Nd 1127,7. — S. 95a Z. 1 v. u. beachte @möla-ku-ru-ub-bu Dr 276,4. — S. 99 a Z. 24 schreibe Man-nu-a-ki-i-Urukli. — $. 100 a streiche Z. 18; b Z. 12 v. u. füge hinzu Dr 280, 23. — S. l03a Z. 14 v. u. füge hinzu Dr 307,4. — $S. 106 a Z. 17 v. u. füge ein Waëd-aplu-iddin, unten a|* Bi-bi-e-a a. Arkät-iläni-damgäti Nk WM 28. — S.109a Nr. Sr füge hinzu Nabü-iddin,; b Z.10 füge hinzu Cr [312, 30]. — S. IIO b streiche Z. 9; füge ein Mär(TUR)- Sarri-iläni-h .... Nd 233, 11. — S.l b Z. 12 füge hinzu Mi-it-ra-a-tum Dr 274, 4. — S. 12a Z. 14 v. u. l. Nabü-käsir. — S. 118 a bei Musibii-Mardu£k füge hinzu Nk 134, 3. Nd 768, 8. 1055, 8, 19. Dr 179, 6, a/s Bêl-na-din-aplu Nd 799, 17. — S. 119 b Z.9 füge hinzu Nk 235,8. — S. I20a füge hinzu Z. 14 Ev r4, 11. — S. 121 a Z. 9 füge hinzu Cb 201, 12. b Nr. 9 — Nabü-ittannu 67. — S.122a Z. 9 füge hinzu Nd 991,15. — S.123 b Z. 14 v. u. 1l. Ndzd-Mardu£ 19. — S.126 a Z. 13 v. u. füge hinzu Nk 107,6. b Z. 12 v. u. l. Nabt-pit-na-an-ni. — S. 127a Nr. 37 füge hinzu Dr [276,3]. — S. I3l h Z. 9 1. ANabá-násir 65. — S.132b Z. 2 v. u. 1. Nabü-tad-dan-usur. — 8.134 a Nr. 67 = Nabü-ah-ittannu 9. — S.139b füge ein 17 a a/s Nabü-sa-kin-Sumi(?) a. Naggaru Dr-484, 14. — S. 140 b Z. 3 v. u. füge hinzu Dr 286,3. — S.142 füge hinzu Nabü-pit-na-an-ni, wnelgallu Smd ZA TV 9,4 — S.143a Z. 7 v. u. füge hinzu Nadü-kisir. — S.144 b bei Nr. 33 füge hinzu 455, zz. — S. 148a füge ein 68 a a. Sin-Sadünu, s. Nabü-éres; b 45 a a. Marduk-sum-iddin Dr 113, 13. — S.149a bei Nabü-taddannu-usur füge hinzu N.-tad-dan-usur Dr 57, 14, -tat-ta-nu- Dr 264,6. — S.151b Z. I v. u. füge hinzu Nk 315,9. — S.153a Z. 16 füge hinzu Dr [276, 6). — S.154 a Z. I v. u. füge hinzu -li-ÿi-ir Nd 687, 42. — S.155a füge ein 40a a. Samas-da-a-rilru Nd 116, 49. 178, 50. 203, 47. 293, 44. 477, 42. 687, 42. — S. 158a Z. 6 1. Nidin- tum 22. 40. — S. 159a Z. 7 v. u. 1. / £Na-za-a-ri-mi"-ni. — S. 172a füge bei Puhhuru 1 hinzu — Böl-upahir 6; b Z.9 trenne a»zNZ. GAB — äât von Qîpu; Z.21 beachte Så-ba-ia (ab.) CT VIL 45, 2190. — $.179a bei Rimätili füge hinzu Cb 359, 12. — S. 180a 7.2 v. u. l. Si--a? für Zs--az. — S. 183b 7. 17 |. Sum-usur 5. — S.184a füge hinzu Su-pi-e-Bé! Dr (470, 15); B Z. 12 streiche Gimil-Gula. — S.196 a Z. 7 füge hinzu Nd 991, 14. — S. 198a 7. 25 l 35 für 55. — S. 199 b bei Såpik-zir füge hinzu Nk 356, 2. Cb 19, 7, bei Nr. 20 Nd 566,16. — S. 201 b bei Nr. 5 füge hinzu Dr P 67,9. — S. 202 a bei Se-pit-Nabü-asdat füge hinzu Nd [s72, 5, 11. — S: 203 b bei 54-/a-a füge hinzu Nk 141, 19. 172, 4. 9. — S. 207 a füge hinzu 18 a a/$ Nabu-bän-zir Cr 95, 4. — S. 2llb Z. 5 v. u. füge hinzu 113, 5. — S. 2154 1. *7aw- mes-ilu für Ümé-ilu; Z. 6 v. u. füge hinzu Cr 82,2. — S. 216 a streiche Z. 19. — S.218a Z. 1 v. u. füge hinzu Nd 570, 23. — S. 220 a bei ZirZ(ufüge hinzu Nd 781, 11. Cr 251,3. 420, 9. IL. Gótternamen. S. 221a bei 4-a füge hinzu Ng 65,3; .J/4-a-dámigat, -ellit (AZAG. GA), f'#A-a-ÿar-ra-at CT VIII 25, 280, i 4-a-ta-ri-ba-am CT II 10, 200, 5; b Nr. 8 ist zu streichen, s. RANKE, PN p. 197. — S. 222a Z. 14 1. Ilu-bi (KA = fi)- ilA-a «ein Gott des Wortes (Befehls) ist A.» Z.6 v. u. füge hinzu Cb 258, 9. 415,9; Z. I v. u. Ad-di-i HABL 767, 14. Zu Namen mit Addı kommen hinzu #Addu?-a-bi, -illat-zu, -nabistim-idinnam (ZI-MU), -ni-it, Bi-la-ah-, E-til-bi( KA)-, Idin-, Is-Uk-, Mär-, Sukkallu- :!Addu? (ab.). — S. 223a 1. Addu-kil-la-an-ni. — S. 224a Nr. 76 1. #Addu?-ri-im-ili (MI. NI), s. RANKE, PN p. 138. — S. 225a Nr. 124 l. I-ku-un-bi (KA)- 31Addu, — S. 226a Nr. 159 ist /.; b füge ein Z4-zum-a-a, ÜA-num-ana-kussiu, -ik-sur (nb. BE X). — S. 227a unter Azunitu füge hinzu Nd 1121, 14. Cb 258, 7; b füge ein J'#4r-két-tum-tâbat Dr 370, 46. — S. 229 b Nr. 77 füge hinzu Aÿw-MU-MU Babyl. Chron. II30,36. — S. 233 a I KUR. GAL wurde wenigstens in der alten Zeit "N — Amurru gelesen, s. BE X p. 8, OLZ VIII Sp. 116; unter Bél füge ein Ng 47, 2. Dr 390, 4. #PBËll,3-a ha-am-i-din-nam, -ana-mätisu, -i-di-Su, -karäbi-si-me, BE X, ilBel-iz-zu, -ma-lik (ab), -ra-3iZ|Si-il, -rê*a-a-ni, (11 BEI)-Sum-lil-bir, * 3 Béll-za-bad-du BE X, As-ri-UBEB (ab.), Dam- Hit BeB, Eris.il BEIN BE X, Im-gur-UBERB, Iiti-11B8l3-iÿ-ki (ab.), Ki-rib-u-lBEN, Ki-ti? din)-WBE35, = bi-it, Lu-ud-lu-ul-il Bé, Mannu (A. BA)- #Bels- Aátin (DA. RI) BE X, Na-bi-ilBEB, Supé-i Bé (abgek.) Dr 470,15, A-ri-ik-i-di-! BER «lang ist der Arm D: s» (ab.), Bél- r® i-i-tum-ilBêls «der Herr der Herde ist B.» BE X, E-/e-e/-0? (KA)-2BÊB (ab.), Li-za-du-ui-ana-! BEI! BE X, Man-nu-um- ki-ma-Bèl (ab). — S. 235a Z. 6 1. Böl-nädina-aplu. — S. 237 h anstatt Böl-taskursu ist Böl-ana-mätisu zu lesen, vgl. BEX p.rs. — S.238h füge ein Api/-Bél-atkal (abgek.) — S. 239b Nr. 311 auch K 241, VIII 16. — S. 240 b unter Bélit füge ein Nk 87,5. Nd 842, 13; Bélit-abni ist aus Ztti- Bélit-aóni «mit B. bin ich heiter» abgekürzt. — S. 241b Z. 7 v. u. füge hinzu Ng 65, 3. — S. 242 füge ein #Pu-ni-ni-ma-li (abgek.\, J-din-/Bu-nmi-mi (ab.); B für andere Namen mit Dagan s. RANKE, PN p. 198 Anm. 3. — S. 243 unter Za füge ein E-a-hégalli, -la-ma-ha-ri, -ma-gir, -na-id, -ra-bi, -sulälu-ni, Im-lik-, Enun/nu-un-, Nu-ür-E-a. — S. 244 a Nr. 74 1. Z/u-bi (KA)-Ea! «ein Gott des Wortes (Befehles) ist Ea» (ab.); b unter Gula füge hinzu Ng 40,2. Nd 1121, 13. Cr 109, 12. 253,7. — S. 246 b füge ein /star-ki-ma-ili-ia (ab.). — S. 248 Nr. 92 I. U-sur >-awät-Istar. — S. 249 b füge ein iMa-ga-ru Dr 82,5, unter Märät Ebabbarra Cr 109, 11, Le Marduk Nk 368, 7. Nd 768, 5. — S. 251 füge ein 22Marduk-ni-st (ab.). — S. 252 b füge ein E-til-bi|KA-il Marduk, 1bku-Mardur (ab.). — S. 253 b füge ein /Sa-at-il Marduk (ab.) — S. 254 füge ein IMAR. TU-ba-ni-awili, Dan, Pir-hi-, Så-, Za-bi- No. 2. 43 338 Neubabylonisches Namenbuch. 7 MAR.TU (ab.); unter Aaóz füge hinzu Ng 47,2. Nd 531,2. — S. 256 b Z. 2 v. u. 1. Moët-pit-na-an-ni. — S. 527 h Nr. 123 1. Mabü-sörum-iläni, vgl. Nr. 327. — S.258 b Nr. 153 übersetze «N., vergieb die Sünde!» — S. 259 a Z. 2 1. wit- hin; Z. 24 1. STRASSMAIER. — S.260a füge ein #Va-bi-um-la-ma-sa-ÿt (ab.) Bu 91-5-9, 270, 25 (CT VI 6). — $S. 261 b Nr. 285 schreibe ”/Va-di-um-pa-li-ih-Su-i-ba-ni, streiche: abgek.; füge ein ilVabå-pit-na-un-ni. — S. 263h Nr. 376 über- setze: «N., mehre mich!» — S. 265 b Nr. 456 übersetze: «schaffe mir Recht, Nebo»; füge ein Jdku-i7Na-bi-um (ab.). — S. 267 a füge ein Z-din-#Na-na-a; bei Nr. 29 schreibe (nb.). — S. 268a Nr. 25 1. 2Niniö3-illat-zu. — S. 269 a füge ein /Amat-, Bur-, I Um-mi-NIN- GAL (ab.). — S. 270 b füge ein 2Vinib-mu-Sa-lim, A-wi-il-iUNi-nib (ab. — S. 272a Z. 1 ilPapsukkal, Z. 13 *Ku-us-da-na-. — S. 273 füge ein #Simi-du-gu-ul, V SinVV-en-nam (ab); für Sin-e-mu-f ist wahrscheinlich Sy-e-mu-ki zu lesen, — S. 274 füge ein ZSipt-pat-zi, Sint-im-gur, Sin!-ki-nam-di-ni. — S. 275 b. Nr. 124 1. Sin-hat-ti; Z. 12 v. u, und S. 277 b Z. 9 v. u. schreibe: den Leib. — S. 276 füge eiu ZSigi-riim-Uri, -sulülumi, -Si-e-hu- Su(?), -tab-ba-pi-dif-im). — S. 277 füge ein A-bil-; A-mur-, AZAG.UD-, Bilah-, GAZ-, Ibku-, I-di-is-USin‘A; b Nr. 205 l. ILU(KA)-?Sin*; Z. 9 v. u. schreibe: den Leib. — S. 278 füge ein -ur-, Qi-Sa-at-, Ri-is-, Sa-mu-uh-, Sar-rum-, A-li-at- a-wa-at-, KA-ía-, Ma-nu-um-ki-, Nür-mäti-, Zi-kar-KA-ÜSin\4; b Nr. 253 l. Za-an-qum- arad-Sin «submissiv is the ser- vant of S.» (RANKE, PN). — $. 279fí. Unter Namen mit Samas füge ein i!Samas!-abdi(?), a-bila-bu-um, -a-bi-li, -a-bi-Su, -dsüni, -baläti, -ga-ti-il(?), -I-H&, -ki-NI. NT-ia, -la-Sa-na-an, -ma-lik, -mu-Si-zi-ib, -ni-Su, -sulülu(ni), -ÿa-du-ni, -Se-mi, -us- ra-an-ni, E-ku-sa-, E-til-bi( KA), Ibku-, I-ku-bi-, I-na-så (?gäti)-, I-sal(?)-, I-3ar- ilSamas!, ttis Samast-da-di, f Márat-, p? Sa-at-, U-la-il Sama si, Zu-mu-ur-gi-mil-, Sa-lim-pa-lih-, Sum-ma-ili-la-i Saması. — S. 280 a Nr. 19 |. Samas-abilsumu (RANKE, PN). — S. 28la Nr. 58 1. Samas-en-nam; streiche Nr. 65; b Nr. 79 nach RANKE, PN -su/£/u-ni zu lesen. — S. 282 hb Nr. 127 1. Samas-mu-ta-bi-il-si «S. ist sein Führer», — S. 285 a Nr. 234 1. Z/{w)-i(pt)-Samaÿ; b Z. 5 schreibe J E-ri-is-t-11Samast. — S. 286 a Nr. 281 1. Si-/- Sama (abgek.); Nr. 293 1. U-sur-amät-Samas. — S. 289 a Nr. 21 1. I-ku-un-bi | KA-U Uras. III—V. Namen von Ländern und Ortschaften etc. S. 291 a Z. 11 schreibe Z7G. GAB. A4. .KT. — S. 294 unter Sippar füge ein Sippar-lisir und Zisir-Sippar (ab.). — S.295 b füge ein 4/97(»)-4-mi Nd 119, 17. Tabalu, in Ta-ba-la-a-a, vgl. BE IX p. XI Anm. — S. 296 Für Namen von Tempeln sieh auch unter den betreffenden Gótternamen; unter Bi? Addu füge hinzu Nd 546,25, u. Bit Bunene Nd 471,4, u. Dit Gula Nd 546,28. — S. 297 b unter Zsaggil füge ein Ina-E.ra-Sil, Saggil-nabisti-idinnam, fTarám-S., / Te-wi-ir-E. (ab.); füge ein £. S77. LAM, der Tempel Nergals in Kütü, Nd 192, 3. — S. 299 beachte Mår-Purattum und vgl. /Um-mi-Idiglat, RANKE, PN. VIII. Wörterverzeichnis. S. 301 (ZoN) Fai-is-Sin, J-di-um, E-di-Y& (ab.); (EIN) vgl. &sLé und he, %1% aber auch Einleitung p. XXXVI A. I. — S. 302 (SN) Z-ni-il-Sagt, F-in-fu-i-na-mátim, Ina-i-in-bel-ili-dåmig (ab.) — S. 303 a 1. Zku-un-bi/bi «treu ist das Wort des Addu» etc.; b Z. 20 1. Z/{x)-07/bi-, RANKE, PN p. 103. — S. 304 a Z. 7 füge hinzu ///-ta-nim; AN) filA-a-tal-Uik, 4 Ina-annisa-allak RANKE, PN p. 222 A. 5; D (TON,) Ana-sillisu-e-mi-id «auf seinen Schutz verlasse ich mich», Ili/Sin-zz;-Zi (ab.); (MAN) MU-Bil-atkal. — S. 305 a (aN,) NI.NI-am-ra-an-ni (ab. CT VIII 44, 2172 A, 21); B (M>N,) beachte die Schreibung Marduk-ul-BAL BE X. Nusku-la-en|e-ni-209u RANKE PN p. 227; Z. 7 v. u. streiche -z/z; für enzam giebt RANKE die Über- setzung «be mereiful»(?) — S. 306 a (usåtu) U-sa-tim (ab.); (NON) A-si-rum (ab.); b füge ein *A-ga-2i-iZu, Ilu-a-ga-ba, A-ga- bifu-ia; (MAN) vgl. RANKE, PN p. 210; (NN) A-ri-ik-idi-Bêl (ab.). — S. 307 a füge hinzu UR.RA-e-i-ii-a «U. ist unser Pflanzer» d.i. Schöpfer (ab.); b (772) NI. NI-z-/e(-e) (ab.). -- S. 308 a Z. 13 v. u. streiche Asur-bel-gåla, b (^3) eine andere Erklärung giebt RANKE, PN p. 224 A. 7. — S. 3lla (na) Kini-/Z-/a-5; (ab.). — S. 312a Z. 7 streiche Samas- gummur; Z. 16 schreibe 5^5. — S. 314 a (>s1) Ilu-a-bil, Samas-åbilsunu (AHN Samaë-wu-ta-bi-il-ëu ; b Z. 8 v. u. vielleicht zu lesen Zi-gar-pi-Sin, vgl. Zig(k)ir-bi-Samas und Watar-bi-Samas RANKE, PN p. 252, A. 6. — S. 315 b unter N,97 füge hinzu Minå- ah-ti-ilu K 241, IX 46. — S. 316 b mit Zi-ta-ia vgl. Ili-Hé-ta-an-ni (ab.). — S. 317 a (7) Arik-i-di-BEl (ab.); b SM) Ipr. i-a am-l, A-i5-Nunu, Xi-ba-ia (ab.); (NEN) Zi-se-ir-Sippar (ab.). — S. 318 b (712) I fest, treu sein, Prt. I-ku-un-bi-Addu/ Sin/Uras, Ilu--Au-nim, Ikimim (ab.); Z. 7 v. u. streiche Samas-ennam-ukin. — S. 319 a Z. 21 v. u. für kinnu wird gimnu «Familie» zu lesen sein (RANKE). — S. 320 a Z. 15 v. u. schreibe -kur-ba-an. — S. 321 b unter IN,” füge ein III1 Imp. in Nabü-st-un-mi-dan-ni, (nra) Ea-la-ma-ha-ri (ab.). — S. 323 a (N25) NI. NLZ2-2a-az-zi, Tlusu-zb-0i (ab.). — S. 326 b (750) A-na-Sin-i-si-el-li (ab.). — S. 327 b (^E) Zkñn-KAJbi-Addu/Sin/Uraÿ, 7/2) XA/bi- (ab.); (E58) Wa-ap-li-is-ilu (ab.). — S. 328 a (^85) NI.NI-2-pa-as-ra-am (ab.). — S. 329 b gisu — gistu in Qisu-sa (ab.. — S. 330 a für Nabü-4/4-i/àni l. N.-rim- ilåni, vgl. Sin-ri-im-Uru, Addu-ri-im-ifb (ab.); b Z. 1 streiche Addu-rz-im-mi-mi; (ma) Li-ir-bi-Sippar (ab. — S. 331b (ANS) vgl. Aja-5-Z und JSz-t-i-um-mi-ia, RANKE, PN p. 246 A. 6. — S. 332 b (bbw) Sin-/a-/u-u/, Æ/ul-ilu (ab.); (DY) Li-ii-lim-ki-nu-um, /Li-i$-Z-ma-am (ab. — S. 334 a (mö) vgl. Einleitung p. XXXVI A. I. — S. 335 a füge ein rt år fem. zu sa, RANKE, PN p. 245 A. 9 in Sa-a/-Aja/ Marduk / Samas (ab.); (mm) Z-zwur-bi-ili, ZZzr-ilu/kinum/Sin (ab.). ACTA SOCIETATIS SCIENTIARUM FENNICÆ. TOM. XXXII. N 3. STUDIEN VEGETATION DES URWALDES FENA-FLUSS A. K. CAJANDER. ! “RE k EN RR Ve - 4 etre 2i. uw Wwe v. + fece A e | À j : 1% Ee DER | | tou ee | ego re3d A OTCA THER roc DOLI TA WES NS D B | ie | | T" SF VIO MAUS , | Vorwort. Folgende Darstellung der Vegetationsverhältnisse des Urwaldes, der „Taiga“, am Lena-Fluss macht keine Ansprüche auf Vollständigkeit. Theils hatte ich nur sehr wenig Gelegenheit, längere Excursionen seitwärts vom Flusse zu machen, so dass die Annota- tionen sich meistens nur auf den bis 10 Km. breiten Rand der Taiga beziehen, theils konnten auf kolossalen Strecken, besonders an der mittleren Lena, überhaupt keine Ex- cursionen in der Taiga vorgenommen werden. Wegen der überaus kurzen Zeit, welche ich diesbezüglichen Untersuchungen widmen konnte, verrathen die Annotationen oft eine gewisse Oberflichlichkeit. In der festen Ueberzeugung, dass! jeder, wenn auch so un- vollständiger Beitrag zur Kenntniss der Vegetationsverhältnisse des fernen Ostens will- kommen sein werde. wage ich jedoch, die Resultate meiner Untersuchungen dem bota- nischen Publicum zu übergeben. Für die freundliche Bestimmung der Moose bin ich Herrn Amanuensis Mag. Phil. H. Liwpsers verbunden. Helsingfors, December 1903. A. K. CAJANDER. J'ow row Vo, lt anb aes. vital eR th wullity i ^l " dhí aha ee rt Eu sth ac en Mi ar in ques HYPE WINA (Pond UO vigi EN, aloe Met qub. bani atv o OM iih UT td: ipi Dan Pad nost bb jee ole ic uma diete ts we diee. map mir nah avr nalen trien ho NDA ij "m "nahe fto. aded hn A^ aide ouod. dc i dag? 2 Br Ph T Ange ond de DETTO Mani: pt ceo wow M) Aa 39b bi Magis IMEEM Am Dnm unb T vean nne ar rdc nah Mera vélo AGEN) wr NAT Wi Dr n | EDU re PL viaindsath - eol Kol uif ac IT sn SNC M Í E Ne, metal Uu ERU LL Al n LN HwaGWah& 9 A A, Die Taiga an der obersten Lena. Auf der Reise nach Jakutsk mussten wir in den Dörfern Shigalowa und Ustj-Kut an der obersten Lena mehrere Tage weilen. Es bot sich mir dadurch Gelegenheit, auf zahlreichen kurzen Excursionen die dortige, sehr interessante Taiga-Vegetation zu studieren. In der fraglichen Gegend wird die Lena beiderseits von bis etwa 300 M. hohen Erosionsabhängen begrenzt. Diese, bald steileren, bald weniger steilen Abhänge sind von einem schönen, theils aus Kiefern, theils aus Lärchen bestehenden Hochwalde bedeckt; Fichtenbestände findet man nur sehr wenige. Wie N. H Nirssos-Enrz) zuerst hervorge- hoben hat, ist die Vertheilung der genannten Nadelholzbestände eine überraschend regel- mässige. „Auf trocknen nach S abschüssigen Flussabhängen findet man reinen Kiefern- wald, auf nach N abschüssigen feuchteren + reinen Lärchenwald. Je nachdem der Fluss bei seinen zahlreichen Windungen besonders in Gebirgsgegenden eine östliche oder eine westliche Richtung einschlägt, tauschen so zu sagen die linke und rechte Seite des Flusses Vegetation; wenn der Fluss nach Osten fliesst, hat man die trocknen Localitäten mit Kiefernwald auf der linken Seite, wenn er, wie es auf kürzeren Strecken oft vorkommt, einen westlichen Lauf erhält, findet man den Kiefernwald auf dem rechten Ufer*?). — Es ist aber sicher irrthümlich zu glauben, dass diese strenge Regelmässigkeit dadurch bedingt sei, dass die dortigen Waldbäume, im Gegensatz zu Skandinavien, wo z. B. die Fichte noch im Wandern begriffen ist, „sich in vollständiger Ruhe befinden“ ; die Regelmässigkeit der Waldvegetation ist nur eine Folge der sehr geringen Einflüsse seitens der Cultur. Ob die Baumarten sich in Ruhe oder in Wanderung befinden, ist eine Frage, die auf einer schnellen Excursionsreise schwerlich zu entscheiden ist. Der Kiefernwald an der obersten Lena besteht meistens aus hohen, bis über 4 M. (im Umkreis) dicken Báumen. Diese stehen im Allgemeinen ziemlich weit von einander, so dass der Wald immer + undicht erscheint. Die Vegetation zeigt oft eine gewisse regionale Gliederung. In den Umgebungen von Ustj-Kut, von wo die meisten meiner Beobachtungen stammen, bestehen die Gipfel der Uferberge aus + zerklüfteten weisslichen oder graulichen Felsenkuppeln (kalkbe- mengter Sandstein) Auf diesen Felsenkuppeln ist der Wald sehr undicht und nicht selten etwas verkrüppelt. Den Kiefern beigemischt findet man vereinzelte Exx. von Larix sibirica, Salix caprea, Populus tremula, Betula verrucosa und B. odorata sowie 1) N. H. NıLsson. Om de växtgeografiska och botaniska arbetena under Andrée-efterforsknings- expeditionen till Sibirien 1898. Ymer 1599, pag. 148. 2?) Uebersetzt vom Verfasser. n2 A. K. CAJANDER. Sorbus aucuparia. Bisweilen sind die Felsen fast ganz baumlos. Moose giebt es im Allgemeinen ziemlich wenig, vorzugsweise Hylocomium rugosum, unter den Gräsern sind sehr häufig: Poa sp. und Avena pratensis; unter den Kräutern sind am characteristischsten: Allium sp, Alsine verna, Pulsatilla vulgaris, Draba hirta, Potentilla nivea, Vicia multicaulis, Androsaces septentrionale, Dracocephalus ruyschiana, Aster alpinus, Cine- raria campestris und Youngia diversifolia. Gleich unterhalb dieser Felsenkuppeln findet man gewöhnlich Gestein- und Schutt- Halden mit ziemlich undichtem Kiefernwald. Eine Menge Sträucher kommen dort + reichlich vor: Spiræa chamædryfolia f, Rubus ideus 7, Cotoneaster niger, Cratægus sangwinea, Lonicera cœrulea und Sambucus racemosa. Gewisse Kräuter (Phegopteris robertiana, Anemone narcissiflora, Pulsatilla patens, Chelidonium majus) sind ziemlich massenhaft vertreten. — Weiter nach unten auf denselben Bergabhängen kommt feinerer Schutt vor, mit hohen, stattlichen Kiefern und einer schön weissen Untervegetation von Anemone marcissiflora. Der darauf folgende Gürtel ist oft durch das reichliche Vor- kommen von Pulsatilla patens characterisiert. Der Haupttheil dieser Abhänge besteht aus Sand oder Gemischen von Sand und feinem, röthlichem Schutt. Von an solchen Stellen vorkommenden Kiefernwäldern besitze ich folgende Annotationen: N:o 1. Hoher Kiefernwald auf dem Abhange dem Dorfe Shigalowa gerade gegenüber. Ab- schüssigkeit nach SW: etwa 20—45°. Boden: röthlicher, thonbemengter Sand, sehr trocken, äusserst schwach humusbemengt, oben theils von Nadeln bedeckt. Oberholz: Pinus silvestris (6), Larix sibi- riea (1), Populus tremula (2), Betula verrucosa (1); Sträucher: Spiræa chamædryfolia + (1), Rosa acicularis (1), Cotoneaster niger (1); Halbsträucher: Vaceinium vitis idea (2). Moose: fast fehlend. N:o 2. Etwas höher gelegener Theil desselben Waldes auf demselben Abhange. Espen reich- licher (3—4) beigemischt. N:o 3. Ziemlich jugendlicher, dichter (8) Kiefernwald am Bergabhange hinter dem Dorfe Ustj- Kut. Oberholz: beigemischt vereinzelte Exx. von Pinus cembra und Larix sibirica; Sträucher: Juniperus communis (1), Alnaster viridis (2), Spirea chamedryfolia + (Y) und Cotoneaster niger (1—); Halbsträucher: Vaccinium vitis idea (1); Moose: fehlen. Absch.: etwa 20°. Boden: thon- bemengter Sand, sehr wenig Humus. N:o 4. Etwas frischerer und fruchtbarerer Theil desselben Bestandes. Abch.: 10—20°. Boden: thonbemengter Sand mit einer sehr dünnen Humusschicht bedeckt, frisch. Oberholz: beigemischt vereinzelte Exx. von Larix sibiriea; Sträucher: Spirea chamædryfolia +, Rosa acicularis und Cotone- aster niger, alle vereinzelt; Halbsträucher: Vaccinium vitis idea (1). Moose: 7, hauptsächlich: Hylo- comium proliferum und H. parietinum. N:o 5. Hoher Kiefernwald auf einem Bergabhange bei Ustj-Kut. Absch.: etwa 15° nach S. Boden: röthlicher, thonbemengter Sand, ziemlich trocken. Das Oberholz besteht aus Pinus silvestris (6) mit Beimischungen von Larix sibirica (1) und Populus tremula (1). Sträucher: Spiræa cha- medryfolia + (1); Halbsträucher: fehlen. Moose: sehr spärlich (Hylocomium proliferum). N:o 6. Kiefernwald auf einem Bergabhange bei Ustj-Kut. Absch.: bis etwa 45°. Boden: röthlicher, thonbemengter Sand, kaum humusbemengt. Der Wald besteht aus: Pinus silvestris (1), Larix sibirica (3) und Betula verrucosa (1); Sträucher: Spirea chamedryfolia + (14), Cotoneaster niger (1—); Halbsträucher: Vaceinium vitis idea (1). Moose: 2 (Ceratodon purpureus, Pohlia nutans). Tom. XXXII. Vegetation des Urwaldes am Lena-Eluss. 3 N:o 7. Etwas höher auf demselben Abhange gelegener Theil desselben Bestandes. Boden: wie oben N:o 6. Oberholz: beigemischt vereinzelte Lärchen; Sträucher: Rosa acicularis (1), Cotoneaster niger (1); Halbsträucher: Vaceinium vitis idea (1—2). N:o 1. | N:o 2. | N:0 3. |'N:o 4. | N:o 5. | N:o 6. | N:o 7. Gräser: Calamagrostis epigea. . » » «| = 1 — = = = = (BTS ER EN ER NOU 1 — — = = = = IW MA) 5 8 o 0 wg >= = 1 Triticum repeng 2 2 em 1 — — = = — = Sterile Gramineen 1 1 1 — 1 2 Carex amgumensis. . NE 1 1 1 = 1 1 Qi SJELF 1 1 1 i Ja 2 1 COMEDIE SN NE 1 — — = = = = SERO, Tuzula pilosa d EE — — — |1+ — 1 s 608 # HG =" &-9 % Kräuter: mr IBRARY Phegopteris robertiana . . . . | — = — = = 1 = VA ee | Pleris aquilina. . » 2 S | 1 — | — = = 1 Xe, € Y Lilium spectabile . . . . . .| — — — |14 = = — "Wü 4 VSD Polygonatum officinale . . . . 1 1 — = = = > « Majanthemum bifolium. . . .| — = = quee i = = Veratrum album f . . . . . | 1—2 | 14 — = = = = Total TDI TER OR 1 1 2 3 |2— |1+ | 2—3 Cypripedium gullatum . . . . | — — — = = 1 == Tihesvumrepens. NT 1 1 — = — = xi Dianihus sinensis. e 1 1 — = = 1 == Stlenenrenens 1-29. 29 2 22 95-8 a == — — — 1 = Gerastvum Spa o OX — | = = = = Meehringia lateriflora . . . .| — — — — — |1+ — Cimierfuga fehda. . » sv zZ — — — — |1+ — Aconitum barbatum . . . . . 1 |1+ — 1 ee 1 Aquilegia sibirica . . . . . . | 14 1 1 1 1 1 = T'rollius asiatieus .» ne 22m 1 — — 1 = — = ATOS ADENNIMNA NN CNE 1 — | 1+ = | = — Anemone narcissiflora 1 2 — 1 = = = Pulsatillo patens ske „2. 2 2 1 -— 1 1 1 Thaliclrum kemense . . . . .| — — |1— | 1— = = = Ranunculus auricomus T . . » | — — — — = Liz = GPA Re à Eee Edo OR — — 1 = qa = JD HOS com oc mr = — — 1 = = = Wolardachylordes ON NI = = Vo LEP EE ue eo 9 RE — — 1 = — = VEREMOS IS NN SIE SA es -— 1 1 | 1+ rire e totae one | dem 1 1 |2—3 1 1 | 1+ IMatellaunuda Wo SP | to e— — = TURN Te 3 US ce ae IN TES — 1 — 1 1 2 RAD USES ALVES 0-0 090-20 IEEE 1 il — 1 | 1+ N:o 3. 4 A. K. CAJANDER. N:o 1. | N:o 2. | N:o 3. | N:o 4. | N:o 5. | N:o 6. | N:o 7. Sanguisorba officinalis . . . . | 1+ 1 — |1— 1 — 1 Oxytropis uralensis . . . . .| — 1 = 1 = = = ASÉNATAUSNAINICUS EEE DE — il = — — = Trifolium lupinaster . . . . . 1 1+ 1 -— 1 1— TE Vicia multicaulis . ss . . .|1— — — — 1 — PGM ENT ue NN EN EET 1 |1+ — -— — 1 — VG yoseaiosp S d ss s de Jis | ES 1 = = — 35 Orobus 107/01 Le es an 1 |3—3 1 1 | 1+ Geranium pseudo-sibirieum . . | 14 1 — 2 1 1 1 (er lila n s 5 93 9 S ies = — — = — = Polygalawulgıre © lea s. 1 — 1 1 | 1 1 | 1+ Epilobium angustifolium . . .| — = | = 1 —— MW. C Bupleurum sp... . . . . . .|1— |1+ — — = = = Ægopodium alpestre. . . . .| — = -— — — 1 = Euphorbia esula . . . . . . 1 1 SE SUD E sö s ER NET 1 1 = Pyrola uniftora . o vv |o = P. rotundifolia + . . . . ..| — = Androsaces septentrionale . . . | — 1 = = = a 32 HDi aS CERDO RET 1 = Plantago media . . 4e . . | — 1 Thymus serpyllum . =. . .| — — 1 = m T a Phlomis tuberosa . . . . . . [es = — Sa = 1 Dracocephalus nutans . . . . | — Galium boreale . ae il GAUMUMI TR EE CL e 1 Zr m P Janna borealis .- » : dmm 1 Antennaria dieca. EM 1 _ — 1 = Chrysanthemum sibirieum . . . | — — = = — 1 mS Achillea millefolium . . . . .| — — 1 Artemisia laciniata . . . . . 1 1 1 1 1 1 1+ ARS DNA TRE Br Re Mel are = 2 Solidago virgaurea . . . . .| — — = il = = — Qnem SD eek ES SQUSSUT EE SD 2 3. 9.9 5 s s) e 1 — 1 Em = TX Scorzonera radiata . . . . .|14- 2 = A x m == Hypocheris maculata. . . .| — — = = x md Hieracium virosum . . . . . | — 1 = = = NUMERO | TE, — 1 = = = = Uebersicht der Vegetation. Die am häufigsten beigemischten Baum-Arten sind: Larix sibirica, Betula verrucosa, B. odorata, Populus tremula, Salix caprea und Sorbus aucuparia, von welchen aber nur Larix und Populus reichlicher auftreten können, fast ebenso häufig sind: Pinus cembra (selten als erwachsener Baum!), Alnus incana Tom. XXXII. Vegetation des Urwaldes am Lena-Fluss. 5 und Prunus padus, etwas seltener Picea obovata und Abies sibirica. Unter den Sträuchern treten am häufigsten auf: Alnaster viridis, Spiræa chamædryfolia 7, Rosa acicularis und Cotoneaster miger, beinahe ebenso häufig: Juniperus communis, häufig: Rubus deus f, Lonicera cerulea, Sambucus racemosa, etwas seltener: Salix spp., Potentilla fruticosa, Astragalus fruticosus und Artemisia sacrorum; zufälliger: Ribes pubescens, R. migrum, Spirea sorbifolia, Cornus sibirica u. a. Halbsträucher giebt es im Allgemeinen sehr wenig. Der häufigste unter denselben ist Vaccinium vitis idea, welches jedoch selten in reichlicherer Menge auftritt; hin und wieder findet man Rho- dodendron dahuricum (auf reinem Sandboden bisweilen massenhaft!) und Ledum palustre. Characteristisch ist das fast vollständige Fehlen von Epiphyten auf den Holzgewächsen. — Eine Moosdecke in dem Sinne wie im nördlichen Europa findet man nirgends. Oft trifft man auf weiten Strecken überhaupt keine Moosvegetation an; nur selten können grössere Flächen mit einer + ununterbrochenen Moosdecke bedeckt sein. Diese besteht dann vorzugsweise aus Hylocommum proliferum und H. parietinum mit Beimischungen von Dierana, Ceratodon purpureus, Pohlia mutans u. a. Flechten findet man noch weniger als Moose. Die Grasvegetation ist sehr spärlich, nicht nur der Artanzahl nach, sondern es treten auch die einzelnen Exx. nur vereinzelt oder fast vereinzelt auf. Die häufigst vorkommenden sind: Carex pediformis, C. amgunensis, Luzula pilosa f, sowie einige Calamagrostides, Poc und Tritica; mehrere der Gräser befanden sich aber in zu wenig vorgerücktem Stadium, um eine Bestimmung zu gestatten. Die- Kräutervegetation ist auffallend artenreich, obgleich die Individuenzahl nicht immer besonders gross ist. In Ausnahmefällen ist die Kräutervegetation reichlich — ununterbrochen (8—-9). Folgende Kräuter findet man fast immer: Iris ruthenica Geranium pseudo-sibirieum Orobus humilis Pulsatilla patens Rubus saxatilis Artemisia laciniata; beinahe ebenso häufig sind: Aquilegia sibirica Sanguisorba officinalis Saussurea sp. Aconitum barbatum Trifolium lupinaster Polygala vulgare; Viola uniflora Galium boreale sehr häufig sind ferner: Equisetum scirpoides Viola Mauritii Oxytropis uralensis Thesium repens V. rupestris Vicia pseudo-orobus Diamthus sinensis Mitella muda V. amena Anemone nareissiflora Geranium albiflorum V. multicaulis Adonis apennina T Euphorbia alpina - Dracocephalus mutans Thalictum kemense E. esula Galium verum T Ranunculus auricomus 7 Gentiana macrophylia Antennaria diceca Mas acer 7; Phlomis tuberosa Ohrysanthemum sibiricum Trollius asiaticus Bupleurum sp. Scorzonera radiata Draba repens Fragaria sp. Hieracium umbellatum ; N:o 3. 6 A. K. CAJANDER. + häufig: Phegopteris robertiana Mehringia lateriflora Androsaces septentrionale Pteris aquilina Thalietrum fetidum Thymus serpyllum Lilium spectabile Cimicifuga fœthida Plantago media Anticlea sibirica Rubus saxatilis Linnea borealis Polygonatum officinale Astragalus danicus Achillea millefolium Majanthemum bifolium Hedysarum alpinum Artemisia spp. Veratrum album + Viola dactyloides Hypochæris maculata Cypripedium guttatum Ægopodium alpestre Crepis premorsa Silene repens Pyrola rotundifolia T Hieracium virosum; unter den selteneren seien erwähnt: Equisetum pratense Thalictrum sparsiflorum OÖ vernus E. hiemale Sedum aizoon Polygala sibiricum Phegopteris dryopteris Hedysarum setigerum Hypericum ascyron Hemerocallis flava Orobus lathyroides Pyrola uniflora. Calypso borealis O venosus Eine viel artenärmere Vegetation haben die Lärchenwälder aufzuweisen. Dieselben sind gewöhnlich dicht bis undurchdringlich und dunkel. Oft sind die Lärchen bis nach unten mit Zweigen versehen und die Zwischenräume zwischen den älteren Bäumen werden nicht selten von einer sehr reichlichen Unterholzvegetation, theils aus jungen Lärchen, bisweilen auch aus Fichten und Cembra-Kiefern bestehend, gefüllt. Die Moos- vegetation ist in den trockneren Lärchenbeständen oft schwach ausgebildet (vornehmlich Hylocomia), kann aber in den feuchteren fast ununterbrochen sein. Eine Menge der characteristischsten Arten der Kiefernwälder fehlen oder sie sind viel seltener vorhanden, wie: Anemone narcissiflora, Pulsatilla patens, Fragaria sp. u. s. w. Unter den Sträuchern findet man nicht selten Spiræa sorbifolia, die in den frischen—feuchten und schattigen sogar reichlich auftreten kann; von selteneren sei Æibes procumbens erwähnt. Unter den Kräutern ist besonders Pyrola rotundifolia 7 incarnata characteristisch; es können bisweilen weite Strecken von ihren Blüthen roth gefärbt sein. Sehr häufig findet man: Majanthemum bifolium, Paris quadrifolia 7, Cypripedium guttatum, Mehringia lateriflora, Aconitum lycoctonum 7, Anemone reflexa, Mitella muda, Trientalis europa, Pulmonaria mollis etc.; von selteneren seien erwähnt: Athyrium erenatum, Cystopteris montana, Lilium martagon, Cypripedium calceolus, C. macranthum, Cerastium pilosum, Orobus venosus u. a. Eine sehr abweichende Vegetation findet man in den in feuchten — nassen Thälern, an Bachufern etc., theils aus Fichten, theils aus Fichten und Lärchen bestehenden Waldstreifen. In denselben findet man oft reichlich: Athyrium crenatum, Phegopteris polypodioides, Smilacina trifolia, Calypso borealis, Cortusa Matthioli f, Pyrola rotuntifolia 7, nebst Equisetum palustre, Carex tenuiflora, Veratrum album 7, Urtica dieca, Chrysosplenium alternifolium, Pedicularis euphrasioides, Saussurea spp., hin und wieder Cystopteris montana, Onoclea struthiopteris, Stellaria Bungeana, Aconitum volubile, A. napellus, Cardamine macrophylla, Hesperis sibirica, Dentaria tenwfola, Tom. XXXII. Vegetation des Urwaldes am Lena-Fluss. 7 Saxifraga punctata, Rubus humulifolius, Ulmaria digitata, Phaca | frigida, Viola umbrosa etc. Die strenge Regelmässigkeit in der Vertheilung der Waldvegetation wird nur in der Nähe der Culturplätze gestört. Dort findet man ferner ganz häufig kleine, oft + hainartige Laubwälder oder gemischte Bestände von Laub- und Nadel-Holz. Obgleich diese natürlich keinen „Urwald“ mehr darstellen, führe ich hier zwei Annotationen über solche Waldungen an: N:o 1. Nahe am Ufer gelegener, theils von Kiefern- und Lärchen-Wäldern, theils von Wiesen umgebener Mischwald von Kiefern, Lärchen und Birken (Betula verrucosa) unweit des Dorfes Omoloj. Boden: thonbemengter Sand, oben mit einer theils aus Laub, theils aus Nadeln entstandenen Hu- musschicht bedeckt. Sträucher: Salir vagans + (spärl.\, Spirea chamedryfolia + (vereinz.), Cratæqus sanguinea (spàrl) Lonicera cœrulea (vereinz.). Moose: spärlich (meist Mnium sp., Pohlia nutans, Ptilium erista castrensis, Hylocomium parietinum und H. proliferum). Gräser: Poa pratensis 2 Luzula pilosa + 24 Sterile, unbestimmbare 2; B Carex pediformis 5 Kräuter: Equisetum pratense 1 Ranunculus auricomus 7 1 Geranium pseudo-sibiricum 3 E. scirpoides 1 R. acer 2 Viola uniflora 3 Majanthemum bifolium 3—4 Pœonia anomala 1— V. Mauritii 1 Iris ruthenica 3 | Draba repens 1 | Pyrola rotundifolia + 5 Polygonum viviparum 1 Fragaria sp. 1 Trientalis europea 1 Thesium repens 1 Rubus saxatilis 3 Pulmonaria mollis 1 Moœhringia lateriflora 2 Sanguisorba officinalis I+ Pedicularis resupinata 1 Cerastium pilosum 1 Astragalus sp. 1 Galium boreale 1 Aquilegia sibirica 1 Trifolium lupinaster 2 Achillea millefolium 1 Trollius asiaticus 4 Tr. repens 2 Artemisia laciniata 1 Thalietrum kemense 1 Orobus humilis 2 Hypocheris maculata 1 Pulsatilla patens 1 Vieia pseudo-orobus I+ Taraxacum officinale 1. Anemone nareissiflora 1 V. eracca 1 N:o 2. Espenwaldung beim Dorfe Ustj-Kut, von Kiefernwald und Aeckern umgeben. Boden: röthlicher, thonbemengter Sand, frisch, oben mit einer etwa 2 Cm. dicken Humusschicht bedeckt. Nach S abschüssiges (10°) Terrain. Oberholz dicht: Populus tremula (90 °/,) und Pinus silvestris (10 °/,); Sträucher spärlich: Spirea chamedryfolia + und Cotoneaster niger; Halbsträucher: Vaccinium vilis idea (1—); Moose: sehr spärlich. Gräser: Carex amgunensis 2— Sterile, unbestimmbare 3; Kräuter : Pteris aquilina 1 Fragaria sp. 1 Orobus humilis 1 Lilium spectabile 1— Rubus saxatilis 1+ Vicia pseudo-orobus 2— Majanthemum bifoliwm 2 Sanguisorba officinalis 1 V. amena 1 Aconitum. barbatum. 1 Trifolium lupinaster I+ Geranium pseudo-sibiricum 1 N:o 3. 8 A. K. CAJANDER. Polygala vulgare 1 Phlomis tuberosa 1 Achillea millefolium 1 Viola uniflora 1 Plantago major 1 Artemisia laciniata 1+- V. rupestris 1 Galium boreale 1 Crepis premorsa 1 Epilobium angustifolium 1 Saussurea sp. 1 Hieracium wmbellatum 1. Dracocephalus nutans 1 Solidago virgaurea 1 B. Die Taiga an der mittleren Lena. Auf der Strecke von Ustj-Kut bis zur Aldan-Mündung hatte ich sehr wenig Gelegenheit in der Taiga zu excurrieren. Die Beobachtungen beschränken sich eigentlich auf das, was ich vom Dampfer sehen konnte. Die vorherrschenden Wälder sind dieselben wie vorher; allein je weiter nach Osten man fährt, je mehr verändert sich das Verhältniss zwischen Lärchenwald und Kiefernwald zu Gunsten des ersteren. Zwar sind die Kiefernwälder immer noch sehr häufig, aber man findet dieselben nur auf den trocknesten Südabhängen, wogegen die frischeren und flacheren Abhänge mit Lärchenwald bedeckt sind und im Allgemeinen in um so höherem Grade, je näher nach Jakutsk man kommt. In den Niederungen ist die Lärche die allein herrschende, ausgenommen an heiden- und dünenartigen Stellen, wo die Kiefer auftritt. — Besonders grosse Bäume trifft man nicht an. Der Wald ist etwa so grob wie der gewöhnliche Hochwald Süd-Finnlands. Etwa in der Gegend von Witimsk wird die bisher allein vorherrschende Lärchenart Larix sibirica durch die dahurische (L. dahurica) ersetzt. Noch bei Kirensk wurde nur die erstgenannte angetroffen, aber schon unweit Oljokminsk und von dort an bis zur Lena-Mündung kam nur die letztgenannte vor. Die Physiognomie des Lärchenwaldes verändert sich aber dadurch nicht um das geringste. Zwar erreicht L. dahurica nirgends solche Dimensionen wie Z. sibirica an der obersten Lena, und andererseits tritt die letztgenannte nirgends im Lena-Thale in solchen verkrüppelten Formen auf wie die erst- genannte an der Grenze gegen die offene Tundra, aber an der mittleren Lena sind sie einander gleich. — Etwa in derselben Gegend hören Pinus cembra und Abies sibirica auf’). Unter den Kräutern wird Aguilegia sibirica durch A. parviflora ersetzt, welche letztgenannte Art von dort an eines der characteristischsten Kräuter der Taiga ist. Auch eine Menge anderer Waldpflanzen der oberen Lena vermisst man hier: Iris ruthenica, Adonis apennina f, Anemone narcissiflora, Geranium pseudo-sibiricum,: G. albiflorum, Viola uniflora, Polygala vulgare, Dracocephalus mutans u. a. Weil sehr wenige neue Arten zukommen, ist die Taiga der mittleren Lena viel artenärmer als die der Gegend von Shigalowa—Ustj-Kut. Von den Wäldern der mittleren Lena habe ich nur eine Annotation anzuführen und zwar über einen heidenartigen Kiefernwald der Mündung des Oljokma-Flusses gegenüber. Boden: feiner, trockner, weisser Sand, bedeckt von einer sehr dünnen, torfartigen Humusschicht. Oberholz: Pinus 1) Bunge’s Angabe (Die Lena-Expedition 1881—84, pag. 6, in: Beobachtungen der russischen Polar- station an der Lenamündung I), dass ,Cedern“ (= Pinus cembra) und „Tannen“ /= Abies sibirica, wenn nicht Picea obovala?) unweit Jakutsk vorkommen, bedarf der Bestätigung. Tom. XXXL. Vegetation des Urwaldes am Lena-Fluss. 9 silvestris (6—1), Larix dahurica (2); Sträucher: Alnaster viridis (1), Spiræa chamedryfolia + (1), Rosa acicularis (1), Cotoneaster niger (1); Halbsträucher: Vaceinium vitis idea (1), Arctostaphylus alpina (3), Rhododendron dahuricum (6); Moose und Flechten: ziemlich spärlich. Gräser: Calamagrostis sp. 1 Festuca ovina 1 Carex amblyolepis 1: Poa sp. 3 Kräuter: Equisetum scirpoides 1 Aquilegia parviflora 1 Orobus humilis 1 Tofieldia cernua 4—5 Viola Gmeliniana 1 Antennaria diæca 3. Orchis sp. 1— Potentilla nivea 1 Pulsatilla patens + 1 Vicia eracca 1 C. Die Taiga zwischen den Mündungen der Flüsse Aldan und Wiljuj. In dieser Gegend läuft an der östlichen bezw. nordöstlichen Seite der Lena der Werchojansche Gebirgsbogen, wogegen die westliche Seite eine Ebene darstellt. Besonders in der Gegend der Wiljuj-Mündung gegenüber ragen die Vorberge des Gebirgszuges gleich an dem Lena-Ufer bis in eine Höhe von etwa 5—600 M. empor. Die Gipfel der Berge sind waldlos und bestehen aus ausserordentlich sterilen, dürren Schutthalden, mit einer spärlichen, vorzugsweise aus Crusten- und Laub-Flechten bestehenden Vegetation. Sonst sind die Abhänge dieser Berge von einem endlosen Lärchenwald bedeckt. Die Kiefer bildet nur auf den trocknesten, wärmsten Südabhängen kleine, jedoch selten + reine Bestände; meistens kommt sie nur eingesprengt vor. Kalte Gebirgsthäler entlang sieht man hie und dort schmale Streifen von Pappeln (Populus suaveolens) oder noch schmälere von Ellern (Alnaster viridis). Auf dem Flachlande ist der Lärchenwald überall der allein dominierende. Die obersten, + insulären Bestände oder zungenförmigen Ausläufer des Waldes an der alpinen Grenze der Taiga sind sehr verkrüppelt. Die Bäume sind nur etwa 1—3 M. hoch, krumm, bald + tafelförmig, bald nur an einer Seite verzweigt u. s. w. und stehen weit von einander. Pinus pumila bildet oft ein reichliches Unterholz. Von diesen Wäldern besitze ich folgende Annotation. Etwa 1200 M?. umfassender, insulärer Lärchenbestand an der alpinen Wald- grenze der Wiljuj-Mündung gegenüber. Boden: Gestein und grober Schutt (Sandstein), sehr trocken. Die Steine von Crust- und Laub-Flechten bedeckt; zwischen den Steinen kommen + reichlich vor: Cetraria (erispa), Cladinæ, Cladoniw, Platysma nivale, Alectoria ochroleuca; Moose: fehlen grössten- theils. Der Wald besteht aus bis 2 à 3 M. hohen Lärchen (3—4) mit Beimischung von ganz ver- einzelten (1—) kleinen Exx. von Sorbus aucuparia und Betula verrucosa. Sträucher: Pinus pumila (2—3), Alnaster viridis (1), Spirea chamedryfolia ++ (1); Halbsträucher: Æmpetrum nigrum (4), Myrtillus uliginosa (1), Vaecintwm vitis idea (1), Arctostaphylus uva ursi (2), A. alpina (3—4), Cassiope ericoides (2). Gräser: Hierochloë alpina 1— Calamagrostis (arundinacea, ster.) 1; N:o 3. 2 10 A. K. CAJANDER. Kräuter: Polygonum Laxmanni 1 Silene graminifolia 1 Thymus serpyllum 2 Saxifraga bronchialis 1 Phlojodicarpus villosus 2 Dracocephalus palmata 1. Dianthus sinensis TT Pedicularis rubens 2 Silene repens 1 Patrinia sibirica 1 Ein wenig mehr nach unten auf denselben Bergabhängen, in der eigentlichen subalpinen Taiga, sind die Bäume schon fast ebenso gross wie auf dem Flachlande, nur stehen sie viel undichter, was in erster Linie eine Folge der Bodenverhältnisse sein dürfte. Der Boden besteht nähmlich auch dort aus Gestein oder grobem Schutt. Annotationen: N:o 1. Subalpiner Lärchenwald der Wiljuj-Mündung gegenüber. Abschüssigkeit nach SW: etwa 20 à 30°. Boden: trockner, grober Sandstein-Schutt. Der Wald ziemlich undicht, bestehend aus Larix dahurica (5—6) mit Beimischungen von Betula verrucosa (1) und Populus tremula (2); Sträucher: Juniperus communis (1), Spirea chamedryfolia FF (1), Rosa acicularis (1), Ribes fragrans (1); Halb- sträucher: Vaccinium vitis idea (2). Die Steine mit kleinen Flechten bedeckt, zwischen den Steinen Strauchflechten nebst etwas Aylocomium rugosum. N:o 2. Wenig höher gelegener Theil desselben Waldes mit etwa in derselben Weise zusam- mengesetzter Gehölz- und Cryptogamen-Vegetation. N:o 3. Noch höher gelegener Theil desselben Waldes. Absch.: fast 40°. Boden: Schutt— Gestein. Oberholz: Pinus silvestris (1—), Larix dahurica (6), Populus tremula (2); Sträucher: Pinus pumila (2—3), Juniperus communis (1) Spirea chamedryfolia ++ (1—); Halbsträucher: Vaccinium vitis idea (2—3), Arctostaphylus alpina (2—3). N:o 4. Subalpiner Wald an einer anderen Stelle der Wiljuj-Mündung gegenüber. Boden: Schutt. Absch.: etwa 25 à 30°. Oberholz: Pinus silvestris (2), Larix dahurica (6), Populus tre- mula (1); Sträucher: Pinus pumila (1), Alnaster viridis (1), Spiræa chamedryfolia 7-7 (1). Moose und Flechten: sehr wenig. | | | N:o 1. N:o 2. N:o 3.| N:o 4. | Gräser: im Agrostis\borealhs c le — -— 1 2 Avena. pratensis » 2» e$ e. 1 2 2 — IRESUCONOUMOMENS E E 3 3 3 1 Carex melanocarpa & C. amblyo- lepis : 2 1 H C: pediformis: NU Us os V 2— 1 — 1 O'alamagrasuis ED NOR NE = — 1 Kräuter:. Aspidium fragrans 2 „222 2 2 — Selaginella rupestris "Ni — d —- Alliwm strickum 1 = = 1 Polygonum Laxmanni . 1 — — -— Dianthus sinensis TT 1 1 1 — Silene repens 2 1 1 2 Sa graminifonas NI NU | EE: = — 1 Tom. XXXII. Vegetation des Urwaldes am Lena-Fluss. 11 N:o 1. | N:o 2. | N:o 3.| N:o 4. Tychnis etbyrica S es 1 1 1 1 Aquilegia parviflora . . . . .| — =] 1 1 Pulsatilla patens * . . . . . 32 I3 3 Thalictrum fœtidum . . . . .| — = | — 1 Papaver nudicaule . . . . . | — — 1 1 Arabispetrea eol iw = 1 — Thlaspi cochleariforme . ] 1 Viola Gmeliniana . : 1 1 1 Saxifraga bronchialis . . . . 4 4 2 3 Sedum fabaria . e 1 Potentilla miuea . I 2... — T 1 1 PATUPESTISERR er 2 2—3 2 — Sanguisorba officinalis . . . - 1 = — 4 Vicia multicaulis . . . . . . | — — 1 [y Euphorbia esula . . . . . .| — |1— — Epilobium angustifolium |. 1 Phlojodicarpus villosus . . . . 1 == = Phlox sibirica . : 2 Castilleja pallida . . . . . .| — -— = Pedicularis rubens . . . . . il [ae 2 Veronica incana . . . . . . | — = — t2 NH -— NN D Thymus serpyllum . . . . . | 2—3 | 2-3 1 L Linaria vulgaris + . . . . . | — — 1 Dracocephalus palmata . . . .| — = | | Galium-verum o. = — [e Campanula rotundifolia . . . 1 I 1 1 (9 glomerata X. ER NN | 1 — Aster Y abpunus ER - Re sn 2 9 Chrysanthemum sibiricum . . .| — — — n2 Artemisia sericea . . . . . . — = — ir Adlacmialas er 1 — — = Hieracium virosum . nee = — — 1 Folgende Annotation N:o 4 bezieht sich auf eine ziemlich weite Fläche an der Waldgrenze gleich oberhalb von N:o 3. Der Boden besteht aus feinerem Schutt und ist theils mit ziemlich feinem Sand gemischt; in Folge dessen ist die Kráutervegetation viel reichlicher ausgebildet: wir haben hier eine subalpine, blumenreiche Waldsteppe. Der Wald ist sehr undicht (3— 4), bestehend aus bis 5—6 M. hohen Lärchen. Sträucher: Pinus pumila (2—3), Spirea chamedryfolia 77 (1); Halbsträucher: Vaccinium vitis idea (1—2), Arctostaphylus alpina (1+). Flechten: zieml. reichl. Gräser: Avena pratensis 2 Tritieum sp. 2 Carex amblyolepis 1; Festuca ovina 3—4 N:o 3. 12 A. K. CAJANDER. Kräuter: Woodsia ilvensis 1 Arabis petrea 1 Phlox sibirica 2 W. hyperborea 1 Alyssum alpestre 2 Thymus serpyllum 4 Allium strietum 1 Saxifraga bronchialis 3 Pedicularis rubens 4 A. sp. 1 Umbilicus spinosus 1 Dracocephalus palmata 3 Polygonum Laxmanni 1 Sedum fabaria 1— Patrinia sibirica 2 Dianthus sinensis + 2 Potentilla nivea 3 Aster alpinus 1+ Pulsatilla patens + 4 Astragalus sp. 1 Artemisia borealis 1 Thalictrum fœtidum 2 Vicia multicaulis 1 A. sericea 2 Papaver nudicaule 3 Phlojodicarpus villosus 3—4 Scorzonera radiata 1 Viola Gmeliniana 1+ Androsaces villosum 2 Youngia diversifolia 2. Uebersicht der Vegetation. Ausgenommen an dem alpinen Waldsaume, bestehen die subalpinen Wälder aus bis etwa 15 M. hohen Lärchen, die ziemlich undichte (4—6) Bestände bilden. Beigemischt treten Pinus silvestris, Populus tremula, Betula verru- cosa und B. odorata häufig auf. Unter den Sträuchern sind sehr häufig: Pinus pumila, Alnaster viridis und Spiræa chamadryfolia 77, beinahe ebenso häufig: Juniperus communis und Ribes fragrans, etwas seltener: A. glabellum und Artemisia sacrorum; diese treten aber fast immer nur vereinzelt auf. Von Halbsträuchern kann Vaccinium vitis idea bisweilen ziemlich reichlich vorkommen, häufig sind ferner: Empetrum nigrum, Myrtillus uliginosa, Arctostaphylus uva ursi, A. alpina und Ledum palustre; an der Waldgrenze findet man hin und wieder reichlich Cassiope ericoides. — Moose fehlen oft gänzlich, oder aber man findet sie sehr spärlich (Grimmie, Hylocomium proliferum, H. rugosum ete.). Flechten giebt es reichlich, theils auf den Steinen (Parmelie, Gyrophoræ, Lecideæ, Lecanoræ etc.), theils zwischen denselben (meistens Cladinæ, Cladonie, Stereocaula, Cetrariæ). — Die Gräser sind im Allgemeinen ziemlich spärlich vertreten. Die häu- figsten sind: Agrostis borealis, Calamagrostis (arundinacea), Avena pratensis, Carex amblyolepis, C. melanocarpa, C. pediformis, seltener sind: Hierochloë alpina, Triticum sp., Carex amgunensis, Luzula pilosa 7. — Die Kräuter treten ziemlich spärlich, bis- weilen jedoch reichlicher (vgl. die Annotation N:o 4) auf. Die characteristischsten sind: Dianthus sinensis ++ Saxifraga bronchialis Pedicularis rubens Silene repens Phlojodicarpus villosus Campanula rotundifolia ; Lychnis sibirica Phlox sibirica Pulsatilla patens + Thymus serpyllum häufig sind ferner: Aspidium fragrans Sedum fabaria Sanguisorba officinalis Polygonum Laxmanni Epilobium angustifolium Vicia multicaulis Silene graminifolia Potentilla rupestris Galium verum +; Viola Gmeliniana P. nivea ziemlich häufig: Selaginella rupestris Stellaria graminea Thalictrum fetidum Allium strictum Atragene alpina + Aquilegia parviflora Tom. XXXII. Papaver nudicaule Arabis petræa Thlaspi cochleariforme Alyssum alpestre Epilobium latifolium Euphorbia esula Astragalus alpinus seltener sind: Woodsia ilvensis W. hyperborea À. Sp. Dracocephalus palmata Veronica incana Castilleja pallida Linaria vulgaris + Campanula glomerata Patrinia sibirica Allium sp. Alsine laricina Vegetation des Urwaldes am Lena-Fluss. 13 Aster alpinus Chrysanthemum sibirieum Artemisia laciniata A. sericea Youngia diversifolia Scorzonera radiata Hieracium umbellatum ; Androsaces villosum Cineraria campestris W. glabella Umbilieus spinosus Hieracium virosum. Auf den Wald weiter unten auf diesen Abhängen beziehen sich folgende Annotationen: N:o 1. Lärchenwald auf dem SW-Abhang des Berges Batylym. Absch.: etwa 25°. Boden: schuttbemengter Sand, ziemlich trocken, oben von Lärchennadeln bedeckt. Moose und Flechten: sehr spärlich (Hylocomium proliferum, Cladonie, Peltigera sp.). Oberholz (8—9): Larix dahurica (80 */,), Pinus silvestris (20 %/,); Sträucher: Pinus pumila (2), Juniperus communis (1), Alnaster viridis (1), Spirea chamedryfolia + (1); Halbsträucher: Vaccinium vitis idea (4), Arctostaphylus alpina (1). N:o 2. Ein wenig mehr nach oben gelegener Theil desselben Waldes. Absch.: etwa 25—30°. Boden: wie oben. Moose und Flechten: spärlich (Polytrichum juniperinum, Hylocomium prolife- rum, Cladonie, Peltigera sp.). Oberholz: (1—8): Pinus silvestris (35 °/,), Larix dahurica (65 9/5); Sträucher: Pinus pumila (1), Juniperus communis (1), Salir phylicifolia (1), Alnaster viridis (1), Spirea chamedryfolia + (1); Halbsträucher: Vaccinium vitis idea (5), Arctostaphylus alpina (1). N:o 3. Kiefernbestand weiter oben. Boden: schuttbemengter Sand, mit einer dünnen Na- delnsehicht, trocken. Moose und Flechten: sehr spärlich. Oberholz: Pinus silvestris (5—6), Larix dahurica (3+), Populus tremula (1), Betula verrucosa (1); Sträucher: Pinus pumila (1), Alnaster viridis (1), Rosa acicularis (1); Halbsträucher: Vaccinium vitis idea (1). N:o 4. Weiter oben folgt ziemlich undichter Lärchenwald. Boden: Gemisch aus Schutt und Sand, oben von Nadeln bedeckt. Oberholz: Pinus silvestris (2), Larix dahurica (b), Populus tre- mula (2); Sträucher: Salix phylieifolia (1), Rosa acicularis (2); Halbsträucher: Vaccinium vitis idea (8), Arctostaphylus alpina (5). Moose und Flechten: spärlich. — Oberst kommt eine krüppel- hafte, subalpine Lärchentaiga vor. N:o 5. Lärchenwald auf einem Bergabhang der Wiljuj-Mündung gegenüber. Absch.: etwa 10°. Boden: Schutt und Sand, oben mit Nadeln bedeckt. Moose und Flechten: fast 0. Oberholz (8): Pinus silvestris (5°/,), Larix dahurica (85°/,), Betula odorata (10°/,); Sträucher: Pinus pumila (1), Alnaster viridis (1), Ribes pubescens (1), Rosa acicularis (1); Halbsträucher: Vaccinium vitis idea (7), Ledum palustre (2). N:o 6. Etwas höher gelegener Theil desselben Waldes. Absch.: etwa 30—40°. Boden: sandbemengter Schutt, oben theils von Nadeln bedeckt. Moose und Flechten: sehr spärlich. Ober- holz: Larix dahurica (7), Betula verrucosa (1), B. odorata (1--); Sträucher: Rubus ideus + (1), Rosa acicularis (1); Halbsträucher: Vaccinium vitis idea (4), Ledum palustre (1). 14 Gräser: Calamagrostis sp. . Poa pratensis ISDN RE MR E s Carex amblyolepis C. pediformis Kräuter: Equisetum pratense . Polygonum Laxmanni . Dianthus sinensis ++ Silene repens Meehringia lateriflora Thalietrum kemense . Actæa spicata + Aquilegia parviflora . Pulsatilla patens + Saxifraga bronchialis Sedum fabaria . Sanguisorba officinalis . Vicia multicaulis . Orobus humilis . Geranium eriostemon Viola Mauritii . Bupleurum sp. . Epilobium angustifolium Euphorbia esula Pyrola rotundifolia + Phlox sibirica Castilleja pallida . Pedicularis euphrasioides . Linnea borealis Galium boreale . Campanula punctata . C. glomerata . C. rotundifolia . Antennaria diæca . Chrysanthemum sibiricum . Pyrethrum bipinnatum . Artemisia laciniata A. borealis Arnica alpina Hieracium virosum Lianengewächse: Atragene alpina + A. K. CAJANDER. N:o 1. | N:o 2. | N:o 3. | N:o 4. | N:o 5.| N:o 6. — — — — 2 3 = — = 1 — —— — 1 2 2 2 3 1 1 2 3 | 1+ 2 — |2—8| — — — 1 ET HESS Le = 1 1 1 = —€ PEN = =S 1 1 — 1 1 1 2 > a4 M = i ST EL M es 1 1 — — — il — — 3 Bode pu que 1 2 3 2 1 1 1 2 2 = 1 = = 1 = = e = okt 1 1 1 2 1 1 E 1 3 1 1 2 I 1 2 2 =S = 1 E —- = 1 1 — — zs — RP E — 1 il 1 1 2 1 1 — 1 = — kei 1 2 — = = er 2 — = 1 = er — LI — = 1 1 1 1 1 lit |1- = = 1 1 — = 1 1 -- 2 = 1 DN = — 1—3 E 1— =: es 1 i RE De 2 Be ea = pre és ei AN = 1 = = ze Le p = — — 1 = 2 2 |2—3 2 1 1 1 Cs m e ln € = = Jalle vol = =S 1 — 2 — — 1 Tom. XXXII. Vegetation des Urwaldes am Lena-Fluss. 15 Uebersicht der Vegetation. Der Wald ist ziemlich, bisweilen sogar sehr dicht (6—8, 9), bestehend hauptsächlich aus Larix dahurica mit Beimischungen von: Pinus silvestris, Populus tremula, Betula verrucosa und B. odorata, hin und wieder von: Salir caprea und Sorbus aucuparia. Bisweilen kann Pinus silvestris auf kleineren Arealen vorherrschen, ohne dass die Untervegetation dadurch irgend welche grössere Veränderung erleide. Die häufigsten Sträucher sind: Pinus pumila, Juniperus communis, Alnaster viridis, Spiræa chamedryfolia 7 und Rosa acicularis, die jedoch selten in grösserer Menge auftreten; häufig sind ferner: Ribes pubescens, R. glabellum, Rubus ideus 7, an der Grenze zur subalpinen Taiga findet man hin und wieder Spiræa cha- meedryfolia 77 und Ribes fragrans. Unter den Halbsträuchern kommt Vaccinium vitis idea oft ziemlich reichlich vor, weniger reichlich: Empetrum nigrum, Myrtillus uligi- nosa, Arctostaphylus uva ursi, A. alpina und Ledum palustre. — Die Moose und die Flechten bilden bisweilen ziemlich weite Matten. Die wichtigsten unter denselben sind: Cladina silvatica, Cl. rangiferina, Cetraria islandica, Ptilidium ciliare, Polytrichum Juniperinum, Hylocomium proliferum (H. parietinum kommt dagegen nicht vor!) u. a. — Die Gräser sind im Allgemeinen spärlich vorhanden. Die characteristischsten sind: Carex amblyolepis und C. pediformis, die selten gänzlich fehlen. Sehr häufig sind: Calamagrostis phragmitoides 7, Poa pratensis, häufig ferner: Agrostis borealis, Calam- agrostis arundinacea, Festuca ovina, F. rubra, Carex amgunensis, Luzula pilosa 7, seltener: Schedonorus ciliatus u. a. Die Kräutervegetation ist etwas artenärmer als in der subalpinen Taiga. Die wichtigsten Kräuter sind: Silene repens Vicia multicaulis Galium boreale Pulsatilla patens + Orobus humilis Campanula rotundifolia Aquilegia parviflora Epilobium angustifolium Artemisia laciniata ; Sanguisorba officinalis Pedicularis euphrasioides sehr häufig sind ausserdem: Dianthus sinensis 7 Euphorbia esula Linnea borealis Saxifraga bronchialis Pyrola rotundifolia + Campanula glomerata 9 y i Viola Mauritii Phlox sibirica Chrysanthemum sibirieum : häufig ferner: Equisetum pratense Vicia eracca Thesium longifolium E. scirpoides Viola rupestris Erigeron acer Polygonum Laxmanni Linaria vulgaris + Antennaria dieca Mehringia lateriflora Castilleja pallida Artemisia borealis T'halictrum kemense Thymus serpyllum Tanacetum vulgare + Th. fetidum Campanula punctata Hieracium umbellatum; seltener sind: Actea spicata + Viola Gmeliniana Pyrethrum bipinnatum Potentilla nivea Bupleurum sp. E Arnica alpina; N:o 3. 16 A. K. CAJANDER. + selten: Lycopodium complanatum Sedum fabaria Solidago virgaurea Majanthemum bifolium Spirea aruncus Hieracium virosum. Corydalis impatiens Geranium eriostemon Auf die frische Taiga der Niederung beziehen sich folgende Annotationen: N:o 1. Lärchenwald bei Chalym. Boden: Sand, von Lärchennadeln bedeckt, frisch. Das Oberholz nicht allzu dicht (7), bestehend aus + gebrannten Lärchen mit Beimischungen von Populus tremula (1) und Betula odorata (1). Im Unterholze trifft man ziemlich reichlich junge Lärchen (6) an, ferner: Salix phyleifolia (1), Alnaster viridis (1), Spiræa chamedryfolia + (1), Rosa acieularis (1), Rubus ideus 7 (1), sowie folgende Halbsträucher: Myrtillus uliginosa (1+), Vacci- mum vitis idea (3). Moose: spärlich (Ptilidium eiliare, Dierana, Ceratodon purpureus, Pohlia nutans). N:o 2, Lärchenwald unweit Chalym. Boden: Sand, von Nadeln und Laub bedeckt, frisch. Oberholz: Larix dahurica (8); Sträucher: Juniperus communis (1), Spirea chamædryfolia 7 (1), Rosa acicularis (1); Halbsträucher: Myrtillus uliginosa (2), Vaccinium vitis idea (6), Arctostaphylus alpina (1—). Moose: zerstreute Flecken (Plilidium eiliare, Spherocephalus paluster, Hylocomium proliferum). N:o 3. Lärchenwald an der Aldan-Mündung, gleich hinter dem Geröllwall (vgl. „Alluvionen“ I, p. 108—109) des Flussufers. Boden: Sand, von einer dünnen Schicht von Nadeln und torfartigem Humus bedeckt. Oberholz: Larix dahurica ((—8); Unterholz: Larix dahurica (8), Spiræa chame- dryfolia + (2), Rosa acicularis (2), Myrtillus uliginosa (2), Vaccinium vitis idea (6). Moose: sehr spärlich. N:o 4. Viel dichterer Theil desselben Waldes. Boden: mit einer dicken Nadelnschicht bedeckt. Oberholz: Larix dahwrica (8—9); Unterholz: Larix dahurica (5—6), Vaccinium vitis idea (3). Moose: fast O. N:o 5. Sehr dichter (9) Lärchenwald am Fusse der Berge, der Wiljuj-Mündung gegenüber. Boden: sehuttbemengter Sand, oben von Nadeln bedeckt. Oberholz: Larix dahwriea (10 °,,), Betula odorata (25 9/,, B. verrucosa (5°/;); Sträucher: Alnaster viridis (1), Spirea chamedryfolia 7 (1), Rosa acicularis (1); Halbsträucher: Vaccinium vitis idæa (3); Moose: äusserst wenig. N:o 6. Lärchenwald zwischen Chalym und Eksenja. Ziemlich undicht. Boden: Sand, von einer 2 Cm. dicken Nadeln- und Humus-Schicht bedeckt, frisch. Eine Menge gefallener Bäume und halbverbrannte Baumstümpfe. Oberholz: Larix dahurica (7), Populus tremula (1), Betula verrucosa (1), B. odorata (1); Sträucher: Alnaster viridis (1), Spirea chamedryfolia + (1), Rosa acicularis (1); Halbsträucher: Vaceinium vitis idea (5), Myrtillus uliginosa (1), Arctostaphylus alpina (3). Moose: fast 0. N:o 7. Lärchenwald bei Eksenja. Boden: Sand, von einer dünnen Humusschicht bedeckt. Oberholz: Larix dahurica (6), Betula verrucosa (3); Sträucher: Pinus pumila (2), Alnaster viridis (3), Ribes pubescens (2), Spirea chamædryfolia + (V), Sp. sorbifolia (1), Rosa acieularis (2), Lonicera ecrulea (1); Halbsträucher: Myrtillus uliginosa (3), Vaccinium vitis idea (6—T), Ledum palustre (1). Moose: sehr spärlich. Tom. XXXII. N:o 3. Vegetation des Urwaldes am Lena-Fluss. Gräser: N:o 1. Calamagrostis phragmitoides + . 2 Poa pratensis Festuca ovina Schedonorus ciliatus . Carex amblyolepis . C. pediformis C. amgunensis . Luzula pilosa 7 Kräuter: Equisetum pratense . E. seirpoides Allium strictum Anticlea sibirica Goodyera repens Coralliorrhiza innata Meehringia lateriflora Cerastium maximum . Aquilegia parviflora . Anemone silvestris Sanguisorba officinalis . Trifolium lupinaster . Vicia amena V. multicaulis . Orobus humilis . Viola Mauritii . Epilobium angustifolium Pyrola rotundifolia 7 . P. secunda T P. uniflora Pedicularis euphrasioides . Galium boreale . Linnea borealis Campanula glomerata C. punctata . C. rotundifolia . Antennaria dieca Achillea millefolium . Artemisia laciniata Saussurea alpina . Hieracium umbellatum . Lianengewächse: Atragene alpina T N:o 2. N:o 3. |N:o 4. | N:o 5. | N:o 6. | N:o 7. 1 1 1 ES" Rt TN ren 9 P Tr dst deese. ve RE re LE 1 == 1 1 1’ = 2 ee 1 3 1 2 Uy MES |. — ee 1 2 1 1 — 1 = = — — 1 1 ur = + = 2 1 TEE ze = = — 1 — = 1 a E EV EL TUNES 1 = = = = ii] REN Ers 1 1 1+ — — -— — eR EN 1 er <= 1 En - = = (AN NE) ALES NES AE ae 3 2 il 1 1 er m 1 1 = = 1 = 1 Pr — 1 — 1 4 - 1 e 1 ES - i n 3 1 1 2— 1 — 1 3 a — EX 1 zz ed — a 1 gi 1 = — — 1 ES = 1 1 dé 1 == i. = == NE iA res 1 X 1 ar ar a 1 EM E Pr _ 1 — 1—2 1 1 1 ” 18 A. K. CAJANDER. Uebersicht der Vegetation. Die Taiga des Flachlandes ist gewöhnlich dicht und dunkel, nur am Rande gegen die Flussufer zu ist sie oft undichter. Die Bäume sind bis nach unten verzweigt, und die Zwischenräume derselben werden oft von jungen Bäumen gefüllt. Ueberall findet man grosse, gefallene Stämme; sehr häufig sind alte + verkohlte Baumstümpfe als Folgen verheerender Waldbrände. Nicht selten findet man sogar ganz neulich durch Brand entstandene Waldlichtungen mit einer reichlichen Untervegetation von Epilobium angustifolium. — Die Vegetation der Flachland-Taiga ist ziemlich artenarm, unterliegt aber in dieser Hinsicht gewissen Schwankungen. Am artenreichsten ist die Vegetation am Taigarande, wo der Wald, wie oben bemerkt wurde, undichter ist; am artenärmsten ist sie an den dunkelsten Stellen, weit von Flüssen. Im Oberholze treten, ausser Larix dahurica, häufig auf: Pinus silvestris, Picea obovata, Populus tremula, Betula verrucosa und B. odorata, ferner: Salix caprea, Alnus incana, Sorbus aucuparia. Unter den Sträuchern sind vorzugsweise Juniperus communis, Alnaster viridis, Spiræa chamædryfolia 7 und Rosa acicularis zu nennen, die jedoch selten in grösserer Menge auftreten, oft findet man ausserdem: Salix phylicifolia, S. vagans 7, S. lapponum 7, hin und wieder: Pinus pumila, Salix repens, Ribes pu- bescens, Spiræa sorbifolia, Rubus idæœus 7, seltener: Ribes nigrum und Lonicera cerulea. Von den Halbsträuchern kann Vaccinium vitis idea ziemlich reichlich auftreten, häufig sind ferner: Myrtillus uliginosa, Ledum palustre und Arctostaphylus alpina, ziemlich häufig: Empetrum nigrum, Arctostaphylus uva ursi. Die Holzlianen sind durch Atra- gene alpina 7 vertreten, die besonders am Rande der Waldlichtungen die Bäume und Sträucher umwindet. — Die Moose sind im Allgemeinen ziemlich spärlich vorhanden, seltener bilden sie (besonders Plilidium ciliare) + ununterbrochene Matten. Die wich- tigsten sind: — Plilidiwm cliare, Polytrichum juniperinum, Spherocephalus paluster, Dieranum spp., Pohlia nutans, Hylocomium proliferum u. a. An Baumrinden findet man ausserdem Orthotricha, Leskeæ u.a. Die Flechten sind noch spärlicher (Peltidea aphtosa, Cladinæ, Cladoniæ, Cetrariæ etc.). Die Gräser sind immer sehr spärlich vertreten. Am häufigsten findet man sterile Exx. von Calamagrostis phragmitoides 7, ferner: Carex amblyolepis, C. pediformis, C. amgunensis, Poa pralensis, P. sp., Festuca ovina, ziemlich häufig: Luzula pilosa 7, Colpodium latifolium, + zufällig: Schedonorus ciliatus, Elymus dasystachys u. a. Die häufigsten Kräuter sind: Equisetuin pratense Orobus humilis Artemisia laciniata ; Aquilegia parviflora Pedicularis euphrasioides sehr häufig sind ausserdem: Equisetum scirpoides Vieia multicaulis Campanula rotundifolia ; Anticlea sibirica Pyrola rotundifolia + Mechringia lateriflora Linnea borealis Tom. XXXII. Vegetation des Urwaldes am Lena-Fluss. 19 häufig sind: Goodyera repens V. eracca Campanula glomerata Silene repens Pyrola secunda + C. punctata Stellaria graminea Pleurospermum austriacum Saussurea alpina Pulsatilla patens + Ægopodium alpestre Antennaria dieea Rubus arcticus Trientalis europea Tanacelum vulgare Sanguisorba officinalis Castilleja pallida Achillea millefolium Trifolium: lupinaster Boschniakia glabra Hieracium umbellatum; Vicia amena Galium boreale seltener sind: Allium strictum Anemone silvestris Sedum fabaria Coralliorrhiza innata Delphinium elatum Pyrola uniflora Lychnis sibirica Potentilla nivea Seorzonera radiata Cerastium maximum Viola Mauritii Taraxacum officinale. In den Mulden der Lena-Taiga findet man häufig kleine Sümpfe. Ueber solche führe ich hier zwei Annotationen an: N:o 1. Taiga-Sumpf bei der Mündung des Aldan, von frischer Taiga umgeben. Areal: einige Ha. Boden: feucht, theils von Moosen (Sphagna, Sphærocephalus paluster, Polytrichum juni- perinum), theils von Nadeln bedeckt. Eine Menge gefallener Stämme mit einer reichlichen Vegeta- tion von: Cladina rangiferina, Cladoniæ, Ptilidium eilimre, Amblystegia ete. Der Wald ist ziemlich jugendlich, bestehend aus Larix dahurica (8—9) mit Beimischungen von Picea obovota (1) und Betula odorata (1); von Sträuchern giebt es ziemlich reichlich Spirea salicifolia +, spärliche Exx. von Alnaster viridis, vereinzelte von Salix vagans + und Kibes nigrum; Halbsträucher: Myr- tillus uliginosa (2), Vaccinium vitis idea (2), Cassandra calyculata (3). Gräser: Calamagrostis phragmitoides 73 C. neglecta 1 Colpodium latifolium 1; Kräuter : Equisetum pratense 2 Rubus arcticus 2 Pyrola secunda + 1 Mehringia lateriflora 1 Ægopodium alpestre 1 Petasites frigidus 1. N:o 2. Weiter Taiga-Sumpf bei Chalym. Der Wald ziemlich undicht (6), von kleinen Lärchen gebildet, mit Beimischung von Betula odorata. Unterholz: Salix pentandra (1), S. pyroli- folia (1), Robes nigrum (1), Spirea salicifolia + (4, Myrtillus uliginosa (2), Cassandra calyeulata (3). Um jeden Baum resp. Strauch bilden die Moose (vorzugsweise Sphærocephalus paluster und Hypnum trichoïdes) grosse, feuchte — nasse Kissen; zwischen denselben giebt es kleine Wasser- bassins mit Utrieularia vulgaris und Amblystegium fluitans. Gräser: Calamagrostis phragmitoides 7 7 Eriophorum vaginatum 1 C. levirostris 1; Colpodium latifolium 5 Carex Cajanderi 1 Kräuter: Iris setosa 3 : Comarum palustre 5 Epilobium palustre 2 Stellaria erassifolia 1 Lathyrus paluster 1 Ægopodium alpestre 1. N:o 3. 20 A. K. CAJANDER. Wirkliche Moore giebt es nur weiter vom Flusse entfernt und zwar sollen die- selben dort kolossal grosse Areale einnehmen, nahe von der Lena aber findet man nur ganz unbedeutende Waldmoore. Folgende Annotation bezieht sich auf ein + sumpfartiges Moor bei der Aldan-Mündung, etwa !/, Km. vom Flusse landeinwárts. Der Boden von einer dicken, nassen Torfschicht bedeckt. Oberholz: Larix dahurica (6—7), Betula odorata (2), Almus incana (1); Sträucher: Spiræa saliei- folia + (1); Halbsträucher: Salix myrtilloides (3), Cassandra calyculata (5—06), Ledum palustre (2). Die Moosdecke ununterbrochen, bestehend aus Sphagnum obtusum mit Beimischungen von Spheero- cephalus paluster und Hypnum trichoides. Gräser: Calamagrostis phragmitoides 7 2 Eriophorum vaginatum 2 Carex cespitosa 2; Colpodium latifolium 3 Kräuter : Equisetum pratense 1 Rubus chamæmorus 2 Petasites frigidus 1. Smilacina trifolia 1 Durch die Taiga ziehen eine Menge kleinerer und grösserer Bachthäler. Die Vegetation derselben weicht in mehreren Hinsichten von der .der eigentlichen Taiga ab, andererseits weisen aber auch die verschiedenen Bachthäler unter einander sehr grosse Verschiedenheiten auf. Folgende 2 Annotationen können nur eine sehr mangelhafte Vorstellung von der Mannigfaltigkeit derselben geben. N:o 1. Schöner Pappelwald am Rande eines grossen Gebirgsbaches, der Wiljuj-Mündung gegenüber. Boden: geröllbemengter Sand mit einer dünnen Humusschicht; im Frühling wird der Boden wahrscheinlich hin und wieder überschwemmt. Moose: sehr spärlich (Sphagnum teres, Sphæ- rocephalus paluster, Polytrichum commune, Hypnum sp.). Oberholz: Pinus silvestris spärl. Populus tremula vereinz. Betula odorata vereinz. Larix dahurica zerstr. P. suaveolens sehr reichl. Sorbus aucuparia vereinz.; Sträucher: Pinus pumila vereinz. S. viminalis vereinz. Ribes pubescens zerstr—reichl. Prunus padus + zerstr. Alnaster viridis vereinz. Spirea sorbifolia reichl. Salix daphnoides vereinz. Rosa acicularis reichl. Halbsträucher : Vaccinium vitis idea verein. Ledum palustre vereinz.; Gräser: Calamagrostis phragmitoides + Colpodium latifolium vereinz. Triticum sp. spärl.; spärl. Poa pratensis spärl. Tom. XXXII. Vegetation des Urwaldes am Lena-Fluss. 21 Kräuter: Equisetum pratense spärl. Sanguisorba officinalis vereinz. Linnea borealis zerstr. Majanthemum bifolium reichl. Pyrola rotundifolia + sehr reichl. Tanacetum vulgare + vereinz. Mœhringia lateriflora zerstr. Galium boreale spärl. Actea spicata + vereinz. Campanula rotundifolia vereinz. Diese Pappelwälder sind für die Bachthäler der Werchojanschen Berge sehr characteristisch. Von denselben dürften die Pappelstämme, welche man sehr häufig auf den Geröllwällen der Lena-Ufer findet, stammen; auch sind die vereinzelten Exx., welche auf den Lena-Ufern wachsen, ohne Ausnahme aus vom Wasser transportierten Pappeln entstanden. Sonst wurden nähmlich in der Taiga weder Pappelbestände noch vereinzelte Pappeln gefunden '). N:o 2. Kleines Bachthal bei Chalym, nahe vom Lena-Ufer. Boden: Sand mit einer sehr dünnen Humusschicht, sehr kalt (gleich unterhalb der Moosdecke gefroren!). Moose: reichlich (Mar- chantia polymorpha, Polytrichum commune, Swartzia montana, Mnium sp, Stereodon arcuatus). Oberholz : Larix dahurica zerstr. Picea obovata spärl.; Sträucher: Salix viminalis vereinz. Alnus incana vereinz. Rosa acicularis vereinz. S. vagans + vereinz. Alnaster viridis sehr reichl. Lonicera cœrulea vereinz. ; S. pyrolifolia vereinz. Ribes pubescens zerstr. S. hastata vereinz. R. nigrum. vereinz. Halbsträucher: fehlen; Gräser: Calamagrostis phragmitoides + 2 Trisetum flavescens 2 Eriophorum vaginatum 1; Colpodium latifolium 1 Kräuter: Equisetum pratense Caltha palustris P. minor E. scirpoides Rubus arcticus P. rotundifolia 7- Smilacina trifolia Viola biflora Seutellaria galericulata Coralliorrhiza innata Ægopodium alpestre Galium dahuricum Delphinium elatum Pyrola uniflora Saussurea sp. Meehringia lateriflora P. secunda + Petasites frigidus. Alle kamen + vereinzelt vor. Diese zweite Annotation kann als maassgebend für die meisten Bachthäler des Flachlandes gelten; nur kann Alnaster viridis oft in ziemlich reinen Beständen auftreten. 1) BUNGE's Angabe (Beobachtungen der russischen Polarstation an der Lena-Mündung, Die Lena- Expedition 1881—1884, pag. 6), dass die Lena-Ufer etwas nördlich von Jakutsk mit „Lärchen, Pappeln, Birken, Tannen, Kiefern und Cedern“ bewachsen seien, ist also ziemlich irreführend. N:o 3. 22 A. K. CAJANDER. D. Die Taiga zwischen der Wiljuj-Mündung und Shigansk. Nördlich von der Wiljuj-Mündung entfernen sich die Berge je mehr und mehr vom Flusse, so dass die Landschaft eine vollständige Ebene wird. Die Taiga-Vegetation dieses Flachlandes gleicht sehr derjenigen südlich von der genannten Fluss-Mündung so dass eine besondere Schilderung derselben nicht nóthig ist; auch besitze ich von dort nur wenige Annotationen. Je mehr nordwärts man kommt, um so mehr verändert sich jedoch die Vegetation, vor Allem etwa vom 65 '/,° an. Es verschwinden mehrere, z. Th. sehr characteristische Gewüchse, wie Dianthus sinensis 77, Pulsatilla patens 7, Aquilegia parviflora, Orobus humilis, Campanula punctata, Artemisia laciniata u. a., ferner: Ribes pubescens, Prunus padus 7, Spirea sorbifolia, Sorbus aucuparia; Spira chamadryfolia 7 wird viel seltener. Die Kiefer hört etwa bei der Wiljuj-Mündung auf; der Werchojanschen Bergkette ent- lang dürfte sie jedoch eine Strecke weiter nordwärts gehen. — An die Stelle dieser südlicheren Arten treten etliche nördlichere, wodurch die Vegetation ein nördlicheres, subarktisches Gepräge erhält. An diesem Ort mag eine Annotation über den Lärchenwald der Insel Agra- fena angeführt werden. Agrafena ist eine der seltenen Inseln der Lena, welche nicht ausschliesslich durch Flussablagerung entstanden ist. Der Kern dieser Insel besteht nähmlich aus einem schwach röthlichen Sandstein-Felsen, von derselben Art wie der Bachanaj-Chaja am westlichen Ufer der Lena, dieser Insel gerade gegenüber. Beide haben früher mit ein- ander in Zusammenhang gestanden. — Das Plateau dieses Sandsteinfelsens wird von einem Lärchenwalde bedeckt, der als ein veritabler Theil der eigentlichen Taiga zu be- trachten ist. Dieses Laricetum ist aber dadurch sehr bemerkenswerth, dass dasselbe von der menschlichen Cultur weniger beeinflusst worden ist als vielleicht irgendwelcher anderer Theil des ganzen nördlichen Eurasiens. Zwar ist der Einfluss des Menschen auf den sibirischen Urwald bis jetzt überhaupt sehr gering gewesen; immerhin haben aber die Nomaden denselben in jeder Richtung durchkreuzt, sei es auf Jagdzügen, sei es mit Rennthierheerden; bisweilen kann man auf irgendwelchen alten Steg, eine alte Lager- stelle u. s. w. treffen; vor Allem aber haben sie enorme Waldbrände verursacht. Wie besonders v. MIDDENDORFF hervorgehoben hat, ist es schwierig, eine grössere Wald- fläche zu finden, die nicht Spuren alter Brände aufzuweisen hätte. Anders verhält es sich mit der Insel Agrafena, wo keine Spuren der menschlichen Cultur zu finden waren. Als eine Insel ist dieselbe nähmlich gegen die Waldbrände des Festlandes vollständig geschützt gewesen. Dazu kommt noch, dass diese Insel nie von den Einwohnern be- sucht wird. Es wird nähmlich angenommen, dass ein schlimmer Geist, die Ursache aller schweren Krankheiten, auf dieser Insel wohne, und wenn die Jakuten z. B. wegen Unwetter wirklich auf der Insel zu landen gezwungen sind, bleiben sie immer nur auf den Sandufern derselben; der Lärchenwald auf dem Berge aber dürfte kaum jemals von einem Jakuten besucht worden sein. Während unseres Besuches hielten sich wenigstens 9 Tom. XXXI. Vegetation des Urwaldes am Lena-Fluss. 23 grosse Bären in diesem Walde auf, was ja auch gewissermaassen als ein Beweis für den Urzustand dieses Waldes gelten kann. Der Wald der Agrafena war der schönste Hochwald, welchen ich auf unserer ganzem Reise die untere Lena entlang Gelegenheit hatte zu sehen. Die Bäume sind bis fast 25 M. hoch, die grössten etwas über 3 M. im Umkreis Der Wald ist ziemlich dicht: theils berühren die Zweige einander, theıls gehen sie etwas einander vorbei. Eine Menge alter Stämme liegen auf dem Boden. Pinus pumila bildet ein fast undurchdrivgliches Unterholz von 1 !/—3 M. Höhe; beigemischt findet man Alnaster viridis (zerstr.), Ribes glabellum (spärl.), Rosa acicularis (zerstr.), Lonicera cœrulea (vereinz.); Halbsträucher: Myrtillus uliginosa (spärl.), Vaccinium vitis idea (reichl.), Ledum palustre (vereinz.). Die Moosdecke ist fast ununterbrochen, hauptsächlich von Ptilidium ciliare und Hyloconium proliferum gebildet. Gräser: Poa pratensis 1—2 Schedonorus ciliatus 1— Festuca ovina 2; Kräuter: Goodyera repens 3—4 P. secunda + 2 Achillea millefolium 1 1 7 Pyrola rotundifolia + à Campanula rotundifolia 2 Chrysanthemaum sibiricum 1—. y 1 ! E. Die Taiga von Shigansk bis Bulun. Die Taiga von Shigansk weicht in mancher Hinsicht von derjenigen weiter süd- wärts ab und behält ihren Character beinahe unverändert etwa bis Bulun-Küsür. Die Bäume sind schon ziemlich krüppelhaft. Die meisten übersteigen kaum die Höhe von 12 M. und die Dicke von etwa °/, M. im Umkreis. Sie sind + krumm und unregelmässig verzweigt. Das Wachsthum derselben geschieht sehr langsam). Ferner stehen sie so weit von einander ab, dass die Zweige verschiedener Bäume sich kaum be- rühren. Die Verjüngung des Waldes ist äusserst schwach; junge Bäume finden sich über- !) Folgende Data über das Alter einiger Bäume an verschiedenen Stellen unweit Shigansk können eine gewisse Vorstellung von der Wachsthumsgeschwindiekeit geben: Höhe: Alter: Höhe: Alter: 1) 190 Cm. etwa 85 Jahr 6) 710 Cm. etwa 130 Jahr 2) 295 , 90 , vr NE 120 , 3) 310 5 9529 8) 940 , i8) à 4) 640 , 10 , 9) 990 , 160 , 5) 700 , 135 , 10) 1100 — 150 , Die Dicke der N:os 2 und 8 betrug resp. 26 und 41 Cm. im Umkreis. — Die Wachsthumsgeschwin- digkeit scheint jedoch grossen Schwankungen zu unterliegen. So gaben 3 Bäume ganz nahe vom Dorfe Shi- gansk folgende Werthe: Höhe: Dicke: Alter: 1) 350 Cm. 13 Cm. (Umkreis) 17 Jahr 2) 570 , AG 33, 3) 755 „ 94 DIM N:o 3. 24 A. K. ÖAJANDER. haupt nur wenig. Auch die Sträucher (Pinus pumila, Betula adenophora, Alnaster viridis) treten spärlich auf. Der Wald ist mit einem Worte undicht und verkrüppelt. Der Waldboden ist von einer fast ununterbrochenen Moosvegetation bedeckt; auch Flechten giebt es oft ziemlich reichlich. Noch reichlicher als auf dem Boden treten die letztgenannten epiphytisch auf den Bäumen und Sträuchern auf. Dieser Reichthum an Oryptogamenvegetation dürfte wohl auf eine grössere Feuchtigheit des Klimas zurück- zuführen sein; das reichlichere Vorkommen derselben auf dem Boden dürfte ausserdem auf einer niedrigeren mittleren Jahrestemperatur beruhen, die während des Sommers nur eine sehr dünne (meistens 15—35 Cm.) Bodenschicht aufthauen lässt, welche letztere deswegen immer + feucht ist; auch liegt der Schnee lange Zeit ungeschmolzen. Ferner muss auch die Undichtigkeit der Waldvegetation die Oryptogamen-(besonders die Flechten-) Vegetation des Bodens begünstigen, theils weil sie für die Bodenvegetation mehr Licht durchlässt, theils weil viel weniger Baumnadeln auf den Boden fallen. Characteristisch für die Taiga des fraglichen Gebietes ist ferner ihre Armuth an Kräutern und ihr grosser Individuenreichthum an Halbsträuchern. Es sind besonders zwei Halbstrauch-Arten, die durch ihr massenhaftes Auftreten der Taiga ein Gepräge geben, nähmlich Myrtillus uliginosa und Ledum palustre. Die letztgenannte Art kommt massenhaft auf einer etwa !/,—'/, Km. breiten Zone beiderseits vom Flussbette vor, weiter landeinwärts dominiert Myrtillus uliginosa. An den trocknesten Stellen herrscht jedoch Vaccinium vitis idea und auf windigen, + heidenartigen Flächen Betula nana f. Wie schon erwähnt wurde, bildet Vaccinium vitis idea die vorherrschende Unter- vegetation an den trocknesten Waldstellen. Solche Waldpartieen mit Vaccinium vitis idæa sind jedoch im Allgemeinen klein an Areal und weisen unter einander so grosse Unterschiede auf, dass sie kaum als eine einzige Facies der dortigen Larix-Taiga zu betrachten sind. Von einer allgemeineren Schilderung der Vegetation derselben muss jedoch abgesehen werden, weil ich nicht Gelegenheit hatte, die Vegetation derselben ein- gehender zu untersuchen. Annotationen: N:o 1. Rand des Ledwm-Waldes N:o 1 (vgl. unten pag. 26), etwa 5—10 M. breit, gleich hinter dem Erosionsabhang des Flusses. Vom Winde wird oft Sand von dem Lena-Ufer hierhin getrieben. Oberholz (5): Larix dahurica (bis 12 M. hoch); Sträucher: Betula adenophora (1+), Ribes glabellum (1—); Halbsträucher: Vaccinium vitis idea (1), Ledum palustre (2). Moose & Flechten: fast ununterbrochen, hauptsächlich Æyloconium proliferum und H. parietinum, mit Bei- mischungen von Cladina alpestris, Cetraria crispa, Stereocaulon sp, Spherocephalus turgidus, Dicranum sp., Hypnum trichoides. Gräser: Carex globularis 2; g ; Kräuter : Goodyera repens 2 Vicia eracea 1 Pyrola rotundifolia + 3. Stellaria graminea 1 Tom. XXXII. Vegetation des Urwaldes am Lena-Fluss. 25 N:o 2. Trockener Theil innerhalb der Ledum-Taiga unweit Shigansk. Oberholz: Larix da- hurica (5); Sträucher: Betula adenophora (1), Ribes glabellum (1); Halbsträucher: Vaceinium vitis idea (8), Ledum palustre (2). Die Bodenvegetation (10) besteht hauptsächlich aus Hylocomium parietinum und H. proliferum mit spärlicher Beimischung von Sphærocephalus turgidus, Cladina alpestris, Cetraria islandica, Dieranum sp. Gräser: Calamagrostis sp. (ster.) 1; Kräuter: t Goodyera repens 1 Pyrola rotundifolia + 1. N:o 3. Wald gleich hinter dem Erosionsabhang der Shiganka. Boden: Sand mit dünnem Torf, trocken. Oberholz: Larix dahurica (4--5); Sträucher: Betula adenophora (2), Alnaster viridis (1); Halbsträucher: Betula nana + (2), Empetrum nigrum (4), Vaccinium vitis idea (7), Myrtillus uliginosa (2), Ledum palustre (2). Bodenvegetation (7): Platysma nivale, Cetraria islandica, Cla- dina rangiferina, Cl. alpestris, Cladoniæ, Nephroma arcticum, Ptilidium ciliare, Hyloconium proliferum. Gräser: Festuca ovina 2 Schedonorus ciliatus 1 Carex globularis 1; Kräuter: Equisetum pratense 2 Pediculuris euphrasioides 1 Campanula rotundifolia 1. Auf die Betula-Taiga beziehen sich folgende Annotationen: N:o 1. Weite, + heidenartige Waldpartie nahe von der Shiganka; wahrscheinlicht hat hier früher ein Waldbrand stattgefunden. Boden: Sand mit sehr dünnem Torf. Oberholz: Larix dahurica (3); Sträucher: Betula adenophora (1); Halbsträucher: Betula nana + (5—6), Empetrum nigrum (1), Vaceinium vitis idea (4), Myrtillus uliginosa (3), Ledum palustre (4). Bodenvegetation (10): Nephroma arcticum (2), Platysma nivale (3), Cetraria islandica (4), Cladina rangiferina (6—7), Cl. silvatica (3), Cl. alpestris (2), Ptilidium ciliare (2), Polytrichum juniperinum (3—4), Dicra- num sp. (2), Spherocephalus turgidus (8). Gräser: Festuca ovina 1; Kräuter: Pedicularis euphrasioides 1 P. lapponica 1. N:o 2. Der Vorigen ähnliche Waldpartie nahe vom Shiganka-Ufer. In der Nähe kam eine längst verfallene Jakuten-Jurte vor, woraus man wohl schliessen darf, dass die Undichtigkeit des Waldes auf Menschenthätigkeit zurückzuführen ist. Oberholz: Larix dahurica (3); Sträucher: Be- tula adenophora (1); Halbsträucher: Betula nana + (7), Empetrum nigrum (1), Myrtillus uligi- nosa (3), Vaccinium vitis idea (2), Ledum palustre (3). Bodenvegetation: Nephroma arctieum (2), Platysma nivale (3), Cetraria islandica (5), Cladina alpestris (2), Cl. rangiferina (2), Ptilidium eiliare (1), Sphagnum rigidum (1), Polytrichum juniperinum (4), Spherocephalus turgidus (5). N:o 3. ; 4 26 A. K. CAJANDER. Gräser: Festuca ovina 1: Kräuter: Pedicularis lapponica 1. Auf die Ledum-Taiga beziehen sich folgende Annotationen: N:o 1. Wald am Lena-Ufer unweit Shigansk. Boden: Sand, mit einer dünnen, + sandbe- mengten, torfartigen Humusschicht bedeckt, in einer Tiefe von 25 Cm. steif gefroren. Oberholz: Larix dahurica (5); Sträucher: Salix vagans + (1), Alnaster viridis (3), Betula adenophora (2—3), Ribes glabellum (1), Rosa acicularis (1); Halbsträucher: Salix myrtilloides (1), Empetrum nigrum (1), Vaceinium vitis idea (3—4), Myrtillus uliginosa (3—4), Ledum palustre (6). Bodenvegetation: Peltigera sp. (14), Cetraria erispa (2), Cladina rangiferina (2), Cl. silvatiea (2), Cl. alpestris (2), Sphagnum rigidum. (2), Spherocephalus paluster (4), Polytrichum juniperinum (3), Hypnum trichoides (4), Hyloconium proliferum (7). N:o 2. Wald nahe von der Shiganka. Boden: wie in N:o 1. Oberholz: ZLarix dahurica (5—6); Sträucher: Juniperus communis (1), Pinus pumila (1), Betula adenophora (4), Alnaster viridis (3); Halbsträucher: Myrtillus uliginosa (4), Vaceinium vitis idea (2), Ledum palustre (6); Moose (9): Ptilidium ciliare (3 9/9), Polytrichum juniperinum (7 9/9), Spherocephalus paluster (10 °/,), Hylocomium proliferum (80 °/); Flechten: sehr spärlich. N:o 3. Wald nahe von der Shiganka. Boden: feiner Sand, von einer etwa 1 Cm. dicken Humusschicht bedeckt, frisch. Oberholz: Larix dahurica (6); Sträucher: Pinus pumila (1), Salix chlorostachya (1), S. vagans + (1), S. glauca (1), Betula adenophora (2), Alnaster viridis (1); Halbsträucher: Æmpetrum nigrum (4), Myrtillus uliginosa (4), Vaccinium vitis idea (3), Ledum palustre (6). Bodenvegetation: Platysma nivale (5), Cetraria islandica (6), Cladina rangiferina (6), Cl. silvatica (2), Cl. alpestris (2), Ptilidium ciliare (2), Spherocephalus paluster (2), Sph. turgidus (3), Polytrichum juniperinum (2), Hylocomium proliferum (4). N:o 4. Wald nahe von der Shiganka. Boden: wie in N:o 3. Oberholz: ZLarix dahurica (6—7), Picea obovata (1); Sträucher: Salix chlorostachya (1), S. glauca (1), Betula odorata (2), B. adenophora (1), Alnaster viridis (1); Halbsträucher: Empetrum nigrum (2), Myrtillus uliginosa (3), Ledum palustre (6). Bodenvegetation: Platysma nivale (3), Cetraria erispa (4), Cladina rangi- ferina (5), Cl. silvatica (4), Cl. alpestris (3), Ptilidium ciliare (6), Polytrichum juniperinun (3), Dieranum sp. (2), Spherocephalus turgidus (5), Hylocomium proliferum (4). N:o 5. Wald nahe von der Shiganka. Boden: Sand, 2 Cm. dicke Humusschicht. Oberholz: Larix dahurica (5); Sträucher: Salir vagans (1), S. chlorostachya (1), S. glauca (1), S. phyliei- folia (1), Betula adenophora (2), Alnaster viridis (1): Halbsträucher: Betula nana 7 (3), Empetrum nigrum (1), Myrtillus uliginosa (3), Vaceinium vitis idea (4), Ledum palustre (6). Bodenvegetation: Peltidea aphtosa (2), Cetraria islandica (2), C. erispa (6), Cladina rangiferina (7), Cl. alpestris (5), Ptilidium eiliare (4), Polytrichum juniperinum (3), Pohlia mutans (2), Dieranum sp. (1), Hylocomiun proliferum (3). N:o 6. Wald nahe von der Shiganka. Boden: Sand, von einer 2—3 Cm. dicken, torfartigen Humusschicht bedeckt, in einer Tiefe von 35 Cm. gefroren, feuchter als N:o 5. Oberholz: Larix dahuriea (D); Sträucher: Pinus pumila (1), Betula adenophora (2), Alnaster viridis (1); Halb- sträucher: Betula nana + (2), Empetrum nigrum (2), Ledum palustre (6), Vaccinium vitis idea (3). Bodenvegetation: Peltidea aphtosa (2), Cetraria erispa (6), Cladina rangiferina (7), Cl. alpestris (4), Ptilidium ciliare (5), Sphagnum rigidum (2), Sph. fimbriatum (1), Polytrichum juniperinum (3), Spherocephalus paluster & turgidus (5). Tom. XX XII. Vegetation des Urwaldes am Lena-Fluss. 