PCA FÉÉDTS RHIN RRRSSAERNERNR ; PE "5 Ë Êt Ms a BULLETIN DE L'ACADEMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE S'-PÉTERSBOURG. TOME TREIZIÈME. (Avec 4 Planches.) Sr.-PÉTERSBOURG, 1869. Commissionnaires de l’Académie Impériale des sciences: à St-Pétersbourg, à Riga, à Leipzig, MM. Eggers & Comp., H. Schmitzdorff V Too (K. Rôttger) et J. Issakof, M. N. Kymmel, M. Léopold Voss. Prix du volume: 2 Roub. 70 Kop. d’arg. pour la Russie, 3 Thl. de Prusse pour l'étranger. Imprimé par ordre de l’Académie Impériale des sciences. Avril 1869. C. Vessélofski, Secrétaire perpétuel. Imprimerie de l’Académie Impériale des sciences. (Vass.-Ostr., 9° ligne, M 12.) TABLES DES MATIÈRES. A. TABLE SYSTÉMATIQUE. (Les chiffres indiquent les pages du volume.) SCIENCES MATHÉMATIQUES, PHYSIQUES ET BIOLOGIQUES. MATHÉMATIQUES. J. Somof, Note sur l'attraction exercée par une couche matérielle très mince sur un point de sa surface. 1 — 5. M. Bouniakowsky, Sur quelques formules qui résultent de la combi- naison des résidus quadratiques et non quadratiques des nom- bres premiers. 25 — 32. F, Minding, Sur un problème du calcul des probabilités, qui se pré- sente dans les observations des étoiles filantes. 203 — 208. J, Somef, Note sur la solution, donnée par Abel, d’un problème de mécanique. 469 — 472. F, Minding, Loi de la formation des dénominateurs et des numéra- teurs pour la réduction des fractions contiuues en fractions or- dinaires. 524 — 528. ASTRONOMIE. À, Sawitsch, Observations des planètes Saturne et Neptune en 1867 à l'Observatoire académique de St-Pétersbourg. 48 — 49. 0, Struve, Observations spectrales de l’aurore boréale. 49 — 50. C, Linsser, Ephémérides calculées pour la recherche de la comète périodique de Winnecke (1858. II) à sa réapparition en 1869. 454 — 457. PHYSIQUE. M. H. Jacobi, Note sur la production des dépôts de fer galvanique. 40 — 48. A. Winnecke, Aurores boréales observées pendant les années 1858 à 1864. 177 — 203. CHIMIE. N, Zinine, Notice sur le Chlorobenzile. 32. Fr. Beïlstein et Kuhlberg, Sur les alcools et les aldehydes substi- tués. 130 — 145. J, Fritzsche, Notions sur les hydrocarbures. 143—168 et 531—548. N, Zinine, Sur un produit de l’action de l’acide chlorhydrique sur l’essence d'amandes amères contenant l'acide cyanhydrique. 168 — 174. H. Struve, Détermination quantitative de l’iode dans différents li- quides, et particulièrement dans l’urine. 276 — 284, et Rectifi- cation. 496. , MINERALOGIE. S, À, I. Mng. le Due Nicolas de Leuchtenberg, Quelques mots sur le Kotchoubeïte, la Kämmerérite et la pennine. 33 — 40. N. v, Kokscharow, Notice sur les crystaux du linarite. 472 — 376. GÉOLOGIE. P. Kostytschef et O0. Marggraf, Composition chimiqne des éponges fossiles des apatites du terrain crayeux de la Russie. 19 — 20. G, v. Helmersen, Coquilles marines trouvées dans les sables de Kara-kum. 23 — 25. BOTANIQUE. Famintzin, Action de la lumiére sur la Spirogyra. 60 — 81. El, Bor$tow, Les champignons du gouvernement de Tchernigof. 219 — 245. J, Borodine, Action de la lumière sur la répartition des graines de la chlorophylle dans les parties vertes des phanérogames. (Avec une planche.) 567 — 586. ZOOLOGIE. J, F, Brandt, Classification des Sireniens. 21 — 23. A. Strauch, Le Crocodile noir d'Adamson. 51 — 60. — Sur le serpent venimeux de la famille des Elapides, nommé Tomyris oxyana par M. Eichwald. 81 — 94. J. F. Brandt, Recherches sur le genre Hyrax Herm. (Second ex- trait.) 342 — 344. ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE. Th. Zawarykin, Sur les premières voies suivies par le chylus. 174 — 177. P, Stepanof, Développement des organes de génération de la Phal- lusia. 209 — 218. Ph. Owsiannikow, Développement et structure des spermatozoa des poissons. 245 — 248. El, Metschnikow, Observations sur le développement de quelques animaux. 284 — 300. Dr. Afanassiev, Du développement embryonnaire du coeur. (Avec une planche.) 321 — 335. Dr. Ed. Brandt, Le système nerveux de la Patella vulgaris. (Avec une planche.) 457 — 462. — Le système nerveux du Chiton (Acanthochites) fascicularis. (Avec une planche.) 462 — 466. Ph, Owsjannikow, Action de l’osmiamid de Fremy sur le tissu ani- mal. 466 — 469. J, Dediuline, Rapports entre l’action du Laryngeus superior et du Vagus, et celle de l’Accessorius Wällisii. 529 — 530. VOYAGE SCIENTIFIQUE. Fr, Schmidt, Communication préalable concernant les résultats scien- tifiques obtenus par l’expédition chargée de la recherche d’un mamouth. 97 — 130. IV PHILOLOGIE ET HISTOIRE. A, Nauck, Rapport sur un ouvrage publié par M. E. Miller sous le titre de «Mélanges de littérature Grecque contenant un grand M. Brosset, Variétés géorgiennes. 5 — 19. nombre de textes inédits», 344 — 401. F. J. Wiedemann, Rapport sur un voyage fait en 1868 dans la Livo- | M, Brosset, Etudes sur l’historien arménien Oukhtanès du X° siècle. nie et l'Ehstonie pour des recherches philologiques. 218 — 219. 401 — 454. M, Brosset, Examen d’un passage de l'historien Oukhtanès, relatif à | A, Schiefner, Les démarches de M. Jäschke, missionaire, pour se la prétendue conquête de l’Ibérie par Nabuchodonosor. 248 mettre en possession d’un manuscrit du Gesar. 476 — 484. — 260. F, J, Wiedemann, Les Ehstes habitant parmi les Lettes en Livonie, W, Heydt, Les Italiens sur les côtes de la mer Noire. Lettres à M. dans les districts de Marienbourg et de Schwanebourg. 497—524. Bruun. 1" et 2°. 261 — 276. H. Hildebrand, Rapport concernant les recherches historiques faites J, Krohn, Quelques remarques se rattachant à la grammaire compa- dans les Archives de la ville de Riga. 548 — 567. rée des langues finnoises. Avec des notes de M. Wiedemann. | Bulletin bibliographique. 94 — 96, 300 — 320, 484— 496, 586 — 588. 335 — 342. B. TABLE ALPHABÉTIQUE. (Les chiffres indiquent les pages du volume.) Afanassiev, Dr. Du développement embryonnaire du coeur. (Avec une planche.) 321. Beilstein, Fr, et Kuhlberg. Sur les alcools et les aldehydes substi- tués. 130. Bouniakowsky, V. Sur quelques formules qui résultent de la combi- naison des résidus quadratiques et non quadratiques des nom- bres premiers. 25. Borodine, J, Action de la lumière sur la répartition des graines de la chlorophylle dans les parties vertes des phanérogames. (Avec une planche.) 567. Bor$tow. Les champignons du gouvernement de Tchernigof. 219. Brandt, Ed. Le système nerveux de la Patella vulgaris. (Avec une planche.) 457. — Le système nerveux du Chiton (Acanthochites) fascicularis. (Avec une planche.) 462. Brandt, J, F, Classification des Sireniens. 21. — Recherches sur le genre Hyrax Herm. (Second extrait.) 342. Brosset, M. Variétés géorgiennes. 5. — Examen d’un passage de l'historien Oukhtanès, relatif à la prétendue conquête de l’Ibérie par Nabuckodonosor. 248. — Etudes sur l'historien arménien Oukhtanès du X° siècle. 401. Dédiuline, J. Rapport entre l’action du Laryngeus superior et du Vagus, et celle de l’Accessorius Willisii. 529. Famintzin. Action de la lumière sur la Spirogyra. 60. Fritzsehe, Notions sur les hydrocarbures. 143 et 531. Helmersen, G. v. Coquilles marines trouvées dans les sables de Kara-kum. 23. Heydt, W. Les Italiens sur les côtes de la mer Noire, Lettres à M. Bruun. 1'° et 2°. 261. Hildebrandt, H, Rapport concernant les recherches historiques faites dans les Archives de la ville de Riga. 548. Jacobi, M. H. Note sur la production des dépôts de fer galvanique. 40. Kokscharow, N, v. Notice sur les crystaux du linarite. 472. Kostyschef, P, et 0, Marggraf, Composition chimique des éponges fossiles des apatites du terrain crayeux de la Russie. 19. Krohn, J, Quelques remarques se rattachant à la grammaire com- parée des langues finnoises. Avec des notes de M. Wiede- mann. 332. Kubhlberg et Fr, Beilstein, Sur les alcools et les aldehydes substi- tués. 130. Linsser, C, Ephémérides calculées pour la recherche de la comète périodique de Winnecke (1858 II) à sa réapparition en 1869. Marggraf, 0. et P. Kostyschef, Composition chimique des éponges fossiles des apatites du terrain crayeux de la Russie. 19. Metschnikow, El. Observations sur le développement de quelques animaux. 284. Minding, F, Sur un problème du calcul des probabilités, qui se pré- sente dans les observations des étoiles filantes. 203. — Loi de la formation des dénominateurs et des numérateurs pour la réduction des fractions continues en fractions ordinaires. 524. Nauck, A. Rapport sur un ouvrage publié par M. E. Miller, sous le titre de «Mélanges de littérature Grecque contenant un grand nombre de textes inédits». 344. Nicolas, S. A. Imp., Mng. le Duc de Leuchtenberg. Quelques mots sur le Kotschoubéite, la Kämmerérite et la pennine. 33. Owsiannikow, Ph, Développement et structure des spermatozoa des poissons. 245. — Action de l’osmiamid de Frémy sur le tissu animal. 466. Sawitsch, À. Observations des planètes Saturne et Neptune en 1867 à l’observatoire académique de St-Pétersbourg. 48. Schiefner, A. Les démarches de M. Jäschke, missionnaire, pour se mettre en possession d’un manuscrit du Gesar. 476. Schmidt, Fr, Communication préalable concernant les résultats scientifiques obtenus par l’expédition chargée de la recherche d’un mammouth. 97. Somof, J. Note sur l’attraction exercée par une couche matérielle très mince sur un point de sa surface. 1. — Note sur la solution, donnée par Abel, d’un problème de mé- canique. 469. Stepanof, P. Développement des organes de génération de la Phal- lusia. 209. Strauch, À, Le Crocodile noir d’'Adamson. 21. — Elapides, nommé Tomyris oxiana par M. Eichwald. 81. Struve, H, Détermination quantitative de l’iode dans différents li- quides et particulièrement dans l’urine. 276. — Rectification. 496. Struve, 0, Observations spectrales de l’aurore boréale. 49. Wiedemann, F. J. Rapport sur un voyage fait en 1868 dans la Li- vonie et l’Ehstonie pour des recherches philologiques. 218. — Les Ehstes habitant parmi les Lettes en Livonie, dans les dis- tricts de Marienbourg et de Schwanebourg. 497. Winnecke, À, Aurores boréales observées pendant les années 1858 — 1864. 177. Lawarykin, Th, Sur les premières voies suivies par le chylus. 174. Linine, N. Notice sur le Chlorobenzile. 32. — Sur un produit de l’action de l’acide chlorhydrique sur l’essence d'amandes amères contenant l’acide cyanhydrique. 168. 4 PE . \ \ Te T d u " ’ ‘ue ES À y 4 L (se Et è pe ‘ = # | î 7 « Le Le : k = PL L , Pe. i , PA L OT ï = à Q AE - L! « à ; > , | { D AE A 1 HAE ; OR 0 (l Ta : 4 (e À < L | : 108 | LES RU" SPAS ÿ | m2: : DU di : d Dr Fo NE CO UMMTER ENS K + | 4 ; : EH L ï e pa 4 6 \ | F | | ra HAN: ee ; sas QU REETESREL La do AA AE CR TAN TA = à : | Cp 3 ; HE HT Re TI CPS 4 Am sb “à sus de | de vid ? 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Bouniakowsky, Sur quelques formules qui résultent de la combinaison des résidus qua- dratiques et non quadratiques des nombres premiers. ......................... 25—32 Nine, Noticeisurale Chlorobenzile:. : 1" RP EL ACER Ne PE REC 32 S. À, I, M° le Duc Nicolas de Leuchtenberg, Quelques mots sur le Kotchoubéite, la Kämme- | RÉHITONE STADE INR At ee une si aller ce lotele che e calais OU tele le cine 33—40 | M. H. Jacobi, Note sur la production des dépôts de fer galvanique.................... 40—48 | A. Sawitsch, Observations des planètes Saturne’et Neptune en 1867 à l'observatoire aca- | démmquerdesSt-PÉTERSDONEP ES Eine de ee eee cn etc 48—49 | 0, Struve, Observations spectrales de l’aurore boréale .............................. 49—50 DANIrauChPeNCTOCOdEMnoIn A TANSONS 20. RL creer creecc 51—60 amintrn Actondedaiumiere sur IaSpILOeyrA: Eee een pence 60—81 A. Strauch, Sur le serpent venimeux de la famille des Elapides, nommé Tomyris oxiana re ENG EN RSR RE PR ER ER DO OO SD SO 81—94 BU AMDROTEADRIQUE NT ANT en Pi ER RE ON rene ae Don 94—96 “2 — On s’abonne: chez MM. Eggers & Cie, H. Schmitzdorff et J. Issakof, libraires à St.- Pétersbourg, Perspective de Nefski; au Comité Administratif de l’Académie (Komurer® Ilpassernin Huneparopckoÿ Axkanemiu Hayx®) et chez M. Léopold Voss, libraire à Leipzig. Le prix d'abonnement, par volume composé de 86 feuilles, est de 3 rbl. arg. pour la Russie, 3 thalers de Prusse pour l'étranger. Imprimerie de l’Académie Impériale des sciences. (Vass.-Ostr., 9€ ligne, À 12.) ” [+ 7 4 Vos (à | d ; r til AMOE DR CS Pr PPT ee. 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Dans ce cas la portion de la couche pour laquelle il faut calculer l'attraction exercée par elle sur le point AZ, est le sewment DMIM/; compris entre la seconde surface DM'F et le plan tangent à la pre- mière au point M. Pour appliquer à cette portion la formule (1) il faut prendre l'intégrale par rapport à r entre les limites » — 0 et r — MA et par rapport à ® . Le résultat de la première in- entre o—0 et p—+ tégration sera encore exprimé par la formule (2) où l’on doit poser r — MA. Quant à l'intégrale relative à ©, elle peut être remplacée par une intégrale rela- tive à r prise entre les limites r —e et r — MD. Négligeant les infiniment petits de l’ordre supérieur à e, on peut faire CB—R, AB—e et (R+e) = R° +7" + 2Rr cos; d’où l’on tire cos®= (1 +; )= — . € 1 sin odp — [1 1 5) ne Si dr; par conséquent rr= MD [(1+53) Ve æ) dr n) (© . où De (—°) (5) Si l’on néglige les infiniment petits de l’ordre supé- rieur à €, on réduit ce résultat à Jr sino cospdp — | = (+ Jrsinocosodo = e, et par suite on aura encore 2T PF a fée = 2T€. 0 L'expression (3) ou (5) se réduit encore à e dans le cas où le rayon de courbure Z est infiniment grand. En effet, il est évident que dans ce cas les valeurs de 5 des Sciences de Saint-Pétersbour£g. 6 e2 €? 3 4 «3 nv. 2Rr',4RTACRE PR encore négligeables par rapport à e, et la valeur de F étant de l’ordre €, quand même À est nie 73 pe la valeur > est du même ordre que FE par conséquent elle est aussi négligeable. Ainsi la formule PTE a lieu quelque soit l’indicatrice de courbure de la surface qui contient le point M, pourvu que ce point ne soit pas un point singulier du genre des points sail- lants ou de rebroussements. Si l’on suppose que la couche est comprise entre deux sphères, on aura exactement Pire (1+ 5) (—5)— mt —<)], mème quand l'épaisseur € a une valeur finie. Dans ce cas P est l'attraction qu’exerce sur le point M une masse homogène limitée par un cône circonscrit à une sphère dont le sommet est en M et qui est terminé par la surface de cette sphère, ou l'attraction exercée par une calotte sphérique homo- gène sur un point au centre de la base de cette calotte. Variétés géorgiennes, par M. Brosset. (Lu le 16 janvier 1868). $ I. Calendriers lunaires. Pour ne pas interrompre la suite des idées, je n’ai point traduit en son lieu un article de quelques lignes, qui termine le texte du traité de comput, dans le ma- nuscrit Tischendorf, années 941 — 965, et qui est imprimé p. 6. du t. XI, N° 13 des Mém. de lAc. des sc. VII° série. En voici la teneur. Calendrier '), formulé par le prophète Ezra. 1) Quand janvier commence par le jour de di- manche, l'hiver sera humide, l’été sec, les fruits abon- dants, la vendange pauvre, le miel abondant, l’automne venteux, les moutons bien portants. 2) Si janvier s'ouvre par le lundi, il y aura un hiver chaud, un été et un printemps bons, de grandes 1) doses est le mot latin calendae, signifiant le premier jour du mois. pluies, des météores extraordinaires, un automne sec, des fruits abondants, peu de miel, des maladies l’une sur l’autre, mort de pauvres et beaucoup de fièvres. 3) Si par le mardi, l'hiver sera prolongé, l'automne humide, les fruits souffriront; il y aura mort de femmes, maladies et naufrages. 4) Si le mercredi, il y aura un hiver rude, un été humide, un bon printemps, peu de froment, abondance de raisins et de fruits, accomplissement de tous sou- haits, mort d'hommes. 5) Si janvier s’ouvre un jeudi, l'hiver sera bon, l'été venteux, le printemps et l’automne tempérés, peu de miel, perte de princes et de très grands person- pages. 6) Si un vendredi, l'hiver sera long et rude, l'été et le printemps humides, l’automne sec, beaucoup de blé et de vin, tous les fruits à bon marché, ophthal- mies, mort d'enfants. 7) Si un samedi, l'hiver sera pénible, le printemps serein, les fruits en petite quantité; mort des mou- tons, inflammations, fièvres, maladies sur maladies, incendies d'habitations, mort des vieillards. Ce serait une vaine recherche que celle du pro- phète, soi-disant auteur des prédictions que l’on vient de lire, et du motif qui les a fait insérer dans un traité de comput ecclésiastique *). Toutefois il n’est 2) Malgré cette réserve,je crois devoir dire ici qu'ayant lu dans les Annales archéologiques de Didron, t. 19, p. 243, 248, 250, la description de la Raggione ou grande salle de l'Hôtel de ville de Padoue, j'y ai trouvé qu’un certain nombre de peintures de cette salle se rapportent aux occupations des différents mois, avec des légendes analogues à celles qui ont cours en Géorgie, et à celles consignées dans le journal Le Nord, pour 1854, A 16. Outre cela, on y lit des pronostics planétaires, tels que ceux du Brusof calen- dar, réimprimés, cette année même, dans le Kazxexxap®# x14 acrpo- aora. Par ex., Saturnus denotat dissipationem, mortem, luctum; homo erit miser et ociosus; sous le capricorne, homo erit piger; sous le soleil, homo superbus erit; sous le bélier, homo robustus erit;... Toutes ces belles choses sont tirées du Principium sapien- ciæ, par Abraham Avenare ou Æzera, surnommé Magister adjutorii. Or cet ouvrage, qui jouissait au moyen-âge d’une certaine célébrité, fut traduit du latin en hébreu par Pierre d’Abano ou Aponus, grand médecin et mathématicien, et qui passa même pour sorcier, né à Padoue en 1250, + en 1316. A la fin de sa traduction on lit: Hic liber compilatus fuit... a creatione Ade (Adami) anno de 4908, versus a. 1293 J.-C.,. 5053 et circiter 8 mensibus Ade; Ann. archéol. t. 16, p. 338; 19, p. 250. Ainsi Ezra, qui en était l’auteur, l’avait écrit en 1148 (5053 — 1293 — 3760; 4908 — 3760 — 1148). Aben Ezra était un rabbin de Tolède, qui a écrit sept traités d’astrologie; il était né en 1119 et mourut en 1174. Son ouvrage capital «Brechit Chokhma, le Principe de la sagesse,» est en partie traduit de l’arabe, en par- tie original; on peut le voir, traduit en latin, dans Wolf, Biblio- theca hebraïca, t. III; v. aussi Figuræ cœli, par Pierre d’Abano; 1* 7 Bulletin de l’Académie Hmpériale _S pas sans intérêt de faire remarquer que la crédulité des bons Géorgiens avait donné naissance à plusieurs calendriers lunaires, avec prédictions pour chacun des 30 jours. J’en ai trouvé deux, dont un fort court et l’autre bien plus détaillé, à la suite d’un vieux manu- scrit du roman de l'Homme à la peau de panthère, à la bibliothèque de Paris, daté de Chamakhi, 5 janvier 390 — 1702. En voici le contenu: Calendrier lunaire juste et vrai. Le 1* de la lune, il fait bon semer, planter, ar- ranger, couper, tailler les arbres, se mettre en route. Aujourd’hui Noé a mis la main à la confection de l'arche, Moïse a tiré les Israélites de captivité, et les anges ont ordonné à la Mère de Dieu de partir. Qui naît aujourd’hui sera fort et heureux, qui tombe ma- lade guérira, chose perdue se retrouvera, les rêves sont bons. II‘. Jour heureux pour semer, planter, arranger et couper les arbres, mauvais pour les animaux. C’est aujourd’hui que Caïn a tué son frère Abel. Qui naîtra aujourd’hui sera débauché; si le malade vit dix jours, il réchappera; chose perdue aujourd’hui, aujourd’hui se trouvera, chose volée rendue sera, le rêve dans trois jours s’accomplira. III‘. Succès en tout, qui naît aujourd’hui guerrier sera. Aujourd’hui David a tué Goliath, et la sainte croix de J.-C. a été retrouvée à Jérusalem. Qui tom- bera malade guérira, objet perdu se trouvera, chose volée reviendra, les rêves sont bons. IV°. Jour mauvais, ne plante ni ne sème, ne fais pas d'échanges. En ce jour Nabuchodonosor, prince de Babylone, a brûlé les disciples. Qui naît aujour- d’hui dans le feu, dans l’eau ou dans le malheur, tom- bera; chose perdue ne se retrouvera, objet volé rendu ne sera; malade qui tiendra douze jours guérira, les rêves sont heureux. ou «Opus astrolabii plani» à Joh. Angeli, Augustæ Vindeliciorum, 1488; chez Corn. Agrippa, De occulta philosophia, on trouve Hepta- meron, sive elementa magica, Petri de Abano, philosophie; sur Aben Ezra, de nouveaux détails, dans Zeitschrift d. deut. morgenl. Gesell- schaft, t. 20, p. 427. De tout cela je conclus qu’au XII° s. le rab- bin Aben Ezra avait rédigé, en partie d’après des matériaux an- ciens, un livre d’astrologie, du genre de l’Heptameron du manu- scrit de Tischendorf, qui lui est antérieur de plus de 200 ans. J'ajoute que M. l’Acad. Sreznefski m’a fait observer que sans doute on trouverait chez les byzantins l’original des calendriers lunaires géorgiens; mais je me contente de livrer ces indications à la saga- cité des personnes qui voudraient s'intéresser à ces recherches. V°. Jour heureux, Noé a achevé l’arche et y est entré, après y avoir réuni tous les êtres vivants. Mets l'enfant à l’école, achète des esclaves, travaille, mais ne jure ni ne fais jurer; ne te mets pas en route, C’est mauvais. Malade qui empire enfin guérira, objet perdu difficilement se trouvera; ne dis ton rêve à personne. VI°. Jour de bonheur pour commercer, voyager, entrer dans une maison neuve; qui naît aujourd’hui longtemps vivra, un fier Kourde (voleur) sera; jour heureux pour mettre les enfants à l’école. Aujour- d'hui J.-C. a été confié à un maître, il a envoyé ses apôtres prêcher dans le monde; noces heureuses; garde-toi de jurer; malade qui cinq jours tiendra, survivra; dans cinq jours ou au commencement de l’année le rêve s’expliquera. VII. Jour qui n’est pas heureux; Adam à été ex- pulsé du Paradis. Ne chasse ni ne commerce; s’il tonne, la terre sera inondée. Jour malheureux pour tout; ce qu’on perd est bien perdu. Ne fréquente pas la femme. Le malade empirera, mais à la fin il gué- rira. Rêve mauvais aujourd’hui s’expliquera, par la prière on s’en tirera. VIII. Jour heureux; aujourd’hui la lumière a été séparée des ténèbres, et les langues ont été divisées; pativité de Mathousala; il fait bon commercer, plan- ter, se mettre en route. Qui naît aujourd’hui prospé- rera, mais sera laid de corps et vif à la réplique. Chose perdue difficilement se retrouvera, le malade guérira, les rêves sont bons. IX°. Jour heureux pour se mettre en route et com- mercer; ne fais rien autre, c’est mauvais. Qui naïîtra aujourd’hui pauvre restera, mais de coeur. Objet perdu se trouvera, malade empirera, mais, le mal se prolongeant, il guérira. Les rêves sent bons. X°. Moïse rapporta les Tables du Seigneur et les brisa ensuite. Jour mauvais pour se mettre en route, pour commercer, emprunter, prêter. Chose perdue ne se trouvera plus, chose volée dépendra du hazard, le malade mourra. Aujourd’hui ont été massacrés les enfants à Béthléhem. Rêve faux. XI‘. Anna, sans enfants, ayant prié le Seigneur, devint mère de Samuel; il fait bon prier le Seigneur, bâtir, restaurer, planter, se mettre en route, com- mercer; chose perdue se retrouvera, chose volée re- viendra, le rêve est bon. XII‘. Naissance de Judas. Ne voyage pas, ne te 9 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 10 EE lave pas la tête, ne commerce pas. Qui nait aujour- d’hui s’enrichira, sera chéri et considéré du maitre. Les rêves sont bons. XIII. N’entreprends rien. Jérusalem a été prise. Qui naît ce jour pauvre sera, qui tombe malade mourra; rêves faux. XIV*. Le prophète Jonas a été avalé par un pois- son. Jour heureux pour voyager, mais ne te fie*) pas à l’eau: il fait bon poser un fondement, se marier; tout ce qu’on fait réussit. Malade qui de lieu chan- gera bien fera; chose perdue ne se retrouvera; rêves heureux. XV°. Division des langues; le Christ a parlé à Abraham, et le diable a été confondu; il fait bon semer, planter, se marier; qui naît aujourd’hui Dieu craindra, malade guérira. Ne va pas en guerre, ne pose pas de fondement; les rêves sont bons. XVI‘. Dans tout ce que tu fais sois prudent, ne jure pas et n’exige pas de serment. Qui naît ce jour sera aimé des souverains, et obtiendra des honneurs. Il fait bon se mettre en route. Ne prête pas, ne pose pas de fondement; rêves faux. XVII. Jour heureux; aujourd’hui le Christ a triom- phé de l'enfer; n’achète ni ne vends, ne prête ni n’em- prunte, ne va pas chez la femme. Qui naît aujour- d’hui heureux sera, chose perdue se trouvera, rêves faux. XVIII. Jour heureux. Aujourd’hui le Seigneur a donné à Abraham son fils Isaac; il fait bon bâtir, se mettre en route, se marier. Qui naît aujourd’hui ne sera pas heureux avec les hommes. Aujourd’hui le Christ a tiré de l’enfer les âmes des fils d'Adam; rêves heureux. XIX°. Le Seigneur a apparu à Moïse. Il fait bon se mettre en route et prier. Qui naît aujourd’hui sera favorisé du sort, chose perdue se trouvera; rêves faux. XX°. Isaac bénit son fils Jacob“); aujourd’hui toute prière est bonne. Il fait bon semer, aller chez un su- périeur; le malade guérira, le rêve se réalisera dans le mois. XXI‘. Jour heureux pour se mettre en route, pour commercer, poser des fondements, placer les enfants 3) 67 JF djn? 4) Le texte dit, au rebours: Jacob bénit son fils Isaac, os3mc5d comm... à l’école. Qui naît aujourd’hui heureux sera et chéri de Dieu; ton rêve aujourd’hui même se réalisera. XXII. Jour heureux, aujourd’hui naquit le beau Joseph; il fait bon commercer, semer, s’embarquer en nef; le malade guérira. Ne retire pas de terre le pot au vin, n’envoie pas le cheval à l’herbage; l’objet volé ne reviendra. Qui naît aujourd’hui sera heureux, aimé de Dieu, compätissant au pauvre. Les rêves sont heureux. XXIII°. Jour heureux, naissance de Bané? Jour propice pour tout faire, pour se marier, entrer au lit, pour semer, commercer, pour poser des fondements et chasser. Objet perdu, volé, se trouvera, le malade empirera. Qui naît aujourd’hui aimera l’argent; qui tombera malade au loin, s’il guérit, vivra encore 50 ans, puis sera mangé des loups. Rêves faux. XXIV®. Naissance de Pharaon. Jour mauvais. Abs- tiens-toi de toute entreprise; le malade mourra; qui se fera tirer *) du sang difficilement guérira; objet volé reviendra. Qui naît aujourd’hui sera ingénieux et sage et mourra par l’épée. Rêves faux. XXV°. Jour mauvais. Qui fait un serment mourra, le malade empirera, la chasse est bonne. Qui naît au- jourd’hui sera grand parleur et sans honneur; le ma- lade qui tiendra un jour, un mois, un an, longtemps vivra. Rèves faux. XXVI'. Moïse a fendu la mer rouge; tout ce que tu demanderas le Seigneur y consentira, tes entre- prises réussiront, telles que mariage et voyage. Qui- conque naît en ce jour est destiné à vivre; rien de ce qui se perd ne se retrouvera. Le rêve s’expliquera dans l’année. :'XXVII. Jour heureux, bon pour toute espèce de commerce, pour poser un fondement, se mettre en route; si tu empruntes®)....; le malade guérira. Qui naît aujourd’hui, c’est bien; rêves faux. XXVIIL. Abraham a offert son fils au Seigneur ex sacrifice”). ....; il fait bon commercer, se mettre en route. Qui naît vivra longtemps; rêves faux. XXIX®. Les Israélites sont entrés dans la terre de promission; il fait bon agir. C’est le jour de la ré- 5) Lolbçgma 8 dm5 7 bnml; je lis 830537 bamt, 6) Ici il y a une lacune. 7) Je lis Lsdgnm, au lieu de Vs956om: dans le livre Dastoula- mal on trouve pourtant souvent le mot 95645 dans le sens d'impôt, d'amende, c’est presque le latin macta. 11 demption, les malades guériront. Il fait bon se mettre en route, commercer, mettre les enfants à l’école, se marier. L'objet perdu se retrouvera. Qui nait au- jourd’hui sera chéri des hommes et de bon caractère, et vivra 60 ans. XXX°. Naissance du prophète Samuel; tout ce que tu fais réussira, tu retrouveras l’objet perdu; il fait bon se marier, se mettre en route. Qui naît, devien- ra possesseur de richesses légitimes, et plein d’a- mour propre; s’il dépasse huit jours, un mois, un an, il vivra 100 ans. Le rêve s’accomplira au commen- cement de l’année. Ce calendrier complet est suivi, ainsi que je l’ai dit, d’un autre, composé de dix lignes, qui ne con- tiennent pour l’ordinaire que quelques mots, ou de très courtes indications. Evidemment ces billevesées n’ont aucune valeur intrinsèque et ne sont que de simples curiosités. Toutefois il faut remarquer que les tristes prophéties que l’on vient de lire circulent dans le peuple, et qu'il en existe diverses rédactions, avec de nombreuses variantes, soit dans l'indication des faits bibliques, soit dans les pronostics de bon- heur et de malheur, accompagnés de longs dévelop- pements. Ainsi M. N. Berzénof, à la suite d’un ar- ticle très intéressant sur les croyances médicales et empiriques des Géorgiens, extraites d’un Xarabadim”) persan, traduit en géorgien, a publié une composition du même genre, dans le calendrier du Caucase pour 1857, occupant 6°/, pages, d’une impression très com- pacte, auquel il suffit de renvoyer le lecteur. Tel est le 1%"N°: «Le 1° jour de la lune est propice pour toute sorte d'entreprise, heureux pour voyager sur mer comme sur terre; il fait bon semer, planter, tondre les brebis; le malade guérira dans quatre jours, l’ob- jet perdu se retrouvera. Qui nait sera heureux et vivra longtemps; le rêve s’accomplira le jour même ou dans quatre jours; ne va pas au palais. «Commentaire. L’Archange a visité la Vierge Ma- rie, Zorobabel a posé les fondements de Jérusalem, et Dieu a béni tous les arbres. Celui qui tombera malade souffrira quatre jours et se relèvera. Le règne du souverain et les noces seront heureux, parce que Moïse a fendu la mer, qui a englouti Pharaon dans 8) Livre de médecine; l’étymologie de ce nom n’est pas connue. Hulletin de l’Académie Empériale 12 ses abimes. Si le roi donne un ordre à quelqu'un, celui-là l’exécutera heureusement, et remportera une brillante victoire sur les ennemis. Dieu a créé Adam. Lisez l’Ephod chaque jour.» Tout le reste est de cette force, mais comme chaque article est plus dé- veloppé que dans mon Calendrier, les curieux finiront peut-être par trouver qu’il vaut la peine de lire le morceau en entier. Après avoir publié le texte du Calendrier lunaire, d'abord par la voie de la lithographie, en un petit nombré d'exemplaires, avec une traduction très im- parfaite, je l’ai reproduit, en rectifiant la traduction, dans mes Mémoires inédits, 1° Partie, en 1833. Je n’y aurais plus repensé, si un des bons écrits pério- diques de France, le Magazin pittoresque, 1867, p. 358, n'avait trouvé bon de donner un calendrier du même genre, avec les variantes signalées plus haut. Telle est la teneur du 1° N°. «l** jour de la lune, il est bon: Adam fut créé ce jour-là. Tu peux entreprendre un travail, te marier, te mettre en voyage, soit sur terre, soit sur mer. Si tu tombes malade, tu guériras. Si tu rêves, attends cinq jours, et ton rêve se réalisera. L'enfant qui naîtra vivra.» Et ainsi de suite. Or ce Calendrier provient du t. XIV des Notices et extraits des manuscrits, IL° partie, p. 17, où il est imprimé en langue catalane, d’après un manuscrit de l’an 1375, avec traduction française. Quel est donc l'original d’un écrit persan, traduit en géorgien à une époque inconnue, et en catalan, déjà vers le milieu du XIV° s.? C’est une question d'histoire littéraire qu'il serait curieux de pouvoir résoudre. Enfin, dans mes Mémoires inédits, 1" partie, j'ai encore publié avec traduction, sous le titre de Chiro- mancie, un recueil géorgien de pronostics tirés des lignes de la main, où les articles les plus scabreux ou mystérieux sont tracés en lettres d’un alphabet géor- gien secret. Le tout faisait partie d’un petit recueil de pièces, religieuses pour la plupart, qui se trouve dans la grande bibliothèque de Paris, et a été retra- duit en russe, dans le journal Kagkasr pour 1854, N°29; p- 91° Cet ensemble de traités, populaires en Géorgie, comme nos Almanachs de Liége, en France, jusqu’à une époque récente, et peut-être même jusqu’à-pré- sent, témoignent de la puissance des idées supersti- 13 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 14 tieuses, dans les contrées même les plus avancées en | le quartier dit Moguiltzy. ”) Je n’ai pas copié les figu- civilisation. Au point de vue philologique, rien de plus irré- gulier que l'orthographe du calendrier dont je viens de donner la traduction: il semble que ce soit écrit par un enfant inintelligent, mettant, pour s'amuser, un &@ s épenthétique après chaque consonne, ce qui rend les mots méconnaissables. Les noms propres y sont horriblement défigurés, comme, au IIT° jour, An- boukath-Onh-Sowra, pour Nabuchodonosor; Mathoz- agha, pour Mathusalé, au VIIT'; Bané, pour Benja- min, au XXII; le même fait, la division des langues, est énoncé aux $ VII et XV°; au XX”, il est dit que Jacob a béni son fils Isaac; dans ma traduction j'ai dû renverser les termes. Mais ici le calendrier de M. Berzénof dit, plus exactement: « Abraham a béni son fils Isaac.» Enfin j'ai dù traduire plusieurs mots presque à l'aventure, comme: Bsgoobsss6 et Lsdsboe, $ XV et XXVIITI, que je lis gdjémolsasb, Lslome, i. e. lswdjéoe. Au $ XIV, je ne sais ce que veut dire Fasæls 67 jésédgo, ne fais pas la guerre à l’eau; au XX°, le rêve wsgol Osbbs ske se réalisera dans le cours du mois? Au XXIV°, y Lobbgo gslesdjèoel sdb ess do 6gjl. je lis : on Lobbgo ges dapèoels Lsdbjgso Je6bjk «qui se fera tirer du sang, guérira avec peine,» autrement la phrase est inintelligible. SIL Sur une mamannna géorgienne, du XVE $, Le zélé explorateur des antiquités du midi de la Russie, M. Tiesenhausen, a eu l’obligeance dé me communiquer la copie d’une inscription géorgienne brodée sur une miamanuma «Couverture du tombeau de J.-C.,» du genre de celles que l’on trouve dans toute la Géorgie et dans la Russie même, et qui s’em- ploient surtout dans certaines cérémonies de la se- maine 9. L’angle des axes optiques est très variable, même dans différents endroits d’une seule et même lame. J'ai obtenu les mesures suivantes sur des échantillons de diverses localités de l'Oural. Angle de la bissectrice aiguë avec une normale Angle des Angle des axes optiques : : 8 5 optiques bissectrices dans l’aire. à la base, aiguës. Ponr les Pour les Pour les Pour les Pour les raÿons rayons rouges. | rayons bleus. | rayons rouges. | rayons bleus. [rouges et bleus 258 NBA SUR enr NEntE 8’ 260974 MENT 34 49" 52 a51ELG 38 58 1 DE 7; 1° 16 1 371 331011047099 30 18 12 AG 5 MST 4i Jp BL Les rayons bleus ont été obtenus en faisant passer les rayons blancs à travers une dissolution de cupran:- monium. En élevant la température l’angle des axes augmente. A la température de -155°C., l’écartement est de 3° 59" (M. Descloizeaux a obtenu un écartement de 3° 50° à la température de + 150° C.). L’hyperbole aux couleurs vives se déplace plus que l’hyperbole aux couleurs pales. On peut apercevoir dans certaines lames deux et rarement quatre anneaux, et lorsque l'épaisseur le permet, ces anneaux se rétrécissent vers le centre. Les hyperboles et les courbes à 45° au plan de pola- risation sont bordées de bleu à l’intérieur et de rouge à l'extérieur. On peut le distinguer nettement sur les deux hyperboles. Le champ est violet-rouge, cou- leur du minéral. La différence optique la plus notable entre la Kotchoubéite et le clinochlore consiste en ce que l’angle de la bissectrice aiguë avec une normale à la base, est bien moins grand dans la première que dans le second. L’angle de ce dernier varie entre 12°—15° tandis que cet angle dans la Kotchoubéite varie entre 0°24"— 2°15" pour les rayons blancs. Il est difficile de préciser pour le moment l'orientation du plan des axes optiques, les cristaux étant peu étudiés. On sait que des cristaux de clinochlore de Texas | 3 35 en Pensylvanie se présentent en pyramides basées, fortement cannelées dans la direction horizontale, transparentes, d’un vert clair, et contenant un noyau hexagonal de Kämmerérite violette dont les arêtes correspondent aux arrêtes du clinochlore et récipro- quement ')}. Une combinaison pareille se trouve à l’Oural dans l'arrondissement de l’usine de Bilimba- jewsk et fut trouvée en 1865 par M. Meller, ingé- uieur des mines. Le noyau dans cette combinaison est ordinairement de la Kotchoubéite quelquefois il est formé de clinochlore, tandis que la masse envi- ronnante est de la Kotchoubéite. Le plan des axes optiques est le même pour les deux substances. Cli- vage facile et sans interruption. Eclat nacré legère- ment mat. Il arrive souvent que les arêtes du noyau ne sont pas marquées. Le mélange des deux minéraux s'opère quelquefois graduellement, et l’on trouve ainsi des lames mixtes d’une couleur violette impure. Dans ce cas la double réfraction de ces lames mixtes est plus Bulletin de l’Académie Impériale 36 énergique que celle de la Kotchoubéite pure; la disper- tion des axes est remarquablement nette. Les anneaux sont vivement coloriés, dans certains endroits d’un violet caractéristique pour la Kotchoubéite, dans d’au- tres de brun, de vert sale, de vert très brillant, ainsi que de bleu de ciel, 9 > v. La bissectrice aiguë fait avec une normale à la base an angle dont la grandeur est entre celles que j’ai désignées plus haut pour les deux minéraux. — Quelquefois on rémarque une superposition d’une lame à une autre. Les plans des axes optiques de ces lames se coupent sous un angle de 60°. Les analyses chimiques du minéral ont été faites sur des échantillons de trois localités de l’Oural. Les lames ont été soigneusement triées et soumises à l'examen du microscope simple et polarisant. Je n’ai pas découvert, même avec un fort grossissement, de substances étrangères, mêlées au minéral. a b (a d e Î g h°? Sid, DOS IS 20 32,85 32,24 29,31 32,90 32,0 D 22 AIO, 19 00001920 | 12/60 MN 13% CrO 1) gi a EC 20,36 4,04 18,85 4,0 ‘19,5 FeO; 2:29 2,00 DE 6) Î 25 Mg0O 3D,11, , 35,04 36,05 35,62 35,62 36,30 35,6 36,0 H,0 12/65 12:62 12,60 12,63 12,62 12,745 6:12; 6 12,6 101,58 99,49 100,61 100,85 100,49 100 79 100 241005 Moyenne de toutes les analyses. 310: 33,6 Si0, 32,67 17,49 Re AIO, 13,18 sn4] HEURE CrO, 4,09 419,48 1,26 \ 8,06 Loue FeO;' 2,22 | 0,66 99,8 Mg0 55,75 14,30 et nous en déduirons la formule suivante: HO 12,63 11,29 : D 10$i+ 3A1 + 16 Mg + 13H ....... (A) 100,53 qui exige: En admettant que l’oxyde de chrôme remplace l’a- Si0, Mel lumine, et que le fer se trouve dans le minéral à l’état AIO; 17,59 de peroxyde et remplace aussi l’alumine, la moyenne Mg0 36,34 de nos analyses donnera: HO 12,86 TT Jsbibui 100,00. 1) Manuel de minéralogie par M. A. Descloizeaux. T. pre- mrier, p. 446. 2) Les analyses e, f, g, h sont de M. Zinin. 37 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 3S En admettant au contraire (ce qui d’après l’apprécia- tion directe de l’état d’oxydation du fer dans le mi- néral est plus exact,) que l’oxyde de chrome remplace l’alumine, tandis que le fer à l’état d’oxyde ferreux remplace la magnésie, la moyenne de nos analyses donnera: SiO, 33,3 AIO, 16,2 Mg0O 37,6 H,0. 12,9 100,0 et nous en déduiront la formule: 7 $i + 2 Al + 12 Mg +-9H qui équivaut à: S102933;1 AIO, 16,2 MgO 37,9 HO 12,8 100,0 C’est cette formule que je propose pour exprimer la composition chimique de la Kotchoubéite. Supposant que le chrome et le fer remplacent le magnésium, on trouve que la formule: AS + Àl + 7 Mg + 5H. RSS (C) exprime très bien la moyenne de nos analyses. Cette formule (C) est identique avec la formule proposée pour la pennine par différents minéralogues et en particulier par M. Descloizeaux dans son maruel. Or pour la Kotchoubéite on ne peut se permettre le calcul nécessaire pour la déduction de la formule (C) au moyen des nos analyses. En effet le chrome rem- place ordinairement l’aluminium, et le fer ne se pré- sente pas tout en état d’oxydule dans la Kotchoubéite. Une détermination directe nous a montré que la quantité de fer sous forme d’oxyde est à la quantité de fer sous forme d’oxydule dans la proportion de 527 : 833 ou à peu près de 2:3. Passant maintenant à la pennine et prenant en considération que M. Marignac a déjà constaté qu’une partie du fer contenu dans la pennine s’y trouve à l’état d'oxyde, considérant d’une autre côté qu'il ré- sulte pour nous de l’examen des analyses connues des différents échantillons de pennine, que généralement la quantité de fer y augmente, à mesure que aluminium y diminue, nous sommes arrivés à la conclusion qu’il n’est pas permis de convertir en magnium, c’est-à-dire d'admettre à l’état d’oxydule, toute la quantité de fer trouvée dans quelques analyses et d’attribuer à des mélanges accidentels l’excès de fer révélé dans d’au- tres analyses et que par conséquent la formule (C) ne représente pas la composition de la pennine. Il n’y à pas longtemps que M. Wartha *) ayant analysé un échantillon de pennine très-pure, a trouvé Si 32,16: 32,87; Al 14,81;.14,90; Fe 4,97; 4,94; Meg 33,99; 34,03; Ag 14,07 et en a déduit la formule 4$i + Al + 7Mg + 6H qui ne diffère de la formule ordinaire de la pennine que par l’excédant d’un atome d’eau. Nous avons déterminé la quantité d’eau con- tenue dans deux exemplaires de pennine, très pure, l’un provenant de Pfitschthal et l’autre de Mont-Rose et l’avons trouvée — 12,32%, pour le premier et — 12,24°, pour le second. Nos déterminations coïnci- dent avec les déterminations données par d’autres minéralogues et ne diffèrent pas des quantités d’eau trouvées ordinairement dans tous les minéraux du groupe des chlorites. En conséquence dans notre opinion, la formule de M. Wartha représente encore moins que la formule (C) la composition de la pennine. Afin de corroborer par un fait notre hypothèse que dans la pennine une partie du fer doit être calculée comme fer oxydulé et l’autre comme fer oxydé, nous avons déterminé dans une analyse de pennine très- pure de Pfitschthal les quantités de fer oxydulé et de fer oxydé et avons trouvé pour le premier 4,50, et pour le second 3,14. Si l’on introduit cet élément de calcul dans les analyses obtenus pour la pennine on trouvera que notre formule (B) 7$i, 2 À, 19Mg, 9H se rapproche de très-près des résultats d'analyses des échantillons de pennine des différentes localités qui ont été étudiées. Cette formule peut donc être propo- sée aussi bien pour la pennine que pour la Kotschou- béite. La Kämmerérite qui se rapproche en général de la Kotschoubéite, d'après les analyses qu'on en a faites, a été déjà annexée au type chimique de la pennine. Il est vrai que les nombres trouvés dans quelques 3) Journal für praktische Chemie. T. XCIX, p. 84. 3* 39 analyses diffèrent beaucoup des nombres qui caracté- risent le type pennine et semblent ne pas autoriser cette annexion; mais les nombres trouvés dans d’autres analyses, et en particulier dans celles de M. Genth et de M. Smith qui ont opéré sur des Kämmerérites d'Amérique, se rapprochent beaucoup des nombres typiques de la pennine. Si dans les analyses obtenues par ces MM., nous calculons le chrome pour lalu- minum et le fer pour le magnésium, nous trouvons des nombres très-rapprochés de ceux de notre for- mule (B) S133,6; A115,9; Mg 37,0; Ag 13,5 DS: 0 1 0 0129005 00 MIT, Mais à ce sujet s'élève un doute: les analyses de MM. Genth et Smith se rapportent-elles à la Käm- merérite ou à la Kotschoubéite? Dans les mémoires de ces MM. nous ne voyons pas qu’on ait tenu compte avant l’analyse des minéraux de leurs propriétés phy- siques, qui ont une grande importance, car suivant que le minéral est à une axe ou à deux, il appartient à l'espèce Kämmerérite ou à l'espèce Kotchoubéite. Der- nièrement M. Gadalin a annoncé, dans une séance de la Société minéral. de St.-Pétersbourg, qu’un échan- tillon qui lui avait été envoyé par le-corps des mines de St.-Pétersbourg sous le nom de Kämmerérite d’A- mérique, examiné au polarisateur lui avait présenté deux axes et par conséquent était la Kotschoubéite et non la Kämmerérite. MM. Genth et Smith n’ont- ils pas pu tomber dans la même erreur? Une analyse que nous avons faite sur un excellent exemplaire de Kämmerérite nous paraît lever tout doute par rapport à la composition de ce minéral. Les propriétés optiques de l’exemplaire analysé se sont trouvées d’une netteté parfaite; chaque plaque, avant d'être acceptée pour l’analyse, a été soumise au polarisateur et présentait l’aspect d’une croix noire dans un champ bleu; c'était donc la Kämmeré- rite pure. L'analyse a donné les résultats suivants: Si 32,78; Mg 35,54; Ag 12,78; Àl, Fe, Cr 18,90 (déterminés par différence), d’où nous tirons encore la même formule (B) 7$i, 2A1, 12Mg, 9Aq. D’après ce qui précède, il nous semble qu’il n’est plus permis de douter que la Kotschoubéite, la pennine et Bulletin de l’Académie Empériale 0 40 la Kämmerérite n'aient premièrement une même com- position chimique et qu’elles n’appartiennent en se- cond lieu à un même type chimique dont la formule (B) est l'expression. Mais si nous prenons en consi- dération les propriétés optiques de ces minéraux; nous devons les rapporter à deux types: Penn. et Kämm. 7Si, 2A1, 12Mg, 9Aq à 1 axe opt. Kotschoub. ..… » » » » à 2 axes opt. par suite la relation de la Kotchoubéite à la pennine se trouvera la même que celle que nous avons établie entre le clinochlore et la Leuchtenbergite. Clinochl.. . 5Si, 2A1, 9Mg, 7H à 2 axes opt., Leuchtenb. » » » » à 1 axe opt. Pour nous résumer, nous dirons que la Kotchou- béite, ayant la même composition que la pennine et la Kämmerérite, en diffère en ce qu’elle a deux axes op- tiques, ce qui lui donne le droit, il nous semble, d’être considérée comme une espèce indépendante dans le rang des chlorites. Ce serait la Kämmerérite qui per- drait plutôt un peu de son caractère d’indépendance en se présentant comme de la pennine chromée. Note sur la production des dépôts de fer galva- nique par M. H. Jacobi. (Lu le 5 mars 1868.) J’ai l'honneur de présenter à l’Académie plusieurs échantillons de dépôts de fer galvanique obtenus dans le laboratoire de galvanoplastie de l’Expédition pour la confection des papiers d'état, par l'ingénieur des mines M. Eugène Klein. Ces échantillons consistent en plaques, médailles et médaillons et surtout en une page de composition mobile stéreotypée en fer et en un cliché d’un guillochis très délicat destiné à en faire des tirages par la presse typographique. Ce nou- veau progrès de la galvanoplastie n’a pas pu être fait sans avoir rencontré beaucoup de difficultés; depuis les premiers essais sur la réduction galvanique du fer, faits en 1846 avec quelque succès, il s’est passé une vingtaine d'années avant qu’on soit parvenu à resoudre ce problème définitivement. L'importance cependant de ce progrès est incontestable. Dès que l’industrie s’en sera emparée, son exploitation fera naître des appli- cations inattendues. Aujourd’hui même l’emploi des dépots de fer galvanique dans la typographie et la 41 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 42 possibilité d'obtenir des reproductions en fer dur des planches gravées sur cuivre, sont hors de doute. Les clichés en cuivre galvanique avaient déjà rendu d’im- menses services à l’imprimerie et à tous les nombreux intérêts qui en dépendent. On peut bien dire que sans ces clichés il aurait été impossible de faire ces nom- breuses publications illustrées, imprimées par cen- taines de milliers d'exemplaires, répandues dans toutes les parties du monde, accessibles aux fortunes les plus modestes, et qui ont tant contribuées au développement de l'intelligence et à la propagation des connaissances utiles. En outre, sans les ressources qu'offre la gal- vanoplastie, comment aurait-il été possible de rem- placer l’ancien système de la perception du port de lettres, par les timbres-postes et de faire face à leur immense consommation augmentant de jour en jour et s’élevant en certains pays à des milliards? A l’a- venir les clichés en fer venant remplacer ceux en cuivre, donneront encore plus de facilité aux publica- tions et aux impressions de toute espèce et particu- lièrement à la confection des papiers valeurs, dont les dessins et compositions sont exécutés avec la plus grande perfection et finesse pour les mettre à labri de la contrefaçon; c’est surtout sur ce terrain qui pré- sente à l’art typographique les plus grandes difficul- tés, que la galvanoplastie du fer est appelée à rendre de grands services. En effet les clichés en fer galva- nique sont presque indestructibles; ils supportent non seulement un nombre de tirages presqu'illimité, mais à cause de leur plus grande dureté, ils résistent beau- coup plus que ceux en cuivre, à ces accidents inévi- tables qui sont le désespoir des imprimeurs, obligés de mettre hors de service leurs plus beaux clichés, souvent endommagés par quelque grain de sable ou quelque petit noeud se trouvant par hasard dans le papier. Ces inconvénients ne se font pas seulement sentir par les frais, occasionnés par le renouvelle- ment des clichés, mais plus encore par les interruptions et les retards des travaux souvent très pressés. Le chef de l’Expédition pour la confection des pa- piers d'état a souvent relevé devant moi ces circon- stances ficheuses; il est à espérer que dorénavant les clichés en fer les feront disparaître. Il est bon de rap- peler que les premières applications sérieuses de la galvanoplastie ont été faites par M. Klein père, il y a déjà presque trente ans, dans cet établissement où elles se sont constituées depuis comme élément in- dispensable de fabrication. Le chef actuel qui a su maintenir son établissement à la hauteur de tous les progrès faits dans sa partie, éprouvera donc une vive satisfaction, en voyant les expériences et les essais, faits sous ses auspices éclairés, couronnés de succès. Du reste l'emploi des dépôts galvaniques en fer ne se bornera pas là. Les échantillons que j'ai l'honneur de vous faire voir, donnent le droit d’espérer que les beaux arts, autant que notre époque les appelle à con- tribuer à l’ornementation et à l’embellissement des productions industrielles, ne manqueront pas d'utiliser ces dépôts qui par leur durabilité et leur belle cou- leur les rendent susceptibles aux applications les plus variées. Dans une lettre que M. Klein m'a adressée et dont j'ai l'honneur de proposer la publication dans le Bul- letin de l’Académie et les «3armckn», il a exposé en détail les procédés au moyen desquels il a obtenu ces beaux résultats. Les meilleurs dépôts en fer que j'a- vais vus jusque-là, étaient les dépôts exposés par M. Feuquières l’année passée au palais de l'Exposition, mais on peut facilement se convaincre qu'ils sont bien inférieurs à ceux de M. Klein. Aussi M. Feuquières v’a rien voulu publier sur le procédé qu’il emploie et dont il ne parle qu'avec la plus grande réserve. Dans un article publié tout dernièrement par M. le professeur Varrentrapp de Brunswic sur la galva- noplastie du fer, ce savant indique les procédés et les bains qu’il emploie, mais qui diffèrent de ceux de notre ingénieur dont les travaux peuvent être consi- dérés d'autant plus comme indépendants qu'ils ont été dirigés d’une manière rationelle et scientifique. Il convient surtout de mentionner que M. Klein, en vue d'augmenter la solubilité de l'anode en fer, à em- ployé avec un succès parfait une combinaison ana- logue à ceile dont je m'étais servi moi-même en 1846 pour la décomposition électrochimique des bains ar- gentifères (voir Bulletin de la classe physico-mathé- matique T. V, p. 216. $ 59). En effet, la bonne qualité des dépôts de fer dépend principalement de la plus grande solubilité de l’anode; l'augmentation de sa surface n’ayant pas produit l’ef- fet voulu, M. Klein a eu l’idée de combiner cet anode de fer encore avec un autre anode de cuivre. J'ai essayé cette combinaison en remplaçant le cui- 43 vre par le charbon de cornue qui fournit un couple partiel plus énergique. Voilà comment on peut se rendre compte des effets de cette combinaison: le mé- tal négatif combiné avec Île fer dans le bain même, joue un double rôle, il fonctionne comme catode vis-à- vis du fer et comme anode par sa combinaison avec le pole cuivre ou le pole positif de la pile qui fournit Je courant principal. Par conséquent, à la surface de cet électrode, il se dégage simultanement de l’hydro- gène et de l’oxygène qui, à l’état naissant, se combi- pent dans des proportions qui constituent les éléments de l'eau. Le surplus de l’hydrogène se dégage libre- ment, ou produit une polarisation de l’électrode; si c’est l'oxygène qui est le plus abondant, et si l’élec- trode consiste en une substance inoxydable comme le charbon de cornue, il y aura aussi dégagement de gaz et une faible polarisation; mais si l’électrode est oxy- dable comme p. e. le cuivre, il sera oxydé et dissout. En effet en interposant un galvanomètre dans le circuit, j'ai vu la déviation de l'aiguille diminuer peu à peu, quand le courant était très faible, puis devenir parfaite- ment constante après que la force du courant avait été augmentée jusqu’à un certain degré; enfin, en dépas- sant ce degré, j'ai vu la déviation devenir de nou- veau inconstante. Au moyen du galvanomètre il est donc facile de régler le courant de manière à ce qu'il ne se dégage ni d'oxygène, ni d'hydrogène au catode. Lettre de M. Klein à M. Jacobi sur la production des dé- pôts de fer galvanique. Pendant mon séjour à Paris l’été passé vous avez bien voulu attirer mon attention sur les dépôts gal- vaniques en fer exposés au palais de l'Exposition par M.Feuquières. Vous m'avez aussi fait voir quelques échantillons que cet inventeur vous avait présentés aussi bien qu’une plaque en fer galvanique produite déjà en 1846 par M. Liet et présentée à la Société d'Encouragement à Paris, par M. Welter. Bien que M. Feuquières n'ait rien publié sur son procédé, vous avez voulu m’encourager à essayer moi-même de produire des dépôts réguliers de ce métal refrac- taire. On sait que toutes les tentatives faites de temps en temps et de différentes côtés pour produire des dépôts galvariques réguliers en fer d’une certaine solidité et Bulletin de l'Académie Empériale 44 de l'épaisseur voulue, n'avaient pas réussi jusqu'ici. Toutefois l'échantillon mentionné de 1846 et les pro- ductions récentes de M. Feuquières me parissaient prouver la possibilité de soumettre ce métal aux opé- rations de la galvanoplastie; et sûr de votre appui et des vos conseils éclairés je ne doutais pas que je ne puisse non seulement arriver aux mêmes résultats, mais aussi vaincre les difficultés et les obstacles, sup- posés inhérents aux procédés de la reduction du fer galvanique. L'intérêt scientifique qu'offre ce nouveau dévelop- pement de la galvanoplastie et les applications émi- nemment utiles qui en résulteraient, surtout dans le domaine de la gravure et de l’imprimerie, me firent commencer mes essais au mois d'octobre de l’année passée bientôt après mon retour à St-Pétersbourg. Les échantillons que j'ai l'honneur de vous pré- senter aujourd’hui consistent: 1° en une plaque en fer (de 150 centimètres carrés et d’une épaisseur de 2°"), 2° en plusieurs médailles, 3° en un médaillon com- posé de 34 camées, dont le diamètre a 13 centimètres, et 4° en une page de composition mobile stéréotypée en fer (de 84 centimètres carrées) et en un cliché d’un dessin guilloché avec des traits les plus déliés, tous les deux destinés pour la presse typographique. J'y joint plusieurs imprimés de ces clichés en dif- férentes couleurs. Ces échantillons de fer galvanique vous feront voir : en mème temps les progrès réalisés successivement depuis le commencement de mes expériences. Vous voudrez bien remarquer que la première planche et les premières médailles déposées par moi, ofirent à leur revers des porosités et des cavités profondes, pé- nétrant même en partie toute l’épaisseur du dépôt. Du reste ces cavités se font aussi remarquer et même en grand nombre, dans les dépôts de M. Feuquières. Dans mes produits récents, ces cavités singulières qui proviennent probablement des bulles de gaz, ont dis- paru. Le revers de ces objets ne le cède en rien aux dépôts en cuivre faits dans les meilleures conditions. Le point de départ des expériences que j'ai l’hon- neur de vous exposer, était le procédé connu de Pa- ciéragé des plaques gravées en cuivre qui réussit par- faitement bien dans un bain composé des chlorures d’ammonium et de fer, auquel j'ajoute une minime quantité de glycerine. Cependant tous ceux qui se 45 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 46 sont occupés de cet aciérage ont eu l’occasion de re- marquer, qu’en voulant donner à la couche très mince et brillante de fer, une plus grande épaisseur, la sur- face se gerce et le dépôt se détache du catode en pail- lettes excessivement cassantes. Il fallait donc employer d’autres bains composés d’une manière régulière pour les essayer dans les mêmes conditions. Ces bains ap- partenaient à deux catégories comprenant des bains composés de sulfate de fer et de sulfate ou de chlo- rure d’ammonium. J’ai donc composé d’abord 3 bains d’après la formule Fe OSO* + Am OSO* + 6 HO et qui ne se distinguèrent que par la manière dont ils étaient préparés. Le premier bain consista d’une solution concentrée de crystaux du double sel Fe OSO*+ Am OS0* + GHO susmentionné; le second je composai en mélangeant des solutions concentrées de chacun de ces deux sels dans les propositions de leurs équivalents; enfin j’obtins le troisième bain qui se distingue avantageusement des deux autres, en pre- nant une solution de sulfate de fer, en précipitant le fer par le carbonate d’ammonium et en dissolvant le précipité par l’acide sulfurique, en évitant tout excès, d'acide. Pour préparer les bains appartenant à la seconde catégorie, je mélangeai des solutions de chlorure d’ammonium et de sulfate de fer, dans les proportions de leurs équivalents; ou bien, je fis dissoudre dans une solution de sulfate de fer autant de chlorure d’ammonium qu’il en voulait prendre à la température de 15° Réaumur à peu-près. Tous ces bains étaient très concentrés et neutres autant que possible. Comme anode je pris des plan- ches de tôle de fer offrant une surface presque huit fois plus grande que celle du catode en cuivre. En employant pour la décomposition un élément de Da- niell, il s'étaient formés en 24 heures sur tous les catodes, des dépôts rugueux et pleins de gerçures, qui à la moindre tentative de les détacher, se cassaient en mille morceaux. Comme il arrive souvent que les solutions de sulfate de cuivre s’améliorent par l'usage, j’espérais que les solutions ferreuses offriraient sous ce rapport quelque analogie; je continuais donc les expériences encore pendant plusieurs jours, sans cependant obtenir de meilleurs résultats. En employant d’après vos con- seils au lieu d’un couple de Daniell pour chacun des 5 appareils de décomposition, quatre couples bien plus faibles de Meidinger, en les réunissant en série avec les 5 appareils de décomposition, J'obtins un bien moindre développement d'hydrogène aux catodes et de meilleurs résultats. En effet, bien que l'aspect des dépôts laissait encore beaucoup à désirer et que notamment ceux formés dans les bains de sel d’am- moniaque ressemblaient à cause de leur grande poro- sité presque à une éponge, les dépôts dans les autres trois bains, contenant du sulfate d’ammonium, n’ac- cusaient pas de gerçures mais s'étaient formés en raies brillantes, pointues en haut et ne recouvrant pas entiè- rement le catode en cuivre. Dans des expériences an- térieures j'avais remarqué des dépôts de cette nature en employant des bains qui par hasard contenaient un excès d'acide. En effet en examinant mes bains, J'y remarquai une réaction acide, beaucoup plus pro- noncée qu'auparavant; j’attribuai cette acidulation des bains à la circonstance que la quantité de fer déposée au catode était plus grande que celle dissoute de la- node. Il était donc nécessaire de donner à l’anode une plus grande solubilité, et comme ceci n’a pu être effectué en augmentant encore plus sa surface, je conçus l’idée de plonger dans le bain une plaque de cuivre et de la réunir avec l’anode de fer. Le résultat de cette combinaison était des plus surprenants; non seulement que les bains de la pre- mière catégorie redevinrent neutres après quelques heures, mais aussi les dépôts devinrent beaucoup plus uniformes. Leur couleur était d’un gris mat, ils adhé- raient parfaitement bien au catode sans se boursouf- fler et sans se gercer nulle-part. Dans les premières vingt-quatre heures leur surface restait parfaite- ment unie, mais alors il commençaient à se produire en plusieurs endroits, de ces petites cavités caractéris- tiques correspondant, pour ainsi dire, aux surcrois- sances mammilaires qu’on observe souvent aux dépôts galvaniques de cuivre. Il est vrai que ces cavités ne pénètrent que bien rarement toute l'épaisseur du dé- pôt. Leur production est très curieuse et ne peut être attribuée qu’à un dégagement trop abondant de gaz à la surface du catode. Il arrive probablement que ces bulles s’y attachent assez fortement pour empê- cher dans quelques endroits la formation du dépôt. En effet dans le cas que l'énergie du courant, c. à. d. la force du courant divisée par la surface du catode, si 47 Bulletin de l’Académie Empériale 48 trait, mais au contraire il ÿ a une dilatation, bien que presqu'imperceptible; au point de vue de la né- cessité d’avoir des clichés parfaitement identiques, il est d’une grande importance que leurs dimensions ne soient pas altérées sensiblement par le recuit. Du reste je me propose de déterminer plus tard le poids spécifique de ce fer, avant et après la cuisson. Il paraît que le fer galvanique n’a pas de magné- tisme permanent, mais qu'il reçoit comme le fer tendre, le magnétisme de position. Je Vous prie, Monsieur, de bien vouloir me per- mettre de vous tenir au courant de tout ce qui se produira de nouveau dans le cours de mes travaux ultérieurs sur la galvanoplastie du fer. St-Pétersbourg, 4 mars 1668. cette énergie devient trop grande, ces phénomènes ficheux se produisent le plus fréquemment. En ré- duisant cette énergie de manière à n'avoir qu'un dé- gagement de gaz imperceptible, ce que je fis en dimi- nuant la concentration du bain ou en augmentant la résistance des parties solides du circuit, la formation de ces cavités a entièrement disparu. Vous voudrez bien vous en convaincre en examinant avec une loupe, le revers des dépôts obtenus tout récemment. }]l con- vient d'observer que les bains de la seconde catégorie, donnent aussi de très-bons résultats, lorsqu'on em- ploie comme anode, la combinaison cuivre-fer. Je vous demande pardon, Monsieur, d’être entré dans ces détails minutieux. Je crois que dans des cas pareils il est également utile de rendre compte des nonréussites, que des succès obtenus. Je vous prie donc de me permettre encore quelques remarques au sujet des dépôts de fer. Il me parait curieux que la formation de la première couche de ces dépôts exige des courants plus ou moins forts, ou des bains plus ou moins concentrés, selon qu’il s’agit de produire ces dépôts sur des catodes en cuivre rouge ou en cuivre jaune, en plomb ou en métal d'imprimerie, ou même sur des catodes en gutta-percha plombaginé. Dans tous Jes cas, la formation d’un dépôt régulier de fer exige une netteté parfaite de la surface du catode; en em- ployant le gutta-percha plombaginé, le dépôt se forme très lentement, et il arrive qu'il n’a pas la régula- rité requise. Je préfère donc de donner d'abord aux moules de cette espèce une légère couche de cuivre Observations des planètes Saturne et Neptune en 1867 à l'Observatoire académique de St.- Pétersbourg, par A. Sawitsch. (Lu le 16 avril 1868.) Les observations ont été faites au moyen du cerele méridien d'Ertel; les lieux apparents, corrigés de la réfraction et de la parallaxe, se rapportent aux temps des passages au méridien de l'Observatoire de St.-Pé- tersbourg. Sous le titre «Obs. — N. 4.» sont données les différences entre les positions des planètes d’après les observations et les positions calculées d’après le Nautical Almanac anglais pour l’an 1867. Opposition de Saturne, ; k 1567 Asc. droile app. Obs.—N. A. Décl. app. Obs.—N. A. galvanique et de transporter ces moules, après les Mai 9 1541674826 +0539 — 1538 54/1 +111 avoir rincés à grande eau, immédiatement du bain de ERP OM AUS SRE à : 4 ea 12 15 54,23 +0,44 3530,8 + 9,9 cuivre dans le bain de fer. Cette légère couche de 17 14 24,12 +0,20 9957 5 + 79 cuivre se laisse éloigner facilement par une brosse à Différence moyenne + 0534 HUB poil doux et par la picrre pourrie anglaise. Le fer galvanique à l’état où il sort du bain, est dur comme de l'acier trempé et très cassant. Recuit à la température du rouge sombre il perd considé- Etoiles de comparaison: «&°, v', 8 et y de Poissons, d’après le Nautical Almanac. Opposition de Neptune, ; : PE 1867 Asc. droile app. Obs.—N. A. Déecl. app. Obs.—N. A. rablement de son aigreur et de sa dureté. Recuit à Sept. 19 0454835556 — 92:98 +47 3'44/6 + 15,6 la température du rouge cerise, il devient malléable 26, 0085427 2 A OO 97 na € 7: 5S a ri : . 5 Poe nr L 27 53 48,12 — 2,67 5838,3 —14,7 et se IHisSe graver aussi facilement que l'acier tendre. 30 53 30,14 — 9,42 56420 —14.1 Il est à remarquer que si les dépôts sont faits dans Oct. 6 52 52,64 — 3,08 +-35249,4 —11,8 de bonnes conditions et recui i é ; “ PE LE DE er le recuits uniformément et av ec 11 9949 — 9,43 4998.4 — 18,3 les précautions nécessaires, les dépôts galvaniques 12 16,25 — 2,55 48 50,4 —17,7 pe sont sujets ni à recevoir des am il à F5 10,15 BE RE METRE ] ê poules, ni à 14 4,04 — 9,52 4740,0 —11,7 o E se tordre ou à se courber. Il n’y a non plus de re- Différence moyenne — 25643 — 14,84 49 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 50 ————————————————— — ——______ _____—_—___—_ On à ainsi le 5 octobre 1867, au midi moyen de Greenwich: l’asc. droite app. Décl. app. 053" 1:803 + 3°53'41,92. Etoiles de comparaison: © de Poissons, 12 de la Baleine, d’après le Nautical Almanac: à et 80 (e) de Poisson, d’après le «Twelf-Year Catalogue» de Green- wich. Beobachtung eines Nordlichtspectrums, von Otto Struve. (Lu le 16 avril 1865.) Sonntag den 7. (19.) April Abends zwischen 10 und 11 Uhr zeigte sich hier ein lebhaftes Nordlicht, welches von Zeit zu Zeit Strahlen schwach rüthlich gefärbten Lichtes aussandte. Wir eilten die Erschei- nung durch unser Donatisches Spectroscop zu be- trachten. In demselben zeigte sich überall, wo das blosse Auge nur eine Spur des Nordlichts erkannte, eine einzige gelbliche Linie, woraus sich also ergiebt, dass jenes Licht monochromatisch ist. Die Lage die- ser Linie, bezogen auf die von Donati seinem Spec- troscope beigefügte Scale, blieb die ganze Zeit hin- durch constant, sei es nun dass das Instrument auf aufschiessende Säulen, oder auf den ruhigeren Heerd gerichtet war. Indem wir gleichzeitig die Sodiumlinie im Spectroscope erscheinen liessen, fanden Hr. Wag- ner und ich, im Mittel aus mehreren unabhängigen Schätzungen, dass die Nordlichtlinie um 1,15 Theile der Scale von D nach Æ hin belegen war. Folgen- den Tags bestimmten wir den Abstand auf derselben Scale für die Fraunhofer’schen Linien D und b im atmosphärischen Spectro. Indem wir diesen im Mittel — 2,90 Scalen-Theile fanden, ergiebt sich nach ent- sprechender Reduction, dass die Nordlichtlinie, nach dem von Kirchhoff für das Sonnenspectrum einge- führten Maassstabe, auf die Zahl 1259 fallen würde, und folglich, wie es auch die directe Anschauung lehrte, schr nahe auf der Grenze des Gelben und Grünen, aber doch schon mehr in letzterem liegt. Die Unsi- cherheit dieser Bestimmung mag sich etwa auf 10 bis 15 Eïinheiten der Scale belaufen. Damit lässt sich jene Linie mit keiner der bekannten einfachen Elementen- linien identificiren. Aus mündlichen Mittheilungen ist mir bekannt, dass Prof. Angstrôm in Upsala bereits früher ein Tome XIII. Nordlicht mit einem Spectroscop untersucht und da- bei gleichfalls dessen Monochromatismus bemerkt hat. Publicirte Beobachtungen, die wir hätten vergleichen künnen, sind uns aber weder von ihm, noch von irgend einem andern Beobachter zu Gesicht gekommen. Es wird daher besonders interessant sein, den Versuch zu wiederholen, wobei sich dann herausstellen dürfte, in wie weit die Linie eine constante Lage bei allen Nord- lichtern hat, und ob sich bei besonders hellen auch andere Linien zeigen. Einen Augenblick glaubte ich, auch bei diesem Nordlichte während eines helleren Aufflammens eine Spur einer schwächeren Linie im Blauen wahrnehmen zu künnen. Die Erscheinung ging aber sehr rasch vorüber, und es ist nicht unmüg- lich, dass dieselbe nur durch zufällig von der Seite in das Instrument hineinfallendes Licht erzeugt gewe- sen ist. Zum Teil erstreckte sich das Nordlicht auf Him- melsgegenden, in denen noch deutlich Dämmerung zu erkennen war. Sobald unser Instrument auf solche Gegenden gerichtet wurde, zeigten sich in demselben ncben der hellen Nordlichtlinie auch noch sichere Spuren des ausgedehnten atmosphärischen Spectrums. Ich führe diese Bemerkung hier an, weil sie auf’s deutlichste darthut, dass das vom Nordlichte ausge- hende Licht eine wesentlich andere Beschaffenheit hat, wie das uns durch die Atmosphäre zurückgewor- fene Sonnenlicht. Pulkowa 15. (27.) April 1868. Nachschrift, Nachdem das Vorstehende niedergeschrieben, hat- ten wir gestern um Mitternacht wieder ein recht hel- les Nordlicht. Auch dieses Mal zeigte sich nur eine einzige helle Linie, deren Abstand von D) wiederum zu 1,15 Scalen-Theiïle des Spectroscops geschätzt wurde. Von andern Linien konnte ich nichts erkennen, ob- gleich zu Zeiten die Helligkeit des Nordlichts noch. erheblich grüsser war, als das erste Mal. Es ist je- doch dabei zu bemerken, dass während bei der er- sten Beobachtung sich hin und wieder etwas verschie- denartige Färbungen zeigten, gestern Nacht das Nord- licht durchweg dieselbe hellgelbe Farbe, aber in ver- schiedener Intensität hatte. 16. (28.) April 1868. 