LR LES LOSC EE D - CPP f LL : = 4 > y b \ l«) L . = * ' : 3 # à AE 4 É … / c 1f CARE 4 L, } , FA | ï \ . . + Tu if + SOCIÉTÉ DES SCIENCES NATURELLES DE LA CHARENTE-/NFÉRIEURE DE ——— ANNALES DE 1339. | LA ROCHELLE Ho LYr. E2MARTIN, suc DE G. MARESCHAL, RUE DE L'ESCALE, 20. ANNALES SOCIÉTÉ DES SCIENCES NATURELLES CHARENTE-INFÉRIEURE ne D AE CS SALES 0 | La Société des Sciences naturelles a été reconnue établissement d'utilité publique par décret du 4 septembre 1852. ACADÉMIE DE LA ROCHELLE SOCIÈTÉ DES SUIENCES NATURELLES DE LA CHARENTE-]NFÉRIEURE ANNALES DE 18389. LA ROCHELLE TyPp. E. MARTIN, sUuC' DE G. MARESCHAL, RUE DE L’ESCALE, 20, 1890 COMPTE-RENDU DE LA SOCIÉTÉ DES SCIENCES NATURELLE DE LA CHARENTE-INFÉRIEURE PENDANT L'ANNÉE 1889. MESSIEURS, Je n’ai pas besoin de vous rappeler que notre Société, lors de sa fondation, s’est proposé comme but principal et je dirai presque unique, la création d’un musée où se trouverait réunie toute l’histoire naturelle de notre département ; c’est donc surtout dans ses galeries qu’il faut aller chercher et constater les résultats obtenus par de persévérants efforts. La création d’un musée exclusivement consacré à l’ostéologie, l'augmentation progressive de toutes nos collections et leur classement méthodique par notre Conservateur, dont les plus hautes autorités scientifiques de l’Institut de France et de l’étranger apprécient, avec nous, le zèle et He PRy infatigables, sont un témoignage évident que notre but se poursuit sans relâche et que notre Société ne faillira pas à la tâche qu’elle s’est imposée. Le Laboratoire municipal, les Commissions de météorologie et de botanique ont déployé une féconde et persévérante activité. Des rapports spéciaux en font foi. La Bibliothèque a pris un tel accroissement que de nouvelles salles sont devenues nécessaires pour loger les collections. Les communications les plus variées ont rempli les séances de la Société. M. Beltremieux, notre Président, a présenté un crâne de crocodile du Grand-Bassam, don de M. A. Verdier ; une hirondelle, un moineau, un merle atteints d’albi- nisme à des degrés différents ; il lit une étude sur le naturaliste Charles Dessalines d’Orbigny père, qui a été publiée avec une eau forte de M. E. Couneau, con- sacrée à la maison d'Esnandes, à laquelle se rattache le souvenir de ses principales observations ; il lit un travail sur Lamarck et le transformisme et rappelle le vœu émis au Congrès de Paris qu’un monument lui soit consacré et, en attendant, que le nom d’une rue de Paris, dans le quartier du Jardin des Plantes, perpétue ce grand souvenir ; il rend compte de la session de l’Association française à Paris, pendant l'Exposition ; il expose les effets de l’inégale dilatation du verre qui a amené la rupture d’un certain nombre de bocaux du ET RCE Muséum de la Rochelle, et il décrit ce phénomène, qu’il compare à l'explosion du verre dit incassable, qui se brise en s’émiettant et projette avec force cette pous- sière résineuse. A l’occasion du don fait par M. le Ministre à notre Société, il analyse le compte-rendu de l’expédition du Travailleur et du Talisman, et énumère la longue liste des poissons recueillis dans la région abyssale par M. L. Vaillant, professeur au Muséum. Ces poissons nous sont exposés sur les belles planches du compte- rendu de l’expédition ; dans cette liste qui ne contient pas moins de 316 espèces, dont beaucoup sont inédites, nous remarquons particulièrement : le Notacanthus Rissoanus, de 2,212 à 3,429 mètres de profondeur, l’Alexeterion Parfaiti, à 5,005 mètres, le Plectromus cras- siceps, à 5,394 mètres, le Melanocetus Johnsoni, à 4,789 mètres, le Sirembo laticeps et compressus, à 4,572 mètres, le Hymenocephalus dispar, à 4,846 mètres, le Chauliodus Sloani, à 4,682 mètres, le Bathyophis ferox, à 5,029 mètres, le Gonostoma microdon, à 5,304 mètres, le Nemichthys infans, à 4,572 mètres, le Synaphobranchus pinnatus, à 3,250 mètres, le Bathysaurus obtusirostris, à 3,655 mètres, l’Eurypharynx pelecanoïdes, à 2,300 mètres, l’Hymenocephalus italicus, à 2,033 mètres ; qui, dans leur infinie variété, leur étrange aspect, leurs brillantes couleurs, peuplent les solitudes des grandes profondeurs de l'Océan. M. le Président a représenté notre Compagnie aux grandes assises de l'Association française pour l’avan- cement des sciences, à notre grande Exposition de l’année du centenaire, avec l’autorité du savant, long- temps investi de la première magistrature de la cité. RENTE M. le docteur Termonia lit à la Société le compte- rendu des excursions botaniques à Angoulins, au Gros- Roc, au Douhet, à Saint-Hilaire, à Pessines, à Cadeuil, à Vouvant. Il fait notamment une communication intéressante à l’occasion d’une étude thérapeutique et bactériologique du docteur Læœwemberg. M. Foucaud entretient la Société de la Muscologia gallica de Husnot, dont l’acquisition est décidée; des travaux de la Commission de botanique, des plantes carnivores et notamment des Pinguicula corsica (Bern.), et Drosera rotundifolia; de l’Euphorbia maculata ; du pin maritime, et de l’industrie de la résine depuis l’époque romaine ; il présente le compte-rendu de l’ex- cursion botanique de Fouras, de Vouvant, et il signale les espèces nouvelles pour le département, telles que le Potamogeton fluitans, Sparganium neglectum, ou rares telles que Carex strigosa, Ranunculus divaricatus, un Muscarinouveau provenant dela Gironde; illitune étude sur les tubercules des légumineuses reconnues pour être mycorhiges, sur le Cladochytrium tuberculosum, Alsine Mediterranea, Convolvulus edulis, leur acclimatation dans nos contrées ; le Dioscorea batatas (igname de Chine) qui peut être cultivé dans les sables maritimes. M. L.-E. Meyer vous a présenté, avec sa science habituelle, le résumé des travaux des sociétés, écrits dans des langues qui exigent une grande süreté de connaissances philologiques. : Indépendamment de ses observations paléontolo- giques, M. Charles Basset a photographié, à des degrés _diversde grossissement età l’aide de coupesingénieuses, les tiges de divers végétaux qui affectent des formes a: géométriques absolument symétriques, plusieurs fos- siles et une Daurade, connue sous le nom vulgaire de casse-burgauds. M. Dollot présente le compte-rendu de l’excursion géologique de la Société, à Fouras. M. Jousset entretient la Compagnie d’anomalies constatées sur plusieurs crânes de kroumans et sur les os wormiens et fait plusieurs communications sur la botanique. M. Boisselier nous a souvent intéressé par ses com- munications sur ses travaux géologiques dans la région ; il nous a donné le compte-rendu de plusieurs _exeursions que nous avons faites dans la Charente- Intérieure et la Vendée ; il a discuté particulièrement les caractères de la ligne séparative du kimméridgien et du corallien dans les Charentes. Il à fait don à la Société de la feuille qui a été publiée de la carte géologique du département. M. Alcide Groc communique à la Société le système dont il est l’un des inventeurs, et qui permet d'allumer ou d’éteindre à volonté instantanément, par l’effet de la pression, les appareils d'éclairage à gaz d’une ville, en réalisant ainsi une notable économie. Avec le talent d'exposition qui le caractérise, M. F. Lusson analyse les comptes-rendus des séances de l’Académie des sciences, M. Albert Fournier, la Nature et les revues scientifiques. Il entretient la Société de ses expériences de pisciculture et d'élevage de divers crustacés comestibles, tels que le palemon. Il présente à la Compagnie, avec quelques observa- tions, le Gammarus fluviatilis (Gammarus pulex, Desm.); Squilla pulex (Degeer), Cancer (Linn.) — 10 — M. de Richemond analyse la brillante introduction de M. de Quatrefages, de l’Institut, à son ouvrage magistral sur les Races humaines. À l’occasion d’une communication géologique faite en séance, il fait remar- quer que la plus grande profondeur creusée dans la terre serait le puits Adalbert, un des puits des mines de plomb argentifère de Pzriban (Bohême). Ce puits s'enfonce à 450 mètres au-dessous du niveau de la mer, l’altitude du sol sur lequel il est creusé ne dépasse pas 550 mètres, et cette profondeur ne semble pas avoir été jusqu'ici dépassée. | M. Thibaudeau a recueilli, avec soin, pour les adresser à M. Blanchard, membre de l’Institut, de beaux échantillons du travail des termites, que nous avons pu considérer avec intérêt dans les nouvelles galeries du muséum à Paris. M. Cassagneaud, notre honorable doyen, consacre sa verte vieillesse au Muséum Lafaille et à la compta- bilité de la Société et trouve encore le loisir de faire à la Compagnie d’intéressantes communications zoolo- giques. M. AI. Couilliaux fait plusieurs communications sur la graphologie, qui ont trouvé place dans la séance publique de l’Académie. Cette science, qui rencontre des adeptes, a donné lieu à un travail qui a vivement intéressé l’auditoire. Il La Société a reçu les dons suivants : Du Ministre de l’Instruction publique: Les anciens SRE = Alchimistes grecs, par MM. Berthelot et Ruelle, 3 et 4e volumes, in-4°. Les Expéditions scientifiques du Travailleur et du Talisman, de 1880 à 1883, publiées sous la direction de M. Milne-Edwards. Les Poissons, par M. L. Vaillant, in-4°, avec planches. De l’Association française pour l’avancement des sciences : Œuvres de J. Méry (anatomie et physiologie), par le Dr Petit, 2 vol. Contribution à l’étude des bopyriens, par MM. Giard et Bonnet, 1 vol. Les Mollusques marins du Roussillon, par MM. Buc- quoy et Dantzemberg, 2 vol. L’Etiologie du paludisme, par le D' Maurel, 1 vol. Les Mémoires de l’Académie d’'Hippone, #4 vol. Oran et l’Algérie en 1887, 1 vol. Du musée Guimet : Les Moines égyptiens, 4 vol. De la Société d’Emulation de Belfort: Notice avec Atlas sur l’histoire militaire de Belfort. Du comte Alexis de Chasteigner : Un hypocauste gallo-romain. De M. E. Chauvet : Archéologie préhistorique. De M. de Rochebrune : Fabrique de poterie gallo- romaine du littoral vendéen. Rapport du Comité de météorologie internationale réuni à Zurich 1888-1889. De M. Ed. Beltremieux : Etudes sur les mollusques des couches coralligènes de Valfin (Jura), par M. de Loriol, 1 vol., in-4°. Recueil d’études paléontologiques sur la faune cré- tacique du Portugal, Echinodermes, 1 vol. in-4°. NT po Contribution à l’actinologie française, par M. P. Fis- cher, in-4°. Compte-rendu des Travaux de la section de zoologie de l'Association française, par M. J. de Guerne, in-4°. Qu'est-ce que l’être vivant ? Définitions nouvelles par M. Fernand Lataste. La Bibliothèque a été augmentée d’un certain nombre d'ouvrages, dont nous avons fait l’acquisition et des Annales, Bulletins et Mémoires reçus par échanges avec nos sociétés correspondantes. ° Les publications de la Société envoyées à l’Expo- sition ont été couronnées par une mention honorable. Dix-huit volumes, Annales ou travaux spéciaux, publiés depuis la dernière Exposition de 1878, figu- raient dans la galerie des Arts libéraux, sous le patro- nage du Ministre de l’Instruction publique. M. Dollot enrichit les collections géologiques d’un certain nombre de fossiles et offre à la Société la nou- velle carte géologique de France qui vient d’être éditée au 4 millionième. III La croix de la Légion d'honneur vient d’être conférée à M. E. Berteaud, Directeur des contributions directes ; à M. Coustolle, Ingénieur des ponts et chaussées, chargé des travaux du port de la Pallice. La roselte d’officier de l’Instruction publique a été décernée à M. Ernest Massiou, Architecte diocésain, et à M. Alfred Vivier, Juge honoraire au tribunal civil. ES, © NES Je sais être votre interprète en adressant à nos honorés collègues les plus cordiales félicitations. Vous avez été heureux, Messieurs, d'ouvrir vos rangs à de nouveaux membres titulaires : Mike la bäronne Suzanne Aucapitaine ; M. le docteur Duany-Soler ; M. G. Maire ;, M. Amédée Odin. Vous avez également reçu plusieurs membres agrégés et correspondants. C’est la mort qui dictera les dernières lignes de ce rapport. Elle nous à paru bien dure en nous enlevant inopinément MM. Auguste Godet et Henri Rouvier encore dans la force de l’âge et vivement regrettés de tous. Tel est, Messieurs, l’aperçu rapide de vos travaux, pendant l’année qui vient de s’écouler ; les résultats que vous avez obtenus, donnent le droit d'espérer que les efforts de la Société seront à l'avenir couronnés du même succès et qu'ils contribueront, dans une mesure toujours croissante, à répandre le goût des sciences, à en favoriser les progrèset à développer ainsi la vieintel- lectuelle. Les savants affirment que lorsque le frottement d’un archet sur le bord d’une plaque métallique la fait vibrer, la menue poussière répandue sur elle se meut et segroupe de manière à présenter bientôt des figures mathématiques régulières. Ainsi, dans l’esprit du natu- raliste, tous les matériaux accumulés par de longues et patientes observations s’agitent et s’organisent suivant des lois qui, réunies, retracent le tableau de la création. DE RICHEMOND. et das lite ot ÿ. M oe te N TT, LE Me NE LS RE € A É ï Cr N =. A vi e sME À : HSE TS TR Re: Le VEUT MAUORES A ME, pa a “ A Ye "3 > æ: fl Jar Let à UT EN jetant a . «PO ”. ICE € D si LES ñ { 9 OT PR UT D ee SRE a sit : TRES NÉ: Ps LEP es. AR AUTRE rer Rasa l W ni : y e 7 PAPA MARNE € 4 7 Da | LS y + LA Ca ESC RTL A RAA sr. 7 RE LPS a nn ÿ DRE A RUE RL ARNE Mantes er LE See GATE LABORATOIRE MUNICIPAL PAR LA SOCIÉTÉ DES SCIENCES NATURELLES NOR EANNIUEL Par M. F. LUSSON, DIRECTEUR. —LCAS DS — Le laboratoire municipal à continué pendant l’année 1889 le cours ordinaire de ses travaux. Les analyses qui lui ont été confiées sont au nombre de huit cent une. Ce chiffre n’avait pas été atteint les années précédentes ; il représente près de 5,000 dosages ; le laboratoire est donc toujours en progrès. Les analyses se subdivisent de la façon suivante : MARS RL DAT 420 Eaux-de-vie .... ,...... à) ÉPEAIS e en 188 MORRBE EE Pas OU 28 LUS CAR OR AR RENE 10 ASS RE Re Lot 64 SAVONS RTE TNT de 15 EIRE Se br in 9 DAMÉTSeS Ne ane s 62 MT AU Elles se sont réparties dans les divers trimestres ainsi qu’il suit : Aer trimestre..... Re 270 2 — AT EEE 182 CEE AE HER et 2 123 4e — Me TAN 226 _Les trimestres d'hiver sont toujours plus chargés, tant à cause des engrais que par suite des arrivages plus considérables des vins étrangers. Le nombre toujours croissant des analyses est la meilleure preuve de l’utilité de l’œuvre fondée par la Société des Sciences naturelles de la Charente-Infé- rieure, il y a treize ans déjà. \f IL EXCURSION GÉOLOGIQUE Du 19 Mai 1889 ND EN VIRONSUDEROURZXS. RAPPORT PAR M. DOLLOT. ——— DH — La première excursion annuelle, géologique et bota- nique de la Société des Sciences Naturelles de la Charente-Inférieure, a eu lieu par un beau temps, le 19 mai. Partis de la Rochelle par le train de 8 heures 30 du matin, MM. Ed. Beltremieux, Coindon, Couneau, Duval, Gatau, Maire, Michau, Millot, Périer, Dollot, André Beltremieux et Ernest Brochet, rejoignaient à Saint- Laurent-de-la-Prée, MM. Foucaud, Jousset et Termonia venus de Rochefort et Saintes; puis la caravane au complet repartait pour Fouras où elle arrivait à 9 heures 1/2. A la gare, les excursionnistes se formaient en deux groupes, les botanistes s’éloignaient vers l'Ouest, tandis que les géologues se dirigeaient, par les dunes et la plage, du côté des falaises du Nord-Est. Ces falaises, qui n’ont qu’une faible hauteur, sont formées principalement de grès calcarifères alternant avec quelques bancs de marne, elles ressemblent en tous Le Me points à celles de la partie Nord de l’île d’Aix, où les fossiles assez abondants, sont généralement en assez mauvais état et difficiles à détacher et appartiennent au terrain crétacé moyen, étage cénomanien. Les couches en sont dirigées du Nord-Ouest au Sud-Est, et plongent facilement au Sud-Ouest, à niveaux décrois- sants. Vu l'heure avancée, il ne nous a pas été possible d'explorer tous les niveaux. Nous avons dù renoncer à l'étage inférieur formé d’argiles pyriteuses à lignites, ainsi qu'à la zône de calcaires très durs, pétris de caprinelles parfois complètes et recouverte par les sables verts avec rognons pyriteux qui forment la partie Sud-Ouest de la falaise de Fouras. À l’île d’Aix on retrouve également au Sud-Ouest ce banc à caprinelles, mais moins dur et plus stérile en fossiles. Dans la région que nous avons explorée et en parti- culier dans la marne, nous avons recueilli : Orbitolina concava, Lamark, Anorthopygqus orbicularis, Cotteau, Catopygqus columbarius, D'Archiac, Catopygus carinatus, Agassiz, Hemiaster Bufo, Desor, Linthia elata, Cotteau, Rhynconella Lamarki, d'Orb., Ostrea flabella, d'Orb., (IS ENT AAERRRREREre . Janira quinquecosta, d’Orb., Litho- domus: suborbicularis, d'Orb., Arc... Capri- nellatriangularis, d'Orb., Isocardia carentonensis, d'Orb., Cardium corallinum, d’Orb., Nerinea aunisi, d'Orb., Strombus inornatus, d’'Orb., Nautilus triangularis» Montfort, Panopæa substriata, Ostrea carinata, Ptero- donta elongata, d'Orb., Goniopygus major, mais il nous a été absolument impossible de retrouver le Claviaster Beltremieuxi, objet de nos recherches et dont il a été 10 — donné une description très complète avec figures dans les Annales de la Société en 1882, fo 182, par M. Cotteau, qui s'exprime ainsi : «€ Dans une excursion faite à Fouras à la suite du Congrès de la Rochelle, en compagnie de MM. Beltre- mieux et Boisselier, nous avions eu la bonne fortune de rencontrer sur un espace de quelques mètres, empâtés dans le grès fossilifère de cette localité trois exemplaires appartenant au genre Cluviaster et formant une espèce distincte du Claviaster cornutus. » Nous sommes heureux de dédier cette espèce très curieuse au savant conservateur du Muséum Fleuriau, M. Beltremieux. » L'espace restreint dans lequel ces échinides ont été trouvés étant connu, il y aura encore des surprises pour le géologue persévérant. A midi et demi, géologues et botanistes étaient réunis à l’hôtel des Bains, où un déjeüner leur avait été préparé, et reprenaient des forces pour la visite et l’as- cension de la falaise du Sémaphore que nous n'avons pu qu’entrevoir, l'heure du train nous rappelant beaucoup trop tôt. À 3 heures 40, à l’exception de MM. Foucaud, Jousset, Maire, botanistes, restés pour continuer leurs recherches, nous reprenions le train qui nous rame- nait à Saint-Laurent-de-la-Prée où nous quittions M. le Dr Termonia rentrant à Saintes. Enfin à 4 heures 59 nous étions de retour à la Rochelle, sinon avec des richesses au moins avec le souvenir d’une excursion intéressante et d’une journée bien employée. EXCURSION BOTANIQUE 19 Mai 1889 A FOURAS. Rapport PAR M. J. FOUCAUD. Le 19 mai dernier notre Société des Sciences Natu- relles reprenait à Fouras les promenades scientifiques qu’elle fait chaque année dans la région et qui sont toujours très suivies. Prenaient part à cette excursion, MM. E. Beltremieux, Michau, Jousset, Termonia, Foucaud, André Beltre- mieux, Dollot, Périer, Ernest Brochet, Maire, Couneau, Duval, Coindon, Millot et Gatau. Arrivés à la gare de Saint-Laurent-la-Prée, près d’une heure avant nos collègues de la Rochelle, M. Ter- monia et moi nous profitons de ce temps pour observer les Tragopogon de la prairie et chercher un hybride intéressant provenant des Trag. porrifolius et pratensis, que j'ai vu çà et là dans la vallée de la Charente, près Rochefort. A quelques mètres de la gare, nous trouvons dans un pré le Tragop. pratensis L., à petite fleur (T. minor pres 2 LE et le T. porrifolius L., dont les fleurs, comme je lai remarqué partout où j'ai vu cette plante, offrent toute une série de teintes depuis le gris de lin, et même le blanc, jusqu’au violet foncé. Nous y cherchons vaine- ment le 7. porrifilio-pratensis. Plus loin le Tragopogon pratensis à grande fleur, lequel a dû être pris quelquefois pour le T. orientalis L., nous montre ses belles fleurs jaunes d’or au milieu des mille et mille fleurs qui émaillent la prairie. = Pouvant encore disposer de quelques minutes, nous descendons dans un pré mouillé où nous apercevons le T. pratensis L., et nous y trouvons aussi le Tragopogon cherché, très facile à reconnaître par ses grandes fleurs rouges lie de vin à fond jaune. Il est 9 heures 17 et le sifflet de la locomotive nous annonce le train par lequel arrivent nos collègues. Nous les rejoignons et le même train nous conduit à Fouras où nous arrivons à 9 heures 34. Aussitôt après la descente du train, les géologues, sous la direction de M. Beltremieux se dirigent vers, les falaises tandis que nous, nous allons explorer la presqu’ile d’Enette, but de notre excursion. . Au bord du chemin, qui conduit du Bois-Vert au fort l’Aiguille, nous retrouvons le Carex ligerina Bor., découvert pendant l’une de nos excursions il y a cinq ans, et plus loin le Trifolium suffocatum L., qui depuis quelques années a été signalé çà et là sur le littoral. A l'entrée de la presqu’ile nous cueillons le Trigo- nella monspeliaca L., que je n’avais pas encore trouvé sur ce point où il paraît très rare. Nous allons de suite à la découverte de l’Isoetes Hystrix Durieu, et après bien des recherches dans les 22 DJ = grandes herbes nous finissons par le trouver en abon- dance à peu de distance de la Pointe de la Fumée. Chacun de nous en fait une ample provision et cons- tate avec un profond regret que son aire de dispersion se réduit de plus en plus par les défrichements qu’exige la culture de la vigne. Nous notons en même temps Crepis bulbosa Tausch., Raphanus maritimus Sm., Linaria commutata Bernh. et Iris spuria L., ces deux derniers non encore fleuris. En approchant de l’extrémité de la presqu'ile, nous trouvons très abondant dans un petit marais un Ruppia intéressant qui ne peut être rapporté ni au R. rostellata Koch., ni au R. brachypus Gay, dont il est intermé- diaire. La même plante croît dans les marais salants de Brouage où je l’ai découverte il y a deux ans. J’étudierais de nouveau cette plante dans une note que je me propose de publier, sur nos Ruppia, lorsque j'aurai réuni les différentes formes que je compte rece- voir de divers points du littoral de l'Océan, de la Manche et de la Méditerranée. La récolte de cette plante nous fait oublier l’heure du rendez-vous avec nos collègues et nous constatons qu'il nous faut hâter le retour. Nous faisons cependant le tour de la pointe et, à la hâte, nous prenons quelques pieds de Trifol. suffocatum et de Medicago striata Bast., ce dernier se trouve quel- quelois avec des gousses à spires tournant à droite, mais ici cette plante n'offre pas cette particularité. A l’heure fixée nous sommes tous réunis et aussitôt après le déjeuner, nous allons explorer la falaise du Sémaphore ; les géologues donnent quelques coups de marteaux pendant que nous, nous cueillons quelques échantillons de l’Erodium moschatum l’'Hér. et de l’Echallium elaterium L. qui n’est pas rare dans cet endroit et dont la déhiscence ruptile, lançant la graine à plusieurs mètres de distance, est vraiment curieuse. L'heure du départ approchant, nous nous dirigeons tous vers la gare, mais M. Maire et moi, afin d'utiliser toute la journée, nous nous décidons à rester. Après le départ de nos collègues, nous prenons la direction de Saint-Laurent-Fouras en suivant le littoral dans le but de rechercher surtout les Ruppia et les Zanichellia. ; Près le Magnon un fossé nous offre Ruppia maritima L., encore peu avancé mais facile à reconnaître par ses longs pédoncules enroulés. Tout à côté, nous explorons attentivement une grande mare et nous y trouvons Zanichellia pedicellata Fries, Ranunculus Baudotii G. G., et en très bon état une forme de Chara fragilis Desv., bien caractérisée par ses grosses anthéridies d’un beau rouge. Nous constatons également la présence dans cette mare du Chara crinita Wallr., rareté qui m'avait pas encore été signalée dans les environs de Fouras. Entre la route de Rochefort à la Rochelle et la mer s'étendent des dunes herbeuses où nous trouvons, parmi les vulgarités communes aux sables maritimes, les Alsine laxa Jord., Viscidula Thuil., et un autre qui me parait être A. tenuifolia var. confertiflora Gay. Ce der- nier croît aussi sur le dolmen de la Jarne transporté au Jardin des Plantes de la Rochelle où je l’ai vu lan passé. | Près de la gare de Saint-Laurent-la-Prée, nous cueillons dans un pré mouillé les Orchis alata Fleury, LS En Laxiflora Lam., Morio L., Coriophora L. et Viridis Sw. Dans le même pré nous notons aussi l’Ophioglossum vulgatum L. Cette plante est sans doute assez répandue mais, comme elle croit dans les endroits herbeux, on doit souvent la fouler aux pieds sans l’apercevoir. Il nous reste encore quelques instants avant la nuit et nous en profitons pour visiter d’autres prés où nous comptions trouver quelques Orchis, mais ces prés ne nous offrent aucune plante intéressante ; nous ne pou- vons d’ailleurs les explorer que très sommairement, la rosée étant déjà abondante et l'obscurité commençant à ne plus nous permettre de distinguer nettement les plantes. En allant à la gare, M. Maire cueille cependant au bord d’un fossé l’élégant Glyceria airoides Reich., dont il prend de nombreux échantillons. Quelques instants après nous sommes à la gare et nous partons à 8 heures 49, très satisfaits de notre longue et fructueuse excursion. — "#0 VERS SI — P, L o 4 Mr TE HTR M 12 Are" oi LATE EXCURSION GÉOLOGIQUE Du 23 juin 1889 A ESNANDES. RaPpPoRT PAR M. BOISSELLIER. La Société des Sciences Naturelles de la Charente- Inférieure a fait, le 23 juin 1889, une excursion géolo- gique et botanique aux environs d'Esnandes. Les excursionnistes sont allés en voiture, jusqu’à Coup-de- Vagues, près Marsilly. Au bord de la mer, les bota- nistes se séparèrent des géologues, et nos observations commencèrent aussitôt. Notre groupe se composait de MM. Beltremieux, Dollot, Millot, Coindon, Couneau, Gatau et Boissellier. Nous avons visité la falaise de Marsilly, dont les bancs peu fossilifères donnent cependant des Ammo- nites Achilles et de nombreuses petites astartes. Puis, suivant la côte, vers le Nord; après avoir doublé la Pointe Saint-Clément, nous avons étudié la composition des falaises de l’ancien golfe du Poitou (Sinus duorum corvorum) que des alluvions marines ont nt si rapidement transformé en marais, aujourd'hui des- séchés. La première de ces falaises, près la mer, nous a donné plusieurs Ammonites Achilles. Nous avons aussi recueilli à sa base, dans les bancs que la mer recouvre quelquefois, une faune d’ammonites flexueuses de très petites dimensions. En continuant nos observations du côté de Villedoux, nous avons remarqué que les calcaires marneux et les marnes feuilletées, qui contiennent ces petites ammo- nites, augmentent d'épaisseur et constituent presqu’en- tièrement les anciennes falaises de cette localité. Les ammonites de ce niveau appartiennent aux groupes des flexuosi et des planulati. Il est assez diffi- cile de les déterminer parce qu’elles sont souvent écrasées et rarement entières, mais on ne peut pas les confondre avec les ammonites des autres étages juras- siques, le Corallien excepté. D'ailleurs elles sont cantonnées dans une assise bien reconnaissable par ses caractères pétrographiques et par la place qu’elle occupe au-dessous des calcaires compacts à Am. Achilles et au-dessus de ceux qui ren- ferment Am. Marantianus et Am. bimammatus. J’ai suivi cette assise sur plus de 100 kilomètres de longueur, pour dresser la feuille de la Rochelle au 1 e 2 A nan NEC laquelle on a fait la carte au millionnième du Ministère des Travaux publics. Sa limite supérieure décrit une ligne presque droite qui, partant d’Esnandes, se dirige vers l’Est en passant près de Villedoux, Lon- gèves, Nuaiïllé, Courçon, Chaban, Mauzé, La Rochenard, Marigny et Brulain. Là elle s’infléchit au Sud-Est, I suivant la direction de tous les étages jurassiques, parallèlement au seuil de Lezay qui barre le détroit du Poitou. Elle passe alors près de Chizé, Aubigné, La Couture, Luxé et se prolonge, sans doute, au-delà du chemin de fer de Rufiec à Angoulême. L’assise des ammonites flexueuses est très developpée dans les tranchées de la Grange et de Prain, près Mauzé, et dans celles de Fors, sur la voie ferrée de Saint-Jean d’Angély à Niort. N'ayant jamais rencontré l’Amm. Achilles dans cette assise et au-dessous, j'avais trouvé très commode de la prendre pour limite du Corallien et du Kimméridien, , et je l’avais englobée en conséquence dans la zone à Amm. Marantianus et bimammatus. Mais M. de Grossouvre, Ingénieur en chef des Mines, attaché au service central de la carte géologique détaillée de la France, à qui j'ai communiqué mes échantillons, vient de reconnaître que les petites am- monites des calcaires marneux et des marnes feuilletées appartiennent à la zone à Am. tenuilobatus, c’est-à-dire au sous-étage Séquanien. De son côté, M. de Margerie a communiqué à M. de Grossouvre une faune d’ammonites comme la nôtre, qu’il a découverte récemment dans l’Indre. Il résulte de ces communications que la zone à Am. tenuilobatus dont l'existence n’était connue que dans les Alpes et la Provence, s’étend également dans le bassin de Paris et dans celui de la Gironde. Le jurassique supérieur des Charentes, compte main- tenant un terme de plus, dans ses subdivisions, qui lui donne une plus grande ressemblance auec le juras- sique des autres parties de la France et de l'étranger et qui nous permet de séparer avec certitude le Coral- lien du Kimméridien. | La question des limites de ces étages, dans notre région, avait déjà fait un pas important, depuis quelques années. En 1885, M. le chef de bataillon Toucas avait signalé la présence des marnes à spongiaires et de l’Am. bimam- matus aux environs de Niort et de Saint-Maixent. L'année suivante j'avais constaté, dans mes courses pour le service de la carte, que la zone des marnes à spongiaires, avec Am. canaliculatus et Am. plicatilis, commençait à l’île d’Elle et se montrait très développée sur les bords de la Sèvre, au Nord d’Arçais et de San- sais, à Irleau et à la Garette notamment, ainsi que les tranchées de Frontenay-Rohan et d’Aïffres ; qu’elle descendait ensuite par Saint-Martin, Brioux, Loubillé, Viilefagan jusqu’à Salles sur la ligne de Ruffec à An- goulême. J'avais remarqué en outre, que les marnes à spongiaires occupaient le fond d’un petit bassin compris entre deux plis anticlinaux parallèles qui traversent du N.-0. au S.-E. le détroit Poitevin. (Assoc. franc. Congrès de Toulouse, 27 septembre 1887). En même temps je recueillais à Marans l’Amm. bi- mammatus associée à l’Amm. Marantianus et je trouvais dans les carrières de Richebonne, près Marans, l’'Amm. tricristalus, qui au château de Crussol (Ardèche), caractérise une puissante-assise de calcaires compacts, laquelle est située, comme les calcaires de Richebonne, entre la zone à Am. bimammatus et une alternance de calcaires et de marnes, contenant plusieurs ammonites de la zone à Am. tenuilobatus. (Traité de Géol. de de Lapparent). TUE La limite inférieure du Corallien ne faisait donc plus de doute pour personne. Elle se montrait avec les marnes à spongiaires et à Am. canaliculatus. Il restait à préciser sa limite supérieure, c’est-à-dire la base du Kimméridien. D'Orbigny et Manès faisaient commencer: cet étage à Châtelaillon. Les calcaires d’Angoulins et de la Pointe du Ché étaient pour eux du Corallien, à cause des amas de coraux qu’ils ren- ferment. Cette opinion est maintenant abandonnée des géologues. Les récifs de coraux ainsi que les «calcaires oolitiques et la faune spéciale qui les accompagnent sont de tous les âges. On les trouve notamment dans tous les étages du jurassique supérieur. Ici même, près de Saint-Jean d’Angély, nous possédons un massif corallien à la limite du Virgulien et du Portlandien, que je me propose de montrer à la Société dans une de nos prochaines excursions. D'’ailleurs-les calcaires d’Angoulins possèdent des fossiles qui dans tous les pays caractérisent le sous étage Ptérocrien : les ptéro- cères entr’autres. Diverses considérations stratigraphiques et paléon- tologiques firent donc considérer les calcaires d’An- goulins et de la Pointe du Ché comme situés à la base du Ptérocérien. C’est la place que l’on assigne, du reste, aux couches de Valfin, dans le Jura. Ceci admis, les assises que j'ai décrites, dans la notice explicative des feuilles géologiques de Chassiron et de la Rochelle, sous les noms de calcaires à Montlivaultia et de calcaires compacts, se rattachaient au sous étage Séquanien, lequel devait avoir pour limite inférieure la zone des petites ammonites que nous avons vues près d’Esnandes. mag ‘us Cependant quelques géologuesse demandaient encore si le Corallien de Marans ne se continuait pas jusqu’à Angoulins. La découverte de M. de Grossouvre dissipe tous les doutes en venant placer une zone d’ammonites Séqua- niennes dans cet ensemble de couches dont la faune n’offrait pas de divisions rationnelles qui fussent comparables à celles des autres pays. Le Corallien sera donc représenté dans les Charentes, comme en Argovie et en Provence, par la zone à Am. bimammatus. Le Séquanien débutera par la zone à Am. tenuilobatus et comprendra les calcaires compacts à Waldheimia Egena. Quant aux calcaires à Montlivaultia et Nérinées, il conviendrait peut-être de les rattacher au Ptérocérien d’Angoulins. Les ammonites caractéristiques de ce sous-étage seraient alors: Am. rupellensis, Am. alte- nensis, Am. Cymodoce, Am. Eudoxus. Le Virqulien qui vient ensuite resterait caractérisé par : Am. orthocera, Am. Lallieri, Am. longispinus, Am. calatenus et Am. Yo. Reste l’Am. Achilles qui en Argovie caractérise le Diceratien et que nous n’avons rencontré jusqu'ici que dans les calcaires compacts, les calcaires à Montli- vaultia et les calcaires d’Angoulins, c’est-à-dire dans le Séquanien supérieur et le Ptérocérien inférieur. Il paraît singulier que cette ammonite qui débute ailleurs avec l’Am. Marantianus n’apparaisse ici qu’a- près l’extinction des ammonites de la zone à Am. tenui- lobatus. | Cela exige de nouvelles observations et je propose à A Pre la Société des Sciences Naturelles de consacrer ses premièresexcursions de l’année prochaine à la recherche de l’Am. Achilles au-dessous de l'horizon d’Esnandes et jusqu’au delà de Marans. J’ai déjà rencontré dans cette bande de terrain à la Rochenard, à Andilly, à Marans, à la Dive, de très grandes ammonites du groupe de l’Achilles dont les caractères spécifiques n'étaient pas suffisamment appa- rents pour moi. J’espère que nos confrères pourront les déterminer sur place et qu’ils reconnaitront dans ces échantillons l’Am. Achilles. Nous aurons aussi à fixer la limite inférieure de la zone à Am. tenuilobatus et cela ne sera pas facile. Pour faciliter les comparaisons, je reproduis ci- après les divisions du jurassique supérieur de l’Ar- govie, d’après la coupe d’Oberbuschsiten dressée par M. Mæsch. (Traité de Géologie de Lapparent). LÉ ik “nuydiios ‘suninu snuuomuobnT ‘sniutnsuon -SUDAY “UF ‘Snprlsiy “Uuy “SNIOUD ‘WWF ‘(u£) Xnafpeso ‘oupues ap su xnouxeuwu sa4reoren "sunuobnquad snuuovuaz “PSSAATU DU P1D A ‘(wm0F) SJUOUUTO ER SSII SOUACIY ‘DIDUUS PJJAUMISDYA ‘DUUMTDO VIS ‘(u0g) Soueumu 39 sounef soueoes soueg “snorydhijbouony snoudfin ‘siunpnuous swunp Ur “puruobrao)] siunmprr ‘snjouwmunq my ‘(wey) Sosnouieu soy2n09 19 SepI[OS SAP) soueg “WNUUOUND SDA991T ‘Wponsa( PoUMIN WOUDA/I( PAU N * (u0G) SOQULIQUESOUIULIE S9Y10Q (ug7) Soounou & onbrqyeds ouejq oureores ep soueg “siDuobu Sopuli10!) je nuonua9 "Ad r) SUDAOUNY PIDM ADYIOT Up SN wp : ‘SNJPGOPINUI} “UV ‘(wÿ) XNOUIEU OIVIIEO 9p sour "DOMQUIIL9 PhWOUIT 19700 DÉWOpPHIOUT ‘V0 ‘Ur ‘iso “uw "(wG) SUDUEIG 9111P3 op amord ap soueg “dodsn Snuiyoaw0oS nunrow 0pqNyy ‘sinuo] SnanBrg ‘(wy) 129007 ne apni nuouiË ‘9129 op soueg “sisuoanloadns mruofurz ‘siynads DAhbors ‘sisuoanfnadns -yn4qouor ‘sisuowuqn “uy “(u0£) 247812 Anano9 2p soureoyeo seyenberq —__— “JIOPSUAUIIT 9p S9Y2N0r) ‘U9SUJA,P S2y2n0r) ‘5194SS101) 2p Soyon0’) ‘SUADINUIUI R SAUIN09 NO e SOIIEU") & UE ‘U9SUCAA 9P Sonor) ‘U9PE4 9p say2n0r) ‘U98UHJAAA 2P S942007) EI LEOTUR| | | | | | | "(U9rAOSAV) U9IPIOFXO,[ op sorydÂos v sorry SRIAPSAINSUDA} "UF E 9U07Z "DSSOATUT * AA ® 9U07Z *(2SU{) SNUDUUDUDIL ‘WF VaU07Z "SNJPWWUNUNIQ ‘WU & 2U0Z NO uo1o1}d At) *S0]N\Y9Y ‘WWF LR 9U0Z no UOI}RI9OI(T ‘uaruenbas np 219JIUotutue Sor9er no SN]NQONNUI] SONUOWWF E IU0Z "U91199019)4 "S108D497S “UF E 9U07 “UOINSAIA ‘N3111V409 "NIIGISIMNMNIH EXCURSION BOTANIQUE Du 23 Juin 1889 A ESNANDES. RaPpPpoRT DE M. E. MICHAU. 4 PDG Ne me La Société des Sciences Naturelles, dans sa deuxième excursion de l’année, s’est donné pour mission de visiter les environs de la Rochelle avec Esnandes comme objectif. Rendez-vous est donné le dimanche 23 juinà 7 heures et quart au Jardin des Plantes. Sont présents : MM. Beltremieux, Boisselier, Fou- caud, Maillot, Couneau, Dollot père et fils, Gatau, Jousset, Coindron, Mehaignery, Maire et Michau. Nous sortons par la porte Dauphine, nous franchis- sons Lafond et nous prenons la route de Marsilly au milieu d’une culture maraichère florissante où nous. voyons transformés en jardins ces terrains autrefois occupés par les vignes. Nous apercevons à droite Puilboreau, Lagord et Saint-Xandre, à gauche Lhoumeau et Nieul et nous arrivons à Marsilly à 8 heures. Là nous nous dirigeons vers la mer. Nous descendons de voiture et nous nous divisons en deux groupes. Les géologues se dirigent du côté de la Pelle ; les botanistes explorent la côte de Coup-de- Vagues, c’est une longue bande de terre où la végé- tation est des plus sommaire. Il semble que nous visitons des contrées insalubres dans lesquels nous ne rencontrons que des êtres malingres, chétits, nains, rabougris, grèles et rachitiques; nous recueillons toute- fois ces déshérités parmi lesquels il faut signaler : Bupleurum aristatum Bart. DC. Alsine conferta Jord. Erythræa pulchella Fries. Thrincia hirta Roth. Micropus erectus L. Linum corymbulosum L. Astragalus monspessulanus L. Geranium pusillum L. Geranium purpureum var. Lebellii L. Cuscuta minor L. Convolvulus arvensis L.. variété lineatus. Ononis columnæ AI]. . Carduncellus mitissimus DC. . ris spuria L. Nous quittons la côte et nous nous dirigeons vers les marais. Là, au contraire, la végétation est très active. Ce sont des espèces géantes que nous devons rencontrer. ; Nous récoltons successivement : Sonchus maritimus L. Sr Ne Eleocharis uniglumis L. forme géante qui peut être confondue avec le Scripus pauciflorus. Carex divulsa Good., présentant de l’analogie avec le Carex muricata. Eleocharis palustris R. Br. Carex disticha géant Huds. Juncus striatus Schous boc ex-D. Foune, très rare. Alisma plantago L. Festuca arundinacea L. Viola pumila Chaix in Will., très rare. Galium constrictum Chaub. Nous explorons ensuite les ruisseaux et nous nous livrons à une pêche fructueuse. Nos filets se remplissent de : Chara aspera Willd. Chara fœtida AI. Braun. Chara crinita Wallr., dont nous faisons une abon- dante récolte. Zannichellia pedicellata. Ruppia intermédiaire entre le Ruppia rostellata Koch. et le Ruppia maritima L. Dans la prairie nous cueillons : Scripus maritimus L. Diplotaxis erucoides DC. Veronica palustris Jacq. Mut. Nous revenons à la côte où nous constatons à nou- veau la même tristesse végétative. Nous trouvons cependant : Viscia hirta Balbio, DC. Crepis pulchra L., Koch. anne Crithmum maritimum L. Convolvulus lineatus L. Scorzonera hirsuta L. Catananche cœærulea L. Spartina stricta Roth. Nous arrivons ainsi près du poste des douaniers ; là nous contemplons le golfe de l’Aiguillon et la baie d’'Esnandes. Nous prenons des renseignements sur la culture des moules, nous consultons la brochure de d’Orbigny sur l’histoire des Pares ou bouchots, disposés en quatre lignes parallèles qui représentent les difié- rents âges de l’éducation de la moule ; la ligne la plus proche du rivage renferme les espèces arrivées à matu- rité. Elles sont récoltées dans des bateaux plats nommés acons, et recueillies dans des voitures qui les livrent à la consommation. Il est midi. Quelques gouttes d’eau et l’heure du déjeuner nous font hâter le pas. Nous rencontrons les géologues à l’entrée du village. La jonction est vivement faite et la marche vers l’au- berge s'exécute avec un unisson parfait. Après le cordial déjeuner d'usage, la Société tient à visiter la maison habitée par d’Orbigny pendant sa jeunesse. Après quelque recherche, nous trouvons cette demeure ; M. Couneau en prend un croquis et son habile crayon fera mieux que moi une fidèle des- cription de cette habitation modeste d’où sont sorties les bases de si remarquables travaux. Quelques membres expriment le désir de voir perpétuer à Esnandes le souvenir de d’Orbigny par l’apposition d’une plaque commémorative et de rendre ainsi hom- Æirag ne mage à l’un des fondateurs de la Société des Sciences de la Rochelle. 2 Nous visitons ensuite l’église-citadelle d’Esnandes classée à juste titre parmi les monuments historiques dont la restauration est presque achevée. Les botanistes reprennent ensuite leurs travaux, ils explorent le ruisseau voisin de l’église et récoltent encore deux bonnes plantes. Rumex palustris Smith et Ceratophyllum submersum L. Nous prenons place dans l’omnibus et nous suivons la route d’Esnandes à Villedoux. Les géologues s’ar- rêtent de temps à autre pour visiter les tranchées et les carrières qui se trouvent sur la route. Nous gagnons Saint-Xandre, Puilboreauet Lafond et nous rentrons à la Rochelle à 7 heures, après une journée utilement et agréablement employée. 4 Lj _ - b - “. D o _—… 2 Le Ï PMP. ©. D SATA) IN - & _— L « F aq AU fug es LU sf kr - = s- 14 TR a JR. = : PET { ï ' œ 1) fl ; £ . z LA = n À . ï 5 ft: DE iv d: = ..” “1 Tee dE en A + mal" LIT EAST eu Re : fe He ME TE Le ‘ Pi f EXCURSION GÉOLOGIQUE Du 7 juillet 1889 DANS LA FORÈT DE VOUVANT. —— DC — Rapport PAR M. A. BOISSELIER. L’excursion géologique du 7 juillet 1889 avait pour but d'étudier, aux environs de Vouvant, les terrains cristallins et carbonifères de la Vendée. Dès 7 heures du matin, les excursionnistes partaient, en voiture, de la gare de Fontenay-le-Comte, où les trains de Niort et de la Rochelle les avaient amenés. Le groupe des géologues se composait de MM. Beltre- mieux, Dupuy, Dollot, Creuzé, Coindon, Berteaud et Boisselier. Notre première observation fut faite à l'extrémité du tunnel de Pissotte, sur la voie ferrée de Breuil-Barret, actuellement en construction. Ce tunnel traverse une couche épaisse de schistes verts, satinés, à séricite, redressés presque verticalement et fortement injectés de quartz, lesquels constituent la dernière assise du Cambrien de la Vendée. Ces schistes sont recouverts par le Lias, dans le bourg de Pissotte. 0 A deux kilomètres du tunnel, dans la forêt de Vou- vant, sur le chemin qui conduit à la grotte du Père de Montfort, les schistes sériciteux contiennent des cris- taux de feldspath rose indiquant le voisinage de la granulite. Plus loin, vers le Nord, on voit des schistes chlori- teux modifiés par cette roche éruptive et la granulite massive apparaît, sur la rive droite du ruisseau la Mer, auprès de la grotte du Père de Montfort. Ce n’est pas le seul endroit de la région où l’on puisse observer la granulite, car elle a traversé, du Nord-Ouest au Sud-Est, tout le massif vendéen. Les pointements de granulite ou de roches modifiées par elle, que l’on voit régulièrement alignés, dans le Bocage, sur une bande de terrain très étroite, jalonnent la crête d’un pli anticlinal accompagné de cassures, : qui se continue jusqu’au plateau central, en disloquant et redressant les calcaires jurassiques du détroit du Poitou. C’est ainsi qu’en partant de Bournezeau, sur la voie ferrée de la Roche-sur-Yon à Bressuire, et en se diri- geant au Sud-Est, suivant une ligne droite, jusqu’à Melle, on voit successivement : Des gneiss granulitiques, au milieu de schistes sériciteux redressés de 45° environ (la Petite Fore près du Lay; la Petite Bougrelière, près de Saint-Martin- l’Ars) ; Puis de la granulite massive, en rapport avec des schistes chloriteux à Vildé, sur les bords de la mer, de la Souris et de la Vendée (grotte du Père de Montfort, Mervent, Ecoute-s’il-Pleut, et près des Rouillières). Au-delà du massif vendéen, entre Saint-Hilaire-des- en Loges et Saint-Pompain, la granulite reparaît sur plu- sieurs points (Laissert, Pain-Perdu, Franchauvé, Moulin-Neuf, La Roche, etc.) Dans les vallées de l’Autize et du Saumort, elle ramène les schistes granu- litisés et le Lias à la surface du sol, au milieu du bathonien de la Plaine. A Bel-Air, sur la voie ferrée de Niort à Parthenay, le Lias se montre dans les mêmes conditions, ainsi qu’au bord du Lambon, près Fressines, où les schistes cris- tallins font leur dernière apparition. A Melle on voit encore le Lias occupant une position anormale et contenant, comme partout où il se trouve en rapport avec la granulite, de la barytine et de la galène. Ce minerai de plomb, qui renferme une cer- taine quantité d’argent, fut anciennement exploité à Melle. La présence de la granulite redressant le jurassique, sur les deux rives du Saumort, en sens opposé comme dans un pli anticlinal dont la voûte est eflrondrée, est un phénomène remarquable que je crois devoir signaler à nos confrères, en leur proposant de l'étudier dans une prochaine excursion. On enseigne que les périodes jurassique et crétacée n’ont donné aucune roche éruptive. La granulite appar- tient à la période dévonienne. Pour expliquer les mou- vements du sol que nous signalons, on suppose que les anciennes failles se sont ouvertes et qu’elles ont joué de nouveau, pendant l’ère tertiaire, comme on l’a déjà observé sur d’autres points de la France. Après avoir examiné la grotte du Père de Montfort, nous sommes revenus sur nos pas pour prendre le chemin des Essarts qui conduit au moulin Diet, afin PR Ne de recouper le filon de granulite de Mervent; mais nous n’avons pu recueillir, en passant rapidement, que des schistes granulitiques contenant de gros cristaux de feldspath rose, de mica noir et de mica blanc. Les flancs du coteau de la rive gauche de la Mer sont formés de schistes granulitisés qui donnent de bons moëllons. Sur le plateau, les schistes sériciteux repa- raissent brusquement. Nous les avons suivis jusqu’à la Grande-Rhée, où le lias forme un ilot de 500 de diamètre et de 8m d'épaisseur environ qui repose sur ces schistes par l'intermédiaire de sable rouge argileux à cailloux blancs. Le déjeuner à Vouvant, la tour de la Mélusine et l’église romane de cette localité nous ayant pris plus de temps que le programme ne le comportait, la visite du bassin houiller de Saint-Laur fut encore remise à une autre année. Cependant, nous avons pu recueillir, en passant par Epannes, plusieurs échantillons de plantes fossiles, dans les haldes de la mine de charbon. Nous avons pris également, au-dessous de Mervent, quelques fragments de schistes chloriteux et nous sommes arrivés à Fontenay-le-Comte au moment du départ du train de Niort qui a ramené les rochelais et les rochelortais chez eux le mème jour. EXCURSION BOTANIQUE Du 7 Juillet 1889 DANS LA FORÊT DE VOUVANT (VENDÉE). —— 5H — RaPpPoRT PAR M. LE Docteur TERMONIA. Le dimanche 7 juillet à 7 heures 1/2 du matin, étaient réunis à la gare de Fontenay-le-Comteles excur- sionnistes dont les noms suivent : MM. Beltremieux, Berteaud, Boisselier, Coindon, Creuzé, Dollot, Dupuis, Foucaud, Jousset, de Rochefort ; M. et Mme Jousset, de Niort avec leur jeune fille; MM. Maire, Ménager, Piprot, Termonia. Parmi eux, un très zélé botaniste de l’Orne, M. Mé- nager, qui à beaucoup herboriséau cours des nombreux voyages qu’exige sa profession, vient pour la première fois, présenté par M. Foucaud, renforcer le groupe des botanistes qui se félicitent d’avoir fait pour cette ex- cursion une aussi importante recrue. Plusieurs voitures attendaient les voyageurs qui ne tardent pas à se mettre en route dans la direction de Vouvant, après s'être divisés en trois groupes: les simples promeneurs qui n'auraient pu choisir un but de promenade plus attrayant, les géologues et les bota- nistes. Fig Suivons ces derniers dont les recherches font l’objet de ce compte-rendu. Après avoir traversé, au-delà de Pissotte, la voie ferrée en construction, ils entrent dans la forêt et se dirigent vers la grotte du Père de Montfort, qui a dans le pays une certaine renommée. Dans ce trajet se rencontrent: sur le bord d’un fossé de la route, Carex pendula Huds.; plus loin, dans un pli de terrain un peu marécageux, Scirpus setaceus L., Juncus Tenageia Ehrh., Cicendia filiformis Delarbre, Polystichum spinulosum DC. ; sur une lande, au-dessus de cette dépression, Calamagrostis epigeios Roth., Lobelia urens L., Aira flexuosa L. ; enfin, dans les bois qui bordent le chemin, Fagus silvatica L. La route carrossable que nous suivions se termine en cul-de-sac à l'extrémité du plateau qui domine la grotte. À cet endroit nous mettons pied à terre pour la troisième fois, afin de visiter ce rendez-vous des pèle- rins vendéens et d'explorer le vallon situé au-dessous jusqu’au pont de Diet où la voiture doit nous attendre. : Tout près et en contre-bas de la route que nous venons de quitter se dresse dans une petite clairière du bois un modeste calvaire devant lequel nous passons rapidement. De là, un sentier à pente raide, accidenté çà et là de marches taillées dans le roc, nous conduit à la grotte, excavation naturelle du rocher, de dimen- sions exiguës, au fond de laquelle s'élève un autel d’une simplicité rustique. La piété des fidèles n’a pas fait beaucoup de frais d’ornementation à l’intérieur de ce sanctuaire ; mais il est, en revanche, si bien encadré par la nature au milieu d’une végétation luxuriante, dans une gorge des plus pittoresques, qu’on comprend he = aisément qu'il attire, chaque jour, dans la belle saison, un grand nombre de visiteurs. Au pied du coteau, sur le flanc duquel s'ouvre la grotte, se montrent Luzula maxima DC., et Lactuca mu- ralis Fres. Au fond du vallon, sur la rive droite de la mer, nous traversons, sans nous y arrêter, une prairie naturelle qui nous sépare de cette petite rivière et où nous n'avons rien à glaner. Sur le bord de l’eau croissent: Galium palustre L. (var. B. rupicola Desm.), Golium elongatum Presl., Œnanthe crocata L., Lychnis diurna Sibth., Pimpinella magna L., Malachium aquaticum Fries, Epilobïum mon- tanum L., Oxalis acetosella L. Continuant de longer en aval le cours de la Mer, nous passons devant la Roche-Brune qui se dresse verticalement sur lé versant opposé à celui par lequel nous sommes descendus et donne à ce petit coin de paysage un aspect presque sauvage. À quelque distance de là, sous le couvert d’un bois qui borde la rive gauche sur laquelle nous venons de passer, nous rencontrons Veronica montana L. Un peu plus loin, monte en pente douce vers la route où stationne notre voiture une lande marécageuse et touflue où se trouvent Carex lævigata Smith. et Carex pallescens L. Après avoir traversé cette lande et cueilli, sur le bord du chemin, Campanula patula L. et Bromus gigan- teus L., nous rejoignons enfin notre véhicule. L'heure déjà avancée ne nous permettant pas de con- tinuer l’herborisation avant le déjeuner, il est convenu que nous ne nous arrêterons plus qu’au pont du Déluge De, sur lequel passe la route que nous suivons et qui con- duit à Vouvant par les Ouillères. Ce pont d’une seule arche jetée au-dessus d’une sorge boisée, étroite et profonde où coule la mer, est assez remarquable. Nous consacrons quelques instants à en admirer la construction hardie et l'encadrement pittoresque. Mais comment résister à la tentation de descendre jusqu’au fond du ravin où nous attend peut- être quelque agréable surprise botanique ? Cet espoir nous fait sacrifier quelques minutes de plus à une exploration dont le résultat devait être, à ce point de vue, absolument nul. | Nous nous éloignons à regret de ce beau site pour franchir le plus rapidement possible la distance qui nous sépare encore de Vouvant où nous arrivons à midi 1/2, heure fixée pour le déjeuner, presque en même temps que les géologues. Après le repas et avant de quitter le village, nous récoltons sur un mur une forme assez curieuse de Sedum cepæa L., qui se différencie du type par la pré- sence d’une villosité serrée sur toutes les parties de la plante. À 3 heures, les botanistes remontent en voiture pour rentrer à Fontenay par Mervent. Avant d'atteindre ce village, nous nous arrêtons pour cueillir, sur le talus herbeux de la route, Galium tenui- caule Jord. et Sedum reflezum L. Cette dernière espèce est nouvelle pour la Vendée et son abondance en cet endroit nous permet de la centurier pour les corres- pondants de la Société d'échange. Si à cette liste de plantes nous ajoutons Digitalis purpurea L. et Malva moschata L. rencontrés çà et là 70 sur les bords des chemins, nous aurons énuméré toutes celles qui méritent plus ou moins d’être mentionnées. Parmi ces plantes quelques-unes nous intéressent plus particulièrement, soit par leur nouveauté ou leur rareté en Vendée, soit parce qu’elles sont rares ou n’ont pas encore été trouvées dans la Charente-Inférieure, soit enfin parce qu’elles sont rares ou peu communes dans ces deux départements. Telles sont : 1° Pour la Vendée: Carer pendula (rare) et Sedum refleæum (nouveau) ; 20 Pour la Charente-Inférieure: Polystichum spinu- losum (une localité), Lobelia urens (quelques localités), Œnanthe crocata (absent), Lychnis diurna (une localité), Pimpinella magna (absent), Epilobium montanum (ab- sent), Oxalis acetosella (une localité), Veronica montana (rare), Carex lœvigata (çà et là), Carex pallescens (quelques localités), Malva moschata (rare), Digitalis purpurea (très rare) ; 3° Pour les deux départements : Ara flexuosa, Faqus silvatica, Luzula maxima, Lactuca muralis, Campanula patula, Bromus giganteus, Galium tenuicaule, espèces dont la plupart n’existent que dans un petit nombre de localités. Les excursionnistes de Niort et ceux de la Rochelle se sont séparés, le soir, à la gare de Fontenay, tous paraissant enchantés de leur longue et agréable promenade à travers les plus beaux sites de la forêt, promenade qui en outre n’a pas été dépourvue d’in- térêt pour les botanistes. ù E] ces 1° 1-0 TR à, Br; mc La | [ER : nl f Non TT 1e 2 SPHÆROPSIDÉES RÉCOLTÉES JUSQU’A CE JOUR DANS LA CHARENTE-INFÉRIEURE Par Pauz BRUNAUD. = ,— SPHÆROPSIDÉES Lév. reform. ; Sacc. a — — Phyllosticta æsculicola Sacc.—Sur les feuilles et les pétioles de l’Æsculus Hippocastanum. — Saintes, Rochefort, Soubise, Pessines, Pérignac, Brives, Font- couverte. Ph. paviæcola P. Brun., Soc. bot. Fr. 1887, p. 429. — Sur les feuilles du Pavia macrostachya. — Roche- fort (jardin botanique). Ph. Pittospori P. Brun. — Taches subarrondies ou anguleuses, d’un brun-clair, à bordure plus foncée. Périthèces petits, assez nombreux, noirs, érumpents, perforés. Sporules hyalines, ovoïdes, continues, long. 4-6, larg. 21/2. — Sur les feuilles du Pattosporum Tobira. — Saintes. Ph. Passerinii Berl. et Vogl. ; P. Brun., L. Sphæ- rops., p. 3; P. Brun., Champ. obs. 1v, p. 5. — Sur les feuilles du Prunus Mahaleb. — Saintes. LPO Ph. Mespili Sacc. — Sur les feuilles du Mespilus germanica. — Saintes, Echillais, Pessines. Ph Padi P. Brun. — Taches suborbiculaires ou irrégulières, d’un brun-clair ou ocracées, blanchissant à la fin, à marge très étroite, un peu plus foncée. Péri- thèces épars, noirs, très petits, perforés. Sporules ovoides ou elliptiques, long. 5-6, larg. 3, hyalines, continues. — Sur les feuilles du Prunus Padus. — Saintes. Ph. £riobotryæ Thüm.— Sur les feuilles vivantes de l’Eriobotrya japonica. — Rocheïort (jardin bota- nique). Ph. Photiniæ Thüm.— Sur les feuilles du Pho- tinia glabra. — Saintes. Ph. pirina Sacc. — Sur les feuilles des poiriers. — Saintes, Rochefort, Brie-sous-Mortagne. Ph. Sorbi West. — Sur les feuilles du Sorbus aucu- paria, du Sorbus domestica et du Sorbus scandica. — A. C. Ph. Persicæ Sacc. — Sur les feuilles du Persica vulgaris. — Saintes. Ph. variabilis Peck. — Sur les feuilles du Rubus Idœus. — Saintes. Ph. rubicola Rabh. — Sur les feuilles du Rubus cœsius. — T. C. Ph. crenata P. Brun., Misc. myc. I, p.14. — Sous les feuilles du Spiræa crenata. — Saintes. Ph. Calycanthi Sacc. et Speg. — Sur les feuilles du Calycanthus prœcox, du Calycanthus edulis. — Saintes, Rochefort. Ph. salicifolia P. Brun. — Taches arrondies ou irrégulières, assez souvent marginales, grises, bordées de brun. Périthèces épars, peu nombreux, petits, érumpents, noirs. Sporules ovoïdes, continues, hyalines, long. 3-5, larg. 2-2 1/2. — Sur les feuilles du Metrosi- deros salicifolia. — Rochefort (jard. bot.). Ph. Siliquastri Sacc. et Speg. — Sur les feuilles du Cercis Siliquastrum. — Saintes. Ph. Pseudacaciæ Passer.; P. Brun., Liste Sphæ- rops., p. 4. — Sur les feuilles du Robinia Pseudo-Acacia. — Saintes, Chaniers. Ph. Gytisi Desm. — Sur les feuilles du Cytisus Laburnum. — A. C. Ph. Cytisorum Passer. ; P. Brun., Sphærops., p. 1; P. Brun., L. Sphærops., p. 4. — Sur les feuilles du Cytisus Laburnum. — Préguillac. Ph. Wistariæ Sacc.—Sur les feuilles du Wistaria sinensis. — Saintes. . Ph. Hesperidearum (Catt.) Penz. — Sur les feuilles languissantes du Citrus aurantium cultivé en serres. — Saintes. Ph. Platanoidis Sacc. — Sur les feuilles du Negundo fraxinifolia. — Fontcouverte, Saintes, Ph. fraxinifolia Passer. ; P. Brun., Sphærops, p. 1. — Sur les feuilles du Negundo fraxinifolia. — Saintes. Ph. campestris Passer. ; P.Brun., Sphærops., p. 1. — Sur les feuilles de l’Acer campestre. — Saint-Georges- des-Coteaux. Ph. monspessulani Passer. ; P. Brun., GÉAUP: LR TES obs. v, p. 4 — Sur les feuilles de l’Acer monspessu- lanum. — Rochefort. Ph. Aceris Sacc. — Sur les feuilles de l’Acer cam- pestre. — À. C. Ph. Alaterni Passer.; P. Brun., Sphærops., p. 1. — Sur les feuilles du Rhamnus Alaternus. — Saintes, les Gonds. Ph. rhamnigena Sacc. — Sur les feuilles du Rhamnus catharticus. — Saintes, les Gonds. Ph. nemoralis Sacc. — Sur les feuilles de l’Evo- nymus europæus. — Saintes. Ph. Paliuri P. Brun., Champ. obs. vi, p. 2. — Sur les feuilles languissantes du Paliurus aculeatus. — Rochefort (jardin botanique). Ph. tineola Sacc. — Sur les feuilles tombées ou desséchées du Viburnum Tinus. — La Rochelle. Ph. tinea Sacc. — Sur les feuilles languissantes ou desséchées du Viburnum Tinus. — Saintes, Rochefort, _ Pessines. Ph. Opuli Sacc. — Sur les feuilles languissantes du Viburnum Opulus. — A. C. Ph. Viburni Passer. ; P. Brun., Sphærops., p. 1. — Sur les feuilles du Viburnum Tinus. — Saintes, Pessines. Ph. Lantanoidis Peck., form. santonensis P. Brun., Misc. myc. p. 13. — Sur les feuilles du Vibur- num Lantana. — Saintes. Ph. Grossulariæ Sacc. — Sur les feuilles du Rtbes Grossularia. — A. C. NE ei, Ph. Saxifragæ P. Brun. — Taches arrondies, blanchissant en se desséchant, à bordure brune. Péri- thèces ponctiformes, espacés, peu nombreux, noirs. Sporules oblongues, long. 5-6, larg. 2 1/2, hyalines, con- tinues. — Sur les feuilles du Saxifraga Geum. —Roche- fort (jardin botanique). Ph. laurella Sacc. — Sur les feuilles du Laurus nobilis. — Saintes. Ph. vulgaris Desm. — Sur les feuilles du Lonicera Caprifolium, du Philadelphus coronarius et du Cerasus avium. — Saintes. Var. ViburniDesm. — Sur les feuilles du Viburnum Tinus. — Saintes. Ph. Periclymeni Passer., Journ. hist. nat. Bor- deaux, 1885, p. 135. — Sur les feuilles du Lonicera Periclymenum. — Saintes, Pessines, Varzay. Ph. Caprifolii (Op.) Sacc. — Sur les feuilles du Lonicera Caprifolium. — Saintes. Ph. Symphoricarpi West. — Sur les feuilles du Symphoricarpos racemosa. — A. C. Ph. Sambuci West. — Sur les feuilles du Sam- bucus nigra. — Saintes. Ph. hedericola Dur. et Mont. — Sur les feuilles de l’Hedera Helix, de l’'Hedera chrysocarpa et de l’Hedera hibernica. — T, C. Var. Araliæ P. Brun. — Taches et périthèces du type. Sporules oblongues, biguttulées, hyalines, long. 5-7, larg. 2 1/2. — Sur les feuilles de l’Aralia Sieboldür. — Rochefort (jardin botanique). EE Ph. Hederæ Sacc. et Roum. — Sur les feuilles de l'Hedera Helix. — Saintes, Pons. _ Ph. concentrica Sacc. — Sur les feuilles de l’Hedera Helix. — Saintes, Rochefort, Gémozac, Pes- sines. Ph. cornicola (D. C.) Rabh. — Sur les feuilles du Cornus sanguinea. — Saintes. Ph. Ligustri Sacc. — Sur les feuilles du Ligus- trum vulgare. — Saintes. Ph. ovalifolii P. Brun., Misc. myc. I, p. 14. — Sur les feuilles du Zigustrum 9valifolium. — Rochefort, Saintes. Ph. Syringæ West. — Sur les feuilles languis- santes du Syringa vulgaris. — A. C. Ph. Jasmini Sacc. — Sur les feuilles du Jasminum officinale. — Saintes. Ph. Saccardoi Thüm. — Sur les feuilles des Rhododendrons cultivés. — Saintes. Ph. rhododrendricola P. Brun., Misc. myc. I, -p. 14. — Sur les feuilles languissantes des Rhododen- drons cultivés. — Saintes. Ph. Arbuti Unedonis Passer.: P. Brun., Liste Sphærops, p. 6. — Sur les feuilles languissantes de l’Arbutus Unedo. — Le Breuil-Magné, Saintes, Fouras. Ph. garryæcola Passer.; P. Brun., Sphærops., p. 2. — Sur les feuilles du Garrya elliptica. — Pré- guillac, Rochefort (jard. bot.). Ph. flavidula Sacc. — Sur les feuilles languis- POMER santes d’un Callistemon cultivé en serre. — Saintes, Rochefort. Ph. limbalis Pers. ; Sacc., Syll., Sphærops., p. 24. — Sur les feuilles du Burus sempervirens. — A. C. Ph. cistina Thüm. — Sur les feuilles languissantes du Cistus salvifolius. — Fouras. Ph. neglecta P. Brun. — Périthèces hypophylles, d’un brun-noir, perforés, érumpents, globuleux, for- mant par leur réunion de petites taches brunes. Spo- rules oblongues, hyalines, long. 7, larg. 2, biguttulées. — Sur les feuilles du Camellia japonica. — Saintes. Ph. camelliæcola P. Brun., Misc. myc. p. 13. — Sur les feuilles languissantes du Camellia japonica cultivé en serre. — Saintes, Rochefort. Ph. Magnoliæ Sacc.— Sur les feuilles du Magnolia grandiflora. — A. C. Fh. mahoniæcola Passer. ; P. Brun., Sphærops., p. 2. — Sur les feuilles du Mahonia japonica. — Pré- guillac. Ph. Berberidis Rabh. — Sur les feuilles du Ber- beris vulgaris. — Saintes, Pons. Ph. Paulowniæ Sacc. — Sur les feuilles du Pau- lownia imperialis. — A. C. Ph. Weigeliæ Sacc. et Speg. — Sur les feuilles du Weigelia rosea. — Pessines. Ph. Tiliæ Sacc. et Speg. — Sur les feuilles languis- santes du Tilia europæa. — Saintes. Ph. Syriaca Sacc. — Sur les feuilles de l’Hibiscus Syriacus. — Pessines, Saintes, etc. Re Ph. erysiphoides Sacc. — Sur les feuilles du Tecoma radicans. — Saintes. Ph. Bignoniæ West. — Sur les feuilles du Catalpa syringæfolia. — A. C. Ph. Aucubæ Sacc. et Speg. — Sur les feuilles tombées de l’Aucuba japonica. — Saintes. Ph. destruens Desm. — Sur les feuilles du Celtis australis et du Prunus lusitanica. — Saintes, Pérignac, Sablonceaux, Rochefort. Ph. Juglandis (D. C.) Sacc. — Sur les feuilles du Juglans regia. — Rocheîort, Gémozac, Echillais, Pes- sines. Ph. sycophila Thüm. — Sur les feuilles du Ficus Carica. — T. C. Ph. salicina Thüm. ; P. Brun., L. Sphærops., p. 7. — Sur les feuilles du Salir alba. — Saintes. Ph. Quercus Sacc. et Speg. — Sur les feuilles du Quercus pedunculata et du Quercus sessiliflora. — A. C. Ph. ilicina Sacc. our les feuilles du Quercus Ilex. —T. C. Ph. Quercus Ilicis Sacc. — Sur les feuilles du Quercus 1lex. — Saintes. Ph. ilicicola Passer. ; P. Brun., L. Sphærops., p. 7; P. Brun., Nouv. frag. myc. Il, p. 8. — Sur les feuilles du Quercus Ilex. — Saintes, Saujon, Fouras, Fontcou- verte. Ph. maculiformis Sacc. — Sur les feuilles du Castanea vesca. — Varzay. Ph. Ginkgo P. Brun., L. Sphærops., p. 7. — Sur Rte les feuilles tombées du Ginkgo biloba. — Rochefort (jardin botanique). Ph. Clematidis P. Brun. — Taches petites, irré- gulières ou anguleuses, brunes, blanchissant au centre ou grises, à large bordure brune. Périthèces nombreux, ponctiformes, d'un brun-noir, épars. Sporules ovoïdes, hyalines, long. 5-6, larg. 3, continues. — Sur les feuilles languissantes du Clematis Vitalba. — Saintes. Ph. Ajacis Thüm. — Sur les feuilles vivantes du Delphinium Ajacis. — Fouras. Ph. Anemones P. Brun. — Taches arrondies ou irrégulières, grises ou d’un gris-brun, à bordure plus foncée. Périthèces très petits, érumpents, épars, noirs. Sporules ovoïdes, hyalines, continues, long. 4 1/2-6, larg. 2 1/2-3. — Sur les feuilles de l’Anemone japonica. — Saintes. Ph. Violæ Desm. — Sur les feuilles du Viola odo- rata. — Saintes. Ph. Helianthemi Roum. — Sur les feuilles de l’'Helianthemum vulgare. — Saintes. Form.major P. Brun.—Sporules long. 4, larg. 2 1/2. — Sur les feuilles de l’Helianthemum vulgare. — Saintes. Fouras. Ph. destructiva D:sm. ; P. Brun., Misc. myc. I, p. 14. — Sur les feuilles du Malva silvestris, de l’Alcea rosea, de l’Althæx officinalis, du Lycium barbarum. — A. C. Ph. altheina Sacc. — Sur les feuilles de l’Alcea rosea. — Saintes. = OÙ — Ph. althæicola Passer. ; P. Brun., L. Sphærops., p. 8. — Sur les feuilles de l’Althœæa officinalis. — Brie- sous-Mortagne. Ph. Epilobii P. Brun., Soc. bot. Fr. 1889, p. 336. — Sur les feuilles de l’Epilobium hirsutum. — Saintes. Ph. Tormentillæ Sacc. — Sur les feuilles du Tormentilla erecta. — Pessines, Varzay. Ph. Filipendulæ Sacc.— Sur les feuilles languis- santes du Spiræa Filipendula. — Saintes. Ph. filipendulina Sacc., var. Ulmariæ Sacc. — Sur les feuilles du Sptræa Ulmaria. — Saintes, etc. Ph. Begoniæ P. Brun. — Taches arrondies, assez grandes, d’un olivacé-clair, pâlissant au centre. Péri- thèces épars, très petits, noirs. Sporules ovoïdes, hyalines, continues, long. 5, larg. 3. — Sur les feuilles d’un Begonia tuberculeux. — Pessines. Ph. Girsii Desm. — Taches plutôt blanches que cendrées. — Sur les feuilles du Cirsium arvense. — Fouras. Ph. Lappæ Sacc. — Sur les feuilles du Lappa minor. — Saintes, Rochefort, Saint-Porchaire. Ph. Zinniæ P. Brun. — Taches anguleuses ou irré- gulières, d’abord brunes, puis d’un olivacé-clair, à la fin d'un gris-jaunâtre, bordées de brun. Périthèces ponctiformes, noirs, épars. Sporules ovales, hyalines, continues, long. 5, larg. 3. — Sur les feuilles languis- santes du Zinnia elegans. — Pessines. Ph. Dalhiæcola P. Brun., Soc. bot. Fr. 1887, p. 429. — Sur les feuilles languissantes des Dahlias cultivés. — Pessines. Ph. Farfaræ Sacc. —Surles feuilles languissantes du Tussilago Farfara. — Saintes, Pessines, Pérignac, Fouras. Form. major P. Brun. — Sporules oblongues, long. 7-8, larg. 2 1/2, à deux gouttelettes. — Sur les feuilles du Tussilago Farfara. — Fouras. Ph. Scorzoneræ Passer.; P. Brun., Champ. obs. vi, p. 2. — Sur les feuilles languissantes du Scor- zonera humilis. — Pessines. Ph. Saniculæ P. Brun., Soc. bot. Fr. 1889, p. 336. — Sur les feuilles du Sanicula europæa. — Saintes, Pessines. Ph. Falcariæ P. Brun.— Taches de formes variées, petites, pâlissant. Périthèces très petits, noirs, peu nombreux. Sporules oblongues, long. 5-6, larg. 2 17/2, hyalines, continues. — Sur les feuilles du Falcaria Rivini. — Fouras. Ph. Bupleuri (Fuck.) Sacc., form. fruticosi P. Brun., Soc. bot. Fr. 1887, p. 245. — Sur les feuilles du Bupleur um fruticosum.— Rochefort (jardin botanique). Ph. scrophularinea Sacc. — Sur les feuilles du Scrophularia nodosa. — Saintes, Pessines. Ph. Ehrhartii Sacc. — Sur les feuilles du Scrophu- laria aquatica. — Saintes, Saint-Sever, Fouras. Ph. Linariæ Sacc. — Sur les feuilles du Linaria Elatine. — Saintes, Fontcouverte, Echillais. Ph. capsulicola Sacc. et Speg. — Sur les capsules du Micotiana rustica. — Saintes. Ph. Dulcameræ Sacc. — Sur les feuilles du Sola- num Dulcamara. — Rochefort, Saint-Sever, Saintes. no Ph. Teucrii Sacc. et Speg. — Sur les feuilles du Teucrium Chamædrys. — Saintes, Rochefort, Pessines. Ph. Pharbitis Sacc. — Sur les feuilles du Phar- bitis hispida. — Saintes, Pessines. Ph. Curcurbitacearaum Sacc. — Sur les feuilles du Cucurbita Pepo. — Saintes. Ph. Acetosæ Sacc. — Sur les feuilles du Rumex acetosa. — Saintes, Varzay. Ph. Ambrosioidis Thüm.,/form. santonensis P. Brun., Misc. myc. p. 15. — Sur les feuilles du Cheno- podium ambrosioides. — Semussac. Ph. primulicola Desm. — Sur les feuilles lan- guissantes du Primula acaulis. — A. C. Ph. euphorbiæcola P. Brun. — Taches plus ou moins arrondies, d’un brun-clair, à bordure plus foncée. Périthèces amphigènes, nombreux, petits, glo- buléux, noirs, un peu luisants. Sporules ovoïdes- oblongues, long. 5-6, larg. 3, hyalines, continues. — Sur les feuilles l’Euphorbia amygdaloides. — Fouras. Ph. phytolaccæcola P.Brun., Misc. myc. EI, p. 15. — Sur les feuilles du Phytolacca acinosa. — Rochefort (jardin botanique). Ph. dioscoreæcola P. Brun. — Taches irrégu- lières, assez grandes, d’un brun-rouge, devenant d’un brun-clair au centre lorsque la feuille se dessèche. Périthèces petits, noirs, érumpents. Sporules ovoïdes, hyalines, continues, long. 3-5, larg. 2-2 1/2, — Sur les feuilles du Dioscorea batatas. — Rochefort (jard. bot.). ep Ph. ruscicola Desm.— Sur les cladodes du Ruscus aculeatus. — T. C. Form. caulicola P. Brun., S. L. Sphærops., p. 1. — Sur les tiges mortes du Ruscus aculeatus. — Pessines. Ph. Danaes Passer.; P. Brun., Sphærops., p. 2. — Sur les feuilles du Ruscus racemosus, — Rochefort (jardin botanique). Ph. Tami Sacc. — Sur les feuilles du Tamus com- munis. — Pessines, Fontcouverte, Saintes. Ph. cruenta (Fr.) Kickx. — Sur les feuilles du Polygonatum vulgare et du Polygonatum multiflorum. — À. C. Ph. acorella Sacc. et Penz. — Sur les feuilles de l’Acorus variegatus. — Rochefort (jardin botanique). Ph. Alismatis Sacc. et Spes. — Sur les feuilles de l’Alisma Plantago. — Muron, Genouillé (Riveau), Saintes, Saint-Sever, Chaniers. Ph. sagittæfoliæ P. Brun., S. L. Sphærops., p.1. — Sur les feuilles du Sagittaria sagittæfolia. — Saint- Palais-sur-mer. Ph. Spartinæ P. Brun., Champ. obs. vu, p. 4 — Sur les gaines du Spartina stricta. — Fouras. Phoma occidentalis Sacc. — Sur les petites branches mortes du Gleditschia Triacanthos. — Saintes. P.Gleditschiæ (Thüm.) Sacc. — Sur les branches mortes et les épines du Gleditschia Triacanthos. — Saintes. P. Coronillæ West. — Sur les branches mortes du OR = Coronilla glauca et du Coronilla Emerus. — Saintes, Pessines. P. Spartii Sacc.— Sur les tiges mortes du Spartium junceum. — Saintes, Rochefort, Pessines. P. spartiicola P. Brun., Esp. Sphærops., p. 1. — Sur les petites branches mortes du Spartium junceum. — Saintes. P. Genistæ P. Brun. — Périthèces épars, très petits, globuleux-déprimés, érumpents, noirs. Sporules oblongues, hyalines, long. 5-6, larg.'21/2-3, continues. — Sur les tiges mortes du Genista tinctoria. — Fouras. P. Sophoræ Sacc. — Sur les branches mortes du Sophora japonica. — A. C. P. Styphnolobii P. Brun., S. L. Sphærops., p. 1; P. Brun., Champ. obs. 1v, p. 6. — Sur les branches mortes du Styphnolobium pendulum. — Rochefort (jardin botanique). P. Siliquastri Sacc. ; P. Brun., S. L. Sphærops., _p. 1.— Sur les branches mortes du Cercis Siliquastrum. — À. C. P. seposita Sacc. — Sur les branches mortes du Wastaria Sinensis. — A. C. P. rudis Sacc. — Sur les branches mortes du Cyti- sus Laburnum. — A. C. P. Cytisi P. Brun. — Périthèces rapprochés, glo- buleux, couverts par l’épiderme légèrement noirci, noirs, petits, globuleux. Sporules ovales, long. 5-6, larg. 3, hyalines, continues. — Sur les petites branches mortes du Cytisus sessilifolius. — Saintes. PONT P. mendax Sacc. — Sur les branches mortes de l'Albizzia Julibrissin. — A. C. P.oncsstoma Thüm.; Cytospora leucosperma P. Brun., L. Sphærops., p. 26, non Pers., non Fr. — Sur les branches mortes du Robinia Pseudo-Acacia. — Saintes, Cravans, etc. P. Pseudacaciæ Sacc. — Sur les branches mortes du Robinia Pseudo-Acacia. — Saintes, Fouras. P. cryptica (Nke.) Sacc. — Sur les rameaux morts du Lonicera Periclymenum, du Lonicera tatarica. — A, C. P. Ryckholtii Sacc. -— Sur les tiges mortes du Symphoricarpos racemosa. — A. C. P. pulicaris Sacc. — Sur les branches mortes du Sambucus nigra. — Saintes, Mortagne-sur-Gironde. P. Sambuci Passer.; P. Brun., L. Sphærops., p. 10. — Sur les rameaux décortiqués du Sambucus nigra. — Saintes. P. vicina Desm.— Sur les rameaux décortiqués du Sambucus nigra. — Saintes. Form. Platani Sacc. — Sur les petites branches mortes des Platanes. — Saintes. P. Landeghemiæ (Nke.) Sacc. — Sur les rameaux morts du Philadelphus coronarius. — A. C. P. ramealis Desm. — Sur les branches mortes de l’'Evonymus europœus, et de l'Evonymus japonicus. — A. C. P.evonymella P. Brun. — Périthèces épars ou rapprochés, globuleux ou subglobuleux, noirs, cou- mn IEË = verts, à ostiole seul érumpent. Sporules ovoïdes-allon- gées, long. 5-7, larg. 2 1/2, hyalines, fixées sur des basides filiformes arquées, long. 20-25, larg. 1/2. — Sur les branches mortes de l’Evonymus europæus. — Saintes. P. Padi P. Brun. — Périthèces globuleux, épars ou rapprochés, noirs, couverts, à ostiole érumpent. Spo- rules ovoïdes-oblongues, long. 5-6, larg. 2-2 1/2, hya- lines. — Sur les branches mortes du Prunus Padus. — Saintes. P. Persicæ Sacc. — Sur les branches du Persica vulgaris. — Saintes, Pessines, Rochefort. P. Sorbariæ Sacc. — Sur les branches mortes du Spiræa sorbifolia. — Pons. P. Mali Schulz. et Sacc. — Sur les branches mortes du Pirus Malus. — Saintes. P. ambigua (Nke.) Sacc. — Sur les branches mortes des Pommiers. — Saintes. Form. minor P. Brun., Mat. F1. myc., p. 21. — Sur les branches mortes du Pirus Malus. — Saintes. P. Cydoniæ Sacc. — Sur les branches mortes du Cydonia vulgaris. — Saintes. P. Amelanchieris Cook. — Sur les branches mortes de l’Amelanchier vulgaris. — Pons. P. Ruborum West. — Sur les sarments morts du Rubus fruticosus. — Rioux, Chaniers, Saintes, Saujon. | P. aculeorum Sacc. — Sur les aiguillons du Rosa canina. — Saintes. P. Kosarum Dur. et Mont. — Sur les branches mortes du Rosa canina. — Saintes, Saujon. LOST : > SE P. Chænomeles P. Brun., Soc. bot. Fr., p. 337.