27 N:o 7. Wald bei der Natara-Mündung. Boden: Sand, von einer dünnen Humusschicht be- deckt. Oberholz: Larix dahurica (6); Sträucher: Salix chlorostachya (1), Betula adenophora (2), Alnaster viridis (3), Rosa aeieularis (1); Halbsträucher: Empetrum nigrum (3), Myrtillus nigra (4), Vaceinium vitis idea (4), Ledum palustre (6). Die Bodenvegetation (9) besteht hauptsächlich aus Hylocomium proliferum mit spärlicher Beimischung von Peltidea aphtosa und Polytrichum Juniperinum. N:o 8. Wald bei der Natara-Mündung. Boden: wie oben. Oberholz: Larix dahurica (7), Populus tremula (1); Sträucher: Pinus pumila (1), Betula adenophora (2), Alnaster viridis (4); Halbsträucher: Æmpetrum nigrum (3), Myrtillus uliginosa (2), Vaceinium vitis idea (5), Ledum palustre (1—8). Bodenvegetation (9): Peltidea aphtosa (zerstr.), Ptilidium ciliare (reichl.), Sphæro- cephalus paluster (zieml. reichl.), Æylocomium proliferum (reichl.). N:o 9. Wald bei Krassnoje Boden: Sand, schwach schuttbemengt, von dünnem Humus bedeckt. Oberholz: Larix dahuriea (5); Sträucher: Betula adenophora (2), Alnaster viridis (3); Halbsträucher: Empetrum nigrum (1), Myrtillus uliginosa (2), Vaccinium vitis idea (4), Ledum palustre (6—7). Bodenvegetation (8): Peltidea aphtosa (zerstr.), Cetraria islandica (zerstr.), Cladina rangiferina (spärl.), Ptilidium eiliare (reichl.), Polytrichum juniperinum (zieml. reichl.), Dieranum sp. (zerstr.), Spherocephalus turgidus (zevstr.). N:o 10. Wald bei Bissiktjach (Durnoje), nahe vom Lena-Ufer. Boden: Sand mit dünnem Torf. Oberholz: Larix dahurica (5—6); Sträucher: Pinus pumila (1), Salix phylieifolia (1), Ribes glabellum (2); Halbsträucher: Empetrum nigrum (2), Myrtillus uliginosa (2), Vaccinium vitis idea (4), Ledum palustre (6-7). Bodenvegetation (9): Peltidea aphtosa (spärl.), Ptilidium eiliare (reichl.), Spherocephalus paluster (reichl.), Hypnum trichoides (zerstr.), Hylocomium proliferum (sehr reichl.). N:o 11. Wald bei Ssiktjach, nahe vom Ufer. Boden: Sand mit dünnem Torf. Oberholz: Larix dahurica (5); Sträucher: Salir phylieifolia (1), S. glauca (2). Alnaster viridis (2); Halb- sträucher: Myrtillus uliginosa (2), Vaceinium vitis idea (4), Ledum palustre (6); Bodenvegetation (10): Peltidea aphtosa (zerstr.), Ptilidium eiliare (reichl.), Spherocephalus paluster (reichl.), Sph. turgidus (sehr reichl.), Hylocomium proliferum (sehr reichl.). | | | N:o 1. | N:o 2. | N:o 3 | N:o 4. | N:o 5. | N:o 6.| N:o 7. | N:o 8. | N:o 9. | N:o 10. | N:o 11. | Gräser: | | Calamagrostis sp. . - - . . . | = gg 1 -— — 2 1 1 1 3 al Colpodium latifolium | | EI, m 159, OTTAR el 1 | — 1 = Hesmealovinat ees 0. | — — 1 M — - E _ et Carex globularis . - - . . .| I |1—2 1 — -— — 1 Sterile, unbestimmbare . . .| — = — — — Le 2 = 1 ^ = Kräuter: | Equisetum pratense . . . . .| — | 1 — l — JUL EN Ei Ce | = 3 = Goodyerarepens = 4 . — | 1 - ee Ranunculus lapponieus . Pyrola rotundifolia + 1 Rubus chamemorus . . . . .| 1 1 1 Pedicularis lapponica |. . . .| | 1 1+ NN N, 1 1 1 16 NE] PEUPRTASOUES er = 2 | — — Mi rem Boschniakia glabra . . . . .| — | — — — | — — = P E En N:o 3. 28 AR CA TANDER: urs | IN:o1. N:o 2. | N:o 3. | N:o 4. | N:o 5. Bun os |xoa non xon|s N:o 11. | | | | | | | | | | | | | Valeriana capitata . . . . .| = 1 — 1 | 1 — Campanula rotundifolia Petasites frigidus. . . . . .| 1 | — — — = — = Uebersicht der Vegetation. In der Ledum-Taiga besteht das + kräppelhafte Oberholz gewöhnlich ausschliesslich aus Larix dahurica, mit seltener Beimischung von Salix caprea und Populus tremula im südlichen Theile des Gebietes. Die Sträucher sind gewöhnlich ziemlich spärlich vorhanden. Die wichtigsten unter denselben sind: Betula adenophora und Alnaster viridis, häufig oder + häufig sind ferner: Pinus pumila, Salix phyleifola, S. chlorostachya, S. glauca, etwas seltener: Juniperus com- munis, Ribes glabellum, Rosa acicularis, im südlichen Theile ausserdem: Betula odorata (nur als Strauch!) und Salix vagans 7, selten sind: Spiræa chamædryfolia 7 und Lonicera cerulea. Unter den Halbsträuchern findet man Vaccinium vitis idea und Myrtillus uliginosa der Ledum-Vegetation fast immer beigemischt, ferner: Salix myrtilloides, Be- tula nana Tf, Empetrum nigrum, Arctostaphylus alpina. — Die Bodenvegetation ist : gewöhnlich ununterbrochen oder fast ununterbrochen, bestehend vorzugsweise aus Moosen ; an mehr heidenartigen Stellen können jedoch die Flechten vorwalten. Die wichtigsten Moosarten sind: Ptilidium ciliare, Polytrichum juniperinum, Spherocephalus paluster, Sph. turgidus und Hylocomium proliferum, ferner: Sphagnum rigidum, Dieranum spp., Polytrichum commune, Pohlia nutans, Swartzia montana, Hypnum trichoides nebst Sphagnum fimbriatum u. a. Unter den Flechten verdienen erwähnt zu werden: Peltidea aphtosa, Nephroma arcticum, Platysma nivale, Cetraria islandica, C. crispa, Cladina rangiferina. Cl. silvatica, Cl. alpestris, mehrere Cladoniæ etc. Die Gräser sind sehr spärlich. Am häufigsten ist Calamagrostis phragmitoides 7 (?, fast stets steril), häufig sind ferner: Poa pratensis und Carex globularis nebst Col- podium latifolium und Festuca ovina; hin und wieder trifft man Eriophorum vaginatum, Carex alpina, C. capitata und C. macrostigmatica an. Auch die Kräutervegetation ist, wie oben bemerkt wurde, arm sowohl an Arten als an Individuen. Nur Pedicularis lapponica dürfte nirgends gänzlich fehlen, sie tritt aber nur mit der Copiosität 1 oder 1— vor. Sehr häufig sind ferner: Equisetum pratense Pyrola rotundifoha + Petasites frigidus; häufig: Equisetum scirpoides Pyrola secunda. + Campanula rotundifolia ; Goodyera repens Pedicularis euphrasioides + häufig: Ranunculus lapponicus Equisetum arvense Rubus arcticus Saxifraga punctata Stellaria graminea Boschniakia glabra; Tom. XXXII. Vegetation des Urwaldes am Lena-Fluss. 29 + selten: Iris setosa Polygonum polymorphum Ægopodiwm alpestre. Anticlea sibirica Actea spicata + Auf die Myrtillus-Taiga beziehen sich die Annotationen: N:o 1. Wald beim Dorfe Shigansk. Boden: Sand, von etwa 5 Cm. dickem Torf bedeckt. Oberholz: Larix dahwriea (5); Sträucher: Salix pentandra (1), S. vagans + (1), Betula odorata (1), B. adenophora (3); Halbsträucher: Empetrum nigrum (2), Myrtillus uliginosa (7), Ledum palustre (3). Bodenvegetation (9): Peltidea aphtosa (zerstr.), Polytrichum juniperinum (spärl.), Spherocephalus paluster (reichl.), Hypnum trichoides (reichl.), Hylocomium proliferum (reichl.). N:o 2. Wald unweit Shigansk. Boden: Sand; 5—10 Cm. dicke, zieml. feuchte Humus- schicht. Oberholz: Larix dahurica (5); Sträucher: Salix pentandra (1), S. caprea (1), S. vagans 7 (2), S. phylicifolia (1), Betula odorata (2), B. adenophora (4), Alnaster viridis (2), Rosa acicularis (1); Halbsträucher: Salix myrtilloides (1), Betula nana + (2) Empetrum nigrum (3), Myrtillus uliginosa (8—9), Vaccinium vitis idea (2), Ledum palustre (2). Bodenvegetation (10): Peltidea aphtosa (spärl.), Cladina rangiferina (vereinz.), Cladonia sp. (vereinz.), Polytrichum juniperinum (zerstr.), Spherocephalus paluster (reichl.', Amblystegium sp. (zerstr.), Hypnum trichoides (reichl.), Hylocomium proliferum (reichl.). N:o 3. Wald unweit Shigansk. Boden: Sand mit dünnem Torf. Oberholz: Larix dahurica (b); Sträucher: Betula odorata (1), B. adenophora (2), Alnaster viridis (1); Halbsträucher: Æm- petrum nigrum. (3—4), Myrtillus uliginosa (6—T), Vaccinium vitis idea (4), Ledum palustre (2). Bodenvegetation: (9): Cetraria islandica, Cladina rangiferina, Ptilidium eiliare, Polytrichum juni- perinum, Spherocephalus paluster, Hylocomium proliferum. N:o 4. Wald unweit Shigansk. Boden: wie oben. Oberholz: Larir dahurica (6); Sträucher: Salix chlorostachya (1), S. vagans + (1), S. glauca (1). S. hastata (1). Betula adenophora (2). Lonicera cœrulea (1); Halbsträucher: Myrtillus uliginosa (6), Vaccinium vitis idea (2), Arctosta- phylus alpina (1). Bodenvegetation (10): Peltidea aphtosa (2), Platysma nivale (2), Cetraria is- landica (4), Cladina rangiferina (3), Cl. alpestris (1), Ptilidium ciliare (3), Polytrichum juniperi- num (2), Dieranum sp. (2), Hylocomium proliferum (8). N:o 1.|N:0 2. | N:o 3.|N:o 4. Gräser: s | - Calamagrostis sp. . . . . . .| — Aw 1 — BORN Sos e NE ie E 3 | 1+ il 1 Festuca ovina . 2 1 2 — Eriophorum vaginatum . — 1 — — Carex alpina 1 1 — — QS camtata s «su. TETE 1 1 — — C. cæspitosa . » . . 2... — |i = i Kräuter: Equisetum pratense . — 1 — 1 Iris setosa 1 1 — — Stellaria graminea 1 1 -H EE Rubus chamæmorus . 2 2 — — 30 A. K. CAJANDER. N:o 1. | N:o 2.|N:o 3.|N:o 4. Epilobium angustifolium . . . | — — — el Pyrola rotundifolia + . . . . 1 2 -— Pedicularis lapponica . . . .| — 2 2 1 Valeriana copitato 2.2 22: 1 1 — 2 Campanula rotundifolia . . .| — — 1 — Petasites frigidus . 2 2 — 2 Saussurea denticulata . . . .| — 1 = | 1—23 Uebersicht der Vegetation. Die Vegetation der Myrtillus-Taiga unterscheidet sich ziemlich wenig von der der Ledum-Taiga. Die meisten Verschiedenheiten sind als Folge einer etwas grösseren Feuchtigkeit zu betrachten. Das Oberholz besteht auch hier ausschliesslich aus Larix dahurica. Desgleichen sind die wichtigsten Sträucher: Betula adenophora und Alnaster viridis; die Salices (S. pentandra, S. phylicifolia, S. chlo- rostachya, S. vagans 7, S. glauca, S. hastata, S. pyrolifolia, S. repens) sind aber viel reichlicher vertreten; ZWbes glabellum, Rosa acicularis und Pinus pumila sind weniger häufig als in der Ledum-Taiga. — Die Bodenvegetation ist auch hier ununter- brochen, jedoch spielen die Flechten (und Spherocephalus turgidus) eine weniger her- vorragende Rolle als in der Ledum-Taiga, wogegen Spherocephalus paluster, Hypmum trichoides und die Sphagna reichlicher auftreten. Die Grasvegetation unterscheidet sich von derjenigen der Ledwm-Taiga durch den grösseren Reichthum an Cyperaceen (Eriophorum vaginatum, E. capitatum, Carex capitata, C. cæspitosa, C. globularis u. a.). Auch die Kräutervegetation ist gewöhnlich etwas reichlicher vertreten. Die häufigsten sind: Pyrola rotundifoha + Valeriana capitata Petasites frigidus; Pedicularis lapponica häufig sind ausserdem : Equisetum pratense Stellaria graminea Campanula rotundifolia + E. scirpoides Rubus chamemorus Saussurea denticulata ; roodyera repens Pedicularis euphrasioides etwas seltener: Iris setosa Ranunculus lapponicus Pyrola secunda 7. Boschniakia glabra Die Thäler der Taiga-Bäche besitzen auch hier eine sehr abweichende Vegetation. Sie sind im Allgemeinen durch das reichliche Vorkommen von Alnaster viridis characte- risiert. Bisweilen können diese Alnaster-Streifen fast undurchdringliche lange, schmale Hecken in dem sonst undichten Urwalde bilden. Auf die Alnastreten beziehen sich fol- gende 2 Annotationen: Tom. XXXL. Vegetation des Urwaldes am Lena-Fluss. 31 N:o 1. Alnaster-Streifen im Thale eines kleinen Taiga-Baches unweit Shigansk. Der Bach ist im Sommer fast vertrocknet. Boden: Sand, fast gleich unterhalb der Oberfläche gefroren. Die Moosdecke ist im Gebüsche fast ununterbrochen: Spherocephalus paluster (4), Dieranum sp. (3), Amblystegium exannulatum (1—8), Hypnum trichoides (4—5). Oberholz: Larix dahurica (5): Sträucher: Alnaster viridis (9—10), Ribes glabellum (1—); Halbsträucher: Myrtillus uliginosa (3), Vaccinium vitis idea (2), Ledum palustre (2). Gräser: u Eriophorum vaginatum 1 Calamagrostis phragmitoides + 3 Colpodium latifolium 1; E. capitatum 3 Kräuter: Equisetum pratense 3 Pyrola rotundifolia + 1—2 Petasites frigidus 1. E. scirpoides 1 Pedieularis lapponica 1 Saxifraga cernua 1 Valeriana capitata 2 N:o 2. Alnaster-Gebüsch am Ufer eines kleinen Taiga-Baches bei Shigansk. Boden: wie oben. Oberholz: Larix dahurica (1); Sträucher: Pinus pumila (1), Salix chlorostachya (1), S. hastata (2, Alnaster viridis (94), Babes glabellum (1), Rosa acieularis (1). Halbsträucher: Myrtillus uliginosa (3). Die Moosdecke: nicht ganz ununterbrochen. Gräser: Eriophorum capitatum spärl. C. loliacea veichl. Colpodium latifolium spärl.; Carex mollis spärl. Calamagrostis phragmitoides + C. tenuiflora zerstr. reichl. Kräuter: Equisetum pratense vereinz. Chrysosplenium alternifolium Epilobium palustre spänl. E. scirpoides spärl. spärl. Valeriana capitata. zerstr. Iris setosa spärl. Comarum palustre spärl. Petasites frigidus spärl. Ranunculus lapponicus zerstr. Bubus arcticus spärl. À P Saxifraga cernua zerstr. Viola biflora vereinz. Weil diese Gebüsche hin und wieder überschwemmt werden und weil dann auch eine geringe Sedimentation stattfindet, hätten diese Alnastreta auch im Zusammenhang mit den übrigen Alnastreten der Lena-Alluvionen, an welche sie sich eng anschliessen, behandelt werden können; weil sie aber andererseits integrierende Bestandtheile der eigentlichen Taiga bilden, sind sie (und desgleichen die Populeta suaveolentis pagg. 20 — 21) hier beschrieben worden. Von den Myrtillus-reichen Wäldern führen mehrere Uebergänge zu den weiter vom Flusse befindlichen Waldmooren, die jedoch nicht näher untersucht wurden. N:o 3. 32 A. K. CAJANDER. F. Die Taiga nahe von der Lena-Mündung. Etwa in der Gegend von Bulun-Küsür verändert sich der Character der Taiga wieder bedeutend und unterliegt später kleinen successiven Veränderungen etwa bis zum 72°, wo die nördlichsten Waldungen vorkommen. Die Bäume werden noch krüppel- hafter. Die Epiphyten nehmen zu; die nördlichsten Lärchen sind ganz schwarz von Alectorien. Die Moosdecke ist nicht gerade so üppig ausgebildet wie in der vorigen Zone, die Flechten aber sind gewöhnlich reichlicher vorhanden. In diesem Gebiete wird die Lena einerseits von dem Werchojanschen Gebirgs- bogen, andererseits von steilen Tafelbergen begrenzt. Flachland giebt es nur wenig. Bei Bulun sind die Berge aller Wahrscheinlichkeit nach früher überall mit Wald be- wachsen gewesen, obgleich derselbe jetzt grösstentheils ausgerottet worden ist. Weiter nordwärts aber sind die höheren Bergabhänge sicherlich auch ursprunglich waldlos ge- wesen, und je weiter nordwärts man kommt, um so mehr sinkt die alpine Waldgrenze. Die polare Grenze der Taiga geht ein wenig südlich von der Insel Tass-Ary. Die Wälder dieses Gebietes wurden nur ganz flüchtig auf der Reise mit dem Dampfer Lena untersucht In der Hoffnung, dass meine Untersuchungen bald von Herrn Lie. Phil. N. H. Nusson-Eure complettiert werden, werden unten meine dort gemachten Annotationen mitgetheilt. Auf die Taiga der Bergabhänge beziehen sich folgende Annotationen: N:o 1. Lärchenwald am Nordabhang eines Berges etwa 5 Km. südlich von Küsür. Boden: Gemisch von Sand und Schutt, oben schwach mit torfartigem Humus bedeckt. Oberholz: Larix da- hwriea (4). Unterholz: Pinus pumila (3), Betula nana + (2), Alnaster viridis (Y), Ledum palustre (4—5); Bodenvegetation: Cladina rangiferina (6), CT. alpestris (3), Ptilidium eiliare (2), Sphagnum rigidum (2), Polytrichum juniperinum (2), Hylocomium proliferum (3), H. parietinum (5). N:o 2. Wald am Südabhang eines Berges bei Bulun. Boden: sandbemengter Schutt mit dünnem Torf. Oberholz: Larix dahurica (4, einzelne Bäume bis 160 Cm. im Umkreis); Unterholz: Salix glauca (1), S. hastata (2), Alnaster viridis (2), Empetrum nigrum (3), Ribes glabellum (1), Rosa acicularis (2), Myrtillus uliginosa (6), Ledum palustre (2). Bodenvegetation: reichlich (9, Hylocomium proliferum und H. parietinum, mit Beimischung von Péilidium ciliare, Peltidea aphtosa). N:o 3. Etwas höher gelegener Theil desselben Waldes. Boden: wie oben. Oberholz: Larix dahuriea (3); Unterholz: Salix glauca (3), S. hastata (2), Alnaster viridis (4—5), Ribes glabellum (1), Rosa acieularis (2), Myrtillus uliginosa (6), Ledum palustre (3). Bodenvegetation: fast un- unterbrochen. i N:o 4. Wald am Bergabhange bei Kumach-Ssur. Boden: Schutt, sandbemengt, oben von dünnem Torf bedeckt. Oberholz: Larix dahuriea (3); Unterholz: Salix phylicifolia (2), Betula nana T (3), Alnaster viridis (2), Ribes glabellum (1—), Rosa acicularis (1), Myrtillus uliginosa (2), Vacci- nium vitis idea (3), Arctostaphylus alpina (2), Cassiope tetragona (3—4), Ledum palustre (4—5), Bodenvegetation (9—10): Thamnolia vermicularis (spürl), Dactylina arctica (zerstr.), Cladina alpestris (vereinz.), Ptilidium eiliare (zieml. reichl.), Sphagnum rigidum (zerstr.), Polytrichum juni- perinum (vereinz.), Sphærocephalus turgidus (sehr reichl.), Hylocomium proliferum (sehr reichl.). Tom. XXXII. Vegetation des Urwaldes am Lena-Fluss. 33 N:o 5. Theil desselben Waldes an einer Stelle, wo das Wasser langsam hinuntersickert. Oberholz: Larix dahurica (4); Unterholz: Salix phylieifolia (3), S. polaris (2), Betula nana 7 (4), Alnaster viridis (A), Empetrum nigrum (3), Myrtillus uliginosa (3—4), Vaccinium | vitis idea (4), Cassiope tetragona (2). Ledum palustre (3); Bodenvegetation (10): hauptsächlich Spherocephalus turgidus und Hylocomium proliferum mit Beimischungen von Sphagnum rigidum, Sph. Lind- bergü var, Ptilidium ciliare, Stereocaulon paschale, Peltidea aphtosa und Dactylina arctica. N:o G. Theil desselben Waldes an der alpinen Grenze. Boden: Gemisch von Sand und Schutt, feucht, oben mit dünnem Torf. Abschüss.: etwa 30—35° nach SE. Oberholz: Larix dahurica (2—3); Unterholz: Salix phylieifolia (1), Betula nana + (4), Alnaster viridis (2), Empetrum nigrum (4), Ribes glabellum (1), Myrtillus uliginosa (3), Vaccinium vitis idea (3—4), Cassiope tetragona (3). Bodenvegetation: Platysma nivale (2), Cetraria islandica (3), Cladina alpestris (2), Cladonia coccifera (1), Ptilidium ciliare (5—6), Dieranum sp. (D) Hylocomium proliferum (5), H. rugosum (5). N:o 7. Lärchenwald auf einem Hochplateau unweit Ajakit. Boden: Schutt mit Sand und Steinen gemischt, mit einer dünnen Torfschicht. Oberholz: Larix dahurica (4—5); Unterholz: Salix phylicifolia (1), Betula nana + (2), Alnaster viridis (2), Myrtillus uliginosa (1), Vaccinium vitis idea (3), Arctostaphylus alpina (1), Cassiope tetragona (3), Ledum palustre (5). Bodenvegetation: Dactylina arctiea (zerstr.), Cladina rangiferina (zerstr.), Cetraria erispa (spärl.), Pfilidium eiliare (zerstr.), Sphagnum rigidum (vereinz.), Sph. sp. (zerstr.), Spherocephalus turgidus (reichl.), Hyloco- mium proliferum (reichl.). ! N:o 1. | N:o 2. N:03. | N:o 4. | N:o 5. | N:o 6. | N:o 7. Gräser: Hierochloë alpina . . . . . «| — 1 T Calamagrostis sp. . . . - . . il 1 1 FOUT SDS «4 CR CR RE | — 1 2 F'estuca ovina . «mm ss | — — | — Carex rigida] E EE ET i. due Luzula Wahlenbergü. . . . .| — = = = = -— 1 dTarcunta e E REM — 1 1 1l 1 1 Sterile, unbestimmbare . . . 2 1 1 1 1 2 1 Kräuter: Equisetum arvense . . . . . 1 2 2 Le 2 En er. Aspidium fragrans . . . . .| — — = = = 1 Lycopodium annotinum . . . | — = = = = = cum] Tofieldia coccinea . . . . . .| — — = 1 = Polygonum bistoria . . . . . | — — == 1 2 -— en P. Pavlovskianum. . . . . . 1 2 2 | 2—3 1 Silene tenus T. . . . . . . | — — = 1 Alsine archea Ti — = = = 1 A. maerocarpa » - . = 2| = = = = 1 CONTES DONNE ONE | 2 = = 1 Delphinium elatum . . . . .| — = 1 er = Ranunculus sulphureus. . . . | — = = Les er 1 Papaver nudicaule . . . . .| — — = = = 1 Mas Parrya nudicaulis . . . . . E = Le en ar 1 Eutrema Edwardsii . . . . . | — = = = 1 c =: 34 A. K. CAJANDER. N:o 1. | N:o 2. | N:o 3. | N:o 4. | N:o 5 | N:o 6. | N:o 7. Jrabu Spp M P EE EE 1 — 2 2 2 1 Sazxifraga bronchialis ie — 1 = — = = Le (SEN Oda Ye ON NEEDS | = = eo ones Áo. ASSUME ADO NN NS IT SIN ER o — = —= — 1 IS: Stellavt8u = ee a el LS CEU US — — — l ISS UNC TALAN EE ER M ERN 2 1 2 1 — Chrysosplenium allernifolium .| — 1 — — — — 1 Potentilla nivea. . 2. . .| — -— = = — | ji La FOURGON ae — 1 TSE OO TORKA a se e dm d — Dryas octopetala . . . . . .| — — — — 2 1 — Rubus chamæmorus . . . . .| — = — 2 I 1 | — Pedicularis euphrasioides . . . 1 — | P. lanata & Langsdorfü . . .| — 1 — 1 — = — IENanponica MAN OCT MENT — 2 — = === — Castilleja pallida "M 1 — 1 = — Boschniakia glabra . . . . - — 1 Adoxa moschatellina. . . . - — E 1 Valeriana capitata . . . . . = 3 2 = = = LS Campanula rotundifolia . . . — — 1 ZUG n. veo ipe eT — 2 IPetasiles glacdaie . - -» »..| — = = TEN o Bugs 9S. wt = = = pA qm qm pm Saussurea alpina . N:o 8. Mehr heidenartige Partie des Waldes N:o 1 an einer windigeren Stelle. Boden: wie in N:o 1, etwas trockner. Oberholz: Larix dahurica (3—4); Unterholz: Pinus pumila (2—3), Salix glauca (1), Betula nana + (6), Alnaster viridis (2), Empetrum nigrum (2), Vaccinium vitis idea (1), Arctostaphylus alpina (2), Ledum palustre (2). Bodenvegetation: Platysma nivale (4—5), Cladina rangiferina (2), Ol. alpestris (6), Ptilidium ciliare (A—5), Polytrichum juniperinum (3), Hylocomium proliferum (2), H. parietinum (3). Gräser: Calamagrostis sp. 2; Kräuter: Polygonum Pavlovskianum 2 Pedicularis lapponica 1. Nördlich von der Grenze des zusammenhängenden Waldes findet man insuläre Lärchenbestände, etwa beim 72°, theils auf der Insel Tit-Ary, theils in Gebirgsthälern. Einen Theil des Tit-Ary-Waldes habe ich früher („Alluvionen“ I, pagg. 61—62) be- schrieben. Von den Gebirgswäldern besitze ich folgende Tom. XXXII. Vegetation des Urwaldes am Lena-Fluss. 35 Annotation: Undichter Krüppelwald in einem Gebirgsthale der Insel Tit-Ary gegenüber an der östlichen Seite der Lena. Boden: Schutt und Sand, mit ziemlich dünnem Torf, frisch. Oberholz: Larix da- hurica (2, bis 70 Cm. im Umkreis und bis 5 M. hoch); Unterholz: Salix glauca (3), S. lanata (2), S. sp. (2), Betula nana (2), Alnaster viridis (2), Empetrum nigrum. (2), Ribes glabellum (1), Vaceinium vitis idea (2), Ledum palustre (4), Cassiope tetragona (D). Bodenvegetation (9): Pla- tysma nivale (spärl.), Cetraria islandica (spärl.), Cladina rangiferina (spärl.), Dactylina arctica (vereinz.—spärl), Thamnolia vermieularis (vereinz.), Spherocephalus turgidus (reichl), Hylocomium proliferum (sehr reichl.). Gräser: Calamagrostis sp. 1 Luzula areuata 1 Sterile, unbestimmbare 2—3; Kräuter: E Polygonum bistoria 1 Stellaria graminea 1— Dryas octopetala 2 P. Pavlovskianum 2 Saxifraga hieracüfolia 1 Pyrola rotundifolia + 1. Oxyria digyna 1 S. punctata 3 Folgende Annotationen beziehen sich auf verschiedene Theile des Lárchenwaldes der Küsür-Niederung. Boden: gerüllgemischter Sand mit dünnem Torf. N:o 1. Oberholz: Larix dahurica (3); Unterholz: Salir glauca (2), S. phylieifolia (2), Betula nana + (5—6), Ledwm palustre (4), Andromeda polifolia (2). Bodenvegetation: Platysma nivale (zerstr.) Sphagnum sp. (reichl.), Ptilidium ciliare (zerstr.), Polytrichum juniperinum (zieml. reichl.), Spherocephalus turgidus (reichl.). N:o 2. Oberholz: Larix dahurica (3—4); Unterholz: Salix phylicifolia (1), S. sp. (2), Betula nana + (3), Ledum palustre (3). Bodenvegetation: Sphagnum spp. (reichl.), Polytrichum juniperinum, Spherocephalus turgidus. N:o 3. Oberholz: Larix dahwriea (4); Unterholz: Salix phylieifolia (2). S. chlorostachya (2), S. glauca (1), Betula nana + (4—5), Ledum palustre (4) Bodenvegetation (9): Peltidea aphtosa, Ptilidium eiliare, Polytrichum juniperinum, Sphagnum rigidum, Sph. sp, Hulocomium proliferum, Spherocephalus turgidus. | N:o 1. No 2. | N:o 3. Gräser: L—L—T—— Colpodium latifolium . . . . 1 | — 1 Eriophorum vaginatum . . . .| 2 3 2 EB. angushfohum 2. nn. I = = Juncus: biglumis . . . . . . | 1— — — Sterile, unbestimmbare . . . 1 2 1 Kräuter: | | Rubus chamæmorus . . . . . 1 3 4 Pedieularis lapponica . . . . | — — 1 In der Küsür-Umgebung giebt es eine Menge kleiner Moore, die jedoch nicht annotiert wurden. N:o 3. Verzeichniss der angeführten Phanerogamen und Gefässkryptogamen. Athyrium crenatum (Somf.) Rupr. Cystopteris montana (Lam.) Bernh. Aspidium fragrans (L.) Sw. Onoclea struthiopteris (L.) Hoffm. Woodsia ilvensis (L.) R. Br. + hyperborea (Liljebl.) R. Br. W. glabella R. Br. Phegopteris dryopteris (L.) Fée. Ph. robertiana (L.) Fee. Ph. polypodioides Fée. Pteris aquilina L. Equisetum silvaticum L. E. pratense Ehrh. E. arvense L. E. palustre L. E. hiemale L. E. variegatum Schleich (E. tenellum (Liljebl.) Krok). E. scirpoides Michx. Lycopodium selago L. L. annotinum L. L. complanatum L. Selaginella rupestris (L.) Spring. Picea obovata Led. Abies sibirica (Turez.) Led. Pinus silvestris L. P. cembra L. P. pumila (Pall.) Reg. Larix sibirica Led. L. dahurica (Fisch.) Turez. Juniperus communis L. Hierochloë alpina R. et Sch. Agrostis borealis Hn.(?). Calamagrostis arundinacea (L.) Roth(?). C. phragmitoides Hn. $ Langsdorfii (Link, ?). C. neglecta (Ehrh.) Fr. (C. stricta (Timm.) Nutt.). C. epigea Roth. Trisetum flavescens (L.) Beauv. Poa aretica R. Br. (?). P. pratensis L. (coll.). P. spp. Colpodium latifolium R. Br. (Arctagrostis 1. (R. Br) Gris.). Festuca ovina L. F. rubra L. Schedonorus ciliatus (L.) Kjellm. Triticum spp. Elymus dasystachys Trin. Eriophorum vaginatum L. E. Scheuchzeri Hoppe. E. angustifolium Roth (E. polystachyum L.). Carex capitata L. . obtusata Liljebl. . tenuiflora Whlnb. . tenella Schkur (C. disperma Dew.). . loliacea L. . alpina Sw. . rigida Good. y Bigelovii (Torr.) Tuck. . cæspitosa L. . descendens Kükenth. . amgunensis Schmidt. . amblyolepis Trautv. et Mey. (C. pensylvanica T à. (Trautv. et Mey.) Kükenth.). . melanocarpa Cham. . globularis L. . pediformis Mey. . mollissima Christ (C. divaricata Kük.). Juncus biglumis L. Luzula pilosa L. Ÿ rufescens (Turez.). L. parviflora (Ehrh.) Dew. L. Wahlenbergii Rupr. L. arcuata (Whlnb.) Sw. (et aff). Tofieldia cernua Sm. (go) (eo) e» fe») («o el OAI ere (eo) Tom. XXXIL Vegetation des Urwaldes am Lena-Fluss. . 37 Veratrum album L. + lobelianum (Bernh.). Anticlea sibirica (L.) Kunth. Allium strietum Schrad. A. senescens L. (?). Hemerocallis flava L. Lilium martagon L. L. spectabile Link (L. dahuricum Gaw).). Majanthemum bifolium (L.) Schmidt. Smilacina trifolia (L.) Desf. Paris quadrifolius L. + obovatus (Led.). Iris ruthenica Ait. I. setosa Pall. Orchis sp. Goodyera repens (L.) R. Br. Coralliorrhiza innata R. Br. Calypso borealis (Sw.) Salisb. et Hook. (C. bul- bosa Rchb. fil.). Cypripedium calceolus L. C. guttatum Sw. C. macranthum Sw. Salix pentandra L. . daphnoides L. (coll.). . viminalis L. (coll.). . phylicifolia Sm. (et aff.). . chlorostachya Turez. (?). hastata L. . pyrolifolia Led. . caprea L. . vagans Ands. + cinerascens (Whlnb.) Ands. . myrtilloides L. . repens L. (coll.). . lanata L. . lapponum L. + speciosa (Hook. & Arn.) Trautv. . glauca L. . berberifolia Pall. . polaris Whlnb. . reticulata L. . Spp. Populus suaveolens Fisch. P. tremula L. Betula verrucosa Ehrh. B. odorata Bechst. (B. pubescens Ehrh.). B. nana L. T sibirica Led. (B. glandulosa Michx. + rotundifolia (Spach) Reg.). B. adenophora (Trautv.). Alnus incana (L.) D. C. Alnaster viridis (Chaix) Spach (A. fruticosus (Rupr.) Led., Alnus alnobetula (Ehrh.) Hart.). N:o 3. Un Un Un Un Un Urtica dieca L. Oxyria digyna (L.) Hill. (O. reniformis Hook.). Polygonum bistorta L. P. viviparum L. P. Laxmanni Lepech. (?). P. Pavlovskianum Glehn (?). Thesium longifolium Turez. Silene repens Patr. S. graminifolia (coll; + dasyphylla (Turez.) ?). S. tenuis Willd. 7 paucifolia (Rupr.) Trautv. Lychnis sibirica L. Dianthus sinensis L. (coll.). + repens (Willd.) Trautv. TT alpinus (L., ?). Alsine verna (L.) Whlnb. (coll.). A. arctica (Stev.) Fenzl. A. macrocarpa (Pursh) Fenzl. A. laricina (Cham. & Schlecht.) Crantz (?). Meehringia lateriflora (L.) Fenzl. Arenaria capillaris Poir. + formosa (Fisch.) Reg. Stellaria Bungeana Fenzl. St. graminea L. (inel. St. longipes Gold.). St. crassifolia Ehrh. Cerastium pilosum Led. C. maximum L. Pæonia anomala L. Caltha palustris L. Trollius asiaticus L. Adonis apennina + sibirica (Patr.) Led. Aquilegia sibirica Lam. A. parviflora Led. Delphinium elatum L. (incl. D. parviflorum Turcz.). Aconitum lyeoctonum L. + septentrionale Kell. A. napellus L. A. volubile Pall. A. barbatum Patr. A. Kusnetsowii Rchb. Actæa spicata L. T erythrocarpa (Fisch.). Atragene alpina L. Ÿ sibirica (L.) Reg. et Til. Thalictrum kemense Fr. (coll.). Th. fetidum L. Th. sparsiflorum Turez. Pulsatilla patens (L.) Mill. + Wolfgangiana Trautv. et Mey. Pulsatilla vulgaris Mill. Anemone silvestris L. T ochotensis (Fisch.). A. reflexa Steph. A. Richardsonii Hook. 38 A. K. CAJANDER. Anemone narcissiflora L. Ranunculus sulphureus Soland. R. lapponicus L. R. acer L. + borealis (Trautv.) Reg. R. auricomus L. T sibiricus Glehn (R. Richteri Borb.). Papaver nudicaule L. Chelidonium majus L. Corydalis impatiens (Pall.) Fisch. Arabis hirsuta (L.) Scop. (coll.). A. petræa (L.) Lam. (inel. + ambigua (D. C.) Reg.). Cardamine bellidifolia L. C. macrophylla Willd. Dentaria tenuifolia Led. Hesperis matronalis L. + sibirica (L.). Braya alpina Sternb. et Hoppe. Eutrema Edwardsii R. Br. Parrya nudicaulis (L.) Boiss. (P. macrocarpa RB): Alyssum alpestre L. (Odontharrena a. (L.) Led.). Draba repens M. a. Bieb. Dr. hirta L. Dr. spp. Thlaspi cochleariforme D. C. Umbilicus spinosus (L.) D. C. U. malacophyllus (Pall) D. C. Sedum fabaria Koch. S. aizoon L. Saxifraga bronchialis L. S. oppositifolia L. S stellaris L. . hieraciifolia Waldst. et Kit. nivalis L. . hireulus L. cernua L. . punctata L. (S. æstivalis Fisch. et Mey.). Mitella nuda L. Chrysosplenium alternifolium L. (coll.). Ribes fragrans Pall. R. nigrum L. R. procumbens Pall. R. glabellum (Trautv. et Mey.) Hedl. (R. rubrum L. + gl. Trautv. et Mey.). R. pubescens (Sw.) Hedl. (R. rubrum L. + p Sw.). Prunus padus L. + borealis (Schüb.) (Pr. petræa Tausch, P. padus + pubescens Reg. et Til.). Spiræa chamædryfolia L. + media (Schmidt). 1T alpina (Pall, ?). [0 7) t Un uU x nm Spiræa salicifolia L. + alpestris Pall. Sp. sorbifolia L. Sp. aruncus L. Ulmaria digitata (Willd.) (Spiræa palmata Pall.). Dryas octopetala L. Sieversia glacialis (Fisch.) R. Br. Geum rivale L. Rubus ideus L. + aculeatissimus Mey. (1 strigo- sus (Michx.) Max.). d R. saxatilis L. R. humulifolius Mey. R. arcticus L. R. chamæmorus L. Fragaria collina Ehrh. (?). Comarum palustre L. Potentilla rupestris L. P. asperrima Turez. P. nivea L. P. grandiflora L. (coll.). P. stipularis L. P. fruticosa L. Sanguisorba officinalis L. Rosa acicularis Lindl. Cotoneaster nigra (Ehrh.) Whlnb. Cratægus sanguinea Pall. Sorbus aucuparia L. Trifolium lupinaster L. Oxytropis uralensis D. C. Astragalus danicus Retz. A. fruticosus Pall. Hedysarum obscurum L. H. setigerum Turez. Phaca frigida L. Vicia pseudo-orobus Fisch. & Mey. V. cracca L. V. multicaulis Led. V. amena Fisch. Lathyrus paluster L. Orobus lathyroides L. O. vernus L. O. venosus Willd. O. humilis (Fisch.) Ser. Geranium eriostemon Fisch. G. albiflorum Led. G. pseudo-sibiricum Mey. Linum perenne L. + sibiricum (D. C.) Cham. Polygala vulgare L. P. sibiricum L. Tom. XXXII. Vegetation des Urwaldes am Lena-Fluss. 39 Euphorbia esula L. Empetrum nigrum L. Hypericum ascyron L. Viola uniflora L. V. biflora L. V. dactyloides R. & Sch. V. Gmeliniana R. & Sch. V. umbrosa (Whlnb.) Fr. (V. Selkirkii Gold.). V. Mauritii Tepl. (et aff). V. rupestris Schmidt. Epilobium angustifolium L. E. latifolium L. E. palustre L. (coll.). Ægopodium alpestre Led. Bupleurum spp. Phlojodiearpus villosus (Fisch. et Mey.) Turez. Pleurospermum austriacum (L.) Hoffm. Heracleum dissectum Led. Cornus sibirica Lodd. Pyrola rotundifolia L. + incarnata (Fisch.) D. C. P. minor L. P. uniflora L. P. secunda L. + obtusata Turcz. Ledum palustre L. Rhododendron dahuricum L. Myrtillus uliginosa (L.) Drej. Vaccinium vitis idea L. Oxycoceus paluster Pers. Arctostaphylus uva ursi (L.) Spreng. A. alpina (L.) Spreng. Cassandra calyeulata (L.) Don. Cassiope tetragona (L.) Don. C. ericoides (Pall) Don. Trientalis europæa L. Androsaces villosum L. A. septentrionale L. (incl. + laetiflorum (Pall) Trautv.). Cortusa Matthioli L. + sibirica (Andrz.). Menyanthes trifoliata L. Gentiana macrophylla Pall. Polemonium cœruleum L. Phlox sibirica L. Diapensia lapponica L. Pulmonaria mollis Wolff. Myosotis silvatica (Ehrh.) Hoffm. + suaveolens (Waldst. et Kit.). Thymus serpyllum L. Phlomis tuberosa L. N:o 3. Dracocephalus nutans L. Dr. Ruyschiana L. Dr. palmata Steph. Stachys paluster L. + baicalensis (Fisch.) Turcz. Linaria vulgaris Mill. + acutiloba (Fisch. Freyn). Veronica sibirica L. V. incana L. Castilleja pallida Kunth. Pedicularis lapponica L. P. euphrasioides Steph. P. resupinata L. P. rubens Steph. P. Langsdorfii Fisch. P. lanata Willd. Boschniakia glabra Mey. Utricularia vulgaris L. Plantago major L. (inel. Pl. asiatica L.). Pl. media L. Galium dahuricum Turez. G. boreale L. G. verum L. $ ruthenicum (Willd.). Sambucus racemosa L. Lonicera cœrulea L. Linnæa borealis L. Adoxa moschatellina L. Patrinia sibirica (L.) Juss. Valeriana capitata (Poll.) Link. Campanula rotundifolia L. C. glomerata L. C. punctata Lam. Aster alpinus L. Erigeron acer L. (coll.). Antennaria dieca (L.) Gærtn. Chrysanthemum sibiricum D. C. Tanacetum vulgare L. + boreale (Fisch.) Trautv. et Mey. Pyrethrum bipinnatum Willd. Artemisia sericea Web. A. sacrorum Led. A. laciniata Willd. (incl. + macrobotrys Led.). A. spp. Petasites frigidus (L.) Fr. P. glacialis (Led.). Arnica alpina Olin. Cineraria campestris Retz. (C. integrifolia (L.) Murr.). Saussurea denticulata Led. S. spp. 40 A. K. CAJANDER. Cirsium sp. Crepis præmorsa (L.) Tausch. Solidago virgaurea L. Cr. sibirica L. Scorzonera radiata Fisch. Hieracium umbellatum L. Taraxacum officinale Web. (coll.). H. virosum L. Hypochæris maculata L. H. sp. Youngia diversifolia Led. ACTA SOCIETATIS SCIENTIARUM FENNICÆ. TOM. XXXIL X 4. DIE SUMMA THEOLOGICA DES ANTONIN VON FLORENZ UND DIE SCHÄTZUNG DES WEIBES IM HEXENHAMMER Dr HJALMAR CROHNS DOZENT IN HELSINGFORS. | 6e L "we e. Bg NR | (ER - 1 d'à A PU | C08. Da. ^ A , LO. vc AGREE agn up ETC LT Moog SWEOES ae > e eh a : - E) « I JB ausgehende Mittelalter, die Zeit des hoffnungsfrohen Aufstrebens des Humanis- mus, ist zugleich die Zeit der Spätscholastik mit ihren Spitzfindigkeiten und Absurditäten und die Zeit der höchsten Entwickelung der wissenschaftlichen Askese. Lange noch, nachdem die Laienkultur und die Renaissancebildung den Kampf gegen die asketischen Ideale aufgenommen, blieb die Grundstimmung des sittlichen Denkens auf den verschie- densten Gebieten von diesen Idealen beherrscht. Ihre vornehmsten Träger waren die beiden Mönchsorden der Dominikaner und Franziskaner, die, zu Anfang des XIII Jahr- hunderts gegründet, die álteren Orden bald in den Schatten stellten und allmählich in ganz Europa sich verbreiteten. Es gab ja keinen nur einigermassen bedeutenden ge- lehrten Beruf, in den sie sich nicht eindrängten, keine Angelegenheit in Staat und Kirche, worein sie sich nicht mischten. Aus ihren Reihen gingen Prediger, Beichtväter, Moralisten, Kasuisten, Missionäre, Professoren und scholastische Philosophen hervor. Tief wurzelten auf allen Gebieten des Lebens die Vorurteile, welche sie ausbreiteten, ein. Stolz auf ihre „docta ignorantia^, die alles empirische Wissen zu Gunsten der Spe- kulation verwarf, machten diese grübelnden Asketen, welche schon von Jugend auf durch die Fesseln des Kirchensystems gebunden waren, sogar ihre ungesundesten Ein- fälle zu Objekten des Glaubens für ihr Zeitalter. „Sie herrschen tyrannisch in den Schulen“, sagt Erasmus, . . . „sprechen sich mit mehr als censorischer Strenge über das Glaubensbekenntnis aus: dieser ist Christ, jener Halbchrist, dieser Ketzer, je- ner Halbketzer; ihnen vertraut das Volk die geheimen Taten seines Lebens und seine geheimsten Gedanken an. Kein Fürstenbund, keine Ehe wird ohne ihre Teilnahme ge- schlossen . .. Man kann ohne sie nicht einmal sterben“ '). Mehr als auf anderen Gebieten befremden uns die Ansichten und Auslassungen dieser mönchischen Theologen über sexuelle Dinge, über das Weib, über ihr Seelen- und Gemütsleben. Cave mulierem! ist ihre Losung. Das Weib ist für sie das Geschüpf, das die Sünde in die Welt gebracht hat und noch immer das Werkzeug des Teufels zur Verführung des Mannes bildet. Auf mannigfaltigste Weise werden von ihnen diese und dergleichen Sätze entwickelt und kommentiert. Während die überschwengliche Schätzung der jungfräulichen Himmelskónigin sich immer exklusiver gestaltete, wurden alle Argumente zusammengebracht, um die Schlechtigkeit des irdischen Weïbes, besonders !) ERASMUS, Adagiorum chil., bei GIESELER, Kirchengesch., II 4, 290. 2 HJALMAR CROHNS. des seiner natürlichen Bestimmung folgenden Weibes, zu erweisen. Die Frauenverach- tung ist ja keine spezielle Eigentümlichkeit des christlichen Mittelalters. Die Anffassung von der Inferiorität des „schwachen Geschlechts“ geht weit zurück im Leben der Menschheit, so weit, als das Recht des Stärkeren geherrscht hat, gleichwie die An- sicht, dass die Frau wegen ihrer geschlechtlichen Verschiedenheit vom Manne für die- sen zugleich anreizend und gefährlich ist, sich in der frühesten Litteratur erkennen lässt, man möchte sagen so früh, als man überhaupt von einer solchen reden kann. Aber erst, seitdem die leitenden Persönlichkeiten der Kirche, der alleinherrschenden Macht auf geistigem Gebiet, Träger des Weiberhasses geworden, hat er eine weltgeschichtliche und tief verhängnisvolle Bedeutung in der kulturellen Entwickelung gewonnen. Man wäre oft geneigt, die Spekulationen dieser asketischen Autoritäten über die Ehe, irdische Liebe u. s. w. eher für einen brutalen Scherz zu nehmen. Aber es darf nicht vergessen werden, dass ihr ethisches Lehrsystem mit allen seinen Ausschreitungen einmal, d. h. in der Zeit, wo sie die einzigen anerkannt berechtigten geistigen Führer der Völker waren, furchtbarer Ernst gewesen, dass — um andere in diesem Zusammenhang weniger in Betracht kommende Konsequenzen ihres Weiberhasses zu übergehen — durch ihre Be- weisführung die Möglichkeit und „frevelhafte Bosheit“ der Hexerei „wissenschaftlich“ begründet und infolgedessen die grausamen Massenverfolgungen heraufbeschworen wur- den, durch welche man Tausende von wehrlosen Menschen einem qualvollen Tode über- antwortete '). Einen interessanten Beitrag zur Geschichte der Frauenverachtung bildet ein nach Form und Inhalt gleich ungeheuerliches Dokument in der Summa theologica Antonins von Florenz ^?) des gefeierten Lehrers der Ethik im ausgehenden Mittelalter. Dasselbe verdient deshalb besondere Beachtung, weil es eine Vorstellung gibt von der Art und Weise, wie die asketischen Eiferer ihr „Hüte dich vor dem Weibe“ begründeten, weil es sich auf eine Reihe der einflussreichsten und gelesensten älteren Schriftsteller des Zeit- alters stützt und so gewissermassen das Resultat der Entwickelung des Mittelalters in dieser Hinsicht zusammenfasst, endlich weil es den Übergang zu einem litterarischen Erzeugnis bildet, das die furchtbarsten Konsequenzen des Weiberhasses jener älteren Zeiten zieht und in einer Jahrhunderte langen Epoche unserer Zeitrechnung eine „Quelle unsäglichen Übels“ *) geworden ist. 1) Ich folge für die Entwickelung des Hexenwahns den ausgezeichneten Arbeiten von RIEZLER, S. v. Gesch. der Hexenprozesse in Bayern, Stuttgart 1896, und HANSEN, J., Zauberwahn, Inquisition und He- xenprozess im Mittelalter, München und Leipzig 1900; Ders. Quellen und Untersuchungen zur Gesch. des He- xenwahns und der Hexenverfolgung, Bonn 1901; Ders., in der Hist. Zeitschr. LXXXI (1898), 385 ff. Vergl. auch HiNscHIUS, P., System des Kirchenrechts VI, Berlin 1897, 397 ff. Auf diese Arbeiten verweise ich auch bezüglich des älteren volkstümlichen Glaubens an die Realität der Hexen, der ja keine spezielle Neuschöp- fung der Kirche bedeutet, sondern bis in das Altertum zurückdatiert. 2) Ich legte die Ausgabe Verona 1740 zu Grunde und bezeichne sie in den Anmerkungen S. T. Wo es notwendig schien, habe ich dazu noch die Auflagen Norimb. 1477—79, Venet. 1479—80, Lugd. 1516 und Venet. 1582 herangezogen. ») Ich kann mich mit den citierten Worten ausnahmsweise auf JANSSEN-PasTOR, Gesch. des deut- schen Volkes VIII, 557, beziehen. Dass sie ihrer Auffassung von der Bedeutung des Malleus nicht vollstän- dig Ausdruck geben, ist kaum notwendig hinzuzufügen. Tom. XXXII. Antonin v. Fl. und die Schätzung des Weibes im Hexenhammer. 3 g Dieses Elaborat ist ein alphabetisches Verzeichnis mit Erklärungen, in welchem nach den Lectiones super Ecclesiasten des Johannes Dominici „die Eigenheiten und ver- derblichen Eigenschaften“ der Weiber aufgezählt und erörtert werden. Antonin hat dem Schriftstück in seinem theologischen Werke einen Platz gegeben, damit, wie er sagt, „die 'amaritudo' d. h. die Bosheit des Weibes in volles Licht treten möchte“ und die Frauen „selbst das Alphabet ihren Schülern lehren könnten“. Johannes Dominici, dem also nach Antonin die eigentliche Vaterschaft des Do- kuments zukommt, wurde im Jahre 1357 in Florenz geboren '). Siebzehn Jahre alt trat er daselbst in ein Dominikanerkloster, wo er sich sowohl wegen seines Eifers für die Studien als auch durch seine asketischen Neigungen bemerkbar machte. Nach kurzem Aufenthalt an der Universität Paris kehrte er in sein Vaterland zurück und galt bald als eine wissenschaftliche Zierde seines Ordens. Mit grösster Energie und glänzendem Er- folge liess er sich auch an verschiedenen Orten Italiens, besonders in seiner Vaterstadt und in Venedig, die Aufgabe angelegen sein, die verfallene Zucht in den Klöstern der Predigerbrüder wiederherzustellen. Unter Gregor XII, der im Jahre 1406 den päpstlichen Stuhl bestieg, wurde Dominici zum Erzbischof von Ragusa erhoben und bald zum Kardinal kréiert. In der Folge erwählte ihn der Papst zu seinem Beichtvater und nächsten Vertrauensmann und entsandte ihn als seinen Delegierten zum Konzil nach Konstanz. 1419 starb er in Buda, wohin ihn Martin V, der ihn durch gleiches Vertrauen auszeichnete, als Legat gesandt hatte. 1832 wurde er selig gesprochen. Von seiner Bedeutung in der Geschichte des Dominikanerordens zeugt unter anderem der Umstand, dass man in der Reihe der Brustbilder im Kapitelsaale des St. Marco-Klosters in Florenz, durch welche Fra Angelico da Fiesole seinen Orden verherrlicht hat, das Bild zur Linken des Ordensstifters der Überlieferung zufolge als das des Dominici erklärte. Dominici hat sein theologisches Wissen und seine asketischen Ideen in einer An- zahl von Schriften niedergelegt. Ausser den genannten Erklärungen zum Prediger ken- nen wir von ihm eine Reihe Predigten und homiletische Schriften, einen Kommentar zum XIII Kap. des ersten Korintherbriefes unter dem Titel Dell’ amore di carità u. a., Abhandlungen über pädagogische und andere Fragen, wie Regola del governo di cura familiare, Locula noctis. Ferner hat er geistliche Lieder gedichtet und auch eine An- zahl Briefe hinterlassen, welche von besonderem Interesse sind wegen der Beleuchtung, die sie von der Art seiner Frömmigkeit geben *). 1) Bezüglich der Litteratur über Dominici vgl. CHEVALIER, Rép. I, 1187 und Suppl., 2673; dazu SAUERLAND, H., in Zeitschrift für Kirchengesch. IX (1888), 240 ff, und RósrER, P. Auc., Card. Johannes Dominici, Frei- burg i. B. 1893, ferner die Arbeiten und Hinweisungen unten Anm. 2. Die wichtigsten Nachrichten älteren Datums über Dom. verdanken wir Johann Caroli, Vita Dom., ACTA SANCTOR. II. Junii, 399—418, und dem genannten ANTONIN v. Florenz, Chronic. III, 471 und 683. *) Von den grósseren Arbeiten Dominicis wurde zuerst Dell' amore di carità gedruckt. Der ersten Auflage folgten im XVI Jahrh. vier andere und im Jahre 1889 noch eine (ed. CEnuTI, A., Bologna). Die Regola erschien im Jahre 1860 italienisch (ed. Sarvı, D, Firenze) und 1894 in verkürzter deutscher Über- setzung (RÖSLER, P. AUG., in Bibl der kathol Pädagogik VII). Das ausführlichste Verzeichnis der Schriften Dominicis gibt RÖSLER, Joh. Dom., 182 ff. Handschriften seiner Arbeiten finden sich vor allem in den Bi- bliotheken Chigi und Barberini in Rom, Marciana in Venedig, Riccardi und Laurentiana in Florenz. N:o 4. 4 HJALMAR CROHNS. Einen weit grösseren Ruhm als durch seine schriftstellerische Tätigkeit erwarb sich jedoch Dominici als Kanzelredner. „Auch verhärtete Herzen machte er durch seine Worte weich“, schreibt von ihm sein Schüler Antonin. Einige der Zuhörer erho- ben ihn „zu den - Wolken“, andere wiesen ihm einen „Platz unter den Teufeln an“, sagt er selbst von der Wirkung seiner Rede") Zu der späteren Kategorie sind ver- mutlich nicht wenige von denen zu zählen, gegen welche der strenge Sittenprediger seine Strafreden richtete, und welche mit der Excentricitit und dem asketischen Grund- zuge seiner Lehren und deren Wirkung unzufrieden waren. Deun der Geist der Askese ist es, der aus den Predigten Dominicis wie aus sei- nen Schriften überhaupt zu uns spricht. Besonders seine Briefe an die Nonnen des von ihm gegründeten Klosters Corpus Christi zu Venedig gehóren zu den klassischen Erzeug- nissen der asketischen Litteratur. „Stellet Euch“, schreibt er ihnen einmal), „auf die Fussspitzen (unterm Kreuze) mit ausgebreiteten Armen, um Christus, den Geliebten, zu umarmen, und wenn Ihr ihn umfasset, dann leget Euren Mund an seine Seitenwunde und trinket von der Fülle seines Blutes, bis der Durst Eurer Seele ganz gestillt ist.“ In einer Lobrede über einen verstorbenen Klosterbruder teilt er als Beweis der Sorge des Verstorbenen, seine Keuschheit zu bewahren, mit, dass er ,zum Beichthóren von Frauen, mit Ausnahme seiner Mutter und seiner Schwestern, nur unter dem Gebote des Gehorsams und unter Androhung von Busse zu bewegen war, wührend er sonst doch auch den schwierigsten Auftrag mit Freuden vollzog“ ?). Er behandelt in seiner Regola die besondere Art von Knechtschaft, die die Ehe seiner Ansicht nach mit sich bringt *), legt der Frau’), für die er die Schrift verfasst hat, ans Herz, ihre Kinder nicht zu umarmen oder zu küssen, weil sie sich dadurch an solche Liebkosungen gewöhnen, durch die sie später leicht zu Falle kommen können. Im Anschluss an Kap. VII Vers 26°) des Buches Jesu Sirach ermahnt er sie bezüglich ihres Sohnes, ihm nicht ein sol- ches Antlitz zu zeigen, dass er früher von Frauenliebe ergriffen werde, als er weiss, was sie bedeute. Dass Dominici in seinen Predigten besonders gegen den Luxus, die Leichtfertigkeit und „allzu grosse Freiheit" der Frauen geeifert hat, betonen seine Zeitgenossen ausdrücklich. 1) ANTONIN, Chronic. III, 682; vergl. SALVI, Regola, 238, ACTA SANCTOR. IT. Junii, 404. Biscıont, A., Lettere di santi e beati Fiorentini, Firenze 1736, 111. 2) BıscıonI, 125, RÖSLER, Joh. Dom., 34. ») Rugeïs, P., De rebus congregationis in prov. S. Dom., Venetiis 1751, 66. Vergl. RÖSLER. Joh. Dom., 21. +) „Il giogo della sposa*, Sauvı, 167—68, 175 ff; weshalb man auch, ,quando s'approssima il tempo della concupiscenzia“, die Jugend lehren möchte, ,quanto & bella cosa e cara la libertà ..e da quanti affanni & sciolto e miserie; le quali sa contare chi & in tale stato o fu,...* Vergl. die sehr charakteristischen Aus- führungen, wie verdienstlich und selbstverständlich es ist, dass eine Witwe sich nicht zum zweiten Male verehelicht. SALvı, 101 ff. 5) Bartholommea Alberti. *) Filiae tibi sunt? Serva corpus illarum, et non ostendas hilarem faciem tuam ad illas. Dominici, der diese Worte in seiner Regola italienisch wiedergibt, fügt noch die Fortsetzung, ,accio che non s'inna- morino della virile faccia“, hinzu. Sarvr, 144. Vergl. Bibl der Kath. Pädagogik VII, 34. *) „Levitates, lascivias atque omnis generis pompas.“ Acta Sanctor. II Junii, 405. Hier sei bemerkt, dass sich auch Widersprüche in der Beurteilung des weiblichen Geschlechts in Dominicis Schriften nach- Tom. XXXIL Antonin v. Fl. und die Schätzung des Weibes im Hexenhammer. 5 Es stimmt mit dem Obengesagten überein, dass Dominici in seiner Locula noctis den Kampf gegen den Humanismus aufnimmt, indem er die Gefahr hervorhebt, die be- sonders für die Jugend aus der Lektüre der heidnischen Schriftsteller erwachsen kónne, weil dieselben „sehr häufig auf Abwege und ins ewige Verderben führen“ '). So viel indes der fromme Eiferer die Studien der Alten beanstandet, so gibt er doch in seinen eigenen Schriften, wie so viele andere Männer der spätmittelalterlichen Kirche, ein Bei- spiel, wie die, die sich dem wachsenden Strome des Humanismus entgegenstemmten, oft mehr von der Anschauung und Auffassung der Alten aufgenommen haben, als sie selbst ahnten °). Die Lectiones super Ecclesiasten gehören der Zeit an, da Dominici in Venedig wirkte, und sind also in den letzten Jahrzehnten des XIV Jahrhunderts entstanden. Das Original selbst ist nicht wieder aufgefunden worden. Was wir darüber wissen, verdanken wir Dominicis Schüler Antonin von Florenz, der eifrig für die Annahme der asketischen Ideen seines Lehrers wirkte. Er hat uns neben anderen Auszügen aus dem genannten Werke?) auch die Gedanken Dominicis über die ,proprietates und ne- quitiae^ der Frauen mitgeteilt. Ob das Aktenstück *) ein wörtlicher Auszug aus dem Original ist oder eine von Antonin auf der Grundlage des Dominici zusammengetragene Kompilation, die natürlich dann von der speziellen Auffassung des Kompilators beeinflusst sein kann, lässt sich nicht entscheiden und ist in diesem Zusammenhang eine Frage von untergeordnetem Interesse. Seine geschichtliche Bedeutung hat das Aktenstück vor allem durch die Aufnahme in der Summa theologica des Antonin erhalten. Denn während die Lectiones super Ecclesiasten des Dominici ungedruckt blieben, gewann Antonins Werk grosse Verbreitung und hohes Ansehen in der ganzen katholischen Welt. Die Quellen, aus denen der Kommentar des Alphabets zusammengestellt ist, bil- den einen beträchtlichen Bruchteil der antiken und mittelalterlichen Litteratur, welche überhaupt als Grundlage der gelehrten und kirchlichen Bildung der letzten Jahrhunderte weisen lassen. So sagt er z. B. in seiner Regola, dass die Frauen ihre Keuschheit besser bewahren als die Männer und infolgedessen mehr Frauen als Männer selig werden. (Sarvr, 175—176). Vergl. hiemit die Reflexionen des Verfs. über den Grund der Schwäche und Unvollkommenheit der Weiber: Adamo fu di terra tratto, Eva di carne o vero d'osso umano; perd fu più fragile la femina che ‘1 maschio, e più di lunge dal natural fine, il quale & posto nella speculazione della verità intellettuale (SALvI, 138—139); dazu noch seine Ratschläge die Kleidung der Kinder betreffend: Colori onesti, tagli debiti . . . e cosi questo osserva nelle femine come ne’ maschi, o tanto più quanto quella più imperfetta natura n'è più vaga. SALVI, 137. Vergl. Brscrowt, 156. 1) ROSLER, Joh. Dom., 98, 101, 119. Vergl. 103, SALvI, 134—395. ?) Beispiele, wie Dom. selbst in seinen Schriften sich auf die Alten beruft, siehe bei ROSLER, Joh. Dom., 104, 108. Vergl. SALVI, 144; ANTONIN, Chronic. III, 682: Rarissime allegebat poétas, vel philosophos, cum (amen dogmata eorum in mente habebat (Kursiv. v. Verf). 3) Antonin nennt es mit rühmenden Worten in seiner Chronic. III, 682. Auszüge in seiner Summa, tom. I; 6t. 1,10 IV, Vie VI; tit. TI, .e. IX. *) Es steht nebst den einleitenden Worten Antonins (siehe unten) in keinem organischen Zusammen- hange mit dem Texte des Tractats, in den es aufgenommen ist, wie ja überhaupt beträchtliche Teile der Summa eigentlich eine Excerptensammlung sind. N:o 4. 6 HJALMAR CROHNS. des Mittelalters diente '): die Politica, Physica und Tierkunde des Aristoteles, das dem Theophrast zugeschriebene Liber de nuptiis ”), die sogenannten Sentenzen des Philoso- phen Secundus ^), die Komödien des Terenz, die Sprüche des älteren Seneka, die Tragö- dien des jüngeren Seneka, die Paradoxen Ciceros, die Metamorphosen des Ovid und des Apulejus und die unter dem Namen des Dionysius Cato bekannten Sprüche. Unter den Werken der christlichen Zeit sind ausser der Bibel die Institutionen des Lactantius, des „christlichen Cicero“, zu nennen, die Werke der Kirchenväter Origenes, Hieronymus und Chrysostomus oder die ihnen fälschlich zugeschriebenen Schriften *), verschiedene Heiligenlegenden, die Historien des Kirchenschriftstellers des V Jahrhunderts Orosius, die Predigten des Bischofs Petrus Chrysologus von Ravenna, die Sentenzen des Isidorus von Sevilla, das Speculum Historiale des ,helluo librorum*, Vincentius von Beauvais. Einen grossen Einfluss auf den Verfasser hat schliesslich die kleine Abhandlung Dis- suasio Valerii ad Rufinum ne uxorem ducat des englischen Klerikers, Staatsmannes und Dichters Walter Map ausgeübt, wie überhaupt die Schrift, die in Map's Arbeit De nu- gis curialium aufgenommen ist, eine betrüchtliche Rolle in der frauenfeindlichen Litteratur des Mittelalters gespielt hat °). Avidum animal, Monstruosum mendacium, Bestiale baratrum, Naufragii nutrix, Concupiscentia carnis, Opifex odii, Dolorosum duellum, Prima peccatrix, Aestuans aestus, Quietis quassatio, Falsa fides, Ruina regnorum, Garrulum guttur, Silva superbiae, Herinnys armata, Truculenta tyrannis, Invidiosus ignis, Vanitas vanitatum, Kalumniarum chaos, Xantia Xersis, Lepida lues, Ymago idolorum, Zelus Zelotypys, so lautet das monstróse Alphabet. Der Kommentar desselben steht ihm an Derbheit und Deutlichkeit nicht nach. ') Die Hinweisungen auf die Quellen sind, wie oft in der Litteratur dieser Zeit, sehr unvollständig. ?) D. h. der Auszug aus demselben, der in der Litteratur des Mittelalters von so bedeutendem Ein- Huss gewesen ist. Hinsichtlich der Echtheit der genannten Schrift siehe Bock, F., in Leipziger Studien zur class. Philologie 1899. 3) Siehe über ihn BACHMANN, J., Die Philosophie des Neopythagoreers Secundus, Berlin 1888, Ders., in Philologus XLVI (1888), 385 ff, dazu dessen Inauguraldiss. Das Leben und die Sentenzen des Philosophen Secundus, Halle 1887. *) Beeinflussung, besonders dureh die Schriften des Hieronymus, lässt sich auch oft erkennen, wo die Quellen nicht angegeben werden. 5) Für Chaucer und Johan de Meung (Roman de la Rose) siehe SkEAT, W., Works of Chaucer, Oxford 1894. Tom. XXXII. Antonin v. Fl. und die Schätzung des Weibes im Hexenhammer. 7 Das Weib ist also erstens Avidum animal: ein habgieriges Wesen, d. h. der Habsucht ergeben. Deshalb sagt Seneka in seinem Liber declamationum '), dass die Habsucht ein Frauenlaster sei. Sie sind kleinlich und hilflos, zumal sie wissen, dass sie ziemlich wenig erwerben können. Deshalb fürchten sie auch allzu sehr, es möchte ihnen das Notwendige mangeln, wie Saphira, die in der Besorgnis, dass ihr und ihrem Manne der nötige Lebensunterhalt ausgehen möchte, einen Teil des Geldes, das sie aus dem Verkauf des Ackers gelöst hatten, versteckte (Apostelgesch. Kap. V)?). Ovid ferner erzählt im vierten Buche seiner Metamorphosen, dass Dana, die Tochter des Akrisius, durch Gold verführt worden sei”), weil die Habsucht die Weiber zu jedem Übel verleite. Der zweite Buchstabe B bedeutet Bestiale baratrum insipidum: einen Abgrund tierischer Unvernunft. Was ist das Weib? In Kap. XI der Sprüche Salomons wird es ja gesagt: Fin Ring von Gold in der Nase eines Schweins ist ein schönes, doch törich- tes Weib *). Terenz meint, dass die Weiber fast so leichtsinnig wie Kinder sind °), und Lactantius, Instit. IIT ^), niemals habe ein Weib Philosophie verstanden, Themiste ausge- nommen. Der natürliche Grund besteht darin, dass das Weib, sinnlicher veranlagt als der Mann, sich weniger dem Geiste und geistigen Dingen zuwenden kann. Dies gibt sich schon kund, wenn die Weiber sich überhaupt mit Männern unterhalten. Sie schei- nen hinsichtlich des Intellekts gleichsam einer anderen Gattung anzugehören als der Mann. Der dritte Buchstabe C bezeichnet Carnalis concupiscentia, Fleischeslust, in der die Weiber unersättlich zu sein scheinen nach dem vorletzten Kap. der Sprüche Sa- lomons 7). Deshalb heisst es in Kap. XXXVI des Buches Jesu Sirach: Ein Weib wird jeden Mann annehmen). Und obgleich man das Gegenteil erwarten sollte nach dem, was Aristoteles im Buche XIV De animalibus ”) sagt: „das Weib ist kaltblütiger als der Mann“, weswegen es denn auch keuscher sein müsste, so verhält es sich doch tatsächlich gerade umgekehrt. Der Grund davon kann sein, dass das Weib unvollkommen ist und zum Manne strebt wie die Materie zu ihrer Form, wie Aristoteles im ersten Buche seiner Physica '^) lehrt, weil alles nach seiner Vollendung strebt und die Materie ihre Vollen- 1) Muliebrium vitiorum fundamentum avaritia est. SENEKA, Excerpta ex lib. II controv., decl. 7. Near 3) Anspielung, auf die bekannte Fabel von Danaë und dem Goldregen. S. T. hat auro fuisse cor- ruptam. Vergl. Ovrp, IV, 611: Persea, quem Pluvio Danaé conceperat auro. 3) V. 22. 5) TERENZ, Hecyra, Akt III, Scen 1. *) LACTANTIUS, pars I, lib. III, c. XXV. 7) Es folgen in S. T. die Worte Tria sunt insatiabilia, et quartum quod numquam dicit sufficit: Infer- nus, os, vulvae ete., die sich im 15 und 16 V. wiederfinden. Vulgata, Aufl. 1889—1901, Regensburg (Arndt), der ich nach Text und Übersetzung folge, wenn nichts anderes angegeben wird, hat die Lesart os vulvae. '5) V. 23. Ich gebe hier die Übersetzung LUTHERS, die offenbar besser mit dem Gedankengang des Verfs. übereinstimmt als die Arndts: „Das Weib muss mit jedem Manne vorlieb nehmen“. ALLIOL, J. v. kommt Luthers Übersetzung nahe: ,Das Weib nimmt mit jedem Manne vorlieb*. ?) Es wird ohne Zweifel Buch I, K. XIX De generatione animalium gemeint; vergl. Buch IV, K. VI. Mir lag die Inkunabel De natura animalium libri IX. De partibus animal libri IV. De generatione animal. libri V, Venetiis 1498 (interprete Th. Gaza), vor. 10) PK ENE N:o 4. 8 HJALMAR ÜRoHnS. dung durch die Form gewinnt. Beim Zeugungsakt nämlich ist das Weib so zu sagen Materialprinzip, der Mann Formalprincip. Der Wunsch des Weibes, beim Manne zu sein, ist also ein natürlicher. Jene ist keusch, mag einer sagen, die niemand begehrt hat. Aber wenn ein Weib sich nicht schämt, wird es selbst begehren. Sein angebornes Schamgefühl indes hält es zurück. Hat eine Frau dies verloren, so kann sie niemand zurückhalten. Ein Beispiel haben wir an der Frau des Potiphar, die den jungen Joseph zum Ehebruch drängen wollte. Dieser aber floh unter Zurücklassung seines Mantels. Denn es gibt keinen anderen Ausweg vor den Weibern als die Flucht. Der hl. Bern- hard?) rettete sich aus den Händen seiner Wirtin, die ihn zur Sünde reizte, indem er „Räuber“ schrie. Wie unersättlich die Frau in der Wollust ist, bezeugen noch die Erzählungen von Kleopatra, der Königin von Alexandria, die Geschichte der Semiramis, Königin der Assyrier, ferner die Worte des Apostels im ersten Kap. des Römerbriefes *). Der vierte Buchstabe D weist auf Dolorosum duellum: einen schmerzhaften Kampf zwischen Mann und Frau, hin, weil diese einen Gegensatz zum Manne bildet. Deshalb ist auch das Weib aus einer krummen Rippe geformt, d. h. von einem Knochen seiner Brust, der gekrümmt ist und mit seinem Wesen gleichsam kontrastiert. Man liest von jemand, dessen Frau in einem Flusse ertrunken war, dass er beim Suchen ihres Leichnams stromaufwärts geschritten sei und nach dem Grund gefragt, da doch schwere Körper abwärts nicht aufwärts gegen den Strom trieben, zur Antwort gegeben habe, er tue dies, weil seine Frau im Leben stets wider seine Worte und Aufträge gehandelt habe und er also annehmen müsse, dass sie auch gegen alle Regel nach dem Tode ihren wi- derspenstigen Willen beibehalten habe. Der Philosoph Sokrates antwortete auf die Frage, ob man ein Weib nehmen solle: „Heiratest du nicht, so steht dir kinderlose Einsam- keit, das Erlöschen deines Stammes und ein fremder Erbe in Aussicht; heiratest du aber, so hast du stete Unruhe, Jammer und Klagen, Vorwürfe über die Mitgift, die finsteren Gesichter ihrer Verwandten, die geschwätzige Zunge der Schwiegermutter, einen Nach- kommen durch Ehebruch *), das ungewisse Schicksal der Kinder zu gewärtigen“. Aus 1) Vergl. seine vita bei MiGNE, Patr. Lat. OLXXXV, 231. 2) Ich gebe die derbe Motivierung des Verfassers im Urtext wieder. Die Belege aus der Bibel können zugleich als Beispiel dafür dienen, wie willkürlich die Quellen benützt werden: Adeo insatiabilis luxuriae est, ut de Cleopatra Regina Alexandriae dicatur, quod in publico prostibulo omnibus se exponens recedebat laxata, sed non satiata. Et Semiramis, quae regnavit post Ninum virum ejus Regem Assyriorum, ita exarsit in libidinem, ut filium ejus duceret in maritum, a quo postea oceisa est. Justinus in I. (nach Epitoma historia- rum Philippicarum Pompei Trogi, lib. I, c. I). Sed et ut dicit apostolus ad Rom. I semine relicto naturali usu, feminae in feminas exarserunt in se turpitudinem operantes (Es sind die Verse 26 und 27 gemeint, die in der Aufl. der Vulgata 1901 lauten: Propterea tradidit illos Deus in passiones ignominiae. Nam feminae eorum immutaverunt naturalem usum in eum usum, qui est contra naturam. — Similiter autem et masculi, relicto naturali usu feminae, exarserunt in desideriis suis in invicem, masculi in masculos turpitudinem ope- rantes, et mercedem, quam oportuit, erroris sui in semetipsis recipientes). Nec contenta humana specie ali- quando etiam ad bruta convertitur. Ob quod scelus Dominus mandavit in lege: Mulier, quae suceubuerit Ju- mento, morte moriatur, et animal occidatur ad tollendam memoriam sceleris. Der Verfasser entnimmt diese Worte dem dritten Buche Mos, Kap. XX, V. 16. Der vorhergehende Vers desselben Kap. hat aber den Wortlaut: Qui cum jumento et pecore coierit, morte moriatur: pecus quoque occidite. Überhaupt werden im ganzen Kap. die beiden Geschlechter parallel behandelt. 3) Successor alieni matrimonii. Sämmtliche von mir benützten Ausg. haben diese Version. Tom. XXXII. Antonin v. Fl. und die Schätzung des Weibes im Hexenhammer. 9 Erfahrung hat er so gesprochen, denn wie der heilige Lehrer Hieronymus in seinem Buche gegen Jovinianus erzählt '), hatte Sokrates zwei Frauen, die er mit ausserordent- licher Geduld ertrug, ohne aber ihrem Schimpfen, Klagen und Schelten entgehen zu kónnen. Und als er eines Tages, als sie wieder gegen ihn keiften, um sich ihrem Schelten zu entziehen, aus dem Hause trat und sich vor demselben niedersetzte, gossen jene Wei- ber schmutziges Wasser auf ihn herab, worauf er mit unerschütterlicher Ruhe bemerkte: ,Ich wusste, dass auf Donner Regen folgen würde“. Mit dem fünften Buchstaben E wird die Frau Aestuans aestus: eine tobende Brandung von Zorn und Ungeduld genannt Denn wie die Fluten des Meeres immer wallen und wogen, so ist das Weib ganz und gar Unruhe ^), besonders wenn es jemand hasst, den es vorher geliebt hat. „Kein Zorn geht über Weiberzorn“, heisst es im Buche Jesu Sirach Kap. XXV ?). Und Seneka sagt in seiner siebenten Tragüdie *): ,Keine Macht des Feuers und des brausenden Windes ist so gross, nicht so furchtbar die Wucht des geschleuderten Geschosses wie der Zorn der verstossenen Gattin, die glühend liebt und hasst. Nicht wo der nebelige Südwind die winterlichen Regenschauer herantreibt und der Strom herabstürzt etc.“ Der sechste Buchstabe F besagt Falsa fides: Unglaube. Vielleicht zeigt dies schon die Etymologie des Wortes an: femina, femeno, d. h. geringer an Glauben ?). Es wird dies bereits beim ersten Weibe Eva klar, welche auf die Frage der Schlange, warum sie nicht von jedem Baume im Paradiese ässen, erwiderte: „Von jedem Baume etc., damit wir nicht etwa des Todes sterben“ °). Sie legte so Zweifel an den Worten Gottes an den Tag und schenkte ihnen keinen Glauben. Das Weib hat nach Matth. Kap. XXVI) sich bemüht, das bischen Treue, das Petrus noch hatte, zu ver- nichten, indem es ihn zweimal in der Gestalt einer Magd verleitete, Christus zu verleug- nen °). Solches Tun geht gewissermassen aus seiner natürlichen Veranlagung hervor. Denn weil es ein unvollkommenes Wesen ist, fürchtet es stets betrogen zu werden, weswegen es selbst betrügt. „Wenn ein Weib weint, so liegt nur Hinterlist in seinen Tränen“, sagt Cato"). Das sehen wir an der Frau des Samson, die ihn hartnäckig be- stürmte, ihr das Rätsel zu enthüllen, das er den Gefährten aufgegeben hatte, und dann, als ') HIERONYMUS adv. Jovinian, lib. I, XLVIII, bei MIGNE, Patr. Lat. XXIII, 278; vergl. Erasmus Apophtegmata, $ 59. *) Es wird wieder das Beispiel von der Frau Potiphars herangezogen, quae falso accusavit Joseph et incarcerare fecit, quia noluit sibi in scelus consentire adulterii. 3) s S 1) Es ist Medea gemeint; der Chor im III Akt. 5) Die Verff. des Malleus (siehe unten) haben nur die Erklärung a fe et minus. Die vollständige Version in S. T. bestätigt die Vermutung RrEzLERs (Hexenproc. in Bayern, 102, Anm. 2.), dass die Etymologie unter den spanischen Dominikanern (menos spanisch — weniger) entstanden ist. SEE MoSYRK IT AP EU: 2 Nis (099) cross *) Haec quantumeula fides remanserat in Petro, ut subverteretur, operam dedit, dum bis ancilla ad negandum Christum eum induxit. °) Caro, Disticha, lib. III, 20. N:o 4. [ov] 10 HJALMAR CROHNS. er es ihr erklärt hatte, ihn dadurch betrog, dass sie die Lösung denselben mitteilte (Buch der Richter Kap. XIV) '). Der siebente Buchstabe G führt auf Garrulum guttur: eine geschwätzige Zunge. „Ein beständig durchträufendes Dach ist ein zänkisches Weib“, heisst es in den Sprüchen Salomons (Kap. XIX)^) So stritten vor König Salomon zwei Weiber (Buch III der Kön. Kap. IIT)”). Der Philosoph "Theophrast sagt in seiner Darlegung der Be- schwerden, die ein Mann von seiner Frau zu erdulden hat”): „Ganze Nächte hindurch muss man geschwätziges Klagen anhören: "Jene geht reicher geschmückt, und ich Unglück- liche werde in der Gesellschaft der Frauen verachtet’ u. s. w.*^ In der Apostelgeschichte Kap. XIII wird uns erzählt, die treulosen Juden hätten die frommen Frauen gegen die Predigt des Paulus und Barnabas aufgereizt, damit sie ungünstig über sie sprächen °) und sie auf diese Weise aus ihrem Gebiet vertrieben ^). Der achte Buchstabe H deutet auf die Worte Herinis armata. Erinnys nann- ten die Dichter die Göttin der Zwietracht, gewissermassen eine höllische Furie 7). Chry- sostomus sagt in der Predigt „Wehe mir“: „Ich halte keine Bestie in der Welt mit einem bösen Weibe für vergleichbar. Welches vierfüssige Tier ist wilder als der Löwe, oder welche Schlange scheusslicher als der Drache? Aber Löwe und Drache stehen ihm nach an Bosheit. Die Löwen scheuten zurück vor Daniel in der Löwengrube. Die furchtbare Jezebel aber tötete den frommen Naboth. Der Walfisch bewahrte Jonas in seinem Bauche, Dalila hingegen umfing Samson mit ihren Reizen und lieferte ihn dann, nachdem sie ihn durch Scheren des Hauptes entstellt hatte, den Fremden aus. Drachen und gehörnte Schlangen legten ihre Wildheit ab und erbebten vor Johannes dem Täufer in der Wüste. Aber Herodias liess ihm das Haupt abschlagen und nahm das Leben eines so grossen Mannes als Belohnung für einen Tanz hin“ °). Mit dem neunten Buchstaben I ist /nvidiosus ignis: glühender Hass gemeint. Darf man ihn bei heiligen Frauen annehmen, so noch mehr bei den übrigen. Im ersten Buche Mos. Kap. XXI?) sehen wir ja, mit welchem Hass Sarah die Hagar nach ihrer Emp- 1). V. 16 ff. VERT: 3) AV 167 EF 3) Die Auszüge aus Theophrast, die sich bei verschiedenen mittelalterl. Schriftstellern finden, sind wahrscheinlich den Schriften des Hieronymus entnommen (in der Druckausgabe von Hieronymus' Werken bei MiGNE, Patr. Lat. XXIII, 276 ff). 5) scilicet quae (mulieres) eloquerentur de eis. 8) V. 50. 7) Der Verf. gibt Seneka Tragoedia 8 als Quelle an. Quam superba vincit Erinnys, heisst es fer- ner, tu nudas semper domos comitas. Die oben S. 2, Anm. 2, genannten Ausgaben haben dieselbe Version. Der Text ist offenbar korrumpiert. Es kommen ohne Zweifel die Verse in Agamemnon, Akt I, Chor Argivar. in Frage: Quaeque superbos urit Erinnys, Nimias semper comitata domos. *) CHRYSOSTOMUS, In decollationem Baptistae Johannis et in Herodiadem, bei MIGNE, Patr. Graec. LIX, 486 (unter den SPURIEN). Der Text bei Migne (wie auch der griechische bei SAVILE, VII, 545) hat die ein- leitenden Worte von S. T. „Wehe mir“ nicht und ist auch sonst vom Text Antonins in Einzelheiten verschie- den. Mehr stimmen mit dem Text von S. T. die Ausg. Antwerp. 1614 (Fronton du Duc), tom. II, 480, und die Ausg. Basil. 1530, tom. II, 342, überein. Altere Drucke waren mir nicht zugänglich. Oy NEL auis Tom. XXXII. Antonin v. Fl. und die Schätzung des Weibes im Hexenhammer Il fängnis verfolgte; in Kap. XXX !), mit welcher Scheelsucht Rachel auf Lea blickte, weil sie nicht Söhne hatte wie jene. Das erste Buch der Könige Kap. I”) erzählt uns von dem gehässigen Neide, den Anna gegen Phenenna hegte, da sie selbst unfruchtbar war. Das vierte Buch Mos. Kap. XII?) schildert, wie Maria Moses hasste wegen der Ethio- pierin, wie sie gegen ihn murrte und ihn herabsetzte. Wie sehr endlich Martha die Magdalena beneidete, die, zu den Füssen des Herrn sitzend, dessen Worten lauschte, während sie selbst die Bewirtung besorgte, erfahren wir aus Kap. X des Lukas-Evange- liums *). Daher heisst es im Buche Jesu Sirach Kap. XXXVIL°): „Sprich mit einem Weibe über ihre Nebenbuhlerinnen“, womit gemeint ist: „Sprich nicht mit ihr, weil Ei- fersucht, d. h. Neid stets das schlimm veranlagte Weib beherrscht“. Dazu kommt, dass Frauen bisweilen dafür Sorge tragen, dass die, gegen welche ihre Eifersucht sich rich- tet, durch Zauberei zu Schaden kommen. Der zehnte Buchstabe K bezeichnet Kalumniarum chaos: ein regelloses Gemisch von Nörgelei und Zank. Aristoteles sagt in seiner Politica III dass, wenn ein Weib Beredsamkeit besitzt, dies nicht einer besonderen Tüchtigkeit, sondern ihrer Schwatz- haftigkeit und dem Umstand zuzuschreiben ist, dass es von Natur aus ein zungenfertiges Geschöpf ist"). Und der Apostel spricht in seinem ersten Briefe an Thimoteus Kap. V 7) von Weibern, welche äusserlich den Eindruck der Heiligkeit erwecken, dennoch aber in den Häusern herumlaufen lernen und nicht nur müssig, sondern auch ge- schwätzig reden, was sich nicht ziemt. Darum sagt auch ein verbreitetes Sprichwort, dass, wer etwas an die Öffentlichkeit bringen will, es nur einer Frau zu sagen braucht, da sie es in ihrer Geschwätzigkeit bald allen mitteilen wird. Der elfte Buchstabe L gemahnt an die Worte Lepida lues: eine lustige Seuche ist die Frau; denn sie weckt Wonne und Qual zugleich. Deshalb vergleicht man die Stimme der Weiber mit dem Gesang der Sirenen, die durch ihre liebliche Melodie die Vorbeisegelnden an sich locken, um sie schliesslich zu töten. Die Weiber leeren unsere Börsen, benehmen uns die Kräfte und zwingen uns, Gott zu vergessen. „Süss ist der Genuss“, sagt Valerius zu Rufinus”), „aber es sticht die Schuld. Die Rose ist die 3 we. 1l 3) Ns oae Sy V. 17,08 *) V. 38 ff. 5) V. 12. S. T. hat de his, quae aemnlatur, Arndt de ea. 5) Dicit Philosophus, quod si mulier sit eloquens, non est virtuti ascribendum, sed loquacitati, 3 Politicorum, quasi dicat, quod de sui natura est animal loquax. Ich konnte den Passus in den mir zugäng- lichen Ausgaben von Aristoteles Politica nicht finden. Vergleiche aber: viri et mulieris alia temperantia et fortitudo; videbitur enim utique vir timidus esse, si sic fortis fuerit sicut mulier fortis, et mulier loquax, si sic ornata fuerit sicut vir bonus (De Republica, lib. III, c. III, und dazu lib. I, c. VII. Mir lag von den älteren Drucken die Inkunabel Libri politicorum Aristotelis (cum comment. Johannis Versoris Colon. 1492) und die Ausg. Paris 1511 (comm. Jac. Fabri) vor. Die letztere hat mulier inhonesta videretur, si sic honesta foret, ut vir honestus. S. 37 verso. EVE: s) Die obengenannte Schrift von Map ist gedruckt in Hieronymus” Scripta supposita bei MIGNE, Patr. Lat. XXX, 254 ff; der citierte Passus S. 259. N:o 4. 12. HJALMAR CROHNS. Blume der Liebesgöttin, weil unter ihrem Purpur so viele Stacheln sich verbergen.“ Und im V Kap. der Sprüche Salomons lesen wir: „Glätter als Öl ist ihr Gaumen, d. h. ihre Rede, aber zuletzt ist sie bitter wie Wermut“ +). Der zwölfte Buchstabe M bedeutet Monstruosum mendacium: ein lügenhaftes Ungetüm. Der schon genannte Valerius sagt zu Rufinus *): „Eine Chimäre ist das Weib, ein dreigestaltiges Scheusal, mit einem Lówenkopf geschmückt, durch den riechen- den Leibder Ziege verunstaltet und bewehrt mit giftigem Schlangenschwanz“. Er will damit sagen, dass die Frau schón von Angesicht ist, aber ekelerregend bei der Be- rührung und die Unterhaltung mit ihr todbringend. Da das Weib von Natur aus lügnerisch veranlagt ist, so ist auch seine Rede eitel Lüge. Besser als der Mann versteht es Lügen zu erfinden und sie schün zu färben, hat sie auch augenblicklich zur Hand, wie Sara (I Mos. Kap. XVIII) ?), als sie den Engel anlog, sie habe nicht gelacht, wie die hebräischen Weiber Sephora und Phua Pharao gegenüber (II Mos. Kap. I)*), wie Raab aus Jericho (Jos. Kap. II)?) wie Michol gegen ihren Vater Saul, als dieser David suchte, um ihn zu töten (I Buch der Kön. Kap. XIX) ), wie Saphira wider Petrus (Apostelgesch. Kap. V)*). Sie lügen täglich, und was schlimmer ist: sie glau- ben, dass sie dabei nicht sündigen, so bald sie es thun, um Aergernis zu vermeiden, während doch der hl. Isidorus sagt: Jede Lüge ist Sünde °). Der dreizehnte Buchstabe N weist auf Naufragium vitae: Schiftbruch des Lebens hin. Daher sagt der Philosoph Secundus: „Die Frau ist die Verwirrung des Mannes, ein unersättliches Tier, seine immerwährende Unruhe, eine unaufhörliche Ur- sache des Streites, sein Untergang, wenn er seine Leidenschaften nicht beherrscht. Sie ist die menschliche Sklaverei“ ^). Und Origenes nennt, im Anschluss an die Erzählung bei Matthäus Kap. XV '") von dem kananäischen Weibe, das Weib die Waffe des T'eu- 1) V. 3 und 4. Daran schliesst sich folgende Geschichte aus der Vita des Thomas v. Aquino: Per hanc quaesierunt consanguinei S. Thomae de Aquino pervertere mentem ejus a proposito religionis, mittentes ad eum in cameram strictam puellam pulchram suggestricem libidinis, sed puer sanctus a Deo confortatus viriliter restitit, titione ignis in camera exsistentis assumto in manu, eam de camera expulit. Vergl. ACTA SANCTOR. Martii I, 661. 2) MiGNE, Patr. Lat. XXX, 255. 3) V. 15. CY we ka ink 2j WE PA e Gy NS alla DVB: 8) IsrpoRus, Sententiarum lib. II, c. XXX; MIGNE, Patr. Lat. LXXXIII, 632. °) Et de isto (Secundus) — so wird ferner mitgeteilt, um die Unersättlichkeit der fleischlichen Begier- den der Frau zu beweisen — narrat Vincentius in Speculo historiali, quod revertens a studio in civitatem suam, quum audisset multa de incontinentia mulierum, voluit hoc experiri de matre sua, unde in habitu transfor- mato, ut peregrinus accessit ad domum matris, quae hospita erat, et quum promisisset sibi certam pecuniam, ut dormiret cum ea, et illa acquievisset, de nocte quum illa provocaret eum ad opus nefarium, ille manifesta- vit se filium suum, ex quo illa erubuit, ut mortua sit prae confusione. Vergl. VINCENTIUS, Speculum majus Tom IV (Spec. hist. lib X, e. LXX). Mir lag die Ausgabe Venetiis 1591 vor. Offenbar hat der Verf. auch für den oben im Text angeführten Spruch Vincentius als Quelle benutzt. Vergl. Vınc., lib. X, c. LXXI. SVANS Pr Tom. XXXII. Antonin v. Fl. und die Schätzung des Weibes im Hexenhammer. 13 fels, den Anfang der Sünde, die Mutter der Schuld, die Ursache der Übertretung des göttlichen Gebotes und der Vertreibung aus dem Paradiese '). Der vierzehnte Buchstabe O bedeutet Od opifex: des Hasses Handlangerin. „Keinen Freund“, sagt Theophrast °), „können wir haben, keinen Genossen. In der Liebe zu einem anderen argwöhnt sie Hass gegen sich selbst“. Und wie hasst das Weib, welcher Hass ist das nicht! Ihr Hass ist unübertrefflich und erstreckt sich weit. Daher äussert sich Valerius gegen Rufinus?): „Mache den Versuch! Das Weib wagt alles, wenn es liebt und hasst, und ist erfinderisch, wenn es Schaden stiften will“ *). Der fünfzehnte Buchstabe P besagt Prima peccatrix: Quelle der Sünde. Petrus Ravennas sagt in seinem Sermo resurrectionis: „Der Ursprung der Sünde, die Schöpferin des Übels, der Weg des Todes, der Name des Grabes, die Pforte der Hölle, die Notwen- digkeit des Jammers ist das Weib“ ^). Daher trat der Teufel lieber an das Weib heran, um es zu versuchen, als an den Mann, da er ihr nämlich weniger Verstand und Urteilsfáhigkeit zutraute als dem Manne. Sie\fiel, und damit nicht zufrieden, riss sie auch den Mann mit ins Verderben. Der sechzehnte Buchstabe Q bezeichnet das Weib als Quietis quassatio: Störung der Ruhe. Valerius erzählt °), dass Phoroneus, ein griechischer König, am Tage seines Todes zu seinem Bruder Leontius gesprochen habe: „Zum höchsten Glücke hätte mir nichts gefehlt, wenn mir nur immer eine Frau gefehlt hätte“. Als Leontius fragte, inwiefern eine Frau ein Hindernis dafür wäre, gab er zur Antwort: „Alle Ehemänner wissen es“. Und Cato Uticensis meint: „Wenn die Welt ohne Weiber sein könnte, so würden wir des Verkehrs mit den Güttern nicht entbehren*. Cicero antwortete auf die Frage, warum er seine Frau verstossen habe, er kónne sich nicht einem Weibe und der Philosophie zugleich widmen. Eine Ursache, weshalb Plato mehr als andere heid- nische Philosophen über das Göttliche geschrieben hat, ist auch die, dass er niemals eine Frau berührte, sondern immer jungfräulich blieb. Der siebenzehnte Buchstabe R charakterisiert die Frau als Regnorum ruina: den Ruin der Staaten, „wenn sie nämlich böse ist“ 7). Forschen wir, so weit Menschendenken reicht, zurück, so werden wir finden, dass beinahe alle Reiche der Welt durch Weiber- 1) Das Citat geht auf die wegen ihrer Echtheit so lange umstrittene Hom. VII zurück. Die Worte finden sich in der Ausgabe Paris 1574 in Tom. II, 287. Auch hier ist die Art, wie im Kommentar des S. T. die Quellen benutzt werden, charakteristisch. Der Text in Hom. VII lautet: Et ecce mulier, caput peccati, arma diaboli, expulsio paradisi, delicti mater, corruptio legis antiquae (S. T. hat transgressio legis divinae); et ecce mulier veniebat ad dominum Jesum. Mulier Chananaea, mulier alienigena, de gentibus novella plan- tatio. Mirum negotium: Judaei fugiunt, Chananaea sequitur, domestici derelinqunt, alienigena haeret, jungere et proximare cupit. So auch die Ausgabe Paris 1512 (Jac. Merlin) tom II, f. 126. Ältere Drucke waren mir nicht zugänglich. 2) MiGNE, Patr. Lat. XXIII, 276—77. S. T. hat Alterius amore, der Text bei Migne alterius amorem. 3) MIGNE, Patr. Lat. XXX, 259. *) Auch hier wird zum Beweise, dass dies stets der Fall ist, im Text des S. T. das Beispiel von der Herodias, ,quae insidiabatur Joanni et ex odio ad eum procuravit mortem ejus*, noch einmal herangezogen. 5 PETRUS CHRYSOLOGUS, Sermo LXXIX; bei MIGNE, Patr. Lat. LII, 423. S. T. hat peccati caussa, mali author; Migne mali caussa peccati author. 6) MIGNE, Patr. Lat. XXX, 257. 7) Der Verfasser hält es merkwürdigerweise für notwendig, hier diese Bedingung einzuschieben. N:o 4, 14 HJALMAR CROHNS. schuld vernichtet worden sind. Zuerst wurde das glückliche Troja, wegen des Raubes eines Weibes, der Helena, zerstört, und Tausende von Griechen fielen. Das Reich Israel, hatte viel Unglück, Übel und Verhängnis wegen der verruchten Königin Jezebel und ihrer Tochter Athalia, der Königin im Reiche Juda, auszustehen, welche letztere be- kanntlich alle ihre Enkel nach dem Tode ihres Sohnes erschlagen liess, um selbst auf den Tron zu kommen. Aber: beide starben selber eines gewaltsamen Todes. Ebenso hatte das Rómerreich eines sittenlosen Weibes, der Königin Cleopatra von Aegypten wegen viel Unheil zu erdulden; und solche Beispiele liessen sich noch mehr anführen. Der achtzehnte Buchstabe S führt auf Superbiae silva: die Fülle der Hoffart. Des- halb ruft Chrysostomus aus: „Unheil über Unheil ist ein böses Weib, ob sie arm ist oder reich. Ist sie verheiratet, so hört sie Tag und Nacht nicht auf, ihren Mann mit leiden- schaftlichen Worten zu reizen, bisweilen nichtswürdig schmeichelnd, bisweilen heftig und ungestüm. Hat sie einen armen Mann, so lässt sie nicht nach, ihn zu Zorn und Zank aufzustacheln. Wenn sie Witwe ist, so sieht sie mit Verachtung auf alle herab und lässt sich im Hochmutsdünkel zu allerlei Vermessenheit hinreissen“ '). Nach dem neunzehnten Buchstaben T ist das Weib Truculenta tyrannis: eine grimmige Tyrannei. „Wenn du einer Frau dein ganzes Haus überlässest“, sagt Theo- phrast *), „so musst doch auch du ihr noch dienen. Behältst du etwas für dich, ob Wichtiges oder auch das Unwichtigste, so vermeint sie, man hege gegen sie kein Ver- trauen. Sie veranlasst Zänkerei, und wenn du nicht nachgibst, so bereitet sie Gift, geht mit Wahrsagern und Opferschauern zu Rate“. Was Weiberherrschaft ist, darüber mag man Cicero in seinen Paradoxen hören: „Soll der etwa für frei gelten, den ein Weib beherrscht, dem es Gesetze auferlegt, dem es vorschreibt, gebietet, verbietet, was ihm gut dünkt; jener, der nichts zu versagen vermag oder wagt, wenn es fordert? Ich bin der Ansicht, er sei nicht nur ein Sklave, sondern der nichtswürdigste unter den Sklaven zu nennen, auch wenn er aus hochedler Familie stammt“ ?). Mit dem zwanzigsten Buchstaben V wird ausgedrückt Vanitas vanitatum: Eitel- keit der Fitelkeiten (das ist jedermann sattsam bekannt). Es gibt wohl nicht einen Mann auf der Welt, der dem gütigen Gott so sehr zu gefallen strebt, wie das Weib mit seinem eitlen Treiben den Männern zu gefallen trachtet. Ein Beispiel bietet das Leben der hl. Pelagia, die, als sie noch den Weltfreuden ergeben war, ihren Schmuck in den 1) Vergl. MIGNE, Patr. Graec. LIX, 487, und oben S. 10 Anm. 8. Der Gedankengang ist auch hier, wie in der Ausgabe v. Fr. du Duc vollständiger durchgeführt als in S. T. Er lautet bei Migne: O malum, omni malo pejus mulier mala! Si inops sit, malitia ditatur; si facultates habeat malitiae cooperantes, duplex est ma- lum, intolerabile animal, incurabilis morbus, immanis fera . . . Si principis uxor sit, nocte dieque virum ad necem dolo inferandum excitat, ut Herodias Herodem; si pauperem virum habeat, ad rixas et pugnas ipsum concitat; si vidua sit, ipsa sola omnes dedecore afficit. 