DE ie mm ET mans RE RAT rs 2 png PS eme ere ET A CAS hais Soc 140 HARVARD UNIVERSITY ms LIBRARY OF THE Museum of Comparative Zoology % EU FREE VW: * d Lu dt ACADÉMIE DE LA ROCHELLE, —SRMÉLES e— COMPTE-RENDE | DES TRAVAUX | ui DE LA SOCIÉTÉ DES SCIENCES NATURELLES | … PENDANT L'ANNÉE 1856. a | nr ra — "TT | 1 || (US COMME ZCOCOCY LNERIDGE LES US. CEMP 7681 $ LIBRART APR 2 4 1059 " HANYARD | HET SERIE | , LA = :E TYPOGRAPHIE DE G. MARESCHAL, RUE DE L'ESCALE , 20. À ANT ÿ RE | MAT But Je Re ! ACADÉMIE DE LA ROCHELLE. RSA PET E— COMPTE-RENDU DES TRAVAUX DE LA SOCIÉTÉ DES SCIENCES NATURELLES PENDANT L'ANNÉE 1856. Oo € burn | N°9 MUS. COMP. Z00L. LIBRARY er) 6 etes rad a . a = Œ F La F CL O7 [RS Le mm LA ROCHELLE, TYPOGRAPHIE DE G. MARESCHAL , RUE DE L'ESCALE , 20. 1857 < VAL EUN : TT IMANAUMN CRUE ELU tif ù HE € ner Le a AQU MAT RAT 4 243 ML | 2: y D | S sai À 4 : k 1. 0 ; 6 Ye ARE CS 1 - F AS , Lee 11 PÉEA LIAROUE A Le atrnMME CE : + 4 F n J L « D N $ = à UP À a CN 2, à COMPTE - RENDU DES TRAVAUX DE LA SOCIÉTÉ DES SCIENCES NATURELLES PENDANT L'ANNÉE 1896. MESSIEURS ; Parmi les travaux auxquels nous avons continué de nous livrer pendant le cours de l’année qui vient de s’écouler , il en est qui ne se produisent pas au dehors et qui ne laissent de trace que dans les procès-verbaux de nos séances et dans notre mémoire : je veux parler de cet examen , que nous avons coutume de faire en com- mun , des questions ayant trait aux sciences naturelles ; contenues, soit dans les nombreuses publications périodi- ques que nous recevons , Soit dans les annales qui nous sont adressées par les diverses sociétés savantes, avec lesquelles nous sommes en relations , par voie d'échange de nos productions. Ce genre d’occupations a pour nous 4 beaucoup d’attraits et il ne laisse pas que d’avoir aussi des résultats utiles : il nous tient au courant des progrès des sciences ; il ouvre le champ à des discussions où chacun de nous apporte le tribut de ses connaissances , et enfin , il nous prédispose à traiter nous-mêmes des questions, lorsque l’occasion s’en présente. Deux circons- tances importantes nous ont précisément donnélieu, pen- dant l’année 1856, de sortir des limites dans lesquelles sont généralement resserrés nos travaux habituels ; la première a été la séance publique de l’académie de la Ro- chelle, dont nous formons une section, qui s’est tenue le 5 juin, et dans laquelle M. le docteur Sauvé qui la prési- dait, mais que nous revendiquons comme un des membres les plus actifs de notre société des sciences naturelles , dont il est le secrétaire, a prononcé un discours d’un grand intérêt , et qu’il nous avait préalablement lu dans une de nos séances ; il y a donné une nouvelle preuve de son érudition solide et variée et de l'élégance de son style ; il y a renoué , avec bonheur, la chaîne qui lie notre académie actuelle à l’ancienne académie , fondée à la Rochelle en 1732 , et dont il a rappelé les titres glorieux, en citant les noms des Réaumur , Arcère , Dupaty , . Seignette, Girard de Villars, la Faille, Richard-des- Herbiers , Barret, Fleuriau de Bellevue, (Casimir, D'Orbigny , auxquels elle a dù une partie de son illus- tration. M. Edouard Beltremieux , qui s’est toujours occupé avec un zèle intelligent et soutenu d’études géologi- ques , a lu aussi , à la séance publique , une description des falaises de l’Aunis , dont il nous avait déjà donné . 