LIVES r 4 Re. re BULLETIN DE L'ACADEMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE S'-PETERSBOURCG. TOME NEUVIÈME. (Avec 4 Planches.) Sr.-PÉTERSBOURG, 1866. Commissionnaires de l’Académie Impériale des sciences: à St-Pétersbourg. à Riga. à Leipzig. MM. E : dr Lt CPR et M. Samuel Schmidt, M. Léopold Voss. Prix du volume: 2 Roub. 70 Kop. d’arg. pour la Russie, 3 Th]l. de Prusse pour l'étranger. IMPRIMERIE DE L'ACADÉMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES. (Vass.-Ostr., 9° ligne, N° 12.) TABLES DES MATIÈRES. A. TABLE SYSTÉMATIQUE. (Les chiffres indiquent les pages du volume.) SCIENCES MATHÉMATIQUES, PHYSIQUES ET BIOLOGIQUES. | Rupreeht, F.J. Nouvelles recherches géo -botanique sur le Tcher- MATHÉMATIQUES. Minding, F. Quelques remarques analytiques à l’occasion dun ou- vrage de M. le Prince S. S. Ouroussof. 48—56. Somof, J. Sur les accélérations de divers ordres dans le mouvement relatif. 469— 477. ASTRONOMIE. Savitch, A. Observations des planètes à l’observatoire de St.-Péters- bourg. 141—142. — Sur la détermination de la résistance de l'air au mouvement du pendule. 477—482. Struve, O.: Découverte de quelques nébuleuses. 569—573. PHYSIQUE DU GLOBE. Sass, le baron A. de —. De la congélation de la mer sur les côtes d’Oesel et de Moon. 145—188. Lenz, R. Observations magnétiques dans quelques points des côtes de la Finlande et de l'Ehstonie. 419—426. CHIMIE. Struve, H. Analyse de plusieurs bronzes antiques et d'objets en fer, trouvés en Sibérie. 282 —289. Schmidt, Dr. C. Etudes hydrologiques. Les eaux salines sulfureuses de Stolypin. 315—5331. Fritzsche, J. Sur les hydrocarbures solides tirés du goudron de houille. 406—419. MINÉRALOGIE ET GEOLOGIE. Goebel, Ad. Sur le Carnallit de Maman, en Perse, et sur les causes de la couleur rouge de quelques sels naturels. 1—26. — Sur le Catalogue du Cabinet minéralogique de l’Académie, publié par Lomonossof. 26—535. Fritzsche, J. Remarques à l’occasion de la notice de M. Goebel sur le Carnallit de Maman, en Perse, et sur les causes de la couleur rouge de quelques sels naturels. 56—64. AM. le Due Nicoias de Leuchtenberg, La Leuchtenbergite. 158—192. Kokcharof, N. Sur le système cristallographique et les angles du Sylvanite. 192—202. — Résultats du mesurage de quelques cristaux. 231—240. BOTANIQUE. Ruprecht, F. J. Sur une algue d’eau douce, trouvée dans la marne au gouvernement de Viatka. 35—43. noziom. 482—569. ZOOLOGIE ET PALÉONTOLOGIE. Brandt, J. F. Rapport sur la seconde partie de son travail sur les degrés de développement des Ganoïdes. 43—48. Brandt, Ed. Sur une carotide particulière de Pelias berus. (Avec une planche.) 273—279. Brandt, J. F. Quelques mots sur l’extermination de la Rhytina. 279—282. Morawitz, A. Quelques observations sur les Hymenoptères apparte- nant au groupe des Crabronides. 243—273. ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE. Baer, Ch. de —. De la découverte faite par M. Wagner, de larves qui se propagent; des observations qui la complètent de M. Ganine,et de la Pacdogenèse en général. (Avec une planche.) 64—137. Knoch, Dr. J. Sur l’embryologie du Bothriocephalus proboscideus. (Avec une planche.) 290—314. Mecznikof, EL Sur Geodesmus bilineatus Nob. (Fasciola terrestris 0. Fr. Müller?), une planaire terrestre d'Europe. 433—447. PHILOLOGIE ET HISTOIRE. Dorn, B. Acquisitions nouvelles du Musée asiatique pendant l’année 1864. 137—142. — Additions au catalogue des manuscrits orientaux achetés à M. Khanykof par la Bibliothèque Impériale publique. 202 — 231. Wiedemann, F. J. Rapport sur un voyage executé en 1865 dans l'Esthonie et la Livonie, pour l’étude de la langue ehste. 241— 245. Nauek, A. Remarques critiques. IV. 332—406. Brosset, M. Traité géorgien du comput ecclésiastique, composé et écrit en l’année mondaine: 6741, ère grecque (5508); 6837, ère géorgienne (5604); 453 du 13 cycle pascal géorgien, 1233 de l'incarnation (manuscrit de Mtzkhétha), traduit par —. 448—469. Etat du personnel de l'Académie des sciences au 1 janvier 1866. 426—432. Bulletin bibliographique. 142—144, 240, 432, 573—576. B. TABLE ALPHABÉTIQUE. (Les chifires indiquent les pages du volume.) Académie des sciences, état de son personnel au 1 janvier 1866. 426. Baer, Ch. de —. De la découverte faite par M. Wagner, de larves qui se propagent; des observations qui la complètent, de M. Ga- nine, et de la Paedogenèse en général. (Avec une planche.) 64. Brandt, J. F. Rapport sur la seconde partie de son travail sur les degrés de développement des Ganoïdes. 45. — Quelques mots sur l’extermination de la Rhytiua. 279. Brandt, Ed. Sur une carotide particulière de Pelias berus. (Avec une planche.) 275. Brosset, M. Traité géorgien du comput ecclésiastique, composé et écrit en l’année mondaine: 6741, ère grecque (5508); 6837, ère géorgienne (5604), 453 du 13° cycle pascal géorgien, 12383 de VPincarnation (manuscrit de Mtzkhétha), traduit par —. 448. Bulletin bibliographique. 143, 240, 432, 575. Dorn, B. Acquisitions nouvelles du Musée asiatique pendant l’an- née 1864. 137. — Additions au catalogue des manuscrits orientaux achetés à M. Khanykof par la Bibliothèque Impériale publique. 202. Fritzsche, J. Sur les hydrocarbures solides tirés du goudron de houille. 406. — Remarques à l’occasion de la notice de M. Goebel sur la Car- nallit de Maman, en Perse, et sur les causes de la couleur rouge de quelques sels naturels. 56. Goebel, Ad. Sur le Carnallit de Maman, en Perse, et sur les causes de la couleur rouge de quelques sels naturels. 1. — Sur le Catalogue du Cabinet minéralogique de l’Académie, publié par Lomonossof. 26. Knoch, Dr. J. Sur l'embryologie de Bothriocephalus proboscideus. (Avec une planche.) 290. Kokcharof, N. Sur le système cristallographique et les angles du Sylvanite. 192. Kokcharof, N. Résultats du mesurage de quelques cristaux. 231. Leuchtenberg, M, le Duc Nicolas de —. La Leuchtenbergite. 188. Lenz, R. Observations magnétiques dans quelques points des côtes de la Finlande et de l’Ehstonie. 419. Mecznikof, EI. Sur Geodesmus bilineatus Nob. (Fasciola terrestris 0. Fr. Muller ?), une planaire terrestre d'Europe. 433. Minding, F. Quelques remarques analytiques à l’occasion d’un ou- vrage de M. le Prince S. S. Ouroussof. 48. Morawitz, A. Quelques observations sur les Hymenoptères apparte- nant au groupe des Crabronides. 243. Nauck, A. Remarques critiques. IV. 332. Ruprecht, F.J. Sur une algue d’eau douce, trouvée dans la marne au gouvernement de Viatka. 35. — Nouvelles recherches géo-botaniques sur le Tchernoziom. 482. Sass, le baron A. de —. De la congélation de la mer sur les côtes d’Oesel et de Moon. 145. Saviteh, A. Observations des planètes à l’observatoire de St. Péters- bourg. 141. __ Sur la détermination de la résistance de l’air au mouvement du pendule. 477. Schmidt, Dr. C. Etudes hydrologiques. Les eaux salines sulfureuses de Stolypin. 315. Semof, J. Sur les accélérations de divers ordres dans le mouve- ment relatif. 469. Struve, O. Découverte de quelques nébuleuses. 569. Struve, H. Analyse de plusieurs bronzes antiques et d'objets en fer, trouvés en Sibérie. 282. Wiedemann, FE. J. Rapport sur un voyage executé en 1865 dans l'Esthonie et la Livonie, pour l'étude de la langue ehste. 241. T. HX, N° 8e BULLETIN DE L'ACADÈMIE LNPÉRIALE DES SCIENCES DE ST-PÉTERSBOURG. TOME IX. | (Feuilles 1 — 9.) CONTENU. | Page | Ad. Gochet, Sur le Carnallit de Maman, en Perse, et sur les causes de la couleur rouge | de quelques sels naturels....-.-e....50te mener ss ts ie; 1 — 26 Sur le Catalogue du Cabinet minéralogique de l'Académie, publié par Lo- MON OSSO na das OU Dar M res se Se Me Men ENS 26 — 35 F. J, Ruprecht, Sur une algue d’eau douce, trouvée dans la marne au gouvernement de | UT Re OO D 0 DIR CD OO UD DL MOTO QD ES CIE 35 — 43 | JL F. Brandt, Rapport sur la seconde partie de son travail sur les degrés de dévelop- | pement destGanoïdes., ..ssfrseese sessheniaessesennpers compense 43 — 48 F, Minding, Quelques remarques analytiques à l’occasion d’un ouvrage de M. le Prince | ER RO OO LL a A 48 — 56 | L Fritzsche, Remarques à l’occasion de la notice de M. Goebel sur le Carnallit de Maman, ên Perse, et0...: esters renemssesnescaetssesmetsnetienses 56 — 64 | EH. de Baer, De la découverte, faite par M. Wagner, de larves qui se propagent; des | observations qui la complètent, de’M. Ganine; et de la Paedogenèse en général. Éveciune Planche.) Jason a des OM Rens AS DES Se roses 64— 137 | B. Porn, Acquisitions nouvelles du Musée asiatique pendant l’année 1864........... 137 — 141 A. Savitch. Observations des planètes à l'observatoire de St PÉtERSDOULE. ner 141 — 142 Bulletin bibliographique... ..,...4...........ssesessesessiessrenéesemereeee 143 — 144 —__—. | 62) belles | | | » | 9Mäürz..|..|..|..+ BY | | | DR 0) 0. lÈ + | | » 124 » ll... + | | | » 26 » le AE | | | | » |30° » | Ale cercle doc Spalte von 2’ | | | RAA AU Breite. | | D ARTApril| 4222162). | | PAIE EE | DA CRM D A tnt Spaltebei Wer- l | | der !/' breit. | » : Fe TU ÊFS ERS OR RO PS A RE ER léSpalte is HAE ES Sr HinterUllntist | Pa breit. | das Eis zertrüm-| | | TO ON | | | | mert. | | » | ET le). L ls een: Voller Locher.| Viele Spalten/...,....0...00.00....---lPe2cc. cr | Der Sturm hat das | | | | von 2’ Breite. Eis von Pater Noster | | | | | fortgeführt. » | 9 » AE EP PE ES ERP Je...) 2 grosse Spal- | | ten » |10 » +] | | | | 5) | ET LORD EEE EE PE EE EEE RES ES a At au ni ee PES CE SO b Vorbanden. Hinter Ullut und | | | | | Pater Noster offenes If l'a il | | Wasser. DL Ne EL le Re EE REA RER relie nou cnrs mn etai ea ee 0e ee eee An den Ufern bei | | (ni Kuiwast u. bei Schil- | 112 | | dau offenes Wasser. 54 NT ESP ESRI PE RE Le EE EE D en D | AnallenSeitensieht | Iman offenes Wasser. D, API, Du) GA SMS PR ÉERRPS RSR RECENSE RS IRBeLiVerden lee -nerurelere | Der Sund hat freies | | | | Werst weit in d. Wasser. | | Sund hinein ge- | | | | | | | füllt mit Treib- | | je | eis. | | | » (123 » alt eele sense nl ist [RIRE Ru DerSund istge-| | | en | füllt mit Treib- | | | | | | leis. | | » M24005 0 | A Po GEI lE de CEE ARE LE ENTER | Der Sund ge-| Bei Werder à | | [RE füllt mit Treib-|WerstfestesEis.) | | | | eis. | | | | | | | 151 (Tragkraft des! ; fe À | : | Besondere Jabr.Datum.| Lists: des me “æi | jrs Gau | Treibeis. | Beschaffenheit | Aufwasser. | 1 2 T8. 4.5 1ses. | 18e. 1Se. des Eises. | 1854 7 april].|..|..|..|. jantes etes D. . clLecttienteld- voor Bei Werder 0 HA LE | sind 2 Werst Eis. AN MES re A) Ce en Er) PAR GS or door TE D TS PP D ET Due le GORE PRE Bei Werder 1 | Le EN | (Werst Eis. | » |26 Nov.+| | | | | | | 3 Dectle leslesleslenlereemenens nl ce creer Bei Werder s0- | | wobl wie bei | | Kuiwast 1 Werst | Eis. D) MT E NS e RN S sns else se de iare de me el oeste essences ir AI ML ENS Jolie ste ajolelsielesrs sie. + TE EE OA AI SE RSR RE 2) CO à 0 PE | Bei Werder ein | | | | wenig Eis. » 15 » A A A AR assessment Rte serment chple cxfoh Haute les shjsreere » 17 » (els Jeleelel.....se laser see mnsseclessecfiate. celles | euh bee less coell D I MR AR SR css ee fee uecesemeclec RC ee. Gefüllt mit | | \ilée (ul Treibeis. PO PA RP ul... os. |Vereinz.Blôcke| Bei Werder 1 | [| lvon Treibeis. |Werst und bei | | Kuiwast 2 Werst, | | | | dünnes Eis. SN ENT PO LE LE ER EPS ES PRE ler: Re: el rise crosse cree Bei Werderein | | | | | wenig Eis. | D BE PEN EN PIE EP UE en se selon ne Dr A RP E RME came | Bei Werder | | | | | |Eis. 1855 annee lle leslee less: --coneue FOR | Gefülft mit | DerSW.brach- | lin Treibeis. te das unter Kui- | | \wast befindl. Eis| | | fort. Bei Werder Î | | | ist Eis. DO. Hs me | Gefüllt mit | | | lb] Treibeis. | » [25 » |..|..|4+1..|..| Bei Werder TU Rae en Bei Werder 2 | | RE | ‘lo ; | sn von l// | | | LUS DE | | Breite. » [28 » 1 +! | | | | nn | NTFebr:slelselee +| PE Dre ARR | Bei Werder 1| | A ne | Spalte. | » |16Aprill..|+|..|..|..| Bei der Spalte| A sise .| 1 Spalte von 6’! | | PE ist das Eis sebr Breite. | | | | dünn. » [20 » |.. dE à Rp Im Eise sind! 2 Spalten, jede | | Ne zum halbenSun-\viele Lücher. 3° breit. | | || |] ‘de ist das Eis 2’ | | | 188 dick, bei Werder. | | AIN 0 Le nur GA » [23 » |..|.. Tr nen 7ul | Nadeau ete fée dress Mae Ole ce-emeceere Das Eis reicht|.......... [M | | von Kuiwast bis [a | | Pater Noster; | | hinter Schildau | | | | ist auch Eis. | DM SONDE Al ANSE 5046. ce ls... sl MR PERTE RE) | Der Sund ist. Bei Moon am af] | IvoliTreibeis,das|Ufer ist schr! | | | (bis Pater Noster dünnes Eis, das | | | | | reicht. Isehr brôckl. ist. » 3 Mai |..|..|. RS met om ronds ere SG | Vorhanden. | Der $. hat das | | Eis hinter Schil- | dau geführt. » LODEL |. Sale lee AR le lus erasetilalens non socmet less moments -peselosecevss D SON ON AE AA le et Lui, RSR ER RACE = lrsésehenWer- | | | der und Rohhi | | | | Ninna Treibeis. » 9 Dec.|..|+|..1..1.. In der Mitte des | | | | | | | |Sundes ist das] | | | | 0 : [Eis sehr dünn. | | | » don elle. RER die | Bei Werder Von der Mitte| | | | viele offene Lü-des Sundes bis | cher. Spa | » 17 » lle seeteereoue LATE D I [1 Spalte. | Bulletin de l’Académie Hmpériale 152 lOffenes Wasser. | Offenes Wasser. Offenes Wasser. Las es Wasser. | Hint. Pater No- steroffenes Was- ser. Offenes Wasser. 153 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 154 Tragkraft des! …. . x DRE ë | | | : Spalt Besondere à : Jabr.| Datum. Bises. gun) 1e ne: te ee ns | Treibeis. Ê Beschaffenheit| |Aufwasser. ÉRES MES d 2.13.2.5. :ises. | Lise. tise. | | des Eises. | | ser. Too 1855 |23 Dec. |. |. .|.. EP M RE eee BeiW erd. A | | | | rere Spalten. 2 | | | | | Spalt. gehen pa- | | | | | rallel dem Wege| | | | (nm von Kuiw. nach | | | | en | (Werder. | 1856 | 3 Jan. he) AU LEA De M ere. | 1 Spalte br. | | » AO April. .|+|. |... 05 54 D ARO en | 1 Spalte21/;'br.| | » 13 » | ..|..| BeiderSpal-| Bei Werder {stl 1 Spalte über 3 | | | | | | | te ist das Eisin der Nähe derbreit. | | OT sehr dünn. Spalte das Eis | | | [El durchlüchert. | Sell St vpn ll. .| -..) Das Eis bei. Aufdemganzen, Die Spalte istl ice tasres sine eue Das Auf- | | | | d. Spalte dün-Sunde istdasEis über 7° breit. | wasser ist | | ner als 1’. durchlüchert. | | stellenwei-| | ù seub.3 3'tief. DD D Le rl ele te PORTER IL AGIT | Bei Werder istla..sseesteomesesoleesonssesosee rene | Hinter Pater | | 1 Spalte 8’ br. | Noster und | | | | | Schildau offe- | | IP | | | nes Wasser. Du 20 pu |. “eleclece ets Homer ln serscsesatalemescentecce | Bei Kuiwast bis 2 | | | | | | | IWerst in den Sund | | | | | lhinein Treibeis. | | | » | 4 Mai |. els SN VUE PPS lasse + sesme cali set ete sde Jeu cnlasomeeesssceceleee.0 se \Offen. Wasser. » [14 Nov Role eee L (tue. 2e) Rhsetesssiee .| BeiKuiwast2 Werst, | | | Treibeis. | | AO 5300 TOR PAP SP PS OR ER RE AS EIRE RM sons Rte cece DerS.hatdasTreib-|.............. PRES ren . Von Kuiwast 1H EN | | leis unter Werder ge-| | bisRohhi Nin- | | | | Ibracht. | | na offen.Was- | || | | | | ser. NC a BA LE AA A ER RL EE CR | Vorhanden. | | | » | 4 Dec.|..|+| | | | | | | Aa RERO en A EEE AS ES PRE lssest ose lei Al LOST OO TOP one | Der Regen hat, | | | | das Eis unhalt- bar gemacht. » 12 » |+ | | DR TON ES RE etsan celee ec ocne lentes -cccsei] | Durch den SW. ist, | | Treibeis nach Wer-| | | | | | der angetrieben,kam| | | | | daraut nach Kuiwast,| | | | | kehrte wieder nachl | | : Werder zurück und | | bedeckte 3 Werst | | jam Ufer. » |28 » + | | | 186 Tant 2:12 LA ss se 1 Spaite. | nono. |...) 488 anni 7 IR. ue | Viele Spalten, | | | | | Iwelche sich in | | \verschied. Rich- | | | | tungen schnei-| | | den;sie sind mit NES Schnee bedeckt.. DL) EE) Me PAS DHAHATAOCE Die Spalt. sind | | | verschwunden. » 10 April lp ralentie Ne R | Viele Lôücher. | 2 grosse Spal-|.......... criteres Das Eis ist sebhr | | ten. unhaltbar. » | 8 Mai |... slash IMMEgSs tale e ne ee lee Le Deer erertre coo...sse.|Offen. Wasser. DAMON ON eue iescranenn lasohenconcsuns Re pe LIT) Bei Werder if, | | (AMEN | | IWerst Eis. | » 31Dec:|:21.5 AIMENT 2 divers |5 ec RTE ML LR ss ee SA ES .| Bei Werder ein | | wenig Eis. » |13 » Re AU A a late aa esters ARE LE He SR RS ET TE Zwischen Wer- | deru.RohhiNin- | na ist der Sund | | | mit Eis bedeckt; | | | bei Kuiwast ist | | | | 1, W. weit Eis.| » W DA PA ÉRIPa noce coran ECOREEEECEEEEE CEEE See Aa e socteteier bee RO ne |..........|0ffen. Wasser. | NI | | | | | 155 Bulletin de l'Académie E{mpériale 156 PR Ê | | Jabhr. Datum 1857 |28 Dec 1858 | 4 Jan. » LES » 25 » » [29 » » 1 Febr » DL 005) | » 14 » | » 195 Märzl..|..|+|..|.. » 128 » » | 2Apri » 5 » » | 9 » » 1221; De 11615) » (25 » | » 130 » | » [15 Nov » 129 » » | 3 Dec » 5 !» » 6 » EN 11 (RS) » |24 » VND TE» » NS» 1859 | 3 Jan. » AS Tragkraft des | Dicke des Lücher im Eises. | ——— |- Eises. | Eise. [1.2.18.14.15. no lishalés] rare | | | | | | | | | | | | | | Al | .æ+l..1..1..l Bei Werder ist | | | |d.Eis sehr dünn. QE EN «| | | | | | | FAR LARIÉE PS ERA EE 314 | se lbeler OV RE PR Ne | | | | d.Eissebr dünn. Lücher. us af HSE oo LEE PERTE | Bei Werd. sind | | | viele offene Lü- | | | | | cher. Los CS ÉMIES PAPER Érete recto | | | DO OO ES loose | pass cioiniaie.s 3 ses | Mlle limenenreetcs Das Eisist ganz 1-10 0e | durchlüchert. LGo] FI EE) OI OR ER | Das Eis ist sanz | | | 1") durchlôchert. EOERE Fe ÉREEREEEEEEEE | | | | | | | | loi] | | | | | | | | NC EN DS | |: | | | | | sell sl del 206 eagle and be APR EU 160108) A0) SI ÈS ÉPSRRRE.L ERRERRR RRe 16 ÉE) 68 FAI CA RER RER PA | | Ar EE JF a ESIER FCO [.6:4 RR | | [pr | ARE Bei Werd.sehr, Viele Lôcher. | | | | dünnes Eis. sea | (A | | [ll | .…|..|..|..f.] Bei Werder istl.............. | | | das Eis 6 dick.| TOR AN ON EAST AO EIRE AN EE | | | | | BeiSchildauist| Das Eis voller | | Spalten im | | Besondere | | | Beschaffenheit | des Eises. | …. Treibeis. | Eise. | | Aufwasser. Offenes Wasser. | Zwischen Wer- deru.RohhiNin- na ist der Sund| mit Eis bedeckt und bei Kuiwast | ist 1/, Werst Eis. Pr . Bei Kuiwast A Bei Werder 6] IWerst Treibeis. Werst schrdün-| | mes Fis. | | 3 gr. Spalten| längs des Weges :v. Kuiwast nach} Werder, auch noch viele ande- re sich durch- | schneid. Spalt. | Die Spalt. sind noch offen. | | | | Mebhrere Spal- ten. | | | 4 unbedeuten- de Spalten. | 4 Spalten. | | AT LA BCE Der Sundist voll | | Treibeis, wel- chesbeiKuiwast lu. Werder 2 W. weit im Treiben | begriffen ist. Zvwischen Wer- der und Rohhi Ninna ist Eis. | resserre lA.--.2.:.... 1 BelKuiwastii | Werderistl/,W. | ‘ | Eis. | ess aete ses | Vorhanden. | Re ne | Vorhanden. | NP Re | BeiKuiwastviel Zwischen Wer- | Treibeis. der und Rohhi Ninna eine Eis- | schicht. | DR SN DR PL | BeiWerder viel| | Eïs. | PéRareroncnec | Bei Kuiwast 5 Bei Werder 5 ëWerst Treibeis. Werst sehr dün- nes Eis. | | Bei Werder ist, | eine 3° breite] | Spalte. | | | | | Bei Werd. sind! | mebrere Spalt. | | | Mehrere offenel.............. lessons dent | Spalten. | | | | Hinter Pat. No- ister nach Pucht zu offen. Wasser. 157 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 158 | | Tragkraft des! | | | | | : i | Lü i | Iten im Besondere | | Jabr. Datum. | Eises. | Did qe | VGEGE Ts | K | Treibeis. | Beschaffenheit Aufwasser. Offenes Wasser. | [1.]2.184.5. Me | fe | nn ARS | ! | [l | | | 1859118 dans [sal 15.1 eee eines Miele Spalten. |... 4... lt. | Zwischen Pa- | | | | | ter Noster und | Rohhi Ninna ot- | | | fenes Wasser. » 120 » See | | » |23 » | SITE +] | | | D où |:2l--).) |. me en ouce Re ee dt nc oee Lasihidas vite Fr Zwischen Pa- | | || m4) ÿ | | lter Noster und | | | | | | Rohhi Ninna of- | | | r | | fenes Wasser. » |30 » | 1 8. dose oseece| Del Werder il | | | | | | | | Spalte !/,' breit. | | » sHebr|-2l:21-:1010. 1 DasBisiebsehr| ee... ...-.-...... Rire (a ve Me el ao Bei Kuiwast u. | | n dénn: | | | | | Werder an den | Pape | | | Ufern offenes | | lRITIER | | | Wasser. RS EN | | | NON | +] | | | EE Sep EP ER | | | DA LE | AGche a | | » 117 MES TOI SU ER | +) | | » |20 » | RARE | | » |24 » EL 1e AA | | | » | 2Märzl..|..|..|..|+ | | | | DRE) SAR PEN PE DEN PES ÊTES | | | | | Den 1.2 Cl iTEVomhalbent... 51 PRE a Re nb cr eec | Bei Kuiw. | |Sunde bis Wer- | | (und Werder! | | | | | [der ist das Eis | | Aufwasser. | | | | | | |sehr dünn. | | | | ». |20 » AP 61/". | | | DA DEA lesleele le teeee se... cu. A PE PE Re A [TOUR Das Eisbéginnt | | | | | | | sich ausd.Sunde | | «| | | | ‘herauszubewe- | ar | | | | | | gen. Geg.Abend | | | | | | | tritt jedoch wie- | | | | | | | | der Stillst. ein. » [24 » A rot el | Bei Werd. sind | | | 2 Spalten; bei] | | | | | | Kuiwast ist eine! | | | | | | Spalte; die bei-| | | | | | | den Spalten sind | ER | 2’ breit. | | | » (27 » |..1..|..1..|+ | | | | | » HdAprill..+ | | | | | DO D ER AR hausse 2 ccm oc sales | Der Sund volll | | | | ITreibeis, das | | | | sich bewegt. | » (24 » Halles LA A ss penbenle | 5405 + oc can Ress mea InderMitte des. Zwischen Wer- | | | | | Sundes ist über der und Rohhil | | | | | 1 W. Treibeis. Ninna ist festes| | | | Ja | | | Eis. | pPnemte ele...) 1lee 88 ets à ER sers. en lee rene eee | Offen. Wasser, DES Decelles. bin. oradie Les TT letras .....| Bei Kuiwast u.l | | | | | | IWerd. ist Treib-| | | leis. neo ee. eleltteeectirt : PR Le TRE, D | Bei Schild. be- | | | | lwegt sich das | | Treibeis. | | | » PE) [+ | | | | | 1860) M8rJan ll Al..s ect 400 RE ele a nee REA CUC noie Fr Miel BeiKuiwast of- | | | | | fenes Wasser. » RCE RES | | | ARR 10) 26 LP LI AA LR ETS FRE esse let RE à À à I RE ET RP ee | ET | Bei Kuiwast!}, PS | [W. offenes Was- | iser. » 15 » el | | | | | » 119,09 M'A IAE | pur [220 pl A SERIES ER EEE Ve ER AL jee | Viele Spalt. in, | Le | | \verschied. Rich-| | | tungen. | | | | 159 Bulletin de FAcadémie Impériale (Es s des Dicke des Lücher im Spalten im Re Besondere Jahr. Datum. Eises Es Bise Treibeis. Beschaffenheit Aufwasser. | (1.[2.13.14.15. + ca Le CE 1860 (26%analte 21.10. ee EE ne, Die Spalt. sind | (l . J | (4m) mit Schnee be- | | | deckt. | | 52/26] .|..| 6" bei Werder!.............. Bei Werder | | | | Lund Kuiwast. sind mehrere mit | | (DE | | Schnee bedeck- | | | A A te Spalten. | » [27 Dec |...) | » 130 25 Héal |+-| | 1861, 1 April, +] | 014 n |s 1.1. lle des oumacseleesseseseeestlehe sc acsenres Das Treibeis | (0 10 | bewegt sich ge-| Lunln | | gen Pat. Noster. A 2.705 ee) EN ES BOIS ER CRE Ve | Bei Werder ist.......... FAR | | | | | vie] Eis. » 130, » Malarleelsoleclr sa esseseseilsseres.s access sectes entlé nee. RE D IPDPNOv elle lle ere clear. PP Re | a |" | | RO AR AS etes selon ss rilonontes om sites | BeiWerder Eis............ | | | ; pu 28; 01 Le Où EE OS O0 CCC EEE EE CCE EEE EEE CEE fosses esessseslossssosessesee lé sbetene » | 1 Dec.|..|..|..|.. selsesos scores esse ces se soie ses e se se 0e 010 0 0 EE on do or loss cer SO CONS NE. | PEER ON DS ER RS RE ee | Bei der Brücke! | Éd | | bei Kuiw. Treib-| | | jeis. | SR Er ET el sin eraiaes c cole to CRE Vereinz.Stücke! | | Treibeis im Sun- | de. » 13 SO ES een D Ci le I I TON srl seercecerelse-ecocée.s OO ne anale cles re Me catnoslescsenem mec IR. ide Vorhanden. » |25 » | | A D | Bei Kuiwast 8 | | tel | | [W. gefüllt mit | (a | Treibeis. 1862 | 8 Jan. |..|+| | | | » |9 » Hl..f..l..1...........,1...4.....444] 2 Spalten. | » [12 » |... |+|. NE PR Bei Kuiwast 1! | | | | Spalte. | | » |16 » | 1. IL DerRmwastie..s.--.....0e | 9Spalt.,welche | | | | |l4' bei Werder. zugefroren sind. » 81 Marz.. |... | | | » |14Aprill..|..|..|+| | | » [17 » |..|..|..|+|.. SR RE re Bei Kuiwast 1 | | Spalte 1!" breit.| DO O EEE. PAWISChEN RU 6... le SO 2 à à COLE 0 Oo 0) ET TEE | | wast u. Schildau | | list das Eis sebr | | | dünn. | | » 124 » Helpe... Viele Lôcher. | Viele Spalten. | » | 6 Mai eee PRE à sen ie lose ne Des oe De is ve dei | Zerstr. Treib- | | | | | eis. » |8 » A EE Me sie Data Nice | | | DE PL | 160 Offenes Wasser. | Bei Kuiwast ist offenes Wasser. | Offen. Wasser. | Offenes Wasser beiRohhiNinna. | Offenes Wasser beiRohhiNinna. Offenes Wasser. | Offenes Wasser. | Offenes Wasser. | Hint.Püssi Nin- na offenes Was- ser. | | | OffenesWasser. In Bezug auf die Spalte «Tragkraft des Eises» muss ich bemerken, dass die verschiedenen Grade dersel- ben von 1—5 von den Berichterstattern so angege- ben wurden: 1 — eine Eisschicht, welche noch keinen Fussgänger trägt. 2 — eine Eisschicht, welche schon Fussgänger trägt. 3 — eine Eisschicht, welche schon einen mit einem Pferde bespannten Schlitten trägt. 4 — eine Eisschicht, welche einen mit 2 Pferden be- spannten Schlitten trägt. 5 — eine Eisschicht, welche die grüssten Lasten trägt.. Das Datum ist stets nach neuem Styl angegeben. Das Kreuz in der entsprechenden Rubrik bezeich- net, dass an dem angeführten Datum die Tragkraft des Eises eine solche ist, wie die oben angeführte Zahl anzeigt. Ganz derselben Bezeichnungen bedienen wir uns auch bei der folgenden auf den kteinen Sund, zwischen den Inseln Osel und Moon, bezüglichen Tabelle. 161 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 162 B. Der kleine Sund. (Tra { | | | gkraft des, | £ : en Besondere | Jahr. Datum. Eises. | nu ns “ee | Dosnte de ERA : Treibeis. Beschaffenheit| Aufwasser. |Offenes Wasser. olelz el Eises. | Eise. Eise. des Eises. |1./2.18.|4.16. | 1851 113 Dec. | | BARRES PL ARLES Ganz gefüllt | | | mit Treibeis. | 00 PRE | RE, Rd eus eulea nee sde AR ss Sen Rte Bei Orrisaar of- | | | fenes Wasser. 1852 110 Jan. .. + | » (22 » |. ef AE Less sfeennenetesssselossmemeiseises | Gefüllt mit » | 2Febr : + | Treibeis. » | 8April |. .|+| D 2505 1. » | 6 Mai |. + » 16 » | ee RM En ln ses maseseoueles dntee fogtnosnelseneomeeseaesretecrtessenes Offenes Wasser. 1853 19 April |. re Rs eme names esse less meemmcsesselscsenesceescelosceccercccce | Offenes Wasser. » 16 Dec cr | | m2 164. + 1854 |16 März)..|..|..|..|+ pan22 tetes. |... plus 262654}. , |. | + Den |30mpEN, |... 1. | DD ADI PE. lee LOC UE AE PCR) PR du out eu 0 do Den one DONS nn cn BD 00 UC 0000 Ein wenig Auf- | | IS | | Wasser. » |7 » AE nee le secrets BérWVachinanl Reel, chevet. Bei Wachtna| | | | grosse Spalte. viel Aufwasser. 1 CO EE OP PP OA PE EE RER PSS SE ES VAR D erors var se epuetaas cotes caen eau (ÉFERRCE RCE An den Ufern | | | | | | offenes Wasser. Na Me Le sul suce ceslssinensesssess Bei Matsilause Le | | | säär das Treib- | | | | eisin Bewegung. DID A el. IPAIES He contnEe Les RUE ANA l'ion sa anedulatie steel smedeccee.le-e sb Offenes Wasser. D De ee Ie A PP RE PRES nes RE tes... lte scene nt cie Offenes Wasser. » | 7 Nov. + | | | DUT En LE Uri! | » 123 » |..|+| | | » 24 » |..|..|+| | | » |17 Dec.|. + | 1855 |16 März. A A canbnnee | Sehr viele Lü-| 1 sehr breite | | | cher. Spalte. Dh NC Me M EE EEE ER A AA PPS ÉdbeanooPoec | 1sebrgr.Spalte | bei Wachtna. DI96 Aprille ls 2e slalsee.s. (PDAs is est PE RS NP emule secs ol -rcceemeisen Von Illik Laiïd ‘durchlôchert. bis Orrisaar of- | | fenes Wasser. » (130 » Le...) mec Das Eisistganz | | brôcklich. | » | 4 Mai PA PRES AILE L ER RER CO DE BenVachEnn M seen leeheseeneoscrts Der Sund ist | | | Treibeis. frei von Eis. » |25 Nov.+ | | | » | 2 Dec.|..|..|..|..|+| DOME ADN PA lER | E el eRCEneR ee....- (Pl'orosseSpalte lee. -tle- tes. Auf dem gan- | | | bei Wachtna. zen Sunde sehr | | lviel Aufwasser. DT lee alain lesenenesentlese A RE Sn Des. BeKemaste Re A Offenes Wasser. Treibeis. » | 8 Nov. + » 9 » + DE] 1 LEARN A ET » |13 Dec.|..|+ deb OAI). SR nd nusffs cé pée | Mehrere Spal-|.............. Viel Brucheis.| Sehr viel Auf- ten. wasser. DORN ) EIRE AA ES ERRE SRAE. Viele Lücher. » [28 » (|+-|..| ER RSS RTE EE AN ie states ele vie PR Rec lets Mes ete e tee BeiKoggo offe- | | nes Wasser. » 3 Mai |..|. SP na LAS POP SAONE RO POP CNE CRE 2 MEURTRE ER REA RE Offenes Wasser. » (27 Nov.+ ofilasrDec tente let meta ottéamat.atlant dose net À as. darts cl hent MESURER Bei Moon und | Keinast offenes Wasser. Tome IX. 11 Tragkraft des Bulletin de l’Académie Impériale Lôcher im Eise. Spalten im Re Treibeis. Besondere Beschaffenheit des Eises. Aufwasser. Offenes Wasser: | | | | | 4 À IP ART RE LUEUR Et LR PARA RES AQU | LA LEE FO nes [PETER À Ma rabRer er nn aus la et nes ol nee : Durch d.Sturm Aufwasser aus SW. APRES ST OC PE béton intéie sales ENe -.e...........| StarkesAufwas- | | Iser. Mn diMittel...2.... nee: Bei Wachtna 2} 22.662480 00" | Durch das zu-| ist das Eis| Spalten. fiessende Land-| | | wasser ist das | | Eis überall an | | den Kanten vom | Lande getrennt. lose bec seprigases | Mehrere grosse! Spalten. | re sr EEE EE EEE EEE EE EEE EEE EEE ETES EE) Zwischen Ma-l5.:,..:....... sik u. Koggowa | | ist noch festes | | | Eis. sftete seen ln eee scie mess BASE ES Dee | Der DIN BD At seesesecccmocleses use : | d. Treibeis fort- gefübrt. Nur bei | Keinast ist noch | Treibeis. ss... joke soie CE NCAEN (0) CCC Sr Ciee ail nsisie s'ooicets l'elmieisle el cle Sn rlslos ee saisies else es cesse Das Eis istganz! durchlüchert. | HSE RE EEE EEE EFEEEE EE EEE EEE) PEEEEEEEEEEE Sn atiE secs es | Bei Wachtna 1,..............| DasEisist ganz Spalte. morsch. ses so oese ss ne sente NANDIL ALTO DIN an ects cleccceuescuigs | (| ct Abe END eee | Bei Keinast gr........... Re LEE TE) Treibeismassen | aufgethürmt. | nage con lire sesccsnleseccececece | DASPISJEt VON Sturm zertrüm- | | mert. | | RE PR ARR (Same heenanslece-s.tecerocleeec4-cce:r.-t|| ZWISCHEN OT | | |saar u. der Insel | | l’tiefes Aufwas- | ser. Sue COR lee CE Len: Le ec eu |: Durch Zufñlies- sen von Land- Wasser ist das | Eis morsch. DD HAN UE LASER AE EE PER DA EL LL Das Eisist ganz | morsch. | | Offenes Wasser. | Zwischen Gros- senhof u. Pôürri Laiïd ist offenes (Wasser. ..| Offenes Wasser. Offenes Wasser. ..| Bei Nurms of- fenes Wasser. .| Offenes Wasser. Zwischen Pôrri und Nurms ein schmaler Streif ‘offenen Wassers. Zwisch. Wacht- na und Orrisaar offenes Wasser. | Mitten im Sun- de zwisch. Orri- saar u. Wachtna loffenes Wasser. Offenes Wasser. 165 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 166 C. Der Hafen zu Arensburg. Die auf den Hafen von Arensburg sich beziehenden Nachrichten, welche mir der Hr. Zolldirector Lic- cop aus dem Arensburg’schen Zollarchiv mittheilte, gaben nur an, an welchen Tagen durch das Gefrieren des Wassers die Schifffabhrt aufhôüren musste, und an welchem Tage durch das Schwinden der Eisdecke dieselbe wieder beginnen konnte. Datum | Datum Jabr. des Aufganges. | des Zuganges. 1843 17 April | 14 December 1844 | DTA) | 18 November 1845 20m) 13 December 13846 6 » 2 » 1847 | 5 Mai 19 » 1848 | 17 April 19 » 1849 | 27 5 | 27 November 1850 | 2700) | 13 December 1851 25485 | 5 » 1852 | 3 Mai 2 » 1853 | D) | 8 » 1854 17 April | 26 November 1855 | 24 » | 292 » 1856 | 30 » | 10 » 1857 22 » 3 December 1855 25 » | 14 November 1859 4 » | 19 December 1860 20 » | 26 November 1861 | 13 » | 85 » 1862 28 » | 24 » D. Die Küsten Osels im Allgemeinen. Die hierher gehôrigen Nachrichten, welche ich er- hielt, sind folgende : a) Westküste Osels von der Zerell’schen Spitze bis Hundsort. Bei strenger Kälte und ruhi- ger See friert selten das Meer bis 1 Werst weit vom Ufer. Es hängt dieses Gefrieren aber wesentlich von der Stärke des Wellenschlages ab, wobei es ganz gleich- gültig ist, ob derselbe durch Land- oder Seewind verursacht worden ist. In der unmittelbaren Nähe des Landes und der Inseln friert die See stets zu. In den schiffbaren Buchten hängt das Gefrieren sowohl von der Richtung als Stürke des Windes ab. Bei SW., W. und NW. bat der Frost durchaus gar keine Wir- kung auf das Gefrieren des Wassers. Wenn O., NO. und N. weht, bildet sich wohl, besonders wenn die Windstärke unbedeutend ist, eine Eisdecke. Im Frühling erscheint häufiger als im Herbst Treibeis, dessen Aufenthaltszeit an den Küsten ganz von der Richtung des Windes abhängig ist. Bei Muhha Ninna, in der Nähe von Lahhentagge, befindet sich im Meere eine Stelle mit sehr starker Brandung, woselbst nach Aussage der hieselbst wohnhaften Bauern das Wasser niemals gefriert. Wenn sich in der Nähe die- ses Ortes auf dem Meere Eis ansetzt, so wird es als- bald von den Wellen der angränzenden Brandung zer- schellt und nach NO. oder SO. ans Land getrieben. Weiter vom Lande in der hohen Ostsee westlich von Osel sieht man stets sehr viel Treibeis. b) Die Nordküste Osels. Von der Undwa’schen Spitze bei Hundsort an bis zum Soëla’schen Sunde, zwischen Osel und Dagden, friert die See niemals zu. Bisweilen kommt in diese Meeresregion auch Treib- eis, aber es bleibt niemals hier stehen. Hüchst selten ereignet sich der Fall, dass das Treibeis bis zur Ent- fernung von 3 Werst einen Tag stehen bleibt. Ostlich vom Soëla-Sund, er selbst sowohl, als auch das ganze Meer bis zum grossen Sunde und den Küsten Ehstlands friert regelmässig zu und kann stets während des gan- zen Winters mit Schlitten befahren werden. c) Die Ostküste Osels. Über diese vergleiche man die über den kleinen und grossen Sund unter À und B gegebenen Nachrichten. . d) Die Südküste Osels umfasst das Becken des Riga’schen Meerbusens. Von der Zerell’schen oder Kära’schen Spitze bei Zerell auf Sworbe bis Kurland friert bei starker Kälte das Meer häufig zu, aber nie- mals auf lange Zeit. Eine Sage erzählt sogar, dass vor langer Zeit hier aus Osel nach Kurland Men- schen übers Eis gegangen seien, welche Nachricht jedoch nicht historisch feststeht. Wenn diese Meer- enge friert, muss eines Theils die Kälte sehr streng sein, anderes Theils Windstille herrschen. Biswei- len findet sich in dieser Meerenge auch Treibeis ein, welches sich jedoch hier nur sehr kurze Zeit aufhält, gewühnlich nur einige Stunden. Der Grund des Nicht- gefrierens und des kurzen Aufenthaltes des Treibei- ses in diesem Meerestheile ist eine hier sich befin- dende Strômung, welche weder festes Eis noch Treib- eis duldet. Daher flüchten sich auch bei strenger Kälte die Schiffe hierher. An der üstlichen Küste von Sworbe im Riga’schen Meerbusen ist das Meer ge- wôhnlich offen. Das offene Wasser bildet nach dem Meere zu einen Halbkreis von der Dondangen’schen Spitze bis zur Südseite von Abro. Hinter diesem, im Westen von der Sworbe’schen Halbinsel begrenzten offenen Theile des Riga’schen Meerbusens ist derselbe 11* 167 mit Eis bedeckt, während wiederum das Innere des Meerbusens gewühnlich offenes Wasser hat. Bisweilen friert es jedoch auch zu und zwar so fest, dass selbst Menschen zu Fusse über das ganze zugefrorene Be- cken des Riga’schen Meerbusens hinübergehen kün- nen, wovon nicht allein die Annalen der Geschichte berichten, sondern es ist sogar während der letzten 20 Jahre zweimal der Fall vorgekommen, dass Bewohner der Insel Runô von ihrem in der Mitte des Riga’schen Meerbusens gelegenen Eilande im Winter übers Eis nach Üsel gekommen sind. Ostlich von der Insel Abro bis zu den Sunden und den Küsten Livlands friert das Meer stets zu. 3) Perioden der Eishedeckung. Wir müssen bei Betrachtung der Eisbedeckung 4 Perioden unterscheiden: 1) Die Zeit des Offenseins umfasst den Zeitabschnitt des Jahres, während dessen gar keine Eisbildung An à h Bulletin de l’Académie Impériale 168 im Meerwasser stattfindet. Jedoch kann wäbrend dieser Periode auch Treibeis vorkommen. Die Zeit des Zufrierens, welche die Zeit in sich schliesst, während welcher das Eis von dem er- sten Beginn seiner Bildung bis zum hôchsten Grade seiner Stärke, welche oben unter der Rubrik «Tragkraft des Eises» mit der Zahl «5» über- schrieben ist, fortschreitet. [de] 3) Die Zeit des Zugefrorenseins ist diejenige, wäh- rend welcher das Eis in der Stärke 5 verharrt. 4) Die Zeit des Aufganges, in welcher das Eis von dem Stärkegrade 5 bis zum gänzlichen Verschwin- den übergeht. Die folgende Tabelle umfasst die Zeit jeder dieser 4 Perioden vom 1. October eines Jahres bis zum 1. October des folgenden. Hierin bedeutet G. S. — der grosse Sund, K. S. — der kleine Sund, A. — der Ha- fen zu Arensburg. 1” 24): ep Mt T2. 5,.e g des Offenseins im: |des Zufrierens im: s Gefroren- e : der gesammten Eis- des Gefroren- |je, Aufgangs im: SESamE Jabre. , seins im: bildung im: G.s.|K.S.| A |G.S|K.S.| A |G.S|K. S.| A. |G.S.|K.S.| A. | G.S.|K.S.| A. 1843—1844 |... Ress Le NE O0 A PA EP PR | LL LE LC A PR DE 2 LR ea 135 1844—1845 |... RARE PTE Re rate reel arssalettt 04 EE ER RS ERP 162 1845—1846 |......1...... DEN A ET en Eee mel: erreurs 114 1846-1647 01000. ON A nl ae laseele-sepies--celese-ce 153 19471848 An e e Eee. DagNe le le. aa) RS SN SAR ASSET OR RS IS MER. 120 1848218490 ANAL DETAIL EEE RETIRE Li LE RSS LEA ES LED SESR ER DA ERA LS ES BETA PU LA ee 1129 1840-1850 Ad DIE A SP AURA 2 lues.) bel: sl 157 1850—1851 [265 |...... (DA OR AN CRE. enr (M me RTE 1 LH SA PES RES 1000. 6-4 131 1851—1852 [228 1219 |216 |37 |44 |... | 78 |92 123 |11 |... 138 |147 |150 FE PEN DOM, UNE aes OGM UE AIT ME AE 11210888 155 1230 |235 |22 Che Re MER TM RES) 1440/2000. 120 |123 |130 195 |216 |30 221 Me | 72 | 88 19% 50 Es. 150 |131 |149 22 |207 |207 |16 CPE 1074181402 Aie. 144 |159 |159 856—1857 |201 |188 |202 152 |37 |... SION PE) 24010. 164 |177 |163 1857—1858 [209 [1216 1223 153 159 |..... 104 P66ux) 88004 LES. 156 |149 |142 1858—1859 1233 (19247 |924 177 |47 |..... 34 |41 |...|21 |30 182 OR AT 1859—1860 [246 1206 (1244 |42 122 |..... 65 |122 IE TT ee 120 |160 |122 1860—1861 1258 |238 1227 | 3 D [Rs 98 | 99 MGUM:26 mes (107 ./197% |1388 1861—1862 [226 1193 |166 159 |15 |..... | 73 |106 |....|37 124 |... 169 |145 | 199 Mittel..... |237,06| 214,35] 220,57! 34,56 | 27,60 | ..... 76,12| 96,80|....| 18,26! 24,10|..... 134,33] 144,25) 144,68 | | | Aus dieser Tabelle ersehen wir, dass die Zeit des Offenseins des Wassers im grossen Sunde am längsten, im kleinen Sunde am kürzesten währt, während der Hafen von Arensburg zwischen beiden liegt. Die Zeit des Zufrierens dauert im Mittel im gros- sen Sunde 11,21 Tage länger als im kleinen Sunde. Die Zeit des Gefrorenseins währt im Mittel im kleinen Sunde 20,68 Tage länger als im grossen Sunde. Die Zeit des Aufganges ist durchschnittlich im klei- nen Sunde 5,84 Tage länger als im grossen Sunde. Die Zeit der ganzen Eisbildung dauert im kleinen Sunde am längsten, im grossen Sunde nimmt sie die kürzeste Zeit in Anspruch, während die Zeit, welche es im Arensburg’schen Hafen wäbrt, zwischen den bei- den oben genannten liegt. Es wurde ferner beobachtet die absolut längste Zeit: 169 des Sciences de St-Pétersbourg. 170 I des Offenseins 0. im grossen Sunde....... 1850 — 1851, nämlich 265 Tage. » DA RMRNNNRR Re » Kleinen”'" » ..:..... 1858 — 1859, » 247 » » DiTalyté Ter -.. » Arensburg’schen Hafen 1845— 1846, » 951 » » Zufrierens....... .-.» grossen Sunde....... 1858 — 1859, » LA LE à » » shit ée » leinénim: » 4 1086.45 1857 — 1858, » 59 » » Gefrorenseins ...... pr grossenifis 5° "> aéeiits 1855 — 1856, » 10715 » » ...... » Kkleinen D 4 ct Et Cle 1855 — 1856, » 131) » A UITANDES rt à ‘'erOS8en.; |» ste l861-—1862, » 37. » » DMAIREN 0 eus » kleinen pe aval 1854 — 1855, » 50. » der gesammten Eisbildung » grossen » ....... 1861 — 1862, » 169 » » » » » kleinen DE thens.e Lafeis 1856 — 1857, » TT » » » » Arensburg’schen Hafen 1861 — 1862, » 199 » Es wurde beobachtet die absolut kürzeste Zeit: des Offenseins . . . .. .... im grossen Sunde.. .... 1861 — 1862, nämlich 196 Tage. » pl. ah bre .. » kleinen D + ARUSR 1856 — 1857, » 188 » » io lrt. ASS ape » Arensburg’schen Hafen. 1861—1862, » 166 » pe ÆAUTICTENS aus seb » grossen Sunde ....... 1860— 1861, » 3:19 » » LR rs » kleinen Muyl hostile 1860— 1861, » 2 » Gefrorenseins ..... + » grossen ARR PAPA a PER NICE RECU 34 » » » -..... » Kkleinen D Lt 1858— 1859, » 41 » » Aufganges......... » grossen Da on 1852— 1853, » 3 » » » Me siraruete » kleinen DRE Ce 1851— 1852, » 11,5 der gesammten Eisbildung » grossen sfr LÉ 1850— 1851, » 100 » » » » » kleinen DNS . 1858 —1859, » 118515 » » » » Arensburg’schen Hafen. 1845— 1846, » 114 » Es wurden aus dem Vorhergehenden aus der beob- | rens, Gefrorenseins, Aufganges und der gesammten achteten Zeit die grôüssten Differenzen zwischen den Eisbildung, die innerhalb der Perioden vorkommenden längsten und kürzesten Zeiten des Offenseins, Zufrie- grüssten Variationen, wie folgt, festgestellt. Das Offensein .. ....... im grossen Sunde..... zeigt die grüsste Differenz von 69 Tagen. » DAS L'AERE Erge t, » kleinen DIE es END) » » » » 59 » » DE Cr ue » Arensb.’schen Hafen » » » » DOTE) » AZUÉFIETeN: à 2e 15 à »eT0ssen' Sud, :! 2442 DE np » D'ETAT Lin » » ee. . dy Kleinen DL RC D » » » »497 » DAC FOFENSEI.: ve D LTOSSENY, idee de DD à 19 » DALTIONE 2» » » 4 0 pUkKIeInen DE are Sy » » » » 90 » Der Aufgang se... D) grossen phil: il ÿ » » » » 34 » » » le reve OT - » kleinen D. at: SPA » » » » 939 » Die gesammte Eisbildung » grossen » ....,. » » » » » 69 » » » » » kleinen » sslie de ré » » » » » 59 » » » » » Arensb.’schen Hafen » » » » RCE) Nehmen wir nun die oben berechneten Mittelwer- | bedeutet, dass der direct beobachtete Zeitraum um the als die Normalwerthe für jede Periode in der Eis- | die beistehende Zahl länger dauert, als die Normal- bildung an, so erhalten wir folgende Differenzen in | zeit, das Zeichen —, dass dieselbe um soviel kürzer der jedesmaligen Beobachtung, indem das Zeichen -+- | dauert. 171 Bulletin de l’Académie Impériale Differenz zwischen der Normalzeit und der beobachteten Zeit während Jahre. des Offenseins: des Zufrierens: des Gefroren- G.S | K.S A. G. S K. S G.S K.S 1843 — 1844 |... RATES OMS Gb cabines... | sé 1844 — 1845)... 0... 1707 de dal: coule». cheeee 1845 = 18461|140 0. ARR LATE) ) ALLER Le AE pee A LA PEER VAS SAS 1846 — 1847 |.......|....... [= 18,57 4. . + . Le il hcées le USE 1847 — 1848 |.......l...... DD Ales nn ERRES lente ne 1848 — 1849 |....... ét + 143 MÉRRCE MA Al PS ee etes 1849: — 1850 hrsdtsles se hi 12,57). 0 eluoo sondes cas lestinet 1850 — 1851 |+33,19....... [+ 13 43. 17 ne ae — 1112... 1851 — 1852 |— 3,81+ 2,40 — 4 157 — 1,81+16,40+ 1,88 — 4,80 1852 — 1853 |+21,19)....... [= 1057 — 25.81]... | 19,88). ...... 1853 — 1854 |+- 13,19/+ 13,40/+ 14 43|— 16,81. — 18,60 + 7,884 7,20) 1854 — 1855 |— 16,81 — 21,60 — 4,57. + 30,19 + 4,40— 4,12— 8,80) 1855 — 1856 |— 9,81 — 9,60 — 13,57 — 22,81|— 18,60 + 30,88, + 34,20) 1856 — 1857 |— 36, 181 — 28,60 — 18, 57|+13,19/+ 9,40/+ 11, 188 + 29,20 1857 — 1858 — 2281 — 0,60 + 243 + 14, ,19/+- 31,40 — 6,12 — 30,80 1858 — 1859 [+ 4,19, 30,40/+- a 43/4 38,19/+- 19,40) — 42,12 — 55,80) 1859 — 1860 |+- 14,19, — 10,60 + 43, 43l+ 3,19— 5,60 — 11,12 se 95,20! 1860 — 1861 |+ 27,19 — 21,60 + 6, 431— 35, 181/— 25,60! +- 21,88+ 2,20! 1861 — 1862 |— 35, 2814 3. 40 — 54, 57|+ 20,19|— 12,60 — 3,12+ 9,20 Mittel.. — 0,72|— 3,30 + 1,00 — 0,14 0,004 0,96 0,00! der gesammten Eis- des Aufganges: bildung: G.S. | K.S. | G.S. | K.s.| A. LE ae se ….…slosiestharous Ce RÉ PA ee enr ct PR Loc NS RE DEEE |— 30,68 Se | Re l+ 832 dE RERO selles... 24,68 De me losereec [fee cest lereerre sn sssososlsseescslececrstlesettee LE dope |— 34,33)... |— 13,68 + 4,74/—18,10+ 3,67— 0,50+ 5,32 np 06 4 —19938l. srl + 10,32 — 1406 4,10 + 14,67 — 24,50 — 14,68 — 926 + 25,90 + 19 67. 2250 + 4,32 + 2,74 — 5,10 + 9,674 11,50 + 14,32 + 574 — 3,10 + 29,67 + 29,50 +- 18,32 +1474/— 010/+2167+ 150 — 2,68 + 2,74+ 5,90 — 233.— 2950 — 3.68 — 5,26— 8,10 — 14,33|+ 12,50] — 22,68 — 12,26 + 1,90 — 27,33 — 20,50 — 6,68 +1874— 0,10!+ 34,67|— 2,50)+- 54,32 + 021! 000 242 000 0,00 | Me 172 Da die Jahre durch die alle 4 Jahre wiederkeh-| Zeiträume aller dieser 4 Perioden für jedes Jahr als renden Schaltjahre nicht stets gleich lang sind, so | Procente auszudrücken, wie folgende Übersicht zeigt. erschien es zur genauen Übersicht nothwendig, die Offensein. Zafrieren. Gefrorensein. Aufgehen. Gesammte Eisbildug. Jabr. L a GS. | K.15: A. G.S K.S GAS. | RSC SOIR SE NMIG SIA 0) À. 1845 — 1844 Le. 5, 6311.22... le CA ESA PE LE Le Pet ET el Lola 36,89 18421045 |". |. 522; FE RAS ONE re EL RER E LISSS RS PES RER PER ei 44,39 16451016 [NP 10... OM PO LCL ER Ce ER RE RE er leniers 31,24 16461847 | RE... (EN 9 PSN LES PSE Le RE en PRPRSON RER RTE 41,92 18471848 les er. À 672Liriaseol...ses 4eme |n6l af Let lésshit OTHER 32,79 1848 241840 MP EU ET. 4 PR PUR CITE À AN RSR OO DEAR RER RACE PES 35,35 1849 2 1860114. HP LB HOOBIEL SLR LES AC ASTON er AIQMURE (ND AU, HP LEE LA 43,02 1850 — 1851 | 72,60 |....... 64,10 | 5,75 |....... 17,805 1 dv) ve 208 Leu pren DT AO tn 35,90 1851 — 1852 | 62,29 | 60,83 | 59,00 | 10,10 | 12,02 | 21,31 | 25,13 | 6,28 | 3,00 | 37,71 | 40,17 | 41,00 1852 — 1853 | 69,34 |....... 57,58 | 3,56 |....... 26:30) | 424.40 CPI FERNRE 30,66 |....... | 42,47 1853 — 1854 | 67,12 | 63,01 | 64,38 | 6,03 | 2,45 | 23,01 | 28,49 | 3,83 | 5,47 | 32,88 | 36,99 | 35,62 1854 — 1855 | 58,90 | 53,42 | 59,17 | 18,90 | 8,74 | 19,72 | 24,10 | 2,46 | 13,69 | 41,10 | 46,58 | 40,83 1855 — 1856 | 60,65 | 56,55 | 56,55 | 4,37 | 92,45 | 29,23 | 35,79 | 5,73 | 5,19 | 39,35 | 43,45 | 43,45 1856 — 1857 | 55,06 | 51,50 | 55,34 | 14,24 | 10,10 | 24,10 | 32,60 | 6,57 | 5,75 | 44,94 | 48,40 | 44,66 1857 — 1858 | 57,26 | 59,20 | 61,12 | 14,62 | 16,16 | 19,17 | 18,08 | 9,04 | 6,57 | 42,74 | 40,80 | 38,88 1858 — 1859 | 78,90 | 67,68 | 61,36 | 21,09 | 12,87 | 9,31 | 11,23 | 5,73 | 8,21 | 36,17 | 32,32 | 38,64 1859 — 1860 | 67,21 | 56,28 | 66,66 | 11,47 | 6,01 | 17,75 | 33,33 | 3,55 | 4,37 | 32,79 | 43,72 | 33,34 1860 — 1861 | 70,68 | 65,20 | 62,02 | 0,81 | 0,54 | 26,84 | 27,12 | 1,64 | 7,12 | 29,32 | 34,80 | 37,98 1861 — 1862 | 53,70 | 60,27 | 45,47 | 4,10 | 4,10 | 20,00 | 29,04 | 10,13 | 6,57 | 46,70 | 39,73 | 54,53 Mittel.…...….. 71,55 | 59,29 | 66,68 | 9,58 | 7,54 | 21,21 | 26,49 | 5,05 | 6,59 | 36,78 | 40,71 | 33,32 Durch diese Übersicht werden die Verhältnisse ein| d — Zufrieren des grossen Sundes. wenig modificirt, was sich weniger bei den Mittelwer- Che » » kleinen » then als den einzelnen Jahren zeigt. f — Gefrorensein des grossen » Bezeichnen wir jetzt diese erhaltenen mittleren ne QU » kleinen » Verhältnisszahlen, wie folgt, so erhalten wir für die h — Aufgang » _ grossen » verschiedenen Perioden: à = » » kleinen » a — Offensein des grossen Sundes. k — Gesammte Eisbildung im grossen Sunde. b — » » kleinen » L — » » kleinen — » » Arensburg’schen Hafens. M — » » » » Arensburg. Hafen. 173 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 174 Unterwerfen wir jetzt diese verschiedenen Perio- den der Eisbildung in den genannten Gewässern einer genauen Untersuchung, indem wir die kleinste Mittel- zahl bei jeder Periode gleich 1 setzen, so ergeben sich folgende Verhältnisse: À. Zeit des Offenseins. Hier sei 59,29 — 1, so verhalten sich nach obiger Bezeichnung zu einander: ab 041,041] 12. B. Zeit des Zufrierens. Hier sei 7,54 — 1, so verhält sich: 17 PUY DES C. Zeit des Gefrorenseins. Hier sei 21,21 — 1, woraus: fsg=d 11,24. D. Zeit des Aufganges. Es sei 5,05 — 1, wodurch sich ergiebt: ha=l61,30; E. Zeit der gesammten Eisbildung. Es sei hier : 33,32 — 1, so folgt hiceraus: Elo 10: 1,194. Um nun das Verhältniss der Zeit der verschiede- nen Perioden in einem und demselben dieser drei Gewässer unter einander genauer festzustellen und auf kleinere übersichtlichere Zahlenwerthe zu brin- gen, wurde die Mittelzahl, welche bei jedem Gewässer die kürzeste Zeit angiebt, — 1 gesetzt und die Ver- hältnisse der übrigen dazu berechnet. Hierdurch er- halten wir folgende Angaben, indem wir die obigen Bezeichnungen beibehalten: À. Der grosse Sund. Hier ist a — 63,32 ; d — 9,58; 2121; 25,05: L— 36:78: Ms.seil.nun 5,05 — 1, so verhält sich: asd:fshk12,53;:1,89;::4.20;:1:7,928: B. Der kleine Sund. Hier ist: b — 59,29 ;e — 7,94; 9—=26,49%%—"6,59 ; 7 —=40/71. Es sei 6,59 — 1, so ergiebt sich folgendes Verhältniss: Die: gt: LOI LE EU TS 0,16. C. Der Arensburg’sche Hafen. Hier ist: c — 66,68 und m— 33,32. Es sei nun 33,32 — 1, wo- durch sich folgendes Verhältniss ergiebt: CAM Beginneu wir, um die vollständige Eisbildungspe- riode jedes Winters beisammen zu haben, jede Reihe unserer Beobachtungen, wie schon oben bemerkt wurde, mit dem 1. October und führen sie fort bis zu dem- selben Datum des folgenden Jahres, so erhalten wir für die Zeit des Beginns der Eisbildung im Mittel, wenn wir den 1. October bei Zählung der Tage der Beobachtungsreihe mit 1 bezeichnen und so fort zählen bis zum folgenden letzten September, folzende Tage für den Beginn und den Schluss der Eisbildung. B. Der grosse Sund. Beginn der Eisbildung. Schluss der Eisbildung. Wie vielster! Wie vielster AT ; Tag in der hr Tag in der Jahr Datum. Béobach- Jabr. Datum. Boabäch- tungsreihe. tungsreihe. 1850 11 Jan. 108 1851 | 19 April 201 1851 7 Dec. 68 1852 13 Mai 226 1852 18 Jan. 110 1853 9 » 221 1853 | 19 Dec. 80 1854 17 April 199 1854 25 Nov. 56 1855 |23 » 205 1855 | 8 Dec. 69 1856 29 » 212 1856 21 Nov. 52 1857 3 Mai 215 1857 24 Dec. 85 1858 25 April 207 1858 6 » 67 1859 16 » 198 1859 23 » 84 1860 | 20 » 203 1860 | 926 » 87 1861 5 » 187 1861 | 19 Nov. 50 1862 6 Mai 218 Demnach ist beim grossen Sunde der mittlere Tag des Beginns der Eisbildung der 76. Tag der Beobach- tungsreihe, nämlich der 15. December, der mittlere Tag des Schlusses der Eisbildung der 217. Tag, pämlich der 25. April. Betrachten wir nun diese Verhältnisse für den klei- nen Sund, so erhalten wir folgende Übersicht: C. Der kleine Sund. Beginn der Eisbildung. Schluss der Eisbildung. Wie vielster Wie jme Tag in der É Tag in der Jabr. Datum. RE Jahr. Datum Béobach: tungsreihe. ___ |'tungsreihe. 1851 21 Dec. 82 1852 16 Mai 229 1853 25, 4» 76 1854 | 26 April 208 1854 16 Nov. 47 1855 | 4 Mai 216 1855 24 5» 55 1856 | 29 April 212 1856 7run 38 1857 | 3 Mai 216 1857 26 » 97 1858 | 22 Mürz 173 1858 15 Dec 76 1859 | 11 April 193 1859 15 Nov 56 1860 23 » 206 1860 20 Dec. 71 1861 25 » 208 1861 16 Nov 47 1862 7 Mai 220 175 Bulletin de l’Académie Impériale 176 0 Hiernach ist beim kleinen Sunde der 60. Tag der Beobachtungsreihe, nämlich der 29. November, im Mittel der Tag, an welchem die Eisbedeckung beginnt, und der 208. Tag, nämlich der 25. April, der Tag, an welchem der Schluss der Eisbedeckung erfolgt. Es folgt nun die Untersuchung über den Arensburg'- schen Hafen: C. Der Arensburg’sche Hafen. Beginn der Eisbildung. Schluss der Eisbildung. Wie vielster Tag in der Wie vielster Tag in der Jabr. Datum RE cbache Jabr. Datum. | RE bach tungsreihe. | tungsreihe. 1843 14 Dec. 75 1844 | 27 April 210 1844 | 18 Nov 49 1845 | 29 »e u| 212 1845 | 15 Dec:# 74 1846 | 6 » 188 1846 | 2» | 63 1847 | 5 Mai | 218 1847 |19 » | 80 1848 | 17 April 200 1548 19 » | 80 1849 27 » 210 1849 27 Nov. 58 1850 274 210 1850 3 Dec. 74 1851 | 23 » 205 1851, 5 on | 66 1852 3 Mai 216 1852 2 » | 63 1853 | 5 » | 218 1853 | 8 » | 69 1854 |17 April| 199 1854 26 Nov. | 57 1855 24 » 206 1855 |22 » | 53 1856 30 » 213 1856 10 » | 41 1857 225 204 1857 | 3 Dec. | 64 1858 25 49 207 1858 14 Nov. | 45 1859 | 5 Mai 218 1859 | 19 Dec. | 80 1860 | 20 April 213 1860 26 Nov. | 57 1861 BE UE 194 isgie 1600) à cd 1862 | 28 » | 210 1862 24 » | 56 Hiernach beginnt im Arensburg’schen Hafen am 62. Tage der Beobachtungsreihe, nämlich am 1. De- cember, im Mittel die Eisbedeckung und schliesst am 207. Tage, nämlich am 24. April. Hieraus folgt, dass die Differenzen zwischen den Tagen des Zuganges folgende sind: Zwischen dem Tage des Zuganges des grossen Sundes u.deskleinen Sundes.….…… 45Tage. » » » _» » Arensb.’schen Hafens 47 » » kleinen » » » » » 2 » Und die Differenzen zwischen dem Aufgange sind: Zwischen dem Tage des Aufganges des grossen Sundes u. des kleinen Sundes 0 Tage. » ÿ » _» » Arensb.’schen Hafens 1 » » kleinen » » )» » » LS Aus dieser Übersicht folgt, dass im Zugange der verschiedenen Gewässer grosse Differenzen stattfinden, wäbrend der Aufgang oder das Ende der Eisbedeckung in diesen drei Gewässern beinahe gleichzeitig erfolgt. Diese Erscheinung wird darin ihren Grund finden, dass das Gefrieren des Wassers in geschützten Buch- ten und schmalen Wasserstrassen stets leichter erfolgt, als auf grossen Wasserflächen, die mehr den Bewe- gungen und Schwankungen des offenen Meeres unter- worfen sind, während in ersteren diese Kräfte nicht ihre Wirkung mit so grossem Erfolge ausüben kün- nen. Ausserdem gefriert der grosse Sund auch aus dem Grunde viel schwerer, weil in ihm eine bedeu- tende Stromung existirt und bekanntlich fliessendes Wasser viel schwerer gefriert, als stehendes oder wie im Meere schwankendes. Die Übereinstimmung des kleinen Sundes mit dem Arensburg’schen Hafen fin- det namentlich auch darin ihre Erklärung, dass der kleine Sund eben ein enges Gewässer ist, und wesent- lich von der an den Küsten stattfindenden Eisbildung beeinflusst wird. Die Angaben, welche ich über den Arensburg’schen Hafen erhielt, beziehen sich auf den ersten Beginn der Eisbildung in diesem Meerbusen zu der Zeit, wenn die Schifffahrt unmôüglich geworden ist. Hier finden wir ganz ähnlich, wie im kleinen Sunde, eine Meeresbucht, welche einige Inseln ent- hält, und daher viel Anknüpfungspunkte für die Eis- bildung darbietet. Was nun die Gleichzeitigkeit des Aufganges der Gewässer anlangt, so ist diese darin begründet, dass das Eis im Frübling nicht durch den Schmelzungs- process an unseren Küsten verschwindet, sondern da- durch, dass es durch einen heftigen Sturm zermalmt und fortgeführt wird, um dann als Treibeis seine Reise durch die nordischen Gewässer anzutreten, wo es dann immer mebr zertrümmert wird, dabei durch die zu- nehmende Frühlingswärme allmählich schmilzt, bis es sich endlich gänzlich aufiüst. Bei seiner Durchschiffung der verschiedenen Theile der Ostsee äussert es auf diejenigen Küstengegenden, in deren Nähe es sich ge- rade aufhält, einen sehr schädlichen Einfluss, indem es die Luft bedeutend abkühlt. Da nun der das Eis zerschellende Sturm an allen Küsten Osels gewühnlich vollkommen gleichartig ist, so tritt auch seine das Eis von den Küsten lüsende und zerschellende Wirkung gleichzeitig auf, worin das gleichzeitige Verschwinden der festen Eisdecke an den drei genannten Orten seine Erklärung findet. Untersuchen wir jetzt, wie die Zeit des Zuganges der Gewässer sich zu der des Aufganges verhält, so müssen wir zunächst unterscheiden: 17% des Sciences de Saïnt-Pétersbourg. 178 1) Den Normalzugang, welchen wir auf einen Zeit- raum von 10 Tagen festsetzen wollen, indem wir die Zeit von 5 Tagen vor bis 5 Tage nach dem gefundenen Mittelwerthe für diesen Normalzugang annehmen. 2) Den frühen Zugang, welcher vor dem Beginn der Zeit des Normalzuganges eintritt, und den wir. mit den Zeichen + begleiten. 3) Den späten Zugang, welcher vor dem Beginn der Zeit des Normalzuganges eintritt, und den wir. mit dem Zeichen — begleiten. 4) Den Normalaufgang, welchen wir ebenfalls auf ei- | nen Zeitraum von 10 Tagen festsetzen wollen, in der Weise wie beim Normalzugange. 5) Den frühen Aufgang, welcher früher eintritt, als der erste Tag der Normalaufgangszeit eingetreten ist, welchen wir mit dem Zeichen — begleiten. 6) Den späten Aufgang, der nach dem letzten Tage der Normalaufgangszeit auftritt; dieser soll von | dem Zeichen + begleitet sein. Stellen wir nun eine Tabelle zusammen, welche die Differenzen zwischen den beobachteten Zugängen und Aufgängen des Meeres und dem Normalzugange und Normalaufgange angiebt. Grosser Sund. Kleiner Sund. Arensb.scher Hafen. Differenz zwi- Differenz zwi- Differenz zwi- ; Ischen dem beob- =: |schen dem beob- =: |schen dem beob- = achteten u. dem = achteten und dem = achteten und dem ri Normal- | Normal- LE Normal- | Normal- G Normal- | Normal- zugange. | aufgange. zugange. | aufzange. zugange. | aufgange. | 1843, — 8 | + 0 1844 + 8 | + 0 1845) — 7 | — 14 1846 + 0 | + 6 | 1847) — 13 | — 2 | 1848) — 13 | + 0 | 1849| + O0 | + 0 1850! — 22 | — 1 | 1850| — 7 | Æ 0 1851, + 3 | + 14 1851] — 17 | + 16 [1851 + O0 | + 4 1852) — 929 | + 9 1852, + O0 | + 6 185311-01|1— 3 11853) — 11 | Æ° 0 11853, — 9 | = 3 1854| + 15 | + 0 [1854] + 8 | + 3 11854 + 0 | + 0 1859/0000) 200855 l 2 0") 10" 11855) #04 PH 07 1856! + 19 | + 3 |1856| + 17 | + 3 [1856 + 16 | + 0 1857: — 4 LE, 0118574, 0 — 30, 11857| + O0 | 0 1858) + 4 | — 4 11858) — 11 | — 10 [1858 + 12 | + 6 1859, —, 3,1 + 0 11859 + 9 | + 0 1859| — 13 | + 0 1860, — 6 | — 15 |1860| — 16 | + 0 1860 + 0 | — 8 1861| + 21 | 4 6|1861| + 8 p# 7 |1861| + 13 [5 0 1862, 1862 1862, + 1 Nach dieser Übersicht sind beobachtet worden: À. In grossen Sunde in 12 Jahren Normalzugang...1 mal Frühzugang . .….. 6 » Tome IX. | | Spätzugang 5 mal Normalaufgang.. 4 Frühaufgang Spätaufgang » » » PB. Im kleinen Sunde in 10 Jahren Normalzugang... 2 mal Frühzugang Spätzugang Normalaufgang.. 4 Frühaufgang ……. 2 » 4 Spätaufgang..….. 4 » C. Im Arensburg’schen Hafen in 20 Jahren Normalzugang.… 7 mal Frühzugang..…. 6 » Spätzugang Ty Normalaufgang.. 10 » Frühaufgang 4 » Spätaufgang….… 5 » Um nun für die Vergleichung der verschiedenen Zu- und Aufgänge des Wassers in den verschiede- nen Meeren ein absolut richtiges Maass zu erhalten, wurde die Anzahl der einzeln beobachteten Normal- zugänge, Frühzugänge, Spätzugänge, Normalaufgänge, Frühaufgänge und Spätaufgänge als Procente der Summe aller Beobachtungen ausgedrückt, wobei wir folgende Übersicht erhalten: A. Grosser Sund. Normalzugänge… 8,33% Frühzugänge …… 50,00 » Spätzugänge. 41,66» Normalaufgänge.. 33,33 » Frühaufgänge….. 33,33 » Spätaufoäinge 33,33» PB. Kleiner Sund. Normalzugang …. 20,007 Frühzugang...… . 40,00 : Spätzugang 40,00 » Normalaufgang. 40,00 » Frühaufgang ……… 20,00 » Spätaufoang 40,00 » C. Arensburg’scher Hafen: Normalzugang…. 35,00% Frühzugang..…….. 30,00 » Spätzugang …….…. 35,00 » 179 Normalaufgang… 52,63 Frühaufgang 21,05 » 26,31 » Suchen wir nun die Frage zu beantworten, ob ei- nem frühen Zugange auch ein früher Aufgang ent- spricht, oder ob überhaupt zwischen diesen beiden Naturvorgängen irgend ein Zusammenhang besteht, so werden uns die obigen Übersichten hierüber beleh- ren. Wir finden, dass: À. Im grossen Sunde: Spätaufgang . Dem Normalzugange O mal ein Normalaufgang entspr. » » 1 » » Frühaufgang » » » O » » Spätaufgang » » Frühzugange 2 » » Normalaufgang » » » 1 >» Frühaufoang » » » 3 » » Spätauigang » » Spätzugange 2 » » Normalaufgang » » » 2 » » Frühaufgang » » » 1 » » Spätaufgang » B. Im kleinen Sunde: Dem Normalzugange 1 mal ein Normalaufgang Frühaufgang Spätaufgang Normalaufgang Frübaufgang Spätaufgang Normalaufoang Frühaufgang Spätaufgang entspr. » » » » Frühzugange » » » » » Spätzugange » M HO ND GO Om © » C. Im Arensburg’schen Hafen: Dem Normalzugange 3 mal ein Normalaufgang entspr. Frühaufgang Spätaufgang Normalaufgang Frühaufgang Spätaufeang Normalaufgang Frühaufgang Spätaufoang » » » Frühzugange » » » Spätzugange » © © EE D © © © » Aus dieser Übersicht geht hervor, dass sich zwi- schen der Zeit des Zuganges und der des Aufganges der Gewässer kein Zusammenhang nachweisen lässt. Bulletin de l’Académie Impériale 180 Obgleich während mehrerer Jahre von dem Hrn. | Oberlehrer Werner in Arensburg meteorologische | Beobachtungen angestellt worden sind, so konnten dieselben doch nicht dazu benutzt werden, um einen Zusammenhang zwischen den meteorischen Vorgän- gen in unserer Atmosphäre und der Eisbildung nach- zuweisen, da leider die Winde in dem Tagebuche nicht verzeichnet worden sind. Nun ist es aber gerade der Wind, sowohl hinsichtlich seiner Richtung als Stärke, der wesentlich auf die Bewegung des Meeres ein- wirkt, und daher an den verschiedenen Küsten seinen besonderen Einfluss, der oft durch locale Verhält- nisse bedingt ist, ausübt. 4) Tragkraft des Eises, Für den Verkehr mit dem nahe gelegenen Conti- nente und den benachbarten Inseln ist die Tragkraft des Eises von grüsster Bedeutung. In den von den Sunden mitgetheilten Berichten sind daher fünf ver- schiedene Stärkegrade des Eises zu unterscheiden, | welche, wie oben bemerkt, durch die Zahlen 1 — 5 angegeben sind, worin 1 den geringsten und 5 den bedeutendsten Stärkegrad der Tragkraft bezeichnet. Die Tragkraft und Dicke des Eises stehen durchaus nicht in einem direkten Zusammenhange. Nur im Herbst kann man die Dicke des Eises auch zugleich als Maassstab seiner Tragkraft ansehen, dagegen ist dieses im Frühling durchaus nicht der Fall. Im Früh- ling wird das Eis porôs, lüchrig, voll Spalten, Schründe, sehr brücklig, wie ein Schwamm vom Wasser durch- zogen. Durch diese Eigenschaften verliert es seine Tragkraft, denn seine Consistenz hat aufgehürt, und jeder stärkere Wind ist im Stande, das Eis zu zertrüm- mern, was vornehmlich dadurch geschieht, dass der Wind das Meer in eine starke schwankende Bewe- gung versetzt, und die Wellen mit Leichtigkeit die | über ihnen ruhende morsche Eisdecke zerschellen. | Wollen wir nun genauer untersuchen: 1) Wie lange im Winter ein vollkommen sicherer Waarenverkehr müglich ist, d. h. wie lange das Eis in der Stärke 5 verharrt. 2) Wie lange den Reisenden mit Pferden der Ver- kehr über die Sunde môglich ist, d. h. den Stär- | kegrad 4 hat. 3) Wie lange das Eis in dem Stärkegrad verbarrt, 181 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 182 oo dass man nur mit einem einzigen Pferde hinüber- | über das Eis hinüber kann, mit den Nachbarlän- fahren kann, d. h. im Stärkegrad 3 verharrt. | dern vollkommen stockt, d. h. das Eis den Stär- 4) Wie lange die Zeit anhält, während welcher nur | kegrad 1 hat. Fussgänger den Sund passiren künnen, d. h. das) 6) Wie lange die Sunde vollkommen frei von Eis sind. Eis den Stärkegrad 2 hat. | Über alle diese Verhältnisse wird uns die folgende 5) Wie lange der Verkehr dadurch, dass man nicht ! Tabelle belehren. Grosser Sund. Sundsperre. BehindertePassage. Offene Passage. — La et beider lb autos Dm Pr es |, 2 LS Te | | | Festes | Offenes Z. A. Z. A. Z. | A. Z. A Z. | A. is. Wasser, : RER SeT Pen Tres nr TANT AP ETIENNE 1850—1851| 1 Tag| 3 Tage! 8 Tage 10 Tage| 3 Tage 1 Tag | 4 Tage, 1 Tag 4Tage 1 Tag | 65 Tage 265 Tage 1851—1859] 16 » [6 » 16 » [7 » [7 » | 3 » D DINAN) De) 8) KO) 180» 12289 » 185218531691 OÙ) ANISANT (5 1 » 205 114» 5.5 2 de 1: 45 1 » 96 » 1253 » 1853—18541 2 » | D 0) | D » 8 » ANS TAN 1 CN D) 4 SON LEE: LA ap LE La 128) 84 DAIDAD IE 1854—1855118 » | 4 » [4 » [4 » 4472 10» 3 » | 1 » 5 11» j LUE) 79: »w1248111» 1855—18561 1 » ! 4 » ! 1 » 115 » 11 » he 1 > lun) La pe) les, MO7:05 1222 » 1856—1857118 » 5 » 125 » | 45 S HNPE |» 3 » | 4 » | 4 )» G » 88 » 1201 » 1857—1858120 » | 7 » 120 » 117 » |10 » | 8 » 1 » Loi dir 1 » 70 » [209 » 1858—1859| 8 » Dies) 00) 3 » 6 » | 6 » D.33 6 » 148 » D) 3 » [233 » 1859—1860| 10 » | 5 » [11 » | 4 » | 6 » | 3 » |6 patio!» | 1 » | 65 »/246/%5 1860—18611 1 » |1 » 1 » 1 » jl ». el 05 1 » EL LT » LE » 98 » 1258 » 1861—1862]13 » 8° 4.487 5 DRE SRE AE PERS 3 ,» | d'OHOl D ApAlLEe 9 75 » 1226 » Mittel..:11 9,16 4,08 | 8,08 | 8,00 5,25 | 2,19 3,16 | 2,12 6,83 | 5,97 76,12 [287,06 1 i Kleiner Sund. V4 185121852148 50h35. 25180 cotil 2450420 » At TL | » 3 » 1 » 3, »21.2 » 92 » 1219 » 1853—1854| 2 » Sn ET AS PE SE RE RE LT » | 205 1 » |3 » 104 » 1230 » 1854—1855) 5 » | 8 » | HD AO) EU) 1 » 10 » |1 ». 12 » | 1 » 88 » 1195 » 1855—1856| 1 » Gay LULU, à 9 » 1405 1 » 2 » 1 Lt Le IS IES » [207 » 1856—1857| 3 » 5 » 133 » | 3 » 1,» EN) 1. mil» | 1 » | 4 » |119 » 1188 » 1857—1858137 » [12 » 4) HMS JMD 61) 1 » LS) LT ». | 5 »,1 2 » 66 » 1216 » 1858—1859| 1 » 12 » 136 » 13 » |3 » |2 » Au 53 | 620) 3 51) À LL» 41 » 1247 » 1859—1860) 1 » 6 » 120 » TA): Eh 1 » a) k | L » | 1 » 1122 » 1206 » 1860—1861| 1 » 23 » Lo» | ÉHMOONEE RD L » Y » | E » | EL 99 » 1288 » 1861—1869] 14 » | 4 » 198 » | 7 » |1 » LT Lo» Le pur 1» 1 » | 1 » |106 » 1193 » Mittel.....| 7,30 | 8,90 116,35 | 9,35 1,70 2,05 2,80 1,40 3,00 1,65 96,80 214,35 | | | | 0 —1 1—2 2 — 3 Ÿ bezeichnen die verschiedenen Grade der Tragkraft des Eises. 3—4 ; ] 0 offenes Wasser. Z = die Zeit des Zuganges des Sundes. A —_ » » » Aufganges » » Aus dieser Tabelle ergeben sich folgende Resultate: A. Für den grossen Sund: Im Mittel dauert die Sundsperre....... 7,33 Tage. » » » _» Herbstsundsperre.. 8,62 » De AD) » _» Frühlingssundsperre 6,04 » Das Maximum der Sundsperre im Herbst dauert 25 Tage. » » » » SNErühling » 0 1 "5 » Minimum » » » Herbst » 1 » » » » » » Frühling » 1 » 12* 183 Bulletin de l’Académie Impériale 1S4 ———_——— Im Mittel dauert die behinderte Passage jährlich . .. 3,91 Tage. » » » » » » im Herbst.. 5,08 » » » » » » » » Frühling 2,74 » Das Maximum der Dauer der behinderten Passage im Herbst.. ist 48 Tage. » » » » » » » » Frühling AUS » » Minimum » » » » » » Herbst » ] » » » » » » » » » Frühling » 1 » » Maximum » » des festen Eises... ist 107 Tage. » » » » » offenen Wassers » 265 » » Minimum » » » festen Eises... » 34 » » » » » » offenen Wassers » 201 » Durchschnittlich beträgt die Zeit der offenen Passage jährlich 313,18 Tage. B. Für den kleinen Sund: Im Mittel dauert die Sundsperre im Jahre .. 10,47 Tage. » » » » » » Herbst.. 11 82 » » » » » » » Frübling 9,12 » Das Maximum der Sundsperre im Herbst.. dauert 37 Tage. » » » » » Frübling » 40 » » Minimum » » » Herbst.. » 1 >» » » » » » Frühling » LE .0 Im Mittel dauert die behinderte Passage im Jahre . .- 2,10 Tage. » » » » » » » Herbst.. 2,50 » » » » » » » » Frühling 1,70 » Das Maximum der Dauer der behinderten Passage im Herbst.. ist 12 Tage. » » » » » » » » Frübling Dr » » Minimum » » » » » » Herbst.. » À » par ete > » » » » » Frühling » 1 » » Maximum » » des festen Eises... ist 131 Tage. » » » » » offenen Wassers » 247 » » Minimum » » » festen Eises ... » 41 » » » » » » offenen Wassers » 188 » Durchschnittlich beträgt die Zeit der offenen Pas- | der zu Wasser oder übers Eis mit dem benachbarten sage jährlich 311,15 Tage. Perechnen wir diese Mit- Continente hat, während 14,76°/, des Jahres die Pas- telwerthe procentisch, so ergiebt sich, dass sel sage mehr oder weniger durch die Eisbildung gehemmt 85,247, des Jahres vollkommen freie Passage entwe- ! ist. Das Maximum der offenen.... Passage beträgt 97,58° des Jahres. 0 0 » » » behinderten » » 36,85» » » » Minimum » offenen.... » » 73,15» » » » » » behinderten » » 2,47» » » 5) Dicke des Eises, Eis gewühnlich dünner ist, als bei Kuiwast an der + . . . Pas . { :: n Q Über die Dicke des Eises an unseren Küsten sind Küste der Insel Moon. noch so wenig Messungen angestellt, dass sich aus den- selben keine aligemeinen Schlüsse ziehen lassen. Das dickste hier gemessene Eis maass 4". So viel scheint Die Lücher zeigen sich im Eise stets im Frühling, ausserdem noch mit Sicherheit angenommen werden | nachdem es viel geregnet hat, oder längere Zeit Auf- zu künnen, dass im grossen Sunde bei Werder das | wasser auf dem Eise gewesen ist, denn beide Male 6) Lücher im Eise, 185 des Sciences de Saint- Pétersbourg. SG zehrt das Wasser Lücher ins Kis durch den Schmel- zungsprocess, welches Zehren oft auch noch durch eine mildere Temperatur und die erwärmenden Son- nenstrahlen unterstützt wird. Bisweilen finden wir je- doch auch schon im Herbst Lücher im Eise, welche dadurch sich bilden, dass unter ihnen sehr seichtes Wasser ist, und der Meeresboden Quellen enthält. Wenn eine plôützliche starke Kälte eintritt, so dass sie die Kraft besitzt, die Wirkung der Quellen zu über- winder, so treten keine Lücher auf; tritt aber allmäh- lich Frost von wenig Graden ein, der ohne zuzuneh- men eine längere Zeit anhält, so besitzt er nicht die Kraîft, die Quellenstellen mit Eis zu belegen, und die Folge ist, dass sich im Kise längere oder kürzere Zeit Lücher erhalten. Es giebt hiernach also zwei Ar- ten von Lüchern im Eise: a) Lücher, die vom Wasser hineingezebrt werden, b) Lücher, die an Quellenstellen durch Nichtgefrie- ren des Wassers sich offen erhalten. 7) Spalten im Eise, | | sich dieselben plôtzlich, erweitern sich, oder erhalten gleich ihre fortdauernde Breite, ziehen sich auch oft zusammen und gefrieren häufig auch in der Art, dass das offene Wasser in der Spaite gefriert, während die beiden Begrenzungsflächen des Querschnittes des Eises sich weder nähern noch berühren. Oft jedoch finden wir, dass die durch die Spalte von einander getrenn- ten Eiswände sich in einer Bewegung befinden, indem sie bald sich nähern, bald sich von einander entfer- nen, oft sogar sich so sehr nähern, dass sie sich be- | rühren, wobei die Spalte sich schliesst, und durch den Frost die beiden Eiswände an einander festfrieren, wobei sich an der Berührungsstelle eine unbedeutende crhôhte Eiswulst bildet, welche ich mit dem Namen Eissaum bezeichnen müchte. Die Ursache der Spaltenbildung im Eise scheint meiner Ansicht nach vornehmlich in der Bewegung des unter dem Eise sich befindenden Wassers begründet zu sein. Wie wir oben sahen, friert die Ostsee nie- | mals ganz zu, so dass man sagen kônnte, dass nürd- lich von den Dänischen Inseln bis hinauf in die inner- Aus der oben unter dem Abschnitt «gesammeltes Material» gegebenen Aufzählung der Spalten, welche beobachtet worden sind, ergiebt sich, dass die grüsste Auzahl der Spalten im Frühling beim Aufgange des Meeres entsteht. sten Häfen des Bothnischen, Finnischen und Riga'- schen Meerbusens eine Eisfläche sich befindet. Im Gegentheil giebt es sogar Küstenstrecken, welche an ihren hervorragendsten Halbinseln stets vom Wasser | bespült werden. Hier nun sind, wie im Sommer, die Wenn wir jetzt unsere Aufmerksamkeit der Breite der Spalten zuwenden, so waren dieselben, wie folgt: Beim Zugang durchschn. 1,08" breit aus 6 Beobacht. » Aufgang » 2,61 » Dr » Maximum der Breite beim Zugange 3°. » D LU » Aufgange 7°. Minimum » » » Zugange ! » ». 1» » Aufgange d” Hieïaus ergiebt sich, dass im Frühling beim Auf- gange die Breite der Spalten bedeutender als im Herbst beim Zugange ist. Was die Länge der Spalten anlangt, so ist dieselbe sehr verschieden, indem sie zwischen ! und mebreren Werst variirt. Die Richtung der Spalten ist sehr verschieden. Wenn mehrere Spalten vorhanden sind, so liegen sie bald einander parallel, bald durchschneiden sie sich in den verschiedensten Richtungen. Was die Entstehung der Spalten betrifft, so bilden unregelmässigen Bewegungen des Meerwassers eine Reaction des Windes auf das Wasser. Im Winter tre- | ten dieselben Niveauschwankungen des Ostseewassers auf, wie ich dieselben während mehrerer Jahre beob- |achtet und beschrieben habe ?). Diese Bewegungen oder Schwankungen im Niveau des offenen Wassers theilen sich dem unter dem Eise befindlichen Wasser mit. Durch Hebungen des Niveau’s wird die Eisdecke aufs Hüchste gespannt, bis endlich die Consistenz des Eises dem nach oben wirkenden | Wasserdrucke nicht mehr widerstehen kann, berstet, wodurch eine oder mehrere Spalten sich bilden. Hier- bei tritt häufig Wasser an die Oberfläche, und es bil- det sich stellenweise mehr oder weniger Aufwasser. Es ist dies jedoch nicht die einzige Ursache der Spaltenbildung, sondern wie J. C. Deicke‘) gezeigt 2) Bulletin de l’Acad. Imp. des sc. de St.-Pétersb., T. VI. pag. 257 — 296. 3) Verhandlungen der St. Gallischen naturwissenschaftlichen Gesellschaft. 1861 u. 1862. — Poggendorffs Ann. Bd. CXXI. 1864. S. 165—174. 1% Bulletin de l’Académie Impériale 1SS a , hat, gestützt auf seine am Bodensee angestellten Be- obachtungen, wird die Spaltenbildung im Eise auch! noch hervorgerufen, durch: WO- zusammengezo- a) Temperaturanterschiede der Atmosphüre , durch das Eis ausgedehnt oder gen wird»; durch «angehäufte, comprimirte Luft unter dem Eise, die einen Ausweg sucht». Das sicherste | Anzeichen der Mitwirkung dieser Luft ist, dass man sehr häufig bei der Bildung der Spalten die verschiedenartigsten Detonationen unter und in dem Eise vernimmt. b) 8) Treibeis. Bei der Betrachtung des Treibeises in der Ostsee treten uns hier dieselben Erscheinungen entgegen, welche wir in allen Eismeeren zu beobachten Gele- | genheit haben. Die Eisblôücke sollen an unserer Küste die Hüôhe von 5 über dem Wasser erreichen, was auf eine bedeutenderé Mächtigkeit unter dem Wasserspie- gel schliessen lässt. Was die Bewegung der Treibeis- massen an unseren Küsten anlangt, so scheint, wie sich | aus der Übersicht auf dem grossen Sunde zeigt, das Eis vorzüglich lings der Küsten von Moon und Werder sich zu bewegen, während das Treibeis weniger häufig | sich in der Mitte des Sundes zeigt. lich in der Mitte des Sundes eine Strômung ist, wel- che die Treibeisblücke sehr schnell fortführt, während | derjenige Theil des Treibeises, welcher näher bei den Küsten vorbeigeht, daher länger sichtbar bleibt. Eine ganz besonders wichtige geologische Bedeu- tung hat bei uns das Treibeis wegen des jährlich, na- mentlich während des Frühlings stattfindenden Trans- | portes erratischer Blücke, welche an secundärer La- gerstätte an fernen Küsten aufgethürmt liegen und durch das Eis zu uns forttransportirt werden. genaue Erürterung dieser Verhältnisse gehürt jedoch nicht hierher. 9) Aufwasser. Das Aufwasser erscheint entweder plôtzlich in grüs- seren Mengen über dem Eise, oder es bildet sich all- mäblich über demselben. Im ersteren Falle entsteht es entweder durch starke Regengüsse oder dadurch, Dies beruht je-! doch wahrscheinlich auf einer Täuschung, indem näm- | hier langsamer sich bewegt und | Die | dass plützlich sich heftige Stürme aus Gegenden er- |‘heben, wo das Eis von offenem Wasser begrenzt wird, und der Sturm nun Wassermassen auf das Eis führt. Diese Art Aufwasser erscheint bisweilen auch zu sol- chen Zeiten, während denen heftige Kälte herrscht. | Die langsame Bildung von Aufwasser kann beinahe |während jedes Frühlings beobachtet werden. Sie er- folgt dadurch, dass sich Spalten bilden, durch welche | Wasser an die Oberfläche des Eises gelangt; hier an- gelangt verharrt es im flüssigen Zustande oder gefriert hüchstens während der Nacht, um schon am Morgen wieder durch die erwärmenden Strahlen der Sonne Lin Wasser verwandelt zu werden, welche in die vie- len Luftblasen dringt, die wie eine grosse Menge von Pooren das Eis in verschiedenen Formen und Grup- pirungen, durch dünnere oder dickere Zwischenräume von einander getrennt, durchziehen. So verschwindet eine Zwischenwand nach der andern, es bildet sich immer mehr Wasser, und die ganze Eisoberfläche ist mit Wasser bedeckt, so dass die Passage vollkommen gehemmt ist. Das Eis wird morsch und brücklig, bis schliesslich ein Sturm es vollends zerschellt und fort- führt. Auch die im Frühling ihrer Eisdecke entkleideten Landgewässer, welche ihr Wasser ins Meer ergiessen, | während dieses noch mit Eis bedeckt ist, vermehren bedeutend das Aufwasser und tragen hierdurch das Ihre zum Schmelzprocess des Eises bei. La leuchtenbergite. Par le Duc Nicolas de Leuch- tenberg. (Lu le 31 août 1865). La leuchtenbergite est considérée par certains mi- néralogistes comme une espèce particulière; d’autres au contraire la tiennent pour une variété de la pennine (Des Cloizeaux et Nauman), ou de clinochlore, ou | même pour une pseudomorphose de la chlorite et du tale. Ce sont ses propriétés physiques et sa composi- tion chimique qui conduisirent à cette divergence d’opi- nions. La composition chimique a été précisée par des analyses faites sur des exemplaires dont l’inva- riabilité de la composition n’a pas été garantie par l'étude des propriétés physiques. Nous possedons deux analyses de la leuchtenbergite: 1° de M. Kommonen'), faite sur un exemplaire évi- 1) Verhand. d. Min. Ges. zu St. Petersb. J. 1842. S. 64. 189 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 190 demment metamorphosé; la densité, la couleur et la petite quantité d’eau qu’il a donnée, le prouvent suf- fisemment; 2° de M. Hermann”) qui ne donne au- cune indication des propriétés physiques du minéral soumis à l’analyse et dit seulement qu’il a analysé une variété de la leuchtenbergite, qui se trouve en cristaux de la grandeur de pois implantés dans la stéatite. Nous avons fait plusieurs analyses de différents exem- plaires de la leuchtenbergite plus ou moins métamor- phosée, et en outre nous avons analysé un exemplaire que nous devons à l’obligeance de M. Kokcharow et que l’on peut tenir pour normal. Cet exemplaire qui a servi aux recherches optiques de M. Haïidinger, a été pris dans les montagnes de Chichime, qui font partie de la chaine d’Oural. Les cristaux du minéral presentaient de grandes tablettes hexagonales. Leur clivage était facile suivant la direction perpendicu- laire à l’axe optique. Les lames séparées par le cli- vage étaient bien transparentes et présentaient dans la lumière polarisée les phénomènes des cristaux à un axe. Elles avaient l'éclat gras de la nacre de perle suivant la base, La couleur en était blanche ou lé- gèrement verdâtre. Elles étaient tenaces, mais peu élastiques et flexibles, presque comme le tale. Le mi- néral se laisse difficilement réduire en poudre fine, qui est complètement blanche et onctueuse au tou- cher. Une fois calcinée la leuchtenbergite devient blanche, garde son éclat, mais perd la transparence. Sous le microscope cependant on remarque que les feuillets les plus minces laissent passer la lumière, Au chalumeau la leuchtenbergite s’exfolie et se fond difficilement et seulement sur les pointes les plus minces. Elle se’ fond avec les phosphates en un verre légèrement verdâtre dans le chaud et incolore à la température ordinaire. La dureté — 2,5, la densité — 2,61 — 2,64. On remarque dans les lames de la leuchtenbergite des cristaux de grenat (colophonite) et de petits cri- staux d’une couleur brun-pale, ayant Je plus souvent la forme des prismes quadrilatères. Leur longueur sur- passe rarement 0,14 millim. Ils paraissent être épar- pillés sans ordre dans le minéral. Après avoir été cal- cinés ils deviennent brun-foncés, ce qui facilite le triage à l’aide d’une forte loupe. M. Kenngott a remarqué 2) J. f. p. Ch, XL. 1847. $. 13. des cristaux octaédriques de fer oxydulé dans la pen- nine; nous n'avons pas trouvé de cristaux de cette forme dans la leuchtenbergite. Outre les cristaux prisma- tiques on remarque à l’aide d’un microscope (à 120 gr. lin.) dans les lamelles du minéral normal, ainsi que dans celles du minéral métamorphosé, des lignes d’une lon- gueur qui atteint 0,3 millim. Ces lignes sont tantôt nombreuses, tantôt rares, mais elles conservent tou- jours trois et quelquefois deux directions, se croi- sant sous un angle de 60° et formant des rhombes et des triangles équilateraux. Quelquefois leur nombre est si graud que la lamelle présente l'aspect d’un ta- mis. Ces lignes ne doivent pas être des fees, mais bien des cristaux aciculaires, peut-être de la même substance que les prises dont nous avons parlé plus haut; on remarque que les aiguilles qui ont une cer- taine épaisseur sont teintes en couleur brun-claire, la même que celle des prismes. Nous n'avons pas pu trouver ces aiguilles, de même que les prismes dans aucune des chlorites soumises à l’examen. Les analyses que nous avons faites du minéral nor- mal nous ont donné moyenne oxygène Si0, 30,60 30,33 30,46 16,24 10,0 Fe ON 20210 09;43 wit9 921 11,99 \ ê (oxydule) 23 20 Oil Oxo 14,33 8,8 Mg,0 f 34,64 34,59 Ù A1O, 19,63 19,85 19,74 9,29 5,7 H,0° 12,76 19,73 19,74 11,32 6,9 99,42 100,09 99,79 Nous nous directe, que d'oxydule. Ces analyses nous donnent la formule suivante: 5 Si"O,+ 2 AIO, + 9 Mg'O + 7 H,0 Cette formule exige sommes CONVainCus, par une expérience le fer entre en combinaison en état DIS10 30,3 2 A1O; 20,6 9 Mg,0 36,3 7 Aq 12,7 99,9 Cette formule est identique à celle que M. Des Cloizeaux propose pour le elinochlore*) qui est un minéral à deux axes optiques. 3) Manuel de Minér. 1862. p. 446. LO Bulletin de l'Académie Impériale 192 I Nous voyons ainsi que la leuchtenbergite | d’après ses propriétés optiques determinées par MM. Des Cloizeaux et Haidinger, appartient à la pennine positive (de Zermatt et d’Ala: et par sa composition chimique au clinochlore. Les différents exemplaires de la leuchtenbergite métamorphosée se distinguent du minéral normal et par les propriétés physiques et par la composition chimique. Les propriétés physiques varient en rapport aux quantités relatives des substances constituantes. Un des exemplaires, analysé par nous (a), présen- tait de larges tables hexagonales juxta posées confu- sément les unes auprès les autres. Il provenait des mon- tagnes de Chichime da district de Ælatooust (Oural). Les lames étaient d’une couleur vert-jaune, flexibles, peu élastiques, d'éclat de nacre assez gras, transpa- rentes seulement quand elles possèdent un certain de- gré d'épaisseur. Poussière blanc-jaunâtre, onctueuse aurvoucher. Dur. — 2,5. Dens. — 2,76. Les cristaux d’un autre exemplaire (b) étaient moins verts, mais plus jaunes, d’un clivage difficile, fragiles, de surface inégale, de peu d'éclat, de dureté plus grande, densité — 2,89. Après avoir été calcinés ils se broient plus facilement que &. Le phénomène de la double réfraction est bien plus énergique dans 4, que dans b; dans ce dernier il est à peine visible. On voit dans a et dans b les mêmes cristaux que dans le minéral normal. Sous le microscope, b parait mois homogène que a. La différence dans les résultats des analyses prove- nait évidemment de la métamorphose plus on moins complète du minéral et non pas de la présence des grenats, car on éloignait avec grand soin toutes les lamelles qui contenaient les corps étrangers, soit gre- nat, soit cristaux brun-clairs. La quantité des substances dans les exemplaires de la leuchtenbergite métamorphosée soumis par nous à l'analyse variait ainsi qu'il suit: celle de l’eau de . . 10,5% à 9,307 » » la silice de. 34,43 à 32,14 » _» Ja chaux de 8,85 à 3,79 » » la magnésie de . 29,07 à 22,79 » _» l’oxyde de fer de 1000 à 7,00 » » l’alumine de . . 18,60 à 15,30 En général on peu remarquer que la quantité de fer et de chaux varie avec la magnésie, mais en pro- portion inverse; que la quantité de lalumine varie comparativement moins; que plus le minéral est fra- ile, plus il contient de silice et de chaux, et moins d’eau. D’après ce qui est connu à présent sur les proprié- tés physiques et sur la composition chimique de la leuchtenbergite, il nous parait possible de considérer ce minéral comme une espèce particulière, apparte- nante au grand groupe des chlorites. Über das Krystallsystem und die Winkel des Sylvanits, von N. v. Kokscharow. (Lu le 17 août 1865.) DenSylvanit oder das Schrifterz trifft man so selten in deutlichen Krystallen an, dass, ungeachtet der Mes- sungen der ersten Krystallographen, sein Krystallsy- stem bis jetzt noch nicht mit aller Sicherheit be- stimmt werden konnte. Mohs gab die erste Kunde über die Krystalle des Sylvanits, welche er als zum rhombischen Krystallsysteme gehürig betrachtete, obgleich er selbst von der Richtigkeit seines Schlusses nicht ganz überzeagt war"). In der Folge sprach Gustav ose sich schon mit mehr Bestimmtheit über diesen Gegenstand aus und erklärte, dass die Krystalle des Sylvanits entschieden zum monoklinoëdrischen Sy- steme gehüren. «Die Krystalle des Sylvanits», sagt G. Rose, «sind von Mohs 1 und 1 axig beschrieben, «doch vermuthet letzterer schon selbst, dass die von «ibm beschriebenen Krystalle Zwillings-Krystalle und «die einfachen Krystalle 2 und 1 gliedrig sein müch- «ten, eine Vermuthung, die durch die Messungen von «Phillips und meine eigenen bestätigt wird. Ich «habe kleine, aber sehr deutliche Krystalle gemessen, «die unzweifelhaft 2- und Igliedrig waren»”). Lei- der beschränkte Gustav Rose sich damals nur auf das oben Gesagte, ohne Resultate seiner Messungen weiter mitzuthcilen. Dies ist wahrscheinlich der Grund, 1) Mohs sagt unter Anderem: «Es ist môglich, dass der auf Fig. «52 vorgestellte Krystall nicht einfach, sondern aus zwei Individuen «in Pr+ zusammengesetzt ist, in welchem Falle die Combina- «tionen hemiprismatisch sein kônnten». (Leichtfassliche Anfaugs- gründe der Naturgeschichte des Mineralreichs, v. F. Mohs, zweiter Theil, Wien, 1839, S. 553). 2) Elemente der Krystallographie von G. Rose, Berlin, 1833, erste Auflage, S. 167. &es Sciences de Saint-Pétersbourg. 194 aus dem fast alle neueren Mineralogen, als Haiïdinger, Naumann, Dana, Quenstedt u. m. a., ihm nicht gefolgt sind, sondern sich auf Miller’s Messungen stützen und den Sylvanit wieder als einrhombisches Mineral betrachten. Vor kurzem erhielt ich, durch die Güte des Hrn. General - Majors Hofmann, drei kleine Krystalle (N° 1, N° 2 u. N°3), vermittelst welcher ich im Stande war mich zu überzeugen, dass das Krystallsystem des Sylvanits nicht rhombisch, sondern, wie Gustav Rose geäussert hat, monoklinoëdrisch ist. Zwei der er- wähnten Krystalle (Fig. 2 u. 2 bis, Fig. 3 u. 3 bis) sind einfache Krystalle mit dem wesentlichsten Cha- rakter der monoklinoëdrischen Combinationen. Der dritte Krystall (Fig. 1 u. 1 bis) ist ein Zwilling, und daher hat er, beim ersten Blick, eine gewisse Âhn- lichkeit mit den rhombischen Krystallen. Übrigens ist in diesem letzten Krystalle die Zusammensetzungs- ebene beider Individuen (Zwillingsfläche) leicht zu er- kennen nach der Nath, welche auf den Flächen b — (P) deutlich sichtbar ist. Fig. 1 und 1 bis. Fig 2. und 2 bis. Tome IX. Fig. 3 und 3 bis. Auf Fig. 1 ist der Zwil- ling ganz vollständig darge- stellt; derselbe war aber in seinem natürlichen Zustande nur am oberen Theil gut conservirt, der untere, mit welchem der Krystall an der Bergart aufgewachsen war, war abgebrochen. In den Sylvanitkrystallen habe ich durch meine eige- nen Messungen 12 Krystall- formen bestimmen kônnen: 4 monoklinoëdrische Hemi- | pyramiden, 2 Klinodomen, 1 Hemidoma, 2 Prismen und 3 Pinakoide. Diese Formen sind unten nach den Weiss’- schen und Naumann’schen Methoden bezeichnet. Basisches Pinakoid. Nach Weiss. Nach Naumann. C (ER SD CCE OP Orthopinakoid Rein LT ACT PP SE œP Klinopinakoïd I (ose sh: 0) us st (P fradial sfr (asbahe}ul, 07: (>P2) Hemidoma. p'TULO EST RIDE CN ONE EPETIE Po Klinodomen. UE. LM ONG AT SECTE E MORE (Ps) y Jus + (8: SD ÉCRAN SIENNE (P+) Hemipyramiden. Si ra © + (a:b:1c)...... +(1 P2) 3 + (a:b:4c) ……,.. + (P7) CRETE — (a 2 D-50)-2—5se—, — P Da A — (La:b:£c)..... — (P2) Die Formen s — + (4 P2) und v = (4 P<) sind {nicht in den Figuren angegeben, weil_ ich dieselben 13 195 Bulletin de l’Académie Impériale CE ——————_—_—_—_— erst bestimmte, als die Zeichnungen schon vollendet waren. Die Form s stumpft die scharfe Combinations- Cc f Von dem äusseren Aussehen der Krystalle geben schon die Figuren einen deutlichen Begriff. Zuweïlen haben die Krystalle ein mehr oder weniger tafelfür- miges Anschen, was von der grossen Ausdehnung ei- nes oder des anderen Pinakoids abhängig ist. Die Kry- stallflächen sind glänzend und daher zu den Messun- gen mit dem Reflexionsgoniometer tauglich. Die Zwil- lingskrystalle sind nach dem gewôhnlichen Gesetze der monoklinoëdrischen Zwillinge gebildet, d. h. die Zwillingsebene ist die Fläche des Orthopinakoids a—P> (Fig. 1). Was das Axenverhältniss der Grundform anbelangt, so habe ich dasselbe nur aus den Messungen des Kry- stalls N° 1 abgeleitet, weil die Winkel, welche dieser Krystall mir lieferte, mit den berechneten, so wie mit denen, welche Miller erhalten hat, sehr gut überein- stimmen, dagegen die Winkel der beiden anderen Kry- stalle von den berechneten oftziemlich stark abweichen. kante < und die Form » die Combinationskante - ab. Diesen Umstand muss man der Unvollkommenheit | der Krystallbildung zuschreiben. In der That, bei ei- ner guten Reflexion, wurde durch Messung erhalten: am Krystall N° 2 f:f— 56° 32’ 30” und M: M — 93° 45’ 40”. Wenn wir aber den ersten dieser Winkel als Datum annehmen wollen, so erhalten wir durch Rech- oung M:M = 94° 10° 14, also + 0° 24° 34” Diffe- renz. Man sieht also, dass der Krystall N° 2, unge-| achtet seiner glänzenden Flächen, nicht gut ausgebil- det war. Dasselbe bezieht sich wahrscheinlich auch. auf Krystall N°3. Aus diesem Grunde habe ich die Krystalle N° 2 und N° 3, bei der Berechnung des. Axenverhältnisses, nicht in Rücksicht genommen. Vernittelst des Mitscherlich’schen Goniometers, | welches mit einem Fernrohre versehen war, habe ich. folgende Resultate erhalten: M:a (anliegende). N°1—137°16 10" ziemlich*). And eKt— 13721650; güt. Mittel — 137° 16’ 30” 3) Die Grade der Reflexion der Flächen werden hier durch die Worte: siemlich, qut und sehr qut bezeichnet. M: a (über b). N°1 — 42° 48 10" ziemlich. AU. Kt. — 1224900 » Mittel — 42° 4835" M: (anliegende). N°1— 158° 4620" gut. M:x (nicht anliegende). N°1—21°18/ 20" gut. M:f (anliegende). N°2— 161°22’10" gut. M:f (über b). N°2 — 104°49'0" ziemlich. M:f (über a). N°2 — 75°11'10” ziemlich. M:c (über 0). N°2 — 114°15'0" ziemlich. M:c (Complement). N°2 — 65° 4650" ziemlich. M:b (über f). N°2 — 133°7 10” ziemlich. f:a (über M). N°1— 118°28'0" ziemlich. f:a (über b). N°1= 61° 37 50" ziemlich. f:b (anliegende). N°2 — 151° 4440" ziemlich. And. Kt. — 151 44 0 » N°3=)510150 30 » f:b (über a). N°2 — 28° 17 10” ziemlich. N° 3 —=:28/015950 » Mittel — 28° 16’ 30” f:f (über a). N°2 — 56° 33’ 20" gut. N°3—56 24 O0 ziemlich. Mittel — 56° 2840" f:f (über b). N°2 — 123°28' 50" gut. des Sciences de Saint-Pétersbourg. 198 f:c(stumpfe Winkel). N°2 —105° 2730" gut. And. Kt.— 105 26 O0 ziemlich. N°3— 105 23 50 gut. And. Kt.— 105 30 30 ziemlich. And. Kt.— 105 24 0 » Mittel — 105° 26 22” f:c (Complement). N°2 — 74° 32’ 50” sehr gut. And. Kt.— 74 32 30 ziemlich. And. Kit. — 44, 32: 10 » N°3— 714,54 00 » Mittel — 74° 3255" f:s (über c). N°3 — 55° 32/0’ ziemlich. x: a (anliegende). N'1=— 198°8F 10” sut. And. Kt. — 128 33 O ziemlich. Mittel — 128°32 5” z : a (nicht anliegende). N°1 — 51°32/0" ziemlich. x : b {anliegende). N°1—134° 1830” ziemlich. æ:b (nicht anliegende). N°1 — 45°40"50" z:n (anliegende). N°1 — 134° 40’ 40” ziemlich. y:a (anliegende). N°1 — 107°18 0° ziemlich. y:a (nicht anliegende). N°1— 72° 43" 30" ziemlich. y:b (anliegende). N°1— 148° 38’ 50” ziemlich. y:c (anliegende). N°3 — 121° 22’ 30” ziemlich. c:a (anliegende). N°1—124° 41 10" ziemlich. c:a (nicht anliegende). N°1 — 55° 240" ziemlich. cin (Zwillingskante). N°1 — 74° 440” ziemlich. c:s (anliegende). N°3—130° 8/0" ziemlich. c:s (nicht anliegende). N°3 — 49° 560” ziemlich. n:a (anliegende). N°1=160°4050” gut, n:a (nicht anliegende). N°1=—19°23"0" ziemlich. 2:a (über x, y und o). N°1—99°45’40” ziemlich. a:b. N°1— 90° 0°0" ziemlich. Die, N°2 — 90° 0’ 0” ziemlich. Für die Grundform ist eine monoklinoëdrische Py- ramide angenommen, mit folgendem Axenverhält- niss: a:b:c— 1,773240 : 1: 0,888976 65721430 wo a die Verticalaxe, b die Klinodiagonalaxe, ç die Orthodiagonalaxe und y der Winkel ist, welcher die Klinodiagonalaxe mit der Verticalaxe bildet. Ferner wurde erhalten: Nach Rechuung. Nach Messung im Kr. N® 1. s 41960843" S:0—21341 35 48 8: 12947 40 ss = 19048124. s:f— 124 31 46 gba 499144 954 0 99° 46 cb 151 "46! 17 BCE A1 721838 Be =N5612 726 04 —\141 64:19 0°2b==4923, 28191 0 CN 202 6031 00 —= 113" ASMTS 0:M— 162 12 56 Dia \128 24 ESIS Fier 128 31 LD = 848281024530 sc 134 19 æ:ie—\129 56 41 DD — Qi SU M 158,490 4x se 158 44 199 Bulletin de l'Académie Empériale — ST min —= 183437 99".2134..0,.. 134°41! tif — 1551434538 n'a = 160038 :30 sr absent 160 39 n:b — 90:.0..0 NI lETER 0 20 YU" 107 112 18 cpu ee 107 17 y:b —= 148738" 384%: 27, 148 39 y:0 — 121 21 22 y:y —= 62 42 44 va ab = LG A, 6 v:10.,—=129:"22%18 vic 140 37147 D IUN—=AO010)I5::34 MIO ANS 10 113'7e A4 M:b—=132 47 0 65 20 33 Miel) 3 ne (11443097 MM 64 96 0 über a) Le A AREREPINT: über bf M:f 161 9 51 anliegende MTL TE lsliet über « f M:f À ; — 104 24 9 nef FIGE TT SD DT. MR RAA LE 118595 fab) 51379 oh) M AE Fo 105" 40534 f:1 ets 56, 45,42 über af fo mia mi 1 2; L S über bf ETES RÉPARER AU 2 über cf CAU=I24MN38130 MAL FL HG 8 124259 C :10"— 190 10/1 0 G A0 907 AOUSO Vorausgesetzt, dass eine jede monoklinoëdrische Pyramide aus zwei Hemipyramiden zusammengesetzt ist, einer positiven (über dem spitzen Winkel y) und einer negativen (über dem stumpfen Winkel y), so be- zeichnen wir wie folgt. In allen positiven Hemipyramiden: die Neigung der Fläche zu dem klinodiagonalen Hauptschnitt mit X, zu dem orthodiagonalen Hauptschnitt mit Y und zum basischen Hauptschnitt mit Z. Ferner, den Neigungs- wiukel der klinodiagonalen Polkante gegen die Verti- calaxe mit p, derselben Polkante gegen die Klinodia- gonalaxe mit v, der orthodiagonalen Polkante gegen die Verticalaxe mit 9, uud der basischen Kante gegen die Klinodiagonalaxe mit . Die Winkel der negativen Hemipyramiden werden wir mit denselben Buchstaben bezeichnen, nur werden wir zu denjenigen Winkeln, die einer Ânderung in ihrer Grüsse unterworfen sind, einen Accent hinzu- fügen. Auf diese Weise erhalten wir für die negativen Hemipyramiden: X!Y;Z;w und v. Nach dieser Bezeichnung erbalten wir durch Rech- nung folgende Werthe: s1—=H## (m2). X — 45°24 19" Y —83 51 17 Z — 50 12 20 u —98 3853 v —95 59 37 po —45, 4 34 o — 23 57 52 2— + (P7) X— 28°13 43” Y — 99 44 25 Z — 62 38 27 u —110 57 29 v — 13 41 1 p'= 96 37 33 os — 7 1415 0——P? X'— 56° 3139” Y— 38 5941 Z'—47 33 29 u.— 49121 30 y —36 0 0 0 =20:97:9 so — 41 38 11 x — —(P2) X'— 45° 3136” Y'— 51 35 57 Z!