RÈE pa js Hi Hi {} HET (Hi ee AA THEM EE RE — et. 2274 x, ge als L Li ANNALES DES SCIENCES NATURELLES. ATLAS. a IMPRIMERIE DE C. THUAU, SUCCESSEUR DE FEUGUERAY, RUE DU CLOÎTRE SAINT-B£AOÏT, NO 4. VTplé tt ACL jrs dre re © Le Fe ER \ REED | g 16 4 7 | z SE NDESLS ! SCIENCES NATURELLES. ANNÉE 1826. ATLAS DES TOMES 7, 8, 9, O < ) ) Compreuaus. 53 plauchea_. —— ED) 09.9 (D 9000 ann PARIS, CROCHARD, LIBRAIRE-EDITEUR, CLOITRE SAINT-BENOIT, N° 16, ET RUE DE SORBONNE, N° 3 sn Dr a > >" or CAC TAN fLA FM (g 1 "2 [es] fe cd | eNAIANUTAN 4073 Le CALE VERRE \ EM (A DR AE if. ak" IUOGUL MI ra î CAE! t H Q" T! USO j d , à A ? = af À L Ée de — Or eu e 3 PA si | | LDSESS SN, \ ape 4h ‘. > - : , et } à ES OO EU EME — A k : Fe HAMMAENC ‘ Loi #F lé - DUT ME LION ? Pre TABLE DES PLANCHES COMPRISES DANS LES TOMES 7, 8, ©; PAR ORDRE DE NUMÉROS. TOME SEPTIÈME. 1, fig. 1. Branche de saule avec ses lenticelles et les racines qui en sortent. Fig. >. Coupe longitudinale d’une tige et d’une racine qui en sort. Fig. 3. Substance vésiculaire qui recouvre l'origine des racines avant letr développement. Fig. 4. Tissu des spongioles qui termi- nent les racines. >. Branche de saule dont la partie inférieure est plongée dans un liquide coloré en rouge , et dont la partie supérieure , plongée dans de l'eau pure, donne naissance à des racines colorées en rose. ( oyez la description de cet appareil, p. 21.) 3, fig. 1, 2, 3. Crâne de Papou de l'ile de Rawack. Fig. 4, 5, 6. Crâne d'un autre Papou de la même ile. 4. Perrez DE Lessox, Procellaria Lessonit Garnot. 5. Enfant né avant terme, dans lequel on observe le déplacement d'un rein et de l'artère rénale. 6, fig. 1-13. Membres postérieurs de divers serpens. Fig. 14-16. Os hyoïde de l'Axozis LINEATUS, 7. Carte géologique de l'extrémité sud-ouest du Cornouailles. 8. Filons du Cornouailles. 9. Plan des filons d’étain de la mine de Polgooth. 10, fig. 1, 2, 3. Nonosanra Læviara. Fig. 4, 5 , 6. Noposarta LAMELLOSA. Fig. 7, 8. Marcnnurina Rapmanus. Fig, 9. PLanucania CrmBa. Fig. 10, 11. PAYONINA FLABELLIFORMIS. 11, fig. 1, 2, 3, 4. Texruraria Acicuzara, Fig. 5, 6,7, 8. Vuzvurina Carrrorus. Fig. 9, 10, 11. Bicenerixa Noposarta. 12, fig. 1, 2,3, 4. Porymorpmna communs. Fig. 5, 6. PorxmorPainA Gurra, Fig. 7. Cravuzixa anGurans. Fig. 8, 9. UviGEriNA PYGMEA. Fig. 10, 11, 12. BuLiminA MARGINATA. 13 , fig. 1,2,3, 4. RosazinA cLoBuLaRIs. Fig. 5,6, 7. Carzcarma DEFRAN- cit. Fig. 8, 9; 10,11. TRONCATULINA REFULGENS. 6 TABLE PL 14, fig. 1, 2, 3. Pranvurina armminensis. Fig. 4, 5,6. PLANonBuzINA mr- DITERRANENSIS. Fig. 7, 8, 0, 10. OPERCULINA COMPLANATA 15, fig. 1, 2, 3. ANOmALINA Puncrurara. Fig. 4, 5. Cassipurina Lævi- GaTA. Fig. 6, 7. Dexpmrina Arsuscuza. Fie. 8, 0. Roruuina onst- cuLaARIs. Fig. 10, 11, 12. NontonNIMA omBrricara. 16, fig. 1,2, 3, 4. Brrocuzina surrones. Fig. 5,6, 7, 8, 0. Trirocurana TRIGONULA. Fig. 10, 11, 12, 13, 14. QuinqueLocuzina saxorum. 17, fig. 1, 2,3, 4. Ampmisrrcina Quorr. Fig. 5,6, 7. HererosreGiNA DE- PRESSA. Fig. 8, 9, 10. ORBICULINA NUMISMALIS. Fig 1,12908. Ar- VEOLINA Quour. Fig. 14, 15, 16, 17. FABULARIA DISCOLITHES. 18. ANENCÉPHALES. Fig. 1,2, 3, 4. Anencérmare Momie. Fig. 5. Amu- lette. Fig. 6 , 7. Anencépaze pErroré. Fig. 8,0, 10. Os basilaires. TOME HUITIÈME, 19 et 20. Organes sécréteurs des insectes. 21. Divers organes d'insectes. 22, 23. Carte et Coupes géologiques des environs de Château-Landon. 24. Anatomie comparée des Graminées. 25. Rapports de position du calcaire , du granit et de l’arkose près d’Au- benas. 26. Analyse de la fleur de diverses Véroniques. 27. Analyse de la fleur de divers genres de Personées et de Rhinanthacées. 28. Trilobites. 29. Corps organisés fossiles qui accompagnent les Trilobites, et coupe des terrains qui les renferment. 30. Formes nouvelles de chaux carbonatée et d'argent sulfuré. 31. Anatomie du système nerveux de la tête et du cou et des muscles de la face chez l’homme. 32, 33. Altérations diverses de la physionomie humaine. 34. Coquilles fossiles du grès bigarré. 35, fig. 1. BERZELIA LANUGINOSA. Fig. 2. BrunIA PINIFor IA, 36, fig. 1. Brunra NonrrLora. Fig. 2. STAAVIA RADIATA. 37, fig. 1. RasParIA microruyLrA. Fig. 2. Beranpia ParEAcEA. Fig. 3. Lan- CONIA ALOPECUROIDEA. DES PLANCHES, : PL. 38, fig. 1. Aupouinia carrrara. Fig. 2. TITTMANNIA LATERIFLORA. Fig. 3. THAMNEA UNIFLORA. 39. Daim fossile d'Irlande. TOME NEUVIÈME. 4o. GLOBULARIA sPINOSA. 43, fig. 1. GLoBurariA vurGaris. Fig. 2. GLoBuLaRIA onrENTAL IS. 42, 43. Anatomie des Cantharides. 44. Anatomie des Plumes, sous le rapport de leur développement. 45. Dromas arprorA, nouvel oiseau du Bengale. 46. Coupe géologique observée aux environs de Bordeaux. Plan et coupe de la caverne à ossemens de Banwell ( Sommer- setshire),. Ossemens fossiles observés dans les brêches osseuses du midi de la France. 47, 48. Anatomie des Oxyures et des Vibrions. 49. Nicornok pu Homarp, /Vicothoë Astaci, nouveau genre de Crustacé. 5o. Anatomie élémentaire des tissus animaux. 51. Caronryum TuBIFLORUM, nouveau genre de la famille des Éricinées. 52. DELARIA OVALIFOLIA. 53. DELARIA PYRIFOLIA. TABLE DES PLANCHES RELATIVES AUX TOMES 7, 8, 9, PAR ORDRE DE MATIÈRES. [600000000000 000000001919999999999000NUNUUUOUNUUNUTEUT AA M PE M EEE A VAR EE EE A AAA ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE ANIMALE, ZOOLOGIE. Onservarions sur la Constitution physique des Papous qui habitent les iles Rawack et V'aigiou ; par MM. Quoy et Gaimarn. (Tom. VII, p. 27.) PL. 3, fig. 1, 2 et 3. Crâne de Papou de Pile Rawack, vu en dessus , de face et de profil. Fig. 4, 3 et 6. Crâne de Papou de l'ile Rawack, vu en dessus, de face et de profil. Remarques sur la Zoologie des îles Malouines , faites pendant le voyage autour du monde de la corvette la Coquille , exécuté en 1822 , 1825, 1824 et 1825 ; par M. P. Ganvor, Chirurgien-major de expédition. ('F. VII ,p. 39.) PI. 4. Perrer Lesson, Procellaria Lessonit. Noxe sur le Déplacement d'un rein dans un enfant né avant terme ; et sur quelques Particularités du système vasculaire qui en étaient résultées ; par M. Mar , Elève de l'École pratique. (Tom. VIT, p, 83.) PI. 5. — NS, 1, 1. Artères diaphragmatiques. — N°. 2. Artère cœliaque. — N°, 3,3, 4.Artères capsulaires. — N°. 5. Artère mésentérique intérieure. — N°. 6. Arière rénale droite. — N°. 7. Artère rénale gauche. — N°. 8. Ar- tère rénale gauche supplémentaire. — N°. 9. Artère sacrée moyenne. — N°. 10. Uretère gauche. — N°. 11. Rectum. — N°. 12, 12. Artères ombi- licales. — N°. 13. Rein gauche. — N°. 14. Vessie urinaire. — N°. 15. Veine cave. — N°. 16. Rein droit, — Ne. 17. Uretère droit. — N°. 18. Veine rénale droite. — N°. 19. 8 du colon. — N°. 0, 20. Testicules. ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE ANIMALE , ZOOLOGIE. 9 Sur Les Membres postérieurs des Ophidiens ; par M. le docteur Mayer, Professeur à Bonn , Membre de l'Académie des Curieux de la Nature. (CT: VIP: 170: ) PI. 6, fig. 1. Extrémité postérieure du Zo4 constrictor , sur laquelle on à en- levé les tégumens et les muscles sous-jacens ; savoir, le muscle peaucier, les muscles inter-costaux externes et internes, et le muscle de l'abdomen, pour laisser voir à découvert le membre postérieur en entier. a, anus; b, crochet du côté gauche; c, muscle sous-cutané ; d, côtes et muscles inter-costaux; e , muscle transverse de l'abdomen ; f3 os de la jambe enveloppé de ses muscles ; #, muscle abducteur du pied; 2, muscle adduc- teur du pied. Fig. >. Système osseux du membre postérieur gauche du Boa scytale , vu an- térieurement (vu en dessous ou en dehors ). a, tibia; D, os externe du tarse; C, os interne du tarse; d, os du mé- tatarse , avec son apophyse au milieu ; e, ongle ou crochet. Fig. 3. Le même, vu postérieurement (intérieurement ). Les mémes lettres indiquent les mémes parties. Fig. 4. Système musculaire de l'extrémité postérieure du Boa constrictor, vu extérieurement. a, muscle long extenseur du pied; &, muscle fléchisseur du pied; c, muscle abducteur du pied ; 4, muscle adducteur du pied. Fig. 5. Le même, vu intérieurement. a-d, comme dans la figure précédente; e, muscle court extenseur du pied. Fig. 6. Extrémité postérieure du Z'ortrix rufus. Fig. 7. 14. du T'ortrix scytale. Fig. 8. Id. du Tortrix corallinus. Fig. o. Id. de l’Anguis fragilis. Fig. 10. Id. de 'Amphisbæna alba. Fioiux. Id. de l’Amplusbæna fuliginosa. Fis x. Id. du Coluber pullatus (variabilis ). l'ig. 13. Rudimens de pieds du Scheltopusik (Lacerta apoda) , vus en dessous. a, dernière vertèbre du dos; 2, dernière côte ; c, rudiment osseux du pied; d, seconde vertèbre caudale, à laquelle se fixe l'osselet du pied. 10 ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE ANIMALE, Onservarions sur la Structure du gosier du genre Anolis ; par Taomas Bezz. (T. VII, p- 191.) PL 6, fig. 14. Os hyoïde de l'AÆnolis lineatus ; vu inférieurement. Fig. 15. Le même, vu latéralement , dans l’état de repos. Fig. 16. Le même porté en arrière , de sorte que l’appendice cartilagineux pos- térieur est courbé. TasLeau MÉTnoDiQuE de la classe des Céphalopodes ; par M. Dessauines D'OnmiGny. (T. VII, p. 96 et 245.) PL. 10, fig. 1. Nonosaria Lævicara (sous-genre , Glanduline ) grossie, vue de profil. Fig. 2. Id., coupée en deux pour faire voir le recouvrement des loges et leur mode d’accroissément, a montre la supposition d’une loge de plus dans l'accroissement de la co quille ; 4, l'ouverture supérieure ; c, point de suture des loges entre elles ; d, la coquille de grandeur naturelle. Fig. 3. Id. vue en raccourci sur le sommet. Fig. 4. Noposaria LAMELLoSA (sous - genre, ÂModosaire) grossie, vue de profil. Fig. 5. Id. grossie , vue en raccourci sur le sommet pour faire apercevoir l’ou- _verture et la saillie des lames. | Fig. 6. Zd. coupée longitudinalement, montrant la succession des loges sur un même plan , comparé aux Glandulines. a, supposition d'une loge de plus; à, ouverture supérieure paraissant dans