REP NOR RRE ES. EE RE

Se

15e GuHARVARD UNIVERSITY HERBARIUM.

a < Rus THE GIFT OF

À 2 7. [ .

C Z

LIBRARY OF THE GRAY HERBARIUM HARVARD UNIVERSITY

LE Ne

F re

BULLETIN

DE

L'ACADEMIE IMPERIALE DES SCIENCES

DE

S'-PÉTERSBOURG.

__ss————

TOME DOUZIEME.

(Avec 10 Planches.)

Sr.-PÉTERSBOURG, 1868.

Commissionnaires de l’Académie Impériale des sciences: à St-Pétersbourg. à Riga, à Leipzig.

D er er ne M. Samuel Schmidt, M. Léopold Voss.

Prix du volume: 2 Roub. 70 Kop. d’arg. pour la Russie, 3 Thl. de Prusse pour l'étranger.

Imprimé par ordre de l’Académie Impériale des sciences.

Mars 1868. C. Vessélofski, Secrétaire perpétuel.

Imprimerie de l’Académie Impériale des sciences. (Vass.-Ostr., ligne, \ 12.)

TABLES DES MATIÈRES.

A. TABLE SYSTÉMATIQUE.

(Les chiffres indiquent les pages du volume.)

SCIENCES MATHÉMATIQUES, PHYSIQUES ET BIOLOGIQUES. MATHÉMATIQUES.

Ferd. Minding, Démonstration d’un théorème de statique. 233 239.

ASTRONOMIE.

0. Struve, Résultats de quelques observations supplémentaires faites sur des étoiles doubles artificielles. Troisième note. 73 95.

V, Fuss, Observations de la Comète Faye-Müller, faites au moyen du refracteur de Poulkovo pendant les années 1865 et 1866. 108 113.

W., Dôüllen, Propositions pour le perfectionnement des instruments à miroir. 125 143.

A. Wagner, Oscillation extraordinaire du niveau, observée à Poul- kovo. 231 233.

H. Gyldén, Sur une formule général pour le calcul de la réfraction. 474 480,

PHYSIQUE.

L. Danckwerth, Appareil d’induction électro - électrique à double effet. 57 60.

A. Moritz, L’éclipse solaire du 6 mars 1867. (Avec une Planche.) 143 152.

B, Jacobi, Rapport sur les procédés de galvanoplastie employés dans la fabrique royale néerlandaise d’orfévrerie de M. van Kem- pen à Voorschoten, présenté à la Commission impériale de l'Exposition universelle de 1867 à Paris. 563 578,

CHIMIE.

J, Fritzsche, Sur l’anthracène de M. Berthelot. 152 154.

À, Engelhardt, Composition chimique des bois et des ossements fos- siles des terrains crayeux de la Russie. 394 418.

P. Alexeyeff, Sur l’azobensid. 480 481.

F. Beïlstein et À, Kuhlberg, Sur les bi- et trichlortoluols isomères. 547 563.

GÉOLOGIE..

C. Schmidt, Recherches hydrologiques. II. Eaux ferrugineuses de Stolypin. 1 17. G, Helmersen, La houille de la Russie centrale, son importance et son avenir. 372 394. Rapport sur un mémoire de M. Gocbel concernant l’industrie minière qui a existée jadis sur la côté l’appone (mer Blanche). 465 471.

BOTANIQUE.

A, Famintzin et J. Baranetzki, Sur l’évolution des Gonidies et la formation des Zoospores, observées dans la Physcia parietina. Communication préalable. 55 57.

C, J. Maximowiez, Courtes diagnoses de nouvelles plantes du Japon et de la Mandjourie. 4°, et décades. 60—73 et 225—9231.

A, Famintzin, Action de la lumière sur la Spirogyra. (Avec une Planche.) 97 180.

A. Famintzin et J. Borodin, De la formation transitoire de l’amidon dans le bouleau. 113 119.

El. Borscow, Action des rayons rouges et bleus de la lumière sur la plasma liquide contenue dans les poils piquants de l’ortie. 212 295.

Action des rayons rouges de la lumière sur la chlorophylle des Spirogyres. 239 247. Action du protoxyde d’azote sur les plantes. 303 311.

J. Baranetzki, Observations biologiques sur les gonidies des lichens 418 431.

J. Borodin, Action de la lumière sur quelques cryptogames. (Avec une Planche.) 432 447.

ZOOLOGIE.

J. F. Weisse, Recherches microscopiques sur le guano. (Avec deux Planches.) 120 125.

J. F. Brandt, Qnelques mots sur la configuration du cerveau des Sireniens. 269 270.

Ph, Owsjannikow, Sur le système central nerveux d'Amphioxus lan- ceolatus. (Avec une Planche.) 287 302.

Dr. À. Strauch, Remarques sur le genre Scapteira Fitz. 313 328. J. Knoch, De l’existence du Cysticereus Taeniae medio-canellatae dans les muscles des animaux de la race bovine. 346 359.

Dr. A. Strauch, Sur le genre Ablepharus. 359 371. J. F. Brandt, Quelques mots concernants une nouvelle représenta- tion figurée de la Rhytina Stelleri. 457 458. Rapport sur la seconde et la troisième parties des études sire- nologiques. 471 474.

ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE.

MM. Zabeline et Dorogof, Influence du chlorure de sodium sur l’ab- sorption du phosphate de chaux tribasique. 161 165.

MM. Zabeline et Wassilewsky, Influence du chlorure de sodium sur l'absorption du fer métallique. 164 165.

W. Gruber, Sur les écarts de la Vena jugularis externa poslerior. 247 253,

37*

IV

E, Pelikan, Paralysie locale produite par le Saponin et les poisons semblables (Githagin, Senegin etc.) 253 259. W. Gruber, Sur les variétés du muscle brachialis internus. 259—269. Sur les variétés du muscle brachio-radialis. (Avec une Planche.) 277 287. Dr. Woronichin, Infiuence des chlorures de potassium et de sodium sur l'absorption du fer métallique par l'organisme animal et sur l’excrétion du fer. 311 315. W, Gruber, Remarques complémentaires sur le muscle epitrochleo- anconeus des mammifères. 829 335. Sur les variétés du muscle radialis internus brevis. (Avec une Planche.) 335 346. Second supplément au mémoire sur le processus supra condy- loideus (internus) humeri de l’homme. (Avec une Planche.) 448 457.

PHILOLOGIE ET HISTOIRE.

M, Brosset, Rapport sur un recueil de documents historiques, publié par la Commission archéologique du Caucase. 17 28.

E. Kunik, Sur quelques dénominations slaves du pourpre, du solei et de l’ambre. 28 56.

B, Dorn, De Bakou. 165 169.

E. Kunik, Rapport sur l’ouvrage de M. Winkelmann, intitulé: Bibliotheca Livoniae historica. 169 179.

A. Schiefner, Contes et légendes ossètes. 180 212.

L. Stephani, Parerga archaeologica. XXVI. (Avec une Planche.) 273 277.

À, Nauck, Remarques critiques. V. 482 546.

Bulletin bibliographique, 95 96, 154 —160, 271 272, 458 464, 578 580.

B. TABLE ALPHABÉTIQUE.

(Les chiffres indiquent les pages du volume.)

AlexeyefF, P. Sur l’azobensid. 480.

Baranetzki, J, et Famintzin. Sur l’évolution des Gonidies et la for- mation des Zoospores observées dans la Physcia parietina. Communication préalable. 56.

_— Observations biologiques sur les Gonidies des lichens. 418.

Beilstein, F, et À, Kublberg. Sur les bi- et trichlortoluols isomères. 587.

Borodin, J, et Famintzin, De la formation transitoire de l’amidon dans le bouleau. 115.

Action de la lumière sur quelques cryptogames. (Avec une Planche.) 432.

Borscow, El, Action des rayons rouges et bleus de la lumière sur la plasma liquide contenue dans les poils piquants de lortie. 212.

Action des rayons rouges de la lumière sur la chlorophylle des Spirogyres. 239.

Action du protoxyde d'azote sur les plantes. 305.

Brandt, J. F, Quelques mots sur la configuration du cerveau des Sireniens. 269.

Quelques mots conceruants une nouvelle représentation figu- rée de la Rhytina Stelleri. 457.

Rapport sur la seconde et la troisième parties des études siré- nologiques. 471.

Brosset, M. Rapport sur un recueil de documents historiques publié par la Commission archéologique de Caucase. 17.

D'anckwerth, L. Appareil d’induction électro - électrique à double effet. 57.

Dôllen, W, Propositions pour le perfectionnement des instruments à miroir.

Dorn, B. De Bakou. 165.

Dorogof et Zabeline, Influence du chlorure de sodium sur l’absorp- tion du phosphate de chaux tribasique. 161.

Engelhardt, A, Composition chimique des bois et des ossements fossiles des terrains crayeux de la Russie. 394.

Famintzin et J. Baranetzki. Sur l’évolution des Gonidies et la for- mation des Zoospores, observées dans la Physcia parietina. Communication préalable. 56.

Action de la lumière sur la Spirogyra. (Avec une Planche.) 97.

et Borodin, De la formation transitoire de l’amidon dans le bouleau. 113. .

Fritzsche, J. Sur l’anthracène de M. Berthelot. 152.

Fuss, V, Observations de la comète Faye-Müller, faites au moyen du refracteur du Poulkovo pendant les années 1865 et 1866. 108.

Gruber, W. Sur les écarts de la Vena jugularis externa posterior.

247.

Sur les variétés du muscle brachialis internus. 259.

Sur les variétés du muscle brachio-radialis. (Avec une Planche.)

277.

Remarques complémentaires sur le muscle epitrochleo-anconeus

des mammifères. 329.

Sur les variétés du muscle radialis internus brevis. (Avec une

Planche.) 335.

Gruber, W, Second supplément au mémoire sur le processus su- pracondyloideus (internus) humeri de l’homme. (Avec une Plan- che.) 448.

Gyldén, H, Sur une formule générale pour le calcul de Ja réfraction. 474.

Helmersen, G. La houille de la Russie centrale, son importance et son avenir. 372.

Rapport sur un mémoire de M. Goebel concernant l’industrie minière qui à existée jadis sur la côté lappone (mer Blanche). 465.

Jacobi, B. Rapport sur les procédés de galvanoplastie employés dans le fabrique royale néerlandaise d’orfèvrerie de M. van Kempen à Voorschoten, présenté à la Commission impériale de l'Exposition universelle de 1867 à Paris. 563.

Knoch, J. De l'existence du Cysticercus Taeniae mediocanellatae dans les muscles des animaux de la race bovine. 346.

Kublberg, A. et F. Beilstein. Sur les bi- et trichlortoluols isomères. 547.

Kunik, E Sur quelques dénominations slaves du pourpre, du soleil et de l’ambre. 28.

Rapport sur l’ouvrage de M. Winkelmann, intitulé: Biblio- theca Livoniae historica. 547.

Maximowiez, C. J. Courtes diagnoses de nouvelles plantes du Japon et de la Mandjourie. 4°, et décades. 60. 225.

Minding, F, Démonstration d’un théorême de statique. 233.

Moritz, À. L’éclipse solaire de 6 mars 1867. (Avec une Planche.) 145.

Nauck, À, Remarques critiques. V. 482.

Owsjannikow, Ph. Sur le système central nerveux d’Amphioxus lan- ceolatus. (Avec une Planche.) 302.

Pelikan, E. Paralysie locale produite par le Saponin et les poisons semblables (Githagin, Senegin etc.) 253.

Schmidt, C. Recherches hydrologiques. II. Eaux ferrugineuses de Stolypin. 1.

Schiefner, A. Contes et légendes ossètes. 180.

Stephani, L. Parerga archacologica. XXVI. (Avec une Planche.) 273.

Strauch, A. Remarques sur le genre Scapteira Fitz. 318.

Sur le genre Ablepharus. 359.

Struve, 0. Résultats de quelques observations supplémentaires faites sur des étoiles doubles artificielles. Troisième note. 75.

Wassilefsky et Zabeline, Influence du chlorure de sodium sur l’ab- sorption du fer métallique. 164.

Weisse, J. F. Recherches microscopiques sur le guano. (Avec deux Planches.) 120.

Woronichin, Dr. Influence des chlorures de potassium et de sodium sur l’absorption du fer métallique par l’organisme animal et sur l'excrétion du fer. 311.

Labeline et Dorogof. Influence du chlorure de sodium sur l’ab- sorption du phosphate de chaux tribasique. 161.

et Wassilewsky. Influence du chlorure de sodium sur l'absorption du fer métallique. 164.

. "ee

un

Late la ï | VA

Ton Ni: ! 07 TE { a au AA RU LA KE 10) { L] | AURUIRaNPE Er Û We Di Fe CT URR Fu PAATIT. k ! \ 2 = | DT LL RS OS | PRMMTEUT ARR slabiete À sr qe à (i AUTIE rai ; ai fn LufR L ti 7 ‘SE. k LE HS 4 , À» dla 0 OMR RER. RON CIE ERNST CPAS D OS SCREET SSRSS CESCTUTR : si L'att i | pie us EU ‘y CIRE LORS 21 AEUTTS PTE Rd 4 dr, | | “4 Lu nil: ter PR fl Ni ; + ÆTON on PDO 617 DL 20 BE LA 8 LL LOS TOSE RCRT EE #4 Ait 110 TRS. PAL 4 NT ARE LE ON ATITA OT PCT ANTL EU . pe ; (UT ACILE Sr PE AR PRO LA 1 tri ALP LAT: VU MAD: Ur f ice wi (pat ! 1 PORN PE Le 12 UE patent PER dpt dN TTL dAtee tv \ TTC. D | VENTRE { Fo LE GR dr à as te RSR Een Cane D POTTER RIRE Ages DIET" me LR UTTTT SNL TE ETF ET CR NTENE 1 niet fort font te ru at: d'ETrE tby 7 = Î Ca 1 As CEE RENTE DE PU CARE EST TERRES PAG UP 0 FO CARE OR ae UNE ULUR Lors MOT Ter SAUT que Pin “1h: D CORTE RIDER ENPENPITENE (TT ET | CN peter: ete DU dt Abtetits ; dE ere AN EATE A4 ‘Al esp ét DCLETLE Luiai a Î | { pr DATE. AJ TIR dan tal LA 7 x one nt Le Lo | ps TU SIL AUS CT UOS LORET ELCTSEETTCE CES 6 OS ) 4) { ! va Li rAUOG a thin: Pat F1 M \ Pt AO vel \E Al JA: MR ET OPR TL TES NP 7e # M EN û A 1 p LE M L D : 0: fus AE 3% ip WMA #19 {! 'ILETÉ f mr FA HU OL dub Muni RENTE Fpslpté 2, PCT PALIN, GA US LAPAIAN RTL der à à à

] ee sb E fab nent eiereg: redhat side tr ts k RATES PT LAN Es AA ee eur ete MON de a+ ait Mon ha Fi nd a) ù Fhésit Rd: s Ari Ds rE sd os UT PRES RAR “e Vobéois. ATP TI TU TEELT A PAT Me à M LL +! pr Mug A di

ar pe ls

A

VA nes Eu L 4: vs “" ra th ln “5Ù QT “he { TT LT go: Nat rai der ui! vus! mu À OR PE EL COUR © MAT AR A NAN au IT du: | nabbfnipadoidentsre pe su cor 29 con rm lime tn Én R

UT CE UE # ‘je id LA C0 wii “jt lei lat isart th qui MOTPANTUP me ie ee Fe nn id dates tn, tt PONT croresui surrit aa de

> £ # } F à #}

+ st ab he Le RAT PPT CNT) TE DOTE 4, af 10900 HR Nr iétt Dose M hide. Ste PAPE ni \ato ÿ à À (te DT TER Apr vi HUSN LE à LU L 4 Us ri LL: AE Lao CELUI vulytsté pps COST Cr he

| Aie: 45 A ATEN et Lo er RE

tit QUE Audutb FOR + ebuné der) La

af! " FUEL e Botte ru Run : fit | { [ATEN CEA DA Hit Aa MAT NER fin \ uié< ait © ste | M PNA Ver Am NT 0 À vante pi Ut piments MEPIOR “tu | nirng W LEULL br dragon a$s, de |

T. XEE, N°1.

BULLETIN

DE L'ACADÈMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG.

TOME XIE.

(Feuilles 1 6.)

CONTENU.

Page. | Prof. €. Schmidt, Recherches hydrologiques. Il. Eaux férrugineuses de Stolypin........ 1— 17 M, Brosset, Rapport sur un recueil de documents historiques publié par la Commission archéologique du Cauçase......:..,4....4..40 2.44... resertsssieese 17 28 E. Kunik, Sur quelques dénominations slaves du pourpre, du soleil et de l’'ambre °°: 28 56 Dr. A, Famintzin et J. Baranetzki, Sur l’évolution des Gonidies et la formation des Zoo- spores, observées dans la Physcia parictina. Communication préalable ere Ecr 56 57 | | L. Danckwerth, Appareil d'induction electro-electrique à double effet ..... M TER PS à 57 60 | | €, J, Maximowiez, Courtes diagnoses de nouvelles plantes du Ds et de la Mandjourie. | Quatrième et cinquième décades.......................................... 60 73 | 0, Struve, Résultats de quelques observations supplémentaires faites sur des étoiles dou- | bles artificielles. Troisième note....:.....:..::.-.... SE AS Lee NME CAT EEE 73 95 Ie TMD OR EAPDIUE A NM PC eee ere Ci: ces cecile ie ER 95 96 re | |

On s’abonne: chez MM. Eggers & Cie, H. Schmitzdorft et J. Issakof, libraires à St-Pétersbourg, Perspective de Nefski; au Comité Administratif de l'Académie (Kowmurers Ipasaenis Mwuneparopekoñ Axaremiy Hayk®) et chez | | M. Léopold Voss, libraire à Leipzig. |

| Le prix d'abonnement, par volume composé de 36 feuilles, est de 3 rb]. arg. pour Ja Russie, | 3 thalers de Prusse pour l'étranger. Î o 7 NW Imprimerie de l'Académie Impéri ale des sciences. ZT) Et -Ostr., ligne, M 12. 7 @) NS (Vass.-Ostr. lign ) ) Ce ç = w @ a nn = D RU ner es. 2 >(/ 250) % 9 ( JE

à 2 paf 1

LA CNT

1r

Rnane

TR ULUSRES OT" Done £ qe LCA tes vhs CAL

LE

Me

ie V nie Ce” mn PARCS de k

se

LH Put ! UN \ Mn mu 4 hi: rie PUS

ce + + mai : IOMM

BULLETIN

lu uiauhe VAR En von Prof, Dr. C. Schmidt in Dorpat. (Lu le 17 janvier 1867.)

IL Das Eisenwasser zu Stolypin !). Die Quellen entspringen am rechten Ufer des Ku-

schum, 2", Werst stromaufwärts, südüstlich vom Bade-

orte. Eine einfache Holzfassung umschliesst das Bas-

sin, aus dessen Grunde vier Quellen entspringen. Sie |

sind sebr reichhaltig und wirbeln beim Emporsprudeln den das Quellenbecken bildenden groben, lockern, grauen Sand beständig auf. Frisch geschüpft erscheint das Wasser klar, trübt sich beim Luftzutritt und setzt

gelben Ocker ab. Die Gasentwickelung aus der Quelle |

ist schwach; beim Schütteln in einem Glase sieht man jedoch eine ziemliche Menge kleiner Gasblasen auf- steigen. Der Geschmack ist deutlich salzig, die Re- aktion neutral; die Temperatur am 30. Juli (11. Au- gust) 1866 10°, Uhr Morgens + 9,4° C. bei 27,5° C. Lufttemperatur und 757,5 Mm. B. (0°).

Das Schüpfen und Verpacken erfolgte unmittelbar |

an den Quellen durch Hrn. Dr. Semmer, dasigen Badearzt, aufs Sorgfältigste. Die Flaschen wurden durch Untertauchen in der Quelle gefüllt, sofort ver- korkt und verharzt. im blanken kupfernen Kessel auf circa 4 Litres ein-

gedampft und der dünnbreïige Rückstand zur Bestim-

mung des Rubidium, Lithium, Mangan, der Kiesel- | säure, Phosphorsäure, Thonerde, so wie des Chlors | und Broms verwendet.

Die Sendung traf am 10. (22.) November in Dor-

pat ein und wurde sofort der Analyse unterworfen. A. Das Eisenwasser. Dichtigkeit bei + 19,0°C. auf Wasser gleicher Tem-

peratur bezogen 18 sn 1,00345. 1 Litre wiegt bei der Quellentemperatur (9,4 C.)

1002,145 Grm.

a) Summe fester Bestandtheile.

501,610 Grm. heiss mit titrirter reiner Sodalüsung |

in geringem Überschusse versetzt, erfordern 0,2512. Grm. wasserfreies kohlensaures Natron und hinter-

1) Vergl. Bulletin IX, p. 315 331 (1865) und Mélanges phy- | siques et chimiques, tirés du Bulletin de l’Académie Impériale des sciences de St.-Pétersbourg, VI, p. 577 600 «Das salinische Schwefelwasser zu Stolypin».

Tome XII.

DE [’ ACADENIE IUPERTALE DES Ê

Ausserdem wurden 150 Litres |

CIEACES DE NT “PTERS BOURG.

|lassen 1,9968 Grm. schwach geglühten Rückstand,

mithin, nach Abzug der hinzngesetaten Sodamenge, | 1,7456 Grm. Rückstand' 3,4800 p. M. Abdarpf- | rückstand.

b) Chlor, Brom, Jod.

100,322 Grm. Wasser geben mit Silbersalpeter ge- fällt 0,6619 Gr. Ag CI+ Ag Br + AgJ 6,5979 p.M. 100: 2 Grm. Wasser, auf 60 Cc eingedampft, durch F 'arbenvergléiéh mit titrirter Normal - Brom- lüsung 0,00594 Grm. Brom 0,00592 p. M. Brom. Die Mutterlauge von 62,180 Kilogr. eingedampften | Wassers, mit titrirter Chlorpalladiumlüsung durch Farbenvergleich mit Normaljodpalladiumflüssigkeit,

0,00020 Grm. Jod 0,0000032 p. M. Jod. Der Silberniederschlag betrug 6,5979 p. M.

AgCIl+- AgBr+ AgJ Davon AgBr+ AgJ ..

a D 2

. = —0,0138 6,5841 p. M. Ag CI = 1,62815 p. M. Chlor. c) Schwefelsäure. 501,610 Grm. Wasser gaben 0,3670 Grm. BaOSO, °) | = 0,25121 p. M. SO.. d) Kalk, Magnesia, Eisenoxydul.

501,610 Grm. Wasser mit oxalsaurem Ammon ge- fallt, der Kalkoxalatniederschlag weissgeglüht, nach | Abzug des mit gefällten Eisens 0,1272 Grm. Ca O 0,25358 p. M. Kalk.

Das Filtrat mit Ammoniakphosphat gefällt, 0,1839 Grm. pyrophosphorsaure Magnesia 0,13211 p. M. | Magnesia. | Der Sodaniederschlag aus a) durch Titriren mit | Übermangansäure 0,0164 Grm. FeO 0,03269 p. M.

| Eisenoxydul.

e) Rubidium, Kalium, Natrium, Lithium.

501,610 Grm. mit Barytwasser etc. gaben

1,2902 Grm. Rb Cl + K CI + Na CI + Li CI, _woraus durch Platinchlorid

0,0133 Grm. RbPtCl, + K Pt CL. 1,6488 Grm. Platinniederschlag aus der Mutter-

ange von 62,180 Kilogr. eingedampften Wassers, | durch Wasserstoft reducirt, gaben 0,5062 Grm. Rb CI

2) Wie früher 1. c. behufs bequemern Vergleichs mit ältern Ana- | lysen anderer Mineralquellen, nach Berzelius’s Formulirung. 1

3 Bulletin de l’Académie Impériale 4 Re

+- KCI, woraus 0,9660 Grm. Ag CI entsprechend 0,00974 Grm. Rb. CI. 0,49646 K CI 0,00032 p. M. Rb.0 0.004914 p. M. KO.

71,742 Kilogr. Wasser eingedampft, nach mehr- wüchentlichem Stehen mit etwas phosphorsaurem Na- tron, Kochen mit Kalkhydrat u. s. w. (1. c. p. 582) 0,0034 LiO SO; = 0,0000129 p. M. LiO, demnach: Summe der Chloralkalien . .. —2,5721 p. M. minus RbCI + KCI+ LiCl=—0,0041 » » Rest 2,5680 p. M. NaCI

1,36280 p. M. Na. f) Kohlensäure.

1003,22 Grm. Wasser einer frisch geffneten Fla- sche mit Barytwasser gefällt, der Niederschlag im Geissler’schen Kohlensäure-Apparate zersetzt,

0,4721 Grm. 0,47059 p. M. CO..

g) Manganoxydul, Phosphorsäure, Thonerde, Kiesel- säure.

43,297 Grm. mit heissem Wasser ausgewaschener unlôüslicher Antheil des Verdampfungsrückstandes von 71,742 Kilogr. Wasser, mit Salpetersäure eingetrock- net, die heisse salpetersaure Lôsung nach Abschei- dung von SiO, und MnO, mit molybdänsaurem Am- mon etc.

0,0023 Grm. pyrophos-

phorsaurer Magnesia. . . 0,0000205 p. M. PO, 0,0150 Grm. ALO, . ... —0,000209 p. M. ALO; 031561Grm S108: ru. = 0,00440 p. M. SiO, 0,0610 Grm. Mn O$SO, . . 0,00049 p. M. Mn.

Behufs bequemerer Vergleichung des vorliegen- den salinischen Kisensäuerlings mit dem benachbarten Schwefelwasser sind beide im Folgenden nebeneinan- dergestellt. Es enthalten:

10,000 Grammen.

1 Cubikmeter bei der Quellentemperatur.

< ; 3 - Stolypin Stolypin Bhenvaner, |Schwefelvasser.| Eisennusser | Sehrefemaser Grammen. Grammen. Grammen. Grammen.

RUDIDIUM PR Et ER eu. 0,00293 0,02953 0,29 2,99 RATE EE end Te doute 0,04076 0,3934 4,08 39,84 NAT RARE 10,1167 51,6075 | 1013,86 5226,75 ÉTEND TE NES VÉRUUE RU EEE LAS: PR RE 0,00006 0,00021 0,006 0,021 CAC OR NE TE 1,8113 10,2136 181502 1034,40 Masnesinmeil ntm Ur 0,7927 4,5168 79,44 457,45 Bisengrisslante évasée 0,2543 0,00085 25,48 0,086 Mantans usideshprninpias: 0,0051 0,00015 0,31 0,015 AUOT Eee Cr M M ar à 0,00107 0,00059 0,11 0,06 SLICIU 0e ice Re 2: 0,0207 0,01458 2,07 1,476 M re 2 RE : 0,4986 0,1538 | 49,97 15,58 der CO, : ep »: 0,7848 0,3666 | 78,65 37,13 Posphon se Bi rs Le enr. 0,00009 0,00065 0,009 0,066 . fH—0,0161 , H— 1,63

DOEMEIEIES Dr 2e «LE dti 1,0048 | eue 100,70 S 466,42 EN AOC PORN ENS Poe LT RUES 0,000032| 0,00076| 0,0032 0,077

Broma-Afurutse titine Re 0,0592 0,2170 5,93 21,98

CIO RE pa da cadet 16,2815 100,5770 |1631,63 10186,43

SET ARRETE 6,1217 10,3036 | 613,49 1043,55

Summa wasserfreier Bestandtheiïle | 37,7944 183,0180 3787,54 18535,95

Fixe Mineralbestandtheïle, excel. (B Lt) COMPENSER À 34,9168 181,6740 | 3499,15 18399,84 O der fixen Mineralbestandtheile,

exel. O. der (8 u. y) CO,..... 4,0288 9,3262 | 403,75 944,57

(a) fest gebundene . .| 1,82825 0,564 | 183,22 57,12

Te locker gebundene. | 1,82825 0,564 | 183,29 57,12

A) ÉTOILES leet 1,0494 0,780 105,17 78,99

Summe der Kohlensäure. ..,... 4,7059 1,908 471,61 193,23

5 des Sciences de Saïint-Pétersbourg. 6

Nach dem bei Berechnung des salinischen Schwe- | ohne Berücksichtigung der beim Eindampfen stattfin- felwassers von Stolypin befolgten Principe der Zu- | denden Umsetzungen (Mélanges phys. et chim. VI, pag. ordnung der stärksten Säuren an die stärksten Basen, | 583), gruppiren sich obige Elemente folgendermaassen:

————————————_—_— ——_—————— 1 Cubikmeter 00/6 Eonen, bei der Quellentemperatur,

SLolypin Stolypin TELE an LEE Eïsenwasser. | Schwefelwasser. (9,4° C.). (10,8° C.). Grammen. Grammen. Grammen. Grammen. Schwefelsaures Rubidion KbO SO,. | 0,00458 0,046 0,46 4,66 Schwefelsaures Kali KO SO, ....| 0,0908 0,876 9,10 88,7 Schwefelsaures Natron NaO SO... | 4,3856 18,571 439,50 1880,8 Chlormatnum NxCk.0 . . ...... 22,0690 115,704 2211,62 11718,6 Chlorlithium Li C1. :........ 0,00036 0,00127 0,04 0,13 Chlorcalcium.Ca C1........:. 4,5457 28,322 455,55 2868,4 Bromcalcium CaBr.......... GOTAD, A REENZ 7,41 Jodealcit Ca LB: 10 D;000087EPLR IR 0,0037 Chlormagnesium Mr CI #1 TO OAI RAT. Je sue 1673,3 Brommagnesium MgBr .......|........ (248) I Lronn 25,1 Jodtiténesium Meg ee li. ts 1 . 418 POUDSHNI. EE 0 0,08 Phosphorsaurer Kalk CaO PO;...| 0,000029 |........ 0,0029 Phosphorsaure Magnesia MgO PO, |. ....... OOLAMI FR 0,19 2fach kohlensaurer Kalk CaO, 2C0, | 0,5657 |........ 56,69 2fach kohlens. Magnesia MgO, 2C0, | 4,2274 1,638 423,65 165,9 2fach kohlensaures Eisenoxydul NS IMOTGO) APR AIRES LEAAUES 0,7264 0,0024 72,80 0,24 2fach kohlensaures Manganoxydul MAO 2ODEs. brise Tr 0,0090 0,0004 0,90 0,04 Pnonérde AO, Mers D re 0,0021 0,0011 0,21 0,11 MienelSAurl TO EdrD eg Ie LOU 0,0440 0,031 4,41 al Freie Kohlensäure CO, ME dc 1,0494 0,780 105,17 79,0 Schwefelwasserstoff HS...1: 7... |... 1. OPA NIET CRE 21,6 Summe wasserfreier Bestandtheile. 37,7944 183,018 3787,54 18535,95 Cub. cent. Cub. cent. Litres. Litres. joues [ «) der fest gebundenen CO, 22 ( 959,7 #8 381,0/2# 96,174/E &{ 38,587 ae 8) der locker » » “| J5AEES | 381,0 LA 96,174/:°1 38,587 temp. Lo der freien CO,...... 464 550,8 LÉ? 533,9L 8) 55,1988.5Ù 54,072 Gesammtvolum der CO, ....... De purs 22 |1905,0 Heh47026 =®%1131,246 Mondes HS" 282 "AUTRE CE 82 U 185,6 88 SE Me PAT

Beim Eindampfen fallen zunächst Eisen- und Man- | liche Krystallisationen von Gyps; dann beim Eisen- ganoxydhydrat heraus, unter Entweichen ihres Ge- | Wasser schwefelsaure Alkalien, hinterher Kochsalz, sammt-Kohlensäure-Gehalts, dann kohlensaurer Kalk | beim Schwefelwasser unmittelbar letzteres. Chlorcal- unter Abscheidung desselben Kohlensäuregehalts des | cium, Chlormagnesium, Brom- und Jodmagnesium bil- Kalk- und Magnesia-Bicarbonats. Es folgen reich- | den die zerfliessliche Mutterlauge.

1*

F4 Bulletin de l’Académie Hupériale S 3 1 Cubikmeter 10,000 Grammen. bei der Quellentemperatur. D STAR CPAS Stolypin À Stolypin Un RP LEUR Eisenwasser. |Schwefelwasser. (9,4° C.). (10,8° C.). 5 Grammen. Grammen. Grammen. Grammen. Si O; 0,0440 0,031 4,41 3,1 Al, O, 0,0021 0,001 0,21 0,1 a) Unlôslich niederfal-} Fe, 0; 0,3632 0,0012 36,40 0,12 lend. Mn, O0; 0,0045 0,0002 0,45 0,02 CaO CO, | 3,6955 1,282 370,34 129,8 3Ca0,PO; 0,00045 | 0,003 0,045 0,32 b) Schwer lüslich . . . CaO SO; | 1,1320 | 18,481 113,45 1871,7 ÉbO SO: 0/00 ILE ETC 0,46 KO SO) AO DEMN ES SEEN. 9, LD c) Leicht lôslich; kry-} NaO SO: | 3,2027 |........ 320,95 stallisirend. ; RD CIRRIMENMETEUNR 03042 Al 166) 4,2 RICE PACE ELA 0,750: 4007. Gex | 75,9 NaCI |23,0428 130,991 |2309,24 13267,0 LiCI | 0,0004 0,001 0,04 0,13 d) Zerfliessliche ut Ca CRAN ER. 11,824 MISCRAIPRE 1197,5 laugensalze, Mg CI 3,1001 17,743 310,67 1797,0 | Mg Br 0,0681 0,249 6,82 25,2 MgJ | 0,000035 0,0008 0,0035 0,08 ses #00 ,:1130799 1,345 308,65 136,2 gasfürmig entweichend. | oh RES Gers M 97 6 Summe, incl. absorbirter O . ..... 37,8312 183,0182 | 3791,24 18535,96 » zur Fe,O, und Mn,0.-Bil- dung absorbirter O..... —0,0368 0,0001 3,70 0,01 Ursprüngliche Summe ........ 37,7944 183,018 |3787,54 18535,9 Summe a) der unlôsl. Verbindungen | 4,1098 1,319 411,85 133,5 » b) schwer lôsl. CaO SO, . .| 4,1320 18,481 113,45 1871,7 » ce) leicht lüsl. krystallisiren- den)Salze EEE EE 26,3409 131,782 , | 2639,75 13347,1 » d) zerfliesslichen Salze. . .| 3,1686 29,819 317,53 3019,9 Abdampirückstande.. Len 34,7513 181,401 |3482,58 18372,2 Kohlensäure des Abdampfrückst. . | 1,6260 0,5630 | 162,95 57,02

Die genetischen Wechselbeziehungen beider Quel-! len zu einander gestalten sich folgendermaassen:

Der in bedeutenderer Tiefe entspringende Säuer- ling durchdringt die oberflächlichern, mit reduciren- den organischen Substanzen imprägnirten Bodenschich- | ten. Die freie Kohlensäure entweicht, entsprechend der Druckverminderung; Schwefelsäure, Eisen- und Mangan-Oxydul geben ihren Sauerstoff zur Oxyda- tion der Vegetationsrückstände früherer Perioden her, dem Boden fein vertheilten Schwefelkies mittheilend. Das eisenfrei gewordene Wasser, hüher emporstei- gend, verliert, fortschreitender Druckverminderung entsprechend, stetig weiter Kohlensäure. In Folge

dessen spaltet sich ein Theil des Kalkbicarbonats;

der gefällte fein vertheilte Kalkspath inkrustirt als

Wiesen - Mergel und Kalksinter die oberflächlichern Bodenschichten, deren Salzgehalt gleichzeitig vom emporsteigenden Wasser ausgelaugt wird, und letzte- res mit Gyps, Chloriden und Bromiden der Alkali- und alkalischen Erd-Metalle sättigt. Die Reduktion des Gypses zu Schwefelcalcium, durch Einwirkung des Boden-Bitumens, Humus, Moorerde, «Tschorno- sjom» und anderweitiger Reste früherer Pflanzen- und Thier-Generationen, schreitet weiter. Das der Oxy-

| dation letzterer entstammende Kohlensäurehydrat setzt

sich mit dem Schwefelcalcium zu Schwefelwasserstoff

9 des Sciences de Saïint-Pétersbourg.

10

———@—

und kohlensaurem Kalk um der Eisensäuerling ist in den salinischen Schwefelquell verwandelt.

Alle Zwischenstufen dieser Umwandlung finden sich in der Umgegend. Der benachbarte Tschornosjom ist mit Schwefelkies und Sinterkalk vielfach imprägnirt, die umliegenden Bodenschichten salz- und gypsreich, ihre oberflächlichen Auslaugungsprodukte durch Ta- gewasser und atmosphärische Niederschläge aller Art in die «salzig schmeckenden» Steppenflüsse Kuschum und Irgis ergiessend.

1 Cubikmeter Eisensäuerling entzieht wälrend die- ser Umwandlung zum Schwefelquell nach obiger Hy- pothese den durchsickerten Bodenschichten:

CAUSO C COULIL5;S Gr: 3Ca0, PO, . 0,3 » RELUEN 20) DOUX K CI 68,2 » Na CI 10694,0 » Li CI OL En Ca CI 1454,8 » MeOl ar ES 5; ti» Mg Br 18,4 » MgJ OL

Im Ganzen . ... 14841,0 Grm.

Er lagert dagegen beim Durchsetzen der oberfläch- lichern Bodenschichten in letztern ab:

54,4 Grm. .... Fes, 0 va Mn, 0: 240,7 » Ca0 CO,

Schwefelkies und Kalksinter finden sich im Tschor- nosjom der Umgegend nach annähernd gleichem Ver- hältnisse.

Die 27,6 Grammen im Cubikmeter Schwefelwasser enthaltenen Schwefelwasserstoffs entstammen der Re- duktion von 110,4 Grm. CaO SO, ; vom aufsenomme- nen Gypse wurde demnach ",, reducirt, in SH und Sinterkalk umgesetzt, während die übrigen *,, unver- ändert als solcher in’s Schwefelwasser übergehen.

Lässt man Stolypiner Eisenwasser mit etwas Rohr- zucker, Glucose, Milchzucker, Gummi, Torfpulver, Moorerde, faulendem Holze, Algen- oder Conferven in verkorkten Flaschen stehen, so bildet sich zunächst ein schwarzgrüner Bodensatz von Schwefelkies; dann erst beginnt der Schwefelwasserstoffgeruch deutlich hervorzutreten, der immer stärker wird, bis die Um- wandlung des Eisensäuerlings in’s Schwefelwasser voll- endet ist. Tschornosjom, in Eisenwasser aufgeschlämmt, bewirkt diese Reduktion in charakteristischer Weise, während sein Gehalt an C und H sich stetig verrin-

gert. Es ist der natürliche Bildungsprocess des sali- nischen Schwefelwassers.

Beim Stehen des Eisenwassers in hôlzernen Botti- chen bekleiden sich letztere mit einem schwarzgrauen Überzuge, einem Gemisch von Schwefelkies mit gerb- saurem und gallussaurem Eisen. In offnen Bottichen schreitet der Reduktionsprocess nicht bis zur Schwe- felwasserstoffimprägnirung des Wassers fort, da letz- teres mit dem Sauerstoff der Luft in Berührung bleibt und dieser der Reduktion stetig entgegenwirkt. Sie erfolgt dagegen leicht und vollständig in verschlosse- nen Holzgefäissen, zugespundeten Fässern u. dgl.

Im Grossen erfolgt die Reduktion des Eisenwassers unter Schwefelkiesablagerung, in Form fein getheiïlten schwarzen Schlammes, überall, wo dasselbe in Pfützen und kleinen Teichen stagnirt. Während des Sommers entwickeln sich Protococcus, Conferven, Charen, Lem- na, Gallionellen, Navicula-Arten und andere Bacilla- rier, die am Schlusse der Vegetationsperiode massen- haft der Zersetzung anheimfallen. Die winterliche Eis- decke hemmt den Sauerstofizutritt; der Reduktions- process schreitet fort, die Pflanzensubstanz selbst zer- füllt zu einem schwarzgrauen, bedeutend kohlenstoff- reichern, dagegen wasserstoff- und sauerstoffärmern Brei, dem das gebildete Eisenbisulfuret eingemengt bleibt. Es ist die erste Stufe jenes langsamen unter- seeischen Verkohlungsprocesses, dessen Endprodukte in den Kohlenlagern des Uralreviers*) vorliegen. Dieser schwarzgraue Brei ist dem durch Einwirkung des Sto- lypiner Schwefelwassers auf dem Untergrund gebilde- ten Schlammabsatze des letztern‘), so wie dem schwar- zen Schlammabsatze anderer Soolquellen, der Soole von Staraja Russa, dem Badeschlamme der Ostseebuchten von Oesel, Hapsal u. a. nach chemischer Constitution und Bildungsweise durchaus analog. Es besteht zwi- schen ihnen nur der Unterschied, dass der Eisenge- halt letzterer grüsstentheils dem eisenreichen Unter- grunde entstammt und der Gyps des Meerwassers oder der Soole, durch Vegetationsrückstände zu Schwefel- calcium reducirt, letzteres beisteuern, während beim Stolypiner Eisenwasser beide Eisenkies-Elemente von der Quelle selbst in der Weise geliefert werden, dass zunächst durch Abdünstung der lüsenden freien Koh- lensäure und Oxydation des Eisenoxydulcarbonats zu Oxydhydrat letzteres nebst einem Theile des kohlen-

3) Vgl. H. v. Helmersen, des gisements de charbon de terre, St-Pétersbourg 1866 und «Über die Bedeutung der Uralschen Steinkohlenformation und der sie begleitenden Eisenerzlager». St, Petersburg 1866, p. 4.

4) Cf. Mélanges VI, p. 585 590.

Bulletin de l'Académie Impériale

12

sauren Kalks gefällt wird, dann die Reduktion des Gypses zu Schwefelcalcium in bezeichneter Weise be- ginnt und letzteres im Entstehungsmomente sich mit dem Eisenocker und der Kohlensäure zu Schwefelkies | und kohlensaurem Kalk umsetzt.

B. Schlammabsatz des Eisenwassers im Sam- melteiche.

Schwarzgrauer Brei, an der Luft rostfarben wer- dend. Die rostfarbene Masse, feucht in verschlossenen Gefässen aufbewahrt, wird nach einigen Wochen wie- | der zu schwarzgrauem Schwefelmetall reducirt; die | gleichzeitig gebildete Kohlensäure tritt an den Kalk des reducirten Gypses, Bicarbonat bildend. Der grüsste Theil des eigentlichen Schlammes ist durch Aufschläm- men mit Eisenwasser leicht vom grobkürnigen Grand- Untergrunde trennbar und bildet so ein zu Sool-| schlammbädern geeignetes Material, in dem Reste von Pflanzenstengeln und Wurzelfasern verschiedener Zer- setzungsstufen suspendirt sind.

Die Zusammensetzung dieses Schlammes, ohne vor- heriges Schlämmen, erhellt aus nachstehenden Be- stimmungen:

a) Wasserlüsung, Chlor, Brom, Calcium, Magnesium.

92,256 Grm. Schlamm mit heissem Wasser erschüpft gaben 0,1625 Grm. Ag Cl+ AgBr. Unter Annahme des gleichen Verhältnisses von Chlor zu Brom wie im ursprünglichen Eisenwasser, entsprechend:

043465 p. M. Chlor 0.00158 p. M. Brom.

Nach Füällung des Silberüberschusses durch Chlor- | wasserstofisäure wurde durch Füällung mit Ammon- | oxalat und Weissglühen des Kalkoxalatniederschlages | erhalten: |

0,0271 Grm. Ca O 0,2937 p. M. Ca,

Schwefels. Rubidion und Kali RbO SO, + KO SO. . :

Schwefelsaures Natron NaO SO. ........ Schwefelsauren Kalk CaOS0:......:.... Cblormagnesium Mg CI

Brommagnesium Mg BI Chiocratngn Na OI sl ne Late qu) an

Koblensauren Kalk CaO CO,. .......... Kohlensaure Magnesia MgO CO, Schwefelkies Fe$, Eisenoxyd Fe, O, Organische Substanz AMAR RS SAUT Le. Quarz und unlôsliche Silicate . ......... Wasser und Kohlensäure . ............

As reuftohe fslls fille lets acte

sole le ete fenenteoles oo de

COM CAS MO NONMOROMOS CRCNPEPIS SRE

GET ECMOMOT 0 MA IOMT T0

ste

aus dem Filtrate durch Ammoniakphosphat 0,0405 2Mg O, PO; 0,1582 p. M. Mg. b) Schwefelsäure und Schwefel.

Der chlorwasserstoffsaure Auszug von 50 Grm. frischen Schlammes, direct mit Chlorbaryum gefällt, gab 0,0805 Grm. BaO S0, 0,5528 p. M. SO. 43,488 Grm. frischen Schlammes mit rauchender Sal- petersalzsäure behandelt, ergaben als Gesammtschwe- felbestimmung

0,1994 Grm. BaO SO, 0,14086 p. M.S.

entsprechend 0,7661 p. M. Fes,

c) Organische Substanz, Eisen, kohlensaurer Kalk, koh- lensaure Magnesia, Silicate (Grand des Untergrundes).

30,231 Grm. Schlamm, bei 150° C. getrocknet, hin- terlassen 13,810 Grm. Rückstand = 456,81 p. M. geglüht 13,403 Grm. Glührückstand 13,463 p. M. Glühverlust.

0,7661 p. M. Fe$, geben beim Rüsten an der Luft 0,5107 p. M. Fe, 0; 0,2554 p. M. Glühverlust, demnach 543,190 p. M. Wasser,

13,209 p. M. organische Substanz.

Die chlorwasserstoffsaure Lüsung des geglühten Schlammes, entsprechend 10 Grm. frischen Schlam- mes, giebt 0,5359 Grm. Fe, 0; 53,079 p.M.Fe,0, (präformirt), 0,1077 Grm.CaO —10,476 p. M. cie) garde 0,0747 Grm. pyro- AE Schilamm- phosphors. Magnesia= 9,534 p.M.Mg0O) “"" an Kohlensäure gebunden.

Demnach enthalten 1000 Theile frischen Schlam- mes, wie derselbe zur Untersuchung übersendet wor- den, ohne nachheriges Abschlämmen oder sonstige mechanische Scheidungsprocesse analysirt:

0,004 0,236 0,713 0,374 { 0,002 | 0,255}

É

ol 77,871 Eisenwasser- 0 766 ( absatz, entspr. 1,47 Cu-

53,079 | bikmeter Eisenwasser.

oo teens ==

1,584 Eisenwasser- salze.

ns AE ie cd DS 20 PS NEO DT ADN 364,146 0e 048,190 0, : 543,190

1000,000

13

Aus dieser Untersuchung ergiebt sich, dass der vorliegende Schlamm auf 1 Theil eigentlicher Schlammsubstanz(Absatz und Salzen des Eisenwas- sers nebst vegetabilischem Detritus) cirea 4 Theiïle groben Grand enthält, von dem er durch mechani- sches Abschlämmen mit Eisenwasser leicht befreit werden kann und dann dem Schwefelwasserschlamm

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

14

analog wird. Doch enthält letzterer in Folge des Schwefelwasserstoffüberschusses nur wenig freies Ei- senoxyd, während der Eisenwasserschlamm nur 1 Procent seines Eisengehaltes in Form von Bisulfid, die übrigen 99 Procent dagegen als Sesquioxyd enthält. Folgende Zusammenstellung beider ergiebt das Ver- hältniss in übersichtlicher Weise.

1000 frischer Schlamm (Quellenabsatz plus Untergrund)

enthalten Stolypin Untergrund plus Schwefelwasserabsatz Eisenwassérabsatz OS PO ES EM AO TES PONT SA ul. via 1,58 FeS und FeS,..... p Re RER TPE ere PAIE: AUS 2 LS 0,77 (DIS de ct M A AE D er Re die denep bn php == Pa (08 6 RARE EME SSSR RE MIRE ET TR ET EN 53,08 (boit VENASE a ge RER LT ES DOTE 2 18,71 ns RE 0 ee SM A ele page eue ee DT ae à cer 5,32 EU D ee Men de tas de Le O;027 : Lp Spur ? Uatersrundsndicate (Sand). M2 PME Ur 41070248). PR MO PIREE 364,15 Organische Substanz (Algen, Detritus ete.) . ... D3,23.......... 13,21 Wasser mit Kohlensäure und Schwefelwasserstoff in wechselnden Mengen. ............ 483,46. ue nd au Le 10 L00D.002E: 4 2- . 1000,00 SOMMES 00IsalzE Res AMP TL Lo EEE st 2. (DRE ACER TR 0,553 S des unlôslichen Schlammtheils. . ......... LOLOH Se sp 7 re) 0,409

Während der Schwefelwasserschlamm fast säimmt- | oder andere Gliederungsprincipien. Dass im Vorher- liche schwefelsauren Salze zu Schwefelmetallen (FeS, | gehenden daneben den üblichen Darstellungsformen CaS) reducirt enthält, sind letztere im Eisenwasser- | nebst zugehüriger Nomenclatur und Formulirung Rech- schlamm nur zum kleinern Theile in Sulfurete ver- | nung getragen worden, geschah mehr aus historischen, wandelt, die sich mit dem in grossem Überschusse | als theoretischen oder praktischen Rücksichten. Wenn vorhandenen Eisenoxydhydratniederschlage sofort zu | man den momentan befremdenden Eindruck der Ele-

Schwefelkies umsetzten ”). In der balneologischen Systematik steht das

Stolypiner Eisenwasser dem Marienbader am näch-|

sten. Es enthält ungefähr gleiche Eisen-, Kalk-, Mag- nesia-, Carbonat- und Chlornatrium-Mengen, mehr Brom, dagegen bedeutend weniger Kohlensäure und Natriumsulfat als die Ferdinandsquelle.

Bequemer Übersicht halber sind nachstehend eine Reihe Eisensäuerlinge mit dem Stolypiner tabellarisch

so zusammengestellt worden, dass sie, nach anstei- |

gendem Natrium-Gehalte geordnet, charakteristische Gruppen bilden.

Die Darstellung der Elementarconstitution der

Quellen umgeht jede Hypothese über die Gruppirung

der Elemente in der Wasserlüsung und giebt ein viel!

klareres übersichtlicheres Bild ihres Verhältnisses zu einander, als die Zuordnung der stärksten Basen an die stärksten Säuren, das Verhalten beim Eindampfen

5) Vgl. das Nähere Mélanges VI, p. 585 fr.

mentardarstellung von Wasseranalysen in der hier gewählten Form überwunden, so orientirt man sich | sofort über die Gesammtconstitution, das Verhalten | beim Eindampfen und eine Menge theoretischer wie rein praktischer Fragen leichter und rascher als nach irgend welcher schematischen Gruppirungsmethode. Bei Nitraten kann die bezügliche Stickstoffmenge durch entsprechende Bezeichnung, z. B. N, bei Sulfureten

der betreffende Schwefel durch $ vom 5 der Sulfate unterschieden, das NH, als solches bezeichnet werden.

Calcium-, Magnesium-, Eisen- und Mangan-Carbo- nat sind weder als Spathe, noch als wasserfreie soge- nannte Bicarbonate, Knochenerde weder als solche, noch als Calciummetaphosphat in der Wasserlôsung

enthalten, wie sie schematisch formulirt zu werden pflegen. Ob Chlornatrium und Magnesiumsulfat in der | Wasserlüsung als solche, oder als Natriumsulfat und Chlormagnesium neben einander existiren, hängt be- | kanntlich von der Temperatur und der vorhandenen

15 Bulletin de l'Académie Empériale 16

Wassermenge ab. Aus der Thatsache, dass eine con- | quenzen, deren Beseitigung theoretische und prakti- centrirte Chlorcalciumlauge mit gesättigter Kalium- | sche Schwierigkeiten hat. sulfatlüsung zum Gypskrystallbrei gesteht, wäbrend |) Die hier gewählte empirische Elementardarstel- Chlorkalium die Mutterlauge bildet, folgt keineswe- | lung beseitigt jedes theoretische Bedenken, indem sie ges, dass beide Salze in 1000facher Verdünnung ge- | nur reine zweifellose Thatsachen bequem vergleichbar lüst nicht, ihren sonstigen Umsetzungsweisen ent- neben einander stellt. Sie gewährt überdies den nicht sprechend, unverändert als solche fortbestehen. zu unterschätzenden praktischen Vortheil, dem Tech- Eben so misslich ist es, die Metalle als solche, die niker und Arzte Specialfragen bei geringer Ubung fast Säurebilder dagegen als SO,, NO,, CO, aufzufübren, ! auf den ersten Blick zu DÉREnIEn Indem letzterer wenngleich diese Darstellungsform den een die Rubriken Fe, Mg, Na, $ und Si J u. a. grosser theoretischen Ansichten entsprechender ist. Die For- Reïhen von Mincralwasser El mentardarstellungen men, oder richtiger bezeichnet, die graduellen Ver- | tabellarisch geordnet übersieht, erhält er die ge- schiedenheiten der Energie, mit der Kohlensäure und | wünschte hydrotherapeutische Antwort in wenigen Mi- Kieselsäure in den Säuerlingen und Geisirn, wie je- | nuten. Der Färber, Architekt, Lederfabrikant ete. dem Quellwasser eines Kalk-, Dolomit- oder Granit- orientiren sich mit gleicher Leichtigkeit für jeden Terrains gebunden sind, verleiten hier zu Inconse- | Sonderzweck.

10,000 Grammen Wasser enthalten:

LES RESTES > = = | 5 | LE: EN El ee 0 Bippel ds su Ne RENE Elementarbestand-| & = | = 2 25%) & Lu ) FRA MSIE MR [ES |S5 22e 3 285 > |2É5% theile. | £4 E < EE Ê À Leopold-[Wenzel-Hoseph- SET = ë £% 3, re | 0| Em | nm En | E ÊË [EE $ E | quelle. | quelle. | quelle. | SK Ne Fe Spec. Gew. ........ (1,00037| :. .... | 1,0025| 1,00447| 1,00371 | 1,00359) 1,00385| 1,0029| 1,00345! RbondiR et 0e 0,0659 | 0,1364) 0,1238| 0,1740 | 0,1380 | 0,1281 | 0,2297 | 0,4708 0,0437 | 0,240 Na Meur 0,1788 | 0,2644| 1,8063) 1,8535 | 1,9288 | 3,1827 | 4,0508 | 54119, 10,1167 | 25,789 Mi Meet dti Le de NAré | 0,056)... ARTS PAT A ETES ME ERP PAC ON | 0,00006| 0,023 ES PR RENE 0,1180 | 72696 2,2852| 8,5615 | 5,3968 | 4,0611 | 4,7225 | 7,6092| 1,8113{ Sue AN etes a er 0,0456 | 1,2840| 0,7416) 0,2238 | 1,2492 | 0,6264 | 0,6483 | 0,9617| 0,7927 | 1,300 FR Bot 0,2698 | 0,2629! 0,3747| 0,2178 | 0,3017 | 0,1279 | 0,1949 | 0,1593| 0,2543 | 0,296 Mn ee A de 0,0149/...... late ART A MECS RUE | 0,0081 | 0,075 INISSS LS NE RE 000 ER 0,0016 | 0,0438 | 0,0448 | 0,0508 | ...... | 0,0011 0,006 SR SA AL PHSEUE 0,0352 | 0,0161| 0,0427! 0,0024 | 0,3193 | 0,0204 | 0,2436 | 0,0870! 0,0207 0,454 BADACARRES. 0,0957 | 1,2227| 0,9343| 1,1455 | 1,8449 | 1,2079 | 1,4185 | 3,9663 0,4986 5,648 Halbfreie und freie | | | | | | (ELA SORIOIEr 0,8535 | 5,4714) 6,3809) 8,4398 | 8,1388 | 6,9828 | 7,8570 |10,1495) 0,7848 | 8,724 PORN PRET I 2e AO EE A ARE Pet LEE Loneec RE | ma | 0,00009 0,009 SOS S EEE 0,0706 4,1762 0,6081| 4,9960 | 2.4184 | 2,9451 | 3,7252 | 0,7048| 1,0048 | 11,414 | | J —0,00003| | vHundiBr nec jeseses esessslesseseleeeeeeleesesees tes en Br—0,0592 | CIM Lcd rue 10,2915 11119 2,6160, 1,0250 | 0,3303 | 0,5602 | 0,5945 | |0,3454 162815 | 14,584 (CPV: à 15061 |27,8282/22,1050 371871 [343692 |29,7503 |34,5273 (14,2500) 61217 | 56,943 SUMMER ELLES 13,0266 49,0720/58,0276,63,8280 156,4792 |49,6177 |58,2627 (74,1160! 37,7944 | 127,695 Fixe Bestandtheile . (17306 |29,0100 14,5984 32,8820 1266372 [24/0140 29/4532 (36,0010 3429167 | 95,706 Halbfreie u. freie CO, 1,2960 |20,0620 23,429230,946 298420 [256037 |28,8095 137,215 un | 31,989 Gebundene CO, .….…:10,3510 | 44830, 34258) 4,200 | 6,7647 | 4,4290 | 5,2005 |14,543 1,8282 | 20,710 0 d. ixen Bestandth. 10,5634 |13,2376, 5,0653/14,6811 |12,6657 1121994 13,5748 [17,1845 40288 | 33,678

| | à | Tunbridge (Kent): reines Eisenwasser, fast | | Rubriken S, Ca, Ce, und Csry , Zufolge bedeutender

frei von anderweitigen Mineralbestandtheilen, geringer | | Gehalt an Gyps, Calciumearbonat und freier Kohlen- Kohlensäuregehalt. re 2

; : , Liebig, Wühler und Liebig’s Annalen LXIII, pag. 221 Pyrmont: gleicher Eisengehalt mit Tunbridge; den | | Le 2 (847); a an

————— 9) Varrentrapp, Wôbhler und Liebig’s Annalen XLIX, pag. 6) J. ren Quarterly Journal of the Chemical FOREY X, | | 281 236 (1844).

Xe 39, p. 223 (1858). | 10) Will ibid. LXI, pag. 181 204 (1847). 7) Wiggers in B. M. Lerschs AE CRC IT, pag. | 11) A. v. Planta ibid. CIX, p. 168 (1859).

1510, Erlangen 1857. 12) C. Kersten in Lerschs Mineralquellenlehre II, pag. 1446.

17

des Sciences de Saint- Pétersbourg.

LE]

säure; den Rubriken Na, Mg, CI entsprechend gerin- ger Gehalt an Chlornatrium und etwas mehr Chlor- magnesium.

Liebenstein: reicher an Kohlensäure und Eisen, als Pyrmont, dagegen viel ärmer an Gyps und Cal- ciumearbonat.

Driburg: wie Pyrmont reich an Kohlensäure, Ei- sen, Gyps und Calciumcarbonat, ausserdem Glauber- salz.

Rippoldsau vermittelt durch seine 3 Quellen mit steigendem Natrium, dagegen abnehmendem Eisenge- halt, durchgängigem Reichthum an Calciumcarbonat und Kohlensäure, mässigem Gyps- und Glaubersalz-, geringem Chlornatrium-Gehalte Driburg mit

Tarasp: typischer «alkalischer Säuerling», reich an Kohlensäure, Natrium- und Calciumcarbonat, arm an Chlornatrium.

Stolypin, charakteristisches «Eïisensoolwasser », reich an Chlornatrium, arm an Kohlensäure, von der es, gleich Tunbridge, nur die zur Lüsung unumgäng- liche Menge enthält.

Marienbad, bei gleichem Chlornatrium- und Eisen- Gehalte mit Stolypin durch starken Glaubersalz- und Soda -Gehalt als alkalischer Eisensäuerling charak- terisirt, dessen wirklich freie Kohlensäure indessen, wie ein Blick auf die Rubriken C,, C; und LE lehrt, relativ viel geringer ist als in Pyrmont, Liebenstein, Driburg, Rippoldsau und Tarasp.

Der Versuch lässt sich in obiger Weise leicht auf andere Mineralwassergruppen ausdehnen, wie bei- spielsweise das Stolypiner Schwefel- und Kisensool- wasser selbst charakteristische Typen balneologischer Gruppen darstellen.

Rapport sur un recueil de documents historiques publié par la Commission archéographique du Caucase, par M. Brosset. (Lu le 25 avril 1867.)

L'Académie m’a chargé, dans la séance générale du 3 février de cette année, $ 20 du Procès-Verbal, de lui rendre compte d’un ouvrage intitulé: Akrbi, Co- OPAHHPIE KABKA3CKOIO APXCOTPAPHICCKOIO KOMMHCCIEN ; APxuBB LIABHATO YIPABICHIA HAMBCTHNKA KABKABCKATO, t. [, Haneyaran? 1018 pexaknier nperchzarens KoMMnC- in, CT. CoB. A7. Bepxe, Tnæancr, 1866; c’est ce dont je vais m’acquitter.

Tome XII.

L'ouvrage dont il s’agit forme un vol. in-fol., de IX 816 pages, plus les Index, encadrées de filets; parfaitement imprimé, sur beau papier, à la Typogra- phie du Lieutenant pour le Caucase; orné d’un riche frontispice, d’un portrait du général-lieutenant K. Ph. Knorring, premier commandant en chef de la Trans- caucasie, ainsi que d’une carte, qui n'offre que les grandes divisions géographiques de la contrée: le tout exécuté à la lithographie de K. Tomson, à Tiflis. Au point de vue de l’art, cette publication ferait certaine- ment honneur à l’une des grandes capitales euro- péennes.

Quant au contenu, l'honorable M. Berger nous ap- prend qu’au baron A. P. Nicolaï appartient l'initiative de la fondation d’une Commission archéographique, à Tiflis, projet que S. A. I. le Grand-Duc lieutenant a consacré par son approbation; pour lui, il s’est voué, comme président de ladite commission, à la publica- tion aujourd’hui commencée, et dont nous ne pouvons que désirer vivement la continuation. Il rend compte, dans une courte Introduction, de l’histoire et de l’état actuel des archives de l’administration centrale de la lieutenance dont Tifis est le chef-lieu. En 67 ans, il s’y est amassé 128,000 dossiers, dont ceux des trente dernières années ont un intérét d'actualité, tandis que ceux des premières sont surtout précieux pour l'étude de la Caucasie dans son état antérieur et immédiate- ment postérieur à l’annexion.

Dès l’année 1818 Mgr. Phéophilacte, exarque de Géorgie, avait commencé à rassembler sous sa main les documents des églises de son diocèse; en 1852 cette collection, avec un certain nombre de chartes, provenant de Kouthaïs, se montait à 415 pièces, réu- nies aux archives centrales lors de l’incamération des domaines ecclésiastiques. Malheureusement 76 seule- ment de ces chartes en diverses langues, nommées en géorgiens «Goudjars,» ont été jugées dignes de l’im- pression, et le reste, comme trop peu important, a été éliminé.

A ce sujet je ferai quelques observations. J’ai des raisons de croire que les documents des églises et couvents de la Géorgie se montaient à plusieurs mil- liers; car j’en ai eu entre les mains les Catalogues, contenant l’analyse de plus de 2500 pièces; de plus, deux volumes de copies à-peu-près authentiques, au nombre de 453. En outre, le Musée asiatique pos-

9

A

19

Bulletin de l’Académie Empériale

20

(oo

sède de bonnes copies, avec traduction russe, de plus de 150 chartes; j’en dois moi-même un nombre égal à l’obligeance de M. Berger, et une centaine ont été exécutées pour mon compte; j'en ai tenu et lu 117, qui se trouvaient au Département héraldique du Sénat, enfin j'en ai analysé près de 500 dans mes divers ou- vrages. V. Rapp. sur mon Voyage, p. 3; Intro- duction à l’Hist. de la Gé., et Hist. moderne de la Gé. t. IT, p. 406 sqq.

On pourrait encore s'étonner qu'ayant sous la main une charte géorgienne, de l’an 140 1020, la plus ancienne connue, une autre de l’an 1258, quelques dixaines des XITL° XV° s., l'éditeur n’ait pas pré- féré celles-là aux plus récentes, dont une est notoi- rement apocryphe, et, si même il ne croit pas pouvoir imprimer beaucoup de pièces géorgiennes à la fois, qu'il n’ait pas commencé par les plus importantes, dans l’ordre chronologique.

Pour le moment, soyons reconnaissants de ce qui nous est donné: 62 pièces géorgiennes, du XIV° au XVIIL°s., 14 documents persans, d'histoire moderne. Les actes géorgiens admis dans le volume dont il s’agit sont fort intéressants, bien traduits en russe, par M. G. Berdzénof, et munis de notes peu nom- breuses, mais bonnes et utiles. Le reste du volume contient une trentaine de pièces relatives à la fin du XIX° s. et à la Kabarda, et 1138 pièces, des années 1799 1802, tant russes que géorgiennes, réparties en XVIII sections, j'en reparlerai plus tard. Le tout est riche en faits, en noms propres, en dates positives.

Bien que la plupart des documents purement géor- giens roulent sur des priviléges ecclésiastiques, on peut y puiser une solide instruction sur les sujets les plus divers, p. e. sur l’état des personnes souveraines et le clergé, sur les paysans et les impôts, sur les ventes et achats ...; car les chartes sont la vraie manne des historiens et se prêtent aux recherches les plus va- riées. Pour le moment je m’occuperai spécialement des notations chronologiques qui y sont employées. 5. A. I. le Grand-Due Michel ayant fait présent à la Bibliothèque Imp. publique de 10 originaux, dont 9 sont imprimés dans les Akrbr, j'ai eu le bonheur de pouvoir les étudier de visu.

Ces chartes ne sont datées de l’année seule de l’in- carnation que rarement, et ce en Iméreth; parfois dans le Karthli, de cette année conjointement avec le

kroniconi ou année pascale du cycle de 532 ans, mais pas avant le XVIL°s.; plus généralement du kroniconi seul, quelquefois avec l’année mondaine de l’ère grecque, 5508 avant l’ère chrétienne; peu fréquem- ment encore, de quelque autre caractéristique chro- nologique, comme le eycle solaire; je n’en connais qu’une avec la date du cycle lunaire, mais quelques exemples avec l’âge de la lune pour une année, un mois et un jour donnés. Habituellement on y trouve le quantième mensuel: presque toujours, en Iméreth, et souvent dans le Karthli, l’indiction, ï. e. selon l'usage géorgien de ce mot, l’année du règne du roi signataire; très-rarement le jour de la semaine ou son dans l’ordre de l’hebdomade. Le traducteur des Akrs, pour la partie géorgienne, a exécuté avec soin et exactitude la réduction des kroniconi aux années chrétiennes; pour les autres notations, il ne les a ja- mais contrôlées, quelque intéressant que soit ce genre de critique, auquel la présente note est consacrée.

Voici à ce sujet mes remarques.

1) À la p. 7 des Akrpi se trouve une charte de franchise d’impôts pour les paysans appartenant à l'église de Sion, à Tiflis, donnée par le «roi des rois Louarsab 1°, avec son épouse Thamar et ses fils Simon et David.» Elle est datée du kroniconi 228 (1540 de J.-C.), 13° indiction du règne. Or, suivant Wa- khoucht, Louarsab devint roi seulement en 1534: c’est donc une rectification à faire et 7 ans à ajouter à la durée connue du règne de Louarsab 1°, remon- tant à l’an 1527. Cette rectification est d'autant plus nécessaire, qu’un acte sur parchemin, dont l’original est maintenant à la Bibliothèque Imp. publique, mais n’a pas été imprimé, est signé du même «roi des rois Louarsab, avec ses frères Darazan et Ramaz,» et daté du 11 décembre 218 —(1530 de J.-C.).

2) Une autre charte (p. 9), du roi Alexandré II de Cakheth, avec ses fils David, Giorgi et Costantiné, donne à sa soeur Kéthévan, dont lhistoire est peu connue, le village d’Acouris, dans le Cakheth, et con- firme les priviléges, accordés par son père, le roi Léon IT, au couvent de David-Garesdja; ce magnifique spécimen de calligraphie mesure en longueur 5 arch. 6", verchoks; en largeur 51, verchoks; l’écriture, en 215 lignes, est de 3!/ verchoks. La confirmation de l'acte, par le roi David II Imam-Qouli-Khan, est en deux lignes, des *, de la longueur totale du rouleau.

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

22

Cette pièce est datée:

7104 du monde, 285 kroniconi, 8 cycle solaire, 24 j. de la lune, 30 avril.

La confirmation a eu lieu je 11 février 396—1708.

On sait positivement qu’un cycle pascal géorgien, le XIIT°, a commencé en 781 de J.-C.; 780 + 5508 6288; or 6288: 532 donnant seulement 11 cycles plus 436 ans, il a fallu pour parfaire le 1°” cycle ajouter arbitrairement 96 ans à l’année du monde, en sorte que, d’après ce système, la naissance de J.-C. s’est trouvée fixée à l’an 5605: c’est donc à cette ère, et seulement à cette ère, que doivent se rap- porter les années des cycles pascaux géorgiens; mais comme elle est très-peu usitée, il arrive souvent, que les écrivains, sans en avoir conscience, réunissent les kroniconi géorgiens avec l’ère, plus connue, de 5508. C’est le cas de la charte qui nous occupe: au lieu de 5604 + 780 + 532°+ 285 7201, l'écrivain a donné, l’année mondaine d’après l’ère grecque, et cela sans s’apercevoir que la date 7104 est trop faible d’une unité: car 5508 + 780 + 532 + 285 7105, et le kroniconi 285 répond à 1597, qui, soustrait de 7104, donne 5507 pour reste, au lieu de 5508. Je puis encore alléguer un autre exemple: analogue à celui-là. Au 449 du recueil des copies de Mtzkhé- tha, on trouve un acte du roi Giorgi XI, de Karthli, par lequel ce prince, avec la reine Thamar et son fils aîné Bagrat, fonde une agape au septembre, fête de Mtzkhétha, en l'honneur de son père Wakh- tang V et de sa mère Rodam Orbéliane Barathachwili, dite en religion Ecatérina, à la charge des habitants de Didoubé; car son père avait construit un canal, allant de ce village à Awdchala, au voisinage de Tiflis. Cet acte est daté:

7189 du monde (ère grecque), 370 kroniconi, indiction ou année du règne de Giorgi.

Or si, comme cela est exact, 370 répond à 1682, cette année, soustraite de 7189 laisse aussi 5507 pour reste, il y a donc inexactitude d’un an, comme dans l’acte d'Alexandre.

Dans un livre de Prières liturgiques œe(3sbo, im-

primé récemment à Tiflis, je trouve également cette date fautive: «Tiflis, en 7372 depuis la création du monde, 1866 depuis l’incarnation» (7372 1866 5506).

Quant au cycle solaire 8, c’est moins une erreur qu'une mauvaise habitude de copiste; car il arrive souvent que la lettre numéraire & 8 soit employée au lieu de son homophone 3 5, qui est ici le vrai chiffre. En effet 7201, ou, ce qui revient au même 285, di- visé par 28, donne 3 de reste, tandis que 7104 don- nerait le reste 14.

Pour obtenir l’âge de la lune (bsm9sgs30 doaséobs) au 30 avril, il faut opérer à la manière géorgienne.

285 : 19 30 LOL 19 95 NL 11 mars, 95 + 30 19 41 pol 31 18 NL 10 avril, X 11 +- 14 18 PL 24 avril, 15° jour de la lune, 18 + 6 198 : 30 30 avril, 21° » » » 18 + 1

19, épacte au dernier jour de février. (Iakofkin.)

Encore y a-t-il un «moins» de 3 jours. Le déficit sera nul, en opérant ainsi à la manière géorgienne:

19 + 4 pour janvier, février, mars et avril, + 1 pour le bosgsso, perpétuel, + 30 pour avril, 54 30

24 Ainsi la date rectifiée de l’acte serait:

7201 ou du moins 7105 du monde, 285 kroniconi, 5 cycle solaire, 24 de la lune, 30 avril.

23

3) Un acte, imprimé p. 31, donné par le roi Iésé, avec la reine Eléné, et adressé à Pawlé, métropolitain de Tiflis, contient des franchises accordées à léglise de Sion, en cette ville. Il est daté:

5508 du monde, 1716 de J.-C. 404 kroniconi,

28 cycle solaire,

4 de la lune (4° année du cycle lunaire),

10 mars, année du règne, sous le catho- licos Domenti III et le tsarévitch Simon, frères de Iésé.

Ici tout doit être calculé d’après le système grec, et en effet 5508 + 1716 7224 : 28 28; quant à la lune, ce n’est pas son âge i. e. l’épacte, mais l'année du cycle, qui est indignée.

1716 La année du règne est exacte, comme te on peut s’en convaincre en cherchant dans 1714 :19 l'Histoire moderne de la Géorgie. 110090

4

L'examen auquel je viens de me livrer sur les seuls actes du recueil des Axrpr dont la notation chronolo- gique offre des circonstances particulières, m’a engagé à en contrôler quelques autres, du même genre, les seuls du reste que je connaisse. Ainsi dans les copies de Mtzkhétha j'ai trouvé:

4) 453, un acte passé sous le roi Rostom, de Karthli. Ce prince étant allé chasser à Chirak, dans le Cakheth, le catholicos Kristéphoré lui exposa que . l’évêque de Nino-Tsmida et les gens du village de Thwal étaient en contestation pour la propriété de la forêt dite Sakhokhbé-Dchala «forêt des faisans.» Par suite du serment prêté par les parties sur l’image de Nino, promenée autour du terrain contesté, il fut décidé que ce terrain appartenait à Mtzkhétha. L'acte est daté: jeudi 29 mai,

339 kroniconi. Or 339 correspond à l’année chrétienne 1651, le mars tomba un samedi (1651 + 412 + 1 2064 :7 6), et le 29 mai fut réellement un jeudi (6+—2+92+929— 39:7 —4).

5) Même recueil, 182, Donation de paysans au catholicos Domenti IT, par un prince Tzitzichwili, datée: mercredi 13 juillet,

302 kroniconi.

Bulletin de l’Académie Impériale

24

352 répond à l’année 1664 de J.-C., le 1 mars fut un mardi (1664 -+ 416 + 1 2081 : 7 2), et le 13 juillet réellement un mercredi (2 + 2 + 2 + 3 + 24+13— 94 : 7 —3).

6) Ibid. 77, acte adressé au catholicos Domenti IT, au sujet d’un terrain contesté, dont la propriété fut reconnue appartenir à Mtzkhétha, après serment prêté sur l’image de l’Assomption, d’Ouloumba, et sur 15 autres images. Il est daté:

samedi 1 du mois du vin (octobre) 355 kroniconi.

Or ce kroniconi correspond à 1667 de J.-C., le 1 mars tomba un vendredi (1667 + 416 + 1 2084 : 7 5); le 1 octobre devrait être un mardi (5+2+9+3+9+3+3+2+1—23:7—2), mais, soit qu’il y ait eu omission dans ma copie, dsèsobs, pour à. dsèsobs, ou erreur de la part de l'écrivain, je n’ai pu faire concorder les deux notations.

7) Parmi les chartes dont je dois la communication à M. Berger, j’en ai trouvé une, dans laquelle Antoni, évèque de Tzager en Mingrélie, fils du dadian Otia, fils de Béjan-Dadian, conjointement avec son frère, le dadian Catzia IT, offre des paysans à N.-D. de Tza- ger. Elle est datée:

vendredi 2 mars 1778.

Comme le 1 mars de cette année tomba un jeudi (1778 + 444 + 1 2293 : 7 4), la notation est juste.

8) Un acte par lequel Nicoloz Tsouloucidzé, abbé de Khophi, fait différents présents à ce monastère; il est daté:

bd0% 6057, pour 389% 7057 du monde,

car les lettres & et 3 s’emploient fréquemment l’une pour l’autre. Soit l'an 1549 (7057 5508 1549); mais comme je n’ai pas d’autres notices sur le per- sonnage, je crains que la date n’ait pas été exacte- ment transcrite.

9) P. 56 des Akrpi on lit un acte très-intéressant, adressé au roi Solomon 1°, d’Iméreth, par un nombre considérable de grands personnages, nommés là, qui s'engagent à soutenir le monarque dans sa résolution de ne pas vendre de chrétiens aux Turks. Il est daté:

1759 de J.-C., 30 décembre, jour.

25

L'année julienne 1759, le 1 mars tombait un lundi (1759 + 439 + 1 2199 : 7 1), ainsi le 30 dé- cembre tomba réellement un jeudi (1 + 2 + 2 + 5 + 24+ 34 3+9+3+92-+ 30 53: 7 4), mais comme les Géorgiens commencent l’hebdomade par le dimanche, notre reste 4 équivaut à 5 ou au jour. Cette manière de compter le rang du jour, au lieu de le nommer, était usitée chez les Grecs, et se rencontre fréquemment dans la chronique de Trébizonde, par Michel Panarète.

10) Autre exemple, ibid. p. 29, acte très-intéres- sant de Rostom, éristhaw du Radcha, en Iméreth, pour la restauration des domaines du Kouthathel, archevêque de Kouthaïs, daté:

7218 du monde (en géorgien xbei; il a fallu

1710 de J.-C., beaucoup de sagacité pour dé- 29 juillet, chiffrer et restituer cette date, jour. qui doit se lire sol).

En 1710 le 1 mars tombait un mercredi (1710 + 497 + 1 2138 : 7 3), ainsi le 29 juiliet fut un samedi (3 + 2 +- 2 + 3 + 2 + 29 41:7 = 6); ici, comme au N°9, l’hebdomade géorgienne com- mence par le dimanche.

Puisque je suis en train de vérifications, je parlerai encore de deux inscriptions géorgiennes est indiqué l’âge de la lune.

11) A quelque distance de l’état-major du régiment

247119 des carabiniers, près de Mangjlis, 19 13 M. Dimitri, de Gori, a trouvé une 57 pierre provenant de quelque bà- 57 timent de l’église, sur laquelle 19 on lit ces quelques mots: «...

1 a dédié (cet édifice) le jour 18 de la lune, au mois de février, X11 kroniconi 247.» En opérant à la

18 manière géorgienne, on trouve | 18 en effet l’année 19 du cycle lu- 198 : 30 naire et la NL le 9 du mois de 180 3 février, résultat qui laisse pour- 18 tant quelques doutes, parce que + 1 l'inscription, publiée dans les 3a- 19 au 28 février, nuekn de la Société archéolo- —19 giquerusse, n’est pas en bon état

NL 9 février. de conservation.

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

26

12) Enfin dans le Rapport sur mon voyage, p. 167, j'ai donné une inscription qui fait foi que l’église de Coumourdo a été construite:

184 kroniconi, un samedi, de mai,

1 de la lune.

En opérant encore à la manière géorgienne, on trouve que la nouvelle lune de mai eut lieu le 17.

184:19 30 LEON 12 AE NL 18 mars, 1 +30 12 48 > —31 12 NL 17 avril, 12 +30 132 :30 CH 12, ép. au 28 févr. —30 NL 17 mai.

Le Kroniconi 184 répond à 964 de J.-C., le 1 mars tomba un mardi (964 +- 241 + 1 1206:7 2); done le 16 mai dut tomber un lundi, d’après le calcul (2 + 2 +- 2 + 16 22 :7 1). Je ne sais à quoi attribuer la différence de cinq jours entre ce résultat et l'indication donnée par l'inscription, telle je l’ai copiée et revue présentement sur ma copie originale. Une seconde copie, par M. Pérévalenko, fournit la même lecture, et d’ailleurs la lettre numé- rale & 1 est encadrée dans une ligne, qui la fait parfaitement ressortir: c’est donc bien «le samedi, de la lune, qui est indiqué.» Sans doute en opérant par le système grec j’arriverais à ce samedi; mais je doute qu’une pareille déviation soit permise, quand

964 2 2 2 96209 2 12 14 —] 30606 MÉ1 samedi, 1 de la xl lune. (Iakofkin.) 11 11 x 14 135 : 30 15

Bulletin de l’Académie Impériale

2s

—— 0

2%

30 184:19

15 1710019 NL 15 mars, 15 30 1] 45 12 —9 Xl NL 14 avril, 12 3 12

_ 44 132 : 30

30 1204

NL 14 mai. _ 12 épacte.

on sait par un manuscrit géorgien, daté précisément de l’an 941, qu’en l’année 184 du cycle pascal l’é- pacte géorgienne est 12 et non 15, mème différence de 3 jours qui vient d’être remarquée, 3).

Et ce n’est pas seulement en Géorgie que les in- scriptions fournissent des matériaux au computiste pour les calculs les plus délicats. Par exemple, le sa- vant M. Mommsen a recueilli des inscriptions latines, dont une en caractères grecs, des IIL°— V°s., sont mentionnés les 7 noms planétaires actuels des jours de l’hebdomade: Solis, Lunae, Martis, Mercurü, Jovis, Veneris, Saturni dies, avec des indications si précises du calendrier romain que, hors une seule, celle du lundi, j’ai pu les réduire toutes aux notations du calendrier chrétien; v. Rümische Chronol. bis auf Cäsar, Berlin 1866, p. 312. Quant aux quantièmes lunaires dont il y est fait mention, pas un seul ne s’est prêté aux opérations ordinaires de calcul. Jus- qu’à la découverte de ces textes, on ne connaissait que deux passages, de Pline et de S. Justin, était mentionné le dimanche seulement, sous le nom de dies Solis, et l’on n'avait qu'une idée vague de l’é- poque l’hebdomade planétaire, analogue à la se- maine biblique, a été en usage à Rome.

Le recueil des Arrpt sera d’un immense secours pour l'historien qui voudra s’occuper de la Géorgie, depuis lPannexion, en parler décemment et avec exactitude, dans les limites de la discrétion. Pour le moment, nous en étions réduits aux maigres matériaux épars dans les périodiques et dans quelques rares ouvrages, d'auteurs faiblement renseignés sur les événements contemporains; ou bien la crainte de traiter certains sujets délicats les faisait passer sous silence. Nous aurons maintenant, pour l’histoire contemporaine de

la Géorgie, les Mémoires de deux tsarévitch, impri- més seulement en partie dans le t. II de l'Histoire moderne; les matériaux de M. P. Boutkof, qui bien- tôt verront le jour; le livre de M. Doubrovin: 3akas- Ka3Be 078 1803 1806 r..; enfin les Akrpr. Du moins, pour la période semi-géorgienne du commencement de ce siècle, la lumière se sera faite.

Au lieu d'entrer dans le détail des actes géorgiens du recueil, disons quelques mots du contenu général.

La section II traite de la Géorgie sous le roi Giorgi XII; la III°, de la maison royale de Géorgie. Dans ces deux parties de l’ouvrage on trouve en détail les pièces émanées de chaque personnage, en particulier, ou le concernant, à savoir: les reines Daria et Ma- riam; les tsarévitch Toulon, Wakhtang, Mirian, Alexan- dré, fils du roi Iracli IT; Dawith, Ioané, Théimouraz, fils de Giorgi XII.

La IV° traite des troubles de la Géorgie, après la mort du roi Giorgi; la V°, de l'annexion et de la nou- velle administration. Les dernières sont consacrées à la partie de l'instruction publique, aux mines, aux voies de communication, aux clergés géorgien, armé- ménien et catholique. L’Iméreth, l’Oseth, chacun des cantons musulmans et la Perse, ont leur section par- ticulière: le tout est terminé par un vaste Index al- phabétique. Il suffit de cet aperçu pour donner une idée des trésors historiques mis à la disposition du publique avide d'instruction.

25 avril 1867.

Über einige slawische Benennungen des Purpurs, der Sonne und des Bernsteins. Ein Beitrag zur vergleichenden Alterthumskunde des bal- tischen Volksstammes !). $ 1-5. Von E. Ku- nik. (Lu le 25 avril 1867.)

Wie das Gotische für sämmtliche germanische Spra- chen mit Einschluss des Angelsächsischen und Altnor- dischen, so bildet das Altbulgarische, als die Mund-

1) Die Abfassung des obigen Aufsatzes wurde zunächst durch, eine von einem Naturforscher an mich gerichtete Anfrage über die Bedeutung eines seltnen und bis jetzt auf verschiedene Weise er- klärten Ausdrucks in den russischen Chroniken veranlasst. Nach- dem ich das, worauf es zunächst ankam, festgestellt hatte, ent- schloss ich mich einzelne Fragen, die ich in meinem Aufsatze zu berühren Gelegenheit hatte, umständlicher zu behandeln, um s0 auch Germanisten und Iranisten in den Stand zu setzen, dieselben von ibrem Standpunkte aus zu erôrtern und im Interesse der ver-

29

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

30

art der cyrillischen Bibelübersetzung und kirchlicher Schriften überhaupt, die Grundlage für die gesammte slawische Sprachforschung. Aus dem Kirchenslawi- schen sind in das ihm so nah verwandte Altrussische eine kaum zu übersehende Menge von Ausdrücken übergegangen. Wir besitzen aber bis jetzt weder ein altrussisches Wôrterbuch, noch ein den Forderun- gen der Gegenwart entsprechendes kirchenslawisches. Nicht nur lassen die verdienstvollen Arbeiten von Wo- stokow und Miklosich an Vollständigkeit noch viel zu wünschen übrig, sondern auch zur Feststellung des wahren Sinnes vieler wichtigen Ausdrücke, und nament- lich zu einer streng wissenschaftlichen Entwickelung der Bedeutungen ganzer Wortsippen müssen ganz andere Wege, als die bisherigen, eingeschlagen werden. Besonders aber ist in letzterer Hinsicht eine genauere Vergleichung des Wortschatzes der beiden dem Sla- wischen zunächst verwandten Sprachstämme, des Li- tauischen und Germanischen, als eine unerlässliche Bedingung aufzustellen.

Niemand empfindet die erwähnten Mängel mehr als der Culturhistoriker. Zunächst müsste denselben durch die Abfassung eines môglichst vollständigen kirchen- slawischen Sprachschatzes abgeholfen werden, was bei der Zerstreutheit der kirchenslawischen Ma- nuscripte und der Beschaffenheit vieler derselben na- türlich nicht die Aufgabe eines Einzelnen sein kann. So lange aber ein solcher Sprachschatz nur in dem Reiche der frommen Wünsche existirt, darf Niemand auf den Namen eines gründlichen Kenners des Slawi- schen Anspruch machen, dessen einzelne Mundarten einmal des von ihrer älteren Schwester ausstrahlenden Lichtes nicht entbehren kônnen.

Einstweilen ist der Historiker ôfters da, wo es sich um Erklärung einzelner seltenen Ausdrücke handelt, auf sich selbst angewiesen. Die Analyse, welche hier von solchen geboten wird, macht auf Erschüpfung des Gegenstandes keinen Anspruch; doch werden hoffent- lich dabei auch einige Streitlichter auf den alten Cul-

gleichenden Alterthumskunde ïhrer schliesslichen Lüsung entge- genzuführen.

Die Gründe, welche mich bewogen haben, dic drei unter einan- der eng verwandten Nationen der Slawen, Litauer und Germanen unter dem Gesammtnamen des baltischen Volksstammes zusam- menzufassen, sind von mir in $ 8 näher auseinandergesetzt worden, wo auch über den Gebrauch von prûsisch (le prouse) für das zwei- deutige und hier überhaupt ganz unpassende «altpreussisch» das Nôthige mitgetheill ist,

turzustand der Slawen und ihre internationalen Ver- hältnisse fallen und somit Anlass zu weiteren Erôr- terungen geben.

Da der vorliegende Aufsatz nicht ausschliesslich für eigentliche Sprachforscher bestimmt ist, unter den Historikern aber über das nähere verwandtschaftliche Verhältniss des Litoslawischen zum Germanischen noch manche falsche Ansichten herrschen, so sind hier einzelne Sätze ausführlicher, als es sonst nôthig wäre, behandelt worden. Im Interesse solcher Histo- riker sollen hier einige längst feststehende Sätze aus der vergleichenden slawischen Lautlehre hervorgeho- ben werden.

1) Die beiden einst allen Slawen gemeinsamen Na- salvocale haben sich am reinsten im Altbulgarischen und Polnischen erhalten. Der starke Nasalvocal x, poln. à (2. B. npxXB, prad) ist aus einem ursprüng- lichen einfachen an hervorgegangen, wurde dann rhi- nistisch fast, d. h. nicht ganz wie ein franz. on in plonger ausgesprochen. Im Russischen trat an die Stelle des starken Nasalvocals meistens ein einfaches u (npyxr), im Bôhmischen u und ou (prud-iti und proud-iti) u. s. w. Vertauschung des starken Nasal- vocals mit dem schwachen Nasalvocal À, poln. e (fast, aber nicht ganz wie ex in prendre) kommt, zum Theil in Folge bestimmter Lautgesetze, vor. Im Russischen ist an die Stelle von À meist a (ia) getreten, was sich auch früh in die Copien der kirchenslawischen Manu- scripte einschlich.

2) Umstellung oder Vorschiebung der beiden Liquiden 1 und r vor den ursprünglich vor ihnen ste- henden Vocal ist eine im Slawischen häufig vorkom- mende Erscheinung, z. B. altbulg. Gpaza, bühm. brada, lit. und lett. barzda der Bart. Im Russischen wird zur Vermeidung der Doppelconsonanz im Anlaute noch ein Vocal zwischen beide Consonanten eingeschoben, daher 6opoza. Got. gards (— Haus, in Zusammen- setzungen Garten); lit. gärdas (= Schafhürde); alt- bulg. rpaxb, poln. gréd, russ. ropoxr (— Umzäunung, Feste und dann gewühnlich Stadt).

3) Die von Grimm im Germanischen entdeckte Lautverschiebung (nepe6oü), nach welcher das Go- tische, Alt- und Angelsächs., Altnord. in den Wür- tern, welche sie mit verwandten Sprachen gemeinsam haben, nicht die stummen Consonanten der andern indo-europ. Sprachen bewahren, sondern dieselben

31

um eine Lautstufe verschieben, erleidet manche Aus- nahmen, die sich indessen zum Theil auch auf be- stimmt abgegränzte Fälle zurückführen lassen. Das Gotische besass zur Zeit des Ulfila (+ 380) im An- laute die labiale Tenuis P nicht, sondern gebrauchte sie nur in Fremdwäürtern. Dem slawischen P entspricht im Anlaute bald die gotischniederdeutschnordische Me- dia B, bald die Aspirata F, die den Altslawen gänzlich fehlte.

Bei Lehnwôrtern aber und in dem Folgenden wird zum Theil von ihnen die Rede sein kommt es sehr darauf an, zu welcher Zeit sie aus einer Sprache in die andere übergingen. Es kann nicht geläugnet werden, dass in dieser Beziehung Sprachforscher üf- ters aus Mangel an historischem Sinn in Irrthümer verfallen, während der Historiker seinerseits einstwei- len sich leicht den Vorwürfen der Linguisten aussetzt.

1. Gotisch fagrs edSeros, urspr. glänzend, schôn und altbulg. bagru = purpurn.

Zur Bezeichnung des Purpurs, der Purpurfarbe, purpurfarbiger und purpurartiger Kleider werden in den Schriftdenkmälern des europäischen Mittelalters verschiedene Benennungen gebraucht, von denen man- che früh veralteten, oder ganz ausser Gebrauch kamen. Zu den meisten europäischen Vülkern gelangten diese Benennungen zum Theiïl durch Vermittelung der latei- pischen Kirchensprache. Das lat. purpura selbst aber war dem griech. teo-œve-« nachgebildet, in welchem ein die Begrife des Brennens und Glänzens ver- einigender Wortstamm (G. Curtius, griech. Etym. 2te Ausg. p. 273 und die dort citirten Aufsätze) nicht zu verkennen ist. Die Goten, deren Bibelübersetzung zu einer Zeit verfertigt wurde, als sie in nahen Bezie- hungen zum ostrômischen Reich standen, wandelten einfach das griech. toppuoæ oder eine von einem un- bekannten Volke daraus gebildete Form in paurpura um und bildeten daraus sogar ein Verbum paurpur-on (= mit Purpur färben), wovon sich indessen im Ulfila nur das Participium paurpur-oths für das neutestament- liche tooguooÿs erhalten hat. Sehr wahrscheinlich aber ist es, dass die Goten noch eine volksthümliche Benen-

nung für die verschiedenen Stoffe hatten, die man

schon im frühesten Mittelalter für purpurfarbige aus- gab, und müglicher Weiïse hat sich diese Benennung

Bulletin de l'Académie Impériale

32

bei den Slawen erhalten. Die gotischen Lehnwôrter, welche im Kirchenslawischen vorkommen, stammen aus zwei verschiedenen Perioden. Der‘eine Theil der- selben ging noch vor dem Beginn der slawischen Vül- kerwanderung nach Westen und Süden (jedenfalls ante Christum natum), aus dem Gotischen zu den Slawen über und hat sich in den einzelnen Mundarten der- selben, zum Theil auch im Litauischen erhalten; der andere Theil ist nur der altbulgarischen Mundart eigen und in dieselbe erst eingedrungen, als die Vorfahren der heutigen Bulgaren noch nôrdlich von der untern Donau sassen und somit dem politischen Übergewicht der einst so mächtigen, um 200 p. Chr. von der Ost- see nach dem Pontus gezogenen (roten ausgesetzt waren. Aus dieser zweiten Periode, in welcher eine «Dneprstadt» eine Zeit lang die Hauptburg von Go- tenfürsten war, scheint das Wort 6arp? zu stammen, von dem bald die Rede sein wird.

Wie die alten Rômer den Griechen ibr purpura entlehnten, so eigneten sich auch die Südostslawen das griechische rogovoæ an, das aber nie volksthüm- lich geworden ist und jetzt in Russland vorzugsweise in dem Sinne von «Zarenmantel» neben den ihren west- europ. Ursprung verrathenden Subst. und Adj. nyp- nÿpB, nypuypogbii gebräuchlich ist.

Als die gewühnliche Benennung des Purpurs galt im vorpetrinischen Russland ein Wort, das durch die bei den Bulgaren entstandene kirchenslawische Literatur in das Serbische und Russische eingedrun- gen ist. Das gleichlautende Adj. und Subst. 6arpr (bagru) hat im Kirchenslawischen durchaus die Be- deutung purpureus und purpura und gab Veranlas- sung zur Bildung mehrerer anderen Würter, wie 6a- rphauna (6. mapecka; vgl. 4pRBIKHNNA HAPRCKA Za- renpurpur), 6arphaopoysne (im Russischen heisst dem- nach der Kaiser Constantinus porphyrogenitus auch K. 6arpanopoxmpli), Garp-0B (— purpureus), 6arp-nTm (goviot, rubefacere). Das Igorlied scheint an eini- gen Stellen das Adject. sepsaenbri in dem Sinne von hochroth oder purpurfarbig zu gebrauchen, doch kommt auch in ihm das Adj. 6arpaubii in dem Sinne von purpurfarbig vor. Bei Gelegenheit der Nieder- lage, welche im J. 1185 die zwei fürstlichen Brüder Igor und Wsewolod im Polowzerlande erlitten, heisst es bildlich: xBa coma nombprocra, 06a 6arpana CTJ'BIA 10raCocTa (zwei Sonnen wurden finster, es er-

33

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

34

loschen beide Purpursäulen). Dagegen heisst es bei Gelegenheit der Sonnenfinsterniss vom 14. Mai 1230 in den Chroniken: n 6bICTS comme MÉCANeMP, H ABHHACA 06anoJBI TO CTOINOBE HCPBICHN, 3CJICH, CHHM.

Aus der grossrussischen Volkssprache führt zwar Dahl in seinem Toukogpi caosaps xugaro Beauko- pycKaro #3P1Ka eine nicht unbeträchtliche von 6arp# gebildete Anzahl von Formen an, jedoch ohne nühere Bezeichnung ihrer Heimath, ihres häufigen oder min- der häufigen Gebrauchs. Gewiss ist, dass nicht alle von ihm gesammelten Ausdrücke allgemein bekannt sind, Am geläufigsten ist das Adject. GarpôBpii zur Bezeichnung der hellrothen oder hochrothen Farbe, das auch für die von Schlägen herrührenden blauen und braunen Flecke (6arpogbia naTHa 6arpésnna etc.; vgl. 6Garpôsbre) vom Volke gebraucht wird. Im Serbi- schen ist diese Wortsippe entweder nie volksthümlich gewesen oder nicht geblieben. Wuk Stephanowitsch fübrt in s. Würterbuch unter bagra nur ein Beispiel aus der serbischen Wojewodina an: ou je TBoje 6arpe (= deines Gelichters, tuae farinae).

Ungeachtet dass 6arp? eine verhältnissmässig reiche Nachkommenschaft gehabt hat, steht es doch im Sla- wischen ganz vereinsamt da, so dass man es ebenso wie nopænpa im Kirchensl. und purpura im Lat. für ein Lehnwort erklären muss, besonders da auch die durch Nichts unterschiedene adjectivische und substantivi- sche Endung hôchst auffallend ist. Bagr-ü (mit dem als Endung hinzugefügten altbulgar. Halbvocal”"h, der mit dem stummen russischen % nur graphisch identisch ist), erinnert offenbar an das got. fagrs, das indessen von Ulfila nur in der abstracten Bedeutung zur Wiedergabe von eÙSetos gebraucht wird. Nach Analogie des got. bait-r-s (— bitter; vgl. Kuhn’s Zeitschr. V, 54), hlut-r-s (= lauter) erweist sich fag-r-s, nach Abzug des alten Nominativzeichens s, als eine rein adjectivische Bil- dung auf -r. Die ursprüngliche Bedeutung des ger- manischen Wortstamms fag muss aber glänzen ge- wesen sein, und diese dringt auch noch im Altnordi- schen durch. Dasselbe bietet ein Verbum fâga (— glänzend machen, putzen; verehren, anbeten), fer- ner fâgan (= Verehrung, Cultus), fagna (= sich freuen; vergl. hinsichtlich des Übergangs der Bedeutung das altbulg. kpacwrn CA ornari; laetari), fagrblâr (— hell- blau, himmelblau), fagrahvel (eddischer Beiname der

Sonne in der Bedeutung eines glänzenden Rades). Alle Tome XII.

diese Bedeutungen reichen bis in die Periode vor der Sprachtrennung der einzelnen germanischen Stämme zurück, wie unter andern erhellt aus dem mittelhdeut- schen vegen schôün, glänzend, rein machen (daher Fegefeuer ganz im Sinne von purgatorium, uncru- ame) und aus den zur Bezeichnung des Schünen (vel. russ. Kpacabri, roth und schôn und die doppelte Bedeutung des lat. candere nebst candidus) dienenden Adjectiven: althochd. fagar, angels. fäger (woraus das engl. fair), altnord. fagr (z. B. auch im Beinamen här- fagr des Künigs Harald von Norwegen), schwed. fager u. S. W.

Eine weitere Bestätigung der Behauptung, dass dem (entlehnten?) germanischen Wortstamm fag die Be- deutung glänzen zukommt, dürfte die Geschichte des Sonnencultus der beiden arischen Vôülker gewäh- ren, In Folge gewisser historischen Verhältnisse (s. S 6) ist sogar die alte, allen Indoeuropäern gemein- same Benennung des personificirten Himmels, als des Glänzenden, (Asus, Zeus; vel. sub divo, altnord. tiv-ar Gütter, lit. déva-s Gott u. s. w.) im Sla- wischen verdrängt worden, so dass diw (41m?) wie im Iranischen die Bedeutung eines büsen Geistes be- kam, nachdem au dessen Stelle ein dem iranischen Bagha (urspr. wohl nur eine Benennung der glänzen- den Sonne) nachgebildetes Wort Bor? (Boguü) getreten war, das früh eine rein geistige Bedeutung erlangte*).

2. Altbulg. upamens (— roth, hochroth), prûs. wormyan (= roth) und lit. kermis (— Wurm), got. vaurms (— Schlange), altbulg. upier (= Wurm).

Jenes altbulg. bagrü hatte so tiefe Wurzeln im Kir- chenslawischen geschlagen, dass kein russischer Co- pist von älteren Texten es für nôüthig gehalten haben würde, dasselbe oder eine andre mit ihm zusammen- gesetzte Wortform durch einen mehr allgemein ver- stündlichen Ausdruck zu ersetzen. Weniger gebräuch- lich waren andre Benennungen des Purpurs, die aber auch im Kirchenslawischen ihren Namen von der ro- then oder glänzenden (brennenden) Farbe desselben erhalten haben. Das Subst. pres (— vermis; poln. czérw die Made) ist, wie nicht mebr bewiesen zu werden braucht, zunächst aus 1pæmb, dieses aber aus Kkpæms entstanden, was zunächst auch die litauischen

2) S. $ 6. Andeutungen über das Verhältniss des slawischen Sonnencultus zu dem der Arier.

3

35

Bulletin de l’Académie Impériale

36

EE

Formen kirmis (kirminas Wurm, besonders grosser Wurm) bezeugen. Eine strenge Unterscheidung von Farbenschattirungen, wie karminroth, purpurroth u. s, w. hat man natürlich weder in den ältern Mundar- ten des Slawischen noch jetzt im Munde des gemei- pen Volks zu erwarten. Letzteres gebraucht in ver- schiedenen Gegenden Formen, die von jenem Subst. gebildet sind, zur Bezeichnung der purpurfarbigen Stoffe. Auch im Kirchenslawischen ist schon dieselbe Beobachtung zu machen (vgl. uprBikanma byssus, purpura, color coccineus mit uprMakauma byssus bei Miklosich); doch verlangen alle hierauf bezügli- chen Stellen noch eine nähere Untersuchung”*). Hier soll nur versuchsweise die Zeit approximativ festge- stellt werden, seit welcher im Slawischen die rothe Farbe nach dem Namen eines Insects bezeichnet wurde. In mehr oder minder ursprünglicher Form kommt das zu diesem Zwecke gebrauchte Adjectivum (altbulg. uprmems) nebst den davon gebildeten Subst. und Verben in sämmtlichen slawischen Mundarten vor, selbst das Polabische nicht ausgenommen: «Roth, tzerwéna vom Sommervogel», d.i. wohl vom Schmet- terling, nach der 3ten Redaction des mir in der voll- ständigen (Hilferding’schen) Abschrift vorliegenden Henning’schen Glossarium drevanicum; vergl. poln. czerwony roth, czerwonogardt Rothkehlchen, das bühm. éerm-äâk heisst, den Namen des Dorfes Czermo an der Guezwa in Galizien, früher auch genannt Czermno und wahrscheinlich an der Stelle der alten Burg Jepsens, wovon Czerwona Rus (— Rothreussen) seinen Namen erhielt. Man darf daher annehmen, dass bei den Slawen schon lange vor dem Beginn der sog. slawischen Vülkerwanderung (also vor 200 post Chr. n.) jene Farbenbezeichnung gebräuchlich war. Aus dem Umstande, dass dieselbe allen slawischen Mund- arten eigen ist, darf man mit ziemlicher Sicherheit sogar schliessen, dass sie noch vor der slawischen Sprachtrennung, d. h. vor der Spaltung der slawi- schen Ursprache in zwei Hauptäste, den sog. südüst- lichen und westlichen, aufkam, und diese Spaltung muss aus Jlinguistischen wie ethnologisch-historischen Gründen jedenfalls in eine geraume Zeit ante Chr.

3) S. unter andern auch die Abhandlung von J. Hamel: Über Cochenille am Ararat und über Wurzelcochenille im Allgemeinen (Mémoires de l’Académie Imp. des sciences de St.-Pét. VI"® Série. Sciences Naturelles. Tome I, p. 9).

natum gesetzt werden. Môglich dass die Anregung zur Bildung jenes Farbennamens zu den Slawen vom Pontus her kam, wie denn auch die Benennungen karmin und karmesin den Europäern durch Ver- mittlung der Araber oder Altsemiten überhaupt zu- geführt wurden und schliesslich auf den arischen und näher auf den altindischen Namen des Wurms (sanskr. krmi, woraus erst krimi, altbactr. kerema, lat. ver- mis, altgälisch cruim, welsch prif, pryf; got. vaurms Schlange, altnord. orm Wurm, Schlange etc.) oder eine sog. Schildlaus zurückgehen ‘). Zu den Li- tauern drang dieser asiatische Einfluss nicht. Dagegen stüsst man in den Überresten der Prûsiska auf einen merkwürdigen Ausdruck. In dem Glossarium prüsi- cum wird unter andern Farbennamen auch das Adij. wormyan (— roth) angeführt. Aller Wahrscheinlich- Kkeit nach haben wir hier den Accus. einer auf -as auslautenden Adjectivform (s. Nesselmann, Spr. d. a. Pr. p. 51, 56) vor uns. Dasselbe Adj. hat auch der übrigens des Prüsischen wenig kundige Simon Gru- nau unter seinen Glossen verzeichnet: «warmun roth». Nesselmann bringt die Grunau’sche Glosse mit der Accusativform urminan (— roth) des samlän- disch-prüsischen Catechismus zusammen und verweist dabei noch auf das reval-estnische Substantivum urm (— Blut). Sollte in urminan sich die Urform des altbulgarischen poym-Bar (— roth von Gesicht, fleisch- roth), poln. rum-iany (— rothbackig) etc. erhalten haben? Vgl. altbulg. pambne (— heftig, stark), tschech. nâ-ramny (— übergross, gewaltig) mit dem althd. ir- min (für armin in irminsül] etc.), ags. eormen (= gross); altbulg. pa6ora, poln. robota (— Arbeit) mit dem got. arbäiths; abulg. xack-arn, tschech. lask-ati (— liebko-

4) Die Verwandtschaft jener Benennungen mit den litoslawi- schen ist allgemein zugestanden. Woher kommt es aber, dass die Linguisten bis jetzt noch nicht darüber einig sind, ob diesem Na- men des Wurms eine mit HV oder KV aulautende Form zu Grunde liegt oder ob das V ein sogenanntes V furtivum ist? Aus dem bal- tischen Sprachstamme lässt sich mehr als ein sichres Beispiel dafür anführen, dass in den ursprünglich in ihm mit HV oder SV anlautenden Wôrtern in der einen Mundart bald der erste Conso- nant, in der andern bald der zweite Consonant ab- oder ausfiel. Die Literatur über jenes Wort ist verzeichnet bei Miklosich (Lexi- con unter upeB#), &. Curtius (Griech. Etym. 2te Ausg. p. 485; vgl. Compendium von Schleicher, 2te Ausg. p. 303), wozu noch hinzuzu- fügen sind: Kubn in der Zeitschrift 13, 136 und Benfey in s. Orient und Occident 2, 755 u. 756. Über den orientalischen Ursprung von karmin und karmesin s. Pott in der Zeitschr. für die Kunde des Morgenl. IV, 42. Über die altindische Form wird gehandelt im Petersb, Sanskrit-Wôrterbuch Th. 2, p. 407.

37

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

38

sen, schmeicheln; lask-a Liebe) mit dem altnord. alsk-a, schwed. älsk-a (— lieben). Mit dieser Ver- setzung der Liquiden im Slawischen ist freilich der Anlaut in wormyan noch nicht erklärt, das müglicher Weise aus einer gotischen oder überhaupt germani- schen Mundart entlehnt ist. Vgl. angels. vurma, m., Purpurschnecke, Purpurfarbe, vurmreäd cocci- neus, altfries. worma Purpur. Gewiss ist, dass das ital. vermiglio, franz. vermeil (s. Diez, Etym. W.) aus vermiculus entstanden ist und «palla vermicula» kommt wenigstens schon im 6. Jahrh. p. Chr. vor.

3. Altbulg. Gpoume (— Purpur) entsprechend einem got. *brahts (= Pracht).

Noch wenig belegt ist die altbulg. Benennung 6pomre (fem.) für Purpur und das davon unzertrennliche Ver- bum Gpour-wrn. Wostokow erklärt das Subst. durch «4epgrenb», Miklosich durch «oowvxoùv, purpura» und fügt noch hinzu, dass es in einer (oder mehreren?) glagolitischen Handschriften für «coccinum» steht, Aus einer Stelle im Jesaias (1, 18) führt Wostokow an: ançe 6oyzoyTS rpbeu Baux 4Kko Gpos (65 œouwxodv, bei Luther: blutroth), ako cabre oy6baw. Für das Verbum 6pourrwru setzt Miklosich die Bedeutung rufare an (égv- Saua iwatioy Gpouienbr pu3k. O6pomr-wrn tin- gere, CA rubefieri).

Da in den Femin. mous, got. mahts (— die Macht), altnord. mâttr, m., Hours, got. nahts (— die Nacht), altn. nâtt, Beurre, got. vaihts (— Ding, Etwas; vergl. nhochd. der Wicht und n-icht), altn. vættr f. das altbulg. ur einem got. ht, altnord. tt und einem neuhochd. cht genau entspricht, so würde die entsprechende go- tische Form von 6porure lauten: brahts. Diese Form kommt bei Ulfila, der selbst das Adject. baihrts (eig. glänzend, dann hell, offenbar, deutlich) und die Ab- leitungen davon schon meist in einem abstracten Sinn gebraucht, nicht vor, hat sich aber im deutschen Bracht und Pracht (nicht fastus und splendor, wie Grimm Wb. 2, 286 setzt, sondern splendor und fastus; vgl. un- ter andern das mundartliche rotbräht rothleuch- tend) erhalten. Zu Grunde liegt also dem slawischen Gpouurs die Bedeutung Glanz, was hier nicht weiter ausgeführt werden kann. Daraus allein ist aber durch- aus nicht zu folgern, dass das slawische Gpourrs ein Lehnwort ist. Das Verbum Gpourrwrn kommt fast in allen Dialecten vor, wie windisch: broë-iti jajca (—

Eier färben), poln. brocz-yé (— besudeln, sich be- spritzen mit Blut), bühm. brot (— rother Saft, Pur- pursaft) u. s. w.

4. Altbulg. npxdx (— electron) entsprechend einem got. *brants oder “brands und altb. npanpxda (= Pur- pur) vom Verbalstamm *npx0-umu(—brennen, glänzen).

Eine ganz eigenthümliche Bildung verräth eine kir- chenslawische, bis jetzt ebenfalls noch nicht genau er- klärte Benennung des Purpurs, welche in drei wenig von einander abweichenden Formen vorkommt: mpa- upxXB (masc.), npanpxia (fem.), nphupxa (fem.). Ein entsprechendes polnisches praprad u. s. w. giebt es nicht. Alle drei Formen mit der Bedeutung ropovoc sind von Wostokow und Miklosich mehrfach belegt und auch für das Adj. Hpanpx ABB (— Toppueods, pur- pureus) hat Miklosich drei Quellen citirt. Eine davon war schon von Wostokow beigebracht worden; an ihr (Hpanpoyzanmn zAyramu in einem in Serbien geschrie- benen kirchenslawischen Codex) scheint von der Farbe des Regenbogens die Rede zu sein. Da wir nicht alle Stellen der beiden Lexicographen controlliren künnen, so müssen wir uns darauf verlassen, dass in keiner derselben sowohl das Subst. als das Adj. anders als in der Bedeutung «Purpur, purpurn» gebraucht wird.

Wie kam man aber darauf, ein Substantivum der Art zur Bezeichnung des Purpurs zu bilden? Hatte man dabei eine besondere Gattung von Purpur im Auge? Darüber geben die kargen lexicalischen Indices keine Auskunft. Jedenfalls hat man nparpxxz und npaupx ua (npbrpA ia) in npa (np) und npx-18 (-xa) zu zerlegen. [pa kann hier, so wie in dem von Miklosich (p. 654) aufgefundenen npacraBbae nicht an der Stelle des lat. pro in proavia (kirchens]. npa6a6a, poln. pra- baba, przedbaba, nadbaba) stehen, sondern dürfte, nach der unter 2 u. 3 (Einl.) erwähnten slawischen Laut- vorschiebung und germanischen Lautverschiebung, zunächst ein gotisches bar voraussetzen, das sich im altsächs. bar (barwirdig im Heliand sehr würdig) und altdeutschen bore, bor in der Bedeutung ni- mis (s. Grimm, Gramm. 2, 550 und die Artikel bor- kirche, die Bore und empor ins. Würterb.) und viel- leicht auch verdunkelt im Litauischen und Lettischen erhalten hat. Dann aber fällt jenes bis jetzt nur noch mit npacsagsns zu belegende altslawische Verstär- kungspräfix npa mit dem gleichfalls verstärkenden kir- chensl. Präfix npb (vor Adject. und Adverbien, wie vor

3%

39

Bulletin de l’Académie Impériale

40

Subst. z. B. npbpa6a, nphrphinra, npÉCTOIR u. S. W.) zusammen, in welchem # noch nicht wie e in dem gleich- bedeutenden und gleich häufigen russischen npe, son- dern wie ein verschmolzenes ea im Polnischen ver- tritt dasselbe häufig ein iotirtes a lautete. Somit wären die Feminina npanpxya und npbnpxja als zwei durchaus identische Formen aufzufassen und es wäre nun ein einfaches npxya nachzuweisen. Sollte ein sol- ches aber für immer im Kirchenslawischen unauffindbar bleiben, so künnte man wenigstens das russische 3a- upyza (— das Stauen, ein Damm, s. unten) anführen. In gewissen Schriften (vgl. neuere Ausgaben der sla- wonischen Bibel) wird für Purpur, ausser npanpyxa, auch eine Form npenpæa angesetzt, die also altbul- garisch nphnpaxa lauten würde. Im Altbulgarischen kam sie aber schwerlich vor. In mittelbulgarischen Handschriften werden die beiden Nasalvocale mehr oder minder mit einander verwechselt. Vielleicht wirkte auch auf die Bildung dieser neukirchenslawi- schen Form eines der von mpACTu (npaxx = ich webe, vgl. poln. prza$é, Präs. przede ich spinne) gebilde- ten Substantiva ein. Vgl. noch Garphanna npayeua bei Miklosich, worunter ein Purpurgewebe zu verste- hen ist. Die Bildung des Verb. npacru erfordert eine genaue Untersuchung. Merkwürdig ist, dass bis jetzt für das russ. Fem. npaxs (— der Faden) noch kein altbulg. pas nachgewiesen ist. Dagegen lässt sich für das obige Masc. npanpxy? ein einfaches und gleich- falls männliches npxxR nachweisen, von dem die wei- tere Analyse anzuheben hat.

Ein polnisches, formell ganz entsprechendes Subst. prad (Gen. predu u. pradu) ist wirklich vorhanden, kann jedoch hier, da es nur in einer abgeleiteten Bedeu- tung vorkommt, nicht zu Grunde gelegt werden. Dage- gen hat das Polnische und Bühmische andere nasalirte und entnasalirte Formen bewahrt, in denen die ur- sprüngliche Bedeutung des obigen kirchenslawischen Substantivs deutlich hervortritt. Von dem altpolnischen Verbum pred-aé hat sich nur ein (jetzt auch nicht mehr gebrauchtes) Substantivum predanie (— das Brennen) erhalten. Das bühmische prud-iti (— brennen, entzün- den, reizen, beizen) setzt nach der oben aufgestellten Regel ein altbulg. npxx-wrm voraus, und an dasselbe schliessen sich zunächst an die bühmischen Wôürter: prud-ivy (— wund brennend), prud-ina (— ein reiz- barer, jähzorniger Mensch), prud-kÿ (= jähzornig,

hitzig, ungestüm, stark, schnell) und verschiedene von prud-ky (in dem Sinne von schnell) abgeleitete Wür- ter. Ein polnisches prad-ki existirt nicht, wohl aber ist pred-ki (— schnell, rasch) ein ganz gewühnliches Wort. Das Verb. npar-uru, bald durch salire, bald durch trepidare gedeutet (Mikl. 753; vgl. die russ. V. HpsA-aTs und np4-HyTs hüpfen, springen), wird, nebst einem sich scheinbar daran schliessenden litauischen Verbum, hier absichtlich nicht herbeigezogen. Auch die Wortsippe, zu der napa, poln. para (— Dampf, Dunst), napu-r1 (— dampfen), poln. parz-yé (= bren- nen, brühen) u. s. w. gehüren, bleibt hier unberück- sichtigt.

Von predanie und pruditi (brennen) zu predki und prudki (schnell) hat die Entwickelung der Bedeutung dieses Wortstammes sich als eine ganz natürliche er- wiesen. Liegt aber demselben die Bedeutung des Bren- nens zu Grunde, so werden wir die davon unzer- trennbare des Glänzens, wie wir bei topueæ und bagrü (vgl. candere brennen und glänzen, und can- didus weisslich) gesehen haben, auch bei der Ana- lyse von npxxr im Auge haben dürfen. Bekanntlich gab es im Alterthum und Mittelalter verschiedene Be- nennungen des Bernsteinharzes. Aus der Analyse der- selben, so weit sie überhaupt bis jetzt gelungen ist, ergiebt sich, dass der Bernstein (Brennstein, Brennen- stein; in holl. und fläm. Mundarten neben brandsteen auch barnsteen) vorzugsweise nach seiner hellen Farbe und diese Benennungen mügen die ältesten sein oder nach dem Umstande, dass er leicht im Feuer schmilzt, benannt wurde. Das griech. mhex-toc-v be- zeichnet zunächst nicht den Bernstein, sondern ein glänzendes Metall (aus einer Mischung von Gold und Silber) und hängt zusammen (G. Curtius, gr. Etym. 2. Ausg. p. 127) mit mhéx-top 1) Sonne und 2) strah- lend als Beiw. des Sonnengottes Hyperion. Wostokow hat bereits nachgewiesen, dass das in der Septuaginta und andern griechischen Schriften vorkommende àsx- rev von den kirchenslawischen Übersetzern bald durch np? allein, bald durch uucrs (— rein; vgl. cunreiner Bernstein») npxxs wiedergegeben wird. Da jene Über- setzer schwerlich genau von den verschiedenen Be- deutungen, welche das Electrum der Alten hatte, un- terrichtet waren, so lässt sich aus ihrem Gebrauch von px noch nicht der Schluss ziehen, dass sich in diesem Worte die urslawische Benennung des Bern-

A1

des Sciences de Saint -Pétersbourg.

42

steins erhalten hat”). Lautlich gedeutet künnte aller- dings, wie sich noch näher im Laufe der Untersu- chung ergeben wird, npxx8 den Brennstein bezeich- nen, allein dann wäre der Nachweis seines Zusammen- hanges mit npanpxxs (Purpur) fast unmüglich. Dazu kommt, dass der russische Glossator des 17. Jahrh., Iamsa Beprya, der uns manche schätzbare Notizen gegeben, schreibt: npy Ab, MOCAXKP, 110 HHÉXP, ÉYPIITBIMB (Prud, Messing, nach Andern Bernstein). Müssen wir demnach vermuthen, dass man mit npAXE ursprüng- lich ein Metall von glänzender oder hellleuchtender Farbe das succinum hielt man bekanntlich an ver- schiedenen Orten lange für einen wirklichen Stein bezeichnen wollte, so wäre das durch npa verstärkte upxxB eine Farbe oder ein Kleidungsstoff, den man entweder nach seiner glänzenden, brennenden, oder nach seiner wachsgelben Farbe nicht anders zu benen- nen verstand.

Mit der nicht anzutastenden Bedeutung von npa- upxaa (Purpur) und npanpxaeus (purpurn) lässt sich aber der Gebrauch zweier lautlich übereinstimmenden russischen Formen nicht vereinigen. Das Subst. fem. gen. nmpanpyza wird in der 1. Pskower Chronik unter d. J. 1470 und das Adject. upanpyzen in der 1. Nowg. Chronik unter d. J. 1421 bei Gewitterschilderungen in Verbindung mit xox18 (Regen) gebraucht. Es liegt uns demnach ob, entweder nachzuweisen, dass diese beiden Ausdrücke nur zufällig in lautlicher Hinsicht an die obigen kirchenslawischen anklingen, jedoch einer ganz andern Wortsippe angehüren, oder darzu- thun, dass aus npxx-mrn (bühm. pruditi) und npxx? sich noch andere Bedeutungen entwickelt haben. Da Erste- res unmôüglich sein dürfte, so müssen wir wenigstens den zweiten Satz zu beweisen versuchen. Wie im- mer, so vermisst man auch hier einen nach den Quel- len ausgearbeiteten kirchenslawischen Sprachschatz.

Oben ist angedeutet, wie aus dem Begriff des Bren- nens der des Hitzigen, Ungestümen und Schnel- len sich entwickelt hatte. Zunächst schliesst sich daran noch das bühm. prud-êina mit doppelter Bedeutung (— scharfer Pflanzenstoff;, Wasserstrom). Noch hat das Bühmische eine Classe von Würtern zu bieten, in denen der altbulg. Nasalvocal x nicht in ein einfaches u, sondern in den dem Bühmischen eigenthümlichen

5) S. $ 7. Über das Bernsteinmeer der russischeu Volkssagen.

Laut ou übergegangen ist, gleichwie auch dem altbulg. und poln. 61%, bfad ein bühmisches blud (— Irrthum) entspricht, dagegen bloud einen Irrenden oder Tôülpel bezeichnet. Das Verb. proud-iti (— reizen, antreiben), proud-iti se (— strômen, wogen), die Subst. proud (= Strom) und proud-nik (— Strômling und Schnell- ente) lehnen sich übrigens ganz natürlich an die frü- her aufgezählten Formen prud-iti etc. an.

Auch das Polnische hat noch einige zunächst hie- her gehürende Wäürter bewahrt, wie das (jetzt veral- tete) Verb. prad-aé sie (—fliessen), und das poln. Masc. prad (gen. predu und pradu) hat ausser der Bedeutung: «Schuss, Strom eines Flusses oder flüssigen Kürpers», nebst prad-owina noch die eines Baumes unter dem Wasser, der die Schifffahrt aufhält. Prad-nik heisst ein Flüsschen bei Krakau.

Aus dem Begriff des Jähen und Raschen ging ohne Zweifel der des Strômens oder Schnellfliessens hervor. Aus der Bedeutung des Jähen, Ungestümen oder Rau- hen muss sich noch eine andere entfaltet haben. Das angeführte Verbum und das Subst. wurde und wird noch zur Bezeichnung eines Anstosses, Hindernisses oder gewaltsamen Hemmens auf Flüssen u. s. w. ge- braucht. Axercbeg® (ins. [Leproguprit Caoapr) bemerkt unter Berufung auf einen slawischen Chronographen, dass das Subst. npyxk hier kann nicht von dem volks- thümlichen russischen Ausdrucke, sondern nur von einem durch russische oder serbische Copisten ent- nasalisirten npxx8 die Rede sein bisweilen auch ratb, MocrB (— Weg von Faschinen, über einen Mo- rast, eine Brücke) bedeutet. Miklosich hat einstweilen noch keine anderen Belege beigebracht. Das Vorkom- men des altbulg. Adjectivs npxxpx, in dem Sinne von hart, emporragend im Meere, wird durch eine Stelle in den Act. Apost. 27, 29 (eès toayeis TOTous BB npxamas mbcra) belegt. Miklosich führt für zwei andere Stellen vermuthungsweise die Bedeutung «celer» an, die durch das angeführte poln. pred-ki und bühm. prud- kyÿ Bestätigung erhält. Der Glossator Hawsa Bepsruxa erklärte npyausri durch ocrpori, Ankift, Heraankit (= scharf, wild, uneben). Eine durch angeschwemmte Erde, oder durch eine Sandbank gebildete Stelle in ei- nem Flusse heisst noch heute im Russischen npy1-H0e (pyamoe mbcro 85 phKE 3aPYÆCHOC HAHOCOMB, Me- aan. S. auch Dahls Würterb.).

Das echt russische upyxr (— Teich) liegt vom büh-

43

Bulletin de l’Académie Hmpériale

4

9

mischen proud (— Strom) der Bedeutung nach ab, die aber ihre Erklärung in den analog gebildeten deutschen Würtern Deich und Teich, so wie im polnischen staw (= Teich) findet. Deich (s. Grimm, Wôürterb.) und Teich sind bekanntlich etymologisch identisch und nur mundartlich verschieden. Deich ist «ein Wall oder Erddamm, um das Fluss- oder Seewasser zurückzu- halten», und hat sich auch in dem alten franzôsischen Lehnwort digue erhalten. Das polnische staw hängt etymologisch mit dem deutschen stau-en ‘), altbulg. crag-wru (cessare facere, impedire) zusammen; vgl. das kirchensl. cragnao (— Anker), poln. stawidto (— das Fallbrett, die Hemme). Grimm müchte in Teich ur- sprünglich nur piseina sehen. Prudas bedeutet nach Nesselmann im Hlit. nur Fischteich, nach Szyrwid im Nlit. einfach Teich. Stender führt ein lett. prôds (= Fischteich; vergl. das witebsk-lettische pruds Teich) als im kurischen Oberlande gebräuchlich an. In Übereinstimmung mit dem Gesagten wird npyaxa und upyxs von Dahl durch sanpyza, raTb, IIOTHHA, rpeôas erklärt. Hpyairs phky (— einen Fluss abdäm- men), HpYARTS n0803ky (— einen Hemmschuh oder eine Hemmkette an ein Fuhrwerk beim Herabfahren von einem Berge anlegen) sind bekannte Ausdrücke, die, zusammengehalten mit den sonst angeführten, darauf hinweisen, dass npaxs und npxxuru schon in uralten Zeïten den Begriff des Hemmens, Dämmens, Entge- genstemmens in sich schloss. Das alt- und neuserbi- sche npyxr (—Sandbank, Düne) stimmt ebenfalls da- zu, Während prôd im Windischen (s. Mikl.) «sandiges Ufer» (vgl. das magyar. Lehnwort porond arena und das walach. Lehnwort prud sabulum) bedeu- tet und mit prodi die Drauinseln bezeichnet werden. Auch das lat. stagn-um hat man bereits, ohne an die obigen Analogien zu denken, durch eingedeichtes Was- ser (eines Flusses u. s. w.) erklärt, wozu auch das Verb. stagn-are (in der Bedeutung: stehen machen, der Bewegung berauben) passt. Über re-os (— Wall, Mauer) s. G. Curtius, gr. Etym. À 145.

Nachdem die Hauptmaterialien zusammengestellt sind, aus denen einst die Lebensgeschichte der Wort- sippe npxi- hervorgehen soll, wird es môüglich sein,

6) Durch das vor tau- getretene S ist die Lautverschiebung von T in D gehemmt worden. Die Gemeinsamkeit der juridischen Be- deutung von stau, stav im Slawischen, Gotischen und Ahd. ging schon aus den Bemerkungen von Grimm (RA. 748. 758. 855) hervor.

mit hinlänglicher Sicherheit die schon erwähnten zwei Stellen in russischen Chroniken zu deuten, in welchen das Fem. npaupzza und das Adject. npanp* pu? in russificirter Form vorkommen. In der ersten Pskower Chronik wird (Houm. Co6p. P. xbrou. IV, p. 255) ein schweres Gewitter geschildert, das sich am 24. Juni 1470 über Pskow entlud. Bimexium ry4a 10%1eBañ, nl ABUTHVINACA OAI, IL OBICTR TPOXOTB, TPOMB CB MOI- nie Cienb, aKoke BCMR OBITI BB BOXE YÆaCb un BB Crpach de10BÉKOMB, 1 TÉME FPOMOMB Ha SBANULE Kopogpu rpranmmpt 7 4e10BBKB MOIHIEIO HONAIN ; H OPICTR TMA CILIHA I A0KIB HpANPYAOIN .HEHCKA3ACMO CHICHP, AKO CB HOATOPA JACA, I HOTOMB ObICTR KB B€JePy Aalb Bors Tuxo H ONATR CBÉTA HCHOIHEHO, AKOKC I BB IPO- qas xuu. Hier ist also ganz deutlich ein schweres Ge- witter geschildert, mit besonderer Hervorhebung des starken Krachens, Donnerns und Blitzens. Dann wird noch hinzugefügt, dass sieben Menschen vom Blitze ge- troffen wurden, dass «eine dichte Finsterniss herrschte und ein an Heftigkeit unsäglich starker Regen war (sich ergoss), ungefähr anderthalb Stunden» und dass dann gegen Abend es wieder still und hell wurde. Hier ist weder von Hagel und Steinen, noch von einer feurigen Erscheinung die Rede, sondern nur von einem ungewühnlichen Regengusse, während dessen eine wahre Finsterniss herrschte. Eine andere Frage ist die, wie der Chronist dazu kam, das Wort npanpyza in dem obigen Sinne zu gebrauchen; doch diese Frage wird sich leichter nach der Analyse der andern Stelle in der 1. Nowg. Chronik unter dem J. 1421 beant- worten lassen. Toro xe mbcana maia 19, 8R [lerpogo roBbHie, BB HOILP, GPICTR TPYCB HA HEOCCH BEJUKB: BINC]- UN TYJU CB DOIVAHN, BB HOJIVHOIE TPOMB H MIBHIN OT- uaub CB He6CN CB IIYMOMB CTPAUHPIMB, H A0ÆKAP Dpa- npyAeHBI CR KAMeHIeMB n CR rpaxoms. Es dürfte nicht überflüssig sein zu bemerken, dass dem Bericht über dieses Unwetter eine besondere Cxasauie (historische Erzählung) zu Grunde liegt, welche in die 2" und 3" Nowgorod’sche, so wie in die Nikon’sche Chronik unter d. J. 1421 eingeschaltet worden ist, und schon dadurch als die Urquelle des kurzen Berichtes des ersten Nowgorod’schen Chronisten sich erweist, dass in ihr viel genauere Zeitbestimmungen vorkommen. Dem letzteren aber imuss die Crasanie in einer ur- sprünglicheren Fassung vorgelegen haben, da nur bei ihm das Adject. upanpyzemrs vorkommt, das von den

45

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

46

andern Copisten der CKasanie durch geläufigere Aus- drück verdolmetscht worden ist. In dem Bericht der ersten Nowgorod’schen Chronik wird ausdrücklich bemerkt, dass auch Hagel und Steine fielen. Wollte man auch in Betracht zichen, dass Aërolithenfälle wäbrend eines regenlosen Gewitters vorgekommen sind, so darf man doch nicht übersehen, dass hier ausdrücklich vom Hagel die Rede ist, der doch ge- wôühnlich von einem starken Regen begleitet wird. Demnach dürfen wir Zo%k18 npanpyaens schwerlich in einem figürlichen Sinne nehmen, sondern darun- ter ist allem Anschein nach nur ein heftiger Regen zu verstehen. Dieser Ansicht waren schon die Copi- sten des Originalberichts, wie er sich in der 2. und 3. Nowgorod’schen Chronik und in der Nikon’schen erhalten hat, indem der eine das einmal seltene Wort npanpyzens durch cuaenr (stark), der andere durch muorz (gross) ersetzte. Diese Epitheta waren ebenso natürlich, wie die, welche andere Chronisten vom Regen gebrauchen: yunoxenr (Hogr. I Er. unter das J. 1419) n npoiame AO%KXR BEJMKPR Ha rpaxs MockBy (ou. Co6p. P. xbr. VI, 182). Kurz, die Pskower Chronik, wie der Verf. der CKasanie von 1421 wollte nicht von einer gewühnlichen pluvia, sondern von ei- nem heftigen Regenguss, einem Sturzregen, einem imber magnus oder maximus sprechen.

Die Frage, wie die russischen Schriftgelehrten des 15. Jahrh. darauf kamen, die sonst nur in der Bedeu- tung von «Purpur» und «purpurfarbig» vorkommen- den Ausdrücke npanpxya und npanpx bn in dem Sinne von «Heftigkeit, Gewalt» und «gewaltig» zu nehmen, lässt sich vielleicht nach dem Mitgetheilten beant- worten. Ein einfaches weibliches Subst. npxza ist bis jetzt noch gar nicht und das männliche npxxr nur we- nig belegt. Tpanpxza in dem Sinne von Purpur kam auch so selten vor, dass die russischen Schriftsteller des 15., vielleicht schon die der vorhergehenden Jahr- hunderte, dasselbe vermittelst der damals allein herr- schenden Etymologia vulgaris an der einen oder an- dern Stelle im Interesse ihrer Leser so deuteten, wie es ihrem natürlichen Sprachgefühl am richtigsten schien. Auf diese Weise wurde die russische Schrift- sprache mit zwei Ausdrücken bereichert, die auf einem gauz andern Boden und zu einem ganz andern Zwecke gebildet worden waren. Gerade der Gebrauch des ver- stärkenden Präfix npa, welches selbst ein Miklosich

bis jetzt nur einmal belegen konnte, an der Stelle des im Russischen vor Adjectiven üblichen npe weist bei npanpyzapii (gewaltig) deutlich darauf hin, dass dem- selben ursprünglich das vom altbulg. Subst. 1panpxxe gebildete Adjectiv npanpx sur mit der Bedeutung «pur- purfarbig» zu Grunde liegt. Übrigens scheint der Ge- brauch von npanpyza und mpanpyxnpii in dem Sinne der Schriftgelehrten des 15. Jahrhunderts nicht lange gedauert zu haben, denn weder ist er bis jetzt aus an- dern Quellen belegt, noch führt Dahl in seinem Wôr- terbuch der russischen Volkssprache ein npanpyya, npe- npyza oder ein davon gebildetes Adject. in dem Sinne der obigen Chronisten an.

5. Ist gotisch brinn-an (— brennen), Practer. brann,

verwandt mit lit. bar-nis (— Zank, Haüer), altbulg.

Gpa-nv (= Kampf, Krieg) und russ. Gpan-umv (— schel- ten)?

Bei Untersuchungen, wo es sich um richtige Be- griffsentwickelung eines Wortstammes handelt, ist es nicht nur wünschenswerth, sondern üfters sogar un- umgänglich, dass vergleichend dabei zu Werke ge- gangen, d. h. dass wenigstens die Sprachen der zu- nächst verwandten Vülker zu Rathe gezogen werden. Da das Slawische in grammaticalischer wie lexicolo- gischer Hinsicht mit dem Litauischen innig verwandt ist und das Litoslawische dem Germanischen am näch- sten steht, Germanen, Litauer und Slawen haben lange einen uugetheilten Stamm gebildet und sich viel- leicht erst unweit der Ostsee gespalten —, dagegen dem Celtischen und Graecoitalischen bei weitem fer- ner und dem an manchen alterthümlichen Formen so reichen Arischen (Sanskrit und Iranischen) aller Wahr- scheinlichkeit nach im Ganzen am entferntesten steht, so fragt es sich nun: 1) Hält die obige Auseinander- setzung von der im Verbalstamm prad- liegenden und weiter entfalteten Bedeutung vom Standpunkte des Litauischen und Germanischen die Probe aus, und 2) Lässt sich zugleich mit Hülfe der Sprachen des einen oder andern dieser zwei Stämme npx- noch in ein- fachere Elemente zerlegen?

Von den Mundarten der drei Cousinen der Slawina haben wir theils nur dürftige Überreste, wie von dem Prüsischen, theils nur karge und selbst noch sebr der Prüfung bedürftige lexicalische Indices, wie von dem Litauischen und Lettischen, so dass dieselben für

4%

Bulletin de l’Académie Impériale

48

————————

den vorliegenden Zweck nicht so, wie es zu wünschen wäre, ausgebeutet werden kôünnen. Anders verhält es sich mit den an alten Schriftdenkmälern so reichen und zugleich vielfach bearbeiteten germanischen Spra- chen. Das, was sie zur Aufhellung von prad- und dem was daran hängt, liefern künnen, ist freilich auch nicht leicht zu ergründen; doch môgen hier im Interesse der Sache einstweilen einige Bausteine zusammengetragen werden, die zu bearbeiten wir den Germanisten von Fach überlassen. Hoffentlich wird damit der Satz aufs Neue bestätigt, dass die vergleichende Sprachfor- schung, von der einmal die Geschichte der Culturzu- stinde der Altslawen oder die sog. slawische Alter- thumskunde eine feste Grundlage erwartet, ganz un- wissenschaftlich verfährt, wenn sie das Gotische und Germanische überhaupt frischweg mit dem Griechi- schen oder gar dem Sanskrit vergleicht, ohne sich zu- vôrderst um das jenem viel näher liegende Litoslawi- sche zu kümmern. Würde wohl ein Naturforscher, der eine Species Eines Genus zu behandeln hätte, dieselbe zuerst mit den ihr am entferntesten verwandten ver- gleichen und die zunächst verwandten Species, wenn sie ihm zugänglich wären, ganz bei Seite liegen lassen?

Genau entsprechende Analogien zu dem Wort- stamm np npAX, poln. prad pred bieten sich uns in 6x GAZ, p. blad bled und in rx ra, p.glad gled. In allen drei Stämmen erweist sich die Dentalis nur als eine, wenn auch nicht bedeutungslose Weiterbildung, und lüsen wir die Nasalvocale in die ursprünglich nicht rhinistisch gesprochenen an und en auf, so werden wir alle Formen in pra-n-d pre-n-d, bla-n-d ble-n-d, gla-n-d gle-n-d zu zerlegen haben. Ob in ihnen die Liquiden R und L nach der oben unter X 2 angeführ- ten slawischen Regel umgestellt, d. h. vor den Wur- zelvocal geschoben sind, lässt sich vom specifisch lito- slawischen und germanischen Standpunkte nur vermu- then, schwerlich aber streng beweisen. Hier tritt nun der Fall ein, wo Vergleichung des gesammten balti- schen Sprachstammes mit dem Celtischen, Graeco- italischen und Arischen nicht abzuweisen ist; doch mügen Andere dieselbe nach den bereits vorhandenen Vorarbeiten über die Geschichte jener Wurzel an- stellen.

Schon Miklosich hat (p. 131) das altbulg. rxay-arn (= sehen; vergl. altpoln. glad-aé sehen, ferner poln. wyglad-aé— aussehen, wygledy, plur. Dach-

fenster, dwuglad parallaxis, wzgledem in Rück- sicht auf, von wzglad etc.), als zusammenhängend mit dem noch im 16. Jahrhundert gebräuchlichen mittel- hochdeutschen glinz-en (— leuchtend in die Augen fallen) erkannt, das gotisch glint-an lauten und also Zu rIAJ-aru stimmen würde. Jenem glin-t-an muss aber ein cinfacheres gotisches Verbum (s. Weigand, deut- sches Würterb. Giessen 1857. p. 440) glin-an (Praet. glan) zu Grunde liegen, und diese Praeteritalform zeigt sich noch im altnord. glan, n. (— das Hellsein, der Glanz). Gehôren die nur in der Bedeutung von «Trost, trüsten und getrost» vorkommenden prüsischen Wôr- ter glands, glandint, glandewingei zu dieser Wortsippe und ist die Bedeutung «Trost» aus der des «Vergnü- gens» oder der «Freude» hervorgegangen? Vel. noch mittelhochd. gland-er (— Glanz, Schimmer) und in Be- treff der Entstehung von glinz-en aus einem voralt- hochdeutschen glint-an das nhd. gleiszen und ahd. gliz-an (— blendendes Licht, augenblendenden Schein von sich werfen) mit dem got. glit(m-un-j-an glän- zen, ott}fetv). Das Verhältniss des russ. Verb. simplex TJA-HYTE (— einmal ansehen) zu glin-an ist noch näher zu untersuchen.

Auf ein gotisches blin-an (Praet. blan) wird man ebenfalls geführt, sobald man nach den schon von Schleicher (Formenl. d. kirchens. Sp. B. 1852 vgl. 122; vel. jetzt noch Miklosich Lex. 1862. p. 33, und G. Curtius, gr. Et. 2. Ausg. p. 271) gemachten Andeu- tungen das got. blin-d-s, das lit. blas-tis bles-tis (— sich verdunkeln; von der Sonne: finster werden; das d kommt in der Flexion wieder zum Vorschein, vgl. priblinde Abenddämmerung, Nesselmann WB. p. 340), das lett. blens-t (— nicht recht sehen, kurzsich- tig sein), das noch von Lange verzeichnete ob echt lettische? blinda (— ein Unstätiger, der nirgends Stich hält), zusammenstellt mit dem althbulg. 61x1-uru (—errare; scortari), 6rac-rn (— delirare, nugari, scor- tari; Praes. G1A1%), 61x18, m.(— lenocinium), 61A%p, f. (— fraus, mendacium) und poln. bladz-ié (—irre ge- hen, fehlen), blad, gen. bledu (— Fehler), dem got, blandan sik (—— misceri), altnord. blanda (— oculos claudere), engl. blunder etc. Diese formell und begriff- lich unumstôssliche Übereinstimmung zwischen den germanischen und litoslawischen Formen, die hier nicht näber zu begründen ist, entging J. Grimm, so dass er in der Analyse von «blind» und «blenden» (WB. u.

49

vgl. Haupt’s Zeits. 6, 10; 7,449; 8, 384), keinen ganz festen Boden gewinnen konnte.

Während für die aus wirklichen Formen erschlos- senen gotischen einfachen Verba glinan (Praet. glan), blinan (P. blan) keine Textbelege angeführt werden konnten, sind wir hinsichtlich des zum slaw. pra(d) pre(d) stimmenden gotischen bri-n-an (Praet. bran) in der glücklichen Lage, uns auf den ebrwürdigen Ul- fila berufen zu kônnen. Allerdings kommt auch bei Ulfila kein Verbum brinan (Praet. bran) vor, sondern nur ein intransitives brinn-an (1. Pers. Praet. brann, 3. P. Praet. brunnun, Partic. brunnans), womit das griech. xx/:05a. wiedergegeben wird, und woraus das fem. brinno (-— Fieber, rusetés), die transitiven ga- brannjan und inbrannjan (— verbrennen), brunna (— rnyr), brun-sts (— Brand; vgl. Gunst von günnen, Kunst von künnen) in all-brunsts (— Brandopfer) u. a. gebildet worden sind. Nun hat aber die Grimm’sche Schule längst bemerkt, dass die Gemination des aus- lautenden N in brinn, gleichwie in kunn-an, rinn-an u. a. verhältnissmässig späten Ursprungs ist, und Grimm hat nochmals in s. WB. (Art. braun; vergl. Gesch. d. d. Spr. 853) nachzuweisen versucht, dass brinnan und rinnan ein älteres brinan und rinan vor- aussetzen. Im Niederdeutschen, wie z. B. im angels. birn-an, altfries. barn-a, bern-a, in Bernstein (— Brennstein), im ags. irnan (— rinnan) nimmt Grimm Umdrehung der Liquida (vgl. die obige Regel M 2 in Betreff der slawischen Liquiden) an. Selbst zugegeben, dass diese Umstellung auch in Betreff von birn-an fest begründet ist, so würde doch vielleicht aus einer wei- teren Verfolgung dieser Wurzel im Litauischen und andern verwandten Sprachen sich ergeben, dass sie ursprünglich auch im Germanischen bar und ge- schwächt bir oder ber lautete. Noch wäre zu bemer- ken, dass dieselbe aus der Bedeutung «brennen» früh die des «Glänzens» entfaltet haben muss (vgl. ardere und ardor stellarum; candere brennen, glühen und dann glänzen, wie z. B. bei Horaz von einer vestis cocco rubro tincta). Es ist dieser so natürliche Über- gang vielleicht irgendwo genauer erürtert. Hier wird nur auf das engl. burn (— brennen, glühend machen) neben burnish (— glänzend machen, poliren; vgl. zu dem letzteren das franz. brunir, bei Diez unter brune) und auf die verschiedenen Bedeutungen von Brunst

(WB. von Grimm) hingewiesen Damit ist zugleich Tome XII.

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

50

eine bestätigende Analogie zu dem oben in Betreff von npxB (— electrum) und npanpæXE (— purpura) Gesagten gewonnen, dass sie nämlich nach einer bren- nenden oder hellleuchtenden Farbe benannt worden sind.

Ein dem urgotischen brin-an entsprechendes ein- faches slawisches pran-pren-, ist vom V. simpl. npa- HyTrs (— springen) sehen wir ab nicht nachweisbar, und auch das Lit. gewährt uns keine entsprechende mit der Tenuis anlautende einfache Form. Es ist dies um so auffallender, als man gerade in Betreff solcher sinnlichen Anschauungen vüllige Übereinstimmung zwi- schen Germanen und Litoslawen erwarten sollte. Sollte hier nicht auch einmal eine sprachliche Laune, oder irgend ein uns noch dunkler Umstand obgewaltet ha- ben, in Folge dessen die Litoslawen von einer und derselben mit einer Labialis anlautenden Wurzel zwei dem Anscheine nach verschiedene Verba bildeten, von denen das eine mit der Media, das andere mit der Tenuis anlautete? Wir wissen, dass gotisches, alt- niederdeutsches und altnordisches B nicht immer ei- nem slawischen B, sondern auch bisweilen in gewissen Füällen sicher in Folge eines besonderen Grundes einem slawischen P entsprach.' Erwä- gen wir noch, dass aufwallendes Blut und erhitzte Stimmung bald Hader bald heftigen Streit und Kampf erzeugen, so werden die hier folgenden Data môgli- cher Weise gewisse, nicht zu unterschätzende lautliche Bedenken niederschlagen. Ausdrücke wie: der Kampf entbrennt, bellum, seditio exardescit, entbrennen (— sich erzürnen, s. Grimm WB. 3, 504), Boïxa Bo3rop#- Jacs u. a. wird Niemand für sprachwidrig ausgeben.

Das Hochlitauische besitzt noch ein Subst. weibl. Geschlechts barnis (— Zank, Schelten, Hader) und die Adj. barnüs und barningas (— zanksüchtig, zänkisch), ein Adverb. barningay (— hartnäckig) u. s. w. Eine entsprechende lettische Form findet sich wenigstens bei den witebskischen Letten und zwar von Kurmin’) geschrieben borne und bornie (— altercatio, conten- tio), der auch noch barnejgi (— pugnaciter, poln. spor- nie), bornigs (— rixosus, contentiosus) anführt. Nach Abwerfung des Nominativzeichens s und mit üblicher Vorschiebung der Liquida vor den Vocal kann dem hochlit. barnis nur ein altbulg. 6pans entsprechen, das

7) Stownik polsko-lacinsko-lotewski. Wilno 1858 (unter Spor, swar). ci 4

51

auch in der That als Fem. in der Bedeutung von lucta, pugna und bellum vorkommt. In den altrussi- schen Chroniken war 6paus häufige Bezeichnung des Kampfes und Krieges, während es im Neuruss. vor- zugsweise das Schmähen und Schimpfen bedeutet. Das bôhm. brañ (— Wehr, Waffe, Rüstung; vgl. bran-ba Vertheidigung mit russ. 6opp6a = Kampf) stimmt zum poln. bro (— die Wafle, das Gewehr) und hängt offenbar auch mit dem weiblichen brona (poln.), 6o- poaä (russ.) und bräny (plur. im Bôhm.) zusammen, das ein bei den Slawen verhältnissmässig junges Acker- werkzeug, die Egge, bezeichnet. Wie in 6Goponä (vgl. o6opôua, 66opons Abwehr, Vertheidigung) nach rus- sischem Gebrauch die anlautende Doppelconsonanz durch Einschiebung eines Vocals gespalten wurde, s0 geschah es auch mit dem Verbum Gpan-nrn, russ. 60- pos-nru, bôhm. brän-iti, poln. bron-ié, zbron-ic etc., in welchen je nach den verschiedenen Mundarten bald die Bedeutung des Scheltens und Keïfens, bald die des Verwehrens und Kämpfens hervortritt. Ein die- sem slawischen Verbum entsprechendes litauisches, lettisches oder prüsisches scheint abhanden gekom- men zu sein; dagegen stossen wir in diesen Sprachen auf ein andres, das hochlit. bâr-ti (— schelten, s. Schleicher, Hdb. 2, 260 und vergl. Nesselm. WB. p. 322), refl. bâr-tis (— sich zanken), lett. bâr-t (— schelten, keifen) lautet. Diesem aber entspricht wie- der ein altb., jedoch uur im kriegerischen Sinne ge- brauchtes 6pa-ru (Praes. 60p-14) u. 60p-nrn (—pugnare, nebst 6opp, f. Gops-6a (— der Kampf; wind. borba, russ. 6opR64, serb. G6p6a; vel. das oben erwähnte bühm. branba), 6opsug (— der Kämpfer). Ein entsprechendes polnisches borz-yé fehlt. Auch das Bühmische kennt keine ähnliche Formen. Das Serbische bewabrt noch das refl. G6pn-rn ce. Dagegenu ist den beiden, einander so nahe stehenden Mundarten des Bühmischen und Polnischen ein Substantivum und Verbum eigen, das den südôstlichen Mundarten des Slawischen fehlt: bôhmw. zbroj, f. (— Rüstung, die Waffe), zbrojiti (— waffnen, rüsten), poln. zbroja (--— die Rüstung, woraus wohl das altrussische 36pya) Rüstung, bes. Reiter- rüstung), zbroiïé (—rüsten, bewaffnen, etwas verüben, Bôüses stiften), rozbrojié (—-entwaffnen). Anstatt zbroj und zbroja kommt im Kirchenslawischen und Altrus- sischen eine dem Polnischen fehlende Benennung vor, deren slawischer Ursprung bis jetzt, wie wir sogleich

Bulletin de l’Académie Empériale

D

5?

sehen werden, ohne hinreichenden Grund von Manchen behauptet wird.

Das altslawische Kriegswesen oder die sog. Kriegs- alterthümer sind bis jetzt wissenschaftlich noch gar nicht bearbeitet. Ohne eine genaue Kenntniss dersel- ben entgeht uns auch die richtige Einsicht in die active und passive Rolle, welche die Slawen vor und kurz nach ihrer Bekebhrung zum Christenthum gespielt haben. Natürlich müssen zunächst alle sich auf Krieg

‘und Kampf beziehenden altslawischen Ausdrücke ei-

uer eingehenden Analyse unterworfen und mit cultur- historischem Sinn betrachtet werden. Dabeï wird sich unfehlbar herausstellen, dass manche derselben, die man bis jetzt, wie z. B. Meyp, INTHTB (TUSS. INT —= Schild, wovon sammrnrs schützen, vertheidigen), für echt slawisch ansah, andern Vôülkern entlehnt sind, die wiederum auch von Andern, wie z. B. die Altger- manen namentlich von den Celten, belehrt wurden. Zu diesen Lehnwôrtern gehôrt auch das weibl. Subst. kirchensl. Gphnia (— SopaË, lorica), altruss. 6pona nebst lett. bruras— Panzer, welche auch Miklosich mit Recht als aus dem Germanischen entlehnt erklärt und wabr- scheinlich in einer früheren Zeit als das bôhm. F. brù (— Panzer, Harnisch). Das got. F. brun-jô (althochd. prunià, mittelhd. brünne, ags. byrne und beorne, alt- nord. brynja) wurde bereits von Ulfila zur Wiedergabe von SopaË im Sinne von Panzer gebraucht und wird vou Grimm (WB. 2,435, 324) aus brinn-an (vgl. die oben angeführten Formen brunn-un und brunn-ans) ohne Bedenken durch «leuchtende, brennende Rüstung» erklärt. Vel. micare—glänzen, schimmern vom Blitze, den Augen; gladii micant nebst dem davon gebildeten dimicare”). Brûn (— dunkelfarbig) war im Mittelalter auch eine Bezeichnung des Schwertes. Im Beowulf steht bryne-le6ma für Flammenglanz oder leuchtende Flamme und bryne-vylm, pl. für Flammenwogen, wo- gende Flamme. Diese und andre Formen scheinen sebr zu Gunsten der Grimm'’schen Erklärung des gotischen brunjô zu sprechen und doch dürfte dieselbe so lange für noch nicht ganz sicher angesehen werden, bis man nachgewiesen haben wird, dass die Celten keinen ähn- lichen Ausdruck hatten. Die Germanen haben ohne Zweiïfel mehr als einen Waffennamen von Nachbar- vülkern entlehnt und vermittelst der Volksetymologie

8) Micare und dimicare werden in der Kuhn'schen Zeitschrift (14, 453) von einander geschieden.

53

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

54

——

haben sie ebenfalls sich manche Lehnwürter mund- recht gemacht.

Ob nun vermittelst des Germanischen das zur Be- zeichnung des Ausdrucks brennen vermisste slawi- sche pran altbulgar, npra Widerspruch, Streit und upbauk Widerspruch, Disputation, Streit sind absichtlich nicht herbeigezogen im lit, barn- und slaw. bran- nachgewiesen worden, mügen diejenigen definitiv entscheiden, welche die Geschichte dieser Wortsippen des baltischen Volksstammes auf eine umfassende und streng wissenschaftliche Weise be- handeln werden. Ihnen bleibe es auch überlassen, das weibliche Subst. Brenn, Brenne oder Bränne (Grimm, WB. 2, 364), das entsprechende altnord. Fem. brenna, Gen. brennu (— Brand, Feuerbrand; brennustein und brennistein Schwefel) näher zu analysiren, und na- mentlich zu uutersuchen, ob hier das Suffixum -na mit dem Suffixum -ni in barnis und 6paue gleiche Gel- tung hat”). Einstweilen dürfte es auch noch schwie- rig sein, im Germauischen eine dem slawischen prad- pred- lautlich und begrifflich genau entsprechende Form aufzufinden. Branz (— Zank), branzen (— zan- ken, brummen; s. Grimm, WB. 2, 305) klingen viel- leicht our zufällig an das durchsichtigere mundart- liche Branz, Bränz (— Brantwein, vgl. engl. brandy) an. Ein gotisches brint-an (Praet. brant) oder brind-an (Praet. brand), analog den oben mit vollem Fug sup- ponirten glint-an (glant) und blind-an (bland), existirt in den Fragmenten des Ulfila, so wie auch in den verwandten Dialecten nicht). Tpxxs würde nach der allgemeinen vergleichenden Lautlehre ein got. brants voraussetzen, womit auch die oben bei glad- gled- an- geführten Formen glant- glint übereinstimmen würden. Nach Analogie von blad- blend- aber müsste man eher ein got. brands als brants, demnach ein althochd prant, ein ags. brand, brond und altnord. brandr er- warten und dann würde die von J. Grimm (WB. 2,

9) Über die neben einander stehenden Suffxreihen na, ni, nu und ta, ti, tu s. Schleichers Compendium. 2. Ausg. p. 452 u. 455 und Bopps vergl. Gramm. 2. Ausg. 3, 258.

10) Nur die Holländer gebrauchen anstatt des deutschen «bren- nen» das auch ins Neuhochdeutsche (Grimm WB.) übergegangene Verbum «branden», neben welchem im Mittelniederl. (Grimms WB. 2, 365, branden Praet. brande) noch bernen (Pr. brende) vorkam. Ein genealogischer Zusammenhang ist nicht zu verkennen zwischen diesem branden und den altromanischen Lehnwôrtern oder aus Lehnwôrtern geformten Verben: altfranz. brander (— brennen, in Flammen stehn), altprovenç. abrandar (— in Brand setzen). $S. Diez, roman. WB. unter brando.

2, 294) und Weigand (WB. 1, 175) aufgestellte gram- maticalische Erklärung des wirklich vorkommenden Subst. «Brand» vielleicht einer Modification bedür- fen, wenn es nämlich gerade jenes nach den pho- netischen Regeln vorausgesetzte, dem slawischen npkxB entsprechende Substantivum wäre. «Brand» ist im Deutschen, Angels. und Altnord. zunächst das Brennende, besonders ein brennendes Scheit Holz, titio, torris, dann überhaupt incendium. Im Angels. wird die Sonne genannt bronda (Gen. pl.) beorhtost der Leuchten glänzendste. Wie Waffen überhaupt vom Blitzen und Funkeln benannt wurden, so wurde auch besonders das Schwert wie Feuer aussehend oder hellleuchtend und wie ein verzehrender Feuer- brand (vergl. das Schwert Tizon des Cid) gedacht. In der Edda werden für das flammende oder blitzende Schwert geradezu Benennungen des Feuers und Lichts (eldr, logi, liomi, namentlich aber brandr) gebraucht. S. unter andern J. Grimm WB. 2, 294 und in Be- treff der romanischen Lehnwürter brandon, brandir, ébranler etc. den Artikel brando in dem Etym. WEB. der romanischen Sprachen von Diez, wo bei dem ent- lehnten altfranz. «hrant, brane, bran Schwertklinge (brance de l’espée)» noch auf das altnord. brandr die (blitzende, glänzende?) Schwertklinge zu verweisen wäre. Im Beowalf erklärt Grein (Ausg. v. 1867) bea- domêceas brondne durch flammende Kampfschwerter, so dass das Adj. bronden sogar lautlich dem kirchen- slaw. Adj. npxaenr, das freilich nur in abgeleiteter Bedeutung sich erhalten, nahe stehen würde. Noch sei bemerkt, dass in den altfriesischen Gesetzen brond- rât (feuerroth) vom Golde gebraucht wird, was an dus «Electron» bezeichnende slaw. Subst. npxxB er- innert. Das altnord. Mase. brândi, brjändi (—— Glanz, Schimmer) ist wohl nur eine Participialform.

Noch wären einige nautische Ausdrücke des Nor- dischen zu erwähnen, die aber selbst noch der Auf- hellung (aus dem Celtischen?) bedürfen, z. B. brandr prora etc."!). Das altnord. brandäss ist wohl gleich- bedeutend mit dem deutschen «Brandbalken», und beide sind schwerlich durch brand —— incendium zu deuten. Doch dieses Material (vgl. noch Grimm WB. II, 296, 11 und 12 und p. 302 unter brane) ist noch zu dürftig, um irgendwie slawischen Formen gegen- übergestellt werden zu künnen.

11) Irish Glosses. Ed. by W. Stokes. D. 1860 p. 147. ; 4*

55

Den Gesetzen der germanischen Lautverschiebung gemäss müsste die dem slawischen npxi- entspre- chende gotische, ags. und altn, Form eïgentlich mit der Tenuis (t) auslauten; doch kommen genug noch nicht gehôrig untersuchte Ausnahmen vor, in denen die ursprüngliche Media in jenen Zungen unverändert beibehalten wurde. Es giebt aber im Angels. und Alt- nord. noch ein Adj., das mit der Tenuis auslautet. In der angels. Poesie wird brenting— was nur zufäl- lig mit einem ähnlichen Suffix gebildet ist wie das dem holl. branding (— aestus maris) nachgebildete niederdeutsche «Brandung» für «Schiff» gebraucht. Es ist zusammengesetzt mit dem Adj. brant, bront, das die Bedeutung arduus, altus hat, wozu auch das engl. brent (-— steil, hoch) stimmt. Im Beowulf wird dieses bront (ed. Grein p. 90) im Sinne von «hoch, hochgehend» als Beiwort von ceél und ford (— Schiff und Fluth) gebraucht. Im Altnord. entspricht ihm das Adj. brattr, m., brütt, f., bratt, n. (— jäh, schroff, steil, im uneig. Sinne: beschwerlich). Entstanden ist die Form brattr aus brants, d. h. im Altnord. (Altnorw. und Isl.) ist r an die Stelle des alten gotischen Nomi- nativzeichens s getreten und n wird ôüfters vor p, k, t ausgestossen und dann die Muta verdoppelt (s. Grimm Gesch. d. d. Spr. p. 338). Das vom Altnordischen viel- fach abweichende Schwedische gebraucht bis jetzt brant in gleichem Sinne, z. B. brant klippa ein steiler Felsen. Wenn dieses Adjectiv, das also gotisch brants lauten müsste, zu dem oben besprochenen Wortstamm gehôrt, so würde es fast denselben Sinn haben wie das Adj. npæabx? und das russ. npyambi, das gleich dem nord. brattr von Bergen gebraucht wurde. Verschieden davon ist ein andres altnord. Adj. brâar (— schnell, hastig) nebst dem Adv. brâtt. Ungeachtet dass es der Bedeutung nach zu npxi-bnB, pred-ki, prud-kÿ (— schnell) passt, muss wohl jeder Gedanke an eine in- nere Verwandtschaft mit denselben fern bleiben.

Ein an den Wortstamm Gpax- und np#4- npAJ- an- klingendes Verbum bietet auch noch das Litauische. S. über bres-ti (Praes. brend-u u. s. w.), branda, bran- dus etc. das WB. von Nesselmann p. 344, über das prûsische brand- brend dessen Sprache der alt. Pr. p. 91 und besonders Stenders lett. Lexicon unter den entnasalisirten brês-t und brêd-is. Eigentliche Bedeu- tung: quellen? Vgl. Brunne (im WB. von Grimm 2, 433) und got. brunna (— Quelle), das hervorgegangen

Bulletin de l’Académie Impériale

56

ist aus dem Präter. von brinnan. Vermuthen darf man wenigstens, dass eine Wortsippe der Art nicht isolirt da steht, sondern zunächst Verzweigungen im Slawi- schen und Germanischen hat. Allein bei dem gegen- wärtigen Zustande unserer Kenntniss von den ver- wandtschaftlichen Verhältnissen des Litoslawischen zum Gotischen und Germanischen überhaupt muss man sich durch solche Assonanzen nicht verführen lassen, sondern eher im Auseinanderhalten von Formen und Begriffen streng sein.

Beitrag zur Entwickelungsgeschichte der Goni- dien und Zoosporen-Bildung der Physcia pa- rietina Dn. von Dr. À. Famintzin und J. Ba- ranietzky. (Vorläufige Mittheilung.) (Lu le 23 mai 1867.) 3is jetzt sind die Zoosporen nur bei Algen und in

der letzten Zeit auch bei einigen Pilzen beobachtet

worden. Uns ist es indessen gelungen, Zoosporen bei einer typischen Flechte, der Physcia parietina, nach- zuweisen. Die Zoosporen bilden sich aus den Gonidien der genannten Flechte. Um sie aber entdecken zu kün- nen, müssen die Gonidien von den sie umgebenden farblosen Hyphen befreit werden. Wir gelangten dazu auf eine zweifache Weïise. Entweder cultivirten wir dünne Querschnitte der Flechte auf Baumrinde in feuchter Luft oder wir liessen, während zwei bis drei

Wochen, Wasser auf den Flechten-Thallus mittelst ei-

nes Hebers träufeln. Dadurch wurden merkwürdiger

Weise die Hyphen der Rinde, wie auch des Marks,

vollständig erweicht und endlich stellenweise gänz-

lich vernichtet. Die (ronidien blieben dagegen vüllig gesund erhalten. Sie wurden dann aus der schmieri- gen Masse der Flechte herausgehoben, auf Baum- rinde in dünner Schicht aufgetragen und ebenfalls in feuchter Luft cultivirt. Aus beiderlei Culturen erhiel- ten wir Zoosporen. Alle diese Aussaaten wurden auf vorläufig ausgekochter Rinde vorgenommen. Die Go- nidien wuchsen in den ersten Tagen der Cultur zu grossen Kugeln heran. Der Zellkern und die grosse seitliche Vakuole, welche wir in jeder Gonidie gefun- den haben, wurden dabei allmählich undeutlicher und verschwanden endlich ganz; der homogene grüne Zel- leninhalt wurde undurchsichtiger und feinkôrnig.

In einer Kugel bildeten sich Zoosporen zu mehre- ren aus und wurden sämmtlich, von einer zarten

57

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

58

Membran eingehüllt, ausgestossen. Die Membran wurde entweder sogleich aufgelüst oder sie blieb noch einige Zeit erhalten, riss dann an irgend einer Stelle auf und liess die Zoosporen frei werden. Die Zoospo- ren bieten nichts Eigenthümliches dar; sie sind läng- lich-oval, am vorderen Ende zugespitzt und mit zwei nach vorn gerichteten Cilien versehen. Wir haben sie zur Ruhe kommen sehen und sind jetzt beschäftigt, ihr weiteres Schicksal zu verfolgen.

Es gehen aber bei weitem nicht alle Gonidien-Ku- geln die Zoosporen- Bildung ein. Auf denselben Rin- denstücken beobathteten wir noch zwei andere Ver- mehrungs-Weisen der Gonidien. Es boten einige die für Gonidien so charakteristische und üfters schon be- schriebene Theiïlung dar, wobei sie an Umfang be- deutend zunehmend, maulbeerformig aufgetrieben wur- den und sich in mehrere ganz typische Gonidienzel- len sonderten.

Bei noch anderen zerfiel der Zelleninhalt in eine grosse Menge ganz kleiner Zellen. Der kugelfürmige Umriss der Mutterzellen blieb aber unverändert. Die Zellen wurden durch das Mutterzellenmembran frei.

Des überaus häufigen Vorkommens der Physcia pa- rietina wegen liess sich erwarten, dass die eben be- schriebenen Entwickelungsstadien der Gonidien schon von anderen Forschern gesehen, wenn auch anders gedeutet worden sind. Und es erwies sich auch in der That, diss Nägeli sowohl die freien Gonidien als ibre dritte Vermehrungsweise beobachtet und in sei- nem Werke: «Gattungen einzelliger Algen» auf Taf. 3 f. E. abgebildet hat. Er betrachtete sie aber als eine einzellige Algengattung, die er mit dem Namen Cysto- coccus (S. 84) belegte. Der Zellenkern und die seitli- che Vakuole sind bei ihm getreu abgebildet.

Der Beschreibung des Cystococcus fügt er aber noch hinzu, dass er einige Formen schwärmen gesehen habe. So wäre denn die Cystococcus - Form nicht mehr als selbstständige Algengattung, sondern als eine Ent- wickelungsstufe der Physcia parietina aufzufassen.

_L. Danckwerth’s doppeltwirkender elektro- elektrischer Inductionsapparat. (Lu le 2 mai 1867)

Im Laufe des Jahres 1866 wurde mir durch Se. Excellenz den General-Adjutanten v. Todleben der

Auftrag zur Construction eines Inductionsapparates zum Sprengen von Minen nach einem vorgezcigten, von mir construirten Modell übertragen.

Es bot mir dieser Umstand Gelegenheit zu einer eingehenden Vergleichung der besten, bis jetzt bekann- ten Inductionsapparate, wozu auch der des Herrn Ruhmkorff gehürte. Ohne diese einzelnen Versuche näher zu beschreiben und ohne den auf diesem Felde 3edeutendes geleisteten Meister und Landsmann zu nahe treten zu wollen, sei hier nur erwäbnt, dass der Apparat von Ruhmkorff, dessen Spirale bis 35 Cen- timeter lang ist, bei Anwendung von 4 Bunsen’schen Élementen mittlerer Grüsse einen Funken entwickelt, dessen Schiagweite hüchsten 3 Centimeter beträgt. Die Spannung dieses Funkens ist also ziemlich, seine Wärmeerscheinungen dagegen nicht so bedeutend. Auch würde der bei den Apparaten angebrachte Ham- merapparat wohl vortheilhafter construirt werden kün- nen, da es Thatsache ist, dass bei einige Zeit dauren- der Wirkung dieser Theil des Apparates ins Stocken geräth. Es ist mir gelungen diese Umstände zu besei- tigen und einen Apparat zu construiren, dessen Fun- kenschlagweite allerdings etwas geringer, deren Wär- mebegleitung jedoch viel bedeutender ist und zu des- sen Beschreibung ich hier sofort übergehe.

Ein Glasrohr von 5 Cent. innerem Durchmesser und 42 Cent. Länge wird seiner ganzen Länge nach aufgeschlitzt; dieser Schlitz nimmt das für den Elek- tromagneten des Hammerapparates bestimmte Stück weiche Eisen auf; dasselbe ist 1 Cent. dick und 1 Cent. länger als das Eisenrohr und von letzterem auf das Sorgfältigste isolirt. Dieses 1 Cent. längere Ende fübrt durch das Holz, auf welches der Hammerapparat be- festigt ist. Das Ganze, den sogenannten Eisenkern bil- dende Eisen des Inductionsapparates, wird auf best- môglichste Weise mit einer 3 Millimeter dicken Schicht isolirender Substanzen bedeckt und hierauf der dicke Draht für den primären Strom vorsichtig gewunden, dessen einzelne übereinanderliegende Schichten gleich- falls guter Isolation bedürfen. Auf diesen folgt der dünne, zur Aufnahme des secundären Stromes be- stimmte Draht, welcher nach der Weise des Herrn Ruhmkorff vorzüglich isolirt wird.

Das Innere des oben erwähnten, 5 Cent. innere Weite führenden Glasrohres indess ist zur Aufnahme eines zweiten dünnen Drahtes für den nach Innen auf-

59

Bulletin de l’Académie Impériale

60

D ——————_—_—_————"—"—"—"————"——…—…————

tretenden Inductionsstrom bestimmt und die Lage die-| ladungen der äusseren Windungen des inneren Drah-

ses Drahtes findet in der Weise statt, dass er die Fort- setzung des dicken Drahtes nach Innen hin bildet. Die- ser Draht ist auf eine Rolle gewickelt, welche gleich- falls einen massiven Eisenkern von 1 Cent. Durchmes- ser trägt und jede seiner übereinanderliegenden Win- dungen sind auf das Sorgsamste von einander isolirt.

Der Hammerapparat ist eine gewühnliche Feder, an welcher ein Stück weiches Eisen als Anker be- festigt ist. Über der Feder befinden sich zwei Kloben, der eine in der Mitte der Feder selbst, der andere über den an der Feder befestigten Anker. Unter beiï- den Stellen der Kloben ist die Feder mit dickem Pla- tina versehen. Durch die Kloben führen Schrauben, welche beide ein Gewinde besitzen, so dass jede der Schrauben nach Bedürfniss in diesen oder jenen Klo- ben geschroben werden kann. Während die eine Schraube mit Platina versehen ist, um die Unterbre- chung zu vermitteln, dient die andere, mit einem Stückchen Kork versehene, zur Dämpfung der übertrie- benen Schwingungen des Ankers. Je nachdem man die Unterbrechungen zu beschleunigen oder zu verzü- gern wünscht, ist es erforderlich, die mit Platina ver- sehene Schraube unten oder oben in die Kloben zu schrauben.

Von den Unterbrechungsstellen führen gleichfalls, wie bei Ruhmkorff, Drähte zu einem aus Zinnfolio construirten starken Condensator.

Die Wirkung des Apparates, d. h. der äusseren [n- duction, ist, bei Anwendung von 4 Elementen nach Bunsen, mittlerer Grüsse, constant und die den Funken begleitenden Wärmeerscheinungen bei Wei- tem grüsser als bei Ruhmkorff. Ein 1 Millimeter dicker Kupferdraht wird sofort geschmolzen, ebenso auch ein Streifen von reinem Golde von der Dicke starken Schreibpapiers und 1 Cent. Breite. Bei der Thätigkeit des Apparates nahm die im Innern des Eisenrohres befindliche Inductionsrolle, so wie das Robr selbst eine Temperatur an, bei der Schellack schmolz, wobei die elektrischen Entladungen der in- neren Rolle weder an Kraft zu- noch abnahmen. Der Appparat arbeitete 3 Stunden mit unverminderter Kraft, ohne Unterbrechung.

Die starke Erwärmung des Eisenrohres wie der in- neren Rolle rührte, wie sich später herausstellte, grüsstentheils von den im Innern stattfindenden Ent-

tes, nach dem Eisenrohre zu, her.

Eine besondere Aufmerksamkeit jedoch verdient die Art und Weise der Anziehung der Lichtmassen einer Geisler’schen Rühre im Innern des Eisenrohres.

Ob eine Verbindung des äusseren secundären Drah- tes mit den inneren statthaft, d. h. eine im Allgemei- nen grüssere Wirkung erzeugende ist, war Verfas- ser dieser Zeilen noch nicht im Stande zu ermitteln. Auch hat es mir bis jetzt noch nicht gelingen wollen, die innere Rolle gehürig zu isoliren, es hinterlässt in- dess keinen Zweifel, dass bei gehüriger Isolation der innere Inductionsstrom dem äusseren gleichkommt.

St. Petersburg, den 24. April (6. Mai) 1867.

Danckwerth,

Zu einem genauen Urtheile würde ein Vergleich mit einem Apparate von Ruhmkorff erforderlich sein, der mir nicht zu Gebot stand: das, was ich gesehen habe, zeigte indessen die starke wärmende Kraft des Apparates, die verschiedenen Metalle wurden leicht geschmolzen und selbst bei hellem Sonnenschein war das Funkensprühen von brennendem Eisen sehr leb-

haft. L, F, Kämtz,

Diagnoses breves plantarum novarum Japoniae et Mandshuriae, scripsit C. J. Maximowicez. (Lu le 2 mai 1867.)

DECAS QUARTA Er QUINTA.

Coptis quinquefolia, (Cryza Ra fin.) foliis 5-foliolatis, foliolis longiuscule petiolulatis cuneiformi - obovatis apice obsolete trilobis, incisoserratis serraturis mucro- nulatis, subtus eximie prominenter reticulatis; scapo unifloro; sepalis petaloideis leviter emarginatis rotun- datis; petalis brevioribus cucullatis stamina subae- quantibus; carpellis maturis stipiti subaequilongis in stylum brevissimum acuminatis.

In sylvis subalpinis ins. Nippon mediae et meri- dionalis.

Plantam fructiferam tantum possideo. Icon speci- minis parvuli florentis vidi in opere japonico: Soo bokf dz’ sets dsen hen (i. e. tentamen adumbrationum di- versarum herbarum et arborum), vol. X. fol. 39.

C. trifolia Salisb., huic proxima, differt foliolis ternis, laterahibus sessilibus, omnibus rotundato-cu-

61

neato-obovatis, superne minusque prominenter reti- culatis, sepalis oblongis obtusis, carpellis stipite suo evidenter multoque brevioribus in stylum filiformem dimidio carpello longiorem abeuntibus.

Coptis orientalis, (Chrysocoptis Nutt.) foliis biternatim sectis, segmentis primariis longe secundariis breve petiolulatis, cireumscriptione late ovatis, pinnatifidis, lobis mucronato-incisoserratis; scapo folia superante 3—4-floro: bractea infima tricuspidata ceteris subu- latis; floribus longe fractibus longissime pedunculatis; sepalis lanceolatis membranaceis petalisque paullo bre- vioribus spathulatis erectis planis trinerviis: stami- nibus quam petala paullo brevioribus; carpellis stipi- tes superantibus stylo brevissimo mucronatis.

In alpibus Nippon meridionalis, raro, unde advecta urbes Kioto et Ohosaka, ubi a botanophilis indigenis magni aestimata. Ipse habui vivam, florentem et fruc- tiferam. Sepala petalaque albida, priora membranacea, posteriora carnosula.

Valde similis videtur C. anemonacfoliae S. et Z., cujus specimen unicum in Japonia colui fructiferum, sed quam authenticam nondum vidi. Haec ex diagnosi autorum ad sect. Chryzam referenda, praeterea diversa est foliis semel ternatim sectis, floribus breve pedun- culatis, petalis dimidio quam sepala brevioribus bre- viter cucullatis, fere complicato-canaliculatis, stami- nibus petala superantibus; ex specimine meo fructi- fero insuper differt foliis segmentisque ambitu elongato- ovatis neque prioribus circumscriptione deltoideo- posterioribus lato-ovatis, scapum fructiferum aequan-

.tibus (foriferum igitur verosimiliter superantibus); pe- dunculis fructum ad summum duplo, in nostra triplo quintuplove superantibus.— Eidem sectioni ut nostra adscribenda est C. Tea Wall., species rarissima, a me non visa, diversa tamen foliorum forma, petalis triplo quam sepala brevioribus, scapo folia aequante, aliisque notis.

Achlys japoniea. Foliolo terminali cuneato -clliptico apice leviter trilobo ceterum integerrimo, lateralibus oblique transverse ellipticis margine exteriore leviter remoteque sinuatis integrisve; spica interrupta.

In sylvis subalpinis principatus Nambu Nippon bo- realis detexit opt. juv. Tschonoski a. 1865.

Achlys triphylla DC. definiatur: foliolis flabellifor- mibus margine exteriori crebre inaequaliter sinuato- dentatis; Spica continua densiflora.

des Sciences de Saint- Pétersbourg.

0

62

Oxalis obtriangulata ($. Acetosella PI.) Acaulis tenera, rhizomate tenui apicem versus squamis dense obsesso; foliis longe petiolatis, foliolis 3 obtriangularibus emar- ginatis, angulis acutiusculis, ciliatis, subtus parce ad- presse pilosulis glabratisve, ad petiolulos rufovillosis; petiolis scapisque tenere pilosiusculis; scapis floriferis folio multoties, fructiferisque brevioribus; bracteis 2 sub apice scapi; filamentis quam sepala oblonga gla- bra vel dorso pilosa brevioribus; capsulis erectis cy- lindricis longe acuminatis stylisque coronatis, poly- spermis, calycem quintuplo superantibus.

In Mandshuria rossica, circa sinum Victoriae: in sinu Possjet, in fruticetis umbrosis collium, rara, fine Julii fr. nond. mat.; in aestuario Deans Dundas, in sylvis frondosis humidis graminosis, non rara. In Ja- poniae prov. Senano, in montosis sylvaticis ad rivu- los, frf. leg. Tschonoski a. 1864.

Foliolorum bipollicarium forma inter omnes species hujus gregis insignis, ©. Acetosellae Li. et praesertim O. oreganae Nutt., mihi ignotae, characteribus appro- pinquans. Quae posterior tamen, quamvis etiam sCa- pos foliis breviores habet, jam rhizomate elongato ra- moso squamis dentato, pubeque ubique ferruginea, praeter foliolorum formam, bene distingui debet, eo magis, ut, testantibus Torrey et Gray (FI. North. Am.), a Hookero in FL. bor. am. cum ©. Acetosella L. confusa fuerit, cui igitur simillima videtur.

Flores, in speciminibus nostris jam emarcidi, albi sunt.

Hyperieum electrocarpum, (Perforaria Choisy). Per- enne glaberrimum erectum, caule tereti solitario api- cem versus fastigiatim ramoso; foliis crebris oppositis connato-perfoliatis, e basi vix latiore oblongis obtusis, minute pellucido-punctatis, subtus glaucis; cymis cau- lem ramosque terminantibus numerosis multifloris pa- niculam planiusculam efficientibus; bracteis subulatis; peduneulis orem triplo superantibus; sepalis oblongis margine integro obsolete nigro pauci-punctatis et ba- sin versus pellucide pauci-vittatis; petalis obovato- oblongis calyce vix duplo longioribus; stylis 3, ovario triplo brevioribus; capsula ovoidea acuta calycem du- plo superante, triloculari, seriebus sex guttarum maximarum ellipticarum moniliformi-approximatarum aureo-lucentium longitudinaliter percursa.

Circa Nagasaki, in fruticetis montium, pluribus locis.

Comparanda e foliorum indole tantum cum A. Nau-

63

Bulletin de l’Académie Impériale

GA

dm

diniano Coss. et Dur., algeriensi, et AH. perfoliato Ledeb., caucasico. Prius jam pubescentia tomentella, praeterea foliis ovatis reticulo pellucido instructis, bracteis latioribus serratis diversum. À. perfoliatum Ledeb. caule simplici paucifolio, foliis amplis deltoi- deis, flore duplo saltem majore, petalis elongato-0b- longis dignoscitur. A. caprifoliatum Boiss. denique, e Hispania, jam caule lanato, foliisque ovalibus pu- bescentibus abhorret. In omnibus tribus guttulae fruc- tus descriptae desiderantur.

Meliosma tenuis, ($ 1. Miq. fl. Ned. Ind.) Fruticosa?; foliis deciduis tenuiter membranaceis, ellipticis, apice subito, basi sensius acuminatis, remote subsinuato- grosse serratis, serraturis ob costas parallelas rectas exeurrentes mucronatis, utrinque parce adpresse pi- losis, subtusque ad axillas villoso-barbatis, venis trans-

versis costas jungentibus paucis; panicula terminali !

gracili pyramidata laxiflora rufo-tomentosula, rhachi flexuosa angulata; racemis e racemulis paucifloris com- positis ortis divaricatis; pedicellis longitudine florum; sepalis 4 aequalibus tenuiter ciliatis; petalis majori- bus rotundatis concavis, minoribus semibifidis inter- jecto denticulo, liberis, filamento duplo brevioribus; connectivo staminum fertilium naviculari loculos ova- les oblique dehiscentes fovente; staminodiis inter se connatis, vage subbilocellatis, stylum erassum brevi- ter conicum includentibus; disco 5-dentato; germine glabro 2-loculari; drupa piperiformi atrocoerulea.

Nippon, prov. Senano, in sylvis ad latera et in valli- bus montium altiorum, unde fl. frf. misit Tschonoski.

Species sui juris, A. myrianthae $. Z., neque ulli aliae, affinis.

Meliosma rhoifolia, ($ 2. Miq.) Arborea?; foliis impa- ri-pinnatis 5 —7-jugis, foliolis coriaceis longiuscule petiolulatis, lanceolatis ovato-lanceolatisve, longe sub- oblique cuspidato - acuminatis, hinc serratura parva longiuscule mucronata instructis vel rarius crebrius serratis, glabris, subtus fuscescentibus, venis laterali- bus arcuatis ante marginem conjunctis, reticulo mi- nuto haud prominente; spicis interruptis laxifloris, in paniculas angustas laxas, e foliorum superiorum axillis ortas, dispositis; rhachi tereti rufovillosula; floribus arcte sessilibus minutis; calyce petalis 4-lo breviore; petalis majoribus basi auriculata latioribus quam longis rotundatis, minoribus filamentorum fertilium duplo lon- giorum basi adnatis bilobis; connectivo naviculari lo-

culos antherae ovatos rima transversa dehiscentes fo- vente; disci dentibus 5 subulatis; germine villoso; drupa pisiformi atra.

In Formosa legit inf. Oldham à. 1864, sub X 86/ flor., sub À 85 frf.

M. pinnata Roxb. (sub Müllingtonia) ex descr. ha- bet folia abrupte pinnata 6—12-juga, paniculam ter- minalem latissimam, petala minora (squamas Roxb.) tridentata, lata, basi filamentorum adnata eaque ae- quantia; germen denique, de cujus pube silet auctor in descriptione sua fusiore, in spec. Griffithiano e Bengalia orientali sub X 102 a h. Kew. distributo, glaberrimum est. M. Arnottiana Wall. distat jam panicula densissima maxima, cet. M. lanceolata BI. paniculae ramis paucis longissimis, praeter alias no- tas.— Cum ceteris speciebus minus adhuc comparanda.

Meliosma Oldhami. ($ 2. Miq.) Fruticosa?; foliis im- pari-pinnatis 2—4-jugis; foliolis membranaceis brevis- sime petiolulatis, utrinque adpresse pilosis et superne ad venas crispe villosis, ovato-lanceolatis, terminali majore saepius elliptico, acuminatis, remote serrulatis, serraturis longe mucronatis, venis lateralibus arcuatis trabeculis transversis crebris conjunctis, reticuloque laxiusculo subtus prominentibus; racemulis brevissi- mis paucifloris iu racemos interruptos fasciculatim con- junctis, et in paniculam conicam densifloram disposi- tis; loribus breviter pedicellatis; calyce petalis triplo breviore; petalis majoribus rotundatis, minoribus fila- mentorum fertilium duplo longiorum basi adnatis bi- fidis; connectivo scutiformi plano, loculis antherae glo- bosis rima longitudinali dehiscentibus; disei dentibus, 5 subulatis; germine villoso.

In archipelago Koreano legit b. Oldham a. 1863, N 183, fl. incip.

Praecedenti affinis. Pro frutice habeo, quia in- sulae Koreanae ex am. Oldhamii verbis arboribus saepissime carere solent. Drupa ignota. Staminodia in utraque specie similia, squama nempe rhombeo-ro- tundata, ventre loculos cassos valvis patentim apertis adnatos, gerens, basi membranacea filamentum brevis- simum constituente. Stylus in utraque specie subcy- lindricus crassus, e staminodiis exsertus.

Panax repens. (Araliastrum V'aill.) Rhizomate hori- zontali elongato repente flexuoso-articulato, fibris fili- formibus; squama decidua ad basin caulis; foliis ter- nis quaternis quinisve, foliolis 5 longe petiolulatis,

65

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

66

mo

superne parce adpresse setulosis, a late elliptico in ob- longo -lanceolatum variantibus, saepissime ellipticis, basi sensim acutis, apice subito cuspidatis, mucronato- incisoserratis, serraturis basin versus minoribus; pe- dunculo folia superante simplici vel ramoso, imo pe- dunculis basalibus adventitiis brevioribus adaucto; florum cum pedicello articulatione sub anthesi haud incrassata subinconspicua; fructu globoso-didymo pa- rum compresso piperiformi stylis 2—3 divergentibus triplo brevioribus coronato. Syn. P. quinquefolium A. Gray. On the bot. of Japan, p. 391.—Miq. Ann. Mus. Lugd. bat. I. p. 14.—?. japonicus C. A. Mevy. Bull. Acad. Petersb. IT Ser. t. I. p. 340, et fusius in Gaugers Repert. f. Pharm. I. p. 525. c. tab., quoad radicem delineatam, sed non quoad plantae partem epigaeam.

Per totam Japoniam in subalpinis, in umbra sylva- rum frondosarum solo humoso pingui frequens.

CI. C. A. Meyer optime jam 1. c. differentias di- versarum specierum hujus sectionis exposuit, ejusque observationibus paucas tantum proprias novas addere possum, omnes vero plerumque ex authopsia specimi- num numerosorum probatas. Contra opinionem recen- tiorum, persuasum mihi est, formas Asiaticas et Ameri- canam specie differre. Sed differentiae optimae et gra- vissimae in his plantis e radicibus sumuntur, cetera signa, in foliis, pedunculo, fructibus aliisque organis latentia, omnia leviora, etsi bene ad cognitionem plan- tae adjuvantia, ab auctoribus ob illorum variationes in aliis generibus manifestas, hic vero multo minores, nimis neglecta sunt, praesertim quia radices saepissime illis ignotae remanserant. Radicum vero P. Ginseng et P. repentis mihimet videre licuit facile libras plures cujusdam, de forma constanti radicis P. quinquefolii (americani) a mercatoribus sinicis, quibus ex America magna in copia advehitur, satis edoctus sum, ita ut, hisce erutis, etiam ?. Pseudo-Ginseng radicem charac- teristicam quoad formam pro constantissima habere permissum sit. Differt igitur P. quinquefolium L. radice fusiformi simplici furcata, foliolis apice neque basi vel medio latioribus (obovatis vel obovato-oblon- gis), basi subito nec sensim attenuatis, pedunculo foliis breviore, semper (?) simplici, articulatione florali in sicco quam basis calycis latiore incrassata, ideoque valde conspicua, fructu pisi mole (duplo saltem quam

in P. repente majore), valde compresso, stylis brevis- Tome XII,

3

simis 2 erectis, ob brevitatem inconspicuis coronato; pyrena laevis (in nostra pyrenae omnes ab insectis fere totae destructae). Radix denique, ex A. Gray. Bot. North. Un. St. p. 167, sub P. trifolio, aromatica est, quod, quantum sciam, de nulla alia constat. P. Ginseng C. A. Mey., in Mandshuria et Corea spon- taneum, in Japonia pro certo! tantum cultum, et ne quidem efferatum proveniens, radice dignoscitur elon- gato-fusiformi simplici versus apicem palmata (homun- culum saepius referente, unde nomen sinicum gin-seng vel japonicum nin-sin), squama caulina basali carnosa persistente, foliolis ellipticis (oblongo-ellipticisve)utrin- que sensim acuminatis subaequaliter serratis (exami- navi millia specimina ad Usuri superiorem et prope Hakodate culta, praeter exsiccata numerosa), pedun- culo folia superante, fructu piperis mole globoso-di- dymo leviter compresso (illi P. repentis simillimo), py- rena granulata! Multo magis diversum ?. Pseudo- Ginseng Wall.! radice valida fasciculata, fibris napi- formibus numerosis, foliolis superne margineque crebre setosis, lanceolatis vel lineari - lanceolatis rarius ob- longis, longe sensimque acuminatis, argute subdupli- cato-serratis, aliisque forsan notis.

Nomen P. japonici C. À. Mey., P. quinquefolii var. japonicae Siebold superstructi, delendum, quia spe- | cimen Sieboldii unicum, a botanico Japonensi Kei- ske datum, (conf. Miquel I. c. sub var. 8.) verosimili- ter nil nisi exemplar monstrosum ?. Ginseng, qualia aegre a Japonensibus conservantur, radix vero, certe | seorsim à Sieboldio reportata, quia omnino non mos est Japonensium, radices una cum reliqua planta ex- siccare, praesertim si molis tam est incommodae, et praeterea, quia a Miquelio, qui spec. auth. exami- navit, sub silentio praeteritur, nostro P. repenti de- sumta est.

Patriniae sectio Centrotrinia: corolla hine gibbo vel calcari adaucta, fructu bracteae exerescenti adnato.

Patrinia palmata. Caule basi foliis radicalibus pluri- bus longe petiolatis fulto, ceterum paucifolio; foliis longiuscule petiolatis, ambitu cordatis superioribus cordato-ovatis, acuminatis, palmato-quinquefidis inci- so-serratisque, lobis basalibus minoribus, terminali majore rhombeo obscure trilobo acuminato; corolla calcarata, calcari longitudine tubi; fructu paleae obli- que obovatae nervosae adnato triploque ab illa su- perato.

67

Bulletin de l’Académie fmpériale

6S

——_—_—_—_—_—_—_—_—_—_—_—…—…—…"…"…"…"…"…"—"…"—"—"—"—"…"…"…"…"”"—"—"—"—"—"—"—"—"—"—"—"—"—————

In Nippon centralis et meridionalis sylvis subalpi- nis, v. gr. in montibus Hakone, principatu Senano, alibique.

Flores lutei pro genere maximi, calcar apice necta- riferum. Planta elegans, decus generis.

Patrinia gibbosa, Caule basi nudo, plurifolio; foliis radicalibus in capita segregata collocatis caulinisque subconformibus longiuscule petiolatis suborbiculatis superioribus rotundato-ovatis ovatisve, acuminatis, basi subcordata vel truncata cuneo brevissimo in petiolum superne marginatum abeunte, pinnatilobis, lobis acu- minatis inciso-serratis; corolla basi gibba; fructu ..?

In Jeso, circa sinum Volcanorum, ad sylvarum mar- gines, rarius; in Nippon borealis principatu Nambu, in sylvis subalpinis.

Corolla lutea, praecedente paullo minor, gibbo di- stinctissimo. Fructus, nondum collecti, ex conforma- tione analoga bractearum, certe demum paleae adnati et similes speciei praecedenti, cui evidenter ante alias generis hujus species affinis.

Campanumoea japoniea, Volubilis glaberrima ; foliis op- positis longe petiolatis cordatis acutis, pedati-quinque- nerviis, grosse inaequaliter sinuato-crenatis, crenis api- culatis; floribus axillaribus solitariis breve peduncu- latis; calycis basi capsulae adnata, laciniis anguste lan- ceolatis; corolla...?; capsula baccata, indehiscente, 5-loculari, violacea, respectu calycis supera, corollae infera, vestigio corollae filamentisque e dilatata basi subulatis coronata, disco plano 5-angulo styli basi api- culato.

In proximis viciniis urbis Nagasaki, ad viam Tomats versus ducentem, in intricatissimis fruticetis sylvarum muscosarum, secus rivulos, rarissime; Deccmbri frf.

Generi Campanumocae sensu Hook. f. et Thom- son, Praecurs. fl. Ind. in Journ. Linn. Soc. IL. p. 9. adnumeranda, exclusa tamen Glossocomia lanceolata (Gl. ussuriensi Rupr. et Max. et C. lanceolata S. Z.), quae habet capsulam vertice liberam et dehiscentem, semina lucida maxima, discum foveis 5 profundis nec- tariferis instructum. A charactere, C javanicae super- structo, nostra differt tamen loculis capsulae sepalis oppositis, neque cumillis alternantibus. Placentae cras- sae, loculos replentes, seminibus multiseriatis, nume- rosissimis, minutis, ovalibus, tenuiter granulatis ob- sessae. Testa seminum crustacea.

C. javanica BI. primo aspectu jam diversa: omni-

bus partibus duplo minor, caulis filiformis, folia ro- tundato-cordata subintegra vel obsolete crenulata, sub- tus glauca, nervis aequalibus neque pedatis, peduneuli petiolum aequantes elongati, sepala ovato-lanceolata. C. cordata Hassk. (sub Codonopside) foliis alaba- strisque hirsutiusculis, prioribus calycisque laciniis crenato-serrulatis, pedunculis elongatis differre vide- tur, sed plantam non vidi et ad nostrum genus retuli, ducente Miquel in FI. Ned. Ind.

Primula macrotarpa. (Arthritica Duby). Pumila gla- bra efarinosa; foliis rotundatis subrhombeisve argute serrato-dentatis basi subito cuneata integris, In petio- lum alatum lamina longiorem angustatis; scapo folia superante 1 —3 floro; involucri foliolis subulatis quam peduneuli elongati inaequales multo brevioribus; ea- lycis tubuloso-campanulati vix ad medium quinquefidi laciniis late lanceolatis subito acutis; corollae hypo- craterimorphae tubo e calyce non exserto neque fauce ampliato, lobis tubum superantibus obcordatis; eap- sula cylindrica! apice dentibus brevissimis aperta, calycem fere duplo superante.

In altissimis alpibus Nippon borealis.

Plantula 2 4 pollicaris. Corolla ex sicco videtur albida, ad faucem lutea. Capsula fere Cerastii cujus- dam, in genere brachycarpo quam maxime singularis.

E serie P. minimae L., P. Floerkeanae Schrad., P. cuneifoliae Liedeb. et cet. Notis diagnosticis P. cu- neifoliae proxima. Foliorum forma et serraturis primo obtutu P. ellipticae Ro yle similior quam ulli aliae, sed in hac folia subrugulosa, longiora, forma aliena, serra- turae tenuiores et erebriores, nervi numerosiores, Ça- lyx profunde fissus, pedunculi breves, flores duplo sal- tem majores, capsula calycem aequans. P. cuneifolia Ledeb. (f. Rossica!) diversa foliis sensim cuneatis paucius et grossius dentatis, corollae tubo calycem fere duplo superante, ad faucem ampliato, floribus du- plo majoribus, lobis corollae profunde bifidis, pedicel- lis abbreviatis, capsulis ovatis ealycem aequantibus. Praeterea, si excipis specimina arctica, duplo triplove major est quam nostrae specimina maxima.

Lysimachia Fortunei, (Æphemerum). Radice repente; caule simplici tereti uti tota planta glabro vel inter flores parcissime puberulo; foliis alternis subsessili- bus vel infimis brevissime marginato-petiolatis lanceo- latis vel spathulato-lanceolatis acutis apiculatisve, in- tegerrinis, ad lucem crebre punctatis; racemo ex-

69

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

70

———@—

serto multifloro elongato laxiuseulo erecto, fruc-| sulae Sikokf collecta, ex foliis sessilibus, pedunculis

tifero longissimo laxo; bracteis lanceolato-subulatis longitudine pedicellorum; pedicellis calyces aequan- tibus, fructiferis non elongatis; calyeis laciniis ova- libus obtusis albido-marginatis corolla ad ”, fissa du- plo brevioribus; lobis corollinis late obovatis ro- tundatis stamina duplo saltem superantibus; fila- mentis brevissimis basi loborum adnatis late ligu- latis, antheris basifixis! cordatis; stylo erasso basi glanduloso incrassato ovarium globosum vix supe- rante; stigmate truncato; capsula globosa calyei sub- aequali.