=50 319 201 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 202 w=:29°29/à 57 M:e=dt4985" ah.mpdoil 114° 39/27" vae=:251 152 125 M: b = NBA) A UE 0 as 132147 30 po — 26: 37 33 fac L051B61: ue die 105 40 34 cu 28,57 152 fab=A51l 48 4501, 151:53:7 19 RÉREPs DC 29581108. rade 129 56 41 AO LAON A 29e. Hd 134 28 24 "—19°2130 É . | 36 0 0 YA 8413 à. Lave bu 148 38 38 y= (Ps) Xe 43109122" gs gapil ë Ÿ LOT AR Nachträge zu dem Verzeichniss der von der Kai- ET: l mr serlichen ôffentlichen Bibliothek erworbenen Z = 58 38 38 Chanykov'schen Handschriften und den da v= (LP) mitgetheilten Nachrichten über die Baby und X = 50°37/47" deren Koran, von B.Dorn'). (Lu le 24 août 1865.) À Ci (Oo 2 a Bald nach dem Erscheinen des genannten Verzeich- 2039229418 nisses ist Kasembek’s in demselben angekündigtes UT SD Werk über die Baby”) erschienen. Es ist aus den zu- X — 47°13'0” verlässigsten Quellen zusammengestellt und giebt eine V0 (40 sehr vollständige Geschichte der durch Bab (le les f= (wP9) ls ess Ds) und seine Anbänger in den Jahren Xe=—,08" 22/57 YR— 01007 9 Um die Figur, welche c(a) Miller giebt, mit den mei Fo) nigen in Ubereinstimmung o% zu bringen, muss man seine Flächen a für meine €, » für an, M" für a. f für v, e für y. 6n) à für æ, c für b, s für f und r für A aunehmen. Um diese Q* Vergleichung zu erleichtern, füge ich hier die Fig. 4 von Miller bei, und neben mei- nen Buchstaben stelle ich die von Miller in Klammern. Auch stelle ich hier einige Winkel neben einander, welche Miller und ich ge- meinschaftlich erhalten haben. Miller (berechnet). Kokscharow (berechnet). DC 100 OPA TE. DE 0: à 907 0707 VC II CPE EE CEE ct» jam T 22 MR T EL E c- RENTREE Lil, 17.16 CAD LOS Annette 140 37 47 Div 7 885 han 78 44 26 °C 194 90e are 124 38 30 Nic =] dir ST Mer CNE 144%10 «0 1844 — 1852 angestifteten Unruhen. Unter den Quel- len wird unter anderen die neueste Geschichte Persiens: Nasich el-Tewarich er) lb angeführt. Auch dieses Werk ist mir erst vor Kurzem unter den per- sischen Druckwerken zugänglich geworden, welche das asiatische Museum aus Persien selbst erhalten bat. Gegen das Urtheil über die von mir in Barfurusch i. J. 1860 erworbene (kurze) Geschichte der Baby in Mäsanderan habe ich weiter nichts zu erinnern als was ich schon in dem ersten Aufsatze gesagt habe. Wenn ich dieselbe also hier ganz mittheile, so thue ich das aus zwei Gründen. Erstens, damit man ersehe, welche Einzelheiten, die sich sonst nicht finden, deren Rich- tigkeit ich aber keinesweges vertreten will, ein an- geblicher Augenzeuge angiebt und zweitens — und das ist ein Hauptzweck — damit auch der masande- ranische Text als ein Beitrag zur Kenntniss der ma- sanderanischen Sprache ans Licht komme. Der Mit- theilung desselben nebst Übersetzung will ich den Ver- lauf der Geschichte der Baby in Masanderan nach Kasembek’s und Supehr’s Darstellung in gedrängter 1) Bullet. de PAcadémie, T. VIII, S. 245. Mélanges asiat. T. V, S. 221. 2) Ba6r u BaGnxsr: Pexuriosno - noxnTueckia CMYTHI BE Ilep- cin BB 1844 — 1852 roxax&. C. II. 1865. 203 Bulletin de l’Académie Hmpériale 204 a ——Z Übersicht vorausschicken, damit dadurch die Sichtung der dort befindlichen Angaben im Allgemeinen erleich- tert werde. Es versteht sich von selbst, dass solches in Bezug auf die Einzelheiten nur durch eine Ver- gleichung mit den beiden genannten Werken selbst geschehen kann. I. Hadschi Muhammed Aly, welcher sich schon (als Mudschtehid?) eine Berühmtheit in Masanderan erworben hatte, erklärte sich offen als Anhänger des Bab. $. 62. In Barfurusch schloss sich ihm Mulla Husain an (1848). $S. 66. Die Besorgniss vor Unru- hen veranlasste die Oberbehürde von Barfurusch letz- teren zu bitten, die Stadt zu verlassen, Mulla Hu- sain nebst seinen Anhängern (gegen 400) ging dar- auf ein und zog sich zu dem Berg Sewadkuh zurück; sie lagerten sich am Talar-Fluss, etwa 30 Werst von Barfurusch und 10 W. von Schaich Tabersy. Als aber der Gouverneur von Masanderan, Chanlar Mirsa lyse ,bls, abberufen wurde, kehrten die Baby in die Stadt zurück. Nun bat der Vorstand der Geist- lichkeit, Saïd el- Ulema, in Laridschan um Hülfe und etwa 300 Maun wurden von da geschickt. Nichts- destoweaiger verschanzten sich die Baby in einer Ka- rawanserai auf dem Sebse-Maidan und schlossen ei- nen friedlichen Vertrag mit den Einwohnern. $S. 67. II. Darauf kam der Serdar von Laridschan, Ab- bas-Kuli Chan mit seinen Truppen und Mulla Hu- sain war froh sich mit seiner Bewilligung nach Alv- Abad entfernen zu künnen. Da damals die ersten Wäürdenträger sich nach Teheran begeben hatten, um dem neuen Schah ihre Aufwartung zu machen, so fand Mulla Husain Gelegenheit sich in Schaich Ta- bersy) festzusetzen. S. 68. (Da kam auch Mulla Jusuf aus Aserbaidschan zu ibm). Obgleich Hadschi Muhammed Aly als das geistliche Oberhaupt galt, so hatte doch Mulla Hu- sain die Leitung des Ganzen in die Hand genommen. S. 69. Die Anzahl der Baby soll damals gegen 2000 betragen haben. $S. 72. IT. Nun wurde Mehdy-Kuli Mirsa nach Masan- 3) 3, nach Anderen, 4 Farsach (El É K, Je À , 4 leichte oder 3 schwere Farsach) von Barfurusch. Ich konnte den Ort wegen des damals in Folge des Regens verdorbenen Weges 2 leider nicht besuchen. Statt la findet man auch ne und cb ET a deran gesandt, um den Aufstand zu unterdrücken (Dec. 1848). Er sollte die hesardscheribischen Truppen unter Mustapha Chan und die laridschanischen unter Abbas-Kuli Chan an sich ziehen. Aber er lag unthätig in dem Dorfe Waseks auf dem rechten Ufer des Flüsschens Sewadkuh. 5. 74. IV. Da führten jm Anfange des Jahres 1849 die Baby einen nächtlichen Überfall aus. Mehdy-Kuli Mirsa selbst rettete sich nur mit Mühe vor Tod oder Gefangenschaft; das Dorf Waseks wurde niederge- brannt; er selbst zog sich nach Sari zurück. $S. 76 me (TE V. Bald darauf kam Abbas-Kuli Chan mit den laridschanischen Truppen an, welchen sich die afgha- nischen unter Muhsin Chan, die aschrefischen Schützen unter Muhammed Kerim Chan und die sewadkuhische Miliz unter Chelil-Chan anschlos- sen. Aber auch diese Truppen wurden in einem nächt- lichen Überfall geschlagen. Nur erlitten die Baby ei- ven unersetzlichen Verlust durch den Tod Mulla Hu- sain’s, welcher schwer verwundet, starb (4. Febr. 1849). S. 79 — 82. VI. Hadschi Muhammed Aly musste nun sich wieder seiner Angelegenheiten selbst annehmen. Die Baby machten wieder einen glücklichen Ausfall und zerstürten einen grossen von den Persern errichteten Thurm, trotzdem, dass sich Mehdy-Kuli Mirsa und Abbas-Kuli Chan vereinigt und gegen sie in Bewé- gung gesetzt hatten. S. 83 — 86. VII. Nun wurde Sulaiman Chan Afschar aus Teheran geschickt, als Rathgeber und Gehülfe für den Prinzen. Er griff die Sache mit Eifer und Kenntniss an. Indessen gelang es doch nicht die Baby mit Ge- walt zu bezwingen. Man beschloss daher sie durch Hunger zur Übergabe zu zwingen. In der That gin- gen bald viele derselben ins schahische Lager über und baten um Verzeihung und Schutz, so dass nur etwa noch 300 in Schaich Tabersy zurückblieben, welche ihr Leben auf jegliche Weise zu fristen such- ten‘). Ein erneuerter Ausfall blieb ohne Erfolg. $. 89 — 94. 4) «Ihre (der in der Befestigung von Schaich Tabersy zurückge- bliebenen Baby) Anzahl betrug jetzt nicht mebr als 300 Mann. Sie hatten durchaus keine Lebensmittel mehr und lebten von Gras und dem Fleisch ihrer gefallenen Pferde. Augenzeugen erzählten, dass die Babiden oft sich Nabrung in den Lüchern der Mäuse und Rat- ten suchen mussten.» 205 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 206 VIIL Hadschi Muhammed Aly, welcher wohl sah, dass er sich nicht länger würde halten künnen, suchte sich dadurch zu retten, dass er dem Prinzen vorschlug, ihn frei abziehen zu lassen, wofür er ver- sprach sich in Zukunft rubig zu verhalten, Der Prinz ging darauf ein und die Baby begaben sich ins per- sische Lager. Kaum aber hatten sie da nach einem überaus freundlichen Empfang die Waffen abgelegt, als fast alle zu Tode gemartert wurden. Nur wenige ent- kamen. Man beschmierte 300 Mann mit Naphta und ver- brannte sie lebendig oder, nach einer andern Angabe (Supehr’s), schnitt man ihnen den Bauch auf. Nur Ha- dschi Muhammed Aly nebst sechs anderen wurden zu ôüffentlicher Bestrafung aufbewahrt, welche in Bar- furusch an ihnen vollzogen wurde. (Juli und August a. St. 1849.) S. 95 — 97. GLuil sl] PS ce YU ani lé J> 42 DAT EE LS" fre als Lol ne soif pr! 4 5 ds ils d 5 a 5 AG dt 0) p+) 3 0 ! 02 3? C9 9 je (CLY,) ©, us Ls= sa 207 =. aus AUS S £j 5 ES ls cks al sf le sf (El) FD A +9: PR A ja 0- - _ dæ Agen J: es QU? 4 0} SL Je pet 1 ai Le Do) 2 / 01 JE 5 pre Jlyl 4-5 as sue) Dr ou) 5 CERTES LI SR pe as ass D ne Us dr. pl pre yen Us Le Dre y as 4 AA père 3 ail à me ai, 2h C5 ce fus vas dos D YLeil] ua by + dossD 55» as af rs a ?) be. 2B 7 0 - J 10 Es aies > JP ro af ab) FE data 6 sas PR 0 - Die 0 25 pl 5 HAT Joy dur pe PA #0 2 JT a di 5 S 5) Eigentl. Grindkopf. 6) inëéné, énëénëé, sie kommen. 7) därnéné i. e. däréné, sind. 8) néchärin, städtisch: néchürin. 2 ‘| 1e a, À LB ce ur PATES J5 pe SURF ) DE Us ie Dee DR Here 55 in pt a Ù 2 r0-7 eos $s il 4-32) 99 o)29 IA Bit AM 01 A 2 0++ 1,0 09 RE 1,0 oo 2’ (a) «SD? o>ys? 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Das in der vorherge- henden Zeile befindliche J> isti= le. 209 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 210 pes, 4 l £ oi d> liSpf0rs Maud y Qisile de Cots rS ea Us sl af 0,2 CET - æ JD 03 )g> dan 0,5 Le pe 4? ail» 5 ds )? Qu +07 , o- 3 o F re Je of r o23li af 493 jh ÉË 22 go 45 wo 7 ,- Pb doc as) 99 Jés en “is JD? gen >,f le - Al Çs) 4 LA de Lo ©} ce Le ai NUE Slip ayez 10! : 2 LD _Jo Ul Cl a )5 C9 y QU 9 J2 Le ME y re Le 222 0 A > sr 0 9 ai) cite) aë Us 9 sp pr a? w ls Ugs af cf le _ -0- - 0-0 J de? Us spl és bass; if es Y HA U3+s ui Dre à 2 Ugo ol Jus de LE Le ESS d_n rl me Uyés 0 Cr D 0 0 G ai ,f Lo Je ol ue fr Ve ND 0, Cal Re 0e 2 gi: , - 0 a) 4) y de? DISE as] pis 4$ a 02,9 le Li, : L g - Pr D . du D 0 - e) UE JF 4 aise Lo Fé 15 an PISE af #0) % ee Be D COCA PEN TUE <0-r 02 brasse) «f Cul Dos sis af fs ai ,=? d, J32 0 — & ##:0,113 ’ 0 Eos APE 259 > © ai SK pige il cl lon 248 les 5e - æ, , , 7-07 8 dns Ci 0 - LA has le Éulé upfe a5,f Le ne ds y? 0” CRE | ) US ple r° 7 sh G an ,s? 7: 0. 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Us o - La UNE ou w aus les SRE: : #0 71 Fi Le) ei] ni _ #0 à , D #0 o- _ bb ni] LL] af ds JL JS L 5 a 0 07 ’ JS (use) CG ACT) o os 0 D pe js) De Sl'ais > Ole Js El a ail | ivre :] 20 Usa Ain y 0 DE r° re Mél, 5 U9s a fl 3 —- - 9 +- - 6 > Dés Opel lé Ch Dés sen 8 23 Ci dis 0 > +10 ! r0- Jb Hs as du J G > ( ax 9% J deD dÂxas +07 1 » + ET ds QI div y 49 os als, où EL pne Lo 5 3? - DS s - Sly G re dl ae 4 as flo Ls J CD) ais 2 A Co ll Lals;s - | ai F 9 PRPR EN LEUR 9 ab oi CC | © Ph SE C2) Ds > #07 _ Le père (999 Jb digond CUPS) J 4e Ua pe une PE Ph 7 de Fe 79 D 7 me “Cal ea at ee Jobs" dus vof El aps doc aus aus ll S - safe il le sed plis pe af'axils Lis s JL cd #07 » 1 +» 0 el RS 4e, de &5 ,Ll sis ki ais fs Le af ao Æ 0% 2 CO SR EN-d 20 Ce & pe al 4) C9) Bas, an D9s als Lies] Ll ps Dur JS res a ,S le Gb Us 1] af Fe Eæb af rép 2 Enla) do? oo) 1 rt J3 a dy | Ds ay © , 24027. / Se d9 5 ai À JS pl ss diuD = U93> 9 07 2 sfspelte dnlépén nl nb nf GLS ds ES ds Éi a 1 rt SP E 5 LS, Op. dues 5 ie SL à ps Us D pub bob bé Ale dé, & , we œ- ! ww. JS a Le] 635 ml pi» Le) L £,5 LIT RES ASS, 14 Bulletin de l’Académie Empériale - / o 9, 0 ay Le él Dép: 25? ob 1J9 272 ao} Lo Ji Éjell ne pr TE #) Sel >) af ; + as «tb du 3 9? JE de b 02) LE gl af de o191 F L3l je a Ye? sl TEA e “r Los] D] as où Lids CE U Des PME FRE dy lU8 js 0 7 2077 | 27 F7 10 -0% -0- 07 vers 27 CESR) : . Dune Use Dee D> dibjg 3, Axe pe Doi gs 8 / . 1 »nr1- 6 À Ne J9 che Uls UF) +# 70 10-- # + #0 9 1 0,1! 4 de pose ais> 356 al, MD) 0j Us ai À ds 0 - LA 2077 | ». ° = s . CN . . . - e: 5,5 "a 4-3) 99 ie D di danad C9 AC 2 #7 1-07 Q - + 9 ” 0- Lo pb airs 9 - 0% 2 Ugo Ag a) 55 ds Ses 5 af LES 0 do plc A De) dus É9D> 49 C5» Niemand wundere sich über die Ungleichheit und Nachlässigkeit in der Orthographie uud fast allzu grosse Schmucklosigkeit des Styles. Der Aufsatz ist ein echt masanderanischer, Mag auch ein Wort in wenigen Zeïlen mebrere Male verschieden geschrieben sein, das kümmert den Verfasser oder den Abschreiber wenig; er spricht es doch immer so aus wie es ausgesprochen werden muss, 2. B. ,— 0), {sh — 4), (ep — 07 Fe 10- . oh4); LJ Das —= #F Llall Jun, Us = 9, Us — y, Jés U. De do ü. y, OÙ u. GI u. s. w. Bericht des Schaich-u!-Adsehem Masanderany, Ich will die Geschichte von den Baby *') nieder- schreiben. Es war ein Mann in Tscheharschembeh- 18) nädinë, giebt nicht. 19) desekke-tschàäl — ébel. 20) von täptüniën oder dâftünién, werfen. 21) Nach der Analogie von Jansenisten, Calvinisten, Papisten, wäre die Benennung «Babisten» wobl nicht zu verwerfen. Ich finde als Plur. Lo, lsls und ab. Pisch; seinen Namen nannte man Ssalih. Er hatte einen Sohn, dessen Namen man Kele-Mendaly *) nannte. Dieser verliess in seiner Jugend sein Land und reiste überall umher. Nach Verlauf vieler Jahre kam er eines Tages zurück und liess sich in seines Vaters Haus nieder. Die Leute kamen sehr viel zu ihm und gingen wieder weg (d. i. man besuchte ïhn sehr viel”). Er befand sich damals in so guten UÜm- ständen, dass dieselben den Leuten sehr wohl gefie- len: sie kamen ununterbrochen zu ihm. Da er sah, dass die Leute gern und viel zu ihm kamen, so be- rückte er sie nach und nach (indem er sagte): «ich bin der Mann Gottes, ich bin der Vertreter des Herrn der Zeit, und was ich sage, da hüret meine Rede. Diese Mullas, die da sind — was sie sagen, lügen sie alles; aber was ich sage, sage ich recht». Da sprachen sie: «was du sagst, sagst du recht». Er sprach: «Knob- lauch ist verboten, esset ihn nicht; Zwiebeln sind ver- boten, esset sie nicht; die Wasserpfeife ist verboten, rauchet sie nicht». Alle die seine Freunde waren, assen weder Knoblauch noch Zwiebeln und rauchten die Was- serpfeife nicht. Was er auch sprach — sie hürten auf seine Rede. Eine Nacht lud man ihn zu Jemand ein. In jener Nacht war Tschelâ-Plau *) zum Essen. Er ass einen bis drei Bissen Plà. Da er merkte, dass in dem Plà Rosinen ”) waren, so ass er nicht mehr. Hierauf 22) Später Memedaly oder Memdaly d. i. Muhammed Aly. Es ist also hier nicht von Aly Muhammed d.i. Bab die Rede, wie man angenommen hat; s. Kasembek, S. 2, Anm.1). Er war nach Supebhr ein Barfuruscher und nicht selbst Mudschtehid; vgl. Kasembek $S. 62, Anm. 1. Æ 23) Pers. Jiorbe ne ul LU“? pIyee 24) de, Xs tschelà,tschelô,tschelau, das gewübnliche Reis- gericht der Masanderaner. Es ist von #b plau darin unterschieden, dass es ohne Butter und ohne Früchte ist, wäbrend 3} plô oder SL plà, mit Früchten u. s. w. zugerichtet wird. ne A5 gadek tschelô wird das Gericht genaunt, wenn es zum andern Tag nach- bleibt. b is; eat U30) L sh as le Sn) Us? L auf L 2,5 pélà bi raûn tschëélé gonnèéné; pelaë baraûn we kKischmisch we guscht ja kerk plô génnéné: Plà ohne Butter nennt man tschelo; plà mit Butter, Rosinen, Fleisch oder Hühner nennt man plô. Die Aussprache génnéné habe ich von Muhammed Ssadik (s. Reisebericht S. 441); andere sprechen mehr günnèné, aber so, dass der Unterschied zwischen o u. 4 doch nicht ganz hervortritt; es ist ein Mittelton, den ich durch % bezeich- uen môchte, ‘ 25) se mamidsch;so masanderanisch und gilanisch; die Stadt- bewohnér gebrauchen dafür häufig joe mewis. Übrigens wird in dem Nasich el-Tewarich den Babÿ namentlich auch das Wein- trinken zum Vorwurf gemacht. 213 des Sciences de Saïint- Pétersbourg. 214 brachte man Handwasser und setzte es vor ihn hin. |und daraus eine Befestigung errichtet hätten, inner- Er wusch nun mit der Hand auch die Lippe. Da spra- chen die Leute: «was hat er so gethan? war dieser Plà unrein, dass er mit der Hand die Lippe gewaschen hat?» Wiederum fiel das an einigen anderen Orten vor, und er that dasselbe. Kinige, welche seine Freunde nicht waren, sagten: «er ist gewiss ein Baby: wenn er es nicht wäre, wie sollte er so handeln?» Diese Rede gelangte zu dem Obr des Pischnamas Mulla Kasim. Dieser sprach: «er, der Vertluchte, ist unrein, er ist ein Ungläubiger; ein Meusch, welcher Musulman ist, thut so etwas nicht; man muss ihn aus diesem Stadt- viertel vertreiben; wenn er in diesem Viertel bleibt, so richtet er noch viel Unheil an und leitet die Leute vom rechten Weg ab». Auf den Ausspruch des Mulla Kasim hin verjagte man ihn aus Tscheharschembeh- Pisch. Er ging weg und jeder, der sein Freund war, ging mit ihm. Es verging eine Zeitlang, da kam er wieder zurück. Er war einen Monat da, als man ihn zum zweiten Male vertrieb und er wegging. Als ei- nige Monate verflossen waren und er wiederkam, ge- stattete man ihn da den Anufenthalt nicht. Er nahm daher seinen Wohusitz in Pia-Kulah”). Mulla Hu- sain nebst einigen anderen war in seiner Umgebung. Sie waren da eine längere Zeit. Man vertrieb sie aber auch von da. Sie gingen daher fort, so dass von ih- rem Aufenthalte keine Kunde da war. Eines Tages brachte man die Nachricht, dass 500 Baby aufgetre- ten seien und die Absicht hätten, gegen Balfurusch?) einen nächtlichen Überfall auszuführen. Als die Ein- wohner von Balfurusen das hürten, nahmen sie je Stôcke, Prügel und Flinten und besetzten jeden Weg, damit wenn sie kämen, sie sie tüdteten. Die Leute hatten eine Nacht und einen Tag geweglagert, als sie sahen, dass sie nicht kamen., Einen andern Tag brachte man die Nachricht, dass die Baby auf den Sebse- Maidan *) gekommen seien, sich in einer Karawan- serai”) festgesetzt, ihrer Esel Saumsättel genommen 26) So, nicht Pia - Kela, las mein Masanderaner. 27) Unser Erzäbler schreibt bald Barfurusch, bald Balfu- rusch. In Masanderan selbst findet man beide Aussprachen, je nachdem man den Namen von LL Last, Waare, oder dl 5, Arm, ableitet. Le 28) Der grosse Platz in Barfurusch, auch les o ja Le- | schrieben, nach der Analogie von 5,+ Js, pire merd, alter Maon. ï 29) Im Text: Kalem-sera. halb welcher sie seien. Die Leute gingen nun dahin und sahen, dass da Baby und zwar innerhalb der Ka- rawanserai so Zahlreich waren ”). Nun las ein Knabe eine Handvoll Brennessein und legte sie unter den Schwanz eines ihrer Esel. Der Esel begann auszu- schlagen. Darüber waren sie (die Baby) sehr aufge- bracht. Mulla Husain setzte sich auf ein gutes Pferd, entblôsste ein Schwert, nahm es in seine Hand und begann auf die Barfuruscher einzuhauen. Er hieb hier nieder, ritt dann weiter und hieb dort nieder, und kam wieder hierher (d. ï. er hieb überall um sich}. Als die Leute sahen, dass er gut drein hieb, flüchteten sie alle. Wer da war, sieben oder acht Mann, tüdtete er. Weiter sagte er nichts. Als die Leute sahen, dass er nicht weiter tüdtete, fassten sie Muth und kamen nach und nach wieder zu ihnen. Die Baby sahen, dass sie wieder Muth gefasst hatten und sprachen: «jetzt ist es eine Freude sie zu todten». Diese Leute, deren | Kopf keinen Verstand hatte, kamen nun eines Tages in grosser Anzahl zu ihnen. Als sie sahen, dass eine gute Anzahl da war, sprachen sie: «jetzt ist es eine Lust dreinzuhauen; riefen: o Gott! zogen die Schwer- ter, warfen sich unter sie und begannen niederzuhauen. Da sie (die Barfuruscher) sahen, dass jene tüchtig drein- schlugen, wandten sie sich zur Flucht und alle liefen davon. Die Bewohner von Barfurusch geriethen in die Enge. Sie setzten eine Bescheinigungsschrift*") auf, alle Maullas von Barfurusch drückten ihr Siegel darauf,mach- ten sich auf und unterlegten es in T'erün (d. i. Teheran) dem Schah. Der Schah nahm das Schreiben und las es. Er schrieb nun ein Papier an den laridschünischen Serdar: «o Serdar! wenn mein Schreiben zu dir kommt, musst du die Babysche Sippschaft festnehmen und sie aus Balfurusch treiben». Ein anderes Papier schrieb er für den Prinzen Mehdy-Kuli Mirsa: «o Prinz! wenn mein Schreiben zu dir kommt, musst du alle Baby todten; vertreibe sie alle aus Barfurusch». Abbas- 30) Die Construction ist etwas verwirrt; wôrtlich: (dass) sie in- 0 nerbalb jener Karawanserai s0 (ais = 9%) voll seien (Pers. 0 (us?) Ju œb jl» Çsl ” OlsE af. aie maschteh ist ES voll. 31) SL) , di. eine Schrift, in welcher alle Umstände aus- einandergesetzt und durch Zeugen bekräftigt waren, d. i. durch die Siegel der Mullas. 14* 215 Bulletin de l’Académie Hmpériale 216 me ——…—…—— Kuli Chan Serdar nahm 800 Mann (Nuker) aus La- ridschûn, welche nun nach Barfurusch kamen. Die Baby trafen mit dem Serdar eine Übereinkunft, nach welcher sie ihre Streitsache fortfübren künnten‘*). Aber als die Baby sahen, dass jener (der Laridschaner) Kriegsleute viel seien, ihrer eigenen Kriegsleute aber nur wenige, zogen sie sich zurück, gingen aus Balfu- rusch und setzten sich in Schaich Tabersy fest. Als der Serdar sah, dass sie nach Schaich Tabersy gegan- gen waren, nahm er auch seine Leute und zog ih- nen dorthin nach. Die Baby hatten sich muerhalb des Schreines festgesetzt. Der Serdar nahm mit seinen Leuten seinen Standort ausserhalb. Sie blieben da eine Zeitlang. Da der Serdar sah, dass er auf diese Weise sie nicht vernichten konnte, schickte er Je- mand zu ihnen, welcher sprach: «wenn ihr hier blei- ben werdet, so werde ich euch tüdten». Sie baten um Verzug. Als es Nacht ward, machten die Baby um Mitternacht einen Ausfall auf den unglücklichen Ser- dar und tôdteten viele seiner Leute. Der Serdar floh und die Baby selbst gingen (ihres Weges). Die Leute des Serdars tüdteten sich selbst unter einander. Als nun jene Nacht sich zum Tag umwandelte, sahen die Leute des Serdars, dass sie diese Nacht bis zum Mor- gen sich unter einander selbst getüdtet hatten. Der Serdar schickte nun einen Menschen nach Sari zu Mehdy Kuli-Mirsa: «o verehrter Prinz! nimm was du an Truppen hast, und komme, damit wir diese Baby vertilgen. Denn wenn wir sie nicht bewältigen, so werden sie alle Masanderaner tüdten». Der Prinz zog alle Truppen, die er hatte, zusammen, nahm sie und kam nach Schaich Tabersy. Der Serdar aber machte sich auf, brachte in Laridschün viele Truppen zusammen”) und kam zum zweiten Mal nach Schaich Tabersy. Er sah, dass auch der Prinz viele Truppen gesammelt hatte und da angekommen war. Sie blie- ben mebrere Tage daselbst und beriethen sich unter 32) Nach der oben genannten Beschreibung von Masanderan stellt Laridschan 802 Mann reguläre und 164 Mann berittene Trup- D a cui Li shape Led Le als 2), 55 ME — 95 jlauss ps Elie. als © (E Jrai L CA) Ski. DERSNE (#3 5 ç bts La 9 JeY, (is AD D 9239 Jak? 9 ol 5,15 | 24 ‘a, a. Der District von Laridschan soll S5 Dür- dJ J J n . fer enthalten. Das frühere Lahidschan ist ein Versehen. einander, was man thun müsse (indem sie sagten): «die Baby haben von unsern Truppen viele getüdtet». (Da sprach Abbas Kuli:) «o verehrter Prinz! lass ei- uen Angriff zu». Der Prinz sprach: «o lieber Serdar! gedulde dich; Gott liebt die Geduldigen; gedulde dich nur s0 lange, dass ihre Lebensmittel ganz ausgehen; sie kommen dann zu ihrer eigenen KErhaltung von selbst; dann werden wir sie alle ergreifen und tüdten». Der Serdar erwiederte: «o verehrter Prinz! du hast nicht schlecht gesprochen *); wollen wir uns gedul- den». Sie geduldeten sich fünf bis sechs Monate, bis ihre (der Baby) Lebensmittel ausgegangen waren. Sie hatten nichts mehr zu essen. Da überkam sie so eine Hungersnoth, dass sie alle dortigen Baumblätter assen. Als sie sahen, dass alle Baumblätter zu Ende waren, begannen sie Erde zu essen. Sie assen solche einige Tage hindurch. Als sie sahen, dass die Erde ihnen schädlich war, und sie ein paar gute Pferde hatten, so tüdteten sie dieselben und assen einige Tage hin- durch Pferdefleisch. Als das ausgegangen war, ass man die Haut. Als auch die Häute alle waren, hatten sie nichts mehr zu essen, Was sie auch erdenken moch- ten, ihr Nachdenken führte zu keinem erfolgreichen Ergebniss. Zuletzt sprachen sie: «wollen wir eine Nacht einen nächtlichen Überfall gegen sie unterneh- men. Sie werden aus Furcht vor uns fliehen; was da sein mag, das werden wir für uns selbst nehmen, weg- bringen und essen». Als es Nacht ward, und schon ein grosser Theil der Nacht vorbei war, kamen sie, welche wach geblieben waren, alle aus ihrem Stand- ort heraus und schlichen sich ganz leise in ihre (der Perser) Mitte. Da sie sahen, dass sie nicht wachend waren, waren sie des sehr froh und sprachen: «jetzt wollen wir alles, was zu thun ist, selbst ausführen». Sie waren in diesem Wahn, als jene alle aus dem Schlafe wach wurden, o Gott! ricfen, sich mitten unter die Baby warfen und viele von ihnen tüdteten. Diese hat- ten vor Hunger keine Kraft zu entfliehen; jene ergriffen sie (daher) und setzten sie fest. Sie waren darüber sehr froh: «wir haben jetzt die Baby gefangen genom- men». Sie wussten nicht, dass noch sehr viele dort drinnen (in Schaich Tabersy) waren. Sie waren einige Tage ruhig. Jene (die Baby) nahmen in Folge der 33) d. i. gut. Sagt man einem Perser, so und so etwas sei gut, so wird er häufig nicht, ja, sondern €uus Jo bäd nist, «es ist nicht schlecht», antworten, 217 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 218 Em Hungersnoth Hadschi Memedaly (mit sich), kamen heraus und gingen aus freien Stücken zu ihnen (den Persern). Die Leute des Prinzen nahmen sie fest und tüdteten sie alle. Einige aber liessen sie übrig, um sie nach Balfurusch zu bringen, damit sich die Bewohner an ihnen erlustigen künnten. Als sie sie alle festge- nommen hatten, waren sie sehr froh. Sie bethaten sich dazu die Trommel zu schlagen. Sie schliefen jene Nacht bis zum Morgen nicht, indem sie immer die Trommel schlugen und die Trompeten bliesen. Am Morgen nahm man Hadschi Memedaly mit seinen Anhängern allen, und zog nach Balfurusch. Die Be- wohner von Balfurusch kamen truppweise und be- schauten sie. Man hielt sie einige Tage lang daselbst, damit die Männer und Frauen alle kämen und sie schauen künnten. Als alle sie recht beschaut hatten, nahm man sie und zog in den verschicdenen Stadt- vierteln herum. Einige, welche Freunde hatten, wur- den von ihnen losgekauft und weggebracht. Als die Reïhe an Hadschi Memedaly kam, sagte Einer: «tüdtet ihn, denn dieser war der Urheber des ganzen Aufstandes, dass man so viel unschuldig Blut vergos- sen hat». Ein Anderer sprach: «tôdtet ihn nicht; er ist ein guter Jüngling; es wäre schade, wenn Jemand ihn tüdtete». Der Prinz sprach: «ich muss ihn leben- dig nach Terün (Teheran) zum Schah bringen, damit der Schah sehe, was er für ein Mensch ist». Da sprach ein Anderer: «nimm ihn». Wieder sagte Einer: «nimm ibn nicht». Da war ein Mulla, den man Mulla Dscha- far-Kuli Taabieh Chün *) nannte. Dieser ging mit einigen Mullas zu dem Seyidu-Lemä‘). Sie sprachen: «hochwürdiger Herr! entweder muss Hadschi Me- medaly sein oder wir müssen sein; wenn er sein muss, werden wir uns selbst lebendig tüdten; wenn wir sein müssen, müssen Wir ihn tüdten»! Der Aka sagte: «ich entlasse euch; gehet, nehmt ihn, bringt ihn weg und tôdtet ihn». Da sprachen jene Mullas: «der Prinz giebt ihn uns nicht, damit wir ihn tüdten». Da schrieb der Seyidu-Lemà ein Papier: «o Prinz! sobald mein Schrei- ben dir zukommt, musst du den Hadschi Memed- aly geben, damit ihn die hochwürdigen Geistlichen tôdten». Sobald der Prinz das Schreiben des Aka sah, 34) (95 du (?), Pers. (y à jai. 85) Lulu, id 26e) Tunis) gab er ïihn ab. Sie führten ihn hinweg um ihn zu tüd- ten. Sie brachten ihn zu dem Seyidu-Lemä. Dieser sagte: cihr habt ihn (wieder) zu mir gebracht, was thut ihr? nehmt ïhn, tüdtet ihn». Alle Bewohner von Bar- furusch kamen zusammen, und führten ihn auf den Sebse-Maidan zum Tode. Da war eine solche Menge, dass sie ihn nicht tôdten konnten. Sie tüdteten ihn also stehend. Seinen Kopf nahmen sie und trugen ihn gerade durch den Basar herum. Alle Leute nahmen ein Beispiel daran. Seinen Leichnam verbrannten sie, nahmen (die Überreste) und warfen sie in den Teich. Die Baby sagten: «er wird nach drei Tagen wieder lebendig werden». Aber ihre Rede war eitel Trug. Diese Geschichte ist zu Ende. Ausser dieser Erzäbluug liegen mir noch zwei an- dere kleine persische Gedichte vor, welche von den Baby handeln. Aber sie sind so mangelhaft und schlecht geschrieben, dass deren Mittheilung nicht gerechtfer- tigt sein würde, In dem einen wird Muhammed Aly (due) 4 pe Mimdaly geschrieben und C,> Ke genannt: J> re lb os» EL ob (ll. Dasselbe beginnt so: ta le D le hi as D) L UV &b sb OL oo) is] SL Auch in der pers. Beschreibung Asterabad’s, Ma- sanderan’s u.s. w. (s. Reisebericht S. 469, b) u. 499, 12) findet sich eine kurze Nachricht über das Auftre- ten und die Vernichtung der Baby in Masanderan. N° 1 der Handschriften. Der Koran der Baby. Wir finden in Kasembek’s Buch und dem Na- sich el-Tewarich folgende Bemerkungen hin- sichtlich dieses Werkes: In einer Zusammenkunft Bab’s mit den Ulemas zu Schiras in Gegenwart des Gouverneurs (1844) ant- wortete er auf die Aufforderung des letzteren, die Ule- mas überzeugend zu belehren, worin seine Lehre die des Koran’s übertreffe: «nehmt meinen Koran, ver- gleicht ihn mit dem Koran eures Propheten, dann wer- det ihr finden, dass mein Koran beredter und besser ist als euer Koran und mein Glaube die Religion eueres Propheten aufhebt. S. 14. Vergl. unten die Auszüge aus d. Nasich el-Tew. 2). 219 Bulletin de l’Académie Impériale —————_—_—_ In einer andern Zusammenkunft in Tebris (1848) soll Bab auf die Frage Hadsechi Mulla Mahmud's, wodurch er beweisen kôünne, dass seine Lehre die wahre sei, «durch meinen Koran» geantwortet und auf den Wunsch der Gegenwärtigen einige Stellen aus ihm vorgelesen haben. Diese gereimten Bruchstücke, nach dem Muster des wirklichen Koran’s verfasst, sollen sehr viele grammatische Fehler enthalten haben. $. 25; vergl. S. 29 u. Nas. el-T. 4) u. 5). Unter dem Volke ging das Gerücht, dass Bab den Koran so schnell verfasste und schrieb (z. B. in einer Stunde tausend Zeilen oder Verse [vergl. S. 5 und Nasich el-Tewarich 1) und 5)}), dass der mensch- liche Verstand es nicht begreifen konnte. Seine Jünger (und er selbst) gaben das für ein Wunder aus. Dieses falsche Gerücht ging, wie K. meint glauben zu müs- sen, daraus hervor, dass die Jünger des Bab aus Schmeichelei oder Politik den Worten Bab's vielsei- tige Bedeutungen beilegten, indem sie behaupteten, jedes seiner Worte enthalte tausend Gedanken, und so galt jede von ihm geschriebene Zeile für tausend Zeiïlen. Seyid Husain selbst war ein seltener Schnell- schreiber; in einem Tage schrieb er ganze Hefte voll sinnloser Phrasen, welche mehr Wiederholungen von einem und demselben Gegenstande als irgend etwas Zweckdienliches enthielten. Dieses wurde dem gemei- nen Volke als eine geheimnissvolle Schôpfung des «Wunderthäters» Bab mitgetheilt. «Das Exemplar des Koran’s, welches sich bei mir befindet, muss auch zu diesen Erzeugnissen gehüren». $. 169, Anm. 1) u. Nas. el-T.5). In dem dem Bab zugeschriebenen Koran fand Ka- sembek sehr wenig über seine Ideen und seine Lehre. « Os po Élsuus ay | Dre FE a Al JS sOll pers | NF QU # pres (gs EE fr 2 Dre ÿ* ail Sol 3) pe 0e m es le 26e) as ai DIS ÿ° dls JS Cool Lois or F ie Uoes S'oalll Ciel, ÉXLL ae pal J es a PP fe ee ne e)5, se ri dar Pi FPE ses arnhoG pP9> JS tn | Lot gs by) aus ; de] Qeleill D 1,11 3° Ÿ] al J Ÿ é BE pixel a) Le das ge » Gb | J alb als da) Jo FA LA ar JS rte LS, Rs y “ae das abc alu, 37) Vergl. Bull. und Mél. asiat. an den betreffenden Stellen. 36) Später: PTS du) ù#, äle 079 des Sciences de Saint: Pétersbourg. Or KL JS Lil LA, Lib) af an) je dns | er 9 | 222 PTT il EM eùll je all, WI Dsl ee JM) QUI al — 2 —) és) pl aies 3 all je pie, Lis Ge LE PRCTRRE FI 5 | DE SERA Re EE, € à js Lis Île AT es, lbs. héahles ls és spi 1 ples db GE, dLodl JI05, ALI LS, oui] LS" }, ;a)l Hfes LS ELU LE) Le, JAN 5Lés$ las) p Les el39d] she, Lil Ce, leudll glos clesill #55, LS ls J$e, Jul QI, duel 58,, dell ble, ds hs lala) es. lie Lt . La)] Es. 8299 s: Qmdl LAN A] sd) Ab NC D ec a rent agé Fou k, Ji, Le F ob LENLE F ubll, … EP obus Gloss Gé MR Hu lus cé à rl ol) dcr opel Le 4 ELU y» ame :je, Ulul pl yeais ya) dj) ps Dell oggs # dl Ji ge Dé àl es Dé rh a LU) 4) és à Pal ae [Je à Les gel if a) in , ob 4 el] dl Del di 3» Js rep) ül buses &l, p)—- ps, il Ébile. les Lee soi), à F ysÙ élll al dll ©, di dl ému 40 duel] LU EU: Ci QG bb Ib cul) CU As 3 lies v5 8 DIN, 2 OI, Es yie MERE y dl ül pa F ll 223 Bulletin de l’Académie Impériale 224 rl 9 PA pt eb JS D) OU ré) EL ab XT + 5 y — EL — DUR dj) olbel Jss a pe! EL] Rs oil Lo Ja LU) XIL. <-» Qui) — sl — jrsll — LU) — Lis, late ae Liessl, Jane, D NT EI XL 0 — LI — al — pl a], all p bi) F LU p SL ILXIUS LE ele ea — all + éle CU EU +0 sy23)l F aee 150 deese] Ci lé] y3$ll 5 Oil ge es oi Loi Lee Le, du T XV. cpl — ol — got — GUN — 1] p &bb, le bel Et re se spé Brel XVL, » ad) JON — 55 OT dass LL uré oBAl à gli, [XVI » — (psill ssl An ES dllhisrélss dE AE 3L er je ie d'u) sul à La 28, JON ge ds dl 06 KV» —hiull — cdi se LME el. 43,2 & à Dial) p QU) Doll ÿ*° TE TTANT SU] Grall — grill — el (5 E 55 Re qi J5 58 A à lose I nil of Jsls Le pb} Ÿ! los s D! Care) 5 ete gb Pb Jés SL Jels 5 LS OI Usss Cul ce ULs, ee >9 5 5} Qs22 La ül,Ls 3° Olkk, D? Route Ce) JE J> Jidgoire 5L D blé ob, Digne (Use dsle pe Usb, Do LS æ yes > Lx Cie lys AK Q° Ceci Eli] 92 Li Je synfe D osge Lise D Uesise ST Gus oi JET E ho Qt Ca ll lou F Jils Jb5| CS 9 535 Le Sp ge se pot PE ge ot fl op, Cal 9299 sl. cn 7 Se ie, 4e Llo pos de ge Lol yes À Cul 2 Le ge pb ca #v je Col 5% Uhy Ge » üL Dluis af Juif ÿ° es) JR Ole» Cas et J> — Hoi L;s2e , Ha af >, il, ox its Cia ul el U* EM) UT «bb, ns PS ol Obs y be (555 ÿ° pe oi. 2) Aus dem Verhür zu Schiras wird unter Ande- rem angegeben: 455 J,b lb Je HELENE cells Din Jus jus Cast Jens, al > Le lee D LE OP F1 af sb Ssäle ils, J ol us? 2 UP cs DS LE jll U3 9 CES sb 5 5 Qb er n 9 dr us? Gifs à © sell; Gi] LE af PR Di usb Gé us Le é* y° LL Eli) lo; ic uLs TS LE ler 22 eb LE ba Us ss) DNS Cas, ray he Je ob y AD RAI LE Dre2n Dee SE I nr a pin © sise FE Lol él LP HS i& 39> ebi af : o2) FRE GS “e 3 5, "les Dhs Qfs L'U Ki asie parle EL: Le : ,,T DL Js LS bus aie ps QU? + ÜU32% PT Ooils ÿl béta (5 ül Tome IX. Lol Ft Cas os = o?) sf us? ras «ob «los CLK 595 Ole 59 ut CL y ro DUT as _ 3) Aus dem Verhür zu Isfahan: Ca ls y &b ekLE, F1! S pl fl Cl gel Cas Le le ri) ro as (lys = s Ai ls k, es RS gl Ca 5 2 JS) ls ds Je Ulis dos Vo aff pés Ql Lol sl, Us brest ss se ol, ns] 5 ge D les Cl, Das sy SES o3ysl LS ?99 9 (SDS o>} Cs Ole abs Lles Ca, of | GS pe) ue [: as?| ils 02) er El; Js œb K, à HL Ls2] SE Se 05,6 Li] ke 4) Aus dem Verhôr zu D alle # ;le) Us af Jo APP UER g LL} 0 us Ds LE pl & PA 0 ulse, JS € QLs sas 15 LUS le LE ul ie L] A oJiS |» OL) jlacl, Gb 92 ol Cas ls JD? ob SI ST sol blé b HS 26 LL Pl RE RUE | PCA BI K Lla)] ri é) D 9? TE mi ul, de 2 ve _JÈ9 Qlys Lilees gb, LS J03 = + Le Les les rs D Lin pal ne Que Olgs HIS QLs ru us? li ÿ? pe. TS EL OS pe Poeress, ss els >» » éll, pl 02,5 D MTS Je 4 Le Cas gb À] Es jé y LU 3) LS ce vf æ ue cé sal «5 oEofai dus Jayls Le Le cp 5) s rs los ol 39) Aus dieser Stelle geht hervor, dass damals (1848) in Persien Bücher oder Schriften verbreitet waren, welche für den Koran des Bab ausgegeben wurden. Es ist schade, dass ausser den beiden St. Petersb. Exemplaren keine anderen nach Europa gekommen zu sein scheinen. In Persien selbst mügen dergleichen Schriften noch verborgen sein, aber die Furcht für einen Anhänger des Bab ge- halten zu werden, wird ihre Besitzer abhalten, es zu sagen. Auf jeden Fall würde der Besitz noch eines oder besser noch mebrerer Exemplare, welche nicht aus derselben Quelle berkämen wie die hiesigen, zur Entscheidung der Frage hinsichtlich der Echtheit der letzteren beitragen kônnen. Vgl. Polak, Persien. Th. I. S. 353. 15 227 LS JS ie CA US en 5e G5ss çye LS ul Do) cpl Dsl Boss DEL Goes Le cl 4° a Do ali Le (Cas ol). Déls co ete el, Jus ss ÿ dl as ls Pos pin » p° 5 EE Hs, Us Er AL c® Je, F} gels wall, Slyeu)l D SI Difole ee 51 3e aful L Has és où 2 Cal RAA pull, Qslgs fl 90 4255 Cis 55l Je o25lé HU (QGs coll {3 uG + Lea J5 Gil, L Le, Lu Je Los Det cpl pes 2 Gb (sos # Lee à O5 él vis U L aele 5,0, Diese Angaben werden dem Mirsa zu Gute kommen, von dessen Umschreibung ich in dem Verzeichnisse eme Probe mitgetheilt habe; hat ja Bab selbst gesagt: «wenn man also einen Nominativ als Genitiv, oder ein mit Fatha (a) versehenes Wort mit Kesre (i) liest, so ist das kein grosser Schaden», und bat er doch auch in dem Spruch (vgl.Sur. XI,9) y qe po I du sed) 060 SCT UER Cl peusll und Je, gelesen. Er giebt selbst zu, dass ihm die Grammatik vüllig fremd sei. N°2. Ibn Hadschar. Vergl. Hadschi Ch. T. VII, S. 609. N° 5. el-Baghewy. Vel. Codd. Hafn.S. 48, N°LV und Rüdiger, Zeitschr. d. D. m. G. Bd. XIIF, $. 226. N° 6,0) 1. &,se. Mahmud ibn Abdul-Kerim. Ich babe in dem Aufsatze die Nominativform beibehalten: Sobn des Abdul-Kerim u.s. w. Gewôühnlich und auch zur Vermeidung von Missverständniss bes- ser: Abd el-Kerim, so auch N°32: Mubh. ben Abd el-Chalik, 48, c): Abd-Allah, 127: Ibn Abï1- Kasim li) (ol ol u.s. w.; vergl. N° 160, i; 161, p u. w). N°9. s. Catalogue, S. 86, 5) u. $. 215, 19). N° 14. Beha-eddin Amely; cf. de Jong, Catal. S. 257, N° 184. Mehren, Codd. Hafn. N° VI. Ca- talogque, S. 238 — 240. Das Werk ist in Persien gedruckt. N°31, c). s. Catalogue, N° CLIIT, 1). N° 32. s. Catalogue, N° CCXXII, $. 202. Gedruckt in Persien. Bulletin de l’Académie Hmpériale 228 N° 52. Es sind auch türkische Gedichte darunter. Ich theile den Anfang einiger Gedichte mit. LS?» ps ce le als ) D 4 ob ce Cale ss ol 28°) «555 ge 4 Li de y * (57e de ls &LX Caine Lis obus « AL Lie + Causes dbis ru Je Los ps) ge sb 5B + 0h, Css 2 els übuile , 0) g+ re) + ab J> dl pd dj) el * 0_)9® dl °J9° dj ots) # pe DAIE paie # Cause > 9> # #k Ji SSD Lune > 92 dl» pl ol SSL 5e Gi SL ol del + aile pli éte.x alu Gb yigeséi bye ae sb or Fe Usl AL de pl is Et ok) 5h as | 5 sil x sl Us # ie x Un te Sel LH) oL f ni DL ENS SE pl # ss ge Jyb me KE LS as «Je Le bles 40) Man denke sich immer FY vor dem Worte, des Sciences de Saïint-Pétersbourg. 230 asslL Dre, oK + JE ss CU pe HE ps AC oK + rs pi as® ) Jo Je) J® VAE * al, D çÇ° rt oo) 5 * Le 9 Ji rl Le sb x pro JE ALES *k sb EE sb Lby … pol D (59 £ exe le Qss 5! le * es Lisile # dl, Li Gil ne db ab 4 # (9 aol EU «sl # dl Ja) 25 cpl + Gb ss « Li as bn. JL os & | p3 Li En LE af crb LL * pole en phraye # 45 ie » 3e po} re pepe a Le Fe LE pire pl 4 1 ue gl DS sE # ul pre LT « le x ESA a le ex. pee * # ae EU, Eye 4 Blu pb YU" _s 92 iQ" «be «le «le # sb «ls ak LS ml op y oUll,5l oJsv QD OUlsiu # os) Olst Qlst te JS die V3) 45, jee # Lie L LUE des * pales Qrbel Eb » Lie L ts bus + dl ls ET 2 41) Ist ganz persisch. 42) Nicht Amul. OUYS ; ; , ul ol cp p?Jre ps Lys * ob LS ob EE Es Die einzelnen Gedichte rühren, wie es scheint, eben nicht aus gelehrten oder kundigen Händen her. Man fin- det in solchen Mittheilungen oft grosse Verschiedenheit hinsichtlich der Orthographie, der Lesarten u.s. w., sofern nicht selten der Abschreiber oder Verfasser, namentlich wenn er etwas für einen Europäer schreibt, so willkührlich verfährt, wie es ihm eben beikommt. So z. B. hatte ich einmal eine kleine Sammlung von Gedichten (Sel ) des Baba Taher zusammenge- He 5 bracht. Vor Kurzem erhielt ich ein kleines in Tehe- » g ran i. J.1274 —1864 (0e SNS olislle &l,K > Ja) Pet Liersts o1;eli lp pl, (art Gel no IFVr a.) lithographirtes Buch, enthaltend 1) UE Sy 2) 1 réal ade Ç Ub_e tk LL EUR 3) re Von den 27 vierzeiligen Gedichten des unter N° 2 genannten Dichters finde ich nur sieben in meiner Sammlung, welche wiederum Gedichte enthält, die der Ausgabe fehlen, z. B. gleich das erste: e all obrlse duos _. Cle Ar * L, PER us? JA rl PE RS QE DE pe | ps p* LATE Qut,nUSNAS) pl à O Gott! zu wem soll ich gehen, zu wem soll ich gehen? In dieser Hand- und Fusslosigkeit (d. i. Rathlosig- keit und Verlassenheit) zu wem soll ich gehen? Wenn mich alle von ihrer Thüre wegtreiben, dann komme ich zu Dir! Treibst Du mich von der Thür weg, zu wem soll ich gehen? Während in der Ausgabe ps, jus u.s.w. steht, giebt meine Handschrift, wie ich glaube, richtiger, piges lu US W. 15* 231 Bulletin de l’Académie Impériale N°61. Ein ähnliches Buch (le) Jlss) 3 JU Cette Jill, von Muhammed b. Ismail gen. Abu Aly, ist in Teheran 1267 — 1850, lithographirt. 1201. a:-1276 — 15h90 ° 128, b). s. Catalogue, S. 230, N° CCXLIIL, 1). 130,c). 9 140. $<. Hadschi Ch::T, VII}S:611: ° 147. Istin Persien lithographirt a. 1264—1847,8. 157, a). Zu Satschakli, s. Flügel, Die ar., pers. u. türk. Handschr. d. k. k. Hofbibl. zu Wien, S. 32, N°29. 158, a). 1. Job des Teftasany, welcher letzterer auch in Persien gedruckt ist. N° 159, a). Vergl. Dozy, Catal. T.IT, S. 90 u. Hanif- sadeh,s. Que*; Hadschi Ch. T. IV,S. 527 u. T. VII, S. 947, A (8). Catal. N° 245. oder ls. N° 160,f). Lx® oder Du) 8? À) sil, el-Cho- waiy. 161,0). Je ill 2; vergl. Tornberg, Codd. Up- sal. S.261.—p)s. Fleischer, Codd. Bibl. Senat. Lips. S. 535 (pa); Dozy, Catal. T. II, S. 97; Freytag, Darstellung d. arab. Verskunst, S.409. —») Der Titel, wie im Register angegeben, ist: do | 4e shall Dydl 5>)5. — x) cf. Regist. LA ge Lai iles S. 298. 1. Abdi Rabbihi &, Je. N° Resultate genauer Krystall-Messungen, von N. v. Kokscharow. (Lu le 17 août 1865.) In diesem Aufsatze werden die Resultate sehr schar- fer Messungen vereinigt, welche ich an Krystallen einiger Mineralien, vermittelst des Mitscherlich’- schen Reflexionsgoniometers, vollzogen habe. 4, Phosgenit (Hornbleï). Während meines Aufenthalts in Turin erhielt ich von meinem hochverehrten Freunde, zeitweiligem Fi- nanz-Minister Italiens, Hrn.Quintino Sella, cine pracht- volle Druse von Phosgenit-Krystallen aus Sibbas (In- sel Sardinien). Zur Messung wurden von dieser Druse 9 kleine, sehr glänzende, ganz durchsichtige und sehr gut ausgebildete Krystalle (N° 1, N° 2 u.s. w.) ent- nommen. Die Krystalle boten die Combination der hier beigefügten Fig. 1 und 1 bis (schiefe und horizon- tale Projection) dar, und waren aus folgenden Formen gestaltet: Pie LOMME RUE: Basisches Pinakoid. F Nach Weiss. Nach Naumann. Cana. (ak Sb sb) oP Tetragonale Prismen. FLE ES (sa: b'b)lek | P b1.6.4! (a: &b:b) ....&Pæ Ditetragonales Prisma. HET TS (wa:4b:b)....P2 T'etragonale Pyramiden. CE MR PRE (a: D;:c)..#%868 P DS be De (a: 1b:b).. 2P Ditetragonale Pyramide. ïk (a:Lb:b)....2P2 a Durch unmittelbare Mes- 7 sung wurde crhalten '). 0}, x :c (anliegende). N°1 — 123°2°30" s. gut. And.Kt. — 123 0 30zieml. N°2—123°0" 6” ziemlich. And. Kt/=,123 :2:,0 ” N° 3= 193 0: D » And. Kt.— 123 1 50 gut. N°4—123 3 40 sehr gut. N°,5 — 193, 2i 50 » N° 6— 123.0, 0 » N°7—193 2 O0 gut: N=19= 123 3 0 Mittel — 123° 1’ 40” x:m (anliegende). N° 3 — 146° 58” 30” gut. x :m (Complement). N° 1 — 33°0° 30” ziemlich. x :x (Polkante). N° 2 — 107°18°30" sehr gut. And. Kt.— 107 13 O ziemlich. Mittel = 107° 15/45” 1) Die Grade der Reflexion werden durch die Worte: ziemlich, gut und sehr qut bezeichnet. d 233 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 234 æ:æx (über c). u:c (über s). N°1—66°3 45" gut. N° 1—90°0’ 0” sehr gut. æ:0 (anliegende). And:/Kt,= 901110 » N‘122140° 1/30" gut. And. Kt.—90 0 0 » o :0 (über c). Mittel — 90° 023" N° 1 — 49°24'45" put. Diese Messungen stimmen in überraschender Weise mit einander überein und beweisen, in welchem Grade bisweilen die Natur den Forderungen ihrer Gesetze entspricht. c (anliegende). N°1— 1144050” sehr gut. And. Kt.— 114 42 O gut. S N°7—114 41 20 » Wenn wir die Verticalaxe mit a und die Horizontal- N° 8—114 42 O sehr gut. axen mit b und b bezeichnen, und wenn wir die Nei- Audit (1412229 L gung æ:c— 123? 150" als Data für unsere Berech- . RE 1 nungen annehmen, so werden wir für die Grundform Mittel = 114 2. jé. folgendes Axenverhältniss erhalten: 0:s (anliegende). EURE LOU. à N°1—155°35 O0” ziemlich. D -hal EX Ep INR Le N,9— 155, 34:40 gui. | Nach Rechnung. Nach Messuug. And Kb —199,99:00 4 RIDE dé isa bo El e } = NOT 17 ANG RS LEE 107° 15/45 0:b (anliegende). Éage “à Qu 1137501020 N°8—155°17 50° sehr gut. A PIE PER PA NC MN TS 66 345 s:c (anliegende). Quepe y) N°1—112°21 50” ziemlich. ser = 123 150........ 123 1 40 ns nt DUR = 4 À = 146 58 10........ 146 58 30 And. Kt.— 112 21 O0 sehr gut. sg And. Kt.— 112 22 30 gut. . = 3% UT 006. 0 33 0 30 N°7=112 20 30 » x:b — 126 21 27 DONS RAR | = 140 127. 140 1 30 s (über o). sien Le N°9—131° 815" gut. nds | = 114 4124........ 114 41 38 EE Co l=149 22 48:4.7.5 49 24 45 N°1—157°38 15” ziemlich. er L And. Kt.— 157 38 50 sehr gut. mi j = 155 18 36........ 155 17 50 Mittel = 157° 38° 33" RE LE oi NES 155 34 30 s:u (Complement). seal L N° 1 — 22° 2430” ziemlich. ser 0 DEL +" 13e And. Kt.— 22 21 O sehr gt. | = 1116868 And. Kt.— 22 22 O gut. mi Mittel — 29° 29’ 30” viaie 11222169 ect 1121214850 m :c (anliegende). ut | —" M4 42.18 Nike 2900 ent Siu = 157 38 51........ 157 38 33 b:c (über 0). anliegende SEE Va SR DO pq ME TNTE PORDEIU N° 8 — 90° 0°0" sehr gut. über JE 235 Bulletin de l’Académie Hmpériale 236 Bezeichnen wir in jeder ditetragonalen Pyramide: die normale Polkante mit x, die diagonale Polkante mit y und die Mittelkante mit z, so erhalten wir fer- uer durch Rechnung: A dE 00 30 30 0e 107 17,6 F2 00 DO UL0 LP LS, 00 20 p—DPe AV D0 11 27 ÿ—100° 2’54 125,65; 18 36 zR180:8712 S==12IP2 LR EI657 3405 "1916 10" SV 72059139 ve JO 9e 12 — 6738091 An LE ie Ve © u = >P2 1x —=165 26 6 4 126 5249" —7l,23,:54 Y='148/a 7148 Aus allem oben Angeführten ist es nicht schwer zu ersehen, dass die berechneten Winkel fast vollkommen mit denen, welche durch unmittelbare Messungen erhalten wurden, zusammenfallen, Es scheint mir da- her, dass das von uns berechnete Axenverhältniss für die Grundform dasjenige ersetzen muss, welches bis jetzt im Gebrauch war. 2, Chrysolith, Es wurden von mir vier schüne Chrysolith - Kry- stalle (N° 1, N°2 u.s. w.) aus unbekanntem Fundorte, wahrscheinlich aber aus Brasilien, gemessen. Diese Messungen stimmen auch sehr gut unter einander überein und bestätigen vollkommen die früheren, von W. v. Haïdinger ausgeführten *. 2) F. Mobs, Leichtfassliche Anfangsgründe der Naturgeschichte des Mineralreiches, Wien, 1839, Zweiter Theil, S. 381. Um meine Messungen zu veranschaulichen, ist hier Fig. 2 (horizontale Projection) gegeben, welche die Combivation eines der gemessenen Krystalle darstellt, Vermittelst Mitscherlich’s Reflexionsgoniometer, welches mit einem Fernrohr versehen war, wurde er- halten: . e:n (anliegende). N°1—144°14 30" gut. N°4— 144 15 40 ziemlich. Mittel = 144°15 5” ein (über c). N° #2 35° 49 0 ‘eut. e:e (über c). +0 N°2 = 71 aT 90 ent. And. Kt.— 71 29 30 » N°4—71 30 O”’ziemlich. Mittel = 71° 30’ 20” e:e (über d). N°2—139°54 0" sehr gut. And. Kt.-= 139 54 30 » Mittel — 139° 5415” e:d (anliegende). N°2— 159°57' 50" sehr gut. And. Kt. — 159 56 30 » N° 4— 159 57 20 » Mittel — 159°57'13" e:d (nicht anliegende). N° 2— 77° 48 30” gut. And. Kt.— 77 46 O sehr gut. N'4—77 43 920 ziemlich. Mittel — 77°45' 57" e:e (über b). N°2—85°19 0” sehr gut. And. Kt.— 85 18 40 gant. Mittel — 85° 1850” e:b (anliegende). N°2 — 137° 20’ 0” ziemlich. n:n (über a). N°3 —49°55 0" ziemlich. n:s (anliegende). N'1—161 59/40" ziemlich. d':d (über c). N'4— 76° 53 40" ziemlich. 237 des Sciences de Saint-Pétersbourg. Wenn man für die Grundform (rhombische Pyra- mide e — P) folgendes Axenverhältniss annimmt: a:b:c— 0,586658 : 1 :0,466031 (wo die Verticalaxe mit a, die Makrodiagonalaxe mit b und die Brachydiagonalaxe mit c bezeichnet ist), so er- hält man c—0P, n—xP, s — +P?, D xP+, b= Po, h— Ps, D 2P+, DR Ep) f— 2P2, und ferner: Nach Rechnung. Nach Messung. ee } = 1441440": == ! 144°15’ 5” 2 | = 35) 45120 à r : 74 35 45 0 ne he 71.80 40 À =! 71 30 20 . = 139454904002 139 54 15 ta 85 17 26. ... 85 18 50 n }= 159 5710. ..159 57 13 e:d LA ne one IT ÉD O0 cc. 77 45 57 RO ET EL S LIT 137 20 0 ul dpdenfes 49 55 0 F2 LES JO DS L 2 LEA O 40 PH bn. 76 53 40 über c 3, Nephelin. Es wurden von mir zwei sehr schôüne Nephelin- Krystalle vom Vesuv gemessen, welche ich von mei- nen hochverehrten Freunden Sartorius von Wal- Fig. 3. tershausen und dem verstorbenen Dr. v. Rauch erhalten hatte. Umdiese Messungen zu veranschaulichen, wird berFig.3 geceben.Ver- mittelstdesMitscher- lich’schen Reflexions- goniometers mit einem Fernrohr wurde Fol- gendes erhalten: b b ALL: b æ:m (über y u. 2). N°1—134 5 0 sehr gut. And. Kt.— 134 5 20 gut. N°2=— 134:,5c Qi!» And. Kt. — 134 5 30. ziemlich. And; Kt.= 134 51 O:gut. Mittel — 134°5 10” X:x (über c). N°2— 91° 4820" ziemlich. æ:æx (Polkante). N° 1—139°17/0" sehr gut. æ:y (anliegende). N°2—161°23"0" sehr gut. y:m (über 2). N° 2:=— 159 42 10" sehr gnt, And. Kt.— 152 41 O ziemlich. And. Kt.— 152 42 10 gut. And. Kt. — 152 40 50 ziemlich. Mittel — 152° 4133” y:y (über c). N°2 — 54°35"20" Sehr gut. y:2 (anliegende). N°2—167°10'0" sehr gut. y:u (über x). N°2 = 1501010 But. u:m (über #, y und 2). N°2— 122° 49° 30” ziemlich. And. Kt.— 122 50 50 » Mittel — 122° 50’ 10” u:2 (über x und y). Ne —13%521,0 sut. 2:m (anliegende). N°2—165°30" 0’ ziemlich. And.-Kt. — 165 30 30 » And. Kt.— 165 28 20 » Mittel = 165° 2937" 2:24 (über c). N° 2 — 29° 0'0” ziemlich. r:m (über w, &, y und 2). N°2— 115°52 30" gut. 235 239 And. Kt.—115 47 50 ziemlich. And. Kt.—=115; 53 40 » And. Kt. —=,115154 10 » Mittel — 115°52° 0” r:r (über c). N° 2— 128° 18 30” ziemlich. m:m (anliegende). N° 2 — 120°0'0” sehr gut. And. Kt. — 120 0 0 » Mittel — 120° 0'0” >» nm :b (anliegende). N°2—150° 0’0” sehr gut. Wenn man für die Grundform (eine hexagonale Py- ramide) annimmt: 2-b-b:b—0,838926:1:1;1; so erhält man, c— 0P, m—P,b—P2,r=— ;P, u—3P,xz—P,y—=2P, 2—4P, t—2P2, und ferner : Nach Rechnung. Nach Messung. 7, = 184 5°22".....184 510" über y u.z on Le ob Ag Sn Le 91 48 20 über c LI ABRAU Pi __ ee = 120710) 224 139 17 O0 Ty = 161 23 24 ..... 161 23 O0 anliegende RUE = 109 41 58 22. 152 41 33 über z CR = 54 (96: din. 54 35 20 über c y :2 V= 167 10131 167 10 0 anliegende Je } = 150 Ier 150 10 10 über x u:m Ù 6 on ul dis: 122 50 10 U:2 re ; Re = 197 1992 7 137 21 0 2:m = lb SAR. 2. 165 29 37 anliegende DE, = 28 56 30 ..….. 29 O0 0 FRA j À À ee. - aber qu) — 115 50 87 115,52 0 Pr | = 128 1846: 128 18 30 über c EU OUR. 120 O0 0 anliegende Mid | 1506 0 Qrr.…. 150 O0 0 anliegende Bulletin de l’Académie Impériale des Sciences de Saint-Pétersbourg. 240 4, Dioptas. In den Dioptas-Krystallen von Altyn-Tulee, in der Kirgisen-Steppe, habe ich die Neigung der Flächen in den Polkanten des Grundrhomboëders (Spaltungsrhom- boëder) R — +R gemessen. Für die Messungen wur- den acht Spaltuugsstücke angewandt (N° 1, N°2 u.s. w.). Die Messungen selbst wurden vermittelst des Mitscherlich’schen Reflexionsgoniometers ausge- | führt, die erhaltenen Resultate sind folgende: R:R (Polkante). N° 1—125° 53 20” ziemlich. N°2—125 59 30 » N3——-125 56, 07 snt. N°4—195253 OÙ » N° 5—125,55 O ziemlich. N6— 125 5500 » N°17 — 12552130 » Au Ki 125,190 » N° 8— 12555120 » Mittel — 125° 5419” Demnach habe ich fast denselben Winkel wie Breit- haupt erhalten. Dieser Gelehrte hat nämlich gefun- den — 125° 55/0” *). D 106 BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. L'Académie a reçu dans ses dernières séances les ouvrages dont voici les titres: Verhandlungen zwischen Senat und Bürgerschaft im Jahre 1863. Hamburg 1864. 4. Hof- und Staats-Handbuch für das Kôünigreich Hannover auf das Jahr 1861 — 64. Hannover. 8. Rupp, Theophil. Aus der Vorzeit Reutlingens und seiner Umgegend. Reutlingen 1864. 8. Jahrbücher für die Landeskunde der Herzogthümer Schles- wig, Holstein und Lauenburg, herausgegeben von der S. H. L. Gesellschaft für vaterländische Geschichte. Band VII. EHeft 1. Kiel 1864. 8. Preussische Statistik, herausgegeben vom kK. statistischen Bureau in Berlin. VI Die Witterungserscheinungen des nürdlichen Deutschlands im Zeitraum von 1858 — 1863. Berlin 1864. 4. 3) Schweigger — Seidel’s Journal, 1831, Heft 6, S. 221. Paru le 15 octobre 1865, w'. AX, N° 3. ULLETIN DE L'ACADÈMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG. TOME IX. (Feuilles 16 — 27.) CONTENU. Page F. J. Wiedemann, Rapport sur un voyage exécuté en 1865 dans l'Esthonie et la Livonie, pour l'étude de la langue ehste......................................... 241 — 243 À, Morawitz, Quelques observations sur les Hymenoptères appartenant au groupe des CTADTONITeSE ee Me de mecs eo oc -c-corcocrovvcir 243 — 273 Ed. Brandt, Sur une carotide particulière de Pelias berus. (Avec une Planche.)....... 273 — 279 JF, Brandt, Quelques mots sur lextermination de la Rhÿtina .................... 279 — 282 Henri Struve, Analyse de plusieurs bronzes antiques et d'objets en fer, trouvés en Si- DérIE Rte De ROLE. 2. eric dote. 20 Dr. I, Knoch, Sur l’embryologie du Bothriocephalus proboscideus. (Avec une Planche.) 290 — 314 Dr. €, Schmidt, Etudes hydrologiques. Les eaux salines sulfureuses de Stolypin...... 315 — 331 A, Nauek, Remarques critiques. IV. .......................................... 332 — 406 JL Fritzsche, Sur les hydrocarbures solides tirés du goudron de houille.............. 406 — 419 R, Lenz, Observations magnétiques dans quelques points des côtes de la Finland et dévl'ENStonie . 2: Rec: soma: cc duel 419 — 426 Etat du personnel de l’Académie des sciences au 1 janvier 1866................:. #26 — 432 Bulletin. bibliographique. ...#2.2............,.........eeessse.ersessses tt 432 On s’abonne: chez MM. Eggers & Cie, libraires à St.-Pétershourg, Perspective de Nefski; au Comité Administratif de l'Académie (Komurere Jpasiesia Huueparoperoï Akaremin Hayk») et chez M. Léopold Voss, libraire à Leipzig. Le prix d'abonnement, par volume composé de 36 feuilles, est de 3 rbl. arg. pour la Russie, 3 thalers de Prusse pour l'étranger. RCE Imprimerie de l'Académie Impériale des sciences. D£)) = E Vass.-Ostr., 9° ligne, N° 12.) 2) — | LDN | | 162 Ù- | RS RE 1, An CE EN AE à C ’ " F 1} Na La 2 ï | LUN “0 78 (Dh dr — nr AUS ms À à LR | nées: | LS ADS oo . L | : L ne ié h Whet gnE; ST ME | : n( $ Fe: L Le 2 sus. al : ” L 51e the : Enr # : u-= er : : L ‘été Le L un LL. L | NT Mimet “\ ‘h ons = L : s'e : LU: +. . L + puis pe A " L » : | LR. _ L | L LUS h : * : 0 CS n-«i Ê RL Ôû a ‘a | | + set de ‘ : bi di L L | xn 0 Der L | in + 14 AL L Eau où 4 : 4 \ PPT) TT LA l'TTTNES LOT PL Du LL La ea 4 L DM ds : er 1 4% : T - bu : . L ! vf : ro te L L û a ce. CR AR 71" yon arrrantse, Hi rfi Li Sr ‘ | 18 _—. Er Pa PE Po à _ rer : LA … : | sn sut ie Abu dise fil iris à dé 2, 7 H rm LL ! ‘= Le OCT) - LL" LN ail d 4,48 Le mu : la Wie | “rs hr ; LE Tr: CI ss RUE Le Fr Li ou ‘ n nn + sub | : dé : : L nn. | (ni LAN L Cu Ua nr = LS L : : È Fe | t 119 _ 4 | u : : | | | ” nt | s séatt à RS | LR Toi qi ARTE ne DL L : L 5 = TT | . | 7 L L 4 Mt D À : L ne ñ mir ee é , cm0 : Li ! : ou QU 1" "M" 6 +. à L : 12161 DE n : Û : . SE | : : L LL Ape hi: LE “tp Me ot ve eu Q ‘ nl L V RAA LE ur emféfs TTL LL L t ! tive) L 0 L RC # L en ss À Le di. LL ‘a “L ET lim à fn DT : PA ot. ets an Murs SE ure ! ECTS ni lle sh der ere Le EE + 444 ér (Tu sv A Nom "+. er an 00 mem (OMR ILENT RTE ‘ie À COTE dus 1 2 LINE + es | a : con ob Det ne ds us Aide | Lu (Le LUE LA dretl a f LAN ne | BULLETIN DE L'ACADÈMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSPOURG. Bericht über eine im Jahre 1865 zu linguistischen | Zwecken nach Ebst- und Livland ausgeführte Reise, von F.J. Wiedemann. (Lu le 7 septembre | 1865.) Da meine diessjährige Reise nur den schon früher angegebenen Zweck hatte, nicht sowohl neues Mate- rial zu meiner Arbeit zu sammeln als für das schon früher gesammelte theilweise Bestätigung oder Berich- tigung zu suchen, so kam es mir dabei weniger dar- auf an neue Gegenden zu besuchen als vielmehr nur einzelne Personen, von denen ich hoffen konnte, dass sie mir zu meinem Zwecke behülflich sein würden. Der einzige früher noch nicht besuchte Ort war das Pastorat Rauge in Livland, an der Südgränze des Werro-ehstnischen Dialekts, das ich von Werro aus. besuchte. Von Werro, wo ich mit dem Dr. Kreutz- wald mich besprach, ging ich nach Dorpat, wo ich am längsten, gegen vier Wochen, verweilte, theils um. eine Anzahl ehstnischer Bücher durchzugehen, welche | uuserer Bibliothek fehlen, in der der gelehrten ehst-! nischen Gesellschaft sich aber vorfanden, theils um mit Hrn. Jannsen zu conferiren, dem Herausgeber einer ehstnischen Zeitung und einiger kleineren Schrif- | ten, denen ich für mein Lexikon viele Beiträge ver- danke. Von dort ging ich weiter nach Pernau, wo ein früher schon gewonnener Freund, der Buchbinder Jürgens, eine Sammlung interessanter und mir zum Theil noch ganz neuer ehstnischer Ausdrücke für mich bereit hatte, die sich besonders auf Fischerei und den in Pernau florirenden Flachshandel bezogen. Ausser- dem konnte er mir noch einige ehstnische Schriften mittheilen, die ich weder hier noch in Dorpat gefun- den hatte. Dieser merkwürdige Mann geht nämlich | mit anerkennenswerthem Eifer darauf aus, bei seinen | gerimgen Mitteln sich eine vollstäindige ehstnische Bi-| bliothek anzulegen, und obgleich ihm dazu natürlich | noch Vieles fehlt, so hat er dagegen wieder Anderes sich zu verschaffen gewusst, das man anderswo kaum mehï finden môüchte. — Die Weiterreise aus Pernau nach Hapsal machte ich mit einem kleinen Umwege Tome IX. über das Pastorat Goldenbeck. Eine Anzahl Würter nämlich, welche bisher in den Würterbüchern figurir- ten, hatte keine andere Autorität für sich als die vor etwas mehr als zweihundert Jahren erschienene Gram- matik nebst Würtersammlung des alten Güseken, und da dieser damals eben Pastor in Goldenbeck gewesen war, so hoffte ich manche dieser alten Würter, für welche ich bisher nirgends bei dem lebenden Ge- schlecht Anerkennung hatte erlangen künnen, hier doch vielleicht noch lebend zu finden. Bei einigen war diess allerdings der Fall, so dass ich meinen Ab- stecher nicht ganz vergeblich gemacht hatte, den grüs- scren Theil aber muss ich nun wohl für veraltet und gänzlich aus dem alltäglichen Gebrauch geschwunden betrachten. Von Hapsal aus besuchte ich noch ein- mal auf einige Tage die Insel Dagôü. Von den hier durch den Pastor Sengbusch mit ausserordentlichem Fleisse für mich gesammelten und nach Petersburg gesandten Wôürtern und Redensarten bedurfte Man- ches noch einer mündlichen Erläuterung, und daneben gelang es mir noch unmittelbar von den Bauern selbst Eins und das Andere zu erfragen. Von Reval aus. wohin ich aus Dagü und Hapsal mich begab, machte ich später nur noch eine kürzere Fahrt nach Baltisch- port, wo ein bei der neu gegründeten Ehstenschuie als Lehrer angestellter intelligenter junger Ehste mir behülflich war. Über einen ansehnlichen Theil der bisher mir noch dunkel oder unsicher gewesenen Wôürter habe ich mir so Aufklärung verschaffen künnen, und wegen des Restes habe ich mich noch schriftlich nach verschie- denen Gegenden hin gewendet. Trotz dem wird immer noch einiges aus Schriften oder Wôürtersammlungen unbekannter oder schon verstorbener Personen Her- stammende dunkel oder unsicher bleiben, aber ich glaube nicht, dass es nüthig sein wird den Abschluss | meiner Arbeit deshalb noch länger aufzuschieben. Was auf keine Weise hat aufgeklärt und gesichert werden künnen, gedenke ich deshalb nicht eben auszuschlies- sen, sondern nur als unsicher oder wahrscheinlich ver- 16 243 altet zu bezeichnen. Ich habe mich daher auch schon daran gemacht, mein gesammeltes Material zum Drucke fertig zu machen, und sobald ich die Hälfte als fertig der Classe vorlegen kann, würde, glaube ich, auch der Druck begonnen werden künnen, da ich während des Druckes der ersten Hälfte die zweite in’s Reine bringen kônnte. Einige Bemerkungen über die Crabro-artigen Hymenopteren, von August Morawitz. (Lu le 21 septembre 18653.) Schon seit längerer Zeit bilden die Hymenopteren, namentlich die sogenannten Grabwespen, den Gegen- stand meiner entomologischen Beschäftigungen. Lei- der stiess ich aber bei meinen Untersuchungèn auf grüssere Schwierigkeiten, als ich anfänglich erwartet, und musste ich die Bearbeitung so mancher Gruppe unterbrechen, weil die mir zugänglichen Materialien ein nur ungenügendes Resultat erwarten liessen. Jetzt freilich, wo ich durch die besondere Zuvor- kommenheit des Hrn. Obersten Radoszkofsky die in seinen Besitz übergegangenen Crabronen der Evers- manu’schen Sammlung zur Durchsicht erbielt und mir auch von auswärtigen Entomologen, namentlich von dem Hrn. Professor F. W. Mäklin in Helsingfors, | erôssere Beiträge in Aussicht gestellt wurden, kann ich allerdings meine Untersuchungen, wenigstens in Bezug auf die russische Fauna, auf eine grüssere An- zahl Arten ausdehnen, als sie sonst Jemand zu Gebote gestanden. Nichtsdestoweniger kann ich aber doch nicht behaupten, dass die bisher mir zugegangenen Ma- terialien zu einem definitiven Abschluss irgend eines Theils der von mir unternommenen Arbeiten Berech- tigung geben, und wird wohl noch so mancher freund- liche Beitrag abzuwarten sein, ehe ich dazu werde schreiten künnen. Zum Theil aus dem letzteren Grunde, zum Theil aber auch deshalb, weil ich auch aus anderen Ursa- chen die von mir begonnene Bearbeitung der Grab- wespen, wenigstens für einige Zeit, bei Seite legen muss, sehe ich mich veranlasst, schon jetzt Einiges von den Resultaten mitzutheilen, welche ich bei der Durchsicht einzelner Gruppen erzielt. Fürs Erste be- schränke ich diese Mittheilungen auf die Crabronen, da diese unter den mir bisher zugegangenen Materia- Bulletin de l'Académie mpériale 244 und ich über dieselben schon früher in dem Verzeich- niss der um St. Petersburg aufgefundenen Crabroninen eine gedrängte Übersicht der Synonymie eines gros- sen Theils der Arten mitgetheilt habe,zugleich mit eini- gen Angaben über den Umfang der Gattungen, welche unter den Crabronen anzunehmen sind. Hier gebe ich eine vollständige Übersicht der in der europäischen Fauna vertretenen Gruppen, ferner die Diagnosen von solchen Crabronen, welche noch gar nicht, oder doch our ganz unkenntlich beschrieben sind, ausserdem ein- zelne Angaben über die Synonymie und die Variations- fähigkeit einiger Arten, und endlich ein systematisches Verzeichniss der in der Eversmann’schen Sammlung vorhandenen russischen Crabronen, welches Verzeich- niss mir deshalb von Wichtigkeit scheint, weil Evers- mann viele Arten verkannt und durchaus falsch be- stimmt hatte. Was zunächst die Gruppirung der Crabronen anbe- trifit, so bietet dieselbe noch immer erhebliche Schwie- rigkeiten, trotzdem dass dieser Gruppe der Grabwespen schon seit läingerer Zeit ein ganz besonderes Interesse zu Theil geworden ist. Namentlich haben Latreille, Jurine, St.-Fargeau und Brullé, Herrich-Schät- fer, Dahlbom und Wesmaël sich um die Erkennt- niss der wesentlichen Merkmale der Crabronen ganz besonders verdient gemacht. Dagegen bieten gerade die neuesten Arbeiten nichts Selbstständiges und Brauchbares, und sind selbst die Beschreibungen der von Smith bekannt gemachten neuen Arten meisten- theils so mangelhaft, dass über die Einreïhung der letz- teren in die allgemein angenommenen Gruppen kaum eine Vermuthung geäussert werden kann, was nament- lich deshalb zu bedauern ist, weil Smith die werth- vollen exotischen Materialien des British Museum zu- gänglich waren, deren gewissenhafte Bearbeitung für die Gruppirung der Crabronen ohne Zweïfel manchen sichern Anhaltspunkt gegeben hätte. Bei der von mir unternemmenen Bearbeitung der Grabwespen habe ich vornehmlich denjenigen Merk- malen, welche für eine Gruppirung der Arten von Werth sein künnten, meine ganz besondere Aufmerk- samkeit zugewandt, und ich bedaure nur, dass mir von vielen natürlichen Artencomplexen, und so auch von den Crabronen, nicht einmal von allen bisher an- genommenen Gruppen Repräsentanten zur Untersu- lien verhältnissmässig noch am besten vertreten sind | chung vorlagen, während mir von andern gleichfalls 245 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 246 Le © ——— © — ——— systematisch wichtigen Arten leider nur das eine Ge- schlecht bekannt geworden ist. Ein solcher Übelstand giebt indessen noch keinen Grund, eine naturgemässe Gruppirung überhaupt nicht zu versuchen, und wenn es auch selbstverständlich ist, dass diejenigen Ein- theilungen, welche auf ein nur geringes Material ba- sirt sind, mit der Zeit nothwendigerweise einige Mo- dificationen werden zu erleiden haben, indem ja be- kanntlich von vorn herein nicht gesagt werden kann, welchem Merkmal eine grüssere und welchem eine geringere Bedeutung zukommt; so halte ich den Ver- such einer Gruppirung doch für den einzigen richti- gen Weg, über den Werth ins Klare zu kommen, wel- cher einzelnen Merkmalen innerhalb einer grüsseren Abtheïlung beizulegen ist. Bequem und weniger zeit- raubend ist es allerdings, neue Arten ohne Rücksicht auf die andern zu beschreiben und sich in seinen An- gaben darauf zu beschränken, dass Kopf und Thorax in dieser, Hinterleib und Beine in jener Weise ge- zeichnet sind: die Verüffentlichung solcher Beschrei- bungen kann man aber wohl mit Recht als eine be- dauerliche Verirrung bezeichnen, indem dadurch nur der Ballast vermehrt wird, der in der Entomologie ohnehin grôsser ist als in irgend einem andern Zweige der descriptiven Naturwissenschaften. Aus einem Versuch einer natürlichen Gruppirung, verbunden mit einer genauen Prüfung der zur Grup- pirung verwandten Merkmale, ergiebt sich auch von selbst, ob einer Anzahl Arten das Gattungsrecht zu- kommt, oder nur das Gruppenrecht innerhalb einer grüsseren (rattung. Stellt man, um nur ein Beispiel anzuführen, unter den Crabronen die als Entomogna- thus, Tracheliodes, Corynopus, Crossocerus und Thyreus bezeichneten Formen zusammen und vergleicht man nur diese mit einander, so erweisen sich die Diffe- renzen als so auffällig, dass wohl schwerlich Jemand daran zweifeln würde, dass diesen Gruppen das Gat- tungsrecht zukommt, so wesentlich verschieden er- scheinen die eben angeführten Arten. Bei Hinzuzie- hung der andern Crabronen verliert indessen ein Merk- mal nach dem andern seine Bedeutung, und selbst zWischen den dreigliedrigen Lippentastern der Cory- nopus und den viergliedrigen der übrigen Crabronen finden sich gewissermaassen Zwischenstufen, indem z. B. bei dem Cr. capitosus, der von den Blepharipus- Arten den Corynopus jedenfalls zunächst steht, das vierte Lippentasterglied nicht dem vorhergehenden an Grüsse gleichkommt, sondern nur wie ein kleiner An- hang desselben erscheint. Die Gruppirung der Crabronen, welche ich für die patürlichste halte, stimmt im Wesentlichen mit derje- nigen überein, welche ich bereits in dem Verzeichniss der um St. Petersburg vorkommenden Crabroninen mit- getheilt habe, nur dass dort so manche Gruppe hat wegbleiben müssen, weil sie in der St. Petersburger Fauna keinen Vertreter hat. Dort nahm ich unter den eigentlichen Crabronen zwei Gattungen an, von welchen die weniger umfangreiche Lindenius durch die unter den Augen cingelenkten, an der Spitze einfachen Man- dibeln von Crabro wesentlich verschieden zu sein schien, bei welcher letzteren Gattung die Einlenkungs- stelle der an der Spitze abgestutzten und gespaltenen Mandibeln fast senkrecht auf den unteren Rand der Augen gerichtet erscheint, so dass es aussieht, als wären die Mandibeln hinter den Augen eingelenkt. Die Lindenius-Arten, von denen mir damals nur Z. (Entomognathus) brevis und L. (Chalcolamprus) albila- bris bekannt waren, weiseu indessen hinsichtlich der Einlenkung der Mandibeln wesentliche Verschieden- heiten auf, indem bei Z. (Entomognathus) brevis der Einlenkungsrand beinahe parallel dem untern Rande der Augen ist, während bei L. (Chalcolamprus) albi- labris, bei welchem die Mandibeln überhaupt etwas mehr nach hinten gerückt sind, der Einlenkungsrand desselben unter einem spitzen Winkel auf den Unter- rand der Augen gerichtet erscheint. Bei den mir jetzt bekannt gewordenen ZLindenius Panzeri und armatus sind die Mandibeln aber noch weiter nach hinten ge- rückt und die Einlenkungsstelle derselben ist, ähnlich wie bei Crabro, fast senkrecht auf den untern Rand der Augen gerichtet, und ist der Lindenius armatus auch noch dadurch bemerkenswerth, dass die Mandi- beln an der Spitze schräg abgeschnitten erscheinen, so dass diese Art also, abgesehen von andern Eigen- thümlichkeiten, ein natürliches Zwischenglied zwischen den ZLindenius-Arten und den eigentlichen Crabronen abzugeben scheint. Auch bei den letzteren erleiden die an der Spitze abgestutzt gespaltenen Mandibeln insofern eine Einschränkung, als sie bei den Ceratocolus- Weibchen bisweilen nur abgestutzt erscheinen, was in- dessen nur bei alten Individuen vorzukommen scheint, bei denen durch Abnutzung die Zähne an der queren 16* 247 Bulletin de l'Académie Hmpériale 24 EEE Abstutzung sich abgeschliffen haben. Jedenfalls scheint es aber, dass auch der Bau der Mandibeln zwischen Lindenius und Crabro nur einen relativen Unterschied abgiebt, so dass es am natürlichsten erscheint, säimmt- liche Crabronen als Glieder einer einzigen Gattung aufzufassen, wie es früher schon mehrfach geschehen ist und wie es auch Wesmaël, trotzdem dass er diese Ansicht nicht selbst durchführt, für geboten erach- tet. Im Grunde genommen ist es auch gleichgültig, ob man einem Artencomplex nur das Recht einer Gruppe, oder dasjenige einer Gattung zuerkennt: das, worauf es am meisten ankommt, ist jedenfalls, die Differenzen anzugeben, welche dieser oder jener Ar- tencomplex andern gegenüber aufweist, das verwandt- schaftliche Verhältniss darzulegen, in welchem die ein- zelnen Arten zu einander stehen, und das Band auf- zufinden, welches die scheinbar verschiedenen Formen mit einander verbindet. Was die Lebensweise der Crabronen anbetrifit, s0 ist es bekannt, dass einige Arten in der Erde nisten, andere dagegen ihre Zellen im Holze anlegen. Bei! den Weibchen sämmtlicher in der Erde nistender Cra- bronen ist auf dem letzten Rückensegment des Hin- terleibs ein nahezu dreieckiges abgeflachtes Mittel- feld abgesetzt, während bei den Holzbewohnern dieses Mittelfeld schmäler und wenigstens an der Spitze deut- lich gerinnt ist. Es schien mir daher gerathen, diese X. Lindenius St.-Farg. Mandibeln an der Spitze einfach. Die Nebenaugen stehen in einem stumpfen Dreieck. Die Fühler sind beim Weibchen 12-, beim Männchen 13-gliedrig, das zweite Glied ist mindestens eben so lang als das dritte. Die Appendicularzelle ist offen, die Radialader gerade oder nur am Ende schwach ge- krümmt. Die Valvula supraanalis bei beiden Geschlech- tern mit abgesetztem, flachem Mittelfelde, welches beim Männchien kürzer und an der Spitze stumpfer list als beim Weibchen. A. Mandibeln mit allmäblich verjüngter, gerundeter Spitze. Der vordere abschüssige Theil des Pronotum von rechts nach links etwas gewülbt und von den Seitentheilen gar nicht oder doch nur durch eine feine Kicllinie abgegränzt. 1) Die Fühlergrübchen von einander weiter als von den behaarten Augen entfernt. Der Quereindruck des Schildchens einfach, jederseits grübchenartig erweitert. Das erste Hinterleibsegment an der Basis schwach ver- tieftund mit einer mittleren scharf eingedrückten Längs- linie bezeichnet. I. Entomognathus DBahlb, Die Mandibeln sind deutlich unter den Augen ein- cefügt, ihr Einlenkungsrand ist fast parallel dem untern Rande der Augen; die Aussenseite ist in der Mitte mit einem tiefen Ausschnitt versehen, der In- verschiedenen Formen getrennt von einander aufzu- führen. Ja, es stieg mir sogar der Gedanke auf, ob nicht vielleicht nach der Lebensweise eine naturge- mässe Gruppirung‘der Crabronen ausgeführt werden künnte, und ob nicht vielleicht zwei einander parallele Reïhen anzunehmen wären, in welchen sich einander habituell ähnliche Formen wiederholen, wie es in an- dern natürlichen Gruppen so häufig vorkommt. Die! folgende, ohne Rücksicht auf die Lebensweise unter- nommene Eintheilung hat aber doch mehr das Ge- präge einer natürlichen, und es haben sich überhaupt alle mir nach und nach bekannt gewordenen Arten stets mit Leichtigkeit den einzelnen nachstehend cha- rakterisirten Gruppen zuweisen lassen, weshalb ich denn auch glaube, dass die hier vorgeschlagene Rei- henfolge auf Natürlichkeit einigen Anspruch erheben kann. Die mir bekannt gewordenen Crabronen zerfallen in zwei Haupt- und siebzehn Untergruppen: nenrand in der Mitte mit zwei zahnartigen Hôückern. 2) Die Fühlergrübchen von einander hôchstens eben so weit als von den Augen entfernt. Der Quereindruck des Schildchens ist gekerbt, gleichmässig breit. Das erste Hinterleibsegment an der Basis mit einem mittle- ren, nach hinten allmäblich schmäler werdenden drei- eckigen Eindruck bezeichnet. I, Chaleolamprus Wesm. Die Mandibeln etwas weiter nach hinten gerückt, ihre Einlenkungsstelle unter einem spitzen Winkel auf den untern Augenrand gerichtet, der Aussenrand ist ganz, der Innenrand vor der Mitte mit einem brei- ten Zahn versehen, der beim Weibchen gewühnlich pur in Form eines stumpfwinkligen Vorsprungs vor- handen ist. HI, Lindenius Wesm. Die Mandibeln sind noch weiter nach hinten ge- rückt, scheinbar hinter den Augen eingefügt, der Ein- lenkungsrand fast senkrecht auf den unteren Rand 249 der Augen gerichtet; am Innenrande befindet sich vor der Mitte ein scharfer Zahn'). B. Mandibeln innen an der Spitze schräg abseschpitten. Das Pronotum ist vorn abschüssig, eben, welcher senkrecht abschüssige Theil von den Seitentheilen durch eïne scharte Kante abgegränzt wird, die unmittelbar in die scharfen Vorderecken übergeht. IV, Trachelosinus, Diese Gruppe, welche auf den Cr. armatus v. d. L. gegründet ist, stimmt im Übrigen mit den Lindenius- Arten zunächst überein und nähert sich durch die Conformation des Prothorax der Zracheliodes-Gruppe. EX. Crabro Fabr. Mandibeln an der Spitze quer abgestutzt und in zwei, meist sehr deutliche, neben einander stehende Zähne gespalten; ihre Einlenkungsstelle ist fast senk- recht auf den unteren Rand der Augen gerichtet, die Mandibeln gleichsam hinter den Augen eingelenkt. A. Augen gegen das Kopfschild kaum convergirend, die Stirn unten breit, breiter als der Querdurchmesser jedes ein- zelnen Auges; die Fühlergrübchen von einander weniger als vom Innenrande der Augen entfernt. Die Lippen- und Kiefertaster differiren um drei Glieder. V. Tracheliodes, Die Lippentaster sind dreigliedrig, die Kiefertaster sechsgliedrig. Der hintere obere Theil des Pronotum ist sehr schaif abgesetzt, mit geradem Vorderrande und geraden parallelen Seiten; die Vorderecken sind scharf und von ihnen verläuft eine scharf ausgeprägte Kante senkrecht nach unten. Das Metanotum ist glän- zend, fein sculpirt. Die Radialader ist gebogen, die Appendicularzelle breit offen, der Nervus recurrens auf die Mitte der Cubitalzelle stossend. Die Vorder- trachanter verhältnissmässig gestreckt. DieOcellen ste- hen in einem stumpfen Dreieck. Beim Männchen sind die Fühler 13-gliedrig und die Valvula supraanalis mit einem mittleren Längseindruck bezeichnet. Bemerkenswerth ist, dass an dem Kopfe gelbe Zeich- 1) Wesmaël (Fouiss. de Belg. p. 124) hat die Chalcolamprus- von der Lindenius-Gruppe, zum Theïl sich stützend auf die «colora- tion des deux sexes distribuée en sens inverse», durch die innen ungezähnten Mandibeln geschieden, welche Angabe indessen falsch ist uud woh]l nur dem Umstande ïihre Entstehung verdankt, dass Wesmaël zufälligerweise solche Weibchen des Cr. albilabris beim Vergleich vor sich hatte, an denen der Zahn nur sehr wenig ent- wickelt, vielleicht sogar durch Abnutzung ganz undeutlich war. des Sciences de Sainé-Pétershourg. ———— 2590 nungen vorhanden sind, was bei den andern Gruppen nicht vorkommt. In Jurine’s Abbildung des Weib- chens von Cr. quinquenotatus (Nouv. méth. etc. pl. 11. Gen. 27) erscheinen die Mittelschienen innen in der Mitte mit einem Zahn bewaffnet, eine Bildung, wel- che sonst nur noch Herrich-Schaeffer bei dem von ihm beschriebenen, wahrscheinlich gleichfalls zur Tra- cheliodes-Gruppe gehôrigen Ceratocolus trochantericus (Crab. pag. 5 et 46, Tab. 181. 14) beobachtet hat, welcher letztere das Weibchen zu dem mir gleichfalls unbekannten Crossocerus luteicollis St.-Farg. (Crab. 769. 4) zu sein scheïint. Endlich dürfte sich der Tra- cheliodes-Gruppe auch der von Herrich-Schaeffer (1. c. 179. 19) abgebildete Crossocerus curvitarsus an- reihen, wegen des gelb gefleckten Kopfes und des ab- gesetzten Prothorax, und ist nur zu bedauern, dass über die letztere Art, welche wegen der in einem gleichseitigen Dreieck stehenden Ocellen vielleicht als der Repräsentant einer eigenen Gruppe anzusehen ist, so gut wie gar keine Angaben vorliegen. Das Me- tanotum erscheint in der Abbildung längsgestreift, was mich zu der Vermuthung veranlasst, dass der Cros- socerus curvitarsus H.-Sch. müglicherweise mit dem von Dahlbom erwähnten, aber nicht näher beschrie- benen Zrachymcrus Megerlei identisch sei. Augen gegen das Kopfschild stark convergirend, die Stirn am Kopfschilde mindestens doppelt so schmal als oben, der Querdurehmesser der Augen unten deutlich grüsser als oben. Die Lippen- und Kiefertaster differiren nur um zwei Glieder (— Crabro Latr.). B. 1) Die Kiefertaster sind fünfgliedrig, die Lippentaster drei- gliedrig. An den Fühlern ist der Pedicellus linger als das dritte Fühlerglied. Die Radialader an der Ap- pendicularzelle gerade, verwischt, dieselbe Richtung wie der übrige Theil der Radialader einhaltend und auf den Vorderrand unter einem spitzen Winkel auslaufend. Bei den hierher gehürigen Arten ist das erste Ab- dominalsegment sehr gestreckt, hinten angeschwollen und von dem zweiten Segment durch eine deutliche Abschnürung abgesetzt. Der Thorax ist glinzend, das Metanotum ohne Spatium cordiforme. Der Nervus re- currens etwa auf die Mitte der Cubitalzelle stossend. Die Nebenaugen stehen in einem gleichseitigen Dreieck. Die Fühler der Männchen sind nicht gefranst, 13- gliedrig. Steffens (Syst. Catal. of Brit. Insect. p. 366. 122) hat zwar bereits im Jahre 1829 die hierher gehôürigen Arten als ZÆhopalum (Kirby) zusammengefasst, die Merkmale indessen nicht angegeben, weshalb ich denn 251 Bulletin de l’Académie Impériale mm auch den von St.-Fargeau kurze Zeit darauf cinge- fübrten Namen den Vorzug gebe, zumal da St.-Far- seaus Vorschlag, die Æhopalum-Arten in zwei beson- dere Gruppen aufzulüsen, keineswegs ganz ungerecht- fertigt erscheint. VE, Physoscelis St-Farg, Die Füblergrübchen von einander eben so weit als vom Innenrande der Augen entfernt, die Stirn unten kaum etwas schmäler als der Querdurchmesser eines Auges. Das zwcite und dritte Geisselglied fast von gleicher Grôüsse. Der Mitteltheil der Valvula supra- analis des Weibchens pur an der Spitze deutlich ab- gesetzt, flach, etwas dreieckig und gegen die Spitze etwas vertieft. VII, Corynopus St.-Farg. Die Fühlergrübchen stehen dicht am Innenrande der Augen, die Stirn ist unten wohl doppelt so schmal als der Querdurehmesser eines Auges. Das zweite, von St.-Fargeau und Dahlbom übersehene, Geiïsselglied ist viel kürzer als der Pedicellus und mebr als doppelt so kurz wie das dritte Geisselglied. Das Mittelfeld der Valvula supraanalis des Weibchens ist schmal, flach gefurcht, die Seitentheile sind mit feinen zerstreuten Härchen besetzt. 9 — Die Kiefertaster sind sechsglicdrig, die Lippentaster viergliedrig. An den Fühlern ist das dritte Füblerglied mindestens so lang als das zweite. Die Appendicular- zelle ist offen, die Radialader an derselben gekrümnit, mehr oder weniger parallel dem Vorderrande. a) Der Thorax ist glänzend, das Metanotum schwach skulpirt, meist mit deutlich abgesetzter Area cor- diformis. Der Nervus recurrens in oder nur we- nig hinter der Mitte der Cubitalzelle auf letztere stossend. Die Nebenaugen in einem gleichseitigen Dreieck. Bei den hierher gehürigen Crabronen ist das erste Abdominalsegment nach hinten ganz allmäh- lich erweitert und hinten etwa so breit als das zweite. Bei den Männchen sind die Fühler drei- zehngliedrig und es ist die Geissel unten mit fei- nen Häürchen gefranst. œ) Das erste Abdominalsesgment ohne Auszeich- nung, an der Basis mit einem mittleren, dreieckigen, nach hinten verjüngten Ein- druck (= Crossocerus Wesm.). VIN. Blepharipus St.-Farg, Die Valvula supraanalis bei dem Männchen nicht grüber als die vorhergehenden Segmente punktirt, oft mit einem deutlichen mittleren Eindruck; beim Weib- chen ist das Mittelfeld derselben schmal und wenig- stens an der Spitze deutlich gefurcht. IX, Crossocerus St.-Farg, Die Valvula supraanalis ist bei den Männchen deut- lich grüber als die vorhergehenden Segmente punk- tirt und es ist an derselben bei einzelnen Arten ein Mittelfeld von den Seitentheilen abgesetzt; beim Weib- chen ist das Mittelfeld ziemlich breit, dreieckig und hôchstens längs dem Seitenrande undeutlich niederge- drückt. 8) Das erste Abdominalsegment gestreckt, deut- lich länger als hinten breit, gegen die Basis allmählich verdünnt und jederseits mit ei- nem scharf ausgeprägten, etwas geschwun- genen Längskiel versehen. Der Hinterleib ist viel länger als der Thorax. X, Cuphopterus (Zlepharipus Wesm.) Die Einführung eines neuen Namens für diese, von Wesmaël zuerst präcise umgränzte Gruppe bedarf einiger Erläuterungen. St.-Fargeau, der den Namen Dlepharipus für eine der von ihm unter den Crabro- nen aufgestellten Gattungen zuerst gebraucht, giebt von den Männchen dieser angeblichen Gattung an: «cuisses antérieures munies d’une dent à leur partie inférieure vers le milieu», welche Angabe nur auf das Männchen des (Cr. /Blepharipus] vagabundus) zutrifit. Gegen die Verwendung des Namens Dlepharipus für die Cuphopterus-Gruppe spricht aber ganz strict die von St.-Fargeau gemachte Angabe: «abdomen à-peu- près de la longueur du corselet dans les deux sexes; son premier segment de forme ordinaire, court», wes- halb ich denn auch den von St.-Fargeau gebrauch- ten Namen Plepharipus für diejenige Grauppe anwen- den zu müssen glaube, welcher der erwähnte Cr. va- gabundus zuzuzählen ist. St.-Fargeau hat übrigens kein einziges seiner angeblichen Gattungsmerkmale consequent berücksichtigt und in fast alle der von ihm angenommenen Gattungen Arten eingereiht, auf wel- che die Gattungscharacteristik keineswegs zutrifit, worüber ich später einmal noch ausführlich handeln werde. b) Das Metanotum ist rauh skulpirt, runzlig, matt, hôchstens mit einer nur sehr undeutlich abgesetz- ten Area cordiformis. Der Nervus recurrens ist weit hinter der Mitte der Cubitalzelle, oft nahe 253 des Sciences de Saïint-Pétersbourg. 254 an ihrem Ende eingefügt. Die Nebenaugen, mit Ausnahme einzelner Arten, in einem deutlich stumpfen Dreieck. Bei den hierher gehürigen Ar- ten ist das erste Abdominalsegment von gewühn- licher Bildung, ziemlich breit und nach hinten ganz allmählich erweitert. æ) Hinterleib gestreckt, länger als der Vorder- kürper, fein punktirt, glänzend, das erste Segment mit zwei deutlichen, von einander weit abstehenden, parallelen Kielen. Kinn- ausschnitt kürzer als breit, hinten flach ge- rundet. Die Fükler sind beim Männchen 13-gliedrig, die Valvula supraanalis ohne Längseindruck, die letztere beim Weibchen mit flachem, deutlich abgesetztem, gegen die Spitze allmählich verjüngtem, dreieckigem Mittelfelde. *) Skulptur des Metanotum an den Sei- ten wenigstens theilweise verwischt. Vorderschienen des Weibchens an der Aussenseite mit einigen kräftigen Dor- nen besetzt. XE Anothyreus Dahlb. Beim Männchen sind die Beine und Fühler einfach; die Geissel der letzteren nicht gefranst. XIE Thyreopus St.-Farg, Beim Männchen sind die Vorderbeine abnorm, die Vorderschienen schildartig verbreitet; an der Fühler- geissel sind die mittleren Glieder breit, die Fühler er- scheinen also gegen das Ende zugespitzt. #*+) Metanotum an den Seiten schräg ge- streift. Hierher gehôrt der mir unbekannte Cr. Locwi Dahlb., den Dahlbom zur Ceratocolus-Gruppe stellt, der aber wegen der beim Männchen 18-gliedrigen Füh- ler nicht dahin gehüren kann. Durch die dreieckig er- weiterten, gezähnten Vorderschenkel, durch die feine Punktirung des Hinterleibs und durch die Confor- mation des Kopfes scheint der Cr. Loewi von den Ceratocolus sich sehr zu entfernen und in dieser Hin- sicht mit den Thyreopus-Arten übereinzustimmen. Dar- über, ob bei dem Cr. Loewi das erste Abdominalseg- ment mit zwei parallelen Kielen versehen ist, liegt zwar keine directe Angabe vor; Schenck (Grabw. Nass. p. 124. 10) macht von dem Cr. Loewi indessen die Angabe: «der Hinterleib fast unpunktirt, fast wie bei Thyreopus gebaut», welche Angabe vielleicht so zu verstehen ist, dass bei dem Cr. Loewi gleichfalls zwei parallele Kiele vorhanden sind, da Schenck diese letz- teren in der von Wesmaël entlehnten Characteristik der Thyrcopus-Gruppe (1. c. p.71) gleichfalls erwähnt. œ&) Hinterleib gewühnlich, kurz, das erste Seg- ment mit zwei schr stumpfen, nach hinten convergirenden Längskielen, die oft ganz undeutlich und verwischt erscheinen. Der Kinnausschnitt ist schmal, tiefer als breit, hinten gerade abgeschnitten und geht hier unter einem Bogen in die fast parallelen Seiten über. Die Fühler sind bei beiden Ge- schlechtern 12-gliedrig. *) Die Valvula supraanalis beim Männ- chen ohne Längsrinne, beim Weibchen mit abgesetztem, dreieckigem, flachem und ziemlich breitem, an den Seiten ausgeschweiftem Mittelfelde. XIII. Ceratocolus St.-Farg, — H.-Sch. Grob punktirt, ziemlich matt; die Seiten des Me- tanotum regelmässig und sehr grob gestreift. **) Die Valvula supraanalis beim Müänn- chen gewühnlich mit einem deutlichen Längseindruck; beim Weïibchen ist das Mittelfeld schmal, gerinnt, und die Seitentheile mit einigen am Mittel- theile hinziehenden,. mehr oder weni- ger gedrängten, steifen Borstenhaaren besetzt. XIV, Thyreus St,-Farg, — IL.-Sch, Diese Gruppe ist ausgezeichnet durch die auffllige Difformität der Geschlechter, das Männchen nament- lich durch den schmalen nach hinten verengten Kopf, die in Folge dessen in einem gleichseitigen Dreieck stehenden Ocellen u. s. w. Die Skulptur ist ähnlich wie bei Ceratocolus, die Metapleuren indessen feiner und unregelmässiger gestreift. XV. Crabro Dahlb, Von den hierher gehürigen Arten ist der Cr. gran- dis (fossorius auct.) dadurch vor den übrigen bemcr- kenswerth, dass bei demselben gleichfalls das Männ- chen durch die Gestalt des Kopfes u. s. w. von dem Weibchen sehr auffillig abweicht, wodurch die nahe Verwandtschaft mit der Thyreus-Gruppe angedeutet erscheint. Von der folgenden Gruppe differiren die Crabro-Arten durch die regelmässigen Stricheln des Dorsulum, welche hinten der Länge nach, vorn der Quere nach verlaufen. Es scheint indessen, dass der 255 Bulletin de l’Académie Impériale 256 mir unbekannte Cr. Kollari Dahlb. einen Übergang | zu der folgenden Gruppe vermittelt, indem nach Dahl- bom’s Angaben bei dieser Art die Strichelung des Dorsulum weit spärlicher ist als bei den andern Ar- ten und vorn in der Mitte durch Punkte ersetzt er- scheint. Überdies scheint der Cr. Kollari, welcher wahrscheinlich mit dem Ceratocolus fasciatus St.-Farg. (cf. Wesmaël, Fouiss. de Belg. p. 156) identisch ist, der nachstehend als Cr. (Solenius) intermedius be- schriebenen Art überaus nahe verwandt zu sein. XVI Solenius St-Farg, (— ÆEctemnius Dah1b.). Bei den hierher gehôrigen Arten ist die Punktirung verschieden, bei einzelnen so grob wie bei Thyreus, bei den meisten so fein wie bei Crabro und Clytochry- sus, welcher Unterschied indessen durch andere Ar- ten ausgeglichen wird. Das Dorsulum ist hüchstens nur unregelmässig gestrichelt, bei den grüber punk- tirten Arten sind indessen auch an den $Seiten des Thorax keine Stricheln vorhanden, hüchstens an den Metapleuren, doch auch diese Stricheln sind biswei- len undeutlich. Die Solenius-Arten sind übrigens von Thyreus und Clytochrysus leicht an den Mandibeln zu unterscheiden, die bei allen Solenius-Arten innen mit einem, beim Männchen namentlich stark entwickelten, Zabhn versehen sind. Dagegen dürfte sich die Identi- tät mit der Crabro-Gruppe wohl baldigst herausstellen. An den Fühlern ist das dritte Glied je nach den einzelnen Arten hinsichtlich der Länge verschieden, indessen nie so gestreckt wie bei der C/ytochrysus- Gruppe. XVII Clytéchrysus (= Crabro St.-Farg. et Solenius Dahlb., Wesm.). Mandibeln innen ungezähnt; das dritte Fühlerglied sebr lang, beim Weibchen etwa dreimal so lang als das zweite und wohl doppelt so lang als das vierte, beim Männchen im Verhältniss zu den andern Glie- dern noch gestreckter und dadurch ausgezeichnet, dass zwei zahnartige Erhôhungen an demselben ausgebil- det sind. Kopfschild meist goldhaarig; in letzterer Hin- sicht variiren indessen die einzelnen Arten. Wie ein eingehender Vergleich ergiebt, sind die XVII vorstehend aufgezählten Gruppen einander kei- ueswegs gleichwerthig. Denn wäbrend einzelne Grup- | mein. pen sich durch sehr scharfe Merkmale von einander scheiden lassen, erscheinen andere, z. B. die zuletzt erwähnten, nur durch Merkmale von untergeordneter Bedeutung von einander getrennt. Für den Augenblick ist es indessen noch nicht môglich, mit Bestimmtheit anzugeben, welche Gruppen die unberechtigten sind. Nach meinem Dafürhalten müssten die erwähnten sieb- zehn Gruppen etwa auf neun reducirt werden, und zwar auf ÆEntomognathus, Lindenius (incl. Chalcolam- prus), Trachelosimus, Tracheliodes, Corynopus (nel. Plysoscelis), Crossocerus (incl. Blepharipus), Cuphopte- rus, Thyreopus (incl. Anothyreus) und Crabro (incl. Ce- ratocolus, Thyreus, Solenius et Clytochrysus). Die Grup- pen der Crabronen hätte ich auch in dem eben ange- gebenen Umfange aufgeführt, wenn nicht bereits von Andern die Zersplitterung weiter geführt worden wüäre. Ohne Zweifel werden grüssere Materialien, nament- lich die exotischen Arten, das Verhältniss der einzel- nen Gruppen zu einander noch klarer darlegen. Von den bisher bekannten exotischen Arten, welche zur Creirung von Gattungen Veranlassung gaben, hat in- dessen Dasyproctus St.-Farg.(Crab. p. 801. — Hym. II. p. 205, — Megapodium Dah1b. Hym. bor. I. p. 510. — Tab. Synopt. 11.61) keinen Einfluss auf die Gruppirung, insofern sich derselbe nämlich, abgese- hen von dem gestreckten Hinterleibe, an dem das erste Segment namentlich sebr lang und schmal ist, an die zuletzt erwähnten Gruppen anzuschliessen scheint, vielleicht auch hinsichtlich der Zahl der Füh- lerglieder der Männchen, worüber indessen keine An- gaben vorliegen. Dasselbe lässt sich von der von Spi- nola aufgestellten, wie es scheint, an Dasyproctus sich anschliessenden Gattung Podagritus sagen, über wel- che angeblich berechtigte Gattung ich indessen nichts Näheres anzugeben vermag, da ich Gay’s Historia fisica y politica de Chile nicht habe zur Bevutzung erlangen künnen, Über die Gattung Podagritus habe ich überhaupt nur die von Smith (Cat. of Hymenopt. Ins. of the Brit. Mus. IV. pl. IX. fig. 5) mitgetheilte Abbildung vergleichen künnen, aus welcher indessen nur das zu ersehen ist, dass der Hinterleib sehr lang und schmal ist, und gegen die Spitze ganz allmählich an Breite zunimmt. Mit den ÆRhopalum-Arten, mit wel- chen Smith die Podagritus (|. ce. p. 391) zusammen- stellt, haben die letzteren indessen gewiss nichts ge- 257 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 258 a —————————————_—_—————_—_—]_ So viel über die Gruppirung der Crabronen nach den mir vorliegenden Materialien. Von den mir be- kannt gewordenen Arten, glaube ich, folgende beson- ders hervorheben zu müssen: 1. Cr,(Entomognathus)Sahlbergi: Fortius punctatus aeneo- niger nitidus, abdominis segmentorum marginibus brun- nescentibus, tequlis anoque rufo-testaceis, tuberculis hu- meralibus, antennarum scapo pedibusque flavo-nigroque variegatis. Tibiis posticis externe submuticis, scutello medio longitudinaliter impresso metanotique spatio cor- diformi polito, medio tenuissime canaliculato et crena- tura tenui circumscripto. ? 5 Mm. Diese ostsibirische, von Sahlberg bei Ochotsk ge- sammelte Art, von welcher mir Hr, Prof. Mäklin ein Weibchen zur Ansicht mitgetheilt hat, ist dem eu- ropäischen Cr. (Entomognathus) brevis zwar täuschend ähnlich, indessen ohne Zweifel verschieden, und zwar unterscheidet sie sich von der europäischen Art durch die durchgängig grübere Punktirung, den in der Mitte geglätteten, aber nicht mit einer Längsrinne versehenen Scheitel, das in der Mitte der Länge nach niedergedrückte, sehr fein gerinnte Schildchen, das von einer viel feineren Kerblinie umgebene Spatium cordiforme und endlich durch die aussen fast unbe- wehrten, bei der europäischen Art dagegen deutlich gesägten Hinterschienen. Bei dem mir allein bekann- ten Weïibchen ist überdies das Mittelfeld der Valvula supraanalis breiter und die Vorderhüften sind unbe- webrt, während diese bei dem Weibchen der europäi- schen Art vor den Trochanteren mit einem ziemlich langen stäbchenartigen Aufsatz versehen sind. 2. Cr, (Chalcolamprus) luteiventris: Obso/etius puncta- tus, clypeo medio rotundato et utrinque obtuse biden- tato, metanoto sublevi, spatio cordiformi amplo, fortius longitudinaliter striato ; niger, mandibulis ad apicem rufis , pronoti striga utrinque, tuberculis humeralibus alarumque basi flavis, abdomine, geniculis. tibiis tarsis- que flavo-rufescentibus, abdominis seymentis dorsalibus quarto et quinto basi nigricantibus ventralique secundo medio infuscato et utrinque puncto nigro signato. ® 7'/, Mn. Abgesehen von der unter den Crabronen sehr aus- gezeichneten Färbung, ist diese Art unter den eigent- lichen Zindenius auch noch dadurch bemerkenswerth, dass die Fühler von den Augen doppelt so weit als Tome IX. vou einander entfernt sind. Im Übrigen stimmt diese Art mit dem Cr. albilabris sehr überein. Sie ist in- dessen etwas gedrungener, der Kopf verhältnissmässig breiter, die Punktirung feiner u. s. w. Leider ist bei dem einen mir vorliegenden Weibchen der Fundort nicht angegeben, doch dürfte diese Art schwerlich aussereuropäisch sein, da in der akademischen Samm- lung sonst gar keine exotischen Crabronen vorhanden sind. 3. Cr, (Blepharipus) hirtipes! Ælongatus, niger, capite thoraceque antico supra dense subtiliter punctatis, me- tanoto opaco, spatio cordiformi sublevi, parvo, crenatura distincta circumscripto medioque late sulcato. 