1 Über Adanson’s Crocodile noir. Entgegnung auf Dr. J. E. Gray’s gleichnamige Notiz, von Dr. A, Strauch. (Lu le 16 avril 1868.) In meiner «Synopsis der gegenwärtig lebenden Cro- codiliden» habe ich auf p. 38 gesucht nachzuweisen, dass Adanson’s «Crocodile noir» als Crocodilus cata- phractus Cuv. gedeutet werden muss, so wie dass Dr. Gray’s Ansicht, der diese Art für Crocodilus fronta- tus Murr. erklärt, auf einem Irrthume beruht, und bin zugleich bemüht gewesen, die von mir vertretene Ansicht durch Prüfung und Beurtheilung sowohl der Angaben in Adanson’s Histoire naturelle du Sénégal, als auch der Mittheilungen, die G. Cuvier über die von Adanson eigenhändig bezeichneten Krokodil- Exemplare der Sammlung im Jardin des Plantes ver- ôfientlicht hat, gehôrig zu motiviren. Meine Bemühungen haben aber leider wenig ge- fruchtet, denn trotz aller Auseinandersetzungen be- barrt Dr. Gray, wie ich aus seinem ueuerdings ver- ôftentlichten Artikel ersehe, dennoch auf seiner frühe- ren Ansicht und erklärt die meinige selbstverständlich für falsch, ohne dabei aber die Beweise für die Richtig- keit der seinigen beizubringen. Obwohl.es nun im Grunde genommen vüllig gleich- sültig ist, zu welcher Krokodilspecies man Adanson’s «Crocodile noir», eine im Reiseberichte nur ganz bei- läufig erwähnte, nicht aber kenntlich beschriebene Art rechnet, so sehe ich mich doch genôthigt, nochmais auf die Frage über die Deutung dieses Thieres zurück- zukommen, und zwar theils um den Vorwurf, den Dr. Gray mir macht, zurückzuweïsen, theils aber auch desshalb, weil die Entscheidung dieser Frage, wie ich weiter unten zeigen werde, für die geographische Ver- breitung des Crocodilus frontatus Murr. von Wich- tigkeit ist. In einer sehr kurzen und sehr absprechenden Kri- tik meiner oben citirten Abhandlung, die Gray unter dem Titel «Adanson’s Black Crocodile» in den Annals and Magazine of Natural History 4" series I p. 75 ver- ôffentlicht hat, äussert er sich in Bezug auf die in Rede stehende Frage würtlich wie folgt: «Dr. Alexander Strauch asserts that Adanson’s «Crocodile noir» is not Crocodilus frontatus, but C. cataphractus. Adan- son mentions three crocodilians occurring in Senegal — an olive and a black crocodile, and a false gavial. There are constantly received from the Gambia and 1 Hulietin de l'Académie Empériale 5? various parts of the west coast of Africa only three species of crocodilians, viz.: 1) Crocodilus vulgaris, which is olive; 2) C. frontatus, which is black, and is known, on the coast, by the name of the Black Cro- codile, or Black Alligator; and 3) a gavial-like cro- codile (C. cataphractus, Cuv.). If the «Crocodile noir» is not C. frontatus, then Adanson, one of the most intellectual and advanced naturalists of the last cen- tury, must have entirely overlooked the latter, and have given the name of the black crocodile and the false gavial to C. cataphractus, which is more like a gavial than a crocodile.» S Was zunächst die Angabe, dass Adanson drei ver- schiedene Krokodilarten im Senegal beobachtet hat, anbetrifit, so hat Dr. Gray dieselbe entschieden nicht aus Adanson’s Histoire naturelle du Sénégal geschüpft, denn in diesem Werke geschieht, wie ich schon früher zu bemerken Gelegenheit hatte, nur zweïer Arten Er- wäbnung. Adanson’s Histoire naturelle du Sénégal enthält bekanntlich nur die Naturgeschichte der Mollus- ken des von ihm bereisten Gebietes, welcher ein kur- zer Reisebericht unter dem Titel «Voyage au Sénégal» vorausgeschickt ist; in diesem Reiseberichte, der im Ganzen nur 190 Seiten stark und in Form eines Tage- buchs abgefasst ist, wird der Krokodile überhaupt nur an fünf Stellen, nämlich auf p. 70, 73, 143, 146 und 148 gedacht; von diesen fünf Stellen haben aber nur die beiden ersten für die zu entscheidende Frage Werth, die drei folgenden dagegen sind zu allgemein gehalten und lassen sich daher nicht verwerthen, denn auf p. 143 ist nur gesagt, dass im Marigot de Kantaï sich ein halbes Dutzend Krokodile sonnten, auf p. 146 ist von im Sande verscharrten Krokodileiern die Rede, und auf p. 148 wird eine Krokodiljagd beschrieben. Des besseren Verständnisses wegen lasse ich die bei- den betreffenden Stellen aus Adanson’s Tagebuch hier in extenso folger; auf p. 70 heisst es: «Un peu au- dessus de l’escale aux Maringoins, je commençai à voir des crocodiles: quand je dis que je commençai à en voir, j’entends par centaines; car vers l’isle du Sé- négal on en trouve bien quelques-uns. Mais il semble que cet endroit soit leur rendez-vous, et même des plus gros: j'y er ai vü qui avoient depuis quinze jusqu’à dix-huit pieds de longueur, et j'ignore qu’il en existe de plus grands. Il y en avoit plus de deux cens qui pa- roissoient en même tems au-dessus de l’eau, lorsque le 53 bateau passa dans ces quartiers. Ils eurent peur et plon- gèrent aussi-tôt; mais ils reparurent bientôt après pour reprendre haleine; car ces animaux ne peuvent de- meurer que quelques minutes sous l’eau sans respirer. Lorsqu'ils surnagent, il n’y a que la partie supérieure de leur tête et une petite partie du dos qui s'élève au-dessus de l’eau: il ne ressemblent alors à rien moins qu'à des animaux vivaus: on les prendroit pour des troncs d’arbres flottans. Dans cette attitude qui leur laisse l'usage des yeux, ils voient tout ce qui se passe sur l’un et l’autre bord du'fleuve, et dès qu’ils apper- çoivent quelque animal qui vient pour y boire, ils plongent, vont promptement à lui en nageant entre deux eaux, l’attrapent par les jambes, et l’entrainent en pleine eau pour le dévorer après lavoir noyé.» Die andere Stelle, p. 73, lautet: «On voit dans ces mêmes quartiers (village de Gandor) avec le cheval marin, une seconde espèce de crocodile, qui ne cède point à autre pour la grosseur. On le distingue par sa cou- leur noire, et par ses mâchoires qui sont beaucoup plus allongées. Il est encore plus carnassicer: on le dit même fort avide de chair humaine.» Aus den beiden citirten Stellen ergiebt sich nun auf das Entschiedenste, dass Adanson im Senegal nicht, wie Dr. Gray behauptet, drei, sondern nur zwei Kro- kodilarten beobachtet hat, und ferner, dass die zuletzt genannte, beiGandor vorkommendeArt, die als schwarz: bezeichnet wird und folglich dem «Crocodile noir» ent- spricht, eine längere und somit auch schmälereSchnauze gehabt hat, als die zuerst gesehene. Um aber über- haupt ein Urtheil über das «Crocodile noir» fällen zu künnen, muss vor Ailem eruirt werden, welche Kro- kodilspecies Adanson oberhalb der Escale aux Ma- ringoins gesehen hat, und obwohl diese Aufgabe wegen Mangels aller Anhaltspunkte im Adanson’- schen Reiseberichte nicht ganz einfach ist, so haben sich doch alle Forscher, Dr. Gray mit einbegrif- fen, dahin geeinigt, den Crocodilus vulgaris Cuv. da- für zu nebmen, und zwar vorherrschend desshalb, weil Cuvier in der Sammlung des Jardin des Plantes ein Exemplar der genannten Art, mit der eigenhändig von Adanson geschriebenen Etiquette «Crocodile vert du Niger» versehen, aufgefunden hat. Da nun Croco- dilus vulgaris Cuv., wie sich im Laufe der Zeit her- ausgestellt hat, im Senegal wirklich sehr häufig vor- kommt, so liegt kein Grund vor, an der Richtigkeit des Sciences de Saint-Pétersbourg. 54 obiger Deutung zu zweifeln, obwohl die Adanson’- sche Etiquette allein, wie ich weiter unten zeigen werde, noch wenig entscheidend gewesen wäre. Nachdem es also feststeht, dass das erste Krokodil Adanson’s der Crocodilus vulgaris Cuv. ist, lässt sich schon mit einiger Sicherheit ein Schluss über die Na- tur seines zweiten Krokodils ziehen. Der berühmte Reisende sagt ausdrücklich, dass das Krokodil von Gandor sich von dem früher gesehenen «par sa cou- leur noire et par ses mâchoires qui sont beaucoup plus allongées» unterscheidet, folglich muss er eine lang- und schmalschnauzige Art vor Augen gehabt haben, und da von den drei bisher aus Afrika bekannten Cro- codiliden, dem Cr. frontatus Murr., dem Cr. vulgaris Cuv. und dem Cr. cataphractus Cuv., die erstgenannte Art eine entschieden kürzere, die letztgenannte dage- gen eine sehr viel längere Schnauze als Cr. vulgaris Cuv. besitzt, so kann es wohl keinem Zweïfel unter- liegen, dass als «Crocodile noir» nur Cr. cataphractus Cuv. aufgefasst werden kann, ein Schluss, der noch dadurch besonders unterstützt wird, dass (7. cata- phractus Cuv., wie man gegenwärtig ganz sicher weiïss, im Senegal vorkommt. Dr. Gray’s Ansicht beruht somit ohne Widerrede auf einem Irrthum, denn Cr. frontatus Murr. kann aus zwei sehr triftigen Gründen nicht mit Adanson’s «Cro- codile noir» identificirt werden ; erstens besitzt derselbe, wie schon bemerkt, eine entschieden kürzere Schnauze als Cr. vulgaris Cuv., — bei Cr. frontatus Murr. ist die Schuauze (der vor den Augenhôhlen gelegene Theil des Kopfes) nur unbedeutend länger als der Rest des Kopfes, bei Cr. vulgaris Cuv. dagegen doppelt so lang und selbst noch länger, — und zweitens kommt er, wie ich mich nach sorgfältiger Prüfung aller über die geographische Verbreitung dieses Thieres vorhande- nen Daten überzeugt habe, im Senegal gar nicht vor. Letztere Behauptung künnte vielleicht noch zweifel- haft erscheinen, da Dr. Gray ausdrücklich angiebt, dass aus dem Gambia und aus verschiedenen Theilen West-Afrika’s stets drei Arten von Krokodilen (die drei oben genannten) nach Europa gebracht werden, dennoch muss ich auf meinem Ausspruche bestehen und will versuchen, die Gründe, die mich dazu nüthi- gen, nüher auseinanderzusetzen. Im Jahre 1862, als Dr. Gray seine «Synopsis of the Species of Crocodi- 4* 55 Bulletin de l’Académie Impériale 56 D ————————"————————— —— les»!) verôflentlichte, besass das British Museum keine Exemplare des Cr. frontatus Murr. aus Senegambien, denn Dr. Gray fügt, nachdem er unter den Synony- men seiner alcrosia frontata”) das «Crocodile noir» citirt hat, dem Fundorte Senegal den Namen Adan- son’s in Parenthesen bei, deutet folglich dadurch an, dass er diesen Fundort nur auf Adanson’s Autorität auffübrt. Wären ferner dem genannten Museum spä- ter, nach 1862, Exemplare dieses Krokodils aus Se- uegambien zugekommen, so hätte Dr. Gray sicherlich nicht ermangelt, dieser Thatsache in seinem neuesten, gegen mich gerichteten Artikel direkt zu gedenken und speciell anzugeben, von wem namentlich diese Stücke erbeutet worden sind, so aber, da er sich auf die oben citirte, ganz allgemeine und durch nichts ver- bürgte Angabe beschränkt, muss ich annehmen, dass ihm auch gegenwärtig noch kein Cr. frontatus Murr. aus dem Senegal, oder, was auf dasselbe herauskommt, aus dem Gambia vorliegt. Endlich bedient sich Dr. Gray in seinem Artikel eines Arguments, das ganz entschieden nicht für, sondern gegen seine Ansicht spricht: er behauptet nämlich, dass ein so ausgezeich- neter Naturforscher, wie Adanson, unmôglich ein im Senegal vorkommendes Krokodil übersehen haben künne, worin ich ihm vollständig beistimme, da es in der That nicht glaublich ist, dass einem Zoologen ein Thier von solchen Dimensionen wie ein Krokodil, das dazu noch stets in grosser Individuenzahl beisammen lebt, entgangen sein sollte; nun theilt aber Adanson in seinem Tagebuche, das ohne Zweifel gleich nach empfangenem Eindrucke aufgezeichnet ist, mit, dass er in dem von ihm bereisten Gebiete nur zwei ver- schiedene Krokodilarten beobachtet habe, den Cr. vul- garis Cuv. und den Cr. cataphractus Cuv., und liefert folglich einen direkten Beweis für das Nichtvorhan- densein des Cr. frontatus Murr. im Senegal. Nach dem bisher Gesagten sehe ich keinen Grund, meme Ansicht über die geographische Verbreitung des Cr. frontatus Murr. zu modificiren und behaupte nach wie vor, dass diese Art auf das äquatoriale West-Afrika _beschränkt ist und, soweit aus den bisher verüffent- lichten Daten geschlossen werden kann, nordwärts den 7° 2. Br. nicht überschreitet. Dr. Gray’s Behauptung, dass Adanson die Be- 1) Ann. and Mag. Nat. hist. 3 ser. X p. 265—274. 2) 1. c. p. 273. nennungen «Crocodile noir» und «Gavial du Sénégal» unmôglich auf ein und dieselbe Art, den Cr. cataphrac- tus Cuv., bezogen haben künne, nôüthigt mich noch- mals auf die von Adanson etiquettirten Exemplare in der Pariser Sammlung eines Näheren einzugehen; diese Exemplare sind in doppelter Hinsicht von Wich- tigkeit, einerseits nämlich sind gerade sie es gewesen, die Dr. Gray zu der von ihm vertretenen, irrigen An- sicht verleitet haben, und andererseits zeigen diese Stücke, deren freilich drei existiren oder wenigstens existirt haben, dass Adanson, dessen Ruhm ich übri- gens nicht im Entferntesten schmälern will und dem ich gern das Epitheton «one of the most intellectual and advanced naturalists of the last century» lasse, in Hinsicht auf die Krokodilarten genau dieselben confu- sen Begriffe gehabt hat, die vor dem Erscheinen der Cuvier’schen Arbeit überall gang und gäbe waren. Cuvicer, der in seinem classischen Aufsatze «Sur les différentes espèces des Crocodiles vivans et sur leurs caractères distinctifs»°) bekanntlich den Grund zu einer wissenschaftlichen Unterscheidung der ver- schiedenen Crocodiliden-Arten gelegt hat, theilt darin unter Anderem auch mit, dass er unter den Crocodi- liden der Pariser Sammlung drei Exemplare gefunden habe, die von Adanson eigenhändig als «Crocodile vert du Niger»‘), als «Crocodile noir du Niger»*) und als «Gavial du Sénégal»*) etiquettirt waren, und macht zugleich darauf aufmerksam, dass diese Dreizahl mit den Angaben des Adanson’schen Reiseberichts, wo ausdrücklich nur von zwei Arten gesprochen wird, im Widerspruche steht. Auf den ersten Blick scheint dieser Widerspruch allerdings schwer erklärt werden zu künnen, wenn man aber erst das Nähere über die wahre Natur des «Crocodile noir» und des «Gavial du Sénégal» erfahren hat, tritt es unzweifelhaft zu Tage, dass beide Stücke trotz der eigenhändigen Adanson’- schen Etiquetten gar nicht zur Ausbeute dieses Rei- senden gehôürt haben künnen, sondern von ihm im Mu- seum vorgefunden und wegen ihrer vermeintlichen Identität mit der im Senegal beobachteten zweïten Art ein Mal als «Crocodile noir», das andere Mal als «Ga- vial du Sénégal» bestimmt worden sind. Dass beide 3) Annales du Muséum d'histoire naturelle X p. 8—66. 4) 1. c. p. 43. 5) 1. c. p. 39. 6) 1. c. p. 54. 57 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 5 0 Namen nur auf ein und dieselbe Art, das Krokodil von Gandor, bezogen werden künnen, geht schon aus dem Umstande hervor, dass Adanson im Senegal überhaupt nur zwei Arten beobachtet hat, von denen die eine das «Crocodile vert» ist, während die andere, | die als schwarz beschrieben und deren Schnauze als sehr verlängert angegeben wird, sowohl mit dem Na- men «Crocodile noir», als auch mit dem Namen «Ga- vial du Sénégal» gleich passend bezeichnet werden kann. Sehen wir nun zu, was Cuvier und die Verfasser der Erpétologie générale, welche die von Adanson etiquettirten Exemplare gleichfalls untersucht haben, über die Natur derselben berichten. Das erste dieser drei Stücke, das den Namen «Cro- codile vert du Niger» trug, hat Cuvier für ein Exem- plar Seines Crocodilus vulgaris erklärt, und diese Be- stimmung ist, wie bereits bemerkt, sowohl von Du- méril und Bibron, als auch von allen übrigen Her- petologen für richtig anerkannt worden. Das zweite Stück mit der Bezeichnung «Crocodile noir du Niger» ist, wie Cuvier und nach ihm die Ver- fasser der Erpétologie générale *) mit Entschiedenheit angeben, ein Alligator trigonatus Schneïd., stammt also aus der neuen Welt und kann daher unmüglich von Adanson im Senegal gefangen worden sein. Cu- vier, dem ein sehr wichtiges Moment, das Vaterland des Alligator trigonatus Schneid., der zweiten Varie- tät seines Caiman à paupières osseuses, noch unbekannt war, bezweifelt dennoch die Identität des als «Croco- dile noir» bezeichneten Exemplars mit Adanson’s Kro- kodil von Gandor, und zwar aus dem einfachen Grunde, weil dasselbe eine entschieden kürzere Schnauze be- sitzt, als das «Crocodile vert» Adanson’s, während doch im Reisebericht ausdrücklich angegeben ist, dass das schwarze Krokodil sich durch eine längere Schnauze auszeichnet; es erscheint daher Cuvier’s Folgerung, dass nämlich Adanson sich beim Etiquettiren dieses Stückes versehen habe, vollkommen gerechtfertigt, zu- mal gegenwärtig, wo es Niemanden mehr einfällt, daran zu zweifeln, dass Alligator trigonatusSchneid. in seinem Vorkommen, eben so wie alle übrigen Alligatoren, aus- schliesslich auf Amerika beschränkt ist. Dr. Gray‘) ist anderer Ansicht; er acceptirt Cuvier’s Deutung nicht, sondern erklärt das als «Crocodile noir» bezeich- 7) Duméril et Bibron, Erpétol. génér. I, p. 74. 8) Ann. and Mag. Nat. hist. 3 ser. X, p. 278. nete Exemplar für Crocodilus frontatus Murr. und fügt hinzu : «Cuvier evidently confounded this species (Æal- crosia frontata Gray, Crocodilus frontatus Murr.) with the Alligator palpebrosus of South America; and it is still confounded with that species by the French na- turalists, for we have a skeleton lately sent from the French Museum under that name», behauptet also mit anderen Worten, dass Cuvier, dem man die Entdek- kung des einzigen wesentlichen Unterscheidungsmerk- mals zwischen Krokodilen und Alligatoren verdankt, nicht im Stande gewesen ist, ein Krokodil von einem Alligator zu unterscheiden! Eine derartige Behaup- tung bedarf wohl kaum einer Widerlegung, zumal sie, wie ich schon anderweitig gezeigt, jeglichen Beweises entbehrt. Das dritte Stück endlich, den «Gavial du Sénégal», hielt Cuvier selbst für ein Exemplar des von Adan- son bei Gandor beobachteten Krokodils und beschrieb es unter der Benennung Crocodilus biscutatus”) als selbstständige Species, machte jedoch zugleich darauf aufmerksam, dass es in der Bildung des Dorsalpan- zers genau mit dem Crocodile de St. Domingue (Croco- dilus acutus Cuv.) übereinstimmt und sich von dem- selben nur durch die Beschaffenheit der Nuchal- und Cervicalpholidosis unterscheidet. Nun haben aber spä- ter die Verfasser der Erpétologie générale ”) mitge- theilt, dass sie sich nach Untersuchung von gegen zwanzig Exempiaren des Cr. acutus Cuv. von der Ver- änderlichkeit in der Zahl der Nacken- und Halsschil- der bei dieser Art überzeugt, und dass sie namentlich unter 1 1 oder 12 Exemplaren dieses Krokodils, welche dem Pariser Museum durch Hrn. Ricord'aus St. Do- mingo zugeschickt worden sind, alle Übergänge von der normalen Form, die 4 Nuchalia und 6 Cervicalia besitzt, zu der von Cuvier als Or. biscutatus beschrie- benen anomalen Form mit nur 2 Nuchal- und eben so vielen Cervicalschildern gefunden haben. Nach die- ser Mittheilung unterliegt es keinem Zweiïfel mehr, dass Cuvier’s Cr. biscutatus, dessen einziges diagno- stisches Merkmal, die geringe Zahl von Nuchal- und Cervicalschildern, für unwesentlich erkannt worden ist, als Species eingezogen und mit Cr. acutus Cuv. vereinigt werden muss, und dass folglich Adanson’s «Gavial du Sénégal», auf welchen eben Cuvier seinen 9) Annales du Muséum d'histoire naturelle X, p. 53. 10) Duméril et Bibron, Erpétol. génér. III, p. 125. 59 Cr. biscutatus begründet hat, nicht aus dem Senegal, sondern ganz entschieden aus irgend einer Gegend von Tropisch-Amerika stammt. Dr. Gray ist auch hier anderer Meinung; wäbrend er in seiner Synopsis of the Species of Crocodiles sowohl das «Crocodile noir», als auch den «Gavial du Sénégal» Adanson’s auf Cr. frontatus Murr. beziehen zu müssen glaubte"'), hat er später seine Ansicht geändert und erklärt gegen- wärtig den «Gavial du Sénégal» für Cr. cataphractus Cuv., ohne dabei zu bedenken, dass dieses von Adan- son etiquettirte Stück, das nur aus Cuvier’s Beschrei- bung bekannt ist, eben dieser Beschreibung zufolge auch nicht ein einziges der für Or. cataphractus Cu. charakteristischen Merkmale besitzt. Ich kann daher dieser neuen Anschauungsweise Dr. Gray’s eben so wenig beistimmen, wie der früher von ihm ausgesprochenen, beide sind ganz entschieden falsch und lassen sich nur dadurch erklären, dass Dr. Gray die Angaben des Adanson’schen Reiseberich- tes und die Bestimmungen dieses Reisenden im Pari- ser Museum durcheinanderwirft, während sie doch durchaus von einander geschieden werden müssen; beide stimmen nämlich in der Hauptsache, in der Zahl der Arten, nicht mit einander überein, denn im Reise- berichte wird ausdrücklich nur zweier Arten gedacht, im Museum dagegen fanden sich deren drei vor. Neuer- dings hat Dr. Gray den Reisebericht, der für die hier behandelte Frage doch die einzige authentische Quelle abgeben kann, ganz bei Seite geworfen und seine Ân- sichten ausschliesslich auf die von Adanson bestimm- ten Exemplare der Pariser Sammlung basirt, während meiner Meinung nach das umgekehrte Verfahren das allein richtige gewesen wäre. A danson’s Reisebericht verdient alles Vertrauen, er ist augenscheinlich an Ort und Stelle, d. h. während der Reise selbst abge- fasst und enthält somit durchaus zuverlässige Nach- richten: Adanson’s Bestimmungen der Crocodiliden im Pariser Museum dagegen datiren ohne Zwcifel aus viel späterer Zeit, und es lässt sich nach der vorher- gehenden Auseinandersetzung wohl mit Bestimmtheit annehmen, dass der berühmte Reisende, wie schon Cuvier'®?) bemerkt, sein «Crocodile noir» im Laufe der Zeit vergessen und mit anderen Arten verwechselt habe, «lorsque ses études générales Jui eurent fait perdre de vue les objets particuliers du voyage qui avoit occupé les premières années de sa jeunesse.» Den Schluss von Dr. Gray’s Aufsatze «Adanson’s Black Crocodile», worin er meiner Abhandlung über 11) Ann. and Mag. Nat. hist. 3 ser. X, p. 273. 12) Annales du Muséum d'histoire naturelle X, p. 54. Bulletin de l'Académie Impériale G6® die Crocodiliden ‘allen wissenschaftlichen Werth ab- spricht, übergehe ich, da er nicht zur Sache gehürt, selbstverständlich mit Stlischweigen. Die Wirkung des Lichtes auf die Zeïiltheilung der Spirogyra; von Professor À. Famintzin. (Lu le 30 avril 1868.) Die Wirkung des Lichtes auf die Zelltheïlung ist bis jetzt von Niemandem noch genau untersucht wor- den. Alles, was ich darüber auffinden konnte, be- schränkt sich auf eine Bemerkung von À. Braun über Spirogyra und eine Âusserung von Sachs, die Zelltheilung im Allgemeinen betrefiend. In der Verjüngung, p. 240, sagt Braun: «Lange wollte es mir nicht glücken, dieselben (die ersten Anfänge der Theiïlung der Zellen) zu finden, ob sich gleich kürzlich getheilte Zellen sehr häuñg zeig- ten. Erst als ich die frühsten Morgenstuuden zur Beobachtung wählte und zuletzt noch das Mittel er- griff, Exemplare vor Sonnenaufgang in Weingeist zu legen, um sie später ruhig untersuchen zu künnen, war es mir môüglich, den Theilungsprozess der Zellen bei dieser Gattung vollständig zu ermitteln.» Auf diese Angaben sich theilweise stützend, spricht sich Sachs (Phys. p. 31) folgender Weise aus: «In Bezug auf das Verhältniss des Lichts zu den wesentlich auf den molecularen Bewegungen des Pro- toplasma beruhenden Neubildungen der Zellen (durch Theilung und sogenannte freie Bildung) ist namentlich Folgendes hervorzuheben: 1) Die allermeisten Neu- bildungsheerde sind im natürlichen Lauf der Dinge dem unmittelbaren Einflusse des Lichts, wenigstens des intensiveren, entzogen..... 2) Bei sehr einfachen Pflanzen, wo keine verdunkelnden, umhüllenden Theile vorhanden sind, finden die Bewegungen des Proto- plasma, welche endlich zur Zelltheilüng führen, sehr häufig des Nachts statt..……. 3) Die Beobachtung, dass Adventivwurzeln am oberirdischen Stammtheile im Finstern entstehen, wo es am Lichte nicht geschienht, wurde von mir bei Cactus etc. beobachtet..... 4) Wenn sich nun dennoch manche Neubildungen von Zellen an solchen Orten finden, welche dem hellen Tage vüllig preisgegeben sind, so kann man entweder an- nehmen, dass sich die betreffenden Zellen von den übrigen, bezüglich ihrer Empfindlichkeit für Licht, unterscheiden, oder aber, dass alle solche Zellenthei- lungen nur des Nachts vor sich gehen. Die dritte Aunahme, dass sie des Lichtes geradezu bedürfen 61 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 6? RE ———— fällt weg, da ich gezeigt habe, dass sie auch in tiefer Finsterniss vor sich gehen.» In Folge meiner Beobachtungen bin ich zu ganz anderen Resultaten gelangt; obwohl die vorliegenden Untersuchungen nur Spérogyra-Zellen betreffen, und picht ohne weiteres auf die entsprechenden chloro- phyllhaltigen Phanerogamen-Zellen übertragen wer- den künnen, so sind sie dennoch meiner Meinung nach im Stande, wenigstens die jetzt herrschende An- sicht über die Lichtwirkung auf die Theilung der Zellen wankend zu machen. Die ersten Versuche zeigten mir schon, dass die Zelltheilung bei Spérogyra durch das Licht nicht nur nicht aufgehalten, sondern im Gegentheil hervorge- rufen wird. Am lebhaftesten theilten sich Spirogyra- Zellen, welche ununterbrochen beleuchtet wurden; minder lebhaft diejenigen, welche abwechselnd bald be- leuchtet, bald verdunkelt wurden. Ins Dunkel versetzte Zellen theilen sich gar nicht, oder meistens nur ein Mal. Folgende Tabelle drückt diese Verhältnisse in Zah- len aus: 1) 1 8) A) im concentrirten Lampentichte: Aus 100 Zellen eines ununterbrochen be- leuchteten Fadens wurden nach 7 Tagen. Aus 100 Zellen eines täglich 12 Stunden beleuchteten und 12 Stunden im Dunkel “elassenen Fadens wurden nach 7 Tagen. Aus 100 Zellen eines 8 Stunden beleuch- teten und 16 Stunden verdunkelten Fa- dens wurden nach 7 Tagen Aus 200 Zellen eines 8 Stunden beleuch- teten und 16 Stunden verdunkelten Fa- dens wurden nach 7 Tagen B) im schwachen Lampenlichte: Aus 100 Zellen eines 8 Stunden beleuch- teten und 16 Stunden im Dunkel gelasse- nen Fadens wurden nach 7 Tagen Aus 100 Zellen eines 8 Stunden beleuch- teten und 16 Stunden im Dunkel gelasse- nen Fadens wurden nach 7 Tagen C) im zerstreuten Tageslichte: Aus 100 Zellen eines bei klarem Wetter 8 Stunden beleuchteten und 16 Stunden verdunkelten Fadens wurden nach 7 Tagen Aus 100 Zellen eines bei halb hellem, halb trübem Wetter 8 Stunden beleuchteten und 16 Stunden verdunkelten Fadens wurden nach 7 Tagen Zellen erhalten. 2971 2610 Co oo NŸ 1194 Zellen erhalten. 9) Aus 100 Zellen eines bei trübem Wetter 8 Stunden beleuchteten und 16 Stunden verdunkelten Fadens wurden nach 7 Tagen 402 D) im Dunkel: Zellen. 10) Aus 700 Zellen eines mit Stärke gefüll- ten Fadens entstanden im Ganzen am Ende des Versuchs (welcher vom 21. Januar bis ZUMNO EEDTUAT dauerte) EEE CRE E 1772 11) Aus 700 Zellen eines mit Stärke gefüllten Fadens entstanden im Ganzen am Ende destVeérsuoho:teh- ft MR ins 216 12) Aus 100 Zeillen eines mit Stärke gefüllten Fadens entstanden im Ganzen am Ende des Mersuchs UE AE PE EE CE 164 13) Aus 700 Zellen eines mit Stärke gefüllten Fadens entstanden im Ganzen am Ende des VerSUChS CEE PORTE NP 2MOLS 7 14) Aus 1200 Zellen eines mit Stärke gefüllten Fadens entstanden im Ganzen am Ende TES AV ELSUCNS RS EE EP EE MIE EE EEE 114 Desto überraschender war mir das Resultat, wel- ches ich an den im Tageslichte cultivirten Spirogyra- Fäden in Betreff der Zelltheilung erhielt. Am Tage theilten sich die Zellen fast gar nicht, wenige am Abend, die meisten dagegen während der Nacht. Die oben erwähnte Beobachtung von A. Braun erwies sich also ganz richtig. Ein Stück eines aus dem Aquarium herausgeholten Fadens wurde in einer Untertasse mit Wasser und etwas Erde in zerstreutes Tageslicht gebracht. Da sich aber der Boden der Untertasse immer mit feinen Erdepartikelchen bedeckte und der Faden dann schwer aufzufinden war, so habe ich ïihn nicht un- mittelbar auf den Boden der Untertasse, sondern auf ein umgekipptes Porcellantiegeldeckelchen gelegt, dem aber vorläufig das Oehrchen abgebrochen wurde. Die Untertasse wurde mit einer Glasplatte über- deckt. An dem Fadenstück wurden alle Zellen täg- lich mit dem Ocularmicrometer gemessen, ausserdem aber um 4 Uhr Nachmittags und 12 Uhr Nachts auf Theilung untersucht. Von den 158 stattgefundenen Theilungen sind nur 5 auf die Tagesstunden (von 8 Uhr Morgens bis 4 Uhr Nachmittags gefallen, 20 Theilungen auf den Abend (von 4 Uhr Nachmittags bis 12 Uhr Nachts) und. 708 auf die Nacht und den 632 | Morgen (von 12 Uhr Nachts bis 8 Uhr Morgens). 63 15. Febr. 17. Febr. Bulletin de l’Académie Impériale EEE Ce M 0 CU 5 Zelltheilungen der Spirogyra im zerstreuten Tageslichte. EE EE 16. Febr. 18. Febr. 64 hañft/ot|athoi|et[athoifeh|an lol ot | an l19h] et at just ef | at h12fl sh) flat ef | at | 1 L4hl1oAl sh | 4% 9! 11 11 11 11; 11! 11 10 12h sh | 4h 124] 8h | 4% 194] 6h TUE æ ur nn ne te) hill | eh A a 6 = eee ES AT 7: ho il JE (5: {(° he) en ele) bo (8 si Es) — k (ÊR [ Sn oem eiralRe b (8; se ee) | L SE AE Te ET eg a le 26 9 7e ee 19. Febr. 20. Febr. 21. Febr. 22. Febr. 23. 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GO D D LL OR EL 11 LE RE ILE GPL MAIRE LS Es a — —+— < SAERERNERENENENTS DS Reel e role HT iniman onnan wa 19 | an Onminin io min imimininiounin | in191 10 SET SSI Tese we niSle 2 ne RE) ones ee | eS Rs Son OR MN BE ee CE 2 SN PT ET DT EP EN EE TE TEE AE ER EC REA RSES a A ES 9 Eten (= Peu Lis Sn, sm Sn, mr ane, om se en, er em Se mn em mn me | Sens em Sn me mn, em ER ne | axes | | | | | | | | | [==] | rl | | EN RRE B CrG a a oo C0 OR ETED oo a) CO 00 comte CET OR a © RS, = = S | | IAE | | | | | | | | la “1 | | (Es ss | | | + | (Mt EE | | | | | | | | | | | =" | | are lez | | | TS) Mr CSS RS = = t- SRE t- t- Re te ee ETS Se ES A Da ie CE PT LS RER ER QE CITE ce - BR ERIR o e | | (hf | | | | | | |mmgil | | =] | | | | G En] + CRI I à CR " 1 CI a 1 re - EE: Le] 1 DS Le] [le] [Je] (Je) SE 10 12 1 Le] [Je] 1Q 10 Ie © 19 10 = = (e] D] oo | | FR A ETES | F5 [ | Per = nn _—— LL À sn, mm or, mn, = vs E : _ | | | | | | | | | ( | | Œ Fe = = = = _# 4 ES œo co ve] o a oo ve] [so] (eo) o [co] o Fe) 2221 | | | | | | | | | | | | | | | | | ES EE | Set à, ee me Te = == = ZA = — t= Te) t- t= 1- l- L= L- LL LL 1Q t- nn Se es à, nee 2e nn SE, es Cr 4 Sms, 16. Febr. 124 sh 4h 19h gh ah oh gh 4h 194] gh | 4h l19h gh | SR, us = 4 rt ea ai # [A cn co Lan) — el el m4 el al | | | | | | | er + Cl — [| nl nl nl [ni el al Lol nl — el | 15. Febr. gh | ah 65 HE) = |14 Tome XIII. 67 15. Febr. gh 16. Febr. Bulletin de l’Académie Impériale 17. Febr. 18. Febr. 19. Febr. | ah 19h 8h | 4% |12# 8h | 4% 19h 8h | 4% |19 gh 4h 12# a ——_"—— —— ———+—— ——_— 11! 11! 12 13 15 12 11 11 13, —|—\12:|— Se Che moule 2 FES PI Et En AE hEshbule Dale os) 2 Re ES Me ES — | 2 Er ce ee es L = [CC o œ Ki = [ee] = (ee) (ee) Cr = NI 1 = rl = cn OU © ot ot ee TS ns, mn, 1 ot Qt Ot Qt Or > HR O1 ON OL Qt ue, re, ae me, je am, CEE CE re CERN Hi . oslhoellle tetl= 1 Enil-al 20. Febr. 21. Febr. 22, Febr. 23. Febr. 124 8% | an on] 8% | an 12% 8h | 4h 19h | st | 4% ME EE el AE NE ES peer) le SRE g|—Vt || ARLES EU UE er TE g1|—t { : s AE ue PART EAlE ste | 41) — (=| 51— he hole gt ÉTRAIE CobrlEe (EI jee OC Et ie At OM ESS KG en) PE A PAS EE el ee Ju AA NCA ERA Le RE 9 en d'obe AT RARES ve Ne AE CAS CT AR 10 | Al 6 | nl=|=|al-|-fel-QlilZ ee ÎF CHERS EE 9 -{ L Ta] à Q = koi [ele ERA E EE AE re Les RER ER 10h ALES L'nyastee RENE CN ES np cl SUP 6 | NE Monte El eahent des 13 FE hs 1 AU | AIRES) QUALES î ? CREVER LS pri Le EN SRE LEURS 1 Ÿ A (BAIE REQRE 4 nn) es ras 7 8! CN NE —| 5!| — Er |A lient ON EST \—| 51) — LR DUR LE ON AS PS A DE B 93 LEA Fo REQUIS) Noa EEE pe nl CRIE 73 9 11 \6 | — —alS=| 19 = 101 | — 12 | — ne POUEES| | ONE 10 | —| —|11:| — LD) fr PEL PL TA ER 10 De DER onNeS —|6|—|—19 | — 100 —= 11 | — hé le) horl= Re PRE OI 7 Lt LT E|7 | 6 \— | 6 LI6 —|6 | = | |h5 $—| 6 EL 6s 69 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 70 0 15. Febr. | 16. Febr. | 17. Febr. | 18. Febr. | 19. Febr. | 20. Febr. © L ist die stattgefundene Theilung, durch das Zei- FE | ] ET | I : | ; ; =— x . . . sh |4# 12h gh 4 127 8h|4h 19%] 8h |4%|124] 8h |44l10h| 8h |48 194 | chen { t. die noch zur Beobachtungszeit in Theilung = FILE x 15 |—| —|7 begriffenen Zellen angedeutet. 2 rt or) (7: Sa = L, À 01 el A ET ERIES ON En | EE £ à Le TROIE NZ 62 Aus der Tabelle ist zu ersehen, dass der Faden D VAS QUE Een lo PSE A D CE vom 15. bis zum 20. Februar in der angegebenen à ll vi Je Ars . nee ee l ; HE en 6: Weise beobachtet wurde. Am 20. aber schnitt ich D LE EE ENG PAR hn in. 2 Stücke; an dem einen habe ich bis zum 23. sions {= 0 Febr. die oben beschriebenen Untersuchungen fort- Net nou IE Aer | lie . ; 5 = D _ = A 7: o | 6 gesetzt; die erhaltenen Data sind in der Tabelle ent- ii ee NE a 7 23 = Ê halten. HAEUIE : 11}! —}— 112; —| — 114 | —| — ‘ | LE D Alahar A0) soli < | 3 —| 6: as andere Stück aber habe ich 2 Mal täglich um 8 | 8 |—| —| 9; NIV: & = o tl5 Uhr Morgens und 8 Uhr Abends auf Zelltheïlung bis #2 f': —| —].8: À t. À zum 7. März untersucht. Um meinen Aufsatz aber mit TO EST EE —|] 0 : F . . F ?| br: DE NN EE ET Tabellen nicht, zu überladen, werde ich nur die an (7, ane 1 dem zweiten Stücke erhaltenen Zellenzahlen mitthei- 7 AT Irou F< ” ‘ 3 . . = 11 |—|—{h12 |—|— 3 | —| — V : —] 5: len und nicht, wie in der vorigen Tabelle, die Thei- lé 3 —K tt. = É Ë ADR eaET lung und das Wachsen einer jeden Zelle des Fadens | 21 D ra EE el Da MINE angeben. EE) 0 en Een ie AT Le STEEL {= è Hier will ich nur noch hinzufügen, dass in Folge } aulFé : (—\ 6 des raschen Wachsthums und der lebhaften Theïlung ral =) Æ jé . . . "2 P Fe der Zellen die Zahl der letzteren in kurzer Zeit so | | 6 . == 02) — b À (a 6; heranwuchs, dass es unmôglich wurde, den ganzen Hi l | © 7: . . L . . | NI 6: Faden mit der gewünschten Genauigkeit zu unter- 81 ll 7 £ 2 5; f = EE El . LE : 12 |—]— hs |) —h5 |) RIT mea suchen; um diesem Übelstande abzuhelfen, schnitt Fee LEE SC] | es 1 PE Es | = ue = e ich jedes Mal, wenn der Faden zu lang wurde, ihn in ee î 1 |zwei Stücke, von denen ich nur eines weiter beobach- LE, . . ” _ È { PL Ca l'en CN lee tete. In der folgenden Tabelle habe ich überall ange- SA ES AE Ti : : ï | où =| li UT geben, wann der Faden zerschnitten wurde, und wie ne d. LE gross die Zahl der zur Beobachtung nachgelassenen 19) on SE Zellen war. Letztere Zellenzahlen sind in Klammern re EN ET SEE EN AUTOUR LI eingefasst. Die über ihnen stehende Zahl giebt die | 2 113) —| —|144 ) : ; 13 | —|— 153] —|— {19 |—| —{ 21 | —| — 126 |—| —|31 Menge der in dem ganzen Faden vor seinem Zer- 12 |—|— 5! || |—| —] 18 | —| —6 |—| —l27 1 = c ON En LEE | Dig RON US 2 QT ON Le ee AO NES ER D UN EUR schneiden enthaltenen Zellen an. Bei der Zusammen- | | 25 stellung der Resultate musste also die dem ganzen D In der obersten horizontalen Reihe sind die Tage | Zum Versuche genommenen Faden entsprechende Zel- und uvter ihnen die Stunden, an denen die Beobach- | lenzahl aus den erhaltenen Data durch Rechnung ge- tungen angestellt wurden, angegeben. funden werden. In der ersten verticalen Colonne sind die Längen der Zellen am Anfange des Versuchs in Ocularmicro- metertheilungen ausgedrückt. Die einer jeden Zah]l entsprechenden horizontalen Reïhen bezeichnen die Zahl und das Wachsthum der aus jeder Zelle des Fa-| Der ganze Faden enthielt vom 15. bis zum 20. Fe- dens entstandenen neuen Zellen. Durch das Zeichen | bruar folgende Zellenzahlen: Ich lasse jetzt eine Zusammenstellung der an dem Faden vor und nach seinem Zerschneiden beobachte- ten Zelltheilungen folgen: 5* 71 | 18. F., | 19. F. |20.F. 8 Uhr Morg. 44 44 52 76 95 132 4 U. Abends 44 44 54 77 95 (1 Zelle in Theil.begr.) 12 U. Nachts 44 44 58 79 117 (2 Zellen in|(9 Zellen in Theil.begr.)|Theil.begr.) 8 Ubr Morg. 0 8 18 16 15 4 U. Abends 0 0 2 1 0 12 U. Nachts 0 0 4 2 22 Die drei letzten Zahlenreihen sind durch Subtrac- tion der entsprechenden Zahlen der oberen Reihen erhalten und geben die Zahl der in der Zwischenzeit zweier Beobachtungen neu gebildeten Zellen an. Eine entsprechende Zusammenstellung der auf die ersten 25 Zellen des Fadens sich beziehenden Zellen- zählungen von 15. bis zum 23. Februar giebt die nächste Tabelle: Bulletin de l’Académie Impériale Æ | 18. Febr.|19. Febr.[20. Febr. FA 22. Febr. Fi NN |© | — Ce En = PE LU SONT ann PAIN Fos 8 Uhr M. | 25 | 25 | 30 42 56 74 84 92 158 4 U. Ab. |25 |25 | 32 43 56 74 84 94 158 (1 Zelle in (1 Zelle in Thl. begr.) Thl. begr.) I2U.N. |25125]|32 45 64 76 86| 100 (1 Zelle in |(4 Zellen in|(5 Zellen in (26 Zell. in Th]. begr.) | Thl. begr.) | Th]. begr.) Thl. begr.) 8 Uhr M. 0 |5 10 11 10 8 6 58 AU: "AD MONS ONR2 1 0 0 0 2 0 I2U.N. |0|01|0 0 8 2 2 6 NB. Die in den ersten 2 Tagen ausbleibende Zell- theilung habe ich an allen aus dem Aquarium in reines Newa-Wasser gebrachten Fäden beobachtet. Wodurch dieses bedingt wird, kann ich nicht angeben; meine Be- obachtungen beziehen sich nur auf Fäden, die im Newa- Wasser mit Zusatz von Erde cultivirt wurden. Über die Theïlung der im Aquarium- Wasser sich befinden- den Zellen müssen weitere Beobachtungen entscheiden. An dem zweiten Fadenstücke waren vom 20. Februar bis zum 7. März folgende Zel- lenzahlen erhalten: A) Beobachtet e Zellenzahlen: 2 | er = | es 7 [er es en = 3 Æ = = ee 1 FES RES RES LP S = di s || * | A |A | À A |A e Ci Où] NI Qi A Qi OX où 2 ai «5 ” 16 «s (E 8 Uhr Morg. 58/64] 66 |110/115| 58 101 112 183 68 |94| 108 145 |168| 121 140 |214 (55) (86) 8 U. Abends. [58/64] 66 |111| 56| 64 103 112 185 73 |94| 109 145 | 87 | 122 153 = (6 Zell.in (92. in |(Z Zel. in|(1 Zel. in (53) (6 Zel. in (4Zel. in|(5 Zel. in (3Zel. in/(2Zel. in Th.begr.) Th. bgr.)|Th. ber.)| Th. bgr.)|(17e]. in|Th- bgr.) Th. bgr.)|Th. bgr.) |Lh. bgr.) Th. bgr.) Th. bgr.) | 8 Uhr Morg. 6 2 44| 4 2 37 9 71 15 |21| 14 36 23 34 | 18 61 8 U. Abends.|0|0| 0 d'|24 6 2 0 2 5 0 1 0 1 1 | 13 B) Berechnete Zellenzahlen für den ganzen zum Versuch genommenen Faden: 8 Uhr Morg. 58/64] 66 noh15| 121 | 210 | 233 8 U. Abends. 5864 66 mir 133 | 214 | 233 8 Uhr Morg. 6 210 |Lk44lhr 4 + 77 19 8 U. Abends. |[0[o| 0 | 1l 2] 12 4 0 Aus allen oben angeführten Beobachtungen lassen sich zwei Schlüsse ziehen: 1) Die Zahl der durch Theïlung neu entstandenen Zellen ist (wenigstens in den ersten 7 Tagen) der Lichtmenge proportionnell, man mag Lampen- oder Tageslicht anwenden und die Zellen ununterbrochen beleuchten, oder abwechselnd ans Licht und ins Dun- kel stellen. 2) Unter normalen Verhältnissen im Tageslichte ist immer eine deutlich ausgesprochene Periodicität | s s 1984 |3032 381 494 |683| 784 | 1052 [1219] 1715 385 530 1683] 791 1052 |1233| 1729 | 2168 — —— — Une Lu ee ms 148 109 |155| 101 261 | 167| 482 255 | 864 { 36 0 tl 0 14 14 184 der Zelltheilung vorhanden, indem die Zellen sich am Tage verhältnissmässig sehr selten theilen; eine leb- haftere Theilung beginnt erst am Abend und erreicht das Maximum der Intensität während der Nacht. Durch diese Untersuchungen hat sich also die Zell- theilung nur als bestimmt vom Lichte abhängig ge- zeigt. Die Art und Weise aber, wie sie durch das Licht bedingt wird, habe ich erst durch folgende Ver- suche erwiesen: Es wurden 5 müglichst gleiche Fäden gewähilt; 73 des Sciences de Saint - Pétersbourg. 24 rm 4 Fäden unter das Lampenlicht gebracht und einer | Uhr Morgens bis 4 Uhr Abends) und darauf 16 Stun- am Tageslichte gelassen. Von den 4 unter das Lam- | den (von 4 Uhr Abends bis 8 Uhr Morgens) ins Dun- penlicht versetzten Fäden kamen 2 unter das concen- | kel versetzt. Die erhaltenen Resultate sind aus fol- trirte und 2 ins schwache Lampenlicht zu liegen. Alle | genden Tabellen zu ersehen: 5 Fäden wurden täglich 8 Stunden belenchtet (von 8 Zelltheilungen im concentrirten Lampenlichte: Faden A. 28. Mrz. | 29.M. | 30.M. | 31. M. | 1. Apr. (2. Apr.3. Apr.4. Apr.|5. Apr| 6. April. | 7. April. |8. Apr. | | | P | P ] l I ! | ! 8 Uhr Morgens | 38 53 87 149 280 294 | 176 111 191 75 129 239 Q16 | (08) | UE | 1e1l, begr, 4 Uhr Abends | 39 64 97 173 | 117 108 177 111 191 Ho à 135 241 (87) (62) Le Zellen in (5 Zellen in | | reil. begr.) | Theil. begr.) 8 Uhr Morgens 14 23 52 107 107 68 24 80 13 53 106 4 Uhr Abends 1 11 10 24 1 0 1 0 0 0 4 2 Faden B. ms 8 Uhr Morgens 41 41 T6 142 273 148 180 166 | 243 107 179 291 (82) (95) (63) 4 Uhr Abends 41 42 77 144 87 154 96 | 166 63 107 179 291 * 8 Uhr Morgens 0 34 65 | 129 61 26 7 77 44 72 112 4 Uhr Abends 0 1 2 5 6 0 0 0 0 0 Zelltheilung im schwachen Lampenlichte: Faden C. RE A RDA be: 11/0 Ai LL Re AILLLf th RE?" (I IAA ER CB PRIE PORERRRS, PARLE RE ER 28, Mrz.| 29.M. | 30.M. | 31.M.| 1. Apr. (2. Apr.3. Apr.4. Apr.5. Apr) 6. April. | 7. April. |S. Apr. {l | 8 Uhr Morgens| 30 30 | 55 | 58 | 92 94 | 97 | 98 |: 63 80 | 103 103 | | (57) 4 Uhr Abends | 30 305656 92 9441.97 | 58 |. 63 ET MIT E 4 Zellen i | De, bon) | 8 Uhr Morgens | 0 24 3 34 2 3 1 5 17 19 0 4 Uhr Abends | 0 1! 1 0 0 0 0 l 0 4 0 Faden D. —— | | | 8Uhr Morgens | 25 | 37 | 48 | 75 | 80 | 83 | 85 | 25 INT 64 66 66 ae | (59) 4 Uhr Abends | 25 404.481, 70211481..17 88.) 8240/4083 59 | 65 66 | | Zelle i | | | | | | Theil. begr.) 8 Uhr Morgens 12 027 5 2 0 0 28 5 1 0 4 Uhr Abends 0 3 0 0 1 0 0 0 0 1 0 NB. Das schwache Lampenlicht rief nur wenige lungen kamen hier immer zu Stande, wenn der Faden Theilungen hervor; aber auch diese wenigen Thei- | verdunkelt wurde. 75 Bulletin de l'Académie Impériale æ CT EEE TS DE EDP D ne NE EEE Nu Zelltheilungen im zerstreuten Tageslichte: Faden E. 128. Mrz.| 29.M. | 50. M. |51. M. |1. April. 2. Apr.5. Apr.d.Apr. 15. Apr. 6. April. | 7. April. 8. Apr. Î | | | 8 Uhr Morgens | 56 56 103 | 186 | 96 | 146 | 170 99 117 197 | (85) (55) , 4 Uhr Abends 56 56 60 103 85 96 146 55 99 117 | 8 Uhr Morgens 0 A A RE EC ET 44 180 00E0 4 Uhr Abends 0 4 | 0 0 | 0 0 | 0 0 Q | Die Zelltheïlung trat mit wenigen Ausnahmen in allen 5 Fäden während der Verdunkelung der Fäden auf; nichts desto weniger wird sie nicht durch die Abwesenheit des Lichts bedingt, wie ich es weiter un- ten zeigen werde. Im innigsten Zusammenhange mit der Zelltheïlung hat sich unter diesen Umständen die Auflüsung und Neubildung der Stärkekürner in den Zellen erwiesen. Am Morgen, vor der Beleuchtung, war in den Zellen entweder gar keine, oder nur eine geringe Menge Stärke aufzufinden. Wäbrend der 8stündigen Beleuch- tung füllten sich dagegen täglich alle Zellen mit Stär- kekôrnern, die besonders gross und zahlreich unter | | | | | ! | dem Tageslichte und dem concentrirten Lampenlichte | auftraten. Wäbrend der darauf folgenden 16stündi-| gen Verdunkelung lüsten sie sich wieder auf, indem sie als Material zum Aufbau der sich streckenden Seitenwände der Zellen und in den sich theilenden | der Querwand verwendet wurden. Einige Zellen gin- gen schon nach kürzerer Beleuchtung eine Theilung ein; ich traf nämlich ôfters mehrere Zellen schon um 4 Uhr Abends in Theïlung an. Das Ausbleiben der Theilung der Zellen während | der Beleuchtung erklärt sich am einfachsten dadurch, aufgespeicherten Stärkeapparat in der darauf folgen- den 16stündigen Verdunkelung verbrauchen und we- gen Mangels an plastischem Material keine Zellthei- lungen eingehen kônnen, ohne vorher wieder Stärke angesammelt zu haben, was sie auch bei der nächsten Beleuchtung vollbringen, die Theilung aber erst spä- ter eingehen. Wenn die Zelle dagegen eine grüssere Quantität des plastischen Materials enthalten würde, als sie in der 16stündigen Verdunkelung zu verbrauchen im | | Stande ist, so würde kein Grund vorhanden sein, wes-| halb sie auch späterhin, also während der darauf fol- | Im ersten Falle gehen sie immer Theïlungen ein, im genden Beleuchtung sich nicht theilen kônnte. Auf diese Weise lassen sich die geringen Unregelmässig- keiten erklären, welche besonders an den unter dem contentrirten Lampenlichte beobachteten Fäden in den ersten 3 bis 4 Tagen hervortreten. Die während der Beleuchtung stattgefundenen Zelltheilungen sind durch das Übermass der in den Zellen vorhandenen Stärke verursacht worden, denn es wurden zu diesem Versuche von mir mit Stärke gefüllte Zellen gewähit. Andere Fäden, welche keinen Überschuss an Stärke enthielten, zeigten seit dem Beginn des Versuchs die Periodicität der Zelltheilung in ausgezeichneter Weise. Obgleich das Vorhandensein der Stärkekürner in den Zellen eine für die Zelitheilung ganz unerlässliche Bedingung ist, so wird doch die letztere nicht durch sie allein bedingt. Denn obgleich jede sich theilende Zelle vor der Theilung mit Stärke gefüllt ist, so gehen dagegen bei weitem nicht alle Stärke enthaltenden Zel- len eine Theilung ein, So theilen sich zum Beispiel niemals die Endzellen des Spirogyra-Fadenstückes, als auch mehrere der ihnen angrenzenden Zellen, ob- wobhl sie sich reichlich mit Stärke füllen und ausseror- dentlich in die Länge wachsen. (Siehe z. B. Taf. 2). | Alle übrigen Zellen, des Spirogyra-Fadens sind der dass die Zellen den ganzen während der Beleuchtung Theilung unterworfen, sobald sie eine gewisse Länge, deren Grüsse aber durch die Lichtintensität bedingt wird. erreichen. So habe ich z. B. an Fäden, wel- che im zerstreuten Tageslichte cultivirt wurden, mei- stens eine Theilung an Zellen beobachtet, die zwei Mal so lang als breit waren, während sie unter dem concentrirten Lampenlichte an Zellen eintrat, deren Länge erst ihrer Breite gleich kam. Ausserdem habe ich immer beobachtet, dass die Zellen, je nachdem sie beleuchtet, oder im Dunkel gelassen wurden, das in ihnen aufgespeicherte Mate- rial auf eine ganz verschiedene Weise verwendeten. 27 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 7S Dunkel dagegen theilen sich einige Zellen gar nicht, oder meistens nur ein Mal. Deshalb vermuthe ich, dass das Licht die Zelltheilung nicht nur durch die vorläufige Stärkebildung, sondern auch nebenbeiï noch eine andere Veränderung in der Zelle hervorruft, wel- che genauer zu ermitteln mir aber bis jetzt noch nicht gelungen ist. NB. Überhaupt müssen die vor und während der Zelltheilung stattfindenden Veränderungen in der Zelle genauer studirt werden. Bis jetzt liegt noch keine ein- zige an einer und derselben Zelle ausgeführte Beob- achtung vor. Obgleich ich schon in dieser Richtung gearbeitet habe, so will ich doch diesen (regenstand ausführlich erst in der nächsten Mittheilung bespre- chen. Hier will ich mich mit der Angabe begnügen, dass es mir auf diese Weise gelungen ist: 1) einen innigen Zusammenhang der Auflüsung des wucleolus und der Bildung der Querfalte (ob auch der Quer- wand?) zu entdecken, indem nämlich der Moment der Auflüsung des nucleolus mit dem Erscheinen der Querfalte zusammenfällt; 2) über die Bildung der neuen Zelikerne und nucleoli ziemlich ins klare zu kommen. Die abwechselnde Periodicität in dem Ansammeln und der Auflüsung der Stärkekürner und der Zell- theilung führt nothwendig zur folgenden Auffassung dieser Erscheinungen: die Zelltheilung wird ebenso wie die Stärkebildung durch das Licht hervorgerufen. Im Verhalten zum Licht bieten aber diese beiden Pro- zesse folgende Verschiedenheiten dar: 1) die Stärke- bildung wird schon nach 30 Minuten, die Zelltheilung erst nach mebrstündiger Lichtwirkung zu Stande ge- bracht; 2) geht die Stärkebildung nur während der .unmittelbaren Lichtwirkuug vor; die Zelltheilung da- gegen kann, nachdem die ihr vorausgehenden Verän- derungen in der Zelle durch das Licht schon hervor- gerufen sind, auch im Dunkel zu Stande kommen. Diese Erklärung habe ich noch durch folgende Con- trolversuche geprüft und sie als ganz richtig gefunden: 1) Am 27. Februar um 7 Uhr Abends wurde ein am Tageslichte cultivirter Faden, an dem ich die Perio- dicität der Zelltheilung schon längere Zeit beobach- tet hatte, in 2 Theïile zerschnitten. Das eine aus 65 Zellen bestehende Stück wurde sogleich unter das concentrirte Lampenlicht gebracht und bis zum an- dern Morgen beleuchtet; um 7 Uhr Morgens enthielt es 105 Zellen. Das andere aus 64 Zellen bestehende Stück desselben Fadens wurde im Dunkel während dieser Zeit aufbewahrt. Um 7 Uhr Morgens wurden an ihm 101 Zellen wahrgenommen. Das Licht hatte also die Zelltheilung nicht im mindesten aufgehalten, denn die Zellen haben sich im Lichte ebenso ener- gisch getheilt wie im Dunkel. 2) Am 4. April schnitt ich ein Stück eines im schwa- chen Lampenlichte cultivirten Fadens ab, an welchem aus Mangel an Licht Zelltheilungen nur sehr spar- sam auftraten und setzte es der Wirkung des concen- trirten Lampenlichtes aus. Sogleich begannen seine Zellen sich ebenso rasch zu theilen, wie die der bei- den anderen im concentrirten Lampenlichte liegenden Fäden, wobei die Periodicität der Theïlung ebenfalls aufs klarste zum Vorschein kam. Siehe die Tabelle: | 4. April.| 5. April. 6. April. |4- AP pril.) 6. A} 8 Uhr Morg. 39 72 134 4 U. Abends 39 72 8 Uhr Morg. 33 62 4 U. Abends 0 0 In 48 Stunden waren aus 39 Zellen 154 entstan- den, während an dem im schwachen Lichte nachge- lassenen Stücke in derselben Zeit aus 28 Zellen nur 80 gebildet wurden. Das aus 134 Zellen bestehende Stück übertrug ich um 8 Uhr Morgens am 6. April ins Dunkel, wo ich es während 5 Tage liegen liess. Da dieser Faden aber schon 16 Stunden im Dunkel verweilt hatte, so war zu erwarten, dass sich an ihm alle theilungsfähigen Zellen schon getheilt haben müssten, und dass er bei weiterem Verweilen im Dunkel die Zahl seiner Zellen nicht vermehren würde; dieses ist auch wirklich geschehen; nach 5 Tagen habe ich an ihm wieder 134 Zellen gefunden. 3) Am 8. April um 4 Uhr Abends w urden von ei- nem jeden der im concentrirten Lampenlichte culti- virten Füden 2 Stücke abgeschnitten; zwei von ihnen wurden bis zum andern Morgen beleuchtet, die übri- gen 2 ins Dunkel gestellt. Während der Nacht hatte eine lebhafte Zelltheilung an allen 4 Stücken stattge- funden. (Siehe die folgende Tabelle.) Die beleuchteten Fäden zeigten aber darin einen Unterschied von den im Dunkel gelassenen, dass sie reichlich Stärke ent- hielten, während die letzteren sich fast ganz stärke- frei erwiesen. 9 Zellenzahl der ins Zellenzahl der ins Licht gebrachten Dunkel gebrachten Zellen: Zellen: Faden |Faden Faden|Faden NX 1. | M2. X3. | M4. 8. April, 4 Uhr Ab. 103 TX) 1600000 95 156 9. April, 8 Uhr Mgs.| 200 DT M PARA OURS 138 245 Die erhaltenen Resultate stimmen also ganz mit meiner Erklärung überein. 4) Einige Fäden wurden aus dem Aquarium ins Dunkel versetzt, bis sie fast gar keine Stärkekürner mehr enthielten. Dann brachte ich sie unter das con- centrirte Lampenlicht für die Nacht und lies sie am Tage im Dunkel. Auf diese Weise gelang es mir, die Zelltheilung auf die Tagesstunden zu verlegen. Dieses Resultat war mir desto erwünschter, da ich einerseits genaue Studien über die Zelltheilung während des ganzen Tages machen konnte und noch ausserdem die Theilung der Spirogyra-Zellen bei der Vorlesung zu demonstriren im Stande war, was bis jetzt ganz un- môglich schien, da die ersten Stadien der Theïlung, wie schon A. Braun bemerkte, in der Nacht oder in den frühesten Morgenstunden gewübnlich stattfinden. 5) Endlich habe ich bei der Untersuchung der Wir- kung des farbigen Lichts ganz analoge Resultate er- halten. Es wurden mittelst gelbem (durch eine Lüsung von saurem chromsauren Kali hindurchgelassenen) und blauem (durch eine Lüsung von Kupferoxyd in Ammoniak durchgegangenen) Licht 4 Spirogyra-Fä- den täglich 8 Stunden beleuchtet und 16 Stunden im Dunkel gelassen. In ein jedes Licht kamen ein mit Stärke gefüllter und ein stärkefreier Faden zu liegen. Es wurden an ihnen folgende Zelltheilungen beob- achtet: Im gelben Lichte: Im blauen Lichte: ———————_._—_——__—————.…_…—…—…—…—…—…— Faden | Faden Faden|Faden ohne! mit ohne! mit Stärke| Stärke Stärke|Stärke 9. April, 8 U. Mrg.| 117 AD. lasers su 127 136 4 U. Abs.| 117 din IAA 0 LTÉE 127 146 10. April, 8 U. Mrg.| 141 | 233 |........... 197 ATS 4 U. Abs.| 141 LB Anton sé 127 175 9. April, 8 U. Mrg. 4 U. Abs. 0 DRM Eee see see 0 10 10. April, 8 U. Mrg.| 34 IE TT00 0008 0 27 4 U. Abs. 0 (r lsédsa esse 0 0 ll Aus der Tabelle ist zu ersehen, dass ein jeder die- ser Fäden sich in Hinsicht der Zelltheilung verschie- Bulletin de l’Académie Impériale so den verhielt und zwar in einer Weise, die sich nach der von mir aufgestellten Ansicht voraussehen liess. Unter dem gelben Lichte, dessen Strahlen die Stärke- bildung hervorrufen, trat in den beiden Fäden auch die Zelltheilung ein, mit dem Unterschiede aber, dass in dem mit Stärke gefüllten Faden die Zelltheilung schon während der Beleuchtung stattfand, dagegen in dem anderen die Zellen sich während der Beleuch- tung mit Stärke füllten und erst nach 4 Uhr Abends, als sie verdunkelt wurden, sich theilten. Im blauen Lichte dagegen trat die Zelltheilung nur in dem mit Stärke gefüllten Faden ein; im anderen kam keine einzige Theïlung zu Stande. Zum Schluss will ich alle erhaltenen Resultate kurz zusammenfassen: 1) Die Zelltheilung der Spirogyra wird nicht durch das Licht aufgehalten, wie man es bis jetzt vermu- thete, sondern im Gegentheil durch dasselbe befürdert. 2) Die Zelltheilung der Spirogyra hat sich in eben solchem Grade vom Licht abhängig erwiesen wie die Stärkebildung. Ihr Verhältniss zum Licht ist aber von dem der Stärkebildung in Folgendem verschieden: Die Stärkebildung wird schon nach sehr kurzer Zeit (etwa 30 Minuten) durch das Licht eingeleitet und erfordert eine unmittelbare Lichtwirkung; die Stärke bildet sich nur während der Beleuchtung; in der Abwesenheit des Lichts hôrt ihre Bildung sogleich auf. Die Zell- theilung dagegen wird erst nach mehrstündiger Licht- wirkung hervorgerufen; sie tritt dann in den Zellen ein, môgen diese noch längere Zeit beleuchtet, oder ins Dunkel versetzt werden. 3) Der Zelltheilung geht immer die Stärkebildung in den Zellen voraus. Die Zelltheilung wird aber nicht ausschlieslich durch Letzteres bedingt. Es müssen ge- wiss durch das Licht vor jeder Zelltheilung noch an- dere Veränderungen in der Zelle hervorgebracht wer- den, die ich jetzt aber noch nicht im Stande bin ge- nauer zu definiren; diese Vermuthung gründet sich darauf, dass der Verbrauch der Stärke ein ganz ande- rer ist, je nachdem die Zelle im Dunkel oder am Licht sich befindet. Im Dunkel geht in der mit Stärke ge- füllten Zelle gar keine, oder meistens nur eine ein- malige Theilung vor. Die ganze übrige Masse der in der Zelle verhandenen Stärke, sie mag noch so bedeutend sein, wird zum Aufbau der Seitenwände der Zelle verwendet. Es findet weiter keine Zellthei- Si des Sciences de Saïint-Pétersbourg. s?2 lung, sondern nur ein Längewachsthum der Zellen statt. Die Zellen werden 3 bis 4 Mal so lang als breit. Im Licht dagegen verhalten sich die Zellen anders; un- geachtet des viel rascheren Wachsens des Fadens werden sie durch die Theilung auf desto kürzere Zel- len reducirt, je stärker die Beleuchtung ist. So habe ich an den im zerstreuten Tageslichte cultivirten Fä- den meistens doppelt so lange als breite Zellen sich theilen gesehen; unter dem concentrirten Lampen- lichte dagegen meistens schon solche, deren Länge erst ihrer Breite gleich war. 4) Es ist mir gelungen, bei Sstündiger Beleuchtung sowohl mittelst des Tages- als des Lampenlichts und einem 16stündigem Verweilen im Dunkel eine äus- serst klar ausgesprochene Periodicität in der Stärke- bildung und Auflüsung als auch in der Zelltheilung nachzuweisen. Wie sich diese Prozesse bei unterbro- chener Beleuchtung gestalten, bleibt noch zu unter- suchen. 5) Die Zelltheïlung wird nur durch die minder brech- baren Strahlen des Spectrums bedingt. 6) Die Zelltheilung der Spirogyra kann auf die Ta- gesstunden verlegt werden; solche Fäden bieten ein reiches Material, um die Theïlung Schritt für Schritt zu verfolgen, als auch um die Zelltheilung während der Vorlesung zu demonstriren. Über Eichwald’s Tomyris oxiana, eine Gift- schlange aus der Familie der Elapiden, von Dr. Strauch. (Lu le 14 mai 1868.) Prof. Eichwald hat im dritten Bande seiner Zoolo- gia specialis auf p. 171 eine der Brillenschlange (Naja tripudians Merr.) nahe verwandte Giftschlange, die er am Ost-Ufer des kaspischen Meeres, in der Nähe der früheren Einmündungsstelle des Oxus in den Bal- chanbusen gefangen, kurz diagnosticirt und dieselbe zu Ehren der Massageten-Künigin Tomyris, der Besiegerin des Cyrus, mit dem Namen Tomyris oxi- ana belegt. Zehn Jahre später verôffentlichte er in seiner Fauna caspio-caucasia p. 130 eine zweite Be- schreibung dieser Art und fügte derselben auch eine Abbildung (tab. XX) hinzu, doch ist leider diese neue Beschreibung nur wenig vollständiger als die ursprüng- liche Diagnose und die Abbildung trägt wegen Man- Tome XIII. gels der nôthigen Detailzeichnungen auch im Ganzen wenig zur näheren Kenntniss der fraglichen Schlange bei. Diesen Umständen ist es auch wohl beizumessen, dass Tomyris oxiana Kichw. vollkommen in Verges- senheit gerathen und von keinem der zahlreichen Au- toren, die über Ophiologie geschrieben haben, berück- sichtigt worden ist, und doch ist diese Art unter allen den vielen von Prof. Eichwald als neu beschriebe- nen Schlangenarten gerade die einzige, die wirklich neu ist; ich glaube daher, dass eine detaillirte Be- schreibung des Originalexemplars der Tomyris oriana Eichw., das ich zu untersuchen Gelegenheit gehabt habe, den Ophiologen nicht ganz unwillkommen sein wird. Was zuerst die Gattung Tomyris anbetrifit, so lässt sie sich in keinem Falle aufrecht erhalten, sondern muss mit Naja vereinigt werden, da die Merkmale, auf welche hin Eichwald sie begründet hat, theils gar keinen, theils nur specifischen Werth haben und daher zur Aufstellung einer besonderen Gattung durch- aus nicht genügen. Das hauptsächlichste generische Merkmal, wenigstens dasjenige, welches Eichwald am meisten betont, glaubt er in der Beschilderung der Unterseite des Kopfes gefunden zu haben. Bei Tomyris sind nämlich die Inframaxillarschilder des 2ten Paares, die an Grüsse eben so wie bei Naja denen des ersten Paares nachstehen, sehr nahe an einander gerückt und nur in ibrer hinteren Hälfte durch eine dazwischen geschobene unpaare Schuppe von einander getrennt. Bei Naja dagegen finden sich nach Eich- wald in dem Zwischenraume zwischen diesen beiden hinteren Inframaxillarschildern stets drei Schuppen, die «in triangulo disposita» sind, d. b. in zwei auf ein- ander folgenden Querreihen stehen, von denen die vor- dere eine, die hintere dagegen zwei Schuppen oder Schildchen enthält. Diese für Naja als charakteri- stisch angegebene Anordnung finde ich auch an allen 7 mir vorliegenden Exemplaren der Naja haje L. und eben so scheint dieselbe auch, so weit ich nach ei- ner Abbildung !) urtheilen kann, der Naja nigricollis Reinh. eigenthümlich zu sein, Naja tripudians Merr. dagegen variirt in dieser Hinsicht sehr auflallend. Ab- gesehen von dem in Schlegel’s Essai sur la physio- 1) Kongl. Danske Videnskabernes Selsk. naturv. Afhandi. X, tab. I, fig. 7. (Reinhardt, Nye Slaugearter.) 6 S3 Bulletin de l'Académie Impériale S1 ————— nomie des Serpens pl. XVII f. 3 abgebildeten Exem- plar, das eine anomale Kehlbeschilderung besitzt, und bei welchem nicht einmal die Inframaxillarschilder des 2ten Paares, geschweige denn die dazwischen ge- schobenen Schuppen deutlich zu erkennen sind, zei- gen einzelne Exemplare der echten Brillenschlange, wie namentlich das von Russel in seinem Account of Indian Serpents I pl. VI f. 2 abgebildete, genau die Anordnung, die Eichwald als ausschliesslich der Gattung Naja zukommend aufführt, andere dagegen stimmen in dieser Beziehung vollkommen mit Tomy- ris überein, und da die 6 in der akademischen Samm- lung vorhandenen Stücke der Naja tripudians Merr. sämmtlich zu der letzteren Kategorie gehüren, so muss ich annehmen, dass die Trennung der hinteren Infra- maxillarschilder durch eine einzige Schuppe bei der echten Brillenschlange keineswegs nur ausnahmsweise vorkommt und folglich auch nicht als differenzielles Merkmal zwischen den Gattungen Tomyris und Naja in Anwendung kommen kann. Eben so wenig kann ich auch einen Unterschied zwischen den mir vorlie- genden Naja-Arten und der Zomyris oxiana Eichw. in der Anordnung der seitlichen Kehlschuppen finden, die von Eichwald als «majores, per 4 series obli- quas dispositae» angegeben werden; sie sind bei den Naja-Arten sowohl was Form, als auch was Stellung anbetrifft, genau so beschaffen wie bei Tomyris oxiana Eichw. Ferner glaubt Eichwald in der Zweizahl der Giftzähne und in dem Umstande, dass hinter die- sen im Oberkieferbein noch zwei kleine massive, un- durchbohrte Zähne stehen, einen Unterschied zwi- schen Naja und Tomyris gefunden zu haben, irrt aber sehr, denn seine Beschreibung der Oberkieferzähne von Tomyris passt genau auf Naja. Endlich hebt Eich- wald noch Eigenthümlichkeiten im Habitus semer 7o- myris oœiana hervor, wie namentlich den längeren und mehr abgeplatteten Kopf und den, wenn auch nicht längeren, so doch schlankeren Schwanz, doch kann diesen Differenzen, die allerdings vorhanden sind, meiner Ansicht nach hôchstens der Werth specifischer Merkmale zugestanden werden. Kurz, ich glaube, dass es nach dem oben Gesagten vollkommen gerecht- fertigt erscheinen wird, wenn ich die Gattung Tomy- ris Eichw. als durchaus unhaltbar emziehe und die Tomyris oxiana Eichw. als Art zu der Gattung Naja Laur. rechne. Die Gattung Naja Laur., in dem Sinne, wie sie gegenwärtig ganz allgemein aufgefasst wird, enthält nach Jan’s Elenco sistematico degli Ofidi, dem neue- sten ophiologischen Gesammtwerke, im Ganzen 4 Ar- ten, von denen eine, die bekannte Brillenschlange, im südlichen Asien weit verbreitet ist, während die 3 an- deren ausschliesslich dem afrikanischen Continente angehüren. Diese 4 Arten unterscheidet Jan nach der Zahl, Form und Stellung der Oberlippenschilder und bildet zuerst zwei Gruppen, die dadurch von ein- ander unterschieden sind, dass bei der ersten das 3te und 4te, bei der zweiten dagegen nur das 3te Supra- labialschild den Augapfel berührt; zu der zweiten Gruppe gehôrt nur Naja nigricollis Reinh., die sich ausserdem noch dadurch von den 3 andern Arten unterscheidet, dass sie nicht wie jene 7, sondern nur 6 Supralabialschilder jederseits besitzt. Die 3 Arten der ersten Gruppe unterscheiden sich wiederum durch die Grüsse des Gten Supralabialschildes von einander: bei Naja tripudians Merr. ist nämlich das 6te Supra- labialschild niedriger als das 5te und steht nicht mit den Postocularschildern in Berührung, sondern ist von denselben durch das dazwischenliegende erste Temporalschild getrennt, bei den beiden afrikanischen Arten dagegen ist das G6te Supralabialschild bedeu- tend hüher als das 5te und berührt die Postocular- schilder unmittelbar; wie sich aber diese beiden afri- kanischen Arten, Naja haje L. und Naja regalis Schleg., von einander unterscheiden, kann ich nicht angeben, da Naja regalis Schleg. bisher noch nir- gends beschrieben oder selbst nur kurz charakterisirt ist, und Jan sie gleichfalls nur citirt, ohne der Merk- male, durch welche sie sich von der ihr zunächst ver- wandten Naja haje L. unterscheidet, zu gedenken. Die von Jan getroffene Auswahl der Merkmale zur Unterscheidung der obigen 4 Arten ist aber leider nicht ganz zu billigen, da diese Merkmale namentlich in Bezug auf Naja haje L. nicht für alle Fälle volle Gültigkeit haben, und ich muss bemerken, dass mich diese Auswahl um so mehr Wunder nimmt, als Jan die bei Naja haje L. vorkommenden Abänderungen in Zahl und Stellung der Postocularschilder sehr wohl gekannt hat. Jan rechnet Naja haje L. zu denjenigen Arten, bei welchen das 3te und 4te Supralabialschild mit dem Augapfel in Berührung stehen, und scheint so- mit vergessen zu haben, dass er in seinem Prodrome S5 des Sciences de Saïint-Pétersbourg. s6 ————_—_—_—_——_—_————_——…—…—_—_—_—_—_—_——…——_—…—…—…—"—"—…—"—"—"—"_—_—…—…—…—…———…………………—…—…— d’une Iconographie descriptive des Ophidiens *) selbst auf Exemplare dieser Schlange aufmerksam gemacht hat, bei welchen kein einziges Oberlippenschild mit dem Augapfel in Berührung steht, sondern das Auge von einem Schilderkranz umgeben ist. Die betreffende Stelle im Prodrome lautet würtlich, wie folgt: «On peut aussi aisément distinguer le Naja haje du Cap et de l'Afrique occidentale de celui d'Egypte, parce qu’il a 3 postoculaires, et les troisième et quatrième labiales touchent immédiatement l'oeil. Le AN. haje d'Egypte a, au contraire, l’oeil entouré par un an- neau formé par la suroculaire, la préoculaire et 4 écail- les, derrière et dessous l'oeil; de sorte qu'aucune des labiales n’est en contact avec l’oeil.» Aus dieser Mit- theilung ergiebt sich nun, dass die ägyptischen Exem- plare der Naja haje L. nach der Tabelle in Jan’s Elenco absolut nicht zu bestimmen sind, da sie sich ibres ringsum von Schildern umgebenen Auges wegen weder in die erste, noch in die zweite der beiden Hauptgruppen, in welche Jan die Arten der Gattung Naja Laur. eintheilt, unterbringen lassen; es muss daher eine neue Tabelle entworfen werden, in welcher die Charaktere zur Unterscheidung der Arten so ge- wählt sind, dass sich beide Varietäten der Naja haje L. gleich sicher bestimmen lassen. Bevor ich jedoch eine solche Tabelle gebe, muss ich noch in Bezug auf diese beiden Varietäten bemer- ken, dass sie in ihren Merkmalen keineswegs so con- stant sind, wie man nach Jan’s Aussage anzunehmen berechtigt wäre. Mir liegen nämlich 7 Exemplare der Naja haje L. vor, die sämmtlich aus Aegypten stam- men und unter denen nicht allein beide von Jan an- genommenen Varietäten, sondern noch eine dritte Form vorhanden ist, die ihren Charakteren nach die Mitte zwischen jenen beiden hält. Vier von den 7 Exemplaren der akademischen Sammlung besitzen den vollstäindigen Schilderkranz um das Auge und stimmen also mit der ägyptischen Varietät Jan’s vollkommen überein, das 5te gehürt zur Varietas capensis Jan’s, da bei ihm jederseits 3 Postocularschilder vorhanden sind und das 3te und 4te Supralabialschild mit dem Augapfel in Berührung stehen, und bei den beiden letzten Exemplaren, die eben jene oben erwähnte Zwi- 2) Guérin, Revue et Magasin de Zoologie, 2° série. XI (1859) p. 129. schenform darstellen, berührt, trotz der jederseits vor- handenen 4 Postocularschilder dennoch das 3te Su- pralabialschild den Augapfel. Eben so wie unter den ägyptischen kommen auch unter den west- und süd- afrikanischen Exemplaren beide von Jan unterschie- denen Formen vor, wenigstens zeigt das von Smith auf pl. XX seiner Illustrations of Zoology of South Africa abgebildete schwarze Exemplar der Naja haje L. einen sehr deutlichen, nirgends unterbrochenen Schilderkranz um das Auge. Somit lassen sich also die beiden Formen nicht als scharf geschiedene geo- graphische Varietäten aufrecht erhalten und man kann hôchstens behaupten, dass bei den ägyptischen Exem- plaren gewühnlich kein Supralabialschild mit dem Augapfel in Berührung steht, während in West- und Süd-Afrika solche Exemplare seltener sind und mehr zu den Ausnahmen gehôren. Die nachstehende Tabelle, in welche ich auch die Naja oxiana Eichw. aufgenommen habe, wird zeigen, wie die Arten der Gattung Naja Laur. am sichersten und leichtesten von einander zu unterscheiden sind; Nuja regalis Schleg., von welcher, wie schon oben be- merkt, bisher noch keine Charakteristik verôffentlicht worden ist, habe ich zwar auch in der Tabelle aufge- führt, ohne jedoch die Merkmale, durch welche sie sich von der ibr zunächst verwandten Naja haje L. unterscheidet, angeben zu künnen. Supralabialschilder jederseits in der Zahl a) 7 vorhanden. Nur ein einziges Prae- ocularschild auf jeder Seite. Das Gte Supralabialschild 1) niedriger als das 5te und von den Postocularen durch das erste Tem- poralschild getrennt. Die Schläfen- gegend œ)mit 4— 5, unter einander an Grôsse wenig differirenden Schil- dern bekleidet 8) zeigt vorn zwei über einander lie- gende grôüssere Temporalschilder, welche an die Postocularia gren- zen, und ist in ihrer übrigen Aus- dehnung mit zahlreichen kleinen schuppenähnlichen Schildchen be- kleidet . .. tripudians. silanedielt, spy bhegeke oniant. (ke s7 2) hôher als das 5te, berührt die Post- : haje. OoularS Chien ME Ne Le ie 3 regalis. b) 6 vorhanden. Jederseits 2 Pracocu- larschilder SR CR IAE nigricoulis. Nach obigen einleitenden Bemerkungen gehe ich zur Beschreibung der ost-kaspischen Brillenschlange über. Naja oxiana Eichwald. N. capite elongato, valde depresso; collo subdila- tabili; scutellis supralabialibus utrinque 7, sexto parvo, scutella postocularia non attingente; scutello prae- oculari utrinque simplici. Regione temporali antice duobus scutellis temporalibus magnis, postice pluri- mis parvis squamiformibus, squamas corporis magnitu- dine vix superantibus, tecta. Tomyris oxiana Eichwald, Zoologia specialis IIT p. 171 et Fauna caspio-caucasia p. 130. tab. XX. Trotz der nahen Verwandtschaïft, die zwischen N. oxiana Eichw. und N. tripudians Merr. besteht, ge- hôüren beide dennoch zwei durchaus verschiedenen Ar- ten an und unterscheiden sich von einander nicht al- lein durch die vüllig verschiedene Beschilderung der Schläfengegend, sondern bieten auch im Allgemein- habitus, namentlich in der Form des Kopfes, des so- genannten Halses und des Schwanzes Verschiedenhei- ten dar. Mit einem nahezu gleichgrossen Exemplar von N. tripudians Merr. verglichen, zeigt N. oxiana Eichw. einen viel gestreckteren und auffallend abge- platteten Kopf, der zagleich sehr deutlich vom Rumpfe abgesetzt ist, einen dünneren Halstheïil, an welchem die Haut viel straffer anliegt und der desshalb auch die Fähigkeït, aufgebläht zu werden, in viel geringe- rem Grade besitzt, und einen, wenn auch nicht län- geren, so doch bedeutend schlankeren Schwanz. Während der Kopf der gemeinen Brillenschlange wenig mehr als doppelt so lang wie hoch und kaum mehr wie um die Hälfte länger als in der Temporal- gegend breit ist, erscheint derselbe bei N. oxiana Eichw. fast dreimal so lang wie hoch und fast dop- pelt so lang als in der Schläfengegend breit; die Be- schilderung des Kopfes dagegen ist bei beiden Arten ziemlich übereinstimmend und zeigt, wie man aus der nachfolgenden Beschreibung ersehen wird, nur in der Temporalgegend charakteristische Verschiedenheiten. Bulletin de l'Académie Impériale ss Das Rostralschild, das nicht in einer Ebene liegt, sondern mit seinem hinteren Drittel auf die horizon- tale Kopffläche hinaufgerückt erscheint, hat die Ge- stalt eines gleichschenkligen Dreiecks, dessen nach unten gerichtete Basis einen starken halbcirkel{6rmi- gen Ausschnitt (zum Vorstrecken der Zunge) besitzt, und dessen nach hinten gerichtete Spitze einen bei- nahe rechten Winkel bildet; es grenzt jederseits an das erste Supralabiale, das vordere Nasale, so wie an das Frontonasale derselben Seite und bildet mit sei- ner unteren Seite einen Theil des freien Mundrandes. Jedes der beiden Frontonasalschilder ist ein Trape- zoid, hat aber die Gestalt eines Dreiecks, dessen nach innen gerichtete Spitze schräg abgestumpft ist und an die eben so beschaffene Spitze des gleich- namigen Schildes der andern Seite grenzt; von den 4 Winkeln dieses Schildes sind die beiden äusseren spitz, der hintere innere ein Rechter und der vor- dere innere stumpf. Jedes dieser Schilder