Per totam Japoniam occurrere videtur, in meridio- nalibus frequentior quan ZL. clethroides Duby, in bo- realioribus rarior, sed similibus locis et iuterdum pro- miscue crescens, v. gr. ad rivulos principatus Nambu; circa Yokohama in fruticetis humidiuseulis parce; in fruticetis graminosis ins. Kiusiu prope Wagats. In China boreali jam a. 1845 detexit Fortune (A. 71). In Formosa insula legit infaustus Oldham 3151).

L. clethroidi Duby affinis, sed haec, quam multis millibus inüividuis semper sibi simillimis videre con- tigit, diversissima est quam habitu tam characteribus. Nihilominus utramque confudisse videtur nuperrime el. Klatt. En diagnosis:

L. clethroides Duby. Radice repente; caule sim- plici angulato glabro rarissime crispe villosulo, inter flores puberulo; foliis petiolatis ellipticis late lan- ceolatisve utrinque acuminatis margine sub lente re- mote setoso denticulatis, ad lucem punctatis, gla- bris vel rarissime utrinque parce ad venas subtus paullo densius adpresse pilosis; racemo densissimo primum nutante demum erecto, fructifero densis- simo brevi; bracteis subulatis pedicellos superanti- bus, rarius non adaequantibus, parce ciliatis; pedicel- lis calyces duplo saltem superantibus florem aequanti- bus, fructiferis non elongatis; calycis laciniis late lanceolatis acutiuseulis anguste albido-marginatis co- rolla ad basin fere partita triplo brevioribus; pe- talis patentibus late oblongis obtusis stamina basi adnata filamentis subulatis paullo superantibus; antheris versatilibus oblongis acuminatis; stylo crasso apice glanduloso clavato germen globoso-ova- tum duplo superante, stigmate truncato; capsula glo- bosa calycem paullo superante.

L. Ephemerum Thbg. F1. Jap. non L., ad vias in-

linealibus, potius L. Fortunei quam L. clethroidis sy- nonyma.

Lysimachia acroadenia, (Zphemerum). Glaberrima, ra- dice fibrosa; caule angulato superne ramoso; foliis alternis lanceolatis acuminatis marginato - petiolatis, ipso acumine tantum glandulis elongatis purpu- reis dense notatis, cetcrum impunctatis; racemo terminali haud exserto laxo multifloro; bracteis subu- latis pedicello duplo brevioribus; pedicellis sub an- thesi fere horizontalibus apice subrecurvis, fruc- tiferis elongatis crassis apice subinerassatis strictis patulis; calycis laciniis lanceolatis acuminatis mar- gine minute glandulosis, ipso apice glandulis duabus elongato-linearibus purpureis instructis, ceterum epunc- tatis; corollae breviter tubulosae calyci subaequilon- gae ad ?, fissae lobis obovato-oblongis obtusis; fila- mentis basi paullo dilatatis supra basin loborum ad- natis subulatis antherisque ovatis corollam ae- quantibus; stylo exserto, stigmate capitato; capsula stylo breviore terminata calycem duplo excedente. Syn. L. multiflora Wilford! in sched.; Black. Index, in Bonplandia, X. 93; Klatt. Monogr., in Verh. d. naturf. Ver. in Hamburg. IV. p. 14, tab. 4.

In Japoniae ins. Tsu-sima freti Coreani (Wilford!); Kiusiu, cirea Nagasaki, ad rivulos in umbrosis, variis locis, minime frequens; in tractu montium centrali prope Ko-isi-wara, simili loco; Nippon, prope Yoko- hama, in humidis, raro.

Arcte affinis L. multiflorae Wall., quam non vidit monographus Klatt, sed optime insigniterque diversa, uti docet diagnosis sequens:

L. multiflora W all! Glaberrima, radice fibrosa; caule angulato superne ramoso; foliis alternis lanceolatis acuminatis marginato-petiolatis sparse nigropuncta- tis; racemo terminali non exserto laxo multifloro; brac- teis subulatis pedicellos sub anthesi patulos erec- tos subaequantibus, fructiferos filiformes elonga- tos horizontales apice recurvos dimidio non attin- gentibus; calycis laciniis lanceolatis acuminatis crebre nigropunctatis margineque minute glandulosis; corolla breve tubulosa calycem vix excedente ad 7, fissa in lobos oblongos obtusos; staminibus corollam duplo fere superantibus, filamentis ad basin loborum usque adnatis filiformibus; antheris ovatis; stylo cylindrico elongato stamina aequante, stigmate truncato; capsula

A 5

71

Bulletin de l’Académie Empériale

72

+

globosa stylo paullo longiore coronata calycem parum excedente. Praesto erant specimina Punduana et e Himalaya orientali fructifera, Formosanum Oldhamii X 313 florens, et Neo-Caledonica Vieillardi simul floribus et fructibus onusta. Quae ultima docuerunt L. consobrinam Hance plantam florentem esse Z. multiflorae Wall., quam hucusque fructiferam tantum cognoverant botanici.

Schizocodon ilicifolius, Nanus, foliis late ovatis vel basi subcordatis acuminatis, grosse mucronato-pauci- serratis, opacis, nervis subtus prominentibus; scapo florifero foliis breviore fructifero vix longiore, racemo paucifloro (2—4); bracteis linearilanceolatis; corolla laciniata alba; stylo firmo persistente.

In insulae Nippon mediae m. Nikkoo, unde spec. frf. exsiccavi, et plura in hortulo meo colui, quae anno sequente flores protulerunt.

Valde, nimis forsan, affinis sequenti, cujus diagno- sin comparationis causa offero:

Sch. soldanelloides S. Z. Foliis cordato-orbiculari- bus cordato-ovalibusve, superne lucidis, nervis subtus prominentibus, apice retusis cum apiculo, margine subsinuato serratis, serraturis apiculatis; scapis folia superantibus, racemo paucifloro (3 —6); bracteis li- nearibus; corollae laciniatae limbo albo tubo purpu- reo; stylo crasso persistente. In Xiusiu variis locis, in Nippon prov. Senano (fl. frf.).

Sehizocodon uniflerus, Foliis transverse cordato-orbi- cularibus apice sinuato-retusis cum apiculo, apiculato- serratis, lucidulis, nervis venulisque superne promi- nentibus; scapis folia aequantibus 1-floris; bracteis ovatis acuminatis; corolla...?; stylo gracili in fructu caduco.

In Nippon provinciis Senano, in alpibus altissimis, inter lapides, defl., et Nambu, in sylvis subalpinis, frf. legit indef. collector noster japonicus Tschonoski.

Lindera hypoglauea, ($ 1. Meisn.) Cortice laevissimo; foliis e basi acuta elliptico-lanceolatis breviter acumi- natis, juvenilibus subtus adpresse parcius sericeo-pilo- sis, adultis chartaceis glabris subtus glaucis obsole- teque laxe reticulatis; umbellis 3—5-floris brevissime peduneculatis, pedunculo pedicellisque sericeis.

In Nippon mediae et meridionalis sylvis frondosis montanis, v. gr. montibus Hakone, unde vivam Petro- polin introduxi, ubi anno curr. florebat.

Folia opaca subtus glauca, duplo fere quam in Z.

glauca BI. minora. Flores subcoëtanei. Stamina in fl 4 9, quorum 3 intima basi biglandulosa. F1. Q ignoti. Baccae globosae, nigrae, pisi mole, pedicello fere pol- licari apice incrassato insidentes, cupula calycina sub- integra vel indistincte lobata.

Similis L. Benzoin Meisn., quae diversa foliis la- tioribus longius acuminatis majoribus, adultis saepe adhuc ad costam pilosulis, pedicellis baccam ovalem aequantibus, aequalibus, umbellis subsessilibus totis glabris, floribus praecocibus. ZL. glauca BI.! (v. sp. ster.) e diagnosi affinis videtur, sed longius distat foliis fere duplo majoribus, basi vel medio latissimis, acutis, (nec apice latioribus acuminatis), breviter pe- tiolatis, petiolo duplo triplove quam in nostra bre- viore, nonobstante lamina majore, lamina subtus pro- minenter densiusque reticulata, adulta subtus ad ve- nas breviter pilosa, cortice ruguloso, floribus praeco- cibus.

Lindera membranacea, ($ 2. Meisn.) Ramulis tenuis- simis; foliis tenuiter membranaceis, e basi attenuata acuta late ellipticis vel elliptico -obovatis cuspidato- acuminatis, obsolete immerse reticulatis, novellis sub- tus ad venas superne ad costam parce sericeo-pilosis, opacis concoloribus; umbellis coëtaneis brevissime pe- dunculatis multifloris; pedunculo dense pedicellisque patulo sericeo-hirtis; pedicellis #. 4 filiformibus longis- simis, brevioribus firmis apice incrassatis, fructu..?

In sylvis provinciae Senano flor. legit a. 1864 Tschonoski.

Folia jam novella ampla, 4-pollicaria, 2 poll. usque Jata. Flores @ firmiores quam d, utrique parvuli.

L. wmbellata Thbg. discrepat foliorum angustiorum forma et consistentia, adultorum in pagina superiore nitore, umbellis longiuscule pedunculatis, pedicellis crassis pedunculo subaequilongis, dimidio quam in nostra brevioribus, floribusque globoso neque aperte campanulatis, firmis. Ceterae species longe distant.

Najas serristipula, Mollis elongata, foliis verticilla- tis patentibus rectis argute spinoso -serrulatis, apice 2— 3-cuspidatis, dentibus incurvis 1-cellulosis minu- tis; stipulis distinctissimis lanceolatis foliaceis folii ad instar serrulatis; fructu lineari-oblongo, granulato. N. graminea AT. Br. Rev. gen. Najas, in Seem. Journ. IT. 278, non Del.—?

Nippon, in fossis circa Yokohamam semel inveni fructiferam,

73

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

74

0

E mihi notis, proxime accedit quum habitu tum characteribus ad N. alagnensem Pollini (Cauliniam intermediam Nocca et Balbis. FI. Ticin. IL. p. 163. t. XV.), cujus icone, et specc. frf. a Cesati et Ca- ruel lectis comparatis, differentias erui sequentes: fo- lia plantae italicae remote serrulata, apice integra, stipulae nil sunt nisi utrinque dens parvus vaginae membranaceae integrae, fructus oblongi granulati quam in nostra multo breviores et crassiores, stipu- lam brevissimam, ut in nostra, parum quidem tantum superantes, sed in nostra stipulae elongatae, et nihi- lominus fructu breviores. Ad hanc proxime accedit (Al. Braun non diversam putat) N. graminea Del. Descr. de l'Egypte, t. L. fig. 3., ex icone pulchra ta- men stipula longiore et fructu laevi discrepans. Utraque planta re vera forsan ad unam speciem pertinet. Stirps vero, cujus stipulas adumbravit Al. Braun (1. c. p. 274. fig. 5.) certe minime cum hac planta conjun- genda, et signis in diagnosi nostra datis abunde di- versa, e longinquo tantum ob habitum similem cum illa confundenda est. Nihilominus auctor laudatus spec. auth. Delilei! vidisse asserit, cum aliis Ehrenbergii ex Aegypto, et aliis e Cordofano, Bengalia, Ceylona, Java et Celebe. Sed figuram Delilei si comparasset, mox persuasus sit, specimen siccatum ab illa diver- sissimum esse, etsi forsan ab ipso Delileo lectum atque confusum fuerit. Hisce addere liceat, N. in- dicam Cham., a Braunio ad N. minorem ductam, primo obtuto jam quam maxime differre vaginis elon- gatis gramineis, neque breviter rotundatis firmis pal- lidis.

Résultats de quelques observations supplémen- taires faites sur des étoiles doubles artifi- cielles, par O. Struve. (Lu le 29 novembre 1866.)

(Troisième note.)

Dans deux notes, publiées en 1853 et 1857, j'ai exposé les principaux résultats de mes recherches concernant les erreurs constantes et systématiques de mes mesures micrométriques; ces recherches, ont été basées sur de nombreuses observations d'étoiles dou- bles artificielles, exécutées pendant les années 1852 1856. Elles ont évidemment fourni, quant aux er- reurs systématiques de l’angle de position, des valeurs très précises pour l’époque moyenne de ces expériences antérieures. Elles ont également donné, pour la même

époque, des valeurs approximativement exactes pour les erreurs constantes des distances mesurées. Il restait à examiner, si quelques-unes de ces erreurs n'étaient point sujettes à des changements sensibles dans le courant de plusieurs années; il importait en- core à prouver, par des observations directes faites sur les étoiles doubles naturelles sous des angles ho- raires considérablement différents entre eux, que les formules de correction, déduites des mesures d'étoiles artificielles disposées dans une direction à peu près horizontale, étaient applicables pour toutes les hau- teurs des objets. En outre les recherches précédentes concernant les erreurs des distances avaient été basées sur l’hypothèse que ces erreurs ne variaient pas avec la direction des objets, et la justesse de cette suppo- sition n’était pas encore suffisamment constatée par l'observation. Au contraire, un examen plus soigné de mes mesures micrométriques des étoiles doubles naturelles, auquel j'ai me livrer l’année dernière en procédant à leur redaction dans une forme conve- nable pour la publication, me firent bientôt soup- çonner que les angles formés par les directions des objets mesurés avec le plan vertical, dans lequel se trouve le couple au moment de l’observation, exer- cent une influence très-importante sur les mesures des distances. C’est ce qui devait surtout m’engager à faire de nouvelles recherches avant de continuer la rédaction de l'ouvrage entrepris. Les résultats de ces expériences faites dans les derniers mois de été passé, seront l’objet de la communication suivante Un exposé détaillé des méthodes d’observation et de. mesures elles-mêmes, trouvera sa place dans une In- troduction destinée à être mise en tête de l’ouvrage plus étendu, qui comprendra toutes les mesures mi- crométriques des étoiles doubles, faites à Poulkova depuis la fondation de l'Observatoire jusqu’à l’époque actuelle.

L'appareil dont je me suis servi dans les expé- riences antérieures, pour placer les étoiles doubles artificielles sous des angles différents par rapport à l'horizon, est resté le même dans les nouvelles expé- riences. Les étoiles étaient formées par les bases de petits cylindres en ivoire, soigneusement tournés, qui ont été successivement introduits dans des trous éga- lement perforés au tour dans une plaque en fer noirci; ces étoiles se présentaient sous des angles apparents

75

Bulletin de l’Académie Impériale

76

mm om

de 0/1 à 0,5. Malheureusement la tour de l’ancien télégraphe optique, l'appareil avait eu autrefois un emplacement très-convenable, n'existe plus. À sa place, il y a quelques années, nous avons fait élever, à quelques pas seulement de lendroit la dite tour se trouvait autrefois, une pyramide de près de 40 pieds de hauteur, pour servir de station trigonométrique dans les exercices de triangulations des officiers de l'État- major Impérial, qui suivent chez nous le cours de haute géodésie. Sur cette pyramide notre appareil a été établi à une hauteur d'environ 24 pieds au-dessus du sol environnant. Autrefois sa hauteur était d’en- viron 50 pieds. Je crois devoir attribuer à la dimi- nution de la hauteur que, cette année, les périodes journalières des images tranquilles étaient plus courtes et qu’en général l’état des images était sujet à des changements plus rapides que dans nos expériences antérieures. Sous tous les autres rapports l’emplace- ment actuel de l'appareil était aussi favorable que l’ancien.

La distance linéaire entre la plaque de fer portant les étoiles artificielles, et l’objectif de la grande lu- nette, a été déduite d’une triangulation exécutée cette année, sous la direction du capitaine Kortazzi, astro- nome-adjoint de l'Observatoire, par les officiers de la Section géodésique de l’Académie militaire. Elle à été trouvée égale à 106224,7 pouces anglais, avec une erreur probable de deux à trois pouces. Il s’en- suit que les distances angulaires apparentes des étoiles doubles artificielles, en tant qu'elles dépendent de leur distance linéaire à l’objectif, peuvent être supposées exactes à "op Près, et comme elles ne dépassent ja- mais une couple de minutes, l'incertitude qui pour- rait en résulter est tout à fait insignifiante.

Avant de procéder à l'exposé des résultats ob- tenus cette année par rapport aux erreurs systéma- tiques, je dois mentionner encore que dernièrement j'ai fait quelques recherches plus exactes sur la va- leur angulaire des révolutions de la vis micrométri- que. Dans ce but une poutre assez forte de bois sec et trempée d'huile, de 9 pieds de Jong, a été établie à l’endroit auparavant s'était trouvée la plaque en fer, et toutes les précautions nécessaires ont été prises

pour lui assurer une position perpendiculaire à la!

direction de la grande lunette. Sur cette poutre cinq

petits disques en ivoire sur fond noir, divisaient un |

espace de 8 pieds en quatre parties approximative- ment égales. Ayant mesuré à différents jours la distance des deux disques extrèmes et en y changeant chaque fois le lieu de coïncidence des deux fils micromé- triques, j'ai trouvé les valeurs suivantes:

rév.

19,224, le lieu de coïncidence étant à 46,5 19,230 » » » D DA 19,228 » » » » en) 505 19,216 » » p.02 01, 19,221 » » » » 66,2

L'accord de ces valeurs, rapprochées des mesures également satisfaisantes des subdivisions, prouve qu'il n’y a aucune trace sensible de différence dans les dif- férents pas de la vis micrométrique, entre les limites 27 et 87, limites qui ne sont jamais dépassées dans mes mesures des étoiles doubles naturelles.

En traitant, par la méthode des moindres carrés, toutes les mesures exécutées entre les disques ex- trêmes et les subdivisions, nous avons trouvé la va- leur angulaire d’une seule révolution de la vis micro- métrique 9,6810 # 0,0016, pour la température moyenne de nos mesures + 8,3 R. Eu égard au coef- ficient de dilatation, déterminé antérieurement (De- seription de l’Obs. centr. pag. 193) cette valeur se change en 9,6830 pour {— 0°. Mais ce nombre cor- respond encore au foyer de la grande lunette, vérifié sur des objets placés à la même distance de l'objectif que les étoiles artificielles. En effectuant la réduction nécessaire pour obtenir la valeur correspondante au foyer des objets infiniment éloignés, nous avons en définitive:

r 97074 (+ 00016) 0/000224

Dans les réductions de mes mesures mieromé- triques, j'ai employé jusqu’à présent la valeur r 97319 + 0/0032, telle qu’elle a été déduite d’un grand nombre de passages de différentes étoiles par les deux fils du micromètre, placés à une très-grande distance l’un de l’autre. La différence des deux valeurs, en s'élevant à 0,0245, excède environ 7 fois l’erreur probable combinée des deux déterminations et par con- séquent ne peut pas être attribuée uniquement à l’ef- fet d’erreurs accidentelles d'observation. D’un autre côté une altération des pas de la vis par l'usage fré- quent est hors de question. Si elle avait eu lieu,

77

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

7

EE ———————————————————————

elle aurait se manifester surtout aux environs du lieu moyen de coïncidence, 56,5, dont ordinairement nous ne nous sommes éloignés que très-peu; et nous avons déjà vu plus haut qu’il n’y a aucune différence appréciable dans les valeurs de la vis dépendant des lieux de coïncidence. Si je ne me trompe, l’ori- gine de la différence des deux valeurs doit être cher- chée dans les deux causes suivantes. Dans l’ancienne méthode, avant de placer, pour les observations des passages, les deux fils à une grande distance l’un de l’autre, j'ai eu pour règle de vérifier le foyer de l’o- culaire sur les fils tenus au centre du champ. Il y à done lieu de craindre que, placés ensuite près des bords du champ, ils ont été sujets à une petite pa- rallaxe optique, dont l'effet sur observation des pas- sages doit avoir été de très-près de nature constante. Une autre cause de désaccord pourrait être cherchée dans la circonstance que, pour augmenter autant que possible l'intervalle entre les passages par les deux fils, il a fallu faire usage des pas extrêmes de la vis micrométrique, dont la valeur, comme on sait, diffère quelquefois assez considérablement de celle des pas du milieu. La nouvelle détermination paraît être à l'abri de toute objection sérieuse, et je n’hésite pas à lui donner la préférence sur l’ancienne. Néan- moins je ne tarderai pas à examiner de nouveau cette question, dès que la saison le permettra.

En admettant done que cette nouvelle détermination soit parfaitement exacte, nous devons corriger toutes les distances publiées jusqu’à présent de leur ,."" par- tie. Pour la grande majorité des étoiles doubles pro- prement dites, cette correction est tout-à-fait insigni- fiante comparativement aux erreurs accidentelles des mesures isolées; mais, en augmentant en proportion directe de la distance elle-même, elle devient de plus en plus sensible et importante dans les classes V et VI de W. Herschel. A de distance son effet at- teint déjà à peu près une demi-seconde, quantité assez considérable et dont il faut tenir compte, surtout quand il s’agit de combiner ou de comparer les me- sures faites par différents observateurs. Tant que la distance elle-même ne varie pas très - considérable- ment, la correction est à peu-près constante. C’est pourquoi les valeurs des parallaxes de « Lyrae, 61 Cygni et de quelques autres étoiles, telles qu’elles sont déterminées par moi, n’en sont pas affectées.

Dans mes recherches antérieures sur les erreurs systématiques des angles de position, j'avais étendu les mesures sur 12 couples d'étoiles artificielles qui, en égard aux différents grossissements employés, for- maient 24 systèmes de différents angles visuels. Il sera utile de se rappeler ici que l’expression «angle visuel» se rapporte à la distance angulaire des deux objets telle qu’elle se présente dans le grossissement V de notre lunette, prise pour unité. Pour obtenir les angles visuels (que nous désignerons par e) des astres me- surés avec d’autres grossissements, nous devons mul- tiplier les distances angulaires mesurées par le rap- port qui existe entre le grossissement employé et le grossissement V. Avec une exactitude suffisante pour notre but ce rapport a été fixé:

pour le grossissement IL à 0,3 V III » 0,4 V IV » 0,6 V NE » 1027

VII » 1,6 V

VIII » 2,0 V,

mais, à très-peu d’exceptions près, ce ne sont que les grossissements IV, V, VI et VII, qui ont été effecti- vement employés dans nos mesures des étoiles doubles.

Cette année, vu qu’il s’agissait en premier lieu de constater à quel point les formules de correction dé- duites de nos mesures de 1852 à 1856, étaient en- core applicables à l'époque actuelle, je ne me suis servi que de 9 couples d'étoiles artificielles et, à quelques exceptions près, toutes les mesures ont été exécu- tées avec le seul grossissement V. De cette manière nous n'avons ici que 12 systèmes de différents angles visuels, pour lesquels nous avons:

» » »

» » »

e—D 6, 102. HA 9,3 087819 10):11,6 neo Sun 76% 106

De même que le nombre de systèmes, aussi le nombre des différentes directions, par rapport au plan vertical, a été de la moitié plus petit cette an- née. Pour épargner le temps je n’ai fait les mesures, pour chaque système, qu’en directions différentes entre elles successivement de 30°. Le nombre de mesures à été fixé en moyenne pour chaque direction à trois, mais je tâchais, autant que possible, d'exécuter ces trois mesures en trois jours différents, afin de diminuer

79

Bulletin de l'Académie Impériale

EE EEE

dans la moyenne l'effet de dispositions accidentelles. | ment de 6 différents v et non de 12, comme dans nos

En tout, le nombre des mesures isolées des directions, chacune composée au moins de trois pointages, s’élève à 213, sans y compter les pointages des étoiles de repère, qui se faisaient au moins deux fois pour chaque mesure. En prenant les moyennes arithmétiques des résultats trouvés aux différents jours approximative- ment dans les mêmes directions, j’ai obtenu ainsi, pour chaque système, 6 différences entre les directions réelles et apparentes, qui devaient être représentées par notre formule de correction, si elle avait encore toute sa valeur à l’époque actuelle. Cette formule est donnée dans ma note de 1857 ainsi qu’il suit:

…d4sin(2p—25°59/) 1+-0,20(3,0—e)?

5.0 1+0, 35e

5, Gsin(4p—-29°11/)

Corr.= 1+-0,20e2

2 (A)

® signifie l’angle entre la direction mesurée du système et le plan vertical, corrigé pour l'effet du premier membre de la formule précédente.

Ayant exécuté ce calcul pour tous les systèmes et en désignant par » les différences entre les directions vraies et observées, par v les différences restantes après la substitution des corrections exigées par notre formule, nous avons trouvé:

Er? Zv?

pour e 0,6 DOM SA A 0,85 454,4 80,9 1,0 280,2 46,3 1,02 261,4 20,4 1,9 BST LA AA 4 3,8 122,0 19,2 5,4 45,1 10,8 7,0 13,6 5,0 7,8 7,0 3,9 11,6 4,6 2,6 15,6 el 0,5

La petitesse comparative des Z+° est sans doute un indice très-fort en faveur de la supposition que ancienne formule reste encore applicable à l’époque actuelle. Cependant, si on compare les 2v° isolés, trouvés maintenant , avec les valeurs correspondan- tes obtenues en 1857, on voit qu'en moyenne les premières surpassent un peu en grandeur les anciens 2°, tandis qu’il fallait s'attendre à trouver une di- minution d’à peu près la moitié, parce que les Zv° représentent maintenant la somme des carrés seule-

recherches antérieures. A cela s’ajoute la remarque que presque tous nos nouveaux sont du signe po- sitif, En prenant pour chaque e la moyenne arithmé- tique des 6 différents v, nous trouvons:

e [v] 2v'2 0,6 70 24,1 0,85 + 3,40 18,5 1,0 + 1,64 6,2 1,02 + 2,60 6,7 169 +- 1,88 12,6 3,8 + 1,42 3,0 5,4 +- 1,06 4,3 7,0 + 0,80 1,5 7,8 + 0,55 159

11,6 + 0,48 1,2 15,6 + 0,13 0,4

Les petites irrégularités dans la succession des [v] sont évidemment causées par des erreurs accidentelles plus fortes dans les directions mesurées des systèmes les plus resserrés. Le premier PSDDEE de notre formule

de correction est de la forme :

un En conservant

cette forme pour les [v], ere trouvons, par la mé- thode des moindres carrés, l’expression:

[v] = +

Ici la valeur de x surpasse de 13 fois son erreur probable. Par conséquent il ne peut guères être dou- teux que, dans l'intervalle moyen de 11 ans entre les époques des deux déterminations, il ne se soit opéré un petit changement dans mon équation personnelle. Faute d’autres données, la supposition que ce change- ment se soit effectué successivement dans le courant du temps, est la seule admissible. Il s’ensuit qu'après avoir corrigé les directions observées des quantités fournies par la formule (4), il nous reste encore à ajouter une correction supplémentaire qui s’exprime

de (Crop 1855,5).

Après avoir appliqué cette correction supplémen- taire à chaque v primitif, nous trouvons les différences restantes v’, dont la somme des carrés est donnée pour chaque système dans le tableau précédent. Ces v' n’offrent plus aucun indice de régularité, ce qui nous

autorise à conclure que les deux derniers membres

940 (+ 0,18) 1 + 0,050 (5 0,017) &*

par +-

si

des Sciences de Saïint-Pétersbourg.

s?2

de la formule (A) n’exigent aucun changement pour satisfaire complètement aux nouvelies observations. Mon équation personnelle est donc restée constante, en tant qu’elle dépend de la direction des objets par rapport au plan vertical. Cette conclusion est confir- mée par le fait que maintenant les Xv° ne s'élèvent en moyenne qu’à 0,6 des 24° trouvés en 1857 pour les mêmes e.

Pour être rigoureux nous devons donc appliquer à tous les angles de position, mesurés depuis 1855 sur des étoiles doubles naturelles, la correction supplé- mentaire que nous venons de déduire. Mais alors surgit la question, si nous avons le droit de procéder de la même manière pour toutes les mesures exécutées avant la dite époque. Je n’ose pas encore me pro- noncer définitivement à ce sujet, car il me manque pour le moment toute donnée directe pour en juger. Cependant l'hypothèse assez plausible, que la disposi- tion, pour ainsi dire, maladive de mes yeux de tour- ner toutes les directions dans un certain sens, ait augmentée successivement avec l’avancement de l’âge, paraît favoriser l’application de la correction supplé- mentaire aussi pour les périodes plus reculées, et, si je ne me trompe, elle trouvera ultérieurement un appui dans les comparaisons de mes mesures avec les obser- vations contemporaines, exécutées par d’autres astro- nomes, Nous possédons déjà un indice favorable à cette supposition dans le fait que les mesures simultanées, exécutées à Dorpat en 1836 par mon père et par moi, n’offrent aucune trace de différence constante, qui probablement se serait manifestée, si à cette époque mes mesures avaient été affectées d’une équation in- dividuelle aussi forte que le demande le premier membre de la formule (4). Je remarquerai encore que objection qu’on pourrait élever contre cette conclu- sion, en émettant la supposition que les mesures de mon père aient été sujettes à des erreurs constantes analogues aux miennes de 1855, ne peut être main- tenue en présence des expériences faites par lui en 1836 sur des étoiles artificielles (Mens. micr. pag. CXLIX sq.). Espérant qu’un avenir prochain me permettra de répondre plus positivement à la ques- tion posée, je me contente ici de diriger sur cette circonstance l’attention des astronomes qui voudront s’occuper du calcul des orbites ou en général du mou-

vement relatif des étoiles doubles. Tome XII.

Passons maintenant aux résultats fournis par les nouvelles observations des étoiles artificielles, pour les erreurs constantes ou systématiques des distances. Les mesures s'étendent aux mêmes 12 systèmes que nous avons cités plus haut, et en outre, comme trei- zième système, aux deux étoiles plus éloignées qui nous ont servi de points de repère pour/la déduction des directions véritables. Chaque système a été également mesuré sous 6 différentes directions et chaque résultat est la moyenne au moins de deux mesures de la di- stance double. Le nombre total des résultats isolés s'élève ici à 251. Après avoir pris les moyennes fournies, aux différents jours, pour les mêmes direc- tions, nous les avons comparées avec les véritables distances angulaires, fournies par la mesure directe des distances linéaires, divisées par la distance des objets à l’objectif de la lunette. Nous avons obtenu ainsi, pour chaque e, 6 différentes erreurs » qui, trai- tées par la méthode des moindres carrés, peuvent être représentées par les expressions suivantes:

e I II III 0,6 Corr. = + 0,040 + 0,021 sin 20'+ 0,039 cos2o" 0,85 + 0,028 +- 0,017 0,026 1,0 __0,082-+-0,055 + 0,105 1,02 0,000 + 0,057 +- 0,088 1,9 __0,031-+- 0,075 + 0,160 3,8 + 0,103-+-0,107 + 0,136 5,4 + 0,086 +-0,105 + 0,084 7,0 + 0,118+0,110 +-0,064 7.8 + 0,163+-0,125 + 0,054 9,3 + 0,063+- 0,065 + 0,028

11,6 + 0,030— 0,021 + 0,113 15,5 —0,031-+- 0,040 —+0,012 936,2 0,020 + 0,006 0,060

©’ signifie l’angle véritable, formé par la direction des deux étoiles avec le plan vertical.

Les corrections calculées d’après ces formules pour chaque système séparé s'accordent de si près avec les valeurs isolées des différences, qu’il paraît entière- ment superflu d'introduire encore des membres dé- pendants du quadruple de l’angle, comme nous avions été obligés de le faire pour les erreurs des directions. Aussi les petites différences qui restent après l’intro- duction de ces corrections, n’offrent plus aucune trace de régularité.

s3

On remarquera que, dans le tableau précédent, j'ai rangé les formules selon les e au lieu de le faire, comme en 1857, selon les distances elles-mêmes. Pour les angles de position un grand nombre d'expériences avaient fourni la preuve que réellement leurs erreurs dépendent en premier lieu de l’angle visuel. Par rap- port aux distances le nombre des expériences ne suf- fit pas pour nous donner au même degré la conviction que cette loi s’y produit également. Mais au moins l’a- nalogie parle fortement en sa faveur, et en outre elle est supportée par le petit nombre d'expériences dont nous pouvons disposer dans ce cas. Ainsi, la formule donnée pour e— 7,0, a été obtenue par un système d'étoiles, dont la distance angulaire est de 11,6. Ayant été mesuré avec le grossissement IV cette di- stance a du être multipliée par 0,6 pour fournir l'angle visuel correspondant au grossissement V. On voit du premier coup d’oeil que, de cette manière, les coefficients des différents membres de la formule se rangent parfaitement parmi les autres coefficients, déterminés directement à l’aide du grossissement V, tandis qu'il y aurait des discordances manifestes si nous les avions rangés selon les distances angulaires elles-mêmes. Deux cas analogues et également favo- rables à notre procédé nous sont fournis par les for- mules données plus haut pour e = 1,02 et pour e 9,3. Dans le premier de ces deux cas, les mesures ont été faites avec le grossissement VI sur un couple de 0/85 de distance angulaire, dans le second cas avec IV sur un couple de 15,5 de distance.

Il s’agit maintenant de comprendre les différentes formules du tableau précédent dans une expression

générale. La forme adoptée dans la re-

Es 1+ y (2—e)? cherche des erreurs systématiques des directions, pour le second membre de la formule de correction, paraît aussi dans ce cas convenir en général à toutes les trois séries de coefficients. Au lieu de traiter chaque série séparément par la méthode des moindres carrés, je me suis contenté, dans ce cas, de procéder par des approximations successives et en choisissant, pour l'expression générale, une forme aussi simple que possible, sans laisser de discordances qui ne pour- raient être expliquées par la nature des données, je me suis arrêté en définitive à la formule.

+-0"138 0,177

== Cas Corr. D 0,180 (0-0 * 10070 (3-0) 08 (2P #01) (C)

Bulletin de l’Académie Impériale

s1

Cette formule appliquée aux données primitives de l'observation », qui nous ont servi à déduire les coef- ficients du tableau précédent, fournit la comparaison suivante des En? et Zv°:

e En? Zv? 0,6 0,0246 0,0100 0,85 _0,0184 0,0104 1,0 0,0840 0,0756 1,02: 0,0351 0,0085 1,9 0,1550 0,0738 38 0,1953 0,0442 54:12 0,110, 0,0165 7.0 0,1357 0,0078 7,8 0,2273 0,0263 9,3 0,0497 0,0174

11,6 O0,0615 0,0433 15,5 . 0,0117 0,0082 38,2 0,0746 0,0753

On voit que, dans presque tous les cas, les Ze* sont considérablement plus petits que les Zn et, par con- séquent, nous avons le droit de dire que, par l’intro- duction des corrections calculées sur la formule pré- cédente, nos mesures seront en très-grande partie déli- vrées de leurs erreurs constantes et systématiques. Dans deux cas cependant la diminution est nulle ou à peine sensible, nommément pour e = 1,0 et pour e 38,2. Dans le dernier cas ce résultat s'explique facile- ment; à cette grande distance les erreurs systématiques sont minimes et disparaissent entièrement à côté des erreurs accidentelles de l’observation. Mais pour e 1,0 cette explication n’est pas admissible. On voit dans le tableau précédent que, pour cet e, les coeffi- cients de sin 29’ et cos 29 sont en parfaite harmonie avec les séries correspondantes des coefficients pour les autres e, et qu'ils sont assez considérables pour ne pas se confondre avec les erreurs accidentelles. Il s'ensuit que notre formule doit représenter approxi- mativement les erreurs variables avec l’inclinaison des objets à l'horizon. Le calcul prouve la justesse de cette remarque, car, en faisant abstraction du membre constant, les Zn? sont 0,0435 et les Zv° ne s'élèvent qu’à 0,0143. C’est donc évidemment le membre constant qui, dans ce cas, a produit la dis- harmonie signalée. Notre formule lui assigne la pe- tite valeur positive 0024, et les observations l’ont donné 0082. Il y a donc ici une erreur d’au-delà

S5

des Sciences de Saint -Pétersbourg.

s6

EEE

de tout un dixième de seconde dans cette détermina- | vers l’autre disque; il est clair que, dans ce cas, nous

tion. Une si forte erreur ne peut guère être attri- buée à une accumulation extraordinaire d'erreurs ac- cidentelles. L'accord des différentes mesures faites dans des directions à peu près identiques assigne à l'erreur probable d’une mesure isolée de la distance d’une seconde, la valeur 0,044. Par conséquent, puisque dans ce cas chacune des 6 données, dont nous avons dé- duit les coefficients précédents, est la moyenne de quatre mesures isolées, leur erreur probable ne s’élève qu'à

0/022 et celle du membre constant à DRE 0,013.

Aussi la mesure directe de la distance linéaire entre les centres des deux disques, ne peut pas être sujette à une erreur notable. Toute la distance n’est que de 0,511 pouces anglais et plusieurs mesures de cette quantité, répétées dans différentes années, montrent que cette valeur peut être supposée exacte à très-peu d'unités près de la troisième décimale.

Il faut donc chercher autre part la cause de la dis- harmonie. En comparant entre elles les mesures des étoiles doubles naturelles, faites à différentes époques, j'ai remarqué plusieurs fois que certains jours toutes les distances ont été mesurées ou trop grandes ou trop petites, comparativement aux moyennes des autres observations. En d’autres mots il y a chez moi quel- quefois une disposition de m'éloigner, pendant plu- sieurs heures consécutives, constamment du même côté de mon habitude moyenne d’observer et je ne crois pas me tromper, si j’attribue en grande partie à cette cause l’origine de l’anomalie indiquée. Un indice en faveur de la justesse de cette opinion nous est fourni par les observations elles-mêmes du couple en question. Ayant été instituées le 7 août, le 18 août et le 3 sept., les mesures des deux premiers jours nous ont donné avec grande harmonie le membre constant 0,106, tandis que le troisième jour, à lui seul, le fait 0,011; il y a donc ici une différence moyenne de 0095 pour le résultat du troisième jour, et cette différence surpasse de beaucoup l'erreur probable de chaque détermination isolée. En outre, par rapport aux étoiles artificielles, la disposition signalée pourrait être quelquefois favo- risée pas des circonstances accidentelles. Supposons par exemple que, par suite d’une pluie ou de quelque autre accident, l’un des deux petits disques qui forment le système, eût été tant soit peu noirci du côté tourné

aurions été disposés à éloigner les centres des deux figures l’un de l’autre.

Quoi qu’il en soit, il résulte assez clairement de ces considérations, que les conditions de nos observations n’ont pas été encore assez variées pour admettre la sup- position que les équations du tableau précédent soient uniquement affectées d’erreurs accidentelles. C’est pourquoi j'ai cru être autorisé à remplacer, dans ce cas, la méthode des moindres carrés par des approxi- mations successives. Quant aux formules déduites en 1857 pour les corrections des directions, cette objec- tion contre l’application de la méthode rigoureuse des moindres carrés n'existait pas du tout ou existait à un degré beaucoup plus faible; mais pour y parvenir il m’a fallu consacrer à ces observations une grande partie du beau temps de quatre étés différents.

Il nous importait particulièrement d'examiner à quel degré notre formule (C) ferait disparaître les diffé- rences remarquées dans les mesures des distances des étoiles doubles naturelles. Dans ce but j’ai choisi huit étoiles que j'ai observées assez fréquemment dans les dernières années sous des angles horaires consi- dérablement différents entre eux, et M. Linsser a calculé pour elles les corrections exigées par notre formule.

En désignant de nouveau par » les différences pri- mitives entre les mesures isolées et leurs moyennes arithmétiques pendant des périodes convenables, ordi- nairement annuelles pour des systèmes binaires à grand mouvement relatif, et par v les différences qui restent après l'introduction des corrections déduites de la for- mule, le calcul donne:

En° 2x? & Bootis 0,3062 0,2922 14 obs. Ey 0,1349 0,1086 18 « Er 0,1675 0,1353 19 « 39 « 0,0230 0,0223 6 « 44 « 0,0373 . 0,0456 6 « sCoronae 0,2356 0,1465 24 « cs Lyrae 0,1230 0,1020 12,418 5 « 0,3041 0,0990 12 «

Somme 1,3316 0,9515

Comme on voit, la somme des carrés des diffé-

rences a diminué pour 7 étoiles entre 8. En moyenne 6*

s7

la diminution a été d'environ un tiers du montant | primitif. J'avoue que je me suis attendu à trouver une diminution encore plus forte; toute fois telle qu’elle est, elle peut être considérée comme un témoignage en faveur de la justesse approximative de la formule. Évidemment le cas isolé d’une faible augmentation (44 Bootis) trouve son explication dans le petit nombre de six mesures dont les données ont été déduites; si l’on considère que, dans ce cas, les différences pri- mitives ne s'élèvent au maximum qu’à 0,11, tandis que les corrections déduites de la formule varient entre les limites + 0/22 et 0/10, on pourrait plutôt s'étonner que l’augmentation n’ait pas encore été plus forte.

En outre il y a lieu de prendre en considération que les observations de ces 8 étoiles ont été répétées plus fréquemment dans le but principal d'examiner à quel degré notre formule de correction (A) satisferait aux directions observées des étoiles doubles naturelles. Les mesures des distances y entraient, pour ainsi dire, en seconde ligne, puisque tous les soins étaient donnés principalement à la mesure des directions. Cette cir- constance a sans doute contribué en grande partie à produire, par rapport aux directions, un accord plus parfait de notre formule (A) avec les observations de ces 8 étoiles. En consultant seulement les mêmes jours, pour lesquels nous avons comparé les mesures des distances, nous trouvons pour les directions:

En? Zv?

6 Bootis 216,8 50,4 Et 165 359,0 13,2 E » 124,9 51,3 39 » 21,0 1 DB 44 » 13,0 183 sCoronae 205,4 54,5 s Lyrac 133,6 20,1 5 Lyrae 43,3 199 Somme 1116,3 288,2.

Les carrés des différences se trouvent donc ici di- minués à leur quatrième partie. Cette expérience, confirmée en outre par d’autres observations nom- breuses, nous donne le droit de conclure qu’au moins par rapport aux membres de la formule (A), qui varient avec la direction, il n’y a aucune différence sensible entre les observations faites à l'horizon sur des étoiles

Bulletin de l’Académie Impériale

ss

artificielles et celles des étoiles naturelles dans des hauteurs assez considérables. Elle contient en même temps aussi un indice favorable pour l’exactitude ap- proximative du premier membre de la formule, puis- que, dans ces mesures, nous avons varié exprès les grossissements de la lunette.

Un autre effet très-favorable de l’application de nos corrections expérimentales, se fait sentir distinctement dans les séries des moyennes annuelles, presque pour tous les systèmes binaires observés chez nous régu- lièrement. Comme exemple je citerai ici les mesures de «Coronae, faites pendant les dernières dix années:

1 Nombre Distance Direction Époque des mes, obs. corrig. obs. corrig. 1856,57 4 2,395 2,450 1892582 179984 1857,63 3 2,407 2,493 184,20 181,56 1858,58 2 92,405 92,510 183,90 182,32 1859,94 4 9,565 9,610 189,40 186,08 186158 5 2,578 92,686 186,02 187,38 1862,76 2 92,725 9,760 192,50 . 188,62 1863,60 4 2,665 2,770. 188,37 188,21 1865:36:,:3,02:860: 12,928MA94 30 HP IE ST 1866.63 6 2,893 3,045 192,60 192,79

On voit ici au premier coup d'oeil, que toutes les grandes irrégularités dans la liste des directions me- surées ont disparu après l’application des corrections. Ils y restent encore quelques irrégularités, comme par ex. pour l’année 1863, comparée aux années voi- sines 1862 et 1865; mais elles sont déjà affaiblies à tel degré, qu’elles peuvent facilement s’expliquer par des erreurs accidentelles.

Par rapport aux distances, l’effet des corrections se présente ici également favorable. Il surpasse même notre attente en si haut degré que dans ce cas nous sommes disposés à l’attribuer en partie à un jeu du hazard, en y considérant l’erreur probable dont chaque moyenne annuelle est affectée.

En admettant donc que le résultat plus favorable, obtenu pour les directions des étoiles artificielles, soit produit en grande partie par un plus grand soin donné à leurs mesures, il n’en est pas moins certain qu’en général l’exactitude de la formule (A), basée sur des expériences beaucoup plus nombreuses et plus variées, surpasse considérablement celle de (C). Probablement une continuation ultérieure de nos recherches par rap- port aux distances, conduirait encore à quelques modi-

s9

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

90

fications de la formule (C), qui la rendraient propre à satisfaire encore plus parfaitement aux observations cé- lestes, mais même dans son état actuel il ne peut guère être douteux, que l’application des corrections qu’elle offre ne contribue efficacement à augmenter l’exactitude des distances mesurées. Elle trouve en outre une confir- mation très-satisfaisante dans les corrections constantes déduites en 1857 des observations des étoiles artifi- cielles. Ces mesures, ayant été instituées sans avoir égard aux directions des étoiles, ne peuvent fournir que des valeurs approximatives pour le premier membre de la formule. Un seul coup d'oeil sur la table des corrections, donnée dans notre note de 1857, suffira pour montrer qu’en effet il y a une harmonie générale avec les nouvelles évaluations. Mais pour la comparer plus exactement avec la formule, il faut d’abord con- vertir les anciennes distances en les e correspondants. C’est ainsi, qu'après avoir réuni les mesures en diffé- rents groupes selon les e approximativement égaux, nous avons la comparaison suivante:

e ñn f 0,84 +- 0,043 + 0,020 6 obs. 1,10 + 0,045 + 0,023 7 » Mo nshteE 0040 ut20:0 3 lie Diet 2,27 + 0,050 + 0,034 Du 3.58 mt 0;1684.102#0,056: 20 64 » 4,87 + 0,154 + 0,094 5 » Gaule 0 we 0128m vd» 7,64 +- 0,120 + 0,140 6 » D 00860081, Sn 11,58 + 0,053 + 0,036 4 »

» est la correction déduite directement des obser- vations de 1852 à 1856 et f la correction exigée par la formule (C). Nous en déduisons 0,0877 et Z(n—f} 0,0210. Quelque considérable que soit déjà ici la diminution, il est bien probable qr’elle au- rait été encore plus forte, si nous avions pu y faire entrer l’effet des membres variables avec la direction.

Une comparaison directe des derniers n avec le premier membre des équations qui nous ont servi de base pour la déduction de la formule générale, offre encore une confirmation à la supposition, que les valeurs négatives du membre constant, trouvées cette année pour les e entre 1,0 et 2,0, ne sont pas exactes en dedans des erreurs probables accusées par l’ac- cord des mesures isolées avec leurs moyennes re-

spectives. Pour les mêmes e nous avons trouvé an- térieurement des valeurs positives, et comme le prouve l’accord général des deux séries, il n’y a pas lieu de supposer, par rapport aux distances, un changement sensible de mon équation individuelle. Nous avons donc ici un indice de plus pour conclure que les condi- tions des observations n’ont pas encore été assez va- riées cette année, afin de détruire dans leur ensemble toutes les petites erreurs de nature constante pendant des périodes plus courtes. Je remarquerai à cette occa- sion que, dans les mesures des distances des étoiles artificielles, j'ai eu beaucoup de peine à tenir l’esprit parfaitement libre de toute préoccupation causée par la facilité de connaître à chaque moment, par une simple soustraction mentale des deux lectures de la division micrométrique, le résultat approché de chaque mesure. Afin de l’affaiblir je tâchais toujours de faire les mesures aussi vite que possible l’une après l’autre, de sorte que l’esprit n’avait pas le temps de se rendre compte des résultats. Par rapport aux directions, la méthode suivie rendait une pareille préoccupation im- possible, et je crois ne pas me tromper en attribuant à cette circonstance les résultats plus satisfaisants de mes recherches.

Jusqu'ici nous n'avons parlé que des distances me- surées; il nous reste encore à parler des résultats ob- tenus pour les distances estimées. Ici il faut faire une distinction entre les deux méthodes différentes d’estima- tion, dont j'ai fait usage dans les observations célestes. Si les deux étoiles sont à peu près d’égale grandeur et si rapprochées l’une de l’autre que, par un bon état des images, elles ne peuvent plus être séparées distincte- ment l’une de l’autre, j'estime quelquefois le rapport des deux diamètres de la figure oblongue et en ajou- tant ensuite une mesure de son plus grand diamètre, j'en déduis par un simple calcul la distance des deux centres. Il paraît qu’en suivant cette méthode, le ré- sultat des estimations ne peut guère différer de celui qu’aurait donné une mesure micrométrique propre- ment dite à égale distance des objets. Dans cette sup- position, je n’ai pas encore étendu mes recherches à ce cas spécial.

Dans l’autre méthode d’estimation, suivie ordinai- rement dans des conditions moyennes de l'atmosphère, le mode d’opération différait essentiellement de celui des mesures. Après avoir produit la coïncidence des

Bulletin de l’Académie Impériale

92

0

deux fils micrométriques, je note l'indication du tam- bour au moment où, par un mouvement positif de la vis micrométrique, le fil mobile commence à se séparer du fil fixe. En continuant ensuite le mouvement positif de 10,3 divisions, il se forme entre les bords inté- rieurs des deux fils un espace libre d’une seconde de largeur, et c’est avec cette largeur que je compare la distance à estimer. Le même mode d’estimation a été suivi par moi pour 16 différents couples d'étoiles doubles artificielles de 0,2 à 1,0 de distance apparente. Ces étoiles furent successivement observées sous diffé- rentes directions par rapport au plan vertical, à l’aide des mêmes grossissements VI et VII, dont je me sers ordinairement dans les observations des étoiles doubles naturelles les plus rapprochées. L'accord des diffé- rentes estimations, faites sans la moindre connaissance de la valeur réelle et par conséquent libres de toute influence d’une préoccupation, est presque surprenant, et il n’y a pas la moindre trace d’une variabilité avec la direction des objets. L'erreur probable d’une seule estimation, déduite de l’accord des valeurs estimées avec les valeurs réelles, ne s’élève qu'à 0,040. En revanche les erreurs constantes y sont plus considé- rables que celles des mesures micrométriques en gé- néral, et en plus forte proportion encore que celles des mesures des plus petites distances. En désignant par d la distance estimée en fractions de seconde, l’ensemble de nos estimations donne la formule:

+ 02156 + 0/297 (4—0,5)

COIT.

avec les erreurs probables des deux coefficients 0/010 et 0,016.

Pour 1/0 de distance apparente, l’erreur constante de l’estimation s’élève done à 0/30, mais ce n’est que dans des cas exceptionnels, par des images extrème- ment défavorables, que j'ai étendu les estimations jusque dans le voisinage de cette limite. Ordinaire- ment les distances estimées ne surpassent pas 0/5.

Si je ne me trompe, ces erreurs des estimations s'expliquent simplement par les circonstances sui- vantes. Il à été dit plus haut que l'unité, à laquelle nous comparons la distance des étoiles, nous est donnée par la distance apparente des bords inté- rieurs des deux fils micrométriques. Mais l’oeil ha- bitué aux mesures, dans lesquelles les étoiles sont coupées par les fils, saisit plus facilement le milieu

des fils et sera disposé de l’introduire involontaire- ment au lieu des bords. La comparaison se fait ainsi avec une unité trop forte du diamètre d’un fil. Ordi- nairement nos fils micrométriques sont très-fins et, nou- vellement tendus, ils ne soustendent guères, dans les grossissements les plus forts, qu’un angle de 0,20. Mais avec le temps l’adhésion de petites particules de pous- sière les rend plus gros, et ceux que nous avons au- jourd’hui et qui nous ont servi depuis au-delà de 10 ans, ont actuellement une largeur d’environ 0:30. Or, ayant employé, pour unité de comparaison, la distance de 1/30 entre les milieux des deux fils, nos estima- tions doivent être erronées à peu près en proportion de 0,30 de la distance estimée. Cette supposition s’ac- corde d’assez près avec l’expérience, comme on voit par la comparaison suivante:

d formule 0,34 0,20 + 0,07 + 0/06 050 320, 16 Mine 0, 15 0,80 NEO 25 ME 0 24

Si cette explication est juste, il s’ensuivrait que les erreurs de nos estimations doivent varier un peu avec les diamètres apparents des fils et, dans ce cas, il y aurait lieu d'introduire dans la formule un membre dépendant du temps écoulé depuis l’époque les fils ont été tendus. Malheureusement nous ne possédons pas de données assez exactes concernant les diamètres des différents couples de fils, dont nous nous sommes servis. Ce défaut, combiné avec la considération que toute cette explication n’est qu’une hypothèse assez probable, nous justifiera, j’espère, si nous nous tenons, pour toute la période de nos observations, à la formule fournie par les dernières expériences.

En terminant notre exposé des résultats obtenus l’été dernier au moyen des observations des étoiles doubles artificielles, il paraît utile, afin de ne pas obliger les astronomes calculateurs, qui voudront s'occuper de nos mesures, à parcourir à chaque occasion les trois notes publiées sur ce sujet, de récapituler ici les règles à suivre pour débarasser nos mesures de leurs erreurs constantes et systématiques.

a) Règles pour la correction des directions,

1) A l’aide des rapports existants entre les gros- sissements employés et le grossissement V de notre

93

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

94

lunette, convertissez les distances mesurées en les correspondants, en y adoptant:

À à dde IV 00 VE M2 V VIP TT NII —"2,0V

Tant que les distances ne varient pas considérable- ment, on épargnera le temps, sans sacrifier l’exacti- tude, en calculant les e avec des valeurs moyennes des distances pour des périodes plus prolongées.

2) Les e étant déduits, calculez à l’aide d’eux les corrections des directions au moyen de la formule:

d'Asin (2 25 59) 1 +- 0,20 (3,0 —e)?

5,0 1+ 0,35e2

5,6sin(49—29 11!) 1+-0,20e?

COIT. = +

® signific l'angle formé, au moment de l’observa- tion, entre la direction observée des deux étoiles et le plan vertical, augmenté de l’effet du premier membre constant de la formule précédente.

3) Aux corrections trouvées selon 2), ajoutez la

0,22

1+ 0,080 (—1855,0), pour toutes les mesures faites depuis 1855. Pour les mesures exécutées avant cette époque, il reste encore

indécis, si cette correction supplémentaire doit être ajoutée ou non.

correction supplémentaire +-

b) Règles pour la correction des distances,

1) Toutes les distances publiées jusqu'ici diminuez

1 4 de leur me partie.

2) Aux distances mesurées ajoutez les corrections d’après la formule:

Pa ras 0,138 u Oévzirs tre OT 1013007,0-2 * 1+0,070(5,8 €)

cos(29 —45°0")

© signifie l'angle compris entre la direction cor- rigée et le plan vertical passant par les étoiles au mo- ment de l’observation.

3) A toutes les distances estimées appliquez la cor- rection: + 0,156 + 0,297 (d—0,50), d est la distance estimée en fractions de seconde.

A ces règles je dois encore ajouter la remarque qu'une comparaison étendue des distances d’un grand nombre d'étoiles doubles, mesurées par moi plus fré- quemment à différentes époques, a montré que les

erreurs constantes de mes mesures des distances ont subi un changement notable dans l’intervalle entre les années 1841 et 1843. Cet intervalle ayant été rem- pli par notre révision de l'hémisphère céleste boréal, les deux périodes de mes observations se séparent assez distinctement. Plus tard ma méthode d’observer pa- raît être restée tout-à-fait constante par rapport aux distances. Pour la première période 1839—1842, la correction moyenne des distances est de très-près zéro pour toutes les distances entre 0” et 8”. A partir de 8" la comparaison mentionnée, combinée avec les ré- sultats de nos dernières expériences, indique pour cette période une correction négative de 0/15 approxi- mativement constante pour toutes les distances jusqu’à 32”, Par rapport aux classes Herscheliennes V et VI, le nombre des mesures comparables ne suffit pas pour admettre des conclusions satisfaisantes. Quant aux cor- rections variables avec la direction, il est encore in- décis, si elles doivent être appliquées aux mesures de la première période ou non, et je crains beaucoup que les matériaux rassemblés dans cette courte période ne soient pas assez nombreux pour permettre jamais de répondre d’une manière satisfaisante à cette question. A ce point de vue mes premières observations se trou- vent donc de très-près dans les mêmes conditions que celles de mon père et des autres observateurs de la même époque.

Quelques étendues que soient déjà les recherches sur les erreurs constantes et systématiques de mes mesures micrométriques, on voit par ce qui précède, que même après tant de travail je ne suis pas encore en état de donner une réponse positive et satisfaisante à toutes les questions que je pourrais me poser sous ce rapport. Il y a même dans ce nombre des questions auxquelles il paraît impossible de répondre aujourd’hui avec des apparences de probabilité. Néanmoins j'espère avoir rendu quelque service à la science en entreprenant ces recherches. Non seulement mes propres mesures gag- neront beaucoup en exactitude par l'application des cor- rections évaluées, mais je le regarde comme un résultat également important d’avoir indiqué le caractère des erreurs à craindre dans ce genre d'observations. Comme il est très-probable, que des erreurs analogues existent plus ou moins chez tous les observateurs, il est bien à désirer qu’elles soient soigneusement déterminées, ou indépendamment, comme nous l’avons fait, ou relative-

95

ment par des comparaisons avec des déterminations qu’on pourra regarder comme délivrées de ces erreurs. Une telle comparaison serait très facilitée pour tous les astronomes qui suivront la méthode proposée par M. Dawes, en se servant d’un prisme placé de- vant l’oculaire pour produire toujours une position ver- ticale des deux objets. Dans ce cas on n’aura affaire qu’à des corrections constantes pour chaque angle visuel et qui varient seulement avec les e. Dans l’état se trouvent actuellement nos connaissances des mou- vements relatifs dans les systèmes stellaires, tout pro- grès semblera imaginaire, tant qu’on ne tiendra pas compte de ces erreurs.

—_<22109——-

BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE.

L'Académie a reçu dans ses dernières séances les ouvrages dont voici les titres:

Brandt, Fr. v. Über den vermeintlichen Unterschied des Caucasischen Bison, Zubr oder sogenannten Auer- ochsen vom Lithauischen (Bos Bison seu Bonasus). Moskau 1866. 8.

Nochmaliger Nachweis der Vertilgung der nordischen oder Steller’schen Seekuh (Rhytina borealis). Moskau 1866. 8.

Dana, James D, A word on the origin of life. 8.

On Cephalization. X 4. 8.

Sowerby, G. B. Thesaurus conchyliorum, or figures and descriptions of recent shells. Part XXIV, XXV. Lon- don 1866. 8.

Lettere del Cav. M. Lezzani al Direttore della Corrispon- denza scientifica. 4.

Schultze, Max. Zur Anatomie und Physiologie der Re- tina. Bonn 1866. 8.

Finlay, George. Thoughts about the coinage of the Achaian league. London 1866. 8.

Winkelmann, Ed. Geschichte Kaiser Friedrichs des Zwei- ten und seiner Reïiche, 1235—1250. Band IT, Abthl. I. Reval 1865. 8.

The Journal of the Royal Geographical Society of London. Vol. XXXV. London 1865.

Proceedings of the Royal Geographical Society. Vol. X, M I— V. London 1866.

Karamzine. Lettres d’un voyageur russe en France, en Allemagne et en Suisse (1789—1790). Trad. du Russe. Paris 1867. 8.

spi TÂE XATUGHEUNE TOY OÙTU XAOUMÉVUY TEOÏUY TOY YiyavTuv. Atatotôn ouyyoxpSelon pèy ÜTO ToÙ Baot-

Bulletin de l’Académie Impériale des Sciences de Saint -Pétersbourg.

96

Xéwc rnc Auvinc Poudeplxou Toù Z', merappnodeion dE uno ‘Iuonp Aexryalkx. Ev Epuourcher 1860. 8.

Ac-Kuydhhac. l'en oratiotuen thç vnoou Onpnc. Ev Eo- pourohet 1850. 8.

Recueil d’antiquités de la Scythie. Avec un atlas. Publié par commission Impériale archéologique. Livr. I. St-Pétersbourg 1866. Fol.

L’Investigateur. Journal de l’Insitut historique de France. XXXIII' année, Tome VI, livr. 378 385. Paris 1866.8.

Martius, Dr. v. Carl Albert Leopold Freiïherr von Sten- gel. Ein bayerischer Staatsmann. München 1866. 8.

Beretning om Bodsfængslets Virksomhed i Aaret 1865. Christiania 1866. 8.

Norges officielle Statistik. A. M 1. Beretning om almue- skolevæsenets tilstand i K. Norges landdistrikt for aarene 1861 63. Christiania 1866. 4.

Archiv für wissenschaftliche Kunde von Russland, heraus- gegeben von A. Erman. Bd. 24, Heft 4. Berl. 1866. 8.

Baltische Monatsschrift. 13ter Bd. Gtes Heft u. 14ten Ban- des 1—Gtes Heft. 1866. 8.

Cosogser®, Ceprbü. Mcropia Poccin ex per #ümuxr gpemexs. Tous XVI. MockBa 1866. 8.

Ad Serenissimum Principem Ferdinandum Archiducem Au- striae, Moscouitarum iuxta mare glaciale religio, à D. Joanne Fabri ædita. (Genève.) 4.

Der Codex Zamoscianus, enthaltend Capitel 1 XXII, 8 der Origines Livoniae. Beschrieben und in seinen Va- rianten dargestellt von C. Schirren. Dorpat 1865. 4.

Luther an die Christen in Livland. Dem Hrn. Bischof Dr. C. C. Ulmann zur Feier seiner funfzigjährigen Wirk- samkeit im geistlichen Amte dargebracht von der Ge- sellschaft für Geschichte und Alterthumskunde der Ostseeprovinzen Russlands. 4.

Documents of U. S. Sanitary Commission. New York 1866. 2 vol. 8.

United States Sanitary Commission Bulletin (1863 65.) Three volumes in one. New York 1866. 8.

Ages of U. S. Volunteer Soldiery. New York 1866.

Reports on the extent and nature of the materials avail- able for the preparation of a medical and surgical history of rebellion. Philädelphia 1865. 4.

Stanton, Edwin M. Report of the Secretary of war. 1865. Washington. 8.

Auuario estadistico de la repüblica de Chile. Entrega 1— 5. Santiago de Chile. 1860 63. 4.

Estadistica comercial de la repüblica de Chile correspon- diente al año de 1859. Valparaiso 1860. 4.

Censo jeneral de la repüblica de Chile levantado en Abril de 1854. Santiago de Chile 1858. Fol. obl.

Paru le 26 juin 1867,

TE. XEE, N°2.

) CENTS = De —— - - ————— - ——— Ip IN 7 )Z

VA OI Z

[7 DEN N\) C7 > A A | "ACADEMIE 11 | - PETERSBOURG. DE L'ACADENIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PE RG. TOME XIL. | (Feuilles 7 10.) | | | CONTENU. | Page. | | À, Famintzin, Action de la lumière sur la Spirogyra. ............................ 97 108 | | V. Fuss, Observations de la Comète Faye-Môüller, faites au moyen du refracteur de | | Ronlkovorpendant les années 1865 et 1866. M MAO EEE 108 113 | À. Famintzin et J. Borodin, De la formation transitoire de l’amidon dans le bouleau... 113— 119 | J. F, Weisse, Recherches microscopiques sur le guano. (Avec deux Planches.)........ 120 125 | W. Dôllen, Propositions pour le perfectionnement des instruments à miroir... ....... 125 143 À, Moritz, L’éclipse solaire du 6 mars 1867. (Avec une PIAnChe ER Ar 143 152 J, Fritzsche, Sur l’anthracène de M. Berthelot................................ 152 154 HAE UHIDIDNOGTANIAUE A RUN D Le ARTS vin CR eue MES C0 154 160 = DE —— | | | | On s’abonne : chez MM. Eggers & Cie, H. Schmitzdorff et J. Issakof, libraires à St.- Pétersbourg, Perspective de Nefski; au Comité Administratif de l’Académie (Komurerr Ipassenia Huneparopckoï Akaremi Hayk®) et chez M. Léopold Voss, libraire à Leipzig. | Le prix d'abonnement, par volume composé de 36 feuilles, est de 8 rbl. arg. pour la Russie, | 3 thalers de Prusse pour l'étranger. J 1e è : D) 50 Imprimerie de l’Académie Impériale des sciences. S D) (Vass.-Ostr., ligne, X 12.) ! Se) - —— - _ ——— —— = pt Je 7)

À Î PE . FA y RU TATCLET à tu ls ap y T | CEE j SAC LT" ETUI TR i ht / des | ruban ni 10108 4 | 3 Le F . , , he ia Ft #, L rs | | RU Lee des MAN: Mende Prnrmain te LU 4 gus LAURE gui LATE QE l ME it y jt de CAE" Lÿ { } re | NUE fu l (lotte ‘up «ok. dE PTT Loi LALE Ne” lb EU Fait in 19 À il ALL te to, ht MAG LS FA CR TE OURELEET tte [1 mn TE LE in Nm "ph TL ALT LE ao Ce ot TR AE EN TENE Ai 1N Ÿ j W as M” M nn UE Ce Fr pu i AUS POLE ni ' JT LU

paltiite © NES NT RIPEE CILIPOT d''EMI PPALLUOT de Mt ins than ete ue

ut tel * WA volt wii 4} mari L'OUL TE senti V2 if} gt: DOTE nine" ri

hi :

? PA NME ER

CPE SEE

MP “cie

11 LR

4 LA

PRES

La piton pr 4

ALLIER lala IN at fau! qi DLLENT,

Û timer, tof

1 aa moy LAUTIT EE 41

sud PCR ET LL E tri

FU hante LAN LE pl}

OUT RAA A NI HG MUR As {8

dde : sil fi

il LUTTE *' 12

"

due j LCR CARE TRE EE ja il

l TT ARRET

CTON TOUT 700 L'OTN ETE

A spa PARCS

Lit À L

17 "M

L L

gi pi me y : NOTE ee \

mn |

2 if AL La PAL HAINE da 48 0 0x ue if. LRATT US visé ol raie RE AUTO "+. PA y EE E À [EU une (4 Qu t} en 4 {pb ? k | ‘M #t roai (au } 4 GR | Left à pu pris th (UM 4 FARRET | ET Î

dE pe Qu: LL | ne, "

TL

Vol y PTE àby 1 4h ,

\ 2, a

AU d ee

ner wa

BULLETIN

DE L'ACADÈMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG.

Die Wirkung des Lichts auf Spirogyra, von Dr. A. Famintzin, Docenten an der Universität | seht nur unter dem vollen Lam-

zu St. Petersburg. (Lu le 23 mai 1867.) (Mit einer Tafel.)

In dem Aufsatze: «Über die Wirkung des Lampen- lichts auf Spirogyra orthospira Naeg. (Mélanges biolo- giques 1865) habe ich auf die Analogie hingewiesen, welche diese Alge in der Bildung und Auflüsung der Stärke unter dem Einflusse des Lichtes mit den Pha- nerogamen darbietet. Umständlicher ist diese Analogie von mir in meiner Dissertation‘) nachgewiesen wor-

den. Ich habe sie auf S. 53 ff. in folgender Weise for-!

mulirt: Sgirogyra orthospira Naeg.

1) Stärkekôrner bilden sich unter Lichtwirkung ausschliess- lich in den Chlorophyllbändern.

2) Die in dem Chlorophyll der Zellen erzeugte Stärke ver- schwindet, wenn man die Zel- len ins Dunkle versetzt.

3) Wenn man Spirogyra- Zellen, die im Dunkeln ihren ganzen Stärkevorrath einge- büsst haben, wieder ans Licht bringt, so erzeugt sich in den Chlorophyllbändern Stärke bin- nen kurzer Zeit aufs Neue.

4) Die Bildung der Stärke wird durch das Licht in sebr kurzer Zeit eingeleitet. Es ge- nügte, die Spirogyra-Fäden eine halbe Stunde lang zu beleuch- ten, um in den Zellen Stärke zu erzeugen. Binnen 24 Stun- den waren die Chlorophyllbän- der mit Stärke ganz gefüllt.

1) A. Pamuausuae. ]lbücrBie cBbTa Ha BOJOpOCan apyrie |

Phanerogamen.

1) «Die Chlorophyllkôrner |

sind der einzige undausschliess- liche Ort, wo Stürke aus unor- ganischem Material erzeugt wird.» (Sachs, Bot. Zeit. 1862, Xe 44, p. 372.)

2) «Die im Chlorophyll am |

Licht vorhandene Stärke ver- schwindet aus jenem binnen kurzer Zeit (2 bis 3 Tagen bei hoher Sonnentemperatur),wenn die grünen Blätter dem Licht entzogen werden.» (Sachs, Phys., p. 322.)

3) «Dieselben Chlorophyll- |

kôrner, welche ihre Stärke im Finstern verloren haben, sind im Stande, binnen einigen Ta- gen unter dem Einfluss des Lichts nochmals Stärkekürner zu erzeugen.» (Sachs, Phys. p. 322.

4) Beobachtungen über das Minimum der Zeit, in welcher unter Lichtwirkung Stärkebil- dung eintritt, fehlen noch gänz- lich.

Gxuskie KE HMMB OPrAHU3MEI. 1866 r,

Tome XII.

5) Die Erzeugung der Stärke

penlichte und dem gelben vor _ sich; unter dem blauen wird da- | gesen nicht nur keine Stärke | gebildet, sondern die schon vor- bandene wird wie im Dunkeln | aufgelüst.

|

6) Die Theïlung der Zellen wird nicht unmittelbar durch das Licht,sondern nur als Folge der Stärkebildung hervorgeru- fen. In den mit Stürke erfüll- ten Zellen geht die Theïilung auch bei vôlligem Lichtmangel | vor sich.

7) Im blauen Lichte bleiben {die Chlorophyllkôrner auch nach neuntägigem Verweilen unverändert, obgleich sie keine Spur Stärke mehr enthalten. Im Dunkeln dagegen contrahi- | ren sie sich sehr stark, bis auf |1/, oder sogar !/, der Länge der Zelle. Sie werden dabei dünner, erhalten einen glat- | ten, wellenfürmigen Rand und werden perlschnurartig einge- schnürt.

| 8) In Spirogyra-Fäden, wel- | che während 4 Wochen lebens- | kräftig unter dem vollen Lam- penlichte sich erhielten, wurde

2) Sachs. Phys. p. 335.

nat. 1857. Chap. 4.

5) Es giebt keine direkten Beobachtungen über das Ver- balten der Stärke im blauen und gelben Lichte, nicht nur des Lampenlichts, sondern auch des Tageslichts. Eine vollstän- dige Analogie ist aber auch in dieser Hinsicht äusserst wahr- scheinlich, da für die Ausschei- dung des Sauerstofis, welche die Stärkebildung immer begleitet, es bewiesen ist, dass sie, wenn nicht ausschliesslich, doch vor- zugsweise durch die weniger brechbareren Strahlen des Spec- trums hervorgerufen wird.

6) «Gewiss ist wenigstens, dass der unmittelbare Einfluss des Lichtes für die allermeisten auf Zellenneubildung beruhen- den Vorgänge nicht nur ent- behrlich ist, sondern dass auch die überwiegende Mebrzabl derselben beständig in tiefer Dunkelheit vor sich geht; die Versuche zeigen ferner, dass manche Neubildungen durch die Abwesenheit oder Vermin- derung des Lichtes entschieden begünstigt werden.» (Sachs, Phys. p. 30.)

7) An den Phanerogamen sind keine Becbachtungen in dieser Hinsicht angestellt. Die von Sachs ?) und Gris) ge- machten Beobachtungen, dass die Stärke enthaltenden Chlo- rophyllkôrner im Dunkeln ihr Volumen verkleinern, gehôren nicht hierher, da die von mir beobachteten Chlorophyllbän- der schon am Anfange des Ver- suchs keine Stärke enthielten.

8) «Bei gewissen Entwicke- lungszuständen der Zellen und unter dem Einflusse solcher Bedingungen, welche die assi-

3) Gris. Recherches microsc. sur la Chlorophylle. Ann. des sc.

7

99

Bulletin de l'Académie Hmpériale

100

————————————

die in ihnen gebildete Stärke wieder allmäblich aufgelôst und zur Bildung der Querscheide- wände verwendet; die Stärke wurde allmählich durch Ol- tropfen ersetzt. Allmäblich nahm auch das Chlorophyll in den Zellen ab und wurde endlich in allen Zellen durch ein goldgelbes Pigment ver- treten.

milirende Thätigkeit des Chlo- rophylls unmüglich machen, er- fährt dasselbe mehr oder min- der tiefgreifende Veränderun- gen, welche nicht nur die Form, sondern auch die Substanz selbst betreffen und nicht sel- ten zum vülligen Verschwinden der letzteren, d. b. zu ibrer Auflüsung und Fortführung in andere Gewebe und Organe füh-

ren.» (Sachs, Phys. p. 323.) «Dabei ist es eine gewühnliche Erscheinung, dass der grüne Farbstoff in einen gelben oder einen orangenrothen übergeht.» (Sachs, Phys. p. 330.)

Diese zwischen Spirogyra und den Phanerogamen durchgeführte Parallele ist aber in einer Hinsicht un- vollständig geblieben : es fehlten genaue Untersuchun- gen darüber, ob eine mit Stärke vollgefüllte, ins Dunkel versetzte Spirogyra sich auf Kosten dieses Baustoffes vergrüssere und in die Länge wachse. Von Phanero- gamen-Pflanzen ist es bekannt, dass, wenn sie, mit plastischen Stoffen versehen, ins Dunkel zu stehen kom- men, die letzteren zu ihrem weiteren Wachsen verbrau- chen. Erst nach dem gänzlichen Aufzehren dersel- ben tritt ein Stillstand in der Weiterentwickelung der Pflanze ein.

Bei der Spirogyra habe ich jetzt gauz das Nämliche gefunden. Einige Spirogyra-Stücke liess ich unter dem Lampenlicht sich mit Stärke vollfüllen: ich mass und zählte dann an ïhnen alle Zellen und brachte sie darauf ins Dunkel. Ofter an ihnen vorgenommene Messungen ergaben, wie aus der beigefügten Tabelle zu ersehen, dass die Zellen 2 bis 3 Mal länger geworden waren, wobei sie meistens 1 oder hüchstens 2 Theilungen eingingen. In dem Maasse als die Zellen sich ver- längerten, verminderte sich in ihnen der Gehalt an Stärke, und als letztere aus der Zelle bis auf die letzte Spur verschwunden war, hôrte auch das Wach- sen der Fäden auf. Die Chlorophyllbänder behiel- ten in dieser Zeit die der Spirogyra orthospira eigene Form und Lage. Nach dem Verschwinden der Stärke aber begannen sie, wie in den früheren Versuchen, sich zu contrahiren. Da sie aber hier durch das Wachsen der Zelle auf einen 3 bis 4 Mal grüsseren Raum ausein- andergezogen wurden, so zerrissen sie in mehrere Stücke und schrumpften in den meisten Zellen zu ganz unansebnlichen Klumpen zusammen. (Fig. 1 und 2.)

Tabelle des Zuwachses und der Theilung der Zellen eines Spirogyra- Fadens, welcher, mit Stärke gefüllt, am 24. Januar ins Dun- kel gebracht wurde.

|

21. Jan. | 23. Jan. | 25. Jan. | 27. Jan. | 30. Jan. | 6. Febr. ET St UD PP IS6 36 36

D a ee M NN © 21 Er LS UN AS 11 190 20 DO AL LE 13 dr. 02489 19 ME 15 19 23 23 AE nat 118: duel 8h D | led alé tu date LOT ET AE ait PERS AO 100 ASS A PR ES PA RE à ht 11 12 12 me LUE AO 1e 8 RE AU ARE f11 13 14 14 9 } EE RE CT à ao (Gr 11 16 17 17 6 11 15 17 17 12 15 17 17 NUE { Sn On 0 1600 EM l 11 16 18 LS DOusiite 18 de DONNE ha AANCOTS ! PR INe 14 15 15 FT 10 15 16 16 ë [10 13 15 15 : M NL D 12 14 14 10 14 15 15 e MR MO Se A TE TN RE 11 10 13 15 ME Lac tem ts 1 le lu dE {10 15 16 16 ee Ut 16 1, 4940) 0e “arr 11 15 18 18 17 10" | 17 17 ps {7 12 17 19 19 ER E: 12 18 21 21 11 16 18 18 tue frrde | à < 13, 4 am leretl wear | 11 17 18 18 CHE be Lo Qi vx q 11 16 19 19 7 12 18 19 19 | {11 16 17 17 1 DT I

101 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 10? 21. Jan. | 23. Jan. | 25. Jan. | 27. Jan. | 30. Jan. | 6. Febr. | Endzellen, welche mir in meiner früheren Arbeit als TANT UNS w} A1} ; Kennzeichen der Enden dienten, meistens bald abfelen.

8 15 18 21 21 : : à 0j: É 14 19 99 99 Aus der Tabelle künnen mehrere Schlüsse gezogen fs 12 18 91 91 werden, die sich auf folgende Weise bequem aus- 12 8 12 19 21 21 drücken lassen: g on DAMES NT 122 LIT 24 de Von NE nl Ê 8 14 20 22 22 ZahlkdemZellent eaux. 42e 39.464 12 [9 18 20 22 22 Länge des Fadens in Ocularmi- É £ . co a 2 krometertheiïlen : . . . ....: 359 . . . 1214 / : 9 4 29 9 = 3 T: : 6 8 13 00 03 93 Absolute Länge des Fadens . .. 4,0 Mill. 13,0 Mill. 18 fs 13 20 23 23 Ganz entsprechende Resultate ergaben auch die 15 14 20 23 23 3 folgenden Versuche: 6 8 13 18 99 29 ) 6 8 14 19 29 29 Versuch X 2. 12 [9 14 18 21 21 ZahldenZellen se Mer. ICONE 41 \8 15 15 20 20 Länge des Fadens in Ocularmi- 6 8 Be 17 Fe a krometertheilen . ........ 508... 1285 È . : ie Absolute Länge des Fadens ... 5,4 Mill 13,7 Mill. T 9 14 20 21 21 Versuch X 3. : # 2 d à " Zabl der Zellenvisratoe ste 28», 46 Länge des Fadens in Ocularmi- 389 | 11214 krometertheilen . ........ 276... 653 l x Absolute Länge des Fadens ... 3,0Mill. 6,6 Mill. NB. Am 6. Februar waren schon fast sämmtliche Zellen abgestorben. Versuch X 4. NB’. In der ersten Colonne ist die Länge der Zellen | Zah] der Zellen........... J'ojI 24 4240 in Ocularmikrometertheilungen angegeben, als sie ins | Länge des Fadens in Ocularmi- Dunkel gebracht wurden. In der einer jeden Zelle ent- krometertheilen ......... 209. 530

sprechenden horizontalen Reïhe ist der während des Versuchs stattgefundene Zuwachs und die etwa ein- getretene Theilung der Zelle bezeichnet. Zwischen den Zahlen angebrachte horizontale Linien zeigen die am meisten verdickten Querwände an, welche den Enden älterer Zellen entsprechen. Ihre zufällige und dabei aber unveränderliche Lage in dem abgeschnittenen Fadenstücke habe ich mit grossem Vortheile benutzt. um bei Längenmessung der Zellen mich zu orientiren. Ich bemerkte nämlich die Zellenzahl, welche von einem jeden Ende des Fadens bis zur nächsten verdickten Querwand sich vorfand und konnte also die beiden Fadenenden unterscheiden und die Messungen immer

_inderselben Richtung führen, damitdiejedesmal heraus- |

gefundenen Zahlen denselben Zellen entsprächen. Die- ses Merkmal war mir desto erwünschter, da bei dem

bedeutenden Wachsen der Fäden die angeschnittenen |

Absolute Länge des Fadens ... 2,2 Mill. 5,7 Mill.

Ich stellte in diesem Winter noch eine ganze Reïhe Versuche an, um ein müglichst normales Wachsen der Spirogyra unter dem Lampenlichte zu erzeugen. In die- sem Winter habe ich sehr kräftige Spirogyren zu Versu- chen gehabt, da ich sie in einen speciell für diesen Zweck eingerichteten Aquarium vom Herbst an kulti- virte. Sie gediehen darin den ganzen Winter vortrefi- lich und bedecken jetzt in einer dicken schaumigen Schicht die ganze Oberfläche des Wassers.

Schon dadurch brachte ich eine viel kräftigere Ent- wickelung unter dem Lampenlichte hervor, dass ich die Fäden aus dem Aquarium sogleich unter das Lampenlicht versetzte, ohne sie, wie in den früheren Versuchen, bis zum vülligen Verschwinden der Stärke-

kürner vorläufig im Dunkel aufzubewahren. 7*

103

Alleineine vollkommennormale Entwiekelung erhielt ich doch erst, als ich dem Wasser, in welchem Spiro- gyra kultivirt wurde, Erde hinzusetzte, und statt der Untertassen tiefe Teller gebrauchte, die, um die Verdun- stung des Wassers müglichst zu verhindern, mit Glas- platten überdeckt wurden.

Unter diesen Umständen zeigten die Spirogyra-Fä- den einen äusserst starken Wuchs, eine ausserordent- lich rasche Theïlung und selbst, als das wichtigste Zei- chen ihrer normalen Entwickelung die Copulation.

Obgleich alle diese Versuche bei fortwährender Be- leuchtung vorgenommen wurden und, wie zu ersehen ist, dabei eine normale Entwickelung der Spirogyra zu Stande gebracht wurde, so wäre es dennoch übereilt, daraus schliessen zu wollen, dass ein Spirogyra-Faden, beständig beleuchtet, sich normal entwickeln würde.

Diesen Versuchen setzte ich immer nur wenige kurze Spirogyra-Fäden aus. Da sie aber äusserst rasch wuch- sen, so bildeten sie schon nach wenigen Tagen einen ziemlich grossen Klumpen dicht verfiochtener Fäden. Bald konnte man auch schon zwischen ihnen kleine Sauerstoftbläschen wahrnehmen, welche allmäblich zu grossen Blasen zusammenflossen und einen voluminü- sen Schaumüberzug bildeten. Dadurch wurde selbstver- ständlich die Vertheilung des Lichts unter dem Schau- me sehr unregelmässig. Wenn man abernochin Betracht zieht, dass, je nach der mehr oder weniger tiefen Lage im Klumpen, die Fädeneinanderin verschiedenem Grade beschatten, so ist leicht einzusehen, dass es meistens unmôglich war, zu bestimmen, in welchem Grade ein aus dem hellsten Raume des Tellers herausgehobener Faden dem Lichte ausgesetzt gewesen war. Nur bei den die Oberfläche des Schaumes bedeckenden Fäden war ich sicher, dass sie wirklich stark beleuchtet wor- den waren.

Noch ungewisser wird die Bestimmung des Licht- quantums, welchesein Spirogyra-Faden erhält, dadurcb, | dass, wie ich es sogleich zeigen werde, den Spirogyren das Vermügen zukommt, sich unter Lichteinfluss zu bewegen. Ein in dieser Richtung angestellter Versuch zeigte es mir auf eine schlagende Weise. In die Mitte eines mit Wasser gefüllten flachen Tellers brachte ich einen Klumpen Spirogyra-Stüke; der Teller wurde in einiger Entfernung vom Fenster aufgestellt und an

Bulletin de l’Académie Impériale

dem vom Fenster abgewendetem Theiïle bis über drei Viertel seiner Oberflächemit einem Bretchenüberdeckt. |

164

Die meisten Spirogyra-Füden waren nach Verlauf eini- ger Tage in den beleuchteten Theil des Tellers hinüber- gewaudert. An einigen der ins Licht gelangten Fäden beobachtete ich noch eine andere ganz eigenthümliche Bewegung: meist verschiedenartig verbogen, änderten sie fortwährend ihre Krümmung und Lage, und zwar so rasch, dass die Bewegungen des Fadens mit blossem Auge beobachtet werden konnten. Dazwischen traten ab und zu Ruhepausen ein, die aber immer nur eine oder wenige Minuten dauerten. (S. Fig.)

Aus diesen Thatsachen ist leicht zu ersehen, dass die hier angeführten Versuche nur die Môglichkeit einer normalen Erziehung der Spirogyra unter dem Lampen- lichte ausser Zweifel setzen, dass es aber zur Entschei- dungder Frage:welche Wirkungdiebeständige Beleuch- tung auf die Entwickelung der Spirogyra ausübt, ganz anderer Versuche bedarf.

Es wurden zwar von mir auch in diesem Winter ei- nige Versuche in dieser Richtung gemacht, allein, da sie nur wenige an Zah] sind und nicht lange genug fort- gesetzt wurden, so geben sie nur eine noch unvoll- ständige Auskunft über die Frage. In den ersten Tagen geht die Entwickelung der Spirogyra bei ununterbro- chener Beleuchtung energischer vor sich, als beim Abwechseln vonLichtund Dunkelheit. Spirogyra wächst in dieser Zeit im starken Licht bedeutend schneller in die Länge; dabei ist auch die Theilung der Zellen in dem Grade energisch, als ungeachtet des kräftigen Wuchses des Fadens die Länge der Zellen gewühnlich nicht mehr als die Hälfte der Breite des Fadens über- trifft. (S. Fig. 3.)

Umständlicher habe ich die Wirkung des starken und gemässigten Lampenlichtes, bei fortwährender Be- leuchtung, auf Spirogyra geprüft. In den ersten Tagen des Versuchs war das Längenwachsen und die Thei- lung in gemässigtem Lichte geringer als im concen- trirten. Die Zellen blieben ebenso lang als breit, oder erreichten sogar eine doppelte Länge. Mit der Zeit trat noch ein Unterschied hervor: im concentrirten Lichte wurden die Fäden ganz blass, im gemässigten dagegen dunkelgrün.

Eine Untersuchung mittelst des Mikroskops ergab mir, dass in den blass gewordenen Fäden das Chloro- phyll aus den Zellen fast verschwunden war, obgleich die Zellen dabeiï, dem Ansehen nach, ganz gesund ver- blieben. Dieses brachte mich auf den Gedanken, dass

105

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

106

das Chlorophyll in diesen Zellen durch das Licht zer- |

stürt sein künnte, was sich denn später auch als vollkom- men richtig erwies. Gebleichte, aber noch ganz gesunde Fäden brachte ich ins Dunkel. Die Chlorophylbänder waren in ibnen nicht mehr zu beobachten. Das grünliche Aussehen der Fäden war pur durch die grünlich gefärb- ten Stärkekürner bedingt, indem das nachgebliebene Chlorophyll nur um die grüsseren Stärkekürner in dün- ner Schicht erhalten blieb. Im Dunkel wurden nach ei- nigen Tagen die Stärkekürner gelüsst, die Chlorophyll- bänder aber ihrer ganzen Länge nach wieder erzeugt. In diesem Fall war es mir aber unmôglich zu bestim- men, ob die Wiederherstellung der Chlorophyllbänder durch das Zusammenziehen des Chlorophylls auf ein um vieles kleineres Volumen in Folge der Auflüsung der im Chlorophyll eingeschlossenen Stärke, oder viel- leicht auch durch Neubildung verursacht wurde.

Dagegen kann ich mit grüsster Gewissheit angeben, dass, bei geschwächtem Lichte, das Chlorophyll in gros- ser Menge erzeugt wird. Ich habe sowohl die unter dem Lampenlichte verblichenen, als auch die im Aqua- rium mit Stärkekôrnern bis zum gänzlichen Verschwin- den der Chlorophyllbänder gefüllten Spirogyra-Zellen dem gemässigten Lichte ausgesetzt und immer ganz übereinstimmende Resultate erhalten. Die Stärkekür- ner wurden auf ein Minimum reducirt; die Chlorophyll- bänder dagegen bildeten sich so stark aus, dass sie s0- gar die den typischen Zellen der Spirogyra orthospira eigene Länge und Breite um ein Bedeutendes überstie- gen, und in Folge dessen ihre gerade Richtung in eine schräge und allmählich in eine spiralige umwandelten. Die Anfangs sehr weit auseinander gezogenen Windun- gen der Chlorophylibänder wurden dabei steiler, rück- ten immer näher an einander und stellten sich endlich fast rechtwinklig zur Zellenaxe. In solchen Zellen er- schienen also die Seitenwände in ihrer ganzen Ausdeh- nung mit einer Schicht des Chlorophylls ausgekleidet, da die breiten Chlorophyllbänder so nahe an einander zu liegen kommen, dass sie sich mit ihren Rändern fast berühren. In concentrirtes Lampenlicht gebracht füllten sich diese Fäden von Neuem in der Zeit von 24 bis 48 Stunden mit Stärke.

Diese Beobachtungen gewähren noch in einer ganz anderen Hinsicht grosses Interesse. Sie beweisen auf eine ganz unzweifelhafte Weise, dass der auf die Lage der Chlorophyllbänder gegründete Species-Unterschied

der Spirogyra orthospira Naeg. nicht stichhaltig sei, da ja die geradlinige Lage der Chlorophylbänder in derselben Zelle durch äussere Umstände in die spira- lige übergeführt werden kann, weshalb denn auch die Spirogyra orthospira N aeg. nicht mebr als selbständige Art, sondern als eine Form, unter welche 5 Spirogyra- Species von Kützing untergebracht werden künnen: Sp. orthospira Naeg., Sp. majuscula K g., Sp. subaequa K£g., Sp. luberica Kg. und Sp. brevis Kg.

Dieses Verhältniss stellt sich ganz klar heraus, wenn man die der Eintheilung der Spirogyra von Kützing zu Grunde gelegten Principien berücksich- tigt. Er stellt zwei Hauptgruppen nach der Ab- oder Anwesenheit der Falten an den Querwänden auf. Jede dieser Gruppen wird in zwei Unterabtheilungen: a) mit einem Chlorophyllband und b) mit mehreren Chlorophyllbändern gesondert. Endlich werden die Species durch 1) die Breite der Fäden, 2) das Ver- hältniss der Breite der Zellen zu ihrer Länge, 3) die Zahl der Chlorophyllbänder genauer charakterisirt.

Diese Merkmale aber haben einen sebr verschiede- nen wissenschaftlichen Werth.

Über die Gültigkeit der von der Ab- oder Anwe- senheit der Querfalten entnommenen Merkmale kann ich kein Urtheil fällen. Auch ist es mir bis jetzt un- bekannt geblieben, wie weit die Breite des Fadens variiren kann. Dass es aber in Wirklichkeit vorkommt, wird wohl kaum zu bezweifeln sein. Die Zahl der Chlorophyllbänder ist auch nicht immer constant. So führt schon Kützing Sp. flavicans Kg. an, deren Zel- len 1 oder 2 Chlorophyllbänder enthalten; Sp. subae- qua Kg. ist nach ihm mit 2 bis 3 Chlorophyllbändern versehen. Seinen Abbildungen dieser Species auf Taf. 26, If, « und b in Tabulae phycologicae nach, kann bei dieser Species die Zahl der Chlorophyllbänder sogar vor 2 bis auf 5 variiren. Bei Sp. Heeriena hat er 7 bis 8 Chlorophyllbänder beobachtet.

Über Alles ist aber die Länge der Zellen Verände- rungen unterworfen, indem sie, meinen Untersuchun- gen zufolge, von der Beleuchtung im hôüchsten Grade beeinflusst wird. Deshalb kann ich auch keinen we- sentlichen Unterschied zwischen den 5 obengenann- ten Spirogyra-Arten auffinden, welche alle zu den, der Querfalten entbehrenden, und mit mehreren Chloro- phyllbändern versehenen Spirogyren gehüren, und dabei nach Kützing’s Tabulae phycologicae und Sp.

107

Bulletin de l’Académie Empériale

108

Algarum eine beinahe gleiche Zahl der Chlorophyll- bänder und fast dieselbe Breite besitzen. Sp. ortho- spira und Sp. majuscula (T. 26, I) stellen den Zustand meiner Spirogyra dar, wenn die Chlorophyllbänder bei Lichtmangel sich verkürzen; Sp. subaequa (T. 26, IF) und Sp. lubrica dieselbe mit stärker entwickelten und spiralig verlaufenden Chlorophyllbändern; Sp. brevis (T. 29, 1) dieselbe bei starker Beleuchtung in aus- serordentlich rascher Theilung begriffen. Von den 5 Species-Namen will ich meiner Spirogyra den der Sp. lubrica beilegen.

Ganz analoge Versuche in Hinsicht auf Erzeugung und Wiederauflüsung der Stärke unter dem Einflusse des Lichts sowohl, als auch über das Verhalten im Dunkeln, habe ich an der mit 3 bis 4 Chlorophyli- bändern versehenen Spirogyra , unter welche die Kützing’schen Arten der Sp. nitida und jugalis un- tergebracht werden künnen, angestelit und vüllig ana- loge Erscheinungen beobachtet.

Eine kleine 1 bis 2 Chlorophyllbänder enthaltende Spirogyra schien mir in dieser Hinsicht sich den beiden eben erwähnten Arten ganz gleich zu verhalten.

Die Resultate der vorliegenden Untersuchungen kün- nen also folgender Weïse zusammengefasst werden:

1) Die mitStärke gefüllten Spérogyra-Zellen wachsen, ins Dunkel gebracht, in die Länge, aber nur auf Kosten der in ihnen aufgespeicherten Nabrung. Mit dem Verschwinden der Stärke hôrt auch ihre weitere Entwickelung auf. Auch in dieser Hinsicht verhält sich also Spirogyra den Phanerogamen analog.

2) Unter dem Lampenlicht ist es müglich, eine nor-

male Entwickelung der Spirogyra hervorzurufen.

Bei fortwährender starker Beleuchtung werden die

Chlorophyllbänder zerstürt, bei gemässigtem Licht

wiederhergestellt.

Die Spirogyra orthospira N aeg. ist nicht mehr als

eine selbstständige Art, sondern als eine Form auf-

zufassen, unter welche folgende 5 von Kützing aufgestellte Arten untergebracht werden künnen:

Sp. orthospira Naeg., Sp. majuscula Kg., Sp. sub-

aequa Kg., Sp. lubrica Kg. und Sp. brevis Kg.

(y 7

Die hier bei meiner Spirogyra beobachteten Er- scheinungen finden sowohl an den mit 3 bis 4 Chlo- rophyllfäden, als auch an den mit 1 bis 2 Chlo-

rophyllbändern versehenen Spirogyra - Formen statt. Erklärung der Abbildungen,

Fig. 1 u. 2. Unter dem Lampenlichte mit Stärke vollgefüllte und dann ins Dunkel versetzte Zellen der Spirogyra lubrica mihi, deren Chlorophyllbänder bis auf unansehnliche Klumpen zusammengeschrumpft sind.

Fig. 3. Eine Zelle derselben Spirogyra, weniger stark vergrüssert, in energischer Theilung, unter dem Lampenlichte begrifien.

Fig. 4 u. 5. Zellen der mit 3 bis 4 Chlorophyll- bändern versehenen Spirogyra. Ihre Zellen sind so gross, dass ich sie um das Dreifache kleiner gezeich- net habe, als die der Sp. lubrica mihi in Fig. 1. u. 2.

Fig. 4. Eine Zelle aus dem Aquarium entnommen.

Fig. 5. Eine Zelle mit Stärkemeh]l unter dem Lam- penlichte vollgefüllt und ins Dunkel versetzt, bei der die Chlorophyllbänder, obwohl ibrer ganzen Länge nach erhalten, aber nur in losen Windungen vorlie- gen, und um vieles dünner geworden sind.

V. Fuss. Beobachtungen des Faye-Môllerschen Cometen am Pulkowaer Refractor während seiner Erscheinung 1865 und 1866. (Lu le 6 juin 1867.)

Die Beobachtungsreihe des Cometen in Pulkowa beginnt erst mit dem 27. September 1865, und es ist, mit sehr wenigen Ausnahmen, jede Gelegenheit ihn zu beobachten, benutzt worden, bis er, in der zweiten Hälfte des März, in der Däimmerung verschwand. Der Umstand, dass die Beobachtungen dieses Cometen von andern Sternwarten schon im Januar geschlossen wor- den zu sein scheinen, d. h. zu einer Zeit, wo er hier noch ganz leidlich gesehen wurde, dürfte ein neuer Beweis für die Vorzüglichkeit des hiesigen Refractor’s sein, besonders da die Beobachtungen hier gegen Ende bei nur geringer Hüôhe des Gestirns und bei beginnen- der Dämmerung gemacht werden mussten. Der bis zum Februar noch ganz gut hervortretende Kern hatte später einer nur geringen Verdichtung des Nebels Platz gemacht; die Nebelhülle selbst schien, mit der Annä- herung des Cometen zur Sonne, an Dimension ab-, aber an Intensität des Lichtes etwas zugenommen zu

vue OU Le. ss ra den haditinr CRETE 2 CN LU ' \ CARRE saibaud eh En don, AR unis yes ab umiuiulpe hi ae dal nor bre: à

sua | fuirtté AGBTEN D 'EL da # dl, ob fe

RUN Air à ne duriiinl 29h cu ile ait À A + a a ie A tu SUR ME QUE ut VD ME ANONNE FR (ES etc en alu el nues AS Le Me tre Î NE BATEAU 1 ù he Rtiibsd anni Rs rs RAS EAR PAT niv} nent 1 no EE R ARE

t: | | ñ nie An bord 340 ct vs th) Lis uriti ; : tres u [44 4 1 PAR D'RUPS On LU VUS FAURE Re { rOJÈ pe

10 On rc: date 1f,146 ! 4 0 14 | is ain 104 nu IR) PO ME PUDRNNE di ti

i s mu ty S s Î %

PIC L4} tin ULTIME hr be tr rl éhro;dà Ce + ; 4 MINE 1H:954

AA aa, nas : { tt are.

D | ; a Oh p à Lans El ag A 26 + aol 1 AD SOU HUE TRE } ve FORT PE NE: " : : d M AN : MLMATEMN 7 1014 ML LE (| 1# : : mn” L ci Lg "rl à ". il

4 » AL 44540 3694

ni Mn Delon) Haut tien" id su die, Mitsndt Abo ntt 208 tail! lis Polo Diahies toile 254T Lib, dames -0107 ni Euro 24 ie il A RE 43 alu fi ADOBE, +121 1} IL Heu |

M mentale us 2 re 1 TE de Rne Le D [IN - pue CELA 4 (2 ULET A Ha à. lL : ai Lgiis M re NUS TN LE a M et ÿ

in Aro suite EMA EUN ZE dre AA LCR dose + PS DrRNeNe i PTIT lfaapenuitien [ te. à 5 GA à à de ob , 4 #7 ha PAALETEL ia | |, Bb 46 | ; Lien LEA. Mae LAURE di: PE APT Ar} AT US bp g ME I qi va sa ki ! Ms 47 p Sins unti Nr ue 1h, 8 een ll ares ltde ni Mere à # » TRE vs D LUS ' Pa Mis As Hu, ul patrdpndueit nr Lg noiont . Lu MH 9H He L k) uL ra ae pente 240 rplSes nada den lane - Va: ee ÉRYTIR PERNENT LA; f ne 4 nuanltsian) à Léna nuire dal Mrs nritendtert 4h pape ci np su “fs Ë CARRE NEPAL salt MAÉ 14 xx Os : # : | Vol | F # ga RTE ELCEY CT L dE LEROARA Mol any idem abs eat “te ee, si A ds | Ê ï nn NA Kris Hg à st o4 pl AP fe sin Woman nt, CET ER 4 Aus " gi \ Fi L à im aie Ver

“4 st. Au QU #

<e mu mi Le] n N œx ir 214 mi. À et LE w iré FL À tt tif * ï M ra, ECTH l » 24 ia + lui È C ÿ, à L L fa s " f « Qu” é REX L td A0 Vent VAT 1E y) f p. lez 1 Hay je fai (9 4487 j tt 0,6 Pet r a, TL r | AIT EN Re DE 24 { PAC + - ME N U, NE CEE 1 ADD AE | me Ci HAT JM bnul ut 1e ni} OTTEL à LONG î Fz W M | PR TO" 0 à Le L 2LOAI À tt - | & FLE . YU PEL à TMS V 7 MA À x be Pr EL. ds E L L # + À

[ORET is touidyal : y Tan LAB, h TRE ei

» .

E

109

des Sciences de Saïint-Pétersbourg.

110

haben. Die schon erwähnten, die Beobachtung wäh- rend der letzten Zeit erschwerenden, Umstände ver- einigten sich in dieser Hinsicht noch mit andern: es konnten nur in seltenen Fällen, auch wenn die Nähe des Vergleichsterns es erlaubt hätte, Positionswinkel und Distanzen gemessen werden, da das treibende Uhrwerk des Refractors einer gründlichen Reinigung bedürftig war und schon bei geringer Kälte stehen blieb; ausserdem wurden die Beobachtungen, wie man aus den weiter unten folgenden Bemerkungen sieht, häufig durch Wolken unterbrochen, oder doch wenig- stens der Comet durch dieselben sehr geschwächt. Die Bestimmung der Positionen der Vergleichsterne ist im Laufe des verflossenen Winters von Hrn. Gro- madzki am hiesigen Meridiankreise ausgeführt wor-

den; die ausserordentliche Ungunst des Wetters, s0 | wie auch die geringe Helligkeit der meisten Vergleich-

sterne zog die Bestimmung sehr in die Länge; es mussten ausserdem mehrere Sterne, welche sich am Meridiankreise nicht beobachten liessen, von mir mi- krometrisch mit helleren verbunden werden, was gleichfalls, wegen der seltenen günstigen Abende und der Sternarmuth der Gegend, sebr lange dauerte. Lei- der sind drei Vergleichsterne durch Verwechselung, von mir nicht mit den, von Hrn. Gromadzki bestimm- ten benachbarten Sternen verbunden worden und, in Folge dessen unbestimmt geblieben; dieses sind die Sterne, mit denen der Comet an den Tagen: Jan. 14,

Febr. 2 und Febr. 14 verbunden wurde. Übrigens ist die Declination des letzteren von ihnen ein Mal im Meridiane bestimmt worden. Da es erst nach mehre- ren Monaten müglich sein wird, das Verseben zu cor- rigiren und, im Übrigen, die vorläufig unbenutzbaren Beobachtungen des Cometen nicht von besonderer Bedeutung sind, indem die Beobachtung von Jan. 14 nur eine mangelhafte ist und im Februar, ausser je- pen beiden noch: einige leidliche existiren, so zog ich es vor, die Verüftentlichung der Resultate der Beob- achtungen nicht weiter hinauszuschieben, bis die Jah- reszeit es erlauben wird, die Vergleichsterne zu be- obachten, sondern die Positionen des Cometen für die genannten drei Tage nachzuliefern, sobald die Môg- lichkeit da sein wird.

Ich gehe jetzt zur Mittheilung der Beobachtungen über, indem ich mit den, wo es nüthig war, wegen Refraction corrigirten Relationen zwischen Comet und Stern beginne. Wo Positionswinkel und Distanzen ge- | messen wurden, gebe ich auch noch die aus denselben abgeleiteten Differenzen in Æ und Decl. Zur Beur- theilung des Werthes der Beobachtung führe ich die wabrscheinlichen Fehler der Unterschiede, wie sie aus der Übereinstimmung der einzelnen Einstellungen fol- gen, an, so wie auch weiter unten einige, während der Beobachtung niedergeschriebene Bemerkungen. Die mit Str. bezeichneten Messungen rühren von Hrn. Dir. Struve, die übrigen alle von mir her.

————_———

|

Datum. (Pulk. Stzt. Pos. w.lAnz.| Dist. [Anz| AA lAnz. w. F. | ADecl. Anz. w. F. | Str. | rein se ls 1 m S_ | s | LR | 01] le 1865 Sept. 27 | 23 18 12 1192,90| 8 | 51,25| 4 —0 0,76|.....#0,028| 05000-11224 RAIN) MST. Oct i2)}21123 T6) IE. INSEE .|—1 34,34| 12 0,035 | —0,57,8 | 8 | 0,56! 2: \nStr. Ce) NON EAN AIN EEE AIRE la des —0 29,71 4] 0,090! —0 22,7) 4] 0,60 3 | Nov SN Mots EPA CTEN) ETES EEE .|— 0 51,58| 10 | 0,068| —3 23,2| 5| 106| 4 Ne CNONEMEN EEE RARES ete |—0 10,77| 13} 0,051] +0 31,9 | 6| 0,6) 5 | Dec. 17 | O0 8 1 |228,67| 13 |114,70| 8 |—0 5,75 RD 087 | AEIT -..| 0,83) 6 1966 Jan:tf 14:14:80 44 49). 4e. LL Lt Net .|—118,96| 5 | 0,043] +0 13,7 | 3 | 0,38) 7 Dans Me OA Eee | ÉRTE | 0 31,08| 17 | 0,046| +1 51,5 | 25 | O0,87| 8 Febr. 2 | 430 28 |......|.... RTE BAIE 0M3189|NT9 0,054) 3 49,5 | 12 | 0,73) 9 Rebro1ot 515 221062 07e CERRIÈER | +0 24,09| 6 0:102| —1 44,5 |...1" 2,57| 10 Febr. 13 | 5 9 22 | 25,27 | 19 | 57,78| 10 |+0 1,65,....| 0,039! +0 52,2 |... 0,80! 11 Febr. 14 | 5 20 22 |...... LEA PE OR +1 2353| 8 0,045| —2 35,5 | 8 | 1,00) 12 Febr. 17 | 5 49 0 1345,44| 7 |294,09| 7 |—O 4,95)....| 0,056] +4 44,6 |....| 0,67, 15 Febr. 18 | 5 46 17 |...... DRRUEE LAS +0 32,71) 14 0,035 | +1 57,1 | 6 | 1,56|, 14 UE 2280 25) 1 PE PRE ler |+ 0 46,65] 8 | 0,086|..........|... [POSE 15 Mürz 7 | 7 22 51 |...... a inde ARRETE rez A eeDeep (ti März 10 | 7 41 50 |......|.... RTE | + 0 55,36 | 12 0,073| 2 41,6 | 8 | 0,60) 17 | Str. März 12 | 7 55 11 |...... ROR TES LPRAT |— 0 23,06 | 10 | 0,052] +1 50,5 | 12 | 1,57) 18 März 17 | 81139 | 33,12] 5 (448,05) 6 | +0 16,60 |... 0,060 | +6 15,2 |... 0,86) 19 Str.

Bemerkungen zu den Beobachtungen, Sept. 27. Beim Beginn der Beobachtungen stand der

Vergleichstern ganz in der Coma, so dass dadurch das Erkennen des Mittelpunktes

Bulletin de l’Académie Empériale

112

ee ——_—_—_—_—

sehr erschwert wurde. Auch beim Schlusse | grossen Passageninstrumente von Ertel, und zur Po- |sition des Sterns 1 ist auch noch die Angabe des Hrn.

Dr. Murmann (Astr. Nachr. 1613), welche auf zwei Wiener Meridianbeobachtungen beruht, hinzuge-

zogen worden. Die angewandten, am Refractor erhal- | tenen, Relationen zwischen den Sternen sind folgende:

ÆR w. F. Decl. w.EF.

nm $ " " (L)æ+ 17 2,96 40,099; 1 (11) + 0/ 23/6 + 0/61 1— (12)+ 0 58,97 + 0,037; 1=— (12)+6 26,6 + 0,47

14 = (14) 2 45,90 + 0,100; 14 (14) —1 2,4 0,45 X | Gr. | ÆR | Anz. | Decl Anz. | | m _S | HEURE (GUN 21 39 11,89 | + 43 24,0 1 GARE 21 39 16,52 DA PREE eden dEe e 1-| 10 DM AOMMD: 08 MIRE IRON NEO IEEE 2 8 0] 021. /41029;89 4 NET El 3 3 8 | 921 44 30,91 4 2 520028 3 4 OEM ES 7100 7 4 26 18,7 6 5 9 | 22 6 14,28 6 HE OT 5 6 9 RENTE 6 3 321458 5 (A) LEP 0 11 11,94 3 ET) PE 3 8 gl 0,18 1970 80 |N+ 0250180 7 OLA AE EEE 2 10 ENO 1 16 2405 | 31 |1+14,4813480 5 TION 1 19 22,52 2 | + 4 56 48,7 2 (12) 8 NON ST SIMS IE NS 2 AM PRIOR cc RAS TL ÉTEND 13 9,10! 1 30. 2,14 2 + 5 36 392 | 2 HAE 00000 1 34 48,01 1 + 5 51 158 1 1440) PRONLO| ARTE S 2 EE TIR EE | MOMIE |Bee ee 15 NIMES ONE 3MINE FIBRE 2NSE3 3 16 9 2 19 8,46 3 510596 3 17 9 2 95 31,26 SIN 95250 3 18 9 2 32 17,63 3: || +19 40 507 3 19 | 8,9 | 2 45 20,33 | 5 | +10 24 34,8 4

Mit diesen Positionen sind nun die folgenden schein- baren Orter der Sterne und weiter die scheinbaren Orter des Cometen erhalten worden. Die beigefügten

| wahrscheinlichen Fehler sind hervorgegangen aus der

111 der Beobachtung konnten Spuren der Coma noch bis zum Vergleichsterne hin verfolgt werden. Dabei war wegen leichten Gewül- kes der Comet sehr schwach.

Oct. 22. Während der Messungen des Declinations- unterschiedes schwankte das Rohr in Folge. heftigen Windes; der Comet während der Beobachtung häufig durch Wolken verdeckt, | hinter denen er zuletzt ganz verschwand; er war überhaupt sehr schwach.

Dec. 17. Unterbrechungen durch Wolken.

Jan. 14. Nicht gute Beobachtung.

Jan. 18. Der Comet erscheint heller als früher; der Kern deutlicher; Nebelhülle kleiner.

Febr. 2. Gegen Ende stürte der Mond.

Febr.12. Die begonnenen Messungen des Positions- winkels konnten wegen schlechter Wirkung des Uhrwerks nicht fortgesetzt werden; nach Bestimmung der Differenzen in Æ stand der | Comet zu tief, um Differenzen der Decl. zu messen. 15 Reaum.

Febr.13. Fortwährend dünne Wolken.

Febr.14. Comet leidlich zu beobachten.

Febr.17. Comet sehr schwach.

Febr.18. Der Mond stürte.

März 7. Die Luft nicht sehr durchsichtig; zu Anfang Dämmerung, gegen Ende der Comet sehr tief und kaum zu sehen.

März 12. Comet sehr schwach.

Die jetzt folgenden mittleren Positionen der Sterne, |

Vergleichsterne des Cometen sowol, als auch derjeni- gen (mit eingeklammerten Nummern bezeichneten), mit denen die schwächsten von ihnen mikrometrisch ver- bunden wurden, gelten für 1866,0 und beziehen sich auf das Coordinatensystem der Tab. red. von Wolfers. Ausser auf den Bestimmungen Hrn. Gromadzkis, be- ruhen die gegebenen Rectascensionen der Sterne (1°), 2, 3 und 5 noch auf Beobachtungen Hrn. Wagner’s am

: Verbindung der Febler der Sternpositionen und der | Beobachtung des Cometen. Zur Ableitung der erste-

ren dienten die, aus der ganzen Reïhe der Bestim- mungen der Vergleichsterne hervorgegangenen wahr- schein]l. Fehler einer dieser Bestimmungen: # 0070 und + 0,56, mit Ausnahme des Sternes 1, bei dem der wahrschein]. Fehler der angenommenen Position aus der Übereinstimmung der Bestimmungen der ver- schiedenen Beobachter abgeleitet wurde. Die Paral- laxe ist mit Zugrundelegung der Sonnenparallaxe 8,94 berechnet worden.

113

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

114

0

Scheinba

r'e"mOrer treir.

Pulk. | S'atie ren C 0 mn e t. Paral Datum. £ |. M = : -

mittl. Zi: | AR |, Decl A | w. EF. | Decl. | w.F. Æ | Decl | h m s| h ms IPS MliA seal ST ; s | 3 1865 Sept. 2710 51 36 | 1 21 40 15,75/+ 0 44 1,2|121 40 14,81/# 0,068] + 0 43 11,2, Æ 1,45 | +0,09) + 6,0 Oct: 12] 7.57 50: | 2 91 41 29,76— 1 34 52,9 | 21 3 0.050! 1 35 50,7 0.65 | —0.02! + 6.0 Oct. 22] 7 50 2113 21 44 31,12 2 51 54,5|2 0,097| 2 52 17,2 0,68 | +0,04! + 3,8 Nov. 13! 6 31 34 | 4 |22 5 37,01 4 26 11,6 |22 0,073, 4 29 34,8] 1,08| 0,00! + 5,4 Nov. 14, 6 39 53 | 5 122 6-14,29/— 4 31 55,7 | 22 0,059| 4 31 21,8 0,82 | +-0,01! + 5,4 Dec. 17! 6 22 48 | 6 93 9 3,58|— 3 32 429 | 23 0,064! 3 33 58,6 0,87 | +0,05! + 4,7 1866 Jan. 18, 7 8 24 | 8 0 13 9,70 + 0 25 17,1] 0 0,052 + 0 27 8,6! 0,90 ![+0,10| + 4,1 Febr. 12! 7 45 12 |10 1 16 24,13|+ 4 48 31,1| 1 0,110! + 4 46 46,6] 2,59] +0,13| + 3,6 Febr.13| 7 35 17 |11 1 19 22,61/+ 4 56 45,0| 1 0,063, + 4 57 37,2 0,89 | +0,13!) + 3,6 Hebr A7 2ATO 2 SEE Ce SDL OO IE nr I|e Porc + 5 8 25,4 EE) Sd + 3,6 Febr.17| 8 O0 5 |13 1 30 2,23|+ 5 36 35,0| 1 29 57,28] 0,075, + 5 41 19,6 0,78 | +-0,14 + 3,6 Febr.18| 7 52 27 |14 1 32 2,20/+ 5 50 9,0| 1 32 34,91 0,127] + 5 52 6,1 1,72 | +0,14! + 3,6 Mäürz 7| 8 21 54 |15,16| 2 17 29,24/+ 8 51 53,5] 2 18 15,89, 0,095) + 8 52 26,0 1,16 | +0,14, + 3,4 März 10| 8 29 2 |17 9 95 31,37 9 25 29,6| 2 26 26,73| 0,083] + 9 22 48,0 0,68 | +-0,14! + 3,3 Mürz 12| 8 34 29 |18 9 32 17,75+ 9 40 44,3 | 2 31 54,69| 0,065, + 9 42 34,8 1,60 | +-0,14 +-3,3 März 17| 8 31 15 |19 9 45 20,42/+-10 24 28,0| 2 45 37,02| 0,068) +10 30 43,2) 0,90! +0,14) + 53,3

| | | | | |

Die Vergleichung der erhaltenen Positionen mit Untersucht man im Winter einen frischen Birken-

der Ephemeride des Hrn. Prof. Müller ergab, nach Anbringung der Parallaxe, folgende Resultate:

B—R in Æ in Decl. Sept. 27 +0,08 +52 Oct 12025 UF 1,8 Oct. 22 +0,56 —1,3 Nov. 13 +0,61 —4,5 Nov. 14 +1,56. <+3,1 Dec. 17 +1,88 +5,7 Jan. 18 +2,10 <+4,7 Febr. 12 +2,85 —1,8 Febr. 13 +3,19 <+2,0 Heprneectree 5,7 Febr. 17 +2,84 <+3,6 Febr. 18 +2,81 +1, März 7 +3,04 —1,3 März 10 +296 +2, März 12 +2,57 —0,8 s Mäürz 17 +3,09 +6,6

Über transitorische Stärkebildung; bei der Birke, von Dr. A. Famintzin und J. Borodin. (lu

le 20 juin 1867.)

Die vorliegenden Untersuchungen wurden haupt- sächlich im Winter dieses Jahres an frisch vom Baume abgeschnittenen und in einem Wassergefässe im Zim- mer cultivirten Birkenzweigen ausgeführt, und die erhaltenen Resultate im Frühjabr an den im Freien

wachsenden Bäumen geprüft, wobei eine vüllige Über-

einstimmung gefunden wurde. Tome XII.

ast, namentlich auf seinen Amylumgehalt, so erscheint der letztere, besonders in den dünneren Zweigen, ziem- lich gering; nur im Marke befinden sich beträchtli- chere Stärkemengen; Rinde und Holz scheinen aber davon fast vüllig frei zu sein; selbst die Markstrahlen des Holzes, wenigstens die der einjährigen Zweige, | machen hier keine Ausnahme; ibr Inhalt nimmt mit | Jodlüsung meist nur eine braune Farbe an. Übrigens ist dieses letztere Verhältniss nicht constant, denn es kommen auch Zweige vor, deren Markstrahl- und Holz- parenchymzellen deutliches Amylum führen"). Jeden- falls scheint aber die als Reservestoff functionirende Stärke hauptsächlich in der Wurzel ïhren Sitz zu ha- ben. Namentlich fanden wir an einer über 30 Jahr alten Birke, die am 4. (16.) Februar dieses Jahres im Universitätsgarten gefällt wurde, einen sebr beträcht- lichen Unterschied zwischen dem Amylumgehalte des Stammes und dem der Wurzel. Schon die makroche- mische Reaction machte diesen Unterschied sehr au- | genfällig: während das Wurzelholz mit einem Tropfen | Iodlüsung befeuchtet sogleich eine tiefbraune bis schwarze Farbe annahm, färbte sich das Stammholz bei solcher Behandlung bloss gelb. Die mikrochemi- sche Untersuchung zeigte im Marke,in den Mark- strablen, im Holz- und Rindenparenchym der Wurzel

1) Dieser geringere Stärkegehalt der dünneren Zweige wird |auch von Schrôder in seinen «Untersuchungen über den Früh- | jahrssaft der Birke» (Archiv für die Naturkunde Liv-, Esth- und | Kurlands, II. Serie, Bd. 7) erwähnt.

8

115

Bulletin de l’Académie Hmpériale

116

sehr beträchtliche Stärkemengen. Im Stamme führten alle diese Theile freilich auch Amylum, jedoch in weit geringerer Menge, und stellenweise waren die Mark- strahlen, so wie das Mark fast gänzlich davon frei.

Besonders beachtenswerth und für das Folgende wichtig ist aber die Thatsache, dass in den männlichen Kätzchen, gleichwie in den Laubknospen, die, wie be- kannt, die jungen weiblichen Blüthenstände verbergen, um diese Zeit auch bei der sorgfältigsten Untersuchung nirgends Stärke gefunden wird, wenn man nur von den hôchst geringen Spuren, die hie und da in einzel- ven Zellen des Markes und Rindenparenchyms zum Vorscheine kommen, absieht. Selbst bei der Anwen- dung der von Sachs zum Nachweïisen kleiner Stärke- mengen empfohlenen Reaction sucht man meistens darnach vergebens. Bemerkenswerth sind weiter die Verhältnisse, die in den einjäbrigen Zweigen unter den Laubknospen, in den oberen Theiïlen der Interno- dien angetroffen werden. Führt man nämlich einen Querschnitt dicht unter solch einer Knospe, so findet man zwei getrennte Holzkürper, von denen jeder ein selbständiges Mark umschliesst. Der eine dieser Holz- kôrper gehôrt selbstverständlich der Knospe an, der andere dem Zweige selbst. Weiter unten vereinigen sie sich zu einem einzigen, wodurch das Mark auf dem Querschnitte eine Biscuitform erhält. Die Gefäss- bündelgruppen der Knospe und des Zweiges sind leicht von einander schon durch die verschiedene Beschaffenheit des von ihnen umschlossenen Markes zu unterscheiden: das der Knospe ist dünnwandig, führt zu dieser Zeit gar keine Stärke, ist aber dafür überaus reich an Krystalldrusen, die gleich denen des Rindenparenchyms, nach den mikrochemischen Reac- tionen zu urtheilen, aus oxalsaurem Kalk bestehen; die Zellen des eigentlichen Zweigmarkes besitzen im Gegentheil zierlich porôs verdickte Wände und ent- halten eine nachweisbare Stärkemenge; Krystalldru- sen kommen in ihnen dagegen nur vereinzelt vor.

Wird ein frischer Zweig in ein Wassergefäss ge- bracht und der warmen Luft des Wohnzimmers aus- gesetzt, so werden bald folgende Erscheinungen be- obachtet.

Während an den im Freien wachsenden Bäumen die männlichen Blüthenstände nirgends Stärke enthal- ten, wird dieselbe, nach kurzer Zimmercultur der Zweiïge, in den Spindeln der Kätzchen, so wie in den

einzelnen Blüthenstielen reichlich gebildet, Schon am folgenden Tage findet man sie hier zuweilen, jedoch in so geringer Menge, dass sie nur mit Hülfe der Sachs’schen Reaction nachgewiesen werden kann. Doch wird der Stärkegehalt der Spindel immer bedeu- tender, bis er etwa am 4—5ten Tage sein Maximum cerreicht. Nun wird die vorläufige Behandlung des Präparats mit heisser Âtzkalilauge und das Neutrali- siren mit Essigsäure vüllig überfüssig; die gewühnli- che Iod-Reaction zeigt jetzt den ausserordentlichen Stärkegehalt der Spindel mit grüsster Deutlichkeit: das Mark, das ganze Rindenparenchym, die breiten, so wie die engen, bloss aus einer Zellenschicht beste- henden Markstrahlen, Alles ist strotzend von Amy- lum. Diese Amylumbildung geht nicht in dem ganzen Kätzchen gleichzeitig vor sich, sondern schreitet allmählich von unten nach oben, à. b. von der Basis des Blüthenstandes zu seinem Gipfel, vor. Das beweisen zur Genüge die sich mit Stärke erst füllenden Kätz- chen: in ihrem unteren Theile wird reichlich Amylum gefunden, während in dem oberen bloss unbeträchtli- che Spuren davon angetrotien werden. Da jedoch die- ser Bildungsprocess im Allgemeinen ziemlich rasch vor sich geht, so wird es gewiss nicht aufiallen, dass man oft die Stärke in der Spindel der Länge nach ziemlich gleichmässig vertheilt findet.

Keineswegs bleibt aber diese Stärkebildung bloss auf die männlichen Blüthenstände beschränkt. Unter- sucht man zu dieser Zeit das oberste Internodium der Zweige, auf dem die Kätzchen gewühnlich paarweise sitzen, so findet man alle Parenchymzellen sowohl der inde und des Markes, als auch die der Gefässbündel ebenso reichlich als in der Spindel des Kätzchens selbst Stärke führend; im Freien dagegen enthalten zu dieser Zeit die letzten Internodien nur in dem Marke eine beträchtliche Menge Stärke. Auch in den folgenden Internodien, die den Laubknospen angehô- ren, erscheint bei der Zimmereultur der Stärkegehalt um ein Bedeutendes vermehrt, besonders dicht unter den Laubknospen, wo selbst das Knospenmark, das im Winterzustande, wie erwähnt, meist nur geringe Amylumspuren führt, jetzt reichlich damit erfüllt ist?). Auch in den Knospen tritt eine ähnliche, jedoch wie es scheint, minder reichliche Stärkebildung auf; man

2) Vergl. Hanstein’s «Untersuchungen über den Bau und die Entwickelung der Baumrinde». 1853. S. 24 u. f.

117

findet nämlich zu dieser Zeit beträchtliche Stärkemen- gen in den noch in den Deckschuppen verborgenen Blättern und weiblichen Blüthenständen, sogar in der Basis der Deckschuppen selbst.

Während der Stärkebildung, welche in den ersten Tagen der Zimmercultur statt findet, wird der Ast dem Aussehen nach fast gar nicht verändert, ja er ist von einem frisch abgeschnittenen schwer zu unter- scheiden; die Deckschuppen der Kätzchen liegen noch dicht aneinander, und die Laubknospen sind meist noch geschlossen. Die neu gebildete Stärke bleibt

aber nicht lange erhalten. Sobald die Streckung der |

Kätzchen und die Entwickelung der Knospen zu jun- gen Trieben beginnen, wird sie wieder aufgelüst, in- dem sie als Baumaterial verwendet wird. In den Inter- nodien verschwindet die Stärke vor Allem unter den sich entwickelnden Knospen im Knospenmarke und in dem umgebenden Rindenparenchym. In dem jungen Triebe selbst findet man bald nur in der schon von Hanstein”) bemerkten und von Sachs‘) näher be- schriebenen Stärkeschicht der Gefässbündel feinkôrni- ges Amylum. In der Spindel des Kätzchens wird die Stärke zuerst in den peripherischen Rindenparenchym- schichten, später auch im Marke und in den Mark-

strahlen aufgelüst. Am längsten bleibt sie ebenfalls

in der Stärkeschicht erhalten; selbst bei dem Verstäu- ben der Antheren findet man in ihr oft feinkürnige Stärke; später wird sie aber auch hier vollständig resorbirt.

Ganz analoge Erscheinungen von transitorischer Stärkebildung haben wir auch im Pollen beobachtet, welche aber hier immer einige Tage später auftrat. Im Freien enthält der Pollen im Winter keine Spur von Stärke. An einem ins Zimmer gebrachten und im Wasser cultivirten Zweige bleibt der Pollen lange Zeit stärkefrei, obgleich die anderen Theïle des Zwei- ges sich reichlich mit Amylum füllen. Erst wenn die Resorption des letzteren in der Spindel beginnt, tritt in den Pollenkürnern Stärkebildung ein, und noch lange bevor die Antheren aufspringen, ist der Pollen dicht mit Amylumkürnern gefüllt, die auch bei der Verstäubung und selbst in den auf den Narben lie- genden Pollenkürnern in reichlicher Menge angetrof-

8) 1. e. S. 25. 4) Sachs, «Über die Stoffe u.s.w.» Pringsheim’s Jahrbücher, Bd. II, S. 194 u. ff.

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

118

fen werden. Diese Amylumbildung im Pollen und die gleichzeitig stattfindende Resorption der Stärke in der Spindel schreiten gleichfalls in der Richtung von unten nach oben, d. h. von der Basis des Kätzchens zu seinem Gipfel, fort.

Wie weit die oben beschriebene transitorische Stär- kebildung in den älteren Âsten der Birke vor sich gehe, ob sie auf alle Internodien der einjährigen Zweige, oder vielleicht selbst auf mehrjährige sich ausdehne, darüber geben unsere Beobachtungeu keinen weite- ren Aufschluss.

Alle im Vorhergehenden geschilderten Vorgänge haben wir im Frübjahr auch in der freien Natur be- obachtet, nur bedurften sie hier zu ihrer Vollendung eines viel grüsseren Zeitraumes, wozu gewiss der un- gewôühnlich kalte Frühling dieses Jahres nicht wenig beitrug. Am 15.(27.) April führten die Spindeln der frischen Kätzchen, so wie die Internodien der dünne- ren Zweige reichlich Amylum. Derselbe Zustand wurde auch am 17.(29.) Mai angetroffen, nur dass jetzt schon die Amylumbildung im Pollen begonnen hatte. Am 22. Mai (3. Juni) waren die Pollenkürner dicht mit Amy- lum angefüllt, während die Stärke der Spindel und der Internodien sich in dem Zustande der Resorption befand.

Diese Beobachtungen lassen noch unentschieden, ob die transitorische Stärke, die vor dem Austrieb der Knospen in den jüngeren Zweigen so reichlieh angetroffen wird, da, wo sie zu dieser Zeit vorhanden ist, gebildet wird, oder vielmehr als eine blosse Trans- location aus anderen Stammgegenden betrachtet wer- den muss. Giebt man aber auf folgende Umstände Acht, so wird die erste Deutung als die einzig rich- tige erscheinen:

1) Die oben geschilderten Vorgänge finden auch in vom Stamme getrennten ÀÂsten statt, und, während die dünneren Zweige sich mit Amylum anfüllen, wird eher eine Zu- als Abnahme des Stärkegehalts der an- deren Asttheile beobachtet.

2) Die Bildung und Wiederauflüsung der Stärke geht sogar in den vom Baume getrennten Kätzchen vor, wie der folgende Versuch lehrt. Die abgeschnit- tenen Kätzchen wurden vorläufig an ihrer Basis auf den Amylumgehalt der Spindel nach der Sachs’schen Methode geprüft: wir fanden in ihnen gar keine oder eine ganz unbedeutende Stäürkemenge vor, Die Kätz-

8*

119

Bulletin de l’Académie Impériale

120

Or

chen wurden darauf in feuchte Erde eingesetzt und mit einer Glasglocke überdeckt. Ofters wiederholte Beobachtungen zeigten uns, dass die transitorische Stärkebildung in ihnen auf die oben beschriebene Weise, sowohl in der Spindel, als im Pollen, zu Stande kam, selbst wenn statt Erde feuchter Sand angewen- det wurde.

Die Hauptresultate der vorliegenden Untersuchung Jassen sich kurz folgendermaassen zusammenfassen :

1) Bei der Birke wird im Frühjahr, sowohl in den Kätzchen als in dünneren Zweigen, Stärke transito- risch gebildet und zwar unmittelbar aus dem Inhalte der sie führenden Zellen.

9) Die erzeugte Stärke bleibt nicht lange erhalten, indem sie zum Aufbau der sich streckenden Kätzchen und Knospentriebe verwendet wird.

3) Im Pollen kommt eine ganz ähnliche, jedoch später auftretende transitorische Stärkebildung zu Stande. Die Stärke wird sogar an den auf die Narbe gelangten und in kurze Pollenschläuche ausgewachse- nen Pollenkürnern wahrgenommen, wie wir es auch im Freien beobachtet haben. Ihre Auflüsung erfolgt erst später.

4) Über den Stoff, aus dem in den vorliegenden Füllen die Stärke gebildet wird, künnen wir nichts Bestimmtes angeben. In der Spindel der Kätzchen findet man im Winterzustande alle Mark- und Rinden- parenchymzellen mit einem ülartigen Stofe angefüllt ; ob aber dieser Stoff in irgend einem Zusammenhange mit der später daselbst auftretenden Amylambildung steht, lassen wir unentschieden, wenigstens wird in dem Maasse, als Stärke sich bildet, seine Quantität immer geringer und später verschwindet er gänzlich. Diese transitorische Stärkebildung scheint demnach der von Sachs”) beim Keimen ülhaltiger Saamen in den Cotyledonen oder dem Endosperm beobachteten am nächsten zu stehen.

5) Schliesslich müssen wir noch bemerken, dass eine eben solche transitorische Stärkebildung, ausser der Birke, auch in männlichen Kätzchen von Populus nigra beobachtet wurde.

5) Sachs, L. c. S. 213 u. fi.

Mikroskopische Untersuchung des Guano; vom Geheimrathe Dr. J. F. Weisse, correspondi- rendem Mitgliede der Kaiserl. Akad. der Wiss. zu St. Petersburg. (Lu le 6 juin 1866.)

(Mit zwei Tafeln.) Reval. Mai 1867.

Es sind bereits mehr denn 20 Jahre her, seitdem Ehrenberg die erste mikroskopische Analyse vom Guano verüffentlichte, welche ergab, dass in demselben viele interessante, meist marine kieselschalige Organis- men sich vorfinden*). Da mir nun zufälliger Weise hie- selbst im vorigen Herbste eine Partie aus Californien herstammenden und vor 7 Jahren direkt aus London bezogenen Guano’s in die Hände kam, benutzte ich diese Gelegenheit, denselben mit dem Mikroskope zu untersuchen. Ich habe wohl an 500 Analysen gemacht und dabei nicht nur die meisten der von Ehrenberg im peruanischen und afrikanischen Guano aufgefunde- nen, sondern auch noch so manche andere Formen an- getroffen, welche von ihmnicht angegeben worden sind. Daher glaubte ich den Liebhabern von dergleichen Untersuchungen einen Dienst zu erweisen, wenn ich alle bisher im Guano entdeckten Kiesel-Organismen in bildlicher Übersicht zusammenstellte, weil nur weni- gen Privat-Forschern Ehrenberg’s kostbare Mikro- geologie zugänglich sein dürfte.

In Betreff des nachstehenden, die beiden Tafeln er- liuternden Verzeichnisses habe ich zu bemerken, dass alle Namen mit einem Plus-Zeichen voran sich auf solche Formen beziehen, welche sowohl Ehrenberg, als auch ich gesehen habe, dass hingegen diejenigen mit einem Minus-Zeichen von ihm beobachtet worden, mir aber nicht zu Gesicht gekommen sind; die durch ein Stern- chen bezeichneten Formen endlich sind sclche, welche ich beobachtet habe, ihm aber nicht vorgekommen sind. Die von mir als neu angesehenen Species sind durch Cursivschrift kennilich gemacht.

Verzeichniss aller bisher im peruanischen, afrikanisehen und ,ealifornischen Guano aufgefundenen Kiesel-Organismen,

1. Actiniscus Pentasterias. + 2. Actinocyclus nonarius.

*) In den Berliner Monatsberichten vom Jahre 1845. Nur ein kleiner Theil der von ihm beobachteten Formen ist in drei Massen- Ansichten des Guano auf Tab. XXXV. À. in der Mikrogeologie ab- gebildet worden. Ich kann nicht umhin hier zu bemerken, dass man sich sehr irren würde, wollte man glauben, dass die in jenen An-

121 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 122 a ——_—_—_—_—_—__EEE PR Ne TT PC

+ 3. Actinocyclus denarius. + 23. Coscinodiseus Oculus fridis. + À. » undenarius. » Patina. Nur ein Bruchstück in » biseptenarius. der Mikrogeologie abgebildet. » septemdenarius. +- 24. Ù perforatus. » novemdenarius. +- 25. » “adiatus. » Luna. 21 Str. 26: » radiolatus. ) Ceres. 22 Str. + 27. » subtilis. » Juno. 23 Str. 26: » velatus. » Jupiter. 24 Str. Denticella Rhombus? Diese von Ehr, als in einer » Mars. 25 Str. peruanischen Guano - Probe vorge- » Venus. 30 Str. kommene, jedoch mit einem Frage- » Antares. 35 Str. zeichen versehene Form wird in der NB. Des Raumersparnisses wegen sind die letzten Mikrogeologie gar nicht erwähnt. zehn Formen, von welchen mir keine zu Gesicht gekom- | + 29. Dicladia Capreolus. . . . . . 22 1 7 , ce men ist, nicht abgebidet worden, da sie sich von den | + 30. Dictyocha abnormis. anderen nur durch die grüssere Anzahl von Strahlen 31. ? epiodon. . k 9 js £ unterscheiden. 92. ? Fibula. = ; ; + 33. Dictyopyxis cruciata. a. b. + D. Actinoptychus senarius. à. b. c. " ke < : ; : 34. Endyctia oceanica. a. b. RE » biternarius. À NE ARC ; E Ê + 35. Eunotia amphioxys. a. b rie » octonarius. GEL : L 36. » Sphaerula a. b. » denarius. APS en : +-37 Fragilaria pinnata, a. b. er GM » duodenarius. ss Te : * 38. Gallionella crenata. a. b. c. » quatuordenarius. ; —+- 39. » suleata. a. D. €. BG | » sedenarius. AS L re à ; +- 40. Goniothecium Gastridium. a. b. » vicenarius. : 41. » Navicula. a. b. NB. Auch von diesen Formen sind aus dem vorher |, 49 Grammatophora africana. angeführten Grunde nicht alle abgebildet worden. A a angulosa. * 10. Amphitetras antediluviana. + 44. » oceanica. + 11. Amphora libyea. a. b. €. + 45. » stricta. 12. Aulacodiseus Crux. #* 46. Haliomma radians. * 13. Biddulphia Cylindrus. a. b. Nov. species. * 47. Hyalodisceus laevis. + 14. Campylodiscus Clypeus. Verletzt. + 48. Mesocena binonaria. 15. Chaetoceros didymus. + 49. » bioctonaria. » Gastridium. In der Mikrogeologie | * 50. Mesocena biseptenaria. Nov. sp. nicht abgebildet. * 51. Micrasterias Boryana. Bruchstück. + 16. Cocconeis Placentula. * 52. Navicula affinis. à. b. + 17. » Scutellum. 205) » fulva. +- 18. Coscinodiseus centralis. » baltica. In der Mikrogeologie nicht A » eccentricus. abgebildet. + 20. » lineatus. a. b. —+- 54. Odontodiseus eccentricus. +21. » marginatus. +- 55. Omphalopelta areolata. + 22. » minor. +- 56. Pinnularia amphioxys. O7 » borealis. sichten dargestellten Formen alle gleichzeitig zur Beobachtung | * 58, » Crabro. (Diploneïs.) kämen; es sind nur ideale Zusammenstellungen der vereinzelt im SE 2 : = * 59, » didyma. (Diploneïs.)

Guano entgegentretender Kiesel-Organismen.

Bulletin de l’Académie impériale

124

EU "A —]— ——— —————— —’”/"”—"”"’"———……"”…”…”"—" " _—_.

123 Podosphenia euneata. In der Mikrogeologie nicht abgebildet. + 60. Stauroptera aspera. * 61. Striatella? * 62, Surirella crenata. 63. Syndendrium Diadema. + 64. Synedra Ulna. à. b. 65. Triceratium acutum. + 66. » megastomum. * 67. Triceratium spectabile. Nov. spec. a. b. Phytolitharia, +- A. Lithodontium Bursa. + B. Lithostylidiuu Amphiodon. + C. » Clepsammidium a. b. “AD? » rostratum. + E. » rude. » quadratum. Vom Zeichner über- sehen. + F. Spongolithis acicularis. à. b. FuiCr: » Anchora. QI à » Caput Serpentis. + IL. » cenocephala. K. » Clavus. # Il » dichotoma. + M. » Fustis.

* X, Craspedodiscus radiatus. Nov. sp.

Anmerkungen.

a) Zu Grammatophora stricta. Ehrenberg nennt diese Art als in dem Guano vorkommend, ohne sie zu beschreiben; auch finde ich von ihr keine Abbildung in der Mikrogeologie. Ich benannte die von mir beobach- tete Form so, indem ich mich durch den Beinamen: stricta leiten liess. b) Zu Mesocena. In der Mikroge- ologie befindet sich auf Tab. XX. I. Fig. 49. ein Ac- tiniscus heptagonus abgebildet, welcher früher von Ehrenberg unter dem Namen von Mesocena hepto- gona angeführt gewesen. Da ich nun, wie aus voran- stehendem Verzeichnisse zu ersehen ist, eine wahre Mesocena biseptenaria im Guano aufgefunden habe, dürfte jene von Ehrenberg verzeichnete Form am passendsten in Zukunft als ein Actinisceus stehen blei- ben. €) Zu Triceratium spectabile. Von dieser neuen,

sehr ausgezeichneten Art würde die Diagnose folgender- maassen lauten: Testula ampla cellulosa, lateribus levi- ter convexis, apicibus attenuatis obtusis, cellulis hexa- gonis, in centro puneto nigro insignibus, ordine paral- leli positis. Beim ersten Anblicke gleicht dieselbe sehr dem Triceratium obtusum, unterscheïdet sich aber wesentlich durch die G6seitige Einfassung der Zellen. Zur näheren Verständigung findet man ein kleines | Bruchstück von demselben stärker vergrüssert unter Figt61e0b:

Ehrenberg sagt S. 62 des Aufsatzes über Guano in den Berliner Monatsberichten: «Wenn der Guano ein Produkt der Seevügel ist, so sind diese Seethierchen our auf solche Weise in denselben gelangt, dass sie zweimal verzehrt worden sind; einmal von Würmern oder Fischen, und diese erst wurden von Vôügeln ver- zehrt. Vügel verzehren nicht direkt so viel Infusorien haltendes Wasser» u. s. w. Unter obigem «wenn» scheint mir ein Zweifel versteckt zu liegen, ob auch der Guano in der That nur Vogelmist sei, und ich muss gestehen, dass auch ich daran zweifele und der Meinung bin, derselbe habe einen andern Ursprung gehabt und sei zum Theil wohl eine neuere Bildung. Dafür dürften die vielen noch frisch gefärbten nicht zerstürten vegetabilisechen Überreste sprechen, welche das licht-gelbe Aussehn des Guano mit bedingen. Aus- nabmsweise stiess ich auch hie and da auf Eisen- glimmer und zwar in eben so zierlichen carneolfarbigen sechsseitigen Täfelchen, wie sie im Carnallit vorkom- men.

Überschauen wir nun meinen Befund und verglei- chen wir ihn mit den Angaben Ehrenberg’s, so geht hervor, dass die mir vorgelegene Guano-Sorte mehr dem afrikanischen als dem aus Peru kommenden Guano gleicht. Ich fand in ihr manche Actinocycelus-Arten, von welchen keine einzige Form in der peruanischen Probe vorkommen soll, und noch mebrere andere dort feh- lende Kiesel-Organismen, namentlich: Amphora libyca, Campylodiseus Clypeus, Cocconeis Placentula, Cosci- nodiscus minor, Dicladia Capreolus, Fragilaria pinnata und die Mesocena-Arten. Letztere sind zwar wohl durch einen lapsus calami in den angezogenen Berl. Monatsberichten als im peruanischen Guano vorkom- mend angeführt, in der Mikrogeologie jedoch in einer der Massen-Ansichten vom afrikanischen Guano abge-

ve

Bullet. de l'Acad. Imp. d. se. de St. Pét. T. XII. I. F, WEISSE. Microscopische Untersuchung des Guano. T. I.

Lith. A. Münster. St. P. V. O, 2 Lin. M7.

0 à bn À

yat Per toi 1e» :

fl 0 : É. 0, AMEN Hi 4

MA 4 , | 4

ae MONT AGENT plié ji À

Le 2 LR, ni

Bullet. de l'Acad. Imp. d. se. de St. Pét. T. XII. I. F. WEISSE. Microscopische Untersuchung des Guano. T. II.

CELICLEND RACE COECLS

CRECECCTE COTE

(AUCELE CETTE (QURUETCTET ET

COALECCCOTTOECE)

SAUCDTES OP POTT

GALL C CE

(LUCLE ELEC ET

OU RNONTT

(GECICTEITE

Lith. À. Münster. St, P. V. O. 2 Lin. M7.

LS | er Ait Si 14 \ a | u L à re 4 - * = « à { d { Are + Je = à à à: 2; æ a, AL Der era ere 7 ha mt se < ne * à dl { W LL ; ar LL Cr mal OL DAT À ya LI 17 | : : \s Û DUREE NL" el D ; La (TN dc: CEA RIT RS \ À Ù A,f * ue Or ÿ da" 1 | | LA di 1 Hits dr: Mi ÉR | NU TA E L pe, ! [ À M4 ‘: Uk “'# 4 #4 { n Le le : } A i ta” TA (vs As mai à ; D, l D 6 ( l * sig AA: NT | | pue total à "8 f A, Li dd v! | x cr 1 ' . i 1 ! | | | « 1e (] d 4 fe W } A LA : IV , r Min à 2 pe fr i 100! 1 | à 4 { si # st Puers, ï | | De: : 2 La ÿ , . LU | CR à pu 1l | Lo û u Ÿ è . H ; " L | | | Hs | 4 Û LEE: ; | (AU | tous Ange LENS |

CNE Fu CN TL ui il il ki 1% + iii

| 1 Ai \ Nr on Lot tés NY Val nr B é à e : | n : PILE 1 | T 1 » | : A d, A] È : : TE OP r ) à Lil A \! 14421 1 i Var e LEE" EE DA r «a (| ] , ji l LU AE LL Fu KE LIRE D ur PART MEL] I ul

NOR OUR 2 W At nr us ee " #

ee Ve fiteotl bi TA LOL LL ALPTIR NL JE, tes ler TL if Ur 141 D 24là tesil):

rhhrt Nu : io + | Put « 1 " L it FAN Ni n at LI TA, VO T8 4 Ai Les

0 i f [LPE : # At : À 1% NP À n LR fai { | DRE P Ceir LA t WA s' J b gi m 4 4 1 NF Ann TL TA] { 1

om Ut, at | {id

À WI El Ados Et Lu nt il 11 ÿ h 1 he à ÿ A LA # 1 # LP LL PORT ti # L'à y, ti "#: CSP LRE DUT el My} à RL fn n : | :

: | Pin (TR TL CE r Li AM: den Lt - { ‘ER ri LCR

ER NC NIE

125

bildet worden. Stammt der von mir untersuchte Guano wirklich aus Californien her, wie nach einem Schreiï- ben des Londoner Handluugshauses, von welchem er bezogen worden, nicht zu zweifeln ist, so wären nicht nur die von mir als neu erkannten Species, sondern auch noch nachstehende Formen als ihm eigenthümli- che zu nennen: Amphitetras antediluviana, Coscinodis- eus velatus, Dictyocha Fibula, Eunotia Sphaerula, Ha- liomma radians, Hyalodiseus laevis, Pinnularia Crabro und didyma, Surirella crenulata, Spongolithis Anchora, Caput Serpentis und dichotoma.

Späterer Zusatz.

Als ich vorliegenden Aufsatz bereits abgeschlossen hatte, fand ich, dass Ehrenberg in seiner Mikroge- ologie auch eines von ihm untersuchten Tripels aus Californien gedacht und von diesem eine Massen-An- sicht auf Tab. XXXIIT. XIIL. gegeben hat. Da ich dort pur einige wenige von den Formen verzeichnet fand, welche ich in dem von mir untersuchten Guano beob- achtet hatte, dagegen manche andere, die mir nicht vorgekommen waren, so sah ich mich veranlasst, noch einige Dutzend Analysen einer von einer anderen Seite erhaltenen Probe, welche aus derselben Quelie her- stammte, wie die erste, zu machen. Dabei entdeckte ich ausser den meisten schon von mir verzeichneten Formen noch einen hüchstauffallenden Kôrper, welcher mir am passendsten zu der von Ehrenberg aufgestell- ten Gattung: Craspedodiseus zu gehôren schien. Ich gebe ihm den Beinamen: radiatus, weil der Randsaum, welcher bei den übrigen Arten aus kleinen Zellen be- steht, hier dicht schraftirt erscheint. Auf Tab. IE Fig. X findet man ibn abgebildet.

Vorschläge zu einer weiteren Vervollkommnung der Spiegelinstrumente; von W.Dôllen,Astro- nomen an der Nikolai-Hauptsternwarte. (Lu le 6 juin 1867.)

Das Spiegelinstrument im Allgemeinen und ins Be- sondere der Pistor-Martins’sche Patentkreis besitzt neben den Eigenschaften, die ihn dem Seemann gra- dezu unentbehrlich machen, auch für die geographi- sche Ortsbestimmung auf dem festen Lande eigen- thümliche' Vorzüge vor allen andern Instrumenten, die hierbei etwa noch in Betracht kommen künnten.

des Sciences de Saint. Pétersbourg.

126

{ So wird es, um bei dem stebhn zu bleiben, was uns am nächsten liegt, namentlich in Russland noch lange Jahre hindurch weite Strecken geben, in denen der reisende Astronom ganz und gar auf dieses Instrument sich angewiesen sieht, und wir sind also bei jeder Steigerung seiner Leistungsfähigkeit ganz unmittel- bar betheiligt. Diese Steigerung aber durch eine Ver- stärkung der optischen Kraft erlangen zu wollen, ist nicht statthaft; und das nicht blos deshalb, weil da- durch das ganze Instrument auch grüsser und schwe- rer, und also lästiger für den Transport und unbe- quemer für die Beobachtung selbst werden würde, sondern vielmehr deshalb, weil schon jetzt, so gering die optische Kraft ist, dennoch die schliessliche Ge- vauigkeit der Ergebuisse lange nicht an die durch dieselbe gebotene Grenze hinanreicht. Es wäre in der That kein geringer Fortschritt, wenn es gelingen sollte, mit Sicherheit immer das zu erreichen, worauf die Übereinstimmung der einzelnen Bestimmungen jeder Beobachtungsreihe ein Recht giebt; ein jeder Beob- achter weiss aber nur zu gut, wie weit man, selbst unter günstigen Umständen, von dieser Grenze ent- fernt bleibt. Der unbefriedigende Erfolg beruht eben auf ganz andern Ursachen.

Diesen Ursachen weiter nachzuforschen und den erkaunten Übelständen, wenn müglich, abzuhelfen, ist seit lange mein Wunsech gewesen; und als ich im Mai des verflossenen Jahres den mir zur Wiederherstel- lung meiner Gesundheit bewilligten Urlaub antrat, gab ich der Hoffnung Raum, dass es mir vielleicht môglich sein würde, die bevorstehende Musse zu wei- teren Untersuchungen auf diesem Gebiete zu be- nutzen, indem ich mir ganz speciell die Frage stellte, ob es nicht gelingen solle, den Spiegelinstrumenten unter Bewahrung der grossen Vortheile, die die von Pistor und Martins gewählte Form unleugbar dar- bietet, einen noch merklich hühern Grad von Voll- kommenheit zu verleihen. Die wesentlichste Bedin- gung für die Erlangung dieses, wie oben bemerkt, in praktischer Beziehung überaus wichtigen Zieles ist ohne Zweifel die Herstellung eines müglichst unver- änderlichen Instruments; und grade in dieser Hinsicht scheint wirklich der heutige Bau des Prismenspiegel- kreises einer entschiedenen Verbesserung fähig zu sein. Es handelte sich für mich zunächst nun darum, ob Hr, Martins geneigt sein würde, gewisse Verän-

127

Bulletin de l'Académie Impériale

128

EE EE EE

derungen, die mir vor allem geboten schienen, an einem Instrumente auszuführen, das sodann Gegen- stand meiner weiteren Untersuchungen werden kônnte. Leider erlaubte mir mein Gesundheitszustand, verbun- den mit der grade damals ungewühnlich rauhen Witte- rung, wWährend meiner ersten Durchreise durch Berlin nicht, mit Hrn. Martins persünlich Rücksprache zu nehmen, und ich danke es lediglich der so oft erprob- ten freundlichen Vermittelung Professors Foerster, dass mir ein Instrument zugesagt wurde, an welchem meinen Wünschen müglichst Rechnung getragen sein sollte. Auf meine Mittheilung hierüber an den Hrn. Director der Hauptsternwarte entschied derselbe, dass das Instrument nebst Stativ für Rechnung der Stern- warte angekauft werden solle, und erwirkte mir über- dies eine Geldunterstützung, die mich in den Stand setzte, meinen Winteraufenthalt so zu wählen, dass die gebieterische Rücksicht auf meine Gesundheiït nicht die Müglichkeit der zu den beabsichtigten Untersu- chungen erforderlichen Beobachtungen ausschloss. Und da nun auf diese Weise meiner Beschäftigung in ge- wisser Beziehung ein amtlicher Charakter gegeben worden, so erfülle ich nur eine Pficht, wenn ich im Folgenden einen kurzen Bericht über den Verlauf derselben abstatte.

Der in Folge der politischen Ereignisse während des vergangenen Sommers vielfach gestürte Verkehr in Deutschland wurde Ursache, dass ich erst im Laufe des October in den Besitz des für mich bestimmten Instrumentes gelangte; und da mittlerweile mein Ent- schluss, für den Winter nach Algier hinüberzugehen, zur Reife gediehen war, so verzichtete ich darauf, schon vorher die eigentliche Arbeit zu beginnen, und be- gnügte mich, die Überzeugung zu erlangen, dass im Wesentlichen alles in Ordnung sei. Bei der Durch- reise durch Genf kaufte ich mir ein Aneroidbarometer nebst Thermometer und in Marseille einen künstlichen Horizont, rectanguläre Quecksilberschale mit Marien- glasbedeckung; und da ich ausserdem ein Taschen- chronometer bei mir führte, das mir Hr. Kortazzi für diese Reise zur Benutzung überlassen hatte, s0 glaubte ich mich hinreichend ausgerüstet, um wenig- stens über einige Dinge ins Reine zu kommen.

Ich will nun aber gleich hier anführen, dass dieses Chronometer leider sehr bald als ungenügend erkannt wurde, indem die täglichen Ânderungen seines tägli-

F

chen Ganges zuweilen 5 und 6 Secunden erreichten. Nun stellte mir zwar der Director der Kaiserlichen Sternwarte in El Biar bei Algier, Hr. Bulard dem ich überhaupt zum wärmsten Danke verpflichtet bin für die bei jeder Gelegenheit während der ganzen Zeit meines Aufenthalts daselbst mir erwiesene grosse Freundlichkeit und vielfache Unterstützung bereit- willigst eins der Boxchronometer der Sternwarte zur Verfügung; aber auch dieses zeigte, wenngleich einen viel bessern Gang als mein Taschenchronometer, doch keinen so regelmässigen, dass ich dem ursprünglichen Plane meiner Beobachtungen hätte treu bleiben dür- fen. Dieser Plan bestand nämlich in der Kürze darin, durch fortlaufende Reïhen correspondirender Sonnen- hôhen Stand und Gang des Chronometers zu bestim- men, und mit Hilfe des auf solche Weise jederzeit bekannten Stundenwinkels die absoluten Hühen her- auszurechnen und mit den wirklich gemessenen zu vergleichen. Unter der Breite von Algier ändert sich aber in der Nähe des ersten Verticals die Doppelhôühe in jeder Zeitsecunde um 24 Bogensecunden; ist also der Stundenwinkel nicht bis auf 0;1 sicher, so kann die Dop- pelhôhe nicht bis auf 2/4 verbürgt werden, und wenn dies auch für die einzelne Beobachtung eineGrôsse ist, die, nicht besonders ins Gewicht fällt, so ist das doch, wie die Erfahrung lehrt, keineswegs der Fall für eme Reihe guter Beobachtungen. Es war demnach die For- derung, mit Hilfe des Chronometers den Stundenwinkel jederzeit bis auf die Zehntelsecunde richtig zu erhal- ten, durchaus keine übertriebene; sie wurde aber beï weitem nicht erfüllt, und es waren also auf diesem Wege jedenfalls nur angenäherte Ergebnisse zu er- langen.

Dazu kam ein andrer Umstand, der ebenfalls der Absicht, die Hauptuntersuchung auf Tagesbeobach- tungen zu gründen, hindernd in den Weg trat. Die Wohnung, in der ich Unterkommen gefunden, ent- sprach besser den sanitätlichen, als den astronomi- schen Anforderungen. Die Villa Lagier, zu dem in raschem Aufblühn begriffenen Hamma gehôrig, liegt üstlich von der Stadt Algier, dem herrlichen jardin d’essai gegenüber, mitten in einer grossen Garten- anlage, auf zwei Drittel etwa des Abhangs, der sich gegen Norden von der Hôhe des Sahel zum Meere hinabsenkt. Dem für den weitaus grüsseren Theil des Jahres vorherrschenden Bedürfniss nach Schatten war

129

des Sciences de Saint- Pétersbourg.

130

so reichlich Sorge getragen, dass ich nur auf dem flachen Dache eines zur Zeit unbewohnten Neben- gebäudes einigermaassen freien Himmel hatte. Aber auch hier verschwand mir in den kürzesten Tagen die Sonne schon um 2 Uhr Nachmittags hinter der gegen SS W. am hüchsten aufsteigenden Hügelkette; und als gar Ende Januar auch dieses Haus Einwohner erhielt, musste ich auf Beobachtungen am Tage so gut wie ganz verzichten. Andrerseits machten sich bei den Beobachtungen während der Nacht alle die Rücksich- ten geltend, die ich für meine Gesundheit zu nehmen hatte und deren Hintansetzung gewiss sebr bald an der Sache selbst sich gerächt haben würde.

Obgleich ich somit auf das geeignetste Mittel zur Erlangung klarer Einsicht in die Eigenthümlichkeit des Instruments, nämlich auf zusammenhängende, systematisch angeordnete und längere Zeit fortge- setzte Beobachtungsreihen verzichten musste, so glaube ich doch auch durch das, was mir zu thun môglich gewesen ist, dem vorgesetzten Ziele einige wichtige Schritte näher gekommen zu sein. Ich habe nämlich eine sichre Anschauung darüber gewonnen, was mit dem Instrumente, wie es jetzt ist, bei richti- ger Behandlung und unter günstigen Umständen über- haupt erreichbar ist; und bin sodann zu einer Ent- scheidung darüber gelangt, welche Ânderungen am Iustrumente ich zunächst vorzuschlagen habe, um jeue Bedingung der günstigen Umstände, in Bezug auf welche der reisende Beobachter meistentheils eine nur sebr beschränkte Gewalt hat, auf ein müglichst kieines Maass zurückzuführen, den Beobachter also von diesen Umständen môüglichst unabhängig zu machen.

Was den ersten Punkt betrifft, so wird das Ergeb- niss, zu dem ich gelangt bin, vielleicht einige Über- raschung hervorrufen. Ich wage kaum es auszu- sprechen, und doch zeigen meine Beobachtungen auf zwingende Weise, dass es môglich ist, mit einem Pistor-Martins’schen Patentkreise der grüsseren Dimension, in der Zeit von etwa 40 Minuten eine Breitenbestimmung zu machen, deren wahrscheinli- cher Fehler nicht grüsser als 1” ist wahrlich aller Ebren werth für ein Instrument, das ein Fernrohr hat von 9 Linien Offnung (die sich aber noch auf zwei Objecte vertheilen) mit nur 12maliger Vergrüsse- rung, und einen Kreis, auf dem der Vernier 10° giebt! Für den mit der Sache aus eigner Erfahrung

Tome XII.

Vertrauten schwindet aber das Überraschende, sobald man sich erinnert, dass, so gering dieser wahrschein- liche Fehler ist, er doch keiner grüsseren Genauig- keit entspricht, als von jedem einigermaassen geübten Beobachter verhältnissmässig leicht erreicht wird, so lange man nämlich nur die Übereinstimmung der ein- zelnen Bestimmungen derselben Reiïhe in Betracht zieht. Dass es mir nun aber, wie ich glaube, gelungen ist, auch die Bestimmungen verschiedener Abende, trotz der Veränderungen, die inzwischen am Instru- mente vorgekommen und zum Theil absichtlich vor- genommen, eben so gut unter einander stimmen zu machen, ist ein Beweis, dass die bei der Anordnung der Beobachtungen beabsichtigte Fehlerelimination wirklich so gut wie vollständig erreicht gewesen. Und in dieser Beziehung war der Erfolg mir keineswegs unerwartet. Bei den erwähnten Polhühenbestimmun- gen beruht nämlich das Ergebniss jedes Abends auf der Verbindung einer Reihe von Circummeridian- hühen des Sirius mit einer Reïhe von Hühen des Po- larsterns, der eine halbe Stunde etwa nach der Cul- mination von Sirius vom ÿScheitel meines Beobach- tungsortes genau eben so weit nach Norden absteht, als Sirius nach Süden. Es kommt demnach der ganze Vortheil der correspondirenden Hühen zur Geltung, our noch mit dem weiteren wesentlichen Vorzuge ei- ner sehr geringen Zwischenzeit: und diesen Vorzug babe ich in der letzten Zeit noch dadurch zu steigern gesucht, dass ich die Beobachtungen des Sirius zwi- schen zwei Reïhen von Polarisbeobachtungen ein- schaltete. Und wenn ich nun hinzufüge, dass diese Beobachtungen sämmtlich vom Stative aus gemacht sind, zum Theil weil ich so merklich genauer beob- achte, hauptsächlich aber weil dadurch viel sichrer jede Stürung im Jedesmaligen Zustande des Instru- ments vermieden wird zu welchem Zwecke ich auch beim Übergange von den Süd- zu den Nord-Beobach- tungen das Instrument auf seinem Platze beliess und our den künstlichen Horizont auf die andre Seite hin- übertrug, und endlich darauf aufmerksam mache, dass es säimmtlich Nachtbeobachtungen sind, bei denen also auch die schädlichen Wirkungen ungleicher Er- wärmung durch die Sonnenstrahlen wegfallen; so wird man vielleicht nicht mehr den Kopf schütteln zu mei- ner Behauptung, dass die mit einem Pistor-Mar- tins’schen Patentkreise aus Beobachtungen an 5 Aben- 9

Bulletin de l’Académie Impériale

132

mm ——————— ——

den erlangte Polhühe der Villa Lagier au Hamma près Alger 36° 444470 wirklich keinen grüsseren wahr- scheinlichen Fehler hat als & 0/5.

Âhnliche Resultate kônnen nun erlangt werden für die Zeitbestimmung durch das Beobachten gleicher Sternhühen in gleichen Azimuthen vor und nach dem Ost- und West-Verticale, und für die Längenbestim- mung durch Verbindung von Mondhôhen mit ent- sprechenden Sternhühen; und ich will hier nur be- merken, dass bei keinem Objecte die Beobachtung an und für sich einen solchen Grad von Genauigkeit hat, wenigstens für mich, wie grade beim Monde, so dass, meiner Ansicht nach, unter günstigen Umständen ge- messene Mondhühen bei weitem das beste Mittel dar- bieten der absoluten Längenbestimmung durch den Reflexionskreis. Ich habe natürlich auch dergleichen Beobachtungen eine nicht geringe Zahl gemacht, eben- so wie Zeitbestimmungen durch Sterne; ich kann mich aber auf die dabei erlangten Resultate vor der Hand nicht weiter berufen, da, abgesehen von der Überein- stimmung der einzelnen Bestimmuangen jeder Reihe unter einander, alle weiteren Schlüsse abgeschnitten werden, bei den Zeitbestimmungen durch die Fehler der Uhr, und bei den Längen durch die Fehler des angenommenen Mondorts. Die letzteren aber werden mit der Zeit bekannt werden und sich in Rechnung bringen lassen, und dan» zweifle ich gar nicht, auch für die Länge Resultate aufweisen zu kônnen, die den oben angeführten Polhühen durchaus ebenbürtig sind.

Dies alles ist nun ohne Zweifel sehr erfreulich; so sehr, dass es auf den ersten Blick bedenklich erschei- nen künnte, an einem Instrumente, das so Vorzügliches leistet, noch wieder Ânderungen vornehmen zu wol- len. Und doch sind es eben diese Beobachtungen, die die Berechtigung zn solchem Verlangen erst recht begründen. Neben den angeführten Resultaten erga- ben dieselben nämlich aufs deutlichste, nicht nur dass Jeder Beobachtungsreihe für sich sehr erhebliche con- stante Fehler anhaften, sondern auch dass diese Feh- ler, trotz der aufmerksamen und vorsichtigen Behand- lung, die ich dem Instrumente angedeihen lassen konnte, Ânderungen erleiden, die jeden Schluss von einem Tage zum andern sehr unzuverlässig machen. Es muss demnach unser ganzes Streben dahin gerich- tet sein, wenn nicht jeder einzelnen Bestimmung, doch einem solchen Complexe, wie auch der reisende

Beobachter bei einiger Umsicht jedes einzelne Mal sich schaffen kann, den môglichst hohen Grad von absoluter Genauigkeit zu verleihen. Die Hoffnung aber, dass in dieser Beziehung ein bedeutender Fort- schritt verhältnissmässig leicht zu erzielen sein würde, stützt sich auf folgende Betrachtungen.

Nimmt man die prismatische Gestalt des bewegli- chen Spiegels aus, so führen diejenigen instrumentel- len Fehler, deren Einfluss auf den gemessenen Win- kel von der Grüsse dieses Winkels selbst abhängig ist, allesammt nur zu Correctionseliedern zweiter Ord- nuug; wohingesen der Indexfehler, der allein mit sei- nem vollen Werthe in die Bestimmungen eingeht, für alle gemessenen Winkel derselbe bleibt. Nun ist auf die tadellose Gestalt des Spiegels schon aus andern Gründen môglichste Sorgfalt zu wenden; nämlich um der Stürung willen, die durch eine merkliche Abwei- chung vom Parallelismus beider Flächen des Spiegels die Bilder aller Objecte erleiden würden. Wäre aber eine kleine Unvollkommenheit in dieser Beziehung nachgeblieben, so würde sie, da sie ihrer Natur nach ab- solut constant ist, ein für allemal bestimmt und ihr Einfluss auf den gemessenen Winkel durch eine Cor- rectionstafel vollständig unschädlich gemacht werden kônnen. Andrerseits ist der Einfluss in der Stellung des Spiegels, oder des Prisma, oder des Fernrohrs gegen die Ebene des Kreïses, so lange dabei gewisse Grenzen, wir wollen sagen bis 2 Minuten, nicht über- schritten werden, geradezu unmerklich für alle Win- kel, die man überhaupt noch zu messen sich erlauben darf. Und was endlich den Indexfehler betrifft, so fehlen weder bei Tage noch bei Nacht die Mittel, ïhn entweder direct zu bestimmen, oder seinen Einfluss zu eliminiren.

Es reducirt sich demnach die ganze Frage im We- sentlichen darauf, ob es nicht môglich sein sollte, ein Spiegelinstrument herzustellen, untadelhaft in opti- scher Beziehung und dabeï, ohne erhebliche Vermeh- rung der Schwere im Ganzen, von solcher Steifigkeit und so fester Verbindung der Theile unter emander, dass nicht nur an Ort und Stelle in verschiedenen Lagen des Instruments, soudern auch auf längeren Reisen die geometrischen Bedingungen immerfort in- nerhalb der bezeichneten Grenzen erfüllt blieben.

Ohne der Beantwortung dieser Frage mit zu gros- ser Zuversicht vorzugreifen, glaube ich doch so viel

133

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

134

sagen zu dürfen, dass die Aussicht auf einen günsti- gen Erfolg gross genug ist, um einen ernstlichen Ver- such als eine wahre Pflicht erscheinen zu lassen. Dass die oben erwähnten, auf meinen Wunsch ausgeführ- ten Ânderungen an einem schon fertigen Instrumente den Erwartungen nicht entsprochen haben, darf offen- bar von einem neuen Versuche nicht abschrecken; und nach den wiederholten Besprechungen, die ich bei meiner letzten Anwesenheit in Berlin mit Hrn. Martins über den Gegenstand gehabt habe, darf ich hoffen, dass Hr. Martins selbst sich bereit finden wird, mir seine Hilfe dazu zu leihen. Von welcher Bedeutung das für die Sache sein würde, bedarf wohl keiner weitern Auseinandersetzung. Es handelt sich ja um einen sehr tiefen Eingriff in den Bau des gan- zen Instruments, und wenn man aus Erfahrung weiss, welche Umsicht erforderlich ist, selbst bei scheinbar geringfügigen Ânderungen, damit der mit gutem Grunde erwartete Gewinn an einer Stelle nicht wieder einge- büsst werde an einer andern, so erkennt man leicht, dass der wirkliche Erfolg ganz wesentlich dadurch bedingt wird, wie weit es gelingt, den Künstler selbst für die Sache zu gewinnen.

Ich will nun in allgemeinen Zügen die Ânderungen namhaft machen, deren Ausführung ich für nothwen- dig oder wünschenswerth erachte.

Den ersten Platz weise ich dabei der Forderung an, alle Correctionsschrauben, alle ohne Ausnahme, wegfallen zu lassen, um die Theile, auf deren gegen- seitige Stellung es ankommt, in den môglichst innigen Verband mit einander zu setzen. Es scheint mir dies in der That so wichtig, dass ich darin allein schon einen bedeutenden Fortschritt erblicken würde. Hr.Martins macht dagegen geltend, dass dadurch die Herstellung des Instruments ausnehmend erschwert werde, ohne dass doch, wenn es nun gelungen, den verlangten Grad der Berichtigung wirklich zu erreichen, das Fortbe- stehen desselben in verschiedenen Lagen des Instru- ments und nun gar auf Reisen verbürgt werden künne. Ist dies wirklich der Fall, so würde ich freilich be- kennen müssen, in einem argen Irrthum befangen ge- wesen zu sein. Ich bin nämlich ganz ernsthaft der Meinung, dass die vorgeschlagene Vereinfachung des Instruments grade eine Erleichterung für die Herstel- lung zur Folge haben würde, und dass die für die Be- richtigung gestattete Grenze weit genug bemessen sei,

um natürlich nicht beim ersten Exemplare, wohl aber wenn einmal alle erforderlichen Einrichtungen getroffen worden beim Zusammensetzen des Instru- ments alles weitern Aneinanderpassens und Nachhel- fens ganz und gar überhoben zu sein, Aber selbst, wenn sich dies nicht in dem Maasse bestätigen sollte, als ich geglaubt habe, so wäre das doch immer nur eine Kostenfrage; und in ähnlicher Weise würde auch, wenn man die Kosten nicht scheuen wollte, eine be- deutende und hoffentlich hinreichende Erhôhung der Steifigkeit des ganzen Instruments erlangt werden kôünnen durch die Wahl eines andern Materials, etwa Aluminiumbronce. Darüber aber wird, denke ich, kaum eine Meinungsverschiedenheit Statt finden, dass neben einer wirklichen Erhühung der Brauchbarkeïit und Zu- verlässigkeit des Instrumentes eine Erhühung des Prei- ses, selbst wenn dieselbe nicht unerheblich sein sollte, gar nicht in Betracht kommt. In der That, wenn auch das Instrument statt 100 Thaler künftig 150 kosten sollte, so wäre meistentheils der Unterschied doch gradezu verschwindend neben dem Aufwande, den die sonstige Ausrüstung eines Reisenden für geographische Zwecke und noch mehr das Hingelangen an den Ort des Beobachtens in Anspruch nimmt.

Bei einem Reiseinstrument ist nun aber die zweck- mässige Verpackung offenbar ein Gegenstand von kaum geringerer Bedeutung als selbst die gelungene Her- stellung; und es wird dieselbe desto wichtiger und zu- gleich schwieriger, je grüssere Anforderungen an die Constanz des Instruments gemacht werden. An der bisher üblichen Verpackung habe ich vornehmlich zwejierlei auszusetzen, nämlich dass das Instrument beim Hineinlegen wie beim Herausnehmen an Theïilen gefasst werden muss, die besser unberührt bleiben, und dass die Wände des Kastens selbst die Stützpunkte für das Instrument abgeben. Es scheint mir nothwen- dig, dass auch hier, wie bei allen andern feineren In- strumenten, die Verpackung gegen ein besondres Brett geschehe, für welches der Kasten nur die Hülle bil- det, und dass dabei das Instrument immer nur an der auch beim Beobachten dienenden Handhabe gefasst zu werden brauche. Und künnte vielleicht eben dieses Brett auch zur Aufnahme des Instruments dienen, wenn man dasselbe, wie beim Beobachten ohne Stativ oft er- forderlich wird, aus der Hand stellen will, so wäre

der Gewinn ein doppelter. Dabei würde es mir zweck- 9*

135

mässig scheinen, den Kasten ausdrücklich darauf ein- zurichten, immer mit einer Hand und in verticaler Lage der Kreisebene getragen werden zu kôünnen, weil das beim Transporte, namentlich in schwerer zugäng- lichen Gegenden, auch jetzt schon oft genug vorkommt.

Die Beobachtung vom Stative gewährt an Genauig- keit des Beobachtens und an Sicherheit für das In- strument so entschiedene Vorzüge, dass man überall, wo dieselbe statthaft ist und ein môüglichst genaues Resultat angestrebt wird, die kleine Mühe der erfor- derlichen Vorbereitung nicht scheuen sollte. Das Vor- urtheil gegen den Gebrauch des Stativs gründet sich auf die frühere weniger bequeme Construction dessel- ben. Mit einem Stative, wie es mir zu meinem [Instru- mente geliefert war, wird sich jeder Beobachter leicht befreunden und sehr bald den grossen Gewinn zu schätzen lernen, den namentlich die Nachtbeobach- tungen dadurch erlangen, dass alles Umhersuchen nach den Objecten und jede Gefahr eines Irrthums beseitigt ist. In dieser Beziehung ist aber neben der bekann- ten Knorre’schen Libelle an dem Alhidadenarm noch eine weitere Libelle, zur Versicherung über die ver- ticale Lage der Kreisebene, eine wesentliche Zu- gabe; letztere kann jedoch, wie ich von Hrn. Mar- tins gelernt habe, auch mit dem Stative verbunden werden und wird, schon seit einiger Zeit, auf Verlan- gen mit demselben geliefert. Damit nun aber das Sta- tiv seine vollen Dienste leisten künne, ist es ganz un- erlässlich, die Art und Weise der Befestigung des In- struments auf demselben zu ändern. Jetzt befindet sich in der Handhabe des Instruments ein Schrauben- gewinde, in das die Spindel am Ende der Stativaxe hineinpasst. Die Operation des Aufschraubens ist aber eine so wenig bequeme und sichre, dass sie eine wirk- liche Gefahr für das Instrument darbietet; und das wiederholt sich beim Abschrauben, weil die Schraube sehr fest angezogen werden muss, um an der Hand- habe selbst die Drehung um die Stativaxe ausführen zu künnen. Endlich erleidet dadurch auch die Stellung des Gegengewichts am Stativ, die wegen der unsym- metrischen Massenvertheilung am Instrument eine ganz bestimmte sein muss, immerfort Stürungen. Auf alle diese kleinen Übelstände genügt es aber aufmerksam gemacht zu haben; die Mittel zu ihrer Beseitigung finden sich leicht auf mehr als eine Weise.

Dasselbe gilt von einer Bemerkung, die ich in Be-

Bulletin de l’Académie Impériale

136

zug auf den Vernier zu machen habe. Die übliche Einrichtung des Doppelverniers ist nicht nur unter allen Umständen unnütz, sondern häufig gradezu stô- rend und schädlich. Schon das Ablesen des zweiten, um 180° abstehenden, Index geschieht nur, um die jedesmalige Excentricität zu eliminiren, und keines- wegs, um die Genauigkeit der Ablesung an und für sich zu erhôhen. Käme es darauf an, so würde eine feinere Theilung und stärkere Loupe viel wirksamer sein. Es kommt aber gar nicht darauf an, und so wäre also das Ersetzen des zweiten Verniers auf jedem der beiden Alhidadenarme durch ein Paar Theiïlstriche jen- seits der Null nicht nur eine Erleichterung für die Her- stellung, sondern ein entschiedener Gewinn für den Gebrauch des Instruments. Dahingegen wäre vielleicht eine erhühte Sorgfalt in der Herstellung der Klemme und feinen Bewegung von praktischem Werthe. Es ist nicht zu vermeiden, dass der Kreis in anderer Lage abgelesen wird, als in welcher die Beobachtung stattgefunden, und da ist dann immer Gefahr vorhan- den, dass die Feder, die allein die unveränderte Lage des Index gegen die Theïlung verbürgt, dies nicht voll- kommen leistet. So wie es jetzt ist, hat der Beobachter stets darauf zu achten, dass diese Feder immer gehô- rig gespannt bleibe, was aber bei Beobachtungsreihen mit abnehmenden Winkeln doch nur zu leicht verges- seu wird. Auch hiergegen findet sich die Abhilfe leicht, wenn man die an andern feineren Instrumenten ge- bräuchlichen Einrichtungen benutzen will; man muss our erst die Überzeugung gewonnen haben, dass die grôssere Mühe keine verlorene ist.

Dieses führt nun aber zu weiteren Wünschen und Vorschlägen, die ich bisher absichtlich unberührt ge- lassen habe. Alles nämlich, wovon bis jetzt die Rede gewesen, scheint mir eine so unzweifelhafte Verbes- serung des Instrumentes, dass ich die sofortige Ausfüh- ruug für geboten halte, auch wenn damit das letzte Ziel noch nicht erreicht sein sollte. Daneben aber habe ich noch manche andere Wünsche, für die ich freilich nicht eben so unbedingt einzutreten im Stande bin, die mir aber doch hinreichend begründet schei- nen, um einen Versuch damit zu wagen; und natürlich wäre ein solcher Versuch am geeignetsten dann vorzu- nehmen, wenn man einmal zu Ânderungen am Instu- ment überhaupt sich entschlossen hat. Ich will nun aber nicht verschweigen, dass gerade in Bezug auf diese

137

des Sciences de Saïint-Pétersbourg.

1358

weiter gehenden Eingrifte es mir noch nicht gelungen | ist, die Zustimmung von Hrn. Martins zu gewinnen. Dies darf weder befremden noch entmuthigen; denn eine abwehrende und môüglichst conservative Haltung des Künstlers ist nicht nur vollkommen berechtigt durch die täglich sich wiederholende Erfahrung, wie leicht das vorhandene Gute dem môglichen Bessern vergeblich zum Opfer gebracht wird, sondern kann bis auf einen gewissen Punkt der Sache selbst nur zuträglich sein. Die Hoffnung aber, schliesslich doch noch zu einem Einverständniss zu gelangen, habe ich so wenig aufgegeben, dass ich vielmehr alle meine Vorschläge überhaupt nur als eine Anregung betrachte, von der ausgehend Hr. Martins uns ein Instrument liefern wird, das wohl noch wesentlich anders gestaltet sein wird, als ich es mir jetzt denke. Und von diesem Gesichtspunkte aus wünsche ich auch das Folgende betrachtet zu sehen, da ich sonst Ursache hätte mit der Mittheilung desselben noch viel vorsichtiger zu sein.

Unter den verschiedenen Ursachen zu constanten Fehlern unseres Instruments spielen auch optische Un- vollkommenheiten eine nicht unwichtige Rolle; eine Jede solche kann nämlich Veranlassung werden, dass der Beobachter das Object, und zwar terrestrische Objecte nicht minder als Sterne, oder die Ränder von Sonne und Mond, das eine Mal anders auffasst als das andere Mal. Die rechte Beschaffenheit von Spiegel, Prisma und Objectiv ist deshalb eine ganz wesentliche Bedingung eines guten Instruments. Bei aller Aner- kennung nun der Sorgfalt, die Hr. Martins diesen Theiïlen zuwendet, indem jedes einzelne Stück einer strengen Prüfung, zuerst für sich und sodann auch in der für jedes Instrument gewählten Zusammenstellung, unterworfen wird, kann ich doch nicht den Wunsch unterdrücken, dass auch in dieser Beziehung die Rück- sicht auf etwa erhôübte Kostspieligkeit nicht Veranlas- sung werde zu einer Herabstimmung der Forderun- gen. Dass es müglich sei, eine geradezu tadellose Ver- glasung zu beschaffen, kann nicht wohl bezweifelt wer- den, wenn man bedenkt, was an andern Instrumentenr mit sehr viel grüsserer optischer Kraft erreicht wird; und es will mir scheinen, als ob auch hier die auf eine môglichst vollkommne Herstellung der einzelnen Theile verwandte Mühe wieder eingebracht werden würde durch den Wegfall jedes weiteren Aussuchens und Abgleichens. Eine Grenze der zulässigen Abwei-

chung von strenger Erfüllung der Forderungen in Be- zug auf Homogeneität der Gläser und richtige Gestalt ist hier nicht eben so leicht anzugeben, wie oben in Bezug auf die gegenseitige Lage der verschiedenen Theiïle; es muss eben die Forderung geltend gemacht werden, dass bei der zur Anwendung kommenden op- tischen Kraft durchaus keine Abweichung zu spüren sei, wovon natürlich nur eine Prüfung mit stärkerer Vergrüsserung die Versicherung geben kônnte.

Neben dieser allgemeinen Forderung will ich aber doch auf zwei Punkte noch besonders hinweisen, die mir in der bisherigen Praxis nicht hinreichend beachtet scheinen. Sind bei dem Prisma die Neigungswinkel der beiden Kathetenflächen gegen die Hypotenusenflä- che einander nicht vollkommen gleich, so hat dies auf die Messung an und für sich freilich keinen Einfluss, indem es gewissermaassen nur den Winkel der opti- schen Axe gegen das Prisma ändern würde; gewiss aber leidet die Güte der durch ein solches Prisma vermittelten Bilder, indem ein Theil der Farbenzer- streuung nachbleibt, Und etwas Âhnliches wird eintre- ten, wenn bei der Berichtigung des Prisma nur die Hypotenusenfläche und nicht auch die Kathetenflä- chen, also die Kanten, senkrecht gegen die Kreisebne gestellt werden. Dass dadurch wirklich an Schärfe des Bildes eingebüsst wird, davon hat man Gelegen- heit sich zu überzeugen, wenn man bei grüsseren In- strumenten mit gebrochenem Fernrohr einen etwaigen Collimationsfehler durch ein Neigen des Prisma zu corrigiren sich erlaubt und nicht, wie es allein ge- schehen sollte, durch ein Verschieben desselben, paral- lel mit sich selbst, in der Richtung der optischen Axe des Objectivs, damit jedenfalls die Kathetenflichen vom eintretenden wie vom austretenden Strahl senk- recht durchschritten werden.

In dieser Beziehung ist nun aber die Aufstellung des Prisma im Pistor-Martinsschen Patentkreise überhaupt eine sehr ungünstige, indem beim Eintritt sowohl wie beim Austritt der Lichtstrahl sehr starke Brechung erleidet. Dies ist jedoch durchaus keine nothwendige Folge der aus andern Gründen vortheil- haften oder geradezu erforderlichen Anordnung der Theile; man brauchte eben nur dem Prisma selbst eine andere Gestalt zu geben, die bedingt wird durch den Winkel, den die spiegelnde Fläche desselben ge- gen die optische Axe des Fernrohrs bilden soll. Be-

139

trägt dieser Winkel 15’, schen Patentkreise sehr nahe der Fall ist, so wäre ein Prisma, dessen Querschnitt ein gleichschenkliges Drei- eck bildet mit Winkeln von je 72° an der Basis und 36° an der Spitze, dasjenige, bei welchem, wenn es sonst richtig gestellt ist, gar keine Brechung Statt finde. Ich bin geneist die Einführung eines solchen Prisma für eine merkliche Verbesserung des Instru- ments zu halten; Hr. Martins aber hat verschiedene Bedenken dagegen erhoben. Er sagt: «Æin solches Prisma würde eine um die Hälfte längere spiegelnde Seite erfordern als ein rechtwinkliges, bei gleicher Lichtüffnung. Es würde dasselbe so lang werden wie ein Spiegel, also eben so lang wie der Alhidadenspie- gel. Damit fällt die ganze Construction über den Hau- fen, deren Mangel schon jetzt darin besteht, dass das Fernrohr so weit herausrückt; dies ist jedoch ein un-

vermeidlicher Mangel und muss schon mit in den Kauf |

genommen werden. Aber es fehlt nicht nur an Raum, auch die grüssere Schwere, der längere Weg durch

Bulletin de l'Académie Impériale

die Glasmasse und der mehr als doppelte Preis sind

wichtige Momente; die grüssere Glasmasse verschluckt nicht nur mebr Licht, sondern ist auch viel weniger homogen kurz: die Nachtheile werden durch die Vortheile nicht aufgewogen.» Nun ich habe oben schon gesagt, dass ich diese Meinung nicht theile, auch nicht nach reiflicher Erwägung der angeführten Bedenken. Ob das zu verwendende Prisma 5 Thaler oder 10 oder 15 kostet, ist von gar keiner Bedeutung, und dass man, ich môüchte fast sagen beliebig grosse, Glasmas- sen finden kann, bei denen eine 12malige Vergrüsse- rung auch keine Spur eines Mangels an Homogeneität zu entdecken vermüchte, ist wohl nicht zu bezweifeln. Ob die Vergrôsserung des Verlustes an Licht durch den längeren Weg im Glase nicht mehr als aufgewo-

gen wird durch die Verminderung des Verlustes beim | Durchschreiten der beiden Durchgangsflächen, wird

zumeist von der Beschaffenheit des Glases abhängen; bleibt also nur die grüssere Schwere und der Mangel an Raum. Das erstere muss ich in der That als einen Übelstand gelten lassen, und das um so mehr als die zuverlässige Befestigung des Prisma noch erschwert ist durch den Umstand, dass man mit dem Fernrobr frei über das Prisma muss wegsehen künnen. Ich komme indess hierauf noch wieder zurück und will jetzt nur den Einwand des mangelnden Raums widerlegen, der,

140

wie beim Pistor-Martins’-| wenn er begründet wäre, ja für sich allein hinreichen

würde, mein Prisma unmôglich zu machen. Dass das Prisma, wenn keine Brechung Statt finden soll, caete- ris paribus grüssere Dimensionen erhalten muss, ist freilich richtig, so wie dass eine derartige Ânderung gewiss nicht ohne weiteres in’s Werk gesetzt werden dürfte. Denn das will ich doch nicht unterlassen hier ausdrücklich auszusprechen, dass das Instrument in seiner jetzigen Gestalt ein wirklich sehr wohl dureh- dachtes ist. Der Winkel, bis zu dem hin eine Messung noch môglich sein soll, der Neigungswinkel der opti- schen Axe gegen die spiegelnde Fläche des Prisma, der Ort von Prisma und Fernrobr in Bezug auf den im Mittelpunkt des Kreises befindlichen Alhidadenspie- gel, die Dimensionen von Spiegel und Prisma bei ge- gebener Offnung des Fernrohrs das alles bedingt sich unter einander in strenger Weise, und die Besorg- uiss, durch eine vermeintliche Verbesserung zu verlie- ren statt zu gewinnen, ist gewiss eine ganz berech- tigte. Aber alles dies gebührend erwogen, steht doch einer Verlängerung des Prisma, so viel ich jetzt ein- sehe, nichts Ernstliches entgegen. Alle wesentlichen Theiïle bleiben davon unberührt, und namentlich wäre ein noch weiteres Herausrücken des Fernrohrs gar nicht nôthig. Der erforderliche Raum nämlich ist schon jetzt vorhanden und nur eingenommen von den Blendgläsern. Dass deren immerfort 6 am Instrument befindlich sind, ist gar nicht einmal bequem. Es würde genügen, nur einen Rahmen zu haben, in den jedes- mal das erforderliche Glas hineingesteckt werden künnte: oder noch bequemer, jedes Blendglas hat seine Fassung für sich und daran einen 4kantigen Stift, mit dem es je nach Bedürfniss in ein entsprechendes Loch des Instruments gesteckt wird.

Sind aber Ersparniss an Raum und Abkürzung des Weges, den der Lichtstrahl im Innern des Prisma zu durchlaufen hat, wirklich von einiger Bedeutung, so findet vielleicht ein weiterer Vorschlag, den ich befür- worten müchte, günstige Aufnahme. Was hindert, die Theilung des Objectivs in die beiden Hälften für das directe und das doppelt reflectirte Object, statt nach dem Durchmesser parallel der Ebene des Kreï- ses, nach dem darauf senkrechten Durchmesser vor- zunehmen? also statt einer obern und untern Hälfte eine rechte und linke zu schaffen? Spiegel und Prisma werden dan» freilich noch einmal so hoch, nämlich

IA

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

142

gleich dem ganzen Durchmesser des Objectivs, aber our halb so lang wie bisher; und zu gleicher Zeit wird der Weg jedes Lichtstrahls durch das Prisma auf die Hälfte reducirt. Für eine solche Ânderung spräche ferner auch der gewiss nicht unerhebliche Umstand, dass es dann nicht mebr erforderlich wäre, den Raum oberhalb des Prisma frei zu halten; er künnte also zu besserer Befestigung des Prisma verwandt werden, was bei der dann doppelten Hôühe desselben gewiss von Belang wäre. Unter den Bedenken aber, die Hr. Martins gegen meinen Vorschlag erhoben hat, er- scheint mir als das bedeutendste die Besorgniss, dass die Conturen des Bildes grade an den Stellen, wo nun bei der Beobachtung die Berührungen Statt finden müssten, an Schärfe verlieren würden. Ich muss jedoch gestehen, über das Nähere hierbei keine deutliche Vor- stellung zu haben. Dass beim Heliometer Stôrungen des Bildes vorkommen, ist freilich bekannt, so wie dass diese Stürungen grade in der Richtung senkrecht zur Schnittlinie am stärksten hervortreten. Dies darf aber doch nicht so ohne weitereres auf Sextantenfern- rôbhre übertragen werden, und selbst wenn die Erschei- nung dieselbe wäre, so käme es doch eben auch auf die Quantität an. Nun will ich darauf, dass eine aufmerk- same Betrachtung der Ränder des Sonnenbildes mir keine irgend bemerkbare Diformität an den Stellen ge- zeigt hat, deren Tangenten dem theilenden Durchmesser des Objectivs parallel sind, kein übermässiges Gewicht -legen, meine aber doch, dass die endgiltige Entschei- dung nur durch einen mit aller Sorgfalt ausgeführten Versuch zu erlangen ist, und dass die Sache eines sol- chen Versuchs wohl für werth erachtet werden darf.

Bei dem Instrument, wie ich es mir denke, bleibt für die jedesmalige Messung nur eine einzige instru- mentelle Bestimmung erforderlich, die des Indexfeh- lers. Diese hat aber genau dieselbe Bedeutung wie die Messung an sich, und wenn man bei der bisheri- gen Praxis für eine lange Reïhe von Mittagshôhen mit einer oder zwei Bestimmungen des Indexfehlers sich begnügt und wie viele Beobachter halten nicht auch das schon für überflüssig! so ist das von vorn her- ein ein Verzichten auf die volle Leistungskraft des Instruments. Dass dabei nicht auf einen wahrschein- lichen Fehler von 1” zu rechnen sei, weiss jeder Be- obachter zur Genüge: aber freilich weiss er auch, dass eine ôfter wiederholte directe Bestimmung des Index-

fehlers ihn nicht wesentlich weiter führen würde. Das kann eben auf keine andre Weiïse geschehen, als nur durch das Hinzufügen einer zweiten Beobachtungs- reihe, die so beschaffen ist, dass der Indexfehler den entgegengesetzten Einfluss ausübt; und dies ist die Bedeutung des Combinirens von Hühen Nord und Süd für die Polhühe, oder Ost und West für die Zeitbe- stimmung, oder von Abständen rechts und links für die Länge aus Monddistanzen. Die Anwendung dieses Hilfsmittels wird aber häufig beeinträchtigt durch den Mangel an geeigneten Objecten oder durch eine mehr oder weniger lange Zwischenzeit, die die Chance für das Erhalten der correspondirenden Beobachtung über- haupt vermindert und zu gleicher Zeit die Gefahr einer môglichen Veränderung im Instrument erhôht. Wie wichtig also, wenn es ein Mittel gäbe, an demselben Ob- jecte, zu derselben Zeit die erforderliche zweite Beob- achtungsreïhe zu gewinnen. Nun, ein solches Mittel giebt es; es ist die sogenannte cross-observation, die Be- obachtung des Ergänzungswinkels zu 360°. Leider aber ist ihre Anwendung beim jetzigen Bau des Instruments our auf verhältnissmässig wenige Winkel beschränkt, und auch für diese mit mancherlei Unbequemlichkeit verbunden; sie bequemer zu machen und auf müg- lichst verschiedene Winkel auszudehnen, wäre ein ganz ausserordentlicher Fortschritt und eine sehône Aufgabe für den Scharfsinn des Künstlers. Was sich zunächst darbietet, ist ein Vertheilen des eigentlich messenden Apparats (Limbus und Alhidadenarme) und des optischen (Spiegel, Prisma, Fernrohr) auf die bei- den verschiedenen Seiten des Kreises. Dadurch würde vämlich eine Drehung des Spiegels durch alle 360° ermôglicht, was jetzt durch das Anstossen der Alhida- denarme an Prisma und Fernrohr behindert ist. Dass eine solche Forderung leichter hingestellt als ausge- führt ist, weiss ich sehr wobl; wenn aber Hr. Martins entgegen hält, dass eine solche Anordnung nach allen Erfahrungen, wegen der Torsion des Zapfens, verwor- fen worden ist, so muss ich denn doch geltend machen, dass dies kaum eine Anwendung finden dürfte bei ei- nem Instrumente, bei dem man kein Bedenken trägt, Hemmung und feine Bewegung von Alhidade gegen Limbus an der Peripherie wirken zu lassen. Aber freilich hängt das Verhältniss zwischen der Grüsse der Torsion des Zapfens und der Biegung der Spei- chen wesentlich ab von der Siärke des Zapfeus, um den

143

Bulletin de l’Académie Impériale

144

ES

die Drehung geschieht; je dicker derselbe ist, desto | mittags; der Punkt am Sonnenrande, wo sich der

crôsser ist die Friction in der Büchse und also auch cue- teris paribus die Durchbiegung der Speichen, während die Torsion abnimmt, und vice versa. Sollte das viel- leicht ein Grund sein der ausnehmenden Feinheit die- ses Zapfens in den jetzigen Patentkreisen? Ich würde nun jedenfalls, d. h. auch abgesehen von der Rücksicht auf Torsion, wünschen, dass derselbe mindestens dop- pelt so stark gemacht würde; und sollte dann etwa die Biegung merklich werden, so wäre es geboten, Hemmung und feine Bewegung vom Centrum aus wir- ken zu lassen. Môglicher Weise künnte eben dies auch der cross-observation zu Statten kommen, bei welcher das weite Fortrücken der Schraube für die feine Be- wegung gar unbequem ist.

Ausser den hier mehr oder weniger eingehend be- sprochenen Dingen ist nun noch mancherlei Anderes vorhanden, was bei ernstlichem Nachdenken über das Instrument, und wenn man einmal den Entschluss ge- fasst hat, Ânderungen an demselben zuzulassen, sich als wünschenswerth darstellt. Das Gesagte wird aber vollauf genügen, die Überzeugung zu begründen, erst- lich, dass das Instrument, auch wenn nur ein Theil dessen, was ich jetzt angeregt habe, sich als wirklich ausführbar erweisen sollte, ein gewissermaassen neues und wir dürfen hoffen in vieler Beziehung vorzügli- cheres geworden sein wird; und ferner, dass, wie ich oben schon ausgesprochen, eine Aussicht auf Erfolg lediglich in dem Maasse offen steht, als es gelingt, den ausführenden Künstler für die Sache zu erwär- men. Wenn er an der einen Stelle vielleicht nicht so weit zu gehen sich entschliessen sollte, als es mir im Augenblicke gerathen scheint, so kann es andrerseits nicht fehlen, dass er an andern Stellen weit darüber hinausgeht.

Die Sonnenfinsterniss vom 6. März |22. Februar| 1867, von A. Moritz in Tiflis. (Lu le 23 mai 1867.)

(Mit einer Tafel.)