3. Clypeo ad centrum marginis apicalis valde pro- ducto. Femoribus tibiisque anticis fusco-lineatis et intus longe pilosis, illis brevibus subdilatatis, his ampliatis intus late sulcatis. Tibiis posticis sub- muticis, tarsis anterioribus albidis, anticis paulo dilatatis, mediis elongatis, articulo primo sequen- tibus simul sumptis longiore. Valvula supraanalis ut segmenta praecedentia subtiliter punctata, apice fulva. 77}, Mn. Crabro capito* Eversm. Bull. de Mosc. 1849. II. 419. 7. 4. Ich habe von dieser Art nur ein einziges und noch dazu schlecht erhaltenes Männchen untersucht, wel- ches von Eversmann im Juni bei Spask gefangen worden ist. Dieses stimmt von den mir vorliegenden Arten mit dem Männchen des Cr. nigrita (pubescens) sebr überein, unterscheidet sich aber von demselben, abgesehen von der dichteren Punktirung und dem klei- nen deutlich abgesetzten Spatium cordiforme, unter Anderm dadurch, dass an den Vorderbeinen die Schen- kel, Schienen und Füsse deutlich breiter sind, Die Vorderschienen erscheinen (von vorn betrachtet) keu- lenfürmig und an den weisslichen Vorderfüssen ist nur das Klauenglied bräunlich. Die Mittelfüsse sind sehr gestreckt, das erste Glied ist etwas länger als die vier folgenden zusammen. An der specifischen Verschie- denheit des Cr. hirtipes von Cr. nigrita ist demnach nicht zu zweifeln. In dem Verzeichniss der um St. Petersburg aufgefundenen Crabroninen habe ich die Vermuthung geäussert, dass der von Dahlbom (Hym. Europ. I. 521.2. 4) kurz erwähnte, von Bo- heman in Lappland gefangene Cr. barbipes vielleicht das Männchen des Cr. diversipes H.-Sch. (affinis Wesm.) sein kônnte, indem die von Dahlbom gemachten Angaben so ziem- 17 259 Bulletin de l’Académie Impériale 260 —————@ lich mit dem übereinstimmen, was Herrich-Schaeffer über das Miännchen seines Cr. diversipes mittheilt, Da Dahlbom indessen nichts über die Färbung seines Cr. barbipes an- giebt, so wäre es nicht unmüglich, dass der letztere auf die vorliegende Art zu beziehen sei, auf welche die von Dahl- bom gemachten Angaben gleichfalls so ziemlich zutretfen und zwar insofern noch besser, als Dahlbom die Vorderschienen gleichfalls als erweitert angiebt, während Herrich-Schaeffer dieselben bei dem Männchen seines Cr. diversipes «eintach» aennt. Wie dem übrigens auch sei, der Name barbipes hat keine grüssere Berechtigung als irgend ein Catalogsname, in- dem aus den bisher gemachten Angaben nicht zu ersehen ist, welche Art von Dahlbom gemeint ist. Auch scheint die dem Männehen des Cr. 4-maculatus (var. levipes v. d. L.) gegen- über gemachte Angabe «Corpus magnum» für eine Verschie- denheit des Cr. barbipes zu sprechen; es wäre indessen nicht unmôclich, dass Dahlbom auch in späterer Zeit den Cr. levi- pes nicht gekannt hat. 4, Cr, (Crossocerus) pullulus: Niger, capite thoraceque antico distincte punctatis, fronte medio canaliculata, ad oculorum marginem interiorem linca impressa tenui postice ad ocellum posteriorem curvata, pronoti ançgulis humerali-anticis obtusis, rotundatis, metanoti spatio cor- diformi levi, medio sulcato crenaturaque distincta cir- cumscripto, carinis lateralibus posticis tenuiter crenatis. 3, Flagello subtus et ad apicem testaceo, scapo ex- terne, clypei macula laterali, mandibulis, macula genarum post earum basim, pronotè linea trans- versa medio interrupta tuberculisque humeralibus nec non pedibus maxima parte flavis; femoribus anticis subtus, intermediis medio ferrugineis. Val- vula supraanali fortiter punctata, rotundata, ad apicem fuloum subangustata. 5 Mm. In der Färbung ähnelt das vorstehend characteri- sirte, von Sahlberg bei Ochotsk gefangene Männchen in hohem Grade der mir unbekannten, allgemein als Cr. bimaculatus bezeichneten Varietät des Cr. (Crossoce- rus) 4-maculatus. Der Cr. pullulus gehürt aber zu den kleinen Arten und weicht überdies durch die gelben, an der Spitze pechrothen Mandibeln, die unbewehr- ten, vorn mit einem gelben Flecken versehenen Wan- gen u.s. w. von Cr. 4-maculatus ab. Im Habitus stimmt er mit Cr. varius wohl zunächst überein, doch unter- scheidet er sich von diesem, abgesehen von der ab- weichenden Färbung, unter Anderm durch die gewülbte Valvula supraanalis, an welcher kein Mittelfeld abge- setzt ist, und durch den geglätteten, spiegelblanken Metathorax, an welchem die Kerblinien sehr regel- mässig und scharf ausgeprägt sind. Durch die Skulptur des Metathorax nähert sich der Cr. pullulus auch dem C. Wesmaëli, mdem, wie bei diesem, die Lateralkiele des abschüssigen Theiïls des Metanotum jederseits mit einer Punktreihe versehen sind, welche indessen viei regelmässiger und feiner sind, etwa doppelt so fein als die Pleurallinien. Hinsichtlich der Färbung der Beine ist noch anzugeben, dass die Vorderschenkel vorn gelb und unten rüthlich sind, desgleichen sind die Mittelschenkel vorn schmutzig gelb und hinten in der Mitte rôthlich; im Übrigen sind die vorderen Beine gelb, die Schienen, namentlich die mittleren, sind in- nen geschwärzt, die Füsse gegen die Spitze dunkler. Die Hinterbeine sind schwarz, die Basalhälfte der Schienen, ein vorderer Längswisch an denselben und das erste Glied der bräunlichen Füsse fast bis zur Spitze gelb. 5, Cr. (Crossocerus) distinguendus: Elongatus, niger, pal- pis piceis, capite thoraceque dense punctats, fronte me- dio profunde canaliculata, ad partem superiorem ocu- lorum marginis interioris levigata, pronoto antice obtuse marginato, lateribus valde obliquis angulisque anticis rotundatis, metanoti spatio cordiformi completo. 3. Antennarum scapo externe flavo, tarsis, saltem an- terioribus, subtus, femoribus fibiisque anticis intus ferrugineis et praeterea his antice flavis et üllis (sc. femoribus) supra linea longitudinali citrina ornatis: femoribus tibiisque mediis simplicibus. Val- vula supraanalis postice rotundata, fortius punctata. 5", Mm. Von dieser Art fing mein Bruder Ferdinand drei Männchen bei Creuznach und Interlaken. Sie steht dem Cr. elongatulus, und zwar den mir unbekannten, mit pechschwarzen Tastern versehenen Varietäten, zu- vächst und ist mit diesen vielleicht auch verwechselt worden. Das Männchen des Cr. distinquendus ist in- dessen von dem Cr. elongatulus schon durch den an der Oberseite der Vorderschenkel befindlichen citronen- gelben Längswisch zu unterscheiden. Ausserdem ist der Kopf etwas feiner punktirt, die Ocellen stehen in einem etwas spitzeren Dreieck und es ist an der am Innenrande der Augen geglätteten Stirn hôchstens die Spur eines schrägen Eindrucks wahrzunehmen. Über- dies ist das Pronotum gerundeter, namentlich an den Vorderecken, welche sehr stumpf und vollständig ab- 261 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 262 gerundet sind. Die Valvula supraanalis, welche bei dem Männchen des Cr. elongatulus am Hinterrande abgestutzt erscheint, ist bei Cr. distinguendus regel- mässig gerundet. Endlich sind bei dem letzteren die Mittelschenkel und Mittelschienen einfach, während bei dem Männchen des Cr. elongatulus die Mittelschen- kel unten an der Basis über die Trochanteren mit winklig gerundetem Vorsprunge vortreten und die Mit- telschienen innen gleich unter der Basis aufgetrieben erscheinen. Ich bemerke ausdrücklich, dass ich Exem- plare des Cr. elongatulus mit pechschwarzen Tastern nicht habe vergleichen kônnen, doch ist an der Iden- üität dieser letzteren mit den gelbtastrigen nach den von so vielen Seiten gemachten übereinstimmenden Angaben nicht wohl zu zweifeln. 6, Cr, (Anothyreus) Mäklini: Capite thoraceque nitidis, parce punctatis, metanoto tenuiter ruguloso, rugulis an- ticis obliquis et regularibus ; — niger, scapo ad apicem, pronoti angulis humerali-anticis, linea transversa post- scutelli vel etiam punctum scutelli, abdominisque seg- mentis 2 — 6 albido-fasciatis, fasciis tribus anteriori- bus late interruptis; tegulis, geniculis, tibiis tarsisque rufo-testaceis, tibüs posticis ad basim , anterioribus in- tus nigricantibus, externe subflavis. 3 8'}, Mm. Von dieser Art liegen mir zwei von Hrn, Prof. Mäklin eingesandte, von Sahlberg bei Ochotsk ge- sammelte Mänuchen vor, welche von allen mir bekann- ten Crabronen dem C7. (Anothyreus) lapponicus ohne Zweifel zunächst stehen. Auch die Skulptur ist eine äh»liche, nur sind auf Kopf und Thorax die Zwischen- räume nicht rugulüs und matt, sondern geglättet und glänzend, und desgleichen ist die Runzelung des Me- tanotum feiner und regelmässiger. Die Färbung ist ganz abweichend, wie aus der Diagnose ersichthich. An der Valvula supraanalis ist ein ziemlich gleich- breites, an der Spitze gerundetes, ziemlich grob punk- tirtes und fein behaartes Mittelteld abgesetzt, ähnlich wie bei einigen Crossocerus- Männchen, z. B. bei Cr. varius, ovalis u. 8. W. 7. Cr. (Thyreopus) sibirieus: Griseo-pilosus niger, scu- tello abdomineque sulphureo-pictis, geniculis, tibiis tar- sisque ferrugineis ; vertice ante semmata parum depresso dorsuloque opacis, longitudinaliter striatis, metanoto sub- tiliter coriaceo. @. alis hyalinis. 14 Mm. d. alis ad marginem infuscatis, pedum anticorum scuto tibiali maculis oblongis brunneis subpelluci- dis ornato et ad marginem superiorem punctis den- sis elongatis et albo-hyalinis notato. 13 Mm. Von dieser aus Kiachta stammenden Art steht ein Pärchen in der Eversmann’schen Sammlung unter dem beiïbehaltenen Namen. Diese Art ist dem Cr. cribrarius sehr nahe verwandt, und das Weibchen weicht auch nur, abgesehen von der Färbung und den glashellen Flügeln, durch den etwas weniger vertief- ten Scheitel und das feiner skulpirte Metanotum ab. Das Männchen weist dem Männchen des C7. cribra- rius gegenüber indessen grüssere Unterschiede auf. Die Fübler sind zwar ähnlich gebildet, es treten aber nur drei Glieder (das achte, neunte und zehnte) an ihrem hinteren Endwinkel vor und es ist an diesen Gliedern der hintere Rand bräuulich gelb, eben so wie der Vorderrand des vierten bis dreizehnten Glie- des, wo diese lichtere Färbung nur in grüsserer Breite auftritt. Ferner ist die Unterseite der Fühlergeissel nackt, ohne Spur von Wimperhaaren. Endlich ist an den Beinen, welche mit denen des Männchens von Cr. cribrarius sehr übereinstimmend gebildet sind, die Fär- bung sehr abweichend. An den Vorderbeinen ist näm- lich der Fuss rüthlith gelb und der Tibialschild nur am oberen Rande mit hyalinen (siebartigen) Flecken versehen, welche indessen sehr gestreckt sind und nach innen zu einen breiten Raum einnehmen, wäh- rend der übrige Theïl des Tibialschildes mit grossen, ovalen, durchscheinenden Flecken von bräunlicher Farbe bezeichnet ist, welche Flecken in ihrem Cen- trum ein braunes Pünktchen führen. 8, Cr. (Ceratocolus) ochotieus, Crabronis subterranei mera varietas: Niger, scapo citrino, pedibus, flagelli abdomi- nisque basi rufo-testaccis, tuberculis humeralibus post- scutelloque et apud feminam etiam pronoto utrinque et scutello flavo-signatis, abdominis segmento primo apud marem utrinque punclo flavo notato, reliquis praeter analem in utroque sexu fasciatis, fasciis duabus anterio- ribus medio interruptis. Der Cyr. ochoticus ist insbesondere deshalb interes- sant, weil er eine der bereits von Eversmann (Bull. de Mosc. 1849. I. p. 423. 19) unter $ erwähnten Va- rietät des Cr. alatus analoge Form ist, welche Smith (Cat. of Hymenopt. of the Brit. Mus. IV.415.117)als selbstständige Art unter dem Namen (Cr. basalis be- 17* 263 schreibt. Von Cr. subterraneus varïiren indessen beide Geschlechter hinsichtlich der Färbung in nahezu über- einstimmender Weise, während von Cr. alatus, wenig- stens nach den bisherigen Beobachtungen, nur bei den Weibchen solche Farbenverschiedenheiten vorzukom- men scheinen. Die Ceratocolus - Arten erinnern also hinsichtlich der Veränderlichkeit der Färbung an die kleineren Nysson, wo der Hinterleib bei den einzel- nen Arten in ähnlicher Weise variabel ist. Es weisen indessen auch die erwähnten Nysson-Arten einige Dif- ferenzen hinsichtlich des Auftretens der rothen Fär- bung am Hinterleibe auf. So sind z. B. Männchen des Nysson maculatus mit schwarzem Hinterleibe und Weib- chen, an denen das Basalsegment roth ist, recht häu- fig, während die mit schwarzem Hinterleibe versehenen Weibchen,an denen immer auch das Schildchen schwarz ist und welche Wesmaël daher mit übereinstimmend gefärbten Männchen als N. interruptus von N. macula- tus sondert, recht selten zu sein scheinen, und noch un- gleich seltener sind die Männchen, bei denen das erste Hinterleibssegment roth ist; wenigstens habe ich bis- her nur ein einziges derartiges Exemplar zu Gesicht bekommen. Von N. trimaculatus Rossi beobachtete Shuckard (Foss. Hymenopt. p. 252) Exemplare, an welchen die Basis des ersten Hinterleibssegments roth ist und ist vermuthlich gleichfalls auf ähnliche Va- rietäten des N. trimaculatus, bei welchen nur das ganze erste Hinterleibssegment roth ist, der N. 70-maculatus Spinola zu beziehen und desgleichen die von St.- Fargeau als N. maculatus beschriebenen Exemplare, an deren Identität mit dem echten N. #aculatus auct. bereits Wesmaël zweifelt. Von der dritten, hierher gehôürigen Art, vom Nysson dimidiatus, sind bisher nur solche Exemplare beobachtet worden, deren Hinter- leib an der Basis roth ist. Aus der hiesigen Gegend habe ich indessen zwei Männchen, deren Hinterleib einfarbig schwarz ist, so dass demnach auch bei dem letztgenannten Nysson analoge Farbenvarietäten vor- kommen wie bei den beiden andern, zunächst verwandt- ten Arten. In Berücksichtigung der Farbenverschiedenheiten, welche die vorstehend erwähnten Grabwespen aufwei- sen, durfte ich auf die abweichende Färbung der Ochotsker Exemplare kein zu grosses Gewicht legen, weshalb ich denn auch den Cr. ochoticus als Varietät des Cr. subterraneus aufgeführt habe, da er diesem letz- Bulletin de l’Académie Impériale 264 teren gegenüber sonst gar keine festzuhaltenden Ver- schiedenheiten aufweist. Die Punktirung des Hinter- leibs ist bei den Ochotsker Exemplaren allerdings fei- ner und gedrängter als bei den mir vorliegenden eu- ropäischen Individuen des Cr. subterraneus. Die letz- teren sind indessen hinsichtlich der Stärke und Dich- tigkeit der Punktirung des Hinterleibes nicht ganz constant, weshalb mir denn auch die Identität der Ochotsker Exemplare mit Cr. subterraneus nicht zweï- felhaft scheint. 9, Cr, (Solenius)-intermedius: Niger, flavo-pictus, abdo- minis segmentis 2 — 5 et apud marem etiam sexto utrin- que aequaliter maculatis vel fasciatis, ocellis fere in li- neam curvam dispositis, antennarum articulo tertio pe- dicello duplo longiore, pronoto utrinque inermi, metanoto apud marem distinctius rugoso, rugulis his apud femi- nam subtilissimis carinaque laterali areae posticae bre- vissima, abbreviata. Crabro lapidarius var. * Eversmann Bull. de Mosc. 1849. II. 428. 26. a 9. Q. Clypeo medio obsolete angulatim exciso, utrinque subdentato, capite dorsuloque distinctius punctatis, hoc ad latera et postice striis nonnullis subtilissi- mis signato. 7°, — 8 Mm. d. Clypeo antice distinctius producto, subtrumcato et utrinque subdentato. Antennarum articulis non emarginatis, tertio sequentibusque subtus linea ele- vata notatis, ultimo subconico, vix compresso. Tar- sis simplicibus, femoribus anticis basi subtus ro- tundato-productis , tibiis intermediis antice conca- vüusculis. Caput et thorax rugosiora,dorsulum postice tongitudinaliter, antice utrinque subtransversaliter rugulosum, rugulis irregularibus. Valoula supra- analis postice rotundata medioque linea vix impressa notata. 7 Mn. Diese, in Spask im Juli vorkommende Art, von wel- cher in der Eversmann’schen Sammlung zwei Weib- chen und drei Männchen einigen andern Crabronen beigesteckt sind, ist in der Gestalt und auch in der Färbung dem Cr. (Clytochrysus) chrysostomus sehr ähn- lich und nähert sich der C?ytochrysus- Gruppe auch noch durch das verlängerte dritte Fühlerglied. Die- ses letztere ist indessen doch etwas kürzer als das vierte und fünfte Fühlerglied zusammen, und da aus- serdem die Mandibeln am Innenrande beim Männchen 265 des Sciences de Saint -Pétersbourg. 266 RER Te CO SM | mit einem deutlichen Zahne versehen sind, welcher beim Weibchen, ähnlich wie bei andern Crabronen, durch einen ZWar sehr stumpfen, indessen deutlichen Vor- sprung ersetzt erscheint, so unterliegt die Aufnahme dieser Art in die Solenius- oder Dahlbom’s Ectem- nius-Gruppe keinem Zweifel. Von Cr. (Crabro) Kollari Dah1b., mit welchem das Männehen des Cr. intermedius durch die Bildung der Fühler und Mittelfüsse übereinzustimmen scheint, weicht die hier beschriebene Art durch die Skulptur des Dorsulum ab, welches letztere, namentlich bei dem Männchen, zwar deutliche Runzeln aufweist, welche indessen zu unregelmässig sind, als dass sie mit der Strichelung, wie sie bei der Crabro-Gruppe angetrof- fen wird, parallelisirt werden kônnte. Ausserdem sol- len bei dem C7. Kollari, nach Dahlbom’s Angaben, die Ocellen in einem fast gleichseitigen Dreieck stehen, am Pronotum soll die «emarginatura ampla et pro- funda» sein, während beim CYr.intermedius die von Dah1- bom als emarginatura bezeichnete Mittelfurche im We- sentlichen so wie bei Cr. 4-cinctus (interruptus Dah1b.) gebildet ist. 10. Cr. (Solenius) spinipes: Niger, mandibulis apice pe- dumque articulationibus, tibiis tarsisque ex parte piceis, antennarum scapo antice, pronoto fere semper utrinque et abdominis segmentis 2 — 5 vel apud marem etiam sexto utrinque macula transversa flava signatis, maculis segment secundi sequentibus plus quam duplo majori- bus. Metanoti area postica lateraliter non limitata ti- biisque posticis externe spinulis brevissimis sparsis ob- suis. Crabro cephalotes var.* Eversm. Bull. de Mose. 1849. L. 428. 27. 4 9. P. Clypeo medio triangulariter exciso et utrinque uni- dentato. Dorsulo postice tenuissime longitudinaliter striato, stris antice utrinque extrorsum curvatis. 14, Mm. 3. Clypeo ut apud feminam, sed medio minus pro- ducto et obsoletius exciso. Antennarum articulis ultimo subconico, 47 5° 6° et 7° subtus tuberculatis, tuberculo articuli septimi minore. Pedum antico- rum trochanteribus femoribusque subtus spina va- Rda armatis, spina femorali ante medium sita. Tarsis anticis simplicibus, articulo primo tarsorum intermediorum antice apice producto et spinis bre- vibus nonnullis obsito. Valvula supraanali postice rotundata, medio tenuiter canaliculata. 11 Mm. Diese Art, von welcher in Hrn. Radoszkofsky’s Sammlung ein angeblich vom Amur stammendes Männ- chen vorhanden ist, fing Eversmann im Juni und Juli bei Spask und Kasan und verwechselte diese, durch die Färbung schon sehr ausgezeichnete Art mit Cr. cephalotes und sexcinctus, mit welchem letzteren diese Art allerdings im Habitus und auch hinsichtlich der Skulptur des Metanotum sehr übereinstimmt. Bemer- kenswerth ist, wie gesagt, die Färbung, namentiich die der Beine, an welchen nur ab und zu an der Aussenseite der Vorderschienen ein kleines gelbes Fleckchen vorhanden ist. Ich hebe dies deshalb her- vor, Weil Fabricius von seinem, ohne Zweifel nach Weibchen beschriebenen Cr.cephalotes (Syst. Piez. 308. 5) die Angabe macht: «Statura et summa affinitas fos- sorii, cujus forte mera varietas», seinen Cr. fossorius aber «pedibus nigris» beschreibt, weshalb man denn versucht sein künnte, den Cr. fossorius Fabr. (non Linné) auf den Cr. spinipes zu beziehen. Dass aber der Cr. fossorius Fabr. wirklich nach Weibchen beschrie- ben wurde, giebt bereits auch Illiger(Ed. Faun. Etrusc. IT. 148. 878) an, und kann man daher diese, den Cr. fossorius Fabr., nur dann auf Cr. grandis, welche Art Jetzt allgemein, indessen ohue Grund als Cr. fossorius aufgezählt wird, beziehen, wenn in der Fabricius’- schen Beschreibung etwas ausgefallen ist und statt «pedibus nigris» «pedibus flavis, femoribus nigris» hätte stehen sollen, welche Vermuthung ich für die wahr- scheïinlichste halte und womit auch die Angabe in Ein- klang stehen würde, welche Dahlbom (Hym. Europ. L p. XXIV) über die Fabricius’schen Originalexem- plare macht. Die vorstehend aufgeführten zehn Arten sind die- jenigen, welche unter den mir gegenwärtig vorliegen- den einer besonderen Erwähnung bedürftig schienen. Hinsichtlich der andern, zum grüssten Theil bereits hin- reichend bekannten Crabronen glaube ich darauf auf- merksam machen zu müssen, dass die von Kiesen- wetter (Stett. entom. Zeit. 1849. p.91) als Æhopalum nigrinum beschriebene, mir leider unbekannte Art vielleicht ein Mittelglied zwischen Physoscelis und Co- rynopus abgiebt, insofern diese Art nämlich, den von Kiesenwetter gemachten Angaben nach, mit Cory- 267 nopus tibialis übereinzustimmen scheint, durch die For- mation des Kopfschildes aber den Physoscelis sich nä- | hert. Wesmaël scheint als Rhopalum gracile (1851. Fouiss. de Belg. p. 126) das Weibchen derselben Art beschrieben zu haben, welches er auch wegen des in der Mitte nicht vorgezogenen Kopfschildes zu Physo- scelis St.-Farg. stellt. Da unter den Crabronen der. Name «gracilis» schon vor Wesmaël von Eversmann und «wigrinus» schon viel früber von Herrich-Schaef- fer zur Bezeichnung andrer Arten gebraucht worden ist, so schlage ich für die von Kiesenweiter ent- deckte Art den Namen «Kiesenwetteri» vor. Erwähnenswerth ist ferner, dass die Arten der Ble- pharipus-Gruppe hinsichtlich der Skulptur des Meta- | notum sehr veränderlich zu sein scheinen, eben so wie einige Arten der Crossocerus und einzelner anderer | Gruppen, wo aber die Veränderlichkeit keinen so ho- hen Grad zu erreichen scheint. Denn abgesehen von der schon mehrfach gemachten Beobachtung, dass bei deu Blepharipus-Arten nämlich, wie z. B. bei Cr. ca- pitosus, podagricus und diversipes der Basaltheil resp. das Spatium cordiforme des Metanotum bald deutlich gestrichelt, bald aber auch vollständig glatt erscheint, unterliegt auch die dasSpatium cordiforme abgränzende Kerblinie hinsichtlich ihrer Ausbildung und Tiefe be- deutendenSchwankungen. Ich selbst habe zwar in letz- terer Hinsicht nur geringe Abweichungen zu beobach- ten Gelegenheit gehabt, allein aus den übereinstim- menden Angaben, welche von Dahlbom, Taschen- berg und Schenck über den Cr. congener gemacht werden, geht es unzweifelhaft hervor, dass der letz- tere nur eine Varietät des Weibchens von Cr. poda- gricus ist, bei welcher Abänderung die das Spatium cordiforme umgränzende Kerblinie undeutlich gewor- den oder auch vollständig geschwunden ist, und wer- den sich ohne Zweifel noch manche andere, nach ein- zeluen Exemplaren aufgestellte, angeblich berechtigte Arten als Varietäten anderer, häufiger vorkommender erweisen. Ein zweites, von Vielen ganz besonders berücksich- tigtes Merkmal ist von der An- oder Abwesenheit ei- nes Zähnchens an den Mesopleuren entnommen, wel- ches Merkmal seit Shuckard, der dasselbe zuerst beobachtete, ganz allsgemein sogar zur Gruppirung der Blepharipus resp. Crossocerus verwandt wird. Dahl- bom giebt aber von dem Männchen des Cr. ovalis St.- Bulletin de l’Académie Impériale 268 Farg. (— exiguus Dahlb. Hym. Europ. I. 326. 214) selbst bereits an: «Mesopleurae spinula perobsoleta parum conspicua», und kann ich die letztere Angabe über die Veränderlichkeit des Zähnchens in dieser Art vollständig bestätigen, indem mir ausser Männchen auch ein Weibchen des Cr. ovalis vorliegt, an dessen Mesopleuren auch nicht die Spur eines Zähnchens vor- handen ist. Auch Taschenberg (Zeitschr. f. d. Ge- sammt. Naturw. 1858. XII. p. 107. 11) hat es bereits hervorgehoben, dass er zwei Weibchen des Cr. ambi- quus besitze, «deren Seiten der Mittelbrust zwar auf- getrieben sind, aber keine Spur von Dôrnchen zei- gen». Die auffallendste Erscheinung hinsichtlich der Veränderlichkeit des Mesopleuralzähnchens bietet Je- denfalls der Cr. nigrita (pubescens), indem die Männ- chen dieser Art stets ungezähnte Mesopleuren haben, während bei den Weibchen das Zähnchen durchgängig ausgebildet zu sein scheint, was auch vielleicht die Ursache war, weshalb das Weibchen des Cr. nigrita so lange verkannt und mit dem Weibchen von Cr. leu- costoma verwechselt worden ist. Eine Gruppirung der erwähnten Crabronen nach der An- oder Abwesenheit eines Zähnchens an den Mesopleuren ist also durch- aus unstatthaft. Dies ist das Wesentlichste, was ich über die bereits bekannten Arten schon jetzt anführen zu müssen für nôthig hielt. Zum Schluss theile ich noch eine Über- sicht der in der Eversmann'schen Sammlung vorhan- denen, aus der Woilga-Ural-Gegend stanmenden Cra- bronen mit, welche Übersicht insofern auf einiges In- teresse Anspruch zu machen berechtigt ist, als die nachstehend erwähnten Crabronen die Typen sind zu der von Eversmann im Bulletin de Moscou (1849. IT. p. 359 sq.) verôffentlichten Fauna Volgo-Uralensis, deren genauere Prüfung, meiner Ansicht nach, nicht rasch genug vorgenonmen werden kann. Der leichte- ren Übersicht wegen gebe ich ein systematisches Ver- zeichniss der Arten mit Angabe des Fundorts und der- jenigen Namen, unter welchen die nachstehend ver- zeichneten Crabronen in der Eversmann’schen Samm- lung vorkommen. Ich hielt es auch für zweckmässig, diejenigen Exemplare, welche mit einer von Evers- mann selbst geschriebenen Etiquette versehen waren, besonders zu bezeichnen, was ich dadurch am über- 269 des Sciences de Saint - Pétersbourg. 250 sichtlichsten erreichen zu kônnen glaubte, dass ich | gesammelt hat, ist bei dem Fundort durch eine rü- den Namen der so de von Eversmann be- mische Zahl angegeben. stimmten Exemplare ein * vorsetzte. Der Monat end- Aus der Wolga-Ural-Gegend sind in der Evers- lich, in welchem Eversmann die einzelnen Exemplare : mann’schen Sarimlung folgende Crabronen vorhanden: 1. Cr. (Entomognathus) brevis v. 4. L...,...... 4 & Orenburg, ç Kasan VII.. | Cr. * exiguus Ev. Faun. V.-U. Schon von Eversm.selbst (in seiner Sammlung) berichtigt. 2. Cr. (Chalcolamprus) albilabris Panz.......... HOOLSPASK AVE VIT. see Lind.* albülabris. 3. Cr. (Lindenius) Panzeri v. d. L..... nie Q'SpaS PTT ire events Lind. * Panzeri. 3 Spask VI, VIIL Simbirsk VIII. 4. Cr. (Trachelosimus) armatus v. d. L......... Sd SPAS ae es. HE . Lind.* Panzeri. 5. Cr. (Physoscelis) clavipes Linn....,,........ Kasan. VI...... Scene Ehopalum clavipes. 6. Cr. (Corynopus) courctatus Scopol..…...,,,.,. Kasana NN TIRE. -eeee | Rhopalum tibiule. tibialis Fabr. auct. 7. Cr. (Blepharipus) hirtipes.…..........,...... SIDDASRIN IT. Ress .. | Cr. * capito. ? bar bipes Dablb. 8. » nigrita St.-Farg.… 12... (vo Spask VIT...:.... eee | Cr. capito. pubescens Shuck.. _ © Spas MI ose see missions me Cr. * pubescens. o Spask VI, VII, Irkutsk. Serg. | Cr. * leucostoma. 9. » leucostoma Linn........ | 9 Orenb., & e Spask VII, a 8 * Simbirsk VIII, e Kasan VIII | CET 10. » carbonarius Dahl. Ex. Cr... | 4 Spask VIL...... scope. | Cr. * luctuosus Ev. (i. 1.) bei podagricus Dahl. H. E, obliquus. 11e » ambigquus Dahlb........... GISPASCSe pete . | Cr. * capito. 9 capito Dahlb. 12, » podagricus v. 4. L.,....... S'SDASLIV IE 2 ecrire s | | Cr. *varus. vicinus Dahlb. ......... Q'OrenDUT DAS Lee ch serres | Cr.* congener (non Dahlb.) varus Dahlb. Synops. | e v. © congener Dahlb. È VL, ; Orenb svasn LÀ 5. » vagabundus Panz. ........ ç Kasan g OUren ne Re * , ë bpunctatue Dahlb. ie VII. L. DORE . “| HE Le Chu nie) . Cr. (Crossocerus) 4-maculatus Fabr.....,.... ç Kasan PT # Spask VIE VIIL. cc. PTT PEN EURE | 4 Kasan ML ire Sr | @r. subpunctatus. 15. » elongatulus v. d. L......... lFoSpask V4 NRA | Cr. * parvulus Ev. v. obliquus Shuck. etc. | brevis Faun. V.-U. | lONSATEPtA - seems .... | Or. * laevipes Vand.? paske VE ne AN } Or * cbtiquus. ç Kasan VIII. Sri : Cr. capito. ç Kasan VII, LA MSOCRRE | Cr. varus. gOrenburg:....6...: APRES | Cr. scutatus. 16. » ovalis St.-Farg............ ÉOISDAS REV TS Ress … | Cr. * Wesmaëli. exiquus Dahlb, anxius Wesmaël. 17. » palmipes Linn............. g"Spaski VI. se dia Cr. * varus. 15. 2) palmarius Schreb.......... | 4 Orenburg, Kasan VII, VIII. | Cr. scutatus. scutatus Fabr........... | 9 Orenburg, Spask VII...... Cr. * gracilis Ev. 19. Cr. (Cuphopterus) subulatus Dahlb....,..... | 4 Spask MIT Re ur à .. | Cr. * monstrosus. QSpasR MIT snasrcece | Cr. * dimidiatus. 20. Cr. (Thyreopus) cribrarius Linn. ?) ......... 3 9 Orenburg, Spask VII .... | Cr. cribrarius. x LE » peltarius Schreb..….. ERA ETE M|Va Orenburg...- DRE PATES Cr. * peltatus. patellatus Panz. 22 » scutellatus Scheven......... | 4 Kasan VII, Spask VII..... Cr. * pterosus. pterotus Panz. petrosus Faun. V.-U. 23. Cr. (Ceratocolus) alatus Panz............... 3 Orenburg, Spask VIT ...... Cr. alatus. v. © basalis Smith........ 9 Kasan VI, Spask VII...... » var. . Ev. Faun. V.-U. 24. Cr. (Thyreus) camelus Eversm...... Nos A SPAS NE eee | Cr. * camelus Ev. 25: » chypeatus Schreb. ............ | 4 Orenburg, Serg., Sarepta, RE pe | Spask VL VII, 9 Spask VI. |} Cr. *vexillatus. 26. Cr. (Crabro) grandis St.-Farg. ............. [de Orenburg, Spask VI, VIT, ; Cr. * fossorius. fossorius auct. CASIMDITSK eme estiuee è 2) Eversmann führt den Cr. cribrarius in der Fauna Volgo- | seinen peltatus macht, so hätte er gesehen, dass der letztere mit Cr. Uralensis als Cr. cribratus Linn. auf, indessen ohne hinreichenden | Grund. Der Cr. scutellatus (pterotus auct.) ist in seiner Sammlung als | «pterosus» etiquettirt, woraus in der Fauna Volgo-Uralensis «petro- sus» geworden ist. Die allgemein als patellatus P anz. bezeichnete Art fübhrt Eversmann als peltatus Fabr. auf, da der von Fabricius beigelegte Name älter ist als der von Panzer ertheilte. Hätte Evers- mann indessen die Angaben verglichen, welche Fabricius über cribrarius Linn. identisch und von Dahlbom u.s. w. nur mit Un- recht auf den Cr. patellatus Panz. bezogen wird. Das Männchen des Cr. peltatus characterisirt nämlich Fabricius (Ent. syst. Il. 297. 13) «femoribus nigris intermedii paris incrassatis», was von den hier genannten Arten ur auf das Männchen des Cr. cribrarius Linn. zutrifft, und hatte bereits Panzer (Krit. Rev. IT. p. 181) den Cr. peltatus Fabr. mit der Sphex cribraria Linn. vereinigt. 271 Bulletin de l’Académie Impériale 272 27. Cr. (Crabro) 4-cinctus Fabr. ...... AT oinle/e g 9 Spask VI........... .... | Or. *interruptus. striatus St.-Farg.. interruptus Dahlb. , EE 98. Cr. (Solenius) intermedius …............ | 4 e Spask VII (in copula).... | Cr. lapidarius. | 4 Spask VI, 9 VII.......... Cr. rubicola. g Spask VL......,......... Cr. vagus. 29. » uttatus v. d. L...... PSDOO UE 4 Spask VI........ tes secedl us : & nigrinus H.-Schaeff. 9 Kasan VIIL......ceseceee [Of Cr. rubicola. 30. » spinicollis H.-Schaeff.......... | 4 Kasan VI............ 5 | Cr. rubicola. 4 Spask VII................ Cr. * dives ! Dahlb. 31. » dives St.-Farg. ) ........ LE + © Orenburg, Spask VIL.... | Cr. dives. 54 » crassicornis Spinol. 4) .......... æ Spask VI, VII............ Cr. hybridus Ev. 33. » microstictus H.-Schaelf. ....... g Spask VL................ | Cr. rubicola. d'Spask VL..........r ...... | Cr. hybridus. 34. » vagus Linn.................. 4 Spask VIT........... ..... | Cr. hybridus. 3 Kasan VI, Spask VI....... | Cr. rubicola. 4 9 Or RARAVE Spa | Ce cap. 35. » SpiNÎPES........rssssserrsee | 4 © Spask VIT (in copula).... | Cr. cephalotes. | ç Kasan VII, 4 Spask VI,.. [1 Cr. * cephalotes ? metanotum g Spask VII ..,...,....2.0 | f concavum (unter vagus). 36. Cr. (Clytochrysus) sexcinctus Fabr........... d 'Spask VIT... | Cr. * cephalotes 4 . cephalotes var. Dablb. | 37. » interrupte fasciatus Retz... | 4 Spask VIT................ Cr. cephalotes. cephalotes Fabr. auct. : | 38. » chrysostomus St.-Farg..... 4 @ Spask VII (in copula), @ | \ FRS lapidarius Panz. Orenburg, 4 g Spask VI, VIL. | Cr. lapidarius. æ Spask VI Wie man aus dieser Übersicht ersieht, sind in der! Eversmannschen Sammlung viele ganz auffällige Irr- thümer hinsichtlich der Bestimmung vorhanden. Es! fragt sich nur, ob Eversmann durchgängig die Schuld dieser Irrthümer beizumessen ist, indem ja die Samm- lung nicht so geblieben ist, wie sie Eversmann hin- terliess. Vielleicht haben die Erben, als sie an den. 3) In dem Verzeichniss der um St. Petersburg aufsefundenen Crabroninen habe ich den Crabro pictipes H.-Schaeff. (Crab. p. 30. Tab. 181, 5) als fragliche Varietät des Cr. guttatus aufgeführt. Un- ter deu Exemplaren des Cr. dives der Eversmann’schen Samm- lung ist indessen ein Weibchen dadurch ausgezeichnet, dass bei demselben am Thorax nur die Tuberkeln und das Pronotum jeder- seits gelb gefleckt sind, während die Färbung der Beine genau so ist, wie in der Abbildung des Cr. pictipes H.-Schaeff. Überdies ist in der Eversmann’schen Sammlung auch ein Weibchen vorhan- den, bei dem der Thorax, mit Ausnahme der gelben Tuberkeln, schwarz ist, wie in der Abbildung des Cr. pictipes. Der letztere ist also ohne Zweifel nur eine Varietät des Cr. dives, was übrigens auch aus den von Herrich-Schaeffer über die Behaarung des Clypeus und die Dornen des Prothorax gemachten Angaben mit Be- stimmtheit hervorzugehen scheint. 4) Von dieser Art ist bis jetzt nur das Männchen bekannt ge- worden. Eversmann beschrieb dasselbe (1. ce. p. 425. 22) als Cr. (Cerutocolus) hybridus, wobei er die Angabe machte: «Medium tenet inter Thyreopodes et Ceratocolos: habet illorum antennas et horum | sculpturam thoracis». Es gehürt indessen diese Art nach dem Bau der Mandibeln und den sonstigen Merkmalen ohne Zweifel in die Solenius-Gruppe, wo der Cr. punctatus St.- Farg. gleichfalls eine | grob punktirte Art zu sein scheint. An den Fühlern des Männchens, welche allerdings etwas an diejenigen der Thyreopus - Minnchen erinnern, hat Eversmann das dritte, mit dem vierten engverbun- dene Glied ganz übersehen, während Spinola (Ins. Lig. IE. p. 262. XCYI) von seinem Cr. crassicornis richtig die vier auf das zweite | sense .…. | Cr. rubicola. Verkauf der Sammlung schritten, die Ordnung, in welcher die einzelnen Exemplare zusammengesteckt waren, nicht genügend berücksichtigt und bei dem zur | Versendung nothwendigen Umstecken manches Verse- hen begangen, wofür unter Anderm jedenfalls der Um- stand spricht, dass unter Cr. vagus ein Männchen des Cr. spinipes vorhanden ist mit der von Eversmann |selbst geschriebenen Etiquette «cephalotes metanotum | concavum». Auch befindet sich unter den als Cr. di- midiatus bestimmten Exemplaren ein Mellinus arven- sis, welches Versehen doch unmôglich von Eversmann herrühren kann. Andrerseits wäre es aber nicht un- wahrscheinlich, dass Eversmann in späterer Zeit ei- nige Exemplare den früher determinirten beistecke, mit der Absicht, dieselben späterhin noch genauer zu vergleichen. Dafür scheinen wenigstens die Exemplare zu sprechen, die als Cr. rubicola zusammengesteckt waren, mit welchem Namen Eversmann anfänglich offenbar den Cr. microstictus, welcher dem mir unbe- kannten Cr. rubicola jedenfalls sehr nahe verwandt ist, bezeichnet hat. Auch wäre es nicht unmôglich, dass Eversmann einzelne Arten andern Entomologen unter Nummern zur Bestimmung gesandt und bei sich unter gleichen Nummern andere, von ihm für identisch gehal- tene Exemplare zurückbehalten hätte. Denn mehrfach findet sich die Angabe: «Crabro nov. spec. Mus. Berol.» bei Exemplaren, die zu den gewühnlichsten Arten ge- folgenden Glieder als erweitert angiebt. |hôren. wie z. B. bei Cr. grandis Qd, dives 93 u.s.w., ? 3 253 welche Angaben übrigens aus einer sehr frühen Zeit zu datiren scheinen. Für viele Irrthümer ist imdessen Eversmann ohne Zweifel selbst verantwortlich, wie es aus einem Vergleich der von ihm in der Fauna Volgo-Uralensis gemachten Angaben mit der vorste- hend gegebenen Übersicht evident ersichtlich ist. Schliesslich sage ich nochmals Allen, die mich durch Mittheilung von Materialien bei meiner Bearbeitung der Crabronen unterstützten und auch fernerhin zu un- terstützen gedenken, meinen aufrichtigsten Dank, na- mentlich aber meinen Bruder Ferdinand, dem Hrn. Professor F. W. Mäklin in Helsingfors, dem Hrn. Obersten Radoszkofsky und insbesondere Hrn.$. M. v. Solsky, welcher letztere die von ihm gesammelten Hymenopteren stets mit grôsster Liberalität mir zur Verfügung stellte. Über einen eigenthümlichen, später meist ob- literirenden ductus caroticus der gemeinen Kreuzotter (Pelias berus), v. Eduard Brandt. (Lu le 21 septembre 1865.) Als ich am 20. Juli dieses Jahres ein Präparat über das Gefässsystem der gemeinen Kreuzotter (Pelias be- rus Merr.) anfertigte, bemerkte ich sehr deutlich ein Gefäss, welches zwischen der Carotis communis und dem arcus Aortae sinister sich erstreckte. Dieses Ge- fäss (Fig. 1 d.c.) ging unter einem spitzen Winkel von der Carotis communis (Fig. 1 &.c.) ab und zeigte eine schiefe Richtung von innen und vorne nach hinten und aussen und endigte sich an der oberen, d. h. der Wirbelsäule zugekehrten Fläche des queren Theiles des linken Aortenbogens (Fig. 1 4. s”). Ungefähr in der Mitte seiner Länge wird es von der vena jugularis si- mistra (resp. vena cava Superior sinistra auct. Fig. 1 v.7) und dem nervus vagus sinister (Fig. 1 n.v.), wel- che schief von vorne und aussen nach hinten und in- nen zum aérium sinistrum gehen, gekreuzt. Die Länge dieses Gefässes betrug vier Millimeter. Es war ringsum von reichlichem Bindegewebe um- geben, so dass es kaum durch dasselbe durchschim- merte. Als ich das Bindegewebe abpräparirte, er- hielt ich zwei dreieckige Räume, nämlich einen vor- deren, kleineren und einen hinteren grôüsseren. An Tome IX. des Sciences de Saint-Pétersbourg. 274 der Bildung beider sind betheiligt: das beschriebene Gefäss, die vena jugularis sinistra, der transversale Theil des arcus Aortae sinister und die Carotis com- munis. Das hintere Dreieck, welches ich érigonum ca- rolicum posterius nennen müchte, wird auf folgende Weise zusammengesetzt: die Basis desselben ist nach hinten gekehrt und wird vom transversalen Theile der linken Aortenwurzel gebildet; die rechte oder innere Seite bildet der ansteigende Theil der carotis commu- ris, und die linke oder äussere Seite das oben genann- te (refäss, welches die Carotis communis mit dem «r- cus Aortae sinister verbindet; die Spitze dieses Drei- ecks fällt auf die Abgangsstelle dieses Gefässes von der Carotis communis. Das vordere Dreieck, welches bedeutend enger und kürzer ist, wird folgendermaassen gebildet: das genannte Verbindungsgefäss ist die Ba- sis desselben, die Carotis communis die rechte oder innere, die vena jugularis sinistra die äussere oder linke Seite, und die Spitze wird durch die einan- der sehr genäherten vena jugularis sinistra und Ca- rois communis gebildet. Dieses Dreieck kann man also trigonum caroticum anterius nennen. Ausserdem bemerkt man noch ein drittes, bedeutend kleineres Dreieck als die beiden eben beschriebenen, welches in dem ersten (érigonum caroticum posterius) einge- schlossen, an der äusseren Seite desselben liegt. Das- selbe wird so gebildet, dass die Basis desselben der transversale Theil des arcus Aortae sinister, die rechte oder innere Seite die vena jugularis sinistra, die linke oder äussere Seite das genannte Verbindungsgefäss zwischen der Carotis communis und dem arcus Aor- tae sinister, und die Spitze die Durchkreuzungsstelle dieses Verbindungsgefässes mit der vena jugularis si- nistra zusammensetzen. Da ich mich überzeugen wollte, ob das Gefäiss weg- sam, oder obliterirt war, so machte ich eine Injection mit Gelatine und Karmin, vom gemeinschaftlichen Stamm der Aorta aus, unweit der Entstehung desselben durch die Vereinigung der beiden Bügen. Ebenso wie der gemeinschaftliche Stamm der Aorta, die bei- den arcus Aortae, die arteria vertebralis, die Carotis communis und die arteria thyreoidea auct., So fand ich auch das beschriebene Verbindungsgefäss zwischen der Carotis communis und dem arcus Aortae sini- ster schün roth injicirt. Aus Lage, Richtung, Ur- sprung und Endigung des genannten Gefässes ist es 18 275 Bulletin de l’Académie Empériale 276 klar, dass dasselbe dem absteigenden, d. h. demjeni- gen Theile des Carotidenbogens der Embryonen, der die Verbindung zwischen der Carotis und dem arcus Aortae der gleichnamigen Seite zusammensetzt, entspricht. Da ich dieses Gefäss früher nie bemerkte und auch iu der ganzen mir bekannten angiologischen Literatur keine Erwähnung über einen persistirenden Caroti- denbogen bei Schlangen fand, so hatte ich in diesem Falle entweder eine hôchst interessante, aus dem Keimleben sehr genügend zu erklärende Anomalie vor mir, oder es war etwas Normales, was von anderen Forschern dieses Gebietes übersehen worden war. Dreissig Kreuzottern (Pelias berus) sind von mir in dieser Beziehung untersucht worden, und zwar s0- wobl erwachsene Männchen und Weibchen (20 Stück), als Halberwachsene (2 Stück), eben lebendig Gebo- rene (2 Stück) und todt geworfene Junge (6 Stück), welche letztere sowohl der Länge als dem ganzen Baue nach den lebendig geborenen entsprachen. In allen diesen Füällen, deren Präparate ich meinem hochge- schätzten Lehrer dem Akademiker J. F. Brandt vor- zeigte, und die ich in Weingeist aufbewahre, habe ich das Vorkommen des oben beschriebenen Gefässes, welches als der zurückgebliebene absteigende Schen- kel des embryonalen Carotidenbogens zu deuten ist, constatirt. Von den erwachsenen Kreuzottern zeigten ausser dem ersten, oben beschriebenen Falle nur zwei dieses Gefäss wirklich offen, während es bei den siebzehn übrigen obliterirt war. Bei beiden jun- gen, halberwachsenen Schlangen, ebenso wie bei bei- den lebendig geworfenen war dasselbe zwar sehr deutlich, jedoch obliterirt. Von den sechs todt ge- worfenen Exemplaren erwies es sich bei fünf als obli- terirt und bei einem als wegsam. Rathke sprach in seiner Œntwickelungsgeschichte der Natter»') die Ver- muthung aus, dass der linke ductus Botalli eine Zeitlang bis zur Enthüllung der Frucht zurückbliebe. An den sechs todt geworfenen, aber ganz reifen, ebenso wie an den beiden lebendig geborenen Jungen habe ich den linken ductus arteriosus Botalli sehr gross erhal- ten gesehen; die Injection zeigte, dass er wegsam war. Die Ste Figur meiner Abbildungen zu diesem Auf- satze zeigt die Lage und das Grüssenverhältniss des 1) H. Rathke, Entwickelungsgeschichte der Natter (Coluber natrix). Mit 7 Kupfert. Kônigsberg 1839. $ 64 pag. 168, s. Abbild. Tab, IV f. 16. duct. Botalli zum arcus Aortae sin. und zum absteigen- den Schenkel des Carotidenbogens, und man ersieht dar- aus, dass ersterer viel grüsser ist und sowohl der Form, als der Lage nach einen mehr embryonalen Charakter zeigt als letzterer. Es ist ganz dasselbe Verhältniss ge- blieben, wie es Rathke 1. c. Tab. IV fig. 16 abbildet, also wie dieses Gefiss am Ende der dritten Periode des foetalen Lebens entwickelt war. In allen dreissig von mir untersuchten Exemplaren von Kreuzottern fand ich, dass das besprochene Verbindungsgefäss, zwi- schen der Carotis communis und dem arcus Aortae si- nister, unter einem spitzen Winkel von der Carotis communis abstieg. Bei den verschiedenen Exemplaren variirte dieser Winke]l zwischen 30° — 70°. Die Länge des Gefässes varüirte zwischen 1—7 Millim., und zwar bei den erwachsenen Exemplaren, zwischen 2°), — 7 Millim.; gewühnlich war es 2, 3 oder 4 Millim. lang. Bei den jungen Exemplaren schwankte die Länge desselben zwischen 1 — 3 Millim. und war bei den meisten etwas über einen Millim. (Fig. 1—7 /.c.d.c). Ein stabiles Verhältniss zwischen der Breite und Länge dieses Gefässes so wie zwischen seiner Länge und der Totallänge der Schlange konnte ich nicht auffin- den. Was das Verhältniss dieses Gefässes zum ar- cus Aortae sinister, der Carotis communis und zur vena jugularis sinistra anbetrifft, so war es an allen un- tersuchten Exemplaren dasselbe wie es oben an der von mir zuerst untersuchten Kreuzotter beschrie- ben wurde. An der rechten Seite liess sich keine Spur von demselben auffinden, was auch schon a priori zu erwarten war, da man seit den Untersu- chungen von Rathke”*) weiss, dass die Kreuzotter keine rechte Carotis besitzt. Indess sagt Rathke”), dass die arteria thyreoidea der Autoren (Schlemm, Meckel u. A.) wohl physiologisch, aber nicht anato- misch als eine solche gelten mag, indem sie vielmehr als der noch übrig gebliebene Theil einer früher vor- handen gewesenen Carotis dextra zu deuten wäre, denn ihre Dicke und Lage (zwischen der rechten und mitt- leren von den drei vor dem Herzbeutel liegenden Blutdrüsen) entspricht der Carotis dextra derjenigen Schlangen, welche zwei Carotiden besitzen. 2) H. Rathke, Bemerkungen über die Carotiden der Schlangen, in: Denkschrift. d. Wiener Akademie. Wien. llter Bd. 1856. Zweite Abtheïlung. $ 1 pag. 2. 3) H. Rathke], c. $ 4 pag. 5. 27% des Sciences de Saint-Pétersbourg. 27S € Deshalb erscheint sie auch, nach Rathke, nicht nothwendig als ein Ast der nur noch alleinvorhan- denen linken Carotis communis, sondern geht bis- weilen, obwohl nur selten, neben dieser, von der rech- ten Aortenwurzel ab. Fülle der Art als Ausnahmen von der Regel, sagt er weiter, sind von mir bei Gony- osoma viride und Homalosoma lutrix, und von Duver- noy bei Dispholidus Lalandii (Bucephalus typus Smith) beobachtet worden. Bei der Kreuzotter (Pelius berus), die er auch in dieser Beziehung untersuchte, ohne die Anzahl der von ihm anatomirten Exemplare anzuge- ben, entsprang also diese Arterie aus der Carotis com- munis, da er sie nicht zu seinen drei Ausnahmen rechnet. Dieser Angabe muss ich widersprechen, da bei 21 Exemplaren dieselbe aus dem arcus Aortae dexter, bei 3 aus der Mitte der Einbuchtung, welche sich zwischen dem Ursprunge der Carotis communis von dem arcus Aortae dexter befindet, und bei den 5 übri- gen aus der Carotis commuuis entsprang (Fig. 1 — 7 a. t.). Und doch habe ich, troz der angestrengtesten Bemühungen, keine Spur von einem rechten Caroti- denbogen gefunden, weder bei todt geworfenen, noch eben lebendig geborenen und erwachsenen Exempla- ren. Aus dem (Gesagten lassen sich folgende Schlüsse ziehen: 1) Ich habe bei der Kreuzotter (Pelias berus) das Vorkommen eines Gefässes, welches die Curotis communis mit dem transversalen Theile des linken Aortenbogens verbindet, nachgewiesen, und zwar an dreissig bisher untersuchten Exemplaren, namentlich sowohl an Erwachsenen als Jungen und noch nicht geborenen, todt geworfenen, beinahe vollständig ent- wickelten Früchten. Also ist das Vorkommen dessel- ben keine Anomalie, sondern eine von anderen For- schern übersehene normale Erscheinung, 2) Das fragliche Gefäss ist meistentheils oblite- rirt und kann dann als ligamentum caroticum bezeich- net werden, dagegen in einigen wenigen Fällen (sowohl bei Jungen als Erwachsenen) wegsam, und kann alsdann ductus caroticus heissen. Wir sehen also (bei der Kreuz- otter) hier ein ähnliches Verhältniss zwischen der arte- ria Carotis communis und dem linken Aortenbogen wie zwischen der arteria pulmonalis und der Aorta der Säugethiere und des Menschen: ductus arteriosus Bo- talli und ductus caroticus, ligamentum aorticum (ob- literirter ductus arteriosus Botalli) und ligamentum caroticum (obliterirter ductus caroticus). Bei den Säu- gethieren und dem Menschen bleibt also bloss der zweite linke embryonale Aortenbogen, den die nach links gehende Aorta dieser Thiere zeigt, nach, wäh- rend bei der Kreuzotter (Pelias berus) das zweite Paar embryonaler Gefässbogen (die beiden arcus Aor- lac) und der dritte linke embryonale Aortenbogen (der Anfang der Carotis communis mit dem ductus ca- roticus oder ligamentum caroticum) nachbleiben. Auf diese Weise kommt das Gefässsystem der Kreuzotter auf eine tiefere Stufe zu stehen, als man es gewühn- ch zu betrachten gewohnt war. 3) Das Vorkommen eines ductus caroticus oder ei- nes ligamentum caroticum zeugt von einem nahe ver- wandten Verhältnisse der Hauptgefässe des arteriel- len Systems der Viper mit dem der Eidechsen, wel- ches durch die ausgezeichneten und sehr ausführli- chen Untersuchungen Rathke’s zur Klarheit gebracht wurde. Rathke‘“) hat nämlich für alle von ihm untersuch- ten Schuppenechsen (Sauri squamati) mit Ausnahme der Varaniden und Chamaeleonten (deren er vier un- tersuchte und nur an einem Carotidenbügen sah) per- sistirende Carotidenbügen nachgewiesen. Durch meine Untersuchungen habe ich also einen neuen Beweis für die nahe Verwandtschaft der Sauria squamata mit den Schlangen in Beziehung auf das ar- terielle Gefässsystem gegeben. Ausser den Vipern wurden noch drei erwachsene Exemplare von der Ringelnatter (Tropidonotus natrix) secirt; bei zwei Exemplaren fand sich ein ligamentum caroticum und bei einem ein sehr grosser wegsamer ductus caroticus, der beinahe die halbe Breite der Carotis communis und eine Länge von 2”, Millim. be- sass, (Fig 9 d. c.). Das Verhältniss dieses Gefässes zur vena jugularis sinistra, ebenso wie zum transver- salen Theile des linken Aortenbogens und zur Carotis communis war dasselbe wie es schon oben bei der Kreuzotter beschrieben wurde. Ich behalte es mir vor, nächstens eine mehr in’s 4) H. Rathke, Untersuchungen über die Aortenwurzeln und die von ihnen aussehenden Arterien der Saurier, in: Denkschriften der Wiener Akademie. 13ter Bd, 1857. Zweite Abtheil, pag. 77 u. 78. 18* 279 Bulletin de l’Académie Hnpériale 2s0 Eee eee eee Detail gehende Schilderung über dieses Gefäiss zu ge- ben, indem ich jetzt weitere Untersuchungen anstelle, um das Vorkommen desselben bei andern Ophidiern zu prüfen. Erklärung der Abbildungen. Die Buchstaben sind auf allen Figuren dieselben für die gleichnamigen Theïile. Alle Figuren sind ver- grôssert, einige drei-, andere fünfmal. Fig. 1—7 von erwachsenen Kreuzottern (Pelias berus Merr.). Fig. 8. von einer todt geworfenen Kreuzotter, welche 15 Centim. lang war. Fig. 9. von einer erwachsenen Ringelnatter (Tropido- notus natrix). V. C. — Ventriculus cordis. A. d. — Atrium dextrum. A. 8. — Atrium sinistrum. a. s. — arcus Aortae sinister. as' — aufsteigender Theil derselben. as — transversaler » » as’ — absteigender » » a. d. — arcus Aortae dexter. a. t. — arteria thyreoidea auct. a. ©. — arleria carotis communis. d. c. — ductus caroticus nob. LL ©. — ligamentum caroticum nob. n. 0. — nervus vagus sinister. v. j. — vena jugularis sinistra. d. B. — ductus arteriosus Botalli. S. — eine Borste, die durch die Curotis communis in das Lumen des ductus caroticus eingeführt ist und aus demselben wieder hervortritt. Noch einige Worte über die Vertilgung der Rhy- tina, von J. F. Brandt. (Lu le 5 octobre 1865.) Mein hochgeehrter Hr. College v. Baer, welcher wie bekannt (Mém. d. l Acad. Imp. d. St. Pétersb. VI Sér. Sc. nat. T. III. p. 58) die Vertilgung der Steller’schen Seckuh zuerst umfassend nachwies, sah sich (Bullet. sc. T. III(1861) p. 369 — Mélang. biol. III. p 515) ver- anlasst, gegen die widersprechende Auffassung Owen?’s (Palaeont. Lond. 1860 p. 400), dass dieselbe nicht untergegangen sei, Einsprache zu erheben. Da ich in Bezug auf die Vertilgung des fraglichen Thieres nicht nur die Ansicht meines ausgezeichneten Collegen thei- le, sondern dieselbe in meinen Symbolae Sirenologi- cae (Mém. d. l'Acad. d. St. Pétersb. VI Sér. Scient. nat. T. V. p. 112) sogar durch einige neue Gründe zu stützen bemüht war, und Owen’s Einsprache auch auf mich sich bezog, so verüftentlichte ich meinerseits cbenfalls (Bull. sc. T. V. 1862 p. 558 — Mél. biol. T. IV p. 259) eine Widerlegung. In keinem der ge- nannten Reclamen wurde indessen die Mittheilung ei- nes hiesigen bekannten Paläontologen über ÆRhytina berücksichtigt, obgleich doch gerade sie vielleicht die, freilich nicht citirte, Quelle sein künnte, welche den grossen englischen Naturforscher zu seiner Ansicht be- stimmte. Hr. Eichwald, der weder Hr. v. Baer’s ausge- zeichnete monographische Arbeit über die Vertilgung der Rhytina, noch meine, alles über dieses merkwür- dige Thier bis dahin Bekannte zusammenfassende, und durch die Beschreibung und Abbildung eines Schä- delfragments, so wie die Erürterung des Baues der Gaumenplatte ergänzende, Abhandlung zu Rathe z0g, ja die genannten Arbeiten nicht einmal citirte, hat nämlich die Rhytina in seiner Lethaea (Bd. IIT S. 342) auf folgende Weise geschildert. Esp. 4 Rhytina (Manatus) borealis Pall. La tête de la Vache de mer est presque ronde, la nageoire cau- dale est semilunaire et le corps de deux côtés couvert de sillons transversaux, la longueur du corps est de 24 pieds. Hab. au promontoire des Vaches de mer de l'ile de Béring, près de l’île de Cuivre et de celle d’Attou, qui appartiennent au groupe des îles Aléoutiennes (sic?!); il se trouve près du bord de ces îles des os isolés de pieds, des cranes, des côtes, des vertèbres dans le sable mouvant du littoral, rejetés du fond de la mer par les ondes. On rencontrait auparavant très- souvent des Vaches de mer au sud vers le bord de l'Amérique boréale, mais avec le temps, exposées aux poursuites continuelles des Aléoutes, elle se retirent (sic!) davantage vers le nord, d’abord à l'ile d’Attou, à celle de Cuivre et de Béring, où Mr. Steller les a vues encore vers la fin du siècle passé en telle quan- tité qu'elles auraient pu offrir une nourriture suffi- sante à tous les habitants du Kamtschatca, aux bords duquel elles vivaient dans les bas+fonds sablonneux, près de l'embouchure des fleuves; mais enfin elles se Bulletin de F Acad. Fig. L. Fig. 7. Imp. des sc., T. IX. Zu pag. 273 — Fig. 3. jen Mer y fin crise Aie Lis a sa") rer MAT EE TT L me 2 0 el the ct rt | me PC DORE RC LOU ® Le caemhiquinne ge prncttliqen het latie De. « nl ” L : IL L à 1% 0 QU a NE MPe ru ours: : n | TU Dr TE È | LA : L in | FR td event re gue ‘ no Un el CA 4 NET : . nf : en L L | ( L = « ai | | " | Û : ro: 0 af | & L ee cou : = L 1 Ver us +», k | I : : le La, . 4 ' . oo : or SL CETURS. "a " Leu i = pr (ÿl E A tusti | RL | | Û J | ; » CuPE L L Maiyi L SU TEL 1 du: D ‘| ago ss ii 4 v ï : ds . Ù s'en D k bave CNRS =. nacamtt 4 cape Lun bre _ 4 Snd)} ® + =. ti j iiperestientie sf 4e | | mc iisé 281 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 28? retirèrent à cause de ces poursuites encore davantage vers le nord et se trouvent peut-être à présent plus près du continent de l'Amérique, dans l'océan Glacial où elles peuvent se cacher et rester à l'abri des poursuites des Aléoutes *). Von woher Hr. Eichwald die vorstehenden Mit- theilungen entlehnte sagt er nicht; obgleich es den aus Zahlreichen Quellen geschüpften, überzeugen- den Beweisen v. Baer’s, welche den Untergang der Khytina constatiren, ebenso so wie meinen ergän- zenden, gleichfalls auf Thatsachen gestützten, mit de- nen meines ausgezeichneten Collegen vüllig im Ein- klange stehenden Mittheilungen gegenüber durchaus nôthig gewesen wäre die gegen unsere Ansicht etwa zu erhebenden Zweifel gründlich zu erürtern. Jeder Naturforscher, der noch vor dem Jahre 1853, dem der Verôffentlichung des dritten Bandes der Lethaea rossica, Hr. v. Baer’s classische Arbeit über die Ver- tilgung der Steller’schen Seekuh (Mémoires d. l'Aca. Imp. d. se. d. St. Pétersb. VI. Sér. Sc. nat. T. IIL. pag. 68, Bull. sc. d. l'Acad. T. III p. 355) gelesen und Capitel VIT meiner Symbolae Sirenologicae (Mém. d. l'Acad. Imp. d. Sc. VI Sér. Scienc. nat. T. V. (1846) p. 112) ebenfalls einzusehen nicht verschmäht hätte, würde indessen ausser Stande gewesen sein, einen ganz irrige Ansichten verbreitenden Artikel, wie der aus der Lethaea mitgetheilte ist, zu verfassen und namentlich die Vertilgung der Æhytina ohne jede Angabe von Gründen in Zweifel zu ziechen. Überflüssig wäre es den auch sonst ungenauen, einer reellen Grundlage ent- behrenden Artikel ausführlicher zu beleuchten, da dies bereits neuerdings, wenn auch nur indirect, vom Hrn. v. Baer (1861) und mir (1862) in den oben ci- tirten Aufsätzen des Bulletin unserer Akademie ge- schah, wo den frühern, die Vertilgung nachweisenden Gründen sogar noch einige neue hinzugefügt wurden. Die auf die Ahytina wicderholentlich gehaltenen Lei- chenreden waren demnach keine verfrühten. Sie ist viel- mehr ohne alle Frage bereits vor fast hundert Jahren (1768) dem Schicksale der Riesenhirsche, der Ma- monte, des Bos primigenius, des Rhinoceros tichorhi- *) In seiner Charakteristik des Genre IV Rhytina, die ich hier nicht weitläufig aufführe, sagt er übrigens zum Schluss: Il vivait en- core au commencement de ce siècle dans l’océan Oriental entre l'Asie et l'Amérique, mais depuis ce temps il n'a plus été observé et compte parmi les genres éteints, peut-être (sic!) à tort. nus, der Dronte, wie dem so vieler anderer Thiere verfallen. Analyse verschiedener antiker Bronzen und Ei- sen aus der Abakan- und Jenissei-Steppe in Sibirien, von Heinrich Struve. (Lu le 2 novem- bre 1865.) Im vergangenen Jahre zeigte mir Hr. Radloff aus Barnaul seine reichhaltigen und interessanten antiken Funde, die er aus Sibirien mitgebracht hatte, und for- derte mich dabei auf, verschiedene Proben dersel- ben der chemischen Analyse zu unterwerfen, um hierdurch diese Sachen auch vom metallurgisch-che- mischen Standpuncte ins richtige Licht stellen zu künnen. Ich übernahm die Arbeiten, zumal da mich die- selben wieder zu Untersuchungen und Betrachtungen zurückführen sollten, die ich seit Jahren verfolgt, doch in den letzten Zeiten bei Seite geschoben hatte; aus- serdem noch konnte ich mir das Material selbst aus- suchen, das mit grôsster Bereitwilligkeit von Hrn. Rad- loff dargereicht wurde. Diese Untersuchungen sind jetzt abgeschlossen, und da dieselben nicht ohne [nteresse sind, 50 erlaube ich mir, dieselben der Kaiserlichen Akademie der Wissen- schaften vorzulegen. Der chemischen Analyse wurden folgende Sachen unterworfen, die ich zuerst nach den Aufgaben des Ar. Radloff zusammenstelle, wobei sich die vorge- setzten Zahlen auf einen Katalog des Hrn. Radloff beziehen. 1, Aeltere Kupferperiode, N° 34. Bruchstück eines Messers von gelblichrother Farbe und Bruch, hart. Gewicht 9,5 Gramme. 39. Gebogenes Messer, Farbe und Bruch mehr gelblich, Oberfläche dunkel angelaufen, Länge 16 Centm., Breite auf der einen Seite 16, auf dem anderen Ende 11 Milm. Gewicht 42 Grm. 70. Messer mit rother Bruchfläche, Oberfläche dunkel angelaufen. An einem Ende ein rundes Loch; 13 Centm. lang und 11 Milm. breit. Gewicht 25 (rm. * 98. Messer aus Eisen, Oberfläche sehr stark ange- fressen, 14 Centm. lang; Gewicht 45,5 Grm. 142 Messer aus rothem Kupfer, 13 Centm. lang, an dem einen Ende ein Loch, bei 20 Miln. Breite, am anderen Ende nur 14 Mllm. Gewicht 40 Grm. N° 283 Bulletin de l'Académie Impériale 284 © Il, Jüngere Periode, Pfeilspitzen aus Eisen mit 3 Flügeln, die eine 12,5 Grm. schwer, schr stark zerfressen, die andere 30 Grm. schwer, sebr gut erhalten. N° 6. 2 Messer aus Eisen, stark zerfressen, 4 und 14 Grm. schwer. N° 139. Schmucksache aus Bronze von einer eigen- thümlich dunklen Farbe, sehr hart und brüchig. Bruch feinkürnig von grauer Farbe, ähnlich den von grauem Gusseisen. 18,5 Grm. schwer. Sp. Gew. = 7,224. Gehe ich nach dieser Zusammenstellung zunächst zur Untersuchung der Gegenstände aus Eisen über, so kann ich dieselbe mit wenigen Worten abmachen. Es ergab sich nämlich aus der qualitativen Untersuchung dersel- ben, dass sie alle aus reimem Eisen ohne Beimen- gungen von fremden Metallen bestehen; natürlich enthalten sie alle kleine Quantitäten Kohle und Kie- sel. Um die Reinheit dieser Eisensorten noch durch einen quantitativen Versuch zu belegen, so wurde. N°98 einer Analyse unterworfen, und es ergab sich, dass in 100 Theilen 99,43 Theile Eisen enthalten sind, somit ein ausgezeichnetes Stabeisen, das sich auch gut ausschmieden liess. Die 5 antiken Bronzen wurden jede einzeln unter- sucht, und die gewonnenen Resultate sind in der fol- genden Tabelle zusammengestellt, wobei die Bronzen nach ihren Nummern aufgeführt worden sind. Nummer.…...……. | 34. 39. | 70. | 142. | 139: 3 nt | . Kupfer …..| 90,20 | 88,67 | 93,00 | 99,00 | 89,70 Zion... 9,64 | 10,10! 6,35] 0,32. 0,63 Eisen.…….. 0,05 0,28 | 0,18| 0,34| 9,10 Summe | 99,89 | 99,05 | 99,53 | 99,66 | 99,43 Betrachten wir diese Resultate nüher, so fällt uns zuerst in die Augen, dass N° 142 als aus reinem Kup- fer bestehend angesehen werden muss, da die kleinen Quantitäten von anderen Beimengungen nur als zufäl- lige Einmischungen zu betrachten und von keinem Einfluss auf die Eigenschaften des Kupfers sind. In den Zusammensetzungen der NN° 34, 39 und 70 da- gegen treffen wir wirkliche Bronzen an, nur durch Spu- ren von Eisen verunreinigt, Diese Zusammensetzungen stimmen freilich nicht mit den analytischen Resultaten antiker Bronzen aus dem Altai überein, die uns von Fr. Goebel') mitgetheilt worden sind. Jene Bronzen enthielten mehr Zinn, nämlich 20 bis 27°, oder wenn der Zinngehalt sich den obigen Angaben näherte, so sehen wir als Begleiter desselben immer Blei auftreten, welches Metall in den von mir mitgetheilten Analy- sen durchaus fehlt. Ich glaube, es wird hier an der Stelle sein, die von Fr. Goebel ausgeführten Analysen mitzutheilen, um dadurch eine Vollständigkeit der bis jetzt vorhande- nen Analysen von antiken Bronzen aus dem Altai-Ge- biet zu erhalten. Fr. Goebel theilte uns in jener eben citirten Scbrift nämlich folgende 4 Analysen mit: 1) Ein Fragment von ei- Kupfer — Zinn — Blei nem Sarge aus einem alten Tschuden-Grabe am Altai….. 80,27 — 19,66 2) desgl..….…… tes 73,0 — 26,74 3) Ein schün geformter Arm einer kleinen 7 Zoll ho- hen Figurine 87097983 22975 didessh ai sue 91,50 — 6,75 — 1,75. Andere Analysen von antiken Bronzen aus jener Gegend sind mir nicht bekannt. Mit diesen Analysen künnen wir die obigen 5 Re- sultate nicht vergleichen, deswegen fehlt es uns aber nicht an anderen Anhaltspuncten; nur müssen wir uns, um dieselben zu erhalten, nach antiken Bron- zen aus einer anderen Gegend umsehen, und zwar aus dem reichen Schatze der Analysen von L. R. von Fellenberg*) in Bern auswählen. Fellenberg hat uns in einer Reihe von interessanten Abhandlungen nicht weniger als 180 Analysen der verschiedensten antiken Bronzen mitgetheilt, und da er bei dieser Ar- beit von den verschiedensten Seiten her aufs Bereit- willigste unterstützt worden ist, so hat er nach und nach in den analytischen Resultaten ein Material zu interessanten Schlussfolgerungen aufgesammelt. Diese Arbeit ist aber noch nicht abgeschlossen, und deswe- gen enthält sich Hr. Fellenberg aller weiteren Schlüs- se. Da ich aber jene Analysen mit den mitgetheilten 1) Er. Goebel. Über den Einfluss der Chemie auf die Ermitte- lung der Vülker der Vorzeit. Erlangen 1842 2) Mittheilungen der naturforschenden Gesellschaft in Bern. 1860, 1861, 1862, 1863, 1864. 285 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 286 vergleichen môüchte, so glaube ich aus den 180 Ana- lysen Fellenberg’s den Schluss ziechen zu künnen, dass man zu den Bronzen, die aus der ältesten Kup- ferperiode herstammen, und die man bei den Pfahl- bauten als Waffen, Messer und andere Geräthschaften, die sich durch Härte auszeichnen sollten, gefunden hat, in der Regel eine Legirung von Kupfer mit 10% Zinn verarbeitet hat. Galt es dagegen die Darstellung irgend einer Schmucksache, so wurde Blei oder auch nur mehr Zinn hinzugesetzt, um hierdurch eine Le- giruvg, die leichter schmelzbar und zu verarbeiten ist, zu erhalten. Hiermit stimmen auch die Bron- zen aus keltischen Kegelgräbern Mecklenburgs überein, wie wir dieses aus den Analysen von Fellenberg (N° 124 bis N° 132) sehen künnen. Mit diesen Schlussfolgerungen stimmen sowohl die von Fr. Goebel, als auch die von mir mitgetheilten Analysen überein. Gehen wir nun zur letzten Analyse über, so unter- scheidet sich dieselbe von den anderen und überhaupt von allen mir bekannten Analysen antiker Bronzen. N° 139, aus der jüngeren Periode, besteht nämlich aus einer Legirung von Kupfer mit Eisen, in welcher nur Spuren von Zinn als zufällige Beimischungen an- getroffen werden. Hätte ich mir diese Bronze nicht mit eigenen Händen aus den verschiedenen Proben aus- gesucht, und zwar veranlasst durch die eigenthümli- che Farbe derselben, so würde ich sie der chemischen Zusammensetzung nach gar nicht für antik erklären, doch woher und wohin mit derselben, bleibt dabei immer ein Räthsel, denn Legirungen von Kupfer mit Eisen im oben aufgeführten, oder in einem anderen Verhältnisse sind nicht bekannt. Hierdurch erregt diese antike Bronze eine beson- dere Aufmerksamkeit und muss genauer verfolgt wer- den. Doch dazu holen wir uns erst aus der neuesten Litteratur über solche Legirungen Rath. In dem Werke von C. Bischoff*) finden wir mit- getheilt, dass Eisen sich fast in allen Kupfersorten des Handels findet, doch soll das Kupfer dadurch im hohen Grade hart und rothbrüchig werden. Es feh- len aber noch durchaus genauere Untersuchungen über den Einfluss von Eiseneinmengungen auf die Fes- tigkeit des Kupfers. Karsten giebt freilich an, dass 3) C. Bischoff. Das Kupfer und seine Legirungen. Berlin 1865. S. 213, 217, 223. schon geringe Mengen von Eisen die Dehnbarkeit des Kupfers sehr verringern. Nicht viel besser sind unsere Kenntnisse über den Einfluss des Eisens als Beimischung in verschiedenen Bronzen. Man soll Legirungen von Kupfer, Zinn und Eisen darstellen, in welchen das Eisen gleichsam die Stelle des Zinks vertreten soll. Solche Legirungen zeichnen sich durch besondere Härte und Festigkeit aus und kônnen mit Vortheil zur Construction von Ma- schinentheilen benutzt werden. Es darf aber der Ei- 0 sengehalt nicht über 1°,7, gehen. Sie sind immer schwerer schmelzbar als eisenfreie. Ferner sollen Legirungen von Kupfer mit Zink und Eisen dargestellt werden, auf welche sich ein gewis- ser Stirling ein Patent genommen hat, und zwar sol- len Legirungen von der Zusammensetzung von RUPDIÉT- Sr. .66,22% oder 66,66%, PARU ERA PRE POLE 5 3 LL » 26,66 Hisenr en 00:66 » 6,66 99,99 99,98 vor den Kupferzinklegirungen den Vorzug haben, dass sie sich leichter drehen, feilen, lackiren und vergolden lassen, eine schünere Politur annehmen und steifen Draht geben. Analysen aber über wirkliche derartige Legirungen, die verarbeitet worden sind, kennt man noch nicht. In der Praxis kommen einige eisenhaltige Legirun- gen vor und zwar zu Gegenständen, die eine grosse Häürte besitzen müssen, wie zu Zapfenlagern; doch dann finden wir die verschiedensten Verhältnisse und das Eisen in denselben hüchstens bis zu 0,97, wäh- rend von den anderen Metallen bald Zink und Zinn, bald Zinn und Blei, bald Zink, Zion und Blei als Zu- sätze des Kupfers auftreten. Gmelin‘) theilt nur mit, dass Legirungen von Kup- fer mit Eisen schwer darzustellen sind, doch kann man 100 Theile Kupfer mit 1 bis 100 und mehr Theilen Stabeisen zusammenschmelzen. Dabeï nimmt die Intensität der Kupferfarbe zu, bis die Mengen gleich sind; je mehr aber die Menge des Eisens die des Kupfers übertrifft, desto blasser wird das Gemisch auf dem Bruch. Eine Legirung von 2 Kupfer mit 1 Eisen hat grosse Festigkeit, bei mehr Eisen nimmt 4) Gmelin. Handbuch der Chemie. 5te Auflage 1855. 1II. 458. 287 die Härte zu, aber die Festigkeit ab und der Bruch wird dann blättrig. Ferner führt Gmelin auf, dass nach früheren An- gaben das Kupfereisen grau, wenig dehnbar, streng- flüssiger als Kupfer und bei einem Gehalt von nur ‘/, Eisen magnetisch ist. Hier muss ich gleich erwähnen, dass die oben an- geführte Kupfereisenbronze durchaus nicht magnetisch ist. Gehen wir nun noch, um wieder zu antiken (e- genständen zurückzukommen, die 180 Analysen von Fellenberg durch, so finden wir in den meisten Spu- ren von Eisen aufgeführt, als zufällige Einmischung. In 3 Füällen treffen wir grüssere Quantitäten Eisen an, die man nicht dem Zufall zuschreiben kann, doch dann treten in diesen Bronzen zugleich noch Zinn und Blei auf. Bei einer Bronze N° 3, ein Messer,im Grunde des Genfersees bei Pierre à Niton bei Genf gefunden, finden wir ausser Kupfer nur noch Zinn und Eisen und zwar in folgendem Verhältniss: KUPIEr.......4e 87,97% Ain a 8:00 HSE. en ue de Wir sehen hieraus, so viel ich habe nachweisen kôünnen, wobei ich befürchte, etwas weitläufig ge- worden zu sein, dass weder in der neueren Litteratur uoch unter den bekannten Analysen antiker Bronzen eine derartige Legirung von Kupfer mit Eisen vor- kommt. Unsere Kenntnisse über die Legirungen des Kupfers mit dem Eisen sind noch durchaus unvoll- ständig, oder aufrichtiger gesagt, wir wissen nichts dar- über, Desto mehr muss uns eine derartige Legirung aus vorhistorischer Zeit nicht nur in Erstaunen setzen, sondern uns mit Bewunderung und Achtung für jene Vülker erfüllen. Die Darstellung einer solchen Legi- rung und ihre Verarbeitung kann gewiss keinem Zu- fall zugeschrieben werden, gewiss muss eine tiefere Ab- sicht und somit eine genaue Kenntniss des Eintlusses einer bestimmten Quantität Eisen aufs Kupfer damals unter jenem Volke verbreitet gewesen sein. Dieses ist ein Factum, das sich auf diese Analyse stützt, und desto auffallender und unerklärlicher ist, dass die Kenntniss und Anwendung derartiger Legirungen wie- der für Jahrtausende hindurch durchaus verschwindet. Nicht weniger auffallend ist es, dass unter den unter- Bulletin de l’Académie Impériale 2ss suchten antiken Bronzen aus der vorhistorischen Zeit nicht schon häufiger solche Zusammensetzungen ange- troffen worden sind. Oder gehôrte die Kentniss der Darstellung und Verarbeitung solcher Legirungen nur einem bestimmten Volke an und ist sie mit dem Un- tergange desselben auch verschwunden? Hiergegen spricht ein Factum, das ich anführen muss, näm- lich eine Mittheilung von Plinius*) und zwar folgende: «Aristonidas°) artifex cum exprimere vellet Athaman- tis furorem Learcho filio praecipitato residentem paenitentia, aes ferrumque miscuit ut robigine ejus per nitorem aeris relucente exprimeretur verecundiae rubor ; hoc signum exstat hodie Rhodi. Est in eadem urbe et ferreus Hercules quem fecit Alcon laborum dei patientia inductus.» Diese vereinzelt dastehende Thatsache von einem Kunstguss aus einer Mischung von Kupfer mit Eisen würde unglaubbar erscheinen, und dieses fühlte auch Plinius selbst, als er schrieb, und fügte deswegen, gleichsam als Bekräftigung der obigen Mittheilung, die folgende Thatsache der Figur des Herkules aus Eisen hinzu. Hôchst wahrscheinlich auch ein Guss, denn sonst wäre es schwer zu erklären, wie eine Bild- säule aus Eisen dargestellt sein sollte. Dass aber zu Plinius Zeiten noch Gegenstände aus Eisen, ausser Waffen und Werkzeugen, die geschmiedet werden konnten, zu einer Selteuheit gehürten, erse- hen wir am besten aus den folgenden Worten von Plinius: «Videmus et Romae scyphos e ferro dicatos in templo Martis Ultoris». Diese hier genannten Be- cher müssen gewiss etwas ganz Besonderes gewesen sein, sonst hätte es uns Plinius nicht mitgetheilt. Wir haben hiernach zwei Vôlker, die weit von ein- ander getrennt auftraten, kennen gelernt, die in der Kenntniss und Benutzung der Legirungen des Kup- fers mit dem Eisen auf einer gleichen Stufe der Ent- wickelung gewesen sein künnen und hierin selbst die Gegenwart übertrafen. Es findet aber noch ein ande- rer Zusammenhang zwischen unserem vorhistorischen Volke aus der Jenisei-Steppe und den Griechen statt, nämlich in der Zusammensetzung der Bronze, die zu 5) Hist. nat. 34. 14. 40. 6) Plinius schrieb um’s Jahr 60 nach Christo. Es wäre inter- essant, wenn nachgewiesen würde, wann der Künstler Aristonidas gelebt hat. Mir fehlen augenblicklich die dazu nôthigen Quellen. 289 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 290 ————————————————————————————————— Gegenständen, welche sich durch eine grüssere Härte und Festigkeit auszeichnen sollten, verarbeitet wurde. Bei beiden Vülkern bestand sie dann aus Kupfer mit Zinn, und zwar, wie es scheint, in dem Verhältniss von 90 Kupfer mit 10 Zinn. Ich glaube, diese Thatsachen mussten hervorgeho- ben werden, doch dieselben durch Schlüsse weiter zu verfolgen, liegt ausserhalb meiner Gränzen, die muss ich dem Historiker von Fach überlassen, Ich kann our den Wunsch und die Hoffnung aussprechen, durch fernere Analysen noch mehr Facta über solche Kup- fereisenlegirungen an den Tag zu fordern, doch hierzu muss ich von anderen Seiten her die erforderliche Un- terstützung finden. Hiernach wünsche ich, dass diese erste Mittheilung über antike Bronzen aus dem russischen Reiche, als der Anfang fortlaufender Untersuchungen aufgenom- men werden môüchte, die sich an die interessanten Ar- beiten von Fellenberg anschliessen sollen, um so den Osten mit dem Westen auf diesem Gebiet von Unter- suchungen zu verbinden. Zugleich aber halte ich es für nothwendig, hervorzuheben, dass diese Untersu- chungen sich nicht ausschliesslich mit den sogenann- ten antiken Bronzen beschäftigen sollen, sondern auch mit allen anderen Metallen, die mit diesen zugleich gefunden werden, so namentlich mit den Gegenstän- den aus Gold und Silber, zumal da solche Untersu- chungen durch die grosse Vervollkomnung der Pro- birmethoden mit kleinen Quantitäten ausgeführt wer- den künnen. Damit aber dieser Wunsch erreicht wer- den kann, muss ein nur schwer zu bewältigendes Vorurtheil beseitigt werden, nämlich dasjenige, das wir beim eifrigen Sammler antiker Sachen finden und das darin besteht, dass er sich nur schwer entschliesst, aus der Sammlung etwas zur chemischen Analyse zu opfern, indem ihm der grüsste Werth in dem Aufbe- wahren des Gegenstandes liegt; während der Chemi- ker, wo er nur kann, auch durch die Analyse eine noch tiefere Kenntniss des Gegenstandes sich zu ver- schaffen bestrebt ist und sich mit dem äusseren Bilde und Glanze nicht begnügt. Ob aber dieser hierdurch zu einer tieferen Einsicht und zu weiteren Schlüssen kôümmt, muss die Zukunft entscheiden, denn derartige Untersuchungen werden erst jetzt in der Ausdehnung unternommen, wie sie es verdienen. Tome IX. Die Entwickelungsgeschichte des Bothriocepha- lus proboscideus (B. salmonis Kôlliker’s), als Beitrag zur Embryologie des Bothriocephalus latus, von Dr. I. Knoch. (Lu le 5 octobre 1865). Die nächste Veranlassung zu diesen Untersuchun- gen gaben die von Külliker bereits 1843 angestellten, Jedoch nicht zu Ende geführten Studien am Embryo und den Eïern des von ihm so genannten Bothrioce- phalus salmonis (Siehe J. Müller’s Archiv). Es musste mich besonders deshalb interessiren, diese Studien Kôlliker’s von neuem aufzunehmen und zu ergänzen, da ich bei meinen Beobachtungen betreffend die Ent- wickelung des Embryos vom Dibothrium latum un- geachtet mancher Übereinstimmung in der embryo- nalen Entwickelung doch wesentliche Verschiedenhei- ten gefunden habe. Zunächst musste der Umstand aufallen, dass, während die vom Bothriocephalus latus abgeschiedenen Eier nie den Embryo zeigen, der sich in ihnen erst nach Monaten entwickelt, die des Both- riocephalus proboscideus schon in dem Fruchthälter deutlich ausgebildete und bewaffnete Embryonen ent- halten. Ferner musste die Angabe Kôlliker’s, als wenn die Dotterzellen «in eine peripherische und cen- trale Schicht zerfallen», von denen letztere allein den sechshakigen Embryo bilden soll, meine besondere Aufmerksamkeit auf sich lenken, da ich an dem Em- bryo des Dibothrium latum keineswegs diese strenge Scheidung in eine centrale (embryonale) und peripheri- sche Schicht entdecken konnte. Dieses musste mir um so mehr auffallen, als Külliker selbst zugiebt, dass er das fernere Schicksal der peripheren Schicht nicht weiter verfolgen konnte, wobei er jedoch meint, dass sie mit der Zeit resorbirt werde, während Leuckart dagegen, gestütztauf Schubart’s und meine Beobach- tungen am Embryo des Dibothrium latum, die er und Bertolus später bestätigten, es für wahrscheinlich hält, dass jene periphere Schicht sich mit Flimmerhaa- ren bedeckt und eine Hülle darstellt, mit deren Hülfe der Embryo nach dem Ausschlüpfen eine Zeit lang frei im Wasser umherschwimmt. Folgende Mitthei- lungen mügen den Beweis liefern, ob und in wie weit die Annahmen jener verdienstvollen Forscher durch meine.directen Beobachtungen ihre Bestätigung fin- den. — Bei diesem Berichte der gewonnenen Ergeb- nisse werde ich zugleich die günstige Gelegenheit be- 19 291 Bulletin de l’Académie Empériale 29? ——— nutzen, die von der Pariser Akademie der Wissenschaf- ten gestellte Frage'): «si l'embryon (Dibothrii lati) se change directement en Bothriocéphale adulte, ou si, pour arriver à ce dernier état, il ne subit pas d’autres métamorphoses» durch neue Untersuchungen zugleich auch an andern Bothriocephalen zu beantworten, wo- bei auch die Annahme van Beneden’s: dass manche Bandwürmer schon in der Scolexform *) die Eier ver- liessen, gelegentlich Berücksichtigung finden soll. Indem ich hier zunächst mit der Beschreibung der Eier im Dotterzustande, und mit den Embryonen, beginne, wie man sie in den weiblichen Geschlechts- organen des Dibothrium proboscideum antrifft, will ich von vorn herein bemerken, dass ich nur in eini- gen, jedoch nicht in allen Beziehungen den von Kôl- liker gewonnenen Ergebnissen beistimmen kann, zu denen ich neue Thatsachen hinzuzufügen im Stande bin. Besonders weichen meine Untersuchungen von denen Kôülliker’s in Betreff der Entwickelungsweïse des Embryos und der Form seiner 6 Häkchen imso- fern wesentlich ab, als er den Embryo nur aus dem centralen Theil des Dotters entstehen lässt, der gleich- sam in einer beträchtlichen, ihn allseitig umhüllenden peripherischen Dotterschicht ruhen soll. In dem Darminhalte der in unsern Gewässern vor- kommenden Salmonen, deren constanter Schmarotzer der Bothriocephalus proboscideus ist, sind die Eier die- ses Parasiten nicht nachzuweisen, wiewohl man gerade da am ehesten ihre Gegenwart voraussetzen sollte, da gerade das geschlechtsreife hintere Ende dieser Cestoden in das Lumen des Darms hineinragt, wäh- rend sie mit ihrem übrigen Kôürper die processus py- lorici vollständig ausfüllen und sich mit ihren Saug- näpfen am blinden Ende derselben angesogen haben. In dem Darme selbst trifft man diese Parasiten in den verschiedensten Graden ihrer Entwickelung an; die kleinsten Exemplare derselben, die ich auffinden konn- te, näherten sich in ibrer Form am meisten den Di- bothrien-Scolices ; sie hatten nur die Grüsse eines Punk- tes bis zu der von etwa 2 Linien und liessen hinter dem sogenannten Kopfe entweder gar keine Segmente (Fig. 13), oder nur einige, bis 16 Segmente erkennen *). 1) In den Comptes rendus vom 30. Januar 1865. 2) Siehe pag. 188 in dem Parasiten- Werke Leuckart’s vom Jahre 1863. 3) Ausser jenem in Fig. 13 dargestellten Befunde, der, wie wir Der sogenannte Hals geht ihnen bekanntlich ganz ab. Von diesen Entwickelungsstadien an konnte ich die jungen Bothriocephali von sehr verschiedener Länge bis zur vollständigen Geschlechtsreife auffinden; die letzteren waren von etwa 2—4 Zoll Länge und mehr, jedoch nie, wie Diesing irrthümlich angiebt, von der bedeutenden Länge von 2 und sogar noch mehr Fuss *). In Betreff der Lebensdauer dieser Parasiten nach dem Todeihres Wohnthieres kann ich hier noch hinzufügen, dass sie einen bis 2 Tage während der heiïssen Juli- tage, nachdem die Wohnthiere abgestorben waren, noch lebhafte Contractionen des Kürpers zeigten, sobald ich sie in’s Wasser setzte. Bald darauf büssten sie in Folge der Wasser-Imbibition anschwellend ihr Leben ein. — Was den Namen dieses Parasiten anbetrifft, so werde ich mich im Folgenden der Bezeichnung Bothrio- cephalus proboscideus bedienen, da die andern Syno- nyma, wie z.B. Taenia salmonis Mülleri, oder Bothrio- cephalus salmonis Küllikeri dem heutigen Standpunkte der Wissenschaft kaum entsprechen dürften. Im Einklange mit den Beobachtungen Kôülliker’s fand ich, dass die schmäleren, d.i. noch mit dem fein- kürnigen Dotter erfüllten Eier eine homogene helle un- gefärbte Eierschale mit doppelten Contouren besitzen, ganz wie ich es früher von den Eischalen des Dibo- thrium latum dargethan habe. Einen Deckelapparat, wie ich ihn an den Eiern des letzteren constatiren konnte, habe ich ungeachtet vielen Forschens eben so wenig, als Külliker auffinden künnen; dagegen besitzen auch sie, gleich wie die Eier des Dibothrium latum an einem Pole einen knopfirmigen Aufsatz (s. Fig. 1 und 6), der Küllikern ganz entgangen ist, und sich zuweilen, wie es die Figur 2 und «a Fig. 3 zeigen, zum Theil, oder auch ganz abhebt. Dass die- ser Aufsatz bei den Eiern des Bothriocephalus probos- cideus die Function des Deckelapparates übernimmt, d. i. wie bei den Kiern des Dibothrium latum etwa zum Durchtritt des bewafineten Embryos dient, ist, ganz abgesehen von der Kleinheit dieses Aufsatzes, schon deshalb unwahrscheinlich, als er bei den Eiern des letzteren Parasiten gleichzeitig ausser dem Deckel- später sehen werden, von besonderer Wichtigkeit ist, stelle ich in Fig. 14 noch ein ferneres Entwickelungsstadium dar, das etwas grôs- ser ist und nur 3—4 Segmente erkennen lässt. 4) Es heisst in Diesing’s Systema Helminthum wèrtlich: «Lon- gitudo 1—2/ et ultra», 293 apparat am entgegengesetzten Eipole existirt. Dass auch die grüssten Eier, d. i. die mit dem bereits entwickelten Embryo, zugleich doppelt contourirte Eikapseln besitzen, wie es Külliker loco citato in in der Fig. 54 darstellt, davon konnte ich mich keines- wegs überzeugen. Im Gegentheil schien es mir, als wenn in diesem Entwickelungsstadium die Eischalen weit dünner, nur einfach contourirt wären, was, wie wir später sehen werden, gleich wie das leichte Abfal- len des Knopfaufsatzes, das Freiwerden des unbewim- perten Embryos wesentlich erleichtern dürfte — ein Umstand, der desto mehr an Bedeutung gewinnen dürfte, als diese Eier, wie wir bereits gesehen haben, keinen Deckelapparat besitzen. Die Form der Eier ist je nach dem Entwickelungs- grade eine verschiedene. Die am wenigsten entwickel- ten Eier, die mit dem feinkôürnigen dunklen Dotter erfüllt sind, nähern sich am meisten der Form eines Cylinders oder einer Walze (s. Fig. 1 und 2), zu- weilen an einer Seitenfläche eine seichte Einsenkung zeigend”) (s. b Fig. 4). Je mehr die Zellenbildung des Dotters vor sich geht, desto mehr nehmen die Eier die ovale oder Eiform an. Am meisten nehmen die Eier mit der Entwickelung der Embryonen an Breite zu, wie es deutlich aus folgenden Messungen . erhellt: Länge des Eiïes mit dem Embryo. 0,19 Millim. Breite desselben Eies OST D Länge des Embryos . MO dt Breite desselben . : 01275 Vergleichen wir diese Maasse des reifen Embryo- eies mit den Eiern, die nur den feinkôrnigen Dotter oder die Dotterzellen zeigen, deren Länge nur 0,15 Mm. und deren Breite 0,10 Mm. beträgt, so über- zeugen Wir uns, dass die Eier in den verschiedenen Entwickelungsphasen des Dotters und Embryos von verschiedener Grüsse sind, was zugleich aus den von Külliker gelieferten Zeichnungen hervorgeht. Wie bei den Eiern des Dibothrium latum, habe ich mich auch bei dem PBothriocephalus proboscideus von eini- gen Anomalien in der Form seiner Eier überzeugen künnen. Namentlich trifft man Formen an, wie ich sie in a, bu. c der Figur 3 und a Fig. 4 versinnlicht habe, 5) Ausser dem Dotter in einer Ausstülpung bei « derselben Fig. 4. des Sciences de Saint-Pétersbourg. 294 und von den sich entwickelnden Eiern stiess ich auf Figur 5, deren Eischale besonders an den Polen sehr dick war. Nach diesen die Form und die Grôsse der Eier des Dibothrium proboscideum betreffenden Betrachtungen gehe ich zu dem Dotter derselben, seinen Eutwicke- lungsprocessen und dem Endprodukt derselben — dem Embryo über. Bereits Külliker hat diese Veränderun- gen des Dotters berücksichtigt und in seinen Zeichnun- gen versinnlicht. Ich kann ihm jedoch nur in Betreff der. ersten Entwickelungsstadien des Embryos bei- pflichten. Man sieht nämlich die unausgebildeten Eier gleichmässig mit einem grobkürnigen dunklen Dotter erfüllt, dessen Molekeln das Keimbläschen anfangs nicht so deutlich hervortreten lassen, als es Kôlliker in der Figur 45 darstellt. Erst nach dem Zerfallen des Keimbläschens in mehrere Zellen sieht man dieselben als scharfbegrenzte, elliptische, dünnwandige Bläschen mit einem stark das Licht brechenden Kerne auftre- ten, entweder im Innern des helleren Dottertheils, oder am Rande desselben, zwischen ihm und der Ei- schale, wie Fig. 7 zeigt. Den Dotter habe ich zuwei- len, aber selten zu unregelmässigen Kürnerhaufen gruppirt angetroffen, so dass man etwa das Bild ge- wiunt, wie es die Fig. 2 darstellt. Beginnt die Ent- wickelung der Dotterzellen ‘), und zwar auf Kosten des dunkleren Dotters, so wird der Inhalt des Eies immer lichter und heller ‘), indem man die zarten Dotterzellen anfangs, wenn sie noch spärlich sind, deutlich (Fig. 7), später aber, wenn sie zahlreicher und durch stete Theïlung kleiner werden, als solche kaum noch erkennen kann, und man sieht dann nur noch an der Peripherie des Eies den feinkürnigen Dotter angehäuft, während der centrale Theil (sieh Fig. 8) einen helleren Raum unterscheiden lässt, er- füllt mit den schwach begrenzten Dotterzellen. Geht die Entwickelung der letzteren noch weiter, so ist entweder der grüsste Theil des Eiraums bis auf den einen dunkel granulirten Poltheil mit jener helleren, unbestimmt gezeichneten hellgelben Masse erfüllt (Fig. 8), während an dem andern Pole noch ein ver- schieden grosser Dotterrest wahrgenommen wird; 6) Schün ausgebildet fand ich eine solche Zelle frei im Wasser liegen, wohl in Folge eines geborstenen Eies. 7) Zu welcher Übergangsstufe wohl auch jenes Entwickelungs- stadium zu zäblen ist, das ich in Fig. G versinnlicht habe. 19% 295 Bulletin de l’Académie Empériale 296 oder letzterer ist gänzlich geschwunden, und man sieht das ganze Ei von einer kugeligen lichtgelben Masse gleichmässig ausgefüllt, in welchem Entwicke- lungsstadium des Dotters zugleich das ganze Ei an Umfang zugenommen hat. Dieses Stadium ist das Übergangsstadium des Dotters zum Embryo°), in dem man bei oberflächlicher Einstellung des Objects an der Peripherie, gleich unter der Eischale, mehr gleich- mässig zerstreute, das Licht stärker brechende kugel- férmige Molekeln wahrnimmt (Fig. 10). So lange die 6 Häkchen noch nicht ausgebildet sind, ist es schwer zu entscheiden, ob man es bereits schon mit dem Em- bryo oder mit jenem so eben beschriebenen letzten Entwickelungsstadium des Dotters zu thun hat, da die Embryobegrenzung nicht leicht von der periphe- ren Dotterschicht zu unterscheiden ist, und ich nicht, wie es Külliker gesehen haben will, eine peri- pherische Schicht des Embryos beobachten konnte, wie ich sie als Umhüllungslage bei den Embryonen des Dibothrium latum dargethan habe. Und wenn man in der That ausserhalb des vollständig ausgebildeten Embryos zwischen dessen Obertläche und der Eischale den Dotter findet (Fig. 9), so sind es nur einzelne Dotterreste, die an einem der Pole sich zu einem Dot- terhaufen gruppirt haben. Meist sah ich den Embryo das Ei grossentheils ganz ausfüllen (sieh Fig. 9), was namentlich dann der Fall war, wenn ich den Embryo in der Eischale unter dem Deckglase in Gly- cerin aufbewahrte, wobei nur ein schmaler Raum leer zwischen dem Embryo und der Eischale zurückblieb. Zuweilen legte sich die Oberfläche des Embryos viel- fach in Falten, wie man es in der Fig. 10 deutlich sieht, die noch nicht die Embryo - Häkchen erken- nen liess. Der ausgebildete Embryo des Bothrioce- phalus proboscideus besitzt nicht, wie es Leuckart unrichtig voraussetzt, und es bei dem des Dibo- thrium latum der Fall ist, eine Ümhüllungslage, um- kleidet von einer Wimpernhaut; ja selbst die peri- pherische Schicht, von der Kôlliker irrthümlich spricht, und die er in der Fig. 54 darstellt, geht die- sem Embryo entschieden ab. Das Einzige, was ich anstatt derselben constatiren konnte, war eine An- sammlung der Dotterreste an einem der Eipole zwi- schen letzterem und dem rundlichen Embryo (sich 8) Dessen Grüssenverhältnisse ich bereits früher angegeben habe. Fig. 12). Es kann hier also weder von einer Resorp- tion jener peripherischen Schicht die Rede sein, wie es Külliker annahm, noch viel weniger von der Bil- dung einer mit Cilienhaaren bedeckten Haut, die Leu- ckart zufolge meiner und den von ihm am Embryo des Dibothrium latum bestätigten Beobachtungen als wahr- scheinlich voraussetzt. — Was den Pau des Embryos Bothriocephali proboscidei betrifft, so verweise ich auf das, was ich früher von dem des Dibothrium latum gesagt habe. Kôülliker hat ihn in seiner Fig. 54 fein punktirt dargestellt, während es mir schien, als ob man eine zarte zellige Structur wahrnehmen künne. Die Begren- zung dieses Embryos besteht aus einer zarten Membran, wie es auch bei dem Embryo des Dibothrium latum der Fall ist, dessen äussere Haut, d. i. dessen Wimpern- kleid allein aus einer festen Haut besteht. In Betreff der Häkchenform des Embryos Bothriocephali probos- cidei weichen meine Beobachtungen von denen K ülli- ker’s ab. Letzterer stellt sie ganz sichelformig dar, wobei der Stiel nur ebenso lang ist, als die sogenannte Kralle (sieh seine Fig. 54). Einen Dornfortsatz haben die Häkchen zufolge dieser Zeichnung fast gar nicht. Im Eïinklange mit dem, was ich von den Häkchen der Embryonen des Dibothrium latum früher geschil- dert, fand ich auch bei den Embryonen Bothriocephali proboscidei, dass ihre Häkchen paarweise zu 3 Grup- pen gelagert sind, und zwar auch hier mit den stum- pfen Enden (Stielen) convergirend und gleichsam nach einem Centrum bin gerichtet, während die entgegen- gesetzten, zugespitzten Enden (Krallen) divergirend auseinander treten. Die Länge dieser beiden Theile zusammen, d. i. die der Häkchen überhaupt beträgt 0,0180 Mm., von denen der Stiel nicht ebenso lang, als die Kralle (0,0036 Mm.)ist, wie Kôlliker unrich- tig das Verhältniss darstellt, sondern wenigstens 3 Mal so lang, als letztere, nämlich 0,0144 Mm. Der Stiel verläuft ganz gerade, während die Fortsetzung desselben, die Kralle, eine Sichel, ganz wie bei den Häkchen vom Embryo des Dibothrium latum dar- stellt”). Von der Vereinigungsstelle beider Theile sieht 9) Der Rücken derselben ist nur schwach gewülbt und bildet mit dem Dorn fast einen rechten Winkel. In der Fig. 56 hat Kül- liker eins der Häkchen bis auf den zu starken Dorn, und das Län- gen-Verhältniss zwischen Stiel und der Kralle richtig dargestellt. Leider stand mir bei Abfassung meiner Arbeit der Aufsatz Kôlli- kers nicht zu Gebote, weshalb ich mich genôthigt sah, mich auf 297 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 298 man deutlich einen Querfortsatz ausgehen, der bei den Embryonen des Bothriocephalus proboscideus noch stärker entwickelt und länger ist, als bei denen des Dibothrium latum und an der freien Spitze sich nach der Kralle hin etwas umbiegt (sieh Fig. 11). Die paarweise gruppirten Häkchen liegen stets parallel neben einander. Die Zahl derselben beläuft sich auch hier, wie bei dem Dibothrium latum und den Taenien- Embryonen überhaupt auf 6: nur einmal fand ich aus- nahmsweise einen Embryo mit 7 Häkchen, von denen in einer seitlichen Gruppe anstatt zwei drei gruppirt waren. Eine Bewegung dieser Häkchenpaare zu ein- ander, so dass die Krallen sich etwa näherten, wie es bei den Embryonen des Dibothrium latum im Ki der Fall ist, konnte ich nicht wahrnehmen, eben so wenig als irgend eine active Bewegung der Embryonen, wie- wohl das Vorhandensein der Häkchen doch unzwei- felhaft für die Reife derselben sprach. — In Betreft der Form des Embryos Pothriocephali proboscidei ist zu bemerken, dass Kôülliker ihn eiférmig, ja conisch dargestellt hat") (sich dessen Fig. 54). Ich dagegen fand, dass der Embryo entsprechend dem des Dibo- thrium latum entweder von mehr runder Form gleich dem Dotterzellenhaufen ist l'), sobald das Ei nicht ganz von ihm erfüllt ist, oder meist elliptisch gestal- tet erscheint, wenn die Eikapsel fast ganz von dem Embryo, oder von den hellen Dotterzellen ausgefüllt wurde (sieh die Figuren 12 und 9). Am Schlusse unserer Betrachtungen der Eier des Bothriocephalus proboscideus sei es mir noch gestattet, die Frage zu beantworten: wie wird der Embryo frei, d. i. auf welche Weise tritt er aus der Eïkapsel, und wie gelangt er bebufs seiner weiteren Entwickelung zum Scolex in sein zukünftiges Wohnthier? Ich habe be- reits früher erwähnt, dass man bei diesen Embryonen weder ein Wimpernkleid, noch Bewegungen derselben mit ihren Häkchen constatiren künne, so dass sie in den Eikapseln ohne alle Zeichen des Lebens erschei- nen. Ferner sahen wir, dass je grüsser, und somit je die Copien seiner Abbildungen zu berufen, wie sie Leuckart bis auf die Figur 56 in seinem Parasiten- Werke pag. 188 liefert. 