— Sur les tiges mortes du Chænomeles japom@ica. — Pons. P. Chamænerii P. Brun. ; P. Chamænerionis P. Brun., Sphærops., p. 3. — Sur les tiges mortes de l’Epilobium angustifolium. — Saintes. P. Fuchsiæ P. Brun., Soc. bot. Fr. 1889, p. 337. — Sur les branches mortes du Fuchsia coccinea cultivé. — Saintes. P. japonica Sacc. — Sur les branches mortes du Kerria japonica. —- Saintes, Rocheïort. P.cordifolia P. Brun., Champ. obs. vr, p. 4. — Sur les sarments morts du Vitis cordifolia. — Rochefort (jardin botanique). P. Viniferæ Cook. — Sur les sarments morts du Vitis vinifera. — Saintes, Pons. P. nidulans Grogn. — Sur les branches mortes de l’Ampelopsis hederacea. — Saintes. P. diplodioides Sacc. — Sur les branches mortes de l’Æsculus Hippocastanum. — Pessines. P. Hippocastani Passer. ; P. Brun., Misc. myc. I, p. 15. — Sur les jeunes branches mortes de l’Æsculus Hippocastanum. — Saintes. P. controversa (Nke.) Sacc. — Sur les branches mortes du Fraxinus excelsior. — Saintes. P. fraxinea Sacc. — Sur les petites branches mortes du Fraxinus Ornus. — Saintes, les Gonds, Thenac. P. domestica Sacc. -— Sur les tiges mortes du Jasminum revolutum et du Jasminum officinale. — Saintes, Pessines. | LR, SR P. Chionanthi P. Brun., S. L. Sphærops., p. 1. — Sur les branches mortes du Chionanthus virginica. — Saintes. P. depressa (Lév.) Sacc. — Sur les branches mortes du Syringa vulgaris. — T. C. . Form. fructicola P. Brun., L. Sphærops., p. 11. — Sur les fruits desséchés du Syringa vulgaris. — Saintes. Form. minor P. Brun., Soc. bot. Fr. 1889, p. 337. — Sur les fruits desséchés du Syringa vulgaris, variété dite Lilas Charles X. — Saintes, Pons. P. Forsythiæ Cook., form major P. Brun. Sphærops., p. 3; P. Brun., Champ. ObS. IV, p. 7. — Sur les branches mortes du Forsythia viridissima. — Saintes, Cravans. P. laurella Sacc. — Sur les petites branches mortes du Laurus nobilis. — A. C. P. Lauri Passer. et P. Brun.: P. Brun., Mat. F1 myc. p. 21. — Sur les tiges mortes du Laurus nobilis. — Saintes. P. scabella Penz. — Sur les petites branches mortes des Citronniers cultivés en serres. — Saintes. P. GCitri Sacc. — Sur les branches décortiquées des Citronniers. — Saintes. P. Gamelliæ P. Brun., Misc. myc. I, p. 15. — Sur les tiges mortes du Camellia japonica. — Saintes. P. affinis P. Brun., Rev. myc. 1v, p. 225; P. Brun. L. Sphærops., p. 11. — Sur les branches mortes de l’Erica scoparia. — Saintes. D ON à P. Sumacis P. Brun., L. Sphærops., p. 11. — Sur les tiges mortes du Rhus glabra. — Pons. Form. Spirææ P. Brun., Soc. bot. Fr. 1889, p. 337. — Sur les branches mortes du Spiræa sorbifolia. — Saintes, Pons. P. Cisti P. Brun., Nouv. frag. myc. 11, p. 8 — Sur les branches desséchées du Cistus salvifolius. — Fouras. P. Corni Fuck. — Sur les petites branches du Cornus sanguinea. — Saintes. P. lirelliformis Sacc. — Sur les branches déc or- tiquées du khamnus Alaternus, du Prunus Lauro-Cera- sus, du Mahonia Aquifolium, du Punica Granatum, de V’'Ulmvus campestris, du Calycanthus floridus, du Sympho- ricarpos racemosa, du Calycanthus edulis, du Kerria japonica, du Celastrus scandens, etc. — T. C. Form. Spirææ P. Brun. — Périthèces disposés en ligne, épars ou rapprochés, linéaires-oblongs, innés ou érumpents en fente, souvent entourés d’une ligne noire stromatique. Sporules ovoïdes, long. 6-7, larg. 2, hya- lines. Basides courbées, long. 15, larg. 1 1/2. — Sur les branches mortes du Spiræa tomentosa. — Pons. Form. ribicola Sacc. — Sur les branches dénudées du Ribes rubrum, du Ribes sanguineum, et du Ribes malvaceum. — A. C. Form. Viburni Opuli P. Brun., L. Sphærops., p.11. — Sur les branches mortes et décortiquées du Vibur- num Opulus. — Saintes. Form. Bambusæ P. Brun., Champ. obs. 1V, p. 7. — Sur les chaumes morts du Bambusa arundinacea. — Saintes. 5 DE Form. Evonymi P. Brun. — Périthèces épars ou, çà et là rapprochés, plus ou moins disposés en ligne, enfoncés dans le bois assez souvent entourés par une ligne noire stromatique pénétrant dans le bois, allongés ou linéaires, couverts, érumpents ensuite en fente, subhystériiformes, noirs. Sporules oblongues, oblon- . gues-allongées, droites, hyalines, à deux gouttelettes, long. 7-8, larg. 2, continues.— Sur les branches décor- . tiquées de l’Evonymus europæus. — Saintes. Form. Weigeliæ roseæ P. Brun., L. Sphærops., p. 12. — Sur les branches mortes et décortiquées du Weigelia rosea. — Saintes. Form. Rutæ P. Brun. Champ. obs. 1v, p. 7. — Sur les tiges mortes du Ruta graveolens. — Saintes. Form. aucubicola P. Brun., Misc. myc. I, p. 15. — Sur les petites branches mortes de l’Aucuba japonica. — Rocheïort (jardin botanique). Form. Tini P. Brun., Sphærops., p. 3. — Sur les branches mortes et décortiquées du Viburnum Tinus. — Saintes, Cravans. Form. Ulmi P. Brun., S. L. Sphærops., p. 1. — Sur les petites branches décortiquées de l’Ulmus campestris. — Saintes. Form. Clerodendri P. Brun., Nouv. frag. myc. 11, p. 8. — Sur les branches mortes du Clerodendron fœti- dum. — Rochefort (jardin botanique). Form. Gonyzæ P. Brun. — Sporules biguttulées, hyalines, oblongues-subfusiformes, long. 7-8, larg. 8. — Sur les tiges mortes de l’Inula Conyza. — Saintes. 1 P. pulla Sacc. — Sur les sarments morts de l’Hedera Helir: — A. C. | P. Friesii P. Brun., Soc. bot. Fr. 1889, p. 337. — Sur les branches du Ligustrum ovalifolium. — Saintes. P. tinea Sacc. — Sur les branches mortes du Vibur- num Tinus. — Saintes. P. ribesia Sacc. — Sur les branches mortes du Ribes Grossularia. — Saintes, Rioux. P.Lycii Sacc. ; P. Brun., Champ. obs. 1v, p. 7. — Sur les branches mortes du Lycium barbarum. — Saintes. P.Volkameriæ Speg. ; P. Brun., Champ. obs. 1v, p. 7.— Sur les branches mortes du Volkameria fragrans. — Saintes. P. viridarii Sacc. — Sur les branches mortes du Magnolia grandiflora. — A. C. P. stictica Berk. et Br. — Sur les branches dénu- dées du Buxus sempervirens. — A. C. P. celtidicola P. Brun., S. L. Sphærops., p. 1. — Sur les branches mortes du Celtis occidentalis. — Saintes (jardins.) P. Coriariæ P. Brun., S. L. Sphærops., p. 1. —, Sur les branches mortes du Coriaria myrtifolia. — Saintes. P. Robergeana Sacc. — Sur les branches mortes du Staphylea pinnata. — A. C. P. Brunaudi Berl. et Vogl.; Phoma Staphyleæ P. Brun., L. Sphærops., p. 12; P. Brun., Champ. obs. 1v, PCR p. 7. — Sur les branches mortes du Sfaphylea colchica. — Saintes. P. Baccharidis P. Brun., Champ. obs. vir. p. 4. — Sur les petites branches mortes du Baccharis halimi- folia. — Fouras. P. Ophites Sacc. — Sur les branches mortes de l’Hibiscus syriacus. — A. C. P. exul Sacc. — Sur les branches mortes du Maclura aurantiaca. — Saintes. P. Koœælreuteriæ Sacc. — Sur les branches mortes du Kælreuteria paniculata. — Saintes. P., tecomæcola P. Brun., Bull. Soc. bot. Fr. 1887, p. 429. — Surles sarments morts du Tecoma grandiflora. — Saintes. P. Tecomæ Sacc. — Sur les sarments morts du Tecoma radicans. — Saintes. P. pustulata Sacc. — Sur les branches tombées de l’Acer Pseudoplatanus. — Saintes. P. protracta Sacc. — Sur les petites branches tom- bées de l’Acer campestre. — Saintes, Rochefort. P. Lebiseyi Sacc. — Sur les petites branches mortes du Negundo fraxinifolia. — A. C. P. velata Sacc. — Sur les branches mortes du Tilia europæa. — Saintes. Form. minor Sacc. — Sur les branches mortes du Tilia parvifolia. — Saintes. P. Gnidii P. Brun., S. L. Sphærops., p. 2. — Sur les petites branches mortes du Daphne Gnidium. — Saint-Palais-sur-mer. D 9 2e P. imperialis Sacc. et Roum. — Sur les pétioles desséchés du Paulownia imperialis. — A. C. P. Paulowniæ Thüm. — Sur les pétioles tombés du Paulownia imperialis. — Saintes. P. rimincola Sacc. — Sur les branches mortes du Tamarix anglica. — Rochefort, Saintes. P. tamaricella Sacc. — Sur les petites branches du Tamarix anglica. — A. C. Form. santonensis P. Brun. — Périthèces épars ou rapprochés, corticoles, couverts, noirs, globuleux, à ostiole érumpent. Sporules ovoïdes-oblongues, long. 5, larg. 2, droites, hyalines. — Sur les petites branches mortes du Tamarix anglica. — Saujon. P. Buddleiæ P. Brun., Champ. obs. vi, p. 2. — Sur les branches mortes du Buddleia Lindleyana et du Buddleia crispa caltivés. — Saintes, Rochefort. P. scabra Sacc. — Sur les branches mortes du Platanus orientalis. — Saintes. P. Aïilanthi Sacc. — Sur les branches mortes de l’Ailanthus glandulosa. — Saintes, Cravans, etc. P. ailanthina Thüm. — Sur les petites branches mortes de l’Ailanthus glandulosa. — Saintes. P. Moræarum P. Brun., Soc. bot. Fr. 1887, p. 429. — Sur les branches mortes du Morus alba. — Pessines. P. Broussonetiæ Sacc. — Sur les branches mortes du Broussonetia papyrifera. — Saintes, Sablonceaux, etc. P. cinerescens Sacc. — Sur les branches mortes du Ficus Carica. — À. C. BL -TAe P. juglandina Fuck. — Sur les branches mortes du Juglans regia. — A. C. P. endoleuca Sacc. — Sur les branches de l’Alnus glutinosa. — Taiïllebourg. Var. rhodophila Sacc. — Sur les branches mortes du Rosa canina. — Saintes. Var. ligustrina Sacc. — Sur les branches mortes du Ligustrum vulgare. — Saintes. P. alnea (Nke.) Sacc. — Sur les branches mortes de l’Alnus glutinosa.— Saintes, Taillebourg, Cravans, les Gonds, etc. P. Malbranchei Sacc. — Sur les branches mortes de l’Ulmus campestris. — Saintes. P. revellens Sacc. — Sur les branches tombées du Corylus Avellana. — Saintes. P. acicola (Lév.) Sacc. — Sur les feuilles tombées du Pinus silvestris. — Pessines. ‘P. Balsameæ P. Brun., Esp. Sphærops., p. 1. — Sur les feuilles mortes de l’Abies balsamea. — Roche- fort (jardin botanique). P. petiolorum Rob. — Sur les pétioles tombés du Fraxinus excelsior, du Robinia Pseudo-Acacia, du Catalpa syringæfolia. — T. C. Form. Paviæ P. Brun. — Périthèces nombreux, épars ou rapprochés, coniques ou globuleux-coniques, se déprimant par le sec, couverts, puis érumpents, et alors entourés des débris de l’épiderme, perforés. Spo- rules-ovoïdes-oblongues, hyalines, à deux gouttelettes, _ong. 7-7 1/2, larg. 3-3 1/4. — Sur les pétioles dessé- chés du Pavia macrostachya. — Pons. Form. Juglandis P. Brun. — Périthèces épars, oblongs, couverts, noirs, perforés. Sporules oblongues, long. 5-7, larg, 3, hyalines. — Sur les pétioles tombés du Juglans regia. — Saintes. c P. Ilicis Desm. — Sur les feuilles de l’Ilex Aquifo- lium. — A. C. P. Lauro-Gerasi Lév. — Sur les feuilles mortes du Prunus Lauro-Cerasus. — Saintes, Pessines, Rioux, Sablonceaux. P. tularostoma Fr. — Sur les feuilles du Myrtus communis. — Saintes, Chaniers. P. Aucubæ West. — Sur les feuilles mortes ou languissantes de l’Aucuba japonica. — Saintes. Form. ramulicola Sacc. — Sur les branches mortes de l’Aucuba japonica. — A. C. P. Visci Sacc. — Sur les tiges et les feuilles du Viscum album. — Saintes, Pessines. P. g'andulosa Cook., form. santonensis P. Brun. Soc. bot. Fr. 1889, p. 337. — Sur les pétioles de l’Ailanthus glandulosa. — Saintes. P. Mahoniæ Thüm. — Sur les feuilles du Mahonia Aquifolium et du Mahonia japonica. — Saintes, Sablon- ceaux. P. lirellata Sacc. — Sur les tiges des pivoines cul- tivées. — Saintes. Form. Gentranthi P. Brun., L. Sphærops., p. 15. — Sur les tiges mortes du Centranthus ruber.— Saintes. D P. vulgaris Sacc. — Sur les sarments morts du Clematis Vitalba. — A. C. P. lingam (Tode) Desm. — Sur les tiges mortes des choux. — Saintes, Fontcouverte, Rochefort, Jonzac, Varzay. P.incrustans (Nke.) Sacc.; P. Brun., L. Sphæ- rops., p. 15. — Sur les tiges pourries du Brassica ole- racea. — Saintes, Pessines, Echillais, Varzay, Cour- . Coury. P. Phaseoli Desm. — Sur les tiges mortes du Pha- seolus vulgaris. — Saintes. Form. Lepidii Sacc. — Sur les tiges mortes du Lepi- dium graminifolium. — Saintes. P. Malvacearum West.— Sur les tiges mortes du Malva silvestris, de l’Althæa officinalis et de l’Alcea rosea. — À. C. P. Althæzæ Passer. ; P. Brun., Champ. obs. v, p.5. — Sur les tiges mortes de l’Al/thæa officinalis. — Saintes, Saint-Sever, Chaniers. P. albicans Rob. et Desm. — Sur les tiges mortes du Cichorium Intybus, de l’Hypochæris radicata, du Picris hieracoides, du Crepis virens, du Lampsana com- munis. — À. C. P. Gichoriacearum Sacc. — Sur les tiges mortes du Crepis virens. — Pessines. P. Lactucæ Sacc.— Sur lestiges mortes du Lactuca sativa. — Saintes. P. echioides P. Brun., S. L. Sphærops., p. 2. — Sur les tiges mortes de l’Helminthia ecnioides.— Saintes. D P. Periplocæ P. Brun., Champ. obs. 1v, p. 8. — Sur les feuilles languissantes du Periploca græca. — Rochefort (jardin botanique). P. fœniculina Sacc. — Sur les tiges mortes du Fœniculum officinale. — Saintes. P. Peucedani Passer. ; P. Brun., Champ. obs. v, p. 5. — Sur les tiges mortes du Peucedanum officinale. — Beaugeay. P. longissima West. — Sur les tiges mortes de l’'Atriplex hortensis et du Chenopodium viride. — T. C. P. eryngiicola P. Brun., Soc. bot. Fr., 1889, p.337. — Sur les tiges mortes de l’Eryngium campestre. — Saintes. P. complanata (Tode) Desm. — Sur les tiges mortes du Rhinanthus glabra et de l’Heracleum Sphon- dylium. — Saintes, Pessines, Médis. . P. eupyrena Sacc. — Sur les tiges mortes du Solanum tuberosum et du Solanum Dulcamara. — Saintes, Saujon, Sablonceaux, Fontcouverte. P. Dulcamaræ (Nke.) Sacc. — Sur les sarments morts du Solanum Dulcamara. — A. C. P. errabunda Desm. — Sur les tiges mortes du Verbascum Thapsus. — Fontcouverte, Chérac, Echillais, Saintes, Pessines. P. Veronicæ Roum., form. Andersoni P. Brun., Esp. Sphærops., p. 1. — Sur les branches mortes du Veronica Andersoni. — Saintes. P. Salviæ P. Brun., L. Sphærops., p. 16. — Sur SDSRE les tiges mortes et décortiquées du Salvia officinalis. — Saintes. P. Stachydis P. Brun., Mat. FI. my. p. 22. — Sur les tiges mortes du Séachys recta. — Saintes. P. Marrubii (Dur. et Mont.) Sacc. form. santo- nensis P. Brun., Soc. bot. Fr. 1889, p. 338. — Sur les tiges mortes du Marrubium vulgare. — Saintes. P. Mercurialis P. Brun., Sphærops., p. 3. — Sur les tiges mortes du Mercurialis annua. — Saintes. P. polygramma (Fr.) Fuck., var. Plantaginis Sacc. — Sur les capsules du Plantago lanceolata. — Saintes, Fouras. P. striæformis Dur. et Mont. — Sur les branches mortes du Sambucus nigra. — À. C. Var. hysteriola Sacc. — Sur les tiges mortes du Dipsacus silvestris, du Papaver somniferum. — Saintes, Rochefort, Fouras. P. herbarum West. — Sur les tiges mortes du Medicago sativa, du Verbena officinalis, de l’Urtica dioica, du Polygonum Persicaria, du Fæœniculum officinale, du Sonchus oleraceus, de VEuphorbia amygdaloides, de l’Agrostemma Githago, du Galium Mollugo, du Chlora perfoliata, de l’Achillæa vulgaris, du Lampsana com- mudis, du Scrophularia aquatica, du Polygonum hydro- piper, de l’Humulus Lupulus, du Lepidium graminifo- lium, du Malopa trifida, del’Artemisia campestris et de sa var. marilima, du Lavatera trimestris, du Nepeta nuda, du Poterium Magnolii, de l’Asparagus verticillatus, du Lathyrus latifolius, de l’Heliotropium europæum, du Galium Aparine, du Dipsacus silvestris, de l'Erigeron canadense, du Marrubium vulgare, de l’Antirrhinum majus, de l’Eupatorium cannabinum, du Calystegia sepium, du Lilium croceum, du Gaura Lindheimeri, du Sedum Telephium, du Gauratripelata, de l’Iris nudicaulis, les sarments des ronces, les gousses du Catalpa syrin- gæfolia, sur les tiges du Rumex crispus, de l’Epilobium tetragonum, du Cannabis sativa, du Phytolacca decandra, .du Phlox panicula, du Pharbitis hispida, des Bégonias tuberculeux, de l’Odontites serotina, etc, ete. — T. C. Form. Blattariæ Sacc.; P. Brun. Mat. FI. myc. p. 22. — Sur les tiges du Verbascum Blattaria. — Saintes. Form. Phlæi Sacc. — Sur les gaines du Phlœum intermedium. — Saintes. Form. Galiorum Sacc.; P. Brun. Mat. F1. myc. p. 22. — Sur les tiges mortes du Galium Mollugo. — Saintes. Form. Vincæ P. Brun., L. Sphærops., p. 17. — Sur les tiges mortes du Vinca major. — Saintes, Fontcou- verte. Form. Parietariæ P. Brun., Soc. bot. Fr. 1889, p. 338. — Sur les tiges mortes du Parietaria officinalis. — Pons. P. acuta Fuck. — Sur les tiges mortes du Ballota fætida, de l’Urtica dioica et de l’Urtica cannabina. — Rochefort (jardin botanique), Saintes. P. exigua Desm. — Sur les tiges mortes du Poly- gonum Persicaria et du Linum usitatissimum. — Saintes. P. Œnotheræ Sacc. — Sur les tiges mortes de l’'Œnothera biennis. — Royan. PA 1 ME P. nebulosa (Fr.) Mont. — Sur les tiges mortes des orties, des ombellifères et des grandes herbes. — Saintes. Var. Althææ Sacc. — Sur les tiges mortes de l’Althœa officinalis. — Fontcouverte. _ Var. Gerastii Passer. ; P. Brun., L. SÉOTe D: 17. — Sur les tiges mortes et les pétioles du Cerastium triviale. — Saintes, Echillais. P. oleracea Sacc. — Sur les tiges mortes du Bras- sica-oleracea. — Saintes. Var. Scrophulariæ Sacc. — Sur les tiges du Scrophularia aquatica. — Gémozac. P. melæna Dur. et Mont. — Sur les tiges mortes du Medicago sativa, du Daucus Carota, de l’Astragalus glycyphyllos, du Silene inflata. — Rochefort, les Gonds, Saintes, Taillebourg. Form. Vimineæ P. Brun., Nouv. frag. myc. n., p. 9. — Sur les tiges mortes de l’Astragalus viminea. — Rochefort (jardin botanique). P. subordinaria Desm. — Sur les hampes du Plantago lanceolata. — Pessines, Rochefort, Pons, Saintes. P. sarmenticia Sacc. — Sur les tiges mortes du Menispermum canadense. — Saintes, Rochefort (jardin botanique). P. Hyperici P. Brun. — Périthèces épars ou rap- prochés, globuleux, très petits, bruns, nichés dans l'écorce, couverts, perforés, paraissant quelquefois, bien que n’étant pas très rapprochés, former une légère OR tache allongée. Sporules ovoïdes, hyalines, long. 3-5, larg. 2 1/2. Basides bacillaires, droites ou un peu courbées, long. 17, larg. 1 1/2-2, arrondies aux extré- mités. — Sur les tiges mortes de l’Hypericum perfora- tum. — Saintes. P. Centranthi Sacc. — Sur les tiges mortes du Centranthus ruber. — Saintes, Saujon, Pons. P. Rubiæ Sacc. — Sur les tiges mortes du Rubia peregrina. — Saintes. P. Cacti Berk., var. Opuntiæ Sacc. — Sur les tiges languissantes des diverses Pare du genre Opuntia. — Saintes. P. torrens Sacc. — Sur les diverses espèces des genres Cereus et Echinocactus cultivés en serre. — Saintes, Rochefort. P. superîflua Sacc. — Sur les tiges mortes du Scabiosa Columbaria. — Saintes. P. sarmentella Sacc. — Sur les sarments morts de l’Humulus Lupulus. — Saintes. P. Durandiana Sacc. et Roum. — Sur les tiges mortes du Rumex pulcher. — Saintes. P. atriplicina West. — Sur les tiges mortes de l’Atriplexz Halymus, de V’Atriplex hortensis, de l’Atriplex microtheca. — Saujon, Fouras, Saintes, Rochefort (jardin botanique). P. portulacoides P. Brun., Champ. obs. vit, p. 4. — Sur les tiges mortes de l’Atriplex portulacoides. — Fouras. P. Euphorbiæ Sacc. — Sur les tiges mortes de Roue l'Euphorbia pilosa et de l’Euphorbia amygdaloides. — Saintes, Pessines, Saint-Sever. P. Debeauxii Roum. — Sur les feuilles du Sfatice Dodartii. — Fouras. P. leguminum West. — Sur les légumes du Spartium junceum, du Colutea arborescens, du Robinia Pseudo-Acacia, du Genista tinctoria, du Cercis War trum, du Gleditschia Triacanthos. — T. C. Form. major P. Brun., Champ. obs. 1v, p. 8. - Sur les gousses desséchées du Colutea arborescens. —Roche- fort, Tonnay-Charente. | P. phaseolina Passer. ; P. Brun., Mat. FI. myc. p. 22. — Sur les légumes desséchés du Phaseolus vul- garis. — Pessines. P. subvelata Sacc. — Sur l’écorce d’une colo- quinte conservée dans un endroit humide. — Saintes. P. decorticans de Not. — Sur les fruits du Cucumis sativus. — Saintes, Pessines. P. strobiligena Desm. — Sur les écailles des strobiles du Pinus picea, du Pinus silvestris, du Pinus maritima, du Cedrus Libani et du Thuya occidentalis. — Royan, Pessines, Saint-Romain-de-Benet, Saintes, Fouras, Chaniers. Form. minor Sacc. — Sur les écailles des strobiles du Pinus maritima. — Fouras. P. occulta Sacc. — Sur les écailles des cônes de l’Abies excelsa. — Saintes. P. conorum Sacc. — Sur les écailles des cônes de l’Abies excelsa. — Saintes. Das P. cœnanthicola Thüm.— Sur les fruits desséchés avant leur maturité du Ficus Carica. — Saintes. P. glandicola (Desm.) Lév. — Sur les glands des séchés des chênes et du Quercus Ilex. — T. C. P. pomorum Thüm. — Sur les fruits mürs du Malus communis. — Saintes. P. samararum Desm.— Sur les samares tombées des frènes, des érables, des sycomores. — T. C. P. pterophila (Nke.) Fuck. — Sur les samares tombées du Fraxinus excelsior..— Saintes. P. Matthiolæ P. Brun., S. L. Sphærops., p. 2. — Sur les siliques du Matthiola incana. — Pessines. P. matthiolæcola P. Brun., Soc.- bot. Fr. 1887, p. 430. — Sur les siliques desséchées du Matthiola sinuata. — Fouras. P. siliquæ Sacc. — Sur les siliques desséchées du Cheiranthus Cheiri. — Saintes. P. siliquarum Sacc. et Roum. ; P. Brun., Champ. Obs. vix, p. 5. — Sur les siliques desséchées des choux et du Matthiola incana. — Pessines, Saintes. P. siliquastrum Desm. — Sur les siliques des choux cultivés. — Saintes, Pessines, Chaniers, Cra- vans. P. Bellinckii West. — Sur les écailles de l’invo- lucre des artichauds. — Saintes. P. Vincetoxici West. — Sur les tiges mortes de l’Asclepias Cornuti et sur les fruits desséchés et les tiges du Vincetoxicum laxum. — Rochefort (jardin bot.). P. vincetoxicola P. Brun. — Taches allongées ou rer = indéterminées, noires ou noirâtres. Périthèces érum- pents, puis libres, globuleux, noirs, nombreux, per- forés. Sporules elliptiques ou ovoïdes, long. 4-5, larg. 2 3/4-3, hyalines. — Sur les fruits desséchés du Vince- toxicum laxum. — Rochefort (jardin botanique). P. carpogena Sacc. et Roum. — A l’intérieur des gousses du Catalpa syringæfolia. — Saintes. P. cocoina Cook., form. Phœnicis P. Brun., Esp. Sphærops., p. 1. — Sur les feuilles du Phænix dacty- lifera. — Rochefort (jardin botanique). P. Liliacearum West. — Sur les tiges de l’Heme- rocallis flava. — Saintes. Form. Lilii candidi P. Brun., L. Sphærops., p. 19. — Sur les tiges mortes du Lilium candidum.— A. C. P. gloriosa Sacc. — Sur les feuilles desséchées de l’Yucca gloriosa. — Saintes, etc. P. Asphodeli Sacc. —- Sur les tiges mortes de l’Asphodelus albus. — Pessines. P. Asparagi Sacc. — Sur les tiges mortes de l’As- paragus officinalis. — A. C. P. Rusci West. — Sur les cladodes desséchés du Ruscus aculeatus. — T. C. Form. cauliccla P. Brun. — Sur les tiges mortes du Ruscus aculeatus. — Saintes, Fouras. P. Typhæ Passer. ; P. Brun., L. Sphærops., p. 20. — Sur les feuilles mortes du Typha latifolia. — Roche- fort (jardin botanique). P. juncicola P. Brun., Soc. bot. Fr. 1889, p. 338. — Sur les chaumes morts du Juncus conglomeratus, du en Juncus obtusiflorus, du Jüncus acutiflorus et du Juncus acutus. — Fouras, Saintes, Pessines. P. arundinacea (Berk.) Sacc. — Sur les chaumes et les gaînes du Phragmites communis. — Saintes. P. graminella Sacc. — Périthèces plutôt d’un brun-noir que noirs. Sporules continues, subiusoïdes, hyalines, long. 15-17, larg. 3, droites ou quelquelois légèrement courbées. — Sur les chaumes morts du Calamagrostis arenaria. — Fouras. P. Equiseti Desm. ; P. Brun., Soc. bot. Fr. 1887, p. 245. — Sur les tiges desséchées de l’Equisetum limosum, de l’Equisetum arvense, de l’Equisetum Tel- mateia. — Saintes, Rochefort, Fouras, le Breuil-Magné. P. fimeti P. Brun., Soc. bot. Fr. 1889, p. 338. — Sur les crottes des moutons. — Fouras. Macrophoma endophlæa (Sacc.) Berl. et Vogl. — Sur la partie intérieure de l’écorce des jeunes branches mortes des chênes. — Saintes. M. Taxi (Berk.) Berl. et Vogl. — Sur les feuilles mortes du Taxus baccata. — Saintes. M. leucostigma (Lév.) Berl. et Vogl. — Sur les feuilles des buis, de l’Evonymus japonicus et des lierres. — T. C. M. Candollei (Sacc.) Berl. et Vogl. — Sur les feuilles tombées des buis. — Saintes. M. Mirbelii (Lév.) Berl. et Vogl. — Sur les branches mortes du Buxus sempervirens. — Saintes, Fontcou- verte, le Douhet, Saint-Jean d’Angély. M. cylindrospora (Desm.) Berl. et Vogl. es Hope les feuilles desséchées des lierres et du Quercus-Ilex. — Saintes, Fontcouverte, Fouras, Varzay, Gemozac, Pes- sines, Saujon. M. Ailanthi P. Brun. Soc. bot. Fr. 1889, p. 338. — Sur les pétioles de l’Ailanthus glandulosa. — Saintes. M. bacillaris (Sacc.) Berl. et Vogl. — Sur les tiges mortes de l’Aconitum Napellus. — Saintes, Rochefort. M. Juncei Passer.; P. Brun. Mat. F1. myc. p. 22. — Sur les branches mortes du Spartium junceum. — Soubise. M. Vincæ (Curr.) Berl. et Vogl. — Sur les feuilles mortes du Vinca minor. — R. — Pessines. M. Solierii (Mont.) Berl. et Vogl. — Sur les tiges mortes de l’Asphodelus albus. — T. C. M. Hippoglossi (Sacc.) Berl. et Vogl. — Sur les cladodes du Ruscus aculeatus. — R. — Saintes, Pes- sines. Aposphæria Brunaudiana (Thüm.) Sacc. — Sur les vieux troncs décortiqués du Fraxinus excelsior. — Saintes. A. Abietis P. Brun., Esp. Sphærops., p. 1. — Sur la face interne des écailles des cônes del’Abies Morinda. — Rocheïort (jardin botanique). À. densiuscula Sacc. et Roum. — Sur les vieux troncs des choux. — Saintes. A. Cercidis Wint. et P. Brun. ; P. Brun., Esp. Sphærops., p. 1. — Sur les graines contenues dans les gousses pourries du Cercis Siliquastrum. — Roche- fort (jardin botanique). QT — A. fuscidula Sacc. — Sur les rameaux décortiqués du Sambucus nigra. — Saintes. A. Mori (Mont.) Sacc. — Sur les branches mortes du Morus alba. — Saintes. A. Pulviscula Sacc. — Sur le bois mort et décor- tiqué, les branches tombées des pommiers. — Saintes, Rochefort, Pessines, Saint-Georges-des-Coteaux. A. putaminum (Speg.) Sacc. — Sur les vieux noyaux de pêches. — Saintes. Dendrophoma pruinosa (Fr.) Sacc., var. Lan- tanæ Sacc. — Sur les petites branches du Viburnum Lantana. — Saintes. D. Gleditschiæ Passer. ; P. Brun., L. Sphærops., p. 21. — Sur les branches mortes du Gleditschia Tria- canthos. — Saintes. D. cytosporoides Sacc. — Sur les branches mortes et décortiquées du Deutzia scabra. — Saintes. Var. punicina Sacc. — Sur les branches mortes du Punica Granatum. — Saintes. D. pulvis-Pyrius Sacc. — Sur le bois pourri, le bois mort des poiriers. — Rochefort, Pessines, Saintes, Saint-Georges-des-Coteaux. D. juglandina Schultz. et Sacc. — Sur le bois pourri du Juglans regia. — Mortagne-sur-Gironde. Asteromella ovata Thüm. — Sur les feuilles tombées de l’Acer Pseudo-platanus et de l’Acer plata- noides. — Saintes. Chætophoma fœda Sacc. — Sur les feuilles du Nerium Oleander. — Saintes. RG cent C. Penzigi Sacc. — Sur les feuilles des citron- niers et des orangers. — Saintes. Asteroma vagans Desm. — Sur les feuilles lan- guissantes du Tilia europæa, du Viburnum Opulus. — Saintes, Pessines. _ À dendriticum Desm. — Sur les feuilles dessé- chées du Viburnum Opulus. — Saintes, Fontcouverte. A. Mespili Rob. et Desm. — Sur les feuilles des-. séchées du Mespilus germanica. — Saintes, Pessines. A. Mali Desm. — Sur les feuilles languissantes ou mortes du Malus communis. — Saintes. A? Piri Rob. et Desm. — Sur les feuilles des poiriers cultivés. — Chaniers. A. Populi Rob. et Desm. — Sur les feuilles dessé- chées du Populus fastigiata. — Saintes, Échillais, Rochefort. À. Ulri Klotz. — Sur les feuilles des ormeaux. — Saintes. A. Pæoniæ Chev. — Sur les feuilles des pivoines cultivées. — Saintes, Rochefort. A. Brassicæ Chev — Sur les feuilles des choux cultivés. — Saintes, Pessines, Échillais, Fontcouverte, Saint-Léger, Corme-Royal, Echebrune, Bougnaud. À. Robergii Desm. — Sur les tiges et à l’intérieur . des tiges de l’Heracleum Sphondyliun. — Saintes. A. vernicosum (D. C.) Fuck. — Sur les tiges mortes du Spiræa Ulmaria, de l’'Anthriscus silvestris et de l’Heracleum Sphondylium. — Saintes, Tonnay-Cha- rente. LS Qt Ze A. Trifolii Grogn. — Sur les feuilles du Trifolium . repens. — Saintes, Pessines, Rochefort. A. Orobi Fuck. — Sur les feuilles de l’Orobus vernus, — Pessines, Saintes. À. delicatulum Desm. — Sur les légumes du Colutea arborescens. — Saintes, Rochefort. A. Phaseoli P. Brun., Soc. bot. Fr. 1889, p. 338. _— Sur les légumes desséchés du Phaseolus vulgaris. — Pessines. A reticulatum (D. C.) Chev. — Sur les feuilles du Polygonatum multiflorum. — Pessines, Varzay, Saintes, Fontcouverte. Var. Eryngii Desm. — Sur les feuilles de l’Eryn- gium campestre. — Saintes. À. immaculatum Grogn.—Sur les feuilles sèches des glaieuls cultivés. — Saintes. Neottiospora Garicum Desm. — Sur les feuilles mortes des divers Carex. — A. C. Form. Garicis ripariæ P. Brun., S. L. Sphæ- rOpS., p. 2. — Sur les feuilles mortes du Carex riparia. — Saintes. Pyrenochæta Berberidis (Sacc.); Phoma Berbe- ridis Sacc., Syll. Sphærops., p. 72. — Sur les branches mortes du Berberis vulgaris. — Saintes, Cravans. Vermicularia petiolicola P. Brun. — Périthèces épars ou rapprochés, érumpents, puis superficiels, globuleux, puis plans ou presque plans, d’un brun- noir, hérissés de longues soies raides, inégales, diver- gentes, long. 170-280 et plus, larg. 4-5, continues, UD brunes. Sporules cylindriques-allongées, arrondies aux extrémités ou subfusoïdes, droites ou légèrement courbées, long. 25-35, larg. 4, pluriguttulées, hyalines. — Sur les pétioles tombées de l’Ailanthus glandulosa. — Saintes. V. trichella Fr. — Sur les feuilles mortes et les pétioles des lierres, les feuilles de l RU dr, japonicus, de l’Arum italicum. — T. C. Form. Mezerei P. Brun., L. Sphærops., p. 23. — Sur les feuilles mortes du Daphne Mezereum.— Saintes. V. Dematium (Pers.) Fr. — Sur les tiges mortes de l’Heracleum Sphondylium, de l’'Euphorbia palustris, du Conium maculatum, du Pharbitis hispida, de l’Ephedra distachya, etc. — A. C. V. herbarum West. — Sur les feuilles mortes du Dianthus Caryophyllus, de l’Yucca gloriosa, de liris Pseudo-Acorus, sur les tiges du Silene nutans, du Sedum album, des divers Dianthus, du Phragmites communis, du Medicago sativa, du Solanum tuberosum, du Solanum nigrum, de l’Alcea rosea, du Sedum Telephium, du Viola odorata, du Tropeolum majus, del’ Hemerocallis flava, etc. — À. C. V. Eryngii (Cord.) Fuck. — Sur les tiges et les pétioles de l’Eryngium campestre. — T. C. V. atramentaria Berk. et Br. — Sur les tiges mortes du Solanum tuberosum. — Saintes. V. Ghenopodii West. — Sur les tiges mortes du Chenopodium album. — Rochefort, Pessines, Saintes. V. Liliacearum West. — Sur les tiges mortes de RAC EL l’'Ornithogalum sulfureum, du Convallaria majalis, des glaieuls cultivés. — Saintes, Pessines. V. Schœnoprasi Auersw. et Fuck. — Sur les feuilles de L’Allium Schænoprasum. — Saintes. V. oblongata Desm. ; P. Brun. L. Sphærops., p. 24. — Sur les tiges mortes du Tamus communis. — Saintes, Pessines. V. culmigena Desm. — Sur les chaumes de l’Ar- rhenatherum bulbosum. — Saintes. Dothiorella populea Sacc. — Sur les branches mortes du Populus fastigiata. — Saintes, Courcoury, les Gonds. D. Ribis (Fuck.) Sacc. — Sur les branches mortes du Ribes malvaceum. — Saint-Cézaire. Rabenhorstia Tiliæ Fr. — Sur les branches mortes du Tilia europæa. — Saintes. R. rudis Fr. — Sur les branches mortes du Cytisus Laburnum. — A. C. Fuckelia Ribis Bon. — Sur les tiges mortes du Ribes rubrum. — Saintes, Cozes. Placosphæria Stellatarum Sacc. — Sur les feuilles du Galium Aparine, du Galium cruciatum, du Sherardia arvensis, de l’Asperula arvensis. — Saintes, les Gonds. P. Onobrychidis (D. C.) Sacc., form. minuta P. Brun., L. Sphærops., p. 24. — Sur les feuilles et les tiges de l’Onobrychis sativa. — Saintes, Cozes, Pons. Form. exappendiculata P. Brun., L. Sphærops., lu qu Le p. 24. — Sur les deux faces des feuilles et les tiges de l’Onobrychis sativa. — Arces. P. Genistæ P. Brun., Misc. myc. I, p. 17. — Sur les feuilles et les tiges du Genista tinctoria. — Fouras. P. Sedi Sacc. — Sur les tiges mortes du Sedum Telephium. -— Saintes. _Fusicoccum castaneumSacc. — Sur les branches mortes du Castanea vulgaris. — Saintes, Fontcouverte, La Chapelle-des-Pots. F. quercinum Sacc. ; P. Brun., S. L. Sphærops., p. 2. — Sur les petites branches mortes des chênes. . — Pessines, Cozes, Bussac, Saintes. F. Garpini Sacc. — Sur les branches mortes du Carpinus Betulus. — Pessines. F. Brunaudi Passer. ; P. Brun., L. Sphærops., p. 25. — Sur les branches mortes des chênes. — Pessines, Cozes, Bougnaud. Cytospora Rosarum Grev. — Sur les ramules morts du Rosa canina. — Saintes. G. Gorni West. — Sur les petites branches mortes du Cornus sanguinea. — Saintes. C. rubescens Fr. — Sur les branches mortes du Sorbus domestica, du Sorbus aucuparia, du Prunus spi- nosa, du Prunus Armeniaca, de l’Amygdalus Persica, du Mespilus germanica. — A, C. C. leucostoma (Pers.) Sacc. — Sur les branches mortes du Prunus spinosa, du Prunus Cerasus, du Prunus domestica. -- À. C. 05 — G. cincta Sacc. — Sur les branches mortes du Prunus Armeniaca et du Persica vulgaris. — Saintes. CG. Oxyacanthæ Rabh.— Sur les branches mortes du Cratægus Oxyacantha. — Saintes, Pessines, Roche- fort. Form. monogynæ P. Brun. — Stroma conique, déprimé, sous-cutané, 10-12 loculaire. Sporules botu- liformes, hyalines, continues, plus ou moins courbées, long. 8-9, larg. 2-2 1/2, s’échappant en cirrhes jau- nâtres. — Sur les branches mortes du Cratægus mono- gyna. — Saintes. G. punica Sacc. — Sur les branches mortes du Punica Granatum. -- Saintes, Cravans. GC. Vitis Mont. — Sur les sarments morts du Vitis vinifera. — Saintes, Pessines. G. nivea. — Sur les branches mortes du Populus Tremula. — A C. G. chrysosperma (Pers.) Fr. — Sur les branches mortes du Populus Tremula, du Populus fastigiata, du Populus alba. — A. C. ‘ G. Salicis (Cord.) Rabh. — Sur les branches mortes du Salix alba, du Salix vitellina, du Salix cinerea. — À. C. C ocellata Fuck. — Sur les branches mortes du Ribes rubrum. — Saintes, Pessines, Cozes. G quercella P. Brun., Esp. Sphærops., p. 1. — Stromas épars, couverts, puis érumpents, blanchâtres intérieurement, à disque d’abord d’un gris-blanc. Sporules s’échappant en cirrhes d’un blanc-grisätre. — SRE Sur les petites branches mortes du Quercus pedunculata. — Pessines, Fouras. C. pustulata Sacc. et Roum. — Sur les branches mortes du Fagus silvatica. — Saintes. GC. Platani Fuck. — Sur les petites pe tom- bées des platanes. — Saintes. GC. Acharii Sacc. — Sur les bois morts et décorti- qués des chênes, des peupliers, des pommiers. — Saintes, Pessines, etc. GC. leucosperma (Pers.) Fr. — Sur les branches mortes des pruniers. — Saintes, etc. GC. ceratophora Sacc. — Sur les branches mortes des chênes et des châtaigniers. — Saintes, Pessines. C. ambiens Sacc. — Sur les branches tombées des ormeaux, des chênes, des noyers, des aubépines, du Prunus spinosa, des peupliers, du Prunus Mahaleb, des pommiers, des poiriers. — A. C. G. Pini Desm. — Sur l’écorce des branches mortes du Pinus silvestris. — Pessines. G. Taxi Sacc. — Sur les branches mortes du Taxus baccata. — Saintes. GC. minuta Thüm. — Sur les petites branches mortes du Fraxinus excelsior. — Saintes, Rochefort. G. carphosperma Fr. — Sur les branches tom- bées du Tilia europæa. — Saintes. GC. Quercus-Ilicis Passer.; P. Brun., L. Sphæ- _rops., p. 27. — Sur les feuilles du Quercus Ilex. — Saintes, Saujon. C. Pinastri Fr. — Sur les feuilles du Pinus sil- vestris. — Pessines, Saintes. G. Lauro-Cerasi Fuck. — Sur les feuilles tombées du Prunus Lauro-Cerasus, du Prunus lusitanicus. — T. C. Form. ramulorum Sacc. — Sur les petites branches mortes du Prunus Lauro-Cerasus. — À. C. Ceuthospora phacidioides Grev. — Sur les feuilles de lIlex Aquifolium. — T. C. C. Lauri Grev. — Sur les feuilles du Laurus nobi- lil. — Saintes, la Rochelle. Sphæropsis Cercidis P. Brun., Soc. bot. Fr., 1889, p. 338. — Sur les branches mortes du Cercis Sili- quastrum. — Saintes. S. Mali (West.) Sacc. — Sur les branches mortes du Malus communis. —- Saintes. S. Staph yleæ P. Brun., Champ. obs. vu, p. 5. — Sur les branches mortes du Sfaphylea pinnata. — Pes- sines. S. Visci (Sollm.) Sacc. — Sur les feuilles mortes et les ramules du Viscum album. — A. C. S. Smyrnii Passer.; P. Brun., L. Sphærops., p. 27. — Sur les tiges mortes du Smyrnium Olusatrum. — Fontcouverte. S. L'auri Passer. et P. Brun. ; P. Brun., Mat. FI. myC. p. 23. — Sur les branches mortes du Laurus no- bilis. — Saintes. S. Passerinii P. Brun., Champ. obs. v, p. 5. — Sur les chaumes morts du Bambusa arundinacea. — Saintes. S. caricina Passer. ; P. Brun., L. Sphærops., p. 28. — Sur les feuilles mortes du Carexriparia. — Saintes. Coniothyrium olivaceum Bon. — Sur les branches tombées du Ribes aureum, du Ribes sangui- neum, du Calycanthus edulis, du Corylus Avellana, les feuilles du Camellia japonica. — Saintes, Rochefort, Chérac. Form. Lauri nobilis P. Brun. Sphærops., p. 4. — Sur les branches mortes du Laurus nobilis. — Saintes. Form. Sarothamni Sacc. — Sur les petites branches du Sarothamnus scoparius. — Chérac, Pessines, Saintes. Form. Calycanthi floridi Sacc. — Sur les branches mortes du Calycanthus floridus. — Rochefort (jardin botanique). CG. Ribis P. Brun., Soc. bot. Fr. 1889, p. 338.-—Sur les branches mortes du Ribes floridum. — Saintes. G. F'uckelii Sacc. — Sur les branches mortes du Punica Granatum, du Tecoma radicans, de l'Amelanchier vulgaris, les sarments des Rubus, les branches mortes du Ribes sanguineum et du Sumac. — Saintes, Saujon. C. insitivum Sacc. — Sur les branches mortes de l’'Ulmus campestris, du Gleditschia Triacanthos, du Celtis australis, du Celtis occidentalis, du Vitis vinifera, du Berberis vulgaris, de l’Albizzia Julibrissin, du Syringa vulgaris. — Saintes, Pessines, Pérignac, Saujon. GC. Gerasi Passer. — Sur les branches mortes du Cratæqus Oxyacantha. —. Saintes. GC. Hederæ (Desm.) Sacc. — Sur les sarments morts de l’Hedera Helix. — T. C. OO — G. Sarothamni (Thüm.), Sacc. — Sur les branches mortes du Sarothamnus scoparius. — A. C. . G. Geltidis P. Brun., S. L. Sphærops., p. 2. — Sur les tiges mortes du Celtis occidentalis. — Saintes (jar- dins). G. cæspitulosum Sacc. — Surles branches mortes du Tamarix gallica. — Saujon, Royan, Fouras. C. australe Sacc., form. Mespili Passer.; P. Brun., L. Sphærops., p. 28. — Sur les branches mortes du Mespilus germanica. — Pessines. GC. Platani Sacc. — Sur les pétioles du Platanus orientalis. — Saintes. CG. paradoxum (P. Brun.) Sacc. ; P. Brun., Sphæ- rops., p. 4. — Sur les branches mortes du Broussonetia papyrifera. — Saintes. GC. incrustans Sacc. — Sur les branches mortes du Broussonetia papyrifera. — Saintes, Sablonceaux. GC. Crepinianum Sacc. et Roum. — Sur les vieux troncs pourris des choux. — Saintes. G. conoïideum Sacc. — Sur les tiges mortes du Fæniculum officinale. — Chérac. G Halymi (Cast.) Sacc. — Sur les tiges mortes de lAtriplez Halymus. — A. C. | G. concentricum (Desm.) Sacc. — Sur les feuilles des diverses espèces de Yuccas. — T. C. Var. Agaves Sacc. Mich. I, p.204. — Sur les feuilles de l’Agave americana. — Saintes. GC. herbarum Cook. et Ell. — Sur les tiges mortes du Sedum album. — Saintes. = 0e Chætomella atra Fuck. — Sur les tiges et les feuilles mortes du Phragmites communis et du Carex divulsa. — Saintes. Haplosporella obscura Passer.; P. Brun., L. Sphærops., p. 29. — Sur les branches mortes du Castanea vulgaris. — Saintes. H. Brunaudiana Passer.; P. Brun., Sphærops., p. 4. — Sur les branches mortes de l’Erica scoparia. — Pessines, Saint-Romaint-de-Benet. Diplodia brachyspora Sacc. — Sur les branches mortes du Berberis vulgaris. — Pons. D. Tiliæ Fuck. — Sur les branches mortes du Télia parviflora. — Saintes. D. subtecta Fr. — Sur les branches mortes des diverses espèces d'Érables. — A. C. D. atrata (Desm.) Sacc., form. Pseudoplatani P. Brun., L. Sphærops., p. 30. — Sur les branches mortes de l’Acer Pseudo-platanus. — Saintes. D. Æsculi Lév. — Sur les branches tombées de l’Æsculus Hippocastanum. — A. C. Var. capsularum P. Brun., Esp. Sphærops., p. 2. — Sur la partie intérieure des capsules de l’Æsculus Hippocastanum. — Saintes. D. Kœlreuteriæ Sacc. — Sur les branches mortes Kælreuteria paniculata. — Saintes. Form. minor P. Brun., L. Sphærops., p. 30. — Sur les branches Kælreuteria paniculata. — Saintes. D. viticola Desm. — Sur les sarments morts du Vitis vinifera. — T. C. none D. Ampelopsidis P. Brun., Esp. Sphærops., p. 2. — Sur l’écorce des rameaux morts de l’Ampelopsis hederacea. — Saintes. D. samararum P. Brun., Esp. Sphærops, p. 2. — Sur les samares tombées de l’Ailanthus glandulosa. — Saintes. D. Staphyleæ P. Brun., L. pl., p. 56; P. Brun., Descr. Crypt. in Bull. Soc. Linn. Charente-Inférieure, I, p. 103 ; P. Brun., Sphærops., p. 4; Sacc. et Penz. — Sur les branches mortes du Staphylea pinnata. — À. C. D. ramulicola Desm. — Sur les branches mortes de l’Evonymus europœæus et de l’'Evonymus japonicus. — A. C. D. ilicicola Desm. — Sur les branches mortes de l’Ilex Aquifolium. — A. C. D. clandestina Dur. et Mont. — Sur les branches mortes du Rhamnus Alaternus. — A. C. D. Rhamni Alaterni Grogn. — Sur les branches mortes du Rhamnus Alaternus. — A. C. D. Frangulæ Fuck. — Sur les branches mortes du Rhamnus Frangula. — T. C. D. Rhois Sacc. — Sporules oblongues ou ovales- oblongues, 1 septées, non ou peu rétrécies, long. 22-95, larg. 10-12, fuligineuses, d’abord hyalines, granuleuses ou guttulées. — Sur les branches tombées du fRhus glabra. — Saintes, Cravans. D. Wistariæ P. Brun., L. pl., p. 44; P. Brun., Rev. myc. 1v, p. 226 ; P. Brun. L. Sphærops., p. 31. — Sur les branches mortes du Wäistaria sinensis. — A. C. — 100 — D. Gleditschiæ Passer. — Sur les branches mortes et sur les épines du Gleditschia Tridcanthos. — A. C. 4 Form. leguminum Sacc. — S:/r les légumes tombés du Gleditschia Triacanthos. — Pessines, Saintes, etc. D. Sophoræ Speg. et Sacc. — Sur les branches mortes du Sophora japonica. — Saintes. D. Julibrissin Speg. — Sur les branches mortes de l’Albizzia Julibrissin. — Pessines. D. Siliquastri West. — Sur les branches mortes du Cercis Siliquastrum. — A. C. D. rudis Desm. et Kickx. — Sur les branches mortes du Cytisus Laburnum. — Saintes, Rochefort. D. Ulicis Sacc. et Speg. - Sur les branches mortes de l’Ulex europœus. — A. C. D Indigoferæ P. Brun. — Périthèces couverts, puis érumpents, nombreux, épars ou rapprochés, noirs, globuleux, perforés. Sporules ovales-oblongues, 1-sep- tées, plus ou moins rétrécies à la cloison, fuligineuses, - long. 20-22, larg. 10 12. — Sur les branches mortes de l’Indigofera Dosua. — Cravans (jardins). D. Coronillæ P. Brun., S. L. Sphærops., p. 2. — Sur les tiges mortes du Coronilla glauca. — Roche- fort. D. camelliæcola P. Brun. — Périthèces rappro- chés, couverts, à ostiole érumpent, globuleux ou sub- globuleux, noirs. Sporules oblongues, 1-septées, un peu rétrécies au milieu, long. 22-25, larg. 10-12, fuli- gineuses. — Sur les branches mortes du Camellia japonica. — Saintes. — 101 — D. Rosarum Fr. — Sur les branches mortes du Rosa canina. — Saintes, Fontcouverte, Saujon, Pes- sines. D. Rubi Fr. — Sur les sarments morts du Rubus fruticosus. — T. C. Var. Rubi Idæi P. Brun., Sphærops., p. 4. — Sur les tiges mortes du Rubus Idœus. — Saintes. Var. Rubi cæsii P. Brun., L. Sphærops., p. 32. — Sur les sarments morts du Rubus cæsius. — Saintes. D. Pruni Fuck. — Sur les branches mortes du Prunus spinosa, du Prunus Mahaleb, du Prunus domes- tica, du Prunus Armemiaca. — T. C. Form. Myrobolanæ P. Brun., S. L. Sphærops., p. 3. — Sur les branches mortes du Prunus Myrobolana cultivé en pépinières. — Saintes. D. Roumeguerii Sacc.; P. Brun., L. Sphærops., p. 92. — Sur les branches mortes du Prunus Lauro- Cerasus. — À. C. D. Padi P. Brun., Rev. myc. mi, p. 14 et iv, p. 226; P. Brun., L. Sphærops., p. 32. — Sur les branches mortes du Prunus Padus. — Saintes. D. Cruris Galli P. Brun., L. Sphærops., p. 32. — Sur les branches mortes du Cratæqus Crus-Galli. — Saintes, Rochefort. D. Cratægi West. — Sur les branches mortes du Cratægus monogyna et du Cratægus Oxyacantha.— A. C. D. Cydoniæ Sacc. — Sur les branches mortes du Cydonia vulgaris. — Saintes, Pessines. D. Persicæ Sacc. — Sur les branches mortes du Persica vulgaris. — Saintes. ; — 102 — D. Pseudo diplodia Fuck. — Sur les branches mortes du Pirus communis et du Pirus Malus. — A. C. D. Cerasorum Fuck. — Sur les branches mortes des cerisiers. — À. C. Form. major P. Brun., L. Sphærops., p. 32. — Sur les branches mortes du Cerasus avium. — Saintes. D. spiræina Sacc. — Sur les branches mortes du Spüræa crenata. — À. C. Form. major P. Brun., Sphærops., p. 5 ; P. Brun., L. Sphærops., p. 33. — Sur les branches mortes du Spiræa crenata. — Saintes. D. Sorbi Sacc. — Sur les branches mortes du Sorbus torminalis et du Sorbus domestica. — A, C. D. Amelanchieris Sacc. — Sur les branches mortes de l’Amelanchier vulgaris. — A. C. D. Punicæ P. Brun E-"pli;2p. 56; bein Rev. myc. 1v, p. 226 ; P. Brun., L. Sphærops., p. 33. — Sur les branches mortes du Punica Granatum. — Saintes. D. photiniæcola P. Brun., Sphærops., p. 5. — Sur les branches mortes du Photinia glabra. — Saintes. D. Galÿycanthi (Schw.) Speg., form. Calycanthi Iævigatæ P. Brun.,S. L. Sphærops., p. 3. — Sur les branches mortes du Calycanthus lævigata. — Roche- fort (jardin botanique). D tamaricina Sacc. — Sur les branches mortes du Tamarix anglica. — Rochefort, Fouras, Saintes. D. Ribis Sacc. — Sur les branches mortes du Ribes rubrum. — A. C. — 103 — Form. Ribis malvacei P. Brun., L. Sphærops., p. 33. — Sur les branches mortes du Ribes malvaceum. — A. C. Form. Ribis aurei P. Brun., L. Sphærops., p. 33. — Sur les branches mortes du Ribes aureum et du Ribes floridum. — Saintes, Rochefort. Form. Ribis sanguinei P. Brun., L. Sphærops., p. 33. — Sur les branches mortes du Ribes sanguineum. — Saintes. D. Hederæ Fuck. — Sur les sarments morts de l’'Hedera Helix. — A. C. D. mamillana F?. — Sur les branches mortes du Cornus sanguinea et du Cornus Mas. — A. C. D. paupercula Berk. et Br., var. Platani Berk. et Br. — Sur les branches mortes des platanes. — Saintes. D. ascochytula Sacc. ; P. Brun., S. L. Sphærops., p. 3. — Sur les sarments morts du Lonicera Caprifo- lium. — Saintes. D. Loniceræ Fuck. — Sur les sarments morts du Lonicera Periclymenum. — A. C. D Symphoricarpi Sacc. — Sur les branches mortes du Symphoricarpos racemosa. — A. C. D. viburnicola P. Brun., L. Sphærops., p. 34. — Sur les branchesmortes du Viburnum Tinus.— Saintes. D. Lantanæ Fuck. — Sur les branches mortes du Viburnum Lantana. — A. C. — 104 — Form. subsparsa P. Brun., Champ. obs. 1v, p. 10. — Sur les branches mortes du Viburnum Lantana. — Saintes. D. Baccharidis P. Brun., Champ. obs. vu, p. 5. — Sur les branches mortes du Baccharis halimifolia. — Fouras. D. Unedonis P. Brun., Rev. myc. 1v, p. 2%; P. _Brun., L. Sphærops., p. 34. — Sur les branches mortes de l’Arbutus Unedo. — A. C. D. Jasmini West. — Sur les branches mortes du Jasminum officinale et du Jasminum fruticans. — A. C. D. Lilacis West. — Sur les branches mortes du Syringa vulgaris. — À. C. D. Ligustri West. — Sur les branches mortes du Ligustrum vulgare. — T. C. D. Catalpæ Speg. ; P. Brun., L. Sphærops., p. 34. — Sur les branches mortes du Catalpa Syringæfolia. — Saintes. D. vincæcola P. Brun., Sphærops., p. 5. — Sur les tiges mortes du Vinca major. — Saintes, Fontcou- verte. : D. Tecomæ Passer. — Sur les sarments morts du Tecoma radicans et les gousses du Tecoma grandiflora. — À. C. Var. affinis Sacc. — Sur les sarments morts du Tecoma radicans. — Saintes, Pessines. D. imperialis Sacc. — Sur les branches et les pétioles décortiqués du Paulownia imperialis. — Saintes. — 105 — D. laurina Sacc. ; P. Brun., L. pl., p. 44; P. Brun., Deser. q. q. Crypt. in Bull. Soc. Linn. Charente-Infé- rieure, I, p. 103 ; P. Brun., L. Sphærops., p. 35. — Sur les branches mortes du Laurus nobilis. — A. C. Form. minor Passer.; P. Brun., L. Sphærops., p. 35. — Sur les branches mortes et décortiquées du Laurus nobilis. — Saintes. D. buxicola Sacc. — Sur les branches mortes du Buxus sempervirens. — Saintes, Saint-Romain-de- Benet. D. Celtidis Roum. — Sur les branches mortes du Celtis australis et du Celtis occidentalis. — Saintes (jar- dins), Rochefort (jardin botanique). D. melæna Lév. — Sur les branches mortes de l’'Ulmus campestris. — T. C. D. tephrostoma Lév. — Sur les branches mortes de l’Ulmus campestris. — Saintes, Pessines. D. sycina Mont. — Sur les branches mortes du Ficus Carica. —T. C. D. Macluræ Speg. — Sur les branches mortes du Maclura aurantiaca. — Saintes. D. incrustans Sacc. — Sur les branches mortes du Broussonetia papyrifera. — A. C. D. Mori West. — Sur les branches mortes du Morus nigra et du Morus alba. — A. C. D. Juglendis Fr. — Sur les branches mortes du Juglans regia. — A. CG. — 106 — Form. fructicola P. Brun., Misc. myc., p. 17. — Sur les fruits desséchés et tombés avant leur maturité du Juglans regia. — Saintes. D. ditior Sacc. et Roum., form. petiolorum P. Brun., L. Sphærops, p. 36. — Sur les pétioles du Pla- tanus orientalis. — Saintes. D. populina Fuck. — Sur les branches mortes du - Populus fastigiata. — A. C. D. salicina Lév. — Sur les branches mortes des saules. — A. C. D. Carpini Sacc. — Sur les branches mortes du Carpinus Betulus — Pessines. D. Coryli Fuck. — Sur les branches mortes du Corylus Avellana. — T. C. D. corylina P. Brun., Esp. Sphærops., p. 2. — Sur le péricarpe ligneux des fruits desséchés du Corylus Avellana. — Saintes. D. Castaneæ Sacc. — Sur le bois mort du Cas- tanea vulgaris. — Saintes. Var. corticola Sacc. — Sur l'écorce des branches mortes du Castanea vulgaris. — A. C. D. Quercus Fuck. — Sur les branches mortes des chênes. — A. C. D. Juniperi West. — Sur les branches mortes du Juniperus communis. — Pessines. D. galbulorum P. Brun., Esp. Sphærops., p. 2. — Sur les galbules desséchés du Juniperus communis. — Saint-Cézaire. HOT D thujana Peck. et C. Rep., var. Thujæ orien- talis Sacc. — Sur les branches mortes du Thuja orien- talis. — Saintes, Pessines. D. sapinea (Fr.) Fuck.; P. Brun., Soc. bot. Fr., 1887, p. 246. — Sur les branches mortes du Cedrus Deodara, de l’Abies excelsaetdu Pinus silvestris. — A. C. Form. Pinsapo P. Brun., Esp. Sphærops., p. 2. — Sur les petites branches mortes de l’Abies Pinsapo. — Saintes. D. Foucaudii P. Brun., Esp. Sphærops., p. 2. — Sur les branches mortes du Taxus macrophylla. — Rochefort (jardin botanique). D. microsporella Sacc. — Sur les branches mortes du Berberis vulgaris et de l’Acer campestre. — Pons, Fontcouverte. D. pinea (Desm.) Kickx. — Sur les aiguilles et sur l'écorce du Pinus silvestris. — Saintes, Pessines. D. Deodaræ P. Brun., Champ. obs. v., p. 5. — Sur les aiguilles tombées du Cedrus Deodara.— Saintes. D. Taxi (Sow.)de Not. — Sur les feuilles et les branches mortes du Taxus baccata. — Saintes, Pessines, Pons, Rochefort, etc. < D. conigena Desm. — Sur les écailles des strobiles du Pinus silvestris et des Abies. — Saintes, Pessines, Fouras, etc. D. Ilicis Fr. — Sur les feuilles de l’Ilex Aquifolium. — Rochefort, Saintes. D Evonymi West. — Sur les feuilles tombées de l’'Evonymus japonicus. — Saintes, la Rochelle. — 108 — D. Buxi Fr. — Sur les feuilles mortes du Buxus sempervirens. — Saintes, Fontcouverte. D. tecta Berk. et Br. — Sur les feuilles mortes du Prunus Lauro-Cerasus et du Prunus lusitanicus. — Échillais, Saint-Agnant, Saint-Romain -de-Benet, Saintes, Sablonceaux, etc. D. Ravenelii Cook. — Sous les feuilles tombées - des Magnolias. — Saintes. D. Rhododendri Bell. ; P. Brun. Mat. F1. myc., p. 24. — Sur les feuilles tombées des Rhododendrons cultivés. — Saintes. D. Humuli Fuck. — Sur les sarments morts de l’'Humulus Lupulus. — Saintes. D. Dulcamaræ Fuck. — Sur les branches mortes du Solanum Dulcamara. — Saintes. D. diatrype Lév. ; P. Brun., Mat. FI. myc. p. 24. — Sur les branches mortes du Lycium barbarum. — Saintes. D. Lycii Fuck., var. lyciella Sacc. — Sur les branches mortes du Lycium barbarum. — Saintes. Form. Lyciïi sinensis P. Brun, L. Sphærops., p. 37. — Sur les branches mortes du Lycium sinense. — Le Port d'Envaux. D. rutæcola Thüm. — Sur les tiges mortes du Ruta graveolens. — Saintes. D. Clematidis Sacc. ; P. Brun., Nouv. fragm. myc. 1, p. 9. — Sur les sarments morts du Clematis Vitalba. — Saintes. D. Aconiti P. Brun., Rev. myc.1v, p.25 ; P.Brun., Léa — 109 — L. Sphærops., p. 38. — Sur les tiges mortes de l’Aconi- tum Napellus. — Saintes. D. Hellebori P. Brun., Champ. obs. vi, p. 2. — Sur les tiges mortes et décortiquées de l’Helleborus _ fœtidus. — Saintes. | D. elæospora Sacc. — Sur les tiges mortes du Medicago sativa. — Saintes. D. Medicaginis P. Brun., L. Sphærops., p. 37. — Sur les tiges mortes du Medicago sativa. — Saintes. D. Epilobii P. Brun., Sphærops., p. 5. — Sur les tiges mortes de l’Epilobium angustifolium. — Saintes. D. Scorzoneræ Passer. ; P. Brun., Champ. obs. vi, p. 2. — Sur les feuilles languissantes du Scorzonera humilis. — Pessines. D. Euphorhiæ P. Brun., Rev. myc. 1v, p. 226; P. Brun., L. Sphærops., p. 36. — Sur les tiges mortes de l’Euphorbia palustris. — Saintes. D. herbarum (Cord.) Lév. — Sur les tiges mortes du Lilium candidum, du Lychnis dioica, du Medicago sativa. — Saintes, Saint-Romain-de-Benet. Form. Menthæ Sacc. — Sur les tiges mortes du Mentha rotundifolia. — Saintes. Form. Marrubii P.Brun., Soc. bôt. Fr., 1889, p. 339. — Sur les tiges mortes du Marrubium vulgare. — Saintes. Form. Conyzæ P.Brun. — Périthèces subconiques, noirs, épars. Sporules brunes, 1-septées, légèrement rétrécies à la cloison, long. 18, larg. 10. — Sur les tiges mortes de l’Inula Conyza. — Saintes. — 4110 — D. Asparagi P. Brun., Champ. obs. v, p. 5. — Sur les tiges desséchées de l’Asparagqus officinalis. — Saintes. D Maydis (Berk.) Sacc. — Sur les chaumes morts du Zea Mays. — Saintes. Botryodiplodia Mali P. Brun., L. Sphærops., p.38. — Sur l'écorce des troncs morts des vieux pommiers. — Saintes. B. Fraxini (Fr.) Sacc. — Sur les branches mortes du Fraxinus excelsior et du Fraxinus Ornus. — A. C. Ascochyta Robiniæ Sacc. et Speg. — Sur les feuilles languissantes du Robinia Pseudacacia. — Fouras. À. piricola Sacc. — Sur les feuilles du Pirus com- munis. — Saintes. A. Mespili Passer. ; P. Brun., Sphærops., p. 6. — Sur les feuilles du Mespilus germanica. — Saintes. À. Cruris Galli P. Brun. — Taches arrondies ou subanguleuses, blanches, légèrement bordées de brun. Périthèces épars, très petits, peu nombreux, noirs. Sporules subfusiformes, un peu arrondies aux extré- mités, long. 10-14, larg. 3, 1-septées, rétrécies à la cloison, hyalines. — Sur les feuilles languissantes du Cratæqus Crus-Galli. — Saintes. A Gamelliæ Passer.; P. Brun., Champ. obs. v., p. 6. — Sur les feuilles du Camellia japonica. — Roche- fort (jardin botanique). A. Sambhuci Sacc. - Sur les feuilles du Sambucus nigra. — Saintes. A. ligustrina Passer. ; P. Brun. L. Sphærops., p. 39. ti — Sur les feuilles du Ligustrum vulgare et du Liqus- trum ovalifolium. - Saintes, Fouras, Pessines, etc. A. Aucubæ Sacc., var. BrunaudianaSacc.— Sur les feuilles languissantes de l’Awcuba japonica. — Saintes. A Paulowniæ Sacc. et P.Brun. ; Sacc. Misc. myc. re sér., p. 11 ; P. Brun. S. L. Sphærops., p. 3. — Sur les feuilles languissantes du Paulownia imperialis. — Saintes. A. Unedonis Sacc. — Sur les feuilles de l’Arbutus Unedo. — A. C. A. £Elæagai Sacc. — Sur les feuilles de l’Elæignus argentea. — Saintes. A Oleandri Sace. et Speg. — Sur les feuilles du Nerium Oleander. — Saintes, Rochefort. À Garryæ Sacc. — Sur les feuilles du Garrya elliptica. — Saintes, Préguillac. A Vitellinæ Passer.;P. Brun. L. Sphærops., p. 39. — Sur les feuilles languissantes du Salix vitellina. — Saintes. A.salicicola Passer. ; P. Brun. L. Sphærops., p. 39. — Sur les feuilles languissantes du Salix alba.— Saintes, Bussac, le Port d'Envaux. A. scandens Sacc. — Sur les sarments morts de l’Hedera Helix. — Saintes, Pessines, Saujon, la Rochelle. A. Pisi Lib. — Sur les légumes du Pisum sativum. — Saintes, Pessines, Ecoyeux, Rochefort. À. Potentillarum Sacc. — Sur les feuilles du Potentilla reptans. — Saintes. — 440 — À. althæina Sacc. et Bizz., var. hrunneo-cincta Passer. ; P. Brun. Sphærops., p. 6. — Sur les feuilles languissantes de l’Althæa officinalis. — Chaniers. Var. major P. Brun. — Taches d’un brun-sale, an- œuleuses, puis pâlissant, souvent confluentes. Péri- thèces ponctiformes, noirs. Sporules subfusiformes, long. 12 1/2-14, larg. 3, 1-septées, hyalines. — Sur les feuilles languissantes de l’A/thæa officinalis. — Saintes. A. Pyrethri Malbr.et P. Brun.; P. Brun., S. L. Sphærops., p. 3. — Sur les tiges mortes du Pyrethrum sinense. — Saintes. A. Lycopersi:i P.Brun., Soc. bot. Fr. 1887, p. 430. — Sur les feuilles languissantes du Solanum Lycoper- sicum. — Pessines. A. donacina Sacc. — Sur les chaumes morts de l’Arundo Donax et du Phragmites communis. — Saintes, Pessines, Rochefort. A. Calamagrostidis P. Brun., Champ. obs. v, p. 6; P. Brun., Mat. FI. myc. p. 25. — Sur les feuilles mortes du Calamagrostis arenaria. — Saint-Palais-sur- Ier ee Actinonema Rosæ (Lib.) Fr. — Sur les feuilles des diverses espèces de rosiers. — T. C. Var. penicillata Grogn. — Sur les feuilles des rosiers cultivés. — T. C. Act. Cratægi Pers. — Sur les feuilles du Sorbus torminalis. — T, C. Darluca Filum (Biv.) Cast. — Sur les feuilles du Scorzonera hispanica, souvent sur les sores du Puccinia Tragopogonis (Pers.) Cord. — Pessines, Saintes, sine. — 113 — Diplodina Iridis Passer. ; P. Brun., L. Sphærops., p. #1. — Sur les feuilles mortes de l’Zris Pseudo-Aco- rus, — Saintes, Saint-Cézaire. D. Helichrysi Passer. ; P. Brun. Champ. obs. vi, p. 3. — Sur les tiges mortes de l’Helichrysum Stæchas. — Fouras. D. Vitis P. Brun., Soc. bot. Fr. 1889, p. 339. — Sur les sarments morts du Vitis vinifera. — Saintes. D. Veronicæ P. Brun., Esp. Sphærops., p. 2. — Sur les branches mortes du Veronica Andersoni. — Saintes. D. Humuli P. Brun., Soc. bot. Fr. 1889, p. 339. — Sur les tiges mortes de l’Humulus Lupulus. — Saintes. D. Parietariæ P. Brun., Soc. bot. Fr. 1889, p, 339. Sur les tiges mortes du Parietaria officinalis. — Pons. Hendersonia biseptata Sacc. — Sur les petites branches mortes du Prunus spinosa. — Saintes. H. sarmentorum West. — Sur les sarments morts de l’Hedera .Helix, du Vitis vinifera, les branches mortes du Salir vitellina, du Larix europæa, du Bud- dleia Lindleyana, du Cratægus Oxyacantha, du Cydonia vulgaris, du Lycium barbarum, du Laurus nobulis, du Photinia glabra, du Rhamnus Alaternus, du Prunus spinosa, du Symphoricarpos racemosa, du Prunus Padus, de l’Ampelopsis hederacea, du Volkameria fragrans, du Tamarix anglica, du Syringa vulgaris, du Staphylea colchica, du Spiræa crenata, ete. — T. C. Form. Forsythiæ P. Brun. Sphærops., p. 6. — Sur — 114 — les branches mortes du Forsythia viridissima. — Saintes. Form. Ghionanthi P. Brun., S. L. Sphærops., p. 5. — Sur les branches mortes du Chionanthus virginica. — Saintes (jardins). Form. Fhlogis P. Brun., Mat. F1. myc. p. 25. — Sur les tiges mortes des Phlox cultivés. — Saintes. Form. Humuli P. Brun., Mat. F1. myc. p. 25. — Sur les sarments morts de l’Humulus Lupulus. — Saintes. Form. Symphoricarpi P. Brun., Nouv. frag. myc. IT, p. 9. — Sur les branches mortes du Symphoricarpos racemosa. — Saintes. H. ambigua P. Brun., Soc. bot. Fr. 1889, p. 339. — Sur les branches mortes de l’Amelanchier vulgaris, du Spiræa sorbifolia, les sarments du Solanum Dulca- mara. — Saintes, Pons. H. Fiedleri West. — Sur les branches mortes du Cornus sanguinea. — Saintes, Saint-Porchaire. H. Rubi West. ; Sacc. Syll., Sphærops., p. 424. -Sur les sarments morts du Rubus fruticosus et du Rubus cœsius. T. C. Form. Andro:æmi P. Brun., L. Sphærops., p. 41. — Sur les tiges mortes de l’Androsæmum officinale. — Saintes. | Form. Rubi Tdæi P. Brun., Sphærops., p. 7. - Sur les tiges mortes du Rubus Idæus. — Saintes. Form. Loniceræ P. Brun., Sphærops., p. 7. — Sur les tiges mortes du Lonicera Caprifolium. — Saintes. ei — 115 — Farm. Vitis P. Brun., Sphærops., p. 7. — Sur les sarments morts du Vitis vinifera. — Saintes. Form. Clematidis P. Brun., Nouv. frag. myc. I, p. 9. — Sur les sarments morts du Clematis Vitalba. — Saintes. H. viburnicola P. Brun., Sphærops., p. 7. — Sur les branches du Viburnum Tinus. — Saintes. _H. syriagæcola P.-Brun., Soc. bot. Er.,; 4889, p. 339. — Sur les fruits desséchés du Syringa vulgaris, variété dite Lilas Charles X. — Pons. H. epixyla Malbr. et P. Brun. ; P. Brun. Esp. Sphærops., p. 3. — Sur du bois équarri de Fraxinus excelsior. — Saintes. H. Coriariæ P. Brun , S. L. Sphærops., p. 3. — Sur les branches mortes du Coriaria myrtifolia. — Saintes. H. Colchicæ Passer. ; P. Brun., Champ. obs. v., p. 6. — Sur les branches mortes du Staphylea colchica. -- Saintes. H. affinis Passer. ; P. Brun., Sphærops., p. 6. — — Sur les feuilles pourries du Tilia europæa. — Saintes. H Tecomæ Sacc. — Sur les rameaux morts du Tecoma radicans. — Saintes. H. Magnoliæ Sacc. — Sur les feuilles tombées des Magnolias. — Saintes. H. Daphnes Passer.; P. Brun., L. Sphærops., p. 42. — Sur les feuilles du Daphne indica. — Saintes. H. foliorum Fuck. — Sur les feuilles du Quercus — 116 — pedunculata et du Prunus domestica. — Saintes, Font- couverte. H. samararum P. Brun., Misc. myc. I., p. 18. — Sur les samares de l’Ailanthus glandulosa. — Saintes. H. pulchella Sacc. ; P. Brun., S. L. Sphærops., p. 3. — Sur les tiges mortes de l’'Humulus Lupulus, du Vinca major, du Sedum album, du Clematis Vitalba, les siliques desséchées du Hatthiola incana. — Pessines, Fouras. Form. Helichrysi Passer.; P. Brun., Champ. Obs. vi, p. 3. — Sur les tiges mortes de l’Helichrysum Siwchas. — Fouras. H. Phlogis P. Brun., Esp. Sphærops , p. 3. — Sur les tiges mortes du Phlox paniculata. — Saintes. H. Marrubii P. Brun., Soc. bot. Fr. 1889, p. 339. — Sur les tiges mortes du Marrubium vulgare. — - Saintes. H. Letendreana Sacc., var. muralis Sacc. — Sur les tiges mortes du Parietaria officinalis. — Saintes. H. Typhæ Oudem. — Sur les tiges mortes du Typha angustifolia. - Beaugeay. H. Gladioli P. Brun., Rev. myc. IL, n° 9, p. 14; P. Brun., L. Sphærops., p. 42. — Sur lestiges mortes des glaieuls cultivés. — Saintes. H. Yuccæ Kickx. — Sur les feuilles de l’Yucca gloriosa. — Saintes. H. sessilis Mont., form. major P. Brun. 0 L. Sphærops., p. 3; P. Brun., Misc. myc. I, p. 18. — — 117 — Sur les chaumes morts du Scirpus Holoschænus. — Saint-Palais-sur-mer, Fouras, etc. H. culmicola Sacc. — Sur les chaumes et les gaines du Poa annua, du Poa pratensis, du Brachypo- dium pinnatum. — Saintes, Fontcouverte, Taillebourg. H. Phragmitis Desm.; P. Brun., Misc. myc. I, p. 18. — Sur les gaines du Phragmites communis. — Saintes. H. graminicola Lév. — Sur les chaumes morts du Phragmites communis et du Zea Mays. — Saintes. H. crastophila Sacc. — Sur les tiges mortes du Cynodon Dactylon. — Saintes. Var. juncicola Sacc. — Sur les chaumes morts du Juncus effusus. — Saintes, Pessines, Rochefort. H. loricata Sacc. et Roum. — Sur les branches mortes du Fagus silvatica. — Saintes. H. Desmazieri Mont. ; P. Brun., L. Sphærops., p. 43. — Sur les branches mortes du Platanus orien- talis. — A. C. Cryptostictis Gynobasti (Fuck.) Sacc. — Sur les fruits desséchés des rosiers. — Saintes. Prosthemium betulinum Kze — Sur les branches mortes du bouleau. — Fontcouverte, Saujon. Stagonospora Mespili (West.) Sacc. — Sur les feuilles du Mespilus germanica. — Pessines. S. Luzulæ (West.) Sacc. — Sur les feuilles du Luzula marima. — Saintes, Fontcouverte. S. Sumacis Passer. ; P. Brun., Sphærops., p. 7. — 8 — 118 — Sur les feuilles languissantes du Rhus glabra. — Saintes. S. aquatica Sacc. — Sur les chaumes du Scirpus maritimus et du Scirpus triqueter. — Genouillé, Roche- fort. S. subseriata (Desm.) Sacc. — Sur les chaumes des -diverses graminées. — Saintes. S. graminella Sacc. — Sur les chaumes des gra- minées inférieures. — Saintes. Var. lophioïides Sacc. — Sur les chaumes du Phragmites communis. —- Saintes. S. vexatula Sacc. ; P. Brun., Mat. FI. myc. p. 25. — Sur les chaumes morts du Phragmites communis. — : Saintes, Rochefort, Chaniers. S. neglecta (West.) Sacc. ; P. Brun., Mat. fl. myc. p. 25. — Sur les gaines du Phragmites communis. — Corme-Royal. Var. colorata P. Brun., Sphærops., p. 7.— Sur les gaines du Phragmites communis. — Chaniers. Camarosporium Robiniæ (West) Sacc. — Sur les branches mortes du Robinia Pseudo-Acacia. — À. C. C. Triacanthi Sacc., form. minus Sacc.— Sur les légumes du Gleditschia Triacanthos. — Pessines, Saintes. GC. Laburni Sacc. et Roum. — Sur les branches mortes du Cytisus Laburnum. — Rochefort. C. dichomeroides P. Brun., S. L. Sphærops., p. 3. — Sur l’écorce des branches Ho du Sambucus race- mosa. — Saintes. — 119 — CG. Caprifolii P. Brun., Soc. bot. Fr., 1887, p. 430. — Sur les sarments morts du Lonicera Caprifolium. — Saintes. CG. Helichrysi Passer. ; P. Brun., Champ. obs. vi, p. 30. — Sur les tiges mortes de l’Helichrysum Stæchas. — Fouras. C. polymorphum (de Not.) Sacc. — Sur les tiges mortes de l’Atriplex Halymus et du Crithmum mari- timum. — Fouras, Saujon. Form. major P. Brun., S. L. Sphærops., p. 3. — Sur les branches mortes ou languissantes du Lonicera Caprifolium. — Saintes. Form. Rutæ Sacc. — Sur les tiges mortes du Ruta graveolens. — Saintes, Saujon. CG macrosporum iBerk. et Br.) Sacc. — Sur les branches mortes du Philadelphus coronarius. — A. C. G. Padi P. Brun., Rev. myc. 1881, p. 14 ; P. Brun., L. Sphærops., p. 45. — Sur les branches mortes du Prunus Padus. — Saintes. CG. Oreades (Dur. et Mont.) Sacc. ; P. Brun., S. L. Sphærops., p. 4. — Sur les deux faces des feuilles du Quercus sessiliflora. — Saintes. C. Roumeguerii Sacc. ; P. Brun., Soc. bot. Fr.1887, p. 430. — Sur les tiges mortes du Salicornia herbacea, et du Suæda fruticosa. — Fouras. C. caulium P. Brun. — Périthèces épars, érum- pents, globuleux, noirs, à ostiole un peu proéminent, perforé. Sporules oblongues, fuligineuses, 3-septées, rétrécies aux cloisons, à un ou deux lobes septés lon- — 120 — gitudinalement, long. 18-20, larg. 10-12. — Sur les sarments morts de l’'Humulus Lupulus. — Saintes. C. Phragmitis P. Brun., Sphærops., p. 7. — Sur les gaines du Phragmites communis. — Saintes, Cha- niers. Septoria Berberidis Niessl.; P. Brun., Champ. obs. v, p. 6. — Sur les feuilles du Berberis vulgaris. — Saintes. S. Pittospori P. Brun. — Taches d’un brun très clair, arrondies. Périthèces petits, peu nombreux, noirs. Sporules cylindriques, droites, courbées ou flexueuses, hyalines, pluriseptées, long. 20-25, larg. 2-2 1/2. — Sur les feuilles du Püittosporum Tobira. — Saintes. S. Hibisci Sacc. — Sur les feuilles de l’Hibiscus syriacus. — Saintes, Pons, Pessines, etc. S. Tiliæ West. — Sur les feuilles du Tilia parvifolia. — Saintes, Saint-Georges-des-Coteaux. S. Pseudoplatani Rob. et Desm.— Sur les feuilles languissantes de l’Acer Pseudo-platanus. — Saintes. S. acerella Sacc. — Sur les feuilles languissantes de l’Acer campestre et de l’Acer opulifolium. — Saintes, Mirambeau, Pessines. Form. major P. Brun., Esp. Sphærops., p. 3. — Sur les feuilles languissantes de l’Acer campestre. — Roche- fort. S. incondita Desm. — Sur les feuilles tombées de l’Acer campestre. — Saintes. — 121 — S. Hippocastani Berk. et Br. — Sur les feuilles de l’Æsculus Hippocastanum. — Saintes, Echillais. S. Æsculi (Lib.) West. — Sur les feuilles de l’Æs- culus Hippocastanum. — A. C. S. viticola P. Brun. — Taches assez grandes, visibles sur les deux faces de la feuille, subarrondies, anguleuses ou irrégulières, parfois confluentes, brunes, puis d’un gris-brun, très légèrement bordées de brun plus foncé. Périthèces épi-hypophylles, ponctiformes, très nombreux, rapprochés, noirs. Sporules subfusi- formes, guttulées, droites, long. 15-17, larg. 2, hyalines. — Sur les feuilles du Vitis vinifera. — Saintes. S. Melianthi Sacc. — Sur les feuilles languissantes du Melianthus major. — Mortagne-sur-Gironde. S. Staphyleæ Passer. — Sur les feuilles languis- santes du Sfaphylea pinnata. — Pessines. =. Siliquastri Passer. ; P. Brun., S. L. Sphærops., p. 4. — Sur les feuilles languissantes du Cercis Sili- quastrum. —-T. C. S. Robiniæ West. — Sur les feuilles languissantes du Robinia Pseudacacia. — Saintes, Royan, Rochefort, Fouras, Pessines. Form. major P. Brun., Misc. myc. p. 19. — Sur les feuilles du Robinia Pseudacacia. — Saintes. S. Wistariæ P. Brun., Esp. Sphærops., p. 3. — Sous les feuilles languissantes du Wistaria sinensis. — Saintes. S. Cytisi Desm. — Sur les feuilles du Cytisus La- burnum. — Saintes. — 122 — S Spartii Desm. — Sur les feuilles du Spartium junceum. — Pessines, Saintes, Fouras. S. Rosæ Desm. — Sur les feuilles du Rosa canina. — Saintes. S. Rosæ arvensis Sacc. - Sur les feuilles du Rosa arvensis. — Saintes. S. Rubi West. — Sur les feuilles du Rubus fruti- cosus et du Rubus cœæsius. — T. C. S. Cratægi Kickx. — Sur les feuilles du Cratægus monogyna et du Cratægus Oxyacantha. — T. C. S. Mespili Sacc. — Sur les feuilles du Mespilus ger- manica. — Saintes, Pessines. S. piricola Desm. - Sur les feuilles des poiriers. — Saintes. S. hyalospora (Mont. et Ces.) Sacc. — Sous les feuilles tombées du Sorbus torminalis. — Saintes, Font- couverte, Saint-Porchaire, etc. S. disseminata Sacc. — Sur les feuilles sèches du Prunus Lauro-Cerasus et du Prunus lusitanicus. — Saintes, Saujon, etc. S. Gerasi Passer. ; P. Brun., L. Sphærops., p. 46. — Sur les feuilles du Prunus avium et du Prunus Cera- sus. — Saintes, Pessines, etc. S. Myrobolanæ P. Brun., Misc. myc. I, p. 19. — Sur les feuilles du Prunus Myrobolana. — Saintes. S. Hederæ Desm. — Sur les feuilles tombées de l’Hedera Helix. — Saintes... S. Grossulariæ (Lib.) West. -- Sur les feuilles du Ribes Grossularia. — À. C. — 123 — S. Ribis Desm. — Sur les feuilles du Ribes nigrum. — À. C. | S. Aucubæ West. ; P. Brun., Champ. obs. vi, p. 3. — Sur les feuilles languissantes de l’Aucuba japonica. — La Rochelle. S. cornicola Desm. — Sur les feuilles du Cornus sanguinea. — T. C. S. Viburni West. — Taches petites, irrégulières, arrondies ou anguleuses, blanches, étroitement bordées de brun. Périthèces épiphylles, peu nombreux. Spo- rules cylindriques, long. 20-25, larg. 1. — Sur les feuilles du Viburnum Opulus. — Pessines. S. Unedonis Rob. et Desm. — Sur les feuilles de l’Arbutus Unedo. — Saintes, Royan. S. Macluræ P. Brun. — Taches amphigènes d’un olivacé très clair, à la fin jaunâtres, subarrondies, an- guleuses ou irrégulières, bordées de brun-clair. Péri- thèces épiphylles oa hypophylles, innés, épars, d’un brun noir, globuleux. Sporules bacillaires, droites ou un peu courbées, hyalines, long. 18-22, larg. 1-1/2, guttulées. — Sur les feuilles du Haclura aurantiaca. — Saintes. — Peut-être est-ce un Phleospora ? S. Fraxini Desm., non Fr. — Sur les feuilles lan- guissantes du Fraxinus excelsior. —Rochefort, Pessines, Saintes, Fouras, Pons. S. Syringæ Sacc. et Speg. — Sur les feuilles du Syringa vulgaris. — Saintes. S. oleandrina Sacc.; P. Brun., S. L. Sphærops., p. 4. — Sur les feuilles du Nerium Oleander. — Saintes, Rocheïort, Fontcouverte, la Rochelle, etc. — 124 — S. Paulowniæ Thüm.— Sur les feuilles du Pau- lownia imperialis. — Saintes. S. argyræa Sacc.— Sur les feuilles de l’Elæagnus argentea. — T. C. S. brachyspora Sacc. — Sur les feuilles du Ficus elastica. — Rochefort, Saintes. S. Garryæ Roum., form. rupefortensis P. Brun. — Taches amphigènes, subarrondies ou irrégulières, souvent marginales, brunâtres, puis d’un gris-cendré sale, enfin pâlissant, bordées de brun-pourpré. Péri- thèces ponctiformes, épars, perforés, noirs. Sporules oblongues-bacillaires, long. 15-16, larg. 2 1/2, à quatre gouttelettes, droites ou courbées, hyalines. — Sur les feuilles du Garrya elliptica. — Rochefort (jard. bot.). S. didyma Fuck., var. santonensis Passer. ; P. Brun., Sphærops., p. 7. — Sur les feuilles du Salix alba. — Saintes, Chaniers. S. salicicola (Fr.) Sacc.— Sur les feuilles du Salix cinerea. — T. C. S. Populi Desm. — Sur les feuilles du Populus fas- tigiata et du Populus angulata. — T. C. S. castanicola Desm. — Sous les feuilles des cha- taigniers et des marronniers. — T. C. S. quercina Desm. — Sur les feuilles du Quercus pedunculata. — Saintes, Pessines. S. quercicola Sacc. — Sur les feuilles du Quercus pedunculata. — A. C. S. Medicaginis Rob. et Desm. — Sur les feuilles du Medicago sativa. — T. C. — 125 — S. Viciæ West. — Sur les feuilles du Vicia sativa et du Vicia angustifolia. — A. C. S. Gei Rob. et Desm. — Sur les feuilles du Geum urbanum. — T. C. Form. immarginata P. Brun. — Taches brunes, non marginées. Périthèces parfois confluents. Snorules filiformes, long. 20-50. — Sur les feuilles du Geum uwrbanum. — Saintes, Le Breuil-Magné. _ S. Tormentillæ Desm. et Rob. — Sur les feuilles du Tormentilla erecta et du Potentilla reptans.