la coupe; c, point de suture des loges; d, grandeur naturelle de la co- quille. Fig. 7. Mancinuzina Rapxanus grossie, vue de profil. Fig. 8. Id. coupée longitudinalement. a, supposition d’une loge de plus; à , ouverture supérieure et marginale ; c, point de suture des loges ; d , commencement de la coquille, montrant déjà un indice de spirale; e, grandeur naturelle de la coquille. Fig. 0. Id. grossie, vue de profil. a, loge supposée pour démontrer la superposition oblique des loges ; b, ouverture antérieure ; c, suture des loges; d, le commencement ou la base de la coquille; e , grandeur naturelle de la coquille. ZOOLOGIE. IT Fig. 10. PAVONINA FLABELLIFORMIS grossie, vue de profil, présentant la moitié de la coquille enlevée pour faire voir l'intérieur. Fig. 11. /d. grossie, vue de côté. a , supposition d’une loge de plus sur celles qui composent la coquille ; b, ouverture; €, sutures des loges. Fig. 12. /d., vue de grandeur naturelle. PI. 11, fig. 1. Texruraria AgIcuLATA grossie; vue de profil. Fig. 2. /d. coupée longitudinalement , afin de donner une idée de lenchevé- trement des loges dans le mode alterne. Fig. 3. Id. grossie , vue en face , montrant l'ouverture. Fig. 4. Id. grossie , vue en raccourci sur le dessus. a, l'ouverture placée alternativement d'un côté ou de l’autre de la coquille; b, sutures des loges ; c, loge supposée pour montrer le mode d’accroisse- ment ; d, grandeur naturelle de la coquille. Fig. 5. Vuzvuuina carreoLus grossie, vue de profil. Fig. G. Id. grossie, vue sur le côté. Fig. 7. /d. grossie, vue en raccourci sur le sommet présentant son ouverture en fente. Fig. 8. Id. grossie, coupée longitudinalement sur la largeur. a, ouverture en fente; à, sutures des loges; c, grandeur naturelle de la co- quille. Fig. 9. BiGenERINA Nonosaria (sous-genre, Bigénérine) grossie, vue de profil. Fig. 10. Zd. grossie, coupée longitudinalement, présentant , dans les loges de sa base, le mode d’accroissement alterne , et plus âgé que celui des Suchos- tègues. Fig. 11. Zd. grossie, vue de côté. Fig. 12. Zd., grandeur naturelle. a, ouverture centrale à l’âge adulte ; », sutures des loges à empilations simples; c, sutures des loges alternées. PL 12, fig. 1. Porymorpaina communs (sous-genre, Guttuline) grossie, vue de profil sur le côté bombe. Fig. 2. /d. grossie, vue de profil sur le côté aplati. Fig. 3. Id. grossie, vue en raccourci sur le dessus. Fig. 4. Id. Supposition pour le mode d’accroissement, montrant, au centre, une coquille dans la position de la figure 3, sur laquelle viennent se placer, 12 ANATOMIE ET. PHYSIOLOGIE ANIMALE, selon l'ordre des numéros , les loges figurées par des points, pour montrer qu'à tous les àges la coquille conserve la même forme. Les lettres & à c indiquent la succession des loges, en ordre invers de la suite de lettre , la marquant la dernière venue. L, ouverture supérieure ; /, grandeur naturelle de la coquille. Fie. 5. Porxmorpuna Gurra (sous-genre, Pyruline) grossie , vue de profil. Fig. 6. Id. grossie, vue en raccourci sur la partie inférieure. a bc indiquent la marche des loges dans l'ordre inverse de celui des lettres; d , l'ouverture; e, grandeur naturelle de la coquille. Fig. 7. CLavuriNa ANGuLARIS grossie, vue dans sa longueur. a, loges spirales de sa base; 2, les loges à empilation simple; c; les sutures des loges; d, l'ouverture supérieure de l'âge adulte; e, grandeur naturelle de la coquille. Fig. 8. UviceniNA PYGMEA grossie, vue d’un côté. Fig. 0. {d. grossie, vue de l'autre, a , l'ouverture ; b, grandeur naturelle de la coquille. Fig. 10. Burimina marGINATA grossie, vue du côté de l'ouverture. 5 a, ouverture, Fig. 11. /d. grossie , vue du côté opposé à louverture. Fig. 12. 74. Grandeur naturelle de la coquille. PI. 13, fig. 1. RosarinA cropuranIs grossie, vue en dessus, et fixée sur une branche de coralline qu’elle embrasse. Fig. 2. Le même individu grossi, vu en dessous, et masqué en partie par la branche de coralline. Fig. 3. Un autre individu grossi, vu en dessous ; et détaché du corps sur le- quel il était fixé. a , l'ouverture, Fig. 4. a, RosainE GLoBuLAIRE de grandeur naturelle fixée sur un morceau de coralline. Fig. 5. Carcamna Derrancn grossie, vue en dessus. Fig. 6. Id. grossie, vue de profil. Fig. 7. Id. Variété grossie , vue en dessous, montrant l'ouverture. a, Vouverture ; D, pointes des loges. Fig. 7 bis. Id. Grandeur naturelle de la coquille. Fig. 8. TRONCATULINA REFULGENS grossie, vue en dessus (par erreur citée pl. 4). ZOOLOGIE. 13 Fig. 9. TroNCATULINA REFULGENS grossie, vue de profil. Fig. 10. Jd. grossie, vue en dessous du côté fixe, et adhérente aux différens corps. a, l'ouverture , qui se continue sur la face inférieure de la coquille. Fig. 11.74. Grandeur naturelle de la coquille. PL. 14, fig. 2. PLanuzINA ARIMINENSIS grossie, vue en dessus ( par erreur citée pl.:5P Fig. 2. [d. grossie, vue en dessous. Fig. 3. d. grossie, vue de profil. a, l'ouverture latérale. Fig. 3 bis. Id. Grandeur naturelle de la coquille. Fig. 4. PLANORBULINA MEDITERRANENSIS grossie, vue en dessus ( par erreur citée rs QE Fig. 5. /d. vue en dessous sur la partie fixée aux différens corps. Fig. 6. /d. grossie, vue de profil. a , l'ouverture. Fig. G bis. Id. Grandeur naturelle de la coquille. Fig. 7. OrrncuriNa comPLANATA grossie, vue de profil (par erreur citée pl. 4). Fig. 8. Zd. grossie , coupée pour montrer le rapprochement des loges. Fig. 9. /d. grossie, vue en face. a , l'ouverture. g. 10, /d. Grandeur naturelle. PL 15, fig. 1. ANOMArINA PUNCTULATA grossie, vue en dessus ( par erreur ci- tée pl. 6). Fig. 2. /d. grossie , vue en dessous. Fig. 3. Id. grossie , vue de profil. a , l'ouverture semi-lunaire. Fig. 3 dis. Id. Grandeur naturelle de la coquille. Fig. 4. Cassiurina Lævicara grossie, vue de profil (par erreur citée pl. 6). Fig. 5. Id. vue en face. a, l'ouverture virgulaire qui alterne dans l'accroissement des loges ; Ÿ, la dernière loge venue, qui ne recouvre pas entièrement celle marquée €, qui est plus ancienne, Fig. 5 Zis. Id. Grandeur naturelle de la coquille. Fig. 6. Dexpairina ARBUSCuLA grossie , vue de profil ( par erreur citée pl. 6). 14, ANATOMIE ET.PHYSIOLOGIE ANIMALE, Fig. 7. Dexorrnina ArBuscurA grossie, vue du côté de la bouche. a, ouverture divisée en rameaux. Fig. 7 bis. Id. Grandeur naturelle de la coquille. Fig. 8. RoBuLINA ORBICULARIS grossie, vue de profil ( par erreur citée pl. 6). Fig. 9. /d. grossie, vue en face du côté de l'ouverture. a, l'ouverture. Fig. 9 bis. Id. Grandeur naturelle de la coquille. Fig. 10. NonionImA omBiricaTA grossie, vue de profil. Fig. 11. /d., vue en face du côté de l’ouverture. a , l'ouverture. Fig. 12. Id. Grandeur naturelle de la coquille. PL 16, fig. 1. BirocurinA Burroipes grossie, vue de profil; la loge, figurée avec des points, indique la supposition d’une loge de plus dans l’aceroisse- ment de la coquille, et l'ouverture , placée à la partie inférieure, qui devient supérieure. Fig. 2. /d. grossie, vue de face. Fig. 3. Id, grossie , vue en raccourci sur le sommet, montrant son ouverture et la supposition d’une loge de plus marquée par des points démontrant le pelotonnement sur deux faces opposées. Fig. 4. Id, Grandeur naturelle de la coquille. Fig. 5. TrizocuriNA rRiIGONULA grossie, vue de face. Fig. 6. Id. grossie , vue de face, montrant , par sa ligne de points, la supposition d’une loge de plus et le changement de place de l'ouverture. Fig. 7. Id. grossie, vue en dessus, présentant l'ouverture et une loge supposée par des points. Fig. 8. Id. grossie, coupée transversalement, dans laquelle on a réservé la co- quille telle qu’elle est dans la figure 7, afin de montrer qu'à tous les âges elle conserve la même forme, dans son pelotonnement sur trois faces dis- tinctes : l’on voit facilement , par la progression de la grandeur des loges, leur succession progressive. | Fig. 9. /d. Grandeur naturelle de la coquille. Fig. 10. QuiNQuELOCULINA sAxORUM grossie, vue en dessous. Fig. Fig. 12. /d. vue en raccourci du côté de l'ouverture. Fig. 13. Id. Coupe transversale, avec supposition de loges en points, pour montrer l'ordre de leur enroulement autour de l'axe, sur cinq faces opposées. 11. /d. grossie, vue en dessus, ZOOLOGIE. 15 Fig. 14. Quinquerocurina saxorum. Grandeur naturelle de la coquille. PL 19, fig. 1. AmpmisreGina Quon grossie , vue en dessous, avec ses divisions longitudinales partielles des loges. Fig. 2. Zd. grossie, vue en dessus, avec ses divisions longitudinales et transver- sales des loges. Fig. 3. Zd. grossie , vue de profil du côté de l'ouverture. Fig. 4. Zd. Grandeur naturelle de la coquille. Fig. 5. HererosreciNA pEPREssA grossie, vue de profil, montrant les divisions transversales des loges. Fig. 6. Id. grossie , vue en face du côté de l'ouverture. Fig. 7. Id. Grandeur naturelle de la coquille. Fig. 8. OrBicuzina NumismaLIS grossie, vue de profil. Fig. 9. Id. grossie, vue de face, montrant la multitude d'ouvertures qui cor- respondent aux petites cloisons transversales de la dernière loge. Fig. 10. /d. Grandeur naturelle de la coquille. Fig. 11. Aveorina Quorr grossie, vue de face du côté des ouvertures. Fig. 12. /d. grossie, vue en raccourci. Fig. 13. /d. Grandeur naturelle de la coquille. Fig. 14. FaBuLariA piscoLiTues grossie, vue de profil. Fig. 15. /d. grossie , vue en dessus, montrant ses petites ouvertures. Fig. 16. Id. grossie, coupée longitudinalement sur la face large, montrant ses divisions longitudinales en tuyaux. a , les ouvertures. Fig. 17. /d. Grandeur naturelle de la coquille. Description d’un Monstre humain né avant l'ère chrétienne, comparé à un pareil Monstre de l’époque actuelle ; et Considérations zootomiques et physiologiques sur le Caractère de ces Monstruosités , dites Anencéphales; sur l'Indépendance de forma- tion de chaque sexe, et sur l’'Existence de deux noyaux dans l'os basilaire; par M. Gsorrroy Sanr-Hinaire. ('T. VII, p. 357.) PL 18, fig. 1, 2, 3, 4. Anencephalus mumia. Fig. 1. Le sujet vu de face et assis. On lui avait donné l'attitude qu'a l'amulette n°. 