10) Und zwar sollen nach ihm die 3 Häkchenpaare gruppen- weise in dem breiteren Theile des Embryos gelagert sein. 11) Welche Form ich in einer auffallend grossen Eikapsel an- traf, deren Länge 0,27 Mm. und deren Breite 0,21 Mm. betrug; in dem leeren Raume zwischen der Kikapsel und der Dotterzellenku- gel lagen nur zerstreut einzelne Dottermolekeln. reifer das Ei wird, d. i. je mehr sich der Embryo in demselben ausbildet, seine Eihaut desto dünner und zarter wird, und nicht mehr, wie die Eier im Dotter- zustande doppelte Contouren derselben zeigt. Endlich habe ich nachgewiesen, dass die Eier auch dieses bothriocephalen Cestoden mit einem knopffrmigen Auf- satz versehen sind, der mit der Reïife der Eier deut- licher hervortritt, und alsdann nicht selten mehr oder weniger abgehoben erscheint. Zugleich überzeugten mich die Beobachtungen an den Eiern des Bothrioce- phalus proboscideus, die ich im Wasser entweder frei, oder noch in den Proglottiden aufbewahrte, dass sie sich in diesem Vehikel keineswegs so gut wie die des Dibothrium latum erhielten, noch viel weniger sich wei- ter entwickelten, so dass ich mich trotz der günstigen Resultate, die ich vermittelst dieser Aufbewahrungs- Methode bei letzterem Cestoden erzielte, genüthigt sah, in Betreff des Dibothrium proboscideum von die- sem Verfahren abzustehen. — Alle diese Beobachtun- gen und Erfahrungen sprechen entschieden dafür, dass die Embryonen dieses Cestoden bestimmt sind unter anderen Verhältnissen und in anderen Medien als im Wasser sich zu entwickeln, ferner dass sie auf andern Wegen und auf mehr passive Weise, als der bewim- perte Embryo des Dibothrium latum zum neuen Wohn- thier gelangen. Da ferner am Embryo des Bothrioce- phalus proboscideus im Eizustande keine activen Be- wegungen weder von mir, noch von Kôülliker wahr- genommen wurden, ja selbst nicht einmal in Betreff der Häkchen, und die Eier dieses Cestoden den Deckel- apparat entbehren, dürfte wohl der Schluss gerechtfer- tigt erscheinen, dass die Embryonen dieses Parasiten noch im Eizustande in den Darm des zukünfti- gen Wohnthieres gelangen und dort durch die verdauende Kraft des Magen- und Darmsaftes von ihren Eihüllen frei werden. Diese Annahme ist um so wahrscheinlicher, als die Eïhäute, die den Embryo einschliessen, weit zartwandiger, als die des Dibothrium latum, ja nur einfach contourirt sind, and sich der knopfl‘rmige Aufsatz mit der Reiïfe des Embryos mehr lockert und leicht abfällt, demnach der Austritt des Embryos aus der Eikapsel wesentlich erleichtert wird *). Und wenn ich im Darmschleime 12) Alle diese Momente verdienen um so mehr Berücksichtigung, als ich durch künstliche Verdauungsversuche, betreffend die Eischa- len des Dibothrium latum, mich überzeugte, dass sie als eine Chi- 299 Bulletin de l’Académie Empériale 300 0 und in den Pylorus-Fortsätzen des Lachses ausser dem Echinorhynchus nur die Scolices und nicht die Em- bryonen und Eier des Bothriocephalus proboscideus nachweisen konnte, so ist die Ursache des Nichtfin- dens derselben wohl einzig und allein in der allzu grossen Schwierigkeit zu suchen, und zwar um s0 mehr, als ich erst nach langem und vergeblichem Su- chen so glücklich war, endlich die kleinsten Scolices dieses Parasiten zu finden *). Die kleinsten dieser Exemplare, die ich als nur aus dem Kopf bestehend (sieh Fig. 13) ‘) nachzuweisen im Stande war, wa- ren als weisse Puncte dem blossen Auge noch so eben erkennbar. Leichter ist es die weiteren Entwicke- lungsstadien der jungen Bothriocephali proboscidei zu ermitteln, wie z. B. die mit bereits beginnender Seg- mentation und den ersten Anlagen der Proglottiden. So fand ich bereits mehrere Exemplare mit 3—5 Segmenten oder sich entwickelnden Gliedern (Fig. 14), während die mit 10—15 und mehr Proglottiden nicht mehr zu den seltenen Vorkommnissen gehüren. Dass man ausser den zahllosen geschlechtsreifen Exem- plaren besonders bei älteren oder, grüsseren Lachsen noch die unausgebildeten Parasiten nicht weniger häu- fig bei den jüngeren Salmonen nachweisen kann, be- darf wohl kaum noch der Erwähnung. Wir fanden einerseits den reifen Embryo in den Eiern der Fruchthälter, andererseits die wenig ausgebil- deten Scolices in dem Darmschleim, nie jedoch in den Eiern selbst, wie van Beneden irrthümlich angiebt. Ganz zu denselben Resultaten war ich in Betreff der Embryonen und Scolices Dibothrü lati gelangt. Auf die- selben gestützt, fühle ich mich veranlasst, wenigstens in Betreff der bothriocephalen Cestoden, die Angabe van Beneden’s: «dass manche Bandwürmer schon in der Scolexform die Eier verliessen» ‘) entschieden zurückzuweisen. Nicht so leicht, als die Widerlegung der unrichtigen Angabe van Beneden’s dürfte die tinsubstanz in dem Magen- und Darmsaft nicht aufgelüst werden, was wegen der Existenz des Deckelapparates von keinem Belang ist. 13) Wobei ich besonders hervorheben muss, dass das Finden der Embryonen oder Eier ja lediglich von einem glücklichen Zufalle abhängt, und zwar nur dann gelingen dürfte, wenn der zu unter- suchende Lachs vor kurzem die Proglottiden des Bothriocephalus proboscideus gefressen hat, da die Scolices dieses Parasiten sich nicht aus den Entozoeneiern desselben Wohnthieres entwickeln. 14) Gerade diese Exemplare haben für uns, wie wir später sehen werden, ein besonderes Interesse. 15) Siehe Leuckarts Parasiten-Werk pag. 188. Erledigung der von der Pariser Akademie gestellten Frage sein: ob nämlich der Embryo des Dibothrium latum sich direct zum reifen Individuum ausbildet, oder ob er, bevor er zum geschlechtsreifen Bothrio- cephalus wird, erst noch besondere Metamorphosen eingeht? — Wiewohl die Resultate meiner bisherigen Experimente, die ich mit den Embryonen des Dibo- thrium latum am Hund anstellte, zur Beantwortung die- ser Frage ausreichen dürften, liess ich es mir den- noch angelegen sein, ausser diesen und den Bothrio- cephalus proboscideus betrefienden Ergebnissen noch mit dessen Eiern und Proglottiden Fütterungsversuche anzustellen, und zwar diesmal nicht zugleich bei Säu- gethieren (dem Hunde "), wie früher in Betreff des Di- bothrium latum, sondern an Fischen, da ja bei ihnen — den Salmonen — schon die geschlechtsreifen Individuen des Bothriocephalus proboscideus vorkommen. Es fragt sich bei diesen Experimenten nur, welche Fische zu diesem Zwecke wohl die geeignetsten sein dürften, da meine, und besonders Leuckart’s Fütterungsver- suche mit Mosler zur Genüge dargethan haben, dass die glückliche Auswahl des Versuchsthieres von we- sentlichem Belang zum Gelingen des Experiments sind. Ich liess mich in der Wah] des Versuchsthieres durch folgende Erfahrungen bestimmen: 1) durch den Umstand, dass der Bothriocephalus proboscideus sowohl im Scolex, als auch im geschlechtsreifen Zustande gewôhnlich bei carnivoren Fischen angetroffen wird, und 2) durch die frühere Beobachtung eines sehr Jun- gen Exemplars dieses Parasiten im Darm des Stich- lings (Gasterosteus aculeatus). — Ich benutzte des- halb diese Species und den Gasterosteus pungitius zu diesen Versuchen, indem ich diese Fische in einem Aquarium hielt, in das ich kleine Stücke von den ge- schlechtsreifen Gliedern des Bothriocephalus probosci- deus fallen liess, den ich entweder so eben aus dem Darm des Lachses genommen, oder einige Zeit in Ei- weiss aufbewahrt hatte. Die Fütterungen dieser ge- frässigen Carnivoren setzte ich mehrere Tage auf die so eben angegebene Art fort. Wenn auch viele besonders der grossen und älteren Gasterostei bald 16) An welchem Thiere ich auch später und noch vor kurzem diese Experimente angestellt habe, von denen ich die interessanten Ergebnisse der Sectionen bereits in meinem Referate über die neu- esten Fortschritte auf dem Gebiete der Helminthologie niedergelegt habe, weshalb ich auf das Militär-medicinische Journal (Juni-, Juli- und September-Heft) von diesem Jahre verweise. des Sciences de Saint-Pétersbourg. 30? oo zu Grunde gingen, so gelang es mir dennoch die an- dern 3—4 Tage mit den Proglottiden dieses Parasiten zu füttern. Die leider bald nach der ersten Fütterung krepirten Exemplare zeigten ausser dem ÆEchinorhyn- chus angustatus im Darm,und dem Bothriocephalus soli- dus in der Bauchhôhle, so wie den Dibothrien-Solices in Kapseln der Leber — keine Spur von dem Bofthrioce- phalus proboscideus. Dasselbe gilt auch von den Ver- suchsthieren, die 3 Tage während der Fütterung am Leben blieben, bei denen ich auch nur die bereits erwähnten Parasiten auffinden konnte. Bei einem etwa 5 Tage nach der ersten Fütterung am Leben geblie- benen Gasterosteus aculeatus konnte ich im Darmcanal our die Gegenwart von Ascaris gasterostei"") Diesing sowohl des Männchens, als auch des an Grüsse be- trächtlicheren Weibchens ermitteln, von dem die dickschaaligen Eier mit deren Dotterkugeln zahlreich abgingen. Das letzte Versuchsthier blieb zu meiner Freude sogar 23 Tage nach der ersten Fütterung am Leben, die ich in den folgenden Tagen mehrmals wie- derholte. Bei der Untersuchung dieses Gasterosteus aculeatus, die ich genau anstellte, fand ich in der Bauchhôhle in der Nähe der Leber einen Dibothrien- Scolex, etwa 4 Linien lang, der nur geringe Zeichen des Lebens darbot. Im Darm jedoch, den ich Stelle für Stelle vom Magen bis zum After unter dem Mi- kroskope durchmusterte, war ich nirgends im Stande in der Weise, wie früher den Scolex *) als junges Exemplar des Pothriocephalus proboscideus nachzuwei- sen. Gegen die Annahme, dass jener Dibothrien-Sco- lex aus der Bauchhôühle des Stichlings, den ich /oco citato in den Figuren 24 und 25 dargestellt habe, môglicherweise der Scolex des Bothriocephalus probos- cideus sei — sprechen entschieden meine bisherigen Erfahrungen, vor allem aber die Verschiedenheit im Bau des Kopfes, was loco citato besonders aus einem Vergleiche der Figuren 24 und 37 der Tafel I und IT erhellt. Da diese Scolices bisher noch nicht näher beschrieben sind und keinen besonderen Namen füh- ren, will ich sie ihres Vorkommens wegen bei den Stichlingen Dibothrien-Solices Gasterostei nennen. 17) Welche noch nicht genauer bezeichnete Species ich mit dem Namen Aseuris agilis bezeichen môchte. 18) Sieh Fig. 84. b Tafel IT in meiner Abhandlung: «Die Natur- geschichte des Bothriocephalus latus» in den Mémoires de l’Acadé- mie Impériale des sciences, VIlme Série. Sind die Ergebnisse unserer Fütterungsversuche bei den Stichlingen in Betreff der Dibothrien eher ne- gativer als positiver Natur, so muss ich hiebei zu- gleich besonders hervorheben, dass es mir diesmal bei den Stichlingen trotz ihrer sonst so grossen Ge- frässigkeit und der oft wiederholten Fütterung mit den Proglottiden des Bothriocephalus proboscideus, die ich zerstückelt im Aquarium langsam zu Boden fallen liess, nie gelungen ist, zu beobachten, dass diese Versuchs- thiere die Stücke während ihres Sinkens aufgefangen oder hinuntergeschluckt hätten ”). Dem entsprechend konnte ich bei den bald nach der ersten Fütterung abgestorbenen Stichlingen weder die Eier, noch die Embryonen mit den Proglottiden des Bothriocephalus proboscideus in deren Darm constatiren, wie es mir früher bei ähnlichen Fütterungen mit den Eïern und Embryonen des Dibothrium latum bei denselben Ver- suchsthieren môüglich war. Ich gehe jetzt zur Beantwortung der von der Pari- ser Akademie der Wissenschaften gestellten Frage über. Sie besteht darin, zu erfahren: si embryon se change directement en Bothriocéphale adulte, ou si, pour arriver à ce dernier état, il ne subit pas d’autres métamorphoses? — Mit Recht hebt jene gelehrte Ge- sellschaft diese Frage besonders hervor und stellt sie als Cardinalfrage in den Vordergrund. Dass auch ich in meiner Abhandlung, die die Pariser Akademie ei- ner «mention honorable» gewürdigt, die Wichtigkeit dieser Hauptfrage erkannt und eingehend durch die mannigfaltigsten Experimente zu beantworten be- strebt gewesen bin, wird aus Folgendem zur Genüge erhellen. Zufolge der Erfahrungen, die wir in Betreff der Entwickelung der meisten Taenienarten — ihrer Cy- sticercenbildung in den verschieäensten Kürperorga- nen gewonnen haben, sind wir per analogiam zu- nächst zu der Voraussetzung berechtigt, dass auch bei den Bothriocephalen-Cestoden ein selbstständiges den Cysticercen ähnliches Entwickelungsstadium in den verschiedenen Organen des Wohnthieres statt habe. In der That finden wir dem entsprechend auch bei vielen Fischen, insbesondere aber bei den meisten 19) Auch selbst dann konnte ich mich vom Verschlucken der zerstückelten Proglottiden nicht überzeugen, als die Stichlinge mit ihren Flossen bei starken Kürperbewegungen die bereits zu Boden gefallenen Wurmstücke wieder indie Hühe fächelten und im Wasser umherschwimmen liessen. Bulletin de l’Académie Impériale 304 EEE Salmonen — Salmo fario und S. hucho, ferner beim Coregonus albula, Osmerus eperlanus und endlich bei den Gasterosteis und den Barschen encystirte oder freie Bothriocephalen-Scolices in den Geweben der Kürperorgane eingebettet, wie z. B. die Scolices des Triaenophorus nodulosus, eingekapselt in der Leber *”) des Barsches, und die Dibothrien-Scolices in den Cysten an der Leber des Lachses u.s. w. Gestützt auf diese Beobachtungen unternahm ich sehr zahlreiche Experimente an den verschiedensten Thieren, die alle zu dem Zweck angestellt wurden, den bis dahin noch ganz unbekannten Scolex des Bo- thriocephalus latus aus seinem bewimperten sechshaki- gen Embryo zu ziehen. Nicht allein, dass ich durch diese grosse Reihe von Fütterungsversuchen *') zum Scolex zu gelangen strebte, sondern ich suchte zu- gleich durch directe Verfolgung der Embryonalent- wickelung dieses Parasiten in verschiedenen geeig- neten Medien unter dem Mikroskope die Art des Embryo-Überganges zum jungen Bandwurm zu erfor- schen. Sowohl die auf diesem Wege, als namentlich die durch Fütterungsversuche gewonnenen positiven Resultate sprechen deutlich und in unzweifelhafter Weise für die directe Entwickelung des jungen Bothriocephalus latus aus seinem bewimperten Em- bryo, ohne dabei besonderen Metamorphosen zu un- terliegen, d. i. ohne noch einen selbstständigen Sco- lexzustand durchzumachen, der etwa mit dem Cys- ticercenzustande der Taenien in den verschiedenen Kürperorganen des Wohnthieres zu vergleichen wäre. Ich beginne zur Bekräftigung des eben Gesagten zu- nächst mit den ersten Veränderungen, die der Em- bryo bei seinem Übergange zum jungen Dibothrium latum eingeht, um später die ferneren von mir beob- achteten Entwickelungsstadien, die dem Scolex ent- sprechen, folgen zu lassen. Ich schloss lebende, aus dem Ei geschlüpfte Em- 20) Die ich zugleich im Darm des Hechts, und zwar nur die be- wafneten kurzen Kôpfe, ganz ohne den bandformigen Anhang an- getroffen habe. 21) Zu diesen Versuchen ist noch jene lange Reïhe von Experi- menten an Hunden, Kaninchen, der Katze und den Frôschen zu zäblen, die darin bestanden, dass ich die Embryonen des Bothrioce- phalus latus auf operativem Wege in die verschiedensten Kürper- organe jener Versuchsthiere führte— Experimente, deren Resultate, gerade, weil sie negativer Natur waren, für eine «directe» Ent- wickelung des geschlechtsreifen Dibothrium latum aus seinem Em- bryo sprechen. bryonen in einem mit klarem Eialbumen erfüllten Raume zwischen Gläsern hermetisch von der Luft ab *). Ich glaubte gerade diesem Medium den Vor- zug vor allen andern einräumen zu müssen, weil es unter dem Mikroskope die fernere Beobachtung der Embryonen gestattet, und ich durch früheres Aufbe- wahren der Entozoen überhaupt, und der Scolices der Bothriocephalen in’s besondere mich überzeugt hatte, dass sie gerade im Albumen, nächst dem rasch sich zersetzenden Speichel, am besten und längsten, ja fast allein noch ausserhalb ihres Mutterbodens am Leben erhalten werden kônnen. Die erste mikroskopische Untersuchung ergab, dass nach Einführung der bewimperten Embryonen in’s Albumen das Cilienspiel derselben noch lebhaft fort- besteht, die Forthbewegung des Embryos jedoch ver- mittelst seiner Cilien wegen der visciden Beschaffen- heit des Albumens nicht erfolgen kann. Diese Cilien- bewegung konnte ich auch noch am zweiten Tage er- kennen, nicht jedoch die activen Kürperbewegungen des Embryos selbst oder seiner Häkchen, so dass an demselben sich keine Regung des Lebens entdecken liess. Dafür fesselte meine Aufmerksamkeit besonders folgende Veränderung am Embryo. An einem Theile seines Kôrpers sah man ein regelmässiges, kegelfür- mig zulaufendes Ende (sieh loco citato a der Fig. 23 auf Tafel 1) von fein granulirter, consistenter Beschaf- fenheit und hellgelber Farbe. Dieser hervorragende Theil erinnert an den Keimhügel der befruchteten Fischeier vor dessen Furchung, wenn die Eier bereits einige Zeit im Wasser gelegen haben; nur ist die Form der Fischeier eine mehr sphärische. Auf der halben Hôühe dieses Kegels (von der Seite betrachtet) trat an dessen Umfange ein bogenformiger Schatten- saum (sieh b derselben Figur 23) als optischer Aus- druck einer wallartigen Erhebung des unteren breite- ren Theiïls dieses spitzeren Embryopoles hervor. Der übrige Theil war ganz mit den Fettkugeln ähnlichen Bläschen erfüllt, die besonders in der Gegend des im Ganzen mehr organisirten spitzeren (vorderen) Endes dichter zusammengedrängt erschienen. Am entgegen- gesetzten (hinteren) Ende des Embryos hatte sich deutlich eine Haut abgehoben, und es schien, als ob der Embryo zum Theil aus ihr hervorgetreten wäre, 22) Indem ich die Ränder der Gläser mit einer Asphaltmasse hermetisch verklebte. 305 des Sciences de St, -Pétersbourg. 306 zwischen sich und der Haut eine Lücke lassend (sieh c derselben Figur). Unwillkübrlich wird man bei Betrachtung des vor- dersten Embryotheiles (a der Fig. 23) an die An- lage des sogenannten Kopfes vom jungen Dibothrium latum erinnert, wobei der hintere grüssere Theil der- selben Figur b der Anlage des bandfürmigen hinteren Endes des Scolex entsprechen würde, wie wir dasselbe bei den Scolices vom breiten Bandwurm aus dem Darm des Hundes genauer kennen gelernt haben (sieh loco citato Fig. 37 der Tafel IT). Ein Encystiren dieses Embryos findet nicht statt, was van Beneden und P. Gervais von den Bothriocephalen überhaupt gel- ten lassen wollen. Eine sogenannte Knospenbildung, wie sie van Beneden und G. Wagener bei dem Tetrarhynchus nachgewiesen haben, und sie bei den Taenien überhaupt vorkommt, konnte ich am Embryo des Dibothrium latum nicht beobachten, weshalb wir auch nicht berechtigt sind, den hinteren Theil des Embryos (b der Fig 23) mit dem sogenannten recepta- culum scolicis zu vergleichen, wie es van Beneden und G. Wagener beim Tetrarhynchus darstellen. Eine weitere Entwickelung dieses Embryos konnte ich in dem hermetisch verschlossenen Albumen selbst- verständlich nicht verfolgen. — Diese Beobachtung spricht also für die directe Entwickelung des jungen Bothriocephalus aus seinem Embryo. Zur Entscheiduug der Frage, ob die bewimperten sechshakigen Embryonen des Dibothrium latum directe oder active Wanderungen in verschiedene Kürperor- gane der Wasserthiere unternehmen, um dort etwa in den Cysticercenzustand überzugehen -—— setzte ich Thiere, deren Kürperoberfläche weich und somit für die bewaffneten Embryonen leicht permeabel sind, ins Wasser, das zahlreich von den Dibothrien-Embryonen bewohnt war. Behufs dieses Experimentes wählte ich Phryganeen-Larven, junge Frôsche und auch Fische, da ihre Kiemen den nach allen Richtungen hin schwim- menden Embryonen leicht zugänglich sind. Eine spä- ter angestellte genaue Untersuchung dieser Versuchs- thiere führte zum negativen Resultat, das also dafür spricht, dass die Embryonen dieses Parasiten nicht auf activem Wege von aussen in ihr späteres Wohn- thier einwandern, oder sich nicht behufs eines selbst- ständigen Cysticercen-Zustandes encystiren.— Behufs weiterer Bestätigung dieses Satzes führte ich auf ope- Tome IX. rativem Wege die Embryonen des Dibothrium latum in die verschiedenen Kürperorgane, in denen sich be- kanntlich die Cysticercen der menschlichen Taenien u. s. w. entwickeln, wie in das Gehirn, in’s Auge, un- ter die Haut, in die Muskeln und in das Gefässsystem. Als Versuchsthiere wählte ich Thiere aus den ver- schiedensten Klassen, namentlich Hunde, Kaninchen, Katzen und Früsche. Indem ich hier nicht näher auf diese vielfachen und zahlreichen Versuche, die com- plicirt und schwer auszuführen waren, eingehe, er- laube ich mir, hier nur zu verweisen auf die betreffen- den Versuchsreihen, die ich loco citato p.79—91 mit ihren Ergebnissen genauer geschildert habe. Ich will hier nur als wichtiges Resultat den pag. 90 loco citato aufgestellten Satz hervorheben: alle diese Experimente dienen gleich den vorigen als directer Beweis dafür, dass die Embryonen des Dibothrium latum sich nicht, wie diejenigen der übrigen Cestoden überhaupt,und insbesodere derTaenien, in den oben erwähnten Organen des Kürpers zum Sco- lexzustande weiter entwickeln künnen. Um noch weitere Thatsachen dafür zu liefern, dass die Embryonen des Dibothrium latum keine activen Wanderungen in die verschiedenen Kôrperorgane des Wohnthieres unternehmen, schritt ich zu einer neuen Reihe von Experimenten—zu den Fütterungs- versuchen, die ich gleichfalls sehr zahlreich an den verschiedensten Thieren anstellte — beginnend mit den Fischen, und 50 allmäblich durch alle Thierklassen hinaufsteigend bis zu den Säugethieren. Führten schon meine bei verschiedenen Fischen (Cyprinus- und Gasterostei-Arten etc.) angestellten Fütterungen zu einem mehr negativen Resultate, so wurden sie vollends durch die von Leuckart später an den Cyprinoiden wiederholten Experimente bestä- tigt. Diese von mir und namentlich von Leuckart bei den Fischen gewonnenen Ergebnisse sprechen dem- nach entschieden dafür : «dass der Scolex oder der junge Bothriocephalus latus sich nicht in den Fischen ausbil- det, noch viel weniger in einem Cystenzustande vor- kommt», etwa wie z. B. die Cysticercen der Taenien bei anderen Thieren. Zugleich berechtigen sie zu dem Schlusse, dass die bei den Lachsen und den Stichlin- gen sowobl frei in deren Bauchhühle, als auch encystirt vorkommenden Bothriocephalen-Scolices nicht iden- tisch mit denen des Dibothrium latum sind, wofür zu- 20 307 Bulletin de l’Académie Empériale gleich schon die Verschiedenheit in der Form und im Individuum dieses Parasiten ausbilden. Diese Bau sprach. Noch mehr jedoch als jene Fütterungs- versuche an den Fischen beweist namentlich das von mir an einem Hunde angestellte Experiment mit den Dibothrien-Scolices der Fische, dass sie keines- wegs als die Scolices des Bothriocephalus latus anzu- sehen sind, sondern als selbstständige Entwickelungs- stadien anderer Dibothrien-Arten der Fische, die wir, wenigstens die encystirten, mit den Cysticercen der Taenien zu vergleichen berechtigt sind. Das Experi- ment bestand nämlich darin, dass ich einem grossen Hunde vermittelst einer Magenfistel wenigstens gegen 52 lebende Dibothrien-Scolices, entlehnt aus der Bauchhühle der Quappe (Gadus lota) und des Stich- lings (Gasterosteus aculeatus), in den Magen führte. Ich wiederholte die Fütterung drei Mal. Das Resul- tat fiel ungeachtet dessen negativ aus, wiewohl ich das Versuchsthier 8 Monate nach der ersten Fütterung untersuchte (sieh loco citato pag. 122 ect.). Dieses und die früher bereits erwähnten negativen Resultate setzten mich in den Stand, den wichtigen Beweis zu führen, dass die Übertragung des Bothrio- cephatus latus auf den Menschen durchaus nicht, wie man bisher fast allgemein annahm, durch den Genuss der Fische zu Stande kommt, sondern, wie es bereits aus meinen frühern, die bewimperten im Wasser fortschwimmenden Embryonen dieses Para- siten betreffenden Beobachtungen erhellt, durch den Genuss des Trinkwassers, in dem diese Em- bryonen leben. Zu denselben negativen Resultaten führten die Füt- terungsversuche der Früsche und Salamander, so wie der Vôügel (zahmen Gänse und Enten), als ich sie mit den Eïern des Dibothrium latum fütterte. Erst die bei den Säugethieren, namentlich dem Hunde angestellten Fütterungsversuche mit den Eiern, und besonders mit den Embryonen des Dibothrium latum lieferten den schlagenden Beweis davon, dass letztere, um ihre Entwickelung zum Scolex zu durchlaufen, in dem Darm ihres Wohnthieres keine activen Wande- rungen in die verschiedenen Kürperorgane un- ternehmen und sich also nicht, wie die der Taenien als Cysticercen encystiren, sondern dass sie im Darm eines und desselben Wohnthieres sich direct zum jungen breiten Bandwurm, erst zum Sco- lex desselben und dann zum geschlechtsreifen Fütterungsversuche und die durch sie beim Hunde wiederholt erzielten positiven Resultate erhoben die Thatsache, dass wir beim Bothriocephalus latus keï- nen selbstständigen Cystenzustand, etwa in der Weise, wie die Cysticerci der Taenien, anzunehmen berechtigt sind, über allen Zweifel! Als Beleg des so- eben Gesagten und als Widerlegung der von Leu- ckart in seinem Parasiten-Werke pag. 764 ausge- sprochenen Bedenken *) sei es mir erlaubt, hier näher auf die wichtigen positiven Resultate unserer Fütte- rungsversuche beim Hunde cinzugehen, die zugleich durch dieselben Versuche des Dr. E. Pelikan wei- tere Bestätigung gefunden haben, und mit denen zu- gleich die PBefunde Creplin’s, Natterer’s und Die- sing’s von Bothriocephalen- Scolices *) im Darm mehrerer brasilianischer Felis-Arten ausser den ge- schlechtsreifen Individuen im vollsten Einklange ste- hen. Ich fütterte zuerst eine ganz junge Hündin mit den Proglottiden des Bothriocephalus latus, die ich mit der Milch dem Versuchsthiere Ende Februar 1859 zu wiederholten Malen einführte. (Sieh loco citato pag. 105). Ich hebe hier, wie schon damals, zur Beseitigung ähnlicher Vorwürfe, wie z. B. Leu- ckart’s, nochmals besonders hervor, dass das Ver- suchsthier, das bisher von der Mutterbrust genährt worden war, bis zur Section stets in Gefangenschaft gehalten wurde, und dass in Bezug auf seine Nahrung strenge Controle geführt wurde. Als ich das Thier Ende Juni durch Strychnin von einer Halswunde aus tüdtete, fand ich zu meiner Freude in dem mittleren Theile des Dünndarms 7 Exemplare des Bothrioce- phalus latus in den verschiedensten Entwickelungs- phasen, entsprechend den verschiedenen Zeiträumen, in denen die Fütterung wôüchentlich vorgenommen wurde. Nicht allein, dass ich auf diese Weise Gele- genheit hatte, lebendige geschlechtsreife Individuen dieses Parasiten zu untersuchen, sondern ich hatte 23) So wie der von Küchenmeister in seinem Werke über mensehliche Parasiten aufsestellten irrige Behauptung: dass alle mit Häkchen versehenen Embryonen der Cestoden — somit auch die des Dibothrium latum — eine Wanderung durch verschiedene Thierkôrper durchmachen müssen, und man demzufolge im Darm- kanal eines und desselben Thieres niemals (?) der ganzen ÆEnt- wickelungsreihe einer Cestoden-Art begegnen würde!? 24) Die ich aus eigener Anschauung uäher kennen gelernt habe. 309 des Sciences de Saïiné-Pétersbourg. 316 zugleich das Glück, unter den kleinsten Exemplaren derselben drei von 1 Zoll und mehr im Darm zu beob- achten, deren Entwickelungsstadium vollkommen dem der Cestoden-Scolices, d. 1. dem Cysticercenzustande der Taenien entsprach. In dem bandformigen An- hange dieser jungen Bothriocephali fehlte jegliche Spur einer Genitalanlage (s. 1. €. Fig. 37). Die tiefen longitudinalen Bothrien, sowie die Anwesenheit ge- schlechtsreifer Individuen dieses Parasiten und die vorhergegangenen Fütterungen des Versuchsthieres gerade mit den Proglottiden dieses Bandwurms erhe- ben die Annahime über allen Zweifel, dass wir es hier entschieden mit den sogenannten Scolices des Bothrio- cephalus latus zu thun haben. Zafolge dieser wichtigen Resultate fühlte ich mich schon damals zu folgenden hôchst wichtigen Folge rungen berechtigt: +) Liefern sie vor Allem den unzweifelhaften Beweis, dass die Embryonen aus den direct in den Darm der Säugethiere eingeführten Eiern des breiten Bandwurms keineswegs vermittelst ihrer 6 Häk- chen in der Weise, wie die Taenia-Embryonen eine active Wanderang aus dem Darmkanal in die ver- schiedenen Kürperorgane unternehmen, sondern dass sie daselbst alle Entwickelungsphasen zu- nächst zum jungen Bothriocephalus latus (zum Sco- lex) und alsdann zur Geschlechtsreife ununterbro- chen durchmachen. 2) Stehen sie im vollsten Einklange mit dem früher auf operativem Wege durch vielfache Experimente gewonnenen Resultate, dass nämlich die Embryo- nen des breiten Bandwurms nicht in den verschie- denen Organen des Wobnthieres, wie die Taenia- Embryonen, sondern nur im Darmkanal sich wei- ter entwickeln. Demnach widerlegen die Ergeb- nisse dieses Fütterungsversuches abermals: 3) Die Vermuthuug Küchenmeister’s und anderer Gelehrter, als wenn der Scolex des Bothriocephalus latus in einem niedern Wasser- oder Sumpfthiere (z. B. in Schnecken und Fischen) lebe, oder als Scolex mit verschiedenen Früchten oder Gemüse- arten vom Menschen verzehrt werde, — Vermu- thungen, die schon à priori wenigstens zum Theil sehr unwahrscheinlich erscheinen und bereits durch meine Experimente an den wirbellosen und andern Wasserthieren grüsstentheils ihre Erledigung fuuden haben. Als weitere Bestätigung. dieser wichtigen Ergeb- uisse führe ich gegen die unbegründeten Einwendun- dungen Leuckart’s, als weun ich nur diesen Fall zur obigen Beweisiührung aufzuweisen hätte, noch fol- gende nicht weniger wichtige Befunde ähalicher von mir und später vom Dr. E. Pelikan angestellten Experimente an: Ich erwähne hier zunächst &en Fütterungsversuch E. Pelikan’s am Hunde, da er, wie der vorige zugleich mit den Proglottiden, d. i. mit den Eiern, und nicht, wie in meinem sogleich noch zu erwähnenden Falle, mit den Embryonen des Bothriocephalus latus ausge- führt worden ist. Entsprechend der Zeit, die seit der Fütterung bis zur Section des Versuchshundes ver- flossen, gewann E. Pelikan ein grüsseres Exemplar des breiten Bandwurms, als die von mir durch künst- liche Fütterung erzielten Parasiten, wie ich mich durch Untersuchung des von Pelikan mir freund- lichst zur Verfügung gestellten Objectes überzeugen konnte. Im Übrigen stimmte dieses Exemplar genau mit den zahlreicher von uns gewonnenen Exemplaren des Bothriocephalus latus überein. — Fast eben so reichhaltig, als das Ergebniss meines bereits beschrie- benen Falles, ist folgender, der insofern, als ich anstatt mit den Proglottiden, direct mit den reifen, im Was- ser schwimmenden Embryonen des breiten Bandwurms experimentirte, von Weit grosserem Interesse ist, als selbst die so eben besprochenen Füälle. Er liefert da- durch nämlich zugleich den factischen Nachweïs, dass die Embryonen dieses Parasiten während ihrer Wande- rungen mit dem Wasser, in dem sie schwimmen, als Getränk auf passivem Wege auf den Menschen über- tragen werden. Diese Fütterungsversuche, die ich zügleich an drei jungen Hunden, die noch die Mutter- brust nabmen, anstellte, bestanden in Folgendem: Im Besitz einer grossen Anzahl bereits ausgeschlüpf- ter Embryonen des Bothriocephalus latus, reichte ich diesen drei Versuchsthicren gleichzeitig das mit die- sen Embryonen geschwängerte Flusswasser als Ge- tränk, das sie besonders dann gern tranken, wenn ich zu demselben ein wenig frische Milch hinzuthat. Diese Fütterungen wurden längere Zeit fortgesetzt, indem ich sowohl jetzt, als auch später bis zum Tode der Thiere die Nahrung mit besonderer Aus- 20* ge- Bulletin de l’Académie Impériale 312 —————————————Z— wahl reichte und dieselben streng bewachte. Bei der Strangulation eines dieser Versuchsthiere 1", Mo- nate nach der letzten Fütterung, war ich auch dieses Mal so glücklich, im Dünndarm desselben mehrere, und zwar vier Exemplare des breiten Bandwurms in verschiedenen Entwickelungsperioden sowohl im Sco- lexzustande, als auch in dem der Geschlechtsreife anzutreffen. Und zwar war der Scolex noch kleiner und jünger, als die bisher von mir beobachteten, näm- lich nur gegen einen Zoll lang, und kaum eine halbe Linie breit (sieh denselben bei etwa 10facher Ver- grüsserung loco citato in der Fig. 37), so dass ich selbst bei Anwendung des Glycerins, das den band- fürmigen Anhang desselben durchsichtiger werden liess, auch nicht die geringste Anlage von Genitalien, — selbst nicht einmal den Primitivstreifen derselben — wahrnehmen konnte. Gleich wie bei der Section des ersten mit den Proglottiden gefütterten Hundes, fand ich auch dieses Mal im Darm des Versuchsthieres ausser dem jungen Scolex mehr oder weniger geschlechts- reife Exemplare *”) des Bothriocephalus latus bis zur Länge von 18 Zoll und von der Breite etwa 1°, —2 Linien. Zu welchen Conclusionen gelangen wir nothge- drungen beivorurtheilsfreier und genauer Prü- fung aller bisherigen, zugleich von andern For- schern bestätigten und unter den erforderlichen Cautelen gewonnenen positiven Thatsachen, die mit den auf verschiedenen Wegen gleichzeitig erziel- ten negativen Resultaten im vollsten Einklange stehen? Es resultirt aus ihnen, gleichwie aus der ferner festgestellten Thatsache, dass unter den jungen Bo- thriocephalis proboscideis im Darm der Lachse zugleich solche Entwickelungsstadien vorkommen, die nur den sogenannten Kopf und nicht den band- fürmigen Anhang haben — direct die Antwort auf 25) Und wenn Leuckart es auffallend findet, dass ich ausser den 1—11/, Zoll laugen Scolex zugleich Exemplare von 18 Zoll gefunden, so geben wir ihm zu bedenken, dass wir die Fütterung der Versuchsthiere eine längere Zeit fortsetzten, und dass das Was- ser, das als Getränk denselben gereicht wurde, nicht allein mit Embryonen, sondern zugleich auch mit den Eiern des Dibothrium latum geschwängert war. Übereinstimmend mit diesem Befunde fübre ich an, dass auch Natterer bei verschiedenen Arten der bra- silianischen Katzen in deren Darmecanal neben den geschlechtsrei- fen Bothriocephalis zugleich viele Scolices derselben von verschie- dener Grüsse angetroffen hat, wie ich mich durch Diesing selbst zu überzeugen die erwünschte Gelegenheit hatte. (Sieh dessen Ab- handlung über Cephalocotyleen, 1857). die von der Pariser Academie der Wissenschaften gestellte Frage in Betreff der Art der Entwicke- lung des Bothriocephalen-Embryos zum reifen Band- wurm — und zwar: ob sie direct, oder mittelst be- sonderer Metamorphosen erfolge? — Die Antwort, die ich auf jene wichtigen sowohl positiven, als auch zugleich negativen *), mit letzteren dem Wesen nach übereinstimmenden Resultate stütze, lautet, wie folgt: Die Embryonen des Bothriocephalus latus ge- hen im Darm der Säugethiere (des Hundes und des Menschen) direct in den reifen breiten Bandwurm über, d. i. sie gehen keine weiteren Metamorphosen ein und brauchen nicht erst einen selbstständigen Scolexzustand in den übrigen Kürperorganen ihres Wohnthieres durchzu- machen!— Was ich hier vom Dibothrium latum aus- gesprochen, gilt in demselben Grade vom Bothrioce- phalus proboscideus. + Hiermit erachte ich auch jeden Zweifel *) Leu- ckart’s beseitigt, dem ich zugleich noch folgende Fra- gen zu bedenken und zur Beantwortung vorlegen môchte: Wie kommt es, dass nicht allein ich, sondern auch Pelikan stets nur nach Fütterungen junger Hunde mit den Keimen des Bothriocephalus latus so- wohl den Scolex, als auch die geschlechtsreifen Indi- viduen desselben, und zwar stets nur im Darm- canal des Versuchsthieres auffinden konnten? — Bei keinem andern der vielen Hunde, die wir hier in St. Pe- tersburg speziell auf ihre Entozoen untersucht haben, ist es bisher uns gelungen, das Dibothrium latum nach- zuweisen., — Warum ist ferner der Scolex des breiten 3andwurms bis jetzt nur im Darmcanal und nie, wie z. B. die Cysticercen der Taenien, in andern Kôrper- organen des Organismus beobachtet worden? — Nie hat man bisher den Scolex des Bothriocephalus latus etwa in der Weise, wie die Taenien-Cysticercen we- der im Auge, noch im Gehirn, noch in der Muscula- tur *) des Menschen nachweisen künnen. Ja selbst von 26) Die auch von Leuckart wenigstens zum Theil bestätigt worden sind. 27) Den er ungeachtet meiner positiven Resultate und seines eigenen Geständnisses: «Ich kôünne am Ende doch das Richtige ge- troffen haben» glaubt aussprechen zu müssen. (Sieh sein Parasiten- Werk pag. 764. 28) Es sei mir bei dieser Gelegenheit gestattet, als vorläufige Mittheilung hier anzuführen, dass ich im Sommer dieses Jahres s0 glücklich war, im Fleisch einer Kuh zahlreiche Cysticerci Tae- niae mediocanellatae nachzuweisen. (Sieh hierüber zugleich mein (3 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 314 iigen Taenien-Arten, wie z. B. von der Taenia cu- und bei « und b der Fig. 4 dargestellt sind. Bei a merina, ist es noch sehr fraglich, ob ihr Scolex ei- Fig. 5 ist der Knopf ganz abgehoben. 300fache Jung begriffenes Ei, 200 tes Ei, das noch nicht n lässt. Dieselbe Vergrüs- kelungsstadium des Eies, n am deutlichsten und eten. 200malige Vergrüs- kelungsstadium der Dot- Iben nahe zusammenge- seine sebr scharfe Begren- en. 200 mal vergrüssert. it 6 Häkchen bewaffneter ‘hriocephalus proboscideus n dem obern Eipole sind irlicher, als in den bei- igehäuft. Dieselbe Ver- ch nicht vollständig aus- ie die 3 Häkchenpaare. mal vergrüssert, a die : der Stiel desselben. o im Ei bereits ausgebil- rm. Dieselbe Vergrüsse- ephalus proboscideus ohne s dem Entwickelungssta- oder Cysticercenzustande em Darmcanal des Lach- aicht, wie jene, aus den stammt. 55malige Ver- ckelungsstadium des jun- oscideus, an dem bereits ten. Dieselbe Vergrüsse- 311 Bulletin de l’Académie Impériale 31 a EE EEE CU UQRR QE RRQ wahl reichte und dieselben streng bewachte. Bei der | die von der Pariser Academie der Wissenschaft: Strangulation eines dieser Versuchsthiere 1", Mo-|gestellte Frage in Betreff der Art der Entwick nate nach der letzten Füt Mal so glücklich, im Dü und zwar vier Exemplare verschiedenen Entwickelu lexzustande, als auch in anzutreffen. Und zwar w und jünger, als die bisher lich nur gegen einen Zol] Linie breit (sieh denselb grüsserung loco citato in selbst bei Anwendung de fürmigen Anhang dessell liess, auch nicht die gering selbst nicht einmal den P wahrnehmen konnte. Gl ersten mit den Proglottid ich auch dieses Mal im Dar dem jungen Scolex mehr reife Exemplare *) des 1 Länge von 18 Zoll und x Linien. Zu welchen Conclusio ” drungen beivorurthei] fung aller bisherigen, : schern bestätigten und Cautelen gewonnenen mit den auf verschiedener ten negativen Resultaten à 2 6 ; Es resultirt aus ihnen si festgestellten Thatsache, =" thriocephalis proboscideis n des Bothriocephalus proboscideus. DJ. Knoch. Dée Entwickelungsgeschichte TE solche Entwickelungs = = nur den sogenannten K a À / fürmigen Anhang habe £ & 25) Und wenn Leuckart es = & den 1—11/, Zoll langen Scolex & > = gefunden, so geben wir ihm zu E ‘S S der Versuchsthiere eine längere _ ke ser, das als Getränk denselber È * Embryonen, sondern zugleich : D © latum geschwängert war. Ube > fübre ich an, dass auch Nattere rÈ silianischen Katzen in deren Da 5 fen Bothriocephalis zugleich vie & dener Grôsse angetroffen hat, = zu überzeugen die erwünschte ( à handlung über Cephalocotyleen, 1 313 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 314 einigen Taenien-Arten, wie z. B. von der Taenia cu- cumerina, ist es noch sehr fraglich, ob ihr Scolex ei- nen selbstständigen Cysticercenzustand durchmacht, was um so fraglicher ist, als der gleichfalls bewim- perte, und im Wasser schwimmende Embryo des Te- tracampos ciliotheca Wedl zufolge seiner Ahnlichkeit mit dem des Bothriocephalus latus, sich wohl direct zu dem geschlechtsreifen Tetracampos, 4. i. ohne weiï- tere Metamorphosen ausbildet. Alle diese so eben erwähnten Fragen lassen sich ein- zig und allein und zwar ganz einfach durch die Annahme der directen Entwickelung des jungen Bothrioce- phalus latus aus dem Embryo lüsen, wie es die posi- tiven von mir und Pelikan gewonnenen Resultate im Einklange zugleich mit den negativen — unzweifelhaft lehren. Jede andere Anschauungsweise, wie etwa die Annahme einer Entwickelung durch besondere Meta- morphosen, anstatt einer directen — lässt jene Räth- sel ungelüst — eine Annahme, die zugleich als eine ganz hypothetische, durch nichts begründete angese- hen werden muss. Im Besitze der positiven Resul- tate, die zugleich mit den negativen vollkommen über- einstimmen, kônnen wir keineswegs wie Leuckart noch da Hypothesen gelten lassen, oder gar aufstellen wollen, wo unleugbare Thatsachen sprechen. Um so weniger vermügen wir dieses, als wir, von jeher den ebenso wahren, als schünen Worten des grüssten deut- schen Dichters und zugleich Naturforschers: «Grau, Freund, ist alle Theorie, doch grün des Lebens gold- ner Baum» -—— huldigten und demnach dem Reich der Hypothesen entsagt haben. Erklärung der Abbildungen. Figur 1. Das Ei des Bothriocephalus proboscideus, er- füllt mit dem feinkôrnigen Dotter; bei a der knopf- formige Aufsatz. Vergrüsserung 200 mal. Fig. 2. Ein solches Ei mit beginnender Dotterfur- chung und dem zum Theil abgehobenen Knopfe. Dieselbe Vergrüsserung. Fig. 3 und 4. Eier, ausgezeichnet durch verschiedene Formanomalien, wie sie bei a, b und c der Fig. 8 Referat über die neuesten Fortschritte auf dem Gebiete der Helmin- thologie in dem Militär-Medicinischeu Journal vom September 1865, p. 20). und bei « und b der Fig. 4 dargestellt sind. Bei @ Fig. 5 ist der Knopf ganz abgehoben. 300fache Vergrüsserung. Fig. 5. Ein in der Entwickelung begriffenes Ei, 200 mal vergrôssert. Fig. 6. Ein weiter entwickeltes Ei, das noch nicht die Dotterzellen erkennen lässt. Dieselbe Vergrüs- serung. Fig. 7. Ein weiteres Entwickelungsstadium des Eies, in dem die Dotterzellen am deutlichsten und scharf begrenzt hervortreten. 200malige Vergrüs- serung. Fig. 8. Ein ferneres Entwickelungsstadium der Dot- terzellen, in dem dieselben nahe zusammenge- drängt, kleiner sind und keine sehr scharfe Begren- zung mehr erkennen lassen. 200 mal vergrüssert. Fig. 9. Ein ausgebildeter, mit 6 Häkchen bewaffneter Embryo im Ei des Bothriocephalus proboscideus von länglicher Form. An dem obern Eipole sind die Dotterreste noch spärlicher, als in den bei- den vorigen Figuren angehäuft. Dieselbe Ver- grüsserung. Fig. 10. Ein Ei mit dem noch nicht vollständig aus- gebildeten Embryo ohne die 3 Häkchenpaare. 200 mal vergrüssert. Fig. 11. Ein Häkchen 600 mal vergrüssert, a die Kralle, b der Dorn und c der $tiel desselben. Fig. 12. Ein solcher Embryo im Ei bereits ausgebil- det und von runder Form. Dieselbe Vergrüsse- rung, Wie bei Fig. 10. Fig. 13. Ein junger Bothriocephalus proboscideus ohne alle Gliederung, d. i. aus dem Entwickelungssta- dium, das dem Scolex- oder Cysticercenzustande entspricht, nur dass er dem Darmcanal des Lach- ses entnommen ist und nicht, wie jene, aus den übrigen Kürperorganen stammt. 55malige Ver- grüsserung. Fig. 14. Ein weiteres Entwickelungsstadium des Jun- gen Bothriocephalus proboscideus, an dem bereits die ersten Glieder auftreten. Dieselbe Vergrüsse- rung. 315 Bulletin de l’Académie Himpériale 316 oo Hydrologische Untersuchungen, von Prof. Dr. C. Schmidt in Dorpat. (Lule 16 novembre 1863.) Das salinische Schwefelwasser zu Siolypin unter 51° 34’ nôrdl, Br. und 45° 35° üstl, L, v. Paris, Das Stolypinsche Mineralbad, seit einigen Jahren in starkem Aufschwunge, im letzten Sommer von über 200 Kranken mit Erfolg benutzt, liegt an dem Bache Kuschum, einem Nebenflusse des grossen Irgis, welcher sich in die Wolga ergiesst. Beide Flüsse ent- halten salziges Wasser. Das Bad liegt 50 Werst SO. von der Wolga, wo sich der Landungsplatz der Badegäüste in dem Dorfe Balakowo unter 52° 5'nürdl. Br. und 45° 19’ üstl. L. v. Paris, befindet. An dem rechten Ufer des Kuschum liegt das Dorf Kamenna]a Sarma; diesem gegenüber am linken Ufer die Bade- anstalt, 210 Werst SW. von Samara. Der Bach Kuschum verläuft in einer etwa 25 Fuss tieien Bo- densenkung, deren rechtes Ufer steil aufsteigt, wäh- rend das linke sich sanft abflacht. Im Grunde dieser Schlucht, am linken Ufer, unmittelbar neben und in dem Flussbette entspringen die Quellen in einem Umkreise von 90 Fuss. Die ergiebigeren derselben sind zu 4 grüssern Bassins vercinigt, aus welchen das Wasser zur Speisung der Badeanstalt mittelst einer Dampfpumpe gefôrdert wird, während eine 60 Fuss von dieser entfernte Quelle ausschliesslich als Trink- quelle benutzi wird. Das specifische Gewicht aller Quellen, mit dem Aräometer gemessen, ist gleich (—1,0142). Ebenso lassen Geruch und Geschmack keinen Unterschied erkennen. Das Wasser kommt krystallhell zum Vorschein, in Pausen von 5—6 Se- cunden Haufen von Gasblasen aufstossend. Schon in den Bassins bildet es einen weissen flockigen Nieder- schlag (Schwefel). Das Flussbett, in welches die Quel- len sich ergiessen, ist in einer ziemlich weiten Strecke mit diesem weissen und einem darunter liegenden schwarzgrauen Schlammabsatze bedeckt. In der Um- gegend sind keine nach Schwefelwasserstoff riechen- den Quellen vorhanden. Der umliegende Boden ist stark kalkhaltig und trägt sonst den Charakter der Samara’schen Steppe; Bodenerhôhungen sind weit und breit umher nicht vorhanden. Herr Dr. Semmer, dasiger Badearzt, dessen Be- gleitschreiben obige Angaben entnommen sind, schüpfte das Wasser zur Analyse am 1. (13.) August 1865, 5", Uhr Morgens, bei klarem Wetter, schwachem Westwinde, 18°C. Lufttemperatur und 754,8 Mm. Barometerst. (0°). Die constante Temperatur der Quel- len ist 10,8° C. Es wurden 10 starke weisse Glas- flaschen, à 2, Litres Inhalt jede, durch Untertauchen im Bassin der Trinkquelle, gefüllt, verkorkt, in sie- denden Sicgellack getaucht, sofort mit Leinwandlappen überbunden und darauf noch in schmelzendes Wachs gotaucht. Ferner wurde eine Champagnertlasche mit dem aus dem Boden der Quelle geschüpften schwarz- grauen Schlammabsatze gefüllt, verkorkt und in glei- cher Weise mit schmelzendem Siegellack, Leinwand und Wachs umgossen. Ebenso der Rückstand von 123 Litres Wasser, die, in einer blanken Kupfercasserolle auf 4”, Litres eingedampft, zur Bestimmung von Rubi- dium, Lithium, Eisen, Mangan, Phosphorsäure, Thon- erde und Kieselsäure dienten. Die ganze Sendung kam Mitte August wohl erhalten in Dorpat an und wurde sofort der Analyse unterworfen, deren Gang sich aus folgender Mittheilung der unmittelbaren Ver- suchsdata ergiebt. A. Wasser. Der Inhalt aller 10 Flaschen ist klar, farblos; beim Offuen starker Schwefelwasserstoffgeruch; nach weni- gen Stunden Frübung und Absatz von Schwefelflocken. Dichtigkeit bei 14,6 C., auf Wasser gleicher 1015,438 [SA ratur als ri à + & hu evE l'emperatur als Einheit bezogen 099.464 — 1,01419. (1 Litre wiegt bei der Quellentemperatur (10,8° C.) 1012,789 Grm.) Grammen a) Summe fester Bestandtheile. 207,899 Grm. Wasser siedend mit titrirter Soda- lüsung versetzt, bis kein Niederschlag mehr entsteht, dann Hinzufügung eines kleinen Ueberschusses letz- terer, erfordern 1,0051 Grammen reines kohlensaures Natron. Der bei 150° getrocknete Gesammtrückstand wiegt 4,7691 Grammen. Die kohlensauren Erden, heiss ausgewaschen, bei 150° getrocknet — 0,8371 Grm., über Deville’s Lampe weissgeglüht = 0,4491 Grm., mit Schwefelsäureüberschuss eingedampft und geglüht = 1,1792 Grm. Schwefels. Kalk und Magnesia aeq. 0,8506 Grm. CaO CO, + MgO C0," Die fehlenden 1)C—6; 0 —8 etc, Zum Vergleiche älterer Analysen nach Berzelius’s Formulirung. 317 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 81S 0,0135 Grm. CO, sind beim Eindampfen und Trock- nen entwichen. Mithin 4,7691 Grm. Rückstand 22,9400 p. M. ——1,0051 » NaOCO, —— 48346 » +0,0139 » CO, Verlust = + 0,0653 » 3,7775 G. Wasserfr.Salze — 18,1707 p. M. b) Chlor, Brom, dJdod?). a) 119,346 Grm. Wasser zur Austreibuns von Schwe- felwasserstoff gekocht und wieder erkaltet, geben 4,8604 Grm. AgOI + Ag Br + AgJ = 40,7510 p.M. 8) 1013,44 Grm. Wasser auf 90 Ce eingedampft, mit Chlorwasser versetzt, durch Farbenvergleich mit titruter Normalbromlüsung 0,0229 Grm. Brom —0,0217 p.M. Brom acquiv. 0,0510 p. M. Ag Br. 7) 10,1344 Kilogr. Wasser, eingedampft, mit Chlor- palladium 0,0011 Pa J aeq. 0,000141 p. M. AgJ —0,0000765 p. M. Jod, demnach Rest — 40,6739 p.M. AgCI — 10,0577 p. M. Chlor. c) Schwefelsäure. 720,826 Grm. Wasser mit Ba CI und HCI gefälit, geben 2,2893 Grm. BaO SO, — 1,0871 p. M. SO.. d) Kalk und Magnesia. 1018,79 Grm. Wasser mit oxalsaurem Ammon gefällt, der Kalkoxalatnicderschlag weissgeglüht 1,4567 CaO — 4299 p. M. CaO; das Filtrat mit Ammoniakphosphat gefällt 2,1282 Grm. 2 Mg 0, PO, = 0,7528 p. M. Ms. e) Rubidium, Kalium, Natrium. 1200,77 Grm. Wasser mit Barytwasser gefällt, nach Entfernung des Barytüberschusses mit Kohlen- säure etc. mit PtCL,0,3115 Grm. K Pt CL + Rb PiCI —0,25941p; M: 2,1377 Grin. reines Platindoppelsalz, aus der con- centrirten Mutterlauge dargestellt, durch gelindes Glühen im Wasserstoffstrom a) 0,6358 Grm. Glühverlust — CI, — 29,74"/, des Platindoppelsalzes 8) 0,8496 Grm. Platin Rückstand — 39,74", des Platindoppelsalzes | auf dem 7) 0,6523 Grm. Rb. CI. +- KCI | Platin- — 30,52°/ des Platindoppelsalzes J_ nachen; 2) b «, ce und d sind Summen von je 3 übereinstimmenden Ver- suchen. aus letzterm (y) durch Silbersalpeter, 1,2288 Grm. AgC1=— 46,58”, CI des Rb C1+- K CI, k 070 demnach in 100 Th. Rb CI + KoI! re De { 0,00323 RbO \ 004738 KO; durch Reindarstellung des Rubidiumplatinchlorids aus einer grüssern Menge des Platindoppelsalzes spectral- analytisch controlirt. 207,899 Grm. Wasser mit 1,0052 Grm. NaO CO, heiss gefällt, das Filtrat mit Schwefelsäureüberschuss eingedampft und geglüht 4,6758 Grm. Rb O SO, + KO S0, + Na O SO, — 22,4910 p.M.; daraus durch Ba CI 7,6651 Grm. Ba O SO, — 12,6591 p. M.SO; Rest — 9,8319 p. M. RbO + KO +Na0 davon 0,0506 » RbO + KO bléiben 9,7813 p. M. NaO es waren zugesetzt 2,8296 » » aus 1000 Gr. Was- ser demnach oder in 1000 Grammen Wasser : 6,9517 p.M. NaO f) Schwefelwasserstoff und Kohlensäure. 1014,05 Grm. Wasser, unmittelbar nach dem Oeff- nen der Flasche, entfärben 41,4 Ce titrirter Jodlüsung — 0,207 Grm. Jod aeq. 0,0277 Grm. HS — 0.,0273 p. M. Schwefelwasserstoff — 48,56 Ce HS bei {0,8° C. und 754,8 Min. Bar. 1200,77 Grm. Wasser einer frisch geüffneten Fla- sche mit Barytwasser gefällt, geben 6,098 Grm. Nie- derschlag, worin 0,2291 Grm. CO, — 0,1908 p. M. CO, — 132,47 Ce CO, bei 10,8" C. und 754,8 Mm. Bar. (0°). g) Lithion, Eisenoxydul, Manganoxydul, Thonerde, Kieselsäure und Phosphorsäure. Der concentrirte Rückstand von 35,74 Kilogr. Wasser mit phosphorsaurem Natron erwärmt, nach vierwôchentlichem Stehen der Bodensatz mit reinem Kalkhydrat gekocht, das Filtrat mit etwas Phosphor- säure eingedampft, mit Wasser ausgezogen, der Rück- stand mit Barytwasser gekocht, das Filtrat einge- dampft, mit Alcohol erschôpft und die Alcohollüsung des Lithions mit Schwefelsäure eingetrocknet, ge- 319 Bulletin de l’Académie Impériale 320 glüht 0,0059 LiO, SO;, spectralanalytisch geprüft, | pyrophosphorsaurer Magnesia — 0,000149 p. M. PO, 0,000045 p.M.Li0. 0,0071 Grm.Fe,0; — 0,000109 p.M.FeO 0,0013 Grm. Mn:0, — 0,000020 p.M.Mn0O Durch Aufschliessen der Rückstände mit Soda etc. 0,1108 Grm. SiO, — 0,00310 p. M. SiO, | ac inci dnung ärk und 0,0041 A1, 0, — 0,00011 p. M. AL,O, Nach dem Principe der Zuordnung der stärksten Säuren an die stärksten Basen, ohne Berücksichti- Der Pfannenstein von 58,78 Kilogr. eingedampften gung der beim Eindampfen stattfindenden Umsetzun- Wassers, dessen Mutterlauge zur Darstellung des gen und deren Resultate, der Reihenfolge successive Platindoppelsalzes von Kalium und Rubidium gedient | herauskrystallisirender Salze und Doppelsalze*), er- hat, ergab zur Phosphorsäurebestimmung 0,01 37 Grm. | hält man folgende Zusammensetzung des Stolypinwassers in 1000 Grammen, Schwefelsaures Rubidion RbOSO,........ 0,0046 Schwefelsaures Kali KOSO:............ 0,0876 Schwefelsaures Natron NaOSO:. ......... 1,8571 Gblornatrium: Na:CL: 41451 eh due D ni 11,5704 Chlorbthinm LHC Je srl ant détat|. 0,0001 (0,000127 LiCl) Chlorcalcium Ca Cl... …. . - - .. . . . . : . |. 2,8322 Chlormagnesium Mg CI ............... 150921 Brommagnesium MgBr............... 0,0248 J'odmagnésiom Me D. lEfarbne buus al 0,0001 (0,000084 MgJ) Phosphorsaure Magnesia Mg O PO,. ....... 0,0002 (0,000191 MgO PO,;) Kohlensaure Magnesia MgOCO,......... 0,1075 Kohlensaures Eisenoxydul EO CO, . . .. “A 0.0002 f0,000175 FeOCO, Kohlensaures Manganoxydul Mn O CO, . .... f * _ |0,000032 MnOCO, PhonerdenAl OR et en CRC NS EL 0,0001 (0,00011 AI O:) HeSeIsauTe DIU 2 LE SE A hr Rte LL. 0,0031 Wasseriréié palze 2. 18,1401 (inel. 0,0564 CO, — 38,10 Ce CO, bei 10,8° C.u. 754,8 Mn. B.) +- Zur Bicarbonatbildung erforderlicher Koblensäure 25. 7 44 420.41. +-0,0564 CO, — 38,10 Cc CO, Wahre Summe wasserfreier Salze. . . . 18,1965 dazu freie Kohlensäure . ......... 0,0780 CO, — 53,39 Cc CO, » _» Schwefelwasserstoff . . . .. 0,0973 HS — 18.56 CCHS Summe wasserfreier Bestandtheile (incl. ireie CO, und HS) : : 42, à - 4: 18,3018 ARR Nu e . 981,6982 —1000,0000 Grammen. B) Schlammabsatz. setzt, oder über Sauerstoff abgesperrt, absorbirt er letztern rasch. Beide Eisensulfurete FeS und Fes, Der Inhalt einer frisch geüffneten, wohl verharzt | verwandeln sich dabei in schwefelsaures Eisenoxyd angelangten Champagnerflasche dieses Schlammes | neben freier Schwefelsäure, die im Bildungsmomente bildet umgeschüttelt einen homogen schwarzgrauen | sich mit den vorhandenen Erdcarbonaten zu Eisen- Brei, an der Luft Schwefelwasserstoff und Kohlensäure | = à A : 3) Die Mittheilung der analytischen Data gestattet jede ander- entwickelnd. In dünnen Schichten der Luft ausge- weitige Gruppirung mi Leichtigkeit. 321 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 322? oxydhydrat, Gyps und Bittersalz umsetzen. Das vor- handene Schwefelcalcium oxydirt sich gleichzeitig di- rekt zu Gyps. Der schwarzgraue Brei verwandelt sich demzufolge an der Luft in ein rostfarbenes Gemenge von Eisenoxydhydrat, Gyps und Bittersalz mit den übrigen vorhandenen Salzen, Quarz und Silicaten, unter stetig fortschreitender Kohlensäureentwicklung. In Flaschen verschlossen reducirt die organische Substanz wieder sämmtliche Sulfate zu Sulfureten, der rothe Brei wird schwarzgrau wie zuvor, die ge- bildete Kohlensäure zersetzt einen Theil der Sulfurete im Entstehungsmomente, freie Kohlensäure und Schwefelsauerstoff sammeln sich allmählich in hin- reichender Menge, um beim Offnen einer solchen Flasche mit Schlammbrei nach längerm Stehen den Inhalt, durch plôtzliche Expansion beider comprimirt gewesenen Gase, gewaltsam herauszuschleudern. Die Constitution dieses Schlammes ergiebt sich aus nachstehenden analytischen Daten: a) Wasserlôsung: Chlor, Brom, Jod. 39,801 Grm. Schlamm, mit Wasser ausgekocht, Lôüsung und Waschwasser eingedampft, durch einige Tropfen Quecksilberoxydnitratlôsung vom Rest lüs- licher Sulfurete befreit, dann mit Silbersalpeter ge- fallt, gaben 0,796 Grm. Ag CI + Ag Br + AgJ — 20,000 p. M. Unter Voraussetzung des gleichen Ver- hältnisses der 3 Haloide, wie im Wasser selbst ent- sprechend: 49360 p. M. Chlor. 0.001065 » Brom aeq. 0,001225 MgBr 0.000037 » Jod » 0,000041 MgJ b) Wasserlüsung, Rubidium, Kalium, Natrium, Calcium, Magunesium. 46,752 Grm. Schlamm, mit Wasser ausgekocht, die Lüsung mit Ammoniakoxalat gefällt, der Nicderschlag weissgeglüht, geben 0,0246 Grm. — 0,526 p. M. Ca O. Das Filtrat mit Quecksilberoxyd eingetrocknet, geglüht 0,0118 Grm. Mg O — 0,253 p. M. Mg0O und 0,3334 Grm. RbOSO, + KO SO; + KCI + Na CI = 7,1313 p. M. Alkalisalze, woraus durch Ba CI 0,0316 Grm.schwefelsaurer Baryt— 0,2321 p.M.$S0:, durch Pt Cl, 0,0936 Grm. Rb Pt CL + K Pt CI, — 2,002 p. M. Platindoppelsalze. Unter Voraussetzung des gleichen Verhältnisses von Rubidium zu Kalium, wie im Wasser, demnach Tome IX. 0,0249 p. M. RbO 0,3657 » KO 64553 » NaCI c) Wasserlüsung: Schwefelsäure. 40 Grm. Schlamm, direkt mit Chlorwasserstoffsäure haltigem Wasser erschôüpft, zur Schwefelsäurebestim- mung 0,0296 Grm. Ba O SO, — 0,2544 p. M. SO.. d) Gesammtschlamm: Schwefel und Kohlensäure. a) 40,315 Grm. Schlamm direkt mit Chlorwasser- stofisäure im Geissler’scher Kohlensäure - Apparate zersetzt, gaben 0,5590 Grm. CO, + HS (aus Cas und FeS) — 13,8660 p. M. CO, + HS 8) 36,201 Grm. Schlamm mit Quecksilberchlorid und Chlorwasserstoffsäure in demselben Apparate zer- setzt gaben 0,2120 Grm. reine CO° — 5,8562 p. M. CO, Diff. « —$) — 8,0098 p. M. HS — 7,5386 p. M.S (von FeS und CaS). e) Gesammtschlamm: Wasser, organische. Substanz, Glührückstand. 7,1090 Grm. Schlamm bei 100° — 3,7050 Grm. 521 174 DM 7,1090 Grm. Schlamm bei 200° — 3,6721 Grm. — 516,54 p. M. 7,1090 Grm. geglüht hellgelb — 490,84 p. M. f) Gesammtschlamm, Chlorwasserstofflôsung: Rubidium, Kalium, Natrium, Calcium, Magnesium, Eisen, Thonerde, Kieselsäure, Phosphorsäure. 3,4893 Grm. — œ&) 20 Grm. Schlamm, direkt mit verdünnter sie- dender Chlorwasserstoffsäure erschüpft, gaben aus der HCI Lüsung 0,118. Grm:Fe:0,=—,3,913p.M;Fe 0,1914 5», ALOS—" 9,570! ». ,,ALO: 0,0428,:.5, /S102—", 2,140,» Si0; 0,285 25,:4Ca01:=14290..»,.:620 0,0564, »,.MgO.—..2,820. ,»1.Mg0 0,2053 » RbCI + K CI+ NaCI, woraus 0,1977 » RbPtCl+-KPtCL,. = ,9,885,pM: Platindoppelsalz. 8) 100 Grm. Schlamm, H CI Lüsung *) zur Phos- 4) Für die Bestimmungen aæ; fa und ff wurden volumetrisch getheilte Mengen derselben HCI Lüsung eines grôsseren frischen Schlammquantums verwendet. 21 323 Bulletin de l'Académie Impériale 324 US phorsäurebestimmung 0,0016 Grm. 2 Mg0O PO; — 0,0102 p. M. PO.. g) Gesammtschlamm, Schwefelkies Fe 5. 10 Grm. Schlamm direkt mit Salpetersalzsäure oxydirt, aus der Lüsung 1000 Grm. 0,0891 Grm. Fe, O0, — 6,237 p. M. Fe die HCI Lôüsung enthielt als FeS(fa)— 3,913 » » demnach als Fe S, —2,324p.M°Pe der unlüsliche Silicat- + Quarz-Rückstand geglüht = 4,0307 Grm. Demnach enthalten Stolypinschlamm Schwefelsaures Rubidion RbO $S0;,— 0,036 Schwefelsaures Kali KO SO, ....— 0,476 | Chlorkalium KCI........... — 0,171 | Chlornatrium Na Cl.:. 1... — 6,455 8,552 Grm. Soolwassersalze, worin : À Chlorlithium Li C1 .......... — Spur”’) Chlorcalcium Ca CI. ......... — 1,042 Chlormagnesium MgCI....... —0 or Brommagnesium Mg Br....... — 0,001 Jodmagnesium MgJ ......... — Spur') 35,322 Grm. in Salpetersalzsäure lüs- { Schwefelcalcium Cas ........ —,11,931 lichen Antheil durch HS | Eisenmonosulfür Fes ........ — 10:129 umgewandelten Dolomites | Eisenbisulfid Fe, .......... — 4,980 und reducirten Fe, O, Ge- } Kohlensauren Kalk Ca O0, CO,... — 6,646 haltes der Untergrundsili- | Kohlensaure Magnesia Mg O, CO, — 5,594 cate (Thon). Phosphorsauren Kalk 3 Ca0, PO; — 0,022 Mhonerde AL ON SRE — 9 0710 14,366 Grm. in Salpetersalzsäure lüs- | Kieselsäure S10, ........... —19 140 lichen Antheil der Unter- } Kali KO ................ — 1,522 grundsilicate (excl. Eisen). | Natron NaO.............. —. 0424 KallkiCa Ones Monstirnteninoié 110,710 403,07 Grm. in Salpetersalzsäure unlôslichen Antheil der Untergrundsilicate und Quarz. 55,23 Grm. organische Substanzen (Algendetritus etc.). 483,46 Grm. Wasser mit wechselnden Mengen freier Kohlensäure und Schwefelwasserstoff. 1000,00 Grm. Das Stolypiner Wasser gleicht seiner Constitution nach einigen schwachen Soolquellen, z. B. der von Staraja Russa und ihren Schlammabsätzen, ist je- doch total verschieden von dem vielbesuchten Schwefelwasser zu Sergiefsk bei Samara. Letz- teres ist nach der Analyse von Claus*) reines durch’s 5) Li CI — 0,00006 p. M. 6) MgBr—0,00122 » 7)MgJ —0,00004 » Bitumen der durchsickerten Mergelschichten zu CaS reducirtes und dureh die gleichzeitig gebildete Koh- lensäure in Schwefelwasserstoff und kohlensauren Kalk gespaltenes Gypswasser mit hüchst unbedeu- tender Beimengung anderweitiger Salze, ersteres da- gegen reich an Chlornatrium, Chlorcalcium und Chlor- | magnesium. Zu letzterer Kategorie (Sergiefsk) gehô- to judge of the quantity of sulphuretted hydrogen by the smell, we 8) Murchison, Verneuil and Keyserling. The geology of | should say, that we never met with such strong evidences at any Russia in Europe and the Ural mountains. Vol. I. London 1845, other sulphureous baths, for even at the distance of a mile and when p.157. Wahrscheinlich von Claus in Kasan selbst für Murchison | the place was concealed from our view by a hill, our noses announ- auf 1 Pinte — 9600 Grains berechnet. Ich habe die Resultate auf | ced to us the proximity of this great healing source, to which 1500 1000 reducirt. Murchison bemerkt dazu: «If we were permitted | patients were attracted during the summer of our visit.» 325 ren die Schwefelwasser von Kemmern°), Nenn-| dorf") und Schôneck, während die Stolypiner! des Sciences de Saint-Pétersbourg. 326 und Staraja-Russa’er') Soolquellen das Mittel zwischen Nord- und Ost-$See- Wasser halten. 1000 Grammen Wasser enthalten: Stiller und | Staraja- e 4 Atlantischer| Russa. Stolypin. | Ostsee 31). | Nenndorf. | Kemmern. Sergiefsk. |Schüneck 14). Ocean !?), S ] 11 Mittel. oeuf A C. Schmidt.| Wühler. Kersting. Claus. Kersting. v. Bibra. | C. Schmidt. | C. Schmidt. SOS sr 2,196 1,176 1,087 0,282 1,194 1,097 0,928 0,074 Clses ts 19,023 11,016 | 10,079 2,320 0,159 0,004 0,069 0,001 Br: 1.4 0,315 0,023 | 0,022 0,023 = . — = Rb und K 0,689 0,067 0,042 0,050 0,017 0,006 0,017 0,007 Nas. 10,679 5,372 5,161 1,313 0,221 0,024 0,006 0,009 Casse 0,507 1,414 | 1,021 0,064 0,498 0,599 0,479 0,129 Mae. 1,098 0,452 | 0,452 0,136 0,127 0,058 0,086 0,021 COLA: Summe, freie 0,282 | 0,191 — 0,630 0,486 0,421 0,305 +gebundene! | HS ag ur = ? | 0,027 _ 0,068 0,035 0,152 0,006 Summe was- serfreier Salze 35,053 19,857 | 18,140 4,245 2,798 2,341 1,968 0,492 Dichtigkeit. 1,0266 1,01547 1,01419 1,00325 1,0038 1,0025 ? 1,00013 Temperatur der Quelle — + 13°C. | +10,8°C. — + 11,2°C. | +6,1°C 9,4° C. + 6,5° C. Auch die Soole von Staraja Russa riecht, frisch aufquellend, nach Mittheilung des damaligen Bade- arztes Dr. Rieder, nach Schwefelwasserstoff. Der Geruch ist stärker oder schwächer, wie es scheint. unabhängig von der Jahreszeit. Doch fehlen darüber | genaucre Maassbestimmungen. Das mir im Anfange Januar 1853 zur Analyse übersandte Soolwasser war | geruchlos; der Schwefelwasserstoffechalt muss dem- nach im Winter gering sein, da sich in den 2 grossen Flaschen à 20 Litres unmittelbar aus dem Bohrloche ! aufgefangenen Soolwassers kein Schwefelabsatz ge- bildet hatte. | 9) Dr. C. Girgensohn. die Schwefelwasserquellen zu Kem- mern in Livland, Riga 1847. Die Analyse von Dr. Kersting mit analytischen Daten ibid. p. 15 — 30. | 10) « Quelle unter dem Gewülbe» d'Oleire und Wühler, Liebig | und Wôühler’s Annalen XVII, p. 286 #. (1836). | 11) Von mir 1853 analysirt. Archiv für die Naturkunde Liv-, Ehst- | und Kurlands. Serie 1, Band I, p. 308. 12) Mittel von Bibra’s Analysen N. III bis X incl. Liebig und Wühler’s Annalen LXXVII, p.98 (1851). 13) Finnischer Meerbusen, Chudleigh, unter 59° 27 nürdl. Br. und 25° 14’ üstl. L. v. Paris, von mir 1852 geschôüpft und analysirt. Archiv für die Naturkunde Liv-, Ehst- und Kurlands. Serie I, Band I, | p- 107. — Vergl. auch die Analysen des Ostseewassers auf der Hühe der Alands-Inseln, dem Rigischen Meerbusen, der Bucht von Hap- sal ete. von W. Struve und Ad. Gôbel in K. von Baer’s Abhand- lung: «Ueber ein neues Project, Austern-Bänke an der Russischen Ostseeküste anzulegen und über den Salzgehalt der Ostsee in ver- schiedenen Gegenden.» Bulletin de l’Académie Impériale desSciences de St. Pétersbourg, IV, p. 119 (lu le 19 avril 1861). 14) R.Kersting, Liebig und Wôübler’s Annalen XC, p. 158 (1854). Der Gypsgehalt aller drei ist ursprünglich gleich gewesen. Beim Durchsetzen des bituminüsen Ser- giefsker Bodens wurde die grüsste Menge desselben reducirt, die grüsste Quantität Kohlensäure gebildet und dem entsprechend durch Einwirkung letzterer auf”s Schwefelcalcium das Maximum von Schwefel- wasserstoff entwickelt. Der Stolypiner Boden ist min- der reich an organischer Substanz, derselbe Reduc- tionsprocess des Gypses daher weniger vorgeschritten, mehr Schwefelsäure unzersetzt geblieben, proportio- ual weniger Schwefelwasserstoff entwickelt. Die devo- nischen eisenoxydreichen Sandsteine und Mergel des Staraja-Russaer Bohrlochs sind bei 710” Tiefe arm an Reductionsmaterial; dem entsprechend beginnt derselbe Process erst in den Soolbassins durch die sommerliche Algenvegetation vermittelt, deren De- -tritus analog den Algen, Conglomeraten der Buchten von Osel und Hapsal («Wieken») auf den Untergrund einwirkend, denselben in schwarzen schwefeleisen- reichen Badeschlamm analoger chemischer Constitu- tion und Bildungsweise umwandelt. Bei gleicher Berechnungsweise tritt die Ahnlichkeit des Stolypiner mit dem Staraja-Russaer Soolwasser, ihr Gegensatz zum Sergiefsker, Kemmern’schen, Schün- eck’schen und Nenndorfer Schwefelwasser, als reinen partiell reducirten Gypslüsungen, nicht minder cha- rakteristisch entgegen: 21* 327 Bulletin de l’Académie Impériale 32s 1000 Grammen Wasser enthalten: Stiller und | Starai | | i z Je Stolypin. | Nenndorf. | Kemmern.| Sergiefsk. Atlantischer | Russa, YP Osisee. | | É | Schüneck. Ocean. | - Mittel. Soolquelle. | Schwefelwasser. RbO SO 27 a _. KO SO, ! pie dE 1,535 0,149 0,092 0,112 0,037 0,013 0,037 | 0,015 Na O S0, ..... 2,826 1,969 1,857 0,410 0,680 0,073 0,018 | 0,028 CO SO 0 = = —= _ 1,349 1,828 1,494 | 0,085 Me DSU, LR = = = _ — 0,033 — Na 24,782 12,015 11,570 2,978 = = = == CaCls secte 1,404 3,920 2,832 0,179 0,249 0,007 0,109 | 0,002 MAC 4,144 1,647 1,652 0,538 2< —= — = MeBnise. du. 0,362 0,026 0,025 0,028 — = = = CAO = — — _ 0,029 0,129 _ 0,260 Ma OICOS Me = 0,114 0,107 = 0,447 0,203 0,277 | 0,074 Fe O CO, | … na < Mn O CO, fr" — 0,0052 0,0002 — 22 0,0054 _— 0,008 SiO, u. Al, O,... — 0,0011 0,0032 — 0,007 0,016 0,018 0,020 Sumuwe der Salze 35,053 19,857 18,140 4,245 2,198 2,341 1,986 0,492 Zur Bicarbonat- bildung erfor- derliches 2tes CO, Aeq. = 0,044 0,056 — 0,247 0,164 0,145 | 0,149(0,156 er- forderlich) freie CO,..... — 0,195 0,078 = 0,136 0,158 0,131 == HS = ? 0,027 = 0,068 0,035 0,152 | 0,006 Wassertreie Be- | standtheile ... 35,053 20,096 | 18,301 4,245 3,249 2,698 2,414 | 0,647 du . . . L Das Staraja-Russaer Soolwasser ist etwas reicher ne 4 J Soolbadeschlamm. | Seebadeschlamm. an Chlornatrium und. schwefelsaurem Natron, bedeu- = tend reicher an Chlorcalcium, schwefelsaurem Kali Stolypin. | ue de Hapsal. und kohlensaurem Eisenoxydul; dagegen ist der Ge- RE : — MF IT à halt an Chlormagnesium, Brommagnesium und kohlen- | PRE Soolsalze. . se t 27,02 9,89 3,06 saurer Magnesia nahezu identisch. Der Gehalt an!res,.........1... 498 f | 2288 25,75 19,61 a : “ L ; Thin ote + AIO SE St eieeesce 11,93 — 0,24 0,45 Eisenoxy dulcarbonat steht in charakteristischem Ge CAO CO RS EN TaNR 866 28,34 1209 1415 gensatze Zum Schwefelwasserstoffgehalte der Quellen: | Mg 0 CO, ............. 5,59 = 2,12 0,25 je grüsser letzterer, um so geringer ersterer, da es, | 020 PO... Que œ 0,08 02 JM ART SE de 2 Le ? | Untergrundsilicate und in unlôsliches Schwefeleisen verwandelt, bereits vor | Quarzsand........... 417,43 364,27 |531,34 | 627,25 Re tt _ ; _. Organische Substarz (Al- 3 € € Cp 7 den Auispi useln der Quelle subterran abgesetzt wird. A TR CEE BE 38 38.56 22.16 18,19 Der auf dem Grunde der Quellen und Soolwasser- | Schwefelammonium. — — 0,18 — bassins gebildete schwarzgraue Badeschlamm | Wasser mit wechselnden Hé. à 1. Mengen Schwefelwas- enthält in 1000 Grammen: serstoff und Koblen- SAUTO Seche 483,46 D15,93 396,20 317,09 Soolbadeschlamm. Seebadeschlamm. | SRE Staraja | Arens- | 6 1000,00 1000,00 |1000,00 |1000,00 Stolypin. Russa 15).| burg 16). Hapsal 16). KO 80, *} Mur use 0,512 | 1,695 | 2,191 | 0,560 Vergleicht man die beiden Soolquellen, als Aus- NaOS0: remlibiense — 11,961 — 0,535 |laugungsprodukte des osteuropäischen Sedimentär- CaO!SOS TEL EEE = 1,049 — - 1 . . . NE TRS | 0,171 A 2,027 Lt beckens der devonischen und Permischen Periode, Ne QLarsefépemer nee nee F5 1470 | 1,190 | mit dem gegenwärtigen Mecrwasser, so erscheint letz- UCI SERRES en este Sp _— — — # : F CAC mREteRt 1,042 | 11,273 4,240 0774 |teres bedeutend ärmer an Kalk, dagegen rei- Mol ruse ss ),3 02 — — : Te & ne a +: nes n D [cher an Magnesia und Kali, etwas ärmer an Mate une DS D Spur — — — 15) Von mir 1853 untersucht, «Archiv für die Naturkunde Liv-, | auch die ausfübrlichen und sorgfältigen Untersuchungen von Ad. Gübel: «Der heilsame Meeresschlamm an den Küsten der Insel Ebst- und Kurlands. Serie 1, Band I, p. 311 — 315. 16) Im Jabre 1852 von mir analysirt, ebendaselbst p. 104. Vergl. Oesel» 1. c. p. 113— 238 (1853). 329 Chlor, dagegen bedeutend reicher an Brom. Als Vergleichseinheit dient am sichersten das Na- trium, als indifferentestes, beim Durchsickern der Bo- denschichten unabsorbirt passirendes Element. Man erhält so folgendes Resultat: Areéqhu iv à lrePn t: b D : 3930,7 Gr. 1000 Grm. | 960,70 Gr. | 483,28 Gr. IMverwasser . s Staraja- . k s Stolypin- | Re Meerwas- | (Ostsee, Wasser. | Soole. [ser (Ocean).|Finn.Meer- busen). SUR TEST 1,087 1,13 1,061 1,108 (DRE ÈSEE erieiner 10,097 10,585 9193 9119 Brian ere 0,022 0,022 0,152 0,090 Run... 0,042 0,064 0,353 0,197 Na see e nes 5,161 5,161 5,161 5,161 CHAINE 1,021 1,358 0,245 0,259 MSA MARE AR EE 0,452 0,434 0,531 0,535 Summe der Salze.. 18,140 19,077 16,941 16,656 Bei gleichartiger Gruppirung der Elemente, ge- staltet sich das Verhältniss in nachstehender Weise: RbO 50, + KO SO, 0,092 0,143 0,742 0,440 NAUD SO. eee 1,857 1,892 1,366 1,611 NACI EE. S ee. s 11,570 11,543 11,977 11,706 CaCl....….. RSS 2,832 3,766 0,679 0,704 MpiOl 4. = 1,652 1,582 2,005 2,115 MéiBr:.... OO 0,025 0,025 0,175 0,110 MED) COTE. 0,107 0,110 = = Je jänger die Bildungsperiode, um so mehr schwin- det die Magnesia aus den Sedimentärschichten, um so reicher werden dieselben an Kalk. Die jüngsten Dolomitablagerungen gehôüren dem Jura an; die 1hn! überlagernden ältesten Glieder der Kreide (älterer Grünsand) enthalten noch kleine Magnesiamengen, die jüngern (Kreide), namentlich aber die ausgedehnten Tertiärschichten, sind fast magnesiafreie Ablagerungen | 1000 Grm. Flachsstengel enthalten bei 100° C. des Sciences de Sainé-Pétersbourg. 330 von kohlensaurem Kalk. Die Proben des devonischen und Permischen Urmeerwassers, von ihren bezüglichen Sedimenten mechanisch umschlossen, die die atmosphä- rischen Niederschläge, jene Straten durchsickernd und auslaugend, in der Staraja - Russaer und Stolypiner Soolquelle zu Tage fürdern, geben, mit dem jetzigen Meerwasser verglichen, die Erklärung dieser That- sache. Die heutigen Oceane enthalten nur etwas über , des Kalkgehalts des Devonmeeres, etwas weniger als ‘/, des Permischen. Von 1000 Grm. Calcium des Devonmeeres wurden bis zur Ablagerungsperiode der von den Stolypinquellen durchsetzten Schichten 248 Grm. als Kalkstein abgelagert; seitdem bis auf die Gegenwart weitere 572 Grm., der Rest von 180 Grm. des gegenwärtigen Meeres schwindet durch den stetig gleicherweise fortschreitenden morphologischen Ent- kalkungsprocess, als Molluskengehäuse und Korallen- bänke schichtweise niedergeschlagen. Der hôhere Bromgehalt des jetzigen Oceanwassers findet in der Zerfliesslichkeit des Brommagnesiums und seiner Nichtabsorption durch den Boden seine Erklärung, wäbrend der bedeutende Kaligehalt des | gegenwärtigen Meerwassers der Massenvegetation der Steinkohlenperiode seinen Ursprung verdankt. Das durch letztere in der Pflanzendecke fixirte Kali lôste sich nach Ablagerung des Holzkôrpers während des langsamen unterirdischen Verkohlungsprocesses auf nassem Wege im darüber stagnirenden Wasser in ähnlicher Weïise wieder auf, wie es beim Flachsrüsten und ähnlichen technischen Weichprocessen noch ge- cenwärtig nach dem Aufhôren des Vegetationspro- cesses in’s umgebende Wasser übertritt und sich ste- tig in letzterem anhäuft. getrocknet: SO, | CI | PO, | SiO, Fe, 03! KO | NaO | CaO | MgO | | | | Vor dem Weichen. ..… M MEN eu Re 1,25 | 2,06 | 2,79 | 2,95 | 2,06 | 7,97 | 3,17 | 7,84 | 1,55 Dieselben nach beendeter Maceration ........ 0,10 | 0.02 1 1,19 | 0,35 | 0,46 | 0,07 | 2,85 | 0,21 In’s Weichwaser gingen über......,....,.... 1,15 | 2,04 | 1,68 | 1,74 | 1,71 | 7,51 | 3,10 | 4,99 | 1,34 Von je 100 Th. der betreffenden Stoffe (503, | | | (ELe . Clétc)demnache ete tee eee. 92,0 |99,0 |60,2 |59,4 | 83,0 194,2 197,8 |63,7 |86,4 | | | 1000 Kilogr. wasserfreier Flachsstengel würden, dem Steinkohlenbildungsprocesse unterworfen, 480 Kilogr. wasserfreier oder circa 500 Kilogr. frisch ge-! fôrderter Steinkohle liefern; derselbe Macerations- process, in die Steinkohlenformationsperiode zurück- verlegt und über dieselbe vertheilt, liefert dem wei- chenden Meerwasser von jeder Tonne (à 1000 Kilogr.) Steinkohlen: 331 Bulletin de l’Académie Impériale 332 © 15 Kilogr. Kali- Zuwachs 6,2 » Natron- » 10,0 » Kalk- » 2,7 » Magnesia- » 2,3 » Schwefelsäure- » 4,1 » Chlor- » 3,4 » Phosphorsäure- » BE NO MR San eer » In ähnlicher Weise häuft sich bei Maccration der meisten abgestorbenen Pflanzen das Kali am stärk- sten im Weichwasser an und dient als stetig umge- setztes Bildungsmaterial nachfolgenden reichen Pflan- zen-Generationen (Riesentang, «Sargasso», submarine Tropenwälder), neben Phosphorsäure, als morpholo- gisches Betriebskapital. Der Ocean wird kalireicher, weil Flüsse und Quellen dies Kali-Kapital stetig ver- grüssern, ohne dass Fällung in Form unlüslicher neu- gebildeter Kalidoppelsilicate von gleichem Betrage stattfände. Die Menge durch Flüsse und Quellen in°s Meer geführter Kieselsäure und Thonerde ist zur Bindung des gleichzeitig mitgeführten oder im Meer- wasser bereits vorhandenen Kali, in Form von Zeo- lithen, unzureichend. In therapeutischer Hinsicht verbindet das Stoly- piner Wasser die Wirkungen eines kräftigen Seebades (Helsingür ) mit denen reicher Schwefelwasser (Ser- giefsk, Kemmern, Nenndorf). Ein Gemisch gleicher Volume Meerwassers (des Mittelmeeres oder Atlanti- schen Oceans) einerseits und Sergiefsker Schwefel- wassers andrerseits würde annähernd gleicher chemi- scher Constitution entsprechende physiologische Ef- fekte hervorbringen. Es steht in dieser Hinsicht dem in Nenndorf benutzten Gemenge von Roden- berger Salinenwasser und Mutterlauge mit Nenndorfer Schwefelwasser zunächst und würde in der balneologischen Systematik letzterem beizuord- nen sein. Der Badeschlamm ist dem von Staraja Russa, sowie dem Seeschlamme der Wieken von Osel und Hapsal chemisch und physiologisch gleichwerthig. Die Anwendungsweise beider ist am gecignetsten, auf 35° C. erwärmt, bei Rheumatismen, Gicht, chroni- schen Hautaffectionen u. drgl. Die hohe Sommertem- peratur und das gleichmässige trockene Steppenklima tragen das Ihrige zu den günstigen Erfolgen bei. 17) G. Forchhammer. Om süvandets bestanddele og deres fôr- deling i havet. Kiobenhavn 1859. Kritische Bemerkungen, von A. Nauck. (Lu le 9 novembre 1865. IV. Von der glanzäugigen Athene wird II. B, 280 —82 gesagt, dass sie etÔopévn xNpUX! LOT ÀUOV AVOYEL, € Lg e + 4 Nr T 66 due © où roôrtoi te xt Uotarer Vies Ayatôv uÜSov dxoÿserav xai érippnocalaro Bouxrv. Die beiden +: im mittleren Verse stehen zu emander in keiner Beziehung; vielmehr entspricht sich einer- seits toûtoi te xai Ootoro!, andrerseits qu Te WÜdov dxoucetav xat értopacoæiarc Bouxnv. Ein solcher Pa- rallelismus lässt sich zwar aus dem geschriebenen Texte mühsam herausgrübeln, nicht aber wird er in leben- diger Rede dem Hôürer verständlich. Grund genug um zu behaupten, dass der jetzige Text fehlerhaft ist. Mit der Erkenntniss des Fehlers ist für unsere Stelle aber auch die Heilung gegeben; ohne Zweifel ist das erste te von einem ungeschickten Grammatiker ein- geschaltet, der einen vermeintlichen Hiatus entfernen wollte. Es muss heissen 63 due ci roôToi te ai borarot vis Ayatôv pISov AACUGELAV, und oi ist als Dativus FOI zu fassen. Mit der Structur vel. Od.5, 767: ct éxduev apñs. Il. II, 531: OTTL CÙ OX NXOUTE LÉYUS Sea de Seos evéapéveto. [l, 515: àv- vacot JÈ GÙ TAVTOG HHOUELV ŒVEDL Die hier beseitigte Partikel mahnt mich an eine Stelle in Soph. Ant., wo ein unrichtig gestelltes te von einem der neusten Herausgeber mit emem Eifer vertheidigt wird, der einer besseren Sache würdig wäre. Ant. 120 ff. schreibt die Mehrzahl der Ausga- ben so: xN00pEVE. Ba, totv roS aueTépoy aipotoy JÉvUGUY TAN ST- VOLÉ TE HA) CTEDAVOLL TUPYOY revxoevS “Hoatctoy ékeiv. In der vierten Auflage der Schneidewinschen Bear- beitung (1860) habe ich bereits erinnert, dass das te, welches in den Handschriften fehlt und erst von Tri- clinius hinzugefügt ist, hier unzulässig sei. Da Mei- nekes Ausgabe der Antigone (1861) die von mir ge- tilgte Partikel wieder brachte, so sprach ich im An- hang der fünften Auflage (1864) meine Verwunderung des Sciences de Sain(- Pétersbourg. 334 darüber aus, dass das te noch in den neusten Texten paradirte. In diesem Jahre hat sich nun M. Seyffert für das te verwendet mit folgenden Worten: «te omis- sum in libris addidit Tricl.; Bocckhius malebat èu- rAnoSivat. Particula tam loco posita est quam, ut hoc adferam, Thuc. I, 49 extr. raÿrn pèv où ci KoptySor xai où Évpuayor nooovto te xai où Kepxvouior étexoot- touv. Non igitur iactare se perget, ut ait inridens Nau- ckius, sed se defendet a reprehensionibus iniustis.» Bei dem letzten Satze geht es mir wie bei nicht wenigen der Ânderungen, die Seyffert mit einer mehr freige- bigen als geschickten Hand im Texte seiner Antigone ausgestreut hat"). Die Worte Non igitur — Nauckius verstehe ich nicht. Der Aufforderung aber mich gegen ungerechten Tadel zu vertheidigen werde ich im vor- liegenden Falle gern nachkommen, weil mir dadurch die Gelegenheit geboten wird, den Text des Thucydi- des von einem groben Fehler zu befreien. Ich räume ein dass in den obigen Thucydideischen Worten das rc eben so passend ist als Ant. 122, behaupte aber gleichwohl, dass Seyffert eine sehr unglückliche Wahl traf, wenn er zur Vertheidigung der Conjectur des Triclinius in Ant. 122 sich auf Thuc. 1, 49 berief. Denn wer Griechisch versteht, wird bei einigem Nach- denken leicht einschen, dass das ze in der Thucydidei- schen Stelle keinen Sinn hat. Man kann wohl sagen où pév KoptvSt nooüvro, oi SÈ Kepxvpuïor texpatouv, nicht aber nocôvré te of KopvStor xat ci Keoxvpæicr ërexoatouv, und noch viel weniger ci Kop{yStor nocüv- re te xai où K:oxvpuicr émexparouv. Es unterliegt kei- nem Zweifel, dass die Silbe ro im Thucydideischen Texte zu verdoppeln ist, dass mit anderen Worten statt nosôvré te geschrieben werden muss 1556vTto rôte. Beispiele derartiger Fehler gehüren nicht zu den Seltenheiten; einige habe ich in den Mélanges Gréco-Rom. IT p. 219 zusammengestellt. Die Worte ut hoc adferam, mit denen Seyffert das Citat aus Thu- cydides einführt, lehren dass er noch andere Stellen im Sinne hatte, mit denen er die Stellung des von 1) Einiges müge zur Probe dienen: ee S alkoc Ta Hé Vs aka ÿ ère Got étevwpx oTupetCwv UÉY vus ’Apns 138. ur vÜv HOT, 0 rai, TÜG prévus LT nôovne YuvaxÈe oùvex ÉxBaanc 648. "Epos, 06 êv Prépuce minteu 782. rot PHov ÿ éxrivets vÉveShov 856. xo08È HAVTUHNS ampaxros UuEv Elu, Tüv ÜTat vévoue éEnurokquat xx TEpipTiopat Féhat 1035. éxSput (LA Traout GuvTapdÉovr at ROELS, OOV Ta reGYHaT A xuvee xaSnyrouv n Inpec 1081. YO” SEurAnxtTos NÔe porviav a retE Ave xchatva BAépapa 1301. Triclinius eingefügten te belegen zu kônnen glaubt : ich sehe mit einiger Spannung weiteren Mittheilungen entgegen, bin aber vorläufig doch überzeugt dass es Seyflert so wenig als irgend einem andern gelingen werde das unmôgliche müglich zu machen. Nachdem Odysseus die Achäer ermahnt hat auszu- halten bis es gelinge Ilios zu erobern, erhebt sich Nestor, in dessen Rede es Il. B, 339 ff. heisst : Tr Ôn cuvSectar te ai Opxia Pnoetou MpLiv; Év Tupi 5 Bouhut TE jee pride T avBoov GTovÈQE T AU xat délai, ns Été due. adtos yaip Énéeoo éptdaivouev, cUdÉ TL pÂyos evpépevat Suvaeoèæ, rondv pocvov ÉVIaS éévtes. Nestor verwünscht die Berathungen der Männer, weil sie erfolglos sind, weil die Kriegsarbeit nicht zu dem ersehnten Ziele führt; mit welchem Rechte aber und in welchem Sinne er die orovèai axpntrot xui Seérat mit den Bouaat xai pds avôpoy zusammenwirft, ist nicht abzusehen. Die orovda} axpnte! xai SeËtat ha- ben mit den Bouhai xat pn9:4 œvSov nichts zu schaf- fen, sie gehüren vielmehr zu den früher erwähnten guvSecto xai Gex. Ohne Frage müssen V. 340 und 341 die Stelle tauschen : Th Ôn cuvette Ha Conti Brostar pv orovÿai + axpntot xat dcËtar, Îs ÉTÉTIIUEV; v rupt Ôn Bouhaf te Vevotato pÔEA T AvBpOY KTÉ. Sollte nicht ausserdem ui V.339 in dyiv zu ändern sein? Nestor meint: ihr habt euch eidlich verpflich- tet zum Kampfe gegen Troja; wir haben eurem Hand- schlage Glauben geschenkt; haltet also was ïhr ver- sprochen habt. Il. E, 85 ff. Man konnte nicht unterscheiden, ob Diomedes unter den Achäern oder unter den Troja- nern sich tummelte : TÜve vae Gi. redlov ToTaLo TANSONTL CLOS xztapo® , 65 T Gxu béov ÉxédaTos YEpuous. Sollte an dem Ausdrucke éxédacos yepupas, er zer- streute die Brücken, noch niemand Anstoss genommen haben? Angemessener ist sicherlich «er zertrüm- merte die Brücken» d. h. éxéacce, wie Od. €, 132: énet où via tonv doyite xepauvé Zevs Eh *) ÉxÉMIOE péco évt olvoTt TEVTO. Diomedes tüdtet nach Il. E, 159 ff. zwei auf einem 2) Oder wohl besser éktous : vgl. Buttmann Lexil. II p. 143. 335 Bulletin de l'Académie Hmpériale 336 Wagen befindliche Sühne des Priamus, den Echem- mon und den Chromius : adyEVa GE moptios ME Bocs, Évhcyov xata Bocxomevaw, üs Toùs auporépous € Irnov Tudées viès ü$ SE Aéwy év Bouot Sopov €Ë Büce xaxds déovras, mestTa DE TeUyE ÉcUda. In den Worten réprios nè Boos erscheint die disjune- tive Partike]l als unstatthaft. Das fertium comparatio- nis ist, wie der Ausdruck os toùs aupotéoous deutlich zeigt, gerade darin zu suchen, dass zwei zugleich der Uebermacht eines einzigen erliegen. Es ist also zu schreiben réottos nôè Boss, wozu nun auch der nach- folgende Pluralis Bocxouevaoy besser passt. Hektor verwünscht seinen Bruder Paris und sagt Il Z, 284 1: et xelvoy ve Loouu xatehovT Atos œainvy xev poév dTép nou Guos ExhehnSÉO dar. Eine Form ax:oxos ist unerhôrt, und gegen die Tren- nung axe mov, die in den Scholien erwähnt wird, sträubt sich der Sinn. Tadellos ist die Zenodoteische Lesart pans xev oo mrop GtÉuos ÉxhelaSésSou, die Bekker neuerdings in den Text aufgenommen hat. Freilich bleibt dabeï ein Bedenken: wie verfiel man auf opév dtéomov, Wenn œ@fhov gros in den Handschrif- ten stand? Falls die ehemals gangbare Lesart nicht von einem Grammatiker erfunden ist, sondern auf di- plomatischer Autorität ruht, so entsteht die Frage, was dem œtéorov zu (Grunde liege. Diese Frage weiss ich nicht mit Sicherheit zu beantworten; müglich aber wäre, wie mir scheint, folgender Ausdruck: oafmv xEY pv apap Tou dEvos ÉxAS ha SET. Wenn du zu mir reden kôünntest, sagt der geblen- dete Cyklop Od. :, 456 ff. zu seinem Widder, dann würde ich den abscheulichen Or: zerschmettern : Tô xé où dyxépaos ve di cnécs AUS XAN Setvonévou bæiouto Tops oÙdEi, XAD dé x EMOV xp Aopnoste xaxOv, TE por oUTJavos Tépev OÙrie. Nach'Ameis soll $ætesSar hier den Sinn haben «zer- schmettert:spritzen». Damit ist richtig erkannt was der Zusammenhang fordert, aber eine Bedeutung für Batey vorausgesetzt, zu der uns der anderweitig hin- reichend bekannte Gebrauch des Wortes nicht berech- tigt. Es muss ein Buchstabe hinzugesetzt werden : & + La 4 v .. Jeuvopévou bæ&ivorto Tp0c oUdEL, wie aus folgenden Stellen hervorgeht. Soph. Trach. 781: Aeuxov puedov éxpmiver. Eur. Cycl. 402: rov où, tévovtos aptdons Gxpou Todd, Taiov Tps CEDV oTévuye retoatou MiSou, éyxépahov éÉépoave. fr. 388: xaoa TE Vdp où ouyxéo xs Cod, bavd te Teddo éyxépahoy. Od.0, 509. Odysseus meint, sein Sohn Telemach werde jetzt verstehen im Kampfe sich seiner Väter würdig zu zeigen, at OÙ TO HAQOS TE » PO IT , , - z AAA T MVOpÉN TE xEXAOUEŸN TÂGAV ÊT av. So lange die Redeweise xexdoa! täcuv ÊT atay, welche bedeuten soll «über die ganze Erde hin sich auszeichnen», nicht durch Belege oder analoge Aus- drücke sicher gestellt ist, môchte ich vermuthen räcav ër tSuv, unter Verweisung auf IL Z, 79: oùvex ototor Tâcav ÊT DSUv ÊGTE LAYEOÏMÉ TE DOVÉELV TE. Od. 5,434: étatpous tosts &yov, ofat WahoTa memoidex TTav ÊT LOU. Der Streit des Aiïas und Odysseus um die Waffen des Achilleus wurde vom Verfasser der kleinen Ilias in hôchst eigenthümlicher Weise behandelt. Zu dem Aristophanischen Verse Eq. 1056 : XOL KE YUVN Dépot AUTOS, TEL KEY AVNE ÉVAIEEN, bemerken nämlich die Scholien: Stepépovro mept tov dotstelov 6 te Alas koi 0 OBuoseus, os pnoiv 0 Ty proav Duida renomxos. Tov Néctopa BE cumBouked- car vois "Ehnot réubar tivac UTÔ TA TEYN rôv Tosov, STaxoustnoovtas avdpelas Tôv TOO LE MLÉVEY ToGov* Toùs DÈ rEppIÉVTAS AXOÜGAL TAp- Sévoy drapeoopévoy Tes dhmhas, dv Tv pv AVE 6$ 0 Aus rond xpetrrov éoti Toù Oôvooéus, Stepyoué- VnY 0ÙTOS Alus pv yo œctpe ka Ékpeps SmtoTitos neo Imkctônv, oùS nSene dos Oôvoceuc” rnv S étépav dvterreiv ASnvic roovota* TS ÉTEPOVNOO; TÔS OÙ KATA KOOLOV ÉELTES Deddos; Wie bei Homer der Dativ ng0 richtiger now ge- schrieben wird (vgl. Mélanges Gréco-Rom. IT p. 424 f.), so dürfte hier im zweiten Verse fpox Inretôny die richtige Lesart sein. In Betreff der Verkürzung der mittleren Silbe in few4 kommen zu den früher ange- 337 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 338 fübrten Stellen noch zwei inschriftliche Zeugnisse. Epigr. C. I. 2907, 4 vol. 2 p. 578: Cheot d év toto- cas Nowx Tovès céBeuv. Epigr. bei Newton A history of discoveries at Halicarn. Cnidus and Branchidae vol. IT part 2 p.747: mowos Avrryévou, Médoat Sé oct ei tt vépouatv. Nachher hat man mit hoher Wahrschein- lichkeit vermuthet, dass der Verfasser der kleinen Ilias den bei Aristophanes überlieferten Vers unmit- telbar auf die Worte rôs où xauta xoouov éertes habe folgen lassen : TÔS ÉTEDOVNOO; TÔS OÙ KATA KXOGLLOV ÉELTES; XO XE YUVN DÉpO! ADO, ÊTEL KEY AVE AVAIEUN. Vielleicht ist auch der bei Aristophanes nachfolgende Gegensatz, dAX cux av payérarto, aus der kleinen Ilias entlehnt. Vgl. Welcker im Epischen Cyclus IT p. 532. Unrichtig ist aber das bei Aristophanes überlieferte dvaSein, welches Plut. Mor. p.337 E getreulich nach- schreibt. Cobet V. L. p.324 verlangte dafür den Con- junctiv, avaSen oder vielmehr nach Bekker Hom. BI. p. 227 gvaSnn. Aber der Gedanke «auch das Weib vermag eine Last zu tragen, nachdem der Mann ibr dieselbe auferlegt» bekommt eine Pointe erst dann, wenn man an die bestimmte Last denkt, die jedes Weib zu tragen hat und zu tragen vermag, an die Last, welche der Mann in der ehelichen Gemeinschaft dem Weibe auferlest. Diese Beziehung ist durch die jetzige Lesart so wenig nahe gelegt, dass ich kein Bedenken trage avaSeïva hier für unzulässig zu hal- ten. Sowohl Aristophanes als der Verfasser der klei- nen [lias werden geschrieben haben : xai Xe Yuvn pépot dUSos, énel xev avno Ava Bt. Ueber die hier vorliegende Anwendung des Verbum avaBaivetv vel. Aristoph. Com. 2 p. 1082: avaBñvar Tv yuvaixa Bouhouar. Aesch. Sept. 187: pnT Év xaxoiot [AT Êv EveGToi pEÀN Évvorxos elnv Tô Vyuvatxilo Ever. Ueber die letzten Worte +6 yuvaxslo véver, wo statt Tô yévet ein gleichbedeutendes Femininum stehen sollte, handelt Heimsoeth Wiederherst. der Dramen des Aesch. p. 45. Zwischen evsctot und œfàn ist im Co- dex Mediceus etwas ausradirt, nach O. Ribbeck zwei bis drei Buchstaben. Vermuthlich waren diese Buch- staben æ, wonach ich vermuthen müchte pit êv eÿ- Tome IX. goiæ œtan. Das ziemlich seltene Wort sôcox kennen wir aus Soph. Oed. Col. 390. fr. 119. Eur. Hipp. 263 (WO Tÿ + svaolx Lédoy roue zu schreiben ist); vgl. meine Eur. Stud. IT p.191. Schneidewin im An- hang zu Soph. Phil. 1322. Meineke Oed. Col. p. 153 f. Ist die geäusserte Vermuthung richtig, so werden wir auch an den beiden übrigen Aeschyleischen Stellen wo cvecro gelesen wird, Anstoss nehmen müssen. Agamn. 647: ne0s yaipouoav eveotot rév. Agam. 929: 6à- Bloar dE yon Biov TeheutnoavtT év edeotoi œ(An. An beiden Stellen ist svoctx müglich und edeoto als ein Ionisches Wort bedenklich. Aesch. Pers. 114: tadta pou pehayy{toy pony dpisostat Pope. Von œgoéves apotpéhatvat ist bekanntlich schon in der Ilias die Rede; xoaëtnv péhatvay findet sich bei Theo- gnis, pehatvns œosvos bei Solon, pehavcypos xapôta bei Aesch., xshavoray Suyoy bei Soph. und ähnliches sonst, wie Blomfields Sammlungen zu unserer Stelle zeigen. Damit ist indess eine œony pehayy{tov noch keineswegs gerechtfertigt; nicht der erste, sondern der zweite Theil des Compositum, die Erwähnung des xrov, erscheint als auffallend. Vermuthlich schrieb der Dichter : THÛTE [LOU LE ÀLYXLLOS ponY AUUGGETOL HBo. Die handschriftliche Lesart dankt ihren Ursprung viel- leicht der fehlerhaften Schreibweise pehayyemos, über die ich in den Eur. Stud. IT p. 61 gesprochen habe. Aesch. Suppl. 951: ein à véxn xal xpaTn Tois dogetv. Die Endung in xoatn scheint durch das voraufgehende vxn veranlasst zu sein. Jedenfalls werden wir nach dem herrschenden Sprachgebrauche den Singularis xoatos erwarten müssen. Vgl. Soph. EL 85: taita yao qépet vÉxnv T ËD uv xat xpaTtos, und die da- selbst angeführten Parallelstellen. Aesch. Eum. 658 f.: oÛUx ÉGTL NTNE 1 XEXANLEVN TÉKVOU TOKEUS, ToopÔs DE XUJLATOS VEOUTOPOU. Die Mutter ist, wie Euripides sagt, die tpovoæ, welche den empfangenen Samen aufgehen lässt, oder wie es hier heisst, die Nährerin des zeugenden Keimes. Die- sen Sinn haben die Uebersetzer in den letzten Wor- 22 339 Bulletin de l’Académie Hmpériale 340 ten gefunden, ohne zu bedenken dass dafür veconcoos «frisch gesäet» ein unpassender Ausdruck ist. Statt xvpatos veoorcoov, wo der Begriff véos als müssig und nichtssagend erscheint, muss es wohl heissen xvyaros œutouorogou. Vel. Soph. Trach. 359: ax nwx oux ÉratSe TOY outoorcpov Tnv Taiôa Jobvou. Arg. Soph. Oed. R.: Entôv éaurov xat yévous quroonéoo. Christod. Ecphr. 106 : pa£ous pèv omoryéovras éBeñxvues ('Eoua- posdrros) oùx te xoÿon" oyma JÈ té Éparve pUTo- oncoov apsevos atdoùs. Orph. fr. 41, 5 bei Tzetz. Hes. Op. 763: roi ériySoviorct qurooncoou aitén dhxis. In dem Carmen de figuris vel schematibus bei Halm Rhet. Lat. p. 64 wird für die éravagopx oder repetitio folgender Beleg gegeben : ipse epulans, ipse exponens lacta omnia nuptae, ipse patrem prolemque canens, idem ipse peremit. Das Griechische Original findet sich, was Halm über- sehen hat, bei Aesch. fr. 340, à d'aÿros UVOY, ŒUTOS Év Vol TapOY, Atos THŸ EËTOY, AUTOS ÉGTLY Ô KTAVOY TÔv RAÎdL TOY ÉpLOV. Statt lacta omnia ist, wie die Situation fordert, laela omina zu schreiben; aber auch exponens scheint mir bedenklich; vielleicht ipse expromens laeta omina nu- ptae. — An einer früheren Stelle desselben Carmen V. 8 f. heisst es: nam qui cadem vult ac non vull’, huic adiunge sequens ‘is demum est firmus amicus’. Zu Grunde liegt Sall. Cat. c. 20, 4: atque idem nolle, ea demum firma amicitia est. Soph. Ai. 50: xoù RÔS ÉTÉOYE YEÏOL [LALOGEV POVOU; colon facit unum; nam idem velle Die Bedeutung des Verbum pay&v, stürmen, toben, leidenschaftlich erregt sein, wird zur Genüge erkannt aus folgenden Stellen. IL. E, 661: atyyn 9 Stécouro papooca, cotée éyyeoeion. E, 670: paiunoe dé o are. N, 75: pouooot D èvepgS: nédes koi yet- Rept JoUpaTt œthov pes UnepSev. N, 78: Eos dartot Lapôouwv, KA pLot pLÉvOs mpope, vépSe D To0GÙv TOUL Gpspotépotot. O, 542: aiypn d otép- Voto DLÉGOUTO papdoce, Tocoow Îepévn. 0; 149: at papowy mer éyyei dEvcevre. Y, 490: Ôs à ava- paye (richtiger wohl dva patdet) Basé ayxeo Tec- Aesch. Suppl. 895: pat réhas dérous oùto vÜy xt époi \ 22 RIÔQÈ; TÜQ. Cots. Orakel bei Herodot 8, 77: dx Aixn oféocet Res Kcpy, YBoros viov, Seuvoy matpoovte. Theocr. 253: üç ên êpol As aivos dnonpoÿev dIpdos AATO uapoov yocès do. Lycophr. 529: parpôvre tubar TOHLVÉOV dhaTepa. IAE? Jin xopéoaut fEipx À YGGa» œcvou. Apoll. Rhod. 2, 269 : écoevovte xhaYYÿ papowcar éSntuos. Mnasalcas Anth. Pal. 6, 268, 4: cire xaT etvostœuAhov Opos neot rotua Baivets, deuvoy uopoouts éyrovéouvon voiv. Orph. Lith. 133: poœi- unoe Ÿ 0psoxwou pévos æivoy paépvacèor. Orph. Argon. 419: n9 os Hoaxdû xatavria patpoovtes év Pordn Snetcav. 885: BALOOOE KUDEY YOQLÉV TE roccwrov. Oppian Hal. 5, 375: acTa- Aus dedoxnpévos tXSUoty avrois — bmÔlos ÉpuoEL Tept vastéer papocvres. Philo Iud. de agricult. $ 8 vol. 1 p. 305: ôs ai dv ai Tis yatods dromAnpoSot de- Éapevat, otapyücay tt xai parpôoav tv del xevnv éniSuplav TeptBhéTeo dat KA TEPIDOLTAV, [AY TÉ TOU Ragcoaïèv Actbavoy doetov. Fehlerhaft ist Dionys. Perieg. 