= -le RE Fi re % ste 43-256, te, pee : LA" 1, * ‘ + £ # s r. # < . ps Le. ÉRA: AN MU | RON Hu EU Z ESX D RATS ANNALES SCIENCES NATURELLES, PAR MM. AUDOUIN, ap. BRONGNIART er DUMAS. ANNÉE 1824. ATLAS DES TOMES 1, 2, 5, À C POP TA ù > plauchec «GE MUS ERON-ALLEN y = PARIS ; BÉCHET JEUNE, LIBRAIRE DE L'ACADÉMIE ROYALE DE MÉDECINE, PLACE DE L'ÉCOLE-DE-MÉDECINE, N° 4; CHEZ LEVRAULT , RUE DES FOSSÉS-MONSIEUR-LE-PRINCE , No 31; er À STRASBOURG, nue pes Juirs, n° 33. ste te A on) ma TABLE DES PLANCHES OR Où N = 15. COMPRISES DANS LES TOMES 1 25) PAR ORDRE DE NUMÉROS. TOME PREMIER. ee Pre PTS QE EUR . Organes générateurs mäles du Purors. + Organes générateurs mâles du CHrex. . Organes générateurs mâles du Lapix. - Analyse des Fleurs du Cyrus Hypocisrrs. - Analyse des Fleurs du NepeNrmes Inpica et du Ne- PENTHES MADAGASCARIENSIS. . Coupe du terrain contenant le Bois fossile à odeur de Trufle, à Écoucné et à FRESsNAY-LE-Burrarp. (De- partement de l'Orne. ) + Larve et Insecte parfait du CocuLéocronr VORACE. . Détails anatomiques sur le thorax du Dyriscus cir- CUMFLEXUS. . Organes générateurs mâles du Car. . Organes générateurs mâles du Hérrsson. + Organes générateurs mâles du Cocxon d'Ixpr. . ANIMALCULES SPERMATIQUES de divers Mammifères. . Figure 1. Przeorus Levis. Sou.—F 18. 2. Prz. PLicarus, Sow.—Fig. 3. Pix. Nerrroïnes » Des. . Détails de deux nouveaux genres d’Insectes de la fa- mille des Crcaparres. Fig. 1°°. Détails des fleurs du Sprræa HYPERICIFOLJ A Fig. 2, Détails des fleurs du SerræA ARUNCUS. 6 Pr, 16. 174 16. 19- 20. 21. 22. TABLE Fig. 1°. Détails des fleurs du SPtRÆA FILIPENDULA. Fig. 2. Détails des fruits du Sprræa Urmarra. Fig. 5. ‘ Détails des fruits du SPIRÆA SORBIFOLTA. Fig. 1°°. Détails des fleurs du SprræA oPuLIFOLIA. Fig. 2. Détails des fleurs du SPIRÆA TRIFOLIATA. Eprira Curvicaupa. V'authier. Organes générateurs mâles du Coe; et, Animalcules sper- matiques du CoQ, du Pigron, du Canarp et du MoinEaAr. Organes générateurs mâles de la GRENOUILLE. Organes générateurs mâles de la SALAMANDRE à crête, et Ant- malcules spermatiques de la GreNourrce de là Sa- LAMANDRE, de l’Escarcor, de la Vrpère et du CrA- PAUD ACCOUCHEUR. CourarTaRi de la GUIANE. — Couratar: Guiañnensis , _Aubl. avec les détails de la fructification. NycriNome pu Brésit. — Fig, 1, animal entier, — fig. 2, tête vue en dessous ; —fig. 3, tête vue de côté; —fig. 4, crâne. . AcaRICUS TUBæFOoRMIS. Schcæf. fig. 3 Lie même avorté, ou CLAVARIA THERMALIS. Decund. Fig. 1, 2, 4. . Coureuvre DE RicHArp. Bory. a. tète en dessus ; 6. tête en dessous ; c. œuf de grandeur naturelle. . SPIRÆA lanceolata. Porret. . SriRÆA flexuosa. Fischer. . Sri æA betulifoha. Pallas. . Spir&A süpulata. Mu. DES PLANCHES. SJ TOME SECOND. Pc 1. CRiINUM TAITENSE. — Fig. 1. CRINUM ERUBESCENS. — Fig. 2. Structure et développement de leurs préten- dus bulbilles. 2. CAULINIA FRAGILIS. Anatomie microscopique de la tige et des feuilles. 3. CAULINIA FRAGILIS. Mouvement du suc dans les vais- seaux de la tige. — CHARA FLExILIS, Examen mi- croscopique de la fleur et du fruit. 4. CHarA FLExILIS. Mouvement du suc dans la tige , les feuilles et les vaisseaux de la fleur femelle. — Porru- LACA OLERACEA. Phénomènes observés dans le pollen de cette plante à linstant de la fécondation. 5. LITHOBIUS FORFICATUS. — SCUTIGERA LINEATA. Ana- tomie du canal intestinal et des organes reproduc- teurs de ces deux insectes. 6. GRENOUILLE COMMUNE. Appareil générateur femelle quelques instans avant la ponte. Phénomènes qui se passent dans l’œuf fécondé. Développement du tétard. 7. Grains de Blé altérés par Pinoculation de l'Ureno FÆTIDA et du ViBRio TRITICI. 8. Vigrio TRiTicr, à divers degrés de développement, vu au microscope. 9. Coupe du pays situé entre la Foret Norre et la Forer BoHÉMIENNe; où environ de WoLFAcH à AMBERG. Coupe de la structure de la chaine secondaire, connue sous le nom de l'Aze et du plateau calcaire de la BAVIÈRE SEPTENTAIONALE. 10 Fig. 1. Coccus z6Æ maïnis. — Fig. 2, 3, 4, 5, 6, di- verses Araignées. 11. 12. 17. 18. 19. 20. 21. 22. TABLE Pores corticaux du Lys et de quelques autres plantes. — Coupe transversale de la tige du NymPxæa. Pores corticaux, tube poreux et diverses figures d'ana- tomie végétale microscopique. . Anatomie microscopique du CHELIDONIUM MAJUS, du RoTance, etc. Suite de l'anatomie du RoTANG, anatomie de l'ALIsMA PLANTAGO , etc. . Métamorphoses et anatomie du DRILE JAUNATRE. . Filets pêcheurs de la BauDrotre. Burrze et TAUREAU à la course et flairant. 1°. Coupe idéale du pays entre les Pyrénées et la Vendée. — 2°. Coupe idéale du pays entre la Foret-Noire et les montagnes anciennes de la Normandie. — 3°. Vue d’une partie des filons Granitiques au milieu des roches schisteuses cristallines de Loucrup, coupe exposée sur la grande route de Loucrup à Mongaillard. Coupes comparatives des bassins tertiaires du Nord et du Sud-Ouest de la France. Organes digestifs dans les insectes Coléoptères. — Fig. 1, 2, 3, 4, CARABUS AURATUS. — Fig. 5. Aprinus DISPLOSOR. — Fig. 6. SCARITES PYRACMON. — Fig. 7. CLiviNA ARENARIA. — Fig. 8 et 9. CHLÆNIUS ves- TITUS. — Fig. 10. SPHODRUS TERRICOLA. Organes digestifs dans les insectes Coléoptères. — Fig. 1. STEROPUS MADIDUS. — Fig. 2. ZABRUS GIBBUS. — Fig. 5. Harpazus RUFICORNIS. — Fig.4. H. BINoraTus. — Fig. 5. NeBria ARENARIA.— Fig. 6. N. BREvIcoLL IS. Os et becs de Sèches fossiles. — Fig. 1, 2. Os. — Fig. 3.-26. Becs. . Douve À LONG co, Fasciola lucu. Pr. DES PLANCHES. 9 TOME TROISIÈME. 1. Coupes et vue du BANC DE GRIGNON. 2. Mvyrmécre (Myrmecrum), nouveau genre d’Aranéïdes. 3. Coupe du Var CanarraA. 4. Cœur et sang du Poulet à diverses heures de l’Incu- bation. 5. Ovules de Chien et corps jaunes du même animal. 6. Détails des ovules de Chien plus avancés. 7. Ovules de Lapin et corps jaunes du même animal. 8. Figures relatives au Mémoire de M. Mrrscnerricu, sur la méthode de calculer les angles des cristaux. 9. Tableau comprenant l'exposition générale et lexpres- sion détaillée des élémens du crâne, dans les Animaux vertébrés. 10. Organes digestifs dans les INSECTES coLÉOPTÈRES. 11. dem. 12. Figures et détails analytiques du FrANcOoA soncnr- FOLIA. 15. Appareil digestif du TeLspHoRus Livipus ( fig. 1), du Maracarus enxeus (fig. 2), du CLerRus ALVEARIUS mile (fig. 3), du Hisrer siNuarus (fig. 4), du Sicpra oBscuRA (fig. 5), du SrcprA LrrroraLis (fig. 6). 14. Appareil digestif du Taymazus rmBarus (fig. 1°), du Copris LUNARIS (fig. 5), du MeLoLONTHA vuLGARIS (fig. 4). 19. Appareil digestif de la Cetronra AURATA (fig. 1), du Lucanus cervus (fig. 2), du Lucanus PpARALLr- LIPIPEDUS ( fig. 4 ). 16. Composition de la tête osseuse du Crocodile, 17. Anatomie de la CALYPTRÆA SINENSIs. 18. Microscops AcHromarTiquE de M. Selligue. ES PL. 19. © A 32. TABLE DES PLANCHES. NEPENTHES GYMNAMPHORA , individu femelle, Feuilles radicales du NEPENTHES GYMNAMPHORA, et détails de la fleur dans le NEPENTHES MAXIMA. Appareil pour l'injection des vaisseaux lymphatiques. Vaisseaux lymphatiques des extrémités inférieures, des reins, des intestins et canaux thoraciques D£ L'Orr. Vaisseaux lymphatiques de la partie postérieure des extrémités inférieures du même animal. Lymphatiques de la face interne de l'extrémité infé- rieure droite du même animal. Disposition des vaisseaux lactés. Vaisseaux lymphatiques du tronc. APODANTIIES CASEARLÆ et ses détails anatomiques. GRAPHIOLA PHÆNICIS à diverses époques de dévelop- pement Diverses espèces du genre Eucnemis.—Paysopacry Le. Coupe idéale de quelques terrains de la Bourcocxe. Organes digestifs de la PrmeLra BrPuNcraTA (fig. 1 et 2), de l'AsipA criseA (fig. 5), du Brars crcas (fig. 4), du TENEBr1o o8scurus (fig. D). Organes digesufs de l'ELeponAa ReTICULATA (fig. 1), de l'Hyrornar@us casraneus (fig. 2), du Draperrs vioLAcEA (fig. 4 et 5), de la CisrELA BADITPENNIS (fig. 6), de lOEnemera corruLEA (fig. 7 ), de POE- DEMERA RUFICOLLIS (fig. 8 ). d Organes digestifs de la MorpeLLA FascraTA (fig. 1), du Mycrerus cuRCULIOÏDES (fig. 2 et 3), du Mecor MaAJALIS (fig. 4, 5 er 6), du MyYLABRIS MELANURA (fig. 7), du Zonrris PræusrA (fig. 8), du Srraris HUMEBRALIS (fig. 9). Nouvelle machine propre à la dessiccation des plantes, décrite sous le nom de CoQuETTE. TES ne TABLE DES PLANCHES RELATIVES AUX TOMES 1, 2, 3, PAR ORDRE DE MATIÈRES. 4 * re 11 | ie | ina F Wu EN Réf Se “moe, | 4 Fe "tre A AE it er run AA AE E # + + unmohoke fiat. jh 112 % Ra VAE nains one ADN DORE V7 “4 DM ENS NE CE aan - Re à NUM MU pr er) y A SON AN L'Ate EE armure h re PURE EX à tte sit: ROUE , if. De à re Am NA MaNUE s nai On es # rat | PHYSIOLOGIE ET ANATOMIE ANIMALE. NOUVELLE THÉORIE de la Génération ; par MM. Prévosr er Dumas. PREMIER MÉMOIRE. Observations relatives à l'appareil générateur des Animaux mâles, histoire et description des Animalcules sper- matiques. (Tome I, pages 2,10, 167 et 274.) PL. 1. (T. 1.) Æpparel mâle de la Génération chez le Purors. Fig. 1. V. Vessie urinaire; UU. uretères; TT. testicules; EE. épididymes; DD. canaux déférens; U’. canal de l'urètre; P’. pénis recouvert de son fourreau. Fig. 2. G. Gland et verge mis à nu; OO. os pénial. Fig. 3. À. Animalcules spermatiques extraits du canal déférent et grossis mille fois en diamètre. PL. 2. (T.1.) Æppareail mâle de la Génération dans le CHIEN DOMESTIQUE. Fig. 1. V. Vessie urinaire; UU. uretères; TT. testicules. EE. épididymes; DD. canaux déférens; P. prostate; U”. canal de Vurètre; P’. pénis recouvert de son fourreau. Fig. 2. Urètre fendu en avant; il permet de discerner la struc- ture glandulaire de la prostate en PP, et de reconnaître en DD LE 14 PHYSIOLOGIE les deux orifices des canaux déférens qui se trouvent sur les côtés de la papille qui occupe sa partie moyenne. V est une portion de la vessie et U’ un fragment du canal de l’urètre qui se continue inférieurement. Fig. 3. Testicule vu en avant. On a ouvert la membrane albuginée en A pour laisser à découvert le parenchyme PP formé par les vaisseaux spermatiques. Ceux-ci donnent naissance à l’épididyme EE, qui va se terminer lui-même à la portion supérieure de la figure, par le canal déférent D. Fig. 4. L’os pénial terminé en C par un cartilage conique et creusé en RR d’une gouttière très-profonde. Fig. 5. Globules de la prostate amplifiés mille fois. Fig. 6. Animalcules spermatiques extraits des déférens et grossis mille fois en diamètre. PL. 5. (T. 1.) Organe de la Génération du Lapin MALE. Le 1. Appareil générateur complet ; TT. testicules. Celui de gauche est vu dans sa situation naturelle , l’autre est retourné de manière à montrer le trajet de l’épididyme qui sort du testicule en E, et qui vient en D former le canal déférent après avoir longé le testicule; V. vessie urinaire ; UU. uretères; VV’. vésicule séminale. Elle est légèrement gonflée par le liquide qu’elle renferme, et sa partie supérieure se divise en deux petits renflemens qui se montrent quel- quefois plus distincts, mais qu’on ne peut apercevoir dans beau- coup d'individus (1); PP. prostate. Elle forme une lame glan- duleuse appliquée très-intimement à la partie supérieure de (1) Dans cette figure tous les signes ? ent été omis par une inadyertance du lithographe, mais en s’aidant des figures du Putois et du Chien, on y suppléera faci- lement. ET ANATOMIE ANIMALE. 15 la vésicule séminale et semble faire corps avec sa paroi; U’ urètre ; P? pénis. Fig. 22Canal de lurètre ouvert en avant pour montrer les ori- fices des conduits qui se rendent dans le vérumontanum; V. est celui qui communique avec la vésicule séminale ; DD. sont ceux des déférens ; PP. cinq ou six petites fentes placées de chaque côté et destinées à livrer passage à la liqueur de la prostate; AA. animalcules spermatiques extraits du canal déférent grossis mille fois en diamètre; L. liquide globuleux de la prostate grossi trois cents fois seulement. PL. 9. (T.1.) Organe mâle de la Génération du Cuar. Fig. 1. Appareil générateur complet ; TT. testicules; EE. épi- didymes ; DD. canaux déférens ; V. vessie urinaire; UU. uretères; P. prostate. Elle est divisée en deux petits lobes arrondis ; U?. canal de lurètre; CC. Glandes de Cowper. L’une d’elles a été divisée pour montrer la masse glandulaire placée au centre du sac musculeux qui sert à la comprimer pour évacuer le liquide qu’elle contient; P’. pénis. Près de sa pointe on observe de petits points rugueux qui le rendent très-propre à exciter les organes de la femelle au moment du coït. Fig. 2. Liqueur de la prostate vue au microscope et grossie trois cents fois en diamètre, elle est placée à droite du lecteur dans la figure; à la gauche il voit le liquide obtenu des glandes de Cowper; il est globuleux comme le précédent, mais il montre en outre de larges corpuscules faciles à reconnaitre pour de la graisse. Fig. 3. Animalcules spermatiques grossis mille fois en diamètre. PL. 10. (T. 1.) Organe Générateur mäle du Hérissox. Fig. 1. TT. testicules; EE. épididymes ; V. vessie urinaire 16 PHYSIOLOGIE VV. vésicules séminales; V”V”. vésicules accessoires ; U. canal de l’urètre ; P. pénis recouvert de son fourreau. Fig. 2. Vérumontanum ouvert pour montrer les ouvertures ; AA. des vésicules séminales; BB. des canaux déférens ; CC. des vésicules accessoires ; G. gland développé; L. sa languette vue en avant. Fig. 3. Animalcules spermatiques pris dans les déférens , et gros- sis mille fois en diamètre. Fig. 4. Liqueur des vésicules séminales grossie mille fois envi- ron. Ses globules forment des agrégations irrégulières. Fig. 5. Liqueur des vésicules accessoires. Elle est moins épaisse que la précédente, et renferme de gros corpuscules grais- seux. PL. 11. (T. 1.) Organe Générateur mâle du Cocuon D'INDE et du SuRMULOT. Fig. 1. TT. testicules ; EE. épididymes; DD. canaux déférens ; GG: appendice graisseux qui accompagne souvent je testi- cule, et qui se montre surtout très-développé dans les rats ; V. vessie urinaire; UU. uretères; V’V’. vésicules séminales ; VV”. vésicules accessoires; CC. glandes de Cowper; U’. urètre ; P. pénis développé. Fig. 2. Vérumontanum ouvert; A. lun