AU e EN APS ru te Le RENE CNE 5 1972 Li — 22 cs ANNALES SCIENCES NATURELLES. ATLAS. ‘ EE — IMPRIMERIE DE GC. THUAU, SUCCESSEUR DE FEUGUERAY; RUE DU CLOÎTRE SAINT-BENOÏT, N° 4e ANNALES DES SCIENCES NATURELLES. Par MM. AUDOUIN, An. BRONGNIART er DUMAS. ANNÉE 1826. ATLAS DES TOMES 7, 8, 9, Cou “enoun. 53 plauchet…. F P ED 09 9 (@ O0 9 = — PARIS, CGROCHARD, LIBRAIRE-ÉDITEUR, CLOITRE SAINT-BENOIT, Ne 16, ET RUE DE SORBONNE, N° 3. Pr. TABLE DES PLANCHES COMPRISES DANS LES TOMES 7; 8, O9» PAR ORDRE DE NUMÉROS. TOME SEPTIÈME. 1, fig. 1. Branche de saule avec ses lenticelles et les racines qui en sortent. Fig. 2. Coupe longitudinale d’une tige et d’une racine qui en sort. Fig. 3. Substance vésiculaire qui recouvre lorigine des racines avant leur développement. Fig. 4. Tissu des spongioles qui termi- nent les racines. 2. Branche de saule dont la partie inférieure est plongée dans un liquide coloré en rouge , et dont la partie supérieure , plongée dans de l’eau pure, donne naissance à des racines colorées en rose, ( Voyez la description de cet appareil, p. 21.) 3, fig. 1, 2, 3. Crâne de Papou de l'ile de Rawack. Fig. 4, 5, 6. Grâne d'un autre Papou de la même ile. 4. Perrez DE Lesson, Procellaria Lessoni Garnot. 5. Enfant né avant terme, dans lequel on observe le déplacement d’un rein et de l'artère rénale. 6, fig. 1-13. Membres postérieurs de divers serpens. Fig. 14-16. Os hyoïde de l’Axoris LINEATUS. ) 7. Carte géologique de l'extrémité sud-ouest du Cornouailles. 8. Filons du Cornouailles. 9. Plan des filons d’étain de la mine de Polgooth. 10, fig. 1, 2, 3. Nonosaria Lævicara. Fig. 4, 5 , 6. Noposarra LAMELLOSA. Fig, 9, 8. Mancinvzina Rapnanus. Fig. 9. PLanurarra CymBa. Fig. 10, 11. PavoniNA FLABELLIFORMIS. | 11, fig. 1, 2, 3, 4. Texrurarra acrcurara, Fig, 5,6,7,8. Vurvuuna CapreoLus. Fig. o, 10, 11. Bicenerina Noposarra. 12, fig. 1, 2, 3, 4. Porymorpxina comuunis. Fig. b, 6. Porymonpina , Gurra. Fig, 7. CLavuzina ancuLams. Fig. 8, 9. UviceriNA PYGMEA. Fig. 10, 11, 12. BurimiNa MARGINATA. 13, fig. 1,2, 3, 4. Rosauina cLosuzanus. Fig. 5, 6, 7. Cazcarina DErran- cn. Fig. 8, 9, 10, 11. TRONCATULINA REFULGENS. ; 6 TABLE PI. 14, fig. 1, 2, 3. Pranurina armmiINensis. Fig. 4, 5,6. PLANORBULINA ME- DITERRANENSIS. F8. 7, 8, 9, 10. OPERCULINA COMPLANATA. 15, fig. 1, 2, 3. Anomarina puxcrurara. Fig. 4, 5. Cassinurina LæÆvi- GATA. Fig. 6, 7. Denpririna Arsuscura. Fig. 8, 9. RoruziNA orgr- cuLaris. Fig. 10, 11, 12. NontonIMA oMBiLicarA. 16, fig. 1, 2,3, 4. Brrocurina Burrornes. Fig. 5,6, 7, 8, 9. Trirocurina TRIGONULA. Fig. 10, 11, 12, 13, 14. QuiNQUELOCULINA SAXORUM. 17, fig. 1, 2,3, 4. AwpmisreGina Quorr. Fig. 5, 6, 7. Hrrerosrrcina DE- PrEssA. Fig. 8, 0, 10. OrBicuriNA Numismatis. Fig. 11, 12, 13. Ax- VEOLINA Quorr. Fig. 14, 15, 16, 17. FagurarrA niscoriTHes. 18. AnexcépnaLes. Fig. 1,2, 3, 4. AnexcéPnaze Momie. Fig. 5: Amu- letie. Fig. 6 , 7. ANENCÉPHALE pERFORE. Fig. 8, 9, 10. Os basilaires. TOME HUITIÈME. 19 et 20. Organes sécréteurs des insectes. . 21. Divers organes d'insectes. 22, 23. Carte et Coupes géologiques des environs de Château-Landon. 24. Anatomie comparée des Graminées. 25. Rapports de position du calcaire , du granit et de l’arkose près d’Au- benas. 26. Analyse de la fleur de diverses Véroniques. 27. Analyse de la fleur de divers QoUE de Personées et de Rhinanthacées. 28. Trilobites, 29. Corps organisés fossiles qui accompagnent les Trilobites, et coupe des terrains qui les renferment. 30. Formes nouvelles de chaux carbonatée et d'argent sulfuré. 31. Anatomie du système nerveux de la tête et du cou et des muscles de la face chez l’homme. 32, 33. Altérations diverses de la physionomie humaine. 34. Coquilles fossiles du grès bigarré. ° 35, fig. 1. BerzeriA LanuGINosa. Fig. >. BRuNIA PINIFOr IA. 36, fig. 1. BrunrA NontFLora. Fig. 2. STAAVIA RADIATA. 37, lg. 1. Rasparra micropuyza. Fig. 2. BeranDia PALEACEA. Fig. 3. Lan- CONIA ALOPÉGU ROÏDEA. me Ê 1S] DES PLANCHES. 7 PI. 38, fig. 1. AupouIniA caprrara. Fig. 2. TirrmanNiA LATEMFLORA. Fig. 3. THAMNEA UNIFLORA. 39. Daim fossile d'Irlande. TOME NEUVIÈME. Ao. GLOBULARIA SPINOSA. 41, fig. 1. GLoBurarIA vuLGARIS. Fig. 2. GLOBULARIA ORIENTALIS. 42, 43. Anatomie des Cantharides. 44. Anatomie des Plumes, sous le rapport de leur développement. 45. Dromas ARDEOLA, nouvel oiseau du Bengale. 46. Coupe géologique observée aux environs de Bordeaux. Plan et coupe de la caverne à ossemens de Banwell ( Sommer- setshire). Ossemens fossiles observés dans les brêches osseuses du midi de la France. 47, 48. Anatomie des Oxyures et des Vibrions. 49. Nicornoé ou Homarn, ÂVicothoë Astaci, nouveau genre de Crustacé. 5o. Anatomie élémentaire des tissus animaux. 51. CALODRYUM TUBIFLORUM, nouveau genre de la famille des Éricinées. 52. DELARIA OVALIFOLIA. 53. DeLarIA PYRIFOLIA. TABLE DES PLANCHES RELATIVES AUX TOMES 7, 8, 9, PAR ORDRE DE MATIÈRES. A VV VU LULU LE LU UUL UV LULU LUV LEVEL LEVVUL LL UE ULE LULU AUTUAVUUULL VALVE UE TELL EVULUS ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE ANIMALE, ZOOLOGIE. Osservarions sur la Constitution physique des Papous qui habitent les tles Rawvack et Vaigiou ; par MM. Quoy et Gaimarn. (Tom. VIE, p. 27.) PL 3, fig. 1,2 et 3. Crâne de Papou de l'ile Rawack, vu en dessus, de face et . de profil. : Fig. 4, 5 et 6. Crâne de Papou de l'ile Rawack, vu en dessus , de face et de profil. Remarques sur la Zoologie des iles Malouines, faites pendant le voyage autour du monde de la corvette la Coquille , exécuté en 1822 , 1823, 1824 et 1825 ; par M. P. Ganvor, Chirurgien-major de expédition. ('F. VIT, p. 39.) “e P1. 4. Perrez Lesson, Procellaria Lessont. Nove sur le Déplacement d'un rein dans un enfant né avant terme , et sur quelques Particularités du système vasculaire qui en étaient résultées ; px M. Marrin, Elève de l'École pratique. (Tom. VII, p. 85.) PI. 5. — N°. 1, 1. Artères diaphragmatiques. — N°. 2. Artère cœliaque. — No. 3,3, 4. Artères capsulaires. — N°. 5. Artère mésentérique intérieure. — N°. 6. Artère rénale droite. — N°. 7. Artère rénale gauche. — N°.8. Ar- tère rénale gauche supplémentaire. — N°. 9. Artère sacrée moyenne. — N°. 10. Uretère gauche. — N°. 11. Recitum. — NS. 12, 12. Artères ombi- licales. — N°. 13. Rein gauche. — N°. 14. Vessie urinaire. — N°. 15. Veine cave. — N°. 16. Rein droit. — Ne, 17. Uretère droit. — N°. 18. Veine rénale droite. — N°. 19. $ du colon. — N°. 20, 20. Testicules. ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE ANIMALE , ZOOLOGIE. 9 Sun les Membres postérieurs des Ophidiens ; par M. le docteur Mayer, Professeur à Bonn , Membre de l'Académie des Curieux de la Nature. (T. VIL, p. 170.) PI. 6, fig. 1. Exirémité postérieure du Boa constrictor , sur laquelle on a en- levé les tégumens et les muscles sous-jacens ; savoir, le muscle peaucier, les muscles inter-costaux externes et internes, et le muscle de l'abdomen, pour laisser voir à découvert le membre postérieur en entier. a,anus; b, crochet du côté gauche; c, muscle sous-cutané ; d, côtes et museles inter-costaux; e , muscle transverse de l'abdomen; f; os de la jambe enveloppé de ses muscles ; # , muscle abducteur du pied; 2, muscle adduc- teur du pied. Fig. >. Système osseux du membre postérieur gauche du Boa scytale , vu an- térieurement (vu en dessous ou en dehors). a, übia; b, os externe du tarse; c, os interne du tarse; d, os du mé- tatarse, avec son apophyse au milieu ; e, ongle ou crochet. Fig. 3. Le même, vu postérieurement ( intérieurement ). Les mêmes lettres indiquent les mêmes parties. Fig. 4. Système musculaire de l'extrémité postérieure du Boa constrictor, vu extérieurement. , a, muscle long extenseur du pied; b, muscle fléchisseur du pied; c, muscle abducteur du pied ; d, muscle adducteur du pied. Fig. 5. Le même, vu intérieurement. a-d, comme dans la figure précédente; e, muscle court extenseur du pied. Fig. 6. Extrémité postérieure du Tortrix rufus. Fig. 7. Id. du Tortrix scytale. Fig. 8. Id. du T'ortrix corallinus. Fig. o. Id. de l'Anguis fragilis. Fisro Id. de l'Amphisbæna alba. Fig. 11. Id. de l’Amplusbæna fuliginosa. Fig. 12. Id. du Coluber pullatus ( variabilis ). Fig. 13. Rudimens de pieds du Scheltopusik ( Lacerta apoda), vus en dessous. a, dernière vertèbre du dos; à, dernière côte ; c, rudiment osseux du pied; d, seconde vertèbre caudale, à laquelle se fixe l’osselet du pied. To ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE ANIMALE, Onrsenvarions swr la Structure du gosier du genre Anolis ; par Taowas Becz. (E. VIT, p.191.) - PI. G, fig. 14. Os hyoïde de l'4nolis lincatus , vu inférieurement. Fig. 15. Le même, vu latéralement , dans l’état de repos. Fig. 16. Le même porté en arrière , de sorte que l’appendice cartilagineux pos- térieur est courbé.. Tascéau méruonique de la classe des Céphalopodes ; par M. Dessauines D'Onniexy. (T. VII, p: 96 et 245.) PL. 10, fig. 1. Noposarra Lævicara (sous-senre , Glanduline) grossie, vue de profil. Fig. 2. /d., coupée en deux pour faire voir le recouvrement des loges et leur mode d’accroissement. a montre la supposition d’une loge de plus dans l'accroissement de la co quille ; 8, l'ouverture supérieure ; c, point de suture des loges entre elles ; d,, la coquille de grandeur naturelle. Fig. 3. Zd. vue en raccourci sur le sommet. Fig. 4. NoposariA LAMELLOSA (sous - genre, Nodosaire) grossie, vue de profil. Fig. 5. /d. grossie, vue en raccourci sur le sommet pour faire apercevoir l’ou- verture et la saillie des lames. ; Fig. 6. Id. coupée longitudinalement, montrant la succession des loges sur un même plan, comparé aux Glandulines. a, Supposition d'une loge de plus; ?, ouverture supérieure paraissant dans la coupe; c, point de suture des loges; d, grandeur naturelle de la co- quille. Fig. 7. Marcinurina Rapnanus grossie, vue de profil. Fig. 8. Id. coupée longitudinalement. a, supposition d’une loge de plus; 2 , ouverture supérieure et marginale ; c, point de suture des loges ; d, commencement de la coquille, montrant déjà un indice de spirale ; e , grandeur naturelle de la coquille. Fig. 9. Id. grossie, vue de profil. a; loge supposée pour démontrer la superposition oblique des loges ; D, ouverture antérieure; e, suture des loges; d, lé commencement ou la base de la coquille; e, grandeur naturelle de la coquille. ZOOLOGIE. 17 Fig. 10. PavoniNA FraBrrtironms grossie, vue de profil, présentant la moitié de la coquille enlevée pour faire voir l’intérieur. Fig. 11. /d. grossie, vue de côté. a, supposition d’une loge de plus sur celles qui composent la coquille ; b, ouverture ; €, sutures des loges. Fig. 12. {d., vue de grandeur naturelle. PI. 11, fig. 1. TexTurarIA AcIcuLATA grossie; vue de profil. Fig. 2. so coupée longitudinalement , afin de donner une idée de l'enchevé- trement des loges de le mode alterne. Fig. 3. Id. grossie, vue en face, montrant l'ouverture. Fig. 4. Id. grossie , vue en raccourci sur le dessus. a, l'ouverture placée alternativement d’un côté ou de l’autre de la coquille; b, sutures des loges ; c, loge supposée pour montrer le mode d’accroisse- ment ; d, grandeur naturelle de la coquille. Fig. 5. Vue ULINA CAPREOLUS grossie, vue de profil. Fig. 6. Id. grossie, vue sur le côté. Mig. 7. {d. grossie, vue en raccourci sur le sommet présentant son ouverture en fente. Fig. 8. Id. grossie, coupée longitudinalement sur la largeur. a, ouverture en fente; b, sutures des loges; c, grandeur naturelle de la co- quille. Fig. 9. BicenenNa noposariA (sous-genre, Bigénérine) grossie, vue de profil. Fig. 10. {d. grossie, coupée longitudinalement, présentant , dans les loges de sa base, le mode d’accroissement alterne , et plus âgé que celui des Suichos- tègues. Fig. 11. d. grossie, vue de côté. Fig. 12. Îd., grandeur naturelle. a, ouverture centrale à l’âge adulte; D, sutures des loges à empilations simples; c, sutures des loges alternées. PL 12, fig. 1. Porymonpxina communs (sous-genre, Guttuline) grossie, vue de profil sur le côté bombhé. Fig. 2. Id. grossie, vue de profilsur le côté aplati. IE ig. 3. [d. grossie, vue en raccourci sur le dessus. Fig. 4. Id. Supposition pour le mode d’accroissement, montrant, au centre, une coquille däns la position de la figure 3, sur laquelle viennent se placer, 12 ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE ANIMALE, selon l’ordre des numéros , les loges figurées par des points, pour montrer qu'à tous les âges la coquille conserve la même forme. Les lettres & à c indiquent la succession des loges, en ordre invers de la suite de lettre , l'a marquant la dernière venue. /, ouverture supérieure ; f, grandeur naturellé”de la coquille. Fig. 5. Porxmorpmina eurra (sous-genre, Pyruline) grossie,, vue de profil. Fig. 6. Id. grossie, vue en raccourci sur la partie inférieure. a be indiquent la marche des loges dans l’ordre inverse de celui des lettres ; d, l'ouverture ; e, grandeur naturelle de la coquille. Fig. 7. Cravurina aNGuLARIS grossie, vue dans sa longueur. a, loges spirales de sa base; 2, les loges à empilation simple; c, les sutures des loges; d, l'ouverture supérieure de l'âge adulte; e, grandeur naturelle de la coquille. Fig. 8. Uvicenna PyGmrA grossie, vue d’un côté. Fig. 9. Id. grossie, vue de l’autre. a ; louverture ; 4, grandeur naturelle de la coquille. Fig. 10. Burmna mançinara grossie, vue du côté de l'ouverture. a, ouverture. Fig. 11. /d. grossie , vue du coté opposé à l'ouverture. Fig. 12. /d. Grandeur naturelle de la coquille. PL. 13, fig. 1. RosanNA crovuraris grossie, vue en dessus, et fixée sur une branche de coralline qu’elle embrasse. Fig. >. Le même individu grossi, vu en dessous, et masqué en partie par la branche de coralline. Fig. 3. Un autre individu grossi, vu en dessous , et détaché du corps sur le- quel il était fixé. a, l'ouverture. Fig. 4. a, Rosarine GLOBULAIRE de grandeur naturelle fixée sur un morceau de coralline. Fig. 5. Carcarina Derrancn grossie, vue en dessus. Fig. 6. Id. grossie, vue de profil. Fig. 7. 1d. Variété grossie , vue en dessous, montrant l'ouverture. a, l'ouverture ; 4, pointes des loges. Fig, 7 dis. Id. Grandeur naturelle de la coquille. k Fig. 8. TRONCATULINA REFULGENS grossie, vue en dessus (par erreur citée pl. 4). ZOOLOGIE. Fig. 9. TRONCATULINA REFULGENS grossie, vue de profil. Fig. 10. Id. grossie , vue en dessous du côté fixe, et adhérente aux différens Corps. a, l'ouverture , qui se continue sur la face inférieure de la coquille. Fig. 11. {d. Grandeur naturelle de la coquille. PL 14, fig. 1. PLANULINA ARIMINENSIS grossie, vue en dessus ( par erreur citée pl. 5). Fig. 2. {d. grossie, vue en dessous. Fig. 3. Id. grossie, vue de profil. a, l'ouverture latérale. Fig. 3 di Id. Grandeur naturelle de la Le Fig. 4. PLANORBULINA MEDITERRANENSIS grossie, vue en dessus ( par erreur citée pl. 5) Fig. 5. Id. vue en dessous sur la partie fixée aux différens corps. Fig. 6. Id. grossie, vue de profil. a, l'ouverture. Fig. G bis. Id. Grandeur naturelle de L coquille. Fig. 7. OPErcuLINA COMPLANATA grossie, vue de profil (par erreur citée pl. 4). Fig. 8. Id. grossie , coupée pour montrer le rapprochement des loges, Fig. o. 1d. grossie, vue en face. : a , l'ouverture. Fig. 10. /d. Grandeur naturelle. PL 15, fig. 1. ANOMArINA PUNCTULATA grossie, vue en dessus ( par erreur ci- tée pl. 6). Fig. 2. [d, grossie , vue en dessous. Fig. 3. Id. grossie , vue de profil. a , l'ouverture semi-lunaire. Fig. 3 bis. Id. Grandeur naturelle de la coquitle. Fig. 4. Cassipuzina LÆVIGATA grossie, vue de profil (par erreur citée pl. 6). Fig. 5. Id. vue en face. a, l'ouverture virgulaire qui alterne dans l'accroissement des loges; 5, la dernière loge venue, qui ne recouvre pas entièrement celle marquée €; qui est plus ancienne. Fig. 5 bis. Id. Grandeur naturelle de la coquille. Fig. 6. Dexnririna ARBUSCuLA grossie , vue de profil ( par erreur citée pl. 6). #k ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE ANIMALE , Fig. 7. Dexommna aruscuLa grossie, vue du côté de la bouche. ‘a, ouverture divisée en rameaux. Fig. 7 bis. Id. Grandeur naturelle de la coquille. Fig. 8. RosurinA orsicurans grossie, vue de profil (par erreur citée LL 6}; Fig. 9. Zd. grossie, vue en face du côté de l'ouverture. a, l'ouverture. Fig. o bis. Id. Grandeur naturelle de la coquille. Fig. 10. NonioniMA omBiricara grossie, vue de profil. Fig. 11. /d., vue en face du côté de ouverture. ‘a, l'ouverture, Fig. 12. {d. Grandeur naturelle de la Cole PI. 16, fig. 1. Birocuria BurLoImDEs grossie, vue de profil; la loge, figurée avec des points, indique la supposition d’une loge de plus dans l’accroisse- ment de la coquille, et l'ouverture , placée à la partie inférieure, qui devient supérieure. Fig. 2. {d, grossie, vue de face. Fig. 3. Id. grossie, vue en raccourci sur le sommet, montrant son ouverture et la supposition d’une loge de plus marquée par des points démontrant le pelotonnement sur deux faces opposées, Fig. 4. 