— Saintes, Pessines. S. Fragariæ Desm., var. verna P. Brun., Mat. fi. myc. p. 26. — Sur les feuilles languissantes du Poten- tilla verna. — Saintes. S. quevillensis Sacc. — Sur les feuilles du Spiræa Ulmaria. — Saintes. S. Agrimoniæ Eupatoriæ Bomm. et Rouss. — Sur les feuilles de l’Agrimonia Eupatoria. — Saintes, Pessines. S. Brissaceana Sacc. et Let. — Sur les feuilles du Lythrum Salicaria. — Saintes. S. Epilobii West. — Sur les feuilles languissantes de l’Epilobium hirsutum et de l’Epilobium parviflorum. — Saintes, Fouras. S. Œnotheræ West. - Sur les feuilles de l’'Œno- thera biennis. — A. C. Form. major P. Brun.; Septoria Œnotheræ West., form. Œnotheræ biennis P. Brun., S. L. Sphærops., p. 4. — Sur les feuilles de l’'Œnothera biennis. — Ro- chefort (jardin botanique). Form. Œnotheræ odoratæ P. Brun. S. L. Sphæ- rops., p. 4. — Sur les feuilles de l'Œnotnera odorata. — A. C. : Form. Œnotheræ parvifloræ P. Brun., S. L. Sphærops., p. 4. — Sur les feuilles de l’'Œnothera par- viflora. — Rochefort (jardin botanique). Form. Lythri Passer.; P. Brun., L. Sphærops., p.47. — Sur les feuilles du ZLythrum Salicaria. — Saintes. S. Kalchebrenneri Sacc. — Sur les feuilles de l'Euphorbia palustris. — Saintes, Bussac, Chaniers, les Gonds, Courcoury, etc. Form. Amygdaloidis P. Brun., Champ. obs. vi, p. 3. — Sur les feuilles languissantes de l’Euphorbia amygdaloides. — Fouras. :S. Euphorbiæ Guep. ; P. Brun., S. L. Sphærops., p. 4. — Sur les feuilles languissantes de l’Euphorbia amygdaloides. — Kouras, Saintes, Saint-Cézaire. S. media Sacc. et P. Brun., Soc. bot. Fr., 1889, p. 339. — Sur les feuilles de l’Euphorbia palustris. — Saintes, Aulnay. S. Dianthi Desm. — Sur les feuilles du Dianthus barbatus. — Chérac, Saintes, Pessines, Chaniers. Form. Dianthi Garyophylli P. Brun., Champ. Obs. v, p. 6. — Sous les feuilles languissantes du Dian- thus Caryophyllus. — Saintes. S. Saponariæ (D. C.) Savi et Becc. — Sur les — 127 — feuilles du Saponaria officinalis. — Aulnay, Saintes, Cravans, etc. S. dimera Sacc. — Sur les feuilles du Silene nutans. — Fontcouverte, Saintes, Taillebourg, Saint-Vaize, etc. S. lychnidicoia P. Brun. — Taches arrondies ou oblongues, ocracées, bordées de brun. Périthèces peu nombreux, épars, bruns, ponctiformes. Sporules bacil- laires, droites ou flexueuses, arrondies aux extrémités, long. 45-50, larg. 2-2 1/2, hyalines, guttulées. — Sur les feuilles du Lychnis Flos Cuculi. — Saintes. S. Stellariæ Rob. et Desm.; P. Brun., Soc. bot. 1887, p. 246. — Sur les feuilles et sur les tiges languis- santes du Stellaria media. — A. C. S. Cerastii Rob. et Desm. — Sur les feuilles du Cerastium vulgatum. — Varzay, Pessines, Echillais, Saintes. S. Henriquesii Thüm. — Sur les feuilles languis- santes du HMatthiola incana. — Fouras. Form. santonensis P. Brun. — Taches formées par la réunion des périthèces, d’un olivacé très clair. Spo- rules bacillaires, droites ou subdroites, pluriguttulées, arrondies aux extrémités, hyalines, long. 15-20, larg. 3-3 1/2. — Sur les feuilles languissantes du Matthiola incana. — Fouras. S. Cheiranthi Rob. et Desm. — Sur les feuilles languissantes du Cheiranthus Cheiri. — Saintes. S. Ghelidonii Desm. — Sur les feuilles du Cheli- donium majus. — A. C. S. Anemones Desm. — Sur les feuilles de l’Ane- mone nemorosa. — Pessines, Saintes, Fontcouverte. S. intermedia P. Brun. — Taches assez grandes, subarrondies ou irrégulières, grises ou cendrées, à marge très étroite, brune. Périthèces peu nombreux, espacés, ponctiformes, noirs. Sporules cylindriques, droites ou courbées, hyalines, continues, long. 18-20, larg. 1 4/2. — Sur les feuilles languissantes de l’Ane- mone japonica. — Saintes. __S. Hepaticæ Desm. — Sur les feuilles de l’Hepatica triloba. — Saintes. S. Ficariæ Desm. — Sur les feuilles du Ficaria ranunculoides. — T. C. S. ficariæcola Sacc. — Sur les feuilles du Ficaria ranunculoides. — Saintes. S. Clematidis Rob. et Desm. — Sur les feuilles du Clematis Vitalba. — Saintes, Pessines, Pons, etc. S. delphinella Sacc. — Sur les feuilles du Delphi- nium Ajacis. — Saintes. .S. Cucurbitacearum Sacc. — Sur les feuilles du Cucurbita maxima, de Cucurbita Pepo et du Cucurbita melo. — A. C. S. Bupleuri Desm. — Sur les feuilles du Bupleurum fruticosum. — Saintes. S. Sii Rob. et Desm.; P. Brun., S. L. Sphærops., p. 4. — Sur les feuilles du Sium angustifolium. — A. C. S. Rivini P. Brun. — Taches suborbiculaires, angu- leuses ou irrégulières, brunâtres, puis d’un olivacé très clair, à la fin presque blanches, légèrement bordées de brun. Périthèces ponctiformes, peu nombreux, noirà- tres. Sporules droites ou courbées, bacillaires, obtusius- cules aux extrémités, long. 20-30, larg. 1 1/2-2, obscu- — 129 — rément septées, hyalines. — Sur les feuilles languis- santes du Falcaria Rivini. — Fouras. S. Sisonis Sacc. ; P. Brun., S. L. Sphærops., p. 4. — Sur les feuilles du Sison Amomum. — Saintes, Brives. S. Petroselini Desm. — Sur les feuilles du Petro- “selinum sativum. — A. C. Form. segetum P. Brun. — Taches anguleuses, petites, brunâtres, pâlissant ensuite, mais ne blanchis- sant pas autant que dans le type, quelquefois très légè- rement bordées de brun. Périthèces peu nombreux. Sporules filiformes, guttulées ou septulées, hyalines, long. 30-50, larg. 1. — Sur les feuilles du Petroselinum segetum. — Aulnay, Beaugeay. S. Anthrisci Passer. et P. Brun. — Sur les feuilles de l’Anthriscus vulgaris. — Montroy (Foucaud), Saintes. S. Hydrocotyles Desm. — Sur les feuilles de l’'Hydrocotyle vulgaris. — Corme-Royal, Saint-Sulpice d’Arnoult. S. exotica Speg. — Sur les feuilles du Veronica Andersoni. — A. C. — Saintes, Rochefort, etc. 4 S. Veronicæ Desm., form. Veronicæ longifoliæ P. Brun., Bull. soc. bot. Fr. 1887, p. 430. -— Sur les feuilles du Veronica longifolia. — Rochefort (jardin botanique). S. Antirrhini Desm. ; P. Brun., S. L. Sphærops., p. 4. — Sur les feuilles languissantes de l’Antirrhinum majus. — À. C. S. Dulçcamaræ Desm. — Sur les feuilles du Sola- num Dulcamara. — A. C. — 130 — S. Convolvuli Desm. —Sur les feuilles du Convol- vulus arvensis. — T. C. Form. Galystegiæ Sacc. — Sur les feuilles du Calystegia sepium. — A. C. Form. Soldanellæ P. Brun., L. Sphærops., p. 49. — Sur les feuilles du Convolvulus Soldanella. — Fouras. S. Calystegiæ West. — Sur les feuilles du Convol- vulus arvensis et du Convolvulus Soldanella. — Fouras, Saintes. S. Pulmonariæ Sacc. — Sporules long. 35-38, larg. 2, très courbées, pluriguttulées. — Sur les feuilles du Pulmonaria officinalis. — Saintes. S. Verbenæ Rob. et Desm. — ‘Sur les feuilles du Verbena ofjicinalis. — A. C. S. Lavandulæ Desm. — Sur les feuilles du Lavan- dula Spica. — T. C. Form. Lavandulæ latifoliæ P. Brun., Soc. bot. Fr. 1887, p. 430. — Sur les feuilles du Lavandula lati- folia. — Rochefort (jardin botanique). Li S. menthicola Sacc. et Let. — Sur les feuilles du Mentha arvensis. — A. C. S. Melissæ Desm. — Sur les feuilles du Melissa officinalis. — T. C. S. Stachydis Rob. et Desm. — Sur les feuilles du Stachys palustris, du Stachys annua, du Stachys silva- tica, du Stachys recta. — A. C. Form. major P. Brun. ; S. Stachydis Rob. et Desm., form. Stachydis palustris P. Brun., S. L. Sphærops., p. 4. — Sur les feuilles du Stachys palustris. — Saintes. — 131 — S. Salviæ pratensis Passer. ; P. Brun., L. Sphæ- rops., p. 49. — Sur les feuilles du Salvia pratensis. — Le Breuil-Magné. S Lycopi Passer. — Sur les feuilles du Zycopus europœus. — À. C. S. Scorodoniæ Passer. ; Sacc., Misc. myc., dre sér., p. {1 ; Sacc., Syll. Sphærops., p. 540; P. Brun., S. L. Sphærops., p. 4 — Sur les feuilles languissantes du Teucrium Scorodonia. — T. C. S. Teucrii Sacc. ; P. Brun., Mat. fl. myc. p. 27. — Sur les feuilles du Teucrium Chamædrys. — Saintes. S. teucriicola P. Brun. —- Taches arrondies, bru- nâtres ou d’un brun-grisâtre, petites, à bordure étroite, brune ou d’un noir sanguin. Périthèces ponctiformes, noirs, épars. Sporules oblongues-fusiformes, hyalines, long. 15, larg. 3, à 4 gouttelettes. — Sur les feuilles du Teucrium Chamædrys. — Pessines. S. Ebuli Desm. et Rob. -- Sur les feuilles du Sam- : bucus Ebulus. — T. C. _* S. Tussilaginis West. - Sur les feuilles du Var- dosmia fragrans. — T. C. S. Eupatorii Rob. et Desm. — Sur les feuilles languissantes de l’Eupatorium cannabinum. — Saintes, Fouras, Cravans. S. Virgaureæ Desm. — Sur les feuilles du Soli- dago Virga aurea. — Pessines. S.dysentericæ P.Brun. — Taches petites, blanches, irrégulières ou anguleuses, entourées d’une très large bordure brune. Périthèces peu nombreux, ponctiformes, noirs. Sporules filiformes, un peu courbées, long. 35-38, "482. — larg. 1, continues ou obscurément guttulées, hyalines. — Sur les feuilles languissantes de l’Inula dysenterica. — Fouras. S. Bidentis Sacc. — Sur les feuilles languissantes du Bidens tripartita. — Saint-Sever, Saintes. S bellidicola Rob. et Desm. — Sur les feuilles du Bellis perennis. — Saintes. S. centaureicola P. Brun., Soc. bot. Fr. 1887, p. 430. — Sur les feuilles du Centaurea Scabiosa. — Rochefort. S. 1 actucæ Passer. — Sur les feuilles du Lactuca sativa. — À. C. Form. Lactucæ Scariolæ P. Brun., Soc. bot. Fr. 1887, p. 430. — Sur les feuilles du Lactuca Scariola. — Rochefort (jardin botanique). S. scabiosicola Desm. — Sur les feuilles du Sca- bicsa atropurpurea, du Knautia arvensis, du Scabiosa succisa, du Scabiosa Columbaria. — T. C. S.centranthicola P. Brun.,S. L. Sphærops., p. 4. — Sur les feuilles languissantes du Centranthus ruber. — Saintes, Pons. S. Polygonorum Desm. — Sur les feuilles du Polygonum Persicaria. — T. C. Var. Sieboldii Sacc. — Sur les feuilles du Polygo- num Sieboldii. — T. C. S. Atriplicis (West.) Fuck. — Sur les feuilles de l’Atriplex latifolia et de l’Atriplex angustifolia. — T. C. S. Urticæ Desm. et Rob. — Sur les feuilles de l’Urtica dioica et de l’Urtica urens. — Saintes. — 133 — S. Aristolochiæ Sacc. — Sur la face inférieure des feuilles de l’Aristolochia Clematitis. — Saintes. Var. maculicola P. Brun., Misc. myc. I, p. 20. — Sur les feuilles de l’Aristolochia Clematitis. — Saintes. S. leguminum Desm.— Sur les légumes du Pisum sativum, du Phaseolus vulgaris, du Vicia sativa.— A. C. S. Tritici Desm. — Sur les feuilles du Glyceria fluitans. — Saintes. S. Bromi Sacc., var. Brachypodii Sacc. — Sur les feuilles du Brachypodium pinnatum. — A. C. S. graminum Desm. — Sur les feuilles du Bromus sterilis et du Brachypodium pinnatum. — Saintes. S. caricinella Sacc. et Roum. — Sur les feuilles du Carex depauperata. — Rochefort (jardin botanique). S. brunneola (Fr.) Niessl. — Sur les feuilles du Convallaria majalis. — A. C. S. Muscari P. Brun. — Taches verdâtres, grandes, irrégulières, quelqueïois bordées de brun. Périthèces épars, érumpents, globuleux, déprimés à la fin, noirs. Sporules filiformes, droites ou flexueuses, continues, hyalines, long. 40-60, larg. 1 1/2-2. — Sur les feuilles du Muscari comosum. — Fouras. S. Equiseti Desm. ; P. Brun., L. Sphærops., p. 51. — Sur les tiges languissantes de l’Equisetum arvense. — Saintes. S. detospora Sacc. — Sur les tiges desséchées de l’'Equisetum limosum. — Saintes. S. Scolopendrii Sacc. ; P. Brun., Soc. bot. Fr. 9 — 134 — 1887, p. 246. — Sur les feuilles desséchées du Scolo- pendrium officinale. — Saint-Cézaire. Phleospora Aceris (Lib.) Sacc. — Sur les feuilles de l’Acer campestre. — A. C. Phil. Mori (Lév.) Sacc. — Sur les feuilles du Morus nigra et du Morus alba. —T. C. Phl Ulmi (Fr.) Wallr. — Sur les feuilles de l’Ul- . mus campestris et de l’Ulmus effusa. — T. C. Phl. Oxyacanthæ (Kze. et Schm.) Wallr. — Sur les feuilles du Cratægus Oxyacantha. — Saintes, Roche- fort, Pons, etc. Rhabdospora notha Sacc. — Sur les jeunes branches mortes de l’Acer Pseudo-platanus. — Roche- fort. R. Aucubæ P. Brun., Esp. Sphærops., p. 3. — Sur le bois mort décortiqué de l’Aucuba japonica. — Saintes, Rochefort. © R. Fraxini Passer. ; P. Brun., L. Sphærops., p. 51. — Sur les branches mortes du Fraxinus excelsior. — Saintes. R. Matthiolæ Malbr. et P. Brun. ; P. Brun., S. L. Sphærops., p. 5 ; P. Brun., Nouv. frag. myc. IL, p. 10. — Sur les siliques desséchées du Matthiola incana. — Pessines, Fouras. R. hortensis Sacc. — Sur les feuilles, lestiges, et les vrilles du Pisum sativum. — Saintes. R. Spartii Passer. et P. Brun. ; P. Brun., Mat. fl. myc. p. 28. — Sur les petites branches mortes du Spartium junceum. — Saintes. — 135 — R. cæspitulosa Sacc. — Sur les tiges mortes du Pelargonium zonale. — Saintes. R. nebulosa (Desm.) Sacc. — Sur les tiges mortes du Petroselinum sativum. — Saintes, Pessines. R. Brunaudiana Sacc. — Sur les tiges mortes du Fœniculum officinale. — Saintes. R. caulogena Sacc. — Sur les tiges mortes du cerfeuil. — Saintes, Pessines. R. Lactucæ P. Brun., L. Sphærops., p. 52. — Sur les tiges mortes du Lactuca virosa. — Saintes. R. Betonicæ Sacc. et Br. — Sur les tiges sèches du Betonica officinalis. — Gemozac. R. verbenicola Sacc. — Sur les tiges mortes du Verbena officinalis. — Saintes, Pessines. Form. raajor P. Brun., L. Sphærops., p. 52. — Sur les tiges mortes du Verbena officinalis. — Saintes. R. Origani (P. Brun.) Sacc. ; P. Brun. L. Sphærops., p. 52. — Sur les tiges mortes de l’Origanum vulgare. — Saintes. R. Centranthi (P. Brun.) Sacc. ; P. Brun. L. Sphæ- rops., p. 52. — Sur les tiges mortes du Centranthus ruber. — Saintes. R. Euphorbiæ P. Brun., L. Sphærops., p. 52. — Sur les tiges mortes de l’Euphorbia amygdaloides et de Euphorbia palustris. — Saintes, Le Breuil-Magné. Phlyctæna vagabunda Desm. — Sur les tiges du Tamus communis. — Pessines, Saintes, Taillebourg. , — 136 — P. phomatella Sacc.. var. Symphoricarpirace- mosæ Sacc. — Sur les branches mortes du Sympho- ricarpos racemosa. — Rocheîort, Saintes. Cytosporina ludibunda Sacc. — Sur les branches mortes de l’Ulmus campestris et du Prunus spinosa. — Saintes, Varzay, Pessines. C. Persicæ P. Brun., S. L. Sphærops., p. 5. — Sur les petites branches mortes du Persica vulgaris. — Pes- sines. GC. millepunctata Sacc. — Sur les branches mortes du Fraxinus excelsior. — Saintes. G. stellulata Sacc. — Sur les branches mortes de l'Ulmus campestris et de l’Ulmus effusa. — Saintes. Form. major P. Brun., $. L. Sphærops., p. 5; P. Brun., Nouv. frag. myc. Il, p. 10. — Sur les branches tombées de l’Ulmus campestris. — Saintes, Pessines. GC. heteracantha Sacc. — Sur les branches mortes du Sambucus nigra. — Saintes, les Gonds. C. Quercus Passer. ; P. Brun., Champ. obs. v, p. 7. — Sur les branches mortes des chênes. — Pessines. Micropera Drupacearum (Desm.) Sacc. — Sur les branches mortes des cerisiers. — T. C. Polystigma rubra(Desm.) Sacc.— Sur les feuilles vivantes du Prunus spinosa. — Saintes, Rochefort. Leptothyrium Periclymeni (Desm.) Sacc. — Sur les feuilles du Lonicera Caprifolium, et du Lonicera sempervirens. — À. C. L. corylinum Fuck. — Sous les feuilles des noise- tiers. — Saintes. — 137 — L. Pseudo-platani Passer.; P. Brun., L. Sphæ- rOpS., p. 94. — Sur les feuilles desséchées et sur les pétioles de l’Acer Pseudo-platanus. — Saintes. L. Platanoidis Passer. ; P. Brun., Champ. obs. vi, p. 4. — Sous les feuilles de l’Acer Platanoides. — Saintes. L. acerinum (Kze.) Cord. — Sur les feuilles de l’Acer campestre. — Saintes. L. Buxi Passer. ; P. Brun., L. Sphærops., p. 54. — Sur les feuilles du Buxus sempervirens. — Saintes. L. quercinum (Lasch) Sacc. — Sur les feuilles mortes des chênes. — A. C. L. Gastaneæ (Spr.) Sacc. — Sur les feuilles mortes du Castanea vulgaris. — À. C. L. Carpini P. Brun., Soc. bot. Fr., 1889, p. 340. — Sur les écailles trilobées des fruits du Carpinus Betu- lus. — Saintes. L. vulgare (Fr.) Sacc. — Sur les tiges mortes de l’Aconitum Napellus. — Saintes. L. Lunariæ Kze. — Sur les siliques du Lunaria biennis et du Lunaria rediviva. — A. C. L. Ptarmicæ (Desm.) Sacc. — A la base des tiges mortes de l’Achillæa Ptarmica. — Saintes, Bussac. L. tataricum P. Brun., Champ. obs. vir, p. 5. Sur les tiges mortes du Pol ygonum sataricum. — Roche- fort (jardin botanique). L. culmigenum Sacc. et P. Brun., Soc. bot. Fr. 1889, p. 340. — Périthèces souvent confluents. — Sur les chaumes du Bambusa arundinacea. — Saintes. — 138 — L. litigiosum (Desm.) Sacc. — Sur les tiges mortes du Pteris aquilina. — Pessines. Pigottia astroidea Berx.et Br. — Sur les feuilles de l’'Ulmus campestris et de l'Ulmus effusa. —T. C. P. atronitens Oud., form. Gleditschiæ Passer. ; P. Brun., Champ. obs. v, p. 7. — Sur les branches mortes du Gleditschia Triacanthos. — Saintes. _ Melasmia acerina Lév. — Sur les feuilles de l’Acer campestre, de l’Acer monspessulanum, de l’Acer Pseudo-platanus. —T C. M. punctata Sacc. et Roum. — Sur les feuilles de l’Acer Pseudo-platanus et des divers érables. — A. C. M. salicina Lév. — Sur les feuilles du Salix alba et du Salir vitellina. — Saintes. Leptostroma virgultorum Sacc. — Sur les sarments du Rubus fruticosus. — Saintes, Brizambourg. . L. Punicæ Passer. ; P. Brun., L. Sphærops., p. 59. — Sur les petites branches mortes du Punica Grana- tum. — Saintes, Cravans. L. Pinorum Sacc. — Sur les aiguilles du Pinus silvestris. — KFouras. L. Pinastri Desm. — Sur les aiguilles du Pinus maritima et du Pinus silvestris. — Royan, Montendre, Saintes, Fouras. L. polygonatum Lasch. — Sur les tiges mortes du Polygonatum multiflorum. — Pessines, Fontcou- verte. L. scirpinum Fr. — Sur les chaumes morts du — LTD — Scirpus lacustris et du Scirpus Holoschænus. — Saintes, Saint-Romain-de-Benet. . L. Pteridis Ehrh. — Sur les tiges mortes du Pteris aquilina. — A. C. L. filicinum Fr. — Sur les tiges mortes du Pteris aquilina. — Varzay, Le Breuil-Magné. L. herbarum (Fr.) Link. — Sur les tiges mortes de l’Euphorbia palustris, de l’Euphorbia amygdaloides, de l’'Euphorbia Paralias. — Saintes, Taillebourg, Pes- sines, Royan, Fouras. Labrella Coryli (Desm. et Rob.) Sacc. — Sur les feuilles du Corylus Avellana. — Saintes. Discosia artocreas (Tode) Fr. — Sur les feuilles et les glands des chênes, sur les feuilles des hêtres, des érables, du Sorbus torminalis. — À. C. D. vagans de Not. — Sur les feuilles mortes du Laurus nobilis. — À. C. Actinothyrium graminis Kze. —Surles chaumes et les feuilles des graminées. — Rochefort, Saintes, Chaniers, Cozes. Leptostromella hysteroides (Fr.) Sacc. — Sur les tiges du Vincetoxicum officinale. — Royan. L. juncina (Fr.) Sacc. — Sur les tiges du Juncus effusus. — Saintes, Pessines. Heteropatella lacera Fuck. — Sur les tiges mortes du Linaria vulgaris. — Saintes. Form. Dauci Sacc — Sur les tiges mortes du Dau- cus Carota. — Saintes, etc. — 140 — H. palustris (P. Brun.) Sacc.; P. Brun., Rev. myc. 1882,.p. 23: P. Brun:, Champ \obs-"vp°"10; — Sur les tiges mortes de l’Euphorbia palustris. — Saintes. Dothichiza populea Sacc. et Br. — Sur les branches mortes des peupliers. — Saintes. Psilospora faginea Rabh. — Sur les jeunes écorces des hêtres. — A. C. Ps. quercus Rabh. — Sur les jeunes écorces des chènes. — A. C. Dinemasporium graminum Lév. — Sur les chaumes du Phragmites communis et de diverses gra- minées. — A. C. Form. major P. Brun., Mat. fl. myc. p. 28. — Sur les chaumes pourris du Zea Mays. — Saintes. D. strigosum (Fr.) Sacc. — Sur les chaumes pour- ris du Zea Mays. — Saintes. _ Var. leptosporum Sacc. — Sur les chaumes des graminées. — Saintes. D. hispidulum (Schrad.) Sacc. — Sur le bois pourri, les branches mortes du sureau, du chêne, du Robinia-Pseudacacia. — A. C. Var. herbarum Cook. — Sur les tiges des grandes herbes, surtout des caryophyllées. — Saintes. Saintes, le 17 décembre 1889. NOTE SUR LA GÉOLOGIE DU COURS DE LA CHARENTE entre Rochefort et l’île d'Aix ‘Par M. A. BOISSELLIER Agent administratif principal de la marine à Rochefort Collaborateur principal du Service de la Carte géologique du Ministère des Travaux publics, Dans son parcours de Rochefort à la mer, la Cha- rente traverse des alluvions marines quarternaires de l’âge du bronze et des alluvions plus récentes qui reposent sur l’étage Cénomanien. Les roches de cet étage constituent des seuils impor- tants dans le lit de la Charente, à l’avant-garde, à Sou- bise et près du Vergeroux (Rocher du Fougueux). On les observe ensuite à mer basse, sur les berges de la Pointe-sans-Fin (Roche de Charras), du Fort-Lupin, de Saint-Laurent, de La a dur et au Moulin de l’Espérance. Elles constituent égalementles falaises du Vergeroux, de Fouras, d’Enet et de l’ile d'Aix, sur la rive droite, tandis que celles de la rive gauche, entre Martrou et Soubise, appartiennent à l'étage Turonien, ainsi que la 10 — 142 — falaise du Port-des-Barques. Quant aux rochersdes Fon- tenelles, à l’ile Madame et aux Palles, qui plus loin limitent aussi le cours de la Charente, ils sont entière- ment cénomaniens. Les berges de la Charente sont formées par des allu- vions marines de nature limoneuse, nommées bri, qui remplissent les criques et les anfractuosités de la rive gauche et qui forment, sur l’autre rive, de grandes . plaines dont l’altitude dépasse à peine le niveau des plus hautes mers. Le lit de la rivière présente des fonds vaseux dont l’épaisseur, très variable, atteindrait 25 mètres, d’après les sondages exécutés par la mission hydrographique, en 1858-1859, sous la direction de M. Delbalat, ingé- nieur hydrographe de la marine. (Fosse du Port-des- Barques). Pour bien comprendre cette alternance de seuils rocheux et de fonds vaseux, très épais, il faut se rap- peler la composition du Cénomanien de notre région. Cet étage se compose de trois assises calcaires, alter- nant avec trois assises argilo-sableuses d’inégales puis- sances, savoir de haut en bas : Epaisseurs moyennes. Go Calcaire marneux, peu résistant, à Ichthyosarcolithes .......... LP se ve CA MANBIreS 5 Sableargileux à ostracées(Ostrea biau- riculata, 0. flabella/ 0 columba). 7 2 — 4° Calcaire blanc, grenu, en bancs épais à Caprina adversa, Sphærulites foliaceus, AlvCoUNa CrelACER Rene. crc HR 20 — A reporter... 1.102 0mêètres, — 1435 — Epaisseurs moyennes. Reports... .... 24 metres. 30 Sables vertsargileux, pyriteux, ligni- EPS... da a RAS Lors de ardt Ge 20 Grès durs et calcaire, en bancs ou moellons, alternant avec des couches de marne, de sable et d'argile (Anorthopigqus, .wrbicularis, Ichthyosarcolithes, Alveolina Ouwm, Orbitolines)............. A 7 — 1° Sable fin coulant, puis argile ai letée et sable ferrugineux argileux....... 25 — 64 mètres. Le Cénomanien occupe ici une bande de terrain de 8 kilomètres de largeur, dirigée du Nord-Ouest au Sud-Est, et dont le plongement au Sud-Ouest est infé- rieur à un degré (30 à 45’). Ses assises apparaissent et se recouvrent régulièrement du Nord-Est au Sud-Ouest ; mais elles sont coupées transversalement par des cas- sures parallèles, sans rejet bien sensible, que des éro- sions ont élargies parfois, de manière à former des îlots cénomaniens entourés d’alluvions modernes. (Ilots de Rochefort, de Lupin, de Saint-Laurent-Fouras). Le cours sinueux de la Charente paraît en rapport avec ces cassures transversales, de même que ses fonds de vase et de roche, correspondent à la place que doivent occuper dans la rivière les assises rocheuses et argilo-sableuses du Cénomantien. En effet, si nous suivons le profil du thalweg, dressé par la mission hydrographique, et si nous relevons en même temps la nature des fonds sur les cartes marines, — 144 — nous verrons que dans le port de Rocheîort, il existe une grande profondeur d’eau, avec fond de vase, là où les observations géologiques indiquent la place des sables verts argileux de la troisième assise cénoma- nienne. A l’Avant-Garde les fonds s'élèvent et sont rocheux : c’est la puissante assise des calcaires à Caprina adversa qui atteint dans cet endroit 18 à 20 mètres d'épaisseur, d’après les forages exécutés sous la direction de M. l'In- génieur en chef Polony; et qui, dans le puits de La Gardette, m'a donné de nombreux fossiles caractéris- tiques de la 4e assise. Après le seuil de l’Avant-Garde, le profil du thalweg s’abaisse et se relève presqu’aussitôt, avec fonds de vase et de roche ensuite, marquant ainsi la place des 5e et 6e assises : Sables à ostracées, Calcaire marneux à Ichthyosarcolithes.. Les falaises turoniennes de Martrou ayant barré le passage de la Charente, celle-ci a suivi la direction du Turonien, au Nord-Ouest, et a creusé son lit dans la pre mière assise de cet étage, composé de marne sableuse à Terebratella Carentonensis. Les fonds s’abaissent en con- séquence entre Martrou et Soubise et sont vaseux. La cassure des Lauriers lui trace ensuiteune direction vers le Nord et la Charente recoupe, de haut en bas, toute la série des assises cénomaniennes. Les fonds s'élèvent et nous rencontrons le seuil de Soubise, pro- longement au Nord-Ouest de celui de l’Avant-Garde et appartenant comme lui à la 4° assise. Les 5e et 6° as- sises y sont également présentes et très développées. Tout le monde a vules innombrables coquilles d’huîtres que la drague a versées dans la prairie de Soubise, — 145 — pendant le dérasement des seuils. Ces huîtres céno- maniennes proviennent des sables à Ostrea biauriculata, O. flabella, O. columba, et les Ichthyosarcolithes non moins communs du même dépôt viennent en partie de l’assise supérieure. Après le seuil de Soubise, nouveaux fonds de vase correspondant aux sables verts de la 3% assise, jusqu'aux grès du Fougueux qui marquent la présence de la 2e. Les fonds vaseux se continuent ensuite au-dessus des argiles du Vergeroux (1e assise) et jusqu’au Fort- Lupin, sauf à la Pointe de la Sablière où l’on voit sur la rive droite, la roche de Charras, qui doit appartenir aux grès inférieurs. Il résulte de ces observations : 1° Que les fonds de vase molle de la Charente, entre Rochefort et la Pointe de la Sablière sont situés au- dessus des assises argilo-sableuses du Cénomanien et du Turonien et qu’ils en ont la même étendue ; 20 Que la vase molle pourrait provenir d’une alté- ration superficielle de ces assises, qui ont été évidem- ment affouillées, remaniées, par les courants comme l'indique la plus grande profondeur d’eau que l’on observe au-dessus d'elles. La consistance des assises argilo sableuses du Céno- manien est telle que l’on peut y creuser un chenal de plusieurs mètres de profondeur sans craindre les ébou- lements latéraux. L'expérience faite récemment au Vergeroux montre que dans ces assises même remaniées, la profondeur du chenal de 40 mètres se maintient sans changement. On peut donc espérer que si l’on continuait les dra- — 146 — gages jusqu’au Fort-Lupin, on obtiendrait des résultats tout aussi satisfaisants ; car les terrains que l’on ren- contre, dans cette section de la rivière, sont exactement les mêmes que ceux que l’on a traversés au Vergeroux ; c’est-à-dire, les sables verts, les grès et les sables argi- leux ferrugineux des trois premières assises du Céno- manien. Du Fort-Lupin à la Fontaine-Royale, les forages de la .mission hydrographique nous révèlent la présence de 10 à 15 mètres de vases, encaissées dans une vallée sous-marine qui coupe les bancs calcaires de la 4 as- sise, lesquels affleurent, çà et là, sur les deux bords de la rivière, à marée basse. | Que ces forages soient partout exacts, ou qu’ils ne concernent que quelques points du haut fond de Lupin, on doit admettre que les dépôts qu'ils ont traversés offrent une assez grande consistance pour éloigner toute crainte d’éboulements, dans le cas où l’on vou- drait les draguer sur un ou deux mètres d'épaisseur. D'ailleurs les pressions latérales, que l’on parait redouter, ne pourraient pas se produire facilement, puisque les roches encaissantes de ces dépôts sont des bancs calcaires en place. Si au lieu de dépôts meubles on devait rencontrer des roches, le dragage serait plus coûteux mais le succès n’en serait que plus certain. Ce qui prouve Ia consistance des dépôts de cette partie de la rivière, c’est qu’en arrivant au Fort-Lupin, le profil du thalweg s'élève comme à l'approche d’un seuil calcaire et se maintient au même niveau pendant toute la largeur que doit occuper la 4 assise, sauf au milieu du parcours où la fosse de Saint-Laurent amène une plus grande profondeur d’eau. Si ces dépôtsétaient — 147 — susceptibles de se déplacer facilement la fosse de Saint- Laurent n’existerait pas, le courant l’aurait comblée par des vases molles. Après la Fontaine-Royale, la Charente coule dans un pli synclinal qui se prolonge jusqu’à la mer, comme je l’ai montré dans ma coupe géologique de l’île d’Oleron, des rades et de l’ile d’Aix. Une faille s’observe au Port- des-Barques, le Cénomanien reparaît d’une manière anormale à l'ile Madame et aux Fontenelles, plongeant au Nord-Est comme à Piédemont. A l’époque tertiaire, alors que ces failles et ces plis- sements se produisirent, les matériaux des assises bri- sées ont été emportés par la mer. D’autre part, des apports argileux, sableux et caillouteux, caractérisent cette époque. On en voit des dépôts à l’ile d'Aix, à l’île Madame, dans l’ilot de Lupin, etc., et ceux que signalent les forages de la mission hydrographique, dans la tra- verse de la Fontaine-Royale au Fort-Lupin, sont peut- être de même origine. On peut donc rencontrer ces dépôts tertiaires entre le Port-des-Barques et l’île d’Aix ; mais ce qui me parait beaucoup plus probable, c’est que l’on y trouvera, sous les vases molles, les sables argileux, ferrugineux de la {re assise cénomanienne, qui ont 25 mètres d'épaisseur ; car l’assise des grès constitue la base des falaises de Fouras et présente de nombreux affleurements jusqu’au près d’Enet. (R. de La Plante, Port de la Cou, Tour de Fouras, Pointe de l’Aiguille). En prolongeant le chenal de 40 mètres à travers la barre de Fouras on ne rencontrera donc pas de roches calcaires. Quant aux vases molles dont on redoute le déplace- “ — 148 — ment transversal vers le thalweg, il est permis de croire que, eu égard à la largeur de la rivière, un dragage d’un mètre ou deux ne donnera pas aux vases latérales une pente assez sensible pour leur permettre de glisser. N’a-t-on pas vu se produire l’exhaussement des fonds vaseux, dans la région des houchots de l’ile Madame, sans que la profondeur d’eau soit diminuée en face, dans le chenal de la rivière. On a voulu expliquer cet exhaussement par des ap- ports récents de la mer. Je crois que ce phénomène peut être attribué à des déplacements de vase le long des bords de la rivière ; car les eaux de la mer sont d’une pureté remarquable, vis-à-vis de l’île d’Aix, à la . marée montante, et tranchent par leur couleur verte, de la manière la plus frappante, avec les eaux de la Charente qui sont jaunes et boueuses. D'autre part, on sait que les troubles ne s'étendent pas dans la rivière, au-delà du point où la marée cesse de se faire sentir, et, qu'’au-dessus de Saintes, les eaux sont d’une limpidité parfaite. M. le lieutenant de vais- seau Pauher a fait à ce sujet des expériences con- cluantes. Si donc la Charente et la mer ne font aucun apport et si la hauteur des fonds n’a pas changé depuis 200 ans, comme on le répète souvent, il faut admettre que les troubles sont formés aux dépens des berges limoneuses, que le flot et le jusant les promènent entre Saintes et la mer, et qu’ils se déposent sur les rives, lorsque la vitesse du courant, qui les tient en suspension, est ralentie par une cause quelconque. C’est ainsi que dans le bassin du chenal de la Cloche, nouvellement creusé, dans le port de Rochefort, des L] — 149 — dépôts de plusieurs mètres se sont formés en peu de temps, alors que la profondeur de l’eau n’a pas diminué dans le thalweg de la rivière, en face de ce nouveau bassin. Les bouchots de l’île Madame ont produit un résultat analogue, ils ont fixé une grande quantité de la vase qui cheminait le long des rives de la Charente. En résumé, je crois qu’il est possible de donner à la Charente une profondeur minimum de 8 mètres, à haute mer, en pratiquant des dragages, dans le chenal, sur une largeur d’au moins 40 mètres, entre le Vergeroux et la barre de Fouras. Rochelort, 29 décembre 1889. ie RE y pu RON à | CONTES ETION A L'ÉTUDE DU CRÉTACE DE SAINTES (Chte-Infre) et de ses environs AVEC UNE CARTE ET.DEUX COUPES EP LNT Edmond BORDAGE Boursier de Licence près la Faculté des Sciences de Lyon, Membre de la Société géologique de France. Les assises crétacées les plus inférieures que l’on puisse observer aux environs de Saintes représentent le Turonien supérieur ou Angoumien. Ces assises sont visibles à Taïllebourg. On peut les étudier dans la grande tranchée de la gare. Elles sont constituées par un calcaire blanc contenant, à Taillebourg et dans ses environs immédiats, l'Ostrea Arnaudi, le Linthia oblonga, l’Arca tailleburgensis, des Cyphosoma, des Rudistes (Sphœrulites Boreaui, Hippurites). Ces assises repré- sentent l’'Angoumien inférieur. On trouve l’'Angoumien moyen entre Taillebourg et Bussac. Il consiste en des bancs de calcaire blanc cons- tituant d'excellente pierre de taille exploitée dans les carrières de Saint-Vaize et de Port-la-Pierre. — 152 — On trouve des rangées de silex dans les bancs infé- rieurs. L’Angoumien moyen offre une belle faune de . Rudistes. Ensuite vient l’Angoumien supérieur représenté près de Bussac, par quelques bancs d’un calcaire grenu et d'aspect miroitant d’abord, puis par un calcaire très dur et de teinte verdâtre. Les Rudistes sont encore bien représentés dans ces assises qui contiennent surtout le _Radiolites lumbricalis et le Sphærulites Ponsianus. L’An- sgoumien se termine enfin par des bancs de calcaire tendre exploité à Bussac comme pierre de taille. On y trouve le Radiolites Desmoulinsit, le Sphærulites radiosus, l’Hippurites organisans, etc. On verra l’étendue occupée par l’Angoumien, sur les coupes représentées par les figures 1 et 2, ainsi que la direction et l’inclinaison des couches qui le composent. L’Angoumien est recouvert.par le Santonien infé- rieur ou Conacien de Coquand, représenté par des bancs de calcaire dur, à surface raboteuse et à cassure miroi- tante avec des fissures remplies d’une marne jaunâtre. Les principaux fossiles du Conjiacien sont surtout l’Os- trea (Exogyra) auricularis qui constitue quelquefois des bancs entiers, l'O. Matheroni, la Terebratula Arnaudi, la T. Baugasi, la Rhynchonnella difformis, la Rh. petro-: coriensis, l Ammonites Orbignyi, le Nautilus sublævigatus, la Serpula filosa, des Echinides (Orthopsis miharis. Micraster coranguinum, Pyrina ovata), le Sphærulites Coquandi, etc. (Voir sur les coupes 1 et 2 l'étendue occupée par le Coniacien et l’inclinaison de ses couches). Le Coniacien est facile à étudier à Lormont. Le Santonien supérieur est très. bien développé à : Saintes même et dans ses environs immédiats. On peut — 153 — l’'étudier aux portes de la ville, aux Arènes et à Mar- gézy, dans des carrières abandonnées et dans la ville elle-même, aux Roches. Il débute ordinairement par un calcaire blanc-grisâätre, très gélif, exploité, autrefois, comme pierre à bâtir, malgré sa mauvaise qualité. Il fait facilement pâte avec l’eau. Ce calcaire est glauco- nieux et contient un très grand nombre de fossiles, parmi lesquels nous citerons : Am. Orbignyi. Am. Santonensis. Am. polyopsis. Janira quadricostata. Lima Santonensis. Pleurotomaria Santonensis. Ostrea proboscidea. O. Santonensis. Terebratula alata. Rhynchonella vespertilio. Crania striata. Salenia scutigera. S. Bourgeoisi. Pyrina ovulum. Hemiaster nasutulus. Catopyqus Toucasi. C. elongatus. Astrea striata. Syphonia ficoïdes, Cupulospongia dilatata, Un très grand nombre de Bryozoaires, etc., etc. Comme on le voit cette faune ‘est très variée. Sa richesse en Bryozoaires et en Polypiers constructeurs — 194 — tels que les Astrœa, indique des eaux tranquilles, peu profondes et un climat chaud. En effet, dans nos mers actuelles, les Polypiers constructeurs exigent, pour se développer, une température qui ne s’abaisse jamais au- dessous de + 20° centigrades et 37 mètres de profondeur au maximum. Comme les conditions biologiques géné- rales d’un mêmegroupe d'animaux nesemblent pasavoir changé depuis la période crétacée et même depuis la période jurassique jusqu’à nos jours (1), il nous est permis d’en conclure qu’à l’époque crétacée, les Poly- piers constructeurs se comportaient comme ils le font actuellement. Ce peu de profondeur dela mer santonienne supérieure à Saintes et dans ses environs immédiats, semble indi- quer que le rivage de cette mer devait se trouver dans ces parages et peut-être même entre Saintes et Taille- bourg. Les traces de ce rivage ont été enlevées par des érosions postérieures. Il est vrai qu’à côté de ces polypiers indiquant des mers peu profondes, on trouve de nombreux spon- giaires siliceux {Cupulospongia siphonia) habitant nor- malement à de très grandes profondeurs. Mais nous reviendrons sur ce point si paradoxal au premier abord, dans notre seconde note de géologie comprise dans ce volume. (1) Voici un exemple à l’appui de cette idée : on trouve dans nos mers actuelles un Brachiopode, la Terebratulina Gaprut serpentis, qui vivait déjà, à l’époque crétacée (Cénomanien et Turonien). Cette espèce est encore désignée par quelques auteurs sous le nom de T. striata. C’est donc là, comme le dit Huxley, une sorte de témoignage vivant, prouvant la continuité de l’his- toire présente avec l’histoire ancienne du globe. — 155 — J'ai trouvé assez souvent dans le calcaire santonien des carrières de Saintes, des Bryozoaires ramifiés ayant l’apparence de branches de corail, fixés sur des valves de Brachiopes {Crania) ou de Lamellibranches (Ostrea). C’est ainsi que je possède une valve d’Ostrea Matheroni à la surface de laquelle est fixé un de ces Bryozoaires. On a mème trouvé quelquefois des oursins sur les- quels s'était fixé un Crania supportant lui-même un Bryozoaire ou une serpule. Il est probable que les pro- grès de la science et des observations faites à ce sujet dans nos stations zoologiques maritimes, nous permet- tront un jour d’acquérir des notions sur la durée du développement et de l’existence de ces différents ani- maux. On comprend aisément combien ces notions seraient précieuses pour en déduire la vitesse moyenne de l’ac- cumulation des dépôts des mers crétacées et pour per- mettre de fixer la durée minimum de la période de la craie, ce qui n’a été fait jusqu'ici qu’au moyen de chifires très hypothétiques (1). Les Bryozoaires de même que les Coralliaires ne peuvent pas vivre dans la vase. Il faut donc admettre que, au moment où le (1) Les physiciens, par le calcul et les géologues, par l’ob- servation, sont d'accord, en général, pour fixer à un minimum de 20 millions d'années le temps nécessaire au dépôt de tous les terrains de sédiment. Ces 20 millions d'années seraient ainsi répartis : 15 millions pour les terrains primaires, 4 millions pour les terrains secon- daires et 1 million pour les terrains tertiaires. Certains auteurs font varier ce chiffre entre 20 et 100 millions d'années. M. James Dana propose l’hypothèse d’une durée totale de 48 millions d'années. Quoiqu'il en soit, nous le répétons, les auteurs pensent que la vie a fait son apparition à la surface du globe depuis 20 millions d'années au minimum. — 156 — Bryozoaire, à l’état de larve, s’est attaché sur la valve inférieure du Crania, adhérant elle-même au test de l’oursin débarrassé par la putréfaction de ses piquants et du tégument qui les porte (1), les sédiments ne re- couvraient pas encore le corps de l’oursin et la valve inférieure et fixée du Crania (la valve supérieure après la mort de l’animal à été le plus souvent détachée et entraînée à quelque distance). Comme le Bryozoaire est arrivé de l’état larvaire à son développement par- fait, il faut aussi admettre que pendant ce développe- ment les sédiments ne sont point venus le recouvrir. D'où l’on conclut que, pendant le temps qui s’est écoulé entre la mort, la décomposition des parties molles de l’échinide, la fixation, le développement, la mort du Crania et la fixation et le complet développe- ment du Bryozoaire, il ne s’est pas déposé une hauteur de craie suffisante pour recouvrir complètement l’échi- nide et la valve de Crania, c’est-à-dire une hauteur d'environ 3 centimètres. L’épaisseur des dépôts crétacés représentant de 300 à 400 mètres et ces dépôts s'étant effectués pendant une durée de temps qu’on évalue au minimum à un million d'années, on voit, par un simple calcul, que d’après ces données, il se serait déposé environ un centimètre de craie tous les 25 ans (2). Ce chiffre doit certainement être beaucoup trop élevé, ce qui proviendrait de la trop petite durée assignée à la mer crétacée. Les 3 cen- (1) C’est aussi au moment de sa phase larvaire que le Crania et les autres Brachiopodes se fixent à des corps sous-marins. (2) Soit, en moyenne, deux cinquièmes de millimètre par année. — 197 — timètres de sédiments qui ont recouvert l'échinide et la valve de Crania auraient donc exigé environ 15 années pour se déposer. Ce nombre d'années repré- senterait, d’après le calcul précédent, la plus petite valeur que l’on puisse assigner à la somme des années d'existence du Crania et du Bryozoaire. On conçoit aisément que ces chiffres sont plus ou moins fantai- sistes. Si, au contraire, comme nous l'avons déjà dit, on avait des notions suffisantes sur la durée de l’existence des animaux en question, on pourrait, par une marche inverse, calculer avec bien plus de chances d’exactitude le temps pendant lequel se sont déposés les sédiments crétacés. Par extension, on pourrait modifier les nombres adoptés jusqu’ici pour la durée des-différentes époques géologiques et le nombre représentant approxi- mativement les années écoulées depuis l’apparition de la vie à la surface du globe. Le calcaire santonien que l’on trouve à Saintes et dans les environs immédiats de cette ville, forme des bancs très épais et ayant quelquefois près de 2 mètres de hauteur, mais dont la stratification est assez diffi- cile à observer. On voit de distance en distance des rognons de silex blonds ou noirs. Ces silex se fondent quelquefois, en quelque sorte, dans la pâte des cal- caires en produisant une roche légèrement siliceuse. Il arrive même quelquefois que la silice forme de petits lits minces, continus. C’est ainsi que dans l’une des carrières des Arènes de Saintes, on peut observer un petit lit horizontal de silice grisâtre de 4à 5 milli- mètres d'épaisseur, s'étendant sur une longueur de près de 100 mètres. A l’entrée de ces mêmes carrières, 11 — 158 — les calcaires siliceux, exposés aux intempéries, ont leur surface rugueuse et perforée de petites cavités irrégu- lières. On a émis l’idée assez plausible que cette grande quantité de silices proviendrait des radiolaires et des spicules des nombreuses éponges siliceuses qui habi- taient les mers crétacées. Cette silice mélangée d’abord à la craie, s’en serait séparée par concrétion et en se réunissant autour de centres d'attraction et, de préfé- rence,autour des corps organiques en décomposition. Il n’est pas rare, en effet, de voir des fossiles {Echinides, Janira, ete.), empâtés dans des rognons de silex. Quand les couches de ce calcaire se trouvent au niveau du sol, leur partie supérieure est très fissurée, ce qui fait qu’elle se présente sous forme de blocs irré- guliers juxtaposés ou de petits lits horizontaux très minces. Le Santonien comprend ensuite des calcaires fissiles très marneux qui passent aux roches campaniennes et qui contiennent encore les fossiles précédemment cités (1), on peut bien les observer aux Roches de Saintes. Ils terminent la colline des Roches et ont une épaisseur d'environ 20 mètres en ce point. Au-dessous d’eux et sur uneépaisseur d’unecinquantaine de mètres, on trouve, le calcaire blanc-grisâtre, très gélif, signalé plus haut, c’est-à-dire les bancs qui surmontent le Coniacien. C’est dans ce dernier calcaire qu’on a ouvert deux rangées de carrières superposées à 5 mètres de distance l’une de l’autre. C’est lui qui constitue la base de la colline des Roches. (1) On y trouve aussi l'Am. Texanus. — 159 — La ville de Saintes repose sur ce calcaire glauconieux que l’on aperçoit très bien en certains points du quar- tier Saint-Eutrope et encore dans les carrières aban- données qui avoisinent les Arènes. (Pour l’étendue et la disposition du Santonien supérieur, voir la carte et les coupes). Le Campanien forme un îlot assez important à l'Ouest de Saintes, sur la rive gauche de la Charente. Cet îlot est entouré par le Santonien. La route de Saintes à Saint-Georges-des-Coteaux le traverse. Le Campanien comprend des calcaires marneux con- tenant d’abondantes Ostrea vesicularis, l’'Hippurites dilatatus, V'H. radiosus, le Radilites fissicostatus, V’'Hip- purites bioculatus, la Nerinea bisulcata, V'Ananchytes ovata, l'A. striata, le Conoclypeus Leskei, le Cyclolites elliptica, etc., etc. Il constitue un excellent sol pour la culture de la vigne. Les terrains crétacés sont recouverts assez fréquem- ment et surtout sur la rive droite de la Charente par un dépôt tertiaire représenté par des sables siliceux rougeàtres ou jaunâtres, contenant des rognons de silex. Dans ces sables, on trouve des veines de sable blanc et des dépôts d'argile à poterie. Aux environs de la Chapelle-des-Pots, ce dépôt tertiaire comprend à sa base, des assises irrégulières d’une argile jaune et blanche utilisée pour la fabrique de poteries gros- sières. Ces sables diffèrent fréquemment d’un dépôt à l’autre. La plupart d’entre eux semblent appartenir à la fin de l’éocène et sont analogues aux dépôts sidéro- lithiques de Sainte-Eanne et d’Avon dans les Deux- Sèvres. Ce sont alors des sables d’eau douce conte- — 160 — nant ordinairement des fossiles marins qui ont été arraché aux assises crétacées sur lesquelles reposent ces sables. | Nevtiate MA UPHbalosd ejfTe) | 28$nrB@ sb 2noTivIis 26h 2e | 2D5b104 BhonHLEN 184 - ohne en mn à mp à te À A tte + 13 2 cs À : an 5 " À 2 te + æ k TT : ET * sm : are ARMES PE me | 4 Carte géologique au 85° des environs de 9Saintes par MN. Edmond Bordade. Dames Re Ha cher Ablins : 7-02 A PERS Bi Re. ne Tertiaire c'e 1 221 Aluvions red] ". : Gautreau CEE k + LR Er VER RE Riel Vioallesis ae 117) CALAIS SAS I] AR an es DR UT mure Fontoouverke. rit or EE a ie Lo SE si « EXT VéLormont, Se Fi PA i LES NN LA DS lé NC / / ‘ du Cretacé aux environs Étude de Saintes. : Taillebourg 4 Chateau de Le Poirier Ruisseau de Fontcouverte Haub-Lormont Ruisseau > de Lormonk Bas-Lormont SE Vaize 1 é on] 9 k .— Coupe de Taïllébourg au Bas- Lormont.- 1-Angoumien; 9.- Coniacien; 3.- Santonien superieur ; #.- Tertiaire. A = AE ÿ 2 HE è EPA < SE 2 a 2 Le Be ame & À Z.® = En &-s TS à TD © D“, = > = op Ds Oo ss d% RE ES <® a TEE +6 ASE N E : 2% v AULED OU AC a © ' La PS MORE OS de ae D (2) HS SD ot pe 3 e A E s © Fa RE = CE gne LEE EE =] or e 4 — © hi à PHYSIOLOGIE VÉGÉTALE. Sur la faculté motrice chez les Végétaux et sur un procédé permettant d'obtenir la reproduction exacte des mouvements des Plantes PS PU, edmond BORDAGCGE Boursier de Licence près la Faculté des Sciences de Lyon, Membre de la Société géologique de France. De tout temps, les mouvements variés effectués par les différentes parties des plantes ont attiré l’attention des naturalistes. Dutrochet, Ch. Darwin, Duchartre, Sachs, Edouard Heckel, Wiesner, etc., ont publié d’in- téressants mémoires sur ce sujet. En 1884, après avoir lu le bel ouvrage de Charles Darwin sur la faculté motrice des plantes (The power of movement in Plants), je cherchai un procédé permet- tant d'obtenir des reproductions exactes des différentes sortes de mouvements végétaux. L’illustre naturaliste anglais qui ne voulait avoir qu'une idée générale de la marche du phénomène, employait la méthode suivante, dont la description est donnée dans l’ouvrage cité plus haut, M de à que —"4(2 l’on saisira facilement à l’aide du croquis ci-contre (1). (Voir fig. 1). Supposons que l’on veuille observer les mouvements exécutés par le sommet de la tige d’une plante qui croît, c’est-à-dire la circumnutation de cette tige. On colle à son extrémité une petite pointe de verre très légère dont on a noirci le sommet. Au-dessous, on dispose, en À, un petit carré de papier sur lequel on a marqué un point noir ; et, au-dessus, on place horizon- talement, au moyen d’un support, une lame de verre P. On place ensuite l’œil de façon à ce que les deux points noirs, le point mobile et le point fixe A coïncident exactement et on fait sur la lame de verre une marque à l’encre m, de telle sorte que les 3 points A, t, m soient en ligne droite. Onopère de même quand le sommet de la tige a pris une seconde position t,. En continuant ainsi et en reliant tous les points par un trait continu, on obtient sur la plaque de verre un tracé agrandi du mouvement circumnutatoire. C’est ‘par ce procédé que Ch. Darwin a obtenu les fig. 2 et 3 qui représentent : la première, la circumnutation d’une jeune tige de chou (Brassica oleracea) pendant 10 heures 45 minutes, et la seconde la circumnutation d’une jeune tige de primevère de Chine (Primula sinensis) pendant 9 heures. (1) Ge croquis m'a été obligeamment communiqué par M. Francis Darwin, professeur de botanique à l’Université de Cambridge, dans une lettre qu’il m’adressait au sujet des tra- vaux de son père, Charles Darwin, sur la faculté motrice des plantes. M. Francis Darwin, par la même occasion, m'offrait gracieusement un exemplaire de « The power of movement in Plants », ouvrage auquel il avait travaillé en collaboration avec son père. — 163 — Nous avons déjà dit quel était le but que se propo- sait l’auteur en employant ce procédé. Il est évident que si l’on veut avoir la représentation du mouvement exact dans ses moindres détails, c’est là, comme le déclare lui-même Ch. Darwin, un procédé absolument insuffisant et qui, de plus, a l’inconvénient d'exiger la présence presque continuelle de l’observateur. Si l’on jette un coup-d’œil sur les fig. 2 et 3, on verra que le tracé du mouvement entre les points 4 et 5 (fig. 2) et entre les points a et b (fig. 3) au lieu d’être une ligne droite ou un arc de cercle, comme la figuré l’expéri- mentateur d’après une simple supposition, doit être en réalité bien plus complexe et se composer d’une série de sinuosités et de courbes dirigées dans difiérents sens. C’est au début de l’année 1884 que nous songeâmes à employer la photographie pour obtenir des repro- ductions exactes du mouvement végétal. Le principe que nous avons pris comme point de départ est des plus simples et il avait déjà donné de magnifiques ré- sultats à M. Marey, dans ses études sur la locomotion animale. Si l’on dirige un appareil photographique sur un orifice suffisamment large percé dans l’une des parois d’une caisse noircie intérieurement de façon à ce que l'obscurité absolue règne dans cette caisse, on pourra . démasquer l'objectif sans que la plaque sensible soit impressionnée, Car elle ne recevra pas de lumière. Mais si, parallèlement à cette plaque on fait se déplacer entre la caisse et l’objectif un objet blanc ou brillant vivement éclairé par le soleil, l’image de cet objet im- — 164 — pressionnera la plaque sensible sur laquelle on verra la trace de son passage sous forme d’une trajectoire continue. Nous appuyant sur ce principe, nous avons fixé au sommet de la partie végétale à étudier, d’une tige, par exemple, un très petit filament de verre terminé par une partie arrondie minuscule fondue au chalumeau. C’est un simple fil de verre d’un poids tellement négligeable _ que, comme l’a fait remarquer M. Darwin lui-même, la plante ne s’en trouve nullement incommodée et les mouvements à étudier ne sont point altérés en quoi que ce soit. La petite tête de verre est laissée telle qu’elle est, ou enduite d’une substance d’un blanc mat, tandis que le reste de la petite tige de verre estsoigneusement noirci. Cette tige se fixe facilement au moyen de colle liquide ordinaire à la partie à étudier. La colle liquide est tout à fait inoflensive pour les tissus végétaux et du reste, la quantité que l’on emploie dans ce cas est réellement insignifiante. Ch. Darwin employait de la cire à cacheter noire et a constaté que cette substance n’avait également aucune influence fâcheuse sur les plantes. La plante peut être ensuite placée dans une grande caisse noire (voir fig. 4). On fait arriver un rayon de soleil latéralement sur la petite tête de verre, mais de façon à ce que la plante elle-même reste dans l'obscurité. On dispose deux appareils photographiques comme l'indique la figure, l’un horizontalement et l’autre verticalement. Avant que la petite tige de verre ait cessé d’être au point, on a, sur la plaque horizon- tale, la trajectoire décrite par le sommet de la plante, et sur la plaque verticale, la projection verticale du — 165 — même mouvement (1). Mais, la partie du végétal que l’on étudie, se déplaçant suivant les trois dimensions de l’espace, pour percevoir les inflexions de la trajec- toire dans tous les sens, il faut recourir à la stéréos- copie. Il suffit pour cela, de placer les deux appareils photographiques l'un à côté de l’autre suivant une même paroi de la caisse. Les images ainsi obtenues, donnent, quand on les examine au stéréoscope, la sen- sation de relief. _ Au lieu d’encastrer, en quelque sorte, le tube qui porte l’objectif dans un orifice pratiqué dans la paroi de la grande caisse (fig. 4), on peut placer complètement les appareils à l’intérieur de cette caisse, tout en con- tinuant à opérer comme nous venons de l’indiquer. Dans certains cas, la croissance de la partie végétale observée est très lente et les déplacements de la petite tige de verre sont presque inappréciables. On peut, dans ce cas, disposer l’appareil photographique de façon à obtenir une reproduction amplifiée du mouvement. Enfin, quand ces mouvements sont par trop réduits, (1) Nous devons dire que la photographie obtenue sur la plaque verticale ne donne presque jamais de bons résultats. En effet, les tours sont quelquefois très nombreux pour une très petite croissance. On obtient alors sur la plaque verticale des traits qui tendent à coïncider entre eux. Il en résulte une sorte de tache indécise. Mais cet inconvénient est supprimé avec les plantes qui croissent avec rapidité tout en ne faisant pas un très grand nombre de tours en un temps donné. C’est ainsi qu'avec le houblon qui croit en raison de 3 millimètres et demi en moyenne, par 24 heures, au mois de juin, et qui ne fait un tour complet que toutes les deux heures et demie environ, on obtient d'excellentes photographies sur la piaque verticale ; deux demi- tuurs consécutifs étant séparés par une distance d’à peu près 8 millimètres. On obtient aussi de bons résultats avec le volu- bilis et avec le liseron des haies (Convolvulus sepium). — 166 — on pourrait, croyons-nous, employer les procédés de la photomicrographie, c’est-à-dire, adopter un micros- cope à grossissement faible à l’appareil photographique. La croissance des plantes nécessitant l’emploi de ce procédé, étant très lente, on pourrait, avant que la petite tête de verre ait cessé d’être au point, obtenir une représentation suffisante de leur mouvement (quelquefois, le sommet d’une tige croissant lentement peut effectuer plusieurs tours circumnutatoires pendant qu’elle ne croît que d’une quantité insignifiante repré- sentée par de petites fractions de millimètres). Le dispositif que nous venons de décrire, a l’incon- vénient de maintenir la plante dans l’obscurité, ce qui modifie sensiblement ses conditions physiologiques et amène comme on le sait, à la longue, l’étiolement. Nous devons cependant ajouter que, pendant le temps assez court, nécessaire pour obtenir une reproduction du mouvement, cette influence n’a guère le temps de se faire sentir. La croissance de la plante estaugmentée sans que la nature de ses mouvements soit modifiée I n’en serait pas ainsi dans le cas où la plante demeu- rerait longtemps plongée dans les ténèbres, et nous aurons l’occasion de revenir sur ce sujet un peu plus loin. Si on ne fait arriver que d’un seul côté la lumière sur la pointe, ce sera encore là se mettre dans un cas particulier. En effet, quel que soit le peu d'amplitude du rayon lumineux que l’on fait tomber sur cette pointe, la quantité de lumière est cependant encore suffisante pour éclairer, faiblement, il est vrai, le sommet même de la partie végétale étudiée. Cet éclai- rage est plus considérable sur la face directement — 167 — frappée par la lumière que sur la face opposée. Il en résulte une radiation inéquilatérale susceptible de causer des mouvements tout particuliers, comme nous le verrons un peu plus loin. On peut parer à cet incon- vénient, en faisant parvenir sur la pointe, un second petit filet de lumière, par un orifice percé dans la paroi opposée à celle qui présente l’orifice m (fig. 4). Il est plus simple, pour éviter les deux inconvénients que nous venons de signaler, d'adopter le dispositif in- diqué par la fig. 5, dispositif que la figure en question et la légende explicative qui l'accompagne feront com- prendre suffisamment. De cette façon on se met entiè- rement dans les conditions normales. C’est au moyen de ce dernier procédé que nous avons obtenu les figures 6 et 7 qui représentent les mouvements de circumnutation d'une tige de volubilis (Ipomæa purpurea) étudiée à deux stades différents du développement de la plante. (L'appareil photogra- phique occupait la position (a) indiquée sur la fig. 5). Ces photographies ont été faites sous notre direction par M. Laloge, photographe à Nantua (Aïn). Le mieux est d'opérer sous une sorte de hangar ou de serre vitrée, Rhissant pénétrer la lumière de tous les côtés. On soustrait ainsi la plante à l'agitation de l’at- mosphère qui pourrait provoquer des mouvements anormaux dans le cas où l’on opérerait en plein air. La fig. 7 représente les mouvements de cireumnu- tation d’une jeune tige de volubilis qui n’a pas encore commencé à s’enrouler autour d’un support. Ces mou- vements sont ceux qui accompagnent la croissance de toute tige non volubile. Ils se composent d’une succes- sion de courbes circulaires ou elliptiques plus ou moins — 168 — irrégulières et le sens même de ces mouvements varie à chaque instant. Ils sont provoqués par l'inégalité d’allongement des différents points de la zone de crois- sance de la tige. La ligne de plus fort allongement se déplaçant progressivement tout autour de l’axe du végétal, la tige imprime continuellement à son sommet, à mesure qu'il s'élève, un mouvement circulaire ou elliptique le long d’une hélice ascendante. Il va sans dire que le nombre des tours décrits dans un temps donné varie beaucoup suivant les plantes. Quelque- fois la plupart de ces tours sont incomplets, comme le montre la fig. 7. Lorsque le volubilis n’a pas encore commencé à s’en- rouler autour de son support, il se montre doué d’hé- liatropisme positif. Si nous considérons maintenant la figure 6 qui repré- sente le mouvement de la tige du volubilis quand elle s’enroule autour de son support, on voit qu’elle a un aspect tout particulier et que les tours ascendants sont ‘toujours dirigés dans le même sens, de gauche à droite en montant quand on a le support devant soi. D’autres plantes volubiles s’enroulent au contraire à gauche (houblon, chèvrefeuille). - Le sens de l’enroulement peut même changer quel- quefois ; la tige peut s’enrouler d’abord dans un sens, puis dans le sens opposé (Loasa aurantiaca, etc.). L’en- roulement est précédé d’une circumnutation et accom- pagné d’une torsion dans le même sens. Ordinaire- ment deux ou trois des plus jeunes entre-nœuds se trouvent en même temps en mouvement révolutif ; la courbure de la région mobile est alors une sorte d’S très de. — 169 — allongé, dont les différentes parties ne sont pas dans un même plan. La lumière qui, comme nous allons le voir joue un si grand rôle, par son intensité, sa direction, sa cou- leur, sur le mouvement végétal, n’a cependant aucune action directe sur le mouvement des plantes volubiles. C’est ainsi que M. Duchartre a prouvé que la tige de la Patate (Dioscorea batatas) continue à s’enrouler autour de son support, dans l’obscurité. Ce n’est qu’à la longue que, l’étiolement se produisant, la plante abandonne son support et ne tarderait pas à périr si cet état de choses continuait. De notre côté, quelques recherches faites en 1888, au laboratoire de physiologie générale de la faculté des sciences de Lyon avec les conseils bienveillants et pré- cieux de M. le professeur R. Dubois, nous ont prouvé que les lumières colorées n'avaient pas d'influence directe sur l’enroulement de la tige du volubilis. Le nombre des tours effectués en un temps donné diminue seulement, lorsqu'on fait arriver sur la plante, sous forme de radiation équilatérale, les rayons d’une lumière colorée dont l'influence sur la croissance est bien plus retardatrice que celle de la lumière blanche ordinaire. Les rayons violets qui retardent beaucoup la croissance, diminuent surtout considérablement le nombre de c2s tours. La plante est, pour ainsi dire, dans un état de langueur ; et, nous croyons qu’à la longue, les rayons violets et ultra-violets amèneraient le dépérissement et la mort de la plante (1). (1) Les rayons ultra-violets ne sont pas visibles pour nous ; mais, comme on vient de le voir, leur influence est ressentie — 170 — En faisant ensuite agir des radiations colorées iné- quilatérales sur le volubilis, c’est-à-dire en ne faisant arriver la lumière que sur un seul côté de la plante, nous avons pu nous assurer que dans ce cas encore, l’enroulement continuait encore et que la radiation ne déterminait aucune flexion anormale capable de forcer la plante à abandonner son support. Ch. Darwin a prouvé que lhéliotropisme positif existe cependant dans les tiges volubiles, mais qu’il est très peu marqué. Il est évident que s’il l'était davan- tage, 1l déterminerait dans la tige des flexions capables de lui faire abandonner son support, ce qui condam- nerait infailliblement la plante à être étouffée par les herbes voisines. Dans le cas d’un éclairage unilatéral, la radiation manifeste cependant son action d’une certaine façon. Ainsi pour le volubilis, la demi-révo- lution s’éloignant de la lumière étant de 4 heures 30 minutes, la demi-révolution s’en rapprochant est d’une heure. Ce qui représente une différence de 3 heures 90 minutes (1). par les plantes. Nous verrons même, un peu plus loin, qu’ils sont quelquefois désignés sous le nom de rayons végétaux. Certains animaux sont aussi très sensibles à l'influence de ces ravons. C’est ainsi que Lubbock a prouvé que les fourmis fuient en emportant leurs larves quand on fait tomber sur elles des rayons ultra-violets. De son côté, V. Graber a montré que, certains batraciens et les lombrics fuient aussi ces rayons qui semblent exercer une action néfaste sur certains animaux et nuisent au développement des végétaux. (1) De notre côté, nous avons pu constater que si l’hétiotro- pisme ne se manifeste pas pour la partie tout à fait terminale et le dernier entre-nœud de la tige du volubilis, son action est sensible cependant sur lavant-dernier entre-nœud ou même sur le précédent dont la croissance a déjà commencé à diminuer sensiblement. Si on laisse jour et nuit le volubilis exposé à une — 171 — Etudions maintenant d’une façon plus générale, sans nous borner seulement aux plantes volubiles, quel est l'effet produit sur la croissance et la direction de la tige : 10 par l’action d’une radiation équilatérale ; 2° par l’action d’une radiation inéquilatérale. Ce que nous dirons pour la tige s’appliquera également aux autres parties du végétal (racine, feuilles). Voici ce que nous dit M. Van Tieghem, dans son Traité de botanique : « La radiation équilatérale retarde la croissance. Si l’on soumet à l’action d’une radiation équilatérale un pied de Vesce (Vicia sativa) et un pied de Passerage cultivé (Lepidium sativum), on constate que la Vesce est plus sensible à la radiation que le Passerage. Chez la première de ces plantes, en effet, la croissance est diminuée de moitié ; tandis que chez la seconde, elle n’est diminuée que d’un tiers. Tous les rayons, y com- pris les infra-rouges ont une action retardatrice sur la croissance ; mais cette action est fort inégale. Les rayons jaunes agissent le moins. A partir du jaune, l’action va en augmentant d'intensité mais cela faible- ment, vers le rouge et l’infra-rouge où elle atteint un premier et faible maximum. Elle augmente ensuite plus rapidement vers le bleu, le violet et l’ultra-violet où elle atteint un second maximum beaucoup plus élevé que le premier. Cette loi générale a été établie lumière inéquilatérale et cela pendant assez longtemps, la plante se trouvant dans des conditions anormales, jamais réali- sées dans la nature, on voit l’entre-nœud en question se mon- trer doué d’héliotropisme positif et se courber d’une facon définitive vers la lumière, — 172 — par M. Wiesner et peut être représentée par une courbe. (fig. 8). Il faut aussi tenir compte de l’intensité de la source lumineuse. Si l’on éloigne la plante de cette source, on voit d'abord la croissance diminuer jusqu’à une cer- taine distance où elle atteint son minimum, puis elle augmente de plus en plus à mesure qu’on s'éloigne, jusqu’à prendre la valeur qui correspond à l’obscurité complète. Il y a donc un optimum d'intensité. Plus taible ou plus forte que dans le cas où elle correspond à cet optimum, la radiation agit évidemment d’une façon moins sensible; voyons maintenant quel est l'effet de la radiation inéquilatérale. Si l'intensité de la radiation incidente est à l’optimum ou au-dessous, la face éclairée, dont l’allongement est sensiblement diminué, deviendra concave; tandis que la face opposée dont l’allongement est moins diminué, ou même si le corps est opaque, s'opère comme dans la chambre obscure, deviendra convexe. Le corps s’in- fléchira vers la source. On dit alors que la plante cherche la lumière. Si l'intensité de la radiation est au-dessus de l’optimum, la face éclairée subira dans sa croissance un retard moindre que dans le premier cas. La face opposée suivant l’écart entre l'intensité incidente et l’optimum, suivant l'épaisseur et la faculté absorbante du corps, pourra se comporter de trois manières différentes : 1° si elle est moins retardée que l’autre, la courbure aura lieu vers la source ; 2 si elle est retardée exactement autant que l’autre, il n’y aura pas de flexion ; 3° enfin, si elle est plus retardée que l’autre, ce qui arrive dans un assez grand nombre de cas où la radiation incidente est très intense, la flexion — 173 — aura lieu en sens contraire de la source: la plante fuira la lumière. Quand l’organe se dirige vers la lumière, on dit qu’il y a héliotropisme positif et, en cas con- traire, on dit qu'il y a héliotropisme négatif. C’est évidemment dans la région de croissance que la flexion est localisée. Nous avons étudié l'influence de la lumière blanche ordinaire sous forme de radiations inéquilatérales ; voyons maintenant quelle est l’action des différentes lumières colorées. Le jaune est sans action. La flexion commence à partir du vert. Elle croît vers le bleu et le violet et atteint son maximum à la limite du violet et de l’ultra- violet entre H et I. Elle décroît ensuite lentement dans la région ultra-violette. A l’extrémité de cette région, là où les sels d'argent cessent de noircir, où les substances fluorescentes ne luisent plus, elle se mani- feste encore faiblement et ne cesse tout à fait qu’un peu plus loin à une distance ordinairement égale à deux fois la longueur de la bande lumineuse avec un prisme de quartz. Dans la région la plus réfrangible du spectre, l’in- fluence de la radiation sur la croissance traduite ici par la flexion de la tige, suit donc sensiblement la même marche que son influence sur les sels d’argent et présente son maximum au même endroit. Seulement, elle se prolonge plus loin et, il existe à l’extrémité du spectre, un groupe de rayons assez réfrangibles pour n’agir plus ni sur les sels d'argent, ni sur les substances fluorescentes, et qui pourtant influencent encore la croissance des plantes. C’est même par cet effet qu’ils deviennent sensibles à l'observation, — 174 — On les désigne sous le nom de rayons végétaux. La plupart des plantes ont leur tige douée normale- ment d’un héliotropisme positif, ce qui leur permet de diriger leurs feuilles vers la radiation qui joue un si grand rôle dans la fonction chlorophyllienne. L'action de la lumière étant retardatrice de la croissance (les plantes croissent plus vite dans l'obscurité qu’exposées à la lumière, mais cela aux dépens de leur accroisse- ment en diamètre et elles ne tardent pas à venir trop : grèles pour se soutenir), le but de l’héliotropisme positif est ensuite de placer la tige dans la radiation incidente dans la position où elle en reçoit le moins possible. En un mot, les feuilles reçoivent le plus de lumière possible, tandis que la tige proprement dite s’y soustrait jusqu’à un certain point. L'héliotropisme négatif existe aussi normalement dans un grand nombre de tiges (chicorée, ortie, ga- lium, etc.). Chez ces plantes, il a pour but apparem- ment d’éloigner la tige de la radiation quand celle-ci devient trop forte. Du reste nous l’avons dit, selon les conditions dans lesquelles on la place, une tige ou, en général, une partie quelconque de végétal, peut montrer un héliotropisme positif ou un héliotropisme négatif. Mais c’est chez les plantes grimpantes munies de crampons (lierre) ou de vrilles adhésives (vigne vierge) que l’héliotropisme négatif joue un grand rôle. Grâce à lui, les tiges fuient la lumière et viennent s'appliquer : fortement contre les murs ou les arbres qui leur servent de support. Quelques-uns de ces végétaux grimpants, lorsqu'ils sont très jeunes, ont leur tige très sensible à l’héliotropisme. Ce n’est que plus tard qu’ils fuient la lumière. Le lierre est dans ce cas. — 175 — Les mouvements végétaux sont des plus variés; outre les mouvements de cireumnutation décrits pen- dant la croissance de la tige, il y a encore les mouve- ments si curieux décrits par l’extrémité des racines. La plupartdes racines aériennes (Orchidées, Aroïdées, Bignoniacées, etc.), ont un hélotropisme négatif très marqué. Il est cependant des racines aériennes qui ne manifestent que très peu cet héliotropisme négatif ou même ne le manifestent pas du tout et sont complète- ment insensibles à l’effet de la radiation. Si l’on considère maintenant des plantes terrestres, on verra qu’il en est un grand nombre, qui se montrent aussi douées d’héliotropisme négatif, mais cela d’une façon bien moins sensible. Il est très rare cependant que l’action de la radiation soit suffisante pour l’em- porter sur le géotropisme positif et infléchir la racine. Il est enfin des cas pour lesquels on a avec une lumière intense un héliotropisme positif, capable même de l’emporter sur le géotropisme (Ail, Lentille d’eau, Jacinthe). Il y à aussi l’action de la chaleur de thermotropisme. À partir d’une certaine limite inférieure, pour laquelle la vitesse d’accroissement est nulle, cette vitesse augmente avec la température jusqu’à un certain opti- mum variant avec la plante considérée ; elle diminue ensuite de nouveau et s’annule enfin à une limite supé- rieure variable encore selon la plante considérée. Des mouvements dûs au thermotropisme s’observent aussi bien chez la tige que chez la racine (1). (1) Il y a des mouvements de thermotropisme positif ou de thermotropisme négatif. Ces flexions se produisent quand on — 176 — Des mouvements de la racine et de la tige peuvent encore être provoqués par l’action de l’humidité ou hydrotropisme. Cette influence est ordinairement accé- lératrice de la croissance pour la tige. Si la tige est exposée sur ses divers côtés à une humidité inégale, elle s’infléchira alors sur le côté le plus sec et fuira l'humidité. Son hydrotropisme sera négatif. L'action exercée sur la racine est tout opposée ; la pointe de la . racine tend à se diriger vers la partie la plus humide. Tout récemment, M. Musset, professeur à la Faculté des sciences de Grenoble, a communiqué à l’Académie des sciences, un travail fort curieux dans lequel il signale l’influence toute particulière exercée par les rayons lunaires sur les végétaux. M. Musset donne à cette action le nom de sélénotropisme. I1 résulte de ce travail que des végétaux complètement plongés dans l’obscurité d’une cave, ont malgré cela exécuté des mouvements en rapport avec l’action même de la lune. Les feuilles présentent aussi des mouvements très curieux à observer. Les plus remarquables sont ceux qui déterminent chez certaines feuilles les positions dites de veille et de sommeil. C’est ainsi que les folioles du Robinier faux-Acacia, du Lupin, de la Glycine, du Haricot, etc., horizontales à leur état de veille, c’est- à-dire pendant le jour, se rabattent vers le bas, de manière à se toucher par leurs faces inférieures lors- qu’elles sont plongées dans l’obscurité, ce qui constitue leur position dite de sommeil. Ces mouvements sont fait agir d’une façon inéquilatérale la chaleur sur le végétal. Elles peuvent varier de sens quand on change la distance de la source de chaleur absolument comme on l’a constaté pour la radiation inéquilatérale. — 177 — encore bien plus complexes et produits par des causes variables dans la sensitive. Chez d’autres végétaux (Lotus, Trèfle, Luzerne, Vesce, etc.), les feuilles se tournent au contraire vers le haut, de façon à appli- quer leurs faces supérieures l’une contre l’autre, pen- dant leur sommeil. Dans tous les cas, c'est par une série d’oscillations que la feuille passe de la position de veille à la position de sommeil. Si l’on considère, par exemple, une feuille à mou- vement descendant, on voit qu'après un abaissement soudain il y a un relèvement, puis une nouvelle chute plus profonde que la première, et ainsi de suite. Ces mouvements se terminent par une série de petits fré- missements (1). On peut provoquer ces mouvements, en plongeant d’abord la plante dans l’obscurité ; les feuilles prennent alors la position de sommeil. Si, ensuite on fait arriver sur les feuilles de la lumière blanche ordinaire, on les voit reprendre leur position normale. Les rayons co- lorés de la moitié la plus réfrangible du spectre, bleus, violets et ultra-violets sont les seuls qui agissent comme la lumière blanche. La plante plongée dans la lumière rouge se comporte comme si elle était dans l’obscurité. On conçoit aisément qu’il serait intéressant d'étudier ces différentsmouvements par le procédé photogra- phique. A côté de ces mouvements trop lents et trop com- # (1) L'étude de la plupart de ces mouvements est exposée d’une façon remarquable dans le beau traité de botanique de M. Van Tieghem. 