grenzt vorn an das Rostrale, hinten an das Praefrontale seiner Seite, innen an das Frontonasale der anderen Seite und aussen, wo es einen Theil des allerdings sehr stumpfen und schwach ausgesprochenen Canthus ro- stralis bildet, an die beiden Nasalia und mit der kaum merklich gestutzten hinteren Aussenecke auch an das Praeoculare seiner Seite. Die beiden Prae- frontalschilder sind gleichfalls Trapezoide und ahmen gleichfalls die Gestalt zweier, jedoch rechtwinkligen Dreiecke nach, an deren jedem beide spitzen Winkel abgestutzt sind. Von den 5 Seiten eines jeden dieser Schilder sind die vordere und die innere, welche beide den vorderen inneren (rechten) Winkel ein- schliessen, am längsten, dabei gleichlang und grenzen die erstere an das Frontonasale derselben, die letztere an das Praefrontale der anderen Seite; die nach aussen gerichtete Seite, die an das Praeoculare grenzt, ist von allen die kürzeste und von den beiden nach hinten gerichteten Seiten ist die innere, die an das Frontale grenzt, um ein Drittel etwa kürzer als die äussere, welche mit dem Supraorbitale in Berührung steht. Das Frontale ist ein reguläres Sechseck mit lauter stumpfen Winkeln, das vorn um ein Geringes schmäler ist als hinten und dabei fast doppelt so lang als in seinem vordern Theile breit erscheint; es grenzt mit seinen beiden kürzesten vorderen Seiten an die Praefrontalia, mit den beiden hinteren etwas länge- s9 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 90 RE ————————— ren an die Parietalia und steht durch die beiden läng- sten Seiten mit den Supraorbitalschildern in Berüh- rung. Jedes dieser letzteren Schilder würde ein re- guläres Trapez darstellen, wenn daran nicht die äus- seren Ecken abgestutzt wären; es grenzt nach innen an das Frontalschild, bildet mit seiner äusseren Seite den Margo supraorbitalis und steht vorn mit dem Prae- frontale und Praeoculare, hinten dagegen mit dem Pa- rietale und Postoculare superius derselben Seite in Berührung. Die Parietalschilder, die sehr gross sind, haben eine unregelmässige, schwer zu beschreibende Gestalt, lassen sich jedoch am besten noch mit zwei gleichschenkligen, mit der Spitze nach hinten gerich- teten Dreiecken vergleichen, an deren jedem die in- nere Basalecke schräg abgestutzt ist; in dem drei- eckigen Ausschnitte, der durch die Abstutzung der neben einander gelegenen Basalecken dieser beiden Schilder entsteht, liegt eben die hintere Spitze des Frontalschildes. Beide Parietalia berühren einander mit dem grüssten Theile ihres Innenrandes, ihre nach hinten gerichteten Spitzen aber treten auseinander und in dem dadurch entstehenden dreieckigen Raume liegt ein etwa rhombisches Schildchen, welches die Nackenschuppen ziemlich bedeutend an Grüsse über- trifit. Die gegen die Schläfe gerichtete Seite eines jeden dieser beiden Parietalschilder verläuft nicht ge- radlinig, sondern zeigt da, wo sie an die kleinen Tem- poralschuppen grenzt, mehrere, freilich sehr unbe- deutende Ausschnitte. Unter den Schildern, welche die jederseitige verti- kale Kopffläche bekleiden, sind zuerst die 7 Suprala- bialia zu erwähnen, von denen das erste em liegendes Viereck darstellt und vorn an das Rostrale, oben an das vordere Nasale und mit seiner hinteren oberen Ecke auch an das Nasale posterius, hinten an das 2te Supra- labiale grenzt. Das 2te Supralabiale ist etwa dreieckig mit nach oben gerichteter Spitze, dabei etwa nur halb so gross wie das vorhergehende und mit seinem oberen Ende an das Nasale posterius grenzend. Das 3te Ober- lippenschild, das hôüchste von allen, stellt ein unregel- mässiges Sechseck dar und hat etwa die Gestalt eines Beils, dessen breiter (schneidender) Theïl nach oben gerichtet ist; seine obere Seite steht mit dem Praeo- culare in Berührung, während die untere, die bedeu- tend kürzer ist, einen Theil des freien Mundrandes bildet. Nach vorn und hinten bietet dieses Schild je 2 an Länge sehr verschiedene Seiten dar: die obere von den beiden vorderen Seiten ist etwa halb so lang wie die untere, geradlinig und steht mit dem Hinter- rande des Nasale posterius in Berührung, die untere bildet einen mit der Convexität nach hinten sehenden Bogen und grenzt an das 2te Supralabiale; die beiden hinteren Seiten verlaufen beide bogenformig, und zwar ist die Convexität des Bogens bei beiden nach vorn gerichtet, dabei grenzt die obere kürzere unmittelbar an den Bulbus, während die untere längere mit dem nächstfolgenden Lippenschild in Berührung steht. Das 4te Supralabiale, um die Hälfte etwa niedriger als das vorhergehende, würde ein rechtwinkliges Viereck dar- stellen, wenn seine vordere Seite nicht bogenfürmig verliefe und seine hintere obere Ecke nicht leicht ge- stutzt wäüre; es grenzt vorn an das 3te Supralabiale, hinten an das unterste Postoculare und das 5te Supra- labiale und seine obere Seite begrenzt den Bulbus. Das 5te Supralabiale ist fünfeckig und besitzt 3 rechte und 2 stumpfe Winkel, gleicht somit einem recht- winkligen Viereck, an welchem die hintere obere Ecke sehr stark abgestutzt ist; es grenzt vorn und hinten an die benachbarten Supralabialschilder, bildet mit sei- ner unteren Seite, wie alle übrigen Oberlippenschilder, den freien Mundrand und von seinen beiden oberen Seiten steht die vordere kürzere mit dem Postoculare inferius, die hintere längere mit dem unteren Tempo- rale in Berührung. Das 6te Supralabiale ist noch niedriger als das 5te, auch fünfeckig und zeigt vorn 2, hinten 3 Winkel: die beiden vorderen Winkel sind rechte, der mittlere hintere spitz und ie beiden an- deren stumpf, Seine obere Seite steht mit dem unte- ren Temporale in Berührung, die untere entspricht dem freien Mundrande, die vordere grenzt an das vor- hergehende Lippenschild and von den beiden hinteren Seiten berührt die untere das 7te Supralabiale, die obere dagegen das unterste vorderste der schuppen- ähnlichen Schildchen, welche den grüssten Theil der Temporalgegend bekleiden. Das 7te Supralabiale end- lich ist eben so niedrig, aber bedeutend länger als das 6te, besitzt eine unregelmässig fünfeckige Form, be- rührt vorn das 6te Lippenschild, bildet mit seiner un- teren Seite den Mundrand und ist an den übrigen Seiten von den Temporalschuppen umgeben, Von den beiden Nasalschildern, zwischen denen das grosse, vertical gestellte, mit der Offnung rückwärts 91 Bulletin de l’Académie Impériale 92 _—_——————————————. _ ———p schauende Naseloch liegt, ist das vordere grüsser und hat die Gestalt eines Vierecks, dessen hintere, an das Naseloch grenzende Seite einen schwach gekrümmten, mit der Convexität nach vorn sehenden Bogen bildet; die vordere Seite dieses Schildes grenzt an das Rostrale, die obere an das Frontonasale und die untere an das 1ste Oberlippenschild. Das hintere Nasale ist ein langes schmales, an beiden Enden leicht zugespitztes Schild- chen, das vertical steht und dessen vordere Seite das Naseloch begrenzt, während die hintere mit dem Praco- culare und mit dem oberen Theïle des 3ten Suprala- bialschildes in Berührung steht; seine obere Spitze stôsst an das Frontonasale, die untere liegt in einem leichten Ausschnitt, der an der Vereinigungsstelle des 1sten und 2ten Supralabiale vorhanden ist. Das Praeo- cularschild ist ein Fünfeck mit 2 rechten und 3 stumpfen Winkeln, gleicht aber einem gleichschenkligen Dreieck, an welchem beide Basalecken abgestutzt sind; es grenzt unten (oder aussen) an das 3te Supralabiale, vorn an das hintere Nasalschild, hinten an den Augapfel und oben (oder innen), wo es zwei Seiten besitzt, sowohl an das Praefrontale, als auch an das Supraorbitale. Hinter jedem Auge finden sich 3 unter einander stehende Postocularschilder, von denen das mittlere etwas klei- ner ist als jedes der anderen; sie sind von viereckiger oder eigentlich von fünfeckiger Gestalt, da an jedem die hintere Seite schwach winklig gebogen ist, und bilden mit ihren vorderen Seiten den Hinterrand der Orbita. Das oberste dieser Schilder grenzt mit seiner oberen Seite an das Supraorbitale, mit den beiden hin- teren sowoh] an das Parietale, als auch an das Tem- porale superius, das mittlere stüsst hinten an beide Temporalia an und das untere steht durch seine bei- den hinteren Seiten mit dem unteren Temporale und dem 5ten Supralabiale, durch seine untere Seite mit dem 4ten Oberlippenschild in Berührung. Die beiden Temporalschilder, von denen das untere etwas grüsser ist als das obere, stehen genau unter einander und sind von unregelmässig polygonaler Gestalt; das obere gleicht etwa einem länglichen Viereck und grenzt vorn an das obere und das mittlere Postocularschild, oben an das Parietale, hinten an die vorderste Reïhe der schuppenähnlichen Schäfenschildchen und seine untere Seite endlich berührt mit dem vorderen Theil das un- tere Temporale, mit dem hinteren dagegen ein zwischen den hinteren Theil beider Temporalschilder eingescho- benes schuppenähnliches Schläfenschildchen. Das un tere Temporale, das an Grüsse etwa dem 5ten Supra- labiale gleich kommt, hat etwa die (xestalt eines Sechs- ecks, an welchem die vordere und die hintere Seite die kürzesten sind; es berührt mit seiner vorderen Seite das mittlere und untere Postoculare, mit seinen beiden oberen Seiten sowohl das Temporale superius, als auch das bereits erwähnte vorgeschobene schuppen- äbnliche Schläfenschildchen, grenzt nach unten an das 5te und 6te Supralabiale und nach hinten an eines der Schläfenschildchen. Auf diese beiden grossen Tempo- ralschilder folgen 3—4 unregelmässige, vertical ge- stellte Reihen kleinerschuppenähnlichenSchläfenschild- chen von unregelmässig-polygonaler Gestalt, die ein- ander an Grôsse ziemlich gleich und nur unbedeutend grüsser als die seitlichen Kôrperschuppen sind. Die Unterseite des Kopfes zeigt ein kleines drei- eckiges Mentalschild, auf welches jederseits $S Infra- labialia folgen. Die Infralabialia des ersten Paares sind gross, gleichen zweien Rhomben und berühren einander, wie gewohnlich in der Kinnfurche, so dass das Mentalschild nach hinten vollkommen von ihnen eingeschlossen ist. Die Unterlippenschilder des 2ten und 3ten Paares sind klein und von etwa viereckiger Gestalt, die des 4ten und 5ten Paares dagegen sehr gross, jedes etwa doppelt so gross, wie die beiden vor- hergehenden zusammengenommen; das 4te ist vier- eckig und hinten um die Hälfte ungefähr breiter als vorne, das Dte hat fünf Ecken und seine beiden hin- teren Seiten, die unter einem spitzen Winkel zusam- menstossen, bilden jede einen schwach gekrümmten, mit der Convexität nach vorn gerichteten Bogen. Die 3 letzten jederseitigen Infralabialia sind klein, dabeï lang und schmal, und stellen schräge gestellte, mehr oder weniger regelmässige Vierecke dar. Ausser den Infralabialschildern des ersten Paares finden sich zu jeder Seite der Kinn- oder Kehlfurche noch 2 Infra- maxillarschilder. Die Inframaxillaria des ersten Paares stellen schräge Parallelogramme dar und stehen jedes mit dem 4ten Infralabiale in Berührung; von denen des 2ten Paares gleicht jedes einem sphärischen, mit der Spitze nach hinten gerichteten gleichschenkligen Dreiecke und grenzt nach aussen an einen kleinen Theil des 4ten und die ganze Innenseite des 5ten Infrala- biale. Der übrige Raum der Kehle wird von Schuppen eingenommen, die ziemlich gross sind, eine länglich- 93 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 94 —_——————_—pZ— viereckige Form haben und jederseits in 4 schräge Reiïhen angeordnet erscheinen. Unter diesen Schuppen sind 3 noch besonders zu erwähnen, nämlich eine un- paare, die zwischen die hinteren Enden der hinteren Inframaxillaria eingeschoben ist, und eine sehr lange und schmale, die auf jeder Seite die Innenränder des 5ten bis 7ten Infralabialschildes begrenzt. Die Kürperschuppen sind durchweg glatt und mit Ausnahme der centralen, längs der Mitte des Rückens verlaufenden Reihe in schräge Reihen angeordnet; solcher Reihen zähle ich in der sogenannten Halsgegend 23— 95, in der Mitte des Rumpfes 23, gegen Ende desselben 17 und auf der Schwanzbasis 11. Die Schup- pen der 3 jederseitigen äussersten Reïhen sind viel grüsser, namentlich breiter als die übrigen, die über- aus schmal und daher sehr gestreckt erscheinen. Auf der Unterseite des Rumpfes finden sich 202 Schilder von gewübhnlicher Gestalt, von denen das vorderste ar die jederseitige 3te Reihe der Kehlschuppen grenzt. Das Analschild ist einfach und unter dem schlanken Schwanze finden sich 66 Schilderpaare. Die Färbung und Zeichnung ist bereits von Eich- wald eines Genaueren beschrieben worden, ich glaube sie desshalb hier unberücksichtigt lassen zu künnen, und das um so eher, als das Exemplar durch die lang- jäbrige Einwirkung des Lichtes den grüssten Theil seiner Farbe eingebüsst hat und gegenwärtig auf sehr hellem, gelblichweissem Grunde schwarzbräunliche, nicht mehr überall deutliche Querbinden zeigt. Was endlich den Zahnbau dieser Schlange anbe- trifft, so kann ich leider nichts Genaueres darüber an- geben, da die Zähne und zum Theil auch die Kiefer- knochen stark beschädigt sind. Auf der einen Seite finde ich die beiden neben einander stehenden Giit- finge noch recht gut erhalten und hinter denselben eine Gruppe von 4—5 beweglichen kleinen Zähnchen, die, wie ich mich nach Herausnahme und Untersuchung eines derselben überzeugt habe, gefurcht, also Ersatz- zähne der Giftfinge sind; die beiden einfachen undurch- bohrten und ungefurchten Zähne, deren Eichwald erwäbnt, habe ich trotz aller darauf verwandten Mühe nicht entdecken künnen. Maasse, Totallänge 40 Ctm., davon kommen auf den Kopf 1,6 und auf den Schwanz 6,8 Ctm. Habitat, Das einzige bisher bekannte Exemplar die- ser Art ist, wie schon bemerkt, von Prof. Eichwald am Ost-Ufer des Kaspischen Meeres, in der Nähe der ehemaligen Oxusmündung, gefangen worden. —D)06—— BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. L'Académie a recu dans ses dernières séances les ouvrages dont voici les titres: Bidrag till Finlands Naturkännedom, Etnografi och Sta- tistik, utgifna af Finska Vetenskaps-Societeten. 9° och 10° Häftet. Helsingfors 1864. S. — till kännedom af Finlands natur och folk, utgifna af Finska Vetenskaps-Societeten. Sjunde, ättonde, nionde och tionde Häftet. Helsingfors 1866—67. 8. Verhandelingen van het Bataviaasch Genootschap van Kun- sten en Wetenschappen. Deel XXXII. Batavia 1866. 4. Notulen van de Allgemeene en Bestuurs-Vergaderingen van het Bataviaasch Genootschap van Kunsten en Wetenschappen. Deel II Aflev. 1—4, III Aflev. 1. 2, IV Aflev. 1. Batavia 1864— 66. 8. Proceedings of the American philosophical Society. Vol. X. NX 76. Philadelphia 1866. 8. — ofthe American Academy of arts and sciences. Vol. VIT, pag. 1— 184. Annual report of the board of regents of the Smithsonian Institution for the year 1865. Washington 1866. 8. Smithsonian miscellaneous collections. Vol. VI. VII Wa- shington 1867. 8. Memoirs of the National Academy of sciences. Vol. I. Wa- shington 1866. 4. Transactions of the Connecticut Academy of arts and sciences. Vol. I, part I. New Haven 1866. 8. The American Journal of science and arts. Vol. 42 X 124— 126, Vol. 43. M 127— 129. Slovnik nauëny. Dil VIT, sesit 16—18. V Praze 1868. 8. Haltrich, Jos. Plan zu Vorarbeiten für ein Idiotikon der siebenbürgisch-sächsischen Volkssprache. Kronstadt 1865. 8. Knjizevnik. Casopis za jezik i poviest hrvatsku i srbsku i prirodne znanosti. Godina I, svezak 1—4. U Zagrebu 1864. 8. Reguly Antal Hagyomänyai. À Magyar Tudomänyos Aka- démia megbizäsäbél kiadta Hunfalvy Päl. I kôütet. A Vogul füld és nep. Pesten 1864. 4. Journal asiatique. 1867. Mai, Juillet, Août, Septembre, Octobre. Paris 1867. 8. Le Mukhbir. I Année X 1. 6. 1867. 4. Journal of the Asiatic Society of Bengal. 1866. Part I X IV. 1867. Part I X I. Part II XI. Catalogue of native publications in the Bombay Presidency 95 up to 51° 2 by Sir A. Grant, Baronet. Bombay 1867. 8. Tassy, Garcin de. Cours d'Hindoustani à l'École des lan- gues orientales vivantes. Paris 1867. 8. Bibliotheca indica. Old Series M 218—219, New Series M 99— 109. Calcutta 1866 —67. 8. Tijdschrift voor indische Taal-, Land- en Volkenkunde. Deel XIV (Vierde Serie. Deel V) Aflevering 5. 6, XV (Vijfde Serie. Deel I) Aflevering 1—6, XVI (Vijfde Serie. Deel I) Aflevering I. Batavia, ’s Hage 1864— 66. 8 Revue africaine. 11° année N° 64. 67. Alger 1867. 68. 8. The Kämil of El-Mubarrad by W. Wright. 4% part. Leipzig 1867. 4. Grunert, Joh. Aug. Archiv für Mathematik und Physik. Theil XLVI. Heft 4 Greifswald 1866. 8. Albrich, Karl. Die Fusspunktlinien der Kegelschnitte und ihre Anwendung. (Programm des Gymnasiums A. C. zu Hermannstadt). Hermannstadt 1864. 4. Gyldén, Hugo. Relationer emellan cosiner och siner für irrationella vinklar. (Helsingfors.) 1866. 4. Zajaczkowskiego, Wilad. Teoryja réwnanñ roZniczko- wych o ezastkowych pochodnych rzedu 19°. Warszawa 1867. 8. Cantor, Georg. De in secundi gradus indeter- minatis. Berolini 1867. Haughton, Samuel. On the sun of eccentricity of the earth’s orbit regarded as a cause of change of cli- mate. 1866. 8 Bache, A. D. Standard mean places of circumpolar and time stars. Washington 1866. 4. Gould, Benj. Apthorp. Reduction of the observations of fixed stars made by Joseph Le Paute d’'Agelet, at Pa- ris, in 1783—1785. Washington 1866. 4. Observaciones meridianas i micrométricas relativas al pla- neta Marte al tiempo de su oposicion en 1862. Sant- iago 1863. 4. Schubert, E. Tables of Eunomia. Washington 1866. 4. Annuaire de l'Observatoire royal, par A. Quetelet. 1867. Bruxelles 1866. 24. Jahresbericht am 24. Mai 1867 dem Comité der Nicolai- Hauptsternwarte abgestattet. St. Petersburg 1867. 8. Astronomical observations made at the U. S. Naval Ob- servatory, during the years 1851 and 1852. Washington 1867. 4. Annals of the astronomical Observatory of Harward Col- lege. Vol. IL. part IT and Vol. V. Cambridge 1867. 4. Wolf, Rud. Astronomische Mittheilungen. XXII. XXIIL. 8. Heis, Ed. Sammlung von fünf Sterncharten zum Ein- zeichnen der Sternschnuppen der November-Periode. Küln 1568. 4. Loomis, Will. Is The Yankee Astronomer’s determining the real diameters of the heavenly bo- dies. Fol. unicum. Œulletin de l’Académie Impériale des Sciences de Saïint-Pétersbourg. December 1864, prepared under orders of manner of 96 Quetelet, A. Annales de l'Observatoire royal de Bruxelles. Tome XVII. Bruxelles 1866. 4. Almanaque nautico para el año 1869, calculado en el Ob- servatorio de Marina de la ciudad de S. Fernando. Cadiz 1867. 8. The American Ephemeris and Nauticai Almanac for the year 1866. Washington 1866. 8. Procès-verbaux de la conférence géodésique internationale pour la mesure des degrés en Europe. Neuchatel 1567. 4. Nouvelles archives du Muséum d'histoire naturelle. T. I live. 1—4, IL livr. 1—4, II livr. 1. 2. Paris 1865—66. 4 Bulletin de la Société d'histoire naturelle de Colmar. 6 et 7 livr. 1865 et 1866: Colmar 1867. 8. Annales de la Société Linnéenne de Lyon. Année 1864 — 1866. Tome XI— XIV. Paris 1865 — 67. 8. Giornale di scienze naturali ed economiche pubblicato per cura del Consiglio-.di perfezionamente annesso al r. Istituto Tecnico di Palermo. Anno 1867. Vol. INT fase. 1, II e III Palermo 1867. 4. Bulletin de la Société Vaudoise des sciences naturelles. Vol. IX, M 56. Lausanne 1866. Mémoires de la Société de phy sique et d'histoire EE de Genève. T. XIX. Première partie. Genève 1867. Société des sciences naturelles du Grand-Duché de ne bourg. T. IX, année 1866. Luxembourg 1567. 8. Abhandlungen, herausgegeben von der Senckenbergischen Naturforschenden Gesellschait. Gter Band, Heft 3. 4. Frankfurt a. M. 1866—67. 4 Verhandlungen der k. Leopoldino-Carolinischen deutschen Akademie der Naturforscher. 33ster Band. Dresden 1867. 4. Mittheilungen aus dem Osterlande. 18ter Band, 1stes und 2tes Heft. Altenburg 1867. 8. Verzeichniss der Mitglieder der Naturforschenden Gesell- schaft des Osterlandes zu Altenburg. Altenb. 1867. 4 Jenaische Zeitschrift für Medicin und Naturwissenschaft. Band II, Heft 2. 3. Leipzig 1867. Würzhburger Medicinische Zeitschrift, Tter Band, Würzhurg 1867. 8. Schriften der k. physikalisch-ükonomischen Gesellschaft zu Künigsberg. 6ter Jahrgang Abthl. 1.2, Tter Jahrgang Abthl. 1. 2. Künigsberg 1865—66. 4. The Transactions of the Linnean Society of London. Vol. XXV part the II. London 1866. 4. General Index to the Transactions of the Linnean Society of London. Vols I to XXV. London 1867. 4 The Journal of the Linnean Society. Zoology. Vol. IX, X 34. 35. Botany. Vol. IX, X 38. 39. London 1867. 8 Report of the thirty-sisth meeting of the british associa- tion for the advancement of science, held at Notting- ham in August 1866. London 1867. 8. Heît 5. 6 Paru le 4 juin 1868, T. XIIE, N° 2. BULLETIN DE L'ACADÈMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSPOURG. TOME XI. (Feuilles 7—13.) CONTENU. Page. | Fr, Schmidt, Communication préalable concernant les résultats scientifiques obtenus par | l'expédition, chargée de la recherche d’un mamouth......................... 97—130 | Fr, Beilstein et Kuhlberg, Sur les alcools et les aldehydes substitués........... HORS 130—143 Jritzsehe eNotionsisuriles hyArOCarDUrES Percer -Ceccrere 143—168 N, Zinine, Sur un produit de l’action de l'acide chlorhydrique sur l’essence d'amandes AMÉRESECONTENAN TI ACIAE CYANNYAIANE Re res -cere-e re... 168—174 Th, Zawarykin, Sur les premières voies suivies par le chylus ...................... 174—177 | A. Winnecke, Aurores boréales observées pendant les années 1858 —1864........... 177—203 F, Minding, Sur un problème du calcul des probabilités, qui se présente dans les obser- | vonone das CONTENTER RE OL Mo does ecboovonoconnorace 203—208 —…d Qt On g’abonne: chez MM. Eggers & Cie, H. Schmitzdorff et J. Issakof, libraires à St-Pétersbourg, Perspective de Nefski; au Comité Administratif de l’Académie (Komurers Iparsenin Huneparopexoÿ Axanewiu Hayks) et chez M. Léopold Voss, libraire à Leipzig. Le prix d'abonnement, par volume composé de 36 feuilles, est de 3 rbl. arg. pour la Russie, 3 thalers de Prusse pour l'étranger. Imprimerie de l’Académie Impériale des sciences. (Vass.-Ostr., 9° ligne, M 12.) ’ ; ni me DU ph is À LE quid ne UE É son AT Me nA An a. À IA oi so k di Dr ui, pt pal." 2 l'ORPAONEETERES MYTTARE { AUX. + vd Fun ; TARA nu ; Fa (# in 0 ve L À dpt ni . huh fo EME y tt aps on | HORELT ln 11€ aid ere a li, bt5a nc bt PET 4 Lu ” k le, M LE date BULLETIN DE L'ACADENIE IMPERIALE DES Vorläufige Mittheilungen über die wissenschaft- lichen Resultate der Expedition zur Aufsu- chung eines angekündigten Mammuthcada- vers, von Magister Fr. Schmidt. (Lu le 16 avril 1868.) Der ausführliche Bericht über die Resultate mei- ner Reise an den untern Jenissei ist zwar schon zum grüssten Theil ausgearbeitet; es scheint aber nicht rathsam, den Druck der ganzen Arbeit schon jetzt zu beginnen, weil einzelne Theïle derselben noch nicht vollständig abgeschlossen werden konnten. Ich be- gnüge mich daher vorläufig mit der Übersicht des Inhalts meines Berichts una einer kurzen Besprechung der Ergebnisse meiner Reise, was um so zulässiger erscheint, als die dem Hauptzwecke meiner Reise ent- sprechenden Resultate bezüglich der Lagerangsver- hältnisse des Mammuthskeletts und der ehemaligen Heimath der Mammuththiere schon jetzt vollständig vorliegen. Meine ausführliche Arbeit zerfällt in folgende Ab- schnitte: 1) Reisebericht; 2) geognostische Übersicht des untern Jenissei-Thals und der angränzenden Tun- dren, mit besonderer Berücksichtigung der Lagerungs- verhältnisse des aufsefundenen Mammuthskeletts; 3) Florula jenisseensis arctica ; 4) zoologische Ausbeute; 5) paläontologische Ausbeute. Der Arbeit sollen zwei (auf Papier schon vollen- dete) Tafeln Abbildungen beigegeben werden, die sich auf den paläontologischen Theil heziehen, und eine Karte des unteren Jenissei mit den angränzenden Landstrichen. Diese Karte') ist noch nicht vollendet, da die mir auf die freundliche Vermittelung des Hrn. Oberstlientenants G. von Helmersen versprochenen topographischen Aufnahmen des vorigen Jahres am untern Jenissei aus Irkutsk erst soeben hier angelangt sind. 1) Meine jetzigen Leser bitte ich, sich der Karte des Regicrungs- bezirks Turuchansk, Taf. IL im Kartenatlas zu Middendorffs Reise, zu bedienen, die die bisher richtigste und vollständigste Darstellung des untern Jenissei enthält. Tome XIII. SCIENCES DE NT -PÉTERSBOURE. Noch hoffe ich die Resultate von durch Hrn. Merlo auf Tolstoi-nos unter 70° n. B. ein ganzes Jahr hin- durch angestellten meteorologischen Beobachtungen mittheilen zu kônnen, von denen die Beobachtungen für die Sommermonate 1866 in meinen Händen sind: den Rest, bis zum Juli 1867 reichend, erwarte ich cbenfalls aus Irkutsk aus der sibirischen Abtheilung der geographischen Gesellschaft. Der Reisebericht schliesst sich an die schon früher im Bulletin der Akademie publicirten Briefe von der Reise an. Ich gehe über die Veranlassung und die Erlebnisse meiner Reise kurz hinweg — nur die anfängliche Ankündigung des Mammuths am Tas und die schliessliche Auffindung in der Nähe des Je- nissei, im Flussgebiete der Gyda, wird nochmals er- läutert — da darüber schon von Hrn. Akademiker von Baer und in den erwähnten Reïsebriefen hinläng- lich ausführlich berichtet worden ist. Jetzt lasse ich mich etwas ausführlicher über die ethnographischen und socialen, so wie Verkehrsverhältnisse am untern Jenissei und in den angränzenden Tundern aus; ich gebe einige Beiträge zur Geschichte der russischen Ansiedelungen am untern Jenissei und in den angrän- zenden Gebieten, theile mit, was ich über die regel- mässig sich wiederholenden Wanderzüge der einhei- mischen Stämme in Erfahrung gebracht habe und weise nach, dass durch die Handelsverbindungen, die von der untern Lena bis zur Anäbara und Chätanga, und vom untern Jenissei in die nämlichen Gegenden stattfinden, dieser Theil des arktischen Sibiriens gar nicht so schwer zugänglich auch für wissenschaftliche Expeditionen ist, wie man auf den ersten Blick glau- ben müchte. Der geognostische Theil beginnt mit einer Dar- stellung der Jenissei- Ufer von oberhalb Turuchansk bis zur Mündung, bei der ich viele Angaben den Mit- theilungen des Hrn. Berg-Ingenieur-Capitains J. A. Lopatin verdanke, der als Chef der Turuchansker Expedition der sibirischen Abtheiïlung der Kaiserlich 7 99 Bulletin de l’Académie Impériale 100 russischen geographischen Gesellschaft mit mir zu-|diesem grossen centralsibirischen Becken angehüren, gleich am untern Jenissei war. Das rechte Jenissei-Ufer besteht von der Ansiedlung Kostinskoje, etwa 100 Werst oberhalb Turuchansk, bis zur Mündung der untern Tunguska, und diese eine gute Strecke hinauf aus obersilurischem Stromato- poren - Kalkstein. Weiter unterhalb kenne ich noch silurische Entblüssungen zwischen Plachino und Chan- taika mit undeutlichen Brachiopoden und Trilobiten und reichhaltigere Fundstätten an der Kureïika*), von wo Lopatin mehrere Korallen, wie Labechia conferta Edw. Haime, Calamopora gottlandica, Cyathophyllum sp. und einen Orthoceras mit cochleatem Sipho mit- gebracht und mir zur Bestimmung übergeben hat. Bei Gelegenheit der Besprechung der silurischen Forma- tion am untern Jenissei erwähne ich auch der übrigen Fundstätten silurischer Petrefakten in dem Gebiete zwischen dem Jenissei und der Lena, die auf eine ausgedehnte Verbreitung der silurischen Formation in dieser Gegend hinweisen, über die bisher noch fast gar nichts bekannt geworden ist. Dahin gehôüren die obersilurischen Muscheln und Corallen nebst Leperditia marginata, die von Maak an der Wasserscheide des Wilui und Olonek gefunden wurden, und die ich jetzt mit den dazu gehôrigen Zeichnungen in Pander’s Nachlass wieder aufgefun- den habe. Ferner obersilurische Petrefakten von der Tschona (Nebenfluss des Wilui), von wo die Herren Pawlowski und Baron Maidel eine Sammlung an die Moskauer naturforschende Gesellschaft eingeschickt haben, die ich dort in Augenschein genommen. Fer- ner Eurypterus und Orthoceratiten von der Angara bei Bratski Ostrog, von Hrn. Czekanowski gefun- den, die so eben hier angelangt sind. Endlich die schon von Erman publicirten obersilurischen Petre- fakten von der Lena bei Kirensk: Orthis lenaica und Phacops sclerops, deren Fundstätte leider bisher nicht wieder aufgefunden worden ist. Der von Midden- dorff als Geschiebe im Taimyrlande*) gefundene Or- thoceratit und Calamopora alveolaris müssen auch 2) Unweit der Lagerstätte des von Hrn. Sidorow hier ausge- beuteten Graphits, der deutlich geschichtet ist und sogar Abdrücke von Pflanzenresten, Grashalmen ähnlich, erkennen lässt, Mit seinen schiefrigen Zwischenlagern ist dieser Graphit eine reine metamor- phosirte Steinkohle. 3) Vermutblich gehôren auch die am untern Taimyr von Mid- dendorff beobachteten petrefactenleeren Kalksteine dieser For- mation an. dem wir eine baldige ausfübrlichere Erforschung wün- schen. Oberhalb der Ansiedlung Plachino erscheinen am Jenissei krystallinische Gesteine zu beiden Seiten des Flusses, die sein Bett bis auf etwa 2 Werst verengen. An den flachen Felsenriffen, die am Flussufer ausge- hen, sieht man sehr schôn polirte und geschrammte Flächen, ganz ähnlich Gletscherschliffen, die aber augenscheinlich durch den Frühjahrseisgang hervor- gebracht sind, da die Schrammen der Richtung des Flusses folgen. Solche Schrammen sind auch an den silurischen Kalkfelsen oberhalb Turuchansk und an grossen Gerüllblücken am Jenissei-Ufer bei Dudino von mir bemerkt worden. Das Eis ist aber in dieser Gegend auch über einen Faden mächtig. In der Mün- dungsgegend des Jenissei hat Hr. Lopatin ähnliche Beobachtungen gemacht, die nicht mehr durchweg durch Frühlingseis erklärbar scheinen. Weiïter ober- halb am Jenissei, wo das Eis nicht mehr die enorme Dicke erreicht, wie unten, haben wir keine ähnlichen Erscheinungen bemerkt. Bei Plachino etwa beginnt eine weit ausgedehnte Ablagerung postpliocener mariner Thone und Sande, die von hier bis an die Mündung und weit rechts und links in die Tundra sich verfolgen lässt: rechts längs dem gewühnlichen Verbindungswege über die Pässina und Boganida an die Chatanga und, wie es scheint, noch weiter bis an den Olenek und die Lena‘), links zunächst bis an die Gyda, aber wahrscheinlich wohl noch weiter bis an den Tas und Ob-Busen. Oberhalb Dudino sind diese marinen Ablagerungen noch von lüss- artigen Süsswassergebilden bedeckt, unterhalb herr- schen sie vor und nur in isolirten Strichen und Becken finden sich Süsswasserablagerungen und darüber zu- weilen einige Fuss mächtige Torfbildungen. Den nôrd- lichsten Theil dieser marinen Lager hat schon Mid- dendorff am Taimyr kennen gelehrt und 6 Arten sub- fossiler Thierreste mitgebracht, die alle noch jetzt im Eismeere leben. Unsere Sammlungen (die meinige und Lopatin’s, der mir seine paläontologischen Schätze 4) Hr. Hitrow spricht in den Sapiski der Sibirischen Abthei- lung der russischen geographischen Gesellschaft, Th. 1, von Mu- scheln, die häufig aus den Thonen der untern Lena-Ufer her ausfallen sollen. Nach Analogie meiner Beobachtungen am untern Jenissei sind es hôüchst wahrscheinlich postpliocene arktische Mee- resmuscheln. des Sciences de Saint-Pétersbourg. 102 bereitwilligst zur Verfügung gestellt hat) enthalten nahe an 60 Arten, von denen eine ganz neu ist, die andern fast alle noch jetzt im Eismeere leben. Von diesen sind 14 Arten bisher im russischen Eismeere noch nicht aufgefunden worden und 26 mit Sicherheit bereits in den pliocenen Tertiärlagern des englischen Crag nachgewiesen, von denen 2 — 3 nur mit Crag- Muscheln sicher identificirt werden künnen. Ihrer Zusammensetzung nach stimmt die postpliocene Mee- resfauna des untern Jenissei am meisten mit den ent- sprechenden Lagern von Ust-Vaga an der untern Dwina überein, von wo ich eine von Hrn. Barbot de Marny zusammengebrachte Sammlung von 22 Ar- ten zugleich mit meiner Sammlung bestimmt habe °), sowie mit den schon seit Linné’s Zeiten bekannten glacialen Muschellagern von Uddevalla in Schweden. Die ebenfalls hierher gehôrigen glacialen Meeres- schichten der brittischen Inseln und Norwegens zei- gen nicht unerhebliche Abweichungen. Unsere subfossile Mecresfauna am untern Jenissei zeigt mancherlei Verschiedenheiten in ihrer Zusam- mensetzung je nach den Localitäten und der mehr thonigen oder sandigen Beschaffenheit ihrer Lager. Reine Thone, die offenbar hierher gehüren und auf ausgedehnte Strecken bis über 10 Faden Mächtigkeit zeigen, enthalten oft kaum Spuren von Muscheln. Nur durch sorgfältige Verfolgung auf längere Strecken war es môüglich, sie bei unsern neuen marinen Lagern un- terzubringen. Zuweilen zeigten sie sich auch auf mu- schelreichen Sanden aufgelagert. Die häufigsten Ar- ten sind Balanus sulcatus, Tritonium antiquum, Astarte corrugata, Saxicava rugosa, Tellina lata und Pecten islandicus. Trilonium antiquum und Astarte corrugata habe ich auch von der obern Pässina und von der Boganida erhalten. Ich lasse hier gleich eine Aufzäh- lung der gesammelten subfossilen Reste folgen, die in der ausführlichen Arbeit im zoologischen Theil ein- gehend besprochen werden. Eine der meiner Arbeit beizugebenden Tafeln stellt 20 dieser subfossilen Ar- ten dar. Die Abbildungen beziehen sich, ausser auf die neue Art Zritonium Lopatini, auf Varietäten oder unsicher festgestellte Arten, bei denen Figuren zur Erläuterung der Bestimmungen nothwendig wurden. In der Nomenclatur halte ich mich in der nachfolgen- 5) S. Verhandlungen der Kaiserlichen mineralogischen Gesell- schaft, neue Serie, Bd. 3, p. 62. den Übersicht môüglichst genau an Middendorff’s Malacozoologia rossica, was bei der ziemlich bunten Synonymie der arktischen Mollusken hervorzuheben nothwendig scheint. Gasteropoda, Patella caeca Mü1l., var. genuina Midd. Margarita elegantissima S. Wood Crag Molluska I, p. 134, t. 15, f. 1, der M. undulata Sow. ñahe- stehend. Margarita undulata Sow. — Trochus tunidus His. Leth. suec. Margarita obscura Gould. Rep. Invertebr. of Massa- chus/ p.253; 7? Margarita striata Sow. == M. cinerea Couth. Scalaria Eschrichti Hollb. — $S. borealis Beck. Turritella erosa Couth. Natica helicoides Johnst. Natica clausa Brod. et Sow. Natica pallida Brod. et Sow. Natica flava Gould. Trichotropis borealis Brod. et Sow. Cancellaria viridula O. Fabr. in einer Abänderung, die am genausten C. subangulosa $. Wood TI. e. t. 7, f. 20 entspricht. Trütonium antiquum L. Midd. Tritonium despectum L. Midd. Tritonium (Fusus) islandicum Chemn. Tritonium (Fusus) Lopatini n. sp. Âhnlich T. Beringii Midd. Malacoz. II, p. 476, t. 3, f. 5, 6 unter- scheidet sich durch mehr in die Länge gezogenes spitzeres Gewinde, dichtere schräge Querfalten, längeren Kanal und weniger hohe letzte Windung. Tritonium (Buccinum) undatum L. Midd. Tritonium (Buccinum) undulatum Müll. — Buccinum tenebrosum Hanck., Midd. Malacoz. Tritonium (Buccinum) ciliatum Fabr., Müll., Môrch. — Buccinum tenebrosum var. borealis Midd. Ma- lacoz. Tritonium (Buccinum) tenue Gray — T. scalariforme Beck, Môll., Môrch. Tritonium (Trophon) clathratum L. In mehreren Formen. Mangelia? plicifera S. Wood I. c. p. 64, t. 7, f. 15, vielleicht — Fusus rufus Gould. ]. c. p.290, f.192. Mangelia turrieua Mont. — Pleurotoma turricula 7* 103 Bulletin de l’Académie Hmpériale 104 ———_—_—— Forb., Reeve, Mürch, Tritonium turricula Lo- vén, Gould I. c. f. 193. Mangelia Trevellyana Turt., Forb. et Hanl.; schwer zu trennen von Æusus harpularius Gould. TI. c. lo ONE Brachiopoda., Rhynchonella psittacea Gm., Sars, Terebratula psitta- cea Midd. Malacoz. Acephala, Pecten islandicus O. F. Müll. Pecten groenlandicus Sow. Mytilus edulis L. Nucula tenuis Mont. var. arctica Sars = N. inflata Hanck. Yoldia arctica Gray, Torell, Sars — Arca glacialis His. Leth. suec. Leda pernula Müll. Cardium islandicum 1. Cardium groenlandicum Chemn. Astarte scotica Mat. et Rack ex Midd. Malacoz.. À. elliptica Brown., Forb. et Hanl., Sars. Astarte compressa Mont. ex Midd. Malacoz. Astarte Damnoniensis Mont. ex Midd. Astarte striata Leach, Midd. Malacoz., Lovén, Mürch =— À, compressa Forb. et Hanl., $. Wood, Sars. Astarte corrugata Brown., Midd. Malacoz. Cyprina islandica L. Saxicava pholadis L., Midd. Malacoz. — 5. rugosa et arctica auct. Tellina solidula Pult. Tellina lata Gm. Mya truncata 1. mit der Var. uddevallensis. Mya arenaria L. Pholas crispata L. Polyzoa, Lepraria variolosa Johnst. Lepraria sp. indet. Idmonea punctata Busk. brit. tert. Polyz., p. LG Et Cellepora pymicosa Johnst., var. ramosa Sars. 104, Annelida, Spirorbis nautiloides L. und zwei andere noch nicht näher bestimmte Formen. Cirrhipodia, Balanus porcatus Da Costa, Darw., B. sulcatus Lam. Balanus crenatus Brag., Darw. Balanus Hameri Ase., Darw. — Balanus uddeval- lensis L., Forb. In der Aufzählung der von mir bestimmten subfos- silen Muscheln von der untern Dwina in Hrn. Barbot de Marny’s Bericht über seine geognostische Reise ins Archangel’sche Gouvernement ‘) ist nach meiner Angabe B. Uddevallensis L. als môüglicher Weise aus- gestorben angeführt. Ich hatte damals die Darwin’- schen Arbeiten über die Cirrhipedien noch nicht ge- kannt. Ausserdem wurde von Überbleibseln hüherer Thiere nur ein Oberarmknochen eines Seehundes von mir in den nämlichen marinen Schichten aufgefunden. Echtes grossstimmiges altes Treibholz (das in Mid- dendorff’s Reisewerk oft erwähnte Adams- und Noah- holz) habe ich in den neuen marinen Schichten am Jenissei nicht gefunden. Treibholz liegt in grossen Mengen nach den Aussagen meiner Gewährsmänner an den Küsten des Eismeers und wird im Lande wohl auch vorzugsweise an alten Küstenlinien abge- lagert sein. Wohl aber fand ich häufig abgeriebene, noch ziemlich in ihrer Struktur wohl erhaltene Holz- splitter in diesen marinen Schichten, die wohl von altem Treibholz herrühren mügen. Davon müssen aber unterschieden werden die Gesteinsträmmer und fos- silen organischen Überreste, die nur durch Zerstürung älterer Schichten in unsere postpliocenen Meeresabla- gerungen hineingerathen sind. Hierher gehüren ein- mal die zahlreichen, oft bis zu grossen Blôcken an- wachsenden Geschiebe von Trappen und Mandelstei- nen (wie sie auch Middendorff häufig erwähnt), die den anstehenden krystallinischen Gesteinen im benach- barten Norilgebirge und in den Trappbergen an der Mündung des Jenissei (nach Lopatin’s Beobachtung) entsprechen, andererseits häufige Stücke verkieselten Holzes, Stücke von Braunkohle mit Holzstruktur und Klumpen mit versteinerten Muscheln, die augenschein- lich einer und derselben Sekundärformation angehô- ren, da sich oft Muscheln und verkieselte Holzstücke in einem und demselben Geschiebe zusammenfinden, 6) Saunekn muneparorngeckaro oGrmecrsa IT, exp. 79. 105 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 106 EEE wie ja auch das Vorkommen fossilen Coniferen-Hol- zes (Pinites jurensis) in den marinen Schichten des Moskauer Jura nichts Seltenes ist. Zu diesen ältern Geschieben rechne ich auch die nach verkiesten und verkohlten Holzstücken beschriebenen Pinites Mid- dendorffianus und Bacrianus Güpp., die ich aller- dings auch für Treibholz halte, das aber schon auf secundärer oder gar tertiärer Lagerstätte sich befin- det und unvergleichlich älter ist, als das den post- pliocenen Meeresbildungen gleichzeitige Noah - und Adamsholz. Wie sich die Holzberge Neu-Sibiriens dazu verhalten, kann uns nur eine erneute Untersuchung an Ort und Stelle lehren, auf deren Nothwendigkeit ich noch wiederholt zurückzukommen haben werde. Ich erwähne noch, dass ich verkohlte Holzstücke mit bernsteinartigen Harzen gefunden habe. Was nun die Altersbestimmung der mit dem fossi- len Holz als Geschiebe im marinen Thon des untern Jenissei vorkommenden secundären Muscheln betrifft, so hat mir diese grosse Schwierigkeiten bereitet. Trotz dem, dass die Gesteine dieser Geschiebe wenigstens drei bestimmte Verschiedenheiten mit entsprechender verschiedener Gruppirung der Petrefacten zeigen, muss ich wegen vieler übereinstimmender Arten sie doch alle zu einer und derselben Formation rechnen. Ich habe eine Menge solcher Geschicbeblücke, die ich aus den neuern Meeresthonen ausgewaschen am Jenissei- ufer oder in der Tundra fand, mitgenommen, hier zer- schlagen und genau untersucht und dabeï nahe an 40 Arten fossiler Mollusken gefunden. Einige derselben, wie ein neuer Pectunculus und eine kleine Koralle, wahrscheinlich Micrabacia coronula Goldf., fanden sich vollkommen wohl erhalten und isolirt, zusammen mit den gewühnlichen subfossilen Meeresmuscheln, so dass ich anfangs lange in der die lebende und neu- tertiäre Thierwelt behandelnden Litteratur mich nach verwandten Formen umsah, bis ich endlich die näm- lichen Sachen mit andern ältern fossilen Muscheln zusammen in demselben Stück fand und so ihre Ge- schiebenatur erkennen konnte. Die grosse Schwierigkeit ist: sollen wir diese Mu- scheln der Jura- oder der Kreideformation zurechen? Einige von ihnen, namentlich Actacon Perofskianus, Neritina adducta, Cardium Visingianum, Cyprina Can- criniana sind von Graf À. Keyserling schon aus vom Taimyr durch Middendorff mitgebrachten ähnlichen Geschieben bestimmt und der Juraformation zugerech- net worden, weil sie in ihrer Gesammtheiït den eben- falls von Graf Keyserling untersuchten und beschrie- benen Jurapetrefacten des Petschoralandes sehr nahe kommen. Die erwähnten Taimyrgeschiebe entsprechen in ihrem Gestein und im ganzen Habitus ihrer Petre- facten vollkommen meinen Geschieben vom untern Jenissei. Aus dem Jura des Petschoralandes selbst befin- den sich unter meinen Geschieben ausserdem noch Pecten fibrosus, demissus, Nucula rhombodes, Leda nuda, Dentalium Moreanum, Actaeon (Globiconcha) Perofskianus, Ammonites diptychus, Wonach also eme Parallelisirung gerade mit dem Jura des Petschoralan- des nahe liegen würde, zu dessen Niveau unsere, s0- wie die Taimyrgeschiebe zu rechnen wären. Ich bin jetzt auch nicht mehr zweifelhaft, dass diese Geschiebe wirklich dem bezeichneten Niveau angehôüren. Nun hat aber in neuerer Zeit Prof. v. Eichwald sehr energisch Protest erhoben gegen die Zurechnung des grüssten Theils der betreffenden Petschoralager, sowie der obern Moskauer Juraschichten zu dieser Formation und reclamirt sie als Kreide; dem ent- spechend bestimmt er auch eine Anzahl Petrefacten aus Geschieben, die mit den meinen übereinstimmen und die er ebenfalls vom untern Jenissei, durch Hrn. Ssidorow, erhalten hat, in seiner Lethaea rossica, so- weit er sie nicht für neu hält, als Kreidearten °). Ich würde mich vielleicht durch diesen Protest nicht haben irre machen lassen und meine Geschiebe nebst den entsprechenden Petschoraschichten, auf Graf Key- serling’s Autorität bauend, ruhig für Jura halten, wenn nicht in meiner eigenen Sammlung sich einige Stücke finden, die recht gut zu bestimmen sind und doch bisher nur aus der Kreide bekannt waren, die also direct für Hrn. v. Eichwald’s Ansicht sprechen. Einmal kommt in der einzigen hierher einschla- genden Entblüssung, die am untern Jenissei beï der Münduug der Goltschicha unweit des Eismeers und zwar durch Lopatin entdeckt wurde, als vorwaltende Versteinerung ein Anoceramus vor, der von der be- kannten Kreideart Z. concentricus Sow. unmôglich zu unterscheiden ist. Dieser Anoceramus ist auch in Ge- schieben häufig. Weiter findet sich in Geschieben My- 7) Prof. v. Eichwald bat die Güte gehabt, mir sämmntliche betreffende Stücke auf meine Bitte zur Ansicht vorzulegen. 107 Bulletin de l’Académie Impériale 108 a ——_—Z2ZEE tilus lanceolatus Sow., auch eine englische Kreiïdeart, | ich sogleich folgen. In der grüssern Arbeit werden die und eben dahin gehôürig, ganz sicher zu bestimmen, Nucula pectinata Sow.; auch Micrabacia coronula ge- hürt der Kreide an und mein neuer Pectunculus Lopa- tini hat wenigstens seinen nächsten Verwandten in Arca fibrosa Goldf., und unsere ÆRostellaria Sotnikowi in der Rostellaria calcarata Sow., die beide ebenfalls der Kreide angehüren. Sind wir nun geneigt geworden, unsere Schichten zur Kreideformation zu ziehen, so kommt eine neue Schwierigkeit hinzu: zusammen mit Znoceramus con- centricus, Leda nuda, einem kleinen Actaeon, findet sich ein ächter Ceratit, dem C. Euomphalus Keys. ähnlich, der vom Olenek stammt. Dass die Ceratiten des Olenek mit den dortigen von Graf Keyserling zur Jurafor- mation gezogenen Arten zusammen vorkommen, ist mir durch einige Stücke vom Olenek und Anabar wahr- scheinlich geworden, die durch Hrn. Sr. v. Stuben- dorff dem hiesigen Museum zugekommen sind. Ammo- nites polyptychus Keys. ist zusammen gesammelt mit Ceratites Middendorffi. Trias und Jura müssten ent- weder auf eine grosse Strecke zusammen vorkommen oder die Ceratiten gehen in Ostsibirien, wie unser Stück wahrscheinlich macht, bis in die Jura- und vielleicht auch in die Kreideformation hinauf. In Spitzbergen ist nach J. Lindstrüm’s Bestimmung der von dort mitgebrachten Petrefacten die Triasformation mit Ce- ratiten und ÆHalobia Lomelli deutlich geschieden von der Juraformation, die mit der Juraformation des Pe- tschoralandes parallelisirt wird. G. Lindstrüm, Trias och Jura fürsteninger frän Spetsbergen in kong]. Sven- ska Vetenskaps Academiens Handlingar, 1867. Aufklärung zu bringen über die räthselhaften Sekun- därformationen Ostsibiriens ist ein neuer Grund, der eine geologische Untersuchung von Neu-Sibirien mit seinen Ceratitenschichten nebst den entsprechenden Bildungen des Olenek und Anabar, von welchen beiden Flüssen bisher nur Geschiebe bekannt sind, sehr wün- schenswerth macht. Ich müchte meine vorliegenden Untersuchungen nur als Vorstudien für eine solche Unternehmung angesehen wissen. Die zweite der zu meiner Arbeit gehürigen Tafeln stellt 20 dieser zweifelhaften Kreideformation ange- hôürige Arten in Abbildungen dar. Das Verzeichniss des grüssten Theils der eingesammelten Arten lasse einzelnen Arten ausführlich behandelt. Cephalopoden, Ammonites diptychus Keys. Petschoral. Ammonites Jenisseae n. sp. Kaum einen Zoll im Durch- messer; meine Exemplare ohne obere Schaale, die innern Windungen auf dem Rücken gerundet, die äussern flach mit einer Kante jederseits ; sehr ein- fache Lobenzeichnung; wahrscheïinlich noch sehr junge Exemplare. Ceratites serotinus n. sp. Ebenfalls sehr klein, nur ein Exemplar; glatt; in Lobenzeichnung und äusserer Form dem ©. ÆEuomphalus Keys. vom Olenek nahe verwandt. Belemnites sp. Nur ein kaum zu bestimmender Durch- schnitt vorhanden. Gasteropoden. Dentalium Moreanum d’Orb. M. V. K. t. 38, f. 11 — 13, Keys. Petschoral. p. 317. Rostellaria Sotnikowi n. sp. Sehr zierlich gezeichnet, am nächsten À. calcarata Sow. aus der englischen Kreide, aber mit breiterem, schwach hakig aufge- bogenem Flügel. Rostellaria Eichwaldi n. sp. — Cerithium cornuelia- num Eichw. Leth. t. 30, f. 1. Ich habe vollstäindigere Exemplare gefunden, die diese in unsern Geschieben sehr verbreitete Art zu Rostellaria zu bringen nothwendig machen. Chemnitzia sp. (ein unvollständiges Exemplar), gross, ganz glatt, nach unten stark gewülbt. Neritina adducta Keys., Midd. Reise I, p. 254, t. 4, fa: Neritopsis decussata n. sp. In der Zeichnung sehr ähn- lich der Narica cretacea d'Orb., doch der Nabel geschlossen. Turbo sulcostomus Keys., Midd. Reise I, ein unvaoll- stäindiges Exemplar. Actaeon? Jenisseae n. sp. Dem Actaeon Frearsianus d'Orb M. V.K. cinigermaassen ähnlich, aber ohne Falten an der Spindel. Zierlich geschweiïfte Aus- senlippe. Actaeon Perofskianus d'Orb. M. V. K. p. 449, t. 37, f. 12 — 14, Keys. in Midd. I, t. 4, p. 254, f. 10. Actaeon (Globiconcha) bullaeformis n. sp. In der Zeich- nung ganz mit À. Perofskianus übereinstimmend, 109 des Sciences de Saint-Pétersbour£g. 110 aber die Spira ganz eingezogen, so dass die Schnek- kenschaale ein bauchig cylindrisches Ansehen wie eine Bulla bekommt. Acephala. Pecten demissus Bean., d'Orb. in M. V. K. II, p.475, t. 41,f. 16 — 19. Pecten fibrosus Sow., d’Orb. 1. c. p.476, t. 42, f. 3, 4. Inoceramus concentricus Sow. Die Exemplare stim- men namentlich mit den Goldfuss’schen Abbil- dungen vortrefflich überein. Z. (Posidonia) revela- tus Keys. Petschoral. p. 302, t. 14, f. 12 — 15 unterscheidet sich nur durch seine breitere Form von unserer Muschel. Der Schlossbau ist genau der nämliche. Mytilus lanceolatus Sow. M. C., d'Orb. terr. crét., M. subfalcatus Eichw. Leth. p. 533, t. 21, f. 14. Eichwald bildet unsern Mytilus vom Jenissei ab und zieht zu ihm A. falcatus d'Orb. terr. crét. p. 280, womit ich nach meinen bessern Exempla- ren nicht übereinstimmen kann, da namentlich die scharfe Längskante am besten zu M. lanceola- tus passt. Ich habe Grund zu vermuthen, dass unser Mytilus eine Dreyssena ist. Pectunculus Lopatini n. sp. Mit sebr zierlichem und complicirtem Schloss, das bis auf seine Krüm- mung dem der Arca fibrosa So w. sehr nahe kommt. Auch P. Petschorae Keys. steht unserer Art nahe bis auf die abweichende Oberflächenzeichnung. Sein Schlossbau ist nicht vollständig bekannt. Nucula rhombodes Keys. Petschoral. p. 307, t. 17, f. 10,11. Die Oberfläche ist glatt, nur mit An- wachsstreifen versehen. Nucula pectinata Sow. M. C., d'Orb. terr. crét., La- mellibr. p. 177,t. 303, f. 8— 14; vollkommen übereinstimmend, in zahlreichen Exemplaren. Leda (Nucula) nuda Keys. Petschoral. p. 307, t. 17,f. 7 — 9. Cyprina Syssollae Keys. 1. c. p.309, t.17,f. 17 —22. Sehr häufig. Cyprina Cancriniana d'Orb. M. V. K. p. 457, t. 38, f. 26, 27, Keys. in Midd. I p. 255; es sind die nämlichen Exemplare, wie die aus dem Taimyr- lande; die Gränze zu C. Syssollae ist schwer fest- zustellen. Cyprina transversa Eich. Leth. XI, p. 662, t.25, f.1, nach unvollständigen Stücken restaurirt; auch hier die Gränze gegen die andern Arten schwer fest- zuhalten. Astarte Veneris Eichw., Keys. in Midd. I. c. p. 255, t. 6, f. 2. Noch etwas unsicher. Protocardia Wisingiana Keys. sp. Cardium concinnum var. Wisingiana Keys. Petschoral. p. 310, t. 17, 027,28; Midd. l. c. p. 25511, 611 MEst'he- stimmt von C. concinnum Buch zu unterscheiden, dadurch, dass nur am Grunde der Hinterseite Rip- pen erscheinen, die nach dem Wirbel zu verschwim- men. Kleine Exemplare ganz glatt. Panopaea peregrina d'Orb.M.V.K.,Keys. Petschoral. t Te AN: Polypi. Micrabacia coronula Goldf. Petref. Germ. t. 14, £ 10. Ganz isolirt gefunden. Einige andere bis jetzt unbestimmt gebliebene Reste sollen in der grüssern Arbeit erwähnt werden. Im Ganzen habe ich 38 Arten unterschieden. Wir kommen jetzt nach Betrachtung der marinen Postpliocenschichten mit ihren mannichfaltigen Ein- schlüssen zur Betrachtung der für unsern nächsten Zweck wichtigsten neuesten Bildung unseres Gebiets, den ältern und neuern Süsswasseralluvionen, in denen auch das Mammuthskelett seine Lagerstätte hatte. Auf der ganzen Tundra bilden die marinen Post- pliocenbildungen die Grundlage der Bodenconfigura- tion. Durch langjährige atmosphärische Einflüsse ha- ben sich Vertiefungen und Erhühungen, Wasserschei- derücken und einzelne gerüllreiche Kuppen, die schon von Middendorff erwähnten Sopki, gebildet, die durch Auswaschung der feinern Bestandtheile ihr jetzi- ges Ansehen erhalten haben, ihre ursprüngliche marine Entstehung aber noch häufig duch deutliche auf ihnen vorkommende Fragmente von Meeresmuscheln docu- mentiren. In den Niederungen zwischen diesen Hôhen und Rücken nun, an alten und jetzigen Seen und Fluss- läufen finden sich die erwähnten Süsswasseralluvionen von sehr verschiedener Mächtigkeit, gewühnlich aus Lehm, mit einer Vegetationsschicht wechselnd, beste- hend, wie sich solche Vegetationsschichten an den Ufern der Tundraseen aus Wassermoosen, Graswur- zeln, Blättern und Zweigstücken, auch ganzen Dickich- ten von niedrigen Weiden noch jetzt bilden und bei den Frühjahrsüberfluthungen mehr oder weniger re- gelmässig mit einer neuen Lehmschicht überdeckt werden. | Besonders regelmässig ist dieser Wechsel von Ve- getationsschichten und Lehm auf den Inseln des Jenis- sei ausgebildet, wo der Überschwemmungssehlamm zugleich als Düngung dient und die alte Grasnarbe durch die gewühnlich nur zolldicke Lehmschicht hin- durch einen neuen üppigen Graswuchs erzeugt, wie er auf diesen Inseln so sehr ins Auge fällt. Schon Middendorff*) schilderte auf einer Laide am Ufer des Taimyrsees eine ähnliche Erscheinung. Sind die kleinen Seen der Tundra durch Anschwem- mungen erfüllt und versiegt, so bildet sich auf und an ihrem Becken oft eine Torfschicht, unter der sich uns an manchen Orten noch wohlerhaltene Baumreste zeigten, die mit den sonstigen Erscheinungen für das Zurückgehen der Baumgränze und eine Erkaltung des Klima’s in diesen Gegenden in neuester geologischer Zeit, so wie für die Beurtheilung der Lebensverhält- nisse des Mammuths von Wichtigkeit sind. So fand ich auf dem Wege von Dudino zu den Norilbergen in einer Gegend, wo Lärchen jetzt nnr noch in geschütz- ten Flussthälern vorkommen, im Torf auf der Hühe der Tundra umgefallene Lärchenstämme und mit ih- nen auch Zapfen. Ebenso sehen wir unter dem Torfe auf der Hühe der Tundra bei Sseläkino über einen halben Fuss dicke Stimme, während jetzt dort eben- falls nur an südlichen Abhängen vereinzelte Bäume gedeihen. Lopatin fand ähnliche Stimme noch nôrd- licher auf dem Abhange Nikandrowskije Jary unter 40! nb: Der wichtigste Fund in dieser Beziehung bleibt der schon früher von mir im Reisebericht erwähnte, den Lopatin nahe der Jenisseimündung 11 Werst ober- halb Krestowskoje unter 72° n. B. gemacht hat. Er fand hier in einer später wieder lehmbedeckten humôüsen Vegetationsschicht (wohl eine alte Laida) am obern Rande des hohen Jenisseiufers wohlerhaltene, mit der Rinde bedeckte,zum Theïl noch auf der Wurzel stehende birkenähnliche Stammstücke von 3 bis 4 Zoll Durch- messer, die von Prof. Merklin für A/naster fruticosus 8) Reise Th. I, 1ste Abth., p. 204 (Geognostische Beobachtungen, bearbeitet von Helmersen). Bulletin de l’Académie Hmpériale or 112 bestimmt wurden, der jetzt allerdings auf den Inseln des Jenissei bis 70! , 0. B. noch ziemlich freudig als Strauch wächst und fast Mannshôühe erreicht, in der Tundra aber nicht mehr bis in die Mündungsgegend des Jenissei hineinreicht und am äussersten Punkte seines Vorkommens, bei Swerewo, unter 71° n. B. nur der Erde angedrückte fingerdicke Âste bildet. In meinen Reisebriefen habe ich in Betreff des Lo- patin’schen Fundes leider etwas zu viel gesagt, in- dem ich von zahlreichen ungerollten Stimmen sprach, die Lopatin mitgebracht habe. Nichtsdestoweniger meine ich, dass die Beweiskraft dieses Fundes für das neuerdings erfolete Zurückgehen der Baumgränze be- stehen bleibt. Im ausführlichen Bericht werde ich die ganze, auf diese Lokalität bezügliche Stelle aus Lo- patin’s Tagebuche, die er mir gefälligst ausgezogen hat, mit dem zugehürigen Durchschnitt des Jenissei- ufers in Übersetzung mittheilen. Mit den Âsten und Wurzeln des A/naster fand Lo- patin noch eine Menge wohlerhaltener feiner Zweige, die auch dafür sprechen, dass hier von angeschwemmten Häülzern nicht die Rede sein kann, die wir an verschie- denen Stellen des Jenisseiufers in verschiedener Hühe über dem jetzigen Strombett als grossstämmiges Treib- holz gefunden und immer an ihrer stark mitgenom- menen Oberfläche erkannt haben. Am Mammuthsplatze selbst, am Jambu und Nel- gato-See haben wir ein schon verhältnissmässig altes Seebecken vor uns, das früher einen grüssern Raum auf der Hühe der Tundra einnahm und jetzt, von einem Arm der Gyda durchflossen, sich tiefer eingeschnitten und dadurch an seinen Ufern die ältern Alluvialbil- dungen und den darunter liegenden marinen Thon auf- geschlossen hat. Je hüher wir von den Seeufern ab landeinwärts ansteigen, um so weniger mächtig wer- den diese Süsswasseralluvionen, bis sie endlich ganz verschwinden und wir uns auf der Hochfläche der Tun- dra auf dem reinen marinen Thon befinden, der in dieser Gegend vor den Sand- und Gerüllbildungen vor- herrscht. In der Schlucht, an deren Wand die Mammuthreste zu Tage kamen, war die Süsswasserschicht gegen 5 Fa- den mächtig, von denen 2 durch unsere Arbeiten blos- geleet wurden — und an ihrer unteren Gränze, gleich über dem marinen Thon, in dem ich hier deutliche Exemplare von Saxicava rugosa und Balanus sulcatus des Sciences de Saint-Pétersbourg. LEA fand, lagen die Theile des Mammuthskeletts unordent- lich durcheinander, zusammen mit Haufen loser Haare und macerirten verdorbenen haarlosen Hautstücken, und zwar die letzteren unter den Knochen, gleich am ausgehenden Rande der Schicht: es war noch zu er- kennen, dass von ihnen die grüsseren Hautstücke ab- geschnitten waren, die ich früher von Kaschkarew und Sotnikow erhalten hatte. Die Haare zeigten noch einen gewissen Zusammenhang, da Borstenhaare und Wollhaare noch in ursprünglicher Anordnung beisam- men lagen und sich noch Spuren einer feinen Epider- mis erhalten hatten, die die Haarwurzeln zusammen- hielt. Ich musste einmal eine nass gewordene Partie Haare mit den auhängenden Lehmklumpen trocknen, und da zeigte der sich in der Wärme entwickelnde penetrante Geruch, dass noch organische Masse in dem die Haare umgebenden Lehm übrig geblieben war. Die längsten Borstenhaare méssen reichlich einen Fuss und sind meist von hellerer oder dunklerer rothbrauner Farbe. An Ort und Stelle bemerkte ich auch ganz schwarze Haare, doch scheinen sie später ausgeblichen, da ich unter den mitgebrachten keine solchen mehr finden konnte. Das dichte Wollhaar ist schmutzig- weiss und bis reichlich 2 Zoll lang. An Knochen habe ich selbst aus der gefrornen Mammuthschicht zu Tage gefôrdert: den Unterkiefer, beide Schulterblätter, ein ganzes Vorderbein mit allen kleinen Fussknochen, einige Halswirbel und Rippen. Der Schädel, einige Rippen und Halswirbel waren im Jahre vorher von den Juraken beim Suchen der Stosszähne ausgegraben worden. Am Grunde der Schlucht, wieder in neuen Lehm hineingewaschen, fand ich die meisten Theile des andern Vorderbeins. Der Bauer Kaschkarew, der zuerst die Nachricht und das erste Hautstück vom Mammuth durch die Juraken erhalten hatte, ist später im Herbst wieder am Mammuthplaiz gewesen, als der Grund der Schlucht noch freier von Schnee war und hat hier noch einige früher aus dem Abhang heraus- gefallene, jetzt ziemlich morsche Knochen gefunden, die er in meinem Auftrage nach Dudino brachte, von wo sie schon bis Jenisseisk gelangt sind. Nach Nach- richten von meinem dortigen Correspondenten sollen die Knochen durch kaufmännische Gelegenheit im Laufe des Sommers hierher geschafft werden. Es sind nach Sotnikow’s Mittheilung drei grosse Schenkelknochen von den Hinterbeinen, acht Stücke der Wirbelsäule, Tome XIII. einige Rippen und Fussknochen; alle in morschem Zustande. Darnach ist kaum anzunehmen, dass noch viele gut erhaltene Knochen im gefrornen Boden staken. Ich hatte im Verein mit Lopatin die Anordnung ge- troffen, dass das Mitglied der Lopatin’schen Expe- dition F. Merlo, der den Winter von 1866 auf 67 behufs meteorologischer Beobachtungen in Tolstoi-nos blieb, im Sommer 1867 mit den nôthigen Instrumenten ausgerüstet unter Kaschkarew’s Führung noch ein- mal den Mammuthplatz besuchen sollte, um eine Nach- lese nach Knochen und Haaren zu halten; auf Anord- nung des Gouverneurs von Jenisseisk musste er aber leider schon im Juli mit erster Schiffsgelegenheit nach Jenisseisk zurückkehren, ohne seinen und unsern Plan, zu dessen Ausführung er sich gern erboten hatte, aus- fübhren zu künneu. Die Knochen und Haare lagen in einer 3 Fuss mäch- tigen Lehmschicht horizontal, um sie herum zum Theil in geneigter Schichtung (von der Hühe der Knochen ab- fallend) dünne Schichten von Wassermoosen (Æypnum), gemischt mit Blättern von nordischen Weiden (Salix retusa var. rotundifolia und $S. glauca), die noch jetzt in der Umgebung vorkommen, und kleinen, zolldicken und 3—4 Zolllangen, dabei zum Theil platt gedrückten Stücken Holz, zum Theiïl, wie es scheint, Wurzeln an- gehôrig, die Prof. Merklin für Lärchenholz erkannt hat. Von einem die Knochen umgebenden Mulm, wie ihn Middendorff bei seinem Taimyr-Mammuth be- schreibt, habe ich bei dem meinen nichts gesehen; es ist wahrscheinlich, dass das Cadaver ziemlich lange am Ufer eines Sees halb bedeckt dalag, bis es endhich ganz eingeschlämmt wurde. Wasser und Eis haben unterdessen den natürlichen Zusammenhang der Kno- chen gelôst, sie durcheinander geschoben und die all- mäblich in Verwesung übergegangenen Weichtheile fortgeführt. Über der moosreichen Mammuthschicht folgten an dem durch uns hergestellten Durchschnitt 1 bis 2 Fuss mächtige sandreiche Lehmlager, die durch dunkle, 3 bis 6 Zoll mächtige Vegetationsschichten von ein- ander getrennt wurden, welche grüsstentheils aus den nämlichen Wassermoosen wie unten und eingestreuten Weidenresten gebildet waren. Lärchenholz habe ich weiter oben nicht gefunden. Noch hüher hinauf am Abhang, wo schon Rasen die Tundrafläche bedeckte, waren an einem Wasserriss, in der Nähe der hier auf- 8 115 Bulletin de l’Académie Impériale 116 EE EEE SOS gestellten Samojedenzelte, dichtstehende, etwa Zoll mächtige, moosige Vegetationsschichten zu sehen, mit dünnen Lehmlagern wechselnd, ganz ähnlich, wie ich solche Schichtungen auf den Inseln des Jenissei, und Middendorff, wie oben erwähnt, auf einer Laïda am Taimyrsee beobachtet hat. Mooslager, mit hineingeschwemmten Blättern und Zweigen von Weiden gemischt, bilden sich noch jetzt an den Ufern der Tundraseen und werden ebenso wie früher alljährlich im Frühling von neuen Lehmlagern bedeckt. Was das Lärchenholz betrifft, so ist es mir nicht wahrscheinlich, dass es weit her aus Süden stammt, da wir keinen Beweis für eine früher bedeutend wei- tere Ausdehnung des Flussgebiets der Gyda nach Süden haben und grüssere Treibholzstämme und südlich an- stehende Gerülle in den Süsswasserschichten dieses Theils der Tundra fehlen°), obgleich eine Einwirkung von fliessendem Wasser in der Mammuthschicht in dem uvregelmässigen Wechsel von Lehm, Sand und Vege- tationsschichten nicht zu verkennen ist. Am plausibelsten scheint mir, dass im alten Fluss- gebiet der Gyda krüppelhaîte Lärchen mit nordischen Weiden zusammen vorgekommen sind, wie wir das jetzt noch an der jetzigen Waldgränze bei Dudino sehen. Von älteren Torfmooren wie am rechten Jenisseiufer, in denen man auf an Ort und Stelle erhaltene Stimme rechnen künnte, habe ich leider in diesem Theiïl der Tundra nichts gesehen. Das Mammuth selbst ist, glaube ich, an der Stelle, wo wir sein Skelett gefunden, verendet, oder aus ge- ringer Entfernung flussabwärts dahin auf Eis geflüsst worden. Es hat in der alten Gydatundra an Krüppel- lärchen und Weidegebüsch noch Nahrung genug ge- funden, die wenigstens für sommerliche nordische Ex- eursionen, wie sie noch jetzt die Rennthiere und mit ihnen die Samojeden unternehmen, genügend war. Dass wir das Mammuth nicht aus dem früheren Bette des Jenissei herleiten künnen, das jetzt, entspre- chend dem Bärs’chen Gesetz"”), sich so weit nach Osten 9) Der einzige Fund, der etwas stutzig zu machen geeignet ist, war ein etwa schenkeldickes, verwittertes Stammstück an einem Quell- fluss der Gyda, das ich leider, in der Hoffnung besserer Funde, nicht genauer untersucht habe; es lag frei am Flussufer, und ich kann nicht sagen, ob es aus den marinen Schichten ausgewaschen war, oder den Süsswasseralluvien angehürte. 10) Das Zurückweichen des rechten Ufers ist deutlich an der Küstenstrecke zwischen Tolstoi-nos nnd Sseläkino, besonders an verschoben hätte, das wird erwiesen durch die deut- liche erhôhte Wasserscheide zwischen Jenissei und Gyda, auf deren Rücken keinerlei Süsswasserbildungen wahrzunehmen waren, und die hohen Ufer aus marinen Schichten an der linken Seite des Jenissei, die bis auf ihre Kuppen hinauf, wie am Tuxieda, unter anderem Gerôll auch arktische Meeresmuscheln zeigen. Nur einige begränzte Niederungen, wie zwischen Tuxieda und dem Absturz Tolstaja-Semlja nürdlich der Pilätka- mündung, scheinen alten Buchten des Jenissei oder erweiterten Mündungen seiner Nebenflüsse anzuge- hôüren. Die etwa 40 Werst weite Strecke von C. Do- rofejew bis Swerewo, auf der der Jenissei nach seiner inselreichen Erweiterung wieder gerade in einem Flussbett nach Norden fliesst, zeigt auch am linken Ufer einen fortlaufenden hohen Absturz, der durchweg aus marinen Schichten, reich an nordischen Muscheln, besteht, wie solche Lopatin und Saweljew reichlich aus dieser Gegend mitgebracht haben. Diese Strecke des Jenisseilaufs scheint noch ganz neu zu sein, und ich môchte die inselreiche Erweiterung für ein altes Delta halten, da von hemmenden festen Gesteinen am linken Ufer nichts zu bemerken ist. Diese erscheinen erst am rechten Ufer bei Krestowskoje und môgen die Biegung der Mündungsbucht nach NW. veranlasst haben. Es ist nothwendig, dass wir uns jetzt zu den Beo- bachtungen wenden, die Middendorff an den Lage- rungsverhältnissen seines Taimyr-Mammuths gemacht hat, da er aus diesen zum Theil seine Theorie ableitet, dass die Mammuthe durch die grossen sibirischen Strôme aus südlicheren Breiten herabgeschwemmt seien. Middendorff fand sein Mammuthskelett zusammen mit Treibholzstimmen und nicht weit davon arktische Meeresmuscheln. Das Treibholz zeigt nach Güppert’s Untersuchungen zwei Formen, eine nordische mit en- gen Jahresringen und eine südliche mit weitern. Die letztere Form muss ich unbedenklich als Treibholz gel- ten lassen, das durch einen der grossen Strôme ins Meer gebracht und von diesem an die Küste !") gewor- fen wurde, wie das noch jetzt im grossen Maassstabe einem yorspringenden hohen Cap bei letzterer Ansiedlung ist die Un- terwaschung des rechten Ufers deutlich bemerkbar. Bei Sseläkino haben Wohnhäuser weiter landeinwärts gerückt werden müssen. 