Zum 6. März n. St. wurde eine Finsterniss erwartet, welche für den mittleren Theïl des Europäischen Russ- lands ringformig, für uns Kaukasier aber nur eine par- tielle, nicht bedeutende Sonnenfinsterniss sein sollte. Unser Kaukasischer Kalender brachte uns darüber, unter Anderem, folgende Vorausbestimmungen (Seite 73): An Tiflis beginnt die Finsterniss um 6” Nach-

erste Einschnitt zeigt, liegt von der hüchsten Stelle der Sonnenscheibe rechts um 84 Grad, d. h. um des ganzen Umfangs der Sonne. Die Grüsse der Fin- sterniss ist 6 Zoll, d. h. die grüsste Breite des Ab- schnitts, welche vom Monde bedeckt wird, ist ®,, des ganzen Sonnendurchmessers. Das Ende der Finsterniss erfolgt um 2’ 44" Nachmittags. Der letzte Einschnitt verschwindet grade am hüchsten Punkte der Sonnen- scheibe.» Obgleich eine so unbedeutende Finsterniss an und für sich kein grosses Interesse beanspruchen kann, so glaubten wir dennoch, das Phänomen nicht ganz unbeachtet vorübergehen lassen zu dürfen, und rechneten deshalb unsererseits ebenfalls die Hauptmo- mente für Tiflis aus, mit Zugrundelegung der Angaben des Nautical Almanac. Unsere Berechnung stimmte aber schlecht mit den Angaben des Kaukasischen Ka- lenders. Wo lag der Fehler? bei uns oder im Kalender ? Eine sichere Antwort auf diese Frage musste das Phä- nomen selbst geben, das dadurch an Interesse bei uns nicht unwesentlich gewann. Deshalb richteten wir unsere Vorbereitungen zur Beobachtung der Son- nenfinsterniss so ein, dass selbst bei nicht ganz gün- stiger Witterung wo môüglich ein astronomisches Mo- ment erhascht werden konnte, das unsere Zweiïfel zu lüsen geeignet war. Dazu wurde am Uranoskope, wel- ches eine parallactische Aufstellung bat, ein Fernrohr von 335" Länge (Objectiv-Offnung 29,7"", Vergrüs- serung 27fach) angebracht, in welchem die ganze Sonnenscheibe mit einem Male übersehen werden konnte; im Focus des Fernrohrs wurde ein Netz von sehr vielen vertikalen und horizontalen Fäden aufge- spannt, welche das Gesichtsfeld in eine Menge symme- trisch um den Mittelpunkt gruppirter Quadrate theilt, und die Stunden - Axe erhielt eine Mikrometerbewe- gung, um das Sonnenbild bequem in der Mitte des Gesichtsfeldes erhalten zu kônnen. Die Uhrcorrection sollte schon vorher an dem Meridiankreise bestimmt werden; das seit dem 22. (10.) Febr. anhaltend trübe und regnerische Wetter vereitelte jedoch diesen Plan. Erst wenige Stunden vor dem Beginne der Finsterniss klärte sich der Himmel durch einen NW.-Wind auf, der aber so heftig war, dass es nur mit Mübhe gelang, vorher 2 Sterne zu beobachten: 4 Sterne aber, die während, und 4 andere, die nach der Finsterniss mit Ertolg beobachtet werden konnten, gaben die Correc-

145

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

146

————

tion des (Taschen-) Chronometers mit einer Genauig- keit, die für den vorgesetzten Zweck mehr als hinrei- chend war.

Wir sahen Folgendes: Die Finsterniss begann 99° rechts vom hôchsten Punkte der Sonnenscheibe um 7" 50:6 mittl. Tiflis’scher Zeit; ihre Grüsse stieg bis auf 8//, Zoll, wobei die Dunkelheït recht auffallend, aber doch nicht hinreichend stark war, um Sterne mit blossem Auge sehen zu künnen; besondere Erscheinun- gen am Sonnen- oder Mondrande keine; das Ende der Finsterniss erfolgte links von dem hüchsten Punkte der Scheibe etwa 14° um 2” 57” 13;8. Alles dieses stimmte vortrefflich mit unseren Vorausberechnungen, im Wi- derspruche mit dem Kalender').

Beschäftigt mit astronomischen Beobachtungen, konnte ich natürlich keine sehr specielle Aufmerksam- keit den Veränderungen widmen, welche gleichzeitig in der Atmosphäre vorgingen; diese bieten ja aber auch nicht viel Interessantes, so lange eine Sonnenfinster- niss our partiel ist, zumal wenn ein Witterungswechsel gleichzeitig im Gange ist, dessen Intensität die schwache Wirkung des Mondschattens vielmals übertreffen muss, wie es dieses Mal bei uns der Fall war. Dennoch konnte es mir nicht entgehen, wie auch jetzt der Ein- fluss der Finsterniss sich bemerkbar machte an den An- gaben der Thermometer, namentlich derer, welche mit geschwärzter Kugel dem Einflusse der Sonnenstrahlen ausgesetzt sind. Im Schatten beobachteten wir ein Psy- chrometer,welches in der Mitte eines geräumigen (etwa 24G0 Cub. Fuss haltenden) Anbaues aufgestellt ist, des- sen Dach und Wände aus Brettchen in Form der Fenster-

1) An demselben Tage berichtete ich (22. Febr. sub NV 24) an die Haupt-Verwaltung des Statthalters von Kaukasien über meine Beobachtung der Sonnenfinsterniss und über die Nicht- Überein- stimmung meiner Resultate mit den Angaben des unter ihren-Au- spicien veréffentlichten Kalenders. Acht Tage später lasen wir in unserer Zeitung Kawkas (NV 18 vom 2. [14.1 März) Folgendes: «Über die Sonnenfinsterniss vom 22. Februar 1867. (Mitgetheilt vom Astro- nomen des Nikolajew’schen Observatoriums K. Ch. Knorre.) Ein Fehler im Berliner Jahrbuche für 1867 hat Einfluss gehabt auf die im Kaukasischen Kalender gegebene Beschreibung der Einzelhei- ten dieser Finsterniss für Tiflis. Jene Beschreibung muss durch folgende ersetzt werden: In Tiflis beginnt die Finsterniss um om mittl. Zeit. Der Punkt am Rande der Sonne, wo sich der erste Aus- schnitt zeigt, liegt rechts vom untersten Punkte der Sonnenscheibe um 81°, d. h. um #/,9 der ganzen Sonnen-Peripherie. Die Grüsse der Finsterniss ist 81/, Zoll, d. h. die grüsste Breite des Abschnitts, der vom Monde bedeckt wird, ist 81/, solcher Theile, deren 12 dem Durchmesser der Sonne gleich sind. Das Ende der Finsterniss er- folgt um 24 58" Nachmittags. Der letzte Ausschnitt verschwindet 13° links von der hôchsten Stelle des Randes der Sonne.»

Tome XII.

Jalousien zusammengefügt sind ; die Luft hat somit voll- kommen freien Zutritt zu den Thermometern, ohne dass diese jedoch der Einwirkung directer Ein- und Aus- strahlung ausgesetzt sind. Vor dem Beginne der Fin- sterniss war im Laufe einer Stunde (von 11 bis 12 Uhr) das trockne Thermometer um 172, das feuchte um 0°4 gestiegen; während der ersten Stunde sank das trockne um 072, während das feuchte constant blieb, dann aber begannen beide zu sinken und standen um 2 Uhr etwa einen halben Grad niedriger, als sie um 1 Uhr gezeigt hatten, wonach ein merkliches Steigen bis zum Maximo, etwa um 4 Ubr, eintrat. Es spricht sich hierin nicht bloss der unmittelbare Einfluss der Verdeckung der Sonnen- scheibe auf die Temperatur der gesammten Luftmasse aus, sondern auch die Nachwirkung, die das Tempe- ratur-Maximum auf eine so späte Nachmittagsstunde verschiebt, wie solches hier in dieser Jahreszeit nicht statizufinden pflegt. Für das Eintreten des Temperatur- Minimums später als des Licht-Minimums, also für eine Nachwirkung in der Weise, wie wir sie täglich nach Sonnenaufgang wahrnehmen, sprechen auch die Beob- achtungen, welche ganz unabhängig von uns in einem etwa 3 Werst südlich vom Observatorio gelegenen Theile der Stadt während der Finsterniss angestellt worden sind, und die ich der freundlichen Mittheilung des Hrn. Ingenieur-Hydraulikers Nüschel verdanke. Sein Thermometer befand sich in der Schlucht Sololaki, auf der Nordseite seiner Wohnung, im Schatten. Im Laufe der ersten Stunde, von 0", bis 1”, Ubr, sank es um fast *, Grad, in den darauf folgenden 10 Minu- ten um ‘/, Grad und dann innerhalb 20 Minuten noch um ‘/, Grad, wobei die Zeit der Mitte der Finsterniss bereits überschritten war; das Steigen erfolgte dann langsam, erreichte am Schlusse der Finsterniss 1 Grad, blieb aber doch noch um ‘/, Grad hinter der Tempera- turzurück, welche bald nach dem Beginne der Finster- niss notirt worden war.

Für die Sonnenthermometer ist auf einem freien Platze des Hofs nahe bei dem Observatorio ein Pfosten von 4 Fuss Hühe errichtet, auf welchem zwei Stative nahe bei einander befestigt sind, deren jedes ein Ther- mometer mit berusster Kugel trägt. Das eine dieser Thermometer (N 1)ist ein gewühnliches, vertical mit der Kugel nach unten aufgehängtes. Es wird direct durch die Sonnenstrahlen erwärmt, durch Strahlung gegen

den Weltraum abgekühlt und erleidet ausserdem noch 10

147

HBulletin de l’Acadéimie Hmpériale

148

mm

Erwärmung oder Abkühlung durch die umgebende Luft und die jedesmaligen Winde. Das andere Ther- mometer steht dagegen geneigt, in der Richtung der Weltaxe, mit der Kugel nach dem Südpole. Es ist in eine weite Glasrübre mit Kugel von 2°, Zoll Durch- messer eingeschlossen, woraus die Luft sorgfältig aus- gepumpt worden ist; durch eine solche Aufstellung des Thermometers im Vacuo erhält man ein Instrument, das our der Insolation und Wärme- Ausstrahlung aus- gesetzt ist, und auf welches die umgebende Luft und die Winde einen fast verschwindend kleinen Einfluss haben. Seit 1', Jahren lasse ich die Angaben jedes dieser Thermometer am Anfange jeder Tagesstunde (auch in der Nacht) aufzeichnen, mit alleiniger Aus- nahme der Stunden, zu welchen es regnet, oder wenn ein dichter Nebel auf uns lagert. Ohne in eine nähere Discussion der Angaben dieser beiden Sonnenthermo- meter während des Finsterniss-Tages einzugehen, will ich nur bemerken, dass vom Beginne der Verfinste- rung bis zu ihrem Maximo die Temperatur nach X 1 um 3°, nach Ÿ 2 um 17° sank und dann bis zum Ende um und 15° stieg, und dass die vorerwähnte Nach- wirkung recht deutlich bei MX 1, nicht aber bei X 2 bemerkbar wird.

Ob die geringe Depression des Barometerstandes, welche um 1 Uhr bemerkt worden ist, dem Einflusse der Sonnenfinsterniss zuzuschreiben ist oder nicht, wage ich nicht zu entscheiden. Der Dunstdruck, die relative Feuchtigkeit, die Windrichtung und die Bewül- kung sind aber wohl jedenfalls von ihr nicht merklich afficirt worden; ebenso scheint mir kein hinreichender Grund dazu vorhanden zu sein, um die stattgefundenen Variationen in der Richtung und Intensität des Erd- magnetismus durch die Finsterniss erklären zu wollen. Auf der angehängten Tafel I findet man alle am 6. Mäürz von 6 Uhr Morgens bis 9 Uhr Abends gemachten Beob- achtungen zusammengestellt.

Ausser den eben erwähnten Beobachtungen sind in Tiflis keine angestellt worden, so viel mir bekannt ist. Unsere Besucher (bei der bekannten Schaulust unseres Publicums konnte es natürlich nicht daran fehlen!) begnügten sich das «Himmels- Wunder» anzustaunen, oder uns auszuforschen, weshalb am Himmel nicht all- Jäbrlich ein solcher «Schwindel» vorkomme? Dafür ha- ben wir aber aus Stawropol einen sehr dankenswerthen Beitrag erhalten, von unserem seit Jahren unermüd-

lich thätigen Correspondenten, Hrn. Obrist Zito- witsch, der dort während der Finsterniss in Zwischen- räumen von je » Minuten ein Thermometer im Schat- ten und ein anderes in der Sonne aufgezeichnet hat. Aus diesen Beobachtungen geht unter Anderem hervor, dass die Temperatur-Abnahme erst 20 Minuten nach dem Eintritte der Finsterniss begonnen hat, dass sie von 3 Grad im Schatten und 9 in der Sonne über dem Gefrierpunkte sich bis nahezu 1°, Grad unter dem Gefrierpunkte erstreckte, dass die Nachwirkung im Schatten sehr bedeutend, in der Sonne dagegen kaum merklich war, und dass dort die Temperatur am Ende der Finsterniss nicht mehr dieselbe Hühe erreichte, die sie beim Beginne derselben gehabt hatte. In dem Briefe (vom 17.[29.] März), bei welchem mir Hr.Zitowitsch seine schätzbaren Beobachtungen zuschickte, heisst es: «Da wir keine Instrumente zur Messung der fort- schreitenden Veränderung der Sonnenscheibe hatten, so konnten wir die Momente der atmosphärischen Ver- änderungen nicht in directe Beziehung bringen zu dem Gange des Ausschnitts, den der Mond auf der Sonnen- scheibe bildet; nach einer Schätzung mit unbewaffne- tem Auge betrug aber die grüsste Verfinsterung etwa *, des scheinbaren Sonnendurchmessers. Der erste Ein- schnitt zeigte sich am westlichen Rande der Sonne, etwa 2 Grad südlich von ihrem horizontalen Durchmes- ser. Die Verfinsterung begann um 11 Uhr 56 Minuten Vormittags und endete um 2 Uhr 45 Minuten Nach- mittags, nach hiesiger mittlerer Zeit. Während des Ma- ximums der Finsterniss war die Verminderung der Hel- ligkeit sehr bedeutend, etwa so, wie die Dämmerung beim Aufgange oder Untergange der Sonne zu sein pflegt. Sterne wurden nicht gesehen, obgleich der Him- mel ganz heiter war. Während der Finsterniss wurden nach je 5 Minuten beobachtet: die Temperatur in der Soune, die Temperatur und Feuchtigkeit im Schatten, der Luftdruck, die Richtung und Stärke des Windes und die Bewülkung. Die Barometerbeobachtungen ha- ben zu keinen besonderen Resultaten geführt; denn die unbedeutende Verringerung des Luftdrucks, welche sich zeigte, stimmte eben nur mit den gewühnlichen stünd- lichen Variationen überein.»

Die Stawropolschen Beobachtungen findet man auf der Tafel IT. Zu beiden Tafeln (I und IT) sei es bemerkt, dass die Temperaturen in Réaumur’schen Graden angegeben sind, und dass sowobl der Luftdruck als auch

149

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

=

150

der Dunstdruck in russischen halben Linien, d. h. Zwan- zigsteln des Englischen Zolls ausgedrückt ist (reducirt auf die Normaltemperatur 13°/,° R.). Den magnetischen Beobachtungen am Tage der Finsterniss habe ich die des vorhergehenden und nachfolgenden Tages beige- fügt. Das Unifilar-Magnetometer befindet sich südlich von der Theiïlung, auf welcher die Zahlen von West nach Ost wachsen:; 1 Theil der Scala entspricht 58,386. Das Bifilar steht üstlich von der Theilung, die von

L Beobachtun

Süd nach Nord wächst, mit einem Theïilwerthe von 0,00013819; dieTemperatur+8°35 R. hatte sich wäh- rend der ganzen Zeit (3Tage) gar nicht geändert.

Zum Schlusse füge ich noch eine Tafel bei, wel- che die auf Tafel I und II gegebenen Zahlenwerthe graphisch zur Anschauung bringt. Man übersieht dar- aus auch unter Anderem, wie in dem Steppenklima von Stawropol Erwärmung und Abkühlung etwa 2, mal rascher sind, als in Tiflis.

gen'in Tiflis.

A. Im Observatorio,

à Temperatur. Druck Ës : TETE | $ FEU 3 85 |£—S É LE W in d. Himmelsansicht. 6 0—02|—1,7|—0,5 _- 0,2|572,28| 2,48 | 0,69 | NW.stark. | Zerstreute Wolken (64 30’ Auf. ©). 7 —| 00!—16|—03! 00157295] 246 | 0,68 id. id. verdeckt) 8 04|1—08| 30! 230/57341| 2,84 | 075 | id. id. 9 0,8|—04| 54| 29,2]574,08) 2,96 | 0,75 | N. mässig id. 100 1,6| 0,2| 4,9] 30,0|574,52| 3,00 | 0,71 id. Dünne Wolken. 11 2,6| O,I 5,5 | 928,41574,66| 2,42 | 0,52 id. Wolken am Horizont. 0 —| 38! 05! 76| 29,7|574,66 2,14 | 041 id. id. (Anf. d. © Finst.) 1 —| 3,6 0,5 5,5| 18,81574,34] 2,22 | 0,44 id. Klar (Sonnenfinsterniss). NS) SL PR A RO D 4,5 | 19hul 02e: N. schwach. id. (Mitte der © Finsterniss). = asc AN EN Séecaolenveni|lncoce id. id. (Sonnenfinsterniss.) RASE) mt SANnE6 [ALU le DARCE EE PER id. id. id. 2,010) 3,1 0,1 5,1, 16,2|574,68| 2,16 | 0,44 id. id. id. 3 —| 44! 0,7 8,5 | 28,1|574,88| 2,02 | 0,37 NW. schwach. id. (Ende der © Fiusterniss). 4 —| 45| o08| 84| 2521574686) 206 | 0,38 id. id. 5 —| 42| 03 7,2| 19,4)574,82| 1,80 | 0,33 Still. id. (54 55’ Untergang ©). 6 —| 26/—0,4| 17| 2,11574,93| 2,22 | 0,47 id. id. T7 —| 1,3|—1,0|—0,2 0,3|575,11| 2,36 | 0,56 |W. sebr schwach.| id. 8 0,7|—1,2|—0,7|— 0,7!575,54| 2,46 | 0,62 Still. id. Je 04e 20/0512 10 | 57572 2,34 | 0,67 id. id. 1867. | Variationen des Erdmagnetismus. Tages-| Declination. Horizontale Intensität t SIC 5 März. | 6. Mäürz. | 7. Mürz. | 5. Mürz. | 6. März. | 7. Mürz. 8 | 408,0 407,0 407,2 3132 | 3742 | 372 10 407,8 406,8 407,8 374,0 375,0 373,0 0 | 4065 405,0 405,8 374,0 372,6 372,8 2 406,0 405,6 406,2 374,0 371,1 372.2 a | 4070 | 4083 | 4072 | 3730 | 3702 | 3715 6 406,5 | 407,0 406,5 373,0 367,6 | 371,5 1! B, In Sololaki, 1867. März 6. n. St. Nachmittags. Temperatur im Schatten. Nachmittags. Temperatur im Schatten. 0 14” 3,80 2h 10’ 3,00 215 3,10 2 33 3,10 1 95 275 2 A7 3,25 1 45 2,50 2 54 3,40 1 53 2,75 2 58 3,50 2 3 2,75

10*

Bulletin de l’Académie Impériale

152

IL. Beobachtungen in Stavropol. A. Gewôühnliche Beobachtungen am 6. März 1967,

EE ee NU 2 IAE 20 1E CI MN TS ELU A UNE A 2 UE QUE

Temperatur. Druck = AAA A œ #5 5 ED Stunde. | 2 £ Ans ESS Wind. Himmelsansicht. De AR on HS es A Éte 5 Po EN lai 6 9,6 —10,3|...... 560,16! 1,12 | 0,74 [SW.sehr schwach.| Wolken am Horizont. FO ES TON EEE 0 0 Per 560,62, 1,08 | 0,69 id. id. 8 |— 6,0! 7,0|...... 561,17, 1,50 | 0,70 id. Dünnes Gewülk am Horizont. OI EE ES 0 ER 0 TN 561,47| 1,86 | 0,72 id. Klar. 10 |— 1,7, 3,0)...... 561,34| 2,24 | 0,70 id. Einige leichte Wülkchen. 11 |— 0,41— 1,9] 7,2 |561,23| 2,44 | 0,69 id. Klar. 0 + 1,8| 0,8] 7,3 |561,27| 2,30 | 0,53 id. Dünnes Gewülk am Horiz. (Anf. d. © Finst.) 1 0,5, 1,9] 0,9 |561,08| 2,44 | 0,71 | S. sehr schwach. | Klar. (Sonnenfinsterniss.) D 0829) 2 756110 92006 id. id. (Sonnenfinsterniss.) ETS 561,25| 1,90 | 0,41 id. id. TU SD EME 00e 561,39| 2,44 | 0,62 id. id. 5 |+ 1,9] 0,3|...... 561,30! 2,58 | 0,60 id. id. COTES aol H61A0|FRnN AIRE Still. id. 7 |— 4,6|— 5,5|....:.. 561,51] 1,84 | 0,76 id. id. 8 |— 5,6] 6,41...... 561,62! 1,68 | 0,76 id. id. NCA ENT | 561,38] 1,46 | 0,72 id. id.

B. Besondere Beobachtungen während der Sonnenfinsterniss,

————_—_—_—_—_—_—_———

Temperatur. Stunde. Min. En = ñ Wind. Bewülkung. Schatten. | der Sonne. L 56 1,6 7,7 | SO. sehr schwach. |Ortl. Wolken. OO 1,8 7,3 | SW. sehr schwach.|| Cirro-cu- 5 2,1 7,4 | S. sebhr schwach. ; muli. 10 2,4 8,3 | SO. sehr schwach. Klar ?). 15 2,7 9,4 | S. sehr schwach. id. 20 2,7 7,3 id. id. 25 2,1 6,6 id. id. 30 1,9 4,3 id. id. 35 ii 3,9 id. id. 40 0,6 3,8 id. id. 45 0,3 3,0 id. id. 50 0,1 2,6 id. id. 55 0,2 1,8 id. id. SEAT) 0,5 0,9 | SSW.sebr schwach. id. 5 Je 0,3 id. id. 10 0,7 0,1 id. id. 15 0,7 | 03 id. id. 20 1,1 | 0,8 | S. sehr schwach. id. D AA TS id. id. 3) 30 12 | 0,8 id. id. 35 1,4 | 0,2 id. id. 40 14 0,4 id. id. ANT 0,9 id id. 50 1,8 1,6 id. id, 55 0,8 1,7 id. id. DO 0,8 27 id. id. 5 0,4 52 id. id. 10 0,1 3,8 id. id, 15 0,2 4,3 id. id. 20 0,6 4,8 id. id. 25 1,0 Û id. id. 30 1,0 5,8 id. id. 35 nil 6,5 id. id. 40 1,2 112 id. id. 45 1,3 6,3 id. id.

2) Um 0 5’ bedeckte sich fast der ganze Himmel mit Cirro- cumulis, und nur in der Richtang nach der Sonne hin blieb er klar; aber schon zu 04 15’ klärte sich der Himmel mit unglaublicher Schnelligkeit auf, so dass im Laufe von zwei bis drei Minuten der -Himmel von einem bedeckten in einen klaren überging (Z).

3) Nahezu um 14 95’ erreichte die Sonnenfinsterniss ihr Maxi-

| Note sur l’anthracène de M. Berthelot; par J.

Fritzsche. (Lu le 1 août 1867.)

Le mémoire de M. Berthelot sur les carbures d'hydrogène, inséré dans le Bulletin de la Société chimique de Paris du mois d'avril, que je viens de re- cevoir il y a quelques jours seulement, contient plu-

| sieurs passages sur l’anthracène, qui m'obligent à faire les observations suivantes.

M. Berthelot dit d’abord à la page 279 dans une note: «Je désigne sous ce nom (d’anthracène) le car- «bure que M. Anderson a extrait du goudron de «houille, que M. Limprecht a préparé avec le to- «luène chloré, et que j'ai obtenu moi-même dans une «foule de réactions»; et puis à la page 288: «L’an- «thracène (résultant de la réaction directe du styro- «lène sur la benzine) offre les propriétés ordinaires; «il fournit des lamelles bleues avec le nouveau réactif «de M. Fritzsche».

D'un autre côté M. Anderson a dit dans le Quar- terly Journal of the chemical Society of London T. XV p. 47, qu’une comparaison soigneuse de son an- thracène avec le corps que j’ai décrit il y a plusieurs années comme un nouveau carbure d’hydrogène, nous à convaincu (M. Anderson et moi) que ma

mum; mit diesem Zeitmoment stimmt das Minimum der Temperatur überein (Z).

Die Temperaturdepression begann im Schatten etwa 22, in der Sonne 18 Minuten später als die Finsterniss; die Mitte der Finster- niss fällt auf 14 22: und das Steigen der Temperatur begann in der Sonne 3, im Schatten 15 Minuten nach dem Maximo der Finsteruniss.

SNS LUN T'ON IANEUNHIY LU

SSIULIISULY -

ALT et

PSENTONE

L s

19 A UIO LE Fe p——

ENAL ve fax qyonet

mm (77)

i ?0: ÉFCU AT

s

SUUOS 13p Up

O0 ‘ULSY] Sean] D “WIOU] SOUY201L

Veyjeu2ç wf'

anyesedwag

1981

unps}r re DT. (CCE 94

-eu$ew O0

up ueu |F49373)27n 5 O=—————0

=onriue À Cote)

EL LTTCUCE d

-1eqewoeg| -sung 22e Y

ou RL oneAUL-Z ,N Dem RPTISPULTEN SuU0G 28p up

282 WOUITAUL SNMDNOZ

THeLOOG Ur o-----0 0120 JE ASS QQ UT ©—0

IS WOQULAY] SEUHOOU ee Vip

“anyedo du J,

AD SIL ‘2981

L ds É ; : : | 4 ? : Al h _ . x he tapes te à al 7 (0 & PONTS EL. Ut cmt nuque QE ; sn! MN {14 étre - mb ae und. nt dép e tle ahde di i = rer É TE i Ft ERA T7 (1 1 )# - I DES L ù 4 PAL [IE 1 L TN 4 14 EURE | L LA { $ | "ON [TRUE TE 1 A {l le K# 0 LS IT ON pin ' L N'RNAUETT LA ‘fi h x | AU AUS N » , : Fr DEN 14 ï ñ 1-26 { ni V7 ñ tu RU f & 1 TA Ce" > #, À ] à W e PRE { È RUB A RUSSE " À Au ù { PI { n 4 % (REL . e \ | x ri V "2 \ : : i th { 11 AT ' , { e La ni 1f hi i i NUE è a "AU é ma (LP DAMES fi L HR | nd l YA A 7 le” f. AR ( pe ‘A ALT A ; n l {” | | L f ! d * i 1 L ' " | mn 1 TO EUR { (# Û CDR ANNE QU UE TN (nr : à ë, 4 ë ANT l LA VE [A wi a H [A M d : À TUNER FEU L UTITI IA ve l | } N LEE PCET Hu OEM: FA : À NON | UT Au Jai | HT, IN À be 7e rA En ; | AL ATEN he DTA TR ; } qe) \ ! Wa M" PEN x | | is \t L For, MAT Re Tadape an Pérar HuS D men EL AU 1 | | . LA PS j } à pr: ri 4 on iv 4 TL Ait TR j tu 4 Li É Per Hiye Fra i Ta t 1 PEU 1e ] aus ki rs tn à mir = ( CRIE hi J TA D | 2 Y "lol À : Ly Î At LA (je ll ; ju us | A 4 LA He ra 1 à £ N vi} Lo PORT. ET { PTE u tan 42 i fl RAl + qi ha à A ù al v'" ) ia Ù \ due | nr | pau fa” 1 U VIF) { f P 1 NYIT : L | si! H PRUNIOT N .Éu | | “14 k RATE INT fs von W PT À ÿ | b Q à : er y : | N PT 4 ds VA LCL QUE SAUT TPE i : 4 L NFARL ORAN an l Dr | à N ET FLY D PL UN mel 45 ET À 11 NE fi NUE % Ù dd! 7e NUIT n th DATE bi res ap A AU ÿ | ME "Li Li l'A RUE } ! 2 TRE LU pat TA ne a ï 4 ; nr) OT | 2) # M a 1 " Ur um le | ab 191 L f ] . ( LU Ne L de ÉLUS | uit j < fra M qu \ wi 2 OMR AL TA Lun | D don: Nr JR Li h nt b | y ar 1 | 7 Î A Ur "| | ue ue: ge ny datnh fe Ar Au FUI | NS CPU ", At Ra AY} 4. h © ( Ru” ñ ni ñ ef } î : ELA PU OUT CNT CODES LI. | À at s ù LL: ALES "1 nn y : Ve à à pit AU AS AL ENST TON 224 A, 19 v OR al, nie x | CAN Géliafi ahylr4 | L AT PANE CRE RE ON Are AIT tfilut (l A7 ML | UP) bite h à i : 7" ALL ; MAL f\ ui : TA, ES RTE LES La de : à (Dur) { FU LUE | (ROUE ' ( 1e | ve EN e Eu." " ee to A) MF L he j À DL LT L ; \ | On 2 0) | Ps \ COR

153

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

154

substance est véritablement de l’anthracène'). Sur l’inexactitude de cette assertion je me suis déjà pro- noncé dans le rapport présenté à l’Académie le 28 février 1867 *); mais M. Anderson a néanmoins pro- clamé l'identité des deux corps, et il s’ensuit que, si l’anthracène de M. Berthelot est identique avec ce- lui de M. Anderson, il devrait être également iden- tique avec mon corps. Pour ce dernier j'avais établi déjà en 1857 la formule C,, H,,, et c’est cette for- mule que MM. Anderson et Berthelot adoptent pour leur anthracène.

Je puis cependant déclarer bien positivement que mon corps C,, H,, n’est pas identique avec l’anthra- cène de M. Berthelot, car il fournit avec mon nouveau réactif non pas des lamelles bleues que M. Berthelot a obtenues avec son anthracène, mais des tables rhom- boïdales d’un brillant violet-rouge. Cette réaction est tellement caractéristique qu’elle re peut pas être confondue avec les autres réactions que j’ai décrites; je l'ai montré moi-même à M. Berthelot dans son laboratoire du Collége de France au commen- cement du mois d'avril de cette année peu de temps après mon arrivée à Paris. A cette même occa- sion j'ai fait voir à M. Berthelot tous les corps dont je parle dans le rapport ci-dessus cité, et je lui ai remis non seulement ce rapport, mais aussi des échantillons de la plupart de mes corps, parmi les- quels je nommerai seulement le corps C,,H,,, le corps dont le point de fusion est environ 235° C., et mon nouveau réactif. Peu de temps après, pendant une autre visite au laboratoire de M. Berthelot, j'ai examiné par mon réactit un corps que M. Berthelot me désigna comme anthracène, et ce corps me donna immédiatement des cristaux bleus qui peuvent très bien être nommés des lamelles; cette réaction est caractéristique pour celle de mes substances, dont le point de fusion est environ 235° C., aussi n’hésitais- je pas à déclarer positivement à M. Berthelot, que le corps en question ne peut nullement être identique avec mon corps C»5Hw Or, comme d’après l’asser- tion de M. Berthelot le point de fusion de ce pré- tendu anthracène était environ 210° C., ce corps ne

1) A careful comparison of the two substances made by Professor Fritzsche and myself, during a visit he paid to Glascow some time since, satisfed us that his substance really is anthracene.

2) Bulletin de l’Acad. de St.-Pétersbourg, T. XI, p. 385.

pouvait être, d’après mon intime conviction, qu’un mélange.

Je passe sous silence les autres indications de M. Berthelot sur les réactions que lui a fournies mon réactif avec plusieurs autres carbures, et j’observe seulement que mon réactif a été obtenu avec le corps C3 Hy5 or, comme M. Berthelot dit qu’il est un dérivé nitré d’un carbure congénéré de l’anthracène, il ne considère donc pas mon corps C,$H,, comme de l’anthracène.

Il s’agit maintenant de connaître la réaction de mon nouveau réactif sur l’anthracène de M. Ander- son, ainsi que sur celui de M. Limprecht, et je me suis déjà adressé à ces Messieurs pour leur demander des échantillons. Dès que ces corps seront entre mes mains, je ne tarderai pas de communiquer les résul- tats des expériences auxquelles je me propose de les

soumettre. m0 ———

BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE.

L'Académie a reçu dans ses dernières séances les ouvrages dont voici les titres:

Catalogue of the American Philosophical Society library. Part IL. Philadelphia 1866. 8.

Catalogus codicum manu scriptorum bibliothecae regiae Monacensis. T, I, p. 2, 3, V. VI. Monachii 1866. 8.

Pibliografa d'Italia. Anno I, X 1. Firenze 1867. 8.

Knjizevnik. Godina 1 3. U Zagrebu 1864 66. 8.

Elmgren, Sven Gabriel. Oversigt af Finlands litteratur ifrân är 1771 till 1863. Helsingfors 1865. 8.

Narducci, Enrico. Intorno alla vita del Conte Giamma-

ria Mazzuchelli ed alla collezione de’ suoi manoscritti. Roma 1868. 8.

Revue des cours scientifiques de la France et de l'étranger. année. M 16— 30. Paris 1867. 4.

des cours littéraires de la France et de l'étranger. année. M 16 30. Paris 1867. 4.

11 scripta academica Universitatis Friburgensis annis 1865 et 1866 edita.

26 scripta academica Universitatis Marburgensis annis

1865 et 1866 edita.

scripta academica Universitatis Regimontanae auno

1866 edita.

10 scripta academica et 62 diplomata Universitatis Rosto- chiensis annis 1865 et 1866 edita.

64 scripta academica Universitatis Upsaliensis anno 1866 edita.

45

155

Bulletin de l’Académie Impériale

156

oo,

Upsala Universitets ärsskrift 1865. Upsala— Stockholm. 8.

Rückblick auf die Wirksamkeit der Universität Dorpat. Zur Erinnerung an die Jahre von 1802—1865. Dor- pat 1866. 8.

Wykaz szkoly glownej Warszawskiej. 1866 i 1867. X 6. Warszawa 1867. 8.

Mémoires de l’Académie des sciences morales et politiques de l’Institut Impérial de France. T. XII. Paris 1865. 4.

de l’Académie des sciences de l’Institut Impérial de France. T. 29 et 35. Paris 1866 et 1867. 8.

présentés par divers savants à l’Académie des sciences de l’Institut Impérial de France. Sciences mathéma- tiques et physiques Tome XIX. Paris 1865. 4.

Bulletin de la société philomatique de Paris. T. IIL. Mars, Avril, Mai 1866. Paris. 8.

Memorie della reale Accademia delle scienze di Torino. Serie seconda. Tomo XXI. Torino 1865. 4.

Memorie dell [. R. Istituto Veneto di scienze, lettere ed arti. Vol. XIL, p. 3. 4.

Rendiconto delle sessioni dell Accademia delle scienze dell Istituto di Bologna, anno accademico 1864—65. Bologna 1865. 8.

Memorie del} Accademia delle scienze dell Istituto di Bologna. Serie IT, Tomo IV, fase. 2—4. V. fase. 1, 2. Bologna 1865 66. 4.

Atti dell’ IL. R. Istituto Veneto di scienze, lettere ed arti. Tome XI, serie terza, dispensa 5 7. Venezia 1865 1866. 8.

Reale Istituto Lombardo di scienze e lettere. Rendiconti. Classe di scienze matematiche e naturali. Vol. IT, fase. 3 8. Classe di lettere e scienze morale politiche. Vol. IL, fasc. 3 —7. Milano 1865. 8.

Memorie del reale Istituto Lombardo di scienze e lettere. Classe di scienze matematiche e naturale. Vol. X, fase. IT. Classe di lettere e scienze morali e politiche. Vol. X, fasc. Il. Milano 1865. 4.

Solenni adunanze del r. Istituto Lombardo di scienze e lettere. Adunanza del 7 Agosto 1865. Milano 1865. 8.

Abhandlungen der k. Akademie der Wissenschaften zu Berlin aus dem Jahre 1865. Berlin 1866. 4.

Monatsberichte der k. preussischen Akademie der Wissen- schaften zu Berlin. November und December 1866, Januar und Februar 1867. 8.

Abhandlungen der historischen Classe der k. bayerischen Akademie der Wissenschaften. 10ten Bandes 2te Ab- theilung. München 1866. 4.

Sitzungsberichte der künigl. bayerischen Akademie der Wissenschaften zu München. 1866. I. Heft IV; IL. Heft I. München. 8.

Abhandlungen der k. Gesellschaft der Wissenschaften zu Güttingen. 12ter Bd. von den J. 1864 66. Gôüttin- gen 1864. 4.

der philol.-histor. Classe der k. sächs. Gesellschaft der Wissenschaften. Band V, X IL. Leipzig 1866. 8.

Abhandlungen der mathematisch-physischen Classe der k. sächsischen Gesellschaft der Wissenschaften. Band. VIII, X I, IL. Leipzig 1866. 8.

Berichte über die Verhandlungen der K. sächsischen Ge- sellschaft der Wissenschaften zu Leipzig. Mathema- tisch-physische Classe. 1865, 1866. I, II, LIL Philo- logisch-historische Classe. 1865, 1866. T. I. IL III. Leipzig. 8.

Denkschriften der kaiserl. Akademie der Wissenschaften. Mathematisch -naturwissenschaftliche Classe. 25ster Band. Wien 1866. 4.

Register zu den Bänden 1 14 der Denkschriften der philosophisch-historischen Classe der kaiserl. Akade- mie der Wissenschaften. I. Wien 1866. 4.

Sitzungsberichte der kaiserl. Akademie der Wissenschaf- ten. Mathematisch-naturwissenschaftliche Classe. Bd. 53, Heft 1— 5, Bd. 54, Heft 1 der ersten u. Bd. 53, Heft 2— 5, Bd. 54, Heft 1 der zweiten Abtheilung. Wien 1866. 8.

——— Philosophisch-historische Classe. 52ster Band, Heft 1 4. Wien 1866. 8.

Almanach der kaiserl. Akademie der Wissenschaften. 16ter Jahrgang. 1866. Wien. 8.

Predneseni jednatele ve valném shromäzdeni spoleënosti Musea Krälovstvi Ceského dne 10 éervna 1866. V Praze 1866. S.

Vortrag des Geschäftsleiters in der General-Versammlung der Gesellschaft des Museums des Kônigreiches Büh- men am 10. Juni 1866. Prag 1866. 8.

Verzeichniss der Mitglieder der Gesellschaft und der Be- amten des Museums des Künigr. Bühmen zur Gene- ral-Versammlung am 10. Juni 1866. Prag 1866. 8.

Seznam clenü spoleënosti, védeckych sborû a odborü i üurednictva Musea Krälovstvi Ceského, k valnému shromäzdëni dne 10. Cervna 1866. V Praze 1866. S.

Casopis Musea Kräloystvi Ceského. Roënik XXXIX, svazek 3, 4, XL, svazek 1 3. V Praze 1865 66. 8.

Pamätky Archacologické a Mistopisné, vydävané od ar- chacologického sboru Musea Krälovstvi Ceského. Dil VI, svazek 8, VIL svazek 1—3. V Praze 1865—66. 4.

Liva. Roënik XIII, svazek 1— 3. V Praze 1866. 8.

Prvni roëni zpräva o éinnosti obou komitetü pro prirodo- védeckyÿ vyskum zemë ëeské roku 1864. V Praze 1865. 8.

Transactions of the royal Society of literature. Second Series. Vol. VIII, part 1 —3.

Proceedings of the royal Institution of Great Britain. Vol. VII, X 43, 44. London 1866. 8.

Memoirs of the literary and philosophical Society of Man- chester. Third Series. vol. London 1865. 8. Proceedings of the literary and philosophical Society of

Manchester. Vol. IL, IV. Manchester 1864 65. 8.

The Journal of the royal Dublin Society. Vol. V. X 35.

Dublin 1866. 8.

157

Nova acta regiae Societatis scientiarum Upsaliensis. Seriei tertiae Vol. VI, fasc. 1. Upsaliae 1866. 4.

Det kongel. Danske Videnskabernes Selskabs skrifter. Femte Række. Naturvidenskabelig og mathematisk afdeling. 5te bind, andet hefte. Kjôbenhavn 1861. 4.

Oversigt over det k. danske Videnskabernes Selskabs For- handlinger i Aaret 1861. Kjôbenhavn. 8.

Notiser ur Sällskapets pro Fauna et Flora Fennica Für- handlingar. Sjunde Häftet. Ny Serie, fjerde Häftet. Helsingfors 1867. 8.

Az Erdélyi Museum - Egylet évkünyvei. Negyedik kôütet. Elsô füzet. Koloszvärtt 1867. 4.

Proceedings of the American philosophical Society. Vol. X. 1866. X 75. Philadelphia. 8.

Schleicher, August. Compendium der vergl. Grammatik der indogermanischen Sprachen. Weimar 1866. 8.

Neue, Friedrich. Formenlehre der lateinischen Sprache. 1ster Theil. Stuttgart 1866. 8.

Hattala, Mart. De mutatione contiguarum consonantium in linguis slavicis. Pragae 1865. 4.

Grammatica linguae slovenicae collatae cum proxime cognata bohemica. Schemnicii 1850. 8.

Collan, K. Küniginhofer- och Grünberger-Handskriften. Helsingfors 1865. 8.

Journal asiatique. À 30. Paris 1866. 8.

of the Asiatic Society of Bengal. N. S. Part I, X II. IUT, Part IL, X IL. IIL. Calcutta 1866. 8.

Part II. 1866. Special Number. Ethnology. Calcutta 1866. 8.

Bibliotheca indica. À 215 and New Series. X 94,95. Cal- cutta 1866. 8.

The Journal of the r. Asiatic Society. N. S. Vol. IL, p. Il. London 1866. 8.

Abhandlungen für die Kunde des Morgenlandes, Band IV, X 5. Leipzig 1866. 8.

The Kamil of El-Mubarrad, by W. Wright. Third part. Leipzig 1866. 4.

Ibn Mâlik’s Lâmiyat al Afâl. Mit Badraddîn’s Commentar. Revidirte Textausgabe von Dr. W. Volck. Leipzig 1866. 8.

Die orientalischen Handschriften der herzoglichen Biblio- thek zu Gotha, verzeichnet von Dr. Wilh. Pertsch. Theil 1, 2. Wien 1859—64. 8.

Textes tirés du.Kandjour par H. L. Feer. livraison. Paris 1366. 8.

L’Essence de la Science transcendante. (Prajnâpâramità hridaya Süûtra) en trois langues, tibétain, sanskrit, mongol, par H. L. Feer. Paris 1866.

Féer, Léon. Tableau de la grammaire mongole, suivi de l'élévation de Gengis-Khan et de la lettre d’Arghoun- Khan à Philippe le Bel. Paris 1866.

Revue africaine. Janvier, mars 1867. Alger. 8.

Introduction au calcul Gobäri et Hawâi. Traité d’Arithmé- tique, trad. de l’Arabe par Fr. Wüpke. Rome 1866. 4.

des Sciences de Saïnt- Pétersbourg.

153

Béron, Pierre. Aperçu de la physique céleste. Paris 1865. 8.

Physique céleste. Paris 1866. 8.

Le grand soleil visible au centre du système du monde. Paris 1866. 8.

Taches solaires et périodicité de leur nombre. Paris 1866. 8.

Almanaque nautico para el año 1868. Cadiz 1866. 8.

Clarke, Captain A. R. Comparisons of the standards of length of England, France, Belgium, Prussia, India, Australia. London 1866. 4.

Memoirs of the royal Astronomical Society. Vol. XXXIV. London 1866. 4.

Struve, Otto. Tabulae quantitatum Besselianarum pro annis 1865 ad 1874 computatae. Petropoli 1867. 8.

Delaunay, Ch. Théorie du mouvement de la lune. Tome IT. Paris 1867. 4.

Bauernfeind, Carl Max. Die Bedeutung moderner Grad- messungen. München 1866. 4.

Andrae, C. G. Den Danske Gradmaaling. Fgrste Bind. Kjsbenhavn 1867. 4.

Dubois, E. De la déviation des compas à bord des na- vires. Paris 1867.

Pardo di Figueroa, Rafael. Critica del Regimiento de Nauegacio. Cadiz 1867. 8.

Liebig, Justus Freih. v. Die Entwicklung der Ideen in der Naturwissenschaft. München 1866. 4.

Mémoires de la Société Impériale des sciences naturelles de Cherbourg. Tome X. Paris 1864. 8.

de la Société des sciences naturelles de Strasbourg. T. VI, I livr. Paris Strasbourg 1866. Villa. Ant. Prima riunione straordinaria della Società Ita- liana di scienze naturali nel settembre 1864. 8. Verhandlungen des naturwissenschaftlichen Vereins in Carlsruhe. Heft 1, 2. Carlsruhe 1864—66. 4.

Siebenter Bericht des Offenbacher Vereins für Naturkunde über seine Thätigkeit vom 14. Mai 1865 bis zum 31. Mai 1866. Offenbach 1866. 8.

Zwülfter Bericht der Oberhessischen Gesellschaft für Na- tur- und Heïlkunde. Giessen 1867. 8.

Abhandlungen, herausgegeben von der Senckenberzischen naturforschenden Gesellschaft. Band VI. Heft 1, 2. Frankfurt 1866. 4.

Würzburger naturwissenschaftliche Zeitschrift. Band VI, Heft 3. Würzburg 1866. 8.

medicinische Zeitschrift. Band VII, Heft 3. Würzburg 1567. 8.

Abhandlungen der naturhistorischen Gesellschaft zu Nürn- berg. 3ter Band, 2te Hälfte. Nürnberg 1566. 8. Mittheilungen aus dem Osterlande. 17ter Band, Heft 3, 4.

Altenburg 1866. 8. Abhandlungen herausgeg. vom naturwissenschaftl. Vereme zu Bremen. 1ster Bd., 1stes Heft. Bremen 1866. 8. Erster Jahresbericht des naturwissenschaftlichen Vereins zu Bremen. Bremen 1866. 8.

159

Bulletin de l’Académie Impériale des Sciences de Saint-Pétersbourg.

E16O

0

Archiv des Vereins der Freunde der Naturgeschichte in Mecklenburg. 20stes Jahr. Herausgegeben von Dr. E. Boll. Neu-Brandenburg 1866. 8.

Mittheilungen der k. k. Mährisch-Schlesischen Gesellschaft zur Befürderung des Ackerbaues, der Natur-u. Lan- deskunde in Brünn. 1865. Brünn.

Bulletin de la Société vaudoise des sciences naturelles. Vol. IX. M 54. Lausanne 1866. 8.

Verhandlungen der naturforschenden Gesellschaft in Ba- sel. 4ter Theiïl, 3tes Heft. Basel 1866. 8.

Bulletin de la Société des sciences naturelles de Neucha- tel. Tome II, cahier. Nauchatel 1866. 8.

Mémoires de la Société de physique et d'histoire natu- relle de Genève. T. XVIII, partie. Genève 1866. 4.

de la Société royale des sciences de Liège. Tome XIX, XX. Liège 1866. 8.

Archives néerlandaises des sciences exactes et naturelles publiées par la Société Hollandaise des sciences à

Harlem et rédigées par E. M. von Baumhauer. T. I,!

livr. 1, 2. La Haye 1866. 8.

Archives du Musée Teyler. Vol. IL. fasc. L Mémoire sur la détermination des longueurs d'onde du spectre so- laire, présenté par M. V. $. M. van der Willigen. Harlem 1866. 8.

Bulletin de la Société Impériale des naturalistes de Mos- cou. Tome XXXIX. NX III. Moscou 1866. 8.

Natuurkundig tijdskrift voor Nederlandsch Indie, uitgege- ven door de Koninklijke Natuurkundige Vereeniging in Nederlandsch Indie. Zesde serie. Deel III, Aflevering 4— 6. Deel IV, Afl. 1. Batavia 1865. 8.

Notice sur les travaux scientifiques de M. A. de Caligny. 4.

Cuyper, C. de. Résumé succinct de diverses notes sur les machines soufflantes ou à compression d'air de M. le Marquis A. de Caligny. Paris. 8.

Caligny, A. de. Expériences en grand sur un nouveau système d’écluses de navigation, principes de manoeu- vres nouvelles. 4.

Hue de. Traité de la défense des places fortes, rédigé en 1723. Paris 1846. 8.

Rapport sur la machine hydraulique à flotteur oscillant de M. de Caligny. Extr. des Comptes rendus. T. XIX. 4.

Caligny, Anatole de. Expériences sur une machine hy- draulique à tube oscillant et sur des effets de suc- cion à contre courant. 4.

Plantamour, E. Expériences faites à Genève avec le pendule à réversion. Genève et Bale 1866. 4.

Aéromotion. Mémoire sur la science et l’art de la navi- gation aérienne, par M. J. B. Bayonne 1867. 8.

Zeitschrift für Chemie. Jahrgang 1865, Band I, Heft 19 23. 1866, Band II, Heft 1 24.

Proceedings of the Meteorological Society. Edited by James Glaisher. Vol. IIL. M 27. London 1866. 8.

Ehrenberg, Christ. Gottf. Passat-Staub und Blut-Regen,

ein grosses organisches unsichtbares Wirken und Le- ben in der Atmosphäre. Berlin 1849. Fol.

Ehrenberg, Christ. Gottf. Erläuterung eines neuen wirk- lichen Passat-Staubes aus dem atlantischen Dunkel- meere vom 29. October 1861. 8.

1) Der rothe Schneefall in den Central-Alpen am 7. Februar 1862. 2) Der rothe Schneefall bei Lyon am 27. März 1862. 8.

Mittheilungen über einen Phytolitharien - Tuff als Ge- birgsart im Toluca-Thale von Mexiko. 8.:

Resultate aus den meteorologischen Beobachtungen im Künigreiche Sachsen, bearbeitet von C. Brubns. 2ter Jahrgang. Leipzig 1867. 4.

Annales météorologiques de l'Observatoire r. de Bruxelles, publiées de A. Quetelet. 1" année. Janvier 1867. 4.

Plantamour, E. Résumé météorologique de l’année 1865 pour Genève et le Grand St. Bernard. Genève 1866. 8.

Haidinger, W. Ritter v. Der Meteorsteinfall am 9. Juni 1866 bei Knyahinya. Zweiter Bericht. 8.

Jahrbücher der k. k. Central-Anstalt für Meteorologie und Erdmagnetismus von C. Jelinek und C. Fritsch. N.F. I. Band. Wien 1866. 4.

Quetelet, Ernest. Sur l’état de l'atmosphère, à Bruxelles, pendant l’année 1865. 8.

Observations météorologiques faites à Nijné-Taguilsk. An- née 1865. Paris 1866. 8.

Intorno al corso ed all origine probabile delle stelle me- teoriche. Lettere di G. V. Schiaparelli al P. A. Secchi. Roma 1866. 4,

Lindberg, Sextus Otto. Botaniska bidrag till Finlands Klimatologi. Helsingfors 1865.

Jahrbuch der k. k. geologischen Reichsanstalt. 1865 Oct. Nov. Dec. 1866 April—September. 1867 Jan. Febr., März. 4.

Circulare dalla Gerenza della Societä Nazionale di mi- niere in Lombardia.

Bulletin de la Société géologique de France. Tome 24°, feuilles 1— 16. Paris 1866 67. 8.

Liste des membres de la Société géologique de France au 31 décembre 1866. 8.

Zeitschrift der Deutschen Geologischen Gesellschaft. X VIIL. Band, 35tes u. 4tes Heft. Berlin 1866. 8.

The quarterly Journal of the Geological Society. Vol. XXII, p. 2. M 90. London 1867. 8.

Abich, H. Karten und Profile zur Geologie der Halbinsel Kertsch und Taman. Tiflis 1866. 4.

La mine de graphite de Sibérie, découverte en 1847 par M. J. P. Alibert. Comptes-rendus des Académies, des Sociétés savantes et des Journaux. Paris 1869. 8

Musée Teyler. Catalogue systématiqne de la Collection pa- léontologique par T. C. Winkler. Cinquième livraison. Harlem 1866.

Paru le 15 août 1867.

T. XIE, N°3.

BULLETIN

TOME XI.

(Feuilles 11—17.)

CONTENU: MM. Zabeline et Dorogof, Influence du chlorure de sodium sur absorption du phos- phate de chaux tribasique ..:.......... PRDIRS DECO OT ER T OS SPA ne à MM. Zabeline et Wassilewsky, Influence du chlorure de sodium sur absorption du fer EE OT ME PEER CN CS PR UC IN Le CNT ANR RADIO SRE BARON RSR ER AE RAR RL the pe ur een E, Kunik, Rapport sur l'ouvrage de M. Winkelmann, intitulé Pibliotheca Livoniae DO RCOURE PCR RACINE RS A A RQ ne Re EU ARE UT Miele, (Uonteset lécendestossetes. 002. UN Ni Te ARNO pe El, BorStow, Actions des rayons rouges et bleus de la lumière sur Ja plasma liquide contenue dans les -poilsipiquants dell'ortie..:..204. LA ue 0 ain C. J, Maximowiez, Courtes diagnoses de nouvelles plantes du Japon et de la Mandjourie. SUR ETC OROE e TT MER EN RE nn A à A. Wagner, Oscillation extraordinaire du niveau, observée à Poulkoyo ............ Ferd, Minding, Démonstration d’un théorême de STALIQU EN EN MER EME RARE ER Ds EL. Bor$éow, Action des rayons rouges de la lumière sur la chlorophylle des Spirogyres W. Gruber, Sur les écarts de la Vena jugularis externa posterior. ................. E, Pelikan, Paralysie locale produite par le Saponin et les poisons semblables (Githa- AA CRC EC) SNA INR ne RE done ne Col ee eur le W. Gruber, Sur les variétés du Musculus brachialis internus ..................2... J. F, Brandt, Quelques mots sur la configuration du cerveau des Sireniens. ......... RD PRO BTE QUE Ne os Le bn eue eo 2 Me LRU ARTE UN

M. Léopold Voss, libraire à Leipzig.

DE L'ACADÈMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG.

Page. 161 163

164 165

165 169 169 179 180 212 212 225 225 231 231 233 233 239 239 247 247 253 253 259

On s’abonne: chez MM. Eggers & Cie, H. Schmitzdorff et J. Issakof, libraires à St.-Pétersbourg, Perspective de Nefski; au Comité Administratif de l’Académie (Kowmurers Ipaszenia Huneparopekoñ Axkaxemin Hayk®) et chez

Le prix d'abonnement, par volume composé de 36 feuilles, est de 3 rbl. arg. pour la Russie,

3 thalers de Prusse pour l'étranger.

Imprimerie de l’Académie Impériale des sciences. (Vass.-Ostr., ligne, X 12.)

SN | NE a TON EN A AR

1 “Wia à WA LL LE, Un 1 nt W ni nie ; x d D var park cle ma :: 1 : Ain de: AU l | Lirtaiie 4 PR 1 Lei pt Fer Et | EAP a PRE vit au % Me ra Pas ï t runs wi: i LE a" Len De 1 nr À ce: AU , CR mb ab: i wivrdys M ie dpurpater LAS de # LR

1# 4 Min F6 bytes ce Jen bande at th ms vi 6

Lui 4 13 UNE tds re rs Ex ae mn Le mi LE ü PME

LA tés Deep Hit MMS ans nil il à vi A HA rn: Steele Ca ken ce *d T0 ve A ER A. sr:

in” : ue ht pv

s@ Mother di tir 14 4

; qu ur # nv

L OLD ARTE qe

ÿ A) ñ . vai de M dd a Ro à ii Fer Ke 1 fe Kits: fi sd ti de je He mit bu ù MUR ha. 1e AE k ui

Lot LOT

RE ar: À

NL rx ni M # + 4

PIOTETTE | % if h de bu .

14 shit : Ps die

Li

H Fe Min, vu L mr: “ANA uit 4 Ju Lire LTÉE

1 4 | Et j LAN

Ru LT

te4 : HE AUARE o 28 r 110 « . JIN ti vb FOR i (ILE TENUE cs AE s | (PU RSR EST À ee . à. cn de Re bits Pr 4 LL 1 L al Ju En L quil 1 ne

BULLETIN

DE L'ACADEMIE IMPERIALE DES

SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOUR.

L'influence du Chlorure de Sodium sur l’absorp- |

tion du phosphate de chaux tribasique, par

MM. Zabeline et Dorogof. (Lu le 22 août 1867.)

Pour résoudre la question de l'influence de CI Na sur l’absorption du phosphate de chaux, il fallait dé-

terminer d’abord, quelle est la quantité de chaux éli-|

minée par le rectum et par les voies urinaires sous l'influence du CINa et dans le cas d’une absence complète de cette substance dans les aliments.

Nous avons pris des chiens pour faire nos expé- riences. On les nourissait avec de la caséine qui con- tenait le phosphate de chaux tribasique et qui, outre ce sel et l’eau, ne contenait pas de traces de chlo- rures et d’autres substances solubles propres au lait. Chaque jour, à la même heure le chien recevait une quantité déterminée, de caséine et l’on introduisait à l’aide d’une sonde stomachique une quantité détermi- née d’eau distillée d’une même température. La quan-

6 = 2 | tité de l’eau distillée variait suivant le contenu de

l’eau dans la caséine, de sorte que le chien recevait chaque jour la même quantité de caséine et d’eau. Toutes nos expériences ont donné un même résultat; nous en décrirons une en détail pour faire connaitre la méthode que nous avons suivie dans nos expéri- mentations.

Pendant les premiers 7 jours le chien recevait la caséine et l’eau distillée et point de CI Na; les 7 jours suivants il recevait la caséine et l’eau distillée, plus

0,200 grm. de CI Na par jour. Pendant les premiers | 7 jours le chien a mangé 700 grm. de caséine qui.

contenaient 8,668 grm. de phosphate de chaux, pen-

dant les derniers 7 jours le chien a mangé également | 700 grm. de caséine qui contenaient 7,232 grm. de!

phosphate de chaux.

Pendant les premiers 7 jours, ont été éliminés par le rectum 11,556 grm. de phosphate de chaux et par les voies urinaires 0,114 grm.

Pendant les derniers 7 jours ont été éliminés par le rectum 6,873 et par les voies urinaires 0,140 grm.

Par conséquent en cas d'absence complète de CI Na Tome XII.

dans les aliments il a été éliminé par le rectum 2,888 grm. de phosphate de chaux de plus qu’on n’en a in- troduit dans l’estomac, et par le rectum et les voies urinaires ensemble 3,002 grm. de plus, qu’on n’en a introduit dans l'estomac; au contraire sous l'influence de CINa il a été éliminé par le rectum 0,359 grm. de moins, et par le rectum et les voies urinaires en- semble 0,219 de moins, qu’on n’en à introduit dans l'estomac.

Dans la suite de notre expérimentation, les 10 pre- miers jours le même chien recevait la caséine et l’eau distillée sans CINa; les 12 jours suivants il recevait la même quantité de caséine et d’eau distillée, à laquelle on ajoutait le CINa en doses croissantes de 0,100 jusqu’à 1,200 grm. par jour. Enfin pendant 12 jours encore le chien recevait la même quantité de caséine et d’eau sans CINa. Le chien a mangé dans la caséine pendant les premiers 10 jours 8,363 grm. de phos- phate de chaux, pendant les 12 jours suivants 10,381 grm.; pendant les 12 derniers jours 10,843 grm.

Les premiers 10 jours le chien a perdu par le rectum 8,445 grm. et dans l'urine 0,536 de phos- phate de chaux, les 12 jours suivants sous l’influence du CINa il a perdu par le rectum 7,925 grm. et dans l'urine 0,420 grm. de phosphate de chaux; les 12 derniers jours il en a perdu par le rectum 10,726 grm. et dans l’urine 0,119 grm.

’ar conséquent les premiers 10 jours, quand lani- mal ne recevait pas de CINa dans les aliments, il perdait par le rectum 0,082 grm. de phosphate de chaux de plus, qu’il n’en recevait avec les aliments et il perdait par le rectum et dans l’urine ensemble, 0,618 grm. de plus, les 12 jours suivants sous lin- fluence du CI Na, il perdait par le rectum, 2,456 grm. de moins, qu’il n’en recevait, et par le rectum et dans l'urine ensemble 2,036 grm. de moins; eufin les 12 derniers jours, c.-à., d. de nouveau en cas d’une ab- sence complète du CINa dans les aliments de l’ani- mal, il perdait par le rectum seulement 0,117 grm.

de moins, qu’il n’en recevait, et par le rectum et dans 11

163

Bulletin de l’Académie Kmpériale

164

l’urine ensemble 0,002 grm. de phosphate de chaux de plus qu'il n’en recevait.

L'expérience décrite, ainsi que plusieurs autres que nous avons faites en suivant la même méthode, nous ont montré que le phosphate de chaux introduit dans l'estomac avec la caséine est absorbé par l’organisme en plus grande quantité dans le cas les aliments reçus par l'animal contiennent le CI Na.

Pour voir si la quantité de phosphate de chaux dans le sang a varié pendant nos expériences, nous avons fait l’expérience suivante.

Le sang d’un chien qui pendant 18 jours n’a reçu que de la caséine et de l’eau distillée, a donnée 0,034, de chaux, le sang du même chien, après 18 jours, pendant lesquels il recevait la caséine, l’eau distillée et 0,500 grm. de CINa par jour, a montré un con- tenu de 0,057, de chaux.

On voit donc que la quantité de chaux dans le sang augmente sous l'influence de CI Na.

Après ces résultats il est naturel de se demander, si la présence du CI Na dans les aliments influe sur la déposition de la chaux dans les os. Pour résoudre cette question nous avons entrepris une série d’expé- riences et nous nous empressons de communiquer un résultat frappant que nous a donné la première de nos expériences qui à été terminée.

On a fait une résection d’une portion du milieu du radius chez deux chiens; les bords des blessures ont été réunis par une souture; après l’opération pen- dant 25 jours, l’un des deux chiens ne recevait que de la caséine et de l’eau distillée et l’autre recevait de la caséine et l’eau distillée avec du CINa. Après ces 25 jours on a extrait chez les chiens opérés les radius et l’on a trouvé que chez le chien qui recevait du CI Na, le morceau enlevé du radius était complète- ment rétabli, tandis que chez le chien qui ne recevait pas de CI Na dans des aliments, à l'endroit du mor- ceau enlevé du radius il ne se trouvait pas de trace d’ossification. Les deux radius sont conservés dans le laboratoire pharmacologique de l’Académie de Médi- cine de St-Pétersbourg.

L'influence du chlorure de Sodium sur l’absorp- tion du fer métallique, par MM. Zabeline et Wasilewsky. (Lu le 22 août 1867.)

On a expérimenté sur des chiens, que l’on nou- rissait de caséine contenant son phosphate de chaux tri- basique et son eau, et exempt de chlorures et d’autres substances solubles contenues ordinairement dans le lait. On donnait au chien chaque jour à la même heure une portion déterminée de caséine et on lui introduisait ensuite, à l’aide d’une sonde stomachique, une quantité d’eau distillée d’une même température tantôt avec du CI Na, tantôt sans ce sel. La quantité d’eau distillée variait suivant le contenu de l’eau dans la portion de la caséine administrée, de manière que le chien recevait chaque jour la même quantité de caséine et d’eau.

L'expérience qui a duré pendant 70 jours, peut être divisée en 7 périodes. Pendant la première pé- riode le chien ne recevait que de la caséine et de l’eau; à partir de la seconde période il recevait chaque jour, outre la caséine et l’eau, 0,200 grm. de fer métallique. Le régime auquel l’animal a été assujetti pendant la première période qui a duré 16 jours, avait pour but d’appauvrir l’organisme quant au fer et au chlorure de Sodium.

Pendant la 2°° période qui a duré 10 jours, on a introduit dans l’estomac du chien 2,000 grm. de fer métallique et on a retrouvé ces 2,000 gr. de fer dans les matières fécales, déposées par l’animal pendant cette même période. L’urine sécrétée pendant ce temps contenait encore 0,016 gr. de fer, qui ont été par conséquent perdus par l’organisme.

La 3°° période a duré 12 jours, pendant lesquels on à introduit dans l’estomac du chien 2,400 grm. de fer métallique et 3,480 grm. de CI Na (0,290 par Jour). Dans les matières fécales de ces 12 jours on a trouvé 1,749 grm. de fer et dans l’urine 0,012 grm. Par conséquent des 2,400. grm. de fer métallique in- troduits dans l’estomac de l’animal, 0,639 grm. sont restés dans l’organisme.

La période a duré 12 jours, pendant lesquels le chien a reçu 2,400 grm. de fer métallique. On a trouvé dans les matières fécales 2,400 grm. de fer et dans l’urine 0,022 grm. La quantité de fer éliminée par le rectum étant la même que celle que l’on a in-

165

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

166

troduite dans l’estomac, le fer contenu dans l'urine a été par conséquent perdu par l’organisme.

Pendant la période qui était de 6 jours, on a donné au chien 1,200 de fer métallique. Dans les matières fécales on a trouvé 1,999 de fer et dans l'urine 0,016 grm. Par conséquent 0,015 grm. de fer ont été perdus par l'organisme.

La période dura 9 jours. Pendant cette pé- riode on a introduit dans l’estomac du chien 1,800 grm. de fer métallique et 2,745 grm. de CI Na (0,305 par jour). Dans les matières fécales de toute la pé- riode on a trouvé 1,205 grm. de fer et dans l’urine 0,027 grm. Donc 0,568 grm. de fer sont restés dans l’organisme.

Pendant la période qui était de 7 jours, le chien a reçu 1,400 grm. de fer métallique et 3,500 grm. du CINa (0,500 par jour). Dans les matières fécales on a trouvé 0,892 grm. de fer et dans l’urine 0,018 grm. Donc 0,490 grm. de fer sont restés dans l’organisme.

En résumé toutes nos expériences prouvent que le fer métallique introduit dans l’estomac du chien est complètement éliminé par le rectum, quand les aliments de l’animal ne contiennent pas de sel ma- rin, et que dans le cas contraire une certaine quan- tité de ce fer reste toujours dans l’organisme. Pour voir si la quantité de fer dans le sang de l’animal va- riait pendant la durée de nos expériences, nous avons déterminé la quantité de fer dans le sang du chien au dernier jour de la période et au dernier jour de la 7"° période. Le sang à la fin de la 5°° période, pris après que l’animal a été pendant 18 jours privé de CI Na, contenait 0,05°/, de fer; à la fin de la période, après que l’animal pendant 16 jours recevait le fer et le CINa, le sang contenait 0,137, de fer, c.-à.-d. que le sang a été deux fois et demie plus riche en fer.

Aus Baku, von B. Dorn. (Lu le 5 septembre 1867.)

1) Als ich in den Jahren 1860 und 1861 die sogenannten ewigen Feuer in Surchane (Cypxam, Cypaxam, &b,s, ME ge, Sieh den Kaukasischen Kalender, 1856, $. 500, 508 und 498) bei Baku be- suchte, befanden sich fünf Inder da'). Einige Jahre

1) S. Bericht über eine wissenschaftliche Reise in dem Kauka- sus u. 8. wW. 5. 435.

später wurde mir von verschiedenen Seiten her er- zählt und zum Theil durch Reisende bekräftigt, drei der Inder seien weggestorben und einer sei von den Tataren getüdtet worden, worauf der Feuertempel”) nebst seinen Nebengebäuden von der an Ort und Stelle befindlichen Fabrikanstalt *) zu ihrem besonde- ren (Gebrauche verwandt worden sei. Diese Nach- richten mügen sich auch weiter verbreitet haben und künnten allenfalls irgendwo als gewiss mitgetheilt werden. Es wäre sehr Schade gewesen, wenn sich je- nes Gerücht als richtig erwiesen hätte. Russland hätte durch die Verwendung des Tempels zu anderen Zwecken ein in seiner Art einziges und berühmtes Denkmal verloren. Auch die indischen Inschriften ‘), welche sich über den Eingängen zu den verschie- denen Zellen befinden, hätten in diesem Falle ver- schwinden künnen, was immer, mag ihr linguistischer Werth auch eben nicht von überwiegender Bedeu- tung sein, doch rücksichtlich der Geschichte des Or- tes selbst, des Tempels und dessen indischer Bewoh- ner zu bedauern gewesen wäre. Ich wandte mich da- her im Anfange dieses Jahres an Hrn. St.-R. Spassky- Avtonomov ”) in Baku um nähere Auskunft hinsicht-

2) Der Ort, wo sich die Feuer und der Tempel befinden, heisst

4 Ateschgah SSI «Feuerort», wie er auch auf Karten be- zeichnet wird (Aramka Aremraxt+); den Tempel selbst nannten

2 die dortigen Perser Ateschkedeh o LES].

3) Vergl. Bericht, S. 456.

4) Vergl. Eichwald, Reise auf dem Caspischen Meere, Bd. I, S. 217 und (Bd.1I1) Alle Geographie des Casp. Meeres, S. 239. In letz- terer Scbrift ist eine dieser Inschriften von Bopp erklärt. Ich besitze deren fünfzehn, welche zum Theil schon zum Behuf der Herausgabe lithographirt sind. Prof. Beresin (Reise, 2. Ausg. Th. 1, III, S. 47) erwähnt einer Sanskrit-Inschrift über dem Eingange in die Capelle (xacogxa), welche besagt, dass das Gebäude i. J. 1866 der indischen Ara oder 1810 der Chr. Zeitr. erbaut worden sei. Vergl. die Eich- wald'sche Inschrift. Er fügt hinzu, dass sich in dem Hofe der Karawanserai oder der Wohnung der Inder zwanzig Zellen befin- den. Über dem Eingange zu jeder Zelle war eine «Sanskrit-In- schrift» und ausserdem über einem dieser Eingänge ein entstellter persischer Name mit dem Jahre 1158 (1745) zu sehen. Es besteht die Angabe, dass Nadirschah seinem Gouverneur in Baku, Ke- rim-Bek,den Befehl gab, für die nach Baku zu den ewigen Feuern wallfahrenden Inder eine Karawanserai auf Staatskosten zu erbauen. Vielleicht hat die Jahreszahl 1745 hierauf Bezug. Ussher (A Jour- ney from London to Persepolis. London, 1865, S. 206 208) fand in «Atesh Dja or Fire Temple», zwei Inder aus Calcutta und Delhi vor. Über der Thür zu jeder Zelle war eine Inschrift. Die Sage, fügt er hinzu, schreibt die erste Gründung eines Tempels an diesem Orte dem Zoroaster zu: Tradition attributes the first erection of a temple on this spot to Zoroaster.

5) Vergl. Bericht, S. 432. Er ist unter Anderem der Verfasser der «Beschreibung des Baku’schen Kreises im Schemacha’schen

1h

167

lich des Feuertempels und seiner indischen Bewohner. Ich erhielt dieselbe vor Kurzem. Der Feuertempel ist keinesweges zum Gebrauche der Fabrikanstalt ver- wendet worden; er wurde im Gegentheil nach dem unglücklichen Tode des einen von den zwei nachge- bliebenen Indern im September 1864 gerade der Ob- hut der Verwaltungsbehôrde der Anstalt anvertraut, weil auch der andere noch am Leben gebliebene Inder sich irgendwohin entfernt hatte. Im September 1865 war Hr. Spassky selbst an dem Orte. Zwar war da- mals kein Feueranbeter da, aber die Wohnung der Inder war unangetastet geblieben. Seitdem haben sich deren wieder zwei eingefunden und auf ausdrücklichen Befehl S. K. H. des Statthalters des Kaukasus ist so- gar das «indische Kloster» nebst seinen Bewohnern unter die besondere Verantwortlichkeit der Fabrik- anstalt gestellt worden.

2) Ich habe in meinem Berichte (S. 436) eines da- mals (1860—1861) in Baku lebenden Persers, Mirsa Abdurrahim®) gedacht, welcher mir bei der Erfor- schung der Tat-Sprache unä noch sonst sehr behülf- lich war. Auch andere Reisende vor mir hatten seine Beihülfe nicht verschmäht. Er war in Baku der ein- zige mir bekannte Muhammedaner, welcher den Werth der europäischen Bildung und Wissenschaft begriff, schätzte und sie gern in Anwendung brachte. Er ist im Jahre 1863 gestorben. Eine kurze Biographie von ihm dürfte nicht unwillkommen sein; er gehôürt zu den Muhammedanern, deren Erwähnung in einer einstigen Bibliotheca Muhammedana Caucasia nicht umgangen werden kann. Ich verdanke die hier folgen- den Mittheilungen ebenfalls der Gefälligkeit des Hrn. Spassky, welcher den Mirsa seit 1847 gekannt hat und in beständigem Umgange mit ihm stand.

Mirsa (auch Mulla) Abdurrahim, der Sohn des Achund Mulla Imam-Aly, gebürtig aus dem Dorfe Karakaschli (Kapakaman) im District Schabran, Kreis Kuba, war geboren in Baku i. J. 1797. Er erhielt seine Erziehung von seinem Vater und an- deren Mulla’s und wurde dann selbst Lehrer an der unter seinem Vater stehenden Schule. Auf diese

Gouvernement» (Onncarie Baxunckaro ybsaxa Ilemaxunexoï ry6ep- Hiu), im Kaukas. Kalender, 1856, S. 500.

6) + plel ie p322° op pelouse Join wie er sich

selbst nannte.

Bulletin de l’Académie Impériale

168

Weise lernte er nicht nur die ürtlichen Sprachen, das Tatarische und Persische, sondern auch Arabisch; er galt als ein Kenner dieser drei Sprachen. Im Jahre 1825 kam der nach Persien bestimmte General- Consul Wazenko auf seiner Durchreise nach Baku, wo er in Folge der in Persien kundgegebenen feind- seligen Gesinnungen gegen Russland, in Erwartung günstigerer Umstände zur Fortsetzung seiner Reise, fürs Erste blieb. Der junge Mulla Abdurrahim wurde Lehrer der orientalischen Sprachen bei seinen Kindern und ging i. J. 1826, als Baku von den Per- sern belagert wurde, mit Hrn. Wazenko nach Astra- chan. Nach Abschluss des Friedens von Turkman- tschai kehrte Mulla Abdurrahim nach Baku zurück und wurde zum «Mirsa» oder Schreiber in dem da- mals bestehenden baku’schen Provinzialgericht er- nannt, wo er auch noch das Amt eines Übersetzers oder Dolmetschers versah. Von da an war Mirsa Abdurrahim der beständige Reisegefährte und Weg- weiser für alle gelehrten Reisenden in Baku und auf der ganzen apscheronschen Halbinsel, zeigte ihnen alle merkwürdigen Alterthümer, las, übersetzte und co- pirte alte Inschriften in verschiedenen Sprachen und gab über geschichtliche Ercignisse und Personen, welche in den Inschriften erwähnt werden, Erläu- terungen ”). Im Jahre 1834 (am 13. Mürz) wurde M. Abdurrahim zum Lehrer der tatarischen und persischen Sprache und der muhammedanischen Glau- benslehre an der Kreisschule in Baku ernannt und nach 25 jährigem Dienst i. J. 1859 mit Pension ent- lassen. Von da an wandte er sich religiüsen Beschäf- tigungen zu. Er unternahm fürs Erste eine Wallfahrt nach Kerbela und im Jahre 1863 nach Mekka, wo er an der Cholera starb. Mirsa Abdurrahim zeich- nete sich durch besondere Hôüflichkeit und dankbare Erkenntlichkeit für alles ihm auf irgend eine Weise erzeigte Gute aus. Er war ein Freund der Aufklä- rung und Freiheit, Russland’s und überhaupt Eu- ropa’s, aber von dem Glauben an den Koran und den Propheten des Islam’s konnte er sich nicht losmachen und eben deshalb auch nicht von Asien.

7) Vergl. Beresin, Reise, Th. II, Beilagen, S. 61, wo viele von M. Abdurrahim in Baku und dem bakw’schen Kreïise copirte In- schriften mitgetheilt werden. Im Jahre 1848 befand sich derselbe

in der Begleitung des Hrn. v. Chanykov; s. «KaBkasb», 1850 Xe 52, S. 206.

169

Ich unterschreibe alles von Hrn. Spassky Gesagte ohne Weiteres und füge nur noch hinzu, dass Mirsa Abdurrahim aus Überzeugung ein cifriger Schiite war. Ich habe ihn während meines Aufenthaltes in Baku in den erwähnten Jahren 1860 und 1861 fast tüglich bei mir gesehen, wovon an einem andern Orte ausführlicher die Rede sein wird. Er gehürt auf je- den Fall zu den Muhammedanern, welche die Achtung derer erwarben und verdienten, welche sie näher kannten. Er, der schiitische Perser, stand hinsichtlich der Biederkeit seines Charakters den beiden Sunni- ten, dem Araber Schaich Tantawy und dem Tata- ren MullaHusainFais-Chanov(f1866)nicht nach.

Fer 1e rc über die «Bibliotheca Livoniae historica. Systematisches «Verzeichniss der Queilen und Hülfsmittel für die «Geschichte Estlands, Livlands und Kurlands bis «zum Jahre 1715. Von Eduard Winkelmann, Dr. «phil. Docent an der Kais. Univ. Dorpat.» Von E. Kunik.

(Lu le 13 juin 1867.)

Einer der stärksten Vorwürfe, den man den Vertre- tern einer Wissenschaft machen kann, ist der der Halb- wisserei. Und dieser trifft, ungeachtet der grossen Fort- schritte auf dem Gebiete der Geschichtswissenschaft, die Historiker der Gegenwart immer noch nicht ohne Grund. Gar Manches muss indessen zur Entschuldi- gung der Historiker angeführt werden, die bei ihren Arbeiten sich in einer ganz andern Lage befinden, als z. B. die Naturforscher bei den ihrigen. Während die Letzteren, um nur eine Seite dieses Unterschieds her- vorzuheben, in Betreff literarischer Hülfsmittel im AÏl- gemeinen nur darauf angewiesen sind, die laufenden Er- scheinungen auf ihrem Gebiete zu verfolgen und nur in bestimmten Füällen sich in die Literatur der Vergan- genheit zu vertiefen haben, sieht der Historiker, schon um des zu bearbeitenden und darzustellenden Stoffes Herr zu werden, sich veranlasst, eine Unzahl von Werken und Aufsätzen mehr oder minder zu berück- sichtigen, die zu verschiedenen Zeiten und in verschie- denen Sprachen erschienen sind. Und befindet er sich auch in der glücklichen Lage, die Mehrzahl der in

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

170

seine Specialstudien einschlagenden Quellenwerke und literarischen Hülfsmittel benutzen zu künnen, so beschleicht ihn doch bald ein starkes Misbehagen, wenn er zur Einsicht gelangt, dass zur Aufhellung selbst wesentlicher Partien seiner Arbeiten ein reich- haltiges Material noch in den Archiven und Bibliothe- ken des einen oder andern Landes verborgen liegt. Und wie oft ahnt er gar nicht einmal, dass ein solches Material vorhanden ist!

Diese und andere Übelstände in kurzer Zeit zu besei- tigen ist natürlich ein Ding der Unmüglichkeit. Aber das kann nicht geläugnet werden, dass die Historiker der verschiedenen Länder Europas im Ganzen zu we- nig darauf bedacht sind, denselben durch zweckmäs- sige Massregeln abzuhelfen. Nicht nur die historischen Fachjournale— wir rechnen dazu auch die Zeitschriften der orientalischen Gesellschaften, der Alterthumsver- eine u. s. w.—erfüllen in dieser Hinsicht ihre Auf- gabe in einer wenig befriedigenden Weise, sondern es ist hauptsächlich auch der Mangel an wissenschaft- lichem Gemeinsinn, welcher die Historiker verschie- dener Länder nicht dazu gelangen lässt, mit vereinten Kräften und so mit grüsserem Erfolg an die Ausfül- lung der zahllosen Lücken, welche das historische Wis- sen noch bietet, zu gehen. In dieser Hinsicht müsste vor allen Dingen, da der Druck von unedirten Quellen des europäischen und orientalischen Mittelalters so wie der Geschichte der lezten drei Jahrhunderte ver- hältnissmässig nur sehr langsam fortschreiten kann, die Aufzeichnung und müglichst genaue Be- schreibung von unedirten handschriftlichen Quellen der Archiveund Bibliotheken viel ener- gischer betrieben werden. Wenigstens würden dann diejenigen, welche einen Gegenstand nicht bloss oben- hin behandeln wollen, sich Gewissheit darüber ver- schaffen künnen, ob und wo noch unbekanntes Quellen- material vorhanden ist, das verarbeitet und in die histo- rische Darstellung aufgenommen zu werden verdiente.

Aber auch die sorgfältigsten Nachwcisungen und Angaben über den in Bibliotheken und Archiven zerstreuten und früher ganz unbekannten historischen Quellenstoff verschwinden leicht in der steigenden Sind- fluth von neu erscheinenden Büchern und Zeitschrif- ten, wenn solche Notizen nicht gesammelt und systema- tisch zusammengestellt werden. In dieser Hinsicht ist eseinerfreuliches Zeichen der Zeit, dass die Unzahl von

171

Bulletin de l’Académie Hmpériale

172

edirten und unedirten Urkunden und Briefen histori- schen Inhalts, besonders aus der Epoche des Mittelal- ters, chronologisch geordnet und in Form von Regesten mehr oder minder genau beschrieben werden. Sind ein- mal für die Geschichte einer Epoche eines Staates oder Volkes solche Regesta angelegt, so ist eine je nach den Umständen mehr oder minder erschüpfende Ausbeutung dieses urkundlichen Stoffes Pflicht für den Historiker, der über eine solche Epoche schreiben will. Verhältnissmäsig weniger geschieht für die Sammlung und kritisch-systematische Verarbeitung der Materi- alien zur Literatur der Geschichte einzelner Länder und Vülker. Und doch ist gerade in dieser Beziehung überall ein dringendes Bedürfniss zu befriedigen. Das Vorhandensein desselben ist wohl ziemlich allgemein anerkannt; doch bieten sich in Betreff der Bearbeitung der Literatur der Geschichte grüsserer Ländermassen und Vülker der Schwierigkeiten so viele, dass man sich nicht wundern darf, wenn auf diesem Gebiete nicht das geleistet wird, was eigentlich schon längst mit aller Energie durch Vereinigung verschiedener Kräfte hätte geschehen sollen.

Im Ganzen ist es leichter, die Literatur einer Pro- vincialgeschichte zusammenzustellen, und ein aller Anerkennung werther Versuch dieser Art ist unlängst von dem Docenten der Dorpater Universität, Hrn. Dr. Winkelmann gemacht worden, dessen Arbeit ich in Folge einer an mich ergangenen Aufforderung hier- mit der Classe vorzulegen und zugleich ihrer geneig- ten Beachtung zu empfehlen keinen Anstand nehme.

Ursprünglich wurde Hr. Winkelmann «durch das ei- gene Bedürfniss veranlasst» die jetzt vollendete Arbeit anzufangen. «Ermuntert durch den Zuspruch gechrter Freunde» hat er sie, wie er selbst in der Vorrede berich- .tet, in erweitertem Umfange unter schwierigen Ver- hältnissen fortgeführt. Den Hauptbestandtheil der «Livländischen historischen Bibliothek» bildet ein müglichst vollständiges systematisches Verzeichniss al- ler auf die Geschichte Estlands, Livlands und Kurlands (bis zum J, 1795) sich bezichenden Schriften und Auf- sätze, gleichviel in welcher Sprache sie abgefasst oder gedruckt sind. Hervorzuheben ist besonders, dass Hr. Winkelmann dabei auch eine nicht unbeträchtliche Anzahl der bis jetzt nur handschriftlich vorhande- nen Quellen verzeichnet hat. Eine kurze Übersicht der Rubriken, unter denen er den Stoff angebracht hat,

wird einen Begriff von der Reichhaltigkeit des gesam- melten bibliographischen Materials geben, das aus mehr als 7000 Nummern besteht.

Erster Theil: Einleitendes, T.

Allgemeines über die geschichtlichen Studien in Beziehung auf die Provinzialgeschichte. Bibliographische Hülfsmittel. Zeitschriften der baltischen Provinzen historischen Inhalts. Publicationen der gelehrten Gesellschaften. Urkunden-Sammlungen und Nachrichten von Urkunden. a) Baltische Urkunden-Sammlungen. b) Ausserbaltische Urkunden-Sammlungen. Anhang: Baltische Diplomatik. Chroniken-Sammlungen. Miscellan-Werke.

IT.

Allgemeine Geographie der baltischen Provinzen. a) Reisen und Beschreibungen. b) Karten. Oro- und Hydrographie. a) Orographie. b) Hydrographie. Das Meer. Die Landseen. Schwimmende Inseln. Die Flüsse.

Kurl. Aa Livl. Aa Brohe Düna Em- bach Narowa Pernau Salis Win- dau Wühhanda.

Geographie und Statistik der einzelnen Provinzen. a) Estland. b) Livland. €) Kurland. 4) die Inseln: Dagô Karls Moon Nargen Oesel Runü Worms.

IT.

Allgemeine Ethnographie der baltischen Provinzen. a) Der finnische Stamm im allgemeinen. Esten. Sprache. Poesie und Sage. Literatur. Religion. Sitten und Gebräuche. Liven. Kreewingen. b) Der litthauische Stamm im allgemeinen. Letten. Sprache. Poesie und Sage. Literatur. Religion. Sitten und Gebräuche. c) Die Schweden. d) Die Deutschen. Sprache. Poesie und Sage. Literatur. Aberglauben. Sitten und Gebräuche. e) Die Russen. f) Die Juden. Anhang: 1. Luxus-Gesetze. 2. Hexenprocesse.

173

IV. Alterthümer im allgemeinen. a) Bauerburgen und Ritterschlüsser. b) Grabstätten. Eingemauerte Menschen. c) Münzen. Fremde in den baltischen Provinzen gefundene Münzen. Eïnheimische Münzen. Inländische Münzensammlungen. d) Verschiedene Alterthümer.

Zweiter Theil: Zeitgeschichte. VUL

Allgemeine Geschichte der baltischen Provinzen. Zur allgemeinen Rechtsgeschichte. Geschichte einzelner Zeitabschnitte. Erste Abtheilung. a) Urzeit. b) Von der Gründung der deutschen Herrschaft bis zum Untergange der Selbständigkeit. Allgemeine Geschichte dieser Periode. Geschichte einzelner Zeïtabschnitte und Ereignisse. Anbhang: Die Bezichungen der baltischen Provinzen zu dem rümisch-deutschen Reiche.

IL.

Geschichte einzelner Zeitabschnitte. Zweite Abtheilung. a) Polnisch-Schwedische Zeit. Allgemeine Geschichte Polens 1561 1660. Allgemeine Geschichte Schwedens 1561 1710. Allgemeine Geschichte der baltischen Provinzen in der polnisch-schwedischen Zeit. Geschichte einzelner Zeitabschnitte und Ereignisse. b) Russische Zeit. Allgemeine Geschichte dieser Periode. Zur Rechtsgeschichte seit 1710. Geschichte einzelner Zeitabschnitte und Ereignisse.

Dritter Theil: Ständegeschichte,

Allgemeine Geschichte der baltischen Stände. Der Orden der Schwertritter und der deutsche Orden.

IL.

Kirche und Geistlichkeit. a) Die rômische Kirche bis 1561. Bisthum Livland (Riga). Erzbisthum Riga. Allgemeine Geschichte des Erzbisthums. Geschichte einzelner Erzbischüfe. Bisthum Dorpat. Bisthum Oesel-Wiek. Bisthum Semgallen-Kurland. Erzbisthum Lund. Bisthum Reval. Bisthum Wirland. Klüster.

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

174 b) Die rümische Kirche seit 1561. (Bisthum Livland Pilten; Jesuiten). c) Die Lutherische Kirche. Allgemeine Geschichte der lutherischen Kirche in den baltischen Provinzen. Kirchengeschichte Livlands im allgemeinen. Geschichte einzelner livländischen Kirchen. Kirchengeschichte Estlands im allgemeinen. Geschichte einzelner estländischen Kirchen. Kirchengeschichte Kurlands und Piltens im allgemeinen. Geschichte einzelner kurländischen Kirchen. Kirchengeschichte Oesels. d) Die reformirte Kirche. e) Die Brüder-Gemeinde. f) Protestantische Sekten. g) Die griechische Kirche. Anhang: 1. Allgemeine Geschichte des Schulwesens in den bal- tischen Provinzen. 2. Geschichte der Landes-Universität.

LIT.

Die Ritterschaften. Allgemeine Geschichte der baltischen Ritterschaften. a) Herkunft und Geschichte. b) Rechte und Gerichte. c) Güter-Besitz. d) Wappen-Sammlungen. Geschichte der einzelnen Ritterschaften. a) Estland. b) Livland. ec) Oesel. d) Kurland (Pilten).

IV

Die Städte. Allgemeines zur Geschichte der baltischen Städte. Stadtverfassungen. Handel. a) Allgemeine baltische Handelsgeschichte. b) Die baltischen Städte als Glieder der Hansa. c) Der Handel mit Russland. d) Der Handel mit England. Die Bauern. Anhang: Freibauern. Kurische Künige.

Vierter Theil: Provinz- und Orisgeschichte, I.

Al gemeine Geschichte Estlands. Geschichte einzelner Zeitabschnitte und Ereignisse. Zur Rechts- und Verfassungs-Geschichte Estlands. Geschichte einzelner Ortschaften. Reval. (Stadt und Dom). Namen. Allgemeine Geschichte. Pline und Ansichten. Geschichte einzelner Zeitabschnitte und Ereignisse. Geschichte einzelner Oertlichkeiten und Institute. Kleinere Städte, Ortschaîten, Güter u. dgl.

175

Anhang: 1. Narva. Namen. Allgemeine Geschichte. Pläne und Ansichten. Geschichte einzelner Zeitabschnitte und Ereignisse. Geschichte cinzelner Oertlichkeiten und Institute. 9, Iwangorod.

IL.

Allgemeine Geschichte Livlands. Geschichte einzelner Zeitabschnitte und Ereignisse. Zur Rechts- und Verfassungs-Geschichte Livlands. Geschichte einzelner Ortschaiten. Riga. Namen. Allgemeine Geschichte. Pline und Ansichten. Geschichte einzelner Zeitabschnitte und Ereignisse. Geschichte einzelner Oertlichkeiten und Institute. Dorpat. Namen. Allgemeine Geschichte. Pline und Ansichten. Geschichte einzelner Zeitabschnitte und Ereignisse. Geschichte einzelner Oertlichkeiten und Institute. Kleinere Städte, Ortschaften, Güter u. dgl. Anhang: Polnisch-Livland. Dünaburg. Allgemeine Geschichte Oesels. Geschichte einzelner Ortschaften.

II.

Allgemeine Geschichte Kurlands und Semgallens. Zur kurländischen Rechts- und Verfassungs-Geschichte. Geschichte Piltens. Zur Piltenschen Rechts- und Verfassungs-Geschichte. Allgemeine Geschichte der Herzüge von Kurland und Sem- gallen. Geschichte cinzelner Herzôüge, Zeitabschnitte und Ereignisse. Geschichte einzelner Ortschaften. Mitau. Namen. Allgemeine Geschichte. Pläne und Ansichten. Geschichte einzelner Zeitabschnitte und Ereignisse. Geschichte einzelner Ocertlichkeiten und Institute. Kleinere Städte, Ortschaften, Güter u. dgl.

Fünfter Theil: Familien- und Personengeschichte, L. Familien und Personengeschichte. IL. Varia-Curiosa. Sechster Theil: Register.

Register der Autoren, Herausgeber, Uebersetzer, Zeichner und Stecher.

Register der anonymen Schriften.

Bulletin de l’Académie Empériale

176

Von drei Gesichtspuncten liess sich Hr. Winkel- mann bei der Zusammenstellung der «Bibliotheca Li- voniae historica» leiten: Die Arbeit sollte müg- lichst vollständig, dazu nach einem einfachen System geordnet und desshalb practisch bauchbar sein.

Der Natur der Sache nach kann bei einer Arbeit der Art absolute Vollständigkeit nicht sogleich erreicht werden. Indessen wird Niemand, der auf diesem Felde der Literatur bewandert ist, dem emsigen Sammler das Verdienst absprechen, für die Literatur der Ge- schichte der Ostseeprovinzen einen festen Grund ge- legt und somit ein bibliographisches Handbuch aus- gearbeitet zu haben, dem man in allen Literaturen nur sehr wenige ähnliche Versuche an die Seite stellen kann. Leider ist es Hrn. Winkelmann bis jetzt noch nicht vergünnt gewesen, die petersburger Bibliotheken zu benutzen, die gerade auch an Schriften über die Ostseeprovinzen besonders reich sind. Einigermassen ist die Autopsie der hier vorhandenen Schätze dadurch ersetzt worden, dass Hr. Winkelmann in den Stand gesetzt wurde, den imJ. 1860 lithographirten Catalog der unter den Auspicien des ehemaligen Directors der K. Offentlichen Bibliothek, Baron M. Korfl gesammel- ten Rossica in ausländischen Sprachen zu benutzen. Auch hat Hr. College Schiefner, der einst die Livonica unserer academischen Bibliothek catalogisirt hat, be- reits Mehreres gesammelt, was zur Vervollständigung des Handbuchs dienen wird. Auch mir ist Einzelnes bei der Durchsicht desselben aufgestossen, das ich na- türlich Hrn. Winkelmann zur beliebigen Benutzung überlasse. Eine umständliche Vergleichung des Ganzen mit andern handschriftlichen und gedruckten Hülfs- mitteln würde allerdings noch weitere Veranlassung zur Ausfüllung einzelner Lücken und zur Berichtigung einzelner Punkte geben; allein dies würde längere Zeit erfordern, während Hr. Winkelmann natürlich wünscht, bald an den Druck seiner Arbeit gehen zu kônnen. Unter diesen Umständen kann ich aus der russischen Literatur nur einige Materialien zur Vervollständi- gung der bereits verzeichneten beibringen. Auch die polnische Literatur ist bis jetzt wenig von Hrn. Win- kelmann berücksichtigt worden, was ihm um so weni- ger zum Vorwurf gemacht werden darf, als er in Re- val und Dorpat kaum Gelegenheit hatte, sich mit derselben vertraut zu machen. Nicht minder dürfte

177

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

i7S

die schwedische, namentlich handschriftliche Litera- tur bei sorgfältiger Nachforschung in gewissen Sam- melwerken und Zeitschriften noch manches zu berück- sichtigende Material bieten; doch hier gilt, wie so oft, bei bahnbrechenden Arbeiten der Satz, dass das Bessere der Feind des Guten ist, und darum will ich hier auch nicht weiter in die Erôrterung mebrerer Fragen eingehen, wie z. B. der, ob man in einem bibliographischen Handbuche der Art bei der Wieder- gabe der Titel von Büchern und den in Zeitschriften gedruckten Aufsätzen sich ganz genau an die ursprüng- liche Form derselben halten soll, oder ob man sich erlauben darf, die Autorennamen überall an die Spitze jedes Titels zu stellen. Mebrere sind der Meinung und ich theile dieselbe mit den Verfassern der «Russischen historischen Bibliographie» —, dass man zur Vermeidung von Missverständnissen und Incon- venienzen am besten verfährt, wenn man in bibliogra- phischen Werken die Titel von Büchern und Aufsätzen genau so wiedergiebt, wie sie ursprünglich von deren Verfassern abgefasst wurden. Auch in Betreff der Reïhenfolge der Titel in dem vorliegenden Werke wird vielleicht hie und da eine strengere Scheidung dersel- ben gewünscht werden. Jedenfalls ist es nicht zu bil- ligen, dass die die Sprache der Letten, Esten u.s w. betreffende Literatur keine besondere Abtheilung aus- macht und dass eigentlich grammaticalische Unter- suchungen nicht vollständig verzeichnet sind.

Steht es einmal fest, dass das bibliographische Hand- buch selbst in der Gestalt, in der es jetzt vorliegt, ein dringendes Bedürfniss befriedigt, so muss es, sobald es gedruckt ist, in die Hände eines Jeden kommen, der entweder sich ex professo mit der livländischen Ge- schichte beschäftigt, oder sich näher über die Bezie- hungen irgend eines Volkes oder Staates zu Livland aus den Quellen und den bereits vorhandenen Hülfs- schriften belehren will. In dieser Beziehung wird hof- fentlich das systematische Handbuch des Hrn. Winkel- mann besonders bei russischen und polnischen Histo- rikern sich einer guten Aufnahme zu erfreuen haben. Bekanntlich hat bereits Karamsin sich angelegen sein lassen, verschiedene Ereignisse der russischen Ge- schichte durch Nachrichten, welche er livländischen Quellen entnahm, zu ergänzen oder zu berichtigen. Er leistete in dieser Beziechung für seine Zeit nicht wenig;

doch konnte seine Einsicht und seine Kenntniss auf Tome XII.

diesem Gebiete es sind seit dem Erscheinen der 2"" Ausgabe seines Werkes bereits fast 50 Jahre verflos- sen— unter den damaligen Umständen nur eine mangel- hafte sein. Dessen ungeachtet hat man bis auf die neue- ste Zeit sich fast ausschliesslich mit dem begnügt, was über jene Verhältnisse bei Karamsin zu finden war. Erst durch die von der Akademie hervorgerufene Russisch- livländische Chronographie *) ist eine grüssere Fülle von livländischen Nachrichten als zur Aufhellung der russischen Geschichte dienend allgemeiner bekannt und zugleich den livländischen Historikern das Studium der russischen Quellen als eine unerlässliche Bedin- gung einleuchtender gemacht worden. Das Bonnell’- sche Werk, abgesehen davon, dass es nur bis zum J.1410 reicht, konnte aber seiner ganzen Anlage nach den livländischen Quellenvorrath nur nach einer Seite hin einer kritischen Prüfung unterwerfen. Soll nun für die russische Geschichte und für die Geschichte des Grossfürstenthums Litauens ein noch grüsserer Gewinn aus livländischen Quellen gezogen werden, so muss man an das Studium der livländischen Quel- len selbst gehen und zugleich das mit prüfendem Blick benutzen, was die Bearbeiter der livländischen Ge- schichte hie und da bis jetzt selbst geleistet haben. In dieser Hinsicht wird die Bibliotheca Livoniae historica nicht bloss den angehenden, sondern auch noch den geübteren Historikern eine Menge zeitraubender Nach- forschungen über Quellen und Hülfsschriften ersparen.

Freilich wird man bedauern, dass Hr. Winkelmann sich auf die Sammlung des rein bibliographischen Stof- fes beschränkt und die Benutzung desselben nicht durch gewisse Zugaben erleichtert hat. Auch ich nehme mir die Freïiheit, es üffentlich auszusprechen, dass das Handbuch noch nicht allen Forderungen entspricht, die man heut zu Tage an ein solches zu stellen berech- tigt ist. Allein ein so eifriger Sammler und schon be- währter Forscher wie Hr. Winkelmann wird, nachdem er bereits so weit gelangt ist, das einmal begonnene Werk auch in Zukunft gewiss mit derselben Liebe

*) Russisch - liwländische Chronographie von der Mitte des 9. Jahrh. bis z. J. 1410..... Verfasst von Ernst Bonnell. 1862. Vgl. meinen Bericht im Bulletin de l’Acad. Tome V, col. 338—348 oder in d. 3anucku M. Akay. Hayke. Tow IT, 143—152.

Die Fortsetzung der Bonnell'schen Arbeit hängt zunächst von Herausgabe oder Benutzung gewisser handschriftlicher Urkunden- schätze ab. Glücklicher Weiïise hat das v. Bunge’sche Urkunden- buch an Hrn. Kümmel in Riga einen Verleger gefunden.

12

179

Bulletin de l’Académie Impériale

1S0

pflegen, mit der er die mühsame Ausarbeitung dessel- ben begonnen und zunächst zu einem gewissen Ab- schlusse gebracht hat. Sollte es ihm, wie wir vermu- then, nach Verlauf eines nicht langen Zeitraums ver- günnt sein, die Hand an eine neue Ausgabe desselben zu legen, so wird er hoffentlich bis dahin die nôthige Musse finden, um sein Werk vollkommner und noch nützlicher zu machen. Vielleicht versteht sich dann der strebsame Verfasser dazu, über Chroniken und an- dere Quellenschriften in gedrängter Kürze das mitzu- theilen, was zu einer richtigen Einsicht hinsichtlich der inneren Composition und des Werthes derselben verhel- fen kann. Auch dürfte es fast unerlässlich sein, dass beï einer zweiten Ausgabe Schriften und Aufsätze, aus deren Titel man nicht genau auf den eigentlichen In- halt und die Tendenz derselben einen Schluss machen darf, in aller Kürze characterisirt werden und über- haupt der Werth, oder in gewissen Fällen auch die Werthlosigkeit und die falsche Richtung mancher Schrift prägnant hervorgehoben werde. Besonders aber werden nähere Angaben über handschriftliche Quellen- schriften die Bedeutung derselben erst recht ans Licht treten lassen.

Ich erlaube mir nun, der Classe den Vorschlag zu machen, dass das Handbuch des Hr. Winkelmann auf Kosten der Akademie gedruckt werde.

12. Juni 1867.

IE Nariü Urüzmägü Kâdäg").

Nariül füdiug füdaz”) sKodta ämä ättämä racäunändär nâl udüstü. Ju bon Ku udi, uäd ma särän éi udüstü, udonäi éidärtä nüxasmä racüdüstü ämä mällägäi vüxasü baflüdtütä- Kodtoi. Nariü Urüzmäg där nüxasü durün bandonül dün-

L:

Lobgedicht auf den Narten Urüzmäg').

Die Narten überkam Übelbefinden und Hunger und sie waren nicht im Stande von Hause zu gehen. Eines Tages waren von denjenigen, welche es noch vermochten, einige auf den Sammelplatz gegangen und durch ihre Schwäche stürzten sie auf dem Sam- melplatze. Auch der Narte Urüzmäg sass auf dem

Ossetische Sagen und Märchen, mitgetheilt von

A. Schiefner. (Lu le 5 septembre 1867.)

Den fortgesetzten Bemühungen des Herrn Staats- rath Adolph Berger zu Tiflis haben wir wiederum einige sowobl sprachlich als auch sachlich sehr in- teressante ossetische Texte zu verdanken. Es sind auch diese, wie die früher im Bulletin T. VI, pag. 446— 474 (— Mélanges asiatiques T. V, pag. 1——40) und T. VIII, pag. 35 43 (— Mél. asiat. T. V, p. 195— 201) mitgetheilten, von dem Lehrer der osse- tischen Sprache am geistlichen Seminar zu Tiflis Tsorajew aufgezeichnet und mit einigen erläutern- den Anmerkungen versehen worden. Ich habe diesel- ben in das von mir für die kaukasischen Sprachen bisher angewandte Alphabet transeribirtund mitgrüsse- rer Sorgfalt die Schreibweise Tsorajew’s beibehal- ten. Namentlich habe ich in den Fällen, wo ich frü- her nach Sjôgren’s Vorgang im Auslaut üi geschrie- ben habe, nur ein einfaches ü gesetzt; insofern habe ich mich aber noch der Sjügren’schen Schreibweise angeschlossen, als ich in einigen Fällen, wo Tsora- jew nur a darbietet, dafür das von Sjôgren ange- wandte à habe eintreten lassen. In der Consonanten- bezeichnung babe ich statt t und d in den nachfolgen- den Texten mit engerem Anschluss an Tsorajew é und 4 gebraucht; vergleiche Ossetische Texte, Einleitende Bemerkungen, Bull. T. VI, p. 447 (— Mél. asiatiques TAN, 1p. 2):

sür Käre uälà afämäi bâdti. Uäd Käcäidär ju gatya ärba- ltuudi ämä nüxasü äfiüdäi éi läuudi, udonäi Ku Käi uälä agäbpKänü Kämän la rixii fars âstäri. Gädü Sürdon*) där Käcäidär fäzündi ämä Kugü adämü uälä raxizhaxizgängäjà ‘) Ku fedta, uäd nürdiagKodta ämä zaxta: «O Nartä, Nartäl ui <bästü Ku fesäfat, uäd xuzdär u; baxärat ämä banâ- «gai, ui uäm oâli. Nartän gälxuriä füstijà bazzâdüstü

Sammelplatz auf der Steinbank, seinen grossen Pelz auf sich habend. Da erschien irgendwoher eine Hün- din und soviel in der Versammlung gestürzt lagen, über diese sprang sie hinüber, einigen aber leckte sie die rechte Seite des Barts. Auch der Lügner Sür- don‘) kam irgendwoher zum Vorschein; und als er das Hin- und Herspringen des Hundes über die Men- schen sah, schluchzte er und sprach: «O Narten, Narten, wenn ihr statt dessen umkommt, ist es bes-

1S1

«ämä sün gatza rixilä stürü. Axäm läg uäm Ku razünid

<ämä smax 6i bafsadid!» Zärond Urüzmäg ai Ku fequsta, uäd |

mästügomauäi süstadi ämä xägarmä bacüdi. Aflämäi süzéärin kälätsün bandonül mästü bâdt ärKodta ämä bünü âsasti. us Salana”) jäm fezdäxti ämä in zaxta: «Cü la Känüs, zärond xäüiräg, cäul ta mästü däl» Uäd ün zärond Urüz- mäg zaxta: «Âmä Kud uon mästü, märdü stän°), gaigai qäwdün Sürdon mästäi marü, nüxasü aflä sürdta: «Nartä! fesäfstustut, äwzär gälxurtä ”) fästijä bazzâdüstut ämä un gaiza rixitä stärü. Smaxmä axäm läg Ku razünid ämä ma smax Gi bafsadid.» Satana in zaxta: QUul mästü ma Kän, Nariä mün Kuwäggägtäi *) Käi fäxastoi, udonäi mäm awd awdü skulä is, awd awdü uälibüxlä, awd awdü rongü säüglä». Uäd Urüzmäg racüd ämä Nartül fidiuägän”) nügqärkänün- Kodta aftä: «O Nartäl Urüzmäg xonü ämä kaxül cäun qom ‘°) éi u, ui cäugäärkKänäd, fazül bürün qom éi u, ui ta

fazül ärbüräd. Acü uacqud fequsgäjä Nariä innä bon äräm- |

ser; was ihr essen und was ibr trinken künntet, ist nicht mehr bei euch. Von den Narten sind nur die grindi- gen nachgeblieben und diesen leckt die Hündin die Bärte. Wenn doch unter euch ein solcher Mensch erschiene, welcher euch sättigte!» Als der alte Urüz- mäg dies hôrte, stand er, als wenn er erzürnt wäre, auf und ging nach Hause. Indessen warf er sich zor- nig auf seinen goldlehnigen Sitz und dieser brach unter ihm. Sein Weib Satana”) wandte sich zu ihm und sprach zu ihm: «Was machst du, unser alter Teufel? warum bist du in Zorn?» Darauf sprach zu ihr der alte Urüzmäg: «Und wie soll ich nicht in Zorn sein? bei deinen Todten schwüre ich, der Welp der Hündin Sürdon lässt mich durch Zorn umkommen, auf dem Sammelplatz sprach er also: «Narten, ihr seid um- gekommen, nur schlechtes Gesindel ist nachgeblieben und nun leckt die Hündin euch eure Bärte. Wenn doch unter euch ein solcher Mensch erschiene, wel- cher euch sättigen würde!»» Satana sagte zu ihm: «Dar- über zürne nicht, von den Opfern*), welche die Nar- ten betend gebracht haben, habe ich siebenmal sie- ben Keulen, siebenmal sieben Käsekuchen, sieben- mal sieben volle Flaschen». Da ging Urüzmäg aus und liess bei den Narten den Herold”) also ausrufen: «O Narten, Urüzmäg ladet euch ein, und derjenige, welcher im Stande ist auf den Füssen zu gehen, der komme gegangen, derjenige, der im Stande ist, auf den Schenkeln zu kriechen, der komme auf seinen

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

18?

bürdstü Urüzmägmä. Ui xärd ämä nostül ärbädünKodta. Ju fonz bonü sün Ku fäminasKänünKodta, uäd Urüzmäg gurü fäsifidmä: «Ju éüsül ättämä Ku âkäsin, läbptä, Käd Nariü qäul is$i ärbâdt, uädtär unäm, uädtär cäst ju éüsül Ku ädarin!!')» Uäd ün Salana zaxta: «Dä ämbürd cämän xalüs, zärond läg? ättämä cämän cäus?» Fälà ui uädtär baKumdia ämaä zaxta: <Mä cübür lopb Ku uaid?» ämä süstadi, darë Käre uälä ärbakodta ämä eübür topb kuxü, äf- lämäi ättämä racäugäjä fasifädän zaxta: «Mä ärbazdäxünmä bâdt ma fexalui, äz ättämä AKäson». Urüzmäg âcüdi ämä caÿdü ‘*) uälä ärbädti, äftimäi Käsäneästäi ) alürdäm qagq- qüdta. Ueü afonü jäüm cärgäs uälijä jäxi rauaxtä ämä ji nüxlä nüssaxta, sista ämä xäsün baidüdta ämä sau densüzü astäu sau durül cäwärta. Urüzmäg alürdäm qaqqän- gäjä jeu-sagäsaKänün baidüdta, nür a Känün, Kud Känon züdoäjà, füdäbon mül âreüdil» Uäd durü bünäi éüsül ruxs szündi; ui Kud fedta, aflämäi umä jäxi âuadsün fändskodta,

Schenkeln angekrochen». Diese Botschaft hürend ver- sammelten sich die Narten am andern Tage bei Urüz- mäg. Er setzte sie zu Speise und zu Trank. Als er fünf Tage sie bewirthet hatte, sprach Urüzmäg zu den Knappen: «Ein wenig hinausblicken müchte ich, Jünglinge, vielleicht sitzt an dem Dorfe der Narten irgend einer, und wenn ich auch nichts sehe, stelle ich dennoch mein Auge ein wenig hinaus»!'). Darauf sagte ihm Satana: CWeshalb unterbrichst du deine Versamm- lung, alter Mensch, weshalb gehst du hinaus»? Al- lein er gehorchte nicht, und sprach: «Meine kurze Flinte müchte ich haben?» und er stand auf, zog sei- nen langen Pelz an, und seine kurze Flinte in sei- ner Hand, also hinaus gehend sagte er zu seinem Ge- folge: «Pis zu meiner Rückkunft unterbrechet nicht eure Sitzung, ich werde hinausschauen». Urüzmäg ging und setzte sich auf einen Holzhaufen; dann schaute er mit seinem Fernrohr *) nach allen Seiten. Zu der Zeit liess sich ein Adler von oben auf ihn herab und setzte seine Krallen in ihn, erhob ihn und fing an ihn zu tragen und stellte ihn inmitten des schwarzen Meeres auf den schwarzen Stein. Urüz- mäg nach allen Seiten schauend fing an ach und weh zu schreien, «was soll ich nun machen, wie leben?» sa- send, «welches Unglück ist auf mich gekommen!» Da- rauf kam unter dem Stein hervor ein kleines Licht zum Vorschein; als er es sah, wünschte er sich darauf hinabzulassen, und betete zu Gott: «Gott der Güt-

12*

183

Bulletin de l’Académie Hmpériale

184

ämä xucaumä sKuwta: «Xucaulü xucau, xueau! Käd istimän skodtai, uäd acü donän ma fälâsünkän». Aftämäi durü bünmä Jäxi âuaxta ämä Ju xägarü eurmä äreüdi; xägarü käsärmä Kud bawwaxsi, aftä: «Uazäg uagut, xägarontä» zübgä zaxta. Um udüstü ju us ämä läpbû. Us «Uazäg xu- caui uazäg zäbgä fäkKodta, cuazäg Kud uazäm?» ämä ji midämä baKodta. Ju éüsül fästädär «Uazäg äreüdi, läpbûtä» züggä zaxta us ämä uailaëd xägar läpbütäi ärbaigsasü. Uäd sün us zaxta: «Läpbûlä, uazägän Kusart Känün qäui, âcäut ämä burä nälfüs arbalâsuth» Acüdüstü ämä burä nälfüs ärbalâs- toi, argäwstoi jä, âcädtä jàä Kodtoi, aftämäi ägâsäi agü cä- wärtoi, Ku sfüxti, uäd äi Urüzmäsü râzü füngul ägâsäidär ärä- wärtoi, sKu la xäitän bünü bakodtoi. Nariän ägdau qamai füngäi Kuwün udi. Aftämäi Urüzmäg qamai fünzäi sKu âgurün baidüdta ämä Ku ssardta, uäd äi qamai fünzäi sista, sKuwta ämä Kuwd Ku fäci, uäd äi läpbûmä badarta "), läpbû jäm qâzgäjà ärbazéordta, aftämäi jäxi nâl baurädta ämä qamai fünÿül zärdäsär bakurta ämä läpbû âmardi. Ui Ku

ter, mein Gott! wenn du mich zu irgend etwas er- schaffen, so lass mich nicht in dieses Wasser schlep- pen». Darauf liess er sich zu dem Boden des Steins hinab und kam in die Nähe eines Hauses; als er der Schwelle des Hauses nahte, sprach er also: «Lasset ibr nicht einen Gast zu, Hausbesitzer?» Dort war ein Weib und ein Kind. Das Weib sagte: «Der Gast ist Gottes Gast, wie soll ich den Gast nicht zulassen?» und führte ihn hinein. Ein wenig später sagte das Weib: «Ein Gast ist gekommen, Kinder», und sofort füllte sich das Haus mit Jünglingen. Darauf sagte ihnen das Weiïb: «Jünglinge, dem Gast muss man einen Hammel schlachten, gehet und holt einen gel- ben Schôüps herbei». Sie gingen und schleppten her- bei einen gelben Schüps, schlachteten ihn, zogen das Fell ab, und legten ihn also ganz in den Kessel; als er gekocht war, legten sie ihn ganz vor Urüzmäg auf den Tisch, die Keule aber hatten sie unter die (andern) Theile gelegt. Die Narten hatten die Ge- wohnheit mit der Dolch-Spitze zu beten. Demgemäss fing auch Urüzmäg an mit der Dolchspitze die Keule zu suchen, und als er sie fand, hob er sie mit der Dolchspitze in die Hühe, betete, und als er das Ge- bet beendigt hatte, gab ‘*) er die Keule dem Knaben, der Knabe kam freudig herbei gelaufen, konnte sich nicht mehr zurückhalten und stiess sein Herzende auf die Dolchspitze und es starb der Knabe. Als die-

âmardi, uäd Urüzmäg ägâsai ta qügkänün uul baidüdta ämä xärgädär nâl Kodta ämä gurgädär. Uäd ün us zägü: «Cäul nâl xärüs istü, xorz läg? läpbû Käi âmardi, ui nicü Känü; xu- cau äi acü saxatmä ärxasta ); färäz ün nâl is, fälä istü âxär». Uäd ma änäbarü cüsül eüdärtä âxordta. Stäi süstadi ämä sün «xärz ) äxsäw» zaxta. Us där süstad ämä in zaxta: «Axsäw där am läu, xorz uazäg; stäi raisom âcäusünä»; ämä rauaxta, uat ün baKodta ämä nüxxussünKodta; läpbûi ta äxsäw uatü cäwärtoi. Raisomü Ku sboni. uäd la Urüzmäg durü särmä ssüdi ämä um sbâdti. Âmä ia Käcäi- där ucü cärgäs fäzündi ämä la, jäxi rauaggä, Urüzmägü nüxiä nüssaxta, aflämäi âxasta ämä cagdü säräi afonü raxasta, innä ucü afon {a um cäwärta. Donü bün éi ear- düstü, Urüzmäg Kämä nüzgüdi, udon donbedtürtä ”) udüstü, us Satanai cägat, läpbûi âmarta ui la jäxi läpbû udi. Satana cägaiü "”) Ku udi, uäd äi um nijarta ämä um nu- uaxta, Urüzmäg ün äi Kud züdtaid aftä. Cärgäs äi cagdü särül Ku cäwärta, uäd xägarmä bacüd, ämä ämbürdü uälijä

ser gestorben war, fing Urüzmäg ganz an über ihn zu trauern und konnte nicht mehr essen und trinken. Darauf spricht zu ihm das Weib also: «Weshalb isst du nichts mehr, guter Mensch? dass der Knabe ge- storben ist, das macht nichts, Gott hat ihn zu dieser Stunde herbeigebracht ”), es ist keine Hülfe mehr; aber iss etwas». Darauf ass er ohne es zu wollen ein weniges. Dann stand er auf und sagte ihnen: «Gute Nacht». Auch das Weib stand auf und sagte zu ihm: «Die Nacht über bleibe hier, guter Gast, morgen darauf ziehe fort» und liess ïihn nicht fort, bereitete ihm ein Bett und legte ihn nieder; den Knaben aber legte sie auf die Nacht in die Kammer. Am Morgen als es tagte, begab sich Urüzmäg zum Stein-Ende und setzte sich daselbst. Und irgendwoher erschien der Adler, liess sich auf ihn herab, schlug seine Krallen in Urüzmäg, darauf trug er ïhn davon und in welcher Stunde er von dem Holzhaufen ihn davon getragen, zu derselben Zeit wiederum legte er ihn dort nieder. Diejenigen, die unter dem Wasser leb- ten, zu denen Urüzmäg hinabgestiegen war, waren Wassergeister ), Verwandte seines Weibes Satana, der Knabe, den er getüdtet hatte, dieser war sein eigner Sohn. Als Satana bei ihren Verwandten war, hatte sie ihn dort geboren und ihn dort gelassen, da- mit Urüzmäg es nicht wisse. Da der Adler ihn auf den Holzhaufen gesetzt hatte, da trat er in sein Haus

185

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

186

oo 1

ärbâdti ämä sün zägü: «Läpbütä! râgon ämbisond un zägon awi ärügon?» Udon ün zaxtoi: «Râgon ambisändtä ma fe- qustam, fälä ärügon». Uäd sün ragürta caÿdü särül Ku är- bâdt, urdügäi cärgäs Kud âxasta ämä sau densüzü sau durü uälä Kud cäwärta, um durü bünäi donü bünmä Kud nüggüdi, xägarmä Kud bacüdi, Kusart ün Kud äKodtoi, Kusart ün râzù Kud äräwärtoi, qamai fünzäi skKu Kud sista; Ku skuwta, uäd äm läpbû qâzgä Kud ärbauad, jäxi qamai fünÿül Kud bakurta ämä Kud âmardi, äxsäw um Kud fäcü, raisom ia durÿ särmä fästimä Kud ssüdi, urdügäi ta cärgäs Kud sista ämä fästämä cagdü särül Kud äräwärta; udon juul- där sün ragürta lüstägäi. Uäd Salana jäxi nüdiüdta ämä nür- rädüwta, zädgäjä: «Zärond xäräg! susäg äwäränmä där ta mün baxäz3à dü»; fäli ma in xos udi. Adädtä Ku festü, uäd Urüzmäg fäsifädmä fäsürta: «Läpbûlä! Kämä baxäs3ä, ui in xälar uäd, mâdü äxsürau, nür xäpärtäm cäugäut». Aftämäi adäm xägärläm fäcüdüstü. Urüzmäg Käi âmarta, ui ju Kord boniä ingänä Ku fäci, uäd qünçümkänün baidüdta:

und setzte sich zu oberst in der Versammlung und spricht zu ihnen: «Jünglinge, soll ich alte Wunder sagen, oder neue?» Sie sagten zu ihm: «Alte Wun- der haben wir schon gehürt, aber neue». Da begann er zu erzählen, wie er auf dem Holzhaufen gesessen, wie der Adler ihn von dort getragen, wie er ihn in dem schwarzen Meer auf den schwarzen Stein gethan, wie er dort auf den Boden des Wassers hinabgestiegen, wie er in’s Haus getreten, wie man ihm einen Ham- mel geschlachtet, wie man den Hammel vor ihn hin- gestellt, wie er die Keule mit der Dolchspitze erho- ben, wie als er gebetet der Knabe freudig herbeige- sprungen, wie er auf seine Dolchspitze gestossen und wie er gestorben, wie er die Nacht dort zugebracht habe, am Morgen aber zu dem Stein zurück empor- gestiegen, wie ihn von dort der Adler erhoben und ihn zurück auf den Holzhaufen gelegt hatte; alles dies erzählte er ihnen auf das Genaueste. Da zer- kratzte sich Satana (das Gesicht) und zerriss (ihre Flechten), sprechend: «Alter Teufel! du bist sogar in meinen geheimen Versteck gedrungen»; allein was hatte sie nun noch für ein Mittel! Als er zu Ende gelangt war, sprach Urüzmäg zu dem Gefolge: «Jüng- linge, was jedem zugekommen, das sei ihm zur Freude gleich seiner Muttermilch, jetzt also gehet nach Hause». Darauf gingen die Leute nach Hause. Derjenige, den Urüzmäg getüdtet hatte, fing an einige Tage nach-

«Nariül füdtug füdaz sKodta, aftämäi füd Urüzmägän nicü aqâz fädän, nieü fos *) ün fäKänünKodton», zäggäjà; ämä märdtü xicau Barastürmä bacüdi ämä in nülläxstäkodta: «Uälämä âuas, füd Urüzmägän istü fos fäKänünkKänon» zäggäjä. Fäli ui uaxta, afiä in zaxta: Däu Ku âuazon, uäd märdti juuldär fädül acäusüstü». Uul ün läpbû zaxta: «Mä fäidül cämäi racäuoi, umän äz xos ssargünän mäxä- däg». Stäi farast bonü äméudmä âuaxta. Läpbü bazdäxt, aflämäi bäxän cäfxädtä fisinmä +) nüssaxta ämä racüdi; duargäs äi Barastüräi uagd Käi u, ui zongäjä, âuaxta. Uäd märdtädär raraststü ämä duargäsmä bacüdüstü ämä in zaxtoi: «Maxdär âyag ui fädül». Ui sün zaxta: «Ui Ku niKädäm âcüdi, är- Käsui ün, mänä, fädmä där, ättämä cäunû fäd miag u?» Udon ärkastüstü ämä fäd fistimä Käi udi, ui Ku fedtoi, uäd säxudtäg- där fästämä âzdäxtüstü. Läpbû, dün, urdügäi racüd ämä Nari Urüzmägü duarmä baläuud ämä jäm bazürdta: «0 Nariü Urüzmäg: «<Attämä mäm rakäs». Urüzmäg ui Ku fe- qusta, uäd zaxta: QÜi cawär u, cäi qär u, ai xuzän dusü

dem er ins Grab gethan, zu trauern sagend: «Über die Narten ist Übelbefinden und Hunger gekommen, darauf habe ich meinem Vater Urüzmäg keinen Nutzen gebracht, habe ihm nicht geholfen Vermügen *) zu erwerben», also sagend ging er zu dem Herrn der Todten Barastür und flehte ihn an: «Lass mich hinauf, ich werde meinem Vater Urüzmäg etwas Vermügen erwerben helfen» sprechend. Allein dieser liess ihn nicht los, sondern sagte zu ihm: « Wenn ich dich los- lasse, werden alle Todten dir nachfolgen». Darauf sagte der Knabe zu ihm: «Damit sie mir nicht nach- folgen, dagegen werde ich selbst ein Mittel finden». Darauf entliess er ihn auf eine Frist von neun Tagen. Der Knabe kehrte um, setzte darauf seinem Pferde die Hufeisen verkehrt an und zog davon; der Thor- wart wissend, dass er durch Barastür entlassen war, liess ihn durch. Darauf brachen auch die Todten auf und kamen zu dem Thorwart und sagten zu ihm: «Lass auch uns ihm nach!» Er sagte ihnen, dass er nirgendhin gegangen. «Schauet hin, auf seine Spuren, sind das etwa Spuren eines Hinausgehens?» Sie schau- ten hin und als sie sahen, dass dieSpuren zurückführten, kehrten sie auch selbst um. Der Knabe ging dir von dort fort und kam zu der Thür des Narten Urüzmäg. Urüzmäg stand vor der Thür und er rief ihm zu: «O Narte Urüzmäg, komm heraus zu mir». Als Urüzmäg dies hôrte, sagte er: «Wie gross ist das, wodurch

187

Bulletin de l’Académie Empériale

ISsS

dardäi éi areüdi?» Uäd äm rakKast ämä éüsül läpbû éüsül bä- xül bâdü ämä Urüzmägän aflä zägü: «Demä”) xätün fändü ämä mün änä däuimä fäcäun näi». Urüzmäg ün zaxta: «Au, Kugü qäbul, bäx tärqusü jâs jättämä Ku u, däxädäg la sargü gopbü jàs, uäd memä ”) Kädäm ficäugünäl? zärond bonû Kud xünsülägKänüs, xudinag dün u?» Âmä fämästi, fält in läpbû sabürä zaxta: « Âpbün nuuagsünän, Urüzmäg, isgädäm Ku fäKänai uäd». Af- tämäi büdürü astau, ämxiexärän *) bäräg bäre zädgä, urdäm innä bon sixormä Kud baeäuikgoi, aftä ämégud sKodtoi; ämä éüsül baräg fästimä âzdäxti; Urüzmäg ta us Satanamä bacüdi ämä ragürta, ueü läpbû âguru ui; ämä Käi fändü uidär. Uäd ün Satana zaxta: «Ma läürs, zärond läg, äz dün, cämäi nâl âcäuat, ui xos sKängünän; jixädäg mäsügü särmä ärtä müdâmästü ämä ronsü awgimä suadi ämä urdü- gät nüKKuwta: Xucauiü xucau, xucau! Käd ma istä- män sKodtai, uäd acü äxsäw änusü cilii mit äruaräd». Aflä- mäi, dûn, aida, mit uarün baidüdta äxsäwäi bonmä ämä ma

Geschrei ist, wer ist in solchem Unwetter fernher gekommen?» Darauf schritt er hinaus und ein klei- ner Knabe sitzt auf einem kleinen Pferde und spricht also zu Urüzmäg: «Mit dir will ich wandern und ohne dich kann ich nicht fürder gehen». Urüzmäg sprach zu ihm: «Ach du Hunde-Welp, obwohl dein Pferd nur so gross wie ein Hase und du selbst wie ein Sattelbug, wohin willst du mit mir wandern? In mei- nen alten Tagen machst du mich zum Narren, hast du keine Schande?» und wurde zornig. Allein der Knabe sagte ïihm sanft: «Durchaus lasse ich dich nicht los, Urüzmäg, wenn du nicht mich irgendwohin bringst». Darauf trafen sie die Abmachung, dass sie mitten auf dem Felde Namens Gleichmaass - Wiese *) dahin den andern Tag zu Mittag zusammenkämen, und der kleine Reiter kehrte zurück, Urüzmäg aber ging zu seinem Weibe Satana und erzählte, was dieser Knabe von ihm sucht und dass ihm dies nicht gefalle. Darauf sagt ihm Satana: «Fürchte nichts, alter Mann, ich werde dir ein solches Mittel bereiten, dass ihr nicht mehr gehet»; selbst begab sie sich auf den Thurm mit drei Honigkuchen und einer Flasche Arak, und von dort betete sie: «Gott der Gütter, mein Gott! wenn du mich für irgendetwas geschaffen, dann müge diese Nacht Schnee eines unvergänglichen Gletschers fallen». Darauf fing es dir, sieh da, an zu schneien die Nacht bis zum Tage, dass nur noch des

mäsüsü çupb éüsül zündû, aftä äruarüdi. Raisom Urüzmäg Ku raKasti, uäd zärdä bazäbäx is, nàl âcäusünän zäggä, ämä äcäg nl àcüdi. Urüzmäg äméud afon äméud bünaimä Ku äreüdi, uäd läpbû urdügäi racüdi, ämä {a Urüzmäsü duarmä baläuud ämä baqärKodta ämä Jäm Urüzmäg racüdi, uäd ün läpbû zaxta: «Dä 5ürd Ku fäsaitai», fälä in Urüzmäg zaxta: «Ai xuzänü, urs rixitäi mit särfgä, Kädäm cäuon»? Uäd ün läpbû zaxta: <Ui bar uäd, äz ün xos sKänpünän umän, fädül raeu ui jättämä. ma Kodtaid? bacüdi xä- garmä ämä zaxta: «Acü füdäbonü baräg nuuazzän; fälä cäuon zäÿgä dün Jäxi âcädtäkKodta zärondürdäm, qu- lon jäfsül dün âbâdti ämä läpbûi fädül âcüdi. Läpbû bäxül râzäi cui ämä bäx fünsüxunçüstü täfäi alüfars mit musuat bäre tainkänü; Urüzmäg ta fidül surël cäui. Ju Säwgar Ku fäcüdüstü, uäd läpbû Urüzmäsü färsü: «Xorz Urüzmäg! änäsast bästä ma dün Käm bazzädi»? Ui in zaxta: «Sau densüzül âcäun fadalän nieü ssarton ämä ma mün ui iüxxäi T'erk ämä T'uréü *) bästä änäsast bazzadüstü ». « Uädä

Thurmes Spitze ein wenig zum Vorschein kam, also schneite es herab. Am Morgen als Urüzmäg hinaus- schaute, da beruhigte sich sein Herz, «ich werde nicht ziehen» sagend, und in der That ritt er nicht mehr. Als Urüzmäg zur Abmachungszeit zum abgemachten Ort nicht herankam, ging der Knabe von dort fort, und kam wieder zum Thor des Urüzmäg und rief ihm zu und zu ihm kam Urüzmäg heraus, dann sagte zu ihm der Knabe: «Wie hast du dein Wort gebro- chen!» allein Urüzmäg sagte ihm: «Wohin soll ich in solchem Unwetter gehen, den Schnee kehrend mit meinem grauen Barte?» Da sagte ihm der Knabe: «Dies sei meine Sorge, ich werde ein Mittel dagegen finden, reite du nur hinter mir». Was sollte er noch machen? er trat in sein Haus und sagte: «Dieser Un- glücks-Reiter wird mich nicht loslassen»; allein «ich werde gehen» sagend schickte er sich an bei seinem Alter, setzte sich auf seine scheckige Stute und ritt hinter dem Knaben. Der Knabe reitet vor ihm und sein Pferd liess durch den Dampf seiner Nüstern ringsum den Schnee auf dem Raume einer guten Tenne schmelzen. Urüzmäg aber reitet hinter ihm auf dem Trocknen. Als sie genug geritten waren, fragte der Knabe den Urüzmäg: «Guter Urüzmäg! welche Gegend ist nock ungebändigt geblieben?» Die- ser sagte ihm: «Ich habe keine Müglichkeit gefun- den, das schwarze Meer zu überschreiten, und des-

189

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

190

urdäm cäuäm» zäggä âKodta; ju säwgar ta Ku âuadüstü, uäd ün läpbû zaxta: «Âz râzdär âuajon ämä bünat âKänon», aflämäi âcüdi ämä ämxiexärän bäräg bäreë Afünäi i; ualünsü Urüzmägdär Ku äreüdi, uäd festadi läpbû ämä Urüzmäsü arxizünKodta ämä in bäx âfäsaxsänKodta ämä in zaxta: «Dü ual ju éüsül âxuss, äz la bäx qaqgqängünän»! Stäi rai- qali ämä istü Ku baxäriKgam, läpbû zäggä zaxta ämä fän- daKgag sista ämä läpbûjän zaxta: «lstü baxär» äggä, fälä läpbû güxmä där nicü sxasta. «Mänän xärün rästäg zäÿgä. Urdügäi âcüdüstü ämä densüzü bülmä Ku är- baxägsästü, uäd läpbû sägzärmtäi muisong sKodta sägutzärm- ti ta lüstän ämä Urüzmägän zaxta: «Am mäm läu, âbon mairämbon, innä mairambonmä däm äzdär isgäcäi xä33ä- Känsünän; jäxädäg bäxül àbâdt ämä dün densüzü uci fars T'erk ämä T'urkmä bacüdi, udonän rägau äfsängüx biräg ämä äfsänzüx sünt ämä äfsänyüx urs qaqqänäg udüstü; läpbà äfsängüx birägü ämä äfsängüx süntü âmarta, äfsängüx ursül ta sbâdtü, jäxi bäx la rägaumä âuaxta ämä T'erk ämä

halb sind die Gegenden Terk und Turk*) mir unun- terworfen geblieben». «So gehen wir dahin!» sa- gend fübrt ihn der Knabe; als sie ein gutes Stück geritten waren, sagte ihm der Knabe: «Ich ziehe voran und bereite den Platz». Darauf brach er auf und schlummerte ein wenig auf der Gleichmaass- Wiese; zu der Zeit als Urüzmäg herbeikam, sprang der Knabe auf und half Urüzmäg absteigen, legte seinem Pferde Fussfesseln an und sagte ihm: «Du nun schlafe ein wenig, ich aber werde dein Pferd hüten». Darauf erwachte er und, «(Wenn ich etwas ge- nôsse, Knabe», sprach er und nahm seine Wegkost hervor und sprach zum Knaben: «Iss ein wenig» sa- gend, allein der Knabe brachte nichts zu seinem Munde, «Ich habe keine Zeit zu essen» sagend. Sie ritten von dannen und als sie das Ufer des Meeres erreicht hatten, machte der Knabe ein Zelt aus Hirsch- fellen, aus Hirschkubfellen aber ein Lager und sprach zu Urüzmäg: «Warte hier auf mich, heute ist Frei- tag, zum andern Freitag komme auch ich irgendwo- her hierher»; selbst setzte er sich auf sein Pferd und ritt dir jenseits des Meeres nach Terk und Turk; de- ren Hüter war ein eisenmauliger Wolf und ein eisen- schnabliger Rabe und ein eisenmauliger Hengst; der Knabe tüdtete den eisenmauligen Wolf und tüdtete den eisenschnabligen Raben, auf den eisenmauligen Hengst setzte er sich, sein Pferd liess er zur Heerde und

T'uréü rägau qäui ättimä ralarta; stüi jäxädäg T'erk ämä T'urkmä bazdäxti ämä säm basürta: «O T'erk ämä T'urk! rägau un fätardäu, fädisü cäugäut». Ueü afon T'erK ämä T'urk Kuwdü*) bâdtüstü ämä ui gürd baurnüdta, «éi Ku3, éi xäräg u, maxän rägau âtarün éi bauända ui»? zäbgä zaxtoi; udonän äfsänzüx biräg, äfsängüx sünt ämä äf- sänjüx urs qaqqänäg ku is uäd?» Ku urnüdta, uäd säm xästägdär bacüdi ämä ta sün zaxta: «Uä rägau un fä- lardäu, fälä udon zaxtoi: «Ai xärdacau ämä nostacau éi är- cüdi axäm u, ärxizün äi Känut ämä in baxärünkänut ämä banäzünKänut, urdügstéütä». Udon där, T'erkK ämä sün T'urk Kud zaxtoi, aflä bakodtoi ämä läpbûmä basidtüstü. Ui uäd lagdgomau raxüsti, âxorta cüdäriä ämä ânüsta; stäi äfsänzüx birägü qus ämä äfsänzüx süntü sär sista güpbäi ämä füngul cäwärta: «Käd udonäi där urnü, uäd un dälà äfsänsüx ursül bâdün», zäggä, dün, rauadi, bäxül âbädti, nüxxäftütä Kodta ämä rafardäsi. Rägaumä ma bax- xässä is, aftà il ju zärond us sämbäldi don xäsgäjä ämä

trieb die Heerde des Terk und Turk jenseits des Dor- fes; darauf kam er selbst zurück zu Terk und Turk und sprach zu ihnen: «O Terk und Turk! man hat eure Heerde fortgetrieben, gehet auf die Verfolgung». Zu der Zeit sassen Terk und Turk beim Mahle und glaubten seinen Worten nicht. «Welcher Hund, wel- cher Esel ist es, der es wagt unsere Heerde davon- zutreiben», sagten sie, «da ein eisenmauliger Wolf, ein eisenschnabliger Rabe und ein eisenmauliger Hengst sie bewacht?». Da sie ihm nicht glaubten, traten sie picht an ihn heran und er sagte ihnen: «Eure Heerde ist euch davongetrieben», allein sie sagten: «Dieser, der gekommen ist, ist wohl ein solcher, der Speise sucht und Trank sucht, lasset ihn absteigen und las- set ihn essen und trinken, Aufrechtstehende “)!» Sie thaten so wie Terk und Turk ihnen gesagt hatten und luden den Knaben ein. Er eilte hastvoll herbeï, ass ein wenig und trank; darauf holte er das Obr des eisenmauligen Wolfs und den Kopf des eisenschnabli- gen Raben aus seiner Tasche hervor und warf sie auf ihren Tisch: «Wenn ihr auch .darnach nicht glau- bet, so setze ich mich auf euern eisenmauligen Hengst» sagend, lief er hinaus, setzte sich auf das Pferd, schlug dasselbe und eïlte davon. Er war noch nicht zur Heerde gelangt, da begegnete ihm ein altes Weib Wasser tragend, und sprach zu ihm: «He, ich soll deine Krankheit aufzehren und statt deiner Seele hin-

191

in zaxta: «Jil rün baxäron ämä udi fagqau fäuon, bai- qus mäm: sagü”) xuzän äxsäz läpbüi mün udi ämä fong füdisi füssig uäwgäjä, mard festü, nürdär ta läpbû függâgüdär äjafgäni ämä mün ün macü Kän, à mâd, füdü uazäg, fälä ju ä baçärrämügtäkän ämä ju äi uälwän- dagmä bapbar, margä mün ju äi ma äKän»: cämäi il bauän- dâdaid, ui tüxxäi in sigidär badarta. Ualünmä dün fädis- där fädül uain baidüdtoi ämä jä, mänä, ueü usü läpbü äpbätü fügsâg ärbaïäfta. Cüsül läpbû jäm gurü: «<Dä xor- zäxäi nuyag mä, mâdimä ärdxord stäm». Fälä in ui Zax{a: «Mä mâd, füdü stän, nâl nuuazsünän»; Ku uaxta, uäd äm éüsül läipbû fezdäxti ämä baçärrämügdKodtä ämä uälwändagmä bapbärsta; fälä ui festadi ämi la surü, uagü, éüsül läpbû la jäm füstimä jurü: «Dä xucaumä skäs ämä nuuag, ard mün ma fäsainKän». Uäd ün ui aftà zägü: «Usimä ard éi xärü, ui usü xuzän läg u; rägau fä- tärün fändü, fälä äz bauagsünän». Xos Ku ual

udi, uäd äm dükgâg xatt zdäxt rakodta ämä <Uädä |

sterben! Hüre mich: Ich hatte sechs hirschähnliche *) Jünglinge und von ihnen wurden fünf im Getüimmel vom Feinde erschlagen; nun wird auch mein Sohn dich vor allen erreichen; thu du ihm nichts, ich bin deiner Eltern Gastfreund, ritze du ihm die Haut und wirf ihn von dem Wege seitwärts, übergieb ihn aber nicht dem Tode!» Um sich seiner zu versichern, des- -halb gab sie ihm ihre Brust. Darauf fing das Gefolge an ihn zu vérfolgen und sieh, der Sohn desselben Weibes holte ihn vor allen ein. Der kleine Knabe sagte zu ihm: «Durch deine Güte lass mich, wir sind mit deiner Mutter Eidgenossen»; er aber sagte ihm: «Ich schwôüre beim Vater, bei der Mutter, ich werde dich nicht loslassen». Als er ihn nicht losliess, wandte der kleine Knabe zu ihm (das Pferd) und ritzte seine Haut und warf ihn vom Wege seitwärts; er aber stand auf und verfolgte ihn wiederum, liess nicht ab von ihm, der kleine Knabe sagte wiederum zu ihm: «Schau auf deinen Gott und lass mich los, mache nicht, dass ich meinen Eid verletze!» Darauf sagte dieser so zu ihm: «Wer mit einem Weibe einen Eid eingeht, der ist ein weiberähnlicher Mann; du wünschest die Rossheerde davonzutreiben, allein ich werde dies nicht zulassen». Da es schon kein Mittel mehr gab, wandte er zum zweiten Mal das Pferd zu ibm und indem er sagte: «So sei deine Sünde auf dir selbst» verwundete er ihn und halbtodt warf er ihn

Bulletin de l’Académie Impériale

192

lürigäd däxi uäd» zäëgä, bacäftäkKodta ämä ärdägmardäi fändagmä bapbärsta, jäxädäg rägaul raqärKodta, aflämäi densüsü aeü fars fäkodta. Urüzmäg Ku ärbaggä is, uäd ju ran ärläuudüstü ämä läpbû Urüzmägän zaxta: «Baiuar sä, Urüzmäg». Ui in zaxta: «Däxädäg baiuar». Läpbü ärlä xaji Känün baidüdta; uäd Urüzmäg jäxinümärü quü- Kodta: «Awüggäügän, ärlà xaijà ju jäxicän icgäni, ju la fe- jakgag, ju la mänän dätgäni; ämä ma uëäd äz Nariü äx- sänü cawär casgomäi bacaugünän» zäÿgä zaxta qüncümgän- gäjä. Ualüngü uarst fäci läpbû ämä Urüzmägän zägü: «Xai sis, Urüzmäg». Ui ün zaxta: «Nart xistäräi isüne xai, maxmä äédauäi xai sisün däul ämbälü», aflämäi Urüz-

mäsü sürd ssüdi ämä läpbü sista ju xai ämä Urüzmägän zägü: «Ai dün xistärag, innä xaijäai la dün däxi xai,

ärtükgâgäi ai ta dün xai; ärmäst rägauäi ju urs gal säw- zärsta ämä zaxta Urüzmägän: «Acü galäi mün xist sKän». Âmä in jäxi rargomkodta ämä in zaxta: «Dü ju äxsäw don- bedtürtäm Ku udtä, uäd qamai füngül jäxi éi bakurta ämä éi

zum Wege hin, selbst aber schrie er auf die Ross- heerde und trieb sie darauf auf das jenseitige Ufer des Meeres. Als er zu Urüzmäg herannahte, blieben sie in einer Gegend stehen, und der Knabe sprach zu Urüzmäg: «Theïile, Urüzmäg». Dieser sagt zu ihm: «Theile du selbst». Der Knabe fing darauf an drei Theile zu machen, da dachte Urüzmäg bei sich: «Si- cherlich wird er von drei Theilen einen sich nehmen, einen aber als Anführer, einen aber von denselben wird er mir geben. Mit welchem Gesicht werde ich dann unter die Narten treten», also sagend sprach er sich bekümmernd, Indessen hatte der Knabe die Theilung beendigt und spricht zu Urüzmäg: «Nimm deinen Theil, Urüzmäg», dieser sagte ihm: «Der Nar- ten Âltere nehmen nicht einen Theil, nach unserer Sitte kommt es dir zu einen Theil zu nehmen». Da- rauf ging des Urüzmäg Wort hervor, und der Knabe nahm einen Theil und sprach zu Urüzmäg: «Das ist dir der dem Âlteren gebührende Theil», (er nahm) den zweiten Theil. «Das ist dir dein eigner Theil», (er nahm) den dritten «Das ist dir mein Theil»; nun wählte er aus der Heerde einen weissen Stier aus und sprach zu Urüzmäg: «Aus diesem Stier machet mir ein Todtenopfer». Da offenbarte er sich ihm und sagte zu ihm: «Der Knabe, der damals, als du eine Nacht bei den Wasserbewohnern warst, auf deine Dolchspitze stürzte und welcher starb, dieser

193

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

194

—_ _————@

âmardi, äz ueü läpbû dän; ämä mäxi daumä Barastüräi raKur- ton; nür äméêud ärxäszä is, äz cäun, fälä mün xist änà skängä ma fäu, afonmädär ma mün nom nicämäi ssartoi. «Nür fändarast fiu» zäggäi in zaxta, jäxädäg äi nuuaxta. Urüz- mägdär rägaul laëdgomau raqärKodta ämä Salanamä Ku ar- xäsaä is, uäd fâqärkodta: «Az jàä einäi Kämän cartä ämä undä Kämän na bafsästä, ucü läpbûjimä nür, innä bon, fixadtän». Satana Urüzmägü um fäuaxta, aflämäi lipbûi su- rün baidüdta, surün baidüdta ämä jäm xästägkänün Ku bai- düdta, uäd äm râzdär gurü: «O Käi undäi bafsästän ämä Käi cinäi cardtän, und mün ma baxälägkän, cäsgom mäm fezdax». Läpbû ta, äméud Käi ärxägä is ämä xur Käi ärcäinüguld”) ämä bünaimä Käi tüngta, ui lüxxäi sqärkodta: «Rästäg mün nâl i». Salana Ku fedta, ai mäm

Knabe bin ich; und ich habe mich zu dir bei Ba- rastür losgebeten; nun ist meine Zeit gekommen, ich gehe, allein lass mich nicht ohne Todtenopfer; bis zu der Zeit schon hat man meinen Namen durch nichts gefunden» ”). Nun sei der gerade Weg, sagte er ihm und liess ihn von sich. Auch Urüzmäg schrie auf die Heerde und als er zu Satana gelangt war, rief er aus: «Ich bin nun die ganze Woche mit dem Kuaben gewandert, durch dessen Freude du lebtest und durch dessen Anblick du nicht satt wurdest.» Satana liess den Urüzmäg dort, fing dann an dem Knaben nachzujagen, fing an ihm nachzujagen, und als sie anfing ihn einzuholen, sprach sie vor ihm her: «O du, durch dessen Anblick ich nicht satt wurde, und durch dessen Freude ich lebte, misgônne mir nicht deinen Anblick, wende dein Antlitz zu mir». Der Knabe aber, da seine Frist nahe war, und da die Sonne schon fast unterging *), und da er zu seinem Sitze eilte, deshalb rief er aus: «Ich habe keine Zeit mehr». Da Satana sah, dass er sein Gesicht nicht

1) In Betreff der Narten giebt Tsorajew die Nach- richt, dass diese gigantischen Naturen sich in häufi- gem Kriege mit hüheren Mächten (guar) befanden und auch häufig den Sieg davon getragen haben sollen. Er macht von den Narten folgende namhaft: Sozürüqo, Bä- täqgo, Soslän, Xämüce, Urüzmäg, und Celäsxän. Von diesen Namen kommen auch bei den Kabardinern Sozürüqgo, Xämüe und sein Sohn Batüraz, vielleicht auch Urüzmäg unter dem Namen Ovirmeg vor. Vergl. Die

Sagen und Lieder des Tscherkessen-Volks, gesam- Tome XII.

nâl rakKässäni zäÿgä uäd, mäguräg, sRKuwta: «Xucaulü xueau, xucau! Käd mâdü zärdü Käsün zonüs, uäd ma xäxtül düü xur?) ärbakäsünKän ämä uäd xäxtül dügü xur arba- Kasti Ualüng£ü läpbû där märdtü duarül fägubürKodta ämä ju zdäxt fäkodta Salanamä ämä in Salana fädsülü ämä cäsgom ju und äKodta ämä läpbûil kuxdarän fexsta ämä umän kuxül âbâdti ämä läpbû ucü kuxdaränü märd- tm jämä baxasta ”). Urdügäi Salana fästämä xägarmä racüdi ämä ueü urs galäi xist sKodta. Xist {a uädäi nürmä Känün baidüdtoi, zäggä zägüne; aflä udi Urüzmägü bale aügoä zäpüne; fälà âcägzinadän nicü zonün; ärmäst un ui zägün, udonäi fedtai, rünäi där ämä sontäi där, ändär macü zonui. Kadäkgâg läpbûlän àwärul.

mebr zu ihr wendete, da betete die Arme also: «Gott der Gôtter, mein Gott, wenn du im Herzen der Mut- ter zu lesen verstehst, s0 lass auf den Hühen die kleine Sonne ”) zum Vorschein kommen» und da erschien auf den Bergspitzen die kleine Sonne (Todtensonne). Indessen bückte sich auch der Knabe unter dem Thor der Todten und warf einen Blick auf Satana, und sie berührte den Saum und erblickte sein Antlitz und dem Knaben warf sie ihren Ring zu und er blieb ihm sitzen auf dem Finger und der Knabe trug den Ring fort mit sich zu den Todten”). Von dort kehrte Sa- tana in ihr Haus zurück und aus dem weissen Stier veranstaltete sie ein Todtenopfer. Todtenopfer soll man also seitdem bis jetzt zu bringen angefangen haben; so soll die Wanderschaft des Urüzmäg gewe- sen sein; allein von ihrer Wirklichkeit weiss ich nichts; nur dies sage ich euch: Da ihr von diesem nichts ge- sehen habet, müget ihr auch nichts wissen von Krank- heit und Wahnsinn. Was mir für die Erzählung zu- kommt, gebet den Jünglingen.

melt vom Kabardiner Schora -Bekmursin-Nogmow, bearbeitet und mit einer Vorrede versehen von Adolf Bergé. Leipzig 1866, S. 29, wo die Namen also ge- schrieben werden: Ssosiroko, Osirmeg, Chimasch und Batiras.

2) füdtug füdaz buchstäblich «schlechtes Blut» und «schlechtes Jahr», bezeichnen nach Tsoraje w Krank- heits- und Unglückszeiten.

3) Über Sürdon s. Anmerk. 31 zu den ossetischen Texten (Bull. VI, 469).

13

195

Bulletin de l’Académie Impériale

196

4) Tsorajew führt noch mebrere ähnliche Verba an, von denen ich in der Anmerkung zu 35 der osse- tischen Sprichwôrter einzelne Beispiele beigebracht habe, namentlich raiärbaiärKänün, hin- und hertreiben, raligbaligKänün, hin- und herflichen, razurbazurKänün, hin- und herreden, raKäbaKäkKänün, so und so machen, raxonbaxonKänün, hin und her einladen, racubacuKänün, hin- und hergehen, ratulbatulKänün, sich hin- und her- wälzen, raskärbaskärKänün, hin- und hertreiben, ratilbaiil- Känün, den Kopf hin- und herschütteln.

5) Während Saiana in dem Lobgedicht auf Baiüraz (s. daselbst Anmerk. 8) als Gattin des Xamüc auftritt, ist sie hier mit Urüzmäg verbunden. Tsorajew führt noch folgende Redensarten an: ucü usü kuxtä Satanai kuxiä, die Hände dieser Frau sind Hände der Satana. Von einer guten Wirthin heisst es äfsin Salana, un- sere Wirthin ist eine Satana. bägänü Salanai füx, ihr Bier ist Gebräu der Satana.

6) märdtü stän, ich schwôre bei deinen Todten; Tsorajew verweist auf Sjügren, Osset. Sprachlehre $ 250 Punkt 2; ich meinerseits bemerke, dass in dem Thiermärchen Gädù ruwas (Bull. VIII, p. 41 Mél. asiat. V, 203) statt märdtüstän zu bessern ist di märdiü stän.

7) gälxur bedeutet nach Tsorajew eigentlich «grin- dig», wird aber gebraucht von Stubenhockern und feigen Memmen.

8) Tsorajew bemerkt hierzu Folgendes: An Feier- tagen versammeln sich die Osseten zum Mittag- oder Abendmahl, bleiben alle stehen, entblôssen ihr Haupt, und der Âlteste in der Familie nimmt in die eine Hand einen KEäsekuchen (ualibüx von uäl oder uälä, auf, und füx, gekocht, gebacken) und eine Hammelkeule (sKu), in die andere aber ein Glas Branntwein (araqi) oder eine Schale Bier, in Ermangelung dieser Getränke aber eine Schale Hirsebier (büräë, welches aus Hirse- mehl mit Malz gebraut, im Sommer, namentlich zur Zeit der Feldarbeiten, das gewôhnliche Getränk ist), und hält aus dem Stegreif ein Gebet, in welchem er alle ihm bekannten Heiligen anruft und um ihren Schutz, ihre Hülfe und Fürbitte anhält. Der Käse- kuchen, die Hammelkeule und das Getränk heissen Kuwäggag, Gebetgaben, d. h. beim Gebet dargebrachte Gaben. Vergl. Anmerk. 38 des Lobgedichts auf Ba- \üraz.

9) Jedes Dorf hat seinen fidiuäg, Herold. Es wer-

den zu diesem Amte ältere Männer mit lauter Stimme auserwählt. Soll eine Versammlung berufen werden, so stellt sich der Herold mitten im Dorf auf die hüchste Stelle und ruft mit aller Macht aus, dass man sich zu der und der Zeit zur Versammlung (nü- xas) begeben solle. Dabeï sagt er stets die Worte: oi, aflä maéi zägäd, fequston zäÿgä, also sage niemand: «Ich habe es nicht gehürt». Auch wenn man im Dorfe die Gedächtnissfeier für einen Verstorbenen begeht, oder wenn ein Leichenbegängniss stattfindet, ist es die Pflicht des Herolds am Vorabend der Bestattung oder der Gedächtnissfeier Meldung zu thun, damit niemand sich aus dem Dorfe entferne. Für die Er- füllung dieser Pflicht erhält der Herold gewôhnlich ein Maass Weizen, zwei Maass Hirse; bei der Ge- dächtnissfeier einen besonderen Antheil am Fleisch, Bier, Brot und Branntwein; ausserdem ist er von allen Abgaben befreit. Tsorajew.

10) Von diesem gom kommt qomül, erwachsen, einer Sache gewachsen: eäun qom dän, ich bin im Stande zu gehen; acü läpbû bäxül bâdün qom u, dieser Knabe ist schon im Stande zu Ross zu sitzen; rünéün nürma rabädün om ma u, unser Kranker ist bis jetzt noch nicht im Stande zu sitzen. Tsorajew.

11) Soll so viel heissen, als: eine Ortlichkeit un- tersuchen, recognosciren. Tsorajew.

12) caëd bedeutet einige aufgehäufte Balken und Bäume. Tsorajew.

13) Hierbei erinnere ich an die in dem Lobgedicht auf Baiüra3s vorkommenden Mürser; s. Anmerk. 30 daselbst.

14) Nach beendigtem Gebet übergiebt der Greis die Hammelkeule, den Käsekuchen und das Glas Branntwein irgendeinem aus der Schaar der Jüng- linge, dieser aber, nachdem er dieselben berührt hat, dem sogenannten urdügstäg (von urdüg, aufrecht und stün, ich stehe), Aufrechtsteher, d. h. Aufwärter. Tso- ra]ew.

15) Dem bei den Osseten herrschenden Fatalis- mus gehôrt auch folgender von Tsorajew beige- brachte Spruch an: däuäi aiwéuisän, dein Glück wird dir nicht entrinnen.

16) Tsorajew bemerkt, dass die Osseten sehr häufig xärz statt xorz gebrauchen, sieht sich aber ausser Stande anzugeben, wann das eine oder das an- dere gebraucht werden müsse.

197

17) uai bedeutet 1) ein Bett, 2) ein besonderes Gemach, das jungen Leuten und bisweilen auch Gä- sten (wenn es kein besonderes Gastgemach [uazägdon| giebt) zum Nachtlager dient.

18) Wassergeister, Wasserjungfrauen sind nach der Ansicht der Osseten sehr schün und klug: Sa- tana war eine solche. Tsorajew leitet donbediür ab so dass es «Wassertreiber» hiesse.

19) cägat werden die Verwandten der Frau be- nannt, das Haus, aus welchem einer geheirathet hat, es sind die donbediür so cägat der Satana; früher wur- den die Ossetinnen, um ihr Wochenbett abzuhalten, in ihre Heimath geschickt; gebar die Frau einen Kna- ben, so kehrte sie mit Geschenken- zum Manne zu- rück, gebar sie aber eine Tochter, so kehrte sie mit leeren Händen zurück. Tsorajew.

In der ossetischen Evangelienübersetzung vom J. 1864 kommt Luc. 13, 29 cägaifars als Bezeichnung des Nordens vor, und ebenso ist Psalm 88, 13 cagat Norden.

20) fos, ursprünglich Vieh (zend. paçu), bedeutet dann auch jegliches Vermügen, (Geld, Land u. s. w.

21) fisüin bedeutet «ŒEcke»; auf meine Anfrage ant- wortete mir Tsorajew, dass fisün auch gebraucht werde, wenn man einen Gegenstand mit den vorde- ren Theilen nach hinten und mit den hinteren nach vorn stelle.

22) Die Formen demä, mit dir, und memä, mit mir, kommen häufig vor statt der volleren däuimä und mä- nimä. Tsorajew.

23) ämxiexärän oder vielmehr ämxizxärän ist eine zu gleichen Theilen unter zwei Personen getheilte Weïde, bäräg, bestimmt, bekannt, bäre, Maass; also ämxiexärän bäräg bäre, ein bestimmter Raum des Theils des zweien gehôrigen Weideplatzes. Tsorajew.

24) Die Osseten sagen, dass T'erk und T'urk Brü- der waren, anfangs in Frieden lebten, dann aber we- gen einer Schünheit in Zwist geriethen; es erhob sich zwischen ihnen ein Bruderkrieg. T'urk siegte, T'erk floh und liess sich in den kaukasischen Bergen nie- der. Tsorajew.

25) Kuwd bedeutet 1) Gebet, 2) Gastmahl, Schmaus bei irgend einer freudigen Begebenheit. Tsorajew.

26) Der Hirsch (sag) ist bei den Osseten in hohen Ehren; man sagt ui sa$ü xuzän läg u, dieser Mensch ist einem Hirsch ähnlich. Treffen sich zwei Bekannte,

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

198

so begrüssen sie sich oft also: bon xorz ua, 0 sag âmarai, sag! Dein Tag sei gut! Mügest du, o Hirsch, einen Hirsch tüdten! Tsorajew.

27) D.h. man hat mir zu Ehren noch kein Todten- fest gefeiert.

28) Die Osseten glauben, dass nach Sonnenunter- gang die Thore des Schattenreiches geschlossen wer- den und bis Tagesanbruch niemand mehr Eïinlass finde; aus diesem Grunde bestattet man die Todten nicht nach Sonnenuntergang, damit ihre Seelen sich nicht in der Nacht zwischen der Erde und dem Reiche des Barastür abquälen; zumal im Winter bestattet man die Todten frühzeitig. Tsorajew.

29) düzü xur oder auch märdtü xur «die Todtensonne»; düsü ist aus dem Kinderworte süzsül «klein» entstan- den. Tsorajew.

30) Die Osseten haben den Glauben, dass es im Reiche der Todten schwer halte seine Verwandten und Freunde zu erkennen, wenn man nicht eine be- sonderes erkennbare Sache mit ins Grab gelegt hat; deshalb warf Satana ihren Ring auf den Sohn. Tso- rajew.

31) Nach Tsorajew’s Mittheilungen kostet die jäbrliche Gedächtnissfeier zum Andenken eines ein- zigen Todten einer Familie mehr als 2000 Rubel. Häufigere Todesfälle künnen eine Familie ganz zu Grunde richten. Es giebt bei den Osseten ein Sprich- wort: qüdüg cämän u? mél ämä umän, Weshalb ist er reich? deshalb weil man nicht stirbt. Schliess- lich giebt Tsorajew folgende Übersicht der verschie- denen Gedächtnissfeste im Laufe eines Jahres:

1) Das grosse Herbstfest (stür xist); Bier 20 Kessel (= 800 Eimer), Branntwein 30 Eimer, Ochsen 5, Schaafe 60.

2) Himmelfahrt-Todtenfest (zärdäwärän), Bier 2 Kes- sel, Branntwein 10 Eimer, Ochse 1, Schaafe 20.

3) Mariä Himmelfabrt (Mairämü Kuagän), Bier 1 oder 2 Kessel, Branntwein 10 Eimer, Ochse 1, Schaafe 10.

4) Kuchen-Todtenfest (Qäbüngänän), Bier 1 Kessel, Branntwein 10 Eimer, Ochse 1, Schaafe 6.

5) Plinsen-Todtenfest (lauzgänän), in den Fasten 20 Rubel Unkosten, 25 Rubel Branntwein.

6) Palmen-Todtenfest (zasxässän), 50 Rubel Unkosten,

25 Rubel Branntwein. 13*

199

———————————

Bulletin de l’Académie Impériale

200

7) Ostern (K'uagänü xist), Getränke 15 Rubel, Ochse | 10) Ablegung der Trauer (barüséi isän), Branntweim

1, Schaafe 6.

18 Rubel, Schaafe 4.

8) Quinquagesima-Sonntag (füdxärän), Branntwein 15 | 11) Wachen nach dem Todten (bädän), Ausgaben 25

Eimer, Ochsen 2, Schaafe 10. 9) Quadragesima-Sonntag (ursxärän), Branntwein 15 Rubel, Schaafe 6.

IT.

Xäxxon äldarü fürtü ämä büdiron äldarü éüzsü

arÿau.

Ju xäxxon äldarü fürt fegusta, ju büdiron äldarän xärz- räsuëd éüzg Käi is ui ämä jäm Kuräg âcüdi. K'u rarasti, uäd ül, Kuräg Kämä fäcäicüdi ‘), ueü äldar sämbäldi ämä bafarsta: CK'äi ong, Kipbû?» *) Ui in zaxta: «Ju äldarmä xorz éüzg fe- quston ämä umä Kuräg cäun». Âldar ün zaxta: «Cäuäm uädä jumä». Cäun, dün, baïdüdtoi ämä ju cüfgast ranmä Ku baxäg3ä stü, uäd läpbû zaxta äldarän: Fäläu, xid dün àkKänon». Aul ün äldar zaxta : «O xuzdär âmälal”) eäi ärra cäi, calünmä am xid Känai, ualünmä am bâdon?» Affämäi äldar ba- cüdi ämä bäix nüssagdi qusräbüntäm; läpbû bacüd, cüfäi slâsta, nüssügdäg äi Kodta, bäxül äi säwärta ämä

IT.

Märchen von dem Sohne eines Gebirgshäupt- lings und der Tochter eines Steppenhäuptlings.

Der Sohn eines Gebirgshäuptlings hürte, dass ein Steppenhäuptling eine sehr schôüne Tochter hatte, und kam werbend zu ihm. Als er ging, traf mit ihm der Häuptling, zu dem er werbend ging, zusammen, und fragte ihn: «Bis wohin, Jüngling?» Dieser sagte ihm: ch habe gehürt, dass ein Häuptling eine schône Tochter hat, und gehe zu ihm werbend». Der Häupt- ling sagte ihm: «Wollen wir also zusammengehen». Sie fingen dir an zu gehen, und als sie zu einer ko- thigen Gegend gekommen, sprach der Jüngling zum Häuptling: «Warte, ich werde dir darüber eine Brücke machen». Darauf sagte ihm der Häuptling: «O es sterbe dein Bester! was für ein Narr bist du, so lange als du hier die Brücke machst, so lange soll ich hier sitzen». Also ritt der Häuptling in den Koth und sein Pferd blieb stecken bis an die Ohrwurzel; der Jüngling ritt hinein, zog ihn aus dem Koth, reinigte ibn, setzte ihn aufs Pferd und sie fingen wieder an zu reiten. Als sie zum Dorfe des Häuptlings in die

Rubel, Schaafe 3. 12) Wettrennen zu Ehren des Todten (dug), Bier 1 Kes- sel, Branntwein 15 Eimer, Ochsen 1, Schaafe 5.

ja cäun baidüdtoi. ÀÂldarü qäumä äwwaxs Ku baxäzsä stü, uäd Käsüne ämä qäuäi ju lägü mard raxässüne ämä läpbû äldarü bafarsta: «Aldar, äldar, farn, däfarn, zädü stän, ueü lig ägâs qäui läg udi äwi ju xägarü läg?» Âldar ta in zaxta: «O xägar fexäla! mänä läpbôjän, ärra äwi sont? lig ju xäügarü lg wäji, ui jättimä ju läg ägàs qäui läg niku wäji». Aflämäi arbacüdüstü qüumä ämä äldar uäzägdonmä baxudta ämä um ärxüsti läpbü. Âldar xägarmä bacüdi ämä zaxta: «Uazägän Kärgün ‘)! sKänut». Âfsin ba- cüdi käbiemä ämä xäbizsün 5) skodta, stäi äiéütä Afüxta ämä uazägän arwüsta; Kusäg, füng Ku fäcäixasta, uäd äicütäi ju âxorta ämä bacüd uazägdonmä ämä füng äräwärta uazäsü râzü; uazäg xärd Ku füci, uäd Kusägän zaxta: «Füng âxäss ämä xägarmä Ku bacäuai, uäd zäg: «Mäi calxü gag ud, fäli stalütäi ju fiqud». Kusäg füng àxasta ämä xägarmä Ku Nähe gelangt waren, da sahen sie, und aus dem Dorfe trägt man den Leichnam eines Menschen, und der Jüngling sagt dem Häuptling: cHäuptling, Häuptling, bei deiner Ruhe, deiner Ruhe, bei deinem Schutzpa- tron, war dies ein Mann des ganzen Dorfes oder der Mann eines Hauses?» Der Häuptling sagte ihm: «O dass dein Haus umkomme! sieh einen solchen Jüng- ling! bist du ein Narr oder Verrückter? der Mensch pflegt der Mensch eines Hauses zu sein, ausserdem ist nirgends ein Mensch der Mensch eines ganzen Dor- fes». Also ritten sie ins Dorf, und dessen Häuptling lud ihn ins Gastgemach, und dort stieg der Jüngling ab. Der Häuptling trat ins Haus und sagte: «Berei- tet dem Gaste ein Hirsebrot!» Die Wirthin ging in die Vorrathskammer und bereitete einen Käsekuchen, darauf kochte sie Eier und schickte sie dem Gaste; der Diener als er den Tisch trug, ass eines von den Eiern auf und trat ins Gastzimmer und stellte den Tisch vor den Gast; als der Gast abgespeist hatte, da sagte er zu dem Diener: «Trage den Tisch fort, und wenn du ins Haus trittst, so sage: «Die Mondscheibe war voll, allein von den Sternen fehlte einer». Der Diener trug den Tisch fort und als er ins Haus trat,

201

bacüdi, uäd zaxta: «Ucü uazäg ui zaxta: «Mäi, dam, calxü gag udi, fälä stalüläi ju fqudi». Âldar xudägäi mälün baidüdta ämä zaxta: «AÂmbisondü ärra läpbû u; âbondär ma fändagul racäidüstäm ämä ju ran çüf udi ämä aftä zäêü: «Fäläu, xid dün äKänon». Urdügäi racüdüstäm ämä, mänä, qäuäi ju ligü mard raxässüne ämä la bafarsta: «Ucü lig ägâs qüui lg udi äwi ju xägarü; ui lüxxäi äz aflà änqäldän ärra u». Aldarän éüzg süstadi, Ju awiü 3ag araq raista ämä agubüzäimä ronü baKodta; stäi äpbün änäsurgä uazägdonmä bacüdi, ronäi awg raista, ju agubüzä rauaxta ämä läpbûmä âwärta, läpbû ânüsta, rauaxta ta dükgâg agubüzä ämä jäxädäg ânüsta; nogü la rauaxta ämä läpbûmä âwärta, läpbû cüfmä apbärsta, éüzg sista agu- büzäi ämä nüssärfta ämä la rauaxta araq ämä jäxädäg ânüsta; nogü ta rauaxta ämä uäd läpbû ânüsta; nür Kä- rägiimä nieü gurüne,; stäi läpbû däs kuxü xärdmä sqilkodta, bäxül âbâdt ämä âfardägi. Cüzg fästämä ärbacüd ämä äldarän zaxta: «Dü, äda, ueü läpbûi ärrä xonüs, fälä umäi

da sagte er: «Dieser Gast sprach dies: ««Des Mondes Scheibe freilich war voll, von den Sternen aber fehlte einer»». Der Häuptling fing an vor Lachen zu sterben und sagte: «Dieser Jüngling ist ein seltsamer Narr; heute ritten wir auf dem Wege und an einer Stelle war Koth, und er spricht so: «Warte, ich will dir eine Brücke machen». Von dort reiten wir fort und, sieh da! aus unserem Dorfe trägt man den Leichnam eines Mannes, er aber fragte mich: «War dieser Mensch ein Mensch des ganzen Dorfes oder eines Hauses?» deshalb glaube ich so, dass er ein Verrück- ter ist». Die Tochter des Häuptlings stand auf, nahm eine Flasche voll Arak sammt dem Glase und that sie in den Busen; darauf ohne etwas zu sprechen tritt sie ins Gastgemach®), und nimmt die Flasche aus dem Gurt, liess ein Glas herausfliessen und reicht es dem Jüngling, der Jüngling trank es aus; sie goss ein zweites Glas ein und trank es selbst aus; wiederum goss sie ein und reichte es dem Jüngling, der Jüng- ling warf es in den Koth; das Mädchen hob das Glas auf und wischte es ab, und goss wiederum Arak ein und trank es selbst aus, wiederum goss sie ein, und da trank es der Jüngling aus; nun aber mit ein- ander sprachen sie nichts. Darauf richtete der Jüng- ling seine zehn Finger in die Hühe, setzte sich auf sein Pferd und eïlte davon. Das Mädchen kehrte zu- rück und sagte dem Häuptliug: «Du, Väterchen, hältst

äes Sciences de Saint-Pétersbourg.

20?

zond#ündär bästü birä ssargünä; ärbaiqus: «Abon smax findagul Ku eüdüstut ämä çüfmä Ku ärbaxäzgä stut ämä dün aflä Ku zaxta: «Fäläu, xid dün âKänon» zäggä, uäd aflä änqältai, äcäg dün xid Känünmä qawüdi; uädämä füg3àsü- där jäxädäg bacüdaid ämä Ku nüssagdaid, uädtär ui läpbüû u ämä umän xabardär”) ud; fälä däuän xudinäg udaid um nüssägün; ui dün ju. Dükgâg, urdügäi Ku racüdüstut, ämä qäuäi ju lägü mard Ku racäixastoi ämä Ku bafarsta: «Ueü lg ju xägarü mard u äwi ägâs qäui, ta il xudün Ku baidüdtai, uäd dün ui umän zaxta ämä, Käd xorz läg udis®), uäd ägâs qäui läg udi; Käd ta äwzär läg udi, uäd xägarü mard udi. Ariükgâg: ardäm Ku ärbacüd ämä uäzäg- Ku bacüd, la xägarmä Ku arbaudta ämä uäzägän Kärgün skänut Ku zaxtai, stäi äna xäbizéün Ku sKodta ämä äicütimä Kusägän Ku baxässünKodta, uäd Kusäg fändagul ju aik âxorta: «Mäi calxü 5ag u, flä stalüläi ju fäqudi», räbgä ta ui ui tüxxäi zaxta, oma, ju aik Kusäg âxorta. Nür äz awgü gag araq âxaston ämä Ku bacüdtän ämä in araq Ku

donmä

diesen Jüngling für verrückt, allein einen klügeren als er wird man in unserer Gegend nicht wohl finden; hüre: als ihr heute auf dem Wege rittet, und als ihr an den Koth herankamt, und als er dir also sagte: «Warte, ich werde dir eine Brücke machen» so dach- test du so, dass er eine wirkliche Brücke zu machen beabsichtigte; vielmehr wollte er früher selbst hinein- reiten, und wenn er stecken geblieben wäre, so ist er ein Jüngling, und es wäre ihm nichts Schreckliches gewesen; allein dir wäre es schmählich dort stecken zu bleiben: dies ist dir eines. Zweitens, als ihr von dort rittet, und als man aus dem Dorfe den Leich- nam des Mannes trug, und als er dich fragte: «st dieser Mensch der Leichnam eines Hauses oder des ganzen Dorfes?» du aber über ihn zu lachen anfingst, so sagte er dies deshalb, weil, wenn er ein guter Mensch war, er der Mensch des ganzen Dorfes war, wenn er aber ein schlechter Mensch war, so war er der Leichnam eines Hauses. Das dritte: als er hier- herkam und ins Gastgemach eintrat, du aber ins Haus eiltest, und sagtest: Bereitet dem Gaste ein Hirsebrot», und darauf Mütterchen einen Käsekuchen bereitete und ihn mit den Eiern den Diener hintra- gen liess, da verzehrte der Diener unterwegs ein Ei; «Die Mondscheibe ist voll, allein von den Sternen fehlte einer» sagte er deshalb, denn ein Ei hatte der

Diener verzehrt. Dann trug ich eine Flasche voll

203

Bulletin de l’Académie Impériale

204

——_———

âwärton, ui ta Ku ânüsta, uäd jäxinümärü zaxta: «Ujàs uarzaünän, zärdäi äwzärst, äz la nogüdär rauaxton ämä ji mäxädäg Ku ânüston, uäd zaxton mäxinümärü: «Âzdär uarzsünän, xurü éüsül». Nogü la rauaxton ämä jäm äi Ku âwärton uäd ui çüfmä nüzzüwütlâästa ämä Jäxinü- märü qudükodta: « Ku bäzzai, uäd la aflä apbarsünän». Âz la cüfäi siston ämä nüssärfion ämä rauaxton ämä ta mäxädäg Ku ânüston, uäd mäxinümärü zaxton: Ui zärdä ma qudükänäd, bon, ämä tärsgä där ma Kän,

Arak, und als ich eintrat, und als ich ihm den Arak darreichte, er aber ihn austrank, da sagte er in sei- nem Herzen: «So sehr werde ich dich lieben, Auser- wählte meines Herzens»; ich aber goss nochmals ein und als ich selbst getrunken hatte, da sagte ich in meinem Herzen: «Auch ich werde dich lieben, meine kleine Sonne». Wiederum goss ich ein, und als ich ihm den Arak darreichte, warf er das Glas in den Koth und dachte in seinem Herzen: «Wenn du nichts taugst, so werde ich dich also fortwerfen». Ich aber nahm das Glas aus dem Koth und wischte es rein und goss ein, und als ich es selbst ausleerte, sagte ich in meinem Herzen: «Solches denke dein Herz nicht, mein Tag, und fürchte durchaus nicht, ich

1) um fäcäcäun. Auf meine Anfrage über die Be- deutung des Elements cäi in den mit ärcäi, fäcäi, bacäi,

racäi zusammengesetzten Zeitwôrtern benachrichtigt

mich Tsorajew, dass damit eine in der Vollendung

begriffene, aber irgendwie verhinderte und unvollen-.

dete Handlung ausgedrückt werde, z. B. xur fäcäinü- guld, fälä uälärwon K'urdalägon fäurämta, die Sonne ging beinahe unter, allein der himmlische Kurdalagon hielt sie auf; ju füsü mün biräg fäcäixorta, fälä äz baiston, eins meiner Schaafe frass mir fast der Wolf, allein ich nahm es ihm ab; jäxi najinmä fäcäicüdi, fälä äz buaxton, er ging beinahe baden, allein ich liess ihn nicht; xägarmä ärbacäicüdi, fälä fästämä azdaxtoi, er trat fast in unser Haus, allein er kehrte um. Aus dem Abchasischen ist uns eine besondere Verbalform des Präteritum interruptum durch Baron Uslar be- kannt geworden. $. meinen Bericht $. 7, 16, 18.

2) läpbû bezeichnet nach Tsorajew sowohl ein Kind und einen Knaben, als auch einen Jüngling, überhaupt jeden unverheirateten Menschen.

3) Diese Redeweise wird bisweilen scherzweise ge-

bäzgä där Kängünän ämä uarzgä där Kängünän, apbaraünä. Ui fästä däs kuxü xärdmä Ku sKodta, uäd zaxta jäxioümärü: «Uädä däm däs bonü fästä Kurünmä äreäusü- nän». Nür äz us, ui moi». Âldar zaxta, Güzgü gürdtü fisti. «Âcig äcäg däsnü Ku u». Däs bonü fistä läpbû éüngxässütimä”) äreüdi, rakurtä éüzéü, ärtä bonü ämä ärtà äxsäwü minasfäKodtoi, udü câs fändüd ujâs; stäi jàä âxastoi, xägarü där dunei dissag minasfäkodtoi. Card sün udi, xorz sün udi. Udon äreüdmä xorzäi fäcärut, argaumä quséütä!

werde dir sowohl frommen als auch dich lieben, wirf mich nicht von dir». Darauf als er seine zehn Finger emporhob, sagte er in seinem Herzen: «Also werde ich nach zehn Tagen kommen um dich zu freien». Jetzt bin ich sein Weiïib, er mein Mann». Der Häupt- ling sagte nach diesen Worten seiner Tochter: «Wahr- lich, er ist ein kluger Mensch». Nach zehn Tagen kam der Jüngling mit seinen Brautholern, warb um das Mädchen, drei Tage und drei Nächte schmauste man so viel es ihre Seele beliebte, darauf führte man sie fort und auch in seinem Hause schmauste man zum Staunen der Welt. Es war bei ihnen Leben, es war bei ihnen Gutes. Bis zu ihrem Kommen lebet gnt, Hôürer des Märchens!

:braucht und nicht übelgenommen, wie Tsorajew be-

merkt.

4) Kärsün bedeutet ursprünglich ein Hirsebrot, im weiteren Sinne aber jegliche Speise, die auf den Tisch kommt: fen ma max cäxsün Kärsün där, versuche doch unser Salz und Brot.

5) xäbizéün, ein grosser runder mit frischem Käse

angemachter und auf Butter gebratner Kuchen.

6) Nach Tsorajew’s Bemerkung begiebt sich auch jetzt noch in den Gebirgsdürfern, wo der Islam we- niger umgestaltet hat, ein Frauenzimmer, das einen bekannten Gast bewirthen will, mit einer Flasche Branntwein ins Gastgemach.

7) xabar bedeutet Nachricht, Neuigkeit: xabariä is smaxmä, Was für Neuigkeiten habt ihr? xabar qusü K'äsägäi, was für Nachrichten hôürt man aus der Ka- barda? Steht aber vor oder nach xabar die Negation nä, so heisst xabar nicht schrecklich, nicht furcht- bar, gleichgültig: näu xabar, es ist nicht schrecklich; ämälän xabardär näu, es ist nicht schrecklich zu sterben.

8) Auf meine Anfrage, ob die Form udis ihre Rich-

205

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

206

tigkeit habe, hat Tsorajew folgenden Spruch mit derselben Form angeführt:

ui um Kud udis, aftà ud is

Wie er nicht dort war, d.h. so wahr er nicht dort war, so nimm du deine Seele, d. h. stirb.

e, von éünz, Braut und xässün, nehmen, führen. Wenn der Bräutigam die Braut holt, nimmt

9) Cüunzsxässäs

ss)

LIT. Àldarü fürt Müstüqusü argäu.

Râgüma râgü ju äldar udi, ju xatt Ku ud, uäd, dün, baleü âcüdi ämä fändagul äodär äldarimä sämbäldi ämä in zaxta fändarast, uidär ün zaxta qudtag rast. Ju éüsül Ku âua- düstü, uäd ju Gi udi, ui innämän zaxta: «Cäul änkard dä» ? Ui jäm nicü ssürta; dükgâg xatt där la bafarsta: « Cäul aftä änkard dä»? Ui fa jäm uädtär nicü spürta; ärtüKgâg xatt äi Ku farsta, uäd ün uidär zaxta: «Dü däxädäg cäul änkard dä?» Ui in aflä zägü: <Mänän us süwärgün u ämä äz uul änkard dän». Uäd ün innä där aflä zägü: «<Uädä äzdär us süwärgün Käiu, uul änkard dän». Stäi ucü ran xu- cauäi somü bakodtoi: «Nä juän éüzg Ku raigura, innäjän

LIL.

Märchen von dem Häuptlingssohn Müstüqus (Mäuseohr).

Längst längst war ein Häuptling; als es einmal war, da begab er sich dir auf die Wanderschaft und unterwegs traf er mit einem andern Häuptling zusammen und sagte ihm «graden Wegl» er auch sagte: «Dein Geschäft sei gerade». Als sie ein wenig gereist waren, da sagte der eine zu dem andern: « Wo- rüber bist du in Sorge?» Dieser sagte ihm nichts: zum zweiten mal aber fragt er ihn: «Worüber bist du so in Sorge?» Dieser aber sagte ihm wiederum nichts. Als er ihn zum dritten Mal fragte, da sagte er ihm: «Du selbst, worüber bist du in Sorge?» Die- ser sagte ihm also: «Mir ist mein Weib schwan- ger und ich bin darüber in Sorge». Da sagte ihm auch der andere: «Also bin auch ich darüber in Sorge, dass mein Weib schwanger ist». Darauf an dieser Stelle schwuren sie bei Gott: «Wenn einem von uns eine Tochter geboren wird, dem andern von

er 12-29 Brautholer mit; alle sind zu Pferde und bewaffnet, sie nehmen im Hause der Braut den Eh- renplatz ein; im Laufe von drei Tagen bewirthet man sie Tag und Nacht mit dem Schünsten und Besten was das Haus hat. Nach dreitägiger Bewirthung neh- men sie die Braut, und indem sie nach dem Hause des Bräutigams zurückreiten, stellen sie Reitübungen an, schiessen aus Pistolen und Flinten und singen Lieder.

la lipbû, uäd us ämä moijän éi radta» zäggä. Balcäi fà- stämä Ku razdäxtüstü ucü äldärtä xägärläm, uäd juan éüzg raigurd, innäJän ia läpba. Cüzg ämä läpbû Ku sqo- mülstü, uäd éüzéü füd moimä ändärän radta. Innä äldar éi udi, umä ueü uaequd Ku ärxäzgäi, uäd äm ittäg qüg fäkasti. Ju bon Ku ud, uäd, dün, duarmä änkardäi bâdü; ämä in läpbû raigurd, ui rauadi ämä in zäÿü: «Cäul änkard dä, dada?» Ui jäm nicü ssürta, dükKgâg xatt där ta jäm nicü ssürta, ariükgâg xatt ün aflä zägü; «O, dada rüniä ba- xärä! ma mâdü gubünü Ku udtä, uäd äz ju äldarimä baleü udtän, ämä umän där us süwärgün udi ämä ard baxord- tam: juän éüzg Ku raigura, innämän la läpbû, uëäd us ämä moijän éi radta zäÿgà; nür ju éüz£ü ändärän dädtü ämä ui tüxxäi änkard dän». Läpbû in aflä zägü: «O dada! ui

uns aber ein Knabe, weshalb geben wir sie nicht ein- ander zu Frau und Mann». Als diese Häuptlinge von der Wanderschaft nach Hause zurückkehrten, da wurde dem einen von ihnen eine Tochter geboren, dem andern von ihnen aber ein Knabe. Als das Mädchen und der Knabe heranwuchsen, da gab des Mädchens Vater sie einem andern Manne. Dem an- dern Häuptling aber, als zu ihm dies Gerücht ge- langt war, erschien dies sehr bitter. An einem Tage sitzt er dir bekümmert an seiner Thür, und der Sohn, der ihm geboren war, lief heraus und sagt zu ihm: «Warum bist du in Sorge, Väterchen?» Dieser sagte ihm nichts, zum zweiten Mal sagte er ihm auch nichts, das dritte Mal sagte er also zu ihm: «O müge dein Väterchen deine Krankheiten verzehren! Als du noch im Leibe deiner Mutter warst, da war ich mit einem Häuptling auf der Wanderschaft und auch diesem war seine Frau schwanger, und wir legten den Eïd ab: «Wenn dem einen von uns ein Mädchen geboren wird, dem andern aber ein Knabe, wie sollten wir sie nicht zu Frau und Mann geben» also; jetzt giebt er seine Tochter

207

Bulletin de l’Académie Impériale

208

9

lüxxäi änkard äpbün ma Kän, äz umän xos ssar;ünän mäxä- däg». Ju duuä bonü fästä, dün, läpbû âcüdi ämä füdü ärd- xor äldarü qaumä bacüdü ämä äldarän zaxta: «Rodgäs äxxursüs?» Uidär äi cingängäjà baxxursta. Ju bon Ku udi, uäd, dün, ueü läpbû rodtä büdürmä âlarta; ueü bon axäm ixuarün äreüdü, axäm ämä büdürü fos äpbäl fâcaxta, ueü läpbû la rodtä bälâsü bünmä baskärta, jäxädäg la bälâsü märai nüpbü- rüdi; stäi uarün Ku bancadi, uäd rodtä raskärta ämä zar- sütà Känü. Ualüngü, dün, Käsü, ämä uärtä ju xäiräg don Kalgä äreäui ämä läpbômä Ku ärxäggäi, uäd ün aflä zäigü: «O bünontü xuzdär âmäla! äz xäüiräg dän, äcäg xäiräg Ku dä; aflä xusäi Kud bazzädtä?» K'u uarüdi, uäd Käm udtä?» Ui in aftä zägü: «Cämän dün zägon, paida mül baxxäggäni umäi?» Xäiräg ün aflä zägü: «Zäg mün äi, ämä dün, mänä, acü süflär radton». Ui aflä zägü: cÂmä jäm miniog !) is ucü süftärmä?» Xäüräg ün zaxta: «Dä zärdäi bafända, ui dün bakKängäni». Stäi in zaxta läpbû Käm udi, ämä süftär jä-

einem andern und deshalb bin ich in Sorge». Der Knabe sprach so zu ihm: «O Väterchen, deshalb sei durchaus nicht in Sorge, ich werde dagegen selbst ein Mittel finden». Ein, zwei Tage darauf da ging der Kuabe und kam in das Dorf des Häuptlings, der Eïd- genosse seines Vaters war, und sagte zu dem Häupt- ling: « Wirst du nicht einen Kälberhirten annehmen?» und er nahm ihn freudig an. An einem Tage als es war, trieb dieser Jüngling die Kälber auf das Feld; an dem Tage fiel ein solcher Hagelregen, ein solcher, dass er alles Vieh auf dem Felde niederschlug, dieser Jüngling aber trieb seine Kälber unter einen Baum, selbst aber kroch er in die Hühlung des Baumes; als darauf der Regen aufhôürte, da trieb er seine Kälber heraus und singt seine Lieder. Zu der Zeit sieht er dir, und sieh da, ein Teufel kommt herbei, indem Wasser von ihm trieft, und als er zum Knaben her- angekommen, spricht er so zu ihm: «O dass der Beste deines Hauses sterbe! ich bin kein Teufel, du bist ein rechter Teufel, wie bist du so trocken geblie- ben? wo bist du gewesen als es regnete?» Dieser spricht zu ihm also: «Weshalb werde ich es dir sa- gen, welcher Nutzen wird mir daraus entstehen? «Der Teufel sagte ihm also: «Sag es mir und ich werde dir, sieh, dieses Blatt geben». Dieser spricht also: «Und was für ein Talisman ist in ihm, in diesem Blatte?» Der Teufel sagte ihm: «Was du in deinem Herzen wünschest, wird dieses dir zeigen». Darauf

xicän raista Läpbû, dün, izärü Ku äreüdi, uäd ül äldar cintä- fäkodta, ui tüxxäi ämä in ucü rodtü jättämä fos nl bazzâd, ix ficaxta. Ucü izärü {a äldar éüz$ü ärwüsta. K'uddär ärcüdüstü éüngxässütà, aflä äldarü us éüzgmä bauadi, ämä jämä nüxästä Känü; ueü läpbû dr süftär innärdäm fäfäldäxta ämä éüzg ämä mâd Kärägiil ânüxästüstü. Stäi äl- dar rauad ämä usän aflà zägü: «Raeu ma, uärlä däumä Käsüne, aftämäi ta uidär udonül ânüxästi, ui fästä um adäm udi, udon juuldär Kärägül nünnüxästüstü. Uäd äldar läp- büjän aflä zügü: «Acu ämä mollo arKän; ui där âcüdi ämä mollojän zaxta; mollo bäxül sbâdti ämä racüdüstü. Cäune, dün, ämä, mänä, ju ran fändagul xuzarmü gäbaz läui ämä mollo jäxsäi âkurta; läpbüdär uäd süflär fäfildäxta; ämä xugarm molloi jäxsül nüonüxästi. Mollo aflä zägü: «Amän la ma Känon?» Läpbû in aftä zägu: Umän xos zonüs, stäima äldarän xos sKängünä?» Mollo läpbüjän aftä zägü: CAÂmä amän xos is?» Läpbû in aflä zägü: «Dä bäxü sü-

sagte ihm der Knabe, wo er gewesen, und empfng von ihm das Blatt. Als dir der Knabe am Abend kam, da freute sich der Häuptling deshalb, weil ihm ausser diesen Kälbern kein Vieh geblieben, der Hagel das- selbe erschlagen hatte. An diesem Abend aber ent- sandte (verheirathete) der Häuptling seine Tochter. Als gerade die Brautholer kamen, da lief des Häupt- lings Weib zu ihrer Tochter und begann mit hr ein Gespräch; dieser Jüngling wandte aber sein Blatt auf die andere Seite, und die Tochter und die Mutter hafteten an einander. Darauf lief der Häuptling her- vor und spricht so zu seinem Weibe: «Komm schon, sieh, man wartet auch dich», auf diese Weise haf- tete aber auch er an ihnen; darauf hafteten auch die Menschen, die dort waren, alle an einander. Darauf spricht der Häuptling so zu dem Jüngling: «Geh und bringe den Mulla herbeï»; jener ging auch und sprach zu dem Mulla. Der Mulla setzte sich auf sein Pferd und sie zogen ab. Sie reiten dir und, sieh, an einer Stelle unterwegs liegt ein Stück einer Schweins- haut, und der Mulla schlug es mit seiner Peitsche; der Jüngling aber wandte da das Blatt; und die Schweinshaut haftete an der Peitsche des Mulla. Der Mulla spricht also: «Was soll ich aber damit ma- chen?» Der Jüngling spricht so zu ihm: «Wenn du dagegen kein Mittel kennst, welches Mittel kannst du denn dem Häuptling weisen?» Der Mulla spricht so zu dem Jüngling: «Und was giebt es für ein Mittel

209

3än âpakän ämä xugarm âxaugän» Ui bäxü Sügän pa Kud Kodta, aflä ia läpbû süf fäfäldäxta ämä mollo bäxü süzül nünnüxästi; aflämäi läpbû äldarmä ärKodta; ämä il, um cüù adäm udü, udon xudägäi fämardüstü. Stäi, dün, äldar läpbüi däsoü usmä arwüsta. Ueü usdär racüdi, ämä ju ran donü cäun qui, uäd läpbû usän aflä zägü: « ÀÂz acäusünän donü fallag farsmä, ämä uälgommä nüxxussünän, ämä ia, fädgitä Kud nüxxulüy uoi, aflä ju uäliau sKän ämä racu. Ucü us, dün, fädsitä uäliaugomau sKodta ämä Kuddär donü racäieüdi, aftä läpbû ja süf fäfäldäxta, ämä ucü usän fädsitàä, Kud sül xäcüdi, aflämäi bazzâdüstü; ämä acü xu-

dagegen?» Der Jüngling spricht so zu ihm: «Küsse den After deines Pferdes und die Schweinshaut wird abfallen». Als er den After seines Pferdes küsste, da wandte der Jüngling das Blatt um und der Mulla haftete an dem After seines Pferdes; auf diese Weise brachte der Jüngling ihn zum Häuptling, und alle Men- schen, welche da waren, die wollten vor Lachen über ihn sterben. Darauf schickte dir der Häuptling den Jüngling zu einer klugen Frau. Diese kam auch und sie musste an einer Stelle durch das Wasser gehen; da spricht der Jüngling so zum Weibe: «Ich werde auf die gegenüberliegende Seite des Wassers gehen und mich aufs Gesicht legen, du aber hebe deine Säume, damit sie nicht nass werden, hoch auf und geh so». Dieses Weib hob dir ihre Säume recht hoch auf, und wie sie ins Wasser gegangen war, da drehte der Jüngling sein Blatt um, und wie dieses Weib die

1) miniog übersetzt Tsorajew durch «geheime Kraft», sollte es nicht zusammenhängen mit dem ar-

IV. aäré. 3är& udi, ärlä qübülü in udi, éidär sün eäxgün Käf ärxasta, säxi nüddängälKodtoi ämä donüjä fâcäimardüstü; 3ärg, dün, EX. Die Sau.

Es war eine Sau, die hatte drei Ferkel; jemand brachte ihnen gesalzene Fische, daran frassen sie sich zum Bersten voll und vor Durst kamen sie beinahe um; die Sau lief dir zum Wasser und als sie zum

Tome XII.

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

————

210

zänäi äldarmä ärbaKodta; ämä la ucü adäm uuldär artäntä xudägäi fäkKaltoi. Uäd äldar läpbüjäa zaxta: «Dä xorzäx uäd, ämä nün istü xos ssar; éüzg där däu fäuäd». Läpbû- där, dün, süf fäldäxün baidüdta ämä ucü adäm äpbätü suägd- Kodta, mollo ämä däsnü usü jättämä. Udondär ün läxstäKi- nün baidüdtoi ämä in zaxtoi fäinä bäxü uarë äxca; âämä udonü där ta suägdKodta. Ui fästä, dün, ueü läpbûi äldar xädtulgä ordonü sbâdünkodta usimä, birä xäzna sün radta; aflämäi ucü Jläpbû xägarmä ärbafardäg; innä äbonäi innä âbonmä éüngäxsäwtà fäkodta. Card udi, xorz udi; udon ärcüdmä xor- zäi fäcär.

Säume hielt, also blieben sie, und er brachte sie in dieser Gestalt zu dem Häuptling; und die Leute ver- schütteten auch über sie ihre Gedärme vor Lachen. Darauf sprach der Häuptling zum Jüngling: «Deine Güte komme auf uns und finde für uns irgend ein Mittel, auch soll meine Tochter dein sein». Der Knabe aber fing dir an sein Blatt zu wenden und er befreite jene Menschen alle, den Mulla und die kluge Frau ausgenommen. Auch diese fingen an ihn anzu- flehen und sagten ihm je eine Pferdelast Geld zu, und er befreite auch sie. Darauf setzte der Häuptling den Jüngling sammt seinem Weibe auf einen von selbst rollenden Wagen, gab ihnen viel Schätze; auf diese Weise rollte dieser Jüngling nach Hause. Von einem Heute bis zum andern (eine ganze Woche lang) feierte man den Brautschmaus. Es war Leben, es war Gu- tes da; bis zu ihrem Kommen lebet gut (wohl).

menischen maneak, vergl. Zend mina, Geschmeid, Halsband ?

donmä âuad ämä Kudtär don äwgänünmä qawüd kärtai, aftä in biräg äkgoi äbädt. «Xärün dä, 3ärg. «cCü xärüs, ün zaxta uidär,»» sär dur u, färstä käi stü, fästag ärdäg smagkKänü. Ui bästü, Kid dändägtän tärigädkänüs, uäd mün is ärtä qübülü, gurgiag fätKulü xuzädtä ämä dün

Wasserholen sich in ihren Eimer bückte, setzte sich ihr der Wolf auf den Rücken. «Ich fresse dich, Sau». «Was frisst du an mir», sagte ihm dieselbe, «mein Kopf ist Stein, meine Seiten sind Platten, meine hin- tere Hüälfte stinkt. Statt dessen, wenn du dich deiner Zähne erbarmst, habe ich drei Ferkel, georgischen Âpfeln gleich, und ich werde dir einen Schmaus ge- 14

211

Bulletin de l’Académie Empériale

212

oo

udonäi ju ratgünän»». «Uje uädä, qudtag rastl» zä£oä zaxta, biräé, csä nämtäi ta xuinüne —«Sä nämtäi ta: ju Nafon ‘), innä Fidar, äriükgâg la Qarmäg»». «Xorz», zäggä zaxta biräg ämä âuaxta. 3äré, dün, âcüdi, qübültän don banazün- Kodta, duuä duarü fidar säxgädta ämä qübüllimä qarm sxussüdi. Ualünmä biräg där ärbaqärKodta: «O Nafon» ««Âna- fonü däm ättämä nâl âKässünän»», äm ragürta midägäi 5ärê, no$üdär ta biräg bagürta: «O Fidarl» ««Fidar äxgäd duuä duarü»». Âriükgâg xatt biräg bazürta: «O Qarmägl» «Qarm xussün qübültimän» zäggä jäm ragürta gärg. Bi- rägän, dün, fürmästäi jJà sär äruaxta ämä ju ran nüfäldäxti. Dunei xalädtäi udi, udon, dün, ärtaxtüstü, ämä kure- kureKänün baidüdtoi; ui där, dün, dändägtä fäzüqqürKodta,

ben». ««Nun also, dein Geschäft sei gerecht!»» sprach der Wolf, «wie nennt man aber ihre Namen?» «Ihre Namen aber sind: das eine Unzeit, das zweite Fest, das dritte aber Warm». «Gut», sagte der Wolf und liess sie los. Die Sau ging dir davon, gab ihren Fer- keln Wasser zu trinken, verschloss ihre beiden Thü- ren fest und legte sich mit ihren Ferkeln warm nie- der. Zu der Zeit schrie auch der Wolf: «O Unzeit!» ««Zur Unzeit werde ich zu dir nicht hervorkommen»», sprach zu ihm von innen die Sau. Wiederum aber sprach der Wolf: «O Fest!» «est verschlossen sind meine beiden Thüren»». Zum dritten Male sprach der Wolf: «O Warm!» «Warm schlafe ich mit meinen Ferkeln». Also antwortete ihm die Sau. Der Wolf liess vor übergrossem Zorn seinen Kopf hängen und warf sich irgendwo hin. Soviel es Krähen in der Welt gab, eilten dir herbei und fingen an ibn zu hacken; er aber fletschte seine Zähne und fing eine derselben. «Weh deinem Herde», also sprach der

1) Nafon ist verkürzt aus änäafon.