2) Vergl MIGNE, Patr. Lat. XXIII, 277 . . . fidem sibi haberi non putabit; sed in odium vertetur ac jurgia, et nisi cito consulueris, parabit venena. Anus et aruspices et hariolos . . . si intromiseris, periculum pudicitiae est. Die Inkunabel Basil. 1497 (t. I, pars I, cap. XXVIII) hat dieselbe Version. Der Text in S. T: fidem sibi adhiberi non putabit et jurgia concitat, et nisi cito consulueris, parat venena, aruspices et ariolos consulit. 3) CICERO, Paradoxon V, cap. IL. Tom. XXXII. Antonin v. Fl. und die Schätzung des Weibes im Hexenhammer. 15 Strassen Antiochiens so auffallend zur Schau trug, dass ein frommer Vater namens Nonnus bei ihrem Anblick in Tränen ausbrach und zu seinen Gefährten sprach, dass er niemals in seinem ganzen Leben sich so viel Mühe gegeben habe, Gott gefällig zu sein. Durch seine Redegabe wurde denn auch schliesslich Pelagia bekehrt '). Der einundzwanzigste Buchstabe X erinnert an Xantia Xersis: des Xerxes Lei- denschaften und Ungestüm. Dieser kam nach Orosius ^) mit einem fast unzühlbaren Heere nach Griechenland, voll der grüssten Entwürfe, wurde aber, weil er sie regellos und verworren verfolgte, von einem kleinen Heer der Griechen unter Leonidas über- wunden. So besitzen auch die Frauen den Fehler, dass sie sich nicht beherrschen wol- len, sondern alles in rasender Hast betreiben und ihren Einfállen folgen ohne ein Fünkchen Pflichtgefühl. „Wie, du zauderst, meine Seele“, sagt Seneka in der Person der rasenden Medea), „einem glücklichen Antrieb zu folgen? Wie grausam muss denn die Rache sein, wenn sie dich befriedigen soll?“ Er legt hier besondern Wert darauf, zu zeigen, dass die Frau sich nicht beherrschen will, sondern nach plötzlichem Einfall vorgeht, sogar zu ihrem eigenen Schaden, wie man von vielen Weibern liest, dass sie Selbstmord begangen haben aus Liebesgram oder Schmerz über die Unmöglichkeit sich zu rüchen. Nach dem zweiundzwanzigsten Buchstaben Y ist die Frau Ymago idolorum, ein Götzenbild; denn wie ein Götzenbild gemalt und geschmückt wird, so malt und ziert sie sich. Nicht einmal der Tempel Gottes wird so sehr mit Gold und kostbaren Steinen geschmückt, wie das armselige Weib. Auch in der Hinsicht ist es ymago idolorum, weil es in grüsserem Massstabe Götzen dient als irgend ein anderes Geschöpf, und weil es zur Zauberei greift. Was soll ich sagen von der Macht, die die Weiber durch ihre Zauberkünste und ihre Magie besitzen? Apulejus erzählt in seinem Asinus au- reus von der Zauberin Meroé, dass sie den Himmel herniederlassen, die Erde emporheben, die Quellen leeren, die Götter ihrer Macht berauben, die Manen heraufbannen, die Gestirne auslóschen und den Tartarus selbst erleuchten kann *). Auch im Kap. XXVIII ?) des ersten Buches der Künige lesen wir von einer Wahrsagerin, dass sie der Aufforde- rung Sauls gemäss Samuel auferstehen liess; von der Zauberin Ciree sodann ist bekannt, dass sie durch einen Trank Menschen in Tiere verwandelte. Deswegen sagt Lukan: „Die Seele geht durch Zauberei zu Grunde, obgleich sie durch kein Wüten eines Gift- tranks Schaden nimmt“°). Kein Wunder! Der Teufel besticht durch solche Zauber- künste mehr die Weiber als die Männer. 1) ACTA SANCTOR. Oct. IV, 248 ff, 252 ff. De S. Pelagia poenitente Hierosolymis. Der Text in S. T. hat Nonus. ?) Orosıus, Historiarum lib. II, c. IX—X; bei MiGNE, Patr. Lat. XXXI, 765 ff. Die Version des Orosius ist natürlich unrichtig. 3) SENEKA, Medea, Akt. V, Scen 1. - 1) S. T. hat fontes haurire, deos infirmare; neuere Auflagen (vergl. Apuleius, Met., Lips., 1897, (Teubner) I, S. 7.): fontes haurire, montes diluere, manes sublimare, deos infimare; die Inkunabel Bononia 1500 (comm. Philippo Beroaldo), die mir vorlag, hat infirmare. I. S. 14. DE ane, 5) Mens hausti nulla sanie polluta veneni incanata perit. 26, quaestio 5. Die Worte stehen in den Ausgaben Norimb. 1477—79, Lugd. 1516 und Venet. 1582 der Summa theol Die Ausg. Verona 1740 hat N:o 4. 16 HJALMAR CROHNS. Der dreiundzwanzigste und letzte Buchstabe Z kennzeichnet das Weib als Zelus Zelotypus: Urbild der Eifersucht. Eifersucht beherrscht es durch und durch. So erzählt Hieronymus in seiner Schrift über Daniel, dass Laodice, die Gemahlin des Antiochus, des Königs von Syrien, Gift nahm, in eifersüchtiger Besorgnis, derselbe möchte der Be- renice, die gleichfalls seine Gemahlin war, mehr Liebe zuwenden als ihr. Aber sie er- reichte auch, dass Berenice und ihr Sohn auf Befehl des Antiochus getötet wurden '). „Sei nicht eifersüchtig“, sagt Jesu Sirach Kap. IX, „auf das Weib an deinem Busen, damit sie die böse Lehre, die du ihr gibst, nicht gegen dich übe“ *). Denn es heisst: „Alle Bosheit ist gering gegen die Bosheit eines Weibes“. Und weil Salomon mit allzu glühender Liebe sich den Weibern hingab, lernte er von ihnen ihre Schlechtigkeit und liess sich, von Liebe zu ihnen betört, dahin bringen, ihren Götzen zu huldigen ?). Der Kommentar des Alphabets wird mit einigen rühmenden Worten über die gottesfürchtigen Weiber abgeschlossen, mit einem Hinweis auf das letzte Kap. der Sprü- che Salomons — „das goldene Alphabet der Frauen“ wie man es heisst ^) — und auf die „Virgo gloriosa Maria“, die „nicht nur alle Weiber, sondern auch alle Männer und Engel an Heiligkeit übertraf“, und zu der daher die Worte „Du bist gebenedeit unter den Weibern“ gesprochen wurden. Der Segen, den Maria in die Welt brachte, hat ja, wie Hieronymus lehrt, alles das aufgehoben, was an Unheil der Fluch der Eva, „die Ursache dieses Alphabets“, nach sich zog. Daher wird den Weibern ihretwegen und um ihrer Nachfolgerinnen willen im alten Testament Übles nachgesagt, im neuen dagegen wegen der Maria viel Gutes. Auch offenbarte sich ja Christus nach seiner Auferstehung zuerst seiner Mutter und dann der Magdalena, die (ihn) mehr (als die anderen) liebte °). Diese abschliessenden Worte können den Eindruck des absurdesten Weiberhasses nicht abschwächen, den das Alphabet gewährt, und den wir bereits bei der Lektüre der Einleitung, mit welcher Antonin das Ganze versehen hat, empfangen haben. Hier citiert und kommentiert er hauptsächlich V. 27 des VII Kapitels des Predigers: Ich fand, dass bitterer als der Tod ein Weib ist, welches ein Fanggarn ist, dessen Herz ein Netz ist und dessen Hände Fesseln sind. Wer Gott gefällt, wird ihr entkommen °), wer Manes hausti nulla etc; die Ausg. Venet. 1479—80 Mens nulla etc. Bei Lukan konnte ich den Satz nicht finden. In der Tat lässt ja auch schon die Quellenangabe auf einen anderen Gewährsmann schliessen. 1) Die Version in S. T. ist offenbar unrichtig. Der Text bei Hieronymus (Commentariorum in Danie- lem liber, cap. XI) lautet: Antiochus autem Berenicen consortem regni habere se dicens et Laodicen in con- cubinae locum, post multum temporis amore superatus, Laodicen cum liberis suis redueit in regiam. Quae, metuens ambiguum viri animum, ne Berenicen reduceret, virum per ministros veneno interfecit, Berenicen autem cum filio . .. occidendam tradidit. MIGNE, Patr. Lat. XXV, 560. Die von Erasmus besorgte Ausgabe (Basil. 1516, tom. V, 281 verso), hat dieselbe Version wie Migne. Ältere Drucke standen mir nicht zu Gebote. 2) Vp: *) Vergl. Dominicr in der Regola, SALvI, 142: Se Salomone non fusse stato da picciolo allevato ne’ carnali desiderj, non arebbe in dodici anni avuto figliuolo e in trenta partorito idolatra (Salvi idolatria) sov- verso dall' amore feminile. *) Der Vers 10 und die folgenden fangen im Hebräischen jeder mit einem anderen Buchstaben des Alphabets an; daher der Name. 8 5) Der Text hat quae plus amabat. *) S. T. hat fugiet, Vulg. effugiet. Arndt und Allioli übersetzen entkommen (Luther entrinnen). Tom. XXXII. Antonin v. Fl. und die Schätzung des Weibes im Hexenhammer. 17 aber ein Sünder ist, wird von ihr gefangen werden. „Die Frau wird deswegen bitterer als der Tod genannt“, erklärt Antonin, „weil der natürliche Tod den Leib, die Schuld aber, die ihren ersten Ursprung in Eva hatte, die Seele tötet, da sie uns der Gnade beraubt; sie ist daher auch die eigentliche Ursache des körperlichen Todes“ '). Auch deswegen heisst man die Frau bitterer und gefährlicher als den Tod, weil der kórper- liche Tod ein offener schrecklicher Feind ist, die Frau dagegen ein verführerischer und versteckter. Sie wird ein Fanggarn der Jäger”), das ist der Dämonen genannt. mit welchem diese die Vögel und Tiere des Waldes, mit anderen Worten die Beschaulichen und Einsiedler fangen, durch Betören des Gesichtssinnes, wie bei David und vielen Ere- miten, oder des Ohres, wie bei Adam *). Bernhard sagt, dass die Stimme der Frau ein Zischen der Schlange ist”) und der Prophet Habakuk: „Ihr Angesicht ist wie ein Glut- wind* ^). Ein Netz wird ihr Herz genannt, d. h. die Leidenschaft für das Weib ist ein Fallstrick. Dadurch werden die Fische — die Menschen, die im Meere der Genüsse schwimmen — gefangen. Denn „alles zieht er“, nämlich der Teufel, „mit der Angel empor“, sagt Habakuk°). Allzu grosse Liebe zu seiner Halbschwester Thamar brachte Aamon dahin, sie gegen ihren Willen zu entehren (II Buch der Kön. Kap. XIII)*). Die Hände sind für die Frauen Ketten zum Festhalten, sind Gaben oder besser Bindemittel, die die Männer so fest gebunden halten, dass diese sich nur mit Mühe freimachen können. Antonins Summa theologica wurde vom XV—XVIII Jahrhundert *) mehr als zwanzigmal vollständig gedruckt; auch einzelne Teile und Traktate derselben noch mehrmals separat aufgelegt, so der dritte Teil, wo der obenbehandelte Text als XXV Kap. des Trak- tats De statu conjugatorum steht, z. B. in den Jahren 1477 und 1480 °). Noch heute ist in Italien die Summa des Florentiner Erzbischofs ein geschätztes Lehrbuch der Moraltheologie '"). Durch die Autorität seines Verfassers geschützt — derselbe wurde 1523 als confessor, pontitex und doctor kanonisiert — ist das XXV Kap. sei- ner Abhandlung über den Ehestand ein Bestandteil der geistigen Nahrung für im- mer neue Generationen von Lehrern und Seelsorgern der Völker geworden. Wer !) Sed peccatum Evae, wird zur Erklärung der Bedeutung des Mannes beim Sündenfalle beigefügt, solum non induxisset nobis mortem animae et corporis, nisi subsecuta fuisset culpa Adam, ad quam induxit Eva: in eo completa est infectio totius humani generis. 2) S. T. hat Laqueus venatorum. 3) Durch die Rede Evas. +) Der Verf. meint vielleicht das mit Unrecht Bernhard von Clairvaux zugeschriebenen Liber de modo bene vivendi ad sororem c. LVII (De fuga mulierum saecularium). Vergl. MIGNE, Patr Lat. CLXXXIV, 1286: Sic declina verba saecularis mulieris, quasi sibilos serpentis. Dieselbe Version hat die Inkunabel Divi Bernhardi abbatis ad sororem: Modus bene vivendi in christ. relig. Venet. 1492. 5) Facies eorum ventus urens. Kap. I. V. 9. Der Prophet bespricht hier (in den Versen 6—11) die Chaldäer, nicht das Weib. *) Der Prophet klagt mit diesen Worten (wie überhaupt in den Versen 12—17) über die Eroberungs- lust der Chaldäer (Nabuchodonosor). DVG 8) MAZZUCHELLI, G., Scritt. d'Ital, Brescia 1753—62 I, 867 ff, zählt 9 Abdrücke aus dem XV, il aus dem XVI, 2 aus dem XVIII Jahrh. SE AU 161: O0 En 1) Wagenmann (Benrath) in Hauck, Realencyklopedie If, 604, sagt sogar: das erste. N:o 4. 3 18 HJALMAR CROHNS. vermag die ganze Fülle des Unheils, das es im Laufe der Zeiten gestiftet, die ganze Verdrehung der Moralbegriffe zum Nachteil des schwachen Geschlechts, die es verur- sacht hat, zu schätzen! Dass ein solches Aktenstück den folgenschwersten Einfluss aus- geübt hat auf die Entwicklung der traurigsten von allen geistigen Krankheiten, welche die Weltgeschichte kennt, auf die des Hexenwahns, ist ja nicht zu verwundern. Antonin starb im Jahre 1459. Die beiden ersten Auflagen seiner Summa wur- den 1477— 80 in Nürnberg und Venedig gedruckt. Im folgenden Dezennium, in den Jahren 1485—86, haben zwei Dominikaner, Institoris und Sprenger, jüngere Ordens- genossen von Dominici und Antonin, zugleich päpstliche Inquisitoren und der eine von ihnen Professor an der Universität Köln, ein umfangreiches Werk ausgearbeitet, das das Treiben der Hexen allseitig darlegt und die Normen für den Prozess gegen dieselben entwickelt. Das Werk, welches sich besonders an Pfarrer, Prediger und Richter wendet, und anscheinend schon 1487 zum ersten Male in Strassburg im Druck erschien, ist der Malleus maleficarum. Das unheilvolle Buch trat mit dreifacher Autorität hervor: eine päpstliche Bulle vom 5 Dez. 1484, die den Glauben an der Realität der Hexerei stillschweigend billigt, eine von den Verfassern freilich gefälschte Approbation der Uni- versität Köln und eine Genehmigung des Königs Maximilian vom 6 November 1486 bereiteten ihm eine um so grössere Verbreitung '). Trotz seiner aberwitzigen Hirnge- spinste erlebte das Werk bis 1669 nicht weniger als 29 Auflagen — 16 in Deutsch- land, 11 in Frankreich, 2 in Italien — und ist von geradezu entsetzlicher Bedeu- tung für das Wachstum und die Förderung des Hexenglaubens sowie der Hexenprozesse geworden. Das Machwerk von Institoris und Sprenger bildet in all seiner Verrannt- heit einen integrierenden Bestandteil in dem geistigen Leben einer Jahrhunderte langen Epoche der neueren Geschichte. Der Malleus übernimmt im allgemeinen das System des Hexenwahns, wie es in der älteren Hexenlitteratur zum Ausdruck kommt. In zweifacher Hinsicht tritt aber in der theoretischen Auffassung des Wahns eine bestimmte Verschiedenheit zwischen Insti- toris und Sprenger und ihren Vorgängern hervor. Diese hatten die ketzerische Qualität der vorgeblichen Verbrechen betont und infolge dessen immer mit Häretikern beiderlei Geschlechtes zu tun gehabt *). Der Hexenhammer dagegen stellt in den Mittelpunkt das Maleficium, die schädigende Zauberei, und spitzt das Hexentreiben grundsätzlich auf das weibliche Geschlecht zu. Diese Weiterführung der älteren Anschauung gegenüber ist natürlich nicht der freischaffenden Phantasie der Verfasser des Malleus zuzuschreiben. Sie haben Anhaltspunkte dazu in der herrschenden asketischen Zeitströmung gefunden, vor allem in der herrschenden Strömung innerhalb ihres eigenen Ordens. Besonders musste ihnen das obenreferierte XXV Kap. des Traktats De statu conjugatorum der ') Die beiden erstgenannten Urkunden stehen regelmässig den Druckausgaben des Hexenhammers voran; über das Patent Maximilians geben die Verff. nur eine kurze Notiz. — Über die Fälschung des Gut- achtens der Kölner Universität und die Druckausgaben des Malleus siehe HANSEN, J., in der Westdeutschen Zeitschr. für Gesch. und Kunst XVII (1898), 119 ff. 2?) In den nachweisbaren Prozessen bis c. 1480 ist unter den Verklagten kaum ein numerisches Über- gewicht der Frauen nachzuweisen oder jedenfalls nur ein ganz unbedeutendes. Tom. XXXII. Antonin v. Fl. und die Schätzung des Weibes im Hexenhammer. 19 Summa des Florentiner Erzbischofs von Nutzen werden. Die Auseinandersetzung bei Antonin über die vitia mulierum, die Gefahren, die der Welt aus den Reizen der Frauen erwachsen, und über die angebliche Neigung des schwachen Geschlechts zur Zau- berei hat ihnen in der Tat das nötige Beweismaterial geliefert, um den Hexenwahn auf das Weib zuzuspitzen. Hiebei tritt eo ipso die ketzerische Eigenschaft der den Opfern zur Last gelegten Verbrechen zurück, die .zauberische in den Vordergrund. Als Einleitung ihrer Beweisführung haben die beiden Inquisitoren die Schrift noch eines anderen Ordens- genossen, den Formicarius des 1438 gestorbenen Johann Nider benutzt '). Es ist in der sechsten Frage des ersten Teiles des Malleus, wo Institoris und Sprenger ,sexum non despiciendo* — das brauchen die zwei Hexenrichter kaum zu sagen! — die Frage behandeln, warum im weiblichen Geschlecht die Schwarzkunst grös- sere Verbreitung hat als im männlichen *). Drei Dinge sind es, so beginnen die Verfasser ihre Argumentation, welche, wenn sie ihre Schranken überschreiten, den Gipfel des Guten oder aber des Bösen erreichen: die Zunge, der Geistliche und das Weib. Sowohl den Satz selbst als auch die Belege für denselben haben sie dem achten Kap. des Formicarius entnommen. Um die These hin- sichtlich der Frau zu beweisen *), werden die Bibel, eine Chrysostomus zugeschriebene Schrift, einige antike Quellen und das Speculum historiale des Vincentius von Beauvais herangezogen. Das Kap. XXV des Buches Jesu Sirach liefert Nider und seinen Nachfolgern die Sütze: ,Kein Kopf ist schlimmer als der Kopf einer Schlange, kein Grimm ärger als Weibergrimm* und , Besser ist mit Lówen und Drachen zusammen zu wohnen als mit ei- nem bósen Weibe* *) Daher sagt auch Chrysostomus in seiner Schrift über Matthäus: „Heiraten ist nicht gut. Denn was ist das Weib anders als eine Vernichtung der Freund- schaft, eine unvermeidliche Strafe, ein notwendiges Uebel, eine natürliche Versuchung, ein begehrenswertes Unheil, eine häusliche Gefahr, ein reizvoller Schädling, ein Naturübel '*) Über das Werk und den Verfasser HANSEN, J., Quellen zur Gesch. des Hexenwahns 88—89. Der Formicarius wird von Institoris und Sprenger in anderem Zusammenhang mehrmals erwähnt und ist als An- hang den meisten Auflagen des Malleus beigegeben. Hier führen die Verff. weder diese Schrift noch die Summa des Antonin als Quelle an. Ich habe die Aufll. des Malleus bezw. Formicarius von 1588 (Frankfurt a. M.) und 1669 (Lyon) benutzt. In beiden (die letztgenannte ist die spüteste) ist der Text oft korrumpiert. ?) Von den Autoren, die Auszüge aus der Quaestio VI gegeben haben (die Referate sind durchaus nicht vollständig), sind zu erwähnen: HAUBER, E. D., Bibliotheca magica 1738—41, Bd. I, 46—47, SCHWAGER, J. M. Gesch. der Hexenprozesse 1784, Bd. I, 76—80, Horst, G. C., Dämonomagie Bd. II, 1818, 49-53, JAKoss, N., in Annalen der deutschen und ausl. crim. Rechtspflege 1843, Bd. XXV, 281, ENNEMOSER, J., Gesch. der Ma- gie 1844, 800—01, ROSKOFF, G., Gesch. des Teufels 1869, Bd. II, 235—36, BUCHMANN, J., Die unfreie und die freie Kirche in ihrer Beziehungen zu Sklaverei, Glaubens- und Gewissenstyrannei und zum Dámonismus, 1873, 296, RIEZLER, S. v. Gesch. der Hexenprozesse in Bayern 1896, 186—87; HoENSBROECH, Graf von, Das Papst- thum in seiner sozial-kulturellen Wirksamkeit 1900, Bd. I, 385—80, HANSEN, J., Zauberwahn, Inquisition und Hexenprozess im Mittelalter 1900, 483—584. Inwieweit Institoris und Sprenger ihre Quellen direkt oder indirekt benutzt haben, ist überhaupt nicht Gegenstand einer wissenschaftlichen Untersuchung geworden. *) Die Auslassung über die Zunge und den Geistlichen übergehe ich. Auch sonst gebe ich den Auszug der Verff. aus Nider nur verkürzt wieder. In der einleitenden Auseinandersetzung von Sprenger und Institoris (MalL, 40, col. 2—42, col. 1, Aufl. 1669) sind es nur die beiden Sätze: Et alibi: Nostri Praelati . . . minimo von tangerent, die sich im Formicarius (siehe Anhang des Mall. (1669), 334, col. 1—335, col. 2) nicht finden. +) V. 22, 23. Dazu noch V. 26: Alle Bosheit ist gering gegen die Bosheit eines Weibes; vergl. S. 16. N:o 4. 20 HJALMAR CROHNS. mit schöner Farbe bestrichen ?* ') Jetzt muss Cicero den Beweis liefern, dass die Hab- sucht der Grund aller Laster der Weiber sei”), und aus Seneka werden Belege für ihre Leidenschaftlicheit, Bosheit und Hinterlist geholt *). Dafür, dass die Frauen auch im Guten Grosses leisten können, dass sie sogar „Männer beglückt und Völker gerettet ha- ben“, wird auf Judith, Debora und Esther hingewiesen, auf das XXVI Kap. des Buches Jesu Sirach *) und das letzte Kap. der Sprüche Salomons ?), auf das neue Testament, be- sonders Kap. VII des ersten Korintherbriefes ^), auf das Wirken ,der heiligen Frauen und Jungfrauen, welche durch ihren Glauben Völker und Reiche aus Abgötterei zur christlichen Religion geführt haben*. Besondern Ruhm bringt dem schwachen Geschlecht nach der Ansicht der drei Dominikaner, was Vincentius in seinem Speculum historiale über die Bekehrung Ungarns durch Gisela und der Franken durch Chlotilde, die Verlobte Chlo- dovechs erzählt ^). Was an den Frauen tadelnswert ist, so schliessen die beiden Inqui- sitoren nach Nider ihre einleitende Argumentation, hat man ihren sinnlichen Begierden zuzuschreiben, so dass „Weib“ stets gleichbedeutend mit Begehrlichkeit des Fleisches ist. Demgemäss heisst es: „Ich fand, dass bitterer als der Tod das Weib ist“ etc. 5). Auch das gute Weib ist der Fleischeslust unterworfen. Nachdem Institoris und Sprenger auf diese Weise ihre Aufgabe vorbereitet ha- ben, schreiten sie, mit gelegentlicher Einschaltung einer Huldigung an die heilige Jungfrau, zu einer näheren Auseinandersetzung der Gründe, warum die hóllische Kunst unter den !) Vergl. MiGNE, Patr. Graec. LVI, 803. Die Schrift — das opus imperfectum in Matthaeum — ist ein lateinisches Original, gegen Ende des VI Jahrhunderts verfasst. Der Text ist sowohl in den genannten Auflagen des Malleus und Formicarius als bei Migne verdorben. Malleus: Malum naturae bono colore de- picta; Formicarius und Migne: Mali natura, boni colore depi@ta. So auch die Ausg. Basil. 1530 (Studio Eras- mi, t. III, 633) von Chrysostomus! Werken. ?) Viros ad unumquodque maleficium . . . plures cupiditates impellunt. Mulieres ad omnia malefi- cia cupiditas una ducit. Muliebrium enim vitiorum omnium fundamentum est avaritia. 2 Rhetorica. — Ob hier die Cicero mit Unrecht zugeschriebene Rhetorica ad Herennium oder seine Schrift De inventione ge- meint ist, wird nicht angegeben. Der Passus ist jedenfalls unter den vielen frauenfeindlichen Sentenzen des C. anscheinend nicht zu finden. Der letzte Satz geht vielmehr auf den älteren Seneka (siehe oben S. 7) zurück. *) Der Text der betreffenden Stelle ist sehr verdorben. Malleus 1588 und 1669 haben: Aut amat aut odit mulier, nihil tertium (der von 1669 nisi tertium) dedisse est: flere foeminam est mendacium; Formicarius* Aut amat, aut odit mulier, vel tertium dedisse, flere foeminam etc. Alle vier Ausgaben: mulier cum sola cogi- tat mala cogitat. Der Wortlaut muss sein: Aut amat aut odit mulier; nihil est tertium. Didicere flere foe- minae in mendacium. Mulier cum sola cogitat male cogitat [siehe L. Ann. SENECAE et P. Syrı Mimi et forsan etiam aliorum sententiae Lugd. 1708, 4 (Z. 63), 7 (Z. 155), 19 (Z. 424). Die Version mala statt male ist für die Verff. bezeichnend. Im Malleus (1558 und 1669) wird Seneca in suis Tragoed. als Quelle angegeben, im Formicarius: S. in suis Proverb. 2) Ws it 5) Vergl. oben S. 16. 5) V. 14. Sanctificatus est enim vir infidelis per mulierem fidelem. 7) Die beiden Auflagen des Malleus haben Gilia(m), die beiden des Formicarius Gilla(m). Die Er- zühlung über Chlotilde und Chlodovech (,Lotildis* und ,Lodoneus*, Spec. majus, tom. IV, Aufl. 1591) kommt nicht lib XXII, Kap. IV und V, wie in den genannten Aufll. der Formicarius (S. 335 und 761) angegeben wird (im Malleus wird die Quelle gar nicht angeführt) sondern lib XXI in denselben Kapiteln vor. Für die Gesch. von Gisela wird im Mall. 1669 Vincentius' Spec. hist (majus, tom. IV) lib. XX, Kap. IX, als Quelle angegeben, im Mall. 1588 und den genannten Aufll. des Formicar. lib. XXVI, Kap. IX. Diese Angaben sind sämtlich falsch. Es muss lib. XXV, Kap. IX, heissen. *) Vergl. oben S. 16—17. Tom. XXXII. Antonin v. Fl. und die Schätzung des Weibes im Hexenhammer. 21 Frauen verbreiteter ist als unter den Männern. Der erste ist, dass die Weiber leicht- gläubiger sind als diese; daher greift der Teufel, der den Glauben zu verderben sucht, sie lieber an, denn „wer schnell traut, ist leichtsinnig und wird es büssen“, heisst es im Buche Jesu Sirach Kap. XIX) Der zweite Grund ist, dass sie wegen der Unbe- ständigkeit ihres Geistes Einflüsterungen zugänglicher sind als die Männer. Der dritte besteht darin, dass sie eine glatte Zunge haben und das, was sie durch ihre Schwarz- kunst wissen, ihren Genossinnen nicht verschweigen können ^). Dazu kommt noch, dass sie keine Kraft besitzen, sich zu rüchen, und daher durch den leichten Ausweg der Male- ficien solches zu erreichen suchen °). Es braucht nicht weiter ausgeführt zu werden, dass Institoris und Sprenger in dieser Auseinandersetzung hauptsüchlich mit dem im Kommentar des Alphabets angeführ- ten Beweismaterial arbeiten. Um aber noch ferner klar zu legen, warum die Schänd- lichkeit der Zauberei, wie „gerade die Erfahrung der letzten Zeit lehrt“ *), häufiger un- ter den Weibern als beim männlichen Geschlecht zu finden ist, geben die Verfasser noch einmal eine genaue Ausführung, wie das Weib eben wegen seiner allgemeinen Inferiori- tit und seiner natürlichen Schlechtigkeit zu Maleficien greift. Für die Schilderung der ,vitia mulierum*, die jetzt folgt, haben sie das XXV Kap. aus Antonins Traktat über die Ehe als einzige Quelle benutzt ^). Sie folgen jedoch den Ausführungen der Summa nicht Wort für Wort. Die alphabetisch geordneten Epitheta, die ja wenig geeignet sind, den Ernst der Beweisführung zu erhóhen, haben sie nicht übernommen. Sie lassen hier und da einen Satz aus, schieben hier und da einen erklärenden Zwischensatz ein und gruppieren vor allem das Ganze anders, so dass es die Schlechtigkeit des Weibes ins volle Licht treten lässt und ihren Zwecken besser entspricht. Sie unterbrechen ihre Schmähun- gen nur, um nochmals der Gottesmutter einige ehrfurchtsvolle Worte zu widmen. Mit Hilfe des von Antonin entlehnten Materials wird dem Leser dargetan, dass das Weib sowohl hinsichtlich des Verstandes als auch hinsichtlich einer anderen Seelen- kraft — der des Willens — dem Manne nachsteht. Einen Beweis für die Willensschwäche der Frau sehen die beiden Hexenrichter vor allem in der angeblichen Unfähigkeit ihre Lei- denschaften zu beherrschen. Darnach wird, wenn auch in minder geordneter Durchführung, OVE ?) Es mag nebenbei darauf hingewiesen werden, dass auch Geiler v. Kaisersberg (Emeis, Strassb. 1516, S. 46) diesen Grund für das zahlreichere Vorkommen der Hexerei beim weiblichen Geschlecht angibt. 3) Hier werden die Worte Commorari leoni et draconi plus placebit etc. und Brevis omnis malitia super malitiam mulieris aus dem Buche Jesu Sirach (Kap. XXV, V. 23 und 26) noch einmal citiert (Vergl. oben S. 16, 19). ») Dass das Hexenwesen gerade zu ihrer Zeit ganz ausserordentlich zugenommen habe, ist für die Verfasser eine ausgemachte Sache. 5) Sämtliche Belege, die Instit. und Spr. hier (Mall. 1669, 43, col. 1— 46, col. 2) für die Schlechtigkeit des Weibes geben, finden sich bei Antonin; (die ganz überflüssige Erklärung Dum foemina plorat, decipere laborat, die die Verff. dem Caton. Satze Instruit insidias lacrymis, dum foemina plorat (übersetzt oben S. 9) hinzufügen, gibt keinen Grund dafür, dass man noch an eine zweite Quelle denken kónnte). Auch die fehlerhafte Version über Antiochus, Laodice und Berenice (oben S. 16) und andere Eigentümlichkeiten in der Beweisfüh- rung ihres Florentiner Ordensgenossen haben sich Instit. und Spr. zu eigen gemacht. A's Einleitung und seine Reflexionen im Anschluss an Kap. VII, V. 27, des Predigers benutzen sie besonders ausgiebig. N:o 4. 22 HJALMAR ÜROHNS. ausgeführt, wie das Weib trügt, wie es im Glauben fehlt, — „obwohl die allerheiligste Jungfrau gratia et natura niemals im Glauben fehlte“ ') —, wie es zu Zorn, Rache, Eifersucht, Eitelkeit und Lügenhaftigkeit neigt, wie es verschwenderisch ist u. s. w. Nach der widerlichen Schilderung seiner unersättlichen Fleischeslust >) wird, zu stärke- rem Nachdruck, der Ausruf eingeschoben: „Es ist also kein Wunder, wenn die Welt bereits unter der Schlechtigkeit des Weibes leidet“, und den Ausführungen über dessen Neid und Eifersucht die Reflexion zugefügt: „Wenn die Frauen schon gegen einander auf diese Weise hausen, wie viel mehr werden sie den Männern gegenüber ihrer Bosheit freien Lauf lassen“. „Wahrlich! Besässen die Frauen nicht diese verderblichen Eigen- schaften, von den Maleficien ganz zu schweigen, so bliebe die Welt von unzähligen Ge- fahren bewahrt“ *). Aber eben diese Maleficien sind es, „worüber die Kirche klagt“ *). Und so wird also klargelegt, wie die genannten Fehler: in erster Linie der Unglaube, ' die Leidenschaftlichkeit und die Sinnlichkeit, — die „carnalia desideria^ des schwachen Geschlechts werden immer wieder ”) ganz besonders hervorgehoben, — die Weiber für die frevelhafte Zauberei disponieren. Hierin liegt nicht eine Weiterführung über das Aktenstück hinaus, das die beiden Hexenrichter als Quelle benutzt haben, wohl aber eine systematisch durchgeführte Hervorhebung der Gesichtspunkte, auf welche die Verfasser für ihren speziellen Zweck das Hauptgewicht legen. Wie die Weiber, so belehren sie uns, infolge ihres mangelhaften Intellekts den Glauben leichter verleugnen, so sinnen sie, weil sie ihren Willen nicht beherrschen kön- nen, d. h. von ihren ungeordneten Gemütsbewegungen und Leidenschaften dazu getrie- ben, auf verschiedene Arten von Rache, um entweder durch schädliche Zauberei oder auf andere Weise ihren Feinden zu schaden. Daher ist es kein Wunder, dass es unter ihnen so viele Hexen gibt. Den Hauptgrund der Vermehrung dieser Scheusale sehen jedoch die Verfasser „in dem schmerzvollen Kampfe zwischen verheirateten und unver- heirateten Frauen und Männern“. In dem von Antonin zitierten Verse aus dem VII. Kap. des Predigers finden sie wieder eine Anspielung auf den Hang der Weiber zur Hexerei. Die in demselben Zusammenhang in der Summa vorkommenden Citate aus Habakuk und Bernhard von Clairvaux geben ihnen Veranlassung daran zu erinnern, dass die Frauen gefährlich sind, nicht nur weil ihr Antlitz „ein glühender Wind“ ^) und ihre Stimme „ein Zischen der Schlange“ ist, mit anderen Worten nicht nur weil die Männer durch Erscheinung und Rede der Weiber gefangen werden — d. h. ihre Sinnenlust entflammt wird —, sondern auch, weil sie „unzählige Menschen und Tiere behexen“. Zu den Worten „ihre Hände sind Fesseln“ wird die Bemerkung gefügt, dass die Weiber !) Cum tamen in omnibus viris defecisset (fides) tempore passionis Christi. ?) Vergl. oben S. 7—8. 3) Diese Worte werden dem Caton. Spruche: Si absque foemina posset esse mundus, conversatio nostra non esset absque diis (oben S. 13) hinzugefügt. *) Vergl. S. 21, Anm. 4. *) Vergl. oben S. 20. °) Bezeichnend ist, dass die Worte: Facies eorum ventus urens (oben S. 17) bei Habakuk und Antonin von Sprenger und Institutoris in facies earum verwandelt worden sind. Tom. XXXII. Antonin v. Fl. und die Schätzung des Weibes im Hexenhammer. 23 ihre Hände nicht nur benutzen, um ihre Opfer zu binden und zurückzuhalten, sobald sie die Hände auflegen, um ein Geschöpf zu bezaubern, können sie mit Hilfe des Teu- fels erreichen, was sie wollen. ,Coneludamus: omnia per carnalem concupiscentiam“. Mit diesen Worten, wel- che den Abschluss der schauerlichen Darstellung einleiten, bringen die Verfasser die Rede zum dritten Male auf das angebliche Hauptlaster der Weiber, die Wollust: „Um ihren Begierden zu fröhnen, lassen sie sich auch mit den Teufeln ein“. In stolzer Zu- versicht auf das feste Gefüge ihrer Beweisführung verzichten die beiden Inquisitoren darauf, diese weiter auszudehnen. Sie haben die Ueberzeugung, dass keiner, der die Frage richtig zu beurteilen versteht, sich wundern wird, dass mehr Weiber als Männer von der teuflischen Zauberei angesteckt seien. „Daher ist auch diese Ketzerei nicht die der maleficorum (der Zauberer), sondern der maleficarum (der Hexen) zu nennen.“ Sie erheben sich schliesslich zu der feierlichen Danksagung: ,Gelobt sei der Hüchste, der das männliche Geschlecht bis jetzt vor so grosser Sünde bewahrt hat, offenbar auf Grund des besonderen Privilegiums dieses Geschlechts, dass Christus in diesem seine Mensch- werdung vollzogen hat*. Man hat den Hexenhammer als „das verruchteste und zugleich läppischste, das verrückteste und dennoch unheilvollste Buch der Weltlitteratur“ bezeichnet. Die ange- führte Argumentation ist durch und durch geeignet, ein solehes Urteil zu rechtfertigen. Noch trauriger, noch erschreckender, móchte man sagen, als diese unseligen Ausführun- gen, aber lehrreich ist die Entstehungsgeschichte der kümmerlichen Darlegung. Sie ist mit ihren Verdrehungen und in all ihrer Verranntheit nicht, wie man geglaubt hat, nur ein quasiwissenschaftliches Geistesprodukt zweier fanatischer Cölibatäre, denen bei der schauerlichen Beschäftigung der Hexenaufspürung und -verfolgung jede Fähigkeit zur Beurteilung des andern Geschlechts ohne einseitige Voreingenommenheit verloren gegan- gen ist. Sie ist vielmehr der Niederschlag einer gelehrten Tradition, die sich in der speziell von Mönchen gepflegten Moralwissenschaft jener Zeit entwickelt hat und vor allem in dem mächtigen Orden der Dominikaner ihre Vertreter hatte. Hinter den verhält- nismässig unbedeutenden Verfassern Institoris und Sprenger stehen ihre grossen Ordens- genossen Dominici, Nider und Antonin, die ihnen die „gelehrten Belege“ geliefert ha- ben. Diese genossen als Seelsorger, Prediger, Lehrer und Verfasser den höchsten Ruf. Alle drei nahmen in der vielgefeierten katholischen Reformbewegung des XV Jahrhun- derts einen hervorragenden Platz ein. Zwei von ihnen sind heilig gesprochen worden. Nur weil Männer von solcher Bedeutung und Autorität Träger dieser grausigen Wahn- vorstellungen waren, ist es erklärlich, dass dieselben eine so grosse Verbreitung gewinnen, einen so unheilvollen Einfluss erlangen konnten. Sue — N:o 4. NT ii "i, EM wit nur adi vd PART p uli UE | í Us esl rtt. se yi are ANE J^ T ‚uni | el! n ET pd Mato Ma gos dnd Du re 5 n a | ^o n ioo D b c ar t Wind PC p» i Aa id nd XE as anne M iof otras: ba Mb. dM MT z MÓN MN M U M Lt Medus i p Hb Coe aed irri Ihe pm bis TOR ETT S ftl LL candi rel Lå ah Mer d bol tween da LPs v sala. MER naa fuv jene M d iria P mitos ils n E nm dota ARE ET mS ER: ve 1 t: vad OU as Gala mult) TNI wine unt vin D jd wi "4 inodo «qx. 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SÅ E , | Hill, à Mi it un ul näta NM nom ill L f - j B TOUL! (NT tait) L inv! Ttt : Ei i H = v E i i ied " | | d A L4 ACTA SOCIRTATIS SCIENTIARUM FENNICÆ. TOM. XXXII. X 5. NOTE SUPPLÉMENTAIRE SUR LES POLYGONES AU PLUS PETIT PERIMETRE CIRCONSCRITS À UNE ELLIPSE. L. LINDELÖF. ücin Did VT " b End Ah; > BREITE MATTER QE PNA TIT ETE VA EHLONYAOS HAS LIS AKUTA Ariadunooa N =. pne ET r EO LERQU E d Note supplémentaire sur les polygones au plus petit périmètre circonserits à une ellipse. 1: Dans un article récemment publié sur les polygones au plus petit périmètre circon- scrits à une ellipse!, j'ai fait voir, en particulier, qu'en prenant la moitié du grand axe pour unité de longueur, le plus petit périmétre du triangle circonscrit est lié à l'excentricité e par une équation du quatrieme degré en p? de la forme $9 —12 (2 — e)p* — 6 [13 (1 — e) — 8e] pt —8 (10— 15e? + 21 et — 8 ci) p? (1) — 27 (1 — e?? = 0. Sans entrer dans aucune analyse de cette équation, j'y ai montré, par d'autres considérations, qu'à chaque valeur de l'excentricité correspond une seule valeur du périmètre minimum, la position du triangle étant d’ailleurs indéterminée et pouvant varier d’une infinité de manières. Mais il n'est pas sans intérêt d'examiner l'équation (1) elle-même, afin de se rendre compte de la nature de ses racines et voir s’il y en a quelqu’une qui soit étrangère à la question. C’est ce que nous allons faire présentement. Comme nous l'avons fait observer dans notre premier article, l'équation (1) se réduit pour les valeurs extrémes de e, e — 0 et e — 1, respectivement à (p!--19(p?—27)—0 et p*(ph—49 =0, et donne ainsi, dans ces cas, les seules valeurs acceptables p? = 27 et p? — 4. Il s'agit de savoir comment se comportent les racines de cette méme équation lorsque e est comprise entre O et 1. ! Acta Societatis Scientiarum Fennicae, tom, XXXI, N:o 4. N:o 5. 4 L. LINDELÖF. Son dernier terme étant essentiellement négatif, on voit d'abord qu'elle admet toujours deux racines réelles, l'une positive et l'autre négative. Pour reconnaitre la nature des deux autres, le plus simple est d'avoir recours aux formules (2) est — 223 —29(1—e2)s--1—e?—0, (3) (CERN ES CES NP el), qui, par élimination de la variable auxiliaire s(= sing), ont conduit à l'équation (1) (voir page 10 de notre article). En résolvant la première de celles-ci, on obtiendra quatre valeurs de s, lesquelles, substituées dans la seconde formule, donneront pour p? également quatre va- leurs, les racines de l’équation (1). Or, on voit à la seule inspection des signes de la formule (2) qu'elle a, pour toute valeur de e comprise entre 0 et 1, deux racines imaginaires. Quant aux deux autres, elles sont positives, l’une d’elles étant plus petite et l’autre plus grande que l'unité, puisque la valeur s = 1 ferait prendre au premier membre de cette formule une va- leur négative (— — 1). Les deux valeurs imaginaires de s étant nécessairement conjuguées, leur substitution dans la formule (3) conduira, en général, à deux valeurs également imaginai- res et conjuguées de p?2. Seulement, il peut arriver, dans des cas particuliers, que la partie purement imaginaire de celles-ci disparait et qu'elles se réduisent par là à une racine réelle double. Nous en concluons que l'équation (1) a toujours, pour 0 «e « 1, une paire de raci- nes imaginaires, à moins qu'elle ne possède des racines doubles (ou multiples). La question se réduit ainsi à rechercher dans quel cas l'équation dont il s'agit peut admettre une racine double. Si une telle racine existe, elle doit aussi satisfaire à l'équation på — (18 — 9 e?) pt — (89 — 89 e? — 24 e*) p? (4) — 20 + 30 e? — 42 et +16 e$ = 0, qu'on tire de l'équation (1) en la différentiant par rapport à p?. Il s'agit donc de trouver les racines communes aux équations (1) et (4). On aurait pour cela à chercher le plus grand commun diviseur des polynomes qui forment les premiers membres de ces deux équations. Mais comme ce procédé, si on voulait le poursuivre jusqu'au bout, deviendrait excessivement onéreux, nous le simplifierons notablement en n’effectuant que la première des divisions qu'il exige, c'est à dire celle du polynome (1) par (4). En égalant à zéro le reste de cette divi- Sion, on arrive à l'équation suivante du second degré en p?: (49 — 49 e? + ef) pt + (98 — 147 e? + 33 et + 8 ef) p? (5) +49 — 98 e? + 198 et — 74 e5 + 16 e$ = 0. S'il y a une racine commune, elle doit satisfaire aussi à cette dernière équation. Il ne reste donc qu'à résoudre celle-ci et de voir si l'une ou l’autre des valeurs de p? ainsi obtenues est racine commune aux équations (1) et (4). A cet effet nous cherchons le discri- Tom. XXXII, Polygones au plus petit périmètre eirconserits à une ellipse. 5 minant du trinome qui forme le premier membre de l'équation (5), et nous trouvons, après quelques réductions, qu’il peut se mettre sous la forme (6) — 45 et (1 — e?) [848 (1 — e?) + 88 et]. Comme cette expression est négative pour toutes les valeurs de e dout il s'agit, nous en concluons, premièrement, que l'équation (5) n'a pas de racine réelle et, en second lieu, que les équations (1) et (4) ne possèdent pas de racine commune réelle. Et par là il est prouvé défi- nitivement que l'équation (1) a toujours deux racines imaginaires, tant que e est comprise entre O et 1. Pour chacune des valeurs limites de l'excentricité, e = 0 et e = 1, le discriminant (6) devient nul et l'équation (5) admet, par conséquent, deux valeurs égales de p?, à savoir p? = — 1 dans le premier cas et p? = 4 dans le second. Chacune de ces valeurs est une racine double de l'équation (4) et une racine triple de l'équation (1). Comme les valeurs négatives et aussi la valeur O de p? sont évidemment inadmis- sibles, nous sommes donc autorisé à conclure, comme résultat de la discussion précédente, que l'équation (1) détermine en tout cas et sans ambiguité la valeur de p? et par conséquent aussi le plus petit périmétre 2p du triangle circonscrit. Ajoutons encore que la seule racine positive de cette équation est comprise entre 4 est 27. Cela résulte de ce que, en y substituant p? = 4 et p? — 27, son premier membre se réduit, dans le premier cas à — (1— e?) (2875 + 325 e? + 956 et), et dans le second à + 27 e? (10976 + 1127 e + 64 et), LJ et qu'il change ainsi de signe lorsqu'on passe de l'une de ces substitions à l'autre. 2. Nous allons montrer maintenant qu'il existe entre l'octogone et le tétragone au plus petit périmètre circonscrits à une ellipse un rapport analogue à celui qui, dans les mêmes conditions, relient l'hexagone au triangle. Parmi les tétragones circonscrits à l'elipse nous considérons cette fois le rhombe P, dont les diamètres coincident avec les axes de l'ellipse, et nous désignons par ZZ, le tétragone correspondant circonscrit au cercle .K dont l'ellipse £ est la projection orthogonale. Comme variable auxiliaire nous introduisons l'angle g formé par un des côtés de ce second tétragone avec le diamètre vertical du cercle (c'est à dire avec celui qui correspond au petit axe de l’ellipse). Cela posé, on aura, en désignant par 2p, le périmètre du rhombe, P. _V1—e cos g? 27 sing cos y N:o 5. 6 L. LINDELÖF. Pour le minimum de cette expression on trouve la condition 1 — 2 cos q? + e? cos q* = 0, qui donne STATS COS p? = mama d’où l’on tire V1 — e cos 9? = tgy, et par suite d wp-ltYi-e. Done le périmétre entier 2p, est bien égal à la double somme des deux axes de l'ellipse, comme nous l'avions déjà annoncé dans notre article précédent. Si parmi les octogones circonscrits à l’ellipse on considère de méme la figure sémiré- gulière P, dont deux côtés opposés sont parallèles au grand axe et deux autres au petit axe de lellipse, et qu'on désigne, dans l'octogone correspondant Z, circonscrit au cercle X, par q langle formé par un des côtés obliques avec le diamètre vertical du cercle, on obtient d'abord pour le quart du périmètre de l'octogone P; l'expression 5 = y Vi Zettel —5 gt CE ps De ? VI — e cos ge (7) || cos singy1—e6,2y1-—ecosq? "l-sing' 1+0cosg a En cherchant le minimum de cette expression et observant que (1 -F sin 9 + eos p)? = 2 (1 + sin ) (1 + cos p), on trouve la condition (1 + cos g — (1 + sin q) V1— e) V1— e cos q? = sin y — cos 9 + e cos q (1 + sin q). Or, cette équation peut se simplifier considérablement. Si l'on en élève les deux membres au carré, les termes en e* se détruisent et le résultat, devenu divisible par 2 (1 + sin g) (1 + eos g) V1 — e, se réduit à VIE = (1 — e? cos), d'où l’on tire finalement (8) 1 — 2 cos g? + e? cos gt = 0. Cette équation étant identique à celle qu'on avait trouvée précédemment pour le rhombe, on voit donc que g a la méme valeur dans les deux cas, d’où lon conclut que l’octogone au périmètre minimum dont il s’agit, peut se déduire du rhombe, en découpant les quatre angles de celui-ci par des tangentes à l’ellipse parallèles respectivement aux deux axes de celle-ci. Tom. XXXII. Polygones au plus petit périmètre circonserits à une ellipse. 7 On peut d'ailleurs calculer directement le périmètre minimum 2, de l'octogone cir- conscrit. A cet effet nous déduisons de l’équation (8) d’où 1 — e cos g? = VI — e = tg g?. Ces dernières valeurs étant substituées dans l’équation (7), elle devient, après quelques trans- formations, corn 2 sin g? __cosg? (1 + sin g) (1 + cos 9)” w|S En désignant par 2a et 2b les deux axes le l'ellipse et observant que b2 —— Mi Fri AT on trouve COS OR bn sin aug mr xk: | ab 9 a + b° Jusqu'ici nous avions pris a pour unité de longueur. Pour nous débarrasser de cette hypo- d \ Ps Na re SÅS thèse, il faut remplacer ps par 4 . et nous obtenons ainsi finalement, pour le périmètre mini- mum de l'octogone circonscrit, l'expression 2p, — 4[a - b —2(/a 3- b— Va) /a 4- b — Vol. N'oublions pas que ce résultat, bien que déduit pour un eas particulier, a lieu quelle que soit la position de l'octogone. Pour e — 0, ou b — a, il se réduit à 16 a (/2 — 1), ce qui est bien le périmètre d'un octogone régulier eirconserit à un cercle du rayon a. 3. Les résultats auxquels nous sommes ainsi parvenu, en comparant d'une part l'hexa- gone avec le triangle et de l'autre l'octogone avec le rhombe, peuvent être présentés sous une autre forme, qui fait encore mieux ressortir leur analogie mutuelle. Considérant toujours des polygones au périmétre minimum, nous avons montré, en effet, que dans un hexagone dont les deux bases opposées sont paralléles au grand axe de l’ellipse, deux des côtés obliques coincident avec les côtés du triangle isocèle dont la base est également parallèle au grand axe. Done, si l'on construit un autre triangle symétrique à N:o 5. 8 L. LINDELÔF. celui-ci par rapport au méme axe, ces deux triangles se découperont suivant l'hexagone dont il s'agit. Et, chose remarquable, on est amené à un résultat pareil, si les deux triangles circon- serits ont leurs bases parallèles au petit axe de l'ellipse. En désignant, comme auparavant, par g langle qui dans le plan du cercle K détermine la position de la droite correspondant à un des cótés obliques dans l'un ou l'autre de ces triangles, on obtient pour le minimum du périmétre de ceux-ci la condition e? cos q* — 2e?cos q? + 2 cos 9 — 1 — 0, et lon tombe exactement sur la méme condition en cherchant le minimum du périmétre d'un hexagone circonscrit dont les deux bases opposées sont paralléles au petit axe de l'ellipse. On obtient ainsi un autre hexagone au plus petit périmétre qui est, comme le premier, l'in- tersection de deux triangles jouissant de la méme propriété. Quant à loctogone que nous venons de considérer, on peut dire de méme qu'il n'est autre chose que l'intersection de deux tétragones circonscrits au périmètre minimum, à savoir le rectangle et le rhombe. Les trois faits que nous venons de signaler et qui semblent assez curieux, restent jusqu'ici isolés en leur genre; mais il est possible qu'ils ne constituent que des cas particuliers de quelque loi plus générale. EXER o ACTA SOCIETATIS SCIENTIARUM FENNICÆ. TOM. XXXII. N 6. TAFELN DER KUGELFUNCTIONEN £(x) UND IHRER ABGELEITETEN FUNGTIONEN HJ. TALLQVIST. PU ix dunes À vi RR NED atu boe WC pd ote LI S + NT ler a Lot CR Er an 3 J , LA id ur TA à ELLE o an E toc i "ES. Nube a N ro pom roi Ma ER GAUAITL à ohne: ANR lior ov NT al fn ER Pe ur Mah, aout um latente 46 den um NUS HIC pa pid in nous NES, E uk X dots Wo FÖRR ir ico Vi OLEO otbycram. EST "n Pd esami go D: folgenden Tafeln enthalten die Werte der Functionen p (ko) ir vo il, Ma SERRES und j=0, 1, 2---2. Das Argument x geht von z—0 bis æ—1 mit Intervallen von 0.01. Die ausführliehen Ausdrücke der genannten Functionen sind: all. P, (2) =2, (= it P,G) = (88 1), P, (2) — 82, Py" (x) — 8. 1 = à (ba3 — 82), ; 3 B (2) 2 622 — 0), Py" (2) — 152, P," (x) — 15. P, (x) =; (352 — 80x? + 3), Pi (9) 5 (125 — 82), P (= (128 — 1), P," (zx) — 105 x, Pj? (x) = 105. P, (2) =; (6825 — 7029 + 152), P/ = gra — 1a 4-1), HJ. TALLQVIST. PM (De D (gas o » 105 Pj" @)= (Qa — 1), P;° (gy) = 9452, Pj? (x) = 945. TAG) = = (231 x$ — 315 x* + 105 x? — 5), 2 21 5 3 à (r) — g (3x — 8023+5%), P," (x) — 199 (gg a — 182? 4- 1), P," (a) = Ho), Pío) (maa 1), P4? (x) = 10895 x, P4? (x) = 10395. P, (x) = = (429 x7 — 693 a5 + 315 à? — 35 x), P, (x) = T (429 x — 495 a* + 135 a? — 5), P. " 63 5 3 n (Go) = g (43% — 103.1152) 3 P," (a) = (148 xt — 66.22 4- 3), 9465 2 P,” (x) = uS (1322 — 1), Pj? (x) = (1323 — 82), P,9 (y) — 185135 x, Pj? (x) — 185135. P, (x) = = (6435 x3 — 12012 a* + 6930 4* — 1960 2? + 35) . FO (715 2? — 1001 x3 + 385 23 — 35 x), B," (x) = 2 (143 20° — 148 xt + 88 22 — 1), P," (a) = A (89 a5 — 9633 1-82), T. XXXL. Tafeln der Kugelfunctionen P, (x) und ihrer abgeleiteten Functionen. 5 Tus = 10799 (gs zi — 9632 +1), P® (@)— I Poe) po (o) = 188188 (i b. P4? (x) = 2027025 x, P,® (x) = 2027025 . Diejenigen Functionen P (x), für welche die Summe n--j eine gerade Zahl ist, sind gerade Functionen, diejenigen, für welche n +7 ungerade ist, ungerade Functionen ihres Argu- mentes. Die Werte der Functionen P (x) innerhalb des Intervalles von = —1 bis z—0 ergeben sich deshalb unmittelbar aus den tabulirten Werten. Der Bequemlichkeit wegen ist durch ein* angedeutet worden, dass die betreffende Function ungerade ist. Da sämmtliche Functionen pe (x) im Nenner nur Potenzen von 2 enthalten, so lassen sie sich mit Hülfe endlicher Decimalbrüche ausdrücken; die Tafeln liefern in der That die genauen Werte dieser Functionen. Früher bekannt sind die Werte der Functionen P,(x) fürn=1, 2,3---7*); wegen des Zusammenhanges sind sie aber hier wieder angeführt worden. Aus Ps (x) und P;(x) wurden die Werte von P, (x) mit Hülfe der Recursionsformel (n-F- 1) P, (0) - (2n-- 1) z P, (x) — P, V (x), 8.P, (z) = 15 x P; (x) — 7 P, (x) d. h. hier berechnet. Alle abgeleiteten Functionen i (x), wo also 7 >1 ist, sind neu berechnet worden. Die Function 2 (x) besitzt, da sie eine ganze rationale Function von der n — j:ten Ordnung ist, eine constante Differenz von der Ordnung an —j. Hierdurch erhält man eine absolute Controle der Rechnungen. Um die Genauigkeit des Druckes möglichst sicherzustellen ist diese Controle noch ein Mal im letzten Correcturbogen vorgenommen worden. Es verdient noch angeführt zu werden, dass die nachstehenden Tabellen als ein Neben- product bei der Berechnung einiger umfassenderer, aber auf eine bestimmte Stellenzahl abge- rundeter Tabellen hervorgegangen sind. **) Auf die grosse Bedeutung der Functionen P, (x) in mehreren Zweigen der höheren Mathematik und insbesondere der mathematischen Physik braucht hier nicht hingewiesen zu werden. Auch die Functionen BV (x) für j>1 sind wichtig, da sie in den Ausdrücken der Kugelfunctionen von zwei Veränderlichen vorkommen. *) Report of the Britisch Association for the advancement of science, 1879, p. 49. **) Eine im Druck befindliche Arbeit des Verfassers, betitelt: Grunderna af teorin fór sferiska funktioner etc, wird umfassende vierstellige Tafeln der sphärischen Functionen enthalten; auch sechsstellige für eine besondere Ausgabe beabsichtigte Tafeln liegen zum grossen Teil fertig berechnet vor. N:o 6. o o 0.50 0.50 0.01 0.01 0.51 0.51 0.02 0.02 0.52 0.52 0.03 0.03 0.53 0.53 0.04 0.04 0.54 0.54 0.05 0.05 0.55 0.55 0.06 0.06 0.56 0.56 0.07 0.07 0.57 0.57 0.08 0.08 0.58 0.58 0.09 0.09 0.59 0.59 0.10 0.10 0.60 0.60 O.II O.II 0.61 0.61 0.12 0.12 0.62 0.62 0.13 0.13 0.63 0.63 0.14 0.14 0.64 0.64 0.15 0.15 0.65 0.65 0.16 0.16 0.66 0.66 0.17 0.17 0.67 0.67 0.18 0.18 0.68 0.68 0.19 0.19 0.69 0.69 0.20 0.20 0.70 0.70 0.21 0.21 0.71 0.71 0.22 0.22 0.72 0.72 0.2 0.23 0.73 0.73 0.24 0.24 0.74 0.74 0.25 0.25 0.75 0.75 0.26 0.26 0.76 0.76 0.27 0.27 0.77 0.77 0.28 0.28 0.78 0.78 0.29 0.29 0.79 0.79 0.30 0.30 0.80 0.80 0.31 0.31 0.81 0.81 0.32 0.32 0.82 0.82 0.33 0.33 0.83 0.83 0.34 0.34 0.84 0.84 0.35 0.35 0.85 0.85 0.36 0.36 0.86 0.86 0.37 0.37 0.87 0.87 0.38 0.38 0.88 0.88 0.39 0.39 0.89 0.89 0.40 0.40 0.90 0.90 0.41 0.41 0.91 0.91 0.42 0.42 0.92 0.92 0.43 0.43 0.93 0.93 0.44 0.44 0.94 0.94 0.45 0.45 0.95 0.95 0.46 0.46 0.96 0.96 0.47 0.47 0.97 0.97 0.48 0.48 0.98 0.98 0.49 0.49 0.99 0.99 0.50 0.50 I I sl: Hj. TAELLQVIST. v Pix) Py zx Py(x) | Py(z)* [9 — 0.5 [9 0.50 — 0.125 1.50 0.01 — 0.49985 ‘0.03 O.5I — 0.10985 1.53 0.02 — 0.4994 0.06 0.52 — 0.0944 I.56 0.03 — 0.49865 0.09 0.53 — 0.07865 1.59 0.04 — 0.4976 0.12 0.54 — 0.0626 1.62 0.05 — 0.49625 0.15 0.55 — 0.04625 1.65 0.06 — 0.4946 0.18 0.56 — 0.0296 1.68 0.07 — 0.49265 0.21 0.57 — 0.01265 1.71 0.08 — 0.4904 0.24 0.58 + 0.0046 1.74 0.09 — 0.48785 0.27 0.59 + 0.02215 1:77 0.10 — 0.485 0.30 0.60 + 0.04 1.80 O.II — 0.48185 0.33 0.61 + 0.05815 1.83 0.12 — 0.4784 0.36 0.62 + 0.0766 1.86 0.13 — 0.47465 | 0.39 0.63 + 0.09535 1.89 0.14 — 0.4706 | 0.42 0.64 + 0.1144 1.92: 0.15 — 0.46625 0.45 0.65 + 0.13375 : 1.95 0.16 — 0.4616 0.48 0.66 + 0.1534 1.98 0.17 — 0.45665 0.51 0.67 + 0.17335 2.01 0.18 — 0.4514 0.54 0.68 + 0.1936 2.04 ° 0.19 — 0.44585 0.57 0.69 + 0.21415 2.07 0.20 — 0.44 0.60 0.70 + 0.235 2.10 0.21 — 0.43385 0.63 0.71 + 0.25615 2.13 0.22 — 0.4274 0.66 0.72 + 0.2776 2.16 0.23 — 0.42065 0.69 0.73 + 0.29935 2.19 0.24 — 0.4136 0.72 0.74 + 0.3214 2.22 0.25 — 0.40625 0.75 0.75 + 0.34375 2.25 0.26 — 0.3986 0.78 0.76 + 0.3664 2.28 0.27 — 0.39065 0.81 0.77 + 0.38935 2.31 0.28 — 0.3824 0.84 0.78 + 0.4126 2.34 0.29 — 0.37385 0.87 0.79 + 0.43615 Ee 0.30 — 0.365 0.90 0.80 + 0.46 2.40 0.31 — 0.35585 0.93 0.81 + 0.48415 2.43 0.32 — 0.3464 0.96 0.82 + 0.5086 2.46 0.33 — 0.33665 0.99 0.83 + 0.53335 2.49 0.34 — 0.3266 1.02 0.84 + 0.5584 2.52 0.35 — 0.31625 1.05 0.85 + 0.58375 2.55 0.36 — 0.3056 1.08 0.86 + 0.6094 2.58 0.37 — 0.29465 I.II 0.87 + 0.63535 2.61 0.38 — 0.2834 1.14 0.88 + 0.6616 2.64 0.39 — 0.27185 ID 0.89 + 0.68815 2.67 0.40 — 0.26 I.20 0.90 + 0.715 2.70 O.41 — 0.24785 1.23 0.91 + 0.74215 278 0.42 — 0.2354 1.26 0.92 + 0.7696 2.76 0.43 — 0.22265 1.29 0.93 + 0.79735 2.79 0.44 — 0.2096 1:20 0.94 + o.8254 2.82 0.45 — 0.19625 1.35 0.95 + 0.85375 2.85 0.46 — 0.1826 1.38 0.96 + 0.8824 2.88 0.47 — 0.16865 1.41 0.97 + 0.91135 2.91 0.48 — 0.1544 1.44 0.98 + 0.9406 2.94 0.49 — 0.13985 1.47 0.99 + 0.97015 2.97 0.50 — 0.125 1.50 I +1 3 Py" (x) =3. T. XXXII. Tafeln der Kugelfunctionen P, (x) und ihrer abgeleiteten Functionen. c Py(x)* Py' (x) |P"(@)*| x P, (a) * Py (2) | Pj" (x) * o S — L5 o 0.50 — 0.4375 + 0.375 7.50 | oor — 00149975 — 149925 0.15 o: Sr — 0.4333725 + 0.45075 7-65 0.02 — 0.02998 — 1.497. 0.30 0.52 — 0:42848 + 0.528 7.80 0.03 — 0.0449325 — 1.49325 0.45 0.53 — 0.4228075 + 0.60675 7-95 0.04 — 0.05984 — 1.488 0.60 0.54 — 0.41634 + 0.687 8.10 0.05 — 0.0746875 — 148125 0.75 0.55 — 0.4090625 + 0.76875 8.25 0.06 — 0.08946 — 1.473 0.90 0.56 — 0.40096 + 0.852 8.40 0.07 — 0.1041425 — 1.46325 1.05 0.57 — 0.3920175 + 0.93675 8.55 0.08 — 0.11872 — 1.452 1.20 0.58 — 0.38222 + 1.023 8.70 0.09 |! — 0.1331775 — 1.43925 1.35 0.59 — 0.3715525 + 1.11075 8.85 0.10 — 0.1475 — 1.425 1.50 0.60 — 0.36 + 1.2 9.00 O.II — O.1616725 — 1.40925 1.65 0.61 — 0.3475475 + 1.29075 9.15 0.12 — 0.17568 — 1.392 1.80 0.62 — 0.33418 + 1.383 9.30 0.13 — 0.1895075 — 1.37325 1.95 0.63 — 0.3198825 + 1.47675 9.45 0.14 — 0.20314 1.353 2.10 0.64 — 0.30464 + 1.572 9.60 0.15 | — 0.2165625 — 1.33125 2.25 0.65 — 0.2884375 + 1.66875 9.75 0.16 — 0.22976 — 1.308 2.40 0.66 — 0.27126 + 1.767 9.90 0.17 — 0.2427175 — 1.28325 2.55 0.67 — 0.2530925 + 1.86675 10.05 0.18 |! — 0.25542 — 1.257 2.70 0.68 — 0.23392 + 1.968 10.20 0.19 — 0.2678525 | — 1.22925 2.85 0.69 — 02137275 | + 2.07075 10.35 0.20 — 0.28 — 1.2 3-00 0.70 — 0.1925 + 2.175 10.50 0.21 — 0.2918475 — 1.16925 3.15 0.71 — 0.1702225 + 2.28075 10.65 0.22 — 0.30338 — 1.137 3-30 0.72 — 0.14688 + 2.388 10.80 0.23 — 0.3145825 — 1.10325 3-45 0.73 — 0.1224575 + 2.49675 10.95 0.24 — 0.32544 — 1.068 3.60 0.74 — 0.09694 + 2.607 II.IO 0.25 — 0.3359375 — 1.03125 3-75 0.75 — 0.0703125 + 2.71875 II.25 0.26 — 0.34606 — 0.993 3.90 0.76 — 0.04256 + 2.832 11.40 0.27 — 0.3557925 — 0.95325 4.05 o — 0.0136675 + 2.94675 II.55 0.28 || — o.36512 — 0.912 4.20 0.78 + 0.01638 + 3.063 11.70 0.29 — 03740275. | — 0.86925 4-35 0.79 + 0.0475975 | + 3.18075 11.85 0.30 — 0.3825 — 0.825 4.50 0.80 + 0.08 + 33 12.00 0.31 — 0.3905225 — 0.77925 4.65 0.81 + 0.1136025 + 3.42075 12.15 0.32 — 0.39808 — 0.732 4.80 0.82 + 0.14842 + 3.543 12.30 0.33 — 0.4051575 — 0.68325 4-95 0.83 + 0.1844675 + 3.66675 12.45 0.34 — 0.41174 — 0.633 5.10 0.84 + 0.22176 + 3.792 12.60 0.35 — 04178125; | — 0.58125 5.25 0.85 + 0.2603125 | + 3.91875 12,75 0.36 — 0.42336 — 0.528 5.40 0.86 + 0.30014 + 4.047 12.90 0.37 — 0.4283675! | — 0.47325 5-55 0.87 + 0,3412575 | + 4.176075 13.05 0.38 | | — 043282 — 0.417 5.70 0.88 + 0.38368 + 4.308 13.20 0.39 | — 0.4367025 — 0.35925 5.85 0.89 + 0.4274225 + 4.44075 13.35 0.40 — 0.44 — 022 6.00 0.90 + 0.4725 + 4.575 13.50 0.41 — 0.4426975 — 0.23925 6.15 0.91 + 0.5189275 + 4.71075 13.65 0.42 — 0.44478 — 0.177 6.30 0.92 + 0.56672 + 4.848 13.80 0.43 — 0.4462325 — 0.11325 6.45 0.93 + 0.6158925 + 4.98675 13.95 0.44 — 0.44704 — 0.048 6.60 0.94 + 0.66646 + 5.127 14.10 0.45 | — 04471875. | + 0.01875 6.75 0.95 + 0.7184375 + 5.26875 14.25 0.46 — 0.44666 ' | + 0.087 6.90 0.96 + 0.77184 + 5.412 14.40 0.47 — 0.4454425 + 0.15675 7.05 0.97 + 0.8266825 + 5.55675 14.55 0.48 | — 0.44352 + 0.228 7.20 0.98 + 0.88298 + 5.703 14.70 0.49 | — 0.4408775 | ++ 0.30075 7-35 0.99 + 0.9407475 | + 5.85075 14.85 0.50 — 0.4375 + 0.375 7.50 I + I + 6 15 N:o 6. TOT ey 15. 00000 l9 D D D D © ON Our P, (x) + 0.3735007 + 0.37162854375 + 0.3690112 + 0.36565234375 + 0.3615567 + 0.35673004375 + 0.3511792 + 0.34491204375 + 0.3379375 + 0.33026554375 + 0.3219072 + 0.31287454375 + 0.303 1807 + 0.29283984375 + 0.2818672 + 0.27027904375 + 0.2580927 + 0.24532654375 + 0.232 + 0.21813354375 + 0.2037487 + 0.18886804375 + 0.1735152 + 0.15771484375 + 0.1414927 + 0.12487554375 + 0.1078912 + 0.09056854375 + 0.0729375 + 0.05502904375 + 0.0368752 + 0.01850904375 — 0.0000353 — 0.01872265625 — 0.0375168 — 0.05638045625 = 0:0752753 — 0.09416195625 — 0.113 — 0.13174795625 — 0.1503633 — 0.16880245625 — 0.1870208 — 0.20497265625 — 0.2226113 — 0.23988895625 — 0.2567568 — 0.27316495625 — 0.2890625 Hs. TALnrovtsT. — 0.14986 — 0.2245275 — 0.29888 — 0.3728125 — 0.44622 — 0.5189975 — O.59104 — 0.6622425 — 0.7325 — 0.8017075 — 0.86976 — 0.9365525 — 1.001098 1.0659375 1.12832 — 1.1890225 — 1.24794 — 1.3049675 — 1.36 — 1.4129325 — 1.46366 — 1.5120775 — 1.55808 | — 1.6015625 — 1.64242 — 1.6805475 — 1.71584 — 1.7481925 = 1.7775 — 1.8036575 1.82656 1.8461025 1.86218 | | 1.8746875 1.88352 1.8885725 1.88974 1.8869175 1.88 1.8688825 1.85346 1.8336275 1.80928 rl SET 1.7803125 1.74662 1.7080975 1.66464 1.6161425 EM M d — 1.5625 Pj? (y) = 105. Py (2) * | Pr” (2) — 7479 — 745275 — 7.416 — 7.36875 — 7.311 — 7.24275 — 7.164 — 7:07475 ZO [o + 0.375 [o — 7.5 [o 0.01 + 0.37462504375 — 0.0749825 — 7.49475 1.05 2.10 315 4.20 5:25 6.30 7:35 8.40 9.45 10.50 11.55 12.60 13.65 14.70 15.75 16.80 17.85 18.90 19.95 21.00 22.05 23.10 24.15 25.20 26.25 27.30 28.35 29.40 30.45 31.50 32.55 33.60 34.65 35.70 36.75 37.80 38.85 39.90 40.95 42.00 43.05 44.10 45.15 46.20 47-25 48.30 49-35 50.40 51.45 52.50 T. XXXII. Tafeln der Kugelfunctionen P, (x) und ihrer abgeleiteten Functionen. mm OO MMMM N:o 6. 2 P, (2) Py (@)* Py gia) 0.50 — 0.2890625 — 1.5625 + 5.625 52.50 0.51 — 0.30439745625 — 1.5036075 + 6.15525 53-55 0.52 — O.3191168 — 1.43936 + 6.696 54.60 0.53 — 0.33316645625 — 1.3696525 + 7.24725 55.65 0.54 — 0.3464913 — 1.29438 + 7.809 56.70 0.55 — 0.359035 15625 — 1.2134375 + 8.38125 57.75 0.56 — 0.3707408 — 1.12672 + 8.964 58.80 0.57 — 0.38154995625 — 1.0341225 + 9.55725 59.85 0.58 — 0.3914033 — 0.93554 + 10.161 60.90 0.59 — 0.40024045625 — 0.8308675 + 10.77525 61.95 0.60 — 0.408 — 0.72 + 11.4 63.00 0.61 — 0.41461945625 — 0.6028325 + 12.03525 64.05 0.62 — 0.4200353 — 0.47926 + 12.681 65.10 0.63 — 0.42418295625 — 0.3491775 + 13.33725 66.15 0.64 — 0.4269968 — 0.21248 + 14.004 67.20 0.65 — 0.4284 1015625 — 0.0690625 + 14.68125 68.25 0.66 — 0.4283553 + 0.08118 + 15.369 69.30 0.67 — 0.42676345625 + 0.2383525 + 16.06725 70.35 0.68 — 0.4235648 + 0.40256 + 16.776 71.40 0.69 — 0.41868845625 + 0.5739075 + 1749525 72-45 0.70 — 0.4120625 + 0.7525 + 18.22 73.50 0.71 — 0.40361305625 + 0.9384425 + 18.906525 74.55 0.72 — 0.3932688 + 1.13184 + 19.716 75.60 0.73 — 0.38095 195625 + 1.3327975 + 20.47725 76.65 0.7. — 0.3665873 + 1.54142 + 21.249 77-70 0.75 — 0.35009765625 + 1.7578125 + 22.03125 78.75 0.76 — 0.3314048 + 1.98208 + 22.824 79.80 0.77 — 0.31042945625 + 2.2143275 + 23.62725 80.85 0.78 — 0.2870913 + 2.45466 + 24.441 81.90 0.79 — 0.26130895625 + 2.7031825 + 25.26525 82.95 0.80 — 0.233 + 2.96 + 26.1 84.00 0.81 — 0.20208095625 + 3.2252175 + 26.94525 85.05 0.82 — 0.1684673 + 3.49894 + 27.801 86.10 0.83 — 0.13207345625 + 3.7812725 + 28.66725 87.15 0.84 — 0.0928128 + 4.07232 + 29.544 88.20 0.85 — 0.05059765625 + 4.372 1875 + 30.43125 89.25 0.86 — 0.0053393 + 4.68098 + 31.329 90.30 0.87 + 0.04305204375 + 4-9988025 + 32.23725 91.35 0.88 + 0.0946672 + 5.32576 + 33.156 92.40 0.89 + 0.14959804375 + 5.6619575 + 34.08525 93-45 0.90 + 0.2079375 + 6.0075 + 35.025 94.50 0.91 + 0.26977954375 + 6.3624925 + 35-9752 95.55 0.92 + 0.3352192 + 6.72704 + 36.936 96.60 0.93 + 0.40435254375 + 7.1012475 + 3790725 97.65 0.94 + 0.4772767 + 7.48522 + 38.889 98.70 0.95 + 0.55408984375 + 7.8790625 + 39.88125 99:75 0.96 + 0.6348912 + 8.28288 + 40.884 100.80 0.97 + 0.71978104375 + 8.6967775 + 41.89725 101.85 0.98 + 0.8088607 + 9.12086 + 42.921 102.90 0.99 + 0.90223254375 + 9.5552325 + 43-95525 103.95 I +1 + 10 +45 105 P? (à) = 105. N 10 Hs. TALLQVIST. Zz Po TUB) ERI CS Bo PACE) s [9] [9] + 1.875 o — 52.5 Oo 0.01 + 0.0187412507875 + 1.87237539375 — 0.5248425 — 52.45275 9.45 0.02 + 0.0374300252 + 1.8645063 — 1.04874 — 52.311 18.90 0.03 + 0.0560139413625 + 1.85140689375 — 15707475 — 52.07475 28.35 0.04 + 0.0744408064 + 1.8331008 — 2.08992 — 51.744 37.80 0.05 + 0.0926587109375 + 1.80962109375 — 2.6053125 — 51.31875 47.25 0.06 + 0.1106161236 + 1.7810103 — 3.11598 — 50.799 56.70 0.07 + 0.1282619855125 + 1.74732039375 — 3.6209775 — 50.18475 66.15 0.08 + 0.1455458048 + 1.7086128 — 4.11936 — 49.476 75.60 0.09 + 0.1624177510875 + 1.66495839375 — 4.6101825 — 48.67275 85.05 0.10 + 0.17882875 + 1.6164375 — 5.0925 — 47.775 94.50 O.II + 0.1947305776625 + 156313989375 — 5.5653675 — 46.78275 103.95 0.12 + 0.2100759552 + 1.5051648 — 6.02784 — 45.696 II3.40 0.13 + 0.2248186432375 + 1.44262089375 — 6.4789725 — 44.51475 122.85 0.14 + 0.2389135364 + 1.3756263 — 6.91782 — 43.239 132.30 0.15 + 0.2523167578125 + 1.30430859375 = 7:3434375 — 41.86875 141.75 0.16 + 0.2649857536 + 1.2288048 7.75488 — 40.404 151.20 0.17 + 0.2768793873875 + 1.14926139375 — 8.1512025 — 38.84475 160.65 0.18 + 0.2879580348 + 1.0658343 — 8.53146 — 37.191 170.10 0.19 + 0.2981836779625 + 0.97868889375 — 8.8947075 — 35:44275 179.55 0.20 + 0.30752 + 0.888 — 9.24 — 33.6 189.00 0.21 + 0.3159324795375 + 0.79395189375 — 9.5663925 — 31.66275 198.45 0.22 + 0.3233884852 + 0.6967383 — 9.87294 — 29.631 207.90 0.23 + 0.3298573701125 + 0.59656239375 — 10.1586975 — 27.50475 217.35 0.24 + 0.3353105664 + 0.4936368 — 10.42272 — 25.284 226.80 0.25 + 0.3397216796875 + 0.38818359375 — 10.6640625 — 22.96875 236.25 0.26 + 0.3430665836 + 0.2804343 10.88178 — 20.559 245.70 0.27 + 0.3453235142625 + 0.17062989375 — 11.0749275 — 18.05475 255.15 0.28 + 0.3464731648 + 0.0590208 — 11.242656 — 15.456 264.60 0.29 + 0.3464987798375 — 0.05413310625 — 11.3837325 — 12.76275 274.05 0.30 + 0.34538625 — 0.1685625 — II.4975 — 9.975 283.50 0.31 + 0.3431242064125 — 0.28398860625 — 11.5829175 — 7.09275 292.95 0.32 + 0.3397041152 — 0.4001232 — 11.603904 — 4.116 302.40 0.33 + 0.3351203719875 — 0.51666860625 — 11.6649225 — 1.04475 311.85 0.34 + 0.3293703964 — 0.6333177 — 11.65962 + 2.121 321.30 0.35 + 0.3224547265625 — 0.74975390625 — 11.6221875 + 5.38125 330.75 0.36 + 0.3143771136 — 0.8656512 — 11.55168 + 8.736 340.20 0.37 + 0.3051446161375 — 0.98067410625 — 11.4471525 + 12.18525 349.65 0.38 + 0.2947676948 — 1.0944777 — 11.30766 + 15.729 359.10 0.39 + 0.2832603067125 — 1.20670760625 11.1322575 + 19.36725 368.55 0.40 + 0.27064 — 1.317 — 10.92 + 23.1 378.00 O.41 + 0.2569280082875 — 1.42498160625 10.6699425 + 26.92725 387.45 0.42 + 0.2421493452 — 1.5302697 — 10.38114 + 30.849 396.90 0.43 + 0.2263328988625 — 1.63247210625 — 10.0526475 + 34.86525 406.35 0.44 + 0.2095115264 — 1.7311872 — 9.68352 + 38.976 415.80 0.45 + 0.1917221484375 — 1.82600390625 — 9.2728125 + 43.18125 425.25 0.46 + 0.1730058436 — 1.9165017 — 8.81958 + 47.481 434.70 0.47 + 0.1534079430125 — 2.00225060625 — 8.3228775 + 51.87525 444.15 0.48 + 0.1329781248 — 2.0828112 — 7.78176 + 56.364 453.60 0.49 + 0.1117705085875 — 2.15773460625 — 7.1952825 + 60.94725 463.05 ES | + 0.08984375 — 2.2265625 — 6.5625 + 65.625 472.50 P. («)= 945, T. XXXII. Tafeln der Kugelfunctionen P, (x) und ihrer abgeleiteten Functionen. — pp x P; (x) * Py (x) FEX" (x) * Ps" (a) Je (x) * 0.50 + 0.08984375 — 2.2265625 — 6.5625 + 65.625 472.50 O.51 + 0.0672611351625 — 2.28882710625 — . 5.8824675 + 70.39725 481.95 0.52 + 0.0440906752 — 2.3440512 —. 5.15424 + 75.264 491.40 0.53 + 0.0204052007375 — 2.39174810625 — 4.3768725 + 80.22525 500.85 0.54 — 0.0037175436 — 2.4314217 — . 8.54942 + 85.281 510.30 0.55 — 0.0281948046875 — 2.46256640625 — 2.6709375 + 9043125 519.75 0.56 — 0.0529387264 — 2.4846672 — 1.74048 + 95.676 529.20 0.57 — 0.0778562551125 — 2.49719960625 — 0.7571025 + IOI.01525 538.65 0.58 — 0.1028490452 — 2.4996297 + 0.28014 + 106.449 548.10 0.59 — 0.1278133645375 — 2.49141410625 + 1.3721925 + 111.97725 557-55 0.60 — 0.15264 — 2.472 + 2.52 + 117.6 567.00 0.61 — 0.1772141629625 — 2.440825 10625 + 3.7245075 + 123.31725 576.45 0.62 — 0.2014153948 — 2.3973177 + 4.98666 -- 120.129 585.90 0.63 — 0.2251174723875 — 2.34089660625 + 6.3074025 + 135.03525 595-35 0.64 — 0.2481883136 — 2.2709712 + 7.68768 + 141.036 4. 0.65 — 0.2704898828125 — 2.18694140625 + 9.1284375 + 147.13125 614.25 0.66 — 0.2918780964 — 2.0881977 + 10.63062 + 153.321 623.70 0.67 — 0.3122027282375 — 1.97412110625 + I2.1951725 + 159.60525 633.15 0.68 — 0.3313073152 — 1.8440832 + 13.832304 + 165.984 642.60 0.69 — 0.3490290626625 — 1.69744610625 + 15.5151675 + 172.45725 652.05 0.70 — 0.36519875 — 1.5335625 + 17.2725 + 179.025 661.50 0.71 — 0.3796406360875 — 1.35177560625 + 19.0959825 + 185.68725 670.95 0.72 — 0.3921723648 — I.1514192 + 20.98656 + 192.444 680.40 0.73 — 0.4026048705125 — 0.93181760625 + 22.9451775 + 199.29525 689.85 0.74 — 0.4107422836 — 0.6922857 + 24.97278 + 206.241 699.30 0.75 — 0.4163818359375 — 0.43212890625 + 27.0703125 +- 213.28125 708.75 0.76 — 0.4193137664 — 0.1506432 + 29.23872 + 220.416 718.20 0.77 — 0.4193212263625 + 0.15288489375 + 31.4789475 + 227.64525 727.65 0.78 — 0.4161801852 + 0.4791783 + 33.79194 + 234.969 737.10 0.79 — 0.4096593357875 | + 082896939375 | + 36.1786425 + 242.38725 746.55 0.80 — 0.39952 + 1.203 + 38.64 + 249.9 756.00 0.81 — 0.3855160342125 + 1.60202139375 + 41.1769575 + 257.50725 765.45 0.82 — 0.3673937348 + 2.0267943 + 43.79046 + 265.209 774-90 0.83 — 0.3448917436375 + 2.47808889375 + 46.4814525 + 273.00525 784-35 0.84 — 0.3177409536 + 2.9566848 + 49.25088 + 280.896 793.80 0.85 — 0.2856644 140625 + 3.46337109375 + 52.0996875 + 288.88125 803.25 0.86 — 0.2483772364 + 3.9989463 + 55.02882 + 296.961 812.70 0.87 — 0.2055864994875 + 4.56421839375 + 58.0392225 + 305.13525 822.15 0.88 — 0.1569911552 + 5.1600048 + 61.13184 + 313.404 831.60 0.89 — 0.1022819339125 + 5.78713239375 + 64.3076175 + 321.76725 841.05 0.90 — 0.04114125 + 6.4464375 + 67.5675 + 330.225 850.50 0.91 + 0.0267568926625 + 713876580375 + 70.9124325 + 338.77725 859.95 0.92 + 0.1017469952 + 7.8649728 + 74.34336 + 347-424 869.40 0.93 + 0.1841721582375 + 8.62592289375 + 77.8612275 + 356.16525 878.85 0.94 + 0.2743841764 + 9.4224903 + 81.46698 + 365.001 888.30 0.95 + 0.3727436328125 + 10.25555859375 + 85.1615625 + 373-93125 897.75 0.96 + 0.4796199936 + 11.1260208 + 88.94592 + 382.956 907.20 0.97 + 0.5953917023875 + 12.03477939375 + 92:8209975 + 392.07525 916.65 0.98 + 0.7204462748 + 12.9827463 + 96.78774 + 401.289 926.10 0.99 + 0.8551803929625 + 13.97084289375 + 100.8470925 + 410.59725 935.55 T är + 15 + 105 + 420 945 N:o 6. 12 HJ. TALL@VIST. P, (x) 03125 — 0.3118439468605625 — 0.309878149076 — 0.3066096863 500625 — 0.302050340864 — 0.2962165712890625 — 0.289129476404 — 0.2808147483175625 — 0.271302615296 — 0.2606277741955625 — 0.2488293125 — 0.2359506199630625 — 0.222039289856 — 0.2071470098200625 — 0.191329442324 — 0.1746460947265625 — 0.157160178944 — 0.1389384607225625 — 0.12005 10985 16 — 0.1005714719680625 — 0.080576 — 0.0601439485030625 — 0.039357227636 — 0.0183001787275625 + 0.002940649216 + 0.0242767333084375 + 0.045617821516 + 0.0668721864349375 + 0.087946891264 + 0.1087480648219375 + 0.1291811875 + 0.1491513875194375 + 0.168563747584 + 0.1873236219274375 + 0.205336963756 + 0.2225106630859375 + 0.238752894976 + 0.2539734781549375 + 0.268084244044 + 0.2809994 161744375 + 0.292636 + 0.302914 1831044375 + 0.311757745804 + 0.3190944821449375 + 0.32485663 1296 + 0.3289813193359375 + 0.331411011436 + 0.3320939744374375 + 0.330984749824 + 0.3280446370894375 + 0.3232421875 ———— Pe (x) * [o] + 0.1311712586625 + 0.2618702772 + 0.3916258549875 + 0.5199688704 + 0.6464333203125 + 0.7705573596 + 0.8918843406375 + 1.0099638528 + 1.1243527619625 + 1.23461625 + 1.3403288542875 + 1.4410755072 + 1.5364525756125 + 1.6260689004 + 1.7095468359375 + 1.7865232896 + 1.8566507612625 + 1.9195983828 + 1.9750529575875 + 2.02272 + 2.0623247749125 + 2.0936133372 + 2.1163535712375 + 2.1303362304 + 2.1353759765625 + 2.1313124196 + 2.1180111568875 + 2.0953648128 + 2.0632940782125 + 2.02174875 + 1.9707087705375 + 1.9101852672 + 1.8402215918625 + 1.760894 3604 + 1.6723144921875 + 1.5746282496 + 1.4680182775125 + 1.3527046428 + 1.2289458738375 + 1.09704 + 0.9573255911625 + 0.8101827972 + 0.6560343874875 + 0.4953467904 + 0.3286311328125 + 0.1564442796 — 0.0206101268625 — 0.2018806272 — 0.3866669055375 — 0.57421875 T. XXXII. N:o 6, Tafeln der Kugelfunctionen P, (x) und ihrer abgeleiteten Functionen. EEE mn ————————————————— Ps (v) + 0.3232421875 + 0.3165537082519375 + 0.307963777024 + 0.2974657669249375 + 0.285062381836 + 0.2707662021484375 + 0.254600240896 + 0.2365985102824375 + 0.216806598604 + 0.1952822575669375 + 0.172096 + 0.1473317079619375 + 0.121087251244 + 0.0934751162674375 + 0.064623045376 + 0.0346746865234375 + 0.003790253356 — 0.0278528043 100625 — 0.060059119616 — 0.0926147173930625 — 0.1252863 125 — 0.1578205977655625 — 0.189943521536 — 0.2213595548275625 — 0.251750948084 — 0.2807769775390625 — 0.308073181184 — 0.3332505843400625 — 0.355894914836 — 0.3755658077905625 — 0.391796 — 0.4040905 139305625 — 0.411925831316 — 0.4147490563600625 — 0.411977068544 — 0.4029956650390625 — 0.387158692724 — 0.3637871698075625 — 0.332168397056 — 0.2915550586255625 — 0.2411643125 — 0.1801768705330625 — 0.107736068096 — 0.0229469233300625 + 0.075124813996 + 0.1874536240234375 + 0.315055188736 + 0.4589873742874375 + 0.620351223724 + 0.8002919601019375 + I Ps (v) —————————————————————————— — 057421875 — 0.7637350132125 — 0.9543625728 1.1451952918875 — 1.3352729796 — 1.5235803515625 — 1.7090459904 — 1.8905413062375 — 2.0668794972 — 2.2368145099125 | — 2.39904 — 2.5521882925875 — 2.6948293428 — 2.8254696962625 — 2.9425514496 — 3.0444512109375 — 31294790604 — 3.1958775106125 — 3.2418204672 — 3.2654121892875 — 3.26468625 — 3.2376044969625 — 3.1820560128 — 3.0958560756375 — 2.9767451196 — 2.8223876953125 — 2.6303714304 — 2.3982059899875 — 2.1233220372 — 1.8030701936625 — L43472 1.0154588763375 0.5423910828 0.0125366800125 0.5771695104 1.2298789453125 1.9488303996 2.7373510056375 3.5988572928 4-5368562269625 5.55494625 6.6568183192875 7.8462569472 9.1271412406125 10.5034459404 | 11.9792424609375 13.5586999296 + 15.2460862262625 + 17.0457690228 + 18.9622168225875 ++ ++4+4++ +44+4++ +] +21 13 14 Hs. TALLQvIST. Ps) PE) BCE EEE" [9 + 13.125 [9 — 472.5 [9] 0.01 + 13.10137933125 — 4.7232675 — 471.98025 103.05 0.02 + 13.0305693 — 9.43614 — 470.421 207.90 0.03 + 12.91272583125 — 14.1282225 — 467.82225 ‘311.85 0.04 + 12.7481088 — 18.780912 — 464.184 415.80 0.05 + 12.53708203125 — 23.4084375 — 459.50625 519.75 0.06 + 12.2801133 — 27.097578 — 453.789 623.70 0.07 + 11.97777433125 — 32.4807525 — 447.03225 727.65 0.08 + 11.6307408 — 36.91296 — 439.236 831.60 0.09 + 11.23979233125 — 41.2620075 — 430.40025 935.55 0.10 + 10.8058125 — 45.5175 — 420.525 1039.50 O.II + 10.32978883125 — 49.6690425 — 409.61025 1143.45 0.12 + 9.8128128 — 53.70624 — 397.656 1247.40 0.13 + 9.25607983125 — 57.6186975 — 384.66225 1351.35 0.14 + 8.6608893 — 61.39602 — 370.629 1455.30 0.15 + 8.02864453125 — 65.0278125 — 355.55625 1559.25 0.16 + 7.3608528 — 68.50368 — 339.444 1663.20 0.17 + 6.65912533125 — 71.8132275 — 322.29225 1767.15 0.18 + 5.9251773 — 74.94606 — 304.I0I 1871.10 0.19 + 5.16082783125 — 77.8917825 — 284.87025 1975.05 0.20 + 4.368 — 80.64 — 264.6 2079.00 0.21 + 3.54872083125 — 83.1803175 — 243.29025 2182.95 0.22 + 2.7051213 — 85.50234 — 220.941 2286.90 0.23 + 1.83943633125 — 87.5956725 — 197.55225 2390.85 0.24 + 0.9540048 — 89.4992 — 173.124 2494.80 0.25 + 0.05126953125 — 91.0546875 — 147.65625 2598.75 0.26 — 0.8662227 — 92.39958 — 121.149 2702.70 0.2 — 1.79582116875 — 93.4742025 — 93.60225 2806.65 0.28 — 2:7347712 — 94.26816 ' — 65.016 2910.60 0.2 — 3.68021416875 — 94.7710575 — 35.39025 3014.55 0.30 — 4.6291875 — 94.9725 — 4.725 3118.50 0.31 — 5.57862466875 — 94.8620925 + 26.979075 3222.45 0.32 — 6.5253552 — 94.42944 + 59.724 3326.40 0.33 — 746610466875 — 93.6641475 + 93.50775 3430.35 0.34 — 8.3974947 — 02.55582 + 128.331 3534.30 0.35 — 9.31604296875 — 91.0940625 + 164.19375 3638.25 0.3 — 10.2181632 — 89.26848 + 201.096 3742.20 0.37 — 11.10016516875 — 87.0686775 + 239.03775 3846.15 0.38 — 11.9582547 — 84.48426 + 278.019 3950.10 0.39 — 12.78853366875 — 81.5048325 + 318.03975 4054.05 0.40 — 13.587 — 78.12 + 359.1 4158.00 0.41 — 14.34954766875 — 74-3193675 + 401.19975 4261.95 0.42 — 15.0719667 — 70.09254 + 444.339 4365.90 0.43 — 15.74994316875 — 65.4291225 + 488.51775 4469.85 0.44 — 16.3790592 — 60.31872 + 533.736 4573.80 0.45 — 16.95479296875 — 54.7509375 + 579.99375 4677-75 0.46 — 17.4725187 — 48.715238 + 627.291 4781.7 0.47 — 17.92750666875 — 42.2016525 + 675.62775 4885.65 0.48 — 18.3149232 — 35.19936 + 725.004 4989.60 0.49 — 18.62983066875 — 27.6081075 + 77541975 5093.55 0.50 — 18.8671875 — I9.6875 + 826.875 5197.50 LR SE Re M cur T MR Et eg ege C der | P,® (x) = 10395. T. XXXII N:o 6. Tafeln der Kugelfunctionen P, (x) und ihrer abgeleiteten Functionen. ————— M ———— a n —— nuuouounuu Pe" (x) — 18.8671875 — 19.02184816875 — 19.0885632 — 19.06197916875 — 18.9366387 — 18.70698046875 — 18.3673392 — 17.91194566875 — 17.3349267 — 16.63030516875 15.792 — 14.81382616875 — 136894947 — 12.41261266875 10.9766832 | 9.37510546875 7-6011747 5.64808216875 3.5089152 1.17665716875 E MEE 1.3558125 4.09571833125 7.0503888 10.22725633125 136338573 17.27783203125 21.1669248 25.30898383125 29.7119613 34-38391333125 39-333 44-56748533125 500957373 55.92622783125 62.0675328 68.52833203125 75.3174093 82.44365233125 89.9160528 97.74370633125 TET ttttt +444+ ttttt + 105.9358125 + 114.50167483125 + 123.4507008 + 132.79240183125 + 142.5363933 + 152.69239453125 + 163.2702288 + 174.27982333125 + 185.7312093 + 197.63452183125 + 210 PACS 19.6875 11.1571425 2.09664 7.5044025 17.065638 28.3696875 39.605472 51.5218725 63.98154 770441175 90.72 105.0195825 119.95326 135-5314275 151.76448 168.6628125 186.23682 204.4968975 223.45344 243.1168425 263.4975 284.6058075 306.45216 329.0469525 352.40058 376.5234375 401.42592 427.1184225 453.61134 480.9150675 509.04 537-9965325 567.79506 598.4459775 629.95968 662.3465625 695.61702 729.7814475 764.85024 800.8337925 837.7425 875.58607575 914.37696 954.1235025 994.83678 deest ier ee pese CPC RER eb be p HE EEE EE etse] + 1036.5271875 + 1079.20512 + 1122.8809725 + 1167.56514 + 1213.2680175 + 1260 B, (x) = 10895. p, ( a) —————————————————————————————————————2D + 826.875 -- 879.36975 + 932.904 + 987.47775 + 1043.09I + 1099.74375 + 1157436 + 1216.16775 + 1275-939 + 1336.74975 + 1398.6 + 1461.48975 + 1525.419 + 1590.38775 + 1656.396 + 1723.44375 + 1791.531 + 1860.65775 + 1930.824 + 2002.02975 + 2074.275 + 2147.55975 + 2221.884 + 2297.24775 + 2373-651 + 2451.09375 + 2529.576 + 2609.09775 + 2689.659 + 2771.25975 + 2853.9 + 2937-57975 + 3022.299 + 3108.05775 + 3194.856 + 3282.69375 + 3371-571 + 3461.48775 + 3552.444 + 3644-43975 + 3737-475 + 3831.54975 + 3926.664 + 4022.81775 + 4120.011 + 4218.24375 + 4317-516 + 4417.82775 + 4519.179 + 4621.56975 + 4725 Po (ac) * 5197-50 5301-45 5405-40 5509-35 5613.30 5717:25 5821.20 5925-15 6029.10 6133.05 6237.00 6340.95 6444.90 6548.85 6652.80 6756.75 6860.70 6964.65 7068.60 7172.55 7276.50 7380.45 7484.40 7588.35 7692.30 7796.25 7900.20 8004.15 8108.10 8212.05 8316.00 8419.95 8523.90 8627.85 8731.80 8835.75 8939.70 9043.65 9147.60 9251.55 9355.50 9459.45 9563.40 9667.35 9771-30 9875.25 9979.20 10083.15 10187.10 10291.05 10395 15 16 Hs. TALLQVIST. z P, (z)* P, (2) [0] o — 2.1875 0.01 — 0.021855316830981875 — 2.1815959154373125 0.02 — 0.04359263856568 — 2.163909637988 0.03 — 0.065094489407360625 — 2.1345190288008125 0.04 — 0.08624443080704 — 2.093553631232 0.05 — 0.106927576708984375 — 2.0411943330078125 0.06 — 0.12703110474216 — 1.977672893252 0.07 — 0.146444762006283125 — 1.9032713343783125 0.08 — 0.16506136410112 — 1.818321198848 0.09 — 0.182777286047686875 — 1.7232026707923125 0.10 — 0.19949294375 — 1.6183435625 O.II — 0.215113264646025625 — 1.5042181657698125 0.12 — 0.22954814619648 — 1.381345968128 0.13 — 0.242712900860129375 — 1.2502902339108125 0.14 — 0.25452868620424 — 1.111656450212 0.15 — 0.264922918798828125 — 0.9660906376953125 0.16 — 0.27382967054336 — 0.814277526272 0.17 — 0.281190046074551875 — 0.6569385956433125 0.18 — 0.28695253990392 — 0.494829980708 0.19 — 0.291073371933730625 — 0.3287402418348125 0.20 — 0.2935168 — 0.159488 0.21 — 0.294255408091194375 + 0.0120805632101875 0.22 — 0.29327036889128 + 0.185094 340732 0.23 — 0.29055 1679295773125 + 0.3586600702916875 0.24 — 0.28609836754944 + 0.531865239808 0.25 — 0.279918670654296875 + 0.7037811279296875 0.26 — 0.27203018069656 + 0.873465979708 0.27 — 0.262459958741195625 + 1.0399683174041875 0.28 — 0.25124461494272 + 1.202330386432 0.29 — 0.238430353520899375 + 1.3595917364351875 0.30 — 0.22407298125 + 1.5107929375 0.31 — 0.208237878110238125 + 1.6549794315026875 0.32 — 0.19099992875008 + 1.791205518592 0.33 — 0.172443413408041875 + 1.9185384788066875 0.34 — 0.15266185694264 + 2.036062828828 0.35 — 0.131757834619140625 + 2.1428847138671875 0.36 — 0.10984273330176 + 2.238136434688 0.37 — 0.087036466699964375 + 2.3209811097641875 0.38 — 0.06346714331752 + 2.390617472572 0.39 — 0.039270685752943125 + 2.4462848040176875 0.40 — 0.0145904 + 2.487268 0.41 + 0.010423506603093 125 + 2.5129027741076875 0.42 + 0.03561446012712 + 2.522580995452 0.43 + 0.060820108859314375 + 2.5157561616341875 0.44 + 0.08587296751616 + 2.491949006848 0.45 + o.110601118212890625 + 2.4507532451171875 0.46 + 0.13482896954104 + 2.391841448668 0.47 + 0.158378075105391875 + 2.3149710614366875 0.48 + 0.18106801287168 + 2.219990547712 0.49 + 0.202717326676388125 + 2.1068456759126875 0.50 + 0.22314453125 + 1.9755859375 T. XXXII. Tafeln der Kugelfunctionen P, (x) und ihrer abgeleiteten Functionen. 