11) Daher auch die Vermengung mit Meeresmuscheln, wie an der jetzigen Eismeerküste. | 117 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 118 stattfindet (s. oben). Das nordische Treibholz mag mit dem Mammuth den Taimyr herunter gekommen sein und am obern Lauf dieses Flusses noch haben wachsen künnen. An das Auswerfen eines vollständi- gen Mammuthcadavers an die Küste des treibeiser- füliten Eismeers, nachdem es den langen Weg von der Jenissei- oder Lenamündung auf dem Meere zu- rückgelegt, mag ich nicht denken; auch schützende Thonhüllen müchten hier kaum ausreichen. Der Zu- stand des Küstentreibholzes zeigt, welchen gewaltsa- men Einwirkungen dieses Treibholz unterworfen ge- wesen ist. Auch grossartige Veränderungen der Flüss- läufe, eine ehemalige Verbindnng etwa des Taimyr mit der Chatanga widersteht mir, dafür müssten doch direktere Beweise gefunden werden. Weit einfacher und mit den vorhandenen Beobachtungen mehr im Ein- klang bleibt es, ein neuerdings erfolgtes Zurückgehen der Baumgränze und also ein gegen Schluss der Mam- muthzeit etwas milderes Klima im hohen Norden an- zunehmen, während welcher Zeit diese Thiere nach N. wanderten, womit ja auch die in Amerika und Schwe- den”) gemachten Beobachtungen über eine temporäre Wärmezunahme in der postglacialen Zeit, der soge- nannten lacustren Periode Dana’s im Einklange sind. Auch der wahrscheinliche ehemalige Zusammenhang 12) Prof. Lovén in Stockholm schreibt mir über diesen Punkt und über verwandte Fragen unter Anderem: In einem Vortrage am 8. Mai 1867 in der Schwedischen Akademie der Wissenschaften habe ich geäussert: «Die hochnordischen Muscheln, welche hoch auf dem Lande liegen, bezeugen, dass das Meer seiner Natur nach ein Eismeer war. Wenn wir aber aus der Fauna des damaligen Meeres auf eine kalte Landfauna schliessen wollten, würden wir sebr irren. Die Veränderungen im umgebenden Medium wirken auf die Meeresthiere (mit Ausnahme vielleicht der Strandthiere) nicht so schnell, wie auf die Landthiere. Unter und über der Strandlinie geht die lebende Natur nicht denselben Gang. Das Land kann längst eine südliche Fauna haben, während eine arktische noch im Meere herrscht. Während der Ablagerung der arktischen Muscheln auf dem damaligen Meeresboden wurden durch Flüsse etc. manche Gegenstände ins Meer gefübrt und neben jenen Meeresmuscheln eingebettet, und es ist nicht zu übersehen, dass Exemplare von Heliz hortensis mehrere Mal — sogar 2 Ellen tief — in ungestôrten Muschelbänken gefunden wurden.» Sie sehen was ich meine. Die arktischen gehobenen Muscheln geben nicht die gleichzeitige Land- fäuna an — sie bleiben im Meere, während die Landfauna sich ver- ändert. Nun habe ich lange mein Augenmerk auf gewisse, bis jetzt nicht hinlänglich starke Zeichen gebabt, dass nach der Eiszeit un- ser Land eine wärmere Zeit gehabt hat, als gegenwärtig. Das Vor- kommen von Baumstämmen in Gebirgsmooren hoch über der jetzi- gen Baumgränze, von Haselnüssen in der Erde nôrdlich der jetzigen Nordgränze der Hasel — ja vielleicht sogar das Aufkommen süd- licher (unserer Flora fremder) Pflanzenarten, wo Seen ausgetrocknet worden — 80 etwas und mehr halte ich für Winke, die nicht aus den Augen zu lassen sind. des aralo-kaspischen Beckens mit dem Eismeer kann von grossem klimatischen Einfluss auf das angränzende Europa und Sibirien gewesen sein. Das Mammuth hat ja auch nicht allein vor grossen Säugethieren im hohen Norden gelebt; ähnlich verhält es sich wahrscheinlich mit dem sibirischen Rhinoceros, dem Bison und dem Moschusochsen, von welchen beiden letztern ich wohl erhaltene Hürner, nicht blosse Hornzapfen, mitgebracht habe, die nach Aussage mei- nes Gewährsmanns Sotnikow von der Boganida stam- men. Dass ich dem Herabschwemmen ganzer Mammuthe und einzelner Theïle desselben nicht absolut entgegen bin, glaube ich im Obigen dargelegt zu haben, ich môchte es nur nicht in so grossartigem und gewaltsa- mem Maassstabe haben geschehen lassen, wie Mid- dendorff. Einzelne Knochen, namentlich Zähne und Hauer, finden sich oft in Flussgerüllen, und es ist mir eine Stelle in dem Gerüllufer der untern Tunguska nahe ihrer Mündung gezeigt worden, wo kurz vorher ein Stosszahn herausgenommen worden war. Räthselhaft bleibt immer noch die enorm reichliche Anhäufung von Mammuthknochen auf den Neu-Sibi- rischen Inseln und an manchen Stellen des gegenüber- liegenden Festlandes. Es scheinen die Knochen vor- zugsweise am Meeresufer am Fusse von Lehmwänden gefunden zu werden, aus denen sie durch die Bran- dung ausgewaschen wurden. Wie sind sie aber auf die Inseln hingekommen? Standen diese Inseln mit dem Festlande in Verbindung, reichte das mildere Klima und der Banmwuchs auch bis dorthin oder haben wir es nur mit weither transportirten Exempla- ren zu thun? Das sind alles Fragen, die nur an Ort und Stelle gelüst werden künnen und mein ceterum censeo rechtfertigen, dass eine Untersuchung dieser Inseln und des gegenüberliegenden Festlandes von hôchster Wichtigkeit ist, und dass ich seit lange schon den sehnlichen Wunsch habe, die dort des Naturfor- schers harrenden Fragen wo müglich persünlich ibrer Lüsung etwas näher zu bringen. Noch muss ich eine Frage berühren, die neuerdings in der Mammuthfrage sehr in den Vordergrund ge- stellt worden ist; die Frage nach der stehenden oder liegenden Lage der in Sibirien und anderswo gefun- denen Mammuthe, worüber so eben Dr. Alexander 8* 119 Brandt im Bullet. de Moscou 1867, IT, eine beson- dere Abhandlung *) verôftentlicht hat. Ich kann nichts einwenden gegen die vorgebrach- ten Beweise, dass im Norden Sibiriens wirklich Mam- muthcadaver in stehender Stellung gefunden worden sind, und ein solcher Fund ist jedenfalls der sicherste Beweis, dass das Thier in der Gegend, wo es versun- ken ist, auch gelebt hat. Nur über den Modus und die Gelegenheit zum Versinken in den Schlamm er- laube ich mir eine kleine Bemerkung. Dr. A. Brandt sagt, die nordischen Flüsse werfen noch jetzt eine un- geheure Menge Schlamm aus, und in diesem Schlamm konnten die Thiere, wenn sie zur Tränke kamen, leicht versinken. Ich glaube, dass bei dieser Angabe zum Theil ein Missverständniss meiner mündlichen Mit- theilungen vorliegt und meine den Sachverhalt daher etwas erläutern zu müssen. Die nordischen Flüsse werfen keine grossen Men- gen von Schlamm aus; die dünnen Schlammschichten, die nach dem Frühlingshochwasser auf den Niederun- gen am Flussufer zurückbleiben, künnen kein Mam- muth versinken lassen, wohl aber kommen an Fluss- und Seeufern ausgedehnte hohe Abhänge des oft er- wähnten marinen Thons vor, die durch von oben her- abrieselndes Wasser und stärkere Einwirkung der Sonne aufthauen und sich an manchen Stellen daher im Spätsommer mit mächtigen Schlammstrômen be- decken, über die zu gelangen oft eine volle Unmüg- lichkeit ist. Auch an Stellen dieser thonigen Abhänge, die nicht von Schlammstrômen bedeckt waren, bin ich beim Suchen nach subfossilen Meeresmuscheln, im August namentlich, oft tief eingesunken und habe nur mit Mühe meinen Fuss weiter setzen künnen. An solchen Abhängen, meine ich, die die Mammuthe auf ihrem Wege zur Tränke oder beim Hingehen am Uferrande der Seen und Flüsse passiren mussten, konnten sie am ehesten versinken und auch wohl durch späteres Einfrieren unversehrt erhalten werden. Gab es damals keinen ewig gefrornen Boden, so konnten auch sumpfige Stellen das Einsinken befürdern, aber wie wäre dann die gute Erhaltung zu erklären? — Die gute Erhaltung der Cadaver, meine ich, wird nicht blos bei versunkenen und also aufrechten Exem- plaren vorkommen. Gerieth ein Cadaver unter sol- 13) Bull. de Mosc., 1863, III, Dr. Alexander Brandt: Kurze Bemerkungen über aufrecht stehende Mammuthleichen. Bulletin de l’Académie Empériale chen Umständen in einen Fluss oder See, oder an das Ufer derselben, dass es in einem Jahr vollkommen eingeschlämmt wurde, so war es bei einigermaassen äholichen klimatischen Verhältnissen, wie jetzt, für alle Zeiten geborgen, indem die Schlammschicht, in der es sich befand, zur Zeit der Frühjahrsüberschwem- mung noch nicht aufgethaut war und die neue vom Hochwasser zurückgelassene Schlammlage die ältere vor dem Einfluss der Sommerwärme schützte, um ih- rerseits im nächsten Herbst in den Bestand des ewi- gen gefrornen Bodens einzugehen. Ich habe auf der Brjochow - Insel eine grosse Eisscholle gesehen, die sich unter einer deckenden Schlammschicht bis tief in den Sommer hinein unversehrt erhielt. Als Anhang zu meinen geognostischen Beobach- tungen will ich hier noch einige Bemerkungen über das Norilgebirge folgen lassen, das ich zweimal, im Mai und Anfang September, von Dudino aus besuchte. Ich habe nur die ersten Vorberge dieses Gebirgs- zuges bis zum Fluss Bystraja, zwischen dem Pässino- und Bystraja-See gesehen. Die Berge, die ich bestieg, erinnern lebhaft in ihrem Bau an die silurischen Ta- felberge von Westgothland in Schweden. Die Berge sind oben flach, bis etwa 500 Fuss hoch, nach allen Seiten steil abstürzend und deutlich geschichtet. Eine Fernsicht über die Bystraja hinüber zeigte mir am jenseitigen Ufer eine gleiche Beschaffenheit der Hühen. Nahe der Bystraja liegen in einer engen Schlucht die Sotnikow’schen Kohlen- und Kupfergruben. Westlich, am Grunde der Schlucht, mächtige Kohlen- schichten, die tiefste an 2 Faden mächtig und noch nicht durchsunken, darüber noch zwei dünnere durch brücklige Schieferlager getrennt, die mir leider nur ganz undeutliche Abdrücke von Monocotyledonen bo- ten. Über den Kohlen folgt ziemlich fester Kohlen- sandstein, der nach oben immer krystallinischer wird und Partien von Kupferkies einschliesst. Ganz oben liegt eine trappartige Decke von der nämlichen Säu- lenstruktur wie an den Westgothischen Bergen. Die Oberfläche des Plateaus besteht aus zerfallenem Trapp, dessen Felsstücke dicht mit den schünsten Flechten bedeckt sind. Von Gletscherschliffen ist hier nichts vor- handen. Ostlich vom Ausgang des Thals hat Sotnikow ein mehrere hundert Schritt langes und 2 Faden mächti- ges Lager von Kupferschiefer aufgedekt, dessen Ver- 121 des Sciences de Saint -Pétersbourg. 122 0 breitung noch nicht genau erforscht ist. Analysen von Proben dieses Kupferschiefers, der circa 5 Procent reines Kupfer enthält, sowie eine Beschreibung der Grossulare, die ich in zersetzten Trappen der Ober- fliche des Berges fand, werde ich in der ausführlichen Arbeit mittheilen Auf der Hühe des Berges lagen Bruchstücke von Graphit von besserer Beschaffenheit als der Sidorow’sche von der Kutreika. Hier in den Norilbergen konnte ich das Lager nicht auffinden und auch keine Pflanzenabdrücke in den angetroffenen Graphitstücken wahrnehmen. In der Fortsetzung des Gebirges an den Quellen der Chantaika werden Salzquellen genannt, wie solche auch an der obern Solenaja vorkommen sollen. Den botanischen Theil meiner Reise habe ich Florula jenissensis arctica betitelt, weil er eine ziem- lich vollständige Flora des unteren Jenissei und der aogränzenden Tundren von der Baumgränze bis zur Mündungsbucht bietet. Nur die eigentliche Eismeer- küste fällt nicht mehr in das Bereich meiner Arbeit. Die Flora hat aber so vollständig werden künnen, weil ich von allen Seiten, von Mitreisenden sowohl als von Ansässigen, mit Beiträgen unterstützt worden bin. Die ersten Anfünge der Vegetation sah ich schon bei meiner Abreise von Dudino den 16.Juni. Der Schnee war auf den Hühen schon grüsstentheils verschwunden; es zeigten sich grüne Blätter und die ersten entwickel- ten Kätzchen von Salix lanata. Im Jahre 1863 hat Hr. Sidorow hier in Dudino schon am 26. Juni eine Sammlung von etwa 25 blühenden Pflanzen zusammen- gestellt, die sich jetzt ebenfalls im botanischen Museum der Akademie befindet. Es muss ein besonders gün-! stiger Sommer gewesen sein, da weiter unterhalb, m der Tundra und auf den Inseln des Jenissei, zur Zeit meiner Anwesenheit im Juni noch keine Spur von Vegetation zu sehen war. Auf den Inseln des Jenissei, auf denen wir uns bis zum 12. Juli aufhielten, erschienen die ersten Blüthen zu Anfang Juli: wiederum zuerst Salix lanata, dann andere Weiden, Nardosmia frigida und Chrysosplenium alternifolium. Bis zum 12. Juli batte ich hier auf den Inseln gegen 20 Arten eingesammelt. Dann ging es in die Tundra des linken Jenisseiufers und an den Mammuthplatz an die Quellen der Gyda. Die Flora dieser Tundra (unter 70'/° n. B.) glaube ich vom 15. Juli bis zum 5. August recht vollständig ausgebeutet zu haben. Ich habe hier an 150 Phanerogamen ge - gesammelt. Zu gleicher Zeit hatte Hr. Capt. Lopatin das rechte Jenisseiufer bis jenseit Krestowskojoe Si- mowje bis über den 72sten Grad n. B. verfolgt und mein Präparant in Swerewo am linken Ufer unter 717 n. B. gesammelt. Beide Sammlungen brachten durch Uferpflanzen des Jenissei, die sich lings diesem weit nach Norden ziehen, und besonders durch einige hoch- arktische Arten den Bestand unserer Flora auf 170 Species. Auf den Inseln hatten unterdessen Hr. Merlo und der Feldscheer Ulmann, der schon aus der ersten Ankündigung des Mammuthcadavers bekannt ist, bis gegen Ende Juli gesammelt, und ich selbst vervollstän- digte diese Sammlungen noch durch einen wochen- langen Aufenthalt bis zum 13. August, zur Zeit der hüchsten Entwickelung der hiesigen Vegetation, der die specielle Inselflor bis auf 84 Arten brachte. Dann ging es nach Tolstoi-nos, wo wieder einige Tage gerastet und gesammelt wurde und Hr. Merlo von Anfang August an schon einige interessante Ma- terialien zusammengebracht hatte. Weiter fuhr ich längs dem rechten Jenisseiufer bis Dudino, wo ich den 19. August ankam. Die nach Süden gerichteten Ab- hänge des Jenisseiufers, mit Lärchen und dichtem Ge- büsch von Alnaster und Weiden bestanden, lieferten viel Zuwachs an schon südlicheren Formen aus der Waldregion. Ebenso bot die Umgebung von Dudino, wo ich mich in Erwartung meiner Reisegefährten bis Ende August aufhielt, eine reiche Ausbeute. Vom 31. August bis zum 6. September machte ich eine zweite Excursion ins Norilgebirge, das ich schon im Mai be- sucht, von dem ich damals aber, ausser einer schünen Sammlung von arktischen Gesteinsflechten, nur einige Überreste der vorjährigen Vegetation mitgebrachthatte. Jetzt fand ich, obgleich ich nur einen Tag mich im eigentlichen Gebirge aufhalten konnte und die Früste schon viele Pflanzen getüdtet hatten, noch eine schüne Anzahl arktischer und alpiner Formen, die die nôrd- lichere Flora des Taimyrlandes mit der der ostsibi- rischen Gebirge in Verbindung bringen. Ausserdem in den Thälern noch mancherlei Zuwachs an Pflanzen aus der Waldregion. Nach Dudino zurückgekehrt, machte ich mich so- fort den Jenissei aufwärts auf, fand in Lusino noch eine kleine interessante Sammlung vor, die Ulmann hier unterdessen im Laufe des August zusammenge- 123 Bulletin de l’Académie Impériale 124 ee us nes nu |. bracht hatte, und sammelte gelegentlich noch bis Plachino unter 68° n. B., wo namentlich die felsigen Ufer oberhalb dieser Ansiedlung noch manche interes- sante Pflanze boten. Nach dem 11. September hin- derte eingetretener Schneefall weitere botanische Ex- cursionen. Unser Herbarium war aber bis auf 300 Arten gewachsen, die sich also auf ein Gebiet vom GSsten bis 72sten Grad n. B. beziehen. Als einiger- massen erschüpfend durchsucht künnen nur dieJenissei- ufer von Dudino (69°,°) bis zur Jenisseimündung (72°) nebst der Gydatundra angesehen werden. Die Jenissei- ufer oberhalb Dudino, sowie das Norilgebirge werden noch eine Menge Pflanzen hervorbringen, die mir nicht zugänglich geworden sind. Durch Vermittlung von Sotnikow wird es mir hoffentlich noch gelingen, eine vollständigere Flora des Norilgebirges zu erhalten, da er dort ein ständiges Etablissement für Abbau von Kupfererzen und Steinkohlen einzurichten begonnen hat. Aus der Umgebung von Turachowsk hoffe ich durch den dortigen Postmeister Mamontow und mei- nen Begleiter, den Kosaken Troitzki, ebenfalls ein Herbarium zu erhalten. Auch habe ich Aufträge ge- geben, die Sswernyje-Gory an der untern Tunguska, gegenüber Turuchansk, botanisch zu untersuchen, wo vor einigen Jahren die Auffindung eines Rhabarbers (Rheum compactum), der übrigens bis Dudino geht, grosses Aufsehen imJenisseisker Gouvernement erregte und viel officiellen Briefwechsel zwischen Turuchansk, Jenisseisk und Krasnojarsk veranlasste. Für die er- wähnten noch zu sammelnden Localfloren habe ich schon die Prämien bei meinem Correspondenten und Banquier am unteren Jenissei, dem reichen Kosaken Sotnikow, hinterlegt und kann daher einigermaassen auf Erfüllung meiner Wünsche hoffen. Weiter oberhalb aus dem Jenisseigebiet, aus dem Goldwäschebezirk an der Wasserscheide des Pit und der Podkamennaja Tunguska (unter 60° n. B.), habe ich eine hübsche Sammlung durch Hrn. J. J. Markje- low, Dirigirenden der Sotowschen Goldwäschen da- selbst, erhalten, und werden die Sammlungen in dem nämlichen Gebiet auch ferner durch Hrn. Markjelow fortgesetzt. Die Localflora von Jenisseisk wird, hoffe ich, auf meine Aufforderung Hr. Merlo einsenden, der sich jetzt in dieser Stadt befindet, und von der Angara aus der Umgebung des Dorfes Padun und des Fleckens Bratskij-Ostrog, auf dem halben Wege zwi- schen Jenisseisk und Irkutsk (unter 56'/° n. B.), haben wir ein ziemlich vollständiges Lokalherbarium von etwa 475 Arten durch Hrn. A. Czekanowski erhalten, der ebenfalls seine Sammlungen daselbst noch fortsetzt. Die Bearbeitung aller dieser schon vorliegenden oder noch zu erwartenden Lokalherbarien des Jenisseige- biets von Padun bis zu den Norilskischen Bergen hat mein Freund und früherer Reisegefährte, der Conser- vator am Museum des botanischen Gartens Cand. P. v.Glehn, zu bearbeiten übernommen. In meiner eignen Arbeit beschränke ich mich auf die von mir selbst und meinen Reisegefährten zusammengebrachten Samm- lungen vom untern Jenissei (300 Arten), von denen oben die Rede war"). Nach Übersicht der meiner Florula zu Grunde lie- genden Materialien wende ich mich in meiner Arbeit zu einer ausfübrlicheren Darstellung der Baumgränze im untern Jenisseigebiet und den angränzenden Land- strichen im Anschluss an die ausführlichen Erürterun- gen über diesen Gegenstand in Middendorff’s Reise- werk ”). Die eigentliche Baumgränze wird durch die sibi- rische Lärche (Larix sibirica) gebildet, deren Gränze von dem Pässinosee längs dem Dudinkafluss nach Du- dino und von hier längs dem rechten Ufer des Jenissei (wo sie an dem nach Süden gewandten Ufer noch ge- deiht) nach Sseläkino geht. Von hier überspringt sie den Jenissei und geht von der Mündung der Keta über die obere Solenaja, den Messé ausschliessend, an den untern Tas. Weiter reichen meine Nachrichten nicht. Ich habe die Lärche den ganzen Jenissei hinab ver- folgt und mich überzeugt, dass es immer die nämliche L. sibirica nur mit kleiner werdenden Zapfen ist, die ich vor mir gehabt habe. Die Middendorff’schen Exemplare von der Boganida hingegen scheinen wirk- lich noch zu L. daurica Turez. zu gehôren. Der Unter- schied ist allerdings im hohen Norden sebr gering und beruht vorzugsweise auf dem Vorhandensein eines rothbraunen Flaums auf den Schuppen der Z. sibirica, der denen der Larix daurica abgeht. Die Schuppen 14) Die mitgebrachten Moose hat Hr. Oberlehrer Hofr. Girgen- sohn in Dorpat bestimmt. Die ziemlich zahlreichen (an 70) Flechten, meist von Dudino und dem Norilgebirge, sind von dem Lebrer, Hrn. A. Bruttan in Dorpat, vorläufig bestimmt worden und gehen jetzt zu einer genauern Bearbeitung an Prof. Dr. Th. Fries in Upsala, der sich zu dieser Arbeit freundlichst erboten hat. 15) À. v. Middendorff’s Reise u. s. w. Th. IV, Lief. 4. 125 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 126 sind auch schon bei der nordischen Z. sibirica zum Theil eingekerbt. Es wäre immerhin môüglich, an eine Vermischung oder Ungetrenntheit beider Arten im hohen Norden zu glauben. Nürdlicher noch als die Lärche, mit der übrigens bei Dudino zugleich zwei andere Bäume, Betula con- torta und Abies obovata, ihre Nordgränze erreichen, geht auf den Inseln und am Ufer des Jenissei die Straucheller Alnaster fruticosa, die auf den Brjô- chowschen Inseln unter 70"/° n.B. noch Schulterhühe erreicht und noch bei Swerewo, 71° n. B., am Boden kriechend vorkommt. Was die frühere Baumgränze betrifit, so sprechen, ausser den schon oben beim geologischen Theil ange- führten Funden in Torfmooren, auch die nürdlich der Waldgränze zahlreichin ganzen Wäldchen in der Tundra vorkommenden Baumleichen für ein Zurückgehen der- selben nach Süden. Es bleibt immer ein Factum, dass früher auf der Hühe der Tundra Bäume gewachsen sind und ziemlich beträchtliche Dimensionen erreicht haben, wo das jetzt nur in geschützten Flussthälern vorkommt. Die ähnlichen Nachrichten aus dem euro- päischen Samojedenlande, die Dr. Brandt (im oben erwähnten Artikel über stehende Mammuthleichen) nach Hrn. Akademiker Ruprechts Angaben anführt, gehôüren vollkommen hierher. Ich komme alsdann auf die Schilderung der Vege- tation an den verschiedenen von mir besuchten Punkten. Die Inseln des Jenissei in seiner bekannten Erweiterung zwischen dem 70sten und 71sten Grad n B. sind aus- gezeichnet durch ihren üppigen Graswuchs, der im August stellenweis bis 2 Fuss Hôhe erreicht, und ihre dichten Gebüsche von Weiden: Salir lanata, glauca, viminalis und Alnaster fruticosa. Man künnte hier herrliche Viehzucht treiben, wenn der Winter nicht so lang wäre. Das im Frühjahr die Luft an Wärme übertreffende Jenisseiwasser befürdert mit den regel- mässigen Überschlämmungen die üppige Vegetation der Inseln. Die Gydatundra ist im Vergleich mit der von Mid- dendorffgeschildertenTaimyrtundra noch eine grüne Tundra zu nennen. Es herrschen die Æriophorum- Arten, Luzula hyperborea und Carex saxatilis auf der Fläche der Tundra vor; steile, besonders nach Süden gewandte Abhänge erzeugen einen mannichfaltigeren Blumenflor. Von hocharktischen Arten fehlen noch viele, die ich erst von Swerewo und der Jenisseimün- dung erhalten habe, wie Sicversia glacialis, Saxifraga oppositifolia, Senecio frigidus und resedifolius u. a. Unsere Tundraflor, wenn ihr auch nur einige wenige Taimyrpflanzen fehlen, kann doch noch keine typisch hocharktische sein, wie die von Spitzbergen und den Mellevilleinseln, da ihr z.B. von 100 Arten der Flora Spitzhbergens, nach Malmgrens neuester Aufzählung, ganze 50 fehlen. Die Jenisseiufer von Dudino bis Tolstoi-nos sind dadurch vorzüglich interessant, dass auf der Hühe der Tundra diese ihren gewühnlichen Charakter hat, Hüm- pel mit Zwergweiden, Dryas octopetala, Valeriana ca- pitata u. s. w., während unten an dem nach Süden ge- wandten Abhange, der durchschnittlich 50 — 70 Fuss hoch ist, Lärchenbäume vortrefflich gedeihen und un- ter dichten Gebüschen von Alnaster allerhand Sträu- cher und Pflanzen der Waldregion sich einfinden, wie Sorbus aucuparia, Rosa acicularis, Ribes propinquum, Atragene sibirica, Aquilegia sibirica, Trifolium Lupi- naster, Saussurea serrata, Valeriana officinalis, Ptar- mica impatiens u. a. Im Norilgebirge findet sich ebenfalls, wie schon oben angedeutet, ein interessantes Zusammentreffen polarer Pflanzen mit solchen aus der Waldregion, wo- bei Windschutz und nürdliche oder südliche Lage die wichtigsten Bedingungen für das Vorherrschen der Einen oder der Andern bilden. Auf Einer Seite eines Berges, die nach N. gewandt ist, sehen wir Salix po- laris am kahlen, quelligen Abhang üppig gedeihen, daneben wachsen arctische Oxytropis, Sieversia gla- cialis, Claytonia arctica u. a. Wir biegen nur um die Ecke und finden in einer geschützten Schlucht wohl ausgebildete Lärchenbäume, dazwischen 2 Faden hohe Weiden (S. nigricans), und am Boden hindern unsern Gang hohe Thalictra, Cirsium heterophyllum und ellen- hohe Gräser. Es folgt nun in der ausfübrlichen Arbeit eine Ver- gleichung unserer Flor mit den Nachbarfloren. Am nächsten steht die Taimyr- und Boganidaflor, von der our wenige hocharktische Formen uns fehlen, dann folgt die Flora des nôrdlichen Ural, die ebenfalls noch eine ungemeine Übereinstimmung zeigt. Für einige Pflanzen wie Sieversia glacialis, Clayto- nia arctica, Leucenthemum arcticum u. a. scheint der Jenissei die Westgränze zu sein. Ihre Ostgränze schei- 127 Bulletin de l’Académie Hmpériale 128 a ———————]————" —————— nen in unserem Gebiet nur Salix nigricans und Betula contorta zu erreichen. Das Vordringen der Pflanzen von O. nach W., das im vôrdlichen Russland so auf- fallend ist, herrscht vor. Andere Beziehungen hat unsere Klor durch das Norilgebirge und die geschützten Jenisseiufer zur Wald- region Ostsibiriens und zu den Gebirgen, die sich von unserem Gebiet an bis in die Umgebungen des Baïkal erstrecken. Die grüssere Verwandtschaft der ostsibi- rischen (baikalischen) Gebirgsflor zur Flora unserer Tundra, als der westlicher gelegenen Flora des Altai, hat schon Trautvetter in seiner Ælorula taimyrensis wahrscheinlich gemacht. Es folgt nun eine statistische Übersicht der Zah- lenverhältnisse unserer Flor im Ganzen und in ihren einzelnen Theilen. Die Compositen behalten ihre vorra- gende Stellung nur in der Gesammtflor mit 35 zu 300 Arten. Zu der Tundra treten sie schon mehr zurück und auf den Inseln des Jenissei spielen die Gräser bei weitem die Hauptrolle auch in der Artenzahl. Die reichsten Gattungen sind: wie gewühnlich oben an Carex mit 20 Arten, von denen aber nur 10 der Tundra angehôren, die übrigen der Waldregion; Salix mit 13 — 14; besonders charakteristisch für unsere Flor Pedicularis mit 12 Arten, dann Suxifraga mit 9, Draba, Ranunculus, Senecio mit 6 Arten u.s. w. Endlich folgt dapn die systematisehe Aufzählung meiner 300 Species mit den wichtigsten Bemerkun- gen, worüber an diesem Orte nichts mehr hinzufügen ist. Der rein Zoologische Theil meiner Arbeit fällt vatürlich am kürzesten aus, weil dieser Theil der Na- turgeschichte mir ferner liegt. Es sind daher hier vor- zugsweise nur einige Angaben über Vorkommen und Wanderungen, die für die Fachleute von Interesse sein werden. Was zunächt die Säugethiere betrifft, so fübre ich alle von mir beobachteten und erkundeten Arten (im Ganzen 20) auf und füge die erwähnten Notizen bei. Ausser den durch Middendorff’s Reise bekannten nordischen Thieren dieser Gegend kann ich den Tschu- bukun anführen, ein wildes Bergschaf, das ziemlich selten im Norilgebirge vorkommt und sich nach Be- stimmung der Herren Akademiker Brandt und Mid- dendorff als Ovis montana Desm. oder O. nivicola Eschsch., das kamtschatkische Bergschaf, erwiesen hat, das bis in diese Gegenden nach Westen reicht. Ausserdem habe ich ein sehr häufiges Vorkommen des Delphinus leucas im Mündungsgebiet des Jenissei constatirt, dessen Fang in künftigen Zeiteu eine rei- che Erwerbsquelle werden kann. Auch ein Narwal ist vor 3 Jahren als grosse Seltenheit an der Eismeer- küste zwischen Ob und Jenissei ausgeworfen worden; ich habe den Stosszahn gesehen. Seehunde (Phoca vi- tulina) kommen bis Tolstoi-nos vor. Vom Biber habe ich erkundet, dass er im Kulnjogan-Fluss vorkommt, der nahe an den Quellen des Tas entspringt und in den Wach, einen Nebenfluss des Ob, sich ergiesst, Das ist aber auch die einzige Stelle, die man am untern Je- nissei kennt. Als Middendorff am untern Jenissei war, kannte man dort noch keine Mäuse in den Häusern. Bei dem reichen Sotnikow in Dudino gereichten die Mäuse (wahrscheinlich Mus decumanus) schon zu grosser Plage in seinen Vorrathshäusern. Jedenfalls haben seine Handelsfreunde aus Jenisseisk ihm dieselben mit ihren Ladungen mitgebracht, da ich in andern Häu- sern nichts von dieser Plage gehôürt habe. Ebenso ist er auch einer der wenigen Besitzer der gemeinen Prus- saken (Blatta germanica), die ich ausserdem nur bei Afanassij Kaschkarew im der Lukinskoje Simowje auf einer Jenisseiinsel wiedergesehen habe, der ebenfalls mit den Jenisseisker Kaufleuten in direktem Verkehr steht. In dem einige Werst entfernten Ochotskoje Simowje, wo der Bruder, Jewlas Kaschkarew, wohnt, fehlen sie schon. Middendorff traf die letz- ten Tarakanen oberhalb Turuchansk. Bei den Vügeln begnüge ich mich mit einer Aufzäh- lung der von dem mir mitgegebenen Präparanten J, Saweljew erlegten und ausgebalgten Vügel (im Gan- zen 38 Arten), bei deren Bestimmung Hr. v. Midden- dorff freundliche Beihülfe geleistet hat. Einige Anga- ben über einheimische Namen und Flugzeiten werden beigefügt. Die einzigen Vügel, die überwintern, sind die Schneeeule und das Alpenschneehuhn. Von In- teresse ist noch, dass Turdus pilaris und atrigularis bei Tolstoi-nos unter 70° n. B. erlegt wurden. Am 20. August, nach einem kalten Nordwinde mit Schneege- stôüber, fand mein Präparant mehrere junge Exemplare dieser Vügel todt am Ufer des Jenissei liegen, während andere Vôügel nicht besonders gelitten zu haben schie- en. Von Amphibien und Reptilien habe ich im hohen 129 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 130 Norden uatürlich nichts gefunden, wobhl aber habe ich vou Turuchansk einen Frosch mitgebracht, dessen uicht habhaft geworden zu sein Middendorff sebr bedauert. Dr. Strauch wird so freundlich sein, ihn bei Gelegenheit der Bearbeitung der Amphibien Russ- lands näher zu bestimmen. Bei den Fischen ist es mir nicht cingefallen, durch den Versuch einer Bestimmung der zu erwartenden Bearbeitung der Middendorff’schen Fische durch Hrn. Akad. Brandt vorgreifen zu wollen. Ich fübre in meiner Arbeit nur die von mir erkundeten und mit- gebrachten Fische (im Ganzen 18) nach Pallas Z00- graphia rosso-asiatica mit den russischen und samoje- dischen Namen auf und gebe Mittheilungen über ibr Vorkommen und ihren Fang. Ein von Middendorff nicht erwähnter kôstlicher Fisch ist ein Coregonus der Tundraseen, Mutschugor von den Russen genannt, der nach seinem samojedischen Namen, Polkur, zu Corc- gonus Polkur Pall. gehüren müsste. Bei Swerewo, und weiter unten noch häufiger, kommt schon ein mariner Cottus vor, der an der Eismeerküste, üstlich der Jenisseimündung, mit dem Omul zusammen der Hauptgegenstand des Fischfangs der zum Sommer dort- hin wandernden Dolganen ist. Die wenigen Insekten, die ich mitgebracht, hat Hr. Conservator Aug. Morawitz freundlichst zu bestim- men versprochen. Am häufigsten sah ich Dipteren, besonders auf den Inseln, wo sie auf Fischabfall und Unrath viel zu sehen waren. Einige wenige Schmet- terlinge und Käfer fing ich in der Tundra, dagegen war eine grosse Hummel auf den blumenreichen Schwemm- wiesen der Jenisseïinseln nicht selten und schien be- sonders Gefallen an dem Honig der Gymnandra Stel- leri zu finden. In einem Lärchengehülz am Dudinka- bache unter 69',° n. B. an der Baumgränze fing ich eine der bisher am nürdlichsten vorgekommenen Gril- len. Spinnen waren zwischen den dürren Flechten der Tundra nicht selten, sind auch in ziemlicher Zahl ein- gesammelt worden, haben aber noch keinen Bearbei- ter gefunden. Bei den Crustaceen kann ich anfübhren, dass /dothea entomon nicht selten als Schmarotzer an Fischen im Inselgebicte des Jenissei gefunden wird; sie führt hier den russischen Namen Kkopmakp, der im europäischen Russland unbekannt scheint. In den Tundraseen fand ich Gammarus pulex, den schon Middendorff mitge- Tome XIII. | bracht hat, und an Wassermoosen festsitzende kleine Kürper, die Prof, Lovén in Stockholm für Winter- eier von Daphnien erkannt hat. Die wenigen (11) Süsswasser- und Landmollusken behandle ich etwas ausführlicher, weil einige von ih- nen auch subfossil vorkommen und so geologisches Interesse bieten. So kommt Æelix Schrenckii Midd. unterhalb Du- dino auf der Hôhe der Tundra, also ausserhalb der jetzigen Baumgränze, in Süsswasserlehm vor. Gehäuse recenter Exemplare mit wohlerhaltener Farbe fand Lopatin an der Mündung des Awamka-Baches uvter 68—69°n. Br.schon innerhalb der Waldgränze, aber immer noch 9 Breitengrade nürdlicher als der bisher nôrdlichste Fund dieser Art von Maak imGoldwäschen- bezirk am Pit unter 60° n. B. Im Süsswasserlehm der Tundra bei Tolstoi-nos kamen Planorbis albus, Val- vata cristata und Limnaeus auricularius subfossil vor. Auf den Brjochow’schen Inseln (70'L° n. B.) war Suc- cinea putris sehr häufig in den Alnaster- und Weïden- gebüschen; ausgeworfen am Ufer fand ich dort Cyclas calyculata und Valvata piscinalis, und in einem faulen Treibholzstamm ZLimax agrestis. Am Jenisseiufer bis Tolstoi-nos hinunter, aber nicht weiter, war Anodonta anatina nicht selten und die einzige Mollusca in der Gydatundra war Pisidium fontinale, die ich zusammen mit Gammarus pulez in einem Tümpel der Tundra fand. Regenwürmer waren auf den Brjochow’schen [n- seln nicht selten. In der grüssern Arbeit folgt zum Schluss der Pa- läontologische Theil meiner Arbeit, über dessen Inhalt und die dazu gehôrigen Tafeln ich in dieser auszüglichen Mittheilung schon beim geologischen Theil berichtet habe. Über substituirte Alkohole und Aldehyde, von F. Beilstein und A. Kuhlberg. (Lu le 30 avril 1868.) Während man bereits eine grosse Anzahl von Sub- stitutionsprodukten der Säuren kennt, sind analoge Derivate der entsprechenden Alkohole und Aldehyde nur spärlich vertreten. Es giebt bis jetzt keine ge- chlorten Aldehyde, weil bekanntlich letztere Kür- per beim Behandeln mit Chlor Säurechloride liefern, indem das Chlor nur auf den Wasserstoff der Gruppe 9 COH in den Aldehyden wirkt. Das Nitro-Bitter- mandelôl wäre etwa der einzige hierher zu rechnende Kôrper.— Von den Alkoholen sind gar keine di- rekten Substitutionsprodukte bekannt, weil dieselben durch Chlor, Brom u. s. w., wie bekannt, oxydirt werden. Nur der salzsaure Glykoläther C,H, CIO $ CI = C,H{x0 fasst werden, weil derselbe, wie Lourenço gezeigt hat'), beim Behandeln mit Natriumamalgan wirklich in Weingeist übergeht. Im Folgenden theilen wir die Untersuchung einer Reihe von substituirten Alkoho- len und Aldehyden mit, welche zu ihrer correspondi- renden Säure in demselben engen Verhältniss stehen, wie dieses an den normalen Repräsentanten dieser Kürperklassen längst bekannt ist. kann als gechlorter Alkohol aufge- I. Para-Nitrobenzylalkohol, p. C,; H, (NO),). CH, HO. Schon früher”) wurde die Ansicht ausgesprochen, dass das durch Lüsen von Chlorbenzyl C,H, . CH, CI in conc. Salpetersäure erhaltene Nitro-Benzylchlo- rid C,H,(NO,). CH, CI als die Chlorverbindung eines nitrirten Benzylalkohols angesehen werden künne. Die Darstellung dieses Alkohols aus dem Chlorid ist aber umständig und lästig, wir haben zu seiner Abschei- dung einen einfacheren Weg eingeschlagen. Wir wol- len übrigens bemerken, dass essigsaures Silber nur sehr schwierig auf nitrirtes Benzylchlorid einwirkt. 1. Essigsaures P.-Nitrobenzyl. C,H,(NO,). CH, . C, H, 0. Reines essigsaures Benzyl, wie man es leicht durch Behandeln von Benzylchlorid mit Kaliumacetat erhält, wird tropfenweise in gut gekühlte hüchst conc. Sal- petersäure eingegossen. Sobald keine Einwirkung mehr zu bemerken ist, giesst man die Flüssigkeit in Eiswas- ser, filtrirt den sich abscheïdenden Âther ab und rei- nigt ihn, nach dem Waschen und Trocknen, durch Umkrystallisiren aus Weingeist. 0,316 Gr. gaben 0,640 CO, und 0,137 H,0. Berechnet Gefunden C 108 55,4 55,2 H, 9 4,6 4,8 N 14 7,2 _ 0, 64 328 _ 195 100,0 1) Ann. Chem. Pharm. 120, 92. 2) Ann. Chem. Pharm. 139, 358. Bulletin de l’Académie Impériale Das essigsaure p.-Nitrobenzyl bildet blassgel- be, lange Nadeln, die sich am Lichte fârben. Es schmilzt bei 78°, lüst sich leicht in heissem Weingeist, wenig in kaltem. Durch Erhitzen mit Kalilauge im zuge- schmolzenen Rohr auf 120° erleidet der Kôrper eine tiefere Zersetzung. Es wurde eine tiefbraune Lüsung erhalten, aus der Säuren braune Flocken fällten. Nur durch Erhitzen mit Ammoniak auf hüchstens 100° lässt sich der Âther glatt spalten. — In der Hoffnung einen Amido-Alkohol zu erhalten, haben wir den Nitroäther mit Zinn und Salzsäure behandelt. Die zinnfreie Lüsung zersetzte sich aber selbst beim Ein- dampfen im Schwefelwasserstoffstrome, unter Abschei- dung brauner Flocken. Auch aus der filtrirten Lüsung schieden sich beim Stehen Flocken aus. Noch weni- ger einladende Produkte wurden erhalten beim Be- handeln von nitrirtem Benzylchlorid mit Zinn und Salzsäure. 9, Oxalsaures Benzyl. (C,H.), C, O.. Dieser Kôr- per diente als Ausgangspunkt für die Darstellung des oxalsauren p.-Nitrobenzyls. Man übergiesst trock- nes oxalsaures Silber mit der äquivalenten Menge Chlorbenzyl und erwärmt gelinde. Sehr bald tritt eine heftige Reaktion ein, die man durch Abkühlen mäs- sigt. Sobald selbst bei längerem Erwärmen keine Ein- wirkung mehr bemerklich ist, lässt man erkalten. Der Kolbeninhalt erstarrt zu einer steinharten Masse, die man wiederholt mit Weingeist auskocht. Die alkoho- lischen Flüssigkeiten erstarren beim Erkalten zu ei- nem Krystallbrei, den man auf ein Filter bringt und trocknet. Zur weiteren Reinigung des gebildeten oxal- sauren Benzyls schmilzt man dasselbe vorsichtig in einer Schale und lässt erkalteu. Von der erstarrten Masse lassen sich leicht die letzten Antheile Wasser entfernen. Man bringt dann die festen Stücke des Âthers in eine Retorte und destillirt. Das Destillat braucht jetzt nur noch einmal aus viel Alkohol um- krystallisirt zu werden, um vollkommen reines oxal- saures Benzyl zu liefern. 1) 0.281 Gr. bei 70° getrocknet gaben 0,732 CO, und 0,1315 H, 0. 2) 0,418 Gr. gaben 1,0845 CO, und 0,196 H, 0. Berechnet Gefunden de 2. C9 NT 710 708 H,, l4 5,2 5,2 5,2 0, | ‘cd Ms — _ 2 270 100,0 133 des Sciences de Saïint-Pétersbourg. 134 Das oxalsaure Benzyl bildet prachtvolle, glän- zende, blendend weisse Krystallschuppen. Es schmilzt bei 80,5°, ist in Wasser unlôslich, lüst sich leicht in siedendem Alkohol, aber so gut wie gar nicht in kal- tem. Selbst die verdünnteste alkoholische Lüsung er- starrt beim Erkalten zu einem Krystallbrei. Der Âther siedet nicht ganz ohne Zersetzung, doch lässt sich nur durch Destillation ein vollkommen reines Präparat er- zielen. Wir haben vergebens versucht, das Produkt der Einwirkung von Chlorbenzyl auf oxalsaures Silber blos durch Umkrystallisiren aus Weingeist zu reinigen. Selbst nach fünfmaligem Umkrystallisiren war das Prä- parat noch flockig — In Âther und Benzol ist oxalsau- res Benzyl leicht lüslich. Mit Ammoniak in alkoholi- scher Lüsung behandelt zerfällt es in Benzylalkohol und Oxamid. 3. Oxalsaures p.-Nitrobenzyl.[C;:H4{{NO,)LC.0, bildet sich beim Lüsen von oxalsaurem Benzyl in hôchst conc. Salpetersäure. Es liefert mit Ammoniak erhitzt Para-Nitrobenzylalkohol. Leichter lässt sich Letzterer aber darstellen durch Behandeln von essigsaurem p.- Nitrobenzyl mit Ammoniak. 4.Para-Nitrobenzylalkohol. C;H{(NO,).CH,HO. * Man erhitzt essigsaures p.-Nitrobenzyl mit wässrigem Ammoniak im zugeschmolzenen Rohr, im Wasserbade, bis die Olschicht in der Siedehitze vollständig ver- schwunden ist. Ein zu starkes Erhitzen muss vermie- den werden, weil sich sonst viel eines braunen, in Âther, Alkohol und Säuren unlôslichen Kürpers bil- det. Eine kleine Menge dieses Kürpers bildet sich zwar auch unter den eben angegebenen Verhältnissen, doch lässt sich der freie Alkohol davon durch Umkrystalli- siren aus Wasser befreien. Beim Erkalten scheiden sich aus ammoniakalischer Flüssigkeit Krystallnadeln aus, die man abfiltrirt und aus Wasser umkrystalli- sirt. Die Zersetzung erfolgt in bekannter Weise: CH, (N0O;). CE, C, H, 0, + NH, — CH, (NO)) . CH, HO + C, H; O0 . NH. Das gebildete Acetamid bleibt im Ammoniak gelüst, geht aber zum grüssten Theil schon im Rohr in Am- moniumacetat über. 0,185 Gr. gaben 0,370 CO, und 0,078 H,0. Berechnet Gefunden Ce 84 54,9 54,6 H, 7 4,6 4,7 14 9,1 a 0; 48 314 _ 153 100,0 Para-Nitrobenzylatkohol bildet glänzende, farb- lose, feine Nadeln, die sich am Licht färben. Er schmilzt bei 93°, ist in heissem Wasser leicht lüslich, wenig in kaltem. In ammoniakhaltigem Wasser lôst er sich leichter als in reinem. Wir bezeichnen den Alkohol als Para-Nitrobenzylalkohol, da er nicht der gewühn- lichen Nitrobenzoesäure entspricht, sondern der iso- meren Para-Nitrobenzoesäure. Beim Behandeln mit Oxydationsmitteln geht er nämlich in letztere Säure über. | II. Para-Chlorbenzylalkohol, C, H, C1.CH, HO. Man erhitzt essigsaures p.-Chlorbenzyl mit Ammo- niak im zugeschmolzenen Rohr auf 160°, bis die OlI- schicht sich nicht weiter vermindert. Man ôfinet dann das Robr, wäscht das OI mit Wasser und lässt es mit Chlorcalciumstücken stehen. Das ÔI erstarrt dann bald zu einer Krystallmasse, die man abpresst und durch Umkrystallisiren aus Wasser reinigt. 0,325 Gr. gaben 0,697 CO, und 0,1465 H,0. Berechnet Gefunden C2 84 59,0 58,5 H, 7 4,9 5,0 CI 35,5 24,9 = 0 16 11,2 = 142,5 100,0 Para-Chlorbenzylalkohol bildet prachtvolle, weisse Spiesse, die leicht eine Länge von 2 — 3 Zoll erreichen. Er schmilzt bei 66°, siedet ohne Zerset- zung und ist überhaupt beständiger als der p.-Nitro- benzylalkohol. Er ist in siedendem Wasser nur wenig lüslich, in kaltem fast gar nicht. Durch Oxydation geht er in Para-Chlorbenzoesäure über. III. Über einige Derivate des Para-Chlorbenzylalkohols ron E, Neuhof, Im gechlorten Benzylchlorid C;H,CI.CH, CI kann das im Methyl stehende Chloratom leicht gegen andere Gruppen ausgetauscht werden. Am raschesten wirken Kaliumsalze ein. So entsteht beim Behandeln mit Kaliumacetat: essigsaures p.- Chlorobenzyl, mit Cyankaliam: das Nitril der Chloralpha-Toluylsäure, mit Schwefelwasserstoff-Schwefelkalium: das Mercap- tan des p.-Chlorbenzylalkohols u. s. w. 1. Essigsaures p.-Chlorbenzyl. CH, C1. CH; Co Hs Os erhält man am leichtesten durch anhaltendes Kochen 9*+ 135 von gechlortem Benzylchlorid mit einer Lüsung von entwässertem Kaliumacetat in absolutem Alkohol. So- bald sich die Menge des abgeschiedenen Chlorkaliums nicht mehr vermehrt, destillirt man den Alkohol aus dem Wasserbade ab. Den Kolbeninhalt versetzt man nôthigenfalls mit etwas Wasser und hebt die ülige Schicht des gebildeten Essigäthers ab. Man trocknet über Chlorcalcium und reinigt durch Rektificiren. Der reine Âther siedet constant und ohne Zersetzung bei 240°. 0,2573 Gr. gaben 0,549 CO, und 0,1234 H,0. Berechnet Gefunden C, 108 58,5 58,2 H, 9 4,9 5,3 Cl 35,5 19,3 = (DAME TES LE 184,55 100,0 ? Essigsaures p.-Chlorbenzyl ist eine farblose, angenehm aromatisch, fast wie essigsaures Benzyl riechende Flüssigkeit. Durch Erhitzen mit Ammoniak im zugeschmolzenen Rohr liefert es den freien p.- Chlorbenzylalkohol. — Essigsaures Blei wird in alko- holischer Lüsung langsam vom gechlorten Benzylchlo- rid angegriffen. Auch beim Erhitzen des Letzteren mit Silberacetat auf 150° tritt keineswegs, wie man es a priori vermuthen sollte, eine so rasche und voll- stäindige Umsetzung ein, als beim Behandeln mit Ka- linmacetat. 9. Para-Chlorbenzyl-Athyläther. p. C,H, CI.C,H,0 entsteht nach Naquet*) durch Behandeln von gechlor- tem Benzylchlorid mit alkoholischem Kali. Der Âther bildet sich auch durch Kochen von essigsaurem p.- Chlorbenzyl mit alkoholischem Kali. Sobald die Flüs- sigkeit sich zu bräunen anfängt, unterbricht man das Kochen, destillirt den Weingeist aus dem Wasserbade ab und wäscht das zurückbleibende OI mit Wasser. Man trocknet über Chlorcalcium und reinigt durch Rektificiren. Die zwischen 215—220° siedende Por- tion ist reiner p.-Chlorbenzyl-Âthyläther. 1) 0,1504 Gr. gaben 0,3497 CO, und 0,0859 H,0. 2) 0,2597 Gr. gaben 0,2196 Ag CI. 3) Ann. Chem. Pharm. Suppl. IT, 251. Hulletin de l’Académie fmpériale 136 ———— Berechnet Gefunden 1 PP C, 1089 / 63,3 634 — HONETS VIE FE ie C1 355 20,8 se 20,9 0 16 9,4 = dé: 170,5 100,0 p.-Chlorbenzyl-Âthyläther ist eine schwere, angenehm süsslich riechende, in Wasser unlôsliche Flüs- sigkeit. Naquet giebt für sein Präparat denselben Sie- depunkt an. 3. Das Mercaptan des p.-Chlorbenzylalko- hols C.H,CI.CHHS ist die bereits früher‘) beschrie- bene schôn krystallisirte Substanz, die man leicht er- hält, sobald man gechlortes Benzylchlorid mit einer alkoholischen Lüsung von Schwefelwasserstoff-Schwe- felkalium längere Zeit kocht. Man verdünnt mit Was- ser, hebt die bald erstarrende Olschicht ab und kry- stallisirt die abgepressten Krystalle aus Weingeist um. Man erhält sehr schüne, glänzende Krystalle, die bei 84— 85 schmelzen. Parachlor-Alphatoluylsäure. C;H,CI.CH,CO,H. Erhitzt man gechlortes Benzylchlorid mit Cyanka- lium so entsteht ein Nitril, das mit Kali gekocht in Ammoniak und Parachlor - Alphatoluylsäure zerfällt. Man hat: CH, CI. CH, C1 + CNK — C;H, C1. CH, CN + KCI und C;H,CI. CH CN + 2H, 0 = C;H,CI. CH,CO,H + NH. Wir nennen die Säure Para-chlor-Alphatoluylsäure, um daran zu erinnern, dass wir kein direktes Substi- tutionsprodukt der Alphatoluylsäure vor uns haben, sondern ein Derivat eines substituirten Kohlenwasser- stoffes, wie Para-nitrobenzoesäure sich vom Nitroto- luol und nicht von der Benzoesäure ableitet. In wel- cher Beziehung unsere Säure zu der durch direktes Chloriren erhaltenen normalen Chloralphatoluylsäure steht, muss durch spätere Versuche erwiesen werden. 4.Parachlor-Alphatoluylsäure. C,H,CIO,. Man erhitzt gechlortes Benzylchlorid mit der genügenden Menge Cyankalium und Alkohol 5 — 6 Stunden lang im zugeschmolzenen Rohr auf 120 — 130°. Man fil- trirt dann vom ausgeschiedenen Chlorkalium ab und destillirt den überschüssigen Alkohol ans dem Was- 4) Ann. Chem. Pharm. 116, 347. 137 serbade ab. Es bleibt ein dunkles OI zurück, vermuth- lich das Nitril der p.-Chloralphatoluylsäure, welches man mit Kalilauge kocht, bis keine Ammoniakentwi- ckelung mehr bemerkbar ist. Die stark eingeengte Flüssigkeit fällt man mit Salzsäure und filtrirt nach einigem Stehen die sich zunächst ülig abscheidende, bald erstarrende Säure ab. Sie wird zur Reinigung aus Wasser umkrystallisirt. 1) 0,1903 Gr., über Schwefelsäure getrocknet, ga- ben 0,3908 CO, und 0,0743 H, O. 2) 0,361 Gr. gaben 0,299 AgCI. Berechnet Gefunden dé 2. c 96 56,3 56,0 _ H, 7 4,1 43 _ cl 35,5 20.8 LE 20,5 0, 32 18,8 = Æ 170,5 100,0 Die P.-Chlor-Alphatoluylsäure ist in Wasser leicht lüslich, noch leichter in Alkohol und Âther. Aus der Lüsung ihrer Salze wird sie meist als ein hellgelbes, bald erstarrendes ÜI gefällt. Aus Wasser krystallisirt sie in feinen, weissen Nadeln, die bei 60° schmelzen. 5. P.-Chlor-Alphatoluylsaure Salze. Wie die freie Säure leichter lüslich ist, als es die meisten aro- matischen Säuren sonst zu sein pflegen, so sind auch die Salze in Wasser äusserst leicht lüslich. Dieselben sind daher schwer rein und in guten Krystallen zu er- halten. Calciumsalz. (C, HCIO,), Ca + H,0. Die wäss- rige Lôsung des Salzes lieferte nur beim Eintrocknen im Vacuum Krystalle. Aus Alkohol kann man das Salz leichter krystallisirt erhalten. 1) 0,5492 verloren bei 130° 0,0186 H,0 und ga- ben 0,0772 Ca0. 2) 0,5024 lufttrocken gaben 0,0724 Ca0. Berechnet Gefunden 1e (C, H, CI0,), Ca 379 95,5 si + H, 0 18 4,5 3,4 397 100,0 (C, Hy CIO) 339 89,4 + Ca 40 10,6 10,4 379 100,0 2, (C, He CIO»)? + H20 357 89,9 = À Ca 40 10,1 10,3 397 100,0 des Sciences de Saint-lPétersbourg. 138 Das aus Wasser krystallisirte Salz (Analyse 1) hatte schon im Vacuum etwas Wasser verloren, daher der Verlust im Wassergehalt. É Ein Baryumsalz konnte nicht von constanter Zu- sammensetzung erhalten werden. Beim Kochen der Säure mit Âtzbaryt und nacherigem Einleiten von Kohlensäure schien schon eine Zersetzung des gebil- deten neutralen Salzes einzutreten. Die eingeengte Flüssigkeit schied eine gummiartige, klebrige Masse aus, die sich schlecht in Wasser, leichter in Alkohol lüste. Aus der alkoholischen Lüsung wurden undeut- liche Krystalle erhalten, die nach dem Trocknen bei 140° 15,27, Ba enthielten. Das neutrale Salz (C4 H6 CIO), Ba enthält 28,7°, Ba, ein saures Salz: (CH, CIO,), Ba + 2 C; H; CIO; würde 16,87, Ba verlangen. In einem anderen Versuche wurde die Lüsung der Säure in Barytwasser zur Trockne verdunstet und der Rückstand mit Alkohol ausgezogen. Die alkoholische Lüsung lieferte indessen beim Verdampfen nur ejnen gummiartigen Rückstand. Selbst durch wiederholtes Lüsen in Alkohol und Verdunsten wurde nur eine sehr geringe Menge einer krystallinischen Substanz erhalten. Das Silbersalz (C;H; CIO,) Ag erhält man beim Fällen der Lüsung des Calciumsalzes mit Silberlüsung als einen weissen, dem Chlorsilber ähnlichen Nieder- schlag, der sich am Lichte schwärzt. Das Salz ist in Wasser sehr wenig lüslich. 0,3339 Gr., über Schwefelsäure getrocknet, gaben 0,1710 Ag CI. Berechnet Gefunden C, H; CI0, 169,5 61,1 — Ag 108 38,9 38,6 277,5 100,0 6. Amid der p.-Chlor-Alphatoluylsäure. CH, CI. CH, CO. NH. Dieser Kürper wurde zufällig erhalten, als gechlortes Benzylchlorid mit Alkohol und Cyankalium einige Zeit gekocht wurde. Als die Menge des ausgeschiedenen Chlorkaliums sich nicht mehr zu vermehren schien, wurde die Flüssigkeit mit einer offenbar wohl unge- nügenden Menge Natron gekocht und dann mit Was- ser verdünnt. Hierbei schied sich ein hellbraunes Kry- 139 À ARE ER stallmehl aus, das durch Umkrystallisiren aus Alkohol gereinigt wurde. 1) 0,223 Gr: 2) 0,5006 Gr. 751,8 Mill. 3) 0,3645 Gr. gaben 0,3035 Ag CI. gaben 0,4614 CO, und 0,1014 H,0. gaben 40,0 CC Stickstoff bei 20° und Berechnet Gefunden de 2} 3 C, 96 56,6 DRAM NE H, 8 4,8 5,0 — — N 14 8,3 —— 9,0 = CIM 30:6 N209 0076 0 16 9,4 _ # 22 169,5 100,0 Das A mid der p.-Chlor-Alphatoluylsäure krystalli- sirt aus Alkohol in schünen, grossen, weissen, tafelfür- migen Krystallen. Es schmilzt bei 175, lüst sich leicht in Alkohol und Âther, wenig in heissem Was- ser, fast gar nicht in kaltem. IV. Para-Dichlorbenzyl- Alkohol, C; H; CL, . CH, HO. 1. Essigsaures p.-Dichlorbenzyl. Das früher beschriebene zweifach-gechlorte Benzylchlorid C; B: CL . CH, CI enthält ein lose gebundenes Cloratom. Kocht man es z. B. mit einer Lüsung von Kaliumacetat in starkem Weingeist, so findet sehr rasch eine Umsetzung statt. Man isolirt den gebildeten Essigäther wie oben beim essigsauren p.-Clorbenzyl (III, 1) angegeben wurde. 0,382 Gr. gaben 0,686 CO, und 0,1285 H, 0. Berechnet Gefunden C1080 02195 49,0 H, 8 3,7 3,8 CI, 71 32,4 — 0, 32 14,6 _ 219 100,0 Das essigsaure p.-Dichlorbenzyl riecht aroma- tisch und siedet constant und ohne Zersetzung bei 250°. 9. Para-Dichlorbenzyl-Alkohoî. Man erhält den freien Alkohol durch Erhitzen des Essigäthers mit Ammoniak, im zugeschmolzenen Robr, auf 1807, bis die Olschicht nicht weiter abnimmt; das gewaschene und getrocknete OI erstarrt selbst nach langem Stehen nicht. Man unterwirft dasselbe der Destillation und beseitigt die zuerst übergehende Portion. Die späte- ren Destillate erstarren bald krystallinisch. Man presst Bulletin de l’Académie Empériale 140 6 die Krystalle zwischen Fliesspapier ab und reinigt die- selben durch Umkrystallisiren aus Wasser. 0,368 Gr. gaben 0,637 CO, und 0,119 H,0. Berechnet Gefunden CSN 47,3 H, 6 34 3,6 CSN TI 40,1 Ls 0 16 9,0 ee 177 100,0 Para-Dichlorbenzyl-Alkohol schmilzt bei 77°. Er bildet blendend weisse, seidenglänzende Nadeln und ist in heissem Wasser sehr wenig lôslich, in kal- tem so gut wie gar nicht. Para-Monochlorbenzylalko- hol ist in Wasser leichter lôslich, als der Dichlor-Al- kohol. In Ammoniak ist Letzterer so gut wie gar nicht lüslich. Die heisse gesättigte wässrige Lüsung trübt sich beim Erkaiten milchig. Es scheiden sich Ültrop- fen aus, die zu einer festen Masse erstarren. Die über- stehende Flüssigkeit klärt sich nach einiger Zeit, in- dem sie sich mit einem Haufwerk feiner Krystallna- deln erfüllt. V. Para-Dinitrobenzyl-Alkokol, p. C; H4 (NO, ) : CH, HO. Para-Nitrobenzyl-Alkohollôüst sich unter schwa- cher Erwärmung in hôchst conc. Salpetersäure. Durch Wasser wird aus der Lüsung eine feste weisse Masse gefälit, die man nach dem Waschen durch wiederhol- tes Umkrystallisiren aus Alkohol reinigt. 0,236 Gr. gaben 30,3 CC Stickstoff bei 21,5 und 760 Millim. Gefunden 14,15 Berechnet N 14,15 Demnach ist dieser Kürper offenbar Para-Dini- trobenzyl-Alkohol. Derselbe schmilzt bei 71°, lüst sich leicht in Alkohol und sehr wenig in Wasser. Aus der wässrigen Lüsung krystallisirt er in feinen weissen Nadeln, aus Alkohol in langen flachen Nadeln. In Am- moniak ist er weniger lüslich als der Mononitro-Al- kohol. VI. Para-Chlorbenzoe-Aldehyd, p.- C,; H, CI. COH. Nach Grimaux und Lauth”) bildet sich beim Ko- chen des Chlorbenzyls CH; .CH,CI mit einer wäss- rigen Lüsung von Bleinitrat Bittermandelü]l. In glei- cher Weise behandelt liefert das gechlorte Benzyl- 5) Ann. Chem. Pharm. 143, 80. 141 chlorid C, H, CI. CH, CI den Aldehyd der p.-Chlor- benzoesäure. 10 Thl. C;HÇCI, wurden mit 14 Thin. Pb(NO,), und 100 Thin. Wasser zwei Tage lang ge- kocht. Es hatte sich viel Pb CI, gebildet. Die wässrige Lüsung wurde filtrirt. Das unlüsliche OL mit Natrium- bisulfit geschüttelt. Unter Erwärmung erstarrte die Flüssigkeit zu einem Krystallbrei, der mit Alkohol gewaschen und dann abgepresst wurde. Das Doppel- salz war in Wasser leicht lôslich und schied mit Schwe- felsäure erhitzt ein OI ab, das aus Para-Chlorben- zoe-Aldehyd bestand. Der p.-Chlorbenzoe-Aldehyd ist flüssig, scheint ohne Zersetzung zu sieden und geht an der Luft sehr rasch in p.-Chlorbenzoesäure über. In der Kälte er- inpert sein Geruch an den des Bittermandelüles, in der Hitze reizen aber die Dämpfe die Augen zu Thränen. Vie] leichter als nach obiger Vorschrift lässt sich der p.-Chlorbenzoe- Aldehyd bereiten, wenn man das gechlorte Bittermandelülchlorid C;H,CI.CHCE mit Wasser im zugeschmolzenen Robr erhitzt. CH, C1. CHCL + H, O0 — C; H, CI. COH +- 2HCI. Die Ausbeute ist die theoretische, der Process ver- läuft rascher und weil im geschlossenen Robr, so geht our ein unbedeutender Theil des Aldehyds in die Säure über. Die Reindarstellung geschieht in der oben ange- gebenen Weise. Leitet man in die Lôsung des p.-Chlorbenzoe-Alde- hydes in absolutem Alkohol einen Strom trockenen Schwefelwasserstoffes, so scheidet sich bald ein flo- ckiger Niederschlag aus. Der gefällte Kôürper ist nach dem Abwaschen mit Alkohol rein und ist der geschwe- felte Aldehyd: p.C,H, CI. CHS. 0,2155 Gr. gaben 0,198 AgCI. Gefunden 99 7 22) Berechnet Cri ten7 Der p.-Chlorbenzoe-Sulfaldehyd ist ein blass- rosenrothes, amorphes Pulver, das sich in Alkohol nicht lüst, beim Kochen damit aber zusammenballt und sich stärker färbt. In Benzol ist der Kôrper leicht lôslich, die Lüsung hinterlässt aber, selbst in der Kälte verdunstet, nur einen durchsichtigen Firniss. Beim Erhitzen zersetzt sich der Kürper. Führt man Chlor in das Phenyl des Toluols ein, so wird die Stellung des Chlors beeinflusst durch die Natur der den Wasserstoff im Methyl des Toluols ver- des Sciences de Saint- Pétersbourg. 142 tretenden Elemente. Lässt man Chlor auf C;H;.CH,, CH;.CH,CI, C,H;CHOI, oder C;H;.CCI, einwirken, so begiebt sich das Clor an eine ganz andere Stelle, als wenn man es auf C;H,.CO,H einwirken lässt. Im letzteren Falle entsteht Chlorbenzoesäure, im er- steren aber bilden sich Produkte, die, mit Chromsäure oxydirt, Para-Chlorbenzoesäure liefern. Wir sehen zugleich, dass selbst drei Chloratome im Methyl des Toluols die Stellung des Chlors im Phenyl nicht be- einflussen. Es war deshalb sehr interessant, die Wir- kung des Chlors auf Bittermandelôl genauer zu un- tersuchen, da dieses mit der Formel C;H,.COH in der Mitte steht zwischen Toluol C; H,.CH, und Ben- zoesäure CH; . CO, H. À priori liess sich vermuthen, dass das Bittermandelül dabei nach beiden Seiten hin- neigen würde, und diese Voraussetzung ist durch den Versuch vollkommen bestätigt worden. Durch die klas- sische Untersuchung Liebig’s und Wôhler’s weiss man, dass Bittermandelôl bei der Einwirkung von Chlor Chlorbenzoyl C; H;.COCI liefert, d. h. es wird der Wasserstoff im Methyl vertreten. Indessen zeigen Versuche, die Hr. E. Wroblevsky auf unsere Ver- anlassung unternommen hat, dass, bei geeigneter Be- handlung, wirklich der Wasserstoff im Phenyl durch Chlor substituirt wird. Man kann also aus C;H,. CHO — CH, . CCIO und C; H, CI . CHO bilden, und im letzteren Falle entsteht offenbar Para- Chlorbenzoe-Aldehyd. Lässt man nämlich Chlor, bei Gegenwart von Iod, auf Bittermandelël wirken, so bildet sich zwar auch Chlorbenzoyl, daneben aber noch andere Kôr- per, deren Einzeldarstellung einstweilen nicht verfolgt wurde. Unterwirft man das Produkt der fraktionnirten Destillation, so lässt sich zwischen 210 — 220 eine relativ ansehnliche Fraktion gewinnen. Innerhalb die- ser Temperaturgränzen scheint aber auch der Siede- puukt des Para-Chlorbenzoe-Aldehyds zu liegen. Die Analyse des zwischen 210 — 220 siedenden Produk- tes deutete auf ein Gemenge von C,H,0 und C,H, CIO. Dasselbe wurde durch Chromsäure oxydirt, wobei man ein Säuregemenge erhielt, das ziemlich viel Benzoe- säure enthielt. Die rohe Säure wurde mit viel Wasser der Destillation unterworfen, wobei Benzoesäure sich mit den Wasserdämpfen verflüchtigte. Die in der Re- torte zurückgebliebene Säure wurde aus Wasser um- 143 krystallisirt und bestand dann aus vüllig reiner Para- Chlorbenzoesäure. Die erhaltene Säure besass die Lôüslichkeit, den Schmelzpunkt und alle sonstigen Ei- genschaften der Letzteren. 0,130 Gr. gaben 0,118 AgCI. Berechnet 99 7 22 Gefunden Cl 29,5. Es unterliegt demnach keinem Zweifel, dass bei geeigneter Behandlung das Chlor wirklich den Was- serstoff des Phenyls im Bittermandelül vertritt. Müg- lich ist es, dass sich dabei zunächst nur Chlorbenzoyl bildet und dass aus diesem, bei Gegenwart von Iod, nicht das Chlorid der normalen, sondern das der Para- Chlorbenzoesäure entsteht. Specielle Versuche in die- ser Richtung werden darüber entscheiden. Da Bitter- mandelôl durch direkte Reduktion aus Benzoesäure gebildet werden kann, so ist im Obigen em Weg an- gedeutet, auf welchem man nicht nur die Reihe der normalen Substitutionsprodukte der Benzoesäure er- halten kann, sondern auch die der sog. Para-Reihe. Schliesslich wollen wir bemerken, dass auch das nitrirte Benzylchlorid C;H,(NO,).CH, CI mit Blei- | nitrat gekocht viel Chlorblei ausscheidet. Es wird da- bei offenbar ein mit dem gewôhnlichen Nitro-Bitter- | mandelôl isomerer Kürper entstehen müssen, über den wir später hoffen berichten zu künnen. Mittheilungen über Kohlenwasserstoffe, von J. Fritzsche. (Lu le 14 mai 1868.) $ 1—7. Unausgesetzt meine Untersuchungen über die festen Kohlenwasserstoffe des Steinkohlentheers verfolgend, habe ich, ohne bereits am Ziele zu sein, viele der Mit- theilung werthe Resultate sowohl über diese Kôürper, als auch über andere Kohlenwasserstoffe erhalten, und diese will ich jetzt paragraphenweise verüftent- lichen, mir vorbehaltend, sie später übersichtlich zu- sammenzustellen. 1) Die Darstellung des in meinen früheren Abhand- lungen bereits angezeigten neuen Reactifs, welches für eine ganze Reiïhe von festen Kohlenwasserstoffen eben so werthvoll ist, wie der Schwefelwasserstoff für die Metalle, hat mich in letzter Zeit vorzugsweise beschäf- tigt, und es ist mir gelungen, diesen interessanten Kür- Bulletin de l'Académie Impériale 144 per auf eine leichte Weiïse in grôsserer Quantität zu erhalten. Die grüsste Ausbeute hat mir bis jetzt fol- gende Methode gegeben. 500 CC. Salpetersäure von 1,58 bis 1,40 sp. G. werden in einem geräumigen Kolben mit 2500 CC. Wasser verdünnt, das Gemisch auf -+ 90° C. erhitzt und in dasselbe eine beliebige Menge (ich habe bis 15 grm. genommen) meines fein geriebenen Kürpers C,,H,,') eingetragen, worauf das Ganze ununterbrochen stark umgeschüttelt wird. Dabeï sinkt der anfangs auf der Oberfläche der Flüssigkeit schwimmende und sich nur schwierig benetzende Kohlenwasserstoff allmählich in der Flüssigkeit unter, während seine Oberfläche sich unter Annahme einer gelben Farbe mit feinen nadel- f‘rmigen Krystallen bedeckt, bald aber nimmt er eine rothviolette Farbe an, indem zugleich die anfangs hell- gelbe Flüssigkeit sich dunkler färbt und salpetrige Dämpfe aufzutreten beginnen. Man fährt nun noch immer mit dem Umschütteln fort, weil sonst leicht ein Zusammenbacken des Kohlenwasserstofis stattfindet, welches der Bildung des Reactifs nachtheïlig ist und sorgfältig vermieden werden muss; wenn dann endlich der Kohlenwasserstoff sich gänzlich in eine flockige Masse verwandelt hat, welche sich nach der Oberfläche der Flüssigkeit begiebt, sobald man mit dem Umschüt- teln innehält, so bringt man den Kolben in ein Sand- bad und erhitzt unter üfterem Umschütteln zum Kochen. Dabeiï nimmt, unter reichlicher Ausstossung salpetriger Dämpfe, der gewôhnlich vorher noch rôthliche, in der Flüssigkeit schwimmende Kôrper wieder eine gelbe Farbe an, und wenn nun die Bildung rother Dämpfe aufgehürt hat, lässt man erst noch eine kleine Weile kochen und filtrirt dann unmittelbar, Man erhält dann auf dem Filter einen sehr voluminôsen, strohgelben Kôürper, welcher sich unter dem Mikroskope als ein Haufwerk von feinen Nadeln und zarten Blättchen er- weist, und welcher nach gehôrigem Auswaschen und Trocknen gewühnlich 30 pCt. an Gewicht mehr be- trägt als der angewendete Kohlenwasserstoff. Die ab- filtrirte, gelbe Flüssigkeit trübt sich beim Erkalten und setzt eine kleine Menge eines dunkelgelben Nieder- schlages ab, auf welchen ich später zurückkommen werde. Die auch von dieser Ausscheidung abfiltrirte Flüssigkeit kann ohne Zusatz neuer Säure noch meh- 145 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 146 0 rere Male zur Darstellung neuer Mengen des obigen Kürpers benutzt werden, welcher das Rohprodukt zur Darstellung des Reactifs bildet. Dieses Rohprodukt besteht der Hauptmasse nach aus einem Oxyprodukte und einem Nitroprodukte; letzteres ist das neue Reactif. Um dieses von jenem zu trennen, kann man auf verschiedene Weise ver- fahren, am einfachsten auf folgende: Man lüst einen Gewichtstheil des Rohproduktes in 1000 Raumtheilen 95procentigen Alcohols durch Kochen auf, also einen Gramm in einem Liter, und lässt die nôthigenfalls filtrirte Auflôsung erkalten, wobei sehr bald eine durch Ausscheidung von sehr feinen Flittern des Reactifs hervorgebrachte Trübung der Flüssigkeit eintritt. Je nach der Menge der Auflüsung und der Zeit des Er- kaltens erhält man nun das Reactif in grüsseren oder kleineren Blättchen, welche sich gewôhnlich nur theil- weise zu Boden setzen und grossentheils lange in der Flüssigkeit suspendirt bleiben. Man filtrirt am besten dann, wenn die Temperatur der Flüssigkeit noch einige Grade hôher als die des Zimmers ist, und erbhält dann sogleich ein ziemlich reines Produkt, dessen Menge ich von 35 bis 45 pCt. vom angewendeten Kohlen- wasserstoff betragend fand. Aus der filtrirten Flüssig- keit setzt sich bei weiterem Erkalten und Stehen noch etwas Reactif ab, das aber gewühnlich durch Nadeln von Oxyprodukt verunreinigt ist. Beim Abdestilliren der abermals filtrirten Flüssigkeit erhält man das in Alcohol leichter als das Reactif lüsliche Oxyprodukt, mit nur wenig Reactif verunreinigt, von dem man es dadurch trennen kann, dass man das Gemenge nach dem Trocknen in Steinkohlenül auflüst. Beim Erkalten dieser Auflôsung setzt sich zuerst nur Oxyprodukt in nadelfürmigen Krystallen ab, während das Reactif ent- weder auch nach dem Erkalten geJüst bleibt, oder, wenn das Gemenge zu viel davon enthielt, erst später sich ebenfalls ausscheidet. Aus der Lüsung in Steinkoh- lenël, wozu ein bei ungefähr -+ 120° C. siedendes OI sich sehr gut eignet, kann man das Reactif, wenn sie nicht zu wenig davon enthält, durch Zusatz von Alco- hol fällen, da es in einem Gemisch beider Flüssigkeiten weniger lôslich ist, als in dem Ole allein. Das Gemisch, | welches man dann durch Abdestilliren der Mutter- lauge erhält, kann man zur Auflüsung des Rohpro- duktes behufs der Darstellung des Reactifs benutzen, welches in diesem Gemenge bei erhühter Temperatur Tome XIII. leichter lüslich ist, als bei der gewühnlichen, eben so wie dies beim Alcohol der Fall ist, nur dass von die- sem bedeutend mehr zur Auflüsung erfordert wird, als von dem Gemische. Wie sich aus dem eben Gesagten von selbst ergiebt, kann man das Rohprodukt auch direct in Steinkohlenül lüsen und aus der Lüsung nach dem Absetzen des Oxyproduktes das Reactif durch Alcohol fällen, wozu man ungefähr 2 Theile des letz- teren auf einen Theil Lüsung bedarf. Trifft man den Zeitpunkt richtig, wenn sich kein Oxyprodukt mehr ausscheidet, so erhält man ein in mebr oder weniger gewundenen Blättchen sich ausscheidendes reines Pro- dukt. Die Darstellung grüsserer Mengen diesesKürpers, mit der ich gegenwärtig beschäftigt bin, wird mir noch viel Gelegenheit geben, über die Trennung der beiden Kürper Erfahrungen zu sammeln, und ich hoffe, darüber später noch genauere Angaben machen zu künnen. Zur Ausmittelung der Reinheit des Reactifs habe ich immer das Mikroskop zu Hülfe genommen. Leider enthält es oft eine schwer zu entfernende Beimengung, den durch die Einwirkung des directen Sonnenlichtes auf Lüsungen des Kôrpers C,, H,, entstehenden Para- kürper nämlich, dessen ich schon in meinem vorjährigen Berichte erwähnt habe. Wenn man nicht einen von diesem Parakôürper freien Kohlenwasserstoff anwendet, so geht der Parakürper fast immer mit in das Reactif über, und man kann seine Anwesenheit leicht durch das Mikroskop nachweisen. Ausserdem aber kann das Reactif noch durch einen andern Kôürper verunreinigt sein, welcher ïhm in seinen äusseren Eigenschaften sebr ähnlich ist, dem aber die Fähigkeit, sich mit Koblenwasserstoffen zu verbinden, gänzlich abgeht. Von diesem Kürper, den ich nur zufällig erhalten habe, kann man das Reactif durch das Mikroskop nicht unter- scheiden; um daher von der Reinheit des Reactifs vollkommen überzeugt zu sein, muss man es noch einer besonderen Reinigungsmethode unterwerfen. Diese besteht darin, es mit einem Kohlenwasserstofle zu ver- binden und aus einer solchen, durch das Mikroskop als rein erkannten Verbindung wieder abzuscheïden. Im Allgemeinen bilden sich die Verbindungen des eactifs mit den Kohienwasserstoffen ziemlich leicht, allein mit dem Umkrystallisiren derselben hat es seine Schwierigkeiten. Sie bedürfen, wie es scheint, eines Überschusses des Kohlenwasserstofles zu ihrer Bildung, denn wenn man reine Verbindungen umkrystallisiren 10 147 Bulletin de l'Académie Hmpériale 148 A ————"——papaLaLELE will, erhält man oft Gemenge von Reactif und Ver- bindung, so dass also Kohlenwasserstoff in der Mutter- lauge unverbunden zurückgeblieben ist. Dies sind Ver- hältnisse, welche erst beim genaueren Studium der betreffenden Verbindungen mit grosseren Mengen, als mir bisher zu Gebote standen, genau erürtert werden künnen, und ich will hier nur noch anführen, dass mir für eine Verbindung wenigstens die Abtrennung des Kohlenwasserstoffs noch gar nicht hat gelingen wollen, und dass sie im Allgemeinen schwer gänzlich zu be- werkstelligen ist. Zur Darstellung des Reactifs in zur Analyse hin- reichend reinem Zustande habe ich mich einer Ver- bindung bedient, welche aus einem bei + 193° C. er- starrenden Kohlenwasserstoffe erhalten worden war, demselben, welchen ich schon lange in reinem Zustande darzustellen mich erfolglos bemüht habe und über den ich bald weitere Mittheilungen machen werde. Kocht man diese, in dunkelbraunrothen Blättern krystalli- sirte Verbindung anhaltend mit 95 procentigem Alco- hol, so sieht man ihre Farbe nach und nach verschwin- den und durch das Mikroskop erkennt man, dass dies auf einer allmählichen Bildung gut ausgebildeter qua- dratischer Tafeln von schwach rôthlicher Farbe be- ruht, welche endlich nach hinreichend langem Kochen allein ungelüst zurückbleiben. Man muss nun durch ein heisses Filter filtriren, denn die Lüsung setzt beim Erkelten sehr rasch eine kleine Menge eines in blau- violetten Nadeln sich ausscheidenden Kürpers ab, und nachdem man mit heissem Alcohol ausgewaschen hat, bleibt auf dem Filter das reine Reactif als pulverfür- miger, aus mikroskopischen quadratischen Tafeln be- stehender Kürper zurück. Als ich ein solches Präparat in Steinkohlenül lüste, erhielt ich es einmal in langen, sebr brüchigen Nadeln krystallisirt, ein anderes Mal aber in flachen nadelfrmigen Blättern. Die Analyse wurde mit dem in langen Nadeln kry- stallisirten Präparate ausgeführt und gab folgende Re- sultate: 0,424 grm. gaben 0,881 grm. Kohlensäure 56,667 pCt. Kohlenstoff, und 0,083 grm. Wasser = 2,174 pCt. Wasserstoff. 0,500 grm. gaben 36,8 CC. Stickstoff bei 0° und 760 mm. Barometerstand = 9,24 pCt. Stickstoff. Diese Zahlen entsprechen der Formel C,, HN, 04. Berechnet Gefunden C4 168 56,376 56,667 ÉOPAUG 2,013 2,174 Nos 9,396 9,245 O, 96 39,215 31,914 als Verlust 298. 100,000. 100,000. Diese Formel aber hat schon Anderson für einen Binitroxanthracen genannten Kürper aufgestellt, wel- chen er aus einer durch langes Kochen von Anthracen mit Salpetersäure erhaltenen harzartigen Masse durch Erhitzen mit einer kleinen Menge Alcohol ausgezogen hatte, und welchen er als rothes, beim Erkalten der alcoholischen Lüsung sich ausscheidendes, nur wenig Disposition zum Krystallisiren zeigendes Pulver be- schreibt. Die Analyse dieses Kürpers hatte ihm aber 58,66 pCt. Kohlenstoff und 2,73 pCt. Wasserstoff gegeben*), also 2,29 pCt. Kohlenstoff und 0,71 pCt. Wasserstoff mehr als die Formel verlangt, und da ausserdem für den angenommenen Stickstoffgehalt gar keine Beweise beigebracht sind, so erscheint die For- mel sehr problematisch. Da aus dem angeführten her- vorgeht, dass Anderson’s Kürper in der Wärme leicht in Alcohol lôslich gewesen sein muss, so weicht er schon durch diese Eigenschaft bedeutend von meinem Reactif ab; welches in Alcohol hôchstschwerlôslich ist, und es kann daher wobl keinem Zweifel unter- liegen, dass Anderson einen anderen Kôürper als den meinigen vor sich gehabt hat, und dass aus der blos- sen Aufstellung der Formel keine Ansprüche auf die Entdeckung meines Reactifs für ihn abgeleitet werden künnen. Den Namen Binitroxanthracen nehme ich deshalb für mein Reactif nicht an, weil ich überhaupt meinen Kohlenwasserstoff C;, H,, nicht als Anthracen anzuerkennen gesonnen bin und mit diesem Namen vielmehr den ungefähr bei + 193° C. erstarrenden Kürper zu bezeichnen gédenke. Über den meinem Kürper zu gebenden Namen will ich mich aber, wie ich schon früher erklärt habe, erst dann entscheiden, wenn ich auch die anderen bereits von mir signalisir- ten Kohlenwasserstoffe genauer zu charakterisiren im Stande sein werde. 2) Mit meinem Kürper C,, H,, giebt das Reactif, wie ich bereits früher angeführt habe, eine brillante Verbindung von prachtvoll violetter Farbe, welche in rhombischen Blättern krystallisirt. Man erhält sie, 2) Transactions of the Royal Society of Edinburgh Vol. XXII. part III. 1861. p. 686. 149 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 150 EEE wenn man 9 Theile des Reactifs und 10 Theile des Kohlenwasserstoffs in 100 Th. Steinkohlenüls lüst, und die durch ein heisses Filter heiss filtrirte Flüs- sigkeit erkalten lässt; die Ausbeute beträgt dann un- gefähr 25 pCt. mehr als das angewendete Reactif. Die Analyse dieser Verbindung gab folgende Resul- tate: 0,660 grm. gaben 1,709 grm.Kohlensäure — 70,62 pCt. Kohlenstoff; und 0,207 grm. Wasser — 3,48 pCt. Wasserstoff. Diese Zahlen entsprechen aber der Formel Cie Ho + Cix He (NO) O> und bestätigen also die für das Reactif aufgestellte Formel: Berechnet Gefunden Cx 336 70,59 70,62 Htua6 3,36 3,48 N, 28 5,88 O4 96 20,17 476 100,00 Demzufolge besteht die Verbindung in Procenten aus 37,395 Kohlenwasserstoff und 62,605 Reactif. 3) Eine weitere Bestätigung für die Richtigkeit obiger Formel des Reactifs hat mir die Analyse sei- ner Verbindung mit Stilben geliefert. Durch die Güte meines verehrten Collegen Zinin erhielt ich einige Grammen Stilben, welches von ihm nach der Methode von Laurent aus Bittermandelül dargestellt worden war, und dà ich sogleich fand, dass es mit Leichtig- keit eine brillante, in orangerothen Blättchen krystal- lisirende Verbindung mit meinem Reactif eingeht, su habe ich eine Analyse derselben gemacht. Dabei ga- ben 0,646 grm. der Verbindung 1,668 grm. Kohlen- säure — 70,42 pCt. Kohlenstoff; und 0,228 grm. Was- ser — 3,92 pOt. Wasserstoff. Diese Zahlen entspre- chen aber der Formel Cu Ho + CH (NO: O;, welche 70,29 pCt. Kohlenstoff und 3,76 pCt. Wasser- stoff verlangt. Demzufolge enthält die Verbindung in Procenten 37,657 Stilben und 62,343 Reactif. Das Reactif verbindet sich also mit den Kohlen- wasserstoffen, eben so wie die Pikrinsäure, zu glei- chen Mischungsgewichten. Die Existenz einer Verbin- dung von 1 M. G. Kohlenwasserstoff auf 2 M. G. Pi- krinsäure, wie sie Limprecht von seinem künstlichen Anthracen beschrieben hat, kann ich, gestützt auf viel- fache Erfahrungen, nicht zugeben, und muss anneh- men, dass Limprecht mit einem Gemenge zu thun gehabt hat. 4) Die aus der Verbindung meines Kohlenwasser- stoffs C,,H,, mit Pikrinsäure schon 1857 abgeleitete, und jetzt durch seine Verbindung mit meinem Reactif bestätigte Formel hat durch die Bestimmung des spe- cifischen Gewichtes des Dampfes noch eine weitere zestätigung erhalten. Diese Bestimmung ist im Mai des vorigen Jahres in dem Laboratorium der Æcole normale in Paris in dem Apparate von H. St. Claire- Deville und Troost von Hrn. Troost im Schwefel- dampfe ausgeführt worden, und hat folgende Zahlen gegeben: Gewichtsunterschied des Ballons. . . ... 0,630 grm. Remperatur der Juit AE EN + 16°C. 3arometerstand bei + 15:8C. ...... 07756. Gewicht des den Ballon erfüllenden Was- SOS Un ed our N et LUE NE 327,0 grm. Temperatur des Wassers .. .:. .... :.. + 16° C. Volumen der zurückgebliebenen Luft. . . 0,5 CC. Darnach berechnet ist das specifische Gewicht des Dampfes — 6,3; die theoretische Dichtigkeit, auf 2 Volumina berechnet, beträgt aber 6,145. 