Wirkung des rothen und blauen Lichtstrahles auf das bewegliche Plasma der Brennhaare von Urtica urens, von El. Borscow, Privat- docenten an der St. Wladimir-Universität in Kiew. (Lu le 12 septembre 1867.)

So weit meine Erfahrung reicht, besitzen wir bis jetzt noch keine einzige Angabe über den Einfluss, welchen die schwächer und stärker brechbaren Strah- len des Sonnenspectrums auf das auffallende Phäno- men der Plasmastrômung in den Zellen ausüben. Die

ämä jui racaxsta: «Dodoi, mün, kona», zäggä zaxta bi- räg, mästütä juul déuäi isün». ««Cü findü, ui mün Kän, zäbgä zaxta xalon, Käd fändü, margä Kän, Käd fändü, xärgä baKän, Käd fändü, donü bapbar, bar däxi, ärmäst ju Kurün: xorzäx uäd, ämä mün qurül qüduriü xal ämä gulü éiri ma baftau, ämä büläi ma apbar». « Âgaitma mün däxäüdäg zaxtai, cämäi lärsüs ui» zäggä zaxta biräg, ämä in qurül baftüdta qäduriü xal ämä gulü Gciri, ämä büläi apbärsta. Xalon, dün, apärütlasta, ju stür bälâsü kabuzül àbädti, jäxädäg qädurü nümüg àxärü ämä guläi âxärü, ämä nügqärKänü: «Qaq biräÿ! cäränbon xorz; qaq biräg, tipbütä fäxaul» Biräë där, dün, ueü dukgâg saidü ül är- cüdi, ui fürmästäi nüxxädmäli.

Wolf, «ich lasse meinen Zorn ganz an dir aus». «Was dir beliebt, das thu mir», also sprach die Krähe, «wenn es beliebt, bringe mich um, wenn es beliebt, verzehre mich, wenn es dir beliebt, wirf mich ins Wasser, dein Wille sei mein, nur um eines bitte ich dich: deine Güte geschehe mir, hänge mir nicht an den Hals eine Bohnenschnur und ein Laiïb Brot und wirf mich nicht vom Ufer herab». «« Wunderbar schün ist es, dass du mir selbst gesagt hast, was du fürch- test», also sprach der Wolf und hing ibr eine Boh- nenschour an den Hals und ein Laïb Brot und warf sie vom Ufer herab. Die Krähe entfaltete die Flügel, setzte sich auf den Ast eines grossen Baumes, ver- zehrte selbst die Bohnenkerne und verzehrte das Laib Brot und krächzte: «Krah, Wolf! deine Lebtage heil! Krah, Wolf! mügest du bersten!» Der Wolf aber vor Wuth darüber, dass dieser zweite Betrug über ibn gekommen war, verreckte.

Untersuchungen von Treviranus, Thuret, Nägeli und Cohn haben zum Gegenstande die Wirkung des weissen (und farbigen Cohn) Lichtes auf die Be- wegungen der Zoosporen und Antherozoiden und die neuerdings von Famintzin verôffentlichten ') bezie- hen sich ebenfalls nur auf Massenbewegung freier, grün gefärbter Protoplasmakôürper. Dagegen blieb die Erforschung derjenigen Erscheinungen, welche die

1) Xbücrsie csbra Ha Boxopocan 1 xbKorOprte xpyrie, 6xuskie KB HUMB OPrAHU3MEI. 1866, p. 22 sqq.

213

des Sciences de Saïnt-Pétersbourg.

214

Spectralfarben im beweglichen, farblosen Zellenplasma hervorrufen, noch unberübrt. Die vorliegende Zusam- menstellung ist das Resultat einiger in dieser Rich- tung angestellten Versuche.

Vor Allem halte ich es für nôthig, die von mir bei diesen Versuchen befolgte Untersuchungsmethode kurz zu besprechen.

Bei einer Prüfung der Wirkung äusserer Agentien auf solche Gebilde wie das Zellenplasma, welches we- gen des labilen Gleichgewichtszustandes seiner Mo- lecüle überhaupt allen äusseren Eingriffen sehr leicht unterliegt, ist es von grossem Belange sich zu verge- wissern, dass mit Ausnahme desjenigen Agens, dessen Einwirkung man zu verfolgen beabsichtigt, alle übri- gen äusseren Einflüsse, welche gleiche oder ähnliche Erscheinungen im Gebilde hervorbringen künnen, voll- ständig beseitigt sind. Bei der vorliegenden Unter- suchung lenkte ich alle Aufmerksamkeit auf die Be- seitigung folgender äusseren Umstände, welche stürend auf das Endresultat einwirken konnten:

1) Verletzung der Zelle. Es wurden nur vüllig unbeschädigte, lebenskräftige Haare von Urtica urens der Einwirkung des betreffenden Lichtstrahles unter- worfen. Um in dieser Hinsicht eine vollkommene Ga- rantie zu gewinnen, lüste ich sämmtliche Brennhaare nebst einem Streifchen Epidermis ab. Auf dem Object- träger wurden sie in einem grossen Tropfen Wasser mit den dünnsten Deckgläsern bedeckt und dadurch die etwaige Beschädigung derselben auch durch stär- keren Druck vüllig aufgehoben.

2) Mechanische Erschütterung. Es ist eine von mir schon längst beobachtete Thatsache, dass das Zellenplasma, namentlich das Haargebilde, sogar für leichte Erschütterungen empfindlich ist. Da es sich aber, bei verschiedenen Pflanzen, in dieser Hinsicht sehr verschieden verhält, so überzeugte ich mich im Voraus über die Wirkung der Erschütterung auf das Zellenplasma der Brennhaare von Urtica. Es erwies sich, dass während das Zellenplasma der zarten, drü- sigen Haare, welche bei Æyoscyamus und Datura die Basis der Staubfäden bedecken, schon nach einigen leichten Erschütterungen der Pflanze starr wird und die circulirende Bewegung in demselben erst nach Verlauf von 10 bis 15 Minuten wiederkehrt, das Zellenplasma der Brennhaare von Urtica für die Er- schütterung beinahe vüllig unempfindlich ist und die

rotirende Bewegung desselben ebenso gut wie vor der Erschütterung stattfindet.

3) Wirkung des Wassers. Zu allen Versuchen wurde das reinste, destillirte Wasser gebraucht, wel- ches die Bewegungen des Zellenplasmas durchaus nicht beeinträchtigt, vorausgesetzt, dass es lufthaltig ist und seine Temperatur in denjenigen Grenzen liegt, inner- halb welcher das Protoplasma überhaupt nicht afficirt wird. Es war immer reichlich vorhanden und wäh- rend des Versuches wurden mittelst eines kleinen, capillar ausgezogenen Trichters dem Präparate im- mer neue Tropfen zugeführt. Das Zellenplasma der Ur- tica-Haare bewegte sich in solchem Wasser (und weis- sem Lichte) stundenlang, ohne Unterbrechung *). In dieser Hinsicht kann ich nicht der Behauptung von Zabel beistimmen, nach welchem die Plasmastrôm- chen im destillirten Wasser zerfliessen sollen *). Diese Erscheinung konnte ich nie wahrnehmen. Die Tem- peratur des Wassers schwankte bei meinen Versuchen zwischen 19 und 20,5° C., zeigte also, für die Bewe- gung des Protoplasmas, die günstigsten Verhältnisse ‘).

4) Licht. Da vorliegende Untersuchung speciell die Wirkung des farbigen Lichtes auf die Plasmabe- wegungen zum (Gegenstande hat, so musste besonders dafür gesorgt werden, dass mit Ausnahme der betref- fenden rothen, resp. blauen Lichtstrahlen, alles weisse Licht vollständig abgehalten sei. Dieses erzielte ich, und zwar mit Erfolg, durch Eïinrichtung einer kleinen Dunkelkammer über dem Objecttische des Mikroskops. Diese bestand aus einem viereckigen, unten offenen Kästchen aus dünnem Cartonpapier, welches inwendig mit schwarzem, nicht glänzendem Callico überzogen war und zwar in der Weise, dass von dem Callico- Überzuge nach allen Richtungen noch 1”, Centim. breiter Rand nach Aussen hervorragte. Von aussen wurde das Kästchen an seinem unteren, freien Rande mit zwei Centim. breiten Callico-Streifchen beklebt, die ebenfalls aufanderthalb Centim. frei gelassen wur- den und, etwas nach oben gebogen, den freien Saum des inneren Callico-Überzuges überdeckten. Endlich, um das Eindringen des Lichtes auch an den Winkeln

2) Ebenso verhält sich das Zellenplasma in den Haaren von Eri- geron canadense, Lychnis chalcedonica, Prunella vulgaris, Circaea lu- tetiana, Hyoscyamus, Datura, Cucurbita, Tradescantia crassula und discolor u. a.

8) H. HaGezxs. Pacrurexsnan l'ucrozoris. Ben. I. 1864. p. 27.

4) Die Temperatur des Zimmers war um 1 bis 1,5° Cels. hüher.

14*

215

Bulletin de l’Académie Impériale

216

vôllig zu verhindern, brachte ich daselbst, von innen und aussen, dreieckige Callico - Stücke an. Das Ein- schieben des Linsensystems und eines Theils des Tu- bus des Mikroskops in die Dunkelkammer wurde durch eine, in dem nach oben gekehrten Boden des Kästchens angebrachte, kreisrunde Offnung vermit- telt, deren Durchmesser etwa 1°, Mill. grüsser als derjenige des Tubus war. An ihrer ganzen Peripherie wurde die Offnung mit einem nach innen freien, ra- dial-zerschlitzten Ringe aus doppeltem Callico verse- hen, welcher beim Einschieben des Tubus denselben fast umfasste. Eine Prüfung zeigte, dass in einer sol- chen sorgfältig angefertigten Kammer das Chlorsil- berpapier, wenn man das Licht von unten abhält oder nur rothe Strahlen durchlässt längere Zeit beinahe ohne Veränderung bleibt*). Übrigens, um der Sache noch sicherer zu sein, hielt ich für zweckmässig, an die messingene Fassung, in der sich der Tubus des Mikroskops bewegt, noch einen cylindrischen Sack chenfalls aus schwarzem Callico anzubringen, dessen untere Ränder sich über der Offnung dicht an den Boden der Dunkelkammer anlegten und so die Off- nung vom Eindringen auch des schwächsten Seiten- lichts schützten. Um nun jetzt auch auf die Fläche des Spiegels nur diejenigen Lichtstrahlen fallen zu lassen, mit denen man experimentiren wollte und das seitliche, wenn auch schwache, weisse Licht vüllig abzuhalten, stellte ich das Mikroskop in einen grôüsse- ren, inwendig schwarz angestrichenen Kasten aus Carton, bei dem nur die vordere, den Gefässen mit gefärbten Flüssigkeiten zugekehrte Seite offen blieb. Dasselbe erzielte ich übrigens ebenso gut und viel einfacher durch Umvwickeln des Stativ's mit doppeltem schwarzem Callico, wobei nur die Stelle an der Mi- krometerschraube und die den gefärbten Flüssigkeiten zugekehrte Seite frei gelassen wurden.

Sämmtliche Beobachtungen machte ich constant im Nord-Ost-Lichte, in einer Entfernung von etwa drei Fuss vom Fenster, dem gegenüber, in einiger Entfer- nung, eine weisse Wand vorhanden war. Auf diese Weise war ich im Stande, auch in den späteren Ta- gesstunden ein bedeutend intensives Licht, durch die Reflexion der Strahlen der Süd- und West-Sonne, zu

5) Absolut weiss bleibt es nie: denn selbst in Blechbüchsen wer- den Chlorsilberpapiere (besonders albuminirte) innerhalb 2 bis 3 Tagen gelb oder gelbgrau.

erhalten. Für die Beleuchtung mit rothen Strahlen gebrauchte ich eine concentrirte Lüsung von doppelt- chromsaurem Kali: für die mit blauen eine Lü- sung von schwefelsaurem Kupferoxyd- Ammoniak, welche eine solche Concentration hatte, dass in dem von ihr gegebenen Lichte auch kleinere Objecte mit genügender Schärfe unterschieden werden konnten ‘). Beide Lüsungen wurden in Gefässe mit parallelen Wänden gegossen, in denen sie eine 2, Cent. dicke Schicht bildeten und vor dem Gebrauche mittelst ei- nes analysirenden Prisma’s auf ihre Durchgänglichkeit für Spectralfarben geprüft. Es erwies sich, dass die Lüsung des doppelt-chromsauren Kali grüsstentheils Roth und Orange, dann Gelb und sehr wenig von dem nächst liegenden Grün durchliess; die von schwefel- saurem Kupferoxyd-Ammoniak aber nur für Blau, In- digo und Violett und dem, dem Blau dicht angren- zenden Grün durchgänglich war. Beim Gebrauch der ersteren Lüsung tritt somit in Wirkung nur die min- der brechbare, bei Anwendung der zweiten, die stär- ker brechbare Hälfte des Sonnenspectrums.

Der bewegliche Theil des Zellenplasmas in den Brennhaaren von Urtica urens, das Innenplasma (Endo- plasma), stellt unter normalen Verhältnissen einen ziemlich dicken Wandbeleg dar, welcher von Aussen her von dem unbeweglichen Theile (dem Exoplasma der Hautschicht Pringsh.) wie von einem Sacke vollkommen umschlossen ist (Fig. 1). Die Schicht des Exoplasmas ist ungemein dünn, üfters kaum bemerk- bar, lässt sich jedoch, bei Anwendung stärkerer Ver- grüsserungen ‘) und guter Beleuchtung als eine dünne, mehr durchsichtige, kürnchenarme oder kürnchenlose Häülle wahrnehmen. Die Bewegung des Endoplasmas ist keine einfache, gleichformige. Der Hauptsache nach ist es eine regelmässige Rotation im Umkreise des

6) Es ist rathsam, der letzteren Lüsung etwas Ammonflüssigkeit zuzusetzen und das Gefäss wohl zu verkorken. Sonst wird die Lü- sung trübe, setzt einen grünlich-blauen Niederschlag ab, und jede Beobachtung wird nun unmôglich, weil das Licht zu schwach ist. Selbst bei vollkommen klarer Lüsung ist die mikroskopische Beob- achtung im blauen Lichte dadurch erschwert, dass sämmtliche Con- touren ungemein weich, wie verwischt erscheinen. Im rothen Lichte dagegen treten alle Details des Objectes äusserst scharf hervor.

7) Ich machte meine Beobachtungen mit dem Ocular 3 und Sy- stem 7, ferner mit demselben Oculare und dem Immersionssystem 9 von Hartnack.

217

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

218

Zellenlumens, wobei die Rich- tung der Bewegungen der hya- linen Grundmasse und der in der- selben eingeschlossenen Kürn- chenmasse entweder dieselbe ist, oder die Kürnchen bewegen sich im entgegengesetzten Sinne und zwar häufig in einem und demselben Strange der Grund- masse. Ausser dieser regelmäs- sigen Rotation bilden sich aber auch ôfters enge, meist einfache Plasmastrômungen, welche vom Wandbelege der einen Seite zu dem der anderen die Zelle in schiefer Richtung durchsetzen. Die auffallendste Erscheinung ist aber die Bildung von Brücken. Es sind breite, flache Plasma- stränge, welche, senkrecht zur Längsaxe der Zelle, von einer Wand zur anderen verlaufen und eine ganz eigenthümliche Com- bination der Bewegungen zei- gen (Fig. 1,b). Während näm- lich ein solcher brückenartiger Plasmastrang sich «in toto» in der Richtung desjenigen Wand- stromes bewegt, aus dem er als breite Wulst entstanden ist (in unserer Figur also sammt dem linken Wandstrome gegen die Basis der Zelle), zeigt seine ei- gene Grundmasse eine zu die- ser Richtung senkrechte Bewe- gung und die eingeschlossenen Kôrnchen bilden mehrere Strü- me, deren Richtung bald mit der der Grundmasse des Stran- ges gleichlaufend, bald dersel- ben entgegengesetzt ist. Solcher Kürnchenstrôme kann ein brei- ter Plasmastrang sehr viele ent- halten. Diese Plasmabrücken sind nur mit demjenigen Wandplasma innig verschmol- zen, aus dem sie, in Form von sich rasch vergrüssern-

den Wülsten, entstehen; mit dem Wandplasma der ent- gegengesetzten Seite stehen sie nur in lockerer Ver- bindung, scheinbar mittelst der oberflächlichen Schicht der Grundmasse *). So lange sich nun diese oberfläch- liche Schicht in derselben Richtung bewegt, in welcher auch die Bewegung der Grundmasse desjenigen Wand- plasmas geschieht, aus dem die Brücke hervorging, folgt auch die Brücke derselben Bewegung. Sobald aber in der ersteren Bewegungen (Contractionen) im entgegengesetzten Sinne entstehen, wird der brücken- artige Plasmastrang losgerissen, ballt sich zusammen und folgt, in Form eines grüsseren, entweder eine Zeit lang bleibenden, oder alsbald verschwindenden Klumpens der Bewegung des Wandplasmas, aus dem er entstand.

Sowohl in den brückenartigen Plasmasträngen, als auch überhaupt in dem Wandplasma und den die Zelle quer durchsetzenden, kleinen Plasmastrômchen ist die Geschwindigkeit der Beweguug der oberfläch- lichen hyalinen Grundmasse und der eingeschlossenen Kôürnchen eine ungleiche. Die hyaline Grundmasse be- wegt sich durchweg langsamer als die Kürnchenmasse, wobei die Geschwindigkeiten beider zuweilen sich wie 1 : 4 verhalten künnen”). Beachten wir diese Geschwin- digkeitsdifferenz beider Massen, ferner die häufig ent- gegengesetzte Richtung der Bewegung in der einen oder in der anderen, so künnen wir nicht umhin zu dem Schlusse zu kommen, den schon Brücke ") ausge- sprochen hat, dass nämlich im beweglichen Plasma zWeierlei Bewegungen zu unterscheiden sind. Diesel- ben Erscheinungen und noch andere, deren ich hier nicht zu erwähnen gedenke, führen aber auch noch zu einer anderen Schlussfolgerung, dass nämlich die Grund- und die Kürnchensubstanz des beweglichen Plasmas zwei, gewissermaassen von einander unab- hängige Massen sind, in denen die Anordnung der

8) Die Bildung solcher Brücken beobachtete ich üfters z. B. auch im circulirenden Plasma der Haare von Hyoscyamus. Hier sind es aber nur schwache Stränge, welche von einem Plasmastrome zum anderen gehen.

9) So bewegt sich in den Haaren von Æyoscyamus die Grund- masse der Plasmastrôme mit einer Geschwindigkeit von 0,001 Mill. die Kürnchenmasse dagegen mit einer Geschwindigkeit von 0,004— 0,005 Mill. in einer Secunde. Bei Datura (Haare) ist die Geschwin- digkeit der ersteren 0,002—0,003 Mill, die der zweiten 0,007 Mill. in einer Secunde.

10) Brücke, Sitzungsberichte der Wiener Akad. XLIV. 1861. M. Schultze erklärt diese Behauptung von Brücke für unrichtig, wie ich glaube, mit Unrecht.

219

organisirten Molecüle und die Beziehungen derselben zu einander gewiss nicht dieselben sind.

Ich gehe nun zur Wirkung der rothen und blauen Strahlen auf die eben besprochenen Bewegungen des Zellenplasmas und zur Schilderung der dabei stattfin- denden Erscheinungen, nebst ihren Endresultaten über.

A. Wirkung des rothen Lichtstrahles,

Lässt man rothes Licht, von gehôüriger Intensität, auf das sich lebhaft bewegende Zellenplasma der Brennhaare von Urtica urens einwirken, so bemerkt man, bisweilen schon nach wenigen (5—10) Minuten, oder auch nach längerer Zeit, eine augenfillrge Ver- langsamung der Bewegung. Zugleich tritt noch eine andere Erscheinung ein. Der Plasmabeleg, welcher, un- ter normalen Verhältnissen, an den Zellwänden eine ziemlich dicke, gleichmässige Schicht bildet, wird in dem, im Sehfelde des Mikroskopsliegenden, von inten- siven rothen Strahlen getroffenen Abschnitte der Haar- zelle viel dünner. Ist der mittlere Theil der Zelle be- obachtet worden, so sammelt sich die Hauptmasse des Plasmas an der ausserhalb des Sehfeldes liegen- den Basis oder Spitze derselben. Trifft der rothe Strahl dagegen das eine oder das andere Ende, so zieht sich beinahe die ganze Masse in entgegenge- setzter Richtung zusammen und sammelt sich grüss- tentheils in der Mitte der Zelle.

Bewegt man nun vorsichtig das Präparat in der Weise, dass bald dieser, bald jener Theil der Haar- zelle eine Zeit lang der unmittelbaren Wirkung des rothen Strahles ausgesetzt ist, und dass also die ganze Masse des Plasmas dem directen Einflusse desselben nicht entgeht, so finden noch folgende Erscheinun- gen statt. Die gleichmässige Vertheïlung des, nun sehr dünn gewordenen, Wandbelegs wird, bei immer abneh- mender Geschwindigkeit der Bewegung, gestürt. Es bil- den sich, bald allmählich, bald äusserst schnell, dün- ne, zugespitzte, oder dickere, keulenformige Fortsätze nach innen, welche bald darauf entweder sich schnell wieder in die Plasmamasse, aus der sie entstanden, zurückziehen, oder auch bleiben, dabei ihre Form während einiger Augenblicke verändern und endlich starr werden.

Mit dem Erscheinen dieser Fortsätze hôrt in der Regel die zusammenziehende Bewegung der hyalinen Grundmasse gänzlich auf. Es bleiben nun noch schwa-

Bulletin de l’Académie Hmpériale

220

che Bewegungen der Kürnchensubstanz, welche aber nicht mehr den Charakter einer regelmässigen Strü- mung besitzen, sondern in einem Zittern und Hin- und Herwackeln der Kôrnchen bestehen. Nach 5—10 Minuten haben auch diese Bewegungen ein Ende, und das ganze Endoplasma wird vollkommen starr.

Fäbrt man nun mit der rothen Beleuchtung fort, so bemerkt man, dass in der ganzen Haarzelle die Plasmamasse durch langsames Zusammenziehen in mehrere Portionen zerfällt. Diese haben entweder die Form von kleinen oder grüsseren Kugeln (Fig. 2, 3, 4, k. k.), oder von unregelmässigen, cylindrischen

_erwpl

Säcken. Sowohl diese letzteren, als auch die kugelige Masse sind üfter durch äusserst dünne Stränge der hyalinen Grundsubstanz mit einander verbunden. (Fig. 2 und 4). Stellt man das Mikroskop genau im opti- schen Längsschnitt solcher neben einander liegender Säcke, so erscheint die an den beiden einander zu-

221

des Sciences de Saïint-Pétersbourg.

222

gekehrten Enden derselben angehäufte Endoplasma- masse gewühnlich in Form von Mondsegmenten (Fig. 2 und 4, x. x), welche mehrere Vacuolen (Fig. 2, 3 und 4 ®. v.) enthalten. Das Lumen der Säcke ist da- bei mit grüsseren und kleineren Kugeln erfüllt (Fig. 2, k. k.). Die sackfôrmigen Massen liegen noch eine gewisse Zeit lang dicht dem Exoplasma an. Alsbald ziehen sie sich aber in einer der Zellenaxe senkrech- ten Richtung zusammen, trennen sich vom Exoplasma und erscheinen nun als kürnige, mitten im Zellenlu- men liegende Schläuche (Fig. 3). Die Kugeln lüsen sich dabeïi ôüfters in formlose, kôürnige Massen auf. Sogleich nach dem Zerfallen des Endoplasmas in kugelige und cylindrische Massen und dem Zusam- menziehen derselben gegen die Mitte des Zellenlu- mens erfolgt auch das Ablüsen des Exoplasmas von der Zellwand und wird dann dasselbe als dünner, hyaliner Saum leicht bemerkbar. (Fig. 3 und 4 expl.) Das Endresultat einer anhaltenden Enwirkung ro- ther Strahlen auf das Zellenplasma der Brennhaare von Urtica urens besteht somit in einer gänzlichen Storung des Molecularbaues und, in Folge dessen, in einer vollständigen Aufhebung sämmtlicher phy- siologischer Funktionen desselben. Innerhalb wel- ches Zeitraumes sowohl diese Molecularzerstrung des Zellenplasmas, als auch das Auftreten einzelner Erscheinungen, welche ïhr vorangehen, stattfinden, scheint hauptsächlich von der Intensität des Lichtes und seiner physikalischen Wirkung, welche zu ver- schiedenen Tagesstunden nicht gleich ausfällt, abhän- gig zu sein. Indessen, auch unter scheinbar ganz glei- chen Bedingungen, verhalten sich alle Brennhaare nicht in derselben Weise. Während nämlich das Zellen- plasma einiger von ihnen bei der Einwirkung des ro- then Lichtes sehr bald die Zeichen einer tief eingrei- fenden Zerstôrung zeigt, geschieht bei anderen das Auftreten derselben Erscheinungen erst viel später. Das Eintreten einer bedeutenden Verlangsamung der Bewegung wird so ziemlich bei allen in den ersten 5—12 Minuten bemerkbar; aber die darauf folgenden Erscheinungen der Moleculardesorganisation nehmen bei einigen einen kürzeren, bei anderen einen viel längeren Zeitraum in Anspruch. Wabhrscheinlich ist dieser Unterschied im Verhalten des Zellenplasmas zum rothen Strahle vom Alter der Zelle abhängig, denn auch andere Agentien wirken mit ungleicher

Geschwindigkeit auf jüngere und mehr entwickelte Plasmagebilde ein, wobei in der Regel die jüngeren der Wirkung derselben schneller unterliegen als die älteren. Hier gebe ich zwei Beobachtungsreihen, wel- che diese Geschwindigkeitsunterschiede in der Wir- kung rother Strahlen auf die Plasmamasse zweier Brennhaare deutlich hervortreten lassen.

18

Temperatur des Zimmers: + 21,5° Cels. Temperatur des Wassers: + 20° Cels. Nord-Ost-Licht. Sonniger Tag.

Lebhafte Bewegung des Endoplasmas im weissen Lichte.

Rothes Licht.

Verlangsamung der Bewegung. Die frühere

Anordnung des Plasmas als Wandbeleg wird

gestürt; dasselbe sammelt sich besonders an

beiden Enden der Zelle.

. Bewegung sehr schwach. Bald darauf hürt die Grundmasse auf sich zusammenzuzie- hen. Einzelne Küôrnchenstrôme sind noch vorhanden.

. Grundmasse starr. Die Kürnchen zeigen

our zitternde Bewegungen, aber keine

Stromung. Es bilden sich Fortsätze nach

innen.

Die ganze Masse des Endoplasmas ist starr

und zerfällt in kugelige und cylindrische

Portionen. Es bilden sich zahlreiche Va-

cuolen.

Es erfolgt eine Trennung des Endoplasmas

vom Exoplasma; ersteres zieht sich dabei

stark zusammen. Bald darauf folgt auch die Ablüsung des Exoplasmas von der Zell- wand.

40 Minuten.

10. Juni.

8h 39°.

BPISSE

QE

17

IL.

11. Juni. Temperatur des Zimmers: + 21° Cels. Temperatur des Wassers: + 19,75 Cels. Nord-Ost-Licht. Sonniger Tag.

84 Lebhafte Bewegung im weissen Lichte. Rothes Licht. 8" 19. Verlangsamung der Bewegung. Dünnwer-

den des Wandbelegs und Ansammlung der

223 Bulletin de l’Académie Impériale 224 Sn nn

Plasmamassen an den beiden Enden der | mächtigere Schicht, als in dem übrigen. Demnach

Zelle. scheint es, dass die blauen Strahlen eine anziehende 8* 30’. Derselbe Zustand. Wirkung auf die bewegliche Plasmamasse ausüben. 9! Âusserst schwache Bewegung. Die Bewegung im blauen Lichte dauert stundenlang

9% 15’. Die Grundmasse zeigt keine zusammenzie- henden Bewegungen mehr; die Kôrnchen bilden keine Strôme, sondern zeigen unre- gelmässige Bewegungen. Einzelne Kürn- chenstrôme sind nur in denjenigen kleinen Plasmasträngen bemerkbar, welche die Zelle quer durchsetzen.

9* 35". Die zitternde Bewegung der Kôürnchen dauert fort, ist aber schwächer. Grund- masse starr. Es bilden sich hie und da Fortsätze nach innen.

9% 45'. Das ganze Zellenplasma zerfällt in Kugeln und cylindrische Abschnitte. Die Kôrnchen zeigen keine Bewegungen. Vocuolenbil- dung.

10 Das Endoplasma trennt sich durch stärkere Contraction vom Exoplasma. Das letztere lôst sich ab von der Zellwand.

2 Stunden.

und ist sehr regelmässig. Beim Übergange aus dem blauen in’s grelle weisse Licht erleidet das Zellen- plasma durchaus keine Veränderungen und ein Zer- fallen in Kugeln und Schollen, sowie das schliessliche Ablôsen der Plasmamasse von der Cellulosewand nicht bemerkt worden ist. Wird aber, nach der Einwir- kung des blauen Lichtes, das Zellenplasma abermals der des rothen Strahles unterworfen, so finden wie- derum die schon beschriebenen Erscheinungen der Moleculardesorganisation statt und binnen kurzer Zeit (in einem Falle nach 45 Minuten) ist das Plasma vollständig abgestorben.

Fassen wir nun die gewonnenen Resultate kurz zu- sammen, so kônnen dieselben folgendermaassen for- mulirt werden:

1) Eine anhaltende Wirkung des rothen Strahles auf das Zellenplasma der Brennhaare von Urtica urens erzeugt in demselben eine tief eingreifende Stü- rung der Molecularstructur, deren erstes Kennzeïchen eine Verlangsamung der Bewegung und das Endre- sultat eine vollständige Desorganisation der Plasma- masse und ein Absterben der Zelle ist.

2) Der Grundcharakter der dabei stattfindenden Molecularmetamorphose besteht, wie es scheint, in einer bedeutenden Verdichtung der ganzen Plasma- masse, in dem Übergange ihrer Molecüle aus dem la- bilen Gleichgewichtszustande in eine stabile Aufhe- bung der Bewegung; Bildung von Kugeln und Va- cuolen sind die äusseren Symptome einer derartigen Veränderung.

3) Die Geschwindigkeit, mit welcher im Zellen- plasma alle stattfindenden Veränderungen auf einan- der folgen, scheint, ceteris paribus, hauptsächlich vom Alter der Zelle abhängig zu sein.

Ist einmal die Bewegung bis aufs Minimum redu- cirt worden, d. h. wenn in der Grundsubstanz keine Contractionen mebr stattfinden und die Kürnchen bloss eine zitternde Bewegung zeigen, so geschieht die weitere Molecularstürung in der Plasmamasse nicht nur im rothen Lichtstrahle, sondern auch dann, wenn man nach dem rothen weisses oder blaues Licht auf dieselbe einwirken lässt. Dabeï geht das Zellenplasma um so schneller zu Grunde, je intensiver und greller das Licht ist.

B. Die Wirkung des blauen Lichtstrahles

ist eine jener des rothen entgegengesetzte und zwar nicht nur aus dem Grunde, weil die Bewegung des Zellenplasmas durch das blaue Licht erhalten und die Molecularstructur desselben nicht beeinträchtigt wird, sondern auch deswegen, weil das Anhäufen der Plasmamassen hauptsächlich in den vom blauen Lichte erhellten Theilen der Zelle geschieht. Die Anord- nung, als Wandplasma, bleibt unverändert, wie im gewühnlichen Lichte, nur bildet dieser Wandbeleg in den vom Blau am meisten erhellten Stellen eine viel

4) Sämmtliche, durch die Einwirkung des rothen Strahles, in dem Zellenplasma hervorgerufenen Er- scheinungen sind denen bei der Wirkung inducirter electrischer Strôme auftretenden sehr ähnlich.

5) Gleich den feinen, beweglichen Protoplasmage- bilden, wie Æuglena, Diselmis, vielen Zoosporen und

225

Antherozoiden, scheint auch das Zellenplasma sich der Einwirkung des rothen Strahles zu entziehen.

6) Dagegen strômt es den blauen Strahlen, welche die Bewegung und die Molecularanordnung desselben nicht beeinträchtigen, entgegen, und es ist also die Wirkung dieser Strahlen auf das Zellenplasma eine in äbhnlicher Weise anziehende, wie auf freie, beweg- liche Protoplasmamassen.

7) Die vorhergehende Beleuchtung mit blauen Strah- len schützt zwar das Zellenplasma gegen die nachfol- gende, plôtzlich eintretende Wirkung des grellen, ge- mischten Lichtes, ist aber nicht im Stande, die zer- stôrende Wirkung der nachfolgenden Beleuchtung mit rothen Strahlen zu verhindern.

Kalaidowka. Im Juni 1867.

Diagnoses breves plantarum novarum Japoniae et Mandshuriae, scripsit C. J. Maximowicez. (Lu le 12 septembre 1867.)

DECAS SEXTA.

Acer capillipes. Arboreum glabrum; foliis ambitu ova- tis caudato-acuminatis, circumcirca subduplicato-ser- ratis, serraturis mucronulatis, subtus ad venarum axillas membranula acuminata adauctis, infra medium trilo- bis, vel saepe, ob lobulos duos basales, quinquelobis, lobis majoribus patentibus acuminatis; racemis ter- minalibus coëtaneis elongatis, multifloris, inferne interdum subcompositis, folio parum brevioribus; pe- dicellis tenuibus florem majusculum triplo saltem su- perantibus; sepalis spathulatis, petalis longioribus obo- vatis stamina aequantibus, fructibus.

Hab. in silvis subalpinis et alpibus altioribus pro- vinciae Senano insulae Nippon.

A speciebus affinibus flore longissime pedicellato distinctissimum, ad seriem À. rufinervis S. Z., À. teg- mentosi Maxim.,et À. pensylvanici L. pertinens, fo- lis angustioribus lobisque patentibus neque porrectis etiam sterile cognoscendum, cum À. {egmentoso gla- britie membranulisque paginae inferioris foliorum ma- gis conveniens. E descriptione tantum simile videtur À. cralaegifolio S. Z., sed in hoc folia saepe integra, forma, lobis et serraturis diversissima.

Acer cireumlobatum, Petiolis, foliis subtus, pedunculis samarisque villosis; petiolis lamina brevioribus; foliis

rotundatis vel rotundato-ovalibus profunde cordatis, Tome XII.

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

226

lobis saepissime sese invicem obtegentibus, 11-nerviis, subtus prominenti-nervosis et reticulatis, ad axillas rufobarbatis, ad laminam demum interdum subglabra- tis, 9—11-lobis, lobis basalibus minutis, lateralibus sensim majoribus, omnibus undique patentibus del- toideis acuminatis, terminali deltoideoovato longe acu- minato; corymbo terminali foliis duobus fuito, flori- fero...… , fructifero dimidium folium aequante, oligo- (ad 6-) carpo, pedicellis pedunculo parum brevioribus subpollicaribus; samaris subhorizontali-patentibus, lo- culis subglobosis elevato-nervosis dense alisque triplo longioribus semiobovatis extus recte marginatis villosis.

In silvis subalpinis prov. Senano ins. Nippon.

Nulli e notis arctius affine, solo À. glabro Torr., (e specimine a Dr. Lyall collecto deflorato), subsimile, sed hoc, praeter glabritiem, diflert foliis 3—5-lobis sub-5-nerviis, basi subtruncatis vel leviter cordatis, serraturis minoribus densioribus, corymbis ad basin ramuli folüferi lateralibus, alis samararum (juveni- lium) arcuato-erectis, ex Nuttall sylv. amer. IT, 33. erectis subobovatis brevibus, illis À. campestris L. aequimagnis vel brevioribus, sed latioribus et obtu- sioribus, ex Torrey et Gray (fl. Am. bor.) vero di- vergentibus.

Acer argutum, Dioicum; ramulis petiolisque crispe pu- berulis; foliis juvenilibus subtus subincanis, adultis praesertim secus venas densius pilosis, ambitu rotun- datis obovato-rotundatisve basi cordatis, quinquelobis (3—7-lobis), lobis tribus terminalibus multo majori- bus deltoideo-ovatis caudato-acuminatis, lateralibus 2 (—4) minoribus, rarius subdeficientibus, subhorizon- talibus, omnibus argute duplicato-serratis, subtus ele- vato-costatis, costis secus nervum medium subdenis, et reticulato-venosis; gemmis floriferis ad basin ramuli foliosi; floribus subcoëtaneis fascicula- to-racemosis, basi tegmentis amplis rotundato-obovatis obvallatis, pedicellis elongatis basi filiformi bracteatis; sepalis obovatis petalisque brevioribus angustioribus erectis, masçuli staminibus, feminei stigmatibus arcu- ato-patentibus elongatis exsertis; pedunculo fruc- tifero elongato; samaris subhorizontaliter divarica- tis, loculo ovato planocompresso, profunde reticulato- exsculpto, commissura loculo aequilata, alis obovato-oblongis loculum plus duplo superantibus.

Hab. in provinciis Senano et Nambu, in silvis sub- alpinis.

15

227

Bulletin de l'Académie Impériale

225

A. glabro Torr. et Gray. valde affine, sed hoc, praeter glabritiem et fructus supra descriptos, fo- lis subtus haud reticulatis costisque subsenis statim distinguitur. Adest affinitas remota etiam cum À. caudato Wall.

Acer barbinerve, Fruticosum, dioicum; cortice laevi fusco; ramulis petiolisque crispe puberulis; foliis te- nuiter membranaceis, subtus pilis ad venas densio- ribus subincanis et ad axillas dense villoso-barbatis, costis secus nervum medium subsenis debilibus arcua- tis reticuloque inconspicuo haud prominentibus, am- bitu ovatis rotundatisve basi cordatis vel truncatis, 3—5-lobis, grosse pauciuscule duplicatim dentato- serratis, lobis terminalibus multo majoribus ovatis longe acuminatis, basalibus parvis vel subdeficientibus; gemmis floriferis secus ramulos lateralibus et ad basin ramuli foliiferi terminalibus; flori- bus subcoëtaneis basi tegmentis obovatis fultis fas- ciculato-racemosis; pedicellis elongatis, basi filifor- mi-bracteatis; sepalis spathulatis apice barbatis pe- talisque aequilongis obovatis erectis, masculi stami- nibus longe exsertis, stigmatibus amplis arcuatopaten- tibus;, pedunculo fructifero elongato; samaris sub angulo obtuso divergentibus, loculo obovato pla- no-compresso profunde reticulato-exsculpto, commis- sura loculo angustiore; alis oblongis vel spathu- lato-oblongis loculum triplo superantibus.

Hab. in jugo litorali Mandshuriae, a 44° meridiem versus, v. gr. in silvis ad fontes fl. Li-Fudin ad Usuri superiorem, ad fl. Wai-Fudin aestuarii St. Olgae, in sinu May et in portu Deans-Dundas sinus Victoriae.

Praecedenti simile, sed foliorum nervatione jam sterile tute discernendum. Foliorum compage nervis- que magis quam praecedens ad À. glabrum T. et Gr. accedit, sed serraturis et forma foliorum magis ab illo differt quam À. argutum.

Utraque species affinis videtur A. pycnantho C. Koch in Miq. Ann. Mus. Lugd. bat. I, 251; Miq. ibid. II. 89., mihi tantum e descriptione nimis brevi cognito. At huic flores praecoces ruberrimi (in nos- tris lutescentes), et pedicelli sub flore bracteati tri- buuntur, et comparatur species cum À. rubro L., a nostris longe remoto.

Acer nikoënse, Arboreum, dioicum; ramulis novellis pedunculis petiolis foliisque subtus ad venas dense villoso-hirtis; foliis ternatis, foliolo medio elliptico

vel obovato breviter acuminato, basi cuneata integro ceterum grosse obtuse serrato, longius petiolulato, la- teralibus obliquis subconsimilibus ovatisve brevissime petiolulatis; omnibus valide costatis reticulatis, reti- culoutrinqne praesertim subtus prominente, pagina su- periore praeter nervos breviter puberulos glabra, in- feriore ubique pube fulvescente praesertim secus ve- nas densius villoso-hirta; umbellis terminalibus coëtaneis brevissime pedunculatis subtrifloris, flori- bus nutantibus, sepalis rotundatoovalibus unguiculatis petalisque obovatis quinis, staminibus floris masculi exsertis, feminei inclusis castratis; samaris pendulis basi rufovillosis, loculis horizontaliter patentibus crassissime lignosis oblique oviformibus, in alas late obovatas apice rotundatas, a basi erecta incurvas con- niventes vel totas erectas, loculum quadruplo supe- rantes abeuntibus. Negundo? nikoënse Miq. 1. c. IT. 90. (specimini sterili superstructum).

In silvis subalpinis montium interiorum insularum Kiusiu et Nippon.

Species peculiaris, typum proprium efformans.

Acer mandshurieum, Arboreum, dioicum, glabrum, ra- mulis creberrimis tortuosis cortice cinereo scabro; foliis longe petiolatis, petiolo laminam superante, ternatis, novellis subtus ad costam villo tenui par- co fugaci adspersis, adultis glaberrimis subtus glau- cis, omnibus terminali longius petiolulatis, lanceola- tis acuminatis, supra basin integram, in terminali cu- neatam, in lateralibus obliquam rotundatam, inaequa- liter obtuse serratis; corymbis terminalibus pauci- floris; floribus...…. ; Samaris angulo obtuso patenti- bus loculo globoso-oviformi subreticulato-nervoso te- nue lignoso, biloculari! axin versus pervio! disper- mo; alis quintuplo longioribus rectis semiobovatis basi angustatis.

Hab. variis locis Mandshuriae austro-orientalis, in silvis. à

Stirps ob fructus conformationem quam maxime memorabilis, typum iterum a ceteris remotum prae- bens, floribus adhuc ignotis.

Nota. Acera hisce proposita, cum multis aliis japo- nicis hucusque imperfecte cognitis, mox in disser- tatione propria fusius describere iconibasque illus- trare in mente est.

Valeriana flaccidissima, Herbacea humilis flaccida gla- bra, stolonibus longissimis ditissima; foliis tenuiter

229

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

230

membranaceis, radicalibus numerosis modice petiolatis cordatis ovatis rotundatisve integris vel crenato ser- ratis, rarissime lobulis 2 lateralibus accessoriis auctis, caulinorum paribus 1—3, 1—4-jugis, jugo infimo cauli approximato, saepissime 1-jugis, lobis ovatis ro- tundatis obtusis acuminatisve crenato-serratis subinte- grisve; corymbo densifloro demum sparsifioro vel ver- ticillatim effuso; bracteis linearibus ipsa basi ciliatis; floribus minutis hermaphroditis, genitalibus inclusis, corollae tubo brevi, limbo 5-lobo; fructu elongato-ovato glabro.

Hab. in graminosis silvarum humidis et secus ri- vulos umbrosos, in interioribus alpibus ins. Kiusiu, et cirea Yokohamam ins. Nippon, loco ultimo sat fre- quens,.

Floribus fructibusque minutis, foliis radicalibus numerosis convenit cum V. Hardwickii Wall., sed statura humili, praesentia stolonum, genitalibus in- clusis, et fructu longiore diversa. Indole foliorum V. tripteridi Li. vel V. sisymbrüfoliae Vabhl. appro- pinquans, ab utraque vero floribus hermaphroditis duplo vel triplo minoribus, genitalibus inclusis, et fructu duplo vel triplo minore abhorrens. À V. sam- bucifolia Mik. (varietate V. officinalis L.), quae etiam in Japonia crescit, sed nostrae numquam consociata est, etiam parvitate florum et fructuum et genitalibus inclusis, praeter habitum, diversa.

Abies diversifolia, (Tsuga) Arbor trunco elato, coma anguste conica elongata, ramis ramulisque virgatis; foliis subdistichis planis margine integerrimis, subtus utrinque juxta nervum fasciis stomatum circiter 10 albidis notatis, linearibus, brevissime petiolatis, ter- minalibus cujusvis ramuli (et plurimis in planta juve- nili) apicem versus paullo attenuatis, ipso apice acu- tis, reliquis multo numerosioribus ubique aequilatis apice emarginatis; amentis staminigeris arcte sessilibus cylindrico-globosis, femineis inter ra- menta immersis substipitatis erectis; strobili subsessilis reflexi vel nutantis anguste elliptici acuti bracteis brevissimis inclusis truncatis emargi- natis, squamis e basi late cuneata orbicularibus vel ro- tundato-obovatis truncatis vel leviter emarginatis.

Hab. in insulae Nippon alpinis, uti videtnr haud rara, in Kiusiu m. Naga-yama rarissima.

Intermedia inter À. Tsuga $S. Z. et À. canadensem Mx., habitu plantae americanae accedens, quae etiam

folia apicem ramulorum versus acutiora, et strobili squamas nostrae consimiles habet, sed ab hac nostra planta dignoscitur foliis margine integerrimis emargi- natis, strobili forma, ab utraque specie amentis mas- culis sessilibus, ab À. Tsuga insuper habitu diversis- simo et Constantissimo, jam in plantulis biennibus semper manifesto, fronde subtus pallidiore nec ar- gentea, foliis difformibus majoribus, coni ejusque squa- marum forma. Definiatur igitur

Abies Tsuga S. Z. Arbor mediocris trunco brevis- simo, coma globosa densissima ramosissima, ramulis approximatis patulis; foliis subdistichis planis, mar- gine integerrimis, subtus utrinque juxta nervum fa- sciis stomatum argenteis circiter 8 notatis, linearibus, omnibus conformibus, apice obtuso emarginatis; amen- tis staminigeris stipitatis globoso-cylindricis, fe- mineis nutantibus exserte pedunculatis; strobili erecti vel nutantis distincte pedunculati rotundato- elliptici obtusi bracteis brevissimis inclusis truncatis bifidis, squamis late orbicularibus truncatis vel leviter emarginatis vulgo stipitatis. Habitu humiliore dif- fuso appropinquat À. Brunonianae Lindl., quae di- versa est foliis serrulatis apice integris, strobili ovati squamis sessilibus.

Juniperus nipponica, (Oxycedrus) fruticosa decumbens (2), densissime frondosa et ramosa, ramis firmis, ramu- lorum apicibus nutantibus, fronde luteoviridi; folio- rum verticillis approximatis, pulvinis valde tumentibus; foliis dense imbricatis ternis naviculari-incurvis lan- ceolatis exacte triquetris pungenti-acutis, superne sulco angustissimo profundo subinconspicuo per- cursis et in sulei fundo linea angusta pallidiore nota- tis, subtus obtuse carinatis; galbulis monospermis globosis folium superantibus laevibus atris caesio- pruinosis, magnitudine pisi minoris; seminibus ovoi- deis, foveis dorsalibus resiniferis ovalibus acute marginatis, ad mediam seminis altitudinem pro- tensis.

In alpibus prov. Nambu Nippon borealis.

A simillima J. nana W. statim foliorum sulco pro- fundo, galbulisque apice haud tuberculatis distincta. Habet sese ad J. rigidam $. et Z. fere ut J. nana W. ad J. communem L., ita ut forsan tantum var. alpina prioris. Sed hucusque transitus nulli observati, folia- que videntur nimis diversa.

Juniperus litoralis, (Oxycedrus) fruticosa prostrata

15*

231

longe prorepens, cortice fusco, ramis crassis firmis longissimis ramulisque dense aggregatis apice erectis, fronde densissima glaucoviridi, verticillis foliorum ap- proximatis, pulvinis alternis tumentibus, foliis ternis dense imbricatis erectislinearisubulatisrectis,sensim in mucronem pungentem acuminatis, superne canali- culatis et in fundo sulci linea alba unica notatis, subtus convexis, galbulis trispermis folio brevio- ribus globosis laevibus coeruleis eximie caesio-prui- nosis opacis, mole pisi majoribus; seminibus triquetro- ovoideis, foveis dorsalibus medium dorsum occupan- tibus oblongis utrinque acuminatis obtuse mar- ginatis.

Hab. in litore marino, facile per totam Japoniam, in arena mobili caespites amplissimos efformans, v. gr. in insula Yeso prope Hakodate variis locis, in Nip- pon boreali: Nambu, et media: 100 stadia a Yedo boream versus in litore oceanico. Ad promontorium Siriki saki, et in insula Yakuno-sima, a Kiusiu meri- diem versus sita, collecta fuit a C. Wright (v. specc. frf., J. taxifoliae H. et À. admixta).

J. rigidae S. Z. proxima, diversa habitu, frondis densissimae colore, foliorum directione, galbulis majo- ribus eximie caesiis, seminumque majorum forma. J. taxifolia H. et A., quacum ab A. Gray (in schedula) confusa videtur, a nostra diversissima habitu saepius arborescente, fronde parca, verticillis foliorum remo- tis, foliis patentibus latis brevibusque saepissime ob- tusis vel acutis, galbulis lucidis minoribus, et semini- bus foveisque.

Über eine auffallende an einem empfindlichen Niveau beobachtete Bewegung, von A. Wag- ner. (Lu le 3 octobre 1867.)

Am Morgen des 8. (20.) September dieses Jahres bereitete ich mich zu einer Beobachtung des Sternes SUrsae min. in der unteren Culmination am Passa- geninstrument vor. Ich wollte um etwa 5* 55" Stern- zeit mit dem Ablesen des auf die Axe des Instrumen- tes gesetzten Niveau’s beginnen, als ich die Bemer- kung machte, dass die Blase des Niveau’s in starker Bewegung begriffen war und nicht zur Ruhe kommen wollte, während sie sonst nach dem Aufsetzen der Wasserwage schon nach 30 40 Secunden voll- kommen stille steht. Die Blase bewegte sich bestän-

Bulletin de l’Académie Kmpériale

dig in kurzen Zwischenräumen hin und her. Zwei ähn- liche Füälle, die im Februar 1861 und im August 1863 eingetreten waren, hatten in mir die Überzeu- gung hervorgerufen, dass ich es hier nicht mit Ver- änderungen der Wasserwage oder des Instrumentes, sondern mit Bodenerschütterungen zu than habe; ich begab mich also zu dem in demselben Saale befindli- chen aber über 20 Fuss von dem Passageninstrument entfernten Verticalkreise, um die Bewegung auch an dessen Niveau, welches die Richtung Süd-Nord hat, constatiren zu kônnen. In der That bemerkte ich auch an diesem, nachdem ich es zum Einspielen ge- bracht hatte, dieselben hin und hergehenden Bewe- gungen der Blase.

Die Grüsse der Schwankungen der Niveaublase (sie mügen anfangs wenigstens drei Theile der Scala oder nahezu 3” betragen haben) nahmen allmählich ab, ohne dass sie jedoch um etwa 6" 11” Sternzeit, wo ich mit der Beobachtung von à Ursae min. beginnen musste, ganz aufgehürt hatten. So viel ich in der Kürze der Zeit wahrnehmen konnte, fanden die Schwankungen der Plase um einen mittleren Stand derselben statt. Um 6” 26” Sternzeit war nichts mehr von denselben zu bemerken.

Interessant wird diese Beobachtung durch ein in unseren Zeitungen mitgetheiltes Telegramm aus Malta, welches meldet, dass dort am 19. und 20. September ein Erdbeben stattgefunden habe, und dass der letzte Stoss am 20. um 4” 45” Morgens sich ereignet habe. Der Zeitpunkt, wo ich die Bewegung der Niveaublase zuerst wahrnahm, fand in bürgerlicher Zeit ausge- drückt um 1” Morgens statt. Der Längenunter- schied zwischen Malta und Pulkowa beträgt 1* 3”; ist die Zeitangabe in der Zeitung genau, so fand also der letzte Erdstoss in Malta um 5" 48” Pulkowaer Zeit statt. Diese Übereinstimmung ist so gross, dass man wohl beide Erscheinungen für zusammengehürig halten dürfte.

Man künnte veranlasst sein, auch für die beiden früher von mir beobachteten Füälle sich nach den dazu gehürigen Erderschütterungen umzusehen; ich lasse hier daher die genauen Zeiten derselben folgen:

1) 1861, Februar 4. (16.) 4* 4” Abends, 2) 1863, Juli 22. (August 3.) 9" 47" Morgens.

Es betrug indessen die damals beobachtete Grôsse

der Schwankungen hüchstens 6 —7 Zehntel Bogen- Secunden, also sehr viel weniger als in diesem Jahre, und es ist wohl müglich, dass die Erschütterungen selbst in der Nähe des Herdes, von dem sie ausge- gangen sind, unbemerkt geblieben sind.

Der Umstand, dass es mir im Verlaufe von 7 Jah- ren vergünnt war, dieselbe Erscheinung dreimal zu beobachten, gestattet vielleicht anzunehmen, dass sie überhaupt nicht sehr selten ist, und veranlasst viel- leicht auch andere Astronomen, derselben ihre Auf- merksamkeit zuzuwenden.

Wenn es erlaubt wäre, aus dreimaliger Wiederho- lung derselben Erscheinung schon einen Schluss auf deren Häufigkeit zu machen, so würde noch die fol- gende Betrachtung gestattet sein. Die Zahl der von mir seit dem Ende des Jahres 1860 ausgeführten Ni- vellements müchte 4000 4500 betragen. Berück- sichtigt man die Dauer eines Nivellements und die Dauer der beobachteten Erscheinung, so kann man annehmen, dass ein Nivellement im Durchschnitt über den Zustand der Ruhe oder Unruhe der Erdoberfläche für einen Zeitraum von etwa 7 Minuten entscheidet. Es wären also bis jetzt auf einen Zeitraum von bei- läufig 30,000 Minuten 3 Erderschütterungen gekom- men, was 1 auf je 7 Tage macht. Es ist aber gewiss voreilig, aus nur 3 Füällen Schlüsse auf die Häufigkeit einer Erscheinung im Allgemeinen ziehen zu wollen; indessen künnte die obige Betrachtung doch Veran- lassung geben, an die Construction eines Apparates zu denken, der im Stande wäre, Veränderungen, die in einem so empfindlichen Apparate, wie das Niveau ist, vor sich gehen, zu registriren.

Pulkowa, d. 17. (29.) September 1867.

Démonstration d’un théorème de Statique, par Ferd. Minding, professeur à Dorpat. (Lu le 3 octobre 1867.)

L'idée du centre de gravité ou du centre des forces parallèles est si ancienne et tant de fois discutée, qu’on aurait peine à croire qu’elle pourrait encore devenir l’objet de nouvelles recherches. Cependant, en l’analysant, on reconnaît qu’elle n’est pas fondée uniquement sur le parallélisme des forces, mais qu’en- core elle suppose des forces qu’on pourrait regarder

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

234

comme inhérantes à leurs points d’application, c’est- à-dire qui restent invariables en grandeur et en di- rection, de quelque manière qu’on fasse tourner Je corps auquel elles sont appliquées. Sans changer la position du corps par rapport aux forces, tous les points de la ligne dans laquelle agit la résultante, sont indifférens; ce n’est que par le changement de cette position relative, qu’on rencontre ce point par- ticulier du corps, par lequel passe toujours la résul- tante et qui a reçu par cette raison le nom usité.

Cette réflexion m'a porté, il y a plus de trente ans, à supprimer la condition du parallélisme des forces et à considérer un corps solide soumis à des forces quelconques, dont chacune soit donnée en intensité et en direction et invariablement attachée à son point d'application, de quelque manière qu’on fasse tour- ner le corps. Seulement il faut admettre que toutes ces forces, transportées parallèlement et appliquées à un seul point, donnent une résultante différente de zéro, qui sera désignée par À.

Il est vrai qu’on ne saurait trouver dans la nature un tel corps; il n’y a que l’aimant qui, sollicité à la fois par la pesanteur et la force magnétique, réalise d’une manière particulière l'hypothèse proposée, en offrant un système dont les forces sont toutes paral- lèles à un plan. Encore, pour expliquer sous ce point de vue la statique de l’aimant, faut-il faire abstrac- tion des variations d'intensité et de direction de la force magnétique, et la regaräer comme constante.

Quoiqu'il en soit pour les applications, il est néces- saire en théorie de développer l'hypothèse proposée, dont les conséquences ne sont pas dénuées d'interêt.

J’ose donc revenir encore une fois sur ce sujet qui paraît être resté à peu près inconnu à la plupart des géomètres. Mais je n’insisterai pas ici sur des dé- tails tels que je les ai donnés autrefois soit dans le journal de Crelle, soit dans un petit traité de méca- nique rationelle qui a paru en 1838: à présent je me bornerai à démontrer succinctement le théorème principal auquel conduit l'hypothèse mentionnée.

Décomposons les forces données suivant trois di- rections perpendiculaires entre elles, dont la première soit parallèle à la resultante Æ, obtenue comme il vient d’être dit. Le premier groupe de forces paral- lèles aura Æ pour somme et par conséquent il offrira un centre de forces parallèles fixe dans le corps ou

235

Bulletin de l’Académie Empériale

236

——————————<——

indépendant de la position du corps à l'égard des forces; soit C ce centre, qui sera nommé le point central.

Le second groupe de forces parallèles a pour somme zéro. Pour le reduire à un couple à bras fixe dans le corps, appliquons au point C la force À parallèlement à la direction des composantes du second groupe et à la fois la force égale et contraire que je designerai par À’, pour la distinguer. Les forces du second groupe, ajoutées à À, donneront avec la somme À un centre À qui sera encore fixe dans le corps, et la force À, appliquée en À, formera avec la force égale et contraire À’, appliquée en C, un couple à bras fixe (CA) dans le corps.

Traitant de la même manière le troisième groupe de forces parallèles, on obtiendra encore un centre B, auquel s'applique une force À qui, avec une force égale et contraire R”, appliquée en ©, donne un se- cond couple dont le bras CB est fixe dans le corps. Par hypothèse, les forces égales R, R', R", appliquées au point C, sont perpendiculaires entre elles.

Le plan du triangle ACB est le plan central, qui est fixe dans le corps comme l’est le point central. Mais les points À et B se déplacent, toutefois en restant toujours dans le plan central, selon qu’on aura choisi la direction des composantes du second groupe ou bien, ce qui revient au même, la direction de la force et avec elle celle de R”. On peut pro- fiter de ce déplacement des points À et B, pour rendre droit l'angle ACB.

Soient x et y deux axes choisis arbitrairement dans le plan central, mais perpendiculaires entre eux et partant de l’origine C, et supposons qu’on ait pour le point À, x— a, y—b et pour le point B, x —«/, y = D". Imaginons de plus, pour simplifier, que le corps soit tellement placé à l'égard des forces, que la force À, appliquée en C, soit perpendiculaire au plan central; par conséquent les forces R’et R”, également appliquées en ©, seront situées dans le plan central, de même que les forces appliquées en À et B, qui forment avec Æ’ et R” les deux couples dont les bras sont CA, CB.

Décomposons ces quatre forces suivant deux droites æ et $, également perpendiculaires entre elles et si-

tuées dans le plan ACB. Soit w l’angle compris entre la force À appliquée en À, et la première direction «;

© + u sera l’angle entre la force À appliquée en B

et la même direction &«. En décomposant toutes les forces suivant les directions & et $, on aura le ta- bleau suivant:

coordonnées des

composantes suivant « suivant Ê points d'application de À en À + COS 4 +- Sin 4 a, b deR en B sin +- COS 4 a',V' de R'en C coS% —sin# 0,0 de R’en C +- sin % COS 4 0,0

en omettant partout le facteur R, qu'on peut regar- der comme égal à l’unité de force.

Maintenant, de même qu'auparavant, appliquons au point C la force À dans la direction « et avec elle son égale et contraire X,. Mettant à part R,, et ajou- tant Z ou 1 aux composantes parallèles à «, on ob- tiendra avec la somme 1 un nouveau centre À', dont les coordonnées seront:

He PIC 'e É— acosu a sinu, n—bcosu —b'sinu.

En opérant de la même manière sur les conipo- santes parallèles à $, on aura avec une force À, R appliquée en ©, un autre centre B', dont voici les coordonnées:

É—asinu+acosu, 1 —bsinu + 0V'cosu,

auquel s'applique la force À, formant un couple avec 2.. Pour rendre droit l'angle 4°CB, il faut faire + nn = 0, ce qui donne:

U

ss 2 (aa + bb") cos 2u (a? + D? a? —L?) sin 2u —0,

ou bien

2 (aa! + bb’)

CU = -—-> © tg 20 a? + D? a? b??

équation qui détermine, sans ambiguité, les directions de décomposition qu'il faut adopter pour rendre le bras CA perpendiculaire à CB, et par cela achever la réduction du système des forces données.

Cela posé, prenons l’axe des x sur le bras CÀ, celui des y sur CB, et représentons par le tableau suivant les composantes des cinq forces dont il s’agit, pour une position quelconque du corps:

237

coordonnées des

Composantes suivant & y à points d'application deR en C D'UN DARNE 0,0,0 de R,en C (pb sta 0,0,0 de R,en C 07 MIBPNPES 0,0,0 de À en À & —V —c p,0,0 de? en B d—D—0c 0, g,0

en posant les bras CA p, CB —q. On aura les re- lations connues:

++ 1, ax + + cc —0, etc.

Avec ces élémens on formera aisement les équa-

tions de la résultante associée au couple minimum, dont le moment soit W, et qui est, comme on le sait, perpendiculaire à la résultante. On aura pour cette droite:

bz—cy = L—aV, ex az M—V,

ay —bx =N—0cV et V= La + Mb+ Nc,

L, M, N étant les expressions connues des moments:

L=—ZP(ecos8—ycosy), M—=2EP(x cosy —2 cos a), N—EP(ycosa— x cos B),

dans lesquelles il faut substituer les composantes ac- tuelles avec les coordonnées de leurs points d’appli- cation. On trouve pour les parties de Z, M, N prove- nant de la force en À, en mettant pour ? l'unité, respectivement

0,

pour les parties provenant de la force en B:

! DC, +; + Qc O0, —ga”; done on aura les moments: M=—= —pc;

d'où l’on tire: V— q(ac’— a"c) p{bc' —V'c),

L= + qc, N=— + pb —qa,

ce qui revient, comme on sait, à V— gb pa”.

Les équations de la résultante associée au couple minimum, seront donc:

bz—cy—qc—aV, cx—az——p—1Ùy, ay pe = pb'— qu" —0cV, V = qL'—pa.

On s’assurera aisément qu’il existe une infinité de

., . . « ., ! " positions qui satisfont à la condition gb —pa 0, dans lesquelles par conséquent le moment V est zéro et le système se réduit à une résultante unique, dont voici les équations:

des Sciences de Saïint-Pétersbourg.

238

bz—cy = qc”

CE ar = pl

ay bx pb —qa', gb —pa"= 0,

Cherchons les points d’intersection de cette résul- tante avec le plan #2. Pour cela on a, en posant y —= 0, par la première et la troisième des équations qu’on vient d'établir, et sans avoir égard à la seconde, qui n’est, comme on sait, qu’une conséquence de l’en- semble des autres équations:

bacon br vb qu} Élevant au carré la seconde de ces équations et en y . ! m2 ajoutant (gb pa ÿ 0, on aura: Da + (gb pa’) = (pb ga’) ou bien:

b’x° + go” + pa” = pb? re qu”,

. ) ce qui donne: ——; = q EE | En ajoutant la première équation, également élevée au carré, c’est-à-dire

p? 2? or Eat fs on aura 9 a? 2? DR » » » » ) RE + | EC ETES 1m |

donc on aura définitivement:

x? 22 —= ] ;

TE équation qui indique la suite des points du plan #?, dans lesquels seulement la résultante unique du sy- stème, si elle existe, peut rencontrer le plan #z.

De la même manière on cherchera le lieu des in- tersections de la résultante avec le plan >, en posant æ— 0; on aura pa"— qb = 0

u 1 Up, ay —= pb qu,

d’où l’on tire:

mais il est plus court de former immédiatement cette seconde équation d’après l’analogie avec la première.

L’inspection des formules (A) et (B) fait voir, que dans toutes les positions du corps relativement aux forces données, dans lesquelles les forces peuvent être

239

Bulletin de l’Académie KHmpériale

240

eZ" _]—]_—_]—]—— ——————————————————_——————…—…—….……———

remplacées par une résultante unique, positions qui existent en nombre infini, cette résultante, loin de pouvoir traverser le corps d’une manière quelconque, ne peut que couper à la fois les deux courbes fixes dans le corps, dont on vient de trouver les équations.

Ces courbes sont situées dans deux plans perpen- diculaires entre eux, que j'ai autrefois appelés plans moyens; l’une est une ellipse, l’autre une hyperbole; les foyers de chacune d’elles sont les sommets de l’autre.

Il y a des cas particuliers remarquables. Si lun des bras p ou g est zéro, l’ellipse devient un cercle et l’hyperbole une droite perpendiculaire au plan du cercle et passant par son centre. Dans ce cas il ny a pas de plan central, mais seulement un axe cen- tral, qui est cette même droite; c’est le cas de l’aimant.

Si p—q, on a un système bien singulier dans le- quel toutes les résultantes uniques passent par l’un ou l’autre de deux points isolés, situés sur l’axe des z de part et d'autre du point central à la distance p de ce point.

Über die durch den rothen Lichtstrahl hervor- gerufenen Veränderungen in den Chlorophyll- bändern der Spirogyren, von El. Borscow, Privatdocenten an der St. Wladimir-Univer- sität in Kiew. (Lu le 3 octobre 1867.)

Famintzin theilt in einer seiner interessanten Schriften') mit, dass bei längerer Einwirkung des concentrirten Kerosin-Lampenlichtes auf Spyrogira or- thospira N äg. in den Zellen dieser Süsswasseralge be- merkenswerthe Veränderungen stattfinden. Er beob- achtete nämlich, dass, nachdem die Chlorophylbänder nach den ersten 48 Stunden der Einwirkung des Lampenlichtes, mit Stärke gänzlich überfüllt worden waren, eine lebhafte Zelltheilung eintrat. Darauf be- hielten die Chlorophyllbänder in einigen Zellen ihre frühere Form und Anordnung, in anderen dagegen wurden beide vollkommen verändert, indem die Chlo- rophyllbänder sich zu kugeligen oder amorphen grü-

1) Xfücrsie csbra Ha BOOpoCIu 4 xpyrie 61U3KRIE KP HHMB OPrA- ausmpt. 1866. Eigentlich erschien die citirte Schrift noch früher und ist in den Mélanges biolog. tirés du Bullet. de l’Acad. des sciences de St-Pétersbourg, Jahrg. 1865 publicirt worden, unter dem Titel: Wirkung des Kerosin-Lampenlichtes auf Sparoggra orthospira Näg.

nen Massen zusammenballten. In diesem letzteren Zu- stande gelang es Famintzin, die Spirogyra- Fäden im vollen Lampenlichte noch während 2—4 Wochen lebensfähig zu erhalten. Dann aber starben sie sämmt- lich ab; die bis dahin noch grünen, amorphen Chloro- phyllmassen nahmen dabei eine goldgelbe Farbe an und enthielten (in sehr vielen Zellen) keine Spur von Stärke mehr.

Dieselbe Reihe von Erscheinungen kann nun leicht in den Zellen der Spirogyren Während einer sehr kur- zen Zeit hervorgerufen werden, wenn man auf die unter dem Mikroskop befindlichen Algenfäden rothes Licht von gehôriger Intensität andauernd einwirken lässt. Sämmtliche Vorgänge in den Zellen kôünnen auf diese Weise sehr bequem Schritt für Schritt verfolgt werden.

Ich experimentirte mit zwei Spirogyra-Arten, näm- lich mit der Sp. decimina Kg. und einer der Sp. adnata Kg. nahe verwandten Art. Die schüne Sp. or- thospira N'äg. konnte ich in den hiesigen Gewässern nicht auffinden; sie würde namentlich für derartige Versuche, wegen der Grôsse ihrer Zellen, sich vor- züglich eignen.

Lässt man nun rothes, durch den Spiegel des Mi- kroskops concentrirtes Licht*) auf die in einem dun- keln Raume *) befindlichen, vollkommen frischen Spi- rogyren‘) einwirken, so werden die stickstoffhaltigen Elementartheile ihrer Zellen alsbald in Angriff ge- nommen. Dabei entstehen Veränderungen, zunächst in dem grünen, zu spiraligen Bändern geformten Plas- ma, dann aber auch im farblosen, worauf die gesammte Lebensthätigkeit der Zellen für immer erlischt.

In den ersten 30 bis 45 Minuten der Einwirkung treten keine besonderen Veränderungen im Âusseren der Chlorphyllbänder ein. Wie unter normalen Ver- hältnissen zeigen diese auch jetzt die frühere Anord- oung in Spiralen; der Parallelismus der Spiralwin- dungen und der flügelartige, abgerundet gezähnelte Rand der Bänder bleiben unverändert. Der einzige,

9) Ich benutzte eine concentrirte Lüsung von doppelt-chromsau- rem Kali, welche eine 2,5 Centim. dicke Flüssigkeitsschicht bildete.

3) Bei diesen Versuchen benutzte ich dieselbe Dunkelkammer, welche ich in einem früheren Aufsatze (Wirkung des rothen und blauen Lichtstrahls auf das bewegliche Plasma etc.) ausfübrlich be- schrieben habe.

4) Es wurde nicht destillirtes, sondern dasjenige filtrirte Was- ser gebraucht, in welchem die Spirogyren am Orte des Vorkommens vegetirten.

241

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

242

jedenfalls sebr wichtige Unterschied besteht darin, dass die Stärkemenge im Chlorophyll und besonders in den grossen, kugeligen Kürnern, welche den Bän- dern aufsitzen, eine viel bedeutendere geworden ist, wodurch man sich leicht durch die Jodreaction über- zeugen kann. In diesen letzteren bildet die Stärke schon ganze Gruppen von äusserst feinen Kürnchen; aber auch in der Chlorophyllsubstanz der Bänder hat die Menge derselben um ein nicht Unbedeutendes zu- genommen, und einzelne Kürnchengruppen kommen auch hier vor. Dieser lebhafte Vorgang der Stärkebil- dung und zwar in so kurzer Zeit, den auch Famin- tzin im starken, gewühnlichen Lampenlichte beobach- tete”), wird nicht befremden, wenn wir uns erinnern, dass das rothe Licht die Sauerstoffabscheidung in den chlorophyllhaltigen Zellen energisch befürdert, in die- ser Hinsicht dem gemischten Lichte kaum nachsteht°) und, im gegebenen Fall da es concentrirt auf die im Dunkeln befindlichen Algenfäden einwirkte viel- leicht dasselbe übertrifft. Dieser abgeschiedene Sau- erstoff ist aber das Zersetzungsprodukt der Kohlen- säure, welche die grünen Zellen im rothen Lichte be- gierig aufnehmen, und des Wassers. Während nun der überschüssige Sauerstoff ausgegeben wird, verbinden sich unter Mitwirkung des Chlorophylls die Elemente des Kohlenstoffs (oder einer niedrigeren Oxydations- stufe desselben) und des Wassers etwa nach folgen- dem Schema:

x (60) + x (H,9) x (0;) + x (CH,0).

Nun ist aber x (CH,0) der allgemeinste Ausdruck für Stärke und andere Kohlenhydrate, sowie auch für die mit ihnen nahe verwandten Substanzen, wie rechte und linke Glucose u. s. w. Aus dieser Auseinander- setzung will ich durchaus nicht den Schluss ziehen, dass nach der Sauerstoffabscheidung die übrig geblie- benen Reste der Kohlensäure und des Wassers sich direct zur geformten Stärke verbinden. Aber dass da- bei jedenfalls ein Stoff entsteht, der mit der grüssten Leichtigkeit in die organisirte, kürnige Stärke über- geht, ist gewiss. Am wahrscheinlichsten ist es die Glu- cose, welche durch Abgabe eines Moleküls Wasser

5) 1. c. p. 42, 48. 6) Vergl. die Versuche von Sachs. Botan, Zeitung 1864, Ex- perimental-Physiologie, p. 24—97, Tome XII.

sich leicht in eine Verbindung von der Zusammen- setzung der Stärke umwandeln kann:

C,H,0; CH: nm 0 = ms, Glucose Stärke

Diese Vermuthung, welche auch Sachs in seiner Physiologie für die richtigere hält, findet ihre Unter- Stützung sowohl in dem ungemein leichten Auflüsen der Stärke in Glucose und abermaligem Übergange dieser letzteren in geformte Stärke ein beständi- ger Vorgang in den Zellen stärkehaltiger Saamen bei der Entwickelung des Keimes —, als auch in dem Umstande, dass in denjenigen Chlorophyllbildungen, welche normal keine Stärke erzeugen (wie im Chlo- rophyll der Zellen von Allium Cepa), anstatt dersel- ben grosse Mengen Glucose gebildet werden ‘).

Im Anfange besteht also die Wirkung des rothen Lichtes auf die Chlorophyllbänder in einer Steigerung der Thätigkeit des Chlorophylls als assimilirenden Elementartheiles der Zelle.

Wird nun mit der rothen Beleuchtung fortgefahren, so erscheinen die Chlorophyllbänder, nach Verlauf einer Stunde oder etwas später, sowohl in ihrer An- ordnung, als auch in der Molecularstructur gestürt. Die einzelnen Windungen der Spirale sind jetzt nicht mehr einander parallel, sondern mehr oder weniger gegen einander geneigt. Die Bänder liegen nicht mehr dicht dem dünnen, farblosen Plasmabelege an, son- dern verlieren ihr straffes Aussehen, krümmen sich, sind auch mehr nach dem Innern der Zelle gerückt und scheinbar vom farblosen Plasma getrennt. Bis- weilen bemerkt man dabei ein Zusammenfliessen zweier benachbarten halben oder ganzen Windungen der Spirale. Der flügelartige, gezähnelte Rand der Bänder, welcher im normalen Zustande, besonders bei Sp. decimina scharf contourirt ist, verliert diese Schärfe seiner Umrisse und wird nur schwach wellig, oder sogar ganz eben. Die grossen Chlorophyllkür- ner, welche den Bändern aufsitzen, schwinden zum Theil, indem sie mit der deutlich kürnig gewordenen Substanz derselben verschmelzen. Endlich hat die ganze Chlorophyllmasse nicht mehr die frühere schüne saftgrüne Farbe (besonders bei Sp. adnata), sondern zeigt einen Stich in’s Gelbliche.

7) Sachs, Experimental-Physiologie, p. 326. 16

243

Bulletin de l’Académie Empériale

244

EEE

Dieser veränderte Zustand der Chlorophyllbän- der tritt allmählich und zwar nicht gleichzeitig in al- len vorhandenen Zellen des Spirogyra-Fadens ein, son- dern in einigen früher, in anderen später. In einigen Zellen werden die Chlorophyllbänder, sogar bei län- gerer Einwirkung des rothen Lichtes, nur äusserst wenig verändert. Sie erscheinen nämlich nur etwas aus ibrer Lage gerückt, und ihre Windungen sind nur wenig gegen einander geneigt. Woher dieser Unter-

schied komme, was die Ursache einer solchen Tenacität

der letzteren sein mag, ist schwer zu entscheiden, da durchaus keine Verschiedenheit der Zellen mit veränderten Chlorophyllbändern von denen mit un- veränderten nachzuweïsen ist. Famintzin ist bei sei- nem Versuche mit Sp. orthospira ebenfalls auf solche verwickelte Erscheinungen gestossen *).

Prüft man nun die veränderten Chlorophyllbänder auf ihren Stärkegehalt, so erweisen sich dieselben dermaassen mit Stärke überfüllt, dass an vielen Stel- len die Chlorophyllsubstanz beinahe gänzlich ver- drängt und durch Gruppen von Stärkekürnern ersetzt ist. Demnach muss das kürnige Aussehen der Bänder, sowie auch ihre hellere Farbe, zum Theil wenigstens, in dem enormen Anhäufen der Stärke ihren Grund haben.

Ausser dem grünen Endoplasma (den Chlorophyll- bändern) enthalten die Zellen der Spirogyren auch farbloses, welches das erstere umgebend und nach aus- sen dem Exoplasma (der Hautschicht Pringsh.) dicht anliegend, einen schwachen Wandbeleg bildet. Von diesem Wandbelege gehen zum grossen, centralen Zellkern dünne Plasmastränge., Durch eben solche steht der Zellraum auch mit den Chlorophyllbändern in Verbindung. Unter normalen Verhältnissen bemerkt man sowohl in den ersteren, als auch in den letzte- ren Plasmasträngen eine fortdauernde, zusammenzie- hende Bewegung”). Diese wird auch bei dem eben besprochenen veränderten Zustande der Chlorophyll- bänder noch wahrnehmbar, ist aber bedeutend schwä- cher geworden als vorher.

Bei weiterer Einwirkung des rothen Lichtes tritt

8) 1. c. p. 43. 9) In den Zellen von Sp. adnata ist die Bewegung schwer zu be- obachten, weil die Windungen einzelner Chlorophyllbänder sebr

dicht aneinander gedränet sind. Sp. decimina eignet sich dazu besser.

in den Spirogyra-Fäden eine lebhafte Zelltheilung ein. In einem von mir beobachteten Falle theilten sich beinahe sämmtliche Zellen des Fadens rasch, durch Bildung vollständiger Scheidewände; in ei- nem anderen theilten sich 30 Zellen von den 56 in einem Spirogyra-Stücke vorhandenen. In beiden Füäl- len ist diesem Theilungsvorgange durchaus kein merk- licher Zuwachs der Mutterzellen vorangegangen.

Gleichzeitig mit dem Anfange der Scheidewandbil- dung in den Zellen beginnt auch die vollständige Degradation der schon veränderten Chlorophyllbän- der und überhaupt des ganzen in den Zellen enthal- tenen Plasmas. Die Chlorophyllbänder ziehen sich noch mehr zusammen und ballen sich endlich zu Ku- geln oder amorphen, hellgrünen, nur wenig kôrnigen Massen. Solche Kugeln treten entweder einzeln in je- der Zelle auf und dann verdanken sie ihren Ursprung dem allmählichen Zusammenziehen und Verschmel- zen sämmntlicher in der Zelle vorhandenen Chloro- phyllbänder. Oder die Bänder einer Zelle zerfallen vor dem Zusammenballen in mehrere Stücke, welche dann durch Zusammenziehen mehrere Kugeln bilden. Nach dem vülligen Zerfallen in Kugeln und amorphe, wolkige Massen ändert sich sehr bald die bis dahin noch hellgrüne Farbe des Chlorophylls in ein Fahlgrün, dann in Gelb, und endlich wird die Substanz desselben beinahe farblos. Prüft man jetzt die fahlgrünen oder gelben Massen auf ihren Stärkegehalt, so erweist es sich, dass in den Zellen, wo Theilungen stattfanden, die Stärke spurlos verschwunden —, in denen aber, welche sich nicht theilten, die Menge der Stärke eine hüchst unbedeutende geworden ist.

Auf die eben beschriebenen Veränderungen in den Chlorophyllbändern folgen nun auch Veränderungen im farblosen Plasma. Die Bewegung in den Plasma- strängen hôrt vüllig auf, das Wandplasma lüst sich von der Zellwand und umhüllt die fahlgrünen Massen in Form eines zarten, glashellen, etwas kürnigen Schlauches. Der Kern bleibt dabei entweder an sei- ner Stelle, in der Mitte der Zelle und wird, von der fahlgrünen Masse umgeben, nicht sichtbar; oder er wird zur Seite geschoben und liegt innerhalb des hya- linen Plasmaschlauches. Dabei verliert er seine regel- mässige Form und wird runzelig. Mit dem Eintreten dieser Erscheinungen sind sämmtliche Zellen leblos.

Dies sind die Vorgänge, welche unter dem Ein-

245

flusse der rothen Strahlen in den Zellen der Spi- rogyren auftreten und binnen 3 bis 6 Stunden mit dem Absterben der meisten Zellen endigen. Dem Aus- seren nach ist eine Analogie der stattfindenden Er- scheinungen mit denen, welche ich im beweglichen, farblosen Plasma der Urtica-Haare beobachtete nicht zu verkennen. Hier wie dort entsteht bei der Einwir- kung des rothen Lichtes eine Molecular-Veränderung in der Plasmasubstanz, nämlich eine Verdichtung des- selben, begleitet von einer nicht näher bekannten chemischen Veränderung. Ein wesentlicher Unter- schied zwischen den Vorgängen in den chlorophyll- freien und chlorophyllhaltigen Zellen besteht aber darin, dass bei dem farblosen Plasma wir zur Zeit nur noch das Faktische der Erscheinungen wissen, ohne im Stande zu sein, das innere Wesen der statt- findenden Molecularmetamorphose mit den nächsten Folgen desselben in Zusammenhang zu bringen. Da- gegen ist in Zellen mit grünem Plasma eine Versinn- lichung der stattfindenden Vorgänge im Zusammen- hange mit ihren Folgen schon müglich. Meiner An- sicht nach entsteht die eben geschilderte Storung in der Lage und Anordnung der Chlorophyllbänder, fer- ner das Zusammenballen derselben zu Kugeln und endlich auch das rasche Absterben der Zellen nur im Folge eines durch die Wirkung des intensiven ro- then Lichtes übermässig gesteigerten Assimilations- prozesses, dem ein energischer Stoffwechsel in der Zelle nachfolgt, dessen nächstes Resultat eine voll- kommene Erschôpfung sämmtlicher Plasmagebilde in der Zelle ist.

Unter normalen Verhältnissen gehtsowohl die Stär- kebildung im Chlorophyll, als auch der Verbrauch der Stärke zu Gunsten der sich entwickelnden Zellen ganz allmäblich vor sich. Eine Degradation des Chloro- phylls und darauf das Absterben der grünen Zellen selbst erfolgt erst nach Verlauf einer bedeutend lan- gen Periode, und dies aus dem Grunde, weil bei der allmählichen Bildung und weiteren Umwandlung der Stärke ein Theil sowohl des grünen als auch des farb- losen Plasmas immerhin noch thätig bleibt und keine eingreifende Storung in der Molecularstructur erlei- det. Ganz anders gestaltet sich die Sache im rothen Lichte. Indem das grüne Plasma dabei zur energischen Stärkeerzeugung angeregt wird, wird es im Ganzen in Angriff genommen. Da es aber bei der Stärkebil-

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

246

duug substantiell betheiligt ist und mit der Zunahme der Stirkemenge ein fortwährendes Abnehmen sei- ner eigenen Substanz stattfindet"), so tritt endlich ein Moment ein, wo die Chlorophyllsubstanz durch Stärke beinahe vollständig verdrängt wird. Eine sol- che, wenn auch nur theilweise auftretende Verdrän- gung kann aber nicht stattfinden, ohne die früheren Formenverhältnisse und die Vertheilung des grünen Plasmas zu stüren, und zwar aus dem Grunde, weil die früheren Verhältnisse zwischen desselben durch das Dazwischenkommen auderer, he- terogener Molecüle gänzlich aufgehoben werden müs- sen. In kugeligen Formen, wie Chlorophyllkôrner,

den Molecülen

kann diese Veränderung eine hôchst unbedeutende sein; dagegen in solchen complicirten Gebilden, wie die Chlorophyllbänder der Spirogyren, ist diese Verdrän- gung der grünen, ursprünglichen Plasmamasse durch Stärkesubstanz gewiss eine der Hauptursachen der stattfindenden Lage- und Formveränderungen. Dage- gen scheint das darauf folgende Zusammenballen der veränderten Chlorophyllbänder zu Kugeln und amor- phen Massen im Zusammenhange mit dem Auflüsen und dem weiteren Verbrauche der Stärke behufs der Cellulosenbildung zu stehen. Dafür sprechen: einerseits die mit der Kugelbildung gleichzeitige Entstehung der Scheidewände in den Mutterzellen und anderer- seits das vollkommene Fehlen, oder nur spurweise Auftreten von Stärke in den kugeligen und amor- phen Massen.

Der Theilungsprozess in den Zellen der Spérogyren ist, wie wir schon erwähnten, bei der Einwirkung des rothen Strahles ein sehr energischer und rascher; demgemäss geht auch das Auflüsen und die weitere Umwandlung der Stärke, welche das Material zur Scheidewandbildung geben soll, ungemein schnell vor sich. Nun geschieht aber diese Umwandlung der Stärke in Cellulose durch Vermittelung des farblosen Pla- smas, welches dabei ebenso substantiell betheïligt ist, wie das grüne bei der Erzeugung der Stärkekürner. Erfolgt dieser Umwandlungsprozess allmählich, wie unter normalen Verhältnissen, so bleibt auch das

10) So bemerkt man im Spätsommer in den Zellen alter Blätter an denjenigen Stellen, wo Chlorophyllkürner vorhanden waren, nur Anhäufungen von Stärkekôrnern, welche von einem äusserst dünnen Überzuge des grünen Plasmas umgeben sind. (Vergl. Nägeli, Pflan- zenphysiolog. Untersuchungen IT, p. 398, so wie Sachs, Physio- logie, p. 320).

16*

247

farblose Plasma längere Zeit thätig. Wird dasselbe aber allzu energisch in Anspruch genommen, wie im gegebenen Falle, so erlischt alsbald seine Thätigkeit, so dass die weitere Cellulosebildung, sogar bei noch vorhandenem Stärkematerial, vüllig aufgehoben wird. Dieses frühzeitige Erschüpfen sowohl des grünen als auch des farblosen Plasmas durch eine allzu energi- sche Thätigkeit müchte ich als Hauptursache sämmt- licher, unter dem Einflusse des rothen Lichtes in den Zellen der Spérogyren zuletzt auftretenden Erscheinun- gen, namentlich aber des raschen Absterbens der neu gebildeten Zellen ansehen. Einestheïls wird durch die Erschüpfung und Veränderung des Chlorophylls die Môglichkeit zu einer neuen Bildung von Stärke, also des ursprünglichen Baumaterials der Zelle, vollkom- men aufgehoben, anderntheils kann aber, auch bei vorhandenem Baumaterial, die Bildung der Cellulose nicht mehr stattfinden, da das auf einmal erschôpfte farblose Plasma nicht die nôthigen Umwandlungen der Stärke hervorzurufen im Stande ist. Auf diese Weise wäre die von Famintzin beobachtete Erscheinung einer unvollkommenen Zelltheilung ‘'), wobei nur eine Theilung des Kernes, aber keine Scheidewandbildung in den Zelleu stattfand, auch in solchen Zellen nicht unmôglich, in denen noch Stärke enthalten ist. Kalaidowka. Ende Juni 1867.

Neue Abweichungen der Vena jugularis externa posterior, von Dr. Wenzel Gruber, Profes- sor der Anatomie. (Lu le 3 octobre 1867.)

Die Jugularis externa posterior, welche, vom Sub- eutaneus colli bedeckt, schräg durch die Regio ster- nocleidomastoidea verläuft, den lateralen Rand des Sternocleidomastoideus in der Gegend der Kreuzung dieses Muskels mit dem Omohyoideus (seltener darü- ber) verlässt, letzteren Muskel von vorn (seltener von hinten) kreuzt und in die Regio omoclavicularis s. supraclavicularis propria tritt (seltener zuvor eine Strecke die Regio trapezica passirt), um über der Clavicula (seltener schon über dem Omohyoideus) in die Tiefe sich zu senken und in die Subclavia (sel- tener in den Vereinigungswinkel der Subelavia mit

11) 1. c. p. 44.

Bulletin de l'Académie Impériale

248

der Jugularis interna) zu münden'), ist mannigfa- chen anderweitigen Abweichungen unterworfen.

Der Caliber der Vena jugularis externa posterior variirt sehr. Sie kann einen Durchmesser erreichen, welcher dem der Jugularis interna wenig nachsteht, aber auch nur ein feines Gefäss sein.

Die Vene kommt bisweilen doppelt vor, kann aber auch gäuzlich fehlen, wie ich mehrmals beobach- tet habe.

Wie bekannt,

bildet die Vene in ihrem Verlaufe

bisweilen Inseln verschiedener Grôsse, in Folge von Theilung in Âste und deren Wiedervereinigung. Beï

den Präparirübungen im Winter 1864— 1865 kam eine Inselbildung dieser Vene vor, wie sie wohl noch nie zur Beobachtung gekommen war. Es war uämlich an der rechten Vene einer mänolichen Leiche eine Insel zu sehen, welche auf die Grüsse eines Loches von nur *, Lin. Durchmesser reducirt war. Durch das kleine ITioch war ein ‘, Lin. breiter Ast des Nervus cutaneus colli medius getreten. Es sah so aus, als ob die Mitte des Venenrohres von dem Nervenaste durchbohrt worden wäre.

Die Vene mündet nicht immer auf die angegebene Weise und nach Durchbohrung der Facia colli über der Clavicula. Sie läuft bisweilen vor der Clavicula und um diese herum in die Æegio infraclavicularis ab- wärts, um sich in die Subeclavia, wie J. Fr. Meckel”*) gesehen zu haben angiebt, oder in die Axillaris, oder in die Cephalica zu üffnen, nachdem sie ihren Weg durch die Fossa infraclavicularis genommen hatte, wie C. Fr. Th. Krause*) und ich beobachteten.

Bei a Untersuchungen am Schultergürtel, welche ich 1865 im Grossen anstellte, sah ich die Vene der M 1 Seite einer männlichen Leiche die Clavicula umschlingen und sogar durch einen fürmlichen Infraclavicular-Kanal zur Subclavia sich begeben. Der Cucullaris (a) der rechten Seite, nicht jener der linken, hatte sich mit einer anomalen Portion (æ&), welche die Regio omoclavicularis be- deckte, ununterbrochen bis zum Cleidomastoideus (b') an die Clavicula angeheftet. Die Vena jugularis ex-

1) Sieh: W. Gruber. Vier Abhandl. a. d. Gebiete d. medic.-chir. Anatomie. Berlin, 1847, 80, $S. 37

2) Handb. d. menschl. Anatomie. S. 337, $ 1584.

3) Han ». d. menschl. Anatomie. Hannover 1838, $S. 771.

Bd. 3. Halle u. Berlin 1817,

249

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

250

terna posterior (f) war ungewühnlich stark (3°, Lin.). Sie lag über der Clavicula noch auf dem lateralen Rande des Sternocleidomastoideus, überschritt daher die Regio sternocleidomastoidea auch nach unten la-

teralwärts nicht, verlief durch diese Region weniger |

schräg als gewühnlich und am Halse fast vertical ab- wärts. Das laterale Drittel (8) der Clavicularportion des Pectoralis major (d), welches jedoch vom übrigen Muskel nicht isolirt war, entsprang von der Clavicula

mittelst eines Sehnenbogens. Dadurch kam in der.

Regio infraclavicularis 1°, Z. lateralwärts von der Articulatio sternoclavicularis, gleich unter der Clavi- cula, zwischen dieser und dem Pectoralis major ein elliptisches Loch (*) zu Stande, welches in trans- versaler Richtung 6 Lin. weit war. Dieses Loch führte in einen langen unter der Clavicula gela- gerten Kanal, welcher von dieser, dem Ligamentum costoclaviculare und dem Subclavius begränzt wurde und schräg median- und rückwärts verlief. Die Cla- vicula war an der Stelle, wo sie jenes Loch und je- nen Kanal begränzen half, seicht gefurcht. Die seichte Furche krümmte sich spiralformig von oben vorn und lateralwärts nach unten hinten und medianwärts. Durch diesen bis jetzt nicht beob- achtet gewesenen knüchern-fibrüs-musculü- sen Infraclavicularkanal verlief das Ende der

Vene, umschlang somit die Clavicula, gelangte erst |

nach diesem Umwege zur Subclavia, um, in sie zu

münden“). J. Fr. Meckel spricht allerdings von der anomalen Mündung der Vene in die Subclavia, nach-

4) Dieser lange Infraclavicularkanal für die Jugularis ex- terna posterior erinnert an den kürzeren anomalen]Infraclavi- cularkanal für die Cephalica, welchen ich 1861 beschrieben und abgebildet habe St. Petersburger medic. Zeitschr. Bd. 1. 1861, S. 134 —. Der Kanal für die Cephalica ist in der That nur die hin- tere zwischen der Clavicula und dem Subclavius gelagerte Abthei- lung des Kanales für die Jugularis externa posterior. Bei dieser Gelegenheit bemerke ich, dass ich den Infraclavicularkanal für die Cephalica mit Einmüadung derselben in die Jugularis ex- terna posterior unlängst wieder an der linken Seite einer männli- chen Leiche angetroffen habe. An einer anderen Leiche drang die schwache Cephalica zwischen der Clavicula und dem Subelavius | zur Jugularis externa posterior oder Subclavia, ohne dass es zur Bildung eines férmlichen Infraclavicularkanales gekommen war. In einem dritten Falle, an der Leiche eines neugeborenen männ- lichen Kindes, gab die linke Cephalica, kurz vor ibrer Mündung in

| die Axillaris, einen 1/, Z. laugen Communicationsast zur Jugularis | externa posterior, die am Vereinigungswinkel der Jugularis interna | mit der Subelavia sich üôffnete. Der Communicationsast verlief zwi- | schen der Clavicula und dem Subelavius, 1/, Z. von dem Sternal-

ende der ersteren entfernt, median- und rückwärts, ohne dass wie-

der ein formlicher Infraclavicularkanal gebildet worden war. Ob | der von Krause I. c. S. 776 bisweilen geschene Nebenzweig | der in die Axillaris mündenden Cephalica, welcher hinter der Cla-

vicularportion des Pectoralis major quer verlief und in die Subela- via mündete, mit dem beschriebenen Communicationsaste gleichbe- deutend sei oder nicht, ist unbekannt, weil seines Verhaltens zum Subelavius nicht gedacht ist. Die Cephalica theilt sich bisweilen an ihrem Ende in zwei AÂste, wovon der eine über der Clavicula zur Jugularis externa posterior oder Subelavia, der andere in die Axil- |Jaris mündet. M. J. Weber Handb. d. Anatomie d. menschl. | Kôrpers. Bd. 2. Bonn 1642, S. 240. will den Ast zur Subclavia dahin unter der Clavicula verlaufen gesehen haben. Ob der so ver- laufende Ast meinen Füällen, in welchen die Cephalica zwischen der | Clavicula und dem Subclavius zur Jugularis externa posterior oder

Subelavia sich begab, entsprochen habe oder nicht, ist ebenfalls

251

dem sie sich um die Clavicula geschlagen hatte *), aber er hat eines besonderen Verhaltens der Vene zum Pectoralis major und Subclavius nicht erwähnt, was, wie zu vermuthen ist, er nicht unerwähnt ge- lassen haben würde, falls ein solches da gewesen wäre. Dies lässt schliessen, dass er nur die Abweichung des Verlaufes, bei welcher die Vene vor der Clavicula zur Fossa infraclavicularis herabstieg, durch diese drang und unter dem Subclavius zur Subclavia sich begab, nicht die beschriebene neue Abweichung, wovon ich das Präparat besitze, vor sich gehabt habe.

Die Vene theilt sich vor ihrer Mündung bisweiï- len in zwei Âste, wovon beide über der Clavicula, oder einer über dieser, der andere unter dersel- ben in die Tiefe dringen und im letzteren Falle die Clavicula wie umklammern. Von der ersten Art giebt es 4 Varianten: Es münden beide Âste in die Subelavia; oder der laterale in diese, der mediale am Vereinigungswinkel der Jugularis interna mit der Subclavia; oder der laterale in die Subclavia, der me- diale in die transversale Portion des Stammes der vereinigten Jugularis anterior und mediana colli, d. i. der Vena superficialis colli anterior, zu wel- cher derselbe, nachdem er den Cleidomastoideus von vorn gekreuzt hat, an der Fossa suprasternoclavicu- laris durch die Lücke zwischen dem Cleidomastoi- deus und Sternomastoideus und dann durch die vordere Wand des Saccus coecus retro-sternocleido- mastoideus des Spatium interaponeuroticum supraster- nale, über welchen ich nächstens berichten werde, dringt, wie ich 1864 an einer Leiche beobachtete, an der die Jugularis anterior sehr stark, die Jugula- ris externa posterior schwach war; oder der laterale Ast in die Subclavia, der mediale in die Jugularis in- terna, wie Fr. W. Theile‘) sah. Bei der zweiten Art mündet der hintere Ast in die Subelavia, der vordere in die Axillaris oder Cephalica, zu welchen er vor der Clavicula durch die Fossa infraclavicula- ris dringt. In einem Falle, der mir unlängst vorge- kommen ist, üffnete sich der laterale hintere Ast in die Subclavia vom Cleidomastoideus */, Z. lateralwärts,

ungewiss, weil des Verhaltens des Astes zum Subclavius gleichfalls nicht gedacht ist.

5) L. c.

6) S. Th. v. Sümmerring. Lehre v. d. Muskeln d. meuschl. Kôrpers. Leipzig 1841, S. 297.

Bulletin de l’Académie Impériale

252

der mediale vordere aber stieg an und vor dem la- teralen Rande dieses Muskels und vor der Clavicula in die Aegio infraclavicularis herab, durchbohrte hier die Clavicularportion des Pectoralis major, drang durch das Trigonum clavipectorale und mündete knapp unter dem Subelavius in die Axillaris.

Nach früheren Beobachtungen, welche ich längst mitgetheilt habe”), so wie nach den von mir seit je- ner Zeit gemachten neueren Beobachtungen inserirt sich der Cucullaris nicht selten mit einer mehr oder minder breiten oder starken anomalen Portion an den sonst von Muskelinsertion freien Theil der Cla- vicula. In solchen Füällen ist diese anomale Por- tion in der Regel, aber nicht immer, durchbro- chen. Im ersteren Falle bildet sie mit der Clavicula ein Loch, durch welches immer Nervi supraclavicu- lares, bald alle bald nur einige, heraus, die Jugula- ris externa posterior in der Regel, aber nicht immer, hineintritt. An einer männlichen Leiche fand ich 1861 den rechten Cucullaris mit einer anomalen Por- tion bis hinter die laterale Hülfte des Cleidomastoi- deus an die Clavicula befestigt. Der Cucularis reichte daher unten hinter den Sternocleidomastoideus, wei- ter oben und in der Hühe des Interstitium crico-thy- reoideum des Larynx bis 2—3 Lin. Abstand vom genannten Muskel vorwärts. Die anomale Portion bedeckte die Regio omoclavicularis vüllig, die Regio omotrapezica grôsstentheils. Sie war in Abständen von den Nervi supraclaviculares durchbohrt, besass jedoch für sie und die Jugularis externa posterior nicht die übliche Offnung. Die Jugularis externa posterior verlief jederseits vor der Clavicula in die Regio infraclavicularis, ging durch die gleichnamige Fossa zur Axillaris und mündete in letztere. In dem Falle von Vorkommen eines bogenfôrmig über die Clavicula ausgespannten Musculus supraclavicularis proprius, welchen ich 1865 beobachtete und be- schrieb*), ging die Jugularis externa posterior eben- falls nicht durch die Lücke zwischen dem Muskel und der Clavicula, während doch die Nervi supracla- viculares durch sie heraustraten. Die Vene verlief wie im vorigen Falle vor der Clavicula abwärts und

7) Vier Abhandl. etc. S. 17, Taf. 2.

8) Supernumeräre Schlüsselbeinmuskeln. Arch. f. Anat., Physiol. und wissenschaftl. Medicin. Leipzig, Jahrg. 1865, $S. 708, Taf. X VIII, Fig. 1.

253

mündete in die Axillaris. Unter den Fällen der gab- ligen Theilung der Jugularis externa posterior sah ich einen ihrer Âste durch das von der anomalen Portion des Cucullaris und der Clavicula gebildete Loch zur Subclavia sich begeben.

Bei der Vornahme von Operationen am Schulter- gürtel dürfte es nicht überflüssig sein, darauf zu ach- ten, dass die Clavicula anomaler Weise von der Ju- gularis externa posterior gekreuzt, oder von starken Âsten derselben umklammert, oder sogar von dem ganzen Stamme der letzteren umschlungen werden künne.

Erklärung der Abbildung, Rechter Schultergürtel eines Mannes.

1. Acromion. 2. Clavicula.

a. Museulus cucullaris.

«. dessen anomale supernumeräre Portion.

b, b' M. sternoeleidomastoideus.

ce. M. deltoideus.

d. Clavicularportion des M. pectoralis major.

8. Deren äusseres, mittelst eines Sehnen- bogens von der Clavicula entspringendes Driitel.

e. Die in der Fossa infraclavicularis sichtbare Portion des M. subclavius und der Faseia co- racoclavicularis.

Endstücke der anomai verlaufenden Vena ju- gularis externa posterior.

Elliptischer Eingang in den anomalen Infra- clavicularkanal für die Vena jugularis ex- terna posterior.

St. Petersburg, d. 17. September 1867.

an

\

Notiz über locale Paralyse, durch Saponin und ihm ähnliche giftige Stoffe (Githagin, Senegin etc.) hervorgebracht, von E. Pelikan. (Lu le 3 octobre 1867.)

Ich habe im Laufe dieses Sommers, nach dem Er- scheinen der Abhandlung von Hrn. Nathanson '), mich mit den Wirkungen einiger physiologisch noch wenig untersuchten giftigen Pflanzenstoffe bekannt ge-

1) O chmerax& uoxesaro Kykoz, C. IT. B. 1867.

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

254

macht, wobei ich eine in toxicologischer Beziehung interessante Erscheinung kennen lernte, welche bis jetzt noch nicht beobachtet worden ist.

Es muss zunächst befremden, dass Orfila, selbst in der letzten Ausgabe seiner Toxicologie vom Jahre 1852, der Kornraden-Samen (Agrostemma Githago L.) nicht erwähnt, und dies um so mehr, da schon im J. 1843 darauf bezügliche Untersuchungen *) von Ma- lapert der medicinischen Akademie in Paris vorge- legt worden waren, durch welche zum ersten Mal dargethan wurde, dass die giftige Wirkung dieser Samen von nichts anderem als dem Saponin herrührt, welches auch in den Wurzeln von Saponaria officina- lis und besonders S. aegyptiaca vorhanden ist, und in der ietzteren Pflanze, den Botanikern als Gypsophila Struthium L. bekannt, von Bussy entdeckt und als identisch mit dem von Scharling Githagin benann- ten Kürper erkannt wurde. Denselben Kürper be- schrieb Schultze unter dem Namen Agrostemmin. Der Ansicht von Bussy trat die Mehrzahl der Che- miker bei, und ist dieselbe jetzt als allgemein ange- nommen zu betrachten. Jedoch nicht nur in der Gat- tung Saponaria, sondern noch in vielen Pflanzen ver- schiedener Familien, wie z. B. ausser den Sileneen, auch in den Polygaleen, Sapindaceen, Hippocasta- neen, Spiraeaceen etc. ist Saponin aufgefunden wor- den, so dass gegenwärtig dieser Kürper (wenn aus Polygala Senega gewonnen, als Senegin in der Medi- cin gebraucht), meist wie Seife zum Abwaschen von Fettflecken auf gewissen Zeugen benutzt, als ein im Pflanzenreich weit verbreiteter zu betrachten ist.

Den speziellen Untersuchungen von Malapert verdanken wir die ersten Angaben über die toxicolo- gischen Eigenschaften des Saponins, und er bemerkte zuerst, dass der feine Staub aus einem Saponin ent- haltenden Gefässe eingeathmet, hartnäckiges Niesen, begleitet von Schmerzen hinter dem Brustbein, her- vorbringt. Nach den durch seine Versuche ermittel- ten Wirkungen zählt Malapert das Saponin zu den narkotisch-scharfen Stofien.

Diese zu allgemeine Bezeichnung eines so kräftig wirkenden Stofïes bestimmte mich, eine Reihe von Ex- perimenten mit dem von Hrn. Nathanson darge-

2) Bei Gelegenheit einer zufüllig stattgehabten Vergiftung von 16 Hausvügeln, die mit Teig, der diese Samen enthielt, gefüttert waren, (Annales d'hygiène publique 1852. T. 47, pag. 350).

255

Bulletin de l’Académie Hmpériale

256

ee ———_—_—]—ÙZUZUZUZUEU

stellten Githagin anzustellen (welches er für verschie- den hält vom Saponin), und auch die Wirkung dieses letztgenannten Kürpers auf den Organismus zu ver- folgen, wobei ich viererlei Arten Saponin benutzt habe, die ich vom Prof. J. Trapp gefälligst erhielt, nämlich: 1) hier am Orte käufliches Saponin (aus dem Apothekerwaaren-Depot); 2) Senegin von Schering aus Berlin; 3) Senegin von Prof. Trapp, aus der Wur- zel von Polygala Senega gewonnen und 4) Saponin aus der Rinde des chilesischen Baumes Quillaja Sa- ponaria Molin. Es ergab sich dabei, dass alle vier Präparate eine gleiche Wirkung hervorbringen, nur mit dem Unterschiede, dass das Githagin (von Na- thanson) allem Anscheine nach die stärkste Wir- kung habe; eine geringere dem Saponin aus der Rinde von Quillaja zukomme und die schwächste dem Se- negin.

Schon im J. 1857, mit der Untersuchung eines der stärksten Herzmuskelgifte, dem Upas antiar, beschäf- tigt, beobachtete ich, dass dasselbe, unter die Haut des Froschfusses gebracht, charakteristische Erschei- nungen von Lähmung, zunächst des Herzens und dann der Muskeln der willkürlichen Bewegung her- vorbringt, wobei Muskelstarre stärker und schneller an der Intoxications-Stelle als an entfernter liegen- den Stellen bewirkt wurde *). Eine eben solche locale Wirkung auf die Muskeln beobachtete ich später auch bei einigen anderen Giften (Digitalin, Tanghinia ,Inée, von Helleborus viridis und Nerium Oleander); doch ganz besonders trat diese Erscheinung durch die so- genannten Muskelgifte (Dybkowsky) hervor, d. h. diejenigen Gifte, welche zuerst die Muskeln und dann das Herz paralysiren. Unter denselben sind das Schwe- feleyankalium und Veratrin die stärksten. Die locale Wirkung auf die Muskeln stellt sich jedoch (wenn die Dose des Giftes nicht zu bedeutend war) erst nach dem Tode des Thieres ein, nachdem der Herzschlag und die tetanischen Muskelbewegungen (durch ge- wisse Gifte hervorgebracht) aufgehürt haben und eine allgemeine Gefühllosigkeit mit Aufhebung sämmtlicher Reflexbewegungen eingetreten ist.

Einige Abweichungen vom eben Beschriebenen habe ich bei der paralysirenden Wirkung des Saponins beobachtet. Es ist hinreichend, 1—2 Tropfen von der

3) Mémoires de la Société de biologie. Novembre, 1857.

concentrirten, wässrigen Lüsung dieses stark schäu- menden Kürpers unter die Haut des Unterschenkels des Frosches zu bringen, an die Stelle, wo die Sehne des Gastrocnemius sich anheftet, und schon nach 5—6 Minuten bemerkt man eine bedeutende Erschlaffung in der unteren Fusshälfte und dem Unterschenkel, un- mittelbar darauf hüren die Reflexbewegungen des ver- gifteten Fusses auf, und sogar weder mechanische, che- mische, noch electrische Reizungen sind im Stande die- selben wieder hervorzubringen. Ja, man kann sogar den Fuss in Stücke zerschneiden (amputiren), und der Frosch giebt nicht die geringsten Zeichen von Bewe- gung oder Gefühl zu erkennen; alle übrigen Glieder desselben befinden sich jedoch in ganz normalem Zu- stande; er macht Sprünge, wobei er den gelähmten Fuss auf der Erde nachschleppt. Isolirt man alsdann den Jschiadicus der vergifteten Seite, so bemerkt man, bei Reizung desselben durch einen unterbrochenen Strom (mittelst des Schlitten-Apparats von du Bois- Reymond), zuerst eine Schwächung in der Muskel- contraction, welche letztere bald darauf gänzlich aus- bleibt, so dass selbst die stärksten Inductionsstrôme, durch den Nerv durchgeleitet, gar keine Muskelcon- traction an der Intoxicationsstelle hervorzurufen im Stande sind.

Wenn man jedoch zu dieser Zeit den oberen Theil des Nerven entfernt von der Incoxications-Stelle reizt, so entstehen normale Contractionen in denjenigen Muskeln, welche nicht von dem Gifte berührt worden sind; der Frosch macht starke Bewegungen mit dem gesunden Fusse, den Vorderfüssen, dem ganzen Rumpfe, indem er auch den vergifteten Fuss an sich zieht, und nicht selten durch Gekreisch die durch Reï- zung hervorgebrachten Schmerzen kund giebt. Durch- schneidet man vor der Vergiftung des Thieres den Ischiadicus am Oberschenkel, so wird der Eintritt der Lähmung des Fusses um ein Weniges verzügert, aber die erwähnte Differenz in Bezug auf Reizbarkeit der peripherischen und centralen Endigungen des Nerven gesteigert.

Wenn die von Gift ergriffenen Muskeln unmittelbar galvanisirt werden, so kann man beim Beginn der Vergiftung, wenn der Nervenstamm schon aufhôrt auf die Muskeln einzuwirken, in ihnen noch Contractio- nen hervorrufen, welche sichtlich immer schwächer und schwächer werden, und nach einiger Zeit (15,

257

20, 30 Minuten, je nach der Quantität des Giftes und dem Grade der Reizbarkeit des Thieres), ganz aufhô- ren. Bei diesem allmählichen Schwinden der Reizem- pfänglichkeit zeichnen sich diejenigen Stellen, durch welche die in den Muskeln vertheilten Nerven gehen, durch einen immer grüsseren Grad von Reizbarkeïit vor den übrigen aus.

Unterbindet man die Gefässe einer Seite und lässt den Nerv unversehrt (ligature en masse), so wird da- durch die Wirkung des Giftes, welches unter die Haut der Extremität gebracht worden, bedcutend be- schleunigt.

Unterbindung der Aorta nach der Methode von CI. Bernard hat dieselbe Wirkung.

Selbst wenn man die Extremitäten ganz vom Kôr- per des Thieres abtrennt, erhält man dasselbe Resul- tat, nur mit dem Unterschiede, dass sich die Wirkung des Giftes etwas später kund giebt. Die vorderen Ex- tremitäten, verschiedene Stellen des Rumpfes und selbst isolirte Muskeln, vom Gifte berührt, offenbaren gleichfalls seine Wirkungen. Übrigens sind Letzteres Erscheinungen, welche in Gemeinschaft mit Kôülli- ker von uns bei Untersuchung des Upas antiar und anderer ähnlicher Gifte beobachtet worden sind.

Gauz dasselbe in Bezug letzterer beobachtet man auch bei dem Saponin, denn wenn man einen Frosch mit Curare (Kôlliker, Vulpian) vergiftet und dan in einen seiner Füsse Saponin bringt, so stellt sich die Paralyse desselben mit all den oben erwähnten charakteristischen Erscheinungen von Erschlaffung und Aufhebung der Muskelreizbarkeïit ein.

Wenn die Quantität des hineingebrachten Giftes sehr bedeutend war, etwa 3, 5 und mehr Tropfen von der concentrirten Lôsung, so bemerkt mau einige Stunden nach Eintritt der beschriebenen Paralyse auch in den anderen Kôrpertheilen paralytische Wir- kungen: ihre Empfindlichkeit nimmt ab, die Reflex- contractionen hüren auf und das Herz steht still. Es kômmt jedoch zum Stillstehen immer erst nach Auf- hebung der Reflexe und nicht immer mit leerem com- primirten Ventrikel, wie es bei Vergiftung von Frü- schen mit den sogenannten Herzgiften zu sein pflegt.

Selbst wenn man eine Lüsung von Saponin auf das Herz giesst, so wird auch in diesem Falle, wenngleich verhältnissmässig schneller, das Herz paralysirt, aber es hôrt nicht auf, sich zu bewegen, bevor nicht eine

Tome XII.

des Sciences de Saint-Pétersbourg. 255

=

bedeutende Schwächung des Thieres eingetreten ist, zuweilen sogar erst nach dem Schwinden der Reflex- contractionen.

Auf diese Versuche an Früschen fussend, lässt sich, wie mir scheint, Folgendes behaupten:

1) dass das Saponin und ihm identische Kürper ersichtlich nicht nur zu den Muskelgiften zu zählen sind, sondern dass sie zuerst (in erster Linie) Para- lyse der Muskeln, desgl. der Gefühlsnerven an derje- nigen Stelle des Kürpers hervorbringen, wo sie ein- geführt wurden. Das Letztere offenbart sich durch Abwesenheit der Reflexe nach Reizung des vergifteten Theiles ;

2) dass die in den Muskeln befindlichen Übertra- gungs-Organe zwischen Nerv und Muskel erst nach Lähmung der Muskeln selbst ergriffen werden, was sich durch die Reizbarkeit kund giebt, welche grüsser ist an den Stellen des Eintritts der Nerven in die Muskeln als an anderen. Es ist môglich, dass diese Übertragungs - Organe sogar nicht ergriffen werden (wie es Külliker beim Veratrin annimmt), weil näm- ich, wenn die Muskelsubstanz so verändert worden, dass sie nicht mehr in Folge von gewülinlichen schwa- chen Reizungen eine Reaction dureh ihre Contraction kund giebt, wir weniger Recht haben, diese vermin- derte Reizbarkeïit der Veränderung normalen Eigen- schaften dieser Organe, Muskelcontractionen hervor- zurufen, zuzuschreiben, als vielmehr der vorhandenen schon sichtlichen Abnahme der Muskelreizbarkeit, auf welche vollständige Paralyse und Starre der ver- gifteten Muskeln sich einstellt.

3) Die locale oder begrenzt paralysirende Wirkung des Saponins kann nicht erklärt werden durch eine bloss rein physikalische Veränderung des Muskelgewe- bes an den Intoxicationsstellen, erstens schon deshalb nicht, weil diese Wirkung auch bei Anwendung ver- dünnter Lüsungen des Saponins und nicht grosser Quantität derselben sich einstellt; ferner, weil sein endosmotisches Âquivalent ein sehr grosses ist, d. h. es diffundirt durch die thierische Membran in eine wässrige Lôüsung nur in sehr geringem Grade und hat durchaus nicht die Eigenschaft dialytischer Stofle (Graham); endlich auch deshalb nicht, weil eine derartige paralysirende Wirkung nicht bemerkt wird bei Anwendung von Giften, welche sichtlich das

Muskelgewebe verändern. Des Vergleichs wegen wur- 17

259

Builetin de l’Académie Empériale

260

den abermals concentrirte Säuren, Alkalien, Salzlü- sungen, arabisches Gummi, Dextrin ete. angewendet, jedoch nicht ein einziger dieser Stoffe bewirkte dem Saponin ähnliche Erschemungen.

Diese local paralysirende Wirkung des Saponins bietet einiges Analoge mit anderen specifisch wir- kenden (2. B. die Nervenelemente der Pupille paraly- sirenden) Kôrpern, wie Atropin, Physostigmin etc.

4) Das Saponin, früher in der Medicin in Gebrauch, ist berufen, wie es scheint, eine andere Rolle als die- jenige, welche ïhm bis jetzt zuertheilt worden zu spie- len und verdient daher eine nähere Beachtung in der Klinik

Einige von mir bis jetzt an Kaninchen angestellte Experimente zeigten, dass das Saponin auch bei die- sen Thieren nach Einspritzung unter die Haut eine locale Schwächung der Gefühlsnerven hervorruft und in das Auge gebracht, sehr bemerkbar die Pupille verengert, wobeï es eine heftige Entzündung der Con- junctiva bewirkte. Ich halte jedoch diese Experimente noch für zu unvollständig, um mir zu erlauben, aus ihnen irgend welche Folgerungen zu ziehen.

Über die Varietäten des Musculus brachialis internus, von Dr. Wenzel Gruber, Professor der Anatomie. (Lu le 17 octobre 1867.)

Fremde Beobachtungen, 1. Mehrkôpfiger Brachialis internus.

Der Brachialis internus kann durch tiefe, von dem obersten Anfange zwischen seinen beiden Zacken be- ginnende Spaltung in zwei Hälften nach J. Fr. Me- ckel') u. A. zweikôpfig, oder durch Selbstständig- werden der zwischen dem Deltoideus und Brachio-ra- dialis entspringenden Portion nach B. $. Albin”) u. A. dreikôüpfig werden.

2. Vom Brachialis internus abgelüste Bündel und Portionen. 1. Von der lateralen Partie abgelüste Bündel. a. Mit Ansatz an den Radius.

Ein mit dem Brachialis internus gemeinschaftlich

1) Handb. der menschl. Anatomie. Bd. 1. Halle u. Berlin 1816. S. 505.

2) Hist. musc. hom. Leidae Bat. 1734. 40, p. 438.

entspringender Bauch oder entspringendes Bündel lôst sich von seiner lateralen Seite ab, welches sich, wie F. Führer”) beobachtete, an die mediale Seite des Halses des Radius inserirte, oder, wie Henle‘) sah, an den Radius unterhalb dem Ansatze des Bi- ceps brachïi sich anheftete und theilweise in die Un- terarmaponeurose überging. b. Mit Ansatz an die Ulna.

Ein von der lateralen Seite des Brachialis inter- aus abgelüstes Bündel inserirte sich unterhalb sei- ner Sehne an die Ulna, gekreuzt und verbunden mit einer Sehne, die von der Ulna kam und in einen lan- gen, schmalen Kopf des Mittelfingerbeugers vom Fle- xor digitorum sublimis überging, wie Henle *) beob- achtete.

c. Mit Endigung in die Unterarmaponeurose.

S. Th. Sümmerring*) führt an, dass bisweilen ein vom Brachialis internus separirtes Bündel sich sehnig am Brachio-radialis ausbreite.

2. Von der medialen Partie abgelüste Schich- ten und Bündel.

a. Mit Endigung in den Brachialis internus selbst.

Rich. Quain ”) hat an einem rechten Arme etwa 2 Z. über dem Epitrochleus eine etwa 2 Z. breite und an einem linken Arme eines anderen Individuums gleich über dem Epitrochleus eine etwa 1 Z. breite, dünne Schicht, eine Strecke weit vom Ursprunge an, losgelôst gesehen, in welchen beiden Fällen, bei ho- hem UÜrsprunge der Art. radialis, die Art. ulnaris communis mit dem Nervus medianus hinter der ab- gelüsten Schicht ihren Verlauf nahmen.

b. Mit Endigung in die Unterarmaponeurose.

Fr. W. Theile®), J. Henle”), J. Wood ") und wohl auch A. haben einen im Suleus bicipitalis medialis her- absteigenden Muskel (M. brachio-fascialis- Wood), der

arr

3) Handb. d. chir. Anatomie. Berlin 1857. $. 526.

4) Handb. d. Muskellehre d. Menschen. Braunschweig, 1858. S. 182. 5) L. c. 6) De corp. hum. fabrica. Tom. IT. Traj. ad M. 1796. p. 239.

7) The anat. of the arteries of the human body. London 1844. 80. p. 225; Atlas Fol. PI. 37. Fig. 3, 4.

8) Lehre v. d. Muskeln. Leipzig. 1841. S. 240.

9) L. c. S. 178.

10) Variations in human myology. Proceed. of the royal. soc. Vol. XV. M: 86. 1866. p. 234.

261

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

26?

de deal Ne UT sonst mit dem Biceps brachii, als dessen dritter Kopf, | an beiden Armen eines robusten Mannes, der an bei-

sich vereiniget, in die Unterarmaponeurose, entweder direct, oder durch den aponeurotischen Fascikel der Sehne des Biceps brachii indirect, endigen gesehen. Falls dieser Muskel die Bedeutung eines abgelüsten Bündels des Brachialis internus hatte, gehüren die Fälle hierher.

2. Supernumeräre Brachiales interni. a. Brachialis internus minor lateralis.

Diesen Muskel sah zuerst Hildebrandt!') an bei- den Armen eines Weibes. Der Muskel entsprang von der lateralen, vorderen Fläche des Humerus in Ver- bindung mit dem Anconeus externus, stieg neben dem gewôhnlichen Brachialis internus herab und heftete sich an die Ulna neben der Insertion des Brachialis internus. Denselben Muskel fand auch M. Dawson ”) am rechten Arme eines Jünglings, an dem zugleich der Brachio-radialis minor zugegen war. Der Muskel entsprang an der Aussenseite des Brachialis internus, lag zwischen diesem und dem Brachio-radialis minor und inserirte sich sehnig an die Tuberositas ulnae.

b. Brachialis internus minor medialis biceps.

Diesen Muskel sah J. Fr. Meckel"®). Der Muskel entsprang mit dem oberen Kopfe vom Humerus, 2 Z. über dem Epitrochleus, mit dem unteren vom Prona- tor teres bedeckten Kopfe vom Epitrochleus. Nach- dem beide Küpfe in einer Strecke von 2 Z. sich mit einander vereinigt hatten, inserirte sich der Muskel an die Ulna.

Eigene Beobachtungen, 1. Zweikôpfiger Brachialis internus.

Ausser der bekannten, auch von mir in mehre- ren Fällen beobachteten Art. bei der der Muskel dureh tiefe Spaltung, welche vom Winkel des Raumes zwischen seinen beiden Zacken am obersten Anfange beginnt, zweiküpfig wird, habe ich noch eine andere Art beobachtet und darüber die Präparate in meiner Sammlung aufbewahrt. Ich sah nämlich im April 1865

11) Beobachtung einer merkwürdigeu Varietät am Nervo mucsu- lo-cutaneo, und einiger Muskelvarietäten. J. Fr. Blumenbach's medic. Bibliothek. Bd. 3. St. 1. Gôttingen 1788. S. 176.

12) Sketch of two small supernumerary muscles of the arm. The Edinburgh med. a. surg. Journ. Vol. 18. 1822. p. 82. A 7.

13) Beschreibung einiger Muskelvarietäten. Deutsch. Arch. f. d. Physiologie, Bd. 8. Halle 1823. $. 589.

den Armen einen supernumerären Brachio-radialis minor und am rechten Arme einen supernumerären dritten lateralen Kopf des Biceps brachii aufwies, von der lateralen Partie des Brachialis internus, die untere, 2 Z. breite Portion als lateralen Kopf durch eine weite, bis auf den Knochen dringende Lücke, von der oberen 3°, Z. breiten, vüllig geschieden. In der Lücke entstand von der vorderen lateralen Flä- che des Humerus das obere Ende des zugleich vor- handenen Brachio-radialis minor, der abwärts ne- ben dem genannten lateralen Kopfe des Brachialis in- ternus entsprang und vor diesem Kopfe lag.

2. Vom Brachialis internus abgelüste Bündel.

1) Im Sulcus bicipitalis laleralis u. s. w. gela- gerte Bündel (abgesehen von manchen supernume- rären Küpfen des Biceps brachii und Brachio-radia- lis, die als abgelüste Bündel des Brachialis internus gedeutet werden künnen).

a. Mit Ansatz an den Radius.

1. Fall. Beobachtet am rechten Arme eines ro- busten Mannes, der an demselben Arme einen vier- Küpfigen und am Jlinken Arme einen dreikôpfigen Bi- ceps brachii besass. (Bereits 1848 verôffentlicht) "). Ein starkes, Ÿ/, Zoll breites und dickes Bündel.

Abgang. Von der lateralen Zacke des Brachialis internus.

Ansatz. Mit einer rundlichen Sehne an den Ra- dius,'unterhalb der Insertion des Biceps, und mit ei- nem von der Sehne kommenden, aponeurotischen Fas- cikel an die Unterarmaponeurose.

2. Fall. Beobachtet im November 1861 an einem Arme eines Mannes. Zwei hinter einander gelagerte sündel.

Abgang. Von der vorderen Seite der lateralen Häülfte des Brachialis internus unter einander.

Ansatz. Des oberflächlichen, schmäleren Bün- dels mit einer Sehne an die Tuberositas radii, unter- halb der Insertion der Sehne des Biceps brachii ; des tiefen, breiten neben der Tuberositas radii zwischen dem Supinator und der Bursa mucosa bicipitis brachii.

14) W. Gruber. Seltene Beobachtungen a. d. Gebiete d. menschl. Anatomie. Müller’s Arch. f. Anat, u. s. w. Berlin 1848, $. 428, 17%

263

Bulletin de l’Académie Hmpériale

264

3. Fall. Beobachtet 1864 am rechten Arme ei- nes Mannes.

Ein bandfôrmiges, am Anfange 7 Lin., 1'/,—2 Lin. breites Bündel.

Abgang. Über der medialen (nicht lateralen) Zacke des Brachialis internus zwischen dem Deltoideus und Coraco-brachialis.

Verlauf. Zuerst hinter dem Biceps brachïi, lateralwärts davon.

Ansatz. Mit einer an der hinteren Fläche und am lateralen Rande des Fleischkürpers des Muskels noch 1}, Z. hoch aufsteigenden Sehne, an die Tuberositas radii unter der Insertion der Sehne des Biceps brachui.

am Ende

dann

b. Mit Ansatz an den Radius und an den Pronator teres.

Beobachtet im Januar 1861 an dem rechten Arme eines Mannes, an dem ein 3 Z. 3 Lin. langes und 1 Lin. dickes Vas aberrans vorkam und die Mediana profunda den Nervus medianus durchbohrte. Das Vas aberrans ging 1 Z. 4 Lin. über der Theiïlung der Bra- chialis in die Radialis und Ulnaris communis ab, ver- lief mit dem Nervus medianus, an dessen hinterer Fläche, durch den Pronator teres und mündete in die Ulnaris communis, knapp über ihrer Theilung in die Ulnaris propria und Interossea communis. Die Durch- bohrung des Nervus medianus durch die Mediana profunda ging 1 Z. unter deren Abgange von der Ulmaris propria vor sich.

Ein 3 Z. 4 Lin. langes (am Fleischtheile 1 Z. 10 Lin., an der Endsehne 1 Z. 6 Lin.), am Fleischtheile 3 Lin. und an der platt-rundlichen Sehne ‘, Lin. brei- tes und am Fleischtheile 1—1°, Lin. Riche Bündel.

Abgang. Vom lateralen Theile des Brachialis in- ternus.

Ansatz. Mit einem Theile Bündeln seiner Sehne an den Radius, unter dessen Tuberosität; mit dem an- deren an den Pronator teres bei Übergang in dessen Sehne.

c. Mit Ansatz an die Ulna u.s. w.

Beobachtet im Februar 1865 an beiden Armen ei- nes Mannes.

Ein bandfürmiges, an den Enden verschmälertes, an beiden Armen 6 Z. langes, am rechten Arme 6 Lin., am linken S Lin. breites, an beiden Armen 1% Lin. dickes Bündel.

Abgang. Jederseits über der medialen Zacke des Brachialis internus.

Verlauf. Theilweise hinter dem Biceps brachii, theilweise im Sulcus bicipitalis lateralis u. s. w.

Endigung. Des Bündels am rechten Arme mit ei- nem kurzen, strangformigen Bündel seiner 6 Lin. lan- gen und 3—4 Lin. breiten Sehne an der Ulna neben der Sehne des Brachialis internus, und mit einem an- deren, 1 Z. 6 Lin. langen Bündel am aponeurotischen Theile des Supinator; des Bündels am linken Arme mit 5 L.—1", Z. langen, theilweise wieder getheiïlten Bündeln seiner 1 Z. langen und 4— 5 Lin. breiten Sehne: an der Tuberositas ulnae, an beiden Sehnen des Biceps brachïüi, an der Sehne des Brachialis inter- nus und am Radialis externus longus.

d. Mit Ansatz an den Pronator teres.

Beobachtet 1858 an einem Arme eines Mannes, an welchem ausserdem ein dreiküpfiger Biceps brachii vorkam, dessen supernumerärer Kopf mit einer lan- gen Sehne vom Tuberculum minus humeri entsprang, zwischen den normalen Küpfen verlief und sich mit dem kurzen Kopfe vereinigte.

Ein strangformiges Bündel von 8 Z. Rénsé (5 Z. 6 Lin. am Fleischtheile, 2 Z. 6 Lin. an der Sehne), 2 Lin. Breite am Fleischtheile und ‘, Lin. Breite an der Sehne und 1 Lin. Dicke am Fleischtheile.

Abgang. Von der medialen Zacke des Brachialis internus, knapp am Deltoideus.

Endigung. In den sehnigen Theil der hinteren Fläche des Pronator teres mit einer die Sehne des Bi- ceps brachii und dessen Bursa mucosa einhüllenden breiten Membran, in welche seine schmale Sehne en- digte.

e. Mit Endigung in die Unterarmaponeurose.

(Fasciculus brachio-fascidis lateralis.)

E. A. Lauth ®) hat angegeben, dass vom lateralen (äusseren) Rande des Brachialis internus eine dünne Flechsenhaut ausgehe, die sich in der Unterarmapo- neurose verliere. Ich habe dieses oft, aber nicht immer beobachtet. Auch sah ich die Aponeurose ausser dem lateralen Rande der Sehne des Brachialis internus, nur noch eine Strecke weit (bis 1 Z.) von der Fleischpor-

15) Neues Handb. d. prakt. Anatomie, 2. Auf. Bd. I. Stuttgart u. s. w. 1835. S. 205.

265

tion dieses Muskels und zwar vom lateralen Rande der über dem Brachio-radialis gelagerten, dicken Por- tion desselben abgehen. Die Partie der oberflächli- chen Schicht des Fleischtheiles, welche jene Aponeu- rose abschickt, kann sich ganz oder theilweise, neben dem Biceps brachii und bis zum Anfange der Sehne des letzteren hinauf, vom Muskel ablüsen und ein bandfür- miges oder länglich dreiseitiges Bündel von bis 1°, Z. Länge, bis 6 Lin. und mehr Breite und verschiedener Dicke bilden, welches mit einer verschieden langen und breiten Aponeurose in die Unterarmaponeurose sich verliert. Ich sah diesen Fasciculus brachio-fascialis la- teralis etwa unter 18 20 Leichen einmal an einem Arme oder beiden Armen vorkommen.

2) Im Sulcus-bicipitalis medialis u. s. w. gelagerte Bündel (abgesehen von manchen supernumerären Küpfen des Biceps brachii und des Pronator teres, die als abgelüste Bündel des Brachialis internus ge- deutet werden künnen).

a. Mit Ansatz an den Radius, an die Ulna u. s. w.

Beobachtet im November 1856 am linken Arme eines Jünglings.

Ein spindelfürmig zugespitztes Bündel von 6°, Z. Länge (4"/,Z. am Fleischtheile, 2 Z. an der Endsehne), von 4 Lin. (am Anfange), 2 Lin. (am Ende) Breite, und von 2 Lin. Dicke am Fleischtheile.

Anfang. Unterhalb der untersten Insertion des Coraco-brachialis.

Ansatz. Mit Bündeln einer Sehne, die an der An- fangshälfte platt-rundlich und schmal (1 Lin.), an der Endhälfte ficherfürmig und breit war:

a) an den hinteren Umfang der Tuberositas radii und an die Bursa mucosa m. bicipitis brachii.

b) an die Ulna, unterhalb der Insertion des Bra- chialis internus, und an den Pronator teres.

b. Mit Endigung an der Sehne des Brachialis internus selbst.

Mehrmals und darunter auch über die Art. ulnaris communis, bei hohem Ursprunge der Art. radialis, ge- spannt beobachtet, und von mir ‘) bereits beschrieben.

ce. Mit Endigung in die Unterarmaponeurose.

(Fasciculus brachio-fascialis medialis.)

Ich ‘) habe schon 1848 und 1849 mitgetheilt,

16) Neue Anomalien. Berlin 4849. 40. $. 30. | 17) Seltene Beobachtungen. $S, 427, Neue Anomalien. S. 30.

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

266

eine Reïhe Fälle beobachtet zu haben, an welchen verschieden hoch vom Brachialis internus abgelüste Bündel, die in anderen Füällen als überzählige Kôüpfe mit dem Biceps brachii sich vereinigen künnen, an dem medialen Muskelvorsprung der vorderen Ellen- bogenregion mit einer sehnigen Membran, wie der aponeurotische Fascikel der Sehne des Biceps brachii, in die Unterarmaponeurose endigten.

Ich habe seit jener Zeit wieder mehrere Füälle an- getroffen, an welchen entweder abgelüste Bündel des Brachialis internus oder anscheinend wirklich super- numeräre Muskeln in die Unterarmaponeurose, bald direct, bald indirect durch den aponeurotischen Fas- cikel der Sehne des Biceps brachii, übergingen.

Ich sah die Bündel verschieden breit und stark, ja sogar so breit, dass sie den Nervus medianus und die Vasa brachialia vôllig bedeckten und den Sulcus cu- biti anterior medialis fast gänzlich ausfüllen konnten.

3. Zweibäuchiger Brachialis internus.

1. Fall. Beobachtet im Februar 1859 am rechten Arme eines Mannes.

Die unterste, 1 Z. breite Portion der lateralen Abtheilung des Brachialis internus trennte sich am Ende vüllig von letzterem ab und bildete einen su- pernumerären Bauch. Dieser endigte an einem 1”, Z. langen Sehnenbogen, welcher mit dem media- len Schenkel an die Tuberositas major ulnae, mit dem lateralen Schenkel, der zwischen dem Supinator und der tiefen Sehne des Biceps brachii über dessen Bursa mucosa lag, an den unteren Umfang der Tuberositas radii sich befestigt hatte.

2. u. 3 Fall. Beobachtet im November 1863 an beiden Armen eines Mannes.

Der Brachialis internus theilte sich vor der Arti- culatio radio -ulnaris superior in zwei durch einen Sehnenbogen vereinigte Bäuche. Der stärkere ul- nare Bauch inserirte sich wie der gewôhnliche Bra- chialis internus, der schwächere radiale Bauch zog um die Tuberositas radii und um die tiefe Sehne des Biceps brachii lateralwärts herum über der Bursa mucosa m. bicipitis brachii abwärts und befestigte sich an die laterale vordere Kante des Radius, unter dessen Tuberosität.

4. Fall. Beobachtet im November 1866 an einem Arme eines Mannes,

267

Der supernumeräre 1,—°/, Z. breite Bauch in- serirte sich mit einer ziemlich starken Sehne an die Tuberositas radi. unterhalb der Insertion der tiefen

Sehne des Biceps brachii.

4. Supernumeräre Brachiales interni. a. Brachialis internus minor lateralis.

Beobachtet im Februar 1857 am rechten Arme ei- nes Mannes.

Dreiseitiger, 2 Z. 3 Lin. (1 Z. 6 Lin. am Fleisch- theile, *, Z. an der Sehne) langer, 6 Lin. am Ur- sprunge und 2 Lin. am Ansatze breiter Muskel.

Ansatz. An die Ulna neben dem Brachialis inter- nus normalis.

b. Brachialis internus minor medialis.

Beobachtet am rechten Arme eines Mannes, wel- cher am Unterarme einen Tensor lig. carpi volaris proprii besass.

Spindelférmiger Muskel von 6°, Zoll (31, Zoll am Fleischtheile und 3 Z. an der Sehne) Länge; von 3", Lin. am Ursprunge, 5 Lin. am Fleischkürper, 1 Lin. an der Sehne Breite; 1 Lin. am Fleischtheile und *, Lin. an der Sehne Dicke.

Ursprung. Am Angulus humeri medialis gleich unterhalb der Insertion des Coraco-brachialis mit ei- ner 4—6 Lin. langen und 3", Lin. breiten Aponeu- rose.

Verlauf. Vor dem Brachialis internus, dessen Bündel kreuzend und allmählich von dem Angulus hu- meri medialis sich entfernend, bis zur medialen Seite der Trochlea humeri, 1 Z. vom Epitrochleus lateral- wärts, abwärts;: am Ende hinter dem Brachialis in- ternus.

Ansatz. Mit einer starken, dreieckigen, 1 Z. ho- hen und 10 Lin. breiten, mit der Ellenbogengelenk- kapsel verwachsenen Ausbreitung seiner Sehne hinter dem Brachialis internus, über dessen Insertion, quer

an die vordere Fläche des Processus coronoideus der Ulna.

5.

Ursprung miltelst eines brückenfürmig über Gefässe und Nerven ausgespannten aponeurotischen Blattes vom

Ligamentum intermusculare mediale. Beobachtet im September 1867 an beiden Armen eines Mannes, bei Vorkommen einer anomal hoch ent- sprungenen Arteria interossea am rechten Arme.

Buïiletin de l’Académie Hmpériale

268

Der Pronator teres entsprang an beiden Armen noch 1’, Z. über dem Epitrochleus von dem Angulus me- dialis humeri und dem Ligamentum intermusculare mediale. Der Brachialis internus entsprang nicht nur wie gewühnlich vom Humerus an den bekannten Stel- len und darunter von dessen Angulus medialis, son- dern auch über dem Pronator teres noch mit einem am rechten Arme 1 Z., am linken Arme 1, Z. hohen, an beiden Armen ‘, Z. breiten, starken aponeuroti- schen Blatte vom Ligamentum intermusculare me- diale. Dadurch entstand zwischen dem letzteren und dem anomalen aponeurotischen Blatte des Brachialis internus ein Kanal, in welchem, weit von dem gewühn- lichen Platze medialwärts gerückt, am rechten Arme die anomal hoch entsprungene Art. interossea mit den entsprechenden Venen und dem Nervus medianus, am linken Arme dieser und die Vasa brachialia Platz nahmen.

Der Musculus brachialis internus ist somit vielen Varietäten unterworfen. Er kann zweikôpfig (Me- ckel, Gruber u. A.), oder dreiküpfig (Albin u. A.), und zweibäuchig (Gruber) vorkommen. Es künnen sich von seinen beiden Hälften Bündel, Portionen und Schichten ablüsen, die bald im Sulcus bici- pitalis und $. cubiti anterior lateralis, bald im Sul- eus bicipitalis und $. cubiti anterior medialis Platz nehmen. Diese Bündel, Portionen und Schichten en- digen aber auf sehr verschiedene Weise. Die der er- sten Lagerungsart setzen sich an den Radius (Gruber, Führer, Henle), oder an den Radius und Pronator teres (Gruber), oder an die Ulna u. s. w. (Henle, Gruber), oder an den Pronator teres allein (Gruber), oder verlieren sich in die Unterarm- aponeurose Fasciculus brachio-fascialis lateralis (Sômmerring, Gruber). Die der zweiten La- gerungsart setzen sich an den Radius, Ulna u. s. w. (Gruber), oder gehen, nach einer Strecke ihres Verlaufes und nachdem sie in mehreren Fällen ano- mal weit medialwärts gerückte Vasa ulnaria com- munia, bei hohem Abgange der Art. radialis, und den Nervus medianus von vorn bedeckt hatten, wieder in den Brachialis internus über (Quain, Gruber), oder verlieren sich in die Unterarmaponeurose Fasci- culus brachio-fascialis medialis (Theile, Gruber,

269

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

270

Henle, Wood). Auch künnen an beiden Seiten des gewühnlichen Brachialis internus kleinere, ganz selbst- ständige und wirklich supernumeräre Muskeln d. i. der B. 1. minor lateralis (Hildebrandt, Daw- son, Gruber) und der B. i. minor medialis, entwe- der zweikôpfig (Meckel) oder einküpfig (Gruber) angetroffen werden. Endlich kann der Brachialis in- ternus mit einem brückenfürmig ausgespannten apo- neurotischen Blatte auch vom Ligamentum inter- musculare mediale entspringen und mit letzterem ei- nen Kanal zur Aufnahme anomal medialwärts ge- rückter Gefässe und eines Nerven bilden (Gruber).

=

St. Petersburg, den 16. October 1867.

Einige Worte über die Gestalt des Hirns der Seekühe (Sirenia), von J. F. Brandt. (Lu le 17 octobre 1867.)

Da die Hirnbildung der Thiere jedenfalls einen mächtigen Einfluss auf ihre biologischen, besonders ihre psychischen Eigenschaften ausübt, so musste bei meinen monographischen Arbeiten über die See- kühe (wobei namentlich der Bau der von Steller be- schriebenen, so vielfach besprochenen, Form dersel- ben, die Æhytina, ganz besonders Berücksichtigung fand, ja die fraglichen umfassenden Studien veran- lasste) der Wunsch rege werden, Kenntniss von ihrem Hirnbau nehmen zu kôünnen.

Vergeblich sah ich mich indessen nach einer Be- schreibung und Abbildung eines Seekuhhirns um. In allen bisher über den Bau der Seekühe verüffentlichten Mittheilungen vermisste ich die Anatomie des Hirns; ein Umstand, der natürlich darin seine Erklärung fin- det, dass man zeither meist nur in Weingeist aufbe- wahrte Exemplare zergliederte.

Um nun aber doch eine, wenn auch nur oberfläch- liche, Kenntniss über die äusseren Umrisse des Hirns zu gewinnen, liess ich die Hirnhôhle des Schädels der Rhytina, des Manatus und der Halicore mit Gyps aus- füllen. Auf diesem Wege wurden Abgüsse gewonnen, die wenigstens eine allgemeine Idee von den äusse- ren Umrissen des Hirns der genannten drei Gattungen der Sirenen bieten und manche morphologische Kenn- zeichen wahrnehmen lassen.

Sie zeigen namentlich, dass keines der drei Hirne

sich auf den bei den echten Crtaceen herrschenden Typus der Hirnbildung zurückführen lässt.

Selbst von einer innigen Annäherung der Gehirne der Sirenien an die der Pachydermen kann keine Rede sein, obgleich das grosse Hirn der Halicore in Be- zug auf seine Form etwas an das der Tapire, das grosse Hirn der Æhytina aber durch die ansehnliche Breite seiner hinteren Lappen, im Vergleich mit sei- nen vorderen, schmäleren, schwach an das Hirn der Elephanten erinnern dürfte.

Die Gehirnabgüsse der drei Iebend beobachteten Si- rencugattungen weichen übrigens unter sich so bedeu- tend ab, dass jeder derselben ein besonders gestaltetes Hirn zu vindiziren ist, jedoch so, dass die drei, ob- gleich unter sich verschiedenen Hirnformen in einem unverkennbaren, verwandtschaftlichen Connexe ste- hen und sämmtlich im Verhältniss zur Kôrpergrôsse der Thiere auf ein sehr geringes Volum der Hirne der stupiden Sirenien hinweisen.

Das grosse Hirn der Halicore zeichnet sich durch seme Längenentwickelung, die ansehnliche Grüsse des stark .gewülbten vorderen Lappens der grossen He- misphären im Vergleich zum hintereu, kleineren der- selben, so wie durch schmälere processus clavati aus.

Im Gegensatz zu dem von Aalicore erscheint das grosse Hirn bei Manatus viel kürzer, aber in der Mitte und hinten viel breiter, während der vordere und hintere Lappen der Hemisphären gleich gross, die processus clavati aber ansehnlicher sind.

Das grosse Hirn (cerebrum) der Rhytina lässt sich ge- wissermaassen, jedoch nicht ganz streng, als Mittelform zwischen dem von Manatus und Halicore betrachten.

Im Allgemeinen künnte man dasselbe als ein mit weit schmäleren, kürzeren und weniger convexen vorderen, aber mit breiteren hinteren Lappen ver- sehenes, verkürztes Hirn von Æalicore ansehen. Die geringere Convexität des vorderen, so wie die an- sehnlichere Grüsse und Breite des hinteren Lap- pens der Hemisphären erinnern aber offenbar an Ma- natus, eben so wie ihre Verkürzung und die ansehn- lichere Grôsse der processus clavali.

Im dritten, fast vollendeten Fascikel meiner Sym- bolae Sirenologicae sollen die Abgüsse der Sirenen- Hirne noch näher erläutert und gleichzeitig bildlich dargestellt werden.

2

252

oo

BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE.

L'Académie a reçu dans ses dernières séances les ouvrages dont voici les titres:

Zuwachsverzeichniss der k. Universitätsbibliothek zu Tü- bingen. 1865—66. 4.

Journal de l’école impériale polytechnique. 42° cahier. Tome XXV. Paris 1867. 4.

Memorie della reale Accademia delle seienze di Torino. Serie secunda. Tomo XXII. Torino 1865. 4.

Atti della r. Accademia delle scienze di Torino. Vol. I disp. 3—7. Vol. IT disp. 1—3. Torino 1866—67. 8.

Memorie dell I. R. Istituto Veneto di scienze, lettere ed arti. Vol. XIII, part. 1. 2. Venezia 1866. 4.

Atti del r. Istituto Veneto di scienze, lettere ed arti. Tomo XI, disp. 8—10, XII disp. 1—4. Venezia 1865—67. 8.

Monatsbericht der k. preussischen Akademie der Wissen- schaften zu Berlin. 1867. März. April, Mai. 8.

Nachrichten von der k. Gesellschaft der Wissenschaften und der Georg-Augusts-Universität aus dem Jahre 1866. Gôttingen 1866. 8.

Sitzungsberichte der k. bayer. Akademie der Wissenschaf- ten zu München. 1866. Il. Heft IT. III. IV. München 1866. 8.

1867. IL Heft. I—IIL. München 1867. 8. Casopis Musea Krälovstvi Ceského. 1866, XL Roënik, sva- zekIV, 1867, XLI Roënik, svazek [. V Praze. 8. Sitzungsberichte der kaiserl. Akademie der Wissenschaf- ten. Philosophisch-historische Classe. Bd. 53, Heft 1—3. Mathematisch - naturwissenschaftliche Classe. Abth. I. Bd. 54, Heft 2, 3 und Abth. II, Bd. 54, Heft

2— 4. Wien 1866 67. 8.

Philosophical transactions of the royal Society of London. Vol. 156. London 1866. 4.

Proceedings of the royal Society, Vol. XV. À 87—92.

Transactions of the royal Society of Edinburgh. Vol. XXIV, part. IL. 4.

Proceedings of the royal Society of Edinburgh. Vol. V. X 68—70. Edinburgh 1866. 8.

The transactions of the r. Irish Academy. Vol. XXIV, Sc. Part. VIL VIITL. Dublin 1866—67. 4.

Proceedings of the r. Irish Academy. Vol. IX, p. IV. Dub- lin 1867. 8.

Det kongelige danske Videnskabernes Selskabs Skrifter. Femte Raekke. Historisk og philosophisk Afdeling. Tre- die Binds forste Hefte. Kjübenhavn 1866. 4.

Oversigt over det K. Danske Videnskabernes Selskabs Forhandlinger og dets Medlemmers Arbeider; Aaret 1865. N 1—4, 1866, M 1—6, 1867, M 1—3. Kjôben- havn.

Biblioteka Ossolinskich. Pismo historyi, literaturze, umie- jetno$ciom 1 rzeczom narodowym poswiecone. Poczet nowy. Tom dziewiaty. Lwôw 1866.

Transactions and proceedings of the r. Society of Victoria. January 1865 to June 1866. Vol. VIT Melbourne 1866. 8.

Tübinger Universitätsschriften aus dem Jahre 1866. Tü- bingen 1866.

18 scripta academica in Universitate Tubingensi anno 1866 edita.

14 scripta academica Universitatis litterarum Jenensis anno 1866 edita.

120 scripta academica in Universitate Fridericiana Ha- lensi anno 1866 edita.

159 scripta academica Universitatis Fridericae Guilelmae Berolini annis 1866 et 1867 edita.

5 scripta academiae et scholarum Hamburgensium annis 1866 et 1867 edita. 4.

Schriften der Universität zu Kiel aus den Jahren 1865 und 1866. Band XII und XIIL. Kiel 1866—67. 4. Annuaire de l'Université catholique de Louvain. 1866. 30°

année. Louvain. 12.

Annales academici 1862—63. Lugduni Batavorum 1866. 4.

Acta Universitatis Lundensis. Lunds Universitets Ârsskrift. 1865. Lund 1865—66. 4.

16 scripta academica in Universitate Lundensi anno 1865 —66 edita.

14 scripta academica in Universitate literarum Helsing- forsensi annis 1866 et 1867 edita.

Géographie de Ptolémée. Reproduction photolithographi- que du manuscrit grec du monastère de Vatopédi au mont Athos, précédée par Victor Langlois. Paris 1867. Fol.

Bibliotheca indica M 216, 217, New Series X 88, 93, 96, 97, 98. Calcutta 1866. 8.

Indische Studien. Band 10. Heft 1, 2. Leipzig 1867. 8.

Zeitschrift der deutschen morgenländischen Gesellschaft. Band 21, Heft 1, 2, 3. Leipzig 1867. 8.

Proceedings of the Asiatic Society of Bengal, 1866. X 4 —19, 1867 X 1. Calcutta 1866. 8.

Walker, G. J. Central Asia. 1866. Fol.

Lassen, Christ. Indische Alterthumskunde. I. Bandes 2. Hälfte. 2. Auflage. Leipzig 1867, 8.

Revue Africaine. XI° année NX: 63. Alger 1867.

Recalcati, Joseph. Rectification exacte d’un arc circu- laire quelconque ou quadrature exacte du cercle et d’un cercolore. Milan 1867.

Gius. Quadratura lineare esatta del Circolo e de uno Circolare. Terza edizione. Milano 1867. 6 Ex. 8. Libros del Saber de Astronomia del Rey D. Alfonso de

Castilla. Tomo IV. Madrid 1866. Fol.

Wolf, Rudolf. Mittheilungen über die Sonnenflecken. X XVII, XVIIL. 8.

Almanaque näutico para el ano 1866. Cädiz 1864. 8.

Paru le 13 novembre 1867,

TT. XEE, 4.

BULLETIN

DE L'ACADEMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG.

TOME AE. |

(Feuilles 18—29.)

CONTENU. Page. L, Stephani, Parerga archaeologica. XX VI. (Avec une Planche.)................... 273 277 Dr, W. Gruber, Sur les variétés du muscle brachio radialis. (Avec une Planche.)..... 277 287

Ph. Owsjannikow, Sur le système central nerveux d’Amphioxus lanceolatus. (Avec une Fendna) RE ne RCE T SM RRE GDAEOb 0 Lre pie. erelo EME Ro OGC 287 302 El. Bor$tow, Action du protoxyde d’azote sur les plantes. ......................,. 303 311 Dr. Woronichin, Influence des chlorures de potassium et de sodium sur l'absorption | du fer métallique par l'organisme animal et sur l'excrétion du fer............ 311 313 Dr. A Strauch, Remarques sur le genre Scapteira Fitz. ...........:........... 313 328 Dr. W. Gruber, Remarques complémentaires sur le muscle epitrochleo-anconeus des MO ADN ÉET ES M A PER en en nel ne -tde tes to etats 329 335 | Sur les variétés du muscule radialis internus brevis. (Avec une Planche.) ... 335 346 Dr. J. Knoch, De l'existence du Cysticercus Taeniae mediocanellatae dans les muscles deSATIMAUITeMAITACE DONNER Me ee Cie rec Je 346 359 Dr Strauch ourle senretADIePNaruS ee eee ce Peer de-ester pire 359 371 | G. v. Helmersen, La houille de la Russie centrale; son importance et son avenir...... 372 394 | A. Engelhardt, Composition chimique des bois et des ossements fossiles des terrains CTAVEUX ITA NAUSSIES nee ce re cles et Eee ere 394 —418 J, Baranetzky, Observations biologiques sur les gonidies des lichens................ 418 431 J, Borodin, Action de la lumière sur quelques cryptogames. (Avec une Planche.)...... 439 447 Dr. W. Gruber, Second supplément au mémoire sur le processus supracondyloideus (internus) humeri de Yhomme. (Avec une Planche.) ....,.................... 448 457 JF, Brandt, Quelques mots concernant une nouvelle représentation figurée de la Rhy- tina Stelleri..22.:407 NE A TR NL 0 Cue.c OI OIOE DOI EC LE 457 —458 BuleHnADiDOeTAPRIQUE A CE eme: eee OEM AP -Li-ireie 458 464 On s’abonne: chez MM. Eggers & Cie, H. Schmitzdorff et J. Issakof, libraires à St-Pétersbourg, Perspective de Nefski; au Comité Administratif de l’Académie (Kowurerr lparsenis Hwneparopckoï Akaxemin Hayk®) et chez M. Léopold Voss, libraire à Leipzig. Le prix d'abonnement, par volume composé de 36 feuilles, est de 3 rbl. arg. pour la Russie,

3 thalers de Prusse pour l'étranger. Î

4

Imprimerie de l’Académie Impériale des sciences. Ÿ DK )) (Vass.-Ostr., 9€ ligne, X 12.) ®, ()

BULLETIN

DE L'ACADÈMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG.

Parerga archaeologica, von Ludolf Stephani. (Lu le 10 octobre 1867.)

XXVI. (Mit einer Tafel.)

Auf der beigegebenen Kupfertafel theile ich zwei unedirte Sarkophag-Platten mit, welche in der kai- serlichen Ermitage aufbewahrt werden. Die Tafel, welche schon vor einer Reihe von Jahren gestochen ist, sollte ursprünglich einer grôüsseren Arbeit beige- geben werden, deren Vollendung jedoch durch an- dere Arbeiten verhindert worden ist. Da die Verüf- fentlichung der darauf wiedergegebenen Kunstwerke auch ohne jene umfassendere Untersuchung von In- teresse sein wird, so theile ich sie hier mit, indem ich sie nur mit den nôthigsten Bemerkungen begleite.

Die unter N°: 1 abgebildete Platte wird in der kai- serlichen Ermitage gegenwärtig unter N 97 aufbe- wabrt')undist 2 Arschinen 15 Verschok (2,09 Mètres) lang und 12 Verschok (0,53 Mètre) hoch. Sie stellt das Leben des Gottes des Weins in drei Acten dar: sein Knaben-, sein Jünglings- und sein Greisen-Alter. Die erste Scene führt uns vor, wie der gôüttliche Knabe von Satyrn und Maenaden erzogen wird *); die zweite zeigt uns, wie Dionysos als blühender Jüng- ling sich auf Naxos mit seinem Gefolge der schlafen- den Ariadne naht°); die dritte endlich, wie er als bärtiger Greis die ihm dargebrachten Opfer entgegen nimmt.

In dem ersten Bild sieht man den allerdings fast ganz auf moderner Restauration beruhenden kleinen Gott, wie er von einem jugendlichen, mit einem xa«- yoBohoy ausgestatteten Satyr, dessen Schnurrbart in der Abbildung etwas zu bestimmt angedeutet ist, nach einer auch sonst in den Werken der alten Kunst nicht

Sculpt. ant. de l'Ermitage Imp. M 97. 2) Die meisten ähnlichen Kunstdarstellungen habe ich im Compte- rendu de la comm. arch. pour l’ann. 1861. p. 11 32. behandelt. 3) Die wichtigsten Grabdenkmäler ähnlicher Art hat Jahn: Ar- chaeol. Beitr. p. 293 zusammengestellt. Tome XII.

selten hervortretenden Gewohnheit‘) im Triumph auf der Schulter getragen wird. Voraus schreitet eine die Doppelflüte blasende Maenade und ein Pan, welcher in der Linken ebenfalls ein xwyoBoncv, in der Rechten eine Syrinx hält. Auch zwei Satyr-Knaben, deren Kôüpfe jedoch modern sind, begleiten den Zug. Hinter dem Satyr brennt auf einem kleinen, mit einer Guir- lande geschmückten Altar Feuer. Daneben liegt der Kopf eines geopferten Ziegenbocks und ein Panther blickt nach seinem Gebieter empor. Unter den Füssen des Pan sieht man einen Korb, aus welchem sich eine nur theilweis erhaltene Schlange erhebt.

Die Mitte des zweiten Bildes nimmt der als Jüng- ling gebildete Dionysos ein, dessen üppige Formen nur zum Theïil von einem Obergewand verhüllt wer- den. In gemächlicher Ruhe hat er das eine Bein über das andere geschlagen ”), den rechten Arm quer über das mit einem Kranz geschmückte Haupt gelegt°) und giebt sich, indem er den linken Arm auf der Schulter eines mit einem Pantherfell und einem Àxwyoÿcaov aus- gestatteten Satyrs ruhen lässt’), ganz der Betrach- tung der Ariadne hin, welche in der gewühnlichen Stellung vor ihm ruht*). Ein Pan und ein Eros, welche beide zum grossen Theil auf moderner Restau- ration beruhen, lüften das Gewand der schünen Schlä- ferin und lassen uns sehen, dass ihr die Porträt-Züge der Todten gegeben sind, für welche der Sarkophag bestimmt war. Auch ein neugieriger Satyr, der ein AæyoBcroy in der Hand hält, bemüht sich, die schô-

4) Siehe Compte-rendu de la comm. arch. pour lann. 1861. p. 24 f.

5) Weiteres über dieses Motiv in meiner Abhandlung: Der aus- ruhende Herakles p. 173. und im Compte-rendu de la comm. arch. pour l’ann. 1859. p. 103. 1861. p. 132. 145. 1862. p. 117. 134. 140. 1864. p. 232.

6) Über dieses Motiv siche meine Abhandlung: Der ausruhende Herakles p. 132. und Compte-rendu de la comm. arch. pour lann. 1862. p. 115. 134. 1864. p. 148.

7) Über diese Haltung habe ich Weiteres im Compte-rendu de la comm. arch. pour l’ann. 1859. p. 35. 1861. p. 39, 1862. p. 8. 41. 60. 1864. p. 147. zusammengestellt.

8) Siche meine Bemerkungen über diese Stellung in der Ab- handlung: Der ausruhende Herakles p. 120. und im Compte-rendu de la comm. arch. pour l’ann. 1865. p. 186.

18

275

uen Kürperformen der güttlichen Schläferin genauer kennen zu lernen, indem er die Gebärde des ATOTX0- rev macht”). Zu den Füssen des Dionysos bemerkt man einen zu ibm aufblickenden Panther, den Kopf einer Ziege und einen Kantharos. Sein Genuss aber wird noch erhüht durch die rauschenden Tüne, mit welchen vier andere Begleiter die Luft erfüllen, in- dem die eine der beiden Maenaden, denen, wie den Satyrn, spitze Ohren verliehen sind, die Kym- bala schlägt, die andere, deren rechter Arm auf Restauration beruht, die Leier spielt. Beide tragen Kränze von Weinlaub in den Haaren und in ihren Nacken sind, wie bei der Flütenspielerin der ersten Scene, zur Andeutung bakchischer Ekstase die Ge- wänder bogenformig aufgebauscht. Auch der in reiche Gewänder gehüllte und mit Weinlaub bekränzte alte Silen. welchem der Künstler gegen die gewühnliche Sitte ebenfalls spitze Ohren verliehen hat, schlägt die Kymbala und dasselbe thut der durch das Lüwen- fell und die neben ihm angelehnte Keule charakteri- sirte Herakles ").

In der dritten Scene tritt Dionysos in der Form eines bärtigen, mit einem Kalathos geschmückten Cultus-Bildes auf. Das Gesicht ist im Original als das einer Frau ergänzt. Allein zwei andere Sarko- phage ‘'), welche wesentlich dieselbe Scene ebenfalls mit Darstellungen der Ankunft des Dionysos auf Na- xos verbinden, lassen nicht den geringsten Zweifel an dem ursprünglich Vorhandenen übrig. In der Rech- ten scheint der Gott ein Tympanon zu halten: mit der Linken hatte er ein Skeptron oder einen Thyrsos erfasst, von welchem der untere Theil noch erhalten ist. An der Basis der Statue ist eine Fackel ange- lehnt. Davor steht ein kleiner, grosstentheils ergänz- ter Altar, auf welchem eine alte Frau *) einen Vogel,

9) Ausführlicher habe ich über diesen Gest im Bull. hist.-phil. de l’Acad. To. XII. p. 278. Mél. gréco-rom. To. I. p. 552. und im Compte-rendu de la comm. arch. pour l’ann. 1860. p.85. 1862, p.88. 135. 1865. p. 111. gehandelt.

10) Zu den von mir in der Abhandlung: Der ausruhende Hera- kles p. 195 199. behandelten Grabdenkmälern, welche den He- rakles in bakchischer Umgebung darstellen, ist inzwischen noch der in den Mon. pubbl. dal! Inst. arch. 1856. Tav. 6. verôftentlichte Sarkophag gekommen. In den Darstellungen des Besuchs, welchen Dionysos der Ariadne auf Naxos abstattet, tritt Herakles hier zum ersten Male auf.

11) Sie sind von Jahn: Archaeol. Beitr. p. 293 mit A und B be- zeichnet

12) Ihr Haupt ist, wie so oft bei alten Krauen, mit einem kleinen

Bulletin de l’Académie Impériale

276

wabrscheinlich eine Gans ), ein bärtiger, mit einem Fichtenkranz geschmückter Kentaur, zu dessen Füs- sen eine bärtige Maske liegt, ein Kalb ") opfert. Eine erwachsene Opferdienerin, deren Kopf modern ist, leuchtet mit einer Fackel und ein kleines Mädchen, welchem der Restaurator wohl mit Unrecht ein Tym- panon in die Hand gegeben hat, ist ebenfalls beim Opfer behülflich.

Die unter N 2 4 abgebildeten Sarkophag-Platten werden in der kaiserlichen Ermitage unter K 260 aufbewahrt ”). Sie sind 7 Verschok (0,31 Mètre) hoch und die Haupt-Platte X 2, welche die Vorder- seite des Sarkophags geschmückt hat, ist 1 Arschin 12 Verschok (1,24 Mètre) lang; die beiden Platten der Nebenseiten À 3 und 4 haben eine Länge von 8 Verschok (0,36 Mètre). Auf der Vorderseite ist der Raub der Kore dargestellt ®). Zur Rechten fährt Pluton, dessen Gewand sich bogenformig über sein Haupt erhebt, in äusserster Hast mit der geraubten Jungfrau davon. Schon sinken Wagen und Pferde in den Erdschlund. Über den letzteren fliegt ein Eros mit einer zum grossen Theil zerstürten Fackel in den Händen. Pluton blickt nach Athena zurück, während Kore in horizontaler Lage mit fliegenden Haaren auf seinen Armen ruht. Hinter Pluton bemerkt man drei Okeaniden und Athena, aus deren Mitte er Kore hin- weg gerissen hat. Ihm zunächst befindet sich die mit einem langen Untergewand, mit Lanze, Schild, Helm und Aegis ausgestattete Athena. Sie eilt dem Räuber nach und sucht ïhn zurückzuhalten, indem sie die Rechte an sein Gewand legt. Die mittelste der drei Okeaniden, welche mit einem Untergewand und einem in ihrem Rücken bôgenfürmig aufgebauschten Ober-

Tuch bedeckt, über welches von Jahn: Archaeol. Beitr. p. 204. 335. 356. Sitz.-Ber. der kôn. sächs. Ges. der Wiss. 1854, p. 166. 1855. p. 227. 238. Jahrb. der Alt. d. Rheinl. Th. XXXVII. p. 46 und von mir im Compte-rendu de la comm. arch. pour l’ann. 1863. p. 194. gehandelt worden ist,

13) Siehe Compte-rendu de la comm arch. pour l’ann. 1863. p. 79.

14) Über dieses Opferthier des bakchischen Cultus siehe Compte- rendu de la comm. arch. pour l’ann. 1863. p. 127.

15) Stephani: Iponuaeï To. V. p. 266. X 12. Guédéonoff: Sculpt. ant. de l’Ermitage Imp. 260.

16) Zu den von Gerhard: Bilderkreis von Eleusis Th. III. p. 395 zusammengestellten Grabdenkmälern will ich hier nur die Wandgemälde, welche in einem bei Kertsch entdeckten Grabe (Aschik: Kepuesckis xpesaocrn Taf. 5.) und in einem Grabe bei Ostia (Mon. pubbl. dall’ Inst. arch. To. VIIT. Tav. 28.) aufsgefunden worden sind, und das von Helbig: Bull. dell’ Inst. arch. 1864. p. 255. beschriebene Sarkophag-Relief nachtragen.

À L'MTSE RETR LA Der" PNR OIL À UE POETS CT" RAP | Nr AU ; h M de ren dite . | é 5 it, i Lo | x) ET

ER h

Ve. AN ae 4 ft ER Ne “ve PRE

on" pers iv

À M ‘st % ai

M 2 cena NENILES Ê . " je Me EAU (r PALAU | .

| ñ NT MER? ù â op. Tale s SHÉRENS RE A? ANS 2 af N MA | NEC ta TRES) " 4 Fe | et DA Don ALLIE) 4 Pi ACT TE : ñ 12 AR - # LIN Î à Lo ja L - û (ve Û LL à L n { LS e | È ( . ' b} ) 1 LE R J À nr è { , ) \ é ' L i | LA us De TN GUN 1 (MALE + (M ñ pi ni on LENS à rer f , U Y rare: TILHe nr " te i kW Ca la » Q Pa ñ ‘un K a LUE Li NnIE _ e. Lis ri À

AGE (fa ph MP nu PATE de RAM 4

\ ex late ÿ ù :

‘EUR 4% po Et #8 .e

“e su CNT CR 2/12 AR. ve

st, r on D l 1N Ur,

s HAS

FLE \

e COPA de V2 PT. des Le:

À) CEA x ® A. Prccaté. Lo 24

| pal

:

ses à 24

CA 2 - } 5 lgpha ne: Taterg. arch. XXNI. 278

owohl st der neue >bach- ir Ab- arietä- 1 auch

ipelten eibung Hand- el er- adialis >s Bra- st un-

Muscle 1e war r letz- a Ver- e über, \ / S styloi- a (72 1) PURE io-ra-

(CG

EN 2) 11272 IX TX

1e (an- ternus, r beob- rachia- ortion, als Af- iume- ommen

n wor-

3. S. 204. e. Mém.

. p. 67. Society.

I. Frei-

8. S. 201.

A DAT s ; À

277

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

278

gewand bekleidet ist, beugt sich vorwärts und be müht sich, die Gôüttin von diesem Versuch zurück- zuhalten, indem sie den Rand ihres Schilds erfasst, offenbar weil sie befürchtet, der mächtige Gott der Unterwelt werde selbst der Athena, wenn sie ïhn mit Gewalt zurück zu halten suche, Büses zufügen, nicht aber um dadurch, wie man unbegreiflicher Weise das Motiv in ähnlichen Darstellungen hat erklären wollen, zu verhindern, dass Athena das Unternehmen des Pluton befürdere. Die Haltung der Athena selbst spricht unzweideutig gerade die entgegengesetzte Ab- sicht aus. Vor dieser Okeanide steht im Hintergrund eine zweite, welche, nur mit einem Untergewand be- kleidet, sich furchtsam nach ihrer Gefährtin hin drängt, und hinter der letzteren eine dritte, welche mit einem Chiton und einem bogenférmig emporge- bauschten Peplos versehen ist und entsetzt über die unerhôürte Gewaltthat beide Hände zum Himmel em- por streckt. Am Ende des Bildes sieht man bereits Demeter auf einem mit zwei beflügelten Schlangen bespannten Wagen ihrer geraubten Tochter nachei- len. Bekleidet ist sie mit einem Chiton, der kokett vou ihrer rechten Schulter herabfällt ), und mit einem Peplos, welcher sich in Bogenform in ihrem Nacken erhebt. In der Linken hält sie eine zum Theil zerstürte Fackel ‘).

Auf jeder Nebenseite des Sarkophags ist ausser einem Candelaber oder Thymiaterion eine Sphinx dargestellt, welche sitzend für die Ruhe des in dem Sarkophag Begrabenen Wache hält und alles Nach- theilige, welches sich nahen künnte, durch ihre furcht- bare Kraft zu vernichten droht ”).

Über die Varietäten des Musculus brachio-ra- dialis, von Dr. Wenzel Gruber, Professor der Anatomie. (Lu le 17 octobre 1867).

(Mit einer Abbildung.)

Ausser dem constant vorkommenden Brachio-ra- dialis (major s. longus) existirt auch ein unconstant vorkommender Brachio-radialis (minor s. brevis).

17) Siche meine Bemerkungen über dieses Motiv in Kôhler’s Gesamm. Schriften Th. II. p. 315 325 und im Compte-rendu de la comm. arch. pour l’ann. 1860. p. 26. 1865. p. 160.

18) Über die Bedeutung dieses Attributs siehe Compte-rendu de la comm. arch. pour l’ann. 1859. p. 43

19) Siehe Compte-rendu de la comm. arch. pour Pann. 1864, p.139.

Jederderselben ist Varietäten unterworfen. Mir sowohl als Anderen sind Varietäten derselben ‘und nebst der Mehrzahl der von Anderen beschriebenen auch neue zur Beobachtung gekommen. Die von mir beobach- teten neuen Varietäten veranlassten mich zur Ab- fassung des vorliegenden Aufsatzes über die Varietä- ten des Brachio-radialis, in dem nebst Neuem auch das Bekannte müglichst zusammengestellt ist.

1. Varietäten des Brachio-radialis major s, longus, A. Fremde Beobachtungen.

Die Môglichkeit des Vorkommens eines doppelten Brachio-radialis ? (über den aber keine Beschreibung gegeben wurde) wird vom Recensenten des Hand- buchs der pathol. Anatomie von F. G. Voigtel er- wäbhnt'). Ob damit Duplicität des Brachio -radialis major, oder vielleicht schon das Vorkommen des Bra- chio-radialis major und minor gemeint war, ist un- bekannt.

E. A. Lauth”) hat an zwei Leichen einen «Muscle long supinateur accessoire» gesehen. Derselbe war schwächer als der gewühnliche, entsprang über letz- terem am Humerus, war von diesem im ganzen Ver- laufe geschieden und ging mit ihm in eine Sehne über, welche sich am Radius, über dessen Processus styloi- deus inserirte, also ein tief gespaltener Brachio - ra- dialis major biceps.

Das mit dem Brachio-radialis verschmolzene (an- geblich äusserste) Bündel des Brachialis internus, welches Hyrtl”) bei kraftvoller Armmusculatur beob- achtete, so wie eine verschieden starke, vom Brachia- lis internus zum Brachio-radialis gehende Portion, welche John Wood‘) in zwei Fällen sah und als Af- fenbildung deutete, kônnen wohl als supernume- räre Kôpfe des Brachio-radialis major genommen werden.

Bisweilen war seine Sehne gespalten gesehen wor- den *).

Mangel an beiden Armen kam Henle‘) vor.

1) Hallische allgemeine Literatur-Zeitung, 1808, X 153. S. 204.

2) Variétés dans la distribution des muscles de l’homme. Mém. de la soc. d'hist. nat. de Strasbourg. Tom. I. Paris 1830. 40. p. 67.

8) Lehrbuch d. Anat. d. Menschen. Wien, 1862. S. 414.

4) Variations in human myology. Proceedings of the Royal Society. Vol. XV. 1866. \ 86, p. 234.

5) Bei Fr. Arnold. Handb. d. Anat. d. Menschen, Bd. I. Frei- burg i. B. 1845. $. 677.

6) Handb. d. Muskellehre d. Menschen, Braunschw. 1858. S. 201,

18*

279

Bulletin de l’Académie Impériale

280

0

B. Eigene Beobachtungen. 1. Zweikôpfiger Muskel.

Ein Bündel des Brachialis internus zum Brachio- radialis, welches als des letzteren supernumerärer Kopf gelten kann, habe ich üfters gesehen. Dieser su- pernemeräre Kopf ist etwa unter 25 Leichen einmal an einem Arme oder beiden Armen zu erwarten. Er ist verschieden breit und stark, gewôhnlich schmal und lüst sich in der Regel von der oberflächlichen Schicht der über dem Brachio-radialis gelagerten, di- cken Portion des Brachialis internus in verschiedener Hôühe, selbst 2 Zoll über dem Rande des Brachio-ra- dialis, und in verschiedener Entfernung vom Biceps brachii ab. Er geht in verschiedener Entfernung vom obersten Ursprunge des Brachio-radialis in diesen über, und zwar bald in dessen Rand, bald in dessen laterale vordere Fläche, an welcher er bisweïlen gleich- mässig breit bleibend wie ein langes, schmales Band weit herab verfolgt werden kann. Ich sah ïhn schon beim neugeborenen Kinde 4 Lin. lang, 2 Lin. breit und ‘/ Lin. dick”).

2. Zweibäuchiger Muskel.

1. Fall. Beobachtet 1859 an einem Arme bei ei- nem Manne. In der Ellenbogenregion zweigte sich vom Rande des Brachio-radialis major ein Bündel, welches in eine feine Sehne endigte, als anomaler Bauch ab. Dasselhe lief in der Tiefe des Sulcus cu- biti anterior lateralis medialwärts von den Radiales externi schief ab- und rückwärts. Die Sehne vereinigte sich mit dem Supinator und inserirte sich *, Z. un- ter der Tuberositas radii an die laterale vordere Kante des Radius.

2. Fall. Beobachtet im October 1867 am rechten Arme eines Weibes.

Von der vorderen Fläche des Brachio-radialis ma- jor, 3 Z. unter dessen Ursprung vom Humerus, lüste sich ein in eine feine Sehne endigendes Bündelchen als anomaler Bauch ab. Dieses war 2 Zoll lang (am Fleischtheile 1, Z., an der Endsehne ‘/, Z.) und am Fleischtheile 1 Lin. dick. Es vereinigte sich mit der Schne des Radialis externus longus.

7) Ich habe bei der Untersuchnng einer Reiïhe Affen das Bün- del vom Brachialis internus zum Brachio - radialis ebenfalls ange- troffen. In einem starken Inuus nemestrinus war dasselbe sanz fibrôs.

38. Anomaler Ansatz.

Beobachtet im November 1856 am linken Arme eines Mannes und in der Sammlung aufbewabrt.

Die Sehne des Brachio-radialis major setzte sich nicht an den Radius, sondern an das Os naviculare und Os multangulum majus.

Der Brachio-radialis major s. longus kann somit verschieden zweikôpfig angedeutet oder wirklich zWeibäuchig (Gruber) und ganz ungewôhnlich angeheftet (Gruber) vorkommen, kann aber auch vüllig fehlen (Henle).

Il, Varietäten des Brachio-radialis minor s. brevis$).

Dieser Muskel besteht aus einer supernumerären Fleischmasse, hat daher nicht die Bedeutung einer abgelüsten und selbstständig gewordenen Portion des Brachio-radialis major oder des Brachialis internus, wie manche Anatomen meinen.

À. Fremde Beobachtungen.

Michael Dawson ”) scheint diesen Muskel zuerst beobachtet zu haben. Er fand ihn zugleich mit dem Brachialis internus minor lateralis (Hildebrandt) am rechten Arme eines jungen, 20-jährigen Mannes und hat beide Muskeln abgebildet. Der Muskel entsprang gemeinschaftlich mit der lateralen Portion des Bra- chialis internus und vereinigt mit dem Brachio-radialis major über dem Epicondylus humeri(wo?, wohl ziemlich weit davon entfernt), lief zwischen dem Brachio-ra- dialis major und dem Brachialis internus minor late- ralis vor dem Capitulum radii abwärts und inserirte sich mit einer dünnen Sehne an den vorderen und un- teren Rand der Tuberositas radii neben dem Supina- tor. Der Muskel, welchen Dawson für einen Supina- tor und Flexor, der Wirkung nach, nahm, war so lang und halb so dick wie der Pronator.

8) C. Langer. Handbuch d. Anat. d. Menschen. Wien 1865. S. 244. nennt den Supinator (br.) auch «Brachio-radialis brevis». Diese Benennung ist für den Supinator, der hauptsächlich von der Ulna, nur in untergeordneter Weise mit dem Lig. cubiti laterale verwach- sen vom Epicondylus u.s. w., entspringt W. Gruber. Die ei- genen Spanner des Ringbandes des Radius. Arch. f. Anat., Phy- siol. u. wiss. Medicin. Leipzig, 1865, S. 380. —, unpassend.

9) Sketch of two small snpernumerary muscles of the arm. The Edingburgh med. a. surg. Journ. Vol.18. Edinburgh 1822, p. 82. M7. Plate.

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

282

J. Fr. Meckel") sah denselben Muskel im Winter 1822—23 an beiden Armen einer männlichen Leiche, welche ausser anderen Muskelvarietäten, auch Man- gel des kurzen Kopfes des Biceps brachii am rechten Arme und einen dreiküpfigen Biceps brachii am linken Arme aufwies. Der Muskel entsprang 2 Z. über dem Epicondylus vom Angulus humeri lateralis 1 Z. hoch, kurzsehnig und inserirte sich kurzsehnig an den Ra- dius, dicht über der Insertion des Pronator teres. Der Muskel war 6 Z. lang und 3 Lin. dick.

E. A. Lauth'') sah den Muskel, welchen er «Mus- cle long supinateur accessoire» nannte, am linken Arme einer Frau. Er entsprang gemeinschaftlich mit dem Brachio-radialis major und inserirte sich an die vordere Fläche des oberen Drittels des Radius.

H. J. Halberstma "”) beschrieb (41 42 Jahre nach Dawson und Meckel, 34 Jahre nach Lauth, und 16 Jahre nach Verüffentlichung einer meiner Beobachtungen) unter anderen oft zur Beobachtung kommenden, längst gekannten und beschriebenen Mus- keln, denselben Muskel unter dem Namen «Supinator brevis accessorius». Der Muskel soll aus Fasern des Brachialis internus, die an der äusseren Seite am meisten nach unten vom Humerus entspringen, gebil- det worden sein. Er entsprang über dem Epicondylus und inserirte sich an die Tuberositas radiüi unterhalb des Ansatzes des Biceps brachiü. Halberstma hält den Muskel, seiner Function nach, für einen Unterstützer des Supinator.

H. Luschka *) hat diesen Muskel, den er «Brachio- radialis accessorius» nennt, ebenfalls beobachtet. Er lässt ihn wie Halberstma gebildet werden und an- setzen.

B. Eigene Beobachtungen.

1. Fall. Beobachtet unter 50 untersuchten Leichen (100 Armen) an dem rechten Arme eines robusten Gardesoldaten und schon 1848 beschrieben ).

Ein breites und dickes Muskelbündel.

10) Beschreibung einiger Muskelvarietäten. Deutsch. Arch. f. d. Physiologie. Halle 1823. Bd. 8. S. 587.

11) L. c.

12) Anat. Notizen. Arch. f. d. holländ. Beiträge z. Natur- und Heilkunde. Bd. 3. Utrecht 1864. S. 236.

13) re:

14) W. Gruber. Seltene Beobachtungen a. d. Gebiete d. menschl. Anatomie. Müller’s Arch. f. Anat., Physiol. u. wiss. Medicin. Berlin 1845, S. 429,

Ursprung. Vom unteren Drittel des Angulus hu- meri lateralis’ über und”neben dem Ursprunge des Brachio-radialis major.

Verlauf. Zwischen dem Brachio-radialis major und dem Radialis externus longus lateralwärts und dem Brachialis internus medialwärts, hinter dem Nervus radialis, vor und über dem Supinator in der Tiefe des Sulcus bicipitalis und $S. cubiti anterior lateralis.

Ansatz. Bei theilweiser Fortsetzung in den Supi- nator, grüsstentheils mit einer stärkeren Sehne an den adius unterhalb der Sehne des Biceps brachii und dessen Bursa mucosa.

2. u. 5. Fall. Beobachtet im December 1858 an beiden Armen eines Jünglings.

Ein dünner, dreiseitiger, in der Gegend der Inser- tion der Sehne des Biceps brachii an den Radius mit einer sehnigen Membran endigender Muskel.

Ursprung. Über dem Epicondylus 1 Z. hoch vom Angulus humeri lateralis.

Verlauf. In der Tiefe des Suleus cubiti anterior lateralis auf dem Brachialis internus zwischen dem Radialis externus und Biceps brachii oben, zwischen dem letzteren und dem Supinator unten, oben vom Brachio -radialis major und Radialis externus longus bedeckt; unten zwischen der tiefen Sehne des Biceps brachii und Supinator über der Bursa mucosa m. bi- cipitis brachii.

Ansatz. Mit einer sehnigen Membran, welche die tiefe Sehne des Biceps brachii einhüllt, an den Ra- dius, unterhalb seiner Tuberosität, und an die Sehne des Pronator teres, in welche sie theilweise übergeht.

4. Fall. Beobachtet im October 1860 am linken Arme eines Mannes.

Ursprung. Über dem Epicondylus und daneben von der vorderen lateralen Fläche des Humerus zwi- schen dem Radialis externus longus und Brachialis internus in einer Hühe von 1 Z. 4 Lin.

Verlauf. In der Tiefe des Sulcus cubiti anterior lateralis zwischen den Radiales externi (oben) und Su- pinator (unten) lateralwärts, und dem Brachialis inter- nus unter der tiefen Sehne des Biceps brachii medial- wärts.

Ansatz. An den oberen und vorderen Umfang der

Tuberositas radii und mittelst eines mit der Capsula cubiti vereinigten, im Verlaufe einen Bogen beschrei-

283

Bulletin de l'Académie Empériale

284

A ——————

benden Sehnenbündels an die Ulna unter der Cavitas sigmoidea minor.

5. u. 6. Fall. (Taf.). Beobachtet im April 1865 bei einem robusten Manne an beiden Armen, bei Vor- kommeneinesstarken, seltenen, lateralen Kopfesdes Biceps brachii am rechten Arme und bei Vorkom- men der Spaltung des Ursprunges der lateralen Ab- theilung des Brachialis internus durch eine Lücke in eine obere grüssere und untere kleinere Portion (Bra- chialis internus biceps) an beiden Armen. Die Präpa- parate sind in meiner Sammlung aufbewabhrt.

Ein starker, dreiseitig pyramidaler Muskel mit la- teraler, medialer und hinterer Fläche (c). Der Muskel ist am rechten Arme 4/,Z., am linken 4”, Z. lang: am Ursprunge am rechten Arme 2°, Z., am linken Arme 2 Z., am Ansatze an beiden Armen 5h Z. breit; und an beiden Armen 4',— 5 Lin. dick.

Ursprung. Von dem Angulus lateralis und der la- teralen vorderen Fläche des Humerus, 2°, Z. am rechten Arme und 2 Zoll am linken Arme hoch vom Epicondylus aufwärts; unten schmal, nach oben all- mäblich bis *, Z. breit; unten zwischen dem Brachio- radialis major und Radialis externus longus lateral- wärts und zwischen dem Brachialis internus medial- wärts, oben in eine Lücke zwischen die obere und untere Portion des Brachialis internus, in welche die laterale Abtheilung dieses Muskels anomaler Weise geschieder ist, quer und ”, Z. breit eingeschoben.

Verlauf. Im Sulcus bicipitalis und Suleus cubiti anterior lateralis hinter dem Nervus radialis neben und auf dem Brachialis internus und auf der lateralen Abtheïlung des sehr entwickelten Supinator.

Ansatz. Kurzsehnig und , Z. breit an den oberen und vorderen Umfang der Tuberositas radii zwischen dieser und dem Supinator, letzteren von der Begren- zung der Bursa mucosa m. bicipitis brachäi vüllig aus- schliesserd.

Anmerkung. Der überzählige laterale dritte Kopf (y) des Biceps brachii (a) am rechten Arme war bandfôrmig, 4", Z. lang, 1 Z. gleichmässig breit und 4 Lin. dick. Der Kopf entsprang kurzsehnig zwischen der Insertion des Deltoideus und der lateralen Zacke des Brachialis internus. Derselbe stieg im Sulcus bi- cipitalis lateralis, diesen ganz ausfüllend, am Brachia- lis internus abwärts. Er wurde erst an der Sehne des Biceps brachii, 10 Lin. unter ihrem Anfange nnd 2

Z. über ihrer Insertion an der Tuberositas radii, seh- nig. Die Bündel seiner Sehne stiegen an der vorderen und theilweise an der hinteren Fläche der Sehne des Biceps brachii mit dieser vereiniget an deren media- lem und vorderen Rand abwärts.

7. Fall. Beobachtet im Februar 1866 am rechten Arme eines Mannes.

Ein 7 Z. langer, am Ursprunge 1 Z. am Ansatze 3 Lin. breiter und bis 1 Lin. dicker Muskel.

Ursprung. 1”, Z. über dem Epicondylus, 1 Z. hoch,dünn, kurzsehnig vom Angulus humeri lateralis zwischen dem Brachio-radialis und Brachialis internus.

Verlauf. Wie in anderen Fällen.

Ansatz. An die laterale vordere Kante des Radius 3, Z. unter dessen Tuberosität.

8. Fall. Beobachtet im April 1866 am rechten Arme einés Weibes.

Der Muskel war ähnlich dem des 7. Falls.

9. Fall. Beobachtet im October 1867 am rechten Arme eines Weibes, welche an demselben Arme einen zweibäuchigen Brachio-radialis major, einen dreiküpfi- gen Biceps brachii und einen supernumerären Kopf des Abductor digiti minimi, am linken Arme einen su- pernumerären Kopf des Pronator teres besass. Der dritte Kopf des Biceps brachii am rechten Arme ent- stand zwischen dem Coraco-brachialis und der media- len Zacke des Brachialis internus vom Humerus, war 6 Lin. breit. Er vereinigte sich mit beiden Sehnen des Biceps brachii, sandte aber ausserdem eine lange rundliche Sehne zu einem kurzen Nebenküpfchen der tiefen Schicht des Pronator teres ab, das am Ende des oberen Drittels der Länge des letzteren sass. Der supernumeräre Kopf des Pronator teres am linken Arme enstand mit zwei Sehnenbündeln, zwischen wel- chen ein Loch zum Durchtritte der Vasa brachialia und des Nervus medianus sich vorfand, vom Liga- mentum intermusculare mediale.

Ein länglich dreiseitiger in 2 feine, 1 Z. lange Seh- nen endigender Muskel, der am Fleischtheile 1 Z. 10 Lio. lang, 7 Lin. am Ursprunge, 3°, Lin. am Ende breit und 2 Lin. dick war.

Ursprung. Im Sulcus cubiti anterior lateralis vor dem untersten Theile der lateralen Partie des Bra- chialis internus, welcher ihn noch 4 Lin. abwärts überragt.

Ansatz. Mit der lateralen Sehne an den Hals des

285

Radius über und hinter dessen Tuberosität, mit der medialen Sehne, vereiniget mit der rundlichen über- zäbhligen Sehne des dritten Kopfes des Biceps brachii, an das Nebenküpfchen der tiefen Portion des Prona- tor teres.

Der supernumeräre Brachio-radialis minor ist nach Obigem von anderen Anatomen als an G Ar- men von 5 Leichen, von mir als an 9 Armen von 7 Leichen d. i. als an 15 Armen von 12 Leichen, wo- von 3 Weibern angehürt hatten, meistens gelegent- lich beobachtet angegeben. Er kam an beiden Armen eines und desselben Individuums seltener (3 Mal), an nur einem Arme häufiger (9 Mal); an rechten Armen ôfterer als an linken; und in *, d. F. (6 Mal) mit ander- weitigen und darunter selbst sehr seltenen Muskel- varietäten an denselben Armen vor: mit einem Bra- chialis internus minor lateralis (Dawson); mit Man- gel des kurzen Kopfes des Biceps brachii (Meckel): mit einem dreikôpfigen Biceps brachii, dessen super- numerärer Kopf im Sulcus bicipitalis entsprang und lag, und mit einem durch Spaltung der lateralen Ab- theilung zweiküpfig gewordenen Brachialis internus u. S. W. (Gruber), Trotz der beträchtlichen Anzahl bereits gemachter Beobachtungen, welche, wie zu ver- muthen, durch geflissentlich vorgenommene Unter- suchungen erheblich hätte gesteigert werden künnen, halte ich den Muskel dennoch für einen seltenen, weil ich ihn bei geflissentlich vorgenommenen Unter- suchungen erst einmal unter 100 Armen angetroffen habe. (Gruber 1. F.)

Seine (restalt ist bald band- oder strangformig, bald lang- oder kurz-dreiseitig, bald sogar dreiseitig- pyramidal. (Gruber 5. u. 6. F.)

Seine Grüsse und Stärke sind sehr variabel. Die Länge steigt von einigen Zollen bis auf 7 Z. (Gruber 7. F.) Die Breite am Ursprunge von einigen Linien bis auf 2 2/, Z. (Gruber 5. u. 6 F.), am Ansatze bis auf , Z.; die Dicke von ‘, oder 1 Lin. bis auf 5 Lin. (Gruber 5. u. 6 F.)

Das Ursprungsfeld des Muskels ist der Angulus lateralis und ein Streifeu der vorderen lateralen Fläche des Humerus. Dieses Ursprungsfeld erstreckt sich vom Epicondylus 3 Z. und mebr aufwärts und kann am oberen Ende bis *, Z. quer breit werden, in wel- chem Falle der Muskel mit seinem oberen Ursprungs- |

des Sciences de Saint-Pétersbourg. EE entre De

26

ende in eine Lücke der anomaler Weise zweiküpfig gewordenen lateralen Abtheilung des Brachialis inter- nus sich einschiebt (Gruber 5. u. 6. K.) Der Ur- sprung findet bald gleich über dem Epicondylus, bald davon in einem verschieden grossen Abstand, der aber 2 Z. in der Regel nicht übersteigt, statt und ist meistens fleischig.

Der Ansatz geht mittelst einer verschieden langen, breiten und starken (meistentheils kurzen) Sehne oder

sebhnigen Membran am Rande oder Umkreise der Tu- D

berositas radii in verschieden grossem Umfange oben, vorn und unten, ausnahmsweise */, Z., darunter an der lateralen vorderen Kante des Radius (Gruber 7. F.), oder an diesem erst über dem Ansatze des Pro- nator teres (Meckel) vor sich. Die Sehne kann dabei auch mit einer Portion in den Supinator, oder in die Sehne des Pronator teres sich fortsetzen (Gruber 1., 2., 3. F.), oder mit einem bBündel selbst an die Ulna sich inseriren (Gruber 4. F.) Der Ansatz kann ganz ausnahmsweise durch zwei vüllig geschiedene Sehnen am Halse des Radius und an einem Neben- kôpfchen der tiefen Portion des Pronator teres ge- schehen (Gruber 9. K.).

Der Brachio-radialis minor ist, seiner Wirkung nach, Supinator und Flexor; während der Brachio-radialis major zuerst als Supinator, dann von L. Heister (1717) als Supinator und Flexor, später von Saba- tier (1777) als Supinator, Pronator und Flexor, in der neueren Zeit von J. Henle (1858) als reiner Flexor und endlich in der neuesten Zeit von H. Ziemssen (1864) und C. Langer (1865) als Flexor und Supinator, von G. B. Duchenne (1867) als Fle- xor und Semipronator anerkannt worden war!!

Erklärung der Abbildung,

Mittelstück des rechten Armes eines robusten Man- nes. 1. Humerus. 2, Radius. . Ulna. a. Dreikôpfiger Musculus biceps brachii. a. Langer Kopf| (durchgeschnit- 8. Kurzer » jf ten) | y. Supernumerärer dritter la-f teraler Kopf. }

D] )

desselben

287

Bulletin de l’Académie Impériale

2ss

b. M. brachialis internus. c. M. brachio-radialis minor s. brevis. d. M. supinator.

St. Petersburg, den 16. October 1867.

Über das Centralnervensystem des Amphioxus lanceolatus, von Ph. Owsjannikow. (Lu le 12 septembre 1867.)

Es haben sich seit der Entdeckung dieses merk- würdigen, auf der niedrigsten Stufe der Entwickelung stehenden Wirbelthieres viele Forscher mit der Ana- tomie desselben beschäftigt. Die vortrefflichen Unter- suchungen von H. Rathke'), J. Goodsir”), J. Mül- ler“), Costa“) und besonders Quatrefages”) haben uns viele neue Thatsachen gezeigt. Alle genannten Forscher behandeln das Nervensystem mit besonde- rem Interesse. Dieses kann uns keineswegs wundern, wenn wir bedenken, dass das Nervensystem mit der ganzen Organisation des Thieres Hand in Hand geht.

Überblickt man aber die Resultate, welche durch die Untersuchung des Nervensystems zu Tage gefür- dert sind, so muss man gestehen, dass dieselben im hôchsten Grade dürftig sind.

Selbst die Arbeiten von Quatrefages und Mar- cusen‘) lassen noch Vieles zu wünschen übrig. Die Untersuchung des letzteren Forschers gehôrt der jüng- sten Zeit an. Daher spricht Marcusen von Nervenfa- sern und Nervenzellen, die Quatrefages nichtgesehen hat. Dass diese einem so tüchtigen Beobachter ent- gangen sind, erklärt Marcusen durch die Mangelhaf- tigkeit der optischen Hülfsmittel, die Quatrefages zu Gebote standen.

Wenn die Construction des Mikroskops in der letz- ten Zeit auch grosse Fortschritte gemacht hat und gute optische Hülfsmittel sehr viel ausmachen, so ist doch

1) Bemerkungen über den Bau des Amphioxus lanceolatus, von Heinrich Rathke. Künigsberg, 1841.

2) Transactions of the Royal Society of Edinburgh. Vol. XV, part. I, pag. 247. On the Anatomy of Amphioxus lanceolatus by Goodsir.

3) Uber den Bau und die Lebenserscheinungen des Branchiosto- ma lubricum Costa von Joh. Müller (Abhandlungen der Kônigli- chen Akademie d. Wiss. zu Berlin, 1842).

4) Costa. Frammenti di Anatomia comparata. Storia e Notomia del Branchiostoma lubrico.

5) Annales des sciences naturelles, 1845, pag. 197. Sur le système nerveux et sur l’histologie du Branchiostome ou Amphioxus.

6) Comptes rendus de l’Académie des sciences de Paris. 1865.

die Untersuchungsmethode und die Vorbereitung der Präparate von nicht geringerer Wichtigkeit.

Wir verdanken unsere Resultate der Untersuchungs- methode, die, ohne dass wir zu unseren stärksten Ob- jectiven Zuflucht genommen hätten, uns eine ganze Reihe neuer Thatsachen im Rückenmarke des Am- phioxus aufgedeckt hat. Deshalb will ich auch eine kurze Beschreibung der Untersuchungsmethode lie- fern.

Die Exemplare, welche von mir untersucht sind, brachte ich im Jahre 1865 aus Neapel mit. Ich habe die lebendigen Exemplare in ganz starken Spiritus ge- legt, den ich in kurzer Zeit bis viermal und später hier in St. Petersburg noch zweimal wechselte. Die Exemplare haben sich ausgezeichnet gut conservirt; sie sind fest und hart und die mikroskopische Struk- tur der einzelnen Gebilde die Undurchsichtigkeit nicht gerechnet hat sich nicht im Mindesten ver- ändert.