13 — 178 — plexes pour qu’il soit possible de songer à les observer directement, il est des mouvements simples, assez rapides et assez apparents que l’on peut étudier sans l’aide d'aucun procédé particulier. Ces mouvements sont produits par des parties végétales séparées de la plante mère (spores, graines). Le microscope seul est nécessaire pour l'observation des mouvements si curieux des spores d’Algues nageant dans l’eau ; et on peut voir à l’œil nu les mouvements vraiment mer- veilleux exécutés par les graines d’une plante exotique voisine de notre Gui. En général, les espèces alliées au Gui possèdent des graines visqueuses, et offrant, par suite, beaucoup de chances d’adhérer à l’écorce d’une branche ou du tronc de l’arbre sur lequel s’est déve- loppée la plante-mère, quand elles se détacheront de celle-ci. S’il en était autrement, elles tomberaient sur le sol et ne tarderaient pas à périr. Mais la plante dont nous voulons parler produit des graines qui, grâce à certains mouvements qu’elles peuventexécuter, peuvent se soustraire à un pareil sort et choisir, en quelque sorte, l’endroit le plus propice à leur développe- ment (1). Si, en eflet, une de ces graines tombe sur le sol, elle germe et sa radicule s’élargit à son extrémité libre, en une sorte de petit disque. La surface de ce disque vient s'appliquer sur lesol, y adhère fortement. La radicule se redressant ensuite, tout en continuant à adhérer à son point d’attache, le corps même de la graine est obligé d'abandonner le sol et est soulevé en (1) John Lubbock. La vie des Plantes. Traduction, anno- talions et préface, par Edmond Bordage. Paris, J.-B. Baillière et tils, 1889. mets (UIMIR( ‘U9 saude.{) ‘sexnoyyy quep rad (SISUSuS E[NUITX] ) auty) 2p SI9ASUIIZ 9p "IOAIOU UE199 J119d /J — AUAUrAININTQQUI SIOJTOU aÿr2 eunal eun,p UOIRERNUWNOIT) BE] 20 904 — EL] 2/029p Sexpurylo Sfuor xnap 2p ua | "OUI NE SNU97Q0 SIIOU SPUOJ Se ANS AU9UQJOU 940879 9S [T9[0S 2] IE 891IEf09 FUAUISAIA 39U10d 99289 onb 90 P uode] 3p 2998/d 159 J/, ‘Q 24107 3p aqurod antqad 8] XI] 1 uo ajçenber ap jeururos ne ‘421pn92 e gque]d ET ‘FU; EAUOZTIOY 2120P,] /, ‘Wauwereotgtan un j'sesodeip sanbryd 7 -euÿozoyd syraredde xnep sep" ee == 2A1}V0IJdX9 apuaÿaT PRE enr en K SSSSSSS Cutmavq ‘UD Soxde,q ) 7 ‘Snu21q0 © S2] UO NO SJPIO,] SPP S2701aUNU L 979 JU0 AIU9A 9 UE] PJ INS SenbieuI SQurod Sa[ 79 AUeuISAnOU np UOr?IaIp Ej Juanbipur À. à / ST SAUI8/] S2T ‘se UTUI G# S2INOY PJ AUEPUIL 8298J90 BotsSEIg) 7070 np aÿr ounal er e Es 18 a ° © 9 Xe | T O @) [ESS Cd co “HOAUOU UEJ09 Jjad J — AUAUrINARMAUT SIDJTOU — EL 4j 2/02 Sespurpfo Sfuop Xnap 2p u2 “our NE SNUS/70 SITOU SPUOT Saf ANS AUAUAIOU eU2P7ap 25 [N[OS a[ PA 8211ef02 FUAUISATA a7u TOM HU. 2722 enb 82 r uoÿez ap 2208[d 752 °q auue1 ap aqurod ta ief 2x7 e Lo ajpenbef 2p jaururos ne} rarpNqa e SAUEA ET ‘AUaUra/ PAUOTI-LOY 2LANE,[ ‘quaua[eor7aA Un ['S250d610 saenbryd =esSoyoydspratedds xnap safe 2AT}E0IJdXa 2puaÿa 7 VD LL 0 ‘ainosgo 21QuIEU) aun suep 2an91s aque]d eLap af epep jeuturos ne ex {4 jeu aue[q L un,p NO oqueyiiQ qurod ajradiej MS aJatLEN ap Je[LE un JeqQUro7 greg uo penbar «ed eouyrto j1jad 'W !senbrydesbooyd srauedde xnap saf ‘g-K (uimMueg ‘y9 saude,q) ‘saanayzp quep -uad(srsuauts e[NUTI] ) aU(Y) 2P SJIAIUIIZ 9P ofr aunoleun/p uoreinuunoutl er 2p 208.1 (UTIMISQ ‘UD soude,q ) Snu21q0 & Sa[ UO no 21p10/ SPP 827018 272 AU0 ah 20 8e] PJ ANS Sarmbieur SQurod S2[ 72 AUeUISANOUL np UO19211p 8 Auanbrpur SIUISILSOT %> S#S21N2Y 0; QUBpUId (Ba9B/90 SSL) noyo np 2817 aunal eg $E LOIRE UWNOUD EF 4P 8984, 8 911 L (uiAIEG A ‘y 8p smbouo un sauide q) ‘1e78$2A quauraanour 3j taipnga ANOd UIMIE( 1} 38 y) ed aojdurs 8p2901 7 ot$oçots Au (UIMIE (TU) saxde,p) nequue ug }U2w9/ NOIU9 -C “ JI0ID a[gue P a1nNQ1N09 -g UOIXAT b 9p 1n92P-j - JAUUOS NE QUEUE] 2[r00(v)xerded ap nveeouou 11794 un,p aoues -asd ej 184 249.7 PJ 3P aUIIEI er subp #gnboaoid aungun0) L SU PER (‘2182U0Z1I0Y An} 2[qisu2s onbejd ej anb 22 e uosez 2p oquerd er 2p Jourwos np snSSap ne 298] are2o onbiydesfoqoud jraiedde ,7 ) ; ‘juoddns un,p Anoqne JaJNoua,s e 20U2LUO) 2U09U9 Sed B,u mb sIjIQ [OA 9p aÿ17 aunal dun,p eutopemuunor) AUaUaANOW (UTMAE( saxde.p) NEUUE Ua JUUI2 lato.ip ajfue P 3179-09 -ÿ * UOIXE/T EC) ’ © œ uol2/8197E] Princes —_ NA nrjadl un,p aoues * = NE (‘alPAuozL1oY 3} 2[qisU28 anbe[d v anb 22e uo9e; 2p 2JU0[ ef 2p Jour uos np ENSSaP 18 22vçd 12 onbrydefoqoud [1218408 ;T ) juoddns un,p uos 210ou2 sed e,u mb qenuunoJta AUAUTZANOWT (o$epsog'pq ‘argdeufoqoyd aun saude,p } —'Sanutur (4 s21n0Y [[ Ua 291192p 272 8 au10709{617 eq — 71ed- -ap ap Au10d ‘y-(S1n07 sap opnartdiue Ja apue-sÿ ec anbyrdxa mb 29 naoddns ap nadun ressedap 2519 8j 2p 208 71) (eamdand emurod ) siyrqn[oA ap aÿr3 aun,P JU N0IUa,p JUAUIZANOW (ausarm sadep) 2UESS/019 EJ ANS eetaqermba uolie(p -BI E[ 2 3011PEPIEYAI U0I99E,] “27I[IQISUBAJAT BJ 99AE a[JEA JUalIUIO) JUEJRUOUI 9q.1n07 H ©? di 4 A 924 — 179 — l'air. La radicule se courbe encore de nouveau de façon à ramener le corps de la graine au contact de la terre à laquelle elle adhère grâce à sa viscosité; puis, la radicule se redresse de nouveau en soulevant la graine, et ainsi de suite, jusqu'à ce que, par cette série de mouvements admirables, la graine soit mise en contact avec l’écorce d’un tronc d’arbre sur lequel elle se dé- placera de façon à arriver à un endroit favorable à son développement. On peut aussi provoquer artificiellement chez la racine des plantes, des mouvements fortremarquables. Il suffit, en eflet, comme l’a prouvé Ch. Darwin, d’une légère pression comme celle qui résulte du contact d’un corps solide pour modifier la croissance de la racine et provoquer une forte courbure. Si on colle un petit carré de papier latéralement sur la coiffe de la racine, cette dernière devient convexe du côté touché et con- cave du côté opposé (fig. 9). Elle se courbe alors de façon à fuir le corps solide. C’est cette sensibilité qui permet aux racines de contourner les obstacles, les pierres qu’elles rencontrent dans le sol et de suivre les lignes de moindre résistance. C’est, en un mot, cette propriété qui, jointe à l’hydrotropisme et au géotro- pisme (1) détermine le cheminement normal desracines souterraines. En modifiant légèrement les dispositions indiquées (14) C’est en vertu du géotropisme que la racine et la tige tendent à croître verticalement. Les racines tendent générale- ment à s’enfoncer verticalement dans le sol; on dit alors qu’elles possèdent un géotropisme positif. Les tiges tendent au contraire généralement à s'élever verticalement dans l’air ; on dit alors qu’elles sont douées d’un géotropisme négatif. — 180 — pour notre procédé, on arrive aisément à obtenir la reproduction de ces mouvements de courbure si curieux. D’après cela, on conçoit facilement que, pour étu- dier les mouvements normaux de circumnutation d’une racine, il ne faudrait pas fixer une petite tige de verre terminée par une pointe à l’extrémité de cette racine. On sortirait ainsi des conditions normales, car dans le _sol, le contact de la racine avec des obstacles suscep- tibles de provoquer des courbures n’est que momen- tané. La pointe de verre fixée à l’extrémité constitue- rait un obstacle permanent capable de produire une série de flexions anormales. Pour étudier la circum- nutation proprement dite, le meilleur moyen consis- terait, Croyons-nous, à noircir avec du noir de fumée la racine, à l’exception de la pointe terminale dans la- quelle se localise la croissance. Cette partie terminale demeurant blanche pourra, si elle reçoit une radiation équilatérale, être suffisamment apparente pour être photographiée par notre procédé. Il faudrait dans ce cas, disposer horizontalement l'appareil photographique et le mettre non au-dessus de la caisse noire, mais au- dessous, au contraire, étant donné le sens de l’allon- gement d’une racine. Nous devons enfin signaler les mouvements si curieux des feuilles des plantes dites carnivores, feuilles capables de maintenir prisonniers et de tuer les insectes imprudents qui viennent se poser sur elles (Drosera, Dionée attrape-mouche, etc.). Nous n’omettrons pas non plus les mouvements effectués par les étamines de certainesfleurs au moment de la fécondation (Rue, Parnassie, etc.). — 181 — On voit combien est intéressante l'étude de ces divers mouvements. Ceux de la tige et de la racine sont, en particulier, de la plus haute importance pour la plante. C’est en effet le sens de la résultante des forces représentées par le géotropisme, le thermo- tropisme, l’hydrotropisme, qui détermine aussi la direction que suivront les différents membres de la plante ; et, résultat vraiment admirable, cette direction sera telle qu’elle mettra le végétal dans les conditions les plus favorables à son parfait développement. Les mouvements que fait la racine pour contourner les obstacles sont tellement curieux que Ch. Darwin n’a pas craint de comparer l’action du sommet de la racine du végétal à celle du cerveau de l’animal, parce que ce sommet semble percevoir des sensations de contact et est capable de diriger les mouvements de la racine. : GÉOLOGIE. — #4 "74 << +— ÉTUDE SUR UN POINT INTÉRESSANT DU DÉTROIT POITEVIN : PAMPROUX (Deux-Sèvres) et ses environs SUIVIE DE Quelques considérations incidentes sur la provenance des matériaux qui ont servi à construire les monu- ments robenhausiens de la station préhistorique de Bougon (AVEC UNE CARTE GÉOLOGIQUE ET DEUX COUPES) Par M. Edmond BORDAGE Licencié -ès-sciences, Membre de la Société géologique de France. | * a L. — STRATIGRAPÉIE. Bathonien. Les assises jurassiques les plus in- férieures que l’on puisse observer dans les environs immédiats de Pamproux représentent le Bathonien supérieur (1). Elles sont visibles dans la tranchée de la gare sur une épaisseur d'environ 0"45 et constituées par 7 bancs (1) On trouve toutes les assises jurassiques inférieures jusqu’au Lias quand on descend jusqu'aux bords de la Sèvre, en se diri- geant vers le moulin de Grand-Vault entre Exoudun et la Mothe (voir fig. 2). — 184 — minces de calcaire grisàtre grenu. Elles contiennent l'Ammonites subbackeriæ, V'Am. planula, des Pholado- myes, etc. Dans cette tranchée, d’une hauteur totale de 2m46, on trouve au-dessus du Bathonien un mince lit d'argile jaunâtre (0m20) et au-dessus de cette argile, le Callovien inférieur d’une épaisseur de 180 à 1m85 environ. On retrouve le Bathonien supérieur dans les tran- chées du chemin de fer à Ribernaud et à Salles où il est encore surmonté par le Callovien inférieur dont il est séparé par le mince lit d'argile jaunâtre déjà signalé dans la tranchée de la gare de Pamproux. Outre les fossiles cités plus haut, il contient encore : Ammonites arbustigerus, d'Orb. Am. bullatus, d’Orb. Am. discus, SOW. Am. subdiscus, d’Orb. * Am. linguiferus, d'Orb. Pecten vagans, Sow. . Des Pholadomyes. Des Térébratules, etc., etc. Dans la tranchée de la gare de Pamproukx, les assises bathoniennes ainsi que les assises calloviennes qui les surmontent, plongent à l'Est et à l'Ouest sous un angle d'environ 25°. Dans les environs immédiats de Pam- proux, on ne peut observer ce Bathonien supérieur que dans les carrières ou dans les tranchées (1). Callovien. — Le Callovien est bien représenté à Pamproux et dans ses environs. Il débute par des bancs (1) À Salles, à Ribernaud, dans les environs d'Exoudun, etc. — 185 — d’un calcaire feuilletégris, contenant Ammonites macro- cephalus, Schlot., Am. hecticus, Hartm., Am. athleta, Phil., Am. Backeriæ, Sow., Terebratula dorsoplicata, Desl., T. pala, von Buch., de très gros Nautilus, etc. On voit très bien ces bancs les plus inférieurs dans la tranchée de la gare de Pamproux, sur une hauteur de 1280. On les rencontre également dans les tranchées de Salles et de Ribernaud. Mais, pour les trouver à la surface du sol, il faut aller assez loin de Pamproux, à la Roche de Bougon et entre la Roche et la Sèvre (voir la coupe représentée par la fig. 2 , voir aussi la Roche de Bougon sur la carte). Au-dessus du Callovien inférieur à Am. macroce- phalus, vient la zone à Ammonites anceps, Rein. Cette zone est très visible dans les carrières à ciel ouvert voisines de la gare de Pamproux. Elle est remarquable par sa richesse en fossiles et comprend surtout une magnifique faune de Céphalopodes. Elle est composée de bancs de calcaire marneux, dur et grisàtre, ou quel- quefois jaunätre, alternant avec des lits de marne pré- sentant la même coloration. Ces bancsont, aumaximum, 0m25 d'épaisseur, tandis que ceux de la zone à Am. ma- crocephalus ont de 060 à 0m70. La zone à Am. anceps a une épaisseur de 10 à 12". Elle contient : Am. macrocephalus, Sch]. Am. anceps, Rein. : A. lunula, Rein. A. refractus, Rein. A. Backeriæw, Sow. Am. hecticus, Hartm. De nombreuses Térébratules. — 186 — De nombreuses Pholadomyes. Mytilus gibhosus, etc. Le zone à Am. anceps aîfleure au niveau du sol dans les environs de la gare de Pamproux, surtout lorsque l’on suit la direction de la voie ferrée vers l’Est. Dans cette direction, on peut très bien voir ces assises dans la tranchée de Saint-Martin. Le Callovien se termine enfin par des calcaires sub- lithographiques alternant avec des lits de marne feuil- letée grisâtre, représentant la zone à Am. coronatus. Cette zone en certains points, est assez peu fossilifère ; on y trouve cependant des Am. coronalus et anceps de forte taille. L’épaisseur des bancs calcaires qui la constitue varie de 020 à 060. On peut très bien observer cette zone dans les carrières de Pamproux et dans les tranchées de Bois-Chaton, en suivant la voie ferrée dans la direction de l’Ouest et à environ 800 mètres de la station de Pamproux. Cette tranchée a 9m55 de hauteur et 600 mètres de longueur. On y trouve 20 bancs de calcaire séparés par autant de petits lits de marne grisâtre feuilletée. A quelques mètres en dehors de cette tranchée, on trouve une carrière à ciel ouvert, exploitée depuis nel et présentant les mêmes particularités. Dans la tranchée et dans la carrière, les fossiles sont abondants, chose rare pour cette zone. J’y ai trouvé de magnifiques échantillons d’Am. coronatus, anceps, ITerveyi. On retrouve encore le callovien supérieur mais bien moins fossilifère dans la tranchée de la Villedé, pre- mière tranchée située sur le territoire des Deux-Sèvres, lorsque l’on va de Rouillé à Pamproux. Cette tranchée — 187 — est située à 800 mètres du département de la Vienne et à 1,765 mètres de la gare de Pamproux. Son altitude est de 14893 et sa profondeur de 4m82 (1). Le Callo- vien supérieur est visible dans la moitié inférieure de cette tranchée. Les bancs primitivement horizontaux ont été en partie déplacés par des failles. La première abaisse leur niveau d’environ 1"; une seconde les abaisse de 060 ; une troisième de0"40 ; une quatrième seulement de quelques centimètres sans que l’horizon- talité de ces couches soit beaucoup altérée. Le vide produit par ces failles a été rempli par les marnes ar- sgoviennes. Le Callovien de cette tranchée renferme de rares échantillons d’Ammonites Backeriæ et d'A. anceps et coronatus de grandes dimensions. Enfin on peut observer le Callovien et ses différentes zones à la fontaine de la Roche-Rufin et dans la tran- chée du chemin de fer qui porte le même-nom. L'ensemble des calcaires Calloviens est bien déve- loppé à Pamproux, et ses environs-(entre Pamproux, Exoudun, Bagnault, Bougon et jusque dans le voisi- nage de la route de Soudan à Rouillé). Ces calcaires calloviens viennent rejoindre à l'Ouest ceux des Salles, du Breuil et de Nanteuil (voir la carte). Oxfordien. — L'’Oxiordien proprement dit n'existe pas à Pamproux même où le Rauracien inférieur à 4m. canaliculatus ou Argovien recouvre directement le Callovien à Am. coronalus. Nous verrons plus loin à quelle cause on doit, selon (l)Bauyier et Sauzé: Etude géologique des tranchées du chemin d2 fer de Poitiers à la Rochelle (1857). — 188 — toute vraisemblance, attribuer cette lacune. À peu de distance au Sud de Pamproux, vers Pied-Morin, on trouve les assises les plus récentes de lOxfordien, la lacune est donc moindre en ce point. Elle diminue de plus en plus au fur et à mesure que l’on descend vers le Sud et on retrouve la succession complète des assises oxfordiennes vers Saint-Maixent et Niort. A Pied- Morin, on ne trouve point dans les marnes grises qui constituent l’Oxfordien superieur, des ammonites vraiment caractéristiques des différents niveaux. La plupart des espèces se rencontrent également dans l’Ar- govien. Nous citerons cependant les Am. plicatilis, Erato, nur, de petite taille et des Belemnites hastatus. Ces marnes qui ont une épaisseur de 10 à 12 mètres renferment encore des crinoïdes (Pentacrinus cingula- tus, Balanocrinus subtæres). On trouve dans l'épaisseur de ces marnes des bancs assez minces d’un calcaire bleuâtre très dur. On aperçoit cet Oxfordien à nu tout autour d’un mamelon de 122 d'altitude situé près de Pied-Morin (voir la carte). Il affecte la disposition d’une sorte de couronne mise à nu autour de ce mamelon par des érosions postérieures qui ont enlevé en ce point les zones rauraciennes à Am. Canaliculatus (Argovien de Marcou) et à Am. bimammatus (voir les coupes repré- sentées par les fig. 1 et 2; voir aussi la carte). Rauracien. — Le Rauracien est représenté par la zone à Am. canaliculatus (Argovien) et par la zone à Am. bimammatus. 1° ZONE A AM. CANALICULATUS. — Elle est représentée par #4 mètres environ de marnes bleues ou grises avec bancs calcaires durs assez minces représentés le plus — 189 — souvent par de gros blocs siliceux à cassure conchoï- dale connus dans le pays sous le nom d’aigrains. Ces calcaires ainsi que les marnes contiennent une faune très riche comprenant surtout : Am. canaliculatus, V. Buch. Am. Erato, d’Orb. Am. Martelli, Cpp. Am. transversarius, Qu. Am. Eucharis, d'Orb. Am. Henrici, d'Orb. _ Am. flexuosus, Münst. Am, perarmatus, SOW. Belemnites Royeri, d’Orb. Terebratula insignis. Schüb. Cidaris Blumenbachii, Münst. Eugeniacrinus caryophyllatus. Cupulospongia patella, d'Orb. C. acetabulum d’Orb. Cribrospongia clathrata, d’Orb. C. parallela, d'Orb. C. reticulata, d'Orb. Hippalimus verrucosus, d’Orb., etc., etc. L’Argovien est bien représenté à Pamproux et dans ses environs (voir la carte). Les marnes à Am. canalicu- latus constituent le sol des champs qui s'étendent entre Pamproux et Loubigné d’Exoudun. La surface de ces champs est jonchée d’ammonites, de fragments de crinoïdes et de spongiaires. Les environs de Loubigné sont surtout remarquables à cet égard. On y trouve aussi des instruments en silex de l’époque néolithique provenant d’ateliers en plein air. C’est enfin de cet endroit que provient la plaque calcaire couverte d’em- — 190 — preintes de fucoïdes du genre Chondrites, empreintes représentant deux nouvelles espèces auxquelles nous ‘avons donné les noms de Chondrites Souchei et de Chon- drites Massiati (1). C’estencore le Rauracien inférieur à Am. canaliculatus qui recouvre le callovien à Am. coronatus dans la tranchée de la Villedé et non l’Oxfordien proprement dit: comme le prétendent MM. Sauzé et Baugier (2). Dans les marnes qui remplissent les vides produits par les failles et recouvrent les assises calloviennes, on trouve en effet l’Am. canaliculatus et les spon- giaires de l’Argovien. 20 ZONE À AM. BIMAMMATUS. — Cette zone affecte dans les environs de Pamproux les contours que nous avons tracés sur la carte géologique qui accompagne notre travail. C’est elle qui occupe le sommet du mamelon de 122» d’altitude situé près de Pied-Morin (voir la carte). Elle est représentée par 4m de marnes et de calcaires marneux Contenant Am. bimammatus, Am. rupellensis, Am. flexuosus, etc. Terrain tertiaire. — Aux environs de Pamproux, les terrains jurassiques sont recouverts en certains points par des assises tertiaires lacustres appartenant à la fin de l’éocène (3). C’est un dépôt sidérolithique com- prenant de bas en haut : (1) E. Bordage. -- Sur deux nonvelles espèces de Chondrites de terrains jurassiques. Annales des sc. nat. de la Rochelle, vol. de 1889. (2) Sauzé et Baugier. — Loc cit. (3) MM. Sauzé et Baugier considèrent ces sables comme miocènes (faluniens) Nous pensons plutôt qu'ils appartiennent à l’éocène le plus récent. C’est aussi, du reste, l’avis de deux — 191 — 1° 3m environ d’argiles à limonite en grains avec silex ; s 20 3m50 ou 4" de marnes blanches avec calcaire de même couleur et silex. On y trouve des fragments de Limnées ; 3° 3m environ d’argiles rougeûtres avec blocs de silex montrant sur leur surface des Paludines et des Lim- nées. Ces sables s'étendent entre Avon Saint-Sauvant, Soudan, Rouillé (Vienne), etc. Ils recouvrent tour à tour les différents étages jurassiques. Dans la partie centrale du détroit, ils reposent sur le Bajocien qui simule un dos de selle très surbaissé. Aux environs immédiats de Pamproux, ils reposent sur le Callovien supérieur, en certains points où l’Orfordien et l’Argo- vien ont été enlevés par des érosions : puis quand on s’avance vers la Vienne, on les voit successivement reposer sur l’Argovien et sur la zone à A. bimammatus. IL. — CONSIDÉRATIONS GÉNÉRALES. L'emplacement occupé actuellement par Pamproux a fait partie du détroit jurassique poitevin. Ilétait situé à assez peu de distance du massif vendéen, à l’entrée sud de ce détroit qui faisait communiquer le bassin Jurassique parisien avec le bassin jurassique girondin et séparait les massifs de terrains cristallins anciens du Limousin'et de la Vendée. Le fond du détroit cons- titué lui-même par les terrains cristallins anciens est géologues éminents qui ont étudié cette région : MM. Toucas et Fournier. — 192 — recouvert sur toute sa surface par les dépôts du Lias moyen et du Lias supérieur. Les calcaires Bajociens forment aussi un revêtement continu à la surface des sédiments liasiques. Ce sont ces calcaires Bajociens qui occupent la partie la plus centrale, ce que l’on pourrait appeler l’axe ou plutôt le sommet actuel du massif calcaire qui a comblé le détroit Poitevin et a fait cesser la communication entre les deux bassins. Ce massif calcaire situé en grande partie dans le . département de la Vienne se dirige en général, du Nord-Ouest au Sud-Est. D’après M. l'Ingénieur Rolland, cette crête de cal- caire Bajocien figure un « dos d'âne » très surbaissé, sur les deux versants duquel on trouve l’étage Batho- nien. Une distance supérieure à 25 kilomètres, sépare du Nord au Sud, le dernier affleurement du Bathonien, auprès de Smarves (environs de Poitiers), dans la vallée du Clain, sur le versant Parisien, et la première réap- parition du Bathonien, sur le versant girondin, dans la même vallée auprès de Sommières (Vienne)(1). Nous ne croyons pas, malgré cela, que le détroit Poitevin ait été comblé momentanément à la fin de l’existence de la mer bajocienne. Les calcaires Bathoniens ont généralement le même aspect sur les deux versants ; et bien que le Bathonien du versant Parisien soit plus pauvre en fossiles que celui du versant girondin, la faune est cependant la même pour les deux bassins (2). Il semble plus pro- (1) M. Rolland. -— Bull. soc. géol. de France, 3esérie, T. XIIT, no 5. 1885. |; (2) On ne remarque du reste aucune discordance de strati- fication entre le Bajocien et le Bathonien. — 193 — bable que le détroit n’ait été comblé qu’à la fin de la mer callovienne. Nous reviendrons du reste bientôt sur ce sujet. De Pamproux à Niort, et en général, dans le Nord- Est des Deux-Sèvres, sur la partie septentrionale du bassin Girondin, la distinction entre le Bathonien et le Callovien s'établit facilement ; car entre ces deux sous- étages, on trouve un mince lit d’argile jaunâtre qui a environ 0m20 d'épaisseur à Pamproux, 010 à Niort et qui disparait complètement à l’Ouest de Niort. La pré- sence de ce lit d’argile semble indiquer un arrêt de sédimentation, voire même des érosions. Sur le versant parisien ce lit d'argile n'existe pas, aussi la délimitation entre le Bathonien ét le Callovien est-elle souvent très difficile à établir. Si maintenant nous nous occupons du Callovien in- férieur ou zone à A. macrocephalus, nous verrons que cette zone épaisse d’environ 3% à Pamproux diminue progressivement lorsqu'on descend vers le Sud-Ouest, dans le département des Deux-Sèvres, à Saint-Maixent, elle n’a plus que 2", à Niort elle est représentée par une épaisseur de 040 à 0m50. M. Fournier (1), à qui sont dûs ces chiffres, ne l’a plus retrouvée à Aïffres où lazone à Am. anceps ou Callovien moyen repose direc- tement sur le lit d'argile jaunâtre. En Vendée, on ne trouve pas non plus de traces de la zone à À. macrocephalus. Il est à noter que le mème fait se reproduit sur le versant Parisien et les calcaires (1) M. Fournier. — Bull. soc. géol. de France, 3e série, T. XVI. 1888. : 14 — 194 — à A. macrocephalus manquent à Montreuil-Bellay et à Saint-Jouin-les-Marnes. Doit-on conclure de ces observations à des mouve- ments du sol? Nous le croyons, quoique nous soyons porté à adopter avec la plus grande réserve, cette hypo- thèse dont on a souvent abusé pour expliquer la pré- sence de lacunes dues à des érosions ou à des arrêts de sédimentation. Pour le point qui nous occupe, ces mouvements ne semblent cependant pas douteux; et, si on rejetait complètement leur possibilité, certaines anomalies constatées dans le détroit Poitevin deviendraient inex- plicables. Cependant, nous nous hâtons d’ajouter que pour la plupart, ces mouvements semblent avoir été peu im- portants et limités à certaines régions que nous indi- quons un peu plus loin. Dans certains cas, il semble même qu'il n’y ait pas eu à proprement parler, des mouvements des rivages du détroit lui-même, mais plutôt des affaissements assez lointains du fond des deux bassins et que ces affaissements ont eu un reten- tissement jusque sur les rivages du détroit, non pas en modifiant le relief et la hauteur de ces rivages (ces der- niers n’éprouvant aucune oscillation ou s’ils en éprou- vaient, elles devaient être bien peu importantes étant donné l’éloignement des points où se produisaient les affaissements), mais en modifiant le niveau des eaux qui devait s’abaisser. De la sorte certains points situés aux environs du rivage du détroit étaient mis à nu et aucun dépôt ne se formait en ces points. Puis, surve- nait un mouvement lointain d’exhaussement du fond des bassins, le niveau de la mer s'élevait de façon à — 195 — rester inférieur ou à devenir égal ou même supérieur à ce qu'il était avant le mouvement d’affaissement. Certains points qui avaient été mis à découvert pen- dant le mouvement d’affaissement se trouvaient donc de nouveau submergés et, comme le sol du rivage n’avait pas lui-même, subi aucun mouvement ou tout au moins aucun mouvement vraiment appréciable, il se déposait en ces points de nouveaux sédiments en concordance parfaite ou en discordance bien peu appa- rente avec les couches situées au-dessous. C’est là, croyons-nous, Ce qui explique la présence d’un certain nombre de lacunes et la stratification presque concor- dante que l’on observe malgré cela pour les assises entre lesquelles s’est produite une de ces lacunes. Nous ajouterons aussi que les points voisins du rivage qui ont eu à subir les effets de cette élévation et de cette diminution du niveau des mers sont aussi des points où, les érosions et l’action des vagues ou des courants ont dû se faire sentir avec une certaine inten- sité. Nous croyons donc que ces oscillations du niveau des mers ont contribué pour beaucoup à produire cer- taines anomalies que nous allons maintenant signaler, mais il y a aussi à tenir compte des autres causes que nous venons d’énumérer. Ce sont ces différentes actions combinées qui nous donneront peut-être une solution suffisante. Le fond du détroit devait avoir la forme d’une cuvette assez profonde produite par des affaissements ou même des effondrements des terrains cristallins anciens qui reliaient autrefois le massif Vendéen au massif Limousin. Ces deux massifs devaient former LA nt des falaises très élevées de part et d’autres du détroit. Au Sud et au Nord de cette cuvette, les bords des bassins parisien et girondin ou plutôt les bords communs à la cuvette et aux deux bassins en question, devaient former deux éminences submergées en leur milieu et plus ou moins attaquées et démantelées par les érosions, mais légèrement émergées sur les bords des massifs cristallins à l’entrée Nord et à l’entrée Sud du détroit et formant ainsi quatre contre-forts ou plutôt quatre langues de terre descendant avec une pente douce vers le centre des bassins et avec une pente un peu plus rapide vers le centre du détroit (1). Ilyatout lieu de supposer que le fond du détroit (1) Nous ne voulons pas dire par là que ces quatre langues de terre aient toujours été émergées en même temps. Il se pou- vait très bien que l’une d’elles seulement ou quelques-unes d’entre elles le fussent à certains moments. Pendant les périodes d’invasion de la mer, elles devaient être complètement submer- gées. Celle qui semble avoir été située à gauche de l’entrée Sud du détroit, parait avoir été importante à la fin du Bathonien et au début du Callovien. Pamproux était situé un peu au Nord de cette langue de terre et déjà à l’intérieur du bassin du détroit, à assez peu de dis- tance des falaises élevées que devait former le massif Vendéen. Aussi ce point restait-il encoie profondément submergé, quand d’autres points submergés situés sur un fond peu incliné qui n'était que le prolongement sous l’eau de la langue de terre en question ou bien le prolongement sous-marin également peu incliné sans doute de la partie du massif Vendéen qui bordait au Nord le bassin Girondin, se trouvaient au contraire complète- ment à sec par suite des moindres mouvements d’exhaussement des rivages ou du moindre recul des eaux de la mer. En résumé, ces langues de terre aussi bien pendant leur immersion que pendant leur émersion, contribuaient à donner au bassin du détroit sa forme en cuvette et, en vertu même des principes de la stratification, les sédiments déposés dans ce détroit diminuaient d'épaisseur et se terminaient pour ainsi dire en biseau en abou- tissant à ces langues, puis, au-delà d’elles, les couches réappa- raissaient et allaient en augmentant d'épaisseur vers le centre des bassins. — 197 — Poitevin a sensiblement conservé cette forme de cuvette pendant le Bajocien, le Bathonien, le Callovien inférieur et le Callovien moyen. En effet, les calcaires Bajociens qui atteignent jusqu’à 80% d'épaisseur dans la vallée du Clain, dans la partie centrale du détroit, diminuent progressivement d’épais- seur quand on s'éloigne vers le Nord ou vers le Sud. À Saint-Maixent ils n’ont que de 8 à 10% d’epaisseur. La diminution d'épaisseur de ces calcaires se manifeste aussi lorsqu'on se dirige du centre du détroit vers l’Ouest ou vers l'Est. D’après M. Rolland, après avoir atteint 80" d'épaisseur dans la vallée du Clain, ils pré- sentent 50% dans la vallée de la Vienne, 40% dans la vallée de la Gartempe et 30m dans la vallée de la Benaize. La même remarque s'applique aux calcaires bathoniens. Ils atteignent jusqu’à 150% d’épaisseur au centre du détroit, dans le bassin de la Vienne, à l'Est du point où les calcaires bajociens atteignent leur maximum d'épaisseur. À Saint-Maixent, ils n’ont que de 10 à 12m. Leur épaisseur diminue aussi vers le Nord du Détroit, et quand on se dirige vers l'Ouest ou vers l'Est, à la rencontre des massifs cristallins de la Vendée et du Limousin. Ils n’ont que 40% d'épaisseur dans la vallée du Clain à l’Ouest de la Vienne ; de 80 à 100% dans la vallée de la Gartempe à l’Est de la Vienne et 90 dans la vallée de la Benaïze, encore plus à l’Est (1). (1) La formation de sédiments épais et continus (et c’est bien là le cas de ceux qu’on trouve dans le détroit poitevin) exige, d’après M. de Lapparent, des mers de peu de largeur, des côtes soumises à de fréquentes oscillations et une certaine profondeur qui protège les dépôts contre l’action des courants ou des éro- sions. — 198 — Les langues de terre devaient être fort réduites pen- dant le Bajocien et elles devaient encore l'être davan- tage pendant le Bathonien, par suite de l'extension que semble avoir prise la mer dans ces parages. Vers la fin du Bathonien, il semble qu'il y ait eu un arrêt momentané dans la sédimentation et même que le fond du détroit ait été soumis, au Sud, à l’action de violentes érosions. Ce fait semble être indiqué par la présence du mince lit argileux qui sépare, dans cette partie, le Bathonien du Callovien inférieur à Am. ma- crocephalus. Les sédiments commencent à se déposer de nouveau au début du Callovien. L’action des érosions se fait encore sentir, mais elle est bien plus limitée. C’est ainsi qu’à Aiffres on ne trouve pas, d’après M. Fournier, aucune trace de la zone à Am. macrocephalus. Il semble qu’à cette époque, l'emplacement actuel d’Aiffres devait se trouver dans les environs du rivage, à la fin du Bathonien, près de la pointe de terre située à gauche de l’entrée Sud du détroit. La présence en ce point de cailloux roulés dans la petite couche argileuse qui surmonte le Bathonien parait en être une preuve. Il se peut que ce point ait à peu près conservé sa situation pendant la durée de la mer callovienne inférieure et l’action continuelle des vagues qui attaquait le fond Bathonien, a alorsempèché la formation d’un dépôt de calcaires calloviens inté- rieurs. Il se pourrait aussi que, grâce à un légerexhaus- sement du rivage ou que grâce à un léger abaissement du niveau de la mer occasionné par un aflaissement lointain du fond des bassins ou de l’un des bassins, Ho l'emplacement en question se soit trouvé sur la terre ferme. | Au Sud-Ouest d’Aiffres et en Vendée la lacune en question continue et semble toujours être due à la même cause. En effet, si le plateau vendéen devait former des falaises très élevées dans sa partie Est qui bordait le détroit poitevin, il est probable que sa partie Sud devait au contraire former un plan légèrement incliné vers le bassin girondin. Les points immergés situés sur ce plan en pente douce et près du rivage devaient, par suite, se trouver rapidement émergés, lorsque se produisait le moindre exhaussement des rivages ou le .moindre recul de la mer. Pendant le Callovien moyen (zone à Am. anceps, la mer envahit de nouveau des rivages qu’elle avait aban- donnés et à ce moment les pointes de terre devaient être fort réduites, car on ne constate plus de lacunes semblables à celle que nous venons de voir précédem- ment. À Aïftres, les calcaires à Am. anceps existent directement sur la petite couche d'argile jaunâtre qui surmonte le Bathonien. Le fond du détroit semble encore avoir conservé sa forme de cuvette ; car les cal- caires calloviens à Am. macrocephalus de même que ceux à Am. anceps vont en diminuant d'épaisseur quand, partant du centre du détroit on se dirige soit vers le Nord ou le Sud ; soit vers l’Ouest ou l'Est. Pendant le callovien supérieur (zone à Am. coronatus), il s’est produit, croyons-nous, de grands changements dans le détroit. Au début, la mer continue à avoir un niveau élevé et aucune lacune n’est à signaler. Mais, vers la fin de l'existence de la mer callovienne — 200 — supérieure, il semble que le fond du détroit ait perdu sa forme de cuvette. Tandis qu’à ce moment, commence une grande période d'immersion pour une grande partie de la France et du reste de l’Europe, immersion qui atteindra en général son maximum à la fin de l’'oxfordien, on dirait que l’ouest et le centre de la France ont subi un exhaussement ayant amené un recul de la mer. Pendant que les eaux de la mer callo- vienne supérieure prennent, en certains points, une extension considérable et vont recouvrir, jusqu'aux environs de Moscou, des terrains à sec depuis le Lias, le Plateau central et le massif vendéen semblent avoir subi un mouvement d’exhaussement. Ce ne serait d’ailleurs là qu’une nouvelle confirmation de la règle, d’après laquelle on peut constater que tout affaissement du sol dans une région amène, comme contre-coup, un mouvement d’exhaussement dans des régions plus ou moins rapprochées. L'emplacement occupé actuellement par Pamproux avait été jusqu'ici complètement et profondément submergé. Il va tendre à se rapprocher du rivage. Le soulèvement des massifs vendéen et limousin semble avoir produit un exhaussement de la partie centrale du détroit poitevin. Les terrains jurassiques qui adhéraient en quelque sorte à ces massifs, les ont suivis dans leur mouvement et ont formé une voussure ou dos de selle dirigé du nord-ouest au nord-est, voussure suffisam- ment élevée, croyons-nous, pour fermer le détroit et intercepter la communication entre le bassin parisien et le bassin girondin. Les flancs de cette voussure devaient plonger avec une légère pente vers chacun des bassins. 11 y avait, par suite, recul de la mer vers le — 201 — centre des bassins. Ce recul se produisait aussi vers le Plateau central et MM. Douvillé et de Grossouvre l'ont très bien étudié au nord de ce plateau, depuis Le dépar- tement de l'Yonne jusqu’au massif vendéen, la mer callovienne supérieure semble avoir reculé vers le centre du bassin parisien. Les dépôts oxfordiens inférieurs se sont ainsi formés en retraitsur les couches calloviennes supérieures ; puis la mer oxfordienne moyenne et la mer oxfordienne supérieure, par suite d’un mouvement en sens inverse, sont venues recouvrir les couches calloviennes et même quelquefois le Bathonien supé- rieur. Par suite de l’obstruction de la partie centrale du détroit poitevin, les eaux de la mer oxfordienne sem- blent avoir également éprouvé un mouvement de recul au sud de ce détroit, de sorte que la partie la plus élevée aurait été à nu. Plusieurs faits paraissent venir à l’appui de ce que nous avançons. Il y a d’abord la généralité de la lacune signalée dans ces régions par MM. Douvillé et de Grossouvre. Nous ajouterons ensuite que cette lacune peut aussi se constater sur le versant girondin du détroit. En effet, vers Niort, on trouve au- dessus du Callovien à A. coronatus, la succession com- plète des assises oxfordiennes. Plusau nord-est, à Saint- Maixent et à la Mothe-Sainte-Héraye, on ne retrouve plus la zone à Am. Lamberti et c’est le callovien à Am. Cordatus et même à À. fransversavius et À. perarmatus quand on s’avance encore plus au nord-est qui repose directement sur le callovien. Enfin, au-dessous de Pamproux, vers Bougon et Pied-Morin, on trouve des assises marneuses et calcaires qui paraissent appartenir à l’oxfordien le plus supérieur et ne contiennent même pas d'espèces vraiment caractéristiques, de telle sorte — 202 — qu'on pourrait mème les ranger dans l’argovien le plus inférieur avec lequel elles possèdent des fossiles com- muns. À Pamproux même et au nord-ouest de cette localité ainsi que vers la Roche-Rufin et la tranchée de la Villedieu-du-Perron, on ne trouve plus traces de ces dernières assises et c’est l’argovien à Am. canaliculatus et à spongiaires qui repose directement sur le callovien (1). Il est encore un autre fait qui tend à prouver que le rivage de la mer oxfordienne à été, pour quelque temps, dans le voisinage de Pamproux. Si l’on examine soigneusement le banc supérieur des calcaires callo- viens à Am. coronatus en se tenant dans le voisinage de la ligne de la Rochelle à Poitiers et en se dirigeant de Saint-Martin de Pamproux vers le département de la Vienne, on verra que ce banc offre souvent des perfo- rations de mollusques lithophages. En certains points, en enlevant la mince couche de marne argovienne qui recouvre ces calcaires vers la limite du callovien et de l’argovien (Voir la carte), on trouve au-dessous de cette marne, le banc callovien supérieur avec ses perforations (1) On peut, du reste, constater une discordance de stratifica- {ion entre le callovien et l’oxfordien ou l’argovien. Elle serait bien plus facile à observer si les calcaires oxfordiens ou les calcaires argoviens reposaient directement sur les calcaires calloviens et ne formaient pas fréquemment des bancs très 1rré- guliers représentés souvent par de simples blocs siliceux. Mais, comme ils sont séparés des calcaires calloviens par des marnes oxfordiennes ou argoviennes d’une certaine puissance, cette interposition masque, en quelque sorte, la discordance. J'ai cependant pu observer cette stratification discordante, un peu à l’ouest des carrières de Saint-Martin de Pamproux, près du lieu dit le « Champ de Grégoire », dans une tranchée creusée parun propriétaire, Je lai encore observée dans les environs de Pam- proux, vers la limite des Deux-Sèvres et de la Vienne, un peu à l’est de la Roche-Rufin. — 203 — profondes encore de quelques centimètres malgré l’altération et l’usure que ce banc a subies. Le callovien supérieur de Bougon présente des perforations ana- logues. Cela semble bien indiquer la présence d’un rivage. Considérons enfin l'épaisseur en diflérents points de la zone à Am. coronatus. À Pamproux, elle possède environ 5 mètres. A Poitiers, c’est-à-dire sur le versant parisien et de l’autre côté de l’axe transversal du détroit, elle présente 10 mètres environ. Entre la Gartempe et la Creuse, le Callovien dépasse 10 mètres d'épaisseur et la zone à Am. coronatus parait atteindre près de 15 mètres dans cette région. Si nous revenons sur le versant girondin, nous verrons le callovien supérieur atteindre une épaisseur considérable au sud- ouest de Pamproux, vers Niort et Coulon, la zone à Am. coronatus dépasse 30 mètres d'épaisseur. On voit donc que, en se dirigeant du centre du détroit vers le sud-ouest ou vers le nord est, on constate l’augmen- tation d'épaisseur des couches du callovien supérieur ; ce qui semble bien indiquer que la mer, par suite d’un exhaussement de la partie centrale de ce détroit, a reculé vers le sud ouest et vers le nord est, dans la direction du centre des bassins. Il est aussi à noter que les sédiments sont de plus en plus marneux au fur et à mesure qu'on s'éloigne de cette partie centrale {à Niort, ilya 27 mètres de marnes calloviennes supé - rieures). Cela paraît indiquer que, pendant que le centre du détroit se soulevait, les bords s’affaissaient au contraire et donnaient naissance à de profondes dépressionsdanslesquelless’accumulaientles sédiments marneux. Sur le versant girondin, la mer calloviennesupérieure — 204 — semble avoir éprouvé, à la fin de son existence, un mouvement de retrait jusque dans le voisinage de Niort. De sorte que, lorsqu’à cette mer succède la mer oxfordienne, ce n’est guère que dans le voisinage de Niort que se forme la succession complète des assises déposées au fond de cette dernière mer. Puis un mouvement en sens inverse se produisant, la mer oxfordienne vient recouvrir des rivages qu'avait abandonnés la mer callovienne supérieure. C’est là ce qui explique la lacune de plus en plus considérable, quand on se dirige vers Pamproux, qui existe entre le callovien et l’oxfordien. L'emplacement actuel de Pamproux avait été à sec pendant la durée comprise depuis le temps qui a précédé immédiatement la fin de la zone à A. coronatus jusque vers la fin de l’oxfor- dien. On ne trouve aucune trace des dépôts de rivage laissés par la mer callovienne pendant son recul ou par la mer oxfordienne pendant la période d’invasion. Cela tient sans doute à ce que la mer oxfordienne en reve- nant pour ainsi dire sur ses pas détruisait non-seule- ment les traces des anciens rivages calloviens, mais encore ses propres dépôts de rivage formés antérieure- ment. Cette œuvre de destruction des sédiments de rivage a été continuée pendant l'invasion de la mer argovienne qui n'était, somme toute, quela continuation de la mer oxfordienne. Les perforations des mollusques lithophages que présente la partie supérieure des calcaires à Am. corcnatus ont été produites, soit au moment où, pendant le recul de la mer callovienne, Pamproux était près du rivage de cette mer, soit pendant le moment d’invasion de la mer oxfordienne tout-à-fait supérieure, lorsque Pamproux s’est encore — 205 — trouvé de nouveau dans le voisinage du rivage. Nous avons déjà dit que l’on ne trouvait plus de traces de l’oxfordien supérieur proprement dit à Pamproux même. Il semble que le passage graduel et insensible de la mer oxfordienne à la mer argovienne se soit fait dans ces parages au-delà du point qui nous intéresse. Les sédiments argoviens sont en effet représentés à Saint- Sauvant (Vienne), à assez peu de distance de Pamproux par un calcaire rougeàâtre ayant l'apparence d’une sorte de conglomérat et reposant directement sur le callovien supérieur sans interposition de sédiments oxfordiens. Ces derniers ne se sont donc pas dé posés en ce point, ou, dans le cas où ils se seraient déposés, ils ont été enlevés par l’invasion de la mer argovienne. A Pamproux même, l’argovien représenté par des marnes à blocs d’aigrains, repose aussi directement sur le callovien. L’oxfordien tout-à-fait supérieur a donc aussi été enlevé en ce point. La mer argovienne continue la période d’invasion commencée par la mer oxfordienne supérieure. Cette période d’invasion est assez étendue. Les sédiments argoviens ou marnes et calcaires à spongiaires attestent des mers d’une grande profondeur et on les retrouve dans une grande partie de la France. Il est probable qu’à ce moment le dos de selle qui obstruait le détroit poitevin s’estaffaissé sous Les eaux qui ont dû en enlever par érosion, la partie la plus saillante. Cette action destructive a dû être continuée par les mers suivantes et aussi par les eaux lacustres tertiaires. Par suite de ce mouvement d’affaissement, à des distances insigni- fiantes du rivage, constitué par la partie du dos de selle — 206 — qui n'avait point encore été immergée, devaient se trouver de grandes profondeurs. Il est certain qu’à ce moment il y a eu une période d’aflaissement pour les rivages. Le plateau central semble avoir participé à ce mouvement et avoir contribué par cela même à l’affais- sement du dos de selle qui lui servait en quelque sorte de contrefort. Certains géologues éminents pensent même (et c’est là l'opinion de M. Neumayr), que pendant ce moment des grandes invasions des eaux de la mer le Plateau central a été en grande partie ou peut-être totalement submergé. On a, en effet, trouvé dans la vallée de la Haute-Loire des cailloux roulés par les eaux et sur ces blocs roulés des fossiles qui, malgré leur bien mauvais état de conservation, ont été cepen- dant reconnus pour appartenir nettement aux terrains secondaires. Ce fait prouverait que, pendant les temps secondaires, soit pendant le jurassique, soit pendant le crétacé, où peut-être même à un certain moment de chacune de ces deux grandes périodes (c’est encore l'opinion de M. Neumayr), le plateau central aurait été en partie ou totalement submergé. L'augmentation de profondeur de la mer dans la région qui nous intéresse semble être indiquée par le changement des faunes. L’oxfordien supérieur présente aux environs de Pamproux de nombreuses petites Ammonites et un grand nombre de Crinoïdes, ce qui indique une mer déjà profonde et qui devait avoir des rivages très escarpés de façon à ce que, à une distance insignifiante du rivage, il existait déjà de très grandes profondeurs. Les fossiles argoviens semblent indiquer encore des mers plus profondes. Ce sont en effet surtout hit Eat — 207 — des éponges siliceuses. Les céphalapodes y sont encore très abondants (1). (1) On comprend aisément que l’étude comparée des faunes fossiles donne des indices précieux sur la température, la profondeur, la nature du fond des mers anciennes et même sur les oscillations de leurs rivages. Ordinairement les spongiaires siliceux et les crinoïdes indiquent de grandes profondeurs ; mais il ne faudrait pas croire que pour atteindre ces grandes profondeurs il soit toujours nécessaire de s’éloigner beaucoup du rivage. M. de Folin, dans des sondages opérés sur les côtes du département des Basses-Pyrénées, atrouvé de véritables abimes à des distances insignifiantes du rivage. C’est dans le voisinage de ces côtes que se trouve la grande dépression en forme de cuvette du Cap-Breton. À 500 mètres du rivage, on observe déjà une profondeur de 200 mètres qui descend rapidement et presque à pic jusqu’à 1,100 mètres environ. Dans cette profonde cuvette, M. de Folin à trouvé des animaux tels que des éponges siliceuses (Geodia) que l’on ne rencontre ordinairement qu’à de grandes distances des rivages. Certaines espèces que l’on considère comme habitant toujours à de grandes profondeurs ont été trouvées cependant dans certaines mers actuelles, à des profondeurs relativement peu importantes. C’est ainsi qu’un Crinoïde, le Pentacrinus, caput medusæ que Lord Ross, en 1818, n'avait trouvé qu'à 1,830 mètres de profondeur dans la baie de Baffin, se trouve à 40 mètres seulement dans la mer des Antilles (Claus). Un fait digne de remarque, c’est que, dans les orandes dépressions situées à peu de distance du rivage, au lieu de trouver des sables et des cailloux roulés, comme on en trouve ordinairement dans le voisinage des côtes, on observe des dépôts marneux, des vases, dépôts qui, dans les conditions ordinaires, ne se forment qu'en pleine mer. Dans la seconde note géologique que nous publions dans ce volume, sur le crétacé de Saintes, nous constatons que dans le santonien supérieur de cette localité, on trouve dans les mêmes bancs calcaires des animaux habitant des eaux peu profondes (Bryozoaires Polypiers constructeurs) associés à des animaux vivant à de grandes profondeurs (Spongiaires siliceux). Ce fait d'apparence si paradoxale s’explique assez facilement quand on tient eompte de ce que nous venons de dire sur les niveaux très différents auxquels on peut trouver les mêmes espèces marines. Les éponges siliceuses habitent normalement à de très grandes profondeurs ; cependant nous le répètons, M. de Folin en a trouvé à 500 mètres du rivage et à 80 mètres de profondeur. à Il se pourrait donc très bien que, à Saintes, à côté des récifs à — 208 — Pendant que le début du Rauracien se présente en un assez grand nombre de points sous un faciès vaseux à céphalopodes et à spongiaires siliceux, c’est-à-dire sous un faciès de mer profonde constituant l’argovien, en d’autres points de la France, il affecte le faciès coralligène indiquant des mers peu profondes et une tendance à l’exhaussement. Tandis que le Rauracien continuera souvent, en ces points, à conserver ce faciès à Polypiers, le faciès vaseux à spongiaires persistera Polypiers constructeurs et à côté des Bryozoaires qui vivaient à peu de profondeur, il y ait eu dans la mer santonienne supérieure des dépressions subites, des cuvettes d’une grande profondeur où vivaient les éponges siliceuses. Les débris de ces différents animaux auront ensuite été entrainés et mélangés. Mais on peut aussi faire à ce sujet une remarques très intéres- sante. Dans le calcaire santonien supérieur de Saintes les Bryozoaires et les Polypiers se trouvent surtout dans le premier banc et dans le dernier. Les spongiaires existent bien dans ces bancs, raais en très petit nombre On dirait qu'ils ont été entrainés en ces points après leur mort ; tandis que, dans les bancs intermédiaires, presque dépourvus et même quelquefois complètement dépourvus de Bryozoaires et de Polypiers, les spongiaires sont abondants et forment de véritables colonies. Cela ne semble-t-il pas indiquer des mouvements du fond sous- marin pendantla mer santonienne ? Nous croyons que lacommuni- cation qui semble avoir existé entre les bassins crétacés girondin et parisien depuis le Cénomanien supérieur à dû cesser à cette époque. On trouve, en Saintonge, des traces de discordance de stratification entre l’Angoumien et le Santonien ; on trouve même de ces discordances entre les différentes assises du Santonien. Il semble qu’il y a eu pendant le Santonñien inférieur et pendant le début du Santonien supérieur un mouvement lent et continu d’exhaussement tendant à fermer le détroit ; puis un affaissementmomentané suivi, tout à fait à la fin du Santonien supérieur, par un nouvel exhaussement. À ce moment la communication entre les deux bassins crétacés parisien et girondin aurait cessé définitivement et le rivage de la mer santonienne tout à fait supérieure aurait été dans le voisinage de Saintes. Le mouvement d’exhaussement se serait continué jusqu’à la fin du Crétacé, où se produisent dans le midi de la France, des formations saumâtres et lacustres. — 209 — dans la région qui nous intéresse et constituera la zone à Am. bimammatus. Puis la tendance à l’exhaussement des fonds des mers qui s'était d’abord manifestée vers l’est de la France gagnera de proche en proche jusqu’à l’ouest, tout en continant aussi à se propager vers l’est. M. Choffat et l’abbé Bourgeat ont rendu évident cet exhaussement des mers dans la région du Jura par leurs études sur le déplacement des récifs à polypiers. Dans le Jura central, à Pillemoine et à Châtelneuf, les récifs à polypiers se trouvent dans le Rauracien proprement dit. Si l’on s’avance davantage vers le Sud-Est, on ne trouve qu’un petit récif coralligène dans le Rauracien d’Oyonnax et de Valfin. En ce point, les récifs ont pris leur grande extension dans le Ptérocérien. Plus au Sud-Est encore, à Chanay, les récifs à polypiers se trouvent dans le virgulien et même à la base du Portlandien. Enfin, à l’Echaillon, près de Grenoble, le faciès coralligène se présente dans tout le jurassique supérieur depuis le ptérocérien jusqu’au Purbeckien inclusivement. Dans le bassin jurassique parisien, ce mouvement de recul des récifs à polypiers est moins apparent, mais on pèut cependant le constater. Dans l'Yonne, en eftet, le faciès coralligène se montre vers le milieu du Rauracien ; dans la Nièvre, il ne se montre que tout-à- fait au sommet du même étage. Dans le Berri, le faciès oolithique a complètement disparu du Rauracien proprementdit eton ne le trouve que dans le Séquanien. Puis on y trouve aussi le faciès oolithique à Nérinées, dans le ptérocérien. Nous avons dit que dans l’Yonne le faciès coralligène se trouvait dans la partie 13 ss — 210 — du Rauracien ; quand on se dirige vers le nord-ouest du même département, vers le centre du bassin parisien, on voit ce faciès remonter dans le séquanien. Il semble donc qu'il y ait eu, après le dépôt des marnes à spongiaires argoviennes, un mouvement lent d’émersion du sol sous-marin dans le bassin parisien. En un mot, il semble qu’il y ait eu retrait des eaux de la mer vers le centre de leurs bassins par suite de l’élévation des rivages et cela aussi bien dans le bassin parisien que dans le bassin du Jura. Ces deux bassins communiquaient entre eux par le détroit qui s’étendait entre le plateau central et le massif cristallin des Vosges (1). Il n’y aurait rien d’invraisemblable à ce que ce détroit ait été momentanément comblé pendant cette période d’exhaussement. En résumé, nous voyons donc, grâce à ce déplacement des récifs à polypiers, que la mer reculait vers les centres des bassins, vers le sud- est, dans le bassin du Jura; vers le nord ouest dans le bassin parisien. | Le recul des polypiers dont nous avons parlé pour le bassin parisien, persiste encore quand on s’avance encore plus à l’Ouest. Dans la vallée de l'Indre, le faciès oolithique coralligène qui, dans le Berri, se trouvait à la base du séquanien, ne se trouve que vers le milieu de cet étage. Quand on se dirige plus au nord- ouest du département de l’Indre, on ne trouve ce faciès aux environs de Levroux, que tout-à-fait au sommet du même étage. Dans la vallée de la Creuse, on ne trouve ni oxfordien, ni marnes à spongiaires argoviennes (1) D'après M. de Lapparent, le massif des Vosges aurait été émergé avant le Rauracien. — 211 — au-dessus du callovien. Ainsi que l’a signalé M. de Grossouvre, le faciès argovien à spongiaires n’est interrompu qu’en ce point, de la Loire à l'Océan. Il reparaît, comme nous l’avons déjà dit, au nord de Poitiers et dans le bassin girondin. [1 se pourrait que les assises aient été enlevées dans la vallée de la Creuse par des érosions ; mais il paraît plus probable que cette partie qui était déjà peu profondément immergée jusqu’au callovien supérieur, ce qui est attesté par l’aspect oolithique et souvent coralligène, a été complètement émergée à la fin de la période d’exhaussement qui semble caractériser, dans ces régions, la fin de la zone à Am. coronatus. I] se pourrait ensuite que, pendant la période d’invasion des mers oxfordienne supérieure et argovienne, cette langue de terre, formant la vallée actuelle de la Creuse, n’ait pas éprouvé, grâce au grand exhaussement qu’elle avait dû subir à la fin de l’oxfordien, un mouvement d’affais- sement suffisant pour qu’elle ait été profondément immergée par la mer rauracienne. En effet, tandis que de part et d’autre, de cette vallée, le début du Rauracien est caractérisé par les marnes à spongiaires argoviennes, dans la vallée même, il est caractérisé par un calcaire blanc coralligène indiquant le peu de profondeur de la mer en ce point. La période d’exhaussement du fond des mers que nous avons suivie jusqu’à la fin du séquanien a certainement dû se continuer dans le bassin parisien, comme elle l’a fait dans le bassin du Jura, mais on en perd les traces vers le détroit poitevin qui a dû conserverencorelongtempsune assezgrande profondeur empêchant le développement des Polypiers. Il se — 212 — pourrait que, vers la fin du jurassique, le faciès coralligène se soit développé en ce point, mais que des érosions postérieures en aient enlevé les traces. Il se pourrait aussi que les courants qui existaient en ce point et le fond plus ou moins vaseux de la mer aient empèché ce développement. Quoi qu’il en soit, on n’a trouvé jusqu'ici dans le détroit poitevin proprement dit aucune assise jurassique supérieure à la zone à Am. bimammatus. Le séquanien à Am. Achilles se trouve ainsi que les autres assises jurassiques supérieures entre Niort et Saint-Jean-d’Angély. Le recul de la mer vers le centre du bassin girondin est aussi indiqué par les récifs à Polypiers. C’est ainsi que dans le voisinage de la Rochelle, le Rauracien est d’abord marneux et représenté par les marnes à spongiaires. Puis, vers le sommet de cet étage on remarque quelques lits à Polypiers, ce qui indique un exhaussement du fond de la mer. Un peu plus au sud, à Angoulins, les récifs à Polypiers sont à la base du Ptérocérien. En résumé, après le dépôt des couches à Am. bimam- matus, on ne sait plus quels sont les changements survenus dans la configuration du détroit poitevin pendant le jurassique. A la fin de cette période, vers le portlandien et le purbeckien, il y a une série d’exhaus- sements. La mer abandonne des points qu’elle couvrait; en ces points, il se forme des dépôts d’eau saumâtre et l’'évaporation donne naissance à des accumulations de gypse. Il arrive fréquemment que, par suite d’un exhaussement plus complet, ces points sont mis à sec etil s’y forme plus tard des lacs d’eau douce avec dépôts de lignite et traces de mollusques habitant ces — 213 — eaux (Paludines, Lymnées,. etc.). La mer revient ensuite quelquelois de nouveau sur ces points ; de là l'alternance des dépôts marins et des dépôts d’eau douce que l’on trouve en certains points de la France. Enfin, dans les derniers temps du purbeckien, l’exhaussement du fond des mers atteint son maximum et c’est alors le moment du grand développement des formations lacustres. Entre Niortet Saint-Jean d’Angély, on trouve de ces dépôts de gypse dans le jurassique supérieur, ce qui indique des lagunes saumâtres; et, dans la Charente, aux environs de Chassors, on trouve un purbeckien d’eau douce avec des Lymnées et des Planorbes. Ce n’est probablement que vers cetteépoque, c’est-à-dire tout-à-fait à la fin du portlandien, que le détroit a été comblé (1). (1) Après le Portlandien, c’est-à-dire pendant le Purbeckien, sur la plupart des points émergés se forment des dépôts d’eau douce. On trouve de ces dépôts au sud de Saint-Jean d’Angély, vers Burie, Brizambourg, Matha, vers Rochefort et dans l’île d’Oleron. On a donc là des traces indéniables du soulèvement du fond de la mer. Au sud-est des Deux-Sèvres vers la Charente on trouve de véritables récifs coralligènes dans le Rauracien proprement dit, on ne trouve ensuite ces récifs que dans des assises plus élevées, vers la Rochelle et Angoulins ens’éloignant de plus en plus du détroit qui semble encore continuer pendant quelque temps a être une cuvette profonde. Puis enfin quand, vers la fin du Portlandien, le mouvement d’émersion à atteint un grand développement. il semble que le détroit qui devait être à ce moment une sorte de lac salé en communication avec les bassins girondin et parisien, par un réseau de lagunes saumâtres, a dû se trouver tout-à-fait isolé et a dû se dessécher complètement par suite de la continuation du mouvement d’exhaussement. Il est fort probable que vers la fin du Génoma- nien, grâce à un retour offensif des mers, il a encore fait communiquer les bassins crétacés girondin et parisien, mais il est alors probable qu’au lieu d’avoir la forme d’une dépression profonde comme auparavant, il devait avoir peu de profondeur et même former une sorte de plateau sous-marin entre les deux — 214 — On n’a point trouvé jusqu'ici de sédiments crétacés à la surface des terrains jurassiques du détroit poitevin. Il n’y à pas lieu, malgré cela, croyons-nous, de conclure que la mer crétacée n’ait jamais recouvert le détroit. Beaucoup de géologues compétents, M. Neu- mayr, entre autres, pensent, au contraire, qu’à l’époque de la craie, au moment de grande invasion de la mer, les bassins girondin et parisien communiquaient momentanément entre eux par le détroit et même qu’à un certain moment de cette période, le plateau central aurait été complètement ou du moins en grande partie submergé. Cette hypothèse nous semble très admissible et nous avons cité plus haut un exemple de découverte de fossiles secondaires dans le plateau central qui plaide beaucoup en sa faveur. Mais il est évident que, tant que l’on n'aura pas trouvé quelque lambeau, tant petit soit-il, de crétacé dans la partie centrale du détroit ou sur le plateau central, le fait ne sera pas établi d’une façon définitive. Un certain nombre de faits tendent à prouver la communication entre les deux bassins, à l’époque crétacée. Il y a d'abord la ressemblance assez constante qui existe entre les dépôts de ces bassins. Mais il y a aussi la correspondance remarquable des faunes depuis le cénomanien supérieur ou carentonien jusqu’à la fin du santonien. En effet, dans la vallée de la Loire et au bassins. Son fond aurait été ainsi très exposé à l’action des courants et des érosions, On s’expliquerait alors très bien dans de telles conditions, non seulement l’absence de tout dépôt crétacé, mais encore l’enlèvement complet des assises jurassiques supérieures. — (Voir ce que nous disons plus loin au sujet du Détroit du Pas-de-Calais). — 215 — Mans comme dans le bassin crétacé du sud-ouest, on trouve absolument, à la même hauteur, dans le carentonien, un premier niveau à Hippurites et des sables glauconieux à ostracées. Plus tard, dans le Turonien supérieur ou Angoumien, on trouve dans ces deux régions (dans le bassin du S.-0. et à la Flèche), un deuxième niveau à Hippurites. Enfin, pendant le santonien supérieur, la même faune de céphalopodes (Am. subtricarinatus, A. Texanus), se développe de part et d'autre. Il est bien difficile d’expliquer ces coïncidences remarquables si on n’admet pas la communication entre les bassins parisien et girondin. (1). | Pendant toute la durée du jurassique et du crétacé, aucune manifestation éruptive ne s’est fait sentir. Mais dans les derniers temps de l’éocène le plus récent, les phénomènes éruptifs reprennent leur activité. C’est alors que se produit, dans le détroit poitevin, toute une série de soulèvements amenant des dislocations, des failles et la production de dépressions dans lesquelles se formeront des lacs d’eau douce. On peut voir nettement la trace de trois de ces axes de soulève- ment dans la région qui nous intéresse. Le premier, partant du massif vendéen, passe par Sanxay et Menigoute, apparaît un peu dans la Vienne et rejoint les terrains cristallins du Limousin. Le second, situé plus à l’Ouest et partant également du massif vendéen, passe par Exireuil, à 2 kilomètres environ de Saint- Maixent et forme le ravin du Puy-d’Enfer. Le troisième (1) Mémoires de la Société de statistique, sciences, lettres et arts des Deux-Sèvres. — Niort, tome #4, 1887, page 133. — 216 — enfin, ayant toujours le même point de départ, passe sur la rive gauche de la Sèvre et longe le ravin de l’'Hermitain. Ces trois axes de soulèvement entre lesquels les couches jurassiques se sont infléchies ont déterminé la. formation de deux lacs qui s’étendaient, le premier entre Sanxay, Lusignan et la Mothe-Sainte-Héraye, le second entre la Mothe-Sainte Héraye et Saint-Maixent et qui devaient communiquer entre eux et avec un grand nombre d’autres lacs qui formaient un véritable réseau dans les Deux-Sèvres, la Vienne, les Charentes, etc. Pamproux se trouvait évidemment dans le premier de ces bassins lacustres. Les couches jurassiques, immédiatementaprèsleur formation, étaient légèrement inclinées vers le sud-ouest; c’est-à-dire présentaient une inclinaison naturelle vers le centre du bassin girondin. Mais au moment des soulèvements qui ont causé la formation du bassin lacustre, leur inclinaison primitive a été modifiée et, de part et d’autre, elles ont plongé vers le centre de ce bassin dans lequel se sont déposés les sédiments tertiaires. Le second lac tertiaire, celui qui s’étendait entre La Mothe et Saint-Maixent, a été étudié par MM. Saurzé, Baugier, Cacarié, Garran et surtout, plus récem- ment, par M. Gelin. D’après ce dernier (1), le lac (1) On ne trouve pas le troisième niveau de Rudistes (campanien) dans les bassins crétacés du nord. Après l’Angoumien, les Rudistes semblent avoir émigré dans le midi par suite de la diminution de température, Il semble, du reste, que si les deux bassins ont communiqué ensemble, c’est à peu près vers la fin du Santonien que la communication a dû cesser. re — 217 — Saint-Maixentais se serait desséché par le concours des deux faits suivants: 1° écoulement d’une portion des eaux du lac en une nappe peu profonde par la plaine située au nord-est de Saint-Maixent, puis par la vallée du Gueure ou Liguaire; 2° Ecoulement (peut être souterrain) à l’origine d’une autre portion par une fissure, dont le déblaiement et l'élargissement progres- sifs ont abaissé le niveau des eaux, supprimé l’autre voie d'écoulement, vidé le lac, puis constitué la vallée actuelle de la Sèvre-Niortaise à partir de la Mothe- Sainte-Héraye et Saint-Maixent. Il est possible que le dessèchement du lac Saint- Maixentais ait contribué à amener celui du lac d’Avon, de Pamproux et de Saint-Sauvant par suite de la communication supposée de ces deux lacs. Dans ces conditions, le dessèchement du lac d’Avon aurait été complet si son fond était plus élevé que celui du lac Il se peut, qu’on trouve, un jour, des sédiments crétacés dans la partie centrale du détroit poitevin. C’est ainsi qu’on a trouvé des poches remplies d’argiles à silex et à oursins crétacés dans le Morvan, dans le Maconnais, dans les montagnes du Jura (à Leyssard, dans le département de lAïn) ; en un mot, en des points qu’on avait crus jusqu'au moment de ces découvertes complètement émergés pendant l’époque crétacée. En admettant même qu'on ne trouvât jamais la moindre trace de dépôts crétacés dans le détroit poitevin, devrait-on malgré cela en conclure que la mer crétacée ne l’a jamais recouvert ? Nous ne le croyons pas. On pourrait en douter tout au plus. De nos Jours, par exemple, le fond du détroit du Pas-de-Calais est constitué par des sédiments crétacés. Si par une cause quelconque ce détroit se trouvait unjour mis àsec, on ne pourrait cependant pas conclure que le terrain qui en constitue le fond a été à sec depuis le crétacé jusqu’à nos jours, jusqu'àprès l’époque crétacée, 11 a été recouvert par des mers tertiaires et par la mer actuelle, , — 218 — Saint-Maixentais ; il aurait été incomplet dans le cas contraire. Dans le cas où le dessèchemeat du lac de Saint- Maixent n'aurait pas amené le dessèchement du lac d’Avon, il est probable que celui-ci a été vidé complè- tement par deux failles à peu près parallèles qui ont disloqué les parois du bassin et causé, par laffaisse- ment des couches, la profonde dépression couronnée de hauteurs, dont on peut bien suivre les détails quand on se place sur l’éminence qui domine la gare de Pamproux. Ces deux failles ont dû se produire tout-à- fait à la fin de l’éocène le plus récent, ou au début du miocène, vers le moment où s’est produite celle qui a contribué à vider le lac tertiaire de Saint Maixent. Il se peut que le dessèchement de ce dernier lac ait contribué à causer plus au moins complètement celui du lac d’Avon, mais ilest probable aussi que l’effon- drement des bords de la cuvette par le concours des deux failles dont nous venons de parler a contribué puissamment à ce dessèchement. Nous croyons que ces causes, suffisantes chacune par elle-même pour amener ce dessèchement, ont agi simultanément. Une fois ces lacs desséchés, les dépôts qui s'étaient formés dans leurs bassins, ont été attaqués et plus ou moins entraînés pendant la période de temps qui s’est écoulée depuis la fin de l’éocène jusqu’à nos jours par le ruissellement et par l’action des divers agents atmosphériques. Actuellement, il ne reste que la partie de ces dépôts qui occupait le centre des lacs. Des deux failles qui ont contribué à vider le lac d’Avon, il en est une qui nous intéresse beaucoup, c’est celle qui a déterminé la formation du lit du = ruisseau de Pamproux qui coule au fond de la dénivel- lation qu’elle a produite (Voir cette faille FF sur la carte et sur la fig. 1). Elle a causé une modification dans la direction des couches. Ces dernières, avons- nous dit, plongeaient d’abord vers le centre du lac. Lorsqu'on est placé à peu de distance au nord de la station de Pamproux, sur la hauteur qui domine cette station, on voit les couches calloviennes plonger vers le nord-est, lorsqu'on se dirige vers le nord; les couches ont alors conservé leur inclinaison vers le centre du bassin lacustre. Mais, quand on se dirige au contraire vers le sud, en descendant vers le bourg ou vers Saint- Martin, on voit ces couches qui, plus au nord, s’incli- naient vers le sud-ouest, s’incliner maintenant vers le nord-ouest. La figure 1 montre très bien cette particu- larité, si on considère la partie nord vers la voie ferrée. Cette disposition, qui montre que la lèvre (de la faille) qui porte la station de Pamproux n’est pas complèle- ment restée en place (elle possèderait alors une plus grande altitude que celle du Moulin Prunier (150") et que celle des Coudrés (142"), puisque ces points étaient plus rapprochés du centre du lac). L’altitude de la station (128) atteste un abaissement qui, si l’on tient compte des chiffres que nous venons de donner, a été évidemment supérieur à 22 mètres. La lèvre inférieure de la faille s’est affaissée d’une façon bien plus consi- dérable et est descendue de près de 100 mètres au fond de la vallée. L’inclinaison des couches qui forment le bord de cette lèvre et qui plongeaient vers le centre du bassin à augmenté sensiblement près de la cassure. Le bord de la lèvre supérieure ne plonge pas toujours régulièrement vers le sud-ouest et en certains points sa direction a été modifiée par des circonstances locales ou plutôt il semble qu'elle soit à peu près restée en place en ces points. C’est ainsi que dans la tranchée de Salles, les calcaires calloviens et bathoniens plongent vers le nord-est. Dans la tranchée de la gare de Pamproux, les calcaires plongent à chaque extrémité de la tranchée à l’ouest et à l’est. En ce point, il s’est donc produit des modifications toutes particulières. La faille est à peu près dirigée du sud-ouest au nord- est. En approchant du département de la Vienne, vers la tranchée de la Villedé-du-Perron, sa direction change un peu et elle remonte presque du sud au nord. Dans la tranchée que nous venons de nommer, elle est très apparente, ou, pour parler plus exactement, il y a en réalité, en ce point, comme nous l’avons déjà dit, une succession de plusieurs failles parallèles et dont les dernières semblent être une conséquence, une sorte d’écho affaibli de la première qui est la plus impor- tante. Il est évident que le changement de direction de la faille amène aussi un changement dans la direction et l’inclinaison des couches qui forment le bord des lèvres de cette faille. Les eaux qui alimentent le ruisseau de Pamproux proviennent en grande partie du plateau compris entre Soudan, les Fossés, Saint-Germier et la Villedé-du- Perron. La faille qui limite le plateau, les arrête dans leur pente. Elles jaillissent à Saint-Martin, à Chabannes, à la Grande-Fontaine et à Pouillet. Le ruisseau de Pamproux se jette dans la Sèvre, aux environs de la Villedieu-de-Comblé. La Fontaine de la Roche Rufin alimente aussi ce petit cours d’eau. Elle est située au pied d’un escarpement callovien surmonté lui-même 901 — par les marnes argoviennes. La voûte de la grotte est lézardée par une fissure élargie par l’action des eaux et qui semble avoir été produite par une faille (Voir carte, (ff), presque perpendiculaire à la direction de la faille principale (F) dont elle semble avoir été la conséquence. Cette faille (ff) semble avoir aussi produit avec l’action combinée des eaux de ruisselle- ment, la dépression du bois d’Hervault. L'eau fournie par la fontaine jaillit, d’après M. Gelin, du bathonien qui, dans la région, en est toujours saturé. Ce sont des fissures dans les calcaires de cet étage qui, d’après le même auteur, donnent naissance à toutes les sources de Pamproux et de ses environs. La fontaine de la Roche-Rufin est encore alimentée par deux entonnoirs, résultats probables de la faille, creusés dans les marnes argoviennes et communiquant avec la fissure du réservoir souterrain. Le premier de ces entonnoirs constitue le Trou de Lallier ; le second est situé dans la commune de Rouillé (Vienne). Les eaux de la vallée du Merzereau contribuent enfin à alimenter pendant l'hiver le ruisseau de Pamproux. En résumé, nous voyons donc à quelle époque et de quelle façon le ruisseau a pris naissance. La faille en question a formé son lit. Vers Salles, cette faille semblait s’atténuer et se terminer par une fissure que les eaux du ruisseau ont élargie en vallée jusqu’au point où il vient se jeter dans la Sèvre et précisément dans la partie de la vallée de ce dernier cours d’eau correspondant à l’ancien lac Saint-Maixentais. Les eaux qui alimentent le Pamproux ont été fournies, en partie, par des sources auxquelles la faille a donné naissance en fissurant le bathonien qui en est toujours saturé. L'autre partie des eaux — 222 — provient des terrains inclinés et des plateaux bordant la faille de chaque côté, ainsi que des entonnoirs particuliers dont nous avons parlé. Après la formation des dépôts sidérolithiques, il semble que les terrains comblant le détroit jurassique ont été complètement à découvert jusqu’à la période actuelle. Le relief du pays et son hydrographie défini- tive se sont dessinés à la fin du tertiaire et surtout au début de l’époque quaternaire. LIT. Nous ne voulons point achever cette petite étude, sans faire incidemment une remarque au sujet de la provenance du calcaire qui a servi à l’homme préhis- torique à construire les monuments robenhausiens si connus de Bougon. Certaines personnes ont prétendu (c’est l'opinion de M. le Dr Sauzé, de la Mothe-Sainte- Héraye), que ce calcaire provenait des environs immé- diats d’Exoudun et peut-être même de la localité désignée sous le nom des Roches-d’Exoudun. Quant à nous, nous ne partageons pas complètement cette opinion et nous sommes même presque porté à la rejeter tout-à-fait. Nous allons exposer brièvement quels sont les motifs qui nous engagent à cela. Nous dirons tout d’abord que, dans les matériaux qui ont servi à édifier ces monuments (dolmen et tumuli), il y a lieu de distinguer ceux qui composent les murs verticaux de ceux qui constituent les dalles énormes placées horizontalement et servant de table au dolmen ou de voûte aux tumuli. DE 40 Dalles calcaires constituant les murs. Ces dalles sont constituées par un calcaire blanc- jaunâtre, feuilleté, assez tendre et présentant, en un mot, tous les caractères des bancs calloviens supérieurs (zone à À. Coronatus). Dans l’une de ces dalles, que l’on peut voir dans legrand tumulus, est encastrée une magnifique Ammonites anceps ayant près de 0®20 de diamètre. Cette espèce ne se trouve que dans le callo- vien moyen (zone à À. anceps proprement dite) et dans le callovien supérieur (zone à A. Coronatus); et c’est . duns cette dernière zone surtout qu’elle atteint d’aussi grandes dimensions. Ces dalles présentent aussi souvent des perforations de mollusqueslithophages, perforations qui, comme nous l’avons dit précédemment, indiquent la partie tout-à-fait supérieure du callovien. Il est évident que ces matériaux ne sauraient provenir d'Exoudun même ou des environs immédiats de ce point où l’on trouve surtout le callovien inférieur (zone à A. Macrocephalus) et le Bathonien. 