1d. Grandeur naturelle de la coquille. \ Fig. 5. TaizocuriNA TRIGONULA grossie, vue de face. Fig. G. Id. grossie, vue de face, montrant , par sa ligne de points, la supposition d’une loge de plus et le mener de place de l'ouverture. Fig. 7. {d. grossie, vue en dessus, présentant l'ouverture et une loge supposée par des points. Fig. 8. Id. grossie, coupée transversalement, dans laquelle on a réservé la co- quille telle qu’elle est dans la figure 7 , afin de montrer qu'à tous les âges elle conserve la même forme, dans son pelotonnement sur trois faces dis- tinctes : l'on voit facilement, par la progression de la grandeur des loges, leur succession progressive. Fig. 0. /d. Grandeur naturelle de la coquille. Fig. 10. QuinquELocurINA sAxoRUM grossie, vue en dessous, Fig. 11. 1d. srossie, vue en dessus. Fig. 12. {d. vue en raccourci du côté de l'ouverture. Fig. 13. /d. Coupe transversale, avec supposition de loges en points, pour montrer l'ordre de leur enroulement autour de l'axe, sur cinq faces opposées. ZOOLOGTE. 1 Fig. 14. QuinquerocuriNa saxorum. Grandeur naturelle de la coquille. PL 17, fig. 1. AmpmisreGinA Quon grossie, vue en dessous, avec ses divisions longitudinales partielles des loges. Fig. 2. {d. grossie, vue en dessus, avec ses divisions longitudinales et transver- sales des loges. Fig. 3. Id. grossie , vue de profil du côté de ouverture. Fig. 4. Id. Grandeur naturelle de la coquille. Fig. 5. HererosreciNa perressa grossie, vue de profil, montrant les divisions transversales des loges. Fig. G. Id. grossie, vue en face du côté de l'ouverture. Fig. 7. 1d. Grandeur naturelle de la coquille. Fig. 8. OrBicuzinA NumIsMALIS grossie, vue de profil. Fig. 9. Id. grossie, vue de face, montrant la multitude d'ouvertures qui cor- respondent aux petites cloisons transversales de la dernière loge. Fig. 10. 1d., Grandeur naturelle de la coquille. Fig. 11. Arveorina Quou grossie, vue de face du côté des ouvertures. Fig. 12. /d. grossie, vue en raccourci. Fig. 13. /d. Grandeur naturelle de la coquille. Pig. 14. FapuLarta piscoztruEs grossie, vue de profil. Fig. 15. /d. grossie , vue en dessus, montrant ses petites ouvertures. Fig. 16. /d. grossie, coupée longitudinalement sur la face large, montrant ses . divisions longitudinales en tuyaux. a, les ouvertures. Fig. 17. {d, Grandeur naturelle de la coquille. Descriprion d’un Monstre humain né avant lère chrétienne, comparé à un pareil Monstre de l’époque actuelle ; et Considérations zootomiques et physiologiques sur le Caractère de ces Monstruosités, dites Anencéphales ; sur l'Indépendance de forma- tion de chaque sexe, et sur l'Existence de deux noyaux dans l'os basilaire; par M. Gsorrroy Sainr-Hizaire. (TT. VIE, p. 357.) PL. 18, fig. 1, 2, 3, 4. Anencephalus mumia. Fig. r. Le sujet vu de face et assis. On lui avait donné l'attitude qu'a l’'amulette n°. 5. On le voit bouche béante, les mains ramenées sur les cuisses , et les pieds joints. L'ouverture, vers le haut du nez, fut pratiquée dans le dessein de pénétrer dans la boîte crânienne et d’en extraire le cerveau; l'ouverture appuie réellement un peu plus sur la droite. L’œil droit était resté ouvert : 16 ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE ANIMALE, le gauche avait la paupière abaissée, Mais la figure, qui n’a point été faite au miroir, montre ces circonstances de position autrement. Fig. 2. Le sujet vu par le dos. L’axe médian paraît canaliculé ; les corps ver- tébraux ne sont point apparens en raison des tégumens qui les recouvrent , mais les apophyses latérales qui y correspondent se voient au contraire très- distinctement. En comparant ce qui est là avec les mêmes parties décou- vertes, fig. 7, on juge du rapport de ces pièces : toutefois, l'ouverture, Ce, entre les corps vertébraux , fig. 7, est une particularité exclusive à l_4. per- foratus, et ne caractérise point 4. mumia. Les replis des parties inférieures tiennent aux enveloppes dans lesquelles le sujet a été enfermé et serré. Des cheveux se voient en cc, Fig. 3. Le sujet vu de profil. La partie qui suit l'oreille, et qui semble l’enca- drer, est formée du sur-occipital qui, chez les Anencéphales, est toujours renversé et écarté sur les côtés. La mâchoire inférieure fut abaïissée et s’est maintenue dans cette position par des adhérences avec le pharynx : la bouche en est restée béante. Fig. 4. Derrière de la tête. ff, région frontale ; cc, quelques cheveux ; 24, ré- gion cérébrale. Les tégumens, soit des parties postérieures, soit des anté- rieures , sont les méninges ramassées et repliées régulièrement. Fig. 5. Amulette en grossière porcelaine, figurée de grandeur naturelle, On portait de ces amulettes au cou dans l’ancienne Égypte, comme sans doute, par continuation des mêmes habitudes, on a depuis porté des portraits et des croix : un anneau pour y introduire un ruban de suspension se voit der- rière la figure. Ainsi les amulettes, du genre de notre n° F5, étaient portées dans une intention religieuse. Il est remarquable qu’on ait placé le singe cy- nocéphale, ou l’amulette, fig. 5, auprès de la Momie-Monstre ; c’était rame- ner ce sujet monstrueux parmi l'espèce humaine, d’où on l'avait en quelque sorte exclue par le choix de son tombeau. Auraït-on voulu par-là indiquer la provenance originelle de la momie, et d’ailleurs transmettre à la postérité qu'on ne voyait dans cette production absolument qu’un singe qu’auraient engendré des parens humains ? Fig. 6 et 7. Anencephalus perforatus. Fig. 6. Profil de cet Anencéphale. « Sa bouche était béante, a dit le professeur Lallemand; ses yeux à découvert paraïssaient gros et brillans, comme dans les Batraciens; sa tête, renversée en arrière, reposait sur ses épaules. » Fig. 7. Face crânio-dorsale du squelette. dd , maxillaires ; ee, nasaux; #, fron- taux; 00, jugaux; gg, pariétaux; £°, hyposphénal; vv, rochers; F', otosphé- ZOOLOGIE. is nal; G, basisphénal; yy, sur-occipitaux; zz, ex-occipitaux; Ce, vide exis- tant entre les corps vertébraux de treize vertèbres, de six dorsales et de sept cervicales, constituant un spéna-bifida complet ou la désunion des cycléaux, comme dans des Crustacés et des Insectes. p est l’omoplate, et CC les côtes. Nota. La séparation des pièces F'et &, ou des deux noyaux du basilaire, est un fait principal sur lequel j’appelle l'attention des anatomistes. Fig. 8. Pièces occipitales de l’Anencephalus cotyla. F', otosphénal; G, ba- sisphénal; zz , ex-occipitaux. Fig. 9. Mêmes pièces du crâne de l’Anencéphale de Got. F, G, zz, comme ci-dessus. INota. Cette figure est de grandeur naturelle; la précédente et la suivante ont été réduites à moitié. Fig. 10. Pièces occipitales de l’Anencephalus icthyoïdes. Fer G& sont réunies par soudure, et composent ensemble, comme dans les cas normaux , un seul sous-occipital, un unique basilaire. RECHERCHES ANATOMIQUES sur les Carabiques et sur plusieurs autres Insectes coléoptères; par M. Léox Durour. ( Suite.) (T. VIII, p. 5.) PL 19. Appareils des sécrétions excrémentitielles considérablement grossis. Fig. 1. CaraBus AuRATUS. a, grappe des utricules sécrétoires ; &, canal efé- rent ou uretère; €, Vessie ou réservoir; d, canal excréteur ou urètre. Fig. 2. CaraBus cANCELLATUS. a, grappe des utricules sécrétoires ou rein; b, canal efférent ou uretère; c, réservoir ou vessie ; d, conduit excréteur ou urètre. Fig. 3. Bracminus crerrrans. a, grappe des utricules sécrétoires ou rein; ?, ca- nal efférent ; c, réservoir; d , conduit excréteur ou Bombe. Fig. 4. Portion beaucoup plus grossie du canal efférent. Fig. 5. Aprinus DisPLOsOoR. aaa, grappes des utricules sécrétoires ; 0b, canaux efférens; c, réservoir; d, conduit excréteur ou Bombe. Fig. 6. Crmnnis aumeraris. a, grappe des utricules sécrétoires; b, canal effé- rent; C, réservoir; d, conduit excréteur. PI. 20. Appareils des sécrétions excrémentitielles considérablement grossis. Fig. 1. Cuzænius vezunnus. aa, arbuscule des utricules sécrétoires; à, canal efférent; c, réservoir; d, conduit excréteur. 3 18 ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE ANIMALE, Fig. 2. Cuzænius vestirus. a , arbuscule des utricules sécrétoires ; D, canal efférent; c, réservoir; d, conduit excréteur. Fig. 3. Srropnus PLANUS. a, arbuscule des utricules sécrétoires; 8, canal effé- rent; €, réservoir; d, conduit excréteur. Fig. 4. Cararus ruLvires. a, grappe des utricules sécrétoires ; ; canal effé- rent; €, réservoir; d, conduit excréteur. Fig. 5. Sreropus maniBus. a, grappe des utricules sécrétoires ; ©, canal effé- rent; C, réservoir; d, conduit excréteur. Fig. 6. Zasrus o8esus. a, grappe des utricules sécrétoires; 4, canal efférent ; c, réservoir; d, conduit excréteur. Fig. 9. Nesria srevicouus. &, grappe des utricules sécrétoires; 2, canal eflé- rent; C, réservoir ; d, conduit excréteur. Fig. 8. Omornron rimsarum. @, utricule sécrétoire; D, canal efférent; c, réser— voir ; d, conduit excréteur. Fig. 9. Braps cicas. a, portion de l'abdomen ouvert en dessus ; D, les deux vessies propres à cette espèce : elles sont entourées de replis vasculaires inex- tricables; c, dernier segment de l'abdomen. PL. 21, fig. 1. Région dorsale du corselet et de l'abdomen du Caragus AURA - rus grossi, pour mettre en évidence les stigmates. a, Stigmate thoracique, qui est apparent par la soustraction de la moitié du corselet; b, stigmates abdominaux. 4, un stigmate thoracique considérablement grossi, où l’on voit le duvet qui borde l'ouverture, B, un süigmate abdominal considérablement grossi. Fig. 2. Un stigmate abdominal et une trachée correspondante grossis du même Caragus. On voit en a du tissu adipeux splanchnique , et en 4, les bourses adipeuses sphéroïdes, munies ou dépourvues de col. Fig, 3. Région dorsale du corselet et de l'abdomen du Dyriscus MARGINALIS grossi, pour mettre en évidence les stigmates. a, stigmate thoracique; bb, stig- mates abdominaux. Les deux dernières paires , plus allongées, sont placées près du bord antérieur de l'anneau dorsal, et non sur les côtés ; la dernière est, dans l’état ordinaire, tout-à-fait cachée sous l'anneau précédent, et abri- iée sous des poils dont le bord de celui-ci est garni; €, portion basilaire d'une élytre redressée et renversée, de manière à laisser à découvert sa face inférieure, afin de mettre en évidence le cueilleron cilié qui s’y articule ; dd , le bord latéral de l'anneau qui porte la seconde paire des stigmates ab- ZOOLOGIE. 19 : dominaux est marqué, en dessous principalement , de fines stries perpendi- culaires à l’axe du corps , parallèles, serrées entre elles, et formant un léger relief. Cette structure particulière , qui n’est point mentionnée dans les ou- vrages d’entomolosie , est analogue à celle qui existe dans plusieurs Orthop- tères ; elle est, comme dans ces derniers , destinée à produire la stridulation, qui est propre au Dytiscus lorsqu'on le saisit et qu'on l’inquiète. A cet effet, le bord correspondant de l'élyire est tranchant , et il fait l'office d’archet, en râclant les aspérités de l’espace strié. à Fig. 4. Un des derniers stigmates abdominaux, considérablement grossi , du Dyriscus MARGINALIS, 1 de rendre évidente sa structure intime. Fig. 5. Premier stigmate abdominal considérablement grossi du Lucanus cEr- VUS. Fig. 6. Portion considérablement grossie de la peau dorsale de l'abdomen qui supporte les deux premiers stigmates de l'Hamaricnerus HEROS. &, stigmate pectoro-abdominal : il est plus grand, plus ouvert, et placé plus oblique- ment que les autres; son péritrème est garni intérieurement d’un duvet ve- louté brun qui, observé plus scrupuleusement au microscope, paraît formé de pinceaux, de barbules, dont les soies sont simples ou rameuses; 4, pre- mier stigmate abdominal : il est en bouton saillant, situé transversalement à l’axe du corps, et le bord de ses valves est garni d’un duvet de poils simples. Fig. 7. Portion considérablement grossie de la peau dorsale de l’abdomen , qui supporte les deux premières paires de stigmates dans la Cassin vrrinis. Les stigmates abdominaux de ce coléoptère sont au nombre de cinq seu- lement de chaque côté et établis sur une plaque particulière noire , oblongue, bien circonscrite; ils sont ronds et entourés d’un péritrème simple, nu, PL. 21 Us. Fig. 1. Organe pulmonaire considérablement grossi , logé dans la poitrine du Prionus FABER. @, stigmate placé entre le corselet et la poitrine : il est allongé en forme de navette, et son péritrème est garni de duvet; D, autre stigmate logé profondément au devant de la hanche de la uroisième paire de pattes ; cce, sorte de parenchyme adipo-trachéen, qui accompagne les troncs pulmo- naires qui vont de l’un à l’autre de ces stigmates. Fig. 2. Système nerveux grossi du CaraBus Aurarus, &, cerveau ; b, nerfs op- tiques ; c, ganglion thoracique ; d, ganglion pectoral; ee, ganglions abdo- minaux. 20 ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE ANIMALE, Fig. 3. Tarse et tibia considérablement grossis d’une patte antérieure du Har- PALUS RUFICORNIS mâle. a, tibia vu par le côté interne, pour mettre en évi- dence l’échancrure qui le caractérise; 2, sinus qui forme cette échancrure : il est en partie fermé par une cloison cornée, et il se termine par une soie noire flexueuse ; c, ergot assez fort et constant, que les entomologistes ont cru à tort faire partie de l’'échancrure tibiale : il s’insère à la face inférieure du übia et se dirige vers l’échancrure , qu'il déborde; d, articles du tarse vus eu dessus : ils sont articulés entre eux par une tête orbiculaire. Indépendam- ment des poils dont ils sont hérissés, chacun d’eux , à l'exception de celui qui se termine par les ongles , a, à ses angles antérieurs, un piquant bien plus grand, et à son inférieur ou palmaire, deux pièces particulières que je décrirai bientôt. L’avant-dernier article est fortement échancré en cœur ; le dernier est allongé en massue : les crochets des ongles sont simples , c’est- à-dire dépourvus de dents, et on observe entre eux une petite languette ou pelotie oblongue e. A, un des articles du tarse énormément grossi, VU par sa partie inférieure et dégarni de tous ses poils, à l'exception des piquans qui terminent ses. angles antérieurs, afin de mettre en évidence deux pièces particulières ex- clusivement propres aux tarses antérieurs du mâle de ce Harrazus , et qui . paraissent destinés à s'appliquer et à se coller sur le corps de la femelle pour l'acte de la copulation. Chacune de ces pièces est allongée > et consiste en un axe traversé par des lames tronquées, plus ou moins parallèles entre elles : ces lames m'ont paru composées elles-mêmes de petites écailles étroitement imbriquées. Fig. 4. Tarse et tibia antérieurs fort grossis du Cazænius vEzLuTINUS mâle. Le tibia est moins sensiblement échancré que dans d’autres Carabiques : les trois premiers articles du tarse sont presque carrés et serrés entre eux ; l'avant-dernier est conoïde, échancré en croissant , et les angles de cette échancrure se terminent par quelques spinules divergentes. PB, un des premiers articles de ce tarse énormément grossi et vu en des- sous; il est bordé de longues soies, et garni d’un duvet épais, villoso-spon- gieux, formé de poils terminés par un petit bouton. Fig. 5. Tarse et tibia antérieurs fort grossis du Sexoprus rerricorA mâle. Le bord antérieur et interne du tibia , ainsi que celui de la cloison cornée qui ferme en partie l’échancrure tibiale , Sont garnis de petites soies roïdes , rapprochées, uniformes , disposées , au microscope, comme les dents d’un peigne : l’ergot qui termine l'angle antérieur et interne du übia est pointu et mobile. ZOOLOGIE. aT C, un des articles intermédiaires du tarse considérablement grossi, et vu en dessous : il est garni et bordé de spinules assez courtes, distinctes et mobiles. Fig. 6. Patie postérieure grossie du Zonrris PRÆuSTA. Les cuisses postérieures et intermédiaires de cet insecte ont à leur base une appendice ou trochanter très-marqué, quoique moins détaché que dans les Carabiques. Le tibia se termine, à son angle interne, par deux épines, dont l’une est plus grosse et tronquée. D, un des crochets de l’ongle considérablement grossi : il est denté en scie dans toute son étendue , et les quatre ou cinq dents qui avoisinent la pointe sont brusquement plus courtes ; une soie simple, et de sa longueur, s'articule à sa base. Fig. 7. Vers intestinaux considérablement grossis , trouvés dans le tube alimen- taire de divers Coléoptères, et appartenant peut-être à un genre nouveau , voisin du Caryropuyzius de Rudolphi. a, un de ces vers adulte, avec le su- çoir saillant et ouvert ; &, le même, avec Le suçoir contracté et fermé; c, le même , plus jeune, avec le segment antérieur moins marqué; d, le même , plus allongé, et peut-être d’une espèce différente. Fig. 8. Ascaris ou Fiarra fort grossi, trouvé dans le tube alimentaire du To- MICUS TYPOGRAPHUS. Fig. 9. Acarus fort grossi, trouvé sur le corps de ce Tomicus, et peut-être d'un genre nouveau. Essais anatomiques et physiologiques sur la Physionomie; par Cnarzes Bezr. (T. VIIL, p. 245.) PL. 51, fig. r. Des nerfs de la tête. Les deux classes distinctes de nerfs qui parcourent le visage sont repré- sentées sur cette planche; lun sert à donner la sensibilité, et l’autre aux mou- vemens du discours et de l'expression, c’est-à-dire aux mouvemens liés avec les organes respiratoires. On voit aussi sur cette planche les nerfs qui sont sur le côté du cou. J'ai découvert que ceux-ci étaient des doubles nerfs, exerçant deux fonctions; ils dirigent la force musculaire et donnent la sensibilité à la peau. Outre ces nerfs de la moelle épinière réguliers, qui sont pour les jouissances ordinaires ; on à placé sur cette planche les nerfs du gosier : ces nerfs sont les moyens de sym- pathie qui lient les mouvemens du cou et du gosier avec les mouvemens des narines et des lèvres , non-seulement dans la respiration forcée, mais aussi dans l’expression de la colère. 