5) Die Darstellung des Materials zu meinen Un- tersuchungen erfordert grosse Mengen von Lüsungs- mitteln, und als solches habe ich vielfach Steinkohlenül angewendet. Zu diesem Behufe hatte ich früher eine ansehnliche Menge solchen Üles aus England bezo- gen, und mit ihm sind die Versuche angestellt, bei welchen ich zweierlei krystallisirte Verbindungen flüs- siger Kohlenwasserstofie mit Pikrinsäure erhielt, und über welche ich in einer in der Sitzung der Pariser Akademie der Wissenschaften vom 28 April 1862 gelesenen Notiz eine kurze Mittheilung gemacht habe. Im verflossenen Jahre habe ich während meiner An- wesenheit in Paris neue Mengen solchen Üles aus der Fabrik von Coupier in Passy erhalten, und dies hat mir Veranlassung gegeben, jene Versuche in grüsserem Maassstabe zu wiederholen, wobei meine früheren Resultate vollkommen bestätigt worden sind. In der Fabrik von Coupier wurde mir auf meine Frage nach hôher siedenden Ülen ein solches gezeigt, welches bei cirea + 150° C. zu sieden begann, dessen Kochpunkt sich aber sehr bald steigerte, und welches 10* 151 mir als pur einige Procente Naphtalin enthaltend be- zeichnet wurde. Da ich bei einem sogleich dort an- vestellten Versuche fand, dass daraus eine grosse Menge von der in Nadeln krystallisirenden Pikrin- säureverbindung erhalten werden konnte, und diese eine reiche Ausbeute schweren Üles gab, so acqui- rirte ich 44 Kilogramm dieses Üles, und habe diese ganze Menge der Behandlung mit Pikrinsäure unter- worfen. In dem Ole wurde zuerst in grossen (Glaskolben auf 4 Th. desselben 1 Th. rohe Pikrinsäure, so wie sie in der Fabrik von John Casthelaz für den Han- del bereitet wird, heiss gelüst, und nachdem die in der Säure vorhandenen Unreinigkeiten, zu denen auch eine kleine Menge einer wässrigen Flüssigkeit gehürte, sich zu Boden gesetzt hatten, die heisse Lüsung klar abgegossen und in einem grossen Glasgefässe in der Zimmertemperatur der Krystallisation überlassen. Am anderen Tage war fast die ganze Flüssigkeit mit na- delfürmigen Krystallen erfüllt, welche zuerst auf einem Leinentuche gesammelt und in einer Presse môglichst von anhängender Ollôsung befreit, dann aber zwischen mehrmals erneutem Fliesspapier ohne Anwendung von Wärme weiter getrocknet wurden. Ich erhielt 8,5 Kilo trockner Verbindung, von welcher je 800 grm. in einem Platinkessel mit der nüthigen Menge Wasser und Âtzammoniak übergossen der Destillation unter- worfen wurden. Dabei ging zuerst ein ülartiger, in Wasser zu Boden sinkender Kürper über, bald aber erstarrte dieses ülartige Destillat und sein Schmelz- punkt stieg fortwährend, so dass das Kühlrohr warm erhalten werden musste, um nicht verstopft zu wer- den. Als nur noch reine Wasserdämpfe übergingen, wurde die Lôsung des pikrinsauren Ammoniaks noch heiss in verdünnte Schwefelsäure gegossen und nach dem Erkalten die Pikrinsäure durch Filtriren, Aus- waschen mit eiskaltem Wasser und Trocknen wieder- gewonnen, um wieder von Neuem angewendet zu werden. ' Die Ausbeute an Naphtalin und schwerem Ole von dieser ersten Krystallisation konnte nicht bestimmt werden, denn es hatte sich das Kühlrohr verstopft und als das darin festgewordene gewaltsam herausge- schleudert wurde, ging ein nicht unbeträchtlicher Theil des Destillats verloren. Das übriggebliebene Gemenge von festem Naphtalin mit einer Auflüsung desselben Bulletin de l’Académie Empériale TT —— 152 in OÜ] hat mir bei der sogleich anzuführenden Behand- lung noch über 600 grm. trocknes Naphtalin gege- ben und mebr als doppelt so viel ÔI. Es wurde durch ein Jeinenes Tuch geseiht, und der auf demselben bleibende Krystallbrei in einer Presse stark ausge- presst, das flüssige Produkt aber einer Temperatur von mehreren Graden unter 0° der Ruhe überlassen, wobei es zu einer teigigen Masse gestand. Diese wurde bei derselben Temperatur auf ein Filter gebracht und der darauf zurückbleibende Krystallbrei abermals ge- presst, das Flüssige aber, welches noch immer viel Naphtalin aufgelüst enthielt, der Destillation mit Was- ser unterworfen *). Da der ôlartige Kürper viel leich- ter mit den Wasserdämpfen übergeht als das Naph- talin, so kann man die beiden Substanzen auf diese Weise, einigermaassen wenigstens, von einander tren- nen. Eine weitere Trennung ist mir dadurch gelun- gen, dass ich das naphtalinhaltige Ül in einer Re- torte im Chlorcalciumbade erhitzte, während ich mit- telst eines bis auf den Boden reichenden Rohres einen Luftstrom durchleitete; das Kühlrohr war mit einer kaltmechenden Mischung umgeben, damit nur das nicht erstarrende OI in den Recipienten übergehe, und die Temperatur des Bades wurde bis auf 150° C. und hüher gesteigert. Auf diese Weise gingen, na- mentlich in der ersten Hälfte der Destillation, nur Spuren von Naphtalin mit über‘), und erst gegen das Ende der Destillation erstarrte das Destillat im Kühl- rohre zu einer von ÜI durchdrungenen krystallinischen Masse. Leichter frei von Naphtalin als aus der ersten Kry- stallisation der pikrinsauren Verbindung erhielt ich den ülartigen Kôrper aus den folgenden Krystallisa- tionen, denn die abgegossene Mutterlauge gab noch viel Krystalle, sowohl wenn ich sie einer niedrigeren Temperatur aussetzte, als auch wenn ich von Neuem darin Pikrinsäure auflüste, und zwar enthielten diese späteren Krystallisationen erst nur sehr wenig und später gar kein Naphtalin mehr. Schon als ich die im 3) Um von dem flüssigen Produkte môglichst wenig zu verlie- ren, kann man das gepresste Naphtalin noch zwischen FKliesspapier pressen, und dieses, so wie das zum Pressen benutzte Leinen, dann der Destillation mit Wasser unterwerfen. 4) Einen Naphtalingehalt erkennt man sebr leicht, wenn man einen Tropfen des Üles auf einer Glasplatte ausbreitet und einige Zeit an der Luft liegen lässt; dabei verflüchtigt sich das ÔI ziem- lich leicht, wäbrend das viel mebr Zeit zur Verflüchtigung bedür- feude Naphtalin krystalliniseh zurückbleibt. 153 des Sciences de Saint-Pétersbour£g. 154 ——]—_]——_———" ———————————r Zimmer keine Krystalle mehr gebende obige Mutter- lauge eine Nacht hindurch einer Temperatur von 4° C. aussetzte, schieden sich aus ihr noch 2075 grm. nadelfürmige Verbindung ab, und diese gab beim Zersetzen durch Ammoniak 607 grm. (29,25 pCt.) ei- nes gauz flüssigen Üles, welches selbst bei — 15° C. nicht errstarrte, und erst bei der Destillation oder bei der angeführten Probe einen Gehalt an Naphtalin zu erkennen gab. In der der Kälte ausgesetzt gewesenen Mutterlauge wurde nun zum zweiten Male Pikrinsäure gelüst, und zwar im Verhältnisse von 1 Th. Säure auf 8 Th. Flüs- sigkeit, wozu gegen 4 Kilo Pikrinsäure gebraucht wur- den. Daraus waren am anderen Tage bei der Zim- mertemperatur 2330 grm. Verbindung angeschossen, welche 665 grm. (28,5 pCt.) eines nur eine sehr ge- ringe Menge Naphtalin enthaltenden Üles gaben. Bei der Abkühlung bis auf + 8° C. lieferte diese Lüsung weitere 2230 grm. Verbindung, durch deren Zer- setzung 670 grm. (30,0 pCt.) eines kaum noch Spuren von Naphtalin enthaltenden Üles erhalten wurden, und als die Mutterlauge noch einige Zeit einer Tem- peratur von einigen Graden unter 0° ausgesetzt ge- wesen war, hatten sich in ihr noch 1435 grm. Ver- bindung gebildet, welche 450 grm. (31,57 pCt.) eines kein Naphtalin mehr erkennen lassenden Üles gaben. Es wurde nun noch zum dritten Male Pikrinsäure in der Mutterlauge gelôst, und zwar 1600 grm. auf die ganze Menge derselben, wodurch 2250 grm. Verbin- dung erhalten wurden, welche 606 grm. (26,6 pCt.) eines ebenfalls von Naphtalin ganz freien Üles gaben. Bei einer vierten Auflüsung vou Pikrinsäure aber er- hielt ich selbst durch mehrtägiges Stehen in starker Kälte keine nadelfürmige Verbindung mehr, sondern nur grosse Krystalle von Pikrinsäure, aus welchen kein ülartiges Produkt erhalten wurde. Beim Erwär- men, wobei sowohl von der nadelférmigen als auch noch leichter von der weiter unten zu beschreibenden zweiten Verbindung der Kohlenwasserstoff einfach ab- dunstet, während die Krystalle matt werden und ihre Durchsichtigkeit verlieren, veränderten sich diese Kry- stalle gar nicht, aber es ergab sich dabeï, dass ihnen hier und da einzelne kleine rhombische Tafeln auf- sassen, welche einer Verbindung von Kohlenwasser- stoff mit Pikrinsäure angehüren mussten, da sie jeden- falls in Folge einer Abdunstung von Kohlenwasser- stoff trübe geworden waren und sich nun deutlich auf den klar gebliebenen Pikrinsäurekrystallen abgränzten. Das auf diese Weise erhaltene naphtalinfreie Ül verhält sich in jeder Hinsicht wie ein Gemenge aus wenigstens zwei verschiedenen Kürpern, denn es be- sitzt keinen constanten Siedepunkt, und gleichzeitig mit diesem steigt bei der Destillation auch das speci- fische Gewicht des Destillats. So zeigte z. B. die aus 1435 grm. Pikrinsäureverbindung erhaltene Portion ein sp. Gew. von 0,978 bei + 15°C. und begann bei + 158° C. zu sieden. Das specifische Gewicht des zwischen 158 und 160°C. übergegangen, war 0,947, » 165"%>0mir0 » MO; » ADN » » 1,004, und der, allerdings braune, Rückstand im Destilla- tionsgefäisse p. M. sogar ein sp. Gew. von 1,026. Aus diesem Gemenge lässt sich nun durch sorgfäl- tige fractionnirte Destillation ein OI abscheïden, wel- ches durch seinen hohen Kochpunkt (+ 178—180°C.) und sein hohes specifisches Gewicht (1,01 bei + 20°C.) besonders bemerkenswerth ist. Dieses Produkt wird gegenwärtig von mir gemeinschaftlich mit Prof. Men- delejeff einer genaueren Untersuchung unterworfen und es ist darüber bereits in der chemischen Section der ersten Versammlung russischer Naturforscher eine vorläufige Mittheilung gemacht worden, welche bald im Drucke erscheinen wird und der ich hier nicht vorgreifen will. 6) Ausser dem im vorigen Abschnitte abgehandel- ten schweren Üle acquirirte ich in der Fabrik von Coupier noch 84 Kilo eines leichteren Üles, wel- ches bei + 125° C. zu sieden begann, sich aber bei der Destillation ebenfalls als ein Gemenge zu er- kennen gab. Gegen Pikrinsäure verhielt sich dieses ÔI eigenthümlich, denn während die früher von mir damit bearbeiteten Üle beim Zusammenbringen mit ge- ringen Mengen von Pikripsäure klar blieben, indem pur eine einfache Auflüsung stattfand, trat hier zuerst sofort eine Trübung ein, und unmittelbar darauf eine Ausscheidung eines gelben, sehr voluminüsen Nieder- schlages, welcher aus feinen mikroskopischen Nadeln oder baarfürmigen, gekrümmten und gewundenen Kry- stall:sationen bestand. Dieses Verhalten hat, wie ich im nächsten Abschnitte zeigen werde, in einem Alka- loidgchalte des Üles seinen Grund, und ich konnte daher dieses leichtere Ôl erst dann eben so wie das 155 Bulletin de l’Académie Empériale 156 EU schwerere behandeln, nachdem ich ihm so lange Pi- krinsäure in kleinen Mengen zugesetzt hatte, bis keine weitere Ausscheidung von Alkaloiïdsalz mehr statt- fand. Von dem so gereinigten Ole wurden 42 Kilo in Arbeit genommen und nachdem darin 10,5 Kilo Pikrinsäure heiss gelüst worden waren, die noch warme Lüsung im Hofe des Laboratoriums der Winterkälte ausgesetzt. Dabei krystallisirte zuerst Pikrinsäure in schônen Kry- stallen, allein beim Stehen in der Kälte wurden diese nach und nach wieder aufgelüst und statt ihrer bilde- ten sich ällmählich schône Krystalle der bereits in der obenangeführten Notiz in den Comptes rendus angezeigten Verbindung. Diese Umwandlung geht je nach dem Gehalte des Üles an mit Pikrinsäure ver- bindbarem Kohlenwasserstoffe und je nach der Tem- peratur schneller oder langsamer vor sich; oft war eine Nacht dazu hinreichend, manchmal aber auch mehrere Tage erforderlich. Die Umwandlung ist erst dann als vollendet zu betrachten, wenn in einer her- ausgenommenen Probe sämmtliche Krystalle bei ge- linder Erwärmung trübe werden und sich unter Ab- dunstung eines eigenthümlich aromatisch riechenden Kohlenwasserstoffes mit Beibehaltung ihrer Form in ein leicht zerreibliches Aggregat mikroskopischer Pi- krinsäurekrystalle verwandeln. Die Krystalle der Verbindung, welche an den Wän- den oft einzelne schôn ausgebildete Krystalle, auf dem Boden des Gefässes aber gewühnlich zusammenhän- gende Krusten bildet, wurden nach dem Abgiessen der Ollüsung auf Papier gelegt und durch gelindes Pressen zwischen demselben müglichst schnell von anhängender Flüssigkeit befreit, dann aber entweder sogleich mit Wasser und Ammoniak der Destillation unterworfen, oder vorläufig in verschlossenen Gefäs- sen aufbewabrt, weil beim Liegen an der Luft schon bei der gewühnlichen Temperatur leicht ein Theil ih- res Kohlenwasserstoffes abdunstet. In der von der ersten Krystallisation abgegossenen Mutterlauge wurden abermals 10 Kilo Pikrinsäure gelüst, und wie oben verfahren, worauf auch noch in 24 Kilo der von der zweiten Krystallisation abgegos- senen Lüsung nochmals 6 Kilo Säure gelüst und auch diese Lüsung wie die früheren behandelt wurden. Von diesen 3 Krystallisationen wurden zusammen 20,115 grm. Verbindung erhalten, welche durch Zersetzen mit Ammoniak 2,057 grm., also 10,22 pCt. ÔI gab. Diese Zahl kann aber nur als annähernd richtig an- senommen werden, denn bei der Flüchtigkeit des Üles ist es unmôüglich Verluste zu vermeiden und deshalb will ich auch die von den einzelnen Portionen erhal- tenen Ausbeuten anführen, welche um mehr als 1 pCt. unter einander differiren. $ 3788 grm. Verbindung gaben 394 grm, Ô1 — 10,40 pCt. = 1927 » » DC ET TN à en 2470 » » » 252 DE 10 2025) em 2935 » » ENS Se - S o 1560 » » » 148 » = Eh) à 1120 » » » 116 » —10 5525 = 2740 » » » 299 » —10/65 4) 3075 » » » 380 » —10/632> 20115 grm. ss: En En, im Mittel 10,22 pCt. OI. Da ich beabsichtigte, wenigstens einen Theiïl des in Arbeit genommenen Üles so lange immer wieder von Neuem mit Pikrinsäure zu behandeln, bis keine Verbindung mehr daraus zu erhalten sei, so hatte ich schon am 13. Januar d. J. 13600 grm. der von den eben angeführten Versuchen nachgebliebenen Üllüsung vorgenommen, und habe daraus auch 13 Portionen ÔI nacheinander gewonnen; da aber jede Auflôsung zwei und bei geringerer Kälte auch mehrere Tage in Anspruch nahm, so hatte sich die Arbeïit bis zum 16. Mäürz hingezogen und ich konnte sie, wegen Mangels an Kälte, in diesem Winter nicht zu Ende bringen, was ich aber im nächsten Winter nachzuholen beab- sichtige. Hier folgt eine Tabelle über die Resultate dieser 13 Krystallisationen, der ich noch eine andere über 5 mit einer anderen Menge derselben Ollüsung erhaltene Krystallisationen anschliesse. Menge der Menge der Menge der Menge des Procentgehalt angewendeten darin aufgelôsten erhaltenen aus d. Verbind. d. Verbin- Mutterlauge. Pikrinsäure. Verbindung. erhalten. Üles. dung an Ôl. 13600 grm. 3400 grm. 3600 grm. 392 grm. 10,90 12000 » 3000 » 2815 » 290 » 10,30 Ÿ 11500 » 2875 » 2490 » 255 » 10,24 EM 000 MIN 2750 RAD 2833 » 301 » 10,62 © 10250 » 2560 » 2360 » 251 » 10,63 2 9500 » 2375. » 2340 » 232 » 9,91 9000 » 2250 » 2340 » 256 » 10,94 2 8600 » 2150 » 1980 » 216 » 10,91 — 8200 » 2050 » 1620 » 183 » 11,29 Ÿ 7800 « » 2000 » 1860 » 195 » 10,48 “ 7600 » 1900» 2017 » 175 » 8,68 7200 » 1800 » 1790 » 17920) 10,00 6800 » 1700 » 1467 » 86 » 5,86 28912 grm. 3011 grm. a im Mittel 1041 pOt. 157 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 158 Co Menge der Menge der Menge der Menge des Procentgehalt angewendeten darin aufgelôsten erhaltenen aus d, Verbind. d. Verbin- Mutterlauge. Pikrinsäuro. Verbindung. erhalten. Oles. dung an O1]. & 10600 grm. 2650 grm. 2335 grm. 243 grm. 10,40 ‘5 10000 » 2500 » 2150 » 243 » 11,30 PRE UN C0, ». SD 00 ln IT IQ El 2 8800 » 2200 » 2060 » 231 » 11,21 À 8200 » 2050 » 1913 » 185 » 9,67 10763 grm. 1142 grm. sn 2 en nn | im Mittel 10,61 pCt. Zu diesen Tabellen ist zu bemerken, dass die Pi- krinsäure nicht gleichmässig war, sondern oft unzer- setztes Ammoniaksalz enthielt, welches ungelüst zu- rückblieb; die auffallenden Differenzen in den Mengen der erhaltenen Verbindung haben grüsstentheils in diesem Umstande ihren Grund, zum Theil aber auch in den verschiedenen Temperaturen, welchen die Lô- sungen ausgesesetzt gewesen waren, und welche zwi- schen + 055 und — 27,5 Réaumur schwankten. Die Differenzen in dem Gehalte der Verbindung an ÜI sind in den unvermeidlichen Verlusten durch die obener- wäbhnte Abdunstung und vielleicht auch in zuweilen unvollständigem Befreien der Verbindung von anhän- gender Mutterlauge zu suchen. Im Allgemeinen stim- men aber die Mittel der einzelnen drei Versuchsreihen, 10,22, 10,41 und 10,61 pCt., so genau untereinan- der, als man es bei in so grossem Maassstabe ange- stellten Operationen verlangen kann, denn es sind ja nahe an 60 Kilo Pikrinsäureverbindung dargestellt und daraus mehr als 6 Kilo OI erhalten worden. Die Ausbeute aus dem Ole berechnet sich nun fol- gendermaassen. In der ersten Versuchsreihe sind von dem in Arbeit genommenen Ole 4,9 pt. aus Pikrin- säureverbindung abgeschiedenes ÜI gewonnen wor- den, in der zweiten aber, welche eine Fortsetzung der ersten ist, und zu welcher nach Abzug von 600 grm. in Lôüsung angenommener Pikrinsäure 13000 grm. ÔÜI angewendet worden sind, 23,1 pCt., zusammen also 28 pCt. ’ Diese Menge muss aber unbedingt zu klein erschei- nen, wenn man in Erwägung zieht, dass bei jeder Krystallisation durch Einziehen in Papier, Verdampfen bei der Bearbeitung etc. Flüssigkeit verloren ging, und man kann daher annehmen, dass ohne diesen Ver- lust aus dem angewendeten Ole über 30 pCt. an mit Pikrinsäure verbindbaren Kohlenwasserstoffen erhal- ten worden wären. Bei meinen früheren Versuchen hatte ich sehr viel weniger Ausbeute erhalten, was ich dem Umstande zuschreibe, dass in der Fabrik von Coupier die Trennung der Üle von verschiedenen Kochpunkten sehr vollständig ausgeführt wird, wäh- rend das von mir früher angewendete Ü] nur sehr unvollkommen fractionirt worden war. Wenn ich fer- ver früher eine Verbindung mit Pikrinsäure von bis 14 pCt. Ülgehalt erhielt, so liegt der Grund davon wahrscheinlich in demselben Umstande, und es ist mir nicht unwahrscheinlich, dass diese letztere Ver- bindung eine Beimengung eines Kohlenwasserstoftes enthielt, welcher in dem Üle von Coupier gar nicht enthalten war. Die Krystalle der in Rede stehenden Verbindung, welche in vollkommen reinem Zustande eine schôn citronengelbe Farbe besitzt, oft aber durch geringe Beimengungen organischer Verunreinigungen dunkel schmutzig gelb oder braun gefärbt ist, waren so schün ausgebildet, dass ich meinen verehrten Collegen Kok- scharoff schon im Winter 1861 — 1862 bat, ihre Krystallform zu untersuchen und ich theile hier die mir schon damals übergebenen Resultate seiner Un- tersuchung mit. Die Krystallform der Verbindung gehürt dem »0- noklinoëdrischen Krystallsysteme an. Die Verbindung bestand theils aus grüsseren Krystallen von ungefähr 7 Millimeter, theils aus kleineren von nur 1 Millime- ter grüsstem Durchmesser. Die grüsseren Krystalle waren tafelformig und von dunkelorangegelber Farbe, die kleineren dagegen hatten ein mehr prismatisches Ansehen und eine schün citronengelbe Farbe; beide Arten verwittern schnell an der Lauft, und sind daher zu genauen Messungen ganz untauglich. Sie bieten ziemlich viele Combinationen dar, von denen die der grüsseren Krystalle durch die Figuren 1 u. 1° und 2 u. 2°, die der kleineren aber durch die Figuren 3 u. 3° dargestellt sind. Die Krystalle besitzen eine sehr vollkommene Spaltbarkeit nach der Fläche des basi- schen Pinakoids ? = oP. Fig. 1. Rs co ne —— 159 Bulletin de l’Académie Empériale 160 T6 Für die Grundpyramide 0 — P kann man folgendes approximatives Axenverhältniss annehmen, welches ich als den mittleren Werth aus mehreren annähern- den, mittelst des gewühnlichen Wollaston’schen Re- flexionsgoniometers ausgeführten Messungen erhalten CR re Me y = 87°4, wo à die Vertikalaxe, b die Klinodiagonalaxe, c die Orthodiagonalaxe und y äer Winkel ist, welchen die Klinodiagonalaxe mit der Vertikalaxe bildet. Die Formen, welche in den obenerwähnten Com- binationen auftreten, sind folgende: Nach Weiss. Nach Naumann. Monoklinoëdrische Pyramide: ORNE US = (a IDE IC) MEN +P. Prismen: si} ADN ANR Ma ou à (O2 1C)P Eee coP DUREE (COR DEC) coP2 Klinodomen: ANR TARA (AE CODE IC)EREEE (Poo) | L'PRADEN RETS (AP CODE CARE ({Poo) Pusnnaene (a: coh:coc)#47 Sole Die gegenseitigen Neigungen der Flächen bei den Krystallen sind folgende: Nach Rechnung. Nach Messung. CAP SAURE — 109° 2°....108°53" OM HRSARUAR. HS 05 0 IS SÉSL D, SN BBP 12, (4 ESS mM:P | sa Le MEOMNI 2 956 7 0 RES orth. Kante Len 26 ar LORS MERE lol 1. i=122°390 8001002074 l'M CT 7 anliefend sa ie SO 16 RE 08 A2 ES El ON EEE y:P _….... —190486) Yi% . -:... 1010020: Was die Werthe anbetrifit, welche aus unmittelba- ren Messungen abgeleitet sind, so ist hierbei zu be- merken, dass die Neigungen M: M und M: P ziemlich 161 des Sciences de Saint - Pétersbourg. ———_————————Z gut bestimmt sind, dagegen die Neigung 0: P weit we-| niger befriedigend. Vorausgesetzt, dass eine jede monoklinoëdrische Py- ramide aus zwei Hemipyramiden zusammengesetzt ist, und zwar aus einer positiven, deren Flächen über den spitzen Winkel y liegen, und einer negativen, deren Flächen über den stumpfen Winkel + liegen, bezeich- nen wir: in allen positiven Hemipyramiden durch X den Neigungswinkel, den die Fläche mit der Ebene bildet, welche die Axen « und b ent- hält (Winkel mit dem klinodiagonalen Haupt- schnitte). Y den Neigungswinkel, den die Fläche mit der Ebene bildet, welche die Axen a und c ent- hält (Winkel mit dem orthodiagonalen Haupt- schnitte). Z den Neigungswinkel, den die Fläche mit der Ebene bildet, welche die Axen b und c enthält (Winkel mit dem basischen Hauptschnitte). y den Neigungswinkel der klinodiagonalen Pol- kante zur Vertikalaxe a. y den Neigungswinkel derselben Kante zur Kli- nodiagonalaxe b. ° den Neigungswinkel der orthodiagonalen Pol- kante zur Vertikalaxe «. s den Neigungswinkel der Mittelkante zur Kli- nodiagonalaxe b. Diese Bezeichnung annehmend, erhalten wir ferner durch Rechnung folgende Werthe: Für die monoklinoëdrische Haupthemipyramide: OE—E: X —45°44; Y — 51°42’ 210758: LES 80%; 2; y — 62°54’ o = 27°11 sg — 42°94" Für die Prismen: M = coP. X — 42°26’ Y — 47°34 Tome XIII. 162 1 = coP2. X — 61°20’ Y — 28°40/ Für die Klinodemen: 1— (Res): X — 27°12/ Y — 91°20/ Z = 62248 y=(%Poo). X — 45°48" Y — 92° 6’ Z = 44°12' Die einzelnen Portionen des aus allen diesen ver- schiedenen Krystallisationen abgeschiedenen Kohlen- wasserstoffes waren untereinander fast vollkommen gleich; sie besassen ein fast gleiches specifisches Ge- wicht, welches nur zwischen 0,863 und 0,866 schwank- te, und eben so einen fast gleichen Kochpunkt, wel- chen ich bei den ersten Mengen nur um wenige Grade hüher fand, als bei den letzten. So begann z. B. die zweite Menge der ersten Reïhe bei + 127 C. zu sie- den, die letzte Menge der zweiten Reiïhe dagegen schon bei + 125° C.; bei allen aber war der Koch- punkt nicht constant, sondern stieg allmählich bis gegen + 140° C., so dass auch dieses Ül also ein Ge- menge ist. Seinen Geruch finde ich bestimmt ver- schieden von dem des Steinkohlenüles, aus dem es ausgezogen ist, und zwar eigenthümlich blumenduft- artig, was besonders deutlich beim Abdunsten aus der Pikrinsäureverbindung auf einer erwärmten Platte hervortritt. Gelegentlich beabsichtige ich die ganze mir zu Gebote stehende Quantität desselben einer sorgfältigen fractionirten Destillation zu unterwerfen, und werde die erhaltenen Resultate seiner Zeit mit- theilen: auch über das Verhalten dieses Üles gegen Pikrinsäure werde ich noch weitere Versuche anstel- len, und kann darüber schon jetzt vorläufig sagen, dass die Verbindung desselben mit Pikrinsäure schon bei der gewühnlichen Temperatur sich bildet. Im vergangeren Winter habe ich auch einige Ver- suche über das Verhalten des im Handel vorkommen- den Toluol, Xylol und Cumol gegen Pikrinsäure an- gestellt. Ich hatte durch die Güte des Hrn. Coupier il 163 ungefähr ein Liter Toluol und ebensoviel Xylol er- halten, ausserdem aber aus der Fabrik von Coblenz Frères (in la Briche bei St. Denis) je ein Kilo von folgendermaassen bezeichneten Substanzen (und zwar zu dem hohen Preise von 10 Francs per Kilo) käuf- lich erworben: Toluol pour Nitrotoluol liquide 109 — 112”, Toluot pour Nitrotoluol crystallisé 110 — 11%”, Xylol 136 à _ Cumol 149 — 152 Von diesen Substanzen zeigten das Toluol von Cou- pier, das.Xylol von Coupier und Coblenz und das Cumol von Coblenz beim Zusammenbringen mit Pi- krinsäure ganz dasselbe Verhalten wie das leichtere ÔI von Coupier, und alle diese Kürper waren also picht hinreichend von Alkaloiden gereinigt Worden. Sie wurden daher zuerst so lange mit geringen Men- gen Pikrinsäure behandelt, als noch ein Niederschlag sich bildete, und erst nachdem dieser durch Filtra- tion davon getrennt war, Pikrinsäure im Verhältnisse von 1 Th. Säure auf 4 Th. ÔI darin heiss gelüst und die Lôsungen zur Krystallisation in die Kälte gestellt. Dabei entstanden Krystalle, welche der oben beschrie- benen Verbindung in Form und übrigem Verhalten vollkommen ähnlich waren, und aus denen bei der Destillation mit Ammoniak Ole erhalten wurden, de- ren Kochpunkte für das Toluol und Xylol wenigstens denen der angewendeten Ole entsprachen. So gab das Toluol von Coupier und ebenso die beiden Arten Toluol von Coblenz ein ungefähr bei #+-109—110° C. kochendes O1, dessen Kochpunkt bei der Destilla- tion nur bis auf 112° C. stieg, aus dem Xylol von Coupier sowohl als auch von Coblenz aber wurde ein Ôl erhalten, welches bei ungefähr + 134° C. zu kochen begann, und bei der Destillation bis gegen +-140° C. stieg. Aus dem Cumol von Coblenz end- lich erhielt ich aus verschiedenen Krystallisationen le, welche bald bei +- 138° C. und bald bei + 142°C. oder bei einer zwischen diesen Grenzen liegenden Temperatur zu sieden begann. Das Eintreten der wär- meren Jahreszeit hat mich aber auch bei diesen Ülen verhindert, die Behandlung mit Pikrinsäure so lange fortzusetzen, als sich noch Verbindung bildete, und ich konnte daher nicht ausmitteln, wieviel durch Pi- krinsäure Ausziehbares in diesen Ülen enthalten ist, Bulletin de l’Académie Impériale 164 und ob nicht vielleicht alles ÔI vom Kochpunkte des Toluols und des Xylols mit Pikrinsäure verbindbar sei. Diese letztere Frage glaube ich auf Grundlage folgender Versuche unbedingt verneinen zu künnen. Ich übergoss in Stôpselgläsern grosse Krystalle von Pikrinsäure mit ihrem vierfachen Gewichte folgender Substanzen: 1) des Üles aus der monoklinoëdrischen Pikrin- säureverbindung, welche aus dem leichten Üle von Coupier erhalten worden war; 2) des Üles aus der monoklinoëdrischen Pikrin- säureverbindung, welche aus dem Xylol von Coblenz erhalten worden war; und 3) des rohen Xylol von Coblenz, welches vorher durch eine kleine Menge Pikrinsäure von sei- nem Alkaloidgebalte befreit worden war. Als diese drei Gläser bei der gewühnlichen Tempe- ratur der Ruhe überlassen wurden, fand ich in 1 und 2 die Pikrinsäurekrystalle schon nach cinigen Stunden so zusammengebacken, dass sie bei leichtem Umschüt- teln nicht aufgerührt wurden, während in 3 noch nach 48 Stunden alle Krystalle lose auf dem Boden lagen und bei leichtem Umschütteln aufgerührt wurden. Beim Herausnehmen von Proben der Krystalle aus allen drei Gläsern nach 48stündigem Stehen erwiesen sich die aus 1 und 2 als vollkommene, in gelinder Wärme sich zersetzende Verbindung, die aus 3 dage- gen als unveränderte Pikrinsäure. Als ich nun das Glas 3 in einem Eiskeller einer Temperatur von 0° aussetzte, waren nach 48 Stunden auch in ihm alle Pikrinsäurekrystalle in Krystalle der Verbindung um- gewandelt. Offenbar war also das Xylol von Coblenz ein Gemenge von mit Pikrinsäure verbindbarem und unverbindbarem Ole, worin letzteres der Umwandlung der Pikrinsäurekrystalle in Krystalle der Verbindung des ersteren bei der gewôhnlichen Temperatur Hin- dernisse entgegensetzte. Dass im Steinkohlenüle mit Pikrinsäure unverbind- bare Ole vom Kochpunkte des Xylols und wahrschein- lich auch des Toluols vorkommen, geht auch schon aus meinen früheren Versuchen hervor. Im Winter 1861-62 hatte ich eine beträchliche Menge Ül eng- lischen Ursprunges so lange mit Pikrinsäure behan- delt, bis auch bei lingerem Stehen in starker Kälte keine Verbindung mehr sich bildete, sondern nur Pi- krinsäurekrystalle anschossen, dann war die von letz- 165 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 166 teren abgegossene Üllüsung durch Schütteln mit am- moniakhaltigem Wasser von Pikrinsäure befreit, das ÔI durch Destillation noch weiter gereinigt und so auf- bewahrt worden. Jetzt nun habe ich eine 1400 grm. wiegende Menge solchen Üles, welches bei + 140° C. zu sieden begann, der fractionirten Destillation un- terworfen und dadurch sehr bald ein bei -- 123° C. siedendes ÔI abscheiden kônnen, so dass also das durch Pikrinsäure erschüpfte OI noch Kôrper enthält, deren Kochpunkt dem eines Gemenges von Toluol und Xylol entspricht. Ich zweifele nicht daran, dass es gelingen wird, aus solchem erschôpften Üle ganz eben so wie aus dem gar nicht mit Pikrinsäure behandel- ten Steinkohlenüle Kohlenwasserstoffe von constantem Siedepunkte abzuscheiden und es scheint mir nichts der Annahme entgegen zu stehen, dass auch flüssige Kohlenwasserstoffe in zwei verschiedenen Zuständen vorkommen künnen, wie ich dies bei zwei festen ge- funden habe, welche in dem einen Zustande mit Pi- krinsäure und meinem Reactif sich leicht verbinden, in dem anderen aber gegen beide diese Substanzen gänzlich indifferent verhalten. Darüber künnen nur wei- tere Versuche Aufklärung geben, eines aber scheint sich mir aus meinen Beobachtungen schon jetzt zu er- geben, die Unerlässlichkeit der Behandlung der Stein- kohlenüle mit Pikrinsäure nämlich, sowohl als Tren- nungsmittel, als auch als Prüfstein für die Reinheït der Ole. Hinsichtlich der Prüfung auf Reinheit erin- nere ich an die Auffindung einer Verunreinigung von Cumol durch ein schweres OI (Zeitschr. f. Ch. 1866 p. 200) und kann auch noch eine andere dahingehü- rige Beobachtung mittheilen. Von H. Rose hatte ich im Jahre 1862 kleine Quan- tititen von Retinyl und Retinol erhalten, welche ïhm seiner Zeit von den Entdeckern dieser Substanzen mitgetheilt worden waren. Diese habe ich schon vor einiger Zeit der Behandlung mit Pikrinsäure unter- worfen und dabei folgende Resultate erhalten. In 5 grm. Retinyl wurde 1 grm. Pikrinsäure ge- lüst, und daraus 0,7 grm. nadelf‘rmige Verbindung erhalten, welche beim Destilliren mit Ammoniak und Wasser 0,2 grm. Naphtalin ohne alles flüssige Pro- dukt gab. Bei nochmaligem Aufiüsen von Pikrinsäure in der nachgebliebenen Lüsung erhielt ich nur Pikrin- säurekrystalle; das Verhalten dieser Lüsung in niede- rer Temperatur konnte ich nicht untersuchen. Die Auflüsung von 1 grm. Pikrinsäure in 5 grm. tetinol erstarrte beim Erkalten fast vollständig durch die Bildung nadelfürmiger Krystalle, von denen 1,39 grm. erhalten wurden, welche beim Destilliren mit Ammoniak und Wasser ein in der Kälte erstarrendes, aber bei + 45° C. vollkommen flüssiges O1 gaben. Als in der rückständigen Ollüsung neue 0,5 grm. Pi- krinsäure gelôst wurden, erstarrte die Lüsung beim Erkalten ebenfalls und lieferte 0,78 grm. nadelformi- ger Verbindung, aus welcher ein bei + 35° C. ganz flüssiges, bei niedriger Temperatur erstarrendes Ôl erhalten wurde. Das Retinol enthielt also ausser Naph- talin auch ein schweres OI, verhielt sich also ganz ähnlich dem schweren Üle von Coupier. Weitere Ver- suche konnte ich mit diesen Substanzen aus Mangel an Material nicht anstellen. 7) Im vorhergehenden Abschnitte habe ich bereits beiläufig erwähnt, dass das leichte ÔI aus der Fabrik von Coupier beim Zusammenbringen mit Pikrinsäure sich augenblicklich trübte und einen voluminüsen kry- stallinischen Niederschlag ausschied, welcher in einem Alkaloidgehalte seinen Grund hatte, und dass ein glei- ches Verhalten auch Ole zeigten, welche ich aus den Fabriken von Coupier als Toluol und Xylol und von Coblenz Frères als Xylol und Cumol erhalten hatte. Die beiden obenerwähnten Arten von Toluol aus der Fabrik von Coblenz waren ganz frei von Alkaloïd, ein Toluol aber, von welchem ich vor Kurzem 9 Kilo aus der Fabrik von Coupier (zu 2 Francs das Kilo) erhalten habe, und bei dessen Bestellung ich beson- ders darum gebeten hatte, mir ein eben so reines Präparat zu bereiten, wie dies für Hrn. Berthelot geschehen war”), gab einen bedeutenden Niederschlag beim Zusammenbringen mit kleinen Mengen von Pi- krinsäure, welcher auf einen beträchtlichen Alkaloïd- gehalt schliessen liess. Um diesen wenigstens annä- hernd zu bestimmen, versetzte ich 1 Liter des Toluols mit 10 grm, in dünnen Blättern krystallisirter Pikrin- säure, und da eine von dem hellgeïtben Niederschlage abfiltrirte Probe auf neuen Zusatz von Pikrinsäure keinen Niederschlag mehr hervorbrachte, so wurde der selbst nach mehreren Stunden ruhigen Stehens noch so voluminüse Niederschlag, dass er mehr als die Hälfte der Flüssigkeit erfüllte, auf einem Filter 5) Ann, de Chim. et de Phys. 1867. Septembre. p. 125. le 167 Bulletin de l’Académie Impériale 168 EE en eensen ere = Re gesammelt, mit etwas alkaloïdfreiem Toluol ausge- waschen und getrocknet. Es wurden auf diese Weise gegen 10 grm. pikrinsaures Alkaloidsalz erhalten, welches, mit Wasser und Atzkali der Destillation un- terworfen, ein in Wasser gelüstes, durch Âtzkali aber aus dieser Lüsung abscheïdbares, sehr stark riechen- des ülartiges Alkaloid gab. Um dieses etwas ge- nauer studiren zu kônnen, wurden jetzt noch 9 Liter Toluol durch Pikrinsäure gefällt, alles erhaltene Salz durch Destillation mit Wasser und Âtzkali zersetzt und aus dem Destillate das Alkaloid durch Âtzkali abgeschieden. Dadurch erhielt ich aus 100 grm. pi- krinsauren Salzes mehr als 25 grm. Alkaloid, welches bei ungefähr + 97° C.zu kochen begann, dessen Koch- punkt aber bei der Destillation nur sehr langsam hô- her stieg. Als Destillat wurde ein farbloser Kôrper erhalten, dessen erste, gegen 8 grm. betragende Menge bei + 95° C. kochte, worauf 11 grm. von + 99° C. Kochpunkt und endlich 5 grm. von + 109° C. Koch- punkt übergingen. Der nur geringe Rückstand in der Retorte lüste sich nicht ganz klar in Wasser auf, son- dern enthielt eine kleine Menge eines hôchst feinen, krystallinischen Niederschlages aufgeschläimmt, wel- cher der Flüssigkeit ein schillerndes, wolkiges Anse- ben gab und beim Filtriren die Poren des Filters bald verstopfte; durch die violette Verbindung, welche der auf dem Filter zurückgebliebene Kürper mit meinem Reactif gab, erkannte ich, dass es eine Spur Kohlen- wasserstoff war, welcher wahrscheinlich nur zufällig in das Alkaloid gekommen war. Den obigen Zahlen zufolge hatte ich also durch Pikrinsäure aus dem Toluol von Coupier ungefähr 0,3 pCt. Alkaloid abgeschieden, was mir in Anbetracht des hôchst voluminüsen Niederschlages überraschend wenig erschien. Trotz dieses geringen Gehaltes müsste es aber doch, vorausgesetzt dass das Toluol in der Fabrik von Coupier immer so erhalten wird, wie das von mir untersuchte, Hrn. Coupier leicht sein, grüssere Mengen dieses Alkaloides für die Chemiker darzustellen. Den angeführten Kochpunkten und sei- nen übrigen Eigenschaften zufolge besteht dasselbe hauptsächlich aus Cespitin, und es ist sehr leicht, daraus ein bei + 95° C. kochendes Produkt zu er- halten, welches wahrscheinlich dieses Alkaloid in rei- nem Zustande ist. Auch das aus dem leichten Üle von Coupier (+ 125° C. Kochpunkt) durch Pikrinsäure gefällte Alkaloid ergab sich bei der Untersuchung, welche ich mit 200 grm. des pikrinsauren Salzes angestellt habe, grôsstentheils als Cespitin, denn ich erhielt zuerst 18 grm. bei + 95° C. kochendes Alkaloid, und dann 11 grm. von + 97° C., 6 grm. von + 116° C. und 6,5 grm. von + 128° C. Kochpunkt. (Fortsetzung folgt.) Sur un produit de l’action de l’acide chlorhy- drique sur l'essence d'amandes amères con- tenant l'acide cyanhydrique, par N. Zinine. (Lu le 25 juin 1868.) Le corps observé par Robiquet et Boutrou- Charlard parmi les produits de l’action du chlore sur l’essence d'amandes amères, puis obtenu par Wink- kler en faisant passer le chlore humide dans la même essence ainsi que dans l’essence de laurier-cerise, à été analysé par Pelouze et Liebig et nommé: ben- zoate d'hydrure de benzoïle. D’après la composition qu’ils lui ont trouvée, ils le supposaient produit par la réunion de l’acide benzoïque avec l’hydrure de ben- zoïle Co His 0, = 20H40 + C;H,0,. Laurent obtint par l’action de l’acide sulfurique fumant sur l'essence d'amandes un corps particulier, et ayant étudié sa composition et ses propriétés, il le trouva identique avec le corps de Winckler et le re- garda comme un benzoate ou comme un benzilate d'hydrure de benzoïle. Enfin pour exprimer la com- position de ce corps et sa formation par l’action de l'acide sulfurique sur l'essence exempte d’acide ben- zoïque, Laurent et Gerhardt ont proposé l’équa- tion suivante: CHHAO0I— 3C,H60 + NC.H+H,0 — NH. J'ai étudié toutes les réactions citées et j’ai trouvé que la production du corps en question n’est pas li- mitée par ces réactions, mais qu'il se forme toujours, aussitôt que l'essence d'amandes amères, contenant l’acide cyanhydrique est mise en contact avec un acide énergique et que parmi tous les acides capables d'exercer l’action désirée c’est l'acide chlorhydrique qui présente le plus d'avantage pour la préparation du corps. C’est cet acide qui est la cause de la for- 169 des Sciences de Saiïint-Pétersbourg. 170 ER ——"—————————— .—."—…—"…”…"…"…"…”…"”"…"." ”—"———…—…—…—…"—"…"….…"…"…"…"”…"…—"…"…"—"…"…—"…—…"…—"—…—…"…"…"—"_"—"——— mation du corps dans l’action du chlore sur les essences d'amandes et de laurier. Les acides sulfuriques fu- mants et ordinaires en agissant sur les essences donnent toujours lieu à la formation du corps, si les conditions des masses mélangées et de la température sont ob- servées, mais ces acides produisent en mêmes temps d’autres matières étrangères, colorantes, qui ne sont pas toujours faciles à éloigner. Pour préparer le corps à l’aide de lacide chlor- hydrique on procède ainsi qu'il suit: on prend une certaine quantité de l’essence d'amandes contenant l'acide cyanhydrique et on introduit sous cette essence un quart ou un ciquième de son volume de l'acide chlorhydrique fumant saturé à + 8° C. à peu près; on bouche le flacon et on le laisse reposer une à deux heures (l’acide formant la couche inférieure se colore en rouge) et après ce temps on produit lentement le mélange des deux couches, et quand le liquide s’é- chauffe trop on plonge le flacon dans l’eau froide; le liquide ne tarde pas à se séparer en deux couches, la couche inférieur, aqueuse, a diminué de volume et a perdu sa couleur, tandis que l’essence, qui forme la couche supérieure, s’est coloré er jaune-brun-ver- dâtre. Après quelques heures (24), pendant lesquelles on a secoué 2 à 3 fois le flacon, le mélange devient tout-à-fait solide; on le lave alors avec de l’eau, puis avec de l’alcool froid et on obtient ainsi comme résidu, une poudre parfaitement blanche, cristalline, dont le poids peut s’élever jusqu’à un tiers du poids de l’es- sence employée. Le reste de cette essence séparé de l'alcool, ne donne plus de cristaux par l’action de l’a- cide chlorhydrique, il ne contient plus d’acide cyan- hydrique, mais si on lui ajoute ce dernier, la pro- priété de se solidifier en contact avec les acides éner- giques lui est restituée. En operant ainsi j'ai pu con- vertir plus de ‘ de l’essence en matière cristalline. Celle-ci est presque insoluble dans Peau, même à la température de l’ébullition, très peu soluble dans l’é- ther, un peu plus soluble dans le benzole. Cent par- ties de cette matière exigent 1360 p. de l'alcool (à 93°.) bouillant pour se dissoudre, mais si l’on continue à bouillir, on chassera jusqu’à 520 parties de l’alcoo!, avant que la formation des cristaux commencera, de sorte que 100 parties du corps peuvent rester dis- soutes dans 840 parties de l’alcool bouillant. Après le refroidissement 94 parties de la matière cristalli- sent et 6 p. seulement restent en dissolution à la tem- pérature de 20° C. 300 p. de l’acide acétique gla- cial bouillant dissolvent 100 p. du corps, dont 92 p. cristallisent par le refroidissement et 8 restent en dis- solution à la température de 20° C. Le corps bien purifié par 2 ou 3 cristallisations dans l’alcool se pré- sente toujours sous l’aspect d’une poudre cristalline; par le refroidissement lent d’une dissolution alcoolique ou acétique non saturée, on n'obtient que des cristaux qui n’atteignent pas un millimètre de longeur; ce sont des prismes à base quadrilatère. A 120° C. le corps ne perd pas de poids et n’est pas altéré, à 195° C., il fond en un liquide transparent, incolore, qui se prend par le refroidissement en une masse cristalline; le thermomètre ne tombe pas au-dessous de 190° C. aussi longtemps qu’il reste encore une trace de ma- tière non solidifiée; le corps fondu est bientôt altéré, et devenu jaune, il est décomposé par la distillation: comme produit de cette opération on a une matière huileuse insoluble dans l’eau et un résidu charboneux; une petite quantité du corps échappée à la décompo- sition passe avec la matière huileuse. L’acide chlor- hydrique attaque facilement le corps à la tempéra- ture de l’ébullition; chauffé en contact avec cet acide jusqu’à 120° C. dans un tube scellé à la lampe, le corps est complètement décomposé; on trouve dans le tube refroidi deux couches; une huileuse, colorée en brun-claire, composée en plus grande partie de l'hydrure de benzoïle et en partie d’une huile qui peut bien être de l'acide formobenzoïlique modifié par l’action de la chaleur et de l’acide chlorhydrique; l’autre couche, aqueuse, est remplie de cristaux de sel ammoniac. Les dissolutions aqueuses de la potasse et de la soude caustique dissolvent aisément une certaine quantité du corps même à la température ordinaire; les acides le précipitent sans altération de ces disso- lutions, en cas qu’elles n’ont pas été chauffées; mais une élévation de température, qui ne va pas encore jusqu’à l’ébullition, produit déjà un dégagement d’am- moniaque ; le corps est bientôt décomposé, et l’on trouve dans le résidu les produits de l’action des al- calis fixes sur l’hydrure de benzoïle, mais par de traces de cyanure. On n’obtient par non plus de cya- nure d'argent en faisant bouillir une dissolution al- coolique du corps avec du nitrate d'argent. La disso- 171 Bulletin de l’Académie Impériale 172 — —— — — ————————…— lution alcoolique du corps, à laquelle on a ajouté de la potasse caustique où du cyanure de potassium ne donne pas de benzoïne. Le corps contient de l'azote, qui en est aisément éliminé sous la forme de l’ammoniaque par l’action des acides et des alcalis. La composition du corps est exprimée par la formule C5 Hs NO, deux molécules d’hydrure de benzoïle et une molé- cule d'acide cyanhydrique concourent à la formation d’une molécule du corps CIE NO, = 2C; H,0 RE N CH. 0,513 du corps ont donné 1,421 CO, et 0,253 H,0 ou 75,547, C. et 5,477, H. 0,602 ont donné 1,665 CO, et 0,298 H,0 ou 75,43, C. et 5,50% H. 0,600 ont donné 32 c. c. d’azote à la température de 26° C. sous la pression de 761"", ou 5,90% N. calculé trouvé CMD 75,31 75,54 75,43 — Hs 13 5,44 5,47 5,50 _ N 4 5,85 = = 5,90 0, 32 = = = -- 239 La quantité de l’ammoniaque trouvé dans l’acide chlorhydrique qui a servi à la décomposition du corps dans un tube scellé, correspond à la quantité d'azote contenue dans la portion du corps prise pour l’expé- rience. La réaction capitale du corps c'est la manière dont il se compacte en contact avec l’eau à une haute tem- pérature: scellé à la lampe dans un tube en ver, avec de l’eau (2 parties d’eau sur une partie du corps) et chauffé jusqu'à 180 C. pendant 4 à 5 heures, le corps est complètemeut décomposé; on trouve au fond du tube refroidi une couche d’huile qui n’est autre chose que lhydrure de benzoïle pure, et la couche aqueuse surnageante est remplie de cristaux en forme de tables rhombiques ou hexagonales, atteignant des dimensions de 3 à 4°"; quand on ouvre le tube, on voit que dans la réaction il n’y a pas eu lieu d’un dé- gagement de gaze. On sépare l’hydrure de benzoïle à l'aide de l’éther, on fait bouillir le liquide aqueux avec les cristaux; ceux-ci se dissolvent aisément et cristallisent sans altération par le refroidissement; ils exigent moins de leur poids d’eau bouillante pour se dissoudre; 100 parties d’une dissolution aqueuse sa- turée à 24° C. laissent après l’évaporation 2,88 par- ties des cristaux. Une partie d’alcool (à 93°/) bouil- lant dissout aussi à peu près une partie des cristaux; 100 parties d’une dissolution alcoolique saturée à 24° C. laissent après l’évaporation 8,68 parties des cristaux. Les cristaux sont très peu solubles dans l’éther. L'alcool surchauffé produit sur le corps C;; Hy; NO, le même effet que l’eau. Les cristaux ne s’altèrent pas et ne perdent pas de poids à 120° C.; à 131° C. ils fondent en un liquide incolore, lequel chauffé plus fortement brunit et se décompose, il distille un liquide huileux et il reste une petite quantité de résidu charboneux. Quand on chauffe les cristaux sur une plaque de platine, ils se volatilisent presqu’en entier, répandant une odeur par- ticulière rappelant l’odeur du benjoïn brûlé, sans ir- riter cependant l'organe de la respiration. La compo- sition des cristaux est exprimée par la formule CH NO. 0,523 de la substance ont donné 1,220 CO, et 287 H,0 ou 63,617, C. et 6,097, H. 0,490 ont donné 1,145 CO, et 0,267 H,0 ou 63,85), C. et 6,05, H. 0,571 ont donné 47 C. C. d’azote à 26° C. sous la pression de 761"", ce qui correspond à 9,107, N. 0, calculé trouvé C; 96 63,57 63,61 63,85 — HA 5,96 6,09 6,05 = N 14 9,27 = 9,10 O2 _ — — = 151 La réaction qui détermine la formation du corps est représentée par l’équation: QE H,; NO, Gi H,0 — C; H,0 = C; H, NO, Cette réaction est nette, et les quantités des substances obtenues dans plusieurs expériences, correspondent aux quantités calculées à l’aide de l'équation précé- dente. La formule que nous avons déduite des analyses de nos cristaux représente la composition de l’amide formobenzoïlique, et ces cristaux ne sont autre chose que cet amide. A froid ils ne sont pas sensiblement 173 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 174 attaqués par les alcalis, mais à la température un peu élevée le dégagement de lammoniaque commence. J'ai complètement décomposé l’amide par l’eau de baryte à la température qui ne s'était pas élevée à 100° C. Quand on fait boullir la dissolution, la dé- composition est terminée plus vite. En précipitant l’excès de la baryte par l’acide carbonique et en éva- porant le liquide filtré on obtient des cristaux de sel de baryte en forme de tablettes rhombiques, qui sont rarement bien formées et qui n’atteignent jamais de dimentions signifiantes ('/, — ‘/,""). Une partie de ce sel se dissout dans 6,17 parties d’eau bouillante et dans 12,3 parties d’eau à la température de 24° C. Le sel est presque insoluble dans lalcool, il l’est an- hydre et ne perd rien à + 120° C. L'analyse a donné pour l’expression de sa composition la formule Cie Hi, Bä O4. 0,622 du sel ont donné 0,278 de CBäO, ou 31,02, Ba. 0,501 du sel ont donné 0,266 de SBäO, ou 81,197, Ba. 0,513 du sel ont donné 0,766 CO, et 0,149 H, O ou 43,43, C. et 3,22% H. calculé trouvé Cie 43,73 43,43 == - H, V+319 3,22 = - Ba 31,20 = 31,02 31,22 0% — — — — Le sel d'argent préparé par double décomposition du sel de barium avec le nitrate d'argent, se précipite sous la forme d’une poudre cristalline, blanche; il se dissout dans l’eau bouillante et cristallise par le re- froidissement de sa dissolution en forme des tablettes rhombiques assez alongées pour avoir laspect des aiguilles applaties. La composition du sel est exprimée par la formule C; H5 Ag O:. 0,365 du sel ont donné 0,152 d’arg. ou 41,647, Ag. 0,401 » » » » 0,549 CO, et 0,102 H, 0 ou 37,367, C. et 2,827, H. calculé trouvé C, 37,22 37,36 H, 2,70 2,82 Ag 41,69 41,64 0; — — Ainsi donc le corps de Winckler et de Laurent n’est pas un benzoate ou benzilate d’hydrure de ben- zoïle, mais à juger d’après sa composition, ses pro- priétés et les produits de sa décomposition, c’est un amide particulier ou un dérivé de l’amide formoben- zoïlique, dont la constitution sera peut-être exprimée par la formule: H} C6H;.CH/f CO] N CH:.CH fr et la décomposition en hydrure de benzoïle et en amide formobenzoïlique, par l’équation: 0 Hlo H|, C,H,.CH C,H,.CH le) rO = dal + C,H,0. À T T C.H,.CH|\ HI La formation de l’amide formobenzoïlique dans la décomposition de notre amide par l’action de l’eau surchauffée, nous donne, cela me parait, une mé- thode avantageuse de la préparation de l'acide for- mobenzoïlique. Über die ersten Chyluswege. Eine vorläufige Mit- theilung von Th. Zawarykin, Adjunkt-Pro- fessor bei der Kaiïserl. medico-chirurgischen Akademie zu St. Petersburg. (Lu le 25 juin 1868.) Obwohl in den letzten 15 Jahren viele treffliche Arbeiten über diesen Gegenstand erschienen sind, ist die Anatomie der Chyluswege doch noch nicht im Kla- ren, was die Anfänge der Chylusgefisse in Darmzot- ten betrifft. Alle Methoden, die Darmzotten zu inji- ciren, haben bis jetzt den Vorwurf, die künstlichen Wege darzustellen, nicht beseitigen kônnen. Mir ist es gelungen, eine Methode, die Chyluswege zu inji- ciren, aufzufinden, die den folgenden Hauptforderun- gen entspricht : 1) die Injection geschieht im Darme des lebenden Thieres auf physiologischem Wege; 9) die von den Darmzotten eingesaugte Flüssigkeit picht diffundirt, d. h. sie bleibt in den Canälen, wohin sie mechanisch eingetrieben ist. Die Flüssigkeit wird von mir auf folgende Weiïse dargestellt. Man nimmt das Weisse aus 7 bis 10 fri- schen Hühnereïern, setzt eben so viel destillirtes Was- ser und einige Tropfen Âtznatron zu, um das Eiweiss 175 Bulletin de l’Académie Impériale 176 RE _ _—. " —— —_— zu lüsen (starke alkalische Reaction schadet dabeï gar nicht). Dann fügt man tropfenweise sogenanntes lüs- liches Berlinerblau hinzu und mischt mit einem Glas- stabe, bis die Flüssigkeit stark gefärbt wird. Um die vollständige Lüsung darzustellen, ist es nüthig, die Masse auf ein gelindes Wasserbad zu bringen und im- mer zu mischen, bis die Flüssigkeit, 30—40° C. an- nimmt und sich eine schmutzig-braune Farbe zeigt. Dan» wird durch einen Schnitt eine Dünndarmschlinge genommen, in dieselbe eine Kanüle eingebunden und die Eiweiss - Berlinerblaumasse mittelst einer Spritze vorsichtig eingespritzt, die Wunde zugenäht und auf den Bauch eine Eisblase aufgesetzt. 1, 2 bis 3 Stun- den, je nach dem Thiere, sind genügend, um die voll- ständige Injection der Darmzotten darzustellen. Jetzt wird der Darm, um blaue Farbe zu bekommen, in destillirtes Wasser, dem einige Tropfen Salz- oder Essigsäure zugesetzt sind, gebracht und dann wieder in Wasser ausgewaschen. Der Dünndarm wird in Spi- ritus aufbewahrt. Um die feinsten Schnitte für eine mikroskopische Untersuchung zu verfertigen, bin ich auf folgende Weise verfahren. Die Stücke von dem frisch injicirten oder von dem in Spiritus aufbewahrten und in diesem Falle in Wasser ausgewaschenen Darme werden in flüssige Gelatine, die bis 35° C. abgekühlt ist, gebracht und gewartet, bis die Masse mit den Darmstücken einstarrt. Dann werden die Stücke in Spiritus geworfen, und wenn man den Spiritus täglich wechselt, so werden die Gelatinedarmstücke in 3 — 4 Tagen so fest, dass sie sich zu den feinsten mikroskopischen Schnitten eignen. Die Schnitte selbst kônnen noch einmal auf einige Augenblicke in angesäuertes Wasser gelegt wer- den, um die beste blaue Farbe hervorzurufen. Auf diese Weise bin ich zu den folgenden Resulta- ten gelangt, die ich hier nur kurz notire, deren aus- führliche Mittheilung aber ich nach den Ferien der Akademie vorzustellen die Ehre haben werde. 1) Die injicirte Masse gelangt in die Darmzotten durch das cylindrische Epithel der Zotten. Da die Masse nicht diffundirt, so müssen im Cylinder- epithel irgend welche Poren existiren, um der Masse einen Durchweg zu gestatten. 2) Wenn man zufällig eine nicht zerschnittene Cy- linderzelle vor sich hat, so scheint sie im Ganzen blau gefirbt; wenn sie aber zerschnitten ist, so sieht man, dass die Maase sich nur um die Zelle sammelt, auf die Weise, dass der sogenannte Basalsaum sich blau färbt, und diese blaue Fär- bung umschliesst die ganze Zelle in bestimmten Contouren, die dem Basalsaum, was die Breite be- trift, ganz entsprechen. Man sieht also, dass die Cylinderzelle von einem blauen Raume umgeben ist. Dieser blaue spaltartige Raum geht an dem dem Basalsaume entgegengesetzten Ende der Cylin- derzelle in einen gemeinsamen Canal, der den Fortsatz der Cylinderzelle bildet, da die soge- nannten Becherzellen, nach meiner Untersuchung, nicht Kunstprodukte, sondern normale Erschei- nungen sind. Der blaue Fortsatz verliert sich in einer intermediären Membran, mit der er in con- tinuirlichem Zusammenhange steht. Die intermediäre Membran färbt sich aus ganzer Zotte am schünsten. Aus dieser Membran gehen die blauen Fortsätze durch die ganze Zotte nnd umschliessen die lymphkôrperformigen Kugeln gerade so, wie dies Basch in seiner Arbeit be- schrieben hat. Was den centralen Zottenkanal betrifft, so habe ich ihn sowohl in meinen Längs- als auch Quer- schnitten umsonst gesucht. Nach meinen Präpa- raten sieht man, dass sich das bindegewebige Balkengerüste durch die ganze Darmzotte unun- terbrochen hindurchzieht. Vielleicht stammt die- ser Befund von der Schrumpfung her, die die Präparate im Spiritus erleiden ; dies kann ich Jetzt nicht entscheiden, werde aber darüber in der nächsten Abhandlung Rechenschaft geben. CC 7 Um kurz ein allgemeines Schema der ersten Chylus- wege zu entwerfen, muss ich annehmen, dass die Darmzotte aus einem bindegewebigen Balkengerüste besteht, die mit dem Mantel der Cylinderzellen in Verbindung ist. Die Lymphspalten, die in diesem (e- rüste übrig bleiben, communiciren mit dem Raume, der unter dem Cylinder-Epithelmantel die Zelle selbst umschliesst und durch Poren, die in diesem Mantel sich befinden sollei, und mit Darmlumen in offenem Zusammenhange steht, oder diese Lymphspalten com- municiren mit dem Raume, der das Protoplasma der 157 Cylinderzellen umgiebt, so dass die injicirte Masse zuerst das Protoplasma umschliesst und dann weiter in das Zottenparenchym hineingeht. Was den weiteren Verlauf der Lymphwege im Darm- kanal betrifft, so werde ich in der nächsten Mitthei- lung darüber eine Notiz bringen. Aufzeichnungen über Nordlichte in den Jahren 1858 — 1864, von A. Winnecke. (Lu le 25 juin 1868.) Während meiner Anstellung an der Pulkowaer Sternwarte von 1858 — 1865 habe ich über alle Nordlichte, die von mir bemerkt wurden, Aufzeich- nungen gemacht. Die anderweitige Thätigkeit an der Austalt hat mir nur selten erlaubt, dem Phänomene ausschliesslich meine Aufmerksamkeit zuzuwenden; jedoch glaube ich, dass merkwürdigere Entwickelun- gen mir selten entgangen sind. Der Blick nach Nor- den ist aus dem Meridiansäale ein sehr freier, und ich unterrichtete mich, sobald Nordlichthelligkeit sich zeigte, häufig in den Pausen zwischen den Passagen der Sterne am Meridiankreise von der Entwickelung des Phänomens; einzelne kurzdauernde Erscheinun- gen künnen mir allerdings entgangen sein. Es folgt aus der Art, wie die Aufzeichnungen ent- standen sind, dass sie von den meisten Nordlichtent- wickelungen den Verlauf nur fragmentarisch angeben künnen. Aber unsere Kenntnisse über den Modus der Erscheinungen beim Auftreten eines Nordlichtes (von den Ursachen derselben ganz zu schweigen) sind noch so gering, dass ich der Ansicht bin, auch die nach- folgenden Bruchstücke von Beschreibungen seien der Verôffentlichung werth. Verbunden mit den Aufzeichnungen über Nord- lichte, wird man zahlreiche Anmerkungen über die Witterang der benachbarten Tage finden. Das Zusam- menfallen meteorologischer Processe mit Nordlicht- erscheinungen ist ein zu häufiges, als dass es rein zu- fillig sein kôünnte. Ferner habe ich dem Zusammen- hange der Wolkenbildung mit den Nordlichterschei- nungen eine besondere Aufmerksamkeit gewidmet. Unzweifelhaft sind besonders die Cirruswolken häufig Träger der Nordlichterscheinungen. Die Corona habe ich zweimal so ausgebildet gese- hen, dass eine Bestimmung ihres Mittelpunktes durch Tome XIII. des Sciences de Saint-Pétersbourg. 17 benachbarte Sterne môüglich war. Danach befand sich das Centrum derselben: 1859 Apr.21 in Hühe —69°16/Azimuth— 4°51'Ost 1862 Dec.14 = 72 NL » — 1 IN 445) Die zweite Angabe ist weniger gut; das Phänomen wurde durch nahgelagerte leuchtende Cirrusbildungen gestôürt. Das Mittel der beiden Bestimmungen fällt aber in einer bemerkenswerthen Weise mit den Wer- then der magnetischen Inclination und Declination zusammen. Hansteen giebt in den Astr. Nachrichten N: 947 zwei Formeln, die den Werth der Inclination in Function der Zeit geben Für 1860,0 findet sich i—70°51:2 Formell 70 45,7 p TT Mittel…. 70° 48" Das Mittel der beiden obigen Werthe für die Hôhe des Centrums der Corona ist 70° 45”. Der Mittelwerth für das ôstliche Azimuth wird 8° 17, ebenfalls nur unbedeutend von der magneti- schen Declination verschieden. 1858. October 8. Nordlicht bei Eintritt der Dunkelheit. Es bildet sich ein heller Bogen, unter dem ein schwarzes Seg- ment liegt, das sich jedoch von den tiefer stehenden Wolken deutlich unterscheidet. Um 22 Uhr 20 Min. Sternz. schossen 8 — 10 Strahlen, etwa 15° lang, auf. Bald darauf verlor sich das Nordlicht. October 9. Nordlicht bei Eintritt der Dunkelheit; formirt sich gegen 14 Uhr in einen Bogen und beginnt Strahlen zu schiessen. Nordlichtgewülk. Um 15 Uhr erloschen. October 12. Durch Wolken sieht man Spuren eines starken Nord- lichtes. October 31. 12 Ubr. Nordlichtspuren zwischen Gewôlk. Später brachen die Wolken auf kurze Zeit, und es zeigte sich ein schônes Nordlicht. November 26. 9 Uhr 0 Miu. Sternz. Nordlicht mit vielen Strah- 12 Bulletin de l’Académie Impériale 180 I ————— len, die kurz, aber sebr intensiv sind; nur ein Strahl | Sternz. fortdauern; 7 Uhr 44 Min. sind Lichtknoten reicht bis zum Schwanz des grossen Bären empor; 2 Uhr 8 Min. schon ganz verschwunden. 1859. Januar 23. Mittags Therm. + 2° R.; starkes Fallen des Barome- ters und gewaltiges Schneegestôber. Gegen Abend wird es kälter (um 8 Uhr Therm.—3°), und das Barometer beginnt zu steigen, während das Schneegestôber fort- dauert. Um 11 Uhr 5 Min. werden die Wolken fortge- trieben, und es zeigt sich im Norden ein prachtvolles Nordlicht; ein heller Bogen, der vom Jupiter bis zu £ Herculis reicht, der Amplitude nach. Bald darauf be- ginnen Strahlen in grosser Menge zu schiessen. Die schônste Entwickelung um 10 Uhr 40 Min. Sternz., wo der ganze Himmel im Norden mit weissen Strah- len bedeckt war, die unwillkührlich an einen Gaze- vorhang erinnerten. Wenige Minuten darauf lässt die Lichtentwicklung nach, und es bleibt nur der helle Bo- gen. Dieser war während der Strahlenschüsse durch- aus nicht gleichférmig hell, sondern man sah viele hellere Flecke (Lichtwolken) in ihm, die der Heerd der Strahlen zu sein schienen. Unter dem Lichthogen erscheint ein dunkler Raum, durch den man Sterne vortrefflich sieht; ganz tief sieht man noch die weg- getriebenen Wolken. Der Lichtbogen, welcher anfangs die nach Norden gelegenen Façaden der Häuser sehr stark cerhellte, bleibt die ganze Nacht hindurch, vur in beträchtlich geringerer Intensität. Therm. bis — 9°; Bar. 580. Februar 24. Morgens ist der Himmel bei Schneegestüber bezo- gen; Nachmittags wird es ganz heiter, und beim Dun- kelwerden zeigt sich ein Nordlicht, das um 6 Uhr 10 Min. Sternz. viele Strahlen schoss, dann aber matter wurde; doch blieb der Bogen die ganze Nacht. Therm. — 12°; Bar. 580. Februar 25. Am Morgen ist der Himmel wieder bedeckt; gegen 2 Uhr heitert er sich von Nordwest auf, und bei Ein- tritt der Dunkelheit erscheint ein Nordlichtbogen. Unter demselben sieht man noch die Wolken und selbst in ihm hie und da einen Wolkenstreif. Um 6 Uhr Sternz. beginnt es Strahlen zu schiessen, die bis 7 Uhr 40 Min. bei n Pegasi zu sehen; 7 Uhr 46 Min. schiesst ein starker Strahl daraus hervor, worauf das Nordlicht bald ganz aufhürt. Der Bogen war heute weit niedri- ger, als gestern, wo er bis fast an & Lyrae reichte. Therm. — 11°; Bar. 582. Später wolkig. Februar 26. In der Dämmerung sah der Himmel im Norden schon verdächtig aus, mehr grau, als sonst. Bei an- fangender Dunkelheit zeigten sich gewaltige Nordlicht- bogen in gelbem Lichte, deren oberer bis etwas über y und 8 Draconis hinaufreichte. Strahlenschüsse spar- sam um 6 Uhr Sternz. Um 7 Uhr Sternz. hatte sich das Ganze sehr gesenkt, und es war nur ein niedriger weisser Bogen da, gleichsam durehbrochen von dunk- len Strahlen. 10 Uhr Sternz. lebhaftes Strahlenschies- sen durch die Leier und im Pegasus. Der Nordlicht- bogen blieb die ganze Nacht, d. h. ich sah ïhn zuletzt noch um 15 Uhr. Therm. — 10°; Bar. 584 ‘). Februar 27. Schôn heiterer Tag. Kein Nordlicht am Abend. Bilder ausgezeichnet. Gegen 12 Uhr Nebel und Fal- len des Thermometers auf — 13°; Bar. 588. Februar 28. Der Himmel ist während des Tages mit leichten Wolken überzogen, die sich gegen Abend aufzuklären beginnen und nur am Horizonte dichter bleiben. Kein Nordlicht. Um 6 Uhr 20 Min. Sternz. plôtzlich aus Südwest bezogen. Hohes Nebelgewülk, das noch lange die helleren Sterne durchschimmern lässt. Therm. — 11°; Bar. 594. Mürz 2. Heiter. Minimum der Temperatur — 18°; Bar. 294. Kein Nordlicht. 2] März. 3. Am Tage leichte Cirrocumuli aus Nordwest; Abends heiter, nur im Norden einige lang gestreckte Wolken. Nordlichtschein; Ausbildung eines Bogens um 8 Uhr 1) Es scheint fast, als wenn die Ruhe der Bilder mit den Nord- lichtern in einer gewissen Verbindung steht. Sie sind schlecht, wenn Jebhafte Corruscationen da sind, wie ich an allen diesen Ta- gen bemerkt habe; in der Dimmerung waren die Bilder meistens erträglich, wurden dann sehr schlecht bis 8 — 9 Uhr Sternz. und später bedeutend besser, 181 Sternz. Strahlenschüsse nicht bemerkt. Um 9 Uhr 40 Min. Sternz. plützlich aus Südwest bezogen. Therm. — 6 4Bar 593! März 10. Es heitert sich gegen Abend auf, bezieht sich aber bald wieder mit dünnen Wolken und wird aufs Neue klar. Darauf um 10 Uhr 50 Min. Sternz. ganz bezo- gen. Um 14 Uhr 5 Min. mittlerer Zeit bemerke ich, dass es wieder ganz heiter geworden ist; der Nord- himmel ganz hell im Nordlichtschein. Keine deutlich ausgesprochene Bank, Einige Minuten später erheben sich zwei breite weisse Strahlen im Pegasus; sie durch- laufen allmählich alle Tüne von Roth bis zum herr- lichsten Purpur. In der Mitte ist das Roth lichter als an den Rändern; der Himmelsraum zwischen den bei- den Strahlen erscheint in gräulicher Farbe. Die Strah- len bleiben etwa 10 Min. sichtbar und bewegen sich in dieser Zeit sehr merklich nach Osten, wobei sie gerade bleiben; dann verschwinden sie sehr rasch, und das Nordiicht scheint seine Kraft erschôpft zu haben. März 26. Plützlich um 8 Uhr heiter; eigenthümlicher Luft- zustand: bei anscheinend klarem Himmel fallen fort- dauerd sehr kleine runde Schneekügelchen. Genaueres Zuschauen lässt hin und wieder ganz feine, rasch zie- hende Wolken erkennen; am Horizonte rings schwere Schneewolken. Gegen 10 Uhr Sternz. entwickelte sich ein Nordlichtbogen, nachdem der nôrdliche Himmel schon éine Zeitlang eine grüssere Helligkeit gezeigt hatte; 10 Uhr 40 Min. mächtiger Strahl nach dem Polarstern zu, sehr schwach rôthlich-gelb gefärbt; später noch mehrere kürzere. Unten im Norden Wol- ken; leichte Wolken sind auch im hellen Saume des Bogens sichtbar. Später üfter bezogen und wieder heiter, das Nordlicht dauert aber fort, so lange ich beobachte und scheint zuweilen sehr hell zu sein, wenn sich Wolkenlücken zeigen. Contrast? Therm. — 10°; Bar. 585. Mäürz 30. Nordlichthelligkeit in Nordwest um 10 Uhr 5 Min. Therm. + 2°; Bar. 27° 6°5. April 21. Gegen 9 Uhr bemerkte ich, bei noch sehr starker Dämmerung, schon deutlich einen hohen, gelblichen des Sciences de Saint-Pétersbourg. 182 Nordlichtbogen, aus dem in der Gegend des Schwa- nes lange Strahlen hervorschossen. Ich achtete nicht weiter darauf bis etwa 10", Uhr; dann aber hatte sich das Nordlicht in einer Vollkommenheit ausgebil- det, wie ich es bislang nie gesehen. Der ganze Him- mel von Procyon im Westen durch Nord bis « Her- culis im Osten war ein Flammenmeer. In Norden war keine dunkle Bank, auch kein heller Bogen; einige schwarze, rauchige Flecken unterbrachen dort die allgemeine Helligkeit. Diese Helligkeit war übrigens weit entfernt von Gleichfürmigkeit, es zeigten sich weniger lichte Flecken und sehr lichte, Alles in ra- schem Wechsel. Eine unzählige Menge von Strahlen erhob sich von allen Seiten dieses Raumes, und die Strahlen bildeten jenseit des Zeniths die Krone, in deren Mitte um 10 Uhr 48 Min. mittl. Zeit 12 Canum ven. exact stand. Nach Süden gingen von dem Reifen ebenfalls Strahlen hinab bis 8 Virginis. Die Krone glänzte nicht im ruhigen Lichte; die Intensität desselben wechselte stark, und es geschah dieser Wechsel in einer eigenthümlich vibrirenden Weise. Von West erhob sich um jene Zeit eine blu- tigrothe Färbung des Himmels; sie stieg hinauf zur Krone und durchschritt sie, um auf der Ostseite die Strahlenbündel zu färben. So beweglich die Lichtmas- sen der Intensität nach um die Krone herum waren, so beständig waren sie ihrer Form nach. Es lüschte manche eigenthümlich geformte Figur Dutzende von Malen ganz aus, um gleich darauf im hellsten, weis- sen Lichte zu glänzen, ohne dass sich die Form merk- lich änderte. Hôüchst merkwürdig war ein Wallen in den nach Süden herabhängenden Lichtstrahlen im horizontalen Sinne, — ähnlich als ob man ein grosses zusammenge- faltenes Laken durch zwei Personen, die es an den Enden halten, rasch auf- und abschwingen lässt. Die Strahlen nach Süden zu waren immer ganz Weiss; die Strahlen, die dem Ost-, West- und Nordhimmel die Form eines grossen Zeltes gaben, waren gelblich, stark roth, auch schmutzig grau und ziemlich stetig. Sie flackerten nicht der Länge nach. Als gegen 11'/ Uhr die Corona verschwand, fingen wieder neue Strah- len an zu schiessen, die zuweilen ruckweise seitwärts (nach Ost, wenn sie westlich vom Nordpunkte waren) sich bewegten. Auch traten dann die horizontalen Flackerungen ein. 12* 183 Um 11°, Uhr war die Pracht der Erscheimung vor- über; es war nun ein gewôbnliches Nordlicht, gelb von Farbe, mit häufigem Strahlenschiessen, jedoch ohne Bank und Bogen, übersäet mit sehr vielen dun- klen, rundlichen Flecken. In dieser Form dauerte es, immer abnehmend, die ganze Nacht. Tags über hatten wir Sonnenschein und Sommer- wolken, gegen Abend leichte Cirri im Südwest, die auch während des Nordlichtes noch vorhanden zu sem schienen, wenigstens war Spica nicht im vollen Glanze. Im Nordost, unter dem Schwan, projicirten sich auf dem Nordlicht ebenfalls ganz feine, streifige Cirri. Später war es prächtig klar im Süden. Die Sterne 8 Trianguli und 8 Andromedae waren um 11 Uhr 5 Min. vortrefflich durch die Nordlicht- helligkeit zu sehen. Therm. 9 —+1;4R. Bar MES ner 075 bei + 14,9 R. 1 0 °0 Am Tage Maximum der Wärme im Schatten + 5,0, starker Süd-West-Wind. April 22. Maximum der Wärme -+ 10,0, starker Süd-Ost- Wind, Sonnenschein, grosse und leichte Cirruswolken. die am Nachmittage verschwinden. Um 7 Uhr zeigen sich in West und Nord dichte Cirruswolken, die um 9 Uhr den Himmel aus West ganz überziehen; dick bezogen die ganze Nacht. April 23. Ungewühnlich milder, aber verschleierter Tag; im Schatten 15,5. Gegen Abend heiter, die Tempe- ratur sinkt nicht unter -+- 9,5; Wetterleuchten im Norden. April 29. Gegen 12 Uhr auf kurze Zeit theilweise klar; im Norden und Westen starkes (rewülk. Tief am Hori- zonte zeigt sich ein Nordlicht mit mehreren Strahlen- schüssen. Bald nachher wieder ganz bezogen; es fal- len einzelne Regentropfen. Temp. +- 3°. Tags über mildes, schünes Wetter, Mittags + 11° Nachmittags schwere Gewitterwolken und Donner; darauf der Himmel ganz bezogen. Gegen 8 Uhr Re- gen, der bald wieder aufhürt. Bulletin de l’Académie Empériale 184 August 25. Nach 12 Uhr Nordlicht ohne Strahlenschüsse. Es zeigen sich heute Nacht ziemlich viel Sternschnuppen. Temp. +- 7, heiteres, schünes Wetter, hier und da Cirrostratus. Die Tage darauf sehr warm (bis + 20° im Schatten). September 4. West-Süd-West-Wind. Um 10 Uhr 5 Min. zeigt sich eine grüssere Helligkeit im Nordwesten, als sein dürfte. Um 11 Uhr erscheint eine leichte, sehr nie- drige, dunkle Bank, mit lichtem Saume; bald darauf unregelmässige Lichtzertheilung und Strahlenschuss durch < Bootis. Nach einer Viertelstunde Strahl nach e Ursae maj. Von jetzt an erheben sich viele Strahlen auf dem ganzen Bogen, der in gelblichem Lichte glänzt. Die Strahlen wandern unzweifelhaft von rechts nach links; ein Strahl, der anfangs fast genau auf 6 Ursae may. gerichtet war, befand sich nach etwa 10 Min. in der Richtung auf n Ursae maj. Inzwischen hatte er mehrere Male an Intensität bis zum Unsichtbarwer- den abgenommen. Rauchfarbene Strahlen waren hie und da vorhanden, dagegen war das dunkle Segment kaum wahrnehmbar. Gegen 12 Uhr lässt die Häufig- keit der Strahlenschüsse nach, und es zeigen sich helle Flecke mit dunklen Stellen vermischt, aus denen sich dann und wann ein kurzer Strahl erhebt. Sehr feuchte Luft und später dicker Nebel. Es hatte, nach der sehr warmen Periode, Tags vorher (Sept 3.) und die vorhergehende Nacht stark geregnet. Am 4. Sept. Morgens war es aber schôn heiter und leidlich warm; Nachmittags plützlich aus Nordwest bewülkt, später aber wieder sehr schün heiter und nicht kalt (+ 9°). Tags darauf bewülkt, Cirrostratus. Während des Nordlichtes werden einzelne Stern- schnuppen bemerkt, die sich darauf projicirten; es wurde nichts Besonderes daran wahrgenommen. September 24. Es heiterte sich gegen 11 Uhr auf, wobeï im Norden ein brillanter Nordlichtbogen von intensiv weissgelbem Lichte sichtbar wurde. Um 14 Uhr 5 Min. zertheil- ten sich die Wolken noch einmal momentan; das Nord- licht erschien noch in gleicher Stärke und glänzte in rôthlichem Schimmer. Tags darauf starker Südwest-Wind, zwei Tage spä- ter grosse Wärme. 185 September 26 — + 13 ; Mittags. » DNA » September 29. Nordlichthelligkeit; gesehen zwischen Wolken. October 1. Gegen 14 Uhr zeigen sich zuweilen Lücken in den Wolken und Nordlichthelligkeit; um 15 Uhr einzelne Strahlen. Ein Bogen war fast gar nicht vorhanden. Tags über sehr warm — + 11°. Vorher und spä- ter starke Regengüsse. October 2. 7 Uhr 5 Mio. wird es auf 2 — 3 Min. hciter nach heftigem Regengusse. Heller Nordlichtbogen; dann wieder Regen. Um 10 Uhr zertheilten sich die Wol- ken im Norden auf Momente; die Nordlichthelligkeit noch sebr stark. October G. Nach Untergang des Mondes entwickelte sich ge- gen 13 Uhr in Nordwest eine Bank mit lichtem Bo- gen, mit nur geringer Andeutung von Strahlenschüs- sen; die ganze Erscheinung überhaupt ungewôhnlich niedrig. Um 14 Uhr plôützlich bewülkt aus Südost. Therm. + 150; Bar. 598. Die folgenden Tage trübe bis Oct. 19. October 19. Nach Wagner’s Angabe ist ein entschiedenes Nord- licht zu sehen gewesen. Von meiner Wohnung hatte ich die Helligkeit im Norden für Wirkung des aufgegan- genen, in den Zwillingen stehenden Mondes gehalten. October 20. Heute schône Nebensonne und Ring um 1 Uhr; Abends Hof um den Mond. Sebr veränderlich, häufig be- wôlkt und wieder klar; Wolken dünn und gebrochen. Gegen 10 Uhr ganz klar, worauf ein Nordlicht mit einigen Strahlen tief in Nordwest sichtbar wird. Kurz nach 12 Uhr ganz bezogen aus Nordost; späüter wie- der heiter. Erst am Morgen gegen 10 Uhr bedeckt sich der Himmel mit Cirrostratus. Temp. um 10 Uhr — 5°, später wird es wärmer. Bar. 583. des Sciences de Saïint- Pétersbourg. 16 November 15 *). Deutlicher Nordlichtbogen in Nordwest, ohne Strah- lenentwickelung. Sehr hoher Barometerstand — 610 in jenen Tagen, Temp. Abends etwa — 6°. December 13. Heller Mondschein. Gegen 8 Uhr schien es, als wenn lichte Wolken aus Norden kämen; es formirte sich die Helligkeit aber bald zu einem Bogen, der hoch hinaufstieg und in lebhafte Corruscationen überging. Doppelter Bogen? Gegen /, 10 Uhr lässt die Lebhaf- tigkeit nach, beginnt aber wieder um 11 Uhr; es stei- gen Strahlen bis zum Zenith in die Hühe, und dann und wann zeigt sich eine lebhafte Rôthe. Mit Ausnahme von Dec. 22 ist es ganz trübe bis Jan. 19. 