5. On le voit bouche béante, les mains ramenées sur les cuisses , et Les pieds joints. L'ouverture , vers le haut du nez, fut pratiquée dans le dessein de pénétrer dans la boite crânienne et d’en extraire le cerveau; l'ouverture appuie réellement un peu plus sur la droite. L’œil droit était resté ouvert : 16 ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE ANIMALE ; le gauche avait la paupière abaissée, Mais la figure, qui n’a point été faite au miroir, montre ces circonstances de position autrement. Fig. 2. Le sujet vu par le dos. L’axe médian paraît canaliculé ; les Corps ver- tébraux ne sont point apparens en raison des tégumens qui les recouvrent k mais les apophyses latérales qui y correspondent se voient au contraire très- distinctement. En comparant ce qui est là avec les mêmes parties décou- vertes, fig. 7, on juge du rapport de ces pièces : toutefois, l'ouverture, Ce, entre les corps vertébraux , fig. 7, est une particularité exclusive à V4. per- foratus, et ne caractérise point V4. mumia. Les replis des parties inférieures tiennent aux enveloppes dans lesquelles le sujet a été enfermé et serré, Des cheveux se voient en cc. Fig. 3. Le sujet vu de profil. La partie qui suit l'oreille, et qui semble l’enca- drer, est formée du sur-occipital qui, chez les Anencéphales, est toujours renversé et écarté sur les côtés. La mâchoire inférieure fut abaissée et s’est maintenue dans cette position par des adhérences avec le pharynx : la bouche en est restée béante. Fig. 4. Derrière de la tête. ff, région frontale ; ce, quelques cheveux ; 224 , ré- gion cérébrale. Les tégumens, soit des parties postérieures, soit des anté- rieures , sont les méninges ramassées et repliées irrégulièrement. Fig. 5. Amuleute en grossière porcelaine, figurée de grandeur naturelle, On portait de ces amulettes au cou dans l’ancienne Égypte, comme sans doute, par continuation des mêmes habitudes, on a depuis porté des portraits et des croix : un anneau pour y introduire un ruban de suspension se voit der- rière la figure. Ainsi les amulettes, du genre de notre n° 5, étaient portées dans une intention religieuse. Il est remarquable qu’on ait placé le singe cy- nocéphale , ou l’'amulette, fig. 5, auprès de la Momie-Monstre ; c'était rame- ner ce sujet monstrueux parmi l'espèce humaine, d’où on l'avait en quelque sorte exclue par le choix de son tombeau. Aurait-on voulu par-là indiquer la provenance originelle de la momie, et d’ailleurs transmettre à la postérité qu'on ne voyait dans cette production absolument qu'un singe qu’auraient engendré des parens humains? Fig. 6 et 7. Anencephalus perforatus. Fig. 6. Profil de cet Anencéphale. « Sa bouche était béante, a dit le professeur Lallemand; ses yeux à découvert paraissaient gros et brillans, comme dans les Batraciens; sa tête, renversée en arrière, reposait sur ses épaules. » Fig. 7. Face crànio-dorsale du squelette. dd , maxillaires ; ee, nasaux; # , fron- taux ; 00, jugaux; gg, pariétaux; £', hyposphénal; vv, rochers; F", otosphé- ZOOLOGIE. nal; G, basisphénal; yy, sur-occipitaux; zz, ex-occipitaux; Ce, vide exis- tant entre les corps vertébraux de treize vertèbres, de six dorsales et de sept cervicales, constituant un spina-bifida complet ou la désunion des cycléaux, comme dans des Crustacés et des Insectes. p est l’'omoplate, et CC les côtes. A Nota. La séparation des pièces et G, ou des deux noyaux du basilaire, est un fait principal sur lequel j'appelle Pattention des anatomistes. Fig. 8. Pièces occipitales de l’Ænencephalus cotyla. F', otosphénal; G, ba- sisphénal; zz , ex-occipitaux. Fig. 9. Mêmes pièces du crâne de lPAnencéphale de Got. F, G, zz, comme ci-dessus. Nota. Cette figure est de grandeur naturelle; la précédente et la suivante ont été réduites à moitié. Fig. 10. Pièces occipitales de l’Anencephalus icthyoïdes. Fer G sont réunies par soudure, et composent ensemble, comme dans les cas normaux , un seul sous-occipital, un unique basilaire. RECHERCHES ANATOMIQUES sur les Carabiques et sur plusieurs autres Insectes coléoptères; par M. Léon Durour. ( Suite.) ('E. VIIL, p. 5.) PI. 19. Appareils des sécrétions excrémentitielles considérablement grossis. Fig. 1. Caragus AuRATUS. a, grappe des utricules sécrétoires ; à, canal eflé- rent ou uretère; €, vessie ou réservoir; d, canal excréteur ou urètre. Fig. >. CaraBus cANGELLATUS. a, grappe des utricules sécrétoires ou rein ; b, canal efférent ou uretère; c, réservoir ou vessie ; d, conduit excréteur ou urètre, Fig. 3. Bracmnus creprrans. a , grappe des utricules sécrétoires ou rein; d, ca- nal efférent; c, réservoir; d , conduit excréteur ou Bombe. Fig. 4. Poruon beaucoup plus grossie du canal efférent. Fig. 5. Apnnus nispLosor. a&a , grappes des utricules sécrétoires ; #44, canaux efférens; c , réservoir; d, conduit excréteur ou Bombe. Fig. G. Cywinnis auMErALIS. @ , grappe des utricules sécrétoires ; , canal effé- rent; C, réservoir; d, conduit excréteur. PI. 20. Appareils des sécrétions excrémentitielles considérablement grossis, Fig. 1. Cucænius verurnus. aa, arbuscule des utricules sécrétoires; 4, canal efférent; c, réservoir; d, conduit excréteur. 3 18 ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE ANIMALE, Fig. >. Cazænus vesrnirus. à , arbuscule des utricules sécrétoires ; D, canal aol: c, réservoir; d, conduit excréteur. Fig. 3. SÈRe PLANUS. @, arbuscule des utricules CN. b, canal effé- rent; €, réservoir; d, conduit excréteur. Fig. 4. Gararnus FuLvirEs. a, grappe des utricules sécrétoires ; D, canal effé- rent; c, réservoir; d, conduit excréteur. Fig. 5. SrenoPus MADIBUS. @, grappe des utricules sécrétoires ; à, canal effé- rent; C, réservoir; d, conduit excréteur. Fig. 6. Zasrus oBrsus. a, grappe des utricules sécrétoires; à, canal eflérent ; c, réservoir; d, conduit excréteur. Fig. 7. Nesria #RevICOLLIS. 4, grappe des utricules sécrétoires; D, canal eflé- rent; C, réservoir ; d, conduit excréteur. Fig. 8. Ouorarox rimsaruw. @, utricule sécrétoire; D, canal efférent; c, réser— voir ; d, conduit excréteur. Fig. 9. Brars Gicas. a, portion de l'abdomen ouvert en dessus ; 4, les deux vessies propres à cette espèce : elles sont entourées de replis vasculaires inex- tricables; c, dernier segment de l'abdomen. PL. »1, fig. 1. Région dorsale du corselet et de l'abdomen du Cararus AURA- TUS grossi, pour mettre en évidence les stigmates. a, Sügmate thoracique, qui est apparent par la soustraction de la moitié du corselet; bb, stigmates abdominaux. Æ, un sügmatc thoracique considérablement grossi, où l'on voit le duvet qui borde l'ouverture, B , un siüigmate abdominal considérablement grossi. Fig. 2. Un stigmate abdominal et une trachée correspondante grossis du même Carasus. On voit en & du tissu adipeux splanchnique , et en , les bourses adipeuses sphéroïdes, munies ou dépourvues de col. Fig. 3. Région dorsale du corselet et de l'abdomen du Dyriscus MARGINALIS grossi, pour mettre en évidence les stigmates. a, sügmate thoracique; bb, stig- mates abdominaux. Les deux dernières paires, plus allongées, sont placées près du bord antérieur de l'anneau dorsal, et non sur les côtés ; la dernière est, dans l’état ordinaire, tout-à-fait cachée sous l'anneau précédent, et abri- iée sous des poils dont É bord de celui-ci est garni; C, poruon basilaire d'une élytre redressée et renv ersée, de manière à laisser à découvert sa face inférieure, afin de mettre en évidence le eueilleron cilié qui s’y arücule ; dd , le bord latéral de l'anneau qui porte la seconde paire des stigmates ab- ZOOLOGIE. . dominaux est marqué, en dessous principalement , de fines stries perpendi- culaires à l'axe du corps , parallèles, serrées entre elles, et formant un léger relief, Cette structure particulière , qui n’est point mentionnée dans les ou- vrages d’entomologie , est analogue à celle qui existe dans plusieurs Orthop- tères ; elle est , comme dans ces derniers , destinée à produire la stridulation, qui est propre au Dytiscus lorsqu'on le saisit et qu’on l'inquiète. A cet effet, le bord correspondant de lélytre est tranchant , et il fait l'office d'archet, en râclant les aspérités de l’espace strié. Fig. 4. Un des derniers stigmates abdominaux , considérablement grossi, du Dyriscus MARGINALIS, afin de rendre évidente sa structure intime. Fig. 5. Premier stigmate abdominal considérablement grossi du Lucaxus cer- VUS. Fig. 6. Portion considérablement grossie de la peau dorsale de l'abdomen qui supporte les deux premiers stigmates de l'HAMATICHERUS HEROS. 4, stigmate pectoro-abdominal : il est plus grand, plus ouvert, et placé plus oblique- ment que les autres; son péritrème est garni intérieurement d'un duvet ve- louté brun qui, observé plus scrupuleusement au microscope, parait formé de pinceaux, de barbules, dont les soies sont simples ou rameuses; à, pre- mier stigmate abdominal : il est en bouton saillant , situé transversalement à l'axe du corps, et le bord de ses valves est garni d’un duvet de ‘poils simples. Fig. 7. Portion considérablement grossie de la peau dorsale de l'abdomen, qui supporte les deux premières paires de stigmates dans la Cassipa vrripis. Les stigmates abdominaux de ce coléoptère sont au nombre de cinq seu- lement de chaque côté et établis sur une plaque particulière noire, oblongue, bien circonscrite; ils sont ronds et entourés d’un péritrème simple, nu. PI. 21 Bas. Fig. 1. Organe pulmonaire considérablement grossi , logé dans la poitrine du PRIONUS FABER. @, sügmate placé entre le corselet et la poitrine : il est allongé en forme de navette, et son péritrème est garni de duvet; ?, autre stigmate logé profondément au devant de la hanche de la troisième paire de pattes ; ccc, sorte de parenchyme adipo-trachéen, qui accompagne les troncs pulmo- naires qui vont de l’un à l’autre de ces stigmates. Fig. 2. Système nerveux grossi du CArABUS AURATUS. 