des orifices des vésicules séminales. On a coupé la languette qui le recouvrait pour qu’il put être aperçu. De l’autre côté la languette se trouvant intacte, l'orifice correspondant reste caché. BB. ceux des ca- naux déférens ; D. les petites fentes qui servent à l’écoulement de la liqueur des vésicules accessoires. Celles de l’autre côté sont masquées parce qu'on n’a pas suffisamment retroussé la petite membrane fibreuse qui les porte. CC. les deux renfle- ET ANATOMIE ANIMALE. & mens papillaires, au centre desquels se trouvent les orifices des canaux des glandes de Cowper. Fig. 3. P. Pénis développé pour montrer l'appendice fourchu qui le termine; ©. os pénial. Fig. 4. Animalcules spermatiques extraits des canaux déférens , et grossis mille fois en diamètre. | Fig. 5. Liqueur particulière des vésicules séminales vue au mi- croscope, et grossie environ trois cents fois en diamètre. Fig. 6. Celle des vésicules accessoires examinée de la même ma- nière. : Fig. 7. Celle des glandes de Cowper. Détails de l'appareil du Surmuror. Fig. 8. Testicule du Surmulot dépouillé de son albuginée AA | 8 pour montrer les vaisseaux spermatiques visibles à Pœil nu, qui composent son parenchyme P; EE. son épididyme; D. son canal déférent. Fis. g. Insertion des vaisseaux spermatiques sur l’albuginée 9 q qu’ils percent pour aller former l’épididyme. Fig. 10. Vaisseau spermatique grossi dix fois en diamètre, et que 8 » dans lequel la transparence du tissu permet de voir la liqueur séminale en flocons épais et blancs. ü PL. 12. (T. 1.) ANIMALCULES SPERMATIQUES de divers animaux. T. Animalcules spermatiques du TauREAU grossis mille fois en "diamètre et extraits des canaux déférens. C. id. du CaevaAL dans les mêmes circonstances. A. id. de PANE sous les mêmes conditions. M. Liqueur séminale du Muzer prise dans le conduit défé- rent. 18 PHYSIOLOGIE SB. Animalcules de la Souris BLANGITE. SC. Ceux de la Souris GrIS£. S. Ceux du SURMULOT. H. Animalcules de l'Homme. D’après M. DE GLEIcHEN. FF. zd. D'après M. pe Burrox. Il parait, si l’on s’en rapporte à la comparaison des diverses figures que renferment leurs ou- vrages, que la grandeur absolue de ces animalcules se rap- proche assez de celle que nous ayons déterminée pour le Chien. Il est inutile d'ajouter que les deux dessins que nous citons ici ne sont point en rapport avec Ceux qui nous sont propres, en ce qui concerne la longueur proportionnelle. B. Animalcules du Bowc pris dans les déférens, et grossis mille fois en diamètre. O. id. du Bécrer. PL. 19. (T. 1.) Organes générateurs des OxsraAux. Fig. 1. Appareil de la génération du Co. Il est fort simple et consiste seulement en deux testicules TT qui communiquent avec le cloaque par leurs canaux déférens respectifs DD. On a ouvert le rectum R et le cloaque pour laisser voir en PP les papilles qui terminent les canaux déférens et en UU les orifices des urètres. Fig. 2. Ouvérture extérieure da cloaque, qui sert d’orifice com- mun pour les excrémens et les produits urinaires et sperma- tiques. SS. Vaisseau spermatique pris dans le parenchyme du testicule lui-même. Il est grossi dix fois en diamètre, se montre gorgé de semence et embrassé çà et à par des ligamens qui fai- saient partie du tissu cellulaire. C. Animalcules spermatiques du Coe pris dans son canal déférent et grossis mille fois en diamètre ; M. ceux du Mornsau dans les mêmes circonstances; A. ceux du Canarn; P. ceux du Prcrox. ET ANATOMIE ANIMALE. 19 PL. 20. (T. 1.) Organes génilo-urinaires de la Gr&NouILLE COMMUNE MALE ef de la SALAMANDRE A CRÈTE. Fig. 1. TT. Les testicules surmontés de leur panache graisseux PP et placés au-dessus et en avant des reins R°, Ceux-ci sont longés en dehors par les uretères UU dont la dilatation vésicu- laire se remarque en VV. Ils se rétrécissent de nouveau à leur base et se terminent par les papilles P’ qui viennent s’ou- vrir dans le cloaque. On a fendu le rectum R pour montrer cette disposition et rejeter de côté la vessie urinaire VV? dont on distingue facilement les deux lobes. Fig. 2. Ici l’on a voulu faire connaître la disposition des tuyaux déférens, et l’on s’est trouvé obligé de dessiner le rein par sa face postérieure, et de rejeter le testicule en dedans. Pour mieux comprendre arrangement de cette figure, il suffit de supposer qu’on a pris le côté droit dé la précédente, et qu'a- près avoir fixé le testicule, on a fait exécuter une évolution complète au rein, et déployé de la sorte les canaux déférens. Ceux-ci au nombre de onze sortent du testicule pour entrer dans le rein où ils se réunissent avec les divisions de l’uretère. Fig. 5. Organes génito-urinaires de la SALAMANDRE MALE. On peut distinguer aisément du côté droit où l’on a enlevé le corps graisseux pour mettre le testicule à découvert; T. le testicule, surmonté de sa portion opaline qui ne sécrète aucun animal- cule. Celle-ci ne fournit aucun tube déférent, mais ilen part de Vautre cinq qui viennent s’accoler successivement et for- ment ainsi le véritable canal déférent DD, qui arrive tout près du cloaque. G est le corps graisseux qu’on a conservé du côté gauche. RR le rein qui se termine en pointe au-dessus des testicules, et UU les uretères nombreux, fasciculés et gorgés du liquide blanc qui se remarque à l’époque des amours. Ils se 20 PHYSIOLOGIE réunissent au déférent et se rendent avec eux dans le-“cloaque par deux papilles P communes. R’ est le rectum qu’on a fendu ;, V?. la vessie urinaire bilobée. Fig. 4. Testicule de Salamandre bilobé et isolé. C’est ce genre d'accident qui a fait croire à plusieurs auteurs que la Sala- mandre avait quelquefois deux testicules de chaque côté. On voit ici en TT les deux lobes du testicule et en O sa portion opaline; DD est le canal déférent. G. Animalcules de la GRENOUILLE grossis mille fois en diamètre ; C. zd. du CrapauD AccoucaeuRr ; V. id. dela Vrrèrs; E. cd. de L’EscARGOT grossis cent fois en diamètre seulement; S. 2. de la SALAMANDRE A CRÈTE grossis cent fois en diamètre seu- lement. Deuxième MÉMoire. Rapport de l'OEuf avec la liqueur fécondante. Phénomènes appréciables résultant de leur action mutuelle. Déve- loppement de l’'OEuf des Batraciens. (T. II, p. 129.) PL. 6. (T. 2.) Organes Générateurs femelles de la Grr- NOUILLE COMMUNE. Fig. L O. ovaires quelques heures avant la ponte ; PP. pavillons ; TT. trompes et cornes ; DD. dilatations qui reçoivent et conser- vent les œufs jusqu’au moment de l’accouchement; elles sou- vrent par deux orifices qui doivent leur livrer passage , et l’on voit au-dessous les ouvertures des uretères ; V’. vessie urinaire fendue ; R. rectum ouvert. 1. Ovule de la Grenouille à tempes jaunes de grandeur natu- relle; 4. le même gonflé après un séjour de quatre heures dans Peau; 5. œuf dépouillé de mucus placé sur le côté, et grossi cinq fois en diamètre; 3. œuf gonflé d’eau colorée par ET ANATOMIE ANIMALE. 21 le sang; 2 œuf gonflé d’eau chargée d’animalcules sperma- tiques. - À. œuf séparé du mucus et du sac membraneux au moment de la fécondation ; B. d. quelques instans après ; C. œuf à un sil- Jon; D. id. mais avec un sillon plus marqué; D’. le même vu de côté; EF. œufs plus avancés ; G. œuf quadrilobé ; GG”. œufs de la même période; HE. œufs à huit lobes; HF. les mémes vus par-dessous ; L. œuf à seize lobes; L? id. vu par- dessous ; M. œuf à lobes indéterminés; NO. œufs à lobes plus petits; O”. œuf demême âge vu de côté; PP’ œufs à lobes encore plus petits; P” cd. vu de côté; Q. œuf granulenx; R. œuf granuleux , dans lequel le rudiment de la moelle épinière com- mence à paraître ;S. 2d. plus prononcé; T. zd. avec le croissant à la partie encéphalique; U. d. avec le croissant prolongé en double écusson; V.z2d. avec les ailerons ; V’. id. vu de côté: X. fœtus, où le rudiment de la moelle se reconnait aisément ; X°. moelle épinière vue de Pintérieur; Z. fœtus plus avancé; L’.1d. vu de côté; 2. id. vu par-dessus; 2”. id. par derrière; a. fœtus de trois jours; @. id. vu de côté; b. fœtus de quatre jours; 0’. id. vu de côté; c. fœtus de cinq jours; €. id. vu de côté; c”. tête vue en avant; 6. mucus des œufs de Gre- nouille imprégné d’animalcules ; 7. id. des œufs de Sala- mandre. TROISIÈME MEMOIRE. De la Génération dans les Mammufères , et des premüers indices du developpement de l'Embrion. (T-UT , p. 113.) PL. 5. (T. 5.) Grue. — Corps jaunes et ovules. Fig. 1. Ovaire huit jours après laccouplement ; C. corne; T. trompe; P. pavillon; GGG. graisse; V. grosse vésicule près de s'ouvrir; J. corps jaunes; AB. corps jaune vu de côté à Ce - 29 | PHYSIOLOGIE id. vu par-dessus; D. id. ouvert pour voir le fond de la ca- vité. Fig. 2. Ovule de la même époque, vu de grandeur naturelle en B, et grossi en PB’. Fig. 5. Ovule pris sur le même animal, mais plus près de la base des cornes. De grandeur naturelle en A, grossi en À’. Fig. 4. C. Ovule de douze jours ; de grandeur naturelle; C. le même grossi. Fig. 5. D. Ovule de même date plus avancé que le précédent et en place; D’. séparé de la corne ; D”. grossi. PL. 6.(T. 5.) Ovules de Chien douze jours après l’ac- couplement. ABC. Œufs de grandeur naturelle ; ABC. Fœtus correspondans grossis, le premier 15 fois, le second 12 fois; le troisième 8 fois. PL. 7. (T.5.) Lapin. — Orvanes femelles et ovules. Fig. 1. Utérus huit jours après un accouplement fécondant ; O. ovaire; C. corps jaune vu par-dessus; D. vu de côté; A. ovule du sommet de la corne gauche, dont on a grossi le fœtus ; B. fœtus du troisième ovule également grossi. REGHERCHES anatomiques sur le Thorax des Animaux articulés et celui des Insectes hexapodes en particulier ; par M. Vicror Aupouix. (Tome I, p. 97 et 416.) PL, 8. (T. 1.) Anatomie du Thorax du Dvriscus CIRCUMFLEXUS , Fabr. Fig. 1. Vu sur le dôs et dépouillé des élytres et des ailes. ET ANATOMIE ANIMALE. Fig. 2. Vu de profil, la tête étant enlevée. Fig. 5. Vuen dessous. Fig. &et 5. Prothorax, mésothorax et métathorax , AAA. partie inférieure ou poitrine; BBB. partie supérieure où tergum ; @. præscutum ou écu antérieur; d. scutum ou écu ; e. scutel- lum où écusson, d. postscutellum où écusson postérieur ; 4. sternum; /’. entothorax; z. épisternum; ?. paraptère; 4. épimère. Q e Drscfirrion des filets pécheurs de la Baudroie ; par M. Bay , D. M. P. (D VIL Sp:1830.) PL. 16.(T. 2.) Fig. 1. Le porte-filet &,b.—N° 2. Est l'anneau au- quel s'articule le filet antérieur. — N° 3. Apophyse à laquelle s'attache l’extenseur ( nos 4, 5, fig. 5.) — N° 7. Apophyse ja- térale à laquelle s'attache le fléchisseur (&b. fig. 2 ). x. Plaque en losange sous laquelle s'attache l’extenseur pp. du second filet ( fig. 2 ). — N° 8. Apophyse postérieure du second filet à laquelle s'attache le fléchisseur ( z. fig. 2) du second filet; «. extrémité postérieure mucoso-cartilagineuse du porte-filet et point d'attache du préducteur (px. fig. 2 ). Fig. 2, az. Préducteur du porte-filet, il s'attache à la partie pos- térieure du porte-ilet, et à la partie interne de la crète irré- gulière du coronal, au même point que le muscle pf'; ab. flé- chisseur du filet antérieur, il s’attache à l’apophyvse latérale de ce filet et à Pextrémité postérieure du porte-filet qu'il recou- vre en dehors. Ce muscle reçoit la plus grande partie du nerf _sous-occipital; dans la fig. 3, il est désigné par les mêmes let- tres «b. IL est recouvert presqu’en totalité par le grand rétro- ducteur c., qui est coupé à droite; c. le rétroducteur s’atta- chant postérieurement à la base du troisième filet, au même point que les extenseurs de ce troisième filet ; de-là il se porte 24 PHYSIOLOGIE * en avant et s'attache à la partie antérieure de l’anneau; c’est son extrémité antérieure coupée qui est désignée en c: (Ag, 5); i. est le fléchisseur du second filet, il s'attache à la partie ex- terne du porte-filet, et vient en avant se fixer à l’apophyse extérieure de ce filet; il est de profil en &. (fig. 5), il est en parüe recouvert par le muscle ab ; pf. est le muscle latéral postérieur on transverse , il s'attache d’un côté à l'apophyse postérieure du second filet et de lautre à la crète du çoronal ; pe. est le muscle latéral antérieur, il s’insère d’un côté à lapophyse postérieure du second filet avec le précédent, et de Vautre à la partie antérieure du coronal où ses fibres d’in- sertion se perdent dans le tissu cellulaire; ao. est le nerf sous- occipital qui donne ses principales branches au muscle ab ; pp. sont les deux extenseurs du second filet, ils s’attachent supérieurement à la base du second filet, et inférieurement sous les angles latéraux de la plaque en losange (n° 10, fig. 1 ). Leurs analogues existant au troisième filet, sont désignés par les mêmes lettres pp., ils s’attachent à ce filet et à l’occi- pital; pg. est, pour ce troisième filet, l'analogue de pe du second ; ph. est l’analogue de 7. et de pf. du second, ses atta- ches sont évidentes; £. est le filet supportant l’appendice ver- miforme placé à coté de lui. Fig. 5, n° 4 et 5. Muscle extenseur du premier filet; il s’atta- che à la partie inférieure du porte-filet, et à son apophyse antérieure ; ad. préducteur; dans la figure 2 il est désigné az; c. est le rétroducteur coupé dans les deux figures. Fig. 4. a. Second filet ; D: axe ligamenteux qui traverse l'anneau de ce filet; c. plaque en losange du porte-filet qui donne at- tache aux muscles chargés d’abaisser en avant ce filet; d. base annulaire du premier filet; e. anneau du porte-filet recevant celui du filet; f. premier filet. Fig. 5. a. Porte-filet du troisième filet pécheur; cette pièce est ET ANATOMIE ANIMALE. 25 posée sur l’occiput ; elle est séparée de cet os dans les grandes espèces ,'elle est soudée avec lui dans les petites; b. base du troisième filet ; c. est l'axe qui en traverse la base annulaire. | | Mémoire sur l’usage des Cornes dans quelques animaux , et parti- culièrement dans le Buffle ; par M. E.-M. Barry , D. M. P.