Diese Exemplare wurden entweder ohne Weiteres zur Untersuchung benutzt, indem man aus ihnen Quer- schnitte anfertigte, oder sie wurden noch vorher auf einige Zeit in schwache Chromsäurelôsung gelegt. Wie man die Schnitte verfertigt, die Präparate färbt, durch- sichtig macht und aufbewahrt, kann man aus meinen früheren Arbeiten ersehen.

Wenn diese Methode in gewisser Hinsicht geeig- netist, uns mit manchen Einzelheiten der Organisation des Nervensystems vertraut zu machen, so ist sie doch in vieler Beziehung ganz unzureichend.

Somit war ich genüthigt, eine andere Untersu- chungsweise einzuschlagen.

Um sich eine Übersicht über die Form und Grüsse des Centralnervensystems, über die Zahl und das Aus- sehen der entspringenden Spinalwurzeln zu verschaf- fen, musste das Rückenmark aus dem Thiere heraus- präparirt werden, eine Arbeit, die auf gewôhnliche Weise wegen der Feinheit des Systems ganz unaus- führbar war. Ich kam daher auf den Gedanken, meine Zuflucht zu den Säuren zu nehmen, als zu einer Me- thode, die von Kühne mit grossem Erfolge zur Un- tersuchung der Nervenendigungen in den quergestreif- ten Muskeln benutzt worden ist. Ich verfertigte mir eine Mischung aus Wasser, Spiritus und starker Es- sigsäure und legte auf ein bis zwei Wochen einige Amphioxus in dieselbe. Darauf nahm ich sie heraus,

Boul DA Pad 27/7 A 40. ITA X11 T Giubu Llihn 7 bandes etre

Top yner ad nat dl Choanson 72 do. dl | LH TA c Minsbh 7 Tr, V0 a GS ÿ.

BJ 17 x Di tt (APE) } { d Lt L ne « : ru on à ; Hi? AA pd 4 ort st yo PAT h aie +” nd 4 AS % me Male mehr d- ‘+ hétr vs

de 4 de Fo | png

a

rot f LE M / LE] 1 118 "a in / i POUR CPI ES PA IC oh 4 ) V4) a je tal: YA 18 ur . 4 â NL | bare gi MAN LL bent : L' LA A A A MG, DRE bi sd Ê4. di A a ua is ME # pe , in PS NT SRE DER F hi PRET D RE PTE 46 h st ai “4 À Lis (w" WA dei Wei LE, 1} Lis 2 ia 19 à re sf # rh k M 4 4 e

Len GR PAU LA DL t ne } A x d'ou CAE | M à Pak Net "l : ls RP TRES AE au | th 4 M i 4

da uv NON 07 De d'en 0 re vel , Th Ü NT , « ji A [EPA le | | Re TE tt ac 119" KA MA A fl.

bi ta | , bent UE sent 11 ut (rt LA HAUT ® LT CAE i Gt, à L “? 10 Hat , à À | Li | T4 di q ! Vus « " rn

D A ie Cr 4! ' TANT nm vd tiré | LS "AR à U ra d'aures COUP AT ANT ‘4 tal W mr É : d ni ia” “ul POU

4 ! 7 ki VE LP 2 ou ** Ce ue PO

ab } vie st. “u, x" rm “. fps aile 5 ‘eh dl CRUE Y Hs Pro four bu thon fi LOT is ado DURE LE 4 # L PME à

DNA pt 0 ae sis

‘A 0] À er

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

290

——————

übertrug sie in ein Probirgläschen, das zu einem Drittel mit reinem Wasser angefüllt war, und schüt- telte dieses so lange, bis das ganze Thier vollkommen zerfallen war. Gelingt dieses nicht, wenn nämlich zu wenig Säure genommen war, oder das Präparat zu geringe Zeit in der Lüsung gelegen hat, so kann durch Erhitzen des Probirgläschens über einer Spi- rituslampe noch nachgeholfen werden. Ist durch solche Behandlung das Thier in seine einzelnen his- tologischen Elemente zerfallen, so giesst man das Ganze in ein Ubhrgläschen. In der Flüssigkeit be- merkt man leicht ein weissliches, schmales, haar- fürmiges Gebilde, das ist das Nervensystem des Am- phioxus. Man hebt es vorsichtig mit einer Nadel heraus und trägt es auf das Objectivgläschen über. Hier kann es entweder in reinem Wasser, in Glycerin, oder in einer jeden beliebigen Flüssigkeit untersucht werden. Sehr häufig ist das Centralnervensystem nicht allein ganz unbeschädigt, sondern es sind auch alle abgehenden Nerven vollkommen gut erhalten, manch- mal mit ihren feinsten Verzweigungen.

Will man die feinste Structur des Centralnerven- systems kennen lernen, so kann man dasselbe ent- weder mit feinen Nadeln zerfasern und mit Carmin färben, oder man legt es wieder in ein kleines Probir- gläschen mit Wasser, dem einige Tropfen Essigsäure zugefügt sind, und schüttelt so lange, bis es in seine einzelnen Fasern zerfällt. Auf diese Weise habe ich zum ersten Male Präparate erhalten, in denen sowohl die Zellen ausgezeichnet gut zu sehen waren, als auch ihr Zusammenhang mit den Fasern.

Schliesslich muss ich noch erwähnen, dass zur Er- forschung einiger Eïinzelheiten, z. B. der Verthei- lung der Nerven und ihrer Endigungen, die in Owen’- scher Flüssigkeit aufbewahrten Exemplare sehr geeig- net sind.

Ueber die grôberen Verhältnisse des Centralnervensystems,

Das Centralnervensystem liegt in einem Canal, ziem- lich eng von demselben umschlossen. Die häutigen Wände desselben bestehen hauptsächlich aus elasti- schen Fasern, denen in geringer Menge Bindegewebs- elemente beigefügt sind. Von der äusseren Fläche dieses häutigen Skelets gehen Fasern gerade nach

oben, seitwärts zwischen die Muskeln und nach unten: Tome XII.

die letzteren gesellen sich zu der Hülle der Chorda dorsalis.

Die innere Schicht dieser festen Hülle kann als identisch mit der dura mater betrachtet werden. Sie umhüllt die abgehenden Nervenwurzeln und schickt Fortsätze in das Innere des Centralnervensystems. Ausser dieser Hülle existirt noch eine andere, die auch Quatrefages gesehen zu haben glaubt. Es ist eine sehr dünne und feine Haut, welche der pia mater der anderen Wirbelthiere gleich zu stellen und auf das Innigste mit dem Rückenmarke verwachsen ist. Nimmt man das Nervensystem aus dem Wirbelkanal heraus, so bleibt die harte Haut in dem letzteren zurück, während die pia mater eng das Nervensystem um- schliesst. In der pia mater haben wir eine grosse An- zahl zelliger Klemente gesehen.

Die äussere Form des Centralnervensystems.

Die äussere Form des Centralnervensystems beim Amphioxus, das Gehirn ausgenommen, hat mehr Âhn- lichkeit mit der der hôüheren Wirbelthiere, als mit der der Cyclostomen. Schon frühere Beobachter, wie Rath- ke, J. Müller, Quatrefages haben diesen Umstand hervorgehoben. Das Rückenmark hat im Allgemeinen eine rundlich-viereckige Form. Es ist mehr breit als dick, am vorderen Ende jedoch dicker, in der Mitte und am hinteren Ende platt. Nach oben ist es con- vex, nach unten concav. Das vordere und hintere Ende erscheinen verjüngt. Das hintere Ende ist beson- ders dadurch charakteristisch, dass es in einen langen, sich zuspitzenden Faden ausläuft. Dieser Faden, wie ich mich durch Anwendung starker Vergrüsserungen vollkommen überzeugt habe, besteht nicht aus Ner- venfasern, sondern ist die Fortsetzung des Rücken- markskanals und besteht aus Cylinderzellen, die eine dünnwandige, hohle Rühre bilden.

Obgleich das Centralnervensystem nach vorn auch etwas spitzer zuläuft, so hat dieser Theil mit dem hin- teren Ende keine Âhnlichkeit; er ist stumpfer und abgerundeter (Fig. 3). Der Rückenmarkskanal ôffnet sich nach vorn in eine ovale Grube, die einige Âhn- lichkeit mit dem vierten Ventrikel anderer Wirbel- thiere darbietet und mit demselben wohl identisch ist. Diese Grube, die nach vorn und hinten zugespitzt ist, ist mit Epithelialzellen ausgelegt (Fig. 3, c.).

19

291

Bulletin de l’Académie Impériale

Wir nehmen durchaus keinen Anstand, das vor- dere Ende des Rückenmarks, das seitwärts und nach vorn von der genannten Grube liegt, dem Gehirne der übrigen Wirbelthiere zu parallelisiren.

Freilich ist es sehr rudimentär und so wenig ent- wickelt, wie wir es bei keinem Wirbelthiere antreffen, aber es entspringen aus demselben die Sinnesnerven. Deshalb glauben wir, dass J. Müller und Quatre- fages vollkommen Recht hatten, wenn sie diesen Theil für das Gehirn gehalten haben und Rathke’s Mei- nung nicht theilten, welcher das ganze Nervensystem des Amphioxus für das Rückenmark erklärt. Wir glauben, dass die erste Meinung durch die Entde- ckung des Ventrikels, den wir oben beschrieben ha- ben, noch eine wichtige Stütze erhalten hat.

In Betreff der allgemeinen Form des Rückenmarks, der Art und Weise, wie von demselben die Spinal- wurzeln entspringen, sind unsere Beobachtungen ganz im Widerspruche mit denen von Goodsir und Qua- trefages. Der berühmte Naturforscher Quatrefa- ges spricht von den Anschwellungen des Rücken- marks an den Stellen, an welchen von demselben die Nervenwurzeln abgehen. Marcusen, in seiner in man- cher Beziehung interessanten Arbeit, nennt die Be- obachtung von Quatrefages eine wichtige und be- stätigt sie. Dieser zufällige [rrthum kann nur der Schwierigkeit der Beobachtung zugeschrieben wer- den. Wir finden am Rückenmarke des Amphioxus eben so wenig irgend welche Anschwellung, wie am Rückenmarke anderer Wirbelthiere. Die Conturen desselben sind gerade und gleichformig und um dieses zu zeigen, legen wir unserer Abhandlung eine Zeich- nung bei (Fig. 1).

Die Ursprungsweise der Spinalwurzeln ist auch nicht hinlänglich bekannt. Bei Rathke und J. Müller finden wir fast nichts darüber. Quatrefages sagt, dass die Spinalwurzeln ganz richtig von Goodsir beschrie- ben seien. Ein flüchtiger Blick auf die Zeichnung von Goodsir lehrte mich aber schon, dass der englische Forscher den Ursprung der Spinalwurzeln beim Am- phioxus gar nicht gesehen und ein vollkommen fal- sches Bild von der ganzen Sache gegeben hat. Die Zeïichnung zeigt, dass die Nervenwurzeln symme- trisch auf beiden Rückenmarkshälften, wie es ge- wôübhnlich als Regel angenommen werden kann, ent-

springen, doch ist dieses keineswegs der Fall, denn sie entspringen abwechselnd und in verschiedener Hôhe.

Ferner ist es hôchst merkwürdig, dass sie bald von der seitlichen vorderen Partie, bald von der seitlichen hinteren Partie entspringen.

Diese meine letzte Beobachtung stimmt mit den Resultaten der früheren Forscher nicht überein, auch nicht mit den Angaben von Marcusen, der die Spi- palwurzeln von der vorderen seitlichen Partie ent- springen lässt. Ich bin aber vollkommen überzeugt, dass auch Marcusen mir beistimmen wird, wenn er das, auf die von mir angegebene Weiïise, herausprä- parirte Rückenmark untersucht. Von den abwech- selnd verschieden gelagerten Spinalnerven überzeugt man sich durch die Veränderung des Focus des Mi- kroskops. Wenn man aber Gelegenheit hat, zu dieser Untersuchung das binoculare Mikroskop von Nachet anzuwenden, so ist die Sache noch bedeutend klarer.

Es besteht kein Unterschied zwischen den von der vorderen und den von der hinteren Partie entsprin- genden Spinalnerven. Sie haben dasselbe Aussehen und denselben Verlauf. Die Stämme der Spinalnerven zei- gen keine Anschwellungen und haben die Gestalt platter Bünder. Die secundären und tertiären Âste ha- ben ebenfalls eine platte Form. Die das Rückenmark umgebende Haut erstreckt sich auch auf die Spinal- nerven.

Ueber die feine Struktur des Centralnervensystems,

Die Grundsubstanz des Rückenmarks ist beim Am- phioxus, so wie bei anderen Thieren, das Bindege- webe. Es erstreckt sich von der äusseren, dünnen Haut in mebr oder weniger dicken Bündeln hinein. Besonders bemerkenswerth wegen ihrer Dicke sind zwei solcher Bündel, die zur Seite der Mittellinie lie- gen. Ihre Richtung ist von vornu und aussen nach hin- ten und innen zu dem Centralkanal.

Die Blutgefässe durchziehen das Rückenmark so- wohl in die Quere als in die Länge. Die dickeren Gefässe liegen der Mitte des Marks näher und ver- laufen parallel seiner Länge. Ein solches Gefäss liegt unterhalb des Rückenmarkskanals, ein paar andere liegen oberhalb und seitwärts von demselben. Die Zahl der Blutgefässe ist nicht gross.

Der Rückenmarkskanal ist schon von Rathke und

293

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

294

theilweise auch von Joh. Müller ‘) gesehen, doch von keinem der beiden Beobachter genau beschrieben worden. Die Existenz desselben kann auch keines- wegs Wunder nehmen, da ein solcher bei allen Wir- belthieren, selbst beim Menschen vorkommt.

Daher ist für uns die Erklärung J.Müller’s, welcher sagt: «Dieser Kanal entspricht offenbar nicht blos den Hirnventrikeln, sondern vielmehr dem primitiven Ka- nal des Rückenmarks bei den Embryonen der übrigen Thiere zu der Zeit, wo sich die Rückenmarksplatten zu einem Kanal geschlossen», nicht stichhaltig.

Eben so wenig stimmt unsere Beobachtung, was die Form des Kanals anbetrifit, mit der Meinung der beiden berühmten Naturforscher J. Müller und Qua- trefages*) überein. Sie beschreiben den Rücken- markskanal als eng zusammengedrückt. Ich habe den- selben auf gut gelungenen Schnitten fast rund gefun- den (Fig. 2,e.). Freilich sah es auf einigen anderen Schnitten so aus, als ob derselbe nach oben sich üffne und die Form einer langen, mehr oder weniger brei- ten Spalte habe. Im natürlichen Zustande ist der Ka- pal nicht offen, die Ränder der beiden oberen Rücken- markshälften liegen ganz dicht an einander. Dieses giebt uns Veranlassung, die Spalte mit der fissura posterior des Rückenmarks anderer Thiere zu verglei- chen. Der wesentliche Unterschied, der dabei existirt, ist nämlich der, dass die Wände der Fissur beim Am- phioxus mit Epithelialzellen ausgelegt sind.

Der Rückenmarkskanal liegt nicht ganz in der Mitte, sondern etwas nach unten. Seine Form ist, wie ich oben erwähnte, rundlich. Die Wände sind mit Cy- linderzellen ausgelegt, die im hôchsten Grade schmal und zart sind. Obgleich ich die Flimmerung an den- selben nicht gesehen habe, da ich lebendige Exem- plare in dieser Hinsicht nicht untersuchte, so glaube ich doch, die Flimmerhaare an den Zellen in den Chromsäurepräparaten deutlich erkannt zu haben. Das dünnere, innere Ende der Zelle läuft in einen langen Faden aus, der sich in der Grundsubstanz des Rücken- marks verliert. Die Form, Lage und Grüsse des Rü- ckenmarkskanals ist in allen Theilen dieses Organs wenig veränderlich. Nach vorn, im vorderen Theil des Kopfes, üffnet sich der Rückenmarkskanal in eine ovale Grube, deren Form uns lebhaft an den vierten

7) Pag. 95. 8) Pag. 215.

Ventrikel des verlängerten Marks aller Wirbelthiere erinnert.

Diese Grube ist ebenfalls mit Cylinderzellen austa- peziert. Der Theil, wo sich dieselbe befindet, ent- spricht also dem verlängerten Marke. Er ist auch verhältnissmässig dicker als der übrige Theil des Rü- ckenmarks. Hôchst interessant ist es, dass der Cen- tralkanal am hinteren Ende des Marks in eine ein- fache Rôühre ausläuft, die frei endigt und nicht von Nervengewebe umgeben ist. Auf diese Weise ist die hinterste Spitze des Rückenmarks nicht ein Nerven- bündel, sondern eine aus Cylinderzellen bestehende Rühre. Die Nervenbündel, die den Schwanz versor- gen, entspringen etwas hôher und büschelfürmig.

DieBetrachtung des herauspräparirten Rückenmarks zeigt bei mässiger Vergrüsserung zwei schwarze, paral- lele, der Länge nach liegende Streifen. Die grossen Pig- mentzellen, die dieselben bilden, liegen nicht in der oberen Hälfte des Rückenmarks, wie Goo dsir gesehen zu haben glaubt, sondern in der unteren, wie schonJ. Müller beobachtet hat. Sie sind gross und sternfôr- mig. Ein aus feinen, schwarzen Kürnchen bestehender Inhalt umgiebt einen weissen Kern. Nach dem Tode des Thieres nehmen die Zellen eine mehr oder weni- ger runde Form an, indem der Inhalt, welcher Fort- sätze bildete, eingezogen wird. Hôchst wahrscheinlich liegen die Pigmentzellen an Blutgefässen.

Die beiden Pigmentstreifen gehen durch das ganze Rückenmark und hôren kurz vor den beiden Enden auf (Fig. 1).

Es bleiben noch die Nervenfasern und Nervenzel- len zu beschreiben. Die Hauptmasse des Rückenmarks besteht aus Nervenfasern, deren Dicke eine sehr ver- schiedene ist. Dass es unter Umständen keine leichte Sache ist, die Fasern zu sehen, beweisen die früheren Arbeiten. So behauptet Quatrefages”), er habe die pri- mitiven Fasern nicht sehen künnen. Das ganze Rücken- mark und auch die Nervenwurzeln scheinen aus einer fein granulirten, mitunter gestreiften Masse zu beste- hen. Benutzt man die Untersuchungsmethode, die ich oben angeführt habe, so überzeugt man sich nicht allein leicht von der Existenz der Primitivfasern, sondern auch von ihrer verschiedenen Breite. Auf einem Quer- schnitte des Rückenmarks sieht man eine Unzahl quer

9) Pag. 227. 19*

295

Bulletin de l’Académie Impériale

————

durchschnittener Fasern aus der Grundmasse hervor- ragen, Manche von ihnen sind im hôchsten Grade fein, andere dagegen sehr breit. Der Emdruck, den man dabei erbält, führt unwilikübrlich zum Vergleich die- ses Rückenmarks mit dem des Petromyzon. Auch dort wie hier fallen einzelne Fasern durch ihre ver- hältnissmässig kolossale Dicke auf. Beim Petromyzon habe ich diese Fasern die Müller’schen genannt und genauer beschrieben.

Von den dicken Nervenfasern des Amphioxus lässt sich kaum etwas Anderes sagen, als was von den Mül- ler’schen Fasern bereits gesagt worden ist. Die aus dem Rückenmarke herauspräparirten Fasern haben gerade, gleichmässige Conturen. Man erkennt an ihnen nichts, was als Nervenmark aufgefasst werden kôünnte. Dieses giebt Veranlassung, die Fasern für nackte Axen-Cy- linder zu halten. Nur ein paar Mal sah ich die der Länge nach herauspräparirten Fasern von einer weiss- lichen, kaum messbaren Kante umgeben. Vom Car- min werden sie stärker gefärbt, als die sie umgebende Grundsubstanz. Im vorderen Theïl des Rückenmarks ist die Dicke der genannten Fasern beträchtlicher als im Schwanzende. In dem Theil, welcher als Ge- hirn oder verlängertes Mark bezeichnet werden kann, verschwinden sie ganz.

Die dicksten Fasern, 5—8 an der Zahl, liegen je- derseits nach aussen und unten von dem Central- kanal.

Ausserdem finden wir noch jederseits zwei kleine Gruppen von diesen Fasern, eine an der äusseren, oberen, die andere an der äusseren, unteren Fläche. Die Zeichnung zeigt dieses viel deutlicher, als es die Beschreibung zu thun vermag (Fig. 2, f). Nirgends im Kürper, weder am Ursprunge der Spinalnerven, noch an ihren peripherischen ÀÂsten finden wir solche breite Nervenfasern, wie die, von denen eben die Rede war. Solche Fasern, die, wie ich in früheren Arbeiten zu zeigen Gelegenheit hatte, auch im Rückenmarke der hüheren Wirbelthiere vorkommen, müssen noth- wendiger Weise im Rückenmarke selbst entstehen. Sie entstehen hüchst wahrscheinlich durch Zusammen- schmelzen aus feineren Fasern, wie ich bei Krebsen beobachtet und beschrieben habe.

Ausser den Längsfasern des Rückenmarks, die ana- log der weissen Substanz anderer Thiere sind, kom- men in diesem Organe Nervenfasern vor, die dasselbe

quer durchziehen. Man sieht sie zwar auf Querschnit- ten, besser sind sie jedoch auf Längsschnitten zu se- hen. Es sind Fasern, welche von den Spinalwurzeln zu den im Rückenmarke liegenden Ganglienzellen ge- hen und sich dort mit ihnen verbinden (Fig. 2, a). Die Nervenzellen haben meistens eine dreieckige oder sternfürmige Gestalt und besitzen alle einen deutlichen Kern. Der Zelleninhalt, der sich in die Fortsätze er- streckt, geht unmittelbar in die Nerven über. Soll die Grôsse als ein constantes, bestimmtes Merkmal bei der Eintheilung der Nervenzellen in verschiedene Arten die- nen, so unterscheide ich zwei Arten der Nervenzellen, die ganz grossen und die mittelgrossen. Es ist môglich, dass man mit der Zeit auch beim Amphioxus noch mebr Arten wird unterscheiden künnen; ich bin jedoch nicht im Stande gewesen, selbst bei Anwendung der besten und neuesten Objective, mehr wahrzunehmen. Bei einiger Übung erkennt man, dass mehrere Fortsätze in die Spinalnerven übergehen und einer die Richtung zum Kopfe nimmt. Die Zeichnung (Fig, 5) zeigt mehrere multipolare Nervenzellen; die Fasern, die mit ihnen zu- sammenhängen, sind die Längsfasern des Rückenmarks. Dieses Präparat ist durch Zerfasern eines in Säure gelegenen Rückenmarks gewonnen. Der Übergang der Spinalnerven in die Fortsätze der Nervenzellen ist gewühnlich bei Fischen und bei anderen Wirbelthie- ren auf Querschnitten gut zu verfolgen, beim Am- phioxus sind die Querschnitte dazu weniger geeignet. Man benutzt zu diesem Zwecke mit grüsserem Erfolg die Längsschnitte in horizontaler Richtung. Mitunter gelang es mir, beim Amphioxus den Übergang der Nervenzellenfortsätze in Spinalnerven durch die ganze Breite eines gefärbten Rückenmarks zu verfolgen.

Eine so deutliche Commissur, wie man gewühnlich antrifft, kommt beim Amphioxus nicht vor. Es gelang mir aber einige Mal, die Fasern von der einen Hälfte des Rückenmarks zu der anderen zu verfolgen und dieses nicht allein unterhalb des Centralkanals, son- dern auch oberhalb desselben.

Die Untersuchung des Rückenmarks des Amphio- xus bietet so viele Schwierigkeiten dar, dass ich keine genaue Rechenschaft über das Schicksal aller Nervenfortsätze abzulegen vermag. Ausser demjeni- gen, was ich schon angeführt habe, erwähne ich nur noch, dass es mir schien, als ob mehrere Nervenzel- len unter einander durch ihre Fortsätze sich verbin-

297

den. Die Zahl der Nervenzellen ist unbedeutend. Sie liegen theils an der Seite des Rückenmarkskanals, oder an der Fissur desselben, mehr oder weniger ent- fernt von den Epithelialzellen. Die grüsseren Nerven- zellen betragen 0,012—0,015"", die kleineren 0,004 —0,006"".

Ueber das peripherische Nervensystem,

Von den neueren Beobachtern hat dem peripheri- schen Nervensystem und der Endigungsweise der Nerven Marcusen die grüsste Aufmerksamkeit ge- schenkt, von den älteren Beobachtern Quatrefages. Dieser Forscher, trotzdem dass seine Beobachtungen in das Jahr 1845 fallen, hat uns einige hôcht wich- tige Thatsachen überliefert. Er findet unter Anderem, dass, nachdem die feinen Nervenäste zuletzt in Pri- mitivfasern zerfallen sind, sie in ovale Kürperchen endigen, die er an die Seite der Pacinischen Kôr- perchen stellt. Ich war nicht wenig überrascht, bei meiner ersten Untersuchung diese Kürperchen nicht zu finden. Ich wollte um so mehr über diese An- gelegenheit ins Reine kommen, weil diese Endi- gungsweise einerseits von Marcusen geleugnet wird, andererseits von R. Leukart und A. Pagenste- cher ‘?) an jungen Exemplaren unstreitig gesehen wor- den ist. Marcusen erklärt die von Quatrefages ge- sehenen Endorgane erstens für Kerne, die sich an dem Orte befinden, wo grüssere Zweige sich in kleinere theilen; zweitens für schraubenformige Windungen, die von Nervenästchen gebildet werden. Die Beobach- tung von Marcusen ist keineswegs falsch zu nennen; ich kann sie bestätigen, indem ich zuweilen solche schraubenfôrmige Windungen an Nervenzweigen ge- sehen habe, noch häufiger aber Kerne an den Thei- lungspunkten derselben. Diejenigen Endkolben jedoch, von denen Quatrefages spricht, hat Marcusen nicht gesehen, und zwar aus dem Grunde, weil sie sich nur an einer bestimmten Stelle des Kürpers be- finden. Ich fand sie regelmässig an der Spitze der Ober- und Unterlippe. Diese Endigungsweise ge- hôrt nur zum Bereiche des Trigeminus. Sie ist, wie ich mich überzeugt habe, ausserordentlich leicht nach- zuweisen. Will man die genannten Endkolben sehen, so nimmt man am besten Exemplare, die in Owen’-

10) Archiv für Anatomie und Physiologie von J. Müller, 1858, pag. 561 und 562.

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

298

scher Flüssigkeit aufbewahrt waren. Man kann auch die Spirituspräparate benutzen, nur muss man sie auf einige Zeit in stark verdünnte Essig-, Schwefel- oder irgend eine andere Säure legen. Die Endkolben wa- ren auch in dem Falle gut zu sehen, wenn die Spi- rituspräparate in schwach verdünnter Schwefelsäure gekocht waren. Schneidet man aber von der äussersten Spitze des Kopfes eines auf genannte Weiïse präparirten Amphioxus ein Stück von etwa 2—3"°" Länge ab, legt es unter das Mikroskop, so wird man die Endkolben schwerlich übersehen künnen. Das Bild wird zuweilen durch auf den Oberlippen sitzendes Epithel verdeckt. Dasselbe ist aber häufig durch Anwendung der Säu- ren oder durch Präpariren an einzelnen Stellen ver- loren gegangen. Grerade an diesen Stellen sieht man mit ausgezeichneter Klarheit die Theilung der Tri- geminusäste. Sehr bald, schon bei schwacher Ver- grüsserung, nimmt man wabr, dass an der letzten Nerventheilung, besonders am Saume der Lippen, kleine Pünktchen aufsitzen. Hat man sich bei dieser Vergrüsserung orientirt, oder falls das Präparat un- günstig ausgefallen, und man durch das Zerzupfen und Präpariren mit der Nadel nachgeholfen hat, so nimmt man eine starke Vergrüsserung. Nun zeigt es sich, dass die Primitivfasern in eine runde oder ovale Zelle endigen (Fig. 4). Die Zelle hat eine derbe, scharf conturirte Hülle. Der Zelleninhalt ist feinkürnig, dunkel gefärbt. Der Kern ist scharf umschrieben, sein Inhalt etwas grobkürniger als der Zelleninhalt. Mitunter sieht man auch ein Zellenkürperchen. Die Breite der End- zellen beträgt 0,0110"", die Länge 0,0143°", der Zelleninhalt misst 0,0066"", der Kern 0,0033 0,0044"".

Nur ein einziges Mal sah ich wirklich, dass die Faser in eine solche Zelle überging und sich weiter fortsetzte, häufig hat es aber bloss den Anschein.

Genauere Erforschungen und stärkere Vergrüsse- rungen zeigten in diesem Falle, dass es nicht eine Fa- ser war, die zu der Zelle ging, sondern zwei; die eine endigte in der Zelle, während die andere unter der- selben weiter ging.

Die Endzellen sind entweder durch verhältnissmäs- sig gleiche Zwischenräume von einander getrennt, oder sie sitzen ziemlich dicht neben einander, zu zwei, drei oder vier. Sie sind äusserlich, wie ich schon oben erwähnte, von Epithelialzellen bedeckt, so dass, wenn

299

Bulletin de l’Académie Impériale

300

EEE

dieselben intakt sind, man die Endzellen nicht sehen kann. Die beschriebene Endigungsweise der Nerven kann nicht als Gesetz angenommen werden, vielmebr ist sie, wie wir gesehen haben, auf einen bestimmten Raum beschränkt, wo der Tastsinn wahrscheinlich mehr ausgebildet ist, als in der übrigen Oberhaut.

Nun fragt es sich aber, wie endigen denn die übri- gen zu der Haut gehenden Nerven. Man kann auf der Oberhaut drei. gesonderte Schichten unterscheiden. Die äusserste Schicht die Epithelialschicht be- steht aus palissadenfürmig geordneten Cylinderzellen; die zweite nach unten liegende erscheint gleichfürmig glashell, doch kann man in derselben eine feine, re- gelmässige Streifung erkennen.

Die dritte Schicht zeigt viele Nervenstämme und ist reichlich mit Bindegewebskôrperchen versehen. Diese sind gross, länglich, zuweilen sternfürmig. Ihr Aussehen erinnert sebr an die Hornhautkürperchen. Die grüsseren Nervenstämme sieht man in kleinere, diese in feinere Zweige und endlich in primitive Fasern zerfallen. In den mit schwacher Essigsäure behandelten Präpara- ten habe ich die Primitivfasern sich deutlich theilen sehen. Jede Primitivfaser war mit einer kernhaltigen Scheide umgeben. Obgleich die letztgenannte Schicht im hôüchsten Grade reich mit Nervenfasern versehen war und ibre Ausbreitungen ein vollkommenes Netz zu bilden schienen, so sah man dennoch, dass die Endzweige der Nervenfasern eine Richtung zu der Peripherie, also in die gestreifte Schicht hinein nah- men. Von der anderen Seite sah man manche Cylin- derzelle der äusseren Bedeckung so fest mit ihrer un- teren Spitze in die gestreifte Haut hinein gewachsen, dass sie in derselben fest sitzen blieb, auch in dem Falle, wenn ihre obere Partie abgebrochen war.

Zuweilen, freilich sehr selten, sah ich Cylinderzel- len mit ihrem unteren, zugespitzten Ende in eine Fa- ser, die alle Charaktere einer Nervenfaser an sich trug, übergehen. Auf diese Weise habe ich die Über- zeugung gewonnen, dass die Nerven der äusseren Be- deckung in Epithelialzellen endigen.

Übrigens ist schon A. Kowalevsky vor mir zu derselben Ansicht gekommen. In seiner hôchst inte- ressanten Arbeit über die Entwickelungsgeschichte des Amphioxus hat er die Abbildung einer solchen

Endigungsweise gegeben. Ich habe damals in Neapel

seine Präparate gesehen und finde, dass sie naturge-

treu wiedergegeben sind. Jetzt fand ich unter meinen in Spiritus aufbewahrten Präparaten mehrere 10 15°" grosse Exemplare des Amphioxus und unter- suchte ebenfalls die Endigungsweise der Hautnerven an ihnen, fand aber in den Lippen nicht jene oben be- schriebenen, ovalen Nerven-Endorgane. An ihrer Stelle fand ich etwas vergrüsserte, cylinderfürmige Epithelialzellen. Diese Beobachtung kônnte Veranlas- sung geben, die genannten Endapparate für die mor- phologisch veränderten Epithelialzellen zu halten.

Über die Sinneswerkzeuge lässt sich kaum mehr mittheilen, als die früheren Beobachter schon gesagt haben.

Das Auge ist im hüchsten Grade rudimentär. Bei keinem Wirbelthiere steht es auf einer so niedrigen Stufe der Entwickelung wie beim Amphioxus. Es war eine Zeit lang streitig, ob der Amphioxus zwei Augen habe oder nur eins. Die Frageist allem Anschein nach dadurch beantwortet worden, dass er zuweilen ein, zu- weilen zwei Augen hat. Ich habe meistens nur eins ange- troffen. Es erschien mir als ovaler, quer auf der vorde- ren Schicht des Gehirns gelegener Pigmentfleck. Kô1-

liker hat ganz Recht, wenn er darauf aufmerksam

macht, dass das in diesem Flecke vorhandene Pig- ment nicht indigoblau wie im Rückenmarke, sondern braun sei. Ich kann diese Beobachtung bestätigen. Doch muss ich noch ein Bedenken aussprechen, da ich die Sinneswerkzeuge nicht an frischen Thieren unter- sucht habe. Ich habe nie den Opticusnerv so lang gesehen, wie er von Külliker und Quatrefages ge- zeichnet wird. Ferner habe ich nichts gesehen, was für Krystallkürper gehalten werden künnte. Ob der- selbe nur in frischem Zustande zu sehen ist, oder ob die Beobachtung von Quatrefages auf irgend einem Irrthume beruht, mag künftigen Forschungen vorbe- halten bleiben.

Doch neige ich mich zu der Ansicht, dass die Linse gar nicht vorkommt, da auch Leukart und Pagen- stecher, beide sehr genaue Beobachter, sie nicht finden konnten.

1ch will noch hinzufügen, dass es mir vorkam, als ob das Auge, wenn es mit einem Deckglächen bedeckt war und ich auf dasselbe mit einer Nadel drückte, in zwei Partien zerfiel. Beide Theile waren nicht von derselben Grüsse.

Das Riechorgan, welches an lebendigen Exemplaren

És

| À f À : ] |

6 RE On V2 an NA L

Bulletin del Acad. imp. des sciences T XIL. wire oo Mi à Xe : —# di AM

"Em:

sale

LLLAUU LUS A à.

LL EURE Man tout éman qu à TLE Pal ti 1

DL LE)

“Jade ch M RLSRERS hu 4 Fr robe: SES ein LUN ; st gala: ,

2 UTP REP STONES

Ts

À

Métier] DUT beat i

Pi Owsjanmikow, Ueber das Cnlraliervensystlem des Amphioxus lanceolalus.

RE

(ii

ut a ja pus te Dico

} ; 1 ï A M dit tr tilya Q id Î is + des (4 me A dit qi bg es ait tv vamiis ni sil dou AU (CEE rt Ar h LT HS Du Le vi " ju

PT ol ia fi 01 di 6 FT w ra Ur \ du “ré È tft (ti

WE! d UT nue Me nt ue L

pee 1 AS Q NAS

#?

fe ie L ni À at | AAC a) A lil VA ONE ANT IN TES

301 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 302

gewôübhnlich durch die Flimmerung der in demselben sich befindenden Cilien erkannt wird, ist in präparir- ten Exemplaren viel schwerer zu finden. Diese Schwie- rigkeit war die Ursache, weshalb Max Schultze die- ses Organ nicht gesehen hat. Ich fand dieses Organ oberhalb des Auges in einem auf dem Gehirn sitzenden Grübchen oder Trichter. In diesem Grübchen habe ich schmale Cylinderzellen gesehen.

Fassen wir schliesslich die Hauptresultate unserer Untersuchung zusammen, so sind sie folgende:

1) Das Rückenmark des Amphioxus ist im Wesent- lichen nach demselben Grundprincip gebaut wie das aller anderen Wirbelthiere.

2) Dasselbe besitzt keine Anschwellungen, wie man angenommen hat, sondern ist in allen seinen Theilen gerade und gleichformig.

3) Die Spinalnerven entspringen auf beiden Seiten- hälften unsymmetrisch.

4) Sie entspringen abwechselnd, bald auf der vor- deren seitlichen, bald auf der hinteren seitlichen Fläche des Rückenmarks in verschiedener Hühe.

5) Im Rückenmarke finden sich Fasern von sehr verschiedener Dicke.

6) Die dort befindlichen Nervenzellen haben eine rundiiche, drei- oder mehreckige Form.

7) Alle Nervenzellen hängen mit Nervenfasern zu- sammen.

8) Der Rückenmarkskanal hat eine runde Gestalt und ist mit Cylinderzellen ausgelegt.

9) Die hinterste Spitze des Rückenmarks ist faden- formig und hohl.

10) In dem Kopftheil des Rückenmarks ist eine Stelle, die als verlängertes Mark angesehen wer- den kann. Dort finden sich die grüssten Nerven- zellen, in die sich die breiten Fasern endigen, und der Rückenmarkskanal ôffnet sich in einen Ventrikel.

11) Als Gehirn kann hôchstens der um und vor dem Ventrikel liegende Theil betrachtet werden. 12) Das Auge besteht nur aus einem Haufen von

Pigmentkôrnchen.

13) Die peripherischen Nerven endigen zum Theil in besonderen bläschenfürmigen Organen (am Kopfe), zum grüsseren Theil aber in Epithelial- zellen.

Erklärung der Tafel,

Fig. 1 zeigt das Gehirn À, und das Rückenmark B des

Amphioxus, ungefähr bei 70facher Vergrüsserung.

Der schwarze Punkt im Gehirn stellt das rudi- mentäre Auge dar. Hinter ihm liegt ein Ventrikel. Die Nerven, die aus dem Gehirne entspringen, künn- ten der eine als Trigeminus, der andere als Facia- lis bezeichnet werden. Im Rückenmarke sieht man die unsymmetrisch abgehenden Spinalnerven. Die schwarzen Punkte sind Pigmentzellen.

Fig. 2 stellt einen Querschnitt durch das Rückenmark

dar, mehr als 1000 mal vergrüssert.

a) Eine Nervenwurzel, die von der seitlichen, hin- teren Fläche des Rückenmarks entspringt.

b) Die hintere Spalte des Rückenmarks.

c) Eine mittelgrosse Nervenzelle.

d) Eine grosse Nervenzelle.

e) Der Rückenmarkskanal. Unterhalb der letzten vordern, grossen Nervenzellen liegen Pigment- zellen, die hier als ovale, dunkle Flecken bezeich- net sind. Die grosse Centralüffnung ist ein durch- schnittenes Blutgefäss.

f) Durchschnitte der breiten Nervenfasern.

Fig. 3. Das Gehirn; ungefähr 506 mal vergrüssert.

a) Der Nervenstamm (Trigeminus).

b) Das Auge.

c) Der Ventrikel, in den sich der Rückenmarks- kanal ôffnet. Am Grunde sieht man Epithelial- zellen.

d) Nervenzellen.

Fig. 4. Endorgane des Trigeminus in der Haut der

Lippen, bei mehr als 1000facher Vergrüsserung.

a) Eine Nervenfaser.

b) Eine Zelle mit einer Membran, Protoplasma, Kern und Kernkürperchen.

eu

Fig. 5. Nervenzellen nebst Nervenfasern aus dem

Rückenmarke des Amphioxus, bei ungefähr 1300- facher Vergrôüsserung.

Den 5. September 1865.

303

Bulletin de l’Académie Impériale

304

TS

Einige vorläufige Versuche über das Verhalten der Pflanzen im Stickoxydulgase, von El Borsezow, Privat-Docenten an der St. Wladi- mir-Universität in Kiew. (Lu le 17 octobre 1867.)

Bei seinen Versuchen über den Einfluss der Luft- verdünnuug, so wie der verschiedenen Gasarten auf die für Erschütterungen empfindlichen Staubfäden von Mahonia, Helianthemum vulgare und Berberis, beobachtete Kabsch'), unter Anderem, dass die Staubfäden der letzteren Pflanze ihre Reizbarkeit im Stickoxydulgase vollständig behielten. Da nun die Beweglichkeit und Reizbarkeit gewisser Organe, ab- gesehen von dem eigenthümlichen Baue derselben, überhaupt im nächsten Verhältnisse zu den allgemei- nen vegetativen Functionen im ganzen pflanzlichen Organismus stehen, so war es von Interesse zu ermit- teln, ob und welchen Einfluss das Stickoxydulgas so- wohl auf grüne, assimilirende Organe, als auch auf die nicht assimilirenden ausübt. Im Folgenden über- gebe ich einige von mir in dieser Richtung angestellten Versuche, welche eigentlich nur als einleitende, qua- litative Vorprüfungen anzusehen sind.

In erster Linie war alle meine Aufmerksamkeit darauf gerichtet, müglichst reines stickoxydfreies Gas zu meinen Experimenten zu gewinnen. Das durch gelindes Schmelzen des salpetersauren Ammoniaks dargestellte ist am wenigsten zu solchen Versuchen geeignet, da bei einer etwas stärkeren Erwärmung ausser dem Stickoxydul sich auch Stickstoff und Stick- oxyd entwickeln, und im Falle das gebrauchte Salz kleine Mengen Chlorammonium enthielt, schliesslich noch eine Verunreinigung durch Chlorgas entsteht. Aus diesen Gründen hielt ich es für zweckmässiger mit demjenigen Stickoxydulgase zu experimentiren, welches durch Auflüsen des chemisch reinen Zinks in reiner Salpetersäure von 1, 2 spec. Gew., die, gelegent- lich, noch mit anderthalbfachem Volum Wasser ver- dünnt worden ist, gewonnen wurde. Um aber von der totalen Abwesenheit des Stickoxyds eine vüllige Über- zeugung zu gewinnen, reinigte ich das entweichende Gas vor dem Eintreten in den Recipienten mittelst einer concentrirten Eisenvitriollüsung. Die Erfahrung zeigte *), dass diese Vorsicht eine durchaus nôüthige

1) Kabsch. Botan. Zeitung. 1862, p. 342 sqq- 2) Bei dem ersten Versuche mit Phaseolus multiflorus ist diese Reinigung des Gases nicht vorgenommen worden und zwar absicht-

war, da auch beim Gebrauche einer sehr verdünnten Säure sich dennoch kleine Mengen des positiv schäd- lichen Stickoxydes bilden, welche auf die Schlusser- gebnisse der Versuche nachtheilig einwirken künnen.

Als Sperrflüssigkeit gebrauchte ich, da mir leider die nôthige Menge Quecksilber fehlte, reines Fluss- wasser. Dies hatte einen doppelten Übelstand in sich. Erstens wurde eine nicht unbedeutende Menge Gas vom Wasser absorbirt, wodurch das Füllen des Reci- pienten ziemlich viel Zeit in Anspruch nahm, und zweitens war unter solchen Bedingungen eine eudio- metrische Bestimmung des nach Beendigung der Ver- suche in dem Recipienten befindlichen Gasgemenges mit der nôthigen Präcision geradezu unausführbar. Ausserdem will ich nicht absprechen, dass auch eine, weun auch gewiss sehr geringe Quantität der im Sperrwasser enthaltenen atmosphärischen Luft sich dem Stickoxydulgase beigemengt hat.

Sämmtliche Versuche sind im Freien, auf der Nord- seite eines Gebäudes vorgenommen worden, wodurch die schnell auf einander folgenden Schwankungen der Lufttemperatur beseitigt wurden.

Erster Versuch. Am 14. Juli, um 3 Uhr Nachm. (Lufttemperatur 29° Cels.) wurde der Gipfel einer im Freien wachsenden kräftigen Pflanze von Phaseolus multiflorus unter einen Recipienten, enthaltend 1400 Cub. Centim. Stickoxydul, gemengt mit etwas Stick- oxyd, eingebracht*). Im Gase befanden sich ein beï- uahe vollkommen entwickeltes und ein junges Blatt, beide in Tagesstellung, ferner eine ganz junge Blü- thenähre, deren säimmtliche Blüthen noch im Knospen- zustande waren und nur die zwei untersten eine schwache rothe Färbung ihrer Blumenblätter zeigten.

Nach Verlauf einer Stunde erschienen sämmtliche Blättchen am Rande etwas gekräuselt, behielten aber ihre Tagesstellung und veränderten nicht im Minde- sten ihre grüne Farbe. Die Knospen der Blüthenähre zeigten auch keine wahrnehmbare Veränderung.

lich, um die Einwirkung einer geringen Beimengung des Stickoxy- des zu verfolgen. Aus dem Folgenden wird man einsehen, dass die Re- sultate dabei ganz anders ausfallen, als beim Gebrauche des reinen Stickoxyduls.

3) Da alle Pflanzentheile, wegen der absorbirenden Eigenschaft ihrer Gewebemassen, an der Oberfläche gewôhnlich von einer sebr dünnen Lufthülle umgeben sind und diese letztere eine Diffusion des Gases aus dem Recipienten veranlassen kônnte, so wurde, um diesem storenden Umstande vorzubeugen, der Gipfel durch langsames Be- wegen im Wasser von der anhaftenden Luft befreit und darauf in den Recipieuten eingebracht.

305

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

306

Dieser Zustand dauerte etwa eine halbe Stunde. Darauf kräuselten sich die Blättchen immer mehr und mehr und um 5 Uhr 30’ (Temperatur 26° Cels.) wa- ren sie schon beinahe vôüllig zusammengerollt. Dabei änderten sie die Farbe in ein schmutziges Grün und sahen nun wie vertrocknet aus. Vor und während des Eintretens dieser Veränderungen transpirirten die Blätter auflallend stark eine Erscheinung, welche ich im reinen Stickoxydul niemals in solchem Grade wahrnehmen konnte. Merkwürdigerweise blieben däbeï säimmtliche bewegliche Stielpolster ebenso gespannt wie vorher, wodurch auch in der Stellung der Blätter keine Veränderung eintrat. Die Blüthenknospen wur- den zu derselben Zeit ebenfalls missfarbig, das schüne Roth der Blumenblätter in den beiden unteren Blü- then bräunlich.

Um 7 Uhr 30° Abends (Temperatur 20° Cels.) zeigten die Blättchen und Blüthenknospen keine wei- teren Veränderungen; dagegen verloren jetzt die be- weglichen Stielpolster ihre frühere Spannung gänzlich und waren sammt den abgestorbenen Blättern herab- hängend.

Sämmtliche eben besprochene Erscheinungen wur- den von einer Verminderung des Gasvolums begleitet. Diese betrug jedoch in 4°, Stunden, d. h. vom Anfange des Versuches bis zum vülligen Absterben der Blätter und der Stielpolster, nur etwa 45 Cub. Cent., oder 3,2%.

Am anderen Morgen (4. 15. Juli) untersuchte ich näher diejenigen elementaren Veränderungen, welche im Blattgewebe stattgefunden hatten und welche, wie aus folgenden Versuchen ersichtlich wird, nur in der Beimengung des positiv schädlichen Stickoxydes zum Stickoxydul ihren Grund haben konnten.

Was das Âussere anbelangt, so sahen sowohl die abgestorbenen Blätter als auch die Stielpolster solchen äusserst ähnlich, welche durch eine allzu hohe oder allzu niedrige Temperatur beschädigt worden sind. Das Gewebe war nämli#h, wenn benetzt, bedeutend durchscheinender als bei lebenden Organen. Es ver- trocknete ungemein rasch an der Luft und wurde dann rauh und dürre. Dabei riss es mit der grüssten Leich- tigkeit, war aber nicht brücklich. Die vergleichende mikroskopische Prüfung des Gewebes in einem beschä- digten und einem ganz frischen Blatte zeigte im erste-

ren eine vollständige Ablüsung des Plasmas von der Tome XII.

Cellulosewand, ferner eine totale Umwandlung der Chlorophyllkôürner in eine grünlich-gelbliche wolkige Masse. Mittelst Jod ist in dem, auf diese Weise ver- änderten Chlorophyll keine Spur Stärke mehr nachzu- weisen, wWährend im Chlorophyll frischer Blätter die blaue Jodreaction deutlich auftritt.

Es frägt sich nun, woher dieses rasche, vüllige Ver- schwinden der Stärke aus der Chlorophyllsubstanz be- schädigter Blätter? Meiner Ansicht nach sind hier zwei Fälle môglich. Entweder konnte, unter angege- benen Verhältnissen, eine direkte chemische Verände- rung der vorhandenen Stärke stattfinden und zwar durch das beigemengte Stickstoffoxyd, welches in Be- rührung mit dem im Sperrwasser enthaltenen, übri- geus sehr geringen Quantum atmosphärischer Luft môglicherweise salpetrige Säure bildete und auf diese Weise Zersetzung der Stärke herbeiführte; oder aber es wurde der im Blattparenchym enthaltene Stärkevor- rath, mit dem raschen Aufhüren des Assimilations- processes in den Blättern, zu Gunsten der am näch- sten liegenden Pflanzentheile verbraucht. Das Letztere wird wohl das Wahrscheinlichere sein. Ich müchte sogar annehmen, dass die spät auftretende Erschlaffung der beweglichen Stielpolster, nämlich 3 Stunden nach dem Eintreten der ersten Symptome der Beschädigung in den Blättern, nur dadurch bedingt worden ist, dass sogleichnach dem Aufhüren des Assimilationsprocesses, das im Blatte vorräthig gewesene Stärkequantum in diese Theile übertragen wurde. Deswegen widerstan- den dieselben der Einwirkung des schädlichen Me- diums länger als die Blätter selbst, welche sowohl das eigene Gewebe, als auch alle übrigen in der Pflanze mit dem unenthehrlichen organischen Material verse- ben. Zwar enthält das Parenchym der Stielpolster auch Chlorophyll und ist jedenfalls, wie überhaupt alle grünen Pflanzentheile, assimilationsfähig. Indessen ist diese Assimilationsfähigkeit im grünen Parenchym der Stielpolster gewiss eine bedeutend weniger aus- giebige als in den Blättern, schon aus dem Grunde, weil in den letzteren das grüne Gewebe das vorwie- gende ist, während es in den Stielpolstern einen viel geringeren Theil des gesammten Gewebes ausmacht. Unter solchen Verhältnissen müssten die Stielpolster, ceteris paribus, aber ohne Zuthun des aus den Blättern stammenden Materials, der Einwirkung des schädli- chen Mediums viel früher unterliegen, als die Blätter

20

307

Bulletin de l’Académie Impériale

308

———@—ZZZEEE

selbst, was aber, wie wir gesehen haben, nicht der Fall ist.

Zweiter Versuch“). Mit Urtica urens.

Am 15. Juli, um 6 Uhr Nachmittags wurde ein gesunder Zweig von Ürtica urens sammt zwei voll- kommen entwickelten Blüthen und vielen Blüthen- knospen in 350 Cub. Cent. reinen Stickoxydulgases eingebracht.

Nach dreistündigem Aufenhalte im Gase (um 9 Uhr Abends) konnte ich an der Pflanze durchaus keine Veränderungen wahrnehmen; sie war ebenso frisch,

9

wie vorher. Der Verbrauch des Gases betrug in 3 Stunden etwa 30 Cub. Cent.

16. Juli, Morgens um 7 Uhr. Keine merkliche Veränderung weder in der Stellung der Blätter, noch in ibrer Farbe. Es brechen mehrere neue Blüthen- knospen auf. Die Verminderung des Gasvolums wäh- rend der Nacht (von 9 Uhr Abends bis 7 Uhr früh) beträgt 75 Cub. Cent. Das übriggebliebene Gas ist mit CO, gemengt.

Nach 8°, Stunden (3 Uhr 30° Nachm.) erscheinen die am Morgen aufgebrochenen Blüthen vollständig entwickelt. Dem änsseren Aussehen nach ist die Pflanze keineswegs von den im Freien wachsenden zu unterscheiden.

Nun unterwarf ich einer mikroskopischen Prüfung zunächst die protoplasmareichen Brennhaare und darauf das grüne Gewebe der Blätter und des Rin- denparenchyms. In den ersteren zeigte das farblose Plasma eine sehr lebhafte Bewegung, welche also selbst durch den 22-stündigen Aufenthalt im Stick- oxydulgase nicht beeinträchtigt wurde. Was die Chlo- rophyllkürner der grünen Theiïle anbelangt, so war weder ihre Form, noch ihre Farbe verändert und enthielten dieselben deutliche Stärkekôrner.

Dritter Versuch. Blüthen von Phaseolus multi- florus.

Am 14. Juli, 6 Uhr Nachm. (Temp. 22,5° Cels.) wurde die Blüthenähre einer im Freien wachsenden Phaseolus-Pflanze in 1200 Cub. Centim. reinen Stick-

4 Bei diesem und dem nächstfolgenden Versuche wurde ganz reines Stickoxydulgas angewendet.

oxyduls eingebracht”). Die Blüthenähre hatte zwei ganz junge Früchte, zwei vollkommen geüffnete Blü- then, ferner drei solche Blüthen, welche zum Aufbre- chen am folgenden Tage bereits fertig waren; die übrigen Blüthen im Zustande mehr oder weniger ent- wickelter Knospen.

Um 7 Uhr 30° Morgens des anderen Tages konnte keine Veränderung im Aussehen der Blüthen wahrge- nommen werden. Sämmtliche Blüthen und Blüthen- knospen derselben waren ebenso frisch wie die daneben im Freien sich entwickelnden. Auch üffneten sich die dreiunteren Blüthen gegen die Mittagsstunde vollstän- dig und zwar gleichzeitig mit solchen der im Freien vegetirenden Pflanzen, welche ïhrem Entwickelungs- stadium nach mit denselben als gleichwerthige angese- hen werden konnten.

In diesem Zustande blieb die Blüthenähre während des ganzen Tages, und um 7 Uhr Morgens d. 16. Juli ôffnete sich noch eine Blüthe, und zwei der vorhande- nen Blüthenknospen schienen bereits fertig zum Auf- blühen. Bei weiterer Betrachtung zeigten nun sowohl die zuletzt entfaltete Blüthe, als auch die beiden Knospen einen merklichen Unterschied von den im Freien ste- henden. Alle Theile der im Stickoxydul befindlichen Organe hatten kleinere Dimensionen. Ausserdem aber entfalteten sich die beiden erwähnten Blüthenknospen ungemein langsam, so dass während eben solche im Freien sich schon gegen Mittag desselben Tages zu wohlgestaltenen Blüthen vollkommen ausbildeten, die im Recipienten befindlichen nur eine geringe Diver- genz ihrer alae zeigten. Die schüne Färbung und das frische Aussehen blieben dabei ohne Veränderung. Die Blüthenstiele schienen auch nicht im Mindesten angegriffen zu sein; sie behielten ihre frühere grüne Farbe und die ihnen unter normalen Verhältnissen zukommende Gewebespannung vollständig.

Am 17. Juli, 7 Uhr 30° Morg. blieben alle Blüthen- organe der Âhre in demselben Stadium wie am vor- hergehenden Tag und zeigten keine Spur einer weiteren Entwickelung. Das Überraschendste aber war, dass sämmtliche Blüthen, so wie auch die jungen Früchte,

bei einer zufälligen, geringen Erschütterung des ge-

5) Das der Blüthenähre zunächst ansitzende Blatt wurde ausser- halb des Recipienten gelassen, befand sich also, was den Assimila- tionsvorgang anbetrifit, unter normalen Verhältnissen.

309

meinschaftlichen Blüthenstieles von ihren Blüthen- stielchen sich loslüsten. Auffallender Weise hatten sie dabei an ihrem frischen Aussehen und an ihrer Füär- bung durchaus Nichts eingebüsst.

Während des Versuchs, welcher im Ganzen 61 Stunden dauerte, betrug die Verminderung des Gas- volums im Recipienten 630 Cub. Cent. Als nun in das im Recipienten befindliche, zurückgebliebene Gas- quantum ein kleines Gefäss mit vollständig klarem Barytwasser cingeführt wurde, so entstand eine Trü- bung und alsbald auch ein Absatz von kohlensaurem Baryt, welcher die Anwesenheit einer nicht unbedeu- tender Menge CO, ankündigte. Die Menge des letz- teren entsprach übrigens nicht der Menge des ver- brauchten Stickoxyduls, sondern war viel geringer eine Erscheinung, die nicht befremden wird, wenn wir die seit Saussure schon bekannten Thatsachen be- rücksichtigen wollen, dass Blüthen und besonders unterirdische chlorophyllfreie Organe, ferner auch keimende, insbesondere fettreiche Saamen, in einem begrenzten Raume mit atmosphärischer Luft einge- sperrt, derselben eine weit grüssere Menge Sauerstoff entziehen, als Kohlensäure abgeben. Da aber manche Eigenschaften des Stickoxyduls denen des Sauerstoffs nicht unähnlich sind (z. B. Befôrderung der Verbren- nung glühender Kôürper, Beforderung des Athmungs- processes der Thiere innerhalb gewisser Grenzen, Erhaltung lebhafter Protoplasmabewegungen), so ist es einstweilen denkbar, dass auch das Verhalten der Blüthenorgane im Stickoxydul dem Verhalten dersel- ben im atmosphärischen Sauerstoff so ziemlich nahe steht. Weitere, quantitative Versuche, welche ich nicht versäumen werde anzustellen, werden die Rich- tigkeit meiner jetzigen Behauptung entweder unter- stützen, oder dieselbe als unhaltbar erweisen.

Die Verminderung des Gasvolums im Recipienten während der täglichen und nächtlichen Perioden wird aus folgender kleinen Tabelle ersichtlich:

Tagesstun den. Vermind. d.

Gasvolums. 15. Juli. 7% 30‘ Morg. 3*30° N.M. 75 C.C. (8 Stunden.) 16. Juli. 7* früh. 3 DEN EM UE 20) 0 »

(8!/, Stunden.) Im Ganzen in 167, St. 155 C. C.

des Sciences de Saïint-Pétersbourg. RSR 7 Code ME RR RRRE d ne n n d _ ‘_:iems

310

Vermind. d.

Nachtstunden. Gasvolums.

14. Juli.,6*—.9" Ab; TOCAC. (3 Stunden.) " 9% —_ 7# 30/ früh. 175 » (10!/, Stunden.) 15. Juli. 3% 30° N. M. 74 früh. 130 » (151/, Stunden.) 16. Juli. 3* 30° N. M. 7* früh. 100 »

(15!/, Stunden.)

Im Ganzen in 44", St. 475 C. C.

Man wird bemerken, dass die absoluten Quanta des von den Blüthenorganen verbrauchten Gases, sowohl in den täglichen als auch in den nächtlichen Perioden, innerhalb eines und desselben Zeitraumes, nahezu die- selben sind. Denn während die Blüthenorgane im Verlauf der beiden täglichen Perioden (zusammen 16", Stund.) 155 Cub. Cent. Gas verbrauchten, ver- brauchten sie etwas mehr als das Dreifache davon, namentlich 475 Cub. Cent., während des ebenfalls beinahe dreimal längeren Zeitraumes (44'/, Stunden) der drei nächtlichen Perioden. Die Beleuchtung und die Temperatur, welche letztere übrigens auch in der Nacht nicht unter 18° Cels. war, scheinen also nur einen sehr geringen Einfluss auf die Aufnahme des Gases zu haben. Dagegen ist der bemerkenswerthe Umstand hervorzuheben, dass die Blüthenorgane in der ersten nächtlichen Periode, welche nur 13/, Stun- den dauerte, mehr Gas (245 Cub. Cent.) aufgenommen haben, als in den beiden nachfolgenden, deren Zeit- raum Zzusammengenommen über zweimal so lange dauerte. Wahrscheïnlich liegt der Grund dieser Er- scheinung, so wie überhaupt der nicht unbedeutenden Verminderung der Gasaufnahme in der zweiten und dritten Nacht darin, dass während der ersten Stun- den des Aufenthaltes im Gase noch sehr wenig CO; gebildet wurde und die Blüthenorgane sich in einem gesättigten Gasmedium befanden. Später als das Stick- oxydul schon mit CO, verdünnt wurde, ging die Auf- nahme bedeutend langsamer vor sich. De Saussure°) macht auf dasselbe Verhalten von Blüthen aufmerk- sam, wenn dieselben in ein begrenztes Volum atmo- spärischer Luft eingetragen werden. Diese verbrau- chen im Anfange ebenfalls viel bedeutendere Mengen

6) Ann. de Chimie et de Physique. 1822. T. XXI, p. 279. 20*

BI

Sauerstoff, als zuletzt, wo die Luft mit CO, schon geschwängert ist.

Die eben mitgetheilten Thatsachen führen mich einstweilen zu folgenden Schlüssen über das Verhalten des Stickoxyduls zu den sowohl assimilirenden, als auch nicht assimilirenden Organen der Pflanzen:

1) Reines Stickoxydul ist an und für sich für die genannten Organe nicht schädlich.

2) Wenn solche Ercheinungen eintreten, wie das plützliche Abfallen der dem äusseren Aussehen nach vollkommen frischen Blüthen und Blüthenknospen und zwar erst nach dreitägigem Aufenthalte im Gase, so sind diese Erscheinungen hüchst wahrscheinlich nur als Folgen seines unverdünnten Zustandes anzu- sehen und entsprechen ähnlichen, im Sauerstoff ein- tretenden Erscheinungen (so z. B. den vollkommenen Starrezuständen der Staubfiden von Berberis, welche Kabsch bei lingerem Aufenthalte im reinen Sauerstoff beobachtete).

3) Die Blüthenorgane scheinen eine weit grüssere Menge Stickoxydul zu verbrauchen, als sie Kohlen- säure ausgeben. (In einem begrenzten Gasvolum.)

4) Beleuchtung und geringe Schwankungen der Temperatur scheinen keinen merklichen Einfluss auf die Menge des innerhalb einer bestimmten Zeit auf- genommenen (Grases zu haben.

5) In den ersten Stunden nehmen die Blüthenorgane bedeutend grüssere Mengen des Gases auf, als in den nachfolgenden.

Kalaidowka, im Juli 1867.

L'influence des chlorures de potassium et de so- dium sur labsorption du fer métallique par lorganisme animal et sur l’excrétion du fer. Par le Dr. Woronichin. (Lu le 3 octobre 1867.)

Les expériences de M. le Prof. Zabeline ayant démontré que la présence du chlorure de sodium dans les aliments augmente la quantité de fer métallique absorbée par l’organisme animal, je me suis proposé de rechercher, s’il existe sous ce rapport une diffé- rence entre le chlorure de sodium et le chlorure de potassium. J’ai fait une série d'expériences sur des chiens, et je présente ici l’exposé succinct de la méthode de l’expérimentation et le résultat final auquel je suis parvenu.

Bulletin de l’Académie Impériale

312

Les chiens out été nourris avec la caséine et l’eau distillée; ils recevaient en outre chaque jour 0,200 grm. de fer métallique, qui a été administré pendant un certain nombre de jours avec le chlorure de so- dium, puis avec le chlorure de potassium, après cela de nouveau avec le chlorure de sodium et ainsi de suite périodiquement. Les analyses de matières fécales et de l’urine excrétées pendant ces périodes ont montré: que la quantité de fer absorbée par l'organisme sous l’influence de chlorure de sodium était plus grande que la quantité absorbée sous l'influence de chlorure de potassium; que la quantité de fer excrétée par l'organisme était plus grande dans le cas de la pré- sence de chlorure de potassium dans les aliments, que dans le cas de la présence de chlorure de sodium.

Pour déterminer si l'augmentation de fer excrété dépend seulement de la portion du fer introduit dans l'estomac, qui n’a pas été absorbée, ou qu'il se fait aussi aux dépens du fer contenu déjà dans l’organisme animal comme sa partie constituante, nous avons fait l'expérience suivante. Nous avons pris trois chiens et nous avons administré à chacun d’eux une même quan- tité de caséine et d’eau distillée qui ne contenaient pas de traces de fer; outre cela un des chiens soumis à l'expérience recevait chaque jour une quantité déter- minée de chlorure de sodium et les deux autres une quantité équivalente de chlorure de potassium. Après un certain temps nous avons trouvé, par l’analyse des excréments et de l’urine, que la quantité de fer excré- tée sous l'influence de chlorure de potassium était au moins deux fois plus grande que la quantité du même métal excrétée sous l'influence de chlorure de sodium. Enfin on a pris trois chiens, on a déterminé la qua- lité de fer contenue dans le sang de chacun d’eux, on les a privé ensuite de tout aliment, et pendant le temps de ce jeûne on administrait chaque jour à un des chiens une quantité déterminée de chlorure de sodium et aux deux autres une quantité équivalente de chlo- rure de potassium; au bout de quelques jours on a ana- lysé le sang de ces chiens, et on a trouvé que le sang de ceux d’entre eux qui recevaient le chlorure de po- tassium a perdu plus de fer que le sang du chien qui recevait le chlorure de sodium. Par conséquent il nous paraît évident que le chlorure de potassium, en stimulant l’absorption du fer métallique par l’orga- nisme, comme le fait le chlorure de sodium, en aug-

313

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

314

—————_—_—_—_—_—___—_—_—_—_—_—_—_—_—_—_—_—_—_—_ZUZUZUZUZUZEZEZ

mente, en même temps l’excrétion aux dépens de la quantité de ce métal contenue dans le sang de la- nimal.

Les expériences ont été faites dans le laboratoire pharmacologique de M. le Prof. Zabeline.

Bemerkungen über die Eidechsengattung Scap- teira Fitz. von Dr. A. Strauch. (Lu le 31 octobre 1867.)

Die Gattung Scapteira, von Fitzinger im Wiener Museum aufgestellt, von Wiegmann ‘) jedoch zuerst charakterisirt, gehôrt in die Tribus der coelodonten Lacertiden und zwar in diejenige Gruppe dieser Tri- bus, welche Duméril und Bibron”) wegen der an der Unterseite mit gekielten Schildern besetzten oder an den Rändern gefranzten Zehen Pristidactylia genannt haben. In ihren Organisationsverhältnissen stimmt die- se Gattung vollkommen mit der Gattung Æremias über- ein und unterscheidet sich von derselben nur durch die Bildung der Zehen; bei Eremias sind nämlich die Zehen rund oder leicht comprimirt, am Seitenrande ganz, d. h. nicht gefranzt, und zeigen an der Unter- seite gekielte Schildchen, bei Scapteira dagegen er- scheinen die Zehen breit und flachgedrückt, an den Seiten gefranzt und besitzen an der Unterseite glatte, d. h. nicht gekielte Schildchen.

Die typische und lange Zeit hindurch einzige Art der Gattung Scapteira, die Lacerta grammica Licht.”), besitzt nun in der That auffallend breite und flachge- drückte Zehen, die einigermaassen an die Zehen von Scincus officinalis Laur. erinnern, und es liess sich da- her gegen die Abtrennung dieser Eidechsenart von den ihr so nahe verwandten Æremias-Species und ge- gen ihre Erhebung zum Typus einer besonderen Gat- tung kaum etwas einwenden.

Ganz neuerdings hat jedoch Hr. Barboza du Bo- cage‘) eine Eidechse aus Mossamedes in West-Afrika,

1) Wiegmann. Herpetologia mexicana p. 9.

2) Duméril et Bibron. Erpétologie générale V p. 250.

3) Lichtenstein in Eversmann’s Reise von Orenburg nach Buchara p. 140.

4) Ann. and Mag. Nat. Hist. 3 ser. XX p. 225. Hr. Barboza schreibt Scapateira, obgleich der Name vom griechischen Worte cxat- <ne, Gräber, abgeleitet ist; wahrscheinlich wird diese irrige Form wohl eben s0 auf einem Schreib- oder Druckfehler beruhen, wie die Form Scrapteira, deren Gray sich mit Consequenz in seinem Ca- talogue of Lizards bedient.

Scapteira (?) reticulata, beschrieben, die in allen Haupt- merkmalen zwar vollkommen mit Scapteira überein- stimmt, deren Zehen aber, besonders an den Vorder- extremitäten, nicht ganz deutlich flachgedrückt sind, wesshalb Barboza diese Art auch fraglich zu Scap- teira rechnet. Mir scheint es nun keineswegs fraglich, dass die beschriebene Eidechse wirklich zu der in Rede stehenden Gattung gestellt werden muss, denn unmôglich kann doch auf einen so geringfügigen Cha- rakter, wie die weniger deutliche Abflachung der Ze- hen und den, hier ganz unwesentlichen Mangel des Occipitalschildes, den Barboza gleichfalls hervor- hebt, eine besondere Gattung gegründet werden. Ich werde in meiner Ansicht, dass Scapteira reticulata wirk- lich zur Gattung Scapteira gehôrt, noch um so mehr bestärkt, als ich mich an einer noch unbeschriebenen Eidechsenart unserer akademischen Sammlung, die ich weiter unten als Scapteira cuncirostris beschreiben werde, überzeugt habe, dass die Abflachung und Er- weiterung der Zehen bei Scapteira grammica Licht. zwar ein sehr werthvolles specifisches Merkmal ab- giebt, aber keineswegs den Werth eines generischen Charakters vindicirt erbalten kann. Diese Scapteira cuneirostris, die dem Museum vom Flügeladjutanten Seiner Majestät, Hrn. Flott-Capitain von Birilew, zum Geschenk dargebracht worden ist, gehürt näm- lich allen ihren Merkmalen nach zur Gattung Scap- teira, ja stimmt sogar in der Färbung und Zeichnung auffallend mit Scapteira grammica Licht. überein, besitzt aber Zehen, die zwar an den Seiten gefranzt und an der Unterseite mit glatten, nicht gekielten Schil- dern besetzt sind, die sich aber in der Form absolut nicht von denen der Æremias-Arten unterscheiden lassen.

Aus dem eben Gesagten geht nun hervor, dass die Erweiterung und Abflachung der Zehen nicht mehr unter die Gattungsmerkmale von Scapteira gezählt werden kann, und dass sich also diese Gattung von Lremias nur noch durch die seitliche Befranzung der Zehen und durch die glatten, ungekielten Scutella hy- podactylia unterscheidet. Trotz dieser etwas precai- ren Unterscheidungsmerkmale würde ich doch nicht anstehen, die generische Selbstständigkeit der Gat- tung Scapleira anzuerkennen, wenn mir nicht noch eine andere, gleichfalls neue Eidechsenart vorläge, die in der Zehenbekleidung absolut die Mitte zwischen der

315

Bulletin de l’Académie Empériale

316

genannten Gattung und Æremias hält. Diese überaus fein und zierlich gebaute Eidechse, die ich als Scap- teira scripta beschreiben werde, und von welcher un- ser akademisches Museum mehrere aus den aralo-cas- pischen Steppen und aus der Umgegend des Balchasch- Sees stammende Exemplare besitzt, stimmt hinsicht- lich der Hypodactyl-Schilder, die deutlich gekielt sind, mit Æremias überein, zeigt aber zugleich an den Zehen- rändern deutliche Franzen, die jedoch, besonders an den Vorderextremitäten, etwas weniger stark entwik- kelt sind, wie bei den Scapteira-Arten.

Bei so bewandten Umständen giebt es nun nur zwei Auswege, entweder man erhebt die Scapteira scripta zum Typus einer besonderen, zwischen Scapteira und Eremias zu stellenden Gattung, oder aber man verei- nigt die beiden genannten Gattungen in eine einzige und legt jeder von ihnen nur den Werth einer Unter- gattung oder Section bei.

Ich für meine Person wähle entschieden den zwei- ten Ausweg und schlage, um Missverständnisse zu ver- meiden, vor, die vereinigten Gattungen Scapteira und Eremias mit dem alten, im Laufe der Zeit verworfe- nen Wagler’schen Gattungsnamen Podarces zu be- legen.

Die Gattung Podarcis (oder richtiger Podarces, von roÿagxns schnellfüssig) stellte Wagler *) im Jahre 1830 auf und charakterisirte sie folgendermaassen: «Nares in apice canthi rostralis intra suturas trium scu- tellorum supra primum scutum labiale; tempora Zo- otocae, reliqua Lacertae; collare.» Diese Diagnose lehrt nun auf das Entschiedenste, dass er nur die gegen- wärtig als Æremias und Scapteira unterschiedenen Ei- dechsenarten im Auge gehabt hat, und er führt auch unter den Arten seiner neuen Gattung die Lacerta ve- lox Pallas und die Lacerta grammica Lichtenst., also eine Æyemias und eine Scapteira auf. Ausserdem zieht er aber auch den Seps muralis Laurenti, der bekanntlich in die (attung Lacerta gehôrt, und die Lacerta boskiana Daudin, eine Art der Gattung Acan- thodactylus dazu, ohne Zweifel weil er diese beiden Ar- ten, bei denen das Nasenloch nicht die in der Diagnose angesebene Lage einnimmt, nie gesehen oder auch verkannt hat: da er aber den Seps muralis Laurenti an die Spitze seiner Podarces-Arten stellt, so haben

5) Wagler. Natürliches System der Amphibien p. 155.

sich sowohl Wiegmann!), als auch Fitzinger”) ver- anlasst gesehen, den Namen Podarces nur auf diese eine, von den übrigen sehr abweichende Art zu be- ziehen, ein Verfahren, das auf keine Weise gebilligt werden kann, da bei dem Seps muralis Laurenti das Nasenloch nur in einem einzigen Schilde und dabeï unterhalb des Canthus rostralis gelegen ist und folg- lich diese Art keineswegs die in der Wagler’schen Gattungsdiagnose angegebenen Merkmale an sich trägt. Wie dem nun auch sei, gegenwärtig, wo man überein- gekommen ist, die Podarces muralis mit den Arten der Gattung Lacerta zu vereinigen oder, wie Gray es thut, zu der unhaltbaren Gattung Zootoca zu rech- nen, ist der Name Podarces wieder frei geworden, und ich sehe daher kein Hinderniss, denselben von Neuem in Anwendung zu bringen, zumal ich ihn gerade auf die Gattung beziehe, für welche er laut Charakteristik auch ursprünglich creirt war.

Es würde somit die Gruppe der Pristidactylia, wie die beistehende Tabelle lehrt, gegenwärtig in folgende 7 Gattungen getheilt werden müssen:

Das Nasenloch liegt

TI) in einem einzigem Schilde. Psammodromus. Fitz. Il) zwischen mehreren Schildern und zwar A) zwischen zwei, die beide Nasorostralia sind. Die Augenlider 1)ffehlen "APE re 2) sind vorhanden ... B) zwischen drei. Das Halsband a) fehlt. Schenkelporen 1) sind vorhanden. Die Zehen ganzran- dig, aber unten mit gekielten Schil- dern gedeckt. . . . Ichnotropis. Peters”). 2) fehlen. Die Zehen am Rande gezäh- nelt, aber unten mit glatten Schil- dern gedeckt . . Pachyrhynchus. Barb.”). b) ist vorhanden. Die das Nasenloch um- gebenden Schilder sind «) ein Supralabiale, ein Nasofrenale und ein Nasorostrale.. Acanthodactylus. Fitz. B)zwei Nasofrenalia und ein Nasoro- strale Podarces. Wagler.

Ophiops. Ménétr. Cabrita. Gray.

6) Wiegmann. Herpetologia mexicana p. 9.

7) Fitzinger. Systema Reptilium p. 20.

8) Wiegmann’s Archiv für Naturgeschichte. 1855. I. p. 46. 9) Annals and Mag. Nat. Hist. 3 ser. XX p. 226.

317

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

31S

Die letzte der obigen 7 Gattungen, Podarces, kann, wie schon oben bemerkt, je nachdem die Zehen an den Seiten gefranzt, oder ganzrandig sind, in zwei Unter- gattungen, Scapicira und Eremias getheilt werden.

Nach obiger Auseinandersetzung gehe ich zur Be- sprechung der 4 gegenwärtig bekannten Arten aus der Untergattung Scapteira über, von denen ich jedoch hier nur die Scapteira cuneirostris ausführlich beschrei- ben werde; von den 3 anderen werde ich nur eine kurze Diagnose geben und behalte mir die ausführli- che Beschreibung der anderen neuen Art, der Scap- teira scripta, für eine spätere Abhandlung vor.

Diese 4 Arten unterscheiden sich von einander, wie folet :

Das mittlere grosse Subocularschild erreicht 1) den freien Lippenrand nicht, sondern stützt

sich auf 2 Oberlippenschilder. Die Schnauze

ist

a) kegelférmig; die Oberlippenschilder säimmt-

HCDEE DEN EEE PEU EL PLS S)e tee grammica.

b) keilfrmig; von den Oberlippenschildern

sind die 5 vordersten dachformig erho- ben cuneirostris. 2) den freien Lippenrand, indem es zwischen

2 Oberlippenschilder eingeschaltet ist. Die

Bauchschilder sind sowohl in quere, als auch

&) in gerade Reiïhen, d. h. Längsreihen an-

SeGrAne by ELU. UE AM EEE, reticulata. $) in schräge Reïhen angeordnet. . ..... scripla.

ME CP OMLOT EL 60 FC CC IORES PORC ROC ILE PEON CNET EE

1. Podarces (Scapteira) grammiea Licht.

Lacerta grammica Licht. in Eversmann’s Reise von Orenburg nach Buchara p. 140.

Lacerta grammica part. Lichtenstein. Verzeichniss der Doubletten des Berliner Zoologischen Mu- seums, p. 100.

Scapteira grammica D. et B. Erpétol. génér. V p. 283 pl. LIV f. 1.

Scapteira grammica Gray. Catal. of Lizards p. 39.

Se. rostro conico; scutellis supralabialibus omnibus planis, scutello suboculari medio supra duo scutella supralabialia posito; digitis dilatatis deplanatisque, hypodactyliis ecarinatis ; poris femoralibus utrinque

15— 19.

Habitat in Nubia, in regionibus aralo-caspicis et in deserto Kirgisorum.

Die Verfasser der Erpétologie générale, welche diese Art ausführlich beschrieben haben, bemerken, dass Lichtenstein sie in seinem Doublettenverzeich- niss mit Acanthodactylus scutellatus Audouin zusam- mengeworfen babe, da er die Zahl der Bauchschilder, die in einer Querreihe stehen, auf 14—20 angiebt uud das Halsband bald als deutlich, bald als obsolet beschreibt. Ich kann dieser Ansicht nur beistimmen, da ich an allen mir vorliegenden 9 Exemplaren unse- rer Sammlung, die zum Theil von Dr. Lehmann aufden Flugsandhügeln bei Karakuga, zum Theil von Dr. A. v. Schrenckim Flugsande amIli-Fluss und am Balchasch- See gesammelt worden sind, stets ein sehr deutliches, überall freies Halsband gefunden und nie mehr und nie weniger als 20 Schilder in einer, die Mitte des Bauches einnehmenden, längsten Querreihe gezählt habe. Da es somit keinem Zweifel unterliegt, dass die- jenigen der von Lichtenstein untersuchten Exem- plare, bei denen das Halsband undeutlich war und die Zahl der Bauchschilder in einer Querreihe sich auf 14 belief, zu Acanthodactylus scutellatus Audouin gerech- net werden müssen, und die eben genannte Art in Aegypten einheimisch ist, so habe ich unter den Fund- orten nach dem Beispiele von Duméril und Bibron Aegypten, das von Lichtenstein neben Nubien und dem etwas vagen Tataria angegeben wird, bis auf Wei- teres fortgelassen.

2. Podarces (Scapteira) euneirostris n. Sp.

Sc. rostro cuneiformi; scutellis supralabialibus utrin- que 5 anterioribus acute tectiformibus, reliquis pla- nis: scutello suboculari medio supra duo scutella su- pralabialia posito; digitis leviter compressis; hypoda- ctyliis ecarinatis; poris femoralibus utrinque 19— 21.

Habitat in Africa australi?

Diese neue Art unterscheidet sich von Scapteira grammica Licht., mit welcher sie hinsichtlich der La- ge des mittleren Subocularschildes vollkommen über- einstimmt, hauptsächlich durch die Form der Schnau- ze, die keilformig ist, und an welcher die 5 vorderen dachfürmig erhobenen Oberlippenschilder jeder Seite mit dem gleichfalls zugeschärften Rostralschild einen scharfen Vorsprung bilden, der, bei Ansicht des Thie- res von oben, den eigentlichen Mundrand verdeckt. Ausserdem differirt Scapteira cuneirostris von der vor- hergehenden Art auch durch die Bildung der Zehen,

319

Bulletin de l’Académie Hmpériale

320

EEE RE

die Lage der Nasorostralschilder, die einander nicht berühren, durch das aufwärts gerichtete Nasenloch, durch die grüssere Zahl der Bauchschilder, die in ei- ner Querreihe stehen, durch die ebenfalls grüssere Zahl der Schenkelporen, durch die auffallende Länge der Hinterextremitäten, so wie durch manche andere Merkmale, die ich in der folgenden Beschreibung ei- nes Näheren auseinandersetzen werde.

Der Kopf, um ein Drittel länger als breit und ziem- lich flach gewülbt, hat die Grestalt einer vierseitigen Pyramide, deren horizontale Flächen um ein Drittel breiter sind als die verticalen, und läuft in eine abge- plattete keilférmige Schnauze aus, deren Spitze scharf gerandet ist, aber, von obenher gesehen, stumpf abge- rundet erscheint. Der Hals ist eben so dick wie der Basaltheil des Kopfes, der Rumpf ziemlieh kurz, mäs- sig breit und leicht abgeflacht; die Extremitäten sind stark, die vorderen kurz, erreichen, nach vorn ge- streckt und an den Kürper angedrückt, kaum die Schnauzenspitze, die hinteren dagegen sehr lang, da sie bei gleicher Behandlung über den Vorderrand der Orbita hinausragen. Der Schwanz, an der Basis sebr dick und ziemlich stark abgeplattet, wird vom Anfange des zweiten Fünftels seiner Länge an allmählich dün- ner und drehrund und übertrifit Kopf und Rumpf zu- sammengenommen fast um das Doppelte an Länge.

Das Rostralschild ist bedeutend breiter als lang und hat etwa die Gestalt eines Dreiecks, dessen nach vorn gerichtete Basis leicht zugerundet, dessen nach hin- ten gerichtete Spitze gerade abgestutzt ist; seine nach rechts und links gekehrten Seiten, von denen jede mit dem jederseitigen Nasorostralschilde in Berührung steht, erscheinen gleichfalls nicht gerade, sondern sind bogenformig, und zwar richtet sich die Concavität des Bogens nach Aussen. Das ganze Schild liegt zugleich nicht in einer Ebene, sondern zeigt zwei Flächen, eme grosse nach oben gerichtete von der eben beschriebe- nen Form, und eine schmale nach unten sehende, die genau der Abrundung der Schnauzenspitze ent- spricht und also ein schmales bogenfrmig gekrümm- tes Band darstellt.

Auf das Rostrale folgen jederseits 9 Supralabialia, die etwa viereckig sind und bis zum 6ten allmählich an Grüsse zu- und von da gegen das 9te wieder ab- nehmen. Das 1ste derselben ist am kleinsten, dann folgen der Grüsse nach das 9te, 7te, Ste, 2te, 3te,

Ate, 5te und 6te; diese allmähliche Ab- und Zunah- me in der Grüsse lässt sich auch in der Hühe der Schilder wahrnehmen, nur befindet sich der hüchste Punkt nicht beim 6ten, sondern an der Vereinigungs- stelle des 4ten und 5ten Schildes. Das 1ste Suprala- bialschild grenzt nach oben an das untere Nasofrena- le, das 2te an eben dasselbe Schild und an einen Theil des Frenale, das 3te an das Frenale und an einen kleinen Theil des Frenorbitale, das 4te an das Fre- norbitale und das Suboculare primum, das te und Gte an das mittlere grosse Suboculare und die 3 letzten an die Grauulationen der Temporalgegend. Von die- sen 9 Schildern sind die 3 letzten plan, das 6te kaum gewülbt, die 5 ersten dagegen erscheinen der Länge nach dachfürmig erhoben und zwar so, dass die scharfe Firste nicht in der Mitte des Schildes liegt, sondern dem unteren Rande mehr genähert ist als dem obe- ren; zugleich sind die beiden Flächen des Schildes, durch deren Vereinigung die Firste entsteht, leicht concav. Diese dachfürmige Erhebung der Oberlippen- schilder bringt es auch zu Wege, dass bei Betrachtung der Schnauze von oben der horizontale Umkreis der- selben in seinem grüssten, vorderen Theile nicht dem Mundrande entspricht, und dass folglich die Mund- spalte eben so, wie bei Pachyrhynchus Anchietae Bar- boza"), nur von der Unterseite her sichtbar ist.

Die 3 das Nasenloch umgebenden Schilder sind klein und liegen nach innen vom Canthus rostralis, so dass also das Nasenloch zwar etwas nach auswärts gerichtet, aber zugleich auf der oberen Fläche der Schnauze gelegen ist. Was nun die einzelnen Schilder anbetrifit, so gleicht das Nasorostrale einem gleichschenkligen sphärischen Dreieck, dessen Spitze nach innen gekehrt ist und dessen Basis kaum gebogen erscheint; es grenzt an das Rostrale, an das Internasale (Internasorostrale D. et B.) und mit dem Aussenrande an das obere Na- sofrenale und an das Nasenloch selbst. Das untere Na- sofrenale ist etwa viereckig, dabei länglich von Ge- stalt und hinten hüher als vorn; es grenzt vorn an das Rostrale, aussen an die Supralabialia, hinten an das Frenale und innen an das obere Nasofrenale und an das Nasenloch selbst. Das obere Nasofrenale endlich ist ein schmales, kleines, etwa viereckiges Schildchen, das zwischen dem hinteren Theile des Nasorostrale

10) Ann. and Mag. Nat. Hist. 3 ser. XX p. 227.

321

des Sciences de Saïnt-Pétersbourg.

32?

ES TT SE PE M CN RUE TE ES EN RENE und des unteren Nasofrenale liegt und nach vorn an |rührung und von den abgestutzten Winkeln berühbrt

das Nasenloch, nach hinten an das Internasale und das Frenale grenzt. Alle drei beschriebenen Schilder sind stark angeschwollen.

Das Internasale (Internasorostrale D. et B.) ist ein stumpfwinkliges Siebeneck, das etwa eben so breit als lang erscheint, gleicht aber einem regulären Sechseck, dessen vordere Ecke gerade abgestutzt ist. Von sei- nen 3 vorderen Seiten grenzt die mittlere an das Ros- trale und jede der seitlichen, die leicht bogenformig verlaufen, an das jederseitige Nasorostrale und das untere Nasofrenale; die nach aussen gerichteten Sei- ten stehen in ihrer ganzen Länge mit dem jedersei- tigen Frenale in Verbindung, und seine beiden im stumpfen Winkel zusammenstossenden hinteren Sei- ten, welche die grüsste Länge zeigen, berühren jede die vordere Seite des jederseitigen Frontonasale. Auf dieses Schild folgen die beiden Frontonasalia (Fron- to-inter-naso-rostrales D. et B.), die mit der inneren Seite an einander grenzen und Sechsecke darstellen, an denen der nach hinten gerichtete Winkel spitz ist; von den beiden gleichlangen hinteren Seiten jedes die- ser Schilder grenzt die innere an das Frontale, die äussere an das erste Supraorbitale, die der Innenseite parallele, aber etwas längere Aussenseite steht mit dem Frenorbitale in Berührung und von den beiden ande- ren Seiten endlich berührt die auswärts gerichtete das Frenale, während die nach innen sehende drei- mal länger ist und mit der Hinterseite des Interna- sale in Verbindung steht.

Das Frontalschild, mässig gross, vorn dreimal so breit als hinten, ist ein reguläres Fünfeck, gleicht aber einem langen schmalen gleichschenkligen Dreieck, des- sen nach hinten gerichtete Spitze abgestutzt ist und dessen nach vorn sehende Basis aus zwei, unter stum- pfem Winkel zusammenstossenden Seiten besteht; es grenzt vorn an die beiden Frontonasalia, seitlich an den jederseitigen Orbitaldiscus und hinten an die bei- den Frontoparietalia. Von diesen beiden letztern ist jedes etwa um ein Drittel kleiner als das Frontale, fünfeckig und gleicht ungefähr einem rechtwinkligen Dreieck, an welchem beide spitzen Winkel abgestutzt sind; die Hypothenuse dieses Dreiecks entspricht der inneren Seite, mit welcher beide Schilder an einander grenzen, die lange Kathete steht mit dem Orbitaldis- eus, die kurze mit dem jederseitigen Parietale in Be-

Tome XII.

der vordere das Frontale, der hintere das Interpa- rietale. Dieses ziemlich kleine Interparietale, zwischen die Frontoparietalia und Parietalia eingekeilt, gleicht etwa einem Rhombus, nur ist der hintere Theil dieses Rhombus, der zwischen den Parietalen liegt, bedeu- tend länger als der vordere. Die Parietalschilder end- lich, die beiden grüssten unter den Kopfschildern, stel- len unregelmässige Polygone mit meist abgerundeten Ecken dar.

Der Orbitaldiseus, von ovaler Gestalt, wird von 3 grossen Schildern gedeckt, von denen die beiden hin- teren, durch eine gerade Nath verbundenen etwa eine ovale Figur bilden, während das vordere polygonal ist, aber die Form eines Dreiecks nachahmt: der hin- tere Theil des Discus ist mit Granulationen bedeckt, eben so findet sich eine Reiïhe von Kôrnchen am Aus- senrande der beiden die ovale Figur bildenden Schil- der, dagegen fehlen die Granulationen am Innenrande ganz und sind nur an der Vereinigungsstelle des 1sten und 2ten Supraorbitalschildes durch zwei sehr kleine polygonale Schildchen ersetzt; diese beiden Schild- chen, die auf beiden Seiten vollkommen symmetrisch sind, liegen zur Seite des Frontale, und das vordere derselben steht zugleich mit der Hinterecke des Fron- tonasale in Berührung. Ein Occipitalschild ist nicht vorhanden, sondern, wie gewühnlich bei den Scaptei- ren, durch einen Tuberkel ersetzt, der die feinen Gra- nulationen des Nackens etwa um das Doppelte an Grôsse übertrifit. Die Schilder der horizontalen Kopf- fläche sind, mit Ausnahme der 3 das Nasenloch umge- benden, vollkommen plan und zeigen auch keine Ein- drücke oder Furchen.

Die beiden Schilder der Frenalregion, das Frenale (Postnasofrenale D. et B.) und Frenorbitale, werden vom Canthus rostralis durchschnitten ünd somit jedes in zwei ungleiche Theile, einen kleineren horizontalen und einen grüsseren verticalen, getheilt; der horizon- tale Theil jedes der beiden Schilder ist länglich, schmal und bildet ein Dreieck mit nach vorn gekehrter abge- stutzter Spitze und winklig gebogener Basis. Der ver- ticale Theil des Frenale ist ein schmales rechtwinkli- ges Dreieck, dessen Spitze nach vorn gekehrt und kaum gestutzt ist und dessen Hypothenuse dem Canthus rostralis entspricht. Das Frenorbitale, grüsser und na- mentlich hôüher als das Frenale, gleicht einem Vier-

21

323

Bulletin de l’Académie Impériale

324

eck, dessen vordere verticale Seite bedeutend niedri- ger ist als die hintere, ïhr parallele, welche letztere jedoch nicht ganz gerade verläuft, sondern in der un- teren Hälfte einen schwachen Ausschnitt für das 1ste Suboculare besitzt. Das 1ste Suboculare ist klein und viereckig, das 2te gleichfalls viereckig, aber sehr lang- gestreckt und nach oben gegen die Orbita kaum bogen- fürmig gekrümmt; seine hintere Seite verläuft schräge von oben und hinten nach vorn und unten, und das ganze Schild zeigt eine leicht concave Oberfläche. Das 3te Suboculare endlich ist so klein, dass es kaum von den daran stossenden Kornschildern der Schläfe zu unterscheiden ist. Die Supraciliarschilder, 6 an der Zahl, sind lang, sehr schmal und nehmen vom vorder- sten, dem grüssten, allmählich an Grôüsse ab, ohne je- doch kornfürmig zu werden. Die Schläfengegend, die von der Parietalen durch eine Längsreihe von 3 klei- nen, stark geschwollenen Schilder» getrennt erscheint, ist mit Granulationen bedeckt, die in der oberen Hälfte äusserst fein, in der unteren dagegen drei- bis vier- mal grüsser sind.

Die Augenlider, in der gewühnlichen Weise entwik- kelt, sind überall mit gleichen kornfürmigen, mehr oder weniger flachen Schüppchen bedeckt. (Gaumen- zähne fehlen durchaus.

Das Ohr ist eine ovale Üffnung mit tief eingesenk- tem Trommelfell und wird von einer am Mundwinkel entspringenden halbovalen kôrnig-beschuppten Haut- klappe von oben und voru her bis auf das untere Drit- tel verdeckt, erscheint somit, wenn die Klappe nicht aufgehoben ist, als schräge Spalte; am oberen Ende der Hautklappe befindet sich ein stark gewülbtes, ziemlich grosses Schildchen von ovaler Form.

Das Mentalschild, von bedeutender Grüsse, hat eine halbkreisformige Gestalt, ist hinten gerade und an den seitlichen Ecken abgestutzt. Auf dasselbe folgen je- derseits 9 niedrige vier- oder fünfeckige Infralabial- schilder, von denen die 3 ersten kurz, die 2 folgenden lang und die 2 darauf folgenden wieder kurz sind; das 8te ist nicht allein sehr lang, sondern auch brei- ter als jedes der übrigen und das letzte endlich ist so klein, dass man es kaum von den grüsseren seitlichen Gularschuppen unterscheiden kann. Der Raum zwi- schen dem Mentale und den Infralabialschildern wird von 7 symmetrischen Schilderpaaren eingenommen, von denen die 3 vorderen in der Mittellinie der Kehle

zusammenstossen, während die 3 letzten Paare durch einen immer breiter werdenden, mit feinen Kornschup- pen gedeckten Raum von einander getrennt sind. Die Schilder der beiden ersten Paare sind reguläre Vier- ecke, an deren jedem die Hinterseite länger ist als die vordere; das 3te Paar besteht aus 2 eben so gestal- teten Schildern, an deren jedem aber die Hinterseite nach aussen hin eine Ausrandung besitzt, zur Auf- nahme des jederseitigen Schildes des 4ten Paares. Die Schilder der 3 letzten Paare nehmen nach hinten zu succesive an Grüsse ab und sind etwa viereckig, nur ist an jedem derselben der hintere Innenwinkel abge- rundet.

Die Haut der Kehle und der Unterseite des Halses ist mit sehr feinen Granulationen bedeckt, die kurz vor dem Halsbande plôtzlich durch grüssere dachzie- gelfürmig gelagerte Schuppen ersetzt werden. Die Haut- falte, welche die Kehlgegend der Quere nach durch- schneidet, ist sehr undeutlich, das Halsband dagegen bildet eine fast gerade, überall freie Querfalte, deren Rand mit grüsseren Schildern besetzt ist. Diese Schil- der, deren ich 13 zähle, nehmen vom mittleren un- paaren, das übrigens kleiner als das ihm zunächst lie- gende ist, nach den Seiten hin allmählich an Grôüsse ab und lassen sich zuletzt nicht mehr von den Granu- lationen der Halsseiten unterscheiden. Das Halsband setzt sich als feine Falte an den Schultern vorbei nach oben fort, wendet sich nach hinten und verschmilzt mit einer Längsfalte, die vom hinteren Ohrrande ge- rade nach hinten zieht, worauf beide Falten bald hin- ter der Schulter sebr undeutlich werden.

Die Haut des Nackens und des Rückens ist mit feinen Kornschuppen bedeckt, die nach den Flanken zu kaum merklich an Grôsse zunehmen und nirgends gekielt oder dachziegelformig gelagert erscheinen. Die Brust ist in ihrem vorderen Theiïle mit subrhombi- schen, imbricaten Schuppen bedeckt, die gegen den Bauch hin kleiner werden und auf dem Bauche selbst allmäblich in grüssere, kaum imbricate Schildchen über- gehen, welche letztere deutliche Querreihen bilden und zugleich in schräge, von vorn und aussen nach hinten und innen verlaufende Reïhen angeordnet sind. Solcher Querreihen zähle ich, die Brust, wo sie un- deutlich sind, ausgenommen, im Ganzen 26 und in je- der der die Mitte des Bauches einnehmenden Quer- reihen 24 26 einzelne Schilder. Die Praeanalgegend

325

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

326

———

ist mit flachen polygonalen Schildchen bekleidet, die in der Mitte etwas grüsser sind als vorn und hinten, und der Vorderrand der Cloakenspalte zeigt kleine flache Schüppchen, während der Hinterrand, eben so wie der vordere Theil der Unterseite der Schwanzba- sis, mit Granulationen bedeckt ist.

Was die Extremitäten anbetrifft, so bietet ihre Ge- stalt nichts Besonderes dar, und über ihr Längenver- hältniss habe ich bereits weiter oben das Nôthige ge- sagt; es bleibt mir somit nur noch übrig, die Beklei- dung derselben, so wie das Verhältniss der Zehen zu einander zu schildern. Der Oberarm ist auf der Ex- tensorenseite mit dachziegelformig gelagerten, gekiel- ten rhombischen Schuppen gedeckt, zeigt dagegen auf der entgegengesetzten Seite Granulationen, die auch auf die Flexorenseite des Unterarms und auf die Hohl- hand übergehen. Die Extensorenseite des Unterarmes zeigt verschiedene Beschilderung: am Innenrande fin- det sich eine Längsreihe grüsserer, ziemlich breiter, platter, dachziegelfürmig gelagerter Schilder, die ge- rade auf den Daumen ausläuft; von 1hr nach aussen stehen noch ein Paar unregelmässiger Längsreihen gekielter rhombischer Schilder, und dann folgen unge- kielte Schildchen, die allmählich in die Granulationen der Flexorenseite übergehen. Die Zehen, an Länge sehr ungleich und leicht comprimirt, sind oben und unten mit queren ungekielten Schildchen besetzt, von denen das letzte, auf welches die ziemlich lange, schwach gekrümmte Kralle folgt, die vorhergehenden kaum an Grôsse übertrifit. Jede Zehe ist an beiden Seiten gefranzt, doch sind die flachen dreieckigen Franzen, deren jede gewôhnlich einem Hypodactyl- Schildchen entspricht, auf der Aussenseite grüsser und überhaupt deutlicher als auf der Innenseite. Was das Längenverhältniss der einzelnen Zehen zu einan- der betrifft, so folgen sie vom Daumen, als dem kür- zesten, angefangen, der Länge nach, wie folgt, auf ein- ander: 1, 2, 5, 3, 4; auf der 4ten, der längsten Zehe, zähle ich oben 12, unten 17 Querschildchen.

Die Hinterschenkel sind auf der Ober- und Unter- seite in der hinteren Hälfte mit Granulationen, in der vorderen mit in Längsreihen angeordneten, nicht ge- kielten imbricaten Schildern bedeckt, welche letz- tere auf dem Vorderrande des Schenkels am grüssten sind und sowohl gegen die Granulationen der Ober- seite, wie gegen die Schenkelporenreihe der Unterseite

allmählich an Grüsse abnehmen. Schenkelporen finden sich auf der linken Seite 21, auf der rechten 19; beïde Reihen, die bis an die Kniekehle reichen, stossen in der Mitte der Praeanalgegend nicht zusammen, son- dern bleiben durch eine oder zwei Schuppen von ein-

l'ander getrennt. Mit Ausnahme von 4 oder 5 Längs-

reihen grüsserer Schilder an der Flexorenseite der Unterschenkel ist die ganze übrige Fläche derselben mit feinen Granulationen gedeckt, die auch auf die Planta pedis übergehen. Die Bekleidung der Zehen stimmt vollkommen mit derjenigen der Vorderzehen überein und weicht nur in der Zahl der Querschilder auf den einzelnen Zehen ab, denn, so weit ich an den etwas eingetrockneten Zehen sehen kann, besitzt die lingste derselben oben etwa 18, unten etwa 22 unge- kielte Querschilder. Das Längenverhältniss der ein- zelnen Zehen unter einander lässt sich durch folgende Reihe ausdrücken: 1, 2, 5, 3, 4.

Der Schwanz, an der Basis sebr dick und sehr deut- lich flach gedrückt, ist da, wo er dünner wird, leider abgebrochen, scheint sich aber doch ziemlich allmäh- lich zu verdünnen und ist in seinem weiteren Ver- laufe drebrund und scharf zugespitzt. Mit Ausnahme einer dreieckigen nach hinten sich verschmälernden Stelle auf der Oberseite seiner Basis und des zunächst an den hinteren Cloakenrand grenzenden Theiles der Unterseite, die wie der Rücken granulirt erscheinen, ist derselbe überall mit rhombischen Schuppen, die weï- terhin in lävglich-viereckige Schilder übergehen, ge- deckt: diese Schuppen und Schilder sind in ganz re- gelmässige Wirtel angeordnet und erscheinen auf der oberen Schwanzseite gekielt, auf der unteren anfangs glatt, in der letzten Hälfte aber ebenfalls gekielt; sol- cher Wirtel sind, so weit ich an dem lädirten Schwanze sehen kann, im Ganzen 95 vorhanden.

Das Thier bietet auf der Unterseite aller Theile ein einfarbig weisses Colorit mit leichtem bräunlich-gel- bem Anfluge dar, besitzt dagegen auf der Oberseite aller Theile auf bräunlich-grauem Grunde schwarze Flecken, die auf dem Kopfe wenig zahlreich und un- regelmässig sind, auf dem Rücken dagegen ein mebr oder weniger vollkommenes, ziemlich grossmaschiges Netzwerk darstellen. Auf der Schwanzhasis ordnen sich die schwarzen Makeln zu nicht ganz regelmässi- gen Längsreihen, deren 5 vorhanden sind, und auf den Extremitäten bilden sie der Quere nach verlau-

21*

327

fende Zigzagbänder, die besonders auf den Oberschen- keln deutlich vortreten und überall eine mehr oder weniger ausgesprochene Neigung zeigen, ein Netz- werk zu bilden.

Maasse, Totallänge 16,3 Ctm.; Länge des Kopfes 1,5; des Rumpfes 4,5; des Schwanzes 10,3; der Vor- derextremitäten 2,3; der Hinterextremitäten 4,4.

Was den Fundort des einzigen mir vorliegenden Exemplars anbetrifft, so habe ich oben Süd-Africa angegeben, doch beruht diese Angabe nur auf einer, allerdings nicht ganz unbegründeten Vermuthung von meiner Seite. Das Exemplar ist, wie bereits bemerkt, der Akademie von Hrn. Capitain v. Birilew nebst vielen anderen, unzweifelhaft japanischen Naturalien als gleichfalls aus Japan herrührend übergeben wor- den, und ich würde keïinen Augenblick an der Rich- tigkeit dieser Fundortsangabe zweifeln, wenn ich nicht in demselben Fläschchen, in welchem sich diese Scap- teira cuneirostris befand, auch einen leider schwanzlo- sen Cordylus polyzonus A. Smith gefunden hätte. Dass diese letztere Art nicht aus Japan stammen kann, wie Hr. v. Birilew angiebt, sondern sicher aus Süd- Afrika herrührt, bedarf wohl kaum einer weiteren Aus- einandersetzung, und deshalb glaube ich annehmen zu müssen, dass auch die Scapteira nicht japanischen, sondern süd-afrikanischen Ursprungs ist.

3. Podarces (Scapteira) reticulata Barboza.

Scapteira reticulata Barboza. Ann. and Mag. Nat. Hist. 3 ser. XX p. 225.

Sc. rostro conico; scutello suboculari medio inter duo scutella supralabialia posito, marginem oris attin- gente; digitis parum dilatatis deplanatisque; hypodac- tyliis ecarinatis; scutellis abdominalibus in series lon- gitudinales et transversas dispositis; poris femoralibus utrinque 20— 22,

Habitat ad Mossamedes in Africa occidentali.

4. Podarces (Seapteira) seripta n. sp.

SC. rostro conico; scutello suboculari medio inter duo scutella supralabialia posito, marginem oris attin- gente; digitis compressis, hypodactyliis distincte cari- natis; scutellis abdominalibus in series obliquas ettrans- versas dispositis; poris femoralibus utrinque 12— 13.

Habitat in regionibus aralo-caspicis, nec non in de- serto Kirgisorum.

Buïiletin de l’Académie Empériale

32s

Diese sehr zierlich gebaute und durch einen aus- serordentlich langen Schwanz ausgezeichnete Art un- terscheidet sich von der Scapteira reticulata Barboza hauptsächlich durch die deutlich und scharf gekielten Hypodactyl-Schilder, so wie durch die in schräge, und nicht in Längsreihen angeordneten Bauchschilder; aus- serdem bietet sie noch in der Zahl der Schenkelpo- ren, in der Bildung des vorderen Ohrrandes, der nicht gezähnelt ist, und in der Färbung und Zeichnung sebr leicht wahrnehmbare Unterscheidungsmerkmale dar. Wie schon weiter oben bemerkt, behalte ich mir die detaillirte Beschreibung dieser Eidechse für eine an- dere Gelegenheit vor und will hier nur kurz der Fär- bung und Zeichnung erwähnen.

Die Unterseite aller Theile ist wie bei allen Scap- teiren einfarbig weiss mit mehr oder weniger deutlich ausgesprochenem bräunlich-gelbem Anfluge. Die Ober- seite zeigt auf sandfarbenem, ziemlich hellem Grunde eine Menge dunkelbrauner Pünktchen und geschlän- gelter Strichflecken, welche letztere auf dem Rücken vorherrschen und meist in mehr oder weniger regel- mässiger Weise zu Längslinien angeordnet sind. An jeder Seite des Rückens findet sich eine breite Längs- binde von ebenfalls dunkelbrauner Farbe, die am Na- senloch entspringt und sich bis auf den Schwanz fort- setzt, wo sie etwa auf dem Anfange der zweiten Hälfte undeutlich wird und bald ganz verschwindet. Diese Binde, nach oben durch eine schmale weissliche Li- nie begrenzt, ist nach unten durch einen breiten weissen Raum von einer zweiten, auf der Grenze zwischen den Flankenschuppen und Bauchschildern gelegenen, viel schmäleren, ebenfalls dunkelbraunen Binde getrennt, welche letztere auf den hinteren Supralabialschildern ibren Ursprung nimmt, die Ohrüffnung durchsetzt und an der Schulter vorbei bis zum Hinterschenkel zieht, um in der Inguinalgegend plôtzlich zu enden. Die Ober- seite der Extremitäten zeigt gleichfalls dunkelbrau- ne Zeichnungen meist in Form von unregelmässigen Querbinden, und auf der Oberseite des Schwanzes fin- det sich, ausser den schon erwähnten seitlichen Längs- binden, noch ein kürzeres, mehr oder weniger deut- liches, nach hinten spitz zulaufendes centrales Band.

329

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

330

Nachtrag zur Kenntniss des Musculus epitroch- leo-anconeus der Säugethiere, von Dr. Wen- zel Gruber, Professor der Anatomie. (Lu le 31 octobre 1867.)

Im verflossenen Jahre liess ich an der Akademie der Wissenschaften die Abhandlung: «Über den Muscu- lus epitrochleo-anconeus des Menschen und der Säu- gethiere. Mit 3 Taf. Mém. de l’Acad. Imp. des sc. de St.-Pétersb. Sér. VII. Tom. X. M 5; besond. Ab- druck. St.-Petersburg, Riga u. Leipzig 1866. 4°» er- scheinen.

Ich habe daselbst nicht nur über einen in der Ellen- bogenregion vorkommenden, bis dahin ganz ungenü- gend gekannten Muskel des Menschen, welchem ich den Namen « Musculus epitrochleo-anconeus» gab, auf Resultate aus Massenuntersuchungen gestützt, eine vollständige Monographie, sondern auch über den von mir bei den Säugethieren aufgefundenen analogen Muskel von 38 Genera aus 7 Ordnungen derselben Beschreibungen geliefert. Den Muskel beim Menschen erklärte ich als einen anomalen Muskel, weil ich ihn in ”, Leichen und ‘/, der Arme vorkommen sah; den Muskel bei jenen Säugethie- ren, bei welchen er vorkommt, bestimmt oder doch hüchstwahrscheinlich als einen fast immer constan- ten Muskel, weil ich ïhn bei den bis dahin unter- suchten Genera (nur an einer Species oder an mehre- ren Species eines Genus, nur an einem Exemplare oder an mehreren Exemplaren einer Species) an 37 derselben an beiden Vorderfüssen vorfand und nur an 1 Genus (Ursus) an einem Vorderfusse antraf, an dem anderen vermisste. Ich theilte mit, dass der Muskel beim Menschen als selbstständiger Muskel oder als supernumerärer Kopf des Triceps brachiüi; bei den Säugethieren aber immer als selbstständi- ger Muskel vorkomme. Ich meldete, dass von den 38 Genera, bei welchen ich den Muskel untersuchen konnte, an 3 (an Felis domestica als «Anconé interne», von Strauss-Dürckheim, an Myrmecophaga taman- dua als «Anconeus parvus» von W. Rapp, an Phoca vitulina als «Portio condyloidea interna» des Extensor cubiti von Duvernoy und an ?h. hispida als «Anco- neus minimus» von Rosenthal) und ausserdem an 1 Genus Tarsius —, das mir zur Untersuchung nicht zur Verfügung stand, als «Anconeus VI.» von H. Bur- meister vor mir beschrieben, überhaupt an 4 Genera

von Anderen und 35 Genera von mir 39 Genera aufgefunden worden war. Als Genera, die den Muskel besitzen, führte ich an: Cercopithecus, Inuus, Cyno- cephalus, Cebus, Tarsius: Galeopithecus; Eri- naceus, Sorex, Crocidura, Myogale, Talpa; Ursus, Mustela, Herpestes, Felis. Didelphis, Dasyurus; Myoxus, Sciurus, Pteromys, Tamias, Spermophilus, Arectomys, Cricetus, Mus, Meriones, Hypudaeus, Lem- mus, Dipus, Spalax, Castor, Lepus, Dasyprocta, Coe- logenys; Bradypus, Dasypus, Myrmecophaga, Ma- nis; Phoca.

Durch eine dem Archiv für Anatomie u. s. w. von Reichert und Du Bois-Reymond angeheftete Buch- händler-Anzeige wurde ich, nach Erscheinen meines Werkes, auf den seltenen, zum Kaufe angebotenen At- las: G. Cuvier et Laurillard Anatomie comparée, recueil des planches de myologie. Paris 1849. Fol. aufmerksam, welcher 1867 für die Bibliothek der med. chir. Akademie auf meinen Antrag erworben wurde. In diesem Werke fand ich nun den Musculus epitroch- leo - anconeus bei 16 Genera: Inuus nemestrinus als «Anconé interne» (PI. 31— 35. w'), Cynocephalus sphinx als «Anconé interne» (PI. 48. w’), Lemur ma- caco als «Anconé interne» (PI. 68. Fig. 2. w’), Erina- ceus europaeus als «Anconé interne» (P1.76.Fig.2.w'), Viverra nasua als «Anconé interne» (PI. 94, Fig. 3.w'), Lutra vulgaris als «Anconé interne» (PI. 109.Fig. 2.w'), Viverra genetta als «Anconé interne» (PI. 126. Fig. 2. u'), Felis leo als «Anconé interne» (PI. 145, 146. Fig. 1. PI. 147. «° ganz unrichtige Abbildung —), Felis pardus als «Portion humérale interne du triceps» (PI. 164. Fig. #‘), Phoca vitulina als «?» (P1.171.Fig.3), Macropus major wohl als «Anconé interne» (PI. 195. Fig. 1.u— wohl # —), Arctomys alpina als «Anconé interne» (PI. 208. Fig. 4.w), Castor fiber als «Portion humérale accessoire» der Portion humérale interne du triceps (PI. 218, 223.#), Hystrix cristata als «Portion der Portion humérale interne du triceps» (PI. 231. Fig. 1.4”), Coelogenys paca als «?» (PI. 251. Fig. 3), Orycteropus capensis als «Portion der Portion humé- rale interne du triceps» (PI. 255, 256, Fig. 5. €), Da- sypus sexcinctus als «Portion der Portion humérale interne du triceps» (PI. 260. #), Myrmecophaga taman- dua als «?» (PI. 263. Fig. 2.) bald richtig, bald un- richtig abgebildet, bei einer Reïhe noch anderer Ge- nera, bei welchen der Muskel jetzt als sicher vorhan-

331 Bulletin de l’Académie Impériale 332

———————

den nachgewiesen ist, aber vernachlässigt. Durch die | weil er bei Æystrix cristata von Cuvier nur abge- Abbildungen des M. epitrochleo-anconeus unter an- | bildet, bei Meles vulgaris und Phalangista vulpina bis deren variirenden Namen und auch variirender An-|jetzt ganz unbekannt war:

sicht über dessen Bedeutung in diesem Werke ist be- wiesen, dass Cuvier den Muskel unter den 4 Genera (Tarsius, Felis, Myrmecophaga, Phoca), bei welchen der Muskel von Burmeister, Strauss-Dürckheim, Rapp,Duvernoy und Rosenthal beschrieben wor- den war, an 3 (Felis, Myrmecophaga, Phoca) gesehen; unter den 35 Genera, an welchen ich den Muskel zu- erst aufsefunden zu haben glaubte, vor mir an 7 Ge- nera (Inuus, Cynocephalus, Erinaceus, Arctomys, Ca- stor, Coelogenys, Dasypus) gekannt; und ausserdem an 6 Genera (Lemur, Lutra, Viverra, Macropus, Hy- strix, Orycteropus) aufgefunden hatte, an welchen über das Vorkommen oder Nichtvorkommen des Muskels von Anderen und von mir (wegen Mangels dieser Thiere zur augenblicklichen Untersuchung) Aufschlüsse gegeben werden konnten. Zählt man diese letzteren Säugethier-Genera zu den oben angegebenen, so war der M. epitrochleo-anconeus bis 1866 schon an 45 sicher ausgemittelt.

Nach der Verôftentlichung meines Werkes hatte ich Gelegenheit, folgende Thiere auf das Vorkommen des M. epitrochleo-anconeus zu untersuchen: Cercopithe- cus sabaeus, Inuus nemestrinus, Ursus arctos (4 Exem- plare), Meles vulgaris, Mustela furo, M. erminea, Her- pestes ichneumon, Canis vulpes, Felis leo, F. lynx, Phalangista vulpina und Hystrix cristata.

Bei Cercopithecus sabaeus, Inuus nemestrinus, Mu- stela erminea, Herpestes ichneumon, Felis leo und F. lynx fand ich den Muskel so oder ähnlich, wie ich ibn bei diesen Thieren schon früher beschrieben hatte. Bei Mustela furo fand ich ihn auch so oder ähnlich, wie ich ihn bei Mustela putorius und M. erminea schon früber kennen gelernt hatte. Bei Ursus arctos fand ich den Muskel an 3 Thieren dreiseitig oder viersei- tig, vermisste ihn aber an 1 Thiere an beiden Vor- derfüssen, wodurch meine Angabe vom unconstanten Vorkommen des Muskels bei diesem Thiere bestätigt wurde. Bei Canis vulpes vermisste ich den Muskel wie bei C. familiaris, wodurch meine Vermuthung des Mangels des Muskels beim Genus «Canis» überhaupt an Wabrheit gewann. Von Hystrix cristata, Meles vul- garis und Phalangista aber werde ich den Musculus epitrochleo - anconeus im Nachstehenden beschreiben,

Bei Hystrix cristata.

Der Muskel ist an beiden Vorderfüssen zugegen und selbstständig.

Bedeckung, Lage. Der Muskel ist grüsstentheils vom Anconeus internus bedeckt. Er liegt im Sulcus epitrochleo-anconeus über dem Nervus ulnaris, zwi- schen dem Anconeus internus und Ulnaris internus, durch letzteren und eine Portion (Kopf) des Flexor digitorum profundus von der Ellenbogengelenkkapsel geschieden.

Gestalt. Spindelférmig.

Grüsse. Bei der Länge des Thieres von 31 Z. von der Schnauze zur Schwanzspitze, 14 Lin. lang und 5 Lin. breit.

Ursprung. Vom Epitrochleus humeri zwischen dem Ursprunge des Pronator teres und der Insertion des Coracobrachialis 2 Lin. breit, sehnig-fleischig.

Insertion. Am medialen Winkel des Olecranon zwischen dessen oberer, hinterer und innerer Seite; über und medialwärts vom einküpfigen Ulnaris inter- nus, lateralwärts vom Anconeus internus und zwischen beiden, 2 3 breit, sehnig-fleischig.

Nerv. Kommt vom Nervus ulnaris, von dem er 6— 8 Lin. über dem Muskel sich abzweigt.

Bei Meles vulgaris.

Der Muskel ist an beiden Vorderfüssen zugegen und selbstständig.

Bedeckung, Lage. Der Muskel ist von der Apo- neurose des mit einem Kopfe von dem Latissimus dorsi, mit einem anderen Kopfe vom hinteren Winkel der Scapula entsprungenen Anconeus V. und vom An- coneus internus bedeckt. Er liegt im Sulcus epitro- chleo-anconeus über dem Nervus ulnaris.

Gestalt. Bandfôrmig.

Grüsse. Bei dem 36 Z. langen Thiere 1 Z. lang; am Ursprunge 2 Lin., in der Mitte 3 Lin. und an der Insertion 2°, Lin. breit; am Ursprunge ganz dünn, an der Insertion 2!/, Lin. dick.

Ursprung. Vom vorderen Hôücker des Epitro- chleus, unter dem Canalis supracondyloideus, über

333 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 334

dem Ursprunge des Pronator teres und Radialis in- L. Quadrumana: ternus, sehnig-fleischig, 3 Lin. lang. Insertion. An den hinteren unteren Rand der in- 2) Inuus (Cuvier, Gruber),

neren Fläche des Olecranon fleischig, zwischen dem 3) Cynocephalus (Cuvier, Gruber), Ulnarkopfe des zweiküpfigen Ulnaris internus und dem 4) Cebus (Gruber),

Anconeus internus, 3°, 4 Lin. von der Ellenbogen- gelenkkapsel entfernt, von letzterer durch ein Bündel des Ulnarkopfes des Ulnaris internus, durch eine Por- tion (Kopf) des Flexor digitorum profundus und eine von Muskelinsertion freie Partie der medialen Seite

1) Cercopithecus (Gruber),

5) Lemur (Cuvier),

6) Tarsius (Burmeister). I, Chiroptera:

1) Galeopithecus (Gruber).

der Ulna geschieden. III, Ferae: Nerv. Kommt vom Nervus ulnaris. a. Ferae Insectivorae: 1) Ærinaceus (Cuvier, Gruber), Bei Phalangista vulpina. 2) Sorex (Gruber),

3) Crocidura (Gruber), 4) Myogale (Gruber),

Bedeutung, Lage. Der dreieckige oder unregel- ) Foie (Gruhen) A re à : b. Ferae carnivorae: mässig vierseitige Muskel ist von der theils an der! ns (Ce nben) Ulna angehefteten, theils in die Unteraponeurose über- | 9 ne . \ ne: b is gehenden Aponeurose des vom Latissimus dorsi kom- ne ne menden Anconeus, auch etwas vom Anconeus longus 9 He er b bedeckt. Er liegt im Sulcus epitrochleo-anconeus über ) RL \ ve er); dem Nervus ulnaris und noch etwas aufwärts davon 10) AE (Gapien): " ! über den durch den Canalis supracondyloïideus humeri Loc) false (Cuvier, Strauss DürckheimiÿGru- tretenden Vasa und dem Nervus medianus. à po Re Ursprung. Vom Epitrochleus und mit einem ER Fleischbündelchen auch vom hinteren oberen Rande ) der medialen Wand des Canalis supracondyloideus hu- | IV. Marsupialia:

Der Muskel ist an beiden Vorderfüssen zugegen und selbstständig.

Q

meri, welcher die Vasa brachialia und den Nervus 1) Didelphis (Gruber),

medianus durchtreten lässt. 2) Dasyurus (Gruber), Insertion. An den hinteren unteren Rand der in- 3) Phalangista (Gruber),

neren Fläche des Olecranon über dem Ursprunge des 4) Macropus (Cuvier).

Ulnaris internus und unter dem Ansatze des Anconeus | y, Glires:

internus. 1) Myoxus (Gruber),

Nerv. Kommt vom Nervus ulnaris. 9) Sciurus (Gruber),

3) Pteromys (Gruber), 4) Tamias (Gruber),

Zu den 17 Genera, an welchen Audere, und zu 5) Spermophilus (Gruber), den 28 Genera, an welchen ich den M. epitrochleo- 6) Arctomys (Cuvier, Gruber), amconeus nachgewiesen hatte, habe ich daher in letz- 7) Cricetus (Gruber), terer Zeit noch 2 Genera, Meles und Phalangista, 8) Mus (Gruber), gefunden, die diesen Muskel besitzen. 9) Meriones (Gruber), Die 47 Genera aus 7 Ordnungen der Säugethiere, 10) Hypudaeus (Gruber), bei welchen der M. epitrochleo-anconeus bis jetzt nach- 11) Lemmus (Gruber), gewiesen ist, heissen: 12) Dipus (Gruber),

335

a. Spalax (Gruber), 4) Castor (Cuvier, Gruber), Lepus (Gruber), 16) Hystrix (Cuvier, Gruber), 17) Dasyprocta (Gruber), 18) Coelogenys (Cuvier, Gruber). VI. Edentata: 1) Bradypus (Gruber), 2) Dasypus (Cuvier, Gruber), 3) Orycteropus (Cuvier), 4) Myrmecophaga (Rapp, Gruber), 5) Manis (Gruber). VII, Pinnipedia: 1) Phoca(Cuvier, Duvernoy, Rosenthal, Gru- ber). St. Petersburg, den 30. October 1867.

Über die Varietäten des Musculus radialis inter- nus brevis (M. radio-carpeus et radio-carpo- metacarpeus Gruber 1859 —, M. flexor carpi radialis brevis Wood 1866 —), von Dr. Wen- zel Gruber, Professor der Anatomie. (Lu le 31 octobre 1867.)

(Mit einer Tafel.)

Am Unterarme kommen 3 supernumeräre Muskeln vor, die dem Ursprunge und Ansatze nach: Radio-car- peus, Radio-carpometacarpeus und Radio-metacar- peus zu nennen sind. Da diese Muskeln aber nur 3 dem Ansatze nach verschiedene Hauptvarietäten eines und desselben Muskels sind, wie jetzt sicher ausgemittelt ist; da ausserdem John Wood) in dem von ihm bei Echidna hystrix und Ornithorhynchus paradoxus aufgefundenen, von J. Fr. Meckel”) un- erwäbnt gelassenen tiefen Kopf des Radialis internus, welcher nach Meckel vom Epitrochleus und dem un- teren Ende des Humerus entspringt und an einen für ein Sesambein gehaltenen Knochen des Carpus und an das Os metacarpi IL. sich inserirt, nach Wood aber vom Epitrochleus mit dem oberflächlichen Kopfe, vom Radius und dem Ligamentum interosseum mit dem

1) On human muscular variations and their relation to compar- ative anatomy. Journ. of anat. a. physiol. X I. London a. Cam- bridge November 1866 p. 58. Fig. 5.n.

2) Ornithorhynchi paradoxi deser. anat. Lipsiae 1826. Fol. p. 27.

Bulletin de l’Académie Impériale

336

tiefen Kopfe entspringt und mit einer aponeurotischen Ausbreitung an das Os metacarpi [., IL, III. und an das O. multangulum majus (trapezium) sich inserirt, das Analogon des supernumerären Muskels beim Men- schen erkannt haben will: so gebe ich die von mir früher für den Muskel überhaupt gewählte Benennung «Radio-carpeus» auf, verwerfe auch die von Anderen angenommene und von Luschka mit Recht als un- passend erklärte Benennung «Flexor carpi radialis brevis (s. inferior s. profundus)» und nenne den Mus- kel von nun an: «Radialis internus brevis (s. minor)».

A Geschichtliches,

Fano ) hatte in der Sitzung der anatomischen (Ge- sellschaft in Paris am 11. November 1851, wie in den Bulletins der letzteren, welche mir vor 1859 nicht zur Verfügung standen, mitgetheilt wurde, ei- nen von ihm an einem Arme gefundenen anomalen Muskel demonstrirt, welcher von dem unteren Drit- tel des Radius von dessen vorderer Fläche (face an- térieure) entsprang, mit einer Sehne an das Os mul- tangulum majus sich inserirte und ein ÀÂstchen vom Nervus interosseus empfing. Dass Fano’s Muskel die Varietät «Radio-carpeus» des Radialis internus brevis wirklich war, ist aus den unvollständigen An- gaben darüber nicht sicher ausmittelbar, nach der Angabe des Ursprunges von der vorderen Fläche des Radius, die bei den Franzosen der Beugefläche ist, zu schliessen, zweifelhaft, weil ich den Muskel in 8 Füällen von da nicht entspringen sah. Fano’s Mus- kel war vielleicht der Radio-carpeus, musste es aber nicht sein.

An der Akademie der Wissenschaften in St. Peters- burg ist ein von mir im Januar 1859 dahin einge- sandter Aufsatz unter dem Titel: «Über den Muscu- lus radio - carpeus und M. cubito - carpeus (zwei neue supernumeräre Armmuskeln) mit 1 Taf. erschienen‘).

Schon in diesem Aufsatze beschrieb ich zwei Va- rietäten des Radialis internus brevis, d. i. den Radio- carpeus und Radio-carpometacarpeus.

Über das Vorkommen des Muskels vermeldete

3) Bull. de la soc. anat. de Paris. Ann. 26. 1551. Bull. 11, X 30, p. 375.

4) Bull. de la CI. phys.-math. de l’Académie Imp. des se. Tom. XVII. St.-Pétersbourg 1859. 4°, p. 439. Tab. 1. (Fig. 1, 2); Mélang. biolog. Tom. III. 1859. p. 184.

337

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

338

ich, dass ich denselben 1854 (bei getlissentlich vor- genommenen Massenuntersuchungen) das erste Mal, 1857 und 1858 (bei den Präparir-Übungen) das zweite und dritte Mal, somit bis 1859 im Ganzen an 3 Ar- men (2 rechten und 1 linken) von 3 männlichen In- dividuen beobachtet hatte. Ich erklärte den Muskel für einen sehr selten vorkommenden, weil ich ihm bei geflissentlich vorgenommenen Untersuchungen un- ter 400 Armen nur an 1 derselben begegnete. Ich bewies den Muskel dort als einen wirklich super- pumerären und liess damals seine Deutung als Ra- dialis internus IT. nicht, oder hôchstens nur wegen der Art des Ansatzes bei der Varietät «Radio-carpo- metacarpeus» zu. Als Ort seiner Lage bezeichnete ich den unteren Theil des Sulcus radialis antibrachii bis ll, Z. unter die Mitte der Länge des Radius aufwärts (hinter den Vasa radialia, auf dem Radius, auf der untersten Ursprungsportion des Flexor pollicis longus und auf dem Pronator quadratus) und die Scheide für die Sehne des Radialis internus am Carpus. Seinen fleischigen und theilweise kurzsehnigen Ursprung sah ich auf der lateralen Fläche (— vorderen Fläche man- cher Deutschen, face externe der Franzosen und Eng- länder) des Radius (in vertikaler Richtung von der In- sertion des Brachio-radialis bis ‘4 Z. unter die Inser- tion des Pronator teres aufwärts, und in querer Rich- tung an der medialen Hälfte oder medialen zwei Drit- teln derselben), oder am vorderen Rande zwischen der lateralen und Beugefläche (von einer Stelle ", —*/, Z. über dem unteren Ende des Radius bis ", ‘/, Z. un- ter der Insertion des Pronator teres aufwärts) vor sich gehen. Über den Verlauf des Muskels sagte ich, dass er gleich nach seinem Ursprunge auf die Beuge- seite des Unterarmes sich wende und in schiefer Rich- tung neben dem radialen Rande des Flexor pollicis longus abwärts und etwas rückwärts zur fibrüsen Scheide des Radialis internus und in diese herab- steige; dass er bei seinem Verlaufe oberhalb dem Pronator quadratus entweder unmittelbar auf der Beu- geseite des Radius oder theilweise auf der untersten Ursprungsportion des Flexor pollicis longus, dann auf dem Pronator quadratus und endlich auf der Hand- gelenkkapsel ulnarwärts von der Sehne des Abductor longus pollicis, davon durch einen dreieckigen Zwi- schenraum geschieden und volarwärts von der Sehne

des Radialis internus gekreuzt, gelagert sei. Über den Tome XII.

Ansatz bemerkte ich, dass seine starke, platt-rund- liche, gegenüber dem Ende des Radius oder erst ge- gegenüber der Tuberositas 0. navicularis frei gewor- dene, in der Scheide im Ligamentum carpi volare proprium für die Sehne des Radialis internus breiter und dünner gewordene und mit der inneren Wand dieser Scheide verschmolzene Sehne 1 Mal mit 2 Bün- deln, welche die Scheide des Radialis internus ver- stärkten, an die Tuberositas 0. multanguli maj. und an das Os capitatum (Radio-carpeus), 1 Mal ebenfalls mit 2 Bündeln an die Tuberositas 0. multanguli maj. und gemeinschaftlich mit der Sehne des Radialis in- ternus an die Basis 0. metacarpi IT. (Radio-carpo- metacarpeus), ulnarwärts von der Sehne des letzteren, und endlich 1 Mal mit 3 Bündeln an die Tuberositas 0. navicularis, Tuberositas 0. multanguli maj. und an das Os capitatum (Radio-carpeus) sich inserirte. In dem Falle, in welchem eines der Bündel an das Os metacarpi IT. sich heftete, war dieses 7 8 Lin. lang, 1 Lin. breit und innerhalb der Scheide des Radialis internus in einer besonderen Synovialscheide gelagert, welche von ersterer an deren Anfange auch durch eine bandfôrmige fibrüse Brücke, als rudimentäres Septum, geschieden war. Über die Gestalt theilte ich mit, dass der gefiederte Muskel in einem Falle rhom- boidal, in den beiden anderen Füällen länglich drei- eckig war; und über die Grüsse bemerkte ich, dass ich ihn 2 Z. 8 Lin. bis 4 Z. (davon 8 10 Lin. für die Sehne) lang, in der Mitte seines Fleischtheiles 7 9 Lin. breit und bis 3 Lin. dick gefunden hatte. Seiner Wirkung nach, erklärte ich den Muskel: als Flexor der Hand gegen den Unterarm und als Supi- nator carpi s. manus proprius.

Fr. W. Theile”) hat nach mir in seinem Referate über meinen Radio-carpeus einen dieser Varietät des Radialis internus brevis analogen Muskel von dem linken Arme eines Mannes unter dem Namen «Flexor carpi radialis brevis s. inferior» beschrieben. Der Muskel entsprang von der Aussenseite des fünften

5) Schmidt’s Jabrb. d. Medicin. Bd. 104. Leipzig 1859. S, 155. (Der Muskel am rechten Arme, welchen Theile am Lig. carpi vo- lare proprium anheften sah, gehürt nicht hierher, ist einer der ei- genthümlichen Spauner dieses Ligamentes, die nicht nur vom Ra- dius, sondern auch von der Ulna kommen, wie ich weiss, und durch Präparate, die ich in meiner Sammlung aufbewahrt habe, beweisen kann und zu seiuer Zeit beweisen werde.

22

339

Bulletin de l’Académie Impériale

340

Sechstels des Radius und inserirte sich an das Os mul- tangulum majus.

H. Luschka®) hat die Varietät «Radio-carpometa- carpeus des Radialis internus brevis in 2 Fällen be- obachtet. Der Muskel inserirte sich an den Carpus und an die Basis 0. metacarpi Il.

John Wood”) hat vom Radialis internus brevis, den er unpassend «Flexor carpi radialis brevis s. profun- dus» nennt, die Varietät «Radio-carpeus» 1 Mal, die Varietät «Radio-carpometacarpeus» ebenfalls 1 Mal und die Varietät «Radio-metacarpeus» 2 Mal beobachtet, und mitgetheilt, dass auch Norton”) bei der Zerglie- derung eines Subjectes im St. Mary’s Hospitale einen seinem Falle von «Radio-carpometacarpeus» ähnlichen Muskel, den Norton «Klexor metacarpi dig. medii proprius» nannte, angetroffen habe. In dem Falle der Varietät «Radio - carpeus» entsprang der spindelfôr- mige Muskel mit einer mondfürmigen Aponeurose vom Radius unterhalb des Radialkopfes des Flexor digito- rum sublimis und inserirte sich an die mediale Wand der Scheide für die Sehne des Radialis internus; in seinem und Norton’s Falle der Varietät «Radio-car- pometacarpeus» entsprang der Muskel von der äus- seren Seite der vorderen Fläche outer side of the front surface (wohl vorderen Rand) des Radius über dem Pronator quadratus an der Aussenseite des Flexor pollicis longus, an und unter diesem, verlief unter dem Lig. carpi volare proprium neben und aus- serhalb der Scheide des Radialis internus, und inse- rirte sich an das Os capitatum und an die Basis o. metacarpi IIL.; in den zwei Füällen der Varietät «Radio- metacarpeus» endlich lief die Sehne des Muskels durch die Scheide des Radialis internus und inserirte sich ulnarwärts von der Sehne des letzteren an die Basis o. metacarpi IL”).

Der in der Literatur der Muskelvarietäten genü- gendunbewanderte Wood hat in seinen beiden Ar- beiten eine grosse Masse alter Neuigkeiten aufge-

6) Die Anat. des Menschen. Bd. 3. Abth. 1. (Glieder). Tübingen 1865. p. 177.

7) Variations in human myology.-Proceed. of the roy. soc. Vol. XV.1866. Xe 86 p. 235. 14. On human muscular variations ete, Journ. of anat. a. physiol. A I. London a. Cambridge. November 1866. p. 55. Fig. 6. a.

8) Bei Wood: Proceed. p. 235; Journ. of anat. a. physiol. p. 57.

9) Der Fall mit Insertion des Muskels an die innere Fläche des Lig. carpi volare proprium, welchen Wood dazu zählt, gehôrt nicht hierher.

tischt. Von dem als «Radio -carpeus» und «Radio- carpometacarpeus» 12 Jahre vor ihm von mir gekann- ten und 7 Jahre vor ihm von mir beschriebenen, nach mir von Theïile (1859) und Luschka (1863) erwähnten Radialis internus brevis behauptete er so- gar, bei keinem Anatomen aus England, Frankreich und Deutschland eine Erwähnung gefunden zu haben!! Mit dem neuen, unpassenden Namen «Flexor carpi radialis brevis», welcher dem Muskel übrigens auch schon 7 Jahre vor ihm von Theiïile verlichen war, dupirte er die Referenten, die daher keinen Anstand nahmen, nebst anderen alten Neuigkeiten auch den «Flexor carpi radialis brevis Wood —» für neu zu halten. Wood hat eine neue Variante der bekann- ten Varietät «Radio-carpeus», mit Norton eine neue Variante der bekannten Varietät «Radio-carpometa- carpeus» und kurz vor mir (sieh unten) die Varietät «Radio-metacarpeus» des Radialis internus brevis be- obachtet; den Muskel selbst hat er nicht entdeckt. Ich fahre fort, mich als Entdecker des Muskels an- zusehen, so lange nicht bewiesen ist, dass Fano’s Muskel wirklich ein «Radio-carpeus» in unserem Sinne war (was aber nicht zu beweisen ist), und so lange nicht ein Anderer gefunden wird, der vor mir den Muskel beschrieben hätte.

B. Eigene neue Beobachtungen,

1. u. 2. (4. u. 5.) Fall. Beobachtet im November 1861 an beiden Armen eines jungen männlichen In- dividuums.

Am rechten Arme. Ein gefiederter und ausser- dem noch an seiner Ulnarseite sehniger Muskel von 4h 4", Z. (Fleischtheil und Sehne) Länge im Gan- zen, à Lin. Breite und 2 Lin. Dicke am Fleischtheile.

Ursprung. Am gewôhnlichen Orte an einer Stelle, in der Hôühe der Verbindung des unteren Drittels mit dem mittleren der Breite des Ansatzes des Pronator quadratus bis , Z. unter die Mitte der Länge des Padius aufwärts.

Verlauf des Fleischtheiles wie gewôhnlich; der langen Sehne aber, welche erst unterhalb des Radius frei wird, ausserhalb der Scheide für den Radialis in- ternus, ulnarwärts davon.

Ansatz. Mit der 1 Z. langen, 2 Lin. breiten und 1 Lin. dicken Sebne, welche nur wenige Fasern zur Tuberositas 0. navicularis sandte und mit dem Liga-

341

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

34?

mentum carpi volare profundum verschmolzen war, an das Os capitatum.— Varietät «Radio-carpeus».

Am linken Arme. Ein schwacher zweibäuchi- ger Muskel von 2°, 2", Z. Länge.

Ursprung. Sehnig-fleischig vom Radius im Berei- che des oberen Drittels des Ansatzes des Pronator quadratus.

Verlauf. Mit den Sehnen seiner Bäuche ausser- halb der Scheide für den Radialis internus.

Ansatz. Mit der Sehne des lateralen Bauches an den Bänderapparat der Hohlhandseite des Carpus; mit der Sehne des medialen Bauches, welche die Sehne des ersteren von vorn kreuzt und darauf radialwärts lag, an das Os capitatum. Variante der Varietät Radio-carpeus «Radio-carpeus bicaudatus».

3. (6.) Fall. Beobachtet im December 1862 am rechten Arme eines Mannes.

Ein halbgefiederter Muskel mit einer am Ende in zwei Bündel getheilten Sehne von 3°, 3", Z. (am Kürper 2 Z., an der Sehne 1 Z., an den Endbündeln der letzteren /;, —‘/, Z.) Länge.

Ursprung. Von der lateralen Fläche des Radius nahe seinem vorderen Rande breitsehnig, ", Z. hoch und 4— 5 Lin. breit.

Verlauf. Mit dem Kürper wie gewôhnlich; mit seiner Sehne ausserhalb der Scheide in einer eigenen ulnarwärts von letzterer gelagerten besonderen Schei- de; mit einem Bündel der Sehne in der Scheide des Radialis internus, nachdem dasselbe letztere durch- bobrthatte, mit dem anderen ausserhalb dieser Scheide. . Ansatz. Mit dem stärkeren, 3 Lin. breiten und langen, innerhalb der Scheide des Radialis internus gelagerten und die Sehne des letzteren Muskels volar- wärts kreuzenden radialen Bündels seiner ”, Lin. dicken Sehne an die Tuberositas 0. multanguli maj.; mit dem bandfürmigen, 6 Lin. langen und 2 Lin. brei- ten, mit der Wand der Scheide für den Radialis inter- nus verwachsenen, ulnaren Bündel an das Os capi- tatum. Varietät «Radio-carpeus».

4. u. 5. (7. u. 8.) Fall. Beobachtet im November 1866 an beiden Armen eines Mannes (Fig).

Am rechten Arme. Ein gefiederter, am Fleisch- theile 3°, Z., an der starken Sehne 1%, Z., also 5 Z. langer; am Fleischtheile bis 8 Lin., an der Sehne 2 Lin. breiter; am Fleischtheile 2°, Lin. dicker Mus- kel («.). |

Ursprung. Von der lateralen Fläche und dem vor- deren Rande des Radius (1.), von einer Stelle 1 Z. über dem Ende des Radius bis 1 Z. über den Ansatz des Pronator quadratus (b.) aufwärts, neben dem Flexor pollicis longus (e.) und Pronator quadratus.

Verlauf. Wie gewühnlich, und in der Scheide für den Radialis internus gemeinschaftlich mit diesem.

Ansatz. Neben der Sehne des Radialis internus, von dieser durch Bindegewebe und Fett vüllig geschie- den, an das Os metacarpi IL. Varietät «Radio-me- tacarpeus».

Am linken Arme. Ein um 1 Z. kürzerer und nicht über den Ansatz des Pronator quadratus aufwärts rei- chender, sonst wie der am rechten Arme beschaffener Muskel. Varietät «Radio-metacarpeus».

Ich habe somit unter den 5 neuen Fällen des Ra- dialis internus brevis, welche ich sämmtlich in meiner Sammlung aufbewahrt habe, eine neue Variante der Varietät «Radio-carpeus», d. i. den Radio-carpeus bi- caudatus (1 Mal) und die Varietät « Radio-metacarpeus» angetroffen, die mir früher nicht bekannt waren. Der Ursprung beschränkte sich, wie bei meinen früheren Fällen, auf die laterale Fläche und den vorderen Rand der unteren Hälfte des Radius. Die Lage des Radia- lis internus brevis der neuen Füälle verhielt sich, ab- gesehen von ihrer Sehne, so, wie bei den Muskeln der früheren Fälle. Die Sehne lag nämlich bei 2 Fällen der Varietät «Radio - carpeus» nicht in der Scheide des Radialis internus, sondern ausserhalb derselben und ulnarwärts davon; bei 1 Falle der Varietät «Ra- dio-carpeus» auch ausserhalb der Scheide des Radia- lis internus und ulnarwärts von dieser, aber in einer eigenen Scheide, nur mit einem ihrer Endbündeln in der Scheide des Radialis internus; bei den 2 Fäl- len der Varietät «Radio-metacarpeus» endlich in der Scheide des Radialis internus wie bei den Varietäten «Radio-carpeus» und «Radio-carpometacarpeus» der früheren Fälle. Die Sehne war in den 2 Füällen der Varietät «Radio -metacarpeus» einfach, schickte in 1 Falle der Varietät «Radio-carpeus» ein Nebenbün- del ab und war in 2 Fällen der Varietät «Radio-car- peus» in 2 Bündel getheilt, welche in 1 Falle davon zwei Bäuchen des Muskels angehürten. Der Ansatz der neuen Füälle variirte sehr, glich nur bei 1 Falle der Varietät «Radio-carpeus» einem der früheren Fälle dieser Varietät. Die cinfache Schne setzte sich bei

292*

343

den Fällen der Varietät «Radio-metacarpeus» an das Os metacarpi Il., in 1 Falle der Varietät «Radio- carpeus» an das O. capitatum und an die Tuberositas o. navicularis, in dem Falle der Variante «Radio-car- peus bicaudatus» mit der Sehne eines Bauches an das O. capitatum, mit der Sehne des anderen Bau- ches an den Bänderapparat der Hohlhandseite des Carpus, und in 1 Falle der Varietät «Radio-carpeus» an die Tuberositas o. multanguli maj. und an das O. capitatum. Die Gestalt des Muskels der neuen Füälle war 4 Mal der der früheren Füälle ähnlich. Die Länge des Muskels übertraf in 1 Falle der Varietät «Radio- metacarpeus», die der Varietäten «Radio-carpeus» und «Radio-carpometacarpeus» der früheren Fälle, betrug 5 Zoll.

Resultate,

Nach Allem, was bis jetzt über den Radialis inter- nus brevis bekannt ist, ergiebt sich folgende Be- schreibung:

Vorkommen. Bis jetzt 16 Mal und zwar von mir (8 Mal), von Theile (1 Mal), von Luschka (2 Mal), von Wood (4 Mal), von Norton (1 Mal) angetroften. Unter meinen Fällen an einem Arme allein (4 Mal), an beiden Armen eines und desselben Individuums (2 Mal), am rechten Arme (6 Mal), am linken (2 Mal), bei geflissentlich von mir vorgenommenen Untersu- chungen an 200 Leichen 400 Armen (1 Mal) be- obachtet. Als Varietät «Radio-carpeus» 7 Mal (Gru- ber 5 Mal—, darunter 1 Mal die Variante «Radio- carpeus bicaudatus», Theile 1 Mal—, Wood—1 Mal —); als Varietät cRadio-carpometacarpeus» 5 Mal (Gruber—1 Mal—, Luschka— 2 Mal—, Wood 1 Mal—, Norton 1 Mal —); endlich als Varie- tät «Radio-metacarpeus» 4 Mal (Wood 2 Mal —, Gruber— 2 Mal—) gesehen. Der Radialis inter- nus brevis ist nach meinen Beobachtungen häufiger an einem Arme allein als an beiden Armen eines Indivi- duums, häufiger an rechten Armen als an linken und überhaupt selten zu erwarten; er tritt nach meinen und fremden Beobachtungen unter der Varietät «Radio- carpeus» am häufigsten auf.

Gestalt und Grüsse. Ein gefiederter oder halb- gefiederter oder nicht gefiederter, spindelfürmiger oder länglich-dreiseitiger Muskel von 2 5 Z. Länge (da- von 8 Lin. 1 Z. 9 Lin. auf die Sehne); 6 9 Lin.

Bulletin de l’Académie Empériale

344

am Fleischtheile und bis 2 Lin. an der Sehne, und bis 3 Lin. an deren Bündeln Breite; und bis 3 Lin. am Fleischtheile Dicke.

Lage. Im Sulcus radialis antibrachü und an der Hohlhandseite des Carpus; auf dem Radius; vom Ra- dialis internus longus zuerst lateralwärts, dann rück- wärts und zuletzt medialwärts von dessen Sehne; auf der untersten Ursprungsportion des Flexor pollicis longus, dann lateralwärts, rückwärts und medialwärts von dessen Sehne; auf dem Insertionstheil des Pro- nator quadratus hinter den Vasa radialia im Sulcus radialis antibrachii.

Ursprung. Von der lateralen Fläche Henle (= vorderen Fläche mancher deutschen und äus- seren Fläche der franzüsischen und englischen Ana- tomen) und dem vorderen Rande der unteren Hälfte des Radius in verschiedener Ausdehnung in verticaler und transversaler Richtung, zwischen der Insertion des Brachio-radialis und einer Stelle 4 Lin. unter der Insertion des Pronator teres aufwärts.

Verlauf. Schräg ab- und medialwärts, mit der Sehne und deren Bündeln in der Scheide für den Radialis internus, oder ausserhalb derselben ulnarwärts.

Ansatz. An den Carpus [O. capitatum (häufig), mul- tangulum maj., naviculare (selten), mediale Wand der fibrôsen Scheide des Radialis internus, Bänderapparat der Hohlhandseite des Carpus] an 1 3 Stellen, und an den Metacarpus (O0. metacarpi IT. u. IIL.) an eines derselben; an den Carpus allein, oder an den Carpus und Metacarpus zugleich, oder an den Metacarpus allein.

An Carpus allein :

1) Mit einer einfachen Sehne: a) An das O. multangulum maj. (Theile). b) An die fibrüse Scheide des Radialis internus (Wood). 2) Mit 2—3 Bündeln seiner Sehne, oder mit den Seh- nen des zweibäuchigen Muskels an 2 3 Stellen: a) An die Tuberositas 0. navicularis und an das ©. capitatum (Gruber). b) An die Tuberositas o. multanguli maj. und an das O. capitatum (Gruber). c) An das O. capitatum und den Bänderapparat der Hohlhandseite des Carpus (Gruber). d) An die Tuberositas o. multanguli maj., an die

Bulibn de LAoad 277 d dc. T. XII V4 Grue Mad Lada es inlétnus Heoi.

la eue, adnol dl Chanson sn 72 del TH A Mines, SA (277 VO 2 Ph FE

> "+ À L TM » ! { dr j % ' H F À = 1 Fu ait LE Tes H À US ADR CPE l ia # \ É { RUE THAT 3 0 : JO à SET - À # : ; | fe ér . ll L 1% PRE SUR LET LUE à ht) A rank ; re) | C4 Ÿ Ù ; « { ï 3 ft < œ . 4 « vPERNES 2 TA ! : ::M HUE #1 L : ñ Luxe a +1 1: d [1 LT ER Cons EE ADR IAR AT | # x) k à 5 DT + U 1 Ce Le : TA EE 2 F ï à + i Eee } CRU " COUR ATHENA Leu # F $ 0 27 Î R : Le D de | y it x: aitu PEN Me RS MCE ES EESES LOPRSETS TAUX # X ST # ' (Lt : re LA y ar en 4 À , ñ jh À LATEST CRETE ER PE CREER ve CHE En df dr D tn: F. 1 h 4 be EL at tn Ai i ol: CHATEAU TOME d'u M et lues ei ss \ sn ‘aid

PR hab ve 4 Lodge, 15655 db) CU eiMaE, Ge

345

des Sciences de Saint- Pétersbourg.

346

Tuberositas 0. navicularis und an das O. capita- tum (Gruber) ").

An Carpus und Metacarpus zugleich:

a) An die Tuberositas 0. multanguli maj. und an die Basis 0. metacarpi II. (Gruber).

b) An den Carpus (wo?) und an die Basis 0. meta- carpi II. (Luschka).

c) An das O. capitatum und an die Basis 0, meta- carpi IT, (Wood, Norton).

An Metacarpus allein : An die Basis 0. metacarpi II. (Wood, Gruber).

Wirkung. Flexor der Hand gegen den Unterarm und Supinator manus proprius.

Erklärung der Abbildung !!).

Untere Hälfte des Unterarmes mit der Handwurzel und Mittelhand der rechten Seite eines Mannes. (An- sicht von der Volarseite.)

1) Radius. 2) Ulna. 3) Handwurzel. 4) Mittelhand. a) Musculus radialis internus brevis Varietät «M. radio-metacarpeus». b) M. pronator quadratus. €) M. brachio-radialis (Endstück). d) M. ulnaris internus (Endstück). e) M. flexor pollicis longus (Sehne abgeschnitten). f) M. flexor digitorum sublimis (obere Partie). 9) M. pronator teres (Ende). h) Sehne des M. radialis internus longus. i) Sehne des M. radialis externus longus. k) Sehne des M. radialis externus brevis. t) Sehnen der Mm. abductor longus und extensor brevis pollicis. «) Ligamentum carpi volare proprium (am Fache für die Mm. flexores digitorum ausgeschnitten,

10) Das Bündel zum O. capitatum war vorher 2 Mal mit dem Lig. carpi volare profundum und 1 Mal mit der medialen Wand der fibrôsen Scheide für den Radialis internus verwachsen (Gruber).

11) Zu den 1859 gelieferten Abbildungen der Varietäten «M. radio-carpeus und M. radio-carpometacarpeus» des M. radialis in- ternus brevis trage ich die Abbildung der Varietät «M. radio-meta- carpeus» nach.

und am Fache Scheide für die Mm. radia- les interni durchgeschnitten). 8) Mediale Wand der Scheide für die Mm. radia- les interni. St.-Petersburg, den 30. October 1867.

Der Nachweiïis des Cysticercus Taeniae medioca- nellatae in den quergestreiften Muskeln der Rinder. Ein Beitrag zur Entwickelungsge- schichte der Taenia mediocanellata, von Dr. J. Knoch. (Lu le 3 octobre 1867.)

Wiewohl manche Erfahrungen, und namentlich die Fütterungsversuche Leuckart’s und Mosler’s beim Kalbe für die Existenz des Cysticercus Taeniae mediocanellatae beim Rind sprachen, so blieb dennoch bis jetzt der Nachweis vom natürlichen Vorkommen desselben in Bezug auf sein Wohnthier aus. Ja selbst die von Leuckart und namentlich von Küchen- meister beim Schwein angestellten Fütterungsver- suche mit reifen Proglottiden der Taenia inermis (T. mediocanellata Küchenmeister’s) schienen den ge- machten Erfahrungen sogar zu widersprechen. Und wenn es auch das Verdienst des Dr. Weisse in St. Petersburg war, zuerst darauf aufmerksam gemacht zu haben, dass bei Kindern, die aus diätetischen Grün- den mit zerriebenem, rohem Rindfleisch genährt wer- den, sich nicht selten der gemeine Bandwurm ein- stellt, so läisst derselbe es ganz unentschieden ‘), ob es die bewaffnete, oder unbewaffnete Taenia des Men- schen ist”). Selbst Davaine’s Mittheilung, dass man in Abyssinien nicht Schweinefleisch, sondern Rind- und Schaaffleisch roh geniesse, konnte nur wenig zur Entscheidung dieser wichtigen Frage beitragen, inso- fern es sich immer noch fragte, welches dieser Thiere der eigentliche Träger der Jugendzustände dieser Bandwürmer, d. i. ihrer Cysticerci ist das Rind

1) Es konnte damals (im Jahre 1851) noch nicht eine Entschei- dung dieser Frage herbeigeführt werden, da man noch nicht genau die Existenz zweier Taenien-Species beim Menschen kannte. Wei- tere Bestätigungen dieser wichtigen Beobachtung Weisse’s sind ausser mir hier in St. Petersburg auch in Deutschland von Har- nier in Kassel, besonders aber von Schmidt in Frankfurt a. M. und zum Theil auch von Leuckart bei einem Judenkinde aus Würzburg geliefert worden.

2) Die von mir hier in St. Petersburg, besonders aber im Aus- lande (Wien, München etc.) angestellten Beobachtungen boten mir, gleichwie die Bandwürmer aus Cairo Gelegenheit, die Taenia medio- canellata als besondere Species genauer kennen zu lernen.

347

oder das Schaaf? Von grüsserer Bedeutung ist ausser Leuckart’s und Mosler’'s Fütterungsver- suchen am Kalbe noch folgender Bericht von Knox, dass unter den englischen Soldaten während des Kaffernkrieges eine Bandwurmepidemie ausgebrochen sei, unb zwar nach einem längeren Genusse des Flei- sches abgetriebener, erschüpfter und ungesun- der Ochsen”). Zugleich ist es Leukart an einem Exemplar der im südlichen Afrika einheimischen Bandwürmer, gleich wie mir an vielen von Bilharz in Aegypten gesammelten Exemplaren gelungen, auf das Bestimmteste den Beweis zu führen, dass im Sü- den sowohl, als im Norden Afrikas die Taenia medio- canellata vertreten ist.

Es erübrigt demnach zufolge des bisher Gesagten noch, zugleich durch direkte Beobachtung das na- türliche Vorkommen der unbewaffneten Fin- nen‘) d. i. der Taenia mediocanellata beim Rind zu constatiren. In Folgendem beabsichtige ich durch nä- here Beschreibung des positiven Resultats meiner bis- herigen Studien den factischen Beweis hievon zu lie- fern, wobei ich gleichzeitig die Frage, ob beim Schwein zwei Arten Finnen vorkommen, berücksich- tigen werde.

Bereits im Jahre 1861 *), also schon vor den Ver- suchen Leuckart’s am Kalbe, hatte ich in einem der besten Restaurants St. Petersburgs auf dem New- ski-Prospekt, als ich eine Kalbscotelette verlangte, Ge- legenheit, zahlreiche Finnen in derselben nachzuwei- sen. Da eine genauere Untersuchung mehrerer Cysti- cercen jedoch ergab, dass sie mit dem zierlichen Ha- kenkranz und dem Rostellum ausgerüstet waren, und diese charakteristischen Merkmale entschieden für den Cysticercus Taeniae solii sprechen, fühle ich mich zur Annahme veranlasst, dass man anstatt der Kalbs- cotelette mir Schweinscotelette gereicht hat. »

Walteten in dem Falle auf dem Newski ) dem-

3) Sieche Leuckarts Parasiten- Werk, p. 292 etc. und Fro- riep’s Notizen p. 122 vom Jahre 1822.

4) Da ein künstliches Ziehen derselben beim Kalbe durch Füt- terung mit den Proglottiden Taeniae mediocanellatae ja noch kei- neswegs als Beweis ihres natürlichen Vorkommens weder beim Kalbe, noch viel weniger beim Rind dienen kann.

5) Siehe meinen Aufsatz: Studien, betreffend die verschiedenen Wege, auf denen eine Ubertragung der Halminthen auf den Men- schen erfolgt, zugleich mit Abbildungen in dem Militär-Medicini- schen Journal vom Januar 1862.

6) Wie ich später wiederholt, sowobl im frischen Schweinefleisch,

Bulletin de l'Académie Empériale

348

nach noch Zweifel ob, so bot der zweite in der Nähe der medico-chirurgischen Akademie im Sommer 1864 von mir beobachtete Fall die günstige Gelegenheit dar, mit aller Bestimmtheit im Rindfleisch den unbe- waffneten Cysticerceus d. i. die Finne der Taenia mediocanellata zu entdecken. Das Fleisch, das aus der Fleischbude daselbst bezogen war, soll nach der Versicherung des Verkäufers von dem Polizeiarzt be- sichtigt worden sein, weshalb ersterer, als ihm spä- ter die verdächtigen Stellen in den Muskeln gezeigt wurden, sich zu der Ausserung berechtigt glaubte, «es sei in ihnen nichts Krankhaftes vorhanden». Mit dieser so zuversichtlich ausgesprochenen Versiche- rung mich natürlich nicht begnügend, schritt ich zur genauen Untersuchung dieser fraglichen, zahlreich in den Muskeln eingestreuten Kürper von schmutzig weisser, in’s Gelbliche spielender Färbung. Das Er- gebniss dieser Untersuchung war folgendes:

Das Fleisch, stammend nach der Aussage des Fleischers von einer Kuh, wohl aus der Umgegend St. Petersburgs, hatte abgesehen von den Kapseln der Cysticercen wohl kaum das Aussehen eines kranken Fleisches, auch nicht das vom abgetriebenen und erschôüpften Rinde, wie es z. B. Knox ausdrück- lich von den Ochsen angiebt, deren Genuss zur Band- wurmepidemie unter den englischen Soldaten im Kaf- fernkriege Veranlassung gegeben hat. Dass diese Mus- keln aus der Lendengegend weder in Betreff des Aus- sehens, noch der Farbe, noch der Consistenz sich we- sentlich vom gesunden Rindfleich unterschieden, geht zugleich aus dem Umstande hervor, dass die Käuferin des Fleisches, die selbst schon über 40 Jabre ihre Wirthschaft bestreitet, dasselbe als gutes, gesundes Fleisch für den Hausstand gekauft?) hatte. Das, was man vielleicht an diesem Rindfleisch ausser den Fin- nenkapseln aussetzen konnte, war, dass es nicht das gewübhnliche, lebhaft rothbraune, sondern ein mebr dunkelbraunes Aussehen zeigte. In den kräftig entwik- kelten, durchaus nicht schlaff oder welk anzufühlen- den Muskeln waren die fraglichen Kürper von sebr

als namentlich in dessen gesalzenen und geräucherten Schinken die Finnen ausser den Psorospermien-Behältern gefunden habe.

7) Und nur das durch meine helminthologischen Studien geübte Auge meiner Frau war ausser mir im Stande, das an diesem Fleische Verdächtige wahrzunehmen, so dass ich ihr die so überaus seltene Gelegenheit zum Nachweis des Cysticercus Taeniae mediocanellatae verdanke.

349

verschiedener Grôsse und im Ganzen zahlreich, so- wohl in den peripherischen Schichten, als auch in der Tiefe derselben anzutreffen. Die kleinsten dieser in Rede stehenden Kürper waren von der Grüsse ei- nes Hirsekorns, die den jüngsten oder ersten Ent- wickelungszuständen des Cysticereus entsprechen und ihre Cestodennatur nur an den charakteristischen Kalk- kürperchen erkennen liessen. Die grüssten derselben erreichten die Grüsse einer kleinen Bohne. Die Form dieser Cysten näherte sich der einer Ellipse, wie ich es auch bei den Finnen in den Muskeln des Menschen und der Schweine beobachtet habe. Im Widerspruch hierzu steht die Beobachtung Leuckart’s, der bei den von ihm beim Kalbe künstlich gezogenen Exem- plaren die runde Form vorwiegen sah, und in der Zeichnung 123 seines Parasitenwerkes sie jedoch alle in Form einer Ellipse darstellt. Dabei spricht er °) zu- gleich von den Polen seiner Finnen, indem er unmit- telbar darauf sagt, dass der eine derselben konisch zugespitzt war. Ausser den grossen und kleinsten Cy- sten gab es verschiedene Mittelstufen, von denen die meisten etwa der Grüsse einer Erbse oder kleinen Bohne gleich kamen. Bei Erôffnung dieser Cysten überzeugte ich mich, dass sie, wie es auch Professor Mosler bei seinen künstlich gezogenen Kalbsfinnen fand, nicht vollständig wie ich es bei den Finnen der Schweine beobachtet von dem Cysticercus aus- gefüllt werden, sondern dass letzterer gleichsam wie eingebettet in einer feinkôürnigen, brückligen, gelbge- färbten Masse liegt. Letztere zum Theil aus ein- zelnen elliptischen Zellen bestehend %) fand ich na- mentlich in den Cysten reichlich angehäuft, in denen keine Cysticercen nachzuweisen waren demnach den Acephalocysten ähnliche Zustände, wie sie bei dieser Finnengattung ausser mir auch Prof. Mosler constatiren ") konnte. Dieser Gelehrte hebt in seiner Schrift: «Helminthologische Studien» ausser der weis-

8) Während Prof, Mosler, der nicht auf eine nähere Beschrei- bung dieser Cysticercen eingeht, nur von den Cysten im Herzen sagt, dass sie eine länglich ovale Form haben und die auffallendste Ahnlichkeit mit den Tuberkeln (?) zeigen.

9) Die jedoch nur den kleinsten Theil, keineswegs aber, wie Prof. Mosler bei seinen künstlich gezogenen Finnen des Kalbes beobachtet haben will, die ganze Masse des brückligen Inhalts der Cysten ausmachen.

10) Und wie ich auch bei den Trichinen eine wurmlose, jedoch noch nicht ganz geschlossene Kapsel zu beobachten Gelegenheit hatte.

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

350

sen Farbe mit besonderem Nachdruck die grosse Âhn- lichkeit dieser Wurmeysten mit den Tuberkeln her- vor, so dass sie seiner Ansicht nach bei oberflächli- cher Untersuchung ohne Weiteres als gewühnliche Tuberkeln angesehen werden kônnen. Ich dagegen muss gestehen, dass ich schon beim ersten Anblick dieser fraglichen Gebilde überzeugt war, dass wir es in dem betreffenden Falle nicht mit Tuberkeln, son- darn mit Wurmeysten zu thun haben, die nicht ganz weiss waren, wie Mosler an seinen Finnen in den Muskeln des Kalbes beobachtete, sondern gelblich aussahen. Nur darin war ich anfangs noch nicht ganz gewiss, ob in der That die Finnen der Taenia medio- canellata vorlagen, wie ich zufolge der Experimente der Professoren Leukart und Mosler glaubte anneh- men zu müssen, oder müglicherweise andere Cysten- zustände. Ich sage nicht ganz gewiss, da man bisher uoch nie im Rindfleich, und beim Kalbe stets nur nach Fütterungen, den Cysticercus jener Taenia beobach- tet hat. Dass wir in dem betreffenden Falle nicht auf den bewaffneten Cysticereus Taeniae sol oder den Scolex Dibothrii lati stossen würden, davon war ich a priori überzeugt. Und dass ich mich in dieser Vor- aussetzung nicht irrte, beweist folgender wikroskopi- sche Befund der betreffenden Cysticercen "'), deren Beschreibung ich die Abbildungen beifüge.

Die jüngsten Entwickelungsstadien entsprachen am meisten dem Entwickelungszustande, den Leuckartim seiner Abhandlung: «die Blasenbandwürmer und ihre

Entwickelung» in Fig. 3 der Tafel IT vom Cysticer-

cus Taeniae serratae dargestellt hat, d. i. sie waren noch ohne alle Anlage des Kopfzapfens; jedoch war es mir môüglich, die Gegenwart der charakteristischen, concentrisch geschichteten Kalkkürperchen zu con- statiren. Ein besonderes Canalsystem oder Gefäissma- schennetz war ich bei diesen Exemplaren nicht im Stande nachzuweisen.

Ich war schon beim Befunde des ersten Entwicke- lungsstadiums dieser Wurmeysten, die der concen- trisch geschichteten Kalkkürper wegen nicht mehr als Tuberkeln angesehen werden kônnen, überzeugt,

11) Ich glaube wegen der Wichtigkeit des Befundes hier näher auf die Beschreibung des von mir Beobachteten und der beifolgen- den Zeichnungen (v. Fig. 1, 2 und 3) eingehen zu müssen, um jedem môglicher Weise stattfindenden Zweifel oder Bedenken am sicher- sten vorzubeugen.

351

Bulletin de l’Académie Hmpériale

352

+

dass wir es mit Cestodencysten zu thun haben. Vol- lends wurde ich namentlich bei den grüsseren Exem- plaren nicht allein in dieser Ansicht, sondern zugleich auch darin bestärkt, dass die betreffenden Cestoden- cysten nicht den Bothriocephalen Scolices, sondern den Cysticercen, und zwar denen der Taenia medio- canellata angehüren. Dass es namentlich Cysticercen sind, dafür sprachen bei den mehr ausgebildeten Exem- plaren:

1) die Gegenwart der Schwanzblase und

2) die 4 runden Saugnäpfe, während diejenigen der Bothriocephali länglich oder lineär sind und die Zahl 2 nicht überschreiten.

Es erübrigt noch den Beweis zu führen, dass die betreffenden Cysticercen nicht die der Taenia solium sind, sondern in der That der Taenia mediocanellata angehôüren. Zu diesem Behuf würde es zweckmässig sein, ausser der Beschreibung des Befundes, zugleich einige Zeichnungen beizufügen, die ich bei einer Ver- grôsserung von bb—100 Malen gewonnen habe.

An der Fig. 1, die der Fig. 125 in Leuckart’s Parasiten-Werke entspricht, nimmt man deutlich 3 grosse, tiefe Saugnäpfe wabr, während der vierte an der anderen Seite unter dem mittleren Saugnapf durch- schimmert (vide dieselbe Fig. 1). Es mangelt bei die- ser Species was charakteristisch ist vollständig der Hakenkranz, und das Rostellum, das für den Cy- sticercus Taeniae solii so bezeichnend ist. Die Gegen- wart von Pigment konnte ich ebenso wenig wie Leu- ckart zwischen den Saugnäpfen erkennen, was übri- gens, wiewohl Leuckart und Mosler es als sehr charakteristisch gerade bei der Taenia mediocanellata bezeichnen, keineswegs weder für diese Species, noch für Taenia solium spricht. Übrigens gesteht auch Leu- ckart in jener Schrift ein, dass er bei den von ihm künstlich gezogenen Cysticercen Taeniae mediocanella- tae kein dunkles Pigment am sogenannten Kopf dersel- ben abgelagert gefunden hat. Auch entsinne ich mich nicht, an den betreffenden von Leuckart an Virchow gesandten mikroskopischen Präparaten eine Andeu- tung des Pigments gesehen zu haben, das, wenn es überhaupt bei diesen Taenien im geschlechtsreifen Zu- stande auftritt, demnach, wie auch Virchow richtig voraussetzt, erst in den späteren Lebensperioden die- ser Parasiten in die Erscheinung tritt. Übrigens muss

ich zufolge meiner Beobachtungen an vielen Taenien- Exemplaren von Siebold in München, die Bilharz in Cairo gesammelt hat, gestehen, dass mir keines- wegs das Pigment bei der Taenia mediocanellata als für diese Species besonders vorwiegend aufgefallen ist, während ich dasselbe dagegen auch bei den Cy- sticercen Taeniae solii *) beobachtet habe. Im Ein- klange hiermit besitze ich zugleich noch ein grosses Exemplar der Taenia mediocanellata aus Tübingen, an dem bei allem Mangel des Hakenkranzes und des Ro- stellums keine Spur vom Pigment wahrzunehmen ist. Dass das Rostellum in der That bei dem Cysticercus Taeniae mediocanellatae fehlt, davon konnte ich mich besonders dann überzeugen, als ich dasselbe Exem- plar von der anderen, der unteren Seite betrachtete (sieh Fig. 2), wobei zugleich der früher nur schwach durchimmernde 4. Saugnapf mit seiner inneren, run- den Grubenüffnung *) hervortrat. Nicht jedoch konnte ich mich von dem Vorhandensein eines 5., weit klei- neren Saugnapfes zwischen den 4 anderen Saugnäpfen überzeugen, den Leuckart als Stirnsaugnapf'*) be- zeichnet, und dessen Wandungen nach den Beobach- tungen des letzteren jedoch geringer differenzirt sind, als die der eigentlichen Saugnäpfe. Letztere, die im Durchmesser etwa 0,3 Mm. gross sind, erreichen noch nicht die Grüsse der Saugnäpfe geschlechtsreifer, un- bewaffneter Taenien (7. mediocanellatae); jedoch sind sie bedeutend grüsser, als die des Cysticercus Taeniae solii. Besonders zeichnen sich die Saugnäpfe der Cy- sticercen vom Rind durch die Stärke ihres Muskelap- parates aus, dessen Lippen eine becherfôrmige Aus- hôhlung bilden. Zwischen den Saugnäpfen und selbst am Rande derselben konnte ich, was Leuckart nicht gelang, die Gegenwart der Kalkkürperchen nachwei- sen; mehr aber traten sie an der Übergangsstelle zum

12) Wobei ich jedoch zugleich hervorheben muss, dass dieselben entweder abgestorben waren und an Stelle des fehlenden Haken- kranzes einen dunklen Pigmentring zeigten, oder Missbildungen dar- stellten, insofern der Kopf in der Gegend des Rostellums in zwei Erhôhungen getheilt erschien, auf denen nur einzelne Häkchen zum Theil ausgebildet waren.

13) Der in der Fig. 2 um den unteren, inneren Saugnapf führende Halbkreis ist wohl, gleichwie der oben in der Fig. 1, in die Erschei- nung tretende Bogen durch Faltenbildung entstanden.

14) Der, wie Leuckart selbst gesteht, von ihm nur bei leben- den Cysticercen, nicht jedoch bei geschlechtsreifen Spiritus-Exem- plaren beobachtet werden konnte, an denen auch ich, anstatt des Rostellums mit dem Hakenkranz, nur eine schwache Vertiefung wabrzunehmen im Stande war.

353

Halse ) gleich unter den Näpfen auf, um an demselben bald ungemein zahlreich zu werden; am stärksten sind sie, wie es die Fig. 1 deutlich zeigt, am Halse na- mentlich vor dem Übergange desselben zu der Mutter- blase ausgesprochen, so dass sie dort die Muskulatur und das übrige Gewebe des Halses ganz verdecken. Ausserdem konnte man am Halse schon deutlich die Segmentation erkennen, die gleich hinter dem Kopfe quer über die ganze Breite des Halses verfolgt wer- den konnte. Die Segmentbildung deutet auch Leu- ckart in den Figuren 124 und 125 seines Parasiten- Werkes an, nur vermisse ich sie auffallender Weise ebendaselbst ganz in der Figur 126, wo der Kopf- zapfen gerade stark vergrüssert ©) und der Hals im Vergleich zu meiner naturgetreuen Zeichnung auffal- lend kurz dargestellt ist. (Vergleiche seine Zeichnung mit meiner Figur 1, wobei zugleich ein zweiter Un- terschied in der Haut sich geltend machen wird; die Leuckart doppelt contourirt darstellt, während ich sie einfach contourirt fand). Die Breite des Halses beträgt etwa soviel, als die Länge des Kopfes, d. i. 8,01 Mm., während die Breite des letzteren sich un- gefähr auf 10,01 Mm. beläuft.

Die Mutterblase der Cysticercen vom Rind ist ziem- lich gross, und mehr in dem Längen- als im Brei- ten-Durchmesser entwickelt"”). Ihr Aussehen ist da- durch charakterisirt, dass sich zwischen dunklen, un- regelmässig rundlichen Feldern, die aus kleineren Punkten gebildet sind und ähnlich einem Pflaster er- scheinen, sich ein helles Gefässmaschennetz hinzieht; Kalkkürperchen, wie sie Leuckart hie und da dar- stellt, habe auch ich in der Wandung der Blase be- obachtet. Der Inhalt dieser Mutterblasen schien nur gering zu sein.

Zufolge dieser Beschreibung und der der Natur ge- treu entlehnten Zeichnungen ist es nicht mehr zwei- felhaft, dass die von uns im Rindfleisch nachgewiese- nen Cysticercen die der Taenia mediocanellata sind. Dem entsprechend konnte ich an dem Bandwurmkopf, den mir College Büttich von einem S8-jährigen Kinde zur Untersuchung zustellte, alle charakteristi-

15) D. ï. der Mittelkôrper zwischen dem sogenannten Kopf und der Mutterblase. 16) Wodurch die Segmente gerade noch stärker, als bei schwa- cher Vergrüsserung in die Erscheinung treten müssen. 17) Leuckart im Gegentheil stellt sie im Verhältniss zur Breite sebr kurz dar (s. seine Fig. 125). Tome XII.

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

354

schen Kennzeichen der Taenia mediocanellata con- statiren, d. i. die auffallende Grüsse und Breite so- wohl des Kopfes, als auch des Halses, ferner die auf- fallend grossen, tiefen und muskulüsen Saugnäpfe, so- wie das gänzliche Fehlen des Rostellums, und anstatt desselben eine entsprechende Vertiefung, ausser der starken Pigmentirung des Kopfes.

Durch diese Beobachtungen glaube ich mich zu folgenden Sätzen berechtigt:

1)In Russland kommen nicht allein im Schwein,

sondern auch im Rind Cysticercen vor, und zwar

wird der Cysticercus cellulosae Ÿ) zufolge meiner vielfachen Untersuchungen ausser den häufigen

Psorospermien in Cysten und Canälen in Russ-

land beim Schwein nicht selten angetroffen, und

ferner ist:

nur beim Rinde die Gegenwart des Cysticercus

Taeniae mediocanellatae, und zwar ebenso zahl-

reich als die der bewaffneten Finnen beim Schwein

nachzuweisen, und endlich:

3) kommt in Russland beim Menschen ausser dem am meisten vertretenen Bothriocephalus latus so - wohl die Taenia mediocanellata, als auch die Tae- ma solium, sowie der Echinococcus und die 7#ri- china spiralis vor.

t2

Durch die hier gewonnenen Thatsachen künnen wir zugleich die im Anfange dieses Artikels gestellte Frage, betreffend die Species der von Dr. Weisse etc. bei Kindern nach Genuss des rohen, geschabten üundfleisches beobachteteten Bandwürmer als erledigt betrachten, da sowohl mein direkter Nachweis der Taenia mediocanellata bei einem Kinde aus St. Peters- burg, als auch der zahlreiche Befund der unbewaff- neten, rüssellosen Cysticercen im Rindfleisch entschie- den für die Taenia mediocanellata sprechen.

Ferner lassen meine Beobachtungen und Erfahrun- gen, gewonnen in Folge zahlreicher Untersuchungen, sowohl des Schweine- als auch des Rindfleisches kei- neswegs die Vermuthung Leuckart’s ”) und Kü-

18) Den ich bei meinen Untersuchungen des Schweinefleisches auf Trichinen zugleich mit den Psorospermien stets berücksichtigt habe, wozu ich mich als Mitglied einer Commission der allgemeinen Ge- sundheiïtspflege besonders verpflichtet fühlte.

19) Er sagt nämlich in seinem Parasitenwerke: «er kônne nicht mit voller Sicherheit behaupten, ob die nach der Fütterung des Schweines mit den Proglottiden der Taenia mediocanellata von ihm

23

355

chenmeister’s ”) zu, als wenn auch beim Schwein sich der Cysticercus Taeniae mediocanellatae entwickele.

Die medicinische Bedeutung und das Vorkommen dieses Parasiten,

Leuckart setzt voraus, dass die Finne der Zaenia mediocanellata im Menschen nicht zur Entwickelung komme, verweisend auf die vermeintliche Thatsache, als wenn bisher noch niemals (?) eine «hakenlose Finne» beim Menschen gefunden worden sei. Aus Vorsicht fügt Leuckart in Klammern hinzu («soweit bekannt»).

Ich kann dagegen mittheilen, dass ich bereits 1859 im Gehirne eines Geisteskranken nicht allein einen hakenlosen, sondern zugleich stark pigmentirten Cys- ticercus nachzuweisen im Stande war. Jedoch muss ich hier besonders hervorheben, dass bei der Artbe- stimmung der Finnen nicht, wie es Leuckart irr- thümlich gethan, so viel Gewicht auf die Gegenwart oder Abwesenheit des Hakenkranzes oder des Pig- ments zu legen ist, als vielmehr auf das Vorkommen oder Fehlen des Rostellums. Denn ungeachtet dieses interessanten Befundes einer hakenlosen und zugleich pigmentirten *') Finne halte ich sie dennoch für einen Cysticercus Taeniae sol, da ich ausser diesem Exem- plare in demselben Gehirn noch viele Finnen antraf, die alle deutlich den Hakenkranz zeigten. Gestützt auf diesen Befund, glaube ich mich dazu berechtigt, den Befund Küchenmeister’s ähnlich deuten zu müssen, wepn er die Finnen der Zaenia mediocanellata unter den Cysticercis cellulosae des Schweins aufge- funden haben will. (Sieh Compt. rend. vom Jahre 1860). Um so mehr glaube ich diese vermeinten Cys- ticercen Taeniae mediocanellatae Küchenmeister”’s beim Schwein als abgestorbene hakenlose Finnen T4e- niae solii ansehen zu müssen, als Küchenmeister ungeachtet der versprochenen Mittheilung über den Befund seines Fütterungsversuches beim Schwein Spä- ter nichts mitgetheilt hat, und das Ergebniss dieses Versuches demnach wohl, gleich wie das Mosler’s

gefundenen 6 Finnen mit dem Hakenkranz und dem Rostellum _von der Taenia mediocanellata abstammen.

20) Der unter den Cysticercen cellulosae beim Schwein zugleich die der Taenia mediocanellata gefunden haben will (sieh Compt. rend. vom Jahre 1860).

21) Das Pigment war nämlich in Form eines Ringes gerade an der Stelle gruppirt, wo an den anderen Exemplaren der Haken- kranz sass, ein Umstand, auf den ich bei der Artbestimmung des Cysticercus ein besonderes Gewicht lege.

Bulletin de l’Académie KHmpériale

356

und zum Theil”) auch Leuckart’s, negativer Natur war. Ich spreche deshalb, gestützt meine Unter- suchungen und im vollsten Einklange mit dem negati- ven Resultate Mosler’s (beim Fütterungsversuch am Schwein), so wie mit den positiven Ergebnissen Leu- ckart’s und Mosler’s (beim Kalbe) meine Über- zeugung dahin aus: dass der Cysticercus Taeniae mediocanellatae nur allein im Fleische der Rin- der vorkommt, und dass er demnach nicht, wie die gewôhnlichen Schweinefinnen und der Echinococeus im Stande ist, beim Menschen ebenso wenig, als die sogenannten Scolices Dibothrii lati®) besondere, gefähr- liche Krankheiten des centralen Nervensystems weder im Seelenleben *), noch in der Sinnessphäre (wie Blind- heit etc.), oder des Gefässsystems *) hervorzurufen. Im Einklange mit jenem Satze steht zugleich die in- teressante Erfahrung, dass der Cysticercus im Auge des Menschen nur da beobachtet wird, wo die Taenia sol entweder vorherrscht, oder fast allein vorkommt, wie in Berlin, Halle und in den nürdlichen Rheinge- genden, ferner in Paris etc., während in den südlichen Ländern Deutschlands, wie in Osterreich, selbst in Bôühmen und Bayern, wo mebr die Taenia medioca- nellata vorwiegt, der Cysticercus im Auge des Men- schen meines Wissens bisher noch nicht beobachtet worden ist.

Da wir die Wege der Übertragung dieses Parasiten auf den Menschen durch die bereits ermittelten That- sachen genau kennen gelernt haben, dürfte es jetzt nicht mehr schwer fallen, zur Verhütung einer An- steckung die nôthigen, prophylactischen Maassregeln zu treffen, die aufzustellen und zu befolgen ich desto mehr für nothwendig erachte, als namentlich die Taenia mediocanellata beim Abtreiben sich durch grosse Hartnäckigkeit, ferner durch grüssere Lebens-

22) Ich sage zum Theiïl, insofern Leuckart zufällig 6 Finnen mit dem Rostellum und dem Hakenkranz fand. Ich halte es für un- nôthig, seine irrige Ansicht, die er als die wahrscheinlichere aus- spricht, als ob dieselben nämlich von der verfütterten Taenia medio- canellata abstammten, hier noch zu widerlegen.

23) Wie ich es in den Arbeiten, betreffend diesen Parasiten und den Bothriocephalus proboscidens genauer dargethan. Sieh Mémoires de l’Acad. des sciences de St-Pétersbourg, T. V, Série VII, M5, 1862 und T. V der Mélanges biologiques, 1866.

24) Wie sie etwa durch Gehirn-Cysticercen der Taenia sol zu- folge der Uutersuchungen Griesinger’s bedingt werden.

25) Ungeachtet sie nach den Beobachtungen Leuckart’s und besonders Mosler’s beim Kalbe im Ly mphgefässsystem und na- mentlich im Herzen sich sehr zahlreich entwickeln,

357

zähigkeit, so wie endlich durch allgemeine Fruchtbar- keit vor der Taenia solium auszeichnet, und deren Prophylaxis weder Leuckart noch Mosler bisher berücksichtigt haben. Ferner verdient gerade bei der Taenia mediocanellata die Prophylaxis schon insofern eine besondere Würdigung, als die Ârzte namentlich in Russland den Eltern rathen, ihren schlechtgenähr- ten Kindern rohes, geschabtes Rindfleisch als stür- kendes, leicht verdauliches Mittel zu reichen. Da wir weit entfernt sind, den Rath des Prosectors Dr. Rud- new zu billigen *), und wegen des Vorkommens der Finnen im Rindfleisch den Genuss desselben etwa ganz zu untersagen, wollen wir folgende Frage zu beantworten versuchen: wie am sichersten einer An- steckung vermittelst der Cysticercen Tacniae medio- canellatae vorzubeugen sei? Es wird das geschabte Rindfleisch zu den bereits erwähnten diätetischen Zwe- cken roh genossen, weshalb wir eine sorgfältige Be- sichtigung ”) jedes geschlachteten Rindes vor dessen Verkauf nicht genug empfehlen, die, soll sie eine für alle Fälle ausreichende sein, selbst eine mikrosko- pische sein muss. Wir dürfen nämlich nicht verges- sen, dass die ersten Entwickelungsphasen der Finnen in den Muskeln nur dem Mikroskope zugänglich sind, selbst wenn es bei den Schweinefinnen und den Tri- chinen müglich ist, die weiter entwickelten, bereits eingekapselten Zustände derselben schon mit blossem Auge aufzufinden. Jedenfalls ist auch in Betreff des Rindfleisches eine genaue Fleischschau, gleich wie die des Schweinefleisches auf dessen Trichinen und Cys- ticercen Taeniae solii von jetzt an namentlich in Russ- land als ein unerlässliches Erforderniss anzusehen, und zwar desto nothwendiger, als wir den Genuss des rohen Rindfleisches aus bereits angeführten Grün- den noch weniger, als den des rohen Schweineflei- sches verbieten künnen, und wir kaum zweckmässige, passende Fleisch-Surrogate anstatt des ersteren em- pfehlen künnen. Dabei wollen wir uns nicht die Schwie- rigkeiten verhehlen, die besonders in grossen Städ- ten eine sorgfältige Fleischschau wegen der grossen Anzahl des geschlachteten Rindes darbietet. Es kommt dabei jedoch in Betracht, dass in denselben alles Rind

26) Der darin besteht, das Schweinefleisch wegen des Vorkom- mens der Trichinen in demselben gar nicht zu geniessen.

27) Deren Nothwendigkeit sich als eine desto dringendere her- ausstellt, da die Cysticercen, wie wir bereits gesehen, sich ja in sebr grosser Anzahl im Rindfleisch entwickeln.

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

35%

in einem Central. Schlachthause geschlachtet wird, wie es z. B. in St. Petersburg der Fall ist, wodurch eine genaue Besichtigung des Rindfleisches jedenfalls wesentlich erleichtert sein dürfte ”).

Zum Schlusse sei es mir noch erlaubt, einige allge- meine Bemerkungen in Betreff anderer Fleischsorten hinzuzufügen, die als Nahrung für Kinder zum Theil die Stelle des rohen Rindfleisches vertreten kônnten. Zunächst würde hier wohl das Kalbfleisch zur Sprache kommen. Natürlich künnen hier nur Kälber in Betracht kommen, die allein mit Milch genährt worden sind, durch deren Fleisch also eine Übertragung der Tae- nien-Keime geradezu unmüglich ist. Und da über- haupt im Verlaufe der ersten Monate beim Kalbe eine Ansteckung nicht wahrscheinlich ist, ja kaum anzu- nehmen sein dürfte, so glauben wir den Genuss des nicht allzujungen Kalbfleisches, das zugleich nahrhaft und leicht verdaulich ist, nicht genug empfehlen zu künnen, wobei (im Hinblick auf die Môglichkeit der Finnen) ”) eine Besichtigung selbst dieses Fleisches der Sicherheit wegen immerhin nicht ausbleiben sollte. Ferner dürfte das Reh- und Rennthierfleisch, das na- mentlich in Wien, Berlin und London eine besonders beliebte Speise ausmacht, auch im rohen, geschabten Zustande besonders als gutes Surrogat des Rindfleisches anzurathen sein, gleich wie das Fleisch junger Pferde (Fohlen), wobei das Vorurtheil gegen den Genuss des- selben nicht in Betracht kommen kann. Es bliebe von den Säugethieren ausser dem aus vielfachen Gründen hier wohl kaum zu berücksichtigenden Schweinefleisch noch das Schaaf zu beachten, bei dem ausser dem Coenurus cerebralis im Gehirn, noch die Psorosper- mien von Leuckart in den Muskeln sogar häufig beobachtet worden sind. Was die Cysticercen Taeniae mediocanellatae betrifit, so ist der Erfolg des Fütte- rungsversuchs, den Leuckart beim Schaaf angestellt hat, ein zweifelhafter geblieben, weshalb es wünschens- werth wäre, denselben noch zu wiederholen. Jeden- falls dürfte bis auf Weiteres der Genuss des geschab- ten Lammfleisches zu gestatten sein, da der Gebrauch

98) Es wäre anzurathen, dass für jeden Stadttheil wenigstens von einem Rinde das Fleisch mikroskopisch auf die Cysticercen unter- sucht und gestempelt würde, mit dem sich alsdann die Apotheker behufs des Verkaufs, oder die Eltern für ihre Kinder zu jeder Zeit versorgen künnten.

29) Die Leueckart und Mosler beim Kalbe durch Fütterung gewonnen haben.

23*

359

Bulletin de l’Académie Hmpériale

360

EEE

des die Psorospermien enthaltenden Fleisches bis jetzt nicht als besonders schädlich dargethan ist.

Erklärung der Figuren,

Figur 1. Der Cysticercus Taeniae mediocanellatae 55mal vergrôssert.

Figur 2. Der sogenannte Kopf mit einem Theile vom Halse dieses Parasiten, dargestellt von der an- deren Seite, an der der 4. untere Saugnapf deutlich hervortritt. Vergrüsserung 90mal.

Figur 3. Der Cysticercus Taeniae mediocanellatae in natürlicher Grüsse zugleich mit seiner Mutterblase dargestellt. Das Kanalsystem der letzteren ist zu bei- den Seiten an dem unteren Theile der Figur 1 deut- lich ausgesprochen.

Über die Arten der Eidechsengattung Ablepha- rus Fitz., von Dr. A. Strauch. (Lu le 28 no- vembre 1867.)

Die wenig zahlreichen Scincoiden-Arten, welche die Tribus Ophiophthalmia zusammensetzen, bieten bekanntlich in der Bildung und Entwickelung der Extremitäten eine verhältnissmässig eben so grosse Mannichfaltigkeit dar, wie die Repräsentanten der Tribus Saurophthalmia, und lassen sich hauptsächlich nach der An- oder Abwesenheit der Gliedmaassen, so wie nach der Zahl der Zehen in mehrere leicht und sicher zu unterscheidende Gattungen theilen. Un- ter diesen Gattungen, deren Zahl sich gegenwärtig auf 13 beläuft') und von denen mehrere durchaus

1) Die Namen dieser 13 Gattungen sind folgende: Ablepharus Fitz., Cryptoblepharus Wiegm., Morethia Gray, Menetia Gray, Gymnophthalmus Merr., Miculia Gray, Blepharactisis Hallow. (Proc. Acad. Philadelph. XIL. p. 484), Lerista Bell, Pygopus Merr., Pletholax Cope (Proc. Acad. Philadelph. XVI. p.229), Dadma Gray, Liasis Gray, und Aprasia Gray. Die Gattung Teratoscincus, die ich im Bulletin der Akademie VI p. 480 (Mélanges biol. IV p. 397) beschrieben und zu den ophiophthalmen Scincoiden gestellt habe, gehürt, wie ich mich später überzeugt, nicht dahin, sondern in die Familie der Geckoniden und bildet eine aberrante, der Gattung Stenodactylus zunächst verwandte Form. Ich schwankte schon da- mals hinsichtlich der Einreihung dieser Gattung zwischen den Fa- milien der Geckoniden und Scincoiden, da ich aber die Gattung Stenodactylus zu jener Zeit nicht in natura kannte, so liess ich mich durch den Umstand, dass bei Teratoscincus der Kürper sowohl oben, als auch unten mit gleichartigen, dachziegelformig gelagerten Schup- pen bekleidet ist, verleiten, diese Gattung zu den Scincoiden zu stel-

unhaltbar sind, interessiren mich hier zunächst die- jenigen, deren Arten sich durch die Anwesenheiït von 5 Zehen an jedem der vier Füsse auszeichnen, also die drei Genera Ablepharus, Cryptoblepharus und Mo- rethia.

Die erste und zugleich älteste von diesen drei Gat- tungen, Ablepharus, wurde von Fitzinger ”) auf eine von ihm zuerst beschriebene, aber schon früher von Schreibers*) mit dem Namen Scincus pannonicus belegte Eidechse aus Ungarn aufgestellt und zum Un- terschiede von der zu jener Zeit bereits bekannten und dieser nahe verwandten Gattung Gymnophthal- mus Merr.‘), die sich durch vierzehige Vorderfüsse auszeichnet, durch die Anwesenheit von fünf Zehen an jedem Fusse bei gleichzeitiger Abwesenheit der Augenlider charakterisirt.

Der Umstand, dass Fitzinger bei seinem Able- pharus pannonicus das stets deutlich vorhandene Pal- pebralrudiment übersehen oder wenigstens desselben in der Charakteristik nicht Erwähnung gethan hatte, veranlasste Wiegmann”), der den Ablepharus pan- nonicus Fitz. nicht gesehen zu haben scheint, für zwei ihm vorliegende ähnliche Arten, an deren jeder er aber ein sehr deutliches und dabei ringformiges Palpebralrudiment vorfand, eine neue Gattung, Cryp- toblepharus, zu creiren, welcher er jedoch später selbst®) nur den Werth einer Untergattung beilegen zu künnen glaubte. Cocteau scheint diese spätere Ansicht Wiegmann’s nicht getheilt zu haben, denn in seinen Études sur les Scincoidiens ) fasst er sowohl

len. Später jedoch, als ich unter den herpetologischen Materialien einen Stenodactylus guttatus Cuv. fand, überzeugte ich mich, dass der eben genannte Gecko in der Zehenbildung ziemlich mit Tera- toscincus übereinstimmt, und dass letzterer folglich nicht allein sei- ner Kopflorm, sondern auch seiner Zehenbildung nach zu den Geckoniden gehôrt. Die Bedeckung des Kôrpers mit gleichartigen Schindelschuppen, die ich damals als einen sonst nur den Seincoi- den zukommenden Charakter hauptsächlich im Auge hatte, steht ge- genwärtig unter den Geckoniden auch nicht mebr isolirt da, denn Grandidier hat in Guérin’s Revue et Magasin de Zoologie 2 sér. XIX p. 233 eine Geckoniden-Gattung aus Madagascar, Geckolepis, beschrieben, welche bei eben so beschaffener Beschuppung die Zehenbildung von Platydactylus besitzt.

2) Verhandl. d. Gesellsch. naturf. Freunde zu Berlin. I. p. 298.

3) In der Wiener zoologischen Sammlung.

4) Merrem. Tentamen Syst. Amphibior. p. 74.

5) Wiegmann. Herpetologia mexicana p. 12. Nota 3.

6) Nova Acta Acad. Leop. Carol. XVII pars I p. 203.

7) In diesem Werke hat der Text bei jeder der beschriebenen Arten seine besondere Pagination, die Tafeln dagegen sind gar nicht nummerirt.

Bulletin de L'Acad. Jmp d.se. T XI Dr J'Knoch. Nachweis des (ysticercus Taeniae mediocanellatae

op 5 pop. SE as 2020) DÉRATET ES 2480 222 0000: Dupont Ses LE

Lith. Anst v. À Munator

361

des Sciences de Saïint-Pétersbourg.

36?

——————

Ablepharus, als auch Cryptoblepharus*) als selbststän- dige Genera auf; leider ist aber nicht zu eruiren, ob er diese beiden Gattungen durch die Form des Pal- pebralrudiments oder durch die Zahl und Form der Frontoparietalschilder unterschieden wissen wollte, da ein frühzeitiger Tod ihn leider verhinderte, seine hinsichtlich der Artbeschreibung wirklich musterhafte Arbeit über die Scincoiden fortzusetzen und nament- lich den allgemeinen Theil mit der Übersicht der Gat- tungen, der später erscheinen sollte, zu geben. Du- méril und Bibron”) vereinigen die beiden von Coc- teau adoptirten Gattungen unter dem Namen Abe- pharus in eine einzige und theilen die Arten, je nach- dem die beiden Frontoparietalschilder von dem Inter- parietalen getrennt, oder aber alle drei genannten Schilder in ein einziges grosses rhombisches Schild ver- schmolzen sind, in zwei Gruppen, denen sie jedoch keine besonderen Benennungen beilegen. Fitzinger und Gray hingegen folgen wieder der Ansicht Cocteau’s, d. h. stellen Ablepharus und Cryptoblepharus als selbst- stäindige Genera hin, fassen sie aber jeder in seinem Sinne auf, Fitzinger "), der hinsichtlich der Namen die Schreibart Cocteau’s adoptirt hat, unterscheidet beide Gattungen, die zugleich zwei besondere Fami- lien bilden, ohne Zweifel nach der Form des Palpe- bralrudiments, denn er rechnet zu Ablepharis nur sei- nen Ablepharus pannonicus, die einzige Art, bei wel- cher das rudimentäre Augenlid bekanntlich keinen vollständigen Ring bildet, sondern auf einen am Hin- terrande des Bulbus liegenden Halbring reducirt ist;

8) Cocteau schreibt Ablepharis und Cryptoblepharis, weil er die Namen fälschlich von % Basozpis, die Augenwimper, ableitet, sie sind aber aus dem Worte Bhépasoy gebildet, und folglich ist die sowohl von Fitzinger, als auch von Wiegmann angenommene latinisirte Endung auf us keineswegs unrichtig.