22 ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE ANIMALE, À, nerf respirateur de la face, ou plutôt poruon dure de la septième paire. a, branches montant à la tempe et aux côtés de la tête. b, branches qui fournissent aux paupières. c,id: qui vont aux muscles qui meuvent les narines. d, id. qui descendent sur les côtés du cou et dans sa partie antérieure. e, plexus cervical superficiel. ff, anastomoses formées avec le nerf cervical. £, nerfs du muscle du revers de l'oreille. B, Auitième paire, ou paire vague, ou grand nerf respiratotre. C, nerf respiratoire supérieur, où nerf accessoire de la moelle épinière. D, neuvième paire, où paire linguale. E, nerf diaphragmatique. F, nerf sympathique. G, nerf laryngé. ET, nerf laryngé récurrent. l, nerf glosso-pharyngien. 1. Nerf frontal, branche de la cinquième paire. 2. Nerf maxillaire supérieur, branche de la cinquième paire. 3. Nerf maxillaire inférieur, branche de la cinquième paire. À. Branches temporales , seconde division de la cinquième paire, 5. Nerf sous-occipital, premier nerf de la moelle épinière. 6. Second nerf de la moelle. 7, 8. Nerfs de la moelle. PI 35, fig. 2. Des muscles du visage. Cette planche représente les muscles du visage, tels qu'ils paraissent dans une tête vue de face. Le sourceil est un des traits qui est le plus destiné à l'expression ; il existe de certains muscles qui y sont attachés et qui produisent ses divers mouve- mens et ses inflexions variées. AA , le muscle frontal. C’est un muscle mince, qui couvre le front et est attaché dans la peau sous le sourcil. Nous ne voyons pas ici tout le muscle, mais seulement une partie de ce qui est proprement appelé occipito-frontal. Le muscle occipito - frontal prend naissance sur la partie postérieure du crâne, sur les os temporaux et occipitaux, et s'élève sous forme de tissu charnu et fibreux; en devenant tendineux il couvre toutes les parties supé- ZOOLOGIE. 23 rieures du crâne, d’une membrane ou d'une feuille de tendon, et il se ter- mine dans le muscle antérieur, qui est représenté sur cette planche. BB, le muscle sourcilier. C’est le second muscle attaché ou inséré dans le tégument sous le sourcil ; il s'élève de la partie inférieure de l'os frontal, près du nez, et s’insère comme je l'ai dit : il est couché presque transversalement , et son oflice est de lier et de tirer les sourcils ensemble. CC, muscle orbiculaire des paupieres. N y a un petit tendon dans l'angle intérieur de læil, qui sert de point d'attache pour ce muscle, son usage étant à la fois de le fixer à l'os maxillaire et de lui servir en quelque sorte d’origine et d'insertion. Entre les deux muscles orbiculaires et le muscle sourcilier, on aperçoit des fibres musculaires qui se prolongent de loccipito-frontal sur le nez, et constituent le muscle pyramidal. Ge fascicule de fibres a une fonction dis- uncte, et sert à abaisser l’extrémité inférieure du sourcil. < Ces quatre muscles servent à faire mouvoir le sourcil et à lui donner ses diverses expressions. Si c’est l'orbiculaire des paupières et le pyramidal qui agissent, l'expression est la tristesse et l'abattement; s'ils cèdent à l'influence du muscle frontal, le sourcil est arqué et l'expression est gaie et vive; si le sourcilier agit, alors il y a plus ou moins de cette expression qui indique l’état pénible de la pensée; quand le front est ridé, que l'extrémité interne du sourcil s'élève, et que le frontal le contracte en même temps, l’expression indiquée est celle de la querelle et d’une faible inquiétude. Le front arqué et uni, terminé par la ligne distincte des sourcils, nous montre en caractères périssables, mais distincts tant qu'ils durent, la série entière des pensées, et souvent l’activité purement animale qui se trouve dé- ployée dans les mouvemens de la partie inférieure de la face acquiert, par cette expression, plus de force et de signification. Indépendamment de l'action des muscles, la masse de leurs fibres charnus donne un caractère à cette parte de la face. Le sourcil d'Hercule manque d'élévation et de la forme qui marque intelligence; mais on peut observer une saillie musculaire sur le front, et autour des yeux, qui donne l’idée d’une force brutale, avec une expression sombre qui s'accorde avec la description que l’on trouve dans l'Hiade. Muscles des yeux. Je divise l’orbiculaire des yeux en deux muscles : la bande extérieure , charnue et circulaire qui entoure le bord de l'orbite, et la bande plus petite ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE ANIMALE, de fibres pâles, qui est sur les paupières. Ces dernières servent à fermer les paupières ; mais le premier n’agit que combiné avec les autres muscles de la face pour l'expression des passions ou dans quelque cas d’excitation convul- sive de cette partie. Dans Le rire, et lorsqu'on crie, le muscle extérieur, qui est le plus puissant , est en action ; c’est lui qui fronce la peau sur les yeux et enfonce le globe de l'œil. Dans l'ivresse, qui produit une sorte de paralysie momentanée , les pau- pières sont disposées à se fermer, et l'élévation forcée du sourcil oblige pour- tant d'élever la paupière supérieure ; très-souvent ces sourcils sont élevés inégalement, ce qui caractérise davantage cette expression. er de l'état d’épuisement causé par de longues souffrances , les pau- pières pesantes et couvrant à moitié la pupille, et le sourcil élevé, indiquent une grande faiblesse et beaucoup d’abattement. Muscles moteurs des narines. D, muscle qui naît de la mâchoire supérieure et descend pour s'attacher à la lèvre supérieure et à la narine ; d’après cela on le nomme élévateur com- mun de la lèvre supérieure et de T ile du nez : comme son nom lindique, il sert à élever la lèvre supérieure et les narines. £’, série de fibres qui comprime les narines : c’est le iriangulaire du nez. L'abaisseur de l'aile du nez se trouvant placé sous l’orbiculaire des lèvres, il prend naissance près de l’alvéole de la dent incisive, et se trouve inséré au cartilage mobile qui forme les narines. Ces trois muscles servent à étendre et à contracter l'ouverture des narines ; ils se meuvent de concert avec les muscles de la respiration , et par consé- _quent le gonflement des narines indique une excitation générale de l’activité animale. L'expression des narines dilatées donne un air spirituel à l’en- semble de la physionomie : cela indique une préparation à l’activité dans toute la personne. Muscles des lèvres. F, élévateur propre de la lèvre supérieure. N naît de l'os de la mâchoire supérieure, près de l'orbite. Il est exclusivement destiné à la lèvre supérieure, et sert à l’élever. _ G, muscle canin. Placé sous le précédent , ce muscle est par cela même plus court ; il sert à élever l'angle de la bouche. FH, muscle zygomatique. Il est ainsi nommé parce qu'il provient de l’ar- ZOOLOGIE. 25 vade zygomatique ; il s’insère dans l’angle de la bouche. Il existe quelquefois un muscle additionnel de ce nom, qui en est distingué : c’est le peit zyg0- matique. Ces derniers muscles forment une série; ils élèvent la lèvre supé- rieure et l’angle de la bouche, de manière à faire voir la dent canine, même chez les hommes. Nous les trouvons très-forts dans les animaux carnivores, tandis qu'il n’existe pas de mouvement semblable dans les herbivores. Si ces muscles agissent en sens contraire des fibres circulaires des lèvres, l’expres- sion est triste et amère; mais s’ils sont influencés par l'orbiculaire des lèvres et l’orbiculaire des paupieres, et si le premier de ces muscles est relâché et l'autre contracté, la partie supérieure de la face prend une expression ouverte, gaie et souriante. K, muscle orbiculaire des lèvres. C’est un muscle circulaire qui forme la substance charnue des lèvres; il ferme la bouche, et lorsqu'il peut agir entiè- rement , il fait froncer les lèvres : c’est l’antagoniste des autres muscles qui viennent se fixer en grande partie dans les lèvres. M, Ze naso-labial. Ce muscle tire en bas le septum du nez, et appartient à la précédente série de muscles. N, muscle triangulaire des lèvres. C’est un fort muscle qui s'élève de la base de la mâchoire inférieure, et est inséré dans l’angle de la bouche. O, muscle quarré du menton, ou abaïsseur de la lèvre inférieure. P, muscles releveurs du menton. Ce sont des muscles petits, mais forts, qui naissent de la mâchoire inférieure, près des dents incisives, descendent et sont fixés dans le tégument du menton, de façon que par leur mouve- ment ils relèvent le menton et avancent la lèvre inférieure. Q, le Buccinateur, est un muscle qui forme la partie charnue de la joue. Ïl sert principalement à mouvoir les alimens pendant la mastication, et est particulièrement développé dans les animaux herbivores et ruminans. Dans le gros rire il retient les lèvres. 1 existe toujours des muscles propres à la mastication, mais c'est lors- qu’ils servent encore à l'expression et à la parole qu'ils offrent leur plus haut degré de perfection. Le muscle orbiculaire est particulièrement affecté dans les diverses émotions de l’Ame; il tremble et se relâche dans le chagrin; il est également relâché dans le sourire. Enfin, dans les pleurs, il est comme tiraillé par la contraction de son antagoniste. La réunion de tant de muscles dans l'angle de la bouche produit la proé- minence charnue que l’on remarque particulièrement chez les personnes qui ont le visage maigre et en même temps musculeux. Lorsque les joues sont 4 26 ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE ANIMALE, grasses et potelées, ce sont ces muscles qui produisent la petite fossette de la joue. L’angle de la bouche n'offre autant d'expression que parce que l’orbicu- laire et la série supérieure et inférieure des muscles qui y sont attachés pré- dominent dans le mouvement de la face. L'action simultanée des muscles triangulaire des lèvres et releveur du menton donne lieu à une expression particulière à homme. L’angle de la bouche abaissé et la lèvre arquée et élevée donnent l'expression la plus mé- prisante et la plus orgueilleuse. Le temporal est un muscle fort, fermant la mâchoire inférieure ; il est assisté par le muscle masseter (R), qui, placé sur le côté externe de la mà- choire inférieure, naît de larcade zygomatique et s’insère à l'angle de la mà- choire. PI. 32 et 33. Diverses modifications de la physionomie décrites dans le mé- moire. Drsscripmion du Daim fossile d'Irlande (Cervus megaceros }, du Muséum de la Société royale de Dublin ; par M. Joux Parr, du Coliége des Chirurgiens d'Irlande. (T. VITE, P. 389.) PL 30, fig. 1. Squelette entier conservé au Muséum de la Société royale de Dublin, dessiné un peu de côté, afin qu’on puisse mieux voir la forme des bois. IL est réduit au quatorzième de sa grandeur naturelle. Fig. 2. La tête isolée et moins réduite dans laquelle les différens caractères sont fidèlement tracés et qui montre la largeur des bois vus de face. On voit aussi dans celui-ci la forme singulièrement bifurquée du Sur-an- douiller. Fis. 3. Côte présentant un trou dû à un accident. REchERcHES pour servir à l'histoire naturelle des Cantharides ; par M. Vicror Aupouin. (T. IX, p. 31.) PI. 42, fig. 1. Lèvre supérieure ou labre de la Cantharide vésicatoire. Fig. >. Mandibule. a, dos de la mandibule; 4, échancrure du bord interne rempli par une membrane; c, apophyse articulaire. Fig. 3. La même mandibule vue en dedans, et montrant, a, le sommet qui est ZOOLOGIE. une lame tranchante; ?, un tubercule, sorte de dent molaire; c, l'apophyse articulaire. Fig. 4. La mâchoire, 1,2, 3, 4, les quatre pièces de sa base, auxquelles il sera assigné des noms; a, les deux lobes connus des entomologistes; D, Le palpe. Fig. 5. La lèvre inférieure munie de ses deux palpes. Fig. 6. Patte antérieure du mâle. a, le crochet unique qui clôt l’échancrure du premier article du tarse; b, il est fixé à la jambe; c, on voit à côté une figure très-grossie, montrant la forme du crochet et son insertion sur la jambe. Fig. 7. Insertion du crochet à la jambe, vue de face. Fig. 8. La même partie dans la femelle : il existe deux crochets. Fig. 9. Les deux derniers articles du tarse, avec leurs deux crochets terminaux, qui sont bifides. Fig. 10. Organes digestifs de la Cantharide. a, la tête : elle supporte des antennes de onze articles, des yeux, un cha- peron transversal, et les parties de la bouche qu’on peut voir supérieure- ment, le labre, les mandibules et les palpes des mâchoires; d, l'œsophage; €, le ventricule chylifique ou l’estomac; ddd, les canaux biliaires, au nombre de six, et ayant une double insertion à la base de l’estomac et à l'intestin; e, intestin; f, cœcum,; g, rectum; L, dernier anneau du ventre. Nota. La fig. 10° montre toutes ces parties de grandeur naturelle et avec leurs proportions relatives. Fig. 11. Portion des canaux biliaires excessivement grossie et montrant, dans son intérieur, une quantité de petits amas de matière grumeleuse. Fig. 12. Portion antérieure de l'estomac excessivement grossie et ouverte pour montrer, à, la terminaison de l’œsophage qui se prolonge en un tubercule valvulaire; c, la structure de la membrane intérieure qui est plissée de manière à offrir des sillons transversaux parcourus par de nombreuses trachées. Fig. 13. La valvule de l’œsophage vue de face. Fig. 14. Portion postérieure de l'estomac et origine de l'intestin, vues à l’inté- rieur; €, estomac; dddddd, les six canaux biliaires ayant leur insertion entre six petits corps réniformes, ce, qui constituent une valvule pilorique;a’a’, sil- lons longitadinaux qui partent tou jours au nombre de deux de chaque pe- »8 ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE ANIMALE, tit corps réniforme; 4", sillon longitudinal partant toujours entre chaque corps valvulaire. ; Fig. 15. Les mêmes corps valvulaires avec leurs sillons longitudinaux désignés par les mêmes lettres que dans la figure précédente. «’& etc., sont les corps réniformes desquels partent les doubles sillons longitudinaux. On remarque que les sillons intermédiaires 25° se prolongent indéfiniment ; en effet, on les voit encore dans le cœcum, où ils sont plus prononcés. Fig. 16. Système nerveux d’un individu mâle. a, le cerveau; à, l'ouverture pour le passage de l'œsophage; 1; 2,3, 4, 6,7, 8, les ganglions liés entre eux par un double cordon nerveux et four- nissant un nombre infini de nerfs. Le premier ganglion est placé dans le cer- veau, les deuxième, troisième et quatrième sont situés dans le thorax. On a représenté, par des lignes ponctuées, les pièces cornées qui les supportent (les entothorax ), les ganglions suivans occupent l'abdomen. On a représenté de profil les sixième, septième et huitième ganglions, qui ont une forme particulière; c, portion de l'organe copulateur; d, portiox du canal déférent commun. Nota. On observe, entre le troisième et le quatrième ganglion, un ré- trécissement qui indique lentrecroisement remarquable des œufs vers. ce: point. PI. 43, fig. 1. Organes générateurs mâles. aa, les testicules; bb, les canaux déférens; cc, cc, cc, cc, les quatre paires de vésicules séminales ; d , le conduit spermatique commun; e, por- tion du canal intestinal renversée; f, dernier anneau du ventre. Fig. 2. Portion des mêmes organes, vue sous la face opposée, pour montrer l’in- sertion des deux vésicules séminales supérieures. Fig. 3. Abdomen d’une femelle ouvert par sa partie supérieure, et montrant les parties les plus importantes à observer. aaaa, etc., sont les trachées naissant de sept paires de stigmates; bb, les deux hanches de la dernière paire de pattes du thorax; c, l'estomac; d, l’in- testin qui se replie en coude et aboutit à l'anus. On voit à sa gauche la vést- cule séminale, et de chaque côté les ovaires. Fig. 4. Organes générateurs d’une femelle vierge. aa , les ovaires recouverts par une infinité de tubes; D, la vésicule sé- minale qui reçoit l'organe du mâle et la liqueur spermatique : ici cette vé- sicule est vide, la femelle n'ayant pas eu l'approche du mâle; dd, deux ZOOLOGIE. 