5) communication ; il y a témoigné non seulement de son esprit éminemment fohservateur, mais encore de ses connaissances générales relativement à la science à laquelle se rattache le sujet qu’il a traité. M. Edouard Beltremieux à, depuis , fait imprimer son intéressant mémoire, auquel il a joint des planches qui font saisir , au premier coup-d’œil , la superposition des couches Jurassiques et crétacées composant le terrain qu’il a si bien étudié. La seconde circonstance à laquelle j'ai fait plus haut allusion , c’est le congrès scientifique de France , dont la vingt-troisième session s’est tenue à la Rochelle du 1° au 10 septembre 1856. Notre société des sciences naturelles s'était sérieusement préoccupée , à l’avanee, de cette solennité ; elle avait consacré plusieurs de ses séances à l'examen attentif de chacune des questions proposées dans le premier paragraphe du programme du congrès , et l’appel qu’elle avait fait à ses membres à ce sujet , soit verbalement dans nos séances , soit par écrit, pour les correspondants , a été entendu : ainsi, M. Manès, ingénieur en chef des mines à Bordeaux , l’un de nos correspondants , s’est chargé de traiter les deux questions suivantes : « 19 Etudes géologiques de la Charente-Inférieure ; » quelles sont ses richesses minérales ? en donner la » statistique. » , « 29 La carte géologique dela Charente-Inférieure est- » elle suffisante pour que l’on puisse , à priori , indiquer les espèces de terrains sur lesquels il serait utile de C2 » pratiquer le drainage ? Dans le doute, quels moyens » le Gouvernement aurait-il de préparer cette améliora- » tion et d'y disposer les propriétaires ? » M. Manès, qui était plus compétent que qui que ce fût pour traiter ces deux questions , les a résolues d’une manière supérieure, telle au surplus qu’on devait l’atten- dre de l’auteur de l’ouvrage remarquable intitulé : Des- cription physique, géologique et minéralurgique du départe- ment de la Charente-Inférieure , publiée en 1855. M. Mairand a traité la question ainsi conçue : « Rechercher les causes qui ont pu produire les buttes » coquillières de Saint-Michel en l’'Herm. » IL a accompli sa tâche de la manière la plus satisfai- sante ; ses observations sont pleines de sagacité , et tout en citant les opinions des savants qui se sont occupés avant lui de ce problème géologique, M. Mairand a exposé ses propres hypothèses , avec une clarté qui naît de sa conviction. M. Vivier a traité la question ainsi formulée : « Donner la statistique et le gisement des marnes que » renferme le département de la Charente-Inférieure ; » en faire l'analyse et en déduire les richesses , comme » amendement des terres. » Après avoir présenté des considérations générales sur les avantages que peut offrir à l’agriculture l’emploi intelligent de la marne , M. Vivier a fait connaître les divers lieux du département où il s'en trouve, en s’aidant à cet égard des renseignements fournis par l'ouvrage de M. Manès. Quant aux échantillons des marnes, mention- + nées dans ce mémoire , et dont l'analyse a été soigneuse- ment faite par deux membres de notre société, MM. Mazure et Arnoux, professeurs de physique et de chimie au Lycée, ils avaient été envoyés par trois de nos agrégés , M. de Meschinet , professeur d'histoire natu- relle au petit séminaire de Montlieu, M. Butaud , docteur médecin à Saujon, et M. Mairand, alors détaché à Saint- Jean d’Angély , pour le service des ponts-et-chaussées. M. Léon Bonniot a répondu, par un mémoire plein d'intérêt, fruit de ses longues observations sur cet important sujet, à cette question : « Quelles sont les causes et les lois des atterrissements » et envahissements opérés sur nos côtes ? Quelles mo- » difications'apportent-ils