2 PA (a) * P; (a) 0.50 + 0.22314453125 + 1.9755859375 0.51 + 0.242169182105049375 + 1.8263711010251875 0.52 + 0.25961301164032 + 1.659477901312 0.53 + 0.275301132812545625 + 1.4753068637741875 0.54 + 0.2890633 1172696 + 1.274389263868 0.55 + 0.300735310498046875 + 1.0573942216796875 0.56 + 0.31016030173184 + 0.825135931648 0.57 + 0:317190355981123125 + 0.5785810274216875 0.58 + 0.32168800352488 + 0.318856081852 0.59 + 0.323527871823344375 + 0.0472552421201875 0.60 + 0.3225984 — 0.234752 0.61 + 0.31880363 1701880625 — 0.5255129027448125 0.62 + 0.31206508768952 — 0.823183433828 0.63 + 0.302323719507901875 — 1.1257200947733125 0.64 + 0.28954194558976 — 1.430871610112 0.65 + 0.273705771142578125 — 1.7361704814453125 0.66 + 0.254826993 17064 — 2.038924406372 0.67 + 0.232945491983479375 — 2.3362075622808125 0.68 + 0.20813161054208 — 2.624851755008 0.69 + 0.180488622994175625 — 2.9014374323598125 0.7 + 0.15015529375 — 3.1622845625 0.71 + 0.117308528449836875 — 34034433772023125 0.72 + 0.08216611817472 — .3.620684979968 0.73 + 0.044989578251633125 — 3.8094918190083125 0.74 + 0.00608708300456 — 3.965048025092 0.75 — 0.034183502197265625 — 4.0822296142578125 0.76 — 0.07541149024256 — 4.155594555392 0.77 — 0.117130141581289375 — 4.1793727026708125 0.78 — 0.15881333217672 — 4.147455592868 0.79 — 0.199872118754868125 — 4.0533861075273125 0.80 — 0.2396512 — 3.890348 : 0.81 — 0.277425272344831875 — 3.6511552873473125 0.82 — 0.31239527900408 — 3.328241507108 0.83 — 0.343684550900010625 — 2.9136488389308125 0.84 — 0.37033483812864 — 2.399017091072 0.85 — 0.391302230615234375 — 1.7755725517578125 0.86 — 0.40545296660776 — 1.034116705412 0.87 — 0.411559127656933125 — 0.1650148137483125 0.88 — 0.40829421873152 + 0.841815638272 0.89 — 0.394228632117536875 + 1.99691663 16176875 0.90 — 0.36782499375 + 3-3113014375 O.9I — 0.327433390625875625 + 4.7964665768201875 0.92 — 0.27128647794688 + 6.464403914752 0.93 — 0.197494464640779375 + 8.3276128904591875 0.94 — 0.10403997590984 + 10.399112881948 0.95 + 0.011227208544921875 + 12.6924557060546875 0.96 + 0.15059554197504 + 15.221738253568 0.97 + 0.316497225062798125 + 18.0016152594866875 0.98 + 0.5115 1384877768 + 21.047312208412 0.99 + 0.7383821669624 19375 + 24.3746383750751875 +1 + 28 17 18 Hs. TALLQVIST. a TENA yes I) o [6] + 118.125 0.01 + 1.1803838626125 + 117.86518130625 0.02 + 2.3555736036 + 117.0864009 0.03 + 3.5203886148375 + 115.79068580625 0.04 + 4.6696753152 + 113.9814144 0.05 + 5.7983206640625 + 111.66331640625 0.06 + 6.9012656748 + 108.8424729 0.07 + 7.9735189282875 + 105.52631630625 0.08 + 9.0101700864 + 101.7236304 0.09 + 10.0064034055125 + 07.44455030625 0.10 + 10.95751125 + 92.7005625 O.II + 11.8589076057375 + 87.50450480625 0.12 + 12.7061415936 + 81.8705664 0.13 + 13.4949109829625 + 75.81428780625 0.14 + 14.2210757052 + 60.3525609 0.15 + 14.8806713671875 + 62.50362890625 0.16 + 15.4699227648 + 55.2870864 0.17 + 15.9852573964 125 + 47.72387930625 0.18 + 16.4233189764 + 39.8363049 0.19 + 16.7809809486375 + 31.64801180625 0.20 + 17.05536 + 23.184 0.21 + 17.2438295738625 + 14.47062080625 0.22 + 17.3440333936 + 5.5355769 0.2 + 17.3538989260875 — 3.59207769375 0.2 + 17.2716509952 — 12.8819376 0.25 + 17.0958251953125 — 22.30224609375 0.26 + 16.8252814548 — 31.8198951 0.27 + 16.4592175395375 — 41.40042519375 0.28 + 15.9971825664 — 51.0080256 0.2 + 15.4390905167625 — 60.60553419375 0.30 + 14.78523375 — 70.1544375 0.31 + 14.0362965 169875 — 79.61487069375 0.32 + 13.1933684736 — $88.9456176 0.33 + 12.2579581942125 98.10411069375 0.34 + 11.2320066852 — 107.0464311 0.35 + 10.1179008984375 — 115.72730859375 0.3 + 8.9184872448 — 124.1001216 0.37 + 7.6370851076625 — 132.11689719375 0.38 + 6.2775003564 — 139.7283111 0.39 + 4.8440388598875 — 146.88368769375 0.40 + 3.34152 — 153.531 O.41 + 1.7752901851125 — 159.61686969375 0.42 + 0.1512363636 — 165.0865671 0.43 — 1.5242004626625 — 169.88401119375 0.44 — 3.2440117248 — 173.9517696 0.45 — 5.0006077734375 — 177.23105859375 0.46 — 6.7858043652 — 179.6617431 0.47 — 8.5908091492125 — 181.18233669375 0.48 — 10.4062081536 — 181.7300016 0.49 — 12.2219522719875 — 181.24054869375 0.50 — 14.02734375 — 179.6484375 ES SEL ET ee MÀ —À — M—— T. XXXI. N:o 1. Tafeln der Kugelfunctionen P, (x) und ihrer abgeleiteten Functionen. E JE: (x) * pou (x) 0.50 — 1402734375 — 179.6484375 0.51 — 15.8110226717625 — 176.88677619375 0.52 — 17.5609534464 — 172.8873216 0.53 — 19.2644112945375 — 167.58047919375 0.54 — 20.9079687348 — 160.8953031 0.55 — 22.4774820703125 — 152.75949609375 | O56 — 23.9580778752 — 143.0994096 | 0.57 — 25.3341394810875 — 131.84004369375 0.58 — 26.5892934636 — I18.9050471 0.59 — 27.7063961288625 — 104.21671719375 0.60 — 28.66752 — 87.696 0.61 — 29.4539403036375 — 69:26249019375 0.62 — 30.0461214564 = 4898344311 0.63 — 30.4237035514125 — 26.32871469375 0.64 — 30.5654888448 — . 1.6608816 0.65 — 30.4494282421875 + 25.25487890625 0.66 — 30.0526077852 + 54.5057289 0.67 — 29.3512351379625 + 86.18018180625 0.68 — 28.3206260736 + 120.3681024 0.69 — 26.9351909607375 -- 157.16070680625 0.70 — 25.16842125 + 196.6505625 0.71 — 22.9928759605 125 + 238.93158830625 0.72 — 20.3801681664 + 284.0990544 . 0.73 — 17.3009514832875 + 332.24958230625 0.74 — 13.7249065548 + 3834811449 0.75 — 9.6207275390625 + 437.89306640625 0.76 — _4.9561085952 + 495.5860224 0.77 + 0.3022696301625 + 556.66203980625 0.78 + 6.1887535164 + 621.2244969 0.79 + 12.7387299823875 + 689.37812330625 0.80 + 19.98864 + 761.229 0.81 + 27.9759921076125 + 836.88455930625 0.82 + 36.7393759236 + 916.4535849 0.83 + 46.3184756598375 + 1000.04621180625 0.84 + 56.7540836352 + 1087.7739264 0.85 + 68.0881137890625 + 1179.74956640625 0.86 + 80.3636151948 + 1276.0873209 0.87 + 93.6247855732875 + 1376:90273030625 0.88 + 107.9169848064 + 1482.3126864 0.89 + 123.2867484505125 + 1592.43543230625 0.90 + 139.78180125 + 1707.3905625 0.91 + 157.4510706507375 + 1827.29902280625 0.92 + 176.3447003136 + 1952.283 1104 0.93 + 196.5140636279625 + 2082.46647380625 0.94 + 218.0117772252 + 2217.9741129 0.95 + 240.8917144921875 + 2358.93237890625 0.96 + 265.2090190848 + 2505.4689744 0.97 + 291.0201184414125 + 2657.71295330625 0.98 + 318.3827372964 + 2815.7947209 0.99 + 347-3559111936375 + 2979.84603380625 I + 378 + 3150 19 20 Hy. TALLQVIST. PO (x) = 185185. a ip, (ay Pj? (y) Pf9 (y) * [9 [9] — 5197.5 [9] 0.01 — 51.9524775 — 5190.74325 1351.35 0.02 — 103.76982 = rl 2702.70 0.03 — 155.3168925 — 5136.68925 4054.05 0.04 — 206.45856 — 5089.392 5405.40 0.05 — 257.0596875 — 5028.58125 6756.75 0.06 — 306.98514 — 4954.257 8108.10 0.07 — 356.0997825 — 4866.41925 9459.45 0.08 — 404.26848 — 4765.068 10810.80 0.09 — 451.3560975 — 4650.20325 12162.15 0.10 — 497.2275 — 4521.825 13513.50 O.TI — 541.7475525 — 4379.93325 14864.85 0.12 — 584.78112 — 4224.528 16216.20 0.13 — 626.1930675 — 4055.60925 17567.55 0.14 — 665.84826 — 3873.177 18918.90 0.15 — 703.6115625 — 3677.23125 20270.25 0.16 — 739:34784 — 3467.772 21621.60 0.17 — 772:9219575 — 3244.79925 22972.95 0.18 — 804.19878 — 3008.313 24324.30 0.19 — 833.0431725 — 2758.31325 25675.65 0.20 — 859.32 — 2494.8 EE 0.21 — 882.8941275 — 2217.77325 28378.35 0.22 — 903.63042 — 1027-233 29729.70 0.23 — 921.3937425 — 1623.17925 31081.05 0.24 — 936.04896 = 1305.612 32432.40 0.25 — 947.4609375 — 974.53125 3378375 0.26 — 955-49454 — 629.937 35135.10 0.2 — 960.0146325 — 271.82925 36486.45 0.28 — 960.88608 + 90.702 37837.80 022 = 0579737475 + 484.92675 39189.15 0.30 — 951.1425 + 883.575 40540.50 0.31 — 940.2572025 + 1295.73675 41891.85 0.32 — 925.18272 + 1721.412 43243.20 0.33 — 905.7839175 + 2160.60075 44594.55 0.34 — 881.92566 + 2613.303 45945.90 0.35 — 853.4728125 + 3079.51875 4729725 0.36 — 820.29024 + 3559.248 48648.60 0.37 — 782.2428075 + 4052.49075 49999-95 0.38 — 73919538 + 4559-247 51351.30 0.39 — 691.012822: + 5070.51675 52702.65 0.40 — 637.56 + 5613.3 54054.00 0.41 — 578.7017775 + 6160.50675 55405.35 0.42 — 514.30302 + 6721.407 56756.70 0.43 — 444.2285925 -- 7295.73075 58108.05 0.44 — 368.34336 + 7883.568 59459.40 0.45 — 286.5121875 + 8484.91875 60810.75 0.46 — 198.59994 + 9099.783 62162.10 0.47 — 104.4714825 + 9728.16075 63513.45 0.48 = 8.99168 + 10370.052 64864.80 0.49 + 102.9746025 + 11025.45675 66216.15 0.50 + 216.5625 + 11694.375 67567.50 T. XXXII. N:o 6. Tafeln der Kugelfunctionen P,(x) und ihrer abgeleiteten Functionen. | | z BODE CES P (g* | 0.50 + 216.5625 + 11694.375 67567.50 | 0.51 + 336.9071475 + 12376.80675 68918.85 | 0.52 + 464.14368 + 13072.752 70270.20 | 0.53 + 598.4072325 + 13782.21075 71621.55 | 0.54 + 739.83294 + 14505.183 72972.90 | 0.55 + 888.5559375 + 15241.66875 7432425 | 0.56 + 1044.71136 + 15991.668 75675.60 0.57 + 1208.4343425 + 16755.18075 77026.95 0.58 + 1379.86002 + 17532.207 7837830 | 0.59 + 1559.1235275 + 18322.74675 79729.65 | 0.60 + 1746.36 + 19126.8 81081.00 | 0.61 + 1941.7045725 + 19944.36675 8243235 | 0.62 + 2145.29238 + 20775-447 83783.70 | 0.63 + 2357.2585575 + 21620.04075 85135.05 | 0.64 + 2577.73824 + 22478.148 86486.40 0.65 + 2806.8665625 + 23349.76875 87837.75 0.66 + 3044.77866 + 24234.903 89189. 10 0.67 + 3291.6096675 + 25133.55075 90540.45 0.68 + 3547.49472 + 26045.712 91891.80 0.69 + 3812.5689525 + 26971.38675 93243.15 0.70 + 4086.9675 + 27910.575 94594-50 0.71 + 4370.8254975 + 28863.27675 95945.85 0.72 + 4664.27808 + 29829.492 97297.20 0.73 + 4967.4603825 + 30809.22075 98648.55 0.74 + 5280.50754 + 31802.463 99999.90 0.75 + 5603.5546875 + 32809.21875 101351.25 0.76 + 5936.73696 + 33829.488 102702.60 0.77 + 6280.1894925 + 34863.27075 104053.95 0.78 + 6634.04742 + 35910.567 105405.30 0.79 + 6998.4458775 + 36971.37675 106756.65 | 0.80 + 7373.52 + 38045.7 108108.00 0.81 + 7759-.4049225 + 39133-53675 109459.35 0.82 + 8156.23578 + 40234.887 110810.70 0.83 + 8564.1477075 + 41349.75075 112162.05 0.84 + 8983.27584 + 42478.128 113513.40 0.85 + 9413.7553125 + 43620.01875 114864.75 0.86 + 9855.72126 + 44775-423 116216. 10 0.87 + 10309.3088175 + 45944-34075 117567.45 0.88 + 10774.65312 + 47126.772 118918.80 0.89 + 11251.8893025 + 48322.71675 I20270.15 | 0.90 | + 11741.1525 + 49532.175 121621.50 0.91 + 12242.5778475 + 50755.14675 12207285 | 0.92 + 12756.30048 + 51991.632 124324.20 0.93 + 13282.4555325 + 53241.63075 125675.55 0.94 | + 13821.17814 + 54505.143 127026.90 I O95 | d 14372.6034375 + 55782.16875 128378.25 0.96 + 14936.86656 + 57072.708 129729.60 0.97 + 15514.1026425 | + 58376.76075 131080.95 0.98 + 16104.44682 | + 59694.327 132432.30 | 0.99 + 16708.0342275 | + 61025.40675 133783.65 | I + 17325 | + 62370 135135 | Pj (y) = 135135. 21 22 Hs. TALLQVIST. x P, (x) Py (2) * o + 02734375 o 0.01 + 0.27245366631241127734375 — 0.196658493802228125 | 0.02 + 0.269508656495287 — 0.3920193012852 | 0.03 + 0.26462191052714065234375 — 0.584791486122909375 | ^ 004 + 0.257825715945472 — 0.7736975917056 0.05 + 0.24916503956146240234375 — 0.957480330322265625 | 0.06 + 0.238697292570007 — 1.1349092115324 | 0.07 + 0.22649202976454252734375 — 1.304787089456746875 0.08 + 0.212630583768832 — 1.4659566087 168 0.09 + 0.19720563540057002734375 — 1.617306528752803125 0.10 + 0.180320721484375 — 1.75777790625 O.II + 0.16208968163443690234375 — 1.886370115402884375 0.12 + 0.142636045729792 — 2.0021466857472 0.13 + 0.12209236400789815234375 — 2.104240937289440625 0.14 + 0.100599481904887 — 2.1918613926636 0.15 + 0.07830576197357177734375 — 2.264296946044921875 0.16 + 0.055366255412992 — 2.3209217685504 0.17 + 0.03194182594597877734375 — 2.361199929855778125 0.18 + 0.008198228983927 — 2.3846897157588 0.19 — 0.01569485077933684765625 — 2.391047621418459375 0.20 — 0.0395648 — 2.380032 0.21 — 0.06323711199572809765625 — 2.351506346455415625 0.22 — 0.086536452986153 — 2.3054421961692 0.23 — 0.10928775530968497265625 — 2.241921618199096875 0.24 — 0.131317333461248 — 2.1611392828416 0.25 — 0.15245401859283447265625 — 2.063404083251953125 0.26 — 0.172530306916073 — 1.9491402908484 0.27 — 0.19138351724330059765625 — 1.818888224230434375 0.28 — 0.208856952700928 — 1.6733044113408 0.29 — 0.22480106144618434765625 — 1.513161224600990625 0.30 — 0.239074591015625 — 1.33934596875 O.3I — 0.25154573073108372265625 — I.152859401 116071875 0.32 — 0.262093236386048 — 0.9548136640512 0.33 — 0.27060753123273372265625 — 0.746429609258128125 0.34 — 0.276991777087433 — 0.5290334937396 0.35 — 0.28116290916900634765625 — 0.304053027099609375 0.36 — 0.283052628082688 — 0.0730127499264 0.37 — 0.28260834215867059765625 + 0.162471277013034375 | 0.38 — 0.279794053152233 + 0.4006974930372 | 0.39 — 0.27459117810947247265625 + 0.639885587543353125 0.40 — 0.2669993 + 0.878184 | 0.41 — 0.25703683951525497265625 + 1.113678190208896875 | 0.42 | — 0.244741640228393 + 1.3443996991068 | 0.43 — 0.23017145910899809765625 + 1.568336020377215625 0.44 — 0.213404354183 168 + 1.7834413031424 0.45 — 0.19453896092681884765625 + 1.987647906005859375 0.46 — 0.173694648777353 + 2.1788788227156 0.47 — 0.15101154894613122265625 + 2.355060999718378125 0.48 — 0.126650444511488 + 2.5141395658752 049 — 0.10079251356932622265625 + 2.654092994608321875 0.50 — 0.073638916015625 + 2.77294921875 T. XXXII. Nio 6. Tafeln der Kugelfunctionen P, (x) und ihrer abgeleiteten Functionen. z Ps (v) Fe" (x) * 0.50 — 0.073638916015625 + 2.77294921875 0.51 — 0.04541021433249184765625 / + 2.868802718363240625 0.52 — 0.016345618546688 + 2.9398326018048 0.53 + 0.013297954673 14690234375 + 2.984321700300684375 0.54 + 0.043247019017047 + 3-0006766963044 0.55 + 0.07321286207122802734375 + 2.987449305908203125 0.56 + 0.102893 106034432 + 2.9433585355776 0.57 + 0.13197349645769252734375 + 2.867314033479346875 0.58 + 0.160129930054807 + 2.7594405556732 0.59 + 0.18703073283350440234375 + 2.616103567437665625 0.60 + 0.2123392 + 2.439936 0.61 + 0.23571640929233065234375 + 2.229866182940709375 0.62 + 0.256243 19600567 + 1.9861469725428 0.63 + 0.27532916693470127734375 + 1.709386096356028125 0.64 + 0.290905170003712 + 1.4005777342464 0.65 + 0.30323855787200927734375 + 1.061135356201171875 0.66 + 0.312031932362167 + 0.6929258371596 0.67 + 0.31700897807555065234375 + 0.298304869139690625 0.68 + 0.317919533105152 — 0.1198463090688 0.69 + 0.31454503371764440234375 — 0.558082844374865625 0.70 + 0.306704346484375 — 1.01235684375 0.71 + 0.29426000154371252734375 — 1477976570214946875 0.72 + 0.277124840879872 — 1.9495642401792 0.73 + 0.25526909570604002734375 — 2.421012401863003125 0.74 + 0.228727907242327 — 2.8854388745316 0.75 + 0.19760930538177490234375 — 3.335140228271484375 0.76 + 0.162102659940352 — 3.7615437840384 0.77 + 0.12248761938956815234375 — 4.155158113706840625 0.78 + 0.079143552173047 — 4.5055220198508 — 0:79 + 0.03255950591109377734375 — 4.801151974985521875 0.80 — 0.0166553 — 5.029488 0.81 — 0.06776043268447122265625 — 5.176837961509978125 0.82 — 0.119872639067273 — 5.2283202678612 0.83 — 0.17195365802308684765625 — 5.167804943512659375 0.84 — 0.222797435076608 — 4.9778530615296 0.85 — 0.27101672313385009765625 — 4.639654513916015625 0.86 — 0.315029052521513 — 4.1329640995164 0.87 — 0.35304205340875497265625 — 3:436035909216496875 0.88 — 0.383038113483008 — 2.5255559881728 0.89 — 0.40275835354877247265625 — 1.376573254800553125 0.90 — 0.409685903515625 + 0.03757134375 0.91 — 0.40102846103897059765625 + 1.745317459899365625 0.92 — 0.373700114874368 + 3.7769597779968 0.93 — 0.32430241480355434765625 + 6.164724271000809375 0.94 — 0.249104669787593 + 8.9428463017524 0.95 — 0.14402345579986572265625 + ee 0.96 — 0.0046013 14588928 + 15.817633059225 0.97 + 0.17401537558145627734375 + 19.99354460220447 1875 0.98 + 0.397099376370487 + 24.7184767544652 0.99 + 0.67036643233479565234375 + 30.037949327023790625 I +1 + 36 23 24 Hs. TALLQVIST. c HU (&) Bj (x) * Pj (a) o — 19.6875 o + 1299.375 0.01 — 19.6225594003096875 + 12.9824904391875 + 1295.99746959375 0.02 — 19.4.2807 526982 + 25.897464054 + 1285.8750135 0.03 — 19.1050596007621875 + 38.6776067225625 + 1269.03803709375 0.04 — 18.65519566848 + 51.256009728 + 1245.537216 0.05 — 18.0808329638671875 + 63.5663724609375 + 1215.44349609375 0.06 — 17.38498009878 + 75.543205122 + 1178.84809; 5 0.07 — 16.5712956844246875 + 87.1220314243125 + 1135.86249459375 0.08 — 15.64407718272 + 98.239591296 + 1086.618456 0.09 — 14.6082477306346875 + 108.8340435826875 + 1031.26800459375 0.10 — 13.4693409375 + 118.84516875 + 969.9834375 O.II — 12.2334836552971875 + 128.2145715860625 + 902.95732209375 0.12 — 10.90737672192 + 136.885883904 + 830.402496 0.13 — 94982736774121875 + 144.8049672444375 + 752.55206709375 0.14 — 8.01395745318 + 151.920115578 + 669.6594135 0.15 — 6.4627150341796875 + 158.1822580078125 + 581.99818359375 0.16 — 4.85331009408 + 163.545161472 + 489.862296 0.17 — 3.1949536033996875 + 167.9656334461875 + 393.56593959375 0.18 — 1.49727241062 + 171.403724646 + 293.4435735 0.19 + 0.2297242037278125 + 173.8229317295625 + 189.84992709375 0.20 + 1.97568 + 175.1904 + 83.16 0.21 + 3.7299292794028125 + 175.4771261079375 — 26.23093790625 0.22 + 5.48153641098 + 174.658160754 — 137.9073465 0.23 + 7.2193373856253125 + 172.7128113913125 — 251.43341540625 0.24 + 8.93198339712 + 169.624844928 — 366.353064 0.25 + 10.6079864501953125 + 165.3826904296875 — 482.18994140625 0.26 + 12.23576699562 + 159.979641822 — 598.4474265 0.27 + 13.8037035923128125 + 153.4140605930625 — 714.60862790625 0.28 + 15.30018459648 + 145.689578496 — 830.136384 0.29 + 16.7136618777778125 + 136.8153002514375 — 944.47326290625 0.30 + 18.0327065625 + 126.80600625 — 1057.0415625 0.31 + 19.2460668037903125 + 115.6823552548125 — 1167.24331040625 0.32 + 20.34272757888 + 103.471087104 1274.460264 0.33 + 21.311972513350312 + 90.2052254131875 — 1378.05391040625 0.34 + 22.14344773242 + 75924280278 — 1477.3654665 0.35 + 22.827227739257812 + 60.6744509765625 — 1571.71587890625 0.36 + 23.35388332032 + 44.508828672 — 1660.405824 0.37 + 23.7145514777128125 + 27.4875991149375 1742.71570790625 0.38 + 23.90100738858 + 9.678245346 1817.9056665 0.39 + 23.9057383915153125 — 8.8442496016875 — 1885.21556540625 0.40 + 23.72202 — 27.9972 — 1943.865 0.41 + 23.3439939428653125 — 47.6900147233125 — 1993.05329540625 0.42 + 22.76674823178 — 67.823994546 — 2031.9595065 0.43 + 21.9863992557628125 — 88.2921294399375 — 2059.74241790625 0.44 + 21.00017590272 — 108.978895872 — 2075.540544 0.45 + 19.8065057080078125 — 129.7600541015625 2078.47212890625 0.46 + 18.40510303002 — 150.502445478 — 2067.6351465 0.47 + 16.7970592528003125 — 171.0637897381875 — 2042.10730040625 0.48 + 14.98493501568 — 191.292482304 2000.946024 0.49 + 12.9728544699403125 — 211.0273915798125 — 1943.18848040625 0.50 + 10.7666015625 — 230.09765625 — 1867.8515625 T. XXXII. N:o 6. Tafeln. der Kugelfunctionen P, (x) und ihrer abgeleiteten Functionen. E RU —O—mD a Ba (a) Pe (GE IP. (©) N II((( 0.5 + 10.7666015625 — 230.09765625 — 1867.8515625 0.51 + 8.3737183466278125 — 248.3224825764375 — 1773-93189290625 0.52 + 5.80360531968 — 265. 510941806 — 1660.405824 0.53 + 3.0676237878628125 — 281.4617669180625 — 1526.22943790625 0.54 + 0.17920025802 — 295.963151022 — 1370.3385465 0.55 — 2.8460671435546875 — 308.7925435546875 — 1191.64869140625 0.56 — 5.99030022528 — 319.716448128 — . 989.055144 0.578 — 9.2332302574246875 — 328.4902197163125 — 761.43290540625 0.58 — 12.55208547222 — 334.857861954 — 507-6367065 0.59 — 15.9214765369471875 — 338.5518244329375 — 226.50100790625 0.60 — 19.31328 — 339.2928 + 83.16 0.61 — 22.6965197099221875 — 336.7895220545625 + 422.55239799375 0.62 — 26.03724620742 — 330.738561846 + 792.9025335 0.63 = 2 2984140903496875 — 320.8241257711875 + 1195.45702959375 0.64 — 32.43975735168 — 306. 717852672 + 1631.482776 0.65 — 35.4176626904296875 — 288.0786111328125 + 2102.26693359375 0.66 — 38.18504079558 = a 552296778 + 2609.1169335 0.67 — 40.6911956029621875 — 235.7716295694375 + 3153.36047709375 0.68 — 42.88169152512 - 201. 355951104 + 3736.345536 0.69 — 44.6982186541471875 — 160.91 10219110625 d- 4359.44035209375 0.70 — 46.0784559375 — 114.02881875 + 5024.0334375 0.71 — 46.9559323267846875 — 60.2873319076875 + 5731.53357459375 0.72 — 47.25988589952 + — 0.749637504 + 6483.369816 0.73 — 46.9151209538746875 + 69.5326802506875 + 7280.99148459375 0.74 — 45.84186307638 + 146.526981678 + 8125.8681735 0.75 — 43.9556121826171875 + 232.2125244140625 + 9019.48974609375 0.7 — 41.16699353088 + 327.084291072 + 9963.366336 0.77 — 37.3816067088121875 + 431.6524669524375 + 10959.02834709375 0.78 — 32.49987259302 + 546.442642746 + 12008.0264535 0.79 — 26. 4168782816596875 + 671.9960172358125 + 13111.93159959375 0.80 — 19.02222 + 808.8696 + 14272.335 | o8 — 10.1998439789596875 + 957.6364141141875 + 15490.84813959375 | 0.82 + 0.1721146933 + 1118.885698854 + 16769.1027735 0.83 + 12.2214952472878125 + 1293.2231123975625 + 18108.75092709375 0.84 + 26.08227643392 + 1481.270934528 + 19511.464896 0.85 + 41.8947437548828125 + 1683.6682693359375 + 20978.93724609375 0.86 + 50. 8056587 1882 + 1901.071247922 + 22512.8808135 0.87 + 79.9684301250253125 + 2134.1532310993125 + 24115.02870459375 0.88 + 102.54328737408 + 2383.605012096 + 25787.134296 0.89 + 127.6974558055153125 + 2650.1350192576875 + 27530.97123459375 0.90 + 155.6053340625 + 2934.46951875 + 29348.3334375 0.91 + 186.4486734835528125 + 3237.3528172610625 + 31241.03509209375 0.92 + 220. 41675052128 + 3559. 547464704 + 33210.910656 0.93 + 257 7.7065951881378125 + 3901.8344569194375 + 35259.81485709375 0.94 + 298.52308652922 + 4265.013438378 + 37389.6226935 0.95 + 343.0792301220703125 + 4649.9029048828125 + 39602.22943359375 0.96 + 391.59630260352 + 5057.340406272 + 41899.550616 0.97 + 444.3040522235503125 + 5488.1827491211875 + 44283.52204959375 0.98 + 501.44089242618 + 5943.306199446 + 46756.0998135 0.99 + 563.2540974573778125 + 6423.6066854045625 + 49319.26025709375 I + 630 + 6930 + 51975 26 Es. PACE OMIS ITS n———————————————— b På (x)* IER qn Be) > o o — 67567.5 o 0.01 — 675.3371625 — 67466.14875 20270.25 0.02 — 1348.6473 — 67162.095 40540.50 0.03 — 2017.9033875 — 66655.33875 60810.75 0.04 — 2681.0784 — 650945.88 81081.00 0.05 — 3336.1453125 — 65033.71875 101351.25 0.06 — 3981.0771 — 63918.855 121621.50 0.07 — 4613.8467375 — 62601.28875 141891.75 0.08 — 5232.4272 — Óro8r.o2 162162.00 0.09 — 5834.7914625 — 59358.04875 182432.25 0.10 — 6418.9125 — 57432.375 202702.50 O.II — 6982.7632875 — 55303.99875 222972.75 0.12 — 7524.3168 — 52972.92 243243.00 O.I3 — 8041.5460125 — 50439.13875 263513.25 0.14 — 8532.4239 — 47702.655 283783.50 0.15 — 8994.9234375 — 44763.46875 304053.75 0.16 — 9427.0176 — 41621.58 324324.00 0.17 — 9826.6793625 — 38276.98875 344594-25 0.18 — 10191.8817 — 34729.695 364864.50 0.19 — 10520.5975875 — 30979.69875 385134.75 0.20 — 10810.8 — 27027 405405.00 0.21 — 11060.4619125 — 22871.59875 425675.25 0.22 — 11267.5563 — 18513.495 445945.50 0.23 — 11430.0561375 — 13952.68875 466215.75 0.24 — 11545.9344 — 9189.18 486486.00 0.25 — 11613.1640625 — 4222.96875 506756.25 0.26 — 11629.7181 + 945.945 527026.50 0.27 — 11593.5694875 + 6317.56125 547296.75 0.28 — 11502.6912 + 11891.88 567567.00 0.2 — 11355.0562125 + 17668.90125 587837.25 0.30 — 11148.6375 + 23648.625 608107.50 0.31 — 10881.4080375 + 29831.05125 628377.75 0.32 — 10551.3408 + 36216.18 648648.00 0.33 — 10156.4087625 + 42804.01125 668918.25 0.34 — 9694-5949 + 49594.545 689188.50 0.35 — 9163.8421875 + 56587.78125 70945875 0.36 — 8562.1536 + 63783.72 729729.00 0:37 — 7887.4921125 + 71182.36125 749999.25 0.38 — 7137-8307 + 78783.705 770269.50 0.39 — 6311.1423375 + 86587.75125 790539.75 0.40 — 54054 + 94594-5 810810.00 0.41 — 4418.5766625 + 102803.95125 831080.25 0.42 — 3348.6453 + 111216.105 851350.50 0.43 — 2193.5788875 + 119830.96125 871620.75 0.44 — 951.3504 + 128648.52 891891.00 0.45 + 380.0671875 + 137668.78125 912161.25 0.46 + 1802.7009 + 146891.745 932431.50 0.47 + 3318.5777625 + 156317.41125 952701.75 0.48 + 4929.7248 + 165945.78 972972.00 0.49 + 6638.1690375 + 175776.85125 993242.25 0.50 + 8445.9375 + 185810.625 1013512.50 P, (a) = 2027025. T. XXXII. N:o 6. Tafeln der Kugelfunctionen P, (x) und ihrer abgeleiteten Functionen. ——————————————————————————————— po GS ———————————————————————————. 8445-9375 10355.0572125 12367.5552 14485.4584875 16710.7941 19045.5890625 21491.8704 24051.6651375 2672 27.0003 29519.9029125 48859.7484375 52532.3799 56338.7950125 60281.0208 64361.0842875 68581.0125 72942.8324625 77448.5712 82100.2557375 86899.9131 91849.5703125 96951.2544 + 102206.9923875 + 107618.8113 + 113188.7381625 ++ ttttt cB ttttt+t RB ttttt = 8 M & S un TEE L4. I I I I I 5464.3015625 4032.1984 2794.6896375 1753.8023 dogır. 5634125 + 270270 2 3 4 5 TE © D © D D PA (æ) + 185810.625 + 196047.10125 + 206486.28 + 217128.16125 + 227972.745 + 239020.03125 + 250270.02 + 261722.71125 + 273378.105 + 285236.20125 + 297207 + 309560.50125 + 322026.705 334695.61125 + 347567.22 + 401080. 68 + 414965.80125 + 429053.625 + 443344.15125 + 457837.38 + 472533-31125 87431.945 B 02533.28125 17837.32 33344-06125 49053.505 64965.65125 On Cn On Cn Cn TE LEA + & 2 © oo o on ++ NI On Fo HO -I QOO C OwO G DE HB Qn Doc © DO © D Out AU HH lo N on on + 664695.28125 + 682026.345 t 699560.11125 + 717296.58 + 735235.75125 + 753377625 + 771722.20125 + 790269.48 4- 809019.46125 + 827972.145 + 847127.53125 + 866485.62 + 886046.41125 + 905809.905 + 925776.10125 + 945945 P? (x) = 2027025. 1210) (2) * 1013512.50 1033782.75 IO5405 3.00 1074323.25 1094593.50 1114863.75 1135134.00 1155404.25 1175674.50 1195944.75 1216215.00 1236485.25 1256755.50 1277025.75 1297296.00 1317566.25 1337836.50 1358106.75 1378377.00 1398647.25 I418917.50 1439187.75 1459458.00 1479728.25 1499998.50 1520268.75 1540539.00 1560809.25 1581079.50 1601349.75 1621620.00 1641890.25 1662160.50 1682430.75 1702701.00 1722971.25 1743241.50 1763511.75 1783782.00 1804052.25 1824322.50 1844592.75 1864863.00 1885133.25 1905403.50 1925673.75 1945944.00 1966214.25 1986484.50 2006754.75 2027025 1 y * - An mm e LI c » ^. cu qd = - - '- - e E * P. REC LR 4 " DT be = +. TIRE PT ENT PRISES PATES dE re ^ & - - o» - d je E o - L » " = 4 = i ie = + = A da el pm me Toi — = Lu Zu "d é - - - u LR en 4 £ «d 5 = = - : od L € I - + LE , ESS = à > - — = - ve -— + -— in -— - Le I - ^ (i - - - = "2r 3 - —— MÀ —— MÀ M MÀ TOM, XXXII. X 7. ACTA SOCIETATIS SCIENTIARUM FENNICÆ AIAKOS IN [Ep oU NEAR STIER SESS SN/SEUSEJEESTNIE: TNNT EU ists Eu 1m ! | ne ae nn à TERRA m i hu Pp 803414 SAT. TT W Jwrvg dud. ur mE i N vn ea "s FA Pw | D Rör * Le ul , rigo ed E 1. nw * "Tu Et N | Sn d Vv * ù B a” > L] r 5 u. i ) Aiakos in der Unterwel von Edv. Rein. Nachdem wir in einer frühern Untersuchung, De Aeaco quaestiones mythologi- cae (eine akademische Dissertation, Helsingfors 1903) die Sagen von der Herkunft und dem Geschlechte des Heroen Aiakos sowie die mit demselben zusammenhängende Myr- midonensage behandelt haben, ist es unsere Absicht in dem vorliegenden Aufsatze die Vorstellungen und Sagen, welche Aiakos mit der Unterwelt in Verbindung bringen, näher zu betrachten — eine Betrachtung, die um so mehr motivirt zu sein scheint, als über diesen Gegenstand eine Einzeldarstellung bisher fehlt. Und um gleich einen Überblick über die betreffende antike Literatur zu gewinnen, werden wir zuerst die hieher gehörigen griechischen und lateinischen Autorenstellen anführen. Als Totenrichter tritt Aiakos an folgenden Stellen auf: Plat. Apolog. 32 (41 A). s ydg tic dyızöusvog sis “Aıdov. drakkaysis tovrtwv TGYv paoxovrav dızaorav Eva, Woo Toùc GAmOGC dızaorac, oimeo zul Akyovraı £xsi Oixdberv, Mívec vs xci "Padauavdvs xol Aiaxôc xai Touxtôheuoc x«i &Âlor 0001 TOV juidéwr dizaıoı eyEvovro Ev TO Eavrov Pin, ga yavıy äv sin 7 arodnuie; Gorg. 523 E sqq. iy uiv o)v taöta $yvoxoc TOUTEOOS à dusrc Eroımodumv ÖzaoTAS Usic Euavrod Óvo uiv ix TAS Aciac, Mívo vs xai ‘Padauarÿuv, iva 0i êx Tic Evownns, Ata- xóv: o)vO. oÙv £mtiÓÀY Te/svrnowoı, dıxdoovoıy iv To Asıuavı, Ev Th TQi000, EE dc qéosvov TW 000, 7 piv sig uaxéowr vicovc, 5 Ó' sic TéoTagor. x«i ro)c uiv £x Tc Aoiac “Padduev- Suc xoivei, vOUC Ó £x 775 Evouamc 4icxóc: Mívo Ó? nosopsia dwow Emxidiaxoivev, £v dmo- ojvóv vi To ETÉOW, iva GF dızaurarn 5 xoícic 7 TEL vic mOQsíac Toic AVIOWTOLS. Gorg. 526 C. vraÿta di tata xci Ó Aiaxóc: &2dTE0os TOVTWV (sc. Padduardus zal -Aiaxóc) ócfÓov Eywv dızaleı 0 då Mívoc ém10xomOv z&dmraı, uóvoc Eyav yovoo)v cximTQOv, ec qmow "OÓvocs?)c 0 'Ouggov idsiv aurov XQUGEOV 0%NRXTO0V Eyovra JEUIOTEUOVTE VÉXUOGUV. Gorg. 526 E. övedilw co. dt oùy oioc T ios: avr Bondioaı, örav 7 dien Go I) xcl m xoíci, fv vóv dm éyo Eleyor, Akka eldor sood vOv dızaorv Tor Tác Aiyivns Vor, ereıdav cov Emilaßousvos &yy, yaoumosı xol sihıyyıcosıs oUOiv 7rrov | £y £vOdÓs ov exet, zui CE lows TUTTHOEL TiS ET) x00075 xol ÄVTOS KOOANÅUAE 1). !) Vielleicht ist Aiakos auch einer von den Richtern, welche Plat. Resp. X B sqq. zwischen den y&oucre sitzend richten. 2 Epv. REIN. Cicero Tusc. Disp. I 98 [= Plat. Apol. 32 (41 A)]. Tene, cum ab iis, qui se iudicum numero haberi volunt, evaseris, ad eos venire, qui vere iudices appellentur, Minoem, Rhadamanthum, Aeacum, Triptolemum, convenireque eos, qui iuste et cum fide vixerint . Propertius IL 20 v. 29 sq. (Rorustem). Tum me vel tragicae vexetis erinyes, et me inferno damnes, Aeace, iudicio . — IV 11 v. 18 sq. (Rormsr.). Det pater hic umbrae mollia iura meae, aut si quis posita iudex sedet Aeacus urna, . . . Horatius Carm. IL 13 v. 21 sq. quam paene furvae regna Proserpinae et iudicantem vidimus Aeacum . Ovidius Met. XIII v. 25 sq. Aeacus huic pater est, qui iura silentibus illic reddit, ubi Aeoliden saxum grave Sisyphon urget . — Ibis v. 185 sqq. noxia mille modis lacerabitur umbra, tuasque Aeacus in poenas ingeniosus erit. In te transscribet veterum tormenta reorum: manibus antiquis causa quietis eris. Seneca Herc. (fur.) v. 731 sqq. Thes. Non unus alta sede quaesitor sedens iudicia trepidis sera sortitur reis. Aditur illo Cnosius Minos foro, Rhadamanthus illo, Thetidis hoc audit socer. (i. e. Aeacus) ‘). — — Herc. (Oet.) v. 1557 sqq. non tamen viles eris inter umbras: Aeacos inter geminosque Cretas facta discernens, feriens tyrannos. — — De morte Claud. 14 sq. Ducit (sc. Pedo Pompeius) illum (sc. Claudium) ad tribunal Aeaci: is lege Cornelia, quae de sicariis lata est, quaerebat: postulat, nomen eius recipiat; edit subscriptionem . . . Aeacus, homo iustissimus, vetat et illum. altera tantum parte audita condemnat et ait: ai xs s&Jor r« T tosËs, dien x’ idea yévowvro . . . tum Aeacus iubet illum alea ludere pertuso fritillo: . . . Caesar illum Aeaco donat: is Menandro liberto suo tradit . . !) Es steht nicht fest, ob Aiakos einer unter jenen „iuridiei“ ist, deren Seneca, Herc. (fur) v. 577 sqq. Erwähnung thut: deflent Eurydicen Threiciae nurus, deflent et lacrimis difficiles dei, et qui fronte nimis crimina tetrica quaerunt ac veteres excutiunt reos flentes Eurydicen iuridici sedent. Tom. XXXII. Aiakos in der Unterwelt. 3 Auch folgende Stellen sind hieher zu beziehen: Seneca Troad. v. 344 sqq. Illo ex Achille, genere qui mundum suo sparsus per omne caelitum regnum tenet: Thetide aequor, umbras Aeaco, caelum Iove. Poeta „Aetnae“ v. 82 sq. Minos, tuaque, Aeace in umbris Iura canunt (sc. vates) . . . Statius Silv. IT 1, v. 218 sq. . ibimus omnes, ibimus: immensis urnam quatit Aeacus umbris !). — — III 3 v. 15 sq.: . Si quis pulsatae conscius umquam matris et inferna rigidum timet Aeacon urna ”). Phalostrat. Heroic. XX 48. dv ème) vàv jowıxav $u&c Aóyov éuxémhmeac, TO uiv ómOc autos dvaßspiwxev, oùxér äv Egoiumv, Ersıdn pelle ve xal dtodórro is AVTÖV yorodo: TOUTW TÅ Àóyo, voc 0 Kwxvtovc vs xci [IvougAsyé9ovvac x«l «1v Aysoovoıdda xol và voubva TOY TOTMuGY TE xci TOY Auuvov Ovöuara xcl vn Alu tous Aiaxodc zal vd TOVTWV dızaormgıd TE xal ÖtzarotNora avros T' iowc cm«yysAsic x«l Evyyopsi Oupysta dau. Lactantius Inst. divin. VII 22. nam cum prophetae adsiduis contionibus prae- dicarent, iudicaturum esse de mortuis filium dei, et haec adnuntiatio non lateret, quo- niam rectorem coeli deum non alium putabant esse quam lovem, iudicare apud inferos Iovis filium tradiderunt, sed tamen non Apollinem aut Liberum aut Mercurium, qui coelestes putantur, sed eum, qui et mortalis fuerit et iustus, vel Minoem vel Aeacum vel Rhadamanthum. Porphyrius Vita Plotin. 23. rerdydaı då xol vovc Asyouívovc Óuxacvc vv wvyow, maidec tot ÓJiob, Mívo xol PadauavIvv xol Aiaxôv . . Pseudacronis Schol. in Horat. II 13 v. 22. Aeacus, Achillis avus, qui pro iustitiae bono etiam apud inferos iudicium meruisse perhibetur, . Nonnus, Dionys. XXVII 80 sqq. (MarceLLus). Acodavoc Ex 4diüc Eoxe, xal wieto' xci Jave Mívac, ovdé uiv Edd0voavto dióc Tavowmdec sÜvai: si Où deuroreve xol £v "Aidı, víc qJóvoc, "Ivdois Aiexóc ei q9uuévouce duxdbeTor; qv 0 E9eAnon, xoupaviígy vsexucv £yéro xol oxjaroa fsoíSoov. Dracontius IX v. 133 sqq. . mecumque (sc. cum Aeaco) Minos vel Gnossius illic iudicium Rhadamanthus habet commune barathri. 1) „innumeris — umbris“: LUNDSTRÖM s. VOLLMER, Stat. Theb. zu 1. 1. 2) Wenn wir bei Statius, Theb. VIII v. 27 sqq. lesen: Iuxta Minos cum fratre verendo iura bonus meliora monet regemque cruentum temperat ..., so lässt sich fragen, ob „frater verendus* Aiakos sei, wie im index zu VOLLMER'S Stat. Theb. behauptet wird. Ich móchte eher an Rhadamanthys denken, der häufiger zusammen mit Minos auftritt. N:o 7 4 Epv. REIN. Myth. Vat. I T6. Iuppiter ex ea (sc. Europa) tres filios, Minöem, Rhadaman- thum et Aeacum, qui facti sunt apud inferiores iudices, genuit, . Anecd. Graec. (BExker vol. I p. 211). Aiaxos 7 ‘Padduarduc 7 Mívoc: oùvoi sic: xguvol TÜV xovovyouévov. Zuletzt seien solche Schriftsteller angeführt, welche die obengenannten Platon- Stellen citiren oder erwähnen, wie Plutarchus Moral. ad Apollon. 120 C sqq. (= Gorg. 523), Clemens Alex. Strom. V 58, Eusebius, Praep. Ev. XII 1 (= Gorg. 523), XII 6, XIII 10 (= Apolog.) Porphyr. Vita Plotin. XII 6 p. 580, Zoannes Stobaeus Anthol. I p. 449 (= Gorg. 523 A—524 A), loamnes Philoponus, De aetern. mund. XVIII 8 (= Gorg. 523), "Theodoretus, weol Télovc xol xoícsoc p. 156 (= Gorg. 526 E). Es kommen noch dazu einige Inschriften, wie C. I. A. 1377 = Kamen 173: [Aicaxdc wc dwooroiw) axmoaros m Padauærduc. C. I. G. 8425 b (auf der Vase von Altamura; vgl. unten!) Vielleicht gehört hieher auch C. I. G. 5858 b: v. 40 . . . Aiaxod arsilunrog] . . . Bisweilen tritt Aiakos weniger als Richter denn als Vollzieher der Strafen auf: ') Iwenal. I 1 v. 9 sq. . .. quas torqueat umbras Aeacus, . . . Martial. X 5 v. 13 sqq. Nec finiantur morte supplicis poenae, sed modo severi sectus Aeaci loris, nunc inquieti monte Sisyphi pressus, nune inter undas garruli senis siccus delasset omnes fabulas poetarum. Dracontius IX v. 34 sqq. Nec post bella manes nec spectant funera poenas arbitrio subiecta tuo (sc. Achillis), si parcitis umbris, quaesitor quas torquet avus (sc. Aeacus), si vera feruntur. Über die Vase von Ruvo (St. Petersb. Eremit. N 424) siehe unten! Es folgen nun die Stellen, welche Aiakos entweder als Beisitzer (æéosdvos) Plu- tons oder als Wächter der Schlüssel der Unterwelt zeigen. Isocrates IX 15. za zur’ &xsivov Te vÓv yoóvov, foc fv (sc. Aiuxôc) uev! dvdow- cov, uetè »ahhiorys ov ÖbEns dıer&lsoev: émsid TE ueríAAaEs vOv Biov, Akysraı mao. Hkovrovı xcl Koon ueyiotac Tıuac Eywv mapedoeverv Exeivors. Apollodor. Bibl. III 12, 6. tiuätar 08 ai wao« Hhovravı velsvrnoas Alaxoc, xol vüc xÀsic Tod “Audov qviartrter. C. I. G. 6298 = 1746 (Kamen). Mn uov ma«gíA9gc TO émœiyoauuæ 0doımogs, alla oTadeis üxove xal uadav ATL 1) PRELLER-ROBERT, Griech. Myth.* I 826. Tom. XXXII. Aiakos in der Unterwelt. 5 oUx tott Ev "Adov sÀoiov, oU coo9usüc Xaowv, oUx Aiaxôc xAsıdoüyos, ovyr KéoBsloc (sic!) xvav: queic Óà MAVTES Ol «dvo TEFVNAOTES öotÉa Tépou [y|syovauev, &AÀo Où où0è Ev x. v. A. Die letztgenannte Stelle steht schon auf der Grenze mit denen, wo Aiakos als Pförtner der Unterwelt vorgestellt wird. In dieser Gruppe ist am ersten zu erwähnen: Aristoph. Ran. v. v. 465—419; 605—813. Es folgen dann eine Menge von Stellen bei Lucian, welcher Schriftsteller be- kanntlich Scenen aus der Unterwelt zu beschreiben liebte; wir haben folgende Stellen aufgezeichnet : Dial. mort. XIII 3. où yao Séuic dvceA9siv vive vv. GmaE ÓwemAsvodávrov civ Ài- uvnv xcl & v0 siow Tod ovouíov magtiA9óvrov: où ydo dusins 0 Aiazös ovd 0 Kfofsgoc sUxa- TapoOvNTOC. — XVI 2. Hoc oùv åxowpns 6 Aiazoc äv oU Ói£yvo cs un Ovta Exsivor, alla sags- défaro Houxzhéa vaoBoluaïor ovr; — XX 1. Mev.: Oida va)v« rai 08, Ott avhwosic. — — 6: Aiaz.: Kaya non arsını, um zei Tig Quac vexoôv AdIn draqvywv. — XXII 3. Mev.: Oùxoûr anayt us avdic & Toy Piov. Xao.: Xagisv Akysıc, iva xol mÀgyüc Emi vo vo æuoè TOV Åiaxzov moocAcpo. De luct. 4. IHoös d: aûtÿ z0900m xai míAy ovon ddauavrivn adeiyıdoös vov Baot- Aímc Aiaxôc fotnze Tir pqoovodv émurevocuuvoc xol rag’ cUTG xov Touxépalos . . . — — 16. simo: d äv o)v æoûc avtöv Ó maïs magaıryodusvos TÖV Alaxov xal vOv Aidwvéa móc ÓAíyov vo? cvouíov dregxü par . . . Necyomant. s. Menipp. 8. Gadiws àv viv Tod Aiaxov poovodr diakadeiv ... Auch an anderen Stellen steht Aiakos ohne Zweifel demselben Amte vor, obgleich es nicht ausdrücklich gesagt wird, wie De morte Peregrin. 45. "Ogac; où závv vo)c dußivwroüvras 6 Aicxóc æagaôé- yeraı. Bevor wir an die übrigen Lucianstellen herantreten, scheinen folgende Citate hier am besten am Platze: Philostrat. Vita Apollon. 7, 31, 3 (p. 285, 32). „dozxeis wos“, Zym, „ao Au, za) TOv Aiaxov, 0omeo Ev dÓov Akysraı, goovodr NyEodaı Tovrwvi vrOY avlov svar. TEIVEMTL yao dy Eoızac.“ Papyr. mag. Paris. v. 1464 sqq. xaı TOUL AXEOWV TE XO OUOXE avloge xAvJoov vov AELÖLOV JFattov avorSov xAıdovye TE œvov Br qulaë avassuıyars uoı Twv ve xvov Tovrav audwla x. v. À. Claudiam. In Rufi. II (V), v. 456 sqq. Infernos gravat umbra lacus. Pater Aeacus horret intrantemque etiam latratu Cerberus urget. N:o 7 6 Epv. REIN. Tunc animae, quas ille fero sub iure peremit, circumstant nigrique trahunt ad iudicis urnam . . .') Tzetzes Schol. in Lycophron. v. v. 105—111. xoà Aiuxos då 0 nviweoc, mac TO al ai Aíysuwv Ev voc xydeiœuc, xol oiovsl æoomvlaïos Tod Aidov. Noch andere Funktionen werden dem Aiakos von Lucian gegeben: Catapl. 4. "Essi då xov! auto dm TO covÓui0v Que, E&uod Toûc vexpovc, dc doc, ÄNA- gıduodvros TW Aiax® xaxslvov Aoyılousvov «vvo)c mQ0c TO «0d TAS ons dOsÀqüc xeugIèv «ro ovufolov kadwv oUx oiÓ OXMWE VO TOLOXUTUPUTOS ÄNLWV DYETO. Charon 2. 6 tekwvns Aiaxoöc dyavazrıjosı und’ oflohóv éumolwr ... — — 24. ”Q tic dvoíac, oi ye oùx loacıy dti x&v OÀQv viv IsAoro'vvn700v AavTOL XT)OWVTAL, uoyıs av s00iciov ExaoTog Adfloisv vosov s«od TOV Alaxov. Menipp. s. Necyomant. 17. exsıdav yáo, © &raige, 6 Aiaxdc drousrejon ixdoro rov rorov — didwoı Ói TO weyıorov où mléor xodoc — dvayay dyanavra xataxso dar TOUS TO WETOOV cvrsovaAuévov. Ohne Zweifel ist Aiakos auch Dial. mort. XIX, wo er sich mit Protesilaos, Menelaos und Paris unterhält, Pförtner. Welches sein Amt Philopseud. 25 sei, ist nicht ganz klar. Ronpe, Psyche? I 310 Anm. 1 und Gruppe, Griech. Myth. u. Relig. gesch. 405 Anm. 5 halten dafür, dass Aiakos auch hier Pförtner ist, und das ist nicht unwahrscheinlich, besonders weil er hier zusammen mit Charon erwähnt wird. Die in Rede stehende Stelle lautet fol- gendermassen: sita dvaornoas dysı dıd Tivoc yaoueros & TOY "AiÓqv, ec avrtiza Eyvogıoa Tavrakov iÓdv xci Tırvov xci Nécvqov. Koi ta uiv alla ví av vuiv Akyoımı; Ewei då zarte TO ÖixaoTNnorov sysvóumv — raonv Ói xal 6 Alaxöc, xa 6 Acdowv xol ai Moigaı xal ci ’Egı- VUEC . Ausserdem ist von Aiakos in der Unterwelt bisweilen in einer Weise die Rede, dass nicht deutlich hervorgeht, an welches von seinen Geschäften gedacht wird. Hie- her gehört Plutarch. Non posse suaviter vivi sec. Epicur. (Moral. 1104 D vol. VI Ber- nardakıs). oi 8 Aiaxoi xci oxáAeqoi xob 'Ayégovtec oU aavv dıieragarrovom, . . . Ganz allgemein sagt von Aiakos Lucian. Apolog. 1: móc «ira 0i 767 vo Aiax& ysvousvov xol uovovovyi vüv Etepor oda Ev TW KoOIusiw Pyovra . . . WO „an Aiakos ge- langt sein“ nichts ist als nahe dem Tode sein. Für denjenigen, der die vorliegenden Autorenstellen durchmustert, erheben sich vielerlei Fragen. Wann, wo, wie ist Aiakos in die Unterwelt gelangt? Welches ist !) Aiakos, der zusammen mit dem Kerberos dem Rufinus zuerst begegnet, ist hier ohne Zweifel der Pfórtner; vgl. Index zu Claudiani Carmina ed. BIRT. Der ,niger iudex“ ist wohl Minos; vgl. Rapt. Pro- serpin. II v. 332: urna Minois; In Rufin. Il (V) v. 476 sqq. ist Minos ,quaesitor“, Rhadamanthys der Voll- strecker der Strafen. Tom. XXXII. Aiakos in der Unterwelt. 7 das Verhältniss zwischen seinen verschiedenen unterirdischen Amtern u. s. w.? Und es sind hierbei vor allem zwei Funktionen zu beachten: die Richterwürde und das Thürhüteramt. Wir wollen zuerst den Totenrichter Aiakos betrachten. I. Aiakos als Totenrichter. Ronpe nimmt an, dass die Totenrichter zuerst in dem Dialoge Gorgias erschei- nen. Denn über die betreffende Stelle in der Apologie sagt er Psyche” I 310 Anm. 1: „wo Plato sich dem populären Glauben näher hält, in der Apologie 41 A, spricht er von den Richtern im Hades, Minos, Rhadamanthys, Aeakos ze Toımrolswos xci &Adoı 000: vàv QuiO£ov Óízcio: dyévovro iv TW icvràv Bin so, dass von einem Gericht über die im Leben begangenen Thaten nichts gesagt, ein Rechtsprechen über die Verdienste oder Vergehungen der eben aus der Oberwelt Hinuntergestiegenen offenbar nicht vorausge- setzt wird, vielmehr man annehmen muss, dass jene dág9ec dızaorei, oimso xci léyovre êxet dızafeıv eben unter den Todten ihr Richteramt üben und in deren Streitigkeiten ge- recht entscheiden, ganz so wie Minos in der Nekyia der Odyssee (4 568— 71), wie noch bei Pindar (Ol. 2, 75 ff.) Rhadamanthys auf der guexéoorv vécoc:'). Es scheint mir jedoch, als ob wir hier?) wenigstens eine Andeutung eines Gerichtes nach dem Tode vor uns hätten. Denn wenn Sokrates im Gegensatze zu denen, die sich nur Rich- ter wühnen — roûrwr rv q«cxóvrov dızaorav svo das Sokrates sicher nicht ohne ei- nen Seitenblick auf seine eigenen Ankläger und Richter äussert ®), — von den wirk- lichen Richtern — roùc 4Ag9eoc Ów«ovrác — Spricht, so kann man nicht umhin bei diesen an solehe zu denken, die über das vergangene Leben richten; Sokrates hofft, dass ihm nach dem Tode ein gerechteres Urteil zu Teil werde als im Leben. Zu dieser Auffassung führt gewissermassen schon das &4g9e6c dızeor«c; das wahre, wirkliche Richten kommt wohl da am deutlichsten vor, wo ein ganzes Menschenleben auf seinen sittlichen Wert geprüft wird. Es ist auch hervorzuheben, dass dieselbe Benennung, welche im Gorgias von den Totenrichtern gebraucht wird — dixaorai — auch in der Apologie gebraucht wird. Somit scheint es mir, dass Sokrates weniger von einigen Heroen und Halbgóttern, die nur die Streitigkeiten der Schatten untereinander schlich- 1) So auch CRON-UHLE, Platons Ausgew. Schriften I 109 zu Ap. 41 A. Auch bei späteren griechi- schen Schriftstellern findet sich die Ansicht, dass die Gerechten in den Kreis der Seligen eintreten, nicht um gerichtet zu werden, sondern um zusammen mit den Richtern zu leben; vgl. Porphyrius, Vita Plotin. 23 (vgl oben s. 3): reraydaı dk nal rov; Aeyousvovg ÖLnaords Tor puyov, Auidas tod deov, Mivo nal ‘Padd- uavdvv nal Alanov, mods ovs ov ÖLnaodmoousvov olysodaı, GuvEecOouevor ÖE rovrous, oig xoi ol dAAoL $sol douorou. Diva 0b ovroı, IMdrwv, [ludayoous, ómócor ÖE @AAoı gógov Grr5oibev Eowrog &Saævarov. Der Gerechte, keines Verbrechens sich bewusst, braucht sich vor dem Gerichte nicht zu fürchten: er findet bei seinen Richtern eine freundliche Aufnahme. 2) Die von v. BAMBERG bestrittene Echtheit des 32. Kapitels der Apologie ist mit guten Gründen von BEvscHLAG, Das XXXII Kapitel der platonischen Apologie, (Philolog. LXII 1903) s. 199 ff. erwiesen. Noch weniger ist der einst (von KRoHN) bezweifelte Glaube an den platonischen Ursprung der ganzen Apologie (s. JOEL, Der echte u. der xenophontische Sokrates I 1 Anm. 2) in der Folgezeit erschüttert worden. 3) BEYSCHLAG a. a. O.; vgl. SEDLMAYER, Platos Vertheidigungsrede des Sokrates 76. N:o 7 8 Epv. REIN. ten, gesprochen hat, als von solchen, welche jeden Verstorbenen nach seinem Verhalten im Leben richten). Damit leugne ich keineswegs, dass Sokrates zugleich jene andere Auffassung vor Augen gehabt hätte: er hofft überhaupt den in verschiedenen Hinsichten hervorragenden Persönlichkeiten der mythischen Vorzeit zu begegnen, wie aus dem Folgenden hervorgeht ?). Übrigens ist es ja natürlich, dass der Philosoph, der schon betreffs irdischer Verhältnisse prineipiell nichts als sicher zu behaupten pflegte, über die jenseitigen Dinge wo möglich noch vorsichtiger sich äusserte. Ist es doch nicht klar, ob Platon z. B. in Crit. 54 C den Sokrates ein Fortleben der Seele statuiren lässt ‘). Und was besonders unsere Stelle betrifft, so geht aus dem wiederholten s; hervor, dass Sokrates in Hinsicht auf die jenseitigen Dinge verschiedene Möglichkeiten angeben wollte *). Es scheint also hervorzugehen, dass der Glaube an die Totenrichter schon in der Apologie gestreift wird ?). Es fragt sich nun: sind die Richter von Platon selbst erfunden worden oder ist er einer schon vorhandenen Tradition gefolgt? Der Glaube an die Totenrichter hängt natürlich mit der Vorstellung von den jenseitigen Strafen und Belohnungen zusammen). Es ist somit am Platze nachzusehen, seit welcher Zeit diese in Griechenland verbreitet war. Bei denen, die über diesen Gegenstand geschrieben haben, trifft man sehr verschiedene Ansichten ^). Soviel scheint jedoch ausser Zweifel zu stehen: die ersten Anfänge der Vergeltungslehre, deren Spuren sich schon in einer älteren Partie der Ilias nachweisen lassen, °) können recht alt sein ?). Viele Jahrhunderte vergehen jedoch, ehe dieser Keim zu voller Entfaltung gelangt "), denn noch zu Solon’s Zeit war sie in Athen nicht allgemein bekannt ''). Diese Vor- 1) Diese Auffassung wird um so wahrscheinlicher, wenn man unter den 44596; dinaorei Richter versteht, „welche... nicht die einzelnen Thaten als solchen, sondern die sittliche Gesinnung, aus welcher sie hervorgingen, und auf die es zur sittlichen Würdigung allein ankommt zum Massstabe nehmen . . .* (vgl. SuUsEMIHL, Die genetische Entwickelung der platonischen Philosophie I 97). Zu viel ist die staatsmännische Seite jener Heroen von BEYSCHLAG a. a. O. 205 betont worden, wenn er sagt: „Hier (in der Unterwelt) fin- det er (sc. Sokrates) statt der Unwissenheit der irdischen Staatsmänner . . . die unterirdischen drexreg . . . als wahrhafte Vertreter der &gez; des Richters.“ 2) Vgl. auch Phaed. 63 B sqq. 3) HEINZE, Der Eudämonismus, (Abhandl. Sächs. Gesellsch. phil.-hist. cl. VIII 1883) s. 755. +) Leurs, Populäre Aufsätze 333. Das zeugt aber keineswegs von Gottlosigkeit; vgl. L. SCHMIDT, Ethik der Griechen 108. 5) Das ist auch die Ansicht DrgTERICH's, Nekyia 126 Anm. 1. Damit lässt sich gut vereinigen, dass „die erste bestimmte Nachricht von den drei Todtenrichtern^ sich im Gorgias findet; vgl. NÄGELSBACH, Nachhomer. Theologie 414. 5) NÄGELSBACH, Nachhomer. Theologie a. a. O.: „Die Todtenrichter können sich nicht eher finden, als bis die Lehre von den jenseitigen Belohnungen und Strafen ausgebildet . . . war.“ 7) L. ScHMIDT z. B. nimmt in seiner Ethik der Griechen 99 ff. an, dass der Glaube an ein jenseitiges Gericht besonders seit der Zeit der Perserkriege verbreitet wurde; RoHDE, Psyche? I 308 ff. dagegen behaup- tet, dass diese Vorstellung niemals populär gewesen sei. 3) III 278 sqq. (vgl. auch XIX 259 sqq.) werden die Eidbrüchigen in der Unterwelt bestraft. ?) Currıus, Die Idee der Unsterblichkeit bei den Alten, (Alterthum und Gegenwart) s. 222 ff. SÖDERBLOM, La vie future d'après le Mazdeisme, (Annales du Musée Guimet tom. IX 1901) s. 147 hält dafür, dass der Ge- danke an ein jenseitiges Gericht schon seit dem achten Jahrhundert in Griechenland klar und deutlich ge- wesen sei. 10) GOMPERZ, Griechische Denker! I 68. 11) v. WILAMOWITZ, Homer. Unters. 206. Vielleicht ist auch Heraklit (bei Clem. Alex. Strom. IV p. 630 P) hieher zu ziehen: av$ownovg utver reAsvrnjoavras &0o0« oùx FAmovraı OVÖE Ooxsvovot. Tom. XXXII. Aiakos in der Unterwelt. 9 stellungen wurden besonders von den Orphikern gepflegt, bei welchen die Schilderungen des Jenseits beliebt waren und die Ansichten vom Gerichte nach dem Tode geläufig ge- wesen zu sein scheinen). Da aber diese Lehren besonders um die Mitte des sechsten Jahrhunderts in Attika blühten”), kann man wohl annehmen, dass sie, von den Or- pheotelesten unter dem Volke verbreitet ?), seit dieser Zeit dem athenischen Publikum bekannt geworden sind *). Wahrscheinlich ist also auch der Glaube an bestimmte Totenrichter unter den Orphikern zuerst auf griechischem Boden entstanden. Dabei ist es freilich möglich, dass der erste Ansatz zu dieser Vorstellung überhaupt nicht in Griechenland zu suchen ist. Denn wenn die Griechen wirklich „sittlich-religiöse Anregungen von tiefgehender Art aus Ägypten empfangen“ haben °), so ist es möglich, dass auch jener Glaube ge- wissermassen unter ägyptischem Einfluss steht®). Man braucht ja nur an die 42 Toten- richter zu erinnern, die unter dem Präsidium des Osiris — jeder über ein besonderes Ver- gehen — ihr Urteil abgeben ‘). Und eine Einwirkung der ägyptischen Lehren auf den orphischen Ideenkreis ist um so wahrscheinlicher, als „die Ausbildung der orphischen Lehre der Eröffnung des innigen Verkehrs zwischen Griechenland und Ägypten nachge- folgt und nicht allzuspät nachgefolgt ist“ ^). Aber selbst wenn die Vorstellung von ei- nem Totengerichte ihrer Quelle nach ägyptisch ist, kann doch „ihre Ausbildung ein Werk der griechischen Phantasie“ sein”). Da der Orphicismus mit den Lehren der eleusini- schen Mysterien, wenigstens was die Unterweltvorstellungen betrifft, einiges gemein- sames gehabt zu haben scheint "), könnte man fragen, ob die Totenrichter in den letzt- 1) Ep. MEYER, Gesch. d. Altert. Il 742, GOMPERZ, Griech. Denker‘ I 104, BysoLT, Griech. Geschichte? II 371, ROHDE, Psyche? Il 127, AnrıcH, Das antike Mysterienwesen in seinem Einfluss auf das Christentum 19. ?) Busozr a. a. O. II 364, Maass, Orpheus 266. RomnpE, Die Relig. d. Griechen 22 hält für möglich, dass der Orphicismus früher schon in Unteritalien und Sieilien Boden gewann. 3?) ROHDE, Psyche a. a. O. *) DECHARME, Mythologie de la Grece antique 430. 5) GOMPERZ, a. a. O. I 109. 5) ROHDE, Psyche? I 310 Anm. 1. 7) Die Scene wird bekanntlich im hundertfünfundzwanzigsten Kapitel des Totenbuches bildlich dargestellt; vgl. Duncker, Gesch. d. Altert. I 61, WIEDEMANN, Die Religion d. alt. Ägypter 131, CHANTEPIE DE LA SAUSSAYE, Lehrbuch d. Religionsgesch. Il 139, SÖDERBLOM, La vie future d'après le Mazdéisme 144. Doch scheint das Totengericht niemals bei den Ägyptern zu den dominirenden Vorstellungen gehört zu haben; vgl. SÖDERBLOM a. a. O. 5) GoMPERZ, a a. O. 109. Vgl. CAMPBELL, Religion in Greek Literature 251. Der Pythagoräismus und der Orphicismus scheinen überhaupt die Vermittler zwischen dem Orient und Griechenland gewesen zu sein. ®) NÄGELSBACH, Nachhomer. Theologie 414. 10) FÖRSTER, Raub u. Rückkehr der Persephone 39, Ep. MEYER, a. a. O. II 733, Maass, a. a. O. 113, SÖDERBLOM, a. a. O. 380. Doch besteht nach RonpE, Psyche? I 285 „keinerlei Anlass zu der oft vorge- brachten Annahme, die Privatmysterien der orphischen Conventikel hätten auf die Mysterienfeier des athe- nischen Staates einen umgestaltenden Einfluss geübt.“ Vgl. KERN bei PauLy-WıssowA, Heal-Encyklopüdie IV 2737 s. Demeter. Auch DIETERICH, Nekyia 75 Anm. 2 und CAMPBELL, Relig. in Greek Lit. 251 behaupten, die orphischen Lehren seien erst spät in Eleusis bekannt geworden. Auch CHANTEPIE DE LA SAUSSAYE, a. a. O. II 320 sagt, dass „die Gedanken des Orphismus wohl erst zur Zeit Alexanders . . . in die eleusi- nischen Mysterien eindringen.“ Wie sich dies in Wirklichkeit verhält, ist nicht ganz sicher; HEIBERG in Nordisk Tidskrift for filologi 3 raecke 3 bind 1894-1895 s. 180 f. glaubt, dass orphische Einwirkung sich schon im fünften Jahrhundert in Eleusis geltend gemacht habe. 2 N:o 2! 10 Epv. REIN. genannten vorgekommen sind. Und zwar handelt es sich hier hauptsächlich um das fünfte Jahrhundert, wo jene Mysterien auf die religiösen Vorstellungen nicht wenig ein- gewirkt haben '). Dies sieht jedoch nicht wahrscheinlich aus. Denn dass die Bestra- fungen und Belohnungen der Verstorbenen in Eleusis auf irgend eine bestimmte Weise schon in dieser Zeit vor den Augen der Eingeweihten ausführlich vorgeführt wären, — was von einigen behauptet wird”), — ist nicht bezeugt. Im Gegenteil versichert z. B. Roupe, dass die Schilderungen Plutarchs und Lucians nur für ihre eigene Zeit, nicht aber für eine ältere Periode gelten ?). Wenigstens lässt es sich gar nicht bewei- sen, dass sich die Vorstellung von dem jenseitigen Gerichte aus den eleusinischen My- sterien im grossen Publikum verbreitet hätte, wie z. B. Wecker behauptet *). Es wird von Roupe sogar ganz entschieden bestritten’). Und daraus, dass Triptolemos, der bekanntlich nach Eleusis gehört, unter den (von uns angenommenen) Totenrichtern der Apologie erscheint, folgt noch nicht, dass er in den eleusinischen Mysterien in derselben Eigenschaft vorgekommen wäre‘). Was speciell Aiakos betrifft, so hat er in Eleusis kaum schon im fünften Jahrhundert ein ähnliches Amt gehabt, ja es lässt sich über- haupt nicht erweisen, dass er jemals in irgend welcher Kultusgemeinschaft mit Demeter und Persephone gestanden hätte *). 1) v. WiLAMOWITZ, Hom. Untersuchungen 208, ANRICH, Das antike Mysterienwesen u. s. w. 13, ADAMI, De poetis scaenicis Graecis hymnorum sacrorum imitatoribus, (FLECKEISEN’S Jahrb. f. class. phil. 26 B. 1901) s. 246. 2) Wie z. B. WELCKER, Griech. Götterlehre II 539, PRELLER- ROBERT, Griech. Myth.* 1 825. Maass, Orpheus 96 schliesst aus den Fröschen des Aristophanes, dass im fünften Jahrhundert im mystischen Drama der Eleusinien ein Bild von der Unterwelt vorgeführt wurde. 3) Psyche” I 301; und er fährt fort: „Man darf bezweifeln, dass in früherer, classischer Zeit die Eleu- sinien mit einer stets kleinlichen Beschränkung der Phantasie das jenseits aller Erfahrung Liegende in enge Formen haben zwingen wollen. Aber durch die feierliche Verheissung zukünftiger Seligkeit wird das my- stische Fest allerdings die Phantasie der Theilnehmer . . . angeregt, ihrem freien Spiel in Ausmalung des Lebens im Jenseits bestimmtere Richtung gewiesen haben u. s. w." Dies war bekanntlich schon die An- sicht LoBECE's; vel. z. B. Aglaophamus I 72: „... non dubium est, quin ex hymnis, fabulis et ex toto ceri- moniarum tenore multae de vitae alterius conjecturae duci potuerint, etiamsi Hierophanta verbum emitteret nullum.* 4) a. a. O. II 564; vgl. auch ZIEGLER, Ethik d. Griech. u. Römer 17. 5) a. a. O. I 312. Wenn aber RoHDE daselbst sagt: „einem Gericht über Tugend und Laster im Hades war durch die in den Mysterien nach ganz anderen Gesichtspunkten ausgetheilten unterirdischen Belohnungen und Strafen vorgegriffen. Wo die Mysterien ernst und wichtig genommen wurden, da konn- ten sie den Gedanken einer Vergeltung, guter und böser Thaten im Hades . . . eher zu unterdrücken bei- tragen: in ihnen ist nichts, was ihn beförderte . ..* — so ist er ohne Zweifel zu weit gegangen. Ideen von der jenseitigen Vergeltung scheinen in der That im eleusinischen Kulte von alters her vorgekommen zu sein, obgleich man natürlich unter den Sündern hauptsächlich die Uneingeweihten verstand; vgl. SÖDER- BLOM, La vie future etc. 147 ff, der ausdrücklich gegen Ronpe polemisirt. 5) So z. B. DECHARME, Mythologie de la Grèce antique 428. Im homerischen Demeter-hymnus v. 474 sqq. wird er nur unter den eleusinischen Fürsten genannt. Auch Rhadamanthys soll nach NORDEN, P. Ver- gilius Maro Aeneis Buch VI 268, comm. zu v. 548 ff. in den Eleusinien als Richter aufgetreten sein. 7) Es giebt jedoch einen Umstand, der zu Gunsten einer solchen Annahme angeführt werden kónnte: auf einigen Gemälden hat eine Figur, die Aiakos sein könnte (vgl. unten!), einen Myrtenzweig oder einen Myrtenkranz. Nun aber gehört bekanntlich die Myrte zu den eleusinischen Mysterien; vgl. z. B. Ister fr. 20 (F. H. G. MüiL.): "Eievoirtot . . . où Ör uvoyusvor wupoivm éccéqovro und Apollodor. fr. 21 (F. H. G. Mtrr.) bei Schol. Aristoph. Ran. 330: Muoolvo orepdvo Eorspwvovvro oi Leuvmuévot, o0 Gc TES wonifovsı, xı00lv@. Doch scheint die Myrte überhaupt den chthonischen Mächten geweiht gewesen zu sein, wie z. B. aus derselben Stelle hervorgeht: roi; y®ovious équépwro (Sc. 7 uvoros). Es ist jedoch, wie gesagt, unsicher, ob die Myrte wirklich Tom. XXXII. Aiakos in der Unterwelt. 11 Aus dem vorhergehenden leuchtet ein, dass der Glaube an die Totenrichter dem athenischen Volke jedenfalls nicht vor der Mitte des sechsten Jahrhunderts — der Blütezeit des Orphicismus — vertraut gewesen sein kann. Es fragt sich nun, ob die Anfänge desselben auf griechischem Boden überhaupt älter sein können. Höck nimmt an, dass schon Epimenides von den Totenrichtern erzählt habe. In einem Gedichte, welches dem kretischen Sühnepriester zugewiesen wird), traten nach seiner Ansicht Minos und Rhadamanthys als Richter der Verstorbenen auf”). Dieses Gedicht nun ist nach Grurre „wohl spätestens um 550 verfasst“ *). Es kann aber auch jünger sein. Denn viele von den angeblich epimenidischen Gedichten sind etwa hundert Jahre nach dem historischen Epimenides, — dessen Schaffen Diers in die Zeit um die Wende des siebenten Jahrhunderts verlegt) —, unter orphischem Einfluss in den Zei- ten der Peisistratiden ^) entstanden. Die Zeit des epimenidischen Gedichtes ist also viel- leicht herabzudrücken. Auch ist es keinesfalls erwiesen, dass die darin genannten Mi- nos und Rhadamanthys dort überhaupt als Totenrichter erwähnt waren. — Einen anderen und vielleicht besseren Beweis für das Vorkommen des Glaubens an die To- tenrichter in vorplatonischer Zeit erhalten wir aus Ps. Plato Ep. VII 335 (Bexker): zeideodaı Óà Orvvoc de yog voic Mukuoic Te za isgoïc Aöyoıs, oi OM umvvovomw uiv asa- verov iWvygv sivc: dızaords TE loysıy xal Tivev Tas uUsyloTtas Tıumgias, örav TiS xx Aey9j vo? owuaros.. Denn wenn dieserBrief dem Platon auch nur untergeschoben ist °), so ist er vielleicht dennoch nicht allzu spät nach dessen Zeit entstanden. Wenn es also heisst: xalawor vs x«i iegoi Aoyoı, so kann man dies wohl nicht auf Platon selbst beziehen; man muss vielmehr dabei an vorplatonische Vorstellungen denken. Allzu weit rückwürts zu gehen, ist jedoch misslich. Denn sogar im notorisch-orphischen Ideen- kreise hält es schwer aus ülteren Zeiten Indicien über die betreffende Vorstellung aufzufinden. Um allgemein bekanntes zu wiederholen, so ist in jener Partie der odysseischen Nekyia (XI 566—631), die von der Mehrzahl der Forscher für eine orphische Inter- polation gehalten wird”), von bestimmten Totenrichtern nicht die Rede. Denn — so sagt man — jener Minos, der dort in der Unterwelt richtet ^), setzt nur — wie z. B. als ein Attribut des Aiakos anzusehen ist. — Wenn Plutarch, Non posse suav. viv. sec. Epic. (Moral. 1104 D) sagt: oi Ó' Alanoi nai Acxdlagor xol Ayépovres ov xuvv ÖLaraedrrovom, oig ys xci yopods xol Qforoc xci uov- dar ZÓouévoig navrodannv yevouévou OtÓücx«cw . . ., so muss Aiakos zu dem Apparate gehört haben, womit man die Schrecken der Unterwelt anschaulich zu machen pfílegte. Es ist also nicht unmöglich, dass er in dem mystischen Drama in Eleusis vorkam. Jedenfalls kónnten wir dann mit Sicherheit dies nur von dem Zeitalter Plutarchs behaupten. 1) Diogenes Laërtius I S8 112 erzählt: Zvvéyoews (sc. Epimenides) . . . xoi megi Mívo xoi 'PoÓcudv- vos, Elg Ean Teroæmsyile. 2) Kreta III 316 ff. 3) Griech. Myth. u. Relig. gesch. 424. 3) Über Epimenides von Kreta, (Sitzungsber. d. Akad. d. Wiss. Berlin 1891 I) s. 396. 5) Drgrs a. a. ©. *) CHRIST, Gesch. Griech. Litt.* 452. 7) v. WiLAMOWITZ, Hom. Unters. 142, 199, 206, 219, Ep. MEYER, Gesch. d. Altert. II 639, 744, CAUER, Grundfragen der Homerkritik, 214. Unter den Neueren fehlt es jedoch nicht an solchen, die, wie CHANTEPIE DE LA SAUSSAYE, Lehrbuch d. Relig. gesch. ll 235 und GRUPPE, a. a. O. 651, die Frage nach der Interpola- tion offen lassen. 8) v. 568 sqq. N:o 7 12 Epv. REIN. der Jäger Orion — sein irdisches Leben fort: er schlichtet die Streitigkeiten der Schat- ten, richtet aber nicht die im Leben begangenen Taten"). Nun wird bekanntlich be- hauptet, dass diese Interpolation in den Zeiten des Peisistratos und Onomakritos entstan- den sei”). Man kann daraus schliessen, dass die betreffende Vorstellung sogar in or- phischen Kreisen in der Mitte des sechsten Jahrhunderts noch nicht allgemein ver- breitet war”). Freilich ist jene orphische Interpolation nieht sicher konstatirt. Aber nicht einmal solche Schriftsteller des fünften Jahrhunderts, die vor Platon eine Vergeltung nach dem Tode erwähnen, wie Pindar und Aischylos, — die doch beide mit den orphischen (und eleusinischen?) Vorstellungen vertraut waren *), — sprechen deutlich von bestimmten lotenrichtern. Aus Pindar können wir das bekannte Citat (Ol. II 64 sqq.) anführen: và Ó' ev trade Aros oye œliroa zarte yüc dızalsı vic Ey9oq Aöyov yodocıs dvcyuc* — wobei NÄGELSBAcH *), PRELLER-ROBERT °), Drerericn " und Weir”) an Hades selbst als Richter denken, Mauss aber an die personifizirte Avayzn”). Über einige andere Stellen des Dichters werden wir später sprechen. Bei Aischylos, Eumen. 274 sqq. da- gegen ist Hades sicher Richter: píyag ydo "Audns Eoriv evdIvros Pootwv Eveode yOovóc, ÓsÀvoyodqu Ó? wavr’ emo posvi. So wahrscheinlich auch Suppl. 230 sqq.: oxe dızalsı voumTACxQueJ' wc Aöyog, Zeüs &áÀoc £v zauovow Vvortartac déxac 10). Damit wollen wir natürlich nicht behaupten, dass die Totenrichter den genannten Dich- tern vollständig unbekannt gewesen sein müssen ''). Denn noch später, als diese Vor- ') L. Scamipr, Ethik d. Griechen 101, Kóonrv, Opusc. philol. II 402, v. WıLamowırz Hom. Unters. 200, PRELLER-ROBERT, Griech. Myth.* I 820, 825, DECHARME, Mythologie de la Grèce antique 668. 2) v. WILAMOWITZ, a. a. O. 200, 207, 220. 5) v. WILAMOWITZ a. a. O. 206. Auch nicht in den übrigen epischen Gedichten, in denen Hades- fahrten vorgekommen zu sein scheinen, wie in der Minyas, die doch nach v. WILAMOwWITZ a. a. O. 224 orphischen Ursprungs ist, in den Nosten, in der Heraklea und Theseis, sind die Unterweltrichter erweisbar. : Über Pindar vgl. z. B. NàaELsBACH, Nachhomer. Theologie 407, ZELLER, Philosophie d. Griechen ® I 1, 59 ff, Maass, Orpheus 261, Ronpe, Psyche? I 309, CAMPBELL, Relig. in Greek Lit. 177; MAASS a. a. O. 271 glaubt, dass Pindar orphischer Myste gewesen sein müsse. Über Aischylos vgl BERGK, Griech. Litt. Gesch. III 345 Anm. 174 und Maass a. a. O. Er scheint in die eleusinischen Mysterien eingeweiht gewesen zu sein; vgl. BERGK, a. a. O. III 277, CAMPBELL a. a. O. 374. 5) a. a. O 414. 5) a. a. O. I 825. 7) Nekyia 111. 5) In Journal des savants 1889 s. 281. 9) a. a. O. 272. 12) Andere Stellen bei NÄGELSBACH a. a. O. D) CHRIST, Schnitzel aus einer Pindarwerkstätte, (Sitzungsber. d. bayer. Akad. 1895) s. 24 ff. scheint zu glauben, dass die Sage von den drei Totenrichtern schon zur Zeit Pindars allgemein bekannt war. Wenn er aber sagt: „Ol. 2, 84 nimmt Pindar ganz entgegen der zu seiner Zeit geläufigen Darstellung nur einen Richter der Unterwelt ... Rhadamanthys, ... an“, so ist das nicht zutreffend; denn Rhadamanthys ist bei Pindar nicht Richter der Unterwelt, sondern richtet auf den Inseln der Seligen, welcher Ort bei ihm noch nicht in die Unterwelt verlegt ist (vgl. unten!), Tom. XXXII. Aiakos in der Unterwelt. 13 stellung schon lange bekannt war, erscheint Pluton selbst entweder allein oder mit Persephone als der Richter der Verstorbenen '). Überhaupt darf man natürlich in die- sen Dingen keine einheitliche, bestimmte Ansicht erwarten. Von grösserer Bedeutung ist es, dass in dem berühmten Unterweltbilde Poly- gnots in der Halle der Knidier zu Delphi die Richter der Unterwelt nicht vorgekommen zu sein scheinen. Und das ist um so auffallender, als jenes Gemälde, — wenn nämlich E. Currius das Richtige getroffen hat, — von der delphischen Priesterschaft zu dem Zwecke aufgestellt war, damit das unglückliche Loos der Verbrecher vor den Augen der Zuschauer anschaulich dargestellt würde ^). Da nun dieses Bild erst etwa in der Mitte des fünften Jahrhunderts angefertigt worden ist”), leuchtet es ein, dass der Glaube an jene Richter damals noch nicht allgemein war. Ja, man könnte annehmen, dass er nicht einmal weniger populären Lehren recht geläufig sein konnte; denn Polygnot scheint ausser der odysseischen Nekyia und anderen epischen Gedichten, wie z. B. der Minyas, sowie verschiedenen lokalen Traditionen *), auch orphische und eleusinische Vorstellungen verwendet zu haben”). Auch kann Polygnot die Richter nicht deswegen weggelassen ha- ben, weil sie der odysseischen Nekyia, der er als einer allbekannten Schilderung vor allem gefolgt zu sein scheint ?), nicht vorkamen. Denn auch andere Motive aus der Unter- welt, die schon zu seiner Zeit wohl bekannt waren, wie z. B. das Elysion, die Inseln der Seligen, Pluton, Persephone, der Kerberos, Herakles, Alkestis, Eurydike sind von Polygnot übergangen worden"). Somit ist es gewagt ohne weiteres zu behaupten, dass der Maler jenes Motiv nicht gekannt hätte, wenn auch dasselbe Argument, das Bav- MEISTER für die Weglassung der anderen Motive vorbringt,. von diesem nicht gilt; er sagt, jene Motive seien darum weggelassen, weil es einem Eingeweihten nicht erlaubt gewesen wäre sie zu profaniren ?). - Es verdient noch hervorgehoben zu werden, dass auch in der im Jahre 438 auf- geführten ?) euripideischen Tragödie Alkestis, worin bekanntlich die Vorstellungen von der Unterwelt hie und da Erwähnung finden, von den Richtern niemals die Rede ist ^). 1) So z. B. Properz IV 11, 18 (RomTHST.; s. oben s. 2) und Silius Pun. XIII 602. Wie häufig Pluto und Proserpina in den rómischen Sepulcral-Inschriften als richtend vorkommen, weiss jeder, der diese auch nur oberflächlich durchgemustert hat. j ?) Griech. Gesch. * I 507. . ») Es wurde nach WIDE vor 468, v. WILAMOWITZ vor 447, ROBERT kurz nach 458 geschaffen; vgl. HYLÉN, De Tantalo 82 Anm. 1. 3) v. WiLAMOWITZ, Hom. Unters! 224, WASER, Charon, (Archiv für Religionswissensch. herausg. v. TH. ACHELIS I 1898) s. 159. 5) GERHARD in Arch. Zeit. 1843, s. 200 ff.; vgl. WELCKER, Griech. Götterlehre 11 521, DÜMMLER, Quellen zu Polygnots Nekyia, (Rhein. Mus. 1890) s. 198, PRELLER-ROBERT, Griech. Myth. I* 829, Hörer in RoscHER's Myth. Lex. III 1788 s. Peirithoos. Und wenn DrerericH, Nekyia 68 mit Recht sagt, dass das Bild des Po- lygnot „gewiss nicht ohne Einwirkung delphischer Lehren ist“, so darf man wohl annehmen, dass diese „delphischen Lehren“ mit Mysterien- und Sekten-Vorstellungen vermengt waren. 9) SCHÖNE, Zu Polygnots Delphischem Bilde, (Jahrb. deutsch. arch. Inst. VIII 1593) s. 199, 202, 204. 7) BAUMEISTER, Denkmäler d. klass. Altert. III 1926. 8) BAUMEISTER a. a. O. ?) CHRIST, Gesch. Griech. Litt.? 264. 1) V. 360 sqq. werden z. B. Kerberos und Charon, v. 252 sqq. und v. 439 sqq. wird Charon erwähnt. Die persónliche Ansicht des Dichters war ohne Zweifel die, dass es kein jenseitiges Gericht gebe; für ihn N:o 7. 14 Epv. REIN. Wir sind also soweit gekommen, dass wir sagen können, die Vorstellung, worüber wir sprechen, sei um die Mitte des fünften Jahrhunderts, ja noch später im Ganzen ziemlich unbekannt gewesen. Auch ist es kaum möglich, dass, während sie in Athen noch nicht verbreitet war, sie sonst irgendwo in Griechenland geläufig gewesen wäre. Es war ja gerade Attika, wo der Orphicismus in Blüte stand'). Wenn aber auch die betreffende Vorstellung sogar am Ende des fünften Jahrhunderts in Griechenland immer noch nicht recht bekannt war, so müssen wir doch daran festhalten, dass sich Platon in der, wenn nicht im ersten?), so doch im zweiten Jahrzehnte des vierten Jahrhunderts verfassten Apologie?) bei der Erwähnung der Totenrichter an eine volkstümliche Auf- fassung hielt. Denn Platon hätte wohl dort kaum von ihnen gesprochen, wenn nicht jener Glaube wenigstens der Mehrzahl der Leser damals mehr oder weniger bekannt ge- war wohl, „was die überlieferte Religion vom Hades erzählte, nichts als Fabeln*; vgl. NEsTLE, Euripides der Dichter der griechischen Aufklärung 148, 167. Wie es sich mit der Beschreibung röv £v &óov des Antisthenes, der nach JoëL, Der echte u. d. zenophont. Sokrates IL 156, 174, 216, auf Platon einen grossen Einfluss aus- geübt hat, verhält, lässt sich nicht erraten. !) Es ist in der Tat auf den ersten Blick sehr auffallend, dass die Vorstellung von speciellen Richtern im jenseitigen Leben bei den Griechen des fünften Jahrhunderts nicht allgemein gäng und gäbe war, wührend sich doch ähnliche Ansichten bei den verschiedensten Vólkern, die auf einer niedrigeren Kulturstufe als die damaligen Griechen stehen, nachweisen lassen. Von den Ägyptern war schon oben (s. 9) die Rede. Bei der alten Bevölkerung Irans existirte der Glaube an die Brücke Cinvat, an der das Gericht. der Toten von den Göttern Mithra, SraoSa und RaSnû vollbracht wurde; vgl. RYDBERG, Undersökningar i Germanisk Mythologi Il 159, CHANTEPIE DE LA SAYSSAYE, Léhrb. d. Relig. gesch. Il 202, SÖDERBLOM, La vie future etc.96. In der spüteren Theologie der Inder erscheint Yama als Herr und Richter der Toten; vgl. TyLor, Anfänge der Cultur, übers. v. PoskE II 314, 422. Dass man aber schon in alter Zeit ein fórmliches Totengericht annahm, ist nach OLDENBERG, Religion des Veda 541 „zweifelhaft und kaum wahrscheinlich.“ Bei den Peruanern galten als Richter der Toten die Götter Pachacamac und Con; vgl. WAITZ-GERLAND, Anthropologie der Naturvölker IV 466. Der chinesische Buddhismus kennt zehn Richter und Bestrafer der Seelen der Sünder, jeden in seiner eignen Hölle; vgl. Harızz, La religion national des Tartares orientaux ete. (Mémoires couronn. publ. par L'académie Royal de Belgique tom. XL 1887) s. 19 und Le Livre des esprits. et des immortels, (Mém. cour. tom. LI 1893) s. 121. Derselbe Glaube an die zehn Höllen, jede mit ihrem Richter, kommt auch in Tonking vor; vgl. SEBILLOT, L'Enfer et le Diable dans l'iconographie, (Revue des tra- ditions populaires tom. IV 1889) s. 130. In ein und demselben Ideenkreise trifft es sich jedoch auch, dass der Gott der Toten selbst als Höllenrichter auftritt; "vgl. GRÜNWEDEL, Mythologie des Buddhismus in Tibet u. der Mongolei 168. Bei den Tscheremissen hat nach KusxEzow, Über den Glauben vom Jenseits und den Todtencultus der Tscheremissen, (Archiv für Ethnographie B. VI 1893) s. 90 der Herr der Unterwelt Támuk- wui zum Helfer „den Richter Kijamàt*; vgl. s. 94 Noch andere Beispiele führt TYLOR a. a. O.II 22, 44 ff. an. Und man hat sogar bei den rohesten Vólkern unserer Zeit eine Art Todesrichter auffinden wollen. Von einem göttlichen Richter der Seelen bei den Guinea-Negern spricht TYLOR a. a. O. II 90. In Orissa (Bengalen) kennen nach Tvrom II 93 ff. die Khonds den Totenrichter Dinga Pennu. Und der Glaube, wenn nicht an Totenrichter, so doch ,an ein im Himmel tagendes Gericht für die (Geister der Gestorbenen scheint bei den Narrinyeri (in Australien) vor der Zeit der christlichen Ideen schon gelebt zu haben“; s. RATZEL, Völkerkunde IL 92. — Welches die geschichtlichen und psychologischen Ursachen zu dem seltenen Vorkommen des Glaubens an die Totenrichter bei den Griechen gewesen sein mógen, ist hier nicht am Platze zu untersuchen. Wir müssen uns mit dieser von SÖDERBLOM a.a. O. 136 folgendermassen formulirten Tatsache begnügen: „La doctrine d'une rétribution d'outre-tombe ne comporte pas, par elle-même un degré très élevé de religion et de morale. On ne la trouve pas chez les prophètes d'Israël, mais on la trouve, au contraire, chez plusieurs peuples qui appartiennent à la grande foule des non-civilisés.* 2 TOËR, a. a. O: 11.705: *) Dass die Apologie in den frühesten Zeiten der schriftstellerischen Tätigkeit Platons verfasst ist, steht wohl fest (vgl. BeyscHLaG, Das XXXII Kapitel der platonischen Apologie s. 217) auch wenn man mit JOËL a. a O. II 811 ff. u. 834 làugnet, dass es unmittelbar nach dem Tode des Meisters geschehen sei. Tom. XXXII. Aiakos in der Unterwelt. 15 wesen wäre !); das geht gewissermassen auch aus den Worten oiseg xo? Afyovre« hervor. Es ist aber unwahrscheinlich, dass Platon hier seine eigenen Erfindungen vorge- tragen hätte, da es viel wahrscheinlicher ist, dass er solches, was Sokrates bei jener Gelegenheit in der Tat geäussert hat oder wenigstens sagen konnte, erzählt 2). Man kommt ja ungeachtet aller Zweifler zu der Empfindung, dass das Bild des Sokrates in der Apologie im wesentlichen getreu ist”). Und das wird um so mehr glaublich, als Platon damals mit seinen eigenen Lehren natürlich nicht fertig war“) und sich also der Auffassung seines Meisters eng anschloss. Wenn also Platon in der Apologie mehr oder weniger volkstümliche Vorstel- lungen vor Augen gehabt zu haben scheint, so wird man natürlich auch die im Gor- gias vorkommenden Totenrichter nicht als von ihm erfunden ansehen °). Hier ist er übrigens doch weniger rein volkstümlichen Anschauungen gefolgt‘). Es ist ja be- kannt, dass Platon aus den Lehren der Orphiker und der Pythagoräer, — die sich freilich in den eschatologischen Vorstellungen vielfach berühren —'), sowie aus dem populären Glauben entlehnte, wozu er noch einige Details selbst hinzugesetzt hat B): Und weil er besonders unter orphischem Einfluss gestanden zu haben scheint, hat man angenommen, dass er vor allem aus diesen Lehren in den Gorgias entlehnt habe). !) L. Schmior, Ethik d. Griechen 101; vgl. LEums, Populäre Aufsätze 334 ff. Auch RoHDE, Psyche? I 310 Anm. | findet, dass sich Platon in der Apologie dem populären Glauben näher hält. Auch den Tripto- lemos als Totenrichter hat Platon wohl eher aus der attischen Volksvorstellung entnommen (vgl. AARS, Sokrates skildret gjennem oversaettelser af Platon med indledning og anmaerkn. 177 Anm. 4), als „gemäss der Frei- heit, mit welcher Platon überall die Mythen nach seinem besondern Zweck gestaltet, selbst beigefügt“; (so CRON-UHLE, Platons Ausgew. Schriften I 109). 2) HigzEL, Der Dialog I 262. 3) ÜBERWEG-HEINZE, Grundriss d. Gesch: d. Philosophie I 136 (nach SCHLEIERMACHER), ZELLER, Philo- sophie d. Griechen? IL 1, 163 Anm. 1, CAMPBELL, Religion in Greek Lit. 330, SEDLMAYER, Platos Vertheidigungs- rede des Sokrates 16 ff. Eine andere Auffassung vom der Sache hat JoEL, Der echte u. d. xenophontische So- krates I 480. Das richtige trifft vielleicht GomPerz, Griech. Denker? ll 81, wenn er sagt, die Apologie ent- halte ,stilisierte Wahrheit.“ 3) CAMPBELL a. a. O. 5) Das geht schon aus der Fabel von der Erneuerung im Gerichtsverfahren hervor: eine solche Fabel wäre ja unverständlich, wenn die ganze Vorstellung vom jenseitigen Gerichte mit den Richtern un- bekannt gewesen wäre. Mit Bezug auf eben diese Gorgias-Stelle sagt L. ScHwiDT, a. a. O.: „Platon setzt sie (sc. die Totenrichter) . .. als bekannt voraus“; vgl. auch ZELLER a. a. O. 453 Anm. 2. Ob aber, wie HinzEL a. a. O. will, Platon sich hier auf Sokrates’ Aussagen stützt, ist unsicher. *) RonpE, Psyche? 1 310. Er nennt die Schilderung im Gorgias „eine Ausmalung jenseitiger Dinge, die alles eher als den Volksglauben seiner Zeit wiedergiebt.* 7) Heinze, Der Eudümonismus in d. griech. Philosophie, (Abhandl. sächs. Gesellsch. phil.-hist. A. VIII 1883: s. 691, DigrERICH, Nekyia 84 ff, ROHDE a. a. O. II 260, CAMPBELL a. a. O. 248. 3) Erric, Acheruntica, (Leipz. Stud. XIII) s. 311, 314, Kern, Totenkultus, (Aus der Anomia) s. 93, Roupe a. a. O. II 275 Anm. 1, Maass, Orpheus 109 ff. ») L. SCHMIDT a. a. O. 101, v. WILAMOWITZ, Hom. Unters. 220, Back in BURSIAN'S Jahresber. 66 B. 1892 s. 363, ETTIG a. a. O. 306, Maass a. a. O. 111, GOMPERZ, Griech. Denker ! I 111, WINDELBAND, Plato 141 ff. — DrETERICH a. a. O. 123 ff. glaubt, dass Platon bei seinen eschatologischen Schilderungen ein bestimmtes orphisches (resp. orphisch-pythagorüisches) Buch benutzt habe: in diesem wäre ,in Form des Berichtes über einen Hinabstieg zum Hades ... über alles das, was der Hinabsteigende gesehen, von diesem selbst berichtet ...: von den Totenrichtern, von dem Gericht, von den zu Bestrafenden und ihren Strafen u. s. w.* Und diesem Werke hat nach DrETERICH a. a. O. 125 Platon wahrscheinlich bis ins Detail sich angeschlos- sen. Vel. auch Maass 111 Anm. 149 und FmrEs, Babylonische und Griechische Mythologie, (Neue Jahrb. f. class. phil. herausg. v. ILBERG 1902, IX 1) s. 690. Die orphischen Gedichte, die unter dem Namen des Mu- N:o 7 16 Epv. REIN. Es ist jedoch schwer nachzuweisen, welche Züge volkstümlich, welche theolo- gisch gefärbt sind; denn wie schon oben gesagt, orphische Vorstellungen waren da- mals schon bis zu einem gewissen Grade allgemein bekannt'). Was besonders in der ‘Schilderung des Totengerichts im Gorgias direkt aus der orphischen Litteratur entnom- men, was dem populären attischen Glauben zu verdanken sei, ist kaum zu entscheiden. Einiges mag auch von Platon selbst erfunden sein, wie z. B. die Verteilung der Eu- ropüer an Aiakos und der Asiaten an Rhadamanthys, wie auch die Zuteilung der Ent- scheidung in zweifelhaften Fällen an Minos?) Auch könnte man annehmen, dass die Zahl der Totenrichter hier zuerst von Platon auf die typische Dreizahl reduzirt ist ?). Man kann somit mit Errr& übereinstimmen, wenn er hervorhebt, dass die Auffassung von der Unterwelt im Gorgias im Verhältniss zu der in der Apologie ein vorgeschrit- teneres Stadium repräsentirt ‘). Jene Zahl aber, die bei den Griechen überhaupt ge- wissermassen heilig und besonders in der systematisirenden Mythologie beliebt war — auch die bekannten Büsser Tityos, Tantalos und Sisyphos sind drei — ^), konnte dann unschwer allgemeingültig werden. Denn bei den späteren kommt diese Zahl gewöhn- lich vor. Doch möchte ich, was die Dreizahl der Richter betrifft, keineswegs die Ein- wirkung Platons für die einzige ansehen. Denn in jenen berühmten Unterweltdar- stellungen auf einigen Vasen aus Unteritalien, von denen später die Rede sein wird, saios und Eumolpos cireulirten, werden bekanntlich von Platon, Resp. II 363 erwähnt; vgl. Maass a. a. O. 110 ff. ZELLER, Gesch. d. Griechen Philosophie * IL I, 841 betont mehr den pythagoräischen Einfluss in den eschatologischen Mythen Platon's. — Ferner ist noch hervorzuheben, dass Platon nach antiker, obgleich un- sicherer Tradition die uralte Weisheit der ägyptischen Priester studirte, und CAMPBELL a. a. O. 349 findet es móglich, dass Platon einiges aus dem Zoroastrismus entnommen hat. — Nach den Untersuchungen JoBr's in seinem oben citirten Buche müsste man wohl weniger von einem direkten orphischen Einfluss als vielmehr von einer vom Antisthenes „inscenirten ethisch-philosophischen Umbildung der Orphik* reden; s. z. B. II 232; vel. 156, 240 und passim. Es ist jedoeh unseres Erachtens keine Ursache vorhanden zu bezweifeln, dass Platon direkt die orphische Litteratur benutzt hätte, besonders da er diese erwähnt. ! Vgl. oben s. 9. DrgTERICH, Nekyia 161 hebt jedoch ausdrücklich hervor, dass „höchstens ganz allgemeine Züge“ von den orphischen Eschatologien volkstümlich sind. ?) Die Verteilung der Funktionen lag auf der Hand. Rhadamanthys hatte nach den Sagen die In- seln und die Küste von Kleinasien in seiner Gewalt; vgl. Diodor. V 79 und 84. Somit fielen Aiakos, der mit Asien — mit Ausnahme etwa von seiner Teilnahme an der Erbauung der Mauern Troja's (Pind. Ol. VIII) — nichts gemeinsames hat, wie von selbst die Europäer zu. Hiermit aber hat seine Geburt von der Heroine Europa nichts zu tun; viel berühmter war ja die Geburt des Minos und Rhadamanthys von der- selben; vgl. CRON-UuLe, Platons ausgew. Schriften I 207 comm. zu Gorg. a. O. Ja, eben wegen dieser Ab- stammung, kónnte man sagen, werden Minos und Rhadamanthys hier als Asiaten bezeichnet; vgl. PRELLER- PLew, Griech. Myth.* II 130. — Minos schliesslich, dem mächtigen Inselkönige, wurde dann unschwer die hóchste Macht gegeben — ohne Zweifel nicht ohne Anspielung auf die oben citirte odysseische Nekyia- stelle (XI 568 sqq.). 3) Es muss jedoch hervorgehoben werden, dass die Herrschaft der Triade gerade bei den Orphikern obwaltete; vgl. UsENER, Dreiheit, (Rhein. Mus. 58 B. 1903) s. 6. 3) Acheruntica 304 ff. 5) Vel. Die drei Kabiren, Parzen, Furien, Tritopatoren, die drei Gebote des Triptolemos, und der Demonassa, die drei éjrpa der Lakedaemonier; vgl. WELCKER, Griech. Götterlehre TI 472, GERHARD, Griech. Myth. II 520, Lüscnke, Aus der Unterwelt (Progr. Dorpat 1888) s. 12. Dazu kommen noch die Göttertriaden; vgl. DEUBNER, Phobos, (Mitth. Arch. Inst. Athen. Abt. XXVII 1902) s. 263 Anm. 2. Und besonders auf den chthonischen Kultus hat diese Zahl Bezug; vel. Dies, Sibyllinische Blätter 40 Anm. 1. Über die Heiligkeit der Dreizahl vgl. im allgemeinen WzrxHOLD, Die mystische Neunzahl bei den Deutschen, (Abhandl. d. Akad. d. Wissensch. zu Berlin 1897)s. 4 und passim, und jetzt vor allem UsENER, Dreiheit, wo sehr viele Beispiele für denselben Glauben aus den Vorstellungen der verschiedensten Völker angeführt werden. Tom. XXXII. Aiakos in der Unterwelt. 17 sehen wir auch drei Totenrichter, und die Vasenmalerei hängt doch unseres Erachtens nicht direkt mit Platon zusammen). Hier könnte übrigens die Dreizahl auch auf le- diglich künstlerischen Rücksichten beruhen. Dagegen scheint die Hervorhebung gerade des Minos, Rhadamanthys und Aiakos das Werk Platons zu sein. Ja, diese drei Män- ner wurden in der Folgezeit so eng mit einander verbunden, dass sie bisweilen als Brüder nicht nur von ein und demselben Vater, Zeus, sondern auch von ein und der- selben Mutter, Europa, erschienen; nach der gewöhnlichen Tradition dagegen waren nur die zwei erstgenannten leibliche Brüder’). Daher kommt es, dass Aiakos bisweilen als Sohn der Europa genannt wird”). — Jedoch variiren bisweilen die Namen der Richter; auf den genannten Vasengemälden tritt auch 'Triptolemos auf, welcher wenigstens auf einem Gemälde für Minos substituirt ist. Dies hat man als auf attischer Tradition beruhend angesehen, und die Ursache zu der Erneuerung will man darin finden, dass Minos, der besonders von den attischen Tragikern als grausamer Tyrann und Feind 1) Zu Troezen hinter dem Tempel der ”Agreuıs Zwrelow befand sich ein Monument des Pittheus, das von Pausanias II 31, 3 folgendermassen beschrieben wird: Omo9e dr rov vaov (SC. ris "Agr£urdos Zorsions) lhr9iog uviud fort, rQtig ÖF im' œùr® Yoovor neivrar Aidou Aevxo) Örnageıw OR Tlırdea nal dvöpas dvo ovv «org Aéyovouww imi rOv Yoovav. Dieses Monument wird von Wipe, De sacris Troezeniorum etc. 40 auf die „kretische Sage“ von Rhadamanthys und seinen Kollegen Minos und Aiakos bezogen — eine Sage, die spät nach Troezen überführt wäre. Erstens aber ist es hier kaum zutreffend von einer ,kretischen Sage“ zu sprechen, denn wenn auch Minos und Rhadamanthys nach Kreta gehóren, so ist es keineswegs sicher, dass es sich so auch mit Aiakos verhält. Die konstatirten Beziehungen zwischen den kretischen und aigineti- schen Kulten und Sagen (vgl. meine Dissert. De Aeaco Quaesliones mythologicae 4 Anm. 1) sind meines Er- achtens hier nicht anzuführen. Dass aber der Kreter Epimenides nach Diog. Laërt. sich Aiakos genannt hat (worüber wir bald mehr sprechen werden), beruht sicher nicht auf kretischer Tradition. Auch lässt es sich nicht erweisen, dass Aiakos in den troezenischen Kulten und Sagen eine Rolle gespielt hätte. Dann aber ist es nicht sicher, dass Pittheus und seine Genossen wirklich Unterweltrichter waren, wie übrigens auch TóPrrER, Theseus und Peirithoos 40 Anm. 5 annahm. Das geht keineswegs aus der oben citirten Pausanias-Stelle hervor. Ich glaube, dass Pittheus, dessen Sprüche allgemein bekannt waren, und der zu- folge der Tradition zu Troezen einen Altar zo» @euidœr errichtet hatte (s. Pausan. IT 31, 5; vgl. GRUPPE, Griech. Myth. u. Relig. gesch. 