26 : glandes sébacées; e, portion du canal intestinal renversé; f, dernier anneau du ventre. Fig. 5. Un des ovaires ouvert. On voit tous les tubes qui le composent, et une vaste cavité qui est le calice de l'ovaire; une infinité de petits cercles s’aperçoivent à sa surface; ils correspondent à l'insertion de chaque tube ovigère. Fig. 6. Un des tubes ovigères isolé : il paraît biloculaire. Fig. 7. Organes générateurs dans une femelle qui a eu l'approche du mâle. Les mêmes letires désignent les mêmes parties. La vésicule séminale, c, est de- venue opaque; elle renferme l'organe du mâle et la liqueur spermatique. Fig. 8. Un des tubes ovigères dans une femelle qui a pondu. Ce tube est dis- tendu et n'offre plus de loges; on voit dans son intérieur une petite masse ovulaire qui n’est pas un œuf, mais un amas de matière grumeleuse. Fig. 9. Le même ovaire vu à l’intérieur; il offre: une singularité curieuse ; cha- que petit cercle qui était clos par une membrane est ici percé par un trou; ces trous ont servi au passage des œufs. Fig. 10. Un des trous isolé . Fig. 11. Amas d'œufs. Fig. 12. Deux œufs isolés, vus de face et de profil. Osservarions sur la Structure et le Développement des Plumes; par M. Frépéric Cuvier. (T. IX, p. 113.) PI. 44, fig. 1. Plume entièrement formée présentant ses diverses parties; «, le tube corné; b, la tige à sa face interne; c, les barbes; d, barbes avec bar- bules; e, ombilic inférieur; f, ombilic supérieur. Fig. 2. Capsule productrice d’une plume de Hocco de grandeur naturelle; 4, om- _bilic inférieur; D, ligne moyenne. Fig. 3. Capsule de plume de Hocco ouverte, qui montre, en @, les parois de la gaine renversées ; en à ,une portion de la membrane striée externe; en c, les barbes reployées; en d, la membrane striée interne, et en e, la partie inférieure du bulbe. Fig. 4. Capsule de plume de Hocco ouverte et montrant, en &, le bulbe revêtu de la membrane striée interne, excepté en à, où cette membrane a été en— levée. Fig. 5. Capsule de plume de Hocco ouverte; &, bulbe dépouillé de sa mem- brane striée ; à, filets noirs naissant du bulbe et se prolongeant sur les barbes. comme si elles en étaient formées... 30 ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE ANIMALE, Fig. 6. Le bulbe de la capsule précédente détaché de la plume et renversé de manière à montrer sa partie inférieure; D, portion moyenne correspondant .à la face interne de la tige et produisant la matière spongieuse; a, les ailes produisant la matière cornée de la face interne de la tige. Fig. 7. Coupe d’une capsule de la plume de Hocco, des fig. 8 et a. Fig. 8. Bulbe d’une plume de Hocco composé de membranes coniques qui s'emboitent les unes dans Îles autres. Fig. 9. Le bulbe précédent dont les membranes ont été débarrassées des ma- üères qui les remplissaient, et qui font voir leurs rapports et la formation d’un canal continu dans le centre. Fig. 10. Plume de Marabou dont le tube et une partie de la tige sont ouverts, et qui montrent en a le bulbe terminé par un cône, à, lequel est surmonté par un cône membraneux, c , que suivent deux autres cônes, e ; sur la face in- terne de la tige se trouvent cinq autres cônes membraneux (.f) qui ne tien- nent au premier que par l’ombilic supérieur. Fig. 11. Autre plume de Marabou dont le tube et la tige sont ouverts dans toute leur longueur, et qui a pour objet de montrer de quelle manière les cônes membraneux du tube et de la tige, e et g, communiquent avec les cônes membraneux extérieurs ; f, cette communication se fait par le cône, c, qui s'introduit entre la matière spongieuse et la matière cornée en dd , et vient sortir par l’ombilic supérieur en d..….. Fig. 12. Deux cônes membraneux vus en dessus et en dessous, 5, auxquels sont encore attachés des restes de membranes transverses. Descrprion d’un nouvel Oiseau du Bengale, que M. C. J. Temminck a nommé Dromas ardeola ; par M. Dupoxr aîné. (T. IX, p. 184.) PI. 45. Dromas ardeola Temm. réduit. Les détails de la tête et d’une des pattes sont de grandeur naturelle. Recuercnes sur l'Organisation de quelques espèces d'Oxyures et de Vibrions; par M. Anr. Ducës, Professeur à la Faculté de Montpellier. (T. IX, p. 225.) PI. 47, fig. 1. Oxyure ou Ascaride vermiculaire femelle grossi (longueur natu- relle, 4 lignes); sa demi-transparence laisse voir le canal alimentaire, l’ovi- ducte; la vulve laisse sortir les ovules. Fig. 2. Vibrion du vinaigre femelle ( grandeur naturelle, x ligne ); il laisse voir aussi ses œufs et son canal alimentaire. Fig. 3. Oxyure du crapaud (O. brevicaudata) femelle (4 lignes de longueur na- : ZOOLOGIE. 3 turelle }; son canal alimentaire et son oviducte se dessinent fort bien à travers la peau. à Fig. 4. Vibrion de la colle femelle ( grandeur naturelle, = de ligne). Fig. 5. Oxyure microscopique trouvé dans un scarabée nasicorne. Fig. 6. L’Oxyure vermiculaire dont la tête est séparée; le canal alimentaire et l’oviducte sortent du corps. Fig. 7, 8 et 9. Parties supérieures, moyenne et inférieure de l’Oxyuris brevi- caudata ; le canal alimentaire et l’oviducte sortent par des blessures. Fig. 10. Vibrion de la colle, blessé vers la tête et le milieu du corps, pour faire sortir le canal alimentaire et loviducte; le premier s’est rompu, le deuxième est entier. Fig. 11. Vibrion femelle vierge, blessé vers le milieu du corps; les mêmes par- ties sortent par la plaie. | Fig. 12, 13 et 14. Différentes formes de la tête de lOxyure vermiculaire. Fig. 15 et 16. Id. de la bouche des Vibrions. Fig. 179. OEsophage, estomac et intestin de l’'Oxyure du crapaud (O. brevi- caudata ). Fig. 18. Mêmes parties de l'Oxyure de l’homme (©. vermicularis). Fig. 19, 20 et 21. Mêmes parties du Vibrion du vinaigre ( 19) et de la colle (Papa), PL. 48, fig. 22. Fin du canal alimentaire et de loviducte du Vibrion de la colle; les tégumens ont été séparés par un coup de scalpel. Fig. 23 et 24. L’anus du même. Fig. 25. Portion d’intestin avec les globules qu'il renferme. Fig. 25 bis. La vulve du même Vibrion très-grossie. Fig. 26 et 27. Mème partie après l'accouchement. Fig. 28. Fin de l’oviducte avec ses ovules, chez lOxyure vermiculaire. Fig. 29. Repli inférieur de l’oviducte chez lOxyure du crapaud. Fig. 30 et 31. Fin de loviducte chez le Vibrion de la colle; un fœtus le re- pousse jusque dans la queue (31 ). Fig. 32. Portion d'oviducte du Vibrion du vinaigre irrégulièrement con- tractée. Fig. 33. Tête et chapelet d’ovules du Vibrion de la colle. Fig. 34. Ovule d'Oxyure humain très-grossi. Fig. 35. OEufs de l'Oxyure du crapaud; on y voit Le fœtus roulé en spirale ; quelques-uns sont doubles ou triples sous une seule enveloppe. ; 39 ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE ANIMALE, Fig. 36. Fœtus naissant du même ver (grandeur naturelle, 1 ligne). Fig. 37. Ovule tiré du chapelet d’un Fibrio glutinis très-grossi. Fig. 38. OEuf plus avancé du même. Fig. 39. Disques de colle fermentés ressemblant aux œufs des Vibrions. Fig. 4o. Wibrio glutinis pleins de fœtus à terme; l’un d'eux sort par la vulve. | Fig. 41. Mèmes fœtus irès-grossis; on y voit deux chapelets d’ovules non fé- condés. Fig. 42 et 43. Canal spermatique du Vzbrio glutinis mâle. Fig. 44 et 45. Id du Z’ibrio aceti. Fig. 46. Pénis du même. Fig. 47. Rectum du même. Fig. 48. Tronçon du même; il en sort le canal spermatique et l'intestin. Fig. 49 et 50. Le même coupé en deux; mêmes objets. Fig. 51. Deux Vibrions du vinaigre accouplés. Mémome sur la Nicothoë, animal singulier qui suce le sang des homards ; par MM. V. Aupouix et Mixxe Enwanps. (T. IX, p. 345.) PL. 49, fig. 1. Nicothoé du homard, de grandeur naturelle. Fig. 2. Le mème individu, très-grossi et vu en dessus. On aperçoit les antennes, les quatre segmens du thorax ; le premier sup- porte une paire d’yeux. On voit les deux prolongemens latéraux antérieurs qui sont doublés par une tunique membraneuse, laquelle renferme deux cœcums qui se réunissent sur la ligne moyenne du corps. Les deux autres prolongemens sont les sacs remplis d’œufs et attachés à l'abdomen, qui a cinq anneaux , dont le dernier est terminé par deux longs filets. Fig. 3. Le même individu en dessous pour faire voir, 1°. l'insertion des antennes au-dessous du premier anneau du thorax; 2°. les pattes rangées sur deux lignes : les trois paires antérieures sont dirigées en avant , et les deux paires postérieures le sont en arrière; 3°. deux masses, aa , découpées sur leurs bords , et qu’on peut supposer être Les ovaires internes. Fig. 4. Antenne excessivement grossie. Fig. 5. Première patte. — Fig. 6. Deuxième patte. — Fig. 7. Troisième patte. — Fig. 8. Quatrième patte. — Fig. 9. Cinquième patte. Ces pattes, de même que l'antenne, sont représentées dans une propor- tion beaucoup plus forte que les figures 2 et 3. ZOOLOGIE. 33 Fig. 10. Oniscus thoracicus de Montagu , mâle. Fig. 11. La femelle. La grandeur naturelle est placée à côté de chaque individu. Recnencnes microscopiques sur La Structure intime des tissus organiques des Animaux ; par M. H. Mie Enwaros, M.-D. (T. IX , p. 362.) PI. 50, fig. 1. Globules du sang humain. A, grossissement linéaire de 18; B, id., 22; C, 11,303 DE 1d:; 50: FE ,id., 105;.F, id., 225; G,id., 300. Fig. 2. Globules du sang de la grenouille; même grossissement. Fig. 3. Globule du sang de callitriche, amplifié mille fois. Fig. 4. Globule du sang humain; même grossissement. Fig. 5. Globule du sang de chat; #d. Fig. 6. Globule du sang de mouton; 44. Fig. 7. Sang de chamois ; éd. Fig. 8. Sang de chèvre ; id. Fig. 0. Sang de la Mactra glauca ; grossissement de 300. On ne confondra pas dans cette figure les petits globules albumineux avec les véritables globules du sang, qui sont au nombre de quatre, et infiniment plus gros. Fig. 10. Tissu cellulaire du bœuf; même grossissement. Fig. 11. Une lame de tissu cellulaire du même animal, tiraillé de manière à donner la même direction à la plupart de ses fibres élémentaires. Fig. 12. Tissu cellulaire filamenteux , contenant des vésicules adipeuses. Fig. 13. Tissu fibreux humain. Fig. 14. Tissu musculaire du bœuf. Fig. 15. Filamens nerveux de la grenouille. Fig. 16. Globules du tissu cellulaire du veau (a) et de la fibre musculaire de la grenouille (4), vus au microscope solaire, avec un grossissement d'environ 500. Fig. 17. Globules provenant des ganglions nerveux de l’écrevisse, amplifiés 300 fois. Fig. 18. Vésicules de substance médullaire des ganglions nerveux du limaçon ; même grossissement. ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE VÉGÉTALE, BOTANIQUE. VAE AU LV Premier Mémoire sur les Lenticelles des arbres et le Développement des racines qui en sortent ; par M. pe Caxpozre. (T. VII, p. 5.) PL. 1. Cette planche est destinée à montrer le mode de développement des bourgeons et des racines sur une branche de Salix bicolor plongée dans l'eau et maintenue dans la température de 12 ou 13 degrés, Réaumur. On distingue dans cette planche Les objets suivans : Fig. 1. gg, bourgeons solitaires nés à l’aisselle des anciennes feuilles; ce sont les plus précoces. hh, hh, k, bourgeons par paires qui se forment sur les côtés de l’alvéole des branches coupées; ils prennent également naissance quand on a arraché, coupé ou détruit le bourgeon primitif. ll, lenticelles de M. de Candolle, glandes lenticulaires de Guettard , or- ganes producteurs des racines. bbbbLE ; matière blanche, d'apparence amylacée, qui apparaît au dehors des lenticelles, lorsque leur épiderme s’est ouvert. Cette matière, Vue au mi- croscope, est représentée dans /a foure 3 de la même planche. rrrrrr, Spongioles qui terminent les racines principales dont le tissu est représenté fig. 4. ï BB, Mucor imperceptibilis qui se développe sur le bois mis à nu. Fig. 2. Coupe longitudinale de la branche et des racines qui en naissent pour montrer leur origine. Fig. 3. Tissu blanc amylacé des lenticelles vu au microscope. Fig. 4. Tissu des spongioles vu au microscope. PL. ». Cette planche représente une branche de saule À, dont la partie infé- rieure plonge dans un vase rempli d’eau colorée en rouge par de la cochenille R, tandis que la partie supérieure est entourée d’eau pure E. UT, lenticelles qui n’ont pas encore produit de racines; , substance blanche amylacée qui sort de dessous les lenticelles lorsque leur épiderme est rompu. rrrr, racines colorées en rose, quoiqu’elles se soient développées dans l’eau pure. 1 Ê e re û VE Fig. 2. Branche de saule, dont la partie inférieure plongeait dans de l’eau pure, ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE VÉGÉTALE , BOTANIQUE. 35 tandis que la partie moyenne, représentée ici, plongeait dans de l’eau colo- ‘rée en rouge. Les racines r'r'r°, beaucoup plus courtes, étaient blanches intérieurement, quoique développées dans de l’eau colorée ; les supérieures seules étaient légèrement colorées en rose. Fig. 3, 4, 5. Coupe transversale de la branche fig. 1, pour montrer la partie colorée par le liquide. Fig. 6. Coupe longitudinale d’une portion du tissu ligneux de la même branche. Réponse à la Note sur les Graminées de M. J. J. C. de la Harpe, insérée dans le numéro de septembre 1825; par M. Raspa. (T. VIIL, p. 76.) PI. 24, fig. 1. Germination dans l’eau du Zea mays. Fig. 2. Tranche horizontale au nœud cotylédonaire 5. Fig. 2. Coupe horizontale d’une tranche au point (t). Fig. 3 et 4. Fragmens de tiges du Aelianthus major, destinés à montrer l’ana- logie qui existe entre les stipules des dicotylédones et les feuilles pariner- viées des monocotylédones, surtout celles des graminées. “CONSIDÉRATIONS GÉNÉRALES sur le genre Veronica et sur quelques genres des familles où sections voisines ; par M. Auc. Duvau. (T. VITE, p. 163.) PL 26, fig. 1. Veronica elatior, H. P. Ovaire, ovules et disque. Fig. 2. Ÿ. formosa, R. Br. Graine avec embryon. Fig. 3. F7. Sibirica. a, graine vue par-dessous; 4, la même vue de côté; c, radicule sortant au-dessus du hile; d, graine avec l'embryon; e, embryon isolé. Mig. 4. V7. perfoliata, R. Br. a, Capsule avec calice et bractée; #, capsule offrant la double déhiscence et le placenta libre (les graines sont tombées, il ne reste plus que les podo- spermes); €, graine vue par-dessus (de forme variable, quelquefois échan- crée au sommet, portant souvent au milieu plusieurs membranes moins saillantes); 4, la même vue par-dessous ( hile quelquefois moins long). Fig. 5. W. Lederæfolia. & ; test; d, périsperme; c, membrane partant du fond de la graine; d, hile; e, points globuleux qui terminent le hile. 36 ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE VÉGÉTALE, Fig. 6. F7. salicifolia, R. Br. Corolle de la première section. Fig. 7. V7. latifolia, L. Corolle de la deuxième section. Fig. 8. F”.cymbalariæfolia. Corolle de la troisième section, première division. Fig. 9. 77. buxbaumr. Corolle de la troisième section, deuxième division. Fig. 10. F7. Giloba. a, rameau un peu grossi, portant la bractée, le calice et la capsule (bi- furcation assez fréquente dans les sépales du calice); 2, capsule nue, ayant une loge ouverte; c, une graine fertile etune avortée; d, graine vue par-des- sus; e, la même vue par-dessous; f°, la mème vue de côté; g, embryon isolé; h , graine plus avancée, vue par-dessus; 7, la mème vue par-dessous ; #, po- sition de l'embryon dans la graine. PI. 27, fig. 1. Scrophularia vernalis. a, étamine; D, anthère; c, capsule vue par-devant; d, disque; e, base du calice; f, capsule vue de côté et coupe verticale; g, disque oblitéré; 2, coupe horizontale; £, placenta garni des podospermes seulement. Fig. 2. Linarta repens. Corolle; aa, point d'insertion des étamines (j'ai fendu en travers la poche qui se trouve au haut du lobe du milieu de la lèvre inférieure, pour pouvoir suivre jusqu'aux bords du limbe les ramifications des ner- vures ). Fig. 3. Antirrhinum majus. a, capsule avec le calice étalé, de grandeur naturelle; &, capsule grossie avec disque; €, reste du pistil incliné comme la base; d, coupe verticale; e, disque oblitéré; f, reste du calice; g, placenta vu de côté, muni seulement des podospermes; 2, coupe horizontale. Fig. 4. Rhinanthus glabra. a, capsule très-jeune, avec disque terminé en pointe recourbée; b, pistil; c, capsule plus avancée; d, coupe verticale; e, placenta portant des graines alternativement fertiles et stériles; f, bourrelet subéreux; 9ggg, membrane transparente; #, graine; z, hile (de forme variable); #, graine dépouillée du bourrelet et de la membrane; /, embryon incliné; », embryon isolé. Fig. 5. Bartsia viscosa. L BOTANIQUE. 