9) Duméril et Bibron. Erpétol.génér. V p. 806.

10) Fitzinger. Systema Reptilium p. 23. Von diesem Werke ist bekanntlich nur der erste Fascikel erschienen, der die Ambly- glossae, d. h. die Chamaeleoniden, Iguaniden und Geckoniden der Erpétologie générale behandelt, zugleich aber auch eine Auseinan- dersetzung des ganzen Systems der Reptilien und Amphibien ent- hält. Diese Auseinandersetzung besteht in einem Verzeichniss von zahllosen, grôsstentheils neuen Familien-, Tribus- und Gattungs- namen, die sämmtlich ohne Charakteristik in die Welt geschickt sind und über deren Bedeutung man hôchstens aus der, jeder Gat- tung oder Untergattung beigefügten typischen Art einigermaassen in’s Klare kommen kann; die Aufführung dieser typischen Arten setzt mich denn auch in den Stand, mir einen Begriff in Bezug auf

die Unterschiede der von Fitzinger adoptirten Gattungen Able- pharis und Cryptoblepharis, so wie der dazu gehôrigen Untergat- tungen zu bilden.

die Arten mit kreisférmigem Palpebralrudiment stellt er in seine Gattung Cryptoblepharis und theilt die- selbe noch in zwei Untergattungen, Microblepharis und Cryptoblepharis, von denen die erstere die Arten mit doppeltem, die letztere diejenigen mit einfachem Frontoparietalschilde umfasst. Gray”) dagegen er- hebt das bald doppelte, bald einfache Frontoparietal- schild zum Gattungscharakter und unterscheidet hier- nach seine Gattungen Ablepharus und Cryptoblepharus, die somit genau mit den beiden in der Erpétologie générale angenommenen Gruppen der Gattung Able- pharus correspondiren, nämlich Ablepharus mit der ersten und Cryptoblepharus mit der zweiten.

Die dritte Gattung endlich, die unter den fünfzehi- gen Ophiophthalmiern aufgestellt worden ist, More- thia, hat Gray") auf eine australische Species be- gründet, und sie von der Gattung Cryptoblepharus, mit der sie sonst vollkommen übereinstimmt, durch die Anwesenheit von kleinen Supranasal- und Naso- frenalschildern unterschieden.

Über die Genera Ablepharus und Cryptoblepharus haben nun bereits die Verfasser der Erpétologie gé- nérale den Stab gebrochen und beide, wie schon wei- ter oben angegeben, unter dem Namen Ablepharus in eine einzige Gattung vereinigt, ein Verfahren, des- sen Richtigkeit eine später entdeckte Art, der süd- afrikanische Cryptoblepharus Walbergii Smith. ”), auf das Entschiedenste darthut; diese Eidechse besitzt nämlich ein einfaches herzfürmiges Frontoparietal- schild, das aber von dem Interparietale deutlich ge- trennt ist, und bildet somit eine Mittelform zwischen den Gattungen Ablepharus und Cryptoblepharus, in- dem sie mit der ersteren durch das selbstständige In- terparietal-, mit der letzteren durch das einfache Fron- toparietalschild übereinstimmt.

Hinsichtlich der dritten Gattung Morethia muss ich bemerken, dass sie ebenfalls nicht aufrecht erhalten werden kann, da die Anwesenheit von Supranasal- und Nasofrenalschildern, durch welche allein sie sich von Cryptoblepharus unterscheidet, ein viel zu gering- fügiges und zugleich ganz unwesentliches Merkmal ab- giebt und keinesfalls zur Aufstellung einer besonde-

11) Gray. Catal. of Lizards p. 62.

12) Gray. Catal. of Lizards p. 65.

13) Smith. Illustr. Zoology of South Africa. Reptiles. Appen- dix p. 10.

363

ren Gattung genügt; übrigens kommen die sogenann- ten Nasofrenalschilder auch ab und zu bei den Able- pharus-Arten vor und entstehen, wie schon Wieg- mann *) angiebt, und wie ich mich selbst namentlich an den beiden neuen, weiter unten charakterisirten Arten überzeugt habe, dadurch, dass die hintere un- tere Ecke des Nasalschildes durch eine hinter dem Nasenloch befindliche, senkrecht gegen die Suprala- bialschilder verlaufende Furche mehr oder weniger deutlich abgetrennt wird und daher zuweilen als selbstständiges, nur als Nasofrenale zu deutendes Schildchen auftritt.

Nach dem bisher Gesagten glaube ich nicht zu weit zu gehen, wenn ich sämmtliche bisher bekannten ophiophthalmen Scincoiden, die vier fünfzehige Extre- mitäten besitzen, unter dem ältesten Namen Abepha- rus in eine einzige Gattung vereinige und für jetzt wenigstens, wo die Zahl der in diese Gattung gehü- rigen Arten noch sehr beschränkt ist, von der Auf- stellung besonderer, mit Namen versehener Gruppen oder Untergattungen ganz absehe.

Was nun die Zahl der Arten der Gattung Ablepha- rus, in dem Sinne, wie ich sie hier gefasst, anbetrift, so sind zu den 4 in der Erpétologie générale be- schriebenen Species im Laufe der Zeit noch 4 neue hinzugefügt worden, nämlich Morethia anomalus Gray, Ablepharus nigropunctatus Hallow., Cryptoblepharus Walbergi Smith und Cryptoblepharus eximius Girard, von denen jedoch die zuletzt genannte auf eine der zahlreichen Varietäten des Ablepharus Boutonii Des- jard. begründet zu sein scheint. Zu den 7 Arten, die nach Ausschluss des Cryptoblepharus eximius Girard übrig bleiben, kann ich nun noch 2 neue hinzufügen, so dass sich also die Gesammtzahl der Ablepharus- Arten gegenwärtig auf 9 beläuft; diese 9 Arten un- terscheiden sich von einander, wie folgt:

Das Frontoparietalschild ist

1) doppelt. Das Interparietalschild A) ist vorhanden. Das Palpebralrudiment bildet Ç 1) einen Halbring pannonicus. 2) einen vollständigen Ring, der mit Kornschuppen gedeckt ist und in sei- nem oberen Theile

ee reel lee) leMet e Merle

14) Nova Acta Acad. Leop. Carol. XVII pars I p. 205.

Bulietin de l’Académie Empériale

364

«) drei grüssere flache Schuppen bivittatus. 6) nur eine einzige sehr grosse flache Schuppe trägt Bjsfehlt:dürchaus 24e mes 2 IL. einfach. Das Interparietalschild ist a) vorhanden und vom Frontoparietalen getrennt. Das ringformige Palpebralru- diment 1) überall mit gleichartigen Kornschup- pen bekleidet Walbergii. 2) besitzt im oberen Theile zwei grôssere flache Schuppen Brandtii. b) mit dem Frontoparietalen zu einem ein- zigen grossen rhombischen Schilde ver- schmolzen. Supranasalschilder o) fehlen. Das kreisformige Palpebral- rudiment 1) zeigt in seinem oberen Theile drei grôssere flache Schuppen . ... Boutonu. 2) ist überall mit gleichartigen Korn- schuppen bekleidet lineo-ocellatus. 8) sind in einem Paare vorhanden. . anomalus.

IRON PUR QE: deserti. nigropunctatus.

Ich lasse nun obige 9 Arten, jede mit einer kurzen Diagnose versehen und von einer müglichst vollstän- digen Synonymie begleitet, folgen und will es zu- gleich versuchen, die geographische Verbreitung je- der einzelnen Species so vollständig, als es bei dem gegenwärtigen Stande unserer Kenntnisse môglich ist, zu erläutern; die Beschreibungen der beiden neuen Arten behalte ich mir für eine grüssere, simmtliche

Saurier des Russischen Reichs behandelnde Arbeit vor.

1. Ablepharus pannonicus Fitz.

A. scutellis frontoparietalibus duobus, seutello in- terparietali magno, subtriangulari; annulo palpebrali incompleto, tantum partem posteriorem bulbi cin- gente; scutellis frontonasalibus separatis, scutello su- pralabiali tertio, rarius quarto, sub oculo posito.

Ablepharus pannonicus Fitz. Verhandl. d. Gesellsch. naturf. Freunde zu Berlin I p. 298 tab. XIV. Gray. Catal. of Lizards p. 63.

Ablepharis pannonicus Cocteau. Guérin Mag. de Zool. 1832. Rept. pl. I.

Ablepharis de Kitaibel. Cocteau. Études sur les Scin- coidiens.

365

Ablepharis Kitaibelii Bory St. Vincent. Expéd. scient. de Morée. Zool. Rept. p. 69. pl. XI. f. 4. Ablepharus Kitaibelii D. et B. Erpétol. génér. V p. 809. Gravenhorst. Nova Acta Acad. Leop. Carol.

XXIIT pars I p. 358. tab. XXXVII.

Der gestreckte, schleichenfrmige Habitus und das nur halbkreisfürmige, auf den Hinterrand des Bulbus beschränkte Palpebralrudiment kennzeichnen diese Art in Jeder Altersstufe vollkommen.

Habitat. Wie schon die specifische Benennung an- deutet, findet sich diese Art in Ungarn, und zwar giebt Fitzinger an, dass sie bei Ofen, am Platten- see, so wie auch in Syrmien vorkommt: ferner kennt man sie aus Griechenland, wo sie von den Mitglie- dern der Expédition scientifique de Morée in den Ruinen von Pilos und in der Umgegend von Navarin, von Herrn Erber!”) dagegen in Ionien und auf der Insel Syra beobachtet worden ist; endlich besitzt das Pariser Museum ) auch ein oder mehrere Exemplare aus Persien. Ausser diesen wohlverbürgten Fund- orten findet man sowohl bei Cocteau, als auch in der Erpétologie générale noch Buchara und Neu- Holland aufgeführt, jedoch beruhen beide Angaben ganz ohne Zweifel auf einem Irrthum. Der Fundort Buchara, der auf Lichtenstein’s Autorität aufgeführt wird, muss gestrichen werden, da die von Evers- mann bei Buchara gesammelten Exemplare nicht zu dieser Art, sondern zu dem weiter unten besproche- nen Ablepharus Brandtii m. gehüren, und der Fund- ort Neu-Holland bedarf, wie man aus folgenden Wor- ten Cocteau’s ersehen kann, zum Mindesten doch noch sebr der Bestätigung. Cocteau ‘) schliesst näm- lich die Auseinandersetzung der geographischen Ver- breitung dieser Art mit den Worten: «Mais déjà de- puis long-temps le Muséum d'histoire naturelle de Paris possédait un individu de cette espèce, rapporté de la Nouvelle-Hollande par Péron, qui l’avait éti- queté dans la collection Scincus platycephalus: un T marqué sur l'étiquette donne à penser qu'il l'avait trouvé à Timor; mais Péron n’a malheureusement laissé aucune note sur cet individu.» Ich weiss nun zwar nicht, woraus die franzôsischen Zoologen schlies-

15) Verhandl. d. zool. botan. Gesellsch. zu Wien X VI p. 825.

16) A. Duméril. Catal. méth. des Reptiles p. 190.

17) Cocteau. Etudes sur les Scincoïdiens. Ablepharis de Ki- taibel p. 8.

des Sciences de Saint-Pétersbourzg.

365

sen, dass dieses so ungenügend bezeichnete Stück gerade von Péron selbst mitgebracht worden ist, und wesshalb sie annehmen, dass es durchaus aus Neu- Holland stammt, kann aber nicht umhin, die Môg- lichkeit des Vorkommens einer cireummediterranen Eidechse in Neu-Holland, bevor der direkte Nach- weis geliefert ist, geradezu in Abrede zu stellen. Cocteau deutet das räthselhafte T durch Timor, sollte eine Interpretation durch Turquie nicht plau- sibler sein?! 2. Ablepharus bivittatus Ménétr.

A. scutellis frontoparietalibus duobus, scutello interparietali magno, subtriangulari: annulo palpe- brali completo et in parte sua superiori tribus squa- mis magnis, planis, magnitudine aequalibus ornato; scutellis frontonasalibus toto margine interiori inter se Junctis, scutello supralabiali quinto sub oculo posito.

Scincus bivittatus Ménétriès. p. 64 M 218.

Ablepharus Ménétriesii D. et B. Erpétol. génér. V DAS Une

Ablepharus bivittatus Gray. Catal. of Lizards p. 64.

Catalogue raisonné

Durch das doppelte, von dem Interparietalen ge- treunte Frontoparietalschild, so wie durch die Anwe- senheit von 3 grüsseren flachen Schuppen im oberen Theile des ringfôrmigen Palpebralrudiments lässt sich diese Art leicht und sicher von allen ihren Gattungs- genossen unterscheiden.

Habitat, Der verstorbene Ménétriès entdeckte diese Eidechse auf der russisch-persischen Grenze im Talyschgebirge, wo sie namentlich bei Perimbal nicht selten sein soll, Pastor Hohenacker sandte sie un- serem Museum aus dem Kaukasus ein, wahrschein- lich aus der Gegend von Lenkoran, und Prof. de Filippi®) endlich fand sie in Persien, und zwar so- wohl bei Tabris, als auch bei Kazwin.

3. Ablepharus deserti n. sp.

A. seutellis frontoparietalibus duobus, scutello in- terparietali magno, subtriangulari; annulo palpebrali completo et in parte sua superiori singula squama plana maxima ornato: scutellis frontonasalibus sepa- ratis; scutello supralabiali quinto sub oculo posito.

18) F. de Filippi. Note di un viaggio in Persia nel 1862 p.355.

367

Diese Art unterscheidet sich von der vorherge- henden, mit welcher sie die grüsste Übereinstimmung darbietet, durch die Anwesenheit einer einzigen gros- sen flachen Schuppe im oberen Theile des Palpebral- rings, durch die von einander getrennten Frontona- salschilder und einen im Verhältniss viel längeren Schwanz.

Habitat, Ablepharus deserti bewohnt die aralo-caspi- schen Steppen; von den vier mir vorliegenden Exem- plaren der akademischen Sammlung ist das eine vom verstorbenen Dr. Basiner auf den Sandhügeln des Ustjurt, die drei anderen vom Magister Sewerzoff bei Akmetschet gefangen worden.

4. Ablepharus nigropunctatus Hallow.

A. seutellis frontoparietalibus duobus, scutello in- terparietali nullo; annulo palpebrali ?

Ablepharus nigropunctatus Hallow. Proc. Acad. Phil- adelph. XIT p. 487.

Trotz der wenigen Worte, durch welche Hallo- well diese nur auf ein einziges Exemplar begründete Art charakterisirt hat, scheint dieselbe doch selbst- stindig zu sein, und unterscheidet sich von allen ihren Gattungsgenossen durch den Mangel des Inter- parietalschildes bei gieichzeitiger Anwesenheit zweier Frontoparietalia.

Habitat, Das einzige bisher bekannte Exemplar stammt von den Bonin-Inseln.

5. Ablepharus Walbergii Smith.

A. scutello frontoparietali simplici, subcordiformi, a scutello interparietali distincte separato; annulo palpebrali completo, ubique squamulis granulosis ve- stito; scutellis frontonasalibus —?

Cryptoblepharus Walbergii Smith. Illustr. Zoology of South Africa. Reptiles. Append. p. 10.

Wie ich schon weiter oben zu bemerken Gelegen- heit hatte, zeichnet sich dieser Ablepharus durch ein einfaches, herzfürmiges, vom Interparietalschilde deut- lich getrenntes Frontoparietale aus und besitzt zu- glcich einen überall mit Kornschuppen bekleideten Palpebralring.

Habitat, Smith, der Entdecker dieser Art, giebt als Fundort für dieselbe ganz allgemein die Gegen-

Bulletin de l’Académie Impériale

368

den üstlich von der Cap-Kolonie an, Prof. Peters") fand sie bei Inhambane und Cope ”) erhielt sie aus Umvoti auf der Natal-Küste, so dass sich also hr Verbreitungsbezirk von der Ostgrenze des Caplandes bis zum südlichen Theile der Küste Sofala erstreckt.

6. Ablepharus Brandtii n. sp.

A. scutello frontoparietali simplici, subcordiformi, a scutello interparietali distincte separato; annulo palpebrali completo et in parte sua superiori duabus squamis magnis, planis, magnitudine aequalibus or- nato; scutellis frontonasalibus separatis, scutello su- pralabiali quinto, rarius quarto, sub oculo posito.

Scincus pannonicus Lichtenstein in Eversmann’s Reise von Orenburg nach Buchara p. 145. Lichtenstein. Verzeichniss der Doubletten des Berliner zoologischen Museums p. 103.

Lehmann. Reise nach Buchara und Sa- markand p. 168.

Ablepharus pannonicus Brandt in Lehmann’s Reise nach Buchara und Samarkand p. 335.

Diese von Lichtenstein”')und allen späteren Auto- ren irriger Weise für Ablepharus pannonicus Fitz. gehaltene Art unterscheidet sich von dem Ablepharus Walbergii Smith, mit welchem sie in der Form des Fronto- und Interparietalschildes vollkommen überein- stimmt, durch die Anwesenheit von zwei grüsseren flachen Schuppen im oberen Theile des Palpebral- ringes.

Habitat. So weit sich gegenwärtig schliessen lässt, ist diese Eidechse in ihrem Vorkommen auf das Bu- charische Reich beschränkt, denn Eversmann ent- deckte sie bei der Stadt Buchara und Lehmann fing seine Exemplare bei dem Dorfe Miran-Kulj unweit Samarkand.

7. Ablepharus Boutonii Desjard.

A. seutellis frontoparietalibus cum scutello inter-

19) Wiegmann’s Archiv für Naturgeschichte 1855. I p. 48.

20) Proc. Acad. Philadelph. XIV p. 339.

91) Ich habe zwar die Eversmanvw’schen Exemplare nicht ge- schen, halte sie aber dennoch für specifisch identisch mit den mir vorliegenden Lehmann’schen, und zwar nicht allein desshalb, weil sie gleichfalls aus der Bucharei stammen, sondern hauptsächlich desshalb, weil Wiegmann(Herpetologia mexicana p.12 nota 3) ihnen ein ringfürmiges Palpebralrudiment zuschreibt, sie also keinesfalls zu Ablepharus pannonicus Kitz. gehôren kônnen.

369

parietali in scutellum maximum rhomboideum coalitis, annulo palpebrali completo et in parte sua superiori tribus squamis magnis, planis, magnitudine aequali- bus ornato; scutellis frontonasalibus inter se junctis; seutello supralabiali quinto, rarius sexto, sub oculo posito.

Scincus Boutonii Desjardins. Ann. d. Sciences natur. 1" sér. XXII p. 298.

Ablepharis Leschnault Cocteau.Guérin. Mag.de Zool. 1832. Rept. pl. I.

Ablepharus poecilopleurus Wiegmann. Nova Acta Acad. Leop. Carol. X VIT pars I p. 202 tab. XVIII de

Cryptoblepharis de Leschnault Cocteau. les Scincoidiens.

Cryptoblepharis de Péron Cocteau. Scincoidiens.

Tiliqua Buchanani Gray. Ann. Nat. Hist. II p. 29

Ablepharus Peronii D. et B. Erpétol. génér. V p.

Cryptoblepharus Boutonii Gray. Catal. of Lizards p. 64. Gray. Zool. of the Erebus and Terror Rept. p. 3.

Cryptoblepharus eximius Girard. Proc. Acad. Phila- delph. IX p. 195. Girard in Wilkes U.S. Expl. Exped. XX p. 222 pl. XXVI f. 25 —32.

Cryptoblepharus plagiocephatus Girard in Wilkes U. S. Expl. Exped. XX p. 220 pl. XXVI f. 17 24%).

Diese durch die zu einem grossen Schilde verei- nigten Fronto- und Interparietalschilder, so wie durch die Anwesenheit von drei grossen Schuppen im obe- ren Theile des Palpebralringes scharf charakterisirte Art varürt in der Färbung und Zeichnung, so wie auch in der Zabl der den Kôürper bekleidenden Schup- penreihen so auffallend, dass schon mehrmals Ver- suche gemacht worden sind, sie in mehrere Arten zu theilen. Da jedoch, wie ich mich an zahlreichen Exemplaren von verschiedenen Fundorten überzeugt habe, die Zahl der Schuppenreihen, die zwischen 22 bis 28 schwankt, nicht mit der verschicdenen Fär- bung und Zeichnung Hand in Hand geht, sondern zu- weilen gleich gefärbte und gezeichnete Exemplare in der Zahl der Schuppenreihen differiren, oder aber

Études sur

Etudes sur les

22) Diese Tafel kenne ich nicht, da sie nebst mehreren anderen im akademischen Exemplar des Wilkes’schen Reisewerkes fehlt.

Tome XII.

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

370

verschieden gefärbte eine gleiche Schuppenreïhenzahl zeigen, so habe ich, dem Beispiele der meisten Auto- ren folgend, alle Ablephariden, welche die in der Dia- gnose angegebenen Charaktere besitzen, unter dem ältesten Namen, Ablepharus Boutonii Desj., in eine Art vereinigt. Die Verfasser der Erpétologie géné- rale unterscheiden nach der Färbung und Zeichnung 4 Varietäten, die ich jedoch, da sie nicht an be- stimmte Fundorte gebunden sind, hier nicht weiter berücksichtigen werde.

Habitat, Ablepharus Boutonii Desj. ist entschieden die am weitesten verbreitete Eidechsenart, denn sein Verbreitungsbezirk erstreckt sich von der Ostküste Afrika’s über die Inseln des Sunda-Moluckischen Ar- chipels, Australien und die Inseln des stillen Oceans bis zur Westküste von Amerika. Auf dem afrikani- schen Continent und den dazu gehürigen Inseln kommt er bei Mombas*) an der Küste Zanzibar, bei Caba- ceira”'), auf den Inseln Mossambique”*) ni Comoro”), so wie auf Isle de France, wo er ursprünglich von Desjardins im Quartier de Flacq entdeckt worden ist, vor; alsdann findet er sich auf Java ?), auf Ti- mor), so wie auf Neu-Guinea”), namentlich bei Lobo, und bewohnt zugleich Australien, wo er sowohl auf dem Continent von Neu-Holland, in der Gegend der Seehundsbai ”) und in der Kolonie Buchsfelde bei Adelaide *), als auch auf Van-Diemensland””) beob- achtet worden ist. Ferner kennt man diese Art auch von mehreren [nseln des stillen Oceans, wie nament- lich von den Fidjis”), von den Samoa-Inseln”'), von Tahiti”) und von den Sandwich-Inseln *”), woher na- mentlich unser Museum zahlreiche von Hrn. Wos- nessenski bei Honolulu gesammelte Exemplare be- sitzt, und endlich bewohnt sie auch die Insel Puna ) im Golf von Guayaquil, so wie die Pisacoma-Inseln *) an der Küste von Peru. Ihr Vorkommen in Morea,

) Wiegmann’s Archiv für Naturgeschichte 1855. I p. 48. ) A. Duméril. Catal. méth. des Reptiles p. 191. 6) Gray. Catal. of Lizards p. 64. ) Natuurk. Tijdschrift Nederl. Indie XVI p. 421. 8) Berliner Monatsberichte 1863 p. 232. )) Duméril. Catal. méth. des Reptiles p. 191. ) Proc. Acad. Philadelph. IX p. 195. ) Duméril. Catal. méth. des Reptiles p. 191. ) ) ) ))

3) Berliner Monatsberichte 1866 p. 888 und 889. ! 5

Proc. Acad. Philadelph. XIT p. 487.

Wilkes. U. S. Expl. Exped. XX p. 221.

Duméril. Catal. méth. des Reptiles p. 191.

Nova Acta Acad. Leop. Carol. XVII pars I p. 202. 24

2 2: 2 2 27 28 29 30 31 32 33 34 95

371

Bulletin de l’Académie Hmpériale

372

a —_—_—_—_— woher das Pariser Museum Exemplare besitzt, be-| Die Steinkohlen des mittleren Russlands, ihre

zweifele ich, zumal diese Exemplare von einem Ma- trosen gekauft worden sind, der zwar bestimmt die Expedition nach Griechenland mitgemacht hat, die fraglichen Eidechsen aber môglicherweise auch auf einer früheren Expedition in tropischen Meeren ge- sammelt haben kann.

8. Ablepharus lineo-ocellatus Dum. et Bibr.

A. scutellis frontoparietalibus cum scutello inter- parietali in scutellum maximum rhomboideum coali- tis; annulo palpebrali completo, ubique squamulis granulosis parvis vestito; scutellis frontonasalibus se- paratis; scutello supralabiali quinto sub oculo posito.

Ablepharus lineo-ocellatus D. et B. Erpétol. génér. V p. 817.

Cryptoblepharus lineo-ocellatus Gray. Catal. of Lizards p. 65. Gray. Zool. of the Erebus and Ter- ror. Rept. p. 4.

Diese Art unterscheidet sich von der vorhergehen- den hauptsächlich durch den überall mit gleichen Kornschuppen bekleideten Palpebralring.

Habitat, Die Verfasser der Erpétologie générale ge- ben als Fundort für diesen Ablepharus einfach Neu- Holland an und Gray hat ihn vom Schwanenfluss er- halten.

9. Ablepharus anomalus Gray.

A. scutellis frontoparietalibus cum scutello inter- parietali in scutellum maximum rhomboideum coali- tis; annulo palpebrali completo; utrinque scutello su- pranasali parvo.

Morethia anomalus Gray. Catal. of Lizards p. 65. Gray. Zool. of the Erebus and Terror. Rept. p. 4.

Die Anwesenheit der kleinen Supranasalschilder unterscheidet diese Art auf den ersten Blick von allen ihren Gattungsgenossen.

Habitat. Ablepharus anomalus ist eben so wie die vorhergehende Art auf Neu-Holland beschränkt, fin- det sich aber sowohl in West-Australien, als auch bei Adelaide *) in Süd-Australien.

36) Berliner Monatsberichte 1863 p. 233.

Bedeutung und ihre Zukunft, von G. v. Hel- mersen. (Lu le 31 octobre 1867).

(Bericht an den Finanzminister Hrn. v. Reutern).

Vor 80 Jahren, als Pallas die ersten genaueren Nachrichten über die Steinkohle des centralen Russ- lands gab, hatte sie, wegen der grossen Waldbestände in jener Gegend, gar keinen industriellen Werth und blieb daher unbenutzt und unbeachtet, während die Steinkohlen Englands schon lange an die Stelle des mangelnden Holzes getreten waren. Aber schon in der ersten Hälfte des 19. Jahrhunderts richtete un- sere Regierung ernstlich ihre Aufmerksamkeit auf die Kohlenlager in den Gouvernements Tula und Ka- luga, in denen die Wälder sich allmählich zu lichten begannen und in denen unterdessen mehrere neue, dem Anscheine nach ergiebige Kohlenfelder aufgefun- den worden waren.

Die Geschichte der vielen, von der Regierung, von 1812 bis 1863, angeordneten und von Bergbeamten ausgeführten Schürfungen und wissenschaftlichen Un- tersuchungen der centralrussischen Kohlenformation hier zu wiederholen, wäre überflüssig. Wir finden sie môglichst vollständig im Gornoi Journal und neuer- dings im Journal des Ministeriums der Wegekommu- nikation aufgezeichnet. Aber den Umstand müchte ich nochmals hervorheben, dass man nicht nur in früherer, sondern auch noch in jüngster Zeit, die un- günstigsten Urtheile über die Qualität der Tula-Kalu- gaer Kohle gefällt hat. Die Einen behaupteten, sie enthalte so viel Schwefelkies, dass sie den Dampf- kesseln gefährlich werden müsse; die Anderen mein- ten, sie sei zu locker und zu mürbe, um auf weite Strecken transportirt werden zu künnen; ein Dritter war der Meinung, man werde bei ihrer Benutzung für Dampfkessel sich immer der Treppenroste und weissglühender, durchbrochener Gewülbe über dem Roste bedienen müssen. Ganz allsemein verbreitet war aber die Annahme, die Kohle sei zu erdig und daher zu träge, um jemals auf Lokomotiven in An- wendung kommen zu künnen. Auch glaubte man einst, und mein hochverehrter Freund, der nunmehr ver- storbene Pander, und ich selbst waren früher dieses Glaubens, man werde in jener Gegend nie Kohlenfel- der grossen Umfangs auffinder, weil der ganze Bo- den von unzäbligen Thälern, Schluchten und Wasser-

373

des Sciences de Saïnt-Pétersbourg.

374

rissen durchfurcht ist, welche die grossen, horizon- talen Kohlenfelder in eine ebenfalls unzählige Menge von Parzellen zerlegt haben.

Und jetzt wie ist es anf einmal anders ge- worden!

Alle Zweifel, alle Bedenken, man môchte sagen alle Verleumdungen, schwinden und werden von Tag zu Tag mehr niedergeschlagen, und die centralrussische Steinkohle gewinnt die Bedeutung einer Lebensfrage, nicht nur für die Provinzen, denen sie angehôürt, son- dern auch für die Nachbargegenden, und ganz insbe- sondere für die nach dem Süden gehenden Eisenbah- nen, und für die vielen und grossen, mit Dampfkraft arbeitenden Fabriken Moskwas. Ich sage die Bedeu- tung einer Lebensfrage, denn schon die nächste Zu- kunft wird es lehren, dass weder die Südbahnen Russ- lands, noch die Industrien der südlichen Residenz, noch die ärmere Bevülkerung der Städte der trans- moskwaschen Gegend, ohne Steinkohlen fortbestehen, viel weniger prosperiren künnen.

Drei Dinge waren es, die mir die Veranlassung ga- ben, die Kohlenfelder des Tulaer Gouvernements in diesem Jahre nochmals zu betreten, nachdem ich in früherer Zeit schon mehrere Sommer ihrer Untersu- chung gewidmet hatte.

Zunächst wünschte ich, die Dimensionen des dem Grafen Bobrinsky gehürenden Kohlenfeldes in Ma- lüwka und Tawarkowa ') an Ort und Stelle kennen zu lernen und die Quantität Kohle zu bestimmen, die es liefern kann. Sodann wollte ich auf den Zuckerfa- briken der Grafen Bobrinsky und auf einigen Fa- briken Tula’s, welche ebenfalls einheimische Stein- kohle verwenden, mit der Art dieser Verwendung und mit der Wirkung des Transports und der Atmo- sphärilien auf die Kohle bekannt werden. Drittens, waren an Ort und Stelle genaue Nachrichten darüber einzusammeln, ob die Tulaer Steinkohle schon jetzt auf die Moskwa-Kursker Eisenbahn und die Fabri- ken Moskwas, zu Preisen geliefert werden künne, die sie fähig macht, nicht nur mit dem Holze zu kon- kurriren, sondern dieses durch grüssere Billigkeit zu verdrängen. Träte das Letztere ein, so würde ein doppelter, für die Ükonomie des Landes bedeu- tender Vortheil erzielt. Die wenigen, noch bestehen-

1) Beïde Orte liegen südüstlich von der Kreisstadt Bogorodizk, Gouy. Tula.

den Wälder würden erhalten werden, und die Ver- waltungen der Eisenbahnen und Fabriken würden grosse Ersparnisse in ihren Ausgaben machen.

1TÈ

Von der Ausdehnung der Tula-Kalugaer Kohlenformation überhaupt, und der in Angriff genommenen Kohlenfelder inshesondere.

Es sind in diesen Gouvernements bisher an 113 verschiedenen, natürlich entblüssten oder durch Schür- fungen untersuchten Stellen Steinkohlenlager aufge- funden worden. Diese Stellen befinden sich auf einem Raume, der, wenn man die äussersten Punkte: Bu- tschalki im Jepifanschen Kreise des Tulaer Gouver- nements, und Shisdra und Buda im Gouvernement Kaluga, als ganz isolirte unberücksichtigt lässt, von West nach Ost 170 Werst und von Nord nach Süd 120 Werst Erstreckung hat. Die Moskwa - Kursker Eisenbahn durchschneidet ihn in seiner ôstlichen Hülfte.

Aber von allen diesen Lagerstätten sind verhält- nissmässig nur wenige bauwürdig, und, so viel wir wissen, nur drei wirklich in Angriff genommen: Die bei dem Gute Abidimo, des Hrn. Chamäkow, 17 Werst nürdlich von Tula, und die Flôtze bei Malüw- ka und Tawarkowa, das erste 18 Werst, das zweite 10 Werst südüstlich von Bogorodizk, beide den Gra- fen Bobrinsky gehôrig.

Bekanntlich wird die Steinkohle bei Buda, einem Besitze des Hrn. Malzow, im Kreise Shisdra des Ka- lugaer Gouvernements, gleichfalls abgebaut. Von die- sen vier Kohlenfeldern sind aber nur zwei, das bei Malüwka und das Tawarkowasche, genau vermessen worden, so dass man deren Kobhlenvorräthe mit Si- cherheit angeben kann.

Ich besuchte zunächst Malüwka, wo der Abbau der Kohle seit 10 Jahren von Emil Leo auf die rationell- ste Weise geleitet wird. In seiner Gesellschaft besich- tigte ich die Grube und machte verschiedene Excur- sionen in die Umgegend und bis Tula, und ihm ver- danke ich hauptsächlich die werthvollen Angaben, die ich weiter unten mittheilen werde.

Im Bogorodizker Kreise ist durch Hrn. Leo und seine Vorgänger im Amte, auf einem Flächenraum von 440 Quadratwerst, durch mehr als 200 Bohrlücher

und Schürfe und ausserdem durch zahlreiche, natür- 24*

375

Bulletin de l’Académie Hmpériale

376

——————————__—_—pZpZEZEZEZE

liche Entblüssungen in Schluchten und Thälern, die Existenz von Steinkohlenflützen in einer Tiefe von 5 bis 15 und 20 Sashen 35 bis 105 und 140 Fuss englisch nachgewiesen. An vielen Orten kann man die Auflagerung des Productus-gigas Kalkstein auf der Kohle beobachten. Die mittlere Mächtigkeit der letzteren hat jedoch noch nicht mit Sicherheit be- stimmt werden künnen. Jener Raum gehôrt, mit Aus- nahme eines geringen Antheils, der Gräflich Bobrin- sky’schen Familie und deren Verwandten, und ist auf demselben eine 70 Quadratwerst grosse; im süd- üstlichen Theile belegene Fläche noch genauer un- tersucht und die Existenz eines grossen, mehr oder minder mächtigen Flôtzes überall mit voller Sicher- heit erkannt worden. Nimmt man aber noch die Ge- gend des Kronsdorfes Nikitskoje, südwestlich von Mo- lüwka und die Umgebung von Wäsowka (nôrdlich von Tawarkowa) hinzu, und an beiden Orten ist die Fort- setzung des Malüwka-Tawarkowaflützes durch Schürfe nachgewiesen, so erhält man ein Kohlenfeld von 100 Quadratwerst.

Wir wollen jedoch, um noch sicherer zu gehen, uns vorläufig auf einen, in diesem Felde liegenden Raum von 40 Quadratwerst beschränken, den Hr. Leo, und zum Theil vor ihm Hr. Johanson, mit einigen 70 Bohrlôchern abgeschürft haben. Bei Tawarkowa und Wäsowka allein sind mindestens 30 Bohrlôcher nie- dergebracht worden.

Auf diesem ganzen Raume erscheint die Kohle als ein mächtiges Hauptflôtz mit ganz geringen Zwischen- mitteln von Thon, und hat eine mittlere Mächtigkeit von 10 Fuss, und horizontale Lage. Der Malüwka- Fluss theilt dieses Feld in zwei Theile. Auf dem nôrd- lichen sind für das Grubenland 1197 Dessjätinen ab- gemessen und von diesen der Grube bei Malüwka, 180 Dessjätinen zugetheilt, in denen der Bau gegen- wärtig stattfindet. Auf der südlichen, am rechten Ufer der Malüwka befindlichen Hälfte wird noch gar nicht gebaut.

Rechnet man von diesen 40 Quadratwerst die Stel- len ab, wo in Thälern und Schluchten das Flôtz weg- gespült und wo es verdrückt ist, und man kann diese Verluste nach Hrn. Leo’s Erfahrung auf 33 Procent anschlagen, so bleibt noch immer ein Kohienfeld von 27 Quadratwerst übrig, das bei einer mittleren Mäch- tigkeit von 10 Fuss, 4800 Millionen Pud Steinkoh-

len enthält, wenn man in einem Kubikfaden auch nur 500 Pud Kohle annimmt. Die mittlere Mächtigkeit bat hier bei der grossen Anzahl der Bohrlücher mit Genauigkeit bestimmt werden kônnen, und man wird sie nicht zu hoch finden, wenn man weiss, dass das Flütz in der Sophiagrube 21 bis 27 Fuss mächtig ist.

Bisher ist aus dieser Grube nur für die, 15 Werst üstlich von Malôwka liegende Rübenzuckerfabrik des Grafen Al. Al. Bobrinsky Kohle gefordert worden, und zwar in sehr verschiedener Menge, je nach der Menge der Rüben, die zur Verarbeitung zu Gebote standen *).

Die Grube ist aber durch Hrn. Leo schon jetzt so hergerichtet, dass sie ausser dem Bedarf für die Siederei jäbrlich noch 1°, Mill. Pud liefern künnte. Sollten jedoch für die Tulaer Eisenbahn oder für andere Industrien, grüssere Mengen verlangt wer- den, so würde es nur einer grüsseren Anzahl von Koh- lenwaggons und von Arbeitern in der Grube bedür- fen, um die jährliche Produktion bis auf 4 Millionen Pud zu bringen, wovon 1 Million für die Siederei. Die Einrichtung zu dieser vermehrten Fürderung würde nur drei Monate Zeit erfordern. Wenn jedoch noch grüssere Quantitäten gefordert werden sollten, so wäre die Anlage eines zweiten Füôrderschachtes nüthig, wozu etwa 4 Monate und eine geringe Aus- gabe genügen würden, da der Schacht nicht über 14 Sashen 98 Fuss Tiefe haben und durch weiches Gestein gehen würde.

Von Malüwka aus besuchte ich Tawarkowo, dem Grafen Aleksei Pawlowitsch Bobrinsky gehürig. Diese Grube liefert der Zuckersiederei desselben Be- sitzers die für die Dampfkessel erforderliche Kohle, und hat die Fürderung daselbst, nach der Angabe des Grubenverwalters, Hrn. Braun, betragen:

2) Die Michailowsche Zuckersiederei hat aus Molôwka bezogen:

1858/59 659,015 Pud Steinkohlen 1859/60 363,500 » » 1860/61 470,000 » » 1861/62 656,800 » » 1862/63 172,630 » » 1863/64 675,607 » » 1864/65 1,169,513 » » 1865/66 860,000 » » 1866/67 650,000 » »

5,677,065 Pud Steinkohlen.

377

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

37

In den Jahren

1859/60 208,150 Pud 1860/61 161,250 » 1861/62 420,220 » 1862/63 455,460 » 1863/64 589,915 » 1864/65 576,380 » 1865/66 429,840 » 1866/67 530,720 »

3,371,935 Pud.

Das Flütz von Tawarkowa ist 6 bis 8 Fuss mäch- tig; dabei sind mehrere Zwischenmittel von eimigen Zoll Dicke nicht mitgerechnet. Diese theilen das Flütz in mehrere Abtheilungen, von denen eine sich durch grüssere Festigkeit der Kohle auszeichnet.

Dass das Kohlenfeld von Tawarkowa mit dem Ma- lüwkaer zusammenhängt und ein gemeinschaftliches Ganzes bildet, und dass es überdies nach N. bis Bo- gorodizk, nach SW. bis Lomowka und nach NW. bis Jewlewo fortsetzt, unterliegt jetzt gar keinem Zweifel mehr, da es durch Bohrungen und Schürfungen nach- gewiesen ist. Ich will nur einige Thatsachen hierüber mittheilen. Etwa 2 Werst SW. von der Grube hatte schon Hrn. Leo’s Vorgänger bei der Grubenverwal- tung, Doroschin, die Fortsetzung des Tawarkowa- flützes erschürft. Später liess Leo hier bohren und fand ein 7 Fuss mächtiges Kohlenlager.

In dem Dorfe Wäsowka, das 2 Werst SO. von Bo- gorodizk, zwischen diesem und Tawarkowa liegt, hat man vor einigen Jahren einen Prunnen gegraben. Der Schacht wurde anfangs in Sand und Thon abge- teuft. Dann folgte ein 3°, F. mächtiges Kohlenflütz; unter dem Flütz lang eine 3°, Fuss dicke Thonschicht, unter dieser wieder ein Kohlenflütz von 3'} Fuss Mächtigkeit. Man bohrte dann von der Sohle des Brunnenschachtes noch 65 Fuss in braunem Thon, ohne Kohle zu finden. Auch an anderen Stellen hat man zwischen Tawarkowa und Bogorodizk, üstlich und -westlich von dem Wege, gebohrt und in demselben Horizonte Kohle gefunden. Im Parke des gräflich Bobrinsky’schen Schlosses zu Bogorodizk geht, nach Hrn. Leo’s Mittheilung, das Flôtz in einem Stein- bruche zu Tage und ist hier von dem Productus-Gi- gas-Kalksein überlagert.

Es ist mithin auch hier ein Kohlenfeld von grosser

Ausdehnung in so geringer Tiefe von der Erdober- fläche vorhanden, dass sein Abbau überall ohne er- hebliche Schwierigkeiten und Kosten stattfinden kann.

Es genügt für’s Erste der obenstehenden Angaben und Berechnungen, um zwei Dinge von Wichtigkeit darzuthun:

1) Dass das Tulaer Gouvernement Kohlenfelder der grüssten Dimensionen aufzuweisen hat, und dass der Abbau derselben, bei der horizontalen Lage und geringen Tiefe der Flütze, von der Erdober- fläche, bequem und woblfeil ist.

2) Dass schon in den wenigen, mit Genauigkeit vermessenen Kohlenfeldern, ein Vorrath enthal- ten ist, der genügen würde einen jährlichen Be- darf von 25 Millionen Pud Kohle mindestens während 150 bis 200 Jahren zu befriedigen. Wollte man aber alle bauwürdigen Flütze in Angriff nehmen, so künnten sie ohne Schwierig- keit noch grüssere Quantitäten liefern. Man wird diese Angabe nicht für übertrieben halten, wenn man weiter unten liest, was über die Kohlenla- ger bei Abidimo, Milenino und andere mitge- theilt ist.

Als ich Tawarkowa vor 7 Jahren zum ersten Mal besuchte, sah ich, dass unter dem Kohlenlager die Kalksteinschicht liegt, welche Ssemenow und Mül- ler später die Malôwka-Murajewna-Schicht genannt haben.

In hôherem Niveau als die Kohle fand ich auf ei- ner der Grube naheliegenden Hühe lose, scharfkantige Blücke von Kalkstein mit Productus Gigas. Sie lagen dicht bei einander und konnten für nichts Anderes als das zerklüftete Ausgehende einer, in der Nähe anste- henden Schicht genommen werden. Da ich denselben Kalkstein überdiess im Dorfe Tawarkowa, oben auf der Hühe, anstehend fand, glaubte ich annehmen zu dürfen, dass die Kohle auch hier unter dem Gigas-Kalk- stein liege. Diess hat sich denn auch in dem Schachte erwiesen, den man hier später, oberhalb des Stollens, anlegte. Ehe der Schacht die Kohle erreichte, musste er durch ein 7 Fuss dickes Kalksteinlager gebracht werden, das jenes für den unteren Bergkalk so cha- rakteristische Fossil enthält. Ich erkannte es in meh- reren, aus dem Schachte entnommenen Stücken und würde dieser neuen Beweise für die Richtigkeit jener

379

Annahme nicht erwähnen, wenn sie nicht für die Praxis, und diese wird im Tulaer Gouvernement jetzt grüssere Dimensionen annehmen, von Wichtigkeit wären.

Es ist noch immer nicht hinlänglich bekannt, dass man bei Bohrversuchen, oder beim Absenken von Schürfschachten nicht über dem Gigas-Kalksteine ste- hen bleiben dürfe, sondern ihn durchsinken müsse, um zu der Kohle zu gelangen, die man in dem Tula-Kalu- gaer Steinkohlenbassin sicherlich immer unter ihm antreffen wird. Auch wird noch oft genug von, in die- sen Dingen unbewanderten Personen der Gigas-Kalk- stein, das Dachgestein der Kohle, mit den Kalksteinen der Malôwka-Murajewna-Schicht, dem Sohlengestein derselben, verwechselt, wenn nämlich diese Schichten nicht an ein und demselben Profile, sondern einzeln, an verschiedenen Orten zu Tage gehen.

Abidimo, 17 Werst nürdlich von Tula, in der Nähe des Upañlusses, ist der dritte Ort des Tulaer Gouvernements, an welchem die Steinkohle abge- baut und verwerthet wird. Die Grube liegt am nürd- lichen Thalgehänge der Upa und besteht aus zwei pa- rallelen, durch Strecken mit einander verbundenen Stollen. Es sind drei Kohlenflôtze da; da jedoch das obere und untere dünn, erdig und unrein ist, wird pur das mittlere abgebaut, das 4 Fuss mächtig ist. Die Kohle ist fest, bricht in grossen Blücken und eignet sich gut zu weitem Transport.

Die Grüsse des Abidimoschen Kohlenfeldes ist noch nicht genau bestimmt worden. Es genügt jedoch pur einen Blick auf die ganze Lokalität zu werfen, um sich davon sogleich zu überzeugen, dass das Feld eine Ausdehnung von mindestens 4 bis 5 Quadrat- werst haben muss. Als ich Abidimo besuchte, beab- sichtigte man dort die Grüsse des Kohlenfeldes durch Bohrlücher zu bestimmen.

IL.

Von den Eigenschaften der Tulaer Kohle und der Art ihrer Verwendung.

Die Kohlen Centralrusslands sind von den Herren Iljenkow”), Auerbach‘)}, Gilewitsch”) und im La-

3) J. Auerbach und H. Trautschold: Über die Kohlen von Central-Russland. Moskau, 1860, pag. 30. 4) Ebendaselbst.

5) Gilewitsch: ZKyprars muguereper. uyreñ coo6ienis, 1867,

Bulletin de l’Académie Empériale

380

boratorium des Bergdepartements ) analysirt wor- den. Man kennt ihre chemische und physikalische Be- schaffenheit hinlänglich, daher werde ich diese Au- gaben nicht wiederholen. Es genüge daran zu erinnern, dass sie weder zusammenbackt, noch sintert, sondern nach der Verkokung meist nur ganz locker Zusam- menhält und dann leicht zerstôrbar ist. Sie gehôürt daher zu der sogenannten Sandkohle. Bei der Fürde- rung verhält sie sich sehr verschieden. So z. B. er- hält man in Abidimo und Tawarkowa viele, recht grosse Stückkohle; man kann daselbst drei Fuss lange, dicke, rektangulaire Kohlenstücke sehen, die viele Monate lang unter freiem Himmel liegen künnen, ohne zu Zerfallen. Freilich erhält man an diesen Orten auch eine gewisse Menge Kohlenklein und Staubkohle.

In Malôwka wird, weil die Kohle hier weniger fest als an jenen beiden Orten ist, weniger Stückkohle und eine ansehnliche Menge von Kohlenklein erhal- ten, woraus jedoch kein bedeutender Verlust entsteht, da man hier das Kohlenklein mit Wasser anfeuchtet, um ihm mebr Konsistenz zu geben. Es fällt in diesem Zustande nicht durch dem Rost und wird mit dem besten Erfolge vollständig aufgebraucht.

Die Gerüchte über das schnelle und hôüchst nach- theilige Zerfallen der Tulaer Kohle, und namentlich der von Malüwka, wenn sie der Wirkung der Atmo- sphärilien ausgesetzt bleibt, habe ich sehr übertrieben gefunden. Man zeigte mir in der Zuckersiederei Mi- chailowskoje drei grosse Kohlenhaufen. Zwei von ihnen hatten fünf Monate lang unbedeckt an freier Luft ge- legen. Nur an der Oberfläche war die Kohle in dünne Blättchen zerfallen, aber unter dieser Hülle hatte sie sich gut erhalten.

An dem dritten Haufen, der bereits 1'} Jahre an freier Luft unbedeckt gelegen hatte, war die Kohle bis in eine Tiefe von 4 bis 5 Zoll in feinste Blätt- chen zerfallen und grau geworden, aber unter dieser Hülle war sie schwarz und frisch und hatte noch viel Stückkohle aufzuweisen.

Selbstentzündung ist nur ein Mal in einem freilie- genden Kohlenhaufen in Malôwka, in den Gruben, da

KHBKKa 2, (Journal des Ministeriums der Wegekommunikation, 1867, Heft. 2). 6) Russisches Bergjournal.

3s1

sie in Malüwka und Tawarkowa äusserst sauber ge- halten werden, nie vorgekommen. Man ist immer be- müht, alles Kohlenklein und die Staubkohle sorgfältig aus den Gruben zu entfernen.

Man hat behauptet, die Tulaer Kohle müsse auf Treppeurosten verbrannt werden. Auch dieses Vor- urtheil fand ich unbegründet. Weder in Michailow- skoje noch in Bogorodizk, noch auf jenen drei Fabri- ken in Tula, wendet man solche, sondern die gewühn- lichen Roste an. Die Eisenstäbe derselben sind "/, Wer- schok breit, 1 Arschin lang und liegen ‘/, Werschok einer von dem andern. In jedem Rost liegen 2 Stäbe hinter einander, so dass er zwei Arschin Länge hat.

Unter den kleineren Dampfkesseln in Michailow- skoje befinden sich zwei, unter den grüsseren drei Roste, von denen zwei immer in vollem Gange sind, während man den dritten von der leichten, blasigen, leicht abzustreifenden Schlacke reinigt. Hr. Klimow, der Direktor der Zuckersiederei, beabsichtigt das Kohlenklein versuchsweise mit Syrup zu Ziegeln zu- sammenzupressen, da ersterer hier unangewendet bleibt.

Man ist auch eine Zeit lang der Ansicht gewesen, die Malüwka und Tawarkowaer Kohle künne nicht ohne Glühgewôlbe über dem Roste verwendet werden. Man richtete ein solches, nach einem Berliner Muster, in Michailowskoje aus feuerfesten Ziegeln her. Wenn es von der ersten Heizung weissglühend geworden war, und man wieder grosse Mengen Kohle anf den Rost schüttete, so wurde zwar das Feuer anfangs schwächer, aber die Entwickelung des brennbaren Gases begann sofort, und dieses entflammte sich so- gleich beim Durchgange durch das durchlôcherte Ge- wôlbe. So gelang es nach langen, erfolglosen Versu- chen, unter den Kesseln ein gutes, ununterbrochenes Feuer zu unterhalten. In Michailowskoje sah ich diese Gewülbe noch in Anwendung; in Bogorodizk hatte man sie bereits als unnôthig abgeschafft und in Tula hat man die Abidimo-Kohle von Anfang an ohne diese Vorrichtung verwendet.

An allen diesen Orten habe ich die Tulacr Kohle mit langer, gelber Flamme brennen sehen und an keinem derselben Zweifel darüber gehürt, dass die Gewülbe entbehrt werden künnen. Und ebenso erweist sich die Befürchtung, es werde der Schwefelkiesge-

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

382

halt der Kohle den Dampfkesseln nachtheilig werden, als ganz unbegründet. Weder in Michailowskoje, noch in Bogorodizk und in Malüwka, ebenso wenig in Tula, habe ich eine Klage über diese Eigenschaft der Kohle gehôürt, obgleich ich an allen diesen Orten den Gegen- stand zur Sprache brachte.

Aus der Kohle von Buda, bei Hrn. Malzow hat man versuchsweise Photogen bereitet, es ist mir Je- doch unbekannt, ob diese Industrie sich als vortheil- haft erwiesen hat.

Von der Abidimo-Kohle aber ist noch zu erwäh- nen, dass sie in Bezug auf die Menge der in ihr ent- haltenen flüchtigen Theile, den Vorzug vor den an- deren zu haben scheint, denn sie enthält deren noch mebr als die von der Leuchtgaskompagnie in Moskau verwendeten, Newcastler und schottischen Bog-head- Kohle”).

Ich schliesse diesen Abschnitt mit einer mir vom Grafen Al. AL. Bobrinsky schriftlich gemachten Mit- theilung:

Etwa 800 Pud Tawarkowaer Steinkohle wurden auf Befehl des Grafen A. P. Bobrinsky nach Dres- den geschickt und auf der Sächsisch-Bayerischen Eï- senbahn drei Versuche mit ihr angestellt. Sie hat sich bei denselben auf den Lokomotiven, im minimo 10°/, bis 15°), kräftiger erwiesen als die Braunkoble, die man auf denselben zum täglichen Betriebe ver- wendet *).

Wäre auch nichts von der Tulaer Kohle bekannt, als dieses einzige wichtige Faktum, so würde es ge- nügen, um alle Zweifel in Bezug auf ihre Tauglich- keit,. selbst auf Eisenbahnen, niederzuschlagen. Wir sehen diese Angelegenbeit als eine gewonnene, als ei- nen Sieg über hartnäckige Vorurtheile an, und zollen gern der Beharrlichkeit, der Einsicht und der Ener- gie der Besitzer von Malüwka und Tawarkowa den aufrichtigsten Dank dafür, dass sie in dem schweren Kampfe gegen das Vorurtheil nicht ermüdet sind, und eine Industrie gefordert haben, die, durch die An- lage einer Eisenbahn mächtig unterstützt, dem cen- tralen Russland bald eine neue Bedeutung geben wird.

7) Auerbach und Trautschold, I. c. pag. 34 und 88. 8) Originalbrief des Grafen Bobrinsky vom 24. Mai 1865 in St. Petersburg.

383

IIL.

Von den Preisen der Tulaschen Steinkohlen und des Brenn-

holzes im Tulaschen und in Moskwa, und von der Enutferzung

der in Angriff genommenen Kohlenflütze von den Orten des Kohlenkonsums,

In Malüwka und Tawarkowa zahlt man gegenwär- tig schon nicht weniger als 18 Rbl. $S. für eine Ku- biksashen des schlechtesten, und bis 25 Rbl. für die- selbe Menge Eichenholz. Die Malüwkaer Kohle kostet an der Grube 2 Kop. $. das Pud. Der im Winter be- werkstelligte Transport von der Grube nach dem 15 bis 16 Werst entfernten Michailowskoje wird mit 1 Kop. vom Pud bezahlt, und ein solches kostet also hier nicht über 3 Kop. Da nan nach Hrn. Leo’s und nach den in der Zuckersiederei gemachten Erfahrun- gen, 170 Pud Kohle einen Kubikfaden Holz beim Feuern vollständig ersetzen, so kann die jährliche Ersparniss an Ausgaben für Brennmaterial, bei einem Verbrauche von 700,000 Pud bis 53,060 Rbl. und darüber steigen. Selbst wenn die Malôwkakohle in Michailowskoje 5 Kop. S. das Pud zu stehen käme, würde man 40,000 Rbl. jährlicher Ausgabe ersparen.

Dieselbe Rechnung gilt auch für Tawarkowa und Bogorodizk.

Hr. Leo hat bereits im Frühling 1867 der Eisen- bahnverwaltung in Tula die Malôwkakohle zu Versu- chen angeboten. Nachdem man die ersten Versuche mit 500 Pud unentgeltlich nach Tula gelieferter Kohle erfolgreich angestellt hatte, erging von der Bahnver- waltung am 17. Mai 1867 cine Bestellung auf 2000 Pud. Dieses Quantum wurde sofort gefürdert und auf Räderfuhrwerk den 74 Werst langen Weg nach Tula geschickt. Die Transportkosten betrugen 5 Kop. vom Pud, die Selbstkosten 2 Kop. Der Reingewinn ward auf 2 Kop. bestimmt, so dass die Bahnverwaltung das Pud mit 9 Kop. bezahlte. Da bei sehr grossen Be- stellungen dieser Preis gewiss wird herabgesetzt wer- den künnen, um so mehr, da man die Kohle künftig nicht bis Tula, sondern nur bis zu der 51 Werst von Malüwka entfernten Eisenbahnstation Lapotkowa, zu transportiren haben wird, und da sie sich, wie wir oben zeigten, zum Gebrauche auf Lokomotiven voll- kommen tauglich gezeigt hat, so darf man mit Gewiss- heit erwarten, sie werde auf der Südbahn bald in Ge- brauch kommen. |

Bulletin de l'Académie Impériale

384

In Tula wird ein Kubikfaden Birken- oder Eichen- holz mit 14 bis 16 Rbl. bezahlt. Diesen letzten, sehr hohen Preis zahlte, wie er mir mittheilte, auch Hr. Werniking, Besitzer einer Zuckerraffinerie bei Tula; er sah sich dadurch veranlasst die Steinkohle in Abidimo versuchsweise auf seiner Fabrik zu verwen- den. Es stellte sich dabei heraus, dass 170 bis 180 Pud dieser Kohle, bei der Feuerung der Dampfkes- sel, dasselbe leisteten was 1 Kubikfaden guten Hol- zes. Die Abidimokohle kostet an der Grube 2 Kop., der Transport auf den 16 W. langen Wege bis 3 Kop.

Hrn. Werniking, einem Rheinländer, gehürt das Verdienst der Erste gewesen zu sein, der in Tula die einheimische Steiukohle verwerthete, und Hr. Cha- mäkow, der Besitzer der Grube, liefert sie ihm (100,060 bis 120,000 Pud jährlich) zu 5 Kop. das Pud, wobei er selbstverständlich keinen anderen Ge- winn hat, als dass der Abbau des Flôtzes ohne Zu- busse unterhalten werden kann.

Eine andere Anstalt in Tula, welche die Abidimo- kohle verwendet, ist die Maschinenfabrik des Hrn. Wieber. Er war der erste Privatmann, der hier (1865) eine, für die Industrie so unentbehrliche An- stalt anlegte, und man darf erwarten, dass sie, unter der Leitung dieses intelligenten und energischen Man- nes, eine gute und bedeutende Entwickelang erfahren wird. Die Wiebersche Fabrik zahlt für die Abidimo- kohle 6 Kop. für das Pud. Halten wir nun mit diesen Zahlen die oben erwähnten Holzpreise zusammen, so ergiebt sich, bei je 180 Pud Steinkohle, die an die Stelle eines Kubikfadens Holz treten, eine Ersparniss von mindestens 5 Rbl.

Eine dritte, die Steinkohle verwendende Anstalt in Tula ist die Theemaschinenfabrik des Hrn. Tscher- nikow. Über den Verbrauch und den Preis der Kohle fehlen mir jedoch die nüthigen Angaben. Die oben angeführten Thatsachen genügen aber schon vollkom- men, um der Kohle von Abidimo, Malüwka nnd Ta- warkowa den Vorzug vor dem Holze zu sichern, und man begreift nicht warum andere, mit Dampfmaschi- ven arbeitende Industrien und die Hausbesitzer Tu- las, nicht alle dem guten Beïspiele der Hrn. Wieber und Werniking gefolgt sind.

In Serpuchow und Podolsk sind die Holzpreise noch hüher. Aus zuverlässigster Quelle erfubr ich,

385

dass in Podolsk ein Sashen Birkenholz von 10 bis 12 Werschok Länge, im minimo mit 4 Rbl. bezahlt wird. Aber man erwartete mit Gewissheit, dass der Preis des Holzes daselbst bald bis 5 und mehr Rubel stei- gen werde, wegen der grossen, auf der Eisenbahn ver- brauchten Quantitäten. Ein Kubikfaden Birkenholz wird also in nächster Zukunft mit 18 bis 20 Rubeln bezahlt werden müssen. Da nun 1 Pud Abidimokohle in Podolsk oder Serpuchow doch wohl nicht mehr als 8 oder 9 Kop. kosten kann, so ist auch hier der Vor- theil bei ihrer Verwendung klar.

Auch die Kohle von Malôwka, wenn sie mittelst einer Zweigbahn nach der Eisenbahn transportirt würde, kôünnte hier mit dem Brennholze siegreich konkurriren.

Moskwa. Um in Moskwa über die Holzpreise ge- naue Nachrichten zu erhalten, wandte ich mich an mehrere Besitzer grosser, mit Dampfkraft arbeiten- der Fabriken und an die Gaskompagnie, welche zur Erzeugung des Leuchtgases englische und schottische Kohle verwendet.

Hr. Butenop gab an, ein Sashen Birkenholz von 11 Werschok Länge werde jetzt in Moskwa minde- stens mit 9 Rubel bezahlt, ein Kubiksashen also mit 38 Rbl.

In der grossen Zuckerraffinerie des Hrn. Boris- sowsky (an der Jaüsa) hatte man vom 1. Juli 1866 bis 1. Juli 1867—2564), Sashen Fichten und Tan- nenholz (Pinus silvestris und P. Abies) von 20 Wer- schok Länge verbraucht und mit 11 Rbl. 25 Kop. den Faden bezahlt 24 Rbl. 30 Kop. für den Ku- bikfaden. Da aber 180 Pud Abidimokohle 1 Kubik- faden Holz ersetzen, so würde die Fabrik, wenn sie die Kohle statt des Holzes anwendete, auf jeden Ku- bikfaden Holz 2 Rbl. 70 Kop. ersparen, weil Hr. Chamäkow, wie er mir selber sagte, seine Kohle auf der Tulaer Eisenbabn transportirt, in Moskwa zu 12 Kop. das Pud verkaufen kann.

Die grosse Zuckerraffinerie des Hrn. Knoop und Pasburg würde allein jährlich einer Menge von 200,000 Pud Tulaer Steinkohle bedürfen. Sie heizt jetzt mit Torf und Fichtenholz und bezahlt letzteres mit 10 Rub. 50 Kop. den Faden von 20 Werschok Länge. Da nach Hrn. Pasburg’s Erfabrung 1 Ku- bikfaden guten Torfes, der an der Troizker Eisen-

bahn gestochen wird, 2", Faden jenes Holzes ersetzt Tome XII.

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

386

und 21 Rbl. kostet, so ist der Vortheil auf Seiten des Torfs, allein man soll nicht sicher darauf rechnen künnen, ihn stets in der verlangten Quantität zu er- halten.

Wolite diese Fabrik statt des Holzes Abidimokohle verwenden, so künnte sie auf jeden Kubikfaden Holz über 4 Rubel ersparen.

Ich besuchte auch die Hübner’sche Zitzfabrik. Wenn es richtig ist, dass sie den Faden Holz von 20 Werschok Länge (Fichten, Tannen. Eschen) mit 8 bis 9 Rubel bezahlt, so würde sie bei der Verwerthung der Steinkohle wenig oder nichts gewinnen. Die Fa- brik liegt dicht am Moskwaflusse. Das Holz wird auf diesem bis dicht an die Gebäude geflüsst, erfordert daher gar keinen Landtransport und kann zu gerin- gerem Preise verkauft werden.

Hr. Buchtejew, Besitzer der grossen Maschinen- fabrik vor dem Twerschen Thore, theilte mir mit, dass zum Heizen der Dampfkessel und der Gebäude die- ser Anstalt, jährlich ein Quantum von 3000 Faden (Sashen) Holz verbraucht wird, meist Pinus abies und ein geringer Theil Pinus silvestris. Der Faden ist 20 Werschok lang und wird mit 9 bis 12 Rbl. bezahlt. Der Kubikfaden kostet also 24 bis 34 Rubel. Man würde also hier noch immer nicht im Nachtheiïle sein, selbst wenn die Tulaer Kohle von Malôwka, Tawar- kowa oder Abidimo in Moskwa mit 18 Kopeken das Pud bezahlt werden müsste.

Am günstigsten dürfte sich die Sache für die Mos- kauer Gaskompagnie stellen. Diese wird jährlich ge- gen 2,000,000 Pud Newcastler- und Schottischer Kohle bedürfen, und zahlt in Moskwa 31 Kop. für jedes Pud derselben. Da nun die Abidimokoble eben so viel Leuchtgas giebt als die britische, in Moskwa aber nur 12 bis 15 Kop. kosten würde, so kann die Kompagnie bei dem Gebrauche dieser Kohle eine Ersparniss von mehr als 300,000 Rbl. machen.

Gesetzt, es werde sich bei den Versuchen, welche die Kompagnie auf meinen Rath mit der Abidimo- kohle anzustellen beabsichtigt, zeigen, dass sie 30°}, weniger Leuchtgas giebt als die Britische, und gesetzt, der Preis der Kohle werde in Moskwa auf 15 Kop. steigen, so würde auch unter diesen ungünstigen Um- stäinden eine Minderausgabe von mehr als 200,000 Rbl. jährlich ermôglicht sein.

t2 ot

387

Wir wollen jetzt versuchen abzuschätzen, welche Quantitäten Kohle die Industrie in nächster Zukunft von den Lagerstätten der Tula-Kalugaer Steinkohlen- formation verlangen künnte.

Die beiden Zuckersiedereien zu Michailowskojeund Bogorodizk ver- verwenden schon jetzt alljäbrlich gegen

Die Eïsenbahn zwischen Mos- kwa und Kursk dürfte, wenn der Betrieb auf der ganzen Strecke mit Kohlen geschieht, eines jährlichen Quantums bedürfen von .....

Die Gaskompagnie in Moskwa .

Die Fabriken Moskwa’s, Serpu- chow’s und Tula’s wollen wir sebr gering anschlagen mit

1,500,000 Pud.

sus te prop lielele cs jee e elles

5,000,000 » 2,000,000 »

6,000,000 »

14,500,000 Pud.

Entschliessen sich die Hausbewohner der Städte auch zur Verwendung der Kohle, so würde der jähr- liche Bedarf nach wenigen Jahren bis 20,000,000 Pud wachsen, und es entsteht nun die sehr ernste Frage, wo die Fürderung so bedeutender Quantitäten am zweckmässigsten und billigsten herzustellen, und die Beschaffung der Kohle am sichersten garantirt wäre. Begreiflicherweise werden die grossen Kohlen- konsumenten, wie die Eisenbabn, die Gaskompagnie, die Fabrikanten, sich auf die Verwendung der Kohle nicht früher einlassen, als bis sie gewiss sind, die ver- langten und zum Betriebe unumgänglichen Quantitä- ten ohne Abbruch und zu gehôriger Zeit beziehen zu künnen.

Da der grôsste Verbrauch der Kobhle auf der Eisen- bahn und in Moskwa zu erwarten ist, so werden die der Bahn zunächst gelegenen Lagerstätten immer den Vorzug vor den entfernteren haben, vorausgesetzt, dass die Mächtigkeit una die Güte der Koble, so wie die, einen wohlfeilen Abbau bedingenden, Umstände dieselben sind.

Die Verwaltung der Eisenbahn verfährt gewiss ganz richtig, wenn sie, wie in diesem Augenblicke geschieht, in der nächsten Nähe der Bahn nach Steinkohlen su- chen lässt. Mansieht daraus, wie sehr sie schon darauf bedacht ist, den Gebrauch der Steinkohle statt des Holzes einzuführen, Der Techniker Gilewitsch hat

Bulletin de l’Académie Hmpériale

3ss

in ihrem Auftrage, nahe an der Eisenbahnlinie, meh- rere Bohrlücher angelegt; eines von ihnen, das ich mit den Hrn. Leo und Gilewitsch besah, befindet sich 10 Werst südlich von Tula und 3 Werst üstlich von der nach Orel führenden Chaussée, auf dem Gute Karolinowka, des Hrn. Wanykin. Aber das Flôtz, das man hier in 54 Fuss Tiefe erbohrte, hat nur 1, Fuss Mächtigkeit, ist also nicht bauwürdig. Eben so wenig haben früher, von Hrn. Leo und Anderen an- gestellte Bohrungen, in der Nähe von Tula, z. B. bei Tschulkowa, bauwürdige Flôtze nachweïisen kün- nen, Die mächtigsten, nicht weit von der Eisenhahn- linie aufgefundenen sind die von Abidimo, 12 Werst westlich von der Bahn, und von Milenino, 12 Werst üstlich von derselben. Beide sind von guter Beschaf- fenheit, beide liegen an der Upa und künnten, na- mentlich Abidimo, ihre Kohle im Frühling vielleicht auf dem Wasserwege nach Tula stellen. Auch die Flütze von Lübutskoje, von Kiïjewzy und Selünima, die alle in der Nähe der Okka liegen, künnten die Wasserstrasse benutzen.

Aber von ihnen haben nur die beiden unteren Flôtze in Selünina eine Gesammtmächtigkeit von 12 bis 13 Fuss, an allen übrigen der genannten Orte sind sie nur 4 bis 5 Fuss mächtig, und an keinem derselben, Abidimo ausgenommen, findet Fürderung statt. Ja, es giebt daselbst nicht einmal Grubenanlagen.

Sollten nun die von der Bahnverwaltung und von einigen Privatpersonen, in der Nähe der Bahnlinie, unternommenen Nachsuchungen, nicht zur Entde- ckung bauwürdiger Flôtze führen, und sollte, wie das sicher zu erwarten steht, nach der Erôffnung der Moskwa - Kursker Eisenbahn, die Nachfrage nach grüsseren Quantitäten von Kohle dringend werden, so künnen diese, unseres Erachtens, nur in Malôwka, Tawarkowa und Abidimo beschafft werden.

Und da würde Malôwka unstreitig den Vorzug ha- ben, durch die bedeutende Mächtigkeit seines Koh- lenlagers und die Grüsse seines Kohlenvorraths.

Freilich liegt der Ort 51 Werst von der Eisen- bahn, aber die Anlage einer Zweigbahn von Malôwka bis Lapotkowa, hat keine Schwierigkeit. Offiziere der Wegekommunikation, nachdem sie die Grube zu Ma- lüwka besichtigt, haben das Terrain von hier bis zur Eisenbahn rekognoscirt, und es zur Anlage einer Pfer- debahn günstig gefunden.

389

des Sciences de Saïint-Pétersbourg.

390

Die Linie dieser Zweigbahn geht über eine hohe, von wenigen Schluchten und vom Thale der Upa durchschnittene Ebene.

Erwägt man einerseits, dass, wie die Bohrlücher bei Serpuchow und Podolsk das gelehrt haben, die Kohlenlager in der Richtung von Tula nach Moskwa immer tiefer liegen und geringer Dimensionen und Güte sind; und erwägt man andererseits, dass die mächtigsten Lager, Malüwka, Selünino, Tawarkowa, nahe am Südrande des ganzen Bassins liegen, so künnte man zu der Annahme veranlasst werden, dass mäch- tige Kohlenablagerungen sich nur in der Nähe der sichtbaren Grenze des Devonischen befinden. Hier ist offenbar der Pflanzenwuchs jener Periode, auf devo- nischem Untergrunde, da am kräftigsten und üppig- sten entwickelt gewesen, wo später in weitem Bogen das Ufer und der Strand des Meeres verlief, das der Gigant unter den Producten bewohnte.

Die verachtete Kohle des centralen Russlands wird bald in ihr wohlbegründetes Recht treten, und wird mit feuriger Zunge die letzten Verdächtigungen zu- rückweisen, die noch hier oder da gegen sie auftau- chen künnten.

(Ich kann hier eine Nachricht cinschalten, die ich nach dem Schlusse meines Berichtes, von Hrn. Gile- witsch persünlich erhielt. Es ist demselben gelungen, im Kreise Krapiwna des Tulaer Gouvernements, in der Umgegend der Eisenbahnstation Lapotkowa, bei dem, Hrn. v. Lasarew gehürigen Dorfe Krasnije Cholmi, in geringer Tiefe vom Tage, zwei Kohlen- flôtze zu erbohren, die eine Gesammtmächtigkeit von 7 Fuss haben und durch ein thoniges Zwischenmittel getrennt sind.

Eine von Hrn. Gilewitsch angestellte Analyse derselben ergab:

Flüchtige Bestandtheile 56,00°/ Koblers à srceiie 29310 ASche A nl 30

Die Kohle bricht in grossen Stücken, zerfällt aber

bald an der Luft. (25. October 1867.)

Zum Schlusse habe ich noch einige Nachrichten über bisher wenig oder gar nicht bekannte Lagerstät- ten von Steinkohle mitzutheilen.

Bereits im vorigen Jahre theilte mir Hr. Leo brie- flich mit, es habe im August 1866 der durch Regen- güsse angeschwollene Malüwkabach, in der Nähe des alten Stollens, eine unter dem hier anstehenden De- vonischen(Malüwka— Murajewna) Kalksteine liegende Schmitze guter, reiner Steinkohle blosgelegt.

Ich besuchte diese Stelle in der Gesellschaft des Hrn. Leo und konnte am linken Ufer des Baches folgendes Profil beobachten:

À) Tschornosem.

rungon.

(net | Diluvium. Er À Arca Oreliana, Chonetes nana. ET . Gelber » —| Cythere Tulensis. Productus fallax, Helodus-Zähne. Kalkstein in Platten. ssmé Kohlenschmitze, 1/3 Zoll dick. \ Mergeliger (— LARG | Rhynchonella Panderi, Productus fallax, Spirifer inflatus. Kalkstein, E 1$ Quaderkalkstoin mit wenigen oder gar keïinon Verstoine il

Niveau des Molôwkabaches.

Wenn man dieses Profil mit dem von Müller, in den Mélanges physiques et chimiques der St. Peters- burger Akademie, Tome V. pag. 668 gegebenen ver- gleicht, so stellt sich der Horizont dieser Kohlen- schmitze deutlich heraus. Sie liegt in grauem Thone, der seine Stelle zwischen zwei devonischen Kalkstein- ablagerungen einnimmt.

Da die Kohle sehr rein ist und die Schmitze sich ohne Unterbrechung beinahe zwei Werst flussabwärts, bis zur Kisselewschlucht zieht, sah Hr. Leo sich ver- anlasst, sie noch an mehreren Stellen aufzuschürfen. Zu demselben Zwecke hatte er auf dem Boden der Sophiagrube, in dem devonischen Sohlengesteine des hier in Abbau stehenden Kohlenflützes, ein Gesenk anzulegen befohlen, in der Hoffnung die Schmitze, die weit von ihrem Ausgehenden môüglicherweise dicker sein kann, aufzufinden. Dieses Gesenk hatte übrigens noch die Bestimmung das Grubenwasser anfzunehmen, und in die vielen und breiten Klüfte des devonischen Kalksteins abzuführen.

In der, in die Malüwka mündenden Kisselew- schlucht, war in den dort angelegten Schürfen die nachstehende Schichtenfolge zu beobachten :

Diluvium.

Zerklüfteter, kurzbrüchiger Kalkstein in Platten von 1 bis 3 Zoll Dicke. Gelblichgrau.

25*

391

Bulletin de l’Académie Impériale

392

Er enthält einige undeutliche Fischreste. Wir fan- | unter 3°, Grad nach Osten. Sie schien sich weiter vom

den auch Bruchstücke kleiner Muscheln, die nicht nä- her bestimmt werden konnten.

Schwarzgrauer Thon mit Kohlenschmitzen. 3 Wer- schok dick.

Hellgrauer, in dicken Quadern brechender Kalk- stein, in welchem wir keine Versteinerungen bemer- ken konnten.

Über einige, südüstlich von Malüwka, bei Michai- lowskoje, und im Jepifanschen Kreise des Tulaer Gou- vernements aufgefundene Kohlenlager, theilte Hr. Leo mir folgende Nachrichten mit.

In der Schlucht Rostow, bei Michaïilowskoje, ward ein Kohlenflütz von 3°, Fuss Dicke aufgeschürft und ebendaselbst in der Schlucht Naboshnoï ein grauer Thon, in welchem Kohlenstücke, bis 50 Pud an Ge- wicht, zerstreut lagen. Man beabsichtigte durch diese Schürfungen in der Nähe der Zuckersiederei bauwür- dige Flôtze aufzufinden. Da solche Flôtze aber nicht entdeckt werden konnten, blieb man bei der Fürde- rung in Malüwka.

Zehn Werst NNO. von Michailowskoje, auf dem Besitze des Hrn. Olssufjew in Krasnoie und in Buizy, hat man in zwei daselbst angelesten Bohrlô- chern, Kohlenlager aufgeschlossen. Diese Orte liegen im Kreise Jepifan.

Auch 30 bis 40 Werst SO. von Michaïlowskoje hat Hr. Leo, bei dem Dorfe Chutschova, in ein und dem- selben Schurfe drei Flütze aufgcefunden. Auffallend war es, dass sie verstürzt und an einer Stelle antikly- pal gebrochen waren, unter Fallwinkeln von 80°.

Sogar ôstlich von der Stadt Jepifan, sind bei dem, dem Fürsten Golizyn gehôrenden Kirchdorfe Bu- tschalka, Kohlen entdeckt worden. Die Flütze gehen am ôstlichen Gehänge einer Schlucht zu Tage, an wel- cher das herrschaftliche Haus liegt. Die Schichten- folge in absteigender Reihe war diese:

1. Dammerde.

2. Diluvialthon.

3. Kohle, 17, Werschok mächtig; fällt schwach nach Osten.

4. Bläulichschwarzer, sehr fetter Thon mit vielen Schwefelkiesknollen, 3 Fuss.

5. Koble, am Ausgehenden 2 Werschok dick, fällt

Ausgehenden zu verstärken.

6. Brauner, sandiger, magerer Thon, undeutlich geschichtet. Er setzt von der Sohle der Schlucht noch 45Y, Fuss in die Tiefe.

Auf dem 250 Sashen von dieser Stelle entfernten, westlichen Gehänge der Schlucht, geht auf deren Sohle devonischer Kalkstein zu Tage, auf welchem ein dünnes Lager jenes braunen Thones aufliegt. Über dem Thone folgt ein, am Ausgehenden 9", F. mächti- ges Kohlenflütz und auf diesem der gewübnliche, das Dach der Kohle bildende, graue Thon.

Alle diese Schichten haben ein schwaches Fallen nach W.

Geht man von diesen beiden Stellen, die etwa 1% Werst thalaufwärts vom herrschaftlichen Hause lie- gen, noch *, Werst hinauf, so gelangt man an eine mächtige Ablagerung eines feinen, schneeweissen, in- nig mit Porzellanerde gemengten Sandes. Hr. Led hält ihn für ein Glied der Bergkalkformation, und fin- det, dass er ganz einem Sande gleicht, der in der Nähe des Flusses Schat unter graublauem Kalksteine mit Productus Gigas liegt.

Aus diesen Angaben geht deutlich hervor, dass das oben erwähnte, 440 Quadratwerst grosse, Kohlen- feld sich weit über Michailowskoje und Jepifan hin- aus nach Ost erstreckt. Es taucht allmählich im Tula- Kalugaer Bezirke ein Steinkohlenreichthum auf, der dem des Donezgebirges müglicherweise nicht nur gleichkommt, sondern ihn vielleicht noch übertrifit.

Ich besuchte mit Hrn. Leo, von Malüwka aus das Landgut Riga, des Hrn. Swerbejew. Der Weg da- hin geht über Bogorodizk, Dedelewo und Maklez. Man hatte in der Nühe von Riga, in einer Schlucht, vor einigen Jahren ein Kohlenflütz erschürft. In dem Schurfe lag unter einem Kalksteine Productus Gigas, grauer, fetter Thon. Unter diesem eine schiefrige, gute, aber Schwefelkiesknollen enthaltende Koble 1 Fuss 2 Zoll mächtig.

Dann folgte nach unten wieder grauer Thon.

Da es sich bald erwies, dass man in einer herab- geglittenen Masse, und nicht im Anstehenden ge- schürft hatte, sah der Besitzer sich auf Hrn. Leo’s Rath veranlasst, oben auf der Hühe zu schürfen, wo folgende Gesteinsreihe gefunden wurde:

393

des Sciences de Sainét- Pétersbourg.

394

Gelber Diluviallehm 2 Arsch. Wersch.

Weissgelber, sandiger Lehm. 5 « 13 « Gelher Sand fps. ne dr Ci « Gelber Sand mit Wasser 6 « 8 « Rother Sandstein . . . . . . « 6 « GelbenSanden tu. TE 4 « Cane Thon . (2 Eius ie DE « D RRRUNMSANd. : eue 1 cute DORE «

Wegen grossen Wasserandranges stellte man die Arbeit ein und kam daher nicht bis auf den Gigas- kalkstein. In 38 Arsch. Tiefe, meint Hr. Leo, würde man hier die Kohle erreichen kônnen.

In dieser Gegend ist begreiflicherweise vom Devo- nischen nichts mehr zu sehen, da alle Thaleinschnitte nur bis in den unteren Bergkalk gehen. Weiter im Süden, wo man sich dem devonischen Landrücken Centralrusslands nähert, kann man in jedem tiefein- schneidenden Thale die Malüwka-Murajewka-Schicht mehr oder minder mächtig entblôsst sehen.

Auf unserer Rückreise von Malüwka nach Tula be- suchten wir das, Hrn. Wischnewsky gehürende Landgut Mastowaia. Es liegt 15 bis 18 Werst NW. von Bogorodizk.

Am nürdlichen AbhangeeinerbenachbartenSchlucht, in welcher das Flüsschen Belowka fliesst, hatte man ein 2 Arschin 6 Werschok mächtiges Lager guter, fester Kohle entdeckt. Sie ward sogar abgebaut; man fürderte 30,000 Pud für die Dampfkessel der Zucker- siederei Panino, des Hrn. Glebow, die 15 Werst NW. von Mastowaia liegt. Wegen mangelnden Be- triebskapitals ging die Fabrik in Panino ein und da- mit hôrte auch die Kohlenfürderung in Mastowaia auf.

Wir besuchten auf dieser Fahrt auch Milenino, dessen bauwürdiges Kohlenflütz so hoch über der Thalsohle liegt, dass die Grubenwasser leicht zu der- selben abfliessen würden. Der Besitzer dieses Ortes würde, wie mir scheint, nicht übel daran thun, die Lagerstätte genauer untersuchen zu lassen, da er die Eisenbabn in seiner Nähe hat.

Die Anlage dieser Bahn und die Hoffnung, die Stein- kohle auf ihr und in den Fabrikeu Moskwa’s verwer- then zu kônnen, hat die Landbesitzer des Tulaer Gou- vernement veranlasst, eifrig nach ihr zu suchen. Viele von ihnen wenden sich nach gutem Rath und richti- ger Anweisung an Hrn. Leo, der des besten Rufes geniesst, und erhalten von ihm in liberalster Weise

die gewünschte Auskunft. Auch besuchen sie die Gruben von Malôwka und Tawarkowa, um den re- gelrechten Abbau der Kohle kennen zu lernen. So bringen die Gruben einen doppelten Nutzen. Bohrap- parate werden in der mechanischen Werkstätte des Hrn. Wieber zu billigen Preisen, und ihrem Zwecke entsprechend, angefertigt.

Über die chemische Zusammensetzung der in der russischen Kreideformation vorkommen- den versteinerten Hôlzer und Thierknochen, von A. Engelhardt. (Lu le 31 octobre 1867.)

Im Jahre 1851 wurde von dem Professor Claus der Kaiserlichen Akademie der Wissenschaften ein Mémoire vorgestellt: «Über eine merkwürdige Stein- art des mittleren Russlands», das in dem Bulletin physico-mathématique Tome X, M 13 und in den Mé- langes physiques et chimiques I. S. 374— 383 abge- druckt wurde. In diesem Mémoire theilte Hr. Claus die Resultate seiner Analyse eines Sandsteins mit, welcher in Kursk zum Pflastern von Strassen ange- wendet wurde und welcher dort Ssamorod, auch schwarzer Stein, genannt wird, zugleich mit der Analyse eines fossilen Knochens aus dem besagten Sandstein.

Claus bestimmte den Ssamorod als einen aus Sand (507) bestehenden Sandstein, dessen Kürner durch ein Cäment von phosphorsaurem Kalk (29,60), koh- lensaurem Kalk (7,87) und Fluorcalcium (5,01) ge- bunden waren. Er wies ferner nach, dass der im Ssamorod den Sand bindende Cäment und die in ihm zugleich vorkommenden fossilen Knochen einer- lei Zusammensetzung besässen.

Hr. Kiprijanow, der zwischen Orel und Kursk eine Chaussee baute, wobei zur Pflasterung der Kunst- strasse der nämliche Sandstein diente, untersuchte umständlich die geognostischen Verhältnisse des Ssa- morod in dem Gebiete von Kursk und stellte eine reiche Collection von fossilen Knochen, Conchylien und versteinerten Hülzern zusammen. Das von Ki- prijanow Zusammengebrachte wurde zum Theil durch ihn selbst (hauptsächlich die Fische) näher be- stimmt, zum Theil durch Hoffmann (die niederen Thierspecies) und durch Mercklin (die versteinerten Hülzer).

395

Bulletin de l’Académie Hmpériale

396

Hr. Helmersen fand einen dem Ssamorod ähn- lichen Sandstein in Knollen unter denselben geogno- stischen Verhältnissen unweit Brjänsk und an andern Orten längs der Djesnä.

Hr. Chodnew analysirte einen ähnlichen Sandstein vom Flusse Weduga in der Nähe von Woronesh, der von dem Grafen Keyserling geognostisch untersucht worden war, und fand ïhn in seiner Zusammensetzung dem durch Claus analysirten nahestehend. Kuli- bin endlich fand einen ähnlichen Sandstein unweit Spassk im Tambow’schen Gouvernement auf. Jasy- kow traf den Woronesh’schen ähnliche Knollen aus phosphorsaurem Kalk in der Kreideformation des Ssimbirskischen Gouvernements.

Da dieser Sandstein, welcher in Russland auf dem ungeheuren Raum zwischen den Flüssen Djesna und Wolga angetroffen wird, phosphorsauren Kalk führt und zur Darstellung von phosphorsäurehaltigen Düng- mitteln angewandt werden kann, deren Gebrauch im Westen Europas sich mehr und mehr verallgemeinert, so erliess das Ministerium der Reichsdomainen die Anordnung, dass ich die im mittleren Russland sich vorfindenden Lager des Ssamorod, welche ich, nach dem Vorbilde Naumann's'), Apatitsandstein nen- nen will, untersuchen müge.

Im Sommer 1866 untersuchte ich die Lager des Apatitsandsteins in den Gouvernements Smolensk, Orel, Kursk und Woronesh; mein Freund Jermolow, welcher mich durch das Kurskische und Woronesh’- sche Gouvernement begleitete, verfolgte später die Untersuchung der Apatitsandstein-Lager im Tambow’- schen Gouvernement und stellte die von ihm gesam- melten Collectionen zu meiner Verfügung.

Aus all diesen Untersuchungen gewann ich die Überzeugung:

1) dass der Apatitsandstein im mittlern Russland nicht in einzelnen Lagern sich zeigt, sondern fast ununterbrochen durch das ganze nôrdliche Ende unserer Kreideformation (wie sie auf der Karte von Helmersen angeführt wird) von dem Fluss Djesna bis zum Don und weiter ins Tambow’sche und Ssim- birskische Gouvernement bis zur Wolga sich hinzieht.

2) dass der Apatitsandstein, zum wenigsten an dem nürdlichen Rande unser Kreideformation, als ein con-

1) EF. Naumannn’s Lebrbuch der Geognosie. 1862. II. 977.

stantes und unausbleibliches Bildungsglied auftritt und, ähnlich der Kreide, ein determinirtes Gestein vorstellt. Bei der Betrachtung einer Menge von Entblüssungen der Gebirgsart an verschiedenen Orten habe ich keine einzige getroffen, wo etwa die Kreide, über dem Apatitsandstein lagernd, in unmit- telbare Berührung mit dem unterhalb des Apatitsand- steins anstehenden Grünsande gekommen wäre. Zwi- schen Kreide und Sand habe ich immerdar Apatit- sandstein in Platten oder in Form von Knollen ange- troffen.

Ohne hier auf eine detaillirte Beschreibung der vielen von mir in Augenschein genommenen Entblôs- sungen und ohne auf die chemische Bestimmung der Gebirgsarten einzugehen, welche unsere Kreïdeforma- tion constituiren was den Gegenstand einer beson- deren Abhandlung bilden sol”) will ich nur in allgemeinen Zügen die Reihenfolge der Lagerung der Gebirgsarten an dem Nordrande unserer Kreidefor- mation schildern, da sich dies für eine genauere An- gabe der Lagerstätten jener fossilen Pflanzen - und Knochenreste, deren chemische Untersuchung den Ge- genstand vorliegenden Mémoire’s bildet, als nothwen- dig herausstellt.

Unsere Kreideformation im nürdlichen Bezirke, den ich allein nur untersucht habe, besteht aus nachfol- genden Gliedern in absteigender Reihenfolge:

A, Thonige Kreidemergel,

Diese Thonmergel sind, ihrer Zusammensetzung nach, sehr verschiedenartig. Bei der Analyse der Thon- mergel verschiedener Localititen ergaben sich 84,9%, 54,7, 38,62/,, 36,9%, 30,72, 30,09 Glimmerthon und dem entsprechend 1,45, 34,6%, 50,43%, 53,07, 63,097 und 64,457 kohlensaurer Kalk.

B. Weisse Kreide,

Die Kreide ist ziemlich rein; in Proben von ver- schiedenen Ortlichkeiten wurde 0,477, 1,519, 2,75% unlôslichen Thons und dem entsprechend 96,73, 96,987, 96,077, kohlensauren Kalks gefunden.

2) Die Resultate der in dem Laboratorio des landwirthschaftlichen Instituts ausgeführten chemischen Untersuchung der den Ssamorod begleitenden Gebirgsarten und des Ssamorod verschiedener Locali- täten werden demnächst im Journal des Ministeriums der Reichs- Domainen im Druck erscheinen.

397

C. Sandige Kreidemergel,

Die Zusammensetzung dieser Sandmergel, aus Quarzsand und Kreide bestehend, ist sehr verschie- denartig. Die Kreide geht augenscheinlich, in Folge des Zutritts von Sand, nach und nach in Sandmer- gel über. In den oberen Schichten stellen diese Mer- gel eine sandige Kreide vor, welche allmählich, durch Beimengung von Sand, in Sandmergel und schliesslich in einen lockeren Kreidesandstein übergeht, der aus, durch Kreidecäment schwach gebundenem, Sand be- steht. Die Analysen ergeben in der Sandkreide der oberen Schichten 14,527 Quarzsand und 83,127, koh- lensauren Kalk, in dem Kreidesandmergel 31,86, Sand und 64,657, kohlensauren Kalk, in dem lockeren Kreidesandstein aus der unteren Schicht 54,67, Sand und 40,3°, kohlensauren Kalk.

Zugleich mit dem Sande erscheinen in der Kreïide glänzende, wie mit Glasur überzogene, schwarze, dun- kelgrüne oder zimmtbreune Apatitsandstein - Knollen von der Grüsse eines Stecknadelkopfes bis zu der einer Wallnuss, deren Menge sich, proportional der Quan- tität Sand in der Kreide, vermehrt, so dass die untern Schichten des Sandmergels und des Kreidesandsteins, welche viel Sand enthalten, mit solchen Knollen über- füllt sind. Mitunter ist die unterste Schicht des Sand- mergels mit diesen Knollen so angefüllt, dass sie eine Gesteinsart darstellt, welche aus einem (emenge von Sand mit rundlichem Apatitsandstein, schwach ge- bunden durch Kreide, besteht.

Die in dem Sandmergel zerstreuten Knollen des Apatitsandsteines zeigen sich als schwarze, dunkel- grüne, zimmtbraune, an ihrer Oberfläche mit Glasur überzogene Kügelchen. Bezüglich ihrer Zusammen- setzung sind diese Knollen dem durch Claus analy- sirten Apatitsandstein in so weit ähnlich, als sie aus Sand bestehen, welcher durch ein Cäment aus phos- phorsaurem und kohlensaurem Kalk gebunden wird. In den Knollen verschiedener Localititen wurde ge- funden 34,89 und 25,87, Quarzsand und dem ent- sprechend 17,90 und 22,07, Phosphorsäure (Ph 0°); diese Knollen unterscheiden sich aber von dem Apa- titsandstein in Platten darin, dass sie weniger Sand, dagegen mehr Phosphorsäurecäment enthalten. Mit diesen Knollen zugleich haben wir in dem Kreide-

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

39

sandmergel keinerlei Kuochen oder fossile Pflanzen- reste wahrgenommen.

D, Apatitsandstein,

Der Apatitsandstein dieser Schicht erscheint ent- weder in Gestalt von Knollen verschicdener Grôsse, oder in der Form compacter Platten (Kliesen oder Quadersteinen). Die Sandsteinplatten, welche eine namhafte Mächtigkeit (bis zu 8 Zoll) erreichen, be- stehen aus, mit einander verbundenen nierenférmigen, stalaktitartigen Tropfsteinen. Die Oberfläche der Plat- ten ist mit einer glänzenden, wie glasurten, aber une- benen Rinde bedeckt, mit mehr oder weniger hervor- ragenden nierenartigen Erhühungen. Die untere Fläche der Platten ist uneben und schickt in den unter der Platte lagernden Sand nierenfôrmige (stalaktitartige) Ausläufer aus. In der Schicht D des Apatitsandsteins,

| . . . wie in der Platte selber, so auch in dem Sande unter

der Platte, zwischen den sich in den Sand vertiefen- den Tropfsteinen, kommen in Menge wohl erhaltene Knochen und versteinertes Holz vor.

Die Fliesen des Apatitsandsteins werden in Kursk zum Strassenpflaster und zu Bauten verwandt und, in kleine Stücke gehauen, auch zum Belegen der Chausseen gebraucht. Zwischen der Stadt Kromy und Kursk ist der Weg ebenfalls durchgehends mit Apa- titsandstein gepflastert; gleichermaassen von Brjänsk nach Rosljawl auf einer Streke von 50 Werst und eben so auch die Chaussee zwischen der renommir- ten Malzow’schen Zuckerfabrik Ljubachna und Djätkowo. Am Nordrande der Kreideformation, wo es andere feste Gesteine nicht giebt, bildet der Apa- titsandstein das einzige für Bauten überhaupt taug- liche Material und findet demgemäss eine ausgedehnte Anwendung zu diesem Zweck.

E, Grünlichgelber Sand, vorläufig von mir noch nicht chemisch untersucht.

F, Zweite Schicht Apatitsandstein

als verriebene Knollen, verschieden geformt. Diese Knollen liegen schichtweise im Sande, ohne mit ein- ander verbunden zu sein, vielmehr einer von dem an- dern gesondert. Unter ihnen findeu sich Knochen und Bruchstücke versteinerten Holzes. Letztere sind bis- weilen durch Sandsteinmasse verbunden, an ihrer

399

Bulletin de l'Académie Hmpériale

400

Oberfläche mit einer dünnen schwarzen Rinde bedeckt und wie die Knollen verrieben, so dass man sie nach dem äusseren Aussehen von diesen letzteren oft nicht zu unterscheiden vermag.

G. Gelber, grauer, weisser Quarzsand und Sandsteine,

Die Analyse der Apatitsandsteine von verschiede- pen Localitäten haben erwiesen, dass ihre Zusam- mensetzung ausserordentlich differirt; hinsichtlich der Merge von Sand und Cäment weichen sie von der Constitution des durch Claus analysirten Sandsteins sehr ab. Im Kursker Sandstein fand Claus 50,07, Sand und 13,6%, Phosphorsäure. Sehr nahekommend den Claus’schen Angaben hat mein Assistent Lat- schinow in einer Kursker Platte von Apatitsandstein 57,0%, und 53,70, Sand und, dem entsprechend, 13,207, und 14,25", Phosphorsäure gefunden. In Knol- len aus Brjänsk fand Latschinow 48,257, Sand und 15,407 Phosphorsäure; in Knollen aus dem Kreide- sandstein verschiedener Ortlichkeiten 34,89 und 25,87, Sand, dagegen Phosphorsäure zu 17,90 und 22,07; aus Ljubachna, der Malzowschen Fabrik, mit 9,5%, Sand und 28,657, Phosphorsäure. Die an- geführten Zahlen zeigen, dass der Apatitsandstein gewisser Orte, insbesondere gilt dies von dem Lju- bachna’schen, sehr reich an Phosphorsäure ist und in dieser Beziehung den Pseudokoprolithen, die man in England findet, nicht nachsteht.

Obgleich indessen der quantitative Gehalt an Phos- phorsäure in den manichfachen Apatitsandsteinen sehr verschieden ist, wird diese Verschiedenheit nichts desto weniger durch den ungleich grossen Gehalt von Sand in ihnen einzig und allein bedingt. Der den Sand bindende Cäment hat fastimmer dieselbe Zusammensetzung, Phosphorsäure gegen 30% enthaltend.

Da der Werth des Sandsteins für die Düngerberei- tung von dem Gehalt an Phosphorsäure abhängig ist, so ist in dem Laboratorium des landwirthschaftlichen Instituts eine Reihe Untersuchungen von Sandsteinen aus verschiedenen Orten eingeleitet, deren Resultate ich in einem besonderen Mémoire auseinander legen werde.

Der den Sand im Sandsteine bindende Cäment be- sitzt eine geringere Härte, als der Sand selber; in Folge dessen wird der Cäment beim Verreiben des

Steines in ein feineres Pulver verwandelt, als der Quarz- sand, und darauf hin lässt sich aus einem in ein feines Pulver zerriebenen Apatitsandstein durch Schlämmen mit Wasser ein Pulver erhalten, welches, wie mich Versuche gelehrt haben, viel reicher an Phosphor- säure ist, als ursprünglich der Sandstein.

Fossile Knochen, unter welchen in Menge grosse Wirbel von Sauriern und Fischen sich finden, sowie auch fossile Hülzer, kommen, wie bereits früher er- wähnt, in beiden Schichten, D und F, des Apatit- sandsteins vor. In der Schicht D liegen die Knochen und die Stücke Holz entweder gesondert im Sande, oder verwachsen mit der Masse des Sandsteins. In der Schicht F treffen wir die Holzstücke gewôhnlich in der Form von runden Steinen an, die sich äus- serlich durch Nichts von den Apatitsandstein-Knollen unterscheiden, ja sehr oft ist in diesen Knollen das Holz geradezu mit der Sandmasse des Apatitsand- steins legirt.

Die Trümmer fossiler Hülzer, welche grossentheils in den Betten der Erdklüfte, ausgewaschen aus ihren ursprünglichen Lagern, gefunden werden, gehôren ohne allen Zweifel zu den Schichten D und F des Apatitsandsteins. Dies geht daraus hervor, dass auf etlichen Trümmern, die man in den Schluchten bei den Entblüssungen findet, Ansätze von Apatitsand- steinen wie dem Holze zugewachsen getroffen werden (worauf schon Helmersen hinwies), daraus, dass man das Holz selbst in den Apatitsandstein hineinge- wachsen findet, daraus, dass die ins Holz genagten Bohrlücher mit der Masse des Apatitsandsteins ange- füllt sind und schliesslich durch die chemische Zusammensetzung der fossilen Hülzer.

Professor Mercklin”), welcher versteinertes Holz derselben Formation, geliefert durch Hrn. Kiprija- now, untersucht hat, meinte (zweifelsohne, weil das Holz mit Säuren schäumt), dass dasselbe durch koh- lensauren Kalk versteinert set.

In der Voraussetzung, dass dieses Holz sich bereits in einer Masse von Sand befunden zur Zeit, wo der Sand, nach der Annahme des Grafen Keyserling und des Professors Claus, sich mit der Knochenlüsung tränkte, welche den Sand nach und nach durch ein Knochencäment zu der dichten Masse des Apatitsand-

3) Mercklin, Palaeodendrologikon Rossicum. S. 69.

460

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

402

steins verband, nahm ich a priori an, dass unser ver- steinertes Holz phosphorsauren Kalk enthalten müsse. Und in der That lieferten zahlreiche, von mir ausge- führte, Analysen fossiler Hülzer unserer Kreideforma- tion von den verschicdensten Punkten des ungeheu- ren Terrains zwischen Djesna und Wolga, die positi- ven Beweise, dass dieses Holz dieselbe Zusam- mensetzung besitze, wie die gleichzeitig mit ihnen vorkommenden fossilen Knochen nnd wie der den Sand im Apatitsandstein bindende Cäment.

Diese versteinerten Hülzer enthalten phosphorsau- ren Kalk und Magnesia, kohlensauren Kalk, Fluor- calcium und eine geringe Beimengung vou schwefel- saurem Kalk, Eisenoxyd, Alkalien und organischem Stoff. Bei der Lüsung in Salzsäure scheiden sie, ganz wie die Knochen und der Apatitsandstein, einen Naph- thageruch “) aus und hinterlassen eine amorphe harz- artige organische Substanz.

Die Analysen wurden in folgender Weise ausge- führt. Stückchen des Holzes wurden in erwärmter ver- dünnter Salzsäure gelôst und der ungelôst bleibende Rückstand auf ein gewogenes Filter gebracht. Durch Glühen ward im Rückstande der Gehalt an Mineral- stoffen bestimmt, die Quantität organischer Substanz ergab sich aus der Diflerenz gegen das Trockenge- wicht. Die salzsaure Lüsung wurde in einer Platin- schale beinahe zur Trockne gebracht, sodann, nach Hinzufügung von Wasser und Schwefelsäure, auf dem Wasserbade verdampft und endlich noch mit Vorsicht auf einem Sandbade erhitzt bis zur vülligen Entfer- nung von HCI und HFI. Hierauf wurde mit Wasser erwärmt und, nachdem die Lôsung erkaltet war, der Gyps durch Weingeist gefällt. Die spirituüse Lôsung wurde verdampft, mit etlichen Tropfen Künigswasser der Rückstand erwärmt und dann durch Ammoniak und Essigsäure phosphorsaures Eisen gefällt und dar- nach aus der Lüsung durch Ammoniak phosphor- saure Magnesia, und nach dem durch die sogenannte Fresenius’sche Magnesialmixtur Phosphorsäure.

Aus dem phosphorsäuren Eisen fällte man die Phos- phorsäure durch die Magnesialmixtur unter Mitwir-

4) Denselben Gerach nimmt man wabr, wenn man zwei Stücke Apatitsandstein an einander schlägt; dies kann füglich als ein be- quemes Erkennungsmittel für die Apatitsandstein- Knollen dienen; mit ihm kommen keinerlei Gesteine vor, welche dieselbe Eigenthüm- lichkeit besässen.

Tome XII.

kung von Citronensäure. Das Eisenoxyd berechnete sich aus der Differenz. In einigen sehr wenig Eiïsen enthaltenden Proben wurde die Lüsung, nach Füäl- lung des Gypses, nicht mit Essigsäure behandelt, son- dern direkt durch Ammoniak gefällt.

Bei einigen Analysen (L. b., VII, IX, X, XV.) wurde der Kalk direkt in Gegenwart von Essigsäure durch kleesaures Ammoniak gefällt, in diesen Fällen aber wurde das phosphorsaure Eisen durch essigsaures Ammoniak gefällt und phosphorsauren Kalk und Fluor- calcium enthaltend, wie bei den anderen Analysen, mit Schwefelsäure behandelt.

Alle Bestimmungen der Kohlensäure wurden durch den Hrn. Kostytschew nach der Methode von Kolbe°) ausgeführt, wobei die CO* durch Chlorwas- serstoffsäure ausgeschieden und direkt durch Absorp- tion in Âtzkali bestimmt wird.

L Versteinerte Holzstücke aus Brjänsk an der Djesna,

In den ausgezeichneten Entblüssungen der Umge- bung von Brjänsk und in der Stadt selbst kann man die ganze Reihenfolge der Glieder unserer Kreidefor- mation beobachten, mit den Thonmergeln beginnend und mit der unteren Sandschicht endigend. Ich habe hier freilich unmittelbar in der Schicht der Apatitsand- stein-Knollen keine versteinerten Hülzer angetroflen, gleichwie auch Hr. Helmersen, welcher die Brjänski- schen Entblüssungen umständlich beschrieben hat, aber Stücke von Holz, ausgeschwemmt in den Schluch- ten am Fusse der Entblüssungen des Gebirges, findet man hier in Menge. Ich habe viele Stücke verstei- nerten Holzes gesammelt, sie heraussuchend aus den Haufen der Knollen des Apatitsandsteins, die man auf dem Stadtplatze, behufs Pflasterung der Strassen und Wege, angeführt hatte. Das versteinerte Holz findet sich hier in der Gestalt von verschiedenartig geformten grünlichschwarzen Knollen, welche, wie auch die Knollen des Apatitsandsteins, mit dünner schwarzer Rinde überzogen sind. Nach dem äusseren Ansehen dieser Knollen zu schliessen, gehürt jenes Holz der Schicht Fan.

a) 2,266 Grm. fossilen Holzes verloren bei 120° 0,01 Grm. oder 0,457, und gaben unlôslicher in HCI organischer Substanz 0,o112 Grm. oder 0,51/;

5) K. Kolbe. Das chemische Laboratorium der Universität Mar- burg. S. 241. 26

403

unorganiseher 0; ferner gaben sie 2,866 Grm. Ca. SO, entsprechend 52,519 CaO, 0,0035 Grm. oder 0,15, phosphorsaures Eisen, 0,0257 pyrophosphorsaure Mag- nesia, was 0,4%, MgO und 0.737, PhO*, und noch 1,13 Grm. pyrophosphorsaure Magnesia, entsprechend 32,1%, PhO°. In Summa Phosphorsäure 32,84%,. 1,3391 Grm. Holz gaben 0,092 CO oder 6,867,

1,0112 0,068 » » 6,737,

8,3395 » » » 0,377 BaO. SO* oder 1,55} S0°.

Das Pulver des Holzes schied, bei der Erwärmung mit Schwefelsäure, HFI aus.

b) Dasselbe Holz. 1,922 Holz gaben unlôslichen in À Rücktand 0,2302 Grm. Die Lôsung, gefällt durch kleesaures Ammoniak u. s. w., gab 2,101 CaO. SO* oder 45,027, Kalk, 0,02 Grm. pyrophosphorsaure

» » »

Bulletin de l’Académie Impériale

Magnesia oder 0,407, MgO und 0,697, PhO° und noch O,n1 pyrophosphors Magnesia, entsprechend 30,02 Phosphorsäure.

0,2302 Grm. des in A unlôslichen Rückstandes gaben bei der Bearbeitung mit Schwefelsäure u. s. w. 0,34 Grm. CaO. SO”, entsprechend 7,287, CaO, 0,0053 Grm. oder 0,27, phosphorsaures Eisen und noch 0,0697 Grm. pyrophosphors. Magnesia, entsprechend 2,37, PhO°.

8,5395 Grm. Holz gaben 0,0624 unlôslichen in HCI Rückstand; beim Glühen desselben hinterblieb 0,0072 Grm. oder 0,087, Mineralsubstanzen und verbrannte 0,0552 Grm. oder 0,66 organischer Substanz.

I.

&. b. Hygroskopischer Feuchtigkeit 045%. Organischer Substanz : 0,51 0,66 Unlôslicher in HCI Mineralsubstanzen 0,08 Kalk . 592,51 0 52,30 Magnesia 0,42 0,40 Schwefelsäure 1,55 Kohlensäure . 6,86 6,73 Phosphorsäure . DSL D D Phosphorsaures Eisen 0,15 0,27

IL Versteinertes Holz aus Ljubachna am Flusse Bolwa (Malzow’s Fabriek, im Brjänskischen Kreise).

Hier kommen die oberen Glieder der Kreideforma- tion nicht vor, an die Erdoberfläche tritt direkt der Sand mit der unteren Schicht der Knollen des Apa- titsandsteins aus Z. Die Knollen bilden eine Schicht

im Sande auf unbedeutender Entfernung von der Ober- |

404

———————_—_——p

fäche und werden durch direkten Abbau für die Re- paratur der Chaussec gewonnen. Die schwarzen Knol- len sind ihrem Aussehen nach den in England vor- kommenden Pseudokoprolithen sehr ähnlich und ent- balten 28,657, PhO°. Baumstücke, Fischzähne, Mu- schelschalen u. d. gl. kommen gleichzeitig im Sande mit den Knollen des Apatitsandsteins vor.

1,347 Grm. des versteinerten Holzes verloren bei schwachem Glühen 0,0423 Grm. oder 2,42 und gaben 0,0042 Grm. oder 0,2% unlôslicher in HCI unorgani- scher Stoffe. Sodann gaben sie 2,219 Grm. CaO, SO oder 52,307, CaO, 0,025 Grm. 2 Mg0. PhO* oder 0,58, MgO und 0,907, PhO° und noch 0,854 Grm. 2 Mg0. PhO® oder 32,127, PhO°; in Summa PhO° 33,02”.

I. Versteinertes Holz aus Korennaja an dem Flusse Tuskori in der Nähe von Kursk,

Diese Holzüberbleibsel, nach ihrem äusseren Aus- sehen den Brjänskischen sebr äbnlich, finden sich in Menge in Form grünlichschwarzer Knollen in der zweiten Schicht der Apatitsandstein-Knollen. Alle Proben wurden aus Haufen entnommen, welche man in einem klôsterlichen Steinbruch gewonnen hatte. Dass dieselben zur Schicht Æ gehôüren, schliesse ich aus ihrer Âhnlichkeit mit den Apatitsandstein-Knollen aus F.

1,9316 Grm. des Holzes verloren bei schwachem Glühen 0,o186 Grm. oder 0,967; und gaben 0,009 oder 0,467, unlôslichen in HCI Rückstand. Nachher gaben sie 2,466 Grm. CaO. SO* oder 52,577, CaO, 0,009 Grm. oder 0,167, phosphorsaures Eisen, 0,019 Grm. 2 MgO. PhO* oder 0,367, MgO und 0,62 PhO° und noch 0,985 Grm. 2 MgO, PhO oder 32,327, PhO”; im Gan- zen 32,947, PhO°.

1,635 Gr. d. foss. Holzes gaben 0,107 Gr. 0d. 6,557, CO?, DL DID D EE) » » 0,1527 » » 6,24 »

IV. Versteinertes Holz aus Katowez im Kurskischen Kreise.

Versteinertes Holz und Knochen kommen hier in Menge vor in der Schicht À) des Apatitsandsteins. Dieses Holz unterscheidet sich von anderem durch seine geringe Festigkeit; es ist von hellbrauner Farbe, in seinem Aussern dem gewühnlichen braunen faulen Holz durchaus äholich und mit Leichtigkeit in den Fingern zu einem Pulver zu zerrciben.

405

des Seiences de Saint-Pétersbourg.

406

2,0156 Grm. Holz verloren an Gewicht bei schwa- chem Glühen 0,054 Grm. oder 2,697, und gaben 0,001 Grm. oder 0,047 unlôslichen in HCI mineralischen Rückstand. Es wurden ferner erhalten 2,525 Grm. CaO, SO° oder 51,64°, CaO, 0,056 Grm. phosphorsau- res Eisen, 0,024 Grm. 2 MgO, PhO° oder 0,467, MgO und 0,75%, PhO* und noch 0,967 Grm. 2 MgO, PhO° oder 30,417, PhO°,

0,056 Grm. phosphorsauren Eisens gaben 0,04 Grm. 2 MgO, PhO° oder 1,257, PhO° und als Differenz 0,031 Grm. oder 1,53°/ Fe*O°, Phosphorsäure war so- mit im Ganzen 32,41°.

2 1038 Holz gaben 0,1%67 Grm. CO oder 6,02”.

1,6295 » » 0,0985 » PAPA 04

Der Procentgehalt der letzten drei Hôülzer ist also:

IL. II. IV. Verlust beim Glühen 2,2% 0,967 2,697, In Salzsäure unlôüsl. Rückstand 0,24 0,46 0,04 Kalk 128004425714 01:64 Magnesia . 0,58 0,36 0,46 Phosphorsäure . 33,02 : 32,94 32,41 | 6,55 Kiphlensanre | 0. ue, und 6,02 À 6,24 Bien nel /. Ru 1,53 Phosphorsaures Eisenoxyd 0,46

Zum Vergleiche führte ich noch die Analysen ver- steinerten Holzes aus der Kreideformation anderer Ortlichkeiten Russlands aus, zumal des Holzes aus den Gouvernements Tambow und Moscau.

V, Fossiles Holz aus dem Dorf Bytschki an dem Fluss Kersch im Tambow’sehen Gouvernement,

Dieses Stück versteinertes Holz erhielt ich von Hrn. Kulibin, der das Tambow’sche Gouvernement geognostisch untersuchte, Das Holzstück an dem Fluss Kersch fand sich in dem grünlichgrauen Sand- steine. Hr. Jermolow traf ebendaselbst Lager von Knollen des Apatitsandsteins an.

1,469 Grm. des Fossils verloren bei starkem Glü-!

hen 0,0806 Grm. oder 5,487, und gaben 0 unlôslichen in HCI Mineralstoffs. Ferner wurden erhalten 1,8476

Grm. CaO. S0* oder 51,59, Ca0, 0,086 Grm. phos- |

phorsaures Eisen, 0,015 Grm. 2Mg0. PhO*, was 0,57”

0 !

0,0486 Grm. phosphorsaures Eisen lieferten 0,035 Grm. 2 MgO. PhO*, was 0,024 Grm. oder 1,73, FeO* und 0,022 Grm, PhO° entspricht. In Summa Phosphorsäure 0,5148 Grm. oder 36,257. Kohlensäure wurde erhalten aus 1,671 Grm. Holz 0,0687 Grm. oder 4,11.

VI, Versteinertes Holz aus den Dubassow'sehen kleinen Hôfen am Flusse Starke unweit Spassk, Gouv, Tambow.

Hr. Jermolow fand dieses Bruchstück in der Schicht des knolligen Apatitsandsteins, welche sich in den Quarzsandstein hineinzieht. Dieses Holz ist, gleich X IV aus Katowez, ausgezeichnet durch seine geringe Festigkeit und verreibt sich ebenfalls leicht in den Fingern zu einem Pulver, es ist indessen nicht von brauner Farbe, sondern von schmutzig weisser.

0,8824 Grm. des Holzes gaben, nach dem Glühen, mit HCI (wobei sich H°S entwickelte) keinen unlôsli- chen unorganischen Rückstand: erhalten wurden: 1,122 Grm. CaO. SO* oder 51,907, CaO, 0,0204 Grm. phosphorsaures Eisen, Spuren von Magnesia und end- lich O,a742 Grm. 2 Mg0O. PhO”, entsprechend 34,067, PhO*.

0,0204 Grm. phosphorsaures Eisen gaben 0,0163 Grm. 2 Me0. PhO*, entsprechend 1,177, PhO° und, nach der Differenz, O,o101 Grm. oder 1,157, Fe*O*. Phos- phorsäure im Ganzen 35,23

1,9165 Grm. des Holzes gaben 0,066 Grm. oder 3,47 Kohlensäure.

VIT, Versteinertes Holz aus dem Moskauschen Gouvernement,

Lager von Knollen des Apatitsandsteins hat man anch im Dmitrow’schen Kreise des Moskauer Gou- vernements gefunden. Zur Zeit meiner Anwesenheït in der Petrowsker landwirthschaftlichen Akademie im Herbst des vorigen Jahres, wies mich Professor Auerbach auf eine Menge solcher zu Düngungsver- suchen herbeigeschafften Apatitsandsteine aus dem Dmitrower Kreise hin.

Diese Dmitrow’schen Knollen sind sehr sandhaltig und bestehen aus grobkürnigem, durch Phosphorcä- ment verbundenen, Quarzsande; sie ähneln vollkom- men den Steinen aus Lagern, welche ich im Orel’schen und Woronesch’schen Gouvernement besichtigt habe

MgO und 0,0095 Grm. PhO* entspricht, ferner 0,767 | und haben wohl ohne Zweifel denselben Ursprung.

Grm. 2 Mg0. PhO® entsprechend 0,4862 Grm. PhO°.,

In einer von solchen Knollen fand ich, als ich sie 26*

40%

Bulletin de l’Académie Impériale

408

zerhieb, ein Stück, in die Masse des Apatitsandsteins hineingewachsenen, fossilen Holzes, nach seinem äus- seren Habitus vollkommen dem vorher beschriebenen ähnlich.

1,2914 Grm. dieses Holzes verloren, bei schwachem Glühen desselben, 0,0241 Grm. oder 1,9% und gaben 0,026 Grm. oder 2,017, unlüslichen in HCI Sand. Fer- ver wurden erhalten 1,57 Grm. CaO. SO* oder 50,06", CaO, 0,0165 Grm. 2 MgO. PhO oder 0,46, MgO und 0,817, PhO° und noch 0,687 Grm. 2 MgO. Ph0*, welche 33,12%, PhO° entsprechen, so dass im Ganzen der Phosphorsäuregehalt sich auf 34,537 herausstellte.

Y. VI. VIL. Glühverlust . . bus 1,907, Unlôsliches in Salzsäure 2,01 Kalk . . 51,79 51,90 50,06 Magnesia . 0,37 Spuren 0,46 Phosphorsäure . 35,25 35,23 34,53 Kohlensäure 4,11 3,44 Eisenoxyd 1,73 1,15

Zur Entscheidung, ob irgend welche wesentliche Differenzen bestehen in der Zusammensetzung der fossilen Bäume aus den verschiedenen Schichten D und # und andererseits der Bäume, welche in dem oberen und unteren Theil einer und derselben Schicht angetroffen werden, hat, auf meine Bitte, mein Assi- stent Hr. Latschinow analysirt:

VIII, Ein fossiles Holz aus em Dorf Uschakowka bei Kursk,

Hier befinden sich die hauptsächlichsten Steinbrüche des plattenfrmigen Apatitsandsteins, welcher nach Kursk zu Bauten und zur Strassenpflasterung geliefert wird. Das Holz lag in der Masse des Apatitsandsteins ‘selber und zwar in dem obern Theile der Platte unter einer Schicht Rinde, womit die Oberfläche der Platte bedeckt war;

IX. Ein fossiles Holz von demselben Fundorte, welches in der Masse des Apatitsandsteins selber, in dem unteren Theile der Platte lag, und

X, Ein fossiles Holz aus Grankino im Orel'schen Gouvernement,

Dieses versteinerte Holz, vom Apatitsandstein durchwachsen und äusserlich in Nichts von den Knol- len des Apatitsandsteins sich unterscheidend, wurde

von mir unmittelbar aus der Schicht der Apatitsand- steinknollen #, welche in den Sand unterhalb der Schicht mit den Platten in D hineinragt, aus einer der Schluchten bei dem Dorfe Grankino hervorgeholt.

Bei der Analyse der letztgenannten drei versteiner- ten Hülzer erhielt Hr. Latschinow folgende Resul- tate:

VIII. Xe Xe Flüchtiger Stofte 3,05 2,70 » Kalk 52,65 52,80 52,85 Magnesia . 0,40 0,45 0,50 Phosphorsäure 34,90 34,25 30,90 Kohlensäure 3,63 °) _ Fluor . 4,75 4,75 Eisenoxyd. . . . 0,35 0,40 0,60

Professor Mercklin hat die ihm von Hrn. Kipria- now zugestellten fossilen Bäume aus der Formation des Apatitsandsteins mikroskopisch untersucht, die- selben in seinem Palacodendrologikon Rossicum (S. 69.) unter dem Namen Cupressinoxzylon Kiprianovi beschrie- ben und unter KV 7 und 8 auf der XIX Tafel der seinem Werke beigegebenen Abbildungen dargestellt.

Ich wandte mich an den Professor Mercklin mit der Bitte um Probestücke von jenen Hülzern, die er beschrieben hatte, zur Analyse derselben, und war so glücklich das Erbetene zu erhalten. Ich halte es da- rum für meine Pflicht, Hrn. Professor Mercklin hier- mit üffentlich meine tiefgefühlteste Dankbarkeiït dar- zubringen für die mir durch ibn bereitwilligst gege- bene Môüglichkeit, die von ihm genau bestimmten Exemplare der fossilen Bäume aus dem Apatitsandstein, chemisch zu untersuchen. Die von Hrn. Mercklin erhaltenen erwiesen sich nach ihrem äussern Habitus den in meiner Collection sich vorfindenden täuschend äbhnlich.

XI Untersuchung einiger Stückehen Cupressinoxylon Kipria- novi von dem Exemplar, welches durch Hrn, Mercklin mikroskopisch bestimmt wurde,

1,458 Grm. gaben 0,007 Grm. oder 0,49", unlôsli- cher in HCI organischer Substanz, von unorganischen Stoffen aber Nichts. Ferner wurde erhalten: 1,8196 Grm. CaO. SO* oder 52,627, CaO, 0,16 Grm. 2 MgO. PhO® oder 0,4%, MgO und 0,1%, PhO° und noch

6) Nach der Bestimmung des Hrn. Kostytschew.

409

0,747 Grm. 2 MgO. PhO* oder 33,25! zen aber 33,6%, Phosphorsäure. 0,7965 Grm. gaben 0,0548 Grm. od. 6,887 Kohlensäure.

, PhO”, im Gan-

XII, Cupressinoxylon Kiprianovi,

dargestellt auf Tafel XIX des Mercklin’schen Werkes unter X 7.

1,6973 Grm. des Holzes gaben 0,0111 Grm. oder 0,65%, organischer, in HCI unlôslicher Substanz. Fer- ner wurde erhalten 2,18 Grm. CaO. SO* oder 52,887, Ca0, 0,015 Grm. 2 MgO, PhO* oder 0,327, MgO und 0,567, PhO° und noch 0,8783 Grm. 2 Mg0O. PhO* oder 392,797, PhO’, im Ganzen 33,357, Phosphorsäure.

1,1418 Grm. des Baumes gaben 0,0742 Grm. oder 6,4 Kohlensäure.

XIII. Cupressinoxylon Kiprianovi, dargestellt auf Tafel XIX unter À 8.

1,875 Grm. des Holzes verloren bei schwachem Glühen 0,0518 Grm. oder 2,76°, und gaben 0,0016 Grm. oder 0,08, organischer und unorganischer Substan- zen, unlôslich in HCI. Ferner wurde erhalten 2,917 Grm. CaO. SO* oder 52,57%, CaO, 0,0255 Grm. 2 Mg0. PhO° oder 0,4%, MgO und 0,867, PhO° und noch 0,959 Grm. 2 MgO. PhO* oder 32,44, PhO, im Gan- zen 33,307, Phosphorsäure.

1,2635 Grm. des Baumes gaben 0,0787 Grm. oder 6,237, Kohlensäure.

Es haben demnach die durch Professor Mercklin determinirten versteinerten Hülzer die gleiche Zusam- mensetzung mit den von mir selbst eingesammelten:

XI. XI. XIII. (6111111 1513 LC] SSSPRRESPENNRRRE 2,16%, In Salzsäure unlôslicher } organischer Substanz . 0,497, 0,65 | . In Salzsäure unlôslicher ut anorganischer Substanz | Kalk -. . 52,62 52,88 52,57 Magnesiannhauu) cnstedebt 0,41 0,32 0,49 Phosphorsäure . . . . . . 33,96 33,30 33,30 Kohlensäure . 6,88 6,49 6,23

In dem grüsseren Theil der fossilen Baumstämme finden sich, wie schon Mercklin beobachtet hatte, Bohrlücher vor, welche mit einer schwarzen, sandi- gen, dichten, dem Apatitsandstein ähnlichen Masse angefüllt sind. Ich habe diese Masse, aus den Bohr-! lüchern eines Stückes Baumstamm entnommen, der |

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

Analyse unterworfen.

410

XIV, Sehwarze Masse aus den Bohrlôchern fossiler Baumstücke,

Die Masse, welche ich der Analyse unterwarf, entstammte einem Stück Holz, das in dem Bruch des Apatitsandsteins bei dem Dorfe Putschino im Kurski- schen Gouvernement aufgefunden wurde. Aus diesem Steinbruch wird die Chaussée zwischen Orel und Kursk remontirt.

Die sandige schwarze Masse lüst sich in Salzsäure mit Verbreitung eines Naphthageruchs und hinter- lässt Sand und eine schwarze organische Substanz.

2,529 Grm. der Masse gaben 1,1656 Grm. oder 46,087 Sand; 1,595 Grm. CaO. SO” oder 25,967, CaO. 0,112 Grm. phosphorsaures Eisen; 0,022 Grm. phos- phorsaure Magnesia, entsprechend 0,27, MgO und 0,0139 Grm. PhO° und noch 0,5324 Grm. phosphor- saure Magnesia, entsprechend 0,3575 Grm. Ph O*. Jene 0,112 Grm. phosphorsaures Eisen gaben 0.0886 Grm. phosphor- saurer Magnesia, entsprechend . . 0,0561 Grm. PhO”°.

0,4075 G. oder 16,1%. Auf Eisenoxyd kam 0,0559 Grm. 2,21 pCt. Zur Vergleichung führe ich an die Analyse (XV)

eines Apatitsandsteins, ausgeführt von Latschinow, und zwar:

XV, eines Pulvers, welches erhalten wurde durch Zerreiben einer bedeutenden Menge von Knollen des Apatitsandsteins aus Brjänsk durch gusseiserne vertikale Läufer,

XIV. XY. Organische Substanz . 0,50%, Sand. #41 46,087, 48,25 Kalle 7 900 25,96 24,35 Magnesia. M0 0,45 Phosphorsäure . . . . 16,11 15,40 Eisenoxyd . . . 2,21 0,65

Lassen wir den Sand weg und berechnen die Haupt- bestandtheile auf Procente, so erhalten wir als Zu-

sammensetzung acl

während Claus A. für den

Cäment d. Kurs-

XV. a. des Cäüments des Brjänsker

XIV. a. des Cüments der die Bohrlücher füllenden

Masse: Apatitsand- ker Ssamorod steins: angiebt: Kalk 48,15 47,05 49,22 Magnesia . 0,50 0,86 1,30 Phosphorsäure 29,97 29,75 27,20 Eisenoxyd. 4,09 1,25 4,40

AL

Bulletin de l’Académie Empériale

412

0 D 20 0 D 0 D

Von Hrn. Solsky, Secretär des St. Petersburger Vereins von Landwirthen, erhielt ich eine vortreff- liche Sammlung von Pseudokoprolithen, Apatiten, Phosphoriten u. s. w. aus verschiedenen Gegenden, zur Darstellung von phosphorsäurehaltigen Düngungs- mitteln gebraucht. Bei Vergleichung unserer Apatit- sandsteine mit den Exemplaren dieser Collection fand ich, dass unsere Apatitsandstein-Knollen die meiste Abnlichkeit mit den «nodules de phosphate de chaux» aus den Ardennen zeigen. Ich bat deshalb Hrn. J'er- molow, der die diesjährige Weltausstellung besuchte, mir franzôsische «nodules» zu verschaffen. Hr. Jer- molow bereiste die Ardennen und brachte mir von den dort erhaltenen «nodules» etliche mit. In der durch Hrn. Jermolow aus den Ardennen gewonnenen Collection befinden sich auch Stücke versteinerten Holzes, welches dort mit den «nodules» in Menge vorkommt. Dieses versteinerte Holz ist seinem äusse- ren Aussehen nach dem unsrigen vollkommen ähnlich. Des Vergleiches halber machte ich eine Analyse des frauzüsischen; aus ihr ging hervor, dass das Arden- nen - Holz mit dem unsrigen die gleiche Zusammen- setzung besitzt.

XVI. Versteinertes Holz aus Les Islettes (Dép. de Meuse).

1,5644 Grm. des Holzes verloren bei schwachem Glühen 0,052 Grm. oder 3,327, und gaben 0,007 Grm. oder 0,447, unlôslicher in HOI organischer und 0,0016 Grm. oder 0,10° , unorganischer Substanz. Ferner ga- ben sie 1.9482 Grm. CaO. SO* oder 51,98! Ca O, 0,043 Gr. phosphorsaures Eisen, 0,o188 Gr. 2 MgO. Ph0”, Roca 0,447, MgO und 0,76” PROS ma noch

0,7263 Grm. 2MgO. Ph0’, entsprechend 29,837, PhO*. 0,0412 Grm. phosphorsaures Eisen gaben 00284 Grm.

2Mg0.PhO*, entsprechend 1,147, PhO°. Im Ganzen

31,73, Phosphorsäure. Eisenoxyd, aus der Differenz

berechnet, 1,48%. 2,427 Grm. Holz gaben 0,1484

Grm. oder 6,1%, Kohlensäure. XVI. Glühverlust : 3,32 organische Substanz, unlôslich i in HCI 0,44 anorganische Substanz 0,10 Kalk . 51,28 Magnesia . 0,44 Eisenoxyd 1,48 Phosphorsäure . 31,73 Kohlensäure . 6,11

Bei der Untersuchung der Lager des Apatitsand- steins im mittleren Russland habe ich eine grosse Col- lection”) von Knochen, die zugleich mit versteinerten

7) Die von mir und Hrn. Jermolow zusammengetragencn Samm-

Hülzern sich in diesem Stein vorfanden, zusammen- gcbracht. Zum Vergleich habe ich Analysen dreier grosser Wirbel von verschiedenen Orten ausgeführt. Bei ihrer Auflüsung in HCI entwickelt sich derselbe Naphthageruch und hinterbleibt ein wenig organische Substanz, wie wir dies bei der gleichen Behandlung versteinerter Hülzer angeführt haben. Die Knochen enthalten, wie die Hülzer, auch FI. XVI. Ein Wirbel aus Brjänsk,

Dieser Wirbel wurde von mir zugleich mit Stücken versteinerten Holzes aufgefunden in den Haufen von Apatitsandstein-Knollen, welche auf dem Stadtplatze angesammelt waren.

1,66 Grm. des Wirbels verloren bei gelindem Glü- hen 0,046 Grm. oder 2,567, und gaben 0,0212 Grm oder 1,27°, unlôslich in HCI Sand und 0,0072 Grm. oder 0,43”, organischer Substanz; sodann gaben sie 2,027 Grm. CaO. SO oder 50,227, CaO, 0,024 Gr. PRSPOMEIUREE disen, 0,019 Grm. 2Mg0. PhO*, ent- sprechend 0,427, MgO und 0,012 Grm. Ph0”, und noch

0,791 Grm. 2MgO. Ph0”, entsprechend 0,5014 Grm. PhO°. 0,024 Grm. phosphorsaures Eisen gaben 0,0178

Grm. 2Mg0O. Ph0”, entsprechend 0,013 Grm. PhO*. Im Ganzen 0,5247 Grm. oder 31,57%, PhO°. Nach der Differenz 0,0127 Grm. oder 0,76, Fe° 0°.

1,4077 Grm. gaben 0,0827 Grm. oder 5,87, CO*.

XVII, Wirbel aus dem Dorfe Grankino des Orelschen Gou- vernements,

Dieser Wirbel wurde von mir in einer der Schluch- ten bei Grankino aufgefunden unmittelbar in der Schicht F der in dem Sande gelagerten Apatitsandstein-Knol- len. Der Wirbel lag in dem Sande horizontal (in der Richtung der Längenachse) zwischen den Knollen und war mit einem der letzteren schwach verbunden, von dem auf einer der Scheibchen des Wirbels ein wabr- nehmbarer Eindruck hinterblieben war.

1,6032 Grm. des Wirbels verloren bei schwachem Glühen 0,01466 Grm. oder 2,90°, und gaben 0,0284 Gr. oder 1 TT unlüslichen in HCI Sand und 0 unlôslichen organischen Stoffes; sodann gaben sie 1,9346 Grm. CaO. S0° oder 49,69, CaO, 0,0647 Grm. phosphor- saures Eisen, 0,01066 Grm. 2MgO.Ph0°, was 0,24), MgO und 0,0067 Grm. PhO° entspricht, und noch 0,7844 Grm. 2Mg0. PhO*, entsprechend 0,4972 Grm. PhO'.

lungen von Apatitsandstein und den ibn begleitenden Gebirgsarten, auch Sammlungen von versteinerten Hülzern, Knochen, Mollusken, des Chausseestaubes von mit Apatitsandstein gepflasterten Wegen u. del. werden aufbewahrt im chemischen Laboratorio des St. Pe- tersburger Landwirthschaftlichen Instituts.

A13

0,0647 Grm. phosphorsaures Eisen gaben 0,0494 Grm. 2Mg0. PhO*, entsprechend 0,313 Grm. PhO*. Im Ganzen 0,5352 Grm. PhO° oder 33,38°. Nach der Differenz 0,0334 oder 2,08, Fe°O*°. 2,2775 Grm. gaben 0,0961 Grm. oder 4,22°4 CO°.

WA) XIX, Wirbel aus dem Dorfe Uschakovka bei Kursk.

Dieser Wirbel ist von mir aus den Haufen bereits gebrochener Steine entnommen. Er stammt aus der Schicht D, was man nach der Farbe und dem äusse- ren Aussehen des Wirbels schliessen darf, der mit den in der Masse der Platten der Schicht D selbst vorkommenden Knochen und dem Apatitsandstein der Schicht D Âhnlichkeit hat.

1,731 Grm. des Wirbels verloren bei gelindem Glü- hen 0,057 Grm. oder 3,32°, und gaben 0,0042 Grm. oder 0,24, organischen, in HCI unlôslichen Stoffes und 0,0176 Grm. oder 1,01, anorganischen; ferner ga- ben sie 2,1542 Grm. CaO. SO oder 51,24 CaO, 0,026 Grm. phosphorsaures Eisen, 0,0132 Grm. 2Mg0.PhO”, entsprechend 0,27, MgO und 0,0084 Grm. PhO° und noch 0,856 Grm. 2MgO.Ph0Ÿ, entsprechend 0,5550 Grm. PhO*, —- 0,026 Grm. phosphorsaures Eïisen ga- ben 0,02 Grm. 2Mg0O. PhO*, entsprechend 0,0127 Grm. PhOÿ. Im Ganzen 0,5761 Grm. oder 33,287, Phosphor- säure.

Nach der Differenz 0,013 Grm. oder 0,76% Fe?0°.

des Sciences de Saint: Pétersbourg.

#81

1,741 Grm. gaben 0,0981 Grm. oder 5,637 CO?.

Zur Vergleichung fübre ich noch unter XX die von Claus ausgeführte Analyse des versteinerten Knochens aus Kursk an:

XVII. XV XIE XX: Glühverlust 012,66. :12:90, 3,320 unlôüsliche organische

Substanz de 10.462 10 0,24 unlôsliche anorganische D

Substanz Por ,77 1,01 Kalk. 50.22 49,69 51,24 50461 Magnesia NO NO 22 027 Kohlensäure . DSL 02 NN D 65 RTE Phosphorsäure. . . 31,57 133.38 33,28 128,95 Schwefelsäure . . . —- -- 1,20 Eisenoxyd. . . 0762 08 MO 76 MISES Natron —— 1,75 Eluor et 5,99

Vergleichen wir diese Zahleni unter einander, so ersehen wir, dass die versteinerten Knochen aus ver- schiedenen Gegenden unserer Kreideformation, in- gleichen auch aus den verschiedenen Schichten D und F der Formation, einerlei Zusammensetzung und zwar gleiche mit den versteinerten Hülzern haben.

Für die bequemere Vergleichung bringen wir die

esultate sämmtlicher im Vorhergchenden abgehan- delten Analysen in eine einzige Tabelle.

Te

| | | | | | | | | : | | mL _| ue, | | EV. | V. | NI. | NI. |VOT. | AX. | X. |,XI. |XII. | XII. | XVI. XIV. a.|XV.a) A. [XVII XVIIL| XIX. | XX, IRauIMEn| | | | | | | | | | | NN RTÉRS Ste RTE NT IETAICERS HNOoMIE 7 Cäment. Wirbel-Knochen. A <=! = ST en Es: =| : Ï ] = ns : = æ .|=—= ln BlE &|> o 2 A = à] EME] BE NE le Re EF £ à : A = lac lrk SA le Stellsre.s = <|£s22z w 2] © 115 Es UE Bestandtheile: a = ÉAEAPAEEFÉE ssl 8 £ levé _ 8 À 815 , CH IEMIENEE Sir SAS |6.5 Bla 8e = IS ES£ea S=1:2° © = A EP et So [SOlSUISN IS als s|Ede| © M RON RS 0 Ale £ se 2 LEO ENTOI NE | E CES Se An mitso tie er <Leo ras EU CN EN A > SES s:M£Sle 2 SR RMS EE ERREUR EN E LE. 2 3153 © ae MEMÉehebemi:ls = Ésleiss s487 PEBe? & À 22 5% 26130 5 ol wo vo =) 2 SSsS ZT] C3 2 2 2 | = [8-21 2)<S SOS) MO NES TAON à A|= = EEE | SIRSIE S | | Î | | | | | à | Riu c A « Glühverlust .........| » » | 2,42 0,96! 2,69! 5,48| » | 1,90 | 3,05) 2,70) » » | » | 9,76! 3,32] » | » | » | 2,56! 2,90] 3,52] 3,30 Unlôsl. org. Substanz. ! 0,51| 0,66! » LA? » | » » » » » » 0,49, 0,65 0 os! 0,44 » » | » 0,3 0 0,24 bu 00 Unlésl.anorg.Substanz| | 0,08 0,2 0.46 0,04, » » 2,01 | » » DE | Otol » » » | 1,27, 1,77] 1.01/f? Kalk...............152,51/52,30/59,30/52,57,51,64,51,79,51,90! 50.06 152,65,92,80 52,85 52,62,52,88,52,57 51,28] 48,15 |47,05149,22150,22 49,69/51,24,30,61 Magnesia ....... ....| 0,42, 0,60! 0,58! 0,36, 0,46 0,37! Spur.| 0,46 | 0,40! 0,45) 0,50) 0,41) 0,32, 0,49, 0,64) 0,50 ! 0,86) 1,30! 0,42) 0,24! 0,77 1,21 Kohlensäure ........ | 686! 6,7) » | 6,60! 6,02! du 3,4 » | 3,6 » | » | 6,88) 6,49 6,2%) G,1il » » | » | 5,87) 4,22) 5,63, 5,80 Phosphorsäure...... .132,84,33,01 33,02 32,94 32,41 35,25/30,22| 34,50 |34,90,34,25/35,90/53,96/33,35 38,30 31,73] 29,87 29,75 27,2051,57 33,28,33,28/28,25 Schwefelsäure ...,... | LIN ED ODA 0) » » » » » » » » | » » » » » » » 1,20 Hisenoxydiee 2.01. [on 01,53) 1,7) 1,15) » | 0,35) 0,40! 0,60! » | » | » 1,48] 4,09! 1,25! 4,40] 0,76) 2,08| 0,76! 3,43 Phosphorsaures Eisen | 0,15, 0,27 | 0,46, » | » | » PRES SOUIOES TON PSS M AN PPT » > Laon EDS Fluor ..............| » » | » 0 | le 255 RE » 4,75 4,75, » » » » » » » » » » » 5,99

Das Zeicheu » zeigt au, dass der betreffende Bestandtheil nicht bestimmt wurde ;

yorhanden war.

Anmerkunw. In dem Aypatitsandstein des Woronesh’schen Gouvernements an dem Flusse Weduga habe Geologen, welche die Entblôssungen der Gebirgsmassen an dem Dorfe Endowischtscha an dem Flusse We- , Ielmersen, Pacht), fanden dort durchaus keine Versteinerungen, mir jedoch gelang es, nach und Muschelschalen im Apatitsandstein aufzufinden.

nerten Hülzer gefunden. ) duga untersuchten (Keyserling ï L langem Forschen, in Endowischtscha etliche Kuochen (Wirbel)

D D

das Zeichen ——, dass der Bestandtheil nicht

ich keine verstei-

415

Aus den von mir ausgeführten Untersuchungen | der versteinerten Hülzer und Knochen, welche in der Kreideformation gefunden werden, folgt:

1. Die in der Kreideformation vorkommenden ver- steinerten Hülzer und Knochen aus verschiedenen Gegenden Russlands, gleichermaassen Frankreichs, haben eine fast gleiche Zusammensetzung und beste- hen namentlich aus phosphorsaurem Kalk, kohlen- saurem Kalk und Fluorcalium. Alle versteinerten Hülzer der Kreideformation enthalten dieselbe Quan- tität Kalk. Die Menge der Phosphorsäure in ihnen variirt ein wenig und dem entsprechend verändert sich der Gehalt an Kohlensäure; der Fluorealcium-Ge- halt ist daher wenig veränderlich. Ich glaube daher, dass man nach der Zusammensetzung des verstei- nerten Holzes mit grosser Wahrscheinlichkeit auf die Abstammung schliessen künne; auch kann die chemische Untersuchung des Holzes aus irgend ei- ner Lokalität hinweisen auf den Befund in dieser Lo- kalität von Lagern des Apatitsandsteins.

9, Die Zusammensetzung der Hülzer und Knochen steht sehr nahe der Zusammensetzung des den Sand im Apatitsandsteine bindenden Cäments. Auf Grund- lage dessen halte ich es für môüglich, den Schluss zu zichen: dass Hülzer, Knochen uud der Sandstein, in dem sie sich vorfinden, auf dieselbe Weise verstei-

Bulletin de l'Académie Empériale

nerten. Der Sand und die in ihn gerathenen Hülzer versteinerten zu einer dichten Masse in Folge der Prä- cipitation in ihnen von phosphorsaurem und kohlensau- rem Kalk und Fluorcalcium aus der den Sand durch- sickernden Lüsung.

Die Knochen, welche wie in der Masse des Sand- steins selber, so auch unter ihm im Sande vorkom- men, haben dieselbe Zusammensetzung, wie die Hül- zer und sind vollkommen wohlerhalten; diese Kno- chen versteinerten (petreficirten) sich auf dieselbe Weise, wie die Hôülzer.

Es unterliegt keinem Zweifel, dass diese, wie sie mit Recht Claus bezeichnete, «merkwürdige» Stein- art, welche auf einer so enormen Ausdehnung abge- lagert ist und so immense Quantitäten von Phosphor- säure in sich führt, sich gebildet hat, wie Graf Key- serling und Claus annehmen, in Folge der Cohäsion zwischen den Sandkürnern durch Vermittelung des Cümentes, der aus den durch den Sand durchsickern- den Lüsungen sich ausgeschieden; aber ich glaube,

416

dass man, auf die Âhnlichkeit hin in der Zusammen- setzung des Cäments und der im Sandstein vorkom- menden Knochen nicht präsumiren dürfe, wie Claus (S. 380 u. 381 seines Mémoire’s), dass namentlich die Knochen zur Bildung des Cämentes gedient hätten. Ich denke, dass die Knochen (vollkommen wobler- haltene), ingleichen die Hülzer sich schon im Sande befanden, als derselbe sich mit der Lüsung sättigte. Die Bildung der Apatit-Sandsteinplatten Schicht D erklärt sich ganz gut daraus, dass dieser Sandstein in Folge dessen entstand, dass durch den Sand, in welchem schon Stücke durchbohrten Holzes und Knochen lagen, eine, phosphorsauren Kalk u. d. gl. enthaltende, Lüsung hindurchsickerte. Davon über- zeugt uns das stalaktitenähnliche Aussehen des Sand- steins, welcher nicht aus einer durchweg, gleichdich- ten Masse besteht, sondern aus oberhalb zusammen- gewachsenen, vertikal sich in den Sand hinabsenken- den Tropfsteinen, zwischen welchen im Sande Kno- chen und Versteinerungen sich finden. Diese Erklärung passt indessen ausschliesslich für die Platten-Schicht D. Auf bedeutender Tiefe unter dieser Schicht tref- fen wir im Sande eine Zwischenschicht der Knol- len F, welche hier als ganz gesonderte, unabhän- gige Schicht sich zeigen. Die Knollen in der Schicht F sind nach ihrem Aussehen und ihrer Farbe *) ganz verschieden von den Platten in D, durchaus nicht zu- sammenhängend unter einander, sondern liegen in dem Sande getrennt eine neben der anderen und zwi- schen ihnen, wie verwachsen mit dem Sandstein, lie- gen Stücke Holz ebenfalls in Form von Knollen, die äusserlich ganz ähnlich den Apatitsandstein-Knollen sind, so wie Knochen: z. B. Wirbel. Zur Erklärung der Bildung dieser Knollen, von denen jede von aus- sen glatt und nicht verbunden mit einer anderen ist, lässt sich nicht annehmen, dass sie sich, wie die Plat- ten in D, an derselben Stelle bildeten, wo sie gegen- wärtig liegen, zufolge des Eindringens einer Lüsung in den Sand. Diese Knollen der Schicht Æ waren au- genscheinlich durch Wasser an den Ort gefübrt, wo sie sich augenblicklich befinden und setzten sich weït früher ab als die Schicht D, von der sie durch eine starke Lage Sand getrennt sind. Das leitet auf die Idee, die Schicht D schon für eine zweite Bildung zu

8) Die Platten in D sind gewôhnlich zimmetbraun, die Knollen in F grünlichschwarz.

A1?

halten, d. i., dass anfänglich, an Stelle der Platten in D, sich eine eben solche Schicht durch Wasser her- beigeführter Knollen, wie in Æ, abgelagert habe und alsdann diese Kuollen, in Folge des Eindringens von Wassers, welches mit Kohlensäure gesättigt war, sich lüsten und diese Lüsung den Sand verband. Wo Jje- doch uranfänglich die Knollen F und die Knollen ge- bildet, welche zur Herstellung der Platten in D dien- ten, wissen wir nicht; es unterliegt nun keinem Zwei- fel, dass ursprünglich diese Knollen (die auch einge- wachsene Stücke Holz enthalten) sich aus der Lô- sung gebildet haben werden. Künftige chemische Un- tersuchungen der Knollen von verschiedenen Stellen werden vielleicht die Data liefern zur Erklärung die- ser interessanten Fragen.

Endlich, wie ich darüber schon früher bemerkt, über die Schicht D des Apatitsandsteins lagern sich Sandmergel C, welche mit nicht grossen Knol- len des Apatitsandsteins überfüllt sind. Diese Knollen liegen zerstreut in Mergel umher und tra- gen keine Anzeichen an sich, dass sie durch Was- ser übertragen wären. Sie sind nicht an ihrer Ober- fläche glatt gerieben, wie die Knollen in F, sondern wie die oberste Schicht der Platten in D, mit einer Glasur überzogen. In dem Sandmergel C haben wir weder Knochen noch fossiles Holz gefunden. Die im Kreide-Sandmergel zerstreut vorkommenden Knollen fanden sich offenbar erst nach der Bildung der Plat- ten D ein; sie unterscheiden sich von den Platten durch ihre Zusammensetzung, indem sie weniger Sand und mehr Phosphorsäure enthalten. Wahrscheinlich lagen auch diese Knollen im Sande, mit welchem zu- gleich sie auch in die Kreide geriethen, zur Zeit ihrer Ablagerung. Es ist interessant, dass je mehr Sand sich der Kreide beimengt, desto mehr sich in ibm auch Knollen finden, und dabei vergrüssert sich die Quan- titit Sand und Knollen stufenweise von oben herab nach unten. Zwischen dem Sandmergel und der Plat- tenschicht D liegt gewühnlich eine dünne (2—3 Zoll dicke) Schicht gelben Sandes mit kleinen Knollen. Die obere Rinde der Plattenschicht D trennt sich auch bisweilen von der Masse der Platten durch eine dün- ne Zwischenschicht von Sand.

Ich halte für überflüssig, hier noch zu reden von der ungeheuren ‘konomischen Bedeutung unserer La- ger von Apatitsandstein, worauf bereits Claus in

TomeïXII. ;

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

418

seinem Mémoire hingewiesen. Diese Lager, welche sich hunderte von Wersten hinziehen, enthalten in sich einen unerschüpflichen Vorrath an Phos- phorsäure, die in gegenwärtiger Zeit eine so aus- serordentliche Bedeutung in der Landwirthschaft des westlichen Europas gewonnen. Es unterliegt keinem Zweifel, dass der mit jedem Jahr mehr und mehr zu- nehmende Mangel an Düngmitteln, auch bei uns, den bis zur Stunde einzig und allein zur Pflasterung der Strassen uud Wege benutzten Apatitsandstein, zum Gegenstande der Bearbeitung für die Zwecke der Feld- wirthschaft im Grossen machen wird.

Schliesslich halte ich es für eine angenehme Pficht, meine tiefste Dankbarkeit auszusprechen gegen die Herren Latschinow und Kostytschew für ihre Mitwirkung bei diesen meinen Untersuchungen.

St. Petersburg, im September 1867.

Beitrag zur Kenntniss des selbstständigen Lebens der Flechtengonidien, von J. Baranetzky. (Lu le 28 novembre 1867).

Schon seit langer Zeit war von verschiedenen Au- toren die Meinung ausgesprochen, dass die Flechten- gonidien unter gewissen Umständen selbstständig, d.h. getrennt von den Hyphen, frei in der Natur fortvege- tiren künnen, und dass einige als autonome Algen be- schriebene Organismen nichts anderes als freivegeti- rende Flechtengonidien seien. Abgesehen aber von diesen wiederholten, oft ganz bestimmt ausgesproche- nen Angaben, blieb diese Frage bis auf unsere Zeit ganz unentschieden, und wenn de Bary in seiner «Morphologie der Pilze, Flechten und Myxomyceten» einen genetischen Zusammenhang zwischen einigen Nostochineen und den Gallertflechten zuzulassen ge- neigt ist, so scheint er doch (p. 289) das freie Leben der Gonidien der heteromeren Flechten und somit jeden Zusammenhang der einzelligen Algen mit die- sen Gonidien zu läugnen.

Wenn man nämlich die dazugehôrige Litteratur durchmustert, so findet man, dass die vorhandenen Arbeiten zur Entscheidung dieser Frage, der unge- nauen Methode der Untersuchung wegen, wenig bei- bringen kônnen; selbst die Arbeiten der neuesten For- scher sind aus genanntem Grunde unzureichend, um diese Frage sicher zu beantworten. Ich halte es des-

27

419

Bulletin de l’Académie Hmpériale

420

——

halb für nutzlos, mich in die weitläufige Bearbeitung der Litteratur dieses Gegenstandes einzulassen und werde nur zu zeigen versuchen, wie wenig noch, trotz so zahlreicher Angaben, die Frage über das selbst- ständige Leben der Gonidien der heteromeren Flech- ten ausserhalb des Thallus im streng wissenschaftlichen Sinne fortgeschritten war.

Schon Haller, Gleditsch, Leysser') haben ge- wisse grüne Anflüge auf feuchten schattigen Stand- orten, die vor ihnen für Algen gehalten wurden, als Flechten beschrieben. Sie sahen aber diese Anflüge nicht als Anhäufungen von freigewordenen Gonidien gewisser Flechten an, sondern hielten sie für voll- kommene Flechten, denen sie darum besondere Na- men beilegten. Auf diese Weise wurde der von Linné als Alge beschriebene Byssus antiquitatis L., später für Lichen crustaceus Hall., Lichen antiquitatis Schreb., Hag., Lepraria botryoides À ch. ausgegeben.

Wallroth”) und nach ihm Fries”), welche den Flechtengonidien bestimmt ein selbstständiges Leben ausserhalb des Thallus zuschreiben, haben schon das Hervorbrechen der Soredien aus demselben beobach- tet; die Structur der Soredien aber haben sie noch gänzlich übersehen, indem sie nur immer von den hervorbrechenden Gonidien sprechen, welche, nach ihrer Meinung, nachdem sie in die für Flechten- entwickelung ungünstigen Umstände gestellt werden, auf immer im Zustande nackter Zellen als Chloro- coccum, Protococcus u. s. w. verbleiben. Andererseits ist bei genannten Autoren der üfters gemeinschaftliche Standort, oder auch nur die Nachbarschaft der frag- lichen Organismen mit den Flechten, ein genügender Grund für die obige Annahme. Bei dem jetzigen Zu- stande der Wissenschaft, da das Ausstreuen der So- redien und ihre Natur bekannt geworden ist, kônnen solche Angaben natürlich nur die Vermuthung erzeu- gen, dass Wallroth und Fries echte Soredien gese- hen und sie nur nicht von den (Gronidien unterschie- den haben. Für einige Fälle steht dies sogar ausser Zweifel, denn wenn z. B. Wallroth von den gelben Gonidialanhäufungen spricht"), so konnte er selbst-

1) Wallroth, Nat. d. FI. I. p. 311, 342. 2) Naturgeschichte d. F]. 1825.

3) Lich. Eur. ref. 1831.

4) 1. c. I. p. 304, 320.

verständlich nicht Gonidien, wohl aber Soredien vor sich gehabt haben.

Ferner lässt Kützing”), der so viel über die Me- tamorphosen der niederen Cryptogamen (Algen) ge- schrieben hat, Parmelia parietina aus Protococcus vi- ridis sich hervorbilden.

Als Beispiel, wie wenig überhaupt die Angaben über diesen Gegenstand wissenschaftlichen Werth ha- ben kônnen, führe ich hier eine Stelle von Kützing an, und um so mehr noch, da diese Stelle Alles ent- hält, worauf Kützing seine Meinung gründet; er sagt (1. €. p. 350): «Keinem Beobachter, der nur irgend etwas Aufmerksamkeit diesem Gegenstande je ge- schenkt hat, wird entgangen sein, dass sebr häufig auf den Bäumen, wo dieselbe (Parmelia parietina) sitzt, sich auch Protococeus viridis befindet. Untersucht man die Structur dieser Flechten mit dem Mikroskop, so findet man, dass ganz dieselben Protococcus-Kü- gelchen mit in die Substanz des Laubes verwebt sind, und in der That ist auch dieser Protococeus die erste Veranlassung zur Erzeugung der Parmelia parietina.» Einige Zeilen weiter giebt aber Kützing doch an, dass trotz aller Mühe und Sorgfalt ihm keine Über- gangsstadien zwischen Protococcus viridis und Par- melia parietina aufzufinden gelungen sei°).

Speerschneider”) ist der einzige Forscher, der die richtige Methode zur Ergründung der gegenwär- tigen Frage angewendet hat; die Methode nämlich, bei der es uns *) geglückt ist, Zoosporenbildung an den freivegetirenden, chlorophyllhaltigen Gonidien einiger Flechten zu entdecken. Speerschneider machte

5) Linnaea. 1833. p. 335 ff.

6) De Bary scheint Unrecht zu thun, indem er auch Kôrber in die Reihe der Autoren stellt, welche das Freiwerden der Gonidien und ihr selbstständiges Leben behauptet haben (1. c. p. 289). Kür- ber suchte durch alle seine Schriften über die Natur der Flechten die Meinung festzustellen, die Gonidien seien nur Ernährungsorgane der Flechten, die niemals in diesem Zustande frei werden und nur als Soredien den Thallus der Flechten verlassen kônnen (De goni- diis Lich. 1839, p. 54 55; Flora 1841, Xe 1 u. 2). Er hält somit für echte Algen die Organismen, welche grüne Anflüge auf Baumrinden u.s. w. bilden und die von Wallroth (und auch Fries) als freigewordene Flechtengonidien angesehen wurden (Flora 1841, 2, p. 29) Wenn auch Kôrber angiebt (1. c. p. 28), aus der als Alge beschriebenen Torula cinnabarina Mart. (Dematium cinnaba- barinum auct) den jungen Thallus der Parmelia parietina hervor- wachsen gesehen zu haben, so hält er somit die genannte Alge für Soredien uud nicht für Gonidien von Parmelia parietina.

7) Bot. Zng. 1853, p. 708.

8) Famintzin u. Baranetzky. Mém. de lAcad. des sc. de St,- Pétersbourg. T. XI. Xe 9,

A?1

des Sciences de Saiïint-Pétersbourg.

42?

künstliche Aussaaten, indem er dünne Schnitte aus dem Thallus von Æagenia ciliaris auf feuchten Stücken des weidenen Mulmes in feuchter Atmosphäre (un- ter der Glasglocke) kultivirte. Er beobachtete dabei ganz dieselben Veränderungen, die auch wir immer bei unseren Aussaaten vorfanden: das farblose Ge- webe ging bald in Verwesung über, die freigeworde- nen Gonidien dagegen wuchsen als selbstständige Organismen fort und theilten sich lebhaft. Speer- schneider hat auch den anfangs homogenen Inhalt der so metamorphosirten Gonidien kürnig werden ge- sehen und beobachtete gleichzeitig auf seinen Aus- saaten das Erscheinen der kleinen, grünen Kôrper- chen, die immer zablreicher wurden. Es ist müglich, dass diese Kürperchen nichts Anderes als zur Rube gekommene Zoosporen vorstellten, die zu beobachten es Speerschneider nicht glückte. Wenn ich ihn aber richtig verstehe, scheint er schon etwas Âhnliches vermuthet zu haben, indem er sagt: «Die reife goni- mische Zelle oder Kugel zeigt einen kôürnigen Inhalt. Später geht in ihr eine Theïilung vor, wobeï sie in vier Abschnitte zerfällt. Nach diesem Vorgange scheint sie, indem die Wandung zerstürt wird, den kürnig- zelligen Inhalt auszustreuen.» Sonderbar ist es nur, dass Speerschneider’s Beobachtungen, obgleich, wegen der dazu angewandten Methode, die genauesten von allen diesen Gegenstand berührenden, fast ganz unberücksichtigt geblieben sind, indem sogar de Bary in seiner «Morphol. u. Phys. d. Pilze, FI. u. Myxom.» von diesem Versuche keine Erwähnung macht.

Die späteren Angaben von Itzigson”), Sachs ") und Hicks'') über die Gonidienmetamorphosen ver- schiedener heteromeren Flechten, kônnen zur Ent- scheidung der Frage ebenso wenig beitragen. 50 z. B. führt Hicks eine lange Reihe Formen verschiede- ner einzelliger Algen vor, die nach seinen Beobach- tungen aus den freigewordenen (ronidien der Cladonia pyxidata herstammen sollen. Er giebt dabei aber nie- mals an, künstliche Culturen angestellt zu haben und hat unzweifelhaft gemeinschaftlicht lebende Organis- men als verschiedene Entwickelungsstadien eines ein- zelnen beschrieben. Künstliche Aussaaten sind darum für derartige Untersuchungen unumgänglich; deBary’s

9) Bot. Zng. 1854, p. 521. 10) Bot. Zng. 1855, p. 6. 11) Journal microscop. sc. New ser. I.

vortreffliche Arbeiten über Pleomorphie einiger Pilze sprechen am besten für den Werth dieser Untersu- chungsmethode. Die Wichtigkeit dieser Methode ist mir ganz klar während meiner ersten Arbeit (1. c.) ge- worden, die ich in Gemeinschaft und unter Leitung meines hochgeehrten und theuren Lebrers Prof. Fa- mintzin ausgeführt habe und wo es uns gelungen ist, ein selbstständiges Leben der freigewordenen Gonidien der Physcia, Cladonia und Evernia ausser Zweifel zu setzen.

So wie das freie Leben der Gonidien der heterome- ren Flechten, wurde auch mehrmals der genetische Zusammenhang einiger Gallertflechten und Algen, be- sonders aus der Gruppe der Nostochineen, behauptet. Die älteren Angaben aber, wie die von Ventenat und Cassini ”), wobei der erstere Collema von Nostoc, der letztere Nostoc von Collema herstammen lässt, künnen in unserer Zeit gar wenig Vertrauen erwecken, da die damaligen Autoren noch keine Kenntniss der inneren Struktur der genannten Organismen besassen, so dass Cassini den Nostoc als «une variété mon- strueuse d’une espèce de Collema ou peut-être de plusieurs espèces de ce genre» hält.

Ebenso wenig sind auch die Angaben von Itzig- son “) und Hicks “) für diese Frage entscheidend. Dagegen scheinen die Untersuchungen von Sachs ") den genetischen Zusammenhang von Nostoc und Col- lema festzustellen. Er giebt namentlich an, das Aus- wachsen der Interstitialzellen von Nostoc in Hyphen unzweifelhaft beobachtet und auf diese Weise die Ver- wandlung des Nostoc in Collema direct nachgewiesen zu haben. Sachs weist noch ausserdem darauf hin, dass auf der Oberfläche des Collemathallus oft kleine Nostoc-Exemplare vorkommen, welche, seiner Meinung nach, auf irgend eine Weïise aus den Gonidien der Collema entstehen müssen. Auf welche Weise aber diese Metamorphose vor sich gehe, lässt Sachs ganz unentschieden.

De Bary") ist ebenfalls geneigt, einen genetischen Zusammenhang zwischen den Gallertflechten (Collema, Ephebe) und einigen Algen, besonders der Nosto- chineen, anzunehmen, obgleich er die Angaben von

12) Opusc. phytol. 1817. II. p. 361. 13) Bot. Zng. 1854, p. 521. 14) 1. c. p. 90.

15) Bot. Zng. 1855, p. 1.

16) Morphol. u. Phys. u.8.w. p. 290.

423

Bulletin de l’Académie Empériale

424

Sachs über das Auswachsen der Hyphen aus den Gonidienzellen bezweifelt. Ausser der Analogie in der Organisation (wie Collema und Nostoc) führt de Bary auch das Hervorsprossen junger Nostoc-Exemplare aus dem Collema - Thallus an, so wie auch das der Sirosiphon-Fäden aus dem Thallus von Ephebe pu- bescens, das er direct beobachtet hat.

Aus dem Vorhergehenden ist also zu ersehen, dass die Frage vom selbstständigen Leben der Gonidien ausserhalb des Flechtenthallus, trotz so zahlreicher Angaben für die heteromerischen Flechten, bis auf unsere oben citirte Arbeit, ganz unentschieden blieb; dass für Gallertflechten dagegen die Müglichkeit des Lebens der Gonidien auch ohne Hyphen (Nostoc, Si- rosiphon) von mehreren Beobachtern nachgewiesen wurde, wobei aber die Art und Weise, wie diese son- derbare Metamorphose im Flechtenwesen zu Stande kommt, ganz unaufgeklärt geblieben ist.

Ich gehe jetzt zur Mittheilung meiner eigenen Be- obachtungen über, die ich in diesem Sommer an phyco- chromhaltigen Flechten, nämlich Collema pulposum und Peltigera canina angestellt habe. Dabei muss ich bemerken, dass ich ebengenannte Flechten nur aus dem Grunde wählte, weil ich ihnen häufiger als an- dere phycochromhaltige Lichenen auf Excursionen be- gegnete.

Collema pulposum A ch.

Beim Durchmustern der Querschnitte der frisch ge- holten Collema unter dem Mikroskop wurde ich auf das Vorkommen besonderer Bildungen im Inneren des Thallus aufmerksam, welche von Niemandem, Hicks vielleicht ausgenommen, beobachtet wurden. Das wa- ren ziemlich kleine, länglich-ovale, manchmal in die Länge gezogene gallertartige, ganz hyphenlose Schläu- che, die im Innern gewôhnlich nur eine einfache perl- schnurartige Reiïhe grüner Zellen enthielten, welche sich in Nichts von den umgebenden Gonidien der Cellema unterschieden; auf jedem der beiden Enden des Schlauches sass eine grünliche Zelle. Selten wa- ren die Schläuche breiter und enthielten dann im In- nern die grünen Zellen ohne Ordnung gelagert. Diese Gebilde waren ganz denjenigen, welche Thuret als eine Art von Brutknospen des Nostoc vesicarium be- schrieben "”) und abgebildet (Fig. 8 u. 9) hat, vollkom-

17) Mém. de la soc. nat. Cherbourg. V. p. 19.

men ähnlich, die Endzellen nur ausgenommen, welche Thuret als farblos angiebt, die aber in den von mir beobachteten Schläuchen immer grünlich erschienen. Ich bedauere sehr, dass es mir jetzt nicht môglich ist, meine Beobachtungen über Collema durch Zeich- nungen zu veranschaulichen. Da ich aber meine Un- tersuchungen über diesen Gegenstand fortsetze, so hoffe ich, mit der Zeit diese Lücke auszufüllen.

Da ich solche Nostoc-artige Bildungen besonders oft im unteren Theile des Collema-Thallus vorfand, womit der Thallus sich am Boden anlegte, so glaubte ich, dass es vielleicht die unmittelbare Berührung des Collema-Thallus mit dem Boden sei, welche die Bil- dung des Nostoc aus Collema begünstigt. Um aber den Sachverhalt dieser Metamorphose môüglichst klar und sicher beobachten zu künnen, stellte ich künstliche Aussaaten in folgender Weise an: Ich nahm aus der Tiefe einiger Zolle einige Stücke Erde, derenOberfläche ich glatt machte und trug auf die Oberfläche mässig dünne Querschnitte aus dem Thallus der Collema auf. Die Schnitte wurden aus einem kräftigen, ganz ent- wickelten Thallus genommen und vorläufig unter dem Mikroskop untersucht, um die Abwesenheit aller frem- den Organismen direct zu constatiren. Auf diese Weise überzeugte ich mich auch, dass die zur Aussaat ge- nommenen Schnitte ganz frei von den oben beschrie- benen Nostoc-artigen Schläuchen waren. Um die Aus- saaten feucht zu halten, wurden sie wie bei unseren früheren Untersuchungen über Physeia u. a. (1. c.) behandelt. Bei solcher Untersuchungsmethode hatte ich den Vortheil, alle eintretenden Veränderungen auf denselben Schnitten beobachten zu künnen, indem ich jedes Mal die Schnitte nach der Beobachtung auf ihren Platz wieder hinlegte, wobei sie in ihrer Ent- wickelung nicht merklich beeinträchtigt wurden.

Ich habe Folgendes beobachtet: Nach einigen Ta- gen wurden die Schnitte, besonders wenn sie nicht zu dünn waren, immer weniger durchsichtig und von in- tensiv grüner Farbe, was von der grossen Masse leb- haft grüner Gonidien herrührte, die nicht mehr wie im normalen Collema-Thallus in wenig gekrümmte, sondern jetzt in gedrängte und stark geschlängelte Reïhen zusammengeballt erschienen. Die Oberfläche der Schnitte bedeckte sich indessen mit einer Menge ziemlich kleiner, gallertartiger, (ronidien enthaltender

425

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

426

oo

Kügelchen. Die in die farblose Gallerte der Kügel- chen eingeschlossenen Gonidien bildeten kleine Con- volute, so dass diese Gebilde sich in Nichts von sehr jungen Nostoc unterschieden; einige von ihnen waren dagegen von grünen Zellen so angefüllt, dass die rei- henweise Anordnung der letzten nicht mehr zu be- merken war. Bei weiterem Auswachsen trat aber auch bei letzteren durch Vermehrung der Gallertmasse und das Auseinanderrollen der Gonidienreihen ihre ketten- weise Anordnung unzweifelhaft hervor und es waren auf diese Weise typische Nostoc-Formen entstanden. Die Bildung von Nostoc aus den Schnitten des Collema - Thallus beobachtete ich unmittelbar. Diese Bildung kam in zweifacher Weise zu Stande.

Auf den Seitenflichen des Schnittes (der Ober- und Unterseite des Thallus entsprechend), wo die Gonidien besonders reichlich sind, bildeten sich kleine aus ganz farbloser und durchsichtiger Gallerte bestehende War- zen, die sich ein wenig vergrüsserten, manchmal aber bis zu einer beträchtlichen Grüsse heranwuchsen und fast Kugelform annahmen, ohne eine einzige grüne Zelle in der wasserhellen Gallerte noch zu enthalten. Gewühnlich traten aber viel früher Gonidienreihen aus dem darunterliegenden Theile des Schnittes in die gal- lertartige Ausstülpung em; somit war ein junges Nos- toc-Kügelchen fertig. Einige Male aber, obgleich sel- tener, traten in die gallertartige Ausstülpung auch Hyphen ein, in welchem Falle die letztere, alle Ele- mente einer Collema besitzend, zu einer wahren Col- lema-Sprosse sich entwickelte. Ich konnte jedoch nicht die Bedingungen, bei denen diese oder jene Bildung Statt hat, genau bestimmen. Doch scheint mir dieses von der Lichtmenge in hohem Grade abhängig zu sein, da binnen zwei oder drei regnigten Wochen, bei be- ständig finsterem (und kaltem) Wetter, ich Nostoc sich nur spärlich entwickeln sah und fast immer die gal- lertartigen Ausstülpungen von Hyphen durchwuchert wurden. Die auf oben beschriebene Weise gebilde- ten Nostoc-Kügelchen fuhren jetzt fort sich zu ver- grüssern; der Zusammenhang mit dem Gewebe des Schnittes wurde allmählich so aufgelockert, dass bald schon ein leises Schieben des Deckgläschens genügte, um sie vom Schnitte zu trennen. Sie erschienen dann als regelmässige und scharf begränzte Kugeln. Da sie gewôühulich in grosser Menge sich ausbildeten und die Oberfläche der Schnitte fast gänzlich verdeckten, war

ich bis jetzt noch nicht im Stande, die Art und Weise der Lostrennung zu ermitteln.

Die andere Art, wie sich die Nostoc-Kugeln aus den Schnitten des Collema-Thallus auf meinen Aus- saaten bildeten, ist in der Hinsicht interessanter, dass sie eine analoge Erscheinung, entsprechend dem Frei- werden der Gonidien aus dem thallodischen Gewebe der heteromeren Flechten, vorstellt. Ich habe schon oben erwähnt, dass kurze Zeit nach der Aussaat die Schnitte, wegen der grossen Masse zusammengedräng- ter Gonidialzellen, deren reihenweise Anordnung auf dickeren Stellen des Schnittes jetzt kaum zu bemer- ken war, dunkelgrün und fast ganz undurchsichtig wurden. Auf minder dicken Stellen aber sieht man deutlich, dass die Gonidien nicht mehr, wie früher, nur wenig gekrümmte, langgezogene Reïhen, sondern ziemlich gedrängte Convolute bilden, deren Durch- messer um vieles kürzer als die frühere Länge der Gonidialschnüre sich zeigt, wovon man auf eine wirk- liche Ortsveränderung der Gonidien in der gallertigen Masse schliessen muss. Die Hyphen bleiben aus die- sen Convoluten immer ausgeschlossen. Mit der Zeit besteht die ganze Masse des Schnittes aus solchen Gonidienconvoluten, die getrennt von einander in der Gallerte eingebettet liegen. Durch die intensiv grüne Farbe der zusammengedrängten (Gonidien wird das Präparat (an dickeren Stellen) ganz undurchsichtig. Die einzelnen Gonidienconvolute bekommen nach und nach ganz bestimmte Umrisse, indem sie sich der Ku- gelform nähern und zuletzt als isolirte, mit Gonidien- ketten erfüllte Gallertkugeln auftreten. Leider konnte ich pur dabei die anatomischen Verhältnisse der Er- scheinung und besonders das Auftreten der scharfen Umrisse der die Gonidienconvolute einschliessenden Gallerte nicht genau verfolgen. Auf diese Weise zerfällt der Schnitt in seiner ganzen Masse in kleine Nostoc-Kügelchen. Die Hyphen dagegen gehen all- mählich in Verwesung über und verschwinden endlich vollständig. Der Schnitt des Collema - Thallus stellt sich jetzt als ein Haufen von kleinen Nostocen dar, wo nichts mehr an eine Collema erinnert. Diese Kü- gelchen lassen sich leicht durch einen leisen Druck des Deckgläschens von einander isoliren. Die auf diese Weise entstandenen Nostoc-Kügelchen wachsen jetzt fort und vergrüssern noch bedeutend ihren Um- fang. Die Bodenstücke, die ich vor einem Monate mit

A27

Schnitten aus dem Collema-Thallus belegte, erschie- nen jetzt auf diese Weise an den entsprechenden Stel- len von kleinen dichtgedrängten Nostoc bedeckt.

Auf einer Aussaat habe ich gesehen, dass die Go- nidienschnüre sich mit der sie umgebenden Gallerte isolirten, ehe sie sich zu Knäueln zusammenzogen und auf diese Weise lange, gekrümmte, oft auch viels fach geschlängelte Schläuche mit einer Reihe Goni- dienzellen im Innern bildeten. Solche Schläuche wa- ren denjenigen, die ich im frischen Collemathallus gesehen (und oben beschrieben) äusserst ähnlich. Da- zwischen waren auch die in beschriebener Weise ge- bildeten Nostoc-Kügelchen vorhanden. Obgleich es mir nicht gelungen ist, die weitere Entwickelung der Schläuche zu verfolgen, so scheint es mir doch, einer- seits der Âhnlichkeit dieser Schläuche mit den von Thuret (1 c.) als Vermehrungsorgane des Nostoc vesicarium beschriebenen Bildungen und andererseits der gleichzeitigen Entwickelung der vollkommenen Nostoc-Kügelchen wegen, fast unzweifelhaft, dass die Schläuche später die Kugelform annehmen und somit zu vollständigen Nostoc werden.

Ich habe fünf Aussaaten der Collemaschnitte in angegebener Weise nach einander angestellt und auf allen ganz dieselben Resultate erhalten, obgleich nicht auf allen die Entwickelung des Nostoc gleich üppig war. Zumal muss ich bemerken, dass die Schnitte, welche sich bewurzelten, nicht der oben beschriebenen Metamorphose unterlagen und nur in echte Collemaläppchen aussprossten. Die Zeit, die zur Verwandlung der auf den Boden gelegten Col- lemaschnitte in Nostoc-Kugeln nôthig ist, ist, so viel ich bemerken konnte, von der Lichtmenge und viel- leicht auch von der Wärme in hohem Grade abhän- gig. Beim Anfange meiner Arbeit (im Juni) war das Wetter heiter und warm und die zu dieser Zeit an- gestellten Aussaaten gelangten viel rascher zur Ent- wickelung als alle späteren, bei regnigtem und trü- bem Wetter, gemachten Aussaaten.

Zum Schlusse muss ich doch zugeben, dass nicht alle auf die beschriebene Weise aus Collemaschnitten erhaltenen Nostoc-Kugeln identisch waren. Viele von ihnen zeigten, besonders in späterem Alter, grosse, lebhaft grüne Gonidialzellen, deren Reihen durch typische Interstitialzellen unterbrochen wurden; sie

Bulletin de l’Académie Empériale

42S

wuchsen rasch, waren schon unter der Loupe durch ihre Grüsse und Farbe zu unterscheiden, indem einige von ihnen auf meinen Aussaaten fast die Grüsse eines Stecknadelkôüpfchens erreichten. Solche Exemplare stellten ganz normal entwickelte Individuen des Nostoc vesicarium DC. dar. Auf einer Aussaat (vom 12.Juni), wo bei günstiger Witterung die Entwickelung üppig war, Zerfielen sämmtliche Schnitte ir so normal aus- gebildete Nostoc-Kugeln. Auf anderen Aussaaten aber erreichten bei weitem nicht alle Nostoc-Kugeln eine so üppige Entwickelung. Sehr viele zeigten nämlich ebenfalls die in geschlängelte Reihen geordneten, aber kleine und etwas bräunliche Gonidien Ÿ). Inter- stitienzellen konnte ich hier nicht deutlich unterschei- den. Solche Exemplare nahmen verhältnissmässig nur wenig an Grôsse zu und blieben darum immer viel kleiner als die vorherbeschriebenen. Sie sind daher als ein verkümmerter Zustand von Nostoc vesicarium zu deuten, da sie neben diesen aus einem und dem- selben Schnitte sich hervorbilden.

Peltigera canina Hffm.

Gleichzeitig mit den oben beschriebenen Versu- chen mit Collema pulposum, habe ich parallele mit Peitigera canina Hffm. angestellt. Mittelst eines Ra- sirmessers schabte ich kleine Stücke der Oberseite des Thallus einer kräftig vegetirenden Peltigera ab, die ich auf Erde übertrug und die Aussaaten in früher angegebener Weise in feuchter Luft kultivirte.

Im Peltigera-Thallus sind die Gonidien, wie be- kannt, gruppenweise angeordnet und jede Gruppe vom Schleime umgeben, welcher nach aussen scharf con- tourirt erscheint. In Gruppen, die nur aus wenigen Gonidien bestehen (Fig. 1,2) liegen die letzteren ge- wôhnlich vereinzelt; in zusammengesetzteren erschei- nen sie dagegen reihenweise angeordnet (Fig. 3, 4, 5b), wobei, bei weiterer Entwickelung, die Gonidialreïhen stärker in die Länge wachsend als der sie einschlies- sende schleimige Sack, in seinem Innern sich auf ver- schiedene Weise krümmen (Fig. 5b). In grüsseren

18) Die Benennung Gonidie, Gonidialzelle war für die grü- nen Zellen eines Nostoc, Polycoccus u. dg]. bis jetzt nicht gebräuch- lich. Jetzt aber, da die Identität dieser Zellen-mit gleichbenannten Zellen des Flechten-Thallus sich erwiesen hat, scheint mir dieser Ausdruck passend zu sein.

429

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

430

ë. _b > = æ OS ( g & ne AD OR) œ Go

Schleimmassen findet man mehrere Gonidienschnüre. Jedes Gonidienconvolut liegt dann gewühnlich in einer besonderen Ausbuchtung der allgemeinen Gallertmasse (Fig.4,5b). Wenn man ein solches Gebilde vorsich- tig zerdrückt, um die Gonidien frei von der sie um- gebenden Gallerte zu bekommen, so überzeugt man sich, dass sie wirklich zusammenhängende Reïhen bil- den, wobei sie bald alle ziemlich rund und von glei- cher Grüsse, bald aber unter einander ungleich und von unregelmässiger eckiger Form (Fig. 5c) sind.

Als ich jetzt die aufeinanderfolgenden Veränderun- |

gen an den auf Boden gelegten Stückchen der Pelti- . gera verfolgte, fand ich Folgendes:

In den ersten Tagen waren die Gonidien ihrer Form nach noch unverändert geblieben, dabei aber dunkel- grün geworden, und zeigten so eine Veränderung, die auch an den Collema-Gonidien in analogen Umständen immer auftrat. Bald darauf wurden die Gonidien- Gruppen immer undurcbsichtiger, indem die Gonidien sich lebhaft vermehrten und so zablreich wurden, dass sie die ganze sie umgebende Gallerte jetzt dicht ausfüllten. Auch zu dieser Zeit befinden sich die Go- nidien reihenweise angeordnet. Durch das Zerdrücken des Präparats kann man sich auch hier davon unmit- telbar überzeugen; sie sind jetzt aber ein wenig klei- ner als im Peltigera -Thallus selbst, fast immer schon von regelmässiger runder Form und häufig in Zwei- theilung begrifien (Fig. 6d), weshalb man sie jetzt leicht in viel lingeren Ketten erhält (Fig. 6 c), als es aus dem unveränderten Peltigera-Thallus 1mmer ge- schieht. Wenn man z. B. Fig.5b mit Fig.6a ver-

gleicht, ersieht man, dass die Formveränderung nur auf dem Theilungsprocesse der Gonidien beruhen kann. Die in Fig. 5b noch wenigzelligen und in beson- deren Ausbuchtungen der allgemeinen Gallertmasse isolirten Gonidienconvolute sind in Fig. 6 a durch reich- liche Vermebhrung der Gonidien in dichtgedrängte, vergrüsserte Gouidienknäuel umgewandelt, welche ebenso isolirt in der von aussen scharf umschriebe- nen Gallerte liegen, sich aber dabei schon mehr der Kugelform annähern. Nach und nach wachsen sie zu vollkommenen Kugeln heran und isoliren sich voll- stindig, indem zwischen einzelnen Gonidienknäueln in der allgemeinen Gallertmasse scharfe Gränzen auf- treten (Fig. 7 rechts).

Indem die Gonidien diese Veränderung eingchen, wird das farblose Gewebe der Rindenschicht und des stellenweise anhängenden Markgeflechts bräunlich und geht allmählich in Verwesung über. Dasselbe wird zu- letzt in eine formlose, braune Masse verwandelt, die | noch häufig hie und da auf der Oberfläche der Goni- | dien-Kugel haftet (Fig. 64,7), später aber vollständig | verschwindet.

Die ganz entwickelten Kugeln zeigen, bei grüssten- theils sehr regelmässiger Form, eine scharfumschrie- bene, vollkommen durchsichtige Gallerthülle, in wel- cher die Gonidienmasse eingeschlossen ist. Wenn man eine erwachsene Kugel mit dem Deckgläschen unter dem Mikroskope zerdrückt, reisst die Gallerthülle auf und die hervortretenden Gronidien stellen jetzt sehr lange, perlschnurartige Reihen dar, und sind dadurch den Gonidialschnüren einer Collema oder Nostoc äus- serst ähnlich; nur fehlen ihnen immer die Intersti- tialzellen (Fig. 8). Die erwachsenen Kugeln betrugen g L Mill. im Durchmesser. Ihr weiteres Schick-

la0 2 (7 sal habe ich noch nicht verfolgt.

431

Bulletin de l’Académie Hmpériale

432

———————————_—_—__—_—…—"—"—"—…———"—"—"—"—"—"——…—…———

Vor kurzer Zeit haben wir mit Prof. Famintzin ganz dieselben Kugeln, die ich aus Peltigera canina bekommen habe, schon fertig in der Natur am Boden in einem feuchten Walde bei Petersburg gefunden. Dieser Zustand der Peltigera-Gonidien wurde bisher als eine Algenform, nämlich als Polycoccus punctifor- mis Kütz., beschrieben. Die reihenweise Anordnung der Gonidien findet sich aber von keinem der frühe- ren Beobachter erwähnt, was wobl dadurch sich jetzt erklären lässt, dass simmtliche in diesen Kugeln ein- geschlossenen Gronidien sich mit der Zeit von einan- der lostrennen und die Gonidialketten schon durch einen leisen Druck in vereinzelte Zellen verfallen. Kützing’s Abbildung (Tab. phycol. Band I. Taf. 10) zeigt jedoch, dass er die reihenweise Anordnung der die Kugeln ausfüllenden Zellen, nachdem sie da- raus ausgedrückt wurden gesehen hat, wenn er auch nicht genug Aufmerksamkeit diesem Gegenstande schenkte.

Aus dem Mitgetheilten also, wie aus unserer citir- ten, mit Prof. Famintzin herausgegebenen Arbeit, scheinen folgende Thatsachen festgestellt werden zu künnen:

a) Die Gonidien der heteromeren chlorophyllhaltigen Flechten (Physcia, Evernia, Cladonia), so wie der heteromeren phycochromhaltigen (Peltigera) und der Gallertflechten (Collema) sind eines ganz selbst- ständigen Lebens ausserhalb des Flechten-Thallus fähig.

b) Mit dem Freiwerden scheinen die Flechtengoni- dien ihren Lebenscyclus zu erweitern; so bilden die frei vegetirenden Gonidien der Physcia, Ever- nia, Cladonia Zoosporen; auch fand ich einstwei- len, dass sämmtliche Zellen der aus Peltigera- Gonidien gebildeten Kugeln sich später auf die Weise verändern, dass sie den Interstitialzellen eines Nostoc äusserst ähnlich werden und ich zweifle nicht, dass sie in diesem Stadium Dauer- zellen vorstellen.

c) Enige, vielleicht auch viele von den bisher äls Algen beschriebenen Formen sind als selbststän- dig vegetirende Flechten-Gonidien zu betrachten; so einstweilen die Formen Cystococeus, Polycoccus und Nostoc.

St. Petersburg, im November 1867.

Über die Wirkung des Lichtes auf einige hôhere Kryptogamen, von J. Borodin. (Lu le 28 no- vembre 1867.)

(Mit einer Tafel.)

[, Die Wirkung des Lichtes auf die Keimung der Farrnsporen,

Alle Untersuchungen über die äusseren Bedingun- gen des Keimungsprozesses wurden bis jetzt aus- schliesslich an Phanerogamen-Samen ausgeführt. Die dabei erhaltenen Resultate übertrug man zuweilen, ohne weitere Prüfung, auch auf die Sporen der Kryp- togamen. Dies wird sogleich ersichtlich, wenn man die verschiedenen, in der botanischen Litteratur vor- handenen Beschreibungen der Keimung der Farrn- sporen durchmustert. Obgleich dieser Gegenstand schon vielfach untersucht wurde (so namentlich von Kaulfuss'}, Leszezyc-Suminski”), Thuret°), Mercklin‘), Wigand*), Hofmeister®), findet man über die Keimungsbedingungen in den einschlägigen Werken fast gar nichts. Alle Forscher wenden ihr Au- genmerk hauptsächlich auf die morphologische Seite des Vorganges und scheinen als selbstverständlich an- zunehmen, dass die Keimung der Farrnsporen durch dieselben Umstände, welche Keimung an Samen von Phanerogamen bedingen, hervorgerufen wird. Für diese, von Mercklin”) klar ausgesprochene Vermu- thung scheint die leicht zu beobachtende und daher von allen Forschern erwähnte Thatsache, dass Feuch- tigkeit und eine gewisse Temperatur zur Entwicke- lung des Prothalliums aus der Spore nothwendig sind, zu sprechen. Die vermuthete Identität des Keimungs- prozesses der Sporen und Samen wurde aber nie in einer anderen sehr wichtigen Hinsicht geprüft. Ist diese Identität wirklich vorhanden, so müssen die Sporen auch in der Dunkelheit keimen und dabei etiolirte Prothallien erzeugen.

Da in den meisten Farrnsporen in reichlicher Menge fettes Ül angetroffen wird, da das letztere bei der

1) Kaulfuss. Das Wesen der Farrnkräuter, 1827, S. 59 u. ff.

2) Leszezyc-Suminski. Zur Entwickelungsgeschichte der Farrnkräuter. 1848, $. 8.

3) Thuret. Note sur les anthéridies des fougères. Ann. d. sc. natur. 3 Série. T. XI.

4) Mercklin, Beobachtungen an dem Prothallium der Farrn- kräuter. 1850. S. 5 u. ff.

5) Wigand. Botanische Untersuchungen. 1854. S. 34.

6) Hofmeister. Vergleichende Untersuchungen. 1851. S. 78 morte

7) 1. c. S. 5.

433

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

434

0

Keimung allmählich verschwindet*), und somit dem in ôlhaltigen Samen vorhandenen Reservestoff sich ganz äbhnlich verhält, so schien es vüllig gerechtfer- tigt zu erwarten, dass auch bei Abschluss des Lichtes an den Farrnsporen eine, wenn auch nicht normale Keimung erzielt werden künne. Eine genaue Untersu- chung führte aber zu entgegengesetzten Resultaten. Sehr einfache und leicht zu wiederholende Versuche ergaben, dass die Sporen in der Dunkelheit gar nicht keimen. Ehe ich aber diese Versuche anführe, will ich einige Worte über die dabei angewendete Me- thode vorausschicken. Meistens säete ich die Sporen auf Wasser aus. Diese, zur Beobachtung der Keiï- mung und der ersten Entwickelung der Vorkeime überaus günstige Methode wurde schon von Kaul- fuss bei seinen ausgezeichneten Untersuchungen über die Entwickelungsgeschichte der Pteris serrulata an- gewendet. Er erzog die Prothallien «auf Baumwolle, auf Glastäfelchen und auf Wasser, worin todte Pflan- zentheile gelegt waren» ”). Da bei vergleichenden Aus- saaten auf destillirtem Wasser und auf Wasser, dem Erde beigefügt wurde, kein merkbarer Unterschied weder in der Keimungszeit, noch in der ersten Entwi- ckelung der Vorkeime sich ergab, so wendete ich im- mer Newa- Wasser an. Jetzt gehe ich zur Beschrei- bung der Versuche über.

Erster Versuch.

Am 928. März wurden in zwei gleichen Gefässen Sporen von Aspidium spinulosum Sw. var. foenisecii auf Wasser ausgesäet. Das eine Gefäss versetzte ich in die Dunkelheit, das andere blieb am Tageslichte stehen. Am 15. April hatten sämmtliche dem Lichte ausgesetzte Sporen gekeimt, während die in die Dun- kelheit gebrachten keinerlei Veränderungen darboten. Um weiter zu erfahren, ob die in der Dunkelheïit aus- gesäeten Sporen überhaupt keimfähig waren, wurde ein Theil davon in einer kleinen mit Wasser ange- füllten Porzellanschale dem Tageslichte ausgesetzt. Schon nach 9 Tagen beobachtete man an ihnen eine vüllig normale Keimung, während die in der Dunkel- heit gelassenen Sporen keine Spur davon zeigten. Zu

8) Vergl. Sachs. Über die Stoffe u.s. w. in Pringsheim’s Jahr- büchern. Bd. III. S. 190. 9) Kaulfuss, 1, c. S. 60. Tome XII.

demselben Resultate führte eine gleichzeitig mit der vorigen auf feuchtem Sande unternommene Aussaat,

Zweiter Versuch.

Am 15. Juni säete ich Sporen von Aneimia Phylli- tides SW. var. longifolia Raddi theils am Lichte, theils in der Dunkelheit aus. Eine Woche später hatten sie am Tageslichte gekeimt, in der Dunkelheit dagegen waren sämmtliche Sporen ganz unverändert geblieben. Sinen Theil der letzteren versetzte ich dann ins Ta- geslicht; nach einer Woche schon hatten sie alle ge- keimt. Am 4. Juli waren schon viele der in der Dun- kelheit gebliebenen Sporen in Verwesung begriffen, und als ich sie dann sämmtlich der Wirkung des Lichtes aussetzte, waren nur wenige noch keimungs- fäbig, während alle übrigen auch im Lichte zu Grunde gingen.

Âhnliche Versuche mit Sporen von A/losorus sa- gittatus, Aspidium molle, Polypodium repens, Phegopte- ris effusa, Asplenium alatum, Asplenium sp? und 4s- plenium (Diplazium) lasiopteris führten sämmtlich zu demselben Resultate.

Somit hat es sich erwiesen, dass die Anwesenheit des Lichtes eine der nothwendigsten Bedingungen für die Keimung der Farrnsporen ist. In der Dunkelheit kommt sogar das Platzen der Exine nicht zu Stande. Daraus geht deutlich hervor, dass dieser Prozess kei- neswegs einer blossen Aufsaugung von Wasser zuge- schrieben werden kann, obgleich dies mehrmals be- hauptet wurde "”).

Eigentlich findet man schon bei Leszezyc-Suminski unter anderen der Keimung der Sporen günstigen Umständen auch das Licht angeführt:; es wird aber nirgends davon als einer unumgänglichen Bedingung erwähnt; er drückt sich darüber !') bloss folgender- maassen aus: «Nur langsam wird bei der Aussaat der Spore die schlummernde Lebenskraft durch Einwir- kung der Feuchtigkeit, der Wärme, des Lichtes und anderer der Lebensthätigkeit günstigen Umstände ge- weckt». Ebensowenig scheint auch Wigand den Ein- fluss des Lichtes auf die Keimung richtig gewürdigt zu haben. In seiner zweiten Abhandlung, die Entwi- ckelungsgeschichte der Farrnkräuter betreflend, führt

10) Vergl. z. B. Mercklin, 1. ec. S. 6 und Durchartre, Élé- ments de Botanique. 1867. S. 891. 11) L. c. S. 8. 28

435

er *) nach der Beschreibung des negativen Heliotro- pismus der Prothallien folgende Bemerkung an: «Ein anderer Versuch, den Einfluss des Lichtes auf die Richtung des Vorkeims zu bestimmen, indem einmal der Zutritt ausschliesslich auf einen durchsichtigen dem Fenster zugekehrten Streifen eines den Keimbo- den bedeckenden, übrigens vollkommen verdunkelten Trinkglases beschränkt, und das andere Mal durch ein ringsum verklebtes, nur oben durchsichtig gelas- senes Glas jeder einseitige Lichteinfluss abgehalten wurde, war wiederholt ohne Erfolg, indem die Kei- mung wabrscheinlich durch den mangelhaften Zutritt der Luft verhindert wurde». Ich glaube aber, dass die wahre Ursache des Misslingens dieses Versuches in dem mangelbaften Zutritt des Lichtes und nicht der Luft zu suchen ist, weil die Farrnsporen zur Kei- mung bloss eine sehr geringe Luftmenge erfordern. Die Sporen der Aneimia Phyllitides keimen selbst un- ter Wasser ‘).

Um die Frage, welche Lichtstrahlen die Keimung hervorrufen, zu lüsen, ersetzte ich das Tageslicht durch das Lampenlicht mittelst der Laterne des Hrn. Prof. Famintzin'*) und führte damit folgende Ver- suche aus.

Erster Versuch.

Am 26. April wurden die Sporen von Aspidium spinulosum in vier gleiche Gefässe auf Wasser ausge- säet. Das eine brachte ich unter das volle Lampen-

12) lc. S. 36.

13) Die Vorkeime entwickeln sich im Wasser auf eine schr ei- genthümliche Weise. Sie theilen sich ausschliesslich durch Quer- wände und wachsen daher ausserordentlich in die Länge. So be- merkte ich z. B. bei einer am 15. Juni in einem grossen Wasserge- fässe ausgeführten Aussaat schon am 1. Juli bei den auf der Ober- fläche des Wassers vegetirenden Prothallien ein Flächenwachsthum, wäbrend die unter Wasser gekeimten noch am 15. September sich als sehr lange, fadenformige und bleiche Gebilde vom Boden des Gefässes erhoben und dem Ansehen nach eher KFadenalgen als Farrnprothallien glichen. Sie zeigten alle deutlichen negativen He- liotropismus: alle waren vom Fenster abgewendet. Die mikrosko- pische Untersuchung zeigte, dass diese Prothallien bloss aus einer Zellenreihe, die an einem Ende noch mit der Spore zusammenhing, bestanden. Die sehr langen, confervenartigen Zellen, deren ich über 20 in einem Faden zählte, enthielten einen runden Zellkern und ziemlich kleine Chlorophyllkürner. Die Ansammlung des Chlo- rophylls in der Scheitelzelle liess auf ein noch immer stattfindendes Scheitelwachsthum schliessen. Und wirklich konnte man am 29, Oc- tober schon über 40 Zellen in einem fadenfürmigen Vorkeime zäh- len, meistentheils waren sie aber fast ganz inhaltsleer.

14) Die Beschreibung des Apparats findet man bei Famintzin, in den Mém. de l'Acad. Impér. de St.-Pétersbourg. T. VIIL. 15, S. 13 und in Pringsheim?’s Jahrbüchern, Bd. VI. S. 32.

Bulletin de l’Académie Empériale

436

licht, das andere unter das Licht, das seiner meisten Wärmestrahlen (durch Eïinschaltung eines mit Was- ser gefüllten Glasgefässes) beraubt war. In den zwei anderen Gefäissen wurden die Sporen der Wirkung des Lichtes, das einerseits durch eine Lüsung von saurem chromsaurem Kali, andererseits durch eine Lüsung von Kupferoxydammoniak hindurchgegangen war, ausgesetzt. Endlich wurde zur Controlle eine Aussaat am Tageslichte gemacht. Bei diesem Ver- suche zeigte sich sehr deutlich auch der Einfluss der Temperatur. Am frühesten fand die Keimung im vol- len Lampenlichte, das seiner Wärmestrahlen nicht be- raubt war, statt: am 9. Mai konnte man hier schon 2—3-zellige Prothallien bemerken. Erst am 15. Mai keimten die Sporen am Tageslichte, im vollen Lam- penlichte, dessen Wärmestrahlen durch das Wasser abgehalten wurden, sowie in dem gelben. Im blauen Lichte war selbst am 19. Mai keine Keimung zu beob- achten. An demselben Tage brachte ich unter das blaue Licht neue Sporen, die 4 Tage vorher in der Dunkelheit ausgesäet waren. Obgleich diese Sporen bis zum 1.Juni im blauen Lichte und dann bis zum 15. Juni in der Dunkelheit verweilten, keimten sie nicht; als sie aber dann dem Tageslichte ausgesetzt wurden, zeigten sie schon eine Woche später eine normale Keimung.