585 Anm. 2), schlechtweg als berühmter Weiser, Richter und Gesetzgeber vor- gestellt war. Welches seine Kollegen sind, kónnen wir freilich nicht nachweisen: sie mógen zu den lokalen troezenischen Kulten gehören. Man hat übrigens in diesem Zusammenhange eine Beziehung des Pittheus zu der Unterwelt finden wollen. In der Tat scheint der obengenannte Kultus der Artemis Soteira mit dem der unterirdischen Gótter verbunden gewesen zu sein, und es ist móglich, dass daselbst ein ,Eingang zum Hades" war; vgl. Currius, Peloponnesos II 434. Noch erinnert ferner WIDE, a. a. O. 79 an den Kultus der Chthonia zu Hermione, wo eben von Pittheus erzühlt wurde; vgl. TÖPFFER a. a. O. Auch ist sein Name von GRUPPE a. a. O. 585 zu dem Seelenfeste ILSofycæ bezogen. Derselbe Gelehrte hat jedoch auch eine an- dere Etymologie angeführt a. a. O. 585 Anm. 7, und man kónnte vielleicht den Pittheus nur für den Epony- men des Demos Pitthos halten; vgl. HırzıG-BLÜMNER, Pausanias II 629. — Es ist jedenfalls nicht sicher, dass dieses Monument mit unserer Sage in Zusammenhang steht. Doch kónnte es zu der Dreizahl der To- tenrichter bei Platon mitgewirkt haben — vorausgesetzt natürlich, dass es aus vorplatonischer Zeit herrührt. 2) II. XIV 322; vgl. ROHDE, Psyche? I 187 Anm. 3. 3) Serv. ad ‚Verg. Aen. VI 566, Myth. Vat. 76; vgl. Verf. De Aeaco s. 4. Eine nähere Verbindung aber zwischen Aiakos einerseits und Minos und Rhadamanthys andererseits vermag ich hier nicht finden. Ich kann somit ScHuLTZ, Die Aktorionensage in ihrer Verflechtung mit andern Sagen 16 und GRUPPE, De Cadmi fabula 11 nicht beistimmen, wenn sie jenes Verhältniss aus der Verbindung der aiginetischen Kulte und Sa- gen mit den kretischen erklüren; vgl. hierüber Verf. De Aeaco S. 4. Anm. 1. N:o 7. 3 18 Env. REIN. des athenischen Volkes auf die Bühne gebracht war'), schwerlich das Ansehen eines gerechten Richters aufrecht erhalten konnte °). Wenn nun Platon die Vorstellung von den Totenrichtern orphischen und orphisch gefärbten volkstümlichen Anschauungen entlehnt hat, so ist es doch fraglich, ob Aiakos in der orphischen Litteratur in jenem Amte vorkam ”). Wenigstens könnte man ge- neigt sein anzunehmen, dass der athenische Philosoph gerade ihn direkt aus der atti- schen Volkstradition entnommen hätte. Doch giebt es eine Notiz, aus der man schlies- sen könnte, Aiakos sei in der orphischen Litteratur in der Tat als Totenrichter vorge- kommen. Diogenes Laörtius sagt nämlich I S 114: Atyeraı dé, wc xci moo roc (DIELS: xowtov) avrov Aiaxov Akyoı, xci Awxedaınovioıs toosixor Tijv Uno Agzadov äkwow. 11900- roımdivai vs soAAcxic dveßsßınzevaı. Nun aber weist Dirrs, Über Epimenides 396 Anm. 1, dieses Citat den Katharmen zu, die zu der in den orphischen Kreisen der Peisistra- tiden-Zeit entstandenen pseudo-epimenidischen Litteratur gehört haben. Man könnte also behaupten, dass Aiakos in der orphischen Litteratur eine Rolle zu eigen gehabt hätte. Und wenn man die orphischen Jenseitsvorstellungen vor Augen hat, wäre man in der Tat zu der Annahme geneigt, dass Aiakos dort wirklich als Totenrichter vorgekommen wäre. Wenn Dress a. a. O. weiter den Sinn „der von Laertios zertrennten und sinn- los verkürzten Berichte“ wohl richtig damit erklärt, dass Epimenides sich „vermittelst mehrerer dvaßınosıs von Aiakos ableiten wollte“, so werden wir freilich zu der speciell pythagoräischen Lehre von der Seelenwanderung geführt. Daraus folgt aber keines- wegs, dass Aiakos auch in den Lehren der letztgenannen Sekte irgend eine Rolle ge- spielt hätte. Wenn aber Aiakos in der Tat in der orphischen Litteratur des sechsten Jahrhunderts vorkam, so ist er wohl aus der attischen Volkstradition entnommen. Die Sektirer haben ja überhaupt die verwendbaren Persönlichkeiten dem landläufigen Sagen- vorrate entlehnt *). Aus dem attischen Kulte aber konnte Aiakos nur in dem Falle entnommen sein, dass schon vor der Gründung eines besondern Aiakeions in Athen, die angeblich um die Zeit der Perserkriege geschehen ist”), ein solcher Kultus, vielleicht privater Art, existirte. Und das ist freilich in der Tat nicht unmöglich, wenn wir be- denken, dass die Aiakiden Telamon und besonders Aias mit ihren Descendenten schon im sechsten Jahrhundert in Athen grosse Ehre genossen, und in Gesängen im Munde des athenischen Volkes lebten. In der attischen Volksvorstellung jedenfalls konnte der Vater (resp. Grossvater und Ahne) damals bereits bekannt sein 5. — Es erhellt jedoch aus dem vorhergehenden, dass Aiakos als Totenrichter in der vorplatonischen Litteratur 1) Ps. Plato, Minos 318 (BERKER). "ET(AIPOZ). 'Paóduav9Uv yé paow, © Zonpates, Ölnaıov dvöge, róv 0 Mívov &ygióv rw« xol yaAerov sot KÖmov. EO(KPATHZE). 'Avtwxóv, © Beitıore, Ayers uU9ov xal rgayı- xóv. ET. Ti dai; où tavra Akyeraı aepi Mivo; 22. Oixovv Uno yt 'Ouggov xci 'Hat93ov: nal ro(ys zwavore- pol tici 7 GVunavres oi Toaywdonoıoi, Öv c) &xovov radra Aéysig. Vel. PRELLER-PLEW, Griech. Myth.* II 120. ?) WELCKER, Alte Denkmäler 111 121 = Arch. Zeilg. 1843 s. 117 190. 3) Dies versichert DrereriCH, Nekyia 126 Anm. 1; vgl. 127. +) MILCHHÖFER, „Orphisch“-Unterweltliches, (Philologus 53 B. 1894) s. 396, Apamı, De poetis scaenicis elc. 248. 5) Herodot. VIII 89; vgl. Hesych. s. Aldxstov. “) Vel. z. B. das attische Skolion: röv TrAeuóve aomrov, Alavra dr Oevrspor és Toolav Aéyoucuv AOsiv Aavaov xol Ayıllla (s. Poët. lyr. graec. Bergk III s. 649 Scol. 18. Tom. XXXII. Aiakos in der Unterwelt. 19 mit Sicherheit nicht konstatirt werden kann. Und hierbei nimmt besonders der Umstand Wunder, dass Pindar, der Sänger zer' 2£oynv.der Taten des Aiakos und der Aiakiden, der sowohl die mystischen und theologischen Lehren wie die aiginetischen Lokaltraditio- nen sehr gut kannte, Aiakos als Richter der Abgeschiedenen nirgends bestimmt er- wähnt '). Wenn man weiter fragt, wie es geschehen ist, dass Aiakos Richter der Toten wurde, so muss man nachsehen, wie die übrigen mit diesem Amte betraut worden sind. Minos als Richter im Hades wurde der Odyssee entnommen’). Nach seinem Bei- spiele bekamen dann die übrigen die gleiche Funktion”). So kam z. B. Rhadaman- thys wegen Od. IV 564 nach dem Hades — d. h. durch die Vermittelung des Auf- enthaltes auf den Inseln der Seligen ‘). Triptolemos schliesslich hat sowohl wegen sei- ner Anwesenheit in dem eleusinischen Kulte, als wegen seiner Eigenschaft eines atti- schen Gesetzgebers jenes unterweltliche Amt erhalten’). Ihre Gerechtigkeit scheint der Grund zu der Erkürung dieser Heroen gewesen zu sein. Diese Eigenschaft ist ja die- jenige, um welche Minos und Rhadamanthys gepriesen werden”). Und ohne Zweifel stand auch Triptolemos im Rufe der Gerechtigkeit"). Dasselbe scheint auch mit 1) Ronpe, Psyche? I 310 Anm. 1; vgl. jedoch Curisr, Schnitzel aus einer Pindarwerkstätte 25 (s. oben s. 12 Anm. 11). 2) XI 568 sqq.; vgl. Roupe a. a. O. Dass Platon jene Homer-Verse im Sinne gehabt hat, bezeugt er selbst Gorg. 526 C. 3) ROHDE, a. a. O. +) ROHDE, a. a. O. Ausserdem muss von Rhadamanthys als Richter unter den Lebenden eine Tra- dition bestanden haben; vgl. Höck, Kreta III 317 ff. DrETERICH, Nekyia 207 behauptet, die Pythagoräer hätten Rhadamanthys als Totenrichter gekannt. Die aristotelische Stelle aber, die er hierbei anführt (Eth. Nicom. V 5, 1 sqq.), lässt das jedoch eigentlich nicht schliessen. 5) ROHDE, a. a. O. I 311 Anm. 1. Vel. über Triptolemos als Gesetzgeber Porphyrius, De abstinentia IV 22: paol 0b sal Tounrôkeuor "A9Qvoiotg vouoFernou . ... vgl. WELCKER, Griech. Gótlerlehre Il 472, TÓPFFER, Attische Genealogie 140 Anm. 1. ‘) Vel. über den Minos z. B. Dio Chrysostomus Or. I 38:... róv Mivo, ueyiornv £yovra Óobav ni dizaroavın . . . Or. IV 40: Aéyerou Ötreroreros 6 Mívog mzvrov yevioda .. . Jedoch haftete ihm ein Ma- kel der Grausamkeit an. Vgl. darüber Servius ad Verg. Aen. VI 432: Quaesitor quaesitores sunt qui exer- cendis quaestionibus praesunt et notandum quia Minoem quasi crudelem introducit, quod ei epitheton et Homerus dat: nam Aeacus et Rhadamanthus fratres mitiores sunt. So auch Theodoretus, xeol ré£Aovg xci xoícrog p. 162: dinaorag dr Extivog uiv xci Érépous eloiyaye, ro» Alaxóv, wel tov Mivow, zei róv ‘Padduardur. dvÓges o00i tå advra émowovutrovs, rov dE Mívo xci moii &rra xarnyopoöcı zuréc" Und Eustathius comm. in Od. XI 568: ’Ioreov Ö& Ori uiv màetov loropia dixaov oiüe rv Mívoc. sot 0b oi aänevavrius rvQovvixÓv Paoıv c)rüv nai Bíatov xol ÓcGuoAlóyov, ToaywÔodvres xci và neoi uvoravoov xol LafBvowdov, ÅS 6 jycoypaqos qnotv . . .; vgl. XVII 523. Noch andere Stellen bei PRELLER-PLEW, Griech. Myth." II 120 Anm. 2. Bei dieser Tradition scheint das homerische Epithet óioóqoov mitgewirkt zu haben; vgl PRELLER-PLEW a a. O. II 120. — Über Rhadamanthys vgl. z. B. Theognis 701: odd” el coqppooívgv utv Eyoıs Padaudrdvog c)rov, +. r. 4.; andere Stellen bei ROHDE, a. a. O. I 310 Anm. 1. Die Alten haben übrigens sogar von zwei verschiedenen gerechten Män- nern Namens Rhadamanthys erzählt; vgl. Ephorus bei Strabo X p. 476. 7) Dass die Gerechtigkeit die Ursache zu der in Rede stehenden Erhebung dieser Männer gewesen sei, ist auch die Auffassung der Alten. Vgl. über Minos z. B. „Lactantius Placidus* comm. zu Statius Theb. IV 530: defunctus deinde, quantum mansuetudo mereatur, nec fato quidem hoc honore privatus est. nam dici- tur apud manes de supremo exitu iudicare mortalium. veteres enim Graeci, ut impios crudelesque poenas apud inferos luere, sic bonum quemque adeptum bonae vitae praemia post mortem esse dixerunt. quod est bonitatis exemplum, quia Minos se non ut regem aut tyrannum, sed tamquam unum de plebe gessit; quae laus summa est. = Myth. Vat. I 172. Dasselbe sagt von Rhadamanthys z. B. Aristides varie rov rerrdpwv 243 sq.: Goxse v el Ayows rÓv Padduuvduv £3ífew Toùs dvdewmovs émopzeiv, © vogobrov msoujv sUosfsiug xol duxauoovvns Gore xol Teheutijous tois Éxeioe Gquavovuévors durer duel ep rv Ev TO pie mocyütvrov. EO 20 Env. RErN. Aiakos, dem wegen seiner Gerechtigkeit in den Sagen gefeierten '), der Fall gewesen zu sein ?). Doch ist wohl ein anderer Umstand eine direktere Ursache zu der Vorstellung von Aiakos als Totenrichter gewesen. Denn wie der homerische Rhadamanthys im Ely- sion ?), der pindarische auf den Inseln der Seligen weilt‘), so scheint auch Aiakos von Pindar ins Elysion versetzt zu sein, obgleich dies in den an uns gekommenen pin- darischen Gesängen nirgends deutlich gesagt wird’). Denn wenn Horaz, Carm. IV 8 v. 25 sqq. sagt: Ereptum Stygiis fluctibus Aeacum virtus et favor et lingua potentium vatum divitibus consecrat insulis . . ., so hat der Rómer wohl keinen andern als Pindar als Muster gehabt?) Es wird ja doch bei dem ,lingua potentium vatum^ jeder vor allem an Pindar erinnert. Und in der Tat versetzt dieser die beiden Aiakiden, den Peleus und den Achilleus, in das Ely- sion"). Dort scheint auch nach Oulex v. 295 sqq. Aiakos selbst zusammen mit sei- 1) Vgl. De Aeaco s. 49. 2) L. SenwurpT, Ethik der Griechen 101, TóPFFER bei PauLy-WıssowA, Real-Encyklop. I 926 s. Aiakos, Roupe, Psyche? I 310 Anm. 1. So auch W. M. L. HUTCHINSON, Aeacus a Judge of the Under-world; siehe die Besprechung J. E. HARRISON'S in The Classical Review vol. XV 1901 s. 476. Dass auch Aiakos wegen seiner Gerechtigkeit Richter im Jenseits geworden ist, äussert z. B. Dracontius IX 129 sq.: me (sc. Aeacum) vita pia promovit ad urnam, humani generis laudes et crimina quaeram . .. 3) S. oben s. 19. 3) OL II 75 sqq. Rhadamanthys ist bei Pindar noch nicht Unterweltrichter, wie wir bei CHRIST, Pindari carmina proleg. CXXIV lesen. Denn erst in der hellenistischen Epoche wurde in diese Stelle die Hadesbeziehung hineingelegt; vgl. Maass, Orpheus 274 ff. Übrigens wird Rhadamanthys auch von Pindars Zeitgenossen Pherekydes (fr. 39 in F. H. G. MÜrr. I) auf die Inseln der Seligen versetzt. 5) Ist dies richtig, so ist es nicht ganz zutreffend, wenn DECHARME, Mythologie de la Grèce antique 409 sagt: ,Aeaque a obtenu aprés sa mort des honneurs singuliers . . . mais son immortalité est enfer- mée dans les limites du monde souterrain.* ») Diese Stelle wird von ARNOLD-FRIES, Die griechischen Studien des Horaz 107 auf Pind. Isthm. VILE (VII) 24 sqq. bezogen; vel. auch s. 29, und ORELLI, Horatius ed. min. comm. zu 1. L Dagegen denkt Rum- MEL, Horatius quid de Pindaro iudicaverit et quomodo carmina eius suum in usum converterit, Gymn. Progr. Rawitsch 1892 s. 12 an Pind. Nem. VII 31, wo in der Tat das xcu ”Alda an ,Stygiis fluctibus* erinnert. Wenn aber Porphyrius, Vita Plotin. 22, von dem Leben der Seligen unter anderem singt: 2. ng véuovrot Mivog xol Paôduavdus &dskpeoi, Hyr Olxotog Alonos, qu TlAérov, icon is, ULT TE naA0s Mvsayoons, 00001 TE gogór ornoıdav £ooroc davarov, 0000. ysvenv Evvnv EAdyovro Öaluooıw oAßioroıs, 091 Tor neue Ev Jahimow oliv evpooovvnaw luivetur . . . so ist diese Stelle zu jung, als dass man daraus betreffs Pindars etwas schliessen könnte. Es kommt ja hier unter anderen weisen und gerechten Heroen auch Platon vor. 7) Ol. II 86 sqq. Tom. XXXII. Aiakos in der Unterwelt. 21 nen Söhnen Peleus und Telamon ') zu weilen, was vielleicht auch dem Pindar entnom- men ist”). Hier ist es am Platze an eine dunkle Tradition zu erinnern. Pindar sagt näm- lich Ol. VIII 24 sqq.: . 0 (sc. Aiaxoc) xai Ödaıuoveooı dizas Exelouwve. Welches diese dœéuorss sind, steht nicht fest. Es scheint mir zweifelhaft zu sein, ob dies, wie es von einigen Pindarkommentatoren geschieht ^), auf das Totenrichteramt zu beziehen ist, so dass die deiwovss gewöhnliche Verstorbene wären. Eher könnte man im Anschluss z. B. an die oben (s. 20 Anm. 6) citirte Porphyrius-Stelle, wo dei- woves Sicher nicht von den Abgeschiedenen im allgemeinen gebraucht wird, an ver- klärte Geister, Heroen denken, und somit diese Pindar-Stelle mit jener elyseischen Vorstellung verbinden. Man behauptet gewöhnlich, dass die Vorstellung vom Elysion und den Inseln der Seligen eine poetische, nicht eigentlich volkstümliche sei”). Wenn aber die betref- fende Pindar-Stelle in der Tat hieher gehört, so kann die dort gestreifte Tradition jeden- falls nicht von Pindar selbst erfunden sein; dazu wird sie allzu oberflächlich berührt. Sicher ist also der Dichter irgend einer vorhandenen Sage oder Erzählung gefolgt. Auch ist es nicht ausgeschlossen, dass eine schon existirende Verbindung des Aiakos mit der Unterwelt, — wovon später die Rede sein wird, — dabei mitgespielt hat. Denn wenn auch die Vorstellungen vom Elysion und den Inseln der Seligen im all- gemeinen erst spät mit denen von der Unterwelt vielfach vermischt sind’) — so sind z. B. bei Platon (Gorg. 523 E) die Inseln der Seligen ein Teil der Unterwelt ^) — so ist es doch nicht unmöglich, dass schon zu Pindars Zeit die betreffenden An- schauungen zur Unterwelt auf irgend eine Weise in Beziehung gesetzt waren. An- dererseits ist die von uns vermutete pindarische Auffassung von Aiakos sicherlich nicht ohne Einfluss auf die Tradition von seinem unterweltlichen Richter-Amte ge- wesen. Und diese Tradition ist, — so glaubt man vielleicht mit Recht — dann vor- züglich von den attischen Dichtern gepflegt worden *). 1) So versteht Maass a. a. O. 275 Anm. 62 diese Stelle: : ... Hie et uterque Aeacides: Peleus namque et Telamonia virtus per secura patris laetantur numina, quorum connubiis Venus et Virtus iniunxit honorem . .. ?) An eine Tradition, nach welcher Aiakos im Elysion als Beisitzer (des Kronos?) auftritt, scheint schon C. ©. MÜLLER, Aegineticorum liber 162 gedacht zu haben, obgleich seine Worte etwas dunkel sind: ,nullus dubito, quin Rhadamanthi instar lovis (sic!) æéoeôpos fuerit (se. Aeacus).* 3) Z. B. HERMANN, Handbuch der Mythologie II 444 Anm. 846, Curgism, Pindari carm. comm. zu 1. 1; vgl comm. zu Nem. V T (s. jedoch auch Schnitzel zu ein. Pind. werkst. 24). Noch weniger ist die Sage von Aiakos als Schiedsrichter (s. De Aeaco 38 ff.) heranzuziehen, wie es C. O. MüLLER a. a. O. getan hat. *) DECHARME, Myth. d. l. Grèce antique 430, ROHDE, Psyche? I passim. 5) Dahin gehört auch, dass an den Ocean sowohl das Elysion als auch der Eingang zu der Unter- welt lokalisirt zu werden pflegten; vgl. GRUPPE, Griech. Myth. u. Relig. gesch. 396. *) Die Verlegung des Elysions in die Unterwelt (vgl. s. 20 Anm. 4) scheint eine orphische Er- findung zu sein; vgl. Maass a. a. O. 274 ff. 7) PRELLER-ROBERT, Griech. Mylh.* 1 825, DECHARME a. a. O. 428. N:o 7. 22 Epv. REIN. Um nun zu den nachplatonischen griechischen Schriftstellern überzugehen, so ist es bezeichnend, dass der Unterweltrichter in der Litteratur der folgenden Jahrhunderte nicht häufig Erwähnung getan wird. Das hängt wohl damit zusammen, dass die Griechen überhaupt nicht viel von der Vergeltung im Jenseits wenigstens öffentlich ge- sprochen zu haben scheinen). Wie selten z. B. die Redner diese Vorstellungen be- rühren, hat Meuss deutlich gezeigt”). Somit ist es nicht auffallend, dass Aiakos als eigentlicher Totenrichter bei ihnen niemals vorkommt ?). Dagegen haben wir unzweideutige Beweise dafür, dass die Unterweltrichter in diesen Jahrhunderten in den Seelen der (riechen vielleicht besonders in Attika fortlebten. Ob sie freilich in den Unterwelt- gemülden, von denen Ps. Demosthenes spricht *), vorkamen, ist nicht nachzuweisen; wir haben aber jene unteritalischen Vasenbilder, von denen oben die Rede war”). Diese Vasen nun stammen einerseits spätestens wohl aus dem dritten Jahrhun- dert v. Chr. °), andererseits scheinen sie ihren Hauptinhalt aus attischen Exemplaren entnommen zu haben, — was man besonders daraus geschlossen hat, dass Triptolemos auf ihnen vorkommt") Wenn dies in der Tat der Fall ist, muss man festhalten, dass ') Über Aischylos vgl. Ronupe, Psyche? II 235. ?) Die Vorstellungen vom Dasein nach dem Tode bei den attischen Rednern, (FLECKEISEN’S Jahrb. 139 B. 1889) s. 801 ff. *) Über Isokrates vgl. oben s. 4. +) Or. c. Aristogit. XXV 52 (786): us9' ór d'où Goypdqo: tvvs åoepfeis Ev Aldov yodqovouw, HETA rovrov, HET” doc xal Plaopnuias nai q90vov xai Ordoewms ab veinovs, TEOLÉVXETAL (SC. ’Apıoroysito). 5) RonpE, der die Vorstellungen vom jenseitigen Gerichte für spät hält und bestreitet, dass sie über- haupt je volkstümlich gewesen sind, bezweifelt, dass die Vasengemälde die Richter vorstellen. Er sagt a. a O. I 311 Anm. I: „Dass übrigens die drei Gerechten auf jenen Vasenbildern Gericht über die im Leben begange- nen Thaten halten, ist mit nichts angedeutet, ja genau genommen überhaupt nichts von richterlicher Thätig- keit. Deutlich ist nur, dass sie, eben als Muster der Gerechtigkeit, &ri zaioı rov IIAovrovog oixovotv IVpus (wie die Mysten bei Aristoph. Ran. 163), sie geniessen das Recht der æégedpor des Gótterpaares, daher sie auch auf oovo oder diqgpur sitzen.“ Es ist freilich so, dass die betreffenden Figuren, so wie sie dargestellt zu werden pflegen, nicht gerade als richtend erscheinen: es fehlt ja nämlich der zu richtende. Wenn wir je- doch auf einer Vase die Namen Triptolemos, Aiakos, Rhadamanthys, und auf einer andern Aiakos und Triptolemos lesen (vgl. unten!), andererseits dieselben (wenigstens Aiakos und Rhadamanthys) in der Litte- ratur so háufig als Totenrichter begegnen, so hält es doch schwer die Vasen-Figuren nicht mit dieser Vor- stellung in Verbindung zu setzen. 5) WINKLER, Die Darstellungen der Unterwelt auf unteritalischen Vasen 82 setzt sie ins dritte Jahrhun- dert. Andere führen sie ins vierte Jahrhundert zurück, wie z. B. KuuwERT, Orphisches in der Unterwelt, (Phi- lologus 54 DB. 1895) s. 197 und Unteritalische Nekyien, (Jahrb. deutsch. Arch. Inst. VIII B. 1893) s. 106 ff.; auch BAUMEISTER, Denkmäler d. klass. Alterthums III 1926 glaubt, dass auf diesen Gemälden Ideen, die etwa in dem Zeitalter Alexanders und folgendem Jahrhundert verbreitet waren, zum Vorschein gekommen wären. Unter den genannten Vasen werden die Fragmente der Vase von Ruvo (jetzt im Karlsruher Mus. N 258) für am ältesten gehalten; vgl. SCHUMACHER, Zu den ältesten Karlsruher Unterweltsvasen, (Jahrb. deutsch. Arch. Inst. IV 1889) s. 228 und jetzt auch Hörer in RoscHEr's Myth. Lex. III 1788 s. Peirithoos. WINKLER a. a. O. 83 dagegen scheidet diese Vase nicht von den übrigen aus. 5) WELCKER, Alte Denkmäler III 123. Über den attischen Ursprung der Vase von Ruvo (Karlsruhe) s. HarrwiG, Neue Unterweltsdarstellungen auf Vasen, (Arch. Zeitg. 42 1884) s. 269, der Vase von Canosa (jetzt in München X 849) s. KUHNERT, Unteritalische Nekyien, (Jahrb. deutsch. Arch. Inst. VIII B. 1893) s. 107, der Vase von Altamura (jetzt in Neapel X 3222) s. KÖHLER, Vaso di Altamura con rappresentazione infernale, (Annali dell instituto vol. 36 1864) s. 287. VOGEL, Scenen Buripideischer Tragödien in griech. Vasengemälden 46 nimmt an, dass die Künstler der genannten drei Vasen ein und dasselbe Vorbild benutzt haben; in den Details haben sie dann varürt. Auch SCHREIBER, Wandbild des Polygnots, (Abhandl. sächs. Gesellsch. Wissensch. 17 B. 1897) s. 162 führt wenigstens die Vasen von Canosa und Altamura auf dasselbe Vorbild zurück. Nach Bau- MEISTER à, a. O. III 1930 sind die attischen Vorbilder von den apulischen Kleinkünstlern oft unvollständig Tom. XXXIL Aiakos in der Unterwelt. 23 wenigstens im dritten und vielleicht schon im vierten Jahrhundert in Athen Vasen- Gemälde mit den Unterweltrichtern angefertigt wurden '). Die Gegenstände aber haben diese attischen Maler wahrscheinlich eher aus der durch theologische Lehren mehr oder weniger gefärbten volkstümlichen Tradition als direkt aus den Lehren der Sekten ge- schöpft *). Man kann also wohl schliessen, dass die Totenrichter damals in Athen nicht unbekannt waren. Wenn es aber Ronpe für möglich hält, dass die unteritalischen Va- sengemälde unter dem Einflusse Platons stehen ”), so ist das meines Erachtens kaum wahrscheinlich. Denn schwerlich waren die Mythen eines Philosophen, der in der er- sten Hälfte des vierten Jahrhunderts lehrte und schrieb, im dritten und vielleicht schon im vierten Jahrhundert dem grossen Publikum so vertraut, dass sie von den Künstlern benutzt werden konnten *). Auch die Ansicht Drererion's ist, wenn das vorhergehende gebilligt wird, nicht ganz zutreffend. Er nimmt nämlich an, dass die Übereinstimmung Platons mit den italischen Vasengemälden dadurch erfolgt sei, dass ein und dieselbe pytha- goräisch-orphische Litteratur sowohl ihm wie diesen als direkte Quelle gedient hätte °). Dass nun Aiakos auf diesen Gemälden erscheint, geht aus zwei Vasen hervor, — aus der in Altamura gefundenen, jetzt in Neapel aufbewahrten (M 3222)°) und aus dem Fragmente der Vase von Ruvo (Mus. Karlsruh. X 258) °). Auf jener sieht man deutlich die Inschrift ArAKOX neben der Figur eines Mannes, der „in Vorderansicht nachgebildet oder missverstanden. Auch kann einiges neu hinzugesetzt sein; doch behauptet KUHNERT, Unterital. Nekyien 108 ausdrücklich, dass die Unterweltrichter unter den Motiven der attischen Vorbilder gewesen wären. Übrigens hält es HARTWIG a. a O. 262 für möglich, dass gerade die genannten Vasen- exemplare nach Italien importirt wären. 1) Man hat das attische Original wenigstens zu einem Vasengemälde bis ins fünfte Jahrhundert zurückverfolgt; s. KUHNERT, a. a. O. 108. Und HarTwiG a a. O. 271 hält das polygnotische Gemälde für ihr erstes Vorbild; so auch über die Vasen von Ruvo und Canosa BRAUN, Orpheo e Bellerofonte, (Annali dell Inst. 1837) s. 221. Wenn es sich in der Tat so verhält, müssen die Unterweltrichter, die auf Polygnots Gemälde nicht vorkamen, anderswoher hinzugekommen sein. Doch versichert Hörer in Roscugn's Myth. Lex. III 1788 (s. Peirithoos) vielleicht mit Recht, dass mehr als einzelne Motive aus dem polygnotischen Gemälde in die unteritalischen Vasenbilder nicht übergegangen sind. 2) WINKLER, Darstell. d. Unterwelt 88 glaubt, die Motive der unteritalischen Vasengemälde seien aus den attischen Tragödien entnommen. Und nicht einmal KUHNERT a. a. O., der, wie auch einige andere Gelehrte, in den betreffenden Gemälden Spuren des Orphicismus finden will, behauptet, dass in dem atti- schen Vorbilde z. B. der canosischen Vase orphische Elemente vorgekommen wären; sie seien erst in Italien hineingelegt worden. 3) Psyche” I 310 ff. 3 Zu weit sind meines Erachtens diejenigen gegangen, die eine so genaue Übereinstimmung zwi- schen den unteritalischen Gemälden und der Beschreibung Platons finden wollen, dass sie, um Einzelheiten in jenen zu erklären, diesen heranziehen, wie es z. B. bei MÜLLER-WIESELER, Denkmäler der alten Kunst 156 geschieht. 5) Nekyia 126 Anm. 1, 127. Triptolemos z. B., der sowohl bei Platon als auf den Vasenbildern auf- tritt, ist wohl eher aus den attischen Volksvorstellungen als direkt aus der orphischen Litteratur ent- nommen. 8) Publizirt z. B in Monum. ined. d'. inst. vol. VIII tav. IX, bei Reinach, Repertoire des vases peints I 167 und an vielen anderen Orten. Beschrieben. z. B. von Braun in Bull. dell’ Inst. 1851 40, GERHARD in Arch. Zeitg. 1851 89 ff, KÖHLER in Annali dell Inst. 1864 286 ff, WELCKER, Alte Denkmäler III ı22, WINKLER, a. a. O. 24. 7) Publizirt z. B. von HARTWIG a. a. O. 253 ff. und jetzt auch in Roscuer’s Myth. Lex. HI 2 1753 s. Peirithoos. Beschrieben z. B. von HARTWIG a. a. O. und WiNNEFELD, Beschreibung d. Grossherz. verein. Vasensamml. zu Karlsruhe 63. N: 7. 24 Epv. REIN. steht, mit übergeschlagenem linken Bein, auf einen knotigen Stab gelehnt“ u. s. w. Auf dieser findet man freilich nur die drei letzten Buchstaben ... KO, es besteht aber kein Zweifel, dass Ai«xoc zu suppliren sei. Hier sind von Aiakos nur Kopf und rechte Schulter erhalten '). 1) Auf dem Gemälde der Prachtvase von Canosa (München X 849; beschrieben v. JAnw, Beschreib. d. Vasensamml. zu München N 849 s. 273 ff, MÜLLER-WIESELER, Denkmäler der allem Kunst 56, WINKLER, Darstellungen u. s. w. 9 ff.; abgebildet sehr oft, z. B. bei BAUMEISTER, Denkmäler d. klass. Altert. III 1928) haben wir wieder eine Gruppe von drei ehrwürdigen Männern. Weil nun keine Namen vorhanden sind, so sind verschiedene Ansichten über ihre Bedeutung geäussert worden. So hat z. B. CREUZER an Lynkeus, Kronos, Rhadamanthys (s. WINKLER, a. a. O. 10 Anm. 2), INGHIRAMI, Pilture di vasi fillili 1837 tom. IV 124 ff. an Tantalos, Kronos, Rhadamanthys, GERHARD in Arch. Zeitg. 1843 s. 202 an Rhadamanthys, Kronos, Minos und WELCKER in Arch. Zeitg. 1843 s. 187 ff. an Rhadamanthys, Kronos und einen seine Sache vertei- digenden Greis gedacht. Diese alle haben den Kronos, der nach Pindar, Ol. 2, im Elysion residirt, finden wollen. Die Gruppe stellt aber, wie WINKLER a. a. O. 10 wahrscheinlich richtig sagt, offenbar die drei Unterweltrichter dar; „dafür sprechen“, fährt er fort, „die Dreizahl der ehrwürdigen Greise, der Platz, den sie einnehmen . . . neben dem Palaste des Hades u. s. w.“ Es ist also möglich, dass Aiakos einer von die- sen Figuren ist. Kronos, Lynkeus und Tantalos, die übrigens auf den inschriftlich bezeugten Gemälden an der entsprechenden Stelle nicht vorkommen, fallen sofort weg. Es gilt nun unter diesen vier: Triptolemos, Aiakos, Rhadamanthys und Minos, (der zwar auf den inschriftlich bezeugten Vasengemälden nicht vorkommt, sonst aber als Totenrichter bekannt ist), die Wahl zu treffen. Der erste links stehende, mit gekräuseltem Bart und reicher Bekleidung, ist sicher nicht Aiakos, der auf der Vase von Altamura sehr einfach an- getan ist. Wenn es also nicht Triptolemos ist, der denselben Platz auf der Altamura-Vase einnimmt, so könnte man an den mächtigen Minos denken, wie z. B. MÜLLER-WIESELER, a. a. O., WINKLER, a. a. O. 9 ff. und SCHREIBER, Wandbild d. Polygnot, (Abhandt. sächs. Gesellsch. XVII 1897) s. 161 tun. Es fragt sich nun, welcher von den beiden andern Aiakos sein könnte. Ich glaube, dass MÜLLER-WIESELER a. a. O. und WINK- LER a. a. O. 24 die mittlere Figur mit Recht als Aiakos bezeichnet haben. Erstens nimmt nämlich dieser die- selbe Stelle, wie Aiakos auf der Altamura-Vase ein. Weiter hat er eine ganz ühnliche Haltung des Mantels wie Aiakos auf der Ruvo-Karlsruher Vase. Dazu kommt, dass sowohl diese Figur als der altamurische Aia- kos halbbekleidet sind. Dieselbe Figur hat noch einen Myrtenzweig, der an den Aufenthalt des Aiakos im Elysion erinnern kónnte. Ferner ist hervorzuheben, dass dieser Mann in einem Lehnstuhl sitzt, und Reste eines solchen finden sich auf der Karlsruher Vase. Dass also diese Figur den Minos vorstellt, wie HELBIG in RoscuER's Myth. Lex. II 2, 3004 s. Minos, behauptet, ist nicht wahrscheinlich. Dass schliesslich der zu- meist nach rechts auf einem niedrigen Sessel sitzende Mann eher Rhadamanthys als Aiakos ist, hat man sowohl aus seinem Platze, der dem des altamurischen Rhadamanthys entspricht, als aus seinem vorgeschrit- tenen Alter geschlossen; denn auf der Altamura-Vase hat Rhadamanthys einen weissen Bart. Doch ist zu bemerken, dass auch der ruvesische Aiakos nach WINNEFELD, Beschreib. d. Vasensamml. zu Karlsruhe 63 weis- ses Haar und Bart trügt, andererseits aber die betreffende canosische Figur eine ähnliche einfache Tracht hat wie der altamurische Aiakos. — Im grossen und ganzen ist es jedoch glaublich, dass die Verfertiger der Vasengemülden es mit der Charakterisirung der einzelnen Totenrichter nicht sehr genau nahmen. In diesem Zusammenhange verdient noch Erwähnung ein attischer Lekythos, auf dem ,ein gerech- ter Jüngling vor die Richter der Unterwelt eingeführt und in die Gesellschaft würdiger Männer aufgenom- men“ wird; vgl. WELCKER, Griech. Gótterlehre IT 526 ff.; eine Abbildung s. bei GERHARD, Auserlesene griechi- sche Vasenbilder III Taf., OCX XXIX. Es sind eigentlich zwei Scenen, die hieher gehören. In dem einen Bilde steht ein Jüngling mit bedecktem Haupte, von Hermes wvy»xouzós vor zwei Greise geleitet, die GERHARD a. a. O. III 163 ff. für Pluton und Minos ansieht. Ob dies richtig ist, lassen wir dahin gestellt sein; dass Aiakos hier dargestellt wäre, ist nicht glaublich. Eher kónnte man dies von der anderen Scene glauben. Hier sitzt derselbe Jüngling -— ohne Bedeckung und mit einem Stab in der Hand — unter drei ehrwürdig aussehenden Greisen. Wegen ihrer Zahl und ihres Aussehens würe man geneigt diese Figuren für die Un- terweltrichter zu halten. Einer von diesen kónnte somit Aiakos sein, — aber welcher? Den mittleren hält GERHARD wegen seiner reicheren Bekleidung für Minos; dass dieser aber einen von den übrigen verschiede- nen Sessel hätte, kann ich wenigstens auf der von GERHARD mitgeteilten Abbildung nicht finden. Viel. leicht ist doch dieser Mann eher Triptolemos. Der am meisten rechts sitzende ist nach GERHARD, Rhada- manthys, — was sich vielleicht aus der Stelle, die er innehat, schliessen lässt: sie ist dieselbe wie die auf der Altamura-Vase. Es bleibt also für GERHARD übrig den links dem Jüngling am nächsten sitzenden Aia- kos zu benennen. Dies ist möglich, aber nicht sicher. Er hat zwar wie Aiakos auf der Altamura-Vase ei- Tom. XXXII. Aiakos in der Unterwelt. 25 Dass auch in späteren Zeiten die Vorstellung von Aiakos als Unterweltrichter noch vorhanden war, beweisen zwei Münzen von einem Typus, die sich im K. Münz- kabinet zu Berlin finden '). Diese Münzen werden von FRIEDLÄnDER, Arch. Zeitg. 1872 79 ff. folgendermassen beschrieben: „Die Kehrseite zeigt . . . den durch die Beischrift ATAKOC beglaubigten Todtenrichter thronend; der vor ihm stehende eng in sein Ge- wand gewickelte ist als Verstorbener durch den Todesgenius bezeichnet . . .“?) Die- sen Münztypus, der auf der andern Seite das Bild eines römischen Imperators zeigt, hat man der ersten Kaiserzeit zugeteilt *). Noch weiter herab führt uns die oben (s. 4) eitirte Philostrat-Stelle (Heroic. XX 48). So auch C. I. A. 1377 = Karmez N 173, — wenn nämlich Aiazoc richtig supplirt ist; denn diese Inschrift wird von DITTENBERGER den Zeiten Diocletian’s oder etwas früheren *), von Kaiser dem vierten oder fünften Jahrhundert zugewiesen °). Wenn uns Aiakos als Richter in der Unterwelt bei den griechischen Schriftstel- lern nicht sehr oft begegnet, so werden wir zu den römischen übergehend ihn in dieser Funktion etwas häufiger finden. Das haben wir schon aus den oben citirten Stellen des Cicero, Properz, Horaz, Ovid, Seneca, Iuvenal, Martial, Statius u. s. w. gese- hen, — ein Umstand, der natürlich im allgemeinen damit zusammenhängt, dass die Beschreibungen der Unterwelt besonders in der ersten Kaiserzeit geläufig waren ^). Wir werden uns aber kaum irren, wenn wir dies speciell der Autorität Platons nen Stab in der Rechten und einen Myrtenkranz auf dem Haupte, (womit der Myrtenzweig des von uns angenommenen Aiakos der Canosa-Vase gut stimmt), es fehlt aber der typische über den Kopf geschlagene Mantel. Wenn GERHARD weiter sagt, Aiakos sitze dem Jüngling am nächsten, weil er als nicht nur aigine- tischer, sondern auch attischer Heros dem aftischen Jüngling verwandt sei, — so ist dies möglich, aber zwingend ist es nicht. Auf der Innenseite desselben Lekythos erscheint derselbe Jüngling auf der Kithara spielend; nahe bei ihm steht ein bärtiger Mann mit einem Myrtenzweig in der ausgestreckten Rechten. Diesen hält GERHARD für den Mystagogen Orpheus oder einen Pädagogen; er ist jedoch dem angenomme- nen Aiakos der vorigen Abbildung so ähnlich, dass man ihn leicht für dieselbe Person zu halten geneigt ist — also möglicherweise für Aiakos. .m Ganzen ist es jedoch unsicher, ob wir es hier überhaupt mit den Unterweltrichtern zu tun haben; man kann natürlich jene drei Männer auch sehr wohl nur für eine Samm- lung würdiger Männer (Mysten?) halten, in deren Gesellschaft ein (Eingeweihter?) Jüngling aufgenommen wird. — Bei der Besprechung der Abbildungen des Aiakos als Totenrichter sei noch das Halsbild der Vase X 1726 (Mus. Berlin) erwähnt, worüber FURTWÄNGLER, Beschreibung der Vasensammlung Mus. Berl. I N 1726: „zwei langbekleidete Männer sich ruhig gegenüber; von dem I. fehlt der Oberkörper; er streckt die R. (Faust) vor; der andere r., bis auf den Kopf ganz erh., streckt die L. mit einem gehobenen langen Scepter (unten spindelartige Spitze) vor. Beide haben langen schw. Chiton u. r. kurzen Mantel, der unten rund aus- geschnitten. Zwei Totenrichter?“ Wenn diese Männer in der Tat als Totenrichter anzusehen sind, so wäre es möglich, dass auch Aiakos sich darunter befände. Das Bild ist aber so unklar, dass ich trotz meiner Autopsie darüber nichts sicher behaupten mag. !) Eine Abbildung dieses Münztypus findet sich bei FRIEDLÄNDER a. a. O. und DAREMBERG-SAGLIO, Dictionnaire des antiquités grecques et romains I 92. ?) Vgl. auch IMHOOF-BLUMER und GARDEN, Nwmismatic Commentary on Pausanias 45 und FRIEDLÄN- DER-WEIL, Repertorium zur antiken Numismatik 188. ?) FRIEDLÄNDER, Arch. Zeitg. 1872 s. 80. Wo diese Münzen hingehören, ist nicht sicher; vgl. FRIED- LÄNDER a. a. O. und FRIEDLÄNDER-WEIL a. a. O. FRIEDLÄNDER a. a. O. hat als den Prägeort vielleicht mit Recht an die Insel Aigina gedacht. *) C. L A. Anm. zu tit. 1377. 5) Epigr. graec. s. 361 Anm. zu X 173. *) Vgl. EHWALD über C. LIEDLOFF, De lempestatis, necyomanteae, inferorum descriptionibus etc. in BunsrAN's Jahresber. 23 B. (13 B.) 1885 s. 180. N:o 7 4 26 Epv. REIN. zuschreiben. Cicero hat ja (Tusc. disp. I 98) die Platonstelle Apolog. 32 (41 A) ins Lateinische übertragen. Zu Gorgias (523) ist Horaz II 13, 22 wohl mit Recht bezo- gen '). Und man braucht kaum zu bezweifeln, dass auch die übrigen römischen Schrift- steller den Aiakos dem Platon verschulden, wobei vielleicht die Alexandriner die Rolle der Vermittler gespielt haben”). Jedoch finden sich in der römischen Litteratur viele Darstellungen des Orcus, worin man wider das Erwarten den Aiakos nicht antrifft ?). Es findet sich sogar ein Beweis dafür, dass Aiakos als Unterweltrichter dem po- pulären Ideenkreis in Italien nicht völlig unbekannt war. Auf Inschriften, die vor un- serer Zeitrechnung verfasst wären, können wir dies freilich nicht nachweisen. Auch nicht daraus, dass die Lehren der Orphiker in Grossgriechenland viele Jahrhunderte hindurch in Blüte standen‘), können wir schliessen, dass Aiakos in Italien in dieser Funktion erschienen wäre. Denn dass er gerade von den Orphikern gefeiert wäre, ist, wie gesagt, nicht ganz sicher. So kommt denn auch der Name des Aiakos in den Versen orphischen Ursprungs auf jenen Goldtafeln, die den nächsten Jahrhunderten vor Chr. angehórend in Gräbern von Thurii und Petelia gefunden sind °), nicht vor. — 1) ARNOLD-FRIES, Die griech. Studien d. Horaz 132. 2) Dass spätere Schriftsteller an „Platons Mystik namentlich in seinen eschatologischen Mythen angeknüpft* haben, zeigt DrgTERICH, Nekyia 144 ff. 3) So z. B. Sen. Oed. 571 sqq., Stat. Theb. IV 519 sqq. Auffallend ist es, dass Vergil in seiner be- rühmten Schilderung des Orcus im sechsten Buche der Aeneide den Aiakos nirgends erwähnt. Denn hier heisst es: ,quaesitor Minos urnam movet* (v. 431) und Rhadamanthys (v. 567 sqq.) „eastigatque auditque dolos, subigitque fateri, quae quis apud superos, furto laetatus inani distulit in seram commissa piacula mortem ... « Dazu hat der Dichter selbst den Cato als Richter erfunden (v. 841); wozu Servius zu Verg. Aen. VIII 670 folgende konfuse Erklärung giebt: ,supergressus est hoc loco Homeri (sic!) dispositionem, si quidem ille Minoem, Rhadamanthyn, Aeacum de impiis iudicare dicit, hic Romanum ducem innocentibus dare iura com- memorat. Dass Vergil den Aiakos nicht erwähnt, erklärt sich jedoch aus seinen Quellen. Man glaubt nümlich, er sei in den Details dem Homer, Pindar, Apollonios und verschiedenen anderen epischen Dichtern gefolgt, [vgl. ETTIG, Acheruntica 356, NORDEN, Vergilstudien, (Hermes 1893) 405]; den Hauptinhalt aber habe er aus einem alexandrinischen Gedichte geschöpft, worin eine pythagoräisch-orphische Unterweltschilderung vorgekommen sei; vgl. NORDEN, a. a. 0.385, 405; dasselbe Gedicht nennt NORDEN, P. Verg. Maro Aeneis B. V1 s. 268, komm. zu v. 584 eine ,orphische Katabasis*. Nun aber wird Aiakos als Totenrichter bekanntlich bei den erstgenannten Dichtern nicht erwühnt; was die ,pythagorüisch-orphische* Schilderung betrifft, so haben wir nicht mit Sicherheit nachweisen können, dass Aiakos in jenem Amte in der orphischen Litteratur vorge- kommen wäre. Jedenfalls ist es möglich, dass dies nur betreffs einiger orphischen Gedichte der Fall ge- wesen. Auffallender ist es, wenn DIETERICH, Nekyia 158 die ,orphisch-pythagoräische“ Quelle Vergils mit Recht ,einen Ausläufer jener unteritalischen Poeme, aus denen auch Platon geschópft hatte* nennt. — Dem Vergil scheint dann Silius in vielen Stücken gefolgt zu sein (vgl. Lreprorr, De tempestatis, necyoman- teae, inferorum. descriptionibus, quae apud poetas romanos primi p. Chr. saeculi leguntur, Diss. 1884 23 ff.; es wird also klar, warum Aiakos bei diesem nicht erscheint. Auch bei Valerius Flaccus geschieht besonderer Richter nirgends Erwähnung; vgl. TONDER, Die Unterwelt nach C. Valerius Flaccus. @ymn.-Progr. Böhm-Leipa 1880 s. 5. *) ROHDE, Psyche? II 217. 5) Über diese Inschriften im allgemeinen s. z. B. KumwERT, Unterital. Nekyien, (Jahrb. deutsch. arch. Inst. VII 1893) s. 105 ff. und DrgTERICH a. a. O. 85 ff. Man hat (CowrARETTI) behauptet, dass diese orphi- schen Fragmente bis in die Zeit des Euripides reichten; jedoch werden sie gewöhnlicher ins dritte Jahrhun- dert v. Ohr. verlegt; vgl. Sin, Orphie myths on attic Vases, (Journal of Hellen. Stud. XI 1890) s. 346, CARUS, The greek Mysteries a preparation for christianity, (The Monist XI 1901) s. 118. Überhaupt ist nicht erwiesen, dass sie älter wären als Platon; vgl. CAMPBELL, Relig. im greek Literat. 374. Tom. XXXII. Aiakos in der Unterwelt. 27 Dagegen haben wir aus einer späteren Zeit eine Inschrift C. I. G. 5858 b (vgl. oben s. 4), in der Aiakos möglicherweise als Unterweltrichter auftreten könnte. Die Tafel, auf welcher sich diese Inschrift befindet, stammt aus einem Grabe bei Cumae und enthält magische Zaubersprüche; sie wird dem zweiten oder dritten Jahrhundert nach Chr. angehören, da sie mit Gnosticismus gefärbt ist '). Was den Umstand betrifft, dass Aiakos bei Iuvenal, Martial und in gewissem Grade auch bei Seneca (Herc. Oet. v. 1557 sqq.) mehr als grausamer Vollstrecker der Strafen auftritt (vgl. oben s. 2)?), so steht diese Vorstellung ohne Zweifel unter dem Einfluss volkstümlicher Anschauungen *). Diese veründerte Auffassung von Aiakos, die bei diesen Schriftstellern vorkommt, scheint überhaupt mit den neuen, roheren Vorstel- lungen von den unterirdischen Gewalten, welche sich in den ersten Jahrhunderten nach Chr. über die römische Welt verbreiteten, zusammenzuhängen *). Jedoch darf man nicht übersehen, dass sich eine solche Auffassung von Aiakos aus Gorg. 526 E leicht ent- wickeln konnte ?). ') Vgl. die Anm. zu der Inschr. in C. I. G. 2) Dies Geschäft wird sonst eher dem Rhadamanthys gegeben; vgl. Silius Pun. XIII v. 543 sq.: poenas Rhadamanthus in ipso expetit introitu mortemque exercet inanem. Vgl. auch Claudinus, In Rufinum IL (V) v. 478 sqq.: Quos nolle fateri viderit, (sc. Minos) ad rigidi transmittit verbera fratris. Nam iuxta Rhadamanthys agit ... Es ist übrigens bekannt, dass die Alten von besonderen Vollstreckern der unterirdischen Strafen erzählten. So werden z. B. die ériusAgral oi £x uaxopov vycmv êôvres bei Plato Gorg. 523 B von dem Scholiasten fol- genderweise erklärt: daluoves xoAcGrixol xci xadaprınol xci releoıovpyoi; bei Plutarch. De sera mum. vind. 564 E ff. steht die Adrasteia mit ihren Dienerinnen, Iowr, Aixn, Eowvs, der Vollziehung der Bestrafungen vor; 1. 1. 567 werden noch andere Dämonen erwähnt. Hieher gehören auch die ,carnifices* des LucREZ, De rer. nat. III v.,1017. Vgl. überhaupt DrEgTERICH, Nekyia 141. 3) Doch kann natürlich Martial, der die Beschreibung des Aiakos scherzhaft übertreibt, weit über die volkstümliche Tradition hinausgehen. +) Vgl. hierüber ETTIG, Acheruntica 366: „Memoria deinde dignum reor, quod, ni fallor, inferorum dei, qui iusti antea fuerant severique iudices, infesti paulatim apparent superis nec iam vindices solum sunt sce- lerum, sed pravi deperditique ipsi — id quod mire convenit cum eius saeculi condicione, quo lesu Christi fide terras ingenti vi superante Inferni opinio iam incipiebat exsistere. E. e. Pluto Statianus . . . et ipsa Ti- siphona ... paene diaboli vocandi sunt." Ein in gewissem Grade ähnliches Beispiel aus einer späteren Zeit führt BURCKHARDT, Die Zeit d. Constantins d. grossen 2 aufl. 244 ff. an: ,Eine besondere Erwähnung verdient der seit dem dritten Jahrhundert sehr gesteigerte Kultus Achill's in diesem dämonischen Sinne. Er erscheint den Anwohnern der Ebene von Troja . . . nicht mehr als das Ideal von Heldenschónheit, son- dern nur noch in schreckenerregender Gestalt.* 5) Hier ist es am Platz des Halsbildes einer aus Ruvo stammenden Vase (St. Petersb. Eremit. N 424) zu gedenken. Eine Abbildung von diesem findet sich in Monum. ined. pubbl. Vall Inst. di corrisp. arch. Pl 45, in Arch. Zeitg. 1844 Taf. 13 und bei Reinach, Repertoire des vases peints etc. I 355. Man hat nämlich den rechts neben dem Büsser stehenden und mit einem Hammer bewaffneten Greis für Aiakos gehalten; so z. B. Jaun in Ber. üb. Verhandl. Sächs. Gesellsch. Wissensch. VIII B. 1856, s. 282, STEPHANI, Die Vasensammlung d. Kaiserl. Eremit. St. Petersb. I 226, VOGEL, Scenen Euripid. Tragödien in griech. Vasengemülden 114, REINACH, a. a. OÖ. Auch an Charon hat man gedacht; s. WINKLER, Darstellungen u. s. w. 90 Anm. 1. Es könnte einem auch der etruskische Mantus, der auf den Abbildungen mit einem grossen Hammer bewaffnet erscheint (vgl. SCHIRMER in ROSCHER’S Myth. Lex lI 2329 s. Mantus) in den Sinn kommen. Und auch der links, in kónig- licher Tracht auf einem Trone sitzende Mann ist bisweilen für Aiakos angesehen. So z. B. von ROCHETTE; S. WINKLER a. a. O. 90 Anm. 4. Nach anderen, wie z. B. JAHN a. a. O. und STEPHANI a. a. O. ist die Figur Pluton. MiNERVINI wiederum hat auf Minos. geraten; s. WINKLER a. a. O. Auch DECHARME, Euripide el N:o 7. 28 Epv. REIN. Im Ganzen scheint die Tradition von Aiakos als Totenrichter nicht so geläufig gewesen zu sein wie die von Minos und Rhadamanthys. Denn wenn wir die Stellen durchmustern, in denen jene Richter vorkommen, werden wir viel öfter den Minos ent- weder allein oder zusammen mit Rhadamanthys finden '). Il. Aiakos als Beisitzer Plutons und Wächter der Schlüssel der Unterwelt. Zu den Stellen, welche den Aiakos als Unterweltrichter erwähnen, zählt Törrrer auch die oben (s. 4) citirte bei Isokrates?). Diese hätte jedoch hier besser nicht angeführt werden sollen; wagsdesvsıw ist nicht richten, sondern wird von der ausgezeichneten Ehrung des Aiakos in der Nähe des Königspaares der Unterwelt gebraucht’). So ist bei Euripides Alkestis sosógoc der Persephone*) und die in die Mysterien Einge- weihten haben die Ehrenstelle, die woosdeie, im Hades”). Aus 4Aéyero. geht hervor, dass diese von Isokrates berührte Vorstellung allgemein bekannt war. Da nun die Rede, in der diese Notiz vorkommt, zwischen den Jahren 374/3— 363 abgefasst l'esprit de son theâtre 237 Anm. 3 hält das betreffende Bild für eine Unterweltdarstellung. Nun steht es aber so, dass nach der älteren und bekannteren Sage die Bestrafung Ixions in der Luftregion vollbracht wurde, während kein Schriftsteller vor Apollonios Rhodios von der Unterwelt spricht; vgl. NORDEN, Vergil- studien s. 392, RonpE, Psyche? I 309 Anm. 1. Die Belegstellen bei WINKLER a. a. O. 91 Anm. 1. Und wenn auch dies Bild wirklich, wie STEPHANI a. a. O. behauptet, dem dritten Jahrh. v. Chr. angehört, und es also nicht ganz unmöglich ist, dass hier schon die Unterweltversion vorkäme — das Bild wäre ja dann fast gleichzeitig mit Apollonios —, so scheint WINKLER a. a. O. 92 doch mit Recht die ganze Scene aus den Unterweltdarstellungen gestrichen zu haben. (So übrigens schon GERHARD in Arch. Zeitg. 1844 s. 225). WINKLER hat also, wie schon früher GERHARD a. a. O. und PANOrKA, Zufluchtsgottheiten, (Abhandl. Akad. Wissensch. phil.-hist. Abt. Berlin 1853) s. 285, die Figur für Zeus erklärt. Der mit dem Hammer bewaffnete Mann dagegen ist nach ihm Hephaistos, der auch im Gemälde auf der Amphora \ 3023 Mus. Berl. in einer ähnlichen Scene vorkommt; s. WEIZSÄCKER in RoscHER's Myth. Lex. II 771 ff. s. Ixion. ') ROHDE a. a. O. 310 Anm. 1. Ob bei Ps. Plat. Axioch. 371 wegen des Pluralis auch an Aiakos ge- dacht werden kann, ist fraglich; es werden freilich nur Minos und Rhadamanthys mit Namen genannt: xotauos ’Ayéoov éndéyerou, ue Ov Koxvrós, ovg yon mopdusvoaures ÄxdNva Emi Mivo xol ‘Padduavdur, 0 nAnterau ne- diov &An9s(ec. Évraudot xa9£ovra, Óuxocrol dvaxgívovrs; vàv équavouuévor Éxaotov . . . (BEKKER). 2) Bei Pauzy-WissowaA, Real-Encykl. I 926 s. Aiakos. 3) L. ScHMiDT, Ethik der Griechen 101. Vgl. besonders ROHDE a. a. O., der an das Gesetz in Aristo- phanes' Fróschen erinnert, nach welchem der beste Künstler Aaußavsı 9oóvov rov IlAovrovog £Ën. *) V. 743 sqq. 5) Ps. Plato Axioch. 371 (BEKKER): ’Evradre (sc. in der Unterwelt) roi; usuvmuévois Eori vig mooedpiæ x«l ràg Óoíovg ayıorelag . . . Évyréhovor . . . So auch Diog. Laërt. VI 8 39: Aeyovrov (sc. av "A9mvaíov), as év aldov moosdgias oi usuvmu£vou vvyydvovc, . . . Vgl. ROHDE a. a. O. I 313 Anm. 1. Ein ähnlicher Gedanken- gang liegt wohl dem ovooırsiv des ,Pythagoristen“ bei dem Komiker Aristophon nach Diog. Laërt. VIII 8 38 zu Grunde: Epn vs xevoflàg sig Ölaırav av wdro, ideiv ixdarove* ÖLapegeiv Ó& méurolv tovs llvS9oyooróràg T@v veremv. Movoroı ydQ tovrowor Tor IlAovrova ovocureiv Epn, Av edcéperav . .. Ob wir es aber hier mit einer wahren pythagoräischen Vorstellung zu tun haben, ist unsicher. — So sitzt auch Alu neben Zeus bei Sophocl. Oed. Col. v. 1382 und Ps. Demosth. Adv. Aristogit. I 11 (p. 772). In der Tom. XXXII. Aiakos in der Unterwelt. 29 zu sein scheint '), so ist der Redner ‘einer in der ersten Hälfte des vierten Jahr- hunderts verbreiteten Version gefolgt. Diese Tradition, die wohl mit der von uns ver- muteten Versetzung des Aiakos in das Elysion im Zusammenhang steht, ist wohl die- selbe, die in der Apollodorischen Bibliothek (III 12, 6) erwähnt wird; vgl. Isoer. l. l: Aysraı . . . weyioras viudc Eywv wagsdgevew ... und Apollodor. Bibl. 1. 1.: rıuaraı 0B... xoà Tas xÀsic Tod “Aıdov quadrra ^). Dazu kommt die Inschrift (C. I. G. 6298), in der Aiakos xAsıdoöyos genannt wird. Von dieser aber werden wir später sprechen. Da nun mit dem Namen »Asıdoöyo: diejenigen Priester und Priesterinnen bezeich- net wurden, welche die Schlüssel der Tempel trugen *), so scheint man sich nach dieser Tradition den Aiakos als einem so zu sagen sacerdotalen Amte vorstehend gedacht zu haben. Die Vorstellung aber von diesem Amte, die in grossen Ehren gehalten gewe- sen sein muss *), hängt ohne Zweifel eng mit dem Kultus zusammen. Denn in einigen Kulten kommt dieses Epithet, xAs:doöyo., vor, und wird verschiedenen Göttern und Göt- tinnen gegeben; wie z. B. dem Helios und der Pallas Athene’); auch Hades und Per- sephone werden nicht selten so genannt‘). Vielleicht existirte ein Glaube der Art, dass Hades, wenn er selbst nicht die Schlüssel der Unterwelt hielt), sie dem Aiakos als seinem sxdaposcdoos zur Bewachung gab. Dieses Hiten aber der Schlüssel war ur- sprünglich etwas anderes als jenes Pförtneramt, das wir bald besprechen werden. Wenn also Aiakos xAsıdoöyos in der Tat einem Kulte angehört, so fragt man sich, in welchem Kultuskomplexe dies geschehen sein kónnte. Roue glaubt ohne Zweifel mit Recht, die Vorstellung von Aiakos als dem Wüchter der Unterweltschlüssel sei daraus entstanden, dass er mit chthonischen Mäch- ten einen gemeinsamen Kultus gehabt hätte*). Denn jene Funktion kommt öfter diesen Mächten zu’). Unter diesen nun ist vor allem Hekate zu nennen, welche Göttin — „Pistis Sophia“ wird Typhon xapéüpwr (des Hades?) genannt; vgl. LEGGE, The names of demons in the magic papyri, (Proceedings of the society of biblical archaeology 1901) s. 41. 1) SITTL, Gesch. griech. Litt. II 109 und Anm. 4. ?) Heyxe, Ad Apollodor. Bibl. Notae s. 780 sagt im Anschluss an diese Stelle: ,nec tamen valde antiqui poetae is locus esse potuit, quem hic expressit Apollodorus, cum Pluto et Hades promiscue adhi- beantur; Plutonis notio et nomen serioris usus est ...* Nichtsdestoweniger kann diese Apollodor-Stelle bis auf Isokrates zurückgehen, da ja dieser selbst die Benennung IIAo/rov gebraucht. 3) xAmdovyos, S. STENGEL, Die griech. Kultus-Altertümer in Iw. MÖLLER'S Handb. V 3 s. 44 Anm. 6; x1au0opogus, xAa8opopodoa, »Asıdodyos, S. DREXLER in ROSCHER’S Myth. Lex. II 1218 s. Kleiduchos. So wird z. B. in Aesch. Suppl. v. 291 Io xA5óovyos Hopes genannt. Und cliduchus bei Plinius, Hist. Nat. XXXIV 54 ist ohne Zweifel ein Bild von einer Priesterin mit einem Tempelschlüssel; vgl. KJELLBERG üb. J. L. USSING, Pergamos, (Nord. Tidskr. for Filologi 3 Raecke, 7 Bind 1898— 99). 1) RossBACH, Dämonen der Unterwelt, (Rhein. Mus. 48 B. 1893) s. 596. Der Schlüssel bedeutet über- haupt ,potestas imperium tutela“ s. HEvNE a, a. O. 789. 5) Über Helios s. DREXLER a. a. O. 1214; Pallas Athene ist »Asıdovyog der Stadt Athen bei Aristoph. Thesm. v. 1142; vgl. DREXLER a. a. O. 1217. *) DREXLER a. a. O. 1216; Furtwängler in Arch. Anzeiger 1892 s. 106 bemerkt, dass der Schlüssel schon von Kolotes, einem Zeitgenossen des Pheidias, dem Pluton zum Attribut gegeben wurde. Es hat sogar nach USENER, Götternamen 265 einen ,Sondergott* KAexogoógos (von xAdé d. i. #Ays. zAnis) gegeben, zu dem die Priester, ,denen die Verantwortlichkeit für den Tempelverschluss oblag*, beteten. 7) Über Hades als Schlüsselträger s. DREXLER a. a. O. 1216, woselbst die Belegstellen zu finden sind. *) Psyche? I 310 Anm. 1. ?) Orph. Argonaut. v. 1380 (ed. HERMANN): oi vsgregíov Beoidowv “Anidas Éyovcw. Wegen ihrer chtho- 30 Epv. REIN. besonders seit sie mit der Unterwelt in Beziehung gebracht ist — nicht selten zAsıdoöxos genannt wird"). Dabei kommt es freilich nicht so sehr auf ein priesterliches Amt als auf die Bewachung des Tores der Unterwelt an — ein Geschäft, das daraus entstan- den ist, dass Hekate überhaupt den Toren und Türen vorstand ©). An welche chthonische Macht dürfen wir also eher denken als an Hekate, eine Göttin, die auf des Aiakos Insel, Aigina, vor anderen Göttern und Göttinnen unter dem Namen ”E(wvvodia gefeiert wurde”), deren Mysterien noch zu Lucians Zeiten, ja bis in das fünfte Jahrhundert hinein Schaaren von Gläubigen herbeizogen? *) In diesen Mysterien nun konnte Aiakos eine Rolle spielen und in dieser Kultusgemeinschaft hat er zuerst das Schlüsselamt bekommen können. Was im übrigen die erste Ursache zu der Verbindung des Aiakos mit Hekate gewesen sein mag, ist nicht zu entscheiden: sie kann auf einem Zufall beruhen, wie z. B. darauf, dass ihre Kultlokale nahe bei einander gestanden haben. Denn erst auf der Insel Aigina ist diese Verbindung wohl entstanden *). An eine frühere Gemeinschaft, die daraus zu erklären wäre, dass der Kultus der Hekate, der ursprünglich in Thrakien zu Hause war, einst in Thessalien verbreitet gewesen °), also in einer Landschaft, wo eben die Sagen vom Geschlechte des Aiakos eirkulirten, kann man kaum denken. Wir nehmen also an, dass diese Verbin- ‚dung nach der Einführung des Hekatekultes in Aigina stattgefunden hat. Wann aber dies geschehen ist, wissen wir nicht genau. Die Verbindung lässt sich übrigens unschwer daraus erklären, dass Hekate lange Zeit die Hauptgöttin von Aigina war”); mit dieser konnte also der Hauptheros der Insel leicht in einen gemeinsamen Kultus eingeschlossen werden. — Dazu kommt, dass Aiakos von Alters her ein gewisser chthonischer Charakter eigen gewesen zu sein scheint. Ob derselbe aber zu seinem ursprünglichen Wesen gehört, wie z. B. H. D. Mörner will, der sogar den Namen des Heros von ee herleitet und somit den Aexóc als den Xÿévoc, d. i. evvóy9wv erklärt‘), das ist eine Frage, die wir nischen Bedeutung scheint auch bisweilen der Kybele der Schlüssel gegeben zu sein; vgl. FURTWANGLER ama 1) Orph. hymn. 2 v. 5: xludovy sódwrnrs, quAOTQOQs, HAGL TOVONYNS. ?) Vgl. Hesych.: IIoonvAota* 1 Exarn; Orph. hymn. 2 v. 4, 12: zoo9vgaío. 3) Pausanias II 30, 2: Os@v 0i Alyıwnraı tıumow '"Exdrqv uclıore, nal vrtÀtvQ]v dyovow Ava frog "Exd- zns, Ooq£« opior Tor Opdxe naracrnouodar Tv teAsenv AÉyovres; vgl. Maass, Orpheus 166, 176, STEUDING in RoSCHER'S Myth. Lex. ll 1893 s. Hekate. 1) Lueian., Navig. 15, Origenes, Adv. Cels. VI, 22 (ed. KoETSCHAU), Libanius, Or. pro Aristoph. p. 426 (ed. REISKE I), Themistius, Or. XXVIII 341 d; vgl. LOBECK, Aglaophamus I 242, WELCKER, Griech. Götterlehre I 564, STEUDING a a. O, Maass, a. a. O. 176 Anm. 2, ANRICH, Das antike Mysterienwesen etc. 41, ROHDE, Psyche IL? 80 Anm. 1, FAnNELL, The Cults of the greek States II 505. 5) Auch H. D. MÜLLER, Myth. griech. Stämme I 87 nimmt an, dass die Vorstellung von der Ehrung des Aiakos in der Unterwelt auf Aigina entstanden sei. Wenn er aber sagt: ,(der Zug von Aiakos in der Unterwelt) scheint von den Aegineten hinzugefügt zu sein, um ihren Heroen auch noch im Schattenreiche zu verherrlichen und so dem eigenen Selbstgefühl einen Ausdruck zu geben* —,so ist das zu viel gesagt; an eine absichtliche Versetzung des Aiakos in die Unterwelt seitens. der Aigineten kann man nicht denken. *) FARNELL à. a. O. II 502 ff. T 7) Nach GRUPPE, Griech. Myth. u. Relig. gesch. 129 ist Hekate in dieser Eigenschaft an die Stelle der Heroine Aigina getreten; vel. auch HrrZzia-BLÜMNER, Pausanias I 685. 5) a. a. O. I 78. Dieselbe Etymologie bei E. H. Meyer,’ Indogerm. Mythen I 232 und Hur- CHINSON nach HARRISON in The Class. Rev. XV 1901 s. 475; teilweise bei FORCHHAMMER, Achill 62; bezweifelt wird sie von PRELLER-PLEW, Griech. Myth.* II 392 Anm. 4. Tom. XXXII. Aiakos in der Unterwelt. 31 an dieser Stelle offen lassen. Soviel sei jedoch gesagt: es ist nicht unmöglich, dass der chthonische Charakter dem Aiakos erst auf Aigina zugekommen ist — etwa durch eine Verschmelzung mit irgend einem lokalen aiginetischen Heros. Dass aber Aiakos, wie Miss Hurcumson, Aeacus a Judge of the Under-world behauptet (s. HARRISON in The Classical Review 1901 s. 476) von Alters her ein lokaler Vermittler zwischen den Menschen und der grossen namenlosen Erd- und Todesgöttin gewesen wäre '), ist nicht zu erweisen. Im Gegenteil haben wir schon oben bemerkt, dass Aiakos mit Perse- phone keine erweisliche Beziehung hat”). Es wäre dann seine Verbindung mit der Hero- ine Aigina heranzuziehen; diese ist aber wahrscheinlich ursprünglich zwar eine lokale Erdgöttin ?), kaum jedoch eine Todesgüttin. RoupE nimmt wohl mit Recht an, dass das Schlüsselamt des Aiakos älter sei als seine Richterwürde *). Diese wäre dann gewissermassen aus jenem entwickelt worden. Ob aber schon im aiginetischen Kultus eine Hindeutung auf das Richteramt des Aiakos sich erweisen lässt, ist fraglich. Wenigstens glaubt man, dass gerade in diesen Myste- rien ein so ausführliches Bild von der Unterwelt wie móglich den Zuschauern vor Au- gen gestellt wurde’). Wenn es sich so verhält, hat darin vielleicht auch die Darstel- lung jenseitiger Strafen ihren Platz gehabt‘). Es wäre also nicht unmöglich, dass die Totenrichterwürde schon in diesen aiginetischen Mysterien dem Aiakos xAs.Jdoöyos gegeben wäre. Freilich rühren die Notizen von den Hekate-Mysterien auf Aigina aus ganz später Zeit her. — Als dann der Kultus des Aiakos nach Athen übergeführt wurde, konnte eine Reminiscenz, wenn nicht an sein Richteramt, so doch an seine Schlüsselträ- gerwürde fortleben. Und das kann um so wahrscheinlicher sein, da das Aiakeion, das auf „des delphischen Gottes“ Befehl zu Athen gestiftet wurde, ohne Zweifel nach dem Vorbilde des berühmteren Inselheiligtumes eingerichtet war"), und also müglicher- weise mit einem Kultbilde von einem schlüsseltragenden Aiakos versehen war. Daraus mochte dann in Athen eine Vorstellung von Aiakos entstehen, die leicht mit dem orphischen Glauben von den Totenrichtern in Beziehung gebracht werden konnte, so dass sich Platon gewissermassen auf eine attische "Tradition zu stützen hatte. ') HARRISON a. a. O.: „In primitive matriarchal days the real ruler of the Shades is a Queen God- dess, Earth herself... But because the goddess is nameless, unapproachable, everywhere a local inter- cessor is needed: at Eleusis it is Triptolemos, at Aegina, Aeacus . .. This we think is what the writer IICADSE E 2) sb dE 3) Vel. De Aeaco 29. 3) Psyche? I 310 Anm. 1. 5) LOBECK, Aglaophamus 1 121: ,His vero (sc. Hecaticis) multo magis quam Eleusiniis conveniunt illa sepulerorum territamenta, nocturni canes et caetera phantasmata cum machinato tonitruum fragore." ") ANRICH, Das antike Mysterienwesen etc. 50. 7) Vel. WaeusuuTH, Die Stadt Athen Il B. 1 Abt. 424 ff. 32 Env. REIN. Während es aber nicht ganz sicher ist, ob die Richterwürde aus dem Schlüssel- trägeramte hervorgegangen ist, steht es fest, dass die andere Funktion, auf die wir nun übergehen, aus diesem entwickelt ist. II. Aiakos als Pförtner der Unterwelt. Wir schreiten jetzt zur Besprechung der Tradition, der zufolge Aiakos als Wächter des Hadestores auftritt. Diese kommt in Aristophanes’ Früschen (v. v. 465—479; 605—813) vor?) Weil aber von den Gelehrten Zweifel darüber erhoben worden sind, ob dieser Name in der Tat von Aristophanes gebraucht worden ist, müs- sen wir nachsehen, ob der Komiker an dieser Stelle des Aiakos überhaupt gedenken konnte. Der Scholiast findet es unwahrschenlich. Er sagt nämlich zu v. 464 (s. Brayoes, Aristophanis Ranae s. 294): sic vv iv “Aıdov Afysi. vwvig 0 70V Aiaxôv léyov- ow droxeivaosaı- üxeg dmidavov. V. So auch Hirrer, Über einige Personenbezeich- nungen d. griech. Dramen, (Hermes VIII 1874) s. 454: „Aristophanes hat es nicht für nöthig gehalten, dem Thürhüter einen Namen zu geben.“ Vgl. weiter s. 456: „Aristopha- nes hat an nichts gedacht als an einen thürhütenden Sklaven Plutons, und erst spätere Interpreten haben demselben ungerechtfertigter Weise den Namen des Aeakos beigelegt.“ So auch Prercer-Rogerr, Griech. Myth." I 808 Anm. 6: „Aristoph. Ran. 464—673, wo die Bezeichnung des Thürhüters als Aeakos unrichtige Zuthat der alten Grammati- ker ist“, und Ronpe, Psyche? I 310 Anm. 1. Nichtsdestoweniger ist es möglich, dass Aristophanes an den Aiakos denken konnte. Man nimmt nämlich wohl mit Recht an, dass der Komiker den „Peirithoos“ des Kritias?) in seinen Fröschen nachgebildet habe *). In dieser Tragödie, — die aus 1) Vgl. über die Überlieferung BLAYDES, Aristoph. Ran. comm. ad 1. l. „464 a/uxog A. R. V. Med. 8. Dind. etc. Sep. s. l. in V. ox. Vels. cf. 605 et schol. ad 465. 465 AL om. V.* Und zu v. 738: „alanos A. C. E. R,, oix. olaxov et postea ox. D. oëxérns ow (sup. or). U o/xérgg aiwxov 7 Illovrovog. Med. 8. om. V.* Es ist fraglich, ob sich v. 738 wieder der Türhüter oder ein anderer Sklave auf der Bühne befindet. Wohl mit Recht sagt hierüber HILLER, Über einige Personenbezeichn. d. griech. Dram., ( Hermes VIII 1874) s. 454: »Strenge beweisen lässt sich die Identität allerdings nicht, sie ist aber im hóchsten Grade wahrscheinlich.* Dies war übrigens schon die Ansicht von FRITZSCH, Aristophanis Ranae, comm. ad v. 464, s. 202. ?) Über das pseudo-euripideische Drama des Kritias »llsgí80og* (so v. WILAMOWITZ, Homer. Unters. 324) siehe v. WILAMOWITZ, Analecta Euripidea 166, EmmTIG, Acheruntica 293, NAUCK, Tragicorum graec. fragm.? s. 770, und jetzt NESTLE, Kritias, (Jahrb. f. class. phil. herausg. v. ILBERG XI & XIII B. 2 Heft 1903) s. 93. *) Diese Ansicht ist unseres Wissens zuerst von E. MÜLLER, Geschichte der Theorie der Kunst I 268 (siehe VAN DE SANDE BAKHUYZEN, De Parodia im comoediis Aristophanis 146) geäussert. Gebilligt wird sie von FRITZSCH, a. a. O. s. 203, LeursoH, Die Lücken und die Interpolation in Aristophanes Früschen, (Philo- logus I Suppl. B. 1860) s. 149, v. WILAMOWITZ, Anal. Eurip. 171 ff, LEEUWEN, Aristophanis Ranae, comm. ad v. 464 sqq., v. Wıramowırz, Euripides Herakles I 158 und Anm. 70. Der letztgenannte behauptet a. a. O. 157, der Prolog wäre von Aiakos gesprochen. — Unsicherer äussern sich über die betreffende Sache ETTIG, a. a. O. 299 und PRELLER-ROBERT, Griech. Myth.* I 826 Anm. 4. — Nach Schol. zu v. 467 hat Aristo- phanes in seinen Fröschen den Theseus des Euripides benutzt: zaganıinoıd or tovrous TA &v ro Omosi renomusve nog Evgıniön. ixsi yàg Touoros rv (Eori?) orovödto» xol rouvre Atysı moóg Tor Mivoc . .. Tom. XXXII. Aiakos in der Unterwelt. 33 dem Jahre 411 stammend') etwa sechs Jahre älter als die Frösche ist —, kam eine Scene vor, in der sich Herakles, nachdem er um den Kerberos heraufzuführen in die Unterwelt hinabgestiegen war, mit Aiakos unterhielt). Dieser nun war, wie Leurscu u. v. WicamowiTrz ohne Zweifel richtig annehmen, in dem Stücke der Pförtner des Hades *). Und der letztgenannte sagt weiter in Euripides’ Herakles I 157 ff: „Der Hades als schauplatz, Aiakos, der ianitor Orci, als sprecher des prologes, die seligen mysten als chor, das sollte etwas neues für die augen der schaulustigen sein; wir sehen auch an den dadurch angeregten Fröschen des Aristophanes, dass die erfindung selbst dem komiker, der den bombast verspottete, imponirt hat“ *). Diese Person aus dem ,Peirithoos* hat dann Aristophanes nach dem Muster der schwatzhaften und aufdringlichen Türhüter seiner Zeit scherzhaft ausgebildet, so dass er als ,servus et servili ingenio praeditus^?) auftritt. Dass er aber so kostümirt gewesen wäre, dass die Zuschauer in ihm gleich den Aiakos aus dem ,Peirithoos* er- kannt hätten, wie LrutscH behauptet ^), — das ist wohl mit Recht von Hirrer bezwei- felt worden‘). Mit grüsserer Wahrscheinlichkeit möchte man behaupten, dass seine Worte den Aiakos des Kritias den Hörern ins Gedächtnis riefen. Wir können also zugeben, dass Aristophanes bei seinem Türhüter in der Tat an Aiakos gedacht habe. Der Name freilich kann von einem Grammatiker später hinzugesetzt sein und ist es ohne Zweifel °). Ob Aiakos als Pförtner sonst in den Komödien des Aristophanes, wie es im Gerytades, der „similis Ranis et consilio et indole“ gewesen zu sein scheint”), kön- nen wir nicht entscheiden. Es ist fraglich, ob, wie v. WirAwowrrZ behauptet, der Tür- hüter Aiakos ven Kritias zuerst erfunden ist ?); eine solche Erfindung zeugt ja eigent- lich mehr vom Geiste eines Komikers als eines Tragikers "). Vielleicht war diese Tra- Dass aber der Name ,Theseus* auf einem Irrtum der Epitomatoren beruht, hat LEEUWEN a. a. O. gezeigt; vgl auch DIETERICH, Nekyia 92 Anm. 4. Und über dieses Scholion vgl. überhaupt NAuck, Trag. graec. fragm.? s. 418 zu Eurip. Thes. fragm. 383: ,ista scholiorum testimonia tam ambigua sunt et confusa ac par- tim corrupta, ut nihil fere nobis prosint.^ — Im übrigen scheint Aristophanes in den Fróschen orphische (= eleusinische?) Jenseitsvorstellungen nachgeahmt zu haben (vgl. Maass, Orpheus 113); so, glaubt man, hat er ein orphisches Mystenlied imitirt; vgl. ADAMI, De poetis scaenicis ete. 249. 1) NESTLE a. a. O. ?) Das Fragment des ,Peirithoos* bei Gregorios Korinthios Scholien zu Hermogenes, (Rhet. graec. ed. Warz vol VII pars II 1312) = Nauck a. a. O. comm. in fragm. 591 (s. 548): iv utv yàg ro Ilzswido za- oucéyerar Hoaxiÿs, £v "Aidov xortiQOv, zara xcAtvcw Evovodtos, xal dnd rov Aland Eomrwusvog, OoTLS fari, x«l dzoxouvOusvoc' Euol marels uiv "Aoyos, uL m A: 3) LEUTSCH a. a. O., v. WILAMOWITZ, Hom. Unt. 235 Anm. 23. +) Vel. ErTIG, Acherunt. 293. 5) BLAYDES, Aristoph. Ran. 294. *) Lücken und Interpol. im Aristoph. Fröschen 149. 7) Personenbezeichn. d. griech. Dramen 456. 5) ROHDE, Psyche? I 310 Anm. 1. ?) ErTIG a. a. O. 303. Auch in dieser Komödie wurden die Jenseitsvorstellungen verspottet; vgl. GRUPPE, Griech. Myth. u. Relig. gesch. 402 Anm. 1. 10) Dann könnte dem Kritias etwa ein Kultbild von einem schlüsseltragenden Aiakos vorge- schwebt haben. 1) Es lässt sich nicht nachweisen, dass Aiakos als Pförtner bei den älteren Komikern aufgetreten würe. Und doch ist es nicht ganz ausgeschlossen, dass ihm in den von den Komikern verspotteten Hades- N:o 7. 5 34 Epv. REIN. dition damals schon volkstümlich ^). Wenn dies der Fall ist, so ist sie ohne Zweifel nieht auf Aigina, wo der Name des Heros von einem besondern Glanze umstrahlt war, der schwerlich mit der Vorstellung von dem untergeordneten Geschäfte eines Türhü- ters sich verbinden liess, entstanden. Eher möchte man behaupten, dass sie in Athen entwickelt worden wäre, wo Aiakos bei der grossen Zahl der autochthonen Heroen selbst- verständlich niemals eine solche Heiligkeit erreicht hat, wie er sie auf Aigina genoss. Und dies Pförtneramt konnte leicht aus dem Schlüsselträgeramte entstehen. Es nimmt kein Wunder, wenn Aiakos, der schon früher mit dem Schlüssel ausgerüstet war, nun als Hüter des Tores der Unterwelt auftritt; es kommt ja bisweilen vor, dass Hades selbst die Tore (oder Türen) seines Reiches (resp. Hauses) öffnet oder schliesst *). Bei Aiakos hat also ohne Zweifel das Epithet x4s.doöyos mitgewirkt, das sowohl von einem ehrenvollen Priesteramte als von einem gewöhnlichen Pförtnerdienste gebraucht wurde. Und diese Hypothese wird, glaube ich, nicht darum unwahrscheinlicher, dass die Notiz von Aiakos als Schlüsselträger später (d. i. bei Isokrates) als die von seinem Pförtneramte (d. i. im Peirithoos des Kritias) nachweisbar ist. Aus der Tragödie des Aristophanes und vielleicht aus anderen Dramen hat sich dann die Kunde von dem Unterweltpförtner Aiakos verbreitet”). Aus den Totengesprächen Lucians erhellt, dass fahrten eine Rolle zugehört hat; vgl. über die Hadesfahrten RoHDE, Der Griech. Roman u.s. w. 279 Anm. 3: „Frühzeitig hatte die Komödie sieh dieses für phantastische Erfindungen und beziehungsreichen Spott so trefflich geeigneten Gegenstandes (sc. der Hadesfahrten) bemächtigt: eine Hadesfahrt führte Pherekrates in den Koanoreioı vor... .“; vgl. Psyche? I 314. Auch in dem Satyrdrama ,Aethon* von Achaios, einem Zeitgenossen des Sophokles, (vgl. CHRIST, Gesch. Griech. Litt.* 277), wo eine Hadesfahrt des Odysseus vor- kam, (vgl. ETTIG, a. a. O. 296 Anm. 1) könnte Aiakos einen Platz gehabt haben. 1) Daraus aber, dass wir nach GRUPPE, a. a. O. 608 Anm. 5 im „Peirithoos“ „im@orphischen Myste- rienkreis uns befinden“, folgt selbstverständlich nicht, dass Aiakos bei den Orphikern Türhüter der Unter- welt gewesen. Und dasselbe gilt von den eleusinischen Mysterien, welche NESTLE a. a. O. 104 von Kritias speciell nachgebildet sein lassen will. 2) Pausanias V 20, 3: Eye yàp öm 6 TMAovrıov xAtiv, Akyovomw Em’ wir rÓv welowusvov Könv nenkeiodtai te uno tov IMAovrovos 09° ms Endveioıw oùdeis avhıg £E wórov. Hades avAcorns: Il. VIII 367, XIII 415, Od. XI 277; zvAcoyog: (S. unten s. 38 Anm. 8; vgl. s. 29), PRELLER-ROBERT, Griech. Myth.* I 691 Anm. 21, 807, DREXLER in RoscHer’s Myth. Lex. II 1216 s. Kleiduchos, Ronpe, Psyche? I 9. Aus den citirten Homer-Stel- len kann man schliessen, dass dieses Schlüsseltragen des Hades älter als das des Aiakos ist; vgl. FRED- RICH, Sarkophag-Studien, (Nachrichten d. königl. Gesellsch. d. Wissensch. zu Göttingen phil.-hist. Klasse 1895) s. 105 Anm. 147. Über die Tore der Unterwelt vgl. z. B. Il. VIII 15: £v9« mönosıwi re mülar xci yoAxeos od06ç Ja, der Orcus selbst wird bekanntlich mit einem Tore verglichen. — Beispiele von einem Glau- ben an Unterwelttore auch bei anderen Vólkern, s. bei GRUPPE a. a. O. II 400 Anm. 1; vgl. z. B. über die alten Israeliten SCHWALLY, Das Leben nach dem Tode mach den Vorstellungen des alten Israel 60, über die Tscheremissen GENETZ, Ost-Tscheremissische Studien in Suomalais-Ugrilaisen Seuran Aikakauskirja VII 1889 s. 76; vel. 177. — In den Sagen der Neugriechen hält Charos die Schlüssel der Unterwelt; vgl. B. SCHMIDT, Das Volksleben der Neugriechen 245, J. Pro, Om Charonmythen i Nygrekernes Folketro, (Nord. tidskr. f. Filologi. Ny raecke III B. 1877—78) s. 231. Oharon-Charos hat bekanntlich die Geschäfte des antiken Pluton übernom- men; vgl. B. SCHMIDT a. a. O. 222, WasER, Charon, (Archiv für Religionswissenschaft herausg. v. TH. ACHELIS I B. 1898) s. 161 ff. Übrigens war Charon (Charun) schon bei den Etruskern bisweilen mit der Bewachung der Unterwelt betraut; vgl. B. SCHMIDT a. a. O. 223. 3) Aus dem Peirithoos, der nach v. WiLAMOWITZ noch in der Kaiserzeit gelesen wurde (s. Anal. Eurip. 167, Euripid. Herakl. I 158), kann der Pfórtner Aiakos bei Lucian entnommen sein; vgl. Eurip. Herakl. 158 Anm. 70. Mit grósserer Wahrscheinlichkeit kónnte man jedoch behaupten, derselbe wäre dem Lucian aus den sicher berühmteren Fróschen bekannt gewesen; so z. B. Kock, komm. zu v. 464; vgl. Hir- LER, Personenbezeichn. griech. Dram. 455 Anm. 2 — dies natürlich unter der Voraussetzung, dass der Name Aiakos schon zur Zeit Lucians interpolirt war. WINKLER, Darstellungen aus d. Unterw. 88, der behauptet, die Tom. XXXII. Aiakos in der Unterwelt. 35 diese Figur damals nicht weniger bekannt war als Kerberos oder Charon. Dasselbe geht aus der oben citirten Philostrat-Stelle, die fast aus denselben Zeiten stammt, her- vor. Damit ist selbstverständlich nicht gemeint, dass die Gebildeten überhaupt an diese volkstümlichen oder poetischen Fiktionen geglaubt hätten. Die wichtigste Obliegenheit des Aiakos als Türhüter bei Lucian ist die Toten am Weglaufen zu hindern. Alle seine übrigen Geschäfte haben zu jenem Amt Bezie- hung. So wird er bald der Zöllner genannt — natürlich weil er von jedem Ankom- menden den Obolos fordert'), — bald zählt er die von Hermes herbeigeleiteten Toten, bald misst er den Abgeschiedenen das jedem zukommende Mass von Erde zu. Be- zeichnend ist, dass so viele Funktionen Aiakos auch bei Lucian vertritt, er nirgends als Unterweltrichter begegnet. Bei diesem Schriftsteller fungirt als Richter stets Mi- nos, bald allein, bald zusammen mit Rhadamanthys ?). Da nun Lucian in seinen Schilderungen von der Unterwelt grösstenteils popu- lären Vorstellungen gefolgt ist”), kann man vielleicht schliessen, dass die Tradition von dem Pförtner Aiakos schon vor Lucian jene andere, die von seiner Richterwürde, beim grossen Publikum bis zu einem gewissen Grade in Vergessenheit gebracht hatte. Und unteritalischen Gemälde hätten Motive aus den attischen Tragödien entlehnt, will in den Vasen von Canosa — München und Ruvo Karlsruhe diejenige Form der Theseussage finden, die im ,Peirithoos* vorkam. Wenn sich die Sache so verhält, gilt dies wenigstens nicht für Aiakos, der hier Pförtner, dort Richter ist. 1) Es ist bekanntlich eine bei verschiedenen Völkern vorkommende Sitte, dass dem Toten ein ieldstück mit ins Grab gegeben wird — oft um den Eingang in die Unterwelt zu erleichtern, s. B. SCHMIDT, Das Volkleb. d. Neugriech. I 239 Anm. 3; vgl. Sarrorı, Die Totenmünze, (Archiv für Relig. wissensch. herausg. v. ACHELIS II 1899) s. 213 ff, und WasER, Charon 170 ff. Häufiger kommt es jedoch wohl vor, dass das Geld überhaupt nur wie das übrige Eigentum des Toten d. h. um ein jenseitiges Leben zu ermógli- chen oder — wie z. B. bei den Rumänen — „zum Reisegeld für die Wanderung ins Jenseits“ [vgl Przy- BORSKI, Totengebräuche beim rumänischen Landvolke in Südungarn, (Globus 69, 1896) s. 197] mitgegeben wird. Diese Sitte herrschte oder herrscht z. B. bei den Römern, Albanesen, Walachen, s. WACHSMUTH, Das alte Griechenland im neuen 118 Anm. 127 und bei finnisch-ugrischen Völkern vgl. VARONEN, Vainajainpalvelus muinaisilla Suomalaisilla 69 und Maınor, Les Restes de la Mythologie Mordvine, (Suomalais-Ugrilaisen Seuran Aikakauskirja V 1889) s. 69. — Bei den Griechen wurde, wie allgemein bekannt ist, das Geld, der Obolos, gewöhnlich dem Fergen Charon gegeben, daher die Benennuug bei den alten veviov oder mopPuein, bei den neuen rsperizıov [repart]; vgl. WACHSMUTH a. a. O. 118, SCHMIDT a. a. O. 238, BENT, On insular greek eustoms, (Journal of the Anthropolog. Instit. of Great Britain a. Ireland vol. XV 1886) s. 396, TrEeDE, Das Hei- dentum in der römischen Kirche IV 421. Von dieser gewöhnlichen Tradition unterscheidet sich die Luciani- ‚sche, da es ja bei ihm der Pförtner ist, der den Obolos empfängt. Auch zu dieser Auffassung giebt es Analogien. So muss z. B. bei den Rumänen von Siebenbürgen die Seele „auf dem Wege in die himmlische Heimat Schlagbäume passiren; vor jedem steht ein Teufel als Zöllner“; (vgl. SARTORI a. a. O. 213), und nach demselben a a. O. 211 stecken einige Kurden des Gouvernements Eriwan unter das Totenhemd Münzen, um damit den Türhüter des Paradieses, den Erzengel Gabriel zu bestechen. In Arachoba auf dem Parnass herrscht der Glaube, dass über den Strom, den die Seelen der Verstorbenen zu überschreiten haben, um in die Unterwelt einzugehen, eine Haarbrücke führt, die äusserst schmal ist und ewig zittert; hier muss ein Brückengeld entrichtet werden; s. SCHMIDT a. a O. 240 Auch könnte der römisch-katholische Volksglaube von einem dem heil. Petrus am Tore des Paradieses zu bezahlenden Gelde erwähnt werden; vgl. TREDE a. a. O III 115 und SARTORI a. a. O. Mit den oben berührten Vorstellungen haben dagegen die reine, eine Art Geister, die nach dem heutigen Volksglauben in Griechenland die Seelen der Verstorbenen als Tri- but wie Zöllner wegzunehmen suchen, (vgl. SCHMIDT a. a. O.) nichts zu tun. ?) Vgl. z. B. Menipp. sive Necyomant. 11: xer' óÀ(yov DE mQotórvrtg aapayıyrousde mpóg TO rov Mivoog Öizaornowv ... De Luctu 7: "Yaapyor dE xol corodror xai Quxogrol nadnvreı Óvo, Mivos re xol 'PaÓducrQvs oi Kontes, .. - 3) WASER a. a. O. 163 ff. N:o 4 36 Env. REIN. da er in der Verspottung der volkstümlichen Mythologie bei den Kynikern seine Vor- bilder fand — er hat bekanntlich unter anderen den Bion aus Borysthenes und be- sonders den Menippos benutzt ') —, so ist es wohl erlaubt zu sagen, dass, wenn Aiakos bei diesen vorgekommen ist, eher von dem Türhüteramte als von der Richterwürde die Rede gewesen ist. Auch die Inschrift C. I. G. 6298, worin Aiakos das Epithet x2a- doöyoc erhält, ist wohl am besten auf das Türhüteramt zu beziehen, da er zusammen mit Charon und dem Kerberos genannt wird, die ja gewöhnlich den in die Unterwelt gelangenden am ersten begegnen’). Die Inschrift aus Rom zeigt also, dass man auch in Italien. den Aiakos als Türhüter der Unterwelt gekannt hat?) Aus welcher Pe- riode sie herrührt, ist freilich nicht konstatirt: ohne Zweifel stammt sie aus der „Zeit der Religionsmischungen, wo Empfindungen von Zweifel und Unsicherheit auf den Grab- schriften£nicht fehlten, oder alle Zweifel beiseite geschoben und die Ansicht klar aus- gesprochen wurde, mit dem Tode sei Alles vorbei“ *. Wer wird hier nicht einer epi- kureischen Weltanschauung gewahr? Die Epikureer strebten ja mit allen Kräften da- nach die Menschen von der leeren Angst vor einem jenseitigen Gerichte und Strafen zu befreien?). Einen anderen Beweis von der Verbreitung derselben Vorstellung in Italien liefert Papyr. mag. Paris. v. 1464 sqq.5) der nach Wessery aus dem vierten Jahrhundert stammt"). Und hier haben wir gewiss ein Stück echten Volksglauben. Ausserdem kommt bisweilen sowohl bei einigen Schriftstellern als auf Gemälden ein ungenannter ianitor Orci vor. Diesen hat man — natürlich wo nicht vom Ker- beros, der auch so genannt werden pflegt?), die Rede sein kann, — für Aiakos erhal- ten. Von Belegstellen ist vor allen anderen hervorzuheben Lucanus VI v. 702 sq.: ianitor et sedis laxae, qui viscera saevo spargis nostra cani . !) DietericH, Nekyia 141 ff. Über die kynischen Quellen Lucians vgl. auch R. HErw, Lucian und die Philosophenschulen, (ILBERGS Jahrb. f. class. phil. V Jahrg. 1902 IX B. 1) s. 200, 359 Anm. | und passim. Man wird jedoch nicht beweisen kónnen, dass Menippos in seiner Nekyia, in welcher er ,in Nachahmung der homerischen Nekyia seine Hinabfahrt als Lebender in den Hades beschrieb“ (Susemint, Gesch. Griech. Litt. Alex. I 30) von dem Pförtner Aiakos erzählt hätte. ?) LEHRS, Populäre Aufsätze 360 und Anm. zu C. I. G. 6298. 3) Man kann sich selbstverständlich recht wohl denken, dass diese Inschrift von einem litterarisch gebildeten Menschen verfasst und nicht direkt aus dem Volksbewusstsein geschöpft sei. So urteilt auch über das vereinzelte Vorkommen des Charon in Grabepigrammen Dunn, Charondarstellungen, (Arch. Zeitg. 1885) s. 4 ff. +) KAUFMANN, Die Jenseitshoffnungen der Griechen und Römer nach den Sepuleralinschriften 63. 5) DIETERICH, a. a. O. 140. 5) Vgl. oben s. 4. 7) Griech. Zauberpapyrus von Paris u. London, (Denkschriften d. Akademie d. Wissensch. Wien. phil.- hist. cl. 36 B. 1888) s. 36. 5) So z. B. Verg. Aen. VI 400 sqq.: ingens ianitor antro aeternum latrans exsangues terreat umbras, ... VIII 296 sqq: te ianitor Orci ossa super recubans antro semesa cruento; . .. Horat. III 11, 15 sqq.: cessit immanis tibi blandienti ianitor aulae, Cerberus . . . Tom. XXXII. Aiakos in der Unterwelt. 37 Dabei denkt Errıs an den ägyptischen Seelenführer Anubis oder Hermanubus '), Ross- BAcH an Briareos (Obriareos)?), der in der hesiodischen Theogonie die Tore des Tarta- ros bewacht?). Dierericn aber hält diesen ianitor entweder für den Typhon oder Aiakos oder nur für einen allgemeinen „Thürhüter des Orcus* *). Nach Drexzer aber ist „bei dem ianitor wohl am ersten an Aiakos zu denken’). Was dieser Lucanische ianitor Orci, der die Eingeweide der Verstorbenen dem Hüllenhunde vorwirft, zu bedeuten hat, können wir nicht genau bestimmen. Es scheint jedoch* kein zureichender Grund vor- handen zu sein, ihn gerade für Aiakos zu halten. Etwas ähnliches wird sonst nicht von ihm erzählt. Vielleicht haben wir hier nur einen ungenannten Türhüter des Orcus, was unseres Wissens zuerst von Srrro behauptet worden ist”). — Unter den Denkmä- lern ist noch ein Grabgemälde aus Ostia zu erwühnen, das dem ersten Jahrhundert des römischen Kaisertums anzugehören scheint”). Hier haben wir einen als Sklaven ko- stümirten Jüngling, der auf einem Steine sitzend an der Tür des Orcus Wache hält. 1) Derselbe bemerkt Acherunt. 407 ff.: ,Ut thois vel canis caput tribuitur deo (sc. dem Anubis), ita cum cane ad pedes eius locato saepius, velut in alterius saeculi nummis . . . invenitur repraesentatus.* 2) Dämonen der Unterwelt 593 ff. *) Vgl. Hesiod. Theog. v. 732 sqq.: -.. Ivpas Ó' &xcÜmxs Ilocadéor yuhrelag, teiyos DE nepolyerar tuqorépo9cv. Evda Tuns. Kórrog te xoi 'Oßoınpemg ucydtvuog veiovom, qUAcxss TioTOL Ads alyıoyoro. Vel. Silius, Pun. XIII v. 587 sqq. +) Nekyia 51 Anm. 1. 5) In Roscner’s Myth. Lex. II 1216 ff. s. Kleiduchos. *) De Euripidis Phoenissis, Diss inaug.; Berlin 1884, 54 Aum. 82. — Auch auf einigen Denkmälern hat man den Aiakos finden wollen. So hat ihn JAHN in Arch. Zeitg. 1863 s. 29 auf dem neapolitanischen sogenannten Protesilaos-Sarkophage (abgeb. z. B. in Monum. ined. d. Inst. III Taf. 40 a und in Arch. Zeitg. 