3- a, capsule vue de face; d, disque; c, base du calice; d, capsule vue de côté; e, reste du pistil; f, stigmate vu de face; g, capsule avec coupe verti- cale d’une loge; 4, coupe horizontale; ?, graine vue par-dessous; #, la même vue de côté; /, anthères vues par-devant. Fig. 6. Nemesia fœtens. a, capsule jeune; 4, disque; c, capsule plus avancée; d, disque oblitéré ; f, capsule avec deux sépales, déhiscence septicide; g, placenta garni des po- dospermes seulement; 2, graine bordée d’une membrane très-transparente ; i, embryon; #, même graine considérablement grossie. Mémoime sur la famille des Bruniacées ; par M. Anozpne Broxexiart. (T. VIT, p.357: ) PI. 35, fig. 1. Berzelia lanuginosa Nob. a, rameau de grandeur naturelle; 4, une des écailles du réceptacle; 4”, la même, vue de profil; B, fleur entière; D, pétale; Æ, coupe longitudinale d’une fleur; F', étamine; F°, anthère vue par-derrière; G!, pollen; Æ, coupe longitudinale d’un fruit avorté; {, coupe longitudinale d’un ovaire fertile; À, coupe transversale du même, in- diquant les rapports de position des diverses parties de la fleur; Z, fruit entier; M, coupe longitudinale d’un fruit fertile et de la graine qu'il ren ferme. Fig. 2. Prunia pinifolia Nob. a, rameau de grandeur naturelle; B, fleur en- tière; D, pétale; Æ, coupe longitudinale de la fleur; F°, étamine; G, fruit coupé longitudinalement; #, graine; 7, la même, coupée longitudinale- ment; À, coupe transversale de la fleur montrant les rapports de position des divers organes, PI. 36, fig. 1. Prunia nodiflora L. a, capitule de fleurs de grandeur naturelle ; B, fleur entière; C, division du calice; D, pétale; Æ, coupe longitudinale d'une fleur; F, étamine; F”, anthère vue de face; F°”, la même vue par-der- rière; @, fruit entier; A, coupe longitudinale d’un fruit dont les graines sont avortées; /, le même, coupé transversalement; À, coupe transversale de lovaire; L, coupe longitudinale du même; M, graine avortée;. N, fruit fertile, coupé longitudinalement; ©, coupe de la graine; €, em- bryon. Fig. 2. Staavia radiata Thunb. a, rameau de grandeur naturelle; 4, une des écailles du réceptacle; 2, une fleur entière; C, division du calice; D, pé- 38 ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE VÉGÉTALE, tale; £', coupe longitudinale de la fleur; F, étamine vue par-devant:; F’, la même vue par-derrière; G, style et stigmate; À, fruit entier; /, une des coques ouvertes; À, les deux coques coupées longitudinalement avec les Q 2, ee Q A graines; L, coupe transversale de l'ovaire; MZ, ovule; N, graine; ©, la même coupée longitudinalement; P, embryon. PL 37, fig. 1. Raspalia nücrophylla Nob. a, rameau de grandeur naturelle; B, fleur entière; C, calice entier et développé; D, pétale; Æ, étamine; F", coupe longitudinale de la fleur; &, fleur dont on a enlevé le calice; 7, la même dont on a détaché trois des pétales pour montrer leur insertion et celle des étamines. Fig. 2. Berardia paleacea Nob. a ,rameau de grandeur naturelle; P, fleur en- tière avec les trois braciées qui l’accompagnent ; C, une des divisions du ca- lice; D, pétales unis vers la base; Æ, étamine adhérente aux pétales; F, pis- ul coupé longitudinalement. Fig. 3. Linconia alopecuroides Swartz. a, fleur entourée de ses bractées; 2, la même dont on a enlevé les bractées; C, pétales; D, étamine vue de face; D’, la même vue par-derrière; Æ£, coupe longitudinale de la fleur; F, coupe longitudinale de l'ovaire, parallèlement à la cloison; G&, coupe lon- gitudinale perpendiculaire à la cloison; Æ, fruit imparfaitement mûr; T, ovule. PL. 35, fig. 1. Audouinia capitata Nob. À , fleur entière; B, coupe longitudi- nale de la fleur; C, pétale; D, étamine vue de face; D’, la même vue par-derrière; £', coupe transversale de l'ovaire; F, coupe longitudinale de l'ovaire; G, ovule. Fig. 2. Tittmannia lateriflora Nob. À, fleur entière; P, coupe longitudinale de la fleur; C, pétale; D, étamine. Fig. 3. Thamnea uniflora Soland. a, rameau de grandeur naturelle; 2, fleur entière; C, coupe longitudi- nale de la fleur; D, pétale; £, étamine vue de face; £”, la même vue par- derrière; £”, la même vue de profil; F, coupe longitudinale de l'ovaire; G, coupe de la colonne centrale avec les ovules qui y sont attachés; Æ7, coupe transversale de l'ovaire. Monocrapme des Globulaires ; par M.J. Camsessëpes. PL. 40. GrosuLartia spinosa 8 Nob. de grandeur naturelle. BOTANIQUE. ; 1. Fleur vue de côté. : 2. Corolle ouverte, dont le tube a été coupé transversalement au-dessus de sa base. 3. Calice vu de face. 4. Calice et ovaire coupés longitudinalement. 5. Anthère non ouverte vue en dessus, avec son filament. 6. 140 vue en dessous. 7. Anthère en état de déhiscence. PI. 41, fig. 1. GropurarIA vurcaris Linn. 1. Fleur vue de côté. 2. Corolle entière, 3, Corolle ouverte dont le tube a été coupé transversalement au-dessus de sa base. 4. Anthère non couverte, vue en dessus, avec son filament, 5. Id, vue en dessous. 6. Ovaire. 7. Galice et ovaire coupés longitudinalement. 8. Fruit. 9. Jd. coupé longitudinalement. 10. Embryon séparé de ses enveloppes; cotylédons écartés artificielle ment. 11. Foliole de l’involucre. 13. Paillette du réceptacle. Fig. 2. GroBurariA orIENTALIS Linn, de grandeur naturelle. 1. Fleur vue de côté. 2. Folioles de l’involucre. 3. Fruit. 4. Id. coupé longitudinalement. OnsErvarions sur deux nouveaux genres de Plantes ; par M. Desvaux , Directeur du Jardin de Botanique , à Angers. (T. IX, p. 4or.) PI. 51. Cazonryum Trugircorum Desv.. 4o ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE VÉGÉTALE, BOTANIQUE. Osservarions sur la famille des Légumineuses ; par M. Desvaux, Directeur du Jardin de Botanique , à Angers. ( T. IX, p. 406.) PI. 52. DerarrA ovALtroLIA Desv. PI. 53. Derarra PyrrroztA Desv. RAA VU AVE AU VE TUE LU UV VEUVE VU VU LUE LU UUEV LAV LVUVUUELUVUUUS MINÉRALOGIE ET GÉOLOGIE. Sur la Constitution géognostique et les Gites métallifères du Cornouailles et du Devonshire; par MM. Durrexoy et Eux ne Beaumont, Ingénieur des Mines. (T. VIT, p. 109.) PI. 7. Carte géologique de l'extrémité sud-ouest du Cornouailles , dessinée d’a- près la carte géologique de l'Angleterre de M. G. B. Greenouex. PI. 8. Plan ei coupes des divers filons métallifères du Cornouailles. PL. 9. Plan des filons d’étain de la mine de Polsooth. Ininérame céocnosrique de Fontainebleau à Château-Landon , et Composition du sol de la plaine de Chäteau-Landon ; par M. le vicomte HéricartT-Ferranp , Docteur en Médecine. ('E. VIII, p. 54.) PI. 22. Carte géologique des environs de Nemours à Château-Landon. PI. 23. Essai d’une coupe géologique des Gautiers à Soupes par Château-Lan- don et la My-voie. Essai d’une coupe géologique du port Cretet, sur le canal du Loing à Bu- leau , par Mocquepois et Brusel. Ds L’Anxose. —— Caractères minéralogiques et Histoire géognostique de cette roche ; par M. Azex. Broxenianr, de l’Académie royale des Sciences, Professeur de Miné- ralogie au Jardin du Roi. (T. VIIT, p. 113.) PI. 25, fig. 1. Coupe du terrain d’Arkose de Remilly, entre Dijon et Vitteaux, par M. Pareto. V, vallon du ruisseau de la Belle-Fontaine; 4, granite; B, Arkose, MINÉRALOGIE ET GÉOLOGIE. f m, marnes argileuses , et c, lits de calcaire compacte; €, calcaire à gryphées arquées; m, marnes; D, calcaire blanc jurassique ; À, village de Remilly ; T', télégraphe. Fig. 2. Rapport des Arkoses , du psammite et du calcaire, route de Mercuer à Aubenas. A, terrain d'Arkose; à, lits argileux verdâtres et rosätres; à, Arkose commune et granitoïde; €, psammite sableux micacé, fissile; d, Arkose granitoide ; e, Arkose miliaire; P, calcaire sublamellaire jaunâtre ; C, brêche calcaréo-quarzeuse ; D, calcaires compactes divers. Fig. 3. Colline au S.-O. du village de Mercuer. D, calcaire compacte gris de fumée métallifère ; &, pont sur le vallon de séparation des deux collines; c, fond du vallon, dont les deux rives sont formées de granite vers le bas, et d’Arkose vers le haut; 4, granite ; P, ter- rain d’Arkoses et de psammites ; , route de Mercuer à Aubenas. Quezques Ossenvarions sur les Trilobites et leurs Gisemens ; par le comte G. DE Rasoumowsky. (T. VIIL, p. 186.) PL 98, fig. 1. Z'rélobite de T'zarsko-Sélo, près Pétersbourg, complètement étendu. Fig. 2. Le même replié, vu antérieurement. Fig. 3. Le même vu postérieurement. Fig. 4. Variété du Calymène de Blumenbach de Podol, près Prague. Fig. 5. Autre Trilobite de Tzarsko-Sélo. Fig. 6. Portion du chaperon d’un Trilobite détaché, et montrant sa surface in- férieure. Fig. 7, 8 et 9. Post-abdomen du Trilobite à rebord. Fig. 10. Bouclier d’une nouvelle espèce de paradoxide. Fig. 1 1. Nouveau genre de Trilobite. PL. 29, fig. 1. Orthocératite. Fig. 2. Anomie sphéroïdale. Fig. 3. Hystérolite. Fig. 4 et 5. Urne de Neptune vue sur ses deux faces. Fig. 6 et 7. Corps organisé fossile se rapprochant des encrinites. Fig. 8. Espèce d’Alcyon fossile? connu sous le nom de Boules de pierres. Fig. 9. Carrière de pierres de Tzarsko - Sélo, dont les couches horizontales sont couvertes d’éboulemens dans une partie de leur profondeur. 6 ae 43 MINÉRALOGIE ET GÉOLOGIE. a , couches de calcaire plus ou moins marneux, et souvent sablonneux et coloré; 4, couches d'argile schisteuse colorée. Fig. 10. Coupe d’un escarpement des bords de la Koscheleva; &, couches de schistes argileux-bitumineux brun horizontal; b, couches de sable jaune plus où moins sulfureux, qui interrompent les précédentes; c, lignes ponctuées figurant les couches a masquées par la terre et la végétation, supposées re- paraître, comme cela a lieu de l’autre côté des couches, feuilles ou crin b, dans une position un peu différente. Fig. 11. Coupe comparative des formations secondaires de la Livonie, d’après Fischer. Fig. 12. Coupe des couches arquées de l’un des escarpemens de la Koscheleva, près Paulovok. Cet escarpement est composé d’un calcaire gris blanchä- tre, séparé par des couches argileuses, et interrompu par des fentes nom- breuses. Fig. 13. Escarpement au-dessus de la Koscheleva, près Paulovok, en partie re- couvert d'éboulemens, et dont les couches, en général assez tendres, sont brisées et morcelées. a, calcaire marneux et sablonneux, d’un gris clair; », couches beaucoup plus minces d’argile schisteuse rouge; €, pierre sablonneuse coquillière dure et pyriteuse, semblable à celle de Fzarsko-Sélo; d, sable durci, jaunâtre ou verdâtre; e, pierre sablonneuse jaune, quelquefois sulfureuse; f, sable fort dur, jaune comme le précédent; g, schiste argiieux-bitumineux; 4, le même, très-ferrugineux; £, sable vert; #, terre végétale. l Fig. 14. Carte des bords du lac Ladoga. Toute cette partie aa de la côte occidentale du lac Onéga doit être de grès rouge où vert très-ancien, reposant sur la brèche siliceuse. bb, promontoire d'environ vingt verstes (plus de quatre lieues et demie de France) de longueur, à sept verstes ( deux lieues) de Petrozavodok, entièrement composé de brêche siliceuse comme l'archipel c de Kiege, où se trouve l'ile de Wolkootrof, dont cependant la grande île Z montre un marbre salin. Sans doute la brêche siliceuse du promontoire bb, que l’on voit former le fond du lac, près de Petrozavodok, constitue aussi la masse des pro- montoires e et /, et peut-être une partie de la rive orientale du lac. MINÉRALOGIE ET GÉOLOGIE. 43 Mémorme sur de nouvelles Variétés de Chaux carbonatée et d'Argent sulfuré du Mexique ; par M. S. M. ne Busramente. (T. VII, p. 205.) PI. 30, figures de ces variétés de-chaux carbonatée et d'argent sulfuré. » lg Sur quelques Fossiles du grès bigarré; par M. Garrarnor, D.-M., Membre de quetq 5 P plusieurs Sociétés savantes. ( T. VIII, p. 286.) PL. 34. Coquilles du grès bigarré de Domptail. Fig. 1, 2,3 et 4. Coquille voisine des trigonellites de Schlotheim5 Fig. 5 et6. Coquille voisine des Donaces ou des Solens. Fig. 7 et 8. Grande coquille turriculée ressemblant aux phasianelles,. Fig. 9. Autre espèce voisine de la précédente. Fig. 10 et 11. Natices? appartenant peut-être à deux espèces différentes. Fig. 12. Coupe du terrain de grès bigarré qui renferme les coquilles précédentes à Domptail, département des Vosges. Exrrar d'une Lettre de M. Jouanxer, de l’Académie de Bordeaux , 4 M. ArExANDRE BroncniarT, Professeur de Minéralogie au Jardin du Roi. (T. IX, p. 188.) PL. 46. Coupe du plateau de Terre-Nègre, près Bordeaux. À, Sable ou gravier analogue au calcaire grossier; P, argile brunâtre re- présentant l’argile plastique ; CDE', falun gris ou bleuâtre, renfermant des coquilles, des madrépores, etc., et qui paraît analogue à la craie. NoTe sur la Caverne à Ossemens de Bamwell, dans le Sommersetshire ; par M. Berrrann-Gesuix. (T. IX , p. 196.) PI. 46. Plan et coupe de la caverne de Banwell. Note sur la Présence de deux genres de Pachydermes Chœropotame et Palæotherium, dans les bréches de Sète (Hérault) et de Villefranche-Lauraguais (Haute-Garonne) ; par M. Marcez pe Serres. ( T. IX, p. 191.) PI. 46, fig. 1. Cinquième ou sixième molaire inférieure de Palæotherium. Fig. 2. Sepuème molaire inférieure de Palæotherium. Fig. 3. La même molaire vue latéralement. Fig. 4. Canine supérieure de PalæotAerium. Fig. 5. Coupe de la même canine. Fig. 6. Troisième ou quatrième molaire tuberculeuse de CAæropotame.. FIN DE L'ATLAS POUR L'ANNÉE 1826. Jehmelz se Heyland del. terncitl Lo MCLEU/ILCON, 77 le . 7 Deer eee = 1. Ë À “29 HJOULYIS ‘20P pur] hogr J :L'iZ Soppompu Of Sep'UU PIUIIDL PIP JUIUD PA PNITT PA ÿ 9 Co) VONT > . sie. 7 LE SONTERS : . & we renley fr — | mn. | * Z Æ, PI779ANJDU of L2p “UUZT 1 y Caervr dei CRANES DIE PAP'ON REL LESSON. TE Less ON CAT. RENE APP AU RE "/ del i 7 & Se VE #2 F s AAA 7. 7er des A. ut PA | Ë | [l j Î | | | Lee J'E& Carr Loi L'Cuerin d'y PETREL LESSON. Procellaria Lessornié Carr. , À ZGrerint apres Martin DpLA AIT. DÉPLACEMENT D'UN REIN ET DE L'ARTERE RENALE (a A Le A An des de Mal GE : C2 CA Lrgp:Lith.deF Noël Lig: 7.13 . MEMBRES POSTÉRIEURS DE DIVERS SERPENTS. Pig: /4../6.0S HYOÏDE. DE L’'ANOLIS LINEATUS. 1. 7 OMS = — DO D nn Nord Cr, LG Lee ©) o 6 EE = l ON ra ete re su \ ca a Q Tre nano je” 6) HE et Pa & a ete ë CU Z PS RS = — a AK VA RS DST ts M Se 7 nr N On, AN me Ne 27 — 1? N rt. Cranile Loches schisteuses Atlas Jerpentne el ZE, Luphotide L 0, A 27 272 Le 2 Re la Serpenté Gravackhe Jerpentne ReNERe CE Cxleaire Sud— MALTE FANS + TREUR AUTONET #1 L'N 7 il en ira (Ie YA TR on io AUTRE \ AU ANUS CLR mul DA TS Ann des de. natur', Tôme VI] m UE nn En p Due CR PT : ET D er d De | Nord 3 à Rues [CARTE CÉOLOGIQUE ) rs Cr ; ) De A Lalrénmule en, 74 ucst TO D CORNOUAÏLLÉS > _ 5 DÙÜ CORNOUAILLES. Po es Fe —_—*< Dessinée d'après la Carte géologique de l'Angleterre 2 L 4 h 2 FD D ) ; ”/ eu. D / LAS Genesis ; PES FN / Ce par Berthe. rue S' Jacques N° 66. j Editeur d'une Nouvelle Carte LE! urope en C27% futller . Pochenr conte urmalne el de LG le . Explication des couleurs, Poches schirteures Aillas JFhite sun : less dans le eb pa CERN ANS RER ANNS | ga ë KL ENNERE D. yphotite … À Toy A » He Uurgique en Angleterre. d= EU DE ül Da Si je OP S PNA PNA 074987 vd 201) ! 0772777 22 277777227772 027) 1 AAA: TA 9 P UE LT 9P UT St] ? AAA THE 9p ouf v] op odno y LS] eZ 7 z 4 P ‘NIHDLDE SH0O) 9p ouf vLop odno) cr; N NX 7 7 P 2 ? ACHIDENERR 3P Ju IN La 2P J d no ) F or&1] 2 ZEZ 7 7 *'HONVNNVAUIL 9P SU VI] °P odno ) 9 = ELLAHM 9p ouf 8] op uvq 6 ? "OI I "HOVUVHUVD 9P ouf VI op odno) :t 7 Su S. > Su TIOLIVAS 9 P SU VI 2 P sdno $ ge Su “AMIDÔS-TTAN 9P OUf L[2P UVIY TU BUT "S'HTEVIRONE O} JC SION LE STE TE TEE LAC re Quenenville © PT \ \K À \ >, © PURES à Le] es 472 r (lé Les Varennes rl j 9 «l la My Toge © ” V) «(fl Grand Moulin M . [Chenou Was © (2 P£ fr Tetegraphe an ND. ji ?) à 222227 Château-Landon bé © Leurtbbiwe. 77% j L'uselet e Long Fe 7, Echelle de 10,000 metres. > 6 7 8 9 = ; = 4 5 Ron Lehelle. de’ 5,000 Lorres. 1000 + 2 8 SUD FREE) RESTE PTE CRUEL 1H 7. f Eté | Ann. des Se, naturelles T! #. 10 Oo 88/62 Plaine de Chateau-Landon . Plaine’ de Mocquepors. Vallon de Menil à Brusel. |14% 62 Jeine à JS Mamert. | ko? 62 Canal du Loing, à Port Cretet.. De la Seine ax Pont de lx Tournelle a Paris. TER | : ÆESSAL D'UNÆ COUPE GEOLOGIQUE 0 \ A des Gauüers à Soupes, 100 Per Chateau - Landon et lx My -Voye, savant la Ligne’ d'intrsecton AB. go | k Re 88% 62 Plaine de Chéteau -Landon. |. Crae | | Loudrque 70 Caleaire’ d'eau douce DE 60 ÿo | 43 %o0 Valle du Susan, à Chatau-Landonk. Lo ï 4 58% 62 Canal du Loing, «a Soupes. li TR. 1 SR Re TE PTS OM NA D NUE dE nec y ROUE RAD … LA : 30 20 os Bchelle des longueurs. 0 #02 pour mille métres. à RS [14 #62 La Seine, & SE Mamert.. o 1000 2000 3000 4000 5000 Je! 10 Me à J ÆZchelle des hauteurs.o #00 peur metre’. RE o 10 20 30 4o bo ! 60 7° 80 go 100 ÂMetres. o | 2e lx J'ene au Pont de lx Tournelle à Parts. W Les Cautiers hateau -Landon. la y -Voye ER oupes 1 , ÆSSAT DUNEÆ COUPE GEOLOCIQUE : QE du Port Cretet sur le Canal du Long à Buleau, 100 par Mocquepows et Prusel, savant Lx line’ d intersection CD. 90 echelle des longueurs. 