2% Dalles servant de table au Dolmen et de voûte aux tumuli. Nous nous occuperons d’abord de la grande dalle formant la table horizontale du Dolmen. Le calcaire qui la constitue est absolument identique comme grain et comme nature à celui que l’on trouve près du moulin à vent de Bougon et qui appartient au callovien moyen. C’est un calcaire argileux et siliceux, dur et à cassure couchoïdale. Si l’on jette un coup-d’œil sur la figure 2, on verra quelle est la disposition des différentes assises callo- — 224 — viennes autour de la Roche-de-Bougon, disposition qui serait la même sur une coupe parallèle faite un peu plus au nord par Bougon etle Moulin de Bougon (Voir ces localités sur la carte). On trouverait, du reste, encore cette disposition sur une troisième coupe passant par Avon, Javarzay et Exoudun. Bougon et la Roche de-Bougon reposent sur le callovien inférieur (zone à A. Macrocephalus) dans une petite dépression de part et d’autre de laquelle s’élèvent des collines. A l’ouest, ces collines comprennent le callovien moyen (zone A. anceps) et le callovien supérieur (zone à 4. Coronatus)à l'exception des banes tout-à-fait supérieurs de cette dernière zone que l’on ne rencontre que sur les flancs des collines situées à l’est (Voir la carte et la figure 2), où ils sont surmontés par les calcaires et les marnes oxfordiens et argoviens. Les monuments préhistoriques de Bougon reposent sur un mamelon argovien, indiqué sur la carte, à peu de distance de Bougon même et de la Roche-de-Bougon. On voit donc que les différentes zones du callovien avec leurs calcaires à grain, à couleur et à faunes diverses, se trouvent, pour ainsi dire, au pied même du mamelon qui porte les monuments. Le calcaire callovien supé- rieur qui à servi à édifier les murs verticaux et dont nous avons parlé précédemment, provient, sans nul doute, de la partie comprise entre Bougon ou la Roche- de-Bougon et les marnes oxfordiennes et argoviennes, à l’est de ces localités, on trouve ce calcaire à moins de 200 mètres des monuments. Quant à la grande dalle qui recouvre le dolmen, elle doit provenir des environs immédiats de Bougon et de la Roche de-Bougon, un peu à l’est ou au nord-est de ces points, c’est-à-dire des — 225 — flancs mêmes de la colline qui supporte les marnes oxfordiennes, ou tout au plus, de points situés à l’ouest des endroits que nous venons de nommer sur les collines opposées, comme le Moulin-de-Bougon, par exemple, où on retrouve le même calcaire, ce qui se comprend facilement par la simple inspection de la direction des couches sur la figure 2. L'homme de l’époque robenhausienne, bien qu’ayant déjà domestiqué le cheval et le bœuf, ne devait posséder malgré cela que des moyens bien rudimentaires pour le transport de ces énormes dalles, et pour tous ins- truments que des leviers et des rouleaux ou gros cylindres de bois. Il est probable que, sans ces diffi- cultés de transport, il aurait peut-être complètement renoncé à l’emploi des calcaires calloviens supérieurs qui sont assez tendres et assez gélifs et n’aurait employé que les calcaires du callovien moyen ou du callovien inférieur qui sont très durs, mais qu'il était obligé d'aller chercher à une plus grande distance. 3° Dalle calcaire recouvrant le grand tumulus. La provenance de cette dalle est tout à fait douteuse. Son grain est identique à celui de certains bancs de la zone à À. macrocephalus ou de certains bancs inférieurs de la zone à 4. anceps. C’est un calcaire gris foncé, dur et assez miroitant. J’ai trouvé des bancs tout-à-fait identiques au début de la zone à A. anceps, dans les carrières de Saint-Martin de Pamproux. Dans une même zone géologique les bancs varient souvent de couleur et dans les carrières que je viens de citer on trouve, dans une même assise, des bancs de couleur — 226 —" et de grains très diflérents. Ce fait est général et se reproduit dans les environs de Bougon. Il se pourrait très bien que ce calcaire gris foncé provint de la Roche de Bougon où l’on trouve la zone à 4. macrocephalus et les bancs les plus inférieurs de la zone à 4. anceps (voir figure 2). D'un autre côté, aux Roches d’'Exoudun, on trouve un calcaire absolument identique à celui qui constitue la table du grand tumulus. Cette dernière provient peut-être alors de cet endroit. On le voit, sur ce point particulier, il est impossible de trancher la question. Il se pourrait que pour ce cas, l’opinion du Dr Sauzé füt exacte. J'avoue cependant qu’il me reste encore beaucoup de doutes. Je crois que si, à la Roche de Bougon même on extrayait en différents points, des échantillons de calcaire, on trouverait certainement des bancs pareils à celui qui a fourni la table en question. L'homme préhistorique de Bougon, lorsqu'il s’est agi d’édifier les monuments mégalithiques, a dû cher- cher à s'assurer de la qualité des diffférentes sortes de calcaires qui avoisinaient le mamelon où il avait l’in- tention d’établir ces monuments. Il est tout probable qu’il a d’abord porté ses investigations sur les points les plus rapprochés, sur les calcaires calloviens supé- rieurs qui sont, en quelque sorte, au pied même du mamelon. Ces calcaires quoique marneux et assez tendres, lui ont paru cependant suffisamment solides pour constituer les murs des tumuli et du dolmen. En effet, ces murs devant être, en partie protégés contre les intempéries par les grandes dalles qui forment les tables horizontales des monuments, leur dureté et leur résistance luiontcependant paru suffisante. Mais, quand il s’est agi de trouver des matériaux d’une solidité suffisante pour constituer les tables horizontales, il à fallu renoncer à employerle calcaire callovien supérieur et pousser les investigations plusloin. Cesinvestigations ont dû alors porter plus à l’ouest, vers le Moulin et la Roche de Bougon, à 2 ou 300 mètres environ au delà du premier point ; distance considérable pour l’homme préhistorique de Bougon, étant donnés les moyens de transport qu’il avait à sa disposition. Dans ces endroits, il a dû trouver les calcaires calloviens moyens ou les calcaires calloviens inférieurs qui atteignent souvent une très grande dureté et forment d'immenses dalles d’une certaine épaisseur. C’est ainsi que la table du dolmen est constituée, comme nous l’avons déjà dit, par un calcaire tout à fait identique à celui que lon trouve au Moulin de Bougon. Quant à la dalle horizontale du grand tumulus, on ne saurait se prononcer sur sa provenance, on trouve assez souvent dans le callovien inférieur, et au début du callovien moyen de la région des bancs ayant identiquement le même aspect et la même dureté, il doit donc s’en trouver certainement dans les mêmes zones à la Roche de Bougon et vers le Moulin de Bougon. Je possède deux échantillons du calcaire des Roches d'Exoudun , localité, d’où proviendrait, d’après M. Sauzé, le calcaire des monuments. L’un de ces échantillons est en tous points, semblable à celui qui constitue la table du tumulus ; et, détail assez curieux, le second échantillon provenant du même point, mais extrait d’un autre banc, ressemble identiquement au calcaire du Moulin de Bougon et à celui qui constitue la table du dolmen. Cela prouve encore une fois combien la couleur et la consistance des bancs d’une même assise peut varier en un même point. D’un autre côté puisque, aux Roches d’Exoudun, à côté du calcaire analogue à celui qui constitue la table du tumulus, on trouve un calcaire ressemblant identiquement à celui du Moulin de Bougon, il est très probable que cette association des deux sortes du calcaire qui existe aussi dans les carrières de Saint-Martin de Pamproux, doit aussi se retrouver à la Rochede Bougon et aux environs du Moulin de Bougon. Dans le cas où la grande table horizontale du tumulus proviendrait des Roches d’Exoudun, il n’y aurait, croyons-nous, qu’une façon d'expliquer le motif qui aurait poussé l’homme préhistorique de Bougon à aller la chercher aussi loin. Il faudrait admettre que les habitants de la station robenhaussienne de Bougon, n'avaient point eu l’idée d'extraire des échantillons de calcaire dans l’intervalle compris entre le point où ils avaient extrait les dalles de calcaire callovien supérieur qui leur ont servi à édifier les murs des monuments de Bougon d’une part, et les Roches de Bougon de l’autre ; essais qui leur auraient rapidement fait trouver, à peu de distance du premier lieu d'extraction, des bancs calcaires d’une très grande dureté. Cette supposition nous paraît bien étrange et bien peu admissible. Il faut plutôt admettre que ces habitants avaient déjà construit le tumulus et apporté des Roches d’'Exoudun sa table horizontale avant de construire le dolmen et que, au moment où il s’est agi de se procurer la table de ce dolmen, ils aient, en quelque sorte, reculé devant les difficultés qu'ils avaient à surmonter pour améner des Roches d’Exoudun des masses aussi considérables. C’est alors qu’ils se seraient livrés à des recherches plus minutieuses qui auraient mis en leur possession le calcaire très dur, analogue à celui du Moulin de Bougon, qui recouvre le dolmen. Si l’on rejette cette dernière hypothèse, il faut alors admettre que là table de ce dolmen provient aussi des Roches d’Exoudun où on trouve bien, il est vrai, des bancs d’un calcaire identique, mais qu’il est absolument inutile d’aller chercher aussi loin puisque la moindre recherche faite dans les environs immédiats des monuments fait découvrir rapidement un calcaire analogue en tous points à celui dont il est question. (1) On voit donc, en résumé, combien des considérations paléontologiques et-stratigraphiques peuvent apporter d’utiles documents pour lhistoire des monuments préhistoriques. Nous terminerons ici cette petite étude sur un point intéressant du détroit poitevin. Comme on le voit les documents manquent complètement en ce qui concerne la fin du jurassique et l’époque crétacée. Nous ne désespérons pas cependant, qu’il soit possible un jour de compléter ces points. On creuse fréquemment des puits d’une grande profondeur dans la région couverte par les terrains tertiaires, située au nord de Pamproux, dans le voisinage de la grande route de la Rochelle à Quant aux débris calcaires et aux marnes ou argiles qui recouvrent la table et les côtés des chambres des tumuli, leur provenance est callovienne et argovienne, ainsi que l’indiquent les nombreux fragments d’ammonites caractéristiques qu’ils renferment. — 230 — Poitiers (voir la carte), c’est surtout ainsi, croyons-nous, qu’on pourra d’un jour à l’autre mettre à découvert quelques lambeaux de jurassique supérieur ou de crétacé restés au fond du bassin lacustre tertiaire et protégés contre les érosions et le ruissellement pendant l'immense espace de temps qui s’est écoulé depuis la fin de l’éocène jusqu’à nos jours. Quoi qu’il en soit, nous avons pris toute nos précautions pour être mis en possession des échantillons, des fossiles et des roches traversées, lorsque des propriétaires de cette région feront creuser des puits. Qu'il me soit permis de remercier ici M. Souché, le distingué secrétaire de la Société botanique des Deux-Sèvres, pour les renseignements précieux qu’il m'a fournis et pour les échantillons qu'il m'a gracieusement envoyés. "|| à ——— : don DISIPÉ, A 3 é uofngés p scurer eng: dé È CC) A aÿep.rog pa W 00008 y sud Dr ET ST] ep Depoy - uepn aITEt9I0 dns uatseiney uaraofy UatpI0FX() Hip NO TER) re} antyeottdxo apua6ary JAUEANES SG 2P 78 UCAY,D 2U2909 9146N08] 103 - V—- "Snsonxa]f ? 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Louis CRIE Professeur à la Faculté des Sciences de Rennes. Dans les Charentes la série crétacée qui est très fos- silifère débute par le Cénomanien. Cet étage offre d’abord une assise de grès glauconieux ou ferrugineux alternant avec des argiles à lignites, à bois silicifiés et à succin (Gardonien de-Coquand). Grâce à l’obligeance de M. Ed Beltremieux, géologue à la Rochelle, nous avons pu étudier d'assez nombreux fragments de bois silicifiés et de lignites provenant de la forêt sous- marine de l'ile d'Aix. Ces bois fossiles passent sous l’île d’Aix et se retrouvent à Fouras, sur le continent, à quelques kilomètres de l'ile, suivant une direction du N.-0. au S.-E. Les végétaux Cénomaniens de l’ile d'Aix que nous avons pu examiner et dont la structure est parfois très bien conservée sont des Conifères {Araucarioxylon Gar- — 232 — doniense nov. sp., Cedroxylon Gardoniense nov. sp., que l’on trouvera décrites et figurées dans ce travail. Coquand a signalé dans le couches gardoniennes de l'ile d'Aix : Brachyphyllum Orbignyi Brgn. (Conifères), Zosterites Orbignyi Brgn., Zosterites Bellovisana Brgn., Zosterites elongata Brgn., Zosterites lineata Brgn., Zos- terites cauliniaefolia Brgn. (Naïadées), Rhodomelites strictus Sternb. : Il nous à été impossible de savoir de quelle collection font actuellement partie les empreintes mentionnées par Coquand (1). L’assise à végétaux dont nous venons de parler est connue à l'ile d'Aix, à Fouras, à Rochefort et dans quelques autres localités. Elle contient dans ses couches marines, Anorthopyqus orbicularis, Pagurus lampas, Orbitolina concava. Au-dessus viennent des calcaires à Ichthyosarcolithes où à Caprina adversa, divisés en deux massifs que sépare une couche de 8 à 10 mètres de grès et de sable à Ostrea columba, Ostrea biauriculata, Ostrea flabellata. À l'ile d’Oleron et dans la région littorale de l’Aunis, le Cénomanien se compose, comme le fait remarquer M. Boissellier (2), de plusieurs assises qui sont : 4° des sables ferrugineux contenant des couches de gravier, de grès siliceux avec parcelles de lignites, ainsi que quelques couches d'argile noire comme à l’ile d’Aix et aux Ouillères ; 2° des sables fins avec des bois tantôt (1) Coquand. Synopsis des animaux et des végétaux fossiles observés dans les formations secondaires de la Charente, de la Charente-Inférieure et de la Dordogne. Marseille, 1860. (2) V. Boussellier. Notice explicative de la feuille géologique no 151. — 233 — pyriteux, tantôt silicifiés ; 3° des bancs de grès calcaires à échinodermes ‘Anorthopygus orbicularis) qui alternent souvent avec des couches de marne ou de sable fin à Orbitolina concava, Alveolina ovum et Ichthyosarcolithes (Fouras, Piédemont) ; 4° Des sables glauconieux verts ou jaunes traversés par des bandes de mar nes blanches ou des lits d'argile renfermant des Terebratula biplicata avec lignites et bois silicifiés ; 5° des calcaires blancs ou jaunâtres avec Caprina adversa et nombreux fora- minifères dans les couches supérieures (île Madame, Grand-Jean) ; 6° des sables glauconieux jaunes ou ver- dâtres avec Ostrea biauriculata,Ostrea columba, Ostrea flabellata ; 7° des calcaires marneux constituant le troi- sième horizon à /chthyosarcolithes. L’assise des sables verts à végétaux fossiles n’offre pas d’affleurements favorables aux recherches dans l'ile d’Oleron. Cependant M. Boissellier à pu recueillir des fragments de lignite entre Chancre et la Seulière. La mer en apporte de nombreux débris qu’elle enlève aux sables cénomaniens submergés. Quant aux bois silicifiés, on peut en trouver sur le plateau de Chancre, entre les couches de grès verts. M. Boissellier a bien voulu m'envoyer des morceaux de bois silicifiés perforés par des tarets (Teredo Fleu- riausi d'Orb.), et provenant du Cénomanien du Puits- d’'Enfer, commune de Saint-Clément, près Rochefort. Le même géologue m’a aussi adressé un autre fragment silicifié recueilli par lui dans la sablière pliocène ou quaternaire des Fontaines-Raffin, à un kilomètre de Rochefort. Ces sables contiennent beaucoup d’Ostrea columba et de rudistes cénomaniens à l’état siliceux provenant du remaniement des assises sous-jacentes ; — 234 — le bois fossile des sables de Fontaines-Raffin est donc, à n’en pas douter, cénomanien. | Nous allons maintenant étudier les bois silicifiés de l'ile d'Aix qui nous oni été libéralement communiqués par M. Ed. Beltremieux. Premières descriptions des végétaux cénomaniens de l’ile d'Aix (Charente-Inférieure). CLASSE DES GYMNOSPERMES FAMILLE DES CONIFÈRES GENRE ARAUCARIOXYLON Kraus. Le genre Araucarioxylon comprend tous les bois de conifères fossiles qui rappellent, par leur structure, les Araucaria et les Dammara de la flore actuelle. Le bois des Araucarioxylon offre des couches an- nuelles très variables en épaisseur. Les éléments qui jouent le rôle de fibres et de vaisseaux chez les Coni- fères, c’est-à-dire les trachéides ou vaisseaux impar- faits, à cloisons obliques et persistantes, sont marqués de ponctuations aréolées le plus souvent plurisériées et qui deviennent polygonales par leur pression mutuelle. Les ponctuations sont alternes et non disposées en lignes horizontales comme dans les Eleoxylon Brongn. Les Araucarioxylon de mème que les Araucaria ne présentent pas de canaux sécréteurs dans le bois des faisceaux de la racine et de la tige. Mais on sait que chez les Araucaria, les canaux sécréteurs sont répartis dans le liber des faisceaux de la racine et de la tige. Les Araucarioxylon assez nombreux qui ont été dé- "ELA NIRE AUSLIR rte du, RE AU ee CSA, tre did î NN 4 * ee" Mat / NARE PE) SR NUE ts 4 4 » Mo it ; vd pu Lu PAR A (UIDUOD) 2ÉVIT ) famnshi pay) 21. D A? 2P SINSSO] XOVPON ‘9113 SM0Z ET S C9 Se et DO0C0CCOCoNCogE0e | Cobsceeeco0e ous © ES | || Hd (92) ag a ge D° Cao) Lo 5 7 0 (c) (o) e | VA o Pit Het u |} [] 009000000000; SOL D SU OP DE CLEO 00 Q 0 S (En L DODECOOCDEOCDOLOCE LE 00) Le = << IRIS L Lesage del. v . _. | | Î f Ê | 2 ‘ + k à ; | 4 | Ê à # t L « ] ne | . AS ES À RU USE r L À À ï * { ; % s ‘à l [l \ * l De ; | 'ATYS COTE Ê ? l na f ) 2 x LE ï HET DA : ” Vos, a“ x > qu “ \ = Lu LA “ fn 4 7 f É “ # e ï - > tee Ve ] 4 à { L ï à j - Û 30 + \ - J Le ù tif y \ x 4- eg la x j = NA : | \ - ; * L CH t ve A “ d, L =“ EPA 10 He a F L TN CRE NN v j # a TR + f Ü b , _ L x à 4 4 on = crits jusqu’à ce jour, sont surtout des formes houillères, permiennes, triasiques, liasiques et jurassiques. Plu- sieurs espèces de ce genre ont été signalées dans les terrains tertiaires du Groënland, de la Corée, de l'Egypte, de l’île de Timor, de la Nouvelle-Zélande, du Chili, etc. Araucarioxylon Gardoniense, Nov. spec. Couches annuelles bien marquées ; trachéides peu uniformes, à parois épaissies ; ponctuations aréolées uni ou bisériées, alternes ; rayons médullaires simples offrant de 2 à 45 cellules superposées. La figure 1 de la planche 1 représente un fragment de bois d’Araucarioxylon Gardoniense au grossissement de 110 d. Les deux bandes ligneuses formées par des éléments à lumen élargi représentent le bois du prin- temps ; la bande intermédiaire dontleséléments offrent un lumen étroit constitue le bois d'hiver. Les dimen- sions variables du lumen des-trachéides montrent en outre que ces éléments sont peu uniformes. La figure 2 de la planche 1 montrele même fragment de bois au grossissement de 340 d. La coupe longitudinale tangentielle (pl. I, fig. 3) pré- sente des trachéides dépourvues de ponctuations aréo- lées sur leurs faces tangentielles. Deux trachéides laissent voir leur terminaison. Les rayons médullaires sont simples et formés de 2 à 15 cellules superposées. La coupe longitudinale radiale (pl. I, fig. 4) montre que les ponctuations aréo- lées, déformées par leur pression mutuelle, peuvent être unisériées ou bisériées ; lorsqu'elles sont bisériées ces ponctuations alternent. La tigure 1 de la planche 2 — 236 — montre au grossissement de 340 d, un fragment de la même coupe radiale. LocaLiTÉ. — Couches cénomaniennes de l'ile d'Aix (Charente Inférieure). GENRE CEDROXYLON Kraus. Les bois de Conifères que l’on rapporte à ce genre montrent, sur la coupe transversale, les zones d’accrois- sement en cercles concentriques, distincts ou effacés. Les trachéides sont le plus souvent ornées d’une rangée de ponctuations aréolées. Les rayons médullaires ne sont formés en largeur que d’un seul rang de cellules. Les canaux sécréteurs et les cellules sécrétrices font absolument défaut. Les Cedroxylon présentent la struc- ture la plus simple des bois de conifères ; ils semblent se rapprocher des genres Abies, Larir, etc. Les espèces de Cedroxylon que l’on a signalées jusqu’à ce jour proviennent surtout du trias, du lias, du juras- sique supérieur et du miocène. Cedroxylon Gardoniense Nov. spec. Couches annuelles très peu distinctes ; ponctuations aréolées assez petites, unisériées, éparses; rayons médullaires nombreux formés en hauteur de 2 à 12 cellules superposées. La figure 2 de la planche 2 représente un fragment de bois de Cedroxylon Gardoniense au grossissement de 110 d. Les dimensions variables du lumen des tra- chéides montrent que ces éléments sont peu uniformes. La coupe longitudinale tangentielle de ce bois (PL 2, fig. 3) montre, au grossissement de 110 d, des rayons LIN FRA LE Po Hs ni (om Ü 1 L fe: HAE v Rire UT MON POLAR Le E ae ‘ l —_ * l vf ; LE ; l 1: nu | n AT AL : NUL do 7e PAL L' A , nt } D Æ n À , ; . D : + = ' : ’ n Lu y ' { ù A PEL nl 3 7 + | [ ml 7 l n k { ni : « ; ee ee mon an EE DER RRCREEE Æ she te a) “is mes one U = o MRIAIE Dental HÉNCRRTER ” o)|} | Sr SA a AE CHRONO Ce Respstasel CRETE) EE) ea lo. 30 LÉERRMRNNENNT Die eo LCR RIRES re) | | Loto) | | Ce CARRE [SIRIIÉE où Scemssssl Reese "IEEE DERNIERE | 6 (UILIIULOU2) 26727 ”) CORP 2204) 01F. 70 O1? II 271 Ss0/ LION “NL) SMOY es ld I LL mn EL EE “ Ni — 231 — ligneux nombreux, simples, formés de 2 à 15 cellules superposées. Les parois tangentielles des trachéides sont ornées de ponctuations aréolées unisériées, et plus petites que celles de la coupe radiale. La coupe longitudinale radiale (PI. 2, fig. 4), repré- sente un fragment de bois de Cedroxylon gardoniense au grossissement de 110 d. Les trachéides sont marquées de ponctuations aréolées disposées, semble-t-il, sur un seul rang. On retrouve sur cette coupe les rayonsnom- breux de la coupe tangentielle et qui s'étendent ici transversalement sur les trachéides. LocaLiTÉ. — Couches cénomaniennes de l'ile d’Aix (Charente-Inférieure). - gs. vis! da s g: | ré COMMISSION DE MÉTÉOROLOGIE. —— DH — ANNÉE 1889. Le tableau ci-annexé, indique les orages qui se sont manifestés dans le courant de l’année 1889, ils ont été peu nombreux et n’ont donné lieu à aucune remarque particulière ; ils ont été presque tous locaux, les notes des observateurs ne nous ont pas permis de suivre la direction d’un seul de ces orages à travers le départe- ment. Nos collaborateurs se distinguent toujours par le soin qu’ils apportent dans leurs observations météoro- logiques. Nous avons signalé à la bienveillante attention de M. le Ministrede l’Instruction publique, ceux d’entre eux qui, par le nombre et la précision de leurs com- munications, témoignent un zèle qui va toujours en augmentant, nous espérons que M. le Ministre voudra bien accorder à quelques-uns la récompense qu’ils ont si justement méritée. Pour d’autres, qui malgré toute leur bonne volonté, ne peuvent faire que des observations incomplètes me parce qu'ils n’ont pas encore les instruments néces- saires, nous demandons à la Société des sciences natu- relles de leur accorder les appareils qui leur manquent, certains qu'ils en feront bon usage et qu’ils nous obli- geront à solliciter pour eux les récompenses que M. le Ministre veut bien accorder chaque année à la Com- mission départementale de météorologie. >CÆ DÉPARTEMENT ANNÉE 1889. de la A CHARENTE-INFÉRIEURE. BULLETIN MENSUEL N° { JANVIER. La Rochelle, DE Météorologie et de Démographie PUBLIÉ PAR LA COMMISSION DÉPARTEMENTALE DE MÉTÉOROLOGIE ET LE CONSEIL D'HYGIÈNE Résumé des observations météorolosiques. ; è Mois Année Phénomènes Nature des observations. | Janvier. £ : précédent.| courante.| particuliers. Pression barométrique Inoyennie .:. 2 109 161 765 (Maximum .| 11.6 42. 6 11. 6 lempérature)Minimurn .|—95. 0 } 3 0 |—5.0 Moyenne ..|+ 2.78 6. 35 |+92. 78 Vents dominants........| N. E. SE ON. E. Eauttombée ........:.. 24 m/m | GOm/m | 24 m/m 8 10 8 Mouvement de la population. Dernier recensement 23,829. NAISSANCES MORT-NÉS & DÉCÈS | 2 | D —_——_ —, Année 1889. \égitimes[illégitmes|légitimes|illégitmes | & [en ville.| hôpitaux _ = £ | E mirluirlulrlulirl=l|nulr | MIF der au 40 41 4940 4) =) Sr APS 8e El 4 ANA Janvier. 311 au 20! 8! 51 21 11 »| »| >» SIP SI O)STRIIEES 20 au 311 421 441 »| 11 »l »|l »l »| 6| 6112] 3| 4 Totaux du mois..l 241 99] 3| 91 »1 11 »!l »} 13! 16! 18] 5] 11 Mois précédent... Année courante... RS RS Totaux de l’année. 58 4 43 50 EE ————_ COMMISSION DÉPARTEMENTALE QE Observations journalié Météorologie. THERMOMÈTRE | Baromè-| pluie |EVaPora-| Humidité VENTS a | | tre tombée tion relative Dates. | Mini- | Maxi- | Mo- à9 h. en 24 en 24 de —|—— — || — — | | = | —_—_—_— | | mme | | = —_— © + [Re | Q0 Vitesse Direction| par || mum.|mum. yenne [Au matin| heures. | heures. | 4 à 100 secondes dn-E9 057.9 |)..4 85): 160 — N.E. 4 60 D Din L 51005 | 04 = N. E. 4 19 D Re EN OS TR SE CT | — N. E. 3 03 PS ST ER Se — NAME 3 03 b [3 5] 2 5[—0 5] 767 = E. 4 48 6 j—3 »| 5 »|+1 »| °63 — E. 2 04 7 DL) 8: A 084 AOMIOT — S20E 0 72 8 D pt 9 Ne SE SGT = S, S. E À 39 OAUA 5) 9 >» 5095757 _ S, S. E 1 38 HOMME: »| 9 ' ONE Ame 752 4m /m 3/4 N. 3 90 11 Le 9 51 Ho AE 4. 1/4 SO: 4 89 12 9..5l 19. ph RTS NT ETZ 1Rib O. 3 09 13 roi 0 OS MNT 0 A 3. 1/2 N. 3 04 14 D D TO PDT 6) 1:10 N. 0 99 LOI 0 :5):3 Se 4475 07624 _ S, E. O0 78 16. |—1 5] 4 »|—0 95! .759 — S. 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Id. 10.0 pluie. Id. houleuse. 10.0 Id. couvert. Id 9.8 couvert. Id. belle. 9.3 Id. Id. Id. 9.0 Id. Id. Id. 7.5 brumeux. | Auageux. Id. 8.7 Id. clair. Id. 8.7 Id. nuageux. id. 9.9 Id. 1d. Id. 9.6 ld. couvert. Id. 9.0 Id. nuageux. calme 9.0 clair. clair. belle. 8.0 Id. nuageux. Id. SrDral brumeux couvert, Id. 7.8 Id. Id. Id. 2.6 Id. ciair calme. 8.0 Id. Id. Id. 8.2 Id. couvert. Id. 9,5 fd. clair. belle. 9.0 Id. couvert. Id. 9.0 9.5 F fe: D ÉD An ES SNOILVAUHSHO ’XAYLOL RI0P-UV | pl |} ? L °°°" ""s999p op sosneo so4ny = + = Le Es. Æ — ps ES HIOTUON *SOJUS[OTA ga M ie Le EE Ste PPS SLUON 23 Ce en ee | he eat ......e *JU9pP199V US RU | EI ee EE CRT © 1° SO1ROLSANATY? SUOLJ29JY DR Re: le LS RL RE D EN Eten sé obbéouc aisdo1q}y E PE ee a. Le 7 es me. ii OC MOI O0 ... 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D DURCERNMENSLEL 27880 DE Météorologie et de Démographie PUBLIÉ PAR LA COMMISSION DÉPARTEMENTALE DE MÉTÉOROLOGIE ET LE CONSEIL D'HYGIÈNE Résumé desobservations météoroloziques. (l 7 KA £ TA ee ; ” sa Mois Année Phénomènes Nalure des observations. | Février. précédent.| courante.| particuliers. a Pression barométrique “Pc D < , re moyenne ie ee 105 763 5 Le 42, à 7h: m.. se ARR A0re il s’est produit un Température{Minimum .|—5. 0 1—5. 0 |—5. 0 hé AE la M 4 89 978 3 89 jV iénomène lumi- SN EE s ee : neux (dit australe- Vents dominants........| N._E. LIEN 0 N.E. RTE HauAtomhee :....... ..| 46m/m | 94 m/m| 70 m/m boréale-polaire). Jours de pluie :.,..:... 1 8 22 Mouvement de la population. Dernier recensement 23,829. NAISSANCES MORT-NÉS : DÉCÈS un TS | M | © En SD AT Année 1889. ésitimeslilégitres légitimeslillégimes| © [en ville. hôpitaux — se le dE MA eme ace Duel Du ler | M | F j | 4er au 10 8 6 9 9 » 1 » » 9 DI(0) 4 il Février. ï AU 20) RETIENS SS NT LR LE QE JAMAIS MST Lo TIMON SSI SEE GIE 0) Me ln ———=—— —Ù— —— | —— 7 810 a0 | 27 Horaux du mois..| 48/1514) 3) 3! 1!: >| >» Hoisprécédent.. ME NSP) DA >» 48% 161 181 5) M \nnée courante. .| 49] 441 7| 5| 3l 9] »| | 20! 24] 34l 11 ë TE À Totaux de l’année. 98 5 20 81 | COMMISSION DEPARTEMENTALE de Météorologie. TIERMOMÈTRE Dates. Maxi- | Mini- | Mo- mum. mum. À A1 61+6 0! 8 8 2 10 05e 7IPATUSS 5 1AOMOI= D 50 IS 20 "1 5) 04075 5) | SMO0I—S3.: 5! 9195 6 ADM IE S O0)" NON75 7 APS OI EL. 10: 06 0 8 9 31+0 5! 4 9 9 EST AS) IE 0) 10 10201-24016 0 At TOME SES 12 HO TO DITES 13 OMS ONODINSUE 14 10 O[—1 0! 4 5 15 41 0]—1 92! 4 9 16 41 51+0 70! 6 1 17 15:05] 0.001465 18 143 O+1 0! 7 0 19 10 &I+5 6! 8 24 20 11 5145 2| 8 35 21 10 4143 71 7 05 29 1 510200!" 975! 23 6 O0!+1 0! 3 5 24 5 5l—4 0| O0 75 25 5 01—3 0! 1 0 26 6: 61=92 71 1 95 2 C7 9205 |20 2R 6 8|—3 0! 1 9 » » » » » » » » » » » » 43 5[—5 O0! 4 89 Baromè- tre à 9 h. yenne du matin Observations journalié Pluie Evapora- Humidité VENTS tombée tion relative Ke Vitesse en 24 en 24 de Direction par heures. | heures. | 1 à 100 conde 6m /m 1/2 OSAC 4/65 3m/m N. O. 2 41 À. 3/4 0. N-60: 21:12 si. à N: 125 LA N.E 4 72 1.172 SAOk 1 00 fm 7m 0. N. 0.| 1 88 n/m N.E. | 3142 {m/m N. 4 51 3m/m Se 8 27 6m /m O. N. O. 6 16 Am ym N.N.E.| 3 22 HAT N.. 2 3 74 19. 4/4 0. 2 78 An /m N. N. O.| 4 81 = SE 0 72 2m/m 0. N.O.| 1 25 aus N. 0 55 _ N.E. 0 44 — O. N. O.| 1 44 = N. 4 85 = N. 2.11 — N. 2 63 0 17/2 N. E. 3 13 _ N. E. 1 14 — N: EE 0 87 = “ NAURS 3 84 — Navte 0 55 —= » » = » » —- » D] 46 m/m NOR: 2 89 FÉVRIER 1889. -es faites à la Rochelle. 2 ETAT DU CIEL. ETAT Tem- de la pérature| ORAGES, GRÊLE, NEIGE ET DIVERS. Matin. Soir, mer. de la mer pluie pluvieux. belle. 9,7 pluvieux. | nuageux. Id. 8.9 {d. Id. grosse. 8.0 Le 3, à 11 h. mat., grêle ven. de O.-N.-O. Id couvert. belle. 7.8 clair clair. Id. 125 couvert. | Couvert. Id. 8.2 nuïgeux, | nuageux. Id. 9.4 couvert. | Couvert. Id. 9.2 pluvieux, Id. Id 922 couvert. | pluvieux. | houleuse. 9.5 à grains. | nuageux. belle. 9,5 Le 11,à9h. 1/2 m., grêle ven. de O.-N.-0. clair. Id. Id. 8.8 Le 12, à 7 h. m., il s’est produit un phé- Id. couvert. Id. 8.5 |nomène lumineux (dit australe-boréale-po- | pluvieux. IA. agitée. 9.2 [laire). N.-N.-E. nuageux. Id. belle. 9.0 brumeux. | nuageux. | houleuse. 8.7 couvert. Id. belle, 922 brume. | pluvieux. | houleuse. g°2 brouillard | nuageux, belle 9,0 brumeux.| couvert, Id. 912 clair. nuageux. Id. 9.0 couvert, Id. Id, 8.8 nuageux. Id. Id. 8.6 noigeux. | neigeux. Id. 8.5 brumeux. Id. Id. 8.8 nuageux. Id. Id. 8.4 brumeux. | couvert. Id. 8.2 Id. Id. calme 8.5 | » ) » » » » » » | » » » » ——_—_—_—_—_—_——. | 1 | | O0 O0 Î EC PAIeS INC | 6 16 | LE HS € (ONE. MS 6 | G Sz | GI 7 G | & ce | l (( « L « } G ie DURS, 4 1° S999P 9P S2SNE) Sa1}nY HER = | M ee Po, Modo 1 “SOIUO [OI ER EE, LS _— = JE 18 en. Es ee At À ms Re 0/0/81s, 8 38. 9PIJINnS Lu . D PER RE A SE Re On RE SE LS PR JUPI09Y SLUON e [ ri —l——t—l— | — eee: ‘ SO[ULSANALUd SUOIJ29JY o | Pre at ver Te LS Se us 2 re Era EE ee ‘see eee .... aisdoiy}y { (l LE 2e TES ST | VE be} | mr es rs A be. == SCC Ne9IIP") \ . 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DE Météorologie et de Démographie PUBLIÉ PAR LA COMMISSION DÉPARTEMENTALE DE MÉTÉORCLOGIE ET LE CONSEIL D'HYGIÈNE Résumé des observations mé téoroloziques. : É Mois Année Phénomènes Nature des observations. Mars. À ù \ précédent.| courante.| particuliers. EE Pression barométrique Hopenne 447.7. 21h... 162 162 763 «Maximum .|+ 15.5 |+ 149. 5 |+15. 5 Température) Minimum En D Ole 07.0 5.0 (Moyenne .… ea IEEE SONER LE SON Vents dominants. ::.…...| N. E. NPREr N. E. Baurtontbée ......:: | 77m/m} 46 m/m|{47 m/m Jours dé pluie .....:1.:.. 8 14 30 NMouvement de 12 population. Dernier recensement 23,829. e PS EU | NAISSANCES MORT-NES ; DECES un : PR CS CR & RS SE Année 1889. légitimeslillégitmes|légitimeslilégiimes | © len ville. hôpitaux — Ze S& == | = MOMENT Nr MIF | |M r|MIr | temautd0 6) 6 |) » » » » » ME OlANONN 2 Mars. ji au 20) 44106) 41.41 5) 11251 bll19l 8: À 9 D 'au 31!) 121 -5F 22) 4 DO NE) [F0 4] 8 ï 210 4 | 4 Riu duimois-11199047me816 OMS AS ILE 102 7INO6) 90: 111 6 Mois précédent... | 49! 44] 7| 5| 3] 9] »| ,| 20! 24| 34! 411 48 Année courante. .| 641 64] 10] 71 31 3] ,| ,| 97! 50! 5al 92| 9: TS ET À Totaux de l’année. 149 6 27 150 ————————_—_ a COMMISSION DÉPARTEMENTALE de à Observations journal Météorologie. | THERMOMÈTRE jaromè- Pluie Evapora- Humidité VENTS | A, | SE tre à = k J lbates tombée tion | relative ” Dates. itesse nr Se ns à 9uh. 2, ts) Maxi- | Mini-| Mo en 24 en 24 der er ant par mum. |[mum. yenne [du matin! heures. | heures. | 1 à 100 seconde. 7 2-3 5+1 85| 754 2 SE 0028 HE: 0) 4 75110758 # E. S. El 021 CRE ons EE E ÉPNE | 2028 Ge 5 D) 105) 61 F5 NE. | 445 SCO PROIMEONE ai) 22 E. 2 39 BU 30 00) 9 06 GE Le E. S.:E.] 065 49.112 5! 4 8° 757 |6m/n3/4 so 3 47 45 5|-2 6, 6 7%5!:.750 LE Sp Le 15 0|43 5] 995] 753 g 14/4 S. 0. | 248 414 6|+4 0] 9 31 752 2 EE 2 A 10 01+5 5] 775) 749 | 49m/m N. E. | 215 8 5| O0 0] 49%5| 768 2e N.N.E.| 3 08 11 0] O0 0| 5 5! 768 ne N. OT) 12 0146 7| 9 35| 768 “8 N.E. | 1 04 QD 5 ROME AUTOS 5 NUE. | TR EN 5| 5 15] 773 “5 N.E. | 253 19 «0|+4 528 95|.\77I Us SO. |" *OnA 14 Or: 0 US 076 = Sue et 0007 132,610 02 PCR se & S28-10:|12. 42 19 4/45 0! 870] 747 /|43,4/9 SO.) 2192 (42 OS Teri) ES N.N. O.| 3 50 TOI Nb) 2018) 100 NIMES N. 5 64 10 0!+0 5[ 5925] 769 2 N. 83 53 RU PR EE Er By N. 1 91 der 5) 6106 0 sa N.10: | 09234 150) 424 20/08 25 IG Meta N. N. O.| 3.83 14 049 14| 6 55] 767 Fe N. 3 82 15600) 7e 5 N.E. | 309 12 5120 01,7 6 13100778 2 N.N.E.| 191 15 0|+0 2| 7 6! 770 L N. O. | 2 46 11 5/45 0] 8925) 763 |1m/m O0. N. O.| 1 98 el ER 15 5|—5 ; GO01| 762 |77m/m | NE. | 9 3 es faites à la Rochelle. AD A Mars 4889. ETAT DU CIEL. A —— Matin. Soir. brumeux.| couvert. Id. nuageux. clair, Id. Id. Id. brumeux.| couvert. Id. nuageux. pluvieux.| pluvieux. nuageux. | couvert. Id. nuageux. 14. pluvieux. pluie. Id. bleu. nuageux. brumeux. Id. nuageux. Id. couvert. clair. bleu. Id. couvert. Id, Id. nuageux. pluvieux. [. Id. Id. nuageux. Id. Id Id. bleu. Id. Id. Id. couvert Id nuageux Id. clair. Id Id. clair, Id. nuageux, couvert. Id. pluvieux. | pluvieux. ETAT de la mer. calme. houleuse. Tem- pérature de la mer 2 © Œ O1 19 © © Oo LE © 00 © On O0 RO C0 © ho &v Go O0 Ro & ho CN Dre & ce © to (ee) > ORAGES, GRÊLE, NEIGE ET DIVERS. Le 19, orage à 6 h. 1/2 dus., ven. du S.-S.-0, Le 21, grêle à 2 h. du m., ven. du N.-N.-O. — | | — | ——..…— | © | —— — | — | —— | —— 0e PE I | L le | AR « « [ Ai | Gates she **8999P OP SOS S911NV CAT | St MIE Fr 2 + l'oeibon 20m kml "Tr: Papas | *S0}UOIOIA 5 | — | — | — A Eee 0 fe CT : > “ii SLHON : Ferme NÉE =de es Lie ES SAS Fe JUPI99Y A | ne 2 D A ee ot! CC “he à Ben ee de en SALE ** SOCOISANAITD SUOFIA] Y ue | ET Jen 2 LE AL ce M 2 is LS. 1 2 Pe_L 0 — eee. aisdout|}V { (nt Li ET ee ge) A) PE ee à Le, OR NET | LE 2... Ne PA Re Een NBOIIPT) , 7 | pt A Er | Er Cl JEUN Fr La HN = els LR NE ll SA = alruomndssiqiud L emule | Er I — T—— | — | — l'aggue jo ooquer(] eg 1—|={[-|—-| -|— || —}—-)T-funwonp'éopug | ‘sorgluuosres or lala [= vil — {7 y |'naudjooqqououff SHIAV'IVN & ECRR = L tt —— — | — | — l'agoaio oxordody } CO SOA ES 1) PT ao NEA a lisomeediond y = | SRE D EPS ST — | ste dal rares ouyonyonbo9 L St = = [ES Re re L 3. 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Pression barométrique MOYENNE... 2... des. 757 162 761.5 «Maximum .|+ 17.6 +155 [417.6 Température{Minimum .|+ 2.0 Η 5.5 |— 55 Moyenne .…. 9.87 GA |+ 59 | Vents dominants........| S. O. N. E. NE] Bnmiombhée........ .. 26 m/m | 77 m/m | 153 m/m | jours de pie. .:..2:... 14 41 Mouvement de la population. Dernier recensement 23,829. | NAISSANCES | MORT-NÉS nt DÉCÈS aie es ee. d —_—— Année 1889. légitinies|illégitmes|légitimes|illégitmes di n ville. hôpitaux == =| à = Mleluyerlulrimir |=lnulr | M | F ms | comme | ms | es ns | —— mms | mm | aus | aœœus | sum ren eee .. gier au 10 8 5 » 2 » » » » 5 4 è 4 8 Avril. jt AO AO IS Riel Se SES PIE: JS 1, Pan. AUt 5 6 AMAR Sin SI AO GIE AI ea 3 Totaux dumois..1 29) 26! 91241410 »1 5588 50 450 451 441 101 * 7 Mois précédent...| 64| 61! 10| 7| 31 3] »| »| 27! 50! 54! 22| 24 Année courante..| 871 871 12] 111 41 531 »| »| 42! 65! 68! 321 31 TE À Totaux de l’année. 197 7 42 196 COMMISSION DÉPARTEMENTALE de Météorologie. Baromè- | | THERMOMÈTRE OT en tre Dates. Maxi- | Mini- | Mo- | à9 h. mum. [mum yenne jdu matin ———— | 1815142 -01+7 75! 1760 ONE ess 7-01 10 210 264 4 | 183 01 6. 5| 975) 3153 SORTIE 1) 748 6:11 0) 4 0) 7 5] 740 016 00! 1600) MAD T2 Sas 5 00108 TENTE 9 |13 5] 4 0] 875) 74 10 | 45 :0| 4 V0] 49) 51 751 118140 0) 3 El Mo dore M1 0) 5 Motel era 43 [44 51 3 5) 9 ol 752 14%) 14101 3 31865 15 4000) 9 0e GNT 16 |12 9] 2 1| 1 8| 754 172. | 13 pH SIMS CT 758 18 1145 0! 3 5| 995! 763 19 | 14 0! 328) 8 6|l 768 20 145 01 41 0| 9 5! 769 21 |16 0! 4 5110 25] 766 29 | 46 6| 5 5111 5 762 DS NAT 6 7 013 3).1762 24 | 146 5| 7 5|12 »| 760 25 [146 4| 3 5| 995! 758 96 |16 7| 6 9114 8l 764 97: | 17 O0| 8 8142 9| 76 OR | 47 51 7 512 5| 761 29 |47 O0 5 5, 119%] ‘761 2 TT Er ' 12 1! 752 nes RE En 0 ENRE 47 6|+2 0! 987! 757 Observations journal | Pluie Evapora- Humidité VENTS | DNS | tion relative en 24 tombée | | Vitesse! de par 1 à 100 en 24 : ; Direction] heures. | heures. seconde!  m /m PA REA En PO) E. 5 m /m La nm /m 1/2 © Es © goBereer Et nn Ê ROC’ ww : 2 9 #00c0" = 5 © . N ES | {in /m {Rosé:) = I /1 © SOBONDERODO TER UNI = De NNORÉÉ COTE — CO2PREzO [me | es | 26 m/m | | | ETAT DU CIEL. à grains. nuageux. Id. couvert. Id. uageux. Id. clair, ——— Matin. Soir. °b “lair nuageux. nüageux. Id. Hd: Id. pluie. Id. pluvieux. Id. élair. Id. à @rains. Id, brumeux. Id. couvert. Id. nüageux. | pluvieux. plüvieux. | nuageux. Id. bleu. Id. ifd. clair. \Ed:. nuageux. rüineux. Id. »Ss faites à la Rochelle, : ETAT Tem- | de la Deere mer. de la mer belle. 8.8 Id. 9.2 Id. 9,3 houleuse. (C:607! Id! 9.0 belle. 9.4 houleuse. 9.5 belle. 9.2 Id. 9.8 Id. 9.8 id. 8.6 Id. 9.5 Id. 9.8 Id. 9.6 Id. 9.2 Id. 8.8 Id. 9,3 calm». 9,5 Id. 10.4 Id. 10.2 belle. 10.2 Id. 10.0 Id. 10.3 houleuse. 10.5 Id 10.4 belle. 10.6 Id. 10.8 houlouse, 40.0 belle. 10.7 houlouse. ORAGES, GRÊLE, NEIGE ET DIVERS. AVRIL 1889, se me ———— | mm— l——— / ———— mcm | mms Dmcnmnss | ——=.… ee | j | 5 RU *:8999p 9p S0SN82 So4/NY of leu | Ur D EU TU OURS See CR rrrrrtr api | *SOJUOTOTA [ Ste Het 0 el ENS. A — A SLUON ax | en er D MES Délai 2 1h ge à ee et) ET 2" S21BOLSANATUO SUOLJ29]V +3 | Les) Le. +! LES Se st pes pue nie = | ess = Ep '21870,0,80), ee», * oisdoaq}y Si Al ESAPEC ES NN RES RES : + neoxurn = LT SES EEE IE ENS fascn ot À enenan 5 LRU. 32! | Des lee = LAN E RES p-l'uoüçd Suug | L —|— |); = | Ne bee l'ropuomosoouei(t { BULLETINMENSUEL. |" ©" DE Météorologie et de Démographie PUBLIÉ PAR LA COMMISSION DÉPARTEMENTALE DE MÉTÉOROLOGIE ET LE CONSEIL D'HYGIÈNE Résumé des observations météorolosziques. Mois Année Phénomènes . e L La 5 Nature des observations. Mai, ; : précédent.| courante. particuliers. Pression barométrique MONCNNE ee + « 159 157 761 «Maximum .| 25.90 AW L'empérature)Minimunn : 4.5 2 Moyenne ..| 15:12 9.87 1:75 | 0. S G Vents dominants........ MD: N.E Do mbée. ne. …. 80 m/m | 96 mym | 953 mn | Jours depluie.. 1... 13 41 04 | Mouvement de la population. Dernier recensement 23,829, —- RIRE 2 ————————————————]— | NAISSANCES | MORT-NÉS : DÉCÈS an . mm. TR | À a — Année 1889. légitimes illégitmes légitimeslillégitmes | & len ville. hôpitaux = | (EE: ns — ————| Mlr|MIFr ur Mlr |Æ lu FMI ms | mme | men | eus | Queue | —— | ammmes | mme | au | mom CRE — : Leman 10! 24h 51 13 x 20] {to ph 4h 7 :| 4 | p2 Mai. ji au 20! #54 61e pl »f 2411 Et vf 6) 027 2) 2 a) au 34] sf 121 |. =9b - JE SE ot 20! 46 3141 | — | — | ——— || — || |! — | — 1 = .Ù 3 | Totaux du mois. 2h 226 DE 4e 2 CL 16 589! 16647 10! 3 Mois précédeut.… 87) 87) 12) 11) 4 3) ») 491 65| 68! 32) 3 \nnée courante. . 10411101 13| 431 7! 41 »|l ,| 74 g1E85] ol 2 À — = a - —_ Totaux de l’année. 240 411 74 244 COMMISSION DEPARTEMENTALE ue Météorologie. Observations journalk | THERMOMÈTRE A Dates. | | Mi Mo di um. |[mum yen ne Rod 700419 5 D 13 810505) 12:45) ADO aD 4: HUILE 2 |93 ol 8 0145 5 5 |24 010 7] 17 3 6,92 5! 10 1! 16 3 Tel 411 6 96) 18068 8 19 5 604% 9 |17 4| 14 0|15 7 10.92. ol 8 21 45 6 14 01 29-0107 MANS 12 [922 0! 6 5! 1495 43 [91 01 9 7115 35 15 lis cl 8 5143 5 15 |149 ol 9 5! 14 % 16 |19 9| 10 5| 45 9 17 | 19 0! 9 5! 44 95 1e |90 ol 8 5! 149 19 | A ‘0! 8 O0! 14 50 99 | 21 1l 8 0! 1455 94 | 92150! 8 5145 0 99 | 99 50 7 5:45 0 93 | 95 90! 10 2/18 5 94 | 21 85l 11 0!| 46 40 25 | 94 50! 13 5! 17.50 26 |92 413 3] 18 35 97 | 19 O1 14 O0! 146 5 9e |90 0112 2! 16 1 99 | 90 5! 10 5! 15 5 30 |20 6l10 0115 2 91 | 49 O1 9 7! 44 35 Nat 25 90! 4 ! 15 42 | Baromè-| Pluie Evapora- Humidité VENTS ) tre tombée | tion | relative RE ME d gt | Vitesse! î . )/ an © | es ST E Direction] par . matin! heures. | heures. | 1 à 100 ssco nd | 754 — SE: 2.49 18 758 Tin un 172 O. 1 58 GS — SuE. 1.434 | 160 — E. S. E 0 49 759 4 m /in G: () 57 ; 759 10. N. O. 2 41 00 760 — N. O. 1 60 « 759 _ E 1 16: 4 754 j2m/m17/2 S. S. E.l 1 86: 758 | 9: - 0. 0 67. 4} 757 — | SRE 0 62 4 159 — 0. S. 0.| 0 52,4 760 —n Su: -L'0-43 | 159 = S...| 053.4 Rai 1m/m SURO:. 1-57 | 760 == calme. |; 41 45 A 762 — O. 0 15 A 763 — O. N. 0. 345.4 762 — O.S:0.| 2 49 4 763 — N:N:0.| 1.443 163 —- E. N.E.) 1 68 762 12 m/m E. N. E.| O0 81 760 — E. 4 28 756 2m ni SH 1 60 Al 752 10. S 0. 0 49.4 753. 9. calme. 0 324 154 0:17 N.10. 2 89 758 — O. 9..9104 760 2 m/m 1/2 O. S. O.| 2 89 | 762 _ 0.8.0! 2,38 761 44 m/m N. 0 70% 759 | 80 m/m O. 1 43 Mar 1889. : faites à la Rochelle. | | ETAT DU CIEL. RE ETAT Tem- de la pérature| ORAGES, GRÊLE, NEIGE ET DIVERS. Main. | Soir. mer. de la mer ER | CR DR, | RE uñgeux. | nuageux. belle. 10.6 grains. Id. houleuse. 11.0 uageux. | clair. belle. 10:92 clair Id. Id. 11.5 uägeux. | pluvieux. | valma, 12.2 ouvert. | nuageux. belle, 12:2 udgeux. I. Id. 12.2 bleu. Id. Id. 12.4 pluie. | pluvieux. Id. 12.0 uageux. clair. [dl 12.0 Id. nuageux. Id. 20 ouvert. Id. Id. 12.4 Id. clair. Id. 12.2 uageux. |nuageux. calme. 12.8 pluie. Id. Id. 12.3 ouvert. Id. Id. 13.0 ombre. | pluvieux. Id. 12.8 u'geux. | nuageux. belle. 12:71 Id. clair. Id, 13.4 clair. | nuageux. Id. 13.4 ld. Id. calme. 14.5 Id. Id. Id. 14.5 Id. clair. Id. 15.2 uageux. | nuageux. belle. 14.5 uvieux. | pluvieux. Id. 14.5 rageux. | nuageux. Id. 15.0 umeux. Id. Id 15.2 ageux. Id. Id. 15.2 Id. pluvieux. | houlouse, | 15.5 ufieux. | nuageux. belle. 15.0 Id. pluvieux. 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ANNÉE 1889. de la CHARENTE-INFERIEURE. a BULLETIN MENSUEL "©" DE Météorologie et de Démographie PUBLIÉ PAR LA COMMISSION DÉPARTEMENTALE DE MÉTÉOROLOGIE ET LE CONSEIL D'HYGIÈNE Résumé des observations météorologiques. : | Mois Année Phénomènes Nature des observations. Juin. QUE 1 ; | précédent.| courante. | particuliers. À Pression barométrique | TAPIS NET 162 799 761.1 «Maximum .| 27.5 25 90 27.9 Température) Minimun £ 8.9 45 ‘|— 5.5 Moyenne..| 18 43 19.17 993 | Vents dominants........ N. O! ER IN] Hu tombée…...… ..| 66 mym | 80 m,m | 319 m/m Jburs depluier. :..1.:.: 8 15 62 Mouvement de la population. Dernier recensement 23,829. NAISSANCES | MORT-NÉS |. DÉCÈS ! : Te A — | D Année 1889. légitimes |illégitmes légitimes lillégiumes & len ville, hôpit:ux | | me es 5 =, Mile Mie latr|uir = |uls | MiF er au 10! 7% "1 Î » » | » » 8 5 AE: | 5 Juin. 1 20 GG CLR AN SEAT ee ont 0û! 14 A2 C8. 1 AA SU 81 46 DE Slip sl opt mA Eu) LA Eur SIT 3 Lomux du mois..| 21] 14] 2] 1] 4! 21») »| 48] 43) HO) | 7 Mois précédent...|104/110| 13] 13] 7] 4! »! »| 74! 81| 85| 42 30] Année courante. .11251124| 45] 44] 81 6| »| »| 99! 94| 95] 49] 43, Te Se | —— À ES Totaux de l’année. 278 14 “ 281 en COMMISSION DEPARTEMENTALE le à : Observations journal Météorologie. | | M NE ER di | | [im THERMOMÈTRE Fa Baromè- | bjuie Evapora- Humidité VENTS 12 D RER | es rat | È tombée lion | relative | Dates. | | | Vitessilh | Maxi- | Mini | Mo- | ?9 | en 24 en 24 de |p; , | | | iection par A mum |yenne 1 matin! heures. | heures. | 1 à 100 | second ser sr AE PEN a ES RER RRS ares ee 1 DS 00 al 1 ST OI 1 Ur NE. 0 991 2 Vos LTD) 18 7070 DO. 4 23% 9 DONC ARLON NT DO A0 = N. 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N.0.| 1 94h 94 De 12 bebe 763 LU O — calme. 0 82 25 |925 8|14 5] 20 15] 761 N.E. | 0 35% 26 DOS PÉPEN EM AEUEETOE 3m, m NUE. 0 63 97 | 26 0! 14 9) 90 45) 61 fi N.. | 0.830 28 |93 0|414 OÙ 18 5] 764 | .— N. | 246. 29 | 6|13 O0 1775l 767 3 N. N.E.| 0.85] AD CPS MONS oz ea NN. 4: MI a TRS DDC MOIS "4911 5162 66 m/m N. JL fr dedmu se fut | [xl 1 54 É — JUIN 1889. em ETAT DU CIEL. | ETAT Tem- es faites à la Rochelle. | RE — = dela |pérature| ORAGES, GRÊLE, NEIGE ET DIVERS. Matin. Sair. mer, de la mer LL EE ls nüageux. | nuageux. | calm:. 15.0 orageux. Id. Id. 1322 nuageux. Id. belle. 15.4 bleu. Id. Id. 16.0 o'fd. clair. Id. 16.0 rümeux. | couvert. Id. 17.0 bleu clair calme 14.2 rumeux Id. Id 18.0 pluie pluvieux belle 18.0 üageux, | nuageux. Id 16.0 Id. Id. Id. 16.2 luvieux. Id. Id 16.5 couvert. Id. Id 16.4 rageux. Id. Id 16.8 couvert Id. Id 1705 | üageux Id. calme 16.8 couvert Id. Id 16.9 |Le 17 orage, de 7h.m.à10h.s. (ventscalmes) en Id, belle 16.5 |Le 18 orage à 6 h. 1/2s. et pl. tor. v de E.N.E. rageux Id, Id. 17.5 |Le 19 orage à 6 h. 3/4 s. venant de E. S. E. Id. calme 18.0 ,Le 20 orage à 3h. du s. venant de E. Id Id. belle. 18.1 ouvert Id. Id. 18.2 uageux Id. Id. 18.4 “Id. Id calme 18.3 Guvert. | orageux. Id. 18.5 |Le 25 orage à 6h. du s. venant de N. E. Id. Id. Id. 18.6 |Le 26 orage à 0 h. 30 soir venant de N. E. ümeux.| nuageux. Id 18.4 Id. Clair. Id. 18.4 ouvert. id. Id. 18.6 elair Id. Id. 148.9 SNOILVAUASHO | | G | ME | L Lil! nn DOME He S999pP 9p S2SNE) S94}NV LES ES ee ee PETER es de DE RS) eee Ur Ce Cr NS CESSE ot SIMON | CDS Rec ER US pi | nc ame (Pet OR OT LS A ECS QE A ET ES Ut SUOIJ29JV | = hr AL É13 er AE ee ee. a. 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Es BUEFETIMMRENSUEL.. MT bEr La Rochelle. DE Météorologie et de Démographie PUBLIÉ PAR LA COMMISSION DÉPARTEMENTALE DE MÉTÉOROLOGIE ET LE CONSEIL D'HYGIÈNE Résumé des observations météorologiques. Û U 3 | Mois Année Phénomènes Nature des observations. Juillet. : ; 1 | précédent.| courante.| particuliers. Pression barométrique | MONÉNNE s. 1.250, 163 162 701.4 (Maximum .| 950.5 27.5 30.5 Fenpérature) Minimum LS 8,9 |— 5.5 Moyenne ..| 18.78 18.43 1085 | Vents dominants........| N.E. N. Ne oo Hautombée ........... 30 m/m | 66 m/m | 349 m/m fours BILLES ere 6) 8 67 Mouvement de la population. Dernier recensement 23,829. NAISSANCES | MORT-NÉS |. DÉCÈS L UOTE — g A Année 1889. légitimes|inégitnes légitimeslillégitwes | & [en ville. hôpitaux — a = mirlmirlulirlulr |=|mlr | M | F CRT 0 OR LS 1 OS OS ES OR PS ECO) it. ft at 2018212 71L2:2 SA sen MES AE: DE NS 5) Ro | RS le PDP at OL NS GREPÉET AR ie So 7 RAA ON AE 9 Totaux du mois..| 13] 16] 4| 92! 1 LES IGNETIET ER M 6 1 Mois précédent... .1125/124| 15| 14] 8| 6[ »| »| 92) 94| 95] 49| 43 Année courante. .|1381140| 149] 161 9! 7| 14! »|108/105/102|! 56| 49 0 RS OS RS Totaux de l’année. 913 17 108 12 COMMISSION DEPARTEMENTALE de Météorologie. | Observations journal ‘ | | THERMOMETRE | Baromè- Pluie |Evapora- Humidité VENTS | tre tombée lion | relative + Dates 9 | Vitesse! \ Maxi- | Mini-| Mo- | 29 h. | on 24 en 24 de Direction) - par in. mum |yenne ii matin} heures. | heures. | 4 à 100 Second ; | 1 RDS SU AT 4 OO = N. 1 97 2 9%, 9| 42: 0| 18 1| 767 N. E. 1 97 3 DS 9 MIS RS 7168 NS. 3291 4 051225 MOT 5) 163 E..St E 0 69 b 27 5| 16 5! 92 0 763 = calme. 002 6 960001 16 8791: 4! "764 == N. O. 7 66. 7 |95 015 5! 20 25] 764 - O0. N.0.| 0 45 8 04045) 415%0:419 7912271068 — 0. 0 32 9 |98 7|12 9] 2% 8] 761 sn S. E. | 0 96 10. 96 9| 14 -61 20 41 758 — S. 2 91 41 97. O0! 14 9 20 95! 761 4 m/m SE. 0 20 : 19 97 5|.14 5! 921 0! 762 5.1/2 S.20: 1 58 15 DOI 1432514186) 164 ee calme. 1:27 14 SU) 19/01 41H10191% 77608 14 m/m N. O. 2: 95 15 22018 V5 a70E = N. O. 1 65 16 23 O0| 13 0! 148 O0! 764 — 0. 1 64, 7 [91 0112 511675] 763 | 4m/m S 0. | 2874 18 DA C0 AGE) ET70S — ESSN&EN 1:82 19 DD). 10 016 "5 "760 _ N.E. 0 76 20 DO MST 7561 AA = S. E. 1:34 | 21 94 5112 7118 6| 761 = O. 4 401) 29 235 91 13 1! 18 15| 762 32 N. E. 0 770 93..1198 1k 43 5 48:45 762 LL N. 4 66 24 21 O0! 12 9! 18 45| 763 | ee O. N. O.| 3 401 OUT OL 5) 0148 TO] 18 15)12768 == S. O. 2:39 26 942 0148 A7 0e 750 2in/m47/2 0. 3: 70% DA 99 5149 1-61 17. 5610 561 — N. O. 6 OZ 2R 92 06/49.:5! 17 55lr 1765 — N. O 3 19 DO OS TON 01 7127010705 _ N. 15 30 DEC C0) 20057100 E. 0 51 34 |99 7! 45 ù 29 35| 763 = E. | 1 47) | NE TR NL : | A0 57 9725/1178. 18h 7708 30 m/m Ne 10: 1 %6 | S faites à la Rochelle. JUILLET 1889. ETAT DU CIEL. AE RS Matin. Soir. | rageux. Id. [täd fuageux. clair. juageux. | couvert. bleu. nuageux. clair I [d. clair Id Id. Id, Id. ouvert Id IA. couvert. Id. nuageux. Id. orageux. Id. nuageux. orageux. fluvieux. | pluvieux. clair. | nuageux. bleu. | nuageux. | Id. Nuageux. ETAT de la mer. calme. calme. Tem- pérature de la mer ORAGES, GRÊLE, NEIGE ET DIVERS. Le 12 orage à 4 h. 1/2 matin venant du S. O. | | | PA ee TE | ÉD COS En 2 7) DOS *::S99P 9P SOSNL9 Sa1JnY HP EE | lee le las Tr SM. Fr Penn | *SOJUOIOTA Ç — — = I — [3% = A DIE de. LU | ou) Pbb JU9P199Y SLYON Ji ie. | EN) EUR He hs ee le en PM Eee. ** SO[R2ISINAIUO SUOI99IV I | Es - L27 me ee Ts es ss eut es ES [ *.... 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Août. Er barométrique MOVGANEL 00. che co: 163 763 761.6 | Maximum .| 31.40 30.5 Lara Températur e)Minimum .| 0.10 9.5 |— 5.5 US 14.75 18.78 11.34 | Vents dominants... {: 0: N.0. 0. | HA iombhée ........... 45 mym | 30 m/m | 394 m/m | 4 Jours de 7 LEA EEE SRE SAT 11 5 78 | Mouvement de la population. Dernier recensement 23,829. NAISSANCES | MORT-NES |. DÉCÈS | D DL D PE SG CE De SE PS À | , ; ETES ë Re RS | Année 1889. \égitimeslillégitmes|légitimeslillégitmes| & [en ville.| hôpitaux = | EE =|.S — | M SEEN E me pe [Ou -F. | JAMIE | MIF en ant A AE DE le Se me BIT ol CSN MINE Août. 1 AUIOP SEA 2 1LuoE Sle-nlee | ne LC RCE AIDES) Jr auSLRAOEATS LHP24L le Si 2 pl M 9 6]: 81: 9 oo| 93l 3l 4l »| ,| 90! 15 Mois précédent. ..|138|140| 19! 16] 9 108. 1051102 Année courante. .|16011631 221 20! 9! 7 120) 11251117 A Totaux de l’année. 305 18 . COMMISSION DÉPARTEMENTALE Le Observations journa Météorologie. THERMOMÈTRE | Baromë-| pluie [Evapora-[Humidité VENTS : M DES tre tombée | tion {relative di FE OR | Vitesse | Maxi- | Mini- | Mo- en 24 en 24 de Direction! … par 4 mum. |mum. | yenne Fa matin! heures, | heures. | 1 à 100 seconde. tee Ro el EG MR CT EE ER | 1 94 60! 8 75! 16 67, 763 ES,'E 4 50° 2 95 U| 5:60| 15 30) 765 0. 3 80:44 3 DANOU) TION 275 TE O0 — calme. 0 3708 4 25 801 4 50! 15 15, 764 210: 0 31 5 |24 0, 7 0) 15 5| 763 el S 0. | 210% 6 9% 0! ° 6 20|.15 140: 763 — calme. 1 3194 7 25 O0! 4 50} 14 7 765 — Id. 1: "7108 8 |925 20] 5 75, 15 47) 766 # € 524 9 |2350| 7 0| 145 25] 765 a 0. 1 56 À 10 |29 O| 6 70! 17 85, 763 |8m/m4/2 O. 1 6814) 11 24 50] 5 O0! 14 75] 758 10. S, O. 3 940% 12 29 901. 4 50| 13 35| 758 6. SES Or 2 51h 43 DA 0) A QUI o| 762 — GEO: 2 30 14 22 501 3 10! 12 80) 766 — O. N.0.| 2 62% 15 99 70| 7 50/15 A0, 708 {m/m O. S. O.| 3 59% 16 23-60| 7 60! 15 60! 765 0.1/2 0. 2 99244 171 95 0) 20/14 95) 1768 _ S. E. | 015% 418 96 20-2440) 45.151: 1163 4 m/ym E. N. E.| O0 9418 19 24765008 30|43197|7 4517 7.3/4 SE 41 500% 20 |22 0! G O0] 14 0! 757 3.1/4 0. | 5 134} 21 21 80! 7 50! 14 65| 761 4 O0. S. 0. 3 94% DO AI T1 60) 0 O0 MS 57100750 2. O. 510 23 94 65! 11 O| 17 82| 763 al calme. 2 210 24 99 60! 2 20| 12 40| 764 d. Id. 1 64 25 21-60! 4 OÙ 90! 768 — S. E. 1 52 26 90 50| O0 10} 10 301 765 — N. E. 0 674 27 260.10 20/18 10/8168 — N. E. 0 70" 28 2% 50! 4 01.49 75). 1768 _— N. E. 0 87 20 NF 280751241550: 15.19) #107 — S. E. 0 56 30 28-50! 6 925] 17 37| 765 —— S: E. 0 499 31 31 40! 8 80! 20 10! 765 —— S. E. O 7100 PANIER PRE PRE. AR TÉRNS SAME | # La 31 40| O0 10! 14 79| 763 45 m/m 0. 1 915 SE Matin. ETAT DU CIEL. a — = Soir. nuageux, I. clair, nuageux, nuageux. pluvieux. Id. nuageux. Id Ia. pluvieux. nuageux. clair. pluvieux. nuageux. couvert. Nuageux. Id. couvert. nuaseux, Id. s faites à la Rochelle, ETAT de la mer, belle. Id. houleuse. belle. houleuse. Id. calme. Tem- pérature de la mer ES ©@C ot S =] nWunmooumienmou=NemmenuvounbmEemeons > © © AourT 1889, ORAGES, GRÊLE, NEIGE ET DIVERS. Le 18 orage à 10 h. m. et dans las. v. de E.N.E. Le 19 orage à h. div. dans lajournée, v. de S.E. D, PR), ms ls mms a | x fe | see QploluOp} GE near") "249401 9}ISUTU9 IT ‘‘uotujnd 91siq}yq ‘19]U9 }9 991 ( * 1009 UP ° 640 [EN : Naud J° 9JI{ou04g ‘149499 arxo[dody *sopeaoduond ‘jy re ay?2njonbog usb * HL9Jqdi( dnoa) "oproydÂy 211 ner ULII[OUr) are DE QULJEIAEIS ...... 9[095n0Y CHERE RSS 2[OLEA [29 26 Ni | …....... dd TSH D. EE D dh ee (ue FrO “eop-ny [sue oovgelsue ce ecrl'sue cree TT nn. SUBGRI ‘OTUOFPOUX j0 onbrqdexSowep onbris1181S E MU S999P 9P S0SNVI SO41NV *SOJUATOTA SLUON : Souoianatuo SUOIJ29 **:* aisdory}y ‘sosn9Jn2419qn) SHIQVIVN *SOUIQIUUOSTES SŒIAVTVN ‘279 S2SN9r}29qUl sonbruopide sanbrowuAz SHTGVTIVN | ‘SHDA( A4 SATIVAIINIHd SASAVI ANAIDLE.Q TIASNON DÉPARTEMENT. ANNÉE 1889. de la CHARENTE-INFERIEURE area. BULLETIN MENSUEL #° serreume . DE Météorologie et de Démographie PUBLIÉ PAR LA COMMISSION DÉPARTEMENTALE DE MÉTÉOROLOGIE ET LE CONSEIL D'HYGIÈNE Résumé des observations météoroloziques. Phénomènes précédent.| courante.| particuliers. re S — SE | AS D | eu Pression barométrique s ; Mois |° Année Nature des observations. | Septemb. OEM? : 4 1... 1.2 16% 103 761.8 (Maximum .| 30.2 31.40 31.40 Température; Minimum .| O.8 0.10 |— 5.5 Moyenne ..| 1463 14.79 A O0 0) Vents dominants........| NE. O. N.E. duiiombée . ......1 ., 8&m/m | 45 m/m 402 jours DIE AN TORRES 5 11 83 É= -À Mouvement de 12 population. Dernier recensement 23,829. NAISSANCES | MORT-NÉS | DÉCÈS mn L CR ASE TN ee GC) TE — | Année 1889. légitimes] illégitmes légitimes lillégitmes | © lon ville. hô pitaux = | | = = M r|m|rlulr Here) à FMI au l0 AE CON PRE SRE D Se Se lc D CE ANS, Sent. ADD ER RES RSS MST ESS ne Se Mi M9) Lino rauto0) PISE SES Re AE se sie dl 8! al 11 4 Botaux du mois..| 25] 28| 3] 1| 91 4] »| ,l 45! 94 16! 3 \E Mois précédent. ..1160:163| 92! 20! 9! 7| 2| 11920 425 1171 60! 56 Année courante. . 4851911 25] 21! 111 8] a] ,]1351149/133| 63| 59 | — Totaux de l’année. 4292 21 135 404 COMMISSION DÉPARTEMENTALE Observations journal Météorologie. } | THERMOMÈTRE | Baromë-| pluie |Evapora-[Humidité VENTS : }} = MR che. — HE EE > tre ; : . EE tombée tion relative : | Vitess(h Maxi- | Mini-| Mo- | 19h en 24 on 94 de ivéction | : «pal imum. fmum.|yenne à matin} heures. | heures. | 1 à 100 [second | De HA 13 | 21 SET » S. 1 574! Dre ltdS) 11 18 /S2M70E » N. E. 0 834 95 6! 5 511525 ©G4 |[im/m1/9 S. 0 92.4 DST NO | 414029) 28100 de 1/2 NSIN: O:1-:2h59 94 2 2:01:43 PO _» @ 0 24 DE fn) EST A TETON » calme. 0 984 25 5] 1 5113 5| 763 » N.E. | 4.99 DONS a 10 MST O0 » N° E. 0 13 DOS OS EE » E. N. E.| 03 PSHAD MOSS PTE 06 » E.:S.E.!| 102 28 00) 100) 14875 0D » E. 0 96 30 9] 2 5! 16 25| 766 s EN. E.| 0 76! 205 MS OT » EN. H./ : 4521 260 OS MED ICS » N. E. 0 71 ME 51-100a5 MS Rb I ETON » N°'E. 1 82" 1204) 40%5)01395) 7168 » N. E. 2,52 DNS ee IE EG » E.EN. E.| 25001 MOI AO MAS M0 » E.S. E.]. 24948 CAOMCS UNSS er ele ETC) » E. 1 894 1022 100 M0) ETUI TC » N. O. 1 664 AO OM AIT 4 TE 4 N. 1 76] Qu 5144 0! 145 75) 758 1. O. 3 71 DARPO 20e ET REG » N. E. 1 Gti 096) 270 0422 TERMES S. 1 34 925 00121 0 AORMIG 5 ro » N. E. 1 22% 20. 0Ù 32 Aa TI OS » E. N. E.| 0.624 Vtt 01812 75 ICS » E:N. E.| 0:79 2001 ONE PIC T » Ny:Ëe 1 174 19 NET NO AS T5) O0 » N.:N.O.|. 5 348 17 201098 "0-12" 5P 760 w}l N. 0 641 res Ms «2 | ee | > 30 SR ES 0 ITERES 14 62| 764 8 m/m N. E. | 149 SEPTEMBRE 1889, sfaites à la Rochelle. ETAT: DU CIEL. RC — | ETAT Tem- | de la pérature| ORAGES, GRÉLE, NEIGE ET DIVERS. | Matin. Soir. mer. de la mer couvert. | nuageux, | calme. 18.8 JFAgeUx. IA. Id. 18.7 couvert. Id. belle. 20.0 ed. Id. Id. 1955 Pumeux. El calme. 18.8 * Id. Id. Id. 18.8 bleu. clair. belle. 19.2 GT Id, calme. 19.8 0 Id Id. Id. 20.0 Id Id. Id 19.8 Id Id. Id 19.6 Id Id. Id 20.0 Jû Id, Id. 20.2 Id Id Id 49/5 ET Id. belle 18.7 clair Id. Id 18.0 * Id. Id. Id. 41718 iuageux. Id. Id. 17.0 ‘bleu, Id. Id. 1718 ouvert. | couvert. Id. 4150 luvieux. | pluvieux. Id 17.0 Id. Id. houleuse. 17.4 uageux. | clair. belle. 17.0 - Id. Nuageux. Id. 146 ouvert. clair. Id. 16.4 bleu, Id. Id 16.8 I Id. Il 1e clair. | pluvieux. | calme. 17.3 uageux. Id. houleuse. | 16.4 pluie. couvert. belle. 16.0 SNOILVAUISTO KAFLOIL -uy Îsur 09vce SUEGE RCE]: "AUANALIISY S999pP 9P S2snv) San "ee" 9 piATU APPLE PRER ER *S0}UO[OTA PAR SIMON RSR à de ma < Dpalrrennle ro sn ete) site ie te ste te *Sasno} n)2419 qqn] 919401 9] ULUY INT HALOREUTEN SHIAVTEN ‘“’uowupnd aistq}ygq ‘19}U9 }9 99H] "1009 UP "610 "[e\ l *SAIQIUUOSILS noud je o}rqououg \ SHIGVIVN °44{9499 arxaçdody ‘sopeodiond ‘jy LE oyanjonbog rt CIRCUITS: ‘279 ES eh dnour) SoSNalj2ajul ‘’eproqydA} axaAo1 sonbruropida THERE SUTI9[OU") | sonbrotuz PRE UFEjILIS SHJAVIVN MT, 2(09500Y Re en. —— > —— 'SAAU A STIVdIONIUd SASAVI A ‘OTvorpeux 3o onbrudersouwrep onbrnsriuis Er ENATILE.( TIASNON om | Totaux du mois. [Mois précédent... Année courante. DÉPARTEMENT . de la CHARENTE-INFERIEURE. La Rochelle. BULLETIN MENSUEL DE ANNÉE 1889. N° 10 OCTOBRE Météorologie et de Démographie PUBLIÉ PAR LA COMMISSION DÉPARTEMENTALE DE MÉTÉOROLOGIE ET LE CONSEIL D'HYGIÈNE Résumé des observations météorologiques. Nature des observations. Pression barométrique MOYENNE ee coco 756 164 761.2 (Maximum .| 18.50 30. 2 31.40 Température/Minimum .| 3.40 0.8 |— 55 CAC EE 11:97 14.63 11.73 Vents dominants... S.0. NF: = IN°E.et0: ÉAMRIOMDES. :......... 172 m/jm | &8m/m |574 m/m Pepe"... 1 Herpluie -.), 1... | 24 5 107 CON MC précédent.| courante. Octobre. Année Phénomènes particuliers. LL Mouvement de la population, ——_———— ———————————————————————————__——]—" ————. ——— — — — — — ————…— Année 1889. 4er au 10 11 au 20 20 au 31 Oct. Totaux de l’année. Dernier recensement 23,829. D | NAISSANCES MORT-NÉS légitimes|illégitmes|légitimes|illégitmes MIF M F M|IF M EF Gl'=AN ASE SI > 3 6 » É » 5 » » SEE Mer oE dE AT TRANSIT AIS .|485 TO E MAN 81, 2155 .120212041 261 931 11! 11] 3| » 455 25 OR. en ville.l hôpitaux —— | Mariages. 15311681149| 72] 61 — | 450 153! COMMISSION DEPARTEMENTALE “ : Observations journal 2 Météorologie. | | THERMOMÈTRE Baromè- | bPjuie Evapora- Humidité VENTS RE — Lore tombée tion relative Lt 91 Vitesse | Maxi- | Mini-| Mo- | Li en 24 | er 24 GEAR ON par R M A CIN |A k 3 1 à mum. |mum.|yenne| heures. | heures. | 4 à 100 second CRRRENEESY RS) RTE TARA À 16 60| 7 O| 11 80| 756 2m/m » N. 3 21 2 47 | 7 80| 12 40); 759 » N. 1 18 3 47 50| 7 50 12 50] :62 » S 4 02 4 TMD TD) 12 0 MESE 44: SA. 1 18 b TL 90! 7 50! 42 50! 758 {m/m 1/2 S, E. 0 654 6 18.901. 15 50/42 80) 276] » S. 0 28. 7 18 501 1200/M5 05) 000 de S. S. 0. 2 18 8 | 17 40| 10 25 13 82] 760 2, » 0. 1 721 9 |46 0] 11 0] 13 50} 752: 9.1/2 S. O0. | 0 5% 10 45 75| 10 :0, 12 87, 748 10/4172 SO: 1 524 41 45 501 8 O| 11 75], 749 9472 S.10: 0 89 12 14 50! 3-40! 8 95] 754 0.0 N. O 09! 13 4% 401 350) CS N0 SENTE LS calme O0 48. 14 46 50. 4 0! 10 95! 760 » N. 0 28 15 46-801 -6: 25/1182) 160 » S, 1 23 16 17 40! 12 50! 14 95] 760 3.1/2 S. 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Id 16.2 pluvieux. | couvert. | houleuse. | 16.0 nuageux. | pluvieux. Id. 15.0 pluvieux Id. Id. 14.9 couvert Id. houles. 15.0 nuageux. | nuageux. belle. 14.9 Id Id. calme. 13.9 clair Id. Id. 15.0 pluvieux. | couvert. belle. 15.0 couvert. | nuageux. Id. 150 Id. Le houles. 15.2 brumeux. | pluvieux. Id. 14.2 nuageux. | uuaseux. | houleuse. 15.0 ägrains. | pluvieux. Id. 13.5 Id. Id. agitée. 14.7 uageux Id. houleuse. | 15.0 clair. |nuageux. belle. 15.4 uageux clair. Id. 15.4 Id. couvert. Id. 14.8 pluie pluvieux. Id. 14.2 uageux Id. houleuse 14.8 luvieux Id. Id. 14.5 pluie. Id. Id. 44.6 luvieux. | nuageux. belle. 15.0 clair. SNOILVAUHSHO vi EE A AT CN RE OS OS RS AE **S999p 9P S9SNLI S947NV A = &- + ar a Ex, er] ee: ni pe ms es se APIILWOH k en re ee Le) 25 ah + nome AU nt mr) un Lorean JUODIÉO L eq PNR | = ht" so one SUOLJI9Y c D POUR RUE RAT se PA En ce RARE CES atsdorqiy RCE OS) VER Ed PC RE CERN es RQ A near) \ . & RE ST A RE — |'oxoqnio}éSutuon D Le n ses SHIQVIVI A A EE D [ a) pen le ouest ER ER EN) PRE RER, DEN PURES, MORE S ER PO en SUR OS EEE RE MO (|) z ler ll) — | — 1) frmoonp'ésorpeg ( ‘sosgruuostes L SE) 2% 6; 9) EN CR ES, ES RC coeurs SHIGV'IVA e lg 8 l—|—|-17 en I te noaixadod y Sy PRE Rue) | ER RS RS ee Re, nn VE Lt nl PR ET BCE in DDR Ce er NS Ann Rose) en) De) te, Men) = | Pet) ONE ayonenbon RE, TT NEO | ES PT RE oH9judi *079 e [— | —|t—l—-t— |; — |; le dno4r) S2SNO1J29JUI ] L — Ve | = NS es PE ODION A OA SD DIU DITS 8 —l—l—|—-j——l—-|—-1-|- |, Re RE aUH9Y[OUr) sonbrowÂz T NA PP SSI IS PRES au1epIEIS SATAVIVN se Se PC PER PRE MC Re) es ee eee he ct ****°*9[09500Y LD a ps +: PE Pa PAU ae pat? 22: aie] sr PT DRE O[OHBA S | -eop-uv [sue oovcelsueceearl'sue er ecl'sue ç e jf ue 18 0 ‘OTvorpoux 30 onbradeurxsowmep onbrisr181S | \ ENAIOLEH.Q TIHSNON DÉPARTEMENT ANNÉE 1889. de la CHARENTE-INFERIEURE. Dan BULLETINMENSUEL "1" orne La Rochelle. DE Météorologie et de Démographie | PUBLIÉ PAR LA COMMISSION DÉPARTEMENTALE DE MÉTÉOROLOGIE ET LE CONSEIL D'HYGIÈNE Résumé des observations météorologiques ; | Mois Année états 7 Nature des observations. |[Novembre. | précédent.| courante. Ride articuliers:) .| CCE ST EE Pression barométrique | HONCNNEL........4.. 161 156 761.7 | (Maximum .| 16. » 18.50 31.40 Température{Minimum .| 0.30 3.40 |[— 5.5 Moyenne ..| 8.42 44,97 1143 | Vents dominants........| SE. AE N. Bauombhée :....... .. 78 m/m 4172 652 : fours dODMie 20. ) 24 115 Mouvement de la population. Dernier recensement 23,829. EE | | NAISSANCES | MORT-NÉS L DÉCÈS x A, | | D PP . Année 1889. \jégitinieslitlégitmes légitimes illégiumes | © [en ville. hôpitaux — — —| à | — Mirelmuirliulrlulr = lnulr | MIF HÉROS IS IENES ESS, A ESS 1 3 3 Nov. ji au 20 8 6 DA il » » | 1 3 À 6 2 ” a ot sols lets los o| SEE Wine aus du mois..| 22! 21] 92! 4,1 4! 1}, 1] 48] 13) 1611 6| 24 Mois précédent...1202/204| 26| 93! 11! 41| 3| »1153:168l149| 72 61! Année courante..122412995| 28| 27| 111 49! 4| 1 166!181 165! 78 65 Totaux de l’année. 504 28 166! 489 COMMISSION DEPARTEMENTALE LE Observations journal Météorologie. | 1 | THERMOMETRE Baromè-| pluie Evapora- Humidité VENTS | | 11 rr tre tombée tion relative I 7 [| Dates ET Vitesse} | | Maxi- | Mini | Mo- 49 h. en 24 en 24 de Direction] par || | [mu , mum. |yenne du matin} heures. | heures. | 1 à 100 secondel 41:46, 0! 8 50! 12 25l 762 » S. O 0 88 2 | 106 AD |A 55| 763 2 calme 1 97 A! 3 |42390| 6 U| 995) 64 | 2 41/4 0. S. 0. 0 611 4: 11-50! (10 0; 10 75; 162 fl » S.E 0 82h 5 |43920! 9 50! 11 35) 757 | 33.8/4 N. 3 A4 MO 0 7 0) ONU Rubi ; N.E. | 1 328 7 152201 -F2 ED) SIP » N. N.E 0:55 8 120 |--3 027 401077 » N.E 0: 73h 9 19:70|-:3 2514-7205) 712 » NE 1 164 10 13-10! 6 01:10 WEST » À. 1 264 11 13 10! 7 80! 10 45! 169 » | NRCNIS RS 9 291 12 11/3501 "3 20 TM PMOT » Sn les 9 Ga 1521113 02:60) 0 ) S; 4 2641 14 15 401 3 O| 9 40! 768 » S. E. 1 3844 15 15 50! 5 10; 10 30, 768 » S. S, E. 0 08, 16 15 0! 4 901 995! 772 » FE. N. E.1 <0r9 17 15 20! 4 01 960! 773 » SAME | 0 104 48 |.14 O0! 3 90| 8 951 773 » E. N E.}.-15"44 19 34000 0! 8 0! 773 » E. S E.l 215% 20 12,10 24006 CONS » E."S. £:l - 1022 91 | 12150104 oo! Ca leurre » ES... E:) LTFOR 29 43 70] 0 30, 7 O| TA » calme. 0 334. 23 19 60! 47601. 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AHTNAAON = Ai OO ET ONE a[otue\ / | l Lt cd 7 Ne | LAS ER COR EEE EEE 0 ER EEE S999pP 9p S9SN9 S94/NV DRÉE mnnn) té o n n ban nts AC eg EE OL à a ee Lee E eu Le PTE CARS CUS DE RIRES JU9PLO9Y SLUON | M EE ee en es nn ee MS PME Cr 1° S[ROISANATYO SUOIJI9Y | A Le pe x En pe = pi, ES REA L A CCC aisdory}y Le - ss = De RS Tr à 23 es Er AL CECECHOBCC EC NO NeOoIIP") s EEE EEE EE EE fécnouer | es man {1-3 Lit — Et — | — | — fuommdasmug mor, nn CS | || — 1 | — {y | y Vase e soquen ; | LE A | —{—|{—- {| — | —) — Jmowoonp'$io pe ( ‘soagruuosres en nt MS ES a te SE = ee "noud 39 9J1qou014 SAITVTV | LT A RE —{—{— À — | — À — ) — l'agoawo srxodody | G } Due {tt —-| | — À — | — | — | — l'soçergdond -yy RE Tel en ee oy2nonbos RE ES ER nat 2 | 2 NS) pneu: oH9juydi(f ‘279 eo M PE EN RS Re dno4ur') S2SN9IJ29JUL | —-{—-|{—-{—-{—- {| — |) — | — 7) — |roproudi omeux à sonbruopide {t-il — 7; Sn LE aUT9[0q") sonbrouÂz Q —S, RE tn ne ee | 90.200 AUIJEIIEIS SHIAVTVN = Ve EE A ee le. 9[095n0YJ | mm | | À À — | SHOAQ AQ SAHIVdIONIUd SASAVI | MPa LS AMIOONEE sure ecyl ‘suecreclsuec e [l'uevreo nee ennnenne ANATOLE. TIASNOÔ ‘OTCOrIPOUr 30 onbruduxrs OUIS P onbr1s1283S DÉPARTEMENT ANNÉE 1889. de la CHARENTE-INFÉRIEURE. LT BULLETIN MENSUEL N° 12 le — DE Météorologie et de Démographie PUBLIÉ PAR LA COMMISSION DÉPARTEMENTALE DE MÉTÉOROLOGIE ET LE CONSEIL D'HYGIÈNE Résumé des observations météorolosiques. Nature des observations. |Décembre. . . précédent.| courante.| particuliers. Mois Année Phénomènes Ë Pression barométrique HOMEMME 40e eo so à 167 767 762.1 (Maximum .|+ 12. » 16.00 931.40 Température/Minimum .|— 6.2 0.30 |— 6.2 Moyenne ..|+ 1.67 8.42 10 61 | Vents dominants........ E. S.E. E. Eauplombée ....,...... 57 m/m| 78m/m| 709 Jours de pluie. . ........ 14 8 199 Mouvement de la population. Dernier recensement 23,829. NAISSANCES | MORT-NÉS À DÉCÈS A Rs. CS RS OC [eb) RS Année 1889. |égitimeslillégitmes|légitimeslillégitmes | & [en ville.| hôpitaux —— =| à = Mliriuiriulirluir {= |ulir|luir and A7 SU NA 2 HS Se Ge ea Déc. fi AU OSSI ETS ITS US ES RS NO En 1, 220 08e à 0 1 OR 1 SE OE © OS S PSS RE 1 EC OS ES Totaux du mois..| 161 18 4| 3| 92! » 11 8} 10! 18| 11 Mois précédent...12241295| 98| 27] 11| 12 1661811165] 78 65, Année courante..|2401243| 321 30| 131 12| 4 1741911183! 89| 70 Re. OS CS — Totaux de l’année. 545 GOMMISSION DEPARTEMENTALE de Météorologie. THERMOMÈTRE sa) Pluie | (re tombée iDates. « | |Maxi- | Mini | Mo- À9 h. | on 21 I i mum. fmum |yenne [du matin! }uures, Observations journal Evapora- Humidité VENTS | tion relative RES | [Vitesse 9 1: | Lee ne Direction] par heures. | 1 à 100 60 0 sl +49 5, —1 0 |+0 25! 767 » E. 1 | 2 | 3 8/—5 0 |—-06 | 768 » E. 27 4 181-609 12049) 6% ) où 2 99 | 5 1 5/—6 0 |-2 925| 767 ) E. N.E.| 92 90. 6 1414 0 1 4500710 S N. E. 4 854 7 4 01-15 1-0 95] 768 ) HS. 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BAROMÈTRE à 9 heures du matin. Maxima. 113 17.06 169 | 21.03 763 | 21.00 763 | 17.04 168 | 21.03 762 16.08 765 LS 01 168: | 17:09 102 | 17.05 162 | 13.04 767 { 17.00 76% | 16.05 764 17.06 196 | 18.02 15020117.05 756 | 14.00 761 15.07 762 |! 16.00 767 15.00 766 |! 15.05 763 15.00 168. | 17.(12 19960 | 27-06 757 16.08 192 ©! 15:09! 150 | 13.07 143: | 17.06 752 44.06 107 À 15.05 766 15.01 160; | 17.02 753 16.06 162 |! 16.02 766 16.04 001 18:07 109 .:|:15 00 764 | 15.09 THERMOMÈTRE. HYGROMETRIE. 2 VENTS. ra E = _ 3 | 2 ei CE ie È d 7 5 Dre © _ Z = EU SON SR GORE = D = = Se S 2 [Direction = S = i 5 TD TS is Len > Mois de Septembre. /Suile.) 5.07, 11.651 15.05] 13.00] 66 0 12 N. 6.00) 13.651 15.02! 13.00) 76 O1 M N. O. 5.09! 13.45! 14.05) 12.07) &0 3 |2 N. 6.08) 12.011 13.00) 12 05] 90 TA > N. O. 11.07) 16.05! 17.04! 14.07) 76 2,0511.07 Mois d'Octobre. 6,09! 11.831 11:00! 10.05! 93 EAN Q: DOM ASL OS T:08)" "79 0 2 0. 6:08/ 12.257 13.07| 11:06! 78 SH O. 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G.03| 12.85! 12.02] 11.00| 86 110 {2 S 7.08|:11.251 10.07) : 9.06! :8&° 11 10 1 Se 8.00|:11.05] 12.03| 41.02]: 86 :1 10 12 Ni.1.07 6.04! 11.151 12.08] 41.00! ! 84 6.06/1.09 D 2 — | | | l l 1 | | DATES. BAROMÈTRE à 9 heures du matin. IDE 19 — THERMOMETRE. HYGROMETRIE. = 2 ét Ne Sir) ENS NH Se.] Sim | = ê & E S Mois de Novembre. 45 00! 4.06! 9.081 8.00! 7.00! 86 12.08! 4.09! 8.851 9.00! 8.00! 86 13.00! 7.00! 10.00! 10 05! 9.08! 89 43:00!, 9.051410 49 0 ATOS 45.00! 12 00! 13.051 12.03! 12:01. 98 13201!/:r 4 :031r.8 OSEO CARO 43:03 .3.081m-8 551: 160111 36011082 AIO CS ACAIRS EI CAD IP SAONE 4920 4.00! 8:00! 11.00! 10.05! 93 12.00! 4.04 8.09) 10.0:| 9.08 92 13.02|- S.04| 10.08£ 11.04! 10.05). &€ 43:08|:: 4:05 9145) 720611 7:041m,07 43.091. 4:08 94351 90) 8402-86 44.00! 5.00! 9.05! 14.06! 12.05! 76 14.081 4.09! 9.85} 10.02! 9.07| 92 154002 M6 0AMORSS PSE: 7.05| 89 45.00: 3.051 9:951: 6102) 5:0410.88 43:0712.8 00% Sr04le 72 0911052:0210169 18 0103 TA DSi SACC 9 19:02 19/09 0720210708 MA 00IMS0 42.00! - 1:07! 6 8513:07 3.041195 41.04, . 2.00! 6 071 .5 63| 3.07). 74 43.08: 2.09! 8.00! 8.09! 7.05! )81 43.00! 2.00! 7.051 9.06] 8.09! : 89 13:02k:-3:200 | 81000008 et: 0528 44:07/:..8:09141 :45/420011:11:03|.:80 43 051 6.04, 9.95! 7.03, 6.091: 94 8:05! 01704) 70/6580): 2 06tUeS S.05|—0.05| 4.00! 4.00 —0.02| 86 6.00 —1.01! 2.05! 5.00! 4.00! 84 12.04! 3.06! 8.00! 9.07! 6.04| 86 Mois de Décembre. 7.00,—0.05| 3.001 1.00! 0.00, +2 3.00, —3.00 0.00 2.00! 1.00! 82 1.08 —3.02 -- 0 07:—1.07 == 4) OA 2.02 —4.05 1459402 24109104 3.05! - 4.04 —0.45] 2.03 —0.05| 69 41081-23051 =0.851 09; 07 MOIO7 46 0.05/—1.05|—0.05} 3.00! 0.09! 66 1:05/=0:02140:65141:05 40105) 1 2.011—4.06 —1.951-1.04—0.09! 88 2,09: —92.01,4+0.08 3.00! 1 08] 58 8.04 —0.05! 3.951 6.02 5.03| 82 7.08—1.02| 3.031—-0.03/—0.05| 96 | Etat du ciel de 0 à 10. Er SecounuSumeoowocoon EE PI 707 EE D NE ESS : RCE AN AR RE RE 2] SRE — RNEN = DN RENE ND RER GERS EEE SC SE Ce ee use te) | Norce des 0e ND = = N N = ND NENTS. = Direction! N. E N. E. N. E. N. E. NE Né N. E. N. E. S. N. E: D HO: 0. S#10. Re. AL de, THERMOMÈTRE. HYGROMÉTRIE. | = = VENTS. = 5 | A = g S © . ££, ; NA © Û m'as | RME = Re Se: ES A| 453 = = ss) = = "à LÉ © [Direction EUR S. À € 2 Ê ÉÉMETRE 220 PE 2 RSR RES ee -S En a E es ee L 1 D = Se = À Die Los ns à ACER Mois de Décembre. /Suite./ 131 770 1 6.05]—92.00| 2.95] 0.05] 0.02! 93 [40 H S. E. (4) 767 | 5.00—1.03) 2.15! 4.02) 3.03| 83 10 H O. H5| 778 À 5.00) O O1! 2.45 3.00! 2.00) 83 10 N. O. 16) 781 8.05|—2.01| 0. 7 0.04 0.02! 