4, CETVEAU ; bb, nerfs op- tiques ; c, ganglion thoracique ; d, ganglion pectoral ; ee, ganglions abdo- minaux. . 20 ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE ANIMALE, Fig. 3. Tarse et übia considérablement grossis d’une patte antérieure du Har- PALUS RUFICORNIS mâle. &, bia vu par le côté interne, pour mettre en évi- dence l’échancrure qui le caractérise; , sinus qui forme cette échancrure : il est en partie fermé par une cloison cornée, et il se termine par une soie noire flexueuse ; c, ergot assez fort et constant, que les entomologistes ont cru à tort faire partie de l'échancrure tibiale : il sinsère à la face inférieure du übia et se dirige vers l'échancrure , qu'il déborde; d, articles du tarse vus en dessus : ils sont articulés entre eux par une tête orbiculaire. Indépendam- ment des poils dont ils sont hérissés , chacun d’eux , à l'exception de celui qui se termine par les ongles, a, à ses angles antérieurs, un piquant bien plus grand, et à son inférieur ou palmaire, deux pièces particulières que je décrirai bientôt. L’avant-dernier article est fortement échancré en cœur ; le dernier est allongé en massue : les crochets des ongles sont simples , c’est- à-dire dépourvus de dents, et on observe entre eux une petite languette ou pelotte oblongue e. Æ, un des articles du tarse énormément grossi, vu par sa partie inférieure et dégarni de tous ses poils, à l'exception des piquans qui terminent ses angles antérieurs, afin de metre en évidence deux pièces particulières ex- clusivement propres aux tarses antérieurs du mâle de ce Harparus , et qui paraissent destinés à s'appliquer et à se coller sur le corps de la femelle pour l'acte de la copulation. Chacune de ces pièces est allongée, et consiste en un axe traversé par des lames tronquées, plus ou moins parallèles entre elles : ces lames m'ont paru composées elles-mêmes de petites écailles étroitement imbriquées. Fig. 4. Tarse et tibia antérieurs fort grossis du CazÆNiUs vELuTINUS mâle. Le tibia est moins sensiblement échancré que dans d’autres Carabiques ; les trois premiers articles du tarse sont presque carrés et serrés entre eux ; l'avant-dernier est conoïde, échancré en croissant , et les angles de cette échancrure se terminent par quelques spinules divergentes. PB, un des premiers articles de ce tarse énormément grossi et vu en des- sous; il est bordé de longues soies, et garni d’un duvet épais, villoso-spon- gieux, formé de poils terminés par un petit bouton. Pig, 5. Tarse et tibia antérieurs fort grossis du SPHODRUS TERRICOLA mâle. Le bord antérieur et interne du tibia , ainsi que celui de la cloison cornée qui ferme en partie l’échancrure tibiale , Sont garnis de petites soies roides , rapprochées, uniformes , disposées , au microscope, comme les dents d’un peigne : l'ergot qui termine l'angle antérieur et interne du tibia est pointu et mobile. rh ZOOLOGIE. 21 C, un des articles intermédiaires du tarse considérablement grossi, et vu en dessous : il est garni et bordé de spinules assez courtes, distinctes et mobiles. Fig. 6. Paue postérieure grossie du Zonrris PRÆUSrA. Les cuisses postérieures et intermédiaires de cet insecte ont à leur base une appendice ou trochanter très-marqué, quoique moins détaché que dans les Carabiques. Le tibia se termine, à son angle interne, par deux épines , dont l’une est plus grosse et tronquée. D, un des crochets de l’'ongle considérablement grossi : il est denté en scie dans toute son étendue , et les quatre ou cinq dents qui avoisinent la pointe sont brusquement plus courtes; une soie simple, et de sa longueur, s'articule à sa base. Fig. 7. Vers intestinaux considérablement grossis , trouvés dans le tube alimen- taire de divers Coléoptères, et appartenant peut-être à un genre nouveau , voisin du Caryrornvzzus de Rudolphi. &, un de ces vers adulte, avec le su- çoir saillant et ouvert ; , le même, avec le suçoir contracté et fermé; €, le même , plus jeune, avec le segment antérieur moins marqué; d, le même ; plus allongé, et peut-être d’une espèce différente. Fig. 8. Ascams où Ficarta fort grossi, trouvé dans le tube alimentaire du Fo- MICUS TYPOGRAPHUS. Fig. 9. Acanus fort grossi, trouvé sur le corps de ce Touicus, et peut-être d'un genre nouveau. Essais anatomiques et physiologiques sur la Physionomie; par Cnarzes Berx. (T: VII, p: 245) PL 31, fig. 1. Des nerfs de la tête. Les deux classes distinctes de nerfs qui parcourent le visage sont repré- sentées sur cette planche; lun sert à donner la sensibilité, et l'autre aux mou- vemens du discours et de l’expression, c’est-à-dire aux mouvemens liés avec les organes respiratoires. On voit aussi sur cette planche les nerfs qui sont sur le côté du cou. Jai découvert que ceux-ci étaient des doubles nerfs, exerçant deux foncuons; ils dirigent la force musculaire et donnent la sensibilité à la peau. Outre ces nerfs de la moelle épinière réguliers qui sont pour les jouissances ordinaires , on à placé sur cette planche les nerfs du gosier : ces nerfs sont les moyens de sym- pathie qui lient les mouvemens du cou et du gosier avec les mouvemens des narines et des lèvres , non-seulement dans la respiration forcée , mais aussi dans l’expression de la colère. ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE ANIMALE, A, nerf resptrateur de la face, où plutôt portion dure de la sepuème paire. | a, branches montant à la tempe et aux côtés de la tête. b, branches qui fournissent aux paupières. c,id. qui vont aux muscles qui meuvent les narines. d, id. qui descendent sur les côtés du cou et dans sa partie antérieure. e, plexus cervical superficiel. ff; anastomoses formées avec le nerf cervical. g, nerfs du muscle du revers de l'oreille. B, Auitième paire, où paire vague, où grand nerf respiratoire. C, nerf respiratoire supérieur, où nerf accessoire de la moelle épiniere, D, neuvième paire, où paire linguale. E, nerf diaphragmatique. F, nerf sympathique. G, nerf laryngé. H,, nerf laryngé récurrent. 1, nerf glosso-pharyngien. 1. ANerf frontal, branche de la cinquième paire. >. Nerf maxillaire supérieur, branche de la cinquième paire. 3. Nerf maxillaire inférieur, branche de la cinquième paire. 4. Branches temporales , seconde division de la cinquième paire, 5. Nerf sous-occipital, premier nerf de la moelle épinière. 6. Second nerf de la moelle. 7, 8. Nerfs de la moelle, PI. 31, fig. 2. Des muscles du visage. Cette planche représente les muscles du visage , tels qu'ils paraissent dans une tête vue de face. Le sourcil est un des traits qui est le plus destiné à l'expression ; il existe de certains muscles qui y sont attachés et qui produisent ses divers mouve- mens et ses inflexions variées. AA , le muscle frontal. C’est un muscle mince, qui couvre le front et est attaché dans la peau sous le sourcil. Nous ne voyons pas ici tout le muscle, mais seulement une partie de ce qui est proprement appelé occipito-frontal. Le muscle occipito - frontal prend naissance sur la partie postérieure du cräne, sur les os temporaux et occipitaux, et s'élève sous forme de tissu charnu et fibreux; en devenant tendineux il couvre toutes les parties supé- ZOOLOGIE. 33 rieures du crâne, d’une membrane ou une feuille de tendon, et il se ter- mine dans le muscle antérieur, qui est représenté sur cette planche, BB , /e muscle sourcilier. C’est le second muscle attaché ou inséré dans le tégument sous le sourcil ; il s'élève de la partie inférieure de l'os frontal, près du nez, et s’insère comme je l'ai dit : il est couché presque transversalement , et son office est de lier et de tirer les sourcils ensemble. CC, muscle orbiculaire des paupières. H ÿ a un petit tendon dans l’angle intérieur de Fœil, qui serv de point d'attache pour ce muscle, son usage étant à la fois de le fixer à los maxillaire et de lui servir en quelque sorte d'origine et d'insertion. Entre les deux muscles orbiculaires et le muscle sourcilier, on aperçoit des fibres musculaires qui se prolongent de Poccipito-frontal sur le nez, et constituent le muscle pyramidal. Ce fascicule de fibres a une fonction dis- üncte, et sert à abaisser l'extrémité inférieure du sourcil. Ces quatre muscles servent à faire mouvoir le sourcil et à lui donner ses diverses expressions. Si c’est l’orbiculaire des paupieres et le pyramidal qui agissent, l'expression est la tristesse et l'abattement; s'ils cèdent à l'influence du muscle frontal, le sourcil est arqué et l'expression est gaie et vive; si le sourcilier agit, alors il y a plus ou moins de cette expression qui indique l'état pénible de la pensée; quand le front est ridé, que l'extrémité interne du sourcil s'élève, et que le frontal le contracte en même temps, l'expression indiquée est celle de la querelle et d’une faible inquiétude. Le front arqué et uni, terminé par la ligne distincte des sourcils, nous montre en caractères périssables, mais distincts tant qu'ils durent, la série entière des pensées , et souvent l’activité purement animale qui se trouve dé- ployée dans les mouvemens de la partie inférieure de la face acquiert, par cette expression, plus de force et de signification. Indépendamment de l’action des muscles, la masse de leurs fibres charnus donne un caractère à cette parüe de la face. Le sourcil d’Hercule manque d'élévation et de la forme qui marque l'intelligence; mais on peut observer une saillie musculaire sur le front, et autour des yeux, qui donne l'idée d’une force brutale, avec une expression sombre qui s'accorde avec la description que l’on trouve dans l'Iiade. Muscles des yeux. Je divise l’orbiculaire des yeux en deux muscles : la bande extérieure , charnue et circulaire qui entoure le bord de l'orbite, et la bande plus petite 12 +. ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE ANIMALE, de fibres pâles, qui est sur les paupières. Ces dernières servent à fermer les paupières ; mais le premier n’agit que combiné avec les autres muscles de la face pour l'expression des passions ou dans quelque cas d’excitation convul- sive de cette partie. Dans le rire, et lorsqu'on crie, le muscle extérieur, qui est le plus puissant , est en action ; c’est lui qui fronce la peau sur les yeux et enfonce le globe de l'œil. Dans l'ivresse, qui produit une sorte de paralysie momentanée , les pau- pières sont disposées à se fermer, et l'élévation forcée du sourcil oblige pour- tant d'élever la paupière supérieure ; très-souvent ces sourcils sont élevés inégalement, ce qui caractérise davantage cette expression. Ainsi, dans l’état d'épuisement causé par de longues souflrances, les pau- pières pesantes et couvrant à moitié la pupille, et le sourcil élevé, indiquent une grande faiblesse et beaucoup d’abattement. Muscles moteurs des narines. D, muscle qui naît de la mâchoire supérieure et descend pour s'attacher à la lèvre supérieure et à la narine ; après cela on lé nomme élévateur com- mun de la lèvre supérieure et de l'aile du nez : comme son nom l'indique , il sert à élever la lèvre supérieure et les narines. E, série de fibres qui comprime les narines : c’est le triangulaire du nez. L’abaisseur de l'aile du nez se trouvant placé sous lorbiculaire des levres, il prend naissance près de l’alvéole de la dent incisive, et se trouve inséré au cartilage mobile qui forme les narines. Ces trois muscles servent à étendre et à contracter l'ouverture des narines ; ils se meuvent de concert avec les muscles de la respiration , et par consé- quent le gonflement des narines indique une excitation générale de l’activité animale. L'expression des nariînes dilatées donne un air spirituel à l’en- semble de la physionomie : cela indique une préparation à l’activité dans toute la personne. Muscles des lèvres. F, élévateur propre de la lèvre supérieure. M nait de l'os de la mâchoire supérieure, près de l'orbite. Il est exclusivement destiné à la lèvre supérieure, et sert à l’élever. G, muscle canin. Placé sous le précédent , ce muscle est par cela même plus court ; il sert à élever l'angle de la bouche. H, muscle zygomatique. M est ainsi nommé parce qu'il provient de l’ar- ZOOLOGIE. 2 cade zygomatique ; il s’insère dans l’angle de la bouche. ILexiste quelquefois un muscle additionnel de ce nom, qui en est distingué : c’est le petit zygo- matique. Ces derniers muscles forment une série; ils élèvent la lèvre supé- rieure et l'angle de la bouche, de manière à faire voir la dent canine, même chez les hommes. Nous les trouvons très-forts dans les animaux carnivores, tandis qu'il n'existe pas de mouvement semblable dans les herbivores. Si ces muscles agissent en sens contraire des fibres circulaires des lèvres, l'expres- sion est triste et amère; mais s'ils sont influencés par l’orbiculaire des levres et l'orbiculaire des paupieres , et si le premier de ces muscles est relâché et l’autre contracté, la partie supérieure de la face prend ane expression ouverte, gaie et souriante. K, muscle orbiculaire des lévres. C’est un muscle circulaire qui forme la substance charnue des lèvres; il ferme la bouche, et lorsqu'il peut agir entiè- rement , il fait froncer les lèvres : c’est l’antagoniste des autres muscles qui viennent se fixer en grande partie dans les lèvres. M, le naso-labial, Ce muscle üre en bas le septum du nez, et appartient à la précédente série de muscles. N, muscle triangulaire des lèvres. C’est un fort muscle qui s'élève de la base de la mâchoire inférieure, et est inséré dans l'angle de la bouche. O, muscle quarré du menton, où abaisseur de la lèvre inférieure. P, muscles releveurs du menton. Ce sont des muscles petits, mais forts , qui naissent de la mâchoire inférieure, près des dents incisives , descendent et sont fixés dans le tégument du menton, de façon que par leur mouve- ment ils relèvent le menton et avancent la lèvre inférieure. Q, le buccinateur, est un muscle qui forme la partie charnue de la joue. Il sert principalement à mouvoir les alimens pendant la mastication, et est particulièrement développé dans les animaux herbivores et ruminans. Dans le gros rire il retient les lèvres. Il existe toujours des muscles propres à la mastication, mais c'est lors- qu'ils servent encore à l'expression et à la parole qu’ils offrent leur plus haut degré de perfection. Le muscle orbiculaire est particulièrement affecté dans les diverses émotions de l'âme; il tremble et se relâche dans le chagrin ; il est également relâché dans le sourire, Enfin, dans les pleurs , il est comme uraillé par la contraction de son antagoniste. La réunion de tant de muscles dans l'angle de la bouche produit la proé- minence charnue que lon remarque particulièrement chez les personnes qui ont le visage maigre et en même temps musculeux. Lorsque les joues sont 4 26 ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE ANIMALE, grasses et potelées, ce sont ces muscles qui produisent la petite fossette de la joue. L’angle de la bouche n'offre autant d'expression que parce que l’orbicu- laire et la série supérieure et inférieure des muscles qui y sont attachés pré- dominent dans le mouvement de la face. L'action simultanée des muscles triangulaire des lèvres et releveur du menton donne lieu à une expression particulière à l’homme. L’angle de la bouche abaissé et la lèvre arquée et élevée donnent l'expression la plus mé- prisante et la plus orgueilleuse. Le temporal est un muscle fort, fermant la mâchoire inférieure ; il est assisté par le muscle masseter (R), qui, placé sur le côté externe de la mà- choire inférieure, naît de l’arcade zygomatique et s’insère à l'angle de la mà- choire. PI. 3 et 33. Diverses modifications de la physionomie décrites dans le mé- moire. Drscnprion du Daim fossile d'frlande (Cervus megaceros }, du Muséum de la Societé royale de Dublin ; par M. Joux Parr, du Collége des Chirurgiens d'Irlande. (T. VIII, p. 380.) PI. 30, fig. 1. Squelette entier conservé au Muséum de la Société royale de Dublin, dessiné un peu de côté, afin qu’on puisse mieux voir la forme des bois. Il est réduit au quatorzième de sa grandeur naturelle. Fig. >. La tête isolée et moins réduite dans laquelle les différens caractères sont fidèlement tracés et qui montre la largeur des bois vus de face. On voit aussi dans celui-ci la forme singulièrement bifurquée du Sur-an- douiller, Fig. 3. Côte présentant un trou dû à un accident. Recaercres pour servir à l’histoire naturelle des Cantharides ; par M. Vicror Aupouin. CTIK Sp. 31) PL. 42, fig. 1. Lèvre supérieure ou labre de la Cantharide vésicatoire. Fig. >. Mandibule. a, dos de la mandibule; 4, échancrure du bord interne rempli par une membrane; c, apophyse articulaire. Fig. 3. La même mandibule vue en dedans, et montrant, a, le sommet qui est ZOOLOGIE. _27 une lame tranchante; 2, un tubercule, sorte de dent molaire; c, l'apophyse articulaire. Fig. 4. La mâchoire, 1,2, 3, 4, les quatre pièces de sa base, auxquelles il sera assigné des noms; a, les deux lobes connus des entomologistes; 4, le palpe. Fig. 5. La lèvre inférieure munie de ses deux palpes. Fig. G. Patte antérieure du mâle. a, le crochet unique qui clôt l’échancrure du premier article du tarse; b, il est fixé à la jambe; c, on voit à côté une figure très-grossie, montrant la forme du crochet et son insertion sur la jambe. Fig. 7. Insertion du crochet à la jambe, vue de face. Fig. 8. La même partie dans la femelle : il existe deux crochets. Fig. 9. Les deux derniers articles du tarse, avec leurs deux crochets terminaux, qui sont bifides. Fig. 10. Organes digestifs de la Cantharide. a; la tête : elle supporte des antennes de onze articles, des yeux, un cha- peron transversal, et les parties de la bouche qu’on peut voir supérieure- ment , le labre, les mandibules et les palpes des mâchoires; 4, l'æsophage; c, le ventricule chylifique ou l'estomac; ddd, les canaux biliaires, au nombre de six, et ayant une double insertion à la base de l'estomac et à l'intestin; e, intestin; f, cœcum; g, rectum; 4, dernier anneau du ventre. Nota. La fig. 10° montre toutes ces parties de grandeur naturelle et avec leurs proportions relatives. Fig. 11. Portion des canaux biliaires excessivement grossie et montrant, dans son intérieur, une quantité de petits amas de matière grumeleuse. Fig. 12. Portion antérieure de l'estomac excessivement grossie et ouverte pour montrer, D, la terminaison de l’œsophage qui se prolonge en un tubercule valvulaire; c, la structure de la membrane intérieure qui est plissée de manière à offrir des sillons transversaux parcourus par de nombreuses trachées. Fig. 13. La valvule de l’œsophage vue de face. - Fig. 14. Portion postérieure de l’estomac et origine de l'intestin, vues à l'inté- rieur; €, estomac ; dddddd, les six canaux biliaires ayant leur insertion entre six petits corps réniformes, ee, qui constituent une valvule pilorique; aa", sil- lons longitudinaux qui partent tou jours au nombre de deux de chaque pe- ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE ANIMALE , it corps réniforme; #", sillon longitudinal partant toujours entre chaque corps © LA valvulaire. Fig. 15. Les mêmes corps valvulaires avec leurs sillons longitudinaux désignés par les mêmes lettres que dans la figure précédente. aa’ etc., sont les corps réniformes desquels partent les doubles sillons longitudinaux. On remarque que les sillons intermédiaires 44° se prolongent indéfiniment ; en effet, on les voit encore dans le cœcum, où ils sont plus prononcés. Fig. 16. Système nerveux d’un individu mâle. a, le cerveau; à, l'ouverture pour le passage de l'œsophage; 1, 2,3, 4, 6, 7, 8, les ganglions liés entre eux par un double cordon nerveux et four- nissant un nombre infini de nerfs. Le premier ganglion est placé dans le cer- veau , les deuxième, troisième et quatrième sont situés dans le thorax. On a représenté, par des lignes ponctuées, les pièces cornées qui les supportent (les entothorax }, les ganglions suivans