0 #62 pour rule metres. 1000 boo em L : © 1000 2000 8000 4000 booo Met : À : ; RAA Behelle des hauteurs.o"?*00ù pour metre’, o 10 20 30 4o $o 60 : 7 80 90 More Cravee par Berthe , Rue dJ'EJacquer, N°66. —©- © —©— ES Telegraphe Brusel Mocgquepoir Canal du Loing eee del hé Laden fe RICE au Port Crete. ae EA à 2.0 ren erenerraherele NTIC Pl file aine” Je. Anatonue comparee des Granunees, Us ne CAT qe Re de Fatal . We ï A€ NOILISOd 4€ S'LHOdAV 4 eds BETR 21,2 2 Le 2/9 /2 ELA A = CAT à : FC 7722 ‘ LT JIU If VIF 4 & 7 à TU, 26 © Ann. des Jaënc: nabrelles T. . ane Je. Plee far | la fleur donnes féroniques . î Aug. Daœau, del, de Analyse Ann. des Saenc. raterelles PAC Aug, Duvau del, Plë fil ane Je Analyse des fleurs de divers genres de Lersonees = 4 ec - , et de lRlunanthacces. Jp Lilhde Boue dirigee par Mol oumnert OC TRILOBITES e AN des. de Wa. TP on ( Ca ES RRR Rp 0 SET HR RP à KG Re SE o ARS lp Lit de Bove dirigée par Noël airé et CL > 7 7 D TZ, 4 ; 4 Cl COCA des Dr 222 se A Pnau È $ 1 îÀ b2 » À 7 Set log pe SD 7 Ê7 2 LOT TE LUE 2 GT “CII HLATUL 277772 Le VA 72 PA 29 70e pod bnp og pr deiy eng pm e ie + KE A re LILI 37 27 C7 CE Le CL RTE 27 « NL aine yjoihar h dé hote cl + Arts les PR or 7 7 Ê Cond i ; Plon Zap Liëh de Bove riget pars Hit a EC: ne Date de pl goenene Ps L An: dese-Hnat. LAON norton as À AAA D os, Rest An enr No ? COQUILLES FOSSILES DU GRES BIGARRE. AE) AA ST) . fr peer ELEC der IL Pete ot P 2 (4 cr Set 7 4 4 e ones. De. nal À. d. | | | Dnp LithdeBore reriree pare Vèterner & Con Pig. LT. Brioua nodiflore LL. Fig. 17 Staaecer rudrate. Mouub. Ce . CAR aire A har NE: - f de AZI 74 2777227 12 LS LA c DU F Mébr one Gacitn 7 ; Li lente le 2e CA Koccaleçre” La +# Colis ne luerer nome 7 Ann. des S'eienc. Nat. T' QE 7 | LA | 7) [À ) . f | f L N Werner del, ; Ze ANATOMIE DES PLUMES. d ï si NECRRNEE PE FT. Ta <_AÆnn.des Sccences raturelles tn oëlarne se CE Ve CA Ze z RE dE ZrnpLilh.deBore dirige Lromas : Ardeola ty em LATE HU ren M'av » < Anne. des Sréencer nalirilles À 7 7. 46. Cerepe cor d'Yadente delete. neagrrs 7 é Ares Pordetttx LÉ AU ee Par el Core de la caverne de Daniel Zrreplith debere dirigée pare fbélæririekC* Derés de Lllaecolheriin . é Ÿ 1ù MEL SR F2 DR Br Wet RUN ire Fo y} L ÿ HET L'HRPAS si Ets a Ari. des SeNalur. To. TR Âg16. Ligss. E\ “ à Ag.27. 1rmp Lüh. de Bove dirigee par Noël aine el C4 OXYURES et VIBRIONS. 4 A Nr IN vil ÿ HN ANUE die MAUR AE DA er 164 et ANUS NUE LATE rl 4 MOTO VENU RON ji 1 L . DORA DER a Ann des Se. Naler. Ta. 5 AV 48, Lg IS. Irmp Li. de Bove dirigee par Nôël atne el C= OXYURES et VIBRIONS. Ÿ d Au lo EU ï Len A LT RME NUE ECO" ik b A I a D ke ACTE tv: ne ONUE Ù \ Ë Ha fait PA ERUN eus (Ur Le eAnn des Se.Nalur. Tom.é. à Il 24. Lrp th deBore dirigée pareVeël aire & C€ Crganes de li respiration des insectes Clévpteres ; tra EN «Annal de St: NEz: Tm:8. PL 2/5 Jmp lith. de Bove dirigée par Noël aine CF Organes divers des trsécles Codéopiercs. Ann. des Science. Nat. TAG JEU, or ANS QD Durau seulp. NICOTHOË DU HOMARD. É Nicothoë Astact. MD DEN V D} À NAN Ve At ta JA Ai fi W F fil k RUN ? Fe SE ñ e F PA W SUMTEN a Mean DRE RAR 4 iv RUE HU ANNEE Bot sai Fu PAU ipa AE PARA El jt NE fe ai) D | . Le même séparé du cube. a, grande cavité qui a une issue déliée à son fond; 6, canal crénelé sur ses bords, et par où passent les suçoirs ; c, issue postérieure de ce canal. Fig. 3. Bouche rétrécie, à cinq pointes de la grande cavité. Fig. 4. Cube de F'Abyla un peu grossi, montrant les deux cavités intérieures, dont une d'a une ouverture extérieure. Fig. 5. Cube vu par la partie qui s’unit au grand.corps; €, la cavité qui reçoit la pointe du grand corps. , Fig. 6. Cube vu par sa partie postérieure. Fig. 7. Suçoirs et tentacules grossis. Fig. 8. Détails d’un tentacule. C. Fig. 1. Nacelle sagittée de grandeur naturelle. a, grande cavité dont l’ouverture a six pointes ; Ÿ, canal dentelé; €, portion recevante. Fig. 2. La même partie vue par en haut, l'animal nageant. Fig. 3. La même partie vue en en dessous. d, petite cavité triangulaire. Fig. 4. La même partie vue de profil. Fig. 5. Encore la même partie vue également de profil, et montrant de plus la cavité en $', d’où partent les suçoirs. Fig. 6. La cavité en S, grossie et séparée, avec les suçoirs. Fig. 7. Portion de l'animal reçue dans la précédente, et formée de deux cavités , a et 4. Fig. 8. La même portion montrant de plus une autre petite cavité c dentelée à son ou- verture. : Fig. 9. Cette même cavité grossie. D. Fig. 1. Ennéagone hyalin complet et de grandeur naturelle, montrant ses deux cavités intérieures, dont une porte les suçoirs, qui sont très-déliés. Fig. >. Le même, vu sous une autre face. Fig. 3. Autre portion du même. Fig. 4. Le plus grand de ses angles, qui se trouve toujours en dessous. Fig. 5. Bouche à cinq pointes d’une des cavités. Fig. 6. Deux cavités intérieures, séparées et grossies, avec les suçoirs. E. Fig. 1. Cuboïde vitré de grandeur naturelle. : Fig. 2. Le même très-grossi, montrant 1° une large cavité d, laquelle contient un corps b creusé d’une cavité à ouverture quadrilatère ; 2° une seconde cavité crénelée, et entre elles un chapelet de suçoirs et d’ovaires. Fig. 3. Le corps à séparé du Cuboïde, et montrant une petite frange qui le contourne en spirale. ZOOLOGIE. : PI. 4. 4. Hippopode jaune. Fig. 1. De grandeur naturelle avec ses suçoirs et ses tentacules. — Fig. >. Animal dese grégé vu par sa partie supérieure interne. — Fig. 3. Le même par sa partie inférieure externe. — Fig. 4, 5, 6. Le même vu de profil et sous divers aspects. -— Fig. 7. Deux individus à plat pour montre le canal a qu'ils forment pour laisser passer les tentacules. — Fig. 8. Manière dont s’insère le chapelet des suçoirs et des tentacules.— Fig. 9. Un tentacule très-grossi et tortillé. — Fig. 10. Le même ‘tel qu'il est complètement déve- loppé; les ovaires et les suçoirs n'occupent qu'un seul côté de la tige. — Fig. 11et 12 Ovaires et utricules très-grossis. B. Fig. 1. Orythie jaune. Fig. 2. Rosace de Ceuta grossie du double. a, ouverture de la cavité ; à, dépression où se fixent les suçoirs et les ovaires. Fig. 3. La même vue de face pour indiquer la position de l'ouverture. Fig. 4. Rosace froncée. PI. 5. 4. Rhizophyse hélianthe. Fig. 1. De grandeur naturelle. a, sa bulle d'air. — Fig. 2. La même sortie de l'eau. — Fig. 3. Suçoirs grossis. — Fig. 4. Ampoule grossie qui, placée au milieu des suçoirs, est probablement la bouche. — Fig. 5. Un tentacule grossi.— Fig. 6. Une portion du même excessivement grossie, — Fig. 7, 8. Appendices qui se groupent autour de la tige. B. Rhizophyse discoïde. Fig. 1. De grandeur naturelle. — Fig. 2 >. Ses suçoirs grossis. — Fig. 3. Les tentacules ova- riformes très-grossis. C. Rhizophyse melon. Fig. 1. De grandeur naturelle, avec ses deux ailes et telle qu'elle a été trouvée. — Fig. 2. La même restituée dans l’état qu’elle doit probablement avoir. — Fig. 3. Extrémité de la tige où est la bulle d’air. — Fig. 4. Côte charnue vue en dedans. — Fig. 5. La même - vue extérieurement. — Fig. 6. Tentacule très-grossi.—Fig. 7, 8. Suçoirs grossis.—Fig, 9. Un des suçoirs montrant son ouverture frangée. PL 6. 4. Dianées, Fig. 1. Dianée ronde. — Fig. 2. Ses bras grossis. Fig. 3. Dianée conique. — Fig. 4. La même vue en dessus. Fig. 5. Dianée petite, — Fig. 6. Extrémité de son pédoncule. Fig. 7. Variété de la Dianée petite. —Fis, 8. Extrémité de son pédoncule. Fig. 9. Dianée bitentaculée. 1e ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE ANIMALE, Fig. 10. Dianée funéraire. — Fig. 11. La même renversée pour montrer le disque inté- rieur. — Fig. 12. Ce disque vu de face. — Fig. 13. Le même vu de profil. — Fig. 14. — Partie centrale du disque vue de profil et grossie. — Fig. 15. Portion externe d’un. des rayons du disque très-grossi. B. Équorée chevelue. Fig. 1. De grandeur naturelle. C. Phorcynie bonnet. Fig. 1. De grandeur naturelle. D. Campanulaire lisse. Fig. 1. Trois individus de grandeur naturelle, — Fig. 2. Un individu avec l'animal sor- tant de sa cloche. — Fig. 3: Le même avec l'animal rentré. — Fig. À. Animal reuré de sa cloche. — Fig. 5. Un tentacule très-grossi. PL. 7, fig. 1. Briarée scolopendre un peu grossi.— Fig, >. Le même vu enroulé.— Fig. 3. Portion antérieure, vue en dessous pour montrer la bouche. — Fig. 4. La bouche de profil. — Fig. 5. Antenne très-grossie. — Fig, 6. Appendice branchial grossi. Fig. 6. Anatife tricolore: . Fig. 7. Anatfe univalve, — Fig. 8 4. Un des cirrhes grossi. PL. 5. 4. Biphores. Fig. 1. Biphore bicaudé vu en dessus. — Fig. ». Le même en dessous. Fig. 3. Biphore cordiforme en dessus. — Fig. 4. Le même en dessous. — Fig. 5.:Ses ovaires grossis. — Fig. 6. Fragment des mêmes. - Fig. 7. Biphore microstôme. — Fig. 8. Variété du même. — Fig. 9. Ses ovaires, B. Fig. r. Hyale mucronée. — Fig. 2. La même grossie. C. Fig. 1. Flèche deux points de grandeur naturelle. — Fig. 2. La même très-grossie, — Fig. G. Sorte de mandibules très-grossies. — Fig. 7. Points extérieurs au çanal digestif et qui ressemblent à des ovules. D. Fig. 1. Cléodore alène de grandeur naturelle. — Fig. 2. La même excessivement grossie avec ses nageoires sorties. — Fig. 3: Son tube vitré très-grossi. PI. 9. 4. Veretile jaune, Fig. 1. Veretille jaune, moitié de sa grandeur naturelle et au trait. —Fig. 2. Une portion ZOOLOGIE. du même de grandeur naturelle. — Fig. 3. Un polype grossi.— Fig. 4. Un polype dont les rayons sont tronqués, et montrant le tube digestif a, à l'extrémité duquel pendent cinq filamens plissés 2. La Nota. Pour faire ressortir les polypes on à été obligé de leur donner une couleur rosée, mais ils sont blancs et transparens, et reflètent la couleur de la Vereülle. B. Astroïde jaune. Fig. 1. Astroïdes jaunes de grandeur naturelle et sortant de leur polypier. — Fig. 2. Un polype grossi. — Fig. 3. Sa partie supérieure vue séparément. — Fig. 4. Le même vu de face. — Fig. 5. Coupe d’un polype grossi. — Fig. 6. Un tentacule très-grossi. Note sur un fémur de Mastodonte à dents étroites (Mastodon angustidens }, ldécouvert dans les terrains marins supérieurs des environs de Montpellier ; par MM. Mancez ne Serres, Dusreuir. et ne CHnisrou. ( Tom. X, pag. 215.) PI. 10, fig. 1. Fémur droit de Mastodonte à dents étroites ( Mastodon angustidens) réduit au sixième, Vu par sa face antérieure. Fig. 2. {d. vu par sa face postérieure. Fig. 3. Humérus droit de tortue de terre , placé sur la gangue tel qu'il s'y trouve, et dans _ la position naturelle à l'animal. a, grosse tubérosité dont lextrémité supérieure a été détruite; 4, base triangulaire , seul vestige qui subsiste de la tête de lhumérus; c, col où pédicule qui soutenait l’apophyse appelée petite tubérosité; d, extrémité inférieure de l’humérus, qui manque en totalité; e, portion de plastron. Descriprion et Ficure d’une nouvelle espèce d'Ornithomyie; par M. Léon Durour. (Tom. À, pag. 243.) PL 11, 8. 1. L'Ornirmomvie BiLOBÉE considérablement grossie. 1’, longueur et envergure naturelles de cet insecte. a, une antenne fort grossie. b, bec et portion du plastron vus en dessous et considérablement grossis : on y voit aussi les palpes. c, portion des tégumens de l'abdomen fort grossis, pour mettre en évidence les piquans et Les soies dont elle est hérissée. d, un tarse vu en dessous, et considérablement grossi pour mettre en évidence les ar- ticles dont il est composé, les pelottes et la soie pennée qui est entre celle-ci. e, un ongle de tarse vu de profil et considérablement grossi. 12 ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE ANIMALE, MÈmoire pour serpir à l’histoire du genre Ocyptera; par M. Léon Durour. (Tom. X , pag. 248.) PL 11, fig. 2. OcyprerA Bicoror grossie. Fig. >. Longueur naturelle de l’insecte. f, cueilleron des balanciers considérablement grossi. £, antennes vues au microscope. L, larve de l’OcyrrerA BIcoLoR grossie. 1, tête et segmens antérieurs de cette larve considérablement grossis. £, une portion encore plus grossie d’un des lobes de la tête pour metire en évidence les pieds-palpes. l, siphon caudal de la larve, grossi et détaché du corps. m, appareil digestif fort grossi de la larve de l'OcyrrerA 81coLor. n, Chrysalide de lOcyprerA B1coLoR, de grandeur naturelle. o, un des bouts de cette Ghrysalide considérablement grossi pour mettre en évidence les six tubercules qui la surmontent. Fig. 3. OcyPrerA cAssipæ très-grossie. Fig. 3. Longueur naturelle de cet insecte p, cueilleron des balanciers fort grossi. 5 q, antenne de cette Ocypière vue au microscope. , Chrysalide un peu grossie de l'OcyprerA cassinz. s, un des bouts de cette Chrysalide considérablement grossi pour mettre en évidence les quatre tubercules qui la surmontent. Mémoire sur un Insecte diptère du genre Bolitophile ; par M. Guérix. (Tom. X, pag. 399. ) PI. 18, fig. 1. Grandeur naturelle du Bolitophile cendré. Fig. >. Le mème gross. | Fig. 3. Thorax et premiers anneaux de l'abdomen très-grossis pour faire voir lattache des organes de la locomotion. : a, aile tronquée; d, thorax; cc, balanciers; d, les trois premiers anneaux de l'abdomen ; e, tête dont on ne voit que les yeux à réseau; f peer articles des antennes; ggg, hanches et commencement des cuisses. Fig. 4. Tête très-grossie et vue de face. aa, les yeux ; bbb, les yeux lisse; cc, les antennes; d, lèvre supérieure réunie aux man- dibules; ee, lobe terminal des mâchoires ; /f, palpes maxillaires ; g, lèvre inférieure ou trompe . ZOOLOGIE. : 13 Fig. 5. Lobe terminal d’une mâchoire, et palpe attaché à sa base. Fig. 6. Lèvre inférieure ou trompe, avec ses lobes terminaux grossis. Fig. 7. Extrémité de la jambe, et tarse très-grossis. Fig. 8. Nymphe. a, nymphe de grandeur naturelle; b, id. vue sous le ventre; c, id. de profil. Fig. 9. Larve. ; a, larve de grandeur naturelle; D, id. grossie; €, tête avec les antennes et les mandi- bules saillantes comme cela a lieu quand elle marche; d, les quatre lobes membra- neux placés en dessus de l'anus. Fig. 10. Tête de la larve très-grossie, vue en dessus. a, lèvre supérieure; à, antennes paraissant composées de deux articles. Fig. 11. Tète de la larve vue en dessous. a, lèvre supérieure; bb, mandibules; cc, replis de la peau faisant les fonctions de mû- choires; d, lèvre inférieure ou languette ; e, menton. Fig. 12. Extrémité d’une mandibule très-grossie. Fig. 13. Portion du dernier anneau de la larve pour montrer les quatre lobes membra- neux ouverts. a, ouverture de l’anus; bb, stigmates postérieurs. Mémoire sur une espèce nouvelle de Brachélytre du genre Prognathe ; par M. Hi. BLonper. (Tom. X, pag. 412.) - PI. 18, fig. 14. Prognathe rufipenne grossi. — Fig. 15. Sa grandeur naturelle. Fig. 16. Portion de la jambe antérieure et tarse grossis. — Fig. 17. Antenne grossie. Mémoire sur les Vaisseaux céphaliques de quelques Animaux qui s'engourdissent pendant l'hiver ; par M. Orro. (Tom. XI, pag. 70.) PI]. 20, fig. 1. Partie supérieure du corps de l’Ecureil d'Europe, montrant la disposition de ses artères et de ses veines. 1. Aorte. — 2. Tronc commun ou innominé. — 3, 3. Arières sous-clavières. — 4, 4. Carotides primitives. — 5. Art. thyroïdienne. — 6. Tronc commun de l'artère linguale et maxillaire interne. — 7. Art. sous-mentale. — 8. Art. maxillaire externe. — 9. Art. labiale inférieure. — 10. Art. labiale supérieure. — 11. Anastomose de l’artière maxil- laire externe avec la sus-orbitraire. — 12. Art. temporale. — 13. Art. transverse de la face. — 14. Art. auriculaire antérieure. — 15. Art. auriculaire postérieure. — 16. Ari. occipitale. — 17. Carotide cérébrale. — 18. Art. mammaire interne. — 19, 19. Art. vertébrales. — 20. Art. cervicale ascendente. — 21. Art. brachiale. — 22, 22. ‘Art. 14 ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE ANIMALE, radiale. — 23. Art. cubitale passant par le canal sus-condyloïdien. — 24. Continua- tion de l'art. cubitale. —— 25. Art. inter osseuse. — 26. Veine cave inférieure. — 27. Veine cave supérieure droite. — 28. Veine cave supérieure gauche. — 29, 29. Veines sous-clavières. — 30. Veine basilique. — 31, 31. Veines jugulaires internes. — 3», 32. Veines jugulaires externes formant une anse autour de la clavicule. — 33. Veine céphalique du bras. — 34, 34. Rameau antérieur de la veine jugulaire externe. — 35. Veine temporale naissant du rameau postérieur de cetie dernière. — 36. Veine auricu- lire naissant du même rameau. — 37. Entrée du rameau postérieur de la veine jugu- laire externe dans le crâne, à travers le canal temporal. Fig. 2. — 1-12. Les douze paires de nerfs. — 13. Artère auriculaire antérieure. — 14. Ârt. auriculaire postérieure. — 15. Art. auditive interne. — 16, 16. Art. ophtalmique. — 17. Art. moyenne de la lame criblée. — 18. Art. carotide passant à travers le canal artériel et l’étrier. — 19. Endroit où elle entre dans le crâne. — 20. Son rameau pro- fond. — 21. Rameaux cérébraux communiquant avec artère basilaire. — 22 , 22. Son rameau latéral ou externe. — 23. Art. méningée postérieure. — 24. Ârt. méningée inférieure. — 25. Art. méningée antérieure. — 26. Continuation de l'art. (22, 22) dans l'orbite. — 27. Art. latérale de la lame criblée. — 28. Art. palpébrale supérieure externe. — 29. Àrt. sus-orbitaire, — 30. Veine auriculaire postérieure. — 31. Veine auriculaire antérieure. — 32. Veine jugulaire externe entrant dans le crâne par le canal temporal. — 33. Rameau postérieur du sinus transverse. — 34. Sinus occipital. — 35. Sinus ophialmique ou extrémité de la veine maxillaire interne. — 36. Sinus longitu- dinal s'étendant jusqu’au nez. Fig. 3. — 1. Carotide primitive. — 2. Art. thyroïdienne. — 3. Carotide cérébrale entrant dans le canal artériel. — 4. Carotide faciale. — 5. Art. occipitale. — 6. Tronc commun des arières maxillaire et linguale. — 7. Art. temporale. — 8. Veine jugulaire interne. — 9. Veine jugulaire externe. — 10. Son rameau antérieur. — 11. Son rameau posté- rieur. — 12. Veine sus-orbitaire. — 13. Veine auriculaire. — 14. Entrée du rameau postérieur de la veine jugulaire externe dans le canal temporal. — 15. Veine tempo- rale profonde. — 16. Veine diploïique s'étendant dans un canal particulier jusqu'au trou condyloïdien postérieur. — 17, 17. Rameau postérieur du sinus transverse. — 18. Brancle antérieure du même sinus. — 19. Veine cérébrale latérale. — 20. Grande veine du cerveau. — 21. Sinus longitudinal. — 22. Son extrémité dans le nez. — 23. Veines du cervelet. ZOOLOGIE. 