(T. IT, p. 369). PL. 17. (T. 2.) Fig. 1. Buffle à la course. Fig. 2. Taureau à la course. Fig. 5. Buflle flairant. DévecoPPemEenT du Cœur et formation du sang ; par MM. PrÉvosr Er Dumas. (T. IT, p. 96.) PL. 4. (T.5.) Fig. 27. Premiers vestiges du cœur dans le Poulet, après vingt-sept heures d’incubation; aa. prémice de lauri- cule; 30 cd. après trente heures; c. ventricule gauche; 0. position de Paorte; 53 id. après trentétrois heures; 36 cd. après trente-six heures ; 59 zd. après trente-neuf heures; 42 id. après quarante - deux heures; d. bulbe de l'aorte ; 60 :d. après soixante heures, vu en avant; c. ventricule gau- che; a. aorte; b. canal auriculaire; d. auricules ; 60 id. vu par sa partie postérieure. Toutes ces figures sont grossies dix fois. 2 à 5 jours, représente une portion de la membrane vasculaire d’un Poulet de cet âge. On y voit en pleine circulation des globules de forme circulaire. N° 4. Globules d’un Poulet de quatre jours; N° 5. id. d’un Poulet de cinq jours; N° 6. id. d’un Poulet de six jours. A toutes ces époques ils sont encore circulaires , mais il n’en est plus de même dans le N° 7 où Pon voit le sang d’un Poulet de sept jours. Il renferme déjà des glo- bules elliptiques; N° 8 est du sang pris au huitième jour de lincubation où les globules elliptiques sont encore plus nom-   26 PHYSIOLOGIE breux ; N° 9 enfin représente les globules d’un Poulet de neuf jours, et à cette époque les globules circulaires ont presque entièrement disparu. Toutes les figures relatives au sang sont grossies trois cents fois en diamètre. RecHercHEs Ænatomiques sur le Lithobius forfcatus , ef la Scatigera lineata ; par M. Léon-Durour. (T. Il, p. 81.) PL. 5. (T. 2.) Fig. 1. Appareil digestif et appareil générateur fe- melle du Lithobius forficatus , fort grossis ; &. tête avec les mandibules écartées , son bord occipital accompagné du demi- segment dorsal où ces dernières s’articulent ; d. ventricule chyli- fique précédé d’un tube commun à l’œsophage et au jabot, et accompagné à son origine de deux grappes salivaires. Il est suivi en arrière de l'intestin, et une partie de celui-ci est ca- chée sous le dernier segment de l’abdomen; cc. vaisseaux hépatiques , terminés près de la tête par un Jigament suspen- seur ; dd. premiers stigmates à partir de la tête. Ils correspon- dent à la troisième paire de pates, et émettent quatre troncs trachéens, d’une couleur roussâtre; e. ovaire ; //: glandes séba- cées de l’oviducte; 9. dernier segment dorsal de l'abdomen accompagné de la dernière paire de pates , et suivi d’un segment ‘supplémentaire propre à la femelle, et muni de deux crochets vulvaires. | Fig. 2. Appareil générateur male, fort grossi, de ce Lithobius ; aa. testicules ; bb. c. vésicules séminales; d. portion tronquée du ventricule chylifique et des vaisseaux hépatiques; e. der- nier segment dorsal de l'abdomen. Fig. 3. Testicule et portion des vésicules séminales considéra- blement grossis pour mettre en évidence leur structure et le mode de connexion ; aa. les deux grappes du testicule avec les canaux déférens ; bd. les vésicules séminales latérales ; e. la vésicule séminale intermédiaire ; dd. les conduits éjaculateurs. ET ANATOMIE ANIMALE. 27 Fig. 4. Appareil digestif er appareil générateur femelle fort grossis dela Scutisera lineata ; a. tète avec les mandibules et les palpes écartés ; bb. article des antennes plus grand que les autres, indice d’un coude; cc. glandes salivaires ; d. ven- tricule chylifique ; e. intestin ; ff vaisseaux hépatiques ; g. ovaire; Lh. glandes sébacées de loviducte ; z. derniers seg- mens dorsaux de l’abdomen; £. vaisseau dorsal libre, renflé à son insertion dans la tête; A. un œil considérablement grossi; B. jabot et portion du ventricule chylifique fort gros- sis ; C: une des pates du milieu du corps fort grossie. Fig. 5. Appareil générateur mâle, fort grossi, de la même Sez- ligera ; aa. tesücules ; bb. renflemens des canaux déférens ou peut-être éjaculateurs; ce. vésicules séminales ; d, portion de Pintestin ; e. dernier segment dorsal de l'abdomen. RechercHes Ænatomiques sur les Carabiques et sur plusieurs autres Insectes Coléoptères, par M. Eeon-Durouk FE IL,,p..462, T. IX, p. 215 et 475.) PL. 20. (T. 2.) Oroanes digestifs. Fig. 1. Appareil digestif du Carabus auratus, médiocrement grossi; &. tête et parties de la bouche ( celles-ci sont d’une grandeur disproportionnée ); d. œsophage et jabot suivis du gésier c.; d. ventricule chylifique; ee. vaisseaux hépatiques ; [: intestin grêle ; g. cœcum ; 24. appareil des sécrétions excré- mentitielles ; z. dernier segment dorsal de l'abdomen de la femelle. Fig. 2. Gésier de cet insecte renversé de manière à mettre en évidence sa contexture interne ; considérablement grossi. Fig. 3. Portion du ventricule chylifique du même, vue au mi- croscope. On y voit la forme et la disposition des papilles. Fig. 4. Une de ces papilles isolée, considérablement grossie, avec la trachée qui s’y distribue. 28 PHYSIOLOGIE Fig. 5. Appareil digesuf fort grossi de lÆptinusi displosor ; @. jabot gonflé par de l'air; d. gésier; ce. ventricule chyhifique ; dd. vaisseaux hépatiques ; e: intéstin grêle suivi d’un cœcam contracté ; //. appareil des sécrétions excrémentitielles; 9. der- nier segment dorsal de l'abdomen. Fig. 6. Appareil digestif fort grossi du Scarites pyracmon ; a. jabot dilaté; D. gésier ; e. ventricule chylifique ; dd. vais- seaux hépatiques tronqués ; e. intestin grêle ; £ cœcum. Fig. 7. Appareil digestif fort grossi du Clivina arenaria ; à. ja- bot gonflé; b. gésier; c: ventricule chylifique; dd. vaisseaux hépatiques ; e. cœcum allongé précédé d’un intestin grêle fort court ;./. dernier segment dorsal de l'abdomen. Fig. 8. Appareil digestif fort grossi du CA/œænius vestitus; a. ja- bot dilaté; D. gésier dégénérant en arrière en un col; c. ven- tricule chylifique ; dd. vaisseaux hépatiques tronqués ; e. in- testin grêle court dégénérant en un cœcum allongé; f}. appa- reil des sécrétions excrémentitielles ; 9. dernier segment dorsal de l’abdomen de la femelle avec des crochets vulvaires ciliés. Fig. 9. Portion considérablement grossie du ventricule chylifi- que afin de mettre en évidence la forme des papilles qui sont renflées à leur base. Fig. 10. Appareil digestif fort grossi du Sphodrus terricola ; a. portion de la tête et antennes (le troisième article de celles- ci est plus long que le premier); e. jabot ; c. gésier ; d. ventri- cule chylifique; ee. vaisseaux hépatiques tronqués; { intestin grêle suivi d’un cœcum oblong; g. appareil des sécrétions excrémentitielles ; 2. dernier segment dorsal de l'abdomen. PL. 21. (T. 2.) Organes digestifs. Fig. 1. Appareil digestif fort grossi du Szeropus madidus ; a. tête avec les antennes et les parties de la bouche ; mandi- bules fortes, édentées; labre tronqué, cilié; dernier article des palpes allongé, cylindroïde , tonqué ; antennes assez ET ANATOMIE ANIMALE. PA courtes presque moniliformes ; . jabot dilaté; c. gésier ac- compagné de lambeaux adipeux épiploïques , etsuivi du ventri- culechylifique; dd. vaisseaux hépatiques tronqués; e. intestin grèle suivi d’un cœcum à parois froncées ; //: appareil des sé- crétions excrémentitielles ; g. dernier segment dorsal de Ja femelle et crochets vulvaires. Fig. 2. Appareil digestif fort grossi du Zabrus gibbus ; a. tête avec les antennes et les parties de la bouche. Région occipitale grosse ; labre presque carré, assez grand, cilié ; dernier article des palpes cylindroïde; mandibules robustes, édentées ; an- tennes courtes, premier article plus gros, le troisième plus long , les autres presque moniliformes ; yeux petits ,obronds, peu saillans ; 0. jabot en partie dilaté et en partie contracté ; c. gésier dégénérant en un col; d. ventricule chylifique à papilles courtes; ee. vaisseaux hépatiques tronqués ; /. intestin grêle suivi du cœcum; g2. appareil des sécrétions excrémen- üuelles (la grappe des uiricules sécrétoires manque); L. der- nier segment dorsal de l’abdomen de la femelle, avec les crochets vulvaires; ceux-ci ovales, obtus, munis de deux poils roides. Fig. 3. Appareil digestif fort grossi de l'Harpalus ruficornis; a. tête avec la base des antennes et les parties de la bouche; b. jabot médiocrement dilaté; c. gésier; d. ventricule chy- lifique; ee. vaisseaux hépatiques tronqués; À intestin gréle suivi du cœcum dilaté; 99. appareil des sécrétions excrémen- telles ; Z. derniers segmens dorsaux de l'abdomen du mâle. L’avant-dernier fort grand, couvert de points pilifères; le dernier très-étroit, comme sinueux à son bord qui a quatre poils isolés assez longs. Fig. 4. Appareil digestif fort grossi de l'Harpalus binotatus ; &. portion de la tête; 2. jabot contracté excepté à sa partie postérieure ; c. gésier; d. ventricule chylifique ; ee. vaisseaux hépatiques tronqués ; f intestin grêle suivi du cœcum; ge ap- 30 PHYSIOLOGIE pareil des sécrétions excrémentitielles ; 4. dernier segment dorsal de l'abdomen de la femelle et crochets vulvaires. Fig. 5. Appareil digestif fort grossi de la Nebria arenaria ; a. jabot irrégulièremeut contracté; 2. gésier ; e. ventricule chy- lifique globuleux à son origine ; dd. vaisseaux hépatiques tronqués ; C. Intestin grêle; f cœcum. ù Fig. 6. Appareil digestif fort grossi de la Nebria brevicollis ; a. portion de la tête; 2. jabot; c. gésier ; d. ventricule ehyli- fique, renflé à son origine et hérissé de grosses papilles co- noïdes ; ee. vaisseaux hépatiques ; /. intestin grêle; g. cœcum; Rh. appareil des sécrétions excrémentitielles ; z. dernier seg- ment dorsal de Pabdomen. PL. 10. (T. 5.) Organes digestifs. Fig. 1. Appareil digestif fort grossi de lOmophron limbatum; a. tête, antennes et parties de la bouche; tête transversale avec son bord occipital largement échancré ; mandibules acé- rées édentées ; mächoires allongées, ciliées , terminées par un crochet ; labre carré, cilié; article terminal des palpes allongé, cylindroïde , comme tronqué; b. jabot; c. gésier oblong, suivi d'un venuicule chylifique assez court; dd, vaisseaux hépa- tiques; e. intestin grêle, suivi d’un cœcum; #7: appareil des sécrétions excrémentutelles; 2. dernier segment dorsal de Pabdomen du mäle. Fig. 2. Appareil digestif fort grossi de la Cicindela campestris; a. tête et parties de Ja bouche étalées ; 0. jabot granuleux ; c. gésier ; d, ventricule chylifique droit, conoïde ; ee. vaisseaux SE ;/: intestin grêle; g. cœcum. Fig. 5. Appareil digestif médiocrement grossi du Drytiscus pure a. tête et partie de la bouche ; ë. jabot et œsophage ; c. gésier ; d. ventricule chylifique; ee. vaisseaux hépatiques ; J. intestin grêle replié sur lui-même ; g. cœcum ou vessie na- ET ANATOMIE ANIMALE. 3r tatoire; 24. appareil des sécrétions excrémentitielles ; z. der- nier segment dorsal de l'abdomen de la femelle. Fig. 4 Appareil digestif fort grossi du Gyrinus natator; a. iète transversale , largement échancrée en arrière avec une petite dent à peine sensible de chaque côté de l’échancrure; labre arrondi en devant et villeux ; 4. jabot ; c. gésier oblong ; d. ventricule chylifique court, avec de grosses papilles ; ee. vaisseaux hépatiques assez gros, excepté à leurs inser- üons ; /. intestin grêle suivi d’un cœcum peu marqué; 2. ap- pareil des sécrétions excrémentitielles ; 2. les deux derniers segmens dorsaux de l'abdomen de la femelle, velus, et les crochets vulvaires ciliés. Fig. 5. L’un des organes des sécrétions excrémentitielles beau- coup plus grossi, pour mettre en évidence le mode d'insertion du vaissean sécréteur avec le réservoir. Fig. 6. Appareil digestif fort grossi du S/aphylinus erythrop- terus ; &. tête et partie de la bouche étalées. On y distingue, 1° un col ou lobe occipital à trois festons ; 2° deux grandes man- dibules qui se croisent dans le repos, et qui ici sont représen- tées dans un écartement forcé. Elles sont inégales entre elles; _celle du côté gauche est tridentée à sa base , l’autre n’offre qu’une seule grosse dent tronquée et presque échancrée ; 3° le labre distinctement bilobé, en forme de bouclier ou de cueil- leron, doublement bombé au milieu, comme membraneax sur les bords, velu et cilié; 4° les palpes maxillaires avec le dernier article plus petit; 5° les antennes velues à leur base ; le dernier article échancré en dehors en croissant ; les trois premiers conoïdes , les autres hémisphériques, moniliformes ; b. gésier précédé de l'œsophage ; c. ventricule chylifique ; dd. vaisseaux hépatiques ; e. intestin grêle, dégénérant en un cœcum allongé peu marqué; /. appareil des sécrétions excré- mentitielles ; g. dernier segment abdominal du mâle et appen- 32 PHYSIOLOGIE dices qui s’y rattachent. Ceux-ci au nombre de deux-paires, l'une plus grande externe, velue en dehors, débordant labdo- men dans l'animal vivant ; l’autre interne plus petite, pareilles ment velue, insérée en dessous du segment abdominal. Fig. 7. Trois des lames canaliculées qui garnissent intérieure- ment le gésier ; l’une d’elles est vue dans un sens opposé aux deux autres, pour mettre en évidence les poils en brosse dont elle est armee. Fig. 8. Appareil digestif fort grossi du S/aphylinus punctatissi- mus; &. tête et parties de la bouche avec la même conformation générale que dans la précédente espèce; antennes et palpes velus, mandibules unidentées ; 2. gésier précédé de lœso- phage; c. ventricule chylifique ; dd. vaisseaux biliaires ; e. intestin gréle et cœcum ; £ dernier segment dorsal de Pab- domen de la femelle, et appendices qui s’y rattachent. Fig. 9. Appareil digestif fort grossi du Pæderus riparius ; a. tête et parties de la bouche. Le lobe occipital ou: col m’a paru entier; labre transversal ; antennes et palpes hérissés ; mandibules acérées, unidentées ; D. gésier et œsophage; c. ven- ticule chylifique; d. vaisseaux hépatiques à inseruon unila- térale ; e. intestin grêle suivi du cœcum; /, dernier segment abdominal et appendices. PL. 11. (T. 5.) Organes digestifs. Fig. 1. Appareil digestif fort grossi du Buprestis novem - ma- culata; a. iète et antennes ; 2. œsophage et jabot confondus ; c. ventricule chylifique; dd. vaisseaux hépatiques; e. intestin grêle ; : cœcum. Fig. 2. Appareil digesuf fort grossi du Buprestis viridis ; a. tète transversalement obronde, bord occipital lésèrement échancré ; antennes en scie; labre demi-circulaire ; 2. jabot et œsophage; c. ventricule chylifique ; dd. vaisseaux hépatiques ; ET ANATOMIE ANIMALE. 