Zweiter Versuch.

Am 9.Juli wurden Sporen von Aneimia Phylliti- des und AUosorus sagittalus zusammen in zwei kleinen Schalen auf Wasser ausgesäet. Die eine setzte ich dem gelben, die andere dem blauen Lampenlichte aus. Nach 9 Tagen hatten im gelben Lichte säimmtliche Sporen, sowohl die von Allosorus, als auch die von Aneimia gekeimt: die Vorkeime bestanden aus 1—2 sehr langen Zellen. Im blauen Lichte zeigten die Spo- ren keine Veränderungen, als aber an die Stelle des Gefässes mit Kupferoxydammoniak ein Gefäss mit Was- ser gesetzt wurde, keimten sie 6 Tage später sämmt- lich.

Obgleich diese Versuche nicht eben zahlreich sind, zeigen sie deutlich genug, dass die Keimung aus- schliesslich durch die minder brechbaren Strahlen des Spectrums hervorgerufen wird. Die Strahlen hüherer Brechbarkeit scheinen sich dabei wie Dunkelheit zu verhalten; jedenfalls ist ihre Wirkung viel schwächer.

437

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

438

Was die Ursache der Nothwendigkeit des Lichtes für die Keimung der Farrnsporen betrifft, so scheint es am einfachsten, das Unterbleiben der Keimung in der Dunkelheit mit dem Umstande zu verbinden, dass bei diesen Bedingungen das Chlorophyll nicht erzeugt werden kann. Nach einer reiferen Überlegung erweist sich aber diese Erklärung als hôchst unwahrschein- lich®), denn in der Dunkelheit findet, wie erwähnt, selbst das Platzen der Exine nicht statt, bei der Kei- mung geht aber dieser Prozess stets der Chlorophyll- bildung voran; durch frühzeitige Verdunkelung der am Lichte keimenden Sporen von Allosorus sagittatus kann man eine, obwohl schwache und, wie ich bald zeigen werde, nicht normale Weiterentwickelung her- vorrufen und kleine, gänzlich chlorophyllfreie Vor- keime erhalten. Wahrscheinlich wird die Keimung durch einen vom Lichte abhängigen chemischen Pro- zess hervorgerufen. Da nun bei der Keimung ohne Zweifel die wichtigsten Veränderungen in den Reser- vestoffen zu erwarten sind, so suchte ich zu erfor- schen, worin das in den Sporen massenhaft vorhan- dene ÔI bei der Entwickelung der ersten Zelle des Prothalliums übergehe. In dieser Hinsicht kam ich aber zu keinem positiven Resultate. Einige Beobach- tungen sprechen dafür, dass auch hier, wie bei der Keimung ülhaltiger Samen "), das OI in Stärkemehl übergehe; aber nimmt man selbst diesen Übergang als Thatsache an, so kommt man nicht um einen Schritt weiter, denn in den Samen geht dieser Pro- zess auch in der Dunkelheit vor, ist also vom Lichte vollig unabhängig.

Somit ist es bis jetzt noch nicht gelungen, die Ur- sache des Unterbleibens der Keimung in der Dunkel- heit zu erklären.

Die oben nachgewiesene Abhängigkeit der Kei- mung der Farrnsporen vom Lichte lässt sich nicht auf alle Farrne ohne Ausnahme ausdehnen. Die Ophi- oglosseen keimen, wie bekannt, unterirdisch. Irmisch und Hofmeister fanden Prothallien von Botrychium Lunaria 1 bis 3 Zoll unter der Erdoberfläche "), also

15) Am einfachsten wäre es, solche Sporen, die ausser Ü1 noch Chlorophyll enthalten, wie z. B. diejenigen der Osmunda regalis (Fischer v. Waldheim, Pringsheim’'s Jahrb. Bd. 1V, $. 374) zu un- tersuchen. Leider standen mir solche nicht zu Gebote.

16) Sachs I. e. S. 213 u. f.

17) Hofmeister. Reiträge zur Kenntniss der Gefiss-Kryptoga- men. II. $. 697.

in voller Finsterniss. Andererseits aber ist nicht bei den Farrnen allein das Licht als ein nothwendiger Factor der Vorkeimbildung zu betrachten. Versuche, die ich mit Sporen von Polytrichum commune anstellte, zeisten, dass auch diese in der Dunkelheit nicht keiï- men. Hierher scheint weiter auch eine Beobachtung Unger’s zu gehôren: nach ihm keimen die Vauche- ria-Sporen nur am Lichte *). Nach Milde *) keimen die Equisetaceen-Sporen (namentlich die von Æquise- tum arvense) auch in der Finsterniss; seine Versuche bedürfen aber, meiner Meinung nach, noch einer wei- teren Bestätigung.

Anbhangsweise will ich noch folgende Beobachtun- gen anführen.

Versetzt man eben am Lichte keimende Sporen von Allosorus sagittatus in die Dunkelheit, so schlägt die Entwickelung der Prothallien einen sehr eigen- thümlichen Weg ein. Schon längst war es bekannt, dass die Antheridien nicht bloss erst auf der laubar- tigen Ausbreitung des Vorkeims, sondern oft schon in seinem jüngsten Zustande, wenn selbiger, noch mit der Spore zusammenhängend, erst wenige Zellen be- sitzt, auftreten. So bildet schon Nägeli ”) einen fa- denfürmigen, bloss aus 6 Zellen bestehenden und 3 Antheridien tragenden Vorkeim von Aspidium auge- scens Link. ab. Schacht zeichnet *') noch weniger entwickelte, gleichfalls antheridiumtragende Vor- keime der Pteris serrulata. Wigand fand dasselbe bei Blechnum Spicant Sw.”). Bei Allosorus sagittatus kann man diese Erscheinung künstlich hervorrufen, na mentlich durch frühzeitige Versetzung der am Lichte keimenden Sporen in die Dunkelheit. Dabei bleibt die Entwickelung gewühnlicher vegetativer Zellen bald stehen, und es bilden sich Antheridien (Fig. 2). Je früher man daher die keimenden Sporen dem Ein- flusse des Lichtes entzieht, desto unentwickelter bleibt der vegctative Theil des Vorkeims. Säet man Sporen von Allosorus am Lichte auf Wasser aus und über-

18) Unger. Die Pflanze im Moment der Thierwerdung. 1843. S. 66.

19) Milde. Zur Entwickelungsgeschichte der Equiseten und Rhi- zocarpeen. Nova-Acta Acad. L. C. T. XXII. p. II.

20) Nägeli. Bewegliche Spiralfaden an Farren. Zeitschr. f. wiss. Bot. Heft I, Taf. IV, fig. 2.

21) Schacht. Beitrag zur Entwickelungsgeschichte der Farrn- kräuter. Linnaea, 1849. Taf. V, Fig. 1 u. 2.

22) 1. CS. 42,

28*

439

trägt sie 5—6 Tage *) später in die Dunkelheit, so bleibt der meiste Theïl davon ungekeimt. Diejenigen Sporen aber, deren Exine am Lichte schon zerplatzt war, entwickeln einzellige, 1—3 Antheridien tragende Vorkeime. Die vegetative Zelle solcher Vorkeime bildet die ausgewachsene Sporenzelle selbst. Ihr In- halt besteht hauptsächlich aus bei der Keimung nicht verwendetem Ül, das als grüssere und kleinere Trop- fen im Zellsaft suspendirt erscheint. Ausserdem fin- det man oft sehr deutliche Amylumkôrnchen. Da nun in dem ganzen Vorkeime keine Spur von Chlorophyll zu finden ist, da in den Sporen von Allosorus, sowie in denjenigen aller von mir untersuchten Farrnspe- cies, nie Stärke angetroffen wird, so scheint es nicht übereilt, aus dem gleichzeitigen Vorkommen von Ül und Stärke in ein und derselben Zelle auf eine Bil- dung der letzteren aus dem ersteren zu schliessen. Solche Vorkeime sind zur Untersuchung des Antheri- dienbaues sehr geeignet. So ist es leicht, an leeren Antheridien sich von der Richtigkeit der Schacht- Hofmeister’schen Ansicht über die Structur der Wand, zu überzeugen; oft sieht man die radialen Scheidewände mit grüsster Deutlichkeit (Fig. 3). In der Dunkelheit üffnen sich diese Antheridien sebr lange nicht: entleert man sie aber künstlich durch einen mässigen auf das Deckglas ausgeübten Druck, so entlassen sie rundliche Spiralfadenzellen, aus denen sich alsbald normal entwickelte und bewegliche Sper- matozoiden frei machen.

Obgleich die vegetative Zelle der beschriebenen Vorkeime oft drei Antheridien trägt, ist sie dennoch einer Weiterentwickelung fähig, dazu müssen aber die Vorkeime dem Lichte ausgesetzt werden. Dann treibt die vegetative Zelle, oder eine der vegetativen Zellen, falls ihrer mehrere vorhanden sind, einen seitlichen Auswuchs, der sich bald durch eine an seiner Basis auftretende Scheidewand von seiner Mutterzelle ab- gliedert und somit in eine selbstständige Zelle ver- wandelt wird. Diese verhält sich der gewühnlichen Scheitelzelle des jungen Vorkeims ganz äbnlich: sie theilt sich zunächst durch Querwände, später

23) Es ist zu bemerken, dass der Zeitraum, in dem die Keimung zu Stande kommt, selbst für dieselben Sporen nach der Jahreszeit sebr verschieden ausfällt, was wahrscheinlich hauptsächlich der verschiedenen Lichtintensität zuzuschreiben ist; Sporen, die im Sommer in 6—7 Tagen keimen, erfordern dafür im Winter oft über 2 Wochen.

Bulletin de l’Académie Ampériale

440

treten auch Längswände auf (Figur 4). Auf diese Weise entwickeln sich vüllig normale Prothallien, die von den ununterbrochen am Tageslichte erzoge- nen bloss dadurch zu unterscheiden sind, dass sie an ihrem Basaltheïle seitlich einen oder mehrere mei- stens schon entleerte Antheridien tragen. Bei an- deren Farrnspecies gelang es mir nicht, durch früh- zeitiges Übertragen keimender Sporen in die Dunkel- heit die, soeben für A/losorus beschriebene Antheri- dienbildung hervorzurufen. Dabei bemerkte man nur eine bedeutende Streckung der am Lichte gebildeten vegetativen Zellen, es trat ein- oder zweimal Quer- theilung auf, eine weitere Entwickelung fand aber nicht statt. Gewiss findet sich dieses Verhältniss mit dem Umstande im Zusammenhange, dass bei Allosorus die Antheridien überhaupt viel früher, als bei den ande- ren von mir untersuchten Farrnen auftréten. Wenig- stens kommen die auf Wasser erzogenen Prothallien von Aneimia Phyllitides und Aspidium spinulosum nie zur Antheridienbildung, während diejenigen des Alo- sorus sagittatus bei denselben Bedingungen schon ziemlich früh Antheridien besitzen. Ihre frühzeitige Bildung ist dabei so constant, dass sie selbst an unter fortwährender Beleuchtung durch Lampenlicht erzo- genen Vorkeimen gleichfalls stattfindet.

Il, Die Wirkung des Lichtes auf die Lage der Chlorophyli- kürner.

An einem kleinen, aber schon zweilappigen Vor- keime von Aspidium spinulosum, der unter vollem Lampenlichte erzogen war und dann etwa zwei Wo- chen lang in der Dunkelheit verweilte, bemerkte ich, dass die Chlorophyllkürner sämmtlich die Seitenwände der Zellen bekleideten, während die obere und untere Fläche jeder Zelle chlorophyllfrei erschien. Da diese Vertheilung der unlängst von Hrn. Professor Fa- mintzin*) an den Mnium-Blättern entdeckten Lage der Chlorophyllkôürner ganz ähnlich war, so hoffte ich auch in den Farrnprothallien dieselbe Abhängig- keit der Lage der Chlorophyllkôürner vom Licht zu finden. Und wirklich gelang es mir an vielen auf Wasser erzogenen Vorkeimen von Aspidium spinulo- sum, sowie auch an denjenigen des Allosorus sagitta-

24) Famintzin. Die Wirkung des Lichtes und der Dunkelheit auf die Vertheilung der Chlorophyllkôürner in den Blättern von Maium sp.? Pringsheim’s Jahrb. Bd. VI. S. 50.

441

tus, mehrmals eine vom Licht abhängige Ortsverände- rung der Chlorophyllkürner zu beobachten. Eine ge- nauere Uutersuchung ergab für die Vertheilung der Chlorophyllkürner folgendes Gesetz: In der Dunkel- heit bekleiden sie bloss diejenigen Zellwände, die an die Nachbarzellen grenzen; am Lichte dagegen neh- men sie die freien Zellfläichen ein. Dieses Gesetz, das sich auch auf die Mnium-Blätter ausdehnen lässt, tritt an den F'arrnprothallien mit grüsster Deutlichkeit auf.

So nehmen in den Randzellen die Chlorophyllkür- ner in der Dunkelheit bloss drei Seitenwände ein (Fig. 5—7), die vierte freie Seitenwand ist gleich der oberen und unteren Zellfläche chlorophyllfrei. Sitzt aber auf der Randzelle ein papillenfürmiges Här- chen, wie es z. B. bei Aspidium spinulosum der Fall ist (Fig. 7), so findet man die das Härchen von der Randzelle trennende Scheidewand gleichfalls mit Chlo- rophyllkürnern besetzt. In den Zellen des fadenfürmi- gen Theiles junger Alosorus-Vorkeime (Fig. 5) be- decken die Chlorophyllkôrner bloss die Querscheide- wände, während die freien cylindrischen Seitenwände gänzlich frei davon sind. Dort aber, wo ein Wurzelhaar sitzt, ist seine Basis gleichfalls mit Chlorophylikür- nern bedeckt *).

Diese nächtliche Lage des Chlorophylls wurde schon von Mercklin bemerkt und an Vorkeimen von Pteris vittata und Pteris vespertilionis sebr richtig ab- gebildet ); da aber damals keine analogen Thatsachen bekannt waren, so kann es nicht befremden, dass diese Erscheinung unerklärt blieb. Bringt man einen Vorkeim, dessen Chlorophyll in der Dunkelheit die Nachtstellung angenommen hat, an das Licht, so be- merkt man bald ein Hervorkriechen der Chlorophyll- kürner auf die freien Zellenflächen und nach einiger Zeit bedecken sie die letzteren vollständig, während die Seitenwände frei davon sind. Diese Ortsveränderung der Chlorophyllkürner findet nicht nur an ganzen Vorkei- men, sondern auch an einzelnen Stücken derselben statt. Als das oben erwähnte Aspidium-Prothallium, an dem ich zum ersten Male die nächtliche Lage des Chloro-

25) Fast alle Forscher beschreiben die Wurzelhaare als freie Ausstülpungen der Prothallien-Zelleu. Henfrey z. B. sagt von ih- nen ausdrücklich: «their tubular cavities are freely open into those of the cells from which they arise». (Transactions of the Lin. Soc. Vol. XXI. 1855. P. 119). Oft ist aber die Scheidewand an der Basis des Wurzelhaares sehr deutlich zu sehen.

26) 1. e. Taf. I, Fig. 4, Taf. IN, Fig. 19, Taf. V, Fig. 1.

des Sciences de Saint- Pétersbourg.

442

phylls bemerkte, der Länge nach in zwei Hälften und eine von diesen abermals in zwei Theile zerschnitten wurde, konnte ich in allen drei Stücken dieselben Ortsveränderungen der Chlorophylkürner durch ab- wechselnde Verdunkelung und Beleuchtung hervor- rufen, wie an unverletzten Prothallien.

Um die Wirkung farbigen Lichtes zu erforschen, brachte ich Aspidium- und Allosorus-V'orkeime in die Dunkelheit, und als ihre Chlorophyllkôrner die Nacht- stellung eingenommen hatten, wurden die Prothallien theils dem vollen Lampenlichte, dessen Wärmestrah- len aber abgehalten waren (in vollem Lampenlichte starben die Vorkeime der hohen Temperatur wegen rasch ab), theils dem gelben, theils endlich dem blauen ausgesetzt. Die dabei erhaltenen Resultate stimmen mit denen des Hrn. Famintzin vüllig überein. Im blauen Lichte ging die nächtliche Lage, ebenso wie im vollen Lampenlichte, in die Tagesstellung über, während sie im gelben unverändert blieb.

Weiter suchte ich zu erforschen, welche Rolle die chemischen Strahlen bei diesen Ortsveränderungen der Chlorophyllkürner spielen. Es wäre wohl môglich, dass das gelbe Licht sich bloss deshalb der Dunkel- heit gleich verhalte, weil es keine chemischen Strah- len enthält. Übrigens macht schon der Umstand, dass das an chemischen Strahlen sehr arme Kerasin-Lam- penlicht noch schneller als das Tageslicht die Nacht- stellung der Chlorophyllkürner zerstôrt, sehr wahr- scheinlich, dass auch hier, wie bei so vielen anderen vom Lichte ahhängigen Lebensprozessen der Pflan- zen, die chemischen Strahlen keine wichtige Rolle spielen. Um darüber vüllig ins Klare zu kommen, suchte ich so viel wie müglich die chemischen Strah- len des vollen oder des blauen Lampenlichtes abzu- halten. Zu diesem Zwecke benutzte ich die bekannte Eigenschaft der schwefelsauren Chininlüsung die mei- sten chemischen Strahlen zu absorbiren. Die Ver- suche wurden auf folgende Weise ausgeführt. Ich liess das Lampenlicht einerseits durch Chininlüsung, an- dererseits durch ein Gefäss mit Wasser hindurchge- hen. Die Vorkeime befanden sich in kleinen Porzel- lanschälchen, die mit Glasplättchen bedeckt wurden. Am Anfange des Versuches bereitete ich photogra- phisches Papier und brachte ein Stück davon ans Ta- geslicht um es auf seine Empfndlichkeit zu prüfen. Das andere Stück wurde auf die die Schale bedeckende

443

Bulletin de l’Académie KHmpériale

#£4

EEE

Glasplatte gelegt; selbst nach 12-stündiger Beleuch- tung mittelst des durch die Chininlüsung hindurch- gegangenen Lichtes war nur eine sehr unbedeutende Schwärzung zu beobachten Mehrmals wiederholte vergleichende Versuche zeigten, dass die Wirksam- keit des Lampenlichtes durch die Beraubung seiner chemischen Strahlen nicht im mindesten geschwächt wird.

An auf Wasser erzogenen Prothallien gehen die Ortsveränderungen der Chlorophytikürner überhaupt ziemlich Jangsam vor sich. So ist wenigstens eine drei- stündige Beleuchtuug erforderlich, um das Chlorophyll aus der Nacht- in die Tagesstellung vollständig über- züuführen. Die umgekehrte Lageveränderung kommt oft erst nach 24-stündigem Verweilen in der Dunkel- heit zu Stande. Diese Langsamkeit glaubte ich der schwachen Lebensthätigkeit der auf Wasser vegeti- renden Vorkeime zuschreiben zu müssen. Daher suchte ich meine Beobachtungen an solchen Vorkeimen, die sich inmôüglichstnormalen Umständenentwickelthatten, zu wiederholen. Durch Herrn Rosanoff’s Güte er- hielt ich aus dem hiesigen botanischen Garten eine be- deutende Menge verschiedener Farrnprothallien. Bald bemerkte ich an ihnen dieselben Ortsveränderungen des Chlorophylls, obgleich sie bei weitem nicht in allen deutlich genug ausgeprägt waren: nicht selten, besonders in grossen Vorkeimen, fand diese Ortsver- änderung bloss in dem jüngsten, unter dem tiefen Ein- schnitte des Prothalliums befindlichen Theile statt; oft wanderten in der Dunkelheit nicht alle Chlorophyll- kôürner auf die Seitenwände über.

Ich will hier bloss eine Reiïhe von Versuchen an- führen, die ich sämmtlich an ein- und demselben, leider unbestimmten Vorkeime ausführte, wobei es mir ge- lang, an ihm während 6 Tagen die Lage der Chloro- phyllkürner 20 Mal zu verändern. In den nächstfol- genden Zeilen findet man nur einige von diesen Ver- suchen angeführt.

Am Morgen, den 23. September, zeigte der Vor- keim überall deutlich ausgeprägte Nachtstellung der Chlorophyllkürner (vorher verweilte er ctwa drei Tage lang in der Dunkelheit). Als er in dem Wasser- tropfen eines Objectglases ohne Deckgläschen dem vollen Lampenlichte ausgesetzt wurde, hatten nach drei Stunden sämmtliche Chlorophyllkürner Tages- stellung angenommen. Dann wurde er auf demselben

Objectglase in die Dunkelheït versetzt, und am folgen- den Morgen, den 24. September, war die Nachtstellung wieder hergestellt. Um 4 Uhr Nachmittags wurde der Vorkeim auf oben beschriebene Weiïse in einer Por- zellanschale der Wirkung des seiner chemischen Strah- len beraubten Lampenlichtes ausgesetzt. Nach 2 Stun- den war das photographische Papier unverändert, wäh- rend im Vorkeime sich überall Tagesstellung des Chlo- rophylls vorfand. Nachher verdunkelte ich ïhn noch- mals, und Mitternachts wurde wieder Nachtstellung beobachtet. Dieselbe fand ich auch am Morgen, den 25. September, aber am Tageslichte ging sie schnell in Tagesstellung über. Eine neue Verdunkelung rief abermals die Nachtstellung hervor, die am 26. Sep- tember am Tageslichte abermals in die Tagesstellung überging. Um 4 Uhr Nachmittags versetzte ich den Vorkeim wieder in die Dunkelheit, und schon um 6 Uhr waren alle Chorophyllkürner auf den Seitenwänden vor- handen. Dann wurde der Vorkeim auf dem Mikroskop- tische durch ein Stearin-Licht beleuchtet: um 77, Ubr erhielt ich wieder Tagesstellung. An demselben Abende gelang es nochmals, Nachtstellung, dann wieder Tages- und wieder Nachtstellung hervorzurufen. Am27.Sept., um 6!, Uhr Nachmittags, wurde der Vorkeim auf dem Mikroskoptische der Wirkung des gelben Lampen- lichtes ausgesetzt. Selbst am 28. September, um 6% Uhr Morgens, also nach 12-stündiger Beleuchtung, war in dem Vorkeime wie früher Nachtstellung der Chlorophyllkürner zu beobachten. Als aber das gelbe Lampenlicht mit dem blauen vertauscht wurde, be- deckten schon nach einer Stunde sämmtliche Chloro- phyllkürner die freien Zellwände. Um 9 Uhr ver- tauschte ich das blaue Licht mit dem gelben und nach 3 Stunden hatten die Chlorophyllkürner die Nacht- stellung angenommen. Dieser Versuch zeigt deutlich, dass das gelbe Licht sich wirklich gleich der Dunkel- heit verhält. Abermalige Beleuchtung durch blaues Licht brachte wieder Tagesstellung hervor.

Die Abhängigkeit der Lage der Chlorophyllkürner vom Lichte scheint eine, wenigstens unter den Krypto- gamen, Weit verbreitete Erscheinung zu sein. Sie kommt, nach meinen Beobachtungen, in den Blättern vieler Laubmoose vor; in solchen, die, gleich den Mnium-Blättern, aus grossen parenchymatischen Zellen zusammengesetzt sind, als auch in aus langen und engen Zellen bestehenden. Ebenso verhalten sich die Blätter

445

der beblätterten Jungermannieen, namentlich diejeni- gen von Alicularia scalaris. Aber nicht bloss in solchen Pflanzentheilen, die nur aus einer Zellenschicht bestehen, sondern auch in mehrschichtigen kann diese Ortsveränderung der Chlorophylkürner statt finden. Im letzten Falle ist sie aber auf die oberflächlichste Zellenschicht beschränkt, obgleich die Vertheilung der Chlorophyllkürner dasselbe Gesetz befolgt: auch hier bleiben in der Dunkelheit die Aussenwände der Zellen chlorophylifrei. Dieses Verhältniss wird auch an Farrn- prothallien, namentlich in dem mehrschichtigen Ge- webepolster, auf dem später die Arehegonien sich ent- wickeln, angetroffen. Ganz dasselbe beobachtet man noch deutlicher in den Brutknospen der Marchantia polymorpha. Hier ist der Unterschied zwischen der Nacht- und Tagesstellung des Chlorophylls sehr augen- fällig; am Lichte sind die freien Aussenwände der ober- flächlichen Zellen dicht mit Chlorophyllkürnern be- deckt, während sie in der Dunkelheit vüllig chloro- phyllfrei erscheinen, und nur die Seitenwände, sowie auch die innere Wand, sind mit Chlorophyllkôürnern ausgekleidet, wodurch die Brutknospe bei schwacher Vergrüsserung ein schaumiges Ansehen erhält. Selbst an sehr jungen, einschichtigen und noch am Boden des Knospenbehälters befestigten Brutknospen bemerkt man oft die Nachtstellung des Chorophylls, obgleich einzelne Chorophyllkürner noch nicht zu unterscheiden sind (Fig. 8). In dem Thallus der Pellia epiphylla und in Knospenbehältern tragenden Sprossen der Blasia pusilla habe ich ganz analoge Ortsveränderungen der Chlorophyllkürner beobachtet.

Da die Laubmoosse zu solchen Untersuchungen be- souders geeignet sind, so habe ich einige Versuche mit den Blättern der Æunaria hygrometrica angestellt, um die vüllige Abhängigkeit der Lage der Chlorophyll- kôürner vom Lichte näher zu erforschen. Das Moos vegetirte üppig und bildete auf der Erde des Tellers einen dichten Rasen. In den Blättern zeigten die Chlo- rophyllkôrner täglich eine periodische Wanderung. Im November war schon um 6 Uhr Nachmittags der Über- gang der Tages- in die Nachtstellung zu beobachten: in vielen Blättern waren schon säimmtliche Chlorophyll- kôürner auf die Seitenwände übergewandert, während gegen 6—7 Uhr Morgens die Tagesstellung wieder allmählich auftrat. Da zur Beobachtung dieser Orts- veränderungen eine schwache Vergrüsserung vüllig

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

446

ausreichte, so legte ich die vorsichtig ausgegrabenen Pflänzchen, an denen experimentirt wurde, auf den mit Wasser befeuchteten Boden einer kleinen Por- zellanschale, die ich dann mit einer Glasplatte bedeckte. Ich überzeugte mich, dass bei diesen Bedingungen die Pfänzchen sich lange Zeit den normal vegetirenden vüllig gleich verhalten, denn lässt man sie am Tages- lichte stehen, so findet in ihren Blättern die bekannte periodische Wanderung des Chlorophylls ebenso regel- mässig statt. Versetzt man sie aber in die Dunkel- beit, so tritt die Nachtstellang der Chlorophyllkôrner alsbald ein. Andererseits kann man durch fortwäh- rende Beleuchtung der Blätter das Chlorophyll so lange man will in der Tagesstellung erhalten. Wird am Abend ein frisches Pflänzchen, das bei normalen Ver- hältnissen die Nachtstellung des Chlorophylls bis zum Morgen bewahrt, dem vollen, oder dem blauen Lampen- lichte ausgesetzt, so ist schon nach einstündiger Be- leuchtung Tagesstellung zu beobachten. Wendet man aber dabei gelbes Licht an, so ist nicht nur selbst eine mehr als 24-stündige Beleuchtung unfähig, die Nacht- stellung des Chlorophylls in die Tagesstellung über- zuführen, sondern es wird sogar die Tagesstellung in die Nachtstellung umgeändert. Auf diese Weise ist es müglich, durch abwechselnde Beleuchtung mittelst blauen und gelben Lichtes dieselbe periodische Wan- derung wie durch Abwechselung des Lichtes und der Dunkelheit hervorzurufen. Somit ist es vüllig erwiesen, dass das gelbe Licht sich der Dunkelheit gleich verhält.

Die Hauptresultate der vorliegenden Untersuchung kann man kurz folgendermaassen zusammenfassen :

1) Eine unumgängliche Bedingung für die Keimung der Farrnsporen ist die Anwesenheïit des Lichtes. In der Dunkelheit keimen die Farrnsporen nicht.

2) Die Keimung der Farrnsporen wird ausschliess- lich durch die minder brechbaren Strahlen des Spec- trums hervorgerufen. Blaues Licht verhält sich der Dunkelheit gleich.

3) Das Platzen der Exine bei der Keimung kann nicht einer blossen Aufsaugung von Wasser zugeschrie- ben werden.

4) Bei der Keimung der Sporen scheint das OI in Stärke überzugehen.

5) Durch frühzeitige Versetzung keimender Sporen in die Dunkelheit kann man bei einigen Farrnen (4llo- sorus Sagittatus) Antheridienbildung hervorrufen.

44%

Bulletin de l’Académie Hmpériale

448

6) Die Abhängigkeit der Lage der Chlorophylikôrner | Zweiter Nachtrag zur Kenntniss des Processus

vom Lichte ist eine unter den hôheren Kryptogamen weit verbreitete Erscheinung. Sie wird nicht nur in einschichtigen, sondern auch in mehrschichtigen Pflan- zentheilen beobachtet.

7) In der Dunkelheïit nehmen die Chlorophyllkôrner bloss die mit den Nachbarzellen grenzenden Zellwände ein, am Lichte bedecken sie dagegen die freien Zell- flächen.

8) Die Tagesstellung der Chlorophyllkürner wird nur durch die stärker brechbaren Strahlen des Lampen- lichtes hervorgerufen; gelbes Licht wirkt wie Dunkel- heit.

9) Die chemischen Strahlen scheinen dabei keine wichtige Rolle zu spiclen.

Erklärung der Abbildungen,

Fig. 1. Ein normal am Tageslichte auf Wasser sich entwickelnder Vorkeim von Allosorus sagittatus. Die Exine ist abgestreift. Die Basalzelle enthäit das bei der Keimung nicht verwendete OI.

Fig. 2. Ein junger Vorkeim von Alosorus sagittatus, an dem durch Verdunkeln der keimenden Spore eine frühzeitige Antheridienbildung hervorgerufen wurde.

Fig. 3. Ein entleertes Antheridium.

Fig. 4. Ein dem in der Fig. 2 abgebildeten ähn- licher Vorkeim von Allosorus sagittatus, der sich am Tageslichte weiter entwickelt.

Fig. 5. Ein junger Vorkeim von A{losorus, die Nacht- stellung der Chlorophyllkürner zeigend. Am oberen Ende entwickeln sich 2 Antheridien.

Fig. 6 wie Fig. 5, aber der viel grôüssere Vorkeim ist nur theilweise abgebildet.

Fig. 7. Vorkeim von Aspidium spinulosum mit der Nachtstellung des Chlorophylls.

Fig. 8. Eine junge, noch am Boden des Knospen- behälters befestigte Brutknospe der Marchantia poly- morpha. Nachtstellung des Chlorophylls ; einzelne Chlo- rophyllkürner sind nicht zu beobachten.

supracondyloideus (internus) humeri des Menschen, von Dr. Wenzel Gruber, Pro- fessor der Anatomie. (Lu le 28 novembre 1867.)

(Mit einer Tafel.)

Bis Januar 1865 hatte ich 42 Füälle des Processus supracondyloideus (internus) humeri beim Menschen beobachtet '), und von 1849 1865 alle diese Fälle beschrieben *). Dort findet man auch das darüber von Anderen Beobachtete nach Môglichkeit zusammen- getragen *).

Seit Januar 1865 sind mir noch 5 Fälle des Pro- cessus supracondyloideus an 4 Leichen (von 2 Män- nern und 2 Weibern) vorgekommen, und zwar: im December 1865 am rechten Arme eines etwa 25jäh- rigen Mannes, im Januar 1866 an beiden Armen eines alten Mannes, im Mai 1866 am rechten Arme eines Weibes und am linken Arme eines anderen Weibes.

Von der Spitze des Processus supracondyloideus des 1., 2. und 3. Falles entsprang der anomal hoch am Humerus u. s. w. entstandene Pronator teres mit einem fleischig-sehnigen oder aponeurotischen Kôpf- chen, wodurch zwischen dem Processus, dem von seiner Spitze kommenden fieischig-sehnigen oder nur

1) Dahin ist meine Angabe von 39 Fällen Arch.f. Anat., Physiol u. wiss. Medicin. Leipzig 1865. S. 367 zu berichtigen.

2) W. Gruber. Neue Anomalien. Mit 7 Taf. Berlin 1849, 4°. S.8. Taf. IT, IV. Fig. 1 (Processus verdeckt). Taf. VIT. «. Abhandlungen aus der menschlichen und vergleichenden Anatomie. Mit 11 Taf. St. Petersburg 1852. 4°. Abh.8. Art. «Neue, oder doch seltene Ano- malien» AN 5. S. 132—135. Tab. IT. Fig. L. à Monographie des Canalis supracondyloideus humeri und der Processus supracondy- loidei humeri et femoris der Säugethiere und des Menschen. Mit 3 Taf, Mém. des sav. étrang. de l’Acad. Imp. des sc. de St.-Pé- tersbourg. T. VIIT. Besond. Abdr. St. Petersburg u. Leipzig. 1856. 4°. $. (79 82) 29 32, Sitzungsprotocoll d. Vereins prakt. Ârzte in St. Petersburg a. 14. October 1861. St. Petersburger medic. Zeit- schrift. Bd. I. 1S61. S. 365. Sitzungsprotocoll a. 12. December 1864. St. Petersburger medie. Zeitschr. Bd. IX. 1865. S. 179, Ein Nach- trag zur Kenntniss des Processus supracondyloideus (internus) hu- meri des Menschen. Arch. f. Anat., Physiol. u. wiss. Medicin von C. B. Reichert und Du Bois-Reymond. Leipzig 1865. S. 357. Tab. VIII. C. 1.

3) Dazu gehôren noch 1 Fall von J. Hyrtl Handb. d. topogr. Anatomie. 4. Aufl. Bd. II. Wien 1860. S. 336 —, in welchem eine lange fibrôse Zacke des Coraco brachialis bis auf die Spitze des staatlichen Processus herabreichte; 3 als beobachtet gemeldete, aber nicht beschriebene Fälle von John Wood On human muscular variations and their relations to comparative anatomy. The Journ. of anat. a. physiol. X 1. London. November 1866. p. 47 —; und wohl auch ein Paar neue Füälle von Patruban, worüber ich gelesen zu haben glaube, mich aber augenblicklich nicht erinnern kann, wo?

Bulletin de l'Acad. Jmp.d.se TXL. JRORODIN. Ueber d'Wirkuné des Eichts auf eumge hôhere Kry ptoganen

Lith.AMünster S'hé.W 0 2 LinieHousN

We 1”

449

des Sciences de S

aint-Pétersbourg. 450

aponeurotischen Kôpfchen des Pronator teres, der anomalen Fleischportion des letzteren und dem Liga- mentum intermusculare internum das Foramen supra- condyloideum gebildet wurde. Durch letzteres liefen medialwärts vom Processus, an dem rechten Arme des jungen Mannes und an dem linken Arme des al-

ten Mannes, mit dem Nervus medianus die Vasa bra-|

chialia; und am rechten Arme desselben alten Man-

nes, an dem die Arteria radialis hoch oben von der Arteria brachialis abging, mit dem Nervus medianus |

die Vasa ulnaria communia. Im 4. Falle (am rech- ten Arme eines Weibes) entsprang vom Processus bis zu seiner Spitze hin nur der Brachialis internus, nicht mit einem Küpfchen der Pronator teres. Trotz dem es aber dadurch zur Bildung eines Foramen supra- condyloideum nicht kommen konnte, krümmten sich doch die Vasa brachialia und der Nervus medianus medialwärts um den Processus, wie in den Fällen mit Ursprung des Pronator teres von demselben, und wa- ren, wie in diesen Fällen, weit medialwärts gerückt. In dem 1. Falle (Fig. 1.) mit Stand der Spitze des Processus 1", Z. über dem grüssten Vorsprunge des Condylus internus humeri, entstand die Arteria ra- dialis (c) von der Art. brachialis (a) 9 Lin. unter dem Durchtritte der ersteren durch das Foramen supra- condyloideum (*. &) und 1 Z. über dem Rande des aponeurotischen Fascikels der Sehne des Biceps bra- chi, also anomaler Weise noch am Oberarme. Die- selbe war vom Ursprunge angefangen bis zum ge- nannten aponeurotischen Fascikel der Sehne des Bi- ceps brachii vom Rande des Pronator teres bedeckt und lief oberhalb der Art. ulnaris communis. Am aponeurotischen Fascikel der Sehne des Biceps bra- chii kam die Arterie auf den Rand des Pronator te- res, knapp hinter genanntem Fascikel, zu liegen. Sie zog dann am Rande des letzteren Muskels bis in den Suleus radialis antibrachü, und stieg wie gewôhnlich abwärts. Sie war 1}, Lin. (injicirt) dick. Sie gab dem Pronator teres, Radialis internus, Brachio-radia-

lis u. s. w. Muskeläste, aber nicht die Art. recur- |

rens radialis (e) ab, welche von der Art. ulnaris com-

munis abgeschickt worden war. Ich hatte bis jetzt

nur in einem Falle das Vorkommen des Processus

supracondyloideus die Art. radialis, von der Arteria

brachialis, nachdem letztere das Foramen supracon-

dyloideum passirt hatte, noch am Oberarme, also ano- Tome XII.

mal hoch, entstehen gesehen, weshalb ich den neuen | Fall beschrieb und abbildete. Uebrigens kam an die- sen 4 Fällen nichts mehr vor, was ich nicht schon beobachtet und beschrieben hätte.

Der 5. Fall von Vorkommen des Processus supra- condyloideus (am linken Arme eines Weibes) wies aber merkwürdige Eigenthümlichkeiten auf, wie sie bis dahin weder von mir noch von Anderen beob- achtet worden waren. Ich liefere deshalb über diesen in meiner Sammlung aufbewahrten Fall nachstehende | Beschreibung mit einer Abbildung (Fig. 2.)

Der Processus supracondyloideus (*) sitzt 11,—-1°/ Z. über der Spitze des Condylus internus am medialen Theile der vorderen Fläche des Humerus, 2—2"/ Lin. lateralwärts vom Angulus internus und mit seiner Spitze 6 Lin. medialwärts vom Biceps brachiüi. Er sitzt mit einer 1 Z. langen Basis auf, steht 3—4 Lin. über der Fläche des Humerus schräg medial- und abwärts her- vor, ist 1! Lin. dick, hat eine angeschwollene nicht überknorpelte Spitze u.s.w. und die gewühnliche Gestalt. Er ragt nur mit seiner Spitze über den Bra- chialis internus hervor, ist an derselben, an seiner me- dialen (hinteren) Seite und an seinem unteren Rande bis gegen die Basis von Ursprungsbündeln des Bra- chialis internus frei. Umseinemediale Seite krümmen sich die Arteria brachialis und die Venae brachiales nebst dem Nervus medianus, wovon die Vasa an ihn sich lehnen, der Nervus medianus aber, knapp neben letzteren, medialwärts davon seinen Verlauf nimmt.

Der Musculus pronator teres (5) hängt mit dem M. radialis internus gar nicht zusammen, ist von letzterem durch einen tiefen anomalen Sulcus (**) vüllig ge- schieden. Der Muskel hat somit zwischen zwei Fur- chen, einer lateralen und einer anomalen medialen, d. i. zwischen dem Suleus cubiti anterior internus nebst der Fossa cubiti, in welche ersterer und der Sulcus cubiti anterior externus übergehen, und dem Sulcus anomalus, welcher wie die Fossa cubiti in den Sulcus radialis sich fortsetzt, seine Lage. Derselbe war von beiden Sehnen des Biceps brachi (1) umklammert, wovon die tiefe durch die Fossa cubiti zum Radius sich begab, die oberflächliche (aponeurotischer Fascikel der ersteren) aber über dem medialen anomalen Sulcus mit der breiten Ursprungsaponeurose des Pronator teres vor deren Übergange in den Fleischtheil des Muskels verschmolz. Der Muskel entsteht auch in diesem

29

451

Falle, wie in Fällen mit Vorkommen des Processus supracondyloideus in der Regel, theils von diesem, theils, ausser den gewühnlichen Ursprungsstellen, un- gewôhnlich hoch am Humerus über dem Condylus in- ternus aufwärts; allein nicht fleischig-sechnig, wie ge- wôhnlich, sondern vom Processus supracondyloideus mit einem aponeurotischen Kôpfchen, und vom Humerus, Lig. laterale internum cubiti und Processus coronoideus der Ulna, wie noch nie gesehen, mit einer sehr breiten Aponeurose. Das vom Processus su- pracondyloideus kommende starke Küpfchen (æ) ent- springt von dessen Spitze, und daneben von dessen un- terem Rande, kehrt die eine Seite medial- und vor- wärts, die andere lateral und rückwärts. Es ist 8—9 Lin. lang, 1/,—3 Lin. breit, —", Lin. dick. Die starke Aponeurose (6), mit der der Muskel vom Angulus internus humeri und Lig. intermusculare in- ternum 1! Z. hoch und bis zur Hühe des Sitzes des Processus supracondyloideus aufwärts, ferner vom Condylus internus humeri, Lig. cubiti laterale internum und dem Processus coronoideus ulnae 1 Z. hoch, also im Ganzen 2°, Z. hoch, entspringt, ist oben ”, Z., unten 1”, Z. breit. An ihren oberen ‘/, stellt dieselbe ein einfaches Blatt dar, an ihren unteren ?/ gegen den Übergang in den Fleischtheil des Muskels ist sie in zwei Blätter, ein vorderes und hinteres, gespalten. Durch diese Spaltung entsteht ein lateral- und me- dialwärts geschlossener, 1°, Z. hoher und 1 Z. breiter, von vorn nach hinten comprimirter fibrüser Kanal(f). Zwischen ihrem oberen Rande und dem vorderen Rande des vom Processus supracondyloideus entstandenen apoueurotischen Kôüpfchens existirt ein tiefer und 4—5 Lin. nach oben weiter Ausschnitt, welcher mit der Spitze des Processus supracondyloideus und dem Lig. intermusculare internnm humeri das Foramen supra- condyloideum darstellt. Diese Aponeurose bedeckt die Vasa brachialia und den M. brachialis internus; auch den Nervus medianus (f) oben, wo sie einfach ist, unten aber, wo sie durch Spaltung in zwei Blätter einen Kanal (+) bildet, nimmt sie in diesem denselben auf. Im Foramen supracondyloideum liegen die Art. brachialis (a) mit den sie begleitenden Venen medial- wärts vom Processus supracondyloideus an diesen an- gelehnt, und knapp neben den Gefüissen medialwärts der N. medianus (f).

Der M. brachialis internus (2) entspringt mit Bün-

Bulletin de l’Académie Hmpériale

45?

| deln von dem oberen Rande, der lateralen vorderen Seite und der Basis des Processus supracondyloideus, aber nicht von dessen medialer Seite.

Der M. palmaris longus fehit.

Die Arteria brachialis (a) giebt, sobald sie hinter die Ursprungsaponeurose des Pronator teres gelangt war, die Art. collateralis ulnaris inferior (c) ab. Diese durchbohrt die Aponeurose des Pronator teres fast gegenüber dem Processus supracondyloideus. Die Art. brachialis giebt auch 10 Lin. über dem Abgange der Art. radialis einen Ast ab, welcher dem Ramus ascen- dens der Art. radialis gewühnlicher Füälle analog ist, Dieselbe theilt sich erst gegenüber der Tuberositas radii, und, nachdem sie die Ursprungsaponeurose des Pronator teres von hinten gekreuzt hatte, also nicht wie gewühnlich lateralwärts von diesem Muskel, son- dern medialwärts von ihm, in ihre Aeste: die Art. radia- lis, ulnaris propria und interossea communis. Die Art. radialis (e) geht 2 Lin. über den beiden anderen Arte- rien ab. Sie läuft im anomalen Suleus antibrachii (**), zwischen dem Pronator teres (5) und Radialis internus (6), auf dem Radialkopfe des Flexor digitorum sublimis schräg abwärts, um den Sulcus radialis antibrachïüi zu erreichen und dann auf gewühnliche Weise ihren Ver- lauf fortzusetzen. Dieselbe giebt gleich nach ihrem Ursprunge einen Ast ab, welcher quer hinter dem Pro- nator teres in die Fossa cubiti verlief und dort abwärts stieg. Dieser Ast entsprach dem Ramus descendens der Art. recurrens radialis gewühnlicher Fälle. Die Art. ulnaris propria und interossea communis und ihre Âste verhalten sich, abgesehen von der Art. mediana profunda, normal. Die schwache, aber lange Art. me- diana profunda, welche von der Art. interossea com- munis, gleich nach deren Abgange von der Art. bra- chialis, entspringt, verläuft mit dem Nervus medianus bis 2 Z. über dem Ende des Radius abwärts. An dieser Stelle wendet sie sich plôtzlich lateralwärts, krümmt sich vor dem Flexor pollicis longus unter dem unter- sten Ursprunge des Radialkopfes des Flexor digitorum sublimis in den Sulcus radialis antibrachii und mündet daselbst durch Inoseulation in die Art. radialis. Die Art. mediana profunda verhält sich somit in diesem Falle wie eine lange mediale Wurzel der Art. ra- dialis.

Darnach war der Processus supracondyloideus hu- meri der neuen 5 Fälle auf gleiche oder ähnliche

453

des Sciemces de Saint-Pétersbourg.

454

Weise wie in den von mir beschriebenen 42 Füällen

angeordnet, War nie mit der Spitze nach aufwärts | gerichtet und nie an dieser überknorpelt gefunden | worden. Die mediale (hintere) Seite war ganz oder | brachialis nebst beiden Venae brachiales und den Ner- grôüsstentheils von Muskelinsertion frei, wie in den

früheren Fällen. Nur in einem Falle, in dem es zur Bildung eines Foramen supracondyloidéum nicht ge-

kommen war, entsprang der Brachialis internus allein |

von demselben, in den übrigen 4 Fällen aber entstand nebst diesem Muskel, der von der lateralen (vorderen) Seite seinen Ursprung nahm, noch der Pronator teres mit einem Kôpfchen von der Spitze. Um seine me-

und der Nervus medianus, und zwar: in 4 Fällen dieser

und die Vasa brachialia, in einem Falle, in dem die |

Art. radialis hoch oben von der Art. brachialis abging, derselbe und die Vasa ulnaria communia. In einem Falle gab die Art. brachialis unterhalb des Processus supracondyloideus, aber noch am Oberarme, die Art. radialis ab.

Ich hatte somit den Processus supracondyloideus (internus) humeri bis November 1867 an der Leiche in 47 Fällen, bei beiden Geschlechtern und bei Indi- viduen, vom Knaben- bis in das Greisenalter aufwärts aus eigener Erfahrung kennen gelernt, also wohl

so oft als alle übrigen Anatomen zusammen beobachtet. |

Auch hatte ich wie Struthers den Processus in man- chen Füällen durch die Haut an der Leiche durch- fühlen kônnen, und hatten ich und Ârzte, meine früheren Schüler, in manchen Fällen an Lebenden den Processus mit Sicherheit diagnosticirt. Ich hatte seinen Sitz auf Orte eines bestimmten Raumes am Humerus beschränkt, gleich oder ähnlich gestaltet, mit seiner Spitze medial- und vorwärts oder medial-, vor- und abwärts, nie aufwärts, gerichtet und nie an seiner Spitze überknorpelt angetroffen. Ich hatte unter den 41 Fällen, in welchen ich den Processus zugleich mit den Weichgebilden untersuchen konnte, von demselben an 38 ein Küpfchen des anomal ver- grosserten Pronator teres entspringen, an einem

eine Aponeurose zum Ligamentum intermusculare in- ternum und zum normal entwickelten Pronator teres |

gehen, und nur an 2 nicht den letzteren Muskel, son- dern den Prachialis internus allein entstehen sehen. Ich hatte in allen diesen 41 Fällen, darunter auch in den 2 Füällen, an welchen es zur Bildung eines Fo-

ramen supracondyloideum nicht gekommen war, um seine mediale Seite immer den Nervus medianus und nicht immer dieselben Vasa, und zwar: 28 Mal die Art.

vus medianus; 2 Mal die Art. brachialis nebst der Vena brachialis interna (also mit Ausschluss der Vena brachialis externa) und dem Nervus medianus; 8 Mal die Vasa ulnaria communia (bei Ursprung der Art. radialis von der Art. axillaris 2 Mal —, o der mehr oder weniger hoch von der Art. brachialis 5 Mal —, oder von der Art. brachialis knapp über

| dem Processus supracondyloideus 1 Mal —) und diale Seite krümmten sich in allen 5 Fällen Gefässe

den Nervus medianus, endlich 3 Mal den Nervus me- dianus und die Vasa collateralia ulnaria krümmen, also so oder ähnlich verlaufen sehen, wie Vasa und der Nervus medianus bei vielen Säugethieren, die am Humerus zu ihrem Schutze das Foramen supracondy-

| loideum oder den Canalis sapracondyloideus constant | besitzen, durchsetzen. Ich hatte durch den Processus

die sonst neben dem Biceps brachii gelagerte Art. bra- chialis in der grüssten Zahl der Fälle von diesem Muskel anomal und verschieden weit (bis 1 Z.) medialwärts gerückt angetroffen. Ich hatte dadurch den Processus eine grosse Wichtigkeit für die operative Chi- rurgie erlangen sehen und deshalb Tuberculum s. Processus brachialis genannt. Ich hatte dabei die Art. radialis nicht nur oberhalb dem Processus supracon- dyloideus von der Art. axillaris oder Art. brachialis, sondern unter den 30 Fällen, in welchen die Art. bra- chialis um den Processus sich gekrümmt hatte, die- selbe auch 2 Mal unter letzterem von ersterer noch am Oberarme anomaler Weise abgehen sehen. Ich hatte an einem der Füälle, in welchen sich der Nervus medianus mit den Vasa collateralia ulnaria um den Processus gekrümmt hatten, die Art. ulnaris super- ficialis von der Art. brachialis in der Plica cubiti hinter dem aponeurotischen Fascikel der Sehne des Biceps bra- chii entspringen und unter der Unterarmaponeurose, vom Palmaris longus gekreuzt, verlaufen sehen. Ich hatte an den Processus einen anomalen Bauch des kurzen Kopfes des Biceps brachii ansetzen sehen. Wie der CoracobrachialisbeimanchenSäugethieren, welche am Humerus den Canalis supracondyloideus

besitzen, an der Knochenspange, die diesen Kanal

schliesst, endiget, ebenso kann derselbe Muskel beim Menschen am Processus supracondyloideus hu- 29*

455

Bulletin de l’Académie Hmpériale

456

——_—_—_—_—_———"———

meri, nach Hyrtl’s Beobachtung, endigen. Ich hatte, wie ich 1856 mittheilte, bei Phoca, welche den Cana- lis supracondyloideus humeri in der Regel aufweiset, diesen in einem Falle unvollständig und die sonst seine mediale Wand bildende Knochenspange auf zwei Zacken reducirt angetroffen. Andere und ich haben am unteren Theile der medialen vorderen Fläche des Humerus noch andere ungewühnliche Zacken, Hôücker und Fortsätze beobachtet, die theils als Tubercula und Processus musculares anderer Art (falsche Processus supracondyloidei), theils wirklich krankhaften Ursprunges, also Æxostosen, waren, und zu den Vasa brachialia und dem Nervus medianus ent- weder in gar keiner Beziehung standen, oder doch nicht in der Art und Weise wie constant der wahre Processus supracondyloideus humeri.

Sollte aus diesen Angaben aus Massenuntersuchungen immer noch nicht gefolgert werden künnen: 1) dass der wahre Processus supracondyloideus (internus) hu- meri ein Zuberculum oder Processus muscularis seï, dessen Vorkommen fast immer durch eine anomale, fleischige oder sehnige Portion des Pronator teres und durch den Brachialis internus bedingt werde; 2) dass dieselbe das rudimentäre Analogon der Knochenspange, welche bei vielen Säugethieren constant eine Rinne am Humerus zu einem normal vorkommenden Foramen supracondyloideum oder Ca- nalis supracondyloideus zur Aufnahme von Vasa und des Nervus medianus, zu deren Schutze schliesst, also eine Säugethier-Bildung darstelle, die sich aus einem früheren Zustande auch beim Menschen hin und wieder noch rudimentär erhält; 3) dass er so- mit nicht pathologischen Ursprunges,alsokeine Exostose sei; und endlich 4) dass seine Kenntniss auch für den Arzt und den Chirurgen nôthig sei, damit ersterer, in dem Wabne eine syphilitische Exo- stose vor sich zu haben, das mit dem Processus supra- condyloideus zufällig behaftete Individuum durch die Mercurialeur nicht fast zu Tode curire, und letzterer, bei der Vornahme der Ligatur der Art. brachialis, nicht zu lange im Finstern herumtappe, um sie end- lich zu finden!! Virchow‘) rechnet allerdings den wahren Processus supracondyloideus (internus) humeri

auch zu den Æxostosen, und hat in der That eine

4) Die krankhaften Geschwülste. Bd. II. H. 1. Berlin 1864. $. 69.

wirkliche Æxostose, die nach aufwärts gerichtet war und eine überknorpelte Spitze besass, wie niemals der wahre Processus supracondyloideus humeri nach eigener und fremder Erfahrung auftritt, mit letz- terem verwechselt. Allein wären alle unge- wôhnlichen Knochenvorsprünge am untern Theiïle der medialen vorderen Fläche beim Menschen und den Säugethieren Æxostosen, dann müssten z. B. auch die von mir in einem Falle bei einer jungen Phoca vitu- lina beobachteten Zacken, welche bestimmt die Rudimente der Knochenspange waren, die sonst eine Rinne am Humerus zum Canalis supracondyloideus zur Aufnahme von Vasa und des Nervus medianus bei diesemThiereschliesst, krankhaften Ursprunges, also Ærostosen sein, die sie eben so wenig seinkün-

inen wie die genannte Knochenspange selbst.

Erklärung der Abbildungen, Fig. 1.

Vordere Ellenbogenregion des rechten Armes

eines 25jährigen Mannes.

(*) Processus supracondyloideus (internus) humeri.

1) Musculus biceps brachiüi.

2) « brachialis internus (am Processus supra- condyloideus ausgeschnitten).

3) « pronator teres (anomal vergrüssert, über dem aponeurotischen Fascikel der Sehne des M. biceps brachii eingeschnitten).

4) « brachio-radialis.

a. Arteria brachialis.

Si

. Starker, knapp über dem Processus supracondy- loideus entspringender und quer lateralwärts zum M. brachialis internus verlaufender Ast derselben.

. Arteria radialis (anomal hoch, aber doch unter dem Processus supracondyloideus entstanden).

d. Arteria ulnaris communis.

CNE recurrens radialis von der Art. ulnaris

communis.

f. Nervus medianus.

g. « cutaneus brachii externus.

h. Ramus superficialis des Nervus radialis.

a. Starkes, fleischig-sehniges, vom Processus

supracondyloideus entspringendes Küpfchen des M. pronator teres (umgeschlagen).

Q

AUCOI A PEU

P bo

Ü

AA COT

# C

MCSSUD À PA

et

HS

7/4

72H AAA

lt

) (4

D,

A ESA 7 D.

Le s | i } " « J | l | | | 1 k | | Ne | | | | | | | A L' Le d . us Ju A MOTTE - j Ur, En RE ARE A Û EN NAT ANTON PTE NT UN: : PE | k CA f L ñl f «f MT d ñ Fe 4 \ Tee A ni 1 ire di ' [1 he 1 ] é Rae gi | À ; En ra ; + Li LA L À 71 x ; 12 à : du \ TRS Ÿ \ * À HAT il F à k | ; * , | À ï (1 LAN? É La à : ù & î l 5 L } , ’, " ; | | | a L ni à 1 \ Nil D'ART À d . | NE 1 1: A Ù di A + ; " ; id, 4 | } k ñ | ; F c0 W ENS it N } AA AN , n RTE) ee 0 L PE) e ; k J à k d n$ Û fu: Nue ET, Le FT TT l

+ bigés-se Lis " Ph me À Lu NP { FAT abifi | D L " we se la jhar y di k F by " @ : | |

Len ut

0 “SA

AA 1 . n ve x Lei ve LALES D

: ps Gta d ct LE

2

ee re

= | te {h tu Av dr a. AS x “an

Ù 211 je Ci rie 11

457

Fig. 2. Mittelstück des linken Armes eines Weibes. |

(*) Spitze des Processus supracondyloideus (internus, humeri.

(**) Anomaler Suleus zwischen dem M. pronator teres | und M. radialis internus. |

1) Musculus biceps brachii.

2) » brachialis internus. |

3) » triceps brachii. |

4) » brachio-radialis.

5) » pronator teres (anomal vergrüssert und |

ganz anomal gebildet).

6) » radialis internus.

7) » flexor digitorum sublimis.

8) » Musculus ulnaris internus. a. Arteria brachialis. DES collateralis ulnaris superior. | CNED collateralis ulnaris inferior.

d. Zweig des Ramus ascendens der Art. recurrens

radialis.

Arteria radialis (anomal).

Nervus medianus.

ulnaris (unten am Oberarme eine lange |

Strecke durch eine Schicht des M. anco- |

neus internus und die Armaponeurose

versteckt).

æ. Aponeurotisches, von dem Processus supra- condyloideus entspringendes Küpfchen des M. pronator teres.

8. Ganz anomale Ursprungsaponeurose des M. pronator teres, welche abwärts zwi- schen ihren beiden Blättern einen Kanal (f) zur Aufnahme des N. medianus besitzt (über dem medialen Rande ein langes dreieckiges Stück beider Blätter ausgeschnitten).

St. Petersburg, den 12. November 1867.

À

»

=)

Einige Worte über eine neue unter meiner Lei- tung entworfene ideale Abbildung der Stel- | lerschen Seekuh, von F. Brandt. (Lu le 28] novembre 1867.)

Wie bekannt existiren zwei mehr oder weniger von ihren nächsten Verwandten den Manat”s und Du-| gongs abweichende Original-Abbildungen der Stel-|

des Sciences de Saint-Pétershourg.

45% ler’schen Seekuh. Die eine erhielt Pallas, der sie selbst für eine rohe erklärte. Sie ist es, die Herr v. Baer in den Abbildungen zur Pallas’schen Z00- graphie verüflentlichte. Eine zweite entdeckte Herr v.Middendorff auf einer alten Landkarte und theilte sie in seinem Reisewerke mit. Eine ideale Abbildung, genau genommen nur eine Verbesserung der Pal- las’schen Figur, findet man im ersten, bereits 1846 verôffentlichten, Fascicel meiner Symbolae, der zu ei- ner Zeit erschien, als mir weder ein Skelet der Stel-

ler’schen Seekuh, noch die gute Abbildung eines

Manati zu Gebote stand. Da die beiden eben genannten Desiderate jetzt

| nicht mehr bestehen, und die vom Hrn. v. Midden-

dorff verüftentlichte Abbildung ebenfalls einzelne An- haltungspunkte gewährt, so habe ich eine neue ideale Darstellung des Thieres entwerfen lassen, wobei haupt- sächlich die Umrisse des Skelets zu Grunde gelegt

| wurden. Gleichzeitig fanden aber auch die genannten

beiden Originalfiguren nebst den guten Abbildungen

des Manati und Dugong, so wie die treffliche Be-

schreibung Steller’s die gebührende Berücksichti- gung Ich denke, dass die so mit Sorgfalt entworfene Figur im Allgemeinen eine richtige Vorstellung von der äusseren Gestalt der berühmten nordischen oder Steller’schen Seekuh liefern werde. Die Figur selbst soll in den unter der Presse befindlichen Symbolis sirenologicis erscheinen.

tot

BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE.

L'Académie a reçu dans ses dernières séances les ouvrages dont voici les titres:

Astronomische Beobachtungen auf der k. Universitäts-

; Sternwarte zu Künigsberg. Herausgegeben von Dr. Ed. Luther. 35. Abtheilung. Künigsberg 1869. Fol.

Annalen der k. k. Sternwarte in Wien, herausgegeben von C. v. Littrow. 3. Folge, 13. Band. Wien 1866. 8.

Anuario del real Observatorio de Madrid. Ano VIT. 1866. Madrid 1865. 8.

Hirsch, A. et Plantamour, E. Nivellement de précision de la Suisse exécuté par la Commission géodésique fédérale. 1" livraison. Genève et Bâle 1867. 4.

Tables of heights in N. W. Provinces and Bengal deter- mined by the great trigonometrical survey of India

459

Bulletin de l’Académie Hmpériale

460

by spirit leveling operations, to May 1865. Roorkee 1866. 8.

Atti dell’ Accademia Pontificia de Nuovi Lincei, Anno VII, sessione VI, anno XIX, sessione I—VIT. Roma 1866 —67. 4.

Relazione dei lavori scientifici trattati nell anno XXXX, dell Accademia Gioenia di scienze naturali. Catania 1867. 4.

Atti dell” Accademia Gioenia di scienze naturali di Cata- nia. Serie seconda. Tomo XI—XX. Catania 1855 65. 4.

Giornale di scienze naturali ed economiche pubblicato per cura del consiglio di perfezionamento annesso al R. Istituto tecnico di Palermo. Vol. II. Palermo 1866. 4.

Abhandlungen herausgegeben vom naturwissenschaftlichen Vereine zu Bremen. Band I. Heft 2. Bremen 1867. &.

Verhandlungen der k. Leopoldino-Carolinischen deutschen Akademie der Naturforscher. 32. Band. 2. Abtheil. Dresden 1867. 4.

Würzhurger Medicinische Zeitschrift 7. Würzburg 1867. 8.

Verhandlungen des naturhistorisch-medizinischen Vereins zu Heidelberg. Band IV. M IV.

Jahres-Bericht des physikalischen Vereins zu Frankfurt a. M. für das Rechnungsjahr 1865—1866. S.

Bulletin de la société Vaudoise des sciences naturelles. Vol. IX. X 57. Lausanne 1867. 8.

Vierteljahrsschrift der naturforschenden Gesellschaft in Zürich. Jahrgang 9—11. Zürich 1864—1866. 8.

Band. Heft 4.

Videnskabelige Meddelelser fra den naturhistoriske Fore- |

ning i Kjôbenhavn for Aaret 1864 og 1865. Kjüben- havn 1865—66. 8.

Verhandlungen des Vereins für Naturkunde zu Presburg. Jahrgang VIII und IX. Presburg. 8.

Die Fortschritte der Physik im Jahre 1864, dargestellt von der Physikalischen Gesellschaft zu Berlin. XX. Jahrgang in 2 Abtheilungen. Berlin 1866—67. 8.

The Journal of the Chemical Society. 1866 October —De- cember, 1867 January—June. London. 8.

Müller, Alex. Mittheilungen aus der Chromometrie. 8.

Beiträge zur Colorimetrie des Extractbrauns. 8.

Studien am Complementär-Colorimeter. 8.

Das Complementär-Colorimeter. Chemnitz 1854. 8.

Über die chemische Analyse der Ackererden. 8.

Die chemische Zusammensetzung der gebräuchlichsten Nabrungsmittel und Futterstoffe, bildlich dargestellt. Dresden 1864. 4.

Meteorologische Beobachtungen an der k. k. Sternwarte in Wien von 1775 bis 1855. Herausgegeben von C. v. Littrow u. Edm. Weiss. 5. Band. Wien 1866. 8.

Plantamour, E. Des anomalies de la température obser- vées à Genève pendant les années 1826— 1865. Ge- nève et Bâle 1867. 4.

Proceedings of the Metcorological Society. Vol. III, X 28 —31. London 1867. 8.

Abbott, Franc. Results of twenty-five years’ meteorologi- cal observations for Hobart Town. Tasmania 1866. 4.

Resumen de las observaciones meteorologicas efectuadas en el Real Observatorio de Madrid. 1864 1865. Madrid 1865. 8.

Gastrell, J. E. and Blandford, H .F. Report on the Cal- cutta cyclone of the 5 October 1864. Calcutta 1866. 8.

Bulletin de la Société géologique de France. T. XXIV, X 3. Paris 1867. 8.

Verhandlungen der k. k. Geologischen Reichsanstalt. 1867. X 6. 8.

Jahrbuch der k. k. Geologischen Reichsanstalt. Jahrgang 1867, XVII. Band X 2. Wien. 8.

Zeitschrift der deutschen geologischen Gesellschaft. XIX. Band, 12. Heft. Berlin 1867. 8.

The quarterly Journal of the Geological Society. Vol. XXIII, X 91. London 1867. 8.

Memoirs of the geological survey of India Vol. V, p. 2, 3. 8.

Die Fortschritte der berg- und hüttenmännischen Wissen- schaften in den letzten hundert Jahren. Als zweiter Theïil der Festschrift zum hundertjährigen Jubiläum der künigl. Sächsischen Bergakademie zu Freiberg. Freiberg 1867. 4.

Verhandlungen der russ. k. Mincralogischen Gesellschaft zu St. Petersburg. Jahrgang 1854 u. 1863. St. Pe- burg 1854 1864. 8.

Saancki luneparoperkaro C.-Herep6yprekaro Mruneparo- ruueckaro OGmecrBa. Bropaa Cepis. acrs Bropas. CII6. 1867. 8.

VKasaTeib KB HePBOÏ CEPIT DCPIOANACCKUXB n34aHii lm- neparopcraro C.-Herep6yprekaro Mnneparornaecxaro OGnecrBa, nyGImKOBAHHBIXE CB 1830 n0 1863 rOXE. CII6. 1867. 8.

Côopaurt naxanr Muneparopeknmr C.-Terepôypreknwe Muneparoruaecknur OGmteCTBOMR BR HAMATE COBEP- HINBIHATOCA DATHLCCATIHIBTIA CTO CYINCCTBOBAHIA 7-70 flusapa 1867 roxa. CII6. 1867. 8.

Cuucok& urexo8r Muneparopekaro C.-Ierep6yprekaro Mn- HePAIOTIACCKATO OGuLeCTBA, CO BPEMCHIT TO OCHOBA Baxia 7-r0 flaBapa 1817 roJa 110 JZenb ero 50-Tn- aBraaro 10611e4 7-r0 fluBapa 1867 roza. CII6. 1867. 8.

Pose, l'ycraBr. Onncauie mn pasxhzenie Mereoprrogr, 0c- HOBLIBAACE Ha COGpaniu Munepazornaeckaro Myseyma 8% Bepinx$. Iepesoxr H. Kokmaposa. CII6. 1866. 8.

Memoirs of the geological survey of India. Palacontologia Indica. IL 10—13. 4.

Geological survey of India. Catalogue of the meteorites in the Museum of Calcutta. Calcutta 1866. S.

survey Of India. Catalogue of the organic remains be- longing to the Cephalopoda in the Museum of Cal- cutta. Caleutta 1866. 8.

A6

Aunual report of the geological survey of India and of

the Museum of Geology, Calcutta. 10 year 1865—66. Calcutta 1866. 8.

Müller, Alex. Mittheilungen aus der neueren Geologie |

Schwedens. 8.

Ribeiro, Carlos. Descripcäo do solo quaternario das ba- cias hydrographicas do Tejo e Sado. 1 Caderno. Lis- boa 1866. 4.

Commissio geologica de Portugal. Molluscos fosseis. Ga- steropodes dos depositos terciarios de Portugal par Pereira da Costa. 2 Caderno. Lisboa 1867. 4.

Fikenscher, J. Untersuchung der metamorphischen Ge- steine der Lunzenauer Schicferhalbinsel. Leipzig 1867. 8.

Beiträge zur geologischen Karte der Schweiz, herausgege- ben von der geologischen Commission der Schweize- rischen naturforschenden Gesellschaft. Liefer. 3, 4, 5. Bern 1866—67. 4.

Hugo, Comte Léopold. Théorie des cristalloïdes élémen- taires. Paris 1866. 8.

Oseperiä, À. Ouepke re040rin, MHHEPAILHBIXB GOTATCTBE u ropaaro npompicia 3aGaïñkaibs. 116. 1867. 4.

Kokscharow, Nik. v. Materialien zur Mineralogie Russ-

lands. Band V, Seite 1 192. Mit zwei Tafeln. St. Petersburg 1867.

Kokmaposr, H. KaTaïorr PyCCKNMBE TONASAME, XPAHA- muvex BB Myseywb Popnaro Mucruryra 88 C.-Ie- rep6yprB. CII6. 1866. 4.

Correspondenz-Blatt des zoologisch-mineralogischen Ver- eins in Regensburg. Jabrgang 19 u. 20. Regensburg 1865—66. 8.

Flora oder allgemeine botanische Zeitung. Neue Reïhe. Jahrg. XXII und XXIV. Regensburg 1865—66. 8.

The International Horticultural Exhibition and Botanical Congress, held in London from May 22" to May 51" 1866. London. 8.

Kirchhoff, Alfred. Die Idee der Pflanzen-Metamorphose bei Wolff und bei Goethe. Berlin 1867. 4.

Flora Batava. Aflevering 196 199. Amsterdam. 4.

Nordstedt, O. Nâgra iakttagelser ôfver Characecrnas groning. 4.

Woronin, M. Exobasidium Vaccinii. Freiburg 1867. $.

Index seminum in horto botanico Hamburgensi a. 1565!

collectorum. 4.

Catalogue du Muséum d'histoire naturelle de feu le Dr. Th. G. Van Lidth de Jeude. Utrecht 1867. 5.

Transactions of the Zoological Society of London. Vol. V, p. 5. London 1866. 4.

Proceedings of the scientific meetings of the Zoological Society of London for the year 1865. Part I, I, IT, London. 8.

Thomson, C. G. Skandinaviens Colcoptera, Tom. VII Lund 1866. 8.

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

26?

Owen, Richard. Memoir on the Dodo (Didus ineptus

Linn.) London 1866. 4.

|Bischoff, Th. L Über die Verschiedenheit in der Schä-

delbildung des Gorilla, Chimpansé und Orang-Outang.

München 1867. 4.

|Rütimeyer, Prof. L. Über die Herkunft unserer Thier-

welt. Basel und Genf. 1867. 4.

| Versuch einer natürlichen Geschichte des Rindes in sel- nen Bezichungen zu den Wiederkäuern im Allgemei- nen. Zürich 1867. 4.

Schmidt, Max. Der grossohrige Beuteldachs. Perameles (Macrotis) lagotis. 8.

Malmgren, A. J. Annulata Polychaeta Spetsbergiae, Groenlandiae, Islandiae et Scandinaviae hactenus cognita. Helsingforsiae 1867. 8.

Snellen van Vollenhoven, $. C. Essai d’une Faune entomologique de l’Archipel indo-néerlandais. Pre- mière et seconde monographies. La Haye 1863—65.

Entomologische Zeitung. 27ster Jahrgang. Stettin 1566.

Nardo, Gio. Dom. Sopra una nuova rarissima specie Cheloniano. S.

| Prospetti sistematici degli animali delle provincie Ve-

| uete. Parte 1. Venezia 1860. S.

| Sulla coltura degli animali acquatici nel Veneto domi- nio. Parte 1. Venezia 1864. 8.

Risposta categorica del Dottore G. D. Nardo relativamente alla struttura del euore dei rettili ed al meccanismo della loro circolazione. Venezia 1857. 8.

Cur6, Ant. Interno alla Fauna lepidotterologica della Lombardia. 8.

Villa, Ant. e Gio. Batt. Catalogo di’ Lepidopteri della Lombardia. Milano 1865. 8.

Baird, Spencer F. The distribution and migrations of North-American birds. 8.

Wrzeéniowskiego, Aug. Przyczynek do historyi natu- ralnéj wymoczkow. Krakôw 1567. 5.

Külliker, A Handbuch der Gewebelehre des Menschen. 5. Auflage 1. Hälfte, Bogen 1—21. Leipzig 1867. S.

Alix, E. Essai sur la forme, la structure et le développe- ment de la plume. Paris 1865. 8.

Scheffler, Herm. Die Gesetze des räumlichen Sehens. Braunschweig 1866. 8.

| Pettenkofer, Max v.und Voit, Carl. Untersuchungen über den Stoffverbrauch des normalen Menschen. 8.

Garrigou, F. La vérité sur les objets de l'age de la pierre polie des cavernes de Tarascon, exposés Sous le nom de M. Filhol. Paris 1867. &.

Ergänzungsblätter. Band IT, Heft 5. 1867. 8.

Catalogues numismatiques, recueillis par J. N. M. Pest 1867. 8.

Mittheilungen der k. k. geographischen Gesellschaft. VIIT.

Jahrgang, Heft II: IX. Jabrgang. Redigirt von Franz

Foetterle. Wien 1864 65. 8.

Hildburgshausen

463

Jahresbericht des Frankfurter Vereins für Geographie und Statistik. Neunundzwanzigster Jahrg. 1864— 65. 8.

Germain, A. Traité des projections des cartes géogra- phiques. Paris. 8.

Reise der üsterreichischen Fregatte Novara um die Erde in den Jahren 1857, 1858, 1859. Linguistischer Theil von Dr. Fr. Müller. Wien 1867. 4.

Synnerberg, Carol. De clientelae apud Romanos sub Caesaribus ratione. Helsingfors 1865. 8.

L’investigateur. Journal de l'institut historique de France. Tome VI. IV° Série. Livraison 388—389. Paris 1867. 8.

Revue archéologique du midi de la France. Année 1866. M 1—7. Toulouse. 4.

Correspondance de Napoléon I”. Tome XIX, XX. Paris 1865 —- 66. 4.

Mittheilungen des Senats zu Hamburg an die Bürger- schaft in den Jahren 1865 und 1866. 4.

Neues Lausitzisches Magazin. 43. Band. 12. Doppelheft. Gürlitz 1867. 8.

Statistische Mittheilungen über den Civilstand der freien Stadt Frankfurt im Jahre 1865. 4.

Beiträge zur Statistik der freien Stadt Frankfurt. Bd. IT, Heft 1. Frankfurt a. M. 1866.

Jahrbücher für die Landeskunde der Herzogthümer Schles- wig, Holstein und Lauenburg. Bd. IX, Heft 1. Kiel 1866. 8.

Wäürttembergische Jahrbücher für Statistik und Landes- kunde. Jahrgang 1864. Stuttgart 1866. 8.

Archiv für üsterreichische Geschichte. 35ster Band, 2te Hälfte und 36ster Band, 1ste u. zweite Hälfte. Wien 1866. 8.

—— für Kunde üsterreichischer Geschichts-Quellen. Register. Wien 1866. 8.

Fontes rerum austriacarum. Erste Abthl. Scriptores. VIT. Band, Theil INT. Wien 1866. 8.

Jweite Abtheïlung. Band XXV, XXVI. Wien 1866.

Matkovié, Petar. Statistika Austrijske Carevine za visa ucilista. U Zagrebu 1866. 8.

Libri quinti confirmationes ad beneficia ecclesiastica Pra- gensem per archidioecesim nune prima vice divul- gatae incipiendo ab anno 1393 usque 1399. Opera Fr. À. Tingl. Pragae 1866. 8.

Pamätky archacologické a mistopisné, vydävané od ar- chacologického sboru Musea Krälovstvi Ceského. Dil VIT, Roënik XIII. V Praze 1867. 4.

Déjiny närodu ëeského wyprawuje Fr. Palacky;. Dil V, éastka IL W Praze 1867. S.

Royaume de Belgique. Documents statistiques publiés par le Département de l'Intérieur. Tome X. Bruxelles 1866. 4.

Bulletin de la Commission centrale de Statistique. Tome

IX, X. Bruxelles 1866. 4.

Hulletin de l'Académie Impériale des Sciences de Saint-Pétersbourg.

A64

Mittheilungen aus der livländischen Geschichte. 10ten Bandes 3tes Heft. Riga 1865. 8.

Baltische Monatsschrift. Band XV, Heft 1. Riga 1867. 8.

Heinrich’s von Lettland Livländische Chronik. Nach Hand- schriften mit vielfacher Berichtigung des üblichen Textes aus dem Lateinischen übersetzt und erläutert von Ed. Pabst. Reval 1867. 8.

Genealogia xiazat i krolôw polskich od roku 880— 1195. Lwdw 1866. 8.

Description de la Petite et de la Grande Arménie par le P. Narsés Sargitian Mekhithariste. Venise 1864. 8.

Die zweisprachige Inschrift von Tanis, zum ersten Male herausgegeben und übersetzt von S. Leo Reinisch und E. Robert Roesler. Wien 1866. 8.

Revista trimensal do Instituto Historico, Geagraphico e Ethnographico do Brasil. Tomo XXVIIT, p. 1, Tri- mestre 1. 2 Tome XXIX, p. 1. 2, Trimestre 3. Rio de Janeiro 1865—66. 8.

Gaussoin, Eugene. Memoir on the island of Navassa. With an Atlas. Baltimore 1866. 8. and Fol.

Larrainzar, D. Manuel. Dictamen presentado a la So- ciedad de Geografia y Estadistica de México, sobre la obra: Si ecsiste el origen de la historia primitiva del antiguo mundo etc. etc. México 1865. 8.

Algunas ideas sobre la historia y manera de escribir la de México. México 1865. 8.

Quetelet, Ad. Sur le cinquième congrès de statistique tenu à Berlin du 4 au 12 septembre 1863. 8.

Libro duodecimo della Politica del Commendatore Salva- tore Fenicia da Ruvo. Napoli 1866. 8.

Maestri, Pierre. Rapport soumis à la junte organisatrice sur le programme de la VI° session du congrès inter- national de Statistique. Florence 1867. 8.

Neunzehnter Jahresbericht der Staats-Ackerbau-Behürde von Ohio für das Jahr 1864. Columbus, Ohio 1865. 8.

Classified list of photographs. Precious metals and ena- mels and carvings in ivory and wood. Pottery, Por- celain and Glass, Embroidery and Bookbinding. Lon- don. 8.

Nuove Memorie dell’ Instituto di corrispondenza archeo- logica. Vol. II. Lipsia 1865. 8.

Monumenti inediti pubblicati dell Instituto di corrispon- za archeologica. Vol. VIII, Tav. 1—36. Fol.

Annali dell Instituto di corrispondenza archeologica. Vol. XXXVI XXXVII XXXVIII Roma 1864—1866. 8.

Bulletino dell Instituto di corrispondenza archeologica per l’anno 1864—1866. Roma 1864—-66. 8.

tepertorio universale delle opere del! Instituto archeolo- gico dal! anno 1857—1863. Roma 1864. 8.

Cista Prenestina della collezione Barberiniana illustrata da G. C. Conestabile. Roma 1866. 8.

Paru le 13 janvier 1868,

T. XIE, N°5 et dernier. CRC

ENS @\ 2)

BULLETIN

DE L'ACADEMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG.

TOME XI.

(Feuilles 30—37.)

CONTENU: Page. G. v, Helmersen, Rapport sur un mémoire de M. Goebel concernant l’industrie mi- nière qui a existée jadis sur la côte lappone (mer Blanche).................. 465 471 _ JF. Brandt, Rapport sur la seconde et la troisième parties des études sirenologiques 471 474 H, Gyldén, Sur une formule générale pour le calcul de la réfraction................ 474 480 PAlexevef Sur la7obensideee 22 CL eee RE. ..e Re ADO TE OS 480 481 LNentk Remarques Critiques Ve ane. leroe DEEE eee 481 546 F. Beilstein et A. Kuhlberg, Sur les bi- et trichlortoluols isomères.................. 547 563 M. de Jacobi, Rapport sur les procédés de galvanoplastie employés dans la fabrique royale néerlandaise d’orfèvrerie de M. van Kempen à Voorschoten, présenté à la Commission impériale de l'Exposition universelle de 1867 à Paris.......... 563 578 Bulletin bibliographique. .................................................. 578 580

Ci-joint les titres et les tables des matières du Tome XII.

On s’abonne: chez MM. Eggers & Cie, H. Schmitzdorff et J.Issakof, libraires à St-Pétersbourg, Perspective de Nefski; au Comité Administratif de l’Académie (Komurer® Ipasserin Huneparoperkoï Axkaxemiu Hayk®) et chez M. Léopold Voss, libraire à Leipzig.

Le prix d'abonnement, par volume composé de 36 feuilles, est de 3 rbl. arg. pour la Russie,

3 thalers de Prusse pour l’étranger. | : Imprimerie de l'Académie Impériale des sciences. Q ZC/) Tass.- ligne. X 12 A

(Vass.-Ostr., 9€ ligne, M 12.) CS (a)

= en Z gt 7 Rod = Pt s

(e y KX

Û à, CR: À VOA is û : 4

D'AUTRES ti LA A De CRE

rep rm

D

ù LE # 4 à “Ÿ: Fr # | De dhiaegér

! ï [l Î : | ) | Ce | sn LPRUT EE à 07 retu ï "

nu Pa | fe HE + 1 ' He à: w ml L d'A

| $ { ;

Pat DATE

74

du NL

Ab | à “a Es Cie Lun } 1 ù Dur 3} | À 2 APE) pe nan ex ui" F4 RUTIRIOE D Pa" Modan Ai h1 L: 3 st) EPL daté OA RA ; 4 , di \ " Ce RE “ee mur "1 OO UE PAT AR A ed LUI, . sa D fix De” 4 Fe 1 '

4 LU LT He ALU TENTE NT AUDI LAAES SSL pet OCT | à h L rot] 1 er a fui nt ' dx rat A

| ts PE Sa n 4 rt up hi Gant tite 0

RUN ARE de at air PUR A date Tom L Nu dre À

A Loir DEL. oi. NES

nbbes Eat . à EN ar Re VAUT

BULLETIN

DE L'ACADEMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG.

Bericht über eine Arbeit von Ern. Magister Goebel: Untersuchungen über den einst an der lappländischen Küste stattgefundenen Bergbau, von G. v. Helmersen. (Lu le 12 dé- cembre 1867.)

Der Conservator des Akademischen Mineralienka- | binets, Magister Goebel, dem man bereits eine Reïhe |

von gediegenen Arbeiten aus dem Gebiete der chemi- schen Geologie und der Meteoritenkunde verdankt, hat sich in jüngster Zeit auch auf dem Gebiete der

und zuverlässige Nachrichten über die Menge des aus jenen Lagerstätten gefürderten Silbers und Kupfers eingezogen hatte, machte er sich an das Studium der in St. Petersburg und Dresden vorhandenen Quellen über die Geschichte des Berghaues in jenen metall- reichen Gegenden.

Diese Geschichte ist aber zugleich die Geschichte des hervorragenden Mannes, den die Kaiïserin Anna

| zum obersten Chef des Russischen Bergwesens machte,

Geschichte und namentlich des Berg- und Hüttenwe- |

sens in Russland versucht, und zwar mit einem Er-

folge, der mir die Verpflichtung auferlegt, die Aka-| demie auf diese Arbeit aufmerksam zu machen und

über dieselbe eingehend zu referiren.

Ich thue diess um so freudiger, als die mühevollen | Forschungen des Hrn. Goebel sehr erhebliche prak-| tische Resultate in Aussicht stellen, und zugleich ei-|

nen tiefen, belehrenden Blick in die Sittengeschichte des von ihm bearbeiteten Zeitraumes gestatten. Das Werk erhält dadurch kein geringes kulturhistorisches Interesse.

Veranlasst durch einige zufällige Gespräche über das Vorkommen und den im 18. Jahrhundert statt-

gehabten Abbau der Silber- und Kupfererze auf der!

Bären-Insel (mexebxif ocrposr) im Weissen Meere und auf der Kola-Halbinsel im Russischen Lappland, |

und durch die Durchmusterung der alten, in der!

Akademie befindlichen Kataloge der akademischen

Mineraliensammlungen jener Zeit, in welchen sich! zahlreiche Proben der genannten Erze müssen befun-

den haben und zum Theil noch befinden, fasste Hr. Goebel den Gedanken, alle ihm zugänglichen Nach- richten über jene Erzvorkommnisse und deren Ver- werthung zu sammeln und zu einem übersichtlichen Ganzen zu verarbeiten.

Nachdem er zuerst die in verschiedenen Sammlun-

und dem sie ein unumschränktes Vertrauen schenkte, das der hochgestellte, kenntnissreiche und energisch thätige Mann unter der Nachfolgerin der Kaiserin leider verlor. Der Name des Kôüniglich-Sächsischen Ober- berghauptmanns, Baron Schoenberg, dessen kurze Laufbahn in Russland ein erschütterndes Ende nahm, wird sich in der Geschichte unseres Bergbaues für immer erhalten. Aber es lag und liegt auch noch jetzt über diesem Namen eine, dunkeln Schatten werfende Wolke, durch welche Goebel’s anziehende Arbeit neue, bisher unbekannte Lichtstrahlen dringen lässt, die das Andenken an den tiefgebeugten Mann in freund- lichere Farben kleiden und ibn, seinen Anklägern ge- genüber, zu rechtfertigen geeignet sind. Was Fôrster in Bezug auf den Herzog von Friedland unternom- men, der freilich keine untergeordnete, sondern eine welthistorische Rolle gespielt, das Goebel in Bezug auf den Baron Schoenberg, der übrigens seiner Zeit doch so hoch stand, dass der Kôünig August II. von Sachsen und dessen Minister, sich persünlich und un- ter Anwendung ihrer vollen Autorität, um die Recht- fertigung und die Rettung des zur Deportation ver- urtheilten Baron Schoenberg, bei der erzürnten Kai- serin Elisabeth von Russland verwendeten.

Die Arbeit zerfällt in zwei Hauptabschnitte:

1) Der erste führt den Titel: «Untersuchungen über den Erzreichthum der Bäreninsel im Weissen Meere, nebst der ihr benachbarten

gen St. Petersburgs befindlichen Proben der Erze ge-| lappländischen Wüste, wie über den einst dort prüft und mit deren Beschreibung in den alten und stattgefundenen Bergbau», und hat den Zweck, neuen Katalogen sorgfältigst und kritisch verglichen | die Frage zu beantworten, ob und in wiefern es loh-

Tome XII.

30

467

Bulletin de l’Académie Impériale

468

nend sei, Versuche zur Wiederaufnahme der seit mehr als 120 Jahren ruhenden Bergarbeiten zu unter- nehmen.

Das Material zur Erürterung dieser wichtigen Frage entnahm Goebel zum Theil aus Nachrichten in den Archiven, zum Theil aus den Sammlungen und Kata- logen der Akademie und des Berginstituts.

Es ergab sich dabei, dass vor dem im Jahre 1747 stattgehabten Brande in den akademischen Gebäuden, bei welchem viele werthvolle Gegenstände der Samm- lungen zu Grunde gingen, im Mineralienkabinet der Akademie 179 Nummern von Silbererz- und Kupfer- erzproben von der Bäreninsel und aus Lappland vor- handen gewesen sein müssen. Von diesen enthielten 9 Stücke von der Bäreninsel nicht weniger als 43 Pfund 53 Solotnik Silber. Gegenwärtig befinden sich in der Akademischen Sammlung nur noch drei Pro- ben, die zusammen 9 Pfund 4 Solotnik 41 Doli ge- diegenen Silbers enthalten.

Wenn man diesen ersten Abschnitt und dessen Bei- lage liest, welche alle zu demselben gehôürenden, aus dem Reichsarchive entnommenen pièces justificatives enthält, so gewinnt man die Überzeugung, dass die Silbererze der Bäreninsel, sowie die silberhaltigen Kupfererze des Russischen Lapplands, nicht nur bau- würdig sind, sondern bei den jetzt üblichen, vervoll- kommneten Methoden und Mitteln des Abbaues und der metallurgischen Behandlung, verhältnissmässig mehr Gewinn versprechen als vor 120 Jahren. Auch weist Hr. Goebel in diesem Abschnitte nach, dass die Quantität des auf mexsbxiï oCTpoBR gewonnenen Silbers, das in Kontschesersk geschmolzen wurde, grôsser gewesen ist, als man bisher angenommen. Ebenso überzeugend ist der in diesem sowohl, ais im zweiten Abschnitt gegebene Nachweis, dass der Berg- bau auf der Insel und in der lappländischen Wüste, nicht etwa wegen nicht zu überwindenden Wasseran- dranges in den Gruben, oder wegen Mangels an Arbei- tern und an Proviant für dieselben aufsgegeben ward, sondern weil mit Schoenberg’s Arretirung auch plütz- lich alle von ihm abhängig gewesenen und in jenen Gegenden beschäftigten Sächsischen Beamten und Bergleute entfernt und die Gruben dem Verfall und der Vergessenheit übergeben wurden.

2) Der zweite Abschnitt führt den Titel:

Der Baron Schoenberg und seine Wirksamkeit für

das Bergwesen in Russland. Ein Abschnitt aus der Bergwerksgeschichte Russlands und eine Episode aus der Hofs- und Sittengeschichte dieses Reiches. (1735 LhpaA).

Obgleich Hrn. Goebel gestattet war, die Quellen zu dieser Gsschichte in dem Reichsarchive zu St. Pe- tersburg zu studiren, so beguügte er sich doch nicht mit diesen, sondern wandte sich nach Dresden mit der Bitte, ihm aus dem dortigen Staatsarchive beglaubigte Copien aller, auf die Schoenberg’sche Angelegenheit bezüglichen Schriftstücke zu senden. Diese Bitte ward zuvorkommend erfüllt und Goebel dadurch in den Stand gesetzt, eine Einsicht in Alles zu erhalten, was der Küniglich-Sächsische Gesandte am St. Petersbur- ger Hofe und was Schoenberg selbst dem Sächsischen Minister des Auswärtigen, Grafen Brühl, so wie dem Künige August IIT. in dieser Sache berichtet haben.

Die zum zweiten Abschnitte gehôürige Beilage ent- hält eine grosse Anzahl sorgfältig kopirter oder aus- gezogener Schriftstücke, sowohl aus dem Russischen, als aus dem Sächsischen Staatsarchive. Die Lektüre derselben ist um so interessanter und belehrender, als viele von ihnen, wie die dem Herzoglich Bironschen Archive entnommenen, bisher nicht bekannt geworden sind. Nachdem über Schoenberg’s Abkunft und Geburt und über seine Jugendjahre referirt worden, geht der Verfasser zu seiner bergmännischen Karriere und zu seiner Berufung nach Russland und zu der Veranlassung derselben über.

Die Kaiserin Anna ersucht den Künig von Sach- sen, um einen kundigen Bergmann, der im Stande wäre das Bergwesen in Russland und in Sibirien zu vervollkommnen, zu heben.

Der Künig erwählt zu dieser wichtigen Mission den hervorragendsten Bergmann Sachsens, den Oberberg- hauptmann Baron Schoenberg.

Dieser kommt mit einem Gefolge von Sächsischen Bergbeamten und Bergleuten in St. Petersburg an und geht bald darauf nach der Bäreninsel und nach Lapp- land. Er überzeugt sich daselbst von einem sehr bedeu- tenden Erzreichthum, und erhält in St. Petersburg Nachrichten von den unerschôpflichen Vorräthen besten Eisenerzes im Berge Blagodat am Ural, wird von der Kaiserin, mit Aufhebung des früheren Bergkollegiums, zum obersten Chef des gesammten Bergwesens in Russ- land ernannt und erhält die Erlaubniss, der Kaiserin

469

des Sciences de Saïint-Pétersbourg.

470

00900 © ©

direkt zu berichten und erhält nicht mehr Befehle vom Senat, sondern ebenfalls unmittelbar von der Kaiserin.

Mit solchen Rechten ausgestattet, gründet Schoen- berg in Russland eine Privatgesellschaft für Bergbau und erhält sowohl die Bäreninsel und die lappländi- schen Erzgänge, als auch das Bergrevier Goroblago- dat erb- und eigenthümlich zugesprochen, unter der Bedingung, der hohen Krone jährlich eine bestimmte Zahlung in baarem Gelde zu leisten.

Er richtet den Abbau mit Aufwand grosser Kosten und Mühen ein, legt Bergwerke und Schmelzhütten an, beschäftigt eine grosse Anzahl von Menschen und entwickelt eine bewundernswürdige Thätigkeit; die Angelegenheit nimmt den besten Fortgang, so lange seine hohe Günnerin, die Kaiserin Anna, lebt und de- ren Günstling Biron sich des Unternehmens annimmt und alle Intriguen seiner Feinde, Ostermann, Ta- tischtschew und Anderer, gegen Schoenberg, un- schädlich macht.

Die Kaiserin stirbt, Biron wird entfernt; unter der Regentin Anna Leopoldowna wirkt Schoenberg erfolgreich fort. Die Kaiserin Elisabeth besteigt den Thron, begünstigt anfangs den Baron Schoenberg und zeichnet ihn sogar aus. Später fasst sie einen unver- sühnlichen Hass gegen ihn, und stürzt den hochste- henden, allgemein bewunderten Mann in die Tiefe der zermalmendsten Ungnade.

Durch unvorhergesehene Umstände, vietleicht durch zu hohe, nicht zu erfüllende Versprechungen Schoen- berg’s, kann er die der Krone zukommende Zahlung nicht zu festgesetzter Zeit leisten und wird im Senate zu Moskwa, auf Befehl der Kaiserin arretirt und unter Kriminalanklage gestellt, den Staat büswillig um einen Theil seines Einkommens gebracht, sich selbst aber dabei gesetzwidrig bereichert zu haben.

Auch ward ihm gründliche Kenntniss im Berg- und Hüttenwesen abgesprochen und er für einen unwür- digen Abenteurer erklärt.

Ohne auch nur ein Wort der Vertheidigung durch Schoenberg selbst, oder einen Anwalt zu gestatten, wird er zum Verluste seines Vermügens und zur De- portation nach Sibirien, und sein Compagnon im Ge- schäfte, der Englische Kaufmann Meyer, zur Knu- tenstrafe und Deportation verurtheilt.

Nur mit Mühe gelang es der Sächsischen und der

Englischen Regierung eine Milderung dieses Urtheils zu erlangen, in Folge deren die Verurtheilten das Land verlassen und in ihre Heimath zurückkehren durften.

Schoenberg trat nach seiner Heimkehr wieder in die angesehene Stellung ein, die er früher in seiner Heimath eingenommen hatte.

Dieser reichhaltige Abschnitt schliesst mit einer kritischen Analyse der historischen Thatsachen, wel- cher jeder Unbefangene beistimmen kônnte, wenn al- les vorhandene Material zu dieser Geschichte benutzt worden wäre. Das ist aber bis jetzt noch nicht der Fall. Es ist nämlich in hohem Grade wahrscheinlich, dass sich in dem Moskwaer Archive manche wichtige, hierher gehürige Nachrichten befinden. Goebel hat sie sich aber aus Mangel an Mitteln nicht verschaffen künnen.

Es wäre daher nicht nur wünschenswerth, sondern sogar nothwendig, dass er sich selbst nach Moskwa begebe, wo ihm die Benutzung des Archivs durch den Geheimrath Kalatschow bereits zugesagt ist. Die beschränkten Mittel Goebel’s sind zum Theil schon auf die Copieen aus dem Dresdner Archive verwendet worden.

Die anziehende Arbeit, über welche ich berichtet habe, würde auch in ihrer jetzigen Gestalt mit gros- ser Anerkennung aufgenommen werden, aber schwer- lich würde deren Verfasser dem Vorwurfe entgehen einseitig über die Schoenberg’sche Angelegenheit ge- urtheilt und das alte, gute Sprichwort: audiatur et al- tera pars, übersehen zu haben.

Was die Herausgabe der Goebel’schen Arbeit an- belangt, so würde der Verfasser sie am liebsten in den Schriften der Akademie, oder ganz selbstständig erscheinen lassen, aber auch zum Letzteren fehlen ihm die Geldmittel, und seine ükonomische Lage wird ihn wohl veranlassen, einen Verleger zu suchen, der ihm eine Vergütung seiner Arbeit sichert.

Ich meinerseits, als Mitglied der Akademie und als einer der Herausgeber der «Beiträge zur Kenntniss des Russischen Reiches», kann den Wunsch nicht un- terdrücken, dass die Arbeit Goebel’s in den Schrif- ten der Kaiserlichen Akademie erscheine.

Das praktische Resultat von Goebels Nachfor- schungen scheint mir so beachtenswerth, dass ich es

geradezu für geboten halte, eine geologisch-bergmän- 30*

471

Bulletin de l’Académie Hmpériale

4%?

m0

nische Expedition nach der Bäreninsel und nach Lapp- land zu entsenden, um an Ort und Stelle die Bedeu- tung der dortigen Lagerstätten zu konstatiren. Dabei dürfte es ganz gleichgültig sein, ob diese Expedition von der Regierung, oder von Privaten ausgerüstet wird. Jedenfalls wäre es, meines Erachtens, geeignet, dass die Akademie, falls die Verôffentlichung der Goebel’- schen Arbeiten in ihren Schriften geschehen sollte, dem Hrn. Finanzminister Mittheilung von dieser Ar- beit, namentlich von deren praktischen Resultaten mache. 12. December 1867.

Bericht über den bereits gedruckten Zweiten und handschriftlich beendeten Dritten Fascikel der Symbolae sirenologicae von J.F. Brandt. (Lu le 12 décembre 1867.)

- Bereits im Jahre 1846 verüffentlichte ich, wie be- kannt, in den Memoiren der Akademie (Scienc. natur. T. V.) unter dem Titel Symbolac Sirenologicae eine Na- turgeschichte der nordischen oder Steller’schen Seekuh, worin ich eine Beschreibung der meisten Theile ihres Schädels, so wie eine Histologie ihrer Gaumenplatte lieferte und ihre Verwandtschaft mit den beiden leben- den Gattungen der Seekühe (Halicore und Manatus), nebst ihren Differenzen erürterte, so viel es damals nach den spärlichen Materialien môglich war.

Ein an das Museum der Akademie gleichzeitig mit mehreren anderen Knochen gelangter ganzer Schädel und ein nochspäteracquirirtes, fastvollständiges, Skelet veranlassten mich, der Akademie schon im Jahre 1861 das Manuscript einer zweiten, umfassendern Arbeit als zweiten, gleichfalls für die Memoiren bestimmten Fascikel der Symbolae zu überreichen. (Bull. sc. d. Acad. Imp. d. sc. Sér. T. IV. p. 304, Mél. biol. T. IV. p. 75). Der Druck desselben gedieh indessen nur bis Bogen 23, da ich den Wunsch hegte, nicht bloss die Skelete der lebenden Pachydermen, sondern auch der fossilen, in den Kreis meiner Untersuchungen zu ziehen. Als ich nun im October dieses Jahres die fraglichen Studien zum Abschluss gebracht, liess ich den Druck im November von neuem beginnen, so dass gegenwärtig mit Bogen 28 der fragliche Fascikel be- endet ist. Er beginnt mit einer Einleitung, worin Nach- richten über die von mir benutzten, auf die Rhytina

bezüglichen Materialien geliefert werden. Hierauf folgt im ersten Buche, welches vorzugsweise auf die nordische Seekuh sich bezieht, eine 34 Seiten ein- nehmende Beschreibung ihres Schädels. Der Schil- derung des Schädels schliesst sich die von S. 35 bis 93 fortgesetzte Beschreibung des Rumpfskeletes und der Extremitäten an. Auf der folgenden Seite beginnt dann eine ausfühbrliche Schilderung der Zähne und be- sonders der hornigen Kauplatten der Sirenien, denen umfassende Untersuchungen über Dimensionen und Proportionen des Skelets der nordischen Seekuh und einzelner Theile derselben, so wie über die Grüsse sich anreihen, welche das Thier gegen die Angabe Steller’s erreichte.

Das zweite Buch enthältdieallgemeine vergleichende Osteologie der Manatÿs, des Dugong, der Rhytina und der Æalitherien.

Im dritten Buche werden die osteologischen Cha- raktere der vier eben genannten Gattungen aufgestellt.

Im vierten Buche sind die osteologischen gegensei- tigen Beziehungen der erwähnten Gattungen zu ein- ander erûürtert.

Das fünfte Buch hat die zwischen den Pachydermen und Sirenien statt findenden osteologischen Beziehungen zum Gegenstande, die mit allgemeinen Betrachtungen beginnen, dann aber auf die Âhnlichkeïiten oder Ab- weichungen des Skelets der Zapire, Nashürner, Nil- perde, Elephanten, Mastodonten, Dinotherien, Paläo- therien, Schweine, Pferde, Anoplotherien, Toxodonten und Æyracinen ausgedehnt werden. Bei Gelegenheit der Betrachtung der Skelete der noch lebenden Pachy- dermen wird gewôhnlich ihre spezielle osteologische Charakteristik, natürlich nach eigenen Untersuchungen, mitgetheilt.

Erürterungen über die osteologischen Unterschiede der Sirenien von den Pachydermen, dann über Affini- täten der Sirenien mit den Cetaceen, ferner die Cha- rakteristik der Cetaceen und ihrer beiden Abtheïlungen (der Delphiniden und Palaeniden) nebst dem Nachweis, dass Letztere den Sirenien näher stehen als die Erstern, beschliessen den fraglichen Fascikel, der von acht osteo- logischen Tafeln begleitet sein wird.

Dem zweiten Fascikel sahe ich mich veranlasst noch einen Dritten hinzuzufügen, dessen Manuskript ich am heutigen Tage der Classe vorzulegen die Ehre habe. Derselbe enthält theils neue Artikel, theils Ergän-

473

des Sciences de Saint -Pétersbourg.

474

zungen zu den bereits früher, zum Theil sogar im ersten Fascikel, besprochenen Gegenständen.

Im ersten Buche wird die Literatur, der äussere und innere Bau, die geographische Verbreitung und die Lebensweïse der Sirenien im Allgemeinen erûürtert.

Das zweite Buch enthält die Literatur, Charakteri- stik, Verbreitung und Lebensweise der Gattung Ma- natus.

Im dritten Buche findet man dieselben Erôrterungen in Bezug auf den Dugong.

Ergänzungen zu der in den beiden frühern Fasci- keln mitgetheilten Naturgeschichte der Æhytina bilden den Gegenstand des vierten Buches. Sie beginnen mit einer Geschichte der Literatur der fraglichen Gattung, der Bemerkungen über ihre Abbildungen unter Hinzu- fügung einer neuen, idealen Figur folgen. Denselben schliessen sich dann Erläuterungen an, welche sich auf die Haut, den Bau der Gaumenplatten, das Hirn, das Gehürorgan, die Art der Verbindung der Schädel- knochen, die Gestalt der Schädelhühle im Vergleich mit der der andern Sirenien, die Textur und chemische Zusamme»setzung der Rippen, die individuellen Ab- weichungen einzelner Skelettheile und auf die geogra- phische Verbreitung und Vertilgung beziehen, denen sich einige muthmaassliche Worte über den Unter- gang der Halianassa anreihen.— Den Schluss machen sehr umfassende, literärische, so wie selbständige Mit- theilungen über die Classification und die Verwandt- schaften der Sirenien.

Werfen wir nun einen Blick auf den Gesammt-In- halt des zweiten und dritten Fascikels der Symbolae, so ergiebt sich, dass dieselben einerseits eine, in müg- lichst systematischer Form abgefasste, vergleichende Osteologie der Sirenien, so wie der ihnen verwandten Pachydermen und Cetaceen enthalten, andererseits aber eine allgemeine und spezielle Naturgeschichte der Gattungen der Sirenien bieten, worin ihre Classifica- tion, so wie ihre Verwandtschaften besonders hervor- gehoben werden.

Die genauere vergleichende Verwerthung der Reste der Æhytina, die eine der grüssten Zierden der Samm- lung der Akademie ausmachen und die Herausgabe der, einen ansebnlichen Quartband füllenden, Symbolae ver- anlassten, tritt natürlich darin in den Vordergrund. Cuvier, der den russischen Naturforschern die Unter- suchung der Rhytina, welche er noch den lebenden

Thierformen zuzählte, ganz besonders ans Herz legte, würde hoffentlich das Zeugniss nicht versagen künnen, man sei in Russland bemüht gewesen, nicht bloss ihre Vertilgung gründlich nachzuweisen, sondern auch ihre morphologische Kenntniss mit Hülfe der Reste ihres Skelets und einer Gaumenplatte durch Wort und Bild môüglichst zu fordern. Die, wohl noch in Aussicht stehende, Auffindung der bis jetzt unbekannten Knochen der Handwurzel, der Mittelhand und der Finger, so wie einiger Wirbel des Schwanzes, dann des Beckens nebst der Hornplatte des Unterkiefers wird allerdings noch einige wünschenswerthe, künftige Ergänzungen zu bie- ten im Stande sein.

Über eine allgemeine Refractionsformel. von Dr.

H. Gyldén. (Lu le 12 décembre 1867.)

Im Anschlusse an meine frühere Arbeit über die Theorie der astronomischen Refraction habe ich die- sen Gegenstand weiter behandelt, und bin gegenwär- tig bei einem Resultate stehen geblieben, welches mir nicht uninteressant zu sein scheint. Es besteht dieses Resultat in einer Auflüsung des gedachten Problems, indem das Gesetz der Temperaturabnahme unbe- stimmt gelassen wird, und ist also in so weit allge- mein, als die Refractionen von den Temperaturen in der Atmosphäre abhängig sind.

In einer ähnlichen Ausdehnung ist dieses Problem schon von Plana behandelt worden, allein seine Ent- wickelungen sind nicht weit genug ausgeführt wor- den, um eine praktische Anwendung zu erlauben; auch scheint es mir, dass man auf dem von Plana betretenen Wege die Endresultate nicht so einfach und übersichtlich erhält, wie die weiter unten mitge- theilten. Daher glaubte ich ein anderes Verfahren wählen zu müssen, ohne die Arbeit von Plana wei- ter zu berücksichtigen. Das von mir gewählte Ver- fahren ist mit geringer Abänderung dasselbe, welches von Ivory, Lubboch und Schmidt angewandt wur- de, und welches auch bei meinen früheren Untersu- chungen über die Refraction zur Anwendung kam.

Unter der Voraussetzung, dass die mittlere Tem- peraturabnahme durch eine Function der Hôhe über der Erdoberfläiche dargestellt werden kann, welche in- nerhalb der Grenze der Atmosphäre synectisch bleibt, kann man derselben die Form einer unendlichen Reïhe

475

geben, welche nach den steigenden Potenzen dieser Hühe fortschreitet. Zweckmässiger noch wählt man für die unabhängige Veränderliche das Verhältniss jener Hühe zum Abstande der betreffenden Luftschicht vom Mittelpunkte der Erde. Nennen wir dieses Ver- hältniss s, die Ausdehnungscoefficienten der Luft m, sowie die Temperaturen in der zu s gehôrigen Luft- schicht und an der Erdoberfläche £ und #,, so kôünnen wir also setzen:

= 1— 8,5 +8,58 8,5 +

1 + mt

- (1)

wo B,, B,, u. s. w. Coefficienten bedeuten, die durch Beobachtungen zu ermitteln sind. Für den ersten der- selben hält es nicht schwer einen ziemlich genäher- ten Werth zu finden derselbe beträgt etwa 120 die folgenden sind uns aber so gut wie gänzlich un- bekannt. Nur so viel scheint mit einiger Wahrschein- lichkeit aus den Thermometerbeobachtungen hervor- zugehen, dass die Grüsse 6, nicht weit von den Gren- zen O und 18° fällt. Ausserdem sind Gründe vorhan- den, welche einen negativen oder selbst einen ver- schwindenden Werth dieser Grüsse unwahrscheinlich machen. In Folge des Gesagten nahm ich in meiner Abhandlung «Untersuchungen über die Constitution der Atmosphäre etc. St. Petersburg, 1866» an,

Bo = 18°

und vernachlässigte die übrigen Glieder in der Reihe (1). Die aus dieser Hypothese, oder vielmehr die aus irgend einer Hypothese über die Abhängigkeit der späteren Coefficienten der Reïhe (1) von dem ersten hervorgehenden Refractionen sind aber zur Verglei- chung mit den Beobachtungen in der Nähe des Hori- zontes nicht die geeignetsten. Es lässt sich nämlich dabei der Einfluss der hüheren Glieder schwer über- sehen, welches doch zur Beurtheilung nothwendig ist, ob die Refractionen mit anderen Erscheinungen, welche von der Wärmeabnahme abhängig sind, im Einklange erscheinen, oder ob uns noch unbekannte Einflüsse vorhanden sind, welche bei der mathematischen Ver- bindung der bekannten Thatsachen übergangen wur- den. Weit vortheilhafter ist es, wenn man solche Re- fractionen mit den Beobachtungen vergleicht, bei wel- chen entweder die Coefficienten B,, 8, u. s. w. oder auch andere Grüssen, die mit jenen durch einfache Relationen verbunden sind, unbestimmt gelassen wer-

1+nt

dass

Bulletin de l’Académie Empériale

476

den. Dieses war die hauptsächlichste Veranlassung zu der neuen Ableitung der Refractionsformeln, deren Endergebniss in gedrängter Form nun folgt. Die Ein- zelnheiten der Analyse werde ich später mittheilen.

Die Integration der Differentialgleichung der Re- fraction kann man beliebig weit ausdehnen. Wählt man eine Luftschicht als obere Grenze, in welcher die Dichtigkeit der Luft als verschwindend betrachtet werden darf, so erlangt man den vollständigen Betrag der Strahlenbrechung. Den Werth von s, welcher die- ser Schicht entspricht, bezeichne ich mit w und setze ausserdem

S = OT.

Dem Verhältnisse der Dichtigkeit in der x ent-

sprechenden Luftschicht zur Dichtigkeit der Luft an

der Erdoberfläche kann man nun leicht den folgen- den Ausdruck geben:

e T—g,T—ÿ me EI Po LINE LL Ë “tt (2) Bezeichnen wir den Erdhalbmesser mit a, und die barometrische Constante mit /, so sind die Relationen zwischen den Grüssen g,, g, u.s. w. einerseits und die Grôssen $,, 8, u. s. w. andererseits die folgenden:

a =(F$—8, 9

= 3 (5—

U: 8. W.

2— 6) 0 + 2 8,8,0°— 8,0

Wenn der Ausdruck (2) in die Differentialgleichung der Refraction eingeführt wird, so lässt sich diese nicht direct integriren; man wird daher veranlasst das Mittel der Reihenentwickelung zu ergreifen. Ich zer- lege desshalb die Gleichung (2) folgendermaassen:

e M, —M,—M, —…

wo PTE M,= e 0 nee 0} M,= (qu 19 2)e 47 u. S. W.

Durch diese Zerlegung wird bewirkt, dass die Glie- der in der Refractionsformel, welche von jedem ein- zelnen M herrühren, in der Hauptsache derselben

477

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

478

Ordnung sind. Somit lässt sich die Convergenz der verschiedenen Glieder am einfachsten übersehen.

Früher habe ich die Entwickelung der Refraction durch die Formel

82 ——{R° + aR0 +R? + ….]

dargestellt. Ich bezeichne nun den Theil von R°, wel- cher aus M, hervorgeht, mit 2°, den aus M, ent- springenden mit À," u. s. w., so dass RO—ROE ROSE À a Len In ähnlicher Weise setze ich auch RÔ=RO +R +

Die Integrale, auf welche unsere Aufgabe in ihrer jetzigen Fassung führt, sind nur von g, abhängiy; sie künnen daher ein für alle Mal berechnet werden und bleiben bei jeder Hypothese, die man über die Grôs- sen B,, 8, u. s. w. oder auch g,, 9, u. s. w. aufstellt, dieselben. Bei der numerischen Berechnung dieser Integrale habe ich die nachstehenden Werthe von a, Lund 8, benutzt, welche auch meinen früheren Re- fractionstafeln zu Grunde liegen:

a 3274720 4 = HD 0

Für © nehme ich _. Werth 2 oder à ; an, welcher

genügend gross ist, um den Betrag déc Refraction vollständig zu erhalten. Es wird nun 9, = 10,8856,

womit in Verbindung mit dem Werthe der Refrac-

tionsconstante a 0,00027985

sich die D: Formeln ergaben

1 # —— R9 = 632,50 Ve TEE F

+ 0,096" + etc.

1 RO= + 0/09

ve Te + 10,63c 931106 29,17 28,39 c“ 20,91 c + 13,646 7,84c! 4,06c° 1,92c° 0,83c"° 0,340"! —+- etc. Um numerische Ausdrücke für die Grissen A, und À," zu erhalten, nehme ich wieder an, dass

Bo = 18° und erhalte somit 9, = 11,8856. Um die Grüssen R,° und À," einer anderen Hy- pothese entsprechend zu erhalten, hat man bloss die

+++

+++

nachstehenden Ausdrücke mit ce zu multipliziren, wo

(g,) den aus der neuen Hypothese folgenden Werth von g, bezeichnet. Re Rechnung ergab

L RM + 23/14c

Ve Te

+ 31,65€

+- 17,516 0,63ct 8,47 8,97.c° B 15C 2,38 0,90c° 0,34c!° etc. R, M + 9,02c°

1 Ve +4,97

+ 4,516

479

Bulletin de l’Académie Hmpériale

480

Zufolge den numerischen Werthen von 5 und ,, sowie dem muthmaasslichen Betrage von 8, ist der beträchtlichste Theil der Grüsse g, von $, unabhän- gig. In den Hypothesen: 8, 0 und 8, 18; gestal- ten sich z. B. die Werthe von 4 folgendermaassen

G = 10,8856 J—12,8856,

woraus zu ersehen ist, dass die Unsicherheït der Glie- der AR, R,0 u. s. w. nicht sehr erheblich ist.

Bei den folgenden Gliedern 2°, u. s. w. ist der hy- pothetische Theil von derselben Ordnung wie der mit Sicherheit erkannte; sie schwanken daher stark, bei Ânderungen in den Hypothesen. Ich führe die Aus- drücke an für À, wie sie sich gestalten in 3 Hypo- thesen:

DRE 0:

RO = + 92,58 +4,98 +- 0,88c* 1,716 —— 9,046 —_03c: —_ 0,046 —etc- 4 B, = 0 RO —6,55c + 0,76 + 5,946 + 2,33c" 1,15 roc —1,27c! 0,23

etc.

/ 1 3 Ps 2,3 Pr

1 œ

a/c FA TE NC

RER PO 080c VOLE +4 À 1,60€ Nr ie + 4,216

05c

19/01 1,62€ 0,346 Ge;

In allen diesen Formeln hängt die Grüsse c mit der scheinbaren Zenithdistanz des beobachteten Objectes folgendermaassen zusammen. Bezeichnet man diese mit z und setzt

so ist

Zur Kenntniss des Azobenzids, von P.Alexeyeff

(aus Kiew). (Lu le 28 novembre 1867.)

Seit einiger Zeit beschäftige ich mich wieder mit dem Azobenzid. Zu den Resultaten, welche ich schon früher verôffentlichte (Bull. de la Société Chimique 1864, Zeitschrift f. Chemie 1867), kann ich jetzt einige neue hinzufügen, welche ich während eines kurzen Aufenthalts in Berlin, im Laboratorium des Hrn. Prof. Baeyer, erhalten habe.

Zinkstaub, mit Zusatz einer kleinen Quantität von Kali oder Natronlauge, wirkt auf einealcoholische Lü- sung von Nitrobenzol ganz so wie Natriumamalgam ein, und auf dieselbe Weiïse kann auch am besten und schnellsten die Verwandlung des Azobenzids in Hy- droazobenzid bewirkt werden. Wird nämlich eine alcoholische Lüsung von Azobenzid mit Zinkstaub im Überschuss und Kalilauge gekocht, so entfärbt sich die Lüsung bald, und wenn man dann die Flüssigkeit filtrirt, so erhält man nach dem Erkalten ganz farb- lose, glänzende Blättchen von Hydroazobenzid.

Das von Swertschewsky entdeckte Dichlorazoxy- benzid verwandelt sich beim Kochen seiner alkoholi- schen Lüsung mit Zinkstaub und Kalilauge in eine schôüne, weisse, nadelfôrmige Substanz, welche wahr- scheinlich Dichlorhydroazobenzid ist.

Mitscherlich’s Beobachtung zufolge zersetzt sich Azobenzid, beim Leiten seiner Dämpfe durch ein glü- hendes Rohr. Bei Wiederholung dieses Versuchs habe ich eine Quantität brauner Flüssigkeit erhalten, wel- che sehr stark nach Blausäure roch, und auch wirk- lich eine sehr grosse Quantität davon enthielt. Zu- gleich hatte sich im Robre ziemlich viel Kohle abge-

AS1

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

482?

lagert. Die braune Flüssigkeit wurde mit Wasser ge- waschen, durch Chlorcalcium getrocknet und der fractionirten Destillationunterworfen, wobeï als Haupt- produkte Benzol, Anilin und Diphenyl erhalten wur- den. Folglich entsteht bei der trockenen Destillation des Azobenzids Blausäure, Anilin, Benzol, Diphe- nyl und Kohle.

Ich erlaube mir weiter zu bemerken, dass ich bei der Ausarbeitung des Versuches einer Monographie der Azoverbindungen, welche ich zu drucken angefan- gen habe (Nachrichten der Kiewer Universität 1867), überrascht war zu finden, dass das von Prof. Zinin entdeckte und von Hrn. Schmidt untersuchte leicht- lüsliche Reductionsproduct des Nitroazoxybenzids die- selben Eigenschaften besitze, wie das von A. W. Hof- mann beschriebene 8 Phenylendiamin. Betrachtet man die von Hrn. Schmidt erhaltenen analytischen Re- sultate, so findet man, dass es sehr wahrscheinlich sei, dass die von ihm untersuchte Base wirklich die Zusammensetzung C°H°N* habe. Nur die Zahlen, welche Hr. Schmidt für den Stickstoff erhalten hat, stimmen nicht gut hierzu.

Nimmt man an, dass die schwerlüsliche Base, welche zu gleicher Zeit bei der Reaction entsteht, die Zu- sammensetzung C'?H°(N H*)N°O habe, so wird es môüglich, bei weiterer Reduction die Zersetzung in Phenylendiamin und Anilin anzunehmen

C'2H° (NH?) N°0 + 2H° CSH°N° + C'H'N.

Anilin ist wirklich von Hrn. Schmidt erhalten und dabei von ihm bemerkt worden, dass bei der Einwirkung von Zink und Salzsäure (also eines stär- keren Reductionsmittels auf Nitroazoxvbenzid), nur ein leichtlüsliches Produkt entsteht.

Wenn die weiteren Untersuchungen von Hrn. Schmidt meine Vermuthung bestätigen sollten, so würde sich ergeben, dass das 8 Phenylendiamin schon

vor der Verüffentlichung Hofmann’s entdeckt war. Kiew. Im August 1867.

Kritische Bemerkungen, von A. Nauck. (Lu le 5 décembre 1867.)

11. A,5. Der Groll des Achilleus stürzte viele Sec- len der Helden in den Hades hinab, avTous DE ÉAOEUL TEÛYE KUVEGOLY clovoïot re nat, Aus à étehelero Bouèn. Tome XII.

Was in diesem Zusammenhange r&ot bedeuten soll, ist schlechterdings unverständlich. Düntzer de Ze- uodoti stud. Hom. p. 111 übersetzt «ef alitibus, quot- cunque venerunt». Aber r&otv ist etwas anderes als Goot So, und ein Zusatz wie 8ce: 1ASov wäre hier müssig oder eigentlich sinnlos. Sollte jemand auf ir- gend eine andere Weiïise das tract zu erklären versu- chen, so habe ich nichts dagegen, werde aber gleich- wohl erst dann das Wort für müglich und zulässig erachten, wenn es durch entsprechende Parallelstellen geschützt wird. Hunden und Geiern werden unendlich oft Leichen preisgegeben, schwerlich aber allen Hun- den und allen Geïern. Von richtigem Takte wurde Bentley geleitet, wenn er covoisé te xuow« verlangte (vel. ILE, 488: pn tros avdoaot Buouevéeoct Ehoo xui xvopa yévnos. Od. y, 271: xakkmev olovoiot log xai xvoua yevéoèou. €, 473: dede un Sne:00t op xai xvopa yévopat). Die ursprüngliche Lesart jedoch, von der unsere Scholien zur Ilias schweigen, hat Ath. I p. 12 F erhalten, welcher berichtet, Zenodot habe otovoict re daita gelesen. Freilich lehren alte Gram- matiker, vermuthlich nach dem Vorgang des Aristarch, bei Homer werde ais nur von menschlicher, nie von thierischer Nahrung gebraucht; aber wenn dies auch im Allgemeinen richtig ist, wie es nach dem Begriff des Wortes nicht anders sein kann, so erscheint es doch als übertrieben pedantisch, die Uebertragung von dœts auf thierische Kost dem Homer verbieten zu wol- len. Auch im Lateinischen kommen dapes und epulae, im Deutschen Begriffe wie «Mah]lzeit, Schmaus» ei- gentlich und von Rechts wegen nur dem Menschen zu, ohne dass darum die Uebertragung derartiger Ausdrücke auf die Nahrung der Vierfüssler und Vôügel irgend welchem Bedenken unterliegt. Wie bei Aeschy- lus Prom. 1024 der Adler des Zeus den Prometheus besucht als Sartansds raviy.so0s, um ihm die Leber «hinwegzuschmausen» (ras éxSotvasetat), wie Phi- loktetes bei Sophokles fürchtet, er werde den Vügeln, seinen bisherigen Ernährern, zum Schmause die- nen (œirès rahas Savoy ragééo ais Üg ov évee- 8cunv Phil. 957), wie Euripides Hec. 1073 Sctvav ayotoy Sno6v, 1078 xuot poviav daitæ, Ion 505 Sngot ocuviav daita zu sagen sich gestattet, so durfte Homer mit demselben Rechte von der àa{; der Geier reden, mit dem er Il. B, 383 sagt: e0 3 vis Inroctv Der voy Sérw wrvrcdecouv. Noch an einer zweiten Stelle der 31

483

Bulletin de l’Académie Fmnpériale

484

ET —_—_—_—_—"—"—"—"—"—"—"—"—"—"—"—"—"—"—"—"—"—"—"—"—"—"—"—"—"————————— Ilias finden wir dæis von thierischer Nahrung gebraucht, | so kommen musste: Zenodotum, ut locum emendaret,

Q, 43 in der Erwähnung des Lüwen,

Be + émet do peyakn Te Pén mal aynvopt Sup ciéas*) so’ ént pla Boorôv, {va Jaira hafnouv. Um hier den vermeintlichen Missbrauch zu beseitigen, hat man in neuster Zeit nach pqh« interpungirt und 30oTûv Jaira verbunden. Allerdings würde zu pñhæ niemand die nähere Bestimmung Boorôy vermissen; aber die Verbindung Boctév {va Sara haBnotv ist ent- schieden falsch. Oder sollen wir uns die Homerischen Lüwen so raffinirt vorstellen, dass sie beim Ueberfal- len der Heerden nicht an die eigene Sättigung den- ken, sondern an den durch ihren Raub den Menschen oder vielmehr den «Sterblichen» bereiteten Schaden? Und gesetzt die heroischen Lüwen wären s0 unedel und so menschlich boshaîft gewesen, immer würde die Verbindung Becrôy daîra das directe Gegentheil be- weisen von dem was man zu beweisen suchte. Denn wenn Homer das Wort Sas nur von menschlicher Speise gebrauchen kann, so ist die Verbindung Boc- <Gv Jairo mit dem nachdrücklich vorangestellten Ge- netiv in der Homerischen Poesie undenkbar; wer Boo- r6v das sagt, für den muss es auch eine Snpôv ais geben. Wie man also auch über das Bootv Il. Q, 45 urtheilen mag”), sicherlich darf es nicht mit ôaita verbunden werden, und in dem Ausdruck va Gaita Adgnouw das Wort ôai anders als von der Nabrung des Lüwen zu verstehen ist absolut unmôüglich. Die Beobachtung der Alexandriner über den Homerischen Gebrauch des Wortes das ist also irrig und verkehrt; sie hat jedoch insofern für uns einigen Werth, als sie den Grund uns klar macht, durch den man bewogen wurde die überlieferte Lesart ctwvoîct te daita Il. À, 5 zu verlassen. Man beanstandete diese Lesart gerade deshalb, weil sie mit der engherzigen Schulweisheit Alexandrinischer Pedanten sich nicht vertrug. Dün- tzer freilich erzählt uns, Zenodot habe die Stelle emendirt, und er weiss genau zu sagen warum dies

1) In diesen Worten liegt ein Fehler, da von èxet unmôglich das Participium et£ue abhängen kann. Alte Kritiker wollten £têac in e*En ändern, Lieber würde ich mit Bentley <tëucx, eo èrt pda schreiben. Doch bleibt auch die Müglichkeïit offen dass te &p eine falsche Lesart ist, etwa statt clap.

2) Eine befriedigende Erklärung und eine Rechtfertigung durch analoge Ausdrucksweisen scheint mir unmôglich. Einen passenden Sinn bekämen wir durch die Aenderung ét piha fôaç %, va Sutra hdBnouv. Bekanntlich werden bei Homer pnku und ces gern verbunden.

movit hdotx, quod quum Éhxvopata intelligeret, aliti- bus, qui cadavera comederent, non aptum hacuit. Hätte Zenodot rot vorgefunden und gleich Bentley daran Anstoss genommen, so würde dies ihm zu grüsster Ehre gereichen. Die Scholien aber berichten, Zenodot habe Il. A, 4 und 5 für unecht gehalten, und schon darum ist es nicht eben wahrscheinlich dass er aus Conjectur Sara für räct gesetzt haben sollte; denn hielt er ract für unpassend und verkebrt, so war wohl nichts natürlicher als dass er in dem unpassenden und verkehrten rüäct die ungeschickte Hand eines Inter- polator wahrnahm, dem der schlecht gewählte Aus- druck zugestanden werden konnte. Ein bestimmtes Zeugniss jedoch dass die Lesung aire um mehrere Jahrhunderte älter ist als Zenodot, liefert Aeschylus Suppl. 801, dessen Stelle Imm. Bekker im Anhang zur Ilias p. 405 zwar in Folge meiner Privatmittheilung erwähnt, aber nicht nach Gebühr gewürdigt hat: xuoiy À tetS Éhopa xATI{OpUOLS dovot SeîTvov cUx dvmivopuat TÉAEL.

Wie dem Homerischen éhogta xivecotw hier xuotv £ko- ox *) nachgebildet ist, so lehrt der Ausdruck Covtot Seînvoy ganz unzweideutig dass schon Aeschylus in der Homerischen Stelle ctovoïof +: daira gelesen hat. Eben dieser Lesart folgt Manetho IV, 200: ciavôy xaxa deirva wuvoy © Élxuouata dewa. Das herr- schende ciovoict te räot, das von Seiten des Sinnes unpassend ist und wahrscheinlich einer falschen Beob- achtung und einer verfehlten Conjectur des Aristarch seinen Ursprung dankt, das mindestens durch die äl- testen Zeugnisse über den Homerischen Vers entschie- den widerlegt wird, sollte doch nun endlich aus dem Texte des Homer verbannt werden und dem in jeder Hinsicht tadellosen, durch ein Zeugniss aus dem fünf- ten Jahrhundert v. Chr. gesicherten ctovoîct te duita Platz machen. Denn nicht den Aristarchischen, son- dern den voralexandrinischen Homertext herzustellen ist die Aufgabe und das wenngleich unerreichbare, doch immer anzustrebende Ziel der Kritik. Statt dies Ziel zu verfolgen glaubt die Mehrzahl der heutigen Homeriker, sobald die Aristarchische Lesart einer Stelle ermittelt ist, in Betreff dieser Stelle das ibrige

3) Die Form £Awpa ist sonst nirgends weiter nachzuweisen. Darum halte ich es für hôchst wabrscheinlich, dass Aeschylus viel- mehr xvotv & Elwo terra schrieb.

485

gethan zu haben. Man meint, Aristarch habe durch- gängig die Lesarten der ältesten und besten Hand- schriften wiedergegeben, mit anderen Worten die Handschriften seien so gefällig gewesen die von Ari- starch gemachten, oft hüchst zweifelhaften, oft durch- aus unrichtigen Entdeckungen auf dem Gebiete der Ho- merischen Interpretation glatt zu bestätigen. Ein Wun- der, das hinter dem der Septuaginta kaum zurückbleibt. Nur wenn das zu Gunsten des Aristarch herrschende Vorurtheil aufgegeben wird, ist ein erheblicher Fort- schritt in der Homerischen Kritik zu hoffen, und wir müssen es bedauern dass Lehrs auch in der neuen Auflage seines Meisterwerkes de Aristarchi studiis Ho- mericis es unterlassen hat auf die grossen und unver- kennbaren Missgriffe und Verirrungen der Aristarchi- schen Kritik nachdrücklichst hinzuweisen Verirrun- gen, die allerdings, wie ich schon früher hervorgeho- ben habe, nicht der Person des Aristarch, sondern seiner Zeit zur Last fallen, die aber gleichwohl dem Homerischen Texte unsäglich geschadet haben, darum weil die Aristarchische Festsetzung'des Homerischen Textes in einem der kritischen Methode ermangelnden Zeitalter fast kanonisirt wurde und man in blinder Verehrung für den Meister die von ihm mit Unrecht geänderten Lesarten vielfach nicht einmal der Erwäh- nung würdigte. Trotzdem findet sich in den Scholien zur Ilias und sonst noch mancherlei Material, um nicht wenige Paradiorthosen des Aristarch auszumerzen: dies Material zu sammeln und zu verwerthen ist eine der nächsten und dringendsten Obliegenheiten der Ho- merkritiker.

Il. F, 160. Die Troischen Greise bewundern die Schôünheit der Helena, halten aber dennoch die Rück- kehr derselben für nothwendig:

2)) \ \ de ns 7e À 2 A à CT AL dhAG Hat &5, Toin Tep ÉCUT , Év vu veéo To pd muiv Texéecot T Ontocù Tu AT.

Statt vavot dürfte vielleicht richtiger vsvct geschrie- ben werden, vgl. Thes. Gr. L. vol. 5 p. 1380 C und Corp. Inser. 6129 b 32 vol. 3 p. 855. Am Schlusse scheint Arorro, superstes sit, unpassend; es muss wohl heissen ua yéverre. So lesen wir K, 453: ouxeéT éreuta riua rot coca Apyelorotv. X, 421: 65 puev étuxte xai étocme nue Vevéo To Touor. E, 63: räct xaxov Toweoot yévovre. Od.r, 103: et un yo xetvorot xaxov ravrecot yevotunv. Il X, 358: un toi rt Seüv

des Sciences de Saint-Pétersbourg. a ,

486

nue yévoper, u. ä. Auch sonst werden xr£5%4 und vevéota! verwechselt, wie Od. 6, 187 oder 223. IAASHIST7E

w n , CHE , , a cd Cop av HLÉY xev Co Ayapépvova rouLéve Rav JVGUT EV TOCHLAOLOLY, ÉVuÉpOVTE GTLYS

TPE AVAYOPEÏTO KTÉ.

y un

avÈLOY,

Entsprechend später A, 202: pp œv pév xev co&s Ayapépvova xté. Die Verbindung &op dv év xev findet sich auch an zwei Stellen der Odyssee, €, 361: 0og av pév xev Joupar év appowfoty donon, und €, 259: Chp dv pév x dypcts louev at Éoÿ dvSpcrov. Mag auch die Partikel &v nicht selten zweimal, zuweilen sogar dreimal in demselben Satze vorkommen (vgl. Soph. fr. 669: rôs av oùx dv êv Stern Savour &v; Eur. Andr. 934: oux av ëv ÿ éuoîs Souors Bhérous’ dv aÿ- vas Top éxaoproût @v héyn. Tro. 1244: doaveis dv Gvtes cÙx y dynTmuey 4), so konnte es doch keinem Griechen in den Sinn kommen etwa ©s &v pèv av San oder 6rou äv pËv dy ÿs zu sagen; ganz eben so be- fremdlich aber ist das Homerische 69 dy péy xev. Thiersch Gr. Gr. $ 346, 18 wollte an den bezeichne- ten Stellen xev in xat ändern; aber das xai würde nur ein stôrender Pleonasmus sein. Vermuthlich ha- ben alte Diorthoten Co av uv des Metrum wegen statt Éws pév gesetzt: in diesem Falle würde uns ob- liegen nos pév herzustellen. Fehlerhaft ist auch Il. N, 127: odhayyss xaprepat, Gas oùT dv xev Apns évécouto peteïov cûts x ASnvain hacoocos, Wo ich vorschla- gen môüchte &s toi xev Aons oÙùdé x’ ASmvain. Endlich künnen wir auch Od. 1, 334: D èhayev, toÙs Av xe Hal nTehov autos déc, nicht für richtig halten; dass an dieser Stelle weder &v noch x: noth- wendig oder wünschenswerth ist, lehrt Il. H, 182: êr D ESopev xhtoos zuvéns dv de Sehov avroc. Ob da- nach +oÿs dou xai nSehov œûrès EécSe, ob anders zu schreiben sei, wage ich nicht zu entscheiden. Im spä- teren Epos ist die Verbindung @v x (Arat. Phaen. 562) und xev @v natürlich nicht zu beanstanden: vgl. Hermann Orph. p. 385 f.

Il. A, 413. Nachdem alle Argiver geflohen sind, sieht sich Odysseus im Kampfe vereinsamt,

roosa à êni Towwv oriyes NAUSOY dorioTawy, Éhcavy Ô Év ÉGOO!GL LETA GOÛGL TUE

> 2, - TLJSEVTES.

Nikanor interpungirte nach cofc:, wogegen die neu-

sten Herausgeber BETA colo! TALA TIJÉVTES verbinden. Le] ] 1 81*

487

Bulletin de l’Académie Impériale

488

Friedländer Nicanoris reliq. p. 92 lässt es ungewiss, welche Auffassung den Vorzug verdiene: mir scheint es klar dass Nikanor Recht hatte, da die Troer, wie es in den Scholien heisst, oùy éautois riua TSéaou aka +6 OBvocet. Aber damit die durch den Sinn ge- forderte Verbindung môglich werde, ist die Präposi- tion év zu tilgen:

>" \ , S 7 = & ? ÉAGOY dE [LÉGOOIOL [LETO GHUOL, TILL TITÉVTES.

Bedenklich bleibt noch das hüchst unbestimmte rip ttSévres. Dass Zenodot dafür gelesen habe tua Ôè hcav, ist kaum zu glauben; vielmehr wird éxca ein Schreibfehler unserer Scholien sein, der durch das zu Anfang des Verses stehende éAcav veranlasst wurde,

Il. 3, 1353. Thetis meint, Hektor werde nicht lange sich brüsten mit den erbeuteten Waffen ihres Sohnes, da seine Tage gezählt seien:

oudé CU dnpov étayhaietoSou, HE DOVOs ÉVYUSEY AUTO.

Hier dürfte ocves schwerlich das rechte Wort sein. Offenbar will Thetis sagen, dem Hektor sei der Tod nahe; also fordert der Zusammenbang den Begriff 5a- varos oder rétuos, wie dieselbe Thetis vorher Z, 96 zu Achilleus sagt: ait yap vor Ereura peS "Extopo rôtuos éroîuoc. Vel. T, 409: dAG tou Syvo$ey HS CXéSpuov. X, 300: vov Se Sn ÉYYUI por Savaros HAN Et aveuSev. Es wird zu lesen sein émet popos ÉVYUSEY auto.

Od. &«, 106. Die Ankunft der Güttin Athene in Ithaka wird in folgenden Versen erzählt:

cri à ISaxns évi Snpo ért nooSvoots Ovoños

cUBoÿ ÊT œuhelcu, RoaA Ô êys NES ÉVX0S" edge À ox PTTApRe dyTVopas* pv ÊTELTA Tecooiot pordpolSe Supawy SUpOY ÉTEPTOY KTÉ.

Worauf sollen wir ëtete beziehen? Da nicht gesagt ist was die Freier trieben bevor sie mit dem Bret- spiel sich beschäftigten, so meint man ëretta gehe auf Athene und deren verschiedene Wahrnehmungen. Es wird nun geschildert, sagt Ameis, was Athene sah, nachdem sie die Freier erblickt hatte. Mit an- deren Worten pèv émerta Supôv étepmov soll be- deuten: Eterta etde pynotious meocciouy Sumôy Téproy- tas. Zu dieser willkürlichen und leichtfertigen Ver- drehung der Textesworte künnen wir uns nicht ent- schliessen, zumal da es immer unpassend bleibt zu

sagen: Athene fand die Freier, darauf sah sie wie dieselben sich am Bretspiel ergützten. Die beiden Wahrnehmungen, welche Ameis sondern will, hängen so genau zusammen, dass die Partikel étetta geradezu unerträglich ist. Es hat hier wie unendlich oft der Versausgang gelitten; der Dichter konnte, so viel ich sehe, nur schreiben: of pév éxeîSt reccoiotv Supôdv reomov. Zu éxzit bietet das nachfolgende rocorapcrSe Suodwvy die nähere Bestimmung in echt Homerischer Weise. Die Form éxsttt steht ebenfalls zu Ende des Verses p, 10.

Od. 5, 221. Das œoeuaxey, welches Helena dem Wein beimischt, um die Betrübniss der Trinkenden zu verscheuchen, wird genannt

& ? sy. , " » 2 @& L VNTEVSÉS T ŒYONOV TE, XAKOY ÉTLANIES ATAYTOY.

Für értanSes sprechen die meisten Handschriften der Odyssee wie von jüngeren Schriftstellern welche den Homerischen Vers anführen oder benutzen, Dio Chry- sost. 12, 52. Plut. de vita et poesi Hom. c: 211. Iu- stinus Martyr vol. 1 p. 82. Clemens Alex. Protr. p. 3. Tzetzes Epist. 8 p. 11. Dagegen lasen Aristarch und Herodian értnSov, eben so Ptolemaeus Ascal., nur dass dieser értÿ%0o accentuirte. Der Aristarchischen Lesart, die in unseren Ausgaben sich eingebürgert hat, begegner wir in der Mehrzahl der Citate oder Reminiscenzen bei späteren Autoren; so bieten értAn- Sov Galenus ed. Kühn vol. IV p. . Aelian. N: A. 4,41. 15,19. Iamblichus de vita Dee S 113. He- sychius v. 4yohov. Gregorius Naz. vol.2 p. 119B. Theo- phyl. Simoc. Hist. 2, 11. Epist. 25 (wo sich die Va- riante érfanotey findet). Anonymus Anth. Pal. 9, 636. Macrobius Saturn. VII, 1. Suid. v. vnrevSés. Eust. Opuse. p. 137, 72. Auf eben dieses éttAn%ov ist bei Psellus'in Westermanns Paradoxogr. p. 143, 9 das handschriftliche értnomov zurückzuführen. Durch die Aristarchische Lesart der Homerischen Stelle bedingt sind auch Wendungen wie apoo àë vécu éréanè méhet Synes. Hymn. 3 p. 329 D und agua Booténs étin- Sov avis Nonn. Dionys. 7,368. Dass die Mehrzahl der Zeugnisse für értanSov spricht, erklärt sich einfach aus der Autorität des Aristarch; ihm schlossen die meisten Späteren sich an, ohne dass die Masse der Nachbeter für die Richtigkeit seiner Lesart eine Ga- rantie bietet. Wir werden also kaum entscheiden kôn- nen, ob értAnSoy oder érAnSes besser bezeugt sei.

PTT.

AS9

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

490

me

Nach inneren Gründen aber zwischen beiden Lesarten zu wählen ist darum nicht leicht, weil bis jetzt weder für die eine noch für die andere Form schlagende Analogien sich gefunden haben. Nitzsch Anmerk. zu Hom. Od. Bd. I p.253 und Buttmann Ausführl. Griech. Sprachl. IT p. 233 billigen die Betonung érSov, die freilich durch Aretaeus, fôcvn ooéas ha£urat érixn- Sevca rôv ropes (Lob. Ai. p.91), noch nicht hinläng- lich gesichert zu sein scheint. Bis andere ein leichte- res Heilmittel nachweïisen, bin ich nicht abgeneigt zu vermuthen xaxov ha®wndès aravrov. Bei diesem Vor- schlage lege ich kein Gewicht darauf dass einige By- zantiner das oéepaxos der Helena haStxmdés nennen‘), da dieser Ausdruck in ihrem Munde müglicher Weise nichts weiter ist als eine Abbreviatur des in der Odys- see gelesenen xaxüv éréAnto arüvrov. Aber AaSxn- ns ist ein dichterisches, schon IL. X, 83 vorkommen- des Wort, und mit der Redefülle xaxov hauStmndés las- sen sich Wendungen vergleichen wie £80av aruoy cituos Aesch. Eum. 893. haSirovov cBuväy Bécrov Soph. Trach. 1021. Souhetus tavoirovos Eur. Iph. T. 451. Od. ©, 201. Odysseus freute sich, als er auf dem

Kampfplatz die Athene erblickte,

Lai vote xouDOTE po WLETEpUVEs Parxeooi HTÉ. Für das seltsame xovoctsoov geben die Scholien eine reiche Auswahl von Erklärungen: dhatowxotegev, SOdGUTEOV, KOULTNIOTEPOV, ÉTPHLÉVOV, T0 9 NT LL TIKO- ragov, Su200 76 qùo ral Tÿ vén, ferner evSuyéte- ocv, endlich taxztvotegov n romctepov. Unsere Lexi- kographen meinen, xovpdrsgey bedeute «mit leichte- rem Herzen». Sollte dieser Begriff ausgedrückt wer- den, so müsste statt xoüvos vielmehr Sagauhéos ste- hen. Wenn xcuvos sineiv, wofür mir kein Beispiel gegenwärtig ist, überhaupt sich findet, s0 wird es schwerlich etwas anderes bezeichnen künnen als ein leichtfertiges Geschwätz: diese Bedeutung muss man erwarten nach Bildungen wie xeupohcyos, xoupohoyéx, zovochoysiv. In obigem Verse muss es, denke ich, vielmehr heissen xoupotépors etepuvse Parnxeootv.

4) Synesius Epist. 145 p. 285 B: SEXEvN pév oûv ro Au SuendëS pAp- uuxoy Iloxvôapvx népe Owvos rapaxorrts. Argum. Eur. Hel. p. 185, 4: roy Opnpoy rorobvra ray EXÉVNY TupÉEL TO Treuiye à Oôvoosix AuSLENÔËS Épuuxov, TO TOPE Ilokvôauva Ocwvos Tapaxottts. Theophyl. archiepise. Bulg. Epist. 17 p. 25 ed. Meurs.: ëy avi ydp ovre pot To huSuxnôës ÉEEVO avéyeus piomaxov. Eust. Opusc. p. 137, 72: éÉevpioxeuy td haSixndès Au xuxGY ÉTÉANIOY ATAVTUY PAp— uaxos. Vel. Hesych.: AaStendéc" AugixUHOY, TAUGÉAUTO.

Dass Odysseus an die jüngeren Phaeaken sich wen- det ist ganz in der Ordnung und ausdrücklich bezeugt durch den folgenden Vers, roÿrey vi doixeate, véor.

Od. 5, 429 : Gopa Bari te TÉprnTat ai dodis yvoy dxovov. Das Wort ‘yves würde in den jetzigen Zusammenhang ungefähr passer, wenn es etwa hiesse SeGv dyvous dxcvov, obgleich auch ein derartiser Be- griff hier etwas zu speciell wäre, wo lediglich die Thätigkeit des Sängers bezeichnet werden soll, der die Thaten der Vorzeit, güttliche wie menschliche, verherrlicht. Die Verbindung deds dp.ves scheint mir mit der Bedeutung des Wortes dyves sich nicht zu vertragen. Nehmen wir hinzu dass die Würter vos und vyvéo in der Homerischen Poesie nicht weiter vorkommen, so wird der schon vorhandene Zweifel an der Richtigkeit der überlieferten Lesart noch ver- stürkt, zumal da mit ganz leichter Aenderung ein passender Ausdruck sich herstellen lässt. Den hier erforderlichen allgemeinen Begriff 4c:ènv axcuoy be- kommen wir durch die Schreibung xai doudÿs cîp.oy dxoÿuv. Ganz entsprechend Hymn. Merc. 451: {ct gogoé rs péhouse mal dyhacc clos aoudfs mai pLoÂTh reSahute roi ipepcets Becues aurôv. Vel. Pind. OI. 9, A7: ëyerg êtéoy aœuw cûuoy Myuv. Philetas bei Stob. Flor. 81, 4: puiSov ravroloy oûyov émuorapeves. Callim. Hymn. Iov. 78: PofBou dE Avons eu etdores oimous. Das mit cos eng verwandte cipn wird geradezu vom Ge- sang gebraucht, wie Od. 5, 481: oùvex don gœËus ci- vas Mcôc édiSaËs. y, 347: Seds quo à) ppeciv clos ravroias évépuosy. Für unsere Aenderung aoÔTs 0Lov axcvwy spricht endlich noch der Umstand, dass Hymn. Merc. 451 am Rande einer Handschrift die Variante Guves doÿgs angemerkt wird und dass bei Pind. OI. 9,47 ein Scholion üpvov statt ouev bietet: ein Be- weis wie leicht cûwos in üpves corrumpirt werden konnte. Wenn aber Nonnus Dionys. 17, 374 rohvw- VULLOY DpLVOY donc geschrieben hat, so kann dies hüch- stens beweisen dass er Od. 5, 429 doudÿs vpvoy las, nicht aber dass der Verfasser von Od. 5 so schrieb.

Den Hüllenhund nennt Sophokles Trach. 1098, wenn unsere Handschriften Glauben verdienen,

‘Audou tolxpavoy GxUXAX', ATRCGALOY TÉQUL-

Da das nüchterne ärgcouayos in voralexandrinischer Zeit nirgends weiter vorkommt und der Poesie über- haupt fast ganz fremd ist, so habe ich im J. 1857

A91

Bulletin de l’Académie Impériale

492

———_—…—…"…"…"…"…"…"…"…"…"…"—"—"—"—"…" —"—"…"…"—"—…"—"—"—"…"…"…"—"—"—"—"—"—"—"—"—"—"…"…"…"…"…"—"—"—"…"…"…"—"—"—…"…"—…" "…"…"—"—…"…"…"…"—"—"…—"….—— .…" —.—— ——

hier ein Wort wiederzufinden geglaubt, das bei Pho-|tern dBocuos und ϙtayes (eigentlich artaycs), s. Bek-

tius Lex. p. 241, 14 ausdrücklich als tragisch bezeich- net wird: pætmaxov: To {xheTrov xt JUopLAYOV" To&- yon à XëxT). Dasselbe Wort als Bezeichnung des nämlichen Ungethüms hat Meineke im J. 1863 an ei- ner zweiten Sophokleischen Stelle erkannt Oed. C.

568: © {Sdwau Sent côpa T avLxATOU Snocs, 0V ÉV TUAGIOL HTÉ.

Nach dem strophischen Verse ist hier statt awxartou eine iambische Dipodie zu erwarten; darum schrieb G. Hermann côpa + apayavov, Meineke hat dagegen viel ansprechender coma te auaxov gesetzt mit der Bemerkung: ab hoc adiectivo non diversum esse videtur apauaxos, quod superest in paragoga forma ayatya- xetos, qua plus semel utuntur poctae tragici, ut etiam lenius corrigi posse videatur copa + apayaxov. Das- selbe Wort wird denn auch bei Hesiod Theog. 310 herzustellen sein:

DEUTEpOY QÜTLS ÉTLKTEY AUNALVOV, OÙTL HATELOV K£epsoov OUNGTIY, AtSew UV XAXEGDE VON.

Das Adjectivum aurnyavos bezeichnet denjenigen der keine wnyavn hat, oder dem gegenüber man ohne pn- xavn ist. Nur in der zweiten Bedeutung künnte es vom Cerberus gebraucht sein; aber auch dann ist das Wort nichtssagend und unpassend. Es wird zu schrei- ben sein apatyaxoy, um eine angemessene Bezeich- nung des schreckhaften Ungeheuers zu bekommen ‘). Ist diese Vermuthung richtig, so wird man nicht wei- ter zweifeln künnen dass in den Trachin. oxvhax apatpaxey tépas und im Oed. Col. copé + dpamaxou Snoos gelesen werden muss. Das verwandte apaa- xztos ist nicht, wie alte Grammatiker wollten, mit

paysoSat, sondern mit LALAV, LAULAGOEL, LAULAXTNS zusammenzubringen. Das Alpha in apamaxetos und

> 2 ° Q LA . auapaxos bezeichnet, wie es scheint, das unerhürte und ausserordentliche, wie in den Homerischen Wôür-

5) Der neuste Herausgeber des Photius hat diese Stelle in den Anbang verwiesen und den Homerischen Glossen zugezählt, indem er meinte patuuxos sei ein vocabulum fictum ad eæplicandum Home- ricum duauaxetos. Wenn Naber diese Ansicht aussprach, so liess er die Worte des Photius toaytxn n XéEts ausser Acht, die bei der Annahme paipaxos sei eine etymologische Fiction unerklärlich bleiben. Ausserdem übersah er die Stelle des Arcadius p. 51, 12 (Herod. xaSoh. tooo. éntt. p. 57, 10), wo paiuuxos ohne Erklärung angeführt wird.

6) Echidna, die Mutter des Cerberus, heisst ebenfalls dunyavos

Hes. ,Theog. 295, vermuthlich auch nur in Folge einer Correctur aus dut HOXxOS.

ker Hom. Blätter p. 136.

Bekannt sind die Adjectiva GRAVES, SGH YAVES, EOBMALVS, TOÀUENAAVOS, TOLALAYAVOS, XOXOUNLALVSE, Schounyaves. Durch keine dieser Bildungen wird ge- rechtfertigt das Wort oder das Unwort éryryaves, das wir finden in dem Orakel bei Herodot VI, 19:

xat tote On, M'Ante, x4x0Y éruagave ire

TohÀoÎOL

Y BSÈTVCY T TE zou ayha. 009 œ YEY on". Ÿ 1

Diese bereits von Tzetzes Chil. VIII, 3 a Lesart dürfte auf einem Fehler beruhen; ich vermuthe xaxôv (oder vielleicht HA GY) ériNo&VOs Épyov nach Emped. 416: oÉov TE RLOEGTE coooy érupavos épyoy, und Ion bei Ath. X p. 447 F: épre . Vgl. Are- 56: roSapucéacSat à aùTta xal dost@s érinoavos (so Schneider statt des handschriftlichen érnputos) yeve- pevos. In gleicher Weise dürfte Terpander bei Arrian Tact. 44, 3 geschrieben haben:

Gore TE otOcta etdos TAYT

xaîoc' Sidou à aiova, xaXGv ér'rpave sas bei Stob. Ecl. phys. p. 8

6 vécs DUvaTat TadEUGLos

ET atyua te véov Sokhet xai LOGa xai dx Etpuayutu XAAGY ÉTINONVS ÉS YO, wo jetzt xakôv érirapooScs Épyoy steht. Aelianus fr. 329 ed. Teubn. bei Suidas v. führt folgendes Orakel an:

TOYOV

AtaxtÔn, To ecpuñuÉo poneiv Ayepououov MavSocém ©

V809 ! 0 r , ÊDL TOUL SAVATOS TETOORÉVOS ÉGTL.

An der unerhürten Form rooœuaËc haben Bernhardy, Bekker und Hercher keinen Anstoss genommen, viel- leicht weil sie sich einer Stelle in den Homerischen Hymnen (2, 360) erinnerten, wo vncy è mocouhaye überliefert ist. Dieses rocouhaySe ist in der neusten Ausgabe der Homerischen Hymnen beseitigt: wäre es aber auch richtig, so würde damit rocovhaËc in dem obigen Orakel noch nicht arr. entschuldigt sein. Natürlich muss es heissen Alax/ôn, r:ouhaée. Die Entstehung des Fehlers erklärt sich sehr leicht aus den vorhergehenden Worten, [u?txèv nv rocua- TEULE ÉV TOOLS ÉÉALÉTOOLS, OÙTO TOONÉYOY TAV TEAEUT AV.

Ein neues Bruchstück des Aelian glaubten Rasmus und Hercher (Hermes 1 p. 448) im Etym. Gud. p. 531, 27 zu finden: Tird ompatver toy nuépav xal Yodpetat dua Toû tôta’ Tapa ap To Terav yivetar Turäves, Tt- ravi rai Tiravés, val éxsidev droxcptottxov Tire,

493

des Sciences de Saïint- Pétersbourg.

494

oorep ‘Yderuin ‘YVo, EtdcSéx Edo rites : doc regov" ‘Iraxwtepoy Yyao s xai Tept toù Ai- Auavos Gtéhags. Nach rep vod soll ein Eigenname feh- len und zwar, wie Rasmus vermuthet, Athavres. Die Sache verhält sich anders. In den ersten Worten bis Eïôctés Eïdo wird von der Bedeutung, Schreibung und Bildung des Nomen To (Lycophr. 941 oder vielmehr Callim. fr. 206) gehandelt, vgl. Etym. M. p. 760,52. Davon sind abzutrennen die folgenden Worte, in denen gelchrt wird dass der Name Tittaves in der ersten und zweiten Silbe mit einfachem ITota (nicht mit et) geschrieben wird. Bei dieser trivialen Weisheit handelt es sich weder um eine von Aelian gegebene Notiz noch überhaupt um den Schriftsteller Aelian, sondern lediglich um die Schreibung des Namens Aë- Xtavés und zwar um das lota der zweiten Silbe: es wird verwiesen auf eine andere Stelle, wo der Gram- matiker (nämlich Choeroboscus) auch über das Wort Aëhiavés gehandelt habe. Vor év cs fehlt &s eêrev oder eine ähnliche Wendung mit einer Angabe der gemeinten Stelle. Der Compilator aber, dem wir den Artikel des Etym. Gud. verdanken, scheint was er vorfand gedankenlos nachgeschrieben zu haben; denn dieselbe Lücke findet sich schon bei Choerob. Anecd. Oxon. vol. 2 p. 264, 1. wo statt tiTaves dem ursprüng- lichen näher Tereaves geschrieben wird und am Schlusse dzhagopey statt déhaBe.

Sicherlich gehôrt nicht dem Aelian die aus Suidas v. coBases unter die Fragmente aufgenommene Decla- mation (Nr. 452 der Didotschen, 325 der Teubner- schen Ausgabe): roroÿroy avalwyeupo, üs sixès xoûx dro recncu, Tiv rmupafhora xai piioxspdn ka xEpÔa-

êcTLy ÉY 0

005 mavoheTofay TOY ÉVTUY{AVONTOY ÉXBEBAXYEULLE-

+1 LaMoTL. AAN ÉÉGANns xai TOCOANS TOOTNALXLG- Sels és xopaxas Oyeto, xaTaXAnha Tarlyeton This Pds- Avplas Ô dmotoomatcs a oo AToppds GTCITALEVOS, 05 dvdpctu Dixalwy AdxOS TONNODS HUTEdLATEY, OTLV dsdotxos, ox dhéyoy AGodoteray oùd Népzoty ép- raËomevos. dAAG Tata TexueUL ÉVApYŸ TS TAQTA- oodous xai Tavradetou adrod roplus. 05 ana TON Éndzoxsv, Os 40x04 OX drotioetar. Formen wie Box- Séoraros und drorcamevos (statt ofcev Aelian fr. 123 vol. 2 p. 246, 11 ist mit Hercher nSpccey zu schrei- ben) mussten vor der Aufnahme unter die Aelianschen Bruchstücke warnen; noch mehr aber der ganze Ton,

der das Non plus ultra Byzantinischer Geschmack- losigkeit und Verkommenheit darstellt.

Aesch. Prom. 38 sagt, wenn wir der handschrift- lichen Ueberlieferung trauen, dass Prometheus das Feuer, yéeas “Hoaoreu, den Sterblichen rocydoxev. Dies künnte nur bedeuten, Prometheus habe am Feuer einen Verrath geübt. Da das absurd ist, so werden wir nicht umhin kôünnen, reou8ox: für verdorben zu halten. Es muss heissen, wie aus anderen Stellen des Stückes (V. 8. 30. 252) zu ersehen war,

e \ = y 4 OCT TO COY SVNTOLoLY OTOGEY EOUS.

Nachdem otac:y mit dx: glossirt war, half man dem Metrum auf mit dem unpassenden Compositum TOCVÈOXEY. Aesch. Prom. 51: Éyvoxa Toicds xoUdÈv ayTeiT=iv yo.

Mit diesen Worten erklärt Hephaestos seine Zustim- mung zu der Behauptung des Kratos, dass Zeus allein frei sei. Die Lesart éyvoxx Tcicôz würde bedeuten «ich habe es aus dem vorliegenden Fall erkannt». Ob Hephaestos diese Erfahrung erst jetzt oder, wie Mei- neke Philol. XIX p. 230 behauptet, schon früher ge- macht hat, ist ziemlich gleichgiltig; unter allen Um- ständen verlangt der Zusammenhang dass Hephaestos sage nicht «ich habe es erfahren», sondern «auch ich habe es erfahren». Darum sind die mir bekannten Vermuthungen xat toto und roioù ët und roicèé T und roïcèé y oudëv in gleicher Weise unstatthaft. Es muss vielmehr heissen entweder £yvoxx x4yo oder, was ich vorziehe, éyvoxa xaÿtos xo)dèy avretreiv yo. Nach éyvoxa fielen die Buchstaben KA aus, daher die Verderbniss, die man nachher durch eine falsche Aen- derung verdeckte. Was hier den neueren Kritikern entgangen ist, haben sie auch verkannt, wo die ur- sprüngliche Lesart leichter sich herstellen liess, bei

Aesch. Suppl. 417. Der Argivische Künig hat V. 407 ff. gezeigt dass die Aufnahme der Schutzflehen- den reiflicher Erwägung bedürfe, damit nicht den Staat oder ihn selbst ein Unheil trefie; darauf richtet er an den Chor die Frage:

pLôy doxetv Det poovtidos cuTnpicU; Statt Soxsiv dei schreibt man seit Turnebus allgemein

und gewiss mit Recht ôoxet deïv, nicht aber hat man sich über den Anfang des Verses geeinigt. Nachdem

A95

Bulletin de l’Académie Impériale

496

der Künig V. 407 behauptet hat de tot BaSetas poov- rlôos cotnotou, kann die Frage pôv doxet detv poovrt- Sos gwtnotcv, Wie G. Hermann richtig bemerkt, nur den Sinn haben die Zustimmung des Chores für die aufgestellte Behauptung zu gewinnen. Folglich kann der Künig nicht fragen pôy oo Ôoxet, wie Hermann wollte, sondern muss fragen pôv xat ooi Soxet. Darum ist es auch unstatthaft mit W. Dindorf pôv oùv oder mit Schwerdt pôv tou zu schreiben. Den hier noth- wendigen Gedanken bekommen wir durch die Aende- rung: pov cuyôoxet Jeîv ppovrièos TuTnotou;

Aesch. Choeph. 759: rados orapyavoy outSpuv- rota. Ohne Zweifel ist o æeSuvrota zu bessern; denn nur œatdvyrns findet sich auf Inschriften, wogegen œaSouvrns eine Erfindung der Grammatiker oder Ab- schreiber ist, die durch œatdocs irre geleitet wurden. Vel. Dittenberger im Hermes I p. 409.

Soph. EL. 1148: ŒXN ÉYO TOODGS,

&yo © adekpn on Tooonudopny der. Hier ist «èehon unpassend, sofern es nicht besonders hervorgehoben zu werden verdient dass Elektra als Schwester des Orestes bezeichnet wurde, was sie ja factisch war. Nachdem vorher gesagt ist dass Elektra den Bruder aufzog, kann hier nichts anderes folgen als dass sie die fehlende Mutter dem jüngeren Bruder ersetzte. Der Zusammenhang der Stelle nôthigt mit anderen Worten zu der Annahme dass yo à aÿs1on statt des ursprünglichen yo 3 unTne gesetzt worden ist von einem unverständigen Verbesserer, der sich zur Unzeit daran erinnerte dass Elektra nicht die Mutter, sondern eine Schwester des Orestes war. Aber auch das hüchst nüchterne az scheint mir unrichtig. Ver- muthlich schrieb der Dichter:

éyo D pnrno on roconudopnv, x&oL. Statt KACI las man KAEÏ und sah sich nunmehr ge- müssigt das Kappa zu tilgen.

In ähnlicher Weise verfuhr man Oed. R. 217:

aires" & à aires, Ta éav SéÂQs ÈTN ts

, f C2 # _ XAVOV Jéyeo Sat Tÿ Vocw S UTnpETEi,

dhxiy AdBots dv XÉVHXCUDoLY XAXOY. Statt T9 vdco habe ich im J. 1862 hergestellt to $eô (s. Eurip. Studien II p. 87). Die nämliche Verbesse- rung empfahlen neuerdings B. Todt und H. van Her- werden; beide jedoch irrten darin dass jeder von ih- nen neben dem richtigen Vorschlag noch einen fal-

schen machte. Den Hergang der stufenweisen Ent- stellung des Textes habe ich schon früher nachgewie- sen: statt OEUWI wurde in Folge eines Lesefehlers OCWI geschrieben, dafür eigenmächtig voco verbessert und demgemäss der Artikel +6 in die Femininalform Ti verwandelt.

Soph. Trach. 468 steht in unseren Handschriften: aXhd tata pèv bslTo xurt oùpcv, gegen den fest ste- henden Sprachgebrauch, welcher ito xar ovocv for- dert. Statt ito war nach Byzantinischer Art eïro ge- schrieben, wofür ein halbgebildeter Corrector das thürichte éeiro setzte. Aehnliche Verbesserungsver- suche alter Grammatiker oder Abschreiber tragen die Schuld, dass race Oed. C. 528 vermittelst des Lese- fehlers ETTAC(W in ETTANnCW (4. h. éthnco) überging, dass Trach. 1136 ATTAOYN, wofür man ATTAOYN las, zu day wurde, dass man Trach. 256 von aÿts- Xetex (vielleicht durch die Mittelglieder ANTIXEIPA und ANXITEIPA) sich zu dem unerhürten und sinn- losen œyxtotioa verirrte, u. del. Derartige Verderb- nisse sind bei weitem weniger auffallend, als wenn Oed. R. 1264 aus dem ursprünglichen

TAEXTAÏTLY AOTÉVALGIY ALOEOULÉVNY

zunächst Thsxtaîoty atopgætoty alopscuuéns, dann rhexraiotv alupacty EuTeT}sypévIv, endlich rhex- tais évpors Epremheymévnv 0 D gemacht wurde‘

7\

):

Statt des handschriftlichen éoyev Agyela xSovt Eur. Suppl. 874 lesen wir ëcy év Apyeloy rékez in einem Citate des Teles bei Stob. Flor. 95, 21 vol. 3 p.202, 21 ed. Mein.; in Eur. Alc. 479 sind unsere Codices zwi- schen xSova und getheilt, und ein ähnliches Schwanken finden wir anderwärts. Namentlich befleis- sigten sich die Abschreiber den Gen. r5}c03 da wo er zWeisilbig gemessen war durch das in metrischer Hin- sicht ihnen besser zusagende ySovcs zu ersetzen. Se bei Soph. Ant. 187:

7) Ueber den zuletzt erwähnten Vers und seine wunderlichen Metamorphosen sagt Meineke Oed. Col. p. 182: in Oed. R. 1264 ve- ram scripturam Nauckius restituit. Dagegen macht Herwerden Oed. R. p. 174 gegen die dlegantissima coniectura, wie er sie nennt, die zu starke Abweichung von den Handsckriften geltend. Vielleicht würde er anders geurtheilt haben, wenn er gelesen hätte was ich über die allmähliche Verunstaltung des Verses Eurip. Studien I p. 158 dargelegt habe. In jedem Falle ist Herwerdens Vermuthung mextaïouy alwparoiv dronenveyuévnv als durchaus misslungen zu bezeichnen, schon darum weil er von dem heillosen Unsinn der «geflochtenen Schwebe» sich nicht losgemacht hat.

497

des Sciences de Saint- Pétersbourg.

498

oùT ay œéhoy tot Gvdpa BUGLEVN HIOVOS

Setuny Épavto. Der Sinn verlangt Susuevn mohcos, und über ySovos steht im Laur. À réhcos von erster Hand, d. h. xo- Xcos ist hinreichend verbürgt, aber gleichwohl haben fast alle Herausgeber diese allein sinngemässe Lesart verschmäht. Richtig urtheilte Blaydes: yYSovos was probably substituted by some one ignorant of the syni- zesis in rokcos. Eben dahin &ehürt Oed. Col. 926:

oùx oùv ÉyOY av, os éremBaivoy {Sovoc,

oùd ta ravtov Elyov ÉVÔLXOTUTE,

aveu VE ToÙ xpæivovtos, Otis NV, LIOVOS

oùS ethxoy oùT &Y Toy, wo Heimsoeth das zweite x%ovôs mit Recht in rohcos geändert hat. Ant. 368 bieten unsere Handschriften:

VOHLOUS TAPElQOV ATOVOS

Sedy T Évopxov Okav. Bekannt sind réhcus veau, wie EXAnvoy vepot u. ähnl., schwerlich aber dürfte die Verbindung y3ovos vépuot sich sonst irgendwo nachweisen lassen. Darum ver- muthe ich dass der Dichter schrieb végous yepatoov (so Reiske) tohews. Endlich gehôrt hierher Soph. EI. 382. Chrysothemis theilt ihrer Schwester mit: Aegisthus und Klytaemnestra wollen dich einsperren

Sa ELA TOŸ MALOU

péyyos Tooodbe, ÉGou S év xarnpepet

otéyq ASov0s TAOŸ ÉnTÔs DpvnoEts XAXE. G. Wolff meint, in éxtès Thoôs ySovos liege dass Elektra von der Erdoberfläche entfernt werden solle; das wäre ÿTd ySovés, wogegen ySovès Theo éxres nur bezeich- nen kann «ausserhalb dieses Landes». Soll aber Elektra eingesperrt werden, so kann dies nur geschehen in- nerhalb des Landes; eine Deportation über die Grän- zen wäre für das hier beabsichtigte Verfahren nicht nur überflüssig, sondern ganz widersinnig. Offenbar muss es heissen téhcos to éxros, ausserhalb die- ser Stadt.

Soph. Ai. 1239:

rar oùx axoverv pe ydAG Tpùs Jouhov xx; Wer den Zusammenhang betrachtet in dem Agamem- non diese Worte spricht, wird leicht erkennen dass der Sinn derselben sein muss: «ist es nicht unerhürt solche Dinge von Sklaven (so wird Teucer hühnisch genannt als Sohn der kriegsgefangenen Hesione) sich

Tome XII.

sagen zu lassen?» Fordert aber der Zusammenhang diesen Sinn, so wird jeder Kenner der tragischen Rede- weise zugeben müssen dass weder peyzha noch xaxaæ hier angemessen ist. Was Sophokles schrieb, kann meiner Ansicht nach nicht zweifelhaft sein; nämlich

x

CE | LU S LU TadT oÙùx dxovsly JELVA TES DoUAGY ÊTN;

Diese Aenderung ist gewaltsam, aber nothwendig. Um den doppelten Fehler zu begreifen, muss man sich

erinnern dass Seuvos von den Abschreibern gern durch véyas erläutert wird. So finden wir Ai. 1124:

1 VhGdow ou Toy Supov De JELVOY ToÉpEt,

statt Geuvèv bei Triclinius péyæv, und an zahlreichen Beispielen ist die nämliche Glossirung nachgewiesen von F. Heimsoeth, Die indir. Ueberl. des Aeschyl. Textes p. 32 f. War dies in obigem Verse geschehen, so konnte man bei der Schreibung tait oùx dxovetv LE Y&A& Too Jouhov ÈTN

sich unmüglich beruhigen; man corrigirte, wie ge- wübnlich, an falscher Stelle: das thürichte yyæha blieb eue das vollkommen richtige £tn wurde ver- wandelt in xax&. Der doppelte Fehler täuschte die neueren Kritiker und wird vermuthlich auch ferner- hin noch viele täuschen.

Statt ravodoyos pflegen die Abschreïber xaxo5- yes zu setzen. So bei Diphilus Com. 4 p. 385: ava- reéret Àdyo xaxoipye, wofür ich schon früher tavoupyo vorgeschlagen habe. Vgl. Soph. EL. 1507: ro ya ra- voboyov ox dv qv mov, wo Nicephorus Basil, Rhet. 1 p. 461 xaxovpyoy bietet. Wer diese Gewohnheit der 3yzantiner kennt, wird sich nicht wundern, wenn wir ôfters xaæxoboyos in unseren Texten finden, wo voÿpyos erwartet werden muss. Dahin rechne ich fol- gende Stellen. Soph. Oed. R. 705: pavrev pv oùv xa- xodpyoy etoxéphas. Eur. Orest. 771: deuwvov oi tohof, X HXOUYOUS OTOLY Éxoot TpOOTATR. Ion 832: our, HA HOUQYOUS avÿoas 63 del atuy®, cuvridévres To dx" eta BnxavaS xogyLobaL. Menander Com. 4 p.253: todo LAxCUOYOS CAM UTEUTENTOY AVNO HEXQUEEVN HET rayis vois mhnotov. An diesen vier Stellen ist TAYOVp- yes entweder durchaus nothwendig oder doch weit passender als xaxo0pyos.

Soph. Ant. 8:

La voy ti roûr à0 puol ravBquo mohet xnpUyUA Seivar Tv GTEATNYOY GOTÉS ; 82

TA-

499

Bulletin de l’Académie Impériale

500

Kreon erscheint in der Sophokleischen Antigone nicht als Heerführer, sondern als Herrscher der Stadt The- ben. Wie kann er also otoatyyés genannt werden? Diese Frage wird von den neueren Erklärern sehr verschieden beantwortet. Nach Schneidewin soll An- tigone mit einer gewissen Ironie diese Bezeichnung wählen, sofern Kreon bei der Fortdauer des Kampfes nach dem Tode des Eteokles und Polyneikes zunächst als Kriegsführer eintrat. Diese Behauptung gründet sich nur auf den vorliegenden Vers, d. h. sie ist frei erfunden, um das unpassende otoatnyos môüglich zu machen. G. Wolff sagt: «erst 162 ff. erklärt sich Kreon dem Volke gegenüber als Bæorhsus: daher hier otoa- tnyos». Natürlich spricht Kreon von seiner neuen Stellung nicht früher als er überhaupt erscheint; nicht aber lässt sich behaupten dass er erst mit 162 ff. die Herrschaft antrete; wie kônnte er sonst über die Lei- chen der durch Wechselmord gefallenen Brüder ver- fügt haben noch bevor die Handlung des Stückes be- ginnt? Auch heisst Kreon schon 155 Künig des Lan- des (Baotheus yovas), wie Ismene V. 60 ihn als Herr- scher (Ttupævvos) bezeichnet: und gesetzt diese Be- nennungen wären verfrüht, so bliebe doch noch immer die Bezeiéhnung oteutnyes zu erklären: daraus dass Kreon nicht Bœoteus ist, ergibt sich keineswegs die Berechtigung ihn otoatnyos zu nennen, wenn er mit der Führung des Heeres nichts zu thun hat. Darum künnen wir auch A. Jacob nicht beitreten, welcher sagt, Antigone nenne den Kreon otpatnyés, weil sie, in ihrer Erbitterung, ihn nicht als avaË oder Basteus der Stadt und sein Verbot nicht als ein verpflichten- des Gesetz anerkennt. Jacob lässt unerklärt, mit wel- chem Rechte Kreon otoatnyés heisst, und schiebt der Widersetzlichkeit der Antigone ein durchaus falsches Motiv unter: Antigone weiss dass Kreon die Macht hat sie zu tôdten; sie handelt gegen sein Verbot, nicht weil sie in Kreon einen Usurpator sieht, der sich Rechte anmasst, die ihm nicht zukommen, sondern weil das Verbot des Kreon in Widerspruch steht mit hôheren Satzungen, weil sie die güttlichen Gesetze hüher achtet als die menschlichen. Bothe und Wun- der endlich betrachten otoatnyos als gleichbedeutend mit rex, wofür sie sich darauf berufen dass OTOATCS zuweilen die Volksmasse bezeichnet. Dagegen müch- ten wir fragen, wo sonst cteatnyos im Sinne von Ba- cueus gebraucht werde, und mit welchem Rechte wir

dem Sophokles einen Ausdruck zutrauen dürfen, der ein Missverständniss hervorrufen musste. Wenn es fest steht, einerseits dass otoatmycs nur in der Be- deutung «Heerführer» sich findet, andrerseits dass Kreon zu Anfang der Antigone nicht Heerführer son- dern Künig ist, so müssen wir otoatnycv für unpas- send und somit die jetzige Lesart für unrichtig halten. Statt otoatmyc aber gibt es nur ein Wort das hier dem Sinn und dem Metrum in gleicher Weise genügt, nämlich tüpævvoy. Wie aber war es môüglich dass tdoavwvev in crearnyé umgewandelt wurde? Auch hier scheint eine doppelte Entstellung vorzuliegen: ver- muthlich wurde tigavvoy zunächst durch einen unwill- kürlichen Fehler in xo{pavov verändert und dann otea- rnyo statt xofpavey gesetzt von einem Verbesserer, der das Metrum in Ordnung brachte auf Kosten des Sinnes. Sollte jemand diese Erklärung für zu künst- lich erachten, so wird es genügen an Soph. EI. 1 zu eérinnern, wo die Lesart schwankt zwischen GTRATNYN- cavros und Tupæwisavtros. Wurden die Verba tupav- veiv und otoatnyet verwechselt, so wird auch wohl die Môüglichkeit einzuräumen sein dass die Substantiva régavvos und otoatnyés mit einander vertauscht wur- den. Soph. Trach. 693: ciow à anootetyouca dépxouat DAT dooaotoy aEvpBAntoy dVSo0TE pLaSeiv.

Da es sich um eine Wahrnehmung der Deianira han- delt, nicht um eine Nachricht oder Mittheilung, so ist œùrts unmôüolich *). Die Scholien erklären oavtaoma, oavtactav. Dieser wenngleich unpassenden Erklärung liegt ohne Zweifel die richtige Lesart zu Grunde, na- türlich nicht oxouv, woran nur Bergk denken konnte, sondern oacpa, ein Wort das auch im Lexikon des Hesychius durch œoavraopa erklärt wird. Es ist zu lesen: eico à aroctelyouon onoua Sépxopat ApomaTo. Daraus machte ein Abschreiber, indem er das dem Sinne nach zusammengehôrige zusammenstellte (vgl. Bulletin IX p. 377 f. oder Mélanges Gréco - Rom. II p. 705 f.) zunächst Sépxouot oioua dopactoy, und hin- terher beseitigte man den Choliambus durch Substi- tution des thürichten dépxomar œarty. Dass jemand den Ausdruck paca Sépxopat beanstanden sollte glaube

8) Dagegen wird der Begriff utte gefordert Trach. 1157: © oÛy GXOLE ToUpyov, wo ich axoue toù roc für nothwendig halte.

501

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

50?

————

ich nicht befürchten zu müssen; da indess Meineke Philol. 19 p.231 das Aeschyleische dépxou Séap.æ, Tovd< toy Aus œthcv (Prom. 304), als «schwerlich unverdor- ben» bezeichnete, so ist es vielleicht nicht überflüssig, einige Belege, die sich ohne langes Suchen mir dar- bieten, beizufügen. Aesch. Pers. 48: déppuuo te xai rptpoupa TéAn, pofepav oduvy roootdécSar. Suppl. 567: uv dnSn Boroy écopdvres Suoyepès puÉcuBporov. Soph. Oed. R. 1295: Séapa D eiocber Taym Toroitoy olov ai oruyoüvr éraxriour. El. 1466: © Zed, Sédopxa paop avsv Seoù (so Th. Gomperz statt aveu pSévou) pèv rentoxds (vielleicht menves). ur. Med. 1167: robvSévèe pévro deuvov nv Séap eiv. Bacch. 760: o0- rep To Jeuvoy nv déau tdetv. Or. 727: AN eicopo YAp rôvèe péararoy Bootoy môctay oduv. Bacch. 1232: Àeuoco yae aûtiv, Chuv oùx eudatpovæ. Tro. 1157: Av- roûv Séaua xoù plhoy Asuooetv Auot. Orest. 879: 006 S &ehntov aou, o puror opshov, [IvAOn te kai Gov auyyovov ateiyov® opLod. Jon 1395: Site pioua TOv avekréotov 606; Here. F. 817: otov pic. ürèp Scpov 606.

Soph. Phil. 57. Odysseus ertheilt dem Neoptolemus Vorschriften über das diplomatische Verfahren, das dieser dem Philoktet gegenüber einzuhalten habe:

o 313 1 # \ ,, OTAY G ÉQOTE Ts TE KA HOJEV TAEL,

Aéyetv, AxdéOS Tafs” TOd oùyl xAETTÉOV.

Neoptolemus soll mit anderen Worten kein Geheim- niss daraus machen dass er des Achilleus Sohn ist. Statt xhsTtéov wird angemessener sein xpuTTéov, eine Aenderung die besonders durch den Umstand empfoh- len wird dass unmittelbar vorher (V. 55) éxxhédets steht, Aehnliche Verderbnisse habe ich Eurip. Stud. II p. 152 f. nachgewiesen. Eben dahin gehürt Soph. EL. 887: &yô oapn omuei tôo0ca toôd nioreto Acye. HA. Ti, 6 tohauv,tÜodc a ricriv; Wo das zweite iSoüoæ offenbar aus éyousæ gemacht ist. Ferner Aï. 296: rôv pe yahov Auvadv ÜTo xANEOUÉVEV, THY O fLÉ- vas (1. monds) pôSos déése. Trach. 1144: péyyos où- xér Eore pou. 19, Ô Téxvoy, Tuto YAp QUXÉT ÉGTL got (an der ersten Stelle ist oÿxér eîcop zu schrei- ben). Aus gleichem Anlasse sind augenfälligere Feh- ler hervorgegangen wie xpatodvrz (statt axovrt) rayreureis Eous v.l. Aesch. Prom. 389. piévnote oSevnoetas (statt yevnoetat) v.l. Soph. Trach. 1212. Boÿner Réyauv me xal Aéyoy prdèv Aéyetv (statt pndèy

xhvetv) cod. Laur. Soph. Ant. 757. Dahin dürfte auch gehüren das Citat bei Boissonade Anecd. 3 p. 472: © rôv idtov oÛmov clnovouoy HAS TÔS LV GUGELEY CUTOS roy é£o tva; Wenigstens lesen wir statt dessen bei Stob. Flor. 15, 2 (Meineke Com. 4 p. 490) die Verse:

0 yap Tov idtov olxovcuov xax®s Blov

TÔ< oÙTos ay cuoelz TOY ÉËD TV;

Sicher ist dass Soph. Phil. 285: 6 pèv xoovos Ôn DIX KEOVOU TOOUPMIVÉ pue,

an dem gleichen Fehler leidet. Der Ausdruck © ypc- vos dua yocvou mocBatve erscheint mir nämlich, nach- dem ich den neusten Commentar von M. Seyfiert ge- lesen habe, genau so unverständlich wie vorher. Un- ter Verweisung auf das Horazische fruditur dies die erklärt Seyffert «éempus per se ipsum (314 yecvou) pro- cedebat», und fügt hinzu: dass die Zeit durch sich selbst vorwärts schreitet, empfindet derjenige am mei- sten qui horas nulla re fallere potest. Das Horazische truditur dies die bedeutet «ein Tag wird durch den andern verdrängt», und das ist sofort jedem verständ- lich. Einen ähnlichen Sinn gäübe der obige Vers, wenn es etwa hiesse: rap muépav cv npÉpR TOOUPLvE pLor. Die jetzigen Worte des Phil. dagegen nach Analogie des truditur dies die zu erklären hindert uns einer- seits die Praeposition à&&, andrerseits der Umstand dass das allgemeine ypovos im Texte steht, nicht ein einzelner Zeitabschnitt (Tag, Monat, Jahr). «Die Zeit schritt durch sich selbst vorwärts» was das heisst môgen andere errathen; ich kann nur sagen dass ich keinem menschlich redenden Dichter oder Prosaiker einen solchen Ausdruck zutraue. Aber die Seyflert- sche Erklärung ist auch aus einem sprachlichen Grunde unmôglich; yecvos 8t& yecvou kann auf keine Weise für xp6vos d2 avtoÿ oder {empus per se ipsum gebraucht werden. Es wird wohl nicht nüthig sein diese Trivia- lität durch Beispiele zu erhärten, da das Homerische doniç de aonid épetde, xégus xGpuY, avépæ À ave, ei- nem jeden gegenwärtig ist. Auch brauchen wir nicht darauf hinzuweisen dass Philoktet keineswegs ohne Beschäftigung war: er hatte, wie er im Folgenden weitläufig entwickelt, sich Speise und Trank, Brenn- holz und Feuer zu beschaffen: das kostete bei seiner Krankheit viel Mühe und viel Zeit. Genug und über- genug von Seyfterts Erklärung des obigen Verses, der in Ordnung kommt, wenn wir schreiben: 6 pèv yecvos

32*

503

Bulletin de l’Académie Impériale

504

Sn da novou rooufouvé pot, «die Zeit verstrich mir in Mühsal».

Eur. Alc. 1154— 56. Nachdem Admet sein Weib Alkestis zurückbekommen hat, gebietet er in dem ganzen Lande ein Freudenfest zu veranstalten:

aotois dE Tao T ÉVÉTO TETEROKIE

xoooÙc ên éoShaîs ouppopæiotv ioravat

Bopous Ts xuodv BouSuTotot ToootTpotais. Für tetoapyto Werden in einem Scholion (bei Dindorf vol. 4 p. 119) zwei Erklärungen gegeben; die einen dachten absurder Weise an die vier Himmelsgegen- den, die anderen und unter ihnen Aristarch an die vier Städte über welche nach Il. B, 711 ff. Eumelos der Sohn des Admet herrschte, Pepat, BotBn, Dauov- oar, Toïxcs. Ist diese letztere Erklärung richtig, wie wir sie nach der Homerischen Stelle für richtig hal- ten müssen, so künnen wir nicht umhin die Lesart tetoapyto in Zweifel zu ziehen. Einerseits bezeichnet dies Wort eine Reiterabtheilung (Arrian Anab. III, 18, 5. Tact. 10, 1 u. a.), andrerseits ist teroapyta oder teteadapyta ein unter besonderer Verwaltung stehen- des Viertel einer grüsseren Herrschaft. Für die letz- tere Bedeutung, die allein hier in Betracht kommt, ist besonders belehrend Strab. XII p. 567, wo es von den Galatern heisst: Ttotôy ovruv é5vGv uoylotrov xat xaTt ahho oudÈv ÉÉnAhaymévoy Éxaotoy Stehovtes ais TÉTTOQUS MLEDIÔUS TETOMOHUAY ÉKATTNV ÉKAREONV, TE- TRdo{nv Étouav idtov koi DXAGTNY EVA KA GTPATODU- Aaxa ÊVa UTO TO TETOAPAN TETAYHLÉVOUS, Ü TO TOATODU- Aaxas dE Jo. n D Tôv dodexa Tetoupyov BouAn dvdpsc ACAY ToluxOOtL, cuvmyovto DE eès TOv xahoupevov Apu- vépetov. Nicht im Widerspruche stehen damit andere Stellen, wie Demosth. 9, 26: aka Getraia rôs èyet; oUyt Tas Totelas xal TOS TOÂES AÛTOV TAponTat XOL TETOMOHULS KHATÉTTNOEV, LV LM) [LOVOY XATA TOdELS al xat xar ESvn Joukeuootw”); Appian Syr. €. 50: xaSa xai l'ahatôv Tôv év Acta trois Téconpor Buvdotars éeBatoce (ourntos) tas Tetoadaoylas cuuuaynooty xata MiSpôarou. Vgl. Plut. Anton. c. 36. Cassius Dio 42, 8. 54, 9. Mit tetoæoytæ, wo es in politischem Sinne steht, verbindet sich die Vorstellung einer klei-

9) Für die Erklärung dieser von Aristides vol. 1 p. 716 benutz- ten Stelle kommt am meisten in Betracht die bei Harpocr. p. 175, 6 erhaltene Notiz: Gte Délimnoc x ÉxaOTNv TOUTWY TOY popav (der vier Theile, in welche Thessalien getheilt war) tpxovræ xat— Éotnoe, dednawxmoy GAXo: te xat Peorouros ËV Tf LÔ.

nen (nämlich einer Viertel-) Herrschaft, wie denn +e- toaoyns Zwar nicht dem Wortlaut, aber dem Sinne nach ungefähr das bezeichnet was wir einen Duodez- fürsten nennen. Allerdings wird einem terpdoyns un- ter Umständen der Ehrentitel Baoueus beigelegt, wie auch ein kleiner Fürst mitunter Kôünig wird oder doch kôünigliche Hoheït; aber für einen Baoreus wäre es ein schlechtes Compliment, wenn er tetotpyns genannt würde. Kehren wir hiernach zu obigem Verse der Alcestis zurück, so klingt es fast komisch, wenn der Kôünig Admet «in der ganzen tetoapyto», d. h. in der ganzen Viertelherrschaft oder dem ganzen Duodez- fürstenthum zu opfern befiehlt. Offenbar ist es in die- sem Zusammenhange angemessener, wenn an die Ge- sammtheit der vier Städte erinnert wird, die nach der Homerischen Stelle vom Sohne des Admet beherrscht wurden, d. h. wenn nicht von einer tetoapytx geredet wird, sondern von einer tetoatohs. Denn tetodmohts bezeichnet einen Verein von vier Städten, wie in ent- sprechendem Sinne toiroks, meytaroks und ähnliche Würter gebraucht werden. Dass Euripides dieses Wort hier angewendet habe, halte ich auch darum für hôchst wahrscheinlich, weil wir in Attika eine Tetrapolis ha- ben, auf welche Eur. Heracl. 80 Bezug nimmt, und weil die Tragiker bekanntlich Attische Verhältnisse gern auf die Fremde übertragen. Der Dichter dürfte somit geschrieben haben: AUTOS TE TAON T ÉVVÉTO TETOATTONEL xopoùs èt éoShaîs cuocpaiotv iotava.

Die Lesart tetoaoyta ist müglicher Weïise dadurch ver- anlasst dass das letzte Wort des Verses in der Quelle unserer Handschriften undeutlich war ; bei der Art aber wie die Alexandriner und Byzantiner Kritik üben, wäre es auch wohl denkbar dass der einfache Schreibfehler raon + éwéro tetoatohe: (terparokv bietet statt tetoantokw bei Eur. Heracl. 80 die bes- sere Handschrift B) irgend einen Grammatiker zu der gewaltsamen Aenderung tetowoy'« verleitete.

Eur. Med. 527 f. Iason sagt, wenn wir den Hand- schriften Glauben schenken, wie alle Herausgeber es gethan haben:

Kümotv vuito Tics émis vauxAnptas

GOTELpAY EÛVOL SEÔV TE XÉVIUOTOV [LOYNY. Statt vavxknotas cotetouv muss es aber, wie ich Eur. Stud. I p. 120 gezeigt habe, vielmehr heissen cotr-

505

plus vavxhnocv. Aehnliche Fehler finden wir auch sonst; wie etwa bei Soph. Oed. R. 1487 die Hand- schriften schwanken zwischen ra Aotro to mixpon flou und t@ rtxpù voù Xoëmcù Béov, wie El. 688 überliefert ist év roloîor radpu statt év mavpotor œoXd«, wie Eur. Andr. 646 in einigen Codices sich findet doxeïv poo- vobvras statt poovety DoxoDvTEs. Derartige Verirrun- gen glaube ich noch an zwei Sophokleischen Stellen wahrzunehmen. Die erste derselben, fr. 854 bei Stob. Flor. 54, 3:

2 , oo n n YVOpaL TAËOV XpATOUTLV N IÉVOS LEpOV,

ist meines Wissens noch von niemand angefochten worden, und doch kann es keinem Zweifel unterliegen dass der Dichter sich des bei weitem angemesseneren Ausdrucks bediente ;

vrêmar Théov aSévouory n xpaTos pepoëv !).

Die andere findet sich Oed. Col. 113, wo Oedipus zur Antigone spricht:

ovynocuat te xal n ÉË odoÙ rcèa

xouboy xar œhooç, TO Eos dv éxLado

Tévas Acyous Époiatv.

Das unverständliche é£ 6305 rod hat eine erhebliche Zahl von Vermuthungen hervorgerufen. Die meisten Kritiker suchten toôx zu beseitigen, wofür man vor- geschlagen hat non, todt, mépu, may, méaÇ, To, taxa, To, Teécw, xcpo und rot, endlich sogar in Folge eines offenbaren Versehens die masculine Form rouov. G. Hermann schrieb xai ou pou £ 0500 cd, Blaydes schlug unter andern vor xai pe ééaycuoa rot oder xai y éxredov toëe (oder-raya oder tépa). Keine dieser Vermuthungen kann auf Wabrscheinlich- keit einen Anspruch machen. Die handschriftliche Les- art erklärt sich aber ungezwungen und einfach, wenn wir annehmen dass der Dichter schrieb xai y x- rodov 0905 xguboy xat cos, und von Seiten des Sinnes ist diese Lesung tadellos: «birg mich im Haine abseits vom Wege». Ueber die Verbindung éxrcodov 080 genügt es anzuführen Eur. Phoen. 978: omou ySovos rhoù éxrodoôv pakot ëceu. Iph. T. 1226: éxrodov d avÿ moMtas Todd Eyeuw puaopartos. Xenoph. Cyri inst. V, 4, 34: rouÿrov éxmodov muev.

10) Für die überlieferte Lesart lässt sich geltend machen Eur. fr. 736, 4 bei Stob. Flor. 126, 7: to yde ëxeLv TAÉOV xpaTEt Ts evosfeias. Aber vermuthlich ist auch hier mhéoy 6 $évet zu lesen.

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

506

Soph. fr. 227, 1:

AT

à dès Es De. 1 GOpOs YLO OUÔELS TANV OV AY TULG DEOc.

So Orion Anthol. 5, 10 bei Meineke Stob. Flor. vol. 4 p. 256, 6 und das Florileg. Leid. im Philol. VI p. 587, nur dass an letzterer Stelle tyon statt Ta sich findet. Der Herausgeber des Flor. Leid., L. R. Beynen, wollte schreiben

\

copos yo oudels TANV OS Av TL VEOUc.

Dass so gesagt werden konnte lässt sich nicht bestrei- ten; gleichwohl halte ich diese Conjectur für einen müssigen Einfall, dem alle Berechtigung und alle Wahr- scheinlichkeit abgesprochen werden muss. Darum ist in meiner Bearbeitung der tragischen Fragmente Bey- nens Vorschlag unerwähnt geblieben. Ohne Beynens Vermuthung zu kennen, behauptete einige Jahre spä- ter M. Seyffert Rhein. Mus. M.F.XV p.614, die von mir geduldete Lesart sei absurd; umgekehrt werde ein Schuh daraus,

\ ü » \ \ a n s à22 gopos ya oudels TANY OS Av TULG SEOV.

Darauf entgegnete ich zur Rechtfertigung meines Ver- fahrens nichts; denn in Seyfferts Augen mich zu rechtfertigen schien mir kaum môglich, in den Augen andrer zwar leicht, aber kaum nüthig. Ganz vor kur- zem aber hat W. Dindorf in der fünften Ausgabe der Poetae scenici (Soph. fr. 234 a p. 133) Beynens Ver- muthung zwar nicht aufgenommen, aber doch der Er- wäbnung werth erachtet. Dieser Umstand bestimmt mich zur Sicherstellung der handschriftlichen Lesart. Der Sophokleische Vers besagt: niemand ist weise ausser Wen eir Gott ebrt (d. h. auszeichnet, begün- stigt). Wie dies gemeint sei, ist nicht schwer zu er- rathen. Die Gütter allein verleihen dem Menschen wie alle übrigen Güter, so auch die Weisheit, deren Be- sitz ihnen ausschliesslich oftgenug zugesprochen wird. Ohne die Gunst der Gütter wird die Weisheit des Menschen zur Thorheit; denn keine Vollkommenheit nützt dem Menschen, wenn nicht die Gôütter ihn ebren, deren Gunst allein ihm dazu verhilft dass seine Vor- züge anerkannt werden. Dass man aber wie Secv ty aySoonos, so auch Seoç tu avSgonoy sagen kann, unterliegt keinem Zweifel. Vgl. Il. 1, 110: à peyañntoo. SuuG sléas avÔoæ pépLoTov, Ov AILVATOL TER Etioav, gripouus. I, 118: avté vu roÀGv hav éctiy ave Ov te Zebs xiot oo, we vov toùrov Éric. P, 99:

507

Bulletin de l’Académie Impériale

508

onnor dvno ÉdÉAN Toèc Jatova port payecTa Ov xe | ToUs vdynous (rois vémots Men. monost. 709) Aupavetat,

Seds té, Taxe éya mue xvhtodn. PE, 788: dIa- vator TuLÔOL Tahatotépous dvSpurous. Q, 533: oÙùte Seoïor retyévos oùte Booroîoiv. Theognis 169: dv Seot TO, Ov xat popeumevos œivet. Eins künnte vielleicht zu Gunsten der Beynenschen Aenderung gel- tend gemacht werden, nämlich die an den obigen Vers bei Orion sich anschliessenden Worte,

ahX ets Seoûs cpôvtæ, xav ÉEo dlxnc

xogctv xeheun, xeio Cdormopett ppewv”

aioyeov yüs oùSèv ov vomycüvraz Deck.

Ueber diese Worte zu einer festen Entscheidung zu gelangen ist mir nicht müglich; für hôchst wahrschein- lich aber halte ich Meinekes Vermuthung dass sie von dem vorher besprochenen Verse abzutrennen und als ein besonderes Bruchstück (ich müchte glauben, des Euripides) zu betrachten sind. Im Anfang hat Meineke aAN ets Secv o cpovta vorgeschlagen; da am Schluss vpnyodvrat Seot steht, so wird AN eis Seous do pvTæ vorzuziehen sein: denn irrig ist was Seyffert behaup- tet, auf Secv führe der Singularis xehevn, da uns nichts hindert xav xekeun im Sinne von efiam si iubearis zu fassen mit Schneidewin Coni. crit. p. 81.

Eur. fr. 600 bei Stob. Flor. 37, 15:

toomos À ponoTos dopaléotepos vopLou rov HLEv yo oudeis av daotoébat ToTÈ ÉnTop Juvarto, Toy À AvO TE XAÙ KATO Àcyos Tapaosev ToAAdXLS AULaIVETEL.