15 OnservarTions e£ Expériences sur la Structure et les Fonctions des Éponges ; par R. E. Gnrawr. (Tom. XI, pag. 150.) PL 21. B. Fig. 1. Epine siliceuse à double pointe, courbe , de la Spongia friabilis. Cette figure et les 19 qui suivent sont grossies cinquante fois. Fig. 2. Epine siliceuse, fusiforme, à double pointe, courbe, de la Sp. papillaris. On trouve la même épine dans la Sp. tomentosa où urens, dans la Sp. cristata , et elle est plus grande dans la Sp. coalita. Fig. 3. Epine siliceuse, courte, à doubles pointes, courbe, de la Sp. cinerea Gr. On re- trouve la même épine, mais de moitié moins grande , dans les Sp. oculata, palmata , _dichotoma, prolifera ei cancellata Sowerby. Fig, 4. Epine siliceuse à pointes simples, droite, de la Sp. panicea. Cette même épine se trouve légèrement courbée dans la Sp. parasitica Mont. Fig. 5. Filament siliceux long, ondulé, obtus aux deux bouts, de la Sp. ventilabrum. Fig. 6. Epine siliceuse à pointe simple, courbe, épaisse, avec une tête arrendie à son bout obtus, de la Sp. patera. Fig. 7. Epine siliceuse à pointe simple, courbe, longue et mince, avec une tête arrondie à son bout obtus, de la Clona celata. Fig. 8. Epine siliceuse à pointe simple, droite, moniliforme, de la Sp. monile. Gr. Fig. 9. Epine siliceuse à pointe simple, courbe , longue, de la Sp. sanguinea. Fig. 10. Epine siliceuse courbe, courte, obtuse aux deux bouts, de la Sp. fruticosa ; dans la Sp. hispida, la forme est la même, mais la longueur est de plus du double. Fig. zr. Epine calcaire, triradiée, de la Sp. compressa. Fig. 12. Epine calcaire en massue, courbe, de la Sp. nivea. Fig. 13. Epine calcaire droite, trés-petite, de la Sp. compressa. Fig. 14. Epine calcaire iriradiée, grande, de la Sp. nivea. Fig. 15. Epine calcaire quadriradiée, petite, de la Sp. nivea. Fig. 16. Petits fragmens d’épines calcaires et triradiées de la Sp. nivea. Fig. 17. Epine calcaire triradiée, longue et mince, de la Sp. coronata. Fig. 18. Epine calcaire à pointe simple, légèrement courbe, longue, de la Sp. coronata. Fig. 19. Fibres cornées tubulaires épaisses de la Sp. fistularis. — a, parois jaune d’ambre cornés, transparens; Ÿ. matière noire, opaque et granulaire , qui remplit la cavité centrale. Fig. 0. Fibres cornées, tubulaires, minces, de la Sp. communis. — a, parois couleur . d'ambre, transparens; D, eavité centrale vide. Fig. 21. Spongia papillaris vivante sous l’eau, montrant son mode de génération, etc.— aa, petits pores à travers lesquels les courans entrent; Ÿ, origine des canaux iniérieurs ; c, union des canaux intérieurs pour former un orifice fécal; d, orifice fécal déchar- RONA ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE ANIMALE, geant un Courant d’eau et de matière fécale; e, orifice fécal déchargeant deux œufs et la matière fécale en mème temps que le courant; ff, groupe d'œufs en état de maturité ; g, œuf passant dans un canal; , base gélatineuse qui lie l'animal au rocher. ( Les pe- utes flèches indiquent la direction des courans.) Fig. 22. Sp. oculata vivante, montrant ses courans, son mode de génération, etc. — aa, pets pores qui transmettent l’eau obliquement dans les canaux; 46, orifices fé- caux déchargeant les courans, la matière fécale et les œufs; c, partie fibreuse de l’ani- mal, par laquelle il est suspendu aux rochers. Fig. 23. Sp. compressa vivante. Une partie est ouverte pour montrer la terminaison des canaux dans lintérieur de la cavité générale, — a, base élargie par laquelle elle s’at- tache aux rochers, aux fucus, etc.; b, ouverture comprimée de la cavité générale par laquelle s’échappent les courans, les œufs et la matière fécale ; c, petits pores par les- quels l’eau passe obliquement à travers ses parois; d, portion ouverte, qui laisse voir, - sur la portion renversée , les orifices fécaux qui se terminent dans la cavité générale de Panimal. Fig. 24. Pore de la Sp. panicea , irès-grossi pour montrer (a) les faisceaux qui limitent les canaux, et () les faisceaux de défense qui couvrent le réseau gélatineux. Fig. 25. Pore de la Sp. papillaris , très-grossi, qui montre (a) les faisceaux qui limitent le pore; (D) la partie où les faisceaux se croisent et forment des recoins où se placent les œufs et où l’on supposait qu'était uniquement la matière qui sert de lien aux épines; (c) la forme la plus habituelle des réseaux gélatineux des pores dans ces espèces. Fig. 26. Secuon transversale dun canal intérieur de la Sp. papillaris. — a, les faisceaux de limites couverts des petits corps ou globules qui composent la matière parenchyma- teuse; c, forme des réseaux gélatineux plus simples qu’on trouve dans l’intérieur des canaux; d, œuf suspendu par son petit bout aux parois du canal imérieur, et produi- sant des courans à l’aide des mouvemens des cils qui couvrent sa surface. | Fig. 27. OEuf très-grossi de la Sp. panicea, vu en dessus lorsqu'il va se fixer. — @&, partie centrale opaque occupée par les épines et couverte de cils; ?, zône circulaire de cils en vibration; c, zône de matières accumulées et produites par les cils qui balaïent conti- nuellement l’espace voisin de l'œuf. j Fig. 28. OEuf très-grossi de la Sp. panicea, vu latéralement, de manière à montrer entiè- rement sa forme ovoide. — a, cils plus longs sur le sommet de l'œuf, et qui reposent sur une parüe plus transparente; b, base blanche et pellucide au moyen de laquelle l'œuf s'attache et s'étend: c, endroit où commence la base blanche, et où les cils sem- blent se terminer. Fig. 29. Développement d’une jeune Sp. panicea lorsque l'œuf s’est fixé et s’est étendu sur un verre de montre, tel qu'il se présente au bout de quatorze jours. — «, partie cen- irale et opaque où lon distingue un commencement de texture formée par les épines; b, bord transparent et homogène, au moyen duquel les jeunes Eponges s'étendent, et ZOOLOGIE. qui. produit sans doute les épines; c, cercle de sédimens accumulés qu'on voit autour de ce bord, à une petite distance de la jeune Eponge, et entre lesquels est renfermé un espace balayé par les cils, comme on le voit dans la fig. 27; d, endroit où se termine la matière parenchymateuse et où commence la substance homogène et incolore. Querques Consinérarions sur la Girafe ; par M. GEorrroy Sainr-Hicaire. (Tom. XT, pag. 210.) PL. »2, fig. 1. La Girafe actuellement vivante au Muséum d'histoire naturelle, réduite au 17° de sa grandeur. — Fig. 2. La même, plus petite, étant couchée, — Fig. 3. La même en marche, et conduite par son cornac. — Fig. 4. Crâne d’une Gïrafe du Cap. RECHERCHES anatomiques et physiologiques sur la Circulation dans les Crustacés ; par MM. Aurouix et Mine Epwanps. ( Tome XI, pag. 283 et 352.) PI. 24. Système artériel superficiel du Maja squinado femelle, vu en dessus. PI. 25. Système artériel profond dn Maja squinado, vu en dessus. On a enlevé la carapace, l’abdomen et tous les viscères, pour montrer lartère sternale. Du côté droit, on a détruit les cellules supérieures des flancs et la voûte des cellules inférieures, pour mettre à nu les artères des pattes. Du côté gauche, au con- traire, on n’a enlevé que la voûte des cellules supérieures des flancs, afin de montrer les muscles qu’elles contiennent. PL. 26, fig. 1. Système artériel du foie (vu en dessus). On a enlevé la partie supérieure de la carapace et de ses membranes internes, le cœur, les organes de la génération, le tube intestinal, etc., afin de mettre à nu le foie, dont on a ensuite disséqué avec le plus grand soin toutes les artères. Fig. 2. Système veineux extérieur des branchies, vu de profil. On a enlevé la carapace qui recouvre les branchies, et en arrière de celle-ci on à coupé la voûte des flancs afin de découvrir l’intérieur de leurs cellules supérieures. Fig. 3. Sysième veineux intérieur, vu en dessus, et montrant les vaisseaux efférens ou internes des branchies, et les vaisseaux branchio-cardiaques. On à enlevé toute la partie postérieure de la carapace , ainsi que la voûte de tous les flancs, afin que les branchies étant renversées en dehors, on püût voir leur face interne. Fig. 4. Sinus veineux et troncs veineux qui de toute part y aboutissent, vus de profil. Ici on a enlevé les branchies et la voûte des flancs dans toute son étendue, afin de mettre à découvert l'intérieur de chaque cellule. 3 18 ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE ANIMALE, PI. 27, fig. 1. Coupe verticale du thorax du Mfaja squinado, pour montrer les rapports des principaux vaisseaux qui forment le cercle circulatoire. Fig. 2. Le système circulatoire des Mollusques, comparé à celui des Crustacés. Cette figure, qui représente le système circulatoire du Calmar ( Lolipo sagittata)), est destinée à montrer l’analogie qui existe sous ce rapport entre les Crustacés et les Mol- lusques céphalopodes. Pour s'en convaincre, il suflira de comparer cette figure avec la précédente. Fig. 3. Circulation dans l’Écrevisse d’après Rœsel. PL. 28, fig. 1. Homard femelle vu en dessus, et représentant le système artériel superficiel. Fig. 2. Homard vu en dessus, et offrant la distribution des artères du foie. PL. 29, fig. 1. Homard vu de profil. Système artériel superficiel. Fig. 2. Homard (vu en dessous). Système artériel profond. Le sternum et les arceaux inférieurs de l'abdomen sont enlevés. PI. 30. Système veineux du Homard. Fig. 1. Thorax du Homard vu en dessous. On a enlevé le sternum. Fig. 2. Secuon transversale du thorax. PI. 31, fig. 1. Section verticale du thorax du Homard. Fig. 2. Thorax dont on a enlevé une portion des flancs du côté gauche, ainsi que la plu- part des branchies qui s’y fixent. À Cette figure est destinée à montrer la manière dont les canaux branchio-cardiaques se réunissent avant de s'ouvrir dans le cœur. PI. 32. Squille (vue en dessus). On a enlevé les parties dures de toute la face dorsale de l’animal et les muscles de la face supérieure de l'abdomen, pour montrer le système artériel. Sur l’Existence d’un Cloaque observé chez un Chien privé de queue ; par M. J. G. Marrix. (Tom. XII, pag. 2.) PI. 33, hig. 1. Préparation de la vessie, de la matrice et du rectum, vue du côté droit, et moitié de la grandeur naturelle. — 7 est la vessie; uf, son canal excréteur passant im- médiatement au-dessous du pubis pp. Au-dessous de la vessie se voit la matrice. 4 est l'ovaire; B, le tube de Fallope; CC, les adutérum ou les cornes de la matrice; D, l'utérus ou cavité de cet organe qui chez la femme, se trouve au col et est le plus sou- vent rudimentaire; #, le vagin; bc est l'ostium, ou rétrécissement qui existe entre le , ZOOLOGIE. 19 tube de Fallope et l’adutérum ; cd, celui de l'adutérum à Putérus; de, celui de l'utérus au vagin : il n’y avait point de ligament rond. LL, sont deux lambeaux de peau ren- versés pour mieux voir le point où les conduits de la vessie et de la matrice vont se rendre; Æm est le rectum dilaté et lié vis-à-vis les reins À, À. ue est l'uretère; SS, l’o- reille du sacrum. La fig. >, de grandeur naturelle , représente les deux vertèbres qui composaient le sacrum; ces deux vertèbres, S7,87, étaient soudées ensemble, et ne formaient qu'une seule pièce. pl et pl’, deux pièces latérales et séparées du coccyx; pm, une troisième pièce médiane soudée avec ia pièce latérale gauche, pl. La fig. 3, de grandeur naturelle, représente les trois orifices du méat urinaire, du vagin et du rectum, s’ouvrant dans le cloaque ou vestibule commun, mis à découvert par une incision pratiquée sur la paroi postérieure du rectum. C est le clitoris; mu, Le méat urinaire ; 0, l’orifice du vagin; or, l'orifice du rectum. La fig. 4, de grandeur naturelle aussi, représente la moelle épinière depuis la dernière vertèbre lombaire jusqu’au coccyx. EE, les enveloppes de la moelle, divisées et ren- versées; p est un petit filet nerveux, qui passe dans une échancrure formée par les deux os soudés du coceyx, pl’ et pm. Enfin, pl est une pièce latérale droite du coccyx. La fig. à représente l'extrémité inférieure d’un fœtus monstrueux, né à terme, vu par la face postérieure, et réduit à : de grandeur naturelle. C#7 est la coupe du ventre au niveau de l'ombilic ; £T, le moignon de l'extrémité unique que présentait ce monstre; Q est une petite queue qui avait persisté chez cet enfant; me est la moelle épinière qui descendait jusqu’à l'extrémité caudale; DD, la dure-mère incisée et renversée sur les côtés de la moelle, Note sur une nouvelle espèce d'Haliotis à l’état fossile ; par M. Manor DE Serres. (Tom. XI, pag. 309.) PI. 45. À, fig. 1. Moule ou pseudo-morphose du têt de l’Haliotis Philberti, représenté par sa face externe. La ligne ponctuée que l’on voit au bord gauche indique la forme qu’au- rait eue la coquille fossile si la matière calcaire avait rempli exactement l’espace laissé vide par la décomposition du têt; les lignes ponctuées vers le bord droit indiquent la grandeur qu’aurait eue le moule de l'Haliotis Philberti, sil n'avait pas été brisé par les ouvriers. Les parties brisées et réunies ont donné la forme que présente noire co- quille restaurée. Descrprion de deux genres nouveaux (Cuvieria et Euribia ) appartenant à la classe des Ptéropodes ; par M. Ranc. (Tom. XIT, pag, 520.) PL. 45 B, fig. r. Cuvienia corumnerta développée et nageant. Fig. 2. La même retirée dans sa coquille. 20 ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE ANIMALE, Fig. 3. La coquille seule. Fig. 4. Développement des viscères. Fig. 5 et 6. Disposition de l'appareil propre à La mastication. Fig. 7 et 8. Les branchies grossies. Fig. 9. Eurisia HemispHERICA vue en dessus. Fig. 10. La même vue de profil. Fig. 11. La coquille. RecnercuEs anatomiques et physiologiques sur la Déglutition dans les Reptiles ; par M. Awr. Ducs. (Tom. XII, pag. 337.) PL. 46, fig. 1—18. Barraciens. Fig. 1. Espace sous-maxillaire du Crapaud des joncs { Puf calamita), couche superficielle des muscles. — Fig. 2. Deuxième couche; sternum en place. — Fig. 3. Troisième couche; sternum réséqué partiellement. — Fig. 4. Quatrième couche; sternum enlevé. — Fig. 5. Mêmes objets; langue étendue. — Fig. 6. Coupe de la langue en repos. — Fig. 7. Coupe de la langue étendue. — Fig. 8. Cartilage hyoïde d’un jeune Crapaud brun (Bufo fuscus). — Fig. 8 bis. Hyoïde et mâchoire d’un Crapaud épineux adulte (B. spinosus). Les parties cartilagineuses sont légèrement ombrées, les os sont au trait seulement. — Fig. 8 ter. Hyoïde de la Rainette commune adulte ( Æyla viridis). Fig. 9—18. Orniniens. — Fig. 9. Profil de la tête osseuse du Coluber natrix où Cou- leuvre à collier. — Fig. 9 £is. Esquisse des deux mâchoires séparées du reste de la tête. — Fig. 10. Même tête vue en dessous, les mâchoires très-écartées; les dents représen- iées par leurs alvéoles. — Fig. 11. Tête duC. wiperinus, de profil; couche superficielle des muscles, — Fig. 12. Couche profonde, — Fig, 13. Même tête avec ses muscles, vue en dessous, mâchoire très-écartée. — Fig. 14, 15 et 16. Muscles de Fhoide, de la langue et de sa gaine, d’après le C. austriacus ou couleuvre lisse. — Fig. 17. Tête et cou du C. Esculapii vu du côté et un peu en dessus , dans l’état de repos. — Fig. 18. La même dans l'acte de la déglutition. Nota. Toutes ces figures sont de grandeur naturelle et dessinées d’après nature : les fig. 14, 15 et 16 sont les seules que nous ayons tracées de mémoire quelques jours après la dissection, et en partie sur des croquis pris au moment même. Nous en avons néan- moins ultérieurement vérifié l'exactitude par la dissection d’une couleuvre plus petite. Mémoire sur le Développement du Poulet dans l'œuf ; pa MM. Prévosr et Dumas. (Tom. XIT, pag. 415). POULET. PI. 47. Cicatricules isolées, de grandeur naturelle, Les chiffres qui accompagnent chaque ZOOLOGIE. 