33 e. cœcum allongé précédé d’un intestin grêle, court et suivi du rectum; / dernier segment dorsal de abdomen. Fig. 5. Appareil digestif fort grossi de l'Elater murinus ; a. tète iransversalement ovale, à bord occipital à trois lobes, an- tennes en scie, dernier article ovalaire; labre demi-cireculaire ; mandibules bifides à leur pointe; 2. ventricule chylifique , bilobé à son origine , précédé d’un jabot court; ce. vaisseaux biliaires; d. intestin gréle suivi d’un cœcum oblong; e. der- nier segment dorsal de labdomen de la femelle. Fig. 4. Appareil digestif fort grossi de l'Ælater gilvellus; a. tête, bord occipital avec un lobe intermédiaire arrondi, peu sail- lant ; antennes à peine pubescentes, leurs quatrième, cinquième et sixième articles triangulaires un peu en scie; mandibules peu arquées avec un vestige de dent près de leur extrémité ; labre demi-circulaire; palpes filiformes ; 2. ventricule chyli- fique bilobé à son origine, précédé d’un jabot court ; cc. vais- seaux biliaires ; d. cœcum précédé de l'intestin grêle ; e. der- nier segment dorsal de Pabdomen de la femelle. Fig. 5. Appareil digestif fort grossi du Lycus rufipennis; a. tête à bord occipital légèrement trilobé; front prolongé en mu- seau ; antennes insérées à côté d’une petite éminence frontale ; labre ovale arrondi, cilié; palpes de quatre articles, dont le premier à peine apparent; et le dernier très-obtus; mandi- bules petites, faibles, mâchoires allongées, lancéolées , dans un état d'extension forcée; D. jabot et œsophage; c. ventri- cule chylifique; dd. vaisseaux hépatiques ; e. intestin grêle suivi d’un cœcum allongé; f. les deux derniers segmens dor- saux de abdomen du mäle; 9. vaisseau dorsal, libre comme dans les Cimex, barbu sur les côtés , atténué à son extrémité antérieure. Fig. 6. Appareil digestif fort grossi du Lampyris splendidula femelle; a. tête à bord occipital droit; antennes de douze ar- 5 34 PHYSIOLOGIE üicles, dont le dernier excessivement petit est enchaionné dans le précédent; dernier article des palpes ovale, ebtus ; b.-ventricule chylifique, précédé dun jabot fort count ; cc. vaisseaux hépatiques; d. cœcum allongé, précédé d'un intestin grêle, court; e. rectum. Fig. 7. Appareil digestif fort grossi de Ja larve du Lampyris splendidula ; a. æsophage; D. jabot ou gésier; c. ventricule chylifique; dd. vaisseaux hépatiques; e. cœcum allongé pré- cédé d’un intestin grêle court. PL. 15. (T.5.) Organes digestifs. Fig. 1. Appareil digestif fort grossi du Telephorus lividus ; a. tête, D. jabot et œsophage; c. ventricule chylifique; e. intestin ; f. dernier segment dorsal de Pabdomen. Fig. 2. Appareil digestif fort grossi du Malachuus æneus ; a. jabot et œsophage; D. ventricule chylifique; cc. vaisseaux hépatiques assez gros; d. cœcum renflé précédé de Pintestin grêle; e. rectum long , brusquement distinct du cœcum >. les deux derniers segmens dorsaux de l'abdomen du mâle, et un fourreau appartenant à la verge. Fig. 5. Appareil digestif fort grossi du Cerus alvearius mâle; a. tête, bord occipital wilobé, lobe intermédiaire un peu terminé en pointe; yeux velus, échancrés; labre échancré; mandibules édentées presque droites , acérées ; palpes à dernier article sé- curiforme; 2. ventricule chylifique, précédé dun jabot fort court; cc. vaisseaux hépatiques; d. cœcum oblong, précédé de l'intestin grêle; e. rectum; dernier segment dorsal de l'abdomen du mäle, et pièces copulatrices. Fig. 4. Appareil digestif fort grossi du Aster sinualus; a. tête petite, relativement à la grosseur du corps; front plane; bord occipital avec un lobe médian pointu, table inférieure du crâne débordant en arrière la supérieure; yeux triangulaires , oblongs en grande partie, placés sous Ja tête; antennes cou- ET ANATOMIE ANIMALE. 35 dées au premier article ; mandibules robustes, crachues à leur- point, et faiblement unidentées; labre petit, en carré trans- versal, articulé à une espèce de bouclier incliné et tronqué ; b: jabot; c. ventricule chylifique; dd. vaisseaux hépatiques; e, intesün grêle; . cœcum ; 9. dernier segment dorsal de l’ab- domen de la femelle. Fig. 5. Appareil digestif fort grossi du Sy/pha obscura; a. tête ; région occipitale comprimée latéralement, et offrant en ar- rière un lobe moyen arrondi, à peine sensible ; labre large- ment échaneré, bordé d’un duvet roux; mandibules bifides à leur pointe; 2. gésier; c. ventricule chylifique; dd. vais- seaux biliaires; e. intestin granuleux, précédé d’une portion lisse; /: cœcum; 9. appareil des sécrétions excrémentitielles ; L. dernier segment dorsal de l'abdomen. Fig. 6. Mode d'insertion de lintestin granuleux, avec le cœcum. Fig. 7. Portion fort grossie du tube alimentaire du Sy/pha litto- ralis; a. partie postérieure du ventricule chylifique ; 2. intes- tin grêle; c. portion granuleuse de l'intestin; d. cœcum ; e. ap- pareil des sécrétions excrémentitielles. Fig. 8. Surface interne du gésier de la même espèce formée de huit bandes parallèles, hérissées de soies. PL. 14. (T. 5.) Organes digestifs. Fig. 1. Appareil digestif fort grossi du Thymalus lèmbatus; a. tête, bord occipital trilobé, lobe intermédiaire triangu- laire , table inférieure du crâne débordant la supérieure comme dans le Ærster; yeux assez grands, oblongs, latéraux, fortement chagrinés; labre demi - circulaire, velu; 2. jabot suivi du ventricule chylifique; celui-ci a des papilles puncti- formes ; cc. vaisseaux hépatiques; d. intestin gréle; e. cœcum allongé, suivi d’un court rectum; /: les deux derniers segmens dorsaux de Pabdomen. Fig. 2. Origine du coœcum vu par sa face inférieure, pour mettre 36 PHYSIOLOGIE en évidence le mode d’insertion coœcale des vaisseaux hépa- tiques. Fig. 5. Appareil digestif fort grossi du Copris lunaris male. a. Tête; D. jabot; c. ventricule chylifique excessivement long; d. intestin grêle terminé en arrière par un renflement cœcal; ee. Vaisseaux hépatiques tronqués ; /: dernier segment dorsal de Pabdomen. | Fig. 4. Appareil digestif grossi du Melolontha vulgaris. a. Tête du mâle; 2. jabot; c. ventricule chylifique fort long ; dd. vais- seaux hépatiques; e. sorte de colon, précédé d’un intestin grêle fort court; / cœcum. Fig. 5. Portion considérablement grossie d’un vaisseau hé- patique. PL. 15.(T. 5.) Organes digestifs. Fig. 1. Appareil digestif fort grossi de la Cetonia aurata mâle. a. Tête; b. jabot non dilaté; c. ventricule chylifique; dd. vaisseaux hépatiques ; e. intestin grêle ; £ cœcum suivi d’un court rectum; g. dernier segment dorsal de l'abdomen. Fig. 2. Appareil digestif médiocrement grossi du Lucanus cerous mâle. a. Parties de la bouche étalées. On y distingue : 1° une plaque membrano-coriacée, échancrée en arrière, for- mant la paroi supérieure de Pembouchure de l’œsophage ; 2° la lèvre inférieure consistant en deux languettes coriacées ve- lues , soyeuses , rousses, réunies à leur base en une tige commune courte; 5° des palpes labiaux de quatre articles, dont le premier excessivement court. Ils sont insérés sur une éminence, de chaque côté de la base de la lèvre infé- rieure; 4° des mâchoires en forme de languette rousse et velue comme la lèvre inférieure ; mais plus grande que celle- ci. Elles ont à leur base interne une autre pièce plus petite et pareillement velue ; 5° des palpes maxillaires de quatre articles, insérés dans une échancrure entre la mâchoire et un ET ANATOMIE ANIMALE. 3 lobe corné; 8. jabot précédé d’un œsophage; c. ventricule chylifique ; dd. vaisseaux hépatiques ; e. intestin grêle; Z cœcum ; g. dernier segment dorsal de l'abdomen. Fig. 5. Portion considérablement grossie du ventricule chyli- fique. Au-dessous de la tunique externe, le microscope dé- couvre des rudimens de papilles, des eryptes. Fig. 4. Appareil digestif fort grossi du Lucanus parallelipi- pedus. a. Tète de la femelle; bord occipital échancré; un petit sinus près des yeux; deux petits tubercules rapprochés sur le vertex ; . jabot et œsophage; e. ventricule chylifique ; dd. vaisseaux hépatiques; e. intestin grêle suivi du cœcum ; J. dernier segment dorsal de l'abdomen. PL. 29. (T. 3.) Organes digestifs. Fig. 1. Appareil digestif fort grossi de la Prrnelia bipunctata. a. Jabot; b. ventricule chylifique ; cc. vaisseaux hépatiques tronqués; d. intestin grêle; e. cœcum. Fig. 2. Face interne du jabot et pièce de la valvule pylorique. Fig. 3. Appareil digestif fort grossi de l_Æsida grisea femelle. a. Téte; bord occipital légèrement trilobé; vertex chagriné, région frontale avec des points saïllans ombiliqués , pilifères ; antennes brièvement hérissées ; le troisième article le plus long, lavant-dernier dilaté, turbiné, recevant en échelon- nement le dernier qui est rudimentaire ; mandibules robustes, tranchantes , édentées ; labre échancré, cilié; dernier article des palpes un peu sécuriforme ; bb. vaisseaux salivaires; c. ventricule chylifique, précédé d’un jabot excessivement court ; ddd. vaisseaux hépatiques tronqués ; e. intestin gréle; cœ- cum; g. rectum bien marqué; L. dernier segment dorsal de l'abdomen. Fig. 4. Appareil digestif fort grossi du Blaps Gigas. a. Tête, yeux transversaux, enchässés, peu saillans ; antennes dont les 38 PHYSIOLOGIE quatre derniers articles sont sphéroïdes et le terminal pointu ; labre transversal échancré , cilié ; dernier article des palpes plus gros, tronqué, un peu sécuriforme ; bb. vaisseaux sa- livaires; c. ventricule chylifique précédé d'un jabot court ; dd. vaisseaux hépatiques ; e. intestin grêle; /. cœcum, suivi d'un rectum; g. appareil des sécrétions excrémentitielles ; Z. dernier segment dorsal de labdomen. Fig. 5. Portion considérablement grossie de Pappareil digestif du Blaps Gigas. aa. Palpes maxillaires; 0. palpes labiaux et en arrière les mâchoires à deux lobes garnis de soies rousses, dont le plus-postérieur se termine par un crochet noir bien marqué ; d. œsophage précédé d’une sorte d’épiglotte , et suivi du jabot. Celui-ci a sa tunique intérieure à découvert, parcourue par huit colonnes charnues ; ee. vaisseaux salivaires irrégulièrement rameux;/. portion du ventricule chylifique ouverte. Ù Fig. 6. Appareil digesüf fort grossi du Tezebrio obscurus. a. Tête, bord occipital fortement échancré avec un lobe peu prononcé au milieu de Péchancrure ; troisième article des an- tennes bien plus long que le second; à. ventricule chylifique précédé dun jabot fort court; cc. vaisseaux hépatiques ; d. intestin grêle; e. cœcum allongé, suivi d’un rectum; / dernier segment dorsal de Pabdomen. PL. 50. (T. 5.) Organes digestifs. Fig. 1. Appareil digestif fort grossi de lÆ/edona reticulata. a. Tête, bord occipital fortement échancré avec un lobe à peine sensible dans l’échancrure; yeux réticulés, bilobés, c’est-à- dire divisés par une scissure en deui globes , Pun supérieur, l'autre inférieur; antennes courbées en arc; les trois derniers articles forment une masse; les quatre précédens en scie trian- gulaire ; labre transversal distinct de la tête par une simple rainure; mandibules courtes, grosses, bifides à leur pointe; ET ANATOMIE ANIMALE. 39 lèvre cachée sous le labre , transversale, ciliée; machoires ar- rondiesen cuilleron , ciliées ; palpes de quatre pièces grenues, dont la dernière est ovale-cylindroïde ; d. ventricule chyli- fique précédé d’un jabot; ce. vaisseaux biliaires; d. intestin grêle ; e. cœcum oblong suivi d’un rectum bien marqué; //. appareil des sécrétions excrémenutielles ; g. dernier segment dorsal de l'abdomen. Fig. 2. Appareil digestif fort grossi de l'Hypophlæus castu- neus. a. Tête, bord occipital à peine échaneré, le fond de l’échancrure en ligne droite; yeux fortement chagrinés , bi- lobés comme dans V'Eledona; labre arrondi, velu; mandibules édentées, assez fortes ; d. ventricule chylifique précédé d’un court jabot; cc. vaisseaux biliaires; d. intestin grêle, suivi d’un cœcum peu distinct et d’un rectum bien marqué; ee. appareil des sécrétions excrémentitielles; f dernier segment dorsal de l'abdomen. Fig. 3. Appareil digestif fort grossi du Diaperis violacea male. a. Tête, bord occipital échancré avec un iobe dans léchan- crure; labre transversal, cilié ; mandibules assez fortes , bifides à leur pointe (caractère qui n’est sensible, ainsi que dans les autres Taxicornes, qu’autant que lon regarde en profil'et en dessus ja pointe de la mandibule); dernier article des palpes maxillaires sécuriforme ; DD, vaisseaux salivaires ; c. ventricule chylifique précédé d’un court jabot; dd. vaisseaux biliaires ; e. cœcum précédé de Pintestin grêle et suivi d’un rectum assez long; f: dernier segment dorsal de labdomen; 22. appareil des sécrétions excrémentiuelles. Fig. 4. Portion considérablement grossie du ventricule chylifique, pour mettre en évidence les papilles. Fig. 5. Appareil des sécrétions excrémentitielles considérable- ment grossi. Le 4o PHYSIOLOGIE Fig. 6. Appareil digestif fort grossi de la Ciste/a badüpennis. a. Tête, bord occipital profondément échancré , avec un lobe bien prononcé dans léchancrure ; antennes de douze articles dont le premier , presque imperceptible ; labre échancré , cilié; mandibules pointues édentées; palpes maxillaires plus longs, leur dernier article obliquement tronqué; D. jabot ; c. ventricule chylifique ; ddd. vaisseaux hépatiques ; e. imtestin grêle ; / rectum; g. dernier segment dorsal de l'abdomen de la femelle. Fig. 7. Appareil digestif fort grossi de lOEdemera cœrulea mâle. a. Tête, bord occipital avec un lobe intermédiaire large et peu avancé; yeux bien saillans et entiers; labre échancré ; bb. vaisseaux salivaires; ce. jabot latéral où panse, précédé de l’œsophage; d. ventricule chylifique; ee. vaisseaux hépa- tiques ; /. cœcum précédé de Pintestin grêle et suivi d’un long rectum; 9. dernier segment dorsal de labdomen. Fig. 8. Appareil digestif fort grossi de lOE demera ruficollis fe- melle. aa. Vaisseaux salivaires; D. jabot latéral ou panse con- tracté , précédé de lœsophage ; c. ventricule chylifique ; dddd. vaisseaux hépatiques ; e. intestin grêle; / cœcum; g. rectum fort long ; L. ovaire , à la base duquel abouiit la glande sébacée de l’oviducte; 7. oviducte ; £k. muscles d’un étui com- mun au rectum et à l’oviducte; /. dernier segment dorsal de l'abdomen. PL. 51. (T. 5.) Organes digestifs. Fig. 1. Appareil digestif fort grossi de la Mordella fasciata. a. Bord occipital de la tête, avec un lobe ou col; /b. vais- seaux salivaires ; c. ventricule chilifique ; dd. vaisseaux hé- patiques; e. intestin grêle; / cœcum. Fig. 2. Appareil digestif fort grossi du Mycterus Curculioides. a. Tête; D. œsophage; c. jabot ; d. ventricule chylifique; ee, ET ANATOMIE ANIMALE. 