au port de la Rochelle ? Enfin M. Marchegay , ingénieur des ponts-et-chaus- sées, a traité la question suivante, à laquelle les nombreux travaux qu'il a dirigés, le mettaient parfaitement à même de répondre avec connaissance de cause : « L'expérience ayant démontré que les pouzzolanes » artificielles ne conservent pas longtemps leur cohésion » et leur dureté dans les constructions sous-marines , » a-t-on fait quelques essais pour fabriquer , avec des » matières communes , des bétons capables de résister » à l’action de la mer, soit à l’état de repos , soit à » l’état de grande agitation ? Ainsi, vous le voyez, Messieurs, cette espérance, exprimée dans le précédent compte-rendu de nos tra- vaux , que la présence du congrès scientifique de France dans notre ville stimulerait l’activité et l’amour-propre 8 de chacun de nous, n’a pas été déçue, et. l’année 1856 pourra être comptée au nombre de celles où nous aurons fourni un plus large tribut à la publicité par nostravaux; mais une bien triste circonstance est venue afiliger notre société pendant cette même année ; nous avons eu malheureusement à y déplorer une perte dans la per- sonne de M. D’Orbigny père dont la longue et honorable existence fut presque entièrement consacrée aux siences paturelles. M. le docteur Sauvé, se faisant l'interprète de nos justes sentiments de regrets , a prononcé sur la tombe de cet estimable savant les paroles suivantes, que je crois devoir reproduire ici textuellement comme un hommage bien mérité rendu à sa mémoire : MESSIEURS , « Avant de laisser fermer cette tombe où repose l'hom- » me utile que vous êtes venus accompagner à sa » dernière demeure , je dois, à beaucoup de titres, » faire entendre ici des paroles d’adieu , et retracer à » grands traits la vie si pleine et si bien occupée de » Charles-Marie-Dessalines D'Orbigny. » Né en 1770 , un navire fut son berceau ; sa mère » lui donna le jour en faisant la traversée d'Amérique » en France. Cette circonstance a paru , pendaat sa lon- > gue carrière , influer sur son existence , qu'il a passée, » ÿ s Ë 9 presque tout entière, sur la mer ou dans les ports. Dès l'âge de quinze ans , nous le voyons monter , comme volontaire d'honneur , faisant fonctions de chirurgien, sur la frégate l’Ariel , puis sur le vaisseau le Réfléchi. Rentré dans les hôpitaux de Brest, après deux an- nées de service à bord , il y resta pendant deux autres années , en qualité de chirurgien aide-major , continua son service actif , tantôt sur la mer , tantôt dans les hôpitaux de la marine de Brest , de Lorient, de Paimbœuf , de manière à mériter un avancement rapide ; aussi le voyons-nous de simple volontaire qu'il était parti en 1785, arrivé enl’an XI (1803) au grade élevé de médecin de première classe dans l’armée expéditionnaire d'Irlande ; l’année suivante , il fut envoyé en qualité de médecin principal pour inspecter les hôpitaux des prisonniers de guerre français en Angleterre. » Une carrière qu’il parcourait avec tant d'éclat aurait dû le retenir ; il n’en fut rien ; et malgré ses douze années de services très-actifs, il se retira dans la vie civile , où il put se livrer avec toute facilité à l’étude des sciences naturelles , vers lesquelles il se trouvait invinciblement entrainé, sans négliger pour cela l'étude et la pratique de la médecine qu’il exerça toujours avec dévouement et désintéressement. » Il se maria en 1799 , et eut le bonheur d'élever une nombreuse famille : ses fils , guidés par son exemple et ses conseils , occupent aujourd'hui dans les sciences