93 | Oo À N. 781 4.05/—0.06| 1.95, 4.08! 3.09! 84 £ 5 0. 48779 | (6.00/—0.05| 2.05| 1.03| 0.05! 85 | 410 SO 191 777 | 4.09/-1.02| 0.331 0.08! 0 05! 92 | 7 E. 20| 769 | 0.07/—0.09—0.01! 1.02! 0.07! 88 10 fl 0. 4 2%4| 719 | 6.00 —0.03) 2.85) 2.04) 1.05) 82 APERI S. O. 99) 769 | 9.05—0.02| 4.651 9.00! 8.06, 94 140 2 S. O. 23772 | 10.06) 0.05) 5 05! 7.00! 6.07 9 | 3 | O. 24| 770 À 10.05) 5.06! 2.45! 10.06! 9.07| 8y 40 2 S. O. 9511760 | 12.00! 3.00! 4.051 4.02) 3.08) 93 | O N. O. 26) 779 | 800! 0.05] 3.75, 1.06) 1.00 89 | Oo N. O OS | 6.04. O0 O8 2.031 3.05/ 2.07! 87 [40 2 No 28/ 7:50. | 6.00-—1.00| 295! 0.03 0.00! 95 4 À N. 29| 772 | 2.05—3.02 —0 351—1.01—1.04| 99 | 8 fa N. | 30) 774 1.05|—1.08/—0.15) 0.05! 4.02) » 140 M N.E 31114 | 4.09) 4.02 0.35l 0.03! 1.00 » !10 1 NAME | 772 | 4.08/—92.01| 1.351 2.04 1.08) 74 | 5.08/.02 Résumé des observations pluviométriques faites en 1889 aux stations de Saintes, Jonzac et Montguyon. CCC Nüvembre.. lt... 1.5... Décembhrerset "spip, ue Hotaux. #4. STATION STATION STATION DE SAINTES. DE JONZAC. |DE MONTGUYON. 0.0310 v. 0.0450 sv. 0.0450 m. 0.0555 0.0850 0.0580 0.0500 0.0610 0.0424 0.0815 0.0740 0.068385 0.090735 0.0720 0.0592 0.1070 0.1380 0.1470 0.0500 0 0490 0.0340 0.037 0.0970 0.053540 0.013830 0.016060 0.0220 0.199295 0 2210 0.1980 0.0315 0.0460 0.044140 0.0510 0.0780 0.0440 0.7740 0.9820 0.8301 É Des observations faites dans la commune de Courcon, RESUM A me ei y LS] S ; | ? : VENTS. ÉTAT | T PRESSION TEMPERATURE. | A atmosphérique. Nombre de jours par mois. du ciel. À | LT — — —————————_—— Ÿ ai < ROULE a Minima. | Maxima. ñ Minima. | Maxime. | 2 + 2 se | ENTRE 2 | TS | = alslsls|S|.|a|. Is) SSI S | =] e PAS 7 oo |S El | 2 eo SOS e4 = S 8 S|51215015Lslsh) 22e) em à SV - SRE error Lao Men PERS) | © a AS É = |£ É æ ee — © | $ ë ä = = = | = S 2 Astier Ml LUTTE ES SE RGRUIE ati pr son uee aue ER AS m / 1m | Eee È & [Janvier......1760.75121749.501981772.001 4.50116|— 1.00131| 10.001 3114] 3! 9! 1! 1| 5| 2} 8] 7| 4112} »} 29.0 | ne TRs S Ilévrier......1762.00/271751.501191772.501 6.95] 5/— 1.601118! 13.50! »| 81 7! 4!) 6| 3! »| »! 1111] 9! 3| »| 48.0 = À a || Mars rare » »| » »| » » » » | » NS DONS SE SUIISS SI ESS N EN RO E 6)1 Meet) | JA à Amber à < » » » » » » » » » » DAME CDI DID ED ET) »| »| » » | a S Mai.......t.1782 50/251778.00/181787 001 19 7519/4100 4m 95 50 OA APT MAS SGA) 715121 760 | Ses Juin ........1785.50110/780.00,051791.001,93:725118| 418.001 8! 29H01 4| T9) 81 71 4 64/65/50) 61510720 | ES à Juillet.......1783.251261779.05|106|787.00! 24.95117| 18.090131! 30.501 3! 3| 2110! 4! »1 1! 2h01! 5| ‘4! 5| 41 42.0 | RQ È Août....... .1781.501191775.00127|786.001 22.001111 17.00/18| 27.00! 5| »| 3! 7110! 2! »| »f 9] 7} 6! 3 21 » | LL Septembr. Ar. » » » » » » » » » » DE ON OS 2 D) D, »| » » | = À Octobre .... 1774.001211767.001311781.001 14.50195| 10.00! 7} 19.600! 2| 41 21 41411 7! 4! 11 718) 5! 1! » 156.1/2 SES Novembre ...1783.00,05|775.001191791.00! 12.95! 8 8.50| 4] 16.00! 5| 8] 1! »| 21 3] 2! 3112| 4) 3, 5| »] 41.0 | à È Décembre ...1[780.00! 2 DU 790.00! 5.50 29 24:50124|- 19 501 b 1 161816) 5) 2 SPRINT IDE ST En Dans la nuit du 11 au 12 août tremblement de terre, d’une durée d’une seconde, tempête le 21 août. — Neige les 6, 28 et 91 décembre. — Observations incomplètes par suite d’absences de l'observateur. RÉSUMÉ Des observations failes dans la commune de N B NC UA47 par M. THAYARDA. Année 1889. MOIS. Janvier... Février... MAPS Ne, ANRT ere ce MA ne HU... ue. MOUSE Septembre. Octobre. .. Novembre, Décembre . Tempête le bourrasque dans la nuit du 49 au 20, neige les 7, 28, 29, 80 et 31 décembre. PRESSION : | VENTS. ETAT TEMPERATURE. atmosphérique. Nombre de jours par mois. du ciel. , £ FOUR Maxima. $ Minima. | Maxima. z s. Ë à E 5 |. 5 - - ï : à 5 AAA ERNÈARIRE & |= S |= _ sAsélie seb): s12)s = |$ £| #, LE É ATOS LPIBAIRRIES =|2 |S1S D S as hs , = A (en) = | F5 DE Tr PS mr ine ana si ie ect m /m 762.001121750.00128774.00 3.00! 4]—4.00/41! 10.001 9] 7! 2! 41 1! 11 9! 51 6! 5 819! »l 43.8 163.30127|1751.00|191776.00 6.00/13(—4.00,21| 146,001 71 31 7! 61 5 »| »|» AAA ON DIEU 759.501201745.001981774.00 6.00 4)—38.00 81 45.001 91515) 309 GPS IE) ID)EEIRS 75.0 157.00! 8]744.00/191770.001 10.00/151 2.001119! 18.001 11 41131 6! 5! 41 »! »l 41 9! 49! »! 4 61.2 » » » D) » » » » » » » DONNEES NES) » »| » D DDIIE0) » | 763.50/10/757.00129/770.001 21.50! 1! 14.001296, 99 00! »| 1! 41181 4! »! 6! 28 3! 5! 441 9! 6 149.9 766.00! 9/761.00) 141771.001 21.50118! 13.00131| 30.001 11 »| 41131 9! 2! »,! 58 7! 9! 49! 3! ,| 20 762.50119)/756.001271769.00 19.50117} 10.00131| 929.001 11 31 4119! 3! »! 41 345! 61 151 2 DIE SE O 763.001241756.00116/770.00€ 45.501297! . 4.000! 27.001 141 1! 11 81 »1 11 »1 5115! »l 43! 2! , » | 157.501201748.00! 31567.00! 11.501131 5 00! 71 18.00! 2! 3! 1! 3114! 71 »1 11 11211 9! »| »1 2178 163.00! 41761.00! 71775.00 100129141200 4515 0006! 11418) 9/88 108100 OT IUOTTIES SIRET 766.001101756.001161776.00 2.50! 4|—6.00124/ 11.00! 6! 1! 2 ] o| »| 41191 4110 dE DOTE » » » » » » DOTE D D D EME) D| »| » » | | 2 février, neige le 13. — Tempête le 29 mars. Dans la nuit du 11 au RÉSUMÉ Des observations faites dans la commune de l'Ile VENTS ETAT © PRESSION 3 =. TEMPÉRATURE. > atmosphérique. Nombre de jours par mois.{ du ciel. | < | - | FA É È Pr a Minima. | Maxima. | 2% Minima. | Maxima. |: 3 |. - FN ml S 4 S = = MAP ARSEAÈER,E 3 = 5 LIS|OIS SIERIals lb 2 ESS 5 CEE 5 |= | : | mn A IE ÉIAIÈE 5 8 St ] és 1 PPÉPE re) ['EPFSÉ C0 hs] % k hd AY A = À NO © EC 19 09 CE À 1 D Y Sud. Sud-Est. | 9 ë 1 eag E= »Ù » » » 4j 9 115 2110, 31 9 2112 2110 »118 » D 1115 81 9 TAN du ciel. nil | AÉIE HE es) Z IS |A » » » » »| } UE) re 115 ou 10! 21 9 14) 2, 5 15 | 4 110 2! 9 4| 91 6 TAEDIRS TO 411! 7 x HYGROMETRE DEGRÈ ier-forestier. d iqa . RÉSUMÉ Des observations faites dans la commune de lu Trem- Année 1889. , par M. CHARRIER, br #2 blade MOIS. EE anwier. HÉVrISTI 2 2.2 Mars RE AIDER LIENS SR 1 VIS TONER Jet... 2: AO. à Septembre . Octobre .... Novembre... Décembre... . Neige le 28 décembre. — Les observations relatives aux vents sont prises plusieurs fois par jour, quand leur direction change. PRESSION atmosphérique. Moyennes. TEMPÉRATURE. ES = = A |$ a. = » » » » 1.00! 4 10.80! 1 17.50! 3 22.95| 4 22.50|29 21 .75|28 18.709117 13.925114 7.75|29|— | SOIR Nombre de jours par mois. Minima. Nord-Est. Nord-Ouest. Ouest, Sud-Ouest. Clair. OT CO CO CO TR CO À OI Y 1 13 13 17 1 14 9 Pluvieux. Nuageux. Couvert. ) 9 Co © CS 19 » © y Z » »t 679.66 »f 869.06 9] 1971.59 RÉSUMÉ Des observations faites dans la commune de la Vallée, MOIS. S S = L ss © - 10 Q [e) E Janvier ar x Êe ur SA I Ce L À ..… = : AUTIES 22 che ù Malines =) UM: ve £ Juillet. = OUR are à Septembre à Octobre... Novembre. Décembre ..… PRESSION a ; ÉTAT à TEMPÉRATURE. EE ie atmosphérique. Nombre de jours par mois. du ciel. NE : — [«b] | à k = 2 | Minima. | Maxima. | & | Minima. AE NPA 5 ss lslsÈne = = Es |Ss|# |) ss ls REUERUES 315 = S & Fe = © © |O K= 1 | ‘& m/s + S = |= AE |; EbéhbPErR)S SET = |£ Ë 2 |£ Ë CN EMBNe UE En as ns œ cs (en! ei A [= » » » » » —3.50/23)—4.00 26| 11.60! 8113| 2! »! 4 31 4! | 9 131101 6! »l 23.0 » » » » » 2.00124|—6.00 22! 10.001 2! 81 5! 61 7! ,1 »l ,l, 118 1214 24279 » » » » » 4.50! 41—5,00 24| 14.00! 5111! 31 31 5! 11419 11 15! 4/11! »l 46.6 » » » » » 1.006! 0.00/19! 44.00! 2] 51 3143! 11 5! 41 18| »119| »l 48.9 » » » » » 15.00! 9] 6.001293] 24.00! »! »| »| 2199! 61 41 ,l, 15| »116! »1 936.1 » » » » » 22.25| 1| 8.50124| 36.00! 9] »| 2110! 61 4! 1141, 47! 11 5| 71 40.8 » » » » » 27.00127| 11.00/11| 43.00! 61 »1 11151 81 ,1 11 9, 18! 1110! 21 42.5 » » » » » 27.501291! 11.00/17| 44.00! 21 41 4143! 9! ,| 41 4l, 19! »112| »l 26.2 » » » » » 20.501296! 92.00/10! 39.001141 21 6! 41 »| 11 »! 61 »| 241 »| 6! » 7.0 » » » » » 9.75) 6| 2.50] 2] 17.001 »| 2| 31 31491 4 »| » »1 10! »l94! » 111.1 » » » » » » » » » » DI p| »E DI »| »} »l DE » »| »| »| » » » » » » » [—1.50! »{—6.00! »| 9.00!14! 9! 41 31 41 9! ,1 41 ,! 9 15t 7} »l:311 » » » » | » Tempête dans la nuit du 3 au 4 février, tempête dans la nuit du 10 au 11 février accompagnée de grêle, neige dans la nuit du 11 au 12 février, — Tempête dans la nuit du 14 au 45 février, neige les 23 et 27 février. RÉSUMÉ he. e SN > & PRESSION : VENTS. ETAT 5 à TEMPÉRATURE. D atmosphérique. è Nombre de jours par mois. du ciel. . É MOIS 5 À : a | Minima. | Maxima. a Minima. | Maxima. | 2 A x : CAC < . = = ms|s|2|s mlclsls|SISIS = d & e = eos En la ls Ne neue S Ses D 4 Fos 17T/5|Ss |aI= En S|> Te ee > © > | - Si : : AAHAICILIS EE Se ele S à = |$ £ à |# ê F |) SE z |PIRIS & o = = & S ; OS œ@ A } A (en) [= % + y © ! m /m | Ÿ AN De Janvier...... » »| » » » » » » » »0 PF 19/S MOI 0209) PR A MST Ip r27. 00 » À o Février ..... » »; » » » » » » » » 6| 7110! »| 5! »| »l »l 11 46110! 1] »1 59.00 Ë à S EMANSE 2 » DR » » » » » » » 1114! 4) 11 2! 5] 1! 6] 7] -8/121 4] »] 63.00 NS Ho NAME. 2. AE ECS QUES Du | "D » |» » À 3! »113| 7| 5! 1| »| 11 3] 18! 6] 3! »} 28.00 2 © & [Mai - » »l » » » » » » » » 9! 11 2! 8! 6, 4! »| 11 6! 12] 9] 4! »} 491/2 = À ONE ere » » » » » » » » » » 71 31 6! »| 71 4! 5! 11 2] 10! 6| 2110! 70.00! Fu MoNIet. 0er » » » » » » » » » » SSP) 7 SOS ATUS IAA OIETN AIT O0 S = AONOIeE TR » » » » » » » » » » 41 »| 5! 5] 9! »| 3| 8111! 11| 4| 2] 31 50.00 a Septembre. Le » » » » » » » » » » 44180218 ME IR Sr | IRAN IE) 15.00 È Qctobre. 2, » » » » » » » » » » »| 1! 1) 2/11] 7] 4] 5! 2| 18] 6] 5| »] 66.00 S Novembre ... » .) » » » » » » » » 14! 6! »! 2! 31 11 2] 27! 4! 81 1| »l 46.00 © Décembre ... » » » » » HD » » » » 120! »| »| 21 5! 2] 1! 111! 4115! 1! »l 54.00 SA $ a stress Lu RE 2 RE RO AR RE Rp Eee à Let LA a » » » » » » 183152152136159/25125,33/100/122/105/25 131554 a Q | Tempête le 11 janvier. — Les 3 et 11 février, tempête. — Neige les 13, 16 et 23 février. — Le 8 mars, tempête. — Le 9 juillet, tempête. — Les 10 et 20 août, tempête. — Le 10 octobre, tempête. — Les 7 et 28 décembre, neige. = _— ESRI PP TENTE TI a De, a RÉSUMÉ Des observations faites dans la commune du Mung, Année 1889. par M. NIVET, instituteur public. MOIS. Fuillet. 7: Septembre. (Octobre .. Novembre. Décembre .., DEC] EE © ON PRESSION atmosphérique. Maxima. Moyennes. Moyennes. Tempête les 10 et 14 février. — Neige les 12 et 27 du même mois. — Bourrasques et grêle dans les derniers jours du mois d’avril. TEMPÉRATURE. Nombre de jours par mois. Eau tombée. Clair. Ouest. Sud-Ouest. Nuageux. Couvert. Pluvieux. Orageux. DO IN à CO D I COS à | — 9 = NO | ©9 © © Or à © À © © Où © © SL Ÿ _—— SC te NE HO CO D = mn SI = © y ŸY 34160/4576167154/23| 6199/100/94154118 RÉSUMÉ Des observations faites dans la commune de Berneuil, MOIS. CC È > S EX 19 CN NS macrameue À | — Janvier.... © , A à lo lFévrier.... D ON NE. A - & JAvril...... À < Mai... : TUNER. S Juillet... à AUS is See SI Septembre. & Octobre .…. Novembre. Décembre. PRESSION TEMPÉRATURE. RU Wa? atmosphérique. Nombre de jours par mois. du ciel. ä | Minima. | Maxima. g Minima. | Maxima. || |2|. RNA à lg AE = : HAE ARAÈIE & |= | >; AA MAELN SÉIÈAEE = |$ & ES s | Z2| js) | |? MCE S S = 3 A A A | = | nd _—_— m oun | on | ous [om | À ous | cmens | mous | ue | mr 765.00/12]749.00/28|781.00! 1.90! 5|— 6.90! 9] 40.00! 42 15] 5] 31 1! 5] 1 74 4! 12110] 5! » 766.70/271752.00/19/781.40) 3.101 6 — 6.201181 12.401 4121 8l 81 4l al 41 of | 40 S) Era 163.90/20/749.00/16/778.80l 3.70) 4 — 6.000! 15.40 9l9! ol ,| 2hol ol 6 3| 15] 3] 9] » 761.00! 7]747.00)19 OÙ! 7.80) 1}— 0.60/19) 16.20] 5! 6/41| 9! 91 8] »| 9Ù »| 441 » 10! » 160.40/26/751.00/18/769.80) 12.90! 3| 3.00/23| 92.80l 31 3 7490131441 »1 4 1 47! »111| » 167.50! 9/759.001801776.00! 17.60] 4] 8 40! 8] 96.801 7h10! 6! 71 9! 8! > 51 3l 9 2] 7| 7 769.00! 9/763.00| 1 -00! 18.50/29) 10.00/12! 27.00] 5! 7112! 9h10! 8! »! 30 5! 471 »| 4l 4 » » » » » » » » » » D| D D| »| »| »p| »| »E » >| »| >| » » » ns » » » ) » » » » » » » » » » » » » » » 760.90121/751.001311770.80] 9.80! 5! 3 40 3 16.201 1! 6| 2} 8] 9/22! »| al »| 13] » 118 » 771.10 271762.00 1617 de 20! 5.00/29)— 4.005] 14.00] 5! 5) 5! 31 9] 7| 7| sf 9! 49] 9! 6l » 771.00/11,760.00!16]782.00! 1.00! 4]— 9.20%! 41.901 431101 2! 2! 4! 8l 4 55 7 143| 6| » » » » » » D] DI D| »| »| »| »| »E » >) 1 1) 1) 1) Neige, le 21 janvier. — Les 3 et 14 février, tempête. — Les 13 et 27 février, neige. — Les 7, 28, 29 et 30 décembre, neige. Les observations relatives aux vents sont faites plusieurs fois par jour ES ge 4 M mr de l’absence de l’observateur. quand leur direction change. Obser Eau tombée, vations incomplètes par suite = RÉSUMÉ Observations des orages dans le département. Année 1889. EIRE A5 | 6 S ES HORONaUE MOIS. [£51S| $ 182 OBSERVATIONS. ©O218| © [So z°|2| 3 |2% = | [© Janvier... 2| »| 2 »| Le 12 juin, la foudre est tombée dans la com- mune de La Ronde sur une maison d’habitation, Février... ; 8, 3] 3| 2|le mobilier a été brisé, une femme jetée à terre | et blessée assez sérieusement. — Le 17 juin, dans MAS. 7... 2) 2 »[la commune de Trizay sur le paratonnerre du château Belenfant. — Ce même jour, dans la com- ri. D... 3)» 1 2/mune de Rioux, sur une maison d’habitation. — | Dans la commune de Montpellier sur des servitudes, L'E FRÈRES 8| 1! 2] »lune maison a été incendiée. — Dans la commune de Corme-Ecluse, un incendie a été allumé par la HR... 96125! 63! 8 foudre.— Le 27 juin, dans la commune de La Vallée | dans une prairie. — Le 9 juillet, sur un arbre Juillet... ....| 31| 6 923! 2/dans la commune de Jonzac. — Le 12 juillet, sur = un arbre dans la commune de La Vallée. — Ce Mont... 94 4 30 même jour, sur la maison d'école de Beauvais et sur un arbre dans la commune des Touches-de- Septembre... »| » » »|Périgny.— Le 18 août, à la cabane neuve commune ide Nuaillé sur une maison d'habitation, une femme Octobre ..... GLS » ‘a été légèrement blessée. — Ce même jour, dans la forêt de Benon. — Le 19 août, sur une maison Novembre... »| » » »|'d’habitation dans la commune de Benon une pendule a été brisée. — 19 août, deux fois dans la Décembre .. »| » » » commune de Jonzac. — Le 19 août, dans la commune de Crazannes. — Le 19 août, dans la cour et dans le jardin de la maison d’école de Totaux...| 485/42| 199] 14/Louzignac. CA "er Em ms per - v 4; «2 CETTE" ne MERE Er "VS 2 - À CT HER 4 | *n SOI EE “ASS RE A TR O4 17 #3 Mi a Èt A ? À Lie CH: | appels À 3 EN APN BUS ARELS pa. PER L y « L É se si 6 rene 44% vb L ' {u au! \ she # NS til \ LG. 2 22 © 5+ NSTUOWEE 2 7 4 XneaoueAr CLR éjpuaquo fre ; fastocs 1 RATE PA ten lle Ye ANS AUX Q en > p: QUI À th aa AAA LA] PIQUE ‘29ep ET JUS Soubrs 2[ 92QUI07 952 pneu [S ‘s10} Xnap seubrmos ?sa a7ep er açar f na e À jr,nbs10q ‘agubrmos 462 29ep er 2ero,j Juepusod nd e [re ‘21{W999{ N - 9JQUIAON W 2.100990 1-21qu39daS y -JnOw H -Ja[[iNf P - um 9 IPW 3 -[MAY Q -SIEW 9 - LOLTAD{ 9 -JATAUES StoW $ar quonbipurquopaosud mb saxqof say ADN Lo O Sep sagep ser quonbrpur sauyrty) so st0} Xnap saubtnos 152 a7Ep ef 22h na e Rod urmos 752 a7ep eç aheto f quepuad n(de fre 21QU2094 N - 21QUI3AON W 2100720 1-21quraqda6 -1n0Y H-J8[pnr p -umr 9 IEW 4: [MAY q -SIEW 9 - LATAA4 g -alAUEF ÿ StoWe Sat quenbrpurquapa0a1d mb sarqqar sa saPE1() sap sagep saç quanbipur SRUfFLY Sa : ‘GQ8r 29 S19vy0 sag 31XVS) NTIASIESINI -ALNAUVHO NK a xnea)ubAE NA 3 E? Bz = As M EAN AN 2 ë EN (ES NS \ Q ALNAUVHO > Ê © pi NS 21{U209 2JQUI3AONC 2140700 aiqurandag moy. grüng umf te TAAVI Se JATIARJ JTAUE DOTE TE o y NX 9 © LE SIN VS RL Faye) uarñ8%9o Male | PAAOW SC ELPATU ir æ es 3 HN quil eOOQUOG-TrÉIZ=Zz ATIONW/A NVICLS \ wéuaego-feuuos”. © auuoqnog/(euuo j, so ER 0) HŸOY LISTE DES MEMBRES De la Société desSciences naturelles DE LA CHARENTE-INFÉRIEURE. QUIÉLET 680) de 8-7 Es - Eu Bureau. Président, M. En. BELTREMIEUX, (ke, I 6). M. L.-E. MEYER, (A &ÿ). M. F. Lusson, (I &ÿ). Secrétaire, M. L. DE RICHEMOND, (I £ÿ). Secrétaire-adjoint, M. CH. BASSET. Directeur-Conservateur, M. En. BELTREMIEUX, (%, I GP). Conservateur-Adjoint, M. Ch. BASSET. Bibliothécaire-Archiviste, M. ALB. FOURNIER. Trésorier, M. P. CASSAGNEAUD, (A Éÿ). Vice-Présidents. l Le Directeur-Conservateur est chargé du Muséum Fleuriau (Sciences naturelles et paléoethnologie du département), et du musée d’ostéologie. Membres Titulaires. ANDRAULT, procureur de la République. | BouYÉ,: Paul, pharmacien. AUCAPITAINE (Baronne Suzanne)... : BraRp, Er., (&, À &ÿ,) doct.-méd., m. de Bagur, E., fils, m. de l’ass. fr. avanc®se.-L..Ÿass. fr. avanc. des sciences. BARBEDETTE, H., sénateur, cons. général. BARTHE, ($), docteur en médecine. Basser, Ch., négociant, m. de l’assoc. fr. avanc. des sc. BELENFANT, (O $&), com. marine retr. BELTREMIEUX, Ed., (%, I £ÿ), m. de la Soc. géol. de Fr., v.-p. du cons. de Préf. BERGERAT, pharmacien. BERNARD, Gab., contrôl. des contr. dir., m. de l’assoc. fr. avance. des sc. BERNARD, À., percept., St-Martin-de-Ré. BerTeaup, E. ($), dir. des contr. direct. BoISSELLIER, À. ($%) ag. princ. adm. mar, m. de l’ass. fr. avanc. sc., Rochefort. BRUNAUD, P., m. de la Société bot. de France, à Saintes. CASSAGNEAUD, (A £ÿ), conservateur du Muséum La Faille. CHEVALLIER, C., négociant. COINDON, A., employé de l’adm. des ponts et chaussées. ConpamyY, Ad., m. de l’assoc. fr. avanc. des sciences. CORBINEAU, A., préposé chef, octroi. COUNEAU, Em. (A &b), gref. au Trib. civ. m. de l’assoc. fr. avanc. des sc. GousTOLLE, Et. (%e), ing. ponts et chaus- sées, — 912 — CREUZÉ, À., (&), dir. des contr. direct., en retraite. CuNAUD, G., pharmacien, m. de l’assoc. fr. avanc. des sc. DELAGE, (A &ÿ), professeur au Lycée. DELMAS, J., m. assoc. fr. avanc. des sciences. DozLoT, A. entrepreneur-directeur des travaux du port de la Pallice. DrouEr (&), ing. des ponts et chaussées. Duany-SoLer, doct. en médecine. Dupuy, L., (A &), prof. d’hist. au Lycée, membre de lassoc. fr. avancement des sc, FAUSTIN, G., ($, 5%) Portugal. FLEURY, P. (A., &), pharm. à Marans. FOURNIER, Alb., ancien notaire, m. de l’assoc. fr. avance des sciences. GARNIER, Fr., ($ A ÿ), maire de Royan, député, conseiller général. GATAU, René, courtier maritime. SUR La contr. princ. des contr. dir. Groc, Al., (A £ÿ), dir. des travaux com- ne m. de l’assoc. franç. avan. des sc. GUILLEMOT, Ch., 20, Paris. HiLLArRAUD, F., docteur en médecine. JOUSSET, pharmacien à Rochefort, m, de la soc. bot. de France. LAURENT, Gh., doct. en médecine. LEMANISSIER, Charles, rentier. LECOQ DE BoISBAUDRAN, ‘(%X, À &b), corr. de l’Acad. des sc., m. de Pass. fr. av. des sc., Paris, rue ‘de Prosny, 36. L’EVÈQUE, dd, négociant. LOUVEL de, I &ÿ), Roche- -sur- r-Yon (Vendée. Lusso, Fr., (1 &ÿ), prof. phys. et chim. Lycée, m. de l'as. fr. av. sciences. MarsiLzy, A. de Commines de, à Paris. MarTRE, E., Dir. des contr. dir., à Dra- guignan. Massiou, E. (I &ÿ), architecte, m. de l’assoc. fr. avanc. des sc. MÉnuaAIGNERY, Léon. , armat., consul de quai de la Mégisserie, préfet, à La MENUT, À., (A éÿ),contrôleur des douanes, en retr. MESCHINET DE RICHEMOND, L., (I &ÿ, X), archiviste du département. MEsnier, Marcellin, pharmacien. MESTREAU, Fréd., sénateur, conseiller général. MEYER, L.-E., (A &ÿ), courtier maritime. MICHAU, phar macien. MILLOT, (A &ÿ), professeur au Lycée. MODELSKI, (%), ing. en chef des ponts et A à Tours. MorEAU, AÀ., (0 $), colonel, directeur du génie, à ne MOTELAY, L., bot. m.delasssfr anse cours de Gourgues, o, Bordeaux. NIvVET, À., ing. civil, m. de l’assoc. fr. avanc. sc., Marans. OpiN, Amédée, ph. aux Sables-d'Olonne. D’OrBIGNY, Alcide, (A &ÿ, %), armat.,m. de l’ass. fr. avanc. sc., consul d'Italie. PÉRIER, Aug., courtier, m. ass. fr. av. sc. PiRTTRE, professeur de sciences au Lycée. PILLOT, M., nég., m. de l’assoc. fr. av. des sc. PoTEL, E., (#&), ingénieur en chef des ponts et chaussées. PuRREY, doct. méd., inspec. du service des enfants assistés, à Digne. ” RABILLÉ-ANGIBAUD, M., le Bois, Ré. RouviER, P. Cons. général, à Surgères,. RUBINO, À., m. de l’assoc. fr. av. des sciences. SAVATIER, (0° %), Dr méd. chef Marine, en retr. pe a. Georges, île d’Oleron. STEHELIN, L. (0 $&, I à) ), préfet, Meurthe et A TEA) SUIRE, Antonin, à Parthenay. TERMoNIA, (O0 &), doc. méd.-maj 1re cl. retr., place Champ de foire, 9, à Saintes. receveur de l’enregistr. THURNINGER, Alb., (3%), ingén. chef ponts et ch., m. de l’ass. fr. avanc. sciences. VACHÉ (A. &}), profes. à l’école normale. Vivier, Alfred, (L &ÿ), juge hon., m. ass. fr. av. sc., boulevard Haussmann, 92, Paris. ASAMPENE ES, à — 9313 — Membres BoLLON, v. p. de la com. adm. des hos- pices, à Rochefort. BoucHERIE, Michel, à Chez-Merlet, com. de Bresdon, canton de Matha. BoüroN, nat. prép. Rochefort. Bourru, (0 &), Dr méd., en chef, prof., Rochefort. BouscassE, (%X}), ing. civil, à Puilboreau. BouyEer, doct. médecin, Cheray (Oleron). Buisson, prép. hist. nat. Châtel-Aillon. Buroï, P., Dr méd., prof. à l’école de médecine, à Rochefort. CAILLAUD, naturaliste, à Châtel-Aiïllon. CoMBes, Dr, maire, Pons, cons. gén., sénateur. CouiLLrAUx, greffier de la just. de paix, Tonnay-Charente. DELABARRE, rec-bural. Saujon. des douanes, Agrégés. DE SAINT-MATHURIN, Saint-Jean d’An- d’Angély. Foucaup, J., (A &ÿ), Jard. chef bot. mar., Rochefort, m. de la Soc. bot. de Fr. ESPAILLAG , conducteur des ponts et chaussées, St-Denis (Oleron). LAMOUREUX, méd. vétér..à Saintes. Manës, Ad., (%), cap. retr. Saujon. MurE, Edm., négociant, à Surgères. NormAND-D’AUTHON , P., la Martière (Oleron). Prcuez, docteur-médecin. PiNEAU, Emm., Dr-m., Château-d’Oleron. RiGauD, Ch. docteur-médecin, Pons. RomIEUx, O, (), ec. de frég. Rochefort. TESSERON, instituteur en retraite, à Cra- zannes. THIBAUDEAU, VIviER, Aph., lieutenant des douanes. avocat, à Rochefort. Membres Correspondants. ALLENET, lieutenant de vaisseau. ALLENET, cap. d'état-major. ARNOUX, Sosthène, professeur, Orléans. BARINE, Arvède, (madame Ch. Vincens), (lauréat de l’Institut), à Paris. BAUDOUIN, pharmacien, Cognac, m. de l’assoc. fr. av. des sc. BAYLE, ($), ing. en chef des mines, retraite, à Paris. BÉpaRT, doct. méd., Bordeaux. BÉNÉDEN, Van, docteur, prof. à l’Uni- versité, Louvain. BERCHON, (%, %, À Éd), méd. prince. de re cl. de la mar., en retr., Pauillac. en BERGERET, pasteur à Baussais, Deux- Sèvres. BERNARD, G., (#), ph.-maj., m. de las. fr. av. des sc. Paris. BERTHAUD, prof. de physique, Mâcon. Borzor ((I ©), prov. du Lycée, Mâcon. BorDbaGE, Edm., boursier à la Faculté des Sc. nd Lyon. BorEAU, géologue, Parthenay. BOULANGIER, ing. des ponts et chaussées. BouLLAND, H., doct. en méd., à Limoges, m. de l’assoc. fr. avanc. des sc. BouqQuET DE LA GRYE, (0 ), ing. hyd. en chef, m. de l’assoc. fr. av. des sc., m. de l’Institut, Paris. BOURGUIGNON, O., pasteur à la Mothe Ste-Héraye. Bover, Alfred, prés. de la société d’ému- lation, Montbéliard. CAMPEAU, J. R. E., président de l’insti- tut français-canadien à Ottawa. Camus, pharm , boul. St-Marcel, Paris. CASTAN, officier d'artillerie. CHABERT, À., (#), médecin principal de re classe, à Lille. CHAMPENOIS, inspecteur des forêts. CHARLET, Bernard, à Luze (Basses-Pyr.). CHARTRON, recev. de l’enr. Luçon. CHASTEIGNER, (Gte Alexis de), Bordeaux, m. de l’assoc. fr. av. des sc. — 314 — CHAUVET, not. à Ruffec, m. de l’assoc. fr. av. des sc. CLARET, docteur-médecin, Vannes. ConNDAMY, ex-pharmacien , Angoulême. CONTEJEAN, (%), doct. ès-sc., prof, à la Faculté, Poitiers. COTTEAU, (ke, I ÉŸ), juge hon., Auxerre, m. de l’assoc. fr. avanc. des sc., anc. prés. de la Soc. géol. de France. CourçonNals, Ch., (I &ÿ), insp. d’acad. en ret., à Limoges. CRAHAY DE FRANCHIMONT, (%X) ing. Bor- deaux. DaNGtBAUD, (O %#), sous-direct. au min. de la marine, à Paris. Dassy, Ferd., préparateur de physiologie à la faculté de médecine, Paris. DAUBRÉE, (CG $e, [ &Ÿ), insp. gén. des min. membre de l'Institut, Paris, m. de l’assoc. fr. av. des se. DE Gressor, (0 $#), général d'artillerie. DELAvaUD, (0 &,I&ÿ,%), Insp., hon. ser. santé, rue de la Boëtie, 5, à Paris. DELFORTRIE, prés. de la Soc. linnéenne, Bordeaux. DELHOMEL, rue dé Verneuil, 40, à Paris. DE QUATREFAGES, (QG $& I Eÿ), membre, de l’Institut, Paris, m. de l’assoc. fr. avanc. des sc. DocTEUR, AÀ., négociant, Bordeaux. D'Ouxous, à Saverdun (Ariège). DROUET, m. de la Soc. acad. Troyes. DROUINEAU, G., (A &ÿ), Dr, insp. génér. de l’as.publ., r.de Navarin, 15, Paris. DUFFORT, pharm., à Angoulême. Durré, (%, I. &ÿ), inspecteur de l’Aca- démie, Paris. DuvaL-LAGUIERCE($), comman. du génie au ministère de la guerre, Paris. Ecx, André, pharm. Nogent-sur-Marne. ENSCHÉDÉ, A.-[., (O >), arch. bibl. à Haarlem. Fée, F., (&), méd. prine. de {re cl. dir. du service de santé, 11e corps. Fines, Dr., dir. de l’obser. météor, Per- pignan, m. de l’ass. fr. av. des sc. FOURNIER, À., préposé aux collections d'histoire nat. à Niort. GABORIT, pharmacien, Nantes. GALLES, ancien conseiller de préfecture. GARNAULT, (A &ÿ), prof. d’'hydro. Brest. GaAuDRY, Albert, ($), membre de l’Instit., prof. au muséum, Paris, m. de l’assoc. fr. avance. des sc. GAUTIER, L., doct. en médecine, Melle. GIARD, pr. zool., m. de las. fr. av. des sc. GIRAUDEAU, Ed., Dr'-m., ex-int. des hôpit., Paris. Goop, Paul, médecin de la Marine. GOURRUT, docteur ès-sciences, Niort. GuiLLAUD, Dr., prof., fac. méd., Bordeaux, m. de l’assoc. fr. av. des sciences. GuILLON, ($#), dir. Cont. indir., en re- traite, Angoulême. Gxoux, doct. en médecine, Bordeaux. HuGues, Edm. (O %X, I &ÿ), sous-Préfet aux Andelys. HY, F., abbé, membre de la Soc. bot. de France, Angers. JAY, HON, JOHN, anc. ministre plémip., à New-York. JouAN, (O0 %, I), cap. vaisseau, en retraite, Cherbourg. JoURDAIN, doct. ès-sc., Paris. JousseT, docteur-médecin, Lille, rue de lOrphéon, 16. JOUSSET DE BELLESME, dir. des établiss. piscicult. Paris, m. de l’ass. fr. av. sc. LABEYRIE, insp. prim. à Tulle. LABOULBÈNE, (O0 %, À &ÿ), pr. à la fac. de méd. dePar.,m. del’Aca. deméd. Paris. LALANDE, Philibert, secr. gén. Soc. sc., hist. et arch. de la Corrèze, Brives. LeGouts, prof. de zool,, éc. norm. Paris. LEMOINE, doct. prof., école méd. Reims, m. de l’ass. fr. av. des sc. LETELLIER, prof. Alençon. LIÉNARD, secrétaire perpétuel de la Soc. d’émulation de Verdun. Lorior (de), géol. chalet des Bois, Suisse, m. de l’assoc. fr. av. des sciences. LuBaAwsxi, (Cite Alex. de), (G GC %), aca- démicien à Viazma, province de Smo- lenska, Russie. LOURDE, pasteur, à Espérausses (Tarn). LÉ er — 315 — Ly-CHAo-PéE, (A &ÿ, %), mandarin et lettré chinois, attaché à la mission scient. en Europe. MarrAND, empl. des ponts et chaussées, Niort. MaALINVAUD, Er., secrétaire général de la Soc. bot. de France, à Paris. ManrTovant, Paul, naturaliste, Rome. ManTOvaNI, G., naturaliste, Rome. Maurras, Em. Villegouge, par Castelnau de Médoc, Gironde. MazuRE ($%, LE), inspect. d'académie, retraite. Mica DE CABARIEU, H. (0 $, I &ÿ), ancien préfet, Cabarieu (Tarn-et-Garonne). MouLrraADE, Alb., pharmacien major de re classe, à Nantes. MouLLADE, pharmacien au Puy. PAPIER, À., prés. de l’acad. d'Hippone. PERRIER, Edm., prof. au muséum, Paris, m. de l’assoc. fr. avanc. des sc. De Porrar, Louis, à Montauban. RaGona, Domenico, (CG. %), dir. obser- vatoire, royal Modène. RAMONET, ag. ad. de la Marine, Ruelle. ROCHEBRUNE, A. (de) doct., aide-nat. au muséum, à Paris. RouxEL, prof. de physique. Rouy, G. (%), memb. de la Soc. bot. de France, Paris. SURINGAR, W. E. R. (O0 ,) prof. uni- versité, Leyden. SILVA, le commandeur J. da, (0 $e, I &ÿ), arch. du roi de Portugal, m. de lIns- titut de France, Lisbonne. TASLÉ, ($), ancien notaire, Vannes. TiLLET, Paul, professeur d'histoire natu- _relle, à Villeneuve-sur-Saône. TRIGANT-BEAUMONT, (Madame), botaniste. VENDRIES, employé au ministère de l’ins- truction publique, Paris. Viaup-GRanD-Marais, docteur-médecin, Nantes. ViLaANOVA, J., prof. paléont. à l’univer- sité de Madrid, m. de l’as. fr. av. des sciences. VINCENT, (1 Éÿ), insp. enseig. pr., Paris. VINCENT, pharmac., à Angoulème. WŒLFFLE, agent-voyer d'arrondissement Civray. LABORATOIRE MUNICIPAL DE CHIMIE AGRICOLE, INDUSTRIELLE, MÉDICALE, ETC. à) CONSEIL D’'ADMINISTRATION : MM. BecTReMIEUx, Ed., ($%, I &}), prés. de la Soc. des Sc. nat., Président. Lusson, F. (Iéÿ), prof. agrégé des sciences au Lycée, v.-prés. de la Soc. des Sc. nat., Chimiste, Directeur-Conservateur ; PIETTRE, prof. agrégé sc. Lycée, m. de la Soc. des Sc. nat., Ghimiste-Adjt. Conpamy, Ad., m. de la Soc. des Sc. nat. GROC, Alc., (A £ÿ), m. de la Soc. des Sc. nat. FOURNIER, Alb., m. de la Soc. des Sc. nat. MicHAU, pharm. de 1re classe, m. de la Soc. des Sc. nat. GREEN DE SAINT-MarsauULT (Cte Edm.), Président de la Soc. d’Agricul. LAURENT, Ch., vice-président de la Soc. de Méd, COMITÉ DE BOTANIQUE SOCIÉTÉ ROCHELAISE POUR L'ÉCHANGE DES PLANTES FRANÇAISES. tr ENADT— MM. BELTREMIEUX, Ed., (%, I &ÿ), v.-prés. du conseil de préfec., Président. LUSSON, F. (I £ÿ), prof. de sciences au Lvcée, Secrétaire-Trésorier. 2 7 /) 2 CREUZÉ, Am. ($,) dir. des contr, dir. en retraite. FoucauD, J. (A &ÿ,) jardinier chef botaniste de la marine, à Rochefort. JOUSSET, pharmacien, à Rochefort. MESNIER, M., pharmacien. MicHAu, pharmacien. TeRmonrA, (0 $), doct. méd. major, 11e classe en retr., Saintes. THIBAUDEAU, lieutenant de douanes. LOT PUR PEINE STI RIRES SOCIÉTÉS CORRESPONDANTES. FRANCE. LIONPE ......... Ministère de l’instr. publ., comité des trav. sc. et soc. savantes. (Envoi de 5 volumes d’annales.) 22 Minist. de l’instr. publ., musée Guimet. (Envoi de 1 vol, annales). ÉRIC Académie des sc., agric., arts et b.-lettres, Bouches-du-Rhône. A seine Société scientifique et littéraire, MR abat « Société linnéenne du nord de la France. CAO ........ Société académique du Maine-et-Loire. LL RCE Société d’études scientifiques. NT eme Société nationale d'agriculture, sciences et arts. M dus cae Société industrielle et agricole d'Angers et du Maine-et-Loire, nus. Société d’horticulture du Maine-et-Loire. id: ....... Société d'histoire naturelle. ........ Société des sciences historiques et naturelles de l'Yonne, de à .... Société des sciences et arts. ni ss... Société d'histoire, d'archéologie et de littérature. Bpelfort ......... ..... Société Belfortaine d’émulation. : “Béziers ...... re Société scientifique, archéologique et littéraire. pBône ..... LL PAFERS .. Académie d’'Hippône. BBordeaux........... Académie nationale des belles-lettres, sciences et arts. a ....... Société linnéenne. M 1d...-............. Société des sciences. physiques et naturelles. … jid.. .............. Société d'anthropologie de Bordeaux et du Sud-Ouest. A... Société archéologique. D Société du journal d'histoire naturelle. Brest ............... Société académique. rives.......... . Société scientifique, histor. et archéo. de la Corrèze. “Chalons-sur- “Marne. Société d'agriculture, commerce, sciences et arts de la Marne, Bhambéry .......... Académie des sciences, lettres et arts de Savoie. herbourg........ . Société des sciences naturelles. DR. .. ..:.... Société de Borda. prguonan… ie à Société d’études scientifiques et archéologiques. Hrrenoble............ Académie delphinale. Guéret M en ace see Société des sciences naturelles et archéol. de la Creuse. Le Havre ........... Société nationale hâvraise d’études diverses. a... ... ....... Société des sciences et arts, agricoles et horticoles. Langres.......... ... Société historique et archéologique. Le Puy.............. Société d'agriculture, sciences, arts et commerce. D... Société agricole et scientifique de la Haute-Loire. ETS À Aer sta Limoges ; - re RSA IN RER E ; Lyon...... Re ts Lyon LEE Res Pate cn ; Le Mans. 2e. Montauban ......... Montbéliard ........ Montpellier ......... Nant Nice. es 0... ve Perpignan ......... : PPIVAS Re em Reims... 0e SES Rocheîfort........... Sens.... St-Etienne .......... Toulon... MERS Toulouse. SR ErE ne id CCC Mer ŒUIL: 5 re Veso Metz... ns se (6 4 RER A QRE VE 1EN ZE a Strasbourg . id. CCR CCC . Société archéologique du Midi de la France. — 918 — Société géologique du Nord. Société Gay-Lussac. Société de botanique du Limousin. Société d'agriculture, d'histoire naturelle et des arts utiles. Société littéraire, historique et archéologique. Société historique et archéologique du Maine. Académie des sc., belles-lettres et arts du Tarn-et-Garonne. Société d’émulation. Académie des sciences et lettres. Société académique. Société des lettres, sciences et arts des Alpes-Maritimes. Académie nationale du Gard. Société d’études des sciences naturelles. Société de statistiques, sciences, lettres et arts. Société de botanique des Deux- Sèvres. Association française pour l’av. des sc., rue Serpente, 28. Ecole polytechnique. Société géologique de France, rue des Grands-Augustins, 7. Société zoologique de France, rue des Grands- Augustins, 1°. Société botanique de France, rue de Grenelle-St- Ger main, 84. Société académ. indo-chin. de France, rue du 4-septembre, n° 9 Société des sciences, lettres et arts. Société agricole, scientifique et littér., Pyrénées-Orientales. A Société d': agr. industrie, sciences, arts et lettres de l’Ardèche®s Académie nationale. Société de géographie. Société des amis des sciences. Société archéologique. Soc. d’agric., indust., sciences, arts et b.-lettres de la Loire. Académie du Var. Académie des sciences, incriptions et belles-lettres. Société d'histoire naturelle. Société académique Franco-Hispano-Portugaise. Société des sciences physiques et naturelles. Société académique d’agr. des se., arts et belles-lettres de l” Aubes Société polymathique du Morbihan. Société philomatique. Société des sciences naturelles et médicales, de Seine-et-Oise. Société des sc. morales, des lettres et des arts de Seine-et-0isem Société d'agriculture, sciences et arts de la Haute-Saône. | Société des sciences et arts. ALSACE-LORRAINE. Société d'histoire naturelle. Société d'histoire naturelle de la Moselle. Société d’horticulture de la Basse-Alsace. Société des sciences, agriculture et arts de la Basse-Alsace. — 919 — ALLEMAGNE. REMISE ni... Société des sciences naturelles, naturwissenschaftlichen vereine. Brunswick...... ... Société d'histoire naturelle. Giessen ............. Société d'histoire naturelle et méd. de la Hesse-sup. Oberhessis- chen Gesellschaft fur natur-und Heilkunde. Kæœnisberg.......... Société physico-économique , Koniglichen physikalich-okono- mischen Gesellschaft. Halle-sur-Saale..... Académie imp. Léopoldino-Carolina des naturalistes. (Prusse.) Landshut .......... . Société botanique. (Bavière). Luxembourg..... ... Société de botanique du grand duché. ANGLETERRE. * Manchester..... .. . Sociétélittéraire et philosoph., litterary and philosophical sociéty. AUTRICHE. | k Vienne .............. Musée d'histoire naturelle impérial et Royal, 1, Burgriny, natur- | historischen hofmuseums. BELGIQUE. pruxelles........... Société royale malacologique de Belgique. LE FRERES ... ... Société royale de botanique de Belgique. CANADA. Montréal: ........... Société d'histoire naturelle. DS... re Société historique de Montréal. RDA domaueià see . Institut Canadien-français. | Québec.......... .... Université Laval. Horonte ........ ..... Canadian institute. ETATS-UNIS. Davenport.......... Académie des sciences naturelles, academy of natural sciences. New-Haven......... Académie des arts et des sciences de conneticut ; academy of arts and sciences. Philadelphie ........ Société philosophique américaine, américan philosophical sociéty. BODERA 2... ........ Société historique de l’état du Kansas ; State historical of the Kansas. LES ENNRNERE .... Académie des sciences du Kansas ; académie of sciences of the Kansas. | Washington ........ Société géologique des Etats-Unis ; Smithsonian institution. id. DC... Société des régents de l'institution Smithsonienne ; united, states géological Survey. id. Dr. G...... Bureau d’éthnologie ; bureau of ethnology. — 320 — MEXIQUE. Tacubaya........... Observatoire astronomique national ; observatorio astronomicoa] NORWÈGE. Christiania ... ..... Université royale de Norwège. PORTUGAL. Porto er .. Société de géographie commerciale, sociedade de geographi | commercial. 4 RUSSIE. Helsingifors ..... à .. Société zool. et bot. Finlande ; pro fauna et pro flora Fennicas LEE SRE NET . Société des naturalistes à l’université impériale de Saint-Wladimirs : Kievskoie Obschestvo Estestvo Ispytateley. Moscou... Société impériale des naturalistes. SUÉDE. Stockholm ....... ... Académie royale des belles-lettres, d'histoire et des antiquités Konegl. Vitterhets historie och antiquitets akademien. SUISSE. HOMME Ta one Société des sciences naturelles. 1 PP CRACEN DANT ERR NS Société des naturalistes ; naturforschende Gesellschaft. Genëève.:.......:0 Société de physique et d'histoire naturelle. Lausanne........... Société vaudoise des sciences naturelles. Neuchâtel.......... , Dociété des sciences naturelles. CPE Compte-rendu de la Socièté des sciences naturelles, par ME RICHEMOND.. .….......2 SEE UC savhle els e .. Rapport sur le laboratoire municipal de chimie, par MPRPALUSSON A AR es EUNERT, APRES 6 De Nauee Excursion géologique aux environs de Fouras ; rapport pareMe DOLLOT.:.... RP AE LEE ARE EE PV PP Excursion botanique à Fouras; rapport par M. J. HODOMDES-:560......u.... APP NEES PRE Excursion géologique à Esnandes ; rapport par M. ÉOISSELLIER , .: 4... SCO SEE Se rt eo AC Excursion botanique à Esnandes ; rapport par M. MicHau. Excursion géologique dans la forêt de Vouvant ; rapport par M°UBOISSELLIER.. +. . Die pulse ee MR Excursion botanique dans la forêt de Vouvant ; rapport par M ledocteur TERMONIA.........es.0om0e 0e ste Sphæropsidées récoltées jusqu'à ce jour dans Ja Charente-Inférieure, par M. Paul BRUNAUD.......... Note sur la géologie du cours de la Charente, entre Rochefort et l’Ile d’Aix, par M. BoISSELLIER. ....... Contribution à l’étude du crétacé de Saintes et de ses environs , par M. Edmond BORDAGE.....,...,...... Pages. 15 17 Physiologie végétale. — Sur la faculté motrice chez les végétaux et sur un procédé permettant d'obtenir la reproduction exacte des mouvements des plantes, par M, Edmond BORLDAGE ARE A CR RCA ENREE Etude sur un point intéressant du détroit poitevin : Pamproux et ses environs, par M. Edmond BoRDAGE, Recherches sur les végétaux fossiles de l'Ile d’Aix, par ML Louis CRIE... SSP MR EE RS Observations. météorolociques 20420. 0 Liste des membres et des sociétés correspondantes... ... Pages. 161 183 231 .-239 311 ME LR R mx Vos NO EN ATE Le = ! PAPE AE TEE \ AR RE AT VE ACADÉMIE DE LA ROCHELLE SOCIÉTÉ DES SCIENCES NATURELLES DE LA CHARENTE-JNFÉRIEURE ANNALES DE 1390. 2 © 1© 1! SES ART RS LT LA ROCHELLE Typ. E. MARTIN, suc' DE G. MARESCHAL, RUE DE L'ÉSCALE, 20. 1891 ee CHARENTE-INFÉRIEURE S SCIENCES NATURELLES NE a ee ANNALES É DE La ms IÊT 4 sé È as ‘ nu ". Ke 4 Fae à > HE . r AT TA) re 2 SU y Fa 15e HER : CON x ’ . a } ‘+ ae pe À 2 w” £ Le ex >; PA “ 2 È L ñ CE LAN V 3 Live LE ’ d 4 £ L L'aer S : os = La Société des Sciences naturelles a été reconnue établissement d'utilité publique par décret du 4 septembre 1852. FLE n ACADÉMIE DE LA ROCHELLE SOCIÈTÉ SCIENCES NATURELLES DE LA CHARENTE-]NFÉRIEURE ANNALES DE 1390. LA ROCHELLE TyPp. E. MARTIN, SUC' DE G. MARESCHAL, RUE DE L'ESCALE, 20. COMPTE#RENDU DES TRASAU ina, el vos dépens sA apes 9 centimes, | ea manière suivaË à le : ir ous d'Annales Lines ; uveuti s Aux Sociétés de pt des As Et pote « sd” à: COMPTE-RENDU DES TRAVAUX DE LA SOCIRTR DES SCIENCES NATURELLES DE LA CHARENTE-INFÉRIEURE PENDANEML ANNÉE MSS0: +le- = MESSIEURS, Je dois vous présenter, chaque année, un résumé des observations et des faits les plus saillants consignés dans les procès-verbaux de vos séances. Je viens vous soumettre ce travail. Les comptes de notre Trésorier, notre vénéré doyen, M. Paul Cassagneaud, établissent que vos recettes sesont élevées pendant le dernier exercice à 2,493 francs 83 centimes, et vos dépenses à 2,300 francs 39 centimes, réparties de la manière suivante : impressions d’Annales 1,386 francs 04 centimes ; subventions aux Sociétés de météorologie, au laboratoire, à la Société de botanique, à l'Association française pour l'avancement des sciences 0 Map AM 440 francs ; abonnements aux périodiques 229 francs 45 centimes ; achats pour le Muséum et la Bibliothèque 244 francs 90 centimes. Excédant de recettes 133 francs 44 centimes. Ces chiffres me paraissent significatifs. Isdi- sent que si, comme les années précédentes, vous avez fait une large part aux collections départementales qui sont l’honneur et la raison d’être de la Société, vous avez manifesté votre activité laborieuse par des publi- cations qui vous ont valu la continuation de la sub- vention de l’État et les suffrages des juges compétents de la France et de l’étranger. L’accroissement des coti- sations atteste, d'autre part, l'augmentation du nombre des membres titulaires et la vitalité de la Société. Comme les années précédentes, vos études ont prin- cipalement porté sur la géologie, la minéralogie, la paléontologie, la zoologie, la botanique, la météorologie et les applications des sciences naturelles à l’agriculture et à la médecine. Vous avez même fait des incursions dans le domaine de l’archéologie, qui confine au vôtre par la préhistoire et l’ethnographie; comme dans celui de la pédagogie et des mathématiques. Vos séances ont été remplies par les communications de MM. Beltremieux, Basset, Condamy, Couilliaux, Dollot, Foucaud, A. Fournier, J. Lusson, L. E. Meyer, de Richemond, Termonia, Thibaudeauet Alfred Vivier. Permettez-moi de vous les résumer brièvement. Votre Président, M. Ed. Beltremieux, vous a invités à vous associer au vœu émis par la Société Flammarion de Marseille, tendant à l’adoption d’une heure natio- nale, d’après le temps moyen de Paris. Le vœu a été transmis à M. le Ministre de l’Instruction publique. Votre Président, qui est aussi le Conservateur de LB NE votre Muséum, vous a communiqué les squelettes de deux agneaux soudés par le col et un autre squelette, également d'agneau, auquel sont soudés les pieds de devant et de derrière d’un second individu, le monstre n'ayant qu’une seule tête, une seule colonne vertébrale et un seul sacrum. Il vous a ensuite entretenu du Phenacodus primœvus, mammifère fossile américain ayant figuré au palais des Artslibéraux de l'Exposition universelle de 1889 à Paris. Il vous a présenté des observations sur le Jubæa spectabilis, du Chili, cultivé au Jardin botanique de la Rochelle. Vous avez accepté la proposition de votre Président, de publier dans vos Annales un mémoire intéressant de M. L. Crié, de la Faculté des sciences de Rennes, sur les bois fossiles de l’île d’Aix. M. Beltremieux vous a exposé les travaux scienti- fiques du Prince de Monaco, en ce qui concerne notamment l'étude des courants sous-marins et des animaux et plantes des grandes profondeurs, ainsi que sur l’alimentation des naufragés en pleine mer. Il vous a entretenu d’un diner de viande de chien offert par le P. Jacquemin, supérieur du collège Saint-François, aux officiers français du paquebot des Messageries, — de la fauconnerie en Hollande, — des mœurs d'une oie qui avait adopté un régiment et l'avait suivi à Essling, Ludwigsbourg, Ulmi, etc. Il vous à remis une aquarelle de M. O0. Bernard, instituteur au Bois (île de Ré), figurant un cachalot jeté sur le rivage de cette commune, le 27 janvier 1890, et mesurant 12 mètres de long. Le squelette a été trans- porté au Muséum de Paris. Il a signalé la naissance d’un hippopotameau Muséum 2 MN d'Anvers, — une notice sur la musaraigne insectivore, animal non venimeux, malgré l’assertion de Pline encore adoptée au xvur siècle, — l’acclimatation des kanguroos en Europe, — l'utilisation de la ramie pour la fabrication des tissus, et l'opinion de M. A. Tinarran, qui se demande « si ce précieux textile, » planté de distanceen distanceentre les pieds de vigne, » ne suffira pas pour chasser le phylloxéra, qui a détruit » nos plus beaux vignobles nationaux. » M. O. Bernard a constaté que le sol de l’île de Ré est des plus favorables à la ramie. La végétation montre une avance de deux mois sur Gennevilliers où une pépinière de deux hectares de ramie (Rhea de Chine, Urtica nivea} avait fourni deux récoltes par an avec un rendement de 12 à 1,500 francs l’hectare. À l’ile de Ré, la fertilité naturelle du sol, la température plus souvent humide que sèche que procurent les brises de l'Océan, doivent donner à cette région l’avantage des trois coupes du Midi. Il a présenté un nid de l'abeille coupe-feuilles de l'ile de Ré et donné des détails sur les phases de la vie de cet insecte, la nourriture de ses larves, etc. Il a fait l'historique du cèdre de Montigny (Seine-et- Marne) et une communication au sujet d’un squelette humain de l'époque quaternaire trouvé à Chancelade (Dordogne), d’une taille de 1 mètre 50 centimètres, âgé de 55 à 60 ans, avec de grands pieds et de grandes mains, des membres antérieurs très allongés, un appa- reil complet de mastication, une vaste capacité crà- nienne. La race actuelle, dont ilse rapproche le plus, est celle des Esquimaux. Il à lu un article bibliographique consacré par M. le ù MOTTE docteur Bourru dans la Société de géographie de Rochefort, aux publications de MM. Albert Fournier, Georges Musset et de Richemond, à l’occasion de l’inau- guration du port de la Pallice. Il a communiqué l'appel de l'Université de Toranto, incendiée, aux sociétés savantes pour la reconstruction de sa bibliothèque. La Société vote l’envoi de ses publi- cations. M. lePrésident vousa ensuiteentretenu des vœux émis par la Société académique Indo-chinoise pour l'étude scientifique et économique de l'Inde transyangétique de l'Inde française et de la Malaisie, fondée en 1877 et présidée par le marquis de Croizier : « Que les Hindous français, munis du diplôme de licencié en droit, soient plus fréquemment admis dans la magistrature coloniale et qu’une-partie des sièges de l’Inde et de l’Indo-Chine leur soit réservée ; que les Hindous français pourvus du brevet de l’enseignement primaire ou de celui du baccalauréat, soient admis dans les emplois publics des services administratifs de l'Indo-Chine française, au même titre que les français de la métropole et qu’une partie de ces postes leur soit réservée, qu'un dégrèvement soit accordé à ceux des produits de nos colonies qui peuvent concourir à déve- lopper les échanges entre la France et ses possessions d’outre mer, sans faire concurrence à la production métropolitaine, que les produits naturels des étaklis- sements français de l’Inde, qui n’ont pas leurs similaires en France (sésames, arachides, etc. ) soient admis en franchise sur le territoire français, à la condition d’être munis d’un certificat d’origine délivré par l'autorité coloniale, vœux qui seraient transmis au Président du TD Conseil, Ministre du commerce, de l’industrie et des colonies et au Sous-secrétaired'État des colonies.» Sur la proposition de son Président, la Société a passé à l’ordre du jour, cesgraves questions ne rentrant pas dans les attributions de la Société des Sciences naturelles. M. le président a reçu les savants venus dans notre ville à l’occasion du congrès de la Société botanique de France, congrès inauguré par une conférence de M. le capitaine E. Trivier sur son exploration de l'Afrique équatoriale et, à cette occasion, ilaannoncé la publica- tion de la Flore de France par MM. Georges Rouy et Julien Foucaud, avec le concours de la Société. M. Beltremieux vous a fait connaître le projet de l’administration municipale consistant à établir une crèche dans les bâtiments annexes du Jardin des plantes, et à ce sujet, il a présenté le rapport suivant à l’adresse de la municipalité : « Messieurs, je vous entretiens aujourd’hui d’une question assez grave dont quelques-uns de vous ont déjà entendu parler. L'administration municipale a le désir, très louable sans doute, de fonder une crèche, maiselle aurait tourné les regards du côté des bâtiments annexes du Jardin des Plantes et de la partie occupée par la botanique. « Vous n’avez pas oublié que le Conseil municipal, en 1874, reconnaissant l'insuffisance des bâtiments des Muséums et du Jardin, décida à l'unanimité l’acquisi- tion de l’immeuble Vignier avecune affectation spéciale, la destination donnée aujourd’hui. Le 20 février 1877, le Maire prenait l'arrêté suivant: «Art. 17, — Les nouveaux bâtiments des Jardins des plantes, rue d’Orbigny, sont remis aux directeurs — 11 — du Jardin des plantes et du Muséum pour y loger les jardiniers, y placer des collections et y établir des dépendances des Muséums. « Art. 2. — Une salle haute donnantsur la rue et les cabinets. y attenant sont affectés à un laboratoire de chimie fondé par la Société des Sciences naturelles et dirigé par elle. » « Le Jardin botanique a été organisé, il est assez restreint, mais il parait cependant difficilede l'agrandir. Les salles du haut de la maison ont été consacrées au laboratoire, celles du bas à des collections scientifiques formées au profit de la ville; elles ne doivent trouver leur place, nulle part ailleurs. Quelques emplacements sont même conservés soigneusement par nous, pour recevoir un legs important qui m'a été annoncé et que nous recevrons dans un avenir peut-être assez rapproché, ainsi que d’autres collections. « Vous savez que la ville de la Rochelle a toujours eu au dehors une réputation Justement acquise de ville laborieuse, cherchant à étendre ses relations et son commerce, mais en même temps, sachant travailler au développement intellectuel,par la culture des sciences, des arts et des lettres, et de tout temps, nos adminis- trations municipales ont été soucieuses d'apporter leur part d’aide et d'encouragement à ce travail. « En ne remontant qu’à 1830, époque de l'expansion du libéralisme en France, le Maire, M. Callot aîné et son Conseil ont reconstitué le Jardin botanique, ils ont transféré, dans le bâtiment de droite, le Muséum La Faille qui s’y est développé et à réuni d’autres riches collections achetées par la ville. Ils ont construit le bâtiment de gauche, dans lequel les savants Fleuriau LRO SAT de Bellevue, d’Orbigny, Bonpland et bien d’autres ont fondé notre précieux Muséum départemental. € La ville, en 1855 et en 1861, y a dépensé des sommes importantes, le département a donné, par annuités, 11,000 francs de subventions, l’État 6,000 francs, M. Fleuriau de Bellevue 12,000 francs et un legs en propriété territoriale ; les sociétaires, par leurs cotisa- tions environ 60,000 francs. En 1874, le Conseil muni- cipal a décidé l’acquisition de l’immeuble, dont je viens de vous parler. Toutes les administrations qui se sont succédé depuis 1830 ont apporté à l'égard de nos éta- blissements scientifiques les mêmes dispositions généreuses. « Dans une ville où s'était conservé le respect des œuvres des prédécesseurs et l’excellent esprit des bonnes traditions, nous avons confiance dans nos administrateurs et dans le Conseil municipal, et nous sommes sûrs qu’en entendant nos doléances, ils en reconnaîtront la justesse et abandonneront complète- ment le projet qui, non sans raison, nous a si vivement inquiétés. » Ce rapport entendu, la Société, après avoir délibéré, se l’est approprié, pour la forme et pour le fond et a décidé, à l’unanimité, qu’il serait adressé, en son nom, à la municipalité et au Conseil municipal. Le Conseil d'administration du Laboratoire a adressé, de son côté, une délibération spéciale à la municipalité ainsi qu'aux Conseillers, et le projet a été abandonné par l'administration. M. le Président s’est fait l'interprète des regrets de la Société à l’occasion du décès de M. Edm. Hébert, membre de l’Institut et correspondant de notre Société. 4 — 135 — Mre Hébert nous a fait hommage des dernières publi- cations de son mari et des discours qui ont été prononcés sur sa tombe. M. Charles Basset à fait connaître que le nouvel objectif allemand fabriqué par la maison Zeiss, d’Iéna, d’après les calculs du docteur Abbé, a donné entre les mains du docteur van Heurck des détails inconnus dans les carapaces des diatomées, mais qu’en consul- tant les photogrammes de M. Ravet, de Surgères, il à trouvé que ce dernier avait résolu ces mêmes détails, il y a plusieurs années, avec les objectifs ordinaires qu’il avait en sa possession. Il a communiqué un article du D' Pelletan, dans le Journal de Micrographie, du 25 janvier 1890, sur des photographies de diatomées (Pleurosigma angulatum), qu’il lui a adressées dans le but de constater que les objectifs microscopiques fran- çais résolvent aussi bien que les coûteux objectifs allemands, les détails les plus délicats des diatomées que l’on croyait pouvoir obtenir seulement avec ceux-ci. Il a reproduit, par la photographie, le cèdre vu de la rue Réaumur et de la rue Guiton. Ce magnifique conilère avait été apporté à la Rochelle et planté en 1799 par M. de l’Angle, chef de bataillon d’état-major. M. Boissellier à donné lecture d’une note sur la géo- logie du cours de la Charente entre Rochefort et l'ile d'Aix et d’un mémoire sur une excursion dans la forêt de Vouvant ; l'insertion de ces deux mémoires dans nos Annales à été décidée par la Société. M. Couilliaux à communiqué un projet de statuts d'une Société nationale d’enseignement professionnel et mutuel dans les campagnes, par le moyen de confé- ER Ve rences cantonales, avec d’intéressantes considérations pour en motiver l’opportunité. Il a lu un mémoire sur lescroyances populaireset lessuperstitionsen Saintonge au xix® siècle. M. J. Foucaud entretient la Société des rhizômes d’ignanes {Dioscorea batatas) qui peuvent être cultivés dans les sables marins, ainsi que le Convolvulus edulis. Il donne des détails sur le crosne, épiaire à chapelets. Le stachys aflinis est cultivé dans le nord de la Chine, sous le nom de Kan-lu, figuré dans la grande encyclo- pédie chinoise qui a pour titre Tchi twou ming chi thou Kao. Au Japon, cette plante a été observée à Yédo, où elle est cultivée sous le nom de Daima gik. Elle a été observée par Tchonowski dans la principauté de Nambu. Le stachys aflinis est décrit sous le nom de Tsao chet san. La racine a des perles unies, des anneaux de jade liés ensemble et cependant mobiles et indépen- dants les uns desautres. Ces anneaux sont précisément le légume dont il s’agit. Cette plante a été introduite en France, au printemps de 1882, par le docteur E. Bretschneider, médecin de la légation russe à Pékin, qui a envoyé une boîte de rhizômes à la Société d’accli- matation. La plante est rustique, la plantation des tubercules doit se faire en février. On plante dans des trous de 20 centimètres de profondeur, espacés de 40 centimètres en tous sens, à raison de trois tubercules par trou. On répète les binages jusqu’au 41° octobre, pour tenir le sol en parfait état de propreté. En prati- quant le dernier binage, il est bon de butter légère- rement les toufles. On ne bine plus après le 4°" octobre, parce que l’outil couperait les rhizômes qui s'étendent horizontalement. La gelée n’est pas à redouter. En TAN grande culture, le rendement peut être de 12,000 kilos à l’hectare, mais la plante est surtout destinée à la petite culture à cause des difficultés de l’arrachage et la conservation de ses produits. Quelque attention qu’on ait apportée à l’arrachage, une foule de rejetons apparaissent au mois de mai. Ce plant peutêtre repiqué et donner une récolte égale à celle que produisent les tubercules, mais si on le laisse en place, on est désa- gréablement surpris, l'hiver venu, de ne récolter absolument rien. Il faut environ 600 tubercules pour faire un kilogramme. La richesse en matières peu azotées et surtout en galactane, qui est une substance très facilement assimilable, fait voir que les crosnes du Japon constituent un aliment précieux en bien des cas pour les malades et pour tous ceux qui souffrent d’un estomac délicat. (Voir le Bulletin de la Société nationale d’acclima- tation de France, 5 juillet 1889, page 34. Revue des Sciences naturelles appliquées.) M. J. Foucaud, en qualité de Président du Comité local d'organisation de la session dela Société botanique de France, donne des détails sur l'itinéraire des délégués et les séances des 14, 18, 22 juin, salle de la Bourse, à la Rochelle, quiont été closes par la visite des monuments de la Rochelle, dans laquelle les délégués sont guidés par MM. Ed. Beltremieux et Alph. Menut. Il donne des détails sur la Flore de France qu’il va publier avec M. Georges Rouy, dans les Annales de la Société, et faire ensuite des tirages à part pour les souscripteurs. M. Foucaud communique ensuite diverses observa- — 16 — tions sur les Orchis Foucaudiana, laxiflora, incarnata, sesquipedalis ; Cardamine pratensis ; Lotus parviflorus ; Asphodelus sphœrocarpus ; Scrofularia scorodonia ; Jun- eus bicephalus ; Agrostis alba ; Agropyrum campestre ; Tragopogon crocifolius; Ranunculus triphyllus; Kæleria valesiaea; Aira cœspitosa V. alpina ; etc. M. Albert Fournier donne des détails sur des car- touches dont les balles sont projetées au moyen de l'air comprimé. Il fait une étude crilique du nov. latin international scientific lingua super natural bases du D' Daniel Rosa et sur le ballon lenticulaire de M. Cappaza. Les véritables obstacles à la réalisation de la navi- gation aérienne, sont pour les ballons, la résistance de l'air, hors de proportion avec la force des machines qu'ils peuvent soulever. Pour les appareils plus lourds que Pair: 1° Ia diffi- culté de les construire rigides, simples et légers ; 20 La difficulté d'obtenir une forme ne présentant qu’une faible tranche, dans le sens de la direction du mouvement horizontal, tout en permettant de loger machine et hommes. 30 La difficulté de transmettre au capitaine cette notion immédiate instantanée du premier trouble dans l’équilibre, dont l’oiseau a conscience, notam- ment par le système nerveux en communication avec l’attache des plumes, des ailes et de la queue ; 4° Enfin pour le cas où cette notion serait transmise à ce capitaine directeur, la difficulté de mettre en ses mains un moyen puissant et immédiat (servo- moteur) d'arrêter la chute commencée d'autant que cette chute peut se produire non seulement à gauche, LATE ou à droite, comme dans le bicycle, mais aussi en avant ou en arrière, dans la route horizontale à grande vitesse qui est le résultat à obtenir. Il analyse les principaux travaux insérés dans la Revue scientifique tels que le rythme de la respiration par M. Charles Richet, les essays de Jean Rey, sieur de la Perotasse, dont il n'existe que trois exemplaires, l’un à la biblio- thèque Mazarine, le second au Conservatoire des Arts- et Métiers et le troisième à la bibliothèque de la Rochelle. Ce livre imprimé à Bazas en 1630 fut réimprimé en 1777 par Gobet, presque à la même époque que les œuvres de Bernard Palissy. Les empoisonnements alimentaires par Labit et Polin, — le dépeuplement de la mer, d’après M. Busson, — les recherches sur les tubercules par M. A. Seignette. Il analyse une étude sur les progrès de la domestication des animaux, l’acclimatation des végétaux et ceux de la civilisation chez les habitants de la Terre de feu, les Australiens, les Lapons, etc. M. F. Lusson présente le compte rendu des travaux du Laboratoire, avec sa compétence habituelle. Il analyse les principaux mémoires communiqués à l’Académie des sciences : Action du fluor sur les différentes variétés du carbone, localisation des matières colorantes dans les téguments séminaux, animaux reviviscents et reviviscence de la mousse, des fougères, — de quelques objections à la théorie de la circulation verticale profonde de l'Océan, — microbes pathogènes observés dans les eaux filtrées du Rhône, perception des radiations lumineuses par la peau , chez les protées aveugles dans les grottes de la Carniole, — sur le gomphostrobus heterophylla, — de RE l'emploi des sels de cuivre contre la maladie des pom- mes de terre, etc. M. L. E. Meyer signale un champignon trouvé dans le bois de Royan près de la Palmire, le pachima cocos, d’une insigne rareté, qui a été envoyé au Muséum. — Il combat la théorie de la dépopulation de la mer, et il croit que les poissons prennent parfois de nouvelles directions et que ces déplacements expliquent les variations dans la pêche. Il analyse et traduit les mémoires des sociétés alle- mandes, etc. M. de Richemond analyse et apprécie le Répertoire de psychologie de M. Mathias Martineau, de St-Lin (Canada), arrière petit-fils à la 6° génération d’un fran- çais, Mathurin Martineau, de St-Fraigue. Il résume les remarques de M. Lecoq de Boisbaudran, correspondant de l’Institut, sur un discours de M. Crookes, relatif à l’histoire des terres rares. Sans entrer dans une discussion détaillée des théories proposées, le 28 mars 1889, par M. Crookes, Pré- sident de la Société chimique de Londres, sur la nature des terres rares et en particulier sur celle de l’yttria, M. de Boisbaudran a cru nécessaire de présenter aussitôt quelques observations sur la façon dont M. Crookes appréciait sesrecherches et de rectifier, dès le 25 mai 1889, certains points de l’histoire des terres rares, mais le comité de rédaction de la Société chimique de Londres a refusé d’insérer la réclamation de M. de Boisbaudran qu'il a dû adresser au bulletin de la Société chimique de Paris, et il développe alors sa discussion en présentant successivement : 1° des remarques sur la question de l’yttria ; 2° sur les spectres ee de renversement ; 3° sur la question du gadolinium ; 4° sur les fluorescences produites dans l’alumine et enfin sur la question des plis cachetés, garantie de liberté et de propriété pour les inventeurs. A l’occasion de l’exhumation des restes de Claude- Hubert Jaillot (18 février 1690, 31 juillet 1749) et de Louis-Etienne Arcère (15 avril 1698, 1e février 1782) du sous-sol de l’ancienne chapelle de l’Oratoire et de leur transport au cimetière, à la suite d’une correspondance entre M. Péraud, de l’Académie française, évêque d’Autun, et la municipalité, M. de Richemond lit la biographie de ces deux érudits et appelle les listes de leurs ouvrages et leurs travaux demeurés manuscrits. M. de Richemond fait connaitre le lieu de prove- nance du fucus natans, découvert par M. le marquis de Jiolin, qui à ramené d’une profoadeur de 50 mètres sur la côte des Basses-Pyrénées, à environ 4 milles de terre, Guethary restant à l'E. S.-E., tandis que le cap Figuier était relevé au 0. S.-0., arraché sur les rochers les Placettes, un magnifique spécimen de sargasse, ayant plus de 50 centimètres de hauteur, et dont le pied avait conservé quelques fragments de la roche calcaire à la surface de laquelle il végétait, au moment où il fut poussé à l’émersion, les traces de la rupture étant parfaitement fraiches. M. le docteur Termonia entretient la Société de diverses plantes qu’il a récoltées dans ses herbori- sations dans le Var, telles que Arenaria modesta, Medicago sphærocarpa, Cerastium laricifolium, Genista numidica, Vicia amphicarpa, Hippocripis ciliata, Hippo- cripis unisiliquosa, Astragalus tragacantha, Trifolium hirtum, Lathirus inconspicuus, Geropogon glabrun, LC j Onobrychis caput Galli, Ononis minutissinia, Orlaya platycarpus, Convolvulustricolor, Carex œdipostyla, Pla n- tago subulata, Jacintha verrucosa, Cheilanthus odora, Selaginella denticulata. M. Thibaudeau consigne les observations qu'il a faites, pendant plusieurs années, et d’où il résulte que les termites placés dans les conditions les plus favo- rables, ont respecté certaines essences de bois, et notamment les plantations d’ail. M. Alfred Vivier expose à la Société ses travaux relatifs à la construction et à l'emploi d’une fusée porte huile, destinée à opérer le filage de l’huile en mer à longues distances. Vousavez recu du Ministère de l’Instruction publique : La revue des travaux scientifiques ; — littérature latine et histoire du moyen âge par M. Delisle. Du Muséum Guimet : Annales du Muséum Guimet, — revue de l’histoire des religions, — histoire des religions de l'Inde par M. de Milloué. De l'Ecole polytechnique : Journal de l'École polytechnique. Du British Muséum : Guides des galeries de géologie et paléontologie. De l'Association française pour l’avancement des Sciences : Les races humaines préhistoriques par Salmon, — Inventaire des monuments mégalithiques, — Les forces non définies par Rochas, — Carte d'une partie du Sahara septentrional par Foureau, — Lettres sur Hippone avec gravures par Al. Papier. — 21 — De M. H. Barbedette, sénateur : Milne-Edwards, Physiologie et anatomie comparées, 1% vol. — Éléments de zoologie, # vol. — Jamoin, traité d'anatomie comparée. — Flourens, système nerveux. — De la raison, del’intelligence, de l’instinct.— De la phré- nologie. — Éloges historiques. — L. Figuier, annéescien- tifique. — Decaisne et Vanhoutte, Flore des serres et des jardins, 17 vol. — Le Maoût et Decaisne, Flore des jardins. — Payen, Lecons de Botanique. — Éléments de Botanique. — Beautier, Flore parisienne. — Poiret, Leçons de Flore. — Annales de chimie et de physique. — Wurtz, Répertoire de chimie pure, 1 vol. — Barres- well, Répertoire de chimie appliquée, 1 vol. — Pasteur, Wurtz, Leçons de chimie. — Précis de chimie quantitative. — Éléments de chimie. — Lettres de Liebig sur la chimie. — Annuaire des médecins. — Dictionnaire de médecine 60 vol. — Coste, voyage d'exploration. — De Beauvoys, guide d’apiculteur. — Guenon, Traité des vaches laitières. — A. Adanson, la maison de campagne. — Gœthe, OEuvres d'histoire naturelle avec atlas. De MM. Thurninger, Ingénieur en chef, et Coustolle: Notice sur les fondations à l’air comprimé des Jjetées du port de la Rochelle-la Pallice. De M. Ed. Beltremieux : Don de M. de Guerne, résultats des campagnes scientifiques du prince de Monaco sur le yacht l’Hirondelle et notice sur le pavillon de Monaco à l'Exposition universelle de 1889, à Paris. — Lesreptiles et les batraciens de M. Albert Granger.— Le rapport de M. G. Cotteau sur la géologie à l'Exposition universelle dvParis. D DL FODE La Société a fait les acquisitions suivantes : Les mammifères par M. Trouessart. — Les cétacés des mers d'Europe par M. Van Bénéden. — Le traité de zoologie par M. Edm. Perrier, professeur au Muséum. — Les enchaînements du monde animal, fossiles secondaires, par M. Alb. Gaudry, membre de l’Institut et professeur au Muséum. Elle a reçu la dernière livraison (4° fascicule) de la paléontologie éocène des environs de Paris de M. M. Cossmann et la % livraison dela Muscologia gallica de Husnot ; puis par abonnement les comptes-rendus de l'Académie des sciences, la revue scientifique, les Annales des sciences et plusieurs autres revues ou bulletins de géologie, de botanique et de zoologie. — Les mémoires, bulletins et annales de nos Sociétés correspondantes françaises et étrangères. Les collections du Musée se sont enrichies : Pour le Musée d’ostéologie, d’une tête de gallo- romain du IVe siècle provenant du cimetière des sables de Chatelaillon, offerte par M. le docteur Roux ; d’un crâne de tonkinois et d’un crâne de canaque néo-calé- donien , dons de MM. Ardouin, médecin principal de la marine et Jousset, pharmacien à Rochefort. Pour le Muséum Fleuriau, vous avez reçu de M Lamoureux, médecin vétérinaire à Saintes, une fau- vette orphée, une pie-grièche écorcheur, un scops petit-duc, un traquet tarier, préparés par le donateur. — De M. Dupeux-Ledoux, d’Esnandes, un grèbe oreillard et un cycloptère-lump. — De M. Jean Videau, d’Esnandes, un héron crabier. — De M. Thibaudeau, un grèbe oreillard. — Vous avez reçu deux gastérotés PER: PE à queue armée et à queue nue pêchés dans le bassin de la place de la Préfecture. — Vous avez acquis un héron butor, et un grèbe huppé. Vous avez reçu en don pour le Muséum, et pour les collections d’études, de M. Dollot un nautilus gigan- teus une ammonites achilles et une ammonites babeanus provenant de la Dive, près de l’Aiguillon. — De MM. Ardouin et Jousset des échantillons de houille et d’antimoine du Tonkin. Vous avez renouvelé les pouvoirs de votre bureau en réélisant pour Président M. Beltremieux, pour vice- Présidents MM. L. E. Meyer et Lusson, pour Conserva- teur M. Beltremieux, pour Trésorier M. Cassagneaud, pour Secrétaire M. de Richemond, pour Secrétaire- adjoint et Conservateur-adjoint M. Ch. Basset, pour Bibliothécaire M. Alb. Fournier. A l’occasion de l'inauguration du Port de la Pallice, par M. le Président de la République, le 19 août der- nier, M. Beltremieux, votre Président, a présenté au Chef de l’État les membres du Conseil supérieur de l’aca- démie, que M. Carnot a accueillis avec sa courtoisie habituelle. Parmi les personnes qui ont obtenu des distinc- tions conférées par M. le Président de la République, nous avons été heureux de voir plusieurs de nos collègues : M. Rouvier, conseiller général, M. E. Cou- neau, adjoint au Maire de la Rochelle, ont été faits Chevaliers de la Légion d'honneur et M. E. Potel, Officier de la Légion d'honneur. M. Coustolle avait reçu, quelques mois plus tôt, la croix de Chevalier de la Légion d'honneur. Vous avez été heureux de recevoir comme titulaires, get MM. Gaston Maréchal, licencié ès-sciences, lauréat au lycée de la Rochelle du prix offert par notre association des anciens élèves ; Suire, receveur de l’enregistrement et des domaines. Comme agrégés MM. Simon et O. Bernard ; comme correspondants, MM. Camus, Ed. Dangibeaud, Félix Bon- jean, Malinvaud, abbé Hy, G. RouyetPhiléas Rousseau. . Mais nous ne terminerons pas ce rapport sans exprimer ici nos vifs regrets de recevoir la démission de M. Lemanissier, motivée par son état de santé, et sans vous dire de nouveau que notre Société a toujours -été heureuse d'affirmer, dans toutes les occasions, la fraternité et la solidarité entre tous ses membres. DE RICHEMOND. RAPPORT SUR ET LES MUSÉES D'OSTÉOLOGIE ET D'ANTHROPOLOGIE, DE LA MARINE ET DE L’ETHNOGRAPHIE Par le Conservateur. Le Muséum et les collections diverses formées par notre Société se sont enrichis dans l’année 1890, par des dons et des achats assez importants : 1° Le Muséum Fleuriau, spécialement consacré à la réunion des objets de sciences naturelles provenant de notre région de l’ouest océanien, a reçu pour sa galerie de paléontologie des fossiles quisontvenuscompléter des séries dans les étages Jurassiques et crétacés ; ces fossiles ont été généralement recueillis par nos sociétaires dans leurs excursions géologiques. M. A. Dollot, notamment, nous a remis un bel échantillon de l’'Ammonites achilles — 26 — extrait de la tranchée pratiquée dans les douves de la ville pour l’exécution du chemin de fer de ceinture reliant la Rochelle à la Pallice ; un de l’Ammonites altenensis des calcaires de la Pallice ; il nous a donné aussi un très bel échantillon d’Ammonites babeanus pris dans les falaises de la Dive, limite de la Vendée et de nos terrains de l’oolithe moyenne. Le Muséum a reçu pour sa galerie de zoologie un assez grandnombre d'objets; M.Jean Videau d’'Esnandes, nous a offert un très joli Héron crabier qui n’était pas représenté dans notre vitrine d’ornithologie ; M. Lamou- reux, de Saintes, nous a envoyé une Fauvette orphée, un Traquet tarier, une Pie-grièche écorcheur et un Scops petit-duc préparés par lui-même ; M. Chatelin, de Saint-Sauveur, une Pie albinos ; M. Dupeux-Ledoux, d’'Esnandes, un Grèbe et un Cycloptère ; M. Thibaudeau un Grèbe oreillard et nous avons fait l'acquisition d’un Héron butor et d’un Grèbe-huppeé. 20 Les collections d’études ont reçu plusieurs dons ; M. A. Dollot nous a apporté une Ammonites achilles et un nautilus giganteus, de grandes dimensions, des falaises de la Dive. Le Docteur Ardouin nous a égale- ment donné de beaux échantillons d’antimoine et de houille du Tonkin. Nos excursions en Vendée nous ont enrichis de plusieurs espèces d’ammonites du lias et de l’oolithe inférieure ainsi que de roches grani- tiques. 3° Le Musée d’ostéologie et d'anthropologie, dont le catalogue a été publié dans notre volume d’Annales n° 25, 1888, pages 28 et 29, a continué, lui aussi, à pren- dre de l’extension ; le Docteur Roux nous à donné un crane très bien conservé de gallo-romain du IVe siècle, REC), LE provenant du cimetière de Châtelaillon ; le Docteur Ardouin et M. Jousset de Rochefort, deux beaux crânes, d’un tonkinois et d’un canaque de la Néo-Calédonie. Nous avons acquis et fait préparé une intéressante pièce de Tératologie ; deux agneaux réunis dont l’un seulement est complet, le second n'ayant que les quatre membres. 