4x vaisseaux hépatiques ; f cœcum précédé de l'intestin gréle et suivi d’un long rectum; 2. dernier segment dorsal de l’ab- domen. Fig: 5. Variété dans le mode d'insertion des vaisseaux biliaires. Fig. 4. Appareil digestif médiocrement grossi du Meloe majalis. a. Bord occipital de la tête, muni d’un lobe ou col; 2. jabot ; c. ventricule chylifique ; dddd, vaisseaux hépatiques tronqués ; e. renflement particulier à l’origine de Pintestin grêle; f in- testin grêle; 2. coœcum. Fig. 5. Gésier considérablement grossi et ouvert, pour mettre en évidence sa structure interne. Fig. 6. Surface interne du renflement qui précède l’intesun grêle. Fig. 7. Appareil digestif grossi du Mylabris melanura mile. «. Tête, bord occipital muni d’un lobe ou col; labre légèrement échancré; mandibules pointues, édentées; d. jabot et œsophage; c. ventricule chylifique ; dddd. vaisseaux hépatiques ; e. intestin grêle suivi d’un cœcum allongé, et d’un court rectum; f dernier segment dorsal de l’abdomen. Fig. 8. Appareil digestif fort grossi du Zonitis prœusta. a. Tête, bord occipital avec un lobe ou col; labre demi-circulaire } “mandibules édentées ; palpes filiformes ; mâchoires lancéolées, aiguës , frangées , munies d’un lobe interne plus petit ; 6. jabot et œsophage; c. ventricule chylifique ; dddd. vaisseaux hé- patiques tronqués; e. intestin grêle; { cœcum et rectum; g. dernier segment dorsal de Pabdomen, accompagné de deux crochets copulateurs. Fig. 9. Appareil digestif fort grossi du Sifaris humeralis mâle. a. Tête; bord occipital avec un lobe ou col trilobé; yeux transversaux , oblongs; mandibules édentées, fortes, pointues , cambrées ; labre membrano-scarieux demi-circulaire;mächoires lobées, ciliées ; . jabot et œsophage; c. ventricule chylifique ; 6 4e PHYSIOLOGIE dd. vaisseaux biliaires ; e. intestin grêle ; / cœcum ; g. derniers segmens dorsaux de labdomen. Composrrion de la Téte osseuse de l'Homme et des Animaux ; par M. Gsorrroy Sr.-Hinaire. (T. III, p. 173.) CRANE DU CROCODILE. PL. 16. (T. 53.) Primo ; quant à l’age et à l'espèce des su- jets dessinés. Fig. 1, 5, 5, de grandeur naturelle, d’après un crâne retiré d’une momie trouvée par M. Geoffroy Saint-Hilaire dans les catacombes de Thèbes en Egypte. Ce crâne a fourni à ce na- turaliste les premières indications d’une nouvelle et petite espèce vivante dans le Nil, et qu’il a nommée Crocodilus su- chus (Ann. du Muséum, T. X, p. 84). Fig. 2, 4, réduites au cinquième d’après le crâne du Crocodilus biporcatus, mêmes ouvrage et tome, page 47. Fig. 6,11, 12, grossies cinq fois et faites d’après des pièces prises à un fœtus du Crocodilus vulgaris. Fig. 8, de grandeur naturelle, d’après une pièce, le n° 9, em- pruntée au Crocodilus palpebrosus etle n° 10, au Crocodilus vuloartis. Secundo , quant aux os craniens des Crocodiles. 1. F'ace externe. S. adnasal; o. adorbital; L. addental; T. nasal; M. lacrymal; 7. ethmophysal; U. frontal; Y. pariétal impair; O. jugal; P. temporal; x. cotyléal; (p + y + H), énostéal. 2. Face palatine ou interne: S.adnasal; L. addental; 0. ador- bital; w. adgustal; 4 palatal; #. hérisséal; x. cotyléal; (p + y + H), énostéal; (F + G ), sous-occipital. ET ANATOMIE ANIMALE. 43 5. Face postérieure ou occipitale. Q. rupéal unique; P. tem- poral; x. cotyléal; (Z + R), plur-occipital formé du sur-occi- pita Let de Pex-occipital; (G+F), sous-occipital; (p +y+H), énostéal; o. hérisséal. 4. Cool sur la ligne médiane. Fig. 2, 4 et 15. (G+F 1E sous-occipital; une ligne ponctuée montre à gauche la parte à imputer au basisphénal, et à droite celle à lotosphénal; E. hy- posphénal ; D. entosphénal ; CG. ethmosphénal; B. rhinosphénal ; À. protosphénal; CBA forment une lame non complètement séparée et de consistance cartilagineuse. 5. Parties détachées. Fig. 6,7,8,9, 10, 11 et 12. YY. pa- riétaux séparés dans le Crocodile naissant; Q. lame du rupéal ; g. malléal cartilagineux; rz. incéo-stapéal ou incéal uni au stapéal; N. palpébral; P. temporal jeune; U. frontal jeune; moitié du frontal unique visible chez l’adulte. Observations sur le Tableau lithographié, pl. 9. (T. 5). A l’occasion d’un nouveau travail sur la tête osseuse des poissons inséré dans le IT° tome des Mémoires du Muséum d'Histoire Naturelle, page 420, l’auteur est revenu sur quel- ques points de sa distribution et s’est aussi attaché principale- ment à la rendre plus praticable visuellement et par conséquent plus intelligible. Nous allons on ici les points principaux de ces rectifications. Un nouvel aperçu de l’auteur, qui lui a été suggéré et par ses travaux encore inédits sur le crâne des crustacés, et par la néces- sité de faire tout fléchir devant le principe des connexions, c’est que la vertèbre nasale termine le crâne en devant. La plupart des matériaux de cette vertèbre chez les animaux supérieurs se sont réfléchis sur eux-mêmes, et sont venus se loger en dedans des parties de la pénultième vertèbre, occupant de cette manière Pintérieur du canal cranio-respiratoire. 44 PHYSIOLOGIE Les tableaux suivans ne sont qu’une partie, mais la partie la plus essentielle quant à notre ouvrage , de ce qui vient d'être publié dans les Mémoires du Muséum. SYSTÈME VERTÉBRAL. r ... Épial. . .. . av . .Épüal. du syst. médullaire. Observations: On place ce T'a- : bleau_ sous les yeux du lecteur, SEA SM EL 0 PRE ER a me Eu à Cle lesprit servent de base à celles DE y 4 sur la composition du Crâne. corps médian Voyez Vertèbre en général, Mé- TOUTE AT moires du Muséum , tome 9 » page 89, et l’article de ces An- VERTÈERE. Paraal, . . .. . Paraal. | nales, tome 2, page 295. du système sanguin. \ Cataal. . Cataal / COMPOSITION DE LA TÊTE OSSEUSE. ERTÉ 1 NASALE. Lamaze, | Ocurame. | Cénévnaze. | QUADRuu- | -Auricu- CéréeeL- VERTÉBRES MALE LAIRE. LEUSÉ. File des Épiaux. + Ethmophysal. | Lacrymal. Nasal. Frontal. Pariétal, Interpariétal. Sur-Occipital — des Périaux.\ Adnasal, Addental. Adorbital. Jugal. Temporal, Rupéal. Ex-Occipital. — des Cycléaux. | Protosphénal. | Rhinosphénal | Ethmosphén. | Entosphénal. | Hypospliénal | Otosphénal. | Basisphénal, — des Paraaux- | Palatal. Adgnstal. Hérisséal. Cotyléal. Serrial. Tympanal. Staptal. — des Cataaux.} Rhinophysal. | Voméral. Ingrassial. Ptéréal. Uro-Serrial. | Malléal. Incéal. Observations. Pour éviter une répétition inutile, on s’est ici borné à donner le flanc gauche du crâne, qu'on rend visible dans ce plan géométral , en le sup- posant étendu en table ; et quant aux déterminations des pièces , un seul chan- gement est indiqué, celui concernant l’adgustal. Les motifs en ont été exposés dans l’article supplémentaire inütulé, de l’adgustal. Ainsi le maxillaire supé- rieur humain se divise en quatre parties qui deviennent autant d'os séparés et ET ANATOMIE ANIMALE. 45 distincts chez les ovipares. On a voulu conserver le souvenir de cette origine comme os ou divisions du maxillaire supérieur dans le mécanisme de la no- menclature, au moyen de la proposition consonnante et antécédente ad, la- quelle est dans cet exemple exclusivement appliquée à toutes les parties du maxillaire. TL’ Adnasal rappelle l'os de la face situé au devant des incisives , l'Ad- dental , celui d’à côté au devant des dents moyennes , l'Adorbital, l'os qui re- couvre extérieurement les grosses molaires, et l'Adgustal, celui placé en dedans de ceux-là et à la face palatine. On a pareïllement attribué la proposition sub à toutes les pièces du maxillaire inférieur. Ces tableaux synoptiques ont-ils enfin obtenu une forme définitive? on ne s’en flatte pas. Æoc opus, hic labor. Mémoire sur la Calyptrée; par M. G.-P. Desnayes. (T. III, p. 535 ). PL. 17. (T.2.) Calyptræa sinensis. Fig. 1. de grandeur naturelle vue en dessus. Fig. 2. Vue en dessous. Fig. 3. Animal en place dans la coquille; il est vu du côté du ventre. Fig. 4. Animal sorti de la coquille vu du côté du dos. Les figures 5, 6, 7 et 8 représentent l’animal grossi , et dans toutes, les mêmes lettres indiquent les mêmes parties. a, a. Les tentacules; bb. les yeux; c. le sillon buceal; d. la langue , très-grossie (fig. 9 ). e. (Fig. 5 et 6), l'organe générateur mâle rétracté. e. (Fig. 7 et 8), le même organe developpé; f/. les membranes du col; g. les branchies sortant du manteau; 44. le manteau en place. Fig. 5 et 6; z. le rectum; j. l'ouverture de lovaire; #. le foie; L. Vovaire; m1. le muscle d'attache de Panimal à la coquille ; n. le pied; 7° louverture du sac branchial. Fig. 7 et 8; oo. les branchies développées. pp. insertion des 46 PHYSIOLOGIE branchies au bord du manteau; g. vaisseau branchial; 7. cavité buccale; s. l’œsophage; 4. l'estomac. u. (Fig. 7.), le cœur dans son péricarde; z. Poreilleute; y. Pinser- . üon du foie; a’ le ganglion nerveux. Nota. Dans un petit nombre d’exemplaire, plusieurs lettres des figures 6, 7 et 8 ont été transposées. Mémoire sur les vaisseaux lymphatiques des Oiseaux , et sur la ma- rière de les préparer; par M. Laut, D. M. (T.'III, p. 381.) Nota. Les artères sont coloriées en rouge, les veines san- guines en bleu et les vaisseaux lymphatiques en jaune. PL. 21.(T. 5.) Fig. 1. Appareil servant à fixer le tube pour linjec- tion des vaisseaux lymphatiques. Une colonne en fer a&. peut être vissée à une table, au moyen d’une agraffe dormante D., munie d’une vis de pression c.; d. bras à potence arrêté par une vis de pression e.; f. pinces ter- minées par deux demi-cylindres creux servant à retenir le tube en verre gg. unies au bras à potence au moyen d’une articulation en genou (voy. fig. 2). Fig. 2. a. Extrémité du bras à potence, terminée par deux cuil- lers demi-sphériques hp. Elles embrassent une boule c., sur- montée d’une pince d. qui se termine par deux demi-cylindres creux ee. ;.f. vis qui retient les deux cuillers ; g. vis qui retient la boule; 2. vis qui rapproche les branches de la pince. Fig. 5. Lymphatiques des extrémités inférieures, des reins, des intestins et Canaux thoraciques. a. Portion du poumon où l’on voit un rameau lymphatique qui s’y distribue; bb. veines jugulaires. On voit en ccc les termi- naisons des canaux thoraciques; d. aorte descendante ; e. tronc cœliaque avec un rameau lymphatique venant de l’estomiac ; ET ANATOMIE ANIMALE. 47 f. artère mésentérique supérieure, qui est entourée par un plexus de vaisseaux lactés; g. veine cave inférieure; 4. veines crurales accompagnées par les lymphatiques de la pate; 47. veines rénales : on voit en /. un lymphatique qui se termine dans une veine; 72. artère sacrée moyenne, avec les lymphatiques qui Paccompagnent. PI. 22. (T. 5.) Fig. 1. Vaisseaux lymphatiques de la partie posté- rieure des extrémités inférieures. Ce dessin a été pris par M. le docteur Faivre d’'Esnans, sur le même sujet, dont la planche première représente la face antérieure. On remarque en &., un plexus de lymphatiques très-serré, où plusieurs vaisseaux s'étaient remplis jusque sous l’épiderme. Ce dessin ayant été fait sur une pièce desséchée , il est à observer que beaucoup de vaisseaux visibles à l’état frais, se sont vidés par la dessic- cation, et n’ont par conséquent pas pu être représentés ici. Fig. 2. Lymphatiques de lextrémité inférieure gauche d’une Oiïe sauvage. Un rameau lymphatique traverse en &. la membrane natatoire, pour établir la communication entre les vaisseaux collatéraux des orteils. PI. 25. (T. 5.) Fig. 1. Lymphatiques de la face externe de l’ex- trémité inférieure droite. Fig. 2. Lymphatiques de la face antérieure de cette même extrémité. Fig. 3. Vaisseaux lymphatiques de la face antérieure de l’extre- mité inférieure gauche. PL 24. (T. 3.) Distribution des lactés ;&. artère mésentérique supé- rieure; 2. branche stomachique du tronc cœliaque; c. Pan- créas; dd. Duodénum; eeee. Intestin grêle; /}: appendices cœcaux; gg9g. rameaux lactés qui se sont injectés par voie rétrograde jusque sur les tuniques intestinales. 48 PHYSIOLOGIE À PL. 25. (T. 3.) Fig. 1. Vaisseaux lymphatiques du tronc; &. œso- phage; 2. Ventricule succenturié avec quelques lymphatiques qui y naissent ; c. branche gauche; dd. poumons : on y voit. la distribution de plusieurs rameaux lymphatiques; ee. testi- cules avec leurs lymphatiques; ff reins; g. Intestin rectum; 4. mésorectum où l’on voit un plexus lymphatique accompagnant les vaisseaux sanguins, et servant à réunir le plexus rénal au plexus qui entoure lartère mésentérique supérieure; #. Veines sous-clavières, où on voit se terminer les canaux thoraciques ; L. artère aorte ; 2. tronc cœliaque; 7. artère mésentérique su- périeure, embrassée par un plexus considérable de lactés ; o. vaisseaux cruraux; p. plexus des veines rénales, recouvert par un plexus de vaisseaux lymphatiques. On y voit la termi- naison de plusieurs lymphatiques dans les veines. Fig. 2. Vaisseaux lymphatiques des ailes et du cou, et leurs rap- ports avec les canaux thoraciques; aa. trachée artère; bb. œsophage ; c. ventricule succenturié ; dd. poumons ; ee. veines sous-clavières ; /: tronc cœliaque; g. artères mésentériques su- périeures ; 2h. glandes lymphatiques placées sur les veines jugulaires et formées par les lymphatiques du cou; £. glande lymphatique placée sur le poumon, traversée quelquefois par les lymphatiques des ailes ; Z veines et lymphatiques sortant des muscles pectoraux. ZOOLOGIE, SuR un nouveau genre d’Aranéides , par M. LATREILLE (F1; pra3v) PL. 2. (T. 5.) Fig. 1. Le mäle, de grandeur naturelle. 