occupent l'abdomen. On a représenté de profil les sixième, septième et huitième ganglions, qui ont une forme particulière; c, portion de l'organe copulateur; d, portion du canal déférent commun. Nota. On observe, entre le troisième et le quatrième ganglion, un ré- trécissement qui indique l'entrecroisement remarquable des œufs vers ce point. PI. 43, fig. r. Organes générateurs mâles. aa, les testicules; 46, les canaux déférens; cc, cc, cc, ce, les quatre paires de vésicules séminales ; 4, le conduit spermatique commun; €, por- tion du canal intestinal renversée; f, dernier anneau du ventre. Fig. 2. Portion des mêmes organes, vue sous la face opposée, pour montrer l'in- sertion des deux vésicules séminales supérieures. Fig. 3. Abdomen d’une femelle ouvert par sa partie supérieure , et montrant les parties les plus importantes à observer. aaaa, ete., sont les trachées naissant de sept paires de stigmates; 2, les deux hanches de la dernière paire de pattes du thorax; c, l'estomac; d,, l'in- testin qui se replie en coude et aboutit à l'anus. On voit à sa gauche la vési- cule séminale, et de chaque côté les ovaires. Fig. 4. Organes générateurs d'une femelle vierge. aa , les ovaires recouverts par une infinité de tubes; ?, la vésicule sé- minale qui reçoit l'organe du mâle et la liqueur spermatique : ici cette vé- sicule est vide, la femelle n’ayant pas eu l'approche du mâle; dd, deux è ZOOLOGIE. #4 glandes sébacées ; e, portion du canal intestinal renversé; , dernier anneau du ventre. Fig. 5. Un des ovaires ouvert. On voit tous les tubes qui le composent, et une vaste cavité qui est le calice de l'ovaire; une infinité de petits cercles s’aperçoivent à sa surface; ils correspondent à l'insertion de chaque tube ovigère. Fig. 6. Un des tubes ovigères isolé : il paraît biloculaire. Fig. 7. Organes générateurs dans une femelle qui a eu l'approche du mâle. Les mêmes lettres désignent les mêmes parues. La vésicule séminale, €, est de- venue opaque; elle renferme l'organe du mâle et la liqueur spermatique. Fig. 8. Un des tubes ovigères dans une femelle qui a pondu. Ce tube est dis- tendu et n'offre plus de loges; on voit dans son intérieur une petite masse ovulaire qui n’est pas un œuf, mais un amas de matière grumeleuse. Fig. 9. Le même ovaire vu à l'intérieur; il offre une singularité curieuse; cha- que petit cercle qui était clos par une membrane est ici percé par un trou; ces trous ont servi au passage des œufs. | Fig. 10. Un des trous isolé . Fig. 11. Amas d'œufs. Fig. 12. Deux œufs isolés, vus de face et de profil. OsservaTIONS sur La Structure et le Développement des Plumes ; par M. Frépéric Cuvier. (T. IX, p. 113.) PI. 44, fig. 1. Plume entièrement formée présentant ses diverses parties; &, le tube corné; à, la tige à sa face interne; c, les barbes; 4, barbes avec bar- bules; e, ombilie inférieur; J:.ombilic supérieur. Fig. 2. Capsule productrice d’une plume de Hocco de grandeur naturelle; 4, om- bilic inférieur; b, ligne moyenne. Fig. 3. Capsule de plume de Hocco ouverte, qui montre , en a, les parois de la gaine renversées ; en à, une portion de la membrane striée externe ;en c, les barbes reployées ; en d, la membrane striée interne , et en e, la partie inférieure du bulbe, Fig. 4. Capsule de plume de Hocco ouverte et montrant, en &, le bulbe revêtu de la membrane striée interne, excepté en à, où cette membrane a été en— levée. Fig. 5. Capsule de plume de Hocco ouverte; a, bulbe dépouillé de sa mem- brane striée; b, filets noirs naissant du bulbe et se prolongeant sur les barbes, Comme si elles en étaient formées. 30 ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE ANIMALE, Fig. 6. Le bulbe de la capsule précédente détaché de la plume et renversé de manière à montrer sa partie inférieure; b, portion moyenne correspondant à Ja face interne de la tige et produisant la matière spongieuse; a, les ailes produisant la matière cornée de la face interne de la tige. Fig. 7. Coupe d’une capsule de la plume de Hocco, des fig. 8 et 9. Fig. 8. Bulbe d’une plume de Hocco composé de membranes coniques qui s'emboîtent les unes dans les autres. Fig. 9. Le bulbe précédent dont les membranes ont été débarrassées des ma- tières qui les remplissaient, et qui font voir leurs rapports et la formation dun canal continu dans le centre. Fig. 10. Plume de Marabou dont le tube et une partie de la tige sont ouverts, et qui montrent en a le bulbe terminé par un cône, 4, lequel est surmonté par un cône membraneux, c ; que suivent deux autres cônes, e; sur la face in- terne de la tige se trouvent cinq autres cônes membraneux (f) qui ne tien- nent au premier que par l’ombilic supérieur. Fig. 11. Autre plame de Marabou dont le tube et la tige sont ouverts dans toute leur longueur, et qui a pour objet de montrer de quelle manière les cônes membraneux du tube et de la tige, e et g, communiquent avec les cônes membraneux extérieurs ; f, cette communication se fait par le cône, c, qui s’introduit entre la matière spongieuse et la matière cornée en dd , et vient sortir par l’ombilie supérieur en d..…. Fig. 12. Deux cônes membraneux vus en dessus et en dessous, d, auxquels sont encore attachés des restes de membranes transverses. Descrierion d’un nouvel Oiseau du Bengale, queM. C. J. Temminck a nommé Dromas ardeola ; par M. Dupoxr aîné. (T. IX, p: 184.) PL. 45. Dromas ardeola Temm. réduit. Les détails de la tête et d’une des pattes sont de grandeur naturelle. Recuercmes sur l'Organisation de quelques espèces d'Oxyures et de Vibrions; par M. Awr. Ducis, Professeur à la Faculté de Montpellier. (T. IX, p. 225.) PL. 47, fig. 1. Oxyure ou Ascaride vermiculaire femelle grossi (longueur natu- relle, 4 lignes); sa demi-transparence laisse voir le canal alimentaire, l’ovi- ducte; la vulve laisse sortir les ovules. Fig. ». Vibrion du vinaigre femelle ( grandeur naturelle, 1 ligne); il laisse voir aussi ses œufs et son canal alimentaire. Fig. 3. Oxyure du crapaud (0. brevicaudata) femelle (4 lignes de longueur na- ZOOLOGIE. 371 turelle }; son canal alimentaire et son oviducte se dessinent fort bien à travers la peau. Fig. 4. Vibrion de la colle femelle ( grandeur naturelle, = de ligne). Fig. 5. Oxyure microscopique trouvé dans un scarabée nasicorne. Fig. 6. L’Oxyure vermiculaire dont la tête est séparée; le canal alimentaire et l'oviducte sortent du corps. Fig. 7, 8 et 9. Parties supérieures, moyenne et inférieure de l'Oxyuris brevi- caudata ; le canal alimentaire et l’oviducte sortent par des blessures. Fig. 10. Vibrion de la colle, blessé vers la tête et le milieu du corps, pour faire sortir le canal alimentaire et l'oviducte; le premier s’est rompu, le deuxième est entier. Fig. 11. Vibrion femelle vierge, blessé vers le milieu du corps; les mêmes par- ues sortent par la plaie. Fig. 12, 13 et 14. Différentes formes de la tête de lOxyure vermiculaire. Fig. 15 et 16. Id. de la bouche des Vibrions. Fig. 17. OEsophage, estomac et intestin de lOxyure du crapaud ( O. brevi- caudata ). Fig. 18. Mèmes parties de l'Oxyure de l’homme (©. vermicularis). Fig. 19, 20 et 21. Mêmes parties du Vibrion du vinaigre ( 19) et de la colle (20,21). PL. 45, fig. 22. Fin du canal alimentaire et de l'oviducte du Vibrion de la colle: les tégumens ont été séparés par un coup de scalpel. Fig. 23 et 24. L’anus du même. Fig. 25. Portion d'intestin avec les globules qu’il renferme. Fig. 25 bis. La vulve du même Vibrion très-grossie. Fig. 26 et 27. Même partie après l'accouchement. Fig. 28. Fin de l’oviducte avec ses ovules, chez TOxyure vermiculaire. Fig. 29. Repli inférieur de l’oviducte chez l'Oxyure du crapaud. Fig. 30 et 31. Fin de l’oviducte chez le Vibrion de la colle; un fœtus le re- pousse jusque dans la queue (31). Fig. 32. Portion d’oviducte du Vibrion du vinaigre irrégulièrement con- tractée. Fig. 33. Tête et chapelet d’ovules du Vibrion de la colle. Fig. 34. Ovule d'Oxyure humain très-grossi. Fig. 35. OEufs de l'Oxyure du crapaud; on y voit le fœtus roulé en spirale ; quelques-uns sont doubles ou triples sous une seule enveloppe. 32 ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE ANIMALE, Fig. 36. Fœtus naissant du même ver (grandeur naturelle, 1 ligne). Fig. 37. Ovule tiré du chapelet d’un V'ibrio glutinis très-grossi. Fig. 38. OEuf plus avancé du même, ; Fig. 39. Disques de colle fermentés ressemblant aux œufs des Vibrions. Fig. 40. Wibrio glutinis pleins de fœtus à terme; lun d'eux sort par la vulve. OUT De: Fig. 41. Mèmes fœtus très-grossis; on y voit deux chapelets d’ovules non fé- condeés. y Fig. 42 etW3. Canal spermatique du brio glutinis mâle... Fig. 44 et 45. Id du l’ibrio aceti. ns A :êo ou Fig. 46. Pénis du même. ab 2slwdo Fig. 47. Rectum du même. j no Led À Fig. 48. Tronçon du même; il en sort le canal spermatique,eu l'intestin. Fig. 49 et 5o. Le même coupé en deux; mêmes objets, 16e Wb sfudec [D 91: Fig. 51. Deux Vibrions du vinaigre accouplés. VA -HIOLEIVE Fig. 5. Bartsia viscosa. )\ 23) GV22L : BOTANIQUE. à a, capsule vue face: b, disque; c, base du calice; d capsule vue de côté; e, reste du pistil; f, sügmate vu de face; p, Rs. die coupe verti- cale a une loge; 4, coupe horizontale; ?, graine vue par-dessous; 4, la même vue de côté; /, anthères vues TT es Fig. G. Name fœtens. TA a, capsule jeune; b, disque; c, capsule plus avancée; d, disque oblitéré; f, capsule avec deux sépales, Miténee septicide; g, placenta garni des po- dospermes seulement; 4, graine bordée d’une membrane très-transparente ; i, embryon; #, même graine considérablement grossie. x si ch MémomE sur mile des::Bruniacées ; par M: Avozpne BRONGNIART. (È VIT, V omis, HET) f. | 2 no vides Ca : PL. 35, fig. Le _Berzelia lanuginosa Nob. a, rameau de grandeur naturelle; 4 une des écailles du réceptacle; 4”, la même, vue de profil ; B, fleur entière; D, pétale; £', coupe fagrudiailé d’une FRA ; F, étamine; F , anthère vue par-derrière; G, pollen; Æ, coupe longitudinale d’un fruit avorté; 7, coupe longitudinale d'un ovaire fertile; Æ, coupe transversale du même, in- diquant les rapports de position des diverses parties de la fleur; Z, fruit entier; M, coupe longitudinale d’un fruit fertile et de la graine qu'il ren- ferme. Fig. 2. Brunia pinifolia Nob. a, rameau de grandeur naturelle; B, fleur en- üère ; D pétale ; E° coupe longitudinale de la fleur; “Æ, étaminé; @, fruit coupé Tongitudipalement; H, graine; 7, la même, coupée INA - ment; À, coupe transversale de la fleur montrant les'rapports de position des divers organes. A! 1823 P1. 