4° Enfin notre salle de la marine et de l’ethnographie a recu, de M. le Président de la Chambrede commerce, le plan en reliefsur bois, que M. Ed. Beltremieux, maire, avait fait exécuter, en 1878, par M. A. Groc, d’après le projet de création d’un port à la Pallice présenté, à ce moment, par l'Ingénieur des travaux maritimes, M. Thurninger, sous les ordres de l'Ingénieur en chef M. de Beaucé. Cest ce plan en relief qui figura à l'Exposition universelle de 1878 à Paris, dans le Trocadéro, où il fut très remarqué. Quelques semaines plus tard, le 24 septembre, M. de Freycinet, Ministre des travaux publics, venait à la Rochelle étudier le projet qui lui était soumis et l’accueillit favorablement. Puis le Conseil général des ponts et chaussées, réuni au Ministère, le 6 février 1879, dans une séance à laquelle assistait le Maire, acceptait unanimement le projet de création du port de la Pallice. A ce plan, qui a été mis à exécution avec de légères modifications, est joint le savant rapport présenté le 27 février 1878 par M. Thurninger, au nom de la Commis- sion locale instituée en vertu de l’art. 5 du décret du 15 janvier précédent et composée de MM. de Beaucé, Ingénieur en chef, Thurninger, Ingénieur ordinaire, Ed. Beltremieux, Maire, Th. Babut, Président de la Chambre de commerce et Bédart, Capitaine de port. 2 OR ae Notre Société des sciences naturelles compte dans ses rangs les trois premiers membres de cette commis- sion, ouvriers de la premièreheure, ainsi que MM. Potel et Coustolle, Ingénieurs, qui achevèrent l’œuvre de MM. de Beaucé et Thurninger en y apportant les modifications que nécessitait cet important travail ; M. A. Dollot (de la Société Defuides, Ferry et Dollot frères) qui conduisit si bien et acheva, sans aucun accident, cette grande entreprise ; et M. H. Barbedette, sénateur, alors député, qui apporta à la Ville son pré- cieux concours. Nous comptons encore parmi nos membres, l’illustre Ingénieur hydrographe qui proposa, en 1877, à la Ville et à la Chambre de commerce, la création du grand port de la Pallice, je dis M. Bouquet de la Grye. Les recherches hydrographiques sur le régime des côtes de la Rochelle, les notices avec cartes, sur les ports de la Charente-Inférieure et particulièrement sur les travaux de la Pallice ont été déposées par leurs auteurs dans les archives de notre Société. Je pourrais, Messieurs, faire une longue énumération des ouvrages qui sont venus enrichir notre biblio- thèque, mais nous trouverons cette liste complète dans le rapport qui précède et qui a été présenté par notre Secrétaire, M. de Richemond, liste à laquelle on doit ajouter les bulletins, mémoires et annales que nous recevons des Sociétés correspondantes. Je citerai seulement, dans le nombre, une brochure de M. de Guerne sur les résultats des campagnes scientifiques du prince de Monaco sur le yacht l’Hirondelle et la notice sur le pavillon de Monaco à l'Exposition universelle de 1889 ; les reptiles et les ce One batraciens de M. AÏIb. Granger ; les cétacés des mers d'Europe de M. Van-Bénéden; les mammifères de M. Trouessart ; la physiologie et l’anatomie comparées de Milne Edwards ; le traité de zoologie de M. Edmond Perrier ; les enchaiînements du monde animal, fossiles secondaires, de M. Albert Gaudry ; le dernier fascicule de la paléontologie éocène de Paris de M. Cossmann ; les guides des galeries de géologie et de paléontologie du British Muséum de Londres ; les annales du Musée Guimet ; les annales des sciences ; les bulletins des Sociétés de géologie, de botanique et de zoologie de France ; les comptes rendus de l’aca- démie, etc. Enfin, Messieurs, nous avons reçu de la direction générale, le diplôme qui nous avait été décerné à l’occasion de la part que nous avons prise à l’Expo- sition universelle de 1889 à Paris en y envoyant nos publications de la Société de 1879 à 1889. LABORATOIRE MUNICIPAL FONDÉ PAR LA SOCIÉTÉ DES SCIENCES NATURELLES ESP POR TT ENINEME E Par M. F. LUSSON, DIRECTEUR. — = Ê—— — MONSIEUR LE PRÉSIDENT, J'ai l'honneur de vous présenter le résumé des analyses faites au laboratoire municipal pendant l’année 1890. Leur nombre s'élève à 917 ainsi réparties : Engrais ebierres...2 274 MAIS RU en Pire 443 LUE TS ANSE PS 72 LENS CN RO 97 PATES OMR En 94 SAMU 2 cé buis eerhinle ï Minaienes: ani a 3 DIVÉLSES SI Mn UE 47 TOME 917 analyses. L'augmentation sur l’année précédente est de 117 analyses. Le laboratoire, pendant la quatorzième année ROUES de son existence, a donc fonctionné plus activement que Jamais. Dans ces conditions nous avons dû nous adjoindre un troisième collaborateur, M. Catté, maître-suppléant au lycée, qui nous consacre comme aide-chimiste, les heures de liberté que lui laisse son service. Au point de vue matériel nous sommes en instance pour acquérir une nouvelle balance de précision d’une portée de 1 k. 500, sensible au centigramme. Elle nous serait fournie par Collot qui est le meilleur des balanciers français. Depuis longtemps cet instrument nous est nécessaire et nous ne pouvons suppléer, à son absence, que par des pesées fractionnées, difficiles et longues. Enfin je suis heureux de vous informer que sur la demande qui vous a été présentée par M. le Maire, M. le Ministre de l’agriculture a bien voulu me désigner, comme directeur du laboratoire, parmi les chimistes- experts chargés de l’analyse des engrais, en exécution de la loi du 4 février 1888. Veuillez être assuré, Monsieur le Président, que nous ferons toujours tous nos efforts pour faire prospérer l’œuvre fondée par la Société des Sciences naturelles. SESSION EXTRAORDINAIRE DE LA SOCIÈTÉ BOTANIQUE DE FRANCE A LA ROCHELLE Du 14 au 922 Juin 1890. Tous les ans la Société botanique-de France tient une session extraordinaire sur un point du pays préa- lablement désigné dont elle étudie la flore. Depuis quelques années un grand nombre de botanistes désiraient explorer notre littoral et nos îles dont la flore offre des plantes spéciales fort intéressantes ; la Société botanique de France a décidé, en conséquence, que sa session extraordinaire se tiendrait cette année à la Rochelle et m’a confié le soin de former le comité local chargé de l’organisation de cette session. Ce comité a été ainsi composé : Président d'honneur : M. Beltremieux ; Président : M. J. Foucaud ; Membres : MM. Brunaud, Jousset, Lusson, Michau et le Dr Savatier. Notre réunion préparatoire a eu lieu le 1% juin dans l’une des salles de la Bourse, mise gracieusement à MOREL notre disposition par MM. les Présidents de la Chambre et du Tribunal de commerce. M. le Maire, retenu à Paris, s’est fait représenter par l’un de ses adjoints, M. Couneau, l’un de nos collégues les plus sympathiques de la Société des Sciences naturelles. Mon ami, M. Rouy, délégué du conseil d'administration de la Société botanique de France, assisté du comité d'organisation, présidait et dans cette réunion a été constitué le bureau spécial de la session. A l’unanimité M. Beltremieux, notre cher et vénéré Président de la Société des Sciences naturelles, a été nommé Président, MM. Brunaud, l'abbé Hyet Foucaud, vice-Présidents et MM. Copineau, Duffort et Jousset, Secrétaires. M. le Président a ensuite fait connaître le programme de la session, lequel a été adopté après quelques légères modifications. A l'issue de cette réunion a eu lieu la séance d’instal- lation du bureau spécial ouverte par M. Rouy, délégué à cet effet par le conseil de Paris. : M. Couneau qui a demandé la parole à prononcé le discours suivant : DISCOURS DE M. COUNEAU. MESSIEURS, J'éprouve une véritable satisfaction à représenter, au milieu de vous, l’administration municipale de la Rochelle ; et j'estime que vous avez fait un grand honneur à notre ville en la choisissant pour y tenir CADRE les assises du congrês de la Société botanique de France. Je suis convaincu d’avance que vous trouverez dans le comité local tout le zèle et toute la bonne volonté désirables pour la parfaite organisation de votre session et toutes les aptitudes nécessaires pour la découverte des plantes qui croissent dans notre région. Je ne doute pas non plus que, dans les moments que vous laisseront vos travaux, vous ne trouviez quelque attrait à visiter notre vieille ville, dont le caractère pittoresque et l’intérêt archéologique ne vous auront point échappé. Nous ne vous laisserons pas partir sans vous montrer nos monuments, notre Hôtel-de-Ville, nos vieilles tours de l’entrée du port, notre nouveau bassin de la Pallice dont la création doit modifier profondément notre avenir commercial. Nous nous efforcerons enfin, avec l’aide de nos collègues de la Société des Sciences naturelles, à rendre votre séjour aussi agréable que possible et nous vous prions, tant en leur nom qu’au nom de la muni- cipalité, d'accepter nos meilleurs souhaits de bienvenue. M. ROUY à répondu en ces termes : MESSIEURS, Le conseil de la Société botanique de France a bien voulu, cette année encore, me confier le soin de procéder à l'installation du bureau de notre session extraordi- naire. C’est donc en qualité de délégué du bureau permanent et du conseil de la Société que j’adresse, en votre nom, tous nos remerciements à M. Couneau, adjoint au Maire de la Rochelle, pour les si sympa- thiques paroles de bienvenue qu'il vient de prononcer. Notre dernière session, Messieurs, s’est tenue à Narbonne, dans une des plus riches régions botaniques de notre pays. Ici la végétation sera sensiblement différente, mais vous ferez également d’agréables récoltes sous la direction des botanistes distingués qui ont si bien fait connaître la flore de la Charente-Infé- rieure. Il me suffira de vous citer quelques plantes particu- lières à l’ouest de la France, telles que : Omphalodes littoralis, Œnanthe Foucaudi, Hieracium rupellense, Linaria arenaria, L. thymifolia, Chara imperfecta, ete. des cas de géographie botanique intéressants, notam- ment la présence, dans ce département, du Senecio ruthenensis connu seulement dans l'Aveyron, de l’Althenia fililormis, se trouvant aussi, il est vrai, dans la Loire-Inférieure, mais qui, de là, ne se rencontre plus que sur quelques rares points de la région médi- terranéenne, enfin de l’Evar cavanillesii var. gallica, variété nouvelle du Filago pygmæa cav. non L., signalé jusqu'alors en Espagne et qui n’existe actuellement que dans la Charente-Inférieure, Vous recueillerez égale- ment deux plantes au moins dont l’hybridité n’est pas douteuse : le Tragopogon mirabilis et Polypoyon litto- ralis ; enfin vous pourrez voir sur le terrain trois plantes dont la synonymie a donné lieu à certaines confusions et qui, dans bien des collections, figurent sous des noms erronés: je veux parler des Bupleurum opacum Lge (B. aristatum Gr. et Godr. non Bartl.), Atriplex tornabeni Tin. (A. crassifolia Gr, et Godr. non C. A. Meyer), Arthemisia campestris L. var. maritime Lloyd (4. crithmifolia DC. non H). Quelques autres espèces méritent encore d'attirer votre attention, mais je dois me borner; d’ailleurs elles vous seront signalées sur place et J'aurai l'honneur de vous en entretenir plus longuement dans une séance ultérieure. Il me reste, Messieurs, à vous exprimer les regrets de notre honorable Secrétaire général, M. Malinvaud, retenu à Paris, par les devoirs de sa charge. Je veux également, en terminant, remercier au nom de la Société botanique de France, les membres du comité d'organisation et à leur tête, M. Beltremieux, le savant Président de la Société des Sciences naturelles de la Charente-Inférieure, que nous avons été heureux d'élever à la Présidence de cette session, afnsi que mon ami M. Foucaud, l’un des érudits auteurs de la 4° édi- tion de la Flore de l'Ouest. Tous les membres du comité, ont coopéré à la tâche ardue de l’organisation de la session et nous leur en sommes profondément reconnaissants. J’invite M. le Président, MM. les vice-Présidents et les Secrétaires élus à vouloir bien prendre place au bureau, et je déclare ouverte la session extraordinaire de 1890. DISCOURS DE M. BELTREMIEUX. MESsDAMES ET MESSIEURS, Vous venez de m'appeler à la présidence de la Société botanique de France, pendant la session qui s'ouvre dans la ville de la Rochelle. C’est un très grand honneur pour moi de me trouver G: J — 938 — à la tête d’une réunion imposante de savants venus dans cette région pour y explorer nos côtes océaniennes. Vous avez eu la gracieuseté d'offrir la présidence à un Rochelais qui est profondément touché de cette attention ; déjà il avait été très flatté d’avoir été nommé Président d'honneur du comité chargé de préparer la session ; permettez-moi donc, Mesdames et Messieurs, de vous adresser l’expression de toute ma reconnais- sance et particulièrement à l'honorable membre du conseil de la Société, M. Rouy, délégué pour procéder à l’organisation du bureau spécial de ce congrès. Je remercie sincèrement le savant auteur des Suites à la Flore française de Grenier et Godron des paroles si aimables qu’il vient de prononcer, et qui me sont d'autant plus sensibles qu’elles émanent d’un de nos maîtres en phytographie. Comme Rochelais, comme Président de notre Aca- démie et de la section des Sciences naturelles, je vous souhaite tout d’abord, Mesdames et Messieurs, la bienvenue la plus cordiale et je me mets à votre dispo- sition dans notre bonne ville de la Rochelle. Vous savez peut-être que la section des Sciences naturelles organise, chaque année, sous la conduite de notre collègue M. J. Foucaud, des excursions botaniques, et qu’elle en publie régulièrement les rapports dans ses volumes d’Annales. Elle a fondé en 1878 la Société de botanique rochelaise, composée de cinquante membres, pour l’échange des plantes sèches françaises, afin de faciliter aux naturalistes les moyens d'étendre et de compléter leurs collections ; les résultats obtenus ont été très satisfaisants et le zèle de nos botanistes ne s’est jamais ralenti. — 39 — A côté de ces Sociétés existe un Jardin des Plantes, création déjà ancienne, puisqu'il remonte à soixante- dix ans, mais réorganisé en 1831, et reconstitué en 1875 pour ne contenir que les plantes spontanées du département de la Charente-Inférieure. Notre Académie, dont j'ai prononcé le nom, a été fondé en 1732; ellea compté dans ses rangs, entre autres célébrités, les Rochelais : Réaumur, Valin, Dupaty, Lafaille, Bonpland, Fleuriau de Bellevue, d’Orbigny, etc., et elle a vu plusieurs fois les savants se donner rendez-vous dans notre ville. En 1857, le congrès scientifique tenait ses assises à la Rochelle. En 1882, l'Association française pour l'avancement des sciences y réunissait les savants français et étrangers. Aujourd’hui, c’est la Société botanique de France qui nous fait l'honneur de choisir notre ville pour y diriger ses explorations, désignant chaque année des provinces différentes pour venir étudier les richesses de chacune des régions de la France. Notre département, par sa position entre la Sèvre au nord et la Gironde au Midi, traversé par la Charente, développe le long de l'Océan, 150 kilomètres de côtes sur le continent et dans ses îles ; il présente une flore et une faune des plus riches et offre à l’explorateur un grand intérèt par la variété des plantes qui croissent spontanément et des animaux qui y sont sédentaires ou qui y viennent en passages. La géologie, dans cette province toute sédimentaire, étale ses terrains Jurassiques ou crétacés, peuplés de nombreux fossiles qui ont donné lieu aux beaux tra- 22 TO vaux de M. Loriol sur les Crinoïdes et de M. Cotteau sur les Echinides. | La zoologie présente également une grande abondance d'animaux marins et maritimes, et entre autres, une collection remarquable de poissons, pas moins de 140 espèces, que vous verrez dans les galeries de notre Muséum spécial, au Jardin des Plantes. La botanique nous offrira un semblable intérêt ; la flore, comme la faune, se ressent de la position très avantageuse de notre département dans la région de l’Ouest océanien. Des plantes du Nord, celles du Midi, les plantes maritimes se montreront en abondance dans la localité que nous allons explorer, et d’ailleurs plu- sieurs de vous ne connaissent-ils pas le pays pour y avoir déjà herborisé ? Mais ici pas de montagnes, un pays plat et peu boisé; dans l’Aunis surtout, des marais desséchés, quelquefois cependant recouverts par la mer, des coteaux souvent arides et des sables parfois brülants vous présenteront cette variété de plantes qui tient à la contrée. Une abondante moisson vous attend, je crois, dans les nombreuses excursions que vous indique un pro- gramme varié sur les points les plus importants de notre littoral, et j’ai l'espoir, Mesdames et Messieurs, qu'avec cette excellente récolte, vous emporterez un excellent souvenir de la Rochelle. Sur la proposition de M. Rouy, en raison de l’herbo- risation qui doit avoir lieu dans l’après-midi, la suite de l’ordre du jour est renvoyée à la prochaine séance. Dans cette séance, qui a eu lieu le 48, M. le Président à communiqué à la Société un télégramme que lui ont adressé plusieurs confrères de Montpellier pour expri- mer leurs vifs regrets de n'avoir pu faire le voyage de la Rochelle et leurs vœux pour la réussite de la session. M. le Président a remercié par un télégramme les botanistes montpelliérains de leur démarche sympa- thique. M. Copineau, l’un des secrétaires, à ensuite donné lecture d’une communication de M. le D' Bonnet ayant pour titre : Voyage de Morison et Laugier, botanistes de Gaston d'Orléans, à la Rochelle en 1657. Les plus anciens renseignements, dit M. Bonnet, que nous possédions sur la flore de la région ont été trans- mis par Robert Morison. C’est ce botaniste qui a découvert aux environs de la Rochelle les Pancratium maritimum et Convolvulus lineatus ; en dépouillant avec attention les deux premières parties de l’Historia plantarumoxoniensis, les seules qui aient été publiées du vivant de l’auteur et qui contiennent des indications originales, on pourrait encore ajouter six autres noms aux espèces mentionnées ci-dessus. Toutelois cela ne constitue qu'une bien maigre récolte et l’on doit penser que nous ne connaissons qu'une faible partie des espèces observées dans la région rochelaise par Morison. Quant àla datedel’excursion elle est consignée dans l’Historia plantaïrum oxoniensis (pars. 2, p. 144, n° 45 à propos du Trifolium purpureum vesicarium, etc.) collegimus anno 1657. A cette date, Morison était au service de Gaston d'Orléans et s'occupait avec Abel Brunyer, Jean Laugier et Nicolas Marchant du Jardin botanique que ce prince avait fait planter dans son château de Blois. LL AR UEE Le voyage de la Rochelle eut pour but, comme M. Bonnet en a trouvé la preuve dans des documents provenant de la bibliothèque de Gaston, de fournir des plantes aux cultures de Blois. Un rare et curieux volume, qui fait partie des collections du Muséum de Paris, a permis à M. Bonnet de reconstituer la liste des espèces observées en 1657, dans la région rochelaise par les botanistes de Gaston d'Orléans. Ce volume est un exemplaire de l’Hortus Blesensis (2° édit. 1655) couvert d’additions et d’anno- tations marginales ou interlinéaires de la main de Laugier dont il porte en outre la signature sur la première page ; après l’avis qui termine le livre, Lau- gier a ajouté, sous le titre: « Plantes du voyage de la Rochelle. » Une liste de 84 espèces que reproduit M. Bonnet. M. Rouy nous a communiqué diverses plantes extraites de son riche herbier et nous a présenté sur leur nomenclature et leur synonymie des observations d'un grand intérêt dont il cite ci-dessous les plus importantes : I. — Linum liburnicum Scop. FI. carniol. éd. 2, v. À, p. 230. — L. corymbulosum Reichb. Fl. germ. excurs. p. 834; Boiss. Fl. orient. 1, p. 852; Parlat. Fl. étal. 5, p.277; Nyman, Consp. fl. eur. p. 126. — L. Strictum. L. var. laxiflorum G. et G. F1. Fr. 1, p. 281. Ce lin se rencontre en France, dans l’ouest de la Vendée et des Deux-Sèvres aux Landes, et dans la région méditerranéenne, notamment dans l'Hérault. Quelques auteurs ont voulu séparer le L. liburnicum Scop. de la var. laxiflorum G. et G. du L. strictum L. PRE mais ces deux noms s'appliquent bien à une seule et même plante, acceptée comme espèce par Richenbach, Koch, Nyman. Boissier, Cesati, Passerini, Gibelli, etc., et distincte du £L. strictum par l’inflorescence lâche, les pédicules allongés, aussi longs ou plus longs (les inférieurs) que le Calice, les feuilles moins rudes, non ou faiblement scabres sur les pages, le port qui est à peu près celui de L. gallicum L. IT. — Bupleurum opacum Lange ap. Willk. et Lange, Prodr. Fl. hisp. v.3, p. 71. — B. odontites var. opacum Cesati. — B. aristatum G. et G. et auct. mult. non Bartl. — B. odontites Lapeyr. (non L.) Le Bupleurum aristatum Bartl. n’existe pas, quant à présent, en France, pas plus dans le Dauphiné ou la Provence, que dans l’Ouest ou le Centre, et nous devons à l’avenir adopter pour la plante française le nom de B. opacum Lange. Le véritable P. aristatum Bartl. plante de montagne, est une espèce appartenant surtout à la Flore de l’Autriche méridionale (Tyrol, Croatie, Istrie, Dalmatie, etc.), mais qu’on retrouve aussi en Espagne (très rare) dans la Bosnie, l’Herzégovine, le Montenegro, la Serbie et en Italie ; il a été indiqué à tort en Transyl- vanie et peut-être aussi en Albanie et dans la Trans- caucasie d’où Boissier n’a pu le voir. III. — Evax cavanillesii Rouy, Diagn. d'espèces nouvelles pour la Flore de la Péninsule ibérique v. le naturaliste, 6° année, n° 70. p. 557, et Suites à la Flore de Fr., v. le naturaliste, 12° année, 2 série, n° 69, p. 18. — E. exigqua DC. prodr. 5, p.458 (p. p. pro. pl. hisp.), Cutanda, Fl. matrit, p. 402, Wiüllk. et Lang. LEE prodr. Fl. Hip. 2, p. 64. — Filago pygmæa Cav. ! Icon 4, p. 23, t. 36 (non L.) ; var gallica Rouy, loc. cit. Hab. — Chaumes de Sèche-Bec, près Bords (J. Fou- caud, leg.) Je ne dirai que quelques mots de cette plante qui a été publiée par M. Foucaud dans les exsic. de la Société Dauph. (n° 4915, com. Ch. Magnier) et dans la Flore selecta de M. Magnier (n° 878), avec la synonymie exacte donnée ci-dessus. Mais MM. Lloyd et Foucaud ayant considéré, dans la 4 édition de la Flore de l'Ouest, p. 182, la plante de Bords comme identique à l'E. carpitana Lange (var. carpitana Rouy de l'E. cavanillesii), je crois utile de préciser à nouveau les caractères qui distinguent la variété gallica, plante des chaumes peu élevés de l'Ouest de la France de la var. carpitana, particulière à la région des montagnes du centre de l'Espagne et du Portugal. — Var. carpitana (E. carpitana Lange Pugillus 2, p. 119, descript. non illustr. p. 13, t. 22, f. 1, E. lasiocarpa Lange Exsice hisp. — Feuilles florales molles, allongées ou spathulées, aiguës, rayonnantes, étalées, du double au moins plus longues que le capitule florifère large (15-30 mill. de diamètre); écailles des Calathides à acumen jaune ; plante relativement robuste (20-50 mill.) à port tirant souvent sur celui de l'E. asterisciflora. — Var. Gallica (E. gallica Rouy olim ; E. carpetana Lloyd et Foucaud Flore de l'Ouest, 4° édit., p. 182, non Lange !). — Feuilles florales lancéolées aiguës, plus ou moins raides, étalées — dressées ou dressées, à peine ou de moitié plus longues que le capitule floriféere petit (5-12 mill. de diamètre); écailles des calathides à Aie acumen argenté ou blanchâtre; plante grêle, naine 5-20 mill. IV.— %x.Tragopogon mirabilis Rouy (—T. por- risfolio x pratensis). Cet hybride paraît avoir été trouvé pour la première fois par M. Gosselman, puis par M. Lubeck, aux environs de Carlskroua (Blekinge, Suède), sous la forme de T. porrifolio-pratensis Gosselm. MM. Foucaud, Termonia et Maire l’ont constaté en France, d’abord dans la prairie de Rhosne, près Rochefort-sur-mer (Foucaud), à St-Laurent-de-la-Prée (Foucaud et Ter- monia), à Angoulins et à Andilly (Maire), sous cette même forme, en compagnie des parents, M. Foucaud a recueilli également le T. mirabilis, var. minor Nobis, produit par le croisement du T. minor Fries. (T. pra- tensis L. var.) avec le T. Porrifolius V. V. — Atriplex tornabeniTineo, ap. Guss. Fl. sic., syn., 2, p. 289 ; Todaro Index rem. Hort. bot. Panorm. (1873), p. 15 et 39, et F1. sic. exsicc. n° 1311, ces. Pass. et Gib. Consp. fl. ltal. p. 276. — A. laciniata L. (pp.), Savi ! Fl. Pisana (non L.) — A. crassifolia G. et G. Fl. Fr. p. 10 (non C-A. Meyer !, nec moq. — T. ap. DC. Prodr. ! non Fries ! ). — A. arenaria Tin. ! Cat. h.r. panormit. p. 276 (non Spreng.). — Marina, laciniata, cupani. Hort. Cathol. p. 27.) Il résulte de la synonymie ci-dessus que la plante figurant pour la Flore de France de Grenier et Godron sous le nom de A. crassifolia avait porté le nom de A. Tornabeni Tin. car je ne vois plus les caractères suffisants pour séparer de la plante de la région médi- terranéenne celle de l'Ouest à laquelle quelques botanis- LUMBQEE tes veulent consacrer le nom de À. arenaria Woods (ap. Bab. Man. brit. bot. éd. 3, p. 271). Dans la séance de clôture qui a eu lieu le 22, M. le Président a invité l’assemblée à formuler ses préférences au sujet du lieu qu’il conviendrait de choi- sir pour la session extraordinaire de 1891. La Société, par un vote unanime, a renouvelé le vœu qu’elle avait fait en 1888 lors de sa session dans les Corbières au sujet d’un projet de session printanier en Roussillon dans le but d'explorer le massif des Albères. M. Cintract, au nom des botanistes étrangers à la contrée, a remercié vivement ses confrères charentais de la réception si cordiale qu’ils ont faite à la Société botanique, ainsi que de l’inépuisable complaisance avec laquelle ils ont fait cueillir aux excursionnistes les espèces les plus rares de leur flore et leur ont fait visiter les cites les plus remarquables et les curiosités diverses de leur intéressant pays. M. Couneau a prononcé le discours suivant : ALLOCUTION DE M. COUNEAU. MESSIEURS, J’ai tenu à assister à la clôture de votre congrès comme je m'étais fait un devoir de figurer à son ouver- ture, et je suis heureux de constater dans quelles conditions propices s’est effectué votre séjour parmi nous ; le ciel s’est mis de la partie, le beau temps vous a favorisés dans vos excursions scientifiques. Je savais ne pas trop m'avancer, lors que je vous disais que vous trouveriez, parmi nos collègues de la EURE Société des Sciences naturelles, tous les éléments nécessaires pour rendre tous vos travaux fructueux. L'un de vous, tout à l'heure, leur assurait en votre nom, toute sa profonde reconnaissance. Permettez-moi, à mon tour, dans cette circonstance solennelle, de leur exprimer, au nom de l'administration municipale, ma sincère gratitude. Vous avez pu, vous qui êtes au sommet dela science, apprécier mieux que tout autre, le mérite de nos collègues de la Société des Sciences naturelles, et j'éprouve à cette occasion, une réelle fierté, pour le bon renom de notre cité, de voir en quelle estime vous tenez ces hommes qui maintiennent parmi nous le niveau scientifique à un degré si élevé. Je tiens donc à remercier tout particulièrement M. Beltremieux que vous avez bien voulu choisir comme Président de votre session et qui est l’âme du mouvement scientifique de notre ville; M. Menut, dont vous avez pu apprécier les connaissances appro- fondies en archéologie; M. Lusson, que vous avez désigné pour votre Secrétaire, et dont le savoir nous est si précieux pour la direction de notre laboratoire municipal ; M. Foucaud, que je considère comme un de nos concitoyens, et dont les savantes indications vous ont été si utiles dans vos excursions botaniques ; vous tous enfin, mes chers collègues de la Société, dont le concours dévoué a contribué à rendre à nos hôtes le séjour parmi nous plein d’attrait et de profit pour leurs études. Puissiez-vous, Messieurs, emporter de notre petite ville, un peu perdue sur les bords de l'Océan, et loin du grand milieu scientifique que vous habitez, une Res heureuse impression et rendre durables les relations amicales que vous avez nouées avec chacun de nous. Pour nous, nous garderons un excellent souvenir de votre passage, trop court hélas ! parmi nous, et nous conserverons dans les Annales scientifiques de notre ville, comme un titre dont nous resterons fiers, la date du congrès de la Société botanique de France à la Rochelle. M. le Président a prononcé ensuite le discours suivant : DISCOURS DE M. E. BELTREMIEUX. MESDAMES ET MESSIEURS, Avant de nous séparer permettez-moi de vous parler de la session qui nous a réunis à la Rochelle. Le programme qui avait été dressé à été exactement suivi, saui pour l’excursion dans l’ile de Ré ; nos journées étaient tellement occupées par les moissons abondantes que nous récoltions sur les côtes de l’Aunis, qu’il restait trop peu de temps aux botanistes à donner à la préparation de leurs plantes. Nos deux iles figuraient dans le programme, nous avons dû en sacrifier une pour la reporter sur la liste des localités supplémentaires à visiter après la clôture de la session. La température a constamment favorisé les excur- sionnistes, à Angoulins, à Saint-Christophe, dans Pile d'Oleron, à Bords et à Châtelaillon, sous la conduite d’un des auteurs de la 4e édition de la Flore de l'Ouest, notre savant collègue Foucaud, qui, sans nous laisser pe perdre de temps à de longues recherches au hasard où à des récoltes secondaires, dirigeait les botanistes sur les points mêmes où croissent les nombreuses plantes qui devaient les intéresser. Mais nous avons eu le regret de voir partir trop tôt, avant la fin de la session, M. Rouy, délégué de la Société botanique de France : il a été rappelé à Paris par dépêche télégraphique, pour affaire importante. M. Guillon (d'Angoulême), l’habile et intrépide botaniste que nous avons souvent vu dans nos excur- sions et que nous espérions trouver au milieu de nous, n’a pu nous suivre, l’âge et les infirmités hélas, l’ont empêché de prendre part à nos travaux. Il n’a pas voulu cependant paraitre indifférent et est venu d'Angoulême, vendredi dernier, nous exprimer lui- même ses regrets d’être forcé de se tenir éloigné. Enfin, Messieurs, nos confrères de Montpellier, MM. Flahault, Barrandon, Boyer, Cauvet, Courchet, Durand, Galavielle, Gay, Granel, Palouzier, Planchon, Sahut et Tisseyre, étaient retenus loin de nous; ils nous ont adressé par télégramme, leurs regrets de ne pouvoir se réunir aux botanistes de la Rochelle et nous ont envoyé, avec un souvenir amical, leurs vœux pour le succès de la session. Nous leur avons également transmis les regrets de leur absence et l’expression de nos cordialités. Je tiens à constater un fait important ; le projet qui vient d’être annoncé pendant ce congrès, par nos savants confrères, MM. J. Foucaud et G. Rouy, d'entreprendre ensemble la publication d’une nouvelle Flore de France ; tous deux possèdent de nombreux et précieux documents pour l’exécution de ce grand travail. = one Nous ne pouvions pas, Messieurs, vous dispenser de prendre un moment de repos ; aussi avez-vous bien voulu consacrer la journée de jeudi à la visite des principaux monuments de notre ville: l'antique et remarquable Hôtel-de-Ville ; la vieille tour Saint- Nicolas, sentinelle avancée du port, témoin des luttes et des sièges qu'a subis la Rochelle ; la Bibliothèque, les Musées, le jardin des Plantes et les Muséums. = Enfin vous êtes venu voir un grand travail moderne, le port de la Pallice, sur lequel la Rochelle fonde ses plus belles espérances et dont l'inauguration aura lieu dans quelques semaines. En terminant, et au moment de prononcer la clôture de la session, je tiens à vous dire, Mesdames et Mes- sieurs, que nous conserverons toujours le souvenir des relations cordiales qui se sont établies entre nous pen- dant les journées si agréables, mais si vite passées, sur ces maritimes de l'Océan, dans cette vieille cité roche- laise qui vous dit au revoir. M. Bazot a répondu en quelques paroles à MM. Cou- neau et Beltremieux et se rendant, dit-il, l’interprête d’un sentiment général, il a exprimé, «à M. Foucaud et à son zélé lieutenant M. Jousset, la sincère gratitude de tous ceux qui ont pris part aux herborisations de la session dont le plein succès est dû en grande pas à leur habile et dévoué concours. Conformément au programme adopté dans la réunion préparatoire, des excursions ont eu lieu à Angoulins, à Châtelaillon, à Saint Christophe, dans les îles, à Bords et les rapports sur ces excursions ont été faits par MM. Dufort, Copineau, J. Foucaud, Jousset, Arbost. ee Beaucoup de botanistes s'étaient fait inscrire pour prendre part aux travaux de cette session, mais le mauvais temps qui menaçait de continuer, même encore la veille de notre réunion préparatoire, en a retenu plusieurs et surtout ceux du loin. Ces prévisions heureusement ne se sont pasréalisées et favorisés par un temps superbe nous avons suivis de point en point notre programme et presque toutes les plantes figu- rant sur les listes remises à nos collègues ont été retrouvées. Beaucoup d’autres également îort inté- ressantes ont été aussi recueillies et je suis persuadé que tous nos collègues ont été satisfaits de cette session et qu'ils ont emporté un très bon souvenir de leur séjour parmi nous. CHARLES-ALBERT FOURNIER Né le 29 Août 1839 décédé le 2 Mars 1891 à La Rochelle. MESSIEURS, Albert Fournier était membre de la Société des Sciences naturelles depuis 1871. Il à toujours été un excellent collègue, un camarade bon et sérieux, un travailleur ; esprit inventif, il prit différents brevets ; investigateur infatigable et consciencieux, il faisait des expériences pour se rendre compte des questions qu’il étudiait ; il a cherché notamment à utiliser les produits minéraux de l’eau de mer. Il s’est livré aussi à des essais sur la culture des crevettes, les suivant dans toutes les phases de leur vie, étudiant en même temps bien d’autres petits crustacés dont il nous a très sou- vent entretenus dans nos réunions de la Société. Il s'était chargé de l'examen de la Revue scientifique et savait choisir, pour les exposer, les sujets qui pou- vaient offrir de l'intérêt à la majorité des sociétaires, provoquant même, selon les cas, la discussion, donnant de l’attrait à nos séances et nous tenant ainsi au cou- rant de bien des faits de sciences qui auraient passé A DOS inaperçus pour beaucoup, s’il n’était venu, lui-même, en causer, dans nos réunions du vendredi. Nous n'avons pas oublié, non plus, qu’Albert Fournier contribua au succès de nos séances publiques de l’Académie et nous nous souvenons de sa des- cription du « Bois fleuri » qui, huit cents ans plus tard, devait recevoir le port de la Pallice. Il nous entrainait « sur les hauteurs de Chef-de-Baie, le long de ces falaises désertes d’où la vue s’étend au loin », nous représentant « par les beaux jours, la ville qui paraît d'autant plus rapprochée que le vent d’Est nous en apporte les bruits », et montrant à nos yeux attentifs « les rades ensoleillées et les côtes sinueuses, le coloris si changeant du ciel et de la mer, le mirage enfin qui rapproche les bois lointains de l’île d’Oleron », et après cette peinture, il reportait notre pensée en arrière et nous indiquait « le lieu aujourd’hui sec et découvert, où se trouvait cette forêt désignée par nos ancêtres, sous le nom gracieux de Bois fleuri, Nemus floria- cense ». Il devait préparer une autre lecture pour la séance publique de décembre dernier, séance que les froids rigoureux de cet hiver exceptionnel et les occupations survenues à notre collègue firent ajourner. Albert Fournier avait accepté les fonctions d’archi- viste de notre Société et avait entrepris la rédaction d’une partie du catalogue de la bibliothèque, toujours prêt à consacrer son temps au bien des associations dont il était un membre zélé. Comme Président de la Société des Sciences natu- relles, j'aurai voulu exprimer sur sa tombe nos senti- ments de sympathie et de regrets, j'aurai voulu dire, à pores sa famille si douloureusement éprouvée, quelle part ses amis prenaient à ce si triste événement, mais retenu, ce jour, loin de la Rochelle, il m’a été impos- sible de revenir pour remplir ce devoir envers notre bien regretté ami dont la mémoire restera toujours présente dans nos réunions qu'il contribuait à rendre intéressantes. Notre collègue, M. A. Menut, président de la section littéraire, a prononcé sur la tombe les paroles qui sui- vent. (Séance de la Société des Sciences naturelles du 18 mars 1891). Ep. BELTREMIEUX. MESSIEURS, C’est avec une profonde tristesse que je viens remplir le plus cruel des devoirs ; il me faut dire un dernier adieu à l’un des jeunes de la Société littéraire, à M. Albert Fournier, enlevé d’une manière si brusque et si prématurément. Que peuvent valoir mes paroles devant une famille en pleurs, à côté de ces amis dans l’affliction, près de cette tombe où va reposer l’homme bon et excellent dont l’érudition et l’aménité étaient chères à la Com- pagnie que j'ai l'honneur de présider ! Il faut que je parle cependant et que j'essaie de traduire?en peu de mots les sentiments qui sont dans nos cœurs. M. Albert Fournier, obéissant au désir de son père, lui succéda comme notaire ; mais ces occupations M AU absorbantes, qu’il remplissait avec la plus parfaite honorabilité, n'étaient nullement dans ses goûts ni dans les idées qui le hantaient. Après quelques années d'exercice, il s’en déchargea pour se livrer entièrement aux recherches scientifiques les plus variées et à sa passion pour le passé de notre vieille cité. Une lecture fort goûtée, faite par lui comme délégué _de la Société des Sciences naturelles, dans la séance publique de l’Académie de la Rochelle du 5 février 1881, nous fit désirer le voir prendre place parmi nous, et il accéda à ce désir. En un style clair, pur, sobre et coloré, il exposait dans ce travail où tout était nouveau, le résultat de ses recherches en vue de con- naître comment se nommait l'emplacement du port de la Pallice il y a 800 ans. Parmi les communications dont il nous entretint, je signalerai particulièrement le compte-rendu de ses trouvailles dans la commune de Marans, lesquelles mirent hors de doute l'existence à Touche-Ronde, comme à Marans, Boisrond, Naïllers en Vendée, de centres de fabrication de poteries de l’époque gauloise, romaine ou gallo-romaine de la basse époque, et une autre communication ayant pour objet une rondelle en cuivre, trouvée dans une tranchée de la rue Saint- Côme et rappelant la fondation, en 1623, de la porte élevée dans la rue Aufrédi, pre à l’angle de la rue Saint-Léonard. Je dois aussi mentionner son ardeur et sa patience à suivre les fouilles partout où elles étaient entreprises, afin de recueillir les objets mis à jour, etle soin qu’il apportait à noter tout ce qu’elles pouvaient offrir d’in- téressant au point de vue de la topographie de la ville. D 'ÉTE C'était un laborieux chercheur d’un sérieux mérite, impatient de voir la Rochelle ressaisir ses destinées et sa prospérité commerciale par l’ouverture de son nou- veau port. Sa grande modestie, l’agrément de son commerce, la simplicité de ses manières le faisaient fort apprécier parmi nous, et nous étions heureux de le compter pour un des nôtres. Aussi la Société littéraire a-t-elle tenu à honneur de s'associer, dans cette triste journée, à tant de témoignages de regrets et de sympathie, en venant affirmer le nom de M. Albert Fournier contre l’oubli dans la mémoire de ses collègues attristés. Adieu, cher collègue ! Nora. — Ce volume d’Annales étant le compte-rendu des travaux de la Société pendant l’exercice 189,0, ainsi que des faits qui s’y rattachent, les deux discours prononcés à l’occasion de la mort d'Albert Fournier ne devraient être insérés que dans le volume suivant relatif à 1891, mais la perte sensible que fait notre Société et le désir de faire connaître le plus tôt possible l’expression de nos sentiments de sympathie et de regrets nous a décidés à faire cetteinsertion dans le volume, aujourd’hui sous presse. ———— (5 —_—" N'OFES SUR UNE NOUVELLE ESPÈCE DU GENRE MUSCARI Par M. J. FOUCAUD. En étudiant, il y a cinq ans, les riches collections botaniques de M. Motelay, de Bordeaux, je remarquai un Muscari qui me parut distinct du M. neglectum Guss. auquel il avait été rapporté. Quelques jours avant ma visite, M. Motelay avait recueilli de nouveaux échantillons de ce Muscari à Saint-Jean de Blaignac près la Réole, et il voulut bien m'en donner des bulbes afin que je puisse le cultiver et l’étudier comparativement avec les Muscari Lelievrei Bor., botryoides DC., neglectum Guss., compactum Jord., racemosum DC. de mes cultures. L'année suivante, c’est-à-dire en 1886, ces bulbes ne donnèrent qu’une petite grappe de fleurs; mais dans la suite, ils en offrirent un assez grand nombre, ce qui me permit de bien étudier cette plante et d'acquérir la certitude qu’elle constitue une espèce inédite. Je suis heureux de dédier ce Muscari à mon ami, M. Motelay, qui, comme on le sait, a tant contribué à faire connaitre la flore girondine, et qui a si généreu- sement mis à ma disposition les nombreux et précieux matériaux que ses multiples herborisations ainsi que ses échanges lui ont permis de réunir. LENS Voici la description de ce Muscari : Muscari Motelayi (PI. 1.) (1). Bulbe ovoide, très prolifère. Feuilles linéaires, larges de 4-8 millimètres, en gouttière, vert glauque, striées, lâchement dressées, égalant ou dépassant la hampe. Hampe ponctuée de brun à la base. Jeunegrappeconiqueetensuite oblongue; boutons violets ausommet. Fleursà odeur agréableet fu- gace, globuleuses ousubglobuleuses, serrées, penchées. Périanthe bleu violet, à dents blanches et recourbées ; pédicelles bleu violetclair, horizontaux après l’anthèse. Capsule plus large que longue, à faces suborbiculaires, légèrement émaginées au sommet et dont la plus grande largeur se trouve vers le milieu. Ce Muscari fleurit en mars et croît dans les bois, les prés, les vignes, les champs du calcaire, où il forme de larges toufles comprenant jusqu’à dix-huit hampes. Il a été observé dans les localités suivantes : Saint-Jean de Blaignac, Arbanats, Lestiac, Paillet, Langoiran (Mote- lay), Saint-Maixent près Saint-Macaire, et Podensac (Motelay et Clavaud, on litt.). Le Muscari Motelayi se place entre les Muscari Lelievrei et neglectum. (1) Ce Muscari a été figuré par Clavaud qui le considérait comme l’une des meilleures espèces distinguées en France depuis plus de vingt ans. Clavaud, qui, hélas ! n’est plus là pour recevoir mes remerciements, était un botaniste d’un grand mérite et d’une grande érudition. Sa Flore de la Gironde, malheureu- sement inachevée, est un travail remarquable et très apprécié. Il s’est beaucoup occupé de l’étude de plusieurs genres difficiles et quelques jours avant sa mort, si regrettable et si inattendue, il mettait la dernière main àune Monographie illustrée des Gal- litrichées de France, qui sera publiée dans les Actes de la Société Linnéenne de Bordeaux. QUE Il se rapproche du premier par l’odeur de sa fleur, la forme de ses bulbes et de ses bulbilles, par l’époque de sa végétation et de sa floraison, par ses feuilles courtes et demi-dressées, mais plus étroites et vert glauque. Il en diffère par sa touffe plus lâche et d’un aspect différent, par sa grappe conique à l’état jeune et à fleurs plus serrées, à pédicelles moins longs et bleu violet, par son périanthe bleu violet, par sa capsule à faces légèrement émarginées au sommet et dont le plus grand diamètre se trouve vers le milieu et enfin par sa graine plus fortement ridée. Il se rapproche du H. neglectum Guss. Bor. par l’as- pect de sa touffe, par la forme et la teinte de sa jeune grappe. Il en diffère par ses feuilles bien plus courtes et non trainantes et ne paraissant qu'en janvier, par ses fleurs une fois plus courtes et d’un aspect différent, par sa grappe moins robuste, par la forme de sa capsule et surtout par sa graine: celle-ci est ovale et fortement ridée-striée, tandis que celle du Muscari neglectum est sphérique et finement ridée-striée. Le Muscari dont M. Motelay m'a donné des bulbes en 1885, provenait de Saint-Jean de Blaignac, l’une des localités où Laterrade (Suppl. Fl. bord. p. 653) cite le Muscari botryoides, j'étais porté à penser que la plante des autres localités appartenait aussi à l’espèce Muscari Motelayi. M. Motelay a bien voulu explorer ces localités et les recherches qu’il a faites ont confirmé mes prévi- sions ; le Muscari botryoides est donc à rayer de la flore girondine. Jardin botanique de Rochefort, le 20 décembre 1890. Cal > dd VASTE ei ie A sn, ii y à 2. À à. # ee g à F, 2" f k 2e PR ER Fa Faire 4 No Fe pie si LT es | Le : +4 Ps Ph 3 È arts Era dti EM 4 | = w Tes 4) ne Pre tar 0e ie à. DE . d mt =>) k | hi ; ta: d LR 4 ï 3 DH AT é£ TA #6 Spa xD ma ms à £ ÿ 7 : à +00 LS POP | Lee ER à : + CE é L 4 | ‘ " dela ouh. 28 ; l 1 & ï y LENS A RE eg à SEL 4: DETENTE à r Fi à % ê 4 FA ; PA ks Re ÿé re es + : Lu | ré: OÙ te DEC, FuSiE ste rs RAS PET : ï 9 ETAE tar bis gt ch ‘E d k : ) né « th à %} PL F0 2433 : DATENT dire ll eut 4 + ; = RE | . AIN ER "4 1: » AR 1 cé 7 Re 5 : L è TR à La TE le dr 15. 16. 17. 18. 19,19 90, EXPLICATION DE LA PLANCHE |, | *— Muscari Motelayi grandeur naturelle, Partie supérieure de feuille vue de face et par le dos. Feuille vue par côté. Coupe transversale d’une feuille. Fleur de grandeur naturelle. Fleur grossie. Fleur très grossie. Etamine grossie, Grain de pollen grossi, Pistil grossi. Partie de fleur très grossie. Capsule mûre vue par côté. . Capsule müre vue par le sommet, Capsule muüre vue par la base. Capsule à valves ouvertes. Graines mûres. Capsule mûre avec son pédicelle. Capsule mûre fixée à la hampe. Dimensions des pédicelles avec capsules. Muscari Motelavi réduit au 1/3. - Bull de La Sôe.des Sciences de la Ro 77 larg. Ê— — Muscari Motelavi Foucsud ACtaraud dell BEORE DE FRANCE PAR GEORGES ROUTY% Ancien vice-président de la Socièté botanique de France, Membre de la Commission internationale des Cartes géo-botaniques, Membre correspondant de la Société des sciences naturelles de la Charente-Inférieure à la “Rochelle et de plusieurs autres Sociétés savantes françaises et étrangères, Membre du Comité consultatif de la Socièté botanique de France et du Comité d’études de la Société française de botanique, Auteur des SUITES A LA FLORE DE FRANCE efc., etc. Chevalier de la Légion d'honneur, Officier d’Académie, ET JULIEN FOUCGCGAUD Jardinier-Botaniste en chef de la Marine, charge de conférences de Botanique médicale à l'École de médecine navale de-Rochefort, . Membre de la Sociète des Sciences naturelles de la Charente-Inferieure à la Rochelle et de plusieurs autres Sociètés savantes, Co-auteur de la 4° édition de la Flore de l’Ouest de la France, ec., etc, Officier d’Academie. ———— 9 0 C———— D’après le désir qui nous a été manifesté par plu- sieurs botanistes, nous allons entreprendre la publica- tion d’une Flore de France pour remplacer la Flore de Grenier et Godron épuisée, et qui d’ailleurs, n’est plus suffisamment au courant de la science. — Toutes nos dispositions sont prises pour que cet important ouvrage, qui paraîtra par fascicules de 300 pages environ, soit terminé le plus promptement possible et que le prix en soit établi à des conditions de réel bon marché. Nous espérons que nos travaux antérieurs et nos études sur la flore de la France depuis plus de vingt RIRE ans vous seront garants du soin scrupuleux que nous apporterons à l'élaboration de ce travail. Nous ne négligerons aucun ouvrage sérieux publié sur la végé- tation de notre riche pays et donnerons aussi exacte- ment qu'il nous sera possible les localités des espèces, sous-espèces ou variétés de plantes dont la présence en France aura été constatée d’une façon certaine. Nous nous efforcerons de rattacher à juste titre aux types spécifiques, véritables selon nous, les formes si nom- breuses élevées au rang d’espèces et que nous estime- rons, après un examen approfondi, tant en herbier que sur le terrain ou par la culture, ne pouvoir garder leur autonomie. Par contre, nous n’hésiterons pas, lors- qu’il y aura lieu, à conserver Les créations anciennes ou récentes dont la valeur spécifique nous aura été démontrée. Nous accorderons une très large place à la syno- nymie : il sera dès lors loisible aux botanistes, qui apprécieront l’espèce dans un autre sens que nous, de noter comme type, d’après notre ouvrage, une plante que nous n’aurons acceptée, qu’à titre de variété mais dont nous donnerons cependant les caractères diffé- rentiels et le nom binaire. De quelle façon donc que l’on envisage l’espèce, notre Flore rendra, croyons- nous, des services en donnant la place, dans la nomen- clature, de chaque plante française et en la distinguant suffisamment des plantes affines. Nous publierons également la distribution géogra- phique de chaque espèce et de chaque variété. Notre travail fera ainsi connaître l'habitat général de toutes les plantes qui croissent en France, mais dont la plu- part ne sont pas spéciales à notre pays, point impor- RE tant qui a été omis dans les précédentes flores iran- çaises. Cette partie de l’œuvre sera sans doute utile aux botanistes qui forment des herbiers, car ils pourront ainsi savoir, à peu de frais, de quelles régions ils doivent se procurer les espèces décrites pour se rendre compte, d’après les spécimens provenant d’habitats extrèmes, des limites de variation du type spécifique. Il est évident, en effet, qu'on ne peut se faire une idée nette de la valeur d’une espèce à aire disjointe si on ne la possède que d’un nombre restreint de localités trop rapprochées. Mais il importe que les botanistes nous accordent leur appui. — C’est pourquoi nous leur serons recon- naissants, de vouloir bien nous envoyer sur leur région, ou sur celles qu’ils auront explorées, toutes les indica- tions qu’ils croiront utiles à l’œuvre commune dans l'intérêt de notre chère science: un catalogue d’espèces rares ou critiques, par exemple, des listes d’herborisa- tions, des données récentes sur l’habitat ou sur l’aire géographique, etc., et d'y joindre aussi souvent que possible des exemplaires de plantes intéressantes. Nous aurons soin, en toute justice, de signaler dans la nou- velle Flore de France les renseignements inédits ou les découvertes qui nous auront été communiqués par eux. Croyant pouvoir compter sur leur bienveillant con- cours, nous les prions d’agréer l’assurance de nos sentiments les plus distingués et dévoués. G. ROUY, J. FOUCAUD, 66, rue Condorcet, à Paris. Au Jardin botanique de la Marine, à Rochefort-sur-mer (Charente-Inférieure). Se pr La Société des sciences naturelles, qui s'intéresse vivement à cette œuvre, a décidé dans sa séance du 8 août 1890 de publier la Flore dans ses Annales et de réserver chaque année une partie de ses ressources pour cette importante publication. Toutes les dispositions ayant été prises pour que cet ouvrage soit terminé le plus tôt possible, le premier fascicule paraîtra au commencement de 1892 dans le volume n°28. En conséquence la Société a dû réduire dans une certaine mesure le volume n° 27 qu’elle publie ce jour. La Rochelle, le 16 mars 1891. 2 EE PDT — LES MAMIFÈRES DE LA FRANCE ÉTUDE GÉNÉRALE de toutes nos espèces considérées au point de vue utilitaire Par M. A. BOUVIER. RS mt M. A. Bouvier, zoologiste chargé de diverses missions scientifiques et fondateur du musée pratique des écoles, vient de publier les mammifères de la France, étude générale de toutes les espèces traitées scientifiquement etenmême temps considérées au point de vue utilitaire. Cet ouvrage est illustré de 266 figures dans le texte. Il ledédie aux instituteurs, institutrices et à la jeunesse française des écoles. PREMIÈRE PARTIE. Cause de l’ouvrage, son but, son programme. L'auteur commence par faire remarquer que nos programmes d’enseignement ont été modifiés depuis plusieurs années et sont infiniment plus pratiques qu’autrefois, qu’en sciences naturelles, cependant, c’est encore l’anatomie et la physiologie qui y règnent pres- os El qu’exclusivement, aux dépens de l’étude directe des animaux, des végétaux et des minéraux. Il voudrait voir commencer par la pratique qui seule est indispensable à tous, apprendre d’abord à connaître les animaux qui nous entourent, les services qu’ils peuvent nous rendre pendant leur vie et les produits qu'ils fournissent après leur mort. . Connaitre nos plantes et les ressources qu’elles nous offrent, nos minéraux et leurs diverses transformations et emplois. Il faut connaître enfin tout ce que la nature nous offre gratuitement et abondamment. Une mère qui veut apprendre à marcher à son enfant, lui tend d’abord les bras sans lui raconter les lois de la pesan- teur ou la théorie des mouvements. — Il émet alors le vœu que la pratique précède la théorie, surtout dans l'étude de la nature puisque c’est de ses produits seuls que nous devons et pouvons tirer toute notre existence. Réduit à des notions utilitaires pratiques et locales, l’enseignement de l’histoire naturelle est donc non seule- ment utile mais indispensable à tous. M. A. Bouvier fait ensuite une étude générale de la faune de la France continentale y compris la Corse et l’Alsace-Lorraine ; il commence par les mammifères et contiuuera par les oiseaux, les reptiles, les batraciens et les poissons. Il ne veut pas adopter la classification trop radicale suivant lui d'animaux utiles et d'animaux nuisibles ; I] pense que chaque animal à eu son rôle à jouer, à rem- plir dans les belles et vastes harmonies de la nature ; mais que l’homme par la civilisation et toutes ses conséquences est venu modifier et détruire cet équilibre pour en tirer son profit particulier ; que quelques ani- LE maux n’ont donc plus eu de rôle utile chez nous, que quelques autres sont devenusinutiles etmême nuisibles. Au point de vue pratique, l’auteur a cherché à faire connaître les mœurs des animaux, les services qu'ils rendent à l’agriculture, à l’horticulture, etc. ; les dégâts qu'ils peuvent causer et les moyens d'y remédier, les ressources qu'ils offrent à l’alimentation, à la méde- cine, au commerce, aux arts et à l’industrie. Il croit que tous les animaux utiles, sauf de rares exceptions, commettent des dégâts et même que les nuisibles, rendent encore quelques services, c’est ce qui rend nécessaire leur étude et la connaissance de leurs mœurs afin de savoir quand et comment ils sont utiles, quand et comment ils deviennent nuisibles, et c’est pour cela encore qu'on ne peut les classer d’une façon absolue en animaux utiles et animaux nuisibles. Il eite des exemples : — Dans les mammifères : la taupe très utile comme dévorant les vers blancs ; la musaraigne qui détruitles courtilières ; les cerfs et les chevreuils utiles comme animaux d'agrément et gibiers, mais qui deviennent nuisibles par leur nombre dans la forêt qu'ils ébour- geonnent. — Dans les oiseaux : la buse très utile en détruisant les petits rongeurs et les reptiles, mais nuisibles près des fermes, parce qu’elle dévoreles poules et Les canards ; la perdrix très utile pour la chasse et l’alimentation, mais nuisible parce qu’elle dévore les grains, lors des moissons. — Dans les batraciens : les crapauds, très utiles, parce qu'ils détruisent les limaces et les insectes, mais 5 nr) ca sont nuisibles parce qu'ils mangent les fraises et dévo- rent les abeilles. — Dans les poissons: les brochets sont utiles pour l'alimentation, mais nuisibles quand ils sont nombreux parce qu’ils dévorent les autres petits poissons. M. Bouvier dans sa description a cherché à simplifier, il n’a conservé qu’un seul nom latin, celui qui est géné- ralement adopté ; et pour se mettre à la portée de tous et surtout de ceux qui sont éloignés des centres pour chercher les noms dans les bibliothèques, il a recueilli les noms patois quand il en existe et c’est dans ce sens qu'il forme un MUSÉE PRATIQUE en faisant appel à la générosité de touseten assurant quele nom du donateur serait inscrit sur un tableau et sur les étiquettes des objets. L'auteur adopte ensuite la classification en trois grandes sections : le règne animal, le règne végétal, le règne minéral, puis il aborde le règne animal, qu’il sépare en deux grandes divisions : les vertébrés et les invertébrés, puisles vertébrés en 5classesgénéralement adoptées: mammifères, — oiseaux, — reptiles, — batraciens, — poissons. Le volume qu’il a publié et dont nous nous entrete- nons est consacré aux mammifères qui sont distribués d'abord, suivant la méthode de l’illustre professeur Gervais, en trois groupes. 1° Les monodelphes où mammifères à développement embryonnaire régulier comme l’homme et la plupart des espèces animales de l’ancien monde. 20 Les didelphes, ou marsupiaux, ou mammifères à double gestation : les sarigues, les kanguroos, etc., animaux de l’Amérique et de l'Australie. = 3° Les ornithodelphes ou monotrèmes, animaux, qui par certains détails de leur organisation forment l’an- neau régulier qui relie les mammifères avec les oiseaux; les ornithorynques et les échydnés, animaux de l’Aus- tralie. | Ces deux derniers groupes n’ayant pas de représen- tant en France il les laisse de côté et ne parle que des monodelphes qu’il divise en 13 ordres laissant aussi de côté les bimaux ou hommes. 419 Terrestres : Quadrumanes. — Cheiroptères. — Insectivores. — Rongeurs. — Carnivores. — Proboscidiens. — Jumen- tés. — Ruminants. — Porcins. — Edentés. 2° Marins : Amphibiens ou phoques. — Siréniens, — Cétacés. Parmi ces 13 ordres, 9 seulement se trouvent actuel- lement sur notre sol quoique tous y aient eu des repré- sentants aux époques géologiques. [10 Cheiroptères.\ A dentition complète et régulière. C’est-à- dire pourvus de trois d'ongles.}30 Insectivores. /sortes de dents. Pourvus \20 Carnivores. Terrestres. 40 Rongeurs. À dentition incom- plète ou au moins irré- 00 Jumentés. (oulière, c'est-à-dire Pourvus manquant d’une sorte de dents sur l’une des 79 Porcins. deux machoires. \6o Ruminants. ‘de ue \ { Pourvus encore de So aphibi 8° Amphibies. membres. ABS 2: DaCétacé N'ayant plus que des \ FRE nageoires. TRES _ M. Bouvier donne la définition ensuite des neuf ordres que nous venons d'indiquer et qu'il a adoptés; et à la suite de la définition des caractères de chaque ordre, il indique leur utilité et le parti qu’on en tire en général de chacun d’eux. 1er ordre, Gheiroptères. — Rendant d'immenses services comme destructeurs d'insectes. (Chauves- souris). 2e ordre, Garnivores. — Les uns sontutilisés pour la chasse et les autres pour fournir des fourrures. (chiens, renards, belettes, loutres, martes, etc.). 3e ordre, Insectivores. — Rendant d'immenses services en continuant sur terre, sous terre et dans l’eau, la chasse que les chauves-souris font aux insectes dans l'air (hérissons, taupes, desmans, musaraignes, etc.) 4 ordre, Rongeurs. — Utiles comme alimentaires et fournissant des fourrures (lièvres, lapins, écureuils, loirs, castors, marmottes, etc.). 5e ordre, Jumentés.— Utilescomme bêtes de trait, de charge et de selle (chevaux, ânes, mulets). Ge ordre, Ruminants — Utiles comme animaux domestiques ou gibiers de grande et moyenne taille ; par leur chair, lait, cuirs et toisons — et animaux de trait (bœufs, chèvres, moutons, chevreuils, etc.). 1° ordre, Porcins. — Animaux domestiques ou gibiersservantsurtoutà l'alimentation (sangliers, pores). 8 ordre, Amphibies. — Ils disparaissent de nos côtes n’y trouvant plus la tranquillité nécessaire à leur existence, très utiles pour les habitants de la région du nord (phoques). d% ordre, Gétacés. — Leur principal produit est Rs LE l'huile (dauphins, marsouins, baleines, balénoptères, cachalots, etc.). M. Bouvier dit que la faune française se compose d'environ 134 espèces sédentaires sur notre sol ou d’apparitions plus ou moins fréquentes sur nos côtes ; les espèces sauvages s'élèvent à 120 et les espèces domestiques à 14. En comparant cette faune à celle de la Charente- Inférieure, pays entièrement privé de montagnes, nous remarquons que notre faune comprend néanmoins 62 espèces de mammifères sauvages. DEUXIÈME PARTIE. Description. Dans cette 2 partie, l’auteur fait la description scien- tifique de toutes les espèces rencontrées sur le sol de France, espècessauvages et espèces domestiques, il suit la classification que nous venons d'indiquer dansla pre- mière partie et donne les noms vulgaires adoptés dans la province. Nommant les localités, il fait connaître les mœurs de chacun des animaux, leur utilité et leur nuisibilité en entrant dans d'’intéressants détails ; il cite en même temps les races et les espèces domestiques. M. Bouvier termine son ouvrage par un glossaire des noms et des termes qu’il a employés. OBSERVATIONS MÉTÉOROLOGIQUES PATTES A; LA-ROCHEERE DIT —— ANNÉE 1890 RONA > | u f »“ Yet UT if ts DÉPARTEMENT de la CHARENTE-INFERJEURE, 2 BULLETIN MENSUEL La Rochelle. DE ANNÉE 1890. N° { JANVIER. . Météorologie et de Démographie PUBLIÉ PAR LA COMMISSION DÉPARTEMENTALE DE MÉTÉOROLOGIE ET LE CONSEIL D'HYGIÈ!E Résumé des observations météoroloziques s x Mois Année Nature des observations. Janvier. Pression barométrique précédent.| courante. Phénomènes particuliers. RE Les 22et23, un cyclone ven. de 0. et O.S.0. est passé dans la | contrée et à causé b'aucoup de dégâts aux propriétés. IMONBMNE .-. es 765 767 765 (Maximum .| 14.50 12.0 14.50 Température) Minimum .[— 5.0 1—6.2 |— 5.0 Moyenne ..|+ 7.13 |+ 1.67 |+ 7.13 Vents dominants........| S.E. 15e S.E. Hautomhée ........,.. 48mim | 57m/m | 48 m/m Jours He DIUIE :.....6.. 18 14 18 Mouvement de la population Dernier recensement. 23,829. temau 108!) 7 | À |! » | » NAISSANCES MORT-NÉS $ DÉCÈS um es. CS RS PR. CE [sb] a Année 1890. égitimeslilégitmes|légitimeslillégitmes| © len ville. hôpitaux = —— ES — Met ru) 6 Lu l & |) Mr jun » pb 5 T6 TEEN PE G |10: | 7 DIS 3. 54109: 9 5 » Janv. ji AU ONE 8 MN » À 9719: ST 1 20 au 31 5 5 3 » | » » » Totaux du mois..120 (216[»1312|»11 Mois précédent... Année courante.. Totaux de l’année. 46 6 14 [22 [29 ; 12 COMMISSION DEPARTEMENTAILE de Météorologie. Observations journ< THERMOMÈTRE TE — — Mo- | yenne | Maxi- | Mini- mum.|mum. | | { A |+0 50|—5 00!—2 25 D) 4 00|—2 50/+1 50! 3 | 6 80|—1 00! 2 90 4 | 10 00/41 40] 5 70! 5 | 40 00! 4 v] 7 00 6 !.12 00! 3 00) 7 65! 7 |10 00! 240 6 20 8 | 11 00! 1 00! 6 00! 9 | 11 50| 2 00) 6 75! 40 | 12 00! 4 00! 8 00 14 | 12 00! 6G 00! 9 00 19 | 12 50| 4 00! 8 25 43 | 11 60| 6 00! 8 80 14 | 11 40] 6 30! 8 & 15 AUS: 00 3 DS 16 | 10 30| 5.10l 7 70 17 | 920| O 60! z 90 48 | 10 00! 0 50 5 25 19 | 12 40| 4 00! 6.70 920 | 42 00! -6 80] 9 40 92 | 11 00! 3 60! 7 30 29 | 13 20| 4 50! 8 5 23 | 12 00l 6 50! 9 25 94 1 419 1507 95) : 9:70 95 | 12 001 8 00! 10 09 26 | 14 50| 7 00! 10 75 .97 || 12 50! 6 40| 9 35 2 | 141 50! 5 50| 8 50! 29 | 10 Go 5.30) 7 95 30 | 940| 5 50l 745 31 |10 50 6 00 8 25 | 14 50! —5 E FI ï Baromè-| pluie Evapora- Humidité VENTS | tre tombée | tion | relative | OR | Vitessl en 24 en 24 de Direction par | jdu matin} heures. | heures. | 1 à 100 Co 766 » NE. 2:35 763 » E. 4 09)! 754 gm/m SE; 1 96h 754 10 CEE LA 2 01H 763 » SEE 1 86h 772 » S. 2 66 773 » S. E. [0 70! to 122, 1. SE. 074 712 1. S.E. | 0 17 768 9.1/2 S::0.. 1.41 768 24/9 S. E. 0 15 768 » Calme. 0 06 770 à. Id. 0 00 770 De S. 5. O.| 001 768 » S. E. | O0 768 » S. K. 0 03 766 » S. S. E.| 0:05! 765 { S. 0 84 763 » SL: 0 46 761 5 N. O 2 98 761 10: N.O 4 60] 350 4 O. 6 79h 750 10.1/2 O.S O.| 5 15h SCA Gi EMCR S. 0: | 8.01 762 Le PAS UE 2 54 768 1.172 N. OC. 1 88] 770 0.1/2 0. 1 83! 766 » S. 2 3141 760 » N. 4 27 713 0.12 N. E: 3 18h He » N°; 2 71H 765 48m/m SE 1 95! Matin. ÉTAT DU CIEL. s faites à la Rochelle. JANVIER 1890. Soir. nuageux. Id. .| pluvieux. nuageux. Id. nuageux. pluvieux. couvert. pluvieux. Id. Id. nuageux. Id. couvert. nuageux. pluvieux. couvert. Id. pluvieux. Id. Id. nuageux. clair. nuageux. couvert. nuageux. Id. couvert. ETAT de la . mer. Tem- pérature de la mer es Q Ot Ot D OT ND Où Or ORAGES, GRÊLE, NEIGE ET DIVERS. Dans la nuit du 19 au 20, vers minuit 1/2, et à 4 heures du soir, orage, venant du N.0. Les 22 et 23, un ouragan (ou cyclône) ven. de O. et O.S.0. a causé beaucoup de dégâts aux propriétés dans la contrée. S SNOILVAUAS{O FE La "O68I HHIANV TS TT a — Se — T ‘ue FE 0 D ?**S999pP 9pP S9Sn8) s94]NY Me | shoes Eee . SLHON AE à ** SO[ROISINIIUI SUOLJ29]Y CCC aisdo1q}y ........, NeEaJIPr) : "219401 9}ISULUY IN | ‘‘uowuynd aisi4}yq ‘I9JU9 J9 99ULUEI( "In@9 NP'$410 ‘[eJj ( ‘sorgruuosres "naud 79 9J1qouo1g SHIGV'IVN * 149499 aixa|dody “sopeaodiond ‘y AVES oy2nenbog AIS of LeqdiQ *079 HIS RES +‘ dnox”) S9SN9L)29JUI ET OHAQLT » sonbiwuopida ÉRe auLI?9[0y) sonbrjowuÂz Rerious aulJe[1e0S SAIAVIVN ...... 2[095nN0Y see 2108] | —— L'SHOAC A4 SATVAdIONIHd SASAVNI n | “RIep-nY sue 09 GefSur Ge er SUBGTEGISUEG EI ‘OTCOIPOUX 10 onbradexsourep onbris1181S = à ANTIOLE.Q TIASNOO DÉPARTEMENT ANNÉE 1890. de la A GHARENTE-INFÉRIEURE BULLETIN MENSUEL N°2 FÉVRIER. La Rochelle. DE Météorologie et de Démographie PUBLIÉ PAR LA COMMISSION DÉPARTEMENTALE DE MÉTÉOROLOGIE ET LE CONSEIL D'HYGIÈNE Résumé des observations météoroloziques, : ni Mois Année Phénomènes Nature des observations. | Février . l 3 précédent.| courante. particuliers. Pression barométrique DOME - 54, 00e o à 163 162 164 «Maximum .| 16.10 14.50 16.10 l'empérature]Minimun | —540 i— 50 |[— 5.10 Moyenne... 3.04 119 5.03 | Vents dominants........ E. S.E. E. Hautiombée :....:.. .. {Tm/m | 48 m/m | 59 m/m Jauréue pluie . ..:...:. 4 18 22 … Mouvement de la population. : Dernier recensement 23,829. | NAISSANCES | MORT-NÉS |. DÉCÈS | S CR CS RS PR SO PS Année 1890. \jégitimeslillégitmes légitimes |illégitwes ë en ville. hôpitaux — ==) T-- — MIFÎiMIF mir lulr | MIF {er au 10140. 113 | » | » A NE RAC 0 US à Fév. ji au 20 8 6 1 » -) » 40 A 9 D: 4 JUBau 28-511 550103 » DRE RO MIRE DA BE. — | mme | | mm | mn | —— me | mm | —— | mm | =—— Totaux du mois..|[23 [24 | 4 | 3 » | » [19 113 [16 [11 | 9 Mois précédent. ..|20 120 | 6 |[ » | 3 | 2 | » | 1 |14 |22 199 |19 |12 Année courante. .|43 144 | 7 | 3 | 5 1 3 | » | 1 [33 135 138 [30 [21 RS. 0 RS CO. 0 SR Totaux de l’année. 97 9 33 | 124 A > COMMISSION DEPARTEMENTALE de Météorologie. THERMOMÈTRE | Baromè-| pluie |Evapora-| Humidité NE RE : tion PE Dates. | tombée relative | Maxi- | Mini-| Mo- | à 9 h. | en 24 | en 24 de mum. [mum. | yenne [du Matin! beures, | heures. | 4 à 100 1 |+8 00! -0 80,+3 60] 768 | » 2 6 00!—1 00 +2 50! 766 » 3 4 90|[—3 5040 70! 768 » 4 | 4 20|—3 80 —1 30] 765 » 5 4] <3:00)=—5:10 —1'05 24168 » 6 2 30|—4 50, —1 10| 763 » 7 1 00] —3 50 —1 25] 764 » Le) 3 00|—2 10, —0 05! 763 » 9 9 00|—2 30|+3 35] 763 » 10 10 00|—1 50/+4 95, 763 » 11 10 00!—0 90|+4 55! 764 » 12 10 00! —2 80! 3 60! 759 » 43 | 10 00-92 00! 4 un] 152 my 1/2 14 9 50|—2 50| 3 50! 761 15 | 10 00/+2 00! 6 O0! 754 16 44 10|+1 00! 7 55! 758 » 170! 14.50]40 501 07 50! 195 » 18 15 801+5 00! 10 30! - 756. » 19 45 00/47 OÙ| 11 00! 760 » 20 16 10!+4 00! 10 05! 763 » 21 | 11 50/+3 60! 7 55| 764 ) 22 6 801+3 10] 4 95! 767 0.1/2 23 4 501+1 00! 92 75] 767 » 24 7 501+1 10! 4 30| 768 » 25 7 001+2 10| 455] 767 » 26 8 40/+1 50] 4 95! 762 » 27 5 80|—0 80] 2 50! 764 » 28 4 50|—2 50] 1 00! 767 » )» » » » » » ») » » » » » » » » » » » DT ed +] 16 10|—5 il +3 94! 763 An /m SRE N."R she DE Direction [>] (a Où EE Ent ép] TZ * à > n' a «n° nor re VENTS | - —°e oo es) © On: CRE Ci . Observations journa Vitess| par second} Matin. clair. bleu, Id. lumeux. luageux. | clair. ee. ETAT DU CIEL. A — Soir. clair. de Id. . | nuageux. Id. couvert. pluvieux. clair. nuageux, Id Id. pluvieux. nuageux. couvert. PENT dela mer. belle. faites à la Rochelle. Tem- pérature de la mer | = x Ë © © © © © © © OL OC IDAININIeI D 5 0 © O0 00 & Où OT OT & D) UT UT OT © 9 © © OC © UT 20 CO Ç 20 00 % «© Go ce ce «D «© FÉVRIER 1890. ORAGES, GRÊLE, NEIGE ET DIVERS. SNOILVAUAS4O XAVLIOL D TT mn" “RIOP-UV "0684 HATATA sue povcelsueceeci|-suecreclsuece] ke PES Ut | — | ——— | — — — | —— —— 2 ‘ue F8 0 ‘OICOFTPOUX 39 onbradexsouwurep enbrsruis sffelsre oise . xneJ0 I, - repas | rer S999P 9pP S9SNE) SaJ1n% RO LR rue *SOJUOTOIA Ferre SLUON Sr AU *JU9PI99V ++ SO[ROLSANATUO sUOH9a7Y or. ses atsdor}y Arr neosien \ -o10qn1 Eine sosnonoJeqn --uowupnd 21stuiud SaIQVIVN "1909 9 99ULIEI(T "1009 np*$40 ‘Je | ‘Soistuuosres *naud 9 o714ou04g SHIGVIVN "149499 aixo[dody “sapesodiond ‘jy RE euonenboy AUS *ongqudiq *979 *e---.-dnox) | Sesnorjaoqut ‘"eproyd OJAQLX » Sonbrwuopida ‘aul9[0u") sonbrjowÂz 21117 toureptes SAIAVIVN 2108$n04 "s *O[ONHEA —_ |'SHIAQ A4 SHATIVAIONIUd SASAVI ENIDLE.Q 'TIASNOO DÉPARTEMENT ANNÉE 1 890. de la ; pes. j CHARENTE-INFERIEURE. ue BULLETINMENSUEL “+ vs La Rochelle. DE Météorologie et de Démographie PUBLIÉ PAR LA COMMISSION DÉPARTEMENTALE DE MÉTÉOROLOGIE ET LE CONSEIL D'HYGIÈNE Résumé des observations météoroloziques. : Mois Annéc Phén Nature des observations. Mars. : is précédent.| courante.| particuliers. RS Pression barométrique DOME. . 4 0 0e 0 760 163 162.6 1:92 «Maximum .|+ 21.20 |+16.10 |+ 21.20 l'empérature) Minimum | —7.50 Η 5.10 |— ;.50 Moyenne ..| +8. 13 [+ 394 |+ 6.40 | Vents dominants........ E. E. E. Baulombée ......:. :. 19m/im | 11 m/m | 78 m/m fours ACTE... 10 4 32 Mouvement de la population. Dernier recensement 23,829. | NAISSANCES | MORT-NÉS à DÉCÈS RS D PR OS Année 1890. \égitimeslillégitmes légitimeslillégitmes d en ville. hôpitaux == | M: = Mireluiriulreliulr [= |nulr | MIF Hem au dOIMA41) SD ABS IS LS LA AS el 2 106 Mars. fi au 2019161» |» 1» |» 1» TRS EC M0 MRC DO (ON Maui! 4 | 6 20 24 > AT nt 40) 5) 4 A A | | | | | | | | | | Hour du mois.:117 15 | 2 | 3 1 59 | » | 4 | » | 5 1148 1920 | 7 | 8 Mois précédent. ..143 144 | 7 | 3 | 5 | 3 | » | 1 |33 135 138 |30 121 Année courante..!60 155919161513 171387159158 7157 129; Totaux de l’année. 134 10 38 or COMMISSION DEPARTEMENTALE de Météorologie. THERMOMÈTRE | Baromè- tre Dates | | Maxi- | Mini-| Mo- à9 h. | mum. [mum. yenne mr | ms [1808 4 |+4 50|—6 00 —0 el 167 9 |-+5 00[—1 00) +2 00! 758 220012 50|—3 25/0467 2122 00!==7:50|=9 75 2708 Bb. |-L9 70! 0 00!+4 85! 765 6 !11 20] O 00! 5 60, 763 ñ 43 00!+2 80, 7 90, 763 8 41-00) 4-80]. 7 98/0762 g | 42 60|+2 00! 7 30] 759 10 SAODIE 1800) NO NN 41 19 90!ET 00) 74580778 12 44 00147 50, 10 75| 772 13 44 70] 4 00! 9 35] 765 14 16 00! 1 20! 8 60! 760 15 15 00! 4 20! 9 60! 757 16 49-10): 1:50) 8/50) 745 17 1840 MOD ETS )ENTTS 48 42-2017 14 9045 39 | 10 50] 2 00! 6 25! 747 20 | 411 60! 4 50! 8 05! 754 91 142 60] 200 730| 753 99 |.13 00| 400! 85 | 758 93 45 40, “5:00! 40:25 461 94, 122001 7:00! "OI50 MST 95 | 12 40] 5 00! 8 70| 748 96 13 00! 5 90! 9 40! 763 97 | 18 90| 8 10! 13 50! 767 og | 21 20] 7 50! 14 35| 765 99 | 19 00! 7 50! 13 25| 764 30 49 90] 8 30] 14 10| 762 31 | 20 50| 8 00! 14 925] 61 21-20|—7 50| 48 : 760 Pluie tombée en 24 du matin Dares jm /m 1/4 1.1/2 Observations journafk Evapora-| Humidité tion en 24 heures. VENTS Direction NZ pu. MU. moo pp po ün a DA PR SUN sum | Vitessi par M second! NOR UeOLNOOCORRENOROENEeR 'S ot = Matin. IMETAT DU CIEL. A — Soir. couvert. . |nuageux. clair. couvert. Id. clair. couvert. clair. nuageux. Id. clair. pluvieux. nuageux, Id Id. pluvieux. Id. nuageux. ETAT de la mer. calme. belle. Id. houleuse. belle. >s faites à la Rochelle. Tem- pérature de la mer © © © © © D LO (O CO 00 20 LO O0 CO CO OC O0 O0 CC GO 20 GO CO OC I > OT UT I CO D © © 1 © O7 © & © 1 0 L2 CO GO CO CO CO D'OAIO ID IAIOUNO XO COTES ORAGES, GRÊLE, NEIGE ET DIVERS. LS ID I £ à 1 IQ le OR ST € GUÉE D dort Pe "Nr XneJOI, ? { ——— | ——_—— Ve | Le QE EPS ANG £ Pole ee C8 Et S999pP 9P S9SNE2 S01/NV = = D | À — | = Le" opormoy 1 FT AN ESP ee PP ES pIOIS PRE En a ee EX FD 2 a ENT a ss ee. —— PS à) l'O E Ce C CC JUYPI99Y —{-{—-{-t—-t— ll — | — L— | — ft" 7 soçmoi$maup suonsogy L BF me. = + zut Er CES En Fer re ee ==, } ee ...... aisdoiy}y il a .._# Fa Ez: ae re EE es = :E = LA = ER, (OISE PC CRT NeOIIP") L | il EE ee | —{—-|—-1—|— | — | — l'owqmasumun | eus spas | A ces SHIQVTIVN | Al —{—- —-1—-|-1—|— 1 — 1! — f'uoupmd as {t-il — | — | — | — l'oggue jo ooquuq s Le | —l:r —{—-|—-{—-|{—-{—|— 1 — | — l'anwonp'So"pem ( ‘soxgaiuuosres e AT G—-l—-) —|—-|—|—|— | — | — |'noudyoopuouoig SHIGVTIVN M TE {| | —-|——— — | — Lagos oixodody — {lt -{—-t—-{—t— ——| — | — | — fsopergdiond ‘yy 5 | M NE NME he oyrnjonbog RS TN OR ES RS ES en Ru DR, MES : SE SE HUIT * ‘279 A ES — | — dc. ‘duos | “sosnarpoaqui A RE EE Re ESS SEEN Er EP Ce MS RS en pied t OIAQLT > Sonbiwopida A A = NME A rt auL 191047) sonbrouÂz tt — À — = = À — d:-.... AUIJEI1EIS SYIQVIVN le Lil Ve TER NN linge 0 Canon Éd En xs ES En ee en ÉÉ Dee: Cu dr) = en Meuse der ersie.e O[OUIEA S alnlaln ain lzaln ln lanlun SNOILVAUASTO D |__| 2 —— À | | — — | SHIAQ AG SHTVdIANIUHd SASAVI S. | “epop-uy {sue oovGelsurcevecr|l'sue cr ecl'sue e e jl'ue eo EEE ——_—_—_—._. ‘OIVOTPOUT 39 enbrudexsourep onbnsnus ER "0631 SEVN ; ANAID LH. 'TIASNON DÉPARTEMENT ANNÉE 1890. de la CHARENTE- INFERIEURE, cm BULLETIN MENSUEL «im | DE Météorologie et de Démographie PUBLIÉ PAR LA COMMISSION DÉPARTEMENTALE DE MÉTÉOROLOGIE ET LE CONSEIL D'HYGIÈNE | … Résumé des observations météorologiques. Mois Année Phénomènes D observations. ue précédent.| courante.| particuliers. Pression barométrique IMONOMNE eh... 5 0. . 757 760 761.2 (Maximum .| 20.50 | 21.20 21.20 l'empérature)Minimumn | 1.40 j— 7.50 |— 7.50 Moyenne..| 10.92 8.13 7.53 Vents dominants........} S.E. E. E. Bamiombée . ....:.. .. 30m/m | 19 m/m 108 House pluie. ........ 10 10 42 Mouvement de la population. Dernier recensement 23,829. NAISSANCES | MORT-NÉS : DÉCÈS Année 1890. \égitimeslillégitmes|légitimes|illégitmes |. M F me M F À F SP tea dONS INT Avril. ju au 20! 7 | 7 2Urau 20, 6 | 4 Totaux du mois..l21 |18 Mois précédent...160 159 | 9 1 138 153 158 137 [29 Année courante..!81 |77 |12 57 |65 [74 49 135 Totaux de l’année. 180 COMMISSION DEPARTEMENTALE de Météorologie. THERMOMÈTRE SE —————— Dates. | mum. |Mmum. 20 50| 1 40! 10 92 4 11700! 5 50! 41 25 9 |1950| 4 00! 11 75 2 |17 90| 5 50| 11 70! 4 | 16 50] 7 20| 11 85 5 | 47 00| 3 50! 40,25 6 !16 00! 3 50) 9°75 7 |1400| 8 50, 11 95 8 |10 70| 6 30| 8 50 9 | 13 50| 3 50! 8 50! 10 | 13 50] 450! 9 00 41 14 00! 3 50! 8 75 39 | 14 50| 3 00! 8 75 33 | 20 50! 2.50! 11 55 14 | 18 60] 1 40) 10 00 15 | 16 60! 7 00! 41 80 16 | 18 30] 7 00! 12 65! 17 | 17 20] 6 00! 41 60 18 16 40] 8 80! 12 60 19 | 16 00! 8 00! 42 00 90 | 15 50| 7 00! 14 %5 21 | 16 40 5 00, 10 70 99 À 17 50| 8 10| 12 80 93 |15 80! 9 30) 12 55 94 145 301 10 30! 12 80 25 44 50J 8 50! 11 50 96 15 00! 4 801 9 90 97 45 00! 3 50! 995 928 45 80! 2 80| 9 30 29 19 00! 3 O0! 