2. Le male, grossi du double. 5. Abdomen du même individu, avec l'extrémité postérieure du thorax , très-grossi. 4. Celui de la femelle, très-grossi. 5. L’une des pates postérieures du mâle très-grossie. 6. Yeux très-grossis. 7. Parties de la bouche du mâle irès-grossies : aa. mandibules ; bb. mächoires, avec les palpes cc.; d. lèvre inférieure. 8. L’un des palpes de la femelle, très-grossi. Nore sur la Douve à long cou (Fasciola lucü); par M. Louis Jurie. (T.IT, p.489.) PL. 23. (T. 3.) Fig. 1, 2, 3. Représentent la Douve à long cou, de grandeur naturelle , mais avec différens degrés d'extension. Fig. 4, 5. Le ver grandi et grossi vingt-cinq fois environ au- delà de ses dimensions naturelles; il est vu par-dessous dans la figure quatrième, et par-dessus dans la figure cinquième. Fig. 4. a. Suçoir antérieur. — b. Suçoir postérieur. — cc ce cc. Canal intestinal. — dd. Ovaires. — eee. Boules, dont les deux i sont le plus près de la queue du ver, contiennent des glo- bules blanchâtres. — f/f: Cordon nerveux qui se distribue dans les parties de l'intérieur du corps situées au-delà du suçoir postérieur. 5o ZOOLOGIE. Fig. 5. aa. Filet blanchâtre qui produit en se ramifiant surchacun des bords du corps les festons qu’on y remarque depuis le su- çoir postérieur. Mémorre sur une Larve qui dévore les Helix nemoralis, et sur l'In- secte auquel elle donne naissance ; par M. le comte Ignace Mier- ZINSKY. (T.I, p.67.) PL. 7. (T. 1.) Fig. 1. La Larve de grandeur naturelle. Fig. 2. La même très-grossie et vue en dessus. Fig. 3. Même grossissement et vue en dessous. Fig. 4. La Nymphe selon M. Mielzinsky. Fig. 5. Nymphe en métamorphose suivant le même auteur ou plutôt la larve subissant sa dernière dépouille pour passer à l’état de nymphe. Fig. 6. Insecte parfait de grandeur naturelle. Fig. 7. Le même grossi et vu en dessus. Fig. 8. Même grossissement et vu en dessous. Fig. 9. Antenne. Fig. 10. Mandibule. Fig. 11. Pate. MÉMOIRE sur une espèce d'Insectes des environs de Paris ; par M, Des- MAREST (T. IT, p. 257), et Recherches anatomiques sur la femelle du Drile flavescent et sur le male de cette espèce ; par M. V. Auv- pouIN (T. Il, p. 443). PL. 15. (T. 2.) Fig. 1. Nymphe du Drile femelle considérable- ment grossie. Fig. 2. Tête et prothorax de la nymphe, vus en dessus et en avant. On distingue les yeux, les antennes et les parties de la bouche. Fig. 5. Enveloppe de la nymphe du Drile mâle, elle est remar- quable et tout-à-fait distincte de celle de la femelle par le fourreau des élytres et la gaine des antennes. ZOOLOGIE. 5 Fig. 4. Drile femelle de grandeur naturelle. Fig. 5. Antenne de la femelle, vue de profil. Fig. 6. Pate postérieure A., vue supérieurement, B. vue de profil. Fig. 7. Tête de la femelle vue en déssus, pour montrer la lèvre supérieure c. attachée à un chaperon linéaire et à peine vi- sible. aa. Yeux , bb. antennes coupées, dd. mandibules. Fig. 8. La même vue en dessous. Les mêmes lettres correspondent aux mêmes parties. L'insertion de la lèvre supérieure au bord du chaperon est très-visible dans cette position. Fig. 9. Mandibule gauche de la femelle. Fig. 10. Portion de la bouche de la femelle, vue en dessous. «a. Yeux, ee. mâchoires avec leur lobe terminal poilu, et leurs palpes de quatre articles. f Lèvre inférieure en forme d’écus- son renversé, elle supporte la languette g., qui donne attache à deux palpes coniques de trois articles. Fig. 11. Lèvre supérieure du mäle attachée à un chaperon li- néaire. Fig. 12. Mandibule du mâle. Fig. 13. Portion de la bouche du mäle; les lettres correspondent à celles de la bouche de la femelle; les trois arucles formant - les palpes labiaux sont séparés entre eux par-des intervalles membraneux très-étendus ; 4. menton. Fig. 14. Antenne du mâle, vue de profil. Fig. 15. Canal intestinal d’une femeile. a. Bsophage plissé et aboutissant à un jabot plissé aussi transversalement; €. ven- tricule chylifique ou estomac alternativement renflé et rétréci; dd. canaux biliaires rompus; e. intestin granuleux; /: cœeum; g. rectum; À. sorte de valvule à six divisions, qu’on observe à l'ouverture du jabot dans le ventricule chylifique; B. por- tion d’un vaisseau biliaire rempli de matière grumeleuse; C. 52 ZOOLOGIE. portion de l'intestin granuleux, grossie au : microscope dé M. Selligue et faisant voir sa structure. | Pi Fig. 16. Canal intestinal du mäle; les lettres correspondent à celles de l’appareil digestif de la femelle ; 2. segment supérieur du dernier anneau abdominal. Fig: 17. Système nerveux du Drile femelle mis à découvert par lablation de toutes les autres parties du corps. Fig. 18. Organes générateurs d’une femelle encore vierge; aa. les ovaires en grappes; c. canal commun ou oviducte; d. vé- sicule copulatrice vide; e: petite glande sébacée; A. tubes ovigères excessivement grossis , afin de montrer leur forme et pour faire voir leur mode d'insertion à la membrane de la tige des ovaires aa. Fig. 19. Portion de lappareil générateur d’une femelle ayant eu approche du mâle; aa. les ovaires coupés; e. la petite glande sébacée; d. la vésicule copulatrice, laissant voir à travers sa paroi le pénis charnu du mâle f, qui après avoir pénétré dans son intérieur a été rompu. Fig. 20. Organes générateurs du mâle; aa. testicules; bb. canaux déférens; cccc. vésicules séminales; d. canal commun ou éjaculateur aboutissant aux pièces copulatrices; /: segment inférieur du dernier anneau de l'abdomen, recevant l'appareil copulateur ; À. portion de lappareil générateur pour montrer linsertion des vésicules séminales et celle des canaux déférens à la base des plus petites vésicules. Fig. 21. Appareil copulateur; à. la base, sorte de cupule à la- quelle s’insèrent deux espèces de pinces 0D.; c. pièce moyenne creusée à sa partie supérieure d’un canal qui contient le pénis. A. Pièce moyenne vue en dessous et de face; C. la même de trois quarts, B. la même de profil. Fig. 22. Drilus flavescens mâle. ZOOLOGIE. 53 Fig.25. Drilus ater male. Fig. 24. Drilus fulvicollis mâle avec son antenne fort grossie et’auttrait.00 © î Nota. Les figures de cette planche, à exception de la fig. 4, sont toutes grossies; les traits du canal intestinal du mâle et de la femelle, indiquent leur longueur, la tête étant comprise. Ceux qui sont doubles et placés auprès des mâles, donnent les limites du maximum et du minimum de leur longueur. NoTE sur un nouveau genre de la famille des Néritacées ; par M. G. - P. Desnayes. (T, 1, p. 187.) PL. 13. (T. 1.) Fig. 1. Piléole lisse, Pileolus levis Sow. a. de grandeur naturelle. b. vu en dessous. c. vu en dessus. Fig. 2. Piléole plissé, Pileolus plicatus Sow. a. de grandeur naturelle. 2. vu en dessous. c. vu en dessus. Fig. 5. Piléole néritoide, Prleolus neritoides, Desu. a. de grandeur naturelle. c vu en dessous. b en dessus. CaracTÈres des genres Otiocerus et Anotia, deux noweaux genres d’Insectes Hémiptères appartenant à la famalle des Cicadaires , avec la description de plusieurs espèces; par M. Wicriam Kirey. (T. I, p. 192.) Détails du genre Otiocerus. PL. 14. (T. 1.) Fig. 1. La tête; à. le rostre; b. le museau; c. l'œil; d. l'antenne; ee. les appendices des antennes; f tu- bercule, d’où naissent l’anienne et les appendices. Fig. 2. La tête vue de côté pour montrer les carènes ; aa. carènes supérieures ; bb. carènes inférieures. Fig. 5. Partie du thorax ; a. un de ses lobes. Fig. 4. L’anus du mâle, vu de côté ; a. le prolongement stiliforme ; b. Le prolongement foliacé. 54 ZOOLOGIF, Fig. 5. Le même, vu en dessous; aa. les prolongemens foliacés; b. L’organe mâle. Fig. 6. L'appareil anal de la femelle, vu en dessus; aa. les deux lames supérieures; DD. parties des lames latérales. Fig. 7. Le même appareil, vu en dessous ; aa. la paire inférieure des lames ; bb. les lames latérales ; c. le dernier segment in- férieur de l'abdomen. Fig. 8. Partie de la tête d’une espèce, dont l'antenne n’a qu'un seul appendice; a. le prolongement d’où nait l'antenne; D. l'antenne; c. son appendice. Détails du genre Anotia. Fig. 9. La tête; a. lerostre; 2. le museau; c. œil ; d. e. l'antenne. Fig. 10. Partie de l’antenne; a. son sommet émarginé; 2. la soie. Fig. 11. Partie du Thorax; a. un de ses lobes. Quelques détails du genre Delphax, Fabr. Fig. 12. L’antenne; a. le premier article; D. le second; ‘c. la soie. Fig. 13. Son anus; a. loviducte répondant à &., de la fig. 7; bb. lame latérale répondant à 2b. des figures 6 et 7. Fig. 14. Otiocerus Coquebertir. Fig. 15. {nnohia Bonelu. Descriprion d’une nouvelle espèce d’Aranéides du genre Epéira de Walckenaer ; par M. G. Vauruier. (T. I, p. 261.) PL. 18. (T. 1.) Fig. 1. Grossie du double. Fig. 2. Parues de la bouche vue en dessous. &. mandibules. 2. mä- choires dépourvues de leurs palpes. c, menton. Fig. 5. L’une des queues très-grossie. Fig. 4. Mandibules, palpes, thorax, pates et partie antérieure de ZOOLOGIE. 55 Pabdomen très-grossis , vu en dessus; &. mandibules , D. palpes, c. tubercules portant les yeux ; d,d,d,d,d,d. pates; e. taches noires de l'abdomen supposées être des stigmates. Fig. 5. Partie postérieure de Pabdomen très-grossie, vue en des- sous , montant le pli qui porte les deux épines et les deux taches noires qui sont dans son enfoncement ; &. anus. Fig. 6. L'un des tubercules latéraux du thorax très-grossi , portant le double œil. Mémoire sur une Chauve-Souris américaine , formant une nouvelle «espèce dans le genre Nyctinome; par M. Isinore GEOFFROY SAINT- Hizaire, (T, I, p. 337.) . PL. 25. (T. 1.) Fig. 1. Nyctinome du Brésil vue par derrière. Fig. 2. Tête du Nyctinome du Brésil vu par devant. Fig. 5. Tête vue de profil. Fig. 4. Crâne vu de côté. La figure 1 est réduite aux deux tiers de la grandeur naturelle. Les figures 2, 3, 4 sont de grandeur naturelle. Descriprion d’une nouvelle espèce de Coulewre, par M. Bory DE SaintT-VincenT. (T. I, p. 408.) PL. 24. (T. 1.) Couleuvre de Richard, moitié de la grandeur naturelle : «. la tête vue en dessus; 2. la tête vue en dessous ; c. l'œuf de grandeur naturelle. MonocraPuie du genre Eucnémide, par M. le baron de Mannerheim , précédée d'observations; par M. Larreizce. (T. III, p. 426.) PL. 27. (T. 5.) (Eucn. Sahlbersgi) À. tête vu en devant; B. labre; CG. mandibule ; DDD. palpes; mâchoire; F. lèvre infé- rieure ; G. languette; H. antenne; L. pied postérieur. ( Toutes ces parties grossies. } 56 : ZOOLOGIE. Fig. 1. Eucnemis c1cas en dessus. Fig. 2. Le même, vu de profil. Fig. 5. Eucn. cRUENTUS, à. grandeur naturelle; D. grossi et vu en dessus. Fig. 4. Le même vu de profil. Fig. 5. Eucn. ALNI, a. - grandeur naturelle; b. grossi et vu en dessus. Fig. 6. Vu de profil. Fig. 7. EUCN. sERRICATUS, a. grandeur naturelle; D. grossi et vu en dessus. Fig. 8. Le même vu de profil. : Fig. 9. Eucx. caruanus, à, de grandeur naturelle; 8. grossi et vu en dessus. Fig. 10. Le même, vu de profil. Fig. 11. Eucx. monrzicornis, a. de grandeur naturelle; 0. grossi et vu en dessus; c. antenne grossie. : Fig. 12. Eucn. sAHLBERGI, 4. de grandeur naturelle ; 4. grossi et vu en dessus. Fig. 13. Le même, vu de profil. Fig. 14. Eucx. riemæus, a. de grandeur naturelle; D. grossi et vu en dessus. Fig. 15. Le même, vu de profil. Fig. 16. Antenne de la femelle grossie. Fig. 17. Eucx. ProceruLus, a. de grandeur naturelle; 6. grossi et vu dessus. Fig. 18. Le même, vu de profil. Fig. 19. Antenne de cette espèce , grossie. Fig. 20. Eucx. riLum, a. de grandeur naturelle ; 6. grossi et vu en dessus. Fig. 21. Le même, vu de profil. Fig. 22. Eucx. nicricæps , a. de grandeur naturelle ; . grossi et vu en dessus. a PHYSIOLOGIE ET (74h ANATOMIE VÉGÉTALE. O8servATIONS sur les prétendues Bulbilles qui se développent dans l'intérieur des capsules de quelques espèces de Crinum; par M. Acuizre Ricaarp. (T. IT, p. 12.) PI. 1. T. 2. Fig. 1. CriNUM TAITENSE, Redoul. a. coupe d’une graine bulbiforme ; d. Endosperme ; e. Embryon ; 2. Embryon séparé de grandeur naturelle; B. le même grossi; C. sa coupe. Fig. 2. Germination d’une graine bulbiforme du CriINum ERUBESCENS, Willd. OBSERVATIONS microscopiques sur diverses espèces de Plantes ; par M. J.-A. Amicr. (T. IT, p. 14et 211.) PL. 2. (T. 2.) Ænatomie du CavraiNrA FRacrus, Willd. Fig. 1. Coupe transversale d’un tronc grossie soixante fois; L. lacunes; V. vaisseaux du suc; P. petits tuyaux qui contiennent aussi du suc. Fig. 2. Coupe transversale d’une portion de tige grossie cent cinquante fois ; U. vaisseaux qui entourent les petits tubes du centre. Les flèches indiquent la direction du plan dans lequel se fait Je mouvement des globules. Fig. 5. Tubes qui forment les cloisons des lacunes vus longitu- dinalement, grossis soixante fois. Fig. 4. Tubes de la seconde, couche interne vus et grossis de méme. 58 PHYSIOLOGIE Fig. 5. Tubes de la couche externe vus et grossis de même. Fig. 6. Section transversale d’une feuille; L. lacunes. Fig. 7. Cellules superficielles d’une portion de la surface infé- rieure d’une feuille, grossies trois cent quatre-vingt-quatre fois ; A, B,C, D. cellules renfermant des globules vers leurs parois; E. cellule dans laquelle les globules sont en partie réunis vers le centre; F. cellule où tous les globules sont réunis au centre. PI. 5.(T. 2.) Fig. 1. Diaphragme transversal des lacunes. Fig. 2. Portion du diaphragme des pedoncules du Sagittaria sagittifolia. Fig. 5. Quelques tubes du Caulinia fragilis avec leurs globules et lindication de leur mouvement circulatoire. Anatomie du CHARA FLEXILIS. Fig. 4. Anthère; A, B, C. vaisseau servant de base à l’anthère, et dans ue s'opère % mouvement circulatoire. Fig. 5. Disposition de l'ovaire et de Panthère dans le Chara Jflexilrs. Fig. 6. Ovaire indiquant la marche de la circulation dans les tubes de ses parois. PI. 4.