1156: 25, OTÉQUA TE ToÙs Ôé Ts ôT mhAdogovro pèv aout Anvaov vefoîôes ès aontôas, ès dE otdnpov SUpOO LAROOVTO, Ka ÈS GTEONLA DEAXÉVTOY Cootigés S ÉMXéÉS Te nohvyvaprTrns ÉMvoto. Mit dem seltsamen Ausdrucke és Le otdnpcv Supcou paywovro wird im Thes. Gr. L. vol. 5 p. 505 B das bekannte ets xépas SupoïoS at dore dies ist ge- nau eben so räthselhaft als die bei Bernhardy und C. Müller gegebene Uebersetzung, «cum thyrsi in en- sem irascerentur». Offlenbar wollte der Perieget sa- gen, dass die Thyrsusstäbe sich in eiserne Waffen ver- wandelten. Diesen Sinn sucht Fr. Palm in der fünften Auflage von Passows Handwürterbuch auf dem Wege der Erklärung zu gewinnen; er meint, ês ctôngoy pat- pocvto bedeute «sie strebten zum Eisen hin, sie ver- wandelten sich schnell in Eisen». Gegen diese äusserst gezwungene und mit dem anderweitigen Gebrauche des Verbum payäv schwer zu vereinigende Erklärung werden wir um so misstrauischer sein müssen, da eine mediale Form wie paoovte nirgends sonst vorkommt. Es muss offlenbar heissen : s à atànpoy Svpoo patpoovra (nämlich nhAdoaovro), was dem Homerischen ay papooca Il. E, 661 und 0, 542 nachgebildet ist. — Wer die angeführten Stel- 341 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 342 1 len überblickt, wird leicht sehen dass pamy&y in der | &hAmhototv tévar Scpu. Here. F. 1005: xaporde méteov voralexandrinischen Zeit durchgängig absolut ge- braucht wird, d. h. ohne irgend eine nähere Bestim- mung*). Erst spätere Dichter haben einen Infinitivus davon abhängig gemacht (Theocr. 25, 253. Lycophr. 529. 1171. Orph. Lith. ); für paäv rives fehlt es, abgesehen von den oben citirten Worten aus Soph. Aiï., an allen Belegen; denn wenn Apoll. Rhod. 2,269 von den Harpyien sagt: 29 29 ai à Aoap qUT aehhat AÜEUKÉES 1 GTEROTAL @S aTpODATOL VEPÉHY ÉÉTAREVEL ÉGHEUOYTO X}aYYŸ Lapoowcat ÉdNTUOS so hat er vermuthlich énruos von écoevovre abhän- gig gemacht nach dem Muster des Homerischen écov- | | Sev avocs. Was aber soll +uropa hier bedeuten? Der Zusammenhang fordert den Sinn «(refiss» : pevos TohéLoto, ÉCOULEVOS côcio, und sollte auch bei Apollonius paypoocat ébnrves müglich sein, so wäre doch paœypôoav œwcvou für Sophokles damit noch nicht gerechtfertigt. In den Scholien der Sopho- kleischen Stelle wird die Variante ystox dtbocav oc- XEt0 Se | vou angemerkt. Obgleich dafür einige andere Beispiele geltend gemacht werden kôünnen (Trag. adesp. fr. 69: loyxerv xehevo yeipa Gubooav povou. Lycophr. 1171: patpov xopéooat yep dibooav povou), so ist es doch kaum denkbar dass ein ursprüngliches àtb@cav ocvou in das auffallende oder eigentlich urerhôrte payocav œéveu verändert worden sein sollte. Darum dürfte es gerathener sein in yzigæ dtbôcav dovou nichts weiter zu | sehen als den Verbesserungsversuch eines alten Gram- matikers, und wenn es nicht zufällig ist dass sonst. die äitere Poesie mæav weder mit einem Genetiv noch mit einem Infinitiv verbindet, so werden wir bei So- phokles zu schreiben haben: xai nôs ÊTÉOYE HEÎON WLApYÔGAV DéVOU; Die Verba papy und pagy&v sind in der Bedeutung : | oxûue xai méyas Tunos. Suppl. 282: Kutotos xapa- nahe verwandt: gerade darin liegt der charakteristi- sche Unterschied von beiden, dass paoyäv die Ergän- zungen zulässt, welche bei payäv als ungebräuchlich bezeichnet wurden. So sagt Eur. Phoen. 1247 : otn- tv dE AapToù peu T oûx HAAGËEGTNY MapYONT ËT 3) In vollem Kinklange damit stehen die Derivata von patpav, wie patmaxtne, ein Beiwort des grollenden (eigentlich des stürmen- den) Zeus, der stürmische Monat Matpaxtnotwv, ferner paipaxos (Soph. Ued. Col. 1568 nach Meineke, vielleicht auch Trach. 1098) und dpumudxetos. atéovoy etc Honxdéous, 65 we poveu papyovt ÈTéoye (ehemals unrichtig pæpyôvtos £cys) xeïs Dnvov xaSxe. Soph. El. 54: etr atbopoov TÉcUEY Tahv TUTO AAAKÔT}EUVPOY NOLÉVOL YEpOÛV. Unter turou& yæhxomkeupoy ist die Urne zu verstehen, welche, wie der Pädagog später der Klytämnestra er- zählt, die Asche des angeblich gestorbenen Orestes enthält. Die Bezeichnung yahxcmhsvoov statt yanxodv (wie avdp” £v ofctovev Oed. R. 846 statt oicv, oder Stocdoyas Baouñs Ai. 390 statt Stocous, und dergl.) hat man passend erläutert durch Aesch. Choeph. 686: vÜv ya AéBntos {ahxÉOU TAEUVEURATE GROÏOY HÉKEU- dass Tu- ropa in diesem Sinne jemals habe gebraucht werden kôünnen, halte ich für schlechterdings unmüglich. Dar- um habe ich bereits im Anhange der vierten Auflage von Schneidewins Ausgabe die gangbare Lesart als unrichtig bezeichnet; jetzt werde ich meinen Zweifel zu begründen suchen, um dann den von Sophokles gewählten Ausdruck anzugeben. Was toropa über- haupt bedeuten kôünne, lässt sich nicht sowohl rach dem Gebrauche dieses nur selten vorkommenden Wortes, als vielmehr nach dem überaus häufigen roros bestimmen. Das Wort tutos bezeichnet eigent- lich den Schlag, sodann (und so wird es fast durch- weg angewendet) den durch einen Schlag bewirkten sichthbaren Eindruck, d. h. Spur, Gepräge, Umriss, Gestalt, Darstellung. Die verschiedenen, alle aus der- selben Grundbedeutung leicht sich ergebenden An- | wendungen welche die Tragüdie von diesem Worte macht, wird man aus folgender Stellensammlung ent- nehmen künnen. Aesch. Sept. 488: ‘Inropédovtos xTnp T Ev Vuvatxelols TUÜTOIS EXOS TÉTANXTOL TEXTO- voy roûs dosévov. Eum. 49: Dopyévas Xéyo, 007 ai re lopyetoroiv eixdow Tümots. Soph. fr. 235, 5: ei Mao adËer méooov euouxos turov. Eur. Bacch. 1331: Bayag te on ÉxSnptoSeio’ Cpeos aAXGEE Türov. Heracl. 858: véov Boaytovov éderÉev nBnrnv TÜrov. Hipp. 862: xal phv TUTO VE apevŸOVNs XOUGNAÏTOU — TpOGGHVQU- otue. Rhes. 305: rékrn à ën œpoy yeucoxontots rünous éhapre. Tro. 1074: xovcéuv te Écavov Tuer. 22* 343 Bulletin de l’Académie Ampériale 344 ——_—_—_—_—_—_—_—_—_—_— —…—…"—"—"—"—"—"—"—"—"—"—"—"—"———"—"—"—"…"—— Tro. 1196: ds nÔUS Év Tdptaxt Gùc MEÎTUL TUTO. Phoen. 1130 : œuônpcvorots à acntôos tunots ériv yÉ- vas. fr. 764, 2: yoantous T ëv deroior mpcofhehoy romous ‘). Näher auf die einzelnen hier verzeichneten Stellen einzugehen, oder den sonstigen Gebrauch des Wortes weiter zu verfolgen, scheint überflüssig, da es uns hier lediglich auf die eine Thatsache ankommt, dass turcs niemals bei irgend einem Schriftsteller ir- gend welcher Zeit oder Redegattung das Geschirr, Gefäss oder etwas der Art bezeichnet hat. Ist diese unsere Behauptung richtig, so müssen wir das TUTo- wa in der obigen Sophokleischen Stelle für unmügliech halten : denn rurope ist nichts weiter als das gewähl- tere und pomphaftere Wort statt rünes. So findet sich bei Eur. Phoen. 162 pcooÿs turopæ im Sinne von poooÿs TÜünes, wie Meleager Anth. Pal 12, 57 sagt, und ganz entsprechend bei Lycophr. 1299: év tav- pouéone roauri3os ruropat. Sophokles konnte also wohl sagen RéBnros yahxéThzugo TÜropa, Wie er sagt wir aus Euripides Béayrévoy ’ , , . , Écavoy Turc, Horde TUTO Quouxos TUroY und Wie TUTO, TUTO! GHEVIOVNS, anführten”); nimmermehr aber genügt der Ausdruck yuhmémheupos TÜros oder XaAkGTAEUEEY TÜTOUE ZUr Bezeichnung eines ehernen Gefüsses. Statt y2Ax0TheU- cov riropa ist hier der Begriff yakxerheuocy a'YYOS mit Nothwendigkeit geboten, und es kann meiner Ansicht nach nicht dem geringsten Zweifel unterlie- gen dass der Dichter schrieb XUTOE HARKOÔTREUDOV. Denn xuros, eigentlich Wôlbung oder Hühlung (daher Ausdrücke wie yaotoss, xotMas, veus, AéBrtos, ToiTo- Sos utos), wird gern von hohlen Getässen, nament- lich von Bechern oder Urnen gebraucht. Es genügt 4) So sind diese Worte zu schreiben. 5) Die Uebereinstimmung dieser Stellen weist darauf hin, dass es auch Rhes. 305 statt méltn — ypvooxoïkntous rumotc vielmehr heissen muss: réÀTNS ÊT WUEY fpUGOXOAANTOS TUTOG dhaure* L'opyoy d we dx aiyidos Jedc xahxf petuümotc érruroicr rpooDETOS rodkhoïor cÙv xwÔwaLY ÉXTUTEL pofiov. Sollte diese Vermuthung als gewagt erscheinen, so wird jedes Be- denken schwinden, wenn man beachtet dass die meisten und besten Handschriften statt der Vulgate rékrn ® den Genetivus rékrns bie- ten. Mit Recht hat Kirchhoff dieses méAtne in den Text gesetzt; wenn er dagegen im folgenden Verse die Partikel 0 ausscheidet und nach Sexe eine Lücke ansetzt, deren Ausfüllung dem Leser überlassen bleibt, so kann ich nicht beistimmen, und ohne Zweifel wird er selbst, nachdem die richtige Lesart gefunden ist, die ehe- malige Vermuthung aufgeben. an Soph. EL. 1142 zu erinnern, wo von derselben Urne die Rede ist, um die es sich hier handelt: dptxpÈS Tponxels CYXOS ÉV GUXPO HUTEL. Dass man xütopa in Turopwa veränderte, kann nicht befremden: eben so haben alte Erklärer bei Soph. Trach. 12 f. die durch eine Stelle des Strabo zufällig bezeugte ursprüngliche Lesart dvdgeto xute! Bourpwpos in das handschriftliche dvôgelo TÜro Bouxpaves ver- wandelt: bekanntlich aber pflegen die interpretirenden Grammatiker denselben Fehler an verschiedenen Stel- len zu wiederholen‘). Dass für xuropa statt xutos ein weiterer Beleg nicht vorliegt, kann gegen die Richtig- keit unserer Verbesserung keinen stichhaltigen Grund abgeben. Dureh die Analogie ist das Wort vollständig gesichert, und wir werden es dem Sophokles um so eher zutrauen dürfen, da die Tragüdie derartige Bildungen liebt: vel. réThopa, TÜOUE, TUXVOUA, ThEUEQLE, TUp- yoga u. à. Uebrigens kommt in der That xuropa noch einmal vor, freilich bei einem Schriftsteller, dessen Au- torität in diesem Falle gleich Null ist, und zufällig ist auch hier das Wort verwischt. Im Thesaurus Gr. L. vol. 4 p. 2164 À wird ein vermeintliches Wort xv- rés belegt mit Pseudo-Chrysost. Serm. 6 vol. 7 p.252, 17: tivos vice © mis xoMES KUTOVA CHQTOPR- rôv; Wäre xvrov ein Wort, so künnte es nur ein te- guextixcv sein, d. h. einen Ort bezeichnen, wo sich #57 finden : etwas derartiges ist wie überhaupt so in den angeführten Worten vüllig undenkbar; wir wer- den in xvrôva lediglich eine Verschreibung zu sehen haben statt xUTop.a. Soph. EL. 20. Der greise Pädagog sagt zu Ore- stes und Pylades, man müsse schnell berathen was zu thun sei; denn der Glanz der Sonne wecke bereits die morgendlichen Stimmen der Vôgel, und die schwar- ze Nacht sei vorüber : 5 » , _ Le Us , roiv oùv tv avÔpov ÉÉodoTopeiv GTÉYNS, Évvarnreto Àyorouv, Os ÉVTaUT ÉpÈv {y oùxéT Cuveiv ratpdc, AN Épyov axpr. G) Es ist, um nur ein Beispiel anzuführen, hinlänglich bekannt, wie häufig die Byzantiner ein ursprüngliches Éévos in gihos umge- wandelt haben. Einen neuen Beleg liefert Trag. adesp. 22: Buodc Bapèc Eüvorxos, d piot, Bapus. Statt G oikct muss es heissen & Éévor, und das Fragment gehôürt dem Sophokles (nicht,wie Meineke angenommen hat, einem Komiker); vel. den Anonymus (vermuthlich Philodemus) mept Totnuatuy in Hercul. Vol. Collect. alt. T. IV fol. 120. 345 des Sciences de Saint. Pétersbourg. 346 Der Grund weshalb man die Berathung sofort begin- nen müsse, wird in den Worten &s — dxyn angege- ben. Freilich weist hier die Form égév auf eine Cor- ruptel hin, die man mit verschiedenen Vorschligen zu heben versucht hat, ohne zu einem sicheren Re- sultat zu gelangen; aber über den Gedanken wenig- stens kann kein Zweifel obwalten: wir befinden uns in einer Lage, welche kein Zaudern duldet, sondern zum Handeln drängt. Diese Begründung des Évyarre- rov Àcyorotv ist verständlich und angemessen. Wenn dagegen vorher gesagt wird, «bevor irgend jemand aus dem Hause komme, solle man beginnen», so môüchte ich behaupten dass hier ein sehr unpassender Gedanke erscheint. Warum sollen wohl die hier auf- getretenen Personen ihre Berathung beginnen, bevor jemand aus dem Palaste tritt? Fürchten sie etwa durch die Dazwischenkunft eines Bewohners des Pa- lastes bei dem Entwerfen ihres Planes gestôrt zu werden? Nun dann mussten die närrischen Leute sich vom Palaste so weit entiernen, dass kein aus demselben tretender sie bemerken konnte. Bleiben sie dagegen in der Nähe des Palastes, so ist mit dem raschen Beginnen der Berathung ganz und gar nichts gewonnen, darum weil in jedem Augenblicke ein Be- wohner des Palastes heraustreten und durch sein Er- scheinen das Fortsetzen der Berathung verhindern kann. Man sieht, es ist hüchst unpassend, wenn die Müglichkeit dass jemand aus dem Palaste komme als Motiv für das schleunige RBeginnen der Berathung an- geführt wird. Aber selbst als Motiv für das rasche Beenden der Berathung konnte ein Dichter wie So- phokles diese Môüglichkeit nimmermehr anwenden: denn wie früh oder wie spät das Erscheinen eines Bewohners des Pelopidenpalastes die zur Rache des gemordeten Agamemnon verbundene ‘Trias stüren sollte, das war einzig und allein dem Ermessen des Dichters anheim gegeben; es wäre ein Zeichen von vôülligem Mangel an künstlerischem Takt, wenn Sopho- kles den Gedanken an eine storende Dazwischenkunft, die er vermeiden konnte und factisch vermieden hat, als Motiv für die handelnden Personen hätte wirken lassen. Endlich lehrt auch die Ausdrucksweise, dass wir in dem Verse Toi oùv r1v av)pov ÉÉcdouropeiv GTÉYNs nicht Sophokleische Worte vor uns haben, sondern das stümperhafte Fabrikat eines Byzantiners. Das al- berne éécdorepsi, «herauswandern» statt cheraus- gehen», verräth den ungeschickten Grammatiker, der selbst auï dem engen Raume von sechs wohlfeilen Tamben nicht abkommen konnte ohne eine Taktlosig- keit. Ein etwas geschickterer Interpolator würde vielleicht geschrieben haben Toiv oùv Ty avôpx Jouatov En Teo%v oder rotv oùv rtv &Ëo rôvèe Jopatoy repäv. Nach dem was wir über den Inhalt des Verses ge- sagt haben, künnen wir weder die angeführten noch irgend welche ähnliche Verbesserungen gelten lassen; der ganze Vers ist una litura sanandus, und dann ein kleines Versehen des nächsten Verses zu beseitigen, das eben den Anlass zur Interpolation gegeben hat. Statt Svvanretev Acyctotv wird es heissen müssen Évy- dntet oùv Àcyorotv, um den gestürten Zusammenhang wiederherzustellen. Nachdem ich Vorstehendes geschrieben, sehe ich nicht ohne Erstaunen wie M. Haupt im Berliner Index lectionum für das Sommer- semester 1865 p.5 sich also vernehmen lässt. « Cum olim studiosi homines discerent tantummodo tragicorum Graecorum sermonem, nunc nostri saeculi sapientia eo pervenit ut doceat quo dicendi genere illis utendum fue- rit, et siquid minus placet aut a nostro sensu abhorret, mutatur ülud aut prorsus removetur. veluti non longe ab initio Electrae hic legitur versiculus, reiv oùv tv ovdoov ééoorropsiv GTÉyn<, NEqUe quisquam olim in eo haesit : videbatur enim Sophocles more et sibi et ceteris tragicis consueto orationem verbo luculentiore atque am- pliore ornavisse. hodie autem subtilioris iudicii homo 2éodorTropsiv, quippe quod negat Sophoclem dicere potuisse ineptum sit aut certe nimis quaesitum. quid multa? delen- dum censet istum versiculum et quod sequitur Évydnretos Adyorotv, ut oratio cohacreat, mutandum in Evvarter oùv Déyotov. tam pusillo negotio, siquis sapere audet, praeclara efficiuntur. erunt fortasse qui versum ülum plane necessarium esse dicant putentque hoc ipsum po- stulari ut dicatur, consultandum esse priusquam aliquis arbiter conloquio accedat, quales postquam inluait e re- gia domo prodituros esse credibile sit, meque potuisse poetam, Graecum scilicet et scaenicum, praecipuam sen- tentiam omittere. nos vero tam tristes monitores valere iubebimus.» Auf alle Einzelheiten dieser Auseinander- setzung näher einzugehen dürfte eine unfruchtbare 347 Mühe sein: ich beschränke mich auf das wesentlichste. Der Unterschied zwischen Sonst und Jetzt, von dem der Verfasser erzählt, existirt nur in seiner Phanta- sie. Die studiosi homines haben sich niemals dabeï be- ruhigt discere tantummodo tragicorum Graecorum ser- monem : auch in früheren Jahrhunderten hat man am überliefertem Texte mancherlei Aenderungen vorge- schlagen oder vorgenommen, bald richtige, bald fal- sche, ganz wie es jetzt geschieht. Wer die Griechi- schen Tragiker studirt hat, weiss dass in den gang- baren Texten dieser Dichter trotz der Arbeit mehre- rer Jahrhunderte noch immer sich zahllose Stellen finden, die in der jetzigen Gestalt nicht von den Dich- tern herrühren künnen, und durch eindringlichere Studien der tragischen Redeweise pflegt die Zah] der Stellen, deren Richtigkeit man in Zweifel zieht, nicht gemindert sondern gemehrt zu werden. Darum ist in unserem Jahrhundert sehr vieles von allen Urtheils- fühigen als fehlerhaft bezeichnet worden was man früher ganz allgemein für richtig hielt und als herr- lich und güttlich bewunderte. Dass an dem versiculus roiv où Tiv dvdpov Eéc mir Anstoss genommen hat, ist richtig und mir keines- wegs unerwünscht, beweist aber durchaus nichts für die Authentie desselben: auch an zahlreichen ande- ren Versen unserer Texte der Tragiker habe ich zu- erst Anstoss genommen, und unter denselben waren einzelne noch absurder als der in Rede stehende”). Was Haupt als Grund für den nicht genommenen Anstoss geltend macht, videbatur enim Sophocles more et sibi Sormopeiv uTéyns niemand vor et ceteris tragicis consueto orationem verbo luculentiore atque ampliore ornavisse, das ist, wie es scheint, sein eigener Traum; wenigstens sehe ich keinen Grund anzunehmen, dass irgend ein Bearbeiter der Elektra etwas derartiges jemals gedacht haben sollle. Viele Kritiker des Sophokles werden eben zu rasch über die Stelle hinweggeeilt sein; andere haben viel- 7) So finden sich z. B. in der Euripideischen Andr. 655 f. zwei sebr niedliche versiculi: Tapie yao, 3e o3v mai Emeqy ALUNEU, Exropos dôekpèc nv, Sapap Hô "Exropns. Diese versiculi stehen in allen Handschriften; neque quisquam olim in üis haesit: videbatur enim Euripides more et sibi et ceteris tragicis consueto — doch hier muss ich abbrechen und die Forisetzung an- deren überlassen. Vielleicht entschliesst sich Haupt in einem seiner nächsten Universitätsprogramme für diese beiden von mir getilgten versiculi als Anwalt aufzutreten : auf die Zustimmung eines R. Klotz und geistesverwandter Kritiker darf er getrost rechnen. Bulletin de l’Académie Impériale | 34$ leicht im Stillen an dem Ausdruck éfodcrmogeiv An- stoss genommen, aber ihre Bedenken für sich behal- teu, entweder weil sie kein Heilmittel zu geben wuss- ten, oder weil sie dem Stillschweigen ihrer Vorgän- ger ein grüsseres Gewicht beilegten als dem eigenen Urtheil: endlich môgen viele das ééodorrogeiv einfach deshalb für richtig gehalten haben und noch jetzt für richtig halten, weil es in allen Handschriften steht. Nach mir hat Fr. W. Schmidt, ein Kenner des So- phokles, é£cSormopeiv als unpassend bezeichnet, und mit der Zeit wird ohne Zweifel noch mancher ein gleiches thun, während nicht wenige den stümper- haften Vers als ein Eigenthum des Sophokles so lange vertheidigen und pfichtschuldigst bewundern werden, bis etwa durch einen kaum zu erwartenden Zufall ein urkundliches Zeugniss gegen seine Echtheit zum Vor- schein kommen sollte. Aus dem Programm erfahren wir, dass Sophokles und die übrigen Tragiker es lieben orationem verbis luculentioribus atque amplioribus or- nare. So allgemeine Wahrheiten mügen freilich vie- len äusserst willkommen sein, um alles mügliche und unmôgliche zu beweisen:; in dem gegenwärtigen Falle jedoch sind wir durchaus nicht in der Lage uns auf Gemeinplätze beschränken zu müssen. Vom Gehen in den Palast und vom Kommen aus demselben ist in den uns erhaltenen Tragôdien oft genug die Rede: nirgends aber wird ein Ausdruck gebraucht, der dem in El. 20 auch nur entfernt äbnlich wäre. Warum also nimmt Haupt seine Zuflucht zu der hohlen Re- densart von dem verbum luculentius atque amplis, wo der tragische Sprachgebrauch sich an bestimmten Beispielen erkennen liess? Ein Verbum éfoÿormopetv kommt meines Wissens anderweitig nicht vor: côomo- osiv dagegen findet sich bei Sophokles und auch sonst üfters; wir hätten den Nachweis irgend einer Stelle gewünscht, die mit der vorliegenden verglichen wer- den konnte. Gesetzt aber éScumogeiv wäre von irgend einem Dichter oder Prosaiker als verbum luculentius alque amplius statt megäv oder éxrepdv gebraucht worden, lag denn hier auch nur der geringste Anlass vor zu einem hochtrabenden oder pomphaften Worte? Es fragt sich, wen man unter dem wvigôv ti, von dem der Interpolator redet, verstehen soll. Offenbar liegt nichts näher als an einen Diener oder Selaven zu denken, der etwa Wasser zu holen oder eine ähn- liche Verrichtung zu besorgen hat; denn dass der 349 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 350 Herrscher Aegisthus in so früher Morgenstunde aus | dem Palaste heraustreten würde, war im hôüchsten Grade unwahrscheinlich : also von einem Diener oder Sclaven sollte Sophokles, der sonst, wo Kôünige er- scheinen, einen ganz schlichten Ausdruck wählt, ein verbum luculentius atque amplius é£odcrrogeiy «heraus- wandern» gebraucht haben? So etwas behaupten heisst zu Gunsten eines interpolirten Verses über alle posi- tiven und unbestreitbaren Thatsachen sich hinweg- setzen. Was weiter erzählt wird von dem versus plane necessarius, von der praecipua sententia u. dgl., glaube ich bereits oben vollständig erledigt zu haben. Ein Ar- gument zum Schutz des von mir angefochtenen Verses ist bisher nicht vorgebracht worden; es ist das einzige, das mit einigem Scheine sich geltend machen lässt, und darum môchte ich es keinem, dem danach gelü- stet, vorenthalten: der Pädagog ist ein alter Mann, und Sophokles will, indem er ihn urtheilslos und un- passend reden lässt, die Schwächen des Alters zeich-| nen, voüv pooüdov, oy myosia, moovtidns eva. So- bald eingeräumt wird, dass nur auf diese Weise der obige Vers der Elektra sich entschuldigen lässt, werde ich über die Zulässigkeit dieser Entschuldigung mich aussprechen: für jetzt darf ich den fraglichen Vers dem Urtheil der Kenner des Sophokles getrost an- heim geben ‘). 8) Da ich einmal auf das Hauptsche Programm zu sprechen ge- kommen bin, so berühre ich hier noch eine zweite Stelle desselben, welche direct gegen mich gerichtet ist. Pag. 7 lesen wir: «quod autem Nauckius addit (servamus ipsa eius verba nequid elegantiae pereat), als Gen. Plur. gefasst verdirbt ayéwy die Tendenz des Chors, id non nauci habemus, quamquam fortiter dictum est». Das Haupt- sche Programm scheint nicht sowohl auf Belehrung als auf Unter- haltung der Leser berechnet zu sein; es freut mich dass auch mein Name dem Verfasser zu einer hôchst geistreichen Wendung verhol- fen hat. Freilich war diese Wendung hier nicht ganz passend ange- bracht. Die Worte, welche Haupt mir beilegt, sind trotz seiner Versicherung, dass er meine Worte wiedergebe, mir fremd; sie rüh- ren her von Schneidewin, dessen Bemerkung zu El. 159 f. ich fast unverändert beibehielt, weil ich über die noch von niemand aufge- klärte Stelle etwas besseres zu sagen nieht vermochte. Haupt besass die Mittel sich ohne Mühe darüber zu unterrichten, was Schneide- win und was ich gesagt hatte: hätte er dies gethan, so würde die Nennung meines Namens unterblieben sein. Was die Worte xourtg Tr äyéwy ëv Ba 0ÀBtos bedeuten oder wie dafür zu lesen sei, das hat bis jetzt noch niemand ergründet. G. Hermann wolite verstehen «semota a doloribus in tuventa felix », fand jedoch selbst, es sei dies eine structura audacior. Haupt billigt Hermanns Erklärung und meint «nobis quidem non magna ea audacia videtur esse». Meiner An- sicht nach ist es eine unerlaubte Kühnheït zu behaupten dass xov- xTÔc dyÉY bedeuten kônne «frei von Leiden», darum weil diese Behauptung am Sprachgebrauche der Griechischen Schriftsteller nicht die geringste Stütze findet, Die eben besprochene Stelle der Elektra forderte ein Heilverfahren, dessen Berechtigung bei der Kri- tik der Griechischen Tragiker noch nicht hinreichend |erkannt worden ist; es dürfte daher nicht überflüssig sein auf einige andere Stellen hinzuweisen, wo eben- falls eine leichte Corruptel den Anlass geboten hat zu einer thôrichten [nterpolation. Dass viele Verse in den Texten der Tragiker spätere Zuthaten sind. wird von keinem Kritiker gegenwärtig bezweifelt; ist dies zugestanden, so wird es auch nicht weiter be- fremden künnen, wenn sich solche interpolirte Verse finden, die darauf berechnet waren, den durch ir- gend einen Schreibfehler gestôrten Zusammenhang herzustellen; finden sich aber solche Verse, so müs- sen wir, um die Hand des Dichters wiederzugewinnen, zuerst die interpolirten Worte ausscheiden und dann den ursprünglichen Fehler heben, d. h. gleichzeitig tilgen und ändern, wie ich es El. 20 f. und an einer Reihe von anderen Stellen für nothwendig erachte. In der Kritik der Griechischen Prosaiker ist man auf die Nothwendigkeit einer solchen gegen doppelte Feh- ler anzuwendenden doppelten Cur längst geführt wor- den; freilich bedurfte es dort meistens nur der Aus- scheidung von wenigen Worten, während bei den Dich- tern in der Regel ein Vers aufgegeben werden muss, zu dessen Tilgung man sich weniger leicht entschlies- sen mochte. Die tägliche Erfahrung lehrt dass selbst moderne Kritiker nicht selten durch fehlerhafte Les- arten zu irrthümlichen Voraussetzungen eines lücken- haften Textes uud zu falschen Ausfüllungsversuchen sich haben verleiten lassen: begreificher Weise muss- ten die Alexandrinischen Pseudo-Kritiker bei weitem häufiger derartigen Irrthümern unterliegen nnd mit dem Unterschieben von Versen bei weitem freigebiger sein. Die modernen Supplemente kônnen nicht leicht jemand irre leiten, und doch ist es vorgekommen dass in Eur. Bacch. 1257 eine von Musurus auf Anlass einer ganz leichten Corruptel vorgenommene, im hôch- sten Grade absurde Erweiterung des Originals sich 390 Jahre lang unangefochten in allen Texten behaup- tet hat, trotzdem dass Kritiker wie Elmsley, G. Her- mann, L. und W. Dindorf die Mittel in den Händen hatten, um die Interpolation als solche zu erkennen. Durch die Corruptel VOUSETNTÉOS, TATEO , oi tr éoriv. tés aùtov dedp av Gduv cèç épiv XahEGELE; 351 wo go! + éoxv, wie Kirchhoff gesehen hat, in coùotiv zu ändern war, wurde Musurus veranlasst zu der In- terpolation ; VOUDETNTÉOS, TATEO, ot + ati xapoi pn sopois {apELv xakOËS. rod oi; tés aurèv Debg Œv Cv eic ph HXOhÉGELEV; und die cop@ xaxc blieben in allen Texten vom J.1505 bis zum J.1854. Gleiche Missgriffe der Alexandriner entzichen sich unserer directen Controle; sie kôünnen fast durchgängig our auf dem Wege der Divination ermittelt werden: kein Wunder, wenn sie sich an nicht wenigen Stellen noch bis auf den heutigen Tag vererbt haben, und wenn jeder Versuch sie rückgängig zu machen verschrieen und verlästert wird als eine Gewaltthat sonder gleichen. Auch die Byzantiner ha- ben zuweilen in Folge des gleichen Anlasses gleiche Fälschungen sich gestattet, und hier kann es vorkom- men dass unsere besseren Handschriften den urkund- lichen Beweis liefern. So z. B. Soph. Oed. Col. 1256: clor, té Dpdow; TÔTEPA TAPUUTOÙ YaXx 0 rocoSev Jaxguow, raides, n TA TD CeGv [rarpôc vépovros; Ov Éévns ét x50v0s] Edv coûv éosvonx évSad éxfeBanpévoy éoS TL GUY TOURE HTÉ. Der eingeklammerte Vers rates — ySovos ist im Laur. A, wie Dindorf sagt, Meineke dagegen unbe- merkt lässt, serius in margine additus. Das bedeutet ganz dasselbe, als wenn er in dieser Handschrift durch- aus fehlte. Nach der Autorität des Laur., der zwar nicht als die einzige, wohl aber als die wichtigste Quelle des Sophokleischen Textes zu betrachten ist, müssen wir den in der That überflüssigen Vers für untergeschoben halten; er wurde eben nur hinzu- gefügt, um die Verbindung zwischen 1255 und 57 herzustellen, die auf weit einfachere Art hergestellt werden konnte. Es war zu schreiben: n TA TOÏd CpOv; Eby cpoy Ov etpnx ÉvSad Exfefhmpevor ÉGSATL GUV TOLHŸE HTÉ. In den meisten Fällen aber fehlt es uns, wir wir eben sagten, an positiven Zeugnissen über spätere Ein- schaltungen, und nur die hüchst dankenswerthe Plump- heit alter Interpolatoren gewährt uns vielfach den nothwendigen Anhalt, um zu einer Gewissheit über Bulletin de l'Académie Impériale 352 den ursprünglichen Text zu gelangen. Mit welcher Dreistigkeit alte Verbesserer in die tragischen Texte ganze Verse hineintrugen, lässt sich am deutlichsten wahrnehmen bei Soph. Phil. 877— 892. Die Stelle lautete, wie À. Zippmann Atheteseon Sophoclearum spe- cimen (Bonn 1864) p. 36 ff. erwiesen hat, ursprüng- lich so: xat vèv étetÔn ToUds TOÙ xaxOÙ doxEi 877 878 copopeS E va tv pnÔ énicyopev To The. 881 NEONT. ax ôcuar pév o etotdov nas Er to dvwduvoy BRÉTONTE HOATVÉOVT ÈTL* « 1e 5 , , / # AnDn TES ElVOL XAVETAUAX ÔN, TÉKVOY, OS CÜXÉT OVTOS VAp TA GUBOhAL GOU Res TOs Tapouous Éuppopdc ÉDAIVETO. 885 vÜv Ÿ atpe œautév: et dé Got pLERAOV Ehov, cicouat o'-clàe Toù novou YAp oÙx Cxvos, éneirep oÙto oo T EdOË éoi te dpv. 888 SU ŒÜTOS dpov, OÙ LE XATAGTTITOV, TÉKVOV* 879 890 ŒIA = 1 w A & - routous À éaocv, un BapuvIGotv xaxÿ ouf où Toù Séovros” our vni VAE GAS TOVOS TOUTOLOL CUVVMÉELY ÉLLOL, Der Vers ou p œÜtès dpov, oU |LE XATÉGTNGOV, TÉXVOV, gerieth durch einen nicht weiter zu ermittelnden Zu- fall, vielleicht weil er ursprünglich vom Schreiber ausgelassen und nachträglich am oberen Rande hin- zugefügt worden war, an eine falsche Stelle (zwischen 878 und 881 nach der jetzigen Zählung), und was geschah nun? Ein alter Kritiker suchte den an zwei Stellen gestürten Zusammenhang dadurch herzustellen, dass er dem Sophokles zwei Verse unterschob, {y nvûe av xéros 1 ATadAGEN RotÉ 880 und œivo rad’, G rai, xai (! ÊTaLp, OOTEQ VOEÎS. 889 Die doppelte, durch die falsche Stellung eines Verses hervorgerufene Interpolation liegt in diesem Falle so handgreiflich vor, dass auch nicht der leiseste Zweifel obwalten kann. Natürlich beansprucht die Kühnheït der Interpolation ein entsprechend kühnes Heïlmittel. Gewiss ist es überaus kühn, wenn wir mit A. Zipp- mann V.879 zwischen 888 und 890 setzen und oben- ein zwei in allen Handschriften stehende Verse, in quibus nemo olim haesit, verwerfen. Aber es hiesse das unmügliche fordern, wenn jemand verlangen woll- te, dass mit einer leichteren Aenderung die Hand des Dichters hergestellt würde: jedes leichtere Heïlmittel kônnte eben nur zu einer Uebertünchung der Schä- 353 den führen, d. h. zu einer Verschlimmerung des Ue- bels. Hier war die falsche Stelle, die ein Vers ein- pahm, für die Alexandrinischen Kritiker oder besser für die unkritischen Alexandriner ein Anlass zwei Verse zu fabriciren: kein Wunder, wenn anderwärts eine leichte Verderbniss sie zur Einschaltung einzel- ner Verse bewog. Dahin gehüren zwei Stellen der Euripideischen Phoenissen, V. 446 f.: pÂTER, Tape” Tnv xaoty D oo dBoUs MASov. TE yon dpGv; dpyéto Dé tie À you, und V. 1388 f.: rhelov D rois CoGotv ÉcTahaco idoûs n Toior pot dit pÜoy SppH av. Wenn an ersterer Stelle Eteokles dpyéto 8é ris Adyou sagt, so sollte man meinen, er werde nun warten, bis ein anderer zu sprechen anhebt; statt dessen führt er fort zu reden, bis seine Mutter mit einem 2rtoyes V. 452 ïhn unterbricht. Auch die Frage +i yon doav; ist sinnlos, da Eteokles sofort zeigt, dass er von den Absichten der Iokaste hinlänglich unterrichtet ist. Darum halte ich V. 447 für eine Fälschung, nach deren Ausscheidung vorher zu schreiben ist: pires, nageut Tnvôs co dtôous yaouv. Nachdem tivèe oo d- Soùs api zunächst in Tnvôs (oder tnv dE) poor où dt- Sous übergegangen war”), suchte man mit der Correctur tv yapuv dë cot Sous dem Metrum aufzuhelfen und fand sich nun in die Nothwendigkeit versetzt zu dem Participium S:9ous das Verbum #}%cv und diesem mà- Soy zu (refallen einen vollständigen Trimeter zu er- gänzen. Auf diesen Sachverhalt habe ich in den Eurip. Studien I p. 74 hingewiesen. Etwas später musste ich von M. Seyffert im Rhein. Mus. N. F. XVIT p. 32 mich belehren lassen, an welchen Schônheiten des Euripideischen Genius ich mich vergriffen hatte; in- zwischen kann ich auf seine oratio pro stulto librario nur mit H. Hirzel de Euripidis in componendis diver- bis arte p. 83 entgegnen, dass sie meum quantulum- cunque captum excedit. — Die andere Stelle der Phoe- nissen sah, wie ich Eur. Stud. I p. 92 darzuthun gesucht habe, einst so aus: ’ TTAEIN GÈ toîs pot éotahacs idpus. Statt TTAEIN schrieb man tstoy und sah sich nun- 9) Emige Beispiele für diese Art von Fehlern werde ich unten bei der Besprechung von Soph. El. 433 f. anführen. Tome IX. des Sciences de Saint-Pétersbourg. 354 mehrgemüssigt dem Euripides einen ganz abgeschmack- ten Vers unterzuschieben, dessen erste Hälfte 1 Tois Got durch den Comparativ rAséoy bedingt war, während die Worte Ga géo copwdtav nur zur Ver- vollständigung des Trimeters dienten. Der Dichter schrieb: » méouy è trois CoGotv Éotohaco idous. Aebnliche Vorgänge wie in den beiden Phoenissen- versen haben ôfters bei Sophokles Statt gefunden, wie folgende Stellen zeigen werden. I. Oed. Col. 1010 f.: dvS Gv yo vby Taode Ts Sens épol XAÀGY ExvoÜpat XAt KATATHNTTO ALTUS éASeiv apoyods Évmuayouc, !N éxuadsns 0 es) 3 A LAN … ’ oloy UT avopov ne poovpeîrot rés. Die Unhaltbarkeit der Ueberlieferung ergibt sich zu- nächst daraus dass das Wort épot eine falsche Stelle einnimmt; man kann jetzt nicht umhin race tas Ses pot xaXGv Exvobpar zu verbinden, während êsot offen- bar zu apoyods Évupayous gehürt. Sodann ist rés Sac xatacxnnto hrais eine nach der Bedeutung des Verbum xatacxnrro schlechterdings undenkbare Ausdrucksweise. Endlich befremdet bei apoyods Evp- waxous das Fehlen der Copula. Dem letzen Uebel- stande hat der Schreiber eines werthlosen Codex Pa- risinus durch Einfügung eines Ÿ nach £vypayovs ab- zuhelfen gesucht; ihm sind Dindorf und Meineke ge- folgt, wie ich glaube, mit Unrecht, da durch diese Aenderung nur der geringste Anstoss der Stelle be- seitigt wird. Um das Original wicderherzustellen, ist es zunächst nothwendig V. 1011 auszuscheideu, wo- durch die sinngemässe Verbindung épot éXSetv évp- paæyous gewonnen wird; sodann wird zu £yo ein Ver- bum finitum vermisst, das in den ohnehin bedenkli- chen Worten apwyous Eupydyous zu suchen ist. Es ist mit anderen Worten zu schreiben : { TAG dvS @y ÉYO vèv Taods _ u _ LA AR RS ÉASEË apôpat Évypayous, iv ÉxUAT NS olov UT dvBpv nôe pooupeîtat TÔMS. Gegen diesen in der 4. Auflage des Oed. Col. von mir gemachten Vorschlag erklärt sich Meineke, indem er sagt: cxatacxnnro Araïs sane singulariter dictum est pro fatigare vel obtundere precibus, sed tamen ut nihil mutandum credam, minime omnium tam audaci coniec- 93 355 Bulletin de FAcadémie Impériale 356 or tura, qualis Nauckio placuit, totum versum eliminanti et sequente versu scribenti EXSetv appart Évpyayous». Mit einer Entschuldigung wie sie hier gegeben wird, ist auch nicht einmal der Versuch gemacht die Vul- gate zu rechtfertigen: ich sehe mich daher vorläufig durch nichts bewogen von meiner Ansicht abzugehen, dass xaracxnrro krais eine Unmôüglichkeit sei. Was den Vorwurf zu grosser Kühnheit betrifft, so werde ich jede leichtere und wahrscheinlichere Emendation mit Freuden annehmen. Wenn übrigens V. 1011 in unseren Handschriften fehlte, so würde meine Aende- rung 2XSeù doôpor Évpayous statt AS douyos Évypayous wohl nicht zu kühn genannt werden: da durch die von mir vorausgesetzte Corruptel die Hinzu- fügung von V.1011 sich sofort erklärt, so glaube ich die Tilgang eines Verses und die Aenderung eines Wortes so lange aufrecht erhalten zu müssen, bis an- dere die Schwierigkeit besser lôsen. II. Oed. Col. 75 ff.: $ pr € oio®, à Éév, Oc vüv pn cpañÿs; EmelTEp et yevvaios, © (8ovtt, AM Toù Jalpovos, aùtoi péV oÛTEp XADAVNS KTÉ. Im Anhange zu dieser Stelle habe ich auf die mannich- fachen Bedenken hingewiesen, denen der zweite Vers unterliegt; noch jetzt halte ich diesen Vers für inter- polirt und vermuthe of, à Éé, Os vo pu coadfs; Ênel Topet, aUTOÙ LÉV oÛT ED 2ÉDAVNS RTE. obgleich Meineke die überlieferte Lesart vertheidist: «Nolim his interpolationis suspicionem movere. Gene- rosum, inquit, te virum oslendis; sed laboras a fortuna, quae nequaquam se generosum in te pracbuit». Mit die- ser Erklärung ist eigentlich wohl nichts neues gesagt, sondern nur das Unangemessene des im Texte ste- henden Ausdrucks schärfer hervorgehoben. Oder wäre es müglich zu sagen Aptotetdns dixauos yévero TANY <ôy rohrôv, um zu bezeichnen dass Aristides gerecht war, seine Mitbürger äagegen ungerecht? Andere von mir hervorgehobene Mängel in V. 76 hat Mei- neke unerürtert gelassen. Weder lehrt die äussere Erscheinung des Oedipus (nur darauf kann 62 tdovrt bezogen werden), dass er yewatos ist, noch erfährt man, woher sonst der Wanderer eine Kenntniss von der vewarérns des Oedipus hatte: der Interpolator entlehnte das Wort aus V. 8. Ausserdem kommt hier nicht sowohl die swvarctrns des Oedipus in Betracht als vielmehr sein hohes Alter und seine kôrperliche Schwäche: er soll, so wird vom Wanderer ihm vorge- schlagen, einstweilen hier bleiben, bis die Bewohner des Gaues Kolonus über die schwebende Frage defi- nitiv entscheiden. III. Trach. 320 f. Nachdem Deianira über eine Kriegsgefangene, die ihre besondere Theïilnahme er- regte, von Lichas die gewünschte Auskunft nicht be- kommen hat, wendet sie sich an die Gefangene selbst: ir, © THhOIV, ŒAX MY ÊX GHUTS, ÊREL al Évpocoæ tot jun sidévar dé Ÿ WTUs EÙ. Ueber den zweiten Vers sagt Meineke Oed. Col. p.293: «male collocatam esse particulam tot non fugit Dindor- fium, sed non recte excusat poelam propter metri neces- | sitatem. Scribendum potius Évy.pops ro pen etôévau, vel Evyooow ‘ati. Die erstere Vermuthung erscheint schon um des Rhythmus willen als bedenklich; einen Vers wie diesen at Évppoos | ro un eidévor | cé Ÿ ris ef dürfte ein tragischer Dichter schwerlich sich gestattet haben"). Aber auch den anderen, übrigens bereits von Dindorf gemachten Vorschlag kônnen wir nicht billi- gen, darum weil der ganze Vers, wie ich in der 3. Auf. von Schneidewins Ausg. nachgewiesen habe, eine Absurdität ist. Mit Tilgung dieses Verses ist zu schreiben air, Ô Taha’, GAX uv x autis, TÉS El; Statt TICEI oder TICI las man TTEI, änderte thô- richter Weise ère und vermisste nun einen von die- ser Conjunction abhängigen Satz, den man mit gutem Willen und wenig Verstand supplirte. IV. Trach. 1155 f. Herakies bittet, Hyllus môge seine Geschwister und die greise Alkmene herbeiru- fen, denen er (Herakles) gewisse Orakelsprüche (te- Xevtatay ouny Secpatov) mitzutheilen habe. Er wird 10) Vgl. meine Observ. crit. de trag. Gr. fragm. p.15 f. Dass Soph. Trach. 554 geschrieben haben kônne AUTNELOY ÀUTNUA TOY, Dpiv poiow ist eine irrige Annabme von Bergk; eben so irrt Heimsoeth, wenn er dem Aeschylus den Trimeter xai tov 0v ais” GuOoTopoy xADEAPEOV beilegt (Wiederherst. der Dramen des Aesch. p. 403) und für Eur. El. 1284 den Vorschlag macht (Krit. Studien I p. 343) IlukdOne mév oÙv dxmpatoy Oapapr Éywv. 357 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 358 belchrt, Alkmene sei in Tirynth, die Geschwister des Hyllus theils bei Alkmene, theils in Theben; darauf sagt Hyllus 1155 f.: mueis S Cao rapeouev, El tt yon, TOTEp, TOMTTEL, KAUOVTES ÉÉUTNLETNOOEN. Hier kann Goo: nicht richtig sein, da von den Perso- nen welche Herakles vor seinem Ende um sich ver- sammeln müchte, ausser dem einen Hyllus niemand anwesend ist. Unpassend ist auch éfurngstnoou:v, da nur die Mittheilang von Orakelsprüchen in Aussicht gestellt war. Statt durch die kleine Besserung roto- cet dem tragischen Dialekte gerecht zu werden, hätte man die Worte roadttetv xAvovtes ÉÉUTNOE TITLE aUS- scheiden sollen. Sie sind die Erfindung eines Gram- matikers, der mit dem fehlerhaften 6 nicht fertig zu werden wusste. Die Verbesserung war einfach genug : muets dé oot ragespev, el TL Yon, TATEO oder wobl richtiger st rt yoùs, navee. Ueber yoûs vel. meine Eurip. Stud. II p. 12 f. Zur Bestätigung dient die an den einen Hyllus gerichtete Antwort des Herakles, où S oùv dxous todpgyev (wo vielleicht tod- ros den Vorzug verdient). V. Ant. 388 ff. erklärt der Wächter bei semem zweiten Auftreten, er habe niemals wieder vor Kreon erscheinen wollen und sei nun doch gekommen, ob- gleich er es verschworen : aùN n yao ÉxTos ka! rap ÉATÔAS {AO ÉctxEev AXÂN pLXOS CUÔÈV NOOVH, NXO, À COXOY HAÎTER OV ATOLOTOS, XOpNnv Ayov TAVŸ, 1 XAÏNRÉIN XTÉ. 395 Im ersten dieser Verse hat M. Seyffert mit Recht die Verbindung éxros xai rap £xrtèus gag beanstandet; zu éxtos aus dem Folgenden den Gen. éxrtôo zu er- gänzen verbieten die.Gesetze der Grammatik; n éxtôs xaes aber, wie Neue wollte, wäre sinnlos. Ohne Zwei- fel ist, woran schon Blaydes dachte, in éxtos ein Ad- jectivum zu suchen, und schwerlich ein anderes als das von Seyffert gesetzte atoros. Vel. Eur. Iph. T. 849: dronov nôovav ShaBov, 6 other. Aristot. Eth. Nic. 7, 6 p. 1149 a 15: roc apoodtotoy aTonoy nô0- var. Weit wunderlicher sind die sich anschliessenden Worte. Man erklärt: «denn die unerwartete Freude gleicht durchaus nicht an Grôsse einer andern Lust». Will man auch die auffallende Anwendung des Wor- tes pixos mit der affectirten Redeweise oder der volksthümlichen Derbheit des Wächters entschuldi- gen, so erscheint es doch als hart und unnatürlich, wenn die Worte p%xos oj9èv getrennt werden sollen"!): wir müchten fragen, warum Sophokles sich gescheut habe ganz einfach oux ëctxe pxos zu schreiben. Ferner macht es einen wesentlichen Unterschied, ob man sagt n rap ÉATdAS oo Éoxev oùdeuE GRAN Movÿ oder aber +ÿ rap EXtidas yue% oùdepléa ŒXAN ndovn éouxev. Nur letzteres wäre hier zulässig, da der Wächter offenbar seine Freude als eine überaus grosse darstellen will. Ist es nun aber vernünftig oder men- schenmôglich zu sagen, die unerwartete Freude über- steige jede andere Lust? Und gesetzt dieser wahnwitzige Gedanke wäre überhaupt oder doch in dieser Situa- tion erträglich, würde das yo V. 392 sich verstehen lassen? kann der Wächter sagen, er komme gegen seine früheren Vorsätze und gegen seinen Eid deshalb, weil die unverhoffte Freude jede andere Lust über- steige? Endlich ist à Goxwv droyotos ein zweckloser Pleonasmus und, was bei weitem schwerer wiegt, die Wortstellung à Goxwy xairep statt xuinep 1 Goxwv ist fehlerhaft. Nimmt man alles dies zusammen, so kann kein Zweifel darüber obwalten, dass die ur- sprünglichen Worte von ungeschickter Hand erweitert sind. Die Verse 392 — 94 müssen, wie ich glaube, so lauten : , 3: € “ LA \ pus UN \ ahX N YAp ATOS xui Tag ÉARIdAS YApX F (2 , n » TÉTELXEV, NXO, KAÎREE OV ATOMLOTOS, und es liegt zu Tage, dass rachdem rétetxey in EIKEN verstümmelt und diese Verstümmelung fälschlich für Éotxey genommen war (wie man aus TAEIN bei Eur. Phoen. 1388 rhstoy machte), zu dem éctxey ein Sup- plement erfunden wurde, das man selbstverständlich zu dem Umfange eines Trimeters ausdehnte. So scheint auch VI. Oed. R. 1447 die Unleserlichkeit einiger Buch- staben zunächst eine falsche Schreibung und dann ei- nen absurden Zusatz hervorgerufen zu haben. Oedi- pus überträgt dem Kreon die Bestattung von Iokastes Leiche : 11) Seyffert will in der That püxos o00èv verbinden und erklä- ren «nulla mensura conferri potest cum alia voluptate». Das müsste doch wobl durch den Dativus ausgedrückt sein, und mensura ist, so viel mir bekannt, nicht wÿxos, sondern métpoy. 23* 359 Bulletin de l’Académie Impériale 360 22220220 ris pév xaT oÙxous autos Ov DÉheus THpOy Soû: rat ao SOS TOv Ye cÔv TEhEÏÇ UE” pod dE pret déloInto TOdE TATpoY GOT ÉGvTOS OLXNTOÙ TUE. 1450 Die Worte xai ydp 00Gs Tôv Ve oûy Tehels UTep, denn du wirst es (vermuthlich txpov) in der rechten Weise für die Deinigen vollenden, bieten eine inbalt- lose Phrase, wie sie einem Sophokles nirgends zuge- traut werden kann. Verbessern lässt sich an dem Verse nichts; er ist einfach auszuscheiden, und erst wenn diese Nothwendigkeit erkannt ist, wird es müg- lich sein den vorhergehenden Vers zu emendiren. Hierist y %éhers unverständlich. Sollte damit gemeint sein, was alle Erklärer verstehen, «verfüge über die Bestattung deiner Schwester nach deinem Belieben», so müsste doch wohl Gvriva Séheus Tapov gesagt sein. Aber auch ein derartiger Ausdrueck wäre befremdlich, da es sich eben nur um das Bestatten der Leiche handelt, nicht um eine besondere Art der Bestattung. Aller Wahrscheinlichkeit nach ist ONOEAEIC eine falsche Ergänzung der lückenhaft überlieferten Buch- staben ON...E€IC, d.h. ONKWCEIC. Es dürfte zu schreiben sein: Ts ÉV XAT oixOUS AUTOS OYXWOELS TAPOV: duos dE prét détoSiro Tods ratpGov AoTu ÉGvTOS cExNTOÙ TUE. Ueber die Verbindung 2yxoûv tuvpov vel. Meineke Anal. Alex. p. 225 und A. Hecker Philol. 4 p. 483. Wes- halb ich nachher pré détoènro statt prot déto- Snro geschrieben habe, wird jeder sich selbst sagen künnen. NIES AM:53 ff: : ai voy ênt oxnvuis de vautixais 006 Alavtos, ÉVIa taëty éoyatnv ÉXEt, ROAL HUVNYETOUVTL KA [LETOOUILEVOY lyvn Ta xelvou vecpapatT , Cros ions eir évôov eiT ox évdov. Hier erscheint pstoobpevey tyvn als hüchst unpassend, sofern Odysseus durch das Messen der Spuren des Aias zwar erfahren kann, wie gross der Fuss und wie gross die Schritte seines Gegners sind, nicht aber ob Aias sich in dem Zelte oder draussen befindet. Dar- um vermuthe ich TA HUYMYETOUVTE, TEXLLAQOURLE VOV cit Evdoy er oux EvOov, mit Tilgung von V. 6, der meiner Ansicht nach erst hinzugefügt wurde, nachdem texpapoupevov in xai pe rpoupevoy übergegangen war. Das Futurum texpapoÿ- par kennen wir aus Xen. Cyri inst. 4, 3, 21 und aus Soph. Oed. R. 795, obgleich an der letzteren Stelle das ursprüngliche +expægoupevos erst mit Hilfe der Scholien von mir hergestellt ist statt des handschrift- lichen éxpetocumeves. Was Meineke Oed. Col. p. 275 zur Vertheidigung der Vulgate im Aias sagt, metiendi et aestimandi notiones sunt coniunctissimae, ut peteet- aa vix differat a rexpatesoèou, ist mir nicht recht verständlich. Vermuthlich meint er, petooupevoy iyvn sei so viel als lyveor texpatpcevov. Dass dies sich so verhalte, dürfte schwer zu erweisen sein, und wenn es der Fall wäre, so hätten wir in tros tèns einen ganz müssigen Zusatz. Es wird sich kaum in Abrede stellen lassen dass der von mir geforderte Ausdruck bei weitem angemessener ist als das was unser Text bietet; darin allein liegt schon ein hinlänglicher Beweis, wenn auch nicht für die Richtigkeit meiner Vermu- thung, so doch für die Unrichtigkeit der gangbaren Lesart. Uebrigens scheinen auch die vorhergehenden Worte an einem bisher nicht wahrgenommenen Feh- ler zu leiden. Die Worte EvSa tof éoyarny éyet sind so unbestimmt wie nur müglich, und rat finde ich hier nicht recht passend. VIII. Phil. 292 ff. Der Held des Stückes schildert die Mühen, die er auf der Insel Lemnus Jahre lang zu bestehen hatte, um sein Leben zu fristen. Die Nahrung verschaffte mir, sagt er, mein Bogen, und was ich erlegt, danach kroch ich selbst, indem ich meinen kranken Fuss schleppte : el r’ éder tu xat motoy hafeiv xaË Tou Tayou XUSÉVTOS, CÙX JEMLETE, Evhov te Spadgar, ToÛT av éÉépruv TÜhG ÉLNLAVOUNV. EÛTA TÜE AY OÙ TAPÂV KTÉ. Dass Philoktet mit dem Fällen des Holzes warten soll bis zur Winterzeit, erscheint als eine sehr wunderliche Fiction, die ich eher einem unverständigen Gramma- tiker als dem Sophokles zutrauen môchte. Vielleicht ist der auch im Ausdruck auffallende Vers xai mov mayou yuSévros dia yelpur eine spätere Erfindung: dann würde nach Ausscheidung desselden die Aende- rung Évhov re statt des ebenfalls unpassenden Evo tt den Zusammenhang herstellen. 361 des Sciences de Saïnt-Pétersbourg. 362 So viel für jetzt von den durch leichte Schäden veranlassten Interpolationen. Auf Vollständigkeit bin ich in der gegebenen Zusammenstellung nicht ausge- gangen, da es mir nur darauf ankam die Berechtigung eines bisher fast allgemein verkannten kritischen Princips darzuthun. Mügen denn andere mit Gründen die aufgestellten Vermuthungen bestreiten, nicht aber meinen dass die wirkliche oder scheinbare Kühn- heit einer Aenderung schon an sich unter allen Um- ständen einen Grund abgebe gegen ihre Richtigkeit. Soph. Oed. Col. 186. Der Chor richtet an den Fremdling Oedipus die Worte: ropa Ésivos rt Éévns, à ThdpOY, 6 TL ka TON TÉTOODEY ALhOY ÉTOGTUYELV xal To pihov céfeo Sat. Statt roks habe ich in der dritten Auflage von Schnei- dewins Bearbeitung téet gesetzt. Der entscheidende Grund war der von mir angegebene, dass tétoooæ von teépo in der älteren Zeit intransitiven Sinn habe, wie Od. D, 237: noïkn dE met poot Téropopev Gun, Woge- gen die transitive Bedeutung dieser Form erst aus späterer Zeit sich nachweisen lasse. Nebenbei schien noch ein anderer Umstand für meine Aenderung zu sprechen: zu dem folgenden œthcv muss der Dativus réket gedacht werden; schreiben wir also toc: tétoc- œcv, so wird der Ausdruck concinner. Indess kann dieser zweite Grund nur als bestätigendes Moment in Betracht kommen, nicht an sich die Abweïichung von den Handschriften rechtfertigen. Gegen die von mir gemachte grammatische Beobachtung hat Meineke Oed. Col. p. 144 Widerspruch erhoben: «tétecæev intran- sitivo sensu ex uno tantum, quoad scio, Homeri exemplo cognitum, in quo rérnye significat, ab Atticorum usu scriptorum alienum est, quos non dubium est pro eo usur- passe rerodpSot. cf. Hesychius TÉSoantar TER NYe.» Hier ist tereao®at ein Schreib- oder Druckfehler statt redodo%o. Was über térooox gesagt wird, scheint mir durchaus nicht geeignet den gegen oh: TéTpopEy von mir vorgebrachten Grund zu erschüttern. Für den transitiven Gebrauch des in Rede stehenden Perfectum sind mir nur drei Stellen bekannt. Nic. Alex. 589: adEneov Sovaxov dno Bltea xobas — ta D & Ünoréroos (urotétoupe cod. G) Aévn cixein. Epigr. angeblich Ahxaéou Mirvnvatou Anth. Pal. 7, 536 : oudè Savoy Ô roéofus 6 énirétpope TuuBo BéTouv dr oivav- Sns Apcpov, &XX& Barov. Iosephus Ant. lud. XIX, 2, 2 vol. 4 p. 217, 19 ed. Teubn.: xat tétocpe tv Tupav- véda oUDÈV VEOTENOV TANY A TE OIL al TO os oUSÈv rôv éxelvn Sshopévoy avruoylo yowpevoy *). Keine die- ser Stellen gehôrt der voralexandrinischen Zeit an; denn dass Anth. Pal. 7, 536 unrichtiger Weise dem Alcäus aus Mitylene beigelegt wird, lehrt schon der Dialekt: aller Wahrscheinlichkeit nach ist Alxætou Meo- gmvtou zu lesen mit Meineke Del. Anthol. Gr. p. 75. Keine dieser Stellen reicht also aus um das transitive téteows bei Sophokles zu schützen. Dass aber tétoopa nicht, wie Meineke glaubte, aus dem einzigen von mir citirten Verse der Odyssee als Intransitivum be- kannt ist, lehren folgende Stellen. Hippocr. p. 307, 23 (vol. 6 p. 380 ed. Littr.): 6 3 dro ratdiou ouymuEn- rat xt ouyrétoopey. Simmias bei Tzetz. Chil. 7, 705: ‘Hyrxivoy + évonca yévos Teptootoy avèsôv, Tv (viel- leicht vois) ouôv épÜnepïev évarpepéov xuveov xpaç TÉTOADE YALPNAŸIL TERLQUTÉET LV ÉDURLIOV, WO TÉTRADE (Variante bei Nic. Alex. 589 und Ther. 542) vermuth- lich in térecos zu ändern ist. Nic. Ther. 299: vuymart © dogopévo pèv ÉTUTOÉgEL dp0ov otdos xuavEov' xoAd (xpadény die Handschriften) à xaxov reptrétoopev vos. Ther. 542: ris xat axavSoBchos èv del meptté- roope (nepttétoupe Cod. G) xaëtn. Oppian. Hal. 2,434: roën xai Balorv iouklar rétpopiv aTn av té. He- sychius: ériTétoopev: ÉmmérmyEv, und ÜToTéTho- œev* vrétocev (dnetoaon M. Schmidt). Wenn ich nicht irre, gehôrt hierher auch Apoll. Rhod. 2, 738: onéos êoT Aldao dA xal Tétonotv énnpepéc, ÉVIEV dUTN TAYLALS — HOYLVGEG GO LE TEQITÉTROPE TALVNV. Wer das handschriftliche rokts tétoopev Oed. Col. 186 schützen will, wird nachzuweisen haben dass tétrpopa von topo schon vor Alexander dem Gr. in transiti- vem Sinne gebraucht worden ist. Soph, Oed. Col. 444: aXX TOUS GLUKEOÙ {HotV œUyas couv Eu TTopès hGUNY HEl. Da im Laur. À mAcunv steht und der erste Vocal die- ses Wortes aus et gemacht ist, so hat Meineke &à6- 12) Zweifelhaft ist die nachher anzuführende Stelle des Apollo- nius Rhodius (2, 738), wo reprrétpope für teptréSpurtat zu stehen scheint. Nicht kommt in Betracht Anth. append. 111: &vôpas dya- xhettoÙc téroowe Kexpomén, wo térpoge nur eine falsche Ergänzung ist statt ycivaro, vel. Corpus Inscr. vol. 1 p. 439. 363 Bulletin de l’Académie Hmpériale 364 pny ae in den Text gesetzt. Zur Unterstützung die- ser Conjectur verweist er auf Trach. 652: à dé où oûha ddpap rayxhautos atèv &Xkuto. Dabei ist indess ein nicht unwesentlicher Punkt unerürtert geblieben aièv ohhuto ist regelrecht, œst Gacuny erscheint von Seiten der Grammatik als bedenklich, da œeé sich mit dem Aoristus nicht wohl verträgt. Trach. 1074 bie- ten allerdings unsere Handschriften: dAX dotévaxtos aièv ÉcTounv xaxois. Aber Elmsley hat dies als soloecum bezeichnet und aus einem Citat in den Schol. Ai. 317 atèv eiropnv hergestellt, vgl. Meineke Oed. Col. p. 306. So müchte ich auch nicht glauben dass Eur. Andr. 27 êùrts pe œet rocoAte geschrieben habe, wie F. W. Schmidt N. Jahrb. f. Philol. Bd. 89 p.319 vermuthet hat. Ueber Il. D, 263: os ae Aya xuynouro xp booto, Wün- sche ich von andern belehrt zu werden: jedenfalls ist die Stelle für Sophokles ohne Beweiskraft. Soph. Oed. Col. 721: vÜY gûv TA ALTO THÜTE DT ŒALVELY TN. Der Zusammenhang fordert mit gebieterischer Noth- wendigkeit den Gedanken: «es ist jetzt an dir diese glänzenden Worte zur That werden zu lassen, sie durch Handlungen zu bewähren». In gave ërn kann die- ser Sinn, so viel ich sehe, nicht liegen; éros répav- Tu, pavèv toùros bezeichnet verbum dictum, nichts weiter. Es wird also statt oatverw der Begriff xvpo5v gesetzt werden müssen, d. h. es war zu schreiben xpatvery ënn. Vgl. Od. uv, 115: xovov vüv xat éprot Seuhÿ éros Otrt xe cire. Dagegen erinnert Meincke: «sed minus recte idem pro œutvety posuit xoatvetv, quo nunquam Sophocles perficiendi sensu usus est; nam vs. 914 scribendum videtur xavev vouov xptvoucav oùdév.» Warum Oed. Col. 914 das überlieferte xpatvousay un- richtig sei, vermag ich nicht einzusehen; Meineke selbst scheint seiner Sache nicht vüllig sicher gewe- sen zu sein, da er xoætvoucav im Texte geduldet hat. Gesetzt aber, aus Sophokles liesse sich xoæiverv im Sinne von perficere nicht weiter nachweisen, so ist die Müglichkeit dieser Bedeutung auch für ihn unbedingt einzuräumen, wenn man bedenkt dass Aeschylus und Euripides wiederholt das Wort in diesem Sinne an- wenden. Ausserdem lesen wir bei Soph. Phil. 1468: ravdapatop datpov, os TaÛT éréxgavev, und danach liegt es nahe El. 175 zu vermuthen Zeus, Gç épopa rovra xarixoatvet statt ravra xai xpatuve. Ferner erinnere ich an Trach. 743, wo die Vulgate lautet: rô yo pavSèv tés av Suvaur av dyévarov moteiv; Dem «ungeschehen machen» kann nur der Begriff «das ge- schehene» entgegengestellt werden, d. h. der Dichter schrieb to yap xpavSev Eben so scheint noch Trach. 239 evxtaia oatvoy dem angemesseneren &UxTaix xp voy (d. h. tehGv) weichen zu müssen. Soph. Oed. Col. 870 schreibt Meineke Yngavat zote mit der Bemerkung: «Sic Dindorfius edidit pro ynet- VO TotE, quoi quibus argumentis ductus Nauckius re- vocandux censuerit, non indicavit. Fiterim acquievi in üs quae G. Dindorfius ad Stephani Thes. v. yneasxo dispu- tavit». Dindorf beruft sich für die von ihm befolgte Ac- centuation auf die Autorität einiger Grammatiker, die darum ynodvet schrieben, weil sie in dieser Form den Inf. Praes. von einem vermeintlichen Verbum yronp: sahen, das sie selbst erfunden hatten. Zu dem Aor. éyr- oav, dessen Partic. ynows lautet, gehürt der Inf. yn- o&vat mit langer Paenultima: ÿnoava werde ich dann für môglich halten, wenn die Kürze der vorletzten Silbe durch Beispiele aus der älteren Poesie dargethan wird, oder wenn Formen wie Séva, dévat, Bavar, atoi- var, Joavar statt Seivar, Sodvas, Bivat, orivat, doavat nachgewiesen werden. Einstweilen glaube ich dass Meineke im Oed. Col. yngäva: und bei Ath. V p.190 E xataynoävat hätte schreiben sollen. Uebrigens habe ich die gegen yneavez sprechenden Gründe geraume Zeit vor dem KErscheinen von Meinekes Ausgabe des Oed. Col. dargelegt (Bulletin T. IX p. 333 oder Mé- langes Gr.-Rom. II p. 361), und viel früher hat Butt- mann Ausführl. Gr. Sprachl. 11 p. 138 dasselbe ge- than. \ Soph. Oed. Col. 1098: Ts XCQUS YLo ElTOpQ , 5 5 Sa GS _é = 2 TATŸ AGOOVY AUILS WE TOOGTCCUMEVES. Dem sinnlosen letzien Worte hat man mit verschiede- nen Vermuthungen beizukommen versucht. Meineke sagt: «Oplime sensui conveniret reocnrogeumévas À. €. TOCOTopEUQUÉVAS, UÉ LAEUMEVOS pro aevoeves divit Ar- chilochus. Dubito tamen». Wenn Archilochus fr. 127 ééaheupevos sagt, so steht dies nicht für ééæreucueves, sondern für ééæhecmevos, wie ahsdpat bei Theognis 575 für œhécuar. Entsprechend sind bei Archilochus die 365 des Sciences de Saint-Pétersbourg. ——————_—_—_—_———_—_——_—_—_—— Formen roveugévn fr. 31. notsuyevos 43. noheupévo 45. cahevpévn (für cucouévn) 100. aAé£eu 68. yapiteu 77. œpovedot 72 und ähnliche. Auch in der Tragôüdie fin- den sich zuweilen derartige Contractionen; dass dage- gen irgend ein Dichter topgeupeves statt mopeucquevos gesaot habe, müchten wir vor der Hand in Zweifel ziehen. Soph. Oed. Col. 1192 ff.: dAX aUtov eiot yarépois Vovai xaxai xai Supos dus" dAXX vouTEToUpeEvoL othoy érodais éÉsraddovrar quo. In dem fehlerhaften dax autoev ist, wie man längst er- kannt hat, ein Imperativ zu suchen; etwa ŒAX ëacov oder &AX et£ov. Meineke hat neuerdings GX atoov vorgeschlagen. Dagegen erheben sich mehrere Beden- ken. Das Simplex go findet sich im ‘frimeter nur ein- mal, Oed. Col. 304: Trôv éxsives aiov, in einem Verse, dessen Unechtheit H. Hirzel erkannt und Meineke selbst p. X eingeräumt hat: mit anderen Worten, das Simplex àto ist dem Trimeter fremd *). Sodann ken- ven wir den Aor. érntoa zwar aus Herodot 9, 93. Apoll. Rhod. 1, 1023. 2, 195 und Hesychius v. érat- cat, nicht aber aus einem Attiker. Vom Simplex &to ist fast ausschliesslich das Praesens und Imperfectum im Gebrauch; eine Aoristform æicavres (erklärt durch aioScuevo) erwähnt Hesychius, leider ohne Angabe der Quelle. Hiernach erscheint es als hôchst gewagt, wenn Meineke den Imperativ œtocv für zwei Stellen des Oed. Col. empfiehlt, 1192 im Trimeter, 1499 in einer Chorpartie. Soph. Oed. Col. 1292 f.: vûs dx ratpous éÉsAnhapor quyds, rois cos navaoyois oÙvex ÉVSaxeiv Spcvot S\ YOVŸ TEPUXOS NÉLOUV VEPALTÉOO. Ueber meine Vermuthung im letzten Verse sagt Mei- neke: «Frustra yeoutregos tentabat Nauchkius». Dagegen heisst es bei Dindorf in der vierten Leipziger Ausgabe vom J. 1863 p. XLVI: «Recte Nauchius yeguitegcs cor- rigit». Es wird mich nicht befremden, wenn die einen es mit Dindorf, die andern mit Meineke halten wer- den: der Sache aber wird nur gedient durch Gründe, nicht durch Machisprüche. Wenn ich yovf tepuxos vepairepos verlange, so stütze ich mich auf Redewei- 13) Somit irrte Meineke, wenn er Eur. fr. 583 ae radar Ôn schreiben wollte. sen wie émAdtepos yeveÿ Il. B, 707. roecButatos Ve- Nr o / mc , ven Z, 24. yeveÿ S vcotatos H, 153. Grhoratos Ye- veñov I, 58. yeveÿ nooyevéotepos I, 161. ysveñot veu- rares À, 112. yevsÿ noërepos O, 166. yeveñor veute- pos P,439. yeve Gthotépe!otv Pind. Pyth. 6, 41. xpovo petoy yzyos Soph. Oed. Col. 374. rahaitatos VEvéSAN Oppian Hal. 4, 23 u. dgl. Môgen denn andere durch Belegstellen zeigen dass yovñ tsquxos yepartéoæ eben- falls zulässig ist. An dem mir unverständlichen tav- doyots Oed. C. 1293 ist Meineke stillschweigend vor- übergegangen. Soph. Oed. Col. 1480. Meineke will eo: schreiben prima syllaba correpta, ut in hsoyrou apud Homerum 11.2,550, et mensura iambica ut apud Eur. Hel. 1008». Für £koovtar konnten noch manche entsprechende Ver- kürzungen aus dem Epos angeführt werden, wie tôte xév puy facodpeve renoue Il. A, 100. Gp nuiv £xozpyoy Îhdogeat A, 147, um späterer Dichter nicht zu gedenken. Aber diese Verkürzungen beschränken sich auf das Epos, und es fragt sich ob wir, was für hacxouar und iaopat gilt, auf das Adj. tkcos zu über- tragen berechtigt sind. Zulässig ist im Orakel bei Phlegon p. 204, 13 und Zosimus 2, 6 p. 71, 2: Satpoct petlylouotv Îhdopata xal paxdoesotv CUpHVLOLS, wahrscheinlich aber schrieb der Verfasser petytots. Als hôüchst zweifelhaft erscheint die Form thapar, die man in den Hymni Hom. 21,5 geduldet hat, a où pèv oùto aies, avé hapar dé o dotdf. Es muss wohl heissen Xtowar 8é o acè, wie Hymn. Hom. 16,5.19,48. Vgl. Ar. Thesm. 313: dsyoueSa xai Sedy yévos tôpeda Taiod Êr evyais PAVÉVTAS ÉTUYA- over. 1040: oôta 7e Auteuévav. Meleager Anth. Pal. 5, 165: êv rode, mappnreton Seov, Airopal 5e, œÙAn NuË, vai Xérouwt. Demod. Anth. Pal. 11, 238: pr, M- reuot, Baouked. Agathias Anth. Pal. 7, 68: &AA& Sec, éropat. 7, 569: vai Mtouar, rapoôira. Epigr. Corp. Inscr. 5872, 14 vol. 3 p. 761: Aétopat Ÿ Ëte Tov ouv- pay. Dieselbe Form findet sich Orac. Sibyll. 2, 347. 3, 2 und oft in den Orphischen Hymnen. Soph. Oed. Col. 1530 ff: dAX avrèc at oôte, poTav ec TÉCG _ _ C2 22 LA roû Éñv dotvŸ, TO TROPEPTATO [LOVE cmpauv, © à del rontiévre derxvuto. 367 Bulletin de l’Académie Impériale . 4 ’ . . . . . «Nauckio eve pro peve scribendum suspicanti adeo non | V. 1640 steht im Laur. und anderen Handschriften assentior, ut si omnes libri haberent yévo, ego id pévo scribendum esse dicerem. Natu maximo, non etiam aliis filiorum haec arcana aperienda esse dicit. Neque ex eo, quod scholiasta +5 rescfutépo vi posuit, colligi potest, hunc in suo libro habuisse ycvo.» So Meineke. Trotz der Entschiedenheit, mit welcher die Ueberlieferung hier vertheidigt wird, muss ich an der ehemals ausge- sprochenen Ansicht eben so entschieden festhalten. Was die Scholien gelesen, ist freilich ungewiss: scheint auch die Erklärung +6 rescButéoo (oder vielmehr +6 tpec- Butato) viG dafür zu sprechen dass der Urheber der- selben pévo nicht kannte, so ist es doch auch denk- bar dass er den Begriff vi& um des Sinnes willen hin- zufügte, wie alle Bearbeiter des Stückes diesen Be- griff aus dem überlieferten Texte herauslesen zu kün- nen meinten. In der That kommt auf die Lesung der Scholien wenig an; es handelt sich bei weitem mebr darum, was die Gesetze der Sprache fordern. Gegen pôve würde an sich nichts einzuwenden sein; aber +6 reooeotauto kann unmôüglich bedeuten «dem ältesten Sohne». Damit Theseus wisse, wem er das Staats- geheimniss anzuvertrauen habe, muss der Begriff «Sohn» ausdrücklich bezeichnet werden. Dagegen ist uévo selbstverständlich, sobald die einzelne Person genannt wird, der Theseus am Ende seines Lebens die Mittheilung machen soll, zumal da autos dei cote voraufgeht; wie ja auch nachher einfach rortévrt ge- sagt wird im Sinne von povo To értovt. Ist somit uovo entbehrlich, der Begriff «Sohn» dagegen schlech- terdings nothwendig, so werden wir unbedenklich pévo in das nahe liegende ycvo ändern müssen. Uebri- gens ist toopsotato nicht mit resc8urate schlechthin gleichbedeutend: 6 tecwéotaros yoves ist der am mei- sten bevorzugte Sohn, im Allgemeinen freilich der älteste, môglicher Weise aber auch ein jüngerer. Der Ausdruck ist sehr passend gewähit, um den die Herr- schaft erbenden Sohn zu bezeichnen; er bedeutet eben nichts anderes als das nachher gebrauchte értov. Soph. Oed. Col. 1638 f.: e0S0ç Otôfrous Vavoas dpavpais yepoiv © TraSov Xéyer” Ô raide, Thddug ypÿ TO YEvvaioy mpevl xopstv Térov £x TOVÈE, LNŸ & M Dés Revocetv dtxatoÛY NÔÈ POVOUVTOY KAVEL. aAN ÉOTES O6 TALOTA KT. pépeuv statt poevt, wonach Meineke ro Seéhatoy oépetv vermuthet. Wenn ich diese Aenderung richtig ver- stehe, so sollen die Tüchter des Ocdipus, bevor sie von dieser Stätte hinweggehen, «das unglücklich zu tragende über sich gewinnen»: jedenfalls ein sehr wun- derlicher Befehl. Ueber die Vulgate bemerkt Mei- neke: «editum Hermannus interpretatur quod genero- sum est animo subeuntes», ohne dass wir erfahren, ob diese Erklärung zu billigen sei oder nicht. Mir scheinen die Griechischen Worte gerade eben so unver- ständlich als Hermanns Lateinische Uebersetzung. End- lich sagt Meineke: «Qui totum versum eiecit Nauckius, non facile habebit assentientem». Von der Nothwendig- keit den fraglichen Vers dem Sophokles abzusprechen wird man sich erst dann überzeugen, wenn man ein- gesehen hat, dass er weder erklärt noch ansprechend verbessert werden kann, und wenn man überhaupt das Verfahren der alten Kritiker richtiger zu beurtheilen gelernt haben wird. Im vorliegenden Falle war der Aulass zur Interpolation dadurch gegeben, dass man zu zogetv ein regierendes Verbum wie xen vermisste: um dieses einen Wortes willen schaltete man den Vers ein. Hätte der Verfasser desselben zufällig geschrieben xoù On peoouonc Jetva BA TAMYXOTOS oder DAS pEpOUons XON TETEOLÉVNY TUXNY so würde er das Auffinden der Interpolation uns er- heblich schwerer gemacht und den blinden Verehrern unserer von Alexandrinischer und Byzantinischer Weisheit überfliessenden Handschriften ein unerstürm- bares Bollwerk verliehen haben, wäbrend wir jetzt our die Augen zu ôffnen brauchen um ex ungue leo- nem oder vielmehr an dem Ohre das graue Thier zu erkennen. Scheiden wir die ungeschickte Zuthat wie- der aus, so haben wir einen Uebergang von der obli- quen zur directen Rede, wie er nicht selten vorkommt. Vgl. Longinus de subl. c. 27, wo zuerst Il. O, 346— 349 angeführt wird, sodann ein Bruchstück des He- kataeus (fr. 353 Müll.): KüvË SÈ tadta deux noteue- vos autixa éxéheve tous ‘Houxhetdas étryovous éxyw- péeuv" où vaio duiv Buvatés eu donyetv. de GY [Ln aÿ- toi Te anoANGŸE XAUÈ TOONTE, És GAY Teva Opuoy arotyeoSe (gewühnlich arotysoèa). Andere Beispiele verzeichnet Matthiae Griech. Gramm. $ 529, 5. 369 des Sciences de Saïint-Pétersbourg. 370 Soph. Oed. Col. 1645 ff. : TOCAÏTL POVNTAUTOS ET NKOUTALEY Évuravres: dotaxri D oûv Tais rapSévos OTÉVOVTES OHLUPTOULEV. Das Adverbium aotaxtt findet sich noch einmal im Oed. C. 1251 und zwar mit kurzer Endsilbe. An der verschiedenen Messung haben die Kritiker Anstoss genommen, Wie denn Meineke sagt: «conicere possis tr dotaxti oùv tas TapSévots, nisi potius alter locus vitiosus est, in quo astaxrx coniecit Bothius». Die Ver- muthung eët dotaxti machte bereits Blaydes. Dass jedoch in &otaxti das Iota der Analogie nach sowohl lang als kurz gebraucht werden kann, zeigt Blomfield Gloss. Aesch. Prom. 216. Um des Sinnes willen aber müssen wir die Verbindung aotaxti oùv tais rapSé- vous otévovtes ouaptodpesv für unmôglich halten. Wie äotaxrtt gebraucht wird, lehren folgende Stellen. Soph. Oed. Col. 1251: à ouparos dotaxti AzlBov Dtxpuov. Plat. Phaed. p. 117 C: aotaxrti éyuper Ta Oaxpua. Philostr. Her. p. 311, 28: actaxtt Saxgvs. Aelian. N. A. 10, 17: xAdovtes dotaxrti xai agétpots Tois Saxpucts. Theodorus Stud. p.7 D: +0 dnc rüv opSan- pôv xartièv Baxpuoy coûts dotaxri bécv. Anonymus bei Suidas v. aotaxtl: TOY VEXPÔY TALATÉUTOY ÉXÂQEV Lo- raxri. Etwas verschieden, aber der Bedeutung des Wor- tes «nicht trüpfelnd, stromweise» durchaus entspre- chend sagt Philostr. V. Apoll. 3, 17 p. 50,23: 6< atut- Getv ro aôya xal rèv idoôta popetv aoraxri. Sollte Oed. Col. 1646 dotaxti môglich sein, so müsste statt oté- vovtes der Begriff Saxpuovres stehen. In diesem Sinne (etwa xhafovtes ouagrodpev) zu ändern verbietet schon die Situation. Das Ende des Oedipus erscheint in der Sophokleischen Darstellung als der versühnende Ab- schluss eines von den schwersten Schlägen getroffenen Lebens, als eine Erlüsung von mannichfacher Noth, als Genugthuung für unverschuldete Leiden, als Seg- vung für das gastliche Attische Land. In solcher Lage heftig zu weinen mag den Tüchtern gestattet sein, denen die Trennung von ihrem Vater bevorsteht; nimmermehr aber wäre es psychologisch motivirt, wenn die Dienerschaft des Theseus in überschwengli- cher Sentimentalität nicht nur Thränen, sondern Strü- me von Thränen vergüsse. Die Diener des Theseus künnen durch das Ende des Oedipus nur zu frommer Andacht gestimmt werden; sie müssen dankbar das Tome IX. gnädige Walten der Gütter anerkennen, die dem hart geprüften Dulder endlich Erlôsung gewähren und den ehemals gedemüthigten um so sichtbarer erheben. Selbst otéveytes dürfte sich hier kaum rechtfertigen lassen, wenn man bedenkt, was nachher erzählt wird, dass Oedipus où otevaxtes oudè aùv végots dhyervos éÉe- répret, ŒAN ei tis Bootôv Saupaotés. Mit Benutzung des von Blaydes nach Évyravres hinzugefügten eîta wird die Stelle so geschrieben werden müssen : Évuravtes” eût axacxa oÙùv tais nagSévors UTELLOYTES OLAOTOÛMEV. Statt oùv Tais rapSévors würde ich ausserdem, wie schon früher bemerkt, taïot rapSévers vorziehen. Ver- muthlich wurde ovv hinzugefügt, nachdem vaiot in rais übergegangen war. Das seltene Adverbium &xa- cxa habe ich in den Eurip. Studien IL p. 42 bespro- chen; über die von Pind. Pyth. 4, 156 gebrauchte Form a@xacx& vgi. Schneidewin Eust. Prooem. p. 11. Soph. Oed. R. 31 ff.: Seoïot LÉY vuy oUx FToumevoy o° YO oud old: raides ÉÉoeoS épéoruot, avSpôv SÈ Toto Êv te cupopconîs Biou XpIvovTEs ÊV TE DAULOVOY ÉUVARARGYOIS. Im zweiten Verse beanstandet Meineke Oed.Col. p.220 das Wort raides : «Quid? pueri tantum, ci ctdéto pa- xOAV TTÉOŸM GTÉVOVTES ? NON eliam, quos prae pueris commemorari decebat, senes lectique iuvenes, quos ad- fuisse ipse indicarat sacerdos? Mirum sane ad haec nullum, quod sciam, attendisse interpretum». Dass 142 Oedipus und 147 der Priester die Anwesenden tœi- des anredet, wird von Meineke entschuldigt: id suo illi iure faciunt, quippe paterna auctoritate utentes me- ritoque eos quos alloquuntur filiorum nomine compellan- tes. Hier dagegen hält er es für unzweifelhaft dass der Dichter geschrieben habe: o0S ctôs mavres ééo- peo® épéotto. Vielmehr ist cÂÿs raides vollkommen richtig. Zwischen raides und f5éov Xextot lässt sich keine so haarscharfe Gränze ziehen, dass der greise Priester nôthig hätte neben den raides die lecti iuve- nes noch besonders zu erwähnen. Was aber von den senes gesagt wird, beruht auf einem Irrthum, den ver- muthlich eine unrichtige Auffassung der Worte ot dë oùv yo Bageis V. 17 und die falsche Lesart ispets V.18 hervorgerufen hat. Nicht mehrere Greise, nicht mebrere Priester haben sich vor dem Palaste des 24 371 Bulletin de l’Académie Hmpériale 372 ———_—…—…—…—…—…" —"—…—…—"—…—"—"—"—…"…"—"—…—"—"—"—"—"—"——————— Oedipus eingefunden, sondern eine Schaar von Knaben und Jünglingen geführt von einem einzigen greisen Prie- ster. Dies hat zuerst Bentley gesehen, der demgemäss V.18 isoeus forderte (tsoeus in den Pluralis isgets zu än- dern war durch das voraufgehende Bagets überaus nahe gelegt), dies hat nachher Bothe erkannt, dasselbe hat später Näke Val. Cat. p. 106 ausgesprochen (vetus quaedam mea opinio est, quam ne nunc quidem abieci, urum tantum ibi sacerdotem senem adesse cum grege pue- rorum), und endlich ist eben dies neuerdings in aus- fübrlicher Erürterung dargethan worden von R. Enger Zeitschr. f. d. Gymnasialw. XIIT p. 135 f., so dass Meineke keinen Grund hatte sich über allgemeine Unaufmerksamkeit zu wundern. Wäre die von dem Priester des Zeus geführte Versammlung aus Kindern, Jünglingen und Greisen zusammengesetzt, so würde al- lerdings die Bezeichnung raides befremdlich sein, nicht nur 32, sondern auch 58. 142 und 147. OÙ Së ovùv vneæ Bagets aber ist V. 17 nichts anderes als yo di oùv ro Baovs (vgl. die in der 4. Auf. von mir gege- benen Belege für diesen generellen Pluralis). Uebri- 18 mit Bentleys Emendation fepeus noch in dem n— Texte, gens ist V. nicht geheilt; is dyo mèv Znvôs ofôe T nov extot, ist auch das &yo pèv unrichtig; ich habe in der 4. Auf- lage iepeds Éyoys Znvès hergestellt. Soph. Oed. R. 117: où GNYENGS TIS OUÔÈ GULTOAKTOE CID xateidev, GTOU TLS ÉXLATOY ÉYONGAT Av; So lautet der zweite dieser Verse im Laur. A. Da sich verschiedene Môüglichkeiten zur Hebung des Feh- lers boten, so habe ich es für das rathsamste erach- tet der besten Handschrift môglichst eng mich anzu- schliessen; ich habe 6rou in 6 +1 geändert. Meineke Oed. Col. p. 222 bestreitet die Zulässigkeit dieser Aenderung: «at durissime his infertur éypncaro, ad quod supplendum foret a5T6; id vero nisi addatur, grae- ca oralio non minus manca est ac si latine dicas quod quis resciscens utatur». Hielt Meineke die Redeweise er à x / », » ms 8 trs éxuasov éyoncat av für unerlaubt oder be- denklich, so wundern wir uns dass er Oed. Col. 640 ohne Bedenken drucken liess : +0 à nô0 toÿrov, Ocdé- Tous, OE Got HOÉVAVTL YONGÈAL, WO ZU {OS in gleicher Weise auto ergänzt werden muss. Dass in- dess Meinekes Bedenken ungegründet war, lebrt ILE, 900: +6 à êrt [arrow cSmpara DAQUEXL TATTOY NXÉTAT * OÙ LÈV YAO TL HXATAŸ vaTés Ÿ ététuxto. Soph. Oed. Col. 41: tivoy ro gepvès tou’ dv edÉatany x}vov; Plat. Lach. p. 187 A: ère TAapadEuqUe, TOY éTue- Andévres x pavloy XAROUS TE KAYATOUS ÉTOUIOUTE. Vel. Krüger Griech. Sprachl. $ 60, 5 Anm. 2. Soph. Oed. R. 182 ff.: év à œhoyor ro | T ÈTL LOUTÉDES dxTAY Tapa Boyuiov AhAOSEV MARS Auyodv Tévov (xeTpEs ÉTIOTEVd OUT. Statt & S œhoyor habe ich #9 a&xcyot vermuthet und dura raod Boyroy geäündert in dydv Tapafoutov. Beide Vermuthungen verwirft Meineke, indem er sagt, über ëv 3é habe Dindorf ganz richtig gesprochen, und &xtn finde sich gemello modo bei Aeschylus. Ge- gen 2v à würde nichts einzuwenden sein, wenn ctwa vorher von Leiden die ausserhalb der Stadt herrsch- ten, die Rede gewesen wäre und nun von dem [nne- ren der Stadt gehandelt würde. Dagegen kann ich dem Zeugnisse eines Lexikographen wie Hesychius nicht blindlings glauben, dass £v dè so viel sei als éi routes, «ausserdem, obenein». Was Dindorf für diese angebliche Bedeutung geltend macht, ist entweder anders zu erklären oder ebenfalls verschrieben : HAE ist nämlich ôüfters in ENAE übergegangen, darum weil H und N sich vielfach nicht unterscheiden las- sen. Indess habe ich 9ÿ @hoyot nur als Vermuthung hingestellt; mit Entschiedenheit glaube ich dagegen axtoy rap Boytoy als fehlerhaft bezeichnen zu müs- sen. Mag man unter der Boytos axta «Altargestade» oder «Altarhügel» verstehen, in jedem Falle wird ein- geräumt werden müssen, dass ein entsprechender oder auch nur ähnlicher Ausdruck nirgends vorkommt. Wenn Aesch. Choeph. 722 (diese Stelle scheint Mei- neke im Sinn gehabt zu haben) dxtn yopatos vom «Grabhügel» sagt, so folgt daraus noch nicht dass man von einem «Altarhügel» reden künne. Somit habe ich nicht ohne Grund dxtav rapa Boyoy angetastet. Dass ayav rapaBoptov (nach M. Schmidt Philol. XVII p. 410 eine sichere Besserung) hier zulässig ist, leh- ren Ausdrücke wie érioxnvous v6eus Ai. 579. apot- Bopious Mraz Eur. Phoen. 1749. Urügopey Boav Eur. El. 1166. Auf dem richtigen Wege war bereits Mus- grave, dessen von Brunek gebilligte Vermuthung av- ray rapaBoy.oy freilich dem Metrum widerstrebt. 373 des Sciences de Saïint-Pétersbourg. 374 Soph. Oed. R. 205 f.: Béh:a Séhou av dôdpar Évdareiosot AQOYL TOOGTA TENTE. Gegen Dindorfs Vermuthung agoya Tooctayzévta macht Meineke nicht ohne Grund geltend, dass es bedenklich sei einen durch die strophische Responsion geschützten Jambus in einen Spondeus zu verwandeln; er will daher, falls eine Correctur nothwendig sei, etiam faciliore mutatione roostayévra schreiben. An diese Form hat gewiss auch Dindorf gedacht, aber mit gutem Grunde einen derartigen Gedanken nicht aufkommen Jassen, weil der Aor. tayny in der vor- alexandrinischen Zeit fast unerhôürt ist. In Eur. fr. 979 gehüren dem Dichter nur die Worte © ts tuyns Tac xAñooc, das nachfolgende êri route tayeés rührt von Plutarch her. Bei Phrynichus Com. 2 p. 603 liest man : nv yae moktns dyaÈos, Os EU où EYE, 5 (a \ 1 © c , xouy urotoyels ÉBadttev, ooreo Nixiac. Aber hier lehrt der Sinn dass drotaysis unrichtig ist; was dafür zu setzen sei, werden andere ermitteln: sinngemäss wäre 0Tode ns. Soph. Oed. R. 269: HALO X&xOS vev apogov éxToibat flov. Meineke glaubt nicht ungerügt lassen zu dürfen, dass ich Blaydesii quandam ariolationem, 36spogey Teïbar Béev, im Anhange der Erwäbnung werth gelunden habe: «quis enim nescit aliud esse TotBerv Biov, aliud | ExtolBerv?» Nach diesen Worten müssen wir anneh-| men, dass éxtotBeuv Béoy eine durch den Sprachgebrauch hinlänglich gesicherte Redeweise ist, die sich von dem | bekannten tet8etv Boy durch den Sinn unterscheidet. Leider hat es Meineke unterlassen die Verbindung ExtotBerv Béoy durch Beispiele zu erläntern; da mir kein zweites Beispiel dieser Verbindung gegenwärtig war, so hielt ich es für angemessen die sogenannte ariolatio mit einer Zeile zu erwähnen. Soph. Oed. R. 832: dAN êx Bootôv Batnv dpavros rocade À Toravd Oeiv LNMO ÉLAUTS cum APIYUEVNV. Meineke bemerkt Oed. C. p.240, dass man statt tdeiv den Optativ erwarten sollte, weshalb Firnhaber tdcuv geschrieben habe, «quam oplativi formam nunc fere iusto cupidius tragicis restitui video». Indess brauche man wohl nichts zu ändern: «nam quum Bainy nihil aliud sit quam pévorré por Büvo, recte inferri potuit infi- nitivus». Hätte Sophokles geschrieben yévorro por ted- oSev x Booroy aoavro Bivat, so würde ein nachfol- gendes n totavd tôctv xnAtda frei von Anstoss sein; da jedoch Bæinv im Texte steht, so muss man statt tôeiv den Optativus erwarten. Oder wäre es erlaubt statt pavelny pŒXho n noSeln, Zu sagen pLavetny pLAÀ- cv n nova, darum weil pavetnv so viel ist als yé- vouté pot avva? — «Nisi dicas», schliesst Meineke, «rp6o dev n esse idem quod rev». Freilich ist toooSev n gleichbedeutend mit rotv; aber daraus folgt noch nicht, dass die Tragiker den nach rot üblichen Infi- nitivus auch nach rocoSev n sich gestattet haben. Nach dem tragischen Sprachgebrauche muss man, wie ich längst im Anhange zu der Stelle erinnert habe, erwarten entweder mit Firnhaber : , 2 ’ n , Er Batny dpavros ToGodey N TouavÔ LÔoLY oder allenfalls Aie CNE à “GS Bain pavros rocade toiv Tornvd Cet. Die erstere Vermuthung halte ich für die wahrschein- lichere, weil sie sich fast durch nichts von der Ueber- lieferung unterscheidet. Wenn Meineke findet, Opta- tivformen wie idov würden jetzt éusto cupidius bei den Tragikern hergestellt, so soll dies hoffentlich nur eine beïläufige Notiz sein; als Argument gegen Firn- habers {cv künnen wir dieses Urtheil nicht ansehen; denn eine an sich zulässige Form kann hier nicht des- halb als unzulässig bezeichnet werden, weil man an andereu Stellen unrichtiger Weise eben diese Form hat setzen wollen. Soph. Oed. R. 1429: » suce 1 , + 2 AN Os TALaT ËG OUXOV ÉTKOUÈETE. Die imJ.1856 von mir geforderte, nachher im Philol. XII p. 634—37 genauer begründete Umstellung von Oed. R. 1416—23 und 1424—31 hat Meinekes Bei- stimmung zum Theil gefunden; nach seiner Ansicht (Oed. Col. p. 243 f.) sollen zwar 1424—28 dem Oe- dipus zugewiesen und vor 1416 eingeschaltet werden, 1429— 31 dagegen unter allen Umständen dem Kreon verbleiben. Kreon soll also sagen, dass nur die näch- sten Angehôrigen des Oedipus dessen Nähe noch er- tragen kônnen. Eine so unmenschliche Härte würde 24* 375 Bulletin de l’Académie Impériale 376 ————— mit dem Charakter des Kreon, wie er im Oed. R. ge- | ten: «{n huiuscemodi (?) locis £r:oSat vix quidquam schildert wird, in schroffstem Widerspruche stehen. Wenn Meineke sagt «Oedipo hoc unum in votis erat, non ut in amore suorum acquiesceret, sed ul quam ce- lerrime fieri posset patriam relinqueret», so glaube ich diesen Punkt schon früher erledigt zu haben: Oedi- pus wünscht schleunigst in das Haus gebracht zu werden, nicht etwa um darin zu bleiben, sondern um bei seinen nächsten Verwandten die Erhôrung zu fin- den, die der Chor ihm schweigend versagt hat, die Erhôürung seiner Bitte um Tod oder Verbannung. Dass der oben citirte Vers aAX G6s taytot és oùrov écxo- witere, unmüglich von Kreon gesprochen werden kann, ist leicht zu sehen. Wenn Kreon sagt écxom£ete, s0 fragt es sich, wer die écxouiovrss sein sollen. Nach dem Zusammenhange würde man an den Chor, nach den Gesetzen der Vernunft an Kreons Dienerschaft denken. Indess wird der Befehl von beiden ignorirt ohne ein Wort der Entschuldigung: ist der Befehl somit an sich müssig, so wird er durch das strenge os taxor geradezu lächerlich. Diese von mir im Philologus dargelegten Gründe haben, wie es scheint, Meineke bewogen zu dem Vorschlage AN Os TAyuoT Es otxoy ÉGKCUÉÉ ce. Die von ihm selbst angeführte Parallelstelle (Ant. 444: où pèv xoi£ots av seautov of Séhstc) konnte lehren, dass statt écxdquéé ge zu sagen war éuxqu£e csautev"*). Auch über os tay:ota lesen wir eine eigenthümliche Bemerkung : «ne quis os taytota tusto imperiosius di- ctum existimet, comparandus Aeschylus Prom. 346. Sé- Aou dv 5 Thelotouct Tpovas Tuyeiv, Ubi ws rhelototct nihil differt ab ardors». Also 6: theîotor bedeutet bei Aeschylus nicht «müglichst viele», sondern «andere», und 6 tayzoto bedeutet bei Sophokles nicht «môüglichst schnell», sondern — ich weiss nicht was, vermuthlich «s'il vous plait» oder etwas ähnliches. Von diesen Fein- heiten der tragischen Diction hatten wir bisher keine Ahoung. $o war es uns auch überraschend, was Meineke Oed. Col. p.248 f. bei der Besprechung von EI. 28 aus- einandersetzt, dass £teoSot unter Umständen kaum ver- schieden sei von rovsiv. Die betreffenden Worte lau- 14) in ähnlicher Weise wird p. 271 für El. 1359 xob © Épaives als eine môgliche, aber nicht nothwendige Aenderung bezeichnet. Andere werden meinen, dass xoù o Éparvee zu sagen unerlaubt sei, indem die Grammatik xoÙ cexurov Éparvec verlange, der Sprachge- brauch dagegen xoùx égaivou empfehle. differt a novstv, neque infrequens eius usus iam apud Homerum est, eodemque refero hoc in Trach. 1074. aùX dotévantos atèv sirounv xaxois. Cf. Hesychius ‘Ertébo: érirehéco». Welche Stellen der Homerischen Poesie hier vorschwebten, vermag ich nicht zu sagen; sollte wirklich bei Homer £r:0%o4 für roviiv gebraucht werden, was ich bezweifle, so wäre damit für die Tra- gôdie ein gleicher Gebrauch noch nicht erwiesen. Schon deshalb ist die Glosse des Hesychius, die sicher- lich nicht aus einem Attiker stammt, hier unbrauch- bar; ausserdem ist £ro etwas anderes als £topat, und érurekécu etwas anderes als tovnco. El. 28 sagt Ore- stes zu seinem greisen Führer: MAS T' OTRUVELS HUUTOS ÊV TOWTOUK ÉTEL. Wer die letzten Worte für richtig hält, wird verste- hen «du folgst unter den ersten»; wer an diesem Aus- drucke Anstoss nimmt, wird êtet für unrichtig halten müssen. Was endlich Trach.1074 betrifit, so würde nie- mand verstehen, wie hier eirép.nv für ércvouv genommen werden konnte, wenn nicht p.307 uns Auskunft gäbe, wo es heisst: «Er:oa hic positum ut in Elect. 28, et xaxois cum dotévaxtos coniungendum». Bisher war es keinem Erklärer in den Sinn gekommen aotévaxtos xaxoïs zu verbinden; jedenfalls liegt die Verbindung eircpnv xaxois viel näher, und Sophokles redete also nicht eben geschickt, wenn er sein Publikum zu ei- nem kaum vermeidlichen Missverständniss fühbrte. Ausserdem ist dotévaxros xaxoîs in hohem Grade dunkel; und wenn gesagt wird, atèv eirounv scheine für aièv érevouv zu stehen, so künnen wir einen Grund zu dieser Voraussetzung nicht entdecken. Sollte £te- cat xaxcis eine unrichtige Redeweise sein, so wür- den wir lieber Meinekes Vermuthung etycun xaxots annehmen, als uns zu einer Interpretation entschlies- sen, die mit dem Sprachgebrauch unvereinbar ist und dem Dichter eine unnatürliche Ausdrucksweise zu- muthet. Soph. EL 286: oudè yao xhadoat ago Ttocdv® Gcov por TULÔs NÜovny PÉpEL. Gegen meinen Vorschlag nôovnv yet wendet Meineke ein: «videtur servari posse librorum scriptura, si nÿo- vay pépeuv interpreteris per nôcoat, ul xÉpÈOS PÉRELV est xepBatveuv». Mit dem Belieben 90m œépeu nach 37% des Sciences de Saïnt-Pétershourg. 37 Analogie irgend eines anderen Ausdrucks zu erklären | po vupoas. Oed. R. 976: xai rôs to prods héyos ist nichts erwiesen; vielmebr war zu zeigen dass auch sonst nôomy pépn für nouat gebraucht wird. Nach- träglich sagt Meineke : «Sed ne quid dissimulem, non mediocriter faret Nauckii correctioni Pherecrates in | Fragm. Com. graec. vol. II p. 326. Go +: Yao xhuetv dpot te AdËar Suuos nôovnv Eye. Quem locum mihi b. pos Moovnv ëy Hauptius indicavit». Dieselben Worte des Pherekrates von Schneidewins Bearbeitung der Elektra zu V. 286 unter dem Texte angeführt, nur mit Weglassung des hier entbehrlichen Anfangs oof +: ao when. Soph. EI. 433 f.: cu Ootov Spas YUVAIXCS ioTavat XTERIGUAT CUDÈ ACUTOR TROTDÉDEL TATOL. Den metrischen Fehler des ersten Verses hat ein al- ter Interpolator durch ein zwischen éySoës und -v- vatxos hüchst unpassend eingeflicktes àrè zu heben gesucht, ohne zu bedenken dass es bei dieser Lesart am nächsten liegen würde aro yuvouxos iotavar zu verbinden, was nicht verbunden werden darf. Meineke vermuthet éySlotnv yuvarxôs oder éydoûs x yuvorrds. Dagegen habe ich im J. 1858 geschrieben : ou Gotoy ÉXSpGS ÉoTavat xTEpÉOUATE YUVALXO OUDÈ AOUTOR TOOPÉPELV TATOL. Diese meine Verbesserung hat O. Jahn in den Text auf- genommen, während andere Herausgeber des Stückes dem Interpolator gefolgt sind. Meineke räumt wenig- stens die Müglichkeit ein, dass die von mir geforderte Umstellung richtig sei, fügt jedoch hinzu: «quamquam rari sunt in Sophoclis libris errores verborum transpo- sitione nati.» Was hier von den Handschriften des So- phokles gesagt wird, gilt in gleicher Weise für die Handschriften anderer Autoren: gewiss hat die Con- | jecturalkritik zu Umstellungen in den alten Texten our selten ihre Zuflucht zu nehmen. Gleichwohl halte ich die Aenderung éySe&s iotavar xrcplopuro yuvarxos für unzweifelhaft, und es wird nicht überflüssig sein die paläographische Berechtigung derselben durch Bei- spiele zu erläutern. Die für die Sophokleische Kritik ausschliesslich oder vorzugsweise in Betracht kom- menden Handschriften (ob alle oder die besten, ist hier gleichgiltig) bieten Ant. 998: yvoon réyvns Tûs Émis onpeix xhvov, statt Téyuns omeita Tic épis. Ant. 1115: Kadmetas vupouc dyahya, statt K. 3yar- oùx Onveiv pue dei, statt xai Tôs To too cÛx Omvelv pe de héyos. Phil. 222: rotas ratpas av duäs À Yé- Vous TOTÈ TUyo. av erov, statt rolus dv Us Tatol- dos % yéveus. Wer diese Beispiele mit einander ver- gleicht, wird finden dass überall die falsche Stellung der Worte auf demselben Princip beruht: die Abschrei- | ber pflegen, selbst gegen das Metrum, die dem Sinne hatte ich in der dritten wie in der vierten Auflage | nach zusammengehôrigen Worte zusammenzustellen, während der Dichter das eng zusammengehôrige oft trennt, um durch die Trennung gewisse Begrifte schär- fer hervorzuheben. Eine Bestätigung dessen, was über die Neigung der Abschreiber gesagt wurde, lässt sich natürlich auch bei andern Autoren erwarten und fin- den; so steht bei Aesch. Pers. 313: vaûs 2x pis ne- gov, Statt vaos tecov x pu&s, bei Babrius 19, 2: +oùs dE rotxlAn xep00 | dodoa rAmpets, statt roux Tn- gets Üodcæ xegdw. So schwanken Eur. Rhes. 635 die Handschriften zwischen teÿrev dE rocs oùûs yetpcs où Sépts Saveiv und roûrov DE noùç os où Sépus feLpos Save (vel. Eur. Stud. IT p. 171 Anm.). Hiernach kann es nicht im mindesten befremden, wenn man bei Soph. EL. 433 f. éySoûs yuvarxos lotavar xreptouat aus ÉxIos ioravar xTepiouatæ juvarxss machte. Uebri- gens liegt es in der Natur der Sache, dass die Schrei- ber unserer Codices nicht durchgängig mit derartigen Umstellungen der Worte prosodische Fehler hervor- riefen; wer mit der dichterischen Redeweise vertraut ist, wird die gleichen Irrthümer der Abschreiber auch da wahrzunehmen vermügen, wo keine offene Wunde des Textes Heilung verlangt. Um nur ein Beispiel an- zuführen, ich halte es nicht für wahrscheinlich dass Phryn. Com. 2 p.592 schrieb, was ihm beigelegt wird, axap Zcpoxéns, 6 Tody yopdvov Broûs aréSavey eddatuoy dvno koi DeËtcc, glaube vielmehr mit der Umstellung 0 roy Broûc xecvey die Hand des Dichters zu treffen: vgl. +6v8e pv péSes Adyoy Eur. Hec. 888. ä£tev qépu Xcyov Hipp. 1157. étoypnoev Gore un Toy toupäv yoovov Men. Com. 4 p. 74 u. ä. Soph. El. 466 f.: LA \ \ ’ , / Spaco To YLo DxAIOY OUX ÈXEL ÀCYOY duotv épléerv, aXÀ éTionEUdeLv To pv, Nachdem Meineke Oed. Col. p. 258 den von M. Schmidt 379 Bulletin de l'Académie Empériale gemachten Vorschlag érioréoyetv statt mionevèstv em- pfohlen hat, fügt er hinzu: «Sensum verborum optime indicavit scholiastes, quo magis miror utrumque versum in voSetos suspicionem adductum esse, quae prorsus te-! meraria est nulloque fundamento nixa opinatior. Wir müchten fragen, wer die Echtheit dieser beiden Verse in Zweifel gezogen hat. O.Jahn bemerkt: «466 ct 467 del. Nauckius». Darauf muss ich entgegnen, dass es mir niemals in den Sinn gekommen ist diese Verse dem Sophokles abzusprechen. Wenn ich in der drit- ten Auflage sagte, die geschraubte und unklare Fas- sung der Sentenz kônne ich nicht dem Sophokles, son- dern nur dem Vorwitz einer späteren Hand beimessen, so meinte ich, die ursprünglichen Worte seien von späterer Hand verunstaltet, nicht aber wollte ich beide Verse emfach tilgen. Eben so wenig hat meines Wis- sens sonst jemand die Echtheit der beiden Verse an- gefochten, und ich muss hiernach glauben dass Mei- nekes Polemik sich gegen ein Hirngespinnst richtet. War der in der dritten Auflage von mir gewäblte Aus- druck undeutlich, so dass er einem Missverständniss Raum gab, kounte doch Meineke aus der im J. 1862 erschienenen vierten Auflage der Schneidewin- schen Bearbeitung meine Ansicht über die in Rede stehenden Verse erfahren. Hier steht unter dem Texte folgende Anmerkung. «Die Scholien erklären: AGO TÔ pekoverxetv Regt TOÙ Br (ou, Dote Repi auToÙ so ox ÈyEl Svo dvras épléetv" Ô£ YAp Tov 5%. Aehnlich Neuere: en. un est, non habet ra- tionem cur duo inter se contendant, à. e. de iusto non est cur quis dissentiat. Wollte der Dichter diesen übri- gens seltsamen Gedanken ausdrücken, so musste er statt to Glkatcv vielmehr megt voûù dtxaiou setzen und Svoiv nothwendiger Weise CR Es ist klar dass die jetzige Unklarheit durch einen Febler des Textes veranlasst ist». Im Anhange habe ich statt dvoiv TEQOV TO ÊTÉLO TrElSe- éotésuy vorgeschlagen xhvovr épi£er, wonach der Sinn | sich ergeben würde: ouùx êyet Acyov offer to déxoov xAVovtæ, man soil nicht streiten, wenn man das Rechte hôrt. Von diesem Vorsenlage kann ich auch jetzt nicht abgehen. Soph. EL 1220 ff. finden wir ein von Elektra und Orestes in Halbversen geführtes Zwiegespräch, wel- ches an einer Stelle V. wird, 12292 f. in der Weise gestürt | dass auf den halben Trimeter der Elektra eine | | dipet statt Anisoët des Orestes in anderthalb Trimetern folgt. | Diese Stôrung habe ich zu beseitigen gesucht, indem ich so zu schreiben vorschlug: HA. rôs eîras, 6 tv; OP. deüdos oùdev oy XÉYO. 1220 HA. ñ Eù yao avno; OP. eines épbuycs Y 2yo. HA. » ya où xeîvos; OP. éxpa® ei caoû Xéyo. HA. copayiôa rarpès OP. rnvèe te c008ébac adpet. HA. o oAtatoy ows. OP. ptAtatov, ÉVLapTUEG. HA. 6 oSéyn, dotrcu; OP. pnxét &XhoSey TU IN. 1225 HA. éyo 0e yzootv; OP. os Ta Roi éyols at. Die Handschriften bieten statt dessen an der bezeich- neten Stelle: OP. +nvèe toocBhébaca pou Goomyido TATO0S ExpaT et cuoÿ ÀEYO. HA. r yap où xeîvos; Wer dies vertheidigt, wird annehmen müssen dass der Dichter lediglich deshalb von dem Gesetze der so ge- nannten avtaÿat sich entbunden habe, weil die con- sequente Darchführung dieses Gesetzes ihm unmüg- lich war. Durch meinen Vorschlag glaube ich darge- than zu haben, dass diese an sich hôchst missliche Annahme hier unstatthaft ist. Ueber die muthmass- liche Entstehung des Fehlers habe ich mich schon früber ausgesprochen. «Wie häufig auf einander fol- gende Versausgänge mit einander vertauscht worden sind, ist bekannt (vgl. Trach. 8195 f. 1046 f. und meine Obsere. crit. de trag. Gr. fragm. p. 36 £). War dies hier geschehen, so ergab sich von selbst eine weitere Aenderuug, um einen der beiden nicht verbundenen |Imperative los zu werden.» Wenn ich roco8hébac rp008ébuca pou vorschlage, so räume ich die Unsicherheit dieses Vorschlages gern ein (übri- gens werden p und 9 ôfters mit einander vertauscht, vel. Mélanges Gréco-Rom. IT p. 428); darüber jedoch kann meiner Ansicht nach kein Zweifel bestehen, dass auch V. 1222 f. dem vorher und nachher beobachte- ten Gesetze ursprünglich entsprochen haben. Anderer Ansicht ist Meineke: «Ürestis verba vehementer doleo | Nauchium ita in frustula dissecuisse, ut indecora prope | dixerim dialogi forma evadat. non adeo se poetae tra- gici certae cuidam dialogi conformandi legi quasi in ser- vitutem addixerunt, ut nunquam ab ea recederent, id quod sine ofjensione fieri potuit, ubi, ut hoc loco ét in Aiac. 984. factum videmus, aliquid novi affertur.» Sich an Gesetze binden mag freilich sclavisch sein; aber dass die Hellenischen Dichter mit diesem sclavischen Zuge einer beispiellosen formalen Strenge im Grossen des Sciences de Saint-Pétersbourg. 