naturelles des postes élevés , qu’ils doivent aux per- sévérantes études , aux infatigables efforts et aux nombreux travaux qu'ils ont faits. » Le nom de D'Orbigny est un nom célèbre et à juste titre dans les sciences ; la part de célébrité apportée par les fils , est sans doute supérieure à celle fournie par le père ; cependant , combien est grande celle de celui qui sut se former tout seul à l’étude des siences naturelles ; qui toujours éloigné du grand centre des lumières , se créa les collections les plus variées etles - plus nombreuses , pour s’aider dans ses recherches ; qui correspondait avec les savants de France et de l'étranger; qui se fit, par ses nombreux travaux, asço- cier aux sociétés les plus savantes de France et des îles Britanniques ; qui répandit partout où il se trouva, et surtout au milieu des siens , le feu sacré dont il était animé; qui passa presque toute sa longue vie , tantôt à fouiller la terre pour en étudier la struc- ture ou en extraire les fossiles et les minéraux , tantôt à explorer la mer et son rivage , pour lui surprendre ses mystères et rechercher ses hôtes nombreux, tantôt enfin à parcourir les plaines et les bois pour y récolter des fleurs et des végétaux de toutes sortes, ou pour y saisir l'insecte léger ou le reptile dangereux ! D'Orbigny, ta vaste intelligence voulait tout apprendre, tout connaître ; ta passion dominante était l'étude ; tu y consacrais tous tes instants ; ta mémoire prodi- gieuse étonnait avec raison tes collègues et les nom- breux visiteurs de tes riches collections ; mais le cercle que tu l'étais tracé était trop vaste ; si, moins 11 jaloux de tout embrasser , tu eusses spécialisé davan- tage , si tu eusses fait ce cercle plus étroit, tu te serais lg) 2 . acquis encore plus de gloire et de célébrité ! » Membre d’une cinquantaine de sociétés savantes, littérairesouartistiques, D’Orbiguy a publié une foule de travaux sur les sujets les plus variés, ce qui prouve l'étendue et la diversité de ses connaissanes. Poëte, musicien, médecin, naturaliste , agriculteur, il était à lui seul toute une encyclopédie ; aussi, son nom se trouve-t-il figurer honorablement parmi les membres de l’ancienne académie de la Rochelle et parmi ceux de trois des sections dont la nouvelle se compose. » La société impériale des sciences naturelles de la Charente-Inférieure, dont je suis ici plus particulière- ment l'organe , lui doit un juste tribut d’éloges et de reconnaissance. Il fut un de ses premiers fondateurs , travailla activement à la création de son musée dépar- temental, qu'il enrichit de très-nomhreux et très- importants objets ; ilfut par son assiduité aux séances et par son savoir , un de ses membres les plus utiles ; malheureusement , les infirmités, inséparables des années, étaient venues depuis trop longtemps nous pri- ver de son ulile concours ; nous ressentions vivement le vide qu'il avait laissé parmi nous , nous le ressen- tirons bien plus encore maintenant que nous ne pou- vons plus aller le consulter. » La société de médecine perd en lui un de ses membres honoraires et un de ses fondateurs. 