(T.2.) Fig. 1. Rameau du Chara flexilis ; AB. portions des tubes de la tige avec les chapelets de globules qui cou- vrent leurs parois intérieurement; CD. bourgeons ; ni pe- ütes feuilles; G. anthère. Fig. 2. A. grain de pollen du Portulaca oleracea grossi mille fois ; BC. poil du stigmate sur lequel est appliqué le grain de pollen ; L. globules renfermés dans ce poil; DE. appendice du grain de pollen appliqué sur le poil du stigmate. Fig. 3. Grain de pollen de la courge, Cucurbita Pepo. PL. 11. (T. 2.) Fig. 1. Cellules de l’épiderme du Pourpier, Portulaca oleracea. C. Cellules; IL. pores. ET ANATOMIE VÉGÉTALE. 59 Fig. 2. Cellules de lépiderme du Lis blanc, Lilium candidum. D. cellules de lépiderme ; MN. deux cellules formant lorifice des pores; H. pore complètement ouvert; FF. pores entr’ou- verts; L. pore complètement fermé; E. insertion d’un des tu- bes du parenchyme. Fig. 5. Coupe transversale du Nymphea lutea. À. intervalles vides qui déparent les cellules; BC. cellules polyédriques ser- vant de base aux tubes; SL. lacunes; M. vaisseaux du suc; S. tubes coniques divergens implantés sur les cellules; C. et T. trachées tapissant les lacunes L. Fig. 4. F. lacunes de la tige du Dianthus caryophyllus corres- pondant aux pores. Fig. 5. Cellules de l’épiderme de la renoncule rampante, ranun- culus repens. B. cellules; S. parois des cellules; X. pores; . Z. pore vu intérieurement. PI. 12.T.2. Fig. 1. Couche superficielle du parenchyme du Dian- thus caryophyllus. AAA. cellules; RRR. pores. Fig. 2. Coupe transversale de la feuille de la même plante; AAA. cellules superficielles ; R. ouverture d’un pore; F. lacune cor- respondant à ce pore, et bornée par les cellules cylindriques qui composent les couches profondes du parenchyme. Fig. 3. Parenchyme des feuilles du Ranunculus repens. Fig. 4. Un des tubes principaux du Chara vulgaris. À. base des tubes qui forment les rameaux et les feuilles ; B. base des petits tubes qui entourent le tube privcipal; G. base du grand tube supérieur. Fig. 5. Le même tube vu par son extrémité supérieure. . Fig. 6. Un des tubes du pétiole da Ranunculus repens. Fig. 7. P. Les mêmes rapprochés montrant en M. les vides qui les séparent. 60 PHYSIOLOGIE ET ANATOMIE VÉGÉTALE. Fig. 8. Tube poreux du Pteris aquilina (indiqué dans letexte sous la fig. 5). Fig. 9. Jeune rameau du Chara vulgaris. composé de quatre articles ABCN , placés bout à bout. PL. 15. (T. 2.) Fig. 1. Coupe transversale de la Chélidoine, Che- lidonium majus; À. vides qui séparent les cellules paraissant transparens ; B. les mêmes paraissant opaques; C. lacune cen- trale; F. vaisseaux fibreux; HR. vaisseaux propres; P. vais- seaux poreux; Q. tissu cellulaire; T. trachées ; XY. surface extérieure. Fig. 2. Coupe longitudinale de la même plante; HR. vaisseaux propres; M. vides intercellulaires paraissant opaques; N. les mêmes paraissant transparens; P. vaisseaux poreux; Q. tissu cellulaire; T. trachées. Fig. 3. ce longitudinale d’une tige de Rotang. ABCD. por- tion de la membrane d’un tube poreux; EFG. cellules qui séparent les tubes; I. lignes indiquant le contact des tubes voisins sur le tube poreux. PI. 14. (T. 2.) Fig. 1. Section transversale de la même tige; C. cellules; L. vaisseaux à paroïs minces et sans pores; P. tubes poreux ; U. tubes remplis de suc desséché ; S. les mêmes dont le suc a été enlevé; RV. tubes également remplis de suc des- séché; T. trachées. Fig. 2. Coupe de la tige de _Ælisma plantago. F. faisceaux de fausses trachées, de vaisseaux poreux et peut-être de vais- seaux propres; L. lacunes; T. cellules ou vaisseaux du suc. Fig. 3. AB. diaphragmes horizontaux ; M. interstices vides; T. tubes qui renferment le suc. BOTANIQUE. MoxoGraprie des Spirées, par M. Camgessèpes. (T. I, p:225.et 352.) PL. 15. (T. 1.) Fig. 1. Analyse de la fleur du Spiræa hyperici- Jolia. À. fleur entière; B. coupe du calice; C. coupe d’un ovaire ; D. ovule. Fig. 2. Analyse de la fleur du Spiræa AÆruncus. À. fleur mâle; B. fleur femelle; C. calice et disque de la fleur femelle; D. coupe d’un ovaire; E. fruit; F. graine; G. embryon. PL. 16.(T. 1.) Fig. 1. Analyse de la fleur du Spiræa Filipendula. A. fleur entière; B. fruit; C. un ovaire; D. sa coupe longitu- dinale; E. coupe d’un des carpelles; F. graine; G. embryon. Fig. 2. Analyse du fruit du Spiræa Ulmaria. À. ovaire dans le calice; B. fruit mür; C. un des ovaires ; D. sa coupe longitudi- nale; E. graine; F. embryon. Fig. 5. Analyse des ovaires du Spiræa sorbifolia. À. ovaires entiers ; B.les mêmes coupés longitudinalement; C. leur coupe transversale. PL. 17.(T. 1.) Fig 1. Analyse de la fleur du Spiræa opulifolia. A. fleur entière; B. coupe du calice ; C. coupe d’un des ovaires; D. fruit; E. coupe d’un des carpelles; F. ovule ; G. graine; H. embryon. Fig. 2 Analyse de la fleur du Spiræa trifoliata. À. fleur entière; B. coupe du calice; C. étamines; D. coupe d’un des ovaires ; E. fruit; F. ovule; G. graine; H. embryon. PL. 25. (T. 1.) Spiræa lanceolata, Poiret. — 26. (T. 1.) Spiræa flexuosa, Fischer. — 27. (T. 1.) Spiræa betulifolia, Pallas — 28. (T. 1.) Spirœæa stipulata, Muhlenberg. BOTANIQUE. (or) W Nore sur l'Agaricus tubæformis de Schæffer ; par M. ArrHonse Des Canpozce. (T. 1 ; p. 347.) PL. 25. (T. 1.) Fig. 1. Ægaricus tubæformis à Vétat de Clavaire. A. Coupe transversale Fig. 2. Autre état de _Zgaricus tubæformis avorté. Fig. 5. Agaricus tubæformis parfait. A. Coupe transversale. Fig. 4. Agaricus tubæformis à Vétat de Clavaire, vieux et ra- bougri. OgservATIONS sur les genres Cytinus et Nepenthes; par M. An. Bron- GNIART. (T. J, p. 50.) . PL. 4.(T. 1.) Cytinus hypocistis. À. fleur male; B. la même coupée longitudinalement et considérablement grossie; C. fleur femelle; D. la même coupée longitudinalement et con- sidérablement grossie ; 0. ovaire; p. placentas pariétaux; E. stigmate coupé longitudinalement et transversalement; F. placenta coupé horizontalement; 0. parois de l'ovaire; 7». membrane placentale; g. ovules; G. ovule grossi; A*. Coupe d’un bouton pour montrer le mode de préfloraison. PL. 5. (T. 1.) Fig. 1. Nepenthes indica; a. fleurs mâles de grandeur naturelle; A. un bouton; A* sa coupe transversale pour montrer son mode de préfloraison; B. fleur mâle grossie. C. étamines; D. une anthère avant sa déhiscence; E. la même: ouverte; f. fleurs femelles de grandeur naturelle; G. fleur femelle grossie; H. coupe de l’ovaire montrant les ovules et leurs points d'insertion aux cloisons; I. capsule ; K. une valve de la capsule portant les graines; |. graines de grandeur natu- relle; L. graine vue au microscope; h. le hile; M. la même coupée longitudinalement; t. tégument externe; n. tégument interne; v. vaisseaux nourriciers de la graine; r. endosperme ; BOTANIQUE. ’ 63 e. embryon; N. graine dépouillée de son enveloppe externe, et recouverte seulement par son tégument propre ;O. amande ; P. la même coupée longitudinalement; r. endosperme; e. em- bryon ; Q. embryon isolé. Fig. 2. Graine du Nepenthes madagascariensis ; V. graines de grandeur naturelle; [?. les mêmes grossies; M°. une graine coupée longitudinalement ; v. tégument externe; n°. tégument interne; V. Vaisseaux nourriciers; ”. podosperme; x. son ex- trémité celluleuse et sétacée; y. son point d'insertion au pla- centa; N°. graine dépouillée de son enveloppe externe, et recouverte par son tégument propre; P”. la même coupée lon- gitudinalement ; r”. endosperme; e’. embryon. Fig. 5. Graine d’une espèce indéterminée de Nepenthes décrite par M. Richard, et copiée d’après son dessin; l”. graine de grandeur naturelle; L?. graine grossie; M”. la même coupée longitudinalement; t”. tégument celluleux ; r”.; endosperme; e”. embryon. NouveLLes observations sur le genre Nepenthes ; par M. Nes D'EsENBEcx. (T. III, p. 29.) PL. 19. (T.5.) Nepenthes gymnamphora plus petit que la gran- deur naturelle; B. feuille de grandeur naturelle; 4. rameau de la panicule femelle portant deux fleurs de grandeur naturelle; b. capsule ouverte de grandeur naturelle; c. graine de gran- deur naturelle; d. la même considérablement grossie et coupée longitudinalement. PL. 20.(T. 1.) Fig. 1. Urnes radicales du Nepenthes symnam- phora de grandeur naturelle. Fig. 2. a. fleur mâle du Nepenthes maxima, Reinw., considé- rablement grossie ; b. capsule de la même espèce de grandeur naturelle; c. sa graine de grandeur naturelle ; d. la même coupée longitudinalement et grossie. ë 64 BOTANIQUE. Nore sur le genre Francoa; par M. An. pe Jussieu. (T. LE, p. 190.) PL. 12.(T.3.) a. La plante de grandeur naturelle; B (1) une fleur ; C. fleur coupée verticalement, 1. calice, 2. pétales, 3. étamines, 4. corpuscules, 5. ovaire; D. fleur ouverte et étalée artificiel- lement, 1. base et division du calice, 2. pétales, 3. étamines, 4. corpuscules, 5. place de l'ovaire qui a été enlevé; E. an- thère au moment de sa déhiscence; F. pistil, 1. ovaire, 2. stigmate ; G. stigmate d’un ovaire plus avancé; H. coupe ho- rizontale de l'ovaire, 1. son sommet, 2. axe central, 5. loges et ovules ; [. coupe verticale de l'ovaire, 1. deux loges con- servées, 2. deux loges coupées, 3. ovules, dont la plupart ont été enlevés dans l’une des deux loges , 4. placentaire mis à découvert par Pablation des ovules. OsservaTIONs sur le genre Couratari d’Aublet; par M. Acnizre Ricnarp. (T. I, p. 321.) PL. 21. (T. 1.) Fig. 1. Couratari de la Guiïane , réduit aux deux üers de sa grandeur naturelle; 2. corolle vue en dessus; 3. la même vue en dessous; 4. étamine; 5. calice ; 6. coupe trans- versale de l'ovaire; 7. le même, coupé longitudinalement ; 8. fruit; 9. columelle et opercule séparés du fruit. Descriprion de l'Apodanthes, nouveau genre de plantes phanéro- games parasites ; par M. A. Porreau. (T. IT, p. 421.) PL. 26. (T.3.) Fig. 1. Æpodanthes Caseariæ ; a. jeune rameau du Casearia sur le tronc duquel croit l'Apodanthes ; d. morceau (4) Toutes les figures indiquées par une lettre majuscule sont plus ou moins grossies. BOTANIQUE. 65 de tronc couvert d’Apodanthes, de grandeur naturelle ; c. une Apodanthe grossie ; d. la même, dont on a ôté les lobes du calice; e. coupe horizontale montrant la loge et les ovules pariétaux; /: Pune des quatre écailles épigynes grossie, on voit son point d'attache en *. Descriprion du Graphiola, roweau genre de plante parasite de la Janulle des Champignons ; par M. A. Porreau. (T. II, p. 473.) PL. 26.(T. 5.) Fig. 2. Grapluola phænicis ; a. poruüon d’une fo- liole de Dattier couverte de Graphiola, de grandeur naturelle ; b. grandeur naturelle d’un péridium avant l'émission des filamens; c. divers péridiums grossis; d. péridiums qui com- mencent à s’ouvrir. On voit à leur base le morceau d’épi- derme soulevé et desséché, sous lequel ils étaient cachés; e. péridium très-grossi , portant en dessus le morceau d’épiderme qui le couvrait avant son apparition; f. plante plus avancée dont le péridium interne est divisé en quatre lanières qui pa- raissent soutenir chacune un faisceau de filamens couverts de poussière; ggg. autres plantes plus développées; 2/1. figures montrant comment les filamens se divisent quelque- fois jusqu’à former depuis deux jusqu’à cinq faisceaux diver- gens ; 2. filamens tors, tels qu’ils se présentent le plus souvent . dans une plante âgée; /. coupe d’une plante dont les filamens étaient réunis en cinq faisceaux qui formaient une sorte d’étui rempli de poussière. Cette figure, ainsi que deux des pré- cédentes, montrent des débris du péridium interne; 71. coupe verticale faisant voir que les filamens naissent du fond du péridium. GÉOLOGIE. ET MINÉRALOGLE. NOuVELLES OBSERVATIONS sur le terrain qui contient, en Normandie (Orne), le bois fossile à odeur de Truffes ; par M. Desnoyers- (M: L;,p.,b8.) PL. 6. !T. 1.) Coupe du terrain. a. Banc de sable de 25 à 50 pieds, contenant des térébratules, des bélemnites , et dont la partie supérieure endurcie en aggrégats quartzeux et calcaires renferme les mêmes fossiles en plus grande quantité et des üges de TARTUFFITE analogues à celles du Vicentin; d. nappe calcaire qui constitue la plaine où se trouve le bourg d'£- couché. Elle contient les pétrifications sus mentionnées et en outre d’autres coquilles qui se rapprochent des Cérithes et des Cythérées. (Foyez pour lexplication des autres lettres la planche elle-même. ) Mémoire sur les Terrains anciens et secondaires du sud-ouest de l'Allemagne, au nord du Danube; par M. Aur Bové. (T. I, p-173.) PL. 9. (T.2.) Coupe idéale du pays situé entre la forêt Noire et la forét Bohémienne ou environs de Wolfach à Amberg. Ibid. Coupe idéale de la structure de la chaîne secondaire, connue sous le nom de l'Alp et du plateau calcaire de la Bavière septentrionale. La coupe idéale entre Wolfach et Amberg a surtout en vue GÉOLOGIE ET MINÉRALOGIE. 67 de donner-une idée de la position du plateau jurassique d’un côté sur des masses considérables de Quadersandstein , et de lautre presque immédiatement sur les Marnes bigarrées ; de plus on a voulu montrer que le Grès bigarré y supporte le Muschelkalk (environs de Sulz) qui vient recouvrir quel- quefois immédiatement le Grès rouge secondairé. Dans la coupe idéale de la structure de l'Alp on a omis entre la Dolomie et les Marnes du Lias quelques masses de Calcaire compacte. Mémoire GÉOLOGIQUE sur le sud-ouest de la France, suivi d'observations comparatives sur le Nord du méme royaume , et en particulier sur les bords du Rhin; par M. Am Bové. (T. II, p. 387, T. II, p. 55 et 299 , el la suite au T. IV.) PL. 18. (T. 2.) La coupe entre les Pyrénées et la Vendée doit donner une idée de la manière dont a été remplie cette immense cavité; le premier calcaire secondaire des Pyrénées devrait y être marqué avec un point de doute. Du côté de la Vendée on n’a pas indiqué le Lias et le Quadersandstein, parce qu’on a voulu donner une coupe près du bord de la mer, ear lon sait à présent que ces deux dépôts en partie métallifères (à Confolens, à Melle, etc.) séparent çà et là le Calcaire juras- sique des Schistes intermédiaires ou des roches granitoïdes du centre de la France. La coupe entre la Normandie et la forêt Noire montre que plusieurs dépôts peuvent disparaitre sur certains bords d’un bassin sans y manquer pour cela ; nous en avons ici des exemples frappans dans la distribution et la position du Muschelkalk et du Quadersandstein dans le bassin français septentrional, et dans le gisement du Lias et du Cal- caire jurassique dans la vallée du Rhin. 68 GÉOLOGIE Le Grès bigarré de cette dernière vallée n’aurait pas dû être pointillé. Dans la vue des filons granitiques de Loucrup on a coloré, par erreur, comme débris du Schiste le Granite inférieur aux Schistes altérés et de diverses couleurs. PL. 19. (T. 2.) Dans les coupes comparatives des bassins du nord et du sud-ouest de la France on a mis mal à propos supérieur au dépôt d’eau douce inférieur, et la coloration n’a pas fait ressortir l'identité des sables de largile plas- tique avec la molasse du sud-ouest de la France, et la po- sition différente de certains dépôts, telles que celle du banc marneux friable coquiller et de la meulière. On a aussi omis d'indiquer le lignite dans le Grès parisien du Calcaire gros- sier. OBservATIONS sur le banc de Grignon, sur le Calcaire renfermant des végétaux, et sur les couches supérieures de cette localité ; par M. J.