38? ———————_—_—_—_—_—_—_——…—…"…"—"…"—"…"…"…"—"—"…"…—"—"—…"…—"—"—…"—…—…———…—…—…— …—…"…"…—…—…"…"…"…—…"…————— wie im Kleinen behaftet waren, ist nun einmal eine unbestreitbare Thatsache: gerade auf diesem selavi- schen Zuge beruht die künstlerische Vollendung und der unvergängliche Werth der Hellenischen Poesie, eben darauf auch vorzugsweise die Môüglichkeit emer strengen und methodischen Kritik. Inwiefern das Ge-| setz der dvrihaBat da sine offensionc aufgegeben wird, ubi aliquid novi affertur, ist nicht recht klar; minde- stens leidet der hier gewählte Ausdruck an Undeut-! lichkeit. Die Verweisung auf Ai. 984 wäre besser un-| terdrückt worden, da jene Stelle mit der vorliegenden nicht verglichen werden kann. Was endlich die prope indecora dialogi forma betrifft, so habe ich mich ver- geblich bemüht ausfindig zu machen, worin das nde- corum bestehe. Vermuthlich hält es Meineke für un- ziemend, dass Orestes der Elektra ins Wort fäüllt und den von ihr begonnenen Satz zu.Ende führt. In die- sem Falle wird es genügen an Oed. Col. 652 ff. zu erinnern, eine Stelle die Meineke nicht beanstandet hat: OIA. rôs oùv rornoets; OH. toi pahoT Cxvos 0° Eyet; OIA. nécvoty avdpes OH. da toiod ëcTa pLEhov. OIA. Cou pe Xeitov OH. pi dOacx à Jon pe Coav. | OIA. ôxvoëvr avayxn OH. toupiv cux cuveï xéne. OIA. oux ctoS" dnethis OH. où yo ce pn tva xté. Endlich môchte ich noch auf einige bisher nicht be-! rührte Gründe hinweisen, die gegen die Richtigkeit der gangbaren Lesart in EI. 1222 f. sprechen. Wenn Orestes sagt: tAvôe roocBébaca pLou copayida rates ÉLUS eù cup} RÉVO, so erregt der Imperativ ëxpate Anstoss. Nachdem ihr der Siegelring des Vaters gezeigt worden ist, weiss Elektra dass sie ihren Bruder vor sich sieht: wie der pachfolgende Ausruf & œératey oës lehrt, sind wei- tere Nachforschungen nicht anzustellen. Orestes würde also besser sagen: zo6aghedo tivès cppayida ratocs, xat eicet ot cap Xéyo. Erst durch die von mir ge- forderte Versetzung der Versausgänge werden die Worte xpa® ei mo Xéyo so gestellt, dass sie in den Zusammenhang passeu. Ausserdem gab es offenbar vielerlei verschiedene Mittel, durch die sich Elektra überzeugen kounte, ob der Fremdling wirklich ïhr Bruder war: somit ist es weit angemessener, wenn Orestes die Wahl des anzuwendenden Mittels ihr über- lässt, als wenn er aus eigenem Antriebe die copayts des Vaters vorzeigt, die in diesem Falle keine hin- reichende Legitimation abgab, sofern der Fremdling _unrechtmässiger Weise zu ihrem Besitz gelangt sein konnte. Auch in dieser Hinsicht ist meine Um- stellung dem überlieferten Texte vorzuziehen. End- ich kann ich die Verbindung der beiden Genetive rocoBhébaca pou cpoayièa rareos hier nicht für glücklich halten, zumal da es nahe liegt ratocs ëx- ae zu verbinden. Somit verdient meine Umstellung in mehr als einer Hinsicht den Vorzug vor der Les- art der Handschriften, und eben hierin liegt der sicherste Beweis für die Unrichtigkeit unseres Textes: denn nimmermehr werde ich glauben den Sophokles meistern zu künnen. So viel für jetzt von Meinekes Ausgabe des Oedi- pus Coloneus, die zwar, wie dies nicht anders crwar- tet werden kann, manche vortreffiche Besserung und | Beobachtung enthält, daneben aber auch unverkenn- bare Spuren der Eile an sich trägt. Die wohlbegrün- dete Autorität eines so hervorragenden Kritikers hat zur Folge, dass seine Uebereilungen nachtheiliger zu wirken pflegen als dies bei den gleichen [rrthümern anderer der Fall sein würde ”); eben darum habe ich | | 15) Bei Soph. Trach. 79 ist überlicfert: We à Teheurny Toû flou mékher TehEtv. Meineke vermuthete in den Beitr. zur philol. Kritik der Antigone (1861) p. 30 tod Biou péxhket Avetv, ohne die Kürze des Ypsilon in kerv mit einem Wértchen zu berübren. Erst zwei Jabre später Oed. Col. p. 289 unternahm er die Vertheidigung: verbi Avery prüma syl- laba etsi alias producitur (nothwendiger Weise war hinzuzufügen ab | Atticis), non dubito tamen quin etiam corripi potuerit; similiter va- riat mensura verborum xo1vw, quw, aliorum. Dieser nachträgliche Versuch eine prosodische Licenz zu rechtfertigen scheint zu bewei- sen dass Meineke der Attischen Messung des Praesens Avw sich nicht zur rechten Zeit erinnerte; wäre diese Messung beim Druck der Beitrâge zur philol. Kritik der Ant. ihm gegenwärtig gewesen, SO würde er die Vermuthung Ave vielleicht niemals publicirt haben. Gleichwohl ist Fr. Heimsoeth in dem übrigens vorzüglichen Werke, Krit. Stud. zu den Griech. Trag. I p.135 f. durch Meinekes Autorität verleitet worden, ein iambisch zu messendes Ave für nicht weniger als drei Euripideische Stellen in Vorschlag zu bringen. Uebrigens wünschten wir, Meineke hätte sich über die schwankende Messung | des Ypsilon in xw\ÿw, quo und anderen Verba bestimmter geäus- | sert. Für xwAvw ist aus der Tragôdie mir kein Beispiel der verkürz- ten Paenultima gegenwärtig. Was que betrifit, so kommt das lange Ypsilon keineswegs, wie Dindorf zu Soph. Trach. 1081 sagt, erst bei Nikander und anderen neueren Dichtern vor, sondern bei den At- tikern ist diese Messung entschieden vorherrschend oder vielmehr |allein beglaubigt; denn auf die beiden tragischen Stellen wo quo | mit kurzem Ypsilon steht (Aesch. Sept. 535 und Soph. fr. 824, 2), ist | kein Verlass. An ersterer Stelle fordert der Sinn &pas Bovouonc (auch sonst werden querv und Beve:v verwechselt); in dem Sophoklei- schen Fragment vermuthe ich 6tov TO TEPRVÈV XUL TO TNHAÎVOY PU- 33 Bulletin de l’Académie Impériale 384 es für nothwendig erachtet Meinekes Behauptungen gegenüber einige Zweifel geltend zu machen, zumal da ich im Anhange zum Schneidewinschen Sophokles auf eine Begründung meiner Ansichten fast durchgän- gig verzichte. Soph. Oed. R. 187: Tatav DE AAUTEL CTOVCEUOQ TE YÂEUE CUAUAOS. Unter Guavhos versteht man nach dem Vorgange der Scholien uoSpous, Ouopovos, so dass Too on Vous Gpavhos die zusammenflôtende, d. h. zusammenstim- mende oder einstimmige traurige Klage bezeichnen soll. Diese etwas gezwungene Erklärung scheint mir um so bedenklicher, da Epavros sonst nur als Compo-! situm von avan sich findet. Vielleicht ist zu lesen otovoecoæ Te Vous avauhos, d. h. die der Flôten er- mangelnde Klage. Dieser Ausdruck würde jedenfalls der tragischen Redeweise besser entsprechen als die! handschriftliche Lesart. So sagt Soph. fr. 632: p£an Bcôv ävavha. Eur. Phoen. 791: xôpov avavicrartey reoyopeuets. Herc. F. 879: pawaotv Avocats popeuTévT avavhous. Vol. Soph. Oed. Col. 1221 : Atdoc poig avu- pévatos Ghvpos &yopos. Aesch. Suppl. 681: aycpov axt- Sapuy Saxpuoyovoy Aon. Eur. Hel. 184: évSev cixtoov uadoy Exhuoy aAvpov éheyov. Iph. T. 146: SvoSpnvn- rois GS SonVors ÉVXEMLEL, TÉS OÙX EURLOUTOU [LOUGAS fLO- raîs, dhvpous éhéyets. Zugleich liegt in croycecon Yi- pus ävavhos eine Hindeutung auf die Suoto ayopot xai avavror, von denen Plut. Mor. p. 16 C redet. Soph. Oed. R. 438. Auf die Frage des Oedipus, dé pe éxœuet Boorov; antwortet der Seher Tiresias: ’ GLS nŸ muéon oUoet de koi diapdepet. In Betreff des räthselhaften ouce: beruhigen sich die Herausgeber bei der von den Scholien gegebenen Er- klärung, detéer ce Caev éyewvnSons. Freilich ist dieser Gedanke durch den Zusammenhang geboten; aber wie in œustv der Begriff Secevuvar SSev vis dyewn5n liegen soll, bleibt dennoch unbegreiflich. Mag immerhin Ti- resias sich auf Andeutungen beschränken, deren Sinn dem Oedipus verborgen bleibt (66 rovr ayav aiwxta xacao kéyets, sagt dieser V. 439), so müssen doch für den Zuschauer diese Andeutungen verständlich sein. Dem Ausdrucke #9 muéox œuoet 5e lässt sich cu: jedenfalls ist das Praesens uw sonst bei keinem Attiker in pas- sivem Sinne nachweisbar (vgl. Meineke Theocr. 7, 75 p. 255) und schon darum œuet hôchst bedenkilich. |aber mit erlaubten Mitteln kein Sinn abgewinnen, und | darum kann ich den jetzigen Text nicht für richtig | halten. Mir scheint eine einzige Hilfe môglich: | CLS EEE LS \ & e | NÔ mpépa pavei ce xat dapaepei. | Dieser Tag wird dich offenbaren (d. h. zeigen wer du | bist, aus welcher Stadt und von welchen Eltern) und zu Grunde richten. Soph. Oed. R. 1084 f.: TotGade À éxpUs oùx av ÉÉéA TO ÈTt RoT AMC, OOTE [UN ÉXUAIELV TOUROV YÉVOS. Im ersten dieser Verse hat Blaydes totcods ôn œùs vermuthet (totéoÿ éxplo 60 cùx av steht im Laur.), im Zweiten oote pn où maïeiv toumov yévos. Beide Vorschläge sind überaus leicht und in hohem Grade wahrscheinlich. Die Hauptschwierigkeit aber liegt im Aunfange des zweiten Verses, wo axes sich dem Ver- stindniss entzieht. Düderlein verlangte dafür æXhoo (d.h. &Xose), Kayser dhaës. Auch diese beiden Aen- derungen sind so leicht wie nur môglich, dennoch aber durchaus verfehlt und einer Widerlegang kaum werth. Dass oùx av SES te nor &Adose hier sinnwidrig sein würde, lehrt Eur. Iph. T. 781: £E£8nv yo aAoce, ich schweifte ab mit meinen Gedanken. An &hads aber durfte, vom Sinn ganz abgesehen, schon deshalb nicht gedacht werden, weil dies Wort dem Trimeter fremd ist. Ausserdem hat Elmsley mit Recht das toté zu Anfang des Verses als fehlerhaft bezeichnet "). Diesen Anstoss sucht Dindorf zu beseitigen durch den Vorschlag: oùx av éÉ£ASow motè | dhkoïos, wo æXhoïos mir eben so wenig sinngemäss zu sein scheint als die Vulgate &Xhos. Vermuthlich ist zu schreiben : rorcoèe n pÜs oùx dv éÉéASOL tt ATOS, GOTE jN OÙ La dEËv TOULÔY VÉVOS. Oedipus hofft über seine Herkunft nun nicht länger in der peinlichen Ungewissheit zu schweben, um de- rentwillen er früher sich vergebens an das Orakel des Apollon gewendet hatte (vgl. oben 789 : xaf w © Pot- Bos Ov pèv ixpnv arusov éÉéreubev). Das handschrift- liche rot 4xhcs ist vielleicht durch einen undeutli- 16) Ebenfalls unrichtig ist die einzige ähnliche Stelle Aï. 986: SüT aûrov üËere Oedpo, wo Elmsley zu einer Umstellung rieth, Sedp œbroy aËets Ôtra, während ich &Ëet rie «dtov Seüpo vorziehen | môchte unter Verweisung auf Oed. R. 1069: aËet re ÉXSOv deüpo | tov Boripc proc. 385 des Sciences de Saiïint-Pétersbourg. 386 chen Text .T. AAOC, vielleicht auch lediglich durch den Lesefehler ATIAAOC statt ATIMOC veranlasst. Soph. Oed. R. 1409. Nachdem Oedipus die unse- lige Ehe beklagt hat, aus der entsprungen ist 0tooœ aloyror v avipwrotot yiyveto, Wendet er sich von der weiteren Besprechung dieser Gräuel ab, um den Chor zu beschwôren, dass man ïhn den Blicken der Menschen für immer entziehe : aùk où yap anJäv Éd à WE JpEv XLACV, OtUS Taytota Toûs SeOv ÉËw pe Vis éxpibare xTÉ. Seltsam dass an dem ersten Verse noch niemand An- stoss genommen hat. Das Thun ist ein stärkerer Be- griff als das Reden; darum kann man wohl sagen:! où9 avÿäv èoS & pn dp&v xahcv, nimmermehr aber das Verhältniss umkehren, wie es hier geschehen ist, ! oùx adoäv £oS @ pndè Jov xahov. Zu einem passen- den Gedanken verhilft die leichte Aenderung GX où ap avôdv oT à UNÔ pv xaÀCV, es ist nicht erlaubt zu besprechen was sogar für das Auge anstôüssig ist. Dass Sodv und opûv beständig mit einander vertauscht werden, ist hinreichend bekannt. Es genügt an Oed. Col. 654 und Aï. 379 zu erinnern. Soph. Oed. R. 1518: vis de Onos méphets ATouxov. Wären diese Worte in solcher Gestalt auf dem Atti- schen Theater gesprochen worden, so würde jeder Zuschauer geglaubt haben, der geblendete Oedipus | wünsche als Anführer einer Colonie entsendet zu wer- den. Wenn ich nicht irre, muss es heissen: yäs ôros réphex armootév, wie Ai. 1019: téhos Ÿ aro- otès Vis ATOOpLpIno ua. Soph. Oed. R. 1523 richtet Kreon an Oedipus die Worte: Tavta M Bouhou xpateiv: ai yio dxpatnons où co Tô flo Évvéonete. Der Sinn der letzten Worte kann keinem Zweifel un- terliegen: was du erlangtest, meint Kreon, blieb dir nicht treu während deines Lebens. Dieser ange- messene Gedanke wird durch den verkehrten Aus- druck où oo tGô lo Évvéonsto entstellt bis zur Absur- dität. Wenn das was Oedipus erlangte, nicht seinem Leben folgte, wem folgte es denn? Darauf mügen die-! jenigen antworten, welche für die Richtigkeit des ge-| Tome IX. | genwärtigen Textes einzutreten gesonnen sein sollten. | Mir scheint es unzweifelhaft dass der Dichter schrieb : | où got Sua Béou Evvéoneto. | Soph. Oed. Col. 420. Ismene hat dem greisen Oe- dipus mitgetheilt, man werde von Theben aus sich um ihn bemühen, weil nach einem Orakel an den Be- sitz seiner Person das jetzige und künftige Wobhl der Stadt Theben sich knüpfe. Oedipus fragt, ob seine Sühne, von denen oben gesagt wurde dass sie des Thrones wegen verfeindet seien, Kunde von diesem Orakel bekommen haben. Es ist beiden, so lautet Is- menes Antwort, wohl bekannt. Und dennoch, fragt Oedipus weiter, zogen die Klenden dem Verlangen vach mir die Herrschaft vor? Ismene muss dies be- jahen: aÀyO xAVouoa tait YO, Déow à CE. , HOS Was soll hier xhvouoa? Offenbar ist Ismene in der vor- liegenden Situation nicht die hôrende, sondern die mittheilende. Somit kôünnte xAvoucx nur darauf bezo- gen werden dass sie früher durch andere gehürt hat was sie jetzt dem Vater meldet. Dann aber sollte es heissen nicht 4x6, sondern nxyouy xhuousa. Indess erscheint eine Berufung auf fremde Mittheilungen hier überhaupt als unpassend. War Ismene genau und durch Autopsie von den Thebanischen Verhältnissen unter- richtet (und dass sie dies war, lehren ihre früheren Aeusserungen), so berichtet sie nicht nach Hüren- | sagen, sondern als Augenzeugin. Mit dem xAÿouoa würde sie gegen die offenbare Absicht des Dichters die Zuverlässigkeit ihres der Wahrheit durchaus ge- treuen Berichtes in Frage stellen. Wallte sie aber, um den Vater zu schonen oder aus Liebe zu ihren Brüdern einem Zweifel an der Sicherheit der gemel- deten Thatsachen Raum geben, so musste dies einer- seits viel bestimmter und andrerseits an einer frühe- ren Stelle ausgesprochen werden. An dieser Stelle ist xhvouca unmôglich; es muss heissen, woran schon Blaydes dachte, &\yô Xéyouoa. Aber auch der zweite Theil des Verses enthält einen Fehler. In oépo Ÿ Guos liegt eine Resignation, die auf Ismene den Schein der Lieblosigkeit wirft. Weit passender ist es, wenn ein- fach das unleugbare Factum constatirt wird, bevor Oedipus in tiefster Entrüstung den nachfolgenden Fluch über seine Sühne ausspricht. Der Vers wird ursprünglich gelautet haben : 25 387 Bulletin de l’Académie Impériale EE ——"——_—]——]—] dkyô héyousa Trait ES, kÉYE À Ces. «Schmerzlich ist es dies sagen zu müssen, und doch kann ich es nicht in Abrede stellen». Mit dem Ge- danken vgl. Trach. et È un À€YO gta, oÙx H0- par, To D dpSov Éctonx pos. Statt éyo à Cuos wWer- den andere vielleicht opa&o à uos vorzichen, weil dies dem überlieferten ogo näher komme. Mir scheint oépo aus #96 gemacht zu sein, womit Aéyo nicht sel- ten erklärt wird (vgl. Cobet N. L. p. 57 f. 73). Unter den Sophokleischen Bruchstücken habe ich Trag. Graec. fragm. De 284 folgende Stelle aus den Anecd. Bekk. p. 376, 32 geduldet: Gtav. Zopoxñs. Dase dia weder für cTtav stehen noch durch &tav erklärt werden kann, liegt auf der Hand : schwieriger war es, wie noch die neusten Ver- muthungen von Dindorf Soph. ed. tert. Oxon. vol. VIIL p. 180 und von G. Wolff im Anhange zu Soph. EI. 337 p.127 beweisen, eine sichere Emendation der fehler- 9790 219: haften Stelle zu finden. Wie ich glaube, ist zu schrei- | ben, was bereits Brunck gesehen hat, ax: xav. Für diese Aenderung spricht das in den Jahren 1859— 62 von Th. Bergk bekannt gemachte Etym. Vind. À, 163: dhAa ouvdeopos hapBavetat al avti roû xav. Sopoxhis (EL. 1013): atn SE voiv cyès aXhX x yocvo moté. Somit verdiente fr. 1018 selbst unter den zwcifelhaften Bruchstücken des Sophokles keinen Platz. Eine nicht unwichtige Ergänzung der Sophokleï- schen Fragmente lässt sich dagegen, wenn meine Ver-| muthung nicht trügt, winnen : aus Hesychius v. TICOOXQVÈOO KA HUKAO TEQIEVE - XOYŸoa ge- XOVNG OL" Xe. Hat TIGGOXOVNTOY LépOY AÉVOUTIV, GTA TÜOGN | XATOLOITSÉVTES TUVÈS URO TUpOc AToSavootv. Aloyÿhos xai Kpativos Konoonte. Riocoxwvia Vip n vÙv TÉo- Ga, À Apéou0t epitomirenden Grammatikers, der die ïhm zu Gebote stehenden vollständigeren Notizen verkürzt und ent- stellt hat. Da die Koïocat als Tragôdie des Aeschy- lus, nicht aber als Titel irgend einer Komôdie uns be- kannt sind, hat Alberti eine Umstellung vorge- schlagen, Atoyyhos Konooats wat Koativos. Die Rich- tigkeit dieser Vermuthung lässt sich darum nicht be- | zweifeln, weil Photius Lex. p. 430, 24 die auch bei Hesychius an einer späteren Stelle erhaltenen Worte dXÂL AT Toÿ | » 21] avt}, TOÙ | ra ragioSqua Toy robarov. Hier wie | oft bei Hesychius bemerken wir die Eïlfertigkeit des rioccxwvate Tuot aus den Koÿooæ des Aeschylus (fr. 113) anführt. Wenn an unserer Stelle von TUpÉ nichts zu lesen ist, so haben wir dies lediglich der Flüchtigkeit des Epitomators zu danken, der sich mit der Nennung des Aeschylus begnügte, die aus ïhm anzuführende Belegstelle dagegen fortliess. Nicht an- ders verfuhr er bei Kratinus, der nach Herodian in Schol.ILS,521roc0xovtas apnv(avnp?) gesagt hat: dies oder etwas ähnliches; denn eine auch nur annähernde Sicherheit ist bei den aus dem Zusammenhange ge- rissenen Worten nicht zu erreichen; vgl. Meineke | Com. 2 p. 227 f. und Lehrs Herodiani scripta tria emendat. p.310. Es fragt sich nun, auf welche Quelle die Worte rtocoxwvntov pépos zurückzuführen sind. H. Stephanus im Thes. Gr. L. nimmt diese Worte für Aeschylus und Kratinus in Anspruch, Kreussler in der fünften Auflage des Passowschen Handwürterbuchs II p. 928 legt sie dem Kratinus bei, Meineke Vind. Strab. p. 49 dem Aeschylus. Diese Verschiedenheit der Ansichten erklärt sich ziemlich einfach : der erste der genannten Gelehrten konnte nicht wissen, was die | beiden andern übersahen, dass aus Aeschylus vieliéhr Iriocoxovire rugt, aus Kratinus dagegen rtocoxovias de anderweitig citirt wird. Befremdlicher ist es, | | wenu wir bei G. Hermann zu Aesch. fr. 124 lesen: | sed idem Aeschylus Lin cadem fabula idem epitheion ad pcpcy apponere po- uit. rvgt in den Aeschy- [leischen Koüooat auch rioccxovnto pépev gestanden habe, ist freilich nicht absolut unmôglich, wobl aber in | hohem Grade unw abrscheinlich und wie überhaupt nir- gends bezeugt, so durch die Glosse des Hesychius ‘auch nicht von fern angedeutet. Während ein glück- liches Ungefähr die von Hesychius gemeinten Worte des Aeschylus und Kratinus uns anderweitig gerettet hat, sind wir hinsichtlich des Dichters welcher rt000- xovntov p.500 gesagt, lediglich auf Vermuthungen an- gewiesen, Nach der Farbe des Ausdruckes werden wir geneigt sein müssen die Worte einem Tragiker beizule- gen; der Sinn führt, wie mir scheint, mit unabweisbarer Nothwendigkeit auf die Kaptxtot des Sophokles. Aus | diesem Drama sind pur drei kleine Bruchstücke (fr. 30 3) bezeugt, unter denen jedoch eins zur Er- mittelung des dem Sophokles eigenthümlichen Mythus uns verhilft. Die Kapéxtot behandelten, wie schon Brunck gesehen hat, das durch die Tüchter des Ko- | «genuinum est TIGGOROVATE TUPÉ, Dass ausser TIGE CNET 389 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 390 kalus herbeigeführte Ende des Minos. Nun citirt Athe- naeus als Beleg für otoaBnos, eine Gattung von Mu- scheln, aus den Kagtxtot folgende Worte : dlas otpafBmhou Thods, TéHvov, el tive SuvatpeT evpetv. Diesen Worten einen Sinn abzugewinnen ist unmüg- lich; aus Zenobius 4, 92 kennen wir aber eine Fas- sung der Sage vom Tode des Minos, wo Minos eine Muschel als Mittel benutzt, um den Aufenthalt des Daedalus ausfindig zu machen, der sich bei Kokalus versteckt hält; und die bei Athenaeus überlieferten Sophokleischen Worte erschliessen sich dem Verständ- niss, wWenn wir nach Anleitung des Zenobius ergänzen: aklas otoafBnhou Tiode, TÉHVOV, ei Tiva duvatueS evpeîv Gs distpeuev Avov. Vermuthlich waren dies, wie ich früher erinnert habe, | Worte des Kokalus, die er an eine seiner Tôchter | richtete. Ist diese Combination richtig, so dürfen wir weiter schliessen dass die Worte Tiacoxovntoy 1090 | aus demselben Sophokleischen Stücke entlehnt sind; denn nach Zenobius fand Minos dadurch seinen Tod, dass er von den Tüchtern des Kokalus mit siedendem Pech übergossen wurde. Zenobius erzähit: o Mbos oùv dore Anidmhov xai HAT ÉXAGTAY AOPUV ÉDEUVOV | xduuËe XGxhov Hat ToAdv URIGAVEÈTO Jobvas po TOv TS ua. Toù xoyhtou Aévov Gustgavre (so Valckenaer statt SustÉavtt), da toutou vouituy etonostv Axtdahov. En- RTETO Soôv de es Koxahcv, rap © Autdados éxpv 4 ’ A © = AY PEN xvuat Tov xoyhiav. © dE ANBoOY ÉTYYYEARETO del oetv geändert werden durfte. Das Hyperbaton ist vollstän- dig gesichert durch Eur. Cycl. 121: oretgcvot à, n To tôat, Amuntecs otayuv; Hel. 1579: ër, à Éév, eis vo Î ’ Xe n _. Y, _ = ’ . | Te0GŸEV, N XARGS Eye, Thevoopev; Dagegen erscheint die Nachstellung des als vüllig unstatthaft. Was soll aber pogoÿs éroôcv bedeuten? Schäfer meint: £rodov dictum loco prosaici érovomev. nomen, quod a forma canina ductum ddsta: ne de probroso nomine cogites, cquod muper factum memini. An dieser schon in den Scholien gegebenen Erklärung hat man sich genügen lassen, ohne zu fragen wie sich dieselbe mit dem son- stigen Gebrauche des Wortes érodcs verträgt. Da nicht eine einzige Stelle vorhanden ist durch welche poooÿs roy im Sinne von pospis ÉTOvULOY unter- stützt werden künnte, da toûcs rivos (Aesch. Agam. 1418. Plat. Phaed. p.78 A) vielmehr averruncans ali- Eeuv vor Valck.) xat Awdodo SiJooiv: 0 Bè éÉabas pop pnxos Avov xal tonous Tov xoyhilav eluce À auto SuESeîv. Aafov 58 Mivos Toy Mvov (1. ro Aiov oder vielleicht tôv xoyAfav) Grsrgpéver (des yacpévev vor Valck.), goSeto etvar rap éxetvo Tôv Aatdahoy xat ev- | 22» Séos arqre. Koxahos dè Urocyépevos Dogetv, ÉÉEvIoE | autév. © Oë houcamevos Uno Toy Koxdhou Suyatépov, dvpoéSn Lécuoav riocav ériysapévoy aùté. Ein Tod durch siedendes Pech ist etwas so nngewôhnliches, dass ich nicht fürchte, meine Vermuthung werde als unwabrscheinlich oder willkürlich erscheinen. Eur. Hec. 1271 f.: HOAYM. tupBo à cvoua Gô xEXxANTETOEL EK. poppñs éroëév, n tt, vis épis épais; HOAYM. xvvos Taha Vs GÂUAL, VAUTÉAOLS TÉXAO. Mit Recht bemerkt Hermann dass % +£ nicht in % 7: quid bedeutet, so müssen wir étodcv als eine Unmüg- lichkeit bezeichnen. Euripides schrieb vermuthlich popoñs ÉTovUov tt This dns épais; Eur. Phoen. 1551: pot p6v TaSéov: Taga Yag oTe- vayeuy Taÿ, auteiv. Statt &ôv dürfte die in den Scho- lien angemerkte Variante éyo den Vorzug verdienen. Nachher kann ich dem Wäürtchen +aès keinen Sinn abgewinnen. Erträglich wäâre rapx vip otevayetv xai avteiv, aber diese Aenderung entbebrt aller Wahr- scheinlickeit. Auf dem richtigen Wege war Canter, | wenn er zagx ÿ avreù, freilich gegen das Metrum verlangte: er hätte statt dureîv einen Spondeus setzen sollen, raoa yap orevayer, naço à atetv. Vgl. Anecd. Bekk. p. 348, 17: aéeuv: to atéveuv. EcpoxAñs (fr. 890). Eur. Suppl. 1082. Der greise Iphis beklagt dass es den Menschen nicht vergünnt sei zweimal jung zu sein und zweimal alt: dXN év Scuots pv nv TL un kaOS EX, vpropasty vorégoucty éÉcoSousSa, aiôva D oùx éÉeariv. ei D muev véot dis Hal yépovres, el Tis éEnpaptave, Semhod Blou hayôvres éÉupSoupe® av. Meines Wissens ist év Sduuois noch von niemand bean- standet worden, und doch erscheint es in diesem Zu- sammenhange als sinnlos. Wäre es richtig was hier gesagt wird, dass wir in unseren Häusern das nicht lôbliche nach erlangter Einsicht zu bessern vermôgen, so würde dadurch eben widerlegt werden was Iphis beklagt, dass der Einzelne die Fehltritte seines Lebens 25* 391 Bulletin de l'Académie Impériale 392 ET — ——_—"—"”"—"—"—"—"…"…"”"—"—"—"—————————— uicht im Stande sei wieder gut zu machen. Offenbar ist herzustellen : aXX év vopLors WLÈv nv Tt UN XARGS ÉYN, proparty dotéparrey ÉopSoupeS. Ein Gesetz wird durch das andere berichtigt (d£ovrat où vépor vépou Toÿ Broptwoevres, sagt Androkles bei Aristot. Rhet. 2, 23 p. 1400 a 10), und in Athen na- mentlich war ein Umändern und Modeln der überkom- menen Gesetze an der Tagesordnung ”).-So wird bei der Gesetzgebung die bessere Einsicht der späteren Geschlechter verwerthet, während der einzelne Mensch die Irrgänge seiner Jugend umsonst beklagt, ohne aus der später gewonnenen Einsicht wesentliche Vortheile zu ziehen für die Praxis. Aus ENNOMOIC wurde zu- nächst ENOMOIC, und nachher schaltete man fälsch- lich ein Delta ein. Eur. fr. 478 bei Stob. Ecl. 1, 4, 6 p. 156: rè Tâs dvoryxns où A yeuv Goov Évyov. Obgleich wir den Zusammenhang nicht kennen, in dem diese Worte ursprünglich gestanden haben, so dürfen wir doch zuversichtlich behaupten dass die Worte ov Xéyeuw 6oov fehlerhaft sind. Weder ist es müglich où Aéyeuv G7ov statt dpatov Goov zu sagen, noch gibt Gaov hier einen passenden Sinn. Bei Doxopater in den Rhet. Gr. vol. 2 p. 291 scheint, wie ich schon früher be- merkt habe, derselbe Vers wiedergegeben zu werden, wenn es heisst: TÔ Ts Avayxns Éaxuoûv ÉvYov. Damit ist freilich nicht viel gewonnen; denn lässt sich auch durch Einfügung eines éotiv vor toyvocv Sinn und Metrum in Ordnung bringen, so fragt es sich doch, ob Doxopater genau den Euripideischen Ausdruck wiedergegeben hat. Wenn ich nicht irre, benutzt den nämlichen Vers Iulian Orat. VIII p. 246 B: araoattn- Toy YAo dt, TO hcyCqevo, ÉvYOv tis avayxns, Wo schon | der Ausdruck +0 As yépevoy auf einen bekannten Spruch hinweist. Nach dieser Stelle müchte ich emendiren: TÔ Ts avayxns Juonapalrntos Evo. Ganz ähnlich sagt Aesch. Prom. 105: to ts dvayxns dot aômprtov oSévos. Das où Réyetv Goov in Stob. Ecl. halte ich für eine freie Erfindung, wie dergleichen bei 17) Auf diese Neuerungssucht bezog sich Plat. Com. 2 pag. 692, indem er sagte, wenn jemand auf drei Monat verreise, so kenne er Athen in Folge der umgewandelten Gesetze nicht mehr wieder. diesem Autor üfters vorkommen. Eine ähnliche, wenn auch vielleicht nicht so starke Entstellung des ur- sprünglichen Ausdrucks finden wir Ecl. 1, 6,8 p.196, wo Philemon (Com. 4 p. 62) gesagt haben soll: œAhos LaTt GhANY DALOVUÉETAEL TUYNV. Nach Meineke bedeutet Samowt£:o%at hier a düis regi. Da diese vermeintliche Bedeutung an sich kaum denk- bar ist und da sie obenein mit der sonstigen Anwen- dung des Wortes sich in keiner Weise verträgt, s0 ist mir Sæpow£era! seit Jahren als verdächtig erschie- nen. In dieser Ansicht bestärkt mich eine bis jetzt unbeachtet gebliebene Stelle des Libanius Decl. vol. 4 p. 660, 8: ré ip dvSpurcs Véoou xpElTTUv 1 cuppe- o&s; Ghhos xaT AAANV VAo peptteTat TÜXNV' To- Aoteora yao to rratouato. Dass Libanius das Origi- nal uns wiedergebe, müchte ich bezweifeln: so viel | wurde durch Faustschläge gestimmt, des Stückes V. aber ist klar, an Somov£srat darf nicht weiter gedacht werden. Passend wäre dAkos at GAANV Ye TUXNY HEt- pa£eta! Ÿ): aber mit gleichem Rechte lassen sich an- dere Vermuthungen aufstellen. Aristoph. Eq. 1236. Auf die Frage, bei wem er in die Schule gegangen sei, entgegnet der Wursthändler: Évy taiotv edotputs KOYDUROS NOLOTTONV. ourny bezeichne «ich d. h. erzogen», so wird man schwerlich im Stande sein diese Anwen- dung des Verbum a@opétres zu rechtfertigen. Offen- bar ist nopotrounv darum gewählt, weil es sich um die musische Bildung handelt, die der Wursthändler als Knabe genossen hat. Wie an einer früheren Stelle 996 von Kleon gesagt wird, er habe keine andere Harmonie lernen wollen als die Swpcèo- xtoti ), so scheint hier der komische Witz eine xov- duxortt geschaffen zu haben: Wenn man meint, Z0vOUXc!S NOLOTT y Taiotv “ire XOVOUACIS HEHLOTTONV. 18) Hierokles und Philagrius Prhoy. D. 318 ed. Boïss.: veavioxoc TpaywÔds nyarnin ÊTO yuvatxwv Ôvo, déogtépou xat SEoxpwrou, xai — dvefonosv otuor, té Optow; duoi xuxoïc pepi£opar, Das letite Wort habe ich schon früher als verdächtig bezeichnet; schrieben haben ? 19) Unbegreiflich dass der thôrichte Schreibfehler SwpoSoxnott noch immer in einigen Texten fortgepflanzt wird. Wie n Owpott die Harmonie der Dorer, so bezeichnet n SwpoSoxtott die Harmonie der Swpoôcxor. Eine Form SwpoSoxnott ist eben so wenig denkbar (Trag. Graec. fragm. p. 686) sollte nicht der Dichter etuatouut ge- | als wpnott oder Avônott oder ouynori. 393 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 394 Aehnlich Vesp. 1503: ar010 yao autov épuehela xov- Svhov. Mit der Verbindung xovSvaott nouotrouny vel. Plat. Lach. p. 188 D: xai xou:9ÿ pot Done pouatxôs © totcÜtos eûvot, agpovlav XaXA GTV noLcopLÉ VOS OÙ AVE&V oudè rœutdt&s coyave. Ar. Eq. 989: œuct yap auto ci raides où Évvspoitov tnv doptoti povnv dv AoueTrso da Saua TV Avpav. Ar. Nub. 101. Die im Bulletin T. VI p. 52 f. oder. Mélanges Gréco-Rom. IT p.461 f. von mir als unxich- tig bezeichnete Lesart peptpvopoovriotar sucht Mei- neke Vind. Aristoph. p. 71 zu vertheidigen, indem er sagt: CSUNÉ BLESHLVOPOOVTIO TEE NON OÙ RE LEO UHLYOV DOOV- Tééouat, sed peptuvntat xai poovriotai, ut e. c. Boovrn- guxépauvos Juppiter est lonitrua et fulqura mittens». Sollte aus geouvntns und @oovriotns ein Compositum gebildet werden, so würde es vermuthlich lauten nicht WepvopoovttotTat, Sondern pepmvyntompovriotat. Aber derartige Bildungen, wie etwa vuySmpcpov statt voué xai muéow, SoorAnbia statt Sous ai Afes u. del. schei- | nen der classischen Gräcität überhaupt fast ganz fremd geblieben zu sein. Das Adjectivum Boovrnotxépauves, das sich nirgends als Beiwort des Zeus, wohl aber als Beiwort der Wolken findet (Ar. Nub. 265), ist sei- ner Bildung nach nicht wesentlich verschieden von. Aynotaos, Setotdaipoy, éAxescérenhos und ähnlichen Würtern bei Lobeck Phryn. p. 769 f. Gesetzt aber pegepvopoovtiatai Wäre s0 viel als peptvntai xat poov- ttotat, So würde diese allgemeine Bezeichnung doch offenbar auf jeden beliebigen Philosophen anwendbar sein; hier ist eine schärfere Bestimmung absolut noth- wendig, da Pheidippides sofort weiss, dass sein Vater von jenen dhaïéves redet, den oygtôvres xat dvurcdntet, ov © xaxodatoy Xarpeoüy rai SoxpaTn. Darum glaube ich meinen Vorschlag peceopopoovrt- gta”) aufrecht erhalten zu müssen, und dies um s0. mebr, da ich jetzt im Stande bin eine urkundliche Be- stätigung desselben beizubringen. Eine solche finde ich bei Plat. Apol. p. 18 B: 6s éott vis Zoxpatns, co- | pôs AVNQ TA TE METÉOO& DOOYTITTAS KO TA UTO vûs aravta aveénrnxws, und bei Xenoph. Symp. 6, 6: et pn Ye ÉdOxELS TOY HLETEDOOY POOVTIOTNS Eva. Diesen Stellen zu Folge kann nur darüber noch ein Zweifel sich erheben, ob wir bei Aristophanes pe- 20) So habe ich geschrieben, nicht metewopocomtotai, was gegen das Metrum streiten würde. TebgompoyttoTai oder petéwgæ poovriotai zu lesen ha- ben; ich môchte letzteres für wahrscheinlicher halten nach der Platonischen Stelle, welcher Libanius Deecl. vol. 3 p. 351, 13 sich anschliesst: +aÿta pv aurots dont TOËS TA [LETÉOOZ DOONTLOTOES. Ar. Vesp. 420 ff.: EANO. “Hodxhes, xai xévro’ épouaiv. oùy Gp@s, à Bé- GTOTa; BAEA. cis XOP. anwk:oav Pihirrov dv Sékn Tôv l'osyiou. xai Gé y mu St ééchodmev AAA Ts ÉRioTpEDE TE. Das Würtchen avSs im letzten Verse ist hier nicht ganz angemessen; es muss wohl heissen entweder ev- Sus oder autix ééchoduev. Für letztere Aenderung spricht der Umstand, dass die Handschriften nicht æ&v- 315 bieten, sondern aÿtis oder aitis (so nämlich steht in dem vorzüglichen cod. Ven.); denn AYTHC und AYTIK ist kaum zu unterscheiden, wie 1C und K un- endlich oft verwechselt werden. Bei Holdens Conjec- tur autois éÉcroüpey füllt auf ein vüllig entbehrliches Wort ein ungebübrlicher Nachdruck. Richters xat ce l'rois avroîs choïuev entfernt sich ohne zwingenden Grund zu weit von der Ueberlieferung. Ar. Vesp. 1490. Ueber diese Stelle habe ich Bulle- tin T. VI p. 54 oder Mélanges Gréco-Rom. IT p. 463 ff. gehandelt und behauptet dass Bentleys Conjectur rAnocet Pouvyos nach den Gesetzen der Grammatik unstatthaft sei, weil eine Form rÀrocet bei keinem voralexandrinischen Schriftsteller sich finde. Darauf entgegnet Meineke Vind. Ar. p. 36: «Activi (riacetv) frequens apud Homerum usus est, neque quidquam im- pedimento est, quominus Aristophanem concessa ana- paesticis numeris libertate usum epicam formam posuisse statuamus». Dass Activformen des Simplex rAncow sich bei Homer finden ist richtig, aber für die vorlie- gende Frage gleichgiltig; auch bei Aristophanes und Xenophon finden sich active Formen eben dieses Sim- plex (05 dv rerhnyn Tôv ratépa Ar. Av. 1350. édéxer RerhNyÉvas Toy avdpa Xen. Anab. VI, 1,5). Aber die Praesentia rAñsco (rAntro) und rAñocouat (TANTTo- pa) nebst den entsprechenden Imperfecta sind in der Zeit vor Alexander dem Gr. nirgends nachweisbar, weder in Trimetern noch in Anapästen, weder im Epos noch auf der Bühne, weder bei Dichtern noch in der Prosa. Denn Batrachom. 273 ist fehlerhaft überlie- 395 fert, und wenn Rhianus Od. t, 491 œha mAmsoovtes statt Gha mencoovres schrieb oder schreiben wollte, so bewies er damit nur dass er ein Alexandriner war; wie denn auch Schweighäuser und Meineke sich irr-! ten, wenn sie bei Aristophon Com. 3 p.357 die Form | rare für zulässig hielten. Die Behauptung also dass bei Aristophanes rhjocst Pouwyos ein Diug der Unmüglichkeit sei, wird durch Meinekes Berufung auf Homer und auf die Freiheit der anapästischen Rhyth- men nicht im mindesten gefährdet. Eben so sicher steht es dass der rrnoowv Pouwyos bei Aristophanes kein anderer ist als der tragische Dichter, auf dessen Vers ënTnËë ahéxtop Jobhov ©: xAÛWUS RTEQOV der Aristophanische Ausdruck sich bezieht. Zur Zeit der Aufführung der Vespae war der Tragiker Phry- nichus längst todt; aber seine Poesie lebte fort in dem, Andenken der Athener und konnte daher vom Komi- ker hier wie sonst (vgl. Phryn. trag. fr. 10. 17. 18) parodirt werden. Ar. Lys. 24. Durch das was Meineke Vind. Ar. p. 117 über diesen Vers sagt, sehe ich mich veranlasst zu bemerken dass ich Philol. 4 p. 195 f. die Gründe auseinandergesetzt habe, weshalb die Worte AYZS xat vn Aa rays. KAA. xdra nôs oùy Tops: verworfen werden müssen. Diese Auseinandersetzung scheint Meineke bei der Ausarbeitung seiner Vindi- ciae nicht nachgelesen zu haben: wenigstens ist er auf den Inhalt derselben mit keiner Silbe eingegangen. Uebrigens hätte ich in Betreff des obscünen péyæ xni | rays noch eine Aristophanische Stelle anführen sol- len, Ecel. 1048: Got avti toutou Tv ayaSoôv els éc- répav eyakny aroduost xoi Tauyeiav oo yaptv. Ar. Lys. 742: à rorw Ethsiaur, éniayss Toù Toxou. Aus der Dehnung der ersten Silbe in torwæ schliesst | Meineke Vind. Ar. p. 129 mit Recht, dass hier eine tragische Parodie vorliege. Auch ich habe Philol. 6 p. 401 darauf hingewiesen, indem ich zugleich die beiden anderen Stellen der Komüdie anführte, wo zot- wa auf dieselbe Weise gemessen wird, Ar. Ecc]. 369: à rorw Ethtoua, pr pe neoudns Stupoayévra, und Philem. Com. 4 p. 21 :’Aptepe, péAn décnotvæ, Toùtéy got oépw, © rotw, duotoüvra. Die Aristophanischen Stellen lehren dass die Worte & rot EtastSuta ei- nem Tragiker gehüren, und ich halte es für hôchst Bulletin de l'Académie Impériale 396 wahrscheinlich, wenn Meineke sie der Euripideischen Auge zutheilt. Die Vermuthung dagegen dass der ganze Vers aus Euripides entlehnt sei, ist unhaltbar; denn wie der Versschluss érécyes Toÿ toxou gegen den canon Por- G nor EtetSue, énioyss Toù Toxou sonianus verstüsst, so verstüsst Meinekes Verbesse- rungsvorschlag érésys (es sollte heissen érioye) Toû roro gegen die Gesetze der Grammatik, da Formen wie raoucy:, xaracye u. gl. der Tragüdie und über- haupt den Attikern fremd sind (vgl. Porson Eur. Or. 1330). Die Versenden értéoyss Toù téxou und pn pe reouôns werden wir als freie Erfindungen des Aristo- phanes anzusehen haben. Ar. Ran. 1028: yaonvy yoiv quix nrovoa rep Aupetou TeSvEGTos. Die arg zerrütteten Worte glaubt Meineke Vind. Ar. p.174 remedio certissimo herstellen zu künnen; er will schreiben Éyaonv yoùv mr av nrous ano Aupelou TESVEOTOS, «in quo drè per tmesin admodum usitatam à TESveTos separatum est.» Es wäre durchaus nicht überflüssig gewesen für die Form aror:ïvsütos passende Beleg- stellen beizubringen: 4r0Svnoxo, 2To%avoduat, aréTa- vev sind ganz gewühnlich; im Perfectum und Plusquam- perfectum wird dagegen fast nur das Simplex ge- braucht. Allerdings lesen wir bei Homer arote:vn6- ros (oder vielmehr.'nach” Bekker° Hom. Bl.p. 228 anoteSverütos) Il. X, 439 und areréSvacavOd.p, 393; auch findet sich arorésvnxe hie und da bei späteren Schriftstellern, wie Marcus Anton. IV, 48. VIT, 56. Aber was ist damit bewiesen für Aristophanes? Teleclides Com. 2 p.366 in Schol. Ar. Thesm. 168: , XX N Tahaiva Pracxkéa 2e Lx OTE S e] P et à éatiy Alcyuhcu Docvu ÉFov. Sey ouv, So Meineke mit der Bemerkung: «/n cod. pro B èev prope evanidis literis scriptum esse 2eh5S pat GSev an- notat Dindorf», Danach vermuthete Dübner im ersten Verse Peoxhéa Bôshurretar. Richtig Cobet: «Bèervr- roy latere vert simillimum arbitror, ut ipsa Poesis vel Musa dixerit, XX n Tahatvs Prroxhén BôshuTTropa». Noch wartet der zweite Vers der Erledigung, wo Düb- ner wiederum etwas zu frei verfuhr, wenn er schrei- lben wollte : œ OT OTL povvs dativ Aloyuhou Œpcvm Éxoy. Nach Dindorfs Lesung ist herzustellen: 397 OSouvex ativ Aloyuou Docvm Éxov. Anaxandrides Com. 3 p. 162 bei Ath. XIV p.642 B: üs À ÉoTEpavO ny, n TOUTE elonyETo rooait éyouca BoupaS Cou pa ToÙs SeoÙc xai tas Seas oUd Evôoy OT NOev VO. In den Eurip. Studien IT p. 186 habe ich bei Bespre- chung der unattischen Form #ôerv über den letzten Vers bemerkt: «Der Hirschigschen Vermuthung 5 eù yéyovor nôeu yo, für welche Cobet N. L. p. 107 Parallelstellen beibringt, muss das Lob des Scharf- sions zugestanden werden; ob die Hand des Dichters damit hergestellt sei, môchte ich des %ôetv wegen in Zweifel ziehen». Jetzt glaube ich dass in ONT nichts anderes als G&vtos enthalten ist, und schreibe: 095 et YÉYOY Gvtos oùù éyo. Alexis Com. 3 p. 404 bei Ath. VI p. 241 B: aAX œioyuvcat roy KépuBov, et dEw cuvagtotäy trotv TO Toopelpos" oùx drapvobmat À Co” oùdÈ yap Éxsivos, Av xAAŸ Ts. Ueber den letzten Vers sagt Meineke: «ante Din- dorfium av. Non puto tamen locum persanatum esse. Ac nescio an tale quid poeta scripserit, xav Ti aTov pn xahÿ». Der Gedanke des Dichters ist hier richtig erkannt; ein Parasit wie Korydos erscheint nicht nur da wo er geladen ist, er kommt vielmehr auch als un- | gebetener Gast. Indess war es nicht nothwendig an den oben angeführten Worten zu rütteln; es genügt die Ergänzung, oUdè yap xeivos dv HARŸ TLs AY TE UM. Wie mir scheint, ist diese Ergänzung durch den Zu-. sammenhang wie durch den Sprachgebrauch mit einer | fast mathematischen Nothwendigkeit geboten. Vgl. die Versausgänge nv te Bouan Y nv te un Ar. Eccl. 981. day te Bouxn y nv te un Eccl. 1097. nv te BouAnoS nv re un Ar. Plut. 638. nv te 606 YŸ nv te un Phryn. | Com. 2 p. 581. av te Bouant àv te pr Alexis Com. SPL 29. Diphilus Com. 4 p. 385 bei Ath. VI p. 254 E: 0 vaio KOAGË xal otoatmyov x SuvasTny x DéAoY ul THS TOUS dvarpéner ACYO XAXOUPYE pLUXEÔY NÔUVAS HOCVOY. Im zweiten Verse befremdet der Artikel vor roc: des Sciences de Saint-Pétershourg. 398 |passender wäre xai œfoy yôhas néhets, aber etwas sicheres zu geben vermag ich nicht. Uebedenklich wer- | den wir dagegen nachher AGyo xaxoÿpyo ändern müs- | sen in ÀCY®O Tavouo yo. Men. mon. 227: | | À Teva dyvopovas Je TOUS TohodS otel. Statt der unwahrscheinlichen Vermuthung Teva à dyvopovas ye hat Meineke mit Recht die wenngleich fehlerhafte handschriftliche Lesart geduldet. Offenbar ist n rev eine Erklärung oder Verunstaltung des ursprünglichen oravs. Men. mon. 246: Suota pe ylotn TO SES T0 svoepeiv. «Nisi aliud latet», sagt Meineke, acerte to Y edcefeiv legendum». Es war vielmehr zu schreiben ro Seoce- Betv. Demselben Fehler begegnen wir bei Diphilus | Com. 4 p. 422: épaurôv adtxG xobxér eut etoefs, wo Jacobs SeoceBns hergestellt hat. — Auch bei Phe- recr. Com. 2 p. 289: OoTtis Y autois Tapédoxe TÉ{vny pe yahny Ééctxodounons, môüchte ich gegen das von Porson eingefügte Ye pro- testiren, nicht als ob diese Partikel hier unmüg- lich wäre, sondern weil es ein weit einfacheres Mittel gab zur Herstellung des Metrum, s Tois aotois rapédwxa Téyyny pe yaAny Ééctxodounons. Denn autos und œotos lassen sich in den meisten Handschriften kaum unterscheiden und werden daher beständig verwechselt. In der überaus reichen und fortwährend noch an- wachsenden Literatur der Griechischen Epigramme dürfte es kaum eins geben das berühmter geworden wäre oder häufiger im Alterthum citirt würde als die dem Choerilus aus Tasus beigelegte Grabschrift des Sardanapal, welche abgesehen von unwesentlichen Va- rianten in der Ueberlieferung so lautet: Li 0] \ (4 2 \ \ y Eÿ etôos Gtr Syntos Équs, oûv Supov œebe ” , & 7. c- , 2 2 | TEOTOEVOS SaAËQOL SAVOVTL TOL OUTILS OVNG. \ \ ! , ” ». ’ | xai yag yo oroûos eûu, Nivou pe yaAns Bacthsuoas. | Taïr êyo Goo épayey xat épuboioa xa pet épotos | Tépnv ÉmaSov" TA D nohAG xai CAB xelva AéherrTou. | Der ursprüngliche Bestand dieses Epigrammes ist in | . . . den beiden letzten der obigen Verse enthalten; die drei voraufgehenden Hexameter von weit geringerem 399 Bulletin de l'Académie Impériale 400 ————_—_—_—_——…—…"—"—"—"—"—— ———— Werthe hat etwas später eine nacharbeitende Hand Il. p. 766 und p. 1224, 36 in seiner ungenauen Pa- hinzugefügt, um eine Beziehung auf Sardanapal an- raphrase wiedergibt. Auch Cicero scheint épupetoa zubringen, und weiterhin kam am Schluss ein ganz gelesen zu haben, obgleich seine ziemlich freie Ueber- klägliches Supplement von einem oder zwei Versen setzung (Tusc. V, 35, 101), hinzu, nämlich | Haec habeo quae edi quaeque exsaturata libido Hôe op Béroio nupuiveats dvSpurousss, oder | hausit : at illa iacent multa et praeclara relicta, THôe cop Biérou rapaiveots, oûdé Tor aùTis kein sicheres Urtheil verstattet. Was soll nun épufetoo Adoopas” Exrioso D © Séloy rôv ameigova ovocv. hier bedeuten? Näke sagt p. 236: «épuigiteuv quum ; ; A 5 nihil aliud sit quam per dBetv agere, id est petulanter Welchen Antheil der wenig bekannte Tasier Choerilus k q 24 Éetg Vo 1 agere : hic quaenam sit illa petulantia, declarat praece- an diesem Epigramm habe, wird sich kaum ermitteln j À N en er k ; de : £ _dens ëpayov. Nempe est petulantia in convimo ex vino lassen. Uns liegt die Erürterung dieser Frage fern; | ; Ha Bezi ne : Wei D Tokeel + DVÉE RU À .…" |Lorta»r. Die Bezi œ : kg s eben so wenig ist es unsere Absicht über die verschie- eziehung aut Wein und Irinkéelage 1S | : a : j ; deneu angeblichen Grabschriften des Sardanapal zu | in dem Worte épuggi£sw an sich nicht enthalten und handeln oder andere Zweifel zu berühren, die A. F. | kann auch durch das voraufgehende Éparyoy nicht hin- Näke durch seine überaus sorgfältige Behandlung des eingebracht werden, zumal da épayoy keineswegs ge- obigen Epigramms (de Choerilo p. 196—256) ange- | biais ausschliesslich oder auch nur vorzugsweise an | Schmausereien zu denken. Gesetzt aber épuppttev |bedeutete wie ragowetv «in trunkenem Muthe etwas beseitigen, der eine nicht geringe Zahl von Griechi-| |thun», so wäre mit dieser Bedeutung dem Zusammen- schen Autoren wie alle neueren Kritiker getäuscht. hange unserer Stelle nicht im mindesten gedient. Sar- hat. Die beiden Verse | danapal sagt, alle Herrlichkeiten der Welt habe er | oben hniiassen müssen, geblieben sei ihm nur was er gegessen, getrunken und in Liebesfreuden genos- rép ératov ta D roXNd xai CNBux xetva Aéketmtat | sen, Hier kann dem ëpayev nichts anderes gegenüber- werden angeführt an folgenden Stellen: Diod.Sic. 2,23. treten als der Begriff ërtev, den wir in der Anthologie Strab. XIV p. 672. Dio Chrysost. 4, 135. Ath. Vyrr und bei Eustathius lesen. Wer darüber Zweifel hegen p.336 A. Steph. Byz. v. Apuoén p. 24, 7. Anth. Pal. sollte, mag Stellen betrachten wie Alexis Com. 3 regt hat. Wir halten uns an den ältesten Kern des Epigramms in V.4 und 5, um hier einen Fehler zu | rar Eye 600 épaye xa ÉQUBptGE HAL ET ÉPOTOS 7,325. Schol. Ar. Av. 1021. a Chil. 3, 456. | P- 518: Georgii Hamartoli Chron. p. 9, 25. Eudocia p. 372; ras Môovas Det uRREVEL TOY TOppOVE desgleichen der Anfang taÿt " bis tépnv éraïov] tpeis à eioiv ai Ye Tv JUVAUY HEXTNABLEVOAL bei Polyb. 8, 12 und Plut. Mor. p. 546 À, endlich| tiv 6< dAn2ôs ouvrekcïoav t6 fo, die ersten Worte ruir yo 800 Épayoy mai Équiipuon | TO payeiv, TO rieiy, rÔ Ts AopodtTms TUYpaveuv, noch bei Plut. Mor. p. 330 F und Nicetas Chon. de. Andronico Comn. Il, 2 p. 417, 11 ed. Bonn. Wenn hie und da too yo oder xeiv êyo statt tait yo sich findet oder xai pet Époroy und xai où éport statt xai pet épotoc, ferner Téerv EBanv statt Téery oder was als Grabschrift des Sardanapal év Xa)Saïxots ëraScy, endlich am Sehlusse ravra Rékerrat oder Ta- | yodppaot bei Ath. XII p. 529 F angefübrt wird, &ype os (sollte vermuthlich heissen rupBos) épapgbev, s0 | édowv ro hou pô, Éntov épayov nppodtotaoa, wie bei sind dies vüllig gleichgiltige Varianten. Seltsamer | Strab. XIV p. 672 (vgl. Arrian Anab. 2, 5, 4): Êoue Weise stimmen fast alle Zeugnisse zusammen in den | tive mails, Os Taha toutou oùx aËtx. Kann nun équ- Worten Éoayoy ai ouûforca, wofür bei Strabo die Botca auf keine Weise im Sinne von értev genommen besseren Handschriften épayoy xa dougeca bieten, werden, so wird die Zahl der für éovBotox sprechen- während in der Anthologie ein unmetrisches payer den Zeugnisse nichts weiter beweisen als dass der uns re xl émiev sich eingeschlichen hat, das Eustathius | überlieferte Text an einem ziemlich alten Fehler lei- L oder Phoenix bei Meineke Choliamb. poes. p. 141: dAX my douotos ÉoDUELV TE Ka TÉVELV 2e, TA S AXE TAVTL HAUTE TETOOV OTE!, 401 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 40? det; in der That lässt sich mit einer nicht eben gewalt- samen Aenderung der geforderte Sinn herstellen, wenn wir schreiben : c* ir RE "à Lt4 9 y a] ’ A LE tar Éyo 600 Épayor xai ÉBooySton ka pet pores | répnv EmaSov: ta DE noAAG ai OÀBuu xeiva RÉhELT Ta. Aus EBPOX@IZA wurde zunächst EBP...1£A, und dafür setzte man das sinnlose épuBetou. Die richtige Lesart scheint Krates bei Bergk Lyr. p. 525 noch vor sich gehabt zu haben, wenn er parodirt : NP y. [74 > y 4 [4 \ \ _ tait yo Cao EpaSov xai époovrion xai pero Moucy téprv édanv: ta dE mod ai CABLa TÜpos pape. Wie ämaSov in der Form dem épayov nahe kommt, so. scheint évocvrioa auf éBocy3toa hinzudeuten. Nicht. ganz unnütz ist vielleicht die Strabonische Lesart xai äovBetcæ, in der eine Spur der Krasis xdpufetsa ent-| halten sein dürfte und somit eine Hinweisung auf oo Épayov xABo0SLo. Callim. Epigr. 3 in Anth. Pal. 7, 518: Mn xapetv sims pe, xax0v xéap, ŒAXG mapeASe" toy épot yæipeuv ÉTÉ TO PM GE VE. Dass das letzte Wort rehäv lauten müsse, haben Gräfe und Jacobs richtig erkannt. Indess leidet der Penta- meter noch an einem zweiten Fehler, welchen M. Haupt mit der Aenderung Ca gov épot jalpetv KAOTI TO LM GE TEAGV zu heben versuchte. Meineke in der Ausgabe des Kal- limachus und Dübner im ersten Bande der Anthologie haben diese Vermuthung aufgenommen; mir scheint es unzwWeifelhaft dass Haupt den Fehler an falscher Stelle gesucht und in Folge dessen das Uebel nicht. gehoben, sondern verdeckt hat. Offenbar ist, worauf der Artikel hinweist, r0 puy 6e eh als Subject, ot xatosuv éott dagegen als Prädicat zu fassen: d.h. der. Fehler liegt in êoov, wofür ein mit régsX3: zu verbin- dendes Wort gesetzt werden muss. Man künnte den- | ken an GAXA tagsXSe poëvev, wie es Anth. Pal. 7, 320 in dem ähnlichen Epigramme des Hegesippus heisst: | Tipov ptonvSgonos évoxéo” aXAG Tape ÂSe opoterv et- | ras nodht, nageXèe povoy. Kallimachus aber schrieb vielmehr : Mn pates eiTrnc pe, xux0v xémo, AAAG Tape} Se SaToov: pot palpeuv Éotl To ln ce TEhGY. Tome IX. Dass der Comparativ Säccov zur Schärfung des Befeh- les gern mit Imperativen verbunden wird, ist hinrei- chend bekannt; vel. Soph. Oed. Col. 824: yoget, Éév, £éo 340cov, und die daselbst angeführten Stellen. Der Grammatiker Herodian citirt in den Schol. Il. ®, 141 ohne Nennung des Verfassers den halben Hexameter péopa Zahdyyoves totayod. Meineke Callim. p. 121 hält die Worte péooa Sakayyovos für Kallimacheisch, rotapod dagegen für einen Zusatz des Herodian. Dass die eine wie die andere Vermu- | thung irrig war, beweist Apollonius Rhod. 4, 537: péopa Zalayyoves Trotapod xai Néctidos œins, eine Stelle an die bereits Lehrs in der Bearbeitung von Herodian rcpt Tatuxis moocoôdtas p.319 erinnert hat. — Nicht minder auffallend ist es, wenn der iambische | Vers Udetv dotxe Ty pegéEwov xopny nach Näkes Vorgang (Opuse. IT p. 48) noch von W. Dindorf im Thes. Gr. L. vol. VIII p. 45 B, von M. Schmidt Hesych. vol. IV, 1 p. 193 und von C. Dil- they Anal. Callim. p. 7 dem Kallimachus zugeschrie- ben wird. Dieser Vers gehürt vielmehr, wie Gaisford im Etym. M. p. 2172 E anmerkt, dem Johannes Da- |mascenus, über dessen Hymnen ich in der Zeitschr. für d. Alterthumswiss. 1855 p. 19 — 22 gesprochen habe, und wir haben auch nicht den leisesten Grund |anzunehmen dass Johannes die Worte eines älteren Dichters reproducire. — Die bei Suidas v. cpada£ov- COS (pxt) + 2 [cos (um) —picos(or,)lr, rx, cos(rr,) D, COS(D,) = Uz COS (U3%) — g3 COS (93%) » (2) + 3 [u, cos (4x1) — 9, cos (p,%,)]a + 3 [a cos (42) —picos (pis) ] 2-7 2,c08 (742) Les dérivées géométriques #,, #4, u3,... de # ne sont autre chose que la vitesse et les accélérations du mou- vement absolu du point », et 9,, @, 6:,.... sont la vitesse et les accélérations du mouvement du point C. Si l’on applique ces formules au point », qui reste en’#epos relatif, On aura v — 0, v,—0,.2, —0...:; par conséquent, en désignant par #,, #o, Wa, ... la vi- tesse et les accélérations du mouvement absolu de m,, les formules (2) donneront: O0 = w, cos (w,x) — 9, COS (0,7) + rx, cos (rx) O = 20, COS (w:%) — 9, COS (9%) + 2 [w, cos (ax) — 9, cos (or) ] a, + ra, cos (rx) 0 — w, COS (03%) — 93 COS (03%) + 3 [uv cos (wæ) — 0, cos (9:%)] 2 + 3 [w,cos (w,22) — 0, cos (0, 22)d, + rx, COS (72) ds ete je folioiienel se s'œhe re: elie, (e] aie e1S + + + je 5 à ol à 0 0 6 =. 2 à à à «€ au moyen de ces relations on peut éliminer des for- mules (2) les dérivées géométriques g,, gs, 0:,.... ce qui donne U COS (VX) = Uy COS (UT) — w, COS (w,x) ViCOS(P IT) — U,COS(U22) — WC0S (WT) + 20T,C0S (0) VCOS(L)—U3 COS (3%) — 04 COS (0,2) (3) + 3 [u, cos (2) — w, cos (w,x] | + 30%, COS (VA) CCC La direction de æ, étant arbitraire, on tire de la première de ces formules cette conséquence, que la vitesse relative v doit étre la résultante de la vitesse ab- solue u, et d'une vitesse égale et opposée à la vitesse d'en - traînement w,. Pour trouver les grandeurs dont se compose chaque accélération v,,#,,%:,..., il faut éliminer des formules (3) les dérivées géométriques x,, æ,.... Imaginons des longueurs ©, ®; @,.... égales, pa- rallèles et opposées respectivement à v, &,, &,...., menées à partir du point C, et liées invariablement au système (B). Les projections de ces longueurs sur l'axe C> seront invariables, ce que l’on peut exprimer par les conditions: dt [9 cos (px)] MS din ? onn—1;2, 36e On aura en premier lieu an [?'cos(g'x)] Dani 0 pois sie P,C0S (px) + 7, COS(ox,) — 0 OÙ DA COS (DIT) — UT, COS (24) = 0: ...,.. Pi COS (it) — VX, COS (vx) = 0; ce qui réduit la seconde des équations (3) à PCOS (PE) — 0,008 (47) — 0,008 (0,7)+20,c0s (px). (5) Cette équation ayant lieu pour toute direction de x, on tire cette conséquence que l'accélération relative du premier ordre est la résultante de l'accélération absolue u,, de l'accélération égale et opposée à l'accélération d'en- trainement 1, et d'une accélération fictive 20, qui est le double de la dérivée géométrique d'une longueur égale, parallèle et opposée à la vitesse relative ©, et qui reste en repos relatif. Cela étant démontré, on aura COS (DT) = Mo COS (U2T y) — 03 COS (221) + 2p,C0S (Pix), par suite de quoi la troisième des formules (3) se trans- forme en celle-ci VaCOS (DT) = Us COS(UT) — WCOS (WT) + 304% COS (VIT) — Gpit, COS (pr) +- 30%, COS (UT). Or, les conditions d[g' cos (p'x)] PSC PU Al) da [pcos(gr)] _ 0 TE — 0 et Er donnent D COS (pa%) + 2 Pit COS (PiT4) — VX COS (0%) — 0 ! [ES @y COS (4 ©) — dits COS (24) = 0; ces relations permettent d'éliminer les termes qui contiennent +, et x, et de réduire ainsi la formule précédente à V3 COS (DT) = Uz COS (U3T) — 0 COS (W2%) + 30, cos (px) + 30, cos (œx). 473 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 474 ——— Il est facile de démontrer qu’on aura en général V1 COS (0, n _,%) = 4,, COS (4,x) — w,, cos (w,2) + (n—: n(n—1) (n 1 no 7008 (pr) + op cos (pa?) +. +0). (08 (0, ,%). Ainsi, l'accélération relative , _, de l’ordre » — 1 est la résultante de l'accélération absolue du même ordre u,,, de l'accélération égale et opposée à laccélération d'entrainement #,, également de l’ordre » — 1, et en- fin de » — 1 accélérations fictives: (nm —2 ñn (n— 1) (N — 3) np, D iQ dés ae MDie 4 qui sont les dérivées géométriques d'ordres: 1,2,... n— 1 des longueurs o®—2 respectivement multipliées par n(n—1) mené de l’origine C au point »m. En effet, si l’on pose ra), N —=T10c08 (719), on trouve au moyen de la formule a a É— 7, cos (: — r; COS (7,8 ? — 7, C08 (rx) + rx, cos (rx) dt que 5 — Ë + m0, COS (xx) + ya, cos (yx) + 22, cos (2x); or les formules d’Euler donnent 008 (x) = 0, 4, cos (yrs) —Y, 2,005 (2x) = — B; par conséquent dx £ a SVP; 2) Mémoire sur les mouvements relatifs, par M. E. Bour. Jour- nal de Mathématiques etc., publié par J. Liouville, T. VII (2° série), AG des Sciences de Saint-Pétersbourg. 45 dy __ ï FEES AHAZ—YT, d’où l’on tire e sont précisement les expressions des variables in- troduites par M. Bour dans les équations du mouve- vement relatif. La dérivée de £ — r, cos(r,x) donne dé __,, ne ee qe — ?2C0S (rat) + rit, COS (rit), et l’on a Va COS (72%) — U COS (U2T) — 03 COS (927) rimcos (rit) = Er cos (ar) + nr, cos(yx,)+ Ex cos (zx) = es BË, par conséquent 1£ : de — Ua COS (U2%) — Pa COS (p2T) + Yn — FE, d ; De —= Ua COS (0:7)) — 62 COS (02) + HE — VE, Æ — ? & Ua COS (U22) — pa COS (p28) + BE — an. Ces équations ne diffèrent que par les notations de celles que M. Bour trouve par la transformation des coordonnées‘), et au moyen desquelles il est parvenu à mettre les équations du mouvement relatif sous la forme canonique. Sur la détermination de la résistance de lair au mouvement du pendule. Par A. Sawitch. (Lu le 30 novembre 1865.) Le calcul des observations que nous avons faites, conjointement avec M. R. Lenz à Tornéa, Nicolaï- stadt, Réval et St.-Pétersbourg, étant terminé, il ne reste, pour obtenir des résultats définitifs, que de dé- terminer les corrections nécessaires pour la réduc- tion des oscillations de notre pendule au vide, c.-à-d. de déterminer l'influence de la résistance de Pair. On 3) Mémoire sur les mouvements relatifs, page (8) form. (12). sait que Bessel, dans son ouvrage «Untersuchungen über die Länge des Secunden-Pendels», a donné les règles les plus sûres pour effectuer cette réduction. Il y démontre que la perte de poids que le pendule éprouve dans l’air est plus grande pendant son mouvement oscil- latoire que lorsqu'il est en repos; qu’une couche d’air constante et inconnue est en même temps mise en mouvement, et que par conséquent le moment d'inertie du pendule se trouve augmenté. Il résulte du calcul théorique de Bessel que la longueur du pendule simple, correspondant au pendule composé, s’accroit à-peu-près d’une partie égale au produit de cette longueur même, du rapport de la densité de l'air à celle du mobile et d’un certain coefficient nu- mérique qui reste à déterminer pour chaque cas par- ticulier, et qui ne dépend que de la forme et des dimensions du pendule oscillant dans Pair qui s'étend indéfiniment en tous sens autour du pendule. Bessel a obtenu la valeur numérique de ce coefficient pour son instrument, en observant les oscillations de deux boules d’égal volume, l’une de cuivre, l’autre d’i- voire, suspendues successivement à l'extrémité d’un fil également long et mince. Plus tard, Poisson, en reprenant la théorie épi- neuse de la résistance des milieux, a publié ses re- cherches, dont on ne peut trop admirer la profondeur et l’élégance. Dans son mémoire sur les mouvements simultanés d’un pendule et de l’air environnant, il s'accorde en termes généraux avec les considérations auxquelles était parvenu Bessel, et il donne pour le pendule de Borda la valeur du coefficient dont nous avons parlé, par la seule théorie, sans recourir à l'expérience. Pour éclairer la matière et trouver les réductions au vide des oscillations des pendules de différentes constructions, les célèbres savants anglais MM. Sa- bine et Bailly ont fait un grand nombre d’expé- riences très exactes sur le mouvement des pendules dans l'air, sous une pression atmosphérique totale et sous une pression très petite, dans un appareil où l'on pouvait raréfier l'air à l’aide d’une pompe pneu- matique. Des savants distingués, comme MM. Green, Challis, Stockes, se sont depuis occupés à résoudre théoriquement cette question; c’est surtout à M. Stoc- kes que nous devons une théorie générale et élégante 479 Bulletin de l’Académie Empériale 480 de l'influence que l'air produit sur les oscillations du pendule. Ce qui nous importe le plus pour le moment, c’est de faire d’une manière satisfaisante les réductions de nos observations. Notre pendule à réversion a une forme et des dimensions différentes de celles qui ap- partiennent aux instruments pour lesquels la réduc- tion au vide a été obtenue par des expériences di- rectes. Heureusement notre pendule, étant construit d’après les principes proposés pour cet objet par Bessel, présente ce grand avantage que, si l’instru- ment est bien vérifié et les expériences convena- blement arrangées, la réduction au vide est presque nulle, et toujours très petite. Elle sera notamment nulle, si la densité de Pair n’a pas changé durant les expériences qui servent à déterminer la durée des oscillations autour d’un axe horizontal et d’un autre. Toutes ces expériences n’exigent pas plus d’une heure et demie de temps; dans un intervalle si court la température de l'air et la pression barométrique changent si peu, qu’on trouve toujours la différence des densités de l’air presque insignifiante. Il suffira donc d'obtenir d’une manière approximative la valeur du coefficient dont dépend la réduction. Il se pré- sente ici deux moyens de trouver ce coefficient. 1) On peut observer successivement les oscillations de notre pendule dans l’air sous la pression baromé- trique totale et sous une pression très petite. C’est le procédé qu'avait suivi Baïily. 2) On peut parvenir au même but en faisant con- struire un pendule à réversion en bois, ayant la même forme et les mêmes dimensions que notre pendule en cuivre. La résistance de l’air pour les mêmes ampli- tudes du mouvement sera égale pour les deux instru- ments, mais les poids de ces derniers étant très iné- gaux, on pourra former deux équations pour calculer la valeur du coefficient inconnu, l’une relative au pendule en cuivre et l’autre au pendule en bois; dans la dernière de ces équations le coefficient inconnu entre avec un multiplicateur à-peu-près dix fois plus grand que dans la première. On a donc les conditions favorables pour calculer la valeur numérique du coef- ficient à déterminer. C’est comme si l’on observait suc- cessivement les oscillations de notre pendule en cuivre dans l'air, sous une pression barométrique de 30 pouces et dans lair tellement raréfié que sa pression correspondrait seulement à 3 pouces. Cette dernière méthode nous paraît plus avanta- geuse que la première. Pour motiver notre opinion, il ne sera pas inutile de faire quelques remarques. On sait que le bois, surtout s’il n’est pas sec, se déjette à cause de l’état variable de l'humidité. Sans doute il serait tout-à-fait mal à-propos d'employer un pendule en bois pour les observations principales destinées à déterminer les relations entre les inten- sités de la pesanteur terrestre dans les diverses con- trées. Mais nous proposons un instrument en bois pour un but secondaire. La correction à trouver est tellement petite qu’on pourrait la négliger sans com- mettre une erreur considérable: une approximation médiocre sera suffisante. Les expériences qu'il faut faire pour cet objet s’exécutent facilement dans deux où trois heures; il est peu probable que le pendule en bois sec, enduit de couleur à l’huile, soit sujet à des variations durant un intervalle de temps si court. De plus nous pouvons toujours examiner, si ces varia- tions ont eu lieu ou non; nous avons un comparateur très exact, au moyen duquel se déterminent les lon- gueurs des pendules. On peut ainsi, avant et bientôt après les expériences, mesurer la différence entre les longueurs des pendules en cuivre et en bois; on aura alors toutes les données nécessaires pour calculer la valeur du coefficient cherché. En opérant de cette manière, à plusieurs reprises, on obtiendra autant de résultats indépendants les uns des autres que l’on voudra. Un äppareil de ce genre est beaucoup moins coù- teux que celui qui sert à raréfier l’air. On à plusieurs fois essayé de faire les horloges astronomiques avec un pendule en bois; quoique la marche diurne de ces horloges ne puisse pas être aussi constante que celle d'une bonne horloge à com- pensation métallique, elle n’a cependant pas été très variable. Le célèbre savant anglais Wollaston a eu une semblable horloge, et ayant examiné sa marche durant une année entière, il a trouvé que les varia- tions journalières n’ont jamais excédé 2 secondes de temps. Le cabinet de physique à l’université de Hei- delberg, placé sous la direction d’un des savants les plus éminents de Allemagne, M. Kirchhof, possède un pendule à réversion en bois qui fonctionne très AS1 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 48? bien. Ces exemples et plusieurs autres nous autorisent à croire que nous ne courons aucun risque en em- ployant un instrument en bois pour une recherche qui n’exige que peu de temps. Je pense même qu’en faisant usage de cet instru- ment, nous pouvons atteindre notre but plus sûre- ment qu'en suivant une autre méthode. Les expé- riences sur le mouvement du pendule dans Pair, sous une pression barométrique totale et sous une pression très petite, se font dans une cage fermée de toutes parts. Or Poisson a déjà remarqué que les ondes aériennes produites par ce mouvement, sont réfléchies par la surface de la cage et viennent retomber sur le pendule; les condensations de l’air dont elles sont accompagnées, produisent sur les différents points de ce corps des accroissements de pression qui peuvent troubler son mouvement. Cette cause affecte les oscil- lations d’une manière différente, selon la forme et les dimensions de la cage relativement à celle du pendule. La résistance de l'air est un phénomène compliqué et la réduction au vide dépend non-seulement de la figure du pendule, de son poids spécifique et de celui de l’air environnant, mais encore des mouvements de l'air, produits par son déplacement lors des oscilla- tions du pendule, par l'adhésion d’une couche d'air à la surface de cet appareil et par les frottements des particules de l’air les unes contre les autres. Ces frotte- ments ont été l’objet de recherches très ingénieuses, faites par MM. Stockes et Meyer et sont impor- tantes pour la question qui nous occupe. On sait que les expériences nombreuses de Baïly ont donné un coefficient de la réduction au vide plus petit que la valeur trouvée par Bessel, par un pro- cédé analogue à celui que nous proposons. Les nou- velles recherches de M Meyer, prouvent la justesse du résultat obtenu par Bessel. Voici ce que dit à ce sujet M. Meyer: «Meine Messungen haben zum Resultate geführt, «dass ein pendelnder Apparat in einem môglichst luft- «leer gepumpten Raume von der zurückgebliebenen «dünnen Luft nicht nur merkliche, sondern sogar recht «bedeutende Verzügerung seiner Bewegung erfährt, «falls nur die Wandungen des luftverdünnten Rau- «mes dem Apparate nahe genug sind, um auf die Be- «wegung der dünneren Luft einen hemmenden Ein- «fluss auszuüben. Nach dieser Erfahrung kann es Tome IX. «nicht mehr zweifelhaft sein, dass die von Baily «ausgeführten Bestimmungen der aërodynamischen «Reduction des Pendels auf den luftleeren Raum, «trotz der Genauigkeit und Feinheit der Messungen, «fehlerhaft sind *).» Tout cela sert on ne peut mieux à confirmer l’opi- pion que nous ayons émise. Si la Classe approuve notre proposition, nous avons l’honneur de demander l'autorisation de faire exécuter une copie en bois aussi parfaite que possible de notre pendule en cuivre, construit par les célèbres artistes de Hambourg, MM. Repsold. Je crois que le corps du pendule en bois peut être fait ici, à St.-Pétersbourg; quant aux prismes ou couteaux, il vaudra mieux les faire venir de Hambourg par l’entremise de MM. Repsold. En terminant ce rapport, je crois de mon devoir de mentionner que, malgré toutes les précautions et tous les soins que nous avons pris, un des prismes de notre appareil a été attaqué par la rouille. A St.-Pétersbourg, à Tornéa et Nicolaïstadt les deux prismes étaient également purs; hors du temps des expériences, ils étaient toujours recouverts d’une couche de graisse purifiée. À Réval nous avons remar- qué une tache assez loin du couteau; après cela elle s’est agrandie de plus en plus, ici à St-Pétersbourg, par le progrès de l’oxidation. Il est donc nécessaire d'envoyer ce prisme à Hambourg et de prier M. Rep- sold de le repolir, afin d’en ôter la rouille. Neuere geo-botanische Untersuchungen über den Tschornosjom, von F.J. Ruprecht. (Lu le 30 novembre 1865.) Zur Revision der Nordgränze des Tschornosjom und Gewinnung neuer Thatsachen verwendete ich im verflossenen Jahre 2°, Sommermonate. In dieser Zeit durchreiste ich über 6200 Werst, konnte indessen nur theilweise der vorgesteckten Aufgabe genügen, namentlich von Menselinsk bis Tschernigow. Zu ei- ner genaueren Bestimmung der vielfach geschlängel- ten und unterbrochenen Nordlinie gehôrt viel mehr *) Poggendorf’s Annalen der Physik und Chemie, 1865 Band V. pag. 184. 31 483 Zeit. Die Lücken, welche auf einer so grossen Strecke nothwendig entstehen mussten, suchte ich wo müg- lichst durch Erkundigungen und durch die Literatur über diesen Gegenstand auszufüllen. Die Untersuchung wurde noch complicirter durch einen Umstand, der sich sehr bald herausstellte. Die Nordgränze des vielfältig zerrissenen Tschornosjom- Gebietes ist nicht überall so scharf abgeschnitten, als man bisher sich vorstellte. Es liegen nôrdlich von dieser Linie eine Menge kleiner Tschornosjom-Inseln, | namentlich im südlichen Theile des Gouv. Wjätka und im angränzenden Kasan’schen, im G. Wladimir, dann südlich von der Moskwa und im nürdlichen Theile des Gouv. Tschernigow. Viel wichtiger war ein anderer Theil der Aufgabe, nämlich nachzusehen, obirgendwo Erscheinungen auf- treten, welche mit dem von mir aufgestellten Ursprung, Alter, der Vegetation und Bedeutung des Tschornosjom im Widerspruche stehen. Wie man aus dem nachfol- genden speziellen und objektiven Theiïle des Berichtes ersehen kann, ist nichts Wesentliches von dem be- reits Gesagten zurückzunehmen. Ich war auf verwor- rene, nicht leicht zu erklärende Erscheinungen gefasst und glaube noch jetzt, dass solche hie und da vor- kommen môgen, ich fand sie indessen nirgends, einen Fall vielleicht ausgenommen. Man mass daher an den bisherigen Erfahrungen und Resultaten, die jetzt eine noch bestimmtere Gestalt erhalten haben, festhalten: 1) Der ächte primitive Tschornosjom ist immer das Produkt einer älteren Vegetation, die sich im Allgemeinen noch bis jetzt an Ort und Stelle gleich geblieben ist. 2) Nur die Land-Vegetation ist das Kriterium für das Alter eines gegebenen Bodens. Die Alterberech- nung beginnt mit der Zeit des Trockenwerdens, gleichsam der Geburt. Das Alter des Bodens hat mit dem Alter der Formation nichts zu thun, je- nes ist botanisch, dieses geognostisch. 3) Für die Alterbestimmung eines Landes (Bodens) ist noch wichtig die Diluvialschicht, insbesondere ihre zwei Etagen, dann der primitive Tschorno- sjom. Je mächtiger unter gleichen Umständen der letztere ist, um so älter ist das Land; die Abwesenheit zeigt auf ein junges Alter, wenn auch Bulletin de l’Académie Hmpériale 181 das Land hoch ist. Die hohen Ufer der unteren Oka und der Wolga von N. Nowgorod bis zur Kama- mündung sind jünger, als das linke Ufer der Kama von ihrer Mündung bis zur Bjelaja hinauf und landeinwärts. Die Alterbestimmungen durch den Tschornosjom sind relativ, künnen aber in Zukunft auch absolut werden. 4) Nirgends sind erratische Blücke, oder kleinere Ge- schiebe auf den Tschornosjom abgelagert worden. Das Gegentheil wäre allerdings ein Beweis, dass der Tschornosjom älter sei, als der Transport der Blücke. Obgleich ein solcher Beweis aus Mangel an Thatsachen nicht zu führen ist, so ist dennoch der Schlusssatz richtig. Die erratischen Blôücke konn- ten desshalb nicht auf den Tschornosjom abgelagert werden, weil das Ufer schon zu hoch, die Wasser- bedeckung schon zu seicht war, die Strandung der Blockschiffe musste schon auf dem seichten vorliegenden Ufer erfolgen, wofür auch alle vor- handenen Beobachtungen sehr bezeichnend sind. | 5) Auf neugebildetem Lande fand sich früher oder später eine krautartige Vegetation aus der Nach- barschaft ein. So wurde im Laufe einiger 1000 Jahre der Tschornosjom durch fortwährende Hu- mus-Infiltration in der obersten Schicht des Di- luviums gebildet, später auch ohne Infiltration. Damit stimmt die regelmässige Zunahme des Hu- mus nach der Oberfläche hin und die Abwesenheit aller grüsserer Mineralpartikel. Auf Flugsand hat sich eine zusammenhängende Benarbung nur schwer und spät gebildet, daher auch wenig Hu- mus und Tschornosjom. 6) Wenngleich die primitive Bildung des Tschorno- sjom überall nur auf trockenem Wege statt fand, durch Verwesung der üppigen Steppen-Vegetation, so sind damit noch nicht secundäre Anhäufungen dieser Bodenart durch Anschwemmungen ausge- schlossen; solche sind vielmehr an mehreren Or- ten nachgewiesen. Neue Beweise für die aufgestellte Bildung des Tschornosjom, die als Hypothese schon von Gülden- städt ausgesprochen wurde, sind: a) Der rothe Diluvial-Lehm (von Malmysch) hat dort, wo er vom Tschornosjom überdeckt ist, 485 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 486 zahllose Spuren von Pflanzenwurzeln, die aus dem- selben eingedrungen sind; sie sind bloss in den obersten Lehmschichten und nicht dick, sind also schwerlich von Bäumen. b) Wald erzeugt nur Walderde, nie Tschornosjom; aber wohl stehen jetzt zuweilen Wälder auf früheren Grassteppen mit Tschornosjom - Boden (Pitschkassi, Sjewsk). c) Tschornosjom geht leicht in Tschernogrjäs über, aber nicht so leicht, oder kaum in Torf, wenn auch beide zusammentreffen. d) Tschornosjom wird mit zunehmender Hôhe des Terrains mächtiger (Borowski Kurgan, N. Sewersk, Dessna und viele Regenschluchten). Sehr oft ist dieses normale Verhältniss zerstôrt worden. e)In niedrigen Gegenden fehlt der Tschornosjom, obgleich die Bildung desselben noch jetzt fort- dauert. Er beginnt erst in 60—80 Faden über der Meecresfläche im europäischen Russland und West-Sibirien. Der Tschornosjom ist an der Nordgränze nicht di- cker als 3—4 Fuss, nur einmal fand ich 7 Fuss; mäch- tigere Schichten künnen leicht secundäre Ablagerun- gen sein, denn es ist noch zweifelhaft, ob Schichten von 15—20 Fuss sich durch Infiltration des Humus so tief und gleichmässig fürben konnten, oder dass ein grosser Theil aus reiner Pflanzenerde bestehe. An manchen Orten fehlt der Tschornosjom dort, wo man ihn erwarten sollte; diess hat immer seinen besonderen Grund: 1) er ist weggeschwemmt an Ab- hängen, oder 2)er fehlt auf einer (immer der tieferen) Seite der Regenschlucht, während die gegenüberste- hende Wand bis 2 Fuss dicken Tschornosjom hat; 3) er fehlt überhaupt in Folge der geringen Hôühe des Bodens, der sich erst spät benarbte, besonders an vielen Flüssen, die in der Vorzeit ein breiteres Bett hatten; 4) er fehlt auf allem neuen und jungen Bodenterrain, wenn dasselbe auch hoch ist; 5) er fehlt oft auf reinem Sande und nacktem (Gestein: 6) auf feuchtem oder sumpfigem Boden entsteht kein Tschornosjom, eben so wenig wie im Walde. Es giebt viele Stellen im Tschornosjom-Gebiete, welche jünger sind als manche Gegenden im nôrdlichen Russ- land. Für die Bildungsgeschichte des Tschornosjom sind einige wichtige neue Thatsachen aufgefunden, welche jetzt zu einer Eintheilung desselben in 2 Kategorien geführt haben. Gewühnlich entsteht Humuserde auf der Diluvialschicht durch Infiltration. Allein ich fand jetzt auf der Ringmauer der Festung von Alt-Ladoga eine 11 Zoll dicke dunkelbraune Pflanzenerde vor, die sich in 750 oder weniger Jahren gebildet hatte und zwar unmittelbar aus der theilweisen Zerstorung silurischer Kalkplatten durch den Wurzelfilz und durch Verwe- sung des letzteren. Auf eine ähnliche Weise bildete sich der Tschornosjom auf den hüchsten Stellen bei Simbirsk und wahrscheinlich allenthalben, wo in den untersten Lagen des Tschornosjom Trümmer des unter- liegenden Gesteins eingestreut sind, oder wo er in dün- nen Schichten auf unversehrten Kalkschichten liegt. Hieher gehürt auch der Tschornosjom auf dem Con- ferven-Mergel von Malmysch; hier liegen auf dem Di- luvium zwei Formationen vegetabilischen Ursprungs, und die mikroskopische Alge im Mergel ist ein Be- weis einer ehemaligen Süsswasserbedeckung. Endlich gibt es Bildung von Tschornosjom ohne Diluvium auf dem verwitterten Granitboden des SW. Russlands, «wo der Tschornosjom in Granit übergeht». Was jetzt noch viel Aufschluss geben wird, sind geodätische Messungen für das Niveau des Tschorno- sjom in verschiedenen Gegenden. Die barometrischen Hühen sind dazu nicht hinreichend. Bald werden wir ein vortreffiliches Material als Anbhaltspunkt dafür besitzen. Der im Jahre 1863 herausgegebene Katalog der topographischen Abtheilung des Generalstabes enthält eine Menge geodätisch bestimmter Punkte für einige Gouvernements, die ich für meinen Zweck be- nutzte. Das geodätische Nivellement der Wolga-Tri- angulation vom G. Simbirsk bis Jaroslaw ist beendigt und in der Ausrechnung. Dann mag der Tschornosjom für die Bestimmung des relativen Alters der geologischen Hebungen sei- nen Werth zeigen. Ich erkenne schon jetzt deutlich, dass die vegetabilische Decke des Waldai jünger ist, als der Tschornosjom, ja selbst jünger, als die Beklei- dung der oberen Terrasse bei St. Petersburg. Die Humusschichte ist auch für die beiläufige Alter- bestimmung räthselhafter Denkmäler brauchbar, wie die Tschudengräber am Altai, die Sopki im nôrdlichen | Russland. Die Sopki an der Msta haben eine Humus- 31* 487 Bulletin de l’Académie Impériale 48sS ——————…—…—…—…—…—…—…—…—…—…———.—…—_—.——…—_——_——————…—…—…—…—…—_…"…—…—…—…—…—…—…—……………………………—……——…—_…—…—……—…—…—_…—…—…—…—…— Infiltration von 2- -4 Zoll; die Kurgane von Sednjeff im Tschernigow’schen 5—9 Zoll; im Altai fand man sie 1 Fuss tief und schwarz, mit Pferde - und Men- schengerippen nebst Gegenständen von Gold, Silber, Kupfer und Eisen. Das Folgende kann als spezieller Beleg zu dem Gesag- ten, zugleich auch als Reisebericht gelten, in welchem ich die Reihenfolge von O. nach W. einhielt und von da, nach N. umbiegend, in entgegengesetzter Richtung. Ich befürchte nur, dass die Spezialitäten ermüden werden, obgleich Vieles weggelassen ist. Dagegen habe ich mein Material mit werthvollen fremden Beob- achtungen vermehrt, weil sie in der Literatur über den Tschornosjom unbekannt geblieben sind. Vieles mag noch zerstreut und begraben liegen. Als Anhang folgen chemische Analysen, Literatur-Nachträge und eine Zusammenstellung der vorhandenen Angaben über die Verbreitung des Tschornosjom in Sibirien, welche die europäischen Verhältnisse dieses Bodens nur noch weiter bestätigen und verallgemeinern. Ich wünsehte, den Gegenstand vollständig und von allen Seiten zu beleuchten, damit keine wesentlichen Zweifel übrig blieben und übergebe ihn anderen Ge- lehrten mit der Überzeugung, dass es der Wissenschaft gelingen wird, auch das absolute Alter jedes Punktes der Erd-Oberfläche in Russland zu bestimmen. Die absolute Hühe der Wolga bei Kasan beträgt nach Humboldt (Asie centr. 1, 70) 9 Toisen— 57", Fuss Russ.— Engl., nach Murchison (Geolog. Karte) 130 Fuss Russ. für die Wolga-Ebene unter der Stadt. Nach Humboldt ist die Cuvette des Barometers der Universität 30 Tois. — 192 Fuss hüher, als das bal- tische Meer und 21 Tois. — 134 Fuss hôher, als die Wolga. Murchison giebt für Kasan 280 Fuss Mee- reshühe an. NO von Kasan, nach der ersten Station gegen Arsk zu, beginnt eine kahle bebaute (regend; die Damm- erde wirdhie und da braun, auf einer Stelle, 40 Werst von Kasan, sogar vollkommen schwarz und 2 Fuss dick. Von Tschornosjom-Pflanzen bemerkte ich Centaurea Biebersteinii, Tragopogon orientale und Stachys annua. Hart an der Gränze des G. Wjätka, 36 Werst SW. von Malmysch und bis zu dieser Stadt, wird die Damm- erde meistens sehr dunkel und von der Beschaffenheit des Tschornosjom. Auf den Anhühen liegt dieselbe %, Fuss dick auf dem gewübnlichen rothen Lehm, der beim Austrocknen steinhart wird und in seinen ober- sten Lagen verrottete Wurzeln aus dem Tschornosjom einschliesst, die rührenformige Gänge mit schwarzen Wandungen hinterlassen haben, ein neuer Beweis für die Bildung des Tschornosjom an Ort und Stelle. Diese Erscheinung wiederholt sich an meh- reren Orten. Zur schwarzen Färbung einiger Âcker mügen auch verbranntes Holz und starke Düngung das Thrige beige- tragen haben; es giebt indessen bestimmt unberührte Stellen mit dunkelbrauner Erde, die 2 Fuss mächtig auf dem wurzelhaltigen rothen Lehm aufliegt. In niedrigen Gegenden kommen Übergänge des Tschornosjom in Tschornogrjäs vor. Mit diesem Na- men bezeichnet man an vielen Orten einen schwarzen Schlamm-oder Moorboden, der lange unter Wasser steht, aber sich vom Torf durch Unfähigkeit als Brenn- material in Folge überwiegender Beimischung unorga- nischer Bestandtheile unterscheidet. Er bildete sich hier unter sumpfigen Carex-Wiesen; die ausgeschnit- tenen Stücke behalten ihre Form zähe bei, wie Torf, und unter dem Mikroskop sieht man Fetzen von ge- bräunten Pflanzengeweben. Der rothe Lehm liegt 1) entweder rein auf der Ober- fäche, oder ist 2) bedeckt in Niederungen und an Flussufern mit Moorerde oder Schlamm; oder der Lehm geht 3) nach oben in eine Schicht Dammerde oder Tschornosjom von verschiedener Dicke (bis 2 Fuss) und Färbung über; oder der Lehm ist auf verschie- denen Hügeln und Bergen um Malmysch bis 20 Werst westlich davon bedeckt: 4) mit dünnen horizontalen Lagen eines weichen weissen gewühnlich zertrümmer- ten Mergels. Solche Mergelschichten findet man nur auf den Rücken der Anhôhen; ich sah auch unver- sehrte bis 10 Fuss breite parquetartige Entblüssun- gen, die gewiss nur an Ort und Stelle gebildet waren, da die Schichtung zu dünn und die Platten zu ge- brechlich sind, um einen Transport ohne Schaden zu vertragen. Dieser Mergel ist 6—9 Zoll hoch mit braunem Tschornosjom bedeckt, an anderen Orten fehlt diese leicht abspülbare Bedeckung. Diese Mer- gelschichten bestehen aus einer mikroskopischen ver- kalkten Süsswasseralge: Lithobryon (Bullet. Acad. 1865.1X, 35), sind jünger als der rothe Diluvial-Lehm und älter als der Tschornosjom. Wir hätten hier also 489 des Sciences de Saïint-Pétershourg. 490 —_—— 2 geognostische Schichten vegetabilischer Na- tur. Ich kann mir die Entstehung dieses Mergels, der an vielen Hügeln des Kreises Malmysch vor- kommt und wahrscheinlich in gleichem Niveau, nicht anders denken, als durch eine Algen-Vegetation auf dem rothen Diluvial-Lehm bei seichtem Wasserstande und Abscheidung von kohlensaurem Kalk mit Thon- erde auf diesen confervenartigen Filz. Durch die fortwährende Zerstôrung der Diluvialschicht sind jetzt nur noch Reste einer früheren grossen zusammen- hängenden Masse auf einzelnen Hühen übrig geblie- ben. Land-Vegetation bildete sich auf diesem Con- ferven- Mergel unmittelbar nach Verschwinden des Wassers, ohne Zuthun des Diluviums. Diese Mergelschichten sind durch eigenthümliche Pflanzen ausgezeichnet, die nicht in der Nachbar- schaft vorkommen, es mag nun Tschornosjom auf den- selben liegen oder nicht. Ich bemerkte: Sanguisorba, Medica falcata; 12 Werst N. von Arsk: Phlomis tube- rosa, Campanula bonouiensis, Delphinium elatum; 8 Werst N. von Malmysch: Potentilla recta, Oxytropis pilosa, Conyza salicina, Epipactis atrorubens, Andro- sace filiformis. Die durchreiste Gegend haîte meistens ein kahles steppenartiges Aussehen. Sonst hat die Flora von Malmysch manche sibirische Anklänge: in Wäldern fand ich die Pichta, Rosa gla- brifolia; die Tanne war nicht mehr die typische euro- päische, sondern eine annähernde Form zur sibiri- schen: die letztere fand ich näher zu Kasan als ächte Picea obovata. Meyer (F1 Wjätka 1848) sah von Malmysch: Alnobetula fruticosa, Acer tataricum, Cy- pripedium guttatum, Dracocephalum thymiflorum, Pimpinella magna, Thalictrum majus. Die Niederungen am Flusse Wjätka auf halbem Wege nach Jeläbuga haben eine üppige Vegetation und mehrere Tschornosjom-Pflanzen, obgleich dieser Boden von da bis Jeläbuga nicht mehr auftritt: Ga- latella punctata, Adenophora, Senecio aureus, Serra- tula coronata, Sanguisorba, Cenolophium, Galium ru- bioides, Artemisia procera, Allium angulosum u. a. | Die Verbreitung der Tschornosjom-Pflanzen auf diese entlegenen Inseln muss ihre Schwierigkeit gehabt haben, da die Flüsse nur hinderlich waren. Nirgend sah ich zwischen Kasan, Malmysch und Jelâguba erratische Blücke oder Geschiebe. Von Jeläbuga fährt man 20 Werst auf einer Über- schwemmungswiese der Kama bis nach Tschelny, wel- che Station auf dem linken Ufer der Kama im G. Oren- burg (jetzt Ufa) liegt. Der Boden dieser Wiese ent- hält viel angeschwemmten Tschornosjom aus der Bje- laja und dem näheren Ik; am hohen Ufer gegenüber Tschelny ist diese Schicht ziemlich schwarz und mächtig. Ausser Sanguisorba, Tragopogon, Euphor- bia procera, Cenolophium, Vincetoxicum, Serratula coronata, Dianthus Seguieri, Artemisia procera, Tha- lictrum minus, Eryngium planum u. a. auch an sol- chen Stellen der Oka im G. Moskau gemeinen Pflan- zen, bemerkte ich hier noch: Galatella punctata, Ade- nophora, Populus nigra (auch an der Wjätka zwischen Malmysch und Jeläbuga) und eine grosse Menge Gen- tiana Pneumonanthe. In dem Kieferwalde bei Jelä- buga sah ich Aristolochia, Jurinea und Centaurea Biebersteinii den Abhang hinauf. Das Ufer der Kama bei TschelnŸ ist bis 10 Sashen hoch; die Basis bilden Kalkplatten, zuweilen voll von woblerhaltenen Austerschalen (Ostrea matercula des oberen Perm’schen), dann Sandsteine mit Pisolithen, Kieselgeschiebe u.s. w. Unbegreiflich fest eingeklemmt war daselbst eine Schicht Lagerholz, vielleicht durch späteren Einsturz eines 4 Faden mächtigen überliegen- den Sandsteines ; ebenso liegt unter allen festen Schich- ten in dem hüchsten Niveau der Kama eine verkohlte 1 Zoll dicke Holzschicht. Oben liegt der mächtige rothe Lehm ohne Spur von Tschornosjom an der Oberfläche. Nur am Ufer war Geranium sibiricum. Dieser Mangel jeder älteren Vegetation und Schwarzerde macht sich noch 1—2 Werst landeinwärts bemerklich; erst dann tritt, statt Sand und Gruss, der Tschornosjom, nur stellenweise durch Wälder unterbrochen, in compakten Flächen auf, die sich bis nach Ufa, zur Bjelaja und über ihre flachen Ufer hinaus ziehen sol- len. Man versicherte mich, dass am rechten Ufer der Kama hinauf nirgends Tschornosjom auftrete; bei Pjannij Bor ist dasselbe hoch und sandig. Zwischen Tschelny und MenSelinsk wird der Tschornosjom-Boden nur auf einer Stelle durch einen Wald aus Espen und Haselsträuchern nebst anderem Gebüsch (auch aus Eichen, aber keinen Coniferen) in der Ausdehnung von etwa 10 Werst unterbrochen; in dieser suchte ich vergebens nach Tschornosjom. Dieser war anderswo nur wenige Werschok dick, aber A91 Bulletin de l’Académie Empériale 492 in einer Regenschlucht war er als 2 Fuss mächtige schwarze Schicht auf dem rothen Lehm zu sehen. Die Felder sind schwarz, fruchtbar und werden nicht gedüngt. Die Gegend hat das Aussehen einer bebau- ten Steppe, wie jene im Kreise Malmysch; aber die Vegetation ist entschieden anders durch zahlreiche charakteristische Arten. Ausser den UÜnkräutern: Amaranthus retroflexus, Cynoglossum, eine Legion von Absinthium, Cichorium, Stachys annua u. à. zei- gen sich: Centaurea Biebersteinii, Serratula coronata, Phlomis tuberosa, Tragopogon orientale, Verbascum Lychnitis, Salvia verticillata, Pyrethrum corymbosum, Astragalus Cicer, Veronica spuria, Medica falcata, Genista tinctoria, Closirospermum (Picris) etwas ab- weichend von der nürdlichen Form. Von Menselinsk (? 397 F.barom.) aus besuchte ich den hohen bewaldeten Bergrücken. Am Fusse des Abhanges ist der Boden quellig, mit vielen Hôckern: schwarzer erdiger Torf, mehr als 1 Arschin mächtig, zähe, so dass er die geschnittene Form beibehält. Mit dem Lôüthrohr behandelt glimmt er schwach und giebt viel Asche. Das Mikroskop zeigt zwar viele or- ganische Substanzen, zuweilen einzelne gebräunte Gewebe, aber auch Phytolitharien. Es ist ein Ge- misch von herabgeschwemmtem Tschornosjom und Torf; für guten Torf sind zu viel mineralische Bestandtheile beigemengt. Eine Strecke hôher tritt schon ächter tiefer Tschor- nosjom auf, von welchem eine quantitative Analyse gemacht wurde. Noch hüher am Waldrande ist der- selbe noch 1 Fuss mächtig. Getrocknete Proben von beiden Orten wurden heller, grauschwarz, während die Tschornosjom-Probe aus der Nähe von Tschelny und noch mebr der eben erwähnte erdige Torf ihre tiefe schwarze Farbe auch getrocknet behielten. Auf dem Übergangspunkte des Waldberges an lichten Stellen, die ehemals ohne Zweifel bewaldet waren, ist bloss braune Dammerde 6 Zoll dick den rothen harten Lehm bedeckend. In derselben Hôühe, im dichten Laubwalde ist bloss eine kaum 1 Zoll dicke braune Lauberde auf dem Lehm; das Mikroskop zeigt viele und grosse Phytolitharien, grosse braune zusammen- hängende Humusflocken und wenige Quarzkürnchen. Alles ganz richtig. Die Beschaffenheit der vegeta- bilischen Bodenschicht hängt von der Art der Bekleidung ab. Wald bildet nie Tschornosjom, eben so wenig thun dieses sumpfige Niederun- gen. Ausser einigen schon erwähnten Tschornosjom- Pflanzen fand ich hier noch Adonis vernalis, und Ve- ronica spicata (in freier Lage); Senecio erucaefolius, Cirsium canum, Aster Amellus, Eryngium planum, Euphorbia procera, Nepeta nuda, Inula Helenium wild in Menge, Sanguisorba, Geranium sanguineum, Lych- nis chalcedonica, Convza hirta und salicina var. subhirta C. A. Me. (letztere bei Jeläbuga entdeckt), Centaurea conglomerata C. A. Mey. (im Gouv. Wjätka um Orlow entdeckt), Galium rubioides, Lathyrus pisiformis, Siler trilobum, Asperula Aparine, Dianthus Seguierii, — Veratrum, Delphinium elatum und Aconitum sep- temtrionale, Ligularia sibirica (glabrifolia), Senecio nemorensis, Mulgedium ceacaliaefolium, Cacalia ha- stata, Pleurospermum uralense, Bupleurum aureum, Galatella panctata, Hieracium (Crepis) sibiricum, Ade- nophora u. a. Der Wald bestand aus Tilia, Quercus pedunculata, Acer platanoides, Ulmus campestris sca- bra, Corylus, Evonymus verrucosus. Keine Conifere. Der nächste Punkt der Kama war 20 Werst entfernt. Die Umgebung von Kasan ist seit Anfang dieses Jahrhunderts von Fuchs, Eversmann, Wirzén, Kor- nuch-Trotzky und Claus ziemlich genau erforscht worden und besass bis zum J. 1851 an 792 Arten Phanerogamen, von welchen, nach Claus, 690 auch in den Ostseeprovinzen wachsen. Kasan hat daher eine nordeuropäische Flora, jener von St. Petersburg und Moskau am meisten ähnlich. Nach meiner Zählung, nach Zugabe der neueren Funde, meistens von Prof. Kornuch-Trotzky, kommen nur 90—100 Arten um St. Petersburg nicht vor: Aconitum excelsum, Thalic- trum commutatum, Viola campestris Bess. von V. hirta durch längere und schmälere Blätter unterschieden; daun 2 Arten aus der Gruppe der V.lacteae, Nastur- tium austriacum und brachycarpum, Camelina micro- carpa, Armoracia, Mvagrum, Alyssum minimum, Erysimum Marschallianum, Lepidium latifolium, Si- symbrium strictissimum, Dianthus campestris und Carthusianorum, Gypsophila paniculata, Althaea offi- cinalis, Silene Otites, Geranium sanguineum, Coronilla varia, Vicia (non Lathyrus) pisiformis, Astragalus Cicer und falcatus, einige interessante Rosen, Sangui- sorba, Crataegus sanguinea, Lythrum virgatum, Trapa, 493 des Sciences de Saïint-Pétersbourg. 