19 » Je manquerais à mon devoir de Président de cette » société , si je n’exprimais ici , en son nom, les regrets » que nous cause cette séparation qui, toute prévue » qu'elle était, n’en est pas moins pénible. » La carrière médicale de D’Orbigny a été ce qu'elle » est pour le plus grand nombre des médecins , une » carrière de dévouement et d’abnégation. Il ne laisse » à ses enfants pour tout héritage que son nom. « Adieu , collègue regretté ; ta vie laborieuse , quel- » que longue qu’elle ait été , quelque bien remplie que » tu l’aies faite , n’a pu te donner les jouissances de l’opulence; mais tu as connu, plus que personne, celles » beaucoup plus douces que donnent l'étude et le bien » que l’on fait aux hommes. » ss LA Nous avons reçu , pendant le courant de l’année 1856, comme membres titulaires : Monseigneur Landriot , évêque de la Rochelle et de Saintes ; M. Ruck, inspec- teur d'académie; M. Montagne, professeur d'hydrogra- phie ; M. Mazure, professeur de physique et de chimie, au Lycée, et M. Fradin de Bellâbre, juge de paix ; com- me membres agrégés : M. Henri Mairand , employé des ponts-et-chaussées ; M. Alfred Vivier , avocat, et M. Boubhier , docteur en médecine , à Chéray (Ile-d’Oleron) ; comme membres correspondants : M. de la Saussaye, membre de l'Institut , recteur de l’académie de Lyon ; M. Maillard , pasteur protestant , à la Mothe Sainte- Héraye , et M. le Gall , conseiller à la cour impériale de Rennes. 45 Nous avons vu passer avec regret , par changement de sa résidence, M. Paumier , ingénieur des ponts-et- chaussées, de la classe des titulaires dans celle des corres- pondants. Notre musée , dont notre but constant est de chercher à compléter , autant que possible , les collections en objets provenant exclusivement du département , s’est encore enrichi , cette année , d’un certain nombre de mammi- fères , d'oiseaux , d'insectes et de plantes , qui nous manquaient. Suivant l'usage adopté par notre société, nous avons effectué , dans le mois de septembre dernier , une course d'histoire naturelle ; elle a eu lieu dans la partie de notre arrondissement comprise entre les communes de Nuaillé, Vérines, Saint-Médard , Saint-Christophe et Virson ; elle n'a pas été infructueuse au point de vue de la géologie, de l’entomologie et dela botanique. Les résultats des observations météorologiques , faites à la Rochelle par MM. les ingénieurs des ponts-et-chaus- sées et les professeurs de physique du Lycée, ont été remis , chaque mois , à une commission formée dans le sein de notre société et chargée de réunir tous les docu- ments qu’elle pourra se procurer sur les diverses circons- tances atmosphériques de notre localité. Nos archives se sont accrues non seulement des publi- cations périodiques auxquelles nous sommes abonnés , telles que les comptes-rendus hebdomadaires des séances: de l'académie des sciences , les annales des sciences naturelles , la revue des sociétés savantes , l'annuaire: 14 de la société météorologique de France et le journal l’Institut , mais encore des ouvrages suivants qui nous ont été adressés : | Annales de la société académique du Gard ; Mémoires de la société des sciences de Cherbourg ; Note surle loup , ses races ou variétés, dans le département de la Vienne , par M. Mauduyt ; Énumération des plantes vaseulaires des environs de Montbéliard , par M. Contejean ; Bulletin de la société industrielle d'Angers ; Voyage d'exploration sur le littoral de la France et de l'Italie , par M. Coste , membre de l'Institut ; Recherches géogéniques , par M. Quiet ; Travaux de la société d’agriculture , des belles lettres, sciences et arts de Rochefort ; Mémoires de la société d'agriculture du département de la Marne ; Annales de l'académie de la Rochelle ; Annales de la société d'agriculture, sciences et arts de la Lozère ; Description des falaises de l’Aunis, pas M. Beltre- mieux ; Journal local d'agriculture de la Charente , par M. Clauzure ; Cosmos (8€ volume), donné par M. Blutel , président de la société des