-J. N. Huor. (T. III, p. 5.) PL. 1. (T. 5.) La figure 1 représente la vue du banc de Grignon, prise de la cour du château et offrant la portion coupée qui présente les couches calcaires s’élargissant à mesure qu'on approche de la partie supérieure du banc. La figure 2 présente deux coupes verticales de Grignon, la coupe À. donne la suite complète des couches représentées en perspective dans la figure 1. La coupe B. est celle qui a été donnée dans le tome 2 des Recherches sur les Ossemens fossiles. Ces deux coupes sont en regard et sur la même échelle, afin que l’on puisse comparer ET MINÉRALOGIF. 69 plus facilement la succession des couches. Cette seconde coupe offre six couches décrites dans l’ouvrage ci-dessus mentionné. Le n° 1 y est désigné sous le nom de Calcaire contenant des coquilles et du fer chloriteux granulaire. Le n° 2. Calcaire grossier jaunâtre à coquilles. Le n° 5. Calcaire à grain fin, renfermant des empreintes de plantes. L Le n° 4. Calcaire tendre fissile à Lucines des pierres. Le n° 5. Calcaire tendre fissile sans coquilles. Le n° 6. Calcaire dur se désagrégeant facilement et coptenant des Cérithes et autres coquilles, et dans la partie supérieure le Cyclostoma mumuia. En comparant ces deux coupes, on voit que la couche n° 1 de la coupe A, est égale à celle du n° 1 de la coupe B.; mais que le n° 2 de A. est de trois mètres plus élevé que la même couche de la coupe B.; que le n° 5 de A est seulement de 1" 30 *, tandis que dans la coupe B., il y a deux mètres de hauteur ; que le n° 4 de la coupe A. n’est point représenté dans la coupe B., et que les couches n°° 5, 6 et 7 de la coupe A. sont repré- sentées dans l’autre partie par le n° 4. Les n° 8 et 9 de A. ont pour analogue le n° 5 de B., et enfin les n° 9, 10 et 11 de À représentent dans leur formation dife- rente les couches n° 6 de la coupe B. Norte sur le gissement du Gypse dans les Alpes ; par M. Vicror Jacquemonr. (T. III, p. 87.) PL. 5. (T. 5.) Coupe du 7’a/ Canaria. Au fond de la vallée creusée dans le sol primitif, on observe un banc de Gypse primitif traversé par les couches d’un Calcaire micacé qui pé- =0 GÉOLOGIE nètre également dans les couches du Schiste micacé; on a établi dans cette planche la partie supérieure de la lentille telle qu’elle a dù étre primitivement, et on a figuré idéale- ment et par des lignes ponctuées les couches du Schiste mi- cacé qui comblaient la vallée autrefois. Rapport sur ur Mémoire de M. Bonnard, intitulé : Notice géologique sur quelques parties de la Bourgogne; par M. Ar. Broncntarr. (T. I, p. 456.) PL. 28. (T. 3.) N° 1. Calcaire conchoïde presque sans pé- trifications, couvert dans quelques parties de blocs de Gra- nite, et contenant seulement une Coquille bivalve qui parait appartenir au genre Lima. N° 2. Calcaire jurassique, compacte et oolithique avec les pétri- fications qui le caractérisent. N° 5. Calcaire terreux, plus fissile, faisant partie du calcaire jurassique et renfermant plus particulièrement les corps or- ganisés fossiles suivans : Ammonites (nombreuses), Pinnogère de Saussure.—( Grande Coquille bivalve déprimée à structure fibreuse, fibres perpendiculaires aux surfaces, voisine des Ca- tillus). Perna aviculoides Sow. Cardium Protei. À. Br. N° 4. Calcaire compacte à Entroques, renfermant en outre des Huitres, des Térébratules, des Cassidules, etc. N° 5. Seconde formation marneuse, très-riche en corps organisés fossiles : Ammonites, Bélemnites, Modioles, Huitres, Trochus, Gryphœa Cymbium et latissima , Pecten univalois, Sow. Plagiostoma semilunaris. N° 5. Fer oxidé pisolithe en amas dans les cavités superficielles du calcaire suivant. N° 6. Calcaire compacte et marnes à Gryphites avec Galène et ET MINERALOGIE. Gi Baryte disséminées. Dans les parties supérieures : Bélemnites. Dans les parties moyennes etnotamment dansles litsmarneux : Unio hybrida, Ammonites Bucklandi, Mya intermedia , Pecten lens, Trochus, Fucoïdes. Dans les parues inférieurs : Gryphæa arcuata. La réunion des n°° 4, 5et 6, parait être analogue à la forma- ion du Lias de l'Angleterre. NE Marnes calcaires lamachelles en rognons disséminés en lits dans les couches : Plagiostoma læviusculum. N° 8. Fer oligiste terreux, faisant partie intégrante de la cou- che n° 7. N° 9. Calcaire lumachelle , Marne argileuse et Psammite alter- vant ensemble, renfermant de la Galène et de la Baryte, et, en corps organisés fossiles, lUrio hybrida, Sow., et des Zoophytes. N° 10. Marne argileuse et Gypse en nodules ellipsoïdes, lenticu- laires, etc. | N° 11. Calcaire lumachelle quartzeux, Macigno ou Psammite calcaire, Psammite quartzeux, renfermant en corps organisés fossiles : de nombreux Zoophytes, des Astéries, Ammonites, Pecten, Trigonies. Les N° 7, 8, 9, 10 et 11, paraissent appartenir à la même sous-formation, et pouvoir être rapportés au Calcaire luma- chelle (Muschelkalk de Gœuingue.) Le Grès à bâtir (Quadersandstein), qui devrait se trouver au-dessus, parait manquer dans le plus grand nombre des cas. N° 12. Arkose Arène (c’est-à-dire Arkose et Psammites réduits à l’état sableux ou friable), et Psammite quartzeux alternant et comme mélés ensemble avec Baryte, Fluor, Fer oxidé et Galène, ou disséminés, ou en veines, et renfermant en 72 GÉOLOGIE ET MINÉRALOGIE. / corps organisés fossiles : Ammonites, Uruio ybrida, Pla- gtostoma punctatum , Gryphæa arcuata. M. de Bonnard regarde cette couche comme analogue au Grès bigarré, ou au Grès vosgien. N° 15. Granite se mélant dans certaines parties avec l’Arkose, et recevant des filets ou veines de cette roche, les minéraux ( Baryte et Fluor) et les métaux (Galène) qu’elle renferme. MÉLANGES. Rapporr sur le Microscope achromatique de M. Selligue ; par M. Fresnez. (T. INT, p. 345.) PL. 18. (T. 5.) Fig. 1. Microscope de Selligue monté et prêt à servir; H. pied de Pinstrument; G. charnière qui sert à le rendre horizontal ou vertical à volonté; F. engrainage à cré- maillère pour rapprocher ou éloigner le porte-objet E des objectifs. DM. miroir pour éclairer les objets transparens; N. diaphragme percé, qui intercepte tous les rayons lumineux, qui passeraient trop loin de l’objet transparent qu’on voudrait examiner; P. prisme à surfaces sphériques, pour éclairer les corps opaques. On peut suivre sur la figure la marche des rayons RRR, qui viennent se rendre sur le porte-objet; D. objectifs achromatiques , au nombre de quatre, lorsqu'on veut obtenir le pouvoir amplifiant le plus fort; S. verre concave destiné à accroître la force de l'instrument en augmentant la divergence des rayons; O. oculaire, C. corps de lunette ; A, B. tubes mobiles à frottement, qui servent à éloigner à volonté l'objectif de loculaire. Fig. 2. Marche des rayons dans l'appareil. Pour simplifier l’ex- plication et la figure , on n’a supposé qu’un seul objectif. Soit 0%, l'axe de l'instrument, et r le limbe de diaphragme de l’ob- jectif, 04 placé un peu plus loin que le foyer v de objectif, sera vu dans les conditions suivantes. Le rayon parti du point h, par exemple, après avoir traversé l'objectif, ira croiser l'axe et tomber en s sur le verre concave pg ; au lieu de se diriger alors suivant la droite sd, il ira tomber en @ sur le pre- 10 74 MÉLANGES. i ’oculaire. D mier verre plan-convexe ab de oculaire. Devenu convergent, il se dirigerait vers z foyer du verre ab, s’ilne rencontrait un second verre plan-convexe /#, qui augmente encore sa con- vergence et le conduit à Pœil, qui se trouve situé un peu en- decà du foyer. ExrTrair d'une lettre de M. le colonel Bory DE Sanr-VincenT , sur la CoQuETTE, nouvel appar eil propre à la dessiccation des Végétaux. (T. JL, p. 5o4.) PL. 32. (T. 5.) A. Planchette fondamentale, vue par-dessous dans la figure 1, de profil dans sa longueur, fig. 2; de profil dans sa largeur, fig. 5; je la choisis en hêtre; elle est percée d’une mulütude de trous, dont le nombre peut être arbitrairement déterminé, mais qui produira d'autant plus d’effet sur la des- siccation des plantes qu'il sera plus considérable, sans néan- moins trop diminuer la solidité de la planchette, que j'ai soin de laisser un peu plus épaisse et légèrement bombée vers le milieu du côté intérieur de l'appareil. B. Quatre lanières de très-fort ruban de fil fixées au-dessous de la planchette par de petits clous, et servant à retenir quatre pettes boucles d. On les voit à plat dans la fig. 1; la partie libre est en face dans la figure 2; de profil, fig. 3 c. Petits clous bien engagés dans l'épaisseur de la planchette, au. nombre de sept aux das #5 émités, et à Pun desquels, de chaque côté, on attache à l'demeure de bonnes ficelles 4; C. est celui de ces petits clous où la ficelle est AAARAREN fixée. E. Deux tringles de fer d’une ligne à peu près d'épaisseur , dont une seule paraît de profil dans la fig. 2; et les deux, par Pune de leurs extrémités arrondies en bouton , se distinguent dans MÉLANGES. 75 la fig. 3.On cout fortement ces deux tringles parallèlement l’une à Pautre aux deux côtés d’une pièce de canevas F, de la méme grandeur à peu près que la planchette et qui se voit en place, de profil par sa longueur à la figure 2; et de même, mais par sa largeur, dans la fig. 3. On cout encore sur ce canevas et sur Chaque tringle deux morceaux G. de ce même ruban de fil qui fixe les boucles B. dessous la planchette et correspondans à ces mêmes boucles, de manière à les y pouvoir passer quand on veut se servir de l'appareil. On doit choisir le canevas le plus fort, mais en même temps le plus clair. Au besoin on le pourrait mettre en double. Il faut pra- tiquer aux deux extrémités de cette partie de la Coquette, six œillets J., fig. 5, qu'on fortifie par de petits anneaux en fer, et par lesquels on fait passer la ficelle L, fixée au petit clou c, C. Les choses étant ainsi préparées, on doit d’abord, pour des- sécher une dixaine de plantes, placer les échantillons choisis entre dix à douze feuilles de papier qui les séparent, comme on le ferait selon la méthode ordinaire de conservation. Ainsi disposées L., on place ces plantes sur la planchette A. du côté bombé où ne sont point fixées les boucles B.; le canevas F., tendu par les deux tringles E., remplace la partie supérieure des presses ordinaires, et se trouve fortement tendu latéra- lement au moyen des rubans de fil G. qu’on voit en face dans la fig. 2, et de profil dans la fig. 5 ; on lace encore les extré- mités au moyen de la ficelle 2, alternativement passée par les œillets 7. et les petits clous c. Cette ficelle S’arrête au moyen d’un nœud coulant, au dernier des petits clous C, du côté opposé à celui où son autre extrémité est fixée à de- meure. 76 MÉLANGES. Sur la méthode de calculer les angles des Cristaux , et le rapport de position de leurs faces; par M. E. MrrscnerLicu. (T.3, p. 149.) PL, 8. (T. 3.) Cette planche n’est pas susceptible d’explication particulière. FIN DE L'ATLAS POUR L'ANNÉE 1824. 1h PA » 2 : E « à . : , +” ë + = : \ à vu ". La k. + Luilh te CConstans TER Pabit ll 4 AT nn. de Ad. A. 'IMNUSS * 4 fe ch MUS " EU F “ » ELA ‘> æ L : PET à 5 L . ‘ LL L | : : Li #4 4 Er 4 V' L * L'OUS] l RE dd ‘ : Fute or, 49 ur je E À FI ad TC. Ÿ! nn di Patrol. F1 ne NEPENTHES . . : . #“ F 1 ï 2: ‘ Br 5 à 4 he 1 ee ts 7 We: K r DS à y Dal *ARIR # PCA bi nl : AV , TK U Ki non m7 LR ; Z 4 F | UNS , , Fe n NA + k TE … le ' _ to , L ï Ten s' À 7 mt 2". " {P066;) ) 77) 65 » 7 Auyess 2 72 PYITR DE ] 22 LA TF0 COEROT 7 opel par 7 PUR EE} 179 BOPVIRP k Z _ ’ É 1 4 2 2 f PET Z (reel 2220 ) | LPPUR RAA 74 OC) F DEA Te S . : É “4 / L GES VINCENT | aa ve von ET A ù ogg 06 2 DU D ( 22220 DIF NE lo af KR ?P4 CAPERE 4 4 CP LUPORRE LT P77 | {20 Jarre pete in ve TT Go USE ENVI MAN De. des Auone naturelles. TJ S'OTELETTE. ; A. À. PROTHOR AX . Ra. 5 æ — à À, ar 27 METATHORAYX . 7 = = Jith. do CCnslans DYTISCUS CIRCOMELEZXUS. Sale. Fg1 Vusur Le des .= Pig 2. de Profil .— Fig. 5. sur le ventre.= 1.4. partie cafercenré= Fiy. 5 parte séperceure- A. PRCIUS.- h. Sterram.- l. £pisternum L'Paraplre — K. Zpinere.— 2° Patothorax .— l'Hane.= l'Zrochankr B. Z#ncUM- à. Praesculem.= D. Soutum.= € Scutellam. — &. Postscutellum. = C.Cuertr . D'OR ST 7 1 ENT PUS Vo Len Z dr, COLLECTION Tu ui MUS, HERON-ALLEN RAL AVS de AS e Pere < des eme nant) T1 GP y F Ps | : 48h MUSE HERON-ALLEN d nr: de Sienc. Hatunelles. TT. A 10. Lu , d'après Dunes Lüh:de C'Constans HERISSON. Cryanés _géréaeu Om. SN EH MU SV D. es de h + 2 | h ” t D ” MX ra À OR (370 FER Ma e “Q _ lan «es Secernc- nalurtles TI COCHON D’INDE ET SURMULOT x Cane gta luc males À Ch. de Const sh MU uen f | Er les Scene. rade. € 7 CT. 19. Lee LL défeis Dumas ANIMALC U LES, LME tale A que fuel. Hamnyeres . » k .. En = { | Le lie p, L\ En EN + #yy <\h MUS HERON-ALLEN UE ECTION Uk: L ST Eÿ ES D 7 Ann.des Se. naturelles T1 bEL L 73. Lith. def Nd £. Gueren, d'apres Laloy PILEOLUS . sow. PAS +. F . . æ f PA H <\sh MUSE na fl A à 1 F Le) ® 524 e A » . Lau le j CA Pr EUR ; « PC nr.” ‘1 # 8 «Ann: des Fionc:natirelles. TZ. 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