2i figure indiquent les heures de l’incubation. Dans les deux dernières figures, la cour- bure de la cicatricule nous a obligés à l’entailler avant de la développer dans le vase plat où elle devait être mesurée. | PI. 48. Cicatricules grossies. — Fig. r. Cicatricule inféconde. 4, id. en place , de gran- deur naturelle. — Fig. 2. Cicatricule fécondée de l’œuf non couvé. B, id. en place, de grandeur naturelle. — Fig. 3. Cicatricule d’un œuf couvé pendant 3 heures, vue en place. C; la même de grandeur naturelle, — Fig. 4. Cicatricule d’un œuf couvé pen- dant 3 heures, vue après avoir été détachée du jaune. — Fig. 5. Cicatricule d’un œuf couvé pendant 6 heures, isolée du jaune. — Fig. 6. Cicatricule d'un œuf couvé pendant 9 heures , isolée du jaune. PI. 49. Cicatricules grossies. On n’a représenté que le fœtus et les parties voisines ; le restant de la membrane est supposé coupé. — Fig. 1. Gicatricule d’un œuf couvé pen- dant 12 heures. — Fig. 2. Cicatricule d’un œuf couvé pendant 15 heures. — Fig. 5. Cicatricule d’un œuf couvé pendant 18 heures, vue en dessus. PI. 50. Cicatricules grossies. — Fig. 1. Cicatricule d’un œuf couvé pendant 21 heures. — Fig. 2. /d. d’un œuf couvé pendant 24 heures. PL 51. Cicatricules grossies. — Fig. 1. Cicatricule d’un œuf couvé pendant 27 heures. — Fig. 2. Zd. d’un œuf couvé pendant 30 heures. PI. 52. Cicatricules grossies. — Fig. 1. Cicatricule d’un œuf couvé pendant 33 heures. — Fig. 2. /d. d'un œuf couvé pendant 36 heures. CANARD. PL 53, fig. 1, 2, 3, 4, 5,6, 7, 8, 9. Cicatricules de canard, de grandeur naturelle, prises aux époques d'incubation suivantes : o heures, 4, 8, 16, 24, 32, 36, 48 et Go heures. — Fig. 10. Cicatricule non couvée, grossie. — Fig. 1. Cicatricule de 4 heures, grossie. — Fig. 12. Cicatricule de 8 heures, grossie. PL. 54, fig. 1. Cicatricule de 24 heures, grossie. — Fig. 2. Cicatricule de 32 heures, grossie. — Fig. 3. Cicatricule de 36 heures, grossie. — Fig. 4. Cicatricule de 48 heures, grossie. 22 ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE VÉGÉTALE, AV AV UV LV EVE LVL LV LV LV LVEV LAVE LV VEUVE LAVE V LV LULU ATV UV ALU VAV LAN LA VLTU LUVLAUVLLVIRU LAVE AV AAL LEUVRAA LUE LES LEE LEV ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE VÉGÉTALE, BOTANIQUE. Onrservarions sur le Mouvement de la matière verte dans les Végétaux ; par L. C. Trevinanus. (Tom. X, pag. 22.) PI. 3, fig. 1—4. Développement du Batrachospermum glomeratum. Vauch. Fig. 5—12. Développement du Conferva compacta. Roth. Fig. 13. Structure du Conferva quinina. RecuERcHEs microscopiques et physiologiques sur le genre Mycoderma; par M. J. B. H. J. Desmazières. (Tom. X , pag. 42.) PI. 3. Fig. 14—17. Mycoderme de la bière, Mycoderma cervisiæ. Fig. 18—22. Mycoderme de la drêche de genièvre , Mycoderma maltijuniperinr. Fig. 23. Mycoderme de la colle, Mycoderma glutinis farinulæ. Fig. 24—26. Mycoderme du vin, Wycoderma vini. Mémore sur La famille des Rhamnées ; par M. Anozpue BronGnianT. (Tom. X, pag. 320.) PI. 12. LL. Paliurus aculeatus Lamk. — Il. Zizyphus vulgaris Lamk. — IT. Condalia microphylla Cavan. — IV. F’entilago madraspatana Gærin. PI. 13.1. Berchemia floribunda. — W. Sageretia oppositifolia. — M. Rhamnus alaternus L. — IV. Rhamnus catharticus L. — V. Rhamnus frangula XL. PI. 14.1. Colletia horrida Vent. — I. Retanilla obcordata. — WI. Cryptandra amara Smith. PL. 15:1. Scutia Commersonir. — M. Hovenia dulcis Thunb. — TI. Colubrina ferruginea . — IV. Ceanothus azureus Desf, PI. 16. I. #Villemetia Africana. — WI. Pomaderris apetala Labill. — IX. Gouania tiliæ- folia Lamk. PI. 19. 1. Trichocephalus stipularis. — 11. Phylica plumosa L. — WU. Soulangia axillaris. _ Osservarions sur le Sporendonema casei, nouveau genre de Mucedinées ; par M. J. B. H. J. Desmazières. (Tom. XI, pag. 246.) PI. 21, A. fig. 1. a, croûte de fromage sur laquelle se trouvent plusieurs groupes du Spo- rendonema caser. BOTANIQUE. 53 b, parcelle de, cette Byssoïde vue au microscope. c; quelques filamens vus au plus fort grossissement de cet instrument. d, sporules libres. Mémoire sur la Génération et le Développement de l’Embryon dans les Végétaux phanerogames ; par M. Anozpne BroxeniarT. (Tom. XII, pag. 5, 156, 225.) S PI. 34, fig. 1. Formation et structure du pollen dans le Cucurbita maxima Duch., Pepo macrocarpus Rich. Fig. 2. Développement et structure du pollen du Cobæa scandens. P1. 35, fig. 1. Formation et structure du pollen , et manière dont s'opère la fécondation dans l’'OFnothera biennis. Fig. 2. Structure du pollen, et manière dont s'opère la fécondation dans les /Zpomæa he- deracea et purpurea. Fig. 4 à I. Ipomæa hederacea Mort. Par. Fig. ZL à M. Ipomæa purpurea Lamk. PI. 36. Manière dont s'effectue la fécondation dans le Datura stramonium. PI. 37, fig. 1. Structure du pollen, et manière dont s'opère la fécondation dans l’A4ntirrhi- num majus. Fig. 2. Manière dont s'opère la fécondation dans le Nyctago jalapa. Fig. 3. Structure du pollen, et manière dont s'effectue la fécondation dans l’Hibiscus palustris. PI. 38. Manière dont s'opère la transmission des granules spermatiques du stigmate à l'ovule, dans le Pepo macrocarpus. PI. 39. Structure du pollen, de l’ovule, et manière dont s'opère la fécondation, la trans- mission des granules spermatiques, et le développement de l'embryon dans le Nuphar lutea. PL. 40, fig." 1. Structure de l’ovule dans le Pepo macrocarpus. Fig. 2. Développement de l'embryon dans le Momordica elaterium. Fig. 3. Développement de l'embryon dans le Cucurbita cerifera. PI. 41, fig. 1. Structure de l’ovule, et développement de l'embryon dans le Ricinus com- IMUNUS. Fig. 2. Développement de l'embryon dans le Phaseolus vulgaris. Fig. 3. Structure de l’ovule et développement de embryon dans le Polygonum fagopy- rum. Fig. 4. Développement de l'embryon dans l’Zpomea purpurea. 24 MINÉRALOGIE ET GÉOLOGIE. PI. 42, fig. r. Structure de l’ovule et formation de l'embryon dans le Zriglochin mari- lumunt. Fig. 2. Structure de l’ovule et développement de l'embryon dans l’4/isma plantago. Fig, 3. Structure de l’ovule et développement de l’embryon dans les Crucifères. À à FE dans le Lepidium ruderale. — G à M dans l'£rysimum cheirantoides. Fig. 4. Mode de transmission du fluide fécondant, structure de lovule, et développement de l'embryon dans le Phytolacca decandra. PI. 43, fig. 1. Structure de l’ovule et développement de l'embryon dans le Zea Mays. Fig. 2. Structure de l’ovule et développement de l'embryon dans l’4vena sativa. Fig. 3. Structure de l'ovaire et de l’ovule du 7’Aesium linophy llum, et développement de l'embryon de cette plante. PL. 44, fig. 1. Structure de l’ovule, et formation de l’embryon dans le Ceratophyllum submersum. Fig. 2. Structure de l’ovule et développement de l'embryon dans le 7ropæolum majus. VW VV VV VAT UV VAV LA V LU VU LUV LV LP LV UV LE LAVAL LULU LV LEV LU LLL L'AV LAS VAV LEL LEVEL LOU VAL LUVALU LUE LAT LULU ELU ALT LUE ALU MINÉRALOGIE ET GÉOLOGIE. Norte sur la Constitution géologique des iles Baléares ; par M. L. Eue ne BEaumonr, Ingénieur des mines. (Tom. X, pag. 423.) PL 19. Vue de Majorque, prise de dix lieues en mer. Vue d'Iviza, prise de dix lieues en mer. Vue de Denia, prise d’une lieue en mer. Norice GÉOGNOSTIQUE sur quelques Parties de la chaîne du Stockhorn, et sur la Houille du Simmenthal, dans le canton de Berne ; par M. B. Sruver de Berne. PI. 23. Carte géologique d’une partie de la chaîne du Stockhorn, entre Le Simmenthal et les frontières du canton de Fribourg. FIN DE L'ATLAS POUR L'ANNÉE 1927. Le ve. natur. J!10. ; Von DIPHIES . détails anatomi ques. De lImprimerie de Langlois. Ann. des se. natur. T!10. | A 7 | KR R SE = S Ê \ | A. À CAZPE. B ABYzA. JA 0 C NACELLE. D ENNEAGONE. WF CUBOIDZ. détails anatomique s. V2 CImprimerie de Langlois. IN ' È $ Er î pie dl D a PUR Ann. des Science. Naturelles T° 10 à SSL & . TD Gravépar Dur . PER SE a RES RS TRS S Den) Fe me ÿ Di AT al LU. 4. Arr, des se. rnatur. Î!10 B Zz ORYTHIE. J2-{ ROSACE. détails ODEÆ . À JIIPPOP an atomique s. De l'Imprimeré de Largo. HAT (A) ir HA DORE ne Gal ARS £ ÿt # TAUX PoUTe 4e fs a ENT LS RAT A Ann. des se. natur. Tl10. TUD À RHIZOPAYSE hélianthe. B AZ/ZZOPHYSE discoide. € RZIZOPHYSÆ melon. details anatomiques. De l'Improneri de Langlois, Re . 6 Ann. des se. natur. T'10. UC Dre f NS ZZ 7 ton AE] 1] \n) NL ) NI CRAN À DIANEZ. B ZQOUOREZX. € PHORCYNIE. D CAMPANULAIRE. details anatomiques. De l'Imprimerte de Langlois. DA NUS It SA (M SAT AY EE) HOT Ann. des se. natur.T!10. = —) Se 2 S ES SE ZI DA L Fr-6 BRIAREE scolopendre. F7 ANATIFE twicolore. }.8 ANATIFE univalve. détails anatomiques. De: llmprimerie del anglois. h i Hi us Ù ÿ On LR AA CU à) ps Etes je Dual FLN ETS ES (NEO pas RON D (PR QE ROSES NE Rp UE St A ta TA ES LUN ni ë > AV pin Fais h ni : AMAMRE Ur AE fl TE ÿ Ie 1} ai LR PI.8. Ann. des se. natur. T!10 . r À BIPHORE. BB HYALE. C FLECHE. VW) CZEODOREZ. A détails anatomiques. De lInprinerte de Langlot. Ann. des Je nataclles T 10 ; 777 10. le Res da Rue fi ee Ca luéun dd Aulier de Gutin 5 Lith. de Langluné PR. ! RTE ad 4 «#4. 1,2. à dents étroites. dy 3. Humaus de Tortue ti NUE LR A) LE an. des Se. Nalur. T'10 JL La L Dufour del. | Jchmelk se. Fig.1. ORNITHOMYIE. Fig.2 et 5. OCYPTÈRES. (4) ni rai Ann. des ve.nrnatur.T'10. AAA 2 A / X GI S Ci 7) (7 À .VE£ERETILLE. B.ASTROIDE. details anatomiques. De l'Inprinerie de Langloir. à NC ART to DA 40 MATE FRS : FAR Aer AL a Lu W Ë Er } Ne UN TEEN DE A 1 nl } Wa is SITE DT 5? Ann. des Se. nat. Tom.l0. $ , C4 ya Sp ve dpt Mbaë Ce 220 no AT 7/0 agare CARS 627474 TV Tonélage naaifa line Ann. des Se. nat. Tom.!l0. Luh.de Lang lame. Ce? HIS alaler ou ous ZA Éne V 7 IV. HE Pc æ nl A. Ann. des Se. nat. Tom.I0. C4 / Uk. ‘de Langhe L, para a nain ? € TT Il CL le 7 2 274 de al Ann. des Scnat Tom. 10. NA Ê De , 7. À : ASIN L û NA di VER lis WI LL HE NV Crslhus à CALE LILOS Are Ù ze Won r js AU al [SN VE A Si HA Ur | no dun. des Senat. Tom. 10. je PA 16 1 Lorotie fan. I CPE CAL ouai Ann. des We. nat. Tom. 10. Ze Lorpuré L° ZA cac 727 ; PAZ AU MOIILCE 722 Lfl el MC Ÿ Il Core Ann des JE xalturelles. T 10 Pl : 44 C fusin pins 7 Mile de Péen. Lth de Langlamé / : 13 Bobiaphale cendré. 4 à 7 Foynathe ufphenne. Ann.des Sc. nal Tom 10 4 1À 10. Suig de lerrella / DENT Dora 7e de 10 22 et AnCr (RSS: | Lib. de Langlumé, me de llébane, 4 lle de Done fase d'une lue en mer. Ann des Se Nat. T7. S PV, 20. ECUREUIL COMMUN. ( Systeme vasculaire de la ete et du tronc) D ? 2 ol rculp. A. Sporendonema Case Desmaz. B. Structure des Eponges. Ann des de natur. TH H.22. 1 17 Zrth.r. Deupline, 4. GIRAFFE DU SENNAAR. Les Je, naturelles T'11 . Es DATE 07) érblifuh Varni Verd | Calcaire tferiur à la houle lu Joge | Zu et Cale, superieur | Caleaire et Sehurte rouge Gypse 2 ; | Caleare caverneux (Bauhwaclke ) 7 , 7 0 | Ores de Gourrgel Elywch r Berthe Rue J'! Jacques, N°66, ; Ÿ leur de Cartes geographiques \ PI. 23. PARTIE DE LA CHAINE DU M7 STOCKHORN ENTRE le Simmenthal et les Frontières NU AL (] du Canton de Frybourg. Férblifh Tant Verde 2 Calcaire thferieur & là houle D Zone ct ( ae. uupér teur ri Caleatre et Sehirte rouge ll , GA (lb (£ 7 ypue a DE | Caleaire caverneux ( Lauhiwacke ) Zveysimmen + Nota. Zes hauteurs sont indiquées en Piut de france 2, » : au dessus du niveau de la mer. Crés du Conrmyel n 1000 2000 Jo00 $000 bvoe métres =. À yreh . = == = ES —— bar Berthe Pne. Lt Jacguew. M266, Fe —" Editeur de Cartes Debgraphtgnan ; A) Ann. des Senet TH. | j Yj 24: 21 AM chvarés pure * # Acier de Guérin. ; 277 de langlimé 1 5 2 ñ 2 A ù e W Lie Sgturado fem. {vit en dedsrrs \= vystème arteriel superficiel ; É (2 L C4 puofoul JD aunr Ag C erçep ue 2) oprumÈe D D} æ DPI mp YNT é ? VAN 2 ET aim pan pou I! 7 }NU 28 rep ere SE PF 26. is" Lith de Langlume [ Vaisseaux internes des Oranchies ee vaidseaux branchio - cardiaques } Le TURN ACTE (M SA ! CEE pr AENTTETO Ann. des dc.nat. Tom. I. P/ 26. SS RS Ÿ MVaisdeaux ulerneé des branchies ed vaidseaux branchi - cardiaques ) ÿ NS] SŸ SY HS IS Ÿ Si À CRU Fu / ya dquinaih. À Profd. Æg. 8. e de Éranchies de Fig 4. Jinus veineux à troncs 2 4 terne Vvantuæ eælCeruair Lu Æig.2. à te be el 7 foie. Fi, 7 Système ai ONE no 1 MAN don Rat . Ann. 17 27. des sc. nat JE 11. one z à NC la hr 9077. (pnoss2p u? na) 1 by DNAUTL 2771070 PID07 Zum bug 2p'yr7 vngng 2 mp" 0€ 5 , " F fe il VIN, OU 98 SEP UUY PL 31 Ann. des sc. nat. CI | SSSSSSKKKNNNRE nn art ENS) Tr 2 Un N N dr à $ È Ÿ Ÿ . Ÿ & À Ÿ È $ à Ÿ A SLerne Ja LE FAN Cahvards péna * Aomard.. L y! Jechion verticale. Le profil. PR Ann. des sc. nat Cr. — ILÆ 2e ÿ fl A) VOL f #1 (4 f cu A A1. Chou vds pure? Atelier de Guérin Je quille. Système artérid. PI 32. Libh. de Lungluné: L (6 ITU bone 1h ao (ol # s 10) 4 HE AD DFA UT Ant H nat Li! CET Ë Li (y Ann. des sc. nat. T 12 Luh.de Liviglumeé. Cà 5 sy A0 à ; É Disposition anomale ves Org tte) Genito > HATHAUTÉS. n t VA DER LRO DL pr PI. 34. Like de Langlumé Guéur ler de de TAUX. GE 3 ñ S NV N DE RATIO N u , EN 4 0 € dau dtandens. , (4 Jig1. Jepo macrocarpus. 72 210 Arin- des se. nat. 12. [1 : de AR Eee dd Brongniart June Ana. des Jenet LI? ee P135 à NEe> Like de Langlumé GÉNÉHATION DES PLANTES . RIT ? pee, gs Œnochera brenns. fi? for Beuderuceu À Ë Ann. des se.nat.T'I2 A ) Alien de Guerin \ PA : Brongniané fur M # 7 TÉ GENÉRATION DES VÉGÉTAUX, Datura Stramonium.. } «Ann. des se. nat. TI. Lenslume. Lüth. de Gelir de Grsrin. 2 d DES VEGETAUX. GENERATION ” us Jaludtres. Nyctago dalapa. F3 Hibu Lg 2. Lg 2: Antirihuemt mayud - Ke WU) fhpaie a JA LR TENTE PL 58 Luithe. de Langlume (ORAN USTMENUUE ri D QUE TRS CRETE RER te fe GENERATION DES VEGETAUX. Guérin 6 «dulur de Ann. des se nat. T 12. + Ad Brongraant pinr Léna macrocarpus Ann.des senat Tr. Lith. de Langlumé. de Cuirin Atelier fd. Grongniant fénæ , GENERATION DES VEGETAUX 2 Nuphur luteu. per dre Ann (A h nu Han EU AIME PL 40. Ann des Je. nat. T 12. _L Jith de Atelier de Cuire on rat pri. 4 anglume ne de ( (bbaye HW # GENERATION DES VEG ETAUX @- rifet U «Momordica elaterium. Lg. 3. Cucurbua 6e Po C7 17 2. ce gs. (al ( Lu 7e jen A ne PlAI. Lith de Lonylané Atelier de Curie < û bee des Je, ru. 1; Ad. Brongnlant pins a 2 fl GENERATION DES VEGETAUX. Big 1 Aicinus command. Hg 2 Ÿ'haseo les rulqaris. Fy.3 Jolygonum Jago pm et uentale. Hg 4 home urpurea- / des se nat. T'12. 4 JLHIL. th de L anglamé. L É « = *& 2 > Ÿ à S À Forez 4 € $ Æ ) 4 4 Ne! Z à ® Cd. Brongriait pinx. cpéimunt cheitanthoided . L/4 diumn ‘vederale pu Lg. 4 Phjtolacca decandu. 5) Lg 2 Alioma plantage. Fig. 8. maruemeunt . fun reg loc D g- 4 72 € Pl43 Ann. des de. nat. Tire. Z auglimé Lith. de Alelier de CGuain # Dore Junæ. Ad. ON DES VEGÉTAUX ” GENERATI ea Jays. Li 2. Avena vativa. Fig. 3. Thesium linophyllun . ie L kg per de Lunglumé. v Tuk. cu Se" L 227777 Ë AUX Dre Gigpaotum GÊT 7 # Ouerin Allir de Pret ep 2 GENERATION DES VE ne Couatofhyllum dubmersiun Lg. lrongnint de. S) Anr des scnat. L'19, A ie a ‘ NEA) MRAUEN } Fa FAUNE PHRETA cAnn-des se nat. T2 ÿ ll 4). Akelir de Cuétin. Lith. de Lang lumé À Holigtis Alilberu LB r-8. Cuvieria Colummnella. ATEN Carla lemippherien. L 1e A AMEN nd : A An. des Ve-ratur. Tori. 12. Lg. Appareils de déglutiton cher Les Reptiles 1-8 Capauds et Rainette - Pig. g-18 Couleuvres. La FA : ee ( pme ampnetl. P. SEJNIIIFPI7) ) | LATNO AND 9 AA PGA PTE O) CNET # N ! aù es = de k AS AE Jo PNA TON io { à d Ann. des sc. nat. TI2 ge - PL4d. Lih. de Lauglimé E.Guéun d'aprés Dumas. POULET. | 4 ANAL RAR pi ac AU { A He (aies LAURE AE? NE PRES FN Je te 1e AU) DUMAS HPYS dé il (724 J c Ann. des sc net. TI? Giséun, d'apres Dir LET. POU ce ul cs KIA Lith. de Langtamé. -csleriius. apré 7274 Ann. desSe Wat TTIR POULET . CURE a Na TS D AUUR Ne SAONE Pr FU OR Pe Ts Ann res Se Vatrer T° 12. ne RSR At ten Ste fn 7 Lith. de Langlum Dacrse ÆS & TES RE : £ererin «'& 2 14 ® POULET, FU pu on! : ji : RARE BAT. A x) HAN Dar A ANNEE HA NN) MANN RASE ARRET Du AA (AA 1 pumbuoT PT PR eS ‘LA'TAOd mu f ARTE , SOU sudo PP DU) 4 INT LEE # AA th (ra ju 4 fi HE tr pig Du Fo AA tie! MAT Û me at r AA Ann. des senat. T I. Léh.de Langlumé. Guérin daptés Dumæ . CANARD. LIT SUN y # 1, He A RQL FA S nil der renal Te Guérin d'uprés Dumas. Lüh. de Langlumé. CANARD. AI) . ts ï AE ! } RUE f NUE: nl FARINE LS HN £ AS HAE 2: LE k ee > pe Se > ITUTION LIBRARIES Mn