Im letzten Verse hat Meineke Àcyos geschrieben statt des handschriftlichen Acyous. Aber der Fehler scheint tiefer zu liegen. Das voyous AumatweaSat ist Sache der éntogss: ein Tecros xonotos ist sicher nicht nur gegen- über den Volksrednern, von denen der Charakter des Menschen ja überhaupt weniger bedroht wird, son- dern gegen jede Redegewalt und jede Einflüsterung. Es scheinen somit hier wie oft (vgl. Eurip. Stud. I p. 47 f.) die Versanfänge ihre Stelle getauscht zu haben; wir werden schreiben müssen:

Tov puèv yap oùdels dv duuotpébat ToTÈ Adyous Suvauto, Tov À Ava TE Xal XATO bnTOE. Tupdoawy Toldxts AuLalvETaL.

Statt des unverständlichen tagdooov erwartet man

ein Adjectivum wie tavodpyos oder tovnecs. Letzteres bietet Gregorius Naz. vol. 2 p. 154 C: &ntoo tovneoc

durch dessen Worte die hier geforderte Umstellung eine wesentliche Stütze erhält. Trag. adesp. 442 bei Stob. Flor. 36, 12:

atoxo0v Y OTav Tu ÊTL YhOGON quels r , VYhocon pataious ÉÉaxovtiog hoyous.

Dass diese Verse nicht dem Menander gehüren, dem sie Stobaeus beilegt, sondern aus der Tragoedie stam- men, hat Valckenaer richtig erkannt. Um den offen liegenden Schaden des ersten Verses zu heïlen hat man statt rt Yhooon mancherlei vermuthet: Grotius schlug vor nrtos YAocon, Bentley vantos yvou.n, Valcke- naer everns Vhocon. Heringa endlich wollte atoypôv vaio &0S Gtav mis edyhosaos œuets. Alle diese Vermu- thungen sind schon deshalb abzuweisen, weil die Form œuets der voralexandrinischen Zeit fremd ist. Sehr frei verfährt Cobet mit der Ueberlieferung, wenn er N. L. p. 85 die zuversichtliche Behauptung hinstellt: «quum Euripides dixisset: aioxpoy y OTav Ti alto ÉLOY RLÉYE Vlocon patatous ÉÉaxovrion ÀCYouÉ,

post lacunam nunc legitur Florit. XXXVI, 12 aicygoy Y Otav mic éri vhooon œuets.» Dass in unserem Texte des Stobaeus wie bei anderen Schriftstellern sich nicht wenige verkehrte Ausfüllungen ursprünglicher Lücken finden ist eine unbestreitbare Thatsache, und auch die vorliegende Stelle rechne ich mit Cobet zu denen welche durch ein ungeschicktes Supplement verfälscht worden sind. Nicht aber scheint es glaublich dass ein Abschreiber, wenn er den lückenhaften Text

aiaypôv ÿ OTav Ti * * * # # XX / / YAocon patalous Éaxovtion hoyous

vor sich hatte, auf den Einfall gerieth am Schlusse des ersten Verses nach seinem Belieben ét Yxocon œuets zu suppliren. Eine solche Verkehrtheit bedarf eines äusseren Anlasses, d. h. in den Worten ét vVhocon ques kann wohl einiges, unmôglich aber alles frei erfunden sein. Vielleicht sah der erste Vers ehe- mals so aus:

atoypôv ÿ OTav Tis.... tt YAWOON P.... Unter dieser Voraussetzung môchte ich ergänzen:

atoyoov y Ctav Ti volv ÉTL YhION popov VAodon patatous ÉÉaxovrion Adyous.

509

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

510

Mit dem Ausdruck voiv rt ÿhocon oopev, d. h. den Verstand an falscher Stelle haben, die Zunge, die un- ter dem Verstande stehen soll, über den Verstand ge- bieten lassen, sind Wendungen zu vergleichen wie fol- gende. Demosth. 7, 45: einep duets tov éyxépahov év Tois xpoTapous ka jun ÉV Tais TTÉOVAIS XATATETATN- pévoy pogeite. Aristoph. Ran. 485: dcicaca ao (n xaodta) els Tnv xaTo Lou xothlay xaSeloruoev. Plut. Mor. p. 334 C: tv buyny év tais ourvas elyev. Ae- lianus vol. 2 p. 271, 14 ed. Teubn.: êv vos aœtôotous ëxov toy éyxéoahov l'). Die vorgeschlagene Aenderung halte ich für wahrscheinlicher als die bisherigen mir bekannten Besserungsversuche, nicht aber kann ich sie als unzweifelhaft hinstellen. Mügen andere zusehen ob sie eine wahrscheinlichere Emendation finden. Was die eben erwähnten falschen Supplemente be- trifft, die auf lückenhaft überlieferte Stellen aufgetra- gen sind, so habe ich Eurip. Stud. II p. 103 f. meh- rere Beispiele nachgewiesen. Eben dahin dürfte ge- hôren Trag. adesp. fr. 316 bei Plut. Mor. p. 481 B:

@éhQY JE LÉVTOL LoÛGLS N To0s autos LOVNn xaxoù béovtos Wpeneiv prhel.

* Eine vollständige Herstellung dieses Bruchstückes ist mir nicht gelungen; aber in dem sinnlosen xaxoÿ béov- xos glaube ich die Hand eines Verbesserers wahrzu- nehmen, der das überlieferte xaxoÿ ..povros in seiner Weise ergänzte; der, Dichter schrieb doch wohl xaxoÿ rapovtos. Sicherer scheint es mir dass falsche Aus- füllungen vorliegen bei Soph. Trach. 383 f.:

Ghouwto pu TL Tavtes xaxol, Ta DE AaSpal ds donesl ph TRÉTONT aÙTG xaxE. Diese Stelle würde, wenn nicht unbefugte Hände sich

an ibr versucht hätten, in unseren Codices ungefähr folgendes Aussehen haben:

ta . Ô XAXGL.

DhOLTO THVTES KUHOL.... AaSoaî Ôs doxel lLN TOÉTONT .

11) Noch näher kommt meinem Herstellungsversuche dem Wort- Jaute nach ein angebliches Dictum des Plato bei Stob. Ec]. eth. p. 98 : iôwv rive Ildtwy œudhu UÈv mpattovra, Olxac 8e (doch wohl dtxaux SE) dnëp Étépuv Aéyovru, eîmev' oÙros voüv éri yAwGon pépet. . Plato konnte nur meinen dass der nescio quis seinen Verstand ge-

bieten liess zwar über seine Zunge, nicht aber über seine Handlun- gen. Somit steht hier das voÿv ëri yAWOON pépety in einem anderen Sinne als ich ihn bei meiner Vermuthung voraussetze. Indess dürfte die Môglichkeit einer verschiedenen Anwendung desselben bild- lichen Ausdruckes nicht zu bestreiten sein.

Es war zu ergänzen: Chouvro mavres ci xaxot, [ao ro È AaSpaî 0s donet un roérovr [20S5X]S axe.

Unzweifelhaft richtig scheint mir die Herstellung des ersten Verses; der Chor kann offenbar nur wünschen dass alle Schlechten zu Grunde gehen (vgl. Eur. fr. 277: xaxôs Ÿ Ghorvro Tavtes Tupavyièt yælocuctv), und + haSpata xaxa mit dem Artikel ist unmôglich. Weniger sicher ist im zweiten Verse die Aenderung &o%À6 statt «ùro, die jedoch empfohlen wird durch Eur. fr. 892, 2:

2 e y SAS" Ys » = wpethe ÔNIEV, ELREP ÉGT ÉV OUEAVE

1 LU , 1 U Zevs, pn Tov auto Svotuyh xaTeoTavat,

wo Heimsoeth sehr ansprechend +ôv 20%20v dvoruyn vermuthet.

Praesentia auf 4$o mit kurzem Alpha scheinen der Griechischen Sprache durchaus fremd zu sein. Denn duuvvdSer, doxaSetwv, elxaSeuw, sipyaie sind, wie Elmsley Eur. Med. p. 113 gesehen hat, Aoristformen und müssen daher vielmehr apuvaSeiv, dtwxaSeiv, et- xaSeiv, etpyaSeiv lauten. Die Ueberlieferung unserer Handschriften, an welcher Buttmann Ausf. Sprachl. IT p. 62 seltsamer Weise fest hielt, hat darum nicht den geringsten Werth, weil sie auf der Voraussetzung beruht dass dpuvaSo, dtwxaSo, stxd5o, ste yat Prae- sentia seien; sobald das unrichtige dieser Voraus- setzung erkannt ist, muss auch die auf den Irrthum gegründete Accentuation berichtigt werden"). Eben so ist xa%o als Ind. Praes. lediglich von den Gram-

12) Auch ein Praesens oyéSw fingirten die Grammatiker und ac- centuirten consequenter Weise oyéSe:v und oxéSwv. Buttmann räumt ein dass oyeSetv durch das Homerische oyeSéav gesichert sei, will aber gleichwohl im Participium die falsche Accentuation GLEIwY aufrecht erhalten. Diese Inconsequenz ist bei einem so einsichtigen Grammatiker wie Ph. Buttmann es war geradezu unbegreïflich. Wer- kehrt war es auch, wenn alte Grammatiker ëpeo$a: schreiben woll- ten, ein Fehler von dein man jetzt ziemlich allgemein unsere Texte befreit hat, und unglaublich klingt es wenn ein Grammatiker (Schol. Ar, Nub. 38) erzähit die Attiker hätten nicht xutabapSetv, sondern xatuSap9e:v accentuirt. Entschieden falsch ist die jetzt beseitigte Accentuation Sévetv und Sévwv: denn das Praesens lautet Seivo, der Aorist Seveïv und Sevuv, das Futurum Sevo Sevets. Erst Theokrit 22, 66 scheint ein Praesens Sévw erfunden zu haben. In gleicher Weise muss es xegvuy heissen, nicht répvwv: denn étegvov ist Aorist; und wenn Oppian das Praesens répvo gebrauchte (Hal. 2, 133: ohAUUE— var 8 éléxouor xat oÙs népvouct povñas, und 5, 390: xatatyônv Eiduvres &e xpordpous mépvouotv), so verfuhr er nicht minder will- kürlich als jener Orakeldichter, der aus der Form rtéoxero ein Prae- sens riécxw entnahm, C. I. 3538, 12 vol. 2 p. 855: &E &hAWY r1e0x0— evo.

511

Bulletin de l’Académie Impériale

51?

2

matikern erschlossen aus dem AoristpetextæSov. Ueber ahxaSe (Anecd. Bekk. p. 383, 31) hat schon Dindorf Soph. El. 396 mit vollstem Recht das Verdammungs- urtheil gesprochen. Somit bleibt nur übrig reka Set, eine an nicht wenigen Stellen überlieferte Form, die gleichwohl nur in den Kôüpfen der Grammatiker und Abschreiber existirt zu haben scheint. Die Belege für diese Form sind folgende. Aesch. fr. 128 (Ar. Ran. 1265.'1267. 1271. 1275. 1277): Pot Ayued, tt tot, dvopoddtxToy dxoUoy En XOToY, TEdIEUS ËT apoyav; Eur. EI. 1293: 6 raide Aude, Sépuis ec DIoy- vas Tas duerépas quiv mehadeuw; Rhes. 557: Timor rehdSEL cxonds, Ov vadv Extup dtouve xaténtav; Ar. Thesm. 58: tés aypcuwras rehaSet Soryxoi; Keine die- ser Stellen dürfte ausreichen um die Form red Set zu sichern, da überall the môglich ist, das in te- haSev zu verändern sehr nahe lag für einen jeden, dem die Wôürter téhaç, m:hGy und mehatery bekannt waren. Ueber das besonders bei den Tragikern vor- kommende rhdSet mit langer Wurzelsilbe vgl. Soph. EL. 220: ta Ôë vois duvartoïis oùx éprota mhaSetv. Phil. 728: {y 6 yahxaomis dnp mhaSet Seoïs. Eur. Alc. 119: . Bôpos yap arorouos mhaSe. Rhes. 14: tives éx vuxTOY tas apetéous xoitas rAaSouot; Append. Anth. Palat. 138 (Plut. Arat. c. 14): Boudai pèv xal deSha xal à mept EAhados dhxa Toùÿ avSoès atahats mhdSetat “Hgaxkéous. Antipater Anth. Pal. 9, 323, 6: dmrohépov TOd Écuxev Ev ovoTAREL Tepapyots TANSELN, SEryxOV évros Evvañtov.

Eine Activform a&Atoxo ist unseren Grammatikern und Lexikographen unbekannt; es lassen sich für die- selbe drei Belege beibringen:

1. Suidas: ahtoxer wx@, xat dhl(axeTar xataho- Bavetor xpareîrou. Die ersten Worte dhfoxet xt ste- hen auch bei anderen Grammatikern (Hesych. und Anecd. Bekk. p. 377,3), wo man zweiïfeln kann ob die zweite Person von œoxouat oder die dritte Person von dhioxw gemeint sei. Da Suidas jedoch dhtoxer und dhéoxetar gegenüberstellt, so ist es hôchst wahr- scheinlich dass er dhtoxet für activ gehalten hat, wie denn auch in der Bernhardyschen Ausgabe wx& mit vincit wiedergegeben wird.

2. Diogenianus Vindob. IT, 66 in den Paroemiogr. Gott. vol. 2 p. 29, 4: Xéoac pLôv oùy GMioxet: ét rôv TO EXO Xal pAÜAX ÜTEpOOUYTRY.

Q <- , » 3. Antiatt. p. 110, 13: oùy otov optéomat, oÙy otov dhioxo xat Ta Guoux. DE (AVE) «TO dréyo toù opiéec dau».

Diese drei Belege für die Form &toxo werden also von den Grammatikern und Lexikographen schlecht- hin ignorirt? Meines Wissens allerdings und, wie ich glaube, mit vollem Recht. Dem nackten Zeugniss des Suidas ist in einer derartigen Frage kein Gewicht bei- zulegen. Das von Diogenianus gemeinte Sprichwort lautet, wie wir aus anderen Stellen wissen, vielmehr 2kéous pv (oder puoc) oùx aheytée. Die dritte Stelle endlich hat Lobeck Phryn. p. 372 f. besprochen, der ootéopar mit Recht in épyt£opat ändert, wie bei Phryni- chus gelesen wird, &\toxo aber als verdorben bezeich- net, ohne eine Heilung zu versuchen. Statt oùy ofov

| dicxo muss es heissen oùx ofov Badt£w (oder Badt£zt)

nach Alexis Com. 3 p. 476: métetou Yap oùy otoy Bæœdtter tas odous. Somit zerrinnen die drei Belege für dAtoxo in ein Nichts; unnütz aber wird die vor- stehende Erürterung nicht gewesen sein, wofern sie den Verächtern der Conjecturalkritik zu der Einsicht verhilft dass keine philologische Forschung gedeihen kann ohne Kritik.

Aristoph. Nub. 6 f. Der alte Strepsiades verwünscht den Krieg: |

_ + r. E amohoto ÊnT, © TOhœUE, TONOY Elvexa, 0T oudÈ xoÂGO ML ÉÉEOTL [LOL TOUS OÙKÉTUS.

Im ersten dieser Verse habe ich etvsxa geschrieben statt oùvexa, da letztere Form schwerlich jemals bei den Attikern im Sinne von évexa gebraucht wurde, während stvexæ für die Attische Poesie und Prosa sicher bezeugt ist. Nachher bieten statt xohdoo ëëe- ot die geringeren Handschriften xohao ééeott. Brunck entschied sich für die vollere Form; die neueren Kri- tiker haben dagegen eine Elision angenommen, die für die Tragoedie durchaus unstatthaft, für die Komoedie sebr zweifelhaft ist, eine Elision die vorauszusetzen gerade hier aller Grund fehlt, da Vesp. 501 Gt xehn- ricou éxéhevoy steht, wo xsAntio éxéhsvov gegen das Metrum streiten würde. Ist also das Verbum xohaéerv hier überhaupt richtig, so müssen wir die obenein besser verbürgte Schreibung xokdoo éeort durchaus in Schutz nehmen. Aber das zahme und farblose xo- Adour dürfte ein Glossem sein statt eines ungewühn- licheren und derberen Ausdrucks, der dem Ton der

o13

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

514

Komoedie besser entsprechen würde; ich meine, der Dichter schrieb:

OT oUdÈ Av ÉÉecti por ToUs clxETU. Nun beklagt sich Strepsiades dass er sein Gesinde nicht einmal abprügeln und nach Herzenslust walken kann. Ueber das Verbum œùav vel. Ar. Nub. 1376: xaTeuT Épha Le XAOROdE XATVLYE HATÉS BE.

Ar. Av. 933 f. Kaum ist die Nepshoxoxxuyta gegrün- det, so erscheint auch ein Dichter, der in hochtünen- den Phrasen die neue Stadt zu feiern sich anschickt, bald aber veriäth dass er eine kleine Gabe erhaschen môüchte. Darauf sich beziehend sagt Peithetaeros V. 931 35:

TOUTL TapéEEL TO XOXOV nLÈv TO YLATA,

et pn Y aût Jovrss amopevÉcupesa. oitos pLévrot onclada ai yiTOV Êyel, amoôud xal os, TO ont} TO copE.

ëye Tv archada: navros por BryOy Joxeïs.

Mit den Worten oûtos cooû V. 933 f. soll Pei- thetaeros einen Sklaven anreden, der bei dem Opfer behilflich ist. Aber zuvächst ist es nicht ganz passend dass Peithetaeros die Wünsche des Dichters erräth und sofort dem Sklaven befiehlt sich seiner Kleider zu entäussern, bevor noch der Bettelpoet hat merken lassen was das Ziel seiner Wünsche ist. Sodann wür- den die Worte pévrot anchaida xai yuTOY Éxeus uns anzunehmen nôthigen dass Peithetaeros nicht so voll- ständig bekleidet war als sein Sklave, was doch kaum glaublich ist. Endlich ist es ganz unpassend dass Pei- thetaeros to ronrà To copé sagt von dem nämlichen Menschen, dem er V. 931 und 956 die im hôchsten Grade verächtliche Bezeichnung toutt ro xaxov bei- legt. Allen diesen Uebelständen ist abgeholfen, wenn wir V.933 und 34 dem Dichter zuertheilen. In glei- cher Weise gehôrt dem Dichter V. 947, der in den mir zugänglichen Ausgaben dem Peithetaeros beigelegt wird; diese zweite Stelle wird so zu schreiben sein:

TTOI. dxhens à Ba omohas aveu HT vos.

Évves G tot XéVO.

TTEIO. Évvñy o71 Bouhet Tov JTovioxov hufeiv.

TTOI. anoduS Dei ydp Toy roumTny opeheiv.

TIEIO. arche rourovi Aufov. TOI. arépyouat xté. Vielleicht ist es nicht zufällig dass mit den zuletzt an-

geführten Worten ein anderer Aristophanischer Vers, Tome XII.

bis auf eine unerhebliche Discrepanz, genau überein- stimmt; Ach. 465 nämlich lesen wir:

EYP. anelïe aura hafuy. AIKAIOTT. drépyouar.

Die betreffende Stelle der Acharner verspottet den Euripides und ist voll von Parodieen Euripideischer Verse; vermuthlich benutzt Aristophanes auch hier einen Vers aus dem Telephus.

Pherekrates Com. 2 p. 287 bei Ath. II p. 75 B:

à amours, TUpETTE LDÈV poovticaz,

xai Toy pBiheov TOÔYE GUxOY TOÙ Jépou, XATUTAGEVOS HATEUDZ TAS ETES * xata cpax£hés xal réronco xai Ba.

Der Fieberkranke soll unbeküïmmert um die Folgen sich gütlich thun und hinterher seine Lust büssen, indem er Zuckungen hat und glüht und schreit. Diese Mahnung ist verständlich; ein offenbarer Unsinn aber liegt in den Worten xeyrrhamevos xaSevde, da das épriprhacSar und das xaSeudery unmüglich gleichzei- tig sein künnen. Ohne Zweifel schrieb der Dichter xaprAnuevos xaSeuds. In Betreff der Form vgl. évé- rAnto Ar. Vesp. 911. 1304. évérAnvro Lysias 28, 6. éprhquuy Ar. Ach.236. éprhÿro Lysistr. 235. éurAnco Vesp. 603. éuramueves Eq. 935. Vesp. 424. Eccl. 51. Plut. 892. Dionysius Com. 3 p. 548 bei Ath. IX p. 405 D: toutovi à GY ApTÉS Êpns ÉXOYTA Telpav NHELY TOUTE}OY TOAOY TE JEETVOY.

Es muss heissen éono® ëyovte. Aehnliche Fehler hat Cobet N. L. p.215 nachgewiesen, vgl. Lobeck Phryn. p. 256.

Menander Com. 4 p. 202 bei Orion Gnomol. 1, 17:

dpQv Te BoyAEUGA! XATÉ GAUTOY VEVOLEVOS * ? À retis = .

ouLpÉpCY YA OÙX CpATAt TO Body,

v TO roûs aUTov à avahoYIOUS pulvETe.

«Wenn du etwas siehst, gehe mit dir zu Rathe»: eine seltsame Forderung. Aus den folgenden Worten, wo dem œvæhoyiouos das Boäv gegenübergestellt wird, scheint hervorzugehen dass es heissen muss ég@v (im Sinne von péhlov tt }é£etv). Men. monost. 281: XA1ROÏ TUXOY VAR TTOAÔS LOUVEL LEVEL. 33

515

Um einen angemessenen Sinn zu bekommen, werden wir xai nroyôs statt yéo mroyos herzustellen haben. In den Worten des Florilegium Monacense bei Mei- neke Stob. Flor. vol. 4 p. 277, 23: Evhagetn xaddv Sos Tois YpopLévots,

vermuthete ich Philol. IX p. 370 einen jambischen Trimeter, den ich durch den Vorschlag n S edhafetæ xaXov dos tTois yompévers herzustellen versuchte. Dass meine Vermuthung berechtigt war lehrt Didymus de trinit. 1, 27 p. 81, wo der nämliche Vers angeführt wird: n yap evhaBern xahôv dos, pual, Toi APOMÉVOLS. Den Verfasser hat auch Didymus verschwiegen; es liegt nahe an Menander zu denken.

Etym. M. p. 139, 39 las man ehemals: éri vo œutoù dpta da TOÙ !, Xl TApOËUVETEL JEÛTNS TE TEN- vns dotas moroupeSa yéupous. Ueber diese Stelle sagt A. Lentz Philol. XXIV p. 542: versus ignoti poetae, quem Herodianus ad comprobandam scripturam t ap- posuit, sic fere emendandus videtur yatet Te xpavéns dptas move yéppous. Wem der citirte Hexameter gehôürt, konnte Düntzer Fragm. der epischen Poesie IX p. 122 noch nicht wissen *); A. Lentz aber hätte es nicht verabsäumen sollen die Gaisfordsche Ausgabe des Etym. M. einzusehen, welche den fraglichen Vers dem Komiker Eupolis zuweist. Als Eupolideisch ist der Vers bereits nachgetragen von H. Jacobi bei Mei- neke Com. 5 p. XC, wo nach den Handschriften ge- schrieben wird:

ANTEL TOL TOÛVNS APILS TOLOULE DE YOHLPOUS. Statt toins, einer sonst nirgends bezeugten Form, ist vielleicht entweder mit O. Schneider rotvoy oder mit Lentz xoavéns zu besseru. ÆE. v. Leutsch bemerkt im Philol. IL p. 573, dass

13) Freilich hat Düntzer auch manches übersehen was er wis- sen konnte urd als Bearbeiter der epischen Bruchstücke wissen musste. So sind die unter den ungewissen Fragmenten (II p.116 128) aufgeführten Verse:

répuata Jnpelwy pekéwy puxtnpoty épeuvov (XXX), wie

xa xwpoÿ Evvinut xat Aukéoytos dxoûw (KXXX VII), und

etenine mehéeooty épupyuu tadta hryaivet (XL), auszuscheiden. Der erste dieser Verse (wo es heissen muss téAuata Inpetovy meh£wy) hat zum Verfasser den Empedokles; der zweite ist aus einem bekannten Orakel, das zuerst Herodot erwähnt; der dritte gehürt dem Johannes Damascenus. Dass fr. X aus Aratus ist, hat der Herausgeber selbst nachträglich bemerkt. Uebrigens werden in Betreff der Fragmente der Griechischen Epiker viele mit uns den Wunsch theilen, dass Düntzers schwacher Versuch bald durch eine bessere Arbeit ersetzt werden müge.

Bulletin de l’Académie Hmpériale

oo

516

noch mehr als man bis jetzt erkannt habe aus den Grie- chischen Paroemiographen für die Bereicherung der Komoedie sich gewinnen lasse. So stehe in der Appen- dix Prov. 2,15 aus k: sue Yap An èx aÜTOv tôv xodc- oàva toi xoyov, und der hier zu Grunde liegende Vers komme zum Vorschein im Gregorius Cyprius (Paroem. II p. 69), wo es heisse: eûue Yap ÊT auto TÔn Tv xodc- œovz rod Xéyou: «Es ist nur», meint Leutsch, «eëue yée in equé Tag zu verwandeln und der tetram. troch. catal. ist da». Unmittelbar darauf empfiehlt Leutsch grosse Vorsicht bei der Zurückführung solcher Bruch- stücke auf die Komoedie. Diese Vorsicht wird in sei- ner Vermuthung durchaus vermisst; denn der von ihm gemachte trochaeische Tetrameter, eue Tap én aUTèv nÔn TOY XOhOPOUX TOÙ ÀCYOU, leidet an einem metrischen Fehler. Tragici et comici tetrametri trochaici, sagt Porson Eur. Hec. p. XLV, commune est, ut neuter usquam dactylum recipiat, nisi in proprio nomine. Verse wie dieser (Ar. Ach. 318): UTÈp émiEnvou Selnoco Tv xEpaNy Épov RÉVEU, sind fast unerhôrt und werden von keinem Kritiker gegenwärtig für richtig gehalten. Der von Leutsch durch Conjectur erzielte Fehler liess sich übrigens sehr leicht vermeiden, wenn man mit H.Jacobi Com. D p. CCCLXV die Leésart des Gregorius Cyprius unver- ändert beibehielt und nur die Worte anders abtheilte: ete yao ëT aUtev MÔn TOY XCÀoOPOYE TOÙ ÀO YOU.

Aber die fraglichen Worte, deren Rhythmus rein zu- fällig ist, haben mit der Komoedie überhaupt nichts zu thun; der vermeintliche Vers ist schlichte Prosa des Gregorius Naz. Orat. I! p. 5 C: © reheutaioy xat petéoy Tôv etpmnévov, eu ao Tr aÜTèv QÔn TÔv xoho- œGva To Acyou, xai Veicouat, oUDÈ ydp Suis Tois Treo TAMHOUTOY Totoupévors Tov ÀCYOY, oÙx Gunv Éoov etvat, oudÈ v3v oicpat, Touyns oyeiv n Bouxohtou ka dySowrov étiotareiv buyais. Dass der Kirchenvater Gregorius Naz. hier eine Stelle der Komoedie benutzt habe wird niemand zu behaupten wagen.

In den Excerpta Vindob. bei Stob. Flor. vol. 4 p.294 ed. Mein. hat Boissonade vier aus den Briefen des Theophyl. Simoc. entlehnte Stellen nachgewiesen, näm- lich Nr. 53. 55.56.57 der Meinekeschen Zählung (vgl. Theophyl. Sim. Epist. 8.79.83.85). Entgangen ist ihm wie Ritschl Opusc. philol. I p. 571, dass auch 54: Of

517

vÉot HA GHOLYÔVTES AKCRAOTEL Hi TOUPOUTÉS ELGLWV Gxoatéoteoc., aus derselben Quelle stammt:s.Epist.77. So fehlt auch bei Meineke wie bei Ritschl die Nach- weisung der Quelle bei folgenden aus Isocr. ad Dem. stammenden Excerpten:

61. Zopéx poyn TOY xTqparoy aSavaroy ($ 19).

66. To axatpev rovrayoù Avrnpcv ($ 31).

67. Apyn qrtus tatvos, ÉxTons doyos ($ 33).

69. O0 xaxôs dravontets nept TOY oixetov oùdémote xaXGs Bouhetoetar rept Tov dAhotetov ($ 35).

70. Oi du, XX ($ 39).

7). A Aümo! tais nôovais ragarerryoot (S 46).

An der zuletzt erwähnten Stelle habe ich ehemals (Bulletin T. Il p. 334 oder Mélanges Gréco-Rom. IT p. 264) raparepuxaot vorgeschlagen. Vielleicht hat Isokrates dies geschrieben: aber in den'Excerpta Vindob. muss unter allen Umständen raparennyoct beibehalten werden, eine Lesart die auch von Eustath. Macremb. II, 8 p.174, 28 und Gregorius Naz. Orat. XX p.361 A bestätigt wird. Vel. Sextus Empir. p. 167,17: Tao YAo NJovf Taparérmyey AY, und andere Beispiele im Thes. Gr. L. vol. 6 pag. 354 A.

Der von Meletius Anecd. Oxon. vol. 3 p. 118,11 angeführte Hexameter,

Sao. TOY AÔUXOV RADÈV ŒAXO TAEOVEXTOÙ- oùv AIO omoudaIas VTEPÉAOUCL TAVTOV

1E106v SA ÉVOY Éppet roAepyos ASrvn, findet sich, wie Ritschl Opuse. philol. I p. 700 an- merkt, bei Ilohannes Antiochenus Anecd. Paris. vol. 2 p. 383, 25 in etwas anderer Fassung: dNupévoy 410 dppet Toute ATV. Den Orpheus bezeichnet als Verfasser das Etym. Orio- pis p. 163,25 (Hermann Orphica p. 510). Ausserdem war zu vergleichen Georg. Syncelli Chronogr. vol. 1 p. 282, 21 und Georg. Cedren. Hist. comp. vol. 1 p. 144, 17 ed. Bonn. nebst Lobeck Aglaoph. p. 951. Aus den angeführten Stellen ergeben sich folgende ziemlich gleichgiltige Varianten: y:tg6v 0h\vpévo»] Shhvpévoy yete6v Ioh. Antioch. éppst] éppev Orion. mohvepyos] mohucpyos Orion, mouais Ioh. Antioch. Sync. Cedr. C. I. 6765 vol. 3 p. 1030 hat Franz folgende me- trische Inschrift aufgenommen : Eÿoapeito aiSne xai va otafrlo révros, craxo à are.

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

518

Gegen die Echtheit dieser Inschrift hat bereits Le- tronne, der lediglich durch paläographische Gründe bestimmt wurde, Zweifel erhoben. Franz meint, wenn auch eine Fälschung hier vorliege, so künne doch die môglicher Weise aus einem Codex geschüpfte In- schrift ein verloren gegangenes Original wiedergeben, und zwar scheinen ihm die Worte entlehnt zu sein ex hymmo quodam vetusto Dorice composito. Er ver- gleicht Ar. Thesm. 43: éyéro nvcus vnvepos aiSne,

xd rovrou pn xcha dette Vhovrov, und den Hym- nus &tç “Hatov oder vielmehr ets Atchovæ (s. Cobet im Acyus Eous I p. 247) hei Bellermann «Hymnen des Dionysius und Mesomedes» p. 26: svpayeito täs aiSne, YA xal rovTos ka TvounÉ, CÙpEG, TÉLTER o1YA- to. Die von dem Betrüger der die Inschrift unter- geschoben hat, benutzte Quelle ist vielmehr der dritte Hymnus des Synesius p. 320 A: svpapetto | ai3ne xai ya: | otato rovros, | otato à anp' | Anyite rvoat (L rvctat) | Bakiov avépov, | Anyere rai | yuoov boS toy XTÉ.

Unter die elegischen Adespota hat Bergk Lyr. p. 1045 der zweiten Ausgabe den unvollständigen Pentameter gesetzt:

* ravra Geo räocty Édoxav Épetv.

Zur Ergänzung macht er die Vorschlige ©s 20 tavræ oder yao aravra, Vorschläge die als ziemlich will- kürlich erscheinen, weil mit gleichem Rechte sich nicht wenige ähnliche Flickereien vornehmen liessen, und als ganz unnütz, weil überhaupt hier nichts zu ergänzen ist. Die Quelle des vermeintlichen Adespo- ton ist ein Epigramm der Anthol. Pal. 12, 96:

Y LA & _ LA , oùtL poto Svartoior outis Toad: Boite, OS TAVTE Ÿ20! TAG ÉdOKAY ÉYELV.

Für jeden Unbefangenen liegt es, denke ich, auf der Hand dass es dem Verfasser des Epigramms, der eben als Dichter, nicht als Grammatiker citirt, lediglich darauf ankommen konnte den Gedanken seines Ge- wäbhrsmannes wiederzugeben, nicht aber den Wortlaut seinen Versen einzuverleiben. Wie also aus dem An- fang der Trachinierinnen kein Verständiger folgern wird dass vor Sophokles irgend ein Dichter die Worte gebraucht habe

+ LU n 5 ) 2 UE _ \ n

F cUx av aloy ÉXLUIOL PEOTOY TELY y

SaVn TL, OÙT E KONGTOS OÙT TO XAXOG, 33*

519

Bulletin de l'Académie Empériale

520

so berechtigt uns nichts den angeführten Pentameter, wie es Bergk in einer schwachen Stunde that, aus ei- nem älteren Elegiker abzuleiten. Vielmehr bezieht sich der Dichter der Anthologie auf denselben Homerischen Vers, den wir berücksichtigt finden bei Libanius Decl. vol. 4 p. 86, 1: räouw aravra dtBoaouw ci Seoi, wie bei Synesius Epist. 40 p.180 C: o0dè rois {nnotç, oonep oudè rois dvSporous, ua Tavra SdWoLY © SEC, und sonst, nämlich auf Il. A, 320: GX tros dua Tavra Seot dccay avSporototv. Dass es nicht minder will- kürlich war, wenn Bergk meinte, die Worte duyñs éotiv Epws axévn habe Alpheus Anth. Pal. 12,18 aus einem älteren elegischen Dichter genommen, bedarf keiner weiteren Erürterung. Nur dies eine scheint mir erwähnenswerth dass bei Alpheus nicht der Gott "Eos, sondern das Appellativum épos als duyns axcvn bezeichnet wird, vgl. unter andern Cic. Acad. pr. IT, 44, 135: ipsam iracundiam fortitudinis quasi cotem esse dicebant.

Epigramm des Archelaus (Anthol. append. 12) bei Antigonus Caryst. 19 p. 66, 21 ed. West.:

cèç UUAÇ Xpoxodethoy dTOpIEVOY dLHhUEL, cHoQTLL, À TAVTE ÉooSetoÜGE& ŒUoLS.

Dass die alles belebende Natur ÉooSetoüca genannt werden künne ist schwer zu glauben; angemesse- ner und durch den Sprachgebrauch gefordert dürfte sein die Bezeichnung Éooyovodca. Unrichtig scheint auch die von Bast Epist. crit. p. 82 mitgetheilte Stelle des Maximus Planudes: Éoyoaoo, Éoyeo, Éov- vup, Émoyovü, CooSerô, Éuoroto, Éocoruré, wo statt £aoS%erô vermuthlich ÉooSuto zu lesen ist.

Babrius 95,9. Der kranke Lüwe spricht zum Fuchs: mich bungert nach der Hirschkuh; sie zu jagen ver- mag ich nicht; wenn du aber willst, wird sie in meine Hände kommen

Adyoror Snpevdeion cos pEMYhOGOO. In diesem Zusammenhang muss man statt SmpsvSetco, erjagt, den Begriff «gelockt» oder «bethürt» erwarten. Darum glaube ich dass Babrius Adyotor onhoSeiox schrieb. Vel. Suidas v. œmrodv: xt prhoSeîca avri rod éÉararnSeion. y puSots” xépdeor pmhwSeica Ton XEULOS. Babrius 115,12: FL ve vepüy pot xo ris TTELOY xeela xal yauate Svoxchus recatvoion;

cùy dx SVNOXO

Worte der Schildkrôte, die ihr Gelüst fliegen zu wol- len mit dem Leben bezahlen muss. Lachmann hat nach seiner und Meinekes Vermuthung tés yap vepôv xocta geschrieben, und Schneidewin ist ihm gefolgt. Die handschriftliche Lesart ist jedoch für den Sinn angemessener und von Seiten der Grammatik untadlig, wie Bernhardy Paral. synt. Gr. p. 67 darthut, indem er für die elliptische Redeweise vspôy po; zehn Belegstellen anfühbrt. Nonnus Dionys. 24, 304 (oder Colluth. 159): yas caxéoy Aoocdirn; Colluth. 147: yap roképov Baouir; Nicetas Eugen, 2, 342: por peyéotuv xai Tuyeiv un badtuv; 5, 247: Aoyov pu rheucvov; Himerius Orat. I, 11: @h& ti pot puSov rôy ééwSev; Lucian. de dea Syr. c. 20 vol. 3 p. 467: pot Taurns Tic Térioss por COoÙ, Ts TÉAOS An déoxoua!; encom. Demosth. c. 29 vol. 3 p. 511: ydp Tôv Ootôv mat Ts Vôgéas AnmosSéyny oùx Eyovtz; Theodorus Prodr. in Anecd. Oxon. vol. 3 p. 219, 30: ah por Toutoy TOY Àcywv; Priscian. Inst. XVIII, 292 vol. 2 p. 364,17: Atici «té por tou- tov;» xal «té pot et tourov;» wo Hertz das überlie- ferte por tourwy (routoy cod. Monac.) nach Krehls Vermuthung in or toùro geändert hat. Zu diesen von Bernhardy beigebrachten Stellen kann ich eine zweite Dekade hinzufügen. Il. ®, 360: por épdos xai açowys; Epicurus de natura deorum XX VIII nach der Herstellung von Th. Gomperz: 4&X\& Yag Toutoy qui Toy avSpurov; Himerius Orat. XXII, 5: &hh& Je (1. n) Odvocéws mot, SE Ournpcu xai Kuxdo- roc; Dio Chrysost. 47, 17: ti yap mot Tis évade otods; 47, 19: yap mot toutov;, Xenoph. Ephes. 2,10: (Cobet dei) éheuSeptas ot; DE Thou- rov za émupehelns rôv Adiotou yenmatov; Gregorius Naz. Orat. IV p. 126 A: œXda tt toutov éuot; XXIII p.416 D: aXka por tôv ÉéwSev; Epist. 50 p.811 C: aAha toutoy émet; Synesius Epist. 128 p. 263 B: oo xai Tÿ yÿ AËyUTTou Toÿ mueiv V0wp led;

Zu der verdienstlichen Abhandlung «de Cercida Me- galopolitano poeta et legislatore» (Epimetrum XIT in den Analecta Alexandrina p. 385 394) hat A. Meineke neuerdings eine nicht uninteressante Notiz nachgetra- gen, die wir einem Gedichte des Gregorius Nazianze- NUS REQÈ TATELVOPOOCUVNS, CHPPOOUVNS XAL ÉVXPATELRS oder nach anderen richtiger rept aoerñs V. 594 (595) ff. verdanken. Die hier in Betracht kommenden Worte des Gregorius (vol. IT p.213 D ed. Colon. oder IT p.444

521

der Benedictiner Ausgabe, Paris 1840) sind folgende:

AR avTE À ÿ Éomeu els Bus y To. tipo

TOY VATTEMADYOY GÛTA, LMÔË GÛT TI, 595

tÔy euteheotatoy héBnros éé ÉvOS,

ds héyer tou Kepxtdas 0 péAtates,

réhos Toupuvrov «bros ÉcSuY LME,

adtis Touoÿs ÊŸ dALULPÈV XATATTUEV. «Die letzten drei Verse», sagt Meineke (Jahrb. f. Philol. 1863 p. 387), «stehen auch bei Kosmas in Mais Spicil. Rom. II $. 254. Wer es unternimmt die verdorbene Stelle zu emendiren, wird V. 96 ff. herbeiziehen müs- sen: dotos n xaouxeln épol To ropat £Ë ahGv GTav Yhuxy, oÙs Tôv Tovowvrov dhpvgèv xarartuwv. Aber freilich sind auch diese Verse überaus entstellt. Dass der hier erwähnte Kerkidas der bekannte Dichter und Staatsmann. ist, über den ich Anal. Alex. $S. 585 ff. ge- handelt habe, leidet keinen Zweifel. Zugleich geht aus den Worten des Gregorius hervor, dass sich Kerkidas zur kynischen Secte bekannte, womit auch das Lob übereinstimmt, das er in dem a. O. S. 391 von mir behandelten Fragmente dem Diogenes von Sinope er- theilt.» So weit reichen die Bemerkungen von Mei- neke, auf dessen Zustimmung ich rechnen zu künnen glaube, wenn ich die von ihm hervorgehobenen Schwie- rigkeiten zu lüsen versuche.

Gleichgiltig ist das Citat aus Kosmas, der einen sehr dürftigen Commentar zu den Gedichten des Gre- gorius Naz. verfasst hat (Zuvayoyn xai dÉmyncts © épvioSn ioregtôv © Seios l'omyoouos év Tois épyétoos adtS elpnpévors Êx TE Ts TEORVEUOTOU VpapÂs HU TOY ÆowSey rorntoy xai ovyyeapéuv). Den Unsinn des jetzi- gen Textes hat er vorgefunden und getreu fortge- pflanzt; die einzige Variante welche der von Angelo Majo gegebeneText aufweist (toupie te T dpvoov statt rovoñs & dhpvoèv), ist vielleicht nur bedingt durch ein Versehen des Herausgebers oder des Druckes, je- denfalls vüllig werthlos. Von wesentlichem Nutzen sind dagegen die aus Greg. Naz. von Meineke angeführten Worte, dotos n xuguxeio xatantiav. Diese Worte finden sich nicht in dem Gedichte megè apgetis, son- dern in der ovyxetsts Béov V. 96 98 (vol. IT p.221 C ed. Colon. oder II p. 394 ed. Paris. a. 1840) und lauten in der Külner Ausgabe:

KOZM. êpod ra répyar. TIN. Gptos n xapuxia, éproi ro répuu LE GG Gray YhUXV, oÙs TÜV TEUDOVTOY MAUUOOY HATATTUO.

des Sciences de Saïînt-Pétersbourg.

522

Die Benedictiner Ausgabe bietet statt dessen n xæov- xaiu pot ta nopar 6 &6v, wie Meineke citirte. In der ouyxpiots Blov wird ein Wettstreit zwischen dem xcoperos und dem rveupatixos Bios dargestellt. Die obigen Worte werden mit Beseitigung einiger Verse- hen so zu schreiben sein:

KOZM. époù ta répyar. TIN. Éporye TôUA T ÉË GAGY OZ TOY TEUDUYTOY

GOTOS 1 XAQUXIL fl s

ŒTAY YAUXY, ŒRUUOOY HATATTUO.

Der Sinn dieser Verse ist leicht verständlich. Der xoopix0s Bios behauptet, das feine Backwerk gehôre ihm; der rvwyarixcs entgegnet, sein Leckerbissen sei Brot und süss schmecke ihm jeder salzige Trank, wie er die Schwelgenden salzig bespeie, d. h. mit beissen- dem Witz verspotte. Müssen wir auch xapuxeto für die richtige Form halten, so ist doch xægvxta, wofür hier das Metrum spricht, bei einem Autor wie Gre- gorius nicht zu beanstanden. Im letzten Verse müchte ich das überlieferte os nicht unbedingt verwerfen, doch scheint os den Vorzug zu verdienen. Mit Hilfe dieser Worte lässt sich nun die auf Kerkidas bezüg- liche Stelle des Gregorius ungefähr in Ordnung brin- gen. Wenigstens glaube ich in der Hauptsache das Original wiederzugeben mit folgendem Vorschlag:

aravra à Epretv etç BuSoY Ta Tue

rôv yasrepapyoy oîta, ôè oûT Er,

d0SGs Réyez mou KepmdGs © pirates,

aÿrès toupntns, aÛTos ÉcSlov ha

rôy edteheatatov AéBntos £6 év6e,

TÉOS TEUPUOYTHY ŒAUUPOY XATOUTTUWY.

Kerkidas heisst gratos in gleichem Sinne wie nach- her V. 603 Zrouwôv roy ouirarov gesagt wird, weil Gregorius für seine eigenen Anschauungen eine Stütze findet an dem kynischen Philosophen. Als Ansicht des Kerkidas wird mitgetheilt dass alle Speisen der Schlem- mer in einen Abgrund gehen, nämlich in den Magen: denn daran wird zu denken sein, wenn auch bei der Unbestimmtheit des Wortes 8v%0s eine andere Auffas- sung nicht ausgeschlossen ist. Zu oîta tritt der Zu- satz pnôè x, weil die genossenen Speisen nicht mehr geniessbar und also keine Speisen mehr sind. Ueber die persünlichen Verhältnisse des Kerkidas er- fahren wir aus vorliegender Stelle, dass er zuerst üppig lebte, dann vermuthlich weil er sein Vermü- gen aufgezehrt hatte oder, wie Menander sagt, étou-

523

Bulletin de l’Académie Empériale

524

oncev Gate pi rod Toupav yeovov sich zur kyni- schen Philosophie bekehrte und gegen die Schlemme- rei eiferte.

Thucyd. I,11,8. Nachdem Archidamos gesagt, in |

Feindesland müsse man zwar beherzt und unverzagt sein, dürfe es aber an Vorsicht nicht fehlen lassen, erinnert er an die Macht der Athener, von denen zu erwarten sei dass sie sich zur Webhr setzen würden, wenn sie sähen dass man ihr Land verwüstete. Denn alle, meint er, werden, wenn sie sich beeinträchtigt sehen, von Zorn ergriffen, und die am wenigsten über- legt handelnden lassen sich durch die Leidenschaft am meisten zur That treiben, ASnvatous DE at théov TL TOY AAOY EtXOS ToÙTo Spa, MOELV TE TOY AÀ- Aov aËtodot xat émiovtEs Tv TOY Tékas Onouv pLE)oV n Thv éavr@v cp&v. Die Erklärer dieser Worte ver- langen dass man zu Goav ergänze Snoupévnv. Dies ist eine harte Zumuthung, die sich meines Wissens durch kein Analogon rechtfertigen lässt. Ganz anderer Art sind die von Classen citirten Stellen, Thuc. I, 78, 4: nueis év obDaud To Tout auapTtia ÉvTes oÙT ad-

rot o0> Us coovres Méyouev Univ. II, 86,4: éri oùv |

to ‘Péo ci Ilehomowmotor Gopioavro xat autot vauaiy érra xai éBounxovra, éretôn xat Toùs ASnvælous et- ov. VII, 69, 1: ci pv tôv Zvpaxootov oToatryot xai Tuemnos tout xal auto Tois opetépois oTpatiwTais TAPUXENEUOALEVEL AYTETANEOUV TAS VaDs EUIUS ÉRELDN xai toùs ASmvatous noSavoyre. Gesetzt aber wir ver- stehen uns dazu aus dem Activum Ônosv ein passives dqoupévny zu entnehmen: was gewinnen wir damit? Statt des unverständlichen Ausdrucks eine Absurdität: denn absurd ist es, wenn als Eigenthümlichkeit der Athener bezeichnet wird dass sie lieber das Land ih- rer Nachbarn verwüsten als das eigene Land von den Feinden verwüsten lassen. So haben wohl ziemlich alle Vôlker der Welt empfunden oder doch sicherlich die Truppen zu denen Archidamos spricht. Zu op@v darf also nicht Snoupévnv, darf überhaupt niechts er- gänzt werden, sondern co@v ist fehlerhaft. Welcher Begriff statt coGv gefordert wird, kann kaum zweifel- haft sein. Die Athener wollen lieber das Land ihrer Nachbarn verwüsten als das eigene Land man muss erwarten zu ihrem Vortheil ausbeuten, still und friedlich bebauen; es muss also statt 6o&v ein Wort Stehen wie xaprodoSou, yempyeiv oder Sepameuerv. Diesen Sinn bekommen wir durch die der überliefer-

ten Lesart nahe liegende Aenderung: tnv tôv réa 8n00v LAN RoY n TAY ÉAUTOY ooÛv.

In demselben Capitel heisst es vorher $ 4: admha yao TA Tôv Topo xal E Ghéyou T& rot xai à dois af émiyeronseus yéyvovrau. Dafür sollte man etwa erwarten: xai £o oyou T& nrolhd, GhUS Te xav DC pYNS ÉTELONOSLS YÉYVOVTOL.

Hyperides bei Stob. Flor. 74, 34: Toùs pèv mp0 rôv avÜpa tov éauTis yuvouxi xaNomiomuobs GTS Bou- Aoëto yon YÉyvs0Sat" Tobs pévrot mept tas éÉcdous oùx- tt Teùs Tv avôpæ, GANG Topos Tous étépous. Um ein Verständniss der letzten Worte zu ermüglichen, wollte Sauppe Orat. Att. II p. 305 nach ouxéxt entweder teùs oder oùx cvtos hinzufügen. Auf ein anderes Heïilmittel führt das bei Stobaeus sich unmittelbar an-

| schliessende Excerpt (74, 35):

Toù œuroë. PofBntéov ox dvdpos Amen, dd VOHLOU POV v.

Dazu bemerkt Gaisford dass seine beiden Handschrif- ten nach œovrv hinzufügen:

Toÿ autoi. Kupuuetv et Toôv éAsuSépov.

Meineke hat die letzten Worte unter einer besonderen Rubrik (74, 35 a) in den Text gesetzt. Damit ist frei- lich nicht viel gewonnen, da die abgerissenen Worte xvptevetv dt Toy éAeuSépoy ganz und gar keinen Sinn geben. Die beiden Citate aus Hyperides, um die es sich hier handelt (Stob. Flor. 74, 34.35), waren so zu schreiben:

Tous pèv mods Tèv avÜpa Toy éautis yuvaxl xa)o- miopous Crus Bouhorro yon Véyvec da” Toùs évror nepi Tag ÉÉcdous cûméTt Tods Tov avdpæ, GXAG Tp0c TOUS ÉtÉ- pous (besser rpcc étépous) yryvonévcus ooBntéov.

Toÿ aûtod. OÙx avdpôs arethnv, XX vouou poviv xupteusty dei TOY éAcUSÉ po.

Die zweite Stelle ist aus dem neuerdings aufgefun- denen ’Eriraues des Hyperides (V. 140 Cob.) ent- lebnt, wo es heisst: yap dvdoos dnethnv, ah vé- pou poviy xupreuetv dit Tov eudaovoy, où> aitéay @o- Bsodv etvar vois éhsuSépous, ŒAN Édeyyov.

Plut. Mor. p. 525 D: Buéavricy tva Xéyouauv êti SvopéepE yuvatxl pouyov etpôvræ eireiv" «Ô TahaltogE, rés avéyxn; oanroayéox noct£». Die hier erzählte Auekdote kehrt wieder bei Plut. Apophth. Lacon. 55 p. 235 E: hafov ts poryèv êT aioyo& yuvuxl, ae, cône, tie tot dvyxa; Vel. Hieroclis et Philagrii Dacy. p. 323 ed. Boiss.: eûtoadrencc vis (1. eutoanendy ic)

525

éhouddper, Ote Tv yuvaixn Jopeay don elyov. 0 DE ere: «éproi ÈV dvdyxn Totoutou xaxoÙù avréyeodat (1. œvé- xeoSau), act Ô tis avayxn;» Aber weder die eine noch die andere Stelle bietet uns einen Anhalt zur Emendation der unverständlichen Worte oarpæyco® roots. Was Wyttenbach über diese Worte faselt, |! kônnen wir auf sich beruhen lassen, eben so wie den Versuch von Winckelmann Acta societ. Gr. IT p.15 f. Zum Theil hat schon Reiske das richtige ge- sehen, wenn er outea yéo & Toë vorschlug: aber der Ausdruck caro mocté lässt sich weder belegen noch verstehen. Wie ot und v in Folge der Byzantini- schen Aussprache unaufhôrlich vertauscht werden, so môchte ich schreiben care Yap & tovËé. So sagt Ar. Plut. 1086 von einem alten Weibe: ax ét xopiÔ TRUE mahad xai conçu. Ist übrigens à TovË (oder & tectË) richtig hergestellt, so werden wir kein Bedenken tragen dvéyxn in dvdyxa zu ändern, zumal da in den Apophth. Lacon. die Dorische Endung über- liefert ist.

Aristides vol. 2 p.670 Dind.: pévoy avti taot- Sos, dNAG xat moo Ths Tatotèos aycuot Tautnv (die Stadt Athen), xai Chu xai ravti rocofsvoust To Su- uG, Os ElXÔS TV HOLVDY ATAVTOY HITÉAV TE HA TROP. Die Begriffe œtéx und tespos sind zu heterogen um so wie es hier geschieht verbunden zu werden; und mit welchem Rechte Athen oder irgend eine andere Stadt xouwn atévros aitix genannt werden kann, ist mir unverständlich. Offenbar schrieb Aristides vielmehr rh xouwvŸy aTavTov ÉGTÉAY Te kw Toopov, Wie er von demselben Athen an einer andern Stelle vol. 1 p.181 sagt: TO:GBUTOTN TÔV Envie dou PA rois TANTAÉSEY Gorge} Tapis éott Hat ÉOTIA

xouwn, und p. 319: rec JTE RO pÈv oÙY AYÉUNY EKOUHY TO Tis ous roro) xoi tiv (füge hinzu xetviv) Tis

Edôos éctlav xal To éperopa xal Oo Touuita eis iv mov ose. Vgl. Aelian V. H. 4, 6: nvixa éfou- Xovro Auxedampovier Tv ASnvalov dpavioor TX, Np6- rnoav Toy Jedv* xal amexpivaTo TAY XoUny ÉGTÉAY TÂS “Ehados pur meveiv.

Ath. IX - 409 A: xai Zopooy êv YUvaIxELOUS" (TO- Xava Karvca, xara y21006 Bodoa arcèos Tox ui Tav rodre£avr. Dass statt Kazxca vielmehr Kowxoæ zu schreiben sei hat man mit Recht aus Ath. IX p.380E und Etym. M. p. 478, 13 gefolgert. Eine fernere Be- glaubigung der richtigen Lesart bietet Demetrius 7 reoi

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

526

rospatoy Vol. Herc. 1 p.121 der Oxforder oder Tom. V fol. 13 der zweiten Neapolitaner Ausgabe.

Clemens Alex. Protr. p. 35: puôdes rio YÉLo Sat apporte. raidæ vouïetet. Ueber diese Stelle sagt Cobet im Ep I p. 244 Folgendes: «O ete mpÉVes T Siosta! LayBeiou VTcv-

évralSa Ôn 10 Tagot- L » , * TATNE AVOUSÉTTOS

Acytos ‘I OTA To0s TA [ÉTEQ EVTÉOS aic tos GAL rapepSagpévou. AtopSuTÉéov ratio avouSérntos UÉOV vouderei.

x 3;

osdmes Wôn Ta locbuvapa cuyyvtévre

’Ererta Ôè Tôv mods Tu eicl Tatnp xai us, oùyi

rate xai rmais.» Dass in dem Sprichwort des Cle- mens ein iambischer Trimeter zu suchen ist hat Cobet nicht zuerst wahrgenommen; ich habe vor zwanzig Jahren verbessert AYOUSÉTNTOS RAD VOUŸETEL TATO,

wie Cobet aus Com. Gr. vol. 5 p. CCCLXXI ersehen konnte. Dass statt vis die Abschreiber taës zu setzen pflegen halte ich nicht eben für wahrscheinlich; .lei- der hat Cobet sich die Mühe erspart für die von ibm vorausgesetzte Vertauschung der Synonyma eine An- zahl von Belegen beizubringen. Wenn er aber sagt, dem Worte rartno künne nicht raïs gegenübergestellt werden, so hat er offenbar gescherzt; denn dass raës den Sohn (die Tochter) bezeichnet weiss jeder Anfün- ger. Oder sollten Ausdrücke wie tatdov £r agro ynoloy, yevéo dat ratépa TAdEY, ThEUCVEY TAUdEY Ta- re‘) u. dgl. in Holland «ungriechisch» sein ?

Clemens Alex. Paed. IT p.185 eifert gegen den Ge- uuss verschiedenartiger und fremdländischer Weine: Ti yao oÙx dnéypn Ô Étipptos dTOTÀTPÔEL Ty ÉT!- Supiav; ei puy Te xal To Voup Éroicovter, < Baorheïs ci dvonror. Xéaonis rorauos coûte heyépevos Tûs Ivb- QULE xaXMoTOY VOME Ets néoty To Xoadontov, XA3- dnsp xal vous pihous, coûte D mai Up ÉTAYE LE vev, Nach Cobet im Aéytos Eguñs I p. 186 f. hat die Stelle ehemals folgendes Aussehen gehabt: Xoxorns oTaoG oùtw Àe— yéuevos ts Ivdtxñe,

xalliotoy Uôwp Eic Too ro Xoacxetov.

= aux Og Baarheïis oi avénret , A (14 XOSGTER Xal TOUS QÜAOUS OUTO ! S xai To UOOp ÉTAYOPLEVOL.

11) Gerade diese Ausdrücke finden sich in den Bruchstücken des Menander, mit denen Cobet sich bekanntlich oft und gern be- schäftigt hat. Die Wendung raidwv x dpoto (statt èr apett) yvn- ciwy habe ich in einem Briefe des Procopius aus Gaza bei Mai Class. auct. IV p. 266 hergestellt Trag. Gr. fr. p. 708, was R. Hercher im Hermes I p. 475 entgangen ist.

527

Bulletin de l’Académie Empériale

528

Die über den Choaspes gegebene, den Zusammenhang der Stelle strende geographische Notiz ist offenbar eine in den Text eingedrungene Randbemerkung, wo- nach es denn nicht weiter befremden kann, dass auf den Indischen Choaspes übertragen wird was von dem an der Stadt Susa vorbeifliessenden Choaspes zu ver- stehen war (vgl. Herodot. I, 188, 1: otopateuero dn 0 Baotheds 6 péyus mat ouricior écxevacpéves éE oi- xou xal rpoBatoiot, xal Ôn xat VÜop ar0 Toù Xoacreo roTapoÿ due dyerar Toù rap Zoûca béoytog, Toù pLou- vou mévet Baotheds xat œAhou oudevos motapod). Wenn jedoch Cobet auch die Worte Xodomewv als inter- polirt ausscheidet, so hat er, um ein von ihm belieb- tes Bild zu gebrauchen, mit dem Unkraut auch etwas Weizen ausgerissen und ist weder dem Clemens noch seinem Scholiasten gerecht geworden. In der Rand- glosse nämlich sind die Worte ro Xoaometov, nachdem voraufgegangen ist (d. h. Xoxonov) Üdop, zweck- los und stürend; und hätte Clemens nur gesagt was Cobet ihm beilegt, ©s ci Baarheic avénrot xaSanep xal Tods pihous coût Ôn xa To Udop ÉTaYEVO, S0 würde keiner so leicht die versteckte Beziehung der letzten Worte errathen haben; am wenigsten dürfen wir einem halbgebildeten Scholiasten zutrauen dass er die so allgemein gehaltene Andeutung richtig ver- standen hätte. Die geographische Notiz über den Choa- spes verdankt ihr Dasein augenscheinlich nur dem Umstande dass im Texte von dem Xodomz:tov 08op die Rede war. Freilich künnen die Worte ro Xcaoraetoy nicht diejenige Stelle im Texte behaupten, welche durch die Ueberlieferung ihnen angewiesen ist; wir müssen daher annehmen dass sie ebenfalls am Rande gestanden haben, aber lediglich in Folge einer unwill- kürlichen Auslassung. Die Stelle des Clemens wird vielmehr so zu schreiben sein: @s cf Buotheïs avento xaSadnep xal vols pihouç, obte xai To UÜmp To Xodonerov émaæyoueve. Noch muss ich hinzufügen dass Cobet an der Emendation wie an der Verstûmmelung der in Rede stehenden Worte vollkommen unschuldig ist. Bereits Valckenaer hat zu schreiben vorgeschla- gen: 6$ of Baorhets avontor xadanep xa ToÛs qÜhous, ot xat To Uowo éraycuevor. Dass statt des Valcke- naerschen coûte xat das handschriftliche coûte dE xœi (wofür Cobet oïto Ôn xai schreibt) beibehalten wer- den konnte, hat Bast Epist. crit. p. 223 bemerkt. Beides lehrt die Ausgabe des Clemens von Klotz,

welche Cobet nach seinem eigenen Geständniss be- outzt hat.

Hippias bei Clemens Alex. Strom. VI p. 745 erklärt dass er aus älteren Dichtern und Prosaïkern vieles entlehnt habe und sagt darauf: 2yô SE x ravroy tou- TOY TA HLÉVIOTE xaÙ Cuopuda GUYIElS ToÛTOY xatVOY x! novel Tov Àcyoy mounccuat. Cobet meint im Adyos “Eouis I p. 232, statt ta péyota xal ouépuda sei ta BéAtiota xai cuoœuia zu bessern. Vielmehr dürfte Hippias ta padista oucœuda geschrieben haben —falls pämlich cuéquAc richtig ist, worüber wir bei unserer Unkenntniss in Betreff der Schriften des Hippias zu urtheilen nicht vermôgen. War paktota in péyiotæ übergegangen, so lag die Einschaltung des xai sehr nahe. Derselben Einschaltung begegnen wir auch sonst, vel. Eurip. Studien I p. 114. Eben dahin gehôrt He- rodot. VII, 23, 8: oi dE Poivwxes oopinv Év te Toior &à- Aotot épyoor arodcixvuyrar xai Ôn xal Ev Éxeo. drc- Aayovres yap [pLoprov] Ocov autoior ÉtéBadhe, dpuadov ro Wév avo otopa Tis Gopuyos roueûvres DTAoLo n Coov de aura Tnv dtopuya yevéo dar, mooBatvoyros Tod Épyou ouviyov atel” xato Te Ôn éylvero xai ÉÉtcoûto toîot œhdoust To épyov. Die letzten Worte, die sich in der jetzigen Fassung dem Verständniss einziehen, sind so herzustellen: xato te On éylveto éË iocou voi- ct æXhctor to Epycv. Statt EZ=ICOYTOICI las man EZICOYTOTOICI (d. h. éétcodro toto!) und meinte nun die Verba éytveto und éftooûto durch die Copula xai verbinden zu müssen,

Procopius Gaz. in Cuiacii Epist. Graecan. p. 443 0Sev 0 pèv Os MAAOTEO KEHOMUEVOS GLATL TAV ÉAEUGÉ- pay ÉXEVNY POVnv, TTÂGE, RÉVOY, TTNO0E Toy éË dVApyou TUR&XOV, ŒUÜTOY VAE AVÉÉMEYOV OÙTOTE TTNO- gets" © D TOV UT Ap{OVTOY ÉxBoANY AU IA ÉpETOV Too LE vos, Koatns, Epacxs, Koarnta éheuSepot. Es gränzt an das Unglaubliche, wenn zu den Worten rriocc roots bei Cuiacius die Lateinische Uebersetzung gegeben wird: «venientem avapyov crumenam. ipsum enim metue inquiens, metue avéÉaoxoy nunquam me- tuis». Sicherlich werde ich keinem Leser etwas neues sagen, wenn ich bemerke dass es heissen muss: trto- ce, Xéyov, rriooe Tov AvaËapyou SUhaxov' aÿtoy yo AvaËaoyoy oùnore roots. Die Anekdote auf welche hier Bezug genommen wird, findet sich oft erwähnt; vgl. Benseler Würterb. der Griech. Eigenn. p. 84 und Gregor. Naz. vol. 1 p.822 C. Ueber die nachher ange-

529

des Sciences de Saïint-Pétersbourg.

530

führten Worte gibt weitere Nachweisungen Bergk Lyr. p. 27 ed. alt., wo die obige Stelle hinzuzufügen ist.

Procopius Caes. de bello Persico IT, 15 vol. 1 p. 222 ed. Dind.: xat aÿroi oohoyour Tis Te 6000 myepnoves | V xat Toù épyou toutou Ilépoous éceoèar roonovou. Statt des unverständlichen letzten Wortes hat man ehemals rooroho vorgeschlagen, eine Vermuthung welche Din- dorf zu Soph. Ai. 1197 und im Thes. Gr. L. vol. 6 p. 1820 B billigt. Ich halte die Verbindung égyou ivos recrohos für unmüglich. Ohne Zweifel schrieb Proco- pius: Toù épyou toutou Ilépouts RE ROCÉEVOL. Statt anderer Belege vgl. Alciphr. 3, 72, 2: dretérn- gev êpE Tocéevov elvar Ts XoIvOvES. Et Il. p. 485, 17: xato petaocoav xai Ô xahoù TIvVèS 7 KAXOÏ aiTios oÿto (nämlich rocËevos) Xéystat, olcv drohelas TpcEs- Vos 1 DIonds N GoTpias N VYEURS.

Bekanntlich hat Valckenaer hinter dem Ammenius ein kleines AcËrxov reot rvsupaétoy herausgegeben. Als Verfasser desselben bezeichnet Boissonade Anecd. II p. 37 den Iohannes Levita; ich halte es für wabr- scheinlicher dass die von Valckenaer verôffentlichte Schrift nichts weiter ist als ein Excerpt aus der von jenem Johannes verfassten Zusammenstellung. Dies scheint hervorzugehen aus zwei Stellen des Lexikon selbst, p. 215: xat 009 ro ÉTISUUMUE&" TOÙTO DE pr Roÿpevey ebpoy éy vois ‘loawvou, und p. 218: épèo TodTTO* ToÛTO Yap Év Toîs ’Luavvoy Sacuvopevoys ebpov. Denn der hier erwähnte Iohannes wird kein andrer sein als eben jener Iohannes Levita aus Bithynien, welchem Boissonade das Opusculum beilegt auf Grund folgender Verse, die Cramer Anecd. Paris. vol. 1 p. 397 aus der Pariser Handschrift Nr. 1270 herausge- geben hat: ‘Iodwvev révqua Asvétou téde, rares À yh rôv BSvvoy rodsSe à Mupéov ads À yupa p7- rocèev. Dass hier drei iambische Trimeter vorliegen ist leicht wahrzunchmen; denn Buvoy rocaSey ist von Cramer in den Text gebracht statt des richtigen B'suvoy rarpo%ey bei Boissonade Psell. p. 291. Statt n Mugéov hat Boissonade "Hyegéov gelesen, was er in ‘uspatoy ändern wollte. Wenn ich nicht irre, ist zu schreiben:

’odvou rovnua Acvétou tode, rartois n Vi TOv BiSuvy tatoo Se), 1 Mocioy adts jopa HnTeoev. In einer Delphischen Inschrift bei C. Wescher und Tome XII.

P. Foucart (Nr. 230 p.170) heisst es: AQOVTeS y pv

“Houxhela AproroBcurou Iurowvos Oscdwpou pavos Ho-

du év Aehoots apycvres Houos toù IDiséotoves pr- : Thatou. Aus dieser Stelle hat Benseler in seiner OH dankenswerthen Bearbeitung des Papeschen Würterbuchs der Griech. Eigennamen einen Monat

"Haxos aufgenommen und nicht ermangelt den uner-

hürten Namen auf eine unerhürte Weise zu erklären. Wäre "Hartos ein Monatsname, so würden wir uns nicht für berechtigt halten die Bedeutung «Blutmonat» anzunehmen, wie Benseler nach Hesych. v. fo es thut. Factisch aber ist, wie ich schon früher (Bulletin T. VIT p. 570 oder Mélanges Gréco-Rom. IT p. 630) gelegentlich bemerkt habe, MHNOZHATOY nichts weiter als ein Lesefehler statt MHNOZ.NATOY d.h. unvès évatou. Zur Erledigung etwaiger Zweifel ver- weisen wir auf Inser. Delph. Nr. 47 p. 52 : TpaTayéev- ros Tv Poxéov Tyreodvsos Aput[éos] pnvès évateu, y Ashoots DE apyoyros EÿSopou pavos Paatou, und Nr. 81 p. 73: ortoatayéovres Tôv Poxéov IluSéa E....e0 unvès évatou, év Aehoots apyovros Kheudamou toù Mavtia punvos ’Taaiou.

Aus Hippocr. p. 1127 B gibt Benseler den Männer-

namen AaruTtos, den er ich weiss nicht mit welchem

kechte oder mit welcher Freïheit übersetzt «P er- thus d. i. der glänzende Aayrutos». Für das mei- nes Wissens unerhôrte Aaurutos mag Benseler die Verantwortung übernehmen; statt Aarutos vermu- thete ich ehemals Aadtuyes, und glaubte denselben Namen in einer anderen Verunstaltung wiederzufinden bei Wescher und Foucart Inscr. Delph. Nr. 2, 4 p. 2, wo Aurruyou steht. Aber statt ox Axayïlo Au- roro hat Littré bei Hippokrates vol. 5 p.158 aus zwei Handschriften (CH) cé& +6 AxavSfo hatiro herge- stellt.

Der Name Metagtorn, den Benseler aus der Inschrift bei Ross Att. Demen Nr. 186 p. 102 aufgenommen hat, ist zu tilgen; denn meine am angeführten Orte ausge- sprochene Vermuthung, dass auf dem Steine vielmehr Msyasiorn stehe, ist hinterher bestätigt worden durch die Abschrift von Rangabé Antiq. Hell. IT p. 883.

Befremdlich ist es bei Benseler p. 314 zu lesen: «Atoynhos, m. falsche Lesart in Schol. Ap. Rh. 1, 105». Gevwiss ist die Lesart Aloynhces (statt Aîcyvaos) so falsch und so schlecht verbürgt dass es sich nicht lohnte da- von irgend welche Notiz zu nehmen. Gar keinen Sinn

34

531

Bulletin de l’Académie Impériale

53?

hat es, wenn durch Theognost. p. 10, 26:ratogucs taoa ’Dietous o ais, der Herausgeber sich bestimmen liess ’D\sios als falsche Lesart statt HAsïos zu verzeichnen. Eben so wäre p. 296 der vermeintliche Commentator des Homer AtauSces besser fortgeblieben; denn statt AtuSos ist mit Bergk zu lesen AgtaSos: über diesen Schriftsteller vgl. Müller Fragm. Hist. IV p. 318 f. und Schol. Od. x, 495. An einer anderen Stelle heisst es bei Benseler: «Einôoç, m. viell. —’Inÿos, also Frôhlich, denn émddves =— evppoouvn, yapat, nach Hesych., Mannsname, Arcad. p. 48, 19.» Es heisst den Scharfsinn verschwenden, wenn jemand entschieden fehlerhafte Lesarten zu erklären versucht. Nur auf einem Abschreiberversehen beruht der Peripatetiker "Eérouvns, welchen Benseler aus Bekk. Anecd. p. 729, 23 entlehnt hat: statt rug “Efrodvous hat Classen un- zweifelhaft richtig HouËétoaveus hergestellt, wonach die falsche Conjectur AcËtoavns keine Erwähnung ver- diente. —"Hpcoodos wird von Benseler erklärt «Fruh- nert (d. h. mit der Frouwa oder Hera tüchtig, vgl. coÿo Sat cpuäcSat)». Diese Etymologie klingt aben- teuerlich, und der Name selbst, der aus C. I. 2056 c vol. 2 p. 79 aufgenommen ist, scheint fehlerhaft; wir môüchten dafür Ipocoëes in Vorschlag bringen, zumal da der erste Buchstabe bei Bückh als undeutlich be- zeichnet wird. Nicht minder verdächtig ist der an- gebliche Name Kovôvos aus Mionnet; es wird Kov- duuvos heissen müssen. Die Schreibung Ilagpowôns ist durch C. I. 165, 24 vol. 1 p. 292 keineswegs ge- sichert; auf Ilappoviôns weist die von Ross Att. Demen Nr.16 publicirte Inschrift. Mehrere falsche Namen bat Benseler aus dem Katalog der Pythagoreer bei Tamblichus V. Pyth. $ 267 allzu gläubig entgegenge- nommen, z. B.'’Agutos, was vermuthlich Evouros heis- sen sollte, Mekotas, wofür schon Keil Anal. epigraph. et onomatol. p. 228 Mexnotas hergestellt hat, Kaægo- oavrtèus, wo ich KAscoavridas vermuthen müchte. Bedenklich ist auch Tvgtxros (nach Benseler Schim- mel, indem yAogôs Bhoscs oder üréAsuxos sei): in den Worten des Iamblichus, Drogrros, "Edogts, ‘It- rov, scheint lrogrros nichts weiter zu sein als eine Dittographie der beiden unmittelbar folgenden Namen.

Zahlreiche onomatologische Irrthümer sind ver- schuldet worden von den späteren Schriftstellern selbst, die sich durch falsche Lesarten täuschen lies- sen oder ältere Texte, die ihnen vorlagen, unrichtig

auffassten. Wenn der Verfasser eines Namenwürter- buchs derartige [rrthümer registrirt, so überschreitet er in keiner Weise seine Befugnisse; für durchaus nothwendig aber halten wir es dass die Irrthümer, so weit es eben müglich ist, als solche bezeichnet wer- den. Wenn z. B. Clemens Alex. Strom. I p. 396 einen Baumeister Yréoov toùveue aus Alexander Polyhistor erwähnt, so mag der Lexikograph immerhin den ver- meintlichen Namen ‘Yrégoy aufnehmen, aber zugleich soll er bemerken, dass dieser Name, wie schon Potter erkannt hat, lediglich auf einer Uebereïlung des Cle- mens beruht, der die bei Eusebius P. E. IX p. 449 C erhaltenen Worte des Alexander, Te Gv dy aÿtoy épornons, falsch auflasste. Der hier ausgesprochenen Forderung ist Benseler nicht nachgekommen, wenn er p. 530 dem Eust. Od. p. 1845, 12 glaubt, ein Sohn der Lo habe den Namen Iaccs geführt. Allerdings sagt Eustathius: Aéyer S "Iacov Aoyos nv Ilslomcwmnoov aro Idocu Bacthéws toù ts ‘Ioës, Gotep To aûto xai Apyos Bud Toy RolhayeD OnAcumeEvoy TavoTTny Apyov. Aber der Künig lasos, von dem er redet, ist kein an- derer als der bekannte Vater der Io. Diesen zum Sohn der Io zu machen liess er sich verleiten durch das Schol. B. Q. Od. 6, 246: ’Iacov Apyos] toy Ileho- rowmoov axo Iaoou.toù tas Lous* mois Tv «ut xai Ayaïxov Agyos onct. Er sah nicht, was auch den neueren Kritikern entgangen ist, dass die sinnlose Praeposition recs nichts anderes ist als taxocs, was bekanntlich toos geschrieben wurde, dass es also heis- sen muss: ty Ilehotéwmocv ano Iooou toù tie ’Loûc Tatpos' Tv auTiv dE rai Ayaïxov Agyos onot. Zu verwundern ist es, wenn wir bei Benseler p. 904 lesen: «Mécaros, Mittelmann, Mannsname, Eur. ep.» Der angebliche Tragiker Mesatos ist ein Phantom, veran- lasst durch Ar. Vesp. 1502: vics Kapxtvou © pécaros, vel. Meineke Hist. crit. p. 513 f. Durchaus irrthüm- lich ist was p. 523 des Würterbuchs der Eigennamen steht: «@uvov, ovos m. Schmauser, Schriftsteller, Phot. cod. 167.» Desgleichen was wir p. 1250 lesen: Ioavotoy, wvos, m. (Billig), Schriftsteller, Phot. cod. 167.» An der bezeichneten Stelle berichtet Photius über die noch gegenwärtig vorhandenen, freilich nicht vollständig auf uns gekommenen Sammelwerke des Iohannes Stobaeus. Die angeblichen Schriftsteller Ov- voy und Iloavstoy sind von ihm gemacht aus den Na- men Zweier Vülker, der Thrakischen oder Bithynischen

533

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

534

—_—

@vvot und der Indischen Ioaoter. Dies lehrt die von Photius benutzte Stelle des Nicolaus Damasc. bei Stob. Flor. 37, 38: Ioaor (1. Ilodouot) toùs actu yeirevas, éav MyG rec dÔo!, toéoouo. Guver (L. Ouvsi) TcUs vava- vods oavSouros dsyopevor éhous roicivrat. Aus dem- selben Capitel des Photius hat Benseler unter anderen folgende Artikel aufgenommen:

AvaEëdha, f. Mathilde, Dichterin.» Eine Meta- morphose des bekannten Komikers Anaxilas, s. Stob. Flor. 57, 4. Bei Photius steht der Nominativ AvaEl- Ans, der sich daraus erklärt dass er AvaËtXhou statt Ava£thaov las. Die Feminalform Avzéthax ist eine mo- derne Erfindung. :

«@zdBoudos, m. Gotrat, Philosoph.» So steht mehr- mals bei Stobaeus; dass dafür durchgängig KaAscBouhos zu lesen ist, habe ich schon früher bemerkt (Bulletin II p. 338 oder Mélanges Gréco-Rom. IT p. 270).

Irrahcs, m'Rüssel, ein Philosoph.» Der Philo- soph hiess vielmehr ‘Irraces, wofür die Variante IT rahoz bei Stob. Ecl. I p. 304 angemerkt wird.

dIrroves oder ‘Irrévns, gen. ‘Irrovev, m. Ross- camp, Philosoph.» Statt ‘Irroves hätte Photius "Ir- roves schreiben sollen vom Nom. ‘Irrov (Stob. Ecl. I p. 798).

«@shépowos , od. @sréscoos, m. Wünscher (d. h. zaubernd, denn Sehepéy Sehexté und +0 Sékyov Ta éupara, Hesych.), Dichter.» @eképopos (so hat Pho- tius geschrieben, nicht @shépepos) ist der corrumpirte Titel einer Euripideischen Tragoedie, des Bellerophon- tes. Dies geht hervor aus Gaisfords Bemerkung zu Stob. Filor. 100, 3: «hic ct seq. locus repetuntur in À [eben so im codex Escorialiensis des Mendoza] post n. 4 cum lemmate SeMégopos». Végl. Eur. fr. 294.

Indem ich meine Bemerkungen zu Benselers Namen- würterbuch hiermit für jetzt abbreche, hebe ich, um etwaigen Missdeutungen zu begegnen, ausdrücklich hervor dass das Minimum der hier gemachten Aus- stellungen den Werth der vortrefflichen Arbeit kei- neswegs schmälert. Gerade weil Benseler um die Samm- lung der Griechischen Eigennamen sich sehr verdient gemacht hat, ist es nothwendig dass die seiner Arbeit anhaftenden Mängel hervorgehoben werden. Fremder Lobpreisung bedarf ein Werk nicht, das selbst hin- länglich für sich spricht, und zahlreiche Irrthümer sind nach der Natur onomatologischer Arbeiten kaum zu meiden. Nachträge zu Benselers Würterbuch zu ge-

ben wäre überaus leicht; viel wichtiger aber als die Vervollständigung ist die Ausmerzung des Falschen. Darum mag hier noch eine allgemeinere Bemerkung hinzugefügt werden. Sollte Benseler, was wir wün- schen und hoffen, zu einer neuen Ausgabe seines Wer- kes kommen, so wird er im Interesse der Wissenschaft handeln, wenn er seiner unglücklichen Neigung die Griechischen Namen mit falschen Etymologieen und unverständlichen Uebersetzungen auszustatten vüllig entsagt. Der Wegfall so vieler und so unfruchtbarer Phantasmagorieen kann dem Lexikon nur zum Gewinn gereichen.

Bald nach dem Erscheinen des ersten Heftes von Benselers Namenwôürterbuch schrieb mir mein unver- gesslicher Lehrer und Freund K. Keil in Schulpforte, dass er ein dleidliches Convolut» von Nachträgen zu diesem Hefte zusammengestellt habe. Zur Publication seiner Nachlese ist er leider nicht gekommen; darum halte ich es für meine Pflicht die nachfolgenden Be- merkungen, die er mir bricflich mittheilte, in weiteren Kreisen bekannt zu machen.

«C. I. G. 2477 c. 2 vol. IT p. 1094

NNORIOEETETES OEZZAAOZEKDAP.. AOY schreibt Bückh mit Ross (Arch. Aufs. IT, 525. Rhangab. n. 938) AThoysos Z[w]ore[areu Occcadds êx Pae[ca-

\CU.

Da der Stein deutlich ZIZT hat, so wird ein Verse- hen des Steinmetzen angenommen, was mir & priore immer bedenklich ist. Nun gicbt aber Pittakis in der Eph. arch. n. 485, und das hat man allgemein über- sehen, vielmehr ANOXOZEIE. Das liest er AXoyss Zio[voov und findet als blinde Henne wenigstens das zweite Korn. Denn jener Proxenos der Anaphäer auf der dem vierten Jahrhundert nach der Schrift angehôri- gen Anagraphe hiess Aacyos Eovocu und ist hüchst wahrscheinlich der vom Demosthenes pro coron. 295 Er- wälhmte. Einen Pharsalier Sisyphos kennen wir glück- licher Weise aus Theopompos bei Athen. VI, 252 F. Aus Polybios 40, 1 p. 1164 Bekk. führt Benseler einen Avaridns, ovs, an: das ist aber der Axactidas Khcouvdorou Bouwrios der Alt. Inschrift bei Rhang. n. 34*

535

Bulletin de l’Académie Empériale

536

962 (Lebas Attique n. 615), und bei dem Historiker ist überdiess KAcopévous unrichtig.

Ein drûtes zu berühren, so gedenkt Benseler der Form Aèystdos (vermuthlich wird er auch ’EgsxSetdos und Oiveidos erwähnen) und citirt Buttmanns Ausf. Gramm. Sehen Sie selber zu, wie wunderbar der treff- liche Grammatiker um diese Unform herumgeht. Seit Boeckh im C. I. G. verkannt hat, dass AIFEIAOË «. dal. Ueberbleibsel der alten Orthographie ist (EPMEI, TEI BOYAEI, AFAQGEI TYXEI «. dgl. Formelhaftes) und Atyetdos gesetit hat, seitdem figurirt das Curiosum bei berufenen und unberufenen Herausgebern.»

So weit die Mittheilungen meines Freundes, des tüchtigsten Onomatologen den die Griechische Philo- logie bis jetzt geschen hat. Dass ich Keïls Worte un- verändert wiedergegeben habe, wird man nicht miss- billigen ; natürlich hätte er für den Druck hie und da eine andere Form gewählt. Ueber die dritte der oben behandelten Fragen hat er sich in einer Gratulations- schrift an C. Fr. A. Nobbe, De inscriptione Attica comment. p. 12 Anm. ausgesprochen, wo er sagt: Cumanudis, cum in lapide sit AIFEIAOË, scripsit At- veidos, ut EpsySeidos locis aliis. Eandem scripturam, commemoratam a Benselero in Lex. Nomin. Propr. s. v. Aynis, olim expresserat Boeckhius; verum in ea nilil reconditi haberi sed superesse vestigium antiquioris scri- bendi generis, cui E erat pro H, facile est ad demon- strandum. Die Hoffnung durch K. Keil einen um- fassenden Thesaurus der Griechischen Eigennamen zu bekommen hat sich leider nicht verwirklicht; müchten wenigstens die unschätzbaren Vorarbeiten dazu, die er während eines Vierteljahrhunderts rastloser Thä- tigkeit in einer langen Reïhe von einzelnen Abhand- lungen an den verschiedensten Orten ausgestreut hat, baldigst von kundiger Hand vereinigt und durch ge- genaue Indices nutzbar gemacht werden: damit wäre nicht nur der Onomatologie, sondern allen Gebieten der Alterthumskunde ein wesentlicher Dienst geleistet.

Verg. Aen. II, 94 96:

nec tacui demens et me, fors si qua tulisset, si patrios umquam remeassem victor ad Argos, promisi ullorem et verbis odia aspera movi.

Es erscheint als hôüchst wunderlich, wenn Sinon, der den Tod des Palamedes zu rächen droht, die Vollzie- hung der Rache vertagen will bis er als Sieger nach

Argos zurückgekehrt sei. Zunächst ist es unklug dass er den Trojanern gegenüber hervorhebt, er habe die Absicht und die Hofinung gehegt das Troische Reich zu stürzen. Diese Notiz konnte um so eher fortblei- ben, da nach der folgenden Darstellung des Sinon das Griechische Heer sich in einer hüchst bedrängten und vüllig verzweifelten Lage befand, so dass man nicht mehr an die Eroberung der Stadt Troja, sondern ledig- lich an das Aufgeben des ermüdenden Krieges und an schleunige Rückkehr in die Heimath dachte. Sodann setzt Sinon, indem er die Ermordung des Palamedes nach der Ueberwindung Trojas rächen will, voraus dass Troja fallen muss auch ohne den Palamedes; er betrachtet den Tod des Palamedes als irrelevant für den Erfolg des ganzen Unternehmens, er verringert die Schuld des Ulixes und seiner Helfershelfer ohne allen Zweck und gegen alle psychologische Wahr- scheinlichkeit. Ferner konnte Sinon*einen unpassen- deren Augenblick zur Ausführung seiner Rachegedan- ken nicht wählen als die Zeit nach der Rückkehr in die Heimath, wo über den Mord schon Gras gewach- sen war, wo die Siegesfreude die früheren persün- lichen Kränkungen vergessen liess, wo die Urheber der That den Augen und der Hand des Rächers ent- zogen waren. Endlich ist es psychologisch unmüglich dass der rachedürstende Sinon, der in heïissblütiger Aufwallung so unklug ist seine büsen Absichten selbst zu verrathen, die Ausführung des Vorhabens verschie- ben soll ad Graecas Calendas,nämlich bis nach der glück- lichen Beendigung eines Krieges, dessen Ende sich gar nicht absehen liess. In den kurzen Worten fors si qua tulisset ist genau das enthalten was hier am Platze ist, dass Sinon bei erster Gelegenheit sich rächen wollte; der nachhinkende Vers

si patrios umquam remeassem victor ad Argos

ist eine in keiner Hinsicht wünschenswerthe, in mehr als einer Hinsicht stôrende Specialisirung. Einen so unpassenden Zusatz müchte ich aber eher einem in- terpretirenden Corrector oder Grammatiker als dem Dichter selbst zutrauen; ich halte daher V. 95 für in- terpolirt. Ausserdem leidet die obige Stelle noch an einem kleinen Fehler. Der jetzige Text besagt: «nicht schwieg ich und versprach Rache zu nehmen und er- reste Hass». Jedenfalls würde der Ausdruck gewin- nen, wenn es hiesse: «nicht schwieg ich, sondern

537

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

538

——_—

versprach Rache zu nehmen». Diesen Sinn bekommen wir durch Verdoppelung eines Buchstaben:

mec tacui demens, set me, fors si qua tulisset, promisi ultorem et verbis odia aspera movi. Wie leicht demens set in demens et übergchen konnte, ist klar. An die eben besprochenen Verse schliessen sich folgende an:

hinc mihi prima mali labes, hinc semper Ulixes

criminibus terrere novis, hinc spargere voces

in volqum ambiquas et quacrere conscius arma. Der Dichter dürfte geschrieben haben Laec milà prima mali labes, wie man im Griechischen lieber sagen wird doyn por VÉYOY TONY xarov als évSévde doyn Lot YÉYOVE TOAGY XAXOY.

Aen. VI, 534. Deiphobus richtet an Aeneas die Frage: welche Schicksale trieben dich das Schatten- reich zu besuchen? Sed te qui vivom casus, age fare vicissim, attulerint

ut tristis sine sole domos, loca turbida adires?

Heyne findet in éwrbida eine Hindeutung-auf das Chaos, das gern zu der Unterwelt in Beziehung ge- setzt werde, und erinnert daran dass aer turbidus so viel sei als aer obscurus. Aber wie man sich auch winden mag, die Bezeichnung der Unterwelt durch loca turbida, «verwirrte» oder «stürmische» Gegenden, ist und bleibt absurd. Der Dichter schrieb ohne Zwei- fel Zoca lurida. Denn luridus ist die Farbe des Todes; daher finden wir Ausdrücke wie lurida aconita bei Ov. Met. 1,147. Mors lurida bei Silius Ital. 13, 560. Ganz entsprechend der vorliegenden Stelle sagt Hor. Carm. I, 4, 74: luridum missos ad Orcum. Propert. IV, 11,8: ubi portitor aera recepit, obserat herbosos lurida porta rogos. Vgl. auch Lucan. I, 455: acitas Erebi sedes Ditisque profundi pallida regna, u. ähnl.

Aen. VI, 890 899:

eæim bella viro memorat quae deinde gerenda,

Laurentisque docet populos urbemque Latini,

et quo quemque modo fugiatque feratque laborem.

sunt geminae Sommi porltae; quarum altera fertur

cornea, qua veris facilis datur exitus wmbris,

altera candenti perfecta nitens elephanto,

sed falsa ad caelum mittunt insomnia Manes.

his ubi tum natum Anchises unaque Sibyllam

prosequitur dictis portaque emittit eburna,

ille viam secat ad navis sociosque revisit.

Dass vorstehende Stelle an einem Schreibfehler und an einer durch diesen Schreibfehler hervorgerufenen Interpolation leide, habe ich im Lexicon Vindob. p. XL zu erweisen gesucht. Da dort die Stelle nur bei- läufig erwähnt wurde als Beleg interpolirter Verse die sich in allen Handschriften des Vergilius finden, so verfuhr ich summarisch: ich beschränkte mich auf Andeutungen, um die genauere Begründung meiner Ansicht an einem anderen Orte zu geben. Dies soll hier geschehen, auch auf die Gefahr hin dass ich durch Eimwürfe künftig veranlasst werden künnte abermals auf denselben Gegenstand zurückzukommen.

Wenn Aeneas durch eins der beiden Traumthore aus der Unterwelt geht, so stimmt dies durchaus nicht zu dem was wir sonst von den Traumthoren hôüren. Die Träume wohnen in der Unterwelt gleich den nächtlichen Spukgestalten und Gespenstern, die in der Finsterniss ihr Unwesen treiben, vor der Tages- helle dagegen verschwinden. Man verlegt ihren Wohn- sitz in den Vorhof des Erebus, weil sie mit der Ober- welt unablässig den regsten Verkehr unterhalten, und gerade in diesem regen Verkehr scheint der Grund zu liegen, weshalb man ihnen besondere Thore zu- wies, durch welche sie bequem hin und her gehen. Geredet wird von den Traumthoren in doppeltem Sinne. Einmal heisst es von den sanft schlafenden dass sie in den Traumthoren schlummern; so wird Penelope Od. 5, 809 bezeichnet als 490 pahz xv6a- goug” &v ovsrpetnot mukqotv, und ähnlich sagt Babrius 30, 8: 6 AMSovoyès eldes Ürvuoæs avrèv Toy Eopiy y nuhats éverpelors. Sodann wird unterschieden das hôürnerne Traumthor, durch welches die wahrhaften, und das elfenbeinerne, durch welches die trügerischen Träume kommen. Bekannt ist die älteste und wichtig- ste Stelle wo hiervon geredet wird, Od. +, 562— 67:

Sotal yap Te TÜha duevnvov eloiv CvElpOY”

ai pèv ya epasoot rerevyatar, ai à éhépav. rov pév x’ ÉASoot dia rousTod é)ÉpAVTOs,

ct & 2lcouipovrau, Ëre Axpdavra PÉPOVTES"

SE du Écorôv xcpduv ÉATOO SUpake,

ct érupa xpmévoust, BooTüv Gre xév Tis Tnt.

Auf diesen Homerischen Versen beruhen alle übri- gen Stellen wo die beiden Traumthore erwähnt wer- den; durchgängig finden wir sie nur genannt mit Be- ziehung auf die wahrhaften oder trügerischen Träume.

539

Bulletin de l’Académie Impériale

540

Es wird genügen, wenn wir, ohne Vollständigkeit zu erstreben, die wichtigsten Zeugnisse anführen. Plat. Charmid. p. 173 A: æxous Ôn, Éonv, To éuov Gvæo, elte da xepatoy etre D éAépavros ékmavSey. Lucian. Gall. c. 6 vol. 2 p. 712: os pado eite dia TOY ÉAcoavtivoy muXOY cite Dia TOY xEpATIVOV Got © GVELLOS MXE TEUTO- pevos (wo nachher in scherzhafter Weise gegen die allgemein herrschende Vorstellung polemisirt wird mit den Worten: êmo 5 du4 youaüy tvovy ru)Gy 0 NdtoTos doixeto, JoUooÙs xal autos ka OUT TaAvTu REpuBe- Blnpévos xai rod érayomevos youctov). Themist. XXI p. 263 O: et pév auto ypnoTov xai etpnuoy dvap ÉTIOTUIN XEDANŸ, AUEVNVOY TE OvtTos éott xat DL Tv ékcoavtivoy nxet TUAGV, Tois DE houddpors Te xai Basxavcts avarertapévo etolv ai TUA TOY XEpA TE. Nonnus Dionys. 34, 89: Moppéa Ÿ Urvoovra Tapnra- pev oùus ovetpou xAebivouv Aémavtos dvatéaca Tuhdwy. Colluth. 311: dœuas ruhas (n vLË) otÉey ovetpoy, Try pév aAnSetns, xepdov À arehdureto xdopo, ÉvVSeY ava- Soocxcuor Sedv vnueptées pat, Tv À EAEDavT my, xeveov Spérretpav Ovetpwv. Anth. Pal. 7, 42: à péya Barriadao aopoë repiruotov ovetpoy (so Meineke statt Gvetap), À © étedv xcpaov oùd éAévavros équs. Propert. IV, 7, 87: nec tu sperne pis venientia somnia portis. Hor. Carm. III, 27, 41: émago vana, quae porta fugiens eburna somnium ducit.

Der Sinn dieser auf die Traumthore bezüglichen Ueberlieferungen ist leicht verständlich. In den Traum- thoren schlummern bedeutet ursprünglich ohne Zwei- fel einem Todten gleich schlafen, so fest als wäre man in die Unterwelt entrückt. Die Dichtung aber von dem hôrnernen und elfenbeinernen Traumthore beruht, wie die Homerische Stelle deutlich zeigt, auf einem ety- mologischen Spiele: man combinirte cpatpecSat mit ékéqus und xoatvety mit xépas. Dass dagegen der pus Aeneas, um aus der Unterwelt zu den Schiffen zurück- zugelangen, durch ein Traumthor seinen Weg nimmt, steht in grellstem Widerspruch mit allen sonstigen Nachrichten des Alterthums über die Traumthore, und es scheint mir vüllig unmüglich in dieser Fiction einen vernünftigen Sinn wahrzunehmen oder das poe- tische Motiv nachzuweisen, das zur Erklärung der seltsamen Neuerung dienen künnte. Die Herausgeber des Vergilius lassen uns vüllig im Stich; vor wenigen Jabren aber hat J. Henry Philol. XVII p. 648 den Gang des Aeneas durch das Traumthor zu erklären

versucht. Er meint, der Dichter wolle zu verstehen geben dass Aeneas nicht in Wirklichkeit, sondern nur im Traume der Unterwelt seinen Besuch abgestattet habe. Man môchte fast glauben, Herr Henry habe, als er dies schrieb, seinen Zustand auf Aeneas über- tragen; er selbst war jedenfalls ein 190 soda xvoccov év Ovetgelnot TUhNotv, wenn er sich oder anderen ein- reden wollte, dass Aeneas die Unterwelt nur im Traume gesehen habe. Die ununterbrochen zusammenhängende Erzählung welche im sechsten Buch der Aeneis ge- geben wird, lehrt ganz klar und ganz unzweideutig dass Aeneas nicht im Traume, sondern in wachem Zu- stande, wirklich und leibhaftig, wie Odysseus bei Ho- mer, die Unterwelt betreten hat, und eben dies be- stätigen die oben angeführten Worte viam secat ad navis sociosque revisit, die durchaus sinnlos wären, wenn Aeneas nur geträumt hätte. Will Herr Henry seine Traumtheorie aufrecht erhalten, so wird er vor allen Dingen zu zeigen haben, wo der Traum des Aeneas beginnt, ob bei der Befragung der Sibylla oder bei der Landung in Cumae oder vielleicht noch früher. Nebenbei müchten wir gern erfahren, was den Dichter bewog von dem Traume des Aeneas in so räthselhaften Andeutungen zu sprechen, die ausser Ern. Henry niemand verstehen kann, warum Aeneas weder sich schlafen legt noch aus dem Schlaf erwacht, und weshalb er durch das Traumthor gehen musste um zu seinen Schiffen zu gelangen. Endlich scheint Herr Henry dies ausser Acht gelassen zu haben, dass es sich hier nicht um eins der beiden Traumthore schlechthin, sondern speciell um das elfenbeinerne Thor handelt, d. h. um das Thor der falschen und lügenbaften Träume. Was wir uns dabei denken sol- len, lässt Herr Henry ungesagt: vielleicht schien ihm die Sache zu einfach um einer Erklärung zu bedür- fen, vielleicht hielt er diesen Umstand für unwesent- lich. Uns will es bedünken dass die Erwähnung ge- rade des elfenbeinernen Thores, nach Herrn Henrys Auffassung ein Fingerzeig des Dichters dass Aeneas unwahres geträumt habe, hier ganz räthselhaft oder vielmehr hôchst unpassend sei; aber wir müssen ab- warten, ob und wie Herr Henry künftig diese Schwie- rigkeit zu lüsen versucht. Einstweilen halten wir uns an das was Muret V. L. XI, 7 über den summus Home- ricarum virtutum imitator Virgilius bemerkt: cum duas, ex Homero hoc quoque, Somni portas fecisset Aencan

541

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

54?

spectatis illis inferorum portentis porta eburna egredien- tem facit, ut sagacibus lectoribus suspicandum relinque- ret talem esse totam illam regarohoyias, qualia somnia ex inferis eadem illa porta exire divisset. Wir dürfen zuversichtlich behaupten dass dem Vergilius nichts ferner liegen konnte als die lehrhafte Tendenz welche Muret ihm unterschob. Das gebildete Publicum der Augusteischen Zeit, für welches er schrieb, war auf- geklärt genug um die Wunder des Heldenepos und die Prosa der realen Wirklichkeit selbständig und ohne besondere Anleitung von einander scheiden zu künnen: die Aufgabe des Dichters bestand also nicht darin das Wunder zu kritisiren, es als willkürlich er- funden und als unmôglich darzustellen, sondern viel- mehr ihm Leben und poetische Wahrheïit zu verlei- hen und auf diese Weïise den Leser in eine ideale Welt zu versetzen, in der sich Wahrheit und Dichtung uvaufhôrlich begegnen. Wollte und konnte Vergil die Schrecknisse der Unterwelt nur mit der Clausel er- wähnen, dass dies Ammenmährchen seien, an die kein vernünftiger Mensch mehr glaube, so fragen wir, war- um er an die Darstellung der Unterwelt so viel Zeit und Mühe nutzlos verschwendete. Man kônnte es nur als Selbstironie betrachten, wenn er seine eigenen poetischen Schüpfungen mit der Schlusswendung dass alles nur erlogen sei wieder zerstürte; eine solche Selbstironie wäre môglich bei H. Heïne, bei Vergil ist sie undenkbar. Ausserdem wäre es eine Symbolik hüchst eigenthümlicher Art, wenn mit dem Gang des Aeneas durch das elfenbeinerne Traumthor vom Dich- ter protestirt werden sollte gegen die Wahrheït des- sen was der Dichter selbst oder was die Muse über die Dinge der Unterwelt gesungen hat. Gesetzt aber das elfenbeinerne Thor bedeutete entweder dass Ae- neas our geträumt habe oder dass der Bericht über die Unterwelt ein Hirngespinnst sei: in beiden Fällen ist die Erwähnung des Traumthores mit der patrioti- schen Tendenz des sechsten Buches der Aeneis un- vereinbar.

Bekanntlich benutzt Vergilius den Gang des Ae- neas in die Unterwelt, um den Ruhm des Rômischen Volks zu verherrlichen und die leuchtenden Namen zu feiern, die in der Geschichte der ewigen Stadt am meisten hervorstrahlen. Anknüpfend an die philoso- phischen Lehren von einer Wanderung und einer Läu- terung der Seelen, lässt der Dichter die künftig er-

stehenden Geschlechter bereits in der Unterwelt prae- formirt sein, von wo sie, wenn ihre Zeit gekommen ist, an das Tageslicht emporsteigen. Auf diese Weise verschafit er sich die Müglichkeit durch den Mund des Anchises die Grossthaten des Rümischen Volkes prophetisch verkünden zu lassen und ein Gemälde zu entrollen, das die gefeiertsten Helden der Rümischen Annalen von den Anfängen des Staates bis zur Augu- steischen Herrschaft in glänzender Folge aufzeigt. Diese Verherrlichung des Rümischen Volkes und das dem Augustus überreichlich gespendete Lob würde sich in ein Nichts auflüsen, der Dichter würde seinen Patriotismus und seine Verehrung für Augustus ver- spotten, wenn Aeneas nur geträumt hätte oder wenn die Wahrheit des Berichtes über die Dinge der Un- terwelt in Frage gestellt würde. Dass es die Absicht des Dichters war nicht Träume oder Mährchen, son- dern überlieferte Thatsachen aus dem Schattenreich zu berichten, lehren auf das bestimmteste schon die Worte, mit denen er seinen Bericht anhebt V. 264 ff.:

di quibus imperium est animarum, umbracque silentes et Chaos et Phlegethon, loca nocte tacentia late,

sit mihi fas audita loqui, sit numine vestro

pandere res alla terra et caligine mersas.

Wir glauben zur Genüge dargethan zu haben dass der Gang des Aeneas durch das elfenbeinerne Traum- thor den Traditionen des Alterthums und der gesun- den Vernunft in gleicher Weise widerspricht, dass die bisher versuchten Erklärungen dieser Fiction weder an sich zulässig sind noch mit dem Charakter der Vergilschen Poesie und dem Zweck des sechsten Bu- ches der Aeneïis sich vereinigen lassen. Das richtige Gefühl dass dem elfenbeinernen Traumthore ein ver- nünftiger oder auch nur erträglicher Sinn hier nicht abgewonnen werden kann, brachte Heyne zu der Be- hauptung, man wisse zwar nicht woran Maro, indem er solches schrieb, gedacht habe; den grüssten Geiï- stern aber begegne es zuweilen dass sie, einmal in gewisse Schlingen verstrickt und geistig umnachtet (interdum Sas xocmivras Xmuäv dixeris cum Comico, fügt er zur Erläuterung bei) auch ganz einfache und handgreifliche Dinge nicht sehen (vgl. vol. 2 p. 1043 f. ed. Wagn.). Zu der Concession dass wie der bonus Homerus, so auch der bonus Vergilius einmal geschlum- mert habe, hünnen wir uns hier nicht verstehen, dar-

543

Bulletin de l’Académie Empériale

044

a ——_—_————————…—"—"—"—"…"—"— —"—"—"—"— …" —"—"—"—"—"—"—"—" —…———————…—"——"—"— —"…————"— ——— —_—

um weil noch andere Gründe gegen die Richtigkeit | citirt werden. Was unsere ältesten Handschriften des

unseres Textes sprechen.

Die vier Verse nämlich in denen die beiden Traum- thore einander gegenübergestellt werden, sind in der Form so ungeschickt, dass sie schon aus diesem Grunde dem Vergilius abgesprochen werden müssen. Unter Somni portae kônnen nur Thore «des Schlafes» ver- standen werden, gemeint aber waren die Thore «der Träume». Albern wird V. 894 geredet von «wahren Schatten», wo «wahrhafte Träume» bezeichnet sein sollten. Unpassend ist auch facilis exitus, was nur dann motivirt wäre, wenn die wahrhaften Träume mit grüsserer Leichtigkeit als die trügerischen aus der Unterwelt kämen. Ganz verunglückt ist endlich der letzte Vers 896, wo es die Manen sein sollen, wel- che falsche Träume nicht etwa zur Oberwelt oder zu den Menschen, sondern zum Himmel schicken.

Eben diese vier Verse 893 896 stüren aber auch den Zusammenhang; denn V. 897 folgt Lis dictis, was auf die vor 893 stehenden Worte zurückweist. Da in 893 96 eine Localität geschildert wird, so änderte Perlkamp his in kic; wir würden diese Aenderung bil- ligen müssen, wie es Haupt gethan hat, wenn wir die von den Traumthoren handelnden Verse für authen- tisch hielten; jetzt sehen wir in his dictis einen neuen Grund gegen die Echtheit der Verse 893 896, die wie Ladewig richtig bemerkt lediglich deshalb hinzugefügt sind um das porta churna V. 898 zu er- klären, hinzugefügt sind nicht von dem Dichter, son- dern von einem erklärenden Grammatiker.

Soll die Vergilsche Stelle emendirt werden, so sind zunächst die Verse 893 896 auszuscheiden, und dann ist statt des «elfenbeinernen» Thores das Thor «der Unterwelt» zu setzen; statt portaque emattit eburna wird es heissen müssen portaque emittit averna. Der überlieferten Lesart eburna käme noch näher die Form avorna, wofür sich ausser dem Griechischen &cpvos das Schwanken zwischen vertere und vortere anführen liesse; aber ein Beleg für avornus ist mir nicht gegenwärtig.

Durch die vorgeschlagene Aenderung wird Vergi- lius von einem Unsinn befreit, an dem alle bisherigen Erklärungskünste gescheitert sind. Voraussichtlich aber werden viele an der Kühnheit Anstoss nehmen, mit der wir vier Verse tilgen, die in allen Handschrif- ten stehen und von mehreren alten Grammatikern

Vergilius betrifft, so wird niemand beweisen künnen dass sie frei waren von [nterpolationen; wenn also die triftigsten Gründe zur Annahme einer Interpola- tion zwingen, so werden wir nicht mit dem Postulat dass alle in unseren Handschriften stehenden Verse echt seien, diese Gründe beseitigen künnen. Die alten Grammatiker aber bezeugen nur den Text der ihnen vorlag, nicht die ursprüngliche Gestalt der Dichter- worte. Bisher nachgewiesen sind folgende Zeugnisse für die von uns angefochtene Ueberlieferung:

893 f. sunt cornea Nonius p. 316, 20.

895 f. Acron und Porphyrion in Hor. Carm. II, 27:14.

895 [Probus] de ultimis syllabis bei Keil Gramm. LatAVip-261%29

896 Charis. p. 101, 19. 269, 18. Macrob. somn. Scip. I, 3 p. 12 ed. Bip. Serv. Aen. IV, 9. V, 840.

898 portaque emittit cburna Serv. Aen. VI, 4295.

Aus diesen Zeugnissen geht hervor dass die Verse 893 S96G des sechsten Buches der Aeneis bereits in der ersten Hälfte des zweiten Jahrhunderts unse- rer Zeitrechnung den Grammatikern bekannt waren, und ein gleiches ist somit von der Lesart eburna V. 898 anzunehmen: für ursprünglich künnen wir das churna und die dasselbe erklärenden, in der Form un- geschickten und den Zusammenhang stürenden vier Verse nicht erachten.

Dass nicht selten falsche Lesarten für die Kritiker des Alterthums ein Anlass geworden sind zur Ein- schiebung ganzer Verse, habe ich an mehreren So- phokleischen und Euripideischen Stellen früher nach- gewiesen (Bulletin T. IX p. 350—361 oder Mélanges Gréco-Rom. II p.665 681). Dieselbe doppelte Ent- stellung liegt vor bei Soph. EI. 540 f., wo Kilytaem- nestra zeigt dass Agamemnon ein schweres Vergehen sich zu Schulden kommen liess, indem er seine Toch- ter opferte. That er dies etwa, meint sie, um der Argiver willen? Sie hatten kein Recht meine Tochter zu tüdten. Oder opferte er mein Kind seinem Bruder Menelaus zu Liebe?

notepov éxstvo Taies oÙx noay Thot; oÙs THodE pLAN AO ElxÔS Av Ivnoxetv Tatpôs Xa pMTECS OVTUS, Ms © ThoÛS Av paptv.

In diesen Worten wird gesagt: statt der Iphigenie

545

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

546

D

mussten billiger Weise vielmehr die Kinder des Me- nelaus getüdtet werden, denn sie waren Kinder des Vaters (Menelaus) und der Mutter (Helena), der zu Gefallen man nach Troja segelte. Unmôglich kann ein vernünftiger Dichter die Forderung der Billigkeit,

wonach statt der Tochter des Agamemnon vielmehr|

ein Kind des Menelaus geopfert werden musste, da- mit motiviren, seien Kinder des Meñnelaus und der Helena gewesen, um der Helena willen aber habe man die Fahrt un-

ternommen. Sollte die Helena überhaupt hier erwähnt | werden, so musste dies früher geschehen (rotepov éxetvo |

xai'Exévn oùx nouv raides). Die nachträglicheErwäh- nupg des Weibes des Menelaus ist widersinnig. Ueber-

haupt aber kommt Helena hier gar nicht in Betracht: |

dass er sagt, die Kinder des Menelaus |

als in Aulis der Groll der Artemis durch ein Men-

schenopfer gesühnt werden sollte, seine Tochter hin; billiger wäre es gewesen, so be- hauptet Klytaemnestra, wenn Menelaus eins von seinen beiden Kindern gegeben hätte. Es ist offenbar dass in diesem Gedankengang nur Agamemnon und Mene- laus einander gegenübergestellt werden kônnen, auf Helena dagegen gar keine Rücksicht genommen wer- den kann. Verkehrt ist auch der Ausdruck #s 6 rhoûs 6S nv xaetv. Einmal gibt der Relativsatz nur eine Bestimmung zu pnrecs, während ratocs ohne alle Be- stimmung bleibt; statt 15 würde ein etwas geschick- terer Ergänzer Ov geschrieben haben, und wir wür- den corrigiren müssen, wenn überhaupt der Vers vom Sophokles herrührte. Sodann ist es mindestens ungeschickt zu sagen dass die Griechen EXévns aptv nach Troja fuhren oder vor Troja kämpften; dies ge- schah zwar à “Ekévn, nicht aber Exévns xaou. Der Fehler der Stelle liegt in tateos, wofür es ohne Zweifel ragos heissen muss, und die Worte

xal pnTeos CvTas, Ms © hoûs ED nv ape sind von einem Interpolator hinzugefügt worden, um

das fehlerhafte rarocs müglich zu machen. Statt der obigen drei Verse bekommen wir hiernach zwei,

notepov Éxelvo Taies ox nov DTA; a _ _ 3 à 7 aus s OUS TNGdE LEA) OV ELXOS NY SYNGXELY TAOOS.

So konnte Sophokles schreiben; vielleicht aber wurde

auch das pœhaoy lediglich dadurch hervorgerufen dass

man, nachdem ragos in rarecs übergegangen war, statt Tome XII.

| gab Agamemnon | k L ie , x à É | Dem pékhew kann ein Begriff wie roxoc:r gegenüber

etxos den Begriff érecrxorepos herzustellen suchte. Angemessener wäre jedenfalls ein Ausdruck wie

oùs Tiode ratdos ElxèS nv SVNGHELY TAp06. Aber zu ermitteln was der Dichter statt pæAxcy schrieb, halte ich gegenwärtig für unmôüglich; sicher scheint mir nur dass V. 541 von einem Interpolator hinzuge- fügt ist in Folge einer Corruptel des vorhergehenden Verses.

Nicht anders verfuhren die täppischen Alexandriner oder Byzantiner Soph. El. 1337, wo der Paedagog zu rascher That treibt mit den Worten:

Loi V0v ATANAATÉVTE TOY LAPOY ÀCYOY 1335 ka Tis amAnotou Thoëe oùv yap& Bons

etco TApÉRSES , © TO {LV LÉRAELY XUHOV

Év Toîg TotoUTOLs ÈGT , ATNhAÈ ot À dry.

stehen, unmôglich aber érndySat, und dxyn éar!v arnaySat ist eben so undenkbar als etwa im Deut- schen «es ist hohe Zeit fertig zu sein». Nimmt man dazu das matte xaxcv und die Unbestimmtheit des Ausdrucks év toîs totoutors, so wird man kaum zwei- feln künnen dass eine Interpolation hier vorliegt; statt der beiden letzten Verse stand in derjenigen Hand- schrift, aus welcher unsere Codices geflossen ist, wie ich glaube, einer und zwar in folgender Gestalt:

v F » , cioo RagéAŸES", OS TO Lèv pLÉÂRSIY GUN.

Wofür zu schreiben war 65 ro pa péher axur. Die- selbe Wendung gebraucht Aesch. Agam. 1353: dnot- £opai ri Soav To un péhder à axur. Vgl. Pers. 407: xodxér nv péhketv xun. Soph. Ai. 811: OS yes vôev, oÙx Édous ax”). El. 22: ouxér cxveiv oups, aùX Epyov dxur. Phil. 12: axun yao paxpov qui Xoyov.

15) Danach verbessere man Eur. Or. 1292: Gx£ÿaoSé vuy uervo oùy Éôpas dywv. Hier scheint dyov aus pyoy gemacht zu sein; der Dichter schrieb ohne Zweifel oùy Éôoxc axur. Nicht lässt sich ayov vertheidigen durch Soph. El. 1492: Xcywv yap vüv éazwv Gywv, GG ons duxns Égt und eben so wenig durch Eur. Phoen. 588: pütep, Adywv #S aywv, GAX dvdhwrat povog oÙv EG pi- rnv. An diesen beiden Stellen ist äyuy vollkommen richtig, da es sich um einen Kampf handelt.

o2 a

D47

Bulletin de l’Académie Empériale

548

Über isomere Di-und Trichlortoluole von F.Beil- stein und A.Kuhlberg. (Lu le 12 décembre 1867.)

In einer früheren Abhandlung') wurde die merkwür- dige Beobachtung mitgetheilt, dass bei der Einwirkung von Chlor auf Toluol zwei isomere Verbindungen ent- stehen, insofern bei Siedehitze das Chlor den Wasser- stoff im Methyl des Toluols ersetzt, in der Kälte, oder bei Gegenwart von Jod hingegen, das Chlor an die Stelle des Wasserstoffs im Phenyl des Toluols tritt. Die Theorie liess demnach drei isomere Formen des Bichlortoluols und vier Formen für jedes folgende Substitutionsprodukt voraussehen*). Um die Einzel- darstellung aller dieser isomeren Modifikationen zu ermôglichen, war durch den Versuch zu entscheiden, ob die bei der Darstellung des Monochlor-Toluols ge- machten Erfahrungen sich auch auf die Darstellung der hôüher gechlorten Substitutionsprodukte anwenden lassen würden. Das Experiment hat dieses bestätigt. Gegen Chlor verhalten sich die Chlorderivate des Toluols, wie Toluol selber. Gleichgültig wie viel und wo das Toluol schon Chlor enthält, lässt man in der Siedehitze Chlor auf das Derivat einwirken, so findet eine Vertretung des Wasserstoffs im Methyl, bei Gegenwart von Jod aber im Phenyl des Toluols statt. Die Reindarstellung aller isomeren Formen des gechlorten Toluols bietet demnach keine Schwierig- keiten. Wie man leicht einsieht, kann die Darstellung mehrerer Isomeren auf zweierlei Weise stattfinden. Das gechlorte Benzylchlorid C,H,CI.CH, CI z. B. wird sich, vom Chlorbenzyl ausgehend, durch Be- handeln mit Chlor bei Gegenwart von Jod, oder aus Chlortoluol C;H,CI.CH, darstellen lassen, durch Einwirken von Chlor in der Siedehitze darauf, u.s. w. Wir wollen hier schondievorläufige Mittheilungmachen, dass sich das oben Gesagte nicht allein auf Di- und Trichlortoluole beschränkt. Ganz nach demselben Schema lassen sich Tetra-Chlortoluol u.s.w. in allen isomeren Formen darstellen, worüber in einer besonderen Abhandlung berichtet werden soll.

I. Isomere Dichiortoluole von E. Neuhof,

Von den drei der Theorie nach môglichen Formen des Dichlortoluols

1) Annal. Chem. Pharm. 139, 322. 2) Daselbst 139, 340.

C, H, (CH CL) Bittermandelül-Chlorid

CH, CI (CH, C1) Ce H3 Cl, (CH) Gechlortes Benzylchlorid Dichlortoluol ist die erste die bekannteste. Sie wurde durch Be- handeln von Bittermandelül mit Phosphorchlorid er- halten. Sie entsteht leicht rein, sobald Chlor in sie- dendes Toluol geleitet wird. Die zweite Form, obgleich früher zuweilen beobachtet, konnte bisher nicht rein erhalten werden. Sie entsteht leicht durch Behandeln des Chlortoluols mit Chlor in der Siede- hitze, oder durch Einwirkung von Chlor, bei Gegen- wart von Jod, auf Chlorbenzyl. Das eigentliche Di- chlortoluol endlich entsteht durch Einwirken von Chlor auf Toluol, bei Gegenwart von Jod.

1) Dichlortoluol C,H, CI, . CH.

Dieser Kürper entsteht leicht, sobald in mit etwas Jod versetztes Toluol die erforderliche Menge Chlor geleitet wird. Es ist hierbei ganz gleichgültig, ob sich die Flüssigkeit dabeïi erhitzt oder nicht, das Chlor vertritt, bei Gegenwart von Jod, selbst in erhühter Temperatur nur den Wasserstoff des Phenyls. Keine Spur Chlor gelangt in das Methyl des Toluols. Um sich von dem Gange der Substitution zu überzeugen und nicht unnütze Zeit durch Fraktioniren zu verlieren, giebt man eine gewogene Menge Toluol in einen ta- rirten Kolben und wägt den Kolben von Zeit zu Zeit. Um in C,H, CI, überzugehen, müssen 100 Theiïle CH, um 75 Theïle an Gewicht zunehmen. Man wäscht dann das Produkt zunächst mit Wasser, dann mit Kalilauge, entwässert über Chlorcalcium und scheidet das bei 196° siedende Dichlortoluol durch wiederholtes Frak- tioniren ab.

0,2662 Gr. gaben 0,470 Ag CI.

Berechnet Gefunden C, Hg 90) 55,9 = CLS TA 43,7 161

100,0

Das Dichlortoluol ist eine bei 196° vollkommen unzersetzt siedende Flüssigkeit. Es hat fast denselben Geruch wie Monochlortoluol und zeichnet sich durch eine hohe Indifferenz aus. Alkoholische Lüsungen von Âtzkali oder von Schwefelkalium sind ohne alle Wir- kung darauf. Von Chromsäure wird das Dichlortoluol nur sehr langsam angegriffen. Man erhält Para-Di- chlorbenzoesäure (Dichlordracylsäure)

C, H, CI, . CO, H,

549

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

über welche an einer anderen Stelle berichtet werden sol.

2) Gechlortes Benzylchlorid C,H, CI.CH, CI.

Das Auftreten dieses Kürpers ist schon früher be- obachtet, der Kürper selbst aber nie rein dargestellt worden. Beim Behandeln des früher Dichlortolul ge- nannten Produktes der Einwirkung von Chlor auf Toluol mit alkoholischem KHS wurden schüne Kry- stalle erhalten, welche der Formel

C;H; CIS = C;H, CI. CH, HS

entsprachen*). Ebenso beobachtete Naquet‘) beim Behandeln seines Dichlortoluols mit alkoholischem Kali die Bildung einer bei 218° siedenden Flüssigkeit C; H, CI.CH,C,H,0. Diese Derivate deuten auf das Vorhandensein der Verbindung C; H, CI. CH, CI im so- genannten Dichlortoluol, die Verbindung selbst konnte aber nicht daraus abgeschieden werden.

In reines, bei 176° siedendes Benzylchlorid C,H, CI C,H, CH, CI giebt man etwas Jod und leitet die er- forderliche Menge Chlor ein. Man wäscht dann mit Kali, entwässert und fraktionnirt. Man erhält sehr bald ein constant bei 213—214° siedendes Präparat.

Genau derselbe Kürper entsteht, wenn man in zum Sieden erhitztes Chlortoluol C; H, C1.CH, die erfor- derliche Menge Chlor einleitet und fraktionirt. Diese Methode ist entschieden der ersteren vorzuziehen. Durch die Gegenwart des Jods entstehen fast regel- mässig geringe Mengen von jodirten Verbindungen, die dem Präparate äusserst hartnäckig anhängen. So ist es auch schwer, ein absolut jodfreies Monochlor- toluol darzustellen. Wir haben unser Präparat meist so oft in Sonne gestellt, bis dasselbe dadurch sich nicht mehr rôthete. Wird nun das so gereinigte Chlortoluol in der Siedehitze mitChlor behandelt, so wird dadurch die letzte Spur des beigemengten Jodids um so leichter entfernt. Daher ist das aus Chlortoluol dargestellte gechlorte Benzylchlorid schneller und leichter rein zu erhalten, als das aus Chlorbenzyl bereitete. Wir haben uns übrigens durch ein vergleichendes Studium über- zeugt, dass die auf beide Arten erhaltenen Kürper C;H, C1. CH, CI vollkommen identisch sind.

0,2163 Gr. gaben 0,414 CO, und 0,083 H,0.

3) Annal. Chem. Pharm. 116, 346. 4) Daselbst, Suppl. IT, 250.

[l

550 Berechnet Gefunden C; 84 52,2 52,2 H, 6 8,7 4,2 QUE QUÉAR 1 = 161 100,0

Das gechlorte Benzylchlorid C, siedet unter ge- ringer Zersetzung bei 213— 214". Sein Dampf reizt die Augen zu Thränen. Es enthält ein Chloratom fest gebunden, während das andere so leicht doppelte Zer- setzungen eingeht, wie das Chlor im Chlorbenzyl. Man kann diesen Kürper betrachten als den salzsauren Âther eines gechlorten Alkohols, des Parachlor- Benzylalkohols, und in der That lässt sich dieser Alkohol sebr leicht aus dem gechlorten Benzylchlorid bereiten. Erhitzt man letzteres mit einer alkoholi- schen Lüsung von Kaliumacetat, so bildet sich leicht essigsaurer Parachlor-Benzyläther, der, durch ein Alkali verseift, Parachlor-Benzylalkohol lie- fert. Durch Oxydation mit Chromsäure geht gechlor- tes Benzylchlorid leicht in die zugehürige Para-Chlor- benzoesäure über.

CH, C1. CH, CI + 0, CÇH,01. COHO + HCI CH, C1. CH, CI + K.C,H30, = CeH4 C1. CH Co H3 Oo + KO CH, C1.CH, C,H30, + KHO = CÇH,01.CH,H0 + K. Co HO.

Durch Behandeln des gechlorten Benzylchlorids mit alkoholischen Lüsungen von KHS oder KCN werden leicht doppelte Umsetzungen erhalten:

C,H, C1. CH, CI + KHS C;H, CI.CH,. HS + KCI CH, C1. CH, CI + KON = CH, CI.CH, CN +- KCI.

Der Kürper C;H, CI.CH,CN ist natürlich das Ni-

tril einer gechlorten Alphatoluylsäure: C;H, C1. CH, ON + 9H, 0 = CÇH, CI. CH, COHO + NH,

3) Bittermandelül-Chlorid C,H,CHCI..

Dass sich dieser Kürper bei der Einwirkung von Chlor auf Toluol bildet, ist schon früher”) beobachtet worden. In letzter Zeit hat Limpricht°)dieselbe That- sache in eingehender Weise bestätigt. Doch ist es ihm, so wenig wie seinen Vorgängern”), gelungen, das Bittermandelül-Chlorid aus dem gechlorten Toluol rein abzuscheiden. Nichts ist aber einfacher, als sich aus Toluol chemisch reines Bittermandelül-Chlorid pfund- weise darzustellen. Man braucht nur in zum Sieden

5) Annal. Chem. Pharm. 116, 338.

6) Daselbst 159, 318.

7) Vgl. Naquet daselbst, Suppl. IT, 250 u. 259. 35*

551

Bulletin de l’Académie EImpériale

55?

erhitztes Toluol so lange Chlor einzuleiten, bis je 100 Theile desselben ein Gewicht von 175 Theiïlen angenommen haben, und dann zu fraktioniren. Es gelingt sehr bald, ein Produkt von ganz constantem Siedepunkt abzuscheïden.

0,2374 Gr. eines bei 206° siedenden Präparates gaben 0,426 Ag CI.

Berechnet Gefunden C,H4 90 55,9 = CR GUN AT 44,5 161 100,0

Die Siedepunktangaben des Bittermandelül-Chlo- rides schwanken etwas, indessen nicht mehr, als stets uncorrigirte Siedepunkte bei so hoch siedenden Kür- pern differiren. Je nach dem Thermometer, den Di- mensionen der Retorten, ist natürlich der herausra- gende Quecksilberfaden ein verschiedener. So fanden wir für aus Bittermandelül dargestelltes Chlorid den Siedepunkt 202° (in einer kleinen Retorte) und für aus Toluol dargestelltes Chlorid (in grüsseren Retorten beobachtet) 204° und 206°. Limpricht giebt den corrigirten Siedepunkt 207° (aus Bittermandelül be- reitet).

Natürlich besitzt das aus Toluol dargestellte Bitter- mandelül-Chlorid alle Eigenschaften des aus Bitter- mandelôl erhaltenen. Erhitzt man es z. B. mit essig- saurem Silber, so erhält man den durch seine Krystall- form so ausgezeichneten essigsauren Benzoläther Wicke’s*), den Letzterer zuerst aus Bittermandelül dargestellt hat. Es gelang indessen nur auf Umwegen, diesen Kürper krystallisirt zu erhalten. Man erinnert sich, dass auch A. Engelhardt”) das essigsaure Benzol nur in Form eines Üles erhielt.

Bittermandelül-Chlorid (aus Toluol) wurde mit trock- nem essigsaurem Silber längere Zeit auf 130 —150° erhitzt, das Produkt mit Âther ausgezogen, der Âther verdunstet und das rückständige OI, weil chlorhaltig, noch ein zweites Mal mit essigsaurem Silber erhitzt. Das jetzt durch Âther ausgezogene Ôl erstarrte selbst bei 20° nicht. Als es aber bei dieser Temperatur mit einem noch von der Arbeit Wicke’s herrührenden Krystall von essigsaurem Benzoläther in Berührung gebracht wurde, erstarrte sofort die ganze Flüssigkeit krystallinisch. Die zwischen Fliesspapier abgepressten

8) Annal. Chem. Pharm. 102, 366. 9) Petersb. Akad. Bull. 16, 49.

Krystalle wurden mehrmals aus Âther umkrystallisirt und dabei die bekannten ausgezeichneten Schwalben- schwanzkrystalle erhalten. Durch zu rasches Ver- dunsten der Lüsungèn werden meist nur kleine Blätt- chen erhalten. Zuweilen scheiden sich aber aus der alkoholischen Lüsung noch schünere Krystalle ab, wie aus der ätherischen. 0,2188 Gr. gaben 0,5078 CO, und 0,1166 H, O.

Berechnet Gefunden CR 77182 NS 63,3 He, Safe 5,7 5,9 0, 64 30,8 = 208 100,0 0, H

Der essigsaure Benzoläther PLU richti-

ger gesagt das essigsaure Bittermandelül CL 2GH(C 00):

schmilzt bei 43—44°. Diese Beobachtung wurde an Präparaten von den verschiedensten Darstellungen be- stätigt gefunden. Wicke giebt 36° an, Limpricht") 39—45° und circa 48°. Die Behauptung Wicke’s, essigsaures Bittermandelül sei nicht unzersetzt flüch- tig, künnen wir nicht vollkommen bestätigen. Unser Präparat ging bei 220° zum grüssten Theïl unzersetzt über. Das ôlige Destillat erstarrte nach dem Waschen mit Sodalüsung, und es konnten leicht die bei 43—44° schmelzenden Krystalle des essigsauren Bittermandel- üls daraus gewonnen werden. Wahrscheïnlich wird sich bei vülligem Abschluss von Feucbtigkeit die Verbin- dung ganz unzersetzt destilliren lassen.

Mit Wasser im zugeschmolzenen Robr erhitzt, zer- fäallt bekanntlich das Bittermandelül-Chlorid in Salz- säure und Bittermandelül. (Cahours, Limpricht)

CH, . CHCI, + H, 0 C,H, . CHO + 2HCI. IE, Isomere Trichlortoluole,

Die Theorie deutet 4 Formen eines Trichlortoluolsan: CL CL CH NICE, CI, -CH, C1 CH; C1-CHCI LLC HE: CCI Trichlortoluol Bichlorbenzylchlorid Gechlortes Benzotrichlorid.

Bittermandelül-Chlorid

Wie nun leicht begreiflich ist, werden in der ersten Verbindung alle 3 Chloratome gleich fest gebunden ge- halten, während in der zweiten nur zwei Chloratome : der Wirkung der Reagentien Widerstand entgegen

10) Annal. Chem. Pharm. 139, 321.

553

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

554

À

setzen und in der dritten nur eins. In der vierten Verbindung endlich treten alle 3 Chloratome mit Leich- tigkeit aus.

Alle vier isomeren Formen lassen sich leicht und willkübhrlich hervorbringen. Lässt man 6 Atome Chlor auf ein Molekül Toluol, bei Gegenwart von Jod, ein- wirken, so entsteht nur Trichlortoluol, ohne jede Spur einer isomeren Beimengung. Noch leichter rein erhält man Benzotrichlorid, sobald man das Chlor auf erhitztes Toluol wirken lässt. Das Bichlor- benzylchlorid lässt sich darstellen, indem man in siedendes Dichlortoluol Chlor einleitet, oder indem man Chorbenzyl mit Chlor, bei Gegenwart von Jod, behan- delt. Das gechlorte Bittermandelül-Chlorid endlich erhält man durch Chloriren von Bittermandelül- Chlorid, bei Gegenwart von Jod, oder durch Chloriren von zum Sieden erhitztem Monochlortoluol.

1) Trichlortoluol C,H, CI, . CH..

Diesen Kürper, den Limpricht'") zuerst rein dar- gestellt hat, kann man in beliebiger Menge rein er- halten, sobald man in mit Jod versetztes Toluol so lange Chlor einleitet, bis je 100 Theile Toluol ein (e- wicht von 212,5 Theiïlen angenommen haben. Man schüttelt mit Kali, entwässert und fraktionirt. Sollten die bei 235—240° siedenden Antheiïle nicht sofort er- starren, so kühlt man die Flüssigkeit durch Eis ab, bringt die erstarrende Masse rasch auf ein Filter, presst kalt ab und krystallisirt aus Alkohol um. Wir künnen in Betreff dieses Kôrpers alle Angaben Limp- richt’s bestätigen. | Trichlortoluol siedet vollkommen unzersetzt bei und schmilzt bei 76°. Es zeichnet sich durch osse Beständigkeit und hohe Indifferenz aus. Die gewühnlichen Reagentien wirken auf diesen Kürper nicht ein. Nach Limpricht wird er durch Wasser selbst bei 200—220° nicht verändert. NachJanasch") oxydirt ihn concentrirte Chromsäure zu Trichlor- dracylsäure C_H, CI, O,

C,H, Cl. CH, + 0; CH:0l;. COHO + H,0.

Diese Reaktion zeigt deutlich, wie alle drei Chlor- atome im Trichlortoluol gleichmässig festgehalten werden.

23 Oo" gr

11) Annal. Chem. Pharm. 139, 326. 12) Annal. Chem. Pharm. 142, 301.

|

2) Bichlorbenzyl-Chlorid C;H, CL . CH, CI.

Man erhält diesen Kürper, indem man in mit Jod versetztes Benzylchlorid C;H, . CH, CI Chlor einleitet, oder zweckmässiger, indem man Dichlortoluol in der Siedehitze mit Chlor behandelt. Die Reinigung des Produktes geschieht in der schon mehrfach angedeu- teten Weise.

0,4248 Gr. gaben 0,683 CO, und 0,1215 H,0.

Berechnet Gefunden CRIER ATA 43,8 H: 5 2,6 82 Cl, _ 106,5 5 54,5 _

195, 195,5 100, 0

Das zweifach gechlorte Benzylchlorid siedet ohne Zersetzung bei 241°. Es geht leicht doppelte Zersetzungen ein und tauscht dabei sein eines im Me- thyl stehendes Chloratom um. Erhitzt man es z. B. mit einer alkoholischen Lüsung von Kaliumacetat, so scheidet sich bald KCI ab und es bildet sich essig- saurer Paradichlorbenzyl-Âther:

C;H;C1,.CH,C1+ KC,H:0, = CH3Cl:. CH30, + KCI.

3) Gechlortes Bittermandelül-Chlorid CH, CI. CHCL.

Diese Verbindung entsteht, sobald man in mit Jod versetztes Bittermandelül-Chlorid Chlor einleitet. Wir habenzuunseren Versuchen Bittermandelül-Chlorid, aus Bittermandelül und aus Toluol dargestellt, angewendet und natürlich vüllig übereinstimmende Resultate er- halten. Da während der Operation, namentlich auch beim Fraktioniren, ein Theil des Produktes sich durch beigemengte Feuchtigkeit nach der Gleichung zersetzt:

C,H, C1. CHCL + H,0 C;H, CI. CHO + 2HCI,

d. h. in Salzsäure und Parachlor-Benzaldehyd, so ist das rohe Produkt mit letzterem und mit dessen Zersetzungsprodukten verunreinigt. Man muss des- halb die auf einen constanten Siedepunkt gebrachte Flüssigkeit zunächst mit wässrigem Ammoniak schüt- teln und dann mit einer Lüsung von Natriumbisulfit, um den beigemengten Aldehyd zu entfernen. Trotz- dem ist es uns nicht gelungen, ein vollkommen chemisch reines Präparat zu erzielen: dasselbe enthielt noch Spuren einer Beimengung, deren Natur uns fremd ge- blieben ist.

355

Bulletin de l’Académie Hmpériale

556

1) 0,3425 Gr. gaben 0,515 CO, und 0,090 H, O. 2) 0,350 Gr. gaben 0,5365 CO, und 0,1065 H,0.

Berechnet Gefunden la 2. CES: 42,9 41,0 418 H, 5 2,6 2,9 3,4 Cl, 106,5 54,5 == _ 195,5 100,0

Das gechlorte Bittermandelôl-Chlorid siedet unzersetzt und ganz constant bei 234°. Bei unseren Versuchen wandten wir zuerst aus Bittermandelül be- reitetes Chlorid an. Da uns deshalb davon jedoch nur eine verhältnissmässig sehr geringe Menge zu Gebote stand, die Destillationen ausserdem in kleinen Retorten vorgenommen wurden, so erklärt es sich, dass wir den Siedepunkt anfangs erheblich zu niedrig fanden"”). Ein constanter Siedepunkt konnte überhaupt nicht beob- achtet werden, wir fanden nur, dass die Fraktion 220 —230 viel erheblicher ausfiel, als die zwischen 210 —220° und 230—240°. Erst beim Operiren mit aus Toluol dargestelltem Chlorid konnten wir den Kürper in erheblicher Menge bereiten. Die kleine Menge des aus Bittermandelül dargestellten Chlorides

CH, CI. CHCL

reichte jedoch vollkommen aus, um seine Identität mit dem aus Toluol erhaltenem Präparate festzustellen. Erhitzt man gechlortes Bittermandelül-Chlorid mit Wasser im zugeschmolzenen Rohr auf 170°, so zer- fällt es vollständig in Salzsäure und den Aldehyd der Para-Chlorbenzoesäure:

CH, C1. CHCI, + H,0 C;H, C1. CHO + 2HCI.

Mit Chromsäurelüsung gekocht, bildet sich leicht Para-Chlorbenzoesäure:

CH, CL. CHCL + H,0 + O = C;H, CI. CO, H + 2HCI.

Das Produkt der Einwirkung von Chromsäure wurde filtrirt, das Unlüsliche anhaltend mit Sodalüsung aus- gekocht, die Sodalôsung mit Salzsäure gefällt und die gehürig gewaschene Säure in das Calciumsalz verwan- delt. Es wurde ein Calciumsalz erhalten, das dieselbe Krystallform, Lüslichkeitund denselben Krystallwasser- gehalt zeigte, wie parachlorbenzoesauresCalcium.

1) 0,952 Gr. aus Bittermandelôl bereitet, verloren bei 150° 0,126 H,0 und gaben 0,127 Ca0.

18) Vel. unsere vorläufige Notiz. Zeitschr. f. Chem. 1867, 513.

2) 1,018 Gr. ebenso verloren bei 150° 0,1355 HO. 3) 0,487 Gr., aus Chlortoluol dargestellt, verloren bei 150° 0,063 H,0 und gaben 0,069 Ca0.

4) 1,455 Gr., mit aus Toluol dargestelltem Bitter- mandelül-Chlorid bereitet, verloren bei 150° 0,1865

H, O und gaben 0,200 Ca.

Berechnet Gefunden 1 2 21 4 (C,; H,CI0,), Ca 351 86,7 = = _ == 3H,0 54 13,3 É93, 20185012 0 TDIS 405 100, Berechnet Gefunden qe SE 4. (C;H,CI0,)) 311 88,6 Ca 40 11.4 11,0 11,6 11,5 351 100,0

Trotz der genauen Übereinstimmung der analysirten Salze mit parachlorbenzoesaurem Calcium ist die daraus abgeschiedene Parachlorbenzoesäure doch nicht voll- kommen rein, da sie einen viel zu niedrigen, meist bei 206” statt bei 236° beobachteten Schmelzpunkt zeigte. Doch genügte es, die Säure in Ammoniak zu lôsen, die stark verdünnte Lüsung mit Salzsäure zu fällen und dieses Reinigungsverfahren einige Male zu wiederholen, um reine, bei 236° schmelzende Parachlorbenzoe- säure zu erhalten. Die letzten Mutterlaugen der Cal- ciumsalze lieferten eine geringe Menge eines viel leich- ter lüslichen Salzes, dessen Säure einen sehr niederen Schmelzpunkt zeigte. Diese fremde Säure verdankt offenbar ihre Entstehung der kleinen Beimengung in unserem gechlorten Bittermandelül-Chlorid. Nur die Säure aus mit Chlortoluol bereitetem Chlorid zeigte sofort den richtigen Schmelzpunkt (s. Analyse 3). Lässt man nämlich auf Chlortoluol C;H,C1.CH, in der Siede- hitze Chlor einwirken, so bildet sich natürlich gechlor- tes Bittermandelül-Chlorid.

Die Thatsache, dass im gechlorten Bittermandelü]l- Chlorid das Chlor sich an derselben Stelle befindet, wie in der Parachlorbenzoesäure, erscheint uns sehr bemerkenswerth. Wie wir nämlich unten Zeigen wer- den, entsteht beim Nitriren des Bittermandelül-Chlo- rides ein Kürper CH, (NO,) CL, der mit Chromsäure oxydirt, nicht Paranitro-Benzoesäure liefert, wie man nach Obigem vermuthen sollte, sondern gewôhn- liche Nitrobenzoesäure. Wir haben daher den in- teressanten Fall vor uns, dass in den Substitutions- produkten eines und desselben Kürpers das Chlor und

die Nitrogruppe verschiedene Stellen einnehmen. Bis jetzt galt es als Regel, dass die Substitution stets an einerlei Stelle erfolgt, d. h., dass also die Nitrobenzoe- säure die Nitrogruppe genau an derselben Stelle ent- hält, wie die Chlorbenzoesäure das Chlor u.s.f. Da nun ferner Bittermandelül durch direkte Reduktion von Benzoesäure entsteht, so haben wir im vorliegenden Fall zum ersten Male die Môüglichkeit vor uns, aus einer Stammsubstanz nicht nur die normale Reïhe von Substitutionsprodukten darzustellen, sondern auch die Parallelreihe der Paraderivate. Es ist dieses die erste Ausnahme einer früher aufgestellten Regel"*), der zu Folge nämlich aus Benzoesäure oder einem Benzoe- säure liefernden Kürper stets einerlei Chlorbenzoesäure entsteht. Einen noch viel einfacheren Weg zur Dar- stellung der Paraderivate aus einer Stammsubstanz werden wir in einer späteren Abhandlung bekannt machen.

4) Benzotrichlorid C,H, CCI.

Dieses ist die einzige, schon früher bekannte Form des dreifach gechlorten Toluols. Schischkoff und Roesing"”) stellten dieselbe zuerst dar durch Behan- deln von Chlorbenzoyl mit Phosphorpentachlorid. Limpricht") untersuchte diesen Kôrper in der letzten Zeit genauer und beobachtete die Bildung desselben bei der Einwirkung von Chlor auf Bittermandelülchlorid und beim Behandeln des Toluols mit Chlor. Jedoch ge- lang es ihm nicht, auf letzterem Wege den Kürper rein zu isoliren. Nichts ist indessen einfacher, als sich pfund- weise vollkommen reines Benzotrichlorid darzustellen. Man braucht nur in siedendes Toluol so lange Chlor einzuleiten..bis der das Toluol enthaltende Kolben nicht mehr an Gewicht zunimmt. Schon nach kurzem Frak- tioniren gewinnt man leicht ein constant bei 213 214° siedendes Produkt. Dasselbe ist reines Benzo- trichlorid.

0,487 Gr. gaben 0,7655 CO, und 0,123 H,0.

Berechnet Gefunden (se 84 42,9 42,8 H, 5 2,6 2,8 Cl, 106,5 54,5 195,5 100,0

14) Annal. Chem. Pharm. 133, 252. 15) Jabresb. f. Chem. 1858, 279. 16) Annal. Chem. Pharm. 135, 80 und 139, 325.

des Sciences de Saint- Pétersbourg.

55

Dieser Kürper besitzt alle für das Benzotrichlorid angegebenen Eigenschaften. Erhitzt man ihn z. B. mit Wasser im zugeschmolzenen Rohr auf 150°, so zer- fällt er vollständig in Salzsäure und Benzoesäure:

C;H;. CCI, + 2H,0 = CH. CO, H + 3H0I:

Die abgeschiedene Säure war reine Benzoesäure, Sie schmolz bei 121°, und das aus derselben darge- stellte Calciumsalz besass Krystallform, Lüslichkeit und Zusammensetzung des benzoesauren Calciums.

1,231 Gr. verloren bei 150° 0,1975 H, O und gaben 0,2055 Ca0.

Berechnet Gefunden

(C,H;0:) Ca 282 83,9

3H, O 54 16,1 16,0 336 100,0 Berechnet Gefunden (C,H,0,) 242 858 Ca 40 14,2 14,2 282 100,0

Kocht man das Benzotrichlorid mit Chromsäure- lüsung, so wird ebenfalls sehr bald Benzoesäure ge- bildet, welche indessen, in Folge der gleichzeitig frei werdenden Salzsäure, durch Chlorbenzoesäure verun- reinigt ist.

Es ist sehr bemerkenswerth, dass mit der Bildung von Benzotrichlorid die Wirkung des Chlors auf sie- dendes Toluol beendet zu sein scheint. Wir haben bei weiterem Behandeln des Benzotrichlorids mit Chlor in der Siedehitze keine Gewichtszunahme mehrbemerkt. Vielleicht dass bei sehr anhaltender Einwirkung, etwa unter Beïhülfe des Sonnenlichtes, eine weitere Substi- tution des Chlors in der Siedehitze ermüglicht werden kann. Jedenfalls geht sie unter gewühnlichen Umstän- den nur mit grüsster Schwierigkeit vor sich. Es er- klärt sich daraus die Leichtigkeit, mit der Benzotri- chlorid aus Toluol dargestellt werden kann. Es bestä- tigt dieses ferner die im Eingange aufgestellte Behaup- tung, dass beim Behandeln von Toluol und gechlortem Toluol mit Chlor in der Siedehitze das Chlor stets den Wasserstoff des Methyls im Toluol ersetzt. Da mit der Bildung des Benzotrichlorids aller Wasserstoff des Me- thyls ersetzt ist, so kann folglich das Chlor bei Siede- hitze keine weitere Wirkung ausüben. Man braucht aber natürlich nur Jod hinzuzufügen, um sofort eine weitere Substitution zu bewirken. Dieses Mal aber

559

TT

natürlich im Kern. Die hierbei entstehenden Kürper sollen später beschrieben werden.

Nach dem Obigen ist es begreiïflich, dass die An- gaben von Naquet'”) über Trichlortoluol wenig Werth besitzen. Dieser Chemiker hatte es augenschein- lich mit Gemengen zu thun.

I, Zur Kenntniss der Nitrobenzoereihe,

Im Monochlortoluol C,H,CI.CH, steht das Chlor an einer anderen Stelle als in der Chlorbenzoesäure

C,H, C1. CO, H,

insofern Ersteres bei der Oxydation mit Chromsäure nicht in Chlorbenzoesäure, sondern in die damit iso- mere Parachlorbenzoesäure übergeht. Da nun Benzoesäure sich vom Toluol nur dadurch unterscheiï- det, dass in Ersterer der Wasserstoff im Methyl des Toluols durch Sauerstoff vertreten ist, so ist es klar, dass die Natur der diesen Wasserstoff vertretenden Elemente von wesentlichem Einfluss ist auf die Stel- lung der substituirenden Elemente oder Gruppen im Kern des Toluols oder seiner Derivate. Dies veran- lasste uns, die Substitutionsprodukte einiger anderen Toluolderivate genauer zu untersuchen.

1) Nitrirtes Benzotrichlorid C,H, (NO,).CCI..

Hôchst concentrirte Salpetersäure wirkt bei gewühn- licher Temperatur sehr heftig auf Benzotrichlorid ein. Als das Produkt in Wasser gegossen wurde, schied sich eine feste Substanz ab, die sich bei näherer Unter- suchung als Nitrobenzoesäure erwies. Wir hatten daher nicht das dem Benzotrichlorid entsprechende Nitroprodukt erhalten, weil dasselbe, vielleicht durch die Heftigkeit der Reaktion bedingt, offenbar durch Wasser sofort eine weitere Zersetzung erfahren hatte:

C;H, (N0;)CCL + 2H,0 = C;H,(NO)).COH + 3HCI.

Die abgeschiedene Säure wurde an Baryt gebunden und das Baryumsalz zweimal umkrystallisirt. Es zeigte jetzt Krystallform, Lüslichkeit und Wassergehalt des nitrobenzoesauren Baryums.

1,220 Gr., über Schwefelsäure getrocknet, verloren |

bei 150° 0,1555 H, O.

17) Annal. Chem. Pharm. Suppl. 2, S. 248, 249 u. 258.

Bulletin de l’Académie Empériale

560 Berechnet Gefunden 2(C,H;NO;) 332 61,4 = Ba 137,2 25,5 2 4H,0 72 3,3 12,8 541.2 100,0

Aus den Mutterlaugen des Baryumsalzes haben wir eine geringe Menge Parachlorbenzoesäure abschei- den künnen, deren Bildung durch eine secundäre Wir- kung der freiwerdenden Salzsäure leicht erklärlich ist. Wir werden in der That später zeigen, dass beim Chlo- riren des Benzotrichlorids ein Derivat der Parachlor- benzoesäure entsteht.

2) Nitrirtes Bittermandelül-Chlorid C,H, (NO,). CHCL..

Da sich bekanntlich'*) beim Nitriren des Chlor- benzyls C,H.,.CH, CI ein Derivat der Paranitro- benzoesäure bildet, Benzotrichlorid aber, wie wir eben sahen, ein Derivat der gewôhnlichen Nitroben- zoesäure liefert, so war es interessant, die Wirkung der Salpetersäure auf das zwischen beiden stehende Bittermandelôl-Chlorid zu untersuchen. Weil wir beim Chloriren dieses Kôrpers ein Derivat der Parachlor- benzoesäure erhalten hatten, erwarteten wir hier eim Derivat der Paranitrobenzoesäure. Indessen zeigte der Versuch, dass doch nur ein Abkümmling der ge- wübhnlichen Nitrobenzoesäure sich gebildet hatte.

Reines, aus Bittermandelül bereitetes Chlorid

CH °CHCL

wurde tropfenweise in hôchst concentrirte Salpeter- säure eingetragen. Es trat eine lebhafte Reaktion ein, die durch Abkühlen gemässigt wurde. Nach Beendi- gung derselben wurde die Flüssigkeit in viel Eiswasser gegossen, wodurch sich ein schweresÜIabschied. Dieses ÔL ist offenbar der Nitrokôrper C; H, (NO,) CHI, doch gelang es uns nicht, denselben vollkommen rein abzu- gewinnen. Das OI schied nämlich nichts Festes ab und zersetzte sich bei der Destillation zum grüssten Theile. Wir haben daher auf eine fernere Reinigung des Üles verzichtet und dasselbe sofort mit Chromsäurelüsung behandelt. Die dadurch gewonnene Säure wurde an Baryt gebunden und das Baryumsalz durch Umkry- stallisiren gereinigt. Wir erhielten so reines nitro- benzoesaures Baryum:

CH, (NO;) CHCL, + H,0 +0 =C;H,(N0:)CO,H + 2HCI.

18) Annal. Chem. Pharm. 139, 338.

561

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

56?

—————_——_ "7 0,5155 Gr. lufttrocken verloren bei 170° 0,0655 | in das Amid, indem man Nitrobenzoesäure mit der

H,0 und gaben 0,222 Ba SO,

Beérechnet Gefunden

(C,H,NO,) Ba 4692 86,7 4H,0 72 13.8 12,7 541,2 100,0 2(C,H,NO),) 332 70,8 Ba 137,2 29,2 29,0 “469,2 100,0

Dic aus dem Baryumsalze abgeschiedene Säure zeigte alle Eigenschaften der gewühnlichen Nitrobenzoe- säure.

3) Nitrobittermandelül C; H, (NO,).COH.

Im Chlorbenzyl übt das Chlor keinen Einfluss aus auf die Stellung der Nitrogruppe, wohl aber, wie wir sehen, im Benzotrichlorid und Bittermandelü]l-Chlorid. Wir haben es aus diesem Grunde nicht für überflüssig gehalten, das Oxydationsprodukt des nitrirten Bitter-

mandelüles genauer zu untersuchen. Das Nitro-Bitter- |

mandelôl wurde in bekannter Weise durch Chromsäure-

lüsung oxydirt und die erhaltene Säure an Baryt ge- |

bunden. Wir erhielten das Baryumsalz der gewôhn- lichen Nitrobenzoesäure. Die aus dem Salze ab- geschiedene Säure zeigte alle Eigenschaften dieser Säure.

* 1,268 Gr. des Baryumsalzes verloren bei 150° 0,164 H,0.

Berechnet Gefunden 4H,0 13,30, 13,0. Es bestätigt dies also vollkommen die Angabe von . . | Bertagnini”).

4) Nitririrtes Benzonitril C;H, (NO:). CN.

Nach Gerland”) entsteht beim Lüsen von Benzo- nitril in rauchender Salpetersäure nitrirtes Benzo- pitril. Wir haben das so erhaltene Präparat verglichen mit dem aus Nitrobenzoesäure dargestellten Nitril und uns überzeugt, dass beide Produkte vollkommen iden- tisch sind. Das Stickstoffatom im Benzonitril übt da- her in Bezug auf die Stellung der Nitrogruppe den- selben Effekt aus wie ein Sauerstoffatom oder zwei Chloratome.

Um aus Nitrobenzoesäure das correspondirende Ni- |

tril darzustellen, verwandelt man die Säure zunächst 19) Annal. Chem. Pharm. 79, 259. 20) Gerhardt, Traité IT, 130.

Tome XII.

äquivalenten Menge PCI, zusammenbringt und nach beendeter Envwirkung das gebildete POCI, abdestillirt. Sobald der Siedepuukt auf 120 —130° gestiegen ist, lässt man erkalten und giesst den Retorteninhalt tropfen- weise in gut abgekühltes concentrirtes Ammoniak. Man filtrirt nach 24 Stunden ab und krystallisirt das Amid aus Wasser um.

Um das Amid in das Nitril umzuwandeln, erwärmt man ÉErsteres mit etwas mehr als der äquivalenten Menge PCI,, destillirt das POCI, ab und reinigt das Nitril durch Umkrystallisiren aus Wasser. Die erhal- tenen Krystalle zeigten denselben Schmelzpunkt (117 118"), dieselbe Lôüslichkeit und Krystallform, wie Gerland’s nitrirtes Benzonitril.

In der Hoffnung, das noch unbekannte Nitril der Amidobenzoesäure zu erhalten, haben wir das Ni- trobenzonitril der Einwirkung von Reduktionsmitteln unterworfen, doch ist es uns bis jetzt noch nicht ge- ‘luugen, die Reaktion in der angedeuteten Weise durch- zuführen.

Erwärm& man Nitrobenzoe-Nitril mit Zinn und con- centrirter Salzsäure, so lüst es sich, und aus der filtrir- ten Lüsung krystallisirt das bekannte*') Doppelsaiz von Zinnchlorür und salzsaurer Amidobenzoe- säure.

0, 464 Gr. gaben 0,190 SnO,.

Berechnet Gefunden C,H,NO,.Cl, 244,5 67,8 = Sn ! 116 32,2 32.4 360,5 100,0

Die mit Schwefelwasserstoff entzinnte Lüsung gab beim Verdunsten Krystalle von salzsaurer Amido- benzoesäüure.

0,4495 Gr. gaben 0,365 AgCl.

0,3265 Gr. gaben 0,581 CO, und 0,1325 H, 0.

0,407 Gr. gaben 30,2 CP Stickstoff bei 15,5° und 768,8 Mill.

Berechnet Gefuuden

CAR 48,1 45,5

H, 8 4,6 4,5

N 4:14 8,1 8,8

Cl 35,5 20,5 20,5

Gb 18,4 _

173,5 100,0 21) Annal., Chem. Pharm. 129, 266.

56

563

Bulletin de l’Académie Impériale

564

EE

Aus der salzsauren Verbindung wurde durch Be- handeln mit concentrirter Schwefelsäure schwefelsaure Amidobenzoesäure in den bekannten Krystallen er- halten.

Es folgt aus Obigem, dass Amidobenzonitril ent- weder nicht existirt, oder doch so wenig beständig ist, dass es, vielleicht durch die freie Salzsäure, sofort in Amidobenzoesäure übergeht. Es bildet sich hierbei nicht einmal als Zwischenprodukt das bekannte Amid der Amidobenzoesäure. Als wir, um die Wirkung der freien Salzsäure zu mässigen, eine alkoholische Lüsung von Nitrobenzoenitril mit Zinn und Salzsäure behandelten, trat die Reduktion nur langsam ein. Die durch Schwefelwasserstoff vom Zinn befreite Lüsung enthielt Amidobenzoesäure, gab aber mit Ammoniak einen in Salzsäure lôslichen üligen Niederschlag. Viel- leicht war dieses ÔÜl das gesuchte Amidobenzoenitril. Als die Lüsung nach einigen Tagen mit Ammoniak ver- setzt wurde, entstand kein Niederschlag mehr. Die Lüsung enthielt nur noch Amidobenzoesäure. Wir haben endlich eine alkoholische Lüsung von Nitroben- zonitril zuerst mit Ammoniakgas und hierauf mit Schwefelwasserstoff gesättigt. Beim Erwärmen trat Reduktion ein, welche aber in verschiedener Weise zu verlaufen scheint. Zuweilen wurde ein Ül erhalten, in anderen Fällen blieb jedoch die Bildung desselben aus. Wurde. die Flüssigkeit zur Trockne verdunstet, so hinterblieb ein in Wasser und Salzsäure vollkommen lôslicher Rückstand. In der salzsauren Lüsung, die Amidobenzoesäure enthielt, bewirkte Ammoniak nur eine Trübung, die durch Schütteln mit Âther ver- schwand. Die ätherische Lüsung hinterliess beim Ver- dunsten einen üligen Kürper. Wir haben denselben einstweilen keiner weiteren Untersuchung unterworfen.

Rapport sur les procédés de Galvanoplastie em- ployés dans la fabrique Royale Néerlandaise d’orfèvrerie de M. J. M. van Kempen à Voor- schoten, présenté à la Commission Impériale de l'Exposition Universelle de 1867 à Paris, par M. de Jacobi. (Lu le 9 janvier 1868.)

En suite d’une réclamation élevée contre la décision du Jury de la 21° classe, et adressée à la Commis- sion Impériale par M. J. M. van Kempen, Monsieur Michel Chevalier avait voulu m'inviter d'examiner

les objets en argent massif, exécutés par le même in- dustriel au moyen de la Galvanoplastie et contenus dans sa vitrine à l’intérieur du Palais de l'Exposition. Il s'agissait de savoir, si ces objets dont l’apprécia- tion n’était pas proprement de la compétence du Jury mentionné, étaient de nature à pouvoir figurer dans le rapport spécial que je m'étais engagé à faire sur la Galvanoplastie de l'Exposition actuelle, et sur les progrès réalisés dans cette industrie, depuis 1862.

Monsieur van Kempen n’ayant pas été présent à Paris, je m’adressais à ses représentants, Messieurs Menard et Saivres, qui m'ouvrirent leur vitrine, en me donnant quelques explications préalables sur la fabrication en question. Il ne m'a pas fallu employer beaucoup de temps, pour entrevoir que les produc- tions que j'avais devant moi, étaient dignes d’une attention particulière et remarquables sous le double point de vue de la science et de l’industrie. Cette branche de fabrication du reste n’est pas représentée, autant que je sache, au Palais de l'Exposition; si néan- moins il s’en trouve quelques échantillons, leur in- signifiance les a fait échapper à mes investigations.

Les premiers renseignements qui m'avaient été donnés sur ie procédé employé par M. van Kempen, ayant été trop vagues, j'en désirais de plus détaillés, qu’en effet cet industriel me fit parvenir par écrit. Plus tard il vint lui-même à Paris. Il s’en rapporta à ma compétence dans cette matière et appuya la validité des prétentions élevées dans sa réclamation, en me faisant voir quelques nouveaux échantillons de son industrie, qui auraient peut-être fait disparaître toute hésitation et toute méfiance de ma part, s'ils avaient pu en même temps satisfaire à ma curiosité légitime de connaître la fabrication en question, dans tous ses détails.

Monsieur van Kempen, un des industriels les plus distingués, m’en offrit spontanément l’occasion, en m'exprimant son désir de me voir visiter son éta- blissement, pour juger par moi-même des progrès qu’il croyait avoir réalisés dans les applications de la Galvanoplastie. Je m’y décidais d’autant plus facile- ment que je:sentis le besoin de me remettre des fati- gues occassionnées par les travaux ardus que ma mission officielle à Paris m'avait imposés.

L'usine de M. van Kempen est établie dans une charmante contrée à un quart d'heure du grand vil-

565

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

566

lage de Voorschoten, près de Leyde. Elle consiste en deux parties séparées, dont l’une, la fabrique d’ar- genterie proprement dite, occupe les deux étages d’un grand édifice et dont l’autre, la Galvanoplastie, est installée provisoirement dans une ci-devant serre, elle occupe de même deux étages. Parlons d’abord de la Galvanoplastie, comme elle s'exerce dans cet établissement.

Ce qui avait frappé d’abord notre attention, la mienne et celle de M. P. Christoffle, avec qui j'avais examiné fugitivement et seulement à l'extérieur la vi- trine de M. van Kempen, c’étaient les animaux en argent massif, cerfs, chevaux etc. en partie isolés, en partie appartenant à des pièces de table et d’autres objets, et qui auraient été faits, d’après la déclaration des représentants de l’exposant, en deux pièces: c.-à- d. en deux coquilles soudées soigneusement ensemble par la soudure d’argent. Dans ces coquilles auraient été comprises en même temps toutes les extrémités des animaux, jambes, oreilles, ramures, etc.; aucune de ces parties n’aurait été faite séparément et rap- portée après, par la soudure.

Bien qu’à la première vue, la coupe de l'animal en deux coquilles ouvertes et propres à y déposer le mé- tal, soit cuivre, soit argent, sans l’application d’un anode intérieur, ne nous parut pas tout-à-fait impos- sible, nous pensions cependant qu’il s'agissait ici d’un de ces tours-de-force, fait une seule fois et d’une va- leur précaire au point de vue industriel.

Ma visite à cet établissement ne manqua pas de rectifier cette idée. En effet j'y trouvais une grande quantité de coquilles en argent, appartenant à di- vers objets et prêtes à être réunies par la soudure, ou en voie de préparation et d’ajustage. Ces coquilles aussi bien que les moûles en gutta-percha, dans les- quels elles avaient été déposées, offraient, il est vrai, quelquefois des formes très contournées; mais leur assemblage était beaucoup plus simple et facile qu’on ne le supposait au premier abord. La ligne de dé- coupure d’un quadrupède p. e., une fois trouvée, ce système s'applique par analogie à un grand nombre d'objets qui auparavant n'avaient pu être confection- nés qu’avec beaucoup de pièces rapportées.

Cependant le système à deux coquilles n’est pas le seul d’après lequel on fait la Galvanoplastie en ar- gent massif dans l’établissement en question.

Ce système que nous signalons comme un véri- table progrès, s'applique particulièrement dans les cas, la fabrication d'objets en ronde bosse au moyen d’anodes intérieurs, devient trop difficile et souvent impossible, à cause de l’exiguité des dimen- sions de certaines parties: ainsi dans tous les cas l’on se serait vu obligé d'exécuter ces parties sépa- rément, soit par la fonte, soit par la Galvanoplastie, en rapportant ensuite ces pièces au corps principal par la soudure.

M. van Kempen exclut de sa fabrication toute fonte; même en n’exécutant une pièce d’orfèvrerie, qu’une seule fois, il préfère la Galvanoplastie qui lui présente plus d’aisance et qui le dispense de toute ciselure. Il économise de cette manière les frais de cette opération indispensable pour les objets en fonte, frais qui deviennent exorbitants, comme tout le monde le sait, s’il s’agit de rendre tout le fini de l’oeuvre de l'artiste. La ciselure des produits de cette fabrique se réduit en effet, à une légère retouche qu’on peut con- fier aux ouvriers les moins exercés. C’est ainsi que nous trouvons dans les magasins de cet industriel une grande variété d'objets, souvent en nombreux exem- plaires, statuettes et animaux isolés ou réunis en groupes, surtouts de table, vases, gobelets ete., le tout exécuté en argent massif par la Galvanoplastie, enfin tous ces objets fournis par les arts et les métiers au luxe moderne et dont il se fait un commerce très étendu, mais pour la confection desquels la fonte avait encore maintenu jusqu’à présent son privilège.

Si nous ajoutons que le travail de ces objets est ir- réprochable, qu’ils possèdent une solidité plus que suf- fisante et que leurs prix, malgré le métal précieux dont ils consistent, sont très modiques et comparativement beaucoup au-dessous des objets analogues fondus en bronze, il faut convenir qu'il revient de droit à M. van Kempen le titre d’avoir élargi par ses procédés, le domaine des applications de la Galvanoplastie et d’a- voir fait faire à cette industrie, un progrès notable.

Comme nous l'avons déjà mentionné plus haut, M. van Kempen ne se borne pas à la confection d'objets en deux coquilles. Dès qu’il y a occasion, il se sert pour la ronde bosse en argent massif des moûles clos dans lesquels il introduit des anodes so- lubles, ou des anodes de platine, ou tout récemment

même des anodes de fer. 36*

567

Builetin de l’Académie Empériale

568

Pour la ronde bosse en cuivre il se sert d’anodes de plomb, employés le premier par Monsieur Henry Bouilhet et par lesquels cet habile ingénieur a donné une impulsion inattendue, au développement de la Galvanoplastie.

Sur ma demande M. van Kempen a voulu an- nexer à ce rapport!) plusieurs dessins en grandeur naturelle, d'objets d’orfèvrerie confectionnés sur com- mande dans ses ateliers et exécutés tous, au moyen de la Galvanoplastie. Les prix de la façon, indiqués par lui, me paraissent très modiques. Du reste, d’au- tres personnes décideront mieux que moi, si des ob- jets pareils exécutés par la fonte et ciselés artistique- ment, auraient en verité, exigés même en France, à ne pas parler de l’orfèvrerie anglaise ou russe, au moins une triple dépense pour la façon. Quant aux objets plus simples et plus répandus et dont je suis plus à même de juger les prix, je me suis déjà pro- noncé sur leur modicité.

Nous sommes reconnaissants à M. van Kempen d’avoir voulu nous communiquer en outre la légende explicative ci-jointe*) qui fera comprendre la solution du problème difficile, de reproduire par la Galvano- plastie un vase à anse avec des ornements en relief, en une seule pièce.

Il convient de mentionner encore l’économie très- considérable en matière précieuse, que la Galvano- plastie en argent permet de réaliser, en comparaison de la fonte du même métal. Les objets que nous avons eu l’occasion d’examiner, ont en effet une épaisseur beaucoup au-dessous de celle qu’on aurait été obligé de leur donner en les exécutant par la fonte. Toute- fois ils possèdent une résistance suffisante et toute la solidité requise pour des objets pareils. C’est donc par l’économie de la façon, aussi bien que par celle de

la matière, que l’acquisition d’objets d’art en argent,

devient accessible à un public qui ne dispose pas de très-grandes fortunes.

La Galvanoplastie de l’argent n’a pas été sans ren- contrer de difficultés sérieuses. L’argent déposé par la pile, en employant les bains faits d’après les pre- scriptions ordinaires, n’est pas tout-à-fait pur. Les sub-

\

1) L'auteur ayant recueilli un grand nombre de ces dessins, les ferra voir volontiers aux personnes qui s'intéressent à ce progrès de la Galvanoplastie.

2) Voir l’annexe.

stances étrangères qu’il contient n’ont pas encore été, autant que je sache, examinées par l’analyse chimi- que. L'argent obtenu dans ces bains, est pour la plu- part cassant et malgré sa blancheur et son beau mat, loin de présenter une surface aussi lisse et unie que celle du cuivre galvanique obtenu dans de bonnes conditions. Dès que le courant n’est pas très faible et que le dépôt d'argent a acquis quelque épaisseur, sa surface présente un aspect âpre et mamillaire. En le soumettant à une température élevée comme celle de la fonte des soudures fortes (argent et zinc), il re- çoit des ampoüles, se déjette et se déforme. L'argent de cette provenance n’a donc pas les propriétés re- quises pour être employé aux travaux d’orfèvrerie qui en général ne peuvent pas se passer de soudure et de l’élévation des objets, à une haute température. Ces inconvenients avaient donc fait renoncer aux ten- tatives entreprises de différents côtés, pour faire in- dustriellement de la Galvanoplastie en argent. En effet l'emploi d’un argent cassant nécessiterait une trop grande épaisseur à donner aux objets d’orfèvrerie et serait incompatible avec la condition importante du bon-marché.

M. van Kempen s’est rendu maître de toutes ces difficultés. Il Jui a fallu plusieurs années de travaux et de sacrifices pécuniaires considérables, avant d’avoir pu obtenir des résultats satisfaisants. Tout le monde sait, que dans des circonstances pareilles, l’état moléculaire de la matière est en jeu, les vues théori- ques ne sont qu’un faible appui. On ne parvient pas à des résultats pratiques sans avoir suivi la voie pé- nible des tâtonnements et des essais sans fin. Bien que soutenu par un bon fonds de connaissances et par des moyens pécuniaires suffisants, ce n’était pas moins la ténacité propre au caractère de sa nation qui l’a fait persévérer dans cette entreprise. En voyant au- jourd’hui la Galvanoplastie de l'argent placée dans des conditions qui lui assurent une application indus- trielle des plus étendues, nous devons nous déclarer satisfaits, même si les procédés employés et les résul- tats obtenus, ne peuvent pas s'expliquer toujours d’une manière rigoureusement scientifique.

Avec un désintéressement louable M. van Kempen nous à fait connaître tous ses procédés en nous per- mettant d’en parler dans ce rapport.

Il met les soins les plus minutieux à la préparation

569

de son bain argentifère; il ne prend pas le cyanure de potasse du commerce, mais il le prépare lui-même en faisant dissoudre et récristalliser le ferro-cyanure jaune de potasse du commerce et en choisissant les cristaux les mieux formés, pour les fondre dans un creuset de fer. C’est ce cyanure de potasse qu'il emploie pour ses bains, en en faisant dissoudre 9", parties en 90, parties d’eau distillée. Avec cette solution, à laquelle il ajoute 5 gr. de pyro-phos- phate et 2 gr. de bisulfite de soude par litre, il remplit un bac en fonte de fer verni à l’intérieur, dans lequel il place un certain nombre de vases po- reux remplis de la même solution. L’un de ses va- ses qui se trouve au milieu, contient une plaque de platine de fer ou un faisceau de fil de fer, et les autres, qui l’entourent des anodes d’argent au titre de 996 *). |

En employant une batterie de Smee de 5 à 6 élé- ments, les anodes se dissolvent rapidement. On inter- rompt l’action du courant, dès que le catode de platine commence à se recouvrir d’une couche d’argent. La richesse suffisante de la solution du double cyanure de potasse et d'argent étant ainsi indiquée, on réunit les solutions contenues dans les vases poreux à celle contenue dans le bac, et on s’en sert comme bain, pour les opérations ultérieures de Galvanoplastie.

Cependant M. van Kempen prétend que l’argent déposé dans ces solutions, bien que parfaitement dense et malléable, lui paraît trop tendre pour offrir une résistance suffisante. Afin de donner à cet argent des qualités supérieures et plus de dureté, il ajoute à son bain une certaine quantité de double cyanure de po- tasse et de cuivre, répondant à peu près à 1 partie de cuivre sur 200 parties de lPargent contenu dans le bain et dont on conraît le poids en calculant la perte que les anodes contenus dans les vases poreux ont éprouvée.

M. van Kempen ne se sert pour sa Galvanoplastie d'argent que d’un simple élément de Smee à large surface et d’anodes d’argent au titre de 996 qu’il emploie pour maintenir son bain toujours au même degré de saturation, ce qui lui réussit parfaitement.

3) Voir Bulletin de la Classe Physico-Mathématique T. V, X 110, mon Mémoire «Ueber einige neue Volta’sche Combinationen» p.217 il est question d’un dépot d’argent excessivement malléable ob- tenu par moi par un procédé particulier.

des Sciences de Saint-Pétersbour£g.

570

En effet dans une expérience faite par moi-même dans cet établissement, ils se sont déposés en 24 heu- res sur une plaque de cuivre de 8 décimètres carrés 301 grammes d'argent, en employant un élément de Smee présentant une surface d'argent platinisé de 17 décimètres carrés, et chargé de 10 volumes d'acide sulfurique étendue de 90 volumes d’eau. L’anode, des mêmes dimensions que le catode, avait perdu 299 grammes, ainsi à très peu près autant que le catode avait gagné; résultat aussi avantageux que possible et qu’on n’obtient pas avec les solutions or- dinaires. Le bac en fonte de fer dans lequel on travaille ordinairement a 1 mètre de long sur 0,63 de large et est rempli à une hauteur de 25 centimètres. Quand il est entièrement plein de moüles et d’anodes, on produit en deux jours, en se servant de deux éléments de Smee présentant ensemble une surface de 34 dé- cimètres carrés, six kilogrammes d'argent sous formes de coquilles galvaniques d’une épaisseur par- faitement suffisante.

M. van Kempen prétend que le succès complet de ses opérations dépend en grande partie de la condi- tion: que le circuit une fois fermé, le courant ne soit jamais interrompu, et que toute agitation du bain soit soigneusement évitée. Il recouvre son bac d’une table de verre pour éviter les courants d’air qui pourraient troubler le bain et les poussières qui y tomberaient; il craint même les mouvements qui se produisent spontanément dans les bains, par quelque changement subit de température; la moindre négligence dans l’accomplissement de ces conditions se punirait par des ampoûles et des défectuosités se produisant aux co- quilles et les rendant impropres à un emploi ultérieur.

Nous n’avons pas pu vérifier par des contre-épreu- ves, si toutes les précautions recommandées par cet industriel, sont justifiées par l'expérience, ou si l’on ne peut pas s’en passer en partie; mais nous avons pu constater, que parmi les nombreuses coquilles portées à la température du rouge cerise et à la soudure desquelles nous avons assisté, il n’y à pas eu un seul cas des ampoñûles ou des déformations quelconques se soient pro- duites.

Nous avons vu à la vitrine de M. van Kempen un vase en argent d’un très beau poli, en surface unie, pesant 1006 grammes et fait avec son anse

571

Bulletin de l’Académie Impériale

57?

————————_—…—…—…—…—…—…—…—…—… …—…"…— —…"…—…"…"…"…"…"…"…—…—…—…—…"…—…—…—… …"…"…"…"…—…"… …—…—…—…—…—…—…—…—…———_.———————.—

d’une seule pièce. L’excellente qualité du bain men- tionné a permis d'effectuer ce travail d’une manière très simple et autrement que celle indiquée dans lJ’annexe.

On à fait d’abord un vase pareil, d’une feuille de cuivre poli et très mince, forcée au tour dans la forme voulue; on y à attaché l’anse faite en cire et puis métallisée. Sur ce modèle on a précipité l'argent brillant obtenu par l'addition au bain, d’une minime quantité de sulfure de carbone. Le tout était entouré d’un anode d'argent, fixé de même que le vase mo- dèle, à une espèce de cadre. Dans ce cas exception- nel, l’on n'avait pas besoin de soudure, on à cru pouvoir déroger des conditions susmentionnées en im- primant au cadre un mouvement vertical régulier de va-et-vient produit par la machine à vapeur. En efiet, on a obtenu de cette manière en 4 jours une couche d'argent d’une épaisseur convenable et. à très peu près partout égale, se distinguant par une certaine dureté, et dont la surface fut si parfaitement unie qu’on a pu se passer d'ajuster ce vase par le tour; il a pu être achevé immédiatement, en le présentant au polissoir à rotation rapide dont nous dirons plus tard quelques mots. Ajoutons, qu'avant l’achèvement de ce vase on l'avait rempli d’une solution de chlorite de fer, pour dissoudre le modèle en cuivre resté en- core à l’intérieur. On emploie la même solution, qui n’attaque l’argent que fort peu, pour éloigner la couche très mince de cuivre adhérente aux coquilles d'argent.

Comme l'argent se précipite au commencement trop lentement sur le moüle métallisé par le graphite, on l’a trouvé convenable de déposer d’abord sur le moûle une très-légère couche de cuivre, qu’on éloigne après comme nous venons de le dire.

Nous avons parlé plus haut de l’emploi d’un anode de fer. En effet ce métal acquiert un très haut degré de passivité dans la solution en question, comme aussi dans d’autres cyanures. Nous ne pouvons pas constater dans ce moment, si ce fait est nouveau. Toute fois nous croyons être sûr, que M. van Kem- pen est le premier qui s’est servi de cette propriété du fer pour remplacer les anodes de platine, substitu- tion qui a à peu près la même signification pour la Galvanoplastie de l'argent, que le remplacement du platine par le plomb a pour celle du cuivre. Dans

des cas particuliers on se procure dans cet établisse- ment des anodes solubles en recouvrant d'argent fin, des fils ou des feuilles de fer.

Cet argent se dissout jusqu’à la dernière trace, en ne laissant qu’une quantité minime de ce résidu gri- sâtre, que nous voyons se produire sur les feuilles d'argent laminé servant d’anodes.

Nous ne pouvons pas faire passer l’occasion qui nous a conduit à la fabrique de Voorschoten sans dire quelques mots sur cet établissement même et sur son importance industrielle et commerciale.

La fabrique de M. van Kempen fondée à Utrecht en 1835 fut transportée en 1858 à Voorschoten elle occupe la localité dont nous avons parlé plus haut. Elle est munie d’une machine à vapeur de seize chevaux et possède un outillage des plus complets que le propriétaire s’efforce de tenir au niveau des perfectionnements les plus récents. A cet effet il ne recule devant aucune dépense, convaincu qu'il est que ses déboursés lui seront restitués dans un court délai par une économie de travail et de matériel. Sous ce rapport, mentionnous avant tout les polissoirs à rotation faisant 3000 tours par minute, de construc- tion tant anglaise qu'américaine. On remplace par ces polissoirs la main d’oeuvre du brunissage, en se pré- valant du double avantage d’un poli beaucoup plus brillant qu’on ne l’obtient par la main, et d’une éco- nomie de travail très considérable.

Il est vrai que le polissage mécanique avait ren- contré d’abord des difficultés de toute espèce. M. van Kempen les a surmontées à force de persévérance et de grands sacrifices pécuniaires.

Aujourd'hui l'utilité de ce polissage étant réconnue, on l’a étendu à presque toutes les branches de la fa- brication de l’argenterie.

En dehors du riche outillage que nous nous abste- nons de décrire plus amplement et qui renferme des laminoirs de toute espèce, des marteaux à vapeur, des marteaux-moutons à estamper, des filières, des tours à forcer etc., M. van Kempen a sa propre usine à gaz, tant pour l'éclairage de l'établissement que pour l'alimentation des chalumeaux à souder, activés par des souflets particuliers.

Il a ses dessinateurs, mouleurs, ciseleurs, des riches collections de modèles et de gravures d’orne-

573

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

574

—————@—@

ments de tous les peuples et de tous les temps; il a enfin sa propre lithographie.

Le principe de la division du travail est employé dans cette fabrique en toute rigueur. M. van Kem- pen ne fait pas travailler par pièces ou à forfait, de crainte de faire tort ou à l'établissement ou à ses ou- vriers et de donner lieu à des contestations desagréa- bles. Tous ses ouvriers ont des gages fixes, mais on à imaginé un moyen très pratique, qui mériterait d’être introduit dans d’autres fabriques, pour offrir à l’ou- yrier l’occacasion de se procurer une prime par sa plus grande diligence, en même temps que ce moyen assure au patron la faculté de diminuer les frais de fabrication au profit de l'établissement et des acheteurs. Il dit à ses ouvriers: par une longue expérience et les notes prises par moi régulièrement, je connais exactement le prix de la main-d'oeuvre de telle et telle pièce que je vous donne à faire. Pour les gages fixes que vous recevez, vous aurez donc à me fournir par jour tant et tant de ces pièces. Si vous m’en fournissez moins, je serai en perte, mais je ne vous ferai pas pour cela de déduction; si au contraire vous m’en four- nissez plus, je vous ajouterai la moitié de la plus- value de votre main-d'oeuvre, l’autre moitié re- vient à l'établissement et sert en partie pour couvrir les pertes occasionnées par les ouvriers moins habiles et moins diligents. Notons du reste que les différences et les plaintes qni surgissent entre les ouvriers et les propriétaires, proviennent le plus souvent d’une fausse appréciation des travaux à forfait.

Les ouvriers de la fabrique se trouvent dans des conditions les plus désirables; il y en a qui ont leur propre maison; ils ont une caisse d'épargne et d’as- surance, une coalition pour la consommation, une salle de récréation dans laquelle il se font de temps en temps des lectures populaires, une bibliothèque ete, enfin tout ce qui peut contribuer à leur bien-être moral et matériel. Aussi n’y-a-t-il aucun exemple qu’un ouvrier ait quitté cette fabrique pour s'engager dans une autre.

On n’admet pas d’apprentis à la fabrique au-des- sous de l’âge de treize ans, et qui ne sachent pas lire et écrire. Les apprentis n’ont rien à payer pour l’ap- prentissage, ils reçoivent au contraire dès leur entrée quelques appointements et la nourriture, s'ils ne sont pas du village même. On a soin de leur donner toute

l'instruction qui pourrait leur être utile dans l’exer- cice de leur métier. Surtout on leur enseigne le des- sin et on leur apprend un peu de géométrie, de mé- canique et de physique, et aussi le chant; le tout gra- tis, comme il s'entend.

La production annuelle de la fabrique se laisse difficilement évaluer; le fait est qu’elle a augmenté d'année en année. Sans que le tarif ait été changé, les droits de contrôle payés au fisc ont doublé depuis quelques années. En ne pas comptant l’argent em- ployé pour la Galvanoplastie, l’année 1866 a vu pas- ser par les laminoirs plus de 5000 kilogr. d'argent employé à la fabrication de l’argenterie.

M. van Kempen fait un commerce très étendu même avec l'étranger; il a ses propres magasins riche- ment dotés à la Haye, à Utrecht et à Rotterdam, et des dépots en plusieurs villes de l'étranger. Il fait de grands efforts pour assurer à ses productions un marché aussi étendu que la capacité de sa fabrique le permet et il croit ne pouvoir mieux atteindre ce but qu’en donnant à son orfèvrerie toute la solidité requise et des formes agréables, non surchargées et d’un bon-goùt parfait.

Quant au bon-marché dont il ne méconnait pas l'importance, nous avons déjà observé qu’il cherche continuellement à perfectionner ses procédés, pour diminuer autant que possible les frais de fabrication et de façon.

L'introduction de la Galvanoplastie dans la fabrique lui a rendu des services signalés sous tous les points- de-vue: d’abord elle en a agrandi considérablement le domaine et la capacité, autant par l’augmentation d'objets de fabrication, que par la facilité de leur pro- duction; ensuite elle rend l’oeuvre de l'artiste, comme on sait, avec toute la fidélité possible et dispense de toute ciselure et de toute main-d'oeuvre dispen- dieuse; enfin ses procédés sont simples, expéditifs et peu coûteux. En effet différentes circonstances, dont l'explication nous mènerait trop loin, contribuent à pouvoir faire faire à la Galvanoplastie de l'argent, une économie considérable de temps et de matières employées dans les batteries, de manière que les frais de cette fabrication, ne sont que la *, partie des frais nécessités pour la production d’un poids égal de cuivre galvanique.

Le succès de cette fabrique est dù, il est vrai, à

\

579

Bulletin de l’Académie EHmpériale

576

——_———— 0

l'inteiligence, au bon-sens et au juste coup d'oeil de son auteur; mais nous ne pouvons pas nous dissimu- ler que le caractère et les habitudes de la nation ré- clament aussi leur part à ce succès. Les Hollandais n'aiment pas l’argenterie légère et mal faite d'Alle- magne, non plus que l’orfèvrerie en cuivre argenté ou doré, ils n'aiment même pas le vermeil. C’est leur faiblesse de donner la préférence aux objets qui ont en même temps quelque valeur intrinsèque convenable.

Conclusion. En considération:

que l’organisation intérieure de la fabrique Royale Néerlandaise d’orfèvrerie de Monsieur J. M. van Kempen est à la hauteur des perfectionnements les plus récents faits dans cette industrie:

qu’elle occupe une centaine d'ouvriers placés avec leur familles dans les conditions de bien être mo- ral et matériel les plus désirables;

que son propriétaire fait présider à ses relations avec les ouvriers, la pensée humanitaire qui a fait créer à la Commission Impériale le nouvel ordre de récompenses;

qu’elle fournit non seulement aux Pays-Bas, mais de même à l'étranger, une argenterie qui se dis- tingue par sa solidité, son bon-goût et son bon- marché ;

que M. J. M. van Kempen a en outre le mérite: d’avoir élargi le domaine de la Galvanoplastie en l’étendant, par un mode particulier de moulage, à la confection d'objets, pour lesquels la fonte avait gardé jusque-là son privilège: d’avoir créé, pour ainsi dire, la Galvanoplastie en argent mas- sif qui auparavant n'avait été employée, ou pas du tout, ou dans des limites très restreintes; d’avoir enfin été le premier qui a remplacé le pla- tine par le fer pour servir d’anodes insolubles,

le Soussigné croit de son devoir de soumettre à la Commission Impériale la prière etc. etc.

ANNIEX EE.

Reproduction en argent d'un vase à anse, avec ornements en

relief, fait d'une seule pièce sans soudure, au moyen de la

Galvanoplastie, dans la fabrique d'orfêvrerie de J, M. van Kempen.

Le vase original étant donné, nous en faisons d’a- bord un moule en gutta-percha, consistant en deux moitiés dont la ligne de séparation doit être prise au milieu de l’anse.

L'intérieur de ce moule, après avoir été métallisé par du graphite, nous en recouvrons Chaque moitié séparément d’une couche très mince de cuivre, ce qui se fait au moyen de la pile en moins de dix minutes.

Ensuite nous nous servons d’une composition d’as- phalte et de gutta-percha pour en faire une ébauche représentant le vase en dimensions réduites; nous l’en- tourons d’un réseau de fil de fer mince; nous y attachons l'anse faite d’une feuille de fer; nous plaçons dans le plein de cette ébauche une tige de fer, nous metallisons sa surface au moyen d’une poudre d'argent très-déliée et nous y déposons une couche d'argent galvanique qui doit être, autant que possible, partout de la même épaisseur et d’un poids à peu près égal à celui qu’en veut donner à la reproduction en argent. Pas besoin de dire que le réseau, l’anse et la tige en fer doivent être entre eux en contact metallique parfait.

L’ébauche préparée de cette manière sert d’anode soluble et forme le noyau du moule composé de deux moitiés et dont elle ne doit nulle-part toucher les parois, ce qu'on atteint facilement en interposant de petites cales en corne. La distance entre le noyau et la sur- face intérieure du moule ne doit pas dépasser un deux centimètres.

Ajoutons que le moule doit avoir une ouverture en haut et une en bas pour faciliter la circulation du liquide et que les deux moitiés en doivent être réunies solide- ment ensemble par des crampons et des boulons à vis et ajustés de manière à ce que le joint devienne im- perceptible.

Ces préparatifs faits, on n’a qu'à plonger le moule, formant corps avec son noyau, dans le bain et réunir les conducteurs convenablement disposés, avec la pile, laquelle nous faisons consister de préférence d’un double élément de Smee, dans lequel la plaque d’ar- gent platinisé est remplacée par une plaque de char- bon de cornue.

577

des Sciences de Saint-Pétersbourg.

57S

oo

On conçoit que, par cette disposition, toute la couche | EF GH. Bac en fonte de fer contenant le bain argentifère,

d'argent, recouvrant le noyau, sera successivement dissoute et une même quantité d'argent déposée sur la surface intérieure du moule. On reconnaitra par une diminution rapide de la déviation de l'aiguille d’un multiplicateur à fil gros, interposé dans le cir- cuit, si l’opération est finie, c’est-à-dire si l’argent de l’anode s’est dissout jusqu’à la dernière trace.

Alors nous faisons sortir le moule de son bain, et nous le détachons de la reproduction en argent du vase achevé de cette manière et dont nous n’avons qu’à éloigner, par une solution de chlorite de fer, la très légère couche de cuivre adhérent, pour avoir le vase en toute sa netteté et avec tout le fini de l’ori- ginal.

Enfin nous avons encore à retirer de l’intérieur du vase le noyau d’asphalte avec son réseau de fil de fer.

A cet effet on dissout ce réseau par une faible solu- tion d’acide sulfurique et on rammolit le noyau en versant de l’eau froide dans l’intérieure du vase et en le chauffant peu à peu au bain-marie.

En se tenant aux prescriptions susmentionnées et en évitant toute agitation du bain, on peut être sûr du bon succès de l’opération; mais nous n’avons pas en- core pu constater, si ce n’est pas préférable, sous cer- tains rapports, de donner au moule avec son noyau un mouvement rectiligne vertical de va-et-vient, comme nous l'avons fait en d’autres occasions.

e Charbon,

Tome XII.

a. Moule consistant en deux moitiés.

B. Ebauche ou noyau entouré d’un reseau de fil de fer re- couvert d'argent déposé.

C. Tige en fer.

Poids en fer suspendu au moule pour qu’il ne surnage pas

dans le liquide.

Ouvertures pour’ favoriser la circulation du liquide.

Tringle en fer auquel on suspend le moule.

Conducteurs attachés au zinc et au charbon de la batterie.

a, b.

c, d, e.

BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE.

L'Académie a reçu dans ses dernières séances les ouvrages dont voici les titres:

Catalogus der Bibliotheek van het Bataviaasch Genootschap van Kunsten en Wetenschappen, door J. A. van der Chijs, Bibliothecaris. Batavia, ’s Hage 1864. 8.

Jagié, V. ŒHistorija knjizevnosti naroda hrvatskoga i srbskoga. Knjiga I. Staro doba. U Zagrebu 1867. 8.

Inauguration de la statue de Buffon. Discours de MM. Chevreul, Viard, Duméril etc. Dijon 1865. 8.

Inaugurandosi solennemente nel palazzo del Museo Civico il busto di Giorgio Jan. Commemorazione letta da E. Gornalia. Milano 1867. 8.

Schering, Ernst. Bernhard Riemann zum Gedächtniss. Güttingen 1867. 8. .

Estreicher, K. Günter Zainer i Swietopelk Fiol. War- szawa 1867. 8.

Verhandlungen der pädagogischen Section der Philologen- Versammlung zu Heidelberg über Thesen, betreffend die Einführung der monumentalen, insbesondere der christlich-monumentalen Studien in den Gymnasial- unterricht. 4.

Cestari, Tom. Em. Le professioni che possono scegliere ed à cui avviarsi i giovani studenti. Venezia, Mi- lano 1865. 8.

Revue des cours scientifiques de la France et de létran- ger. année X 41 et 43. Paris 1867. 4.

des cours littéraires de la France et de l'étranger. année X 41 et 43. Paris 1867. 4.

87 scripta et diplomata Universitatis Rostochiensis annis 1866 et 1867 edita.

20 scripta academica Universitatis Marburgensis annis 1866 67 edita.

18 scripta academica Universitatis Jenensis anno 1867 edita.

Programm des k. k. Gymnasiums zu Warasdin am Schlusse des Schuljahres 1859 u. 1860. Agram 1859 60. 4.

21 scripta academica Universitatis Lundensis anno 1866 67 edita.

37

579

Bulletin de l’Académie Impériale des Sciences de Saint-Pétersbourg.

530

Det Kongelige Norske Frederiks Universitets Aarsberet- | Geschäfts-Ordnung der k. Akademie der Wissenschaften.

ning for Aaret 1866. Christiania 1867. 8.

Index scholarum in Universitate regia Fredericiana cen- tesimo octavo et centesimo nono ejus semestribus habendarum. Christiana 1867. 4.

Norske Universitets- og Skole-Annaler. Tredie Række. VIIL Hefte 1 4. Christiania 1866 67. 8.

Bulletin de la Société philomathique de Paris. T. IV. Jan- vier, Février 1867. Paris 1867. 8.

Mémoires de l’Académie Impériale des sciences, arts et belles-lettres de Dijon. Années 1833, 1837 1838, 1864, 1865. Dijon, Paris 1833, 1839, 1865, 1866. 8.

de l’Académie Impériale des sciences, belles-lettres et arts de Lyon. Classe des sciences, Tome 14, 15; Classe des lettres, Tome 12. Lyon, Paris 1864—66. 8.

de l'Académie Impériale des sciences, inscriptions et belles-lettres de Toulouse. VI série, tome 5°. Tou- louse 1867. S.

Atti del reale Istituto Veneto di scienze, lettere ed arti. Tomo XII, Serie terza, dispensa 5—9. Venezia 1866 67. 8.

Memorie del reale Istituto Lombardo di scienze e lettere. Classe di scienze matematiche e naturali. Vol. X. Fasciculo III. Milano 1866. 4.

———— Classe di lettere e scienze morale e politiche. Vol. X. Fasciculo III. Milano 1866. 4.

Reale Istituto Lombardo di scienze e lettere. Rendiconti. Classe di scienze matematiche e naturali. Vol. II fase. 9. 10. III fasc. 1 9. Milano 1865 66. S.

Classe di lettere e scienze morali e politiche.

Vol. IT fasc. 8—10. fase. 1 10. Milano 1865—66. 8.

Annuario del reale Istituto Lombardo di scienze e lettere 1866. Milano 1866. 16.

Solenni adunanze del r. Istituo Lombardo di scienze e lettere. Adunanza del 7 Agosto 1866. Milano 1866. 8.

Atti della fondazione scientifica Cagnola negli anni 1862 66. Vol. IV parte 1—3. Milano 1866. 8.

Memorie della regia Accademia di scienze, lettere ed arti in Modena. Tomo VII. Modena 1866. 4.

Società reale di Napoli. Rendiconto delle tornate e dei lavori dell Accademia di scienze morali e politiche. Anno sesto. Quaderni di Luglio e Agosto. Quaderno di Settembre et Ottobre. Napoli 1867. 8.

Monatsbericht der k. preussischen Akademie der Wissen- schaften zu Berlin. Juni, Juli, August 1867. Berlin. 8.

Vier und vierzigster Jahresbericht der Schlesischen Ge- sellschaft für vaterländische Cultur. Breslau 1867. 8.

Abhandlungen der mathematisch-physikalischen Classe der k. bayerischen Akademie der Wissenschaften. 10ten Bandes 1ste Abtheilung. München 1866. 4.

der historischen Classe der k. bayerischen Akademie der Wissenschaïten. 9ten Bandes 3te Abtheilung. Mün- chen 1866. 4.

München 1866. 8.

Denkschriften der k. Akademie der Wissenschaften. Ma- thematisch-naturwissenschaftliche Classe. 26ster Bd. Wien 1867. 4.

———— Philosophisch-historische Classe. 15ter Band. Wien 1867. 4.

Sitzungsberichte der k. Akademie der Wissenschaften. Mathematisch-naturwissenschaftliche Classe. Abthl. I, Band 54, Heft 4, 5; Band 55, Heft 1 —3. Abthl. II, Bd. 54, Heft 5; Bd. 55, Heft 1—3. Wien 1866—67. 8.

——— Philosophisch-historische Classe. Bd. 54, Heft 1—3; Bd. 55, Heft 1— 2. Wien 1866 67. S.

Zeitschrift des Ferdinandeums für Tirol und Voralberg. 5te Folge. 13tes Heft. Innsbruck 1867. 8.

Rad Jugoslavenske Akademije znanosti i umjetnosti. Knji- ga 1. U Zagrebu 1867. 8.

Mémoires de l’Académie royale des sciences, des lettres et des beaux-arts de Belgique. T. XXXVI. Bruxelles 1867. 4.

Bulletins de l’Académie royale des sciences, des lettres et des beaux-arts de Belgique. Année 35°, tome 22 et année 36"°, tome 23. Bruxelles 1866 67. S.

Tables générales et analytiques du recueil des bulletins de l’Académie royale des sciences, des lettres et des beaux-arts de Belgique. 2"° Série, Tome I XX. Bruxelles 1867. 8.

Annuaire de l’Académie royale des sciences, des lettres et des beaux-arts de Belgique. 1867. Bruxell es 1867. 24

Processen - verbaal van de gewone vergaderingen der k. Akademie van Wetenschappen. Afdeeling Natuurkunde van Mei 1866 tot en met April 1867. S.

Verslagen en mededeelingen der k. Akademie van Weten- schappen. Afdeeling Letterkunde. Tiende Deel. Am- sterdam 1866. 8.

Jaarboek van de k. Akademie van Wetenschappen, gev2- stigd te Amsterdam voor 1866. Amsterdam. S. Philosophical Transactions of the royal Society of London

for the year 1867. Vol. 157, part I. London 1867. 4.

Proceedings of the royal Society. Vol. XV X 93, Vol. XVI X 94. London 1867. 8.

Kongl. Vitterhets historie och Antiquitets Akademiens Handlingar. Del. 25. Ny f6ld del 5. Stockholm. 8.

Forhandlinger i Videnskabs - Selskabet i Christiania. Aar 1865, 1866. Christiania 1866 1867. S.

Acta Societatis scientiarum Fennicae. Tomus VIII, pars I. II. Helsingforsiae 1867. 4.

Üfversigt af Finska Vetenskaps-Societetens forhandlingar 1863/64, 1864/65, 1865/66, 1866/67. Helsingfors 1864 1867. 8.

Paru le 7 mars 1868,

New York Botanical

Ill

INT

00259 3554

a

ss

EEE RE

es