494 Siler trilobum, Pleurospermum mit einem besonderen Heracleum (Swjätoi Kljutsch und Troitzk jenseits der Kama?), Bupleurum aureum, Seseli coloratum, Oste- ricum palustre, Asperula cynanchica, Scabiosa ochro- leuca, Sherardia arvensis, Crepis rigida, Artemisia Dracunculus und procera, Senecio sarracenicus, Ser- ratula tinctoria und coronata, Pulicaria vulgaris und dysenterica, Conyza germanica und ensifolia, Pyre- thrum corymbosum, Centaurea Marschalliana und sibirica (um Zarewo - Kokschaisk), Hieracium sibiri- cum, Lactuca viminea, Jurinea cyanoides, Sonchus pa- lustris, Verbascum Lychnitis, Melampyrum arvense, Omphalodes scorpioides, Cuscuta monogyna, Pulmo- naria mollis, Thesium ebracteatum, Atriplex nitens (N. Nowgorod und Serpuchow) und hortensis, Cori- spermum Marschalli, Abies Pichta und Picea obovata, (gegen Zarewo-Kokschaisk), Allium angulosum, Aspa- ragus, Triglochin maritimum, Alisma (Plantago var?) pauciflora, Carex (pilosa 8.) Beckeri, Festuca sylva- tica (Layscheff), Crypsis alopecuroides, Éragrostis pi- losa, Melica ciliata. Bloss in «Semiosernaja Pustyn» wachsen auf Kalk: Campanula sibirica, Echinosper- mum deflexum, Cladium Mariscus, Cypripedium gut- tatum und macranthum (nebst Cephalanthera rubra). Aus der Vergleichung mit der später folgenden Flora an der Oka wird man leicht für viele Arten die Müg- lichkeit eines vormaligen Transportes durch die Wolga begreifen; einige kôünnen auch aus der Sura abstam- men. Mit sehr wenigen Ausnahmen fehlen diese Ar- ten um Moskau, z. B. Arenaria graminifolia. Mit Moskau gemeinschaftlich hat Kasan: Delphi- nium elatum, Thalictrum minus, Ranuneulus poly- phyllus, Dianthus Seguieri, Saponaria, Silene procum- bens, Melampyrum ceristatum, Geranium sibiricum, Alsinastrum, Xanthium spinosum, Campanula bono- niensis, Chaerophyllum bulbosum, Androsace filiformis (Kokschaisk), Gymnadenia cucullata. Auch diese feh- len im Gouv. St. Petersburg, aber nur wenige an der Oka. Die Kasaner Flora unterscheidet sich mithin von der St. Petersburger durch eine starke Beimischung von Arten aus dem Tschornosjom-Gebiete. Die natürliche Lage Kasans und die Beschaffenheit der Mehrzahl dieser Pflanzen lässt leichter eine Abstammung durch ehemalige Anschwemmungen aus N. zu, als von den nächsten Tschornosjom-Gegenden. Zur Flora von Kasan sind mit Unrecht eine Menge Pfanzen gerechnet worden, die bloss an der Kama oder gar landeinwärts vom linken Ufer der Kama wachsen. Hier tritt eine Tschornosjom-Steppe mit ihren eigenthümlichen Pflanzen auf. Schon Claus bat auf diesen Umstand aufmerksam gemacht, bei Gele- genheit der Flora von Sergiefisk (Beitr. PA. VIIL. 1851). Später sind auch mehrere Nachträge für diese Gegend, so weit sie in das Gouv. Kasan fallen, von Prof. Kornuch-Trotzky aufgefunden und in der Sammlung der Universität deponirt worden. Es kom- men daher an der Kama und jenseits, von der Mün- dung derselben bis zu jener der Wjätka, folgende Arten zu der Flora von Kasan: Sisymbrium jJunceum, Lychnis chalcedonica, Silene chlorantha (auch Kok- schaisk) und supina, Linum flavum, Caragana frute- scens, Cytisus biflorus, Trifolium fragiferum, Oxytropis pilosa, Astragalus hypoglottis, Lathyrus tuberosus, Onobrychis sativa, Amygdalus nana (bei Layschew nach Bode), Galatella panctata, Chamaecerasus mit Spiraea crenata und 6. oblongifolia, Falcaria, Asperula tinctoria, Scahiosa ochroleuca, Cephalaria tatarica, Xylosteum tataricum, Artemisia austriaca, Senecio campestris, Conyza hirta und media, Aster Amellus, Linosyris villosa (Kreis Tschistopol um Staro-Tschel- ninskaja), Scorzonera purpurea, Echinops, Centaurea Biebersteinii, Carduus nutans, Cirsium (arvense) in- canum, Taraxacum palustre, 2 Spec. Saussurea auf Salzboden, Mulgedium cacaliaefolium (an der Kama- Mündung), Hieracium virosum, Adenophora lilifolia, Verbascum phoeniceum, Veronica spuria, Salvia pra- tensis, sylvestris und verticillata, Nepeta nuda, Leonurus Marrubiastrum (auch an der Mjoscha), Phlomis tuberosa, Ajuga genevensis, Populus lauri- folia und alba (canescens?), Lilium Martagon, Allium strictum, Stipa pennata und capillata. Zu diesen kommen noch nach Veesenmeyer (Beitr. P#. IX, 1854): Anemone sylvestris, Adonis vernalis, Poly- gala hybrida, Diauthus atrorubens, Elisanthe vis- cosa, Hypericum elegans, Trifolium alpestre, Vicia pisiformis, Prunus insititia, Cenolophium und Lyco- pus exaltatus (wohl auch um Kasan), Peucedanum alsaticum, Sambucus rubra, Cacalia hastata, Senecio érucaefolius, Lactuca Scariola, Vincetoxicum, Gra- tiola, Orobanche in Angelica, Stachys recta, Cera- tocarpus, Aristolochia, Euphorbia procera, Lemna 495 gibba, Iris furcata, Allium globosum, Veratrum Lobelianum, Scirpus maritimus, Carex stenophylla und supina, Alopecurus nigricans, Melica altissima, Scolochloa borealis, Brachypodium sylvaticeum und pinnatum. Von Tschelny bis Tschistopol ist das rechte Ufer immer hoch und zuletzt tritt an einer Stelle Tannen- wald bis zur Kama auf. Das linke Ufer, welches bis da- hin gewôhnlich niedrig ist, beginnt als ein mit Laub- wald bedeckter Hühenzug oder Terrasse, die bald da- rauf westlich von Tschistopol sich vom Ufer landein- wärts entfernt. Schwarzerde sah ich 2 Faden über der Kama, am linken Ufer, Rybnaja Sloboda schräge gegenüber; es ist dieses Ufer nur ein niedriges im Frühjahre überschwemmtes Vorland. Am rechten Ufer der Kama bei Layschew 4—5 Sashen über dem mittleren Stande des Stromes liegt blauschwarzer angeschwemmter und noch jetzt perio- disch überschwemmter Tschornosjom, bedeckt mit Po- lygonum aviculare. Ausser Artemisia procera, Serra- tula coronata, Lactuca Scariola, Stachys annua, Eryn- gium u. a. fand ich hier noch Leonurus Marrubiastrum und Pulicaria vulgaris. Der Wald besteht aus Eichen mit eingemischten Linden und Spitz-Ahorn; Centau- rea conglomerata und Cacalia hastata fallen am mei- sten auf. Die Überfahrt ist bei der Station Jepäntschino, wel- che am rechten Ufer der Kama, 24 Werst von Laÿ- schew, liegt, und nicht weit vor der Mündung der Kama. Man sieht das 6—10 Werst entfernte, gerade hier sehr hohe rechte Ufer der Wolga (550 F. bar.), wel- che dem Andrange der Kama, vor dem Durchbruche der Wolga, einen bedeutenden Widerstand leisten musste, bis sie bei Bogorodsk in einem fast rechten Winkel nach Süd abgelenkt wurde. Beide Ufer der Kama sind weit vor der Mündung angeschwemmites Land mit neuer Pflanzen-Colonisation. Die Wiesenseite oder das linke südliche Ufer der Kama vor ibrer Mündung hat nur auf den Hühen- streifen des Bodens stellenweisen Tschornosjom mit Genista tinctoria, Galatella punctata und Serratula coronata: letztere auch auf den niedrigeren Stellen mit Althaea officinalis, Asparagus, Eryngium planum, Cenolophium, Xanthium, Cirsium (arvense) incanum, Petasites spurius u. a. Von Bäumen bloss Populus nigra und viele scharfblättrige Ulmen. Bulletin de l’Académie Impériale 496 | Vier Werst vor Pitschkassi am Achtai steigt das | Land hôher auf, und es zeigen sich schwarze Acker- felder. Zwei Werst vor Pitschkassi bei dem Dorfe | Esmer endigt sich plôtzlich der bewaldete Hühenzug am Achtai, der sich in ôüstlicher Richtung bis nach |Tschistopol hinzieht und vormals das Bett der Kama bestimmte. Der Durchbruch der Kama und Wol- ga erfolgte in der Linie von Esmer bis Bogo- rodsk, wohl an 15—20 Werst Breite. Der Wald am Ende des Achtaischen Hüôhenzuges bei Esmer («Asmar» bei Veesenmeyer) besteht aus | Eichen, Linden, Ulmen mit weichhaarigen Blättern, | Spitzahorn: darunter wilde Apfelbäume, Evonymus | verrucosus u. a. Von selteneren Kräutern: Hieracium si- |biricum, Centaurea conglomerata, Bupleurum aureum, Lathyrus pisiformis, Hyperieum hirsutum, Cacalia ha- | stata, Lilium Martagon, Geranium sanguinmeum, Gala- tella punctata. Allein dieser Wald scheint mir | nicht sehr alt zu sein, denn er stehtauf Tschor- | posjom-Boden, von derselben äusseren Beschaffen- heit, wie jener bei Menselinsk am Abhange. Eine von |beiden Seiten aufsteigende Hühe, mit gewühnlicher Dammerde und Walderde bedeckte Schneide ist zwi- schen Pitschkassi und Esmer nicht vorhanden, es ist eher eine Terrasse, die nach N. abfällt. Es hat sich im Walde allerdings auch etwas Lauberde an der Ober- fäche gebildet; sie ist durch grosse Phytolitharien tiefer im Tschornosjom merkbar; letzterer ist indes- : sen tiefer als Ÿ, Fuss und stimmt vollkommen mit dem braunschwarzen Tschornosjom, der auf einer eben sol- chen Hühe bei dem Dorfe Pitschkassi bis 2 Fuss und dicker auf rothem Lehm gelagert ist, auf einer Stelle, die eine qualificirte Steppe ist durch: Ceratocarpus, Artemisia austriaca, Salvia sylvestris, Mulgedium ta- taricum, Scabiosa ochroleuca, Dianthus Carthusiano- rum, Centaurea Biebersteinii, Verbaseum Lychnitis. | Dass der Wald von Esmer-Pitschkassi erst später sich auf einer Grassteppe etablirte, dafür spricht auch das Vorkommen einiger Pflanzen im jetzigen Walde, z. B. Cerasus Chamaecerasus, Euphorbia procera, Nepeta nuda, Eryngium planum, Serratula coronata, Thalic- trum minus, Lavatera thuringiaca, Echinops sphaero- cephalus. Das ehemalige Bassin von Bolgar erstreckte sich bis nahe zur Kreisstadt Spassk und 3 Werst weiter landeinwärts bis zu einem Hôühenabhang. Noch jetzt 497 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 498 gehen die Frühjahrs-Überschwemmungen der 12 Werst entfernten Wolga bis auf die Entfernung von 2 Werst von Spassk, nur die hôüheren Hügel bleiben trocken. Die Âcker auf denselben werden gedüngt. Die Som- merstrasse geht 20 Werst durch dieses Bassin bis Bolgar. Gefärbte Erdschichten sieht man sehr selten an hôüheren Stellen und sie sind eher für braune Dammerde, als für Tschornosjom zu nehmen; rother Lehm ist vorherrschend; in einigen Niederungen trifft man Sumpfbildung mit Carices-Hümpeln, Birken und Strauch-Weiden. Sehr selten sind Centaurea Bieber- steinii auf hôüheren Orten und Eryngium planum auf niederen, gleichsam verirrte Exemplare. Die Ruinen der alten Stadt Bolgar, jetzt Station Bolgarskaja, liegen auf dem ehemaligen hohen Ufer von rothem Lehm; von hier aus schliesst sich das Bas-| sin mit einer 10—15 Faden tief abstürzenden Terrasse. Der Weg nach der Wolga, gegenüber Tjetuschi, geht anfangs durch ein hôheres Terrain mit gemischtem Wald aus Kiefer und Birke, in welchem Genista tinc- toria und Cytisus Ratisbonensis, Silene tatarica, Ve- ronica spicata und auch Eryngium planum vorkom- men, -— hierauf auf die Wiesenseite der Wolga, wo Adenophora, Galatella, Serratula, Senecio (paludosus) aureus, Lythrum virgatum, Dianthus Seguieri, Aspa- ragus und Artemisia procera. Nur auf den hüheren Stellen liegt eine schwärzliche Erde. Âchten Tschornosjom traf ich an der Wolga nicht nôrdlicher als Simbirsk. Der steile Absturz des ho- hen Wolga-Ufers nürdlich von der Stadt, auf den Smolenskischen Bergen, entblüsst oben eine mächtige dunkle Lehmschicht; auf ihr liegt eine 2 Fuss dicke weisse brücklige abfärbende Mergelschicht ohne mi- kroskopische Formen, mit Säuren nur wenig aufbrau- send; hierauf folgt ‘,—1 Fuss Tschornosjom mit sel- tenen Phytolitharien-Stäbchen. Nicht weit von dieser Stelle, hüher als die Umge- bung, befinden sich die Steinbrüche. Eine Menge von Artemisia austriaca, Ceratocarpus und anderen cha- rakteristischen Pflanzen bezeichnen den unterliegenden Tschornosjom. Dieser ist in seinen obersten Lagen ausgezeichnet durch das Überwiegen von Phytolitha- rien und sehr kleinen Atomen mit Molecularbewegung. In den Kalkstein-Brüchen kann man die Mächtigkeit | und Auflagerung des Tschornosjom bequem betrach- Tome IX. ten. Er liegt unmittelbar auf der Kreide-Formation (Humboldt, Reise Il, 245; Murchison, Geol. 273) bis 3! , Fuss dick, ist eben so schwarz wie an der Ober- fläche, allein nicht so feinstaubig, sondern meist in klei- nen oder grüsseren Klümpchen zusammengebacken. Unter dem Mikroskope erkennt man ebenfalls Phyto- litharien, aber überwiegend sind unorganische Parti- kelchen mit brauner anhaftender Färbung durch Hu- mus. Die Kreideschichten werden erst in etwa 10 Fuss Tiefe fester, dicker, weissgrau und enthalten Feuer- steinknollen; nach oben gehen sie in eine schmutzig- weisse abfärbende Belemnitella-Kreide über, von wel- cher silificirte Trûmmer in die unterste Tschornosjom- Schicht eintreten. In einer solchen anscheinend rei- nen Probe fand Hr. Borszczow (siehe Analysen im Anhang) 18° kohlensauren Kalk, also 4—5 Mal mehr, als in irgend einem bisher analysirten Tschornosjom; er braust daher heftig mit Säuren, während die ober- flächlichen Schichten bei dieser Behandiung keine Kohlensäure entwickeln. Merkwürdig ist es, dass 10% Humus hinreichten, um 90° der unorganischen Par- tikelchen in feiner Vertheilung und ursprünglich weisser oder farbloser Beschaffenheit so zu imprä- gniren, dass die Probe schwarz erscheint; nur mit der Loupe erkennt man eingestreute weisse Kalkkürnchen. Ausser diesen sind aber auch grüssere Kalksplitter, sogar plattenfüormige Stücke in den untersten La- gen des Tschornosjom, bis auf Spannlänge, wie ab- gehoben von der obersten Platte, und liegen mitten in der schwarzen Erde. Wie ist diess zu erklä- ren? Widerspricht diess nicht der angegebenen Ent- stehungsweise des Tschornosjom ? Erst vor kurzem ist mir diese eigenthümliche Er- scheinung klar geworden — auf der alten Ringmauer der im J. 1116 (6624 der Nowgorodschen Chronik) aus Stein erbauten Festung von Alt-Ladoga am Wol- chow. Zum Bau derselben wurden erratische Blôcke und Platten silurischen Kalks verwendet. Auf der Ringmauer der Landseite liegt unter dem Rasen eine braunschwarze Erde: 2 Zoll dick auf Kalkplatten, 3 Zoll dick auf grossen erratischen Geschieben; auf anderen Stellen ist die schwärzliche Erdschicht bis 6 Zoll dick, enthält aber dann noch mehr dünne und dickere brausende Kalkplättchen, nebst dergleichen zertrümmerten Partikelchen eingeschlossen. Diese | Erde entstand hier aus der Verwitterung der Wurzel- 32 4199 Bulletin de l’Académie Hmpériale 500 fasern, welche nebst anderen Ursachen zerstürend auf das Gestein einwirkten, durch Wucherung in die feinsten Spalten eindrangen, dieselben erweiterten, sprengten und sogar hoben. Zum Beweise lege ich hier eine mitgebrachte Probe vor, die voil und voil ist mit den Resten dieses Wurzelfilzes und eingestreuten Fragmenten von kohlensaurem Kalk, genommen von der 2 Zoll dicken Schicht. Eine solche Erde findet sich weder an anderen Stellen der Festung, noch ir- gendwo anders in der Nachbarschaft. Durch das Be- treten wurde ihre Oberfläche in früheren Zeiten wohl zerstürt, die seitdem erzeugte Rasenbedeckung liegt unmittelbar auf ihr. Indessen fand ich bei weiterem | Nachsuchen auch Stellen, wo auf der 6 Zoll dicken schwärzlichen Erdschicht noch eine ziemlich scharf abgegränzte bräunliche Dammerde von 4—5 Zoll Dicke auflag und nach oben in den Rasen überging. Diese hellere Schicht kann sich erst nach einer ge- wissen Zeitpause auf der dunkleren unteren Schicht abgelagert haben, widrigenfalls ein allmähliger Über- gang in der Farbe vorhanden sein müsste. Ich habe noch hinzuzufügen, dass bei der Bildung dieser Erde | in Rechnung zu bringen ist die Trockenheit, die Re- | verberation der Sonnenstrahlen und der Contrast des weissen Kalksteines, in Folge dessen die Farbe an Ort und Stelle in Masse schwärzlich schien, während die mitgebrachte Probe nur braun ist. Eine so dun- kelgefärbte Erde, gebildet auf die beschriebene Weise, ist auch lehrreich für einige Arten von Tschornosjom (Simbirsk, Malmysch), um so mebr als hier eine abso- lute Altersbestimmung vorliegt. Von ächten Tschor- nosjom unterscheidet sich die dunkelbraune Mauer- erde durch die Farbe, lockere Substanz und den Wur- zelfilz. Sie hat sich nicht durch Infiltration des Hu-! mus gebildet, wie die Färbung unter dem Rasen oder auf den Sopki des nürdlichen Russlands, welche nach der Tiefe zu nicht scharf begränzt ist. Wir bätten daher als typische Gegensätze: 1) Tschornosjom, der durch Infiltration des sandigen | oder auch sandig-lehmigen Diluviums entstauden ist, und 2) Tschornosjom, der ohne Diluvialschicht und ohne Infiltration unmittelbar auf festem oder verwit- tertem Gestein sich bildete, wie auf der Granitsteppe in SW. Russland, auf Kalkschichten (Simbirsk), auf Mer- gel (Malmysch). Die letztere Klasse deutet darauf hin, dass die unorganischen Bestandtheile des Tschorno- sjom unmittelbar aus der Pflanze abstammen und erst mittelbar aus dem mineralischen oder später vegeta- bilisch-mineralischen Unterboden. In einem Hofe der tuinen von Palenque in Yukatan hat sich eive 9 Fuss | mächtige Pfanzenerde über dem Pflaster angehäuft! (Prescott Erob. Mexico IT, 460). Das hohe rechte Ufer der Wolga von Tjétuschi bis N. Nowgorod (500 Fuss bar.) hat keinen Tschorno- sjom. Dieser würde sich auf den Hôhen des entblôssten |: Ufers bemerkbar machen, um so mebr, als in den ober- | sten Lehmschichten oft weisse Mergel-Streifen abgela- gert sind. Auf den Ufer von Tjetuschi fand ich den | rothen Diluüviallehm an der Oberfläche nur mit einer | bräunlichen Dammerde bedeckt, obgleich einige Pflan- zen, wie z. B. Salvia sylvestris, Astragalus Cicer und Chamaecerasus auf die Nähe von Tschornosjom hin- deuteten. Da ich in den Sammlungen der Kasaner | Universität, ausser Linum flavum, keine Belege für diese Ansicht vorfand, so verweilte ich leider nicht lange auf Tjetuschi. Später sah ich, dass Lepechin hier unter anderen Pedicularis comosa, Tulipa syl- vestris, Falcaria, Gypsophila paniculata und zum er- sten Male Amygdalus nana, (bei Pogreb) fand; ebenso auf dem Wege nach Simbirsk: Stipa pennata, Iris fur- cata, Adonis vernalis, Pulsatillen u. a. Ich schliesse hieraus, dass der Tschornosjom bald hinter Tjetuschi | beginne. Apocyoum venetum, von Prof. Kornuch- Trotzky bei Tjetuschi gefunden, ist der nürdlichste Fundort dieser der Caspischen Niederung so eigen- thümlichen Pflanze. Eine andere: Tournefortia Argu- | zZia geht bis Kasan (Claus). | Südlich von Tjetuschi erreicht das Wolga-Ufer seine grüsste Hühe und wird dann bis vor Simbirsk niedriger. Einige Werst nôrdlich von Tjetuschi tritt das hohe Ufer zurück und wird erst vor Bogorodsk wieder hoch. Südlich von letzterer Stelle mündet die Kama mit einer scharfen trüben Linie in die Wolga. Das rechte Ufer der Wolga ist gegenüber der Kama- Stromung niedrig und in eine weite Bucht ausgewa- schen. Nôürdlich von Bogorodsk bleibt das Ufer lange hoch, und Kalkschichten erheben sich hüher als an- derswo über den Spiegel der Wolga (bis 20 Faden?), so dass das Ufer nicht so leicht unterwaschen und zerstürt werden konnte. Bis zu einer solchen Hühe erhebt sich auch der hüchste Wasserstand gegenwär- 501 des Sciences de Saïnt-Pétersbourg. 502 tig nicht mehr; das Maximum soll bei engen Stellen | der Wolga nicht über 7 Faden betragen. An der Mün- dung der Sura bei Wassili Sursk (490 F. bar.), wo. die Überschwemmung bis 5 Faden hoch geht, werden die niedrigeren Gegenden landeinwärts auf mehrere Monate unter Wasser gesetzt, und es bildet sich dort. ein schwärzlicher Schlamm (Tschornogrjäs), welcher | ausgetrocknet durch ôüfteres Befahren dem Tschorno- sjom ähnlich wird, aber in die Dammerde der über- schwemmten Wiesen übergeht. Die benachbarten hôheren, für den Ackerbau in Beschlag genommenen Gegenden haben kaum eine merklich gefärbte Acker- krume, noch viel weniger Tschornosjom, und ais sol- cher scheint in früheren offiziellen Berichter ein fruchtbarerer Boden gemeint zu sein, für den hier eine etwas hôhere Abgabe gezahlt wird. Ich vermuthe, dass auch zu dieser Kategorie der bei Murchison erwähnte ‘Tschornosjom am linken Ufer der Wolga «westlish» von Tscheboksari, zu rech nen sei. Aus dem Kreise Tscheboksari sah ich wohl: Gypsophila paniculata, Asparagus, Aristolochia, Di- | anthus Seguieri, Artemisia procera, Veronica spicata, allein der genaue Fundort war unbekannt. So sieht man auch an manchen Steilen des linken niedrigen Ufers der Wolga und Oka, z. B. unterhalb N. Now- gorod und von da bis Murom hinauf, Ablagerungen | einer schwarze Erde im Überschwemmungs-Niveau, die aus dahin geführtem Tschornosjom, schwarzem | Schlamm, Torf, vermoderten Baumstämmen u. dgl. be- stehen Von N. Nowgorod bis Twer binauf bemerkte ich nirgends Spuren von Tschornosjom an der Wolga. Die früheren Angaben einer mächtigen Ausbrei- tung des Tschornosjom längs der Wolga von Wassili Sursk bis nach Tjetuschi werden aber noch zweifel- hafter durch den Umstand, dass auch landeinwärts bis auf 25 Werst gerader Entfernung von der Wolga in. Gegenden, durch welche die Kasan’sche Poststrasse zieht, immer nur der rothe Lehm, aber nie mit Tschor- nosjom oder ihm eigenthümlichen Pflanzen bedeckt, ja nicht einmal eine dunkel gefärbte Dammerde mir zu Gesicht kam und weitere Erkundigungen vergeb- lich waren. Auch die alte Strasse von Ardatow nach | Kasan schneidet, nach Hrn. Plagge, nirgends durch Tsehornosjom. Es scheint mir daher, dass diese Beobachtungen, vereinigt mit andern sogleich zu erwähnenden der HH. Plagge und Müller dafür sprechen, dass bis auf Weiteres die Nordgränze des Tschornosjom auf die Linie von Tjetuschi bis Potschinka, Krasnoslobodsk? und von da bis Spassk (Gouv. Tambow), Saposchsk und Rjäshsk, also stark gegeu die bisherige Annahme, nach Süden zu- rückgesetzt werden sollte, wodurch eine grüssere Übereinstimmung mit der Ausdehnung der Kreide- Formation in diesem (Gebiete in Aussicht gestellt wird. Über die südliche Hälfte des (touv. Nowgorod, welche ich selbst nicht besuchen konnte, erhielt ich Mittheilungen von Hrn. Plagge. Obergärtner des bo- tanischen Gartens der Kasaner Universität. Ein viel- jähriger Aufenthalt und Reisen in diesem Gouverne- ment gaben ihm oft Gelegenheit, bei der Anlage von Gärten verschiedener Besitzer die Bodenverhältnisse zu prüfen. Wenigstens 1 Faden tiefer ächter Tschorno- sjom kommt bloss vor im südlichsten Theile an der Gränze des Gouv. Pensa, etwa 30 Werst süd- ich von der Stadt Potschinka. Allein in anderen Ge- genden, nürdlicher von diesem Orte und dem FI. Ala- tyr, besonders zwischen Ardatow, Arsamas (465 Fuss) und Lukianow, auch westlich von Arsamas (Murchi- son 165, Wangenheim 1853) trifft man oft in kah- len hôher gelegenen Gegenden eine schwarze Erde von viel geringerer Dicke, bloss 2—3"), Zoll mächtig, wel- che allmäblig in einen ebenso dicken tauben (unfrucht- baren) grauen Unterboden übergeht, unter welchem grôsstentheils mehrere Faden des schwersten Lehmes liegen und noch tiefer zuweilen der schôünste gelbe Grant für Gartenwege. Alte Mordwinen bezeugen, dass auf solcher schwarzer Erde früher Eichenwälder stan- den, die von ihren Grossältern ausgehauen wurden. Diese schwarze Erde kann also Lauberde sein. Es wurde constotirt, dass in der Nachbarschaît noch jetzt viele und zuweilen recht grosse Eichen übrig sind, und dass man in Eichenwäldern eine gute schwarze Lauberde finde, die nach unten in die oben erwähnte graue taube Erde und noch tiefer in den Lehm übergeht, also die- selben Bodenschichten. Über die Fruchtbarkeit dieser 3 verschiedenen Schichten erhielt Hr. Plagge folgende Resultate: 1) Die oberste schwarze Erdschicht sagt vorzüglich 32* 503 Bulletin de l’Académie Impériale 504 zu: Klee, Wicken, Senf, Isatis, Madia, Papaver. 2)| Entfernt man die schwarze Erde gänzlich und bear- | beitet man den grauen tauben Unterboden, sei es mit Spaten oder Pflug, so gedeiht auf demselben im er- sten Jahre wenig oder gar nichts Wenn aber die groben Schollen den Winter über durchfrieren, so. erhält man schon einen Ertrag, der sich steigert, wenn Dünger, schwarze Erde oder Lehm zugemischt und das Ganze gut durchgearbeitet wird. Durch fort-! gesetzte Cultur und Düngung nimmt diese Erde eine | dunklere Färbung an, was man in der Nähe von Dür- fern bemerken kann. 3) Auf rigolten Feldern, wo] also der reine helle Lehm nach oben kommt und die! schwarze Erde tief nach unten, erzielt man schon im, ersten Jahre ausgezeichnete Gartenfrüchte: Bäume und Sträucher gedeihen darauf ohne allen weiteren Zusatz von Sand oder Dünger. Der Boden dieser Gegenden ist im Allgemeinen | fruchtbarer, als man vermuthen sollte. Nicht nur Som- | mer-und Wintergetreide, sondern auch oeconomische | und technische Pflanzen gedeihen, selbst bei einem trockenen Sommer, üppig und reichlich, wenn nur der Boden sorgfältig bearbeitet wird, die Aussaat zeitig genug erfolgt und häuptsächlich so dicht gesäet und gepflanzt wird, dass der Boden im Sommer nicht so leicht ausdorrt. Hr. Plagge liess auf mehrere Dessjä- tinen einer ehemaligen Eichenwaldung zwischen Win- terkorn im Herbste Eicheln stecken, aus welchen in 5— 8 Jahren ziemlich starke Eichen von 9 Fuss und | hôüher hervorwuchsen. Pinus, Abies und Juniperus | wuchsen üppig in Gruben, die in den schweren Lehm gegraben wurden. | Haideerde kommt in den Nadelwaldungen nur in schwachen, hôchstens bis ‘, Zoll dicken Schichten vor; sie ist ausgezeichnet zur Topfeultur. Moorerde findet sich stellenweise bis 41, Fuss tief in Nadelwäldern. Sie sagte zu: Rhododendron, Camel- lia, Azalea, verschiedenen Neuholländischen Pflanzen, | besonders den Hortensien; im December und Januar von letzterer gemachte Stecklinge erreichten in 1 Jahre eine Hôühe von 4 Fuss und entwickelten die schünsten blauen Blumen, in Folge des Eisengehaltes der Torferde. Nadelwälder kommen häufig und in grosser Aus- dehnung vor; ausserhalb diesen ist der sandige Bo- den wie abgeschnitten. Ob damit reine Kieferbestände gemeint sind, oder ob auch die Tanne daran Antheil nimmt, war aus den Mittheilungen des Hrn. Plagge nicht deutlich zu entnehmen; indessen versichert mich Hr. v. Müller, dass in der Nähe von Krassnoslobodsk beide Coniferen gemischt auf Sandboden wachsen, was ich selbst zwischen Moskau, Kolomna und Rjäsan bemerkte. Von Ardatow bis zur Gränze des Gouv. Tambow bei Sarow ist stellenweise der kräftigste Nadelwald, ebenso zwischen Ardatow und Arsamas. Zwischen Arsamas und Lukianow sind Tannen. Von Arsamas nach N. Nowgorod ist der Boden bald san- dig, bald lehmig; den ersteren lieben die Coniferen, den letzteren die Eichen. Die Flora dieser Gegenden ist eine triviale. Auch die älteren Reisenden sprechen wenig von ihr. Le- pechin erwähnt für Arsamas: Veratrum, Asparagus und Aristolochia. Das Pfriemengras (Stipa pennata) ist nirgends zu sehen, und das ist leicht zu erklären. Aber diese für den Tschornosjom sonst so charakteristische Pflanze ist am ganzen Nordrande des Schwarzbodens so selten geworden, dass ich sie nur auf den Bauernhäu- sern als Trophaee sah. Veesenmeyer sagt sehr tref- | fend (Beitr. PA. IX, 55): «Auffallend ist es, wie schnell die charakteristischen Gewächse der Grassteppe durch die Cultur verschwinden. Wenn eine Flur, auf wel- cher die seidenähnlichen langen Grannenbüschel des Pfriemengrases wie ein bewegtes Meer im Winde wogen, nur ein oder ein paar Mal überackert ist, so finden sich kaum noch einige verlorene Steppenpflan- zen an Wegen und Rainen». Diese Stipa gab Borg- mann 1842 für das Gouv. Moskau als neu an, wahr- scheinlich sah er sie an der Oka;: sie muss aber dort eine Rarität sein, denn man fand sie nicht mehr. In England und Schweden ist sie seit Dillenius und Linné ganz oder fast verschwunden. Regensehluchten sind häufig, oft 3—5 Faden tief und 15— 20 breit; im Frühjahre sind sie die Betten reissender Strüme:; die grüsseren Schluchten haben oft eine Richtung von O. nach W. oder SW. Erratische Blücke sind nirgends zu bemerken. Über die Verbreitung der erratischen Blôücke und Geschiebe im Diluvium findet man werthvolle Nach- richten in den geognostischen Untersuchungen von | Helmersen und Pacht im mittleren Russland (Baer und Helmersen Beitr. XXI, 1858). 505 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 506 Das Diluvialprofil in Mohilew ist 120 Fuss mäch- tig; das obere Drittel besteht aus rothem Diluvial- lehm mit sparsam eingeschlossenen Granitblôcken bis 3 Fuss im Durchmesser. Unter diesem Lehm liegt unmittelbar und scharf begränzt Sand, der nur kleine | [nach NO. angegeben: bei Ussman 52° (an mehreren Granitgerôlle und zwar nur in den obersten Lagen einschliesst, was so constant ist, dass die Arbeiter, die nach Granitblücken zum Chaussée-Bau graben, nicht weiter in die Tiefe gehen. In einer Tiefe von 60 Fuss von der Oberfläche fand man in dieser Sandschicht Holz in Brauneisenstein verwandelt. (S. 22). Der devonische Dom ist eine continuirliche Hühe, die im Smolensk'’ischen bis 900 Fuss, im Orel’schen | luvium, überlagert von Tschornosjom; unter dem Di- luvium ist Kreide (S. 50, 53). Auf der geognostischen Karte von Pacht wird die Verbreitung erratischer Geschiebe von Woronesh 51%,° (rechtes Ufer des Don bei Podkletnoje) weiter Punkten), bei Tambow 52° und 53° an der Tschel- nowaja und am gr. Lomowiss (Zuflüssen der Tsna), bei Kirssanow 527,°—.53° (an vielen Stellen) am rechten Ufer der Worona; und in denselben Parallelen bei den Städten Serdobsk und Tschembar, also nahe zum obern Choper. Hiermit ist aber noch keineswegs die 945 erreicht und von NW nach SO zum Don sich. zieht. Das Diluvium bei Orel ist nicht nur von sehr geringer Mächtigkeit, sondern es fehlen 5 s , À | ihm auch die nordischen und die am Orte selbst entstandenen devonischen Geschiebe. Hier ist keine Spur mehr von jenem gewaltigen Lager rothen Lehms, das im NW. Theile der devonischen Zone viele 100 Werst weit sich erstreckt und das oft so ausseror- | dentlich reich an Geschieben ist. (S. 32, 38). Man | kôünnte hieraus folgern, dass das devonische Land von Orel nur beim Beginn des Diluviums unter Wasser stand, aber schon beim Beginn des Transportes nor- | discher Geschiebe trockenes Land war. Im südlichen Theile des Gouv. Tula, von Mzensk. bis Tschern’ und Jefremow, liegt unter dem Tschorno- | sjom ein rôthlich gelber Diluvialthon ohne erratische | Blücke. Bei Jeletz (Gouv. Orel) an der Sossna findet man bis 2 Zoll grosse Gerülle von Granit mit fleisch- rothem Feldspath und grauem Quarz: grosse Granit- blücke wurden von dem Diluvialmeere nicht mehr bis in diese Breiten getragen, nur kleine Splitter der Finnländischen und Olonetzkischen Berge erreichten hier die südliche Gränze unserer Erratica (S. 42,48). Auf dem Wege von Sadonsk nach Woronesh, zwi- schen den Stationen Chlewnoje und Jaroslawetz, tre- ten Hügel aus festem Sande auf, in welchem bei einer Tiefe von 14 Fuss verschiedenartige vüllig abgerun- dete erratische bis 4 Zoll grosse Gerülle von rothem und weissem Granit. grauem Quarzfels und Bruch- stücke von Kieselschiefer liegen; 15 Werst westlich von Woronesh liegen Gerülle von weisslichem Granit in einem 7 Fuss mächtigen gelben sandigthonigen Di- südlichste Gränze der erratischen Geschiebe bezeich- inet; Pacht glaubte vielmehr, dass solche noch südli- cher gehen; nur erfordert das Aufsuchen derselben grosse Aufmerksamkeit, da sie nicht nur selten und meist sehr klein sind, sondern auch weniger auf der Oberfläche liegen, als vielmehr im Sande verborgen fl (S. 184). Das Diluvium in den oben erwähnten | Orten ist zuweilen mit Tschornosjom bis 2 Fuss Dicke | bedeckt; die kleinen Geschiebe bestehen aus Granit, Gneiss, Grünstein, Sandstein, Bergkalk und Feuer- steinknollen aus demselben. | Nordische Geschiebe treten daher wohl in die Re- gion des Tschornosjom tief nach Süden ein, vermi- schen sich indessen nicht mit demselben, sondern wer- den überall von Tschornosjom überlagert. Ausserdem müssen wir zwischen kleinen Geschieben und grossen erratischen Blücken unterscheiden. Der Transport der letzteren fällt in eine spätere Zeit des Di- luviums. Wosinsky erklärte (Bullet. Mosc. 1850), dass das erratische Diluvium in 2 Etagen von Lehm- flützen sich unterscheiden lasse: die untere hat zwi- schen St. Petersburg und Moskau nur kleine Roll- steine, Land- und Süsswasserschalthiere, Reste von Mammuth, Rhinoceros und Bos Urus; die obere Etage hat grosse erratische Blôcke und keine fossilen orga- nischen Reste. Blücke von mittlerer Grüsse und grosse Geschiebe sah ich bis Podolsk für die Chaussée auf- gehäuft, aber nicht südlicher von Podolsk und eben so wenig an der Oka im Antheile des Gouv. Moskau. Zum Schotter für die Chaussée von Serpuchow bis | Podolsk und noch nürdlicher dienen Kalkgeschiebe aus der Oka und anderen kleinen Flussbetten. Von noch grüsserer Bedeutung für unseren Gegen- stand ist das Zusammentreffen erratischer Blôcke mit 597 Bulletin de l’Académie Ampériale 508 —————————————————————————<…"<—<——— Tschornosjom, welches bis jetzt nur an der Nordgränze des letzteren beobachtet worden ist. Nach den mir von Hrn.v.Môller gefälligst mitge- theilten Beobachtungen erhebt sich das linke Ufer der Mokscha, bei dem Kirchdorfe Djewitschi, unweit der Kreisstadt Krassnoslobodsk(54"1°), in einer Regen- schlucht bis auf 77 Fuss über den Fluss. Aus dem genau angegebenen Schichten-Protile will ich bloss entnehmen, dass auf einem tertiären harten Quarz- sandsteine Sandschichten von meist weisser Farbe in einer Mächtigkeit von 53 Kuss, widerholt getrennt durch dünne Lagen eines eisenhaltigen Lehms, auf- gelagert sind: nur die oberste dieser Sandschichten (14 Fuss mächtig) enthält erratische Geschiebe. Auf dieser liegt ein gelblich-rother Lehm, 17 Fuss mäch- tig, mit zahlreichen erratischen Blôcken bis 2°, Fuss im Durchmesser: Rappakiwi, klein kristallinischer Gra- nit, rother Quarzsandstein von Schokscha am Onega, jedenfalls früher als die Umgebung trocken gelegt worden. Noch jetzt ist NO. von Krassnoslobodsk ein grosser Sumpf übrig, zwischen dem obersten Lauf des | Urkat und der Warma: die Gegend ist überhaupt nur wenig oder gar nicht bewohnt. Die Mokscha hat von Tjemnikow bis zur Mündung in die Oka einen dieser entgegengesetzten Lauf; zwischen beiden Flüssen ist viel unbewohntes Land. Eine ähnliche Auflagerung von Tschornosjom in der Nähe einer Diluvialschicht mit nordischen Blôcken beobachtete ich bei Sednjew, worüber später. Dort wird auch die Collision der erratischen Geschiebe mit Tschornosjom bei Putiwl berührt werden. Ich erlaube mir indessen, hier eine Bemerkung über den Tschornosjom von Krassnoslobodsk einzu- schalten, um so mehr als er anscheinend gegen ein relativ hohes Alter dieser Bodenart spricht. Dass wir es hier nicht mit einer uralten angehäuften reinen Pflanzenerde zu thun haben, beweisen die Belemniten- Fragmente, die nicht aus Pflanzen abstammen künnen, sondern der Diluvialschicht angehôren, welche sich konnte; aber auch Färbung durch Infiltration mit Wie- sen-Humus bis zu dieser Tiefe entsteht nicht so bald; am schnellsten kônnte eine solche Schicht durch An- schwemmung von der Landseite her gebildet sein, etwa durch die Mokscha, als diese noch einen so hohen Wasserstand hatte. Die Vegetation kônnte vielleicht ein Kriterium geben. Auch müssten Proben von die- ser Erde noch genauer untersucht werden, mikrosko- pisch und chemisch. Allein der Snow kommt nicht aus hüheren Tschornosjom-(Gregenden, und doch liegt der staubartige ächte Tschornosjom bis 3 Fuss tief um Sedujew auf dem Diluvium, in welchem nicht weit da- von grosse erratische Blücke abgelagert sind. Kant man aus diesen zwei Fällen den Schluss zie- hen, dass sich der Tschornosjom an diesen Orten aus der ursprünglichen Pflanzendecke gebildet hat, erst nach Beendigung des Transportes der erratischen Blücke, mit welchem nach den bisherigen Erfahrun- gen die Diluvialperiode sich abschloss? Ich glaube kei- neswegs. Eine solche Annahme widerspricht allen übrigen Erscheinungen auf den Hühenzügen im nürd- gelblicher Quarzsandstein und Diorit. Hierauf folgt. die oberste Schicht von 3 Fuss Tschornosjom. mit Fragmenten von Belemniten. Dieser Punkt ist. lichen Russland, der Vertheilung des Tschornosjom, der Verbreitung erratischer Blücke, der Floren-Ver- schiedenheit u. s. w. Der Tschornosjom wurde auf der Diluvialschicht des Europäischen Russlands bereits vor der Periode des Transportes nordischer Blôcke gebildet; ihre Ver- breitung ist der beste Beweis. An der nôrdlichenGränze des Tschornosjom erfolgte seine Bildung erst nach dem Beginn der Diluvialzeit auf dem bereits trocken gelegten Diluvialboden, in welchem man nur kleine nordische (Geschiebe antrifft. Die Kuppe von Orel und Tula ist noch jetzt der hôchste Punkt in der nürdlichen Zone des Tschornosjom und war schon in der frühesten Zeit des Dilnviums über der allgemei- | 7 . s . . . inen Wasserbedeckung; die Diluvialschicht ist um Orel nur gering und gänzlich ohne Geschiebe. Nach : W. und O. von dieser Kuppe wird das Land allmäblig niedriger, und es finden sich nach O.immer mehr nor- dische Geschiebe unter dem Tschornosjom, bis end- lich bei Krassnoslobodsk auf den Geschieben eine mäch- |nosjom bedeckt ist. tige Schicht mit grossen Blücken liegt und mit Tschor- Etwas Abnliches ist auch im | Tschernigow’schen bei Sednjew. Allein diese zwei Fälle sind vereinzelt und desshalb noch sehr zweifelhafte schwerlich durch Walderde so tief schwarz fürben Beweise für ein, wenn auch nur locales, relativ jun- ges Alter des primitiven Tschornosjom. Ich erinnere mich recht gut, wie im Beginne und späteren Gange meiner Studien über den Tschornosjom einzelne Er- 509 scheinungen und Angaben sich durchaus widersprachen und lange Steine des Anstosses blieben, wie z. B. der des Sciences de Saïnt-Pétersbourg. Waldai, der erratische Block von Woronesh. die Tan- | nen von Tjemnikow und Krassnoslobodsk u. dgl. Und so hoffe ich, dass neuere Untersuchungen weiteres Licht bringen werden über diese anscheinende Auf- lagerung des Tschornosjom auf den beiden vorsprin- genden Ecken des zerrissenen Tschornosjom-Konti- nentes, Punkte, die nach allem, was man von ihnen weiss, ehemalige Ufer des grossen Binnenmeeres waren und lange dem Anprall transportirter Blücke aus dem Norden und Anspülungen von Geschieben, Sand u. dgi. ausgesetzt waren. Das Diluvium ist eine noch nicht erledigte Aufgabe für die Geognosie Russ- lands. Mir ist es nur müglich, aus dem bisher noch so wenig beachteten geo-botanischen Standpunkte auf die Lôüsung solcher Fragen für einen anderen Zweck hin zu arbeiten. Die Resultate in beiden Richtungen wer- den hoffentlich, nach einigen Controversen, zuletzt übereinstimmen. Nach dieser Ausschreitung gehe ich wieder zur Reïhenfolge des Berichtes zurück. Erratische Blücke in der Oka oder südlich von ihr sind selten und vielleicht nur in ihrem untersten Laufe innerhalb oder an der Gränze des Gouv. Wiadimir, in welchem sie so häufig sind. Ausser den von Murchi- son erwähnten Blôücken bei Gorbatowa und Jelatma sollen stellenweise solche der Dampfschififahrt, die bis Jelatma geht, gefährlich sein. Auf der ganzen Strecke von Jelatma bis Kolomna und noch weiter die Oka genden der Oka sind sandig oder hart-lehmig, weit Das rechte hohe Ufer der Oka (von N. Nowgorod | hivauf traf ich nirgends erratische Blôcke. bis über Pawlowo hinauf) hat keinen Tschornosjom und diesen bezeichnende Pflanzen, ausgenommen etwa Campanula bononiensis oder Medica faicata. Genti- nicht einmal Dammerde gebildet, Die neuere Invasion ana cruclata, Closirospermum (Picris) hieracioides, Veronica latifolia, Orchis militaris, Aconitum septem- trionale u. del. stimmen mit den hüheren Gegenden der St. Petersburger Flora. Auch landeinwärts von der Oka ist, ausser etwa Laserpitium prutenicum, nichts Besonderes. Das rechte Ufer besteht meistens aus einer mächtigen rôthlichen Lehmschicht und bleibt sich auch bis zur Mündung der Oka und die Wolga herab im Allgemeinen gleich. Dagegen hat das linke flache Ufer der Oka mehrere Eigenthümlichkeiten, 510 die auch aus der Kljäsma stammen kônnten (sieh weiter unten) und die ich, so wie den Tschornosjom, auf der ganzen Strecke der Oka bis ins Gouv. Moskau hinauf vermisste, nur Silene procumbens war am Ufer in Murom. In einem alten Manuscript von Gerber (1739) fand ich Gratiola bei Murom und N. Nowgo- rod angegeben: Lepechin fand gegenüber Murom: Aristolochia, Eryngium, Artemisia procera, Datura u. à. Pallas gibt für Murom an: Sanguisorba, Ly- thrum virgatum, Corispermum u. a. Von der Mitte Wess zwischen Pawlowo und Mu- rom bis Kolomna fliesst die Oka in weiten und zahl- reichen Biegungen in einem sehr niedrigen Land- striche Von Kolomna bis in die Parallele von Rjäsan und etwa Spassk ist das rechte Ufer noch stark be- wobnt und trocken, das linke fast unbewohnt und mit vielen Sümpfen weit landeinwärts bedeckt, Die Städte Murom (282 Fuss bar), Jelatma, Kassimow und Spassk sind auf den spärlichen hüheren Ufern der Oka ge- baut. Das niedrige Land wird im Frühjahre weit hinaus überschwemmt und soll dann das Bild eines Meeres darstellen. Auf Schubert’s grosser Special- karte Russlands sieht man, wie viele und grosse Stre- cken in diesem Landstriche an der Oka unbewobnt oder nur sebr dünn bevülkert sind. Man weiss hier aus Erinnerung und Überlieferung, dass die Oka ibr Bett stellenweise mit der Zeit verändert hat; zwischen den Stationen Ishewskaja und Jerachtur ist ein ab- geschnittener Seitenarm der Oka, und solcher blinder Aussackungen, Kanäle, Tümpel, die langen Seen oder Flüssen gleichen, gibt es eine Menge. Die Uferge- und breit äusserst spärlich mit kurzem Grase oder Po- lygonum aviculare bewachsen, and von der eigenthüm- lichen Vegetation der Überschwemmungs-Wiesen im Gouv. Moskau ist hier fast keine Spur; ja es hat sich von Conyzella canadensis nimmt hier, so wie im gan- zen mittleren Russland colossale Proportionen an. Die einige Werst von Jelatma und der Oka entlegenen Hôhen besitzen Hieracium (Crepis) sibiricum, Asperula Aparine und eine dichte triviale Bewachsung, aber keinen Tschornosjom; eben so wenig andere Hühen von 10 Sashen vor Jerachtur mit Genista und Cyti- sus. Pallas sah bei Kassimow: Eryngium planum und Aristolochia. Bei der Station Kistra unweit der Oka 511 Bulletin de l’Académie Impériale 512 ——_—_—_—_—_—_——"—"—"——— — sind Sandhügel mit Artemisia scoparia, campestris | und inodora, Digitaria glabra und Salix acutifolia. Erst im Kreise Schatsk, südlich von Jelatma, deu- | ten die aus Roshestweno durch Meyer (Beitr. IX, | 1854) bekannt gewordenen Pflanzen auf die nächste | Tschornosjom-Gegend hin, durch: Stipa pennata, The- sium ebracteatum, Verbaseum orientale, Salvia dume-! torum, Prunella grandiflora, Serratula heterophylla, Potentilla alba, Thalictrum collinum. In Gouv. Rjäsan fehlt der Tschornosjom auf der. ganzen Strecke von Kolomna bis Rjäsan, was ich der niedrigen Lage zuschreiben müchte. Selbst der Park bei der Gouvernements-Stadt, der ein unebenes Ter- | rain hat, steht auf gewühnlicher Dammerde und be-! sitzt keine einzige der bei Kolomna so eigenthümlichen | Pflanzen der Schwarzerde. Erst eine Stunde Wegs weiter, bei dem Schlosse des Fürsten Krapotkin,! auf einer Anhühe von etwa 15 Sashen, ist eine 2 Fuss dicke graue Erdschicht, die sich indessen nur wenig | von Rasenerde unterscheidet. Âchter Tschornosjom beginnt erst bei Rjäshk, 1—2 | Fuss dick, auf einer 4—6 Fuss mächtigen Diluvial- | schicht mit kleinen Geschieben (Pacht in Baer und | Helmersen Beitr. XXI, 182). Das Land im Gouv. Rjäsan erhebt sich erst beim Kirchdorfe Bogojawlensk ! (daselbst häufig Hieracium sibiricum), welches 55 Werst | von Skopin und 20 Werst von Jepifan am Don ent- fernt ist; gegen den Don geht das Land sehr hoch an (Pallas Reise III, 689). Der Don beim Iwan-See hat eine absol. Hôühe von 587 Fuss geod. Der fette Tschornosjom des südlichen Theiles des Gouv. Rjäsan wird, gegen den FI. Prona zu, immer lehmiger, schwe- rer und zäher; jenseits der Prona herrscht Lehm vor; | die Schicht Schwarzerde wird immer dünner je näher | zur Oka: an dieser ist der Boden sandig und an vielen Orten ist Flugsand (Baranowicz Marep. 164—168). Hr. P. Semjonow ([puionckaa Paopa 1851,$. 33) giebt am genauesten und mit dem bisher (Gesagten über- einstimmend die Nordgränze des Tschornosjom dieser | ihm wohlbekannten Gegend an: «Vom südlichen Theiïle des Kreises Bjelewsk (Bjelew 700 Fuss geod.), über | Krapiwna, Tula(757 Fuss Russ. barom.) vorbeï, erhebt sich die Gränzlinie nach Nord bis zur südlichen Gränze des Kreises Saraisk, geht dann nach Süd bis Pronsk, dann nach Ost, Ssaposchka vorbei, erhebt sich wieder | nach Nord bis zur südlichen Gränze des Kreises Jela- tomsk zum F1. Zna und hinüber, sinkt von dort nach Süd und geht dann nach Ost bis zur Stadt Spassk (Gouv. Tambow). Südlich von dieser Gränze fehlt der Tschor- nosjom indessen: 1) auf einer kleinen Strecke in SW. des Gouv. Tula, die mit dem Laufe des F1. Krassi- waja Metscha beinahe zusammenfällt; 2) auf einem dünnen Strich an den Ufern des Don und der Ssossna; 3) im SO Theile des Kreises Ranenburg, westlichen Theile des Kreises Koslowsk, ôüstlichen Theile des Kreises Lebedjansk und mittleren des Kreises Lipetsk, welche zusammen eine ziemlich breite Zone längs dem F1. Woronesh einnehmen; diese Zone ist meist sandig mit Kieferwaldungen und abwechselnd mit Sphagnum-Sümpfen und Ericaceen. An den Gränz- linien ist der Tschornosjom sehr dünn, wird von Hügeln im Frühjahre häufig herabgespült und auf Ackern durch das Einpflügen undeutlich. In den süd- licheren Theilen erreicht er eine Dicke von 1',—2 Arschin, z. B. im Kreise Semljänsk, im südlichen | Theile des Kreises Jeletsk und Liwensk; eine grôs- sere Tiefe ist Anschwemmungen zuzuschreiben. Endlich giebt schon Güldenstädt bemerkenswer- the Beobachtungen über diese Gegend und den Tschor- nosjom, die mir, so wie Andern, bisher entgangen sind. Er schreibt (Reise I, 33): «Jenseits Saraisk (648 Fuss geod.) verändert sich das Land vüllig; es zeigt sich eine unübersehbare Steppe oder Ebene, die mit einer ganz schwarzen fetten Dammerde, gemeiniglich 2—4 Fuss mächtig, bedeckt ist, und diese Ebene dauert weit über Woronesh hinaus fort. Es ist gewiss schwer, den Ursprung dieses, der schônsten künstlichen Gartenerde gleichen Mulms zu bestimmen'). Nicht ganz unwabrscheinlich kôünnte man ihn daher ableiten, dass in diesen vielleicht von jeher wenig bewohnten Gegenden die von Thieren nicht verzehrten und un- gestürt wuchernden Pflanzen jährlich ganz ha- ben verfaulen und dadurch den Mulm so be- trächtlich anhäufen kônnen. Es enthält diese Mulmerde auch etwas salzige Bestandtheile». Nachdem |hierauf auch Güldenstädt diese Erde mit dem Torf verwechselte, der ebenfalls hier, besonders um Jepi- fan vorkommt, sagt er weiter: «Eine Tanne oder 1) Hierzu macht Pallas, also im Jahre 1787, die Bemerkung, dass oft auf der Steppe sich Spuren von Baumwurzeln finden, was auf eine Bewaldung vor undenklicher Zeit hinweise, dass diese Wäl- der vermuthlich durch Krieger oder Hirten niedergebrannt seien [und diesen Mulm, so wie Torferde nachgelassen hätten. 513 des Sciences de Saïint- Pétersbourg. 514 Fichte ist gewiss eine grosse Seltenheit in dieser ganzen Gegend auf 300 Werst und dar- über»; bloss in Dankoff hat Güldenstädt ein Paar gepflanzte angetroffen. Die Steppe zwischen Woro-| nesh und Tambow ist, nach ihm, bedeckt von einer Schicht von 3— 5 Fuss schwarzer Erde, darunter liegt gelber Lehm 1 Faden mächtig, unter diesem Sand von unbekannter Tiefe. Der Slepetz (Spalax Ty- phlus) ist erst 1768 von Güldenstädt in der Steppe von Tambow entdeckt worden. Die Ufer der Oka von Kolomna bis Tarussa (Gouv. Kaluga) sind in geringer Entfernung von den Uber- schwemmungs- Wiesen, wo solche auftreten, auf bei- den Seiten meistens hoch. Obgleich die Veränderung | der Vegetation, verbunden mit der Bodenbeschaffen- heit, erst recht deutlich auf dem rechten Ufer wahr-| nehmbar ist, so treten doch schon auf den hüheren Punkten des linken Ufers einige Pflanzen der Tschor- D nosjom-Region auf, wie z. B. 3 Werst von Kaschira galus Cicer, Nasturtia: austriacum und anceps nebst Mittelformen u.a. Am sandigen Ufer der Oka bei Ser- puchow wuchs eine Abart von Alopecurus nigricans, der anderswo für eine Littoralpflanze gilt. Am rechten Ufer der Oka bei Kolomna tritt so- gleich ziemlich dunkler sandiger Tschornosjom in Kalkbrüchen auf; in geringen Dosen besehen ist er allerdings nur aschgrau, allein als 1°, Fuss dicke Schicht erscheint er dunkler, vielleicht in Folge des Contrastes mit den unterliegenden weissen Kalk- schichten. Die Oka reicht nie bis zu dieser Stelle. Die gewôhnlichen charakteristischen Pflanzen des Tschornosjom finden sich in dieser Nähe; Chryso- coma Linosyris sal ich als Seltenheit bloss hier. In einem benachbarten sandigen Kiefernwalde hat sich noch keine Spur einer Dammerde gebildet, obgleich die Lage eher hôüher, als niedriger ist. Auf der ganzen linken Seite der Oka von Kolomna bis 3 Werst vor Kaschira ist nirgends Tschornosjom:; sandige Kiefernwaldungen kommen oft vor. Das rechte | | | | | auf sandigen Anhôühen: Phlomis tuberosa und Cen- | Ufer von Kaschira abwärts hat an vielen Stellen ziem- taurea Biebersteinii; hier hat sich etwas Schwarzerde | lich deutlichen, aber nie ganz schwarzen Tschornosjom beigemischt erhalten. Ein ähnlicher Boden ist auf den | bis 2 Fuss Dicke. Auf ihm liegt im dichten Laub- Hôühen von Serpuchow (362 Fuss barom.) bis auf eine |walde eine Schicht schwarzer Lauberde mit Aconi- Entfernung von 3 Werst vom linken Ufer der Oka; | tum pallidum, Veratrum, Pedicularis comosa, Campa- die Zahl der Tschornosjom-Pflanzen ist hier bedeu- | nula bononiensis, Coronilla varia. Die Abhänge haben tender: Trifolium alpestre, Alyssum montanum, Sca- am Fusse herabgeschwemmten grauen Tschornosjom, biosa ochroleuca, Verbascum Lychnitis, Clematis | darüber eine helle Sandschicht und auf dieser wieder erecta, Centaurea Biebersteinii, Aristolochia, Serra- eine dünne graue Schicht unter dem Rasen; diess ist tula coronata, Salvia verticillata, Veronica incana und spuria, Vincetoxicum, Coronilla varia, Aconitum palli- dum(Kauffmann). Vor Tarussa 7 Werst, aber in gera- der Linie viel näher zur Oka, wachsen Scabiosa ochro- leuca und Eryngium planum auf abschüssigem Lehm- | boden, wo sich Tschornosjom nicht halten konnte. Die Überschwemmungs-Wiesen an der Oka sind reich an Pflanzen des Tschornosjom-Bodens; beide sind von den hüheren linken Zuflüssen der Oka herab- gebracht, und der Tschornosjom bildet an manchen Or- ten, wie z. B. bei Kolomna am linken Ufer, bedeutende schwarze Ablagerungen. Die gemeinsten Pflanzenarten e : | auf solchen Wiesen sind: Sanguisorba, Chaerophyllum | bulbosum, Cenolophiunm, Tragopogon orientalis, Tha- lictrum minus, Eryngium, Phlomis tuberosa, Dianthus Seguieri, Artemisia procera und scoparia, Ononis hir- cina, Scabiosa ochroleuca, Verbascum Lychnitis, Astra- Tome IX. | besonders gut in Regenschluchten zu beobachten. An solchen freien Stellen wachsen Dianthus Carthusiano- rum und Astragalus Cicer. Fritillaria ruthenica soll | 4 Werst landeinwärts anzutreffen sein (Kauffmann). Jenseits der Oka bei Serpuchow erhebt sich das | Ufer beträchtlich. Die Abhänge sind stark bebaut, [und stellenweise soll Tschornosjom bis 4 Fuss Tiefe auftreten. Der Schotter für die Chaussée besteht aus | Kalkgeschieben aus der Oka. Der Boden des Gouv. Tula, welchen die Chaussée durchschneidet, ist ein | grauer Tschornosjom, der nur stellenweise eine schwärzliche Farbe zeigt und daher gewühnlich über- sehen werden kann. Indessen bemerkt man schon bei | der Auffahrt jenseits der Brücke in den Regenschluch- ten 20—30 Faden über der Oka, dass die oberste Erdschicht bis auf 3 Fuss Dicke eine graue Färbung hat und weiter unten (bei einer Ziegelhütte) sogar 33 515 Bulletin de l’Académie Empériale 516 oo eine Schicht schwarzer, wahrscheinlich herabge- schwemmter Erde. Die Âcker an der Gränze der Gouv. Moskau und | Kaluga geben nur halb so reichliche Ernten als jene auf der gegenüberliegenden Tula’schen Seite. Zwi- schen Serpuchow und Tarussa ist keine Spur von Tschornosjom *). Gegenüber Tarussa, jenseits der Oka, ist der sandige Boden grau und schwärzt die Hände. Conyza hirta, Cirsium eriophorum, Potentilla alba, Galium sylvaticum (auch bei Kaschira), Salvia praten- sis, Carex pilosa und Ajuga genevensis sah ich bloss hier und nicht weiter abwärts. Sie wachsen sparsam auf buschigen und bewaldeten Anhühen des rechten Ufers. Im dichten Walde nimmt schwarze Lauberde die Stelle des Tschornosjom ein. Auf einer einzigen Stelle bei einem Kalksteinbruche erregte ein Rasen von Phlomis tuberosa, Euphorbia procera und Nepeta nuda meine Aufmerksamkeit; bei dem Ausgraben er- wies sich, dass derselbe in einer dicken isolirten schwarzen Erdschicht wuchs. An der Oka oder auf ihren Ufern bei Serpuchow und Kolomna fand Prof. Kauffmann: Aster Amellus, Asperula tinctoria, Geranium sanguineum, Potentilla | cinerea, Thymus Marschallianus und Seseli coloratum. | Viele Tschornosjom-Pflanzen der Oka-Ufer künnen von Orel abstammen. Die Quellen der Oka südlich von Kromy sind auf 773 Kuss bar. bestimmt. Nach den Untersuchungen des H. v. H elmersen (Beitr. XXI. 1858) fällt die devonische Nordgränze im mittleren Russland nicht mit der Nordgränze des Tschornosjom zusammen, denn der Tschornosjom über- steigt die ganze devonische Hühe von Orel bis Tula, wo noch dünne Schichten dieser Erde vorkommen. (S. 60). Die Kugel des Glockenthurmes der Kirche zu Mariä Geb. in Orel hat eine abs. Hühe von 776 F.geod. Der alte Weg von Tula nach Orel war in reinem Tschor- nosjom angelegt, jetzt ist die Chaussée aus devoni- schem Kalkstein gebaut: die Regenschluchten entste- hen nur im Diluvium, in weichen lockeren Schichten | und im Tschornosjom (S. 39). Von Mzensk bis Tschern” 2) Achter Tschornosjom fehlt im ganzen Gouv. Kaluga; das, was man dort gewôhnlich so benennt, sind Bodenarten, die einen Über- gaug dazu bilden, oder sonst fruchtbarer sind. Solche Erdkrusten von 9 — 11 Zoll Dicke findet man in den Bezirken Meschtschowsk, Peremyschl, Koselsk und (sehr selten) Malo-Jaroslawetz (A. La- | manski Hamsrn. kH. Crar. Kom. 1863). und Jefremow bildet der Tschornosjom überall die oberste Decke, an letzterem Orte ist er 2 Fuss mäch- tig; diese Gegenden sind steppenartig, fast aller Bo- den ist indessen zum unübersehbaren Acker umge- wandelt (S. 42). Zwischen Jeletz (820 Fuss geod.) und Sadonsk bedecken überall Getreidefelder den Tschornosjom-Boden; zwischen Sadonsk und Woro- | nesh (524 F. geod.) am linken Ufer des Don tritt der |Tschornosjom nur in kleinen Partien auf (S. 48, 49). Die Gegend um Karatschew (zwischen Brjansk und Orel) ist hoch und besitzt grosse zusammenliegende Tschornosjom-Partien und fruchtbare Getreidefelder; grosse Strecken sind hier waldlos, steppenartig (S. 31). Der Tschornosjom beginnt nicht erst südlich von Tula,sondern er geht mit Unterbrechungen bis zur Oka, ist jedoch seiner hellen Farbe und geringen Mächtig- keit wegen, so wie in Folge der Seltenheit der Regen- schluchten nicht autfallend. Auf den vorhergehenden Seiten ist der Tschornosjom (freilich nicht überall ty- pischer) näher nachgewiesen, nicht bloss in dem Über- schwemmungsgebiet der Oka, sondern auch an hüheren Stellen des rechten Ufers und selbst am linken bis auf eine gerade Entfernung von etwa 3 Werst vom Flusse. Die Ânderung der Vegetation mit diesem Boden ist durch spezielle Beispiele erhärtet; es ist wahr, dass auf dem ganzen Wege von Serpuchow bis Tula, Orel und weiter fast alle erwähnten charakteristischen Pflanzen fehlen *), weil sie durch die Cultur des Bo- dens schon lange gänzlich ausgerottet sind; dieser Umstand darf nicht befremden. Im J. 1863 sah ich {noch sehr bestimmt 35 Werst nôrdlich von Tula auf der Ostseite der Chausée, bei dem Dorfe Shelesnaja, durch eine Regenschlucht entblüsst zwei Schichten eines schwarzen Tschornosjom getrennt durch eine helle Diluvial- oder vielmehr Alluvial-Schicht; ein Fall, der mir anderwärts später nicht mehr vorgekom- men ist und vielleicht bald durch weiteren Einsturz sich verändern kann; die obere Tschornosjom-Schicht reichte bis zur Erdobertfläche. 30 Werst südlich von Tula sieht man oft 2 Fuss dicke Schichten eines braun- schwarzen Tschornosjom, scharf begränzt von der san- dig-lehmigen Unterlage; 27 Werst weiter bei der Sta- tion Sergiewsk ist der Tschornosjom heller, nur asch- 3) Ich sah zwischen Serpuchow und Tula bloss Senecio eruci- folius (tenuifolius) und Cirsium eriophorum; zwischen Mzensk und Orel: Artemisia scoparia, Verbaseum Lychnitis und Lactuca Scariola. 517 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 51S grau. Zwischen Tula und Tschern’ erscheinen die unbe- stellten Felder im Frühjahre von auffallend schwarzer | Farbe. Bei Djedilowo, zwischen Tula und Bogorodizk, wird der Schwarzboden schon deutlich (Küppen Stat. | Reise S. 7). Auf Meyendortff’s Karte‘) ist die Nord- gränze des Tschornosjom etwa 20 Werst südlicher, durch Bogorodizk(906 F.geod.) gezogen. Von Tschern” bis Orel und Kromy (700 Fuss geod.) sind hin und wieder schwarze Felder, aber meist nur grauer Tschor- nosjom bis 2 Fuss Tiefe, zuweilen vom Aussehen brau- ner Dammerde, und mehrmals schien es schwierig, selbst diese zu constatiren, indessen mitgenommene Proben erwiesen sich bei späterer Vergleichung doch als eine hellaschgraue Erde mit allen übrigen Eigen- schaften des Tschornosjom. Im Gouv. Tula schwanken die bisher geodätisch be- stimmten Hühen zwischen 600—900 Fuss und darüber bis 1017 Fuss; im Orlow’schen von 589—942 Fuss; in Karatschew 792 und 835 Fuss. Gewühnlich sind die geodätischen Messungen auf die Spitze der Glocken- thürme bezogen, daher für unseren Zweck um diese | Hôhe herabzusetzen. Der schwarze Schlamm am Flusse Kroma bei Kromy hat getrocknet das Aussehen eines in Klümpchen zu-| sammengebackenen Tschornosjom (eine Form die in manchen Gegenden als «Pripad’» unterschieden wird) und ist nicht auf nassem Wege entstanden; das Mi- kroskop zeigt keine Reste von Pflanzengeweben, bloss einige grosse Phytolitharien und äusserst viele schon mit blossem Auge sichthare Quarzkürner. Von Kromy (700 Fuss geod.)SWW.bis Dmitrowsk(850 Fuss geod.) ist fast überall deutlicher ziemlich schwarzer Tschor- nosjom, sowoh] unter dem Rasen, als in kahlen Re- genschluchten ; an letzteren Orten ist die Farbe und Mächtigkeit sehr veränderlich, Anfangs meistens grau- schwarz und bis 1 Fuss dick; später etwas dunkler, | fein vertheilt und stark abfärbend, bis 2 Fuss tief, stellenweise sogar bis 7 Fuss (auf der 27 Werst W. von Kromy). Nirgends anderswo fand ich eine solche | Schwarzerde. Datura, Carduus nutans und acanthoi- des, Salvia verticillata, Artemisia scoparia, Lactuca Scariola, Xanthium Strumarium und Conyzella cana- densis waren auf diesem Wege die hervorragendsten Unkrüuter. Zwischen Dmitrowsk und Sjewsk sah ich keine Re- genschluchten. Die Farbe und sonstige Beschaffenheit des Bodens ist dieselbe wie früher und bleibt sich auch gleich bis 18 Werst westlich von Gluchow; der Boden ist 2—3 Fuss tief gefärbt. Die Strasse von Kromy an hat das Aussehen eines schwarzen Streifens und ist ganze Stationen lang eben: der aufgewirbelte Staub schwärzt bald Gesicht und Hände. Stellenweise ist die Erde vollkommen schwarz, anderswo bildet die Ober- fläche nur eine dünne helle Schicht Dammerde. Ostlich und 12 Werst vor Sjewsk ist ein Eichenwäldchen mit Potentilla alba, Genista und Cytisus auf Tschornosjom, der nach oben zu immer reicher an Phytolitharien, braunen Wurzelfasern und vegetabilischen Skeletten wird und in eine Wald- oder Loherde übergeht, in welcher sich die Reste der Eichenblätter immer deut- licher erkennen lassen. Unter den Unkräutern am | Wege machen sich bald neue bemerklich: Xanthium spinosum, Elsholzia, Leonurus Marrubiastrum und Amaranthus retroflexus. Um Gluchow (5 Werst west- lich davon) wachsen: Artemisia scoparia, Verbascum Lychnitis, Scabiosa ochroleuca, Cytisus austriacus u. a. In Gluchow (726 Fuss geod.) sah ich, seit dem Kreml von Moskau, zum ersten Mal wieder Pyramiden-Pap- peln, ohne Schutz 3 — 5 Sashen hoch: in Sossnitza und noch mehr in Sednjew und Tschernigow errei- chen sie ihren vollen Wuchs; in Homel, Dowsk, Mo- hilew und Orscha ist es noch ein Allée-Baum; in Go- rodok nürdlich von Witepsk (wo grosse gelbe Pflau- men und gute Birnen gedeihen) scheint die Pyrami- den-Pappel nicht mehr gut fortzukommen. NW. von Gluchow verschwindet der Tschornosjom und seine Pflanzen auf eine gerade Strecke von 50 Werst bis zum rechten Ufer der Dessna. Ein 15 Werst mächtige Schicht, hôchstens waren es 3— 4", Fuss. langer gemischter Wald von Eichen, Kietern und wil- Es künnen diese 7 Fuss secundäre Ablagerungen den Birnbäumen wechselt mit sumptigen Niederun- gewesen sein; so wie der 15—20 Fuss mächtige | gen und sandigen Strecken ab. Tschornosjom, welchen Murchison erwäbhnt. Eine Das rechte Ufer der Dessna, 10 Werst südlich von Hälfte der Station vor Dmitrowsk begann wieder Nowgorod-Sewersk, bei der Überfahrt, ist beträcht- 4) KRapra upowpuuiennocru Esponeñcxoñ Poccin. lich hoch und auf dieser Stelle sehr lehrreich. Der Tschornosjom hat auf dem hôchsten Puukte 33* 519 Bulletin de l’Académie Impériale 520 4", Fuss Mächtigkeit, welche allmählig nach abwärts geringer wird, bis 1 Fuss: noch niedriger ist er gar nicht vorhanden oder nur herabgeschwemmt. Dieselbe Erscheinung wiederholt sich in der Stadt N.Ssewersk (die Spitze der Kathedrale ist 700 Fuss geod.), die auf Tschornosjom-Boden gebaut und mit vielen und tiefen Regenschluchten durchrissen ist. Man kann da mit der grüssten Deutlichkeit betrachten Profilé von 4 Fuss dicken Tschornosjom auf den hôchsten Punkten, die allmählig um 2 Fuss und mehr abnehmen, je nachdem der Abhang niedriger wird und noch in einer beträchtlichen Hühe über dem Niveau der Dessna (die genaue Messung wäre wün- schenswerth) verschwindet der Tschornosjom. Die Schluchten 5 Werst südlicher von der Stadt zei- gen ebenfalls an 4}, Fuss Schwarzerde, die bis zur Überfahrt auf dem Plateau überall aufliegt. Die Umgebung von N.Ssewersk ist reich an Tschor- nosjom-Pflanzen. H. Mertens sammelte vor 40 Jah- ren daselbst und westlich bis Pogorelzy ein Herba- rium von etwa 600 Arten, in welchem sich u. a. be- finden: Clematis recta, Alliaria, Corydalis cava, Po- tentilla cinerea und 8 trifoliata, Seseli coloratum, Falcaria, Pimpinella magna, Centaurea Biebersteinii, Artemisia scoparia, Adenophora, Salvia pratensis, Lamium maculatum, Scutellaria hastifolia, Pulmonaria angustifolia, Lilium Martagon, Veratrum BLobelianum und nigrum, Cyperus flavescens, Carex praecox und montana. [ch fand in der Stadt Atriplex rosea. Einige andere Arten stehen in Prof. Rogowitsch’ Verzeich- nisse: Trifolium elegans, Sium lancifolium, Cornus sanguinea, Senecio aquaticus, Cineraria palustris, Pi- cris Japonica mit Verbena officinalis (auch bei Staro- dub), Verbascum phlomoides, Heleocharis ovata. Dass hier die Tschornosjom-Pflanzen mit nordischen hart zusammentreffen sieht man aus Salix Lapponum, Ma- laxis monophyllos, Peristylus viridis, Epipactis palu- stris u. a., die auch um Starodub und Mglin sich wie- derholen; um Starodub kommen noch Herminium Monorchis und Epipogon Gmelini dazu. Die Tanne wächst schon in den Kreisen Starodub, Mglin und Surash. Das ganze rechte Ufer der Dessna von N. Ssewersk bis Tschernigow ist auf eine Strecke landemwärts mit Tschornosjom bedeckt, den man auf der nürdlichen zum Anfange des gemischten Waldes, 20 Werst SW. vou N. Ssewersk (Stachorschtschina); ferner um Aw- djejewka und von da SO. bis zur Dessna auf hüheren Stellen, wo kein Wald ist oder war; dann 17 Werst westlich von Awdjejewka mit dem Aufhüren des ge- mischten Kiefernwaldes: endlich zwischen Ssossnitza und Beresna (542 geod.) stellenweise, aber schwach entwickelt. Alle übrigen Gegenden, durch welche die Strasse führt, sind sandig. Was die Beschaffenheit des Tschornosjom auf dieser Strecke betrifit, so ist dieser an den Hühen der Dessna bei der Überfahrt ebenso dunkelfarbig und staub- artig, als bei Gluchow; westlicher von N. Ssewersk wird er heller, aschgrau. Südôstlich von Awdjejewka 10 Werst, bei Ponornizy wird er vollkonimen schwarz, über 3 Fuss dick und nimmt zum Theil eine kôrnige Form an (Pripad”). Um das Kirchdorf Budischtsche wird der Tschornosjom wieder staubartig und ist sehr hell, oder er wird dureh Dammerde oder Walderde ersetzt. Eigenthümlieh ist das Vorkommen von Tortf in der Nühe des Tschornosjom bei Ponornizy in einer Re- genschlucht. Dieser Torf glimmt schlecht, obgleich er fast durchweg aus gebräunten Pflanzenresten mit und ohne deutlicher Struktur besteht; er enthält nur sehr wenig Quarzkürner nebst Phytolitharien, die von ange- schwemmtem Tschornosjom herrühren. Die Torfmasse ist local, unbedeutend, in der Sohle der Schlucht, durch Bodenquellwasser gespeist, geht aber kei- neswegs (wie der Tschornogrjäs bei Menselinsk) in die Tschornosjom-Schicht desselben Abhanges über, sondern ist durch ein Paar Faden der Diluvial- Schicht'von ihm geschieden. Auf dieser ganzen Strecke sieht man einige neue Unkräuter und Ruderalpflanzen: Verbena officinalis (schon im Städtchen Voronesh, 648 geod., NW. von Gluchow), Pulicaria vulgaris, Atriplex rosea, Marru- bium vulgare; ausserdem Leonurus Marrubiastrum, Elsholzia, Datura, Carduus nutans, Xanthium spinosum, Lactuca Scariola u. a. Um Tschernigow kommen noch dazu: Anagallis miniata, Ballota und Onopordon, um Ssednjew: Sambucus Ebulus. Um Budischtsche: Ajuga genevensis, Falcaria, Coronilla, Conyza hirta, Thesium, Aristolochia, Lythrum virgatum, Acer campestre, Iris furcata auf hohen Waldwiesen u.a. Auf bewalde- tem und nacktem Sandboden erscheinen: Kochia are- Poststrasse mehrmals durchschneïdet, namentlich bis | naria (nur 9 —17 Werst westlich von Awdjejewka) 521 Veronica incana, Aster Amellus, Jurinea, Silene Oti- tes, Clematis recta, Centaurea Biebersteinii, Scabiosà ochroleuca, Tragopogon orientalis, Dianthus Carthu- sianorum, Genista mit Cytisus biflorus; Salvia praten- sis, Campanula sibirica und Cytisus austriacus auf Kurganen bei Beresna. In Tschernigow ist die Kuppel der Kathedrale 518’, des Glockenthurmes im Troizki-Kloster 630° geod. Im Kronsgarten sah ich wieder (in N. Ssewersk steht eine gepflanzte Tanne) zwei ungeheure Tannen, welche wenigstens 2 Fuss im Durchmesser hatten und deren Zapfen mit den westeuropäischen übereinstimm- ten. Bei dem Dorfe Jazai, 7 Werst von Tschernigow, beginnt eine Anhôühe, auf welcher aschgrauer staubi- ger Tschornosjom in geringer Mächtigkeit liegt; mit ihm erscheinen auch eine Menge diesem Boden ent- sprechende Pflanzen. Ein gleicher Boden wiederholt sich 10 Werst weiter (8 Werst von Ssedujew); die Zwi- schenstrecken sind sandig. Ssednjew liegt auf einer An- hôhe, von welcher aus man Tsehernigow sehen kann: die Spitze der Nicolaikirche hat 581” geod. Hier ist der Tschornosjom 2—4 Fuss tief, sehr charakteri- stisch und bildet eine Insel, hart an der nôrdlichen Gränze dieses Bodens, von Tschernigow geschieden durch den Samchlai, nach den übrigen Seiten durch eine Niederung, in welcher der Fluss Ssnow zurück- geblieben ist. Dieser hat noch jetzt an *, Theilen sei- nes Laufes Sümpfe und fliesst überdies durch 2 Seen. Die ganze Strecke an der rechten Seite der Dessna von N. Ssewersk bis Tschernigow bildet eine lange Tschornosjom-Insel; denn das linke Ufer der Dessna ist niedrig und bildete ehemals mit dem Sem’ eine grosse Wasserfläche. Rings um Korop, 6—12 Werst, soll der Boden sandig sein, ebenso um Gorodischtsche; hiernach ist die Verbreitung des Tschornosjom in den bisherigen Darstellungen zu modificiren. Patiwl liegt (711 geod.) am Sem”. Ostlich davon und N. vom Sem’ sind ausgedehnte Sümpfe, die früher einen See gebildet hatten. Diese Sumpfniederung steht noch jetzt mit der Dessna in Verbindung, denn der Sem’ fällt in die Dessna und hat üstlich von Baturin (558"geod.) grosse Sümpfe zur Begleitung. Ebenso ist die (regend nürdlich vom Tschernigow’schen Postwege, der von Borsna (509—531" geod.) bis 3 Stationen nach West führt, ein ausgedehnter Sumptf gegen die Dessna hin. So wie erratische Blôcke in die Dessna gelangen konn- des Sciences de Saint-Pétersbourg. 52? ten, ebenso konnten sie auch in den Sem’ kommen, als dieser noch kein Fluss, sondern ein Theïl eines Sees war. Und so wäre ein Weg gezeigt, die von Murchisonerwähnte südliche Gränze der erratischen Geschiebe und ïihre Collision mit der angeblichen Nordgränze des Tschornosjom bei Putiwl zu erklä- ren. Ob diese Geschiebe von beträchtlicher Grüsse sind, wird nicht erwähnt, eben so wenig eine Über- lagerung des Tschornosjom durch dieselben. An der Dessna sowohl, als am Ssnow giebt es grosse (reschiebe und Blôcke von Granit; sie werden zum Gebrauch für die Badstuben gesammelt. Ich sah 1 Fuss grosse, die jedenfalls aus der Näühe der Dessna, man sagte mir von Redytschew, zwischen N. Ssewersk und Korop abstammten Die Dessna kommt weit von Norden und konnte Geschiebe und Blücke von dort her auf Eisschollen herbeigeführt und am Ufer abge- setzt haben. Es ist jedoch gewiss, dass grosse erra- tische Blücke bei Tschernigow und Ssednjew in ibrer ursprünglichen Lage im Diluvium eingebettet sind. Bei dem Dorfe Jazai stürzte vor einigen Jahren aus der Diluvial-Anhôhe ein Block herab, der über 4", Fuss lang und etwa 3 Fuss breit war. Ssednjew liegt am rechten bis 150 Fuss hohen Ufer des Ssnow, nicht sehr.weit von der Mündung in die Dessna; im unte- reu Theile des Städtchens liegt ein grosser Granit- block mit goldgelben Glimmer; er ist über 3 Fuss lang und 2 Fuss breit; auch in dem benachbarten Parke des H. v. Lissagub am Snow (Fusse der An- hühe) sind eine Menge erratischer Blücke, von wel- chen einige dieselbe Grôsse haben. Nicht weit davon, im mächtigen vorherrschend lehmigen Diluvium un- terhalb des Begräbnissplatzes, sah ich in der frisch entblüssten Wand der Regenschlucht, 3 Fuss und noch tiefer unter der Oberfliche, noch eingeschlossen, mässig grosse Geschiebe von Granit, Quarz und schwar- zem Thonschiefer. In allen diesen Fällen (auch bei Jazai) ist der Tschornosjom in der Nähe vorhanden, fehit aber gegen den Absturz hin auf 100 Faden und mehr. Dass unmittelbar unter der dicken Tschorno- sjom-Schicht solche Blücke herausgegraben wurden, ist mir nicht bekannt, auch hürte ich davon nichts. Auf den Âckern liegen nirgends Steine. Auf der Mitte Wegs zwischen Ssednjew und Tscher- nigow passirt man über eine lange Brücke ein Bäch- lein, Namens Samchlai (auf Schubert’s Karte Sam- 523 Bulletin de l’Académie Impériale 524 glai), das bei hôheren Wasserstande seinen Abfluss in die Dessna hat, nicht weit westlich von der Mün- dung des Ssnow. Die Einwohner dieser Gegend wissen aus Überlieferung, dass der Samchlai früher ein gros- ser Fluss war, schiffbar für Flussboote, sogenannte Berlinki”), von 10,000 Pud Last, deren Reste noch gefunden werden; damals mündete der Samchlai in den Dnjepr; erst zur Zeit Peter d. Gr. «versandete» diese Mündung und der Fluss «ging rückwärts». Ge- genwärtig geht der Samchlai NW. bei Swenitschew in einen Sumpf und führt beim Austritt den Namen Sswin’. Etwa 5 Werst weit im Norden entfernt von dem Ursprung dieses Sswin’ ist der grosse Sumpf Samglai, der sich von Buronka nach W. bis zur Mühle Samglai zieht; diese Mübhle liegt am F1. Wir, welcher bei der Mündung des Ssosh in den Dnjepr bei Lojew fällt. Wir haben hier die Reste des (durch Hebung des Bodens?) versumpften und zum Theil ausgetrock- neten alten Flusses Samchlai, welcher früher eine ge- wisse Bedeutung hatte; denn man konnte durch ihn aus dem Ssnow und der Dessna geradeswegs in den Dnjepr bei fast 52° Br. kommen, während man jetzt aus dem Ssnow nur in die Dessna gelangt, die weit nach Süd fliesst und erst bei Kiew in den Dnjepr (288 geod.) mündet, den man also fast 200 Werst aufwärts fahren muss, um zur ehemaligen Mündung des Samchlai zu gelangen. Über den Sumpf Samglai führt jetzt die neue Chaussée von Mohilew nach Tschernigow. Südlich von diesem Sumpfe und 40 W. von Tschernigow beginnt eine 4 Werst anhaltende Steigung des Bodens, und man gelangt aus dem nürd- lichen Russland in ein ganz anderes Land mit einer anderen Bevülkerung, in ein verschiedenes Pflanzen- gebiet, in die eigentliche Ackerbau-Region und in das Gebiet des Tschornosjom. Der Übergang ist aus- serordentlich schroff und machte schon auf der früheren ôüstlichen Strasse bei der Stadt Gorodnja (36 Werst von Tschernigow) einen tiefen Eindruck auf Hrn. Prof. Blasius (Reise 1844, IT, 198). 5) Nach Hrn. Coll.-Rath Pabo kommen noch jetzt Preussische Schiffer mit ihren grossen Kähnen aus der Spree durch das Weich- sel- und Dnjepr-System bis nach Kiew; über ihre gemischten Ehen soll eine ältere gesetzliche Bestimmung bestehen. Über die Etymo- logie des Namens «Berlin» s. Magazin f. Litt. Ausl., 1862, N° 44. Bei dieser Gelegenheit will ich bemerken, dass die Malorossianer ibren Tschornosjém — Tschernésom und ihre Kurgäne — Kürgany nennen. Nôrdlich vom Samglai bei Tschernigow bis nach Mohilew, Witepsk und Ostrow liegen nur ungefärbte oder blasse Erdschichten unter dem Rasen. Indessen soll zwischen Witepsk und Newel schwarze Damm- erde auftreten, dem Tschornosjom nicht unähnlich (Baer und Helmersen, Beitr., XXI, 15). Erst 48— 60 Werst südlich von Mohilew, also in der Nähe des Dujepr bei Bychow erscheinen auf sandigen Hühen- zügen einige bemerkenswerthe Pflanzen: Genista, Ju- rinea, Prunella grandiflora, Stachys annua, Geranium Robertianum; Pseudo-Oenothera virginiana und Cony- zella canadensis beide in Menge, Ovilla (Jasione), Heli- chrysum germanicum, Vulneraria; die 4 letzteren sind nach Norden bis Luga vorgedrungen. Im Gouv. Mohi- lew haben die HH. Pabo und Tscholowski viele Jahre lang botanisirt und nur jene Klasse von Tschor- nosjom-Pflanzen gefunden, die von der Dessna und Tschernigow nach NW. ausbiegen und den Tschor- nosjom-Boden verlassen. Darunter waren: Clematis recta, Thalictrum minus (R), Dianthus Carthusiano- rum, Saponaria, Hypericum hirsutum, Geranium san- guineum, Ononis hircina (Homel), Trifolium alpestre, Coronilla varia, Sanguisorba (R), Potentilla recta, alba (R), Eryngium planum, Falcaria Rivini, Laser- pitium latifolium (R), Chaerophyllum bulbosum (Bui- nitsch), Asperula tinctoria, Galium sylvaticum, Scabiosa ochroleuca, Conyza hirta, Pulicaria vulgaris, Echinops sphaerocephalus (R), Onopordon (B), Lactuca Scari- ola, Campanula bononiensis, Vincetoxicum, Datura, Verbascum Lychnitis, Gratiola (R), Digitalis grandi- flora, Verbena officinalis, Salvia pratensis, Scutellaria hastifolia, Marrubium vulgare, Leonurus Marrubia- strum, Lamium maculatum, Ballota (R), Ajuga gene- vensis (R), Thesium ebracteatum, Aristolochia, Aspa- ragus (R), Lilium Martagon, Allium angulosum. Die meisten wachsen um Mohilew und anderswo, andere our um (B) Bychow, (R) Rogatschew oder Homel und Buinitsch. Witepsk (458 Fuss bar.) hat nach C. A. Meyer die Flora von Livland. Die Berge zwischen Orscha und Witepsk, welche die Wasserscheide zwischen dem Dnjeper und der Düna bilden, enthalten im Diluvium viele und grosse erratische Blücke. An besonderen Pflanzen zeigen sich: Digitalis grandiflora und Orobus niger (um Orscha), Aconitum pallidum Rehb. (bei Wi- tepsk) u. d. Dieser devonische Hühenzug geht nach 525 Osten bis Poretschje (703 Fuss), Smolensk (833 Fuss) und weiter. Bei Smolensk kommt wieder Digitalis vor (Rinder bei Falk $. 731), auch Viola umbrosa (Ra- czinski). Der Waldai-Rücken besitzt keine einzige der vom Gouv. Mohilew soeben namhaft gemachten Pflanzen, ja er hat keine einzige Art, die nicht auch um Petersburg vorkäme, etwa Ovilla (Jasione) ausgenommen, die sich schon um Luga zeigt. Auf den hôchsten Punkten um die Stadt Waldai fand ich Malaxis monophyllos und Ra- nunculus polyanthemos; letzterer wächst nur an hühe- ren Punkten um Petersburg. Vergeblich waren die Be- mühungen, ein besseres Resultat zu erzielen um Bolo- goje: der Wasserscheide N. von Wyschnij Wolotschok (639 Fuss bar.), und das Dreieck von Waldaika, der Stadt Waldai und Jédrowa. Auch die älteren Aka- demiker fanden nichts Bemerkenswerthes. Die hüchsten Punkte sind auf der Oberfläche mit einer erstaunlichen Menge grosser Geschiebe und Blôcke besäet. Die geodätischen Messungen geben Folgendes: In Waldai ist die Basis der Kathedrale 658"; der Signal- berg bei Jedrowo 833’. Nahe bei Waldai geht ein Hô- henzug, nach Schubert’s Karte 10 Werst nach N,., und weit nach SSW. bis Polnowo am nürdlichen Ende des Seliger und von da bis zur westlichsten Aus- buchtung dieses Sees, bei Ssopki sich endigend. In der Nähe dieses Zuges liegen von N. nach $.: Ssere- doja 910’, Falewo 971’, Ryshocha 1021 (weit ent- fernt, in der Nähe des Sees Welje), Wyssokuscha 901 (auf einem ôstlichen Ausläufer, SW. von Jedrowa, Orjechowna 1001” bei Polnowo; im Gouv. Twer lie- gen: Ramenje 969’, Jelzy 826 am Seliger, üstlich vom Ende des Bergzuges, von welchem nach W. der Berg Kamestik 1054" bei Palizy an der Gränze etwa 30 Werst entfernt ist. Ostaschkow am Seliger liegt ‘752’, Kossarowo südlich davon 985". Andere Punkte in der Nähe des Sees Wsselug haben 955’ und 1015”. Auch weiter ôstlich sind mehrere Punkte im Gouv. Twer von 951—1044" bestimmt. Das Terrain am Waildai ist mehr eme wellige Hochebene mit Hügeln, als ein ausgesprochener Bergzug. Die Quellen der Wolga liegen 750’ barom. Man kann nicht behaupten, dass Wälder eine Bil- dung von Tschornosjom nicht zuliessen, denn auf dem häufig kahlen Boden findet man weder Lauberde, noch eine so deutlich gefärbte Schicht Dammerde, des Sciences de Saint-Pétersbourg. 526 wie auf den Duderowo-Bergen bei Petersburg, in 550° Hühe und niedriger, die ebenfalls grosse Blôcke auf ihren Gipfeln tragen, aber eine viel ältere und inte- ressantere Vegetation noch bis jetzt bewahrt haben, die sie aus verschiedenen Richtungen, zum Theil sehr weit her erwarben. Der Waldai war noch unter Wasser, als die Berge von Duderowo schon als Inseln hervorgetreten waren. Der Waldaïi ist lange nach der Bildung des Tschornosjom an der Nordlinie, gehoben worden, wie die grossen Blôücke auf seinen hüchsten Punkten bezeugen. Diese konnten nur auf Eisfeldern dahin kommen, was ohne Annahme einer späteren Hebung, eine Wasserhôhe von wenigstens1000 Fuss voraussetzten würde. Eine solche hätte aber das ganze Europäische Russland und West- Sibirien überschwemmt. Damit sind die bisher beobach- teten Eigenthümlichkeiten in der Verbreitung der er- ratischen Blücke unvereinbar, unerklärlich die Bildung des Tschornosjom, im Widerspruche die Vegetation. Die Reïhenfolge der Land-Floren nach dem Alter stelle ich mir folgenderweise vor: A. Urflora. Schüpfungsgebiet. Asiatische Hochge- birge. a. ältere: alpine. b. mittlere: Bergwälder. c. jüngere: Tschornosjom. d. jüngste: Salzsteppe. B. Primär emgewanderte Land-Vegetation: I. Alpine Flora auf den hüchsten Punkten (In- seln) des Uralgebirges, — A. a. II. Wälder auf den O. u. W. Abhängen des Ural- gebirges. — A. b. Gehoben sind durch das Gebirge Perm’sche Schichten, tertiäre blieben horizontal. Steppen mit Tschornosjom in West-Sibirien und Russland. — A. c. a. ältere, mit mächtigem schwarzem Humus, südlich von der N.Gränze des Tschornosjom. 8. jüngere, mit schwachem grauem Humus; ein Theil der N. Gränze des Tschornosjom und die Inseln. y. jüngste: südlicher Theil des Gouv. Moskau, fast ohne Tschornosjom. Übergang in die Flora der NW. Gouvernements. LIT. 527 Bulletin de l'Académie Impériale 52s BB. Secundär eingewanderte Vegetation: 1. Felsengebäude Finnlands(hüchster geod. gemes- burg. Tannen-Region des N. Europäischen Tief- landes, allmählig übergehend in die West-Sibi- sener Punkt 1094"). Scandinavische Flora. Er- ratische Periode. Mit Blücken transportirte Pflanzen — bis nach 3: Pulsatilla vernalis; bis nach 4: Hieracium vulgatum, Polypodium vul- gare, Umbilicaria polyphylla, Parmeliae u. Le- cideae; Moose: Bartramia pomiformis, Schisti- dium ciliatum, Racomitrium microcarpum, Di- cranum polycarpum, Grimmia apocarpa u. ovata, Hypnum petrophilum u. a. Nach 3 und 4 trans- portirte Wasserpflanzen: Dortmanna, Isoëtes, Myriophyllum alterniflorum. . Die Berge und hüheren Terrassen südlich von der Newa. &. Spitzen bei Duderowo bis 568 Fuss mit grossen erratischen Blücken bedeckt. Hie- racium prenanthoides, bienne und Aconitum aus 1. (Nordufer des Ladoga); — Orobanche Libanotidis, Ophrys Myodes, Cephalanthera rubra, Gentiana livonica, Lathyrus pisifor- mis; alle 5 aus III y (nicht in Scandinavien). 8. Untere Etagen des silurischen (rebietes: Orchis militaris und ustulata, Closirosper- mum (Picris), Polygala comosa, Ranunculus polyanthemos.— Potentilla Goldbachi; Gen- tiana cruciata und Veronica latifolia stammen aus III y. (fehlen in Scandinavien). Aspidium Filix mas (Pulkowa 247’ und Duder.) aus 1 (mit Aconitum und Closirospermum). . Karelischer Isthmus (mit Ausschluss der Wald- niederungen): Pulsatilla Breyniüi, Gypsophila fastigiata am Suwando, Dianthus arenarius. Über das Alter bin ich noch etwas im Zweifel, ©t Ein rische Flora. Letztere ist charakteristisch durch die Pichta (bis zum See Kubinskoje bei Wo- logda und zum Wolchow im Gouvernement Pe- tersburg vorgeschoben), Cembra, Larix (bis Kar- gopol), Picea obovata (bis Kasan, eine Mittelform noch westlicher bis Helsingfors, im Finnischen Lappiand fast Übergänge in die Europäische Tanne), Alnobetula, Cornus sibirica, Spiraea chamaedrifolia, Atragene, Paeonia anomala, Cortusa. Calypso; Rubus arcticus, Rosa aci- cularis, Môhringia lateriflora, Viola umbrosa, Galium trifidum, Cinna, Carex pediformis, or- thostachys und rhynchophysa, Botrychium vir- ginianum u. a. haben Petersburg schon über- schritten. Ufer tiefer Binnenseen: Ladoga (59° geod.), Waldai (über 600"), Tscheremenez, mit Ranun- culus reptans, Eleocharis uniglumis und acicu- laris, Lathyrus viciaeformis (palustris), einer verarmten Flora des Litorales von Petersburg, wo noch: Cornus suecica, Allium Schoenopra- sum, Lotus, Scirpus Tabernaemontani, Equi- setum litorale, Senecio paludosus, Alopecurus nigricans. Festuca glauca wächst im Ladoga und am Peipus; ihre Stelle vertritt am Litorale Fe- stuca rubra villosa. Elymus ist hoch am Ufer bei Schlüsselburg auf dem Isthmus Kareliens und weit im Süden von Pskow zurückgeblieben. Salix acutifolia bei Kexholm, der Mündung der Narova, am Peipus und so weit von Pskow wie Elymus. e eigene Abtheilung bilden die maritimen Land- pflanzen: Lathyrus maritimus, Kakile, Glaux, Scirpus maritimus, Plantago maritima, Spergularia salina, Am- madenia peploides, Salsola Kali, Atriplex litoralis, Juncus balticus, Triglochin maritimum, Carex norve- gica und glareosa, die bis in die Petersburger Flora treten und mit den litoralen sich mischen. 6. Sichtbare Einwanderung in neuester Zeit: jedenfalls ist er jünger als die hohen Sandge- genden bei Luga, im Gdowschen und Livland, aus welchen er diese Pflanzen erhalten konnte. Bei Luga kommen ausser den genannten noch vor: Pulsatilla latifolia, Silene chlorantha, Sem- pervivum globiferum, Helichrysum germani- cum, Hieracium albo-cinereum, Scleranthus perénnis, Vulneraria, Ovilla (Jasione). Feh- len in Scandinavien, mit Ausnahme der 3 letz- ten Arten. . Waldai-Rücken bis 1000” bedeckt mit errati- schen Blôcken. Die Niederungen um Peters- a. durch natürliche Verbreitung; durch neue Landbildung aus Moossümpfen. 8. durch Verschleppung. Unkräuter. Absin- thium auf allen alten Ruinen und historischen Orten. Ballast in Kronstadt und an der Ne- 529 Bulletin de l’Académie Impériale 530 wamündung: Erucastrum Pollichii, Potentilla supina, Carduus acanthoides und nutans, Se- necio viscosus, letztere in zunehmender Aus- breitung. Zweifelhaften Ursprunges: Aster praecox, Mimulus, Chamaemelum discoideum und Geum macrophyllum an der Newa und nürdlich von ihr. Überzeugt von dem innigen Zusammenhange des Tschornosjom-Bodens mit einer eigenthümlichen Ve- getation habe ich in einem der Akademie am 20 Mai 1864 eingereichten Programme die Vermuthung aus- gesprochen, dass nach den von Hr. Prof. Rogo- witsch angegebenen Pflanzen um Starodub (725 Fuss geod.) und Novo-Sybkow (646 Fuss geod.) Tschornosjom vorkomme, also ausserhalb der ange- nommenen Nordgränze dieser Bodenart. Meine ge- messene Zeit reichte nicht mehr aus, diese Gegenden selbst zu besuchen. Ich erfuhr später durch Hr. E. Borszczow, welcher viel daselbst botanisirte, dass im nürdlichen Theile des Gouv. Tschernigow Tschor- nosjom (nicht sehr dunkler) ihm von 3 Punkten be- kannt sei a) um Starodub bis etwa 6 Werst nürdlicher und südlicher stellenweise bis 25 Werst; b) ôstlich von Surash bis fast nach Mglin (757 Fuss geod.) und c) üstlich von Potschep (680 Fuss geod.). Alle diese Gegenden schienen ihm merklich hüher zu liegen, als die Nachbarschaft. Demnach hätte man dieselben als 3—4 Inseln anzusehen, was auch der Umstand unter- stützt, dass auf der ganzen durch sie von N. geschütz- ten Strecke von N. Ssewersk bis Ssossniza erratische Blücke fehlen und solche sich nur, obgleich selten, zwischen Rosslawl und Mglin, also N. von Ssurash und Starodub vorfinden sollen. Hiermit stimmt auch die Flora, welche mehrere Tschornosjom - Pflan- zen darbietet. Hr. Borszczow fand um Ssurash: Ga- lium rubioides und Senecio aureus (am [put), Li- lium Martagon, Artemisia scoparia, Saponaria, Vero- nica incana; um Mglin: Ballota, Pulicaria, Lycopus exaltatus, Senecio sarracenicus, Chaerophyllum bul- bosum, Pyrethrum corymbosum, Vincetoxicum, Po- tentilla alba, Pedicularis comosa, Anthericum ramo- sum, Veratrum nigrum, Digitalis grandiflora, Cor- nus sanguinea (auch Ssurash), u. a. Am Krassnoi Rog, 20 Werst ôstlich von Potschep, an der Gränze des Tome IX. Orlowschen Gouv.: Campanula bononiensis, Asperula tinctoria, Cirsium canum, Euphorbia procera, Salvia pratensis, Vincetoxicum, Sanguisorba (auch bei Mglin), Conyza ensifolia, Cypripedium macranthum (in einem Eichenwalde). Krassnoi Rog liegt gleich weit entfernt von Trubtschewsk und Karatschew (Gouv. Orel). Im Kreise Trubtschewsk müsste man auch eine bisher nicht angegebene Tschornosjom- Insel voraus- setzen, wahrscheinlich auf der rechten Seite der Dessna, denn das linke Ufer ist an mehreren Stellen weit und breit unbewohnt und mit zahlreichen Sümpfen bedeckt, namentlich zwischen Trubtschewsk (701 Fuss geod.) und N. Ssewersk. Diese Prognose gründet sich auf ein Herbarium aus dem Kreise Trubtschewsk, in welchem ich vorfand: Althaea officinalis, Pyrethrum corymbosum, Salvia verticillata, Asparagus, Laserpi- tium latifolium, Eremogone graminifolia, Sanguisorba, Peucedanum Cervaria, Geranium sanguineum, Vero- nica incana, Coronilla, Lycopus exaltatus, Genista, Lilium Martagon, Jurinea cyanoides, Prunella grandi flora, Vincetoxicum, Tragopogon orientalis. Mit Aus- nahme der letzteren Pflanze sind alle übrigen durch Hôfft in dem nicht sehr weit entfernten Bezirke Dmi- trjewsk an der Sswapa ebenfalls beobachtet, und es scheint daher der mir unbekannte Sammler, ein Forst- officier, seiner Behürde gewissenhaft Bericht erstattet zu haben. Dmitrjewsk (nicht zu verwechseln mit dem nahen Dmitrowsk) liegt üstlich von Ssjewsk und ganz nahe davon. Nach Hôüfft (Catal. 1826) ist die «vegetabi- lische Erde» in diesem Kreise schwarz, etwa 2 Fuss mächtig, sehr fruchtbar (für Hanf und Weizen) und wird nicht gedüngt. Der Tschornosjom von Iwanow- skoje, Kreis Lgow, hat ein spz. Gewicht von 1,918 und besteht aus Grant 4, feinem Sand 20, Thon 32, Salzen 18, Humus 16, Wasser 5, Verlust 5. Bemerkenswerthe Pflanzen sind: Veronica austriaca und dentata, Sal- via pratensis und nemorosa, Circaea lutetiana, Iris biflora (furcata), Stipa pennata, Asperula tinctoria, Echium rubrum, Verbascum phoeniceum, Adenophora, Campanula sibirica, Thesium, Falcaria Rivini, Osteri- cum pratense, Linum flavum, Hyacinthus pallens, Veratrum nigrum, Acer tataricum, Potentilla cinerea, Aconitum Anthora, Adonis vernalis, Stachys recta, Dentaria bulbifera und digitata (pentaphyllos), Chry- socoma Linosyris. 34 521 Bulletin de l'Académie Hmpériale 532 0 Die Flora von Orel hat viele ausgezeichnete Tschor- nosjom-Pflanzen. Ich gebe hier ein Verzeichniss der- selben nach den Centurien von Taratschkow und Po- ganka. mit Weglassung der meisten Arten, die auch im südlichen Theile des Gouv. Moskau wachsen und aus dem Oka-Antheile erwähnt wurden. Adonis ver- nalis, Ceratocephalus orthoceras, Ranunculus poly- phyllus, Aconitum Anthora, Cochlearia Armoracia, Drapa repens (auch im benachbarten Gouv. Voronesh im Kreise Semljänsk, sonst nirgends in Ebenen Russ- lands), Elisanthe viscosa, Silene chlorantha (auch im Gouv. St. Petersburg bei Luga), Gypsophila altissi- ma, Arenaria graminifolia, Acer campestre, Linum flavum, Evonymus europaeus, Oxytropis pilosa, As- tragalus Onobrychis und hypoglottis, Ononis hircina, Onobrychis sativa, Lathyrus tuberosus (Orobus albus sah ich aus dem benachbarten Kreise Nowosselje), Pru- nus spinosa, Chamaecerasus, Potentilla cinerea mit 3 und 5 Blättchen variirend, opaca, Alsinastrum verti- cillatum (aus dem Kreise Brjansk und Trubtschewsk), Cornus sanguinea, Sambucus nigra bloss an der Gränze des Gouv. Ts:hernigow, woher sie auch von Starodub, Novosybkow und Tschernigow angegeben ist, Falcaria Rivini, Peucedanum alsaticum, Laserpitium latifolium, Trinia Henuingii, Seseli coloratum, Galium vernum, Cirsium rivulare, canum und eriophorum, Serratula heterophylla, Centaurea ruthenica, Cineraria campe- stris, Senecio sarracenicus, Aster Amellus, Chrysocoma Linosyris, Pulicaria vulgaris, Conyza hirta, Pyrethrum corymbosum, Artemisia scoparia, Hieracium virosum, Scorzonera purpurea, Adenophora lilifolia, Campa- nula sibirica, Scrofularia aquatica (bei Karatschew), Digitalis grandiflora, Ballota nigra und Elsholzia, Thymus Marschallianus, Salvia nutans, pratensis und verticillata, Stachys recta, Prunella grandiflora, Scu- tellaria hastifolia an der Dessna häufiger, Echium rubrum, Thesium ebracteatum, Polygonum alpinum, Iris furcata, Allium rotundum, Anthericum ramosum, Fritillaria ruthenica, Lilium Martagon, Veratrum ni- grum, Cyperus flavescens, Scirpus triqueter, Bromus tectorum, Agropyrum glaucum?, Stipa pennata selten. Von nordischen Arten sind nur Hieracium sibiricum und sehr selten Saxifraga Hirculus vorhanden. Aber im Kreise Karatschew, wo der Tschornosjom theil- weise fehlt, zeigen sich: Betula humilis mit Ligularia sibirica, Galium trifidum 8. und Mühringia lateriflora (letztere ist auch im Kreise Novosselje bei Mochowaja nach Annenkow’s Herbarium). Im Gouv. Moskau tritt, wie bereits oben gezeigt wurde, sandiger Tschornosjom auf dem linken Ufer der Oka auf, mit einer Auzahl von etwa 40 charakte- ristischen Pflanzen, von welchen indessen ein Theil durch die Oka hereingebracht ist. Ein anderer Theil geht noch weiter bis zur Moskwa und oberen Kljasma. Bei Podolsk sah ich Cornus sanguinea (auch von Orel), Sambucus rubra (auch von Sserpuchow, Mglin, Staro- dub u. a.) und Lycopus exaltatus. An der Moskwa, oder in der südlichen Hälfte des Gouvernements sind Tha- lictrum minus, Tragopogon orientalis und Delphinium elatum gar nicht selten; auch trifft man hier Galium rubioides, Vincetoxicum officinale, Pedicularis co- mosa, Lamium maculatum, seltener Astragalus are- narius, Androsace filiformis, Melampyrum cristatum, Geranium sibiricum und Euphorbia virgata var. lati- folia. Diese 12 Arten kennt man jetzt auch aus Jaros- slaw, aber nicht aus nürdlicheren Gouvernements, ausgenommen Delphinium, das aus dem (Grouv. Archan- gel bis (Archangelskaja) nach Kargopol zu vorgedrun- gen ist; eine äbnliche Verbreitung hat die erwähnte Euphorbia. Hieracium sibiricum und Veratrum sind bloss N. von Sserpuchow. Bis zur Moskwa, oder nicht viel nôrdlicher wachsen: Asparagus, Aristolochia, Si- lene procumbens mit Cenolophium (zweifelhaft, ich sah letztere bereits aus dem Gouv. Twer), Myosotis al- pestris, Ranunculus polyphyllus und (Elatine) Alsina- strum verticilatum, Salvia glutinosa und verticillata, Cytisus biflorus, Sanguisorba officinalis, Nonnea pulla, Corydalis tuberosa, Nasturtium anceps, Viola (hirta) inodora (F1. Germ.) und stagnina, Anemone sylvestris, Dianthus Seguierii, Hypericum hirsutum, Orobus ni- ger, Chamaecerasus fruticosa mit Senecio erucifo- lius (tenuifolius) und Cypripedium guttatum, Poten- tilla recta, Ocimastrum verrucarium (Cireaea lutetiana), Chaerophyllum bulbosum, Laserpitium prutenicum, Sanicula europaea, Cervaria, Asperula Aparine, Ga- lium sylvaticum, Senecio sylvaticus, Lactuca Scariola, Onopordon, Carduus nutans, Xanthium Strumarium und sogar schon X. spinosum, Inula Helenium, Cam- panula bononiensis, Linaria minor (bloss am Kreml), Veronica dentata, Prunella grandiflora, Pulmonaria 533 des Sciences de St.-Pétersbourg. 534 azurea, Centunculus, Androsace elongata, Chenopo- Bei Vergleichung der Oka-Flora von Tarussa bis dium vulvaria, Platanthera chlorantha, Sturmia Loe-| Kolomna wird man finden, dass 25 Arten von der sel, Gymnadenia cucullata, Allium rotundum und angalosum, Heleocharis ovata, Carex Drymeja und pilosa, Holcus lanatus, Alopecurus agrestis, Setaria glauca u. à. Eryngium planum soll bei Twer(und Mohilew)vorge- kommen sein, leicht môglich; die Wurzel ist schwach, bloss zweijährig, das abgerissene todte Kraut bietet alle Bedingungen, um von Stürmen auf grosse Entfer- nungen geworfen zu werden. Aconitum Lycoctonum mit weissen, vorne grünlich gelben Blüthen, ist eine eigene Art: A. pallidum (Rchb. 1819 Monogr. Acon. t. 50); sie unterscheidet sich sowohl von dem Lyco- ctonum luteum der Alpen, als auch von A. septemtrio- nale durch die kurzen angedrückten Haare auf dem oberen Theile des Stengels und durch die Form der Blätter, deren Lappen breiter und kürzere Schlitze haben. [ch sah Exemplare aus den Wäldern von Me- reffa (M. Bieb.), Elisabethgrad, Orel, Sserpuchow und Kaschira an der Oka, und aus den Wäldern bei Wi- tebsk. Sie wird angezeigt bei Charkow (Czern.), Staro- dub (Rogow.); Reichenbach’s Original stammt von Kurbatowa Gouv. Rjasan, ein anderes für A. lasiosto- mum (nicht bei Besser) beschriebenes und auf tab. 49 abgebildetes ist aus Medyn Gouv. Kaluga, westlich von Sserpuchow. Diese Art ist jetzt um Moskau sehr sel- ten geworden (Ssokolniki 815 Fuss geod.). Eine andere Pflanze Pseudo-Oenothera virginiana ist häufig an der Moskwa, zieht sich über Orel und den Kreis Karatschew nach Mglin, Ssurash zum Iput, Mohilew und weiter westlich. Beinahe ausgerottet sind um Moskau: Digitalis grandiflora, Sambucus Ebulus, Mentha sylvestris, Sisymbrium pannonicum (nach Sser- puchow gewandert), Pyrethrum corymbosum, Linum flavum u. à. Es fehlt um Moskau Hieracium murorum, Hepatica erscheint erst an der Gränze des Gouv. Twer. Ein noch frappanteres Beispiel ist Anemone nemo- rosa, von der geschrieben steht «a Petropoli ad Cau- casum usque»; sie fehlt bereits um Moskau und Ka- san, ist für Jarosslaw und Charkow noch zweifelhaft, fehlt in dem Gouv. Poltawa und in der Donschen Flora (bei Ssemjonow) und wabrscheinlich in der ganzen Tschornosjom-Gegend. Im Kiew’schen und Tscher- nigow’schen Gouv. wird sie bloss an einem einzigen Orte angegeben. Oka nicht weit sich entfernen und bisher um Moskau nicht bemerkt wurden An der Oka fehlen wohl so manche der namhaft gemachten Moskauer Pflanzen, weil die Gegenden wenig untersucht sind. Das hier über das Gouv. Moskau Gesagte gründet sich auf die Centurien von Annenkow, auf Materia- lien, die ich in der Sammlung der Naturforscher-Ge- sellschaft in Moskau vorfand, auf etwas Autopsie, bauptsächlich aber auf wohlwollende Mittheilungen Prof. Kauffmann’s, von welchem wir bald eine lang ersehnte neue Flora Moskau’s zu erwarten haben. Mit dieser wird das Gesagte zu vergleichen, zu ver- mehren und vorkommenden Falls zu verbessern sein. Im Moskauer Gouv. war bisher, mit Ausnahme einiger schmaler Streifen an der Oka, kein Tschor- uosjom bekannt. Prof. Petzholdt’s Reisebeschrei- bung, welcher eine Karte mit der Verbreitung dieser Bodenart beigegeben ist, erschien erst 1864; auf die- ser Karte wird Tschornosjom angezeigt an der Verei- nigung der Moskwa und Oka, und ausserdem noch 3 kleine Inseln südlich von Moskau. Es war mir da- her sehr unerwartet, auf einer Excursion zum Borow- ski Kurgan°) auf Tschornosjom zu treffen. Dieser Ort kann als das nächste Beispiel empfohlen werden und ist von Moskau leicht in 2—3 Stunden zu erreichen. Man sieht ihn 8—10 Werst weit von der 3ten Station Bykowo, auf der 31. Werst der Kolomna-Eisenbahn. Der Kurgan liegt am rechten Ufer der Moskwa, ge- genüber Mjatschkowa. Bloss auf seiner Nordseite ist Eichen- und Haselgebüsch, untermischt mit niedri- gen Eschen und Linden. Dazu kommen Rhamnus ca- thartica, Aconitum septemtrionale, Campanula bono- niensis, Eryngium planum, Myosotis alpestris, La- vatera, Saponaria u. a. Sein Gipfel ist scharf abge- gränzt, etwa 10 Ssashen hoch, kabhl und mit Ausnahme des Kernes, von anderer Beschaffenheit. Der ganze Hügel besteht aus gelblichem Diluvialsand, welchem deutlich Glimmerblättchen beigemischt sind. Die Fär- bung des Sandes durch die vegetabilische 6) Mit dem Namen «Kurgan» bezeichnet man zuweilen auch na- türliche, besonders kegelformige Hügel, z. B. die Sandhügel bei Kistra an der Oka. Der Borowski Kurgan ist fast gänzlich ein na- türlicher Hügel. Der Weg, den Dmitri Donskoi gegen Moskau einschlug, führte über die Borowski Fährte (BpoxcKiñ nepeBoxe der Annalen), die noch jetzt unterhalb dem Kurgan liegt. 34* 535 Bulletin de l’Académie fmpériaie 536 Decke ist um so beträchtlicher und intensiver, je hôher man den Kurgan hinaufsteigt. Wäh- rend am Fusse, tiefer als die Quelle, der Boden gar keine merkliche Färbung hat und etwas weiter hinauf die oberflächliche Sandschicht nur schwach grau wird, ist der sanfte Abhang des Kurgan unter dem künst- lichen Gipfel ein schwärzlicher Sand, der erst in der Tiefe von 21 Zoll allmählig seine Färbung verliert. Auf dem Plateau des Gipfels ist der Boden noch schwärzer. Diese Färbung ist nur zum Theil, näm- lich von der Oberfläche bis 1 Fuss Tiefe, an anderen Stellen mehr oder weniger, das Ergebniss natürlicher Einwirkungen der Vegetationsschicht auf den san- digen Boden; denn schon in 1 Fuss Tiefe sieht man den schwarzen Sand gemischt mit hellem Sande, zum deutlichen Beweis, dass hier einst Menschenhände gegraben haben, vor einer Zeit, seit der sich die ober- ste Schicht durch zerstürte vermoderte Pflanzen gleich- mässig schwärzen konnte. Auf keiner Stelle tritt der helle Sand bis an die Oberfläche; an anderen Stellen des Plateau war der schwarze Sand bis 3 Fuss tief. Das Plateau scheint durch Abtragen eines schmäle- ren hüheren Gipfels entstanden zu sein. Dafür spricht noch der Umstand, dass die Abhänge des Gipfels mit einer tiefen Schicht schwarzer Erde bedeckt sind, welche, aus 2 Fuss Tiefe genommen, das Aus- sehen eines ächten Tschornosjom und nicht eines san- digen hat, wie am Fusse des Gipfels und weiter herab. Hr. Borszczow hat diesen Tschornosjom analysirt (Sieh Anhang) und etwas über 13°, lôsliche Bestand- theile gefunden. Dieser Überschuss, gegen andere Tschornosjom-Proben gehalten, kann von der Holz- asche herrühren, mit welcher die Erde gemischt ist. Ein Theil der noch sichtbaren Koble ist thierischen Ursprungs (Knochenkohle); beim Glühen verglimmt sie sehr langsam und verbreitet einen Geruch nach gebranntem Horn. Auch waren grüssere Knochen- fragmente im Abhange des Gipfels leicht zu finden, gemischt mit (reschieben. Letztere waren abgerun- dete und eckige, bis 3 Zoll grosse Stücke: von einem weissen glinmerreichen dünn geschichteten Sandsteine, von rothbraunen und schwärzlichen eisenhaltigen Ju. rassischen grosskürnigen Sandsteinen und weissen Kalk- steinen (vergl. Murchison Geol. 235). Etwa *, Werst vom Kurgan entfernt sind die «Wach- holderberge», auf welchen sich gleichfalls schwärz- licher Humus, meistens aus Calluna, gebildet hat; die Färbung war nicht so dunkel, wie am Kurgan, und ging nur bis 4 oder bis 9 Zoll tief; der Unterboden war rôthlicher (und nicht gelblicher) Sand. Wie ich an Ort und Stelle hôrte, so geht man damit um, nächstens auf diesen Plätzen zu pflügen. Nach dem Nivellement von Gerstner, mitgetheilt durch Hamel 1837 im Bullet. de l’Acad. IT, 301, ist die Moskwa am Kreml 364 Fuss R.