36, fig. 1 ie nodiflora L. a, capitule de fleurs de grandeur naturelle ; B , fleur entière; C, division. du calice; D, pétle; £ , coupe longitudinale d’une fleur; F', étamine; F”, anthère vue de face; 7°”, la même vue par-der- vière; G, fruit entier; Æ, coupe longitudinale d’un fruit dont les graines sont avortées; /, le même, coupé transversalément; Æ, coupe transversale de l'ovaire; L,, coupe RAR du même; M, graine avortée; NW, fruit feriile coupé LU O, coupe de la graine; e, em- bryon. hi à Fi L Fig. 2.4Staavia radiata Thunb. a, rameau de grandeur naturelle; 4, une des écailles du réceptacle; 2 , une fleur entière; €, division du calice; D, pé- 38 ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE VÉGÉTALE, tale; £', coupe longitudinale de la fleur; F°, étamine vue par-devant; F, la même vue par-derrière; G, style et stigmate; A, fruit entier; 7, une des coques ouvertes; À, les deux coques coupées longitudinalement avec les graines; L, coupe transversale de l'ovaire; H ,ovule; N, graine; ©, la même coupée longitudinalement; P, embryon. PL 39, fig. 1. Raspalia microphylla Nob. a, rameau de grandeur naturelle; B, fleur entière; C, calice entier et développé; D, pétale; Æ, étamine; F', coupe longitudinale de la fleur; G, fleur dont on a enlevé le calice; ÆZ, la même dont on a détaché trois des pétales pour montrer leur insertion et celle des étamines. Fig. 2. Berardia paleacea Nob. a ,rameau de grandeur naturelle: 2, fleur en- üère avec les trois bractées qui A C; une des Raese du ca- lice; D, pétales unis vers la base; £, étamine dhudnte aux pétales; F, pis- ül coupé longitudinalement. Fig. 3. Linconia alopecuroides Swartz. a, fleur entourée de:ses bractées; 2, la même dont on a enlevé les bractées; €, pétales; D, étamine vue de face; D’, la mème vue par-derrière; Æ, coupe longitudinale de la fleur; F, coupe longitudinale de l'ovaire, parallèlement à la cloison; G, coupe lon- gitudinale perpendiculaire à la cloison; #4, fruit imparfaitement mûr; I, ovule. PL 38, fig. 1. Audouinia capitata Nob. À , fleur entière; 2, coupe longitudi- nale de la fleur; C, pétale; D, étamine vue de face; D’, la même vue par-derrière; £, coupe transversale de l'ovaire; F', coupe longitudinale de l'ovaire; G&, ovule. Fig. ». Titimannia lateriflora Nob. À, fleur entière; 2, coupe longitudinale de la fleur; C, pétale; D, étamine. HAS Fig. 3. T'hamnea uniflora Soland. a, rameau le grandeur naturelle; 2, fleur entière; C, coupe longitudi- nale de la fleur; D, pétale; Æ, étamine vue de face; £°, la même vue par- derrière; Æ£”, la même vue de profil; F, coupe longitudinale de l'ovaire; G, coupe de la colonne centrale avec les ovules qui y sont attachés; 7, coupe transversale de lovaire. Moxocrarme des Globulaires ; par M.J. Camvessènes. PL. 40. GLoruraria sinosa Ê Nob. de grandeur naturelle, BOTANIQUE. % 1. Fleur vue de ché. 2. Corolle ouverte, dont le tube a été coupé transversalement au-dessus de sa base. 3. Calice vu de face. 4. Calice et ovaire coupés longitudinalement. 5. Anthère non ouverte vue en dessus, avec son filament. 6. Id. vue en dessous. 7. Anthère en état de déhiscence. PI. 41, fig. 1. Grosurama voréams Linn. 1. Fleur vue de côté. 2. Corolle entière. 3. Corolle ouverte dont le tube a été coupé transversalement au-dessus de sa base. LAS 4. Anthère non couverte, vue en dessus, avec son filament. ÿi Id. - vue en dessous. 6. Ovaire. 7. Calice et ovaire coupés longitudinalement. 8. Fruit. 9. /d. coupé longitudinalement. 10. Embryon séparé de ses enveloppes; cotylédons écartés artificielle- ment. 1r. Foliole de linvolucre. 12. Paillette du réceptacle. Fig. >. GrosurartA OnIENTALIS Linn. de grandeur naturelle. 1. Fleur vue de côté, 2. Folioles de l'involucre. 3. Fruit. 4. Id. coupé longitudinalement. OsseRvATIONS sur deux nouveaux genres de Plantes ; par M. Desvaux , Directeur du Jardin de Botanique , à Angers. (T. IX, p. 4or.) PL 51. Caconrxum Trusircorum Desv. fo ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE VÉGÉTALE, BOTANIQUE. Osservarions sur la famille des Légumineuses ; par M. Desvaux, Directeur du Jardin de Botanique , a Angers. ('T. IX, p. 406.) PL 52. DeLaARIA ovaLtroLIA Desv. PI. 53. DerariA pyrtroLia Desv, 114101411402 AAA AE IAA AD RAA I UN AU AAA RU LL LD LL N MINÉRALOGIE ET GÉOLOGIE. Sur la Constitution géognostique et les Gites métalliferes du Cornouailles et du Devonshire ; par MM. Durrexoy et Eur DE BEAumoNT, Ingénieur des Mines. (T. VIT, p- 199.) P1. 7. Carte géologique de l'extrémité sud-ouest du Cornouailles , dessinée d’a- près la carte géologique de l'Angleterre de M. G. B. Greeznouex. PI. 8. Plan et coupes des divers filons métallifères du Cornouailles. PL 9. Plan des filons d’étain de la mine de Polgooth. Lrinérane céocnosrique de Fontainebleau à Chäteau-Landon , et Composition du sol de la plaine de Château-Landon ; par M. le vicomte Héwcarr-FerranD , Docteur en Médecine. ('T. VIT, p. 54.) PL 22. Carte géologique des environs de Nemours à Château-Landon. PL. 23. Essai d'une coupe géologique des Gautiers à Soupes par Ghâteau-Lan- don et la My-voie. Essai d'une coupe géologique du port Cretet, sur le canal du Loing à Bu- leau , par Mocquepois et Brusel. De L'Arxose. — Caractères minéralogiques et Histoire géognostique de cette rocke ; par M. Azex. Broxeniarr, de l'Académie royale des Sciences, Professeur de Mine- ralogie au Jardin du Roi. (T. VII, p. 113.) PL 25, fig. 1. Coupe du terrain d’Arkose de Remilly, entre Dijon et Vitteaux, par M. Pareto. , vallon du ruisseau de la Belle-Fontaine; 4, granite; B, Arkose ; MINÉRALOGIE ET GÉOLOGIE. fa m, marnes argileuses , et c, lits de calcaire compacte; €, calcaire à gryphées arquées; m, marnes; D, calcaire blanc jurassique ; À, village de Remilly ; T', iélégraphe. Fig. 2. Rapport des Arkoses , du psammite et du calcaire, route de Mercuer à Aubenas. À, terrain d'Arkose; a, lits argileux verdâtres et rosâtres; d, Arkose commune et granitoïde; €, psammite sableux micacé, fissile; d, Arkose granitoïde ; e, Arkose miliaire; 2, calcaire sublamellaire jaunâtre; C, brêche calcaréo-quarzeuse ; D, calcaires compactes divers. Fig. 3. Colline au S.-O. du village de Mercuer. D, calcaire compacte gris de fumée métallifere ; à, pont sur le vallon de séparation des deux collines; c, fond du vallon, dont les deux rives sont formées de granite vers le bas, et d'Arkose vers le haut; 4, granite ; #,, ter- rain d'Arkosés et de psammites ; D, route de Mercuer à Aubenas. Querques Osservarions sur les Trilobites et leurs Gisemens ; par le comte G. DE Rasoumowsk x. (T. VIII, p. 186.) PL. 28, fig. 1. Zrilobite de T'zarsko-Sélo, près Pétersbourg, complètement étendu. Fig. >. Le même replié, vu antérieurement. Fig. 3. Le même vu postérieurement. Fig. 4. Variété du Calymène de Blumenbach de Podol, près Prague. Fig, 5. Autre Trilobite de Tzarsko-Sélo. Fig. 6. Portion du chaperon d’un Trilobite détaché, et montrant sa surface in- férieure. Fig. 7,8 et 9. Post-abdomen du Trilobite à rebord. Fig. 10. Bouclier d’une nouvelle espèce de paradoxide. Fig. 11. Nouveau genre de Trilobite. PL. 29, fig. 1. Orthocératite. Fig. 2. Anomie sphéroïdale. Fig. 3. Hystérolite, Fig. 4 et 5. Urne de Neptune vue sur ses deux faces. Fig. 6 et 7. Corps organisé fossile se rapprochant des encrinites. Fig. 8. Espèce d'Alcyon fossile? connu sous le nom de Boules de pierres Fig. 9..Carrière (de pierres de Tzarsko-Sélo, dont les couches horizontales sont couvertes d'éboulemens dans une partie de leur profondeur. HA LÀ :otios13 ÇX somisimo'l-sllod sl sovuur ub aolisr6 43 MINÉRALOGIE ET GÉOLOGIE. Ÿ a , couches de calcaire plus ou moins marneux, et souvent sablonneux et coloré; 4, couches d'argile schisteuse colorée. Fig. 10. Coupe d’un escarpement des bords de la Koscheleva; &, couches de schistes argileux-bitumineux brun horizontal; 2, couches de sable jaune plus ou moins sulfureux, qui interrompent les précédentes; €, lignes ponctuées figurant les couches & masquées par la terre et la végétation, supposées re- paraître, comme cela a lieu de lautre côté des couches, feuilles ou crin b, dans une position un peu différente. d Fig. 11. Coupe comparative des formations secondaires de la Livonie, d'après Fischer. Fig. 12. Coupe des couches arquées de Pan des escarpemens de la Koscheleva , près Paulovok. Cet escarpement est composé d'un calcaire gris blanchà- tre, séparé par des couches argileuses, et interrompu par des fentes nom- breuses. Fig. 13. Escarpement au-dessus de la Koscheleva, près Paulovok, en partie re- couvert d’éboulemens, et dont les couches, en général assez tendres, sont brisées et morcelées. a, calcaire marneux et sablonneux, dun gris clair; #, couches beaucoup plus minces d'argile schisteuse rouge; €, pierre sablonneuse coquillière dure et pyriteuse, semblable à celle de Tzarsko-Sélo; d, sable durcit, jaunâtre ou verdâtre; e, pierre sablonneuse jaune, quelquefois sulfureuse; f, sable fort dur, jaune comme le précédent; g, schiste argileux-bitumineux; 4, le même, très-ferrugineux; £, sable vert; £, terre végétale. Fig. 14. Carte des bords du lac Ladoga. Toute cette partie aa de la côte occidentale du lac Onéga doit être de grès fouge ou vert très-ancien, reposant sur la brèche siliceuse. bb, promontoire d'environ vingt verstes (plus de quatre lieues et demie de France) de longueur, à sept verstes (deux lieues) de Petrozavodok , entièrement composé de brêche siliceuse comme l'archipel c de Kiege, où se trouve l'ile. de Wolkootrof, dont cependant la grande île d montre un marbre salin. Sans doute la brêche siliceuse du promontoire 4b, que l’on voit former le fond du lac, près de Petrozavodok, constitue aussi la masse des pro- montoires e et f, et peut-être une partie de la rive orientale du lac. MINÉRALOGIE ET GÉOLOGIE. 