1560, Januar 20. Um 9 Uhr Nordlichthelligkeit im Norden, bald dar- auf leicht überzogen. Therm. — 20,5; Bar. 600,0. Januar 21. Am Tage trübe; um 8 Uhr heiterte sich der Him- mel plôützlich auf. 6 Uhr O Min. Sternz. Nordlicht- helligkeit. 6 Uhr 45 Min. Bogen in Nordwest, der e Cygni mit dem oberen Rande berührt. Sein hüchster Punkt liegt im Verticale von o Cygni. Der Himmels- raum erscheint sehr dunkel unter dem Bogen; ich sehe keine Sterne darin; er ist gleichformig gefärbt. 6 Uhr 53 Min. Strahl bis y Drac.,gleich daraufStrahl bis + Herc. Therm. — — 22,4. un; Januar 22. Gegen 8 Uhr Nordlicht. Es zeigt sich kein regel- mässiger Bogen, sondern man sieht fleckige Lichtmas- sen von geringer Intensität. Bald darauf trübe, Cir- rus. Therm. — 20°. Tags darauf beträchtlich wärmer. Februar 11. Nordlichtschein in Nordost, durch Wolken geschen. Februar 12. Schün heiter; gleich nach Beendigung der Däm- merung wird ein hellgelber Nordlichtbogen sichtbar, 2) Das Datum vielleicht um einen Tag unsicher. 187 dessen Hühe um 5 Uhr Sternz. gleich der von & Ly- rae ist. Sterne dritter bis vierter Grüsse sehr deutlich dadurch gesehen. Der Bogen bleibt sehr lange stehen und soll später in Corruscationen übergegangen sein, was ich, mit anderen Beobachtungen beschäftigt, nicht bemerkt habe. Noch um 14 Uhr mittl. Zeit sind Spu- ren des Nordlichtes sichbar. Therm. — 15°, Bar. 602,0, ziemlich starker Süd- West-Wind. Am folgenden Tage heiter, jedoch viele Cirruswolken in Südwest. Februar 18. 11 Uhr 5 Min. sehr schwacher Schein im Norden. Sehr heiter. Therm. — 19°. März 17. Es heitert sich gegen 6 Uhr auf. Nach Eintritt der Dunkelheit zeigt sich ein schüner Nordlichtbogen; um 10 Uhr erscheinen Strahlenschüsse, nach denen das Nordlicht bald vüllig erlischt. Später sieht man nur dunkle, sehr unregelmässige Lichtflecke am Nordho- rizonte. Heftiger Süd-Ost-Wind. März 18. Es erscheint ein Nordlicht gleich nach Eintritt der Dunkelheit, das aus unregelmässigen Lichtflecken be- steht, ohne ausgebildeten Bogen. Später in der Nacht verschwindet der Nordschein vollständig. Heftiger Süd-Ost-Wind. März 22. Nordlichthelligkeit zwischen Gewülk, durch das man dann und wann auch Sterne wahrnehmen kann. Sturm aus Süden. Cirruswolken. In den heiteren Nächten des October und Novem- ber kein Nordlicht sichtbar. December 9. Wolkig, Cirrostratus, sehr ruhige Bilder. Nord- schein um Mitternacht; um 15 Uhr vorbei. Therm. = 13°; Bar. 589. December 10. Die leichten Cirruswolken dauern auch während des Tages fort. Abends Nordschein zwischen den Wolken, die bis zu den Tatzen des grossen Bären den Himmel dicht bedecken. Um 6 Uhr 32 Min. Sternz. heller Bogen, die Wolken erscheinen in compactere Bulletin de l'Académie Impériale ————@— 1SS Streifen abgetheilt. Später zeigen sich einzelne Strah- len bei zunehmender Bewülkung. Die Strahlen sind viel weiter entfernt, als die Wolken, da letztere sich deutlich auf ihnen projiciren. Um 14 Uhr erscheint eine prächtige hellrothe Stelle in einer Wolkenlücke. December 16. Helles Nordlicht; nur durch Wolkenlücken gesehen. 1864. Januar 24. Wegen äusserst schlechter Bilder schliesse ich um 8 Uhr die Meridianbeobachtungen; es ist auch keine Spur von Nordschein sichtbar. Eine halbe Stunde spä- ter brillantes Nordlicht, ohne wahrnehmbaren Bogen. Es zeigen sich grosse Lichtvorhänge, sehr wechselnd nach Intensität. Ungeheure Schwingung von Lichtma- terie um eine scheinbar horizontale Axe. In einer Se- cunde eine grosse Anzahl von Pulsationen. Einzelne Strahlen sind sichtbar, die sich allmählich färben. An einzelnen Stellen des Himmels erscheinen rôüthliche Flecken. Ganz leichte leuchtende Lichtwolken ziehen durch das Zenith nach Süden, dem Aussehen nach nicht wesentlich verschieden von dem Rauche der Kamine in grôserer Entfernung vom Dache, welcher vom Voll- monde beschienen ist. Um 9", Uhr ist das Nordlicht vüllig vorüber; es bleibt heiter. Von 14 Uhr aufs Neue Bogen mit Strahlen. Auch an den folgenden Tagen bleibt es heiter und sehr kalt, ohne Nord- schein. Februar 21. Gegen 13 Uhr heller Nordlichtbogen, mit Spuren von Strahlenschiessen, der nach halbstündiger Dauer wieder verschwindet. Therm. — 14°, Bar. 605; das Therm. sinkt gegen Morgen auf — 17°. Am folgenden Nachmittage bewülkt es sich aus Süd-West; starker Sturm und Thauwetter. März 2. Um 8 Uhr ist der Himmel plützlich sehr schôn klar. Thauwetter. Leichter Nordlichtschein im Nord-West, mit sehr zarten Säulen. Nach drei Viertelstunden ganz trübe. Mürz 9. Nach viel trübem Wetter gegen Mittag auf kurze Zeit heiter, dann trübe und Schneefall. Um 4 Uhr wird 189 des Sciences de Saint. Pétersbourg. 190 es wieder heiter, nur im Norden, tief am Horizonte bleiben Wolkeu. Als es anfängt dunkel zu werden, zeigt sich über den Wolken, sebr tief, ein Nordlicht- bogen, der allmähhch hôher steigt. Um 8 Uhr 45 Min., als ich hinausgeing die veränderlichen Sterne zu be- obachten, sehe ich in Nordwest plôtzlich einen enorm hellen, bis zu den Plejaden reichenden Streifen, schein- bar ohne irgend welche Verbindung mit dem Nord- licht, dessen Bogen nicht so weit reicht. Er bewegte sich langsam nach Süden und wurde blasser, aber gerade und theilte sich in drei Strahlen. Kurz darauf zichen schwere Wolken auf, die sich herrlich von dem jetzt sehr hell gewordenen Nordlichtbogen abheben. Gegen 9 Uhr 7 Min. fängt es an sich wieder aufzuhei- tern. Der Bogen ist noch hôüher gestiegen, aber sehr knotig, von ungleichfürmiger Lichtvertheilung und nach unten sehr unregelmässig begrenzt. Der hôüchste Punkt liegt westlich vom Nordpunkte. Scheinbare Zerthei- lung des Bogens in feine Strahlen durch ein Vordrin- gen des dunklen Bogens in den hellen. Darauf er- scheint plôtzlich eine Rôüthung unter den Plejaden, die sehr lebhaft wird, und die Strahlen erheben sich bis zum Polaris. Der rothe Brand schreitet von West durch Nord nach Osten ailmählich vor, unter häufigem Strah- lenschiessen; hellgrüne Farbe an manchen Stellen. Es treten Corruscationen ein, die heute nicht Schwingun- gen um eine horinzotale Axe vergleichbar sind, son- dern ähnlich dem Flackern einer Flamme. ZweiStern- schnuppen, die durch das Nordlicht fahren, entzünden keine Strahlen. Die beiden Sterne y und $ Drac. sehen in einem intensiv rothen Flecken rôthlich-gelb aus. Es bewôlkt sich wieder, durch die Wolken aber leuéh- tet das Roth und färbt zuweilen die Wolken so inten- siv, wie es selten eine Feuersbrunst thut. Es hat ganz den Anschein, als wären die Wolken von unten erleuch- tet; aufmerksamere Betrachtung lehrt, dass sie an den leuchtenden Stellen sehr dünn sind; nur da sieht man Sterne durchscheinen. Dadurch wird es wahr- scheinlich, dass diese rothen leuchtenden Stellen nur die rothen Flecken des Nordlichtes sind, gesehen durch Wolkenlücken. Herrlicher Effect des weissen Sternes & Lyrae in der Mitte einer solchen blutro- then Wolke. Die Wolken erscheinen bis in’s Zenith gerôthet.; dort werden auch einige Strahlen in Lücken gesehen. Therm. — 2°; Bar. 579. Gegen 13 Uhr wieder heiter; die Färbung des Him- mels ist ganz verschwunden. Der Nordlichtbogen steht noch hoch, ist aber zerbrochen und sendet viele Strah- len aus. 13 Uhr 5 Min. ist das Nordlicht ungemein hell; sehr hoch, bis in den Perseus, schiessen viele Strahlen, und es erscheint von Neuem eine leichte rosa Färbung. April 5. Gegen 11 Uhr sind einige sehr leichte Strahlen sicht- bar; keine Spur von Nordlichthelligkeit oder Wolken am Horizonte. Die Strahlen erscheinen vom Nord- punkte einige Grad westlich. April 8. Um 10 Uhr sind einige dünne Strahlen sichtbar und sehr tief eine dunkle Bank. Später immer sehr medrig ziemlich beträchtliche Helligkeit; die Sterne sind sehr unüruhig und funkeln enorm. : September 7. Starkes Funkeln der Sterne; viele Sternschnup- pen. Gegen 9 Uhr mittl. Zeit leichte Nordlichthel- ligkeit, sehr niedrig am Nordhorizonte. 9 Uhr 5 Min. einzelne weisse Strahlen, fast genau im Norden 15° hoch; später etwas üstlich vom Nordpunkte ein leuch- tender verwaschener Fleck, sehr ähnlich dem Stück Milchstrasse im Sobieski’schen Schilde. Keine Spur von Bogen. Therm. + 7°; Bar. 589. September 8. Es klärt sich gegen 10 Uhr langsam von Nordost auf; um 10 Uhr 5 Min. schôüner weisser Strahl, etwas ôstlich vom Nordpunkte; kein Bogen. Die Nordlicht- helligkeit nimmt allmäblich zu. Später noch einige Male Gruppen von kurzen weissen Strablen. Gegen 15 Uhr Spuren eines Bogens sehr tief am Horizonte. Die Sterne funkeln sehr stark, wie es gestern der Fall war. Therm. + 6°; Bar 551. October 10. Schon während der Abenddämmerung erscheint im Norden zwischen Wolken die schmutzig-gelbe, cha- rakteristische Nordlichtfärbung. Später ist der Him- mel im Norden sehr hell, ohne eigentlichen Bogen. Gegen 8 Uhr Ausbildung des Bogens und Hervortre- ten des dunklen Segmentes, nachdem alle Wolken ver- schwunden. Im Cometensucher sehe ich aufs deut- lichste kleine Sterne in der für’s blosse Auge sebr 191 Bulletin de l’Académie Hmpériale 192 dunklen Masse des Segmentes. Das Licht des hellen | tief am Horizonte, abwechselnd heller und dunkler. Bogens ist beträchtlich gelb und eine Zeitlang sehr leb- haft. Ich konnte, in der Klappe des Heliometerthur- mes stehend, die Titelseite des «Nautical Almanac» gut lesen, wenn ich dieselbe nach Norden kehrte, mit Aus- nahme der kleinen einsylbigen Zwischenworte. Gegen 10 Uhr erheben sich viele Strahlen, auch rauchartige, und nach kurzer Zeit verfällt der Bogen; dann und wann noch Strahlen, aber gegen Mitternacht ist der Nordschein bis auf eine ungewühnliche Helligkeit am Nordhimmel, ohne Strahlen oder Bogen, verschwun- den. December 1. Nach langer Pause wieder ein Nordlicht. Das Wet- ter ist ungewühnlich warm, bei sehr heftigem Süd- West-Winde, der seit heute Morgen die Wolken von Zeit zu Zeit zerstreut. Gegen 6 Uhr wird es ganz hei- ter; eine Stunde später bemerke ich eine schwache Helligkeit über der unregelmässigen, ziemlich hoch am Nordhimmel lagernden Wolkenmasse. Etwas spä- ter bedeutende Zunahme der Helligkeit; die Wolken- bank ist an einzelnen Stellen gebrochen und scheint den jetzt augenscheinlich vorhandenen Bogen zu ver- decken. Man bemerkt gegen 8 Uhr einzelne Strahlen. Um 9 Uhr ist der Nordschein fast ganz erloschen. Un 10°, Uhr bewülkt es sich rasch aus Südwest. Bar. 581,0, langsam im Steigen begriffen. Therm. con- stant +- 1,0, am Tage + 2°/,° etwa im Maximum. December 19. Gegen 4 Uhr Nachmittags plôtzlich klar; still. Die Wolken lüsen sich auf. Abwechselnd heiter und trübe, indem aus Nordwest immer neue Nach- schübe kommen, die sich dann wieder auflüsen. Bar. 591,1, langsam steigend, Therm. schwankend zwi- schen — 955 und — 10;3, je nachdem es heiter oder trübe ist. Um 11 Uhr deutliche Strahlenschüsse in Nordost, Kein Bogen; tief unten Nordlichthelligkeit. 1862. Januar 1. Um 11 Uhr Nordlichthelligkeit im Nordwesten. Sehr wechselnder Himmel: starker Wind. Therm. — 13°; Bar. 580. Januar 2. Schôner Tag; gegen 7 Uhr Nordlichtbogen, sehr Gegen 11 Uhr einige Strahlen. Der Bogen bleibt im- mer ungewühnlich tief. Später in der Nacht ist kein Nordschein mehr sichtbar. Therm. — 16°; Bar. 584. Januar 3. Es ist heiter, kein Nordlicht; gegen Mitternacht aus Westen bezogen; Niederschlag. März CG. Nordlichtbogen mit wenigen Strahlen gleich nach Beendigung der Dämmerung. Es bezieht sich allmäh- lich (verschleiert sich). Um 10 Uhr merkwürdiger Strahl im Bootes, der sich über das Zenith hinaus fortsetzt und sehr deutlich den Zusammenhang zwischen Cir-. ruswolken und Nordlichtstrahl zeigt. Im Bootes ist er durchaus nicht von einem Nordlichtstrahle zu un- terscheïiden, jenseit des Zeniths erscheint die Fort- setzung als eine einsame, hellere Cirruswolke. Der Strahl blieb gegen eine halbe Stunde sichtbar und war fix am Himmel, d. h. die Sterne rückten motu primi mobilis hinein. August 4. Als ich bald nach Mitternacht aus dem Meridian- saale auf kurze Zeit ins Freie ging, bemerkte ich sehr schüne Nordlichtstrahlen zwischen Bootes und dem Schwanze des grossen Bären. Ein Bogen war nicht zu sehen, vielleicht weil die Dämmerung am Nord- horizonte noch zu hell war. Tief im Norden lag je- doch eine dunkelschwarze, unregelmässig begrenzte Wolkenmasse. Um 10 Uhr waren noch eine Anzahl Strahlen in deutlich gerüthetem Lichte zu sehen, ohne jede Spur eines Bogens; die Wolkenbank blieb unver- ändert. Sehr schlechte Bilder am Meridiankreise. Therm. + 6°; Bar. 591,5. Am folgenden Tage bezogen, klärt sich aber um 11 Uhr auf. August 286. Schwere Wolken während des Tages, mit einsetzen- dem Nordost-Winde; gegen Abend in der Dämmerung eine halbe Stunde heiter, in welcher eine Beobachtung des Cometen erhalten wurde. Dann starker Regen, nach dem es sich um 9 Uhr mittl. Zeit aufheiterte. Schônes Nordlicht mit vielen Strahlenschüssen, unter denen einzelne rôüthlich sind. Der Bogen ist sebr tief und halb von Wolken verdeckt; die Strahlen dauern 193 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 194 nur sehr kurze Zeit. Wolken bilden sich und verge- hen plôtzlich. Um 11 Uhr ist der Himmel wieder ganz bezogen und nach einer Stunde von Neuem heiter. Im Norden erscheint eine beträchtliche Helligkeit ohne Bogen oder Strahlen. Gegen 14 Uhr zeigen sich ein- zelne helle Strahlen; um 15 Uhr dick bezogen. August 31. Gegen 11 Uhr Nordlichtstrahl in Nordwest; bald darauf ganz bezogen. September 1. Um Mitternacht steigen Cirruswolken, welche tief unten in Nordost lagerten, hüher. In einer Spalte tief unten zeigt sich eine beträchtliche Nordlichthelligkeit ; gegen 13 Uhr breite, sehr schwache Strahlen. Um 15 Uhr bedeckt sich der Himmel aus Norden. Sehr warme Nacht. Therm. + 8°; Bar. 597'/; schlechte Bilder. September 26. Nach einem sehr regnerischen Tage heitert es sich plôützlich gegen 11 Uhr in Nordost auf, und man sieht tief am Horizonte schwache Spuren eines Nordscheines. Sebr feuchte Nacht, so dass sich am Himmel zuweilen plôützlich Wolken bilden. Therm. + 1°; Bar. 509,0. September 27. Gegen 11 Uhr sehe ich einen Lichtbogen tief im Norden. Strahlen habe ich nicht bemerkt, sie kônnen aber wohl erschienen sein, da ich nur kurze Zeit auf das Nordlicht achten konnte. October 4. Gestern sehr heftiger Regen, heute klar, aber zu- weilen plôützlich bewôlkt. Um 8 Uhr bemerke ich bei der Zurückfahrt von St. Petersburg ein sehr schünes Nordlicht. Vom Arctur bis zu den Vorderpfoten des grossen Bären brannte der Himmel fôrmlich; ein sehr deutlicher Bogen mit dem düsteren Segmente ist tief am Horizonte sichtbar. Es zeigen sich keine eigent- lichen Strahlen, sondern grüssere, sehr hell von Zeit zu Zeit aufleuchtende Flecken in gelbem Lichte, zwi- schen ihnen manche der kleinen düsteren, charakte- ristischen Wolken. Sonst ganz heiter, nur tief im Süden sieht man noch Wolken. Um 9 Uhr 5 Min. plützlich innerhalb weniger Mi- nuten bezogen und später ebenso plôtzlich wieder hei- Tome XIII. ter. Es bezieht sich dann allmählich von Norden mit Cirris. Um 12 Uhr werden die Wolken wieder dün- ner und verschwinden endlich ganz; es ist jedoch keine Spur von Nordlicht weiter vorhanden. Sebr gute Bilder, warme feuchte Nacht. Therm. + 5°; Bar. 591". Still. November 17. Nach lange trübem Wetter heiterte es sich Mittags, bei hohem Barometerstande, von Süden auf. Die fort- gezogene Wolkendicke blieb aber noch lange im Nor- den stehen. Abends zeigten sich über ihr Nordlicht- spuren. (Gegen 10 Uhr mittl. Zeit ziemlich heller Schein, kein Bogen. Strahlen wurden nicht bemerkt. Später in der Nacht, 15 Uhr mittl. Zeit, ist die Nord- lichthelligkeit, so wie die Wolkenbank, verschwunden. November 18. Bald nachdem es dunkel geworden ist, zeigt sich ganz tief am Nordhimmel ein schwacher Nordlicht- schein. Um 22 Uhr 35 Min. Sternz. bildet sich ein schôüner, sehr heller, gelblicher Bogen aus, der aber nach einigen kurzen Strahlenschüssen wieder matt wird. Dann erscheint, von Zeit zu Zeit, ein Aufglim- men an mehreren Stellen und reichliche Strahlen, un- termischt mit dunklen Flecken, die sich bald als wirkliche Wolken zeigen; um 23 Uhr 15 Min. Sternz. plôtzlich Wolken im Süden und Norden. Um 0 Uhr Sternz. bezogen, und so bleibt es die Nacht. Bar. 607 steigend, Therm. — 750 constant; später La) stei- gend. Die Bilder der Sterne ausnahmsweise recht schôn, sowohl im Norden als im Süden. November 19. Ich sah mebrfach nach, ob sich nicht Nordlicht- spuren zeigen würden, aber vergebens. Erst gegen Mitternacht erschienen im Norden einige schwach phosphorescirende Wolkenstreifen. November 20. Kein Nordlicht; es wird gegen 11 Uhr ziemlich dunstig. November 27. Es ist am Morgen plôtzlich heiter geworden; Abends fast ganz heiter, nur wenige feine Wülkchen ver- schleiern den Himmel, die man jedoch ohne den Mond, dem sie einen doppelten kleinen Hof verleihen, nicht 13 195 sehen würde. Um 23 Uhr 30 Min. Sternz. schôner gelblicher Bogen mit dunklem Segment, durch welches Sterne leuchten. 23 Uhr 40 Min. 12 Canum ven. steht fast an der oberen Gränze des Bogens, nicht in ihm. 23 Uhr 45 Min. Der Bogen ist ganz gleichformig hell, aber ohne Zweifel weder ein Stück eines Krei- ses, noch ein Stück einer Ellipse; die Krümmung der westlichen Hälfte ist weit stärker, als die der üstli- chen. 12 Canum steht jetzt schon etwas in dem Bogen. 23 Uhr 50 Min. Es erscheint im dunklen Segmente ein zweiter Bogen, jedoch nur bruchstückweise. Die- ser untere, unvollkommenere Bogen beginnt Strahlen zu schiessen, die dureh den oberen hindurchgehen. Der untere Bogen sieht fast wie der leuchtende Saum | einer Wolke aus. Es zeigen sich jetzt eine Menge Strahlen von 30 — 40° Hühe. Um O0 Uhr 20 Min. ist nur noch unbedeutende all- gemeine Helligkeit im Norden sichtbar, nebst dann und wann aufschiessenden Strahlen. Später sind die Spuren grüsserer Helligkeit im Nor- den kaum merkbar. Therm. — 10°, sehr constant zwischen 22 Uhr und 23 Uhr 36 Min. Bar. 603, lang- sam steigend. Therm. fällt später; 15 Uhr mittl. Zeit — 1125. Am folgenden Tage bedeckt. Süd-Südost- Wind; ziemlich stark. December 14. In der verflossenen Woche hatten wir starke Kälte, bis — 23° bei Süd-Südost-Wind; es war häufig hei- ter, ohne dass ein Nordlicht sichtbar wurde. Sonntags bezogen, mit Lücken im Westen. Windstill. Um 9! Uhr (Therm. — 16°) bemerkt man zwischen den Wolken sehr helle Nordlichtstrahlen in Nord- Nordwest; in Nordost scheint durch die Wolkenlücken eine mehr gleichmässige Nordlichthelligkeit von bedeu- tender Intensität. Ich ging auf eine Weile in’s Freie und bemerkte hôüchst eigenthümliche Erscheinungen. Von einem ei- gentlichen Bogen war, vielleicht wegen der an man- chen Stellen sehr dichten Bewülkung, Nichts zu er- kennen; am Westhimmel aber, wo nur Schleierwolken lagen, jagten sich die Lichtpulsationen in diesen Wol- ken fürmlich. Es schien, dass dieselben Wolken ab- wechselnd leuchtend und wieder unsichtbar wurden, vorausgesetzt, dass man nicht der mir sehr viel un- Bulletin de l’Académie Impériale 196 wahrscheinlicheren Ansicht sein will, dass die Nord- lichtcorruscationen an identischen Stellen des Him- mels immer sich in identischen, oft sehr bizarren For- men bewegt hätten. Diese Formen hatten sehr viel Âholichkeit mit denen, welche dünne Cirruswolken üfter annehmen, wenn zwei widerstreitende Luftstrôme sich treffen, schlangenartige, sonderbar gekrümmte Gestalten. Sie leuchteten von Nord nach Süd in ra- schen Pulsationen auf. Um 11 Uhr war es fast vüllig heiter geworden, und das Nordlicht entwickelte eine unbeschreïbliche Pracht und eine solehe Fülle von Detail, dass an ein genaues Beschreiben gar nicht zu denken ist. Um 11 Uhr waren die Fische, rings um Mars, bis zum Widder voll intensiv dunkelrothem, ruhigem Lichte; ähnliches, weniger tiefes Roth lag im Orion bis unter den Gürtel hinab, aber nicht weit über den Kopf desselben hinaus. Hüher am Südhimmel schossen Strahlen kranzartig zusammen; mir schien es jedoch, als würde die Rein- heit dieser Erscheinung dadurch getrübt, dass noch immer eine Anzahl langer Cirrusstreifen vorhanden waren, die nur bemerkbar wurden, wenn sie leuch- teten; wenigstens war die Corona durchaus keine re- gelmässige Figur; die Strahlen, welche sie bildeten, waren zum Theil sehr unregelmässig gekrümmt. Sie leuchtete auf und verschwand, um wieder aufzuleuch- ten. Die Formen dieser unregelmässig gekrümmten Strahlen waren dabei aber fast immer dieselben; es schien mir, als rückten sie langsam nach Süd-Ost. Das Centrum lag etwa in der Mitte zwischen n, £ und « Aurigae um 11 Uhr 1 Min. mittl. Zeit (also a = 1355, d — + 52°), sehr ungewiss zu bestimmen. Eine solche Beweglichkeit, ein solches Laufen der Lichtmaterie von Nord in die Hühe, nicht von Strah- len (obgleich auch Strahlen in Menge aufschossen und wieder verblassten), ein solches eigenthümliches Zuk- ken und Vibriren habe ich bisher noch nicht gesehen. Ein eigentlicher Bogen war nicht vorhanden. Am Nordhimmel, rings von West bis Ost, standen deta- chirt gelbliche Massen, die zuweilen hell aufbrannten und dann Strahlen entsandten. Zuweilen bildeten sich darin (darauf projicirt?) Wôlkchen, die rasch wuchsen, aber auch rasch wieder verschwanden. Tiefer im Süden, wo man vom Nordlichtschein Nichts gewahrte, schien es dunstig zu sein. 197 des Sciences de Saiïint-Pétersbourg. 195 Bemerkenswerth erscheint mir, dass die grossen gelblichen Heerde am Nordhimmel die Schwingungen und Pulsirungen in weit geringerem Maasse zeigten, als die Corruscationen im Zenith und jenseits dessel- ben im Süden. Die rothen, ruhigen Scheine um Mars und im Orion dauerten nicht lange. Das Roth wurde sparsamer, und nur einzelne Strablen nahmen die Farbe an. Die langen Strahlen hatten keine Bewegung im Azi- muth, die man in einigen Minuten hätte bemerken künnen; sie wurden meistens breiter, Wenn sie ver- blassten. Um , 12 Uhr war die Erscheinung weit weniger lebhaft geworden. Um 12°, Uhr bildete sich ein prächtiger Bogen im Norden, aber unregelmässig, aus mebreren ungleich hohen Stücken bestehend; streifig, durchsetzt von vie- len rauchfarbenen, kurzen Strahlen, die aus rund- lichen, rauchfarbenen Flecken aufstiegen. In diesen Flecken sah man die Sterne sehr deutlich. Der Raum des Himmels unter dem Bogen war so dunkel, dass nur das in ihm ungeschwächte Leuch- ten von Wega und schwächerer Sterne die Überzeu- gung gab, dass dort keine Wolkenmassen lagen. Die rauchartigen Streifen schossen zuweilen hin- auf, was vielleicht gegen die Erklärung derselben durch Contrast sprechen dürfte, zu der mich der An- blick des Phänomens unwillkührlich veranlasste. Die Schwingungen im Zenith und über dasselbe hinaus dauerten fort. Es war jetzt noch ein Phäno- men hinzugekommen, das ich früher nicht bemerkt hatte; es brannten nämlich die Strahlen dem Azimuthe nach an, z. B.: ein heller Strahl schoss bei Arctur auf, — sogleich lief das Aufschiessen nach links auf eine Strecke von vielen Graden. Die Richtung des Auf- leuchtens war keine bestimmte; die Strahlen entzün- deten sich von Ost nach West und von West nach Ost. Um 13 Uhr 3 Min. war der Bogen sehr hoch ge- stiegen; Gestalt sehr unregelmässig, streifig und strah- lig. Es kam jetzt nochmals eine herrliche Entwicke- lung nach Farbe und Schwingungen, aber es zeigte sich keine Corona. Tief im Nordwesten erschien um 13 Uhr 4 Min. ein Wolkenstreif. Um 13 Uhr 5 Min. war der Himmel vollständig mit einem dichten Schleier aus Nordwest überzogen, durch den der Mond wäh- rend der ersten Minuten mit Mühe blickte. Therm. 13 U. 20 M. —18°2; Bar. An. 28 Z. 3 L. const. » 14 » O0 » —1774: es erhebt sich Wind aus Westen. December 15. Bezogen: starker Südwest-Wind. Therm. steigt bis 8 Uhr Abends auf — 7°, Bar. An. 281Z.224l: December 24. Nach leichtem Schneefall in der vorhergehenden Nacht heiterte es sich bei scharfem Nord-Nordwest- Winde gegen 11 Uhr Mittags auf. Therm. fällt, Bar. steigt rasch. Abends 7 Uhr 5 Min. Nordlichtbogen, regelmässig, sehr tief im Norden. Therm. — 10,5. Bar. stationär. 8 Uhr: es zeigen sich einige Strahlen; das dunkle Segment erscheint sehr deutlich. Später allgemeine Nordlichthelligkeit im Norden. Um 11 Uhr bewülkt es sich rasch aus Norden. In der Nacht und am folgenden Tage fällt Schnee bei 0° (Dec. 25, 7 Uhr). Windstill. Bar. sehr rasch gefallen, Aneroïd: Dec. 25, 12 Uhr 5 Min. — 27 VA 3,0 L. 1563. Januar 24. Nach Mitternacht zertheilte der heftige Südwest- sturm das Gewülk; Thauwetter; im Norden zeigte sich über der fortziehenden Wolkenbank Nordlichthellig- keit; aufflackernde Lichter, sowie die (selteneren) ra- piden, horizontalen Schwingungen wurden sichtbar. Bald erschienen auch einige sehr breite, niedrige Strahlen und ein leichter Anflug von Roth. (regen 14 Uhr hatte sich ein schüner, ruhiger, gelber Bogen ausgebildet, der jedoch bald zerbrach. Dann und wann zeigten sich einzelne Wülkcken. Gegen 14", Uhr im Süden dunstig; der Dunst kommt allmählich hüher. Um 15 Uhr war das Nordlicht bis auf die allgemeine grôüssere Helligkeit im Norden verloschen; der Him- mel bezog sich plützlich. Das Therm. ist auf — 2° gefallen, das Bar. ein wenig gestiegen. An folgenden Tage Thauwetter, Schlackschnee ete. bei Südwest-Wind. Februar 24. Schüne heitere Nacht bei starkem Nordwinde (nach Schneefall). Um 8 Uhr sehr schwache Nordlichthel- ligkeit tief im Norden. Um 9 Uhr ein prächtig heller, sehr scharfer Strahl, ganz ähnlich einem Cometen. 13* 199 Bulletin de l’Académie Impériale 200 TT —…——…—" —…— —…—…—…—…—…— —————— Später bleibt, bis tief in die Nacht, die Helligkeït, Strahlen sind jedoch nicht weiter bemerkt. Tags darauf bezogen. Schnee. April 9. Heller Nordlichtbogen, mit dunklem Segment. Strah- lenschüsse nicht bemerkt. April 10. Gegen 9 Uhr entwickelt sich ein Nordlichtbogen und bald erscheinen eine Menge schôüner Strahlen. Später gegen Mitternacht verschwindet der Bogen, und es bleibt nur eine grüssere Helligkeit nach. Seit April 7 vüllig klar; sehr schôünes, warmes Wet- ter. Am Tage bis + 9°; gegen Morgen etwas unter 0°. Südost-Wind. April 15. Ich bemerkte (in St. Petersburg) um 10 Uhr em sehr dunkles Segment mit äusserst hellem Rande. Bei der Rückfahrt nach Pulkowa von 12 — 14 Ubr entwickelt das Nordlicht eine grosse Pracht. Das dunkle Segment ungewühnlich düster, so dass man hätte glauben künnen, es wäre eine Wolke; aber der einige Grade unter 8 Tauri, sebr tief am Hori- zonte stehende Mars leuchtete durch das dunkle Seg- ment. Viele Strahlen. Das klare Wetter (seit April 7) dauert noch immer fort. Sonntag. April 19. Gegen 13 Uhr viele schône Strahlen, zum Theil gefärbt, aus einem nur etwa 3° in seinem hüchsten Punkte über dem Horizonte sich erhebenden, sehr plôtzlich entstandenen Bogen. Nach einer halben Stunde ganz verschwunden. Die Sterne funkeln sehr stark; es sind heute viele Sternschnuppen sichtbar. Noch immer das schüne, warme Wetter bei fortdauernd klarem Himmel. Erst April 21 wird es trübe. April 22 heftiger Südwest- Sturm und verschleierter Himmel bei rasch fallendem Barometer, aber noch beträchtlicher Wärme, (Nachts 1 Uhr + 658.) August 20. Gegen Ÿ, 12 Uhr ein kurze Zeit dauerndes Nord- licht mit vielen, schmalen Strahlen. September 6. Geringer Nordschein. September 23. Nordlicht gegen 8 Uhr. Doppelter sehr schôüner, re- gelmässiger Bogen, der allmählich in die Hôühe steigt, wobei der hôchste Punkt gegen Westen wandert. Es erscheint anfangs einfach, ohne dunkles Segment; spä- ter zeigt sich ein sebr dunkles Segment, aus dem her- aus einige wenige Strahlen durch die beiden Bogen schiessen. Nordlichthelligkeit die ganze Nacht. Therm. + 12°; Bar. 592; steigend. September 24. Nordlichtspuren gegen 11 Uhr. Viel Wolken, die aus Nordwest aufsteigend den Himmel um 12 Uhr ganz überdecken. Therm. + 7°, Bar. 596,5 steigend. Nach kurzer Zeit wird es wieder ganz klar; es sind nur noch schwache Spuren des Nordscheines zu be- merken. € und häufige Wolken. October 7. Gegen 9 Uhr Beginn eines Nordlichtes als niede- res regelmässiges Segment mit hellem Saume. Gegen O Uhr 30 Min. Sternz. erscheinen eine Menge lebhaf- ter Strahlen, die mit grosser Lebhaftigkeit dem Azi- muth nach hin- und herwandern, sowohl nach West als nach Ost sich bewegend; hiebei bleiben sie sich selbst parallel. Zuweilen stehen sie auch längere Zeit (einige Minuten) ganz unbeweglich. Der Nord- schein wird später geringer. Um 15 Uhr bezieht es sich aus Süd-Ost. Wind von Süd-Westen. Schlechte Bilder. October 8. Nach einem prächtig heiteren Tage kommt Dunst während der Dämmerung, so dass die Sterne klein und lichtschwach erscheinen. Der Dunst sammelt sich später immer mehr rings am Horizonte, vorzüglich in Nordwest. Über dem Dunste zeigt sich gegen 8 Uhr Nordlichthelligkeit, und bald bildet sich ein schlecht begränzter Bogen, mit breiten Strahlen, die, wie ge- stern, sehr rasch dem Azimuthe nach hin und her wandern. Nach Mitternacht wird der Dunst immer geringer; vom Nordlicht sind keine Spuren weiter zu bemerken. October 11. Es wurde gegen Mittag von Nord-Ost heiter. Bald nach Aufhôren der Dimmerung zeigt sich ein schô- nes Nordlicht mit Strahlen; dann kommen von Nord- Ost Wolken, und der Nordschein wird schwächer 201 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 20? ————— Gegen Morgen sind einzelne breite Strahlen ganz tief am Horizonte bemerkbar, auch Spuren eines Bogens. October 12. In einer Dunstbank im Nord-Osten erscheinen ge- gen Mitternacht deutliche Nordlichtspuren; um 14 Uhr 30 Min. erhebt sich plôtzlich Nebel, der in wenig Minuten den Himmel so dicht überzieht, dass nur die helleren Sterne durchscheinen. October 13. Um 21 Uhr 5 Min. Sternz. Nordlicht mit doppel- tem Bogen. Der obere ist schün begränzt und scheint ein Kreissegment zu sein; er liegt sehr tief am Ho- rizonte, wohl kaum 4—5° hoch. Der darunter liegende ist unregelmässig, mit Lichtflecken und dunklen Stel- len. Das dunkle Segment ist gleichfalls zu sehen, fast schwarz. Es zeigen sich Strahlen, und die Bogen zer- theilen sich in diffuse Helligkeit. Um 12 Uhr 5 Min. kommt plôtzlich aufsteigender Nebel, der binnen kur- zer Zeit, wie gestern, alle Sterne, bis auf die matt hindurchschimmernden hellsten, auslüscht. October 14. Dunstige Luft; Cirruswolken bei lebhaftem Süd- Süd-West-Winde; im Norden Nordlichthelligkeit seit 9 Uhr. Sehr wechselnder Zustand der Bewülkung. Bis Mittag war es dick bezogen, dann brachen die Wolken und verschwanden rasch; sie standen sehr tief. Bar. 601 fallend, Therm. + 1°. November 6. Nach heftigem Unwetter in den Tagen zuvor und in der vorletzten Nacht (Schneefall) ist es den Tag über leidlich heiter; von Zeit zu Zeit schwere Wol- ken. Gegen 6 Uhr entsteht ein sehr schüner, regel- mässiger, gelblicher Bogen im Norden. Plôtzlich von Süden den Himmel überziehende Schneewolken ver- hinderten den weiteren Verlauf zu sehen. Der Bogen ging um 21 Uhr 40 Min. Sternz. mitten zwischen & und 8 Gemin. durch; 8 Gemin. leuchtete durch das dunkle Segment hindurch, welches man geneigt war, für eine Wolke zu nehmen. Breite des Bogens etwa , Abstand der Sterne 4 — $ Gemin. Therm. 0”, Bar. 580 fallend. November 14. Bewülkt, doch die Wolken zertheilen sich von Zeit zu Zeit. Bar. 590 steigend, Therm. 0”. Unten im Norden ist fast immer ein Streif von ei- nigen Graden Hühe wolkenfrei, in welchem ich um 10 Uhr viel Nordlichtsäulen bemerke. Gegen 11 Uhr heiter. Nordlichthelligkeit über den ganzen Himmel, das Strahlenschiessen hat aufgehürt. Es bilden sich an manchen Stellen des Himmels, vorzüglich im Sü- den, geballte Nordlichtwolken und vergehen wieder. Um 14 Uhrist das Nordlicht fast ganz verschwunden; es bezieht sich um 177 Uhr und wird später wieder heiter. Als ich den neuen Cometen aufsuche, ist das Nordlicht gänzlich verschwunden. Nachts vorher heftiger Sturm aus Süd-Süd-West. Regen bei + 3. g Tags darauf vollständig heiter: ziemlich scharfer Wind aus West-Nord-West, Mittags +- 1°. November 15. Um 6 Uhr lange ficherartige Cirrus im Norden, unter denen sich in Nord-Nord-Ost Nordlichthelligkeit zeigt. Therm. — 1°; später bezogen. Am folgenden Tage Regen bei Süd-Wind. Therm. + 1 Mittags. 1864. März 10; Abends. Nordlicht, während einer Fahrt in Liefland gesehen. August 14. Sonntag. Eines der schônsten, wenn auch nicht grüssten Nordlichter, die ich bisher gesehen. Gegen 11 Uhr Nordlichtbogen; bald darauf Strah- len, die in grosser Menge entbrennen und aufschies- sen; ausgezeichnete vorhangartige Lichtgehänge, die unten am Saume (noch im dunklen Segmente) in den herrlichsten lebhaftesten Farben spielen, violet, grün und blau, seltener roth. Roth zeigt sich an einigen Stellen des Himmels in grüsseren Flecken und in mat- tem Lichte. Bald nach 12 Uhr bleibt nur noch eine allgemeine Helligkeit im Norden; der Mond stürt. Der vorhergehende und der folgende Tag ungewühn- lich warm. Montag Nachmittag Wetterumschlag und Beginn der schlechten Periode. October 13. Bei etwas stärkerem Froste (— 5°) Abends schüner Nordlichthbogen mit Strahlen; hôchst auffallender, sich mehrfach wiederholender Bogen, ringartig, in der Nähe des Scheitels, von Süd-West nach Nord-Ost vorüber- zichend. Als ich mich zur sorgfältigen Beobachtung 203 Bulletin de l’Académie Impériale 2064 EE — A dieseswundervollen Phänomens anschickte, verschwand | Fernrohrs liegt, gleich dem Verhältnisse des Gesichts- es plützlich, und es blieb später nur die Helligkeit im Norden. October 29. Um 7'/, Uhr Abends (in St. Petersburg) ein schünes Nordlicht mit hellem , gut begränztem Bogen und strahlenfürmiger Krone gesehen. November 3. 7 Uhr Abends sehr weisser, heller Nordlichthogen sichtbar, der später verschwindet. Über eine bei Beobachtung der Sternschnuppen vorkommende Aufgabe der Wahrscheinlich- keitsrechnung, von Ferd. Minding. (Lu le 25 juin 1868.) Die Abhandlung On shooting stars by H. À. New- ton im ersten Bande der Memoirs of the national aca- demy of sciences, Washington 1866, giebt über die wahrscheinliche Häufigkeit und Vertheilung dieser Meteore so viel Aufschluss, als es der gegenwärtige Stand der Beobachtungen erlaubt. Unter vielen an- deren tritt daselbst auch die Frage auf: wie viele von sämmtlichen in einer gewissen Zeit zur Erde gefalle- nen Sternschnuppen im Gesichtsfelde eines in belie- biger Richtung aufgestellten Fernrohrs erscheinen wer- den. Hr. Newton findet die Wabrscheinlichkeit des geforderten Ereignisses mit einer für den Zweck sei- ner Schätzungen vollkommen genügenden Genauigkeit TD Tele e ; gleich ;=, wenn / die mittlere Länge des sichtbaren Laufes eines solchen Meteors, b den Durchmesser des Gesichtsfeldes und 27 den Kreisumfang bezeichnet. Ich habe eine voliständigere Lüsung der Aufgabe ge- sucht, deren Mittheilung wenigstens dazu dienen kann, die praktische Zulässigkeit jener angenäherten Lüsung in helleres Licht zu setzen. Vorausgesetzt wird, dass bei den ununterbrochen sich wiederholenden Stern- schnuppenfällen -— im Gegensatze zu den periodisch wiederkehrenden Phänomenen derselben Art — alle Anfangspunkte und alle Richtungen gleich môglich sind. Auch wird angenommen, dass die scheinbare Bahn des Meteors einem grüssten Kreise folgt, und dass ihre Länge () einen Quadranten nicht überschreitet. Hieraus ergiebt sich zuerst die Wahrscheinlichkeit, dass der Anfangspunkt einer Sternschnuppe, d. h. der Ort ihres ersten Aufleuchtens, im (esichtsfelde des feldes zur Kugelfäche, also wenn > der Halbmesser des Gesichtsfeldes ist, gleich RESEEr An einen beliebigen Punkt B im Anfange des Ge- sichtsfeldes (s. die Figur) lege man eine sphärische Tangente, schneide darauf den Bogen BA — 1 gleich der Länge des sichtbaren Laufes einer Sternschnuppe ab und verbinde À mit dem Mittelpunkte C des Ge- sichtsfeldes durch den Bogen eines grôüssten Kreises AC — d, so ist in dem sphärischen Dreiecke ABC, AB=—1,CB=7+r, £ ABC—;, daher cosd — cosl.cosr. Liegt der Anfangspunkt der Sternschnuppe in dem Bogen CA ausserhalb des Gesichtsfeldes, also wie JE zwischen À und Æ, so dringt sie in den Kreis ein, wenn ihre Richtung von FC weniger abweicht als eine von £' ausgehende Tangente FH; wird also LH — ANT à j CEA TS = 4 \ rss / \ re SAT \e A MAT £ HFC = 9% gesetzt und CF — x, so ist sinx . sin — sinr, so lange x zwischen > und d liegt; auch ist dann die Tangente von £ bis zum Berührungspunkte H kürzer als /, wie erforderlich. Die Wabrscheinlichkeit, dass eine Sternschnuppe in einem an # liegenden Flächenelemente dxdy ent- steht, ist _. und die Wahrscheïnlichkeit, dass ihre Richtung um weniger als o, nach der einen oder an- deren Seite, von FC abweïcht, ist Lrd LEUR + die Wabrscheinlichkeit, dass die Sternschnuppe T T von # ausgehend in das Gesichtsfeld gelangt. Zieht man um € mit dem sphärischen Halbmesser CF = x einen Kreis, so gilt dieselbe Wahrscheinlichkeïit für alle gleichen Elemente dy dieses Kreises; man kann daher sofort nach y integriren und hat dann für /4y, dx sin æ. DURE 2 : + oder ©; also ist ZT T 2r sin æ einzusetzen; hiermit ergiebt sich welcher Ausdruck noch nach æ von » bis d zu inte- | griren ist. 205 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 206 a Liegt der Anfangspunkt der Sternschnuppe auf der | daher Verlängerung von CA in @, so muss der Abstand GE kleiner sein als /, wenn das Gesichtsfeld von ihr noch getroffen werden soll. Alsdann kann aber die sichtbare Bahn des Meteors den Kreis nicht mehr berühren, weil ihre Länge dazu nicht ausreicht, sondern sie kann ibn nur zwischen gewissen Grenzen schneiden. Zieht man aus G mit dem Halbmesser GK — ! einen Kreis, der den Kreis C in X schneide, so wird die Grenze der zu- lässigen Richtungen durch den Winkel XGC — @ be- stimmt, welcher mit dem Abstande CG = x durch folgende Gleichung zusammenhängt: cosr — cos/ cosæ +- sin/ sinæ cos. Für diesen Fall wird die gesuchte Wahrscheinlichkeït FE, das Integral von æ = d bis æ — l + r ge- nommen. Im Ganzen erhält man also für die Wahrscheinlich- keit des Eintritts in das Gesichtsfeld licosr es ab (4+ B'}, OÙ 2 27 Wo DR TE es ur Te IMoner AD— À ®, SIND TOY, SINP, — = , COS& — COS & . COST; 0 L+r 4 > 2 B = p.sinrdx, cosr — cos/cosx + sin/sinr cos. .. Eur . de 1 Le ÊTES #1 . TE ch ! Für #=7r wird p, =; für æ—d wird @,— 9, = 9, : sin r 0 cos r sin, Snp = gr CSP = ET à für &— 1 +7 wird p, — 0. Da nun /psinxdx — — @ cosx + f'cosxde, so folgt: A — @'cosd + 5 cosr + /cosrd P: B'= +9 cosd be also 4° + B° = Ÿ cosr + f'cosxdp, + [cos xde,, beide Integrale zwischen den festgesetzten Grenzen genommen. Wird zur Abkürzung das erste Integral mit — À, das zweite mit — B bezeichnet, so folgt: Hs Lcosr —3. |A + B}. Nach der Festsetzung ist T. D] . . . A Il cosæde und sinosinz —sinr, T Pr sinr \2 Le) Setzt man cos® — cosŸ.cosr, so wird V1 ET. do = — V'cosr?— cosg2.d cos sin @? ___ cosr?.sinp?d — dh— sin r?d4 sinr?+sinb?cosr? sinr? + sinÿ? cosr? sinr?.db sin r?. d tgh ue dy sinr? cosy? + sing? dy — sin r? +- tg y? . tgy. —= HD —$ s os dÿ —sinr.darctg =; w| À Y 4 T 7: \ und da den Grenzen ®' und © die Grenzen Ÿ und eng gesetzt wird, so folgt cos entsprechen, wenn cosŸ — T ! A Ai wofür man auch schreiben kann: e —arctg Se PE nr )Sinr, A—Ÿ—4%'—sinr.arctg(cotgŸ'.sinr). Da COS OR eV DEL L'per- . cosŸ = er, SP = cosd— cosl.cosr, so folgt: À Fee V/cosr? — cosd? _ sinl cos® Si sind.cosr sind? LS 0 : und sinÿ — a tgY — cotgl.sinr; daher ist = 5 — arc tg(cotgl.sinr) —sinr arc tg (tg l), _ SR RE NT E oder: A—arctg= lsinr. Die vorkommenden arc. tg. sind alle zwischen O und 3 zu nehmen. Denn bei der vorliegenden Anwendung ist immer > sehr klein und auch / weit unter 5 daher sind die Winkel r, { und die daraus hergeleiteten Hülfswinkel ©, 4 alle spitz und die Argumente der vorkommenden arc. tg. alle positiv. Um den Werth von B zu finden, entnehme man aus der Gleichung cosr = cos/ cos x + sin/ sinx cos die nachstehende: (— sinæ cos! + cos sin/ cos®) dx — sinx sin/ singde — M.d, wenn zur Abkürzung sina sin/ sine — M gesetzt wird. Es werde nun linker Hand coso mittelst der vorigen Gleichung weggeschafit, so folgt: 207 Bulletin de l’Académie Impériale des Sciences de Saint-Pétersbourg. 208 oo Msinædo — — (cos! — cosr cosx) dr, daher ist ? 4 (cost ) cosxd 2 RAA COS — COST COST) COS TAT B— | cos ædp ou | M sinx ? n 1+7r oder wenn man COsx = Z 2, cosd — 2 setzt: Le Durch Zerlegung in einfache Brüche ergiebt sich (cosl — z cosr) 2d2 (+ 7e 2 cost — 2? cosr {i—2)M _ cos” cosr — cosl cosr + cosi| 1. D eu 1—2 1+z: J)2M? ferner ist M=sin/sinzsino = V sin lsinr” — oder auch: M= V(Snisinr) —(cosd —:); wird hier & eingefübrt durch die Gleichuug: cosd — 2 — sin/sinr COSË, so folgt: dz = sin sinr siné.dé — Md&; daher £ — dé 1ær . l—r sin —— ,sin .d cosr — cosi de 2 2 1—2 ‘29M 1—coslcosr +sin/sinr cosé LT . l—r sin sin —— , dé 2 . 141 sin — 5 F7 Mr )\2 Ter sin——) + (sin — \ J schreibt man hier statt /, x + /, so folgt: cosr + cos! dz __ cosr + cos! L qe 1259 OUT EEE re = darctg setzt man sin : _. 2e cos mo A arctg ES ty + arc tg sin 9 2 einführt und cos (/ +7) — (cosæ — cos / cosr) 2 : 5 2 = 2sinl.tg. 80 wird 9 We sin (+ x) — sin (l — 7). (te = or sin! siné ; 7 sin? cos! + cosr sin cosé ? daher ist Zda = cosr .dé — du »! und M Ze = (E —E?) cosr — (w'— uw’). CU Da 2 — cos (/+r), 2 = cosl.cosr = cos d und cos{cosr —sin/sinr pee — 2, s erhält man: € = 0, CE ui — 0ui—arc ts(s!) ; folglich: tel Bi 5 cos” — arc tele. siInr Oben war gefunden: tel è A = arctg--—/sinr; sinr T daher ist A+ B—-;cosr —1lsinr 1 — cosr 1 und D COS = {4 + D} verwandelt sich in: Fe 1— cosr 1sinr Er 2 Dre Diese Wabrscheinlichkeit gilt für die Länge ? der sichtbaren Bahn. Bezeichnet f (?).d! die Wahrschein- lichkeit einer zwischen / und ? + d! liegenden Länge, und sind /°, {’ die äussersten Grenzen der vorkom- menden Längen, so ist r Î : 10 der allgemeine Ausdruck der Wahrscheinlichkeiït, dass eine Sternschnuppe im Gesichtsfelde erscheint. Wer- den alle Längen von !° bis /’ für gleich müglich ange- sehen, so ist f({) — À r—p und die gesuchte Wabrschein- lichkeit wird: 14 wdl —1=—cosr , D+T PEN M2 FR 10 unter dieser Voraussetzung genügt es also, in obigem Werthe von o für / das arithmetische Mittel der Grenz- werthe von / zu setzen, welches alsdann zugleich den mittleren Werth von ? darstellt. OPA im Juni 1868. .f().dl sinr. Pal Paru le 12 août 1868. T. XIE, N°35. TES CL CNX ANG MERE 25 TU ne "e) S 21e e) KT OP 7 > C te) \ À | | : "ACADEMIE 1 CES DE ST.-PETERSBOU DE L'ACADEMIE IMPERIALE DES SCIEXC = PETERSBOURG. | | Al | TOME XIE. | (Feuilles 14—20.) | | | CONTENU. Page. P, Stepanof, Développement des organes de génération de la Phallusia.............. 209—218 F. J, Wiedemann, Rapport sur un voyage fait en 1868 dans la Livonie et l’Ehstonie | pour des recherches philologiques .................:...:-:...--.-:--.ee: 218—219 | ____ El. BorSéow, Les champignons du gouvernement de Tchernigof................--... 219—245 | | Ph, Owsiannikow, Développement et structure des spermatoz0a de la Grenouille... ... 245—248 | | M. Brosset, Examen d’un passage de l'historien arménien Oukhtanès, relatif à la pré- | tendue conquête de l'Ibérie par Nabuchodonosor .......-.--.:-.-.:-:----""+2: 248—260 W. Heydt, Les italiens sur les côtes de la mer Noire. Lettres à M. Bruun 1° et 2°... 261—276 | H, Struve, Détermination quantitative de l’iode dans différents liquides, et particulière- | TS A TITE M M AA dal ele de» ie eetalee sjesh 0 00 Pie "ie 276 —284 | | EL Metschnikow, Observations sur le développement de quelques animaux.......-.-.. 284—300 | | Pet DDOprAphIques 2... 00 eee ve sep MEN ge aie oies EE RERE E 300— 320 | On s’abonne : thez MM. Eggers & Cie, H..Schmitzdorff et J. Issakof, libraires à St.-Pé Nefski; au Comité Administratif de l’Académie (KRomurerz Jpassenia Hmneparopekoï M. Léopold Voss, libraire à Leipzig. Le prix d'abonnement, par volume composé de 36 3 thalers de Prusse pour l'étranger. Imprimerie de l’Académie Impériale des sciences. (Vass.-Ostr., 9° ligne, X 12.) tersbourg, Perspective de Axaxemin Hayk®) et chez feuilles, est de 3 rbl. arg. pour la Russie, 7 | ui TEE RETANRSSEES 6 PO FU JR | co" ‘4 eg: ; w! . A À à s é K À EL “ À. un 0 Li , A4 : nn ' à : L : j | #7 Ne | L È “3 Ê 1e 2" à le l ] ‘ d F LL, EL di A Pr % a = + AE 11e, em lit A “pr [ sh ase ru PEL … s + f + Din Par STE , 1 D! | 2} ; : tte | Fr à. S 1 4 E : caë AT” si 4 4 10073 Ps x < k CA | : TL { tas pre ue" L ie is # } del pl À Sub: daim "+ [HHITES ul TER 1 DAT x 4 à À dt LS | à ‘? = ipsst , û : j : | i Pi , A : à À L # “oi * 7" A: 7 Ad FOLIE ‘ p« . ‘os + * ‘ V4 ; 3 “ Là. PT) i PR, * { (A URI FA (TRE D'ér'aur: | : PEUT SEE VTT ' bo HA rétét RENE AT PR Te ; . … e d à d « = 0 : - R Tr, , s d ju | ni : + ne | Mt A 2 1LLR LME (Ce { RTS ARS AN / EL FREE 1 AE 2 # sind ss 4e pe : ; 10 PL { l 1 A dé. Vie Giit fi LL. 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Nur die allgemeine Structur des Eierstocks und des reifen Kies wurde von verschiedenen Forschern in Betracht gezogen, während die allererste Entstehung des letzten und die darauf folgenden Veränderungen desselben vernach- lässigt blieben. Wie unvollständig aber auch diese Beobachtungen sein mügen, so lenken sie doch unsere Aufmerksamkeit auf einige interessante Abänderun- gen im Baue der weiblichen Geschlechtselemente bei den erwähnten Thieren, die bei anderen Geschüpfen des Thierrcichs nicht wiederzufinden sind. — So wird z. B. unsere Aufmerksamkeit auf die s. g. Gallert- schicht gerichtet, die das Eï der Ascidien rings um- giebt und, ohne Antheil an der Furchung des Dotters zu nehmen, sich später in die äussere Mantelschicht des Embryos umwandelt. Diese Thatsache wurde allen Forschern, die die Entwickelungsgeschichte der As- cidien bearbeiteten, bekannt, aber Niemand von ihnen hatte uns über die Bedeutung dieser Entdeckung für die Embryologie berichtet, und die Entstehung dieser s. g. Gallertschicht blieb im Dunkeln. Dies waren die Gründe, die mich zur Lüsung einer so aufsestellten Frage veranlassten. Das Schwarze Meer wird an seiner nôrdlichen Küste, wo ich den vorigen Sommer nicht weit von der Stadt Jalta zubrachte, von einigen Ascidien bewohnt, unter welchen Botryllus aureus et violaceus und Phallusia intestinalis am häufigsten vorkommen.—Ich gebrauchte zu meinen Zwecken die Phallusia intestinalis. Der Eierstock von Phallusia wird gewôühnlich als eine Drüse beschrieben, die in dem hinteren Theile des Leibes, an der Umbiegungstelle des Nahrungska- nales, gelegen ist und aus einer Membrana propria und dem dieselbe auskleidenden Epithelium besteht. Tome XIII. In der von mir untersuchten Phallusia intestinalis habe ich auch beständig an der genannten Stelle während des Monats Juli einen Eihaufen aufgefunden, konnte mich aber keineswegs von der Existenz eines beson- deren Organes, das mit dem Namen Eierstock belegt werden künnte, überzeugen. Eine Hôble ist in dem Eiïhaufen nicht aufzufinden; eine Membrana propria fehlt demselben ebenfalls. Es liegt somit viel näher anzunehmen, dass der Eihaufen in den Falten des in- neren Mantels eingebettet liegt, ein Verhältniss, das uns an die Eiïhaufen der Bryozoen und Anneliden er- rinnert. Die jüngsten der von mir bei Phallusia intestinalis aufgefundenen Eier waren 0,018" gross und bestan- den aus einem homogenen durchsichtigen Protoplasma (Dotter), in welchem man das Keimbläschen mit dem Keimflecke unterscheiden konnte (Fig. 1). Das Keimbläschen mass 0,0144"" und erschien in Form eines runden soliden Kürpers mit einem eben- sowohl soliden als runden Keimflecke (0,0072°") im Centrum. Die allererste Entstehung dieser Elemente ist mir unbekannt geblieben, da dieselbe nur in einer unmittelbaren Beobachtung bei den jungen Ascidien ihre Erklärung finden kann. Es ist aber nicht unwahr- scheinlich, dass die Eikeime sich aus den Epithelial- zellen des innern Mantels entwickeln. Die nachfolgende Entwickelung der so eben be- schriebenen Eikeime besteht nur in einem Auswachsen, indem sie ohne merkbare Veränderungen eine Grôsse von 0,0972"" erreichen. Zugleich vergrüssert sich auch das Keimbläschen und der Keimfleck in folgendem Verhältnisse: wenn das Ei eine Grüsse von 0,054" bekommt, misst das Keimbläschen 0,0216"" und der Keimfleck 0,0144""; in einem 0,09"" grosssen Eie hat das Keimbläschen einen Durchmesser von 0,0306"" und der Keimfleck 0,0162"" u. s. w. Nachdem nun das Ei von Phallusia intestinalis eine Grüsse von 0,0972"" erreicht hat, bekommt es einen Überzug von Epithelialzellen des inneren Mantels, eine Erscheinung, die ganz isolirt im Thierreiche dasteht. 14 211 Bulletin de l'Académie Impériale 212 TT ——_—_————…—…"…”"”"—_————— Es wird somit rings um das Ei eine Kapsel gebildet, | Keimbläschens ist die spontane Bildung der ersten die, wie wir es weiter zu beschreiben haben, sich in die s. g. Gallertschicht umwandelt. Um in der Darstellung der nachfolgenden Metamor- phosen dieses Gebildes môüglichst klar zu sein, wollen wir zugleich die Veränderungen der einzelnen Theile des Eies selbst betrachten. Das Protoplasma (Dotter) der jungen Eier von Phal- tusien erscheint als eine sehr nachgiebige Substanz. Sie nimmt unter dem Pressen eine ovale Form an und zieht sich weiter in einen langen Fortsatz aus (Fig. 2). Zuweilen erblickt man auch beim Pressen einzelne Theile des Protoplasma, von verschiedener Grôsse, von der Masse desselben vollständig abgetrennt, dalie- gen. — Die Substanz des Dotters ist bei den jungen Eiern durchsichtig; nach und nach bekommt sie aber eine feinkürnige Beschaffenheit. Erst nachdem der Dot- ter von einer Kapsel umhäüllt wird, geht ein reges Wach- sen und Vermehren der in seiner Masse eingebette- ten Kürner vor sich; derselbe wird dann undurchsichtig braun. Die Umwandlung des durchsichtigen Dotters in den braunen geht vom Centrum desselben aus, vom Keimbläschen gegen die Peripherie, und es kamen mir Eier vor, in welchen das Keimbläschen von einer brau- nen Masse umhüllt war, während der peripherische Theil desselben noch durchsichtig erschien. Zur Zeit dieser Veränderung, wie später auch, ist auf der Ober- fiche des Dotters eine eigene Dotterhaut nicht zu er- kennen. Das Keimbläschen des Eies von Phallusia stellt uns, wie früher gesagt, einen soliden elastischen Kür- per dar; seine Elasticität giebt sich am besten beim Pressen des Eies kund, da es aus dem Dotter in Form einer Kugel herausspringt. Das Wachsen des Keim- bläschens geht parallel mit dem Wachsthume des Eies selbst, da es z. B. in einem 0,1216"" grossen Dotter — 0,0456"" und in einem 0,1824"" grossen Dotter — 0,0608"" misst. Wenn aber der Dotter eine Grüsse von 0,2268"" erreicht hat, ist das Keimbläschen nicht mebr so scharf contourirt; es verliert nach und nach seine Solidität und zerfliesst endlich in dem umgeben- den Protoplasma des Dotters. Im Centrum des Dotters bleibt dann nur eine lichte Stelle sichtbar (Fig. 6), die in einem vüllig reifen Eie, das eine Grüsse von 0,27°" erreicht hat, vollständig schwindet. Als eine nächste Consequenz dieses Schwindens des Kerne bei der nachfolgenden Furchung des Dotters anzunehmen ‘). Der Keimfleck behält während der von uns für den Dotter und das Keimbläschen beschriebenen Vorgänge dieselbe Gestalt, die er in den jungen Eiern hatte; in den reifen Eiern erscheint er nur etwas ausgewachsen und bekommt zugleich eine grobkürnige Beschaffen- heit, die auf eine retrograde Metamorphose hindeutet. Der Keimfleck der Phallusia intestinalis ist ausserdem (Fig. 3) durch eine oder mehrere Vacuolen ausgezeich- net. Gewühnlich kommt nur eine Vacuole zum Vor- schein; man unterscheidet dieselbe im Centrum des Keimfleckes, zuweilen aber auch an seiner Peripherie. Das Heranrücken einer solchen Vacuole zu der Peri- pherie kann nun eine Trennung der sie umgebenden 1) Es ist ja überhaupt die Frage über die Theilnahme des Keim- bläschens bei der Furchung des Dotters noch als eine ungelôste zu betrachten. Freilich haben wir keine Gründe zu bezweifeln, dass die Kerne sammt den Embryonalzellen bei den meisten Arthropoden eine von der Theilung des Keimbläschens unabhängige Entstehung haben (ich denke bei dieser Gelegenheit an die Untersuchungen von Weissmann für die Insekten, von Dohrn— für die Crustaceen und von Ganin für die Arachniden); für andere Thiere bleibt diese Entstehungsweise der erwähnten Elemente noch als ein Räthsel zu betrachten. So wurden z. B. noch unlängst fast zu derselben Zeit von Schneider und Leuckart über die Rolle des Keimbläschens bei der Furchung der Nematodeneier ganz verschiedene Ansichten, die auf sehr genauen Untersuchungen beruhen, ausgesprochen. In- dem nun aus den Beobachtungen von Leuckart hervorgeht, dass die Kerne der ersten Furchungskugeln ibhre Entstehung der unmit- telbaren Theiïlung des Keimbläschens verdanken, geht mit eben sol- cher Sicherheit aus den Beobachtungen von Schneider hervor, dass das Keimbläschen noch vor der Furchung schwindet, und dass die Kerne der ersten Furchungskugeln spontan erscheinen. Reissen wir uns los von der in der Histologie noch bis zu unserer Zeit herrschenden Meinung, dass der Kern einer Zelle einen ganz ver- schiedenen Charakter von dem denselben umgebenden Protoplasma hat, und wollen wir denselben (wenigstens für die Embryonalzellen) nur als einen verdichteten Theil dieses letzten ansehen, so wird uns die Erscheinungseines Schwindens und Wiedererscheinens kaum mehr überraschen. Es kann wohl vorkommen, dass bei demselben Thiere unter Mitwirkung uns unbekannter Factoren das Keiïmbläschen schwindet, oder einer Theilung unterliegt. Nur mit Hülfe einer sol- chen Ansicht über die Natur des Kernes (Keimbläschens) künnen wir uns die unlängst von Kowalevsky constatirte Thatsache, dass die Furchungskugeln in den Eiern der Ctenophoren eines Kernes entbehren, in genügender Weise erklären. An dem Schwinden des Keimbläschens bei der von mir untersuchten Phallusia ist nicht zu zweifeln; damit ist aber auch die spontane Bildung, wenigstens des ersten Kernes, welcher sich in die beiden Kerne der ersten Fur- chungskugeln theilt, constatirt. Es wird damit auch die Analogie des Furchungsprocesses der Phallusia und gewiss auch der meisten Thiere mit dem Furchnngsprocesse der Arthropoden hergestellt. In beiden Fällen bildet sich ein einziger oder mebrere Kerne in dem Protoplasma des Dotters, die als so viele Punkte für die Bildung der Embryonalelemente (Zellen oder Furchungskugeln) zu betrach- ten sind. 213 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 214 Substanz des Keimtlecks verursachen und dieser letzte bekommt dann eine halbmondfürmige Gestalt. Die Grüsse des Keimfleckes in solchem Falle hängt von der Grüsse der in demselben eingeschlossenen Vacuole ab. Es kam mir aber auch nicht selten vor, statt einer grossen Vacuole in der Masse des Keimfleckes zwei kleinere oder mehrere aufzufinden, die ohne Zweifel bei der Theilung der grossen entstanden sind (Fig. 4). Es finden sich auch ähnliche Vacuolen, wie be- kannt, in den Eiern vieler anderen Thiere; ihre Natur wurde von La Valette St. George”) bei den Libel- lenlarven, Porcellio scaber und einigen Säugethieren (Schwein, Katze) erkannt. Mit Recht wird von La Va- lette die Meinung Schrün’s verworfen, der diese Va- cuolen bei den Säugethieren für solide Kürper hält (Keimkorn) und ihren Keimkorn als den vierten Be- standtheil einer Zelle betrachtet. Ein Ei von Phallusia intestinalis, das einen Durch- messer von 0,0972"" erreicht hat, wird, wie früher gesagt, von einem feinkürnigen Epithelium des inne- ren Mantels umhüllt; später wandelt sich dieses Epi- thelium in die s. g. Gallertschicht um, und diese Um- wandlung haben wir jetzt zu beschreiben. Die erwähnten Zellen haben eine Grüsse von 0,0108"" und erscheinen grün gefärbt, was auch an den angrenzenden Theilen des Mantels, z. B. auf einem Theile des von ihm umhüllten Nahrungskanales, zu beobachten ist. Die Umhüllung des Dotters schreitet von der Stelle fort, an welcher das Ei befestigt ist, indem sich die Zellen auf seiner Oberfläche an einander legen (Fig. 3). Es wird somit eine Kapsel um den Dotter gebildet, die bei der Phallusia intestinalis aus einer Zellenschicht besteht (Fig. 4). Sie umhüllt den Dotter lose, und es kann dieser letzte aus derselben herausgepresst werden (Fig. 5). Es ka- men mir auch zuweilen Eicr zur Beobachtung, wo die Kapsel etwas von der Oberfläche des Dotters erhoben erschien. Die in dem Zellenprotoplasma eingeschlos- senen Kürner vergrüssern sich ebenfalls allmählich; da aber die Zahl derselben nach und nach geringer wird, so ist nun wohl anzunehmen, dass die grossen Kürner durch Zusammenfliessen kleinerer entstehen. In den ausgewachsenen Zellen der Kapselwand konnte ich nicht mehr als sieben solcher Kürner aufzählen, 2) Über den Keimfleck und die Deutung der Eitheïle. Archiv für mikroskopische Anatomie. Bd. II. Heft I. 1866. $. 56. die eine Grüsse von 0,0072"" erreicht haben. Mit der Grüssenzunahme wird auch das Licht von denselben stärker reflectirt, und die Kapsel erscheint dann grün gefärbt. Die einzelnen Zellen der Kapsel sind ohne Membran, und es wollte mir auch nicht gelingen einen Kern in den- selben zu finden. Dass die Kapselelemente membranlos sind,beweist am besten das Herausfallen der in dem Pro- toplasma eingeschlossenen Kürner; letzteres erscheint dann in kleine Räume getheilt, welche die Form der herausgefallenen Kürner behalten. Krohn*) nimmtnun solche Räume für Zellen an, da nach seiner Beschrei- bung: «jede Zotte der Umhüllungshaut (Kapselzelle) aus einem Ageregat runder, durchsichtiger Bläschen oder Zellen ohne Kern besteht», was nun die mikro- metrischen Verhältnisse anbelangt, so sind dieselben folgende: Durchmesser des Dotters......... 0,1824""; 0,2268""; Durchmesser der Eikapselwandung 0,009""; » » » » » » 0,02116%%: Durchmesser des Eies............ 0,2004""; » » » 0,27004"". Nachdem die einzelnen Zellen der Kapselwand eine Grüsse von 0,036"" erreicht haben, unterliegen sie einem Zusammenfliessen. Damit wird auf der Ober- fiche des Dotters die s. g. Gallertschicht gebildet, in welcher man vergeblich nach den histologischen Elementen sucht. Wenn nun die einzelnen Zellen der Kapselwand in eine Masse zusammengeflossen sind, kann man auch in dieser letzten ihre Kürner unter- scheiden; — sie sind später selbst in dem Mantel des Embryos zu unterscheiden, welcher sich aus der Gal- lertschicht entwickelt. Es wollte mir nicht gelingen, auf der Oberfläche der Eïkapsel eine Membran nachzuweisen, die Krohn ge- sehen haben will und die er unter dem Namen Eihaut beschrieben hat. Dieselbe existirt aber auch in Wirk- lichkeit nicht (wenigstens in den Eierstockeiern), was am besten dadurch bewiesen wird, dass die einzelnen Zellen der Kapselwand beim Pressen aus derselben herausspringen und auf der Oberfläche der Kapsel in Form stumpfer Fortsätze erscheinen (Fig. 6). Es wird 3) Über die Entwickelung der Ascidien. Müller’s Archiv. 1852, S. 313. 14* 215 von Krohn aber noch eine Überzugshülle, als eine dünne Membran, deren Oberfläche dicht mit zahlrei- chen, kurzen, stumpf zugespitzten zottenfürmigen Fort- sätzen besetzt ist, beschrieben. Eine Überzugshülle existirt aber ebenso wenig, wie die Eihaut ‘). Damit kommen wir zu der Behauptung, dass die den Dotter umgebende Gallertschicht von Phallusia intestinalis, was auch wahrscheinlich für andere Tuni- caten gilt, nicht als ein secretorisches Gebilde zu be- trachten ist, sondern dass dieselbe aus einem gewühn- lichen Zellenprotoplasma besteht. Am besten wird diese letzte Angabe durch die Contractilität der Gal- lertschicht bestätigt, eine Eigenschaft, die ja in der letzten Zeit als eine allgemeine für das Protoplasma angenommen wird. Lassen wir bei dieser Gelegenheit Milne Edwards”) reden: «Il ne faut pas croire ce- pendant que la substance semigélatineuse, dont cette couche tégumentaire est formée (chez les Polycliniens) soit un simple dépôt produit de quelque sécrétion, ou une partie organisée qui aurait cessé de vivre en ces- sant de tenir aux parties intérieures de l’animal, car elle continue à croître et donne des signes irrécusa- bles de la vitalité. Ainsi, non seulement sa masse aug- mente rapidement, mais on en voit naître des expan- sions lobulaires qui changent fréquemment de forme, se contractant ou se dilatant avec une lenteur extrême, et paraissant avoir quelque analogie avec les expan- sions protéiformes des Amibes et de divers animaux inférieurs». Die auf angegebene Weise entstandene Gallert- schicht wandelt sich später bei Phallusia, wie das von allen Seiten (Milne Edwards, Külliker, Krohn — und unlängst Kovalewsky) hervorgehoben wird, in die äussere Mantelschicht des Embryos um, ohne an der Furchung des Dotters einen Theil zu nehmen. Wir wollen uns jetzt nach analogen Erscheinungen in der Entwickelung der weiblichen Geschlechtsele- mente bei den anderen Tunicaten umsehen. Zunächst 4) Leïder sind mir die Beobachtungen von Van-Beneden über die Entwickelung der weiblichen Geschlechtselemente bei Cynthia ampulla nur aus dem Aufsatze von Jones: (Tunicata) bekannt (The Cyclopaedia of Anatomy and Physiology V. IV. P. IT, p. 1212). Aus denselben geht hervor, dass Van-Beneden auch bei dieser Ascidie eine Kapsel an den Eiern nachgewiesen hat; er lässt die einzelnen Zellen derselben unmittelbar aus den Dotterelementen entstehen und hält sie überdies für das Blastoderm (?). 5) Observations sur les ascidies composées des côtes de la Manche. 1839, p. 253. Bulletin de l’Académie Impériale 216 sind die Beobachtungen von Huxley°) an Pyrosoma zu vergleichen, da sie am meisten mit den meinigen übereinstimmen. Huxley beschreibt das Eiï von Pyrosoma in einem ovisac, der aus einer Membrana propria und dieselbe auskleidendem Epithelium besteht, gelegen. Während der Entwickelung des Eies wird das Epithelium in folgender Weise modificirt: «instead of the thin cel- lular lamella which has previously lined the interior of the ovisac, a transparent substance excavated by many large spheroidal cavities of various sizes, (which when the ovisac is viewed by a law power give it the appearance of being filled with numerous clear ve- sicles) occupies its cavity». Aus dieser Beschreibung ist zu ersehen, dass Hu x- ley die s. g. Gallertschicht an einer Entwicklungs- stufe vor Augen hatte, wo dieselbe noch aus den nicht ganz zusammengeflossenen Zellen, aus welchen die Kürner herausgefallen sind, besteht. Diese Vor- aussetzung wird am besten von Huxley selbst in ei- nem folgenden Citate bestätigt: «it (ovum und spä- ter Embryo) is composed of somewhat coarse, granu- lar-looking corpuseles, and lies between the membrana propria and the modified epithelium; but the former is separeted from it beyond the limits of the blasto- derm on each side. The further course of developpe- ment shows that this loyer is the rudiment of the test of the future ascidiarum». Wollen wir nun die Beobachtungen von Huxley mit der von uns dargestellten Entstehung der Gallert- schicht bei Phallusia einer Vergleichung unterwerfen, so geht daraus hervor, dass auch bei Pyrosoma das sich entwickelnde Ei von einem Epithelium des Ovi- sacs, das einem Zusammenfliessen unterliegt, umhüllt wird und später in die Zunica interna des Embryos übergeht. Die glashelle Masse, die zwischen der mem- brana propria und dem Dotter liegt, entsteht ohne Zweifel aus dem Zusammenfliessen des die membrana propria selbst auskleidenden Epithelium, und dass diese letzte Erscheinung stattfindet, bezweifelt ja auch Hu x- ley nicht. Die Cyathozoiden, sagt er weiter, «are not merely connected with one another by the isthmuses of blastoderm abovementioned, but the structureless test has greatly increased in thickness, and non invests 6) The transactions of the Linnean society. Vol. XXIII. Part the first p. 230. 1860. 217 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 218 them all, like a thick layer of transparent varnish. | Zelle, die zu dem künftigen Embryo morphologisch The membrana propria of the ovisac is no longer dis- tinguishable outside this rudimentary test». Die Beobachtnngen von Krohn”) und Leuckart*) über die Entwickelung des Eies bei Salpa sind nicht so leicht im Sinne meiner Untersuchungen zu erklä- ren. Zwar soll nach Krohn diese Entwickelung auch bei den genannten Tunicaten ganz auf dieselbe Weiïse vor sich gehen, wie es von mir für Phallusia beschrie- ben worden ist; der Dotter soll auch bei Salpa, nach diesem Forscher, vom Epithelium des inneren Man- tels, welcher später in die Tunica interna des embryo- palen Mantels übergeht, bekleidet werden; diese An- gaben sind aber von Leuckart vollständig verworfen. Nach Leuckart liegt das Ei von Salpa in einer Ei- kapsel, die aus einer Membrana propria und einem dieselbe auskleidenden Epithelium besteht; eine solche Kapsel wird noch weiter vom Epithelium des inneren Mantels umhüllt, welches um dieselbe den s. g. Brut- sack bildet. An einem Eie aber, welches in dem Brut- sack angekommen ist, soll ohne weiteres die Eikapsel schwinden, da Leuckart dieselbe nicht mehr unter- scheiden konnte. Die angegebenen Verhältnisse er-- scheinen im Vergleich mit den Beobachtungen von Krohn sehr zusammengesetzter Natur zu sein und künnen gewiss nicht ohne Bedenken angenommen wer- den. Es drängt sich unwillkürlich die Frage auf, ob nicht auch bei Salpen die Eikapsel constituirenden Elemente statt zu schwinden (?) sich in die äussere Mantelschicht des Embryos umwandeln. Die geschilderte Entwickelung der weiblichen Ge- schlechtselemente von Phallusia ist gewiss nicht ohne Bedeutung für die Embryologie. Sie macht uns mit einer neuen Form dieser Elemente bekannt, die einen Übergang unter den ganz isolirt in der Wissenschaft stehenden Gebilden, dem Eie und der Knospe, dar- stellt. Es wird gewühnlich angenommen, dass das Ei als eine Zelle, zu betrachten ist, während die Knospe ein mehrzelliges Gebilde sei. Obgleich es in der letz- ten Zeit bewiesen ist, dass es auch Eier giebt (bei den Insecten), die aus dem Zusammenfliessen mehre- rer Zellen entstehen, so erscheint auch in diesem Falle das vollkommen entwickelte Ei die Form ciner 7) Sur la génération et le développement des Biphores. Ann. des sc. nat. 1846. p. 123 8) Zoologische Untersuchungen. 1854. $, 51. 