— 56,9 Toisen über dem Spiegel der Newa an der Admiralität in Peters- burg, die Oka bei Kolomna 310 Fuss — 48,5 Toisen, und hat daher die Moskwa vom Kreml bis zu ihrer Mündung in die Oka einen Fall von 54 Fuss = 8/}, Toisen. Nimmt man 55 Toisen für die Moskwa unter- halb Borowski Kurgan an, und giebt noch weitere 15 Toisen (?) zu, so trifft man in die Nähe der beginnen- den Färbung des Bodens. Es wird leicht sein, eine ge- nauere Bestimmung zu machen, ebenso von Kolomna bis Tarussa. Kaschira hat 771 Fuss geod. (Glocken- thurm der Kirche zu Mariä Opfer); Kaluga 830 Fuss geod. (Glockenthurm der Kathedralkirche). Verschie- dene südlichere Punkte im Gouv. Moskau sind geo- dätisch mit 815; 742; 716, 695, 635 und 597 Fuss bestimmt. Im Gouv. Wladimir treten von Wladimir bis Ssus- dal Erdschichten auf, die man nicht immer leicht von Tschornosjom zu unterscheiden vermag. In den niedrigeren Gegenden sind erratische Blücke und Geschiebe sehr häufig, z. B. an der Eisenbahn zwischen Moskau und Wladimir, 90 Werst von Mos- kau, an einem Zuflusse der Kljasma liegen eine Menge Blôücke; 10 Werst weiter bei Pokrow ist der Eisen- bahnschotter ebenfalls aus diesem Material, welches bis zur 106. Werst in Haufen aufgestapelt ist. Bei der 115. Werst (Station Petuschki) unterscheidet man deutlich das rosenrothe krystallinische Quarzgeschiebe (das anstehend bloss in Schokscha am westlichen Ufer des Onega vorkommen soll), sich wiederholend zwi- schen der 130.— 133. Werst, dann bei Wiadimir und NO. von Ssusdal, zuweilen als grosse Blücke. Andere Haufen erratischer Geschiebe ziehen sich bis vor Wladimir (176 Werst von Moskau). Einige Werst vor Wladimir, beginnt im N. ein Hühenzug, auf welchem diese Stadt erbaut ist (in 55] Fuss bar. Hühe). Gleich auf der 6'/,. Werst von Wla- 537 des Sciences de Saint: Pétersbourg. 538 dimir, hinter dem Dorfe Dobroje, tritt eine schwärz- liche Erde auf den hüheren Âckern auf, und da, wo die Strasse nach Ssusdal in einer Breite von 20 Ssa- shen an den schwach geneigten Abhängen des Hühen- zuges sich hinzieht, kann man sogar einen Unterschied in der Färbung zu beiden Seiten des Weges erkennen: die hühere Seite ist dunkler gefärbt. Ein solcher Boden ist fruchtbar und tritt nur streckenweise an den hüheren Stellen auf, bis 3 Werst vor Ssusdal; erratische Blücke oder Geschiebe sind auf diesem Hühenzuge vôllig verschwunden. An Abstürzen liegt zuweilen , Fuss dicke braune Damm- erde unter dem Rasen, 15 Werst südlich von Ssusdal bis 2 Fuss Tiefe. Auf dem dominirenden Hühenzuge, hart bei der Stadt Ssusdal, westlich vom Dorfe Sselze, trifft man eine fussdicke schwärzliche Ackererde, welche alle Eigenschaften des Tschornosjom besitzt, und auf die mich zuerst College Shelesnow und Prof. Kali- nowski aufmerksam machten. Auch im benachbarten Kreise Pereslawl soll ein solcher Boden stellenweise vorkommen; die Kreisstadt liegt 426 Fuss hoch. Der Tschornosjom ist also im Gouv. Wladimir nur unbedeutend entwickelt und bei trockener Witterung seiner meist nur lichten Färbung wegen sogar leicht zu übersehen. Dass er durch Düngen seit Alters her entstanden sei, dagegen sprechen: 1) die niedrigeren Gegenden bis 12 Werst NO. von Ssusdal, wo die Acker- und Rasenerde durchaus keine merkliche Färbung hat und von Geschieben und ungeheueren errati- schen Blücken der verschiedensten Art (bei Glasowa und unweit Ssusdal) bedeckt ist; 2) die Übergänge der schwärzlichen Ackererde in die bräunliche, welche bis 2 Fuss Dicke hat, d. h. mindestens eine doppelte Pflugtiefe, und welche auch an Stellen vorkommt, die nie unter Cultur waren; 3) das ausschliessliche Vor- kommen der gefärbten Schichten auf Hühen, die nie von Blôücken oder Geschieben bedeckt sind. Die Vegetation zeigt, Stachys annua etwa ausge- nommen, nichts Bemerkenswerthes. Wenn sich auch Tschornosjom-Pflanzen, der weiten Entfernung un- geachtet, angesiedelt haben sollten, so sind solche längst durch die dichte Cultur des Bodens ausge- rottet. In Ssusdal bemerkt man unter den Ruderal- Pflanzen Onopordon und Amaranthus retroflexus. Die Gegend um Kowrowo, 60 Werst ONO. von Wladimir hat einige hohe Stellen. Die Kljasma führt grosse erratische Blücke hierher,ebenso Kalkgeschiebe, die auf den hohen AÂckern umhergestreut sind. Die Ackererde ist hier überall hell gefärbt und mit jener zwischen Wladimir und Ssusdal nicht zu vergleichen. Durch Humus gefärbte Stellen findet man bloss 2— 3 Faden über dem Flusse, 6 Zoll dick unter dem Rasen mit Sand gemischt, wahrscheinlich herabgeschwemmt. Auch der Kiefernwald hat an hohen Stellen grauen Sand, der aber wenig Âhnlichkeit mit dem sandigen Tschornosjom an der Oka hat, und seine Färbung trivialen Pflanzen, wie Absinthium, Artemisia campe- stris, Pteris u. dgl. verdankt. Mit der Kljasma ?), die wahrscheinlich einst mit der: Moskwa in Verbindung war, sind indessen mehrere Tschornosjom-Pflanzen hierher gebracht worden: Eryn- gium planum, Vincetoxicum, Aristolochia, Artemisia procera, Galium rubioides, Asparagus, Genista, Me- dica falcata, Amaranthus retroflexus, Xanthium Stru- marium u. del. Nur hier, am sandigen Ufer, sah ich Corispermum Marschallii, die von Pallas auch aus Murom angegeben wird, und diese Orte sind viel- leicht die Ausgangspunkte für die übrigen Stationen: Kasan, Ssimbirsk und Ssaratow. Die Kljasma mündet gegenüber Gorbatowa in die Oka. Gleich unterhalb dieser Mündung fand ich wieder die erwähnte Artemisia, Eryngium, Aristo- lochia — ausserdem Cenolophium, Lycopus exaltatus, Salix acutifolia in grosser Menge, Populus nigra u. dgl. Die meisten gehen bis N. Nowgorod, mit der Oka, die hier auch Silene procumbens und Saponaria ab- gesetzt hat. Zwischen N. Nowgorod und Wladimir trifft man häufig Sanguisorba und Cytisus biflorus, letzteren auch gegen Moskau zu; er hat eine eigenthümliche Verbreitung, die im Osteu nicht vom Tschornosjom- Boden abhängt, und geht über Ssmolensk und Mohilew nach Westen. Eine Besonderheit &es Gouv. Wladimir ist Hippophaë, bei Pokrow an der Gränze des Gouv. Moskau,im Sumpfe am F1. Dubna, von Pallas gefunden. Aus Jarosslaw sah ich die ersten 4 Centurien einer von den HI Petrowsky und Ssabanejew begonne- nen Pflanzensammlung. Die Flora unterscheidet sich wenig von der [ngrischen. In letzterer fehlen bloss 7) Um das J. 1200 war noch ein Wasserweg von Nowgorod nach Wladimir vorhanden (Karamsin III, Anmerk. 130). 539 die bereits (bei Moskau) erwähnten 12 Arten, nebst Artemisia procera, welche meistens Vorposten des Tschornosjom sind, und es wird eine locale Aufgabe sein, ihren Ursprung nachzuweisen, ebenso wie von: Onosma echioides, Galatella punctata und Astragalus hypoglottis, die aus dem Gouvernement Moskau noch nicht bekannt sind. Beschaffenheit der Humussehicht auf alten Gräbern, Unter alten Gräbern sind gemeint die Tumuli (alte Mogily), welche zuerst von Küppen (Bullet. sc. Acad. I. 1836. N° 18) in 3 Hauptklassen vertheilt wurden: I) Ssopki im nürdlichen Europäischen Russland bis nach Sibirien; 11) Kurgany im südlichen Russland. Beide Benennuugen sind durch die Volkssprache 50 fixirt, dass man nicht verstanden würde, wenn man die Namen verwechseln sollte. IIT) Scythen-Gräber im SO Theile des Taurischen Gouvernements. Die Ssopki werden definirt als Aufschüttungen über der Erde, mit keinem Graben in der Erde verbunden. Diese Definition kann auch auf manche Kurgane pas- sen, Z. B. jene von Ssednjew, denn man hat ihre Con- struction noch nie erforscht; über ibren Inhalt ist nichts bekannt. Dagegen sind die Scythen-Gräber an der Molotschnaja Aufschüttungen über der Muttererde, in welcher senkrecht in die Tiefe und dann zuweilen kniefôrmig eingebogen der Platz für die Leiche gegra- ben wurde (Küppen: Bull. hist.-phil. IT, 1845, N°13). Die Ssopki finden sich längs des Laufes der Flüsse Wolchow, Ssjas’, Msta, Polä, Lowat’, Schelon’, Plüssa, Luga, Twerza, Medwjediza, Mologa; am Ilmen - See, selbst auf der Waldai-Hühe: z. B. gleich bei Jédrowo am See sind 5 Ssopki zwischen Âckern; im Dorfe Wlitschki, ein paar Werst von der Msta entfernt, in einer hohen Gegend sind 2 Ssopki mit Kiefern bewach- sen, aus Sand, an der Oberfläche stark beschädigt, kaum ‘/, Zoll mit Humus gefärbt. Dass die Ssopki mit Rasen belegt wurden, davon habe ich mich nirgends überzeugen künnen; aber wohl sind sie jetzt oft be- rast durch die Dauer der Zeit. Küppen hielt diese Ssopki für Gräber heidnischer Russen, die im X Jahr- hundert auf Raub und Handel auszogen. Allein man fand auch unverbrannte Leichen verschiedener Stimme in den Ssopki des Gouvernements Twer (N.Uschakow in C. Herep6. Bhiom. 1845 N 64, und Oresecrs. 3a- unckn 1843 X° 8); in einer Gegend hatten sie kohl- Bulletin de l’Académie Empériale 540 schwarze Haare, meist Messer in der Hand und Thon- gefisse zu Füssen; die Skelette lagen mit dem Kopfe immer nach N.; in einer anderen Gegend lag der Kopf nach W. und dabei Gegenstände aus Silber, Kupfer und Eisen. An einem dritten Orte hatten die Skelette eine sitzende Stellung, mit dem Gesicht nach O. ge- wandt, dabei Samaniden (aus Samarkand) vom J. 973 (nach Frähn). Auf diese Ausgrabungen bezieben sich wahrscheinlich mehrere Schädel im Craniologischen Museum der Akademie (v. Baer, Mélang. biol. HI, 1858.S. 44, 49), unter welchen sehr lang gezogene. die also von Slavischen, Türkischen und Finnischen (d. h. jetzt in Finnland lebenden) Stämmen sehr verschieden sind; auch scheinen dolichocephale Schädel bis nach Tobolsk vorzukommen. Die Wogulen sind entschieden dolichocephal (v. Bacr, Bull. 1863, VI, 354). Nach Gatzuk bildet die Moskwa eine scharfe Gränze in der Vertheilung der alten Gräber; nach $. und landeinwärts sind sie ungleich zahlreicher, von anderer Form und anderem Inhalte (Tpyxpr Mock. Apx. Oôux. T. I, 1865; C.Iler. BBy. 13 roux 1865). Sie werden einer vorhistori- schen Zeit zugeschrieben. Ich môchte eine andere Frage stellen: giebt es einen Beweis dafür, dass das Tiefland des nôrdlichen Russlands zur Zeit Herodot’s bereits trockenes Land war? Als Zeugniss dafür kôünnen wir weder gelten lassen den vergrabenen silbernen Krug von Ust-Irgina im Kreise Krassno-Ufimsk, welcher baktrische Münzen aus dem 1. und 2. Jahrh. vor Chr. G. enthielt, noch die Reste der Steinperiode. Erstere lagen beisammen mit Sassa- niden und byzantinischen Münzen aus der Mitte des VII. Jahrh. (W. Grigorjew, Lerch). Letztere bewei- sen eigentlich nur einen niedrigen Culturzustand, Man- gel an Handelsverkehr und Industrie; ausserdem be- schränken sie sich bis jetzt nur auf Finnland (Holm- berg, Bidrag IX. 1863), das benachbarte Gouv. Olo- netz (Schiefner 1863, Bullet. V.) und die Ostseepro- vinzen (Grewingk, Schrift. estn. Ges. 1865). Überall werden jetzt die Todten aus ihrer Ruhe gestürt und um ihr Alter befragt. Dringend wäre es, die archäo- logischen Ausgrabungen zu veranlassen, dabei auch die Erde auf, unter und neben den alten Grabhügeln zu befragen, denn diess gibt den Schlüssel für das absolute Zeitmaass viel älterer Perioden. Es ist ein bemerkenswerther Umstand, dass seit dem Verschwinden der mächtigen Wasserbedeckung im 511 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 512 PES nürdlichen Russland der untere Rand des deutlichen Tschornosjom noch immer nicht hinreichend tief und weiter nach N. vorgeschritten ist; der hôchste Was- serstand der Flüsse steht vertikal noch beträchtlich ab von der unteren Tschornosjom-Marke ihrer Ufer. Diese Erscheinung deutet darauf hin, dass die Erde schneller trocken wurde, als die Bildung des Tschornosjom vorwärts ging. Die Ssopki am Wolchow liegen alle in der Nähe oder unterhalb der Stromschnellen. Bei dem Kirch- dorfe Archangelskoje trifit man eine grosse Ssopka, von etwa 5 Ssashen Hôühe, oben mit einer viereckigen Fliche von späterer Arbeit, denn die Färbung durch Humus, obgleich mehr als 3 Par. Zoll. tief, ist merk- lich heller, als in derselben Tiefe weiter unten am Abhange 2 Faden vom Gipfel. Weiter aufwärts ist eine zweite, viel kleinere Ssopka. Gegenüber von Archangelskoje am rechten Ufer des Wolchow liegt das Dorf Dubowik. Die Siluri- schen Kalkschichten erheben sich bis 10 Ssashen über deu Fluss; auf ihnen liegt ein bis 3 Faden und noch} mächtigeres sandig-lehmiges Diluvium mit erratischen Geschieben; die Oberfläche ist stellenweise 2 Zoll tief mit Humus sehr schwach getränkt. Die Flora ist verhältnissmässig eigenthümlich (Mélang.biol.IL. 1853) und nähert sich im Alter der von Duderowo. Auf der Hühe des Ufers zählt man 11 Ssopki; die 1. und 2. stehen im Dorfe, die 3. und 4. schon ausserhalb flussabwärts, letztere ist etwa 6 Faden hoch, am Gipfel mit einer Vertiefung; die 5. Ssopka mit 3 sehr alten Linden von krüppelhaftem Wuchse, die Stämme fast von der Basis an getheilt; einer dieser Stämme hatte im Umfange 8 Fuss; der stärkste wohl doppelt so viel; die 10. heisst «Gustaja Ssopka» und ist mit Linden dicht bewachsen, unter welchen Veronica lati- folia und Euphorbia virgata; die 11. ist klein. Aus- serdem sind noch 2 Ssopki vom Dorfe landeinwärts. Hierauf folgt am Ufer ein mit einem Wall umgebener Platz «Gorodok», vielleicht ein ehemals befestigter ebener Ort, welcher früher beackert wurde, auch wohl durch Thierabfälle gedüngt sein konnte, so dass jetzt die Erde 1 Fuss tief dunkel gefärbt ist. Eine genaue Bestimmung der Humusschichte auf den Ssopki ist schwierig: die Bebuschung, Zerstôrung der im lockeren Boden tief eintretenden Baumwurzeln, das üftere Betreten, vielleicht auch ehemalige Aufgra- bungen und die helle Färbung der Humusschichte sind hinderlich. In der Vertiefung der 4. Ssopka, wo sich Wasser ansammelt, ist die Erde über *, Fuss tief braun gefärbt, oben stellenweise schwärzlich und in einen Wurzelfilz von 1 Zoll Dicke übergehend; eine ähnliche Einwirkung des stehenden Wassers be- merkte ich auch an anderen Orten vielfach und kôün- nen diese Fälle nicht benutzt werden für die von mir gebrauchte Normal-Bestimmung der Humusinfiltration auf den nicht vertiefteu Spitzen der Ssopki. Gegenüber Staraja Ladoga, am rechten Ufer des Wolchow, sind einige unbedeutende Ssopki, von wel- chen etwa 5 oder 6 mit Gesträuch bewachsen sind. Die grossen Ssopki befinden sich am linken Ufer nürd- lich von der Stadt, sind meist kahl oder mit einzelnen Tannen und Wachholdern besetzt. Die ersten 2 Ssopki sind bei der Kirche Johannes des Täufers; die 1. ist sehr breit, etwa 5 Faden hoch, an der Flussseite zur Hälfte eingestürzt, durch Arbeiten in den unterlie- genden Sandsteinbrüchen; 2. schmal, doch 3—4 Faden hoch, sehr beschädigt. Die 3. bis 7. Ssopka sind ganz nahe beisammen, etwa 1 Werst von der Stadt; die Aufschüttung ist Sand, an der Umgebung der Basis in eine lichte Dammerde übergehend, nur die 7. ist dunkler gefärbt; 3. ist 2°, Faden hoch, 4. nur 1", Faden, verflacht, an der Spitze mit Spuren nicht alter Nachgrabungen; die 5. ist sehr voluminës, 4—5 Faden hoch, in der Mitte kraterartig ausge- graben mit einer Seitenôfinung zum Fluss-Abhang zu; der Kraterrand ist mit Festuca ovina bewachsen, die ein bis 1 Zoll dickes Rasengeflecht bildet, dessen Wür- zelchen noch 2 Zoll tiefer eindringen, der Boden ist aber gar nicht mit Humus gefärbt, ebenso jung wie der Trichter. Die 6. Ssopka ist klein, kaum 2 Faden hoch, die Vertiefung an der Spitze ist benarbt, mit einem flachgedrückten *, Zoll dicken abgestorbenen | Rasen, unter welchem alte Kohlenreste bis 6 Zoll und tiefer eingestreut sind, während schwache Spuren von | Humus nur bis 3 Zoll tief gehen. Die 7. ist 2", Fa- | den hoch, im Getreidefelde, die Vertiefung an der | Spitze hat ziemlich dunkle braune Dammerde, erst |bei 10 Zoll Tiefe (auch schon früher ein wenig) mit “hellen Sand gemischt und durch stehendes Wasser |entstanden, denn der Wall hat fast gar keine Für- bung. Eine ähnliche Erde hat sich unter diesen Be- 543 Bulletin de l’Académie Impériale 544 dingungen auf der 1. Ssopka gebildet, während das | Noch 2 Werst weiter sollen 2 Ssopki sein, ebenso 10 durch Einsturz entblôüsste Profil nahe zur Spitze kaum | Werst von Bor aufwärts, am rechten Ufer der Msta F7 ‘, Zoll Färbung unter dem Rasen hat. Von der 7. Ssopka etwa 60 Faden entfernt sind noch 2 bebuschte | die letzte, jetzt zerstürte, Ssopka flussaufwärts sich Ssopki: 8. nur 2 Faden hoch; 9. und letzte, gross, etwa 4 Faden, Humusinfiltration an der Spitze schwach nur bis 1°, Zoll deutlich, obgleich in 6 Zoll Tiefe der | Sand heller wird. Im Allgemeinen kann man über die Ssopki von Alt- Ladoga Folgendes sagen. Eine Vertiefung an der. Spitze ist nicht immer vorhanden (8. 9); oder sie ist frisch aufgewühit und nicht benarbt (2. 3. 4) oder nur schwach (5.), oder die Benarbung ist durch ste- hendes Wasser begünstigt (7.), so dass nur die 6. Ssopka sich den geforderten Bedingungen am meisten nähert. Auch die Abhänge aller Ssopki sind benarbt, aber durch das häufige Betreten und Abgrasen ist der Pflanzenwuchs gestürt worden und viele kahle Stellen entstanden. Die Färbung durch den Humus ist, bei fast gleicher Beschaffenheit, viel blasser und undeutlicher, besonders in die Tiefe nicht so scharf abgegränzt, wie bei den Kurganen von Ssednjew, die viel deutlichere Zeichen eines hüheren Alters haben. Allein die Ssopki am Wolchow und besonders von La- doga sind der Schauplatz und Tummelplatz von Kriegs- ereignissen und Schatzgräbereien gewesen und ihre ursprüngliche Oberfläche hat nachweiïslich so stark gelitten, dass sie kaum oder nur wenig für unseren Zweck geeignet sind. Die Msta war in älteren Zeiten ein bequemer Weg für Vülkerwanderungen. Aus ihr konnte man einerseits leicht auf der Twerza oder Mologa in die Wolga, an- dererseits in den Ilmensee und den Wolchow kommen. | In der Gegend, wo die Moskauer Eisenbahn hoch über das Flussthal der Msta fübrt, liegen an den Ufern derselben, in einer Längen-Ausdehnung von 1 Werst, eine Menge Ssopki, die sich von jenen am Wolchow durch ihre meistens geringe Hühe (nicht viel über 2 Faden) unterscheiden und an der Spitze niemals vertieit sind. Das Dorf Bor liegt 1 Werst von der Eisenbahn; von da 2 Werst flussaufwärts bei Staraja Derewnja sind 5 Ssopki von 1—2 Faden Hôühe aus fast reinem Sande, mit einer Humusschicht von 2—3 Zoll am Gipfel, 3—6 Zoll unten: sie liegen zwischen Âckern. bei Sacharowa, 2 beackerte Ssopki von 4 Faden Hühe; von da 3 Werst weiter beim Kirchdorfe Kolomna soll fiunden. Flussabwärts wusste man von 7 Ssopki an der Msta, 35 Werst von Bor, nahe bei Ustwolje. SW. vom Dorfe Ssuriki, unweit der Eisenbahn, am trechten Ufer der Msta befinden sich 3 bewachsene Ssopki. Die entfernteste (N° 1) liegt über einem kleinen Bache, der Sharkowa, auf einem Hügel, dessen Mut- terboden unter dem Aufwurfe eine stellenweise bis 3 Zoll dicke schwärzliche Erdschicht hat, deren Fär- bung hauptsächlich bewirkt wird durch eine Menge frischer vollsaftiger Knôllchen von Equisetum arvense, die auf ihren abgestorbenen Rhizomen sassen oder auch lose eingebettet waren und nicht tiefer in den Mutterboden eintraten. Ausserdem giebt es in dieser Schicht noch braune, ganz vermoderte leichte Holz- stücke und braune locker zusammengebackene schwere Sandsteinklumpen, bestehend: aus Sandkürnern, brau- nen strukturlosen Humus-Partikelchen und sehr we- nigen Phytolitharien, weshalb der Ursprung der Füär- bung aus einem Rasen sehr zweifelhaft ist; mit Âtz- kali gerieben kein ammoniakalischer Geruch. Unter der gefärbten Schicht liegt eine andere 4 Zoll dicke aus kleinen Steinen und unter dieser Sand von der- selben Beschaffenheit, wie das Material des Aufwurtfes. Die Ssopka ist bewachsen mit üppigem Grase und Bir- ken. Am Gipfel liegt 2 Zoll tief schwarze Erde, unter welcher die Humus-Färbung noch 1—3 Zoll tiefer geht. Diese, so wie die übrigen Ssopki dieser Gegend, liegt zwischen Âckern. Die Ackererde beim Dorfe ist durch langes Düngen schwärzlich (ausgetrocknet grau) geworden und bildet eine Krume von 4", Zoll auf gelblichem Alluvial-Sande. Die 2. Ssopka liegt näher zum Flusse hin, hat oben 4 Zoll tief schwache Humus-Färbung auf rôthlichem Sande. Auf ihr wachsen Kiefern und alte Tannen, so wie auf der 3. Ssopka, die oben bloss 1 Zoll tief Hu- musspuren zeigt. Die 2. Ssopka ist an der Flussseite mit grossen Steinen eingefasst, wahrscheinlich Resten eines Steinringes; der Mutterboden unter dem Auf- wurfe ist gefärbt durch braune vüllig vermoderte Holzfragmente. Im Dorfe Ssuriki sind 3 zerstürte un- brauchbare Ssopki. 545 Gegenüber Ssuriki am linken Ufer der Msta liegt das Dorf Gorodischtsche mit 16 Ssopki. Die 2. Sopka (von unten) stand auf einem durch abfärbende Holz- kohlen schwärzlichen Mutterboden (Brandstätte) in einer ungleich dicken Schicht, die nicht 4 Zoll über- traf, Die Oberfläche der Ssopka war stark beschädigt, die Humusrinde undeutlich. Ich liess hier einen alten Schädel ausgraben, der gegenwärtig in der craniolo- gischen Sammlung der Akademie mit näheren Erläu- terungen aufbewahrt ist. Der Schädel nähert sich dem dolichocephalen Typus und ist durch die Entwickelung des Hinterhauptbeines bemerkbar: die Entfernung vom hinteren Rande des Foramen magnum bis zur Pfeilnath der Scheitelbeine beträgt 55 Par. Linien, während bei viel grüsseren Schädeln dieses Maass ge- ringer ist. Die 3. Ssopka ist an der Spitze und Basis 3 Zoll tief mit Humus gefärbt; unten mit einem Ringe von grossen Steinen eingefasst. Die 4. «Tschornaja Ssopka» hat an der Basis der Abhänge bis 4 Zoll tief cine schwärzere Färbung, als die übrigen, was durch die Corylus-Bedeckung erklärlich ist; auf dem Gipfel ist eine Grube von 3 Fuss Tiefe, gegraben in ei- ner Zeit, seit welcher wieder die Oberfläche des Kraterrandes auf 1 Zoll tief sich mit Humus getränkt hatte; in der Vertiefung lag 2 Fuss tief braune Erde, entstanden durch Fäulniss des zusammengehäuften Laubes. Die übrigen Ssopki sind hart an den Bauern- häusern; die letzte, der Eisenbahn zunächst, ist gross, ganz sandig und mit Kiefern bewachsen. Es sprang sogleich in die Augen, dass sämmtliche Ssopki so angelegt sind, dass sie auch bei der grüss- ten Wasserhühe nicht überschwemmt werden, Ja dass sie noch merklich über dieser Linie liegen. Ein bei- läufiges Nivellement mit Libelle und Stangen gab 19 Fuss für den Unterschied des niedrigsten und hüch- sten Wasserstandes, des letzteren seit Menschenge- denken im J. 1848; für den verticalen Abstand von der Basis der Sharkowa Sopka bis zu jener Wasser- hôhe im J. 1848, beinahe 16 Fuss; desgleichen von der Basis der 2. Ssopka am rechten Ufer fast 12 Fuss. Ziemlich entfernt von dieser 2. Ssopka, indessen noch 10 Fuss über dem hüchsten Wasserstande, fand ich mitten im reinen Sande tief eingescharrt dieselben braunen vermoderten strukturlosen sehr leichten ab- färbenden Holzstücke, wie in der Basis der Ssopka, was für eine fortwährende Versandung der Ufer in Tome IX. des Sciences de Saint-Pétersbourg. 546 der Vorzeit spricht und durch andere Stücke bekräf- tigt wird, die noch ihre Struktur erhalten haben und näher zum Flusse hin tief im Sande begraben waren, an einer Stelle, die im J, 1848 an 4 Fuss hoch über- schwemmt war. Es ist also weder hier, noch in den zwei anderen Fällen, wo eine Färbung des Mutter- bodens deutlich war, erwiesen, dass diese Stellen, auf welchen die Ssopki aufgeworfen wurden, ehemals mit einer Rasenschicht bewachsen waren. Dasselbe Mate- rial, auf welchem sich seit der Zeit des Aufwurfes eine Humusschicht von 2 Zoll bildete, hatte seit sei- ner ersten Trockenlegung in der Vorzeit bis zum Aufbau der Ssopka nicht den vierten Theil einer sol- chen Schicht erzeugt, da man den mathematisch be- rechenbaren Druck berücksichtigen muss, der auf die oberflächliche lockere Humusschicht, nicht aber auf die tiefere Humusinfiltration Einfluss haben konnte. Die Ssopki sind daher auf einen Boden aufgeworfen, der jünger ist, als die Ssopki selbst and wahrschein- lich in einer Zeit, als das mittlere Niveau der Msta merklich hüher war, als jetzt. Über die Kurgane von Ssednjew besitzen wir be- merkenswerthe Nachrichten von Hrn. Prof. Blasius (Reise 1844 II, 200), von mir bereits erwähnt im Bullet. Acad. VII (1864), S. 424. Die Wichtigkeit des Gegenstandes veranlasste mich, dieselben näher zu prüfen. Ich bin sehr erfreut, zu sehen, dass meine Bestimmungen der Humusschichte auf und neben den Kurganen, von diesen Angaben, im Ganzen so wenig und nur insofern abweichen, als die Gränzen meiner Messungen sich wahrscheinlich auf mehrere Beiïspiele gründen, von welchem indessen alle nur einigermaas- sen zweifelhafte auszuscheiden sind. Die Zahl der Kurgane in der nächsten Umgebung beträgt gegen- wärtig nur 120, hüchstens 150, unter ihnen ist eme bedeutende Zahl kleiner, unansehnlicher, und bald kann diese Zahl durch Beackerung noch weit gerin- ger werden. Alle Kurgane sind aus hellem feinen Sande aufgebaut, haben an der Spitze niemals muldenfér- mige Vertiefungen, an der Basis keine steinernen Ein- fassungen; Steinfiguren sind im ganzen Lande unbe- kannt. Südlich von Ssednjew, wenn man von Tschernigow ankommt, auf der linken (etwa westlichen) Seite der Strasse und hart an derselben, sind 6 Kurgane übrig: # 32: 047 Bulletin de l’Académie Impériale 548 der Reïhenfolge von S. nach N. «. 1 Faden hoch; auf der Spitze 12 Zoll grauer Tschornosjom (zum Theil aufgeworfen?), lichter als auf dem nahen und eben so hohen Kurgan b., dessen Humusschicht 7°, Zoll (Pa- riser, wie alle früheren und folgenden Maasse in Zoll): c. 14 Faden von b., fast 1°, Faden hoch, Spitze 4 Zoll tief, dunkel gefärbt durch Humus; d. 230 Faden von ce. und von derselben Hühe; Humus 3 Zoll dunkler +- 3 Zoll heller + 3 Zoll? undeutlicher Färbung. e. nahe bei d. und etwas hüher; gegenüber dem 5. Kurgan. Humus an der Spitze 23 Zoll und scharf be- gränzt (Aufschüttung), auf anderen Stellen nur 6 Zoll; f. fast 1°, Faden hoch; Humus 6 Zoll grau +- 2" un- deutlich. In derselben Parallele, auf der rechten (üstlichen) Seite der Strasse und ganz nahe bei ihr, sind 7 Kur- gane: 1. Hühe 2 Faden, auf der Spitze 15 Zoll tief (aufgeschütteter) dunkelfarbiger Tschornosjom, weiter unten 6° 3” undeutlich. 2. Kurgan 2", Faden hoch, Humus 4 Zoll, tiefer undeutlich. #. Kurgan 1 Faden hoch, 14 Zoll grauer Tschornosjom (aufsgeschüttet). 4. Kurgan 1 Faden hoch, Humus 6 Zoll sehr dunkel + 3” heller; neben der Spitze eine Vertiefung, dar- unter der Humus ebenfalls 6”+- 3” aber noch dunkler, nicht verschieden von grauschwarzem Tschornosjom. 5. Kurgan 1 Faden hoch, Spitze 6 Zoll tief, schwach gefärbt. 6. Kurgan 1 Faden hoch, Humus auf der Mitte des Abhanges 3” + 2” streifenweise; weiter unten ist Tschornosjom nesterweise mit Sand gemischt. 7. un- brauchbar durch ein neueres Grab. Die Kurgane 1 bis 4 liegen nahe beisammen, ebenso 5 — 7; N°2 tritt mehr zur Strasse vor, er ist von N°5 etwa 120 Faden entfernt; N°5 an 300 Faden von der kniefürmigen Umbiegung der Strasse im Städtchen, welchem N° 7 am nächsten ist. Nicht so bestimmt lassen sich die Kurgane bezcich- ven, welche ôstlich und entfernter von der Strasse zwischen Âckern liegen: $. Kurgan, nicht sehr weit vom 7., fast 1°, Faden hoch, oben 13 Zoll grauschwar- zer Tschornosjom (Aufschüttung), ähnlich dem Acker- boden der Umgebung. 9. a. b. südlich von 8, zwei Kurgane beisammen, 1 Faden hoch, zu Kellern um- gewandelt; 10. üstlich und nahe vom 9. beschädigt und unbrauchbar, wie 71. Der 12. Kurgan hat eine Humusschicht von 6 Zoll + 3” undeutlich. 74 bis 24. NO. vom 13., eine Gruppe bildend; der hüchste (N° 14) hatte fast 1°, Faden Hôhe, auf der Spitze auch 6 Zoll Humus und stellenweise noch 3 Zoll darunter undeutliche Färbung. Von dieser Gruppe nach S0., etwa ‘, Werst entfernt, befindet sich ein 1", Faden boher, breiter Kurgan (X), auf der Spitze mit 3 Zoll aschgrauem Humus, darunter noch 2” heller gefärbt. Zwischen diesem Kurgan und der frü- her erwähnten Gruppe liegen wohl 25 — 35 kleine Kurgane von 2 — 4 Fuss Hühe, zum Theil zerstürt oder beschädigt. Die andere Hälfte der Kurgane befindet sich NW. von Ssednjew. Das Profil einer nahen Regenschlucht zeigt 12 — 15, auch 18 Zoll hellen Tschornosjom. In einer Gruppe von wohl mebr als 40 Kurganen fand ich regelmässig 5 — 6 Zoll Humus an der Spitze; der hôchste unter ihnen ist über 1 Faden hoch, hat 6 Zoll Humus, in die Tiefe ziemlich scharf begränzt; der näch- ste Rand der Regenschlucht, 3 Faden tiefer, hatte 6 Zoll hellen Tschornosjom; das Übrige mag durch Ab- spülen verloren gegangen sein. Links von der Strasse liegen einige Kurgane zwi- schen Feldern; einer hatte 1 Faden Hühe, auf der Spitze 3 Zoll sehr helle Humus-Färbung, während 12 Faden von ihm entfernt die Erde schwärzlich war und 24 Zoll dick auf hellem Sande lag. Bei dem 7. Werstpfahle sind an 24 kleinere Grab- hügel mit einer Humus-Färbung von 3° 2” undeut- lich. Diesen gegenüber auf der rechten Seite des We- ges bei der Kapelle des jetzigen christlichen Begräb- nissplatzes befindet sich ein von allen bisherigen ganz verschiedener, über 1°, Faden hoher und sehr breiter Kurgan, umgeben von 12 kleineren. Dieser grosse Kurgan scheint ganz von Tschornosjom aufgeworfen zu sein, wenigstens fand ich an den Abhängen und auf der Spitze, wo ich bis 2 Fuss tief graben liess, keine Ânderung in der schwarzen Farbe und keine Spuren von Beimischung ciner anderen Erde. Allein auf der Oberfläiche des Kurgans hatte sich, seit der Zeit des Aufwurfes, unter dem Rasen cine bis 1 Zoll dicke Schicht Rasenerde, vom Aussehen eines grauen Tschornosjom, ohne Infiltration ge- bildet, und diese zolldicke Rinde liess sich sehr gut durch ïhre Farbe von dem schwärzeren Material des Kurgans unterscheiden. Sie hatte 3° Humus, das letz- tere 47, (sieh Analysen im Anhange). 4 Faden von diesem Kurgan entfernt war der Mutterboden nicht 549 Tschornosjom, sondern eine gewühnliche graue Damm- erde von uur 6 Zoll Dicke, die sich erst seit der Zeit des Aufwurfes gebildet hatte, da wahrscheinlich aller Tschornosjom der nächsten Umgebung zum Aufbau des Kurgans abgenommen wurde. Die Färbung der zolldicken Erdrinde ist nicht verschieden von jener einiger anderen schon früher erwähnten Kurganc. Be- rücksichtigt man dazu die 6 Zoll dicke Humus-Lage der Umgebung, so ist kein Grund da, ein bedeutend verschiedenes Alter dieses Kurgans vorauszusetzen. Die Beschaffenheit der natürlichen Erdoberfläche ist überall in der Nähe der Kurgane wenig verschie- den; es ist ein lockerer feiner Sand, welchem nur ein wenig Lehm beigemischt ist, weshalb auch der Tschornosjom mehr oder weniger staubartig oder leicht zerreiblich ist. Nur auf einer Stelle, schräg gegen- über dem 8. Kurgan, an der Westseite der Strasse, hart beim Städtchen, wird der Boden lehmig. In ei- ner Grube sieht man eine klebrige, ausgetrocknet feste Schwarzerde, an 6 Fuss mächtig; die oberste Schicht ist schwärzlich, in Klümpchen zerfallend, 50 Zoll dick; sie liegt auf einer anderen helleren 19 Zoll dicken und sehr zähen, und diese auf dem Unterboden, einem festen hellen Lehm. Auf diesem Boden sind keine Kurgane. Im Schlosspark befindet sich ein als «Kurgan» be- zeichneter, wohl natürlicher Hügel, der auf der Spitze eine Schicht von 16°, Zoll schwärzlichen Tschorno- sjom auf weissem Sande hat. Unter dem Rasen lagen bis G Zoll tief Holzkohlen. Dieses Beispiel ist zwei- felhaft, da bei der Ortlichkeit frühere Abspülungen nicht unmüglich waren. Dagegen halte ich für gültig den Boden auf der Anhühe, nicht weit von der Schloss- pforte: schwarzer staubartiger Tschornosjom, von der- selben Beschaffenheit, wie das Material des erwähn- ten specifischen Kurgans, liegt 3°, Fuss (genauer 38 Zoll) mächtig auf dem Unterboden, in der Nähe eines trockenen Grabens. Auf den Feldern ist die schwarze Erdschicht 6—10 Zoll dick, tiefer wird sie gemischt und hell, erst in 3 Fuss Tiefe fehlt die Färbung durch Humus gänz- lich. 6 Faden vom Kurgan 9* fand ich 24 Z0oll Tschor- nosjom unten scharf abgeschnitten, von derselben Be- schaffenheit, wie auf dem Kurgan, dagegen an einer anderen Stelle 1 Faden weit von demselben Kurgan (9°) 43 Zoll, vielleicht durch zeitweilig stehendes Was- des Sciences de Saint-Pétersbourg. | 550 ser begünstigt. Ich untersuchte deshalb den regel- mässigen seichten Graben an der Basis des 2. Kur- gans und fand ebenfalls 43 Zoll braunen Tschorno- sjom, bloss die 7 untersten Zoll waren heller gefärbt; der Rasen im Graben war üppiger. Noch eine Bestä- tigung: 3 Faden vom 5. Kurgan in dem Strassengra- ben ist die Humus-Schicht 23 Zoll tief und darüber noch 22 Zoll hellgraue Erde bis zur Oberfläche des Ackers, also im Ganzen 45 Zoll; die Humus-Färbung ist kaum dunkler, als auf dem Kurgan. Dagegen ist der Boden in einer anderen Richtung, 3 Faden ent- fernt von demselben 5. Kurgan, 20 Zoll tief mit scharf abgegränzter Färbung; in Folge dieser Nähe künnte man einwenden, dass etwas Erde von der ehemaligen Oberfläche zum Aufwurf des Kurgans verbraucht wurde. Ich grub daher 12 Faden seitwärts von den Kurganen 1 — 4 auf dem Felde und fand 25 Zoll Tschornosjom, oben ziemlich dunkel, in 14 Zoll Tiefe aschgrau. Zuvor ist ein Beispiel von 24 Zoll beim Kurgan 9° erwähnt, und weiter oben ein anderes von gleichfalls 24 Zoll N W.vom Städtchen. Für den Mutter- boden erhalten wir daher aus den gemachten Beob- achtungen einerseits 38 — 45 Zoll, andererseits 20 bis 25 Zoll (Prof. Blasius fand 24— 60 Zoll). Der Unterschied, 1—2 Fuss, künnte wohl auch eine Folge der Unebenheit des Terrains sein, die ich zwar über- all vermied, die aber doch leicht dem blossen Auge ent- gehen konnte; wahrscheinlicher ist er indessen von der Feuchtigkeit abzuleiten, welche die Vegetation begünstigt und die abgestorbenen Theile der Pflanze nicht so leicht verwehen lässt. Blasius fand für die Humus-Schicht der Kurgane 6 bis 9 Zoll. Wenn man alle zweifelhaften Fälle in meï- nen Beobachtungen nicht berücksichtigt, so kann man für die Mehrzahl derselben ebenfalls 6 Zoll oder mit der undeutlichen oder schwächeren Färbung 9 Zoll Humus-Färbung aufstellen. Vergleicht man die Humus-Schicht auf den Kur- ganen mit jener neben ihnen, so ergibt sich, dass er- stere 3—7 mal geringer ist, als letztere. Hierbeï ist noch eine genauere Unterscheidung müglich, nämlich 3 — 37, mal für trockneren Boden und 7 — 7 mal für feuchteren. Aus den Zahlenangaben von Blasius findet man 4 — 6 mal, vielleicht hôüchstens 10 mal, da die einzelnen Beobachtungen nicht mitgetheilt sind. Hieraus folgt noch nicht, dass die Kurgane 3 oder 7 30* 551 mal jünger sind als ihr Mutterboden, denn die Kurgan- Rinde hat weniger Humus als eine gleich grosse Schicht des Mutterbodens. Es muss daher zuvürderst das quantitative Verhältniss der organischen und unor- ganischen Bestandtheile beiderseits durch die che- misch -analytische Methode auf ihren wahren Werth reducirt werden, um für das relative Zeitmaass der Humus-Biläung brauchbarer zu werden. Liebhabern für eine solche Aufgabe stehen Proben zu Gebote. Die Messungen der Humus-Schicht unter den Kur- ganen, welche nicht unbedeutende Erdarbeiten erfor- dert hätten, um richtige Resultate zu geben, auch den hoffentlich baldigen archäologischen Aufgrabungen nur schädlich gewesen wären, bleiben diesen überlassen. Das Schichten-Profil des ganzen Durchmessers und der verlängerten Linie kann bei dieser Gelegenheit ohne viele weitere Mühe sicher bestimmt werden. Hierbei wird zu berücksichtigen sein, dass die schwarze Kruste des Mutterbodens mächtiger sein kann, als sie wirk- lich war, durch den ersten Aufwurf aus der Tschor- nosjom-Schicht der nächsten Umgebung. Die Lage der Knochen, Holzkohlen, gemischte Erde u. dgl. kann dabeï entscheiden. Dass der Boden von Ssednjew alt ist, bezeugen noch mehrere dort wachsende Pflanzen des Tschornosjom- xebietes, wie: Veronica incana, Dianthus Carthusia- norum, Scabiosa ochroleuca, Eryngium planum u. à., die durch die Cultur so verdrängt sind, dass sie sich stellenweise nur auf den Kurganen erhalten haben. DieGrasbildung der Kurgane ist vorherrschend Festuca ovina. Von einem begünstigten Klima und Boden zeu- gen die im Schlossgarten üppig im Freien wachsenden Exemplare von Catalpa, Tamarix, Platanus, Gledi- tschia, Robinia Pseudoacacia, Syringa persica, Cytisus Laburnum u. à. Drei Stationen von Ssednjew und 3 Werst von der Stadt Beresna an der Strasse nach Ssossniza, sind ei- nige unansebnliche Kurgane, auf welchen ausser der obigen Veronica, Dianthus und Scabiosa, auch Cam- panula sibirica, Salvia pratensis und Cytisus austria- cus wachsen, obgleich dort kein Tschornosjom zu be- merken ist. Hier so wie allerorts ist es gegenwärtig für die Pflanzen-Geographie nicht mehr hinreichend, das Vorkommen gewisser Pflanzen zu constatiren, son- dern es ist wünschenswerth zu zeigen, warum sie hier Bulletin de l’Académie Empériale 55? vorkommen und dort fehlen? Dies ist die zeitgemässe Aufgabe langjähriger localer Untersuchungen. Über den Inhalt der Kurgane von Ssednjew wusste man an Ort und Stelle nichts weiter anzugeben, als einen Münzfund in einem 2 Werst entfernten Kurgan. Aus dem Archiv der K. Ermitage ergab sich, dass man im J. 1851 (N° 220) in dieser Gegend 296 Silber- münzen fand, darunter Polnische, Brandenburgische und Dänische aus den J. 1618 — 1624; also ein in viel späterer Zeit in dem alten Kurgan verborgener Schatz. Man nahun früher an und Prof. Blasius wiederholte, dass diese Kurgane aus den Zeiten Baty’s abstammen. Ich hürte gegenwärtig an Ort und Stelle die Ansicht, dass die Kurgane von Ssednjew (in alten Zeiten Rai Gorodok, auch Ssnoweisk genannt) von den Überfällen der Polowzer herrühren sollen, auf Grundilage eines im Kloster Jelezk in Tschernigow aufbewahrten Doku- mentes über die Auffindung des wunderthätigen Mut- tergottesbildes auf einer Tanne. In einer mir erst jetzt bekannt gewordenen Abhand- lung von Markow(Urenie Mer. n xpes. 1847) wird die Auftindung dieses Bildes auf das J. 1060 oder etwas früher verlegt. Tschernigow kommt als Stadt bereits im J. 907 vor und lag im Gebiete des slawischen Stammes der Ssewerier. Seit der Mitte des VIIT. Jahr- hunderts erscheinen die Chosaren als ihre Nachbarn im S. Im J. 1078 wurde Tschernigow das erste Mal zerstôrt durch die Polowzer; im J. 1152 kamen die Polowzer von der Gluchow’schen Strasse: vom Fluss «Sswin’, der jetzt Samglai heisst», 11 Werst von Tschernigow und belagerten diese Stadt; im J. 1235 wurde sie theilweise verbrannt und 1240 von den Tataren zerstürt. Hr. Markow nimmt an, dass die zahlreichen Kurgane westlich von Tschernigow vom J. 1240 herrühren; die Tataren kamen damals von West. In der Stadt Tschernigow befinden sich 2 Kurgane: 7. der schwarze (4epnaa mornaa) im Gar- ten des Klosters Jelezk, in welchem der Fürst Tschermnoi (Hepmnoï) im J. 1215 begraben sein soll; indessen widerspricht dem der Umstand, dass christ- liche Fürsten damals nicht mehr so bestattet wurden, sondern in den Kirchen oder auf ihren Besitzungen in der Erde und nicht über ihr. 2. Unbenannter Kur- gan, 125 Faden und NO. vom vorigen, auf dem Hofe der Handwerker-Schule. Beide Gräber sprechen eher 553 für einen bedeutenden Mann aus dem Ende des X. Jahrh. oder für einen heidnischen Fürsten aus dem Ssewerischen Geschlechte. Im J.1701 fand man, beim Graben des Fundamentes für den Kathedral-Glocken- thurm, ein so grosses silbernes Gützenbild, dass dar- aus, unter dem Hetman Mazepa, die Thüren des Al- lerheiligsten (napckia aBepu) angefertigt wurden. Die Kurgane von Ssednjew künnen vielleicht von den Normannen stammen, die in der Mitte des X. Jahrh. in Tschernigow einen Hauptsitz hatten. Kufische Mün- zen würden diese Vermuthung unterstützen. Oleg un- terwarf sich Smolensk, Tschernigow und von Kiew aus bekriegte er die benachbarten Slawen an der Dessna und dem Pripet; er erbaute zu Ende des IX. Jahrh. Burgen. Nach Hrn. Bytschkow starb Oleg bei Staraja-Ladoga und wurde dort begraben. Die Kurgane von Ssednjew blieben Küppen unbe- kannt und gehôren gar nicht in seine als «Kurgane» bezeichnete Abtheïlung, deren charakteristisches Merk- mal Steinfiguren sind. Küppen’s Kurgane (tatarisch Kyÿr-Chane—Grab-Haus) gehen bis ins Gouv. Kursk, 12 Werst nôrdlich von Obojan. Das nürdlichste Steinbild fand sich zwischen Bjelgorod und dem Kirchdorf Bo- rissowka. So weit reichte auch das Herodotische Scy- thien. Kôüppen hält die Kurgane grüsstentheils für vor-Scythische Denkmäler, wenigstens für vor-Hero- dotische, also auch für vor-historische; nicht bloss für Gräber, sondern auch für Denkmäler eines alten Caltus. Rubriquis, ein reisender Minorit in der Mitte des XIIT. Jahrh., sagt, dass die Komanen (Polowzy der Russ. Chron.) über den Gräbern Hügel mit Stemfigu- ren errichten. In einer Abschrift der Nowgorod’schen Chronik wird beim J. 1224 eines Kurgans der Po- lowzy ([loroseuxiñ Kyprans) erwäbhnt. Pallas und Klaproth glauben, dass Rubriquis verschiedene Vül- kerstimme verwechselt. Es konnten aber auch andere heidnische Stimme im Kriege mit den Polowzern ihre Todten verbrannt oder in Kurganen begraben haben, ungeachtet des angeblichen Befehls der Grossfürstin Olga (im X. Jahrh.), dass man auf die Gräber keine hohen Kurgane aufwerfen solle, wie das bis dahin bei Heiden der Gebrauch war. Man wusste durch Herodot, dass die skythischen Kônigsgräber an den Dnjeperfällen zu suchen seien. Dort waren auch eine Menge Grabhügel mit unfôrm- lichen Steinfiguren, die eine Schale in Händen hal- des Sciences de Saïnt-Pétersbourg. 554 tend, vom Jenissei, dem Ursitz der Tschuden, bis über den Dnjeper hinaus zu finden sind und als Beweis für die Einheït der Skythen mit den Tschuden gelten, weil den einen und anderen ein solches Gefüss als Haupt- Attribut zugeschrieben ward. Man fand in diesen Grab- hügeln nur Nachahmungen griechischer Schmucksa- chen, Waïffen und Geräthe, zum Theil von Gold, Elek- trum und Silber, doch ohne künstlerischen Werth (Mu- ralt in St. Petersb. Zeit. 1864). Zwischen dem Dnjeper und Asow’schen Meere, im Melitopol’schen Kreise, an der Molotschna, sind von J.Corniess Messungen der Tschornosjom-Schicht un- ter und neben geüffneten Grabhügeln gemacht und von Küppen (1845 Bull. hist.-phil. IT, N° 13) mitgetheilt worden. Die damals unerklärliche Erscheinung, dass die Humus-Schicht unter dem Grabhügel zuweïlen 1 pa bis 2 Fuss niedriger ist, als die Oberfläche der sie umgebenden Steppe, ist ganz natürlich die Folge des Erstickens der Vegetations-Schicht durch das Auf- schütten des Kurgans. Der als N° 12 bezeichnete Tu- mulus hatte ein Alter von 2 — 4 Zoll Humus-Bildung, denn die Humus-$Schicht unter dem Hügel war 10 Zoll dick, während sie 20 — 30 Fuss entfernt 12 — 14 Zoll mächtig auf dem unorganischen Unterboden lag. Das Alter des Grabes N° 13 war gleich 1 Fuss Neu- bildung von Humus, da dieser unter dem Hügel 1 Fuss, 5 Faden davon aber 2 Fuss dick war. Die Hügel N° 2 und 3 waren noch älter, nämlich 2 — 2°, Fuss Hu- mus-Neubildung seit dem Aufwurfe. Der Mangel ei- ner Humus-Schicht unter dem Kurgan deutet auf einen natürlichen Hügel. Für einen solchen halte ich jenen als N°1 bezeichneten Tumulus erster Grüsse, von 15 Fuss Hühe und 162 Fuss Durchmesser, 8 Werst von Melitopol; rund um den Hügel war 4 — 5 Fuss tief schwärzliche Dammerde, von der weder in noch un- ter dem Hügel eine Spur vorhanden war; die Men- schenleiche war oberflächlich eingescharrt, in neuerer Zeit. Ein Tumulus blieb mir unerklärlich; man müsste die Original-Beobachtungen von Corniess in extenso vergleichen, die sich vielleicht unter den nachgelasse- nen Papieren Küppen’s vorfinden. Dort künnten auch Angaben über die Humus-Rinde der Oberfläche dieser Kurgane verzeichnet stehen und würden eine Ver- gleichung mit den Kurganen von Ssednjew gestatten. 5955 Bulletin de l’Académie Empériale 556 In Pallas’ Neuen nordischen Beyträgen VII(1796), S. 340 findet man eine Mittheilung Sievers’ vom J. 1793, aus den Vorbergen des Altai, vom F1. Kurtschum, in der Nähe des Sees Ballak-Tschilek. In dieser Ge- gend sind eine grosse Menge alter sogenannter Tschu- den-Gräber, die auf eine starke Bevülkerung in frü- heren Jahrhunderten hindeuten und von den Kirgisen einer fremden ganz verloschenen Nation zugeschrie- ben werden. Sievers liess durch 8 Arbeiter ein an- sehnliches Grab üffnen, was 2 Tage Arbeit kostete. Wir lassen Sievers Worte folgen: «ÆErstlich hatten wir eine grosse Menge Steine aus- einander zu werfen; dann folgte eine fusshohe Lage schwarzer Dammerde, unter dieser war bis auf den Boden des Grabes nichts wie klarer Granit und Quarz- gries, mit vieler mica foliacea, wovon die hiesige Ge- gend voll ist. Das Gewülbe des Grabes war aus gros- sen unbehauenen Granitplatten zusammengesetzt, aber zusammengefallen.» Nach dem Wegräumen der Piat- ten und des Sandes fand Sievers ein morsches Gerippe eines 6jährigen Pferdes und einen menschlichen Schä- del mit Resten von Rührenknochen. Die «Physiogno- mie» des Schädels schien Sievers einem Kalmücken ziemlich äbhnlich gewesen zu sein; auffallend war das sehr flach zurückfallende Stirnbein und die beinabe viereckige Gestalt der orbitae, das Hinterhaupt fehlte ganz; man schloss auf ein Alter von etwa 50 Jahren. Um alle überflüssige Beschreibung zu vermeiden, ver- weist Sievers auf die sehr genau gerathene, dem Prof. Blumenbach mitgetheilte Zeichnung in natürli- cher Grüsse. Wohin mag der Schädel gekommen sein? Hierüber gibt Blumenbach (Decas IV, 1800) folgende Auskunft. Er bestätigt den Empfang der Abbildung und des Steigbügels für das Güttinger Museum und erwähnt, dass der Schädel selbst zu morsch war, um einen Transport zu vertragen. Ein anderer Schädel aus diesen Tschuden-Gräbern von Kolywan, welchen Blumenbach abbildet, wird von ihm als Mittelform der Caucasischen und Mongolischen Race charakterisirt. Zwischen dem Menschen- und Pferdegerippe sah Sievers die Figur eines etwa 1”, Ellen langen zwei- schneidigen zollbreiten geraden Schwertes; das Eisen konnte man mit den Fingern zerreiben. Neben dem- selben lagen 10 eiserne Pfeilspitzen gleichsam anein- ander festgesintert, die Endspitzen waren dreiblättrig. In der Brustgegend fand man viele Goldblättchen, so wie sie patürlich und häufg in den Kolywanischen Erzen vorkommen. Dann entdeckte man 2 geschmie- dete goldene Ringe, jeder etwa 2 Quentchen schwer; Spangen und Beschläge vom Pferdegeschirr aus Kupfer, düon versilbert, eine ebenso verarbeitete 2 Zoll grosse Platte, alles sehr verrostet, etwas Leder, Holzspuren, «Baumwolle», Zeug und einen kupfernen schlecht bearbeitetenSteigbügel. Weiter schreibtSievers:«hDas Grab war 17, Faden tief. Ohngefähr in der Mitte der Vertiefung setzte eine 3 Zoll mächtige graue Erdlage durch, die das Ansehen von Asche hatte; hin und wie- der bemerkte ich auch Nester einer schwarzen Erde, die mir wie gebrannte vorkamen.» Sieversschliesst aus diesem Funde auf ziemlich er- fahrene Metall-Arbeiter und aus den Spuren des alten Bergbaues in den Kolywan’schen Gruben auf nicht ungeschickte Bergleute. Das Erdreich dieser Tschu- den-Gräber ist trockener Sand auf Granitfelsen, daher die theilweise Conservirung des Schädels. Es ist dies die einzige mir bekannte Nachricht aus Sibirien mit einer Messung der Humus-Schicht auf alten Gräbern, deren Inhalt so belehrend ist, wie in diesem Falle. Sie genügt zwar einer strengen Kritik nicht, die genauere Angabe der Lage der Steine, wel- che weggcräumt werden mussten, um weiter zu gra- ben, lässt etwas zu wünschen übrig. Ritter (Asien I, 196 — 199) sagt, dass die Oberfläche der Dammerde von einer grossen Menge Granitblôcke bedeckt war, allein diese Worte weichen vom Originaltexte ab. Rit- ter vermuthet ganz richtig, dass die fussdicke schwarze Dammerde erst durch die Vegetation erzeugt wurde, ist aber dabei im Zweifel, ob sie nicht auch durch Kohlenbrand entstanden sei. Sievers hält sie ohne wei- teres für «Dammerde» und unterscheidet davon ganz genau die im Grabgewülbe befindliche 3 Zoll dicke graue Erdlage von Asche und die stellenweisen Nester von gebrannter schwarzer Erde. Eine mit Kohlen- Fragmenten gemischte und dadurch schwarz gefärbte Erde ist zu leicht von schwarzer Humus-Érde zu un- terscheiden. Vielleicht sind die Steine viel später dort aufgehäuit worden oder lagen in der obersten Schicht der Dammerde. Chemische Analysen des Tschornosjom. Hr. E. Borszezow hat auf meine Bitte einige von mir mitgebrachte Tschornosjom - Proben quantitativ 87 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 558 bestimmt und mir die Resultate auf beifolgender Ta- belle mitgetheilt. Es sind diese Proben: 1) Von Ssusdal, 1 Werst westlich von der Stadt beim Dorfe Selzo, vom Acker aus 1 Fuss Tiefe, bei- nahe über dem Unterboden. In Klümpchen-Form. sandiger Tschornosjom in den Steinbrüchen, von der Oberfläche genommen. Von dem hüchsten Punkte des rechten Oka-Ufers bei Sserpuchow. Hellgrauer staubartiger Tschor- nosjon, unter dem Rasen genommen. 8) 2) Vom Borowski-Kurgan an der Moskwa, aus 2 Fuss | 9) 27 Werst westlich von Kromy, unberübrter grau- Tieie von gens Abhange des künstlich veränderten schwarzer staubartiger Tschornosjom, bis 2 Fuss Gipfels. Staubartig. tief. e & 5chs 4 À s SSNA - J ire es . . re r U 3) pe. Are Lu pre mon 10 | 10) Ssednjew bei der Kirchhof- Kapelle. Schwarzer erst sù von N. Ssewersk ‘ührter dun- | : \ : : ï 7e foss Le : é ARE staubartiger Tschornosjom, mit welchem der ler, meist staubartiger Tschornosjom. : : re ; F s k fs * 7 ne “ : È de | grosse Kurgan aufseschüttet ist; die Probe 1 Fuss olgahühen bei Ssimbirsk, N. von der Stadt, in : à me x FRA En at tief unter der Oberfläche (dem Rasen) gesammelt. den Steinbrüchen aus 3°/, Fuss Ticfe. In Klümp- . . r 11) Von demselben Kurgan wie 10. Grauschwarze chen zusammengebacken, wie 1, 5, 6. 5) Bei Menselinsk, schüner tiefer Tschornosjom von einem Hôhenabhang, unter Absinthium und peren- nirenden Gräsern genommen. 6) 36 Werst westlich von Malmysch, jungfräulicher | schwarzer Boden, jé Fuss tief unter dem Rasen. In Klümpchen-Form wie 5. 7) Vom rechten Oka-Ufer bei Kolomna. Aschgrauer Dammerde von der Spitze des Kurgans, 1 Zoll dick den alten schwarzen Tschornosjom überzie- hend, seit der Zeit des Kurgan-Baues entstanden. Ich bin sehr gern bereit, auch andere zahlreiche Proben für Analysen mitzutheilen. 100 Theile der bei 1007 C. getrockneten Erdpro- ben enthalten : ll 4 sue Du 2 st guelstel ir ki E lu. lanl.s l'en lala = he She es 2m SE | 2 ae mal MS ENS eh ee as NÉ MU AR NITORES nr rie A um 2 Am | AR |A |A A = dE = hate k italia als usb ass Ste DE à Le mel “if Fe D D ne | L DE = (l ET | | : A. Feuerbeständige Stotfe: | | | 1. In Salzsäure unlôsliche … \o410 79.09 | 90.42 | 61.79 | 83.10 | 79.95 | 96.62) 89.12) 87.69 | 92.30 | 94.82 2: » » losliche...…..f""" 13.51! 4.71] 28.225) 10.65 | 10.83| 1.51| 7.52| 7.66| 3.64| 2.07 | | | B. Feuerflüchtige Stoffe | 5.84%)| 7.40! 4.86 | 9.99 | 6.251 9.21| 1.86| 3.35| 4.64! 405) 3.11 . Hygroskobisches Wasser in | | | lufttrocknem Zustande (auf | | 100 Th. der bei 100° C. ge- trockneten Erde berechnet)| 3.67 Über die Probe N° 11 von Ssednjew bemerkt Hr. | Borszezow, dass die qualitative Vorprüfang grüss- tentheils nur Quarzsand, gemengt mit sehr wenig Sal- zen und organischer Materie zeigte. Am meisten ent- hält die Erdprobe Eisenoxyd mit etwas Eisenoxydul, dann aber kohlensauren Kalk und Thonerde. Die übri- gen Bestandtheile: Kali, Natron, Magnesia — sind nur spurweise vorhanden, ebenso die Säuren (Schwefel- 8) darunter 18.02 kohlensaure Kalkerde, d. h. 63.854 der Ge- sammtmenge aller in Salzsäure lôsl. Stofte. 9) nämlich 2.19 Humus-Säuren, 0.27 Humus - Kohle und 3.38 sonstige organische Substanzen, Ammoniak-Salze, chemisch gebun- 100.00 |100.00 99.99 100.00 [100.00 | 99.99 | 99.99 | 99.99 | 99.99 | 99.99 10000 | | | | | 0,51 säure, Phosphorsäure) und das Chlor, von welchem | nur sehr geringe Spuren nachgewiesen werden konnten. Hr. Borszczow macht aufmerksam auf die Abhän- gigkeit des Gehaltes an hygroskopischem Wasser von der Menge der in Salzsäure lüslichen Stoffe und der organischen Bestandtheile. Je grüsser der Gehalt der Erde an diesen beiden ist — desto mehr hygroskopisches Wasser enthält dieselbe (sieh Ssimbirsk, Malmysch, Menselinsk) und umgekehrt (sieh Kolomna, Ssednjew 11.). Dieses Verhältniss wird aber aufgehoben, sobald der in Salzsäure unlôsliche Theil der Erde aus reiner Kieselerde besteht. So enthält denes Wasser und Verlust. die Erde von Borowski-Kurgan bis 13.51 in Salzsäure 539 Bulletin de l’Académie fAmpériale 560 losliche Stoffe und bis 7.40 organische Materie — und dennoch ist der Gehalt an hygroskopischem Was- ser ein verhältnissmässig geringer — 2.99. Dagegen ist bei der Probe von Kromy, wo der in Salzsäure uniôsliche Theiïl aus Thonerde-$Silicaten besteht, der Gehalt an hygroskopischem Wasser beinahe dem Ge- halte an organischer Substanz gleich (4.84 : 4.64). Die Erdproben von Kolomna und Ssednjew 11.enthalten die grüsste Menge reiner Kieselerde, weshalb der Gehalt an hygroskopischem Wasser bis auf ein Minimum re- ducirt ist (0.51; 0.95). Dieses Verhältniss scheint von grosser Wichtigkeit zu sein bei der Beurtheilung der relativen Fruchtbarkeit des Bodens und seiner Fä- higkeit, im Wasser aufgelüste Stoffe zurückzuhalten. Früber war nur der an den Humus gebundene Was- sergehalt, der den Boden vor gänzlichem Austrocknen schützt, bei Erklärung der Fruchtbarkeït in Betracht gezogen worden. Hr. Prof. Petzholdt gab 1861 (im Archiv f. Naturk. Ostseepr. III, 103) eine genaue Analyse einer Schwarz- erde aus dem Gouv. Poltawa. Es waren 2 Proben ei- ner Ackerkrume bis 10 Zoll Tiefe, nur wenige Ar- schin von einander entfernt, die eine war fruchtbar, die andere unfruchtbarer «Salzboden». Beide zeigten in 100 Theilen ungeglühtem, bei115 getrocknetem Zu- stande fast denselben Humus-Gehalt (7.9 : 6.76). Fer- ner waren in 100 Theilen schwach geglühter Proben (nach Abzug der Kohlensäure 0.12 : 0.76) die meisten Bestandtheile (unlôsliche 87.7 : 87.6, lüsliche Kiesel- säure 5.5 : 4.97, Thonerde 2.56, Eisenoxyd 1.8 : 1.7, Schwefelsäure 0.07, Natron 0.07: 0.06, Kali 0.5 : 0,24 und Spuren von Chlor) fast in derselben Menge vor- handen; nur Kalkerde (0.89 : 1.09), Phosphorsäure (0.61 : 0.19) und Magnesia (0.4 : 1.46) zeigten grôs- sere Differenzen. Es wurde schon lange in allen Hand- büchern angegeben, vielleicht zuerst von Tennant, und durch diese Analyse bestätigt, dass die Unfrucht- barkeit des Bodens von dem grossen Gehalt an kohlen- saurer Magnesia herrührt. Indem diese leichter lüs- lich ist, als der kohlensaure Kalk, stürt diese con- centrirte Lüsung im Boden die Pflanzenernäh- rung. Der sogenannte «salzhaltige» Tschornosjom im Taurischen und Jekaterinoslawschen Gouvernement lässt Bäume nicht aufkommen in Folge der concentrir- ten Gyps-Auflüsung (Petzholdt Reise 1864, $. 176); in anderen Fällen wegen Chlornatrium und kohlen- sauren Eisenoxydul. Dieser Salzboden (corommpr) ist häufig im Gouv. Poltawa und soll auch ins Gouv. Tschernigow gehen, so weit als der Tschornosjom (das Brunnenwasser zwischen Tschernigow und Ssed- ujew ist salzig). Physikalisch ist kein Unterschied zwi- schen fruchtbarem und unfruchthbarem Boden; der Bo- den ist tief schwarz bis auf 1 Arschin. Diese Unter- suchungen sind von Einfluss auf die Erklärung des Mangels oder der geringen Entwicklung des Tschor- nosjom in Gegenden, wo man das Vorhandensein des letzteren voraussetzen müsste. Ebendaselbst lieferte Prof. Petzholdt Analysen von auf nassem Wege gebildeten Bodenarten. 1) Aus dem Torflager von Avandus in Estland, welches in der Mitte 22 Fuss mächtig ist. Lufttrok- kene Proben aus der obersten Schicht gaben 1.56‘ Asche, aus der mittleren 7.23, aus der unteren 9.4. Der Aschengehalt nimmt also nach der Tiefe zu. Die mineralischen Bestandtheile haben die Moorpflanzen dem Wasser entzogen. Die procentische Zusammen- setzung der Asche in verschiedenen Lagen des Torfs ist verschieden: die Asche der untersten Schicht (9.47) gab nach Abzug des Unlüslichen (etwa 47) und der Kohlensäure —: Kalkerde 42.7, Schwefelsäure 29.3, Eisenoxyd 21.5, Thonerde 4.0; der Rest 2.47 kommt auf Phosphorsäure, Kali, Natron, Magnesia, Chlorna- trium und lôsliche Kieselerde. Die Asche der Pflan- zendecke und die Asche von Sphagnum enthält viel mehr lôsliche Kieselsäure 11 — 12°, viel mehr Kali 19 — 247, und Natron 2 — 11%, mehr Magnesia 6 bis 11° und Phosphorsäure 7 — 9° — dagegen we- niger Schwefelsäure, Eisenoxyd und Kalkerde. Eine Zusammenstellung von 11 Analysen verschiedener Torfaschen findet man in Liebig’s Chemie 1862.1,436. 2) Wiesen- oder Grünland- Moor (bei Dorpat), hauptsächlich aus Carices und Gräsern bestehend, ohne Sphagnum, zeigt keine regelmässige Zunahme an Aschen-Procenten. Der Aschengehalt varirt in ver- schiedenen Tiefen von 7 — 20. Die Asche ist aus- serordentlich reich an Schwefelsäure und Eisenoxyd. Die von mir vorgeschlagene biologische Ein- theilung der verschiedenen Humuserden scheint mit jener Classifikation der Bodenarten übereinzustim- 561 des Sciences de Saïnt-Pétersbourg. 56? men, welche Gasparin lieferte, so weit sich dies aus Froriep’s Notiz, 1839 (XI, 321) beurtheilen lässt. Gasparin unterscheidet 1. Bodenarten mit organi- scher Basis, solche, welche 50° ihres Gewichtes ver- lieren, wenn sie so lange erhitzt werden, bis sich keine | «Dämpfe» mehr entwickeln; diese sind entweder süsse oder sauere Pflanzenerden, je nachdem das Wasser, in welchem die Erde digerirt oder gekocht wurde, Lakmuspapier rôthet oder nicht; 2. mineralischer Basis, welche beim Erhitzen weniger als 25°, verlieren. Davon, dass die ersteren auf nas- sem Wege, die letzteren auf trockenem Wege entstan- den sind, wird nichts erwähnt. Verbreitung des Tschornosjom ausserhalb Russland, Die schwarze Ackererde im Banat ist ausser- ordentlich fruchtbar, besonders für Cerealien und ÜI- pflanzen (Reps). Sie ist chemisch untersucht worden durch Hauer 1852 (Jahrb. geolog. Reich. HT). Je nach der Menge des Humus ist sie hell- oder dunkelgrau, braun, zuweilen befeuchtet fast ganz schwarz (Toba, Zombor und Theresiopol). Diese dunkle Farbe besitzt oft noch der Untergrund bei 5—6 Fuss Tiefe. Grôssere Steine fehlen durchaus und Sandkürner sind selbst mit der Loupe nicht wahrzunehmen; auch andere mechanische Eigenschaften sind so, wie bei einigen Tschornosjom-Proben des südlichen Russlands. Die Analysen von je 3 Proben aus 5 Orten waren aus cultivirtem ungedüngten Boden. Der Gehalt an trok- kenem Humus nahm überall mit der Tiefe regelmässig ab: in der Ackerkrume bis 6 Zoll Tiefe betrug er 9.5—-7.4/,, im Untergrunde bis 2 Fuss Tiefe 6 —2"},, in der Tiefe bis 5 oder 6 Fuss 3.7—1.8 ; hygroskopi- sches Wasser: oben von 5.2 — 3.2, tiefer weniger, in der grôüssten Tiefe 3.8— 1.8. Dennoch glaubte Hr. v. !Jauer einen chemischen Unterschied des Banater Schwarzbodens vom Russischen Tschornosjom darin zu finden, dass ersterer in den durch Säuren aufge- lüsten Bestandtheilen weniger Phosphorsäure hat (oft nur Spuren, aber doch bis 0,23) und weniger Kali mit Natron (aber doch in Toba bis 0,63 und tiefer bis 1,05). Hauer standen damals nur die Analysen von Petzholdt zu Gebote. Indessen erklärte Letzterer später (Archiv III, 82), dass die vor dem J. 1861 ein- geschlagene Methode, den Gehalt an Alkalien zu be- Tome IX. 3odenarten mit stimmen, unzuverlässig gewesen sei. Und so wird, wohl auch in chemischer Beziehung, zwischen der Banater Schwarzerde und dem Tschornosjom kein wesentlicher Unterschied anzunehmen sein, wenn nicht etwa die hypsometrischen Verhältnisse und die Vegetation der Gegend widersprechen. In Transkaukasien sah ich nur ein einziges Mal eine Gegend, die auf Tschornosjom näher zu prüfen wäre: nämlich zwischen Abbas Tuman und Achalziche — hochgelegene und ausgedehnte Âcker, von Weitem durch ihre schwarze Färbung bemerkbar. Die brei- ten Thäler des unteren Rion, der Quirila und des Alasan sind oder waren dicht bewaldet, Es existirt keine Karte, welche die Verbreitung des Tschornosjom in Sibirien so anschaulich macht, wie für das Europäische Russland. Ja selbst die mir bisher bekannte Literatur über diesen Gegen- stand enthielt nur äusserst spärliche Notizen. Durch weitere Lektüre bin ich auf einige Angaben von Gme- lin (in dessen Vorrede zum I. Bd. der Flora Sibirica 1747) gestossen; Gmelin gebraucht im lateinischen Text den Ausdruck: schwarzer Humus oder schwarzer fetter Boden. Die reichlichste Ausbeute machte ich indessen in Hagemeister’s Statistischer Übersicht Si- biriens. Da dieses Werk bloss in Russischer Sprache (1854) erschienen ist und wenig im Auslande bekannt zu sein scheint, so gebe ich hier die an verschiedenen Stellen des Buchs zerstreuten Angaben, oft geschüpft aus unverôftentlichten officiellen Berichten, mit Ein- schaltungen aus Murchison, Ledebour, Pallas u. a. Im Uralgebirge selbst fehlt keineswegs der Tschor- nosjom. Nach Murchison ist er hie und da in den niederen Schluchten (gorges) und an beiden Abhängen des südlichen Urals im Baschkiren-Lande auf Plateaux von mebr als 1000 Fuss abs. Hôhe. Hr. v. Helmer- sen fand daselbst schon früher Tschornosjom-Schich- ten von 10 Fuss Mächtigkeit. Im Allgemeinen zeigt sich der Tschornosjom auf der Ostseite des Uralge- birges von derselben Ausdehnung von N. nach $. wie auf der Europäischen Seite, namentlich vom 54 bis 57° (FI Tobol bis zum FI. Nitza). Südlich vom Iset (56°) reiste Murchison durch grosse Strecken Tschornosjom-Bodens, z. B. bei Kamensk, dann zwi- schen Mjäsk und Troizk. Nach Hagemeïister ist im 36 563 Gouv. Tobolsk bis 56° an der Gränze der Baraba, der Tschornosjom desto reichlicher, je hüher der. Ort liegt, während die Niederungen, die nicht vor langer Zeit noch ausgetrocknet sind und früher vom Wasser bedeckt waren, keinen Tschornosjom haben, sondern Schlamm, Sand und | stellenweise Salzboden. Die Tschornosjom-Zone schei- det sich streng ab von der sandig-lehmigen und salzi- gen Kirgisen-Steppe, der Ischim-Steppe im 53—54"/; wo lockerer Tschornosjom bloss in den N und an Flussufern sich findet (ob angeschwemmter Tschornosjom oder etwa schwarzer Schlamm?), wäh- rend die hüheren Punkte sandig und schotterig sind, indem dort, nach Hagemeister, in Folge der übermäs- sigen Trockenheit der Luft kein vegetabilischer Tschor- nosjom sich bilden konnte. Tschornosjom liegt hinge- | gen am Fusse mancher Berge, welche westlich vom oberen Ischim die Steppe durchschneiden. Zwischen den Städten Omsk und Petropawlowsk ist die ganze Gegend mit Tschornosjom bedeckt, welcher zunimmt von dem Fusse der Berge nach N., anderswo aber in der nürdlichen Ebene der Kirgisen-Steppe hat sich der Tschornosjom, nach Hagemeister, bloss gebildet an den Ufern der Flüsse durch Fäulniss (nepernoenie) der Kräuterdecke. NW. von diesen Gegenden, näher zum Uralgebirge zu, im Kreise Tura, ist die Erde meistens schwarz; an der Tura im Kreise Tjumen ist der Boden sandiger Tschornosjom, und ebenso im Kreise Kurgan, ôstlich vom Tobol. Bis zum Irtysch, d. h. im ôstlichen Theile des Kreises Kurgan, im Kreise Ischim und Omsk ist! der Lehmboden mit Tschornosjom bedeckt. Im Kreise | Jalutorowsk ist Tschornosjom am Iset und an der. Gränze des Kreises Ischim erreicht er zuweilen eine | n Dicke von 7, Arschin. Im südlichen Wiukel West-Sibiriens und zwar nôrd- lich von dem See Alakul, also gegen den Tarbagatai zu, ist die Erde fruchtbar, mit Tschornosjom. Die Ufer des Irtysch von Ustkamenogorsk (790 Fuss) bis Semipalatinsk (708 Par. Fuss) haben an ei- nigen Stellen Tschornosjom; bei letzterer Stadt ist er! 2 Fuss dick (HLanoë®s, Pycer. Caogo 1864, Cenr. er. | Nach Gmelin ist schwarzer fetter Humus-Boden | FA am Irtysch von Semipalatinsk bis 100 Werst vor Ja-! mischewskaja; noch weiter abwärts wird Tschornosjom am Posten Tschernorezk angegeben. Das rechte Ufer Bulletin de l'Académie Impériale Nieder ungen | 564 des F1. Ulba, der rechts unter CT HEUAE in den Irtysch fällt, ist flach, mit kuppelformigen Hügeln, deren Abhänge mit fettem Tschornosjom bedeckt sind. Auf den Hühen der Baraba, zwischen den Seen und Sümpfen, liegt eine dicke Schicht Tschornosjom, der ziemlich fruchtbar ist, aber in dieser Beziehung nicht verglichen werden kann mit den Gegenden am Fusse des Altaïschen Gebirges. Für diese finden sich ein Paar Angaben von Schwarzerde bei Pallas (IL, 2638, Nach Ledebour trifft man von Barnaul (366 Fuss) nach 12 Werst auf die sandige Steppe und vor Schadrinsk eine Strecke weit auf fette schwarze Damm- erde mit kräftiger Vegetation, ebenso bei Kalmyzkoi Mys; Pallas fand am unteren Lauf des Tscharysch in der Steppe bei Charlowa und Tschagirsk schwar- zen Boden auf Kalkstein, was für den Getreidebau als günstig gilt; Hagemeister fügt noch Tschornosjom zwischen den Bächen Inei und Tulata hinzu und er- wähnt, dass der ‘Tscharysch aufwärts fruchtbare und mit einer dicken Schicht Tscnornosjom bedeckte Ge- genden durchschneïdet. Nach Gmelin hat die ganze obere Region zwischen dem Ob und Jenisei schwarzen fetten Boden; beson- ders die Berge am F1. Tom ; einen so ergiebigen Acker- bau, wie bei Kusnez, sah Gmelin nirgends anderswo in Sibirien; in den engen Thälern soll indessen das Getreide nicht reifen. Auch am F1. Ina ist nach Hel- mersen Tschornosjom. Südlich von der Strasse aus Tomsk nach Krasnojarsk, an den Vorbergen des Ala- tau, ist der Boden sehr fruchtbar und bedeckt mit dickem Tschornosjom; ebenso beschaffen ist der Boden am linken Ufer des Tom und auch auf der westlichen Seite des Ob bis zum Einflusse des Tom und bis zum F1. Schegarki, aber weiter nach N. verschwindet der Tschornosjom und der Ackerbau wird küm- merlich. An den FI. Tschulym und Kija und von da längs der Strasse im Kreise Atschinsk bis Tomsk (324 Fuss)nimmt der Tschornosjom, nach Tschigatschow, | mit der Annäherung zum Alatau-Gebirge zu. Zwischen dem Altai und dem Jinken Ufer des Je- uisei ist Tschornosjom, um so dicker, je näher zu den Bergen; je weiter von denselben, um so unfruchtbarer und salziger ist die Steppe. Der Jenisei scheidet West- von Ost-Sibirien; das rechte | Ufer ist hoch und nach Ost hin wird die (egend im- :mer bergiger. Der Kreis Krasnojarsk hat mebr oder L J41). 565 des Sciences de Saïint-Pétersbourg. 566 weniger Tchornosjom, um Krasnojarsk ist Sand. Von Krasnojarsk (525 Fuss) bis Jeniseisk fällt der Fluss um 229 Fuss. Am oberen Jenisei, in der Nähe des Sajan’schen Postens, ist etwas Tschornosjom im Thale. Gmelin sah am Jenisei fetten schwarzen Boden von Sajansk bis zum FI. Dubtsches. Im Kreise Minussinsk sind die fruchtbaren Tschornosjom-Felder 10 Werst vom Jenisei entfernt. Auf der rechten Seite des Je- nisei, im Kreise Minussinsk, zwischen den F1. Tuba und Abakan, ist der Ackerbau am vortheilhaftesten auf den Hühen, wo dicke Schichten Tschornosjom lie- gen; dort schadet der Saat weniger die Trockenheit der Luft, wodurch sich Ost-Sibirien auszeichnet, als vielmehr die Frühfrüste im August; in den Thälern und Abhängen brennt im Sommer alles aus und wird im Herbst durch den Reif verdorben. Zwischen dem Jenisei und Baïkal trifft man ‘Tschor- nosjom im Kreise Kansk, von Krasnojarsk bis zum F1]. Tassejewka oder Uda und am F1. Kana. Zwischen Kras- nojarsk und Kansk ist längs der Strasse der frucht- barste Tschornosjom. Ostlich von Kansk (663 Fuss) beginnen dichte Coniferen-Wälder, der Boden ist san- dig und bloss in Niederungen trifit man Tschorno- sjom (?). Im Nishne-Udinskischen Kreise schneidet die grosse Poststrasse Lehmboden, stellenweise gemischt mit Tschornosjom, der nach SO. immer mächtiger wird, | so dass zwischen den Fi. Jja und Oka schon reiner. Tschornosjom auftritt, der auch die Ebene um die Stadt Nishne-Udinsk (1138 Fuss) bedeckt. Von der Station Ukowska ist Birkenwald auf Tschornosjom- Boden, der jenseits der Uda mit Lehm sich mischt. Von der Gränze des Kreises Nishne-Udinsk bis zur Bjelaja ist der Boden theilweise Tschornosjom, eben- | so von der Bjelaja bis Irkuzk (1355 Fuss). Am FI. Irkut, gegen Tunkinsk zu, fängt der Getreidebau 170 Werst von Irkuzk an; ungeachtet der hohen Lage leidet er in den Thälern seltener von Frost, der Bo- den ist eine dicke Schicht Tschornosjom. Die Man- surische Hochsteppe an den Quellen der Lena (2842 | Russ. Fuss), die sich bis auf 44 Werst Irkuzk nähert, hat unerschôüpflichen schwarzen Getreideboden. Die Berge zwischen der Lena und Angara sind bedeckt mit einem rothen Lehm (Tschornosjom wird nicht er- wähnt), der ohne Düngung 10 Jahre lang als Getrei- deland dient. An der Strasse gegen das linke Ufer der Angara ist so mächtiger Tschornosjom, dass man ibn jalljährlich ohne Unterbrechung besäet, bis er sich nach 80 Jahren erschüpft. Am Kitoi, linken Zufluss | der Angara, ist auch Tschornosjom; dieser wird 1 Ar- schin mächtig auf Sand im Thale des lim, einem Zu- flusse der Angara von Ost. Nach Gmelin sind auch | die Steppen an der Tunguska mit schwarzem Humus bedeckt, aber die Stelleu sind so klein, dass kein | Ackerbau getrieben werden kann, dafür sind die In- seln fruchtbar ; Gmelin fand fetten Humus an den FI. Kan, Ud, Tassejewa, Tschona und Ussol, an der | Birussa und Keschma; an der Lena geht er bis Spo- Joschna, aber nicht in einer für den Getreidebedarf | nôüthigen Ausdehnung. Die Lena bei Kirensk hat 720 | Fuss abs. H. | Der Baïkal hätte nach diesen Angaben bei Hage- :meister 1449 Par. Fuss ”) abs. H., denn die Angara hat bei ihrem Austritt aus dem Baikal bis Irkuzk 94 Fuss Gefälle. Die Mündung der Kjachta in die Selenga ist 370 Fuss hüher als der Baikal-See, aber 360 Fuss niederiger als Kjachta auf der beginnenden Erhebung der Gobi-Steppe, auf welcher Urga um 500 Fuss hüher als Kjachta liegt. Tschornosjom ist an den Ufern der Selenga bis zur Mündung des Baches Itaniza, dann bei dem Dorfe Iswolinskaja am Jinken Ufer der Se- lenga ; am rechten Ufer, nôürdlich von der Stadt Selen- ginsk, ist auch etwas Tschornosjom. Das Thal der Uda ist unfruchtbar ; das Thal der Chilka ist enger und hat häufig auf den Bergabhängen Tschornosjom und ist daher fruchtbar:; noch reichlicher die Ufer des F1. Tschilkoi. Das enge Thal des FI. Dshida, westlich von der Selenga, hat nur an wenigen Stellen Tschor- nosjom. Îm Allgemeinen ist die ganze (egend zwi- schen dem Baikal und Stanowoi Chrebet auf den sanf- |teren Nord-Abhängen häufg mit Tschornosjom be- deckt, auf dem Süd-Abhange findet er sich seltener. Bassin des Amur. Nach Gmelin haben die Ge- genden am mittleren und unteren Argun, am Urum- kan und Gasimur äusserst fetten und schwarzen Hu- mus, der nicht nur schüne Wiesen trägt, sondern auch dem Ackerbau günstig ist. Der Boden des Gebietes von Nertschinsk ist, nach Hagemeister, zum Theil Tschornosjom, wenn der Unterboden nicht so leicht 10) 1360 Fuss, da Irkuzk nur 1270 Fuss abs. H. hat nach Radde 1861 (in Baer u. Helm. Beitr. XXII, 157). Die barom. Bestimmun- gen im J. 1852 gaben für den Baïkal 1308’ und für die Basis des | Gymnasiums von Irkuzk 1257 Fuss Russ. 36* 567 Bulletin de l’Académie KFmpériale 568 ——_—_———— zerstôrbar ist, aus Kalk, Syenit u. dgl. besteht. Die! obere Ingoda hat stellenweise sandigen Tschornosjom. | Am Unda (Zufluss des Onon) sind die ergiebigsten | Tschornosjom-Âcker des Nertschinsk-Gebietes; eben- so fruchtbar ist das Land am Urula (Zufluss der Schil- | ka). Nertschinsk liegt etwa 2000 Fuss hoch. Das Bassin der Lena ist ganz mit Urwäldern be- deckt. Auf den Gebirgen ist steiniger Boden. Nir-! gends wird Tschornosjom erwähnt. Nach Gmelin sind die Humus-Schichten bei Jakuzk 10 — 11 Zoll dick; sie sollen indessen Lauberde ausgerotter Wälder sein. Die Lena bei Jakuzk hat 280 Fuss abs. H. Das Vorkommen von Tschornosjom in Ost-Sibirien in Hühen über 1000 Fuss ist nichts Befremdendes, | wenn man damit eine äbnliche Erscheinung im Ural-| gebirge vergleicht und noch mehr in den Vorbergen des Kaukasus, südlich von Stawropol, woselbst Herr College Abich beträchtliche Ablagerungen des Tschor- nosjom in einer abs. H. von 1680 — 2430 Fuss vor- fand. Nur die Steilheit des Gebirges und die fortwährende Zerstorung der Oberfläche des- selben ist die Ursache, warum ich nirgends im gros-| sen Kaukasus diese Bodenart sah; es waren hôchstens | an begünstigten Stellen Bildungen von brauner Ra- senerde. Viel eher befremdend wäre das Vorkommen von, Tschornosjom in grossen Ebenen, die nur unbedeu- | tend über dem Niveau des Meeres liegen. Wir sehen | aber, dass die Beobachtungen in Europa und West-! Sibirien gerade das Gegentheil zeigen. Der Ob bei Beresow liegt kaum 50 Fuss über dem Meere, Kä-| myschlow an der Pyschma 211 Fuss + 35 Corr., der, Irtysch bei Tobolsk 108 Par. Fuss, die Stadt Tara | 192 Fuss, überall fehlt noch Tschornosjom. Er ist auch nicht angegeben bei Kainsk in der Baraba (288 Fuss) und bei Jeniseisk, wo der Jenisei 310 Fuss abs. H. hat, wohl aber in der Nähe von Tomsk, welche Stadt 324 Fuss hoch liegt. Die Gränze der Sibirischen | Niederung nach Ost wird indessen, nach Hagemeï- | ster, nicht durch den Jenisei bestimmt, sondern durch die Wasserscheide zwischen dem Jenisei und Ob. Diese Niederung wird im Süden begränzt durch eine Linie, die von Tschulym nach Tomsk und von da den Ob flussaufwärts bis zu den Vorbergen des Altai und Alatau sich erstreckt. Sibirien wird nach N. zwischen dem Ob und Tas immer niedriger. Das Land zwi- schen dem Ural und Ob ist das niedrigste im mittleren Theile West-Sibiriens und noch jetzt über- deckt mit einer Menge von kleinen und grüsseren Seen. Zu berücksichtigen ist hier die Angabe Gmelins, nach welcher süsse Seen in der Steppe zu Men- schen-Gedenken in salzige verwandelt wurden, z. B. die Seen Worowoje und Treustan im üstlichen Kreise von Mjäsk (Näheres darüber in FI. Sibir. S. 17). Gmelin erwähnt auch einer Tradition unter den Tata- ren, dass vor 300 Jahren weder am Irtysch, noch an der Ischma und um Tjumen jemals Bäume gestanden hätten, sondern erst dann zum Erstaunen der Bewoh- ner allmählig aus der Erde herausgewachsen seien. Durch diese Sibirische Niederung konnte nach Ha- gemeister und Humboldt (Asie centrale, 1843, IT) eine Verbindung des Eismeeres mit der Aralo-Kaspi- schen Niederung bestanden haben. Hr. v. Helmer- sen spricht sich bereits 1837 (im Bullet. se. Acad. IT, 107) darüber folgender Weise aus: «Was auf dem Wege vom Ural zum Altai vorzüglich auffällt, sind die kaum verkennbaren Spuren eines ehemals vorhanden gewesenen Meeres zwischen Europa und Asien. Denken wir uns nämlich die Wasserfläche des Aral- und Kaspischen Meeres nur um ein Gerin- ges hüher, als ihren gegenwärtigen Stand, so würde sie eine breite Furche ausfüllen, welche sich in NO. Richtung von diesen Meeren, am Ostfusse des Urals hinzieht und durch eine Reihe von Senkungen des Bodens bezeichnet ist, die durch zahlreiche Gruppen von Salzseen an einen trocken gelegten Meeresboden erinnern, Wie in NW. das Uralgebirge, so bilden die Vorberge des Altai in SO. die Ränder dieser merk- würdigen Furche, deren Lokalitäten zu erforschen eine sehr interessante Aufgabe wäre.» Diese An- schauung wird noch mehr durch die Verbrei- tung des Tschornosjom unterstützt. Eine Was- serhôhe von beiläufig 60 Toisen war hinreichend, nicht nur diese Furche, sondern auch das ganze west- liche Sibirien, bis an die früheren (Tschornosjom-) Ufer | des Ural- und Altai-Gebirges, in ein Meer zu verwan- deln, das einerseits mit dem Kismeere in Verbindung stand, andererseits mit dem alten Aralo-Kaspischem Meere. Der Sibirische Tschornosjom - Boden ist be- reits da gewesen, als zu dieser Zeit der Rückzug (die Verminderung) dieser ungeheueren Wasserbe- deckung begann. 569 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 570 Es würde mich zu weit führen, ausführlich zu zei- gen, dass auch hier eine mit den Verhältnissen im Europäischen Russland übereinstimmende Verschiedenheit der Floren ausgeprägt ist. Es freut mich zu sehen, dass auch Hr. Prof. Hoff- mann nach einer mühsamen Arbeit (Bot. Zeitg. 1865) zu dem Schlusse kommt, dass das gegenwärtige Areal mehrerer Pflanzen im westlichen Deutsch- land nur durch ein Zurückgehen auf die Con- figuration des Landes in der Vorzeit zu ver- stehen ist. Entdeckung einiger schwacher Nebelflecke, von ©. Struve. (Lu le 11 janvier 1866.) Sir John Herschel hat in den Phil. Transactions für 1864 einen kritisch bearbeiteten vollständigen Catalog aller Nebelflecke verôffentlicht, von deren Existenz er bis zum Erscheinen jenes Werks Kennt- niss erhalten hatte. Dieser Catalog hat mir bei den in den letzten Monaten angestellten Nachsuchungen nach dem Biela’schen Cometen als Führer gedient, so dass ich nicht in die Versuchung kam, die gelegentlich im Felde des Refractors erscheinenden Nebelflecken für den Cometen zu halten. Es war mir dabei inter- essant und selbst von Bedeutung, dass ich an keinem Abende innerhalb des Raumes, über welchen sich je- des Mal mein Suchen ausdehnte, auch nur einen ein- zigen Fall nachweisen konnte, dass ich einen von Her- schel registrirten Nebelfleck nicht leicht erkannt hätte. Hierdurch ist wenigstens dargethan, dass, trotz dem im Allgemeinen sehr ungünstigen Zustande der Atmo- sphäre während der letzten Beobachtungsperiode, die Durchsichtigkeit der Luft doch hinlänglich gross gewesen wäre, um den Cometen in unserm Refractor leicht zu erkennen, wenn er den schwächsten Nebel- flecken jenes Verzeichnisses an Helligkeit gleichge- kommen wäre; ja wir dürfen in dieser Beziehung we- nigstens für einige Abende die Grenzen noch weiter stecken, an denen es uns gelang, noch schwächere Nebelflecke, die nicht in dem Verzeichnisse vorkom- men, ganz deutlich zu erkennen. Sobald ein solches nicht registrirtes Object im Gesichtsfelde erschien, wurde natürlich jedesmal die Hoffnung angeregt, dass wir nun endlich dem lang ersehnten Wanderer auf die Spur gekommen seien. Leider hat sich diese Hoffnung bis jetzt nicht bewährt und steht auch deren Erfül- lung für die diesmalige Erscheinung an unserm Re- fractor nicht mehr zu erwarten, sowohl wegen der südlichen Declination der Gegend, in welcher in näch- ster Zeit der Comet gesucht werden muss, wie auch weil jene Gegend in unserer Breite von jetzt an nicht mehr aus dem Bereiche der Dämmerung tritt. Indem ich somit das fernere Nachsuchen aufgegeben habe, glaube ich, dass es nicht ganz ohne Interesse sein dürfte, das Verzeichniss der bei den bisherigen vergeblichen Be- mühungen entdeckten Nebelflecke zu verôftentlichen, theils weil sie überhaupt zur Completirung des Ver- zeichnisses dieser Himmelskürper beitragen kônnen, dann aber auch weil sie interessante Vergleichungs- punkte für die optische Kraft verschiedener grosser Re- fractoren bieten dürften. Da nämlich allerseits mit den stärksten Fernrühren nach dem Cometen ausgeschaut worden ist, so werden gewiss von andern Astronomen einige von diesen Nebelflecken gleichfalls erkannt sein und vermuthlich auch noch manche andere in Gegen- den, über welche sich wegen trüben Himmels, an an- dern Tagen, unsere Nachforschungen nicht ausgedehnt haben; aus diesem Grunde erschien es mir geeignet, dem nachfolgenden Verzeichnisse auch den Tag der Entdeckung beizusetzen. Ich bemerke hierbei, dass mein Suchen nach dem Cometen sich in der Regel über einen Raum ausdehnte, dessen Grenzen sich folgendermaassen bezeichnen las- sen: In Decl. zwischen 30° nürdlich vom nürdlichen bis 30° südlich vom südlichen Kopfe des Cometen, in ÆR 4” vorangehend dem vorangehenden bis 4” nach- folgend dem nachfolgenden Kopfe, unter zu-Grunde- legung der Clausen’schen Ephemeride für die beiden Kôüpfe. An einzelnen Tagen sind aber diese Grenzen namentlich in Æ erheblich überschritten. 571 Bulletin de l’Académie Empériale 57? ———————————————<—<—<—<— Tag der Entdeckung. ÆR Deel. 1) 111865 Sept/27 1 pvp G'" LE 5800" 2), 1865, Sept. 29: 10"!.1436 235.2 3). 1865 Oct. 12 23 24 20 20 38 4) «L869,--Nov::,22,,929 50, 25 7 45 D) AS OOMENOV 2209053051] 7 42 6) 1865 Dec. 6 22 49 24 Ste 7) 1865 Dec. 7 2256451" 240720 8) 1866 Jan. 14 DOUIS 584 9, 1 Indem jetzt, wie gesagt, in unserer Breite das Su- chen nach dem Cometen für die gegenwärtig erwar- tete Erscheinung aufgegeben werden muss, bleibt vor der Hand die Hoffnung bestehen, dass derselbe noch in südlicheren Gegenden speciell auf den Sternwarten der südlichen Hemisphäre, für welche das Suchen erst jetzt beginnen kann, aufgefunden werden wird. Für die Erfüllung dieser Hofinung dürfte auch der Um- stand sprechen, dass gerade jetzt (Jan. 26.[14.]) der Comet das Perihel passirt und bekanntlich bei man- chen Cometen eine erhebliche Lichtzunahme nach dem- selben beobachtet worden ist. Professor d’Arrest, der sich mit dem vortreffi- chen Refractor der Copenhagener Sternwarte in glei- cher Weise vielfach vergeblich bemüht hat, den Biela’- schen Cometen aufzufinden, deutet die Ansicht an (Astr. Nachr. N° 1567), dass derselbe, während sei- ner letzten zwei Umläufe, seine Materie dem Welt- raume zurückgegeben habe. Während ich dem ersten Theile des von ihm aufgestellten Satzes, dass nämlich die Cometen von kurzer Umlaufszeit nur relativ junge Bürger unseres Sonnensystems seien, gerne beistimme, Beschreibung. Matter runder Nebel von ganz gleichformigem Lich- te. Auf den Nebel folgt in 265 und 48 südlich ein Stern (9. 10.) Grüsse. Sehr schwacher Nebel mit sternartiger Verdichtung am nôrdlichen Ende. 2) ist entschieden noch schwächer als 1), von dem er nur 3’ absteht; er wurde am 27. Sept. noch nicht erkannt, weil sich gleich nach der Auffindung von 1), während die Aufmerksamkeit ganz auf dieses Object gerichtet war, der Himmel bewülkte. Schwacher unbestimmter Nebel. Ein Stern (11. 12.) geht südlich voran in der Distanz von 80” und un- ter dem Positionswinkel 201°. Auf diesen Stern folgt in 20% und 4’ südlich ein Stern (9.) Grüsse, des- sen genäherte Position a—23%2437$ und 8 —120°34" gefunden wird, Matter Nebel von 20°— 30" Durchmesser. Ein Stern (9.) Grôsse folgt südlich in 4’ Abstand unter dem Positionswinkel 172°. Ein wenig heller wie der vorhergehende und ausge- dchnter. Ein Stern (10. 11.) in 2’ Abstand unter dem Positionswinkel 230°. Nebel von 30” Durchmesser mit wenig concentrirtem Lichte. Totaleindruck der Helligkeit stürker wie der von X.4893. Mattes Sternchen mit nebliger Umgebung. Schwacher unbestimmter Nebel von 20"— 30" Durch- messer. Ein Stern (7.) Grüsse (W. O. 306) befindet sich in 5’ Abstand unter dem Positionswinkel 147°. so scheint mir doch der erwähnte Nachsatz noch man- chem Einwande ausgesetzt zu sein. So hat ja z. B. der Encke’sche Comet bei seinen wiederholten Er- scheinungen bisher, so weit sich das aus dem Anblicke allein beurtheilen lässt, noch nichts von seiner Mate- rie verloren, ja er ist sogar in mehreren späteren Er- scheinungen, nach gehôriger Reduction für Stellung zur Sonne und Erde, entschieden heller gewesen, als in früheren, und ein noch auffallenderes Beispiel bot bekanntlich der Biela’sche Comet selbst in seiner Erscheinung von 1846 dar, wo derselbe sogar dem blossen Auge bequem sichtbar wurde. Es scheint mir vielmehr, dass die Materie der Co- meten an sich eigenthümlichen Licht- Fluctuationen unterworfen ist, und dass diese Kürper sich hierin als analoger Natur mit den Nebelflecken erweisen, an deren raschen Lichtwechseln jetzt, besonders seit Professor d’Arrest’s eigenen Beobachtungen am Hind’schen Nebel nicht wohl mehr gezweifelt werden darf. Bekanntlich deuten auch Donatis Spectral-Un- tersuchungen auf identische Natur der Cometen und Nebel-Materie hin. 073 Es soll aber damit nicht gesagt sein, dass solche Lichtwechsel der bestimmte und einzige Grund für das bisher erfolglose Suchen nach dem Biela’schen Cometen seien; es lassen sich noch manche andere, mehr oder weniger plausible Hypothesen darüber auf- stellen. Welche dieser verschiedenen Erklärungen die richtige ist, dürfte sich erst nach wirklichem Auffin- den des Cometen mit einiger Wahrscheinlichkeit dar- thun, und gerade aus diesem Grunde ist es besonders zu wünschen, dass die Beobachter an den südlichen Sternwarten in ihren Bemühungen, denselben aufzu- finden, glücklicher seien, als wir Nordländer. —_—600—— BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. L'Académie a reçu dans ses dernières séances les ouvrages dont voici les titres: Quetelet, A. Sur le cinquième congrès de statistique tenu à Berlin. 8. Denkschrift über den Abschluss eines Handels- und Zoll- Vertrages zwischen dem Zollvereine und Russland. St. Petersburg 1864. 4. Notizblatt des technischen Vereins zu Riga. 1864. N° 17 und 18. 8. Kurländische landwirthschaftliche Mittheilungen, heraus- gegeben von der Kurländischen Landwirthschaftlichen Gesellschaft. 1864. N° 5. 6. Mitau. 8. Mittheilungen der k. freien ükonomischen Gesellschaft zu St. Petersburg. 1864. Heft 5. 6. S. Bulletino archeologico Sardo. Anno X, N° 9. 8. Villa, Ant. e Gio. Batt. Armi antiche trovate nella torba di Bosisio. Fol. unic. 4. Ermitage Impérial. Vases peints. St.-Pétersb. 1864. 12. — — Antiquités du Bosphore Cimmérien. St.-Pétersbourg 1864. 12. Fotografia di Venezia del Principe Pietro Wiasemski. Ve- nezia 1864. Fratris Arnoldi de correctione ecclesiae epistola et ano-| nymi de Innocentio IV P. M. Antichristo libellus ed. Ed. Winkelmann. Berolini 1865. 8. Backmanu, Herm. Tieteelliselle kannalle perustettu pien- ten lasten elanto ja hoito. Helsingissä 1864. 8. Maciejowski, W. A. Essai historique sur l’église chré- tienne primitive des deux rites chez les Slaves. Trad. par L. Fr. de Sauvé. Leipsic 1840. 1 vol. 8. Emin, J. B. Recherches sur le paganisme arménien. Ou- vrage traduit du russe par M. A. de Stadler. Paris 1564. 8. $ des Sciences de Saint-Pétersbourg. D74 Bolin, Wilh. Leibnitz ett f‘rebud till Kant. Helsingfors 1864. 8. Duhamel, J. M. C. Des méthodes dans les sciences de raisonnement. Paris 1865. 8. ‘Irroxpdtnc. Iesprodrmdr SÜVYRALLE TOY LaToLxY ÈTLITH- Bov. Telyos à — 2. ’Ev ASvac 1864. 8. Gazette médicale d'Orient publiée par la Société Impériale de Médecine de Constantinople. VII’ année. N° 7— 12. VIII année. N° 1—8, Constantinople 1864. 4. Fogelholm, K. G. Studier i allmän sundhetsvärd. Hel- singfors 1864. 8. Procopé, Ak. Fr. Om bly och dess féreningar i sanitärt hänseende. Helsingfors 1864. 8. Debenedetti, Gerol. Memoria intorno alla preparazione, all uso ed all efficacia di un sciroppo astringente. Voghera 1861. 8. Krogerus, Alex. Om fürträngning af nedre mag-munnen (Pylorus stenos). Helsingfors 1864. 8. Lindberg, S. O0. Om de europeiska Trichostomeae. Hel- singfors 1864. 8. Sôderling, Fr. Wilh. Om behandlingen af Morbus Brigh- ti i dess fürsta bürjan. Helsingfors 1864. 8. Debenedetti, G. Sulla libertä di esercizio farmaceutico ragionamenti. Voghera 1864. 8. Catalogue of the American Philosophical Society Library. Part I. Philadelphia. 8. Nachrichten über Leben und Schriften des Hrn. Geheim- rathes Dr. Karl Ernst von Baer, mitgetheilt von ihm selbst. Verôffentlicht bei Gelegenheit seines fünfzig- Jährigen Doctor-Jubiläums am 29. August 1864 von der Ritterschaft Ehstlands. St. Petersburg 1865. 8. Honori et memoriae Dantis Aligherii anno a nativitate ejus sexcentesimo specimen epigraphicum Fr. Muset- tinn. Massac Carrariae 1865. 4. Wurzbach, Constant. von, Karl Haidinger und Wilhelm Haidinger. Wien 1864. 8. Ritterstands- Diplom für Wilheïm Ritter von Haidinger. Wien 1865. 8. Bericht über die Haïdinger-Feier am 5. Februar 1865. Wien 1865. 8. Journal de l’école polytechnique. T. XXIV, cahier 41. Pa- ris 1865. | Verzeichniss der Vorlesungen, welche am Hamburgischen Akademischen und Real-Gymnasium von Ostern 1865 bis Ostern 1866 gehalten werden sollen. Darin: Acgidi, L. K. Aus der Vorzeit des Zollvereins und Rüm- ker, G., Über die Parallaxe und Aberration der Ge- stirne. Hamburg 1865. 4. Schriften der Universität zu Kiel aus den Jahren 1859 bis 1864. Kiel 1860 — 65.:6 Bde. 4. Nachrichten von der k. Gesellschaft der Wissenschaften und der Georg - Augusts- Universität aus dem Jahre 1864. Güttingen 1865. 8. 575 Bulletin de l’Académie Hmpériale des Sciences de Saint-Pétersbourg. 576 19 scripta academica universitatis Albertinae Regiomon- | Sitzungsberichte der k. bayer. Akademie der Wissenschaf- tanae annis 1864 et 1865 edita. 8. et 4. ten in München. 1864. II Heft 3. 4. 1865. I Heft 1. 195 scripta academica universitatis Berolinensis annis | 2. München 1864—65. 1864 et 1865 edita. | 42ster Jahres-Bericht der Schlesischen Gesellschaft für 7 scripta academica universitatis Jenensis annis 1864 et | vaterländische Cultur. Breslau 1865. 8. 1865 edita. | Abhandlungen der Schlesischen Gesellschaft für vaterlän- 25 scripta academica universitatis Tubingensis anno 1864 | dische Cultur. Philos. histor. Abthl. 1864, Heft IT. edita. | Abthl. für Naturwissenschaften und Medicin. 1864. Annuaire de luniversité catholique de Louvain. Année | Breslau 1864. 8. 1864. Louvain 12. Verhandelingen der k. Academie van Wetenschappen. Annales academici. 1861—62. Lugduni Batavorum 1864. 4. | Tiende deel. Amsterdam 1864. 4. Resumen de las actas de la real Academia de ciencias | ——— — Afdceling Letterkunde. Derde deel. Amster- exactas, fisicas y naturales de Madrid en el ano acad. | dam 1865. 4. de 1861 à 1862 y 1862 à 1863. Madrid 1863—64. 8. | Verslagen en mededeelingen der k. Akademie van Weten- Memorias de la real Academia de ciencias exactas, fisi- schappen. Afdeeling Natuurkunde, 17de deel. Afdee- cas y naturales de Madrid. Tomo II. Primera serie. | ling Letterkunde, 8ste deel. Amsterdam 1865. &. Ciencias exactas. T. L p. 2. Tomo III. 2° serie. | Jaarboek van de k. Akademie van Wetenschappen ge- Ciencias fisicas. T. I p. 3. Tomo VI. 2° serie. Cien- vestigd te Amsterdam voor 1863, 1864. Amsterd. 8. cias fisicas. T. IT p. 1. 2. Madrid 1863—64. 4. Proceedings of the royal Society of London. N° 58 — 60. Bulletin de la Société philomathique de Paris. Tome IT. 68 — 73. London. 8. Mars, Avril, Mai 1865. Paris. 8. Philosophical transactions of the r. Society of London for — des séances de l’Académie Impériale des sciences, bel- the year 1864 T. I. II. London 1864. 4. les-lettres et arts de Lyon. Lyon 1865. 8. | Proceedings of the r. Institution of Great Britain. Vol IV. Mémoires de l’Académie Impériale des sciences, belles- p. LIL IV. N° 39. 40. London 1864. lettres et arts de Lyon. Classe des sciences. Tome | Memoirs of the Library and Philosophical Society of Man- XIII. Classe des lettres. T. XI. Lyon 1863. 8. chester. Vol. III. Warrington 1790. 8. Memorie dell Accademia delle scienze dell Istituto di Bo- | Transactions of the r. Society of Edinburgh. Vol. XXIII logna. Serie IT. Tomo II. fase. 4., Tomo IV, fasc. 1. p. IL 4. Bologna 1864 — 1865. 4. Proceedings of the r. Society of Edinburgh. Session 1863 Indici generali della collezione pubblicata dell Accade- — 64. 8. mia delle scienze del! Istituto di Bologna col titolo | — of the American Academy of arts and sciences. Vol. VI di Memorie in XII tomi dal 1850 al 1861. Bologna f. 23 — 38. 8. 1864. 4. — of the American Philosophical Society. Vol. IX N° 71. F7 Memorie del r. Istituto Lombardo di scienze e lettere. 72. Classe di scienze matematiche e naturali. Vol. X fase. | List of the members of the American Philosophical Soci- 1. Milano 1865. 4. ety held at Philadelphia. 8. —— — — Classe di lettere e scienze morali e politiche | Annual report of the board of regents of the Smithsonian Vol. X. fasc. 1. Milano 1865. 4. Institution for the year 1863. Washington 1864. 8. Reale Istituto Lombardo di scienze e lettere. Rendiconti. | Smithsonian contributions to knowledge. Vol. XIV. City Classe di scienze matematiche e naturali. Vol. I fase. of Washington 1865. 4 9:10, VolIlifasc. 1.2. The American Journal of science and arts. Vol. XXXVIII — ——— Classe di lettere e scienze morali e.politiche. | N° 112— 114, Vol. XXXIX N° 115— 117. New Ha- Vol. I. fase. 8—10, Vol. IT fase, 1. 2. Milano 1864— ven 1864 — 65. 8. 65. 8. Transactions of the American Philosophical Society held Atti dell IL R. Istituto Veneto di scienze, lettere ed arti. at Philadelphia. Vol. XIII p. 1. Philadelphia 1865. 4. Tomo X, dispensa 1 — 8. Venezia 1864 — 65. 8. Hippocratis et aliorum medicorum veterum reliquiae ed. Memorie dell I. R. 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