43 Mémome sur de nouvelles Variétés de Chaux carbonatée et d'Argent sulfuré du Mexique ; par M. S. M. ne Busramenre. (T. VIII, p. 205.) PI. 30, figures de ces variétés de chaux carbonatée et d’argent sulfuré. Sur quelques Fossiles du grès bigarré; par M. Garrzannor , D.-M., Membre de plusieurs Sociétés savantes. ( T. VIII, p. 286.) PI. 34. Coquilles du grès bigarré de Domptail. Fig. 1, 2,3 et 4. Coquille voisine des trigonellites de Schlotheim.; Fig. 5 et6. Coquille voisine des Donaces ou des Solens. Fig. 7 et8. Grande coquille turriculée ressemblant aux phasianelles. Fig. 9. Autre espèce voisine de la précédente. Fig. 10 et 11. Natices? appartenant peut-être à deux espèces différentes. Fig. 12. Coupe du terrain de grès bigarré qui renferme les coquilles précédentes à Domptail, département des Vosges. Exrrarr d'une Lettre de M. Jouanxer, de l'Académie de Bordeaux , à M. ALExANDRE Broxéxiarr, Professeur de Minéralogie au Jardin du Roi. (T. IX, p. 188.) PI. 46. Coupe du plateau de Terre-Nègre, près Bordeaux. À, sable où gravier analogue au calcaire grossier; P, argile brunâtre re- présentant l'argile plastique; CDE , falun gris ou bleuâtre, renfermant des coquilles, des madrépores, etc., et qui paraît analogue à la craie. Nore sur la Caverne à Ossemens de Banwell, dans le Sommersetshire ; par M. Berrrann-Gesuix. (T. IX , p. 196.) PL. 46. Plan et coupe de la caverne de Banwell. Note sur la Présence de deux genres de Pachydermes Chœropotame et Palæotherium, dans les bréches de Sète (Hérault) et de Villefranche-Lauraguais (Haute-Garonne): par M. Mancez pe Serres. ( T. IX, p. 191.) PL. 46, fig. 1. Cinquième ou sixième molaire inférieure de Palæotherium. Fig. 2. Septième molaire inférieure de Palæotherium. Fig. 3. La même molaire vue latéralement. Fig. 4. Canine supérieure de Palæotherium. Fig. 5. Coupe de la même canine. Fig. 6. Troisième ou quatrième molaire tuberculeuse de CAæropotame. FIN DE L'ATLAS POUR L'ANNÉE 1826. \ | ] \ PERS À, / lie. p.3. Fio. Leylant del A 4 Zérchphenent des lAthtes, OÂS ; Lérehppencnt 2 Jactnes. Xpouyo CAUIID A Ce pour lo OR . #0 4 [4 # mn 2 pur] | FA P9))294N}DU : 4 É 9p L UU 6 *CIUIID A GA Jour o NV) É , 1 (JC 2P purhen — 5 T Revues pe _ ss | 7 RE . 77 9 $u 1 8 ni Z Ul / LUZ ‘2))0.270U *2f" SAP UUET nn des 7e Hal FT. V7 9 CRAN ES DE PATPLOIURS PETREL 2. 27 'OCCLCAT EX LE Lessoruat Garn SSON. Mure. des Hat! 27 L'Gaerini près Martin DÉPLACEMENT D'UN REIN ET DE L'ARTERE RENALE ILE «Ann des Le LLTLELRES Fig. 4. — — 1 Zrp Liz der Né Æg:1..183 . MEMBRES POSTÉRIEURS DE DIVERS SERPENTS Fig: /1..1/6.0S HYXOÏDE DE L'ANOLIS LINEATUS. =" Nord Con ee Cross ?2t he 4e le : se hloputh et de Disllage 72 ee. erpentine À Roches schérleuses Alta dérpentine el TXXX4 Euphotide NoX XX Cranvache D dateaire Ann. des des natur. Jüme VI . = — Re — RS — s Nord l CARTE GÉGLOGIQUE RTS L — ( ” — , cu l'octroi € AE ucot RSS SE TF0 DÜ CORNOUAÏLLES . D ms SE mme ee ee Se D— LR ps 3 Pr =| Dessinée d'après la Carte géologique de l'Angleterre © S $ | nr) | re AE PÉEE7. — = \ / Grave par Berthe, rue S! Jacques N° 66. Editeur d'une Nouvelle Carte LEurope en deux: féutlar. il CE ie —" 0 DRE # NT Fe = POTIR banc Landi-Lud 22% 14 PT £ RS | GE À \ A qe À \ ol } na NEC UC ; , “'ADNVNNVAUIL 9P SUY VI op odno ) 9 81 "MOVUVHUVD 9P ou v] 2p odno y :z Gi, "SHEIEVIIONE OC) IE SNO'TIA ILLAHM 9P OUI VI 9P UV 6 H'IOUIVAS 2 P SU VI 9p odno ) °Q y AMIAÔS-TLNN 9p ouf vpop uetq Sr] TA PUY PAT 2 PP Up EG UT JE F8 ps = — ge éomgé | Hs ra ht à stef eéaie RE ee = san 4 DEN 990 song pe ons pag nd sang Er SIP réa MU PISE LA LTES72/2 DUT A2 Là ANSE ST 7 F0) um } sspous omd BE 7 : pe at 2h02 LT 2777020771 D] “212 : 74 AE, p 0 - og pe sur Er L'on node 1 4 L4H3}HO ) SA) UO1} 22} 7 A NO HANOZ O0E * yonob}o, T4 puy ar'A SE Er "LEGO HE ENFIT V'E EC NEW SNO'FRE S'HŒ NV'Id 6 c = 2 : ms 74 VD. de à de dd, a Bb. 5 Li Dh dés cat AT. E Guérind/ apres dérégqa {à LÉérl COQUILLES DE CÉPHALOPODES oraneniferes. 4 Q A COS 70 SES VO 0 2 dcéstiniéé L ET 7 | ge, “om JS 27 Guecrin, d'apres d'Orbigny Lithade TN L COQUILLES DE CEPHALOPODES Foramenderes ’ - , L ; { | | £ < : { ï i ; . ' (2 î : sn © « = sn. x h: " # T0 #' e À { F p à En : (4 € : à ! 1 É ï { ù | $ : 'ETE À 4 Lea : Û fonte \ F * ' + a A p \ ü | au L 0 É : ï #E En = T: . F \ ñ 3 - 7 ie : e L L ti Li _ ù + Li { : ; re :. =. : ; ce L À à 7 S td | 308 dés Se: nat T > à Ve E Guérin = COQUILLES DE CEPHALOPODES Lrnanuuferes Æ Guérin. d'après D'oréign V2 COQUILLES DE CÉPHALOPODES. Foraminifères . Léth le EN ea PIS OP 0 CON | ph À NOTE le an pi ot MS Et ” r NT pt des Hlinces natures, À. . LA 17274 Ê' Guérin d'apres D'Or COQUILLES DE CEPHALOPODES foraméinitéres 14 À‘ RS. ‘8 È à dt LES AT MALE NE > ; +" UE ST OR ne nr LÀ — nn des Ze AT PA Z'énérn d'après L'OrEgny. : COQUILLES DE CEPHALOPODES. Léraménères. L'éés Dé DÉ S an 2 | re pins: à NAS Snn.des Le: Mal. TT. Lig.d Fi9.9 FGuertn d'après d'Orbiqn COQUILLES DE CÉPHALO PrODES. , f'oranu L Jess" 2uféres. Luerin d'après d'Orbigny. Ânn des 72 al. 7 COQUILLES DE CEPHALOPODES. PForamviniferes. Zmp:Litètder Mel. D'UN I TL TRE LOT, ER h. nat ENT , _ r . Ann. des M fab Ts en — — fig: 2 0 il 7 d Far * ‘sn A 2 \\ 2 ; à (a 2 RUE % \ à ci Pa pi Tete ee, £ 7 « « Ÿ 24 C4 ARE P Ti À h >] AT Xb #Æ A 5 VX Æ { 1e SF © | s ÈS , ( gti 4 ANENCEPHALES. Fig. 12.34, An. mama 5 Anuildlé. À, 7, «Art pérroradis. SN, 0.10. bastlaters F9 . Énndes se Nat TT. 2 À = | = | 2 4 =. Inp:Lith:de Bove Leon Dafrur del ORGANES SECRETEUR S, des /nsectes Coleo )pLÈT'ESs # ; F ne Pr T'AS Van ne Pl 20 à. a LAURE Ve . x ) Æig-2 ee VAS Nc. sis ANNE = XX nf 7” N ÉPAE €; La: <8 C 1 à PR #7 \ -Æg:4 mp Lich de Bove dirige par Hit a C* ORGANES SECRETEURS, des 1nstètes Coleopteres. Ann des Se Naur. Lom. 6. « 70 _Æ d 24. AR En 7 À Amp Uk deBere Lriyee pareViil ane ver Crganes de lu resptralion des tnsecles Cléopleres : * Annal derst. Nat Tm:8. mp lith de Beove dirigée par Noel aine CE LETES. Vs ansecles Cole des Organes diers re ja PESTE RES PR 4 4 rie : L . | . H L n 1! t « | è : | | î L #6 d . | = l + | ‘ = . _ CT 7 A ï | : 1 ï | 1 b : | . # ï 3 | Ann. des Se. naturelles TT. PI “sé ° Bonnetault NORD Rs « À vemours CARTE GEO LOGIQUE des Environs ES L" En | Puiselet © ji H à J : Téligraphe ) Es‘ Pierre d# À DE NEMOURS a Chateau - Landon. Gnavée par Berbe sd L$ | Ÿ dj { WE po TU | € rate Cal è pe à Fromencsau | , © ; F Fay Crés et sable Ra l ane. ru v4 "4 4 Poudinque HA 2 £ Caleaire d'eau douce 4 | 4 Î 2 Es ë | l'E , il R } Corbeval » AZ L* ( | Quenonville © 2 1e 5 AN | la Madelaine 2% \ | =, ° F4 \ (za Bougligny © Zéyree PT Tee, | 3 os Er a, / © Maisoncelle £ / R | ° F Pu P Tiersenville F4 F \ Besigre S oup es . Chausepots 0 mr de Varennes di (henouteau Ze Mÿ-Voye o “= o < larenn ” J a Le Mouceat À. Le Men e °« Pi A Houtny ‘ Chenou { 3 à / | _ S RSS ù NS Cercanceau . o à | à sd TS à | reminville Ps. Mexinorll EAP Re NS Neronville PE. Zi, _— ; \ z graphe D Heurtebira Le Château-Lando Fe # à Lau ; « Va o G IN Le À | © = la, are S De sifouvent & 1 NS ° 2 à Fer Î | \ L Wésev ile # 34 À CE Casson 5 D US 2 de Pont © À | è 4 1 NS £chelle + de 10,000 metres. 1000 500 5 6 7 8 9 10,000. | o 1 2 5 4 5,000. Je, naturelles TL! 6. PL 23. 7 14 £SSAI DUNE COUPE GEOLOGIQUE des Gautiers à Soupes, Pa Chateau - Landon. et la My -Voye, suwant la ligne d'ntervecton À B. (rare B8%Ga Plaine de Chateau -Landon. Grès et Sable Prudinque . Ke El pl Caleaire d'eau douce À | \ 45%00 Vale du Susan, à Chäteau-Lantenh \ N 68762 Canal du Long, a Joupes. ER —- , eos: D - + 7 er a à Î Zchelle des lonqueurs.o "702 pour pulle metres. 147 Ga La Seine’, a J'tMamert . Q 1000 2000 5000 4000 5000 Wa Zchelle des hauteurs.o "Too peur metre. — 0 10 20 50 0 5o 6o 20 £5 ao 100 Wetres. Dan S'aine au Pont de lx Tournelle à Paris : d L Les Cautiers Pateau -Landon la My-Voye ZT 2722 + = ESSAI D'UNE COUPE G£ÉOLOGIQUE du Port Cretet sur le Canal du Loing à Puleau, par Mocquepois et Prusel, , ‘ D . D9772777707e la ligne d auterseclion € #4, . 88262 Pfune de Chakbau-Landon . Plaine” de Mocquepors. Vallon de Menil à Brusel. ko ®62 Canal du Long, a Port Crete. Lehelle des longue ur. 0 "P" 02 pour nulle metres. 1000 oo k Ha EE — — É 4 Ga Jos 1 SH o 1000 2000 3000 4000 5000 M4" 147 02 J'emne à J'! Mamert. È té oo 50 Echelle des hauteurs.o "oo pour mêtre . 1 + — = o 10 20 30 4o 50 6o 7° 8o 90 100 Meter Da la Seine: au Pont de la Tournelle à Paris. e 2 —— 0 —— ——— - ? Hs se Canal du Lien Gravée par Berthe, Rue JE Jacquer, N°66 . Puloau 3; TP ps Bruel Mcguepon = un Loing LR LA des Jrtenc.nalureles T. ®. AN ENS , < , » ÿ. ’ Anatomie CoOoMmparece des Cranunees , "SVNAGNV Œ S'AUX HLINVYH9O A4 LA ASOMNHV'T AU AHIVONIVO AU NOLLISOd A4 S'LHOdAN 4 NA ere per md néunp ‘20 1 VIT dus pense mmnsm ne ; É 4 S Le. : CA ÿ = E Analyse de la fur de diverses Téroriques . Analyse des fleurs de divers genres de Lersonees ae k el de Rlunanthacees. dl ef f. des Le Va. _ 22 74 TRILOBITES CRE >» DEC a a æ a æ « a æ æ a Lors Litk da Dove dirrgée par Noel asné À 0 Letey lect s LE Lt A : 4 Cris organise feifuen ge accomfea nent les Cnilofiles sgana Lay CAL coupe dei ronches ere A, renferment 4 HO AERE û LT ps ‘ =— apart reet CACET Sr > 7 Pen er LAS II — En, El ANR ER EE CESR = k NE De À es + « pa : x tan, ét NWVUAE ù Versw er, ‘ { Ne Nr ex RNe D à ON + “ : LT \ x ” Û | ; in vrah pi % Na ".. * ter qu" LATINE SNS —— KR Û ce, SC? à CU Fe ES <> F > Fes | oo y PRE 4 3 HD) PJ? 771 2 9 PDA C2 CP) PE à : : cèx ER 1 0 enr proprand mÉap mog pe yrr De eg TP ONE" EL en … LL IPUNTT A. 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