49. ähnlich dem Eiïe der übrigen Geschüpfe des Thier- reichs sich verhält. Im Gegentheil besteht die Knospe aus einem Aggregat von Zellen, deren jede eine selbstständige Rolle in dem Aufbau des künftigen Embryos spielt, und somit kann eine Knospe mor- phologisch nur mit einem durchgefurchten Dotter, mit einem Embryonalkürper parallelisirt werden. Die weiblichen Geschlechtselemente von Phallusia stel- len uns in dieser Beziehung eine Mittelform dar. Dieselben bestehen ja aus einem Dotter, welcher ei- ner Furchung unterliegt und sich in den künftigen Embryo umwandelt. Es wird aber ausserdem ein Theil des Embryos ohne Antheil dieses Dotters aufgebaut, denn es wird seine Tunica interna direct aus den Zeillen des mütterlichen Leibes, die sich an den Dot- ter anschliessen, gebildet. Bericht über eine im Jahre 1868 zu linguistischen Zwecken nach Liv- und Ehstland ausgeführte Reise, von F. J. Wiedemann. (Lu le 10 sep- tembre 1868.) Die lingste Zeit, etwa zwei Monate, habe ich ver- wandt, die handschriftlichen Sammlungen der gelehr- ten ehstnischen Gesellschaft in Dorpat durchzusehen und daraus das für mich Brauchbare zu excerpiren; einen kleinen Theil davon habe ich indessen doch noch für das nächste Jahr mir aufsparen müssen. Nachdem ich Dorpat verlassen, besuchte ich das Ufer des Pei- pussees, die in der Gegend von Narwa an die Fin- nen des Gouvernements St. Petersburg grenzenden Ehsten, von da die Gegenden am finnischen Meerbu- sen bis Reval, ferner Pernau, die Inseln Oesel und Dagü und noch einige Gegenden im Innern von Ehst- land. Besonders interessant waren mir die früher noch nicht besuchte Peipusgegend wegen besonderer Dia- leckteigenthümlichkeiten und der nordôstliche Theil des Ehstenlandes, das sogenannte Allentaken, wegen mancherlei Anlehnung an das Finnische in Ausprache, Wäürtern und Wortformen. Ausser dem Grammatischen und Dialektischen, wor- auf ich dieses Mal besonders meine Aufmerksamkeit zu richten hatte, habe ich auch noch für das Lexikon recht bedeutende Ausbeute gewonnen, so dass die eben jetzt schon im Druck befindlichen Zusätze zu dem 219 Hauptwerke etwa fünf Bogen füllen müchten. Das Meiste in dieser Beziehung konnte ich den seit meinem letzten Besuche gemachten Sammlungen des Hrn. Pa- tors Sengbusch in Dagü entnehmen, und für das Dürptehstnische dem von dem gegenwärtigen Besitzer mir in Dorpat zur Benutzuug überlassenen Nachlass des weiland Propstes Heller in Rappin am Peipussee. Ein Beitrag zur Pilzflora der Provinz Cernigow, von El. Borscow. (Lu le 20 août 1868.) Die vorliegende Arbeit beabsichtigt nicht, ein voll- stindiges Bild der Pilzvegetation der Provinz Cerni- gow zu geben; dazu ist das gesammelte und unter- suchte Material noch zu unvollständig. Dennoch kann derselben, wie ich es zu glauben mir erlaube, eine ge- wisse Bedeutung nicht abgesprochen werden und zwar in doppelter Beziehung. Erstens sind unsere Kennt- nisse über die Pilzflora von Russland überhaupt noch sehr unvollständig "}, und insofern dürfte wohl jede Mittheilung über die Pilzvegetation der entfernteren Provinzen gewissermaassen als ein willkommenes Ma- terial für künftige Forschungen angesehen werden. Zweitens ist aber die Pilzflora der Provinz Cernigow in der Beziehung von Interesse, als die betreffende Provinz, genau an der Grenze der echten Steppen- region Russlands liegend, einen der Übergangspunkte von der Waldregion des mittleren Russlands zur Step- penregion des südlicheren Theiïles desselben darstellt. Solche Übergangspunkte aber, an welchen sowohl die 1) Soweit es mir bekannt ist, besitzen wir nur folgende zwei um- fangreichere Werke über die Pilzvegetation Russlands: 1) Wein- mann, Zlymeno- et Gasteromycetes Rossiae 1836, haupsächlich Pilze aus der Umgebung von St. Petersburg enthaltend und nur wenige Angaben aus anderen Provinzen von Pallas, Martius und Bongard, und 2) Ein Verzcichniss der Pilze von St. Petersburg in Weimann’s Ænumeratio plantarum agri Petropolitani 1837. Das von Buxbaum, KraSseninnikow und Gmelin hinterlassene, zum Theil handschriftliche Material über Pilze Sibirien’s etc. ist kaum erwähnenswerth, um so mehr als aus den von ihnen gegebenen Be- schreibungen man schwerlich einsehen kann, welche Form sie vor den Augen hatten. Dasselbe gilt auch von den Beschreibungen der Pilze in Sobolewsky’s Flora Petropolitana (1799 u. 1802), welche wenig Vertrauen verdienen. — Kleinere Mitthcilungen über cinzelne in- teressante Formen oder auch ganze Gruppen sind von Leveillé (Pilze der Krim’schen Halbinsel), Cerniajew (Pilze aus der Umge- bung von Charkow), von mir (Seltene Formen Ingrien’s; Pilze der Middendorff’schen Reise aus dem Hochnorden Sibiriens; Pilze der Aralo - Caspischen Wüste) geliefert worden. In der letzteren Zeit erschienen auch zwei schône Arbeiten von Woronin über Exobasidium Vaccinii und über Synchytrium Mercurialis. Bulletin de l’Académie Impériale 220 3odenverhältnisse, als auch die übrigen Bedingungen für die Vegetation sich anders gestalten, als an den extremsten Punkten, sind namentlich diejenigen, wel- che Aufschluss geben künnen sowohl über die geo- graphische Vertheilung vieler Formen, als auch über die Abhängigkeit dieser Vertheilung von verschiede- nen äusseren Ursachen. Es scheint zwar, dass die Pilze, sämmtlich Sapro- phyten oder echte Schmarotzer, in ihrem Ernährungs- processe und ihrem Entwickelungsgange weniger von den äusseren Agentien, resp. dem directen Einflusse des Lichtes und einer bestimmten mittleren Tempera- tur abhängig sind, als die hüheren Gewächse. Manche von ihnen vollziehen in der That ihre Lebensvorgänge z. B. bei einer sehr niedrigen Temperatur, ohne dabei in irgend welcher Weise beschädigt zu werden. So entwickeln sich Agaricus conigenus Pers. und Peziza conigena Pers. vortrefilich bei einer Temperatur von + 3 — 4° Cels. und scheinen sogar ein ziemlich ra- sches Sinken der Temperatur bis auf ein Paar Grade unter 0° leicht zu vertragen; Ag. metatus Fries wird üfters in dunkeln Eiskellern bei einer Temperatur, .welche 2° Cels. nicht übersteigt, in üppiger Ent- wickelung getroffen; bei Peziza nigrella Pers. beob- achtete ich die Entlecrung der Sporensehläuche schon bei einer Temperatur von 3—4° Cels., und die schône Peziza mirabilis m. entwickelt ihre scharlachrothen, langgestielten, mit einem weissen Filze bedeckten Fruchtkürper in emem kaum einen Zoll tief aufge- thauten Boden. Wenn nun aber die angeführten Beispiele auch wirklich zeigen, dass für die Entwickelung vieler Pilzformen so minimale Licht- und Wärmequanta nôüthig sind, dass dieselben sogar für das erste Er- wachen der Lebensvorgänge in den meisten, hüher organisirten Gewächsen nicht ausreichen würden, so sind beide Factoren dennoch schon an und für sich nicht ausgeschlossen. Nun scheinen aber dieselben bei dem Entwickelungsgange der Pilze noch mehr in in- directer Weise betheiligt zu sein und namentlich da- durch, dass je nach der Intensität ihrer Wirkung sowohl die chemischen als auch die physikalischen Eigenschaf- ten des Substrates, welches für den Aufbau des Pilz- kürpers das nôthige Material liefert, fortwährenden Veränderungen unterworfen sind. Für die Entwicke- lung der hôher organisirten Pilzformen, welche ins- gesammt zu den Saprophyten gehôüren, ist dieser Um- stand gewiss von grüsster Bedeutung. Ihr Substrat sind verwesende organische Reste. Die Verwesung ist aber ein allmählicher, hôchst complicirter chemi- scher Process, dessen Producte in jedem Zeitmomente sich qualitativ und quantitativ ändern und, je nach der Intensität und Dauer der Einwirkung des Lichtes, der Wärme, der Feuchtigkeit und des Sauerstoffs der Luft, sehr verschieden ausfallen künnen. Da nun diese Pro- ducte für die Saprophyten als Nahrungsmaterial die- nen, so muss folglich auch die Art und Weise der Entwickelung dieser letzteren in der allernähsten Be- zichung mit der substanziellen Constitution des Sub- strates stehen. Die fortwährende, allmähliche, substan- zielle Veränderung des Substrates ist gewiss eine der wichtigsten Bedingungen sowohl für das Auftreten ge- wisser Formen, als auch für das Verschwinden ande- rer ). Sie ist auch ohne Zweifel eine der Hauptur- sachen derjenigen Verschiedenheiten in Gestalt und Lebensweise, welche eine und dieselbe Form zeigen kann. Was das Letztere anbelangt, so werden ein Paar Beispiele hier am geeigneten Orte sein. Der be- kannte Ag. (Tricholoma) personatus Kr., eine der ge- wôhnlichsten Formen, welche massenhaft die Tannen- und Kiefernwaldungen des nürdlichen Russlands, z. B. diejenigen in der Nähe von St. Petersburg, bewohnt und daselbst die üppigste Entwickelung zeigt, tritt im südlichen Theile des mittleren Russlands, unter scheim- bar denselben Bedingungen des Substrates, sehr sel- ten auf und zwar in Varietäten, welche die normale Form kaum zu erkeunen erlauben. Während im Nor- den das Mycelium des Pilzes als ein perennirendes, oder wenigstens mehrjähriges angesehen werden muss, indem dasselbe während einer ganzen Reihe von Jah- ren, an einem und demselben Orte, beständig neue Generationen von Fruchtkôürpern erzeugt, nimmt es in den südlicher liegenden Gegenden den Character eines einjährigen, nur einige wenige Fruchtkürper er- zeugenden Mycelium’s an. Auch sämmtliche relative Dimensionen der verschiedenen Theile des Fruchtkôr- 2) Dabei wird, unter Umständen, eine bestimmte Reihenfolge beobachtet. Die am Antange des Verwesungsprocesses auftretenden Formen sind am einfachsten organisirt und gehôüren zu den nieder- sten Stufen der Saprophyten; mit dem weiteren Fortschreiten der Verwesung treten immer yollkommenere, am Ende derselben die vollkommensten Formen auf. Einige interessante Beobachtungen über diesen Gegenstand hoffe ich bei Gelegenheit zu verôffentlichen. des Sciences de Saint-Pétersbourg. — oo ‘222 pers und, in Folge dessen, auch der ganze Habitus des Pilzes zeigen bedeutende Abweichungen. Ebenso der stoffliche Inhalt der Elementarorgane, welche die Ge- webemasse des Fruchtkürpers ausmachen. Der schüne, violett-blaue Farbstoff z. B., welcher säimmtliche Theile des Fruchtkürpers, besonders im jugendlichen Zu- stande, durchdringt, ist vorzugsweise nur der nôrdli- cheren Form eigen, während er in südlicheren Formen den Geweben des Fruchtkürpers beinahe vüllig abgeht. Sowohl der Stiel, als auch die jungen Lamellen und das Gewebe des Hutes zeigen bei diesen nur einen Stich ins bläuliche und zwar nicht in allen Fällen. — Ein anderes Beispiel liefern die Mycenarien. Abgesehen davon, dass viele der schünsten Repräsentanten die- ser Abtheilung der Agaricini, wie z. B. Ag. Zephy- rus Fr., Ag. sanguinolentus Alb. et Schw., Ag. rubro- marginatus Fr, Ag. haematopus Pers., welche in den nürdlichen Waldungen die Zierde der Pilzflora aus- machen, in den moosigen, feuchten Waldungen der südlicheren Regionen beinahe gänzlich fehlen, treten sogar die gemeineren Formen, wie Àg. galericulatus, Ag. alcalinus daselbst nur äusserst selten, immer ver- einzelt auf und zeigen beständig eine schwächere oder abweichende Entwickelung. Dasselbe gilt auch beï- nahe für sämmtliche Cortinarien, ferner für einige Clavarieen, wie z. B. Gcoglossum und Clavariae sim- plices, Discomyceten, wie Leotia, Mitrula und Py- renomyceten, namentlich für diejenigen mit hori- zontalem Stroma. Es liegt nicht im Plane dieser Schrift, auf den eben kurz besprochenen, hüchst wichtigen Satz der Ernäh- rungsphysiologie der Pilze näher einzugehen. Bei dem mangelhaften Zustande unserer jetzigen Kenntnisse über den Gang der Verwesung organischer Kôürper unter dem Einflusse äusserer, physikalischer Agentien und über die Natur der dabei nach einander sich bil- denden Zersetzungsproducte ist die Frage: warum dieser oder jener Pilzorganismus, unter scheinbar ähn- lichen äusseren Bedingungen, resp. auf einem und dem- selben Substrate, bald gar nicht auftritt, oder sich nur sehr unvollkommen entwickelt, bald in der üppigsten Weise vegetirt und die grüsste Vollkommenheit er- reicht, gar nicht zu beantworten. Hier liegt noch vor Allem ein enormes Feld für die Thätigkeit eines Che- mikers offen, Dass aber im Allgemeinen das Auftre- ten und Verschwinden der meisten Pilzformen, die voll- 223 LIRE AR ER. kommene oder unvollkommene Entwickelung dersel- ben in erster Linie von den Eigenschaften des Sub- strates abhängig ist, wird, glaube ich, zur Genüge bewiesen schon durch die zahlreichen Beispiele so- wohl des autücischen als auch des heterücischen Parasitismus verschiedencr niederer Pilze, welche von de Bary in seinem schünen Werke °) angeführt sind. Was die topographischen Verhältnisse und die Ver- theilung der Wälder in unserem Florengebiete anbe- trifft, so sind dieselben ziemlich einfach. Die ganze Provinz Cernigow stellt ein von Norden nach Süden und SW. gegen den Dniepr geneigtes, mit zahlrei- chen muldevartigen Vertiefungen versehenes, wenig erhabenes Plateau dar. Der nürdlichere Theil dieses Plateau’s (Bezirke: Mglin, Surasch. z. Th. Starodub und Novo-Sybkow) ist reich an schattigen, feuchten, moosigen Nadelwäldern. In den ersten zwei Bezirken ist die Tanne die herrschende Holzart; ïhr folgt, von den Laubhülzern die Birke. Der mittlere Theil (Be- zirke: Nowgorod-Sewersk, Sosnitza, Krolewetz, Glu- chow) besitzt entweder einen sandigen Boden, oder gehôrt schon in das Gebiet des Tchornosjôm’s. Im ersteren Falle bestehen die Waldungen vorzugsweise aus schünen Kiefern; im zweiten treten Eichen, Weiss- buchen, Ahorn und Linde in den Vordergrund. Die Birke ist im Ganzen ziemlich schwach vertreten. Der südliche, an den Dniepr und das Gouvernement Pol- tawa angrenzende Theil ist eine beinahe waldlose Ebene theils mit sandigem, grüsstentheils aber mit schô- nem, fruchtbarem Boden. Bedeutende Kiefern- und ge- mischte Waldungen findet man hier nur längs den Ufern des Dniepr und der Dessna. I. Myxomycetes. A. Plasmodiis evolutis pluribus, confluendo demum receptaculum compositum placentaeforme, effu- sum efformantibus. Aethalini, 1) Acthaliuwm septicum Kr. Syst. Mycol. p. 93. Auf modernden Rinden und Holzsplittern, bei war- mem Regenwetter nicht selten. Bezirke: Mglin, Sos- nitza, Krolewetz. Die Entstehung der erwachsenen Plasmodien von 3) Morphologie und Physiologie der Pilze, Flechten und Myxo- myceten. Cap. Ernährung, pag. 218 — 222. Bulletin de l’Académie Impériale 224 Acth. septicum und deren weitere Entwickelung zu Fruchtkôrpern erfolgen bei günstiger Witterung un- gemein rasch. Ein einziger warmer Regen, nach einer Reihe trockener und heisser Tage, ist genügend, um an Orten, wo bis dahin keine Spur irgend welches orga- uisirten Gebildes bemerkbar war, üfter schon inner- halb zwei bis drei Stunden, Plasmodien von mehreren Quadratzollen zur Entwickelung zu bringen. Diese entwickeln sich ebenso rasch weiter, und nach Verlauf von 2 bis 3 Stunden sind oft schon Strecken von 1 bis 1', Fuss damit bedeckt. Anfangs lebhaft gelb und zwar in ibrer ganzen Masse, differenzirt sich die Plasmodiensubstanz bei der Bildung des Fruchtkürpers in der Weise, dass Kalkconcretionen und Farbstoff in der äussern Schicht derselben abgelagert werden, während die innere Masse, welche zur Bildung der Sporen verbraucht wird, eine beinahe milchweisse Farbe annimmt. Weiterhin erleidet der in der äusseren Schicht abgelagerte Farbstoff eine Veränderung; er wird blass-braünlich-roth. Durch Zuzammenschrump- fen der nun erhärteten äusseren Schicht und durch immer zunehmende Anhäufung der Kalkconcretionen in derselben erscheint sie an reifen Fruchtkôrpern uneben und rauh. Bei der kurzen Zeit (4—- 6 Stunden), wäbrend wel- cher bei Aethalium so beträchtliche Massen organisir- ter Substanz gebildet werden, und innerhalb welcher, diese Substanz sämmtliche Metamorphosen bis zum vollständig ausgebildeten Fruchtkôrper durchmacht, ist es kaum denkbar, dass der ganze Entwickelungs- kreis dieses Myxomyceten, von der Keimung der Spo- ren bis zur Ausbildung des Fruchtkôrpers, ununter- brochen in einer einzigen Periode geschieht. Vielleicht wäre es passend anzunehmen, dass die aus keimenden Sporen austretenden Schwärmer, ehe sie zu erwach- senen Plasmodien werden, aus denen sich unmittelbar der Fruchtkürper bildet, eine ganze Reïhe von weniger vollkommenen Bildungen durchmachen, in denen sie, unter gewissen Umständen, auch längere oder kürzere Zeit verbleiben künnen, um dann sich weiter zu ent- wickeln. Als solche, zu einem und demselben Entwi- ckelungskreise gehôrige Bildungen künnen die bisher bekannten Ruhezustände der Plasmodien: die Mi- crocysten, die derbwandigen Cysten und die Sclero- tien angesehen werden, wobei die Microcysten die nie- drigste, die derbwandigen Cysten und Sclerotien die, 225 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 226 —_———— zur Fruchtkürperbildung am nächsten stehende Bil- dungsstufe darstellen würden. Dies vorausgesetzt, wäre die ungemein rasche Ausbildung des Fruchtkürpers nach einem einzigem Regen leicht begreiflich. Au den in Bewegung begrifflenen Plasmodien von Aethaliun ist es mir mehrmals gelungen cine Erschei- nung zu beobachten, welche die, besonders von Hof- meister ‘) hervorgehobene, gewiss vollkommen rich- tige Ansicht über den bedeutenden Unterschied in der Beschaffenheit des Exoplasma’s (der Hautschicht) und des Endoplasma’s (der innern Masse) protoplasmati- scher Gebilde noch mehr unterstützt. Diese Erscheiï- nung scheint aber zugleich zu beweisen, dass der ei- gentliche Ausgangspunkt der Plasmabewegungen, der wahre Anstoss zu denselben nicht, wenigstens nicht immer, in den Molecularumlagerungen des dichteren Exoplasma’s, sondern in denjenigen der inneren Masse zu suchen ist, und dass in vielen Fällen das Exoplasma an den Bewegungen nur passiv betheiligt ist, oder so- gar als Widerstandsmedium gegenüber der bewegli- chen inneren Masse sich verhält. Die von mir beob- achteten Veränderungen am Plasmodium scheinen na- mentlich auf dieses letztere Verhältniss zwischen der Innen- und Aussenmasse desselben hinzudeuten. In der Nühe des Randes der in lebhafter Bewegung begriflenen Plasmodien von Achalium bemerkt man üftr kleinere oder grüssere Strecken, an denen der Wechsel der Umrisse ein besonders energischer ist. Es bilden sich an solchen Stellen fortwährend kurze, halbkugelige, blasenartige Ausstülpungen, welche als- bald wieder eingezogen und durch neue, daneben ent- stehende ersetzt werden. An solchen Stellen gleicht die ganze Plasmodiummasse einer halbflüssigen, im starken Sieden begriffenen Substanz. Dieses Ausstülpen und Einziehen der halbkugeligen Fortsätze dauert eine Zeit lang ununterbrochen. Nun tritt aber eine besonders energische Auftreibung an einer bestimmten Stelle ein; die blasenartige Ausstülpung reisst auseinander und das flüssigere Endoplasma entleert sich auf das Substrat. Je nach der Zähigkeit desselben bildet es bei dieser Entleerung entweder Stränge, oder (was häufiger stattfindet) breitet sich dasselbe gleichmässig, flichenartig aus. Das Exoplasma (die Hautschicht) der- jenigen Theile des Plasmodiums, wo derartige Eruptio- 4) Hofmeister, Lehre von der Pflanzenzelle p. 21, 22. Tome XIII. uen stattgefunden haben, schrumpft nach der Entlee- rung zusammen und stellt nun einen nur mit wenig flüssigem Inhalte gefüllten Schlauch dar. Durch Zu- fliessen neuer Mengen von Endoplasma aus der Haupt- masse des Plasmodiums schwillt dieser Schlauch wie- derum an, wird straffer und zuletzt kann an derselben Stelle eine neue Durchbrechung des Exoplasma’s und eine neue Eruption des flüssigen Innenplasma’s er- folgen. Was die entlecrte Plasmamasse anbetrifft, so bleibt die Consistenz derselben eine kurze Zeit voll- kommen gleichmässig uud gleicht derjenigen einer sehr concentrirten Arabinlüsung. Besonders auffallende Be- wegungen sind während dieser Zeit nicht wahrnehm- bar. Nach 2 bis 3 Minuten bildet sich aber an der Oberfläche der ausgetretenen Masse eine neue Schicht von dichterem Exoplasma und von nun an beginnen in derselben die nämlichen Bewegungserscheinungen wie in der Hauptmasse des Plasmodiums, aus der sie entstand. Der geschilderte Vorgang scheint unzweifelhaft zu beweisen: 1) dass überhaupt bei den Bewegungen freier Protoplasmamassen das Endoplasma und das Exo- plasma nicht nothwendigerweise gleichzeitig betheïligt werden müssen und folglich die Bewegungen des er- steren, wenn vorhanden, in keiner directen Abhängig- keit von den Bewegungen des letzteren stehen; 2) dass vielmehr, wie im gegebenen Falle, der Ausgangspunkt der, für die Bewegung nôthigen Kraftäusserung von der Innenmasse ausgeht; 3) dass ferner das Exoplasma in diesem Falle (und wobl auch in den meisten) sich als Widerstandsmedium gegenüber dem Endoplasma verhält. Mit Unterstellung der zur Erklärung der Me- chanik der Plasmabewegungen gegcbenen scharfsinni- gen Anschauung Hofmeister’s dürften die eben be- sprochenen Verhältnisse im Plasmodium von Aethalium septicum als Resultate einer fortwährend wechselnden und zwar zunehmenden Wassercapacität der Molecüle des Endoplasma’s bei gleichzeitig constant bleibender und zwar bis auf’s Minimum reducirten Wassercapaci- tüt der Molecüle des Exoplasma’s angesehen werden. 2) Relicularia maxima Fr. 1. ce. p. 85. An gefüllten Baumstämmen von Betula alba; im Bezirke Mglin nicht selten. Jul. Aug. Fehlt in der Umgebung von St. Petersburg. 3) Reticularia atra Fr. 1. c. p. 86. 15 225 In Laub- und Nadelwäldern der Bezirke Mgjlin, Krolewetz und Sosnitza, bei regenreichem Wetter häufig. Jul. Sept. Über die Bildung des Fruchtkôrpers bei den Re- ticularien ist man noch nicht im Klaren, so dass die Stellung derselben neben Acthalium jedenfalls noch fraglich ist. Indessen zeigen beide Gattungen so viel Aehnlichkeit mit einander, sowohl in ihrem Acusse- ren, als auch in der Structur des Fruchtkôrpers, fer- ner in der Lebensweise, dass die vorläufige Einschal- tung der ÆReticularien in die Gruppe der Acthalini wohl kaum als willkübrlich angesehen werden kann. B. Plasmodio evoluto demum receptacula simpli- cia, discreta efformante. Physarei. 4) Didymium (Stipitata) farinaceum Fr. 1. ce. p.119. Auf abgefallenen, verwesenden Blättern in einem schattigen Walde des Bezirkes Sosnitza, selten. Juni. — Eine der gemeinsten Formen in der Umgebung von St. Petersburg. 5) Physarum (Stipitata) psittacinum Dittm. Fr. I. c. p. 134. Stipes in speciminibus lectis interdum sursum in- crassatus, aurantiacus. Sporangium virescenti-luteum, exacte sphaericum, nunc erectum, nunc subcernuum. Auf moderndem Eichenholze in einem schattigen Walde des Bezirkes Mglin, sehr selten. — Fehlt in der Flora von St. Petersburg. Lycogalei. 6) Lycogala epidendrum Fr. 1. c. p. 80. Auf moderndem Holze, Rinden, Aesten, nicht sel- ten. Bezirke: Mglin, Sosnitza, Krolewetz. 7) Lycogala terrestre Fr. 1. c. p. 83. Auf humüsem Boden der schattigen Waldungen des Bezirkes Mglin, sehr selten. Aug. Trichiacei. 8) Trichia fallax Pers. Fr. 1. c. p.185. — Wigand in Pringsh. Jahrb. III, 1. p. 27, 28. Auf faulendem Birkenholze in schattigen Wäldern des Bezirkes Mglin, selten. In der Nähe von St. Pe- tersburg sehr häufig. Die gesammelten Exemplare entsprechen im Gan- Bulletin de l’Académie Impériale 228 zen der Varietät d von Wigand I. c. Nur ist die Sporenwand einseitig stark verdickt, so dass eine ex- centrische Hühle übrig bleibt. Sämmtliche Sporen sind mit deutlichen Kernen versehen. 9) Trichia obtusa Wigand. I. c. p. 30. An einem alten, vertrockneten Birkenstamme, hôchst selten. Bez. Mglin. August 1861. Diese schüne, in der Nähe der 77. clavata stehende Form, welche sich von derselben durch ungemein lange (bis 4 Mm.), keulenfürmig endigende Capilli- tiumfäden und feinwarzige, kleinere Sporen leicht unterscheiden lässt, wurde von mir noch im September 1856 in den Umgebungen von St. Petersburg aufgefun- den, abgebildet und unter dem Namen: 77. erythropus beschrieben. 10) Trichia nigripes Pers. Fr. 1. c. p. 186. — Wi- gand |]. €. p. 31. Auf faulenden Holz- und Rindenstücken ziemlich häufig. Bezirke: Mglin, Krolewetz, Sosnitza, Kose- letz. Die gesammelten Exemplare gehôren zu den Va- rietäten a und b von Wigand I. c. 11) Trichia varia Pers. Fr. I. c. p. 188. — Wi- gand 1. c. p. 32. Auf faulendem Birkenholze, selten. Bez. Mglin. August. Wigand erwähnt als characteristisches Merkmal für Tr. varia die einseitige starke Ver- dickung der Sporenmembrau. Diese Behauptung ist nicht richtig, da, wie eben gezeigt worden ist, solche einseitige Verdickungen auch in der Sporenwand von Tr. fallax vorhanden sind. 12) Trichia chrysosperma DC. Fr. 1. c. p. 187. — Wigand |. c. p. 35. In schattigen Wäldern auf moderndem Holze, sel- ten. Bezirke: Mglin, Sosnitza. — In der Nähe von St. Petersburg ist Tr. chrysosperma eine ziemlich oft auftretende Form. Die gesammelten Exemplare gehüren, was den Bau des Capillitiums und der Sporen anbelangt, zu der Varietät h von Wigand I. c. p. 38. Bei der Mannig- faltigkeit der Varietäten von Zrichia chrysosperma ist diese Form, auf den ersten Anblick, leicht zu ver- kennen. Ein constantes Merkmal aber, welches allen Varietäten der Tr. chrysosperma eïigen ist, dagegen des Sciences de Saint-Pétersbourg. 230 allen anderen Trichien fehlt — ist das starke Irisiren der dünnen Sporangiumhaut. 13) Arcyria punicea Pers. Fr. 1. e. p. 178. — Wi- gand 1. c. p. 40, 41. In schattigen Waldungen des Bezirkes Mglin, sel- ten. Aug. Häufig in der Umgebung von St. Petersburg. Die gesammelten Exemplare stimmen mit der Var. b. von Wigand 1. c. überein. 14) Arcyria cinerea FI. Dan. Fr. I. c. p. 180. — Wigand |. c. p. 40, 42. Auf faulenden Holz- und Rindenstücken. Bezirke: Mglin, Krolewetz, Sosnitza. 15) Licea (Tubulina) cylindrica Fr. 1. c. p. 195. Sehr selten auf faulendem Tannenholze. Mglin. 16) Diderma vernicosum Pers. Fr. I. c. p. 102. Auf Stengeln und Blättern von Æypnum triquetrum, hôchst selten. Bezirk Krolewetz, Jun. 1864. — Eine der gemeinsten Myxomycetenformen in der Umgebung von St. Petersburg. Stemonitei. 17) Stemonitis fusca Roth. Fr. I. c. p. 157. Hie und da auf alten Baumstämmen und verwesen- den Rinden, Balken etc. Bezirke: Mglin, Krolewetz. 18) Stemonitis ovata Pers. Fr. 1. c. p. 160. In Kellern, auf alten Balken, selten. Bezirk Krole- wetz. Bezirk IT. Basidiomycetes. A. Hymenomycetes. Tremellini, 19) Tremella aurantia Schwein. Fr. Epicr. Syst. Mycol. p. 588. Auf gefällten Baumstämmen, hie und da. Bezirke: Mglin, Krolewetz. Aug. Sept. 20) Exidia recisa Fr. 1. c. p. 590. . Auf feuchten Balken in Kellern. Bez. Krolewetz, 1863. Aurieularini. 21) Corticium (Lejostroma) ochraceum Fr. 1. c. p. 563. Auf feuchtem, faulendem Holze an schattigen Or- ten, häufig. Bezirke: Mglin, Starodub, Suraz, Krole- wetz, Sosnitza, Koseletz. 22) Corticium (Apus) evolvens Fr. 1. c. p. 557. Auf alten Baumrinden, nicht selten. Bez. Mglin. 23) Stereum (Apus) tabacinum Fr. 1. c. p. 550. Auf alten Zweigen von Corylus Avellana, ziemlich selten. Bezirk Mglin. 24) Stereum (Apus) hirsutum Wild. Fr. I. c. p. 549. Auf alten Baumstämmen, selten. Bez. Mglin. 25) Thelephora (Resupinatus) fusca Fr. 1. €. p. 544. Häufig auf altem, moderndem Holze, auf Rinden etc. im ganzen Gebiete. 26) Thelephora (Resupinatus) puteana Schum. Fr. 1. c. p. 542. Auf faulenden Balken, gemein im ganzen Gebiete. 27) Thelephora (Merisma) terrestris Ehrh. Fr. L c. p. 538 In schattigen Wäldern, auf der Erde, selten. Bezirke : Mglin, Krolewetz. Wird in der Umgebung von St. Pe- tersburg sehr häufig getroffen. Clavariei. 28) Clavaria (Ramaria) flava Fr. 1. c. p. 571. In einem alten Eichenwalde bei Rychly im Bezirke Krolewetz. 29) Clavaria (Ramaria) Coralloides Linn. Fr. 1. c. p. 542: In moosigen Wäldern der Bezirke Mglin und Krole- wetz, selten. Häufig in den Wäldern bei St. Petersburg. 30) Clavaria (Holocoryne) pistillaris Linn. Fr. L. c. p. 578. In Kiefernwäldern der Bezirke Krolewetz und Sos- nitza, selten. Eine der am häufigsten vorkommenden Arten in der Umgebung von St. Petersbnrg. 31) Sparassis crispa Fr. 1. c. p. 570-— Weinm. Ross p. 494. In schattigen Tannenwäldern der Bezirke Mglin und Suraz, hie und da nicht selten. Fehlt in der Flora von St. Petersburg. 32) Calocera viscosa Fr. 1. c. p. 581. Selten in den schattigen Waldungen der Bezirke Mglin und Sosnitza. Eine häufig auftretende Form in der Näühe von St. Petersburg. 33) Typhula gyrans Fr. 1. ce. p. 585. 15* 231 In den Eichenwäldern des Bezirkes Krolewetz, sel- ET Hydnei. 34) Hydnum (Apus) gelatinosum Scop. Fr. L ce. p. 512. Selten in moosigen, feuchten Waldungen des Be- zirkes Mglin. 35) Hydnum (Merisma) Coralloides Scop. Fr. I. c. PAIE Auf alten Eichenstäimmen in den umfangreichen Wäldern des Bezirkes Mglin, nicht selten. — Sehr selten in der Umgebung von St. Petersburg. 36) Hydnum (Pleuropus) Auriscalpium Linn. Fr. Le 08 GITE In den Nadelwaldungen der Bezirke Mglin und Krolewetz, nicht selten. 37) Hydnum (Mesopus) repandum Linn. Fr. I. c. p. 206. Selten in den Eichenwäldern des Bezirkes Krole- wetz. Eine der gemeineren Formen in der Nähe von St. Petersburg. 38) Hydnum (Mesopus) émbricatum Linn. Fr. I. c. p. 505. In Kiefernwaldungen am Dniepr, im Bezirke Kose- letz, nicht häufig. 39) Fistulina hepatica Fr. 1. c. p. 504. Auf Baumstämmen, besonders Eichenstämmen, sel- ten. Fehlt in der Flora von St. Petersburg. Polyporei. 40) Merulius lacrymans Fr. 1. c. 502. In Kellern, ziemlich selten. Bezirke: Mglin, Kro- lewetz, Sosnitza. A1) Daedalea quercina Pers. Fr. I. €. p. 492. Auf Eichenstämmen sehr häufig im Bezirke Mglin; seltener im Bezirke Krolewetz. 49) Daedalea cinerea Fr. 1. c. p. 494. Selten auf Eichenstämmen. Bezirk Mglin. 43) Daedalea unicolor Fr. 1. c. p. 494. Auf Eichenstämmen. Bez. Mglin. 44) Trametes suaveolens Er. 1. c. p. 491. Auf alten, gefällten Kiefernstämmen sehr selten. Bez. Sosnitza. Bulletin de l’Académie Kmpériale 23? 45) Polyporus (Resupinatus) mucidus Fr.I. ce. p.485. Auf feuchten Holzstücken, an schattigen Stellen. Bez.: Krolewetz, Sosnitza, Mglin. 46) Polyporus (Resupinatus) sanguinolentus Fr. 1. c. p. 486. In Kellern, auf alten Balken. Bez. Krolewetz. AT) Polyporus (Inodermei; Coriacei) versicolor Fr. 1#c4p 470; Auf Birken- und Eichenstämmen nicht selten. Be- zirke: Mglin, Krolewetz. 48) Polyporus (Inodermei; Coriacei) zonatus Fr. 1. c. p. 478. a) Pileo griseo-albo dense villoso-strigoso, mar- gine albo. b) Pileo nigrescente-cinereo strigoso. Auf Eichenstämmen häufig. Bezirke: Mglin, Kro- lewetz. 49) Polyporus (Inodermeï; Coriacei) hirsutus Er. I. c. p. 477. Auf Eichenholz. Bezirk Mglin. 50) Polyporus (Placodermei; Fomentarii) marginatus Er Cp 268: Auf Kiefern- und Tannenstämmen im Bez. Mglin. 51) Polyporus (Placodermei; Fomentarii) pinicola Fr. 1. c. p. 468. Auf Tannenstämmen im Bezirke Mglin, nicht häufig. 52) Polyporus (Placodermei; Fomentarii) salicinus ErAIACAp ET OrE Auf alten Stimmen von Salix fragilis nnd S. tri- andra nicht selten. Bezirke: Mglin, Krolewetz, So- snitza, Koseletz. 53) Polyporus(Placodermei; Fomentarii) fomentarius Fr. 1. c. p. 465. Häufig auf alten Baumstämmen von Betula, Popu- lus ete. im ganzen Gebiete. 54) Polyporus (Placodermei; Suberosi) betulinus Fr. 1. c. p. 461. Auf verwesenden PBirkenstämmen, selten. Bezirk Mglin. Sehr häufig in der Umgebung von St. Petersburg. 55) Polyporus (Placodermei; Suberosi) dryadeus Fr. ICUDALGOE Sehr selten auf Eichenstämmen. Bez. Mglin. 56) Polyporus (Merisma; Lenti) giganteus Fr. I. c. p. 448. Specimen lectum fere tripedale! Auf einem alten Baumstamme bei Rasrytrja im Be- zirke Mglin. 1861. — Fehlt in der Flora von Peters- burg. 57) Polyporus (Mesopus; Biennes) perennis Fr. 1. c. p. 434. In Kiefernwäldern der Bezirke Mglin und Sosnitza, selten. Häufig in der Umgebung von St. Petersburg. 58) Boletus (Hyporhodii) felleus Bull. Fr. I. c. p. 425. In Nadelwäldern des Bezirkes Mglin, selten. Fehlt in der Flora von St. Petersburg. 59) Boletus (Dermini; Versipelles) scaber. Fr. 1. c. p. 424. a) Pileo ferrugineo-fusco, minor, gracilior. Rossice: OGaboxs. b) Pileo aurantio-rubro } Rossice: /odocunosuxy, c) Pileo incarnato-miniato f Apacnoroivseus. In Laubwäldern, am Rande von Waldwiesen; am häufigsten in Pappelnhainen. 60) Boletus (Dermini; Favosi) viscidus Linn. Fr. 1. c. p. 425. Ross.: Macmons. In Nadelwaldungen, auf sandigem Boden. Bezirke: Mglin, Krolewetz und Sosnitza. 61) Boletus (Ochrospori; Edules) edulis Bull. Fr. 1. c. p. 420. Ross.: Bopoeuxs, Gnavii pu6s. In bergigen Laubwäldern der Bezirke Mglin, Kro- lewetz, Starodub, Sosnitza, Koseletz, hie und da sehr häufig. | 62) Boletus (Ochrospori; Luridi) luridus Schaeff. Fr. L c. p. 418. Ross.: Zodoprunuxs. In bergigen Laubwäldern der Bezirke Mglin und Krolewetz nicht selten. 63) Boletus (Ochrospori; Luridi) upinus Fr. 1. c. p. 418. Ross.: Cunans. À In Eichenwäldern des Bezirkes Krolewetz, selten. Fehlt in St. Petersburg. des Sciences de Saint-Pétersbourg. 231 64) Boletus (Ochrospori; Calopodes) calopus Fr. 1]. c. p. 416. Ross.: Cunans. Hie und da in bergigen Wäldern des Bez. Krole- wetz. Fehlt in der Umgebung von St. Petersburg. 65) Boletus (Ochrospori; Subtomentosi) subtomen- tosus Linn. Fr. ]. ce. p. 415. Ross.: Pruemxa. In hügeligen Hainen der Pezirke Mglin, Krole- wetz, Sosnitza, sehr häufig. Eine der selteneren For- men in der Flora von St. Petersburg. Agaricini, 66) Schizophyllum commune Fr. 1. ce. p. 403. Auf Zweigen und faulendem Holze in den schatti- gen Wäldern der Bezirke Mglin, Krolewetz und Sos- nitza, selten. Sehr gemein in der Umgebung von St. Petersburg. . 67) Lentinus lepideus Fr. 1. c. p. 390. Auf faulendem Holze. Bez. Mglin, 1861. 68) Marasmius (Mycena) epiphyllus? Fr. 1. c.p. 386. Specimina lecta insolito magna, pileo ?/-pollicari, valde rugoso, albo-fuscescente; stipite pallide-brun- neo, pruinoso. An species sui juris? Auf faulenden Blättern, selten. Bez. Mglin, 1861. 69) Marasmius (Mycena) Rotula Scop. Fr. I. c. p. 389. Auf abgefallenen Kiefernnadeln, nicht häufig. Be- zirke: Mglin, Krolewetz, Sosnitza, Koseletz. — Sehr verbreitet in der Umgebung von St. Petersburg. 70) Marasmius (Mycena) androsaceus Linn. Fr. Le. p38 Auf Kiefernnadeln und Blättern, selten. — Eine der gemeinsten Formen in der Flora vonSt.Petersburg. 71) Marasmius (Collybia) peronatus Bolt. Fr. I. c. p: 373. In einem Kiefernwalde des Bezirkes Sosnitza, sel- ten. 1866. 72) Cantharellus (Resupinatus) Crucibulum Fr. Le: p. 369. Auf alten Balken, in Kellern nicht selten. 73) Cantharellus (Mesopus) cibarius Fr. 1. c. p.365. Ross.: Jucuuru. 235 In feuchten Laub- und Nadelwäldern der Bezirke Mglin, Suraz, Krolewetz, Sosnitza, Koseletz. 74) Russula (Fragiles) alutacea Fr. 1. c. p. 362. a) Pileo roseo, demum expallente, b) Pileo rubro, dein aurantiaco, c) Pileo vitellino, d) Pileo olivaceo, e) Pileo albo. In gemischten Birken- und Pappelnwäldern. Die Varietäten b, e und e gehüren zu den selteneren. Be- zirke: Mglin, Krolewetz, Sosnitza. 75) Russula (Fragiles) decolorans Fr. 1. c. p. 361. Pileus in specc. observatis obscure purpureus, de- mum expallens sordide aurantius. In Eichenwäldern des Bezirkes Mglin, sehr selten. 76) Russula (Fragiles) integra Linn. Fr. 1. c. p.560. Variat: pileo roseo, rubro, violascente, olivaceo- viridi. Häufig in gemischten Wäldern der Bezirke Mglin, Suraz, Krolewetz und Sosnitza. 77) Russula (Fragiles) fragilis Pers. Fr. I. e. p.399. In feuchten Waldungen. Bez. Mglin, Sosnitza. 78) Russula (Fragiles) foetens Pers. Fr. 1. c. p.359. Ross.: Boayü. Eine sehr gemeine Form in schattigen, hügeligen Wäldern der Bezirke Mglin, Krolewetz, Sosnitza und | Koseletz. 79) Russula (Rigidae) virescens Schaeff. Fr. I. c. D590: In bergigen Hainen des Bezirkes Krolewetz, nicht häufig. 80) Russula (Firmae) depallens Fr. T. ©. p. 353. In trockenen Birkenhainen sehr selten. Bez. Mglin. 81) Russula (Firmae) vesca Fr. 1. €. p. 352. Hie und da in gemischten Wäldern der Bezirke Mglin und Krolewetz. 82) Lactarius (Russulares) glyciosmus Fr. 1. c. p.348. Ross.: Coroduans. Stipes in speciminibus lectis prorsus solidus (nec farctus, ut monet Fries); lac album, mox griseum; lamellae confertae lutescentes, laesae fascescentes, maculosae. Bulletin de l’Académie Impériale ee —— — — ———————"—"—"]]"—]—— — ——"—"—"—"—"—"—"—]—]—]—]—]—]—]—]—"—"—"—"—"— ”—]—]—]—]—]——"————""——…”"’"—__ — 236 In einem schattigen, feuchten Eichenwalde im Be- zirke Mglin, selten. Jul. 1861. 83) Lactarius (Russulares) rufus Scop. Fr. IL. c. p. 347. Hie und da in Nadelwäldern der Bezirke Mglin und Krolewetz. 84) Lactarius (Dapetes) deliciosus Linn. Fr. I. c. p. 341. Ross.: Puacuxs, Pucrù. In Nadelwäldern der Bezirke Mglin, Suraz, Krole- wetz, Sosnitza; nicht an allen Orten. 85) Lactarius (Piperites) vellereus Fr. IL. c. p. 340. Ross.: Moaouaü. In gemischten Wäldern der Bezirke: Mglin, Krole- wetz, Sosnitza, häufig. Var. 8: exsuccus Pers. Ross.: Cyrape. In Birken- und Pappelnhainen der Bezirke Krole- wetz und Sosnitza, sebr häufig. 86) Lactarius (Piperites) piperatus Scop. Fr. I. c. p. 340. 108s.: Z'pys0b. In gemischten, trocknen Wäldern des Bezirkes Mglin, ziemlich häufig. 87) Lactarius (Piperites) flexuosus Fr. 1. €. p. 338. Ross.: Cpyuxru. Variat pileo zonato et azono stipiteque saepius fere laterali. In gemischten Waldungen, nicht selten. Melin, Krolewetz, Sosnitza. 88) Lactarius (Piperites) uvidus Fr. 1. c. p. 338. Inter alia specimen unicum lectum monstrosum, e tribus concretum. Hujus stipes complanatus, insolite crassus, inanis; pileus irregularis flexuosus, azonus, incarnato-lividus, fusco-maculatus. Lac copiosissi- mum album caroque diffracta cito violascunt. In den Eichenwäldern des Bezirkes Mglin, nicht häufig. 89) Lactarius (Piperites) hysginus Fr. 1 c. p. 337. In Eichenwäldern des Bez. Mglin, selten. 90) Lactarius (Piperites) torminosus Fr. I. c. p. 334. Ross.: Bouyxa. In bergigen Wäldern des Bezirkes Krolewetz, nicht häufig. Bezirke: 237 91) Lactarius (Piperites) serobiculatus Fr. 1. €. p. 334. Variat interdum stipite sublaterali. In gemischten Wäldern der Bezirke Mglin, Krole- wetz, Sosnitza. 92) Hygrophorus (Hygrocybe) conicus Fr.I.c. p.351. An grasigen Stellen, hie und da. Bezirke: Krole- wetz, Sosnitza. 93) Hygrophorus (Hygrocybe) miniatus Fr. 1. c. p.330. An hügeligen, grasigen Stellen, in den Bez. Mglin und Krolewetz. 94) Hygrophorus (Limacium) eburneus Fr. c. p.321. In Nadelwäldern der Bezirke Mglin und Krolewetz, selten. 95) Paxillus (Tapinia) énvolutus Fr. T]. e. p. 317. Auf alten Baumstämmen im Bez. Mglin, sehr selten. 96) Cortinarius (Inoloma) violaceus Fr. 1. €. p. 279. In einem Kiefernwalde des Bezirkes Mglin, 1861. — Jiemlich verbreitet in der Umgebung von St. Pe- tersburg. 97) Cortinarius (Dermocybe) cinnamomeus Fr. 1. c. p. 288. In Kiefernwäldern des Bezirkes Sosnitza, selten. Sehr verbreitet in der Flora von St. Petersburg. 98) Cortinarius (Myxacium) collinitus Fr... c. p.274. In feuchten Wäldern der Bezirke Mglin, Krole- wétz und Sosnitza, selten und immer in einzelnen Exemplaren. — Eine der gewühnlichsten Formen in der Nähe von St. Petersburg. 99) Cortinarius (Pflegmacium) scaurus Fr. I. c. p. 268. In einem Kiefernwalde des Bez. Sosnitza, 1866. 100) Coprinus (Furfurelli) ephemerus Fr. I. c. p. 252. Auf Mist, sogar auf den von Mistjauche durch- drungenen Backsteinen. Bez.: Mglin, Krolewetz. 101) Coprinus (Micacei) #icaceus Fr. 1. c. p. 247. Auf faulenden Baumstämmen und Balken. Be- zirke: Mglin, Suraz, Krolewetz. 102) Coprinus (Tomentosi) fémetarius Fr.]. c.p. 245. Auf Mist, frisch gedüngten Aeckern. Im ganzen Gebiete. des Sciences de Saint-Pétersbourg. 235 103) Coprinus (Pelliculosi) comatus. Fr. I. c. p.242. Auf gedüngten Aeckern, in Obstgärten. 104) Agaricus (Coprinarii; Psathyrella) gracilis Fr. l'2CAp 288; Hie und da an grasigen Stellen. Bezirke: Mglin, Krolewetz. j 105) Agaricus (Coprinarii; Panaeolus) separatus. Linn. Suec. Fr. I. ce. p. 234. Auf Kuhmist, selten. 106) Agaricus (Pratelli; Hypholoma) fascicularis Huds. Fr. 1. c. p. 222. Auf alten, abgehauenen Baumstämmen, häufg. Bezirke: Mglin, Krolewetz, Sosnitza. 107) Agaricus (Pratelli; Psalliota) Batsch. Fr. L c. p. 220. Zwischen modernden Blättern in den Wäldern der Bezirke Mglin und Krolewetz, selten. 108) Agaricus (Pratelli; Psalliota) aeruginosus Curt. FrANcr p.121. In gemischten, feuchten Waldungen des Bezirkes Mglin, 1861. — In der Nähe von St. Petersburg an vielen Orten sehr häufig. 109) Agaricus (Pratelii; Psalliota) campestris Linn. Hire Mc pal In Obstgärten, an gedüngten Stellen, häufig. Be- zirke: Mglin, Krolewetz, Sosnitza. 110) Agaricus (Dermini; Crepidotus) kaustellaris Fr. LCA An einem Baumstamm im Bezirke Mglin, 1861. 111) Agaricus (Dermini; Hebeloma) lacerus Fr. L. €. 3ezirke: Mglin, Krolewetz. semiglobatus Dans In Wäldern der Bezirke Mglin, Krolewetz und Sosnitza, selten. — Eine der gemeinsten Formen in der Umgebung von St. Petersburg. 112) Agaricus (Dermini; Hebeloma) lanuginosus Fr. 1. c. p. 171. In Nadelwäldern auf der Erde, selten. Bezirk Mglin. Ziemlich verbreitet in der Umgebung von St. Petersburg. 113) Agaricus (Dermini; Pholiota) spectabilis Fr. ic. p. 166. In einem alten Eichenwalde bei «Rychly» im Be- zirke Krolewetz, sehr selten. 239 114) Agaricus (Hyporhodii ; Pluteus) cervinus Schaeff. Fr. 1. c. p. 140. Hie und da auf Stämmen. Bezirke: Mglin und Krolewetz. 115) Agaricus (Leucospori; Pleurotus) petaloides Bull. Fr. 1. c. p. 154. In umfangreichen Nadelwäldern des Bezirkes Mglin, ziemlich häufig. 116) Agaricus (Leucospori; Pleurotus) pulmonarius FRAC HD. 154 Auf modernden Baumstämmen im Bez. Sosnitza, selten. Häufig in der Nähe von St. Petersburg. 117) Agaricus (Leucospori ; Schum./Fr:1"c. p.119: Auf verwesenden Blättern im schattigen Eichen- walde bei «Rychly» im Bezirke Krolewetz, selten. Mycena) capillaris 118) Agaricus (Leucospori; Mycena)Stylobates Pers. Fc ip.rlli7 : In gemischten Wäldern der Bezirke Mglin, Krole- wetz und Sosnitza. 119) Agaricus (Leucospori; Mycena) alcalinus Kr. INC pRl0) Auf alten Baumstämmen in den Bezirken Mgjlin, Krolewetz und Sosnitza, selten. — Eine der gewühn- licheren Formen in der Flora von St. Petersburg. 120) Agaricus (Leucospori; Mycena) galericulatus Scop. Er. 1. 6:1p.106: Selten auf faulenden Baumstämmen: Bezirke: Mglin, Krolewetz und Sosnitza. Bei St. Petersburg gemein. 121) Agaricus (Leucospori; Mycena) purus Pers. RMC D: 102: In gemischten feuchten Wäldern des Bezirkes 5o- snitza, sehr selten. 122) Agaricus (Leucospori; Clitocybe) laccatus Scop. Eralet p:79. Variat: pileo rufo, lamellis carneis et pileo luteo- violateo, lamellis violaceis. In feuchten Nadelwäldern der Bezirke Mglin und Krolewetz, hie und da. Sehr gemein in der Flora von St. Petersburg. 123) Agaricus (Leucospori; Clitocybe) cerussatus Fr. IACApD 01 Bulletin de l’Académie Hmpériale 240 Selten in Kiefernwäldern des Bezirkes Krolewetz. Häufig in der Umgebung vou St. Petersburg. 124) Agaricus (Leucospori; Tricholoma) personatus Fr. I. c. p. 48. In regione perlustrata semper solitarie crescit. Spe- cimina parva, debilia, vix colorata. Hüchst selten in hügeligen Nadelwäldern der Be- zirke Mglin, Krolewetz und Sosnitza. — Sehr gemein in der Umgebung von St. Petersburg. 125) Agaricus (Leucospori; Tricholoma) ÆRussula Schaeff., Fr. 1. c. p. 30. In einem trocknen Kiefernwalde des Bezirkes Kro- lewetz, sehr selteu. 1867. — In der Umgebung von St. Petersburg hie und da ziemlich häufig. 126) Agaricus (Leucospori; Armillaria) melleus FI. Dan Er le p:122; Auf Baumstäimmen, sehr häufig. Bezirke: Mglin, Suraz, Krolewetz, Sosnitza. 127) Agaricus (Leucospori; Lepiota) rachodes Vittad. TMC DE Odor ingratus. Caro alba, diffracta rubescens. In einem Obstgarten des Bezirkes Mglin, sehr sel- ten. 1861. Fehlt in St. Petersburg. 128) Agaricus (Leucospori; Lepiota) procerus Scop. HrMEACMD el Auf F'eldern, in Gärten der Bezirke Mglin, Krole- wetz und Sosnitza, hie und da nicht selten. — In der Umgebung von St. Petersburg nur in einzelnen Exem- plaren auftretend. 129) Agaricus (Leucospori; Amanita) vaginatus Bull. 1e LS lets Variat.: a) pileo albo, statura robustiore. b) pileo lutescente-rufo, minor. c) pileo livido. In gemischten Wäldern, häufig. Bezirke: Mglin, Suraz, Krolewetz, Sosnitza, Koseletz. 130) Agaricus (Leucospori; Amauita) rubescens Fr. LAC ADN Ross.: Myxomops. In gemischten, hügeligen Waldungen der Bezirke Mglin, Krolewetz, Sosnitza, häufig. Seltener in der Umgebung von St. Petersburg. 131) Agaricus (Leucospori; Amanita) Mappa Batsch. RralNC-D10: 241 Specimina lecta ad var. pileo virescente (Krombh. tab. 28, fig. 1 — 10) pertinent. In einem Kiefernwalde des Bezirkes Krolewetz, selten. Fehlt in St. Petersburg. 132) Agaricus(Leucospori; Amanita) muscarius Linn. Eric: p:,5: Ross.: Myxomops. In gemischten Wäldern, besonders in Birkenhainen der Bezirke Mglin, Krolewetz und Sosnitza, häufig. 133) Agaricus (Leucospori; Amanita) Phalloides Fr. lACED: 4 Variat.: pileo albo, lutescente et livido. In alten Eichen- und Kiefernwäldern der Bezirke Krolewetz und Sosnitza, hie und da ziemlich häufig. In St. Petersburg selten. B. Gasteromycetes. Sphaerobolei. 134) Sphaerobolus stellatus Tode. Fr. Syst. Mycol. IT, 9p- 3091310. Auf faulendem Holze in einem Kiefernwalde des Bezirkes Sosnitza, schr selten. 1866. Trichogastres, 135) Geaster (Plecostoma) fornicatus Fr. Syst. Mycol. IIL. p. 12. In einem gemischten Walde des Bezirkes Sosnitza, selten. 1866, 1867. 136) Geaster (Geastrum) rufescens Pers. Fr. Syst. Mycol. p. 18. In alten Tannenwäldern des Bezirkes Mglin, hie und da. 137) Bovista nigrescens Pers. Fr. TI. €. p. 23. Auf sonnigen, hügeligen Stellen der Bezirke Mglin, Krolewetz und Sosnitza. 138) Bovista plumbea Pers. Fr. I. c. p. 24. Ziemlich häufig an sonnigen Bergabhängen. Be- zirke: Mglin, Suraz, Sosnitza, Krolewetz, Koseletz. 139) Lycoperdon (Proteoides) gemmatum Batsch. Fr. I. c. p. 36. In Nadelwäldern der Bezirke Mglin, Krolewetz und Sosnitza, nicht selten. 140) Zycoperdon (Protcoides) pyriforme Rupp. Fr. 1. c. p. 39. In Nadelwäldern auf Holz und Erde. Tome XIII. des Sciences de Saint-Pétersbourg. 242 141) Scleroderma vulgare KT. Dan. Fr. 1. c. p. 46. In hügeligen Wäldern des Bezirkes Mglin, selten. Ziemlich häufig in der Umgebung von St. Petersburg. 142) Scleroderma Bovista Fr. 1. c. p. 48. In sandigen Kiefernwäldern des Bezirkes Mglin, sel- ten. Fehlt in St. Petersburg. Podaxinei. 143) Phallus (typhallus) impudicus Lin. Fr. Syst. Mycol. II, 2. p. 283. In schattigen Laubwäldern der Bezirke Mglin, Kro- lewetz und Sosnitza nicht selten. Fchlt um St. Pe- tersburg. HN. Ascomycetes. A. Strato hymenino superficiali, aperto (Discomyce- tes). Mitrati (Helvelloidei). 144) Helvella(Mitrae) crispa Fr. Syst. MycolIL. p. 14. An hügeligen, grasigen Stellen des Bezirkes Kro- lewetz, selten. 1864, 1867. 145) Helvella (Mitrae) lacunosa Afz b. minor. Fr. 1. ce. p. 15. (H. Monacella Schaeff.) Auf erhabenen, etwas feuchten Grasplätzen des Bezirkes Krolewetz, nicht häufig. 146) Helvella (Mitrae) esculenta Pers. Fr. I. c. p.16. Ross.: Cmopuons. In Kiefernwäldern der Bezirke Krolewetz und Sos- nitza, an abgebrannten Stellen hie und da sehr ver- breitet. 147) Leotia (Cucullaria) cércinans Pers. Fr. I. c. p.27. In moosigen, feuchten Nadelwäldern des Bezirkes Mglin, selten. In der Umgebung von St. Petersburg an manchen Stellen sebr häufig. Cupulati (Pezizoidei). 148) Peziza (Aleuria; Helvelloideae) Acetabulum Linn. Fr. Il. c. p. 44. In grasigen Thälern des Bezirkes Krolewetz, sebr selten. 1864, 1866. April. 119) Peziza (Aleuria; Helvelloideae) cerea Sowerby Hr l.c2:0.,52. Auf gedüngter Erde, in Obstgärten der Bezirke Mglin und Krolewetz, hie und da. 16 243 150) Peziza (Aleuria; Helvelloideae) vesiculosa Bull. FrAfrtcan Des Auf Mist und gedüngter Erde im Bezirke Krolewetz. 151) Pezisa (Aleuria; Helvelloideae) badia Fr. 1. c. p. 46. In Kiefernwäldern des Bezirkes Sosnitza, sehr sel- ten. 1867. Häufiger in der Umgebung von St. Peters- burg. 152) Pezisa (Aleuria; Humaria) Omphalodes Bull. var. « aurantio-rubra Fr. I. c. p. 73. An abgebrannten Stellen in den Nadelwäldern des Bezirkes Mglin, nicht häufig. 153) Peziza (Aleuria; Encoelia) fascicularis Alb. et Schwein. Fr. Il. c. p. 75. An vertrockneten Zweigen von Corylus Avellana und Populus tremula, im Bezirke Mglin, selten. In der Umgebung von St. Petershurg hie und da sebr verbreitet. 154) Peziza (Aleuria, Encoelia) furfuracea Pers. Fr. CPP: 170; Auf alten Stimmen von Corylus Avellana im Bezirke Mglin und Krolewetz, hôchst selten. Häufig in der Umgebung von St. Petersburg. 155) Peziza (Lachnea; Sarcoscyphae) coccinea Jac q. Br CD O0 Ross: Yuxu (distr. Krolewetz). In Wäldern und Hainen der Bezirke Krolewetz und Sosvitza, im Früjahr sehr häufig. Eine der selteneren Arten in der Flora von St. Petersburg. 156) Peziza (Lachnea; Sarcoscyphae) kemisphaerica Wigg. Fr. 1. c. p. 82. Specimina in distr. Mglin collecta nimis minuta, cupula vix ultra 1°/,-2 lin. lata; sed characteres pror- sus speciei dictae, nec affinis Pez. brunneae. Ab. et Schwein. Auf Erde und alten Baumstämmen in den Wäldern der Bezirke Mglin und Krolevetz, hie und da. Häu- fig in der Umgebung von St. Petersburg. 157) Peziza (Lachnea; Sarcoscyphae) umbrosa Fr. |. c. p. 85. Auf Lehmboden, an schattigen Stellen. Bezirke: Mglin, Krolewetz und Sosnitza. 158) Peziza (Lachnea; Sarcoscyphae) stercorca Pers. Fit c.1ps\87 Auf Kuhmist, sehr selten. Bezirk Krolewetz. 1867. Bulletin de l’Académie Impériale 244 159) Peziza (Lachnea; Dasyscyphae) nivea Hedw. Fr cp: 90: Auf faulendem Holze an schattigen Orten im Be- zirke Krolewetz, ziemlich häufig. 160) Peziza (Phialea; Calycinae) aeruginosa FI. Dan. Frdc:p 430. In schattigen, feuchten Wäldern des Bezirkes Mglin, selten. 161) Peziza (Phialea; Calycinae) citrina Batsch. Fr. LICApASN" Auf alten Eichenstimmen. Bezirke: Mglin, Krole- wetz, Sosnitza, nicht häufig. 162) Peziza (Phialea; Mollisia) cinerea Batsch. Fr. lc: p. 142: Auf faulenden Zweigen. Ziemlich verbreitet in den schattigen Wäldern des Bezirkes Mglin. B. Strato hymenino peridio vel perithecio undique clauso. Nidulariacei, 163) Nidularia (Cyathia) campanulata Sibth. Fr. Syst. Mycol. II, 2 p. 298. Auf faulendem Holze, an Baumstämmen in den Be- zirken Mglin, Krolewetz und Sosnitza, nicht selten. 164) Nidularia (Cyathia) Crucibulum Fr. 1. e. p. 299. — Crucibulum vulgare Tul. Auf moderndem Tannenholze im Bezirke Mglin. Tuberacei. 165) Elaphomyces granulatus Fr. Syst. Mycol. III. p. 28. In Eichenwäldern des Bezirkes Mglin, sehr selten. Pyrenomycetes,. 166) Claviceps purpurea Tulasne. Fr. Syst. Mycol. IT. p. 325 (sub Sphaeria). Entwickelt nur die unter den Namen: Sphacelia segetum Lié v. und Sclerotium Clavus DC. (Mutterkorn) bekannten vegetativen Organe. Die Fruchtkürperent- wickelung kommt bei uns nie zu Stande. Häufig auf Getreidearten, namentlich auf Roggen. 167) Xylaria Hypoxylon Fr.I.c.p.327 (sub Sphaeria). Auf alten gefällten Stämmen (besonders Eichenstäm- 245 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 246 ———— men) in den Bezirken Krolewetz und Sosnitza, hie und da nicht selten. 168) Sphaeria (Poronia) punctata Sowerby Fr. 1. c. p. 390. Auf altem Kuhmist, sehr selten. Bezirk Mglin. 169) Sphaeria (Pulvinatae) concentrica Bolt. B: Sph. enteroleuca Schw. Fr. I. €. p. 331. Clavata. Clava breviter stipitata globoso-pulvinata, 2 — 3-loba, lobis obtusis. Stroma intus stratis cellu- losis concentricis albis, extus nitidum, aterrimum; ostiolis parum prominentibus. Selten auf vertrockneten Eichenzweigen. Mglin. 170) Sphaeria (Pulvinatae) fusca Pers. Fr.l.c.p.332: An abgefallenen Baumzweigen, häufig. Mglin, Krolewetz, Sosnitza. Bezirk Bezirke. 171) Sphaeria (Pulvinatae) argillacea Fr. 1. €. p. 333. Auf Betula alba, ziemlich häufig. Bezirke: Mglin, Krolewetz. 172) Sphaeria (Pulvinatae) multiformis Fr. 1. €. p. 334. Var. cc. effusa Fr. Auf Birkenstäimmen im Bezirke Mglin, häufig. 173) Sphaeria (Denudatae) mammaeformis Pers. Fr. 1%C/p:455: Auf moderndem Holze in Wäldern des Bezirkes Mglin, selten. Kiew, Ende Mai, 1868. Über die Entwickelung und den Bau der Sa- menkôrperchen der Fische. Von Ph.Owsjan- nikow. (Lu le 17 septembre 1868.) Auf der ersten Versammlung der russischen Natur- forscher habe ich eine Mittheilung über die Entwicke- lung und den Bau der Samenkürperchen der Fische gemacht, die in den Abhandlungen der Versammlung niedergelegt ist, erläutert durch Abbildungen. Da die Entwickelung der Samenfäden in der letzten Zeit die Aufmerksamkeit der Histologen von Neuem auf sich gezogen hat und wir durch die schünen Arbeiten von la Valette und Schweiger-Seidel manche neue Thatsachen gewonnen haben, so habe ich geglaubt, diesen Gegenstand auch aufnehmen zu müssen, um so mehr, da die Untersuchung der Fisch- samenkürper besondere Schwierigkeiten bietet und deshalb wenig Beobachter gefunden hat. Ich verôffentliche hier nur kurz die Hauptsache und verweise im Übrigen auf meine in russischer Sprache verfasste Abhandlung, die wohl erst in einiger Zeit erscheinen wird. Die Untersuchung der Samenkürper der Fische zeigte mir, dass ihr Bau complicirter sei, als Kôlliker und nach ihm andere Forscher bis zur jüngsten Zeit geglaubt haben. Ich habe häuptsächlich und zu ver- schiedenen Jahreszeiten die Samenkôrper einiger Sal- mones (Salmo salar, Salmo fario, Coregonus), aber auch anderer Fische, wie z. B. vom Barsch, Kaulquappe und Bracksen untersucht. Die Samendrüsen haben im Innern die Form der zusammengesetzten Schläuche. Sie bestchen aus bin- degewebiger Grundlage, Gefässen, Nerven-Epithel und Samenkürpern. So wie in allen Drüsen, so ist auch hier das Epithel die Hauptsache. Man trifft gewühn- lich die Epithelialzellen, die meistens eine cylindrische Form bezitzen, in zwei Reihen liegend. Die Zellen sind nicht von dem übrigen Gewebe durch eine besondere Membran abgegrenzt. Die jüngeren Formen haben keine Membran und sind den Zellen der Grundsubstanz sehr ähnlich. Alle Zellen besitzen einen grossen, weissen Kern mit deutlichem Kernkürperchen und Protoplasma. Die Zellen der zweiten, meistens aber der dritten Reïhe zeigen Theilungen des Kernes und des Protoplasma. Der Gang der Theilung ist bekannt. Man findet Zel- len, die zwar sehr an Grüsse zugenommen haben und 10—15 und mehr junge Tochterzellen in sich beher- bergen, ohne ihre Form einzubüssen. Diese sind junge Samenkürper. Der Kern der Zelle wird zum Kopf und das denselben umgebende Protoplasma zum Schwanz desselben. Denn in anderen Zellen sieht man, wie das Protoplasma sich an einem Pole des Kernes ansammelt und zu einem Faden sich verdünnt. Zusam- mengerollte Samenfiden habe ich bei den Fischen nicht gesehen, aber ich habe solche Fäden in den Sa- menzellen der Stubenfliege aufs Deutlichste beobachtet. Sie waren hier in Form einer Uhrfeder zusammenge- rollt und zeigten selbst in diesem Zustande eine Be- wegung. Aber die vollkommen ausgebildeten Fäden waren lang und straff. Es schien mir ferner, dass zu- sammengerollte Samenfäden in jungem Zustande auch bei den Ratten vorkommen. 16* 24% Bulletin de l'Académie Hmpériale 248 TS —— ———.——————————— Die reifen Samenkôrperchen der Salmonen zeigen einen länglichen, vorn zugespitzten , hinten breiten Kopf, der die Form eines Fischkopfes oder eines Kar- tenherzens hat. Derselbe besteht aus zwei Theilen, die von einander durch eine seichte Furche getrennt wer- den. Jede Hälfte ist nach hinten kugelformig abge- rundet. Hinter dem Kopfe findet sich zwar zuweilen eine Verdickung, die dem Kürper des Samenfadens anderer Wirbelthiere entsprechen würde, sie besitzt aber durchaus keine besonderen Eigenschaften, wo- durch man sie als einen selbständigen Theil des Fadens ansehen künnte. Im Gegentheil ich habe gesehen, wie das Protoplasma, das den Schwanz bildet, direct in diesen Theil übergeht und unter Umständen die Masse desselben vergrôssert. Der Schwanz des Samenkürperchens ist sehr lang, seine Bewegungen daher nicht hüpfend, wie man bei Fischen gewôhnlich annahm, sondern wellenfürmig. Die Samenflüssigkeit der Fische ist in der ersten Zeit flüssig, dann gerinnt sie und stellt eine gallertfürmige Masse dar. Füllt sie aber der Zersetzung anheim, s0 wird sie wieder flüssig. Ich habe an kaltem Orte die Samenflüssigkeit der Fische über 48 Stunden aufbe- wabrt, ohne dass die Kürperchen ihre Bewegung ein- gebüsst hätten. Auch stellte ich Befruchtungsversu- che an Eiern, die aus todten Fischen genommen wa- ren, an, und meistens gelangen mir dieselben. Natürlich müssen die Fische vollkommen frisch sein. Wenn man zu der Samenflüssigkeit Wasser zu- fügt, so werden die Bewegungen der Samenkürper- chen im hôchsten Grade lebhaft, aber sie hôren auch, wenn zu viel Wasser zugesetzt wird, meistens sehr bald auf. In diesem Falle werden die Schwänze unsichtbar, selbst bei Anwendung stärkster Systeme. Dieses rührt, wie ich mich endlich überzeugt habe, davon her, dass das Protoplasma, welches die Schwänze bildet, sehr zart ist und sich im Wasser zu einem Klumpen zusam- menzieht, welcher entweder den Kopf ganz umgiebt, oder an der Seite desselben zu liegen kommt. Wen- det man diesem Gegenstande grüssere Aufmerksam- keit zu und macht man die Untersuchung mit starken Systemen, so kann man fast unmittelbar die Verkür- zung des Fadens und das Anwachsen der Protoplas- maschicht um den Kopf beobachten. Bei Anwendung einiger Reagentien, z. B. einer schwachen Indigo-Carminlüsung, sieht man unter sol- chen Umständen überaus deutlich das Protoplasma, welches den Kopf in Form eines ovalen Ringes um- giebt und endlich in den Faden übergeht. Die Sub- stanz, die den Kopf bildet, schrumpft dabei etwas zu- sammen. Die Wirkung anderer Reagentien werde ich hier nicht anführen. Es ist sehr erfreulich, dass die Untersuchung über die Entwickelung der Samenfäden ganz mit jenen Resultaten übereinstimmt, die wir bei Betrachtung in Wasser sich verändernder Samenkôérperchen ge- wonnen haben. In beiden Fällen sieht man, dass der Schwanz aus Protoplasma besteht. Der Kopf hat auch im ausgebil- deten Samenkürperchen seine früheren Eigenschaf- ten als Zellenkern nicht eingebüsst. So merkwürdig es scheinen mag, dass der Schwanz der Samenkürperchen auch in seinem ausgebildeten Zustande so grosse Zartheit besitzt, dass er sich wieder zu einem Protoplasmakügelchen zusammenbal- len kann, so steht dieses Factum nicht ganz allein da. Ich erinnere mich, dass ich früher, als ich mich mit der Untersuclhiung der Samenkürper des Flusskreb- ses beschäftigte, sehr häufig an denselben gesehen habe, wie die einzelnen Strahlen des Kürpers allmäh- lich fast unter den Angen kürzer wurden und endlich ganz verschwanden. Statt der strahlenformigen Sa- menkôrper bekommt man zuletzt ganz runde. Das Protoplasma, welches Strahlen bildet und anscheinend fest ist, zieht sich zusammen und umgiebt zuletzt das Samenkürperchen ganz auf dieselbe Weise, wie wir es bei Fischen gesehen haben. Examen d’un passage de l’historien arménien Oukhtanès, relatif à la prétendue conquête de lIbérie“ par Nabuchodonosor; par M. Brosset. (Lu le 4 juin 1868.) M. Vivien de S.-Martin, dans ses Recherches sur les populations primitives du Caucase, Paris, 1847, p. 65, émet l’opinion que «l’on a tort d'avancer que le nom d’Ibérie était absolument étranger aux Géor- giens,» et continue son raisonnement en déduisant Ibérie du mot géorgien 0do36 émier, au-delà, d’où Imiéreth, Iméreth, la permutation des deux consonnes m et b étant très fréquente. Déjà à la p. 64 il avait dit que ce nom d’Ibérie, inconnu jusqu'alors aux 249 250 auteurs classiques, «existait certainement à l’époque de l’expédition de Pompée,» et que les Romains, qui ont pénétré par-là dans les pays caucasiens, «étendi- rent à toute la contrée la dénomination qui, la pre- mière, avait frappé leurs oreilles.» Danville, dans sa Géographie de l'Asie, croit également que le nom d’Ibérie est en relation directe avec celui d’Iméreth.") Sans nier l’affinité des consonnes et des noms dont il s’agit, ni même la possibilité de l'existence, non dé- montrée toutefois, tant s’en faut, du nom d’Iméreth 65 ans avant notre ère, je pense que l’origine attri- buée à celui de l'Ibérie, quoique réellement fort spé- cieuse, n’est nullement admissible. Moi-même j'ai plusieurs fois soutenu et suis prêt à soutenir encore l'extrême probabilité de la dériva- tion du nom grec et latin de lIbérie de la particule arménienne 4Æp, fEpuy ver, à véra «au-dessus, en haut,» dérivation qui m'a été contestée par un Armé- nien, très bon arméniste, M. Emin, trad. de l'Histoire universelle d’Asolie, Add. XIIT, p. 258, mais j'ai de- quoi lui répondre. C’est de ces questions que je vais m'occuper, et, pour cette fin, je présenterai d’abord par ordre chro- nologique une série de textes, discutés au point de vue de l’histoire et de la philologie. Par-là je m'’ef- forcerai d’éclaircir un passage remarquable de lhisto- rien Oukhtanès. I. F1. Josèphe, Contra Apionem, I. I, p. 1343, éd. Hudson, Oxford, 1720, s'exprime ainsi: .… ai MeyaoSévns, à tn rerapty Toy Idtxov, aro- paveuy TElQATO Tov TpoetonuÉvoy Buothen Tov Bafurw- voy ‘Hoaxhéous avdpelx xat peyédet rouËéoy dievnvoyé- var, xaTacpebacdat yap aUTov pot, xt ArBuns Tv rohkny xai "IBnotav. «Et Megasthenes”), in quarto volumine Indicorum, ostendere contendit prædictum Babyloniorum regem et fortitudine Herculem et magnitudine actorum *) 1) Strabon, Géogr. I, p. 147, trad. de Laporte Dutheil, croit que les Ibériens du Caucase sont une émigration de ceux d'Espagne: ce qui est positivement insoutenable. 2) Mégasthène, historien et géographe du IIT° s. avant J.-C. secrétaire du roi Séleucus Nicator, qui l’envoya dans l’Inde comme négociateur, avait écrit un livre sur ce pays, dont les fragments ont été publiés en dernier lieu par M. C. Müller, dans la prande col- lection des classiques de Firmin Didot, Fragm. hist. græcorum, t. I, p. 397. L'éditeur croit qu'au lieu du IV® livre il faut lire «au ILE livre,» ëv tÿ ô(eutepü), et rapporte le fragment dont il s’agit ici d’après l’édition des Chroniques d’Eusèbe par Zobrab et Maï, p. 32. 3) Ce mot est ajouté par moi à la traduction. des Sciences de Saint-Pétersbourg. præstitisse. Dicit enim eum Libyæ bonam partem et Iberiam “) subjugasse. » IT. Ce passage de Mégasthène est cité textuelle- ment dans la Chronique d’Eusèbe, Partie 1", p. 71, Venise, p. 32, éd. Milan; en outre chez le même au- teur, ibid. p. 58, Ven., 27 Mil., il est allégué comme extrait de l'historien Abydène”) et avec de notables variantes. «Au sujet de, Nabuchodonosor écoute ce que dit Abydène, Il était plus fort qu'Hercule, et s’exprime ainsi: MeyacSéms donc: NaBouxodooccpcv Hoaxhéos aX- xuLOTEpOY VE yovoTæ, ÊTE Te AuBumnv xai IBnoëny coutedcat, rats DÀ xEtpOoaEvO, aTOdLOUOY aiTéoy Es TA DEELo roù [lovrou xatorxioat. Ce que le traducteur arménien a rendu: (RTE Te OR CT PT LEON MCE RON) CNT PEREZ bupSi qopudoqe] jy Sumntlp Le puñbu ht. qhup pop Séaude oeudhp Le qiot df fe vogutkt gaeu pat rene Sans eophu phulEgnrgutep «Mégasthène dit: Naboucodrosoros®), qui était plus fort qu’'Hercule, ayant rassemblé des troupes, parvint aux contrées des Libyens et des Ibératsi, les battit, dispersa, soumit à son pouvoir, et en emmena une partie sur la côte droite de la mer du Pont, qu’il leur fit habiter.» Remarquez ici: 1° L’interprète arménien a traduit jusqu'au nom de Mégasthène, qu’il rend très exacte- ment, il est vrai, par Æômgop, mot ayant précisé- ment le même sens, si bien que, dans l’édition mila- naise d’Eusèbe on lit: «Potentissimus, ait, Nabuco- drosorus ..,» et que la majeure partie des traducteurs de Moïse de Khoren ont adopté cette version. 2° Le traducteur arménien de ce passage met la copule «et,» entre les deux noms de peuples chez qui le roi d'Assyrie est dit avoir fait une expédition; mais la 4) Evidemment aucune personne sensée ne voudra croire que Nabuchodonosor ait fait la conquête de l’Ibérie européenne, et c’est avec raison que M. Alfred Maury, Revue des deux mondes, t. LXXIV, p. 471, dit: «La légende va jusqu’à représenter Nabucho- donosor comme ayant conquis l'Afrique et l'Espagne.» 5) Abydène, probablement un prêtre égyptien, imitateur de Bérose, vivait sous Ptolémée Philadelphe, peu d’années après Mé- gasthène. + 6) On sait que dans les inscriptions cunéiformes ce nom est écrit Naboucodracara, à Bisoutoun; la forme assyrienne est Naboucou- dourroussour, 251 Bulletin de l’Académie Impériale 252 TT ———_———_—_——_————— plupart des éditions de Moïse de Khoren l’omettent, ce qui permet, comme on le verra, de traduire ce passage d’une tout autre manière. 3° L'éditeur ar- ménien d’Eusèbe lit le second nom de peuple «Ibé- ratsi,» qu'il n’est nullement certain que l’on doive traduire par en haut; /Epf supérieur,» caractérisant aussi exactement que pos- sible la position géographique de l'Ibérie ou Géorgie par rapport à l'Arménie. 4kphuyh Vériaï n'existe que comme nom propre, celui de l’Ibérie. Maintenant, les Ibériens ont-ils quelque lien eth- nographique avec les Hébreux, c’est ce que notre Oukhtanès décide carrément, par l’affirmative, dans la suite du passage cité plus haut: «Puis cette race, fixée sur le bord du Pont, s’était accrûe, multipliée, répandue au long et au large sur le littoral maritime, avait pénétré jusqu'aux limites de l'Arménie et de l’Aghovanie, et formé une nation considérable, sous le nom d’Aphkhaz, dans des can- tons de noms divers, ainsi qu'aux environs, sous mille dénominations, et à l’entour de la ville de Tiflis: à savoir, les Dzanars, les Dchavakhk et les Threghk. Ces peuples, après avoir pris de l’acroissement, nom- mèrent d’abord leur pays Véria, d’où ils furent appe- lés Vratsi, affermirent sous des pontifes et des rois Bulletin de l’Académie Hmpériale 1 256 leur nationalité, langage et écriture. Ce sont eux que Kyron Scoutratsi éloigna et sépara de nous.» De tout ce qui précède, excepté le témoignage de Vardan, il résulte évidemment que les captifs amenés par Nabuchodonosor étaient, outre les Egyptiens, des Hébreux, les Ibératsi d'Eusèbe, vaincus par le roi d'Assyrie, après qu'il eut triomphé des Libyens, et que l'historien Oukhtanès n'hésite pas à regarder les Ibériens, et notamment les tribus des Aphkhaz, des Dzanars, des Djavakhs et des Threghs, ainsi qu’une foule d’autres, comme descendant des Hébreux. De mon côté, sans croire que la masse, le fond de la nation ibérienne soit composé de Sémites, j’ad- mets comme un fait certain que l’Ibérie occidentale, i. e. le Gouria, l'Akhal-Tzikhé, l’Iméreth, et en par- tie le Karthli, fourmillent de Juifs et de descendants des Juifs. Il en est de même de l'Arménie, où il n’est pas douteux qu’un grand nombre de Juifs captifs se soient établis avec ce Chamba, donné par Nabucho- nosor au roi Hrhatchia, sur sa demande (M. de Khor. I, xxni), qui devint la souche de l’illustre famille des Bagratides; ef. Khor. IT, xIX, XXIV, XHIX, LXV, sur les diverses villes arméniennes habitées par les Juifs, telles que Van, Artachat, Vagharchabad. Pour procéder donc avec ordre, examinons où ont été transportés, soit par Salmanasar les captifs des dix tribus d’Israel, soit par Nabuchodonosor ceux de Juda; puis les noms hébreu, arménien et géorgien des Juifs; ceux des tribus auxquelles Oukhtanès croit qu'ils ont donné naissance et l’analogie, présumée ou réelle, entre le nom de l'Ibérie et celui des captifs en question? enfin la chronologie des faits. 1) On lit dans la Bible, IV Reg. xvur, 6; cf. XVIU, 2: I Paralip: v, 25. £ «Anno autem nono Osee cepit rex Assyriorum Sa- mariam et transtulit Israel in Assyrios, posuitque eos in Hala et in Habor, juxta fluvium Gozan. «.. Salmanasar ... et transtulit Israel in Assyrios, collocavitque eos in Hala et in Habor, fluviis Me- dorum.» Quant aux habitants du royaume de Juda, ibid. XX VERTE SV HIfl «Tulerat rex Babylonis ex Ægypto usque ad flu- vium Euphratem omnia quæ fuerunt regis Ægypti; reliquam autem populi partem, quæ remanserat in civitate, ct transfugas .….…. et reliquum vulgus transtu- 257 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 258 6 lit Nabuzardan, princeps militiæ;» chez les Septante: © HOLLUYELCOS. Abdias, I, 21: Et transmigratio exercitüs hujus filiorum Israel, omnia loca Chananæorum usque ad Sareptam "); et transmigratio Jerusalem, quæ in Bos- phoro est, possidebit civitates austri. Ainsi, d’après les historiens sacrés, les Israélites captifs furent transportés en Assyrie, à Hala et à Habor, fleuve ou fleuves de Gozan ”), dans les villes de la Médie; ceux d'Egypte et de Juda furent trans- férés en Assyrie; ceux de Jérusalem, soit jusqu'à l'Euphrate, soit sur le Bosphore. M. Vivien de S.-Mar- tin pense, non sans une forte apparence de raison, que Sapharad, du texte hébreu, qui a donné à $. Jérôme l'idée du Bosphore, est le pays des Saspirs d'Héro- dote, le Sper des Géorgiens, où se trouve encore la ville d’Ispira, enfin la Cprd d’une inscription cunéi- forme, nommée immédiatement après la Ktpdhuk ou Cappadoce; Mém. sur la géogr. anc. du Caucase, Pa- ris, 1847, p. 44. Or dans les noms de Hala, Habor, Gozan, on peut facilement reconnaître le canton de Chalachene, sur le haut Tigre, la rivière Chaboras, affluent oriental de l'Euphrate, et la province de Gauzanitis, deux dé- nominations géographiques incontestables, de la Mé- sopotamie; v. le Phaleg de Bochart, t. IL, ch. XIV, Madaï, p. 193, et p. 17 la carte de la Mésopotamie et d’une partie de la Babylonie. Je dois pourtant ajouter que ce savant commenta- teur cite ici un passage du rabbin juif Benjamin: «Hamadan, hæc est Madaï, magna illa urbs in quà sunt Judæorum quinquaginta millia;» à quoi Bochart ajoute: «Reliquiæ, ni fallor, Israelitarum, quos in Mediam asportaverat Salmanasar. Nullus cupio quor- sus vel in Colchidem, vel in Iberiam, vel in Armeniam minorem .... ii relegentur, quos scriptura dicit ex- presse migrasse in Assyriam et in Medorum urbes.» Il est donc bien entendu que Bochart n’admet point le fait ni la possibilité du transfert des captifs hébreux, Israélites ou Juifs, sur le bord droit de la mer Noire. Mais enfin Bochart, s’il a pu, ce qui n’est pas cer- tain, connaître le passage de Mégasthène et d’Aby- 14) Dans le grec SeppaSd ou ‘Eppasé. 15) Je regarde comme inutile de m’étendre ici sur les variantes que présentent ces noms dans les textes grec, géorgien, arménien de la Bible, variantes qui ne changent rien au fond de la question. Tome XIII. £ dène, allégué par Josèphe, puisqu'il nie la migration en Colchide et en Arménie, n’a certainement point lu cette suite de témoignages, qui se répètent de siècle en siècle, chez Eusèbe et Moïse de Khoren, chez Oukhtanès et Asolic, chez Vardan et Etienne Orbé- lian, tradition qui n’est pas non plus sans valenr. L'opinion de Bochart est donc plutôt négative que positive: à l'époque où fut imprimé son Phaleg, en 1653, les frères Whiston n’avaient pas encore donné leur Moïse de Khoren, qui est de Londres, 1736. 2) Les Sémites de la Palestine ont été primitive- ment nommés Hébreux ), d’après Héber, arrière- petit-fils de Sem et ancêtre d'Abraham à la 6° géné- ration, Ce nom, pas plus que celui des Israélites, ne paraît chez les auteurs de l’antiquité profane, qui connaissent seulement celui de Judæus. Dans la Bible, au contraire, le nom des Hebræi revient à chaque pas et devait être connu en Egypte, où le peuple hébreu séjourna 430 ans. Aussi au ch. IT de l’'Exode, v. 6, lisons-nous: «De infantibus Hebræorum ") est hic,» en parlant de Moïse. Or comment les Grecs pouvaient-ils prononcer ce nom Efoaios, si non Hévréos, et même Hévraïos, d’où dérivent certainement les différentes formes que nous avons fait connaître: IBnotx, Iberia, Ibératsi, Ivériatsi, Vériatsi, Viriatsi, Vratsi, chez les auteurs cités. Ajoutons que les Arméniens appellent un Juif de Jérusalem Hréa $pkuy et son pays Hréatstan $phu quw; les Géorgiens disent Houria os, in6osb{5sbo Houriastani. L’analogie entre ces deux formes est frappante; leur parenté avec Hévréos n’est que spé- cieuse, bien que les Mékhitharistes, dans leur nou- veau Dictionnaire, disent: $pbuy beph SEppw Hréa est comme Herba, soit Hébra. Il semble au contraire que ce nom dérive plutôt de Hour, Gen. XI, 31; XV, 7, ville de Chaldée, patrie d'Abraham. Gardons-nous d'aller plus loin en fait d’étymologie! Ce qui est in- dubitable, c'est que le nom I8ngtx, Iberia, connu des Grecs et des Roniains seulement dans les temps très voisins de notre ère, est l’exacte représentation du nom des Hébreux chez Mégasthène et chez les au- teurs qui l’ont suivi, et fortuitement ou non l’analo- 16) D%95Y ou D3Y Ibrim. 17) Egpaiuv, jé, kppuykgengs M. de Khor. I, xvm kevytat. 17 259 Bulletin de l’Académie Impériale 260 gue de Véri, Véria, pays où vivaient des Hébreux captifs. 3) D’après ce que j'ai dit précédemment sur la probabilité ou la non-probabilité d’une origine sémi- tique des Ibériens d’Asie, je ne suis pas obligé de con- firmer ou de réfuter l’opinion d'Oukhtanès sur celle des seules tribus ibériennes qu’il mentionne. Sur les Aphkhaz nous ne possédons aucune espèce de notices plus anciennes que celles des Géorgiens et des Grecs; leur langue est à-peine étudiée, ils n’ont pas d'histoire autre que celle qui les représente comme établis puissamment sur la côte NE. de la mer Noire, y fondant de magnifiques églises, étendant ensuite leur influence jusqu’à la Lazique, puis s’alliant avec les Bagratides d’Ibérie et constituant le royaume aphkhazo-karthle; enfin, depuis la séparation de l’Ibé- rie en trois royaumes, vivant sous la principauté des Charwachidzé, i. e. des Charwan — ou Chirwanchabs, — les descendants des Béni-Cheddad de Gandja. Les Dchawakhs et les Threghs d’Oukhthanès sont les habitants des cantons ibériens de Djawakheth et de Thrialeth, dont la position est aussi connue que l’ori- gine de ces tribus, si tant est qu’elles formént des clans séparés, l’est peu. Quant aux Dzanars, nous avons des témoignages historiques de quelque valeur, chez M. de Khor. p. 257; St.-Martin, Mém. I, 234, a réuni une quantité d'indications d’auteurs classiques et musulmans à leur sujet; Thoma Ardzrouni, p.196, parle de leurs guerres contre le Turk Bougha, au milieu du IX°s.; enfin Var- dan, Ven. p. 101 et notes, vers l’an 93 arm. — 1044; Mosc. p. 135, et trad. russe, p. 127. Sont-ils d'ori- gine arabe, chaldéenne; parlaient-ils géorgien, comme le fait entendre Vardan, éd. de Mosc., passage cité; ce sont toutes questions à éclaircir. En tout cas, s’il y à quelque probabilité d’origine sémitique, c’est en leur faveur seulement. 4) L'époque de la transmigration des Libyens et des Hébreux, opérée par Nabuchodonosor, peut être fixée ainsi d’après la Bible et Eusèbe: IV Reg. xxv, 7; II Pa- ralip. xxxv, 20 : Néchao, le pharaon qui avait triomphé d’Eliakim, roi de Judas, fut vaincu définitivement à son tour, non en Egypte toutefois, mais à Charcamis, sur l'Euphrate par Nabuchodonosor, ainsi que je l’ai dit plus haut, et ses trésors emportés en Assyrie. Cette expédi- tion est racontée un peu plus longuement par Josèphe, Ant. jud. X, vi, que par l'historien sacré. Ioakim, suc- cesseur d'Eliakim, fut lui-même fait captif par le roi d’Assyrie et remplacé par Sédékias, sous le règne du- quel une seconde défaite des Egyptiens, immédiatement suivie du siége de Jérusalem, couronna les armes de Nabuchodonosor. La 9° année de Sédékias, le 10° jour du 10° mois, Jérusalem fut prise, dépouillée de ses richesses et la majorité des habitants valides con- duits en Assyrie, en l’année 1426 d'Abraham, donc en 288 av. J.