sciences naturelles de la Rochelle ; 15 Rapport (manuscrit) sur une excursion botanique faite dans la forêt de Benou , par M. Chevalier , membre de notre Société ; Mémoires malacologiques ; discours d'ouverture de l'école forestière de M. Ivoy ; rapport sur le congrès scientifique de 1853 ; rectification des noms génériques, par M. Charles des Moulins. Moyens de réparer les ravages causés par les inonda- tions , par M. Lemoll ; Bulletin semestriel de la société des sciences, belles- lettres et arts de Toulon ; Note sur les maladies des végétaux , par M. Victor Chatel ; Mémoire sur les mines de l'empire d'Autriche ; Congrès scientifique de France (22 session) ; Histoire du siège de la Rochelle en 1573 , traduite du latin de Philippe Cauriana ; Observations sur les oursins perforants de Breta- gne etles Pholades ? par M. Caillaud , directeur-conser- vateur du musée d'histoire naturelle de Nantes ; Flore de l’ouest, par M. Lloyd. Note sur une pétrification découverte en Touraine, par M. Charles des Moulins ; Ici se termine , Messieurs , le compte-rendu des tra- vaux de notre société des sciences naturelles , pendant l’année 1856, dont vous m’aviez particulièrement chargé, 16 à défaut de notre honorable secrétaire , M. le docteur Sauvé , auquel ses nombreuses occupations n’ont pas permis , dans ce moment , de faire ce rapport. Cet exposé formera, à lui seul, le modeste tribut que notre section apportera , cette année , aux annales de l'académie des belles-lettres , sciences et arts de la Rochelle ; nous éprouvons le regret que notre situation financière ne nous permette pas d'y insérer des mé- moires , rédigés par des membres de notre section , et qui nous avaient paru mériter d’être livrés à l’impres- sion. A la Rochelle, le 24 janvier 1857. Th. VIviER , Officier supérieur d'artillerie en retraite. Bureau pour 1857. ACADÉMIE DES BELLES LETTRES, SCIENCES ET ARTS DE LA ROCHELLE. Deuxiéme section. — Sciences naturelles. MM. Blutel , père, Président. Dubois , vice-Président. Sauvé , Secrétaire. Beltremieux , Edouard , Conserva- teur-Archiviste. Bonniot , Léon , Trésorier Membres titulaires fondateurs. MM. Blutel père, directeur des Douanes , en retraite 1835 Chevalier , Elie, chef d’institution..........,. 1359 Sauvé , docteur-médecin ................... 1835. Drouimeau , Paul , docteur-médecin.......... 1835. Parenteau Dubeugnon, Pérsident du tribunal civil. 1835 Cassagnaud , Secrétaire en chef de la Mairie.... 1835 18 Non fondateurs." MM. Brossard , docteur-médecin................. Dubois #% , recteur d'Académie , en retraite... Mallet, docteur-médecin +" AÆLRES RC. Se Menut, employé au bureau de ae direction des DOUTER RES, AR RE Cartier ipharmagien Mister BP ERCLIEREE Vivier, Théodore, O0. #, officier see d’Artil- lerie-en retraite PCR RCE Beltremieux , Edouard , agent-de-change. .. Bonniot, Léon , conducteur des Ponts-et-chaus- SÉBS: Poe ET RER RE HOTTE Savary, O. % , officier supérieur du Génie , en LetRAerNRSTEE RRE RE SAC Ne re Garreau, Paul, %, médecin-principal........ Marchegay, Emile , #, ingénieur des Ponts-et- chaussées. :........................ : Emmery, # , ancien Maire de la ville , ere du Corse MoEneraT REC ER Re RS Verdon (de), inspecteur des lignes télégraphiques. Michelin, propriétaire nee eet ee Arnoux , professeur de physique , au Lycée... Ruck , mspecteur de l’Académie............. Monseigneur Landriot , évêque de la Rochelle et déSantes: : MONIIRDEAPARSNE LURE er Montagne , professeur d’hydrographie......... Mazure , professeur de physique et de chimie au LS CÉSRMUEIE A LAURENT Se PORALENENE RER 1837 1839 1839 19 Membres agrégés fondateurs. MM. Bargignac, membre du Conseil général , juge de DAC AOZESS A AN ie caen ea sale e 1835 Cotard , propriétaire à Touche-au-Roi , près POS RE A 2 Lo de ee lagase à à ere d © 1835 Dufour , capitaine d’Artillerie , en retraite , à NAT Ent dou ta don rie de LES LL 1835 Durat, propriétaire, ancien directeur du Collége, Ê BOIRE Re el LORE à D end EEE Ras nas 4 1839 Michelet , docteur-médecin , à Pons......... 1835 Non fondateurs. Brard , docteur-médecin , Jonzac............ 1836 Lipphardt , botaniste-jardinier , à Rochefort... 1837 Lem , Casimir, percepteur des contributions à Saint-Martin (iletde Ré)os shit eyaou 1337 Ponsin , docteur-médecin , à Saint-Martin (île DEPRE) Pt nn ae cn a Le BV 1837 Gaudineau fils , pharmacien , à Saint-Pierre de D UDOÉLESee de nn ee a DA dRL è 1838 Person , vicaire , à Rochefort............... 1839 Romieux, Oscar, enseigne de vaisseau , à Roche- REP Cu 7 ee otee RR es 1839 Roche , pharmacien , à Rochefort. ........... 1839: Castel , pasteur protestant , Rochefort... ..... 1839: Robert , négociant , à Marennes nr Le 1835. Meschinet (de), professeur d'histoire naturelle au petit Séminaire, à Monilieu-..:...":......: 1835. Rullier , curé à Montils , près Pons........., 183% 20 MM. Dubois, % , docteur-médecin , chirurgien-major de la Marine, en retraite, à Rochefort. ..... Georges (Mme), au Lin, près Saint-Jean d’Angély. Butaud , docteur-médecin à Saujon.......... | Besnard , professeur de rhétorique , au petit séminaire , à Montlieu....... +R EE Boffinet père , à Saint-Savinien.............. Geay , médecin des Douanes , à Lajarne....... Follet, x , Chirurgien en chef de la Marine , en retraite. aRochelort 4. "tr. Gi Boutard, pépiniériste horticulteur , à la Rochelle. Mathurin (de Saint), propriétaire à Saint-Jean Lépine , docteur-médecin , chirurgien de 1re classe de la Marine , à Rochefort. ........ Racine, C. %, Colonel d'infanterie en retraite , Nana 088 NOTE MER D'Orbigny, Alcide , commis de négociant , à la RochéMehr in, Se HG OnIIN..e MRRE Ravet , notaire , à Surgéres............ ER L’Abbé Lacurie , membre de plusieurs sociétés savantes FAOAMMIES, ANNE LES SAN Fraisneau, curé, à Meursac. "7°" Laporte fils’, employé de la Marine, à Rochefort. Boisgiraud , doyen en retraite de la faculté de Toulouse A GEMOZALENNITES PONS. - eee ce Vivier , Alfred , avocat à la Rochelle......... Mairand , employé des Ponts-et-chaussées , à la HOCNEIIE EN Fe PNR AR Bouhier, docteur-médecin, à Chéray, île d'Oleron. 1839 1839 1840 1840 1840 1841 1842 1856 1856 21 Membres correspondants. MM. Bauga , docteur-médecin , à Cognac.:........ 1835 D'Orbigny , Edouard, commis principal des con- tributions indirectes , à Mortagne (Orne).... 1835 D'Orbigny , Salvator , employé à la monnaie , à Hotte er RAM ANONEEE 1839 Faure, médecin principal à l'hôtel des Invalides APS 02 RE HU 2 A UERUTRO e. REUENRES 1839 Hubert , pharmacien , à New-York (Etats-Unis). 1835 Lecoq aîné, négociant, à Cognac. ............ 1835 Moshammer , botaniste , Mumich. ...... .... 1835 Bayle , ingénieur des Mines , à Paris. ......... 1835 Coquand , professeur à la faculté des sciences , à Besancon: .\::. 20088 #0 GMT SUOX : - 1839 Grasset, membres de plusieurs sociétés savantes, à. la Gharité-sur-boireis . 202 200. an 1836 Galles , ancien conseiller de Préfecture , à Van- nesen OU onaert 5 sueedGieung..t#iHr 1836 D’ Bibi, Alcide , professeur au Muséum d’ Se toire natarellé-statParis. CS te tt HSE 13836 Claret, docteur-médecin, conseiller de Préfecture, aWaBReES 22.00 RUNEE D AUX DER LCE 1836 Taslé, notaire, ancien Maire de la ville de Vannes not. OEM: MT Ares 1836 Bouscasse , Jules, professeur de génie rural à la ferme-modèle de Grandjouan............. 