11 00 30 49:20). .:7 20) 43:20 Baromè- tre Maxi- | Mini-| Mo- | à9 h. 761 758 757 759 762 763 160 751 Pluie tombée en 24 | . yenne du matin| heures. NO -1 © de RE S Rs © © © ès ee [Ne] 30m/m » Observations journal Evapora-|Humidité tion en 24 heures. VENTS Direction S. E. (lt | | Vitess| par x 2 secondé QO (en) clair. [d. nuageux. #clair. } couvert. Id. id. nuageux. couvert. Id. nuageux. Id Soir, clair. nuageux. oluvieux. Id. Id. nuageux . pluvieux : Id. nuageux. pluvieux. Id. nuageux. clair. nuageux. couvert. nuageux, Id. couvert. nuageux. pluie. . | pluvieux. Id. nuageux, Id. Id. id. ETAT DU CIEL. houleuse. grosse. houleuse, belle. calme. belle. Id. Tem- pérature de la mer = SOS OO OOOSSOCLO FR > HD > à ù Hù à Or OO[8DDDHDOO-I1DONOES = OCOs= © 0 = ND DO LE 11 AVRIL 1890. ORAGES, GRÊLE, NEIGE ET DIVERS. | Le 10, orageetgrêle à À h, du s. venant du S.0 Le 14 orage et pluie torrentielle, à 1 h. 3/4 venant du S. E. I _— — — e A A MCE" Tisd *S999P 9p S9SNED Sa1nV | EAP HGMIPENRE l | ne Re RE RO TAN | PR DL Ps era JU9PI09Y SLUON DR ET ER EC Rare PORN er, | OC OURS) Aer Que, UE ALTUCUE SUOIJ29}Y € Per 7 Le PE ee nr" + ar an‘ EE, z l aie sie see is » nie see eus 5-0 aisdo1}v nr lle io DE ns) RER os 4 ” Æ 4 si ns a *Sosna/n9219qn) ===) == = F4, EN DE ; PLUS s à Re rl DR En ec Re VE CN nt ane S4IaV1V A A PO D ON IbItT l I pe EN ee neo np'$410‘[eX ( ‘Soigiuuosres e — | —|3 |e —{—|[—|— |; — Î1 y l'aoudjooyrpouoig SHIGV'IVA viril — À — | — L'agoago orxordody tt — | — | — | — l'soçexoduond ‘y \. RS Des ARS) ne ARE CoaeS EURE, a Poe Vs | ner) nr oypnjonbon ER ete RQ REC EU RE Pt en) | rl Lodel! Ine ; “emyudi{ *279 ne LE ee ES nn ler "ass ed S9SN9IJ29JUL 2 IUT th ler SA, DES) Mens | 2 pe rot 9JAQLUT » sonbiwopida SN ER DRE SL Re PU QU eee LR be) ed roro à aulH9[0y") sonbrowuÂz D) RE ER PAR ARE (| eee, NM) ete ronde, Poe Due ms (CET UEC AUIJE[1EIS SHIAVTVN I ‘Eh >” lé, 2. de — ie: LP ee 'o L ei *****°*9[098n0Y EEE, affe en” As ax En DES ER 2 Es REA ère CE ..e "O[OHBA Sul dub a ler d'a mob ox nd)" SNOILVAUASHO a ont DS DS TT — | "SHJAC 44 SHIVdIONIUd SASAVI 2 | eep-ny [sue oovcelsue cerf sue er ecl'suec e 1] ‘ue 1e 0 ‘OICOrPoUur 30 onbrudersowrep onbnsr1e1S *OG8I TIHAY | ANYIOXE,Q TIASNOO DÉPARTEMENT de la CHARENTE-INFERJEURE. La Rochelle. BULLETIN MENSUEL ANNÉE 1890. N° 5 MAI. DE Météorologie et de Démographie PUBLIÉ PAR LA COMMISSION DÉPARTEMENTALE DE MÉTÉOROLOGIE ET LE CONSEIL D'HYGIÈNE _ Résumé des observations météorolosiques. Phénomènes s : Mois Année Nature des observations. Mai. 1 | précédent.| courante.| particuliers. Pression barométrique MMOMENNO UE ee oo e ee 158 197 760.7 {Maximum .| 29.50 20.50 |+929.50 r'empérature)Minimun Ni "9:00 1.40 |— 7.50 Moyenne..| 14.17 10.92 |+8.86 Vents dominants........| S.E. S.E. E. Haufombhée........ .. 52m ;m 3um/m | 460m/m jours GET DITTORRRRNRERE 13 10 55 Mouvement de la population. Dernier recensement 23,829. NAISSANCES MORT-NÉS e DÉCÈS Rd | Re. + EE d —_— | Année 1890. légitines|illégitnes légitimes|illégitmes | & [en ville. hôpitaux niriuirlulrlulr=lulrlnx | F 4er au A SIMS TON AE » » | » » DEAR AIT SR IPENNTNO Mai. ju au 20 GNU MINI SAINTES) ARS ON ADM NOR) PDA SIMON IN EI NI RIDE ES) See] TO Here lg Totaux du mois..l17 15 [2 |» |» | 11,» |, 15 21 |17 10 | 4 \ois précédent... |81 MD 0RIONN CUINS NON ON 7 GS IN ANSE Année courante..'98 192 114 |10 | 6 1 4 | 2 | 4 |72 186 191 SON'S0M OS CS SR 0 Totaux de l’année. 214 72 268 COMMISSION DEPARTEMENTALE de : Observations journa | Météorologie. THERMOMÈTRE |Baromè-| pjuie [Evapora-[Humidité VENTS | es tre tombée PATT Dat tion | relative ates. > Vitesse Maxi- | Mini- | Mo- | à9 h. en 24 | » 94 en? d DL £ Direction! par | | mum. [mum. | yenne fe matin! heures. | heures. | 4 à 100 Secon TR 4 | 49 00! 6 70| 12 &| 758 » SE 0 67 9 | 419 201 8 75) 13 97| 758 » S.10: :|' 0.498 3 | 419 50| 8 00! 13 75! 760 » S. O. 2 16 4 |1995) 8 20! 13 72| 751 » E. 1 98 5 | 149 00! 8 90! 143 95! 752 |2m/m 1/2 N.E 3 20 6 ! 18 95| 6 30) 12 62| 753 1e x S. 0 36 UM AS 65] : 7.10 15 17) 0. 1/2 S. O 0 20 8 |17.50! 5 50! 11 50 753 » SE 0 62 9 | 19 00| 8 10) 43 55l 750 DE FU S.E 0 81 40 | 20 40| 6 95! 13 671 749 1. 3/4 N. E. |:-0 98 44 | 18 50! 6 00! 12 9%5| 749 6. 1/4 SUR: 0 33 142 | 18 50! 5 00! 11 75| 751 ee NUN:E. |: 4 82h 43 | 1845) 9 50! 13 97| 754 Ps N. 5 70 | 44 | 18 50! 10 50! 44 50! 761 » 0. 3 524 15 | 17 50| 6 00! 41 65! 766 » S. E. 1 264 16 18 00! 8 80! 13 40! 61 sn E. | 0 69 | 17 | 18 00|-10 00! 44 00! 757 SR ND calme. | O0 94 48 18 00! 8 10! 13 05| 759 4 » variable.| 0 17 19 | 17 50! 40 401 13 95| 753 de h SE. ‘4201 90 | 17 00|. 9 40] 13 20! 757 » S.-0. !fL 9 40h 21 | 18 00| 6 00 12 00| 765 1. 1/4 S.E. | 095 99 | 22 O0! 8 20! 45 10] 765 ) E.N.E. | 1 01% 93 | 26 00! 40 50) 18 95| 763 » E.N.E. | 1 461 94 | 26 501 13 50! 90 00! 758 » E.S.E. | O0 42 25 | 29 50| 14 00! 21 75] 758 6e 0) 0. 0 91 96 | 19 50| 12 50! 46 00! 759 5... » NO: | 3.05% 97 | 19 10! 41 00! 45 05| 758 » S; E. 144 2 | 18 80| 8 00! 43 40] 757 1, 3/4 N. 2 61. 29 | 18 60] 5 50) 12 05| 766 » N.N.E. | 1 39 20 | 149 50! 9 10! 14 30| 766 » N. 4 21 9 21 20| 12 80! 17 00! 767 » N. 0.424 29501025 00! 14-1758 D2m /m S. E. 1 44) a ——— ETAT DU CIEL. D Matin. Soir. Id. Id. Id. clair. Id. couvert. nuageux. pluvieux. pluvieux. nuageux. pluvieux. ‘Couvert. nuageux . pluvieux. nuageux. nuageux. Id. pluvieux. pluie. | nuageux bleu Id. rumeux Id. couvert Id. ETAT - de la mer. Id. calme. belle. Id. calme. belle. forte houle. calme. . [petite houle belle Id. Id. sS faites à la Rochelle. Mar 1890. Tem- ORAGES, GRÊLE, NEIGE ET DIVERS. pérature de la mer Le 9, orage vers midi 4/2 venant du S. E. RE CO LÉ TD OT OOU-IUODNAINIR OUIDON ee E O1 O OO CE UT =I réf G 6 G je G (i neo Na ST AVG } (4 Nue ire DZ dre) ar) ES de 0 de mar, La a) ul Re Re En ur MU ( ne ra es ICE male te.| & mis leg de. led ee 7 nr } > lle) A ES on 1e 619 Mn ESS 7 el de à L ERA ne dot Per > ae NE 2 VON G r “54 9 G (2 [/ ce ES pee LE RE D DUR r LUE PT] ane er di Mr te) Léne BALE | 1 an CA Er o G ne Let ER PR MA EE AR are ail (2 CR LE } 5 0 el a er Durs ane Mr MAN RE A LS G A el Folie = ë In 4 N aln 4 KN 4 N 4 N SNOILVAUASHO PR En ne RS ES ES 3 “VI9P-NV [SUP O9 GEISUE GE PGII-sue CT 8 Gl'sue ce [| 'UB Ie ‘OTCVOrTPOUT 30 onbrudezxsoursp onbrisr1v1S "O68T IVA HEC AE xueJ0 J, **S999P 9p S2SNLD so4/ny ++" 9PIOIWUOI] *SJJUO[OIA FER Eee aploing l ...... JUYPI99V SLHON se... ** SO[VOISINIIUD SUOIJ99]]V eNsrele avoir s 5.19 CHOIDIC NO TC aisdoiq}y S2SN9]N9219 qu) "949407 9}ISULUYIN rs ‘‘uowuqpnd aistq}yq ‘I9JU9 9 29ULEI(] “1N@9 NP'$10 "[eJj ( ‘soigiuuosres ‘naud 39 a}1qououg SHIGV'TVI ‘149499 aixa|dody ‘sopesodiond ‘jy D SN ey?rnjonbo) : sosie aLtoJudi( ‘919 RSR *‘* dnour SaSnalj2aqut ‘‘eproqdA} oxagix » sonbrwopida MRTEP ER auLI9[0y) sonbrowÂz SES AUIJE[1EIS SHIAV'IVN .…...... 9[09SN0O Horus 9[O1IEA —-—— |'SHIJA( AA SATVAIONIUd SASAVI RE ANTTIAE.Q 'TIASNOO - be D ot hidrinilé ES [l re DÉPARTEMENT ANNÉE 1890. de la CHARENTE-INFERTEU RE. ma BULLETIN MENSUEL ven DE Météorologie et de Démographie | PUBLIÉ PAR LA COMMISSION DÉPARTEMENTALE DE MÉTÉOROLOGIE ET LE CONSEIL D'HYGIÈNE Résumé des observations météorologiques. Mois Année Phénomènes Nature des observations. Juin. 2 à précédent.| courante.| particuliers. CS AE ARS EE ER EE Pression barométrique RP DNE Eee ol. 766 158 761.5 +: Maximum | 31.50 29.50 31.50 lempérature) Minimum +795 +5,00 |[—:.50 (Moyenne. 17.55 14 17 10/5107) Vents dominants........ O. S.E. Des. au fombée ........ ..| 38m/m | 592m/m 109: Heursepluie .…........ 10 13 69. Niouvement de 1a population. Dernier recensement 23,829. : = NAISSANCES MORT-NÉS DA] DÉCÈS | , ER dl TR cp fee "0" HS g Re CG hs Année 1590. légitinies|illégitmes légitimeslillégiimes | & |en ville. hôpitaux = ! = Sa NES EEE ledau d0192%105 10) », ea » AO SO TETE TT] Juin. 1 au 20 10 7 Î 4 » » » » D 3 5) 4 L Mu O0) SO SEL DAME SUR QU SUITE Puel — —_| mm | me | me | mm | mms | —— Botux du mois..| 30| 19| 4| 91 1 | 4 | » | 4 | 20 à VALUE 7 Mois précédent..,.| 98| 92! 14] 10! 6 | 4 | 2 | 4 | 72 52| 39! \nnée courante. .11281111| 18] 19! 7 1! 5 | 2 | 2 | 92 02100! 12 55! 46 RTE — pe —, | Totaux de l’année. 269 16 92 313 EEE a ————_—_—_—_—_—_—_—_—_—_—_—_—papapZapZEaEaEaEaEa a ————————————————————————— COMMISSION DEPARTEMENTALE de Météorologie. Observations journa THERMOMÈTRE |Baromè-| pluie |Evapora-[Humidité VENTS TT er tre tombée Uon | relative par | < | 19 2, en 24 Mo | en 24 de Direction ll H . : du matin} heures. | heures. | 4 à 100 Maxi- | Mini- mum. |mum. |yenne 1 | 91 00! 10 50! 45 75! 767 ) N.N.E.| O 82 9 |920 50! 7 25] 13 S7| 764 ) calme. | O0 651} 3 |-90 00! 7 90! 14 95| 764 | Omyw]/2 S. E. |. 0 941 4 | 23 10] 12 00 17 55) 763 0. 4/4 N.E. | 0 # n | 91 45| 14 40! 47 92! 766 : 0. 1 44) G |! 49 75] 43 90] 16 83 767 |9m/m » 0:01 M 7 | 29 00! 11 75, 16 87| 770 » N. N. O.! 3 8 | 22 25) 40 O6) 16 13) 768 | 0. 3/4 E:S.E-.| 10 9 | 26 70! 10 00! 18 35! 768 » E. 0 10 | 21 50! 15 00! 18 25, 759 0. 1/2 S 1 41 | 21 50! 13 10] 47 30! GI ) 0. 4 12 | 21 93) 11 00! 16 13| 761 5. 1/2 0. 5 43 | 19 80| 10.50! 15 15| 762 À. 0. N. O.| 6 4 20 NU). 70.85) 14 0 TC NII ES ÉeN.E 15 291001 "29: 0015 50) » NE. 5 16 24 15] 8 00! 16 08! ‘69 » calme Î 17 | 25 10! 12 00! 148 55) 766 » brise. | 0 19 22380178 %01"1865) +768 » O. 2 lo 02219) 161) 19 68 | 168 » N.N.E. 2 2 | 926 00! 10 85| 18 42| 768 » 1 94 ! 26,50! 12 10, 19 30] 3:65 » { 99 | 25 £0| 11 50! 18 65| 767 $ 0 93 | 24 v5l 19 Q 18 60! 768 » 1 94 | 27 70) 13 O0! 90 35| 768 1 25 | 31 50] 13 45] 929 47! 767 » 1 96 28 00! 16 (0! 22 00! 764 » 0 o7 | 24 40| 15 75| 20 08! 763 1. 1/2 9 où | 21 00! 13 00! 17 60| 763 AUS 9 99 | 21 60! 10 00! 15 80| 763 » 4! 3 | 47 00! 44 00! 15 50| 761 10: “y 9 | 9160117. 25! 47:55 LT Es A Sears 17 766 33m / m } : JUIN 1890. 8s faites à la Rochelle. ETAT DU CIEL. s | “ETAT Tem- F | de la ORAGES, GRELE, NEIGE ET DIVERS. ! ; pérature Matin. Soir. mer. | de la mer | couvert. clair, belle. 15 0 | Huageux. | nuageux. | calme. 16 Ù orageux., | clair. belle. 16 O | clair. couvert. Id. RE brouillard | nuageux. Id. 15 5 | pluie. |pluvieux. Id. 15 8 | auageux. | clair. Id. 16 0 De It. Id. calme. 16 0 ‘orageux. Id. Id. 16 5 IN Id. nuageux. Id. 16 O0 muageux. | pluvieux. belle. 16 0 | à grains Id. houleuse. { 15 0 [Le 12, orage à 1 h. 1/2 du soir, venant de O. couvert. Id. Id. 45 0 |Le13,orage à 5 h. 20 du soir, venant de O.N.O Id. nuageux. belle. 15 8 | auageux. Id. Id. 15 0 clair. Id. 14: 15 5 nuageux. Id, calme. 16 0 wouillard Id. belle. 16 Q couvert. ide Id. 16 0 blen, clair. calme. 16 5 Jd. er Id. 17 0 Id. Id. belle 16 4 clair. Id. calme. 16 8 auageux. Id. Id. ds bleu. Id. Id. 475 Id. Id. Id. 18 7 rouillard | nuageux. belle. 18 0 muvert. |. Id. Id. Pr 0 luageux. Id. Id. 17 6 luvieux.| pluvieux. | houleuse. | 16 2 TEE Er S999P 9p Sosnv2 so1ny RTE re | *SOIUOTOIA SA SLUON Eire JUIpPOOY L Fred ** SO[VOISANIIUO SUOIJ29]}V sms. aisdoiy}y *249qn7 2}LSULU qn1 oHOUTU9 NA SHIQVIYN APE FROSIE) *S2SN9]N919 qu} ‘‘uouwupnd aistq}yq “IQJU9 J9 9PUMEI(T ! “1009 np'610 {8} ( ‘souoruuostes ‘noud399JIqououg SHIGV'IVA * 149499 o1xa1dody *“sopeaoduiond ‘y rh oy?njonbo9 | een otjydi ‘079 A D PC dno4r) | SOSNAIJIOJUI *‘eproqdA7 a44atx à sonbiuopido A Ee auL19[0u") sonbrjowAz PRE AUIJE[IPIS STIAGVIVN .…...... 9095004 RE 2[OLEA 1 Fsqoaa aa saivaronna sasavo TO SNOILVAUISHO xavio| PACE I PSE sue povaefsue ccecrf-suecyeelsuec ve 1] ue 1e 0 ‘OICOIPOUX 39 onbrudexrsouroep onbris11821S ENTIDLE.Q TIHSNOO DÉPARTEMENT ANNÉE 1890. delta. BE CHARENTE-INFERIEURE. me QUECETINMENSUEL FT ONE La Rochelle. DE Météorologie et de Démographiz PUBLIÉ PAR LA COMMISSION DÉPARTEMENTALE DE MÉTÉOROLOGIE ET LE CONSEIL D'HYGIÈNE Résumé des observations météoroloziques. , ; Ê Mois Année Phénomènes Nature des observations. Juillet. . : précédent.| courante.| particuliers. Pression barométrique | ROME eo. 0 le. 763 166 761.7 (Maximum .| 30.50 DH O0 | ESI SU Température;Minimum .| 9.00 1.25 |— 750 * (Moyenne..| 18.25 17.55 11.44 | Vents dominants........l N.0. oO! E. BAMEDIDbÉE:. ....... ..| Sam/im | 33m/m | 297m/m Jours MÉDUIE: :.... 217. 42 10 17% Mouvement de la population. Dernier recensement 23,829. : NAISSANCES | MORT-NÉS c. DÉCÈS ' A | | L Année 1890. égitinieslillégitmes|légitimes|illégitmes | © [en ville. hôpituux heure lu)r wie le) ader ur me | mon | œoumms | eueumes | cmemmme | | anne | mur | ame | mms | ms nn | 2 4 4er au 101 9 | 211 » » » » » 4 | 6 l a | : niet AO! ON oo D COIT AR NE TE NET MR ZONE EN NET 3] SON 1 A DOM NT URI SUIS 20 au 31, 8 | 4 | 2 Fotaux du mois. .| 23) 11| 4] 4] » | 1. 1 | » 121) 17.10; 8,8 Mois précédent... 14281111! 18] 12) 7 | 5 | 2 | 2 | 92/100/112, 55) 46 Année courante... 1511122] 92] 16) 3 1 6 | 3 | 2 |113/117/192! 63] 49 PR ES CC A Totaux de l’année. 31 18 AU DO COMMISSION DEPARTEMENTALE de : Observations journd4! Météorologie. | RS. EE Q 1 Re. Dat ie tombée | Ton. | relative ates. | Maxi- | Mini-| Mo- | à9 h. | en 24 | er %4 + | Direction par S | mum. [mum. | yenne dû Matin! heures, | heures. | 4 à 100 F | second] is À CRE ENLLENES i PETER RCERTENEERONESS à | 49 00! 10 00! 14 05! 753 liGm/m » 2 | 20 00! 12 10! 16 05! 760 c DR » 3 21 20| 13 00!, 17, 10% . 763 15 » 4 21551249 50| 17 52 402 1: » b |:20 30| 135 00! 16 65; 59 0.-1-/2 6 49 60! 11 00! 15 30! 760 ; » 7 24-601. 9600 [830.700 ÆNe THERMOMÈTRE |Baromè-| pluie |Evapora-| Humidité VENTS 8 | 22 00! 14 O6] 18 00, 760 pes : JUILLET 1890. S faites à 1a Rochelle, A — ETAT = Tem- : . de la ORAGES, GRÈLE, NEIGE ET DIVERS. . pérature tin Soir. mer. | de la mer ms | oeneneeneen OR NET SD AE CET EL PE CNED ER là grains. | pluvieux. | houleuse. | 47 ( r nuageux, Id. 16 8 Fa belle. 1685 Id. houleuse, 16 0 Id. Id. 16 O0 Id. belle. 16,2 Id. Id. 11005 Idée grosse, 1 er Id. belle. 16 9 Id. Id. 16 6 Id. houleuse. 110 Id, belle. 16 5 (62) © luaseux. | nuageux. Id. SEPTEMBRE 1890, ORAGES, GRÊLE, NEIGE ET DIVERS. | *OGSI TUTNALAIG A | “vrep-uv | ( | y ré | ITR | e « « Ï ce (0 TIRE EERTIP TO; A) PA PE ETS SENS PRE CORRE TP | ee NIEz | z [ | | —|—|— |: & |9 |''''°"""s999p op sosneo soumny AE AE RL Re een Li] PNR et Peu SLUON | mn Ds er en SU OCR °°" FU9POV | ns ee ages ne | ——{—t | — | — | — |" :" soppolsandig Suor99}y DA RER EE EPS z G sossossososssssesse arsdoiq}y | ed nee Et ne. a RE) | le | + En EE Pen ES om uen | junte liee-ee He TRS SaIQVIVN ET en RTE Lu otind ei D re As Na Cou ne Re ge | 9 lagiue je eoqueiq z L'Alree REURE | he | = | — l'inoonp'éio "fem | “Ssraluuusres AE SA RS A — | — J'noudjeo7rqououg SHIGV'IVN (AL RS ET RE 0 ES ET En ma no SUR VE À Den PRET DE | han) pe ON 'soodieandey A LC 2 Ojonb os) LE. 2e à PRET RS De | Se nf Ce se Si SAONE oH9Jqdi ‘219 DS Re A ES en En Ur ee, — | — Nc": "dnouy | Ssesnorjooqut {t-il -|— | — | — | — |) — j''oproudfj ouai » sonbiuepida | ER Que | f —{—{ —|—- 1]; — gr pire ‘eur 190") sonbrouÂz A A Le PES ER D SR one no re STIAVIVN D RES qi S - | V— | — | — |':°°°:""ej006n0oY =. = 2 44 D à ANT re > LE RAT 1 PAS = Doc OO N (es SE [ÉLes ALSREERS (CREER et me Cness cases | ur RS d | Nu | 4 | N | a4in EE I EE EE VIE d'OS CE nl rm Ve _— | —— | —.:— |SPATAQ STIVANNIIA SASAVI SUPOOLOEUECAREC IS C VIGNES RIRE) ‘OICOI Doux 39 onDIuduxsoUursS D onbrisr1t1S ANTI9AH,Q'TIASNOQ DÉPARTEMENT ANNÉE 1890. de la CHARME -INPRIEURE. BULLETIN MENSUEL N° 10 OCTOBRE. La Rochelle, DE Météorologie et de Démographie PUBLIÉ PAR LA COMMISSION DÉPARTEMENTALE DE MÉTÉOROLOGIE ET LE CONSEIL D'HYGIÈNE Résumé des observations météoroloziques. : Mois Année Phénomènes Nature des observations. | Octobre. 5 Ç précédent.| courante.| particuliers. Pression barométrique HOME... 15 de. 766 766 762.55 (Maximum .| 22.50 27.50 [+31.50 Température) Minimunn .[+ 0.00 |+1.» |[—7.50 Moyenne ..| 12.20 16 83 12.77 Vents dominants........| N.E. E. E. 1 An /m 317 Hautombée :......41... 23m/m je 103. Mouvement de la population. Dernier recensement 23,829. NAISSANCES MORT-NÉS ; DÉCÈS > RS RS SC Année 1890. légitimeslillégitmes légitimes | illégitmes © [en ville. hôpitaux = — = | == nireluiriuilriuir|=|ulr|myr | terau 10! - 9) 4 pal» PAT Lionel SZ gl 4012412 Oetoh 20106! 5 LS sell Pinslrepsl, 9 8|.9 4 |2 ; am ollOOI NS AMONT» à #9 8 5 2 . — —__—.— | — — | | — | — —|— 2115251 28} 79)" 6 Hotaux du mois..| 241 9})°-4! 91 3HS3 hs L1 € Mois précédent ….|2011159! 25| 21! 14] 7 | 4 | 2 [1384162152 76 61! Année courante. .|2251168| 26 23| 171 10] 4 | 3 |159/187/180 85] 67, Totaux de l’année. 449 34 159 519 COMMISSION DEPARTEMENTALE de Météorologie. THERMOMÈTRE |Baromè-| pluie |[Evapora-|Humidité Ho ire ieelene ME tombée | (on | relative Dates. | k | Maxi- | Mini-| Mo- | 9 h. | en24 | en2%4 | de | mum., [mum | yenne ee matin} heures. | heures. | 4 à 100 SR Lt ET UE 4 | 921 90) 42 50! 16 85! 767 ) 9 | 19 70! 13 »| 16 35! 768 » 3 90 » GO »| 710 » A4 20005 5011275 070 » ) 22/50) O0 90! 12507 166 » 6 | 90 50| 8 20] 14 35! 767 » 7 JIMODIM OMS MIE 80! 767 » 8 | 20 80] 8 »| 14 40 767 |Om/m1/2 9 17 Au] 7 50! 12 30! 768 0. 1/2 10 49:90! 3 50! 41.301167 » 44 | 20 50! 5 50) 43 00! 767 12 20850 0 70/15 C0: #769 » 43 | 22 50) 7 50| 145 00] 768 » 14 | 21 40] 9 50! 43 45] 767 » 15 0 MOTOS Se 60 » 16 | 18 20] 9 »| 43 60! 63 Ge 417 16:70 -28 :5142:35|). 166 { m/m 00 48 | 16 »1 11 60! 13 80! 763 4. 1/2 19 13 80 1 »l 40 40 765 » 20 | 1350] 6 40| 995] 766 » 21 14390) 7 30 10 60! 167 » 29 12.30! 4 80! 15.591 4109 » 93 | 11 »l 4 40! 6 20! 773 » 94 | 13 80) 3 80! sp 771 » 95 | 16 50| 6 50] 11 50] 767 » 98 | 10 80] 3 701 795] 757 4. 00 97 8 50! 000! 495! 738 4. 0 98 46 4 O0 O8! 809! 763 » Ï 29 46 4)! 0 06! 8 23| 766 » | 30 | 1620] 5 10) 10 65] 764 6. 00! 31 | 1610) 6 »| 11 &] 61 5. 00! 22.501" 0 ol 12 20! 766 23m/m 00 Direction ROCOHERON=-CR par | DO ODOEDMOIES 0 4 | 8 | 3 0 | 6 9 8 1 | a à | 5s faites à 1a Rochelle, 1 ppp k | ETAT DU CIEL. A Tem- | 4 _dela | : , pérature “ Matin. Soir. mer. | de la mer “pluie. |couvert. | belle. 47 6 Nuageux. | nuageux. Id. 7 5 bleu. clair. Id. 48 0 Bd. Id. très belle 19.9 rouillard. Id. Id. AS couvert. Id. calme. 18 3 bleu. Id. Id. 49 0 Did. pluvieux. belle. 18 7 MGlair. clair. Id. 2125 Id. Id. Id. 17 5 Id. ji LA Id. 18 0 couvert. Id. Id, 17 9 I. nuageux. Id. 17 9 Id. Id. houleuse 17 8 D olii. Id. Jd. 1725 pluvieux. Id li. 130 couvert. IA, belle 1025 pluvieux. Id. Éd: 16 0 couvert. Id. Id. 16 0 D Id. ld. Id. 451 “ clair couvert. Id. 1587 ar clair. Id. 149 D... Id. Id 14 0 Couvert. | couvert. calme 15 O0: uageux. | pluvieux. belle 1504 à grains. Id. houleuse. | 14 8 uageux. | nuageux. agitée. 14 0 Jrumeux.| couvert. belle 43 9 Mid: Id. id. 14 0 Dis. | Nuageux, Id. 14 & L ‘umeux.| pluvieux, Id. 14 5 Eh 16 6 OcroBre 1890. ORAGES, GRÊLE, NEIGE ET DIVERS. £ a ES RE CEE Br (2 met r F SHIRCTE) SE S099p 9P SOSACI:S91MY = AM 4 NW. u N ut A Ro LvR agen 0 : 1e let ep D SE TS TV ON AE de ue À | “grep-ny Îsue povcelsueceecrf'sue cr e ol sûe ç e 1] ‘ue 1e 0 PR DE RE 2) LES PU PR EC PER PP dis mn Een En ete ele ls it. one | rx 1e Le LES + = Fes pe. = 2 == == APR e prenne JUYPI99Y Re ee ee D EE m0 lens) vu Hoi Me Men een Mpo re ** SO[OISINILYO SUOIJI9I]Y L a fée al SA Nas Lu bed 8 a y I ose. ee arsdoauy}y e. nas = es ne” — + —— SE — — Et) His tai [HANR ALES) À Co sue LES : el een rt — | —|—|— Jowqmoéuuyn + re Le: SaIQVIVN y us 0 A L — | — J''uowuqnd aisiqiyq 1e | bel; ge | l'age jo oouaaei | & — {pl — rl —l—- | — | — fomooup'$io jpeg ( ‘sorgruuvsres e En © NT I —{—-|—- || — |— | — f'noudijooymuouig SHIGVIVN ro celte |} — {| —- | —- À — | — l'agiwo orxodody {tt —— | — | — | — 'somaodind -yy Re Re OS St RS RAA Te PR ee On QT LT RG ayrnçponbog RD | St Re) ES ne A QE nn nc || 2 OC US eHpiqdi( 979 l | —-—t—— —— |; LL: *dno4 S2SN9LJ2OJUI CE) PR EE CN PRE PERES QE OR eee EN NT eine on ALL » Sonbrwuopida z {t-il — | — | 3 LÉ Me ‘aul 190) sonbrowuÂz | — RS PP EE Re au1}e[1E9S SHIAVIVA AHHAHÈ EL ac ess ON PS DEN OS On A en ane Al een Bree Lo 2[0HEA | ‘OIUOIPQUr 39 enbIudexsourep onbris11813S "OGST AAAOIIQ ANATOLE. TIASNO9 DÉPARTEMENT ANNÉE 1890. de la . 22 CHARENTE-INFERIEURE. BULLETIN MENSUEL N° {{ NOVEMBRE. —— La Rochelle. DE Météorologie et de Démographie PUBLIÉ PAR LA COMMISSION DÉPARTEMENTALE DE MÉTÉOROLOGIE ET LE CONSEIL D'HYGIÈNE Résumé des observations météoroloziques Mois ae" Phénomènes Nature des observations. |Novembre. | précédent.| conrante.| particuliers. Pression barométrique MIOMORNE ES... cue 762 766 162.59 | Maximum. be 50 |+922.50 |+31.50 Fe l'empérature) Minimum . .|—8.70 )+0.00 |—8.:0 Moyenne..[+8.il |+12 20 ue 84 | Vents dominants........ N. N.E. | ESUAOMDEE . -....... .. Gomim | 23m/m | DK: fé Ipnrsdeplute.....:..... 14. 9, 7. | Mouvement de 1a population. Dernier recensement 23,829. NAISSANCES | MORT-NÉS |. DÉCÈS | ne eo om le 0 me |. ee —. | Année 1890. légitimes] illégitnes légitimes illégiunes | & |en ville. hopitaux a le = — de [MAT ur mir lu FIMIF mms | mcm | mms | usa | mc }— | sommes mm | eme | —— | on ms | label EU En ON; EAN SE: 10 (ES pa 6] Bye Ne re re PEL ENS A IE EEE à. 81 191 Sup | ROUE 5 ONE ro Sn 2 ILES — _—.".Ù— mm — |" | | —— | — Totaux du mois. TO OD|IMEENANRARIES Sn 1 LS AP: 5) A 27 PC ES Mois précédent. . . [2251168 26| 93 151 40! 4 | 3 [159 1871180 85] 67 Année courante. .12351188| 981 241 491 111 4 | 3 |174 2021199! 91| 72 a | Totaux de l’année. 475 37 174 557 | COMMISSION DEPARTEMENTALE de Observations journal: Météorologie. THERMOMÈTRE |Baromè-| pjyie |Evapora-|[Humidité VENTS ER SE tre tombée | tion | relative | Dates. | ua ee Vitess( Maxi- | Mini-| Mo- | en 24 | € de Fbirection par RES MA yenne du matin| heures. heures. 1 à 100 secon D 4 | 46 »| 7 »| 1105! 58 |im/m4,9 N.N.O.| 5 45 21} 15 80| 7.30) 44 551.799 DE pe) S.S.0.| 216k 3 LSNSONUAT UT 9 MOTOR TO N. 4 70 4 14 80! 9.50, 1945/1517 G5+ 00 Of, 2 86 D 41 50! 7 90! 9 70! 153 Mess 2 N.N.O. 4:93 6 | 12 80| 610! 945! 760 >, 1/9 N.N.O.| 4 26 7 13 90| 7 30, 10 60] 753 ARE O.N.0 6 67.4 8 14 40! 6G 80! 10 60, 797 2 OÙ ON-O: à. 12 9 15 30! 6 A0! 10 85 762 16. 00 O% 2 20 10 42 %5 | 74009551 0eS 11479 N. 0 25 à 11 16 4! 2 50! 9 45! 752 Leo O.N.0 2 29 192 44 90! 2 30! 8 €0| 759 9. 00: E.S.E 0 36 43 11650) 3 »| 955| 763 1. 4/2 S.O. | 0 84 14 [145 »| 5 90! 10 10! 763 Sun | SO. «Led 15 17:50| 40 2108 5 2187 07 472 S.E. 0 67 | 16 16 10] 6 30! 11 20 168 » S. & 56 17 12 20]: 7 »| 9 60! 770 » Calme 0-02 48 43 :,»1. 25, 401196051773 » S.E. 0 43 49 | 14 30} 5 04| 9 67| 713 » Calme. | 0 044 20 | 1410] 7 10] 10 60) 773 ) N.E. | 0 00 91 |4A48 »l 7 90! 10 10] 773 » S.S.E. | 0 00 99 | 12 5 6 si 9 62| 710 » N. 1 75% 93 TPS UIMO | 10 »| 766 0. 472 O.S.0. 2 364 94, 4475] 10 401°19 45] 798 » O.S.O. 5 95 95 9 50, 2 »| 5 75| 757 » N. 3 94% 96 | 420—0 03! 92 80| 754 y N. E. | 2 65! 97 DER EMI TES » INC Ets 3 364 08 |—0 05[-7 »|—3 47| 758 |neige 1/2 S. 1 45 99 |—2 »|—8 30/—3 15] 759 ) EN.E. | 3 44 30 |—0 75]—8 70—3 97| 767 » N.E. | 4 39% | ER PRET PP, | D rCRP) Pie SAR +4750|—8 10 +1 11] 762 |65m/m 00 N 2 39 NovEMBRE 1890. es faites à 1a Rochelle. —— — ETAT DU CIEL. ETAT 2 — Tem- : - de la | ORAGES, GREÉLE, NEIGE ET DIVERS. 6 ; pérature Matin. Soir. mer. de la mer couvert. | pluvieux. | houleuse. 14 4 rouillard. Id. Id. 14 6 clair. Id. belle. 14 nuageux. Id. houleuse. | 142 Le 4 à 6 h. 1/2 du s. orage, tempête et pluie Id. nuageux. Id. 13 3 torrentielle. (0) rouillard. 1d. Id. 13 5 pluvieux. Id. Id. 12 8 couvert. Id. belle 13 4 à grains. | pluvieux. | houleuse. | 12 8 brumeux. | nuageux. belle. 12 4 couvert. Id. Id. ES clair. clair. Id. 12 8 pluie. | couvert. | houleuse. 13 0 couvert. Id Id. 13 5 brumeux.| clair. belle. 13 6 Id Id. Id 13 0 Id couvert Id 13 0 Id Id. Id, 13 0 couvert. Id. Id. 13 0 brumeux. Id. Id. 43 6 couvert. | pluvieux. Id. 13 8 clair, clair. Id. 13 G couvert. | pluvieux. | crosse. 135 0 pluvieux. | nuageux. Id. 13 2 clair. couvert. belle 12 2 Id. 11. Id. 9 8 Quageux. clair. Id. 9 0 BId. neigeux. Id. 8 8 |Le 28 neige de 9 h. du m. à 7 h.s. vent du S. clair. clair. Id. 8 8 Id. id. Id. à 2 | me | | | Re se julo | 1 le 9 Enr [ | L LES DES ER RSA Fe SRE: S999pP 9pP S2SNEI S91]NV A nu |: es 2) ES “enuajots 5 RE OUR A 2e NE LS OS Ce ES DS Dors SD PS *'UYDIOOV SLUON x | DA AE, pere er te 4 ét me RS Le ST A dv ed * SO[RalSANAYo SUOIJ99]}V L EE, ner, ES 4 = L 2 FRS 2% tes = Le ER I wa yn: een eo ele "se Se rRN Se eur, aisdoit}V SE CEE RE CRD ARR ARR D, D One Re an US MER SE NUOLIPT) \ G | res l'O | = an 1 — | — Ra bee) *9404{01 918 UtUY IT de mme L | ft et = [= | — | — | — F'uowjod as RP AE ES Reg Fous | 0 ET D nn een ne AN MATIERE EN but 2 IEEE) ee A L | — A Re Es aniens np 2810 “TEUN ( *SOAQIUTUSICS ARE à MER LS | —{—) | —-|—-{—|— 17 | — f'naudyepuuoug SALUV'IVN 6 AE Chile: lentes. ir {| — L — | — agi otxerdodv ce | A ER A oi ol, 1lrsoriiondany SR D ES RS A gl RE PC Eee) AS ay?nponbos PE 2 Re PER CURE" RS ee D RSR Pen es Re) D vHW}qdi( ‘219 1 SE ES D: A TEE CE DE dnour; S2SNOLJIOUI {tt | — | — | — | — f''oproudfjouaux : sonbimoprdo ls SPAS DE PR To NE RE aUr190q") sonbrotufz Sn Re ARS Des nes RAT LAON RES ARS" RC ST ut do SHJAVIVN + Lee 2 = = _ — — _— — — — RE EXP Drag 9(090N0YT | | © L t SNOLLVAUASTO EG UA PR | | —-— SIDA A4 STIVAIINIUd SASNAVI S | -eop-uv sue povgelsuecercil'suecrecl suec e jl'ue 1e 0 Qi ‘orvorpeux 30 onbiuderzSowop onbris1it3S "OG8T HAULNHAON ANAIOLH.Q TIASNO9 de la CHARENTE-INFERJEURE, Re BULLETIN MENSUEL " vésenene DE Météorologie et de Démographie * PUBLIÉ PAR LA COMMISSION DÉPARTEMENTALE DE MÉTÉOROLOGIE ET LE CONSEIL D'HYGIÈNE Résumé des observations météoroloziques. Mois Phénomènes | particuliers. Anué Décembre. Se | précédent.| courante. à Nature des observations. | Pression barométrique ATTEINTE OPNRNENSE 758 762 Féren | ‘Maximum. Brue +17.50 1+31.50 frempérature)Minimunn .1—9.50 1— 8.70 |—9.50 Moyenne..|—0.11 [+08 11 | +11.30 Vents dominants........ E. N. E. HAMAOMIDÉS .....:.... 18m/im | 6G5m/m | 406m/m Honrside pluie:....1.... 4. 14. 121. | a ————————————— Mouvement de la population. Dernier recensement 23,829. NAISSANCES MORT-NÉS mn Re. CS OS PC d Année 1890. légitimes liltégitmes|Légitimes|illégitmes & [en ville. hôpitaux = 1 == a || (CS = ulrluprlulrlulr|élulreluir % HAS lea l0l et AID TOI, ARS 6 GLS Décemb AU 20e 6! OT SE ASIN 6 7] 6 | » Dean os 61. 68304 4e 1 Se 8 TA llanedumois..) 19! 321 31 4! 117921 »°k4 | 40) 20/19: M6| 9 Mois précédent...12251188| 28| 2i| 19| 11| 4 | 3 1174 202 199] 91! 72 Année courante. .|2541220| 31| 9x1 201 431 4 | 4 [184 2991211107 81, | en] Totaux de l’année. 599 41 184 621 COMMISSION DEPARTEMENTALE THERMOMÈTRE EE Maxi- | Mini- | Mo- | UN RU: | venne | +9 » 20 SE u Hl=503|-0151 4 50/-5 »l—0 %5! 3 60|—1 50 +1 05! MS 0 104 04 EG 15. 801 =-245%0:20"06 o|—2 4010 95! EU ER: LO=mO0ZN 0" © UN SO NO 0 + 00 à D) ai de) Météorologie. de 90|— 0 40/+4 95] 80|—2 80] O 00 50|—5 50/—92 50 30 »| +0 50 +4 25 TS IMMO LES ST 30, —92 50) —0 10 95l —4 20 —1 97| me AE) DÉS UE 3aromè- tre ROME du matin en 24 Pluie & © tombée heures. Observations journa Evapora-| Humidité relative de 1.4 100 VENTS Direction] par | NE N.E. Calme. seconde! es EnZan _ Zz Line tn PRE ES | L faites à l1a Itoc1 helle, ETAT DU CIEL. RE | * Matin. 4 Id. Couvert. brumeux. clair. Jrumeux. Tumeux. œouvert. rumeux M Id. “pluie. “clair. Id, rumeux. couvert. clair. couvert. Id. Id. Id. Id. rouillard. LE Sn clair. couvert. nuageux. ld. pluvieux. nuageux. Id. 1d. clair. couvert, Id. Id. Id. clair. Id pluvienx. nuageux. clair. nuageux. Id. clair. Ïd. couvert. Id. Id. nuageux. couvert. Id. Id. Id. nuageux. ETAT de la mer. belle. Id. Id. Id. id. id. Id. Id. Id. Id. Id, Id. Td. Id. Id. Id. Id. Id. id. houleuse, belle Id. Id. Id. lé Id. Id. Id. Id. Id. Id. 1Ù Tem- pérature de la mer OR = RONDE OO ON DO OO © © OO © Mo OS me S © 00 & DÉCEMBRE 1890, ORAGES, GRÊLE, NEIGE ET DIVERS. 79 | nr) EE | 81 | 95106 | 6 |[& | & F | T CCG FE | G XneJ0 IL | or lo Le |+ la | z l—i—l— 1 |[— | — {:"""""""s909p op sosner souny 2, ER. 2 Le mé 2. j LES me PE er L rs ab. = ..... 9PIIIUWOF - | a a nt Me des IPN ee en spin | HU RE RE CE nn as nn pr | OS es FR ue 2 PAUODITON | ER PET, DR US PR MR ee | 0) ol Rs OO ** S[ROISANATUD SUOIJI0]Y as ts LE 2 sn = RS Frs A 24 se) RE ....... 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A | + OBSERVATIONS MÉTÉOROLOGIQUES FAFFES A SAINTES ANNÉE 1890 THERMOMÈTRE. DATES. . BAROMÈTRE à 9 heures du matin. Maxima, Minima. O0 1 © OT ES CO NO = > je SR OO SO COÛOtI-I IO OT Vo NO C0 LS UT @ © cc 00 SSScoeco = JON OCGI Moyenne. Mois de Janvier. Humidité relative de 1 à 100. | Force de 0 à 5. — © © Or tn 2 CoR PZLZRA NZ Z cERFo: _ > OOOSOS OO S10):00 —> © TESTS OS ©O © © © œ n nmnun SNS " 9. le u2 © SENUEeNNNÉeRNÉÆeNNeNE=ReeRREE — ROME HE NO RO OQONUCOO0-I0© . AS nnO© e\æl n° ci Oo - Eve = 2 Cr [ES © [se PA som SE PH=NeNrs 22 AAAZ [ea En De [en| BAROMÈTRE CDAIDCER CN —= THERMOMÈTRE. Maxima, 10.02 10.02 10.03 11202 13:02 15201 11.02 16.00 14.09 12.05) | Minima. Humidité relative de 1 à 100. v Movenne, ÉTAT =r S - Mois de Février. (Suite.) —1.07 — 0.00 -+0.03 — 0.07 —1.00 —1.02 1.00 + 0.02 1=00 2.08 2.07 4.00 7.00 ».01 9.04 2.00 — 5.05 — 4.06 —3.04 —5.07 —5.02 — 4.09 — 2.09 — 2.03 —1.00 me pm, — 2SS25%0e > I © © 1 © Où O1 Or Or Mois de Mars. 89 > pe be ONDOSR 10 OH O © Où NI © © OO © —— | ———_— | ————_— | ——— | —_ ——_————— > => > = DOOITAUOO&ONUNOUC DO VENTS. 10 -& [æ) = Direction. [ md bee jee lde md mb fe - THERMOMÈTRE. Humidité relative de 4 à 100. du Mois de Mars. (Suite.) +0.07 6.07 1.07 6.01 90 un 21 4.03 7-95 5 A0S 9:95 8.07 4:12 6.03 9,75 4.09 8.25 6.05 10.04 7.05 9.35 8.05 14.15 9.02 14.05 10.08 15.65 1.79 6.54 8.07 14.75 8.00 11.09 9.08 15:02 5:02 IP:0à 5.07 10.95 4.06 10.03 10.00 12.06 7.05 4495 3-07 8.55 AUX 1.45 3.01 1:05 9.02 6.05 3.00 1705 8.05 4195 8.07 42 "25 7.09 10,55 6.04 12220 8.00 149 9 03 8.04 8.05 10.75 6.06 10.95 7.04 12:49 8.04 13.00 10.03 13.06 10.02 12:85 6.08 10.75 4,08 7.08 81 85 85 78 86 90 79 85 82 60 66 75 74 > > WmOOOCSELS OO 1 FE = 2 => = SOON S OO © w © DO JO IQ I D RE VENTS. | Force de 0 à 5. 1 SAUE 2 SO 2 O. 1 SO 2 E. 3 Si 9 0. 1 0, 1 E. 1 S. O. l A 1 N. E. 1 NO 1.04 2 N. E. 1 Noa 1 E. 1 I NEND D N. O 1 O 2 0. 2 O. d - MENSION 9 N. O. 1 O. 1 SO: D S. 2 S07 [ S. 2 O. 1 N. O. 2 E. 1 N. O. 1 N. O. 1 E. 9 NN I N. E. 2 E. 3 NS 2 O. 2 N. 0. Direction. THERMOMÈTRE. Humidité relative de 1 à 1(0. Direction. BAROMÈTRE à 9 heures du matin, Moyenne. Maxima, Force de 0 à 5. Mois d'Avril. (Suile.) 4.02 3.04 9.00 11.00 Mois de Mai. À 1| 760 17.08 8.03 13.05 70 | 2 1 O. . 2| 763 13.05 8.09 MAO? 80 Ô 1 E. 3| 766 17.05 9.00 ARS 79 D 4 O. 4! 755 18,04 11.00 14.07 74 10 il Se DA 12.08 7.08 10.03 65 3 2 N. O G| 758 ATOS 9,05 14.65 71 5 1 O. AIR AD 18.08 9.03 14.05 76 3 1 N20. 8| 755 18.05 6.03 12.04 64 0 1 (JE 9}:752 19.03 8.05 13.09 64 7 2 S. 10 M2 17:06 9.01 1590 82 10 1 SRE TNT 17.00 8.00 12.05 74 8 1 Sr. 1217793 19.00 10.07 14.85 82 10 2 NP 0: 131 761 16.07 1402 13.95 4 7 1 OE 14| 768 15.00 14:01 13.03 80 5 1 SAR 115) Par 02 17.00 3.0 10.95 68 5 1 (ÈE 16! 765 20 .09 9.03 15.10 68 10 À EF. 11157169 14707 11.06 14.65 al 9 2 (Es 181 » » » » » » » » 191 756 18.05 11202 14.85 84 10 2 E. 20| 757 15.09 10.05 13.20 83 5 2 S. % DA VIE 17.08 6.05 12.15 12 0 1 Se Fe 29140 241,02 8.04 14.08 61 0 4 N.E 93| 765 22.00 10.06 16.03 70 0 il N. 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(Suite). 2175 20.75 18.00 18.02 19:45 19.55 20.05 20.85 21.05 24.00 23.05 20.05 20.01 lO45 90.07 21.04 20725 20.09 2415 Moyenne. 16.09 15.65 16.06 19.10 20.05 19.45 21 09 19.05 14.45 17.05 16.00 16.45 17.09 19.15 17.25 17.79 19:09 19.65 19.55 19.05 19.02 18.04 Mois d'Août. Humidité relative de { à 100: | Force de 0 à 5. SOBmOm00S TNA Ex © PURAES 2 PRARCERER O: Cat EE Re Ne me — R — ù RO À RO > NO NO KO Fe NO SOUS ©O © © © 22 ©Q° ES > [=] S 22 AR Le © 00 x de DODSDOAMINIOSONSOCOOOCEKUS HOORANZLZZ © A un . ©: . Ge — V2 DÉeNENENRRENERRRENKER ne © DATES. BAROMÈTRE à 9 heures du matin. © O0 I © OT O9 9 SO THERMOMÈTRE. S e Ac 2 ETAT ‘O .-& = “ E S 2 du 5 = 5 ps A) = = . É ciel, Mois d’Août. (Suite.) 24.08 49.15 20.08 67 5 22.04 16.85 19.06 67 0 21.05 17.00 17.07 81 9 20.09 16.45 19.08 74 5 25.00 19.05 18.00 1e 7 21.00 16.02 47.05 71 0 20.07 17.00 18.08 82 7 21.06 18.03 19.07 &2 9 23.00 47595 19.01 46 cr 49.07 15.45 13.05 63 0 49.07 15:65 13.08 93 10 20.00 15.00 14.09 73 À 23.08 41:05 17.65 69 4.0 Mois de Septembre. 18.00 8.05 13:25 67 0 16.05 12.04 14.45 67 0 19,00 9.03 14.15 62 (0) 20.05 10.06 15-59 79 0 19.08 11.07 45475 82 0 2109 13:09 1795 NE 0 24:00 14.00 19.00 58 (0) 2207 14.00 18.35 64 (0) 99,06 11.08 17.02 59 (0) 24.09 12.07 18.45 66 (0) 24.05 13.08 19.15 59 0 95.06 14.05 20.05 69 (0) 94:03 19202 47325 66 0 24.08 12.00 18.04 )2 (0) 23.02 19:07 17.95 12 (0) 22.08 13.04 18,10 85 gi di Or 14.06 16215 86 10 20.02 15.04 17.09 90 10 17.08 12.07 15:25 88 7 20,05 14.07 17.06 84 3) 19.00 12.00 als 83 10 22,08 15.00 18.09 88 40 18.05 12.08 15:09 84 9 19.07 9.08 14:75 85 0 17.00 11.00 14.00 82 0 19.02 15% 15,03 85 0 VENTS. RE 19 =) & Direction. 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(Suite. 12.05 10.00 12:02 14.06 12.05 Moyenne. 16.45 15.00 17.35 18.15 16.07 Mois d'Octobre. 16.01 19.95 14.02 17.03 1:08 13.06 1202 13.00 7.02 13.06 7.05 14,95 7.07 13.85 9.08 14.57 10.06! 14:65 6.04 14795 5.05 12.00 6.04 12.09 7.06 12.59 9.01 14.03 SO 1522 15:05 19107 9.05 HD 1040 12/95 8.00 12.00 8:00! #10:05 4.00 8.45 5.04 9:35 0.09 6.85 DA 6 05 4,03 9.05 6.00 10.05 3.05 8.95 4.00 5.05 10005 4.00 0.03 4.05 4.05 1:09 6.08 11-69 Humidité relative de 1 à 100. 88 84 72 81 70 76 78 81 87 76 89 du ei; Le] JEOOodNiewnOowmOowWOumSODOoous VENTS. = Or + NN = NI9 = NNIDeRNRORENNEeRNREeRRE Direction, ARS Ne M CEE E CE 2 2 AMIS ANS ON ot COS EUR © ©© °0 AP 224. 0 2 o ; DATES. BAROMÈTRE à 9 heures du matin. © O0 1 Où Or & CO 9 ut à ne . 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DO0)EGE05 2705 » 0 1 104 AAC 6.08 9.25 16 6.061 1.04 Mois de Décembre. 0.07] — 7.01! — 3.02 » 0 1 N. DO 510310017245 » 7 1 N. 1.08] — 4.04) — 1.03 » 5 1 NO DOME A0? 0525 » 10 1 NPSE IN À 5) A AN 1 0] RE M5 95 o 1 NAT 6.01 4.00 3.01 91 4 4 N'4R7 10.00! — 0.02 4.09 92 10 1 INF 2, let :008, 10775 93 7 1 NES 8.09 0.03 4.06 97 3 dl SEE 9.04 1.07] 5h55 93 10 1 S. 6.02/"2= 1.07] Dos » 9 { He 3.08) — 1.02 1.05 94 40 al S'ace E dE at | , # F re \ NUS ACT " LIN à PARCS \ N RE CE Men ee à TPE PARLE PRE SE RO UE PE OT CR RE 90 En en I USE al CEE EE CR AE DEN Le , : ERREUR ATEN DS on à PURES UE RE DO SE 2 RC TR A PE D RSA UE ME TA) ICE CPE OS PA SEPT DNS CE SE Een EE EP TES « + D Tee NES. = THERMOMÈTRE. = à VENTS. = e AA a £ RES 2 = = ne 10 A ET - du Fe MI a a d ae | © © = = = s c (æ| 4 = 2 E o = 2 | Direction. 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OMD IEEE ENTER Le nn ES 0.0105 COLONEL 0.019 MASSE RU SE AE REA En 0.0350 0.063 0.0375 FRE NARAPR NE ER RE Mau 0.0613 0.948 0,065 MA AR ee re NAN 0.08925 0.119 0.0995 MORT RE SR te er Eee 0.032305 6.062 0.023 HAIGE 25e np a Re 0 0410 0.019 0.049 AOL bas RETRO LEP ER 0.0575 (1,059 0.075 Beépiémbhne : SAR ETES 0,0170 0.058 0.042 HEODTE. 4 + LUE Sen 0.0279 0.027 0.053 Novembre Le, 4 x 0.08992 0.087 0.0855 DIÉCÉMIDPE: EE Me ce 0.0212 0.017 0.036 Potaux, ee, .0441 0.6827 0 6655 commune la RÉSUMÉ faites dans de la Rochelle. Année 1890. Des observations Ne ECS _ \ QT, Décembre. ..1758.001191748.00| 11765.001—0.11115|—9.50 s 10.00! 5 PRESSION ù VENTS. ETAT TEMPÉRATURE. atmosphérique. Nombre de jours par mois.| du ciel. . RE Er x | RIRE : SALE g Minima. | Maxima. ñ Minima. | Maxima. |: 2 D ; Po LEE A RE = É RE MAIRIE) SE = = HIslOISISISR IS IS Sels ä D ce | Ne OT le CSN AREA ARE o —/- S : || lOITIR IS SI21512/1* = |$] £ SAE É Z| 15] [£] [2 a |z|S | œ Eu T & = ==) [en] ES RER | cum | memes | eo | mms | | ces | cum CE Dee | es | em, ons ne | ones | mouue | aus À cms | sun | sms | mms | am "myn Janvier......1765.00122/750.00| 717:5.00! 7.13! 1! 5.00,%6! 14.50! 3! 1| 31 3! 2! 6! 9! 4l 3! ol 6l 1 » Février .....[763.00 13/752.00! 11768.00! 3.94! 5—5.10190| 16.101 5! »| 41 11 »l »| 611549! 9! ol 5l, 4.0 RASE GNT 760. 001161745.001111778.00! 8.13! 4|—7.50 28! 21.201 3| 2| 6] 1| 4) 4| 5] 61 8| 5| 41141 »| 19.0 Avril........1757.00/151742.00/21|768.001 10.92 44) 1.401143] 20.501 4! 5! »| 5! 31 31 51 51 5! gl4al 91 9 30.0 LI LE T Per PS ONTRIEES 158 00 10/749.00/311767.00! 14.171129] 5.00195| 29.50! 9) 5! 21 9! 4! 41 7! 81 51 6118! 91 1l 52 0 IUT See :1766.00/10/759.00115/771.001 17.55! 2, 7.925195] 31.501 2! 6! 4! 8! 4! 41 410119! 5lr9! 11 9 » Juillet.......1763.00| 11753.00122/768.001 18.95| 7| 9.00/14| 20.50! 4! 5| 710! 1! »! 1! 31 51 2193] 4l 1 34.0 AU LAS SERIE .1762.00/27,757.00! 41768.001 18.61130| 16.00! 7| 29.801 8| 1| 1! 4! 31 41 31 711 2119/1193 0 Septembre...1766.00122,/755.00/26)/774.00! 16.83] 1! 1.00/12) 97.50! 2! »| »! 1! 2! 4! 3l18l13l 2114! 41 » 44.0 Octobre .....1766.001261757.00/231773.00! 12.201927 » 51 22.501! 3) 3] 8) 1] »| 1! 9]11| 4/11| 5] »l 93.0 Novembre. ..1762.00111152.00|181773.00! 8.93) 31--8.70115| 17 50! 41 7! »1 71 9] 4 91 À 71 71 71 8l 41 65.0 2] 1} »! »} 3] 3171 71 2110112! »] 48.0 Neige, le 28 décembre ÉSUMÉ tes dans la commune de Courcon R ? ù ÿ Des observations fa Année 1890. par M. ROUSSELOT, maréchal-des-logis chef de gendarmerie, en retraite. PRESSION : VENTS. ÉTAT TEMPERATURE. atmosphérique. Nombre de jours par mois.| du ciel. L a Ne = 2 MOIS ! : ë : ä Minima. | Maxima. a Minima. Maxima. | r 3 LS MR) Ph . 3 [= Œ 1 5 _ 2 rA Le ; = ae S a = LES ES RÉ ISES| SES) à © 5 = ES —) 5215515" /3 S |5 S = & 2 |$ ô ZM Ë A (Sp lou sale)S & = Z e = A (=) = Er as T4 gr Merle delete elles) ele m /m Janvier...0%.1779.751931769405|"71190001:%6:05|4)—12:00195); 45.001119! 20817, 7| 61 21 71441 449) 90N67.1/ Février. …...1779.7511317738.05| 41786.00)6.05:7|—.2:0019) 15.00! 3116/2119) >| 5118129 4 "211081 5%1 4.3/4 Mars........1778.00 161766.001111790.001 9.00! 4 4:00127)-48:00! 11 51:41 9/6) 5) 51 31-6740! »1033:0 Avril... .17174.70151764.05121)785.001 14751149) 40:00180! "14905 10905059 Im GENS 0 I Mai.........17/6 051101769.001301784.001 19.95] 9 9.05124| 929.00! 11 7| 4| 4| 9! 1| 2! 31 71 7| 9! 5| 31 59.0 Juin ........1782.00/10/776.001151788:001"22:00143|:" 11:00/92/ 30.001 210-6026) 444905101051 41049 1) Juillet.......1779.95| 71773.001221785.05] 24.00119| 418.00114| 30.001 »| 5! 8! 5] 8! 2! »| 31 5112! 9! 5! 11 70.0 Août....."°°1773.00281771.00| 51785.00! 22.001301 13:05] 9] 30.05! 2110! 3! 2110! 3| 4! »I10| 4! 12] 3|. 91 33. Se ptembre re » » ») ) » » » » » » DD ED RIDE AD EE): »| »| » » Octobre .....1780.00/26 Dee 788.05] 13.251928 4,05|-1| 22001 313) 58h51) AE 4105) Al 4/5 1031 Novembre ...1780.05| 51771.00/201790.05! 6.00/27/— 5.005] 17.00 5| 6| 2! 6] 81 2] 1! »| 8/14 92, 5| 11 82.1 Décembre ...[776.00! 51772 9 8.001 211 4 SIM 919) 71-30 6/14» 10024 2.00 (26 780, 00! > 0 HS ls 08 Le cyclone du 20 janvier a causé de très grands dégâts dans les communes de St-Jean de Liversay et de St-Gyr du Doret. — Les tempêtes des 21, 22 et 23 du même mois ont également causé de grandes pertes. — Tempêtes le 23 avril et 12 juin sans déoût. RÉSUMÉ I RS PRESSION VENTS. ÉTAT Ÿ TEMPÉRATURE. Ÿ atmosphérique. Nombre de jours par mois. du ciel. | > = ——— ———————— + o É 5 MOIS. a Minima. | Maxima. a Minima. | Maxima. | .: A + 5 RU RCE DT D ù : - S S5S Sc /2) le) SPSNEUSINS Ë: . 8 S LESC IS lé ls elslS| SISIS) & È = 7 ue Ss (ZlTlol ee |S|RIG)Ss| ss /S1s È à RE 2 ne 2 Z Sea SE GlS S D CE] © TT A d D FA Z D A © R . D CS = = S = = = A [en] < S Ÿ janvier. ...1765.051221756.00! 61775.00 9.05! 11=—24:00/25/» 45001-21244 M10M9IR8 IS TSI SAR: 9 [Février......1764.00/12/756.00/15/772.00 4.05128|—6.00 21! 15.001 11! »! 2! »| »! 11 6! 81 8! 21 8110! »| 7.0 S & [Mars.......,1760.00/181745.00 101775.00 7.05| 1,—5.00/30! 20.00![ 4! 1| 3! 8] 5| 2! 71 11 5) 3| 18] 5| »l41.1/2 “a = = Avril ......./758.00114/745.00/211771.00 410.05! 1| 3.00121! 18.001 4l 31 4110! 2! 4! 61 »l 5! 91 49! 91 2 192.4/2 Se Mai.......,.1765.05/10/752.00126/769.001 15.00! 4| 6 00193: 24.001 »| 9! 4! 7| 9 5,10 11 1! 61 23! »| 11 92.0 a È Juin......,.1764.05/30]758.00! 71771.00f 19.05] 2! 9.0026| 30.001 2! »| 31171 1! »! 2] 51 91 4! 141 91 41 49.0 | n Juillet.......1765.00] 11760.0012017:0.00, 20.00117| 12.00131| 98 00! 11 41 61171 31 »| 11 21 5! 61 181 2! »| 35.0 = Août........|765.00| 81761.00/211770.001 19.00131! 9.00! 9! 929.001 61 »! 51111 3! 4! »! 51 2! 31 24! 11 41 36.0 = Septembre. ..1766.05|21/758.001241775.00f 16.05! 2| 7 411 26.00! 31 2! »112| 6| 4| 3110114! 41 11! 11! »| 63.0 5 Octobre. ....1765.05|261758.001221773 001 10.u00| 21—92.00! 1! 922.001 4| 6! 4| 5; 81 2| 31 4f 31 3! 181 7| »| 29.1 à Novembre...[766.00| 41756.00/181776.00 410 |1201=60106 MAO PO IMIRS) 12109105 100 ARS MOI 7 GS MSIE à Décembre sa » » » » » » » » » » DPI I) ENT) DID) » SRE Le > pe — a À ——— NV — — | — | — es || ne | onu, RE S Le 21 janvier une trombe a fait des ravages considérables dans la commune de St-Jean de Liversay. — Neige, le 3 février. Neige, le 28 novembre. Co R Ë Des observations faites dans la commune des Mathes, ESUM par M, BOINEAU, garde-forestier. ée 1890. Ann ES L NTS. ÉTAT PRESSION TEMPÉRATURE. VENTS ETA atmosphérique. Nombre de jours par mois.| du ciel. | NOR ä Minima. | Maxima. 2 Minima. | Maxima. |: PS 2 5 msi ss = E EEE IA BE Fe > ACTA EE) CAE ENT = = SAADERE 2|5|S|S PAIE £ RUE É | |Z] je An Le cœ Le] AY T =) = (en) [æ) | Janvier, ne. » » » » » 7.20! 11— 5.00125| 16 001 2} 3! 9/11 6| 1110! 6 2 5! 7117) 1 Février... ..: » » » » » 4:08! 6/— 6.00/19| 20.00! 4| 2| 21 4! 1] 1| 9) 2113) 2110! 3! » Mars re » » » » » 7.09! 5} —10.05131| 26.00! 4! 5110! 7| 1| 1110! 8114! 9] G| 21 » ANA RANCE » » » » » 10.09/10/— 3.05! 1! 25.001 5110115! 7| 3] 1! 5] 21 8| 910] 2! » Net sen » » » » » 14.56/15 » 23| 35.001 »| 5120] 81 5] 2] 9! 5114! 5111| 1| 1 Juin........| » |» » |[»l » | 418.00! 2! 2.00/25| 37.00) 7| 8190! 6! 1! 4! 4] 9/15! 6) 9! »| » IUT ESS » » » » » 19.041292! 6.0014; 39.001 1! 8122) 9] 1! 4! 1! »] 7| 6/15! 3| » ANR » ) » » » 19.03121 9.00| 5] 36.00! 3| 7124] 7| 5] i| 2! »F14| 51192! »| » Septembre... » » » » » 17.06! 1 4.601111 33.001112! 3! 71031 41:21 3| 7116! 3| 9149) 4 (Octobre... » » » » » 11.07/29/— 5.00/13| 27.00 6116116! 2! 2] »| 1! 2111 7,11| 2] 4 Novembre ... » » » » » 7.02130|—-11.05/15| 18.001 8! 2118] 3] 3! »| 4! 61 5 9,10 6| 3 Décembre » ) » » » [— 1.02/15—11.00119| 11.05]16| 1| 3 »l 4! » ne 8 À 6113! 1 Le 20 janvier, tempête. — Neige le 6, tempête dans la nuit du 12 au 13, 14 et 15 février, — Tempête le 25 avril, — Tempête les 6 et 7 novembre. RÉSUMÉ Des observations faites dans la commune de lu Trem- blade, par M. CHARRIER, brigadier-forestier. 1890. Année EEE EEE PRESSION : [ENTS. ÉTAT 2 TEMPÉRATURE. NES atmosphérique. Nombre de jours par mois. du ciel. 5 = ; : = DR » | Minima. | Maxima. a Minima. | Maxima. | -: alle AAA EIRE SD = = A SSSR Slal.le|s151S1S| = = = ES 32ÉAlslS 8) 8158) & D D RS rl A SN ST ECS AR RER" >. = - - = - - ele lol ele ©S |5|3 = ps # |£ 8 = |£ o AE AE air œ c LA LS Janvier... » DD | »| » 7.08] 1}— 4.50/25|) 17.001 9! 5! 3] 8113! 7| 7! 1| 2115| 9] 51 Février tro »| » »| » 9.01! 5, — 5.05119| 19.05! 10! 5! 2! 3| 11 1| 9! 31 13] 2| 9! 4! » Masse) » Map marne Sn 8.05| 1|— 8.00/31| 26.00! 4! 4] 7) 6/41! 4/13! »] 11] &| 40/ 9! » PANTTOT RRRRES SE »1 » »[ » 11,80/10,— 0.05| 2] 95.001 1| 414111! 5| 3| 6| 1| S8l11| 8 3| 3 Mass »| » »| » 15.06115|/ 4 00/24! 34.05] »| »| 7| 7115] 2] 7! 4] 9! 9! 13 »| 1 UN »| » »| » 18.08| 2 7200125! 230.068 2/79 49) 810805 RTS IE DES Juillet." » »| » »| » 19.06112|] 9.00/14| 39.05! 31 2126 8| 2! 1! 1! 11 7! 8| 15] 1| 2 Apte een »| » »| » 20.07131 8.05| 7| 34.05] 2] 5118116! 3| »| 31 5] 12] 5| 14! »| » Septembre ..| » »| » »| » 18.08| 2 RAI SR NS PACE) M EE OT EE 0) LEA En TE OCDE RAS) »| » »| » 13.056129 — 2.0513| 27.05! 3] 8111112] 6! 4| 6| 11 12! 8] 10] 1| 1 Novembre...] » 2) >| » 8.05]30)— 9.05/15| 21.00! 5110110113] 2! 1| 4! 1[ 3112| 9! 6! 4 Décembre ...| » »| =» »] » L— 0.03/15|—10.00! 6| 12.001 14113] 1| 3! 2! »| 6] 8j 7! 4| 5115! 1 Tempête le 20 janvier. — Neige les 6 et 7. — Tempête dans la nuit du 12 au 13, 14 et 15 février. — — Neige la nuit du 1er au 2 mars. — Tempête le 25 avril. — Neige le 28 novembre. tiluteur. ins RÉSUMÉ Des observations faites dans la commune de la Vallée, Année 1890. par M. CAILLAUD, a :SSIO? ‘ VENTS. ET PRESSION TEMPÉRATURE. : TR atmosphérique. Nombre de jours par mois. du ciel. Ë = le == 2 É MBES. ä | Minima. | Maxima. ca Minima. | Maxima. |£| |%| 1x = AN PE ets EYE = = L'ERSSRÉLEE SE] à [ 66.1 1e MARS ec » ) » » » 6.00! 4/— 8.100129] 20.00! 6! 4! 6! 1! 41 31 51 21 81 7! 43! 5 » 154.1/2 AVPILE- ee » » » » » 9.00! 5 0.00! 3! 18.001 5! 21 9! 6! 6! 92! »! »1 14110! 1441 2! 3 192.1 /2 Mai... te » » » » » 14205109 4.00 24) 95.00] 8] »| 7| 31 81 »| 5! »h 41121 15! »1 »1231.0 Juin Drag » » » » » 18.05|12 9.00 24! 28.00! 6| 91 51 9! 11 »} »| »} 1110! 181 »! 1 344.3/4 Juiet eee » » » » » 23.00! 3] 12.00 31! 34.00) 6| 61 1! 7! 8 11 2! »l 410! 151 1! 11258.0 NON. # » » » » » 22.035131] 10.00 9! 33.00! 7! »! 91 6| 91 »| »! »l »! 3! 26! 41 411445.0 Septembre . » » 5 » » 18.05) 2] 3.00 15, 34.003] 1! 5! »110! 1! »| »1 81 6! 15! »| 11311.8 Octobre ..... » » » » » 12.051929] — 1.00 12] 26.00/12| 71 21 41 6! »| »! »1 4! 5! 49! 6! »1207.9 Novembre hd » » » » » 4.05 28 —= 8.0Ù 6 17.00 55 OIMO 5| 3| »| »| » 9 13] 6| 21674.4 Décembre ... » » » » » [—1.00,29,—10.00 4! 8.004! G! 4! 11 »| »| 41 51 2! 31 12114! »1 38.0 » | » » » | » DS DIN SNS EN ES — Tempête les 2%, 25 et 26 avril. — Neige les 26 et 28 novembre. *21{W999pP 6} 91 ajpduog, — ‘um£ 08 9j ajpdwuor — ‘retu eg of ajeduwor — ‘saetu 54 9[ 0810N Des observations faites dans la commune de Trizay, par RÉSUMÉ M. BENOIST, instituteur. SOIR (CSNIENMCRS CREER D HT — . = SI-ERCS LA . y, — Est le e © EST: : s = EU GE ‘ un RATE ne ÿ EYES ET Ÿ Sy ŸY y g y ÿ Moyennes. a CONS SS S'OlS LS | Dates. = = + Dr r = © =. 2 re) ÿY S'VLE ÿ S'S S LES %'$ = En 2 dE ai RER RP Se st Ste Ÿ VE Y Y Y S Y EE SE Y | Dates. = = . SE MAS à = ® ÿ LIEN IR ER MER ET = a SR STAR VE EC EU US TOR y DR AS SU Cuivres Moyennes. = CCC CCR CCR | Dates. = == RS NE NT ©. = "D =. Eh S e 5 cu ÿ LP CRM AR MEME MNEAE D > = SAR SEP NOR REC Î Dates. = 7 Fe & Em LA St RUN HER RC = ŸY DA EC IR EN SO NS SS © RE EN EE MARS = Nord-Est < Y SIDNENS QE wriou Î S 8 7 Ÿ | LA EE SN EN RRER EN CREER Nord. Z s œ => — ( 1 MIE So Darcrrnouts 1) NordOuest: SA Sr 04] SONORE ER, Ouest. S: 5 _ 4 y Z RP A re) IS Co | Sud-Ouest. = “È = œ: ; > | RS EL Room] Sud . = ÿ | ioio=æiocws onwc=cer | Sud-Est. 2 eS = TUNIS me Y | OOUIDE RS S ES Y SE | Est. A >= ES ' + | &erSauvcowme—ïe | Clair. : > | i Pluvieux. SE EH y ere QUY JERNIN > y = > de jdn de jee jee + RP roc Nuageux. = 7 NO - Es » CR - | Sos-wwamuws vou | Couvert. 5 | ve vmwenmseges y = Orageux . Eau tombée. RÉSUMÉ Des observations faites dans la commune d_u Mung, par M. NIVET, instituteur public. Année 1890. CZONEE DOG, ThONE, GT So Dé CNE gt ® .7 @ . SSSR: + He =: . S Ts Sen DES S OR ® . . es . - C2 e. C2 . 0 . N de) 2 ROUE ES ï = LE. STONE RON o à A4 LA © + Shi 2 De È TYEGYY ES y y » ÿ | Dates = = ee \ de _. © ÿ CLP =) n 7 SE =e SRE D + E CROSS IS CURE Late S ENQU (qe) Ÿ PONTS TT ES SIN ET STAR NS NS D» (2) = = æ — al © 5 k a © EE NT DRE TARET pi € RE ES SIA SI SIC NS IST EE | Dates = © ee ET Se Vus c + Su E 44 [=] =" Fe | © EM AT NN ONE = ? ® Ë 4, D k EE ed) ; E M a © SMS SSI SMS NE CES Moyennes. - SET a ER ER PRE CURE, À ee = ; v sv vis vie St S S © IMDates. = = ; En ae) = Er 5 wo Y SCIENCE SE I RSR CCE = D - = NCIS RC SI ER RS ER { Dates. = a) | = [> < Le . 2 “ So CCE CCE CR CCC = 2 DEL D NDS IE EU D CNE I EE ONE | = = ord-Est | 5 SE ER DÉOLES S HS 1 OT N N Rd: ve SN IS BROOCÈRE 12 NO Nord. I y | mons œ=wwuss= | Nord-Ouest. ÿ | Ouest. Sud-Ouest. Sud. "SLNAHA RS ER Y y Y CE © CO — | Sud-Est. I Est. l Clair. | Pluvieux. | ON NOR ST CO — *siou ed Ssanol 2p 91qtuoN > KDE LOI E > > CE z Nuageux. [20 np LVIA Le be O1 V2 À =] 4 5 = LE 16 W'ÉER D'ORRRAE Eau tombée. < = ps o = 9 RÉSUMÉ Des observations faites dans la commune de Berneuil, . liluteur. ins par M. DESCHAMPS, Année 1890. PRESSION | VENTS.. ÉTAT TEMPÉRATURE. atmosphérique. Nombre de jours par mois. du ciel. : — : # MOIS. Lez : de | > ; © QE a Minima. | Maxima. di Minima. | Maxima. | : CA EE rs S Malle = = = ÉRPEEAEIR AÉERRE = = = M NN SN EME IE D > | à S © d S |ClilslT = lai=<|s| sisiel = & SAS tele ml SI lsSres : GE o : © ë à = NS DO 179) — = Q|= = À £ Ernie £ CN ER 1e RUE = & S £ < A A A = Janvier....,.1768.60 23,107.20| 6|780 00 5.00! 1— 5.00/25| 15.201 41 5! 41 9 8118] 2] 41 | 9] 13] 9] » » Février......1107.501171761.60/231773.90 3.90! 5|— 6.20118| 14.001 14, 71 31 »| 21 5, 11 71 6| 3| 13] 6! » » Mars. .....,.1764.20/181748.00/11[780.40 5.50] 5 — 8.801,31] 19.801 6110111112112113| 3| 8t 6! 7| 181 » » » Avril........1760.40114]745.801211775.00 9,20129 0580! 2} 49,901 4/78 7/51 62h26) 0107182 » Mai.........1764.40) 81755.001301773 80! 14.30l 8 9.40 24 25,20! 9! 5140]! 6]11114) 3 94/2621 112 » Juin ........1770.70/10/765.40| 517:6.00! 18.50115 8 00/26, 929.00! 8111! 7II10! 7| 2! »| 4f 4! | 18! »| » » Juillet... ....1768.50| 11762.00/221775 00! 17.201129 7.00/14} 27.401 9| 91011410) 5! 1| 81 5! 8117) »! 1 » AOÛT SUR: » » » » » » » » » » »| »1 pl pl »!l »1 »| »f »| »f »! »| » » Septembre. me » » » » » » » » » » D D SD ON At ot 0) » Octobre ..,.,1769.40126/761 20| 31777.80 9,30123 3 00! 1! 21.60 8,14 [046 M5 GET 070185) TG) » Novembre...1769.50| 91759.001181780.00 1.801291 11.40114| 15.001 11:10! 6110!10! 7! »| »} 3/12| 10! 4| 1 » Décembre. . 763.5( HUE 261772.00!— 1 30115, —!1.00,31 8.401 16110! 1| 1] 2! 9] 21101 2! 3| 16110! » » | es = —"—l— | — | ——|—|— » » » » | » | » DD ED DD ET NE D ES Tempête dans la nuit du 21 au 22 et le 22 et 28 janvier. — Tempête les 14, 15, 26 et 27 février. — Neige le 1er mars — Tempête les 24 et25 avril. — Tempête le 30 juin. — Tempête le 24 novembre. — Neige le %6. ss ts lle te: éltesatéus tas) Loin à din - 0 à Op ni. RÉSUMÉ DES Observations des orages dans le département. Année 1890. [ul w |$ S|2| & | os rs |S AISNE Sn —— Deals) |So * E = un © «a É MOIS. EN ENS 2 En OBSERVATIONS. ei 0 | 1 = SRE Sole) ter All Ie À | — = (or p] NE AMSOIRE eo Leni le) { "à ms | CN Concs | es Janvier... | 419] 5» 9! 10] Le 20 janvier la foudre est tombée deux fois dans la commune du Bois. — Le 20 janvier, un cyclone Février...... »| » » »accompagné d’un orage s’est abattu sur les com- munes de St-Jean de Liversay et St-CGyr du Doret, Mans dress: Pre) 1 »|a renversé un grand nombre de maisons, les pertes | ont été évaluées à 100,000 fr. environ, la compa- le ones. r-eil 419)», 11 8ignie d'assurance la Mutuelle de Poitiers a rembousé t ; une partie des pertes aux assurés. — Le 20 janvier 4 LENS 11! » 9 2|la foudre est tombée dans la commune de La Vallée. ; — Le 13 juin, la foudre est tombée dans la com- NW HAUT (TAN : 16| »| 14 2/mune de La Vallée, sur un arbre. — Le 4er août : | la foudre est tombée dans un champ dans la com- ; Juillet... 11! » 9 2 mune de Vérines, elle a tué un homme et un cheval. — Les 22 et 23 un cyclone accompagné Aoùût........| 22! 2) 19] {d'orage a passé sur la Rochelle eta causé beaucoup | de dégâts. Septembre... 11» 7 » Octobre .,.... »| » » » rat DESIRE Décembre . »1 » » » Totaux...| 121 2|] 911728 ÉISTÉE "DES MEMBRES De la Société desSciences naturelles DE LA CHARENTE-INFÉRIEURE. (MAI (1891) = ml | A D OM VE Bureau. Président, M. En. BELTREMIEUX, (ke, I &ÿ). Vice- Présidents. ( M. L.-E. Meyer, (A éÿ). { M. F. Lusson, (I &ÿ). Secrétaire, M. L. DE RIGHEMOND, (I Eÿ, x). Secrétaire-adjoint, M. CH. BASSET. Directeur-Conservateur, M. Ep. BELTREMIEUX, (ke, I €). Conservateur-Adjoint, M. Ch. BASSET. Bibliothécaire-Archiviste, M. L. DE RICHEMOND, (I. £ÿ, 4). Trésorier, M. P. CASSAGNEAUD, (A £ÿ). Le Directeur-Conservateur est chargé du Muséum Fleuriau (Sciences naturelles et paléoethnologie du département), et du musée d'ostéologie. Membres Titulaires. ANDRAULT, cons. à la cour d'appel, Alger. AUCAPITAINE, (Baronne Suzanne). BABuT, E., fils, m. de l’ass. fr. avanc. sc. BARBEDETTE, H., sénateur, cons. général. rue Faubourg Saint-Honoré140 à Paris. BARTHE, (&), docteur en médecine. BasseT,Ch.,nég., m. de las. fr. av.dessc. BELENFANT, (O0 $), com. marine retr. BELTREMIEUX, Ed., ($, [ £ÿ), m. de la Soc. géol. de Fr., v.-p. du cons. de Préf. BERGERAT, pharmacien. BERNARD, Gab., contrôl. des contr. dir., m. de l’assoc. fr. avanc. des sc. BERNARD, À., percept., St-Martin-de-Ré. BERTEAUD, E. ($), dir. des contr. direct. BoISSELLIER, A. (%)ag. princ. adm. mar., rm. de l’ass. fr. avanc, sc., Rochefort. BouYÉ, Paul, pharmacien. z BraRD, Er., ($e, À &ÿ,) doct.-méd., m. de l’ass. fr. avanc. des sciences. BRUNAUD, P., m. de la Société bot. de France, à Saintes. CASSAGNEAUD, (A £ÿ), conservateur du Muséum La Faille. CHEVALLIER, C., négociant. COINDON, A., employé de lPadm. des ponts et chaussées. Conpamy, Ad., m. de l’assoc. fr. avanc. des sciences. CORBINEAU, À., préposé chef, octroi. COUNEAU, Em. (%, À €), gref. au Trib. civ. m. de l’assoc. fr. avance. des sc. CousroLee, Et. ($), ing. ponts et chaus- sées, PP SP $ SLT > OUI SES CPE Lee ER RÉPOES EEE VAE On VOTE EN PR — 118 — CREUZÉ, À., ($%), dir. des contr. direct., en retraite. CUNAUD, G., pharmacien. DELAGE, (A &ÿ), professeur au Lycée. DELMAS, J., m. assoc. fr. avanc. des sciences. DorLor, À. entrepreneur-directeur des travaux du port de la Pallice. Drouegr ($), ing. des ponts et chaussées. Duany-SoLER, doct. en médecine. Dupuy, L., (A £ÿ), prof. d’hist. au Lycée, membre de l’assoc. fr. avancement des air FAUSTIN, G., ($, Por se FLEURY, P. ee , &), pharm. à Marans. GARNIER, , (& À £}), maire de Royan, député, due général, rue de la Trémoiïlle, n° 7, Paris. GarAu, René, courtier maritime. GiLLer, C., contr. princ. des contr. dir. à Joinville. GRroc, AL., (A £ÿ), m. avan. des sc. GUILLEMOT, Ch., quai de la Mégisserie, 20, Paris. HILLAIRAUD, F., ), armat., consul de de l’assoc. franc. docteur en médecine. - Jousser, pharmacien à Rochefort, m, de la soc. bot. de France. LAURENT, Ch., doct. en médecine. LECOQ DE BoISBAUDRAN, (X, À &ÿ), corresp. de l’Acad. des scien., m. de J’assoc. fran. av. des sc., Paris, rue de Prosny, 36. L'EVÈQUE, Ed. pr LOUVEL, G., sk, I ), préfet, Roche-sur-Yon (Ve ne Lussox, Fr., (L &ÿ), prof. phys. et chim. Lycée, dir. du laboratoire de chimie, m. de l’ass. fr. av. sciences. MARESCHAL, Gaston, étudiant, Angoulins. MARSILLY , A. de Commines de, à Paris, m. de l’assoc. fr. av. des sc. MartRE, E., Dir. des contr. dir., à Dra- gulgnan, Massiou, E. (I £}), architecte, m. de l’assoc. fr. avance. des sc. MÉHAIGNERY, Léon. EMILE MENUT, À., (A &ÿ),contrôleur des douanes, en retr. MESCHINET DE RICHEMOND, L., (I y, 5%), archiviste du département. MESNIER, Marcellin, pharmacien. MESTREAU, Fréd., ‘sénateur, conseiller re “ Saintes. MEYER, » (À &D), courtier maritime. MICHAU, ae macien. MizLor, (A &ÿ), professeur au Lycée. MODELSKkI, (#), ing. en chef des ponts et A Moreau, (O &), génie, à Hs MortELay, L., bot., m. de l’ass. fr. av.sce., cours de Gourgues, D, Bordeaux. NIvET, AÀ., ing. civil, m. de l’assoc. fr. avanc. sc., Marans. OpiN, Amédée, ph. aux Sables-d'Olonne. D'ORBIGNY, Alcide, (A &ÿ, 5%), armateur, m. de l’assoc. fran. avanc. sc., consul d'Italie. PÉRIER, Aug., courtier, m. ), colonel, directeur du dedtass. Gr: av. des sc. PIETTRE, professeur de sciences au Lycée. PILLOT, M., nég., m. de l’assoc. fr. av. des sc. , à Montmorillon. PorRAULT, Clément, élève en pharmacie. PoreL, E., (0 &), ingénieur en chef des ponts et chaussées, en retraite. PurRey, doct. méd., inspec. du service des enfants assistés, à Digne. RABILLÉ-ANGIBAUD, M., le Bois, Ré. Rouvier, P.(%) Cons. gén., à Surgères. RUBINO, AÀ., rentier. SAVATIER, (O %&), Dr méd. chef Marine, en retr., à St-Georges, île d'Oleron. SUIRE, Antonin, receveur de l’enregistr. à Parthenay. TERMONIA, (O $), doc. méd.-maj 1re el. retr. Me Champ de foire, 9, à Saintes. THURNINGER, Alb., (%), ingén. chef ponts et ch., mn. as l'ass. fr. avanc. sciences. Vivier, Alfred, (E £ÿ), juge hon., m. ass. fr. av. sc., boulevard Haussmann, 92, Paris. — 149 — Membres PERNARD, O., inst. Bois (ile de Ré). BOLLON, v. p. de la com. adm. des hos- pices, à Rochefort. BoucHëérie, Michel, à Chez-Merlet, com. de Bresdon, canton de Matha. BoüuRoN, nat. prép. Rochefort. Bourru, (0 %&), Dr méd., en chef, prof., Rochefort. BouscassE, (%), ing. civil, à Puilboreau. Bouyer , docteur-médecin , Cheray (Oleron). BUISSON, prép. hist. nat. Châtel-Aillon. Buror, P., D' méd., prof. à l’école de médecine, à Rochefort. CAILLAUD, naturaliste, à CGhâtel-Aillon. ComBEs, Dr, maire, Pons, cons. gén., sénateur. CourLLiAUXx, greffier de la just. de paix, Tonnay-Charente. DELABARRE, rec-bural. Saujon. DE SaINT-MATHURIN, St-Jean d’Angély. des douanes, Agrégés. Foucaup, J., (A &ÿ), Jard. chef bot. mar, Rochefort, m. de la Soc. bot. de Fr. ESPAILLAG , conducteur des ponts chaussées, St-Denis (Oleron). LAMOUREUX, méd. vétér. à Saintes. MANËs, Ad., (&), cap. retr. Saujon. MuRE, Edm., négociant, à Surgères. NoRMAND-D’AUTHON , P., la Martière (Oleron). Prcxez, docteur-médecin. PiNEAU, Emm., Dr-m., Ghâteau-d’'Oleron. RiGaAup, Ch. docteur-médecin, Pons. RomIEux, O, (&), capitaine de frégate, Rochefort. SIMON, receveur de l’enr. à Rochefort. TESSERON, instituteur en retraite, à Gra- zannes. THIBAUDEAU, lieutenant des douanes. Viviër, Alph., avocat, à Rochefort. XAMBEU, ( [ Eÿ, #4), principal de collège et en retraite, directeur du laboratoire de chimie de Saintes. Membres Correspondants. ALLENET, lieutenant de vaisseau. ALLENET, Cap. d'état-major. ARNOUXx, Sosthène, professeur, Orléans. BARINE, Arvède, (madame Ch. Vincens), (lauréat de l’Institut), à Paris. BAUDOUIN, pharmacien, Cognac, m. de l’assoc. fr. av. des sc. BAYLE, (%), ing. en chef des mines, en retraite, à Paris. BéparrT, doct. méd., Bordeaux. BÉNÉDEN, Van, docteur, prof. à lUni- versité, Louvain. BERCHON, (k%, X, À &ÿ), méd. princ. de re cl. de la mar., en retr., Pauillac. BERGERET, past. à Baussais, Deux-Sèvres. BEuNaRD, G., ($), ph.-maj., m. de l’as. ir. av. des sc., Paris. BERTHAUD, prof. de physique, Mâcon. Bo1zor ((1 £ÿ), prov. du Lycée, Mâcon. BonJEAN, Félix, à Lyon, économiste. BoRDAGE, Edm., boursier à la Faculté des Sc., à Lyon. BoREAU, géologue, Parthenay. BOULANGIER, ing. des ponts et chaussées. BouLLAND, H., doct. en méd., à Limoges, m. de l’assoc. fr. avance. des sc. BouQUET DE LA GRYE, (O0 #), ing. hyd. en chef, m. de l’assoc. fr. av. des se., m. de l’Institut, Paris. BouRGUIGNON, O., pasteur à la Mothe Ste-Héraye. Bover, Alfred, prés. de la société d’ému- lation, Montbéliard. CamPEAU, J. R. E., président de Pinsti- tut francais-canadien à Ottawa. Camus, pharm., boul. St-Marcel, Paris. CASTAN, officier d'artillerie. CHABERT, À., ($), médecin principal de re classe, à Lille. CHAMPENOIS, inspecteur des forêts. CHARLET, Bernard, à Luze (Basses-Pyr.) OHARTRON, recev. de lenr. Luçon. CHASTEIGNER, (Gte Alexis de), Bordeaux, m. de l’assoc. fr. av. des sc. L'UNTER Ferre MEL PTT Pet Lu ares: 27 + À L raser RES M d D 6” RES EE dE Cr ES NE LATE RP, — 150 — CuAuveT, not. à Ruffec, m. de l’assoc. fr. av. des sc. CLarET, docteur-médecin, Vannes. CoNpamY, ex-pharmacien , Angoulême. CONTEJEAN, (3%), doct. ès-sc. S 'PEUa la Faculté, Poitiers. CGorreau, (%, I &ÿ), juge hon., Auxerre, mi. de l’assoc. fr. avanc. des sc., anc. prés. de la Soc. géol. de France. Courçonnais, Ch., (I £), insp. d'acad. en ret., à Limoges. CRAHAY DE FRANCHIMONT, leaux. DaAxGIBAUD, (0 #), sous-direct. au min. de la marine, à Paris. (X) ing. Bor- Dassy, Ferd., préparateur de physiologie à la ‘faculté de médécine, Paris. DauBréE, (C $, I &ÿ), insp. gén. des min. membre de l'Institut, Paris, nm. de ‘’assoc. fr. av. des sc. De Gressor, (0 %#), général d'artillerie. DeLavaup, (0 %,1%ÿ, 3%), Insp.,hon. ser. santé, rue de la Boëtie, 5, à Paris. DELFORTRIE, prés. de la Soc. linnéenne, Bordeaux. DELHOMEL, rue de Ver AU 40, à Paris. DE QUATREFAGES, « (GO kI &), membre, de l’Institut, Paris, m. de Tassoc. fr, avanc. des sc. Docreur, À., négociant, Bordeaux. D’ OUNOUS, à Saverdun (Ariège). _Drouer, m. de la Soc. acad. Troyes. DrouIxEAU, G., (A &ÿ), Dr, insp. génér. de l'as. publ., r.de Navarin, 15, Paris. Durrorrt, pharm., à Angoulême. Dürré, (&, [. &ÿ), inspecteur de l’Aca- démie, Paris. Duvar-LAGUIERGE($), comman. du génie au ministère de la guerre, Paris. Eck, André, pharm. Nogent-sur-Marne. ExsGrHéDÉ, A.-[., (0 %X), arch. bibl. à Haarlem. Fée, F., ($&), méd. prine. de re cl. dir. du service de santé, 11e corps. Fixes, Dr., dir. de l’obser. météor, Per- pignan, m. de l’ass. fr. av. des sc. FOURNIER, AÀ., d'histoire nat. préposé aux collections à Niort, GABoriT, pharmacien, Nantes. GALLES, ancien conseiller de préfecture. GARNAULT, (A #ÿ), prof. d’hydro. Brest. GAUDRY, Albert, ($), membre de l’Instit., prof. au muséum, Paris, m. de l’assoc. fr. avanc. des se. GAUTIER, L., doct. en médecine, Melle. GARD, pr.zool., m. de l'as. fr. av. des sc. GiRAUDEAU, Ed., Dr'-m., ex-int. des hôpit., Paris. Goop, Paul, médecin de la Marine. GourruT, docteur ès-sciences, Niort. GuiLLAUD, Dr., prof., fac. méd., Bordeaux, de l’assoc. fr. av. des sciences. GUILLON, (%&), dir. Cont. indir., en re- traite, Angoulême. Gvoux, doct. en médecine, Bordeaux. Huaues, Edm. (0 >X, I &ÿ), sous-Préfet aux Andelys. Hy, F., abbé, membre de la Soc. bot. de France, Angers. JAY, HON, Joux, anc. à New-York. Jouan, (O0 $&, I &ÿ), cap. retraite, Cherbourg. Jourpain, doct. ès-sc., Paris. Jousser, docteur-médecin, Lille, rue de l’Orphéon, 16. Jousser DE BELLESME, dir. des établiss. piscicult. Paris, m. de l’ass. fr. av. sc. LABEYRIE, insp. prim. à Tulle. LABOULBÈNE, (O %, À EP), pr. à la fac. de méd. dePar., m. de Aca. de méd. Paris. LALANDE, Philibert, secr. gén. Soc. sc., hist. et arch. de la Corrèze, Brives. LeGouis, prof. de zool,, éc. norm. Paris. LEMOINE, doct. prof., école méd. Reims, m. de l’ass. fr. av. des se. LETELLIER, prof. Alençon. LIÉNARD, secrétaire perpétuel de la Soc. d'émulation de Verdun. LorrioL (de), géol. chalet des Bois, Es Genève et à Frontenex, Suisse, m de l’assoc. fr. av. des sciences. LuBawskt, (Gte Alex. de), (G G 1), aca- démicien à Viazma, province de Smo- lenska, Russie. ministre plénip., vaisseau, en LOURDE, pasteur, à Espérausses (Tarn). — 151 — Ly-CHAo-PÉE, (À £ÿ, X), mandarin et lettré chinois, attaché à la mission scient. en Europe. MALINVAUD, Er., secrétaire général de la Soc. bot. de France, à Paris. ManTOvANI, Paul, naturaliste, Rome. MANTOVANI, G., naturaliste, Rome. MARÇGAIS, Ed., secrétaire général de la société française de botanique, rue Ninau, 19, Toulouse. MaurRas, Em. Villegouge, par Castelnau _ de Médoc, Gironde. MaAzuRE ($, I &ÿ), insp. d’acad., retraite. Mia DE CABARIEU, H. (OK , I £ÿ), ancien préfet, Cabarieu (Tarn-et-Garonne). MouLLADE, Alb., pharmacien major de 1re classe, à Nantes. MOULLADE, pharmacien au Puy. PAPIER, A., prés. de l’acad. d’Hippone. PERRIER, Edm., prof. au muséum, Paris, m. de l’assoc. fr. avanc. des sc. De Porrar, Louis, à Montauban. RAGonA, Domenico, (G. %), dir. obser- vatoire, royal Modène. RAMONET, ag. ad. de la Marine, Ruelle. ROCHEBRUNE, A. (de) doct., aide-nat. au muséum, à Paris. Rousseau, Philéas instit., à La Verrierie de Bruffieri (Vendée). RouxELz, prof. de physique. Roux, G. (%), memb. de la Soc. bot. de France, Paris. Stehelin, L. (0 %, I £éÿ,) Nancy (Meurthe-et-Moselle. SURINGAR, W. E. R. (O %,) prof. uni- versité, Leyden. SILVA, le commandeur J. da, (0 $, I &ÿ), arch. du roi de Portugal, m. de l’Ins- titut de France, Lisbonne. TASLÉ, (&), ancien notaire, Vannes. Tizzer, Paul, professeur d'histoire natu- relle, à Villeneuve-sur-Saône. TRIGANT-BEAUMONT, (Madame), botaniste. VENDRIËS, employé au ministère de l’ins- truction publique, Paris. Viaup-Granp-Marais, docteur-médecin, Nantes. VILANOVA, J., prof. paléont. à l’univer- sité de Madrid, m. de l’as. fr. av. des sciences. VINCENT , (I £ÿ), insp. prim., Paris. VINCENT, pharmac., à Angoulême. Préfet à WŒ&LFFLE,agent-voyer d'arrondissement Civray. À LACS LABORATOIRE MUNICIPAL DE CHIMIE AGRICOLE, INDUSTRIELLE, MÉDICALE, ETC. ee RS CONSEIL D’'ADMINISTRATION : MM. Bezrremteux, Ed., (%, I &ÿ), prés. de la Soc. des Sc. nat., Président. Lusson, F. (Iÿ), prof. agrégé des sciences au Lycée, v.-prés. de la Soc. des Sc. nat., Chimiste, Directeur-Conservateur ; PIETTRE, prof. agrégé sc. Lycée, m. de la Soc. des Sc. nat., Chimiste-Adjt. ConpaMmy, Ad., m. de la Soc. des Sc. nat. Groc, Alc., (A &ÿ), m. de la Soc. des Sc. nat. Micnau, pharm. de 1re classe, m. de la Soc. des Sc. nat. GREEN DE SAINT-MARSAULT (Cte Edm.), Président de la Soc. d’Agricul. LAURENT, Ch., vice-président de la Soc. de Méd. = CSN ———— COMITE DE BOTANIQUE SOCIÉTÉ ROCHELAISE POUR L'ÉCHANGE DES PLANTES FRANÇAISES. —TENAOT— MM. BezrremiEux, Ed., ($%, I &ÿ), v.-prés. du conseil de préfec., Président. Lusson, F. (I £ÿ), prof. de sciences au Lycée, Secrétaire-Trésorier. CREUZÉ, Am. ($e,) dir. des contr. dir. en retraite. Foucaup, J. (A &ÿ,) jardinier chef botaniste de la marine, à Rochelort. JOUSSET, pharmacien, à Rochefort. MESNIER, M., pharmacien. MichAU, pharmacien. TERMONIA, (O0 $), doct. méd. major, 1'e classe en retr., Saintes. THIBAUDEAU, lieutenant de douanes. SOCIÈTÉS CORRESPONDANTES. A PR... IA... .. RTS PE... ROLE. ......... Bayonne ........ Nes PCAaNne ..........: BeOrL........ RSA BEIGE SU. 24,2. Bône. PEL. renal Bordeaux. .......... MAIVES 00... ::...... Châlons-sur-Marne. PHAMDEry .......... Cherbourg......... ER LS Le Draguignan......... Grenoble.......... de PAHEREÉ. 1. MeHAvre :.......... D... a EE Langres...... er PREUVE... 4... Ministère de l’instr. publ., comité des trav. sc. et soc. savantes. FRANCE. (Envoi de 5 volumes d’annales.) Minist. de l’instr. publ., musée Guimet. (Envoi de 1 vol, annales). Académie des sc., agric., arts et b.-lettres, Bouches- du- Rhône, Société Société scientifique et littéraire, linnéenne du nord de la France. Société académique du Maine-et-Loire Société d’études scientifiques. Société nationale d'agriculture, sciences et arts. Société Société Société Société Société Société Société Société industrielle et agricole d’ Angers et du Maine-et-Loire, d’horticulture du Maine-et-Loire. d'histoire naturelle. des sciences historiques et naturelles de l'Yonne. des sciences et arts. d'histoire, d'archéologie et de littérature. Belfortaine d’émulation. scientifique, archéologique et littéraire. Académie d'Hippône. Académie nationale des belles-lettres, sciences et arts. Société Société Société Société Société Société Société linnéenne. des sciences physiques et naturelles. d'anthropologie de Bordeaux et du Sud-Ouest. archéologique. académique. scientifique, histor. et archéo. de la Corrèze. d'agriculture, commerce, sciences et arts de la Marne. Académie des sciences, lettres et arts de Savoie. Société Société Société des sciences naturelles. de Borda. d’études scientifiques et archéologiques. Académie delphinale. Société Société Société Société Société Société des sciences naturelles et archéol. de la Creuse. nationale hâvraise d’études diverses. des sciences et arts, agricoles et horticoles. historique et archéologique. d'agriculture, sciences, arts et commerce. agricole et scientifique de la Haute-Loire. D'MPTELTE AT noie L 57 2, nr ‘€ w dl * — 154 — CEE SES Société géologique du Nord. 1H lan Fo Ts I RERRPIEENREENAR Société Gay-Lussac. re Os ESS Société de botanique du Limousin. 2 HD) RAR SIN Société d'agriculture, d'histoire naturelle et des arts utiles. LEA CRE LAANRNRERENS Société littéraire, historique et archéolozique. MÉMANS ri 2... .. Société historique et archéologique du Maine. _ Montauban ......... Académie des se., belles-lettres et arts du Tarn-et-Garonne. » Montbéliard........ Société d’émulation. _ Montpellier......... Académie des sciences et lettres. RAINANLES 2... Nes. Société académique. id................. Société des sciences naturelles de l'Ouest et muséum. MMEe 2. .......... Société des lettres, sciences et arts des Alpes-Maritimes. Nimes... ...... ...... Académie nationale du Gard. | Li: MSI RIRES NAS .... Société d’études des sciences naturelles. Niort...... 6, NRA TA Société de statistiques, sciences, lettres et arts. LIL A SRE .. Société de botanique des Deux-Sèvres. En Le Bibliothèque scientifique de l'Ouest. MAPATIS. 0, ...... Association française pour l’av. des sc., rue Serpente, 28. “ 15 548 SSSRERRE Ecole polytechnique. de... Société géologique de France, rue des Grands-Augustins, 7. ad... Société zoologique de France, rue des Grands-Augustins, 7. ts RAD Un . Société botanique de France , rue Grenelle-Saint-Germain, 84. TÉL OT EEE Société académ. indo-chin, de France, rue du 4-septembre, n° 9. LCI. HMS ARR Société de la Revue des sc. nat., de l'Ouest, boul. St-Germain, 14. PA ...... Société des sciences, lettres et arts. _ Perpignan ....... .. Société agricole, scientifique et littér., Pyrénées-Orientales. Privas..........:.... Société d’agr., industrie, sciences, arts et lettres de l’Ardéche. MUREIMS.............. Académie nationale. Rocheîort....... .... Société de géographie. _ Rouen......... ...... Société des amis des sciences. | Sens...... DE SERRE Société archéologique. St-Etienne... ... Soc. d’agric., indust., sciences, arts et b.-lettres de la Loire. Mroulon:. 0... Académie du Var. _ Toulouse..... ....... Académie des sciences, incriptions et belles-lettres. ad... /2...... Societé d'istome naturelle. Me bent) du à Société archéologique du Midi de la France. | 1d................. Société académique Franco-Hispano-Portugaise. LE RP ANA Pense Société des sciences physiques et naturelles. DORE EDR ni Te Société française de botanique, rue Ninau. ÉrOyes,. ...,.... ..... Société académique d'agriculture des sciences, arts et belles- lettres de l'Aube. Vannes.:........ .... Société polymathique. du Morbihan. Verdun ............. Société philomatique. Versailles: .......1.. Société des sciences naturelles et médicales, de Seine-et-Oise. RU nu < ..... société des sc. morales, des lettres et des arts de Seine-et-Oise: Vesoul ...... Le .. Société d'agriculture, sciences et arts de la Haute-Saône. Vitry-le-Français... Société des sciences et arts. Beurre se ee + os Bieme.......... RErUNSWiICK...... ... Giessen ............. Koœnisberg.......... . Halle-sur-Saale..... Bndshut........... id CC Mienre............. Û se — 155 — ALSACE-LORRAINE. Société d'histoire naturelle. Société d'histoire naturelle de la Moselle. Société d’horticulture de la Basse-Alsace. Société des sciences, agriculture et arts de la Basse-Alsace. ALLEMAGNE. Société des sciences naturelles, naturwissenschaftlichen vereine. Société d'histoire naturelle. Société d'histoire naturelle et méd. de la Hesse-sup. Oberhessis- chen Gesellschaft fur natur-und Heilkunde. Société physico-économique , Koniglichen physikalich-okono- mischen Gesellschaft. Académie imp. Léopoldino-Carolina des naturalistes. (Prusse.) Société botanique. (Bavière). ANGLETERRE. Société littéraire et philosoph. litterary and philosophical sociéty. AUTRICHE. Musée d'histoire naturelle impérial et Royal, 1, Burgriny, natur- historischen hofmuseums. BELGIQUE. Société royale malacologique de Belgique. Société royale de botanique de Belgique. CANADA. Société d'histoire naturelle. Société historique de Montréal. Institut Canadien-français. Université Laval. Canadian institute. ETATS-UNIS. Académie des sciences naturelles, academy of natural sciences. Académie des arts et des sciences de conneticut ; academy of arts and sciences. Société philosophique américaine, américan philosophicat sociéty. Société historique de l’état du Kansas ; State historical of the Kansas. Académie des sciences du Kansas ; académie of sciences of the Kansas. — 156 — Washington........ Société oéologique des Etats-Unis; Smithsonian institution. id. D. C...... Société des régents de l'institution Smithsonienne ; united, states séological Survey. id. LB REA CCR Bureau d’éthnologie ; bureau of ethnology. LUXEMBOURG. Luxembourg........ Société de botanique du grand duché. MEXIQUE. Tacubaya........... Observatoire astronomique national ; observatorio astronomico. Î NORWÈGE. Christiania ... ..... Université royale de Norwège. PORTUGAL. Porto............. .. Société de géographie commerciale, sociedade de geographia commercial. | RUSSIE. Helsingiors ......... Société zool. et bot. Finlande; pro fauna et pro flora FennicaM Kiew..... _....... . Société des naturalistesà l’université impériale de Saint-Wladimir , Kievskoie Obschestvo Estestvo Ispytateley. Moscou.............. Société impériale des naturalistes. SUËDE. Stockholm ......... . Académie royale des belles-lettres, d'histoire et des antiquités Konel. Vitterhets historie och antiquitets akademien. | SUISSE. PBeEPHEN AN ae route Société des sciences naturelles. DA nee are d ce re Red Société des naturalistes ; naturforschende Gesellschaft. Genève.............. Société de physique et d'histoire naturelle, Hausanne.:........ Société vaudoise des sciences naturelles. Neuchaätel :...:.... . Société des sciences naturelles. L'ABI.E.. ——e LC'GA EEE -2-T—— Pages. Compte-rendu des travaux de la Société des sciences naturelles, par M. de RICHEMOND....... RIRE 2 te 5 Rapport sur le Museum Fleuriau et les musées d’ostéo- logie et d'anthropologie, de la marine et de l’ethnogra- He DAT leNCONSERVATEUR RM seu 25 Rapport sur le laboratoire inunicipal de chimie, par RIREUSSONS SE Re ve RP ED ee ee Dee 31 Session extraordinaire de la Société botanique de France AE EbChelle. ACER RAT, PA AR NT De 33 Discours prononcés à l’occasion de la mort d'Albert HOnEMER 20... PL ART No on PA 0e 09 Note sur une nouvelle espèce du genre Muscari ; rapport DAME ROUCAUN 22 use A A De PR PE DE 59 DICES EME SRE RAT ER RS NAN TR 63 Les mamifères de la France. — Etude générale de toutes nos espèces considérées au point de vue utilitaire ; DUO DAr ME Az BOUVIER- 2.5.0 Len LE HE 67 Observations météorologiques. ......... PSE AU te CR 75 Liste des membres et des sociétés correspondantes..... 147 TT ER ER DD IS Jar LS Ne 22: d e PP So | æ GER Cr ee ne LD CRE DRE NE TMS —— nn ST: S . TENTE PATES RL RT LS 3: .. PRE … +. %,u À _ L tas 7 2 Pen AO æ RAT rs ES “ TRE %