-C. J’omets les variantes de cette date, qui n’ont que peu d'importance pour mon sujet ). Par-là se trouve vérifiée en entier la phrase de Mégasthène. 1) L'expédition de Nabuchodonosor contre les Egyp- tiens et les Hébreux, non les Ibériens; 2) Le transfert des captifs sur le bord oriental de la mer Noire. Si les Ibériens ne sont pas de purs Sémites, ce que refusent d'admettre la philologie et l’histoire, cepen- dant il y a dans certains cantons de leur patrie une forte proportion d'éléments juifs, et le nom de leur pays a la plus grande analogie de son et d'orthographe avec celui de la contrée où vécurent les captifs hé- breux. D'autre part, une forte probabilité permet aussi de déduire le nom arménien de lIbérie, soit Véria, soit Vir, de la position géographique réciproque de cette contrée par rapport à l'Arménie. Je laisse indécise cette dernière question, déjà souvent traitée, et qui n’a pas encore été résolue complètement; v. mes notes sur le $ 18 de la Il° Partie de l'Histoire d’Oukhtanès. 18) Je crois devoir signaler ici un article humoristique sur la captivité de Babylone, du docteur Camille Ricque, Nouv. ann. des voy., juin 1868, p. 305 sqq. Ici les Juifs sont traités comme un peuple cruel, sans connaissance des arts, orgueilleux, sans cesse en révolte contre les rois d'Egypte et d’Assyrie et ayant parfaitement mérité son sort. Quant à Nebo-Kader-Natser (que la puissance du Dieu Nébo me protège), c'était un homme de génie et d’une haute valeur, qui ne fit qu'user de son droit en punissant la perfidie des Juifs. Les trois jeunes hommes restés intacts dans la fournaise où on les a jetés sont d’adroits jongleurs, et la métamorphose de Na- buchodonosor en bête, un effet de son imagination frappée des re- proches de Daniel, rusé interprète des rêves royaux. Au reste, dans cet article, et c’est là ce qui en fait tout le prix, l’auteur use avec habileté des inscriptions cunéiformes lues par MM. Rawlinson et Ménant, auxquelles il se réfère souvent. 261 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 262 Die Italiener am schwarzen Meer. Historische Briefe an Hrn. Prof. Phil. Bruun in Odessa. Von Bibliothekar Prof. W.Heyd in Stuttgart. (Lu le 13 août 1868.) Hochgeehrter Herr! Sie haben mir die Ehre er- wiesen , in Ihrer trefflichen Abhandlung über die ita- lienischen Colonien in Gazarien ‘) meine Arbeiten über denselben Gegenstand zum Ausgangspunkt zu nehmen und ibrer dabei in der anerkennendsten Weiïse zu er- wähnen. Es jag darin für mich eine wohlthuende Auf- munterung, in jenen schwierigen Forschungen fortzu- fahren; zugleich bot Ihre Abhandlung selbst so viele neue Anschauungen dar, dass ich zur nochmaligen Durcharbeitung des Stofis mit Rücksicht auf diese mich lebhaft angeregt fühlte. Sie sind in der benei- denswerthen Lage, die schünen pontischen Küsten- länder näher zu kennen, welche die italienischen Kauf- leute zum Ziel ihrer Fahrten und zum Schauplatz 1h- res Schaffens ausersahen. Ihnen war ausserdem zu- gänglicher, als Andern, was russische Gelehrte zur Aufhellung der Geschichte der Krim im Mittelalter aus Inschriftsteinen und Literaturresten an den Tag gefürdert haben. Aber wenn ich wahrnehme, dass auch in Ihrer Abhandlung neben manchem mit Sicher- heit festgestellten Resultat, dessen ich mich aufrich- tig freue, noch so Manches herläuft, was von Thnen selbst nur als wahrscheinliche Vermuthung hingestellt wird, wenn ich ferner bedeuke, wie zerstreut die bei unserem Gegenstand in Betracht kommenden Urkun- den und wie mancher Deutung sie fähig sind, so wird mir immer klarer, dass in jenes vielfach dunkle und verworrene Gebiet nur dadurch Licht und Ordnung gebracht wird, wenn Mehrere, Jeder von seinem Ge- sichtspunkt aus, Jeder mit der ihm zu Gebot stehen- den Summe von Material die Arbeit anfassen. Erlau- ben Sie mir, dass ich in einer Reiïhe von Briefen an Sie einige Punkte näher erürtere, deren wiederholte Durchforschung mir Ihre Abhandlung nahe gelegt hat, und so etwas nachhole, was mir bei der italienischen Bearbeitung meiner Untersuchungen”) durch den Drang der Umstände, wie Sie wissen, verwehrt war. 1) Notices historiques ct topographiques concernant les colo- nies italiennes en Gazarie (Mém. de l’Acad. des sc. de St.-Pét. VII® Série. Tome X. X 9 und besonders St. Pet. u. Leipzig 1866). 2) Le colonie commerciali degli Italiani in Oriente nel medio evo, dissertazioni publicate da prima nel giornale d’economia poli- Erster Brief. 1 Zur Entslehungsgeschichte der genuesischen Niederlas- sungen am schwarzen Meer. Unter dem vielen Neuen, was Ihre Abhandlung ge- bracht hat, ist mir Eine Ansicht (S. 6) besonders überraschend gewesen, der zufolge die Genuesen schon zur Zeit der Komnenen den Kuban hinaufgedrungen und an diesem Fluss damals bereits jene Station be- sessen haben, welche dann im späteren Mittelalter als Sitz genuesischer Consuln unter dem Namen Kopa (mit dem Artikel Locopa) bekannter geworden ist, Sie stützten sich bei Aufstellung dieser Hypothese auf eine Stelle in der Instruction des genuesischen Gesandten Grimaldi vom Jahr 1175. Dort findet sich nämlich unter manchen Entschädigungsforderungen, welche der Gesandte an den Kaiser Manuel zu richten hatte, auch folgende: Perditam quoque emboli de Coparia de novo Januæ dati instanter postuletis, de qua simi- lem promissionem habuit a curia jam dictus legatus (Amicus de Murta); occasione ejus rapine curia om- nem pecuniam Venetorum cepit, cum non culpabiles essent et sceleris ejusdem rei”). Mir erschien, als ich diese Stelle vor zehn Jahren zum ersten Male behan- delte, als das Wabrscheinlichste, dass Coparia eine tegion der Stadt Constantinopel sei, in welcher den Genuesen ein Quartier eingeräumt war. Da ich kei- nen Beleg hiefür beibrachte, wie ich denn auch da- mals noch keinen geben konnte, so waren Sie gewis- sermaassen im Recht zu glauben, Koparia künnte ebenso gut an einer ganz anderen Stelle gesucht wer- den und identificirten es mit jenem Kopa am Kuban. Somit wäre Kaffa nicht die älteste Niederlassung der Genuesen im südlichen Russland, um wenigstens ein Jahrhundert früher hätten sie schon am Kuban sich angesiedelt. Ich gestehe, dass mir diese Annahme unwahrscheinlich klang, wenn ich sie zusammenhielt mit dem Diplom, welches Kaiser Manuel dem genue- sischen Gesandten Amico de Murta im Jahr 1170 einhändigte. In demselben verbot der Kaiser den genue- sischen Kaufleuten den Besuch von Rosia und Matra- cha (aveu ris Poctas vai rôv Maxzpayov)® und zeigte tica di Tubinga, ora rifatte dall’ autore e recate in italiano dal Prof. Gius. Müller. Vol. 1. 2. Venezia e Torino 1866 — 1868. 3) Sauli, della colonia dei Genovesi in Galata. T. 2. p. 185. 4) Acta et diplomata graeca ed. Miklosich et Müller. T. 8. p. 35. A7 263 damit, wie er gerade die Handelsgebiete in der Nähe der Meerenge zwischen dem schwarzen und asow’- schen Meer am allerwenigsten den Abendländern ge- üffnet wissen wollte. Sollte er demselben Gesandten gegenüber die Geneigtheit ausgesprochen haben, die (angeblich von den Venetianern) beschädigte Factorei der Genuesen am Kuban wiederherzustellen oder doch sie für die dort erlittene Einbusse entschädigen zu wollen? Lag denn nicht Kopa eben mit in der Region, welche er gleichzeitig den Genuesen verschloss? Fer- ner so wenig auch in der Instruction des Grimaldi eine Andeutung über die Lage jenes Coparia sich fin- det, gibt es doch eine gewisse Gränze, innerhalb deren es sicher gelegen haben muss. Die Genuesen forder- ten ja von dem griechischen Kaiser, dass er sie für die Plünderungen und Beschädigungen im dorti- gen Quartier schadlos halte; welchen Sinn hätte die- ses Begehren, wenn Coparia nicht einmal zum Herr- schaftsgebiet Manuels gehürt hätte? Dass aber das griechische Reich noch zur Komnenenzeit sich bis in jene Gegend erstreckt habe, wird Niemand behaupten wollen. Im Osten der Meerenge von Kertsch hausten längst andere Vülkerschaften. Chasaren, Russen, Po- lowzer, Abchasen folgten hier auf einander; eigene Fürsten gewiss nicht griechischer Nation beherrschten eben um die Zeit des Kaisers Manuel den Hauptort der Halbinsel Taman, Matracha”). Sollte das weiter land- einwärts gelegene Kopa eine griechische Oase geblieben sein? Wird schon hiedurch die Identität von Coparia und Kopa unwahrscheinlich, so wird jene Hypothese vollends dadurch beseitigt, dass sich Coparia als eine Region der Stadt Constantinopel nunmehr mit vülli- ger Sicherheit nachweisen lässt, Als im April 1192 griechische Beamte auf den Befehl Kaiser Isaaks hin den Genuesen neue Wohnungen und Landungsstätten in Constantinopel zu den alten hin anwiesen, nahmen sie bei dem Geschäft der Übergabe ihren Standpunkt «in loco Coparie et emboli quondam Genuensium» ). 5) Edrisi, géographie trad. par Jaubert. T. 2. p. 395. Von der Nationalität der Fürsten von Matracha sagt freilich der arabische Autor an dieser Stelle nichts. Er bezeichnet sie nicht als « Abcha- sen», wie Jaubert die Worte missversteht, sondern schildert sie als «sehr muthig»; vgl. die kritische Bemerkung in Edrisi description de l'Afrique et de l'Espagne trad. par Dozy et Goeje. Préface p. XIX. 6) Acta et dipl. graec. I. c. p. VI. Zur Zeit Justinians wird auch ein Coparia genannt; ein darin liegender oder auch selbst so ge- nannter Complex von Häusern, Werkstätten, Gärten, Landungs- treppen bildete das Object eines Erbschaftsprocesses, welchen je- Bulletin de l’Académie EHmpériale 0 264 So wird es denn doch dabei bleiben, dass als die älteste Handelscolonie der Genuesen im jetzigen Süd- russland Kaffa anzusehen ist. Ich freue mich, dass Sie meine Ansicht vom Ursprung dieser Niederlassung insoweit theilen, als auch Sie denselben in die Zeit der tatarischen Herrschaft und nicht in eine frühere verlegen. Nur tadeln Sie mich (S. 32), dass ich die vor dem Erscheinen von Canale’s Geschichte der Krim allgemein recipirte Ansicht Oderico’s, welcher die Ent- stehungszeit auf das Jahr 1266 fixirt, nicht zu der meinigen gemacht habe. Erlauben Sie, dass ich den Stand der Sache kurz auseinandersetze. Oderico’s Schluss ist folgender: Byzantinische Quellen sagen uns, dass ein Tatarenfürst es war, der den Genuesen Kaffa abtrat; aus tatarischen Annalen aber lernen wir, dass der Chan Mengku von Kiptschak um 1266 seinen Verwandten Oran Timur mit den Städten Kaffa und Krim belehnt habe: also war Oran Timur derje- nige Tatarenfürst, welchem die Genuesen Kaffa ver- dankten. Die Schwäche dieses Schlusses leuchtet ein. Sie werden mir wohl als selbstverständlich zugeben, dass Kaffa nicht hätte vom Chan Mengku als Lehen vergeben werden künnen, wenn es nicht schon vorher zum Gebiet des Tatarenreichs in Kiptschak gehürte. Es ist zwar meines Wissens das Jabr der Eroberung Kaffa’s durch die Tataren durch keine annalistische Überlieferung festgestellt, doch dürfte es ziemlich gleichzeitig mit dem benachbarten Soldaja in die Hände jenes Volks gefallen sein: Ob nun die Vorgänger Meng- ku’s im kiptschakischen Chanat die Stadt unmittelbar beherrschten oder wie dieser als Lehen vergaben, — immer waren auch vor Oran Timur Tatarenfürsten Herren von Kaffa. Einem bestimmten Glied in dieser Herrscherreihe die Abtretung der Stadt an die Genue- sen zuzuschreiben, dazu zwingt uns kein Raisonne- ment, noch viel weniger eine geschichtliche Überlie- ferung. Wenn ich die Entstehung der Colonie mir ziemlich früher denke als 1266, so ist, wie Sie wis- sen, mein Grund der, dass die Expedition, welche die Colonisten im Jahr 1289 zur Unterstützung des syrischen Tripolis gegen die Saracenen absand- ner Kaiser durch Nov. 159 entschied. Aber das Coparia des sechsten Jahrhunderts hat nichts gemein mit dem des zwülften. Jenes lag in der Vorstadt Galatä, wie aus den Umgebungen (run tüv Eux@v, uaptüouov ts dyine Oéxhac vergl. dazu Ducange Cpol. christ. lib. IV. p. 190) deutlich hervorgeht, dieses bildete einen Theil der Hauptstadt selbst. 265 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 266 ————————————= momo ten, schon ein in sich gefestigtes, entwickeltes und blühendes Gemeinwesen bei ihnen voraussetzt und dass immerhin mehrere Jahrzehende darüber hingegangen sein werden, bis sie im Stande waren, einen solchen Kriegszug in die Ferne zu unternehmen. Aber eben hier stosse ich auf eine neue Differenz. Gieng denn wirklich, fragen Sie (S. 36), jene Expedition von Kaffa aus? meint denn nicht Jacopo Doria, unser einziger Gewährsmann für dieselbe, vielmehr das syrische Chaifa unweit des Karmel, das auch zuweilen Capha geschrieben wird”) und in welchem die Genuesen sicher eine Niederlassung mit Consulat besassen ? Halten Sie es mir zu Gut, wenn ich diesmal auf Seite der recipirten Ansicht stehe und dieselbe mit folgen- den Gründen stütze. Wollten die in Chaifa angesie- delten Genuesen ihren Volksgenossen zu Tripolis mit einer Flotille zu Hülfe kommen, so führte sie ïhr Weg längs der syrischen Küste hin nordwärts an Accon, Tyrus, Saida und Beirut vorbei. Aber nach Jacopo Doria‘) steuerte die in Rede stehende Hülfsflotte in der Richtung von Westen nach Osten auf Tripolis zu, landete unterwegs in Cypern und wurde dort von der Nachricht ereilt, dass die Stadt bereits vom Feinde genommen sei. Darauf beschloss ihr Führer heïmzu- kehren und nahm diesen Rückweg an der kleinasiati- schen Südküste hin, sodass er zuerst Cilicien (Klein- Armenien) und dann das ziemlich weiter gegen Westen gelegene, den Türken unterworfene Candelor berührte. Sowol die Hinfahrt — versus orientales partes navi- gans — als der Heimweg zeigen durch ihre Richtung aufs Bestimmteste, dass die Heimath dieser Krieger nicht Chaifa, überhaupt keine levantische Stadt sein kann. So fahre ich denn getrost fort, die Expedition als eine That der Colonisten in der Krim zu betrach- ten. Lassen Sie mich mit diesem ersten bedeutsa- men Lebenszeichen der Genuesen am schwarzen Meer schliessen; auf ihre feruere Geschichte bchalte ich mir vor zurückzukommen. In meinem nächsten Brief werde ich mich mit Ihnen über den berühmten Theilungs- vertrag des Jahrs 1204 unterhalten. 7) Lib. jur. reip. Genuens. ©. I. p. 941 f. 8) Annales Januenses bei Pertz SS. T. 18. p. 324. Æweiter Brief. (Lu le 10 septembre 1868.) Über den Antheil der Venetianer bei der Theilung des gricchischen Reichs im Jahr 1204. In Ihrer reichhaltigen Abhandlung über die italie- nischen Colonien in Gazarien kommen Sie, verehrter Herr, unter Anderem auf den berühmten Vertrag des Jahres 1204 zu sprechen, in welchem die abendlän- dischen Kreuzfahrer das eroberte Griechenland unter sich vertheilten. Ich hatte Ihnen hiezu Veranlassung gegeben, indem ich im Eingang meiner Artikel über die Handelscolonien der Italiener am schwarzen Meer') als auffallend bezeichnete, dass Venedig die an dieses Meer stossenden griechischen Provinzen dem Kaiser überliess und auch keinen einzigen Punkt an der Küste desselben sich ausbedang; es schien mir hieraus (und aus andern Anzeichen) hervorzugehen, dass die Ve- netianer damals jenes Meer noch nicht stark befuh- ren und für ihre Handelszwecke ausbeuteten. Ihnen oun kam die Behauptung zu gewagt vor, dass blos im Loose des Kaisers pontische Städte und Landstriche vorkommen; es scheine allerdings so, wenn man die Erklärung, welche Tafel von der Theilungsurkunde gegeben, ohne Weiteres adoptire, aber trotz der Be- mühungen dieses gelehrten Exegeten warte noch so mancher geographische Name in der Theilungsurkunde auf seine Erklärung oder lasse eine andere Deutung zu, als jener ihm gegeben; man dürfe nur genauer zusehen, so entdecke man auch in den zwei andern Loosen, dem der: Venetianer und dem der Kreuzfah- rer (im engeren Sinn), Localitäten, die dem schwarzen Meer angehôren. Dieser allgemeinen Anschauung ge- mäss versetzen Sie eine Reihe von Orten, welche Ta- fel im thracischen Chersones oder in dessen Nähe gesucht hatte, an die Küsten der Bulgarei und des südlichen Russlands. Im Folgenden müchte ich wenigstens über diejeni- gen Städte, welche in den venetianischen Antheil fal- len, meine Ansichten entwickeln, zuvor aber mir ei- nige allgemeinere Bemerkungen erlauben. Ich glaube allerdings, dass die Theïlungsurkunde von 1204 in Tafel einen Exegeten gefunden hat, welcher in Bezug auf umfassende Kenntniss der byzantinischen Geogra- phie einzig dasteht und dabei durch scharfsinniges 1) Tüb. staatswiss. Zeitschr. Bd. 18. 5. 653. 267 Bulletin de l'Académie Fmpériale 268S A ———_—_—_——…—…"…"…—…"—…—…—…—…—"—"—"—…"…"—"—"— Eindringen wie durch besonnenes Masshalten sich vor Vielen auszeichnet. Von den Orten, deren Lage er nicht bestimmen konnte, werden wohl die meisten un- bestimmbar bleiben. Aber es gibt immerhin noch ein, wenn auch beschränktes Feld für Nachträge, Berich- tigungen, nähere Bestimmungen, und ich heisse jeden Beitrag willkommen, der unsere Kenntniss jenes wich- tigen Actenstücks fürdert. Allein wer sich an die Er- klärung desselben macht, wird vor Allem nie aus den Augen verlieren dürfen, was eigentlich damals getheilt wurde. Theilungsobject ist und bleibt das in den Be- sitz der Kreuzfahrer gekommene griechische Reich, dieses hatte seine bestimmten Gränzen, und wir dürfen ohne zwingenden Gegenbeweis nicht annehmen, dass den Eroberern sichere Kunde über den Umfang des- selben abging, ebensowenig dass sie mit Bewusstsein Länder mitvertheilten, welche zum gricchischen Reiche nie gehôrt hatten, oder doch zur Zeit der Eroberung nicht zu ihm gehürten. Denn des Nicetas’ Angabe°), dass die Kreuzfahrer sogar Länder des nôrdlichen Africa und des inneren Asiens unter sich vertheilt haben, erweist sich als eine von bitterem National- hass eingegebene Übertreibung, und ich finde keinen Grund, warum das, was er in Einem Athem hinzu- setzt, dass sie ausserdem nordische Regionen in die Theilung einbezogen haben, auch nur um einen Gran mehr Glauben verdienen sollte, als das Vorerwähnte. Der Erklärer der Theilungsurkunde kann die aller- dings schwierige Frage über den damaligen Umfang des griechischen Reichs nicht umgehen. Für unsere specielle Betrachtung formulirt sich diese Vorfrage so: wie weit erstreckte sich das byzantinische Reich im Jahr 1204 längs des schwarzen Meers hin? Wenn der Beherrscher des lateinischen Kaiserthums bei der Theilung die kleinasiatischen Küstenländer und dann die europäüschen vom Bosporus nordwärts bis Aga- thopolis vorwegnahm, war nicht damit schon Alles das absorbirt, was seine griechischen Vorgänger über- haupt am schwarzen Meer hin besessen hatten? Blieb denn noch weiteres griechisches Gebiet an der Küste übrig, worein die Venetianer und die andern Kreuz- fahrer sich hätten theilen künnen? Der Überschuss wird sich als hôüchst unbedeutend herausstellen, Den Byzantinern war nämlich seit 1186 an ihrer Nord- 2) ed. Bonn. p. 788. gränze ein sehr gefährlicher Feind erstanden an dem wlachisch - bulgarischen Reich, dessen rohe Krieger sich unaufhaltsam über die thracischen Gefilde ergos- sen und selbst die Hauptstadt Constantinopel bedroh- ten. Leider berichten uns die griechischen Chro- nisten mehr über ihre Verheerungszüge im Binnen- land, als über ihr Vordringen an der Meeresküste. Was Seestädte betrifft, so ist uns nur soviel bekannt, dass sie Anchialos zerstürten, Varna aber nach einer zweiten Eroberung bleibend in ihren Besitz brachten. Im Jahr 1203 waren die Griechen noch Herren von Debelton (nahe bei Anchialos), aber diese Stadt scheint auch die äusserste Nordgränze ihres Gebiets gegen das der Wlacho-Bulgaren gebildet zu haben”*). Viel- leicht waren aber zur Zeit, als die Kreuzfahrer die Theilung vornahmen, jene stets im Vordringen begrif- fenen Barbaren noch weiter gegen Süden vorgerückt. Somit konnte auf der Westküste des schwarzen Meers hüchstens die Strecke zwischen dem Bosporus und Debelton im Ernste einen Gegenstand der Theilung abgeben, vielleicht aber auch blos die kürzere vom Bosporus bis zu jenem Agathopolis, welches in der Theilungsurkunde als nürdlicher Gränzpunkt des kaï- serlichen Antheils so bedeutsam hervortritt. Sie legen nun freilich darauf Gewicht (S. 20), dass die byzan- tinischen Kaiser ihre Ansprüche auf die von den Bul- garen besetzten Landstriche nie aufgegeben hatten, und dass auch der lateinische Kaiser Balduin sich die Oberhoheit über dieselben vindicirte. Allein hätte man an diese Länder bei der Theilung gedacht, so wären sie sicher dem Kaiser zugesprochen und nicht zwischen Venetianern und Kreuzfahrern zersplittert worden, da nur der Kaiser einerseits als directer Rechts- nachfolger der Angeli, andererseits als Oberhaupt der abendländischen Kreuzritterschaar jene Oberhoheït mit vollem Nachdruck geltend zu machen im Stande war. Ausserdem gab es noch in der Krim einen kleinen Landstrich mit der Hauptstadt Cherson, welcher grie- chische Bevülkerung hatte und unter griechischem Gouvernement stand. Doch lüste sich dieser Strich cbendamals unbemerkt von Byzanz als politischem Mittelpunkt los, um später als trapezuntische Provinz wieder ins Licht der Geschichte zu treten, so dass es sehr fraglich ist, ob die lateinischen Eroberer diesen 3) Die bisherigen Daten aus Nicet. p. 568. 706. 723. - 269 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 270 ————————— von den Byzantinern wahrscheinlich schon aufgege- benen Posten bei der Theilung berücksichtigten. Indem ich nun zur Prüfung der einzelnen von Ih- nen gegebenen Ortsbestimmungen übergehe, will ich gleich bei der Krim beginnen. Ich gestehe, dass Ihre Erklärung des emporium Sagudai, welches den Ve- netianern zugeschieden wurde“), etwas sehr Beste- chendes hat. Einerseits nämlich bildete Sugdaja (Sol- daja, Sudak) an der Südküste der Krim einst sicher einen Bestandtheil des byzantinischen Reichs, grie- chisch-christliche Bevolkerung und griechisches Kir- chenthum überdauerten noch lange den alten politi- schen Verband. Andererseits lassen sich wenige Jahr- zehende nach der Theilung des griechischen Reichs unter die Lateiner venetianische Ansiedler in dieser Stadt nachweisen, und die Entstehung dieser Colonie würde sich recht natürlich daraus erklären, dass die Stadt im Jahr 1204 den Venetianern zugetheilt wurde. Sugdaja wäre ferner als «emporium» ganz zutreffend characterisirt. Dennoch neige ich mich dahin, diese Deutung abzulehnen. Einmal ist cemporium» eine blosse Conjectur Tafel’s, die Lesarten der Handschrif- ten künnten ebenso gut auf ein dem Sagudai paralleles Nomen proprium führen. Getetzt aber auch jene Con- jectur wäre richtig, so würde «emporium» nach spät- griechischem Sprachgebrauch nicht gerade nothwen- dig eine grüssere durch Handel bedeutende Stadt, wie Soldaja eine war, bezeichnen, künnte vielmehr auch einer kleineren Ortschaft beigesetzt werden (Ducange gloss. med. etinf, græcitatis. T. 2. p.382). Dann fällt es auf, dass, wenn von den Theilenden ein Platz zweiten Rangs an der griechischen Krimküste berücksichtigt wurde, gerade der Hauptort derselben Cherson ausser Betracht blieb. Endlich — und dies ist mein Haupt- grund—steht der Name Sagudai zwischen Hexamilium und Gallipoli, Namen, die trotz Ihrer entgegenstehen- den Hypothesen, wie ich nachweisen werde, nur auf die zwei bekannten Städte bezogen werden künnen, welche im thracischen Chersones nicht ferne von einander lie- gen, wie denn auch bei den byzantinischen Geschicht- schreibern beide ôfters neben einander genarnt wer- den. Wer die Theilungsurkunde näher kennt, wird finden, dass ihr solche geographische Sprünge fremd sind, wie der ihr eventuel zugemuthete von dem thra- 4) Taf. und Thom. I, 467. cischen Chersones zur Krim und wieder von dieser zu jenem zurück. So bleibe ich denn bei Tafel’s An- nahme stehen, dass Sagudai einen uns nicht weiter bekannten Ort bezeichnet, welcher auf dem thraci- schen Chersones oder unweit desselben zu suchen; er hatte einen Namensbruder in dem Exyouèmets x0- uerons unfern von Nicäa, welches Anna Komnena erwähnt”). Da Sie Sagudai in die Krim versetzen, ist es schein- bar nur ein kleiner und wohl zu rechtfertigender Schritt, wenn Sie in der Theilungsurkunde die weiter folgenden Localitäten Muntimanis und Sigopota- mos dem Tanais und Kuban zuweisen. Aus der Les- art demum Timanis beim ersteren machen Sie näm- lich durch eine leichte Anderung demum Tanais, bei Sigopotamos denken Sie an das Cicopi oder Locicopi der mittelalterlichen Karten, welches bald den Fluss Kuban, bald eine Fischereistation an demselben be- deutet. Hiemit verlassen Sie aber vollkommen das griechische Gebiet und begeben sich in barbarische Regionen, welche die fränkischen Eroberer nur dann hätten sich vindiciren kôünnen, wenn sie solche nim- mersatte Schwindler gewesen wären, wie sie der Grie- che Nicetas lügnerischer Weise schildert. Ich glaube nicht, dass wir genüthigt sind, diesen kühnen Schritt mit [hnen zu thun. Schon die echt griechische Zu- sammensetzung des Namens Sigospotamos verweist uns auf griechischen Boden und Tafel hat zwei Stel- len der Byzantiner nachgewiesen, welche die Existenz eines 2eyos rorapos im thracischen Chersones sicher- stellen. Bei Muntimanis hat er beigeschrieben: locus nobis incoguitus. Wobhl hätte er etwas Näheres über den Ort sagen künnen, wäre ihm eine Urkunde be- kannt geworden, welche an einem etwas versteckten Platze bei Muratori°) sich findet und eine sehr schätz- bare Ergänzung zu dem Theilungsact bildet. Sie ist etwa ein Jahr später als dieser und belehrt uns, wie die Venetianer, die (vermüge der Theiïlung) in den Besitz von Gallipolis, Muntinianæ (de Muntinianis — so ist es hièr geschrieben) und Sigopotamos gekom- men waren, mit denjenigen Kreuzfahrern, welche Pla- gia, Potamia und Sestos zugethéilt erhalten hatten, wegen des Besitzrechts auf gewisse Casalien (Dürfer, Weiler) uneins geworden waren und ein richterlicher 5) ed. Paris p. 464. 6) Antiq. medii aevi T. 4. p. 233 f. 251 Spruch zur Festsetzung ihrer gegenseitigen Gränzen nôthig wurde. Hieraus geht hervor, dass die Vene- tianer wirklich Herren von Muntinianæ geworden wa- ren; es handelt sich nur noch darum, ob gewisse Casalien zu dem Bezirk dieses Ortes mitgehüren oder nicht. Wäre dieser Ort am Tanais gelegen, so würde sein Erscheinen in der Theilungsurkunde nur eimen leeren Anspruch bedeuten, eine sofort nachfolgende wirkliche Besitznahme durch die Venctianer liesse sich lediglich nicht denken. Ferner ist es gewiss kein Zaufall, wenn in zwei von einander ganz unabhängigen Urkun- den die drei Orte Muntinianæ, Gallipolis und Sigospota- mos zusammengenannt werden; dass sie auch neben einander lagen, hatte schon der vorurtheilslose Exeget der Theilungsurkunde als wahrscheinlich erkennen müs- sen, nun aber wird dies durch den Umstand gewiss, dass sie alle drei in Einen und denselben (rebietsstreit ver- wickelt wurden, was doch gewiss sich nicht hätte er- eignen künnen, wenn das eine am Don, das zweite an der Westküste der Krim, das dritte am Kuban gele- gen wäre. Bei solcher notorischen Zusammengehürig- keit der drei Orte ist die Fixirung des unbekannten Muntinianæ alsbald môglich, wenn die beiden anderen sich feststellen lassen. Nun kann, wie oben gesagt, Sigospotamos als eine Localität im thracischen Cher- sones nachgewiesen werden. Was Gallipoli betrifft, so hat es Ihnen gefallen, die in der Theilungsurkunde vorkommende Stadt dieses Namens mit Kalolimena, einem Landungsplatz an der Westküste der Krim, zu identificiren. Dass beiden Namen die Vorsilbe Kal ge- meinsan ist, will ich nicht läugnen; eine weitere Âhn- lichkeit finde ich nicht und kann keinen Grund ent- decken, warum das Gallipoli der Theilungsurkunde nicht das allbekannte Gallipoli im thracischen Cher- sones sein soll, sondern vielmehr ein Ort ganz ausser- halb des griechischen Territoriums, während es sich doch von der Vertheilung des Griechenreiches han- delte. Würde jener bedeutende Platz von der Thei- lungsurkunde übergangen sein, welche doch so viele unbedeutendere Orte der Umgegend namhaft macht, so wäre dies sehr auffallend, und gerade im Antheil der Venetianer würden wir eine Erwähnung dessel- ben vermissen, da nach dem Chronisten Dandolo eben zwei venetianische Adelige Marco Dandolo und Gio- vanni Viadro es waren, welche unter der Oberhoheït der Republik Gallipoli in der Folge beherrschten. Bulletin de l'Académie Impériale 252 So bleibt denn mir wenigstens kein Zweifel, dass jene drei zusammengehôürigen Städte Gallipolis, Mun- tinianæ und Sigospotamos im thracischen Chersones zu suchen sind. Von hier aus kann ich nun aber nicht umhin, einen kleinen Streifzug in das Gebiet der an- deren Kreuzfahrer zu machen, obgleich ich blos das der Venetianer ins Auge zu fassen gedachte. Es lässt sich nämlich mit Hülfe jener Urkunde bei Muratori auch noch die Position von Iplagia (9 rAayiæ) und Potamia bestimmen, welche im Antheil der Kreuz- fahrer vorkommen. Tafel verzichtete darauf, diese Orte zu fixiren. Sie sagten, ersteres bedeute die Küste des schwarzen Meeres, d. h. doch wohl einen Ort an der- selben; wie Sie sich dies näher denken, konnte ich aus Threr allzu kurzen Âusserung (S. 27) mir nicht klar ma- chen. Potamia aber identificiren Sie mit dem Fluss und Cap dieses Namens bei Mesembria, welches aber wahr- scheinlich damals nicht mehr griechisch, sondern schon bulgarisch war. Aus der Gränzregulirungsacte bei Mu- ratori entnehmen wir nun, dass die Bezirke beider Orte an die Bezirke von Gallipoli, Muntinianä und Sigospotamos nachbarlich angränzten, und dass auch Sestos nicht weit von ihnen lag. Für Potamia wird diese Lage noch ausserdem erwiesen durch eine Stelle der Chronik des Ramon Muntaner, welche überhaupt zur Erklärung des betreffenden Passus der Theilungs- urkunde angezogen werden kann”). Es ist dort von dem thracischen Chersones unter dem Namen Cap von Gallipoli die Rede. «Am Eingang nach dem festen Lande zu», lesen wir da, «liegt ein festes Castell mit Namen Hexamila; drinnen auf dem Cap liegt sodann die Stadt Gallipoli und Potemo und Cesto (Sestos) und Medico (Madytos), das sind lauter schüne Ort- schaften.» Aber eben diese Stelle des catalanischen Chroni- sten führt uns wieder zurück auf den venetianischen Antheil, indem sie Hexamilion erwähnt, welches als Examili in der Theilungsurkunde den Venetianern zu- geschieden wird. Das thracische Hexamilion hatte, um mit Muntaner weiter zu sprechen, «seinen Namen da- her, weil an dieser Stelle das Cap (die Landzunge) nur 6 Meilen breit ist». Hiebei weisen Sie nun auf die Thatsache hin, dass Localitäten von gleicher Situa- tion häufig auch gleiche Namen tragen; wie der thra- 7) übers. von Lanz. Th]. 2. S. 122. 213 cische Chersones durch die schmale Landenge bei Hexamilion mit dem Continent von Thracien, so sei der Peloponnes durch den Isthmus von Korinth mit Hellas verbunden; im Zusammenhang damit sei im Mittelalter der Name Hexamilion auch auf den letzt- genannten Isthmus (eigentlich auf die sich über den- selben hinziehende Befestigungslinie) übergetragen wor- den. Ebenso gut konnte aber auch die ganz äbnlich situirte Landenge von Perekop Hexamilium genannt werden. Ihre Schlussfolgerung hieraus lautet, dass wir in dem Examili der Theilungsurkunde nicht sowohl das thracische Hexamilion vor uns haben, als vielmehr die Landenge von Perekop, d. h. doch wohl einen Ort darauf. Sie werden wohl Niemand dazu bringen künnen, hierin mehr zu sehen als einen originellen Einfall, so lange Sie den Beweis nicht antreten, dass der Isthmus von Perekop auch wirklich Hexamilion genannt wurde. Bis ein solcher erbracht ist, erlaube ich mir, auf dem festen Boden des thracischen Hexa- milion zu bleiben, um so mehr da die Theilungsurkunde ihr Examili in die Nachbarschaft von Gallipoli stellt, mit welchem jenes auch bei den Byzantinern nicht selten zusammengenannt wird. Auf ähnliche Weise geben Sie auch, wie mir scheïnt, bei der Erklärung von Myriophyton und Peristasis ohne alle Noth feste geographische Anhalspunkte auf und stellen sich dagegen auf eine reine hypothetische Basis. Tafel hat nachgewiesen, dass Myriophyton in mittelalterlichen Quellen mit Rhædestos (Rodosto) und Panion zusammengenannt wird, und dass der Bischof von Peristasis dem Metropoliten von Heraklea unter- geben war. Es geht daraus hervor, dass beide Orte nicht weit vom Marmora Meer zu suchen sind. Ich meines Theils freue mich dieses gewonnenen Resul- tats und verzichte darauf, ähnlich klingende Ortsna- men im Norden des Hämusgebirges zu suchen. Neben Peristasis finden wir endlich in der Thei- lungsurkunde Brachioli, das griechische Branchia- lion, welches Tafel als in der Nähe von Gallipolis lie- gend aus Geschichtsquellen nachgewiesen hat. Da diese Identification der Anzweiflung wenig Raum lässt, so ziehen Sie eine schüchtern vorgebrachte Deutung auf Branitchef (Panczova an der Donau) halb wieder zu- rück; um aber dem Resultate Tafel’s doch zu entgehen, nehmen Sie (S. 14) an, ursprünglich habe Anchialos im Text gestanden, erst weniger gute Abschriften haben Tome XII. des Sciences de Saïnt-Pétersbourg. 274 daraus Brachioli gemacht. Diese Hypothese stützt sich nicht etwa auf eigene Ansicht der Codices, welche Sie so wenig als ich zu vergleichen in der Lage waren, vielmehr auf die Collation Tafels, die so lautet: Bra- chioli Lib. AÏb. Rhamn.; Brachiali cod. S. Marci. Ambr. [.: Brachiolli Ambr. If. Die citirten Codices führen unausweichlich auf Branchialion, aber — sagen Sie — ihre Autorität fällt nicht stark ins Gewicht, wenn es sich um die ursprüngliche Lesart handelt: da entscheiden alleim die Libri Pactorum, und in diesen lesen wir Brachioli nicht. Ich weiss nicht. wodurch Sie die Anschauung gewonnen haben, dass in den Libri Pactorum der ursprüngliche Text der Theïlungsurkunde zu finden sei, die Herren Tafel und Thomas, welche alle bekannten Recensionen derselben vor sich gehabt haben, legten bei ihrer kritischen Ausgabe den Text des Liber albus zu Grunde, dessen Autorität derjeni- gen des Liber Pactorum zum Mindesten gleichkommt. Doch will ich mich bei dieser Classification der Hand- schriften nicht aufhalten, weil die Entscheidung nicht daran hängt. Aber woher ist Ihnen denn bekannt, dass die Libri Pactorum das Wort Brachioli gar nicht ha- ben? Sie schliessen dies blos daraus, dass Tafel bei der Stelle keine Lesart der Libri Pactorum anmerkt. Aber gesezt diese hätten hier einen geographischen Namen wegselassen, so hätte der gewissenhafte Kritiker eine solche Lücke ausdrücklich namhaft machen müssen. Und wieder, wenn sie statt Brachioli ein anderes, etwa an Anchialos anklingendes Wort zeigten, so würde Ta- fel nicht verfehlt haben, dies zu verzeichnen. Nur wenn die Libri Pactorum mit andern Codices übereinstimm- ten, konnte Tafel sie ignoriren, um die Zeugnisse für eine und dieselbe Lesart nicht unnôthig zu häu- fen. Tafels Mitarbeiter, Hr. Professor Thomas in München, bestätigt mir brieflich, dass diese leztere Annahme die allein zutreffende sei und in den Libri Pactorum eben auch wie in allen übrigen Handschrif- ten Brachioli stehe. Damit füllt jeder Anbaltspunkt für ein ursprünglich im Text befindliches Anchialos. Werfen wir nun einen Rückblick auf die vorange- gangene Auseinandersetzung! Während die bisheri- gen Erklärer in dem ersten Abschnitte der Theilungs- acte, welcher die Überschrift fübrt: pars prima ducis et communis Venetiae, lauter Localitäten verzeichnet sahen, die auf dem thracischen Chersones, oder am Marmora Meer, oder in dem benachbarten Binnenland 18 275 Bulletin de l’Académie Impériale 276 liegen, spalten Sie diesen Abschnitt in zwei scharf ge- schiedene Hälften; die erste, sagen Sie, enthalte al- lerdings Orte der bezeichneten Situation, dagegen gehô- ren die in der zweiten aufgeführten Localititen den pontischen Regionen an. Ich habe gezeigt, dass schon die damalige politische Gestaltnng der letzteren dem Erklärer der Theilungsurkunde kaum gestatte, auf das nordôstliche und nürdliche Ufer des schwarzen Mee- res hinüberzugreifen. Aber auch im Einzelnen konnte ich nachweïsen, dass eine solche Dislocirung ungerecht- fertigt ist. Vor Allem wird durch die unanfechtbare Fixirung von Muntinianae und Sigospotamos jeder Ge- danke an den Tanais und Kuban beseitigt sein. Auch dürfte die von Ihnen selbst (S. 15) geäusserte Befürch- tung, dass es Ihnen vielleicht nicht gelungen sei, die Leser von der Richtigkeit Ihrer Annahmen zu über- zeugen, nirgends mehr zur Wahrheit werden als bei Ihrer Identification von Gallipoli und Kalolimena, von Hexamilium und Perekop. Wird es aber dabei bleiben, dass alle diese Städte im thracischen Cher- sones, Myriophyton und Peristasis nicht ferne davon zu suchen sind, wird endlich die Lesart Brachioli bei der Übereinstimmung aller Handschriften aufrecht er- halten werden müssen, so haben wir auch in dem Ab- schnitt der Theilungsurkunde, in welchem Sie durch- aus pontische Localitäten suchen, eine stattliche Reihe von Städten, die vielmehr westlich von Constantino- pel liegen. Zwischen denselben zerstreut finden sich noch einzelne geographische Namen, von denen weiter nichts zu sagen ist, als dass die durch sie bezeichneten, sonst unbekannten Orte ohneZweifel neben den bekann- ten liegen, mit denen sie zusammengenannt sind. Wenn z. B. zwischen Gallipoli und dem ihm nachgewiesener Massen benachbarten Muntinianae ein Lazu et Lactu vorkommt, so künnen wir in letzterem unmüglich die Flüsse Dniepr (türkisch Uzu) und Bug (türkisch Aksu) sehen (wie Sie $. 15 thun), ohne den Verfassern des Actenstücks zwei tolle Sprünge von den Dardanellen nach Südrussland und von dort wieder zurück nach den Dardanellen zu imputiren, ganz abgesehen von der unerwarteten Begegnung zweier Flussnamen, wo man doch Städte oder Provinzen zu erwarten berech- tigt ist. Ferner, wenn zwischen Brachioli und Hexa- milium das räthselhafte Raulatis steht, so werden wir am besten daran thun zu sagen: dieser Ort kommt sonst nicht vor, seine Lage wird aber annähernd be- mm stimmt durch die zwei mit ihm zusammengenannten Stidte. Es ist doch auch eine kaum zu erkennende Namensähnlichkeit, welche Sie (S. 14.) auf die Iden- tification von Raulatis und Callatis (nürdlich von Varna) gefübrt hat. So muss ich doch dabei bleiben, dass in dem An- theilsloose, welches den Venetianern bei der Theilung des griechischen Reichs zugeschieden wurde, keine Localititen sich nachweïsen lassen, die am schwar- zen Meer liegen. Wenn Sie meine Gründe ruhig prü- fen, werden Sie gewiss finden, dass es nicht leere Rechthaberei ist, was mich davon abhält, Ihre gegen- theilige Ansicht in diesem Punkt zu adoptiren. Wie wenig dies meine Art ist, wird [hnen hoffentlich der weitere Verlauf meiner Briefe noch besser zeigen. Notiz über die quantitative Bestimmung des Jods in verschiedenen Filüssigkeiten, speciell im Harn, von Heinrich Struve. (Lu le 20 août 1868.) Im Januar dieses Jahres theilte ich der caucasi- schen medicinischen Gesellschaft ') eine kleine Notiz über eine von mir bei verschiedenen Gelegenheiten benutzten quantitativen Bestimmung des Jods mit, die ich seitdem weiter verfolgt habe, so dass ich von der Anvwendbarkeit derselben überzeugt bin. Dieses noch zumal im Vergleich der Leichtigkeit, mit der nach dieser Methode kleine.Mengen, ja selbst Spuren von Jod nicht allein nachgewiesen, sondern auch gleich quantitativ bestimmt werden künnen, mit den Metho- den, die bisher in Anwendung waren. Um uns hier- von zu überzeugen, haben wir nur nôthig, in der ana- lytischen Chemie von Fresenius nachzuschlagen, das dort an verschiedenen Stellen über die Bestimmung von Jod Angeführte zusammenzufassen und kommen zum Schluss, dass eine jede quantitative Bestimmung des Jod bei Gegenwart von andern Kürpern zu den schwierigsten Aufgaben der analytischen Chemie ge- hôrt. Dabei ist dieses schliesslich nur erreichbar mit einem grossen Zeitaufwande und unter Beobachtung vieler Vorsichtsmaasregeln. Noch grüssere Schwierigkeiten treten ein, wenn es sich um die Bestimmung von Jod in verschiedenen 1) Mexuuusceriñ Céopuure, u3x. Kaskasc. Mer. OGecrsomr, N° 5, Bemyck® 1-ñ, 1868 roxa. 277 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 278 thierischen Flüssigkeiten handelt, so zumal im Harn ”). | kohlenstoff hat, die von verschiedenen, aber bestimm- Die Methode, die bis jetzt in diesen Fällen gebraucht ward,, beruht darauf, dass aus einer selbst ziemlich verdünnten Lüsung eines Jodmetalls mit Schwefel- säure, alles Jod abgeschieden wird und übergeht. Im Destillat wird es dann mit einer Palladiumlüsung titrirt. Diese Methode, so genaue Resultate mit dersel- ben auch erzielt werden künnen, erfordert viel Zeit und kann deswegen zu rasch auf einander folgenden Bestimmungen nicht benutzt werden. Jetzt aber, wo das Jod sowohl im freien Zustande, als auch in Form verschiedener Salze, eine so über- aus wichtige medicinische Anwendung findet, ist es von Wichtigkeit, nicht nur die Gegenwart desselben mit Leichtigkeit nachweisen zu künnen, sondern auch den Durchgang desselben durch die thierischen Kôür- per zu verfolgen. Zum qualitativen Nachweis des Jods besitzen wir ausgezeichnete Reactionen, nämlich die blaue Färbung der Stärke, oder die characteristische Färbung des Âthers, Benzins und Schwefelkohlenstoffs. Zumal diese letzte Reaction ist in neuester Zeit vorzüglich in An- wendung gebracht, und auf diese Erscheinung stütze ich auch die hier auseinanderzusetzende Methode der quantitativen Bestimmung dieses Kürpers. Bereitet man sich eine Jodkaliumlüsung von ei- nem bestimmten Gehalt und setzt man zu bestimmten verschiedenen Quantitäten dieser Lüsung gleiche Quan- titäten von Schwefelkohlenstoff und darauf einige Tro- pfen Untersalpetersäure, oder auch nur rauchende Salpetersäure hinzu, so wird alles Jod in Freiheit gesetzt. Führt man diese Versuche in kleinen Glas- flaschen mit gut schliessendem Glasstüpsel aus, so kann man nach dem Zusatz der Säure den Inhalt umschüt- teln, wodurch das in Freiheit gesetzte Jod vollstän- dig vom Schwefelkohlenstoff aufgelüst wird und den- selben mehr oder weniger intensiv färbt. Füllt man darauf das Fläschchen mit reinem Wasser an, so kann man bald darauf die überstehende saure Flüssigkeit mit einem kleinen Heber abziehen und durch wieder- holtes Aufgiessen von Wasser den Inhalt so auswa- schen, dass man schliesslich im Fläschchen unter einer Schicht reinen Wassers gleiche Quantitäten Schwefel- 2) Neubauer und Vogel, Anleitung zur Analyse des Harns, S. 120. ten Jodquantitäten gefärbt sind. Zur Darstellung solcher verschiedenen Färbungen benutzte ich eine Jodkaliumlôsung von 1 Gm. Jodkalium in 1000 CC Gm. Wasser, folglich waren in 1 CC die- ser Lüsung 0,001 Jodkalium oder 0,00076 Jod ent- halten; ferner war die Bürette derartig, dass 21 Tro- pfen derselben einem CC. entsprachen. Vom Schwe- felkohlenstofl wurden zu einem jeden Versuch 5 CC. angewendet. Unter Beobachtung dieser Verhältnisse wurde folgende Reihe von Normal-Färbungen darge- stellt, nämlich: Anzabl | | er Aéopien | Jodkalium. | J o d. lüsung. | | 1 | 0,000048 0,000036 2 | 0,000096 0,000072 3 | 0,000144 0,000108 4 0,000192 0,000144 6 | 0,000288 0,000216 8 | 0,000384 0,000288 10 | 0,000480 0,000360 12 0,000576 0,000432 14 | 0,000672 0,600504 18 | 0,000864 0,000648 21 | 0,001000 0,000756 30 0,001440 0,001080 Beim Zusammenhalt dieser so bereiteten Normal- Färbungen kann man in ausgezeichneter Weise die Farbennnancen unterscheiden und wird in der Anord- nung der Farben gewiss keinen Fehler begehen. Na- türlich sind zum weiteren Gebrauch dieser Lüsungen noch mehrere Bemerkungen nicht zu übersehen. So füllte ich die ausgewaschenen Normallüsungen des si- cheren Vergleiches wegen in kleine Glasrôbren von reinem weissen Grlase von gleicher Stärke, die eine Länge von 15 Centim. bei 8 Millim. innerem Durch- messer hatten. Diese Rühren wurden später zuge- schmolzen, so dass sich in denselben der gefärbte Schwefelkohlenstoff unter einer kleinen Schicht von Wasser befindet. In solchen Rühren halten sich die Farben des Schwefelkohlenstoffs sehr lange ohne merk- liche Veränderungen, nur muss man Sorge getragen haben, dass die Rühren sehr sorgfältig gereinigt wa- ren, Zumal nicht organische Substanzen enthalten, durch deren Gegenwart in kurzer Zeit Schwächungen der Färbungen hervorgerufen werden. Ferner muss man diese gefüllten Rühren vor grellem Licht und noch 18* 279 mehr vor den directen Sonnenstrahlen schützen, da diese Veränderungen der Färbungen hervorrufen. Hier- aus folgt: dass es am besten, richtigsten ist, wenn man diese Rühren an einem dunklen kühlen Orte aufbe- wabrt, wo man sicher vor Umänderungen der Fär- bungen sein kann. Solche so hergestellte Normal-Färbungen von Schwe- felkohlenstoff benutzte ich zur quantitativen Bestim- mung von Jod in verschiedenen Mineralquellen des Caucasus, vorzüglich aber in verschiedenen thierischen Flüssigkeiten, wobei ich den qualitativen Nachweis des Vorkommens von Jod immer gleich mit der quanti- tativen Bestimmung verband und erreichte dieses durch eine einfache Vergleichung einer erhaltenen Färbung von 5 CC Schwefelkohlenstoff oder eines Vielfachen desselben mit den Normallüsungen. Um diesen Ver- gleich sicher ausführen zu künnen, muss man auch bei jedem einzelnen Versuch den gefärbten Schwefelkoh- lenstoff in eine Glasrôühre von oben angegebenen Di- mensionen hineinfüllen; natürhch ist hier ein Zuschmel- zen der Rôühre nicht erforderlich. In welcher Weise man die Stellung der durch den Versuch erhaltenen Färbung des Schwefelkohlenstoffs in der Reiïhe der Normal- Scala feststellt und somit den Jodgehalt bestimmt, das lfängt von den einzelnen Persünlichkeiten ab. Es lassen sich hierfür keine be- stimmten Regeln festsetzen, nur kann ich anführen, dass ich den Vergleich auf einer weissen Unterlage von Papier bei auffallendem Lichte ausführte. Unter Anwendung dieser Methode sind 2 Reihen von Jodbestimmungen im Harn ausgeführt worden, in welchen wir den besten Beleg für die Anwendbarkeït dieser Methode finden. Zuerst müssen wir aber über die Ausführung des Versuches bei Untersuchungen von Harn einige erklärende Worte geben. Wie angefübrt, beruht die in Vorschlag gebrachte Methode auf der Erscheinung, dass aus einem jeden Jodmetall, das im Harn aufgelôst ist, durch Untersal- petersäure das Jod ausgeschieden und von hinzuge- setztem Schwefelkohlenstoff durch Umschütteln aus dem Harne vollständig abgeschieden wird. Bei Aus- führung dieses Versuches ist besonders auf zwei Um- stände aufmerksam zu machen, nämlich: 1) Beim Zusatz der Untersalpetersäure zum zu prü- fenden Harn darf keine Gasentwickelung, kein Bulletins de l’Académie Hmpériale 280 Aufbrausen durch entweichende Kohlensäure statt- fiuden. 2) Nach dem Zusatz der Säure und nach dem Um- schütteln muss sich der Schwefelkohlenstoff als eine klare zusammenhängende Flüssigkeit abschei- den. Starke Gasentwickelungen kônnen bei diesen Be- stimmungen vorzüglich durch einen grüsseren Gehalt der zu untersuchenden Flüssigkeit an kohlensauren Salzen veranlasst werden, die deswegen vorher ent- fernt werden müssen. In dieser Absicht setzt man zu der zu prüfenden Flüssigkeit, nachdem sie bis zum Kochen erhitzt worden ist, eine Lüsung von Chlor- calcium oder Chlorbarium, wodurch kohlensaurer Kalk oder Baryt niedergeschlagen werden. Nach dem Er- kalten hat man dann die Flüssigkeit zu filtriren und die Bestimmung des Jods vorzunehmen. Noch einfacher als dieser Weg zur Entfernung der Kohlensäure ist, wenn man die zu prüfende Lüsung mit einigen Tropfen einer concentrirten Salmiaklüsung versetzt und dar- auf die Lüsung so lange kocht, bis aller Geruch nach Ammoniak entwichen ist. Dieser zweiten Art gebe ich den Vorzug und habe sie fast auch immer benutzt. In Bezug des zweiten Punktes ist zu erwähnen, dass es sich nur zu leicht bei Lüsungen organischer Substanzen ereignet, dass sich der Schwefelkohlenstoff nach dem Umschütteln nicht als eine zusammenhän- gende Masse am Boden des Fläschchens ansammelt, sondern in einer unzähligen Masse kleiner, nicht zu- sammenhängender Tropfen, von welchen viele selbst auf der Oberfläche der Lüsung schwimmen. Ist diese Erscheinung eingetreten, so kann man das Fläschchen mit dem Inhalte, so lange man will, stehen lassev, eine Wiedervereinigung der einzelnen Tropfen findet nicht statt, selbst auch dann nicht, wenn man den Inhalt des Fläschchens mit einer grüsseren Quantität Was- ser versetzt, umschüttelt und der Ruhe überlässt. Ist zum Versuch 1 CC. Harn hinreichend, so tritt nur in sehr seltenen Fällen diese Erscheinung ein, doch wenn man 10 CC., oder noch mehr Harn anwen- den muss, fast regelmässig; sie kann aber mit Leich- tigkeit umgangen werden, wie wir aus dem Folgen- den, wo die Ausführung des Versuches beschrieben werden soll, kennen lernen. In ein birnfürmiges Fläschchen von 50 CC. Inhalt mit gut schliessendem Glasstüpsel giesst man 20 CC. 281 Wasser, darauf 1 CC. des zu untersuchenden Harns und nun 5 CC. Schwefelkohlenstoff. Der Inhalt wird leicht umgeschüttelt und darauf aus einer kleinen Pi- pette einige Tropfen rauchender Salpetersäure in das Flischchen gegossen, das gleich darauf geschlossen wird. Schüttelt man nun das Fläschchen, wobei man mit einem Finger den Glasstüpsel festdrücken muss, damit er nicht durch die Erwärmung und Ausdehnung des Schwefelkohlenstoffs herausgeschleudert wird, und überlässt es dann der Ruhe, so sammelt sich der Schwefelkohlenstoff rasch am Boden an. Man lüfet vorsichtig den Stüpsel, füllt das Fläschchen voll mit Wasser — je kälter das Wasser ist, desto besser, wie es überhaupt gut ist, diese Bestimmungen bei müg- lichst niedriger Temperatur auszuführen — schüttelt es um, lässt es abstehen und zieht mit einem kleinen Heber das Wasser ab. So wäscht man den Schwefel- kohlenstoff 2 oder 3 Mal mit Wasser aus, und der Versuch ist dann so weit gedichen, dass man des Ver- gleiches wegen den gefärbten Schwefelkohlenstoff in die vorbereitete kleine Glasrühre übergiessen kann. Muss man aber zum Versuch eine grüssere Quan- titit Harn verwenden, wie z. B. 10 oder 100 CC., s0 muss man zuerst die abgemessene Quantität des Harns entweder in einem kleinen Glaskolben, oder in einer Schale im Wasserbade unter Zusatz von Âtzkali fast bis zum Trocknen abdampfen, dann zum Rückstand, der eine dunkelbraune Farbe hat, eine concentrirte Salmiaklôsung hinzufügen und nun wieder so lange abdampfen, bis die Flüssigkeit neutral reagirt und nicht mehr nach Ammoniak riecht. Ist dieses erfolgt, so giesst man die erkaltete Flüssigkeit ins Flischchen und fübrt, wie oben angegeben, die Abscheïidung und Bestimmung des Jods aus. Sollte es sich aber ereignen, dass nach diesen so eben auseinandergesetzten Operationen sich doch der Schwefelkohlenstoff nicht als zusammenhängende Masse abscheidet, was mir bei vielfältigen Versuchen mit Harn nie vorgekommen ist, so hat man nur nôthig, das bestimmte Volum Harn nach Zusatz einer Kali- lüsung im Wasserbade zur Trockne abzudampfen, zu verkohlen, den Rückstand mit Wasser auszulaugen und die klare Lüsung nach einem Kochen unter Zu- satz von Salmiak, um die Lüsung neutral zu machen, wie angegeben, zu prüfen. Jetzt künnen wir zu den Versuchen übergehen. des Sciences de Saïint-Pétersbourg. 28? Erste Versuchsreihe. Am 24. Januar um 11 Uhr Morgens nahm A., em Mann von gesunder kürperlicher Constitution, der ein sehr regelmässiges Leben führt, 0,7 Grammen —11,27 Gran Jodkalium, die in 25 CC. Wasser gelüst waren, ein; von nun an wurde der Harn gesammelt, gewogen und auf seinen Jodgehalt untersucht. Der Harn hatte immer eine rein weingelbe Farbe und eine saure Reac- tion. In folgender Tabelle sind die gewonnenen Re- sultate übersichtlich zusammengestellt. : 8 À |S Gefundene Quantität von Jod- Zeit, wann der| © © | kalium. Harn gelassen E 2 = Im |[n der ganzen Quan- War. & = a | Versuch. | tität Harn. ; œ (es) l&æ | In Grammen.| In Granen. 24. Jan. 4! N 509 0,00028 | 0,1425 | 2,2938 =) » 10 1» 257 0,00028 0,0720 1,1589 25 » 6 M.| 537 0,00014 0,0752 1,2104 — » 12 Y. 431 0,00014 0,0302 0,4861 —HODOTIN. 194 0,00028 | 0,0054 0,0869 LODEL TOUN: 350 0,00028 0,0098 0,1577 D AI OMMINS 294 0,00014 0,0041 0,0659 26 MD TANT 574 0,00014 0,0080 0,1288 — » 11 397 0,00014 0,0056 0,0901 — .» 2 N. 390 0,00007 0,0014 0,0225 M) M ONIN 567 0,000048 | 0,0013 0,0209 TD ET EN 617 0,000024 0,0007 0,0113 In 92 Stunden..| 5117 | — |. — | 0,3562 | 5,7333 &weite Versuchsreihe. Am 6. Juni 2 Uhr Nachmittags nahm dieselbe Per- son A. 0,5 Grammen 8,048 Gran Jodkalium in 25 CC. Wasser gelüst ein und darauf am 7. Juni um 2 Uhr Nachmittags wieder ebensoviel. Somit hatte A. im Ganzen 1 Gramm — 16,096 Gran Jodkalium ein- genommen, und durch den Harn wurden bis zum 11. Juni folgende Quantitäten von Jodkalium wieder aus- geschieden. il } | Gefundene Quantität von Jod- \ Zeit, wann der nues n EE Or En CPE 5: = SUE TS - kalium. Harn gelassen | = Ë 2 38 Em In der ganzen Quan- war. £ EME SNS Er tität Harn. ni ge e EH œ* Eu In Grammen.| In Granen. 6. Juni 5/ N. 185 1 0,000672 0,1243 2,0006 es MO rt AT 1 |0,000192 | 0,0877 | 1,4116 DEN CV 560 1 0,000144 | 0,08506 1,2973 — » 10 » 195 10 0,000576 0,0112 0,1803 — 10} #72 17 N 140 10 0,000576 0,0081 0,1304 — » 6 » 200 1 0,000672 | 0,1544 2,1631 M DO) 262 1 0,000576 0,1509 2,4288 SPP OMAN 670 1 0,000192 | 0,0128 0,2060 SU OIRTREN 630 10 0,000384 0,0242 0,3896 91 PCM 420 10 0,000288 | 0,0121 0,1948 00) 9) N 397 10 0.000096 | 0,0038 0,0608 — » 10 » 275 20 0,000096 | 0,0013 0,0209 10 » (9 Y. | 440 20 |0,000048 | 0,0011 | 00176 NS NT MOTO 0 | 0,000024 | 0,0003 | 0,0048 Un Gun 310 100 Spur Spur Spur [ In 97 Standens.|L6S81 0 | 0 — = 0,6528 | 10,5066 283 Bulletin de l’Académie Impériale 284 Bei dieser zweiten Reihe muss noch hervorgehoben werden, dass A. in der Nacht vom 8. auf den 9. Juni plützlich von einem Fieberanfall ergriffen wurde, und dass der erste Harn, den A. am 9.Juni 6 Uhr Morgens liess, nicht wie die früheren und alle späteren Portio- nen eine saure Reaction Zzeigte, sondern durchaus neutral war. Dieser Harn ging überaus heiss ab, zeigte nach einigem Stehen eine starke Wolke und muss s0- mit als ein kritischer Harn im Fieberanfall angesehen werden. Nach dieser Harnabsonderung fühlte sich A. sogleich viel wohler. Im Verlauf dieser Untersuchungen wurde auch zu drei verschiedenen Malen der Speichel auf den Gehalt an Jodkalium untersucht und zwar in folgender Weise. Am 7. Juni 10 Uhr Vormittags spülte sich A. den Mund in drei auf einander folgenden Operationen durch einfaches Gurgeln mit 100 CC. Wasser. Diese Flüs- sigkeit wurde unter Zusatz einiger Tropfen Kali im Wasserbade eingedampft, der Rückstand verkohlt, mit Wasser aufgenommen und in dieser Lüsung der Jod- kaliumgehalt zu 0,000288 bestimmt. Am 9. Juni 6 Uhr Vormittags wurde ebenso der Speichel geprüft und in demselben 0,000192 Jodka- lium gefunden. Am 10. Juni 6 Uhr Nachmittags konn- ten im Speichel keine Spuren von Jod mehr nachge- wiesen werden, während der Harn noch welche zeigte. Um sich weiterhin überhaupt von der Abwesenheit des Jods zu überzeugen, so wurde am 11. Juni noch einmal der Harn und Speichel untersucht, doch ver- gebens. Noch muss hier angeführt werden, dass wäbrend der zweiten Reiïhe auch der Schweiss auf einen Ge- halt an Jodkalium geprüft wurde, doch mit negativem Resultat. Diese Versuche wären aber zu wiederholen. Die in beiden Versuchsreihen nicdergelegten quan- titativen Bestimmungen berechtigen uns zu folgenden allgemeinen Schlussfolgerungen: 1) Von dem eingenommenen Quantum Jodkalium wird nur ein Theïil resorbirt und später durch die Harnwege wieder ausgeschieden. 2) Von 100 Theilen Jodkalium werden ungefähr nur 65 Theile resorbirt. 3) Die Resorption und Ausscheidung des Jodkaliums aus dem Kôürper ist in 92 — 97 Stunden beendigt. 4) In gleichen Zeiten werden gleiche Quantitäten von Jodkalium durch den Harn ausgeschieden, näm- lich: Versuch 1: in 19 Stunden 1302 CC. Harn mit 0,2897 Jodkalium, Versuch 2: in 16 Stunden 1202 » » in 15 Stunden 1132 » » Tiflis, 2. August 1868. » 0,2926 » » 0,2981 » Entwickelungsgeschichtliche Beïiträge, von El. Metschnikow. (Lu le 8 octobre 1868.) I Metamorphose der Auricularia, An den früheren Stadien der Synaptalarven lôüst sich das innere Ende des primitiven Wassergefäss- bläschens ab, wonach es in der Länge zunimmt und dabei den Magen in Form eines schmalen Bandes um- wächst. Dieser bandfôrmige Kürper theilt sich dann in zwei Abschnitte, welche sich allmählich zu den scheibenfürmigen, sogenannten «wurstformigen Kür- pern» (Joh. Müller) ausbilden. Bei genauerer Unter- suchung nimmt man deutlich wahr, dass diese late- rale Scheiben aus zwei, an ihren Rändern in einander übergehenden Schichten zusammengesetzt sind, zwi- schen denen sich eine spaltenfürmige Hôühle befindet. Während der Bildung von elf tentakelf‘rmigen An- hängen am Wassergefässbläschen findet das Zusam- menwachsen der beiden scheibenformigen Kürper statt, welche sich nunmehr in zwei in einander eingeschobene und an den Rändern mit einander verwachsene Cylin- der verwandeln. Gleichzeitig mit diesen Vorgängen beobachtete ich das Zerreissen der Wimperschnüre, resp. das Hervorragen des Schlundes nach aussen. Es ist bemerkenswerth, dass im Laufe der Entwicke- lung die auf der Bauchseite liegenden, den Mund von oben und unten umgrenzenden Theile der Wimper- schnüre, so wie die lateralen Vorsprünge derselben, alle mit einander verwachsen , um einen Ring um den hervorragenden Schlundkopf darzustellen. Der so entstandene Ring lüst sich von den übrigen Theiïlen der Wimperschnüre vollständig los und stülpt sich dann mit dem Schlunde ins Innere des Kürpers ein, wobei sich die Larve in die Puppe verwandelt. Der eingestülpte Ring liefert das Material für den Haut- überzug der fünf Tentakeln. Die Wassergefässschläu- 285 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 286 che der letzteren entstehen aus den fünf grüsseren Auswüchsen des primitiven Wassergefässbläschens, während die sechs kleineren Auswüchse sich zu den fünf Längsgefässstäimmen und die Poli’sche Blase um- wandeln. Es muss hervorgehoben werden, dass im Laufe der Metamorphose keineswegs eine Neubildung des Mundes und Schlundes stattfindet, wie das von Müller und Baur behauptet wird, sondern dass im Gegentheil der Auricularienmund, eben so wie der Schlund, in dieselben Theile des Echinoderms ohne weiteres übergehen. Bei weiterer Entwickelung nimmt die früher er- wähnte spaltenformige Hôhle zwischen den beiden den Magen umwachsenden Cylindern bedeutend zu, wobei sich der äussere Cylinder in die Ringsmuskel- schicht verwandelt, während der innere Cylinder, al- len Krümmungen des Darmkanals folgend, einen peri- tonealen Überzug nebst Mesenterien und Blutgefässen darstellt. Die ursprüngliche Leibeshühle nimmt all- mäblich an Umfang bedeutend ab, eben weil dabei die zwischen den beiden Cylindern gelegene, frühere spal- tenfürmise Hühle geräumiger wird. Die Kalkrädchen, ebenso wie die definitiven Skelet- theile der Synaptalarven (ich untersuchte davon den Kalkring) entstehen in einer und derselben Cutis- schicht, welche ursprünglich aus runden Zellenhaufen, dann aus verästelten wandelbaren Zellen zusammen- gesetzt erscheint. I. Entwickeluug von Ophiolepis squammata, Die linsenformigen, von zwei Hüllen umschlossenen Eier dieser Ophiure laufen einen totalen Zerklüftungs- process durch, in Folge dessen das einschichtige, eine geräumige centrale Hôhle umgebende Blastoderm zu Stande kommt. Die Zoospermien bilden sich in denselben Indivi- duen, wo sich die Eier befinden, und zwar im Innern von zehn kleinen Bläschen, welche paarig auf der Innenseite von ebenso viel auf der Bauchfläche gela- gerten Kalkstäbchen sitzen. An dem jungen, rein doppelt symmetrischen Em- bryo unterscheidet man einen aus Schlund und Ma- gen bestehenden Verdauungsapparat und daneben drei Schläuche, wovon einer das Wassergefässbläschen, die beiden anderen die den lateralen Scheiben der Auri- cularien entsprechenden Kürper darstellen. Der ganze Innenraum des Embryo erscheint von einer Menge gefärbter Cutiszellen erfüllt, welche anfangs das pro- visorische bilaterale Skelet, dann aber die definitiven radialen Kalkgebilde produciren. Am Übergange des bilateralen Embryo in den Stern nimmt nur der oberste Abschnitt keinen Antheil, in- dem er sich in einen Faden ausbildet, welcher eine Art Nabelstrang darstellt. Detaillirtere Angaben über die Entwickelung von Opliolepis squammata wird man in meiner demnächst erscheinenden Abhandlung über die Entwickelung der Echinodermen finden. HT, Metamorphose der Ophiuren, Noch vor dem Entstehen des Wassergefässbläschens kommen die lateralen Scheiben zum Vorschein. (Diese Beobachtungen wurden an den Larven von Ophiotrix fragilis und am Pluteus bimaculatus angestellt). Sie breiten sich allmählich aus und umwachsen schliess- lich vollkommen den Magen. Während der Bildung des Wassergefässbläschens, resp. seiner Verwandlung in die fünflappige Anlage der Wassergefässe, bildet sich der von Müller sogenannte «Waulst unter dem Magen», welcher nichts Anderes als eine Jocale Ver- dickung der Larvenepidermis darstellt. Später, zur Zeit der Bildung der Palmae, lässt sich eine starke Anbäufung der unter der Epidermis liegenden Cutis- zellen wahrnehmen, welche nunmehr den grüsseren Theil der Leibeshôühle ausfüllen. Die verdickte Cutis stellt nun das Lager für die Bildung der Kalknetze dar, welche anfangs auf der Rückenseite, und zwar im Innern des von Müller sogenannten «welligen Wulstes» erscheinen. Bei weiterer Entwickelung wächst die ganze Masse der fünf Palmen um den Schlund herum, wobei die- ser in’s Innere des Ophiurenkürpers eingeschlossen wird, keineswegs aber vergeht, wie das Müller an- giebt. Es ist sicher, dass von der ganzen Pluteuslarve der Ophiuren lediglich die Arme und die obere Spitze zu Grunde gehen, ferner, dass die Epidermis ebenso wie die Cutisschicht des Sterns sich direct aus den ent- sprechenden Geweben der Larve bilden. IV. Metamorphose der Seeigel. Die Verwandlung der Echinen und Spatangen ist keineswegs so einfach wie die der Ophiuren. 287 Bei den Larven von Æchinus lividus mit nur vier Armen (dieses Stadium findet man bei Müller, IV. Abhandlung, Taf. VI, Fig. 8, 9 abgebildet) unterschei- det man deutlich auf der linken Seite des Kürpers einen nach aussen mündenden Canal, welcher keïnes- wegs in eine innere Blase mündet (wie das AI. Agas- siz angiebt), sondern mit einem soliden Zellenhaufen im Zusammenhange steht. Später schwillt das innere Ende des rôhrenfürmigen Canals zu einem kleinen Bläschen an, während sich der Zellenhaufen in die laterale Scheibe verwandelt. Eine andere eben solche Scheibe erscheint zu derselben Zeit auf der rechten Seite des Larvenkürpers. Wenn die Entwickelung so weit fortgeschritten ist, so beginnt die Bildung einer Oberhauteinstülpung auf der linken Seite des Kôrpers, in der Nähe des angeschwollenen Endes des Wasser- gefässrührchens. Diese Bildung lässt sich bereits bei den Larven mit sechs Armen wahrnehmen; sie wurde zum ersten Male richtig von AI. Agassiz beobachtet. Bei weiterer Entwickelung umwachsen die lateralen Scheiben den Magen vollständig, zu welcher Zeit das Wassergefässbläschen in fünf Lappen zerfällt. Diese werden bis zur Hälfte von der Epidermis überzogen, welche den inneren Grund der nunmebhr tiefer gewor- denen Einstülpung darstellt. — Auf demselben Lar- venstadium beobachtet man noch die Entwickelung der Pedicellarien, welche in Form einfacher Hautver- dickungen (in denen man sebr deutlich die Oberhaut und die Lederschicht unterscheidet) hervortreten. In der Cutisschicht dieser Hautwarzen beginnt bald die Kaikablagerung, welcher Process in den übrigen Theï- len des wachsenden Echinoderms etwas später wahr- genommen wird. Auf dem letzten von mir beobachteten Stadium der Echinusmetamorphose konnte ich deutlich eine late- rale oberflächliche Offaung wahrnehmen, welche in eine geräumige Hôhle führte, in deren Innerm die mit Epidermis überzogenen Wassergefässcanäle sich be- fanden. Es versteht sich aus dem Vorhergesagten von selbst, dass die die Wassergefässe überziehende Ober- hautschicht sich in einem unmittelbaren Zusammen- hange mit der Epidermis des Larvenkürpers befinden muss, was auch in der That sebr leicht zu beobach- ten ist. Bei Spatangiden, deren Metamorphose ich viel wei- ter als bei Æchinus lividus verfolgen konnte, bilden Bulletin de l’Académie Knpériale 2ss sich anfangs genau dieselben Verhältnisse, welche ich für Echinus lividus angegeben habe. Der Hauptunter- schied besteht darin, dass bei Spatangiden die in die eingestülpte laterale Hôhle führende Offnung sebr bald verschwindet, weshalb denn auch der Zusammen- hang der Epidermis der Seeigelanlage mit der Lar- venoberhaut wegfällt. So kommt es, dass sich hier eine Art Amnion entwickelt, welches aus demjenigen Theile der eingestülpten Oberhaut entsteht, der nicht zur Überziehung der Stachelanlagen und Wasserge- fâsse verwendet wird. Es ist klar, dass, wenigstens bei Echiniden, nicht die ganze Oberhaut des Seeigels aus der eingestülp- ten Larvenepidermis hervorgeht, da ja die Pedicella- rien sich auf der Aussenfläche der Larve befinden. Bei Spatangiden mag es freilich anders sein, indem wir hier keine Pedicellarien finden, und da hier über- haupt die Metamorphose tiefer eingreift. Es folgt also aus dem Gesagten, dass bei Echinoi- deen nicht nur diejenigen Theile der Pluteuslarve pro- visorisch sind, welche bei Ophiuren keinen Antheil an der Bildung des Sternes nehmen, sondern dass hier uoch der grôüsste Theil der Larvenoberhaut zu Grunde geht, ein Umstand, welcher mit der Anwesenheit des Amnion bei Echinoideen im innigsten Zusammenhange steht. Wir haben oben angegeben, wenigstens für das Skelet der Pedicellarien, dass hier, ebenso wie in allen früher erwäbnten Füällen, das definitive Kalk- skelet sich aus der Cutisschicht bildet, also aus dem- jenigen Gewebe, welches auch das provisorische Ske- let producirt. V. Metamorphose einiger Nemertinen, Die vier Saugnäpfe, welche Joh. Müller bei Pili- dium beschreibt, sind die ersten Anlagen des Nemer- tinenkôrpers, welche in Form von vier Haupteinstül- pungen entstehen. Während des Wachsthums dieser taschenformigen Einstülpungen der äusseren Pilidium- haut nehmen ihre inneren Theile so bedeutend an Dicke zu, dass schliesslich die gauze Einstülpungs- hühle davon ausgefüllt wird. Es bildet sich nunmehr ein ganz ähnliches Verhältniss wie in dem Keimhügel der Aphiden (vel. meine ÆEmbryol. Stud. a. Insecten, Taf. XXIX, Fig. 19, 20, «, b), was um so mebr hervor- gehoben zu werden verdient, als auch die weiteren 289 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 290 Schicksale der entsprechenden Theile bei beiden Thie- ren vollkommen analog sind. Es ergiebt sich nämlich, dass der verdickte Theil der Einstülpungswandung sich in die Anlage des Nemertinenkôrpers verwandelt, während ihr dünnerer Theil zu einem echten Amnion wird. Noch bevor diese Verhältnisse klar ins Auge fallen, findet eine Verwachsung von je zwei Paaren der sogenannten Saugnäpfe mit einander statt, was zwei napfformige Gebilde zur Folge hat, welche auch von Leuckart und Pagenstecher als die Anlagen der Nemertine erkannt wurden. Es ist hier Zeit zu bemerken, dass diese Anlagen deutlich aus zwei Schich- ten zusammengesetzt erscheinen, von denen die äus- sere zur zelligen Hautschicht wird, während sich die innere in die Muskel- und Nervensystemgebilde ver- wandelt. Ganz unabhängig von den beiden Paaren der Ne- mertinenanlagen erscheinen zwei laterale rosettenfor- mige Kürper, deren definitive Bedeutung mir unbe- kannt geblieben ist. Das erste Organ, welches sich in der vorderen Ne- mertinenanlage differenzirt, ist der Rüssel, welcher sich in Form einer einfachen, aus zwei Embryonalblättern zusammengesetzten Einstülpung bildet. Bei weiterer Entwickelung verwachsen die bei- den Anlagen mit einander, wobei auch die ihnen an- liegenden braun gefärbten Amniontheile sich in eine zusammenhängende Hülle verwandeln. Zu derselben Zeit erfolgt die Umwachsung des Verdauungsappara- tes, resp. die Formveränderung des Magens. Die Haut bedeckt sich mit Flimmerhaaren; es differénzirt sich ein kleines Schwänzchen; die Augen treten in Form von zwei pigmentirten runden Kürpern hervor, —es bildet sich mit einem Worte der ganze Nemertinen- leib aus, welcher noch immer mit dem Amnion an den Rändern im Zusammenhange bleibt. Es geht aus dem Gesagten hervor, dass sich die Metamorphose der Nemertinen am engsten an die der Spatangiden anschliesst, indem in beiden Fäl- len die Larvenhaut einen direkten Antheil an der Bil- dung des definitiven Thierkürpers nimmt, aber keines- wegs unmittelbar in die definitive Haut übergeht, wie das für die Synapten, Ophiuren, Asteriden (wie ich bei einer Bipinaria beobachtet habe) und theilweise für Echiniden Geltung findet. Auch sind die Nemer- tinen und Spatangiden unter den genannten Thieren Tome XIII. die einzigen, welche ein vollkommen ausgebildetes Amnion besitzen. VI, Embryonalentwickelung von Bothriocephalus proboscideus. Wenn wir bei Spatangiden und Nemertinen ein Amnion aufzufinden im Stande waren, so künnen wir jetzt ein Beispiel des Vorhandenseins der serôüsen Hülle bei niederen Thieren anführen. . Es hat schon Koelliker gewusst, dass bei Bothrio- cephalus probosciteus nur ein Theil des Eïinhaltes zum Embryo wird, und dass sich dabei eine peripheri- sche Zellenschicht bildet, deren weitere Schicksale dem genannten Forscher unbekannt geblieben sind. Gegen diese Schilderung ist neuerdings Knoch auf- getreten, welcher die Verwandlung des ganzen Eïin- haltes in den Embyo bei Bothrioc. probosc. annimmt und in keinem Falle eine besondere peripherische Schicht anerkennen will. In den reifen Eiern von Bothriocephalus proboscideus besteht der Inhalt aus einer blassen Keimzelle, welche in einer kürnigen Dottermasse eingebettet liegt. Die Keimzelle erfährt eine vollständige Zerklüftung, wäh- rend die kürnige Dottermasse keinen unmittelbaren Antheil an der Embryobildung nimmt. Aus dem Hau- fen der blassen Zerklüftungszellen sondern sich bald zwei, mit grüsseren Kernen versehene Zellen ab, welche sich an beiden Eipolen fixiren und erst am Ende des Embryonallebens verschwinden. Eine ganz äholiche provisorische Embryonalbildung fand ich auch bei den Taeniaden, und zwar bei Taenia cucumerina. Nach der Zerklüftung nimmt die ganze Masse der Embryonalzellen eine runde Form an, und bald darauf theilt sich der Embryo in einen centralen Kern und eine peripherische, sehr deutlich aus Zellen bestehende Schicht. Während der Verwandlung des Kernes in einen konischen