1836 Grateloup , docteur-médecin , à Bordeaux. .... 1837 Guyot-Duclos, G. # , Colonel du Génie en retraite, auTonlens aient. Lab ahevisenmolns 1837. Broussais, François, médecin-major, en Algérie. 1838 99 MM. Dubroca , docteur-médecin à Barrac (Gironde)... 1838 Gouget, chirurgien-major de 1re classe, en retraite. à yDôle (Jura): pri ee 1839 Aulagnier , docteur médecin , à Paris.... .... 1839 ltier, directeur des douanes, à Montpellier. . .. 1839 Delastre , ancien sous-Préfet , propriétaire à Lacour (Vienne)! 7... Re ... 1839 Lachronique , médecin-major de 4re classe... 1839 Blutel fils , employé au bureau de la direction dés Douanes , à Brest ...........,.. sai MSG Bertrand , professeur de physique. ........... 1840 Brochand , docteur-médecin à Paris...... ... 1840 Cornay , docteur-médecin à Paris............ 1840 Caillaud , directeur conservateur du Musée d’his- toire naturelle ; à Nantes. .....+420.. 1840 Barreau (de) , docteur-médecin ; à Rodez...... 1840 Lesieur des Brières, pharmacien à Paris... ... 1840 Rey-Lacroix , inspecteur des Douanes , à Cette. 1840 Dupuy , professeur d'histoire naturelle, au sémi- naire A Amche toast : ohne 1841 Régnier , naturaliste , à Saint-Maixent ( Deux- Sévriés)! 4h salhria, sushédermssel Jssal 1841 - Hesse , directeur des vivres de la Marine , à . Brest. 412 ae Sen. nue. UE 1842 Massé , jardinier-botaniste , à Montmorency... 1842 Buhot , officier au 60° régiment d'infanterie... 1843 Poey-d’Avant (Mie }, propriétaire à Fontenay, (Vendée)sriti à. tome D. Cane ioEZ Guérin-Menneville, professeur de zoologie, à Paris Laizer (le marquis de) , naturaliste , ancien colo- nel , à Chidrac , par Issoire. ....,.:....: 1845 MM. Dupré , professeur de physique. ........... Gressot (de) , capitaine d’Artillerie. . ......... Hastrel (d’), capitaine d'Artillerie en retraite , perntre Man Parist mMNNEUE RD LAREUN Manés, ingénieur en chef des mines, en retraite, ADR AUX OR Le nets nier. Lecoq , Président de la société des sciences na- turelles , à Clermont. ..... A SA AE, Guillon , Anatole , employé , à Niort (Deux- SÉNTES) MENT ER NErE AAA RP AT Pylaie (de la), naturaliste, à Paris. ...:....... Moraud , naturaliste, à Vars , par Saint-Amand de boxe (Charente) 00 ee Aucapitaine, naturaliste, à Alger. ............ Boutigny, garde-général des eaux-et-forêts , à BED (PSE ON RER RAR Quatrefages (de), membre de l'institut , à Paris. Petit de la Saussaie, chef de Division en retraite, ADS te ee A date diet ‘a Contejean , botaniste , à Montbéliard (Doubs). . Lévèque, inspecteur des écoles primaires, à Provins Paumier , ingénieur des Ponts-et-chaussées , au ÉTOILE CORRE ROUE AR EE Personnat , employé des contributions indirectes, ÉLSITTIPERRSE à MAS SRE ARE er tee Er Des Moulins , Charles , Président de la société Pinnéenne tnbordeaux "700. "00" Des Martins , docteur-médecin , à Bordeaux. … 24 MM. Janvier , membre de la société Linnéenne , à Bordeaux... tit tre dé épanue IRE orage 1854 Garnault , professeur d’ penis à Brest.. 1845 Clauzure , docteur-médecin, à Angoulème...... 1855 Saussaie (de la), membre de l’Institut , recteur de l'Académie de Lyon 7 :. use eee 1856 Maillard , pasteur protestant , à la Motte Saint- HÉTANES: eee Ed. ode CCE 1856 Legall, conseiller à la cour impériale, à Rennes. 1856 3 2044 072 197 148 pré mire : : RE eue sy mers. — RE CRC TR to dire g -=