1884 Taf. XIV) erkannt. Es ist hier ein Mann ,mit vollem Haupt- und Barthaar, der eine Exomis mit darübergeworfenem kurzen Himation und in der gesenkten Linken einen Knotenstock trägt“. Dieser steht nümlich an dem Tore des Hades und weist den daraus hervortretenden Protesilaos dem Hermes zu. Man ist in der Tat geneigt JAHN zuzustimmen, wenn er diese Gestalt für Aiakos hält. Doch kónnte man die- selbe auch hier, wie KIESSLING, Analecta Catulliana in Ind. schol. Univ. Gryphiswald. MDCCCLXXVII s. 9 will, für einen blossen unbestimmten „ianitor Orei“ erklären. — Es folgt dann ein Bild auf einem Oxybaphon des Blacas'schen Museums (Amphora des Brit. Mus. 4th vase room F. 116), wo, wie es scheint, ein von seinem Pädagogen zum Hades geleiteter Jüngling am Tore von einem Manne empfangen wird, der mit der einen Hand dem herankommenden eine Kithara reicht, mit der andern den Kerberos zurückhält. Diesen hat WINKLER, Darstellungen u. s. w. 17 für Aiakos erklärt. Die Situation aber deutet dieser so, „dass der Jüngling-von den Schrecken der Unterwelt befreit, in die elysischen Gefilde einkehren soll, auf deren Glück und heiteres Spiel die ihm dargereichte Kithara hinweist. Was im übrigen das Motiv betrifft, so findet WINKLER, dass „die Darstellung uns fast anmutet wie die Elegie eines alexandrinischen Dichters“. Der Grundgedanke sei der Eingang des Adonis in die Unterwelt. Ob WINKLER in jenem Manne mit Recht Aia kos erkannt hat, müssen wir, so ansprechend dies auch ist, unentschieden lassen. Namentlich stimmt sein fast jugendliches Aussehen dagegen. Denn, um die Abbildungen des Unterweltrichters Aiakos, die eigent- lich nicht hieher gehóren, bei Seite zu lassen, empfängt man jedesmal, wo in der Litteratur von dem Pfürt- ner Aiakos die Rede ist, den Eindruck, dass er ein Greis sei. Doch scheint mir die ältere Annahme, nach welcher, da die ganze Scene auf die orphischen Mysterien bezogen wird, die betreffende Figur den Mysta- gogen Orpheus bezeichnet (vgl. z. B. WELCKER in Arch. Zeitg. 1843 s. 189 und GERHARD, Arch. Zeitg. 1844 s. 226; so auch O. MÜLLER und PANOFKA; s. WINKLER, De inferorum in vasis Italiae inferioris repraesentationi- bus, Diss. Vratislav. 1888 s. 29), noch weniger wahrscheinlich. Denn dass Orpheus als Wächter des Kerbe- ros aufträte, kommt doch wohl sonst nirgends vor. 7) Visconti, Delle Pitture murali di tre sepoleri ostiensi discoperti nel MDCCCLXV, (Annali dell’ Inst. 1866) s. 293. N:o 7. 38 Epv. REIN. Es steht über seinem Haupte die Inschrift TANITOR '). Visconr: denkt hier an „Iano inferno“, an dessen Stelle Ianitor geschrieben sei”), Rosssac an Briareos *). Vielleicht hat Srıro das Richtige getroffen, wenn er auch hier einen namenlosen Türhüter des Orcus statuirt ^). Möglicherweise könnte auch der in dem Parisischen Zauberpapyrus v. 341 genannte Schlüsselträger — rw tac xAırdas syovrı vow zada | dov.... — Aiakos sein, besonders da er an einer anderen Stelle in demselben Papyrus genannt wird (vgl. oben s. 5). Dagegen hat er mit jenen Pförtnern des Hades, die in einigen kyprischen Zau- bersprüchen erwähnt werden °), wohl nichts zu tun. Auch die wvAnoor rob Aidov bei Ps. Epiphanius *) sind natürlich zu den jüdischen und christlichen Ideenkreisen zu ziehen. Überhaupt wurde die Bew achung des Unterwelttores verschiedenen mythischen Persön- lichkeiten anvertraut. Bei Hesiod. Theogon. v. 732 ff. halten, wie oben (s. 36) gesagt, Briareos und seine Genossen über den Titanen im Tartaros Wache und stehen dessen Tor vor. Bei Vergil sitzt 'Tisiphone in der Vorhalle zu dem von Rhadamanthys be- herrschten Teile des Tartaros") Bei Valerius Flaccus sieht man neben dem Kerberos die Hydra*). In dem Gemälde eines Lekythos, der sich im archäologischen Museum zu Jena befindet, scheint Hermes der Pförtner der Unterwelt zu sein”). Am Tainaron wurde Poseidon als Pfürtner des Tartaros verehrt 7), und schliesslich erscheint vielleicht bisweilen ^4orsu«c Zyeuóvg als Pfórtnerin der Persephone "). Der Türhüter aber zur’ 2&o- xjv ist Kerberos. Und diese populäre Figur hat ohne Zweifel den weniger bekannten Aiakos zu einem gewissen Grade in Schatten gestellt. Im Ganzen ist Aiakos, sei es als Richter, sei es als Türhüter der Unterwelt mehr eine litteräre als eine volkstümliche Person. Das geht vielleicht auch daraus hervor, dass sich unseres Wissens keine Spur von ihm bei den Neugriechen findet. Und doch hat sich gar manches Bruchstück aus dem antiken Volksglauben bis in un- sere Tage auf altem Boden erhalten. ') Mus. Lateran. 722 (1064) s. HezBiG, Führer durch die öffentl. Samml. zu Rom. Y B. 482. Eine Ab- bildung findet sich in Monum. dell Inst. 1866 vol. VIII Taf. 28, 1 und in RoscuER's Myth. Lex. III 1175 s. Orpheus. Beschrieben von VisCONTI a. a. O. 292 ff.; vgl. auch PRELLER-ROBERT, Griech. Myth.* I 808 Anm. 6. *) Seine Argumentation ist nicht überzeugend; der Jüngling hat nichts Ianus-artiges, sondern sieht ganz wie ein gewöhnlicher Sklave aus. Die Stelle bei VisconTI a. a O. 299 3) Dämonen der Unterwelt 594. +) a. a. O. — Auch auf dem s. g. Aachener Sarkophage (vgl. ROBERT in Arch. Zeitg. 1885) s. 74 und auf Bildern etruskischer Vasen tritt ein „ianitor Orci* auf; vgl. FÖRSTER, Raub und Rückkehr der Persephone 237, GRUPPE, Griech. Myth. u. Relig. gesch. 405 Anm. 6. Der letztgenannte ist jedoch vielleicht Charon. 5) DREXLER a. a. O. II 1217. 6) Eis vuv rayıv rod Kvpiov 261: y9Èès davvoyoi rov IlAdrov «dr Evenaudor, onuspovr où muim- voi rov "Audov iücrrsg adrov Epgıkar. 7) Aen. VI 555 sqq. *) Argon. LIT 228. ?) KERN, Orphischer Totenkult, (Aus der Anomia) s. 94. Hieher gehört wohl auch Hermes zv4eiog; der Pythagoräer; vgl. Diog. Laërt. VIII 1 $ 31 10) CURTIUS, Peloponnesos ll 279. 4) Currius a. a. O. 1 296; vel. WipE, Lakonische Kulte 111. Der zvàdogos der Unterwelt, dem die Tom. XXXII. Azakos in der Unterwelt. 39 Wir halten die Sage von Aiakos für national griechisch'). Auch aus dem obi- gen geht hervor, dass die Versetzung des Aiakos in die Unterwelt auf griechischer Erde geschehen ist. Wenn man also um die Verbindung des Aiakos mit der Unter- welt zu erklären, den indischen Yama (oder persischen Yima) herangezogen hat”), so hat dies nur den Wert einer Analogie”): an einen organischen Zusammenhang zwischen dieser mythischen Persönlichkeit und unserem Heros glauben wir nicht. Argiver ein Schafopfer darzubringen pflegten (vgl. Plutarch. Isis 35; die übrigen Belegstellen siehe bei GRUPPE a. a. O 180 Anm. 8), scheint Pluton selbst zu sein; vgl. GRUPPE a. a. O. und 400 Anm. 1. 1) So auch PRELLER-PLEW, Griech. Myth. IL? 390. 2) So E. H. MEYER, Indogerm. Mythen 1 231 ff.; vgl. auch HARTUNG, Myth. d. Griech. IT 60. Ähnlich hat man den Minos im indischen Manu finden wollen; s. ausser E. H. MEYER, a. a. O., z. B. auch WEBER, 'edische Beiträge, (Sitzungsber. d. Akad. d. Wissensch. Berlin. XXXVII, XXXVIII 1898) s. 580 ff. und F. Max MÜLLER, Beiträge zu einer wissenschaftlichen Mythologie übers. v. H. Lüpers II 234. Siehe jedoch HELBIG in RoscHER's Myth. Lex. II 2, 3002 s. Minos. Übrigens hat man den Yama auch mit Deukalion (vgl. Duncker, Gesch. d. Alter. 3—5 Aufl. V 138) oder mit Rhadamanthys (s. DECHARME, Myth. d. I. Grèce 676) verglichen. 3) Dasselbe ist auch von der Gleichung Aiakos = Annakos, Nannakos (vgl. BUTTMANN Mythologus I 176 ff.) zu sagen. Über den Phryger Annakos, der mit dem hebrüischen Henoch gleichgesetzt worden ist (vgl. BuTTMANN a. a. OÖ. und Rrgzgw-BagTHGEN, Handwörterbuch des Biblischen Altertums 178; vgl. auch Steph. Byz. 'Ixóviov. Eine grosse Menge von dem Aiakos ähnlichen mythischen Persönlichkeiten bei den verschie- densten Völkern weist E. H. Meyer a. a. O. auf. Es scheint nämlich eine verbreitete Vorstellung zu sein, dass der Stammvater der Menschheit (oder eines Volkes; vgl. die Sage von Aiakos und den Myrmi- donen) nach seinem Tode als Kónig oder Richter in der Unterwelt erscheint; Beispiele von diesem Glauben erwähnen ausser E. H. MEYER a. a. O, noch Tvrom, Anfänge d. Cultur übers. v. Poske II 311 ff. und SÖDERBLOM, La vie future d'après le Mazdéisme 55. Auch bei den alten Mexikanern war die Urheimat der Menschheit zugleich das Land der Toten; vgl. Preuss, Die Feuergötter als Ausgangspunkt zum Verständniss der Mexikan. Religion, (Mittheil. Anthrop. Gesellsch. Wien XXXIII 1903) s. 149. N:o T. UT. Inhalt. Die griechischen und lateinischen Belegstellen . Aiakos als Totenrichter . Aiakos als Beisitzer Plutons und Wächter der Schlüssel der Unterwelt Aiakos als Pförtner der Unterwelt. ACTA SOCIETATIS SCIENTIARUM FENNICÆ. TOM. XXXII. X S. SAGENGESCHICHTLICHE UNTERSUCHUNGEN ÜBER AIAKOS. EDV: REIN. OU URRRGPLE WU. HORMONE (4*9 ; | eo LA | 4 : Xx E LINT ML » " på Pau GU 2 m: N à LA i: P) t eR Mw MY 2 ud mE ta c M » 25 EU hat UST f IL Aps ru el Yan PER we + Nine Aufsatz bildet die Fortsetzung und den Schluss meiner Untersuchungen über die Sagen von Aiakos, deren erster Teil unter dem Titel De Aeaco quaestiones mythologicae (eine akademische Dissertation, Helsingfors 1903) und deren zweiter Teil unter dem Titel Aiakos in der Unterwelt (Acta Societatis scientiarum Fennicae Tom. XXXII N:o 2, Helsingfors 1903) erschienen sind. Im Folgenden sollen die noch übri- gen Sagen und die allgemeinen Resultate der Untersuchungen über ihre Entwickelung und Verbreitung sowie andere damit zusammenhängende Fragen erörtert werden. I. Aiakos errettet dureh seine Bitten Griechenland von der Dürre. Die berühmteste Sage von Aiakos ist folgende. Als Griechenland einst von schwerer Dürre und Hungersnot heimgesucht wurde, wandten sich die Griechen — sei es aus eigenem Antriebe oder auf Befehl des delphischen Orakels — an den frommen Künig der Insel Aigina, Aiakos, mit der Bitte, er móchte zu seinem Vater Zeus um die Rettung Griechenlands beten. Aiakos bestieg da den Gipfel des hellenischen oder panhellenischen Berges, wo er ein Opfer darbrachte und seine Gebete verrichtete. So- gleich floss ein reichlicher Regen vom Himmel herab, und das Land wurde von dem auf ihm lastenden Unglück befreit. Zur Erinnerung an diese Wohltat wurde an der- selben Stelle ein allen Griechen gemeinsames Heiligtum errichtet. Um einen Überblick über die Sage zu gewinnen, wollen wir die betreffende antike Litteratur gleich voranschicken. Diese Sage kommt zuerst bei /sokrates IX 14 ff. vor, welcher dieselbe in fol- gender Gestalt darbietet. Toöro uiv yàg Aiaxôc O0 Jıoc piv Pxyovoc, Tod då yívovc Tod Tevxordwv xooyovoc, vocobrov dımveyzev, WoTE ysvouévav «Uyuorv ev vois Elo xol moAÀOv dv9gomOv diagpiagév- TOv, émœedÿ TO méyedoc vic cvuqooác UmxsoífcAAsv, jÀJov oi moQosoTG TC TOV mÓÀtOY ixtTtVOYV- res aùtôv, vouilovres dia vc OVyyevelas xoà The sUGsÜsíac TAS £xsívov vüyiGT av EUQÉO HE mz«od TOY OsOv TOP sa«oovvOY xcxav dnallayÿv. codévtTes då xol TUYOVTES äv &Ósj9qoav, ieoôv Ev Aiyivn xarsornoavro xowóv vov ‘Ellyvor, oùxeo Exeivos ETOINOUTO TV EVYNV- Es folgen dann viele andere Angaben, von denen wir noch diese anführen: Schol. Pind. Nem. V 17 (9 Curıst) ... quoi ydo avyuov rote mıtlovros tv 'EÀ- lade, Evıoı Où zaraxkvouod, ovveAdovras tous "EAAQgvac zadızersdoaı Tov Alaxov wc Ovta scie Aus, Efaırjoaodeı vv TÔTE OVOTAVTOV xaxGv vjv iacıy: voüvov Où &ifauEvov drodegareüccı 4 Eov. REIN. ra devd, x«l ovTW did viv TAS 'EÀÀ&Óoc vwrnotav "Ellyvıor wage voïc Alyıyyraıs Tetiuÿ- oda Jia. Schol. Pind. Nem. VIIL 19 (11 Curisr) «+ > QGUyuOc xatTéoye vov Eda xci sÜE- utvov Tod Aiaxov Oußoos Éycyvver. Schol. Aristoph. Equ. 1253. ‘“Ellévie Zei: ‘Ellévioc Zeic dmó Too Ev Aiyivn œÜyuod ovs ysvouívov, ÖTE Aiaxoc ovveyayav Toùc Haveiinvas eSılewoaro vOv Aix ... 'EÀ- Aavıos då Zedc vium (ev Alyivn). Diodor. IV 61. Mivws de zv9ópusvoc TV xcvd TÜV vióv Gvuqogáv, Yxev sig TÈc AInvas Óíxac airov tov "4vÓgóyso yovov. oUÓsvóc 0 uvtw moocéyovroc, mQ0c uiv '"A9qvaíovc mÓÀsuov GvvsovQcaTO, Codc di Eroımoaro TQ i yeviodar zara Tv HOV av "4Onvoiov auyuov xal pov. Tayv dE xeol viv Arrixÿr xal viv Elldd« yevouévor auyuov xci phagér- TOY TOV xaoaov, GvvsAdóvvsc oi vov sóÀsov qysuóvec ÉEANOWTNYOUV TOV Üsüv mc Av Övvaıvro vOv xoxàv dxallayÿvar. 0 À Exonoev Elder avtovs wooc Aiaxôv vOv 4ióc xci Aiyivns vic ”Aocwxov Yvyaroos, xal relever VED AVTOV VAS OMOCACTAL. Ov AOATAVTOV TO m000TCX9ÉvV, 0 uiy Aiaxôc émevílsos Tas sUydc, xol Ó «Uyuóc age uiv voic &AAow “Ellmoiv go Gero, maoc de voic "4Omvaíow uovow Oifuswey: ov OM ydo Yvayzaodycav oi "49qvoior vüv Jsüv smsQo- joa EO Tic Tor xaxov GmoAÀcyjcs KR ó uiv Jedc Exonoev, edv Tod "4vÓgoyso qovov To Mivo dixas dwow, äs äv éxeivoc dvaon Uraxovoavrov Jå vQ JE Tav AImvaiwr, moooETakev avtois 0 Mívoc dıdovaı 200005 Erta xoi Tac loac x0oaç dr ETOv Evvea Boodr và Miwvwravon 000v äv xgovov Qj v0 Tigac. Óóvrov d'avror, arnlAdynoav vv xoxGv oi zara viv ATTAN V, xcl 0 Mivos wolsumv eravoaro Tas ’Adyvac. Pausan. I 44, 13. em då vo? öoovs Th äxrog Aus Eorıy Aysolov zakovuevov vaóc q«ol då ext voí ovußdvros movi voic "EAlnoıw avyuoû Yvoavros Aiuxod zarte ÖN Tr Aoyıov To Havellyvio Au £v Aiyivn * * * xouícavra då dyeivaı, za dia Toûto ”Aqgétoiov zalsodaı vov Jia. — — II 29, 6. avyuos tiv Elldda Er) yoóvov émisle xol ovte tir £xvOc ”IoIuod xogav oUvs Helomovrmoious vev 0 9eóc, ec Ü $c Aslpodc dmíovsiAmv éoQoouévovc TO civiov Ö Tu ein xol aityoovros dua Wow Tod xaxoû. toûtoi 7 llvOía sims dia ildoxeo dou, yoÿva då, EiTEQ Ümaxovon oyioıw, Alaxov vOv ixsredooyra sivu oUTOC Aiazod denoousvovs drootelkov- ow äg éx&oTqgc æôdewc. xoà Ó uiv TO Haveliyvin Au Ivoas xol sÜEdusvoc Tir "EAAdÓe« yÿv emroinosv veodar Toy OP EAdovrav Gc cUvÓv (Tèc) sixovas TaVTAS émoujcavro où Aiyıyaraı. Apollodor. Bibl 111719726: jv 0? evoeßeoraros äxavtwv Aiaxoc. dıo xoi tv 'Elldde zarsyovons cqooíac di Héloma, dt Irvupalo to facis Tav ”Aoxadwv smoÀsuov, Tir ”Ao- zadiav EASY un dvvauevos, mooosowjccusvoc yıkiav Frtsıvsv UVTÖV xol dıeomsıgs weiioag, Xom- cuol dJewv ëleyor amalkaynosodaı Toy Evsototav xaxov vQv 'Elldda, E0v Aiaxdc VARE cUTZC EUxag MOIjonTeı. woımoausvov OP sUydc Alaxod TIS dxagmíac y Ellac dmoAAdTTSTOL. Clem. Alex. Strom. VI 753 P = Euseb. Praep. evang. X 2: æiÿr dAX oi "Eklnvss, eJ yuob vote viv Eklada molvygoviws q9sígorroc xoi érsyovonc dyovias xogmav, oi xova- Aeuqi3évesc, qoot, Qd Aıuov (xévon œagayevouevor eic 4sAqobc noovro tv Hvdiav stc àv daaAAcysisv TOÙ Ozwov: uwiav Ó' œuToic EX090Ev domyyv Ts Gvuqogüc, Ei yonocıvro vij Aiaxod euyy Mer odes oùv avrois Aiaxôc dvsÀ9Gv emi TO ‘EAlmrexôr 0005 TAS 2adapûc ysioac Extelvac sic ovoavöv xowóv GsozcAécac æatTéoæ vOv IEOV, gUEcTO oixTeiour AVTÖV Tergvusrnv Tv 'EAAdÓa. «ua ÖE süyouévov Boovty ESaloıos Emsxtirsı xol mc Ó KÉOLS ANO Evsyodro, Adßooı dE xol cvv- exeîc Oußgoı zaradbaykvres OÀqv Erkjomoav Tv yoour Evrsödev ägdovos xai mAovoía Teiso- yogsitaı euxagria TAS Alaxod yenoyyIeioa sUyoic. Dieselbe Sage wird ausserdem von vielen anderen Schriftstellern erwähnt, wie von Aristides, Hgsoßsvrixös woös "Ayıllev 42 und ‘Yæèg v. rerrdo. 314 (Dinvorr), T'hemistius, Tom. XXXII. Sagengeschichtliche Untersuchungen über Aiakos. 5 Xagioviguos 212 b, Nonnus, Dionys. XXII 289 ff, 306 ff, XXXIX 135 ff, Chori- cius Gazaeus, Ilarorxhov móc Ayıhlka weiten (s. 265 Borssonane), Nonnus Abbas Ad S. Gregor. Laud. fun. S. Basil. 4 Heg) Aiazov = Anecd. Graec., Cosmas Hierosol. Ad carm. S. Gregor. "Theol. (carm. XV 85 ff.), Aphthonius, Süyxgioic ”Ayikléms xoi "Exvopoc X 11 (Rhet. graec. ed. Wazz I 99), Georgius rhetor, Eyxwmov Alavros (Rhet. graec. ed. Warz II 564 ff), Doxopater, Xvyxorois ^" Aysdléws xci Exrogoc (Rhet. Graec. ed. Wazz II 490). Wir finden also, dass die Sage zuerst von Isokrates behandelt worden ist, dem dann die übrigen Autoren gefolgt sind. Da diese aber in einigen wichtigen Punkten von jenem abweichen, ist er wohl nicht ihre einzige Quelle gewesen. Bei den meisten begegnet uns die Dürre und die dadurch hervorgerufene Hun- gersnot (aÿyuôc, dBooyío, cqooía, dxcomíc, Auuoc); nur an einer Stelle — Schol. Pind. Nem. V 17 (9 Cunsr) wird die Überschwemmung (zerezAvouóc) erwähnt. Als Ursache der Dürre, die von den meisten Autoren nicht beachtet wird, führt Diodor den Umstand an, dass Androgeos, der Sohn des Minos, auf den Befehl des athenischen Königs Aigeus getötet worden sei (s. IV 60 ff.); in der apollodorischen Bibliothek dagegen wird erzählt, wie Pelops den Arkaderkünig Stymphalos, den er im offenen Kriege nicht besiegen konnte, meuchlings ermordet hat. Eine bestimmte Über- lieferung von der Ursache der Dürre existirt somit nicht, ja es ist nicht unmóglich, dass es darüber ursprünglich überhaupt keine gegeben hat. Wir wollen zuerst die diodorische Version untersuchen. Wer Lib. IV capp. 60 und 61 bei Diodor im Zusammenhange liest, wird bald gewahr, dass die Erzühlung von der Feindschaft zwischen Minos und den Athenern durch die Sage von Aiakos unterbrochen worden ist; wenn wir diese ausscheiden, wird der Konnex fester. Der Gang der Erzáhlung wäre dann dieser. Über die Ermordung seines Sohnes durch die Athener ergrimmt erklürt Minos diesen den Krieg und bittet Zeus Dürre und Hungersnot über die Stadt zu verhüngen. Die Athener fragen den delphischen Gott, auf welche Weise sie von dem Unheil befreit werden könnten. Die Antwort lautet, sie sollten die Genugtuung für Androgeos leisten, die Minos fordern würde. Nachdem dies geschehen ist, wird Attika von dem Unglück befreit. Wenn wir aber der Erzählung Diodors folgen, geht dies alles nicht so einfach von Stat- ten. Denn obgleich der Kreterkönig das Unheil bloss über die Athener heraufbe- schworen hat, werden auch die übrigen Griechen, die sich keiner Schuld bewusst sind, von demselben betroffen. Eine Folge davon ist, dass das Orakel zweimal befragt wird: das erste Mal von den Fürsten Griechenlands und dann von den Athenern. Denn wäh- rend das übrige Griechenland in Folge der Bitten des Aiakos befreit wird, waltet über den Athenern noch das Unglück, sodass sie nochmals das Orakel um Rat zu fragen ge- zwungen sind. Ausserdem spielt Aiakos nach der gewöhnlichen Überlieferung in der Sage des Minos keine Rolle. Die bekannteste Version lautete nämlich so: um die auf Veranstal- N:o 8. 6 Epv. REIN. ten des Minos über die Athener verhängte Pest abzuwenden, opferten die Athener bei dem Grabmale des Kyklopen Geraistos die Töchter des Hyakinthos. Als aber dies Op- fer nicht den gewünschten Erfolg hatte, befragten sie das Orakel und erhielten die Ant- wort, sie sollten dem Minos die Genugtuung bieten, die er fordern würde. Hierauf sandten sie die sieben (neun, Plut. Thes. c. 15) Jünglinge und sieben (neun, Plut. a. a. O.) Jungfrauen dem Minotauros zum Frass nach Kreta u. s. w.!) — Es scheint somit das Motiv von der Befreiung Griechenlands in Folge der Bitten des Aiakos wie von aussen her in einen fremden Körper verlegt zu sein”). Wir können also be- haupten, dass bei Diodor zwei Motive kontaminirt worden sind — einerseits die Sage von Minos und den Athenern, andererseits die Sage von Aiakos. Die Ver- schmelzung hat um so leichter vor sich gehen künnen, als in beiden Sagen die Dürre erwähnt wird, die dort der Stadt Athen, hier ganz Griechenland droht. Wer die Sage von Minos erzählte, konnte ja unschwer in jene andere ihr so ühnliche Sage geraten, sodass beide zusammenflossen ^). Es fragt sich aber, wo diese Kontamination geschehen ist. Man hat als die mythologische Quelle Diodors entweder das mythographische Sammelwerk des Dionysios Skytobrachion oder ein anderes ühnliches mythologisches Kompendium, das diesem viel verdankte, angesehen *). Natürlich kann Dionysios selbst die betreffenden Motive zu einem einzigen verschmolzen haben?) Denn dass dies von irgendeinem Mythographen und nicht in der Volksvorstellung geschehen ist, ist wahrscheinlich. Jedenfalls ist es wohl in Attika, wo die Minossage am meisten ver- breitet war^), erfolgt"). Denn wie verschieden auch im übrigen die Geschichte des ') Vgl. Törrrer bei PAuLY-WissOWA, Real-Ene. I 2144 s. Androgeos; die Belegstellen, von denen sich die älteste bei Philochoros findet (s. Fragm. Hist. Graec. MüuLer I 390), siehe daselbst. In kurzer Fassung erscheint die Sage von Minos und den Athenern in der parischen Marmorchronik v. 33 ss: . Becileorros ”AFnNvnaw Alyeos. "Ag ov AInNvno [ordvıls av xegzGv éyévero, xol uavrevouévolL]s [roig] '497- v[eíorg *4x0A1]iev E[ye]nloe oíxo]s drooyeliv] a|s] du Mivos aéiocg. Diese Stelle ist älter als alle von TóPFFER erwühnten, wenn anders der mythische Teil der parischen Marmorchronik von einem Atthidographen, der vor Philochoros (+ 261 v. Chr.) lebte, verfasst ist (vgl. Brvsorr, Griech. Gesch. IL 12). *) Der Umstand, dass der Ort, wo Diodor (IV 60) den Mord des Androgeos geschehen lässt, Owon genannt wird — Oinone war der Sage nach der ältere Name von Aigina, der Insel des Aiakos, — ist natür- lich hier nicht von Bedeutung. ?) Die ee der Diodor gefolgt ist, hat kaum Ovid vorgeschwebt, wenn bei ihm (Met. VII 471 ff.) erzählt wird, dass Minos, als er die Athener mit Krieg heimzusuchen beabsichtigte, sich vorher an Aeacus wendete, um diesen um Hilfe zu bitten. +) CHrisT, Gesch. Griech. Litt® 636. Über dies mythographische Kompendium sagt BETHE, Quaestio- nes Diodoreae 86, dass es der apollodorischen Bibliothek ähnlich gewesen sei. Der betreffende Mythograph aber soll nach demselben, a. a. ©. 95, von den verschiedenen Sagenversionen gewöhnlich die bekannteste ausgewählt haben. Und er soll nach BrTHE, Thebanische Heldenlieder 137 zwischen den Jahren 100 und 45 v. Chr. gelebt haben. Seine Quelle aber scheint der Atthidograph Istros gewesen zu sein; s. BUSOLr, 2:922 POBISMNIE 5) Dass auch Diodor verschiedene Quellen vielfach vermischt hat, hat z. B. BETHE, Quaest. Diodor. 63, 71 nachgewiesen. Im allgemeinen hielt er es für die Pflicht eines Historikers unter den verschiedenen fabelhaften und schlecht überlieferten Versionen eine solche festzustellen, welche die grósste Wahrschein- lichkeit für sich hatte; vgl. BETHE a. a. O. 80 ff. °) Höck, Kreta, II 96. Nach demselben haben vielleicht Hellanikos und Pherekydes „zuerst in ih- rer Atthis die ganze Geschichte in dem jetzigen Zusammenhang aufgezeichnet*. 7) PRELLER-PLEw, Griech. Myth II 393. Dass diese Überlieferung attisch ist, geht auch daraus her- Tom. XXXil. Sagengeschichtliche Untersuchungen über Aiakos. 7 Androgeos erzählt wurde, so werden doch gewühnlich die Athener als die Urheber sei- ner Ermordung angegeben '). Jene Überlieferung, nach welcher dasselbe auch von den Megarern erzählt wird und die bei Servius, comm. in Verg. Aen. VI 14 vorkommt, ist kaum ursprünglich *). Was die apollodorische Bibliothek betrifft, so ist dieselbe im allgemeinen als eine wichtige mythologische Quelle anzusehen *). Man kann jedoch der dort angeführ- ten Version an diesem Orte nicht viel Gewicht beilegen. Denn es ist kaum anzuneh- men, dass sich diese kontaminirte Sagenform nur an dieser einen Stelle erhalten hätte, wenn sie wirklich volkstümlich gewesen wäre. Vielmehr sieht sie wie eine lite- rarische Kombination aus, wobei das verbindende Moment die Dürre gewesen ist”). Da nun zu der Zeit, wo die Bibliothek entstanden ist, besonders die damals am meisten anerkannten Sagenversionen in Bücher solcher Art aufgenommen zu werden pflegten ^), so ist die Kontamination kaum erst in der Bibliothek entstanden. Vielmehr war sie schon früher vorhanden und stammt wohl aus einem jener mythographischen Bücher, vor, dass Androgeos mit dem attischen Heros Eurygyes zu einer Gestalt verschmolzen ist; vgl. Hesiod. Ca- tal. fragm. 129 (RzACH), Hesychios, èx Evovyvg ayav. !) Bei Diodor IV 60 z. B. wird Androgeos auf dem Wege nach Theben auf Betreiben des Aigeus getótet. Dass die Athener die Ursache des Todes des Androgeos gewesen, geht aus Pausan. I 1, 2 hervor. Und auch wenn Pausan. l 27, 10 Androgeos durch den marathonischen Stier getótet werden lässt, hält Minos doch die Athener für nicht unschuldig an dem Tode des Sohnes. Bei Hygin fab. 41 schliesslich fällt Androgeos im Kriege zwischen Minos und den Athenern. ?) Androgeus ... Atheniensibus et vicinis Megarensibus coniuratis occisus est. Vgl. Myth. Vat. I fab. 3: ... propter filii Androgei interitum, quem Athenienses et Megarenses dolo necaverant ... und Myth. Vat. Y fab. 43 (Venus et Pasiphaë): Androgeus ... ab Atheniensibus et vicinis Megarensibus coniunctis occisus est. Diese Tradition ist wohl aus dem Kriege des Minos mit Nisos (Ovid. Met. VIII 6 ff.) entstanden. 3) Vgl. H. D. MÖLLER, Myth. d. griech. Stämme I 43 Anm. 1. *) Dass diese Kontamination auf einer organischen Sagenverbindung zwischen den aiginetischen und arkadischen Sagen beruhte, die etwa aus der kommerziellen Verbindung zwischen den Aigineten und den Arkadiern (Pausan. VIII 5, 8, CURTIUS, Studien zur Geschichte von Korinth (Hermes X 1876 229), Ep. MEYER, Gesch. d. Altert. 11 538, BUSOLT, Griech. Gesch. I 450 Anm. 6.) zu erklären wäre, lässt sich nicht nachweisen. Auch das kann hier von keiner Bedeutung sein, dass der Aiakide Telamon nach Pausan. VIII 5, 5 (vgl. IMMERWAHR, Kulte und Myth. Arkad. I 115) in der Nähe des Flusses Aroanion in Arkadien begraben lag. Und der Umstand, dass ein anderer Aiakide, Achill, an der Grenze von Lakedämon und Arkadien grosse Ehre genoss (vgl WIDE, Lak. Kulte 233 ff.), ist natürlich eine Folge seines Rufes als epischer Heros über- haupt, und ist nicht auf jene Verbindung zwischen den Aigineten und den Arkadern zu beziehen. — Von noch geringerer Bedeutung ist es, dass man die Bewohner Aiginas und die Arkadiens als Stammverwandte angesehen hat. Man hat nämlich einerseits, wie wir in einem anderen Zusammenhang sehen werden, die erst- genannten für thessalische Achäer erklärt (vgl. z. B. K. O. MÜLLER, Prolegomena z. ein. wiss. Myth. 168, H. D. MÜLLER, a. a. O. I 72, 239, II 75, TümpeL in Roscnugns Myth. Lex. II 2 3313 ff. s. Myrmidon, HIRSCHFELD bei PAuLy-WıssowA, Real Enc. I 965 v. Aigina), andererseits sollen nach Ep. MEYER a. a. O. II 284 (aus dem mittleren Griechenland stammende?) Achäer am Nordabhang der arkadischen Berge gelebt haben. Es ist aber zweifelhaft, ob die Aigineten wirklich als ,thessalische Achäer“ anzusehen sind, ja die ganze Benennung „Achäer“ ist, wie bekannt, äusserst unbestimmt. Auch an eine andere Verbindung zwischen der arkadi- schen Stymphalos- und der Aiakossage kónnte man denken, die man aber freilich gleich wieder fallen lassen muss. Der Vater des Stymphalos, Namens Elatos, soll nach Phokis aus Arkadien eingewandert sein (vgl. SCHULTZ in RoscHers Myth. Lex. I, 1, 1231 s. Elatos); mit Phokis aber war der Sohn des Aiakos, Pho- kos, verbunden. Wenn schliesslich die betreffende Sage auf eine Feindschaft zwischen geschichtlichen Ge- schlechtern, den Aiakiden und den Pelopiden (vgl. Achill und Agamemnon) zurückgeführt wird (vgl. K. O. MÜLLER, Aeginet. Lib. 42), so ist dies auch nicht überzeugend. 5) SCHWARTZ bei PauLv-Wissowa a. a. O. I 2882 s. Apollodoros. N:o 8. 8 Epv. REIN. welche während der nächstvergangenen Jahrhunderte in grosser Menge erschienen sind '). In diesen aber war nach Schwartz (bei Paury-WissowA, Real. Enc. I 2879 s. Apollodoros) eine ,Contamination nicht nur möglich, sondern ganz gewöhnlich“. Wenn also die Erzählungen von der Entstehung der Dürre, wie sie bei Diodor und in der apollodorischen Bibliothek vorkommen, nicht von Anfang an mit der Aiakos- sage verknüpft gewesen zu sein scheinen, und die übrigen Schriftsteller über die Sache nichts vermelden, so ist unsere oben geäusserte Vermutung hierüber ohne Zweifel be- gründet, d. h. das für den Eintritt der Unfruchtbarkeit herbeigezogene Motiv ist unserm Mythus ursprünglich fremd *). Dasselbe könnte man auch daraus schliessen, dass in dem ältesten Berichte, bei Isokrates, die Sühne eines Gottes, einer Göttin oder eines Heros nicht erwähnt wird. Die Ursache der Entstehung der Dürre braucht also nicht der Zorn einer Gottheit in Folge irgendeiner Schuld gewesen zu sein — ein Motiv, das in den griechischen Sagen bekanntlich in einem solchen Falle sehr oft vorkommt ?). Wenn wir in der Tat bei Schol. Aristoph. Equ. 1253 lesen: E£ılswo«ro (SC. Aiaxoc) vróv Aia und bei Pausanias II 29, 6: roûroic 1 Hvóíce sims dia ilüoxeodaœr ..., So ist dies wohl nicht von allzu grosser Bedeutung. Die erstgenannte Stelle ist auch sonst konfus, wenn z. B. gesagt wird: 4ií«xóc ovveyayav vo)c Hav£iknveas; die letztere ist ziemlich jung. Um dann an einige einzelne Momente heranzutreten, bemerken wir, dass nach den meisten Schriftstellern ganz Griechenland vom Unglück getroffen wird *). So verhält es sich z. B. auch bei Diodor, trotzdem Minos hier nur über Attika Unheil heraufbe- schwórt. Nur Themistios denkt an den Teil Griechenlands, der sich gegenüber Ai- gina befand ?). Über die Ereignisse, die darauf folgten, giebt es eine doppelte Version. Wäh- rend nämlich einige behaupten, die Griechen hätten sich direkt an Aiakos gewandt — weil er, wegen seiner Abstammung von Zeus und seiner Frómmigkeit berühmt, sogleich seine Bitten erfüllt sehen würde — behaupten die übrigen, sie hätten zuerst das del- phische Orakel um Rat gebeten und dann erst Aiakos um Hilfe angefleht. Die erste Version findet sich bei /sokrates, Schol. Pind. Nem. V 17 (9 Curisr), Nonnus Abbas (= Anecdot. Graec.) und Cosmas; die andere bei Diodor, Pausanias, in der apollodori- schen Bibliothek und bei Clemens Alexandrinus. Wenn man die Worte des Isokrates in ihrem Zusammenhange erwägt, wird man leicht einsehen, dass es der Redner kaum unterlassen hätte des Orakels zu erwähnen, !) Berne, Theban. Heldenlieder 29, 137 nimmt an, dass die Vorlage der apollodorischen Bibliothek dasselbe mythologische Kompendium aus dem ersten Jahrh. v. Chr. gewesen sei, aus der auch Diodor ge- schópft hatte. Er nennt sogar dies Kompendium ,das Buch, aus dem unser Apollodor nur ein Auszug ISA. a ON 137: 2) Vel. H. D. MÜLLER a. a. O. 81 Anm. 1. 3) Vel. Ronpe, Psyche? I 177. +) So sagt z. B. Pausan. II 29, 6 ausdrücklich: ovre zzv &xróc Icduov yaocv ovrt TlsLomovymotous vev Ô 950g. 5) Das geschieht freilich nur um einen wirksamen rhetorischen Effekt zu erzielen; vgl. ré zzAwovrov anélavoer n “Elliès Tic edync Alanod o)yuo muecdeioe, nal ODD: &maoan Elldg, dAX 067 avıng woos Alylvn, Àixov où rjj Alelotn uoípe TAS YNS ps ÄveRÉTAGONS ; Tom. XXXII. Sagengeschichtliche Untersuchungen über Atakos. 9 wenn er etwas davon gewusst hätte. Denn da jene Rede des Isokrates, in der die be- treffende Sage berührt wird (Or. IX), an den kyprischen König Nikokles gerichtet ist ^), dessen Vaters, Euagoras’, Verdienste gepriesen werden, so hätte er gewiss keinen Um- stand verschwiegen, der zur Erhöhung des Ruhms des vermeintlichen Urhebers des re- gierenden kyprischen Hauses, des Heros Aiakos *), beigetragen hätte. Es wäre ja wiel ehrenvoller gewesen von den Göttern für den Gerechtesten erklärt zu werden als von den Menschen für einen solchen gehalten zu werden. Der Gewährsmann des Isokrates hat also sicher nicht das Motiv des Orakelspruchs gekannt. Welches übrigens seine Quelle gewesen sei, steht nicht fest. Vielleicht ist er einer am kyprischen Hofe geläu- figen Überlieferung gefolgt Das Orakel wird zuerst bei Diodor erwähnt. Es ist also möglich, dass dies Motiv in dem obengenannten mythologischen Kompendium oder bei Dionysios Sky- tobrachion eingelegt worden ist. Was die folgenden Stellen betrifft, so ist Diodor kaum ihr Gewährsmann gewesen. Die abweichende Ursache der Entstehung der Dürre, die in der apollodorischen Bibliothek vorkommt, lässt uns nicht an Diodor als die Quelle der letztgenannten denken. Auch stimmen Pausanias und Clemens nicht so in den Einzelheiten mit Diodor überein, dass dieser notwendig für den Gewährsmann jener anzusehen wäre. Es kommt noch dazu, dass es überhaupt unwahrscheinlich ist, dass die letzteren über einen mythologischen Gegenstand einen Historiker benutzt hätten °), der nach Semwamrz, De Dionysio Scytobrachione 35 zu ihrer Zeit nicht viel gelesen wurde. Vielmehr haben auch sie — wahrscheinlich mittelbar — aus dem obengenannten my- thologischen Kompendium geschöpft, was schon Pseudo-Apollodor anbelangend bemerkt wurde. Und wenn Pausanias a. a. O. sagt: aiviav då vv avtyv Aiywyÿtaic xal oi kotor Aéyovoiv, SO ist das nicht so zu verstehen, als ob er dies von den Leuten selbst gehört hätte: es ist von den Forschern schon ófter hervorgehoben worden, dass der Perieget seine Weisheit zum grossen Teil aus Büchern geholt hat *); sicher verdankt er manches ei- nem gleichzeitigen mythographischen Kompendium ?). Und von Clemens schliesslich hören wir, dass auch er ähnliche Kompendien benutzt habe ^). Pausanias und Clemens haben also verwandte Quellen — wenn nicht gar, da sie fast Zeitgenossen waren, dieselbe Quelle benutzt. Und diese hat wohl einiges der Quelle Diodors entnommen ’). 1) SITTL, Gesch. griech. Litt. IL 109. ?) Das zu Salamis auf Cypern herrschende Königshaus stammte angeblich von Teukros, dem Sohne des Aiakiden Telamon, ab; vgl. /sokrat. (Or. IX) und die Inschrift Nikokreons in Arch. Ztg. 1844, 346 = Kar- BEL, Epigr. graec. n:o 846. 3) Vel. BETHR, Quaest. Diodor. 57 ff. *) Sehr radikal ist hierüber bekanntlich die Ansicht KALKMANNS; vgl z. B. seine Pausanias der Perie- get 35. Vgl. auch GURLITT, Uber Pausanias 44 und v. WILAMOWITZ, Homer. Unlers. 344. 5) BETHE, a. a. O. 98, Theban. Held. 29, 137. Dies hindert natürlich nicht, dass Pausanias auch die alten epischen Dichtungen gut kannte; vgl. v. WILAMOWITZ, a. a. O. 338, GURLITT, a. a. O. 151. Doch darf, „wer ... an einem mythologischen Handbuch festhalten will, ... nicht übersehen, dass aus ihm nur ein Theil der Nachrichten stammt, zu welchen Pausanias Zusátze und Nachträge geliefert hat"; s. GURLITT, a. a. O. 190. 5) Hizzer, Zur Quellenkritik des Clemens Alexandrinus (Hermes XXI 1886 126 ff), KREMMER, De cata- logo heurematum 20 Anm. 2, v. WiLAMOWITZ, Eurip. Herakl. I 171, Cnmism, Gesch. Griech. Litt. 896. 7) BETHE, T'heban. Held. 137 glaubt sogar, Pausanias habe dasselbe mythologische Bu h benutzt wie Diodor; vgl. Quaest. Diodor. 98. N:o 8. [ov] 10 ( Epv. REIN. Die Leute, welche Aiakos um Hilfe angehen, werden gewöhnlich die Ersten ih- rer Städte (Staaten) genannt; so bei /sokrates und Nonnus Abbas (= Anecd. Graec.): oi TOOEOTUTES TOY nolswv, Diodor: oí «àv wolswv myeuôves, Cosmas: oi xov? E£oynv vov AOÅEWV ävdgss. Pausanias II 29, 6 sagt im allgemeinen, es wurden aus jeder Stadt Leute ge- sandt: Aiaxoû Oepcouévouc &mocríAÀovoiv äg ixdorns móAsoc. Clemens wiederum spricht von den zurückgebliebenen — oí xeveAsup3évvsc ... dit Auuóv — als ob die Griechen sich schon in üusserster Gefahr befunden hätten. Der allgemeinen Überlieferung gemäss verrichtete Aiakos seine Gebete und Opfer auf der Insel Aigina, obgleich dies nicht von allen deutlich ausgesprochen wird. Und der Ort wird als +ô ügoc ‘EAAnvıov Oder HavsiAyvıov näher bestimmt; vgl. Schol. Pind. Nem. V 17 (9 Curisr), Pausan. II 29, 6, Clemens a. a. O.; dasselbe geht auch aus Pausan. I 29, 6 hervor: 6 (Aiaxôc) piv ro Havslinvio An 9Gac x. v. A. Über die Umstünde bei dem Opfer und dem Beten des Aiakos berichten die Schriftsteller alle fast dasselbe. Am ausführlichsten erzühlt Clemens, der, wie es scheint, aus dem knap- pen Berichte des Aristides a. a. O. ein rhetorisch-anschauliches Bild von der Situation entworfen hat. Nachdem die Gebete den erwarteten Erfolg gehabt hatten, soll ein den Griechen gemeinsames Heiligtum an demselben Orte errichtet worden sein; dabei ist zu bemerken, dass /sokrates (IX 14 ff.) nicht ausdrücklich Aiakos als den Gründer desselben nennt, während dies von Pausanias (II 30, 4) getan wird; vgl. Toöro 02 to iegov Aéyovour Aiaxdv moijoc. ro Au. Wenn der letztgenannte (I 44, 13) berichtet, Zeus sei wegen der Befreiung Griechenlands von der Dürre ”Aqéows genannt worden, so ist dies wohl eine spätere Version ') und gehört gewiss nicht zu der ursprünglichen Sage. Denn so- viel wir wissen, kommt dieser Beiname des Zeus nicht auf Aigina vor”). Es ist sogar möglich, dass dies nur eine Kombination von Pausanias selbst ist; denn das q«cí am Anfang ist vielleicht nicht ernst zu nehmen. Dagegen gab es zwischen Megara und Korinth einen Tempel des Zeus Aphesios, dessen Ruinen neulich entdeckt worden sein sollen ^). Und besonders zu Argos hat dieser Kultus bestanden *). Ausserdem gab es auf einer Hóhe in der Nähe von Nemea ein Heiligtum des Zeus Apesas oder Ape- santios ?). 1) Die richtige Ergänzung der in der betreffenden Pausanias-Stelle vorkommenden Lücke würde möglicherweise näheren Aufschluss über den Kultnamen ”Aqéows geben. 2) Vgl. Jessen bei PAULY-WISSOWA, a. a. O. I 2715 Aphesios. Dass „der aeginetische Regengott^ „seinen Fuss auch auf das benachbarte Festland“ gesetzt habe und dort unter dem Namen Zeus Aphesios verehrt worden sei (vgl. NEUMANN u. PARTSCH, Physikal. Geogr. v. Griechenl. 71), ist kaum zutreffend. 3) JESSEN a. a. O. 3) Etym. Magn. v. ”Aqéows. Diese Stelle, wo der Beiname '4gécrog mit einer andern Tradition in Verbindung gebracht wird, lautet folgendermassen: ABEZIOS Zeus iv Apysı ruuürot. — Elpmret dé, Orı zlevxa- Aiwv Tod uaraxlvouod. yevouévou dıapvyav, nal eis tv &xgav Tv Aoyovg ÖLwowdeis, lópícoro Bœudr àpeolou Jıös Or &qsíOn ix ro? xeraxlvouov. Vgl. FARNELL, The Cults of the Greek States I 45, 51, Hırzıg-BLÜMNER, Pausanias 377. 5) Pausan. IL 15, 2, Steph. Byz. ‘Anécuc; vgl. JESSEN, a. a. O., HIRSCHFELD bei PAULY-WISSOWA, a. a. O. I 2699 s. Apesas. Dieser Berg, welcher die Täler von Nemea und Kleonai scheidet, scheint ehemals Apesas geheissen zu haben; vel. HIRSCHFELD, a. a. O. JEssEN nimmt, wahrscheinlich mit Recht, an, dass diese Namen Tom. XXXII. Sagengeschichtliche Untersuchungen über Aiakos. 11 Da es nun in Argolis keine Überlieferung über Aiakos gegeben zu haben scheint, und er auch nicht ursprünglich nach Megara gehörte, kann der Bericht von der Grün- dung des Tempels des Zeus Aphesios durch Aiakos nicht früher entstanden sein als nach dem Bekanntwerden des Aiakos in Megara. Er ist nämlich mit den megarischen Genealogien und Sagen verbunden), von seinem Kulte zu Megara weiss man aber nichts *). Da es jedoch höchst unwahrscheinlich ist, dass man von der Gründung eines Heiligtums des Zeus zu Megara durch Aiakos erzühlt hátte, wenn er nicht selbst ebenda einen Kultus gehabt hätte, so liegt hier gewiss keine volkstümliche Überlieferung vor. Die Verbindung des Aiakos mit dem Beinamen Aphesios ist also nicht ursprünglich, und dieser Name ist dem auf Aigina verehrten Gotte von Pausanias oder seinem Gewährs- manne wohl ohne Grund zugeteilt worden. Dies geht auch daraus hervor, dass der Kultname "4qíc:o hier zu dem Regen in Beziehung gebracht wird, während er doch ursprünglich vielmehr von dem Geber glücklicher Abfahrt angewandt wurde °). Die Sage bezieht sich selbstverständlich auf das Heiligtum des Zeus, das im Altertum auf dem höchsten Berggipfel von Aigina stand. Dieser im südlichen Teile der Insel gelegene Berg, der jetzt entweder einfach Oros oder nach einer dort erbauten Ka- pelle Hagios Ilias genannt wird‘), trug im Altertum den Namen öoos "EAMjviov oder HevsAAjviov, Welche Beinamen dem aiginetischen Zeus zugehörten, wie aus Schol. Pind. Nem. V 17 (9 Curisr) hervorgeht: *E4Àd»«oc 0? Zeig tuktar £v Aiyivn rage To oUvoc "EÀAqvío azowtnoiw xaAovuéívo. gast yàg x. v. À. Wir haben also hier eine „Gründungslegende“ oder wie sie H. D. Mirrzm, a. a. O. I 3 ff. nennt, eine ,explikative^ Sage. Mit diesem Motiv aber verbindet sich eine andere Vorstellung, die: von einem Regenkultus?^). Denn obgleich wir über den Kultus des aiginetischen Zeus nicht direkt unterrichtet sind, steht es ausser allem Zwei- fel, dass es hier, wie auf manchen andern Bergen Griechenlands, einen Kultus des re- genspendenden Zeus gegeben hat‘). Der hier zu behandelnden Aiakos-Sage ganz zu geschweigen, weiss man ja, dass der panhellenische Berg als ein Wetterzeichen angese- "Apeoıos, ”Anéous, "Ansadvriog zu ähnlichen Kulten gehören; vgl. auch Globus XXXIII B. 1878 s. 309. Un- bestimmt äussern sich darüber NEUMANN und PARTSCH a. a. O. !) Vgl. Verf. De Aeaco 37 ff. ?) Die Behauptung K. O. MÜLLERS, Aeginet. Lib. 19, 162, dass Aiakos zusammen mit Zeus Aphesios zu Megara einen Kultus gehabt hätte, entbehrt jeder Stütze; vgl. auch De Aeaco, a. a. O. 3) Dies ist die Ansicht vieler neueren Forscher; so z. B. die von PRELLER-ROBERT, Griech. Myth. I 118 Anm. 3, FARNELL, a. a. O., HrrziG-BLÜMNER, a. a. O. Komm. zu I 44, 13. +) GERHARD, Griech. Myth. II 170, PRELLER-PLEW, a. a. O. II 126 Anm. 2, Tvron, Anfänge der Cultur übertr. v. SPENGEL und PoskE II 265, BAEDEKER, Griechenland 140, HrrZziG-BLÜMNER, a. a. O. I 626, LOLLING, Hellenische Landeskunde und Topographie (Iw. MÜLLERS Handb. d. klass. Altert. wiss. III 194 ff.). Die Benennung „Oros“ soll nach Ross, Erinnerungen und Mitteilungen aus Griechenland 141, im jetzigen Griechenland die ge- wöhnlichere sein. Die frühere Ansicht von einem „Tempel“ des aiginetischen Zeus (vgl. z. B. RÜCKERT, Trojas Ursprung u. s. w. 130) hat man der Art modifizirt, dass man jetzt von einer ,Altar-anlage* spricht (vgl. HrrziG-BLÜMNER, a. a. O. I 627), deren Reste übrigens zu der Aufführung der Elias-Kapelle verwendet worden sind; vgl. BAEDEKER, a. a. O. 140. 5) Vgl. FARNELL, a. a. O. I 44 ff. *) Vgl. GERHARD, a. a. O. I 159, OVERBECK, Beiträge zur Erkenntniss und Kritik der Zeusreligion (Ab- handl. süchs. Gesellsch. IV B. 1865 33), NEUMANN und PARTSCH, a. a. O. 27, FARNELL, a. a. O. I 51. N:o 8. 12 Epv. REIN. hen wurde: wenn sich eine Wolke auf dem Gipfel desselben lagerte, schlossen die Be- wohner der umliegenden Gegend, dass sicher Regen eintreten werde '); und dasselbe gilt noch von den heutigen Bewohnern der Umgegend ?). Wenn es in der Tat auf dem hellenischen Berge einen Regenkultus gegeben hat, so muss man annehmen, dass bestimmte Zeremonien dabei üblich gewesen sind. Unter solchen Zeremonien ist aber fast in der ganzen Welt diejenige verbreitet, nach welcher ein Priester oder andere Leute, um die Dürre und Missernte abzuwenden, den Berg des Regengottes besteigen und hier für die ganze Gemeinde um Regen bitten ?). Es ist so- mit keineswegs ausgeschlossen, dass auch auf Aigina eine solche Sitte existirt habe, nach welcher bei den Bewohnern der Insel und ihren Nachbarn, so oft sie unter Dürre zu leiden hatten, der Priester den hellenischen Berg bestieg, wo er für die ganze Ge- gend um Regen flehte. Ob dabei von dem Priester bestimmte Riten innegehalten wurden, und welche, ist nicht bekannt. Dass ein ,lapis manalis^ in dem Kulte des aiginetischen Regen-Zeus vorgekommen ist, ist nicht ganz unmöglich. Wenigstens hat man einen solchen in dem Kultus des Aiakos finden wollen. Denn nach RöcKert, a a. O. 130, 1) Theophrastus neol onustov 24 : xoi £àv £v. Alyivn [xol] xt tov Iiog rov ‘Ellaviou vepéln x«9í£ncat, Gg rà noAA& Vowe yivnraı. 2) Ross, a. a. O. 141, RÜCKERT, a. a. O. 130, FORCHHAMMER, Achill 22, BABDEKER, a. a. O. 140, PRELLER- Prew, a. a. O. I 126, NEUMANN u. PARTSCH, a. a. O. 27, v. WitLAMOwWITZ, Amphiktionie von Kalaurea (Götting. Nachr. phil. hist. kl. 1896) s. 165, HrrziG-BLÜMNER, a. a. ©. I 627. Andere öden cgucvzuxd bei Theophrast, z. B. der Pelion (zsoi onuelmv I 22, x. aveuov 27 SCHNEIDER); vgl. E. H. Meyer Indogerm. Mythen 1144 ff., 768. — Auch kann bemerkt werden, dass ein Regenkultus auch anderswo auf Aigina blühte. Zu Oia, einem Orte in der Mitte der Insel, wurden die Góttinnen Damia und Auxesia verehrt; sie sollen nach der Sage aus Epidauros gebracht worden sein und wurden vermutlich zur Zeit der Dürre um Regen angefleht; vgl. He- rodot V 82 und 85, Pausanias Il 30, 4, MARX, Marmorgruppe aus Sparta (Mittheil. Athen. Inst. X. 1885), s. 185, WipE, Lakon. Kulte 219, UsENER, Góllernamen 131, TÖPFFER bei PAuLY-WiSSOWA, a. a. O. I 924 v. Aiakos, HrrZiG-BLÜMNER, a. a. O. I 627. Die Verbindung dieser Góttinnen mit dem Donner und dem Regen geht ohne Zweifel aus der Erzählung bei Herodot V 85 hervor. — Dagegen darf man dem Umstande, dass der Berg jetzt den Namen des Propheten Elias trägt, der in der Vorstellung vieler Vólker der Ersatzmann des alten heidnischen Donner- und Regengottes geworden ist (vgl. z. B. E. H. Meyer, a. a. O. II 596) nicht, wie ich auf den ersten Blick glaubte, allzugrossen Wert beilegen. Eiue nähere Untersuchung des Gegenstandes hat zu dem Resultate geführt, dass man von einer ausdrücklichen Vertretung einer altgriechischen Regen- gottheit durch den Propheten in dem Volksglauben der heutigen Griechen nicht zu sprechen hat, 3) Diese Sitte kommt bekanntlich bei den verschiedensten Vólkern vor. So wird Aiakos schon bei Clemens Alex. VI 753 (= Eusebius Praep. evang. X 2) mit dem Propheten Samuel verglichen. Auf dem Pelion blühte der Kultus des Zeus Akraios (oder Aktaios) und zur Zeit der grössten Sommerhitze, wo dieselbe am schwersten auf allem Lebenden lastete, wurde er von den vornehmsten Einwohnern der Umgegend bestie- gen, welche dort Zeus um erfrischende Winde und Regen baten (vgl. Dicaearch. fr. 60 bei MÖLLER, Fragm. Hist. Graec. II 262). Eine ähnliche Prozession wurde zu Ehren des Zeus Hyetios auf der Insel Kos veranstaltet (vgl. Revue d. hist. d. relig. 46 B. 1902). Zu Rom wanderten die Matronen unter der Leitung der Pontifices und Magistratspersonen mit nackten Füssen auf das Capitol hinauf, um durch ihre Bitten Regen zu bewir- ken; bei derselben Gelegenheit wurde der bekannte ,lapis manalis* durch die Stadt geschleppt; vgl. Petro- mius Sat. XLIV, HOFFMANN, Das Aquilicium (Rhein. Mus. 1895) s. 484. Aust, Religion der Römer 120. Auch viele mittelalterliche „Bittgänge“ könnten herbeigezogen werden; vgl. TYLOR, a. a. O. II 262, Sepp, Religion d. alt. Deutschen 80. Derselbe Gebrauch kommt auch bei den Südslaven vor; s. v. ANDRIAN, Der Höhenkultus asiatischer und europäischer Völker 337, 343 ff. u. s. w. Beispiele ähnlicher noch gegenwärtig in Indien üblicher Sitten werden oft angeführt; vgl. TYLOR, a. a. O. II 261, E. H. MEYER, a. a. O. II 538 ff, OLDENBERG, Religion des Veda 441, 507, SARAT CHANDRA MrrRa, A Rain ceremony etc. (Folklore VIII 1898) s. 278 ff. Etwas Ähnli- ches erzählt uns aus Samoa FRAZER, T he golden bough I 109, und wird aus Niederländisch. Indien berichtet; vgl. Archiv f. Ethnogr. IX B. 1896 s. 213. Und schliesslich sei erwähnt, dass eine analoge Sitte bei den jetzigen Einwohnern Nord-Eubóas Brauch gewesen ist; vgl. Globus XXXIII B. 1878 s. 209. Tom. XXXII. Sagengeschichtliche Untersuchungen über Aiakos. 13 195 soll der Diskus, mit welchem Phokos, des Aiakos Sohn, der Sage nach von seinem Bruder getötet wird, (vgl. Verf. De Aeaco 64 ff.) eigentlich ein „lapis manalis* gewesen sein '). Und es verdient vielleicht daran erinnert zu werden, dass die Steine, die beim Regenzau- ber angewandt werden, bisweilen wie ein Diskus ausgesehen haben sollen; so lesen wir z. B. bei Frazer, The golden bough I 109: „In the Keramim tribe of New-South Wales the wizard retires to the bed of a creek, drops water on a round flat stone, then covers up and conceals it u. s. w.“ °). Wenn wir aber nun an die Stelle eines Priesters des Zeus Hellenios den Heros Aiakos setzen, so ist unsere Sage nur ein Abbild jener Zeremonie. Dass diese der Kern unserer Sage ist, hat schon K. O. Mürzer, Aeginet. Lib. 159 erkannt *). Dass aber gerade Aiakos zum Vermittler zwischen dem Gott und den Menschen gewählt wurde, steht wohl mit seiner berühmten Frömmigkeit im Zusammenhang. Dazu kommt — und das ist wohl die Hauptsache —, dass eine nahe Beziehung zwischen Aiakos und dem Regen bestanden zu haben scheint. Wenn also unsere Sage, was die Fürbitten des Aiakos und die Gründung des Zeus-Heiligtums anbelangt, aus einem Regenzauber und einer — vielleicht priesterlichen — Gründungsgeschichte entstanden ist, so könnte das Motiv von den Abgesandten der griechischen Staaten sein Dasein einem besondern Umstand verdanken. Pausanias II 29, 6 ff. erzählt nämlich, dass vor dem Eingang zu dem sogenannten Aiakeion, d. i. dem aiginetischen Heiligtume des Aiakos ^), Bildnisse von Männern, die betend dar- gestellt waren, vorkamen ?). Und der Überlieferung nach sollten diese eben zum An- denken an die Abgesandten der Hellenen, die den frommen Aiakos um seine Fürbitte gebeten hatten, errichtet sein. Nun aber bezweifelt Cummm, Schnitzel aus einer Pindar- werkstätte (Sitzungsber. d. bayr. Akad. 1895) s. 18, dass jene Bildnisse wegen eines wirklichen Ereignisses errichtet worden seien, sondern leitet vielmehr jenes Sagenmotiv von dieser bildlichen Darstellung ab. Diese Hypothese hat nicht wenig für sich, hängt aber selbstverständlich davon ab, aus welcher Zeit jene Bildnisse stammen. Cnrist glaubt, sie seien schon zur Zeit Pindars alt gewesen, weshalb gerade ihr Sinn damals schon so dunkel gewesen sei, dass sie vom Dichter auf verschiedene Weise erklürt werden konnten. Dies muss aber leider dahingestellt bleiben. Soviel sei gesagt, dass die Auffassung Curisrs von dem betreffenden Zeitpunkt uns wahrscheinlicher vorkommt 1) Es sei auch bemerkt, dass Hyakinthos, gewissermassen ein Doppelgänger des Phokos, als ein Regendümon angesehen worden ist; vgl. GRUPPE, Griech. Myth. u. Relig. gesch. 833 Anm. 1. 2) Die zu Rom üblichen Regensteine waren jedoch oft zylinderförmig; s. Fulgentius, Expos. serm. anliqu. — (Fulgentii Opera rec. HELM) s. 112: (4) Quid sint manales lapides ... quos solebant antiqui in modum cilindrorum per limites trahere pro pluviae commutandam inopiam. Vgl. auch v. ANDRIAN, Über Wetterzauberei (Mittheil. Anthrop. Gesellsch. Wien XXIV B. 1894) s. 28. Über Steinfetische im Regenzauber vgl. überhaupt GRUPPE a. a. O. 821. 3) Dagegen kónnen wir H. D. MÜLLER, a. a. O. I 81, nicht beistimmen, wenn er dem Regen in unse- rer Sage keine bedeutende Rolle zugestehen will, weil die Dürre nicht von allen Schriftstellern er- wühnt werde. 3) Zuerst erwähnt von Pindar Ol. XIII 109 und Nem. V 53. 5) Sie waren wahrscheinlich in Relief (bezw. Flachrelief) dargestellt; vgl. Cumis, a. a. O. 17, und TÖPFFER bei PAUvLY-WissOWA, a. a. O. I 921 s. Aiakeion. N:o 8. 14 Epv. REIN. als die von K. O. Mütter, a. a. O. 19, nach der die Bildnisse nach den Perserkrie- gen zur Erinnerung an die Schlacht bei Salamis errichtet worden wären. Er sagt näm- lich — geistreich, aber etwas gesucht: ,Proelio (sc. Salaminio) imminente socius Grae- corum ex Aegina arcessitur Aeacus, finito universa victorum classis Aeginam concedit. Hine factum, ut fabula illa, quam primus novit Isocrates, orta ipsorum legatorum signa, quae Pausanias (II 29, 6) viderat, ab Aeginetis in introitu Aeacei ponerentur. Quae Si dy&Auera Tic Goyclac Téyvns fuissent, id certe ille haud immemoratum praetermisisset.“ Mürver denkt dabei besonders an die grossartige Schilderung Herodots VIII 64 von dem Beginne der Schlacht bei Salamis: quéon vs éyívsro xoi Gua TM 5A dvıovaı csiopóc éyéveto iv vs Th yj xci vj Jaldoop. dose dé or svEaodar voicu Feoior xal Emızalioaodaı Toùc Åia- xidac cuuuéyovuc. wc dé aqu iÓots, xal Eroisvv Taîta sUEdusvou yàg sou TOTOL Feoicı, UVTOJEV uiv $« Salauivoc Alavra vs xal Telau@va erızaliovro, xd då Aiaxov xol toùc &AÀovc Aic- xi0aç vía dmíovsÀiov éc Aiyıwav!). Diese geschichtliche Situation, wo die Bildnisse von Aiakos und den Aiakiden mit in die Schlacht gebracht werden, ist jedoch von der be- treffenden bildlichen Darstellung sehr verschieden. Was die Entstehungszeit der Hauptmomente der Sage betrifft, wie sie bei Iso- krates auftritt, so müssen sie nach der Einführung des Zeus Hellenios-(Panhellenios)- Kultes auf Aigina und dem damit zusammenhängenden Regenkultus entstanden sein. Denn die Worte des Isokrates /soóv ... xowvóv vv EAMvwv — die sich wohl nicht, wie bei HirziG-BLUMNER, a. a. O. I 623, zu lesen ist, auf das Aiakeion, sondern auf das Zeus- Heiligtum beziehen — hängen deutlich mit dem Kultnamen WavsAAnvıos zusammen. Es sollte ja ein gemeinsames Heiligtum der Hellenen also aller Hellenen — szávrov 'Eà- Ajvov, Havellyvov — sein”). Der Kultname ZevsAA$vioc sowie der kürzere *EAÀgv«oc werden von den Schriftstellern ohne jeden Unterschied als Beinamen des aiginetischen Zeus ge- braucht ”), und es lässt sich nicht nachweisen, welcher von diesen in dem aiginetischen Kulte älter ist. Es ist aber augenfällig, dass das Motiv von dem zu errichtenden Zeus- Heiligtume, das allen Hellenen gemein sein sollte, erst dann gebildet worden sein kann, als der Name “EiAAnves (Havéklmvec) eine allgemeine, das ganze Griechenvolk umfas- sende Bedeutung erlangt hatte. Der Name "Eiigve; hat ja bekanntlich anfangs nur einem besondern Stamme, dessen Sitz die thessalische Landschaft Phthia gewesen sein !) Vgl. Plut. Themist. cap. 15. ?) Es ist fast dasselbe, wenn WELCKER, Griech. Götterlehre II 210 Anm. 114 behauptet, zu der Erklärung des Namens „Panhellenios“ sei der Umstand erfunden worden, dass alle Staaten Abgeordnete an Aiakos sandten. 3) FARNELL, a. a. O. I 116. Zevs ‘EAAdvıog kommt z. B vor bei Schol. Pind. Nem. V 17 ff. (9 ff. CHRIST) und Theophrast (msol amusíov) Zevs IloveAirvwos z. B. in C. I. G. 2138 b (eine Inschrift, die auf Aigina gefun- den ist und somit möglicherweise auf den aiginetischen Zeus Bezug hat); vgl. ErsELE bei ROSCHER, a. a. O. IIl 1534 s. Panhellenios) Dagegen scheint der bei Herodot IX 7, Aristoph. Equ. 1253 (mit Schol.) und Aristotel. fragm. 79 (MÜLLER Fragm. Hist. Graec. II 128) genannte Zevs ‘EAAyruos (‘ElAdruos) einen allgemeinen (nicht spezifisch aiginetischen) Charakter zu haben; (vgl. Eiseze, a. a. O. 1533, woselbst sich noch andere Beleg- stellen finden). Der Kultus des Zeus Hellenios — ein Kultname, der durch die Perserkriege besonders in Schwang kam, blühte an vielen Orten, z. B. auf Tenos, (vgl. GERHARD, a. a. O. II 210, PRELLER-PLEW, a. a. O. IT 126 Anm. 2), und besonders in Sparta, wo er sehr alt gewesen zu sein scheint; vgl. DUNCKER, Gesch. d. Altert. V 575. Das Bildnis des Zeus Hellenios kommt übrigens noch auf syrakusanischen Münzen, z. B I. G. S. 12, vor; vgl. auch Bullet. de Corresp. Hell. XX 1896 s. 400 und FARNELL, a. a. O. I 116. Ein Kultus des Zevs IIav- sAAmvıos existirte endlich zu Athen, er wurde aber erst von Kaiser Hadrian eingeführt; vgl. Pausan. I 18, 9. Tom. XXXII. Sagengeschichtliche Untersuchungen über Aiakos. 15 soll, angehört, und hat sich erst allmählich zum Namen des ganzen Volkes entwickelt. Dies aber — glaubt man — ist seit dem VIII. oder VII. Jahrhundert geschehen, zu der Zeit, wo das griechische Nationalbewusstsein sich zu regen begann und eine gemein- same Benennung für alle hellenisch redenden notwendig wurde; damals scheint man ja auch angefangen zu haben den Namen gdaopaoor für alle nichtgriechischen Völker anzuwenden '). Zu Anfang des VI. Jahrhunderts besass der Name °EAinvss sicher jene weitere Bedeutung ”), worauf hin die delphische Priesterschaft, die mittelgrie- chische Amphiktyonie und die Dichter mitgewirkt haben mügen?) ^ Auch scheint nach PRELLER-PLEW, a. a. O. II 392 die Sage von Deukalion und seinem Sohne Hellen zur Verbreitung des Namens der Hellenen beigetragen zu haben. Und Duncker, a. a. O. V 575, hat bemerkt, dass die lakedämonischen Dorier, die für wahre Hellenen gehalten werden wollten, ihrerseits dabei mitgewirkt haben. Eine nähere, wohl richtige Erörterung über die Entwickelung der Verbreitung des Hellenennamens findet sich bei Horn, Griech. Gesch. I 270, wo die oben berührten Umstände zusammengefasst werden '). Das betreffende Sagenmotiv knüpft also an diese erweiterte Bedeutung des Kult- namens des Zeus AavsAAjvıos an, der als Zeus „aller Griechen“ aufgefasst wurde. Un sere Sage ist also teilweise eine s. g. „etymologische“, da sie zur Erklärung eines Na- mens erfunden worden ist. Es ist aber wahrscheinlich, dass der Kultname — sei es Havellmvios Oder ‘EAAyjvios — auch auf Aigina ursprünglich die engere Bedeutung ge- habt habe, mit anderen Worten, die Bevölkerung der Insel Aigina braucht zwar nicht, wie öfters behauptet worden ist, „Hellenen* im engeren Sinne gewesen zu sein, es können dort aber doch einzelne Geschlechter gewohnt haben, die mit den phthiotischen Hellenen auf irgend eine Weise verwandt waren. Die Silbe ,z«»-^ muss nicht unbe- dingt eine so allgemeine Bedeutung einschliessen, dass man notwendigerweise an das ganze ‚Griechenland zu denken gezwungen wäre. „Panhellenios“ kann sehr gut ein ei- nem bestimmten Stamme zukommender Name sein und auf ähnliche Weise angewendet worden sein, wie z. B. die Festnamen Weaußowrıe, Hevıavıc, Havedyvere, die sich auf einzelne Landschaften, Stämme oder Städte beziehen (vgl. K. O. Mörner, a. a. O.); auch könnte der Berg Z«veweA4:oc herbeigezogen werden. Es ist sogar nicht ganz gewiss, dass der Name ZevéAAgvec jedesmal „alle Griechen“ bedeutet; wenigstens kann man Il. 530: HevéAAqvec xci Aycıovs an die ,Hellenen* im engern Sinne denken, wie !) Dass die betreffenden Benennungen fast gleichzeitig aufgekommen und sich gegenseitig bedingt haben, war schon die Ansicht des Thukydides; s. Lib. I cap. 3: où un ovdt Baoßdpovs sipmxs (sc. "Oungos), did to unôë "EAAnvas mo (óc uoi Óoxsi) dvrinahov els Óvouc aronerglodar. 2) Busorr, a. a. O. I 196. 3) DUNCKER, a. a. O. 57 ff, 215, 216 Anm. 1, PRELLER-PLEW, a. a. O. II 392, v. WILAMOWITZ, Oropos u. die Graer (Hermes XXI 1886) s. 114 Anm. 1, Ev. Meyer, Gesch. d. Altert. II 534, BUSOLT, a. a. O. I 272, v. WiLAMOWITZ, Amphiktionie v. Kalaurea 195, KRETSCHMER, Einleitung in die griech. Sprache 195, SCHÓMANN- Liesrus, Griech. Altert. I 7 ff. *) Das Verhältnis zwischen den Namen IIaveAAnvss und ”EAAnves anbelangend, halten K. O. MÜLLER, a. a. O. und CHrisr, Homer und Homeriden (Abh. bayr. Akad. XVII 1886) s. 173 den ersteren, Ep. MEYER, a. a. O, 535 dagegen den letzteren für jünger. N:o 8. 16 Epv. REIN. die Stelle in der Tat von Æustathius im Gegensatz zu Zenodot erklärt wird. Freilich muss man wohl das erste bei Archilochos fr. 49 (52) annehmen — eine Stelle, die fast aus derselben Zeit stammt wie die eben berührte Ilias-Stelle; vgl. K. O. Mörner, a. a. O. 115, Duncker, a. a. O. 216 Anm. 1, Er. Meyer, a. a. O. II 534 1). — Welches aber das Verhältnis zwischen den mutmasslichen hellenischen Geschlechtern auf Aigina mit ihrem „hellenischen“ oder ,panhellenischen^ Zeus-Kulte und den thessali- schen Hellenen gewesen sei, lassen wir bei dieser Gelegenheit unerörtert. Zu der Entstehung unserer Sage mag vielleicht auch der Umstand beigetragen haben, dass auf dem panhellenischen Berge vormals unter den Bewohnern der Gegend eine Art Opfergemeinschaft bestanden zu haben scheint, von der aber, nachdem die Macht Aiginas durch die Feindschaft der Korinthier und der Athener gebrochen war, keine Erinnerung geblieben ist”). Die Opfergemeinschaft mag dann zu jener Zeit bestanden haben, wo Aigina unter den griechischen Staaten einen bedeutenden Platz ein- nahm, d. h. etwa im VII. und VI. Jahrhundert. K. O. Mürser hat behauptet, die ganze Sage sei nach den Perserkriegen ent- standen. Er geht nämlich hier — ganz wie gelegentlich der Bildnisse im Aiakeion — von dem oben (s. 14) berührten Berichte Herodots über die Schlacht bei Salamis aus und polemisirt gegen die Ansicht, nach der der Grund dazu, dass die Griechen sich an die Aiakiden um Hilfe gewandt hätten, in einer schon existirenden Überlieferung von den Bitten des Aiakos liege. Er behauptet — a. a. O. 163 — im Gegenteil, die Sage sei im ganzen eben nach der Schlacht bei Salamis — die ja in der Tat ein „panhelleni- sches“ Ereignis war — und zwar infolge derselben entstanden *). Ungeachtet aber der eben ausgesprochenen Vermutung über die Entstehungszeit der Sage, der zufolge sie weiter rückwärts zu verschieben wäre, liegt keine innere Wahrscheinlichkeit vor sich diese Aiakos-Sage als aus jenem weltgeschichtlichen Ereignis entstanden zu denken. In dem herodoteischen Berichte spielt ja Aiakos selbst keine bedeutendere Rolle: er wird nur zusammen mit seinen Nachkommen um Hilfe gebeten. Und übrigens: der mythenbildende Sinn der Griechen ist zwar immer ausserordentlich rege und fruchtbar gewesen, es wäre aber dennoch merkwürdig, wenn der erste Impuls zu der Sage, die schon bei Isokrates ein altertümliches Gepräge trägt, von einem Ereignisse ausgegangen wäre, das nur etwa ein Jahrhundert vor der Rede, in der diese Sage erwähnt wird, stattgefunden hat. 1) Nach Strabo VIIL c. 370 hatte Apollodor behauptet, dass Homer einen gemeinsamen Namen der Hellenen noch nicht gekannt habe, wohl aber Hesiodos und Archilochos. Dabei wird gerade der oben zi- tirte Vers des letztgenannten angeführt. 2) Vgl. v. WILAMOWITZ, Die Amphikt. v. Kalaurea 195. 3) Vel. a. a. O. 158 ff. und oben s. 14. Tom. XXXII. Sagengeschichtliche Untersuchungen über Aiakos. 17 Il. Die Söhne des Aiakos beten um Heil für die Insel Aigina. Zu jener berühmten Sage von der Befreiung Griechenlands von der Dürre durch die Bitten des Aiakos fügen wir eine Pindar-Stelle (Nem. V 9 ff.), die einige Ahn- lichkeit mit jener hat. Sie lautet folgendermassen: av (sc. vv Aiyivar) mov! evavdgov vs xo) vavoızlvrav 3écc«vro ao Bœudr æatéooc Ellaviov oTavrss, mitray T Eis œidépa yeigas dud ’Evdaidos doiyvorss viol xal fia Doxov xoíovvoc, .. Der Scholiast führt zur Erklärung dieser Stelle ohne Bedenken jene allgemein bekannte Sage an: räv mov sÜavOÓgóv Te Tovriotw dyædodc &vügec !yovoav xol !vdokov TW vav- tikksodaı. S. 0 de vobc Nvvwa Aiyivar nVEavro dyadav avdonv Eerırvuyeiv xci Evdofov yevéo dar TE vavrızd. nl£avro OP wavrss map TÖV Ellaviov 4ióc Bœudv ‘Ellmriog Óà Zevs ruuaraı Ev Aiyivn nav” To ovrws ‘Ellprio dxowrnoin xcAovuíro. quoi ydo auyuod sors mıelovros ... ovveidovras voUc "Elinvas zadızsrsvoaı TOV Aiaxôv . . . eSaırjoaodeı TOV TÜTE GVOTÓVTOY xcxav viv iacu Toürov Oi sUEausvov drodsgaredocı TA Óswva, x. v. 4. (vgl. oben s. 3). Da Pindar ohne Zweifel eine Überlieferung berührt, die der Scholiast nicht kannte, erinnert der letztere hier an eine bekanntere, um doch etwas zur Erklürung an- zuführen. Es steht nämlich keineswegs ausser Zweifel, dass diese Motive eigentlich einunddasselbe sind. Die Szene ist nicht dieselbe; dort gehen die Abgesandten der Griechen den Aiakos an, um Hilfe für das ganze vom Unglück getroffene Griechenland zu erlangen, hier beten nur die Söhne des Aiakos, d. i. Peleus und Telamon (’Evdaidog viot), nebst Phokos für ihr kleines Vaterland, die Insel Aigina. Und hier gelten die Bitten nicht der Abwendung eines Unglücks, sondern nur dem Glück und dem Ruhm des Va- terlandes: es wird um Reichtum an guten Männern und Berühmtheit im Schiffswesen gefleht. Diese Verschiedenheit der beiden Traditionen ist in der Tat bemerkt wor- den, so von GERHARD, a. a. O. II 210, Wercerer, a. a. O. II 210 und Curisr, Pindari carmina 271 Komm. zu Nem. V 9 ff. Dessen ungeachtet nimmt der letzt- genannte, a. a. O. an, dass die beiden Versionen ihre Entstehung derselben Ursache ver- danken; er glaubt nämlich, das in der Vorhalle des Aiakeions befindliche (Relief-?) Bild (vgl. oben s. 13) gehöre nicht nur zu der bekannten Sage von den griechischen Abgesandten und Aiakos (vgl. oben), sondern auch zu der von Pindar berührten, sonst unbekannten Überlieferung. Die als Flehende dargestellten Männer wären also von Pindar für die Aiakiden, später aber, wie bei Pausanias erzählt wird, für griechische Abgesandte gehalten — eine Ansicht, der auch Eıserr bei Roscher, a. a. O. III 1533 (s. Panhellenios), beistimmt. Curisr begründet seine Ansicht durch einen Hinweis auf die plastische Natur der pindarischen Dichtung und äussert sich darüber fast überzeugend. Er sagt nämlich Schnitzel aus ein. Pindarwerkst. 16: „wer den plastischsten aller Dichter des Altertums kennt und sorgsam verfolgt hat, in welch anschaulicher Weise er teils neue Motive den Künstlern bietet, teils ältere Darstellungen der Kunst in seine Dichtersprache übersetzt, wird sich N:o 8. 3 18 Epv. REIN. gerade bei dieser Stelle^ (Nem. V 9 ff.) „kaum der Vermutung erwehren, dass dem Dich- ter hier eine alte Darstellung von Anbetenden auf einem Reliefbild der Insel vorgeschwebt habe“. Die Frage muss aber dahingestellt bleiben. Soviel sei jedoch gesagt. Jene bei- den Gegenstände, von denen der eine drei Jünglinge (d. i. die Aiakiden) vor dem Altar des Zeus darstellt, der andere Abgeordnete, die dem König Aiakos ihre Bitten vortra- gen, sind so verschieden, dass sie schwerlich aus einundderselben bildlichen Darstel- lung entstanden sein können. III. Die Fürsten Griechenlands unterwerfen sich der Oberherrschaft des Aiakos. Ohne Zweifel hat es ausser der Sage von der Errettung Griechenlands durch Aiakos und der Vorstellung von seinem Richteramte in der Unterwelt noch andere ge- geben, aus denen seine Frömmigkeit und Gerechtigkeit hervorgeht. ‘Während aber die sonst möglicherweise vorkommenden in Vergessenheit geraten sind, finden sich Spuren folgender dahin gehörenden Überlieferung. Bei Pindar Nem. VIII 7 ff. lesen wir nämlich: . ZBlaotev Ó' vios Oivavas faciAsüc xeıol xci (ovÀcic äoroTos' aoÂlé viv æolloi Aıtavsvov ideiv afoari y&Q roc UMWTO: KEOLVALETUÖVTWV ndJelov xsívov ys meideos avakiaıs Exüvres, oire xoavaaic Ev AYavaıcıy couotov oOTOUTUV, oi T ava Iaaorev Helorniadaı. Vgl. Schol. zu Pindar. Nem. VIII 14 (8 Curisr): HoAAd viv woAkoi Aıravavor ideir. rlsiora dé, noi, m0AÀol NStovv Jeucaodar TÓv Aiaxov, smsouyoVusvow vj ToU dvÓgOc sV- do&íg. x«l ydo vd dGvÜZuavc TOV NOWOV, OU4 Oi Tuxuvres, GÀÁ oi &x001 TOY stsQuOixO UV TOY cucynri xeidFeodar auto TJtiov xol xyoglc Toù xzoatNI var uy» S. oùTw Ouésposme, pyoiv, WOTE TOUS FTagoıxoVvras éxovoíoc meideodaı Tais dvakiaıc, TOVTÉVTL TAIS doyais x«l TAIS Bacı- Äsiaıs CUTOU. Der Ruhm des Aiakos als tapferer und gerechter König war so gross, dass die vornehmsten Leute — die ,Blüthe^ — der Gegend, freiwillig, ohne im Kriege besiegt zu sein, darein willigten seinen Befehlen zu gehorchen. Von dieser Tradition weiss man nichts Anderes, als was Pindar hier, wie gewóhnlich nur ganz kurz berührt. Der Scholiast (zu v. 19 [11 Curisr]) verbindet sie zwar mit der bekannten Sage von der Errettung Griechenlands von der Dürre: raöra då dvdystur sic Exeiva, 0v: ev yuóc ratécye Tv 'EAÀ«Óe xcl stEauévou voU Aiaxod duPooc éyeyôve. Und auch sonst, wo diese Sage erwähnt wird, fallen Jedem jene Worte Pindars ein; vgl. z. B. Isokrates: soosorovsc to» wolsav, Diodor: edv móAsov dysuóvsc U. S. W. Mit: jowwv coro. bei Pindar). Dasselbe 1) Dagegen kommt Aristides, IlpecfBevzuxóc mods AycAAén 43: Alanod ... eig ov mor 79s rà rÓv EAÀ vov zocyucere nicht in Betracht; aus dem Folgenden ev&ousvos @vnce geht hervor, dass hier nur von der Sage von der Dürre die Rede ist. Tom. XXXII. Sagengeschichtliche Untersuchungen über Aiakos. 19 hat man auch in jüngerer Zeit getan; so v. Wicamowirz, Die Amphikt. v. Kalau- rea 165 Anm. 1. Auch Carıst, Schnitzel aus ein. Pindarwerkst. 17 bezieht diese Pindar-Stelle ebenso wie die oben (s. 17) erwähnte (Nem. V 9 ff.) auf den ersten Teil der Sage von der Dürre, die „Pindar in etwas abgeleiteter Gestalt für einen ägineti- schen Siegesgesang verwertet“ habe. Auch diese Version soll nach ihm, a. a. O. 18, zur Erklärung des Denkmals des Aiakeions gebildet sein. Hier „folgte er bereits der spä- ter allein verbreiteten Auffassung“, während er in der früher berührten Ode (Nem. V) mit der Deutung der betenden Figuren „innerhalb des Geschlechts der Aiakiden bleiben zu müssen glaubte“, sie also für die Söhne des Aiakos erklärte. Es scheint jedoch, als ob wir hier weniger eine bestimmte Sage vor uns hätten, als vielmehr dass der Dichter nur den allgemeinen Sagenruhm, dessen sich der Heros Aiakos zu erfreuen hatte, berühren wollte. Dies aber hiess nichts Anderes als an die goldenen Zeiten zu erinnern, wo Aigina unter den griechischen Staaten eine so mächtige Stellung einnahm, dass die Nachbarn sich ihrer Leitung fügten. In der Person des Aiakos hat der thebanische Dichter den aiginetischen Staat, in dem er sich so heimisch fühlte, zu preisen im Sinne gehabt. Man hat wohl richtig in seinen Worten eine „wehmütige Erinnerung“ an die glänzende alte Zeit gefunden (vgl. CHrist, Schmitzel u. s. w. 18). Dass aber gerade die Herrscher des bergigen Athens und die Pelopiden Spartas genannt werden, ist natürlich von dem Dichter mit Bezug auf die damaligen politischen Ver- hältnisse gesagt; so bemerkt, ohne Zweifel zutreffend, hierüber Carıst, Pindari carm. 297, Athen und Sparta seien deswegen ausdrücklich genannt, „ut quantum interesset significaret inter Graecos principes olim sua sponte Aeaco iustissimo iudici obtemperan- tes et Aeginetas ceterosque Graecos nunc invitos superbis Atheniensibus oboedientes“. IV. Aiakos schlichtet den Streit zwischen Skiron und Nisos. Diese Tradition, welche wir aus Pausanias I 39, 6 kennen, ist von uns an ei- nem andern Orte — De Aeaco 38 ff. — erörtert worden, weshalb wir sie hier übergehen. V. Aiakos schliehtet die Streitigkeiten der Götter. Auch diese dunkle Tradition, die nur von Pindar, Isthm. VIII (VII) 24 ff. erwähnt wird, ist in anderm Zusammenhang bereits früher (Aiakos in der Unterwelt 21) von uns untersucht worden. N:o 8. 20 Epv. REIN. VI. Aiakos befestigt die Insel Aigina, Zu jenen Erzählungen, welche sich auf die Regierung des Aiakos beziehen, ge- hört auch folgende Notiz, die von Pausanias II 29, 5 ff. mitgeteilt wird: Igoorlsdocı Óà Alyıya sovr viov vv 'EAAqvióov drogwrarn mre: TE yàp Üpalor sol nûcar xcl yowpdósc Avsornzaoı. ungavnoaodaı 0? Ekewirndss Tara Aiaxov yacı Anorsıav Tor £x Ialdoons göm, x«i molsuioıs dvdodoı un ävev uvdvvov eivaı. Diese Tradition leitet ihren Ursprung offenbar aus der Natur der Insel her, die ringsum von verborgenen Klippen und Riffen umgeben war, und ist also wie K. O. MüLLER, a. a. O. 4, bemerkt, ätiologisch. Über die Zeit ihres Entstehens kann mit Ge- wissheit nur behauptet werden, sie sei gebildet, als Aiakos schon der berühmte Heros der Insel war. Natürlich ist die Verbreitung der Tradition hauptsächlich auf die Insel selbst beschränkt. VIL Aiakos hilft beim Bau der Mauern Trojas. Wir gehen jetzt zu einer Sage über, die mit den soeben behandelten nichts ge- mein hat. Als Poseidon und Apollon die Stadt Troja mit Mauern zu umgeben beabsichtig- ten, nahmen sie sich Aiakos zu Hilfe. Nachdem aber die Mauern fertig waren, stürm- ten drei Schlangen gegen sie an; von diesen geben zwei gleich das Leben auf, die dritte aber stürzt sich mit Gebrüll über die Mauer. Dies Wahrzeichen wird von Apollon auf folgende Weise gedeutet: Troja wird von jener Seite der Mauer erstürmt werden, welche von Aiakos erbaut worden war, und zwar von dessen Nachkommen. Diese Sage findet sich bei Pindar, Ol. VIII 30 ff. (Curisr), und wir setzen der Übersicht wegen gleich die ganze Stelle her: Awoısi la Tauızvoutvav EE Aiaxod Ave. f. ^ E € - > 12 - vüv Aas 6 Aatovs zvovusdov vs llocsió&v, "io uéllovtecs Ext ovtégavov Teû£ar xaAíGavTO ovvepyov TELYEOC, Tv ÖTL viv MEXQOHÉVOV vovvusvov æoléuor arolımoodoıs Ev uoc Adfpov durvsdocı xaxv0v. yA«vxol då Opdxovtec, Emei xtiodm, véor Es. p. aüoyor EoaAlöusvoı vosic, oi Óvo này xdmerov, avd d cvviouívo wvyac fiov: sic Ó' écogouce fococuc. £vvems Ó' &vvi0v ópucívov vous eU9Uc moAAov Hégyauos aug! vsc«ic, mowc, ysoóc Eoyaoicıs &ALoxevour wc Euoi paona Akysı Koovidæ xeupFiv Baovydovrov Auoc- Tom. XXXI. Sagengeschichtliche Untersuchungen über Aiakos. 21 oUx äTEO maidov céder, dÀÀ due TOWTOLS koferau Evo. y. xal TETOUTOLS. WC doa@ Jióc odqe« Feímouc Zavdor query p xal Apalovac sVímmOvc x«l $c ”Iotoov cÀavvov. ”Oocotoiawa à ev "Io9uo xovtiga “ou J00V Tavvev, aroriunov Alazov devo av immoıc yovosaıc, xal Kooivdov daoud émowousvoc OcurixAvTV. A vc. y. Die Erklürer stimmen darin überein, dass das Hauptmotiv dieser Sage an jene llias-Stelle anknüpfe, welche von der Erbauung der trojanischen Mauer durch Poseidon und Apollon handelt. Die betreffende Stelle — VII 452 ff. — lautet: Toù Ó' emılmoovraı, TV T éy® (sc. Hoosıdav) xci Doißos '4m0AAor em Aaouédortr woliooausv c9AÀQjcaves. Dies ist die Ansicht z. B. von DIissEN-ScHNEIDEWIN, Pindari carmina 112, und Curisr, Schnitzel u. s. w. 23 ff; Pind. carm. 64. Und zu dieser homerischen Stelle kónnte auch folgende bei Hesiod fr. 142 (Rzacu) hinzugefügt werden: "Léa vov 6 $qíàqos &va& 4ióc vióc "4moóÀAwv xci oí TOÛT Ovounv Orvou EuuEVvAL, OÖVEXA VÜU NV svoauevos ilewv uiydn éoaty yıloryrı, juartı TO, OTE Teiyos EUdWÉTOL0 æmoÂnoc udndöv xoinoe Hoosıdanv xal Aroikov!). In der Frage aber, wie es kommt, dass Aiakos in diesem Zusammenhang er- wähnt wird, gehen die Ansichten auseinander. Der Scholiast hat zu der zu behandeln- den Pindar-Stelle Folgendes bemerkt: édéwc quoiv 6 Aiduuoc xci tovtow yoÿodœ torv Hív- dapov' töv ydo Hloosıdova xal '4móàAova sic viv TOU TEiyovs zutuoxevnv quot TOV Alaxov m0ocÀcfsiv, iva dıa voírov vob gfoovc Tod Uno Aiaxoô oixodoumdérTos dAwoıwos yEryrau I “Loc. någ ovdevl då mQsofivréíoo Iıvdagov 7 iorogie. Vgl. Schol. Th. zu derselben Stelle [ABEL|: oidè cvuragalaupévovorr Aiaxov: dr jvrıva 02 aivíav, avtoc Atyer OT qv AETOWHÉVOV xooINIfva œûTv xcl aoadedoodar voi. Tovrov OP oUTOc OvTOC OUx NV FewiTÖV Eoyov FEV avdoov zaraßsßAnodaı ysocí dıa Toûto ovv ovunragtiaßov Aicxóv, iva Éx ToU doundEvros AUTO reiyovs aAmoıuos Eoraı 7 AO. Den Scholien folgend sagt auch Curisr, Pind. carm. Komm. zu derselben Stelle 64: „hoc novum Pindarus finxit, quod Aeacum a diis socium laboris adscitum esse dixit^. Und er fährt fort: ,cuius commenti quae causa fuerit, acute iam Didymus per- spexit: /ó/oc qnoiv x. v. A. ... Videlicet contra dignitatem et maiestatem deorum peccare Pindaro videbantur, qui opus a diis immortalibus factum ab hominibus mortalibus diru- tum esse dicerent.^ Er glaubt (vgl. Schnitzel u. s. w. 23), wie auch andere vor ihm (z. B. Mrzcer, Pindar 380), die Sage knüpfe an die Worte der Andromache Il. VI 433 ff. an: 1) Il. XXI 441 ff. dagegen rühmt sich Poseidon allein das Werk vollbracht zu haben, während Apollon die Herden Laomedons weidete. N:o 8. 22 Epv. REIN. A«óv då oTh00v mag’ Egıvsov, £v9e Wuota Cu[leróc sov. aoAıs xcl Emidpouor imÀsTO Teiyoc x. v. À. Diese Ansicht aber, der zufolge die Sage von der Teilnahme des Aiakos an der Erbauung der trojanischen Mauer von Pindar selbst erfunden wäre, ist nicht wahrschein- lich, obgleich es allgemein bekannt ist, dass die alten Sagen, besonders wenn sie gegen die erhabene Auffassung des Dichters von den Göttern stritt, von diesem häufig verän- dert oder gar verworfen wurden 7. Denn wenn der Dichter der gewóhnlichen Tradition hier etwas Neues oder Unerhörtes hätte entgegenstellen wollen, hätte er es deutlicher gezeigt. So etwas lässt sich aber nicht nachweisen; im Gegenteil scheinen die Worte SEO diaxoi vv meic d Auroûc x. v. À. anzudeuten, dass es sich um eine bekannte Sage handelt. Und es wäre in der Tat auffallend, wenn ein Fremder, wie Pindar, den Ai- gineten neuerfundene Sagen über ihren Inselheros vorgeführt hätte. Es dürfte wohl also wahrscheinlicher sein, dass, wie man bei Dissex-SoaNEIDEWIN, a. a. O. 112, liest, die Sage der aiginetischen Lokaltradition entnommen worden ist. Und diese kann schon von den aiginetischen heimischen Dichtern behandelt worden sein. Auch wi- derstreitet dies eigentlich nicht dem eben angeführten Zitate des Scholiasten; zur Zeit des Didymos, auf welche dies Pindar-Scholion wie so viele andere *) zurück- geführt wird, mag Pindar als der älteste Autor erschienen sein, da die aigineti- schen Lokalgedichte schon der Vergessenheit anheimgefallen waren. Dass Pindar ein- heimischen Dichtern gefolgt sei, ist auch darum wahrscheinlich, weil er wenigstens zwei von ihnen erwähnt, Timokritos (Nem. IV 13) und Euphanes (Nem. IV 89) °). Im Einzelnen mag Pindar eigene Erfindungen dargeboten haben; so z. B. ist wohl das Schlussmotiv, wo Aiakos auf dem Wagen Poseidons nach Hause zurückgesandt wird, von ihm erfunden worden. Dagegen scheinen die bei der Bauarbeit auftreten- den Schlangen eher zu einer älteren Vorstellung zu gehören. Doch dürfte man hier kaum an einen angeblichen uralten Zusammenhang zwischen den Aiakiden und den Schlangen (resp. Drachen) denken *). Nach Pindar weiss man nur von einem Dichter, der dieselbe Sage behandelt hätte, dem Alexandriner Æuphorion, worüber der Scholiast zu Pind. Ol. VIII 41 sagt: 6 62 Eíqooíov gyoiv- ‘H uiv dn Doißos vs Hoosıdanv T £xalsooav Aiaxbv, oUx dfónJu wöhıos zondsuva d&wovres>). Dass dieser aber den Pindar benutzt hat, liegt auf der Hand. Wir wollen nun nachsehen, wo diese Sage von der Teilnahme des Aiakos an dem Gütterwerk entstanden sein mag. 1) Vel. z. B. CHRIST, a. a. O. und DECHARME, Mythologie de la Grèce antique préf. 1X. 2) CHRIST, Gesch. Griech. Litt. 184. 3) Vel. CHrıst, Pind. carm. prol. XOVI, Gesch. Griech. Litt. 179 Anm. 2. 3 Ein Drache begleitet Aias, den Sohn des Oileus, welcher vielleicht auch ursprünglich ein Aiakide ist (vgl. De Aeaco 51 ff); vgl. RÜCKERT, a. a. O. 134. Den Namen ’AyıAlevg hat MANNHARDT als ’Ayıkkoyovog, ,Schlangensohn* (ahis — !yıs-ayiAn) erklärt; siehe EscHER bei PAULY-WISSOWA, a. a. O. I 222 s. Achilleus). 5) Das Zitat wird in den Scholien etwas verschieden angegeben. Tom. XXXII. Sagengeschichtliche Untersuchungen über Aiakos. 23 Es ist unzweifelhaft, dass die homerische Sage von der Erbauung der trojani- schen Mauer zu den trojanischen Lokaltraditionen gehört: Apollon ist ja in der Ilias der Schutzpatron Ilions '), und Poseidon hatte wahrscheinlich dort auch einen Kultus *). Wie verhält es sich aber mit Aiakos? Gehört er wirklich dem troischen Sagenkom- plexe an? Dies ist in der Tat die Ansicht Grurres, a. a. O. 90, 309. Es scheint nämlich festzustehen, dass Lokrer von Opus an den Gründungen auf dem Festlande Kleinasiens Teil genommen haben °); und so wie sie „eingreifend bei der Gründung von Kyme und Smyrna mitgewirkt hatten“ *), sollen sie nach Grurre auch Troja gegründet haben. Davon zeuge unter anderem sogar der Name ”/Aros, der aus dem Beinamen Apollons FaAséc, d. h. Oëeuc, einem in Lokris vorkommenden Namen, herzuleiten sei’). Und es muss vor allem hervorgehoben werden, dass noch später zwei Jungfrauen edlen Ge- schlechts jährlich aus Opus nach llion gesandt wurden, um Hierodulendienste im Tem- pel der Athene zu verrichten; vgl. Gxurpr, daselbst 310. Nun aber glaubt dieser, Aiakos hätte von Anfang an den opuntischen Lokrern angehört und sei also von diesen nach Troja gebracht worden. Über die hier zu behandelnde Sage stellt er also folgende Hypothese auf. Er behauptet, a. a. O. 90, die Verbindung zwischen Apollon und Aiakos sei so eng, dass dieser Name aus einer &wixAnoıs Apollons — AicFiodos — entstanden sei, oder aber Aiazos sei nichts als ein Kultusname Apollons. Von diesem , Apollon Aiakos“ seien die Mauern Trojas erbaut worden, dieser aber ist nichts anders als , Apollon Ileus“; siehe a. a. O. 613. Auch darf man nicht übersehen, dass die Tochter des Königs Krotopos, Psamathe (ein Name, der in der Genealogie der Aiakiden auftritt), durch Apollon die Mutter des Linos geworden sein soll; vgl. De Aeaco 74. Nach Grurres Ansicht muss Aiakos in Troja einen Kultus gehabt und dann wohl in dem troischen Sagenkomplexe eine Rolle gespielt haben, was übrigens schon GERHARD, a. a. O. II 196 angenommen hatte?) Dies ist aber keineswegs über allen Zweifel erhoben. Es ist nämlich kaum wahrscheinlich, dass Aiakos in der ganzen Dias nur einmal (XXI 189) erwähnt worden wäre, wenn er zu den trojanischen Kultus- heroen und Sagenfiguren gezählt wurde. Auch jene Stelle, wo übrigens nur sein Name ') Vel E. H. Meyer, a. a. O. II 114. Hierher gehört wohl diese /lias-Stelle, wo Glaukos Apollon anruft (XVI 514 ff.): xÀv9u, dvaE, Oc mov Avains iv níov. Óónuo S y" tig, n éviTooir ... ?) Über den Neptunus-Kultus in Troja vgl. z. B. Vergil, Aen. Lib. II 201. *) DUNCKER, Gesch. d. Altert. V 164 ff. i +) DUNCKER, a. a. O. 209; vgl. 365. : 5) OZevs; wird von Hesiod und Stesichoros ']isvg genannt; s. Schol. Il. © 15 ( Townl.), Eustath. Comm. in Il. B 527, Etym. Gud. s. 276 v. 41 ff. und Comment. byz. in art. Dionys. 8 12 (Gramm. Graec. rec. HILGARD) III 575; vgl. auch UsENER, Götternamen 16 und TURK bei ROSCHER, a. a. O. III 1. 5) Wenn GERHARD aber, a. a. O., sagt: ,Es war Schicksalsbeschluss, dass Troja durch dies Geschlecht (se. der Aiakiden) fallen sollte: Laomedon hatte, wie an Apollo und Poseidon, so auch an Aeakos gefre- velt ...*, so stützt er sich unseres Wissens auf keine antike Tradition. j N:o 8. 24 Epv. REIN. genannt und seine Abstammung von Zeus sowie seine Nachkommenschaft erwähnt wird, führt uns nicht nach der trojanischen Küste; sie erinnert uns vielmehr an uralte mittel- griechische Genealogien. Und überhaupt tritt ja das Geschlecht des Aiakos bei Homer bekanntlich als Feind Trojas auf. Es wäre überhaupt sehr auffallend, wenn — sei es ein , Apollon Aiakos“ oder ein von dem Gotte schon losgelöster Heros Aiakos — in Troja verehrt gewesen wäre. Ist ja der bei Homer vorkommende Apollon stets den Griechen und besonders dem Aiaki- den Achill feindlich, ja fast am feindlichsten gesinnt von allen Göttern. Nach der spä- teren Überlieferung wurde Achill von Paris mit Hilfe Apollons getötet — eine Über- lieferung, die auf die Ilias zurückgeht; der Untergang Achills durch die Hand Apollons wird schon hier von Thetis geweissagt, s. z. B. Il. XIX 415, XXI 276, XXII 359, XXIII 8071). Ja, die allgemeine antike Auffassung war, dass Apollon überhaupt in das Geschick der Aiakiden verderbenbringend eingegriffen und zu ihrem Tode mitgewirkt habe; vgl. z. B. Pausan. Y 13, 8: Ouvua Ó ou Tov xcAovuírvov Alazıdav avroig zard vd avta ix Toi Jeoû ovußnvaı viv veheutiv, & ye Ayıllda uiv "Oungoc (sic!) dad ’Als- Edvdgov quoi vo) llouíiuov xc) "4móAAevoc dmoléoÿœ, Ilídóov à vÓv ‘Ayshléoc I Hv9ía moocéraËer dwoxreivan Aehyoic, ...?) Es wäre somit merkwürdig, wenn an demselben Orte, wo Apollon verehrt wurde, auch Aiakos einen Kultus gehabt hätte, obgleich es andererseits eine bisweilen konstatirte Tatsache ist, dass eine enge Kultusverbindung ein feindschaftliches Verhältnis in der Sage nicht ausschliesst, wie wir auch bald sehen werden. Man hält überdies den troischen Apollon für eine von dem griechischen ur- sprünglich verschiedene Gestalt. Er ist nach Ep. Meyer, a. a. O. II 246, ein an der ganzen kleinasiatischen Küste von Troas bis nach Milet verehrter einheimischer Orakel- gott, in dem die griechischen Kolonisten ihren Apollon wiedererkannt haben sollen *). 1) Bezeichnend ist folgende angeblich aus dem "Ozàov zoíe:g des Aischylos stammende Ausserung der Thetis bei Platon, Rep. IL p. 383 A: “yo To Boißov Feivov dprvdès aróuo manon slvar uavrıRn Bovor réyvgr 0 À avros duv@v, avtos Ev Holy xopov, œdrdg Tod timor, aurög Eorıw Ó xrovàv rüv Aida TO Euov. Eine rationalistische Erklärung des Vorgangs kommt bei Servius, comm. in Verg. Aen. VI 57 vor: qui (sc. Achilles) quum amatam Polyxenam in templo aceipere statuisset, insidiis Paridis, post simulacrum latentis, oceisus est. Unde fingitur quod tenente Apolline Paris direxerit tela. — Dieselbe Notiz hat aus Servius Myth. Vat. 1 36 (Achilles) geschöpft. 2) So sagt Apollon bei Eurip. Orest. 1655 ff.: Fdaveiv yo aùr® (To NeomroAéuo) uoige Askqu® Eiper, Öinas ' Ayilécog morgoóg ÉÉMITUUNTÉ ut. Vgl. GERHARD, a. a. O. 203, PRELLER-ROBERT, a. a. O. I 275, PRELLER-PLEW, a. a. O. II 437, 467. 3) Dieser einheimische Gott war vielleicht jedoch ursprünglich nicht einer, sondern vielmehr aus vielen Lokalgottheiten zusammengesetzt; bei Milet z. B. wurde ein (karischer?) weissagender Gott verehrt (vel Duncker, a. a. ©. V 201), so wie die Teukrer „an ihrer Küste zu Killa, Chryse und Thymbra* einen Tom. XXXII. Sagengeschichtliche Untersuchungen über Aiakos. 25 Und daher erklärt es sich, dass „im Epos Apoll, der von den Aeolern und überhaupt allen Griechen so eifrig verehrte Gott, doch der Schirmgott der Troer und der Haupt- feind der Achaeer* ist. Mit diesem fremden Gotte konnte Aiakos aber schwerlich ei- nen gemeinsamen Kultus haben; es müsste dies denn geschehen sein, nachdem der troische Lokalgott mit dem griechischen Apollon verschmolzen war. Dies ist wohl in der Tat die Ansicht Grurpzs; vgl. z. B. a. a. O. s. 309. Wenn es nicht zu beweisen ist, dass Aiakos im troischen Kulte oder in den ge- nuinen trojanischen Sagen eine Rolle gespielt hat, muss man eine Hypothese aufstellen. Wir erinnern also zuerst wieder an die Verbindung des Aiakos mit Apollon. Denn wenn jener auch dem asiatischen Gotte fremd gewesen ist, so hat doch ohne Zweifel ein Zusammenhang zwischen ihm und dem griechischen Apollon bestanden, wenn dies Verhältnis auch nicht so eng gewesen ist, wie von (GmurrE angenommen wird. In Thessalien wurde Apollon von denselben „Achäern“, zu denen Achill gehört, verehrt '), auch weiss man, dass dieser Gott der Beschützer des amphiktyonischen Bundes war, zu dem unter anderen auch die eigentlichen „Achäer“, Lokrer und Malier zählten ^). Noch scheint die Sage von Achill und Kyknos auf den apollinischen Kultus bezogen zu sein ?). Und wenn Neoptolemos auf Anstiften Apollons entweder von Orest oder den delphis- chen Priestern getötet wird‘), so hat dabei vielleicht die homerische Dichtung mitge- wirkt; es muss daneben im Volksbewusstsein ein freundschaftliches Verhältnis zwischen ihnen existirt haben, da Neoptolemos nach der Tradition unter der Schwelle des del- phischen Tempels begraben lag und dort lange Zeit einen Kultus hatte "). Und wenn wir soeben einen Gewährsmann für die Feindschaft Apollons mit den Aiakiden zitirt haben, so kónnte man eine andere Stelle anführen, die von der vom Schicksal bestimm- ten Genossenschaft zwischen Apollon und Neoptolemos erzählt; es ist dies Schol. Pind. Nem. VII 62 (42 CHRIST): xotxov Qv TÖV Åiazdov Tiv& xcl Oysılousvov Ovvorzov Eva ro ”Anokkovr. Die Verbindung zwischen Aiakos und Apollon kann also ziemlich alt sein — eine Annahme, die aber streng genommen nicht ganz sicher ist, da wir ja nur von Sonnengott angerufen haben (vgl. DUNCKER, a. a. O. V 309). Diese letztere Figur ist es besonders, von wel- cher hier die Rede ist. 1) GERHARD, a. a. O. I 38, CurTIUS, Griech. Gesch. I 99. 2) CURTIUS, a. a. O. I 459. 3) v. WILAMOWITZ, Euripid. Herakl. II 31. +) Vgl. oben s. 24. Siehe überhaupt WEIZSÄCKER bei ROSCHER, a. a. O. III 172 s. Neoptolemos, wo die Autorenstellen zu finden sind. 5) Euripid. Androm. 1239 ff, Didymus bei Schol. Pind. Nem. I 46 (= fragm. 48, SCHMIDT s. 234); vel. Schol. Pind. Nem. VII 46 ff. (CHRIST), Pausan. X 24, Strabo IX 421, Heliodorus, Aethiop. IL 35 ff., GERHARD, a. a. O. II 47, 203, WIDE, a. a. O. 292. Tôprrer, Thargeliengebrüwche (Rhein. Mus. 43, 1888) s. 144 ver- mutet, dass die bei Æuripid. Androm. 1128 vorkommende Tradition von der Steinigung des Neoptolemos aus dem apollinischen Kulte angehörenden Zeremonien entstanden sei. Ein Zeugnis dieses Kultes ist vielleicht die Tatsache, dass der Name A4/exíógg noch in später Zeit in Delphi auftritt; so z. B. Iludior Alunıddao, s. Mitth. Arch. Inst. Athen. Abt. I 337, vel. Sirrz, Die Griechen im Troerlande und das homerische Epos (Philologus 1885 209 Anm. 35); Alanidag BaßvAov, s. Bull. de Corr. Hell. XXII 1898 s. 22. Der Name Alaxid« kommt übrigens sehr oft in dem delphischen Archontenverzeichnisse vor; s. POMTOW bei PAULY-WISSOWA, a. a. O. IV 2655 ff. s. Delphoi. N:o 8. , 4 26 Env. REIN. einigen Aiakiden ganz bestimmt wissen, dass sie in naher Beziehung zu dem delphischen Gotte gestanden haben '). Vorläufig müssen wir uns mit der Vermutung begnügen, dass diese Sage auf Aigina entstanden ist, d. h. zu einer Zeit, wo der Heros Aiakos schon nach Aigina gebracht worden war. Wir wissen nämlich aus Pythainetos bei Schol. Pind. Nem. V 81 (44 Curisr), dass Apollon auf Aigina unter den Namen oiziorys und douarirye verehrt wurde *). Er muss also auf jener Insel als der Erbauer (von Häusern, Mauern u. s. w.) angesehen worden sein, und vielleicht sollten gerade die Mauern der Stadt Aigina von diesem Gotte erbaut worden sein. Dann aber wäre es keineswegs merkwürdig, wenn der Lo- kalheros Aiakos an derselben Arbeit Teil genommen hätte. Dies ist nämlich eine Funk- tion, die in den griechischen Gründungslegenden auf verschiedene Heroen übertragen wird. So hilft z. B. Lokros dem thebanischen Helden Amphion und Zethos beim Bau der Stadt Thebä *). Und aus der nahegelegenen Stadt Megara kennt man eine unserer Sage ähnliche Tradition, nach welcher der megarische Lokalheros Alkathoos zusammen mit Apollon die Mauern der Stadt Megara erbaut haben soll, wie man bei Pausanias I 42, 1 ff. liest‘). Noch eine ähnliche argivische Sage wird von Pausanias I 43, 7 erwähnt, und sie soll nach GmurrE, a. a. O. 90, eben unserer Sage nachgebildet sein. Dass aber gerade Aiakos zu dieser Götterarbeit herbeigerufen wurde, ist natürlich eine Folge -davon, dass er der berühmteste einheimische Heros auf Aigina war und wegen seiner Frömmigkeit und Vertrautheit mit den Göttern bekannt war. Die Erklärung Rücxerrs, Trojas Ursprung u. s. w. 134, hierüber entbehrt jeder Stütze; die Aiakiden sollen nach ihm ursprünglich die Winde bedeuten und in dieser Eigenschaft sowohl als Zerstörer wie Aufbauer (sic!) von Häusern, Mauern, u. s. w. auftreten. Wie man sieht, ist der Schluss ebenso haltlos wie die Prämissen. Nachdem aber die von uns hypothetisch angenommene aiginetische Überlieferung einmal zur Hand war, konnte sie unschwer mit der homerischen Version, die fast des- selben Inhalts aber viel berühmter war, verschmelzen ”). Dies ist aber nicht in uralter Zeit geschehen. Vielmehr wären wir geneigt bezüglich dieses Gegenstandes dieselbe Annahme zu hegen, die über die Teilnahme des Peleus und Telamons an der Expedition 1) Jedenfalls weiss man nichts davon, dass Aiakos selbst in dem apollinischen Kulte zu Delphi einen Platz gehabt hätte; so tritt er, soviel uns bekannt ist, nicht auf den Wandbildern der knidischen Halle zu Delphi auf (vgl. Verf. Aiakos in der Unterwelt 13), obgleich hier unter anderm die Taten des Neoptolemos dargestellt waren (vgl. MOMMSEN, Delphika 233). 2) Vel. WiDE, a. a. O. 46. Über den aiginetischen Apollon vgl. auch GERHARD, a. a. O. I 45. 3) Pherekydes bei Schol. Hom. Od. XI 326. +) Vel. Ciris 105 ff, Ovid. Met. VIII 14, K. O. MÖLLER, Prolegomena 134, USENER, Sintfluthssagen 69. Bei Theognis aber kommt diese Version noch nicht vor: Qoifs dvoE, aurog uiv Envoywoag TOM xmv, ”Aknadow Ilélonos mul yupéouevos. *) Ob Poseidon in dieser hypothetischen aiginetischen Tradition aufgetreten sei, ist nicht zu ent- scheiden, vielleicht ist er von Pindar der homerischen Tradition entnommen. Dieser Gott hat, wie bekannt, gewóhnlich eine Rolle in solchen Sagen — eine Tatsache, deren Grund bei PRELLER-PLEW, a. a. O. I 585, erklärt wird. Tom. XXXII. Sagengeschichtliche Untersuchungen über Atakos. 27 des Herakles gegen Laomedon in Troja von v. Wizamowirz geltend gemacht worden ist, wenn er behauptet, dies sei im VI. Jahrhundert, zur Zeit der Hegemonie der Aigineten und unter deren Mitwirkung geschehen '). Damals, oder eher schon im VII. Jahrhundert — denn dies war wohl die Glanzzeit Aiginas ^) — wäre also diese Sage von Aiakos als Genossen der Götter bei der Erbauung der trojanischen Mauer unter den Aigineten entstanden. Und dies hat unschwer geschehen können. Denn da besonders die Grosstaten Achills um Troja in der Ilias besungen wurden, und die Telamons (und vielleicht Pe- leus’) in den späteren epischen Gedichten gepriesen wurden, lag es nahe auch den Ahn des sagenberühmten Geschlechtes, Aiakos, in den Geschicken derselben Stadt eine Rolle spielen zu lassen. Durch die Vermittelung der Aiakiden ist also vielleicht Aïakos nach Troja gelangt, d. h. der Grossvater ist nach den Söhnen und Enkeln dort heimisch geworden. Was den Ursprung der betreffenden Sage anbelangt, müssen wir uns wieder der Worte Didymos’ erinnern, die wir aber nicht auf die Rechnung Pindars, sondern auf die der Aigineten des VII. Jahrhunderts setzen. Der Umstand, dass die Mauer Trojas, die nach Homer ein Götterwerk sein sollte, nach den späteren Sagen von Menschen zerstört wurde, liess leicht die Vermutung entstehen, dass wenigstens ein Teil des Werkes von sterbli- cher Hand errichtet worden sei. Die Auffassung von den Göttern war ja im europäischen Griechenland ernster als im heitern Ionien, wie sie uns in den homerischen Gedichten entgegentritt; das geht bekanntlich aus Hesiod hervor, um gar nicht von der im VI. Jahr- hunderte im eigentlichen Griechenland auftretenden tiefen religiösen Bewegung zu spre- chen. Dieser aiginetischen Überlieferung ist also, wie gesagt, Pindar ohne Zweifel gefolgt. Man hat behauptet, dass aus dieser Sage etwas für die Erklärung der älteren troischen Geschichte zu gewinnen wäre. So hat z. B. Réckzmr, a. a. O. 126 ff., eine ganze Hypothese von der Einwanderung der ,Ajantiden* von Salamis, deren „Ahnherr Aea- kos" „den Laomedon Trojas Mauern erbauen hilft“, d. h. „die salaminischen Ajantiden helfen die Mauern Trojas bauen u. s. w.“; vgl. 183. So auch GeruArD, a. a. O. 190: „Unter allen ... Heldengeschlechtern ... ist keines von solcher Bedeutung wie das ... bei Trojas Erbauung mitwirkend bethätigte der Aeakiden.“ Selbst Currius, Griech. @esch. I 83, findet in dieser Sage einen geschichtlichen Kern: „Mit Lykien und Troas sind die Achäer durch den Stamm der Teukrer verbunden und achäische Heroen, wie 1) Euripid. Herakl. I 32; vgl. Verf. De Aeaco 56 Anm. 5. Auch bei PRELLER-PLEw, a. a. O. 232, wird behauptet, Peleus und Telamon seien spät in die troische Sage eingerückt. Die Sage von der Unternehmung des Herakles gegen Troja, die in den älteren Partien der Ilias nicht erwähnt wird, ist sicher verhältnismäs- sig jung; vel E. H. Meyer, a. a. O. IL 411. Und v. WiLAMOWTITZ, a. a. O. 44 Anm. 76, nimmt an, dass .diese Erzählung von der Befreiung der Hesione nach dem Beispiel der Perseus-Sage gebildet worden ist. Anders ist freilich die Ansicht GRUPPES, a. a. O. 309, welcher glaubt, Telamon sei schon in Lokris mit He- sione verbunden gewesen; vgl. 493: ,Vielleicht haben schon die Lokrer davon gesungen, wie der Ahnherr ihres Fürstenhauses Telamon die Hesione von dem Ungeheuer befreite ...* Nach ihm werde ursprünglich nur über die Expedition Telamons nach Troja berichtet, und Herakles sei erst spät hinzugekommen; s. 493 Anm. 5. Er führt jedoch, a. a. O., auch eine andere Hypothese hierüber an. ?) Ep. MEYER, a. a. O. II 538, Busorr, a. a. O. I 451. N:o 8. 28 Epv. REIN. Aiakos, helfen selbst an der Mauer von llion bauen“ ') Wenn aber unsere Hypo- these von der Entstehung der Sage richtig ist, so hat sie mit der Geschichte Trojas nichts zu tun. VIII. Aïakos als Entdecker des Goldes und Silbers. Wir gehen nun zu den Sagen über, in denen Aiakos eine Entdeckung zuge- schrieben wird. Ehe wir aber an diese herantreten, wollen wir an folgende Worte Ty- LORS erinnern, aus denen einleuchtet, welch geringen Wert man bestimmten Namen von Erfindern überhaupt beimessen darf. Er sagt nämlich (s. Anfänge der Cultur übertr. v. Srexcez und Poske 388): „Alle Menschen empfinden, wie sehr einer Ge- schichte der Eindruck der Wahrheit abgeht, wenn ihr eine Person fehlt, an die sie an- knüpfen kann ... So kommt es denn, dass eine der Hauptpersönlichkeiten, die man in den Traditionen der ganzen Welt findet, wirklich kein Anderer ist, als eben dieser Je- mand. Es giebt nichts, was dieses wunderbare Geschöpf nicht vollbringen kann .. Solche Gruppen von Erzühlungen geben ein hübsches Zeugniss über den Werth blosser Ueberlieferungen von Eigennamen, die nichts weiter sind, als Antworten auf die Frage, welche die Menschen seit Jahrhunderten über den Ursprung ihrer Religionsgebräuche, ihrer Gesetze, ihrer Sitten, ihrer Künste gethan haben .. .“ Man erzählte nämlich von Aiakos, er habe das Gold oder das Silber erfunden. So lesen wir bei Plinius, Nat. Hist. VII 197: argentum invenit Erichtonius Athenien- sis, ut alii Aeacus, auri metalla et flaturam Cadmus Phoenix ad Pangaeum montem, ut alii Thoas aut Aeacus^) in Panchaia aut Sol Oceani filius, cui Gellius medicinae quoque inventionem ex metallis assignat. Und bei Hygin., fab. OCLXXIV steht: Cadmus Agenoris filius aes Thebis primus inventum condidit, Aeacus *), lovis filius, in Panchaia in monte 'laso aurum primus invenit, quod Erichthonius Athenas primum attulit ..., und bei Cassiodor. IV 33: primi enim dicuntur aurum Aeacus, argentum Indus rex Scythiae repperisse et humano usui summa laude tradidisse. Wenn wir die Verbesserung der Hygin-Stelle billigen, haben wir die Tradition von der Entdeckung des Goldes durch Aiakos bei allen drei Schriftstellern. Nur Plinius kennt zugleich die Erfindung des Silbers. Es lässt sich nicht nachweisen, woher die Notiz von Aiakos als Erfinder des Goldes stammt. Als Quelle des Erfinderverzeichnisses hat *) Und wenn RÖCKERT, a. a. O. 238, die bei Pindar vorkommende Wahrsagung Apollons aus einem wirklichen Orakelspruch herleiten will, kann das nicht richtig sein. Die Stelle lautet folgendermassen: ,Den Troern mochte wohl nichts gutes ahnen, als zuerst die geübten Achäer sich in ihrer Nähe festsetzten und es lässt sich denken, dass . . . die troische Sibylle zu Mermessos den Fall der ... Stadt vorher verkündigte ... (Das trojanische Pferd ein Orakel) Ein ähnliches Orakel mochte den Untergang der Stadt durch Aeakos Nachkommen auf das vierte Geschlecht nach Erbauung der Stadt anberaumt haben*. ?) Aeacus ist UrmrcHs' Konjektur; s. DETLEFSEN, Plin. Nat. Hist. Anm. zu VII 197. 3) In der Schmipr’schen Auflage steht Sacus, das von MUNCKER umgeändert worden ist; vgl. KNAACK, Studien zu Hygin (Hermes 1881) s. 594, KREMMER, De Catalogo heurematwm 67. Tom. XXXII. D © Sagengeschichtliehe Untersuchungen über Atakos. man die griechischen Heurematographen angesehen '), unter denen besonders Strato zu nennen ist?) Daneben erwähnt Plinius selbst „Aristoteles, Theophrast, und andere“ °). Wo aber Aiakos in der genannten Eigenschaft vorgekommen sei, ist bei der grossen An- zahl von möglichen Gewährsmännern nicht zu entscheiden; auch weiss man nicht, ob er bei demselben Schriftsteller als Erfinder beider Metalle aufgetreten ist. Der Hygin-Katalog stammt möglicherweise von Plinius. Man kann dies jedoch nicht mit voller Bestimmtheit behaupten, denn über die Zeit des Mythographen Hygin ist ja nur so viel bekannt, dass er vor dem Jahre 207 n. Chr. geschrieben haben muss; s. Scuawz, Gesch. Röm. Litt. IT 1, 338. Und ausserdem ist als Entdeckungsort des Goldes zwar an beiden Stellen Panchaia genannt, die Orte aber der Entdeckung des Silbers und Kupfers sind verschieden. Wir können nur so viel sagen, dass sowohl Pli- nius wie Hygin auf dieselbe Klasse von Schriftstellern, die Heurematographen, zurück- gehen ') Dass aber Cassiodor aus dem hyginianischen Kataloge geschöpft hat, ist wahr- scheinlich, obgleich er dies Kapitel „in einer ausführlicheren Recension las ...“; s. Kwaack, Studien zu Hygin (Hermes XVI 1851) s. 589°). Überhaupt verhült es sich ja so, dass es betreffs der Namen der Erfinder und Ent- decker keine bestimmte Überlieferung giebt, und dass einunddieselbe Entdeckung verschiede- nen mythischen Persönlichkeiten zugeschrieben wird. So wird die Entdeckung der Me- talle auch anderen als den von Plinius erwähnten zugeteilt, s. z. B. LonsEck, Aglaopha- mus I 168. Man erzühlte darüber in den verschiedenen Gegenden Griechenlands auf verschiedene Weise; wo es nur eine Grube gab, konnte sich eine Legende entwickeln, da jede Stadt, jedes Dorf u. s. w. ihrem Lokalheros die Entdeckung derselben zuschreiben wollten. Dazu kommt, dass in den fraglichen Berichten die Volkstradition und die ge- lehrten Kombinationen sich vielfach kreuzen. Was die vorliegende Überlieferung betrifft, scheint es jedoch, als ob ein realer Grund dazu anzuführen wäre, der in der Tat bemerkt worden ist. Nach Törrrer bei Pauzy-Wissowa, a. a. O. I 924 s. Aiakos, hängt sie nämlich mit der auf Aigina früh eingeführten Münzprägung und Silberwührung sehr deutlich zusammen ^). Und diese Hypothese ist wohl richtig. Denn das aiginetische Geld, anfangs aus Silber, spä- 1) KREMMER, a. a. O. 100. 2) KREMMER, a. a. O. 103. Dieser Jünger Theophrasts hat soi evenuarwo» oder evenudzon EAsyyoı duo geschrieben; vgl. MÜLLER, Fragm. Hist. Graec. I 369. 3) Ferner soll Plinius nach KREMMER, a. a. ©. 103, aus den Schriften regt edenuaro» des Heraklides und des Philostephanos entlehnt haben. Vielleicht hat er auch den Ephoros benutzt; s. KREMMER, a. a. O. 104 Anm. 1. Dagegen scheint Varro nicht seine Quelle zu sein; s. WENDLING, Posidonius und Varro (Hermes XXVIII 1895) s. 349. 3) Vgl. über Hygin KREMMER, a. a. O. 89: ,Dubium non est, quin summa capitum 274 et 277 ad Graecorum sot svpmudrov libros recedat, cui quaedam adiecerit Romanus nescio quis grammaticus.“ 5) Vel. ScHanz, a. a. O. II 1, 336. Es liegt kein Grund vor anzunehmen, dass Cassiodor nicht aus Hygin selbst, sondern aus dessen Quelle geschópft habe, wie KREMMER, a. a. O. 92, behauptet. *) Busorr. a. a. O. I 621; vgl. BELocH, Griech. Gesch. I 216. Unter den antiken Schriftstellern vgl. besonders Aelianus, Var. Hist. XII 10: re@roı vououe Eroypav (sc. ob Alywrrot) xol €& adrov xin9iv vopiouc Aiywaior. N:o 8. 30 : Epv. REIN. ter auch aus Gold !), war „das herrschende Courant im Peloponnes und in Attika; auf denselben Fuss prägten die Boeoter und Phoker und zahlreiche Inseln“ ?). Es lag daher nahe den Inselheros Aiakos für den Entdecker des Metalles zu halten. Wenn, wie Busozr und Beroch behaupten, die Prägung des aiginetischen Geldes schon im VII. Jahrhundert begonnen hat?), kann die betreffende Überlieferung nicht vor diesem Jahr- hundert entstanden sein, und zwar ist sie vielleicht auf Aigina gebildet worden *). Hierbei ist nur der Umstand auffallend, dass eine Version, der zufolge die Prügung des Geldes von Aiakos erfunden worden wäre, nicht vorkommt, wie z. B. die Athener von ihrem "Theseus erzählten ^). Dies wird vielleicht daraus erklürlich, dass, wenn eine solehe Tradition in der Tat existirte, diese von einer anderen, und zwar mehr geschicht- lichen Überlieferung in den Schatten gestellt worden ist. Es wird nämlich berichtet, dass Pheidon, der Tyrann von Argos, die Geldprägung auf Aigina eingeführt habe; so lesen wir z. B. in der parischen Marmorchronik v. 45 ff. (Mörrer, Fragm. Hist. Graec. I s. 546): Œ{séldwr 6 "Aoysios Edyusvos [rà plé[roc zo G]esoxsiceTs, xc) vouıoue doyvooov ev Aiyivy émoincer ... ^) und Strabo VIII 376: "Eqogoc & &v Aiyivn äoyvoov xoötov zorjvai quoi vx Deidwroc "). Diese Tradition, deren ältester Gewährsmann also Ephoros ist, — Herodot VI 127 spricht z. B. nur von einem Masssysteme, das von Pheidon ein- geführt worden sein soll — hat man jedoch als recht jung erkannt °). Wenn weiter sowohl Plinius als Hygin die Entdeckung des Goldes durch Aiakos auf Panchaia geschehen lassen, so beruht dies deutlich auf einer Verwechselung. Selbst- verständlich hat ja Aiakos nichts mit jener sagenhaften Insel zu tun, von wo die Me- talle, der Opferrauch und die Myrrhe herkommen sollten ”). Es ist also nicht unwahr- 1) GURTIUS, a. a. O. I 238. 2) Ep. Meyer, a. a. O. II 552 ff; vgl. BELOCH, a. a. O. 3) BUSOLT, a. a. ©. I 450, BELOCH, a. a. O. I 216. 3) Es ist jedoch möglich, dass diese Tradition nicht bei den Aigineten, sondern bei ihren Nachbarn entstanden ist; denn nach Plinius, Nat. Hist. XXXIV 2, gab es auf Aigina keine Metalle; vgl. K. O. MÜLLER, Aeginet. Lib. 5. 5) Plut. Tihes. c. 29. 5) SELDEN: d[z/]0mv? 7) Vgl. auch Etym. Magn. s. oBelicxog. Daselbst kommt auch folgende Notiz vor (s. E? ouxóv vo- uıowa): eneıön Peldwv . .. Ev EdBoia, ywolmw rov Aoyovg, Xowros ÉXOWE yovcov vouLaua. 8) Ep. MEYER, a. a. O. II 547, BUSOLT, a. a. O. I 621, BELOCH, a. a. O. I 216 Anm. 1. Es ist jedoch möglich, dass Pheidon in der Tat nicht einmal die Masse erfunden hat; vgl. SCHÖMANN-LIPSIUS, Griech. Altert. I 17. 3) S. z. B. Verg. Georg. II 139: totaque turiferis Panchaia pinguis arenis ... und IV 379: Panchaeis adolescunt ignibus arae ... Vgl. Diodor. V 46, Ovid. X 309. Nahe an das arabische Ufer pflegten die Alten die Insel oder vielmehr die Inseln der Panchäer, — denn es sollen ihrer drei gewesen sein — zu verlegen; vgl. LADEWIG, Vergils Ge- dichte Anm. zu Georg. II v. 139, s. 112 und besonders ROHDE, Der griech. Roman u. seine Vorläufer 237 Anm. l. — Einen Zusammenhang zwischen Aiakos und der Panchaia kann man nicht daraus herauslesen, dass Panchaia vielleicht ursprünglich „das Land der Toten“ bedeutete: „Panchaia“ ist nämlich für „die alles umfas- sende“, d. h. euphemistisch das Totenreich, von DIELS in einer Vorlesung erklärt worden; andererseits aber wissen Tom. XXXII. Sagengeschichtliche Untersuchungen über Aiakos. 31 scheinlich, wenn Gruppr, a. a. O. 218, behauptet, Panchaia sei für Pangaion gebraucht '). Dieses fällt bei der Hygin-Stelle Jedem ein; die beiden hier genannten Orte, Panchaia und 'Thasos, waren ja angeblich weit von einander entfernt und haben nichts gemeinsam ausser ihrem Ruhme reich an Gold zu sein. Dagegen liegt ja gegenüber der Insel Tha- sos der Berg Pangaion, wo man auch Gold gewann ^). Dazu kommt, dass der Berg Pangaion bei Plinius, a. a. O., erwähnt wird. Der Hygin-Text ist jedoch hier so ver- dorben, dass fast nichts Sicheres daraus zu erschliessen ist”). Hat Aiakos sonst mit dem Pangaion etwas zu tun? Dies lässt sich allerdings nicht nachweisen '). Wenn aber in der Tat hier von einer Verbindung die Rede sein kann, so muss dieselbe zu den thessalischen Sagen von Aiakos gehören. IX. Aiakos als erster Erbauer eines Tempels. Hier ist es am Platze an jene Tradition zu erinnern, die von Aiakos als dem ersten Erbauer eines Tempels erzählt. Es steht nämlich bei Servius, comm. in Vergil. Aen. VII 352: Aeacus enim primus in Arcadia templum lovi constitisse dicitur. Und bei Arnobius, Adv. Nat. VI 3 lesen wir: quorum (sc. templorum) si quaeris audire quis prior fuerit institutor, quis fabricator, aut Phoroneus Aegyptius aut Merops tibi fuisse monstrabitur, aut, ut tradit in Admirandis Varro, Iovis progenies Aeacus. Arnobius bezeugt selbst, dass er diese Notiz Varro verdanke, und auch Servius, bei dem ja soviel „Varronisches Material erhalten ist“ ^), scheint keine andere Quelle benutzt zu haben. Man darf also annehmen, dass Varro von einem durch Aiakos in Ar- kadien errichteten "Tempel berichtet habe. Welches seine Quelle hier gewesen sei, lässt sich nicht genau bestimmen; man kónnte an Kallimachos oder Philostephanos denken, deren Schriften von dem Römer bei der Abfassung seiner „Antiquitäten“ benutzt wor- den sind *). Ich halte die Tradition überhaupt nicht für volkstümlich, sie ist vielmehr von ir- gend einem Schriftsteller geschaffen worden. Denn, wie wir schon oben in einem andern wir, dass Aiakos zur Unterwelt in Beziehung steht. Auch den Umstand kann man nicht hervorheben, dass die Einwohner eines solchen Schlaraffenlandes — denn das ist Panchaia in der geläufigen Tradition — ge- wóhnlieh für sehr fromm gehalten wurden (vgl. DIETERICH, Nekyia 35 ff.), eine Eigenschaft, deren sich übri- gens auch Aiakos rühmen konnte. 1) „Als Erfinder der Goldgewinnung auf dem Pangaion scheint Aiakos gegolten zu haben.“ 2) NEUMANN und PARTSCH, a. a. O. 225, BLÜMNER, Technologie und Terminologie der Gewerbe u. Künste bei Griechen und Römern IV 21. So heisst es z. B. bei Clemens Alex., Stromat. I T4 p. 132, s: Kdduos ... u£rclÀe yovcov nepi TO Ildyyaıov Erevonosv Opos. 3) Vel. KREMMER, a. a. ©. 67, GnuPPE in Bumsraw's Jahresber. 26 Jhrg. 1899 3 Abt. Übrigens hat diese Stelle, als zu den Indices gehórend, die „ein unorganischer Anhang“ sind, nichts mit Hygin zu tun; s. SCHANZ, a. a. O. II 335 ff. %) Die makedonische Genealogie, nach welcher Aiakos der Vater des Eponymen Makedon sein soll (vel. De Aeaco 74 ff), mag zwar angeführt werden, ist aber kaum von grósserer Bedeutung. 5) WENDLING, a. a. O. 347. 5) SCHANZ, a. a. O. Il 372, WENDLING, a. a. O. 349 Anm. 2. N:o 8. 32 Epv. REIN. Zusammenhange bemerkt haben (s. 7 Anm. 4), steht Aiakos in keiner ursprünglichen Kultus- oder Sagenverbindung mit Arkadien. Die Kombination mag daraus entstanden sein, dass einerseits die Arkader zu den angeblich ältesten griechischen Stämmen zählten und zuerst Tempel errichtet haben sollen, wie auch Servius, a. a. O., bemerkt '), ande- rerseits Aiakos das Zeus-Heiligtum auf Aigina gegründet haben soll. Man konnte also leicht dahin kommen, dass Aiakos in Arkadien zuerst einen Tempel gestiftet habe *). Auch ist es nicht ausgeschlossen, dass der Name Aeacus auf einem Irrtum beruht; KREMMER, à. à. O. 72, wenigstens schlügt Pelasgus vor. X. Aiakos als Gründer der Stadt Dia. Bei Stephanus Byzantius kommt folgende Notiz vor: die, móAuw Qsooakias, Aia- xoU xvíouc. K. O. Mütter, Aeginet. Lib. 83 behauptet, der Name Dia sei von den Aigine- ten nach Thessalien gebracht worden, und erinnert daran, dass dicht bei Aigina eine Insel Dia mit einer Stadt lag, so dass dieser Name den Inselbewohnern vertraut sein konnte. Er bleibt aber den Nachweis schuldig, an welcher Stelle Thessaliens jene aiginetische Kolonie zu suchen ist, durch deren Gründung die Namen Dia und Aiakos zusammen nach Thes- salien gelangt wären”). Im Gegenteil könnte eine ältere Verbindung zwischen diesen Namen bestanden haben. Es ist nämlich möglich, dass sie zu jenen alten thessalischen, vor-aiginetischen Sagen gehört hat, über welche wir am andern Orte Vermutungen vor- tragen werden *). Auch sonst kónnte die Verbindung zwischen Aiakos und Dia ziemlich alt sein. K. O. Mörrer, a. a. O., erinnert nämlich bei der Stadt Dia an die Heroine Dia, welche in Phlius einen Kultus hatte ^). Mit diesem aber war der Kultus der Heroine Aigina, der Mutter des Aiakos, eng verbunden. — Vielleicht ist es jedoch geraten keine be- stimmte Ansicht zu äussern. Der einzige Gewährsmann, Stephanus, ist kein zuverlässi- ger Zeuge; vgl. Roscuer, Die Hundekrankheit der Pandareostöchter und andere my- 1) Vel. Hygin. fab. CCLXXIV (Scammr s. 149): Arcades res divinas primi diis fecerunt ... Übri- gens war die Frömmigkeit des Arkader-Volkes berühmt; vgl. z. B. Polybios IV 20, 1 ff: ’Ereıdn dE sou ro tÖv ’Agnddwv £9vog Eyer zwvà TOA mac voie "EAAgow Em doery prunv, ov uóvov ÖLA Tv Ev roig HYEOL xol Plocs quobeviav xal quiev9goníav, udAuGro 0t did Tr sig To Osiov sUoffstev, x. T. À. ?) Merkwürdigerweise soll auch Rhadamanthys, der auch in anderen Hinsichten mit Aiakos ver- glichen werden kann, in Arkadien aufgetreten sein und zwar auch als Einführer einer Neuerung; Diomedes, De Pedibus IIl 5, erzählt nämlich: Dictus (spondaeus) zeo& zzv onovönv, quia in templis hoc pede quaedam carmina componebantur, scilicet ut libantes sonum vocis abominosae audire non possint. Rhadamantho autem constitutus traditur, qui Arcadiae princeps venerat. 3) An die am Fusse des Olympos gelegene Stadt Zov ist wohl nicht zu denken. 3) Es ist nicht deutlich zu ersehen, ob GRUPPE, a. a. O. 112, diese Tradition als eine ursprüuglich thessalische Volkstradition ansieht. *) Vel. Verf. De Aeaco 29. Tom. XXXII. Sagengeschichtliche Untersuchungen über Aiakos. 33 thische Krankheiten (Rhein. Mus. 53, 1898) s. 172 Anm. 2: „manche der nament- lich von Steph. Byz. aufgezühlten . . . Städtegründer mögen späterer gelehrter Erfin- dung ibr Dasein verdanken . . .“ Xl. Aiakos und die Stadt Gaza. Noch mit einer anderen Stadt soll Aiakos in Verbindung gestanden haben, nämlich mit der philistäischen Stadt Gaza. Auch diese Notiz verdanken wir Stephanus Byzan- lius, der unter dem Artikel rate Folgendes anführt: 2x4/9:5 då xoà Mivwa, örı Mivas ovv rois dÓsAqoic Aiax® xal "Padauavdvı iwv EE avtov TauTnv Exaleoev. Diese Notiz ist augenscheinlich von keinem Werte. Sie ist offenbar daraus ent- standen, dass Minos auf irgend eine Weise mit jener Stadt verbunden war '); mit Minos aber ist dann Aiakos dorthin gelangt — eine literarische Kombination, die natürlich erst aufkommen konnte, nachdem man auch Aiakos für einen Sohn der Europa zu halten begonnen hatte ”). XII. Aiakos in freier diehterischer Behandlung. Dies sind also die Sagen, Überlieferungen und Vorstellungen, die den Alten über Aiakos geläufig waren. Es erübrigt noch einige Worte über Autorenstellen zu sagen, in denen der Heros von den Dichtern freier behandelt worden ist. In dieser Hin- sicht sind besonders Ovid, Met. VII 471 ff, und Nonnos, Dionys., passim, hervor- !) Es ist sogar fraglich, ob auf die Verbindung des Minos mit Gaza besonderes Gewicht zu legen sei. Vgl. z. B. hierüber Höck, a. a. O. II 569 ff: „Ohne weitere Gewährsmänner berichtet Stephanus, dass die Stadt den Namen Minoa führte, weil Minos mit seinen Brüdern hierher gekommen u. s. w. Ist es auch nicht gerade unwahrscheinlich, dass Minoische Kreter einst bei Gaza landeten, so wird doch Niemand durch so schwankende Spuren der Sage eine kretische Kolonie begründet wähnen . . . kein historischer Beweis der Verbreitung des Zeusdienstes von Kreta nach Palästina oder umgekehrt . ..* Vel. PRELLER-PLEw, a. a. O. IL 130, Anm 3: „... Zeus Konraiog und Minos in Gaza und Antiochien zu jenen gelehrten Spielereien des hellenistischen Zeitalters mit mythischen Namen und Vorstellungen der Vorzeit gehört, auf welche nichts zu geben ist.“ Dagegen hält GRUPPE, a. a. O. 248, die Tradition von der Verbindung Gazas mit Kreta für echt und alt: „Im Gegensatz zu den meisten ähnlichen Genealogien, von denen sie sich auch durch ihr weit höheres Alter unterscheiden, scheinen diese mythischen Verknüpfungen einem geschichtlichen Zusam- menhang zu entsprechen“, vgl. 249. Und in diesem Zusammenhange mag an die bekannte Leibwache des Königs David, ,Crethi*^ und „Plethi“, erinnert werden; diese sollen ja ursprünglich die ältere philistäische Bevölkerung bezeichnen, jene später aus Kreta nach Palästina gekommene Scharen sein; vgl. RIEHM-BAETHGEN, Handwörterbuch d. Bibl. Altert. I 280 ff. 2) Vel. Verf. De Acaco 4 ff. Zu den dort vorgebrachten Gründen für unsere Überzeugung von der späten Entstehung der Bruderschaft des Aiakos und des Minos sei nebenbei noch der Umstand erwähnt, dass in der Erzählung von diesen beiden bei Ovid, Met. VII 471 ff, diese Verwandtschaft nicht berührt wird. N:o 8. 5 34 Epv. REIN. zuheben, bei denen unter vielen echten Sagenmotiven viele eigene Erfindungen vor- kommen. Was Ovid, bei dem überhaupt gute und glaubwürdige Überlieferung vorliegt '), selbst erfunden hat, ist schwer zu bestimmen. Hierzu gehört möglicherweise die Ankunft Minos’ auf Aigina und sein Gespräch mit dem König der Insel, Aiakos (v. v. 471— 489). Es ist auffallend und kaum der volkstümlichen Tradition entnommen, wenn bei dem Dichter Aiakos wegen seines Bündnisses mit Athen den hilfesuchenden Kreterkö- nig zurückweist (v. 484 ff.) und dagegen dem Athener Cephalüs Hilfe verheisst (v. 507 ff.); denn, soviel man weiss, bestand in historischer Zeit ein feindschaftliches Ver- hältnis zwischen Aigina und Athen. Möglicherweise haben Ovid diese Worte Pindars (Nem. VIII 8 ff.) vorgeschwebt: oi re zoavacis iv ”AFavuow &ouotov oroarov, Wie K. O. Mütter, a. a. O. 21, angenommen hat; dies ist aber, wie oben bemerkt, kaum eine volks- tümliche Tradition. Auch in dem Gespräche zwischen Aiakos und seinem Gaste (v. v. 518—657) findet man unter vielem, was sich auf die geläufige Myrmidonensage stützt, manche rein dichterische Züge. Die grossartige und ergreifende Schilderung der Pest (v. v. 523— 613), in der der Dichter mit Lucrez, De rerum nat. VI 1124 ff. und Vergil, Georg. III 478 wetteifert ^), ist von ihm zwar nicht erfunden, aber selbständig ausgeführt worden, der Traum des Aiakos (v. v. 634—643) ist gänzlich Erfindung u. s. w. Mit noch grösserer Freiheit ist Aiakos in Nonnos’ Dionysiaca behandelt worden. Hier nimmt er ja als Genosse des Dionysos an dessen Zuge nach Indien Teil und macht sich dabei durch manche Grosstat berühmt. So zeigt er sich als ein tapferer Held in der Schlacht XIII 11 ff.°), XXII 283 ff, 320 ff, 379 ff, XXIII 13 ff, X XIV 194 f, XXXII 281 ff. u. s. w., und in den Kampfspielen trägt er den ersten Preis davon, wie z. B. XXXVII 581 ff, 750 ff, was alles freie Erfindung des Dichters ist). Es ist aber kaum auffallend, dass Aiakos in diesem Gedichte eine so wichtige Rolle zuge- wiesen wird; denn als der Dichter die alten Sagenheroen im Geiste durchmusterte, ver- fiel er unschwer auf diesen Heros, dessen Zeit mit dem fabelhaften Dionysos-Zuge zu- sammenzufallen schien. Dieser sollte ja vor der Zeit des trojanischen Krieges statt- gefunden haben. Und bei dem Kriegsruhme seiner Nachkommen war ja Aiakos zu ei- nem solchen Unternehmen geeignet. Ob aber Nonnos hierbei Anderen gefolgt ist, muss dahingestellt bleiben. Vielleicht hat er an solche Epithete, wie éxæmoyéouns bei Hesiod, Catal. fr. 100 (Rzacu) und ys:9i za? BovAcis äguoxos bei Pindar, Nem. VII 18 gedacht. Denn bei den folgenden Schriftstellern hat die typische Frómmigkeit und Gerechtigkeit des Aiakos die Tapferkeit so sehr in Schatten gestellt, dass diese in der Literatur vor Nonnos nicht mehr vorkommt. Um diese Eigenschaft seines Helden auszudrücken, 1) Vel. z. B. Maass, Orpheus 114 Anm. 151. 2?) HAUPT zu Ovid, Met. VII 523 f£, vgl. Verf. De Aeaco 83. 3) Die Verse sind nach MARCELLUS’ Auflage bezeichnet. 3) Wenn Aiakos XXXVII 238 ff. als Schiedsrichter in den Kampfspielen auftritt, so erinnert dies an sein auch sonst bekanntes Schiedsrichteramt (siehe oben s. 19). Tom. X XXII. Sagengeschichtliche Untersuchungen über Aiakos. 35 hat der Dichter Epithete gebildet, wie érroéyroc (XXII 351, XXX 275), Jouoûc (XXVII 75). Ein anderes Beiwort aioAöunrıs (XXX 278, XXXVII 576) stimmt dagegen bes- ser mit der geläufigen Auffassung von Aiakos als einem klugen König überein. XII. Seblussfolgerungen aus den vorstehenden Einzeluntersuchungen. Wir wollen nun die Resultate der Untersuchungen der einzelnen Sagen über Aiakos kurz zusammenfassen. Die berühmteste von allen, die Sage von der Errettung Griechenlands von der Dürre durch Aiakos’ Gebete, ist einerseits gewiss nach dem VIII. oder VII. Jahrhundert, andererseits aber kaum nach den Perserkriegen ausgebildet worden. Dass aber die Insel Aigina der Entstehungsort ist, liegt auf der Hand. Von der damit zusammenhängenden Tradition von den Bitten der Aiakiden weiss man nur, dass sie eine aiginetische Lokal- vorstellung ist, die von Pindar benutzt worden ist. Auch die andere bei demselben Dichter vorkommende Tradition von dem grossen Ruhm des Aiakos unter den Nachbar- staaten ist auf dieselben lokalen Vorstellungen zu beziehen und scheint ein Wiederschein von der Glanzperiode des aiginetischen Staates besonders im VII. Jahrhundert zu sein. Die Sage von dem Schiedsrichteramte des Aiakos in dem Streite zwischen Skiron und Nisos gehört fast derselben Zeit an. Die Zeit aber der Entstehung der Überliefe- rung von Aiakos als Schiedsrichter der Götter lässt sich nicht bestimmen. Wahrschein- lich ist sie, wie diejenige von der Befestigung der Insel durch Aiakos, auf Aigina entstanden. Auch die Entstehung der Sage von der Teilnahme des Aiakos an der Erbauung der Mauern Trojas haben wir hypothetisch in die Zeit der aiginetischen Oberherrschaft auf dieser Insel verlegt. Die Zeit wäre dann auch für diese Sage etwa das VII. Jahrhundert. Von der Entdeckung des Goldes oder des Silbers durch Aiakos hat man erst nach dem VII. Jahrhundert zu erzählen angefangen; diese Überlieferung ist wohl zuerst unter den Aigineten oder deren Nachbarn aufgekommen. Diejenige Überlieferung dage- gen, welche von dem Errichten eines Tempels handelt, halten wir, wenn der Name Aeacus überhaupt hierher gehört, nicht für volkstümlich; sie ist vielmehr eine gelehrte Kom- bination. Möglicherweise kann man dem Berichte, nach welchem Aiakos die thessalische Stadt Dia gegründet hätte, mehr trauen, da sie ja zu den thessalischen Aiakos-Sagen gehören könnte. Dagegen ist die Verbindung des Aiakos mit der Stadt Gaza von keiner Bedeutung. 36 Epv. REIN. XIV. Die Verbreitung der Sagen von Aiakos. Bevor wir der Verbreitung der Sagen von Aiakos nachgehen, wollen wir einige Worte über den Kult des Heros voranschicken. Im Allgemeinen begegnet man nicht vielen Notizen über diesen Gegenstand; daraus aber darf keineswegs der Schluss gezogen werden, dass sein Kultus unbedeutend gewesen wäre. „Es ist“, sagt Nirzsen, Die Sa- genpoesie der Griechen 14, „die Grösse eines Heros im Cultus eine Sache für sich, und die Grösse im Epos . . . eine für sich“, und wir müssen vielleicht annehmen, dass die eigentliche Grösse dieses Heros im Kultus lag. Es ist schon öfter bemerkt worden, dass der Kultus des Aiakos in geschichtlicher Zeit auf der Insel Aigina blühte. Hier befand sich sein Heiligtum, das Aiakeion (Aidzsıov), das zuerst von Pindar erwähnt wird") und noch zur Zeit des Pausanias, obgleich vom Alter umgestaltet, stand, wie wir bei diesem Schriftsteller, II 29, 6, lesen. Es stellte eine marmorne Säulenhalle dar, in deren Mitte ein niedriger Altar emporragte, der nach der heiligen Legende der Stätte zugleich das Grab des Heros war. Ein anderes Aiakeion gab es auf dem Markte zu Athen, wie Hesychios, Lex. s. Aidzsıov, berichtet. Der erste, der von der Gründung eines Aiakos-Heiligtums zu Athen weiss, ist aber Herodot, der V 89 die Ursache dazu anführt. Es scheint nach dem Vorbilde des berühmteren aiginetischen Aiakeions erbaut worden zu sein (vgl. W acusuurn, Die Stadt Athen U B. 1 Abt. 424 ff.) und war gewiss ähnlich wie jenes ältere ein- gerichtet. Von noch anderen Kultstätten des Aiakos in geschichtlicher Zeit ist Nichts überlie- fert. Dass er überall, wo seine angeblichen Nachkommen, die Aiakiden, einen Kultus hat- ten, — und das war an den verschiedensten Orten Griechenlands, in Italien und in Klein- asien der Fall”) — auch in Ehren gehalten wurde, ist zwar möglich, aber nicht sicher. Es trifft sich oft, dass, wo im Altertum das Grab eines Heroen gezeigt wurde, dorthin auch seine erste Heimat zu verlegen ist”). Wenn wir also nur den Kultus des Aiakos und somit sein angebliches Grab vor Augen hätten, so könnten wir leicht darauf verfallen die Insel Aigina für seine älteste Heimat zu halten. Denn von seinem Grabe ist sonst nirgends etwas überliefert. Allein aus unseren früheren Untersuchungen leuchtet ein, dass seine Person nicht ursprünglich nach Aigina gehört hat. Es liegt also nahe, dass sein Kultus sowie die Sagen von ihm von einem bestimmten Stamme, Geschlechte oder Familie dahin gebracht 1) Vgl. oben s. 13 Anm. 4. ?) So wurden z. B. die Aiakiden zu Tarent verehrt; vgl. Ps. Aristoteles, Mirab. ausc. CVI (114). Der Heros Eponymos der Stadt Pergamos war der Gründungssage nach ein Sohn des Aiakiden Neoptolemos; vgl. C. I. G. 3538 = KAIBEL, Epigr. gr. 1035, THRÂMER, Pergamos 241 ff. 3) ROHDE, a. a. O. I 148. Tom. XXXII. Sagengeschichtliche Untersuchungen über Aiakos. 37 worden sind. Jenes angebliche Grab auf Aigina kann, sofern es älter ist als diese Einwanderung, nicht von Anfang her dem Aiakos zugehört haben, sondern muss später von jenem Stamme mit dem unter ihm berühmten Heroennamen Aiakos in Verbindung gebracht worden sein. Zum grossen Teil sind aber die Sagen von Aiakos auf Aigina entstanden oder haben wenigstens dort die Form erhalten, welche bei den alten Schriftstellern vorkommt. Und man darf nicht übersehen, dass der Name des Aiakos besonders auf Aigina berühmt geworden ist, sowie dass er in den Sagen gewöhnlich der Aiginete genannt wird. Als Ver- breiter aber der aiginetischen Sagen von Aiakos sind vor allem Pindar und Bacchylides zu nennen, welche darin einheimischen Dichtern gefolgt zu sein scheinen. Ob Stesicho- ros, der zu der Umbildung so vieler griechischen Sagen beigetragen hat (vgl. Romzmr, Bild u. Lied 24), von Aiakos erzählt hatte, weiss man nicht. Die Übertragung der Sagen von Aiakos nach Aigina ist von so grosser Bedeu- tung gewesen, dass diese in zwei Gruppen geteilt werden können: in eine voraiginetische und eine aiginetische. Wir wollen daher nachsehen, wann unser Heros auf Aigina be- kannt geworden ist. Hierbei muss man freilich auf jede Feststellung eines genauen Zeit- punktes verzichten, wenn man auch betreffend dieser Sagen nicht so radikal sein darf wie K. O. Mürıer, wenn er in seinen Prolegomena 128 sagt: „Nur der Mythus selbst in seiner Entstehung begriffen, kann uns die Frage über sein Alter lösen... Es kann mithin ein äusseres, authentisches Zeugniss über das Alter eines Mythus gar nicht auf- gefunden werden.“ In dieser Hinsicht kommen bei den Forschern zwei verschiedene Auffassungen vor; während nach der einen Aiakos vor der Okkupation der Insel Aigina durch die Dorier daselbst bekannt gewesen sein soll, wird er nach der andern hier erst nach diesem Zeit- punkt heimisch. Dass Aigina in der Tat von Doriern einmal okkupirt worden ist, scheint ausser Zweifel zu stehen. Die Bevölkerung der Insel scheint in geschichtlicher Zeit zum grossen Teile dorischen Ursprungs gewesen zu sein, sowie ihre Institutionen dorisch waren. Es geschieht sicher nicht ganz ohne Grund, wenn Pindar die Insel eine dorische nennt, wie z. B. Ol. VIII 30: Awowst Aa rauısvousvev $E Aiaxoô., Nem. III 1 ff: "0 xorvıa Moioa ... izeo Awoida vácov Aiyıwev. Und wenn man den Zeugnissen der Alten trauen darf, so sind die Dorier von Epidauros herbeigekommen; so erzählt z. B. Hero- dot VII 46: Aiyıwjraı då sioù Awgreïc dà Eridavgov ... und Pausan. Il 29, 5: Xoóvo då voteoov woioe ”Aoysiwv Tor ’Eridavoov ouo) Anigovtn zataoyovrav dırdaoa sig Alyıyav, xal Aiyıynraıs voic doyaioıs yevousvoı oVvoızoı TE Awgıdov EIN x«l POVÿV zareotnoavro Ev vj v70o@. Und dies ist in der Tat keineswegs unwahrscheinlich, da ja Aigina in späterer Zeit zu Epidauros gehörte '). 1) Vgl. H. D. MÜLLER, a. a. 0.173 ff, LOLLING, a. a. O. 195, Ep. MEYER, a. a. O. II 268, Busozr, a. a. O. I 217, HIRSCHFELD, a. a. O. 965. Es ist möglich, dass auch von Megara eine dorische Einwanderung nach Aigina stattgefunden hat, wie LOLLING, a. a. O. 368, annimmt. Da aber Epidauros zu Argos gehörte, so geschieht es, dass bei Homer, Il. IL 559 ff, Aigina als eine argivische Besitzung auftritt: où à "Apyos Y siyov Tiovvdd rs retyLOco Gar, "Eouwovnv, ”Aoivnv te Badvv xarà xóAmov £yovcas, N:o 8. 38 Epv. REIN. Diejenigen, welche Aiakos von der dorischen Okkupation an auf Aigina bekannt gewesen sein lassen — und dies ist die Ansicht der Mehrzahl —, halten ihn für einen „achäischen“ Heros, der mit dieser vordorischen Bevölkerung der Insel nach Aigina über- gesiedelt worden wäre. Die Dorier sollen ihn aber dann adoptirt haben !), so dass er später als eine dorische Persönlichkeit auftritt. Diese Ansicht ist, soweit uns bekannt ist, zuerst von K. O. Mürzer, Aeginet. Lib., verfochten worden. Dieselbe Auffassung kommt noch bei DISSEN-ScHNEIDEWIN, a. a. O., Komm. zu Ol. VIII 30 ff. und Mrscer, a. a. ©. 379, vor! Auch“ (OsxIsT, Pind. carm. "Komm. zu OM MIL 30 s-63 hält Aiakos, wie auch die alten Einwohner Aiginas, für einen vordorischen , Achäer", und glaubt, die Aigineten hätten sich zu der Zeit, wo sie die ionischen Athener fürch- ten mussten, für reine Dorier ausgegeben, obgleich die Bevölkerung damals eine Mi- schung von Achäern und Doriern war ?). Diese Auffassung stützt sich auf eine antike Überlieferung. Bei Schol. Pind. Ol. VIII 39 (30 Curisr) wird nämlich (wohl nach Theagenes) erzählt, dass die Insel Aigina, die nach dem Tode des Aiakos verödet war, von einem Argiver Triakon in Be- sitz genommen wurde. Die Stelle lautet folgendermassen: ms4sevrZcevroc oùr Tod Ataxoû Somuoc m vhoos æegusleineto Baorhéwc. Ev Tovroıc Towtxov vic ‘Agyeïos cvAAéEac xÂÿdoc ’Ao- ysíov, oí Óà ’Aoysioı Aworzov yévovc, sic «qv Alyıvav qÀJov xol zatwznoav, xcl ourws Edose perd vàv Aiaxôv anotauısdsodeı Toi Awgısdoıw n vic Aiyivns doyr. Vet. Vel. Schol. zu v. v. 33—40. M. und Tzetzes, Schol. ad Lycophron. 176. Dass die Stelle des Pindar- Scholiasten aus Theagenes stamme, stellt sich dadurch als wahrscheinlich dar, dass Tzet- zes von der Ankunft sowohl Triakons als Aiakos’ aus dem Peloponnes nach Aigina erzählt; und wenigstens die letztere Tradition verdankt er Theagenes; s. Schol. Pind. Nem. III 21, (13 Cumsr); vgl. K. O. Mörner, Aeginet. Lib. 36, 43, Dorier IL 82. Auf den ersten Blick bieten sich einige Gründe dar, die diese Auffassung zu stützen scheinen. Man hält, wie schon gesagt, gewöhnlich die vordorische Bevölkerung Tooı&nv ”Hiovas te xol aumehosvr '"Eníbcvpgov, ot v £yov Alyıwav Macnré rs, xodoot ’Ayaıor, rG» 0' avd jysuóvrvs Bonv &ya90g Juowjdns, sor Zdévelos, Kanavnog ayanAsırod qílog vióg Vel. v. Wıramowırz, Hom. Unt. 246. Hierher gehört auch die Tradition, nach der der Argiver Triakon mit seiner Mannschaft die Insel Aigina erobert hätte (vgl. s. 38). Und noch im fünften Jahrhundert er- legten die Argiver den Aigineten und den Sikyonern Tribut auf; vel. Herodot VI 92, Eb. MEYER, a. a. O. II 268. !) Es scheint für die dorischen Eindringlinge charakteristisch gewesen zu sein, dass sie, wohin sie kamen, die einheimischen und älteren Heroen- und Góttergestalten ohne weiteres sich aneigneten — natürlich um ihre Macht zu befestigen; vgl. DISSEN-SCHNEIDEWIN, a. a. O., Ep. MEYER, a. a. O. II 281. Dass die Sache sich auch in Lakonien so verhalten hat, weist WIDE, a. a. O. 388, nach. Damit hängt auch die Tatsache zu- sammen, dass die Könige von Sparta Nachkommen der alten achäischen Könige zu sein wähnten; vgl. Bu- SOLT, a. a. O. I 191. Über die Verwandlung der älteren Sagen durch die Ankunft der Dorier s. ROBERT, a. a. O. 188 ff. 2) Nach Strabo VIII 375 setzte sich die Bevólkerung Aiginas aus verschiedenen Elementen zusam- men: éroumcar à aœùrmv ‘Apyeïor x«l Konrss x«l Emôaveror x«l Awpreis, Vortgov ÖE xorcxAmpoUyncan viv viov 'A89qveio: ..., wobei wohl unter den Argivern, Epidauriern und Doriern einunddieselbe Kolonie zu ver- stehen ist: vgl. K. O. MÜLLER, Aeginet. Lib. 43. Tom. XXXII. Sagengeschichtliche Untersuchungen über Aiakos. 39 Aiginas für „Achäer“, und zwar für einen Zweig des thessalischen Stammes, der bald Hellenen, bald Myrmidonen genannt wird '). Dabei zieht man aus der Tatsache, dass Zeus Hellenios oder Panhellenios auf Ai- gina einen Kultus hatte, den Schluss, dass die alten Einwohner der Insel Hellenen im en- gern Sinne gewesen sind; dass sie zugleich ,Myrmidonen* waren, schliesst man aus der sogenannten Myrmidonensage. Nach Aigina aber soll dieser Stamm — so glaubt K. O. Mürver, Aeginet. Lib. 14 —- teils aus dem Peloponnes, teils aus Thessalien gekommen sein. Diese Kolonie stammt nämlich nach ihm zum grossen Teil aus Phlius — wobei er an die in der Sage vom Raube der Nymphe Aigina vorkommende Verbindung zwi- schen Phlius und Aigina erinnert; mit dieser phliasischen Kolonie soll aber eine andere, eine phthiotisch-myrmidonische aus Thessalien, verschmolzen sein *). Was die Richtung dieser achäischen Invasionen betrifft — denn es waren deren ganz gewiss viele —, so sind diese Achäer wohl aus Malis und Trachis ausgerückt; dort waren ihre Wohnsitze nach Il. II 682; vgl. H. D. Mürxer, a. a. O. I 77. Nachdem sie dann — vielleicht eine geraume Zeit — in Mittelgriechenland gewohnt hatten (vgl. H. D. Mirrzm, a. a. O. I 239), sind sie schliesslich und zwar über den Isthmus (vgl. Tarimer, Pergamos 79) auf dem Peloponnes angelangt; vgl. LorringG, a. a. O. 366. — Ob der Achäername von uns mit Recht auf die vordorischen Einwanderer aus dem Peloponnes angewandt wird, ist freilich unsicher; vgl. Busorr, a. a. O. 261. Man hat bekanntlich in dem ganzen Namen nicht so sehr die, Bezeichnung eines bestimmten Stam- mes als vielmehr eine allgemeine Bezeichnung der adligen Geschlechter überhaupt sehen wollen; vgl. Currıus, a. a. O. I 84 und Horn, Griech. Gesch. I 58. Busort, a. a. O. I 190 ff., nimmt an, dass dieser Name, der in historischer Zeit nur der Bevólkerung der Phthiotis und der peloponnesischen Nordküste zukam, wegen seines durch die homerischen Gesänge verbreiteten Ruhmes später den vordorischen Einwohnern Griechenlands zuge- teilt worden ist. H. D. Mürrer, a. a. O. I 72, dagegen glaubt nicht an eine phliasische Ein- wanderung, sondern ist der Ansicht, dass die Achäer nur aus Malis und Trachis direkt nach unserer Insel gekommen seien. Von diesen Achäern sollen nun der Kultus und die Sagen des Aiakos nach Aigina übergeführt sein — eine Hypothese, die viel für sich hat, da ja die frühere Heimat der genannten mythischen Persönlichkeit ebenfalls dort gewesen zu sein scheint ”). ') Vgl. oben s. 7 Anm. 4. Unbestimmter äussert sich hierüber GROTE, Hist. of Greece IT 185, 285; vel. Verf. De Aeaco 88 Anm. 1. H. D. MÖLLER, a. a. O. I 239, nennt die Aigineten ,Hellenische Achäer“, HinscH- FELD bei PauLy-Wıssowa. a. a. O. I 965 s. Aigina, spricht von „dem achäischen Volkstamme der Myrmido- nen“. — Dass die Alten die Insel als von Thessalien in Besitz genommen angesehen haben, geht ohne Zwei- fel aus Tzelzes, Schol. ad Lycophron. 175, hervor, wo die Insel Oinone, d. h. Aigina, OerraAwe genannt wird. ?) Dass eine starke vordorische Invasion der nerdgriechischen Stämme aus Thessalien nach dem Peloponnes stattgefunden hat, scheint ausser Zweifel zu stehen; vgl. v. WıLamowırz, Euripid. Herakl. I 15 ff. Auch LorLiNG, a. a. O. 368 Anm. 4, hält die Einwohner der peloponnesischen Landschaft Achaia für Stammverwandte der Phthioten. Dies wagt freilich GnoTE, a. a. O. 285, nicht sicher zu behaupten; vel. auch Ep. MEYER, a. a. O. II 284 Was besonders Phlius betrifft, scheint es jedoch in vordorischer Zeit ne- ben einer achäischen Bevölkerung eine — und zwar vorwiegend — ionische gehabt zu haben; vgl. Currıus, aa O50: 3) Vgl. Verf De Aeaco 33 und sonst. N:o 8. 40 Epv. REIN. Hierbei begegnet uns aber eine grosse Schwierigkeit. Wenn man überhaupt an eine dorische Wanderung oder vielmehr dorische Einwanderungen (vgl. BELocH, a. a. O. 156 und sonst) glaubt — und es ist wohl eine unbestreitbare Tatsache, dass die dorische Bevölkerung des Peloponnes aus dem Norden (woher sonst?) einge- wandert ist —, so muss doch eine annähernde Zeitbestimmung dafür gegeben wer- den können. Wenn man den Forschern trauen darf, so wäre dies nicht später als etwa im XII. oder XI. Jahrhundert geschehen. So sagt z. B. Busorr, a. a. O. 261 ff: ,Man wird kaum erheblich fehl gehen, wenn man die Hauptepoche der dorischen Wanderung in das 12. und 11. Jahrhundert setzt.“ Und Ep. Meyer, a. a. O. II 280 ff, geht noch weiter zurück: ,Daneben wird man den Einbruch der Dorier in den Peloponnes keinesfalls später als an das Ende des zwölften Jahrhunderts, vielleicht aber noch beträchtlich früher anzusetzen haben.“ Wenn also Aiakos in vordorischer Zeit von dem s. g. achäischen Stamme aus Mittelgriechenland nach Aigina gebracht worden ist, so muss dies vor dem XI. oder XII. Jahrhundert geschehen sein. Dies ist aber unmöglich. Denn an jener einzigen Stelle der Ilias, wo Aiakos erwähnt wird (XXI 189), hat dieser mit der Insel Aigina nichts zu tun. Und wo diese Insel vorkommt (II 562), wird von Aiakos Nichts erwähnt. Da diese Stelle aber zu dem Schiffskataloge gehört, kann sie wohl höchstens aus der Mitte des VIII. Jahrhunderts stammen '). Und wenn man auch etwas in der Zeit zurückgehen muss, um diejenigen geschichtlichen Verhältnisse festzustellen, die dieser Ilias-Stelle zu Grunde liegen, so ist es doch klar, dass Aiakos kaum vor dem VIII. Jahrhundert auf der Insel Aigina bekannt gewesen sein kann. Eine solche Annahme aber, dass Aiakos auf Aigina verehrt sein konnte, ohne an der betreffenden Ilias-Stelle genannt zu werden, wäre merkwürdig, und es ist ganz unwahrscheinlich, dass, wenn Aiakos, der Ahn des berühmtesten Geschlechtes des trojanischen Krieges, schon damals auf der Insel bekannt gewesen wäre, deren Bewohner dem Reiche eines Diomedes oder eines Sthenelos zugeteilt worden wären; s. Il. II 559 ff: où à Agyoc T &xov ... oí v' £yov Aiyıwav, Maonta vs zovoor ’Aycımv, Tor Ó avt jysuóvevs Bogv dyados Aıoumdns, xai Siéveloc, Kamavnos ayazksırod qíAoc voc (vgl oben s. 37 Anm. 1). Und wenn wir auch annehmen, dass die Dorier nicht gleich nach ihrer Ankunft auf dem Peloponnes, sondern erst etwas später die Insel Aigina in Besitz genommen hätten, wie H. D. Mütter, à. a. O. I 74, wohl richtig vorschlägt, so wäre es doch seltsam, wenn dies so viele Jahrhunderte nach ihrer ersten Ankunft auf der Halbinsel geschehen wäre, dass sie erst etwa im VIII. Jahrhundert nach der naheliegenden Insel herüber- gekommen wären. So glaubt z. B. En. MEYER, a. a. O. 265, von der Ansiedelung der Do- rier, ,dass lànger als ein Jahrhundert vergangen sei, ehe die neue Gestaltung der Dinge zum Abschluss kam . . .^ Freilich ist andererseits konstatirt, dass die Dorier sich 1) Vel. Verf. De Aeaco 12 Anm. l. Tom. XXXII. Sagengeschichtliche Untersuchungen über Aiakos. 41 im VIII. Jahrhundert nicht schon überall festgesetzt hatten; vgl. Busort, a. a. O. I 201 Anm. 1. Was die Bevölkerung der griechischen Inseln im Allgemeinen betrifft, so weiss man nur, dass sie bereits im IX. und VIII. Jahrh. zum grössten Teile eine griechische Bevölkerung hatten; vgl. Busorr, a. a. O. I 271. Wenn also einerseits Aigina im VIII. Jahrh. eine dorische Invasion erlitten hat — was übrigens aus Il. II 562 ff. hervorgeht, wo Aigina, wie Ep. Meyer, a. a. O. II 538, mit Recht sagt, „als Annex des Reiches von Argos behandelt“ wird —, anderer- seits Aiakos noch nicht dahin gehörte, so kann er selbstverständlich nicht der Heros der vordorischen Bevölkerung Aiginas gewesen sein. Wir glauben also, dass v. Wira- mowırz die Tatsachen richtig wiedergiebt, wenn er sagt: „Aiakos von Aigina keinesfalls älter als die Okkupation Aiginas durch die Dorer . . . diese (sc. Aiakos und Aias) kennt der Katalog nicht u. s. w.“ Wenn die Ansicht, dass Aiakos der Heros der prädorischen Bevölkerung Aiginas gewesen wäre, somit aufzugeben ist, bieten sich drei Möglichkeiten dar: er muss entwe- der von den dorischen Einwanderern selbst oder von einem andern Stamme, der zugleich mit den Doriern oder nach ihrer Ankunft dorthin gekommen ist, mitgebracht worden sein. Die erste Möglichkeit, dass nämlich Aiakos mit den Doriern nach Aigina gelangt sei, ist, da er im Schiffskataloge nicht auf Aigina auftritt, abzulehnen, trotzdem, wie gesagt, Aiakos von Pindar für einen Dorier ausgegeben wird. Denn dass die Freund- schaft des Aiakiden Telamon mit dem gewöhnlich als speziell für einen Dorier gehalte- nen Heros Herakles vielleicht eben auf Aigina gefeiert wurde, ist keineswegs ein Beweis dafür, dass die Verbindung des Aiakos mit den dorischen Sagen ursprünglich wäre. Und wenn Tzetzes, Schol. ad Lycophron. 176, behauptet, dass Aiakos mit den Lakedä- moniern nach Aigina gelangt wäre, so stützt er sich kaum auf eine wirkliche Überlie- ferung; es liegt hier offenbar ein Irrtum vor (vgl. K. O. Mörner, Aeginet. Lib. 36, 43), der aus der Sage von Triakon entstanden ist”). En. Meyer, a. a. O. II 284, glaubt, die „Achäer“ hätten zur Zeit der dorischen Einwanderung nach dem Peloponnes ihre alten Sitze verlassen. Man kónnte also anneh- men, dass Aiakos von ihnen gerade zur Zeit der dorischen Einwanderung dorthin gebracht worden wäre, wenn nicht dieselbe chronologische Schwierigkeit sich auch hier einstel- len würde. Ist es denn möglich, dass Aiakos auf irgend eine Weise nach der dorischen Ok- kupation auf Aigina heimisch werden konnte? Nach der dorischen Einwanderung ist die Insel gewiss von keinem grósseren Stamme erobert worden. Auch ist es kaum wahr- scheinlich, dass Aiakos auf Aigina aus der Dichtung bekannt geworden wäre; denn wenn es auch in Griechenland hin und wieder geschehen sein mag, dass ein anfangs nur epischer Held später einen Kultus erhalten hat, so gestattet der Charakter des Aiakos-Kultes auf Aigina eine solche Annahme doch nicht. Und ausserdem weiss man !) Man kann bei dieser Gelegenheit mit Fug eine Âusserung V. WILAMOWITZ' über eine andere Tzetzes-Stelle anführen: ,Tzetzes .. . ändert willkürlich an dem Pindarscholion, das er ausschreibt“; s. Excurse zu Euripides Medeia (Hermes XV 1880) s. 485 Anm. 2. N:o 8. 6 42 Env. REIN. von seinem Ruhme in der älteren epischen Poesie fast nichts, da er in der Ilias nur einmal und zwar bloss in einer genealogischen Verbindung auftritt. Es bleibt somit schwerlich etwas Anderes übrig als die Hypothese aufzustellen, dass er von einzelnen Familien oder Geschlechtern nach Aigina gebracht worden ist. Diese Geschlechter mögen aus derselben Gegend angelangt sein, aus der H. D. Mörner die „prähistorischen Achäer“ kommen lässt, d. h. aus Lokris, Malis und Süd- thessalien. Diese eingewanderten Familien, die, angeblich von dem lokrisch-thessalischen Heros Aiakos abstammend, sich Aiakiden genannt haben '), mögen den Kultus ihres mythischen Ahnen in ihr neues Vaterland mitgebracht haben. Dass sie aber hier ihre lokrisch-thessalische Abstammung nicht vergessen haben, zeigen die aiginetischen Sagen von der Übersiedelung des Aiakos oder des Peleus nach Thessalien ?). Wenn also K. O. Mürzer, Prolegomena u. s. w. 168, als das wichtigste Argument für eine ,achäi- sche“ Einwanderung aus Thessalien nach Aigina eben jene Erinnerungen aus Thessalien anführt *), so muss dies dahin berichtigt werden, dass diese Aussage nicht von den „Achäern“, sondern vielmehr von den Aiakiden gelten muss. Da nun, so folgern wir weiter, die Aiakiden sich ohne Zweifel zu dem Adel rechneten, haben sie unter den Insulanern ein solches Ansehen gewonnen, dass ihr Stammesheros in dem Pantheon der einheimischen Heroen allmählich die erste Stelle einnahm. Dazu mag der Umstand beigetragen haben, dass, wie wir oben sahen, die Einwohner Aiginas vielleicht nicht reine Dorier, sondern möglicherweise mit einer früher aus Mittelgriechenland gekommenen Bevölkerung vermischt waren; mit diesen konnten aber die neuangelangten einzelnen Familien sich verwandt fühlen. Der Ruhm der Aiakiden ist dann so gross geworden, dass ihr Geschlecht zu den vornehmsten gezählt wurde. Eine Folge davon war, dass sich viele adlige Familien ohne Zweifel von Aiakos abzustammen rühmten; wir haben nämlich früher (De Aeaco 93 ff.) erkannt, dass die aiginetischen Sagen von Aiakos anfangs vorzugsweise unter dem Adel verbreitet waren. Und da die dorische Bevölkerung auf Aigina dominirte, so dass die Aigineten auch nach ihrer Befreiung von der epidaurischen Oberherrschaft ') als Dorier betrachtet wurden °), ist Aiakos ein Dorier geworden und die Tradition entstanden, dass Aigina von der Zeit des Aiakos her dorisch gewesen sei °). 1) Wir glauben also an geschichtliche Geschlechter, die sich ,Aiakiden* genannt haben; sie sind natürlich von den mythischen Aiakiden, d. h. den Sóhnen und Enkeln des Aiakos, verschieden; vel. Verf. De Aeaco 32 Anm. 2. ?) Siehe De Aeaco 98 ff. 3) Vel. H. D. MÜLLER, a. a. O. I 73. +) Vel. hierüber Herodot V 83. Dies soll im Anfang des VI. Jahrhunderts geschehen sein; vgl. LOLLING, a. a. O. 195. 5) Über die Umgestaltung der peloponnesischen Verhältnisse durch die Dorier vgl. im Allgemeinen Ep. MEYER, a. a. O. II 266, 270 ff. *) Dies stimmt freilich schlecht mit der Überlieferung, dass die Dorier unter Triakons Leitung nach dem Tode des Aiakos Aigina eingenommen hätten. Übrigens hindert nichts die Annahme, dass eine dorische Einwanderung nach Aigina nicht einmal, sondern ófter stattgefunden hat; die Kolonisation Triakons kónnte also — wenn eine solche wirklich erfolgt ist — in einer Zeit vor sich gegangen sein, wo sich der Kultus des Aiakos dort schon vorfand. Tom. XXXII. Sagengeschichtliche Untersuchungen über Aiakos. 43 Mit den Aiakiden ist vielleicht auch der Name der Myrmidonen nach Aigina gebracht worden, so dass die Bewohner der Insel bei einigen Verfassern Myrmi- donen genannt werden. Dieser Name mag aber dann zu der einheimischen Sage von dem fabelhaften Ursprung der Aigineten in Beziehung gebracht worden sein). Auch der ,hellenische* Zeus-Kultus ist wohl von denselben Aiakiden nach Aigina mitgebracht worden, wo er sich grossen und allgemeinen Ruhm erwarb. Dass er aber anfangs nur ein Geschlechtskultus gewesen ist, geht ohne Zweifel aus dieser (schon oben, s. 17) zi- tirten Pindar-Stelle (Nem. V 9 ff.) hervor: rev (sc. vv Alyıvav) mot evavdoov vs xal vcvoixAvTGV Séccavro (d. h. die Söhne des Aiakos) xao Bouóv æatégoc EAAavíov . .. Zu welcher Zeit aber haben die s. g. Aiakiden auf Aigina ihre Heimat gefunden? Um auf diese Frage zu antworten, müssen wir nachsehen, was aus den Untersuchungen GnurPrs, der unter den neueren Forschern die relative Chronologie der griechischen Sa- gen näher zu fixiren versucht hat, hervorgeht. Grurre glaubt nun, dass der geschicht- lich konstatirten argivischen Hegemonie eine Glanzperiode der lokrischen und südthes- salischen (besonders in Phthia und Malis) vorangegangen, die ihrerseits der Blütezeit der orchomenischen Minyer gefolgt sei”). Nun aber setzt Ep. Meyer, a. a. O., das Sinken der orchomenischen Herrschaft ins IX. oder VIII. Jahrhundert?). Wenn man die Resultate Grurres damit kombinirt, hätte die Glanzzeit der lokrischen Welt seit dem IX. und VIII. Jahrhundert bestanden. Da es aber kaum wahrscheinlich ist, dass vornehme Familien während der Blüte der betreffenden Stämme ihre Heimat verlassen hätten, muss man annehmen, dass die Einwanderung der Aiakiden wohl nach dieser Zeit geschehen sei. Wenn wir die Vermutung gelten lassen, dass jene Blütezeit z. D. etwa ein Jahrhundert gedauert hat, muss sie etwa bis in das VIII. oder VII. Jahrhun- dert hinein bestanden haben. Dies ist nun nicht unwahrscheinlich, wenn anders die Zeit des argivischen Tyrannen Pheidon von den Forschern mit Recht ins VIII. oder VII. Jahrhundert gesetzt wird *). Seine Regierung aber fällt mit dem Aufschwung des argivischen Staates zusammen ), der auf das Sinken der lokrisch-phthiotischen Staate folgte. Jene lokrisch-phthiotischen Geschlechter, die sich Aiakiden nannten und den Kul- tus ihres Heroen mitbrachten, mügen also etwa im VIIL oder VII. Jahrhundert auf Aigina sesshaft geworden sein. Zum selben Schluss kommt man, wenn man berücksichtigt, dass bei der Erwáhnung der Insel im Schiffskataloge von Aiakos noch nicht die Rede ist. Und vielleicht dürfen wir lieber an das VIII. Jahrhundert denken, wenn, wie oben angenommen, die aiginetischen Sagen von Aiakos teils schon im VII. Jahrhundert entstanden sind. 1) Vgl. De Aeaco 85 ff. ?) A. a. O. 378. 3) A. a. O. II 194. *) GRUPPE, a. a. O. 176 ff, setzt die Regierung Pheidons in die erste Hälfte des VII. Jahrhunderts. 5) GRUPPE, a. a. O. 44 Epv. REIN. Wir sind eher zu der Vermutung geneigt, dass die Aiakiden aus dem südlichen Thessalien und Malis als aus Lokris gekommen sind. Denn der Kultus des Zeus Hel- lenios scheint speziell den erstgenannten Gegenden anzugehören ‘). Dazu kommt, dass die Aiakiden nach Aigina übergesiedelt sein müssen, nachdem Aiakos mit Zeus, En- deis, Peleus und Achill verbunden war, was in Thessalien geschehen sein muss. Da aber diese Verbindung des Aiakos mit speziell thessalischen Kulten das Fortbestehen eines lokrischen Kultes wohl nicht ausschloss, ist selbstverständlich die Möglichkeit vor- handen, dass die Aiakiden direkt aus Lokris angelangt sind. Grurrz, a. a. O. 112, hegt in der Tat die Ansicht, dass Aiakos in dem lokrischen Zeus-Kulte nach Aigina übergeführt worden sei (vgl. unten s. 45). Doch müssen wir uns erinnern, dass die be- treffenden Gegenden Südthessaliens und Lokris’ so nahe bei einander liegen, dass sie im grossen und ganzen einunddemselben Kultuskreise angehören. Was endlich die Mutter des Aiakos, die Heroine Aigina, betrifft, läge selbst- verständlich die Vermutung nahe, dass sie von den Aiakiden zusammen mit Aiakos aus Südthessalien oder Lokris nach der Insel desselben Namens gebracht worden wäre. Nun aber kommt im Schiffskataloge dieser Name der Insel schon vor, während sich von Aia- kos noch keine Spur findet. Wie ist dies zu erklären? Wir müssen uns vorläufig mit der Annahme begnügen, dass, als die Aiakiden mit ihrer thessalisch-malischen Heroine nach dieser Insel kamen, hier schon von früher her ein Kultus einer ähnlichen Göttin oder Heroine blühte. Dies aber wäre wohl nur in dem Falle möglich, wenn Aiyıya ursprünglich eine Hypostase der Artemis war, wie wir uns am andern Orte (De Aeaco 27) hypothetisch geäussert haben; ein solcher Kultname konnte unschwer in verschiede- nen Gegenden auftreten. Damit hängt es zusammen, dass Aigina auch zu Phlius be- kannt war ”); ob aber auch aus dieser Gegend Auswanderer nach der Insel gelangt sind, wie K. OÖ. Mürzer (s. oben s. 39) glaubt, muss dahingestellt bleiben ?). Wie wir oben sowie in unseren früheren Untersuchungen gesehen haben, sind die berühmtesten Sagen von Aiakos auf Aigina entstanden oder haben dort wenigstens ihre endgültige Form erhalten — so die Sage von der Entstehung der Menschen aus Ameisen, die von der Befreiung Griechenlands durch Aiakos, vielleicht auch die von der Teilnahme des Aiakos an der Erbauung Trojas. Auch haben wir am andern Orte (Aiakos in der Unterwelt 30 ff.) gezeigt, dass die Vorstellung von dem Auftreten des Aiakos in der Unterwelt hauptsächlich auf Aigina entstanden ist. Die Sagen von Aiakos scheinen, wie oben bemerkt, anfangs besonders unter den vornehmen Kreisen auf Aigina verbreitet gewesen zu sein. Auch sind sie nicht erheb- 1) Vgl. z. B. K. O. Mütter, Prolegomena 168, Kleine Schriften 98, H. D. MÜLLER, a. a. O. I 81, RÜCKERT, a. a. O. 130. Man hat jedoch nicht konstatiren können, dass der Kultname 'EAidvrog wirklich in Thessalien vorgekommen ist; vgl. GERHARD, a. a. O. II 204, PRELLER-PLEW, a. a. O. II 391. 2) Vgl. De Aeaco 17 ff. 3) Vgl. De Aeaco 24. Tom. XXXII. Sagengeschichtliche Untersuchungen über Aiakos. 45 lich mit andern Sagen verknüpft worden; doch haben wir auf die Verbindung mit dem megarischen Sagenkreis früher aufmerksam gemacht ”!). Was aber die Verbindung mit der Minos-Sage wie auch mit der Stymphalos-Sage betrifft, so sind diese unseres Erach- tens nicht ursprünglich. Um dann zu der lokrisch-thessalischen Periode der Aiakos-Sagen überzugehen — der Gang der Untersuchung ist nämlich umgekehrt dem geschichtlichen gewesen —, so kennen wir diese sehr wenig. Und es ist ungewiss, ob die uns bekannten, d. h. die Sagen von Aiakos als König der Thessaler und Gründer der Stadt Dia, ursprünglich sind ?). Wenn dies der Fall ist, wären diese thessalischen Sagen also zu der Zeit ent- standen, wo die Aiakiden noch nicht nach Aigina übergesiedelt waren. Und es war be- sonders in der Landschaft Hellas, wo die Sagen von Aiakos und den Aiakiden blühten. Wenn wir aber bei Prercer-Prew, a. a. O. II 391 lesen: „die allgemeine Grund- lage dieser Sagen (d. h. des Aiakos und der Aiakiden) scheint ein alter Cultus des Zeus zu sein in Gegenden, welche Hellas hiessen . . .“ und 392: „Alte Sagen und Bilder dieses Zeuscultes . . . mögen zu den Dichtungen von Aiakos . . . geführt haben u. s. w.* — so können wir damit nicht ganz einverstanden sein. Wir sind ja mit Grurre (a. a. O. 112 und sonst) geneigt anzunehmen, dass er den Lokrern früher als in Thessalien bekannt war. Auch haben wir bemerkt, dass die Sagen von Aiakos zu Opus berühmt waren, wohin auch einige Heroen aus seinem mythischen Geschlechte, wie z. B. Telamon, gehört zu haben scheinen. Wir haben jedoch am andern Orte (De Aeaco 33) darzulegen gesucht, dass er ursprünglich vielleicht mehr den epiknemidischen als den opuntischen Lokrern angehórte. Weil aber die Lokrer von Opus als ein ,Her- renstand über geknechteter dienender Bevölkerung“ erschienen ?), hat der Ruhm (der Kultus?) des Aiakos sich besonders durch diese verbreiten können. Dass diese Sagen vorzüglich in Südthessalien verbreitet sind, wäre selbstverstindlich, wenn die Sache sich so verhielte, wie Grurre, a. a. O. 489, behauptet, dass nämlich derselbe Stamm sowohl hier als in Lokris gewohnt habe, was er daraus schliesst, dass in beiden Gegenden die- selben Namen vorkommen *) Dies lässt sich aber nicht nachweisen. Es hängt nämlich 1) Vgl. z. B. Verf. De Aeaco 37 ff. ?) Vel. Verf. De Aeaco 99. 3) v. WILAMOWITZ, Euripid. Herakl. I 11 Anm. 25; vgl. GRUPPE, a. a. O. 127, Verf. De Aeaco 33 Anm. 2. Das geht deutlich aus Il. II 527 hervor: Aoxeov à nyeuovevev Oiinog tayvs Alas, 1) Dass wenigstens in Malis derselbe Stamm wie in Phthiotis gewohnt habe, kónnte man aus II. II 681 ff. schliessen, wo es heisst: . 00001 TO I1lsAaoyırov "Aoyog Evarov: oi v ”Alov, ol T 'Alómmv, of te Tonyiv évéuovro, Mvewöovss 0i nalevdvro xai "ElAnves xoi ’Ayauoi. N:o 8. 46 Epv. REIN. mit der Frage nach der Abstammung der Lokrer zusammen, einer Frage, die noch un- gelöst ist. Die Lokrer (sowohl die opuntischen als die epiknemidischen) werden näm- lich gewöhnlich für ,Leleger* ausgegeben). Wenn aber in den antiken Angaben über die Wohnstätten dieser ,Leleger^ einige Wahrheit liegt, so wären sie nicht in Thessalien bekannt gewesen; man wusste nämlich von den Lelegern auf vielen Inseln, in Akarna- nien, in Boiotien, auf Euboia, zu Megara, in Messenien, in Lakonien und in Lokris, nicht aber in Thessalien ?). Somit hätten Südthessalien und Lokris eine verschiedene Bevölkerung gehabt. Und dies ist wohl die Ansicht des Aristoteles, wenn er die thes- salischen Hellenen für Einwanderer ansieht, die Leleger aber, überall wo sie auftreten, für Autochthonen hält °). Im Allgemeinen sind jedoch die Angaben über die Wohnsitze der Leleger ganz unsicher, sowie der ganze Lelegername ziemlich sagenhaft ist”). Dass die Bevölkerungen von Südthessalien und Lokris ursprünglich verschieden gewesen, würde auch zu den Resultaten unserer Untersuchungen über die Verhältnisse zwischen den Sagen des Aiakos und denjenigen des Peleus und Achill stimmen, so- fern wir jene ursprünglich Lokris, diese Südthessalien zuweisen und diese Verbindung nicht für uralt halten. Dasselbe geht auch aus der Verbindung des Aiakos mit Zeus Hellenios hervor, da dieser Kultus speziell nach Südthessalien gehörte. Nichtsdestoweniger können bestimmte Familien in den beiden Gegenden verwandt gewesen sein”). Jedenfalls hat das zu Phthia regierende Haus den lokrischen Aiakos Es ist noch hervorzuheben, dass ein phokisch-lokrischer Dialekt in der Umgegend von Dodona, woher nach einigen die achäischen Phthioten stammen sollen, bis zu den spätesten Zeiten geherrscht zu haben scheint; vgl. GrurrE, a. a. O. 351. Später hat auch derselbe Dialekt, der dorische, in Lokris sowohl als in Phthiotis geherrscht; vgl. GROTE, Hist. of Greece IL 335. 1) Hesiod. fragm. 141 (RzACu), Aristoteles bei Strabo VII 322 (= Arist. fragm. 127 b), Plinius, Nat. Hist. IV 7 (27) u. s. w.; vgl. KIEPERT, Über den Volksnamen Leleger (Monalsber. d. preuss. Akad. 1861) s. 116, Horw, a. a. ©. I 79, BusoLt, a. a. ©. I 184, WENIGER bei ROSCHER, a. a. O. II 2140 s. Lokros. — GRUPPE, a. a. O. 127, hält die Lokrer allerdings für Dorier; vgl. auch BERGK, Griech. Litt. gesch. L 417 ff. Und dass der dorische Dialekt spüter in Lokris gesprochen wurde, sahen wir eben; vgl. Busorr, a. a. O. I 194, Ep. MEYER, a. a. O. 1I 263. Nach GmurPE, a. a. O. 276, gab es aber opuntische Adelsgeschlechter, die zum Lele- gerstamme gehórten. Es mag in diesem Zusammenhange bemerkt werden, dass Aktor zu Opus bekannt war (vgl. Verf. De Aeaco 21 ff); dieser Heros aber ist vielleicht eine Hypostase Poseidons (vgl. De Aeaco 31), der angeblich unter den Lelegern verehrt wurde; vgl. Horrg, Megara im mythischen Zeitalter 9. ?) Vel. Busorr, a. a. O. I 185. 3) Vel. KIEPERT, a. a. O. 119. 3) Vel. Hor, a. a. O. I 91 ff, Busozr, a. a. O. I 184 ff, Ep. MEYER, a.a. O. II 60. GRUPPE dagegen spricht von den Lelegern wie von einem geschichtlichen Volke. 5) PRELLER-PLEw, a. a. O. II 394: ,alle diese Helden von Phthia und Salamis, auch Patroklos, der Sohn des Menoetios und der lokrische Aias, der Sohn des Oileus, die Helden von Opus, bildeten später eine engverbundene Gruppe, sei es dass wirklich eine alte Stammverwandtschaft zwischen gewissen Ge- schlechtern dieser Gegenden bestand, sei es dass die combinirende Dichtung die durch die epische Tradition Verbundenen später auch zu Verwandten gemacht hat. Wie diese Verbindung zu erklären ist, ist eine Frage, die GROTE, a. a. O. II 185 offen gelassen hat. Dass eine solche existirt hat, ist nicht unwahrschein- lich, besonders wenn wir bedenken, dass solche mythischen Genealogien eben nicht so sehr ganze Staa- ten als bestimmte Stämme und Familien zu vereinigen pflegten; vgl. GROTE, a. a. O. II 185. ScHuLTz, Die Aktorionensage u. s. w. II 12 sagt: „Diese Gruppe (sc. Peleus-Achill-Aktor-Menoitios-Patroklos) ist bestimmt geschieden von Oileus und Aias, welche später als Herrscher von Opus erscheinen. Nur letztere sind Leleger, aber der Name ist auch auf jene früheren Könige übertragen worden . . .“, vgl. 20, 26. Hierin aber können Tom. XXXIL WR b Lu u on 0 M ln c ^ LU Zu 2 DE u a ZZ Gun u. eic ail Sagengeschichtliche Untersuchungen über Aiakos. 47 aufgenommen, so dass dieser bald mit Peleus, Achill, Endeis und anderen rein-thes- salischen Heroen und Heroinen verbunden ist. Damals kann dieser auch „der König der Thessaler“ und Gründer der Stadt Dia geworden sein '). Es ist jedoch bemerkens- wert, dass sich die thessalischen Sagen von Aiakos nicht, wie so viele andere, weiter, bis nach Aiolis und Ionien, verbreitet haben; der Heros ist ja Homer nur dem Namen nach bekannt. K. O. Mürrer, Aeginet. Lib. 159, leitet den Ursprung der Sagen von Aiakos aus Epirus her. Und in der Tat lässt es sich nicht leugnen, dass das Geschlecht des Aiakos auf irgend eine Weise mit Dodona verbunden ist, in welcher Gegend bekanntlich, wenn nicht der älteste, so doch ein sehr alter Zeus-Kultus bestand ”). Häufig werden diese Worte des Aiakiden Achills zitirt (Il. XVI 233 ff): Zei üva Awdwveis Hekaoyızk, TnAodı vaiwr, Aodwvns uedéwv Övoysınsgov, . . . wo er den dodonäischen Zeus als seinen Stammesgott anruft. Diese Ilias-Stelle, wo der thessalische Achill zu einem anscheinend fremden Gott betet, wird nun gewöhnlich so erklärt, dass man vermutet, die Achäer oder die Hellenen (oder wenigstens die Aiaki- den) hätten in Epirus gewohnt, ehe sie sich in Thessalien niederliessen °), obgleich sich davon keine Überlieferung erhalten hat *). Diese wird auch dadurch verstärkt, dass Neoptolemos in Molossien geherrscht haben soll’), und selbst Achill unter dem Namen ”Aorsros in Epirus einen Kultus gehabt hat“). Man hat behauptet, dass griechische Stämme einst die Landschaft Epirus innegehabt hätten. Wenigstens scheint die Gegend wir ihm nicht beistimmen. Denn wenn auch Peleus und Achill als Phthioten von den Übrigen auszuscheiden sind, so sehen wir nicht ein, warum er auch die Opuntier Menoitios und Patroklos von Oileus und Aias tren- nen will. 1) Vel. GRUPPE, a. a. O. 112. Vgl. jedoch oben s. 45. ?) Dass Dodona der älteste Kultort des Zeus gewesen, nimmt, anderer zu geschweigen, KRETSCHMER, Einleit. in die griech. Sprache 91, an. Dagegen hielt z. B. DrELs in seinen Vorlesungen 1899—1900 den Berg Olympos für die Wiege des Zeus-Kultes. 3) H. D. MULLER, a. a. O. I 196, 200, Currius, a. a. O. I 94, v. WILAMOWITZ, Oropos und die Graer (Hermes XXI 1886) s. 114 Anm. 1 und Euripid. Herakl. I 11 Anm. 23, KRETSCHMER, a. a. O. 255. Dass die Aiakiden aus der Gegend um Dodona nach Thessalien eingewandert seien, hält Törrrer bei PAULY-WISSOWA, a. a. O. I 923 s. Aiakos, für wahrscheinlich. *) Vgl. CunTIUS, a. a. O. 5) Das molossische Kónigshaus sollte von Molossos, dem Sohne des Neoptolemos, und der Andro- mache abstammen, welche sich nach der Zerstörung Trojas in Molossien niedergelassen hätten; s. Pindar. Nem. VII 65 mit Schol; vgl. auch Nem. IV 35, Euripid. Androm. 1246 ff, und GRUPPE, a. a. O. 352 ff. Davon schreibt es sich her, dass z. B. Alexander der Grosse — durch seine aus dem molossischen Kónigshause stammende Mutter Olympias — und der Kónig von Epirus, Pyrrhus, für Aiakiden gehalten wurden. Der be- treffenden Genealogie, die nach v. WILAMOWITZ, Oropos u. d. Graer a. a. O., und Euripid. Herakl. I 11 Anm. 23, vielleicht nicht ohne Bedeutung ist, wird von Ev. MEYER, a. a. O. II 243, kein grosser Wert zugestanden, da sie kaum älter als das VI. Jahrhundert sei. Zu der Verbindung des Neoptolemos mit dem dodonäischen Zeus vgl auch Justin. XVII 3: Pyrrhus, cum in templum dodonaei Iovis ad consulendum venisset, ibi Lanas- sam neptem Herculis rapuit ... *) Aristot. Fragm. 121 (MÖLLER, Fragm. Hist. Graec. ll 145) bei Hesych. "46xsr06 Ó ‘Ayulledg Ev ”Hnaelow, Os qnow ‘AguototéAns iv Orxovvriov aolıreie. Vgl. Plut. Pyrrh. cap. I. N:o 8. 48 Epv. REIN. um Dodona in geschichtlicher Zeit wie eine griechische Insel mitten in dem sonst bar- barischen oder halbbarbarischen Epirus stehen geblieben zu sein, weil die einbrechenden fremden Vülkerschaften die heilige Orakelstätte verschont hätten ). Dabei hat das Zeugnis des Aristoteles mitgewirkt, wenn dieser, Meteor. I 353 a, sagt, die Gegend um Dodona und Acheloos sei der älteste Wohnsitz der Griechen ^). Wenn der Stamm der Hellenen in der Tat Epirus innehatte, so hat es unschwer geschehen können, dass sie die Erinnerung an ihre Verbindung mit dem dodonäischen Zeus nach Thessalien mitge- bracht hätten, und die Worte Achills wären dann leichtverständlich °). Auch den mit Aiakos so nahe verbundenen aiginetischen Kultus des Zeus Hel- lenios leitet K. O. Mürrer, Aeginet. Lib. 159, aus Epirus her. Man sieht aber zwar sehr oft den dodonäischen Zeus-Kult ganz wie den aiginetischen als einen Regenkultus bezeichnet, vgl. Horm, a. a. O. I 153, und besonders Grurpr, a. a. O. 354 und 447. Es ist aber möglich, dass der dodonäische Zeus nicht von Anfang an etwas mit dem Regen zu tun hatte; der Schwerpunkt seines Kultes liegt nach Drers (in seinen Vor- lesungen) auf dem Beinamen Naïos, der sich ursprünglich auf Quellen, nicht aber auf Regen beziehe, wie z. B. OverBecx, a. a. O. 33, behauptet. Dass der im Westen Grie- chenlands. verehrte Zeus Naios, „dieser Herr der überreich die Erde überströmenden Feuchtigkeit“ von dem im Osten verehrten „kargenden Zeus Ombrios* ganz verschieden ist, ist übrigens von NEUMANN und Pamrscu, a. a. O. 80 ff., mit Hinweis auf die kli- matologischen Verhältnisse deutlich gezeigt worden. Schon aus diesem Grunde muss die Vermutung K. O. Mörrers als unsicher angesehen werden. 1) Ep. MEYER, Forschungen zur alt. Gesch. I 47, Gesch. d. Alteri. II 65 ff., KRETSCHMER, a. a. O. 255, 257, v. WILAMOWITZ, Oropos u. die Graer 114, Euripid. Herakl. I 11, BUSOLT, a. a. O. I 199 ff., GRUPPE, a. a. O. 351, BELocH, a. a. O. I 39. Man hat jedoch Zweifel darüber geäussert, ob griechische Stämme vormals aus Epirus nach Thessalien eingewandert sind. LOLLNG, a. a. O. 363, z. B. wagt dies nicht bestimmt zu behaup- ten, und wenn GRUPPE, a. a. O. 350, die Spuren des Griechentums in Epirus davon herleitet, dass griechische Kolonisten — Minyer, Lokrer, Südthessaler — aus Mittelgriechenland sich dort niedergelassen und ihre Sa- gen mitgebracht hütten, so hat diese Hypothese in der Tat einige Wahrscheinlichkeit für sich. 2) Vgl. PRELLER-PLEW, a. a. O. II 391 Anm. 1. — Busorr, a. a. O. 199 hält dafür, Aristoteles hätte sich hierbei derjenigen Überlieferung angeschlossen, der zu Folge die molossischen Kónige sich eine grie- chische Abstammung anzueignen gesucht hätten; sie kann aber auf viel ältere Traditionen zurückgehen; vgl. NIESE, Über den Volksstamm der Gräker (Hermes XII 1877) s. 413, Ev. MEYER, Forschungen u. s. w. I 43. 3) Um die Schwierigkeit der genannten Ilias-Stelle zu erklären, haben einige Forscher — WELCKER, Griech. Götterlehre I 18, 199 f£, GERHARD, a. a. O. II 199 und Anm. 1 dazu, OVERBECK, Beiträge zur Erkenntn. u. Kritik d. Zeusreligion (Abh. d. sächs. Gesellsch. Wiss. hist.-phil. cl. IV 1865) s. 31 ff, PRELLER-PLEW, a. a. O. I 122 ff. — zwei Orte desselben Namens, Dodona, angenommen, den einen in Thessalien, den andern in Epi- rus, wobei sie den Alten gefolgt sind, wie z. B. Schol. Il. XVI 233: Jwdöva à dvo, n utv Oecoalias, 7) ö: Moloccias. Jener Ort soll aber später durch den Glanz des berühmteren epirotischen Heiligtumes ver- dunkelt worden sein. Dass dies ein Irrtum ist, und dass man in der Tat nur von einem und zwar einem epirotischen Dodona zu sprechen hat, ist wohl das richtige; vgl. DUNCKER, a. a. O. V 120 Anm. 1, Busorr, a. a. O. I 165 Anm. 5. — Vielleicht können wir WARSBERG beistimmen, wenn er einen Mittelweg einschlägt; s. Eine Wallfahrt nach Dodona 67: „Es lässt sich . . . diese geographische Grenzenlosigkeit, die Unbestimmt- heit und Unbestimmbarkeit der Namen vielleicht noch weiter ausdehnen und so das Räthsel lósen, dass neben dem ... wohlbekannten epirotischen Dodona, ein zweites, angeblich älteres, in Thessalien gestanden haben solle, wie von manchen Bücherforscher noch behauptet wird. Rechnet man Thessalien als zu Epirus gehörig, und lässt den Namen als... provinzial untergeordnet gelten, wie Chaonien, Thesprotien, Molottis, und nennt das ganze ,Festland' Epirus . . . so ist Epirus synonym mit Hellas-Pelasgia u. s. w.* Tom. XXXII. Sagengeschichtliche Untersuchungen über Aiakos. 49 Und auch gesetzt dass es sich wirklich so verhielte, dass die Einwohner der Phthiotis und Hellas’ früher in Epirus sesshaft gewesen wären, und ihre Heroen, wie Achill und Neoptolemos, ursprünglich nach Epirus gehören würden — was keineswegs bewiesen ist —, folgt daraus doch noch nicht, dass auch die Sagen von Aiakos ursprünglich in Epirus entstanden wären. — 2 x — N:o 8. Inhalt. Aiakos errettet durch seine Bitten Griechenland von der Dürre. Die Söhne des Aiakos beten um Heil für die Insel Aigina Die Fürsten Griechenlands unterwerfen sich der Oberherrschaft des AUS Aiakos schlichtet den Streit zwischen Skiron und Nisos . Aiakos schlichtet die Streitigkeiten der Götter Aiakos befestigt die Insel Aigina . : Aiakos hilft beim Bau der Mauern Tête Aiakos als Entdecker des Goldes und Silbers Aiakos als erster Erbauer eines Tempels . Aiakos als Gründer der Stadt Dia . Aiakos und die Stadt Gaza. Aiakos in freier dichlerischer Behandlung . É : Schlussfolgerungen aus den vorstehenden ne ne : Die Verbreitung der Sagen von Aiakos. NT X SCA TM : L^ pi. " | > Tu M í : AO T" | | 4 = A = x M = | ET "M A Jn. à E AM À a « | RPM rud ev Fan AM sr su Sur P ROME PE edfin foimesfa ja kustannuksella Helsıngıssä v MINNESTAT ÖFVER SENATORN, FRIHERRE GEORG ZACHRIS YRIO-KOSKINEN HÄLLET VID FINSKA VETENSKAPSSOCIETETENS ÄRSDAG DEN 29 APRIL 1904 AF RENE [IGNATIUS:. Högtärade Församling! Då en lefnadsverksamhet af djupt ingripande betydelse i ett folks historia nyss afslutats och samtiden står vid grafven, delad emellan stridiga känslor af beundran och misstro, af -tacksamhet och ovilja, då torde det tillgifvas minnestecknaren om han med hänvisning till detta sakförhållande inleder sin teckning med en erinran om det vansk- liga i att objektivt bedöma tilldragelser och handlingar, hvilka till en del ännu äro dolda för offentligheten och öfver hvilkas orsaker och verkningar först en framtid, fri från våra dagars partilidelser, kan fälla ett oväldigt domslut. Det är en så beskaffad reservation, som också jag nu vid detta tillfälle ser mig nödsakad att afgifva, då jag på uppdrag af Finska Vetenskapssocieteten går att egna några minnesord åt socie- tetens den 13 fürledne November afledne ledamot, senatorn, friherre Georg Zachris Yrjö-Koskinen. Friherre Yrjö-Koskinen har både såsom vetenskapsman och statsman intagit en af de mest bemärkta platserna i våra dagars historia, men det förunnades honom icke att vid sin lefnads afton få med frid i sinnet blicka tillbaka på ett fullgjordt dagsverk. Efter att med aldrig svigtande energi under ärtiondens oafbrutna kamp hafva bragt ställningen derhän att den stora, finska talande majoriteten af vårt lands befolkning fått sitt språk upphöjd till ett kulturspråk och i afseende à rättigheter likställdt med det svenska, efter att ha såsom publicist, folkrepresentant och styrelseledamot verksamt del- tagit i utvecklingen af vårt konstitutionela lif, fick han under dessa senaste ödesdigra år upplefda tilldragelser, hotande att förstöra allt hvad han sjelf och andra uppbygt samt egnade att sätta finska folkets politiska och nationela tillvaro i fara. Den hållning eller rättare det handlingssätt som han iakttog i förhållande till dessa tilldragelser och hvilket utsatte honom för så mycket klander, kan emellertid, såsom redan antyddes, oväldigt pröfvas och bedömas först sedan alla samverkande orsaker till hans och hans partivänners politik blifvit kända samt verkningarna deraf på vårt folks och vårt foster- lands framtid klart fórnimbara. Här kan tillämpas den historiska skolas, till hvilken Yrjö-Koskinen hörde, yrkande, att det berättigade i hvarje historisk handling beror af dess framgång, d. v. s. af dess gagn för det allmänna, för nationen och menskligheten. Öfverlemnande alltså åt framtiden att fälla sin slutliga dom öfver det, som nu kan synas dunkelt, skall jag i det följande söka lemna några bidrag till en karaktäristik af friherre Yrjö-Koskinen, förnämligast såsom vetenskapsman och statsman. 4 K. E. F. IGNATIUS. . Friherre Georg Zachris Yrjö-Koskinen föddes i Wasa den 10 December 1830. Hans föräldrar voro dävarande kollegan vid trivialskolan derstädes, sedermera prosten och kyrkoherden i Hämeenkyro eller Tavastkyro Georg Jakob Forsman och Anna Lovisa Ebeling. Füderneslágten Forsman är en af de talrikare i landet. Härstam- mande från Sverige, hvarest dess äldste kände medlemmar ända från reformationens tid beklädt prestatjenster förnämligast i Ångermanland, hade ätten sedan under sex på hvar- andra följande slägtleder blifvit hemmastadd i Österbotten och genom äktenskapsförbin- delser införlifvad med den vidtutgrenade Sursillska stammen. Likasom öfriga grenar af sistnämnda stora slägtgrupp var äfven den Forsmanska hufvudsakligast en prästslägt. Den har till innevarande tid försett Österbotten med 18 ordinarie präster, deraf en biskop och tio kyrkoherdar, förutom ett tiotal universitets- och skollärare. Äfven på den juridiska embetsmannabanan ha flere af slägtens medlemmar intagit en framstående plats. Sälunda ha icke färre än fyra suttit såsom ledamöter i Kejserliga Senatens justi- tiedepartement, deraf tre sedermera befordrats till hofrättspresidenter. Tvenne adeliga ätter, introducerade på finska riddarehuset, den förra år 1858 under n:o 227 Forsman och den andra, hvars stamfar är föremålet för denna minnesteckning, år 1884 under n:o 264 Yrjö-Koskinen utgöra äfven förgreningar af den ofrälse prestslägten. Icke så få slägtmedlemmar ha dessutom med sin verksamhet i statens eller kyrkans tjenst jem- väl förenat en bemärkt litterär produktion. Exempelvis må här endast erinras om far- brodern till Yrjö-Koskinen, den kände läroboksförfattaren Carl Rudolf Forsman, samt brodren, kriminalisten Jaakko Forsman. Den slägt, ur hvilken Yrjö-Koskinen utgick, var sålunda jemförelsevis rik på framstående personer. Det vill synas såsom om goda naturliga anlag i förening med en starkare impuls till sjelfverksamhet förblifvit inom densamma ett slägtarf, som fortplan- tats under flere generationer. Beträffande åter Yrjö-Koskinens möderneslägt Ebeling, så var denna af tyskt ursprung och kort förut inflyttad till landet. Morfüräldrarna Johan Gottlieb Ebeling och Petronella Bremer voro begge tyska infödingar, hvilka bosatt sig i Wasa, der mannen fått anställning såsom bataljonsläkare. Deras son Johan Karl Ebeling, hvilken sedermera afled såsom kyrkoherde i Sund på Åland, var vid tiden för Yrjö-Koskinens barndom rektor för trivialskolan i Wasa och uppgifves åtnjutit anseende såsom en insigtsfull och begäfvad lärare. Säväl slägtförhällandena som den öfriga om- gifning i hvilken Yrjö-Koskinen uppväxte i Wasa lilla, men mer än de flesta dåvarande landsortsstäder i vårt land, lifskraftiga och vakna samhälle, kunna följaktligen betraktas såsom ganska gynsamma för hans andliga utveckling. Äldst i en talrik syskonkrets ätnjöt han äfven förstfödslorättens förmån att under en längre tids odelad föräldravård tidigt utvecklas. De yttre konturerna af Yrjö-Koskinens lefnad må här endast i korthet beröras. Vid åtta års ålder inskrefs han d. 23 augusti 1839 i Wasa Trivialskolas andra klass. Undervisningen i hemmet i förening med goda naturanlag hade gjort att han med lätt- het genast öfverhoppade den lägsta klassen. Efter slutad skolgång flyttades han sex år senare till Wasa gymnasium, hvilken kort förut inrättade läroanstalt då började sitt andra läseår. Kändt är att detta läroverk under den karaktärsfaste och stränge Oden- -— Minnestal öfver Senatorn, Friherre Georg Zachris Yrjö-Koskinen. 5 valls ledning i afseende à disciplin och god kamratanda bland eleverna snart förvärfvade sig ett godt anseende särskildt i jemförelse med de äldre gymnasierna, i hvilka discipli- nen var slappare och gamla inrotade oseder svårare att beifra. Att emellertid äfven i Wasa gymnasium den ungdomliga sjelfkänslan då och då skulle ställa sig i opposition mot det herrskande tvånget och framkalla konflikter emellan rektor och alumnerna är lätt förklarligt. Odenvall förblef dock oböjlig. Huru konsiderationslóst han beifrade hvarje ohörsamhet ådagalades äfven vid afgångsexamen d. 14 Juni 1847. Af de 14 till universitetet utdimitterade erhöllo då endast 3 berömligt uppförande; de fleste öfrige, deribland äfven Yrjö-Koskinen, nöjaktigt. Sistnämnda vitsord stod för öfrigt i märkbar kontrast till betyget i öfrigt, hvilket innehöll för flit och i alla studiiämnen vitsorden berömliga, samt alltså, i trots af det nerskattade uppförandet, utgör ett tidigt och hed- rande bevis på den ihärdiga flit och arbetsförmåga som ända ifrån ungdomsåren utmärkte dess egare. Då Yrjö-Koskinen lemnade gymnasium var han redan en deciderad anhängare af de finskt-nationela sträfvandena, hvilka kort förut erhållit den sedan häfdvunna benämningen Fennomani. Snellman hade år 1844 begynt sin epokgörande verksamhet såsom redaktör för Saima. "Tidningen uppbars också i Yrjó-Koskinens föräldrahem der dess artiklar om aftnarna blefvo föremål för lifliga diskussioner. Morbrodren Ebeling, som ofta besökte sin svåger och var en varm anhängare af Saimas läror, tog en fram- stående del i dessa diskussioner och kom härigenom att utöfva ett afgörande inflytande på sin unge systerson, hvilken med spändt intresse följde samtalen. Den betryckta ställning, hvari den stora massan af det finska folket befann sig i följd af att dess språk var undanträngdt från alla områden af det statliga och kommunala lifvet framstod härunder allt klarare likasom också nödvändigheten af att detta onaturliga missförhål- lande så fort som möjligt måste aflägsnas. Men ju mera denna idé mognade hos yng- lingen, desto starkare och bestämdare form antog den. Yrjö-Koskinen satte aldrig såsom sitt slutliga mål likställigheten emellan finska och svenska språken; han ville att finskan skulle intaga i Finland samma plats som svenskan i Sverige och franskan i Frankrike, åt förhandenvarande förhållanden borde tillerkännas endast en tillfällig eller temporär rätt. Redan i gymnasietidningen Pohjalainen, i hvilken han var en af redaktörerna, hade han sökt klargöra dessa tankar. Till universitetet kom han alltså såsom en känd finskhetsifrare. Efter genomgången studentexamen inskrefs Yrjö-Koskinen d. 23 Juni 1847 i universitetet och intogs följande år d. 14 Februari 1848 i Österbottniska afdelningen. Det var en stormig tid i hvilken Yrjö-Koskinens studentår inföllo. Februarirevolutionen i Paris hade väckt genklang i större delen af Europa, kommit de tyska furstarnas tro- ner att vackla, upptändt Italienarnes och Ungrarnes frihetskamp samt medelbart föran- ledt det Schleswig-Holsteinska kriget, under hvilket skandinavismens idé syntes arbeta sig fram till en beaktansvärd faktor i de internationela frågorna. Det kunde icke und- vikas att Finlands studerande ungdom i någon mon skulle beröras af dessa yttre för- hållanden. I trots af vicekansler Nordenstams stränga regim förekommo allt emellanåt studentexcesser, at hvilka gåfvos en politisk färg och hvilka upprepade gånger hotade 6 K. E. F. IGNATIUS. att sätta universitetets tillvaro i fara. Här må endast erinras om den stora kattserena- den d. 7 Mars 1849 utanför professor Aminoffs bostad, om hvilken demonstration det i Österbottniska afdelningens protokoll för den 8 Mars 1849 anföres: „Delande den all- männa ledsnaden och förtrytelsen öfver att G. F. Aminoff, med förbigäende af J. W. Snellman blifvit utnämnd till Filosofie professor vid universitetet samlade sig dagen efter den sorgliga underrättelsen ankommit ungefär 150 studenter och uppförde utanför Prof. Aminoffs boning en Katzen serenad, det i sitt slag ojemförligen mest storartade, som någonsin blifvit hördt i Finland“. Gäsningen i sinnena röjde sig ingalunda minst i Österbottniska afdelningen, hvars veckosammanträden också voro mer än vanligt stormiga. Hetsiga debatter, för- anledda af opinionsyttringar, studentförseelser och disciplinära stadganden, samt efteråt ätföljda af lika hetsiga och långa protokollsjusteringar, upptogo en stor del af mötes- tiderna samt hade till följd bl. a. att först Zachris Topelius och senare kurator Fredrik Cygnaeus skiljde sig från afdelningen. Vida fredligare aflöpo diskussionerna i den finska språkfrågan, som då ännu icke delade ungdomen i skilda partier. Yrjö-Koskinen tog veterligen ingen lifligare del i förenämnda demonstrationer och opinionsyttringar, men desto mera i språkdebatterna. Hans intresse för finskhetens sak fann en ny sporre, då Mattias Alexander Castrén i början på året 1849 återvände från sin Sibiriska resa och begynte föreläsa öfver Kalevala och finsk mythologi. Fennomanin var i teorin ganska allmänt uppburen inom studentkorpsen. Men också i praktiken gjordes försök att förverkliga dess ideer. Redan i Maj 1850 begynte finska uppsatser uppläsas vid Osterbottniska afdelningens möten och samtidigt väcktes äfven fråga om anordnandet af skilda finska diskussionsmöten. Yrjö-Koskinen åtog sig att föra finska protokoller, och uppsatte äfven några sådana. Sedermera blef han vald till afdelningens ordinarie proto- kollist, i hvilken egenskap han förde protokollerna på det officiela svenska språket. Han var det äfven, som fick skrifva och underteckna den dåvarande Österbottniska afdelningens sista protokoll d. 14 December 1852, då afdelnings institutionen för ett halftannat årtionde upphörde. Vid dess återupprättande 1868 valde afdelningen Yrjö- Koskinen, dåmera professor, till sin första inspektor. Äfven i den nya afdelningen uppstodo bittra partistrider, föranledda nu af språkfrågan, men för öfrigt i mångt och mycket erinrande om de gamla. Utgången från ett svenskttalande hem hade Yrjö-Koskinen icke, såsom så mån- gen annan, ifrån barndomen varit hemmastadd i finskan. Det fordrades hans ihärdiga flit och starka viljekraft för att så lära sig språket, som han det sedan gjorde. Huru snabbt han häri avancerade synes af den beskrifning öfver Tavastkyro socken — Kertomus Hämeenkyrön pitäjästä — hvilken han om hösten 1850 inlemnade såsom prisskrift till Österbottniska afdelningen och för hvilken honom i pris tillerkändes E. G. Geijers samlade skrifter. Afhandlingen erbjöds sedermera till tryckning åt Finska Lit- teratursällskapet; men här mötte den det hinder, som 1850 års sorgligt ryktbara språk- manifest satte i vägen för finska skrifters tryckning. Man sökte derföre öfvertala den unge författaren att öfversätta sitt arbete till svenska och sålunda publicera det; men Yrjö-Koskinen lyssnade ej härtill. Då man, afsedt från hans ståndpunkt i språkfrågan, Minnestal öfver Senatorn, Friherre Georg Zachris Yrjù-Koskinen. 7 tager i betraktande den tid och möda han användt på detta sitt finska förstlingsarbete, kan man icke undra öfver att han mötte dessa öfvertalningsförsök med ovilja. Hans finska envishet segrade också till sist. Afhandlingen fick efter åtskilliga omgångar och sedan, såsom det påståts, tillstånd dertill utverkats i S:t Petersburg, sitt imprimatur. Emellertid kvarlemnade hela denna sak hos Yrjö-Koskinen en bitter stämning mot vår inhemska, svensktsinnade byråkrati, hvilken han icke utan skäl ansåg vara upphofvet till förenämnda mot den uppspirande finska litteraturen riktade dräpslag, och hvars fiendtlighet mot de finska nationela sträfvandena han efteråt tidt och ofta skulle ytter- ligare få erfara. Om våren 1853 aflade Yrjö-Koskinen filosofie kandidatexamen, dervid han erhöll. högsta vitsordet i historia. Efter att derpà ha promoverats till filosofie magister, öfver- gick han på skollärarebanan, tjenstgjorde läseåret 1853—1854 såsom tjenstförrättande kollega vid Åbo högre elementarskola och utnämndes i Maj sistnämnda år till adjunkt vid Wasa gymnasium, som då efter Wasa stads brand var förlagdt till Jakobstad. Lärareverksamheten vid gymnasium lemnade honom tid öfrig för vetenskapliga studier och forskningar, hvilka dessutom underlättades af gymnasiets jemförelsevis rika historiska bibliotek. Genom Grönblads i tryck utgifna urkundsamlingar fanns ett rikt material sammanbragdt för belysande af Finlands öden i slutet af 16:de seklet. Detta ingaf Yrjö-Koskinen tanken att påbörja skildringen af klubbekriget hvilket arbete utkom åren 1857 och 1859 i två delar, under titel Nwija-sota sen syyt ja tapaukset. Arbetet, som utgör en fullständig skildring af Finlands dåvarande tillstånd och således innehåller vida mer än hvad titeln lofvar, ådagalägger stor förtrogenhet med ämnet, klar historisk blick och kritisk noggrannhet, sammanparad med framstående skriftställareförmåga. Till en del grundades det också på egna arkivforskningar, hvilka förf. anställt sommaren 1856 i Stockholm och Uppsala. Det väckte också en icke ringa uppmärksamhet och Snellman egnade det i Litteraturbladet en synnerligen berömmande anmälan. Likväl gjorde han en skarp anmärkning mot Yrjö-Koskinens såsom sjelfsvåld betecknade sätt att „förvrida de histeriska namnen”, genom att godtyckligt förfinska dem, samt i detta afseende icke ens alltid vara konseqvent. Yrjö-Koskinen försvarade sitt tillvägagående i en artikel som Snellman helt kort affärdade med omdömet att den var , häftig och innehållslös”. Den inbördes vänskapen stördes dock icke af detta meningsbyte. Innan arbetet på Nuija-sota ännu var afslutadt utgaf Yrjö-Koskinen en del deraf såsom akademiskt specimen för licentiatgrad i de historisk-filologiska vetenskaperna. Han promoverades sedan 1860 till doktor i dessa vetenskaper, och företog samma år en utrikes resa till Frankrike och England, ur hvilka länders arkiver, företrädes ur de i förstnämnda land, han hembragte värdefulla upplysningar bl. a. om finska studerande vid universitetet i Paris på 1300 och 1400 talen. Dessa offentliggjordes först i tid- skriften Mehiläinen och utkommo efteråt såsom skild bok under titel Olavi Maunun- poika Parisissa ja suomalaisten opinkäynti ulkomailla keskiaialla. För resan hade han erhållit ett understöd från universitetet af 996 rubel silfver, uppkommet genom besparingar i reseunderstödsfonden för unge litteratörer. Med betydligt utvidgade vyer och rika materialsamlingar vunna under flitiga studier i Kejserliga bibliotheket i Paris 8 K. E. F. IGNATIUS. och Brittish Museum i London återvände han följande året, 1861, till hemlandet, der han utarbetade och sedan offentliggjorde sin professorsdisputation: Tiedot Suomen-suvun muinaisuudesta (Kännedomen om den finska folkstammens forntid). Såsom historiskt specimen var ämnet visserligen icke lyckligt valdt. Det gällde att ända från historiens början till ungefär midten af medeltiden uti snart sagdt oräkneliga, vidt skilda och ofta svårförstådda källor, börjande med Assyriens kilskrifter, uppleta spår af den finska stam- mens tillvaro. Härtill kom att de ur dessa källor erhållna resultaterna i de flesta fall blefvo endast mer eller mindre sannolika hypotheser. TI trots af allt detta ådagalade arbetet dock ovanlig beläsenhet, klar framställning och en god kritisk förmåga, hvarföre det också af ex officio opponenten G. Rein, och Historisk-filologiska fakultetens pres tet sattes framom medsökandens, Frosterii specimen. Utan motsägelse kunde detta dock icke aflópa. Af autistes ledamöter för- klarade sig tre, professorerne Lagus, af Bruner och Gyldén icke förstå finska; men detta hindrade dock icke den förstnämnde, som likväl godkände afhandlingen, att ingå i en vidlyftig filologisk kritik af dess källor, samt Gyldén att, utan att ifrågasätta arbe- tets vetenskapliga värde, ogilla detsamma såsom specimen för den ansökta tjensten. Då ärendet sedan företogs till behandling i Consistorium afgaf arkiater Bonsdorff ett syn- nerligt hetsigt utlåtande, riktadt icke blott mot speciminanten, utan också mot historisk- filologiska fakulteten i gemen. Arkiatern förklarade att afhandlingen var författad på ett språk, som han hjelpligen kunde tala men i skrift icke förstå, och då nu författaren, oaktadt han hade sig bekant att de fleste af consistorii ledamöter voro lika okunnige i finskan, det oaktadt användt detta språk, hade han felat emot den grannlagenhet han i öfverensstämmelse med humanitetens fordringar var skyldig consistorium academicum. Beträffande historisk-filologiska fakultetens utlåtande, kunde arkiatern så mycket mindre förlita sig derpå, som dess fleste ledamöter enligt hans förmenande voro lika okunniga i finskan, som han, och derföre läto leda sig af en liten fraktion af fakulteten, hvilken redan tidigare blott för språkets skull godkänt finska specimina, de der annars i veten- skapligt afseende ansetts underhaltiga. Dessa omständigheter i förening med det sak- förhållande att disputationsakten försiggått på svenska, ådagalade enligt arkiaterns åsigt, att begagnandet af finska språket vid utgifvande af specimen för läraretjenst vid det finska universitetet var för tidigt. Hvad för öfrigt sjelfva afhandlingen beträffade ansåg sig arkiatern på grund af professor Lagus' deröfver gjorda anmärkningar kunna ogilla densamma. Bonsdorffs andragande, som här refererats såsom karakteristiskt för den animositet, hvarmed de finska sträfvandena på många håll emottogos när de i handling skulle förverkligas, bemöttes af Fredrik Cygnaeus, hvilken jemväl med kraft tillbaka- visade de mot historisk-filologiska fakulteten utslungade, ogrundade beskyllningarna. Vid den slutliga omröstningen erhöll Yrjö-Koskinen första förslagsrummet med 13 röster. Nio röster tillföllo Frosterus. Den 21 mars 1863 utnämndes Yrjö-Koskinen sedan till professor i allmänna historien. Till den kort förut inrättade professionen i finsk, rysk och nordisk historia kallades några veckor derpå Zachris Topelius. Minnestal öfver Senatorn, Friherre Georg Zachris Yrjó-Koskinen. 9 Ganska allmän var äsigten att ingendera af de begge utnämnde erhållit sin rätta plats. Hvad särskildt Yrjö-Koskinen beträffade beklagade man att hans tjenste- åligganden nu ryckte honom bort från den fosterländska häfdaforskningens arbetsfält, der man, på grund af hvad han redan åstadkommit, kunnat vänta de vackraste frukter. Nekas kan icke heller att detta delvis blef fallet. Skötandet af professionen i allmänna historien tog sjelffallet en betydlig tid i anspråk. Yrjö-Koskinens föreläsningar, hvilka för det mesta höllo sig inom medeltidens historia, tilläto honom numera icke att så mycket som han önskade det, egna flit och möda åt de forskningar, som voro honom kärast, och derföre måste äfven planerna uppgifvas på utarbetandet af utförligare skildringar af särskilda perioder i Finlands historia. De handlingar, som han i sådant afseende samlat rörande stora ofreden, beslöt han sig derföre att till tjenst tör kom- mande historieskrifvare offentliggöra. De trycktes med understöd af statsmedel och erhöllo till titel: „Lähteitä ison vihan historiaan*. De finska rubrikerna på de svenska aktstyckena och ännu mer det finska namn- och ortregistret försvåra dock handlings- samlingens begagnande isynnerhet för andra än finska vetenskapsmän, hvarföre det ej heller lärer kunna förnekas att icke nitet för finska språket här kolliderat med det vetenskapliga intresset och ledt utgifvaren på villospår. Skötandet af professionen i allmänna historien verkade emellertid ingalunda för- lamande på Y.-K:s litterära verksamhet. Den tog endast för en tid en annan riktning. Jag tillåter mig härvid erinra om de två band, innefattande medeltidens historia, som han utgaf åren 1865 och 1867, och hvilka utgöra tredje och fjerde delarna i , Kerto- muksia ihmiskunnan historiasta“. Senare (1879) utkom „Johtavat aatteet ihmiskun- nan historiassa“ (De ledande ideerna i mensklighetens historia), det i afseende à tanke- djup och stilens förträfflighet utmärktaste af hans verk, utarbetadt efter föreläsningar, som han hållit dels i en privat fruntimmersakademi, dels vid universitetet, och koncen- trerande i sig hans historiska blick och uppfattning af verldshändelsernas utveckling och slutliga syftemål. Under allt detta förblef emellertid hans intresse för arbetet på den finska histo- rien lika lefvande som förut. Genom hans iniativ grundades Suomen Historiallinen Seura (Samfundet för Finlands historia), i hvars förhandlingar han ifrån första början tog en verksam del. Specialforskningarna vunno ökad fart och bragte efterhand i dagen resultater, som gjorde att tanken på utgifvandet af en fullständig historia öfver fäder- neslandet nu syntes kunna realiseras. Förverkligandet af denna tanke blef också Yrjö- Koskinens hufvudmål. Härför behöfde han dock någon tids befrielse från sin lärare- befattning vid universitetet, och erhöll äfven på anhållan tjenstledighet läseåret 1868— 1869. Hans Oppikirja Suomen kansan historiassa utkom sedan af trycket, häftesvis åren 1869—1872, och utgör, ifall man frånser Reins efter döden utgifna föreläsningar, den utförligaste samt med hänsyn till kritik och materialets systematiska behandling, den bästa Finlands historia som dessförinnan sett dagen. Icke utan skäl kunde dock mot densamma anmärkas att den såsom lärobok i skola var för vidlyftig, samt såsom källa för sjelfstudier delvis något för knapphändig och torr. Yrjö-Koskinen insåg sjelf detta och sökte i en ny år 1881 utgifven upplaga afhjelpa bristerna; hvarförutom han 2 4 10 K. E. F. IGNATIUS. genom att i noter till texten anföra källorna gjorde arbetet användbart äfven för fack- män. För folkskolornas räkning utgaf han en mindre lärobok i Finlands historia, hvil- ken upplefde tre upplagor, men sedermera af Senaten blef förbjuden att vid undervis- ningen användas. I förbigående må nämnas att den pekuniära förlust, som detta förbud ådrog Yrjö-Koskinen, rikligt ersattes genom en donation af 10,000 mark, hopbringad medelst insamling bland finsktsinnade medborgare. År 1876 ingick Yrjö-Koskinen det länge påtänkta tjenstebytet med Topelius, hvilken sistnämnde vid denna tidpunkt var universitetets rektor och par år efteråt blef emeritus, utan att således alls behöfva sköta sin nya profession. Yrjö-Koskinen åter blef genom bytet försatt i tillfälle att mera odeladt kunna egna sig åt forskningar i Finlands och nordens historia. Han utgaf förutom en omarbetad och utvidgad upplaga af Nuija- sota (1877) flere historiska afhandlingar, af hvilka några såsom t. ex. Tutkimus maan- omistusseikoista Suomenmaassa keskiaikana (Undersökning af jordegande rättsförhällan- dena i Finland under medeltiden) röra sig på derintills ännu alldeles oundersükta forsk- ningsområden. Emellertid skulle hans verksamhet såsom professor i Finlands historia icke blifva långvarig. Med grefve Heidens utnämning till Finlands generalguvernör skedde ett omslag i den ryska regeringens politik gentemot vårt land. Senaten hade härintills, så godt som uteslutande, rekryterats ur högre militära och civila embetsmäns leder, d. v. s. den hade utgått ur en byråkratisk, svensksinnad öfverklass, hvilken stod främmande för och stundom fiendtlig emot de finska nationalitetssträfvandena. En förändring, som gjorde Senaten mera solidarisk med folkrepresentationen åvägabragtes nu då tre framstående landtdagsmän, alla tre universitetsprofessorer, Montgomery, Mechelin och Forsman (Yrjö- Koskinen) d. 11 maj 1882 inkallades i styrelsen, den förstnämnde till prokurator och de tvenne andra till ledamöter i Ekonomiedepartementet. Genom dessa utnämningar an- såg man sig äfven hafva tillgodosett de tvenne politiska partier, i hvilka representationen då var delad, det liberala och det finsktsinnade. Såsom det sistnämndas erkända chef inträdde nu Yrjö-Koskinen i landets styrelse. Yrjö-Koskinens inträde i Senaten gjorde ett afbrott i hans vetenskapliga och publicistiska skriftställeri. Emellertid förblef det historiska åskådningssätt, till hvilket han derunder kommit, i någon mon bestämmande för hans följande statsmanna Verksamhet, hvarföre detta historiska åskådningssätt nu förtjenar att närmare beaktas. Yrjö-Koskinen skref sina historiska arbeten under inflytande af den Hegelska filo- sofin, som genom Snellmans skrifter, främst Läran om staten, blifvit hemmastadd vid Fin- lands universitet. Det mål, som Hegel angaf för verldshistorien, eller „andens medve- tande om sig sjelf, sitt eviga väsende“, fann Yrjö-Koskinen vara inplanteradt i mensk- ligheten såsom en mot detta mål riktad instinktartad rörelsekraft. Mensklighetens histo- riska göra blef nu att förvandla denna instinkt till ett allt klarare sjelfmedvetande. I samma mån menskligheten klargör detta vetande för sig, i samma mån går den äfven framåt d. v. s. förverkligar den sanna eller allmänna menskligheten. Man kan äfven uttrycka verldsändamålet med orden rätt och sanning. Sanning är nemligen det hvartill menniskoslägtets kunskap sträfvar; rätt åter uppenbarar sig i mensklighetens görande, nemligen i de inre samhällsförhållandena såsom lag och i mellanfolkliga beröringar såsom Minnestal öfver Senatorn, Friherre Georg Zachris Yrjö-Koskinen. 11 historisk verksamhet. Den allmänna verldshistorien är sälunda det rättas utveckling och blir på denna grund företrädesvis politisk historia. Men alldenstund handlingen beror af kunskapen, så är verldshistorien också det sannas utveckling, vetandets historia. Då nu emellertid begreppen rätt och sanning äro stadde i fortsatt utveckling följer häraf att rätt och sanning på skilda tider äro olika. Hvarje tid har sin egen rätt, sin egen san- ning, hvarur den följande tidens rätt och sanning utveckla sig. Men högre än dessa ändliga rätts- och sanningsformer står den högsta, eviga rätten och sanningen — den idealbild, dit menskligheten uti historien sträfvar. Då nu emellertid hvarje tid har sitt eget begrepp af rätt och sanning, som sedan undantränges af ett annat, företer verldshistorien enligt Yrjö-Koskinens åsigt, en fort- gående strid emellan det gamla och det nya, emellan den närvarande, d. v. s. den tra- ditionela rätten och den kommande eller den anticiperade framtidsrätten, hvilken sist- nämnda, enligt hans förmenande, förutsatt att den är rigtig, städse är den högre. En följd af detta betraktelsesätt är icke blott att samma slags handlingar, begångna under olika tider, böra bedömas olika, utan äfven att ett och samma handlingssätt af t. ex. tvenne samtida folk kan ur det rättas synpunkt få en alldeles olika dom. Såsom exem- pel framhåller han att historien utan tvekan erkänner Harmodios och Aristogitons mord- gerning såsom rätt („oikeaksi“), men ingalunda skänker samma erkännande åt Brutus och Cassius. Synnerligen belysande hans historiska uppfattning är hans bedömande af Sveriges och Norges sjelfständighetssträfvanden under Kalmarunionens tider. I en aka- demisk disputation, berörande Sten Stures strid med konung Hans, hade dess förf. ut- talat att det folk, som kämpar för sin frihet, för den allsidiga utvecklingen af sin natur och sina anlag städse måste inför historien erkännas hafva högre rätt än det folk, som endast kämpar för sin yttre storhet. Yrjö-Koskinen godkände icke detta, utan anförde, i sitt öfver disputationen afgifna utlåtande, häremot följande: ,,Denna liberala thes kan tyvärr icke tillerkännas rang af sanning, ifall nemligen sjelfva den historiska utveck- lingen skall få anses såsom det rätta och förnuftiga, ty historien har mer än engång bortsopat för sin frihet kämpande folkindivider, hvilka ej varit behöfliga för mensklig- hetens högre syftemål. Annorlunda ställer sig frågan om det kan ådagaläggas att just för dessa högre syftemäl nationens tillvaro varit af särskild vigt. Jag behöfver icke påpeka att så varit fallet, då Sveriges särskilda roll i den stora reformationskampen är ett bland verldshistoriens största fakta. Det är denna framtidsmission, som äfven ger Sveriges föregående kamp mot unionen dess högre berättigande.” Alltså, emedan Sve- rige i framtiden skulle ha en stor historisk mission att uppfylla hade det rätt att lös- göra sig från unionen; men Norge hade det icke”). Hvad sedan Sten Sture beträffade, bestod enligt Yrjö-Koskinens åsigt hans, ,likasom hvarje historisk personlighets storhet deri att han divinatoriskt uppfattat och gjort sig till bärare af denna providentiela rätt". Mot detta historiska åskådningssätt synes dock kunna anmärkas att det vid be- dömandet af hvad som i en historisk handling är rätt, förblandar de medel, hvarmed ett mål uppnås med sjelfva målet och låter detta senare skänka sitt berättigande åt de *) Vid den mundtliga disputationen uttalade Yrjö-Koskinen uttryckligen detta. 12 K. E. F. IGNATIUS. förra, huru beskaffade de än må vara. Man kan visserligen säga att hvarje tid har sin rätt och sanning; men en senare tids rätt och sanning är icke derföre den absoluta negationen af en föregående tids, utan endast en utveckling deraf. Under striden emel- lan den gamla traditionela rätten och framtids eller den providentionela rätten qvarstå oföränderligt vissa ethiska bud, som historiens dom icke tillåter att ostraffadt få kränkas. Löftesbrott, svek, våldshandlingar mot oskyldiga och försvarslösa o. s. v. äro och för- blifva under alla tider brott af hvem helst och för hvad ändamål som helst de begås. Hvad särskildt Sturarnes och den svenska högadelns förhållande under unionstiden be- träffar, så bröto de, såsom kändt, tidt och ofta emot dessa allmänt giltiga ethiska rätts- bud och man kan med lika goda skäl, som de hvilka åberopats till deras försvar, fram- hålla hurusom historiens nemesis icke heller underlät att härför af dem och deras ätt- lingar utkräfva en blodig hämd medelst Kristian II:s bödelsyxa. Att åtskilliga folk, som kämpat för sin frihet, gått under och försvunnit från verldsskådeplatsen, är också obe- stridligt, men deraf följer icke att de haft orätt i att ha velat lefva, lika litet som att deras förtryckare haft rätt i att ha beröfvat dem deras lif. Tfrågasättas kan äfven om deras undergång utgör ett bevis på att de varit obehöfliga för mensklighetens högre syf- temål. Ett folks lif är icke evigt. Hvad det under sin tillvaro i kulturelt afseende verkat är mensklighetens gemensamma arf, och till detta arf hör äfven det sedligt hö- jande inflytande, som dess undergång i en ädel och rättvis strid för frihet och foster- land haft på samtid och efterverld. Hegels af Yrjö-Koskinen hyllade lära att det verkliga är det förnuftiga h. e. det rätta leder, synes det mig, i sina konseqvenser icke blott till en ohjelplig brytning emellan historisk rätt och allmän moral, utan äfven till erkännande af makten, såsom enda rättsgrund 1 nationernas förhållande till hvarandra. Denna särskildt för de små och svaga folken allt annat än upplyftande lära, till hvilken bl. a. äfven den nyss bort- gangne, berömde Mommsen bekände sig, har dock veterligen aldrig vunnit insteg i mensk- lighetens rättsmedvetande, hvilket tvertom länge sträfvat och fortfarande med framgång sträfvar att tillämpa den kristna sedelärans bud äfven på mellanfolkliga konflikter. Vis- serligen få vi ännu allt fortfarande bevittna hurusom små för sitt nationela lif och sjelf- ständighet kämpande nationer kränkas och förtryckas af de stora, men vi se å andra sidan åter allt mägtigare strömningar bryta fram för utvidgandet och befästandet af in- ternationel rätt och internationela fredsdomstolar, i hvilka icke de tvistande folkens större eller mindre makt, utan objektiva rättsnormer läggas till grund för domsluten. Jag tilltror mig icke kunna bedöma i hvilken grad Yrjö-Koskinens nyssanförda uppfattning af det historiskt rätta utöfvade inflytande på hans historiska författareskap. Mig har det dock alltid förefallit såsom om denna rättsuppfattning med nödvändighet måst framkalla en viss känsloafkylning, eller med andra ord mindre värme och med- känsla för händelserna och de historiska, handlande personligheterna. Huru än härmed må förhålla sig, så lärer det måsta medgifvas att Yrjö-Koskinens klara, koncisa och äfven i andra afseenden goda historiska stil öfverhufvudtaget är kall. Redan vid fram- trädandet af klubbekriget yttrade Snellman i sin anmälan: , Vid bedömandet af personer och tilldragelser är det öfverraskande att finna hos en så ung författare ett sådant Minnestal öfver Senatorn, Friherre Georg Zachris Yrjö-Koskinen. 13 lugn för att icke säga köld". Något större värme förklarade Snellman derföre ha varit önsklig. Den ledande ide i den menskliga utvecklingens historia, som genomgår vår tid, ansåg Yrjö-Koskinen vara nationalitetsidén. Hvarje nation, som med en lefvande na- tionalanda förenar lust och förmåga att deltaga i mensklighetens gemensamma kultur- arbete och uppfylla sitt allmänt humanitära åliggande, innehar de egenskaper som be- rättiga den till en sjelfständig tillvaro. En nation deremot, som icke innehar dessa egenskaper, som icke förenar sig i detta arbete eller ställer sig fiendtligt mot den mensk- liga utvecklingen, krossas skoningslöst under historiens vagnshjul. Ställdt i detta sam- manhang får den betydelse, som Yrjö-Koskinen gaf åt det finska nationela kulturarbetet sin fulla belysning. För dess befordran tvekade han derföre icke, när så befanns nödigt, att låta äldre traditionela rättsförhållanden vika undan. I konseqvens härmed står äfven åsigten att en nations, på skriftliga urkunder grundade rättsförhållanden förlora i rättslig kraft och giltighet i samma mon som den politiska situationen förändras. Identifieringen af verklighet med rätt gör sig sålunda äfven här förnimbar. Emellertid synes det uppen- bart att hvarje på identitetsfilosofin grundadt såbeskaffadt historiskt betraktelsesätt icke kan åtminstone för en samtid medföra någon praktisk lärdom, så länge följderna af hi- storiska händelser och sakförhållanden, likasom ofta äfven dessa sjelfva, äro till tiden obe- stämbara, och det mål de möjligen komma att förverkliga följaktligen äfven ovisst. Det har påståtts att Yrjö-Koskinen i egenskap af finska folkets häfdatecknare låtit leda sig af en tendens att öfverskatta finska nationens sjelfverksamhet och fria hand- lingskraft, samt i följd häraf stundom framställt sakförhållanden i en skef dager. En opartisk granskare skall dock, enligt mitt förmenande, icke underskrifva en sådan be- skyllning. Det är öfverflödigt att erinra derom, att hvarje folk blickar tillbaka på sina framfarna öden från sin egen ståndpunkt, och derföre äfven egnar åt den egna verksam- heten en särskild uppmärksamhet. Den nationele historieskrifvaren kan och får icke för- bise detta. Tvertom måste det räknas honom till förtjenst att ha framdragit alla yttrin- gar af nationel sjelfverksamhet, huru svaga de än må ha varit. Antagligt är derföre att den olikhet, som i följd häraf då och då uppstått emellan Yrjö-Koskinens finska och den tidigare här nog ensidigt rådande svenska uppfattningen af händelser och handlande personer gifvit upphof till förenämnda beskyllning, hvilken i öfrigt icke heller är grun- dad. Såsom ett undantag härifrån vore jag dock böjd att anse Yrjö-Koskinens karak- teristik af Georg Magnus Sprengtporten. Denna karakteristik, enligt hvilken Sprengt- porten skulle varit en glödande varm finsk frihets- och fosterlandsvän med Finlands sjelf- ständighet såsom sitt lefnadsmål, stöder sig nog ensidigt på Sprengtportens under vistel- sen i Ryssland författade skrifter till rättfärdigande af sitt handlingssätt; men hade utan tvifvel blifvit väsendtligen annorlunda, derest flere efteråt offentliggjorda handlingar, deri- bland Sprengtportens egna bref och till ryska regeringen inlemnade förslager, då varit kända. Såsom publicist har Yrjö-Koskinen på sin samtid utöfvat ett ännu större infly- tande än såsom historisk författare. De artiklar af hans hand, hvilka inflöto i tidningar och tidskrifter från medlet af 50-talet till hans inträde i senaten 1882, skulle fylla många digra volymer. De ådagalägga en vaken blick för och en stor förtrogenhet med sam- 14 K. E. F. IGNATIUS. tidens vigtigaste sociala och ekonomiska spörjsmäl. Man har sagt att Yrjö-Koskinen upptog Snellmans mantel och öfverflyttade språkstriden från svensk till finsk mark. Min- dre skarp tänkare än Snellman hade Yrjö-Koskinen framför denne fördelen att äfven till språket vara finne samt att direkte kunna vända sig till en allmänhet, hvars talan han förde och hvars erkände ledare han efterhand skulle blifva. I Finlands nyare historia bildar denna språkstrid och särskildt den del deraf som på 1860 och 1870 talen fördes emellan de finska tidningarna å ena sidan och det så kallade liberala partiets hufvud- organ Helsingfors Dagblad å den andra ett eget kapitel. För min del var jag, såsom sjelf deltagare, alltför lifligt intresserad af denna strid, för att tilltro mig kunna fälla ett opartiskt omdöme derom i allmänhet. Hvad som dock icke ens motståndarne torde kunna förneka är att Yrjö-Koskinens talang och dialektiska förmåga derunder framstod på ett utmärkt sätt. Genast efter öfverflyttningen till Helsingfors grundade Yrjö-Koskinen, 1863, en egen tidning Helsingin Uutiset, hvars ansvarige redaktör blef hans yngre broder Jaakko Forsman. Helsingin Uutisets framträdande bildar ett epokgörande moment i den finska periodiska pressens historia. Härintills hade den finska nationela rörelsen så godt som uteslutande haft ett språkligt och kulturelt mål för sig. Man kan icke finna att de finska tidningarna dessförinnan skulle ha intagit någon särskild ståndpunkt i politiska, religiösa och nationalekonomiska frågor gent emot sina svenskspråkiga kolleger. Något politiskt parti bildade fennomanin då ännu icke. Nu ändrades förhållandet. Redan i början af sin tillvaro framställde den nya tidningen sitt programm i tvenne artiklar Suomikühko valtiollisena puolueena (fennomanin såsom politiskt parti). Partiets uppgift blefve att i undervisningsväsendet, i domstolarna och i alla områden af stats- och kom- munalförvaltningen bereda finska språket den rättsliga ställning, som detsamma tillkom i egenskap af att utgöra sju ättondedelars af befolkningen språk. Sä länge den inhemska styrelsen var svensksinnad förklarades det finska partiet komma att tillhöra oppositionen, men om regeringen skulle ändra sig och blifva nationel i tanke och handling, ,, då komma vi“ heter det i artikeln, „att uppbära styrelsen, men på samma gång också med allt större omsorg vaka deröfver att icke styrelsen genom sitt handlingssätt i öfrigt skadar Finlands fördel och ära”. För öfrigt borde det finska partiet i förfäktandet af politiska rättigheter uppträda moderat, och sålunda äfven härutinnan skilja sig från de svenskt- sinnade. De yttre politiska förhållandena under året 1863 voro också synnerligen egnade att skänka betydelse åt offentliga uttalanden från finskt nationelt håll. Ryssland, som ännu knappast hunnit återhemta sina krafter efter orientaliska kriget, hade att bekämpa uppresningen i Polen och hotades med anledning häraf utaf ett nytt koalitionskrig, i hvilket äfven Sverige förmenades komma att deltaga. Det såg följaktligen ut såsom om Finland icke skulle kunna undgå att blifva krigsskådeplats. För att förekomma all miss- uppfattning af det finska folkets tänkesätt införde Yrjö-Koskinen i sin tidning en all- varlig protest mot de svenska eröfringsplanerna och förklarade att , det finska folket inga- lunda ämnade med händerna i kors låta andra folk omforma sitt politiska och nationela tillstånd”. Protesten kan också i sjelfva verket betraktas såsom ett uttryck för den dä Minnestal öfver Senatorn, Friherre Georg Zachris Yrjo-Koskinen. 15 rådande sinnesstämningen hos det stora flertalet i landet, hvilken i ett lojalt fasthällande af föreningen med Ryssland såg de säkraste garantierna för bevarandet och utvecklingen af Finska folkets nationalitet och nyvaknade konstitutionela lif. Detta betraktelsesätt förblef också sedermera en beståndsdel i det finska partiets programm, och Yrjö-Koskinen underlät icke heller att vid lämpliga tillfällen betona detta samt leda partiets politiska handlingssätt särskildt vid landtdagarna derefter. Det fennomanska partiets programm fullföljdes och utvecklades sedan i Kirjalli- nen Kuukauslehti (1866—1880) och Uusi Suometar (från 1869). Att ingå i enskild- heterna af den tidningsfejd, som härunder utkämpades, äfvensom att redogöra för) Yrjö- Koskinens personliga insats deri, blefve emellertid allt för vidlöftigt. Jag tillåter mig endast erinra om att det låg i sakens natur att försvararne af nationaliteten och språket såsom ett väsendtligt vilkor för densamma här likasom öfverallt annorstädes skulle råka i konflikt med den liberala kosmopolitism, hvilken mer eller mindre ringaktar dessa sträf- vanden och i stället uppställer, såsom sitt omedelbara mål, politisk och social frihet i före- ning med utrotandet af gamla fördomar. I motsats härtill förhåller sig nationalismen vanligen till de nutida liberala strömningarna mera reserveradt. Nationalismen är i grun- den konservativ; den betraktar t. ex. statskyrkan och regeringsformen såsom nationela institutioner, hvilka icke utan skada för det nationela lifvet få omdanas. Med skäl kunna derföre äfven fennomanerna betecknas såsom konservativa. Likväl företedde na- tionalitetsstriden i vårt land den egendomlighet att de begge partierna, de konservativa och de liberala, i vårt folks kanske vigtigaste samhällsfråga, ombytt roller. I fråga om folkbildningens höjande, undervisningsanstalternas och rättsväsendets omdaning voro fen- nomanerna demokrater och liberala, anhängarne af det liberala partiet deremot konserva- tiva. Denna, om man så får benämna det, bristande konseqvens hos begge de stridande parterna hade äfven Yrjö-Koskinen gemensam med vårt lands alla öfrige publicister på denna tid, den mera teoretiskf än praktiskt anlagde Anders Herman Chydenius kanske ensam undantagen. Frånser man emellertid Yrjö-Koskinens fennomansk-demokratiska tendenser, kan han i egenskap af publicist karakteriseras såsom öfverhufvudtaget mer, än de flesta af sina vänner, högkyrklig och anhängare af en stark regeringsmakt. En mörk punkt i partistriden anser jag mig icke kunna underlåta att här be- röra. Den utkämpades icke alltid med rena vapen. Härmed afser jag emellertid mindre de hätska personliga anfall och smädelser, för hvilka partiernas ledande män och sär- skildt Yrjö-Koskinen voro utsatta. Personliga angrepp äro nog vanliga företeelser på den publicistiska arenan för att huggena skulle kännas synnerligen smärtsamma eller väcka uppseende. De kompenseras dessutom lika ofta af meningsfränders eloger och lefverop. Den mörka punkt i partistriden, som jag afser, är den derunder då och då framträdande politiska denunciationen, eller försöken att göra motståndarne politiskt miss- tänkte hos ryska regeringen i S:t Petersburg. Ingendera parten torde af en opartisk efterverld kunna befrias från beskyllningen att härutinnan stundom ha felat mot mora- lens och fosterlandskärlekens bud. Redan tidigt insinuerades att det finska nationela partiet hyste planer på en politisk förening med de i Ryssland befintliga finska stam- marna och sålunda vore en fara för ryska riket. Jag erinrar härvid endast om baron 16 K. E. F IGNATIUS. v. Klinckowstróms uttalande till Senatens protokoll d. 17 April 1847. Att 1850 års ryktbara spräkreskript, om också, såsom senare uppdagade handlingar âdagalägga, när- mast füranledt af ett förment allmänt riksintresse, icke stod utan samband med politiska angifvelser af denna art, torde neppeligen kunna förnekas. Kändt är också för hvilka förföljelser fennomanins främste bärare Joh. Vilh. Snellman en lång tid var utsatt. Upp- repade gånger insinuerades att fennomanin var ett samhällsupplösande element och en svensk partiorgan i landsorten gick en gång så långt att den påstod att fennomanin, eller som den benämnde det, ultrafennomanin i mångt och mycket påminte om den so- cialism, som ville „se alla jordens tyranner bada i blod" och ställde „till utgångspunkt för en lyckligare tidsålder bilden af den sista adelsmannen upphängd i den sista prestens tarmar". Yrjö-Koskinen à sin sida tvekade icke att ge motståndarne svar på tal. Vär inhemska styrelses fiendtlighet mot den finsknationela rörelsen och enskildes försök att göra densamma politiskt misstänkt, bemötte han med framhållande hurusom den finska Senatens svekomani blottställde hela vårt land. Då, såsom redan nämndes, Finland 1863 hotades med en svensk invasion, skref Yrjö-Koskinen en artikel om vår styrelses sve- komani, hvari han bl. a. påpekade att de på den nya jernvägens stationer och vagnar anbragta uteslutande svenska inskrifterna endast kunde vara till nytta för en svensk anfallsarmée, men icke för det inhemska försvaret o. s. v. Under hela språkstriden upp- drog han en skarp åtskillnad emellan monarken och hans finska rådgifvare, hvilka senare öppet anklagades för att i svekomanskt intresse motarbeta den förres planer. För en i denna anda i tidningen Suometar år 1864 införd artikel, hvilken icke kan frånkännas en hög grad af skärpa, blef han också utsatt för en pressprocess, som dock aflöpte med blotta böter. Emellertid föranleddes Yrjö-Koskinen af det motstånd som från Senatens och det svenska partiets sida mötte den finska språkfrågans naturliga och rättsenliga lös- ning, att söka denna lösning endast och uteslutande i monarkens maktbud. TI motsats till dem, som ville genom en af regent och ständer stadfästad lag reglera språkfrågan, vidhöll han derfóre ända till det sista och äfven sedan manifestet af den 20 Juni 1900 sett dagen att det var monarkens höghetsrätt att ensam bestämma administrationens språk i landet. Det är sannolikt att finska språkets inträde i undervisningen, i administrationen och domstolsväsendet icke skett så hastigt, ifall det berott af landtdagen, der två stånd i denna sak stodo mot två. Medgifvas måste också att hvarje tidsutdrägt härvidlag så- väl för Yrjö-Koskinen som för enhvar annan kämpe för den finska nationalitetens rätt måste förefalla i hög grad vådlig vid tanken på Finlands öfverhufvudtaget prekära po- litiska ställning. Här om någonsin kunde det tyckas att man borde smida medan jernet var varmt och låta sitt politiska handlingssätt ledas af opportunismen. Emellertid har de sista årens erfarenhet lärt oss att detta betraktelsesätt också har sina vådor och har ledt till konseqvenser, som ingen tidigare ansett möjliga. Såsom ett ödesdigert missgrepp för hvilket dock mindre några enskilda, än den allmänna riktning språkstriden fått bär skulden, vore jag äfven böjd att beteckna insi- nuationerna att Senatens och den svenskatalande tjenstemannaklassens för det mesta af Minnestal öfver Senatorn, Friherre Georg Zachris Yrjö-Koskinen. 17 byråkratisk konservatism och indolens ledda handlingssätt förestafvats af nationelt rashat, samt att räddningen fran det svenska förtrycket vore att sökas utom landet. Detta har gifvit näring om ej upphof till det från ryskt håll så ofta framhållna påståendet om ryska befrielseverket i Finland. Yrjö-Koskinens växande betydelse och anseende såsom politisk person ådagalades under hans deltagande i landtdagsförhandlingarna. Af Borgå stifts skollärare invald till representant i prestaständet vid landtdagarna åren 1872, 1877—1878 och 1882, blef han isynnerhet under de två sistnämnda landtdagarna obestridligen ståndets ledande man. Vid alla dessa landtdagar satt han såsom ledamot i statsutskottet och vid 1877—1878 års landtdag jemväl i det maktpåliggande värnepligtsutskottet. Det vore väl för mycket sagdt, ifall man påstode att värnepligtslagens antagande af ständerna varit Yrjö-Koskinens förtjenst; men säkert är att han verksamt arbetade derför och bl. a. lyckades i denna fråga åstadkomma samstämmighet med sina gamla antagonister i det liberala partiet. Ett bevis på det förtroende han för öfrigt rönte af bondeståndet var att han af det- samma utsågs till bankfullmägtig, hvilken väl aflönade bibefattning han innehade från december 1875 till inträdet i senaten 1882. Man har anmärkt att under kejsar Alexanders II:s regering, då vårt konstitutio- nela statsskick återväckts till lif, hade Finlands senat för mycket låtit sig hänföras af de rådande liberala strömningarna och i flere frågor icke med tillbörlig aktsamhet be- vakat monarkens författningsenliga rätt gentemot öfvergrepp från landtdagens sida. Sä- kert är att en sådan uppfattning efterhand vunnit insteg hos de ledande kretsarna i S:t Petersburg. Med kejsar Alexander III:s anträde till regeringen skedde derföre också en omkastning i det härintills följda systemet. Grefve Adlerberg entledigades från ge- neralguvernörsembetet och hans efterträdares, grefve Heidens värf blef nu att uppmärk- sammare, än hvad förut varit fallet, bevaka monarkens rätt och de allmänna ryska riks- intressena. I öfverensstämmelse härmed anförtroddes äfven efterhand platser i landets styrelse åt de nationelt finsktsinnade, af hvilkas större konservatism man väntade en behöflig motvigt mot befarade öfverrumplingar på den konstitutionela lagtolkningens om- råde. Yrjö-Koskinen, såsom det finska partiets erkände chef, inkallades vid den första lediga senatsoctrojen och efterföljdes derpå vid de följande octroijerna af några andra, så att de såsom fennomaner betecknade senatsledamöterna sedan bildade, om ej en ma- joritet, så dock en betydande del i vår inhemska styrelse. Yrjö-Koskinens betydelse üka- des särskildt deraf, att han under en längre tid åtnjöt i hög grad grefve Heidens förtroende. Det nu sagda må emellertid icke tolkas så som skulle Finlands senat nu blifvit inom sig splittrad i mot hvarandra afvogtstämda partigrupper. Ingalunda. En gemen- sam ansvarskänsla förenade alla och gjorde det kollegiala samarbetet jemförelsevis lätt. Den större politiska konservatism, för hvilken de finsktsinnade måhända beskyll- des, hade sin grund i öfvertygelsen att föreningen emellan det autokratiska Ryssland och det konstitutionela Finland icke kunde på sätt, som härintills skett, upprätthållas, i hän- delse olikheten emellan monarkens maktbefogenhet i hvardera landet blefve allt större. Svalget borde derför icke utvidgas, utan den finska styrelsens sträfvan gå ut uppå att 3 18 K. E. F. IGNATIUS. under ett strängt fasthällande af landets besvurna författning, icke befordra dess utveck- ling i en rigtning, som förutsågs måsta framkalla konflikter emellan de begge statsmak- terna och leda derhän att vunna positioner sedan icke kunde försvaras. Det må med- gifvas att detta betraktelsesätt måhända delades af de flesta tänkande i landet; men säkert är att den föregående tiden icke kunde fritagas från beskyllningen att deremot någongång hafva brutit. Emellertid blef i trots af alla bemödanden senatens ställning under senare hälften af Alexander TII:s regering allt brydsammare. Den ryska tidnings- pressens allt häftigare angrepp på Finlands autonomi, i förening med de inom ryska regeringskretsarna allt tydligare framträdande unifikationsplanerna, hvilka icke kunde lemnas obemötta, hade till följd att Kejsaren-Storfurstens förtroende för och bevågenhet mot sin finska senat betydligt aftog. Med generalguvernören blef i följd häraf förhål- landet spändare. Tvistepunkterna gällde numera icke endast gränserna för generalguver- nörens maktbefogenhet, utan äfven en tillärnad kodifikation af Finlands grundlagar och voro följaktligen af den beskaffenhet att någon meningsolikhet rörande deras innebörd dåförtiden icke kunde förefinnas hos finska medborgare. Grefve Heidens välvilja för det finska partiet och särskildt för Yrjö-Koskinen upphörde då. Emellertid hade dessförinnan vigtiga förordningar rörande finska språkets infö- rande vid landets embetsverk och domstolar blifvit utfärdade. Jag inskränker mig här- vid till att endast erinra om nådiga brefvet af d. 4 April 1887 rörande det språk, på hvilket lokala embetsverk och myndigheter skola affatta sina tjensteskrifvelser. Yrjö- Koskinen har en väsendtlig andel i förtjensten af detta brefs tillkomst. Redan år 1883, då samma fråga förevar i senaten, hade han, endast understödd af Oker-Blom, yrkat att de lokala statsfunktionärernas embetsspråk skulle vara detsamma som protokollspråket vid de kommunala förhandlingarna i den kommun, der de voro stationerade. Nu upp- repades detta yrkande och understöddes af en femmanna minoritet, till hvilken general- guvernören äfven hörde. Det vann också denna gång, såsom redan antyddes, segern. Majoriteten i senaten hade velat öfverlemna åt vederbörande tjenstemän sjelfva att i embetskorrespondens använda det af de inhemska språk, som de funno för sig beqvä- mast. Om också sistnämnda förslag kunde med hänsyn till de dåvarande tjenstemän- nens mindre färdighet i finska språket ur billighets synpunkt försvaras, så innebar det dock enligt Yrjö-Koskinens och hans meningsfränders åsigt, en allvarsam fara för hela vårt statsskick. Genom att göra embetskorrespondensen oafhängig af folkspråket och beroende endast af tjenstemannens godtycke vidgades svalget emellan denne och folket och valfriheten kunde slutligen leda till konseqvenser, som ingen åsyftat. Jag vågar derföre hålla före att tiden nu redan är inne att erkänna att den lösning frågan fått och för hvilken Yrjö-Koskinen så energiskt kämpat, varit den för vårt samfunds lif bäst betryggande. Hvilka oegentligheter i en framtid än kunna uppstå, så är dock principen härutinnan engång uttalad och fastställd. Efter att i tre år ha varit chef för Kammar Expeditionen i Senaten öfvertog Yrjö-Koskinen om hösten 1885 den arbetsdryga Ecklesiastikportföljen, hvilken han innehade i närmare fjorton år eller till sin afgång från landets styrelse om våren 1899. Till belysande af hans verksamhet på sistnämnda post må anföras att vid hans Minnestal öfver Senatorn, Friherre Georg Zachris Yrjö-Koskinen. 19 tillträde funnos i landet 11 af staten bekostade fullständiga lyceer, deraf 8 svensksprä- kiga och 3 finskspråkiga, men vid hans afgång 23 sådana läroverk, deraf, såsom förut 8 svenskspråkiga, men 15 finskspråkiga; af statens fruntimmersskolor funnos vid förra tidpunkten 7, alla svenskspråkiga, men vid den senare 12, deraf 5 svensk- och 7 finsk- språkiga. Jag förbigår här den samtida tillväxten af privata läroverk med motsvarande läroprogram äfvensom samskolorna. Af dessa senare var Yrjö-Koskinen såsom kändt ingen vän. Under samma tid ökades folkskolornas på landet antal från 667 till 1,650 och lärarepersonalen i högre folkskolorna i städerna och på landsbygden från 1,131 till 2,696 samt elevernas antal från 39,372 till 98,514. Ett verksamt medel till folkbild- ningens höjande var förordningen af 24 Maj 1898, hvarigenom visserligen icke ett obli- gatoriskt skoltvång infördes i landet, men i dess ställe en obligatorisk skyldighet för kommunerna att indela sig i skoldistrikter och inrätta skolor till det antal att hvarje till skolåldern hörande barn kunde erhålla undervisning i eget distrikt. För ett noggrannt iakttagande af bestämningarna i denna förordning var Yrjö-Koskinen synnerligen verk- sam. Åt skolbyggnaderna egnade han en särskild omsorg. På senatens bekostnad ut- kom ett häfte normalritningar till folkskolebyggnader på landet, hvilket tillhandahölls kommunerna. För elementarläroverkens behof uppfördes ett stort antal nutidens fordrin- gar motsvarande läroverkshus i städerna. Förtjensten om dessas tillvägabringande de- lade Yrjö-Koskinen för öfrigt med dåvarande finanschefen baron Molander, hvilken icke motsatte sig anspråken på att ur allmänna statsfonden förskjuta härtill behöfliga medel. Af Yrjö-Koskinens högkyrkliga tänkesätt i förening med det intima förhållande, hvari han vid landtdagarna stått till prestaståndet, kunde man vänta att han såsom ecklesiastikchef skulle uppbjuda all sin förmåga att värna och om möjligt utvidga vår finska stats- eller folkkyrkas rätt och bästa, denna kyrka, hvilken han betraktade såsom en af hörnstenarna i vårt nationela och politiska lif. Så blef också fallet. För kyrko- styrelsens och den kyrkliga ordningens befrämjande inrättades ett fjerde biskopsstift i Nyslott (1895); vidsträckta kyrkoförsamlingar, särskildt i Savolaks och Karelen, blefvo styckade, nya kyrkor uppförde och en allmän reglering af presterskapets aflöning vid- tagen. Med erkännande at det gagneliga i dessa åtgärder — af hvilka den sistnämnda ávügabragts genom samstämmigt beslut af regering och landtdag — kan det dock icke förnekas att deras verkställande icke så sällan gaf anledning till berättigadt missnöje och klander. Detta gällde i främsta rummet den nya regleringen af presterskapets löneför- måner, hvilken, tvertemot hvad ständerna yrkat, verkställdes på ett sätt som mången- städes ledde till en högst betydlig förhöjning af löntagarnes inkomster på de skattdra- gandes bekostnad. Vår Evangelisk-lutherska kyrkas lärodogmer och kyrkolagens stadgar höll Yrjö- Koskinen i sträng helgd, och kan i detta afseende nära nog betraktas såsom , plus roya- liste que le roi même“. Exempel härpå bildar bl. a. hans uppträdande till försvar för biskop Johansson. En sjelffallen följd af hans högkyrkliga ståndpunkt var hans anta- gonism mot de frikyrkliga, hvilka han betraktade såsom ett förderfbringande och kyrko- samfundet upplösande element. De åtgärder, hvilka han tillgrep dels emot dem, dels 20 K. E. F. IGNATIUS. emot frälsningsarmén visade sig dock i längden kraftlüsa och bidrogo äfven under se- nare år, då de icke längre understöddes af generalguvernören och senatens flertal, att i sin mon nedstämma hans lynne. Deremot lyckades det honom att bringa till stånd dis- senterlagen af d. 11 November 1889, i följd hvaraf de i landet förekommande talrika protestantiska dissenterna, såsom baptister och metodister, blefvo tillhållna att bilda lega- liserade kyrkosamfund med författningsenlig kyrklig bokföring. Bättre än någon af sina företrädare på ecklesiastikchefsposten förstod Yrjö-Koskinen äfven att, utan att vika från gällande lag, åstadkomma samförstånd med den grekisk-katholska andliga styrelsen och derigenom undanrödja mänget missförstånd samt deraf härflytande öfvergrepp. Med ett ord, den finska kyrkan hade i Yrjö-Koskinen en energisk administratör, hvars embetstid med hänsyn till flere derunder vidtagna betydelsefulla initiativ och reformer kan betrak- tas såsom i vår inre historia särskildt framstående. Belysande Yrjö-Koskinens religiösa öfvertygelse är en liten skrift om kristendomens närvarande ställning i verlden och dess hufvudgrund, Kristin-uskon asema ja perustus, hvilken han år 1893 utgaf på finska och tre år derefter i Paris på franska. Yrjö- Koskinens åsigt är att vår tid vandrar med stora steg emot hedendomen. Den före- teelse, som iakttogs vid kristendomens första uppträdande och öfvergång till verldsreligion, nemligen att de bildade klasserna och stadsinvånarne först kristnades, medan inbyggarne i landsbyarna (pagani) ännu vidhöllo sin gamla hedniska tro, upprepas nu, ehuru i om- vänd ordning. Nu hålla de bildade samhällsklasserna på att blifva hedningar, medan folket på landsbygden fortfarande förblifver kristet. Trots dessa yttre tecken på kristen- domens temporära tillbakagång, tviflar Yrjö-Koskinen dock icke på dess slutliga seger, ty oberoende af att det menskliga samhället icke kan undvara kristendomen, betingas denna seger af sjelfva lärans gudomliga sanning. Någon ohjelplig brytning emellan det menskliga förnuftet à ena sidan och de kristna trosdogmerna à den andra behöfver icke heller förekomma. Han yttrar härom: , Man kan, för att tala psykologiskt, säga att uti menniskan finnes, förutom hennes förstånd, en viss andlig instinkt eller fattnings- gafva (aisti), som fortsätter förståndets gürande der dess ledande kraft upphör, förfull- ständigar det och hjelper det att begripa de högsta sanningarna. Kristna trons predikan har varit intet annat än en vädjan till denna i menniskosjälen boende andliga in- stinkt^. Med dennas tillhjelp blifva dogmerna om Kristi gudom samt om döpelsens och altarets sakrament, hvilka begge sakrament äro oåtskiljaktigt förbundna med kristen- domens öfriga lärosystem, förklarade och förstådda. Någon utförligare utläggning af denna apologetiska skrift förbjuder mig emeller- tid den långt utdragna tiden att göra. Den utgör, såsom synes, ett försök att utreda det förnuftsenliga systemet i de kristna trosdogmerna och vittnar i det minsta om dess författares allvarliga kristendom, bibelstudier och dialektiska förmåga. Yrjö-Koskinens ledamotskap i landets styrelse upphörde, såsom kändt, kort efter utfärdandet af Februari manifestet 1899. Han hade med majoriteten d. 18 Febr. röstat för dess omedelbara promulgation, och bekant är för hvilka opinionsyttringar och person- liga angrepp han i följd häraf blef utsatt. Dessa bragte honom synbart ur sinnesjemn- vigten och föranledde honom till flere förhastade steg, hvilka endast bidrogo att ännu Minnestal öfver Senatorn, Friherre Georg Zachris Yrjö-Koskinen. 21 mera upphetsa opinionen emot honom. Mer än allt annat väckte hans uppträdande mot landets prokurator ogillande. Såsom i sin mon karakteristiskt för hans betraktelsesätt, mà detta här närmare beröras. Efter det senaten förenämnda dag beslutit att omedel- bart promulgera ofvanberörda nådiga manifest, ingaf d. v. prokuratorn W. W. Söderhjelm till protokollet följande diktamen : „Dä det nådiga manifestet, som nu blifvit till Kejserliga Senaten i afseende à promulgation öfver- sändt, icke tillkommit i den ordning, som jemlikt 40 8 i Regeringsformen af den 21 Augusti 1772 och 71 $:n i Landtdagsordningen af den 15 (3) April 1869 gäller för stiftande af grundlag i landet, samt icke heller några på lagstiftningsområdet hemmastadde finske män deltagit i utarbetandet af förslaget till detta nådiga manifest eller Kejserliga Senaten lemnats tillfälle att deröfver sig yttra, måste jag antaga att Hans Kejser- liga Majestät icke blifvit upplyst om, i huru väsendtlig mon Finlands regentbesvurna författning och deri- genom hela det finska folkets rätt genom de i det nådiga manifestet införda stadganden blifvit berörd, och då jag vågar förutsätta att Hans Kejserliga Majestät, derest en underdånig saklig framställning af detta för- hållande blifvit Hans Kejserliga Majestät förelagd, skulle i nåder behagat antingen återkalla ifrågavarande nådiga manifest eller åtminstone utfärda en försäkran om att dess innebörd icke är afsedd att betaga landets ständer den dem genom grundlag tillförsäkrade rätt att deltaga äfven i såbeskaffad lagstiftning, som i det nådiga manifestet omnämnes, anser jag, att Kejs. Senaten förrän K. Senaten skridit till promulgerande af det nådiga manifestet, bort till Hans Kejserliga Majestät ingå med en underdånig framställning i förenämndt syfte, och vågar jag dervid uttala den säkra tillförsigt, att en sådan framställning skulle af Hans Kejserliga Majestät blifvit nådigt upptagen och i ingen händelse framstått annorlunda än såsom ett troget fullgörande af Hans Kejserliga Majestäts finske rådgifvares undersåtliga pligt.“ Detta prokuratorns uttalande, hvilket dessutom kort derpå offentliggjordes i tid- ningarna, fann Yrjö-Koskinen vara förnärmande för sig och de medlemmar af senats- majoriteten, mot hvilkas beslut det var riktadt. Han ingaf derföre den 2 Mars till Senatens pleniprotokoll följande genmäle, hvari han icke blott frankänner prokuratorns andragande allt berättigande, utan äfven temmeligen oförtydbart söker vältra ansvaret för det skedda på en förment underlåtenhet från dennes sida: ,Dà Herr Prokuratorns diktamen till protokollet den 18 sistlidne Februari numera blifvit skriftligen formuleradt och äfven genom tidningspressen bragts till allmänhetens kännedom, anser jag mig berättigad att till dagens protokoll deremot inlägga följande gensaga: Herr Prokuratorn uttalar, att Senaten icke bort skrida till det nådiga manifestets omedelbara pro- mulgation, innan Senaten först genom underdånig framställning sökt utverka önskad förändring eller förkla- ring. Detta Herr Prokuratorns yrkande kan väl icke fattas såsom ett politiskt råd till Senaten, emedan sådant stode utom Prokuratorns befogenhet. Fattas åter Herr Prokuratorns uttalande såsom en anmärkning emot lagligheten af Senatens förfarande, måste jag anse för en brist, att Herr Prokuratorn icke anfört någon laglig grund, som skulle berättigat Senaten att inställa det nådiga manifestets omedelbara promulgerande. I fall Herr Prokuratorn dervid tänkte sig $ 4 af 1772 års regeringsform, anser jag mig endast böra framhålla att i detta fall Senatens råd icke begärts, likasom icke heller Senatorernas underskrift fordrats. Jag tillåter mig icke någon granskning deraf, huruvida Herr Prokuratorn, som redan tre dagar tidi- gare egt kännedom af det nådiga manifestets innehåll, kunnat finna sig föranlåten att med den rätt som i Prokuratorns instruktion är honom tillerkänd, omedelbart vända sig till Hans Kejserliga Majestät i ändamål att före Senatens sammanträde utverka sådan nådig åtgärd, som han ansåg möjlig. Jag är endast berättigad att uttala mig angående rättmätigheten af den anmärkning Herr Prokuratorn ansett sig böra anföra mot Senatens ifrågavarande beslut." Omedelbart efter afgifvandet af detta genmäle inlemnade Yrjö-Koskinen till Eko- nomidepartementets i Senaten registratorskontor sin afskedsansökan, och lät i en följd dermed dagen derpå införa i Uusi Suometar i finsk öfversättning samma genmäle.”) *) Senatorerna af Nyborg och Gylling afgåfvo likaledes till Senatens protokoll d. 2 Mars gensagor mot Prokuratorns diktamen; men dessa kommo icke till offentligheten. 22 K. E. F. IGNATIUS. Sedan hans afskedsansökan den 28 Mars blifvit bifallen och ungefär en vecka derefter föredragen i senaten, upphörde Yrjö-Koskinen att taga del i landets styrelse. Orsaken till sitt beslut att afgà uppgaf han sjelf för en deputation af prester, som den 10 April s. à. uppvaktade honom, ha varit den att han efterhand märkt sig icke mera vara fullt uppburen af det finska parti såsom hvars ledare han inträdt i senaten. Om detta skäl var det afgörande för hans beslut, så måste beslutet lindrigast sagdt beteck- nas såsom fürhastadt. Sjelf uttalade han efteråt sitt ogillande af att embetsmün under brydsamma tider frivilligt afgingo från sina platser. Särskildt var hans ställning till det finska partiet icke heller sådan, att han skulle förverkat dess förtroende; om än — âtminstone till en början — de fleste icke i allo ville godkänna hans politik. Efter afskedstagandet begynte Yrjö-Koskinen, som nu mera icke hindrades af några embetsgöromål, att återgå till sin publicistiska verksamhet. Han gjorde nu till sin uppgift att leda det finska partiet in på den politik, som han under dåvarande för- hällanden ansåg vara den bästa. I ströskrifter och tidningsartiklar för det mesta osig- nerade eller pseudonyma försvarade han undfallenhetspolitiken och senatens förfaringssätt. Så t. ex. insände han under pseudonymen „Muutamat Uusimaan lukijat^ till tidningen Uusimaa (1901 n:ris 39, 40 och 43) en artikelserie , Voidaanko pohdittavaksi ottaa?“ hvari, under medgifvande af senatens skyldighet att göra påminnelser mot i dess tycke lagstridiga eller skadliga påbud, bestämdt framhölls att senatens ovilkorliga plikt likväl var att promulgera dessa lagbud. Artiklarna aftrycktes sedermera i andra landsortsblad och vunno derigenom afsedd spridning. Ströskriften Herää Suomi, som i tusentals exemplar spriddes kring landet, ansågs likaledes allmänt såsom hans verk. TI sitt öppna bref på sin sjuttionde födelsedag d. 10 december 1900 riktade han till det finska partiet uppmaningen att skänka den inhemska regeringen ett obetingadt förtroende och under- stöd. Partiet borde afbryta all förbindelse med de svensksinnade ytterlighetsmännen. I allmänhet gick hans sträfvan ut på att under denna tid af gemensam fara konsolidera det finska nationela partiet, öfverflytta på det, så vidt förhållandena medgåfvo, ledningen af landets angelägenheter samt förskaffa åt detsamma den ryska styrelsens gunst och förtroende. Antagligen hoppades han genom den stora massans af befolkningen undfal- lenhet och lydnad kunna undvika flere hotande olycksslag och i det väsendtliga rädda vår nationalitet och måhända äfven samhällsförfattning från undergång. Emellertid måste det sätt, hvarpå han förfäktade dessa sina åsigter, med nödvändighet öka vår inre tve- drägt. Sjelf kunde han väl icke undgå att inse detta, men han var och förblef under alla förhållanden den fordna partimannen, och trodde sig i sjelfva schismen emellan det svenska och finska partiet i vårt land se ett räddningsmedel mot yttre faror. Det var nemligen hans öfvertygelse att den ryska nationalkänslan måste stötas af att svenskan var Finlands officiela språk. Denna stötesten ville han derföre aflägsna i det hopp att en förändring at detta ur politisk och nationel synpunkt abnorma förhållande och en öfver- flyttning af administrationens språk till finska skulle hämma, om ej afväpna förrysknings- sträfvandena. Emellertid blef det honom icke förunnadt att få bibehålla detta hopp till det sista. Kort före sin död hade han smärtan att upplefva tilldragelser, egnade att förstöra alla illusioner i detta afseende. Minnestal öfver Senatorn, Friherre Georg Zacharias Yrjö-Koskinen. 23 Af yttre utmärkelser, som kommo Yrjö-Koskinen till del, må nämnas att han och hans efterkommande år 1884 upphöjdes i adligt och år 1897 i friherrligt stånd. Finska Litteratursällskapet, i hvilket han var medlem sedan 1848 och i hvars förhandlingar han tog en liflig del, valde honom efter Johan Vilhelm Snellmans afgång 1874 till sin ord- förande och sedermera 1892 till sin hedersordförande. Till ledamot af Finska Veten- skapssocieteten inkallades han 1864. Dessutom var han medlem af flere andra dels in- hemska dels utländska litterära samfund. Den största utmärkelsen har han dock skapat sig sjelf uti den finska litteraturen, hvilken, oberoende af den dom en framtid kan fälla öfver honom såsom handlande politisk person och statsman, skall oförgätligt bevara hans minne. Yrjö-Koskinen var tvenne gånger gift. Första gången 1854 med Sofia Fransiska Friberg (T ”/,, 1895), dotter till prosten och kyrkoherden i Tavastkyro Erik Johan Friberg och Sofia Margareta Spoof, samt andra gången !"/,, 1896 med kyrkoherde- dottern Sofia Theodolinda Limon, enka efter kollegan Johan Adrian Hahnsson och känd såsom finsk novellförfattarinna. I det förra äktenskapet efterlemnade han tre söner och en dotter. Förteckning öfver G. Z. Yrjö-Koskinens i tryck utgifna skrifter. (Tidningsuppsatser och smärre i kalendrar och tillfällighetsalbumar lemnade bidrag oberäknade.) Historiska och etnografiska skrifter och afhandlingar. Kertomus Hämeenkyrön pitäjästä. Ingår i Suomi 1851. Nwija sota sen syyt ja tapaukset 1—2. Åbo 1857. En ny upplaga Helsingfors 1877. Utkom i svensk öfver- sättning af E. G Edlund. Helsingfors 1864—1865. Pohjanmaan asuttamisesta. Tutkimus. Ingår i Suomi 1857. Tiedot Suomen suvun muinaisuudesta. Helsingfors 1862. Olavi Maununpoika Pariisissa ja Suomalaisten opinkäynti ulkomailla keskiajalla. Helsingfors 1862. Lähteitä ison vihan historiaan 1. Helsingfors 1865. Kertomuksia ihmiskunnan historiasta A. W. Gruben mukaan 3—4 osa. Helsingfors 1865, 1867. Sur l'antiquité des Lives en Livonie. Ingär i Acta Societatis Scientiar. Fenn. Tom. VIII. Oppikirja Suomen Kansan historiassa. Helsingfors 1869—1872, Andra upplagan 1881—1882 Utkom i tysk üf- versättning i Leipzig 1874 under titel Finnische Geschichte von den frühesten Zeiten bis auf die Gegen- wart, samt i svensk öfversättning af R. Hertzberg. Stockholm 1874. Suomen historia Kansakouluja varten. Helsingfors 1873. 2:dra upplagan 1874. 3:dje upplagan 1876. Utkom i svensk öfversättning: Finlands historia för folkskolornas behof. Helsingfors 1873. P. A. Munchin Vatikanolaiset todistuskappaleet Suomen historiaan. 1 Historiallinen Arkisto II. 1868. Paavi Aleksanteri TIT:nen bulla „Gravis admodum“ miltä vuodelta? I Historiallinen Arkisto III. 1871. Kreivi Markowin kertomus keisarinnalle yhtymisestään Kustaa IlI:nnen kanssa, samt Otteita Kenraali Kutusowin päiväkirjoista i Historiallinen Arkisto III. 1871. Juhana Henrik Wijkman’in rikosasia. Historiallinen Arkisto IV. 1874. Onko Suomen kansalla historiaa? Hist. Arkisto V. 1876. Kemin ja lin lohi-vesien vanhempi historia. Hist. Arkisto VII. 1881. Suomenmaan keskiaikaisesta aatelistosta. Hist. Arkisto VIII. 1884. Muistosanoja Julius Krohnista. esitelmä. Hist. Arkisto XI. 1891. Venäläiset sotavangit Ruotsissa Ja Suomessa suuren pohjoismaisen sodan aikana. Hist. Arkisto XVII. 1902. Savo ja Savonlinna. Utukuvia muinaisuudesta. Helsingfors 1875. Johtavat Aatteet ihmiskunnan historiassa. Helsingfors 1879. Tutkimus maanomistusseikoista Suomenmaassa keskiaikana. Akademiskt program till prof. J. R. Danielsons installering. H:fors 1881. Matthias Akiander. Mwuistopuhe Suomen Tiedeseuran Vuosipäivänä 1873. I Acta Societatis Scient. Fennicæ. Tom. X. Kyröskosken syntymäajasta. 1 Öfversigt af Finska Vet. Societetens förhandlingar XV. Helsingfors 1873. Suomalaisten uutis-asutuksesta Jäämeren rannikolla. I Kirjallinen Kuukauslehti 1868. Yrjö Maunu Sprengtportenista ja Suomen ütsenäisyydestä. Helsingfors 1870. Kiista Yrjö Maunu Sprengtportenista. 1 Kirjallinen Kuukauslehti 1878, 1879 och 1880. Vielä Yrjö Maunu Sprengtportenista. I Valvoja årg. 1882. Ajantieto mailman tärkeimmistä lapauksista, niille jotka eivät ole koulua käyneet. Borgå 1900. Puolan kapina vv. 1831, 1863. Borgå 1903. Dessutom ett stort antal lefnadsteckningar i Biografinen Nimikirja, äfvensom kortare uppsatser i förenämnda tidskrifter. - Minnestal öfver Senatorn, Friherre Georg Zachris Yrjö-Koskinen. 25 Skrifter och afhandlingar i nationalekonomi och finanslära. Raha-asioista, kaksikymmentä helppoa lukua yhteisen kansan ja muorison hyüdyksi. (Bearbetning efter biskop Whateley). Helsingfors 1861. Lyhyt esitys Suomen suostunta-tilistä ja valtiovelka tilistä. 1 Kirjall. Kuukauslehti 1872. Työväen-seikka. 1 Kirjall. Kuukauslehti 1874. Rikkaudesta, 4 lyhytlü lukua. Helsingfors 1875. Andra uppl. 1876. Utkom äfven på svenska under titel: Om rikedom, 4 korta kapitel 1875. Rustholli-seikka. I Kirj. Kuukauslehti 1880. Maaveron poistamisesta tai muuttamisesta. I Kansataloudellisen Yhdistyksen toimituksia 1. Borgå 1893. Lainauslaitokset maalaiskunnissa Raiffeisenin järjestelmän mukaan. Ingår i förenämnda verk. Korko- ja kuoletus-laskujen kaavat, johdettuina ja käytöllisiin tarpeisin sovitettuina. Helsingfors 1882. Skrifter i finsk spraklära. Läseöfningar à finska språket för begynnare. Vasa 1855. Andra upplagan, Tavastehus 1858. Finska språkets satslära. . Abo 1860. Theologiska skrifter. Kristin-uskon asema ja perustus. Borgå 1893. Utkom på franska under titel Le Christianisme, sa situation actuelle et sa doctrine Fondamentale. Paris, Librairie Fischbacher. 1896. Skônlitterära skrifter. Pohjan-pillti, kuvaus lopulta 13:la vuosisalaa. Ingår i Kalendern Mansikoita ja Mustikoita 1. Helsingfors 1859. Opiksi ja huviksi. Lukemisia Suomen perheille. 1. Helsingfors 1563. Diverse skrifter. Satser für högre skollärareljenster. Åbo 1854. Kuulemaan sitä julkista esitelmää, jolla professori E. A. Strandman virkaansa astuu. Helsingfors 1876. (Inne- håller en blick på Egyptens och Assyriens äldsta historia.) La cause des nationalités assujetties. Lettre à une des sommités du mouvement pacifique. Paris 1903. Dessutom poëmer, intagna i tidningar och kalendrar, deraf några i Helmivyö suomalaista runoutta 1866. ES De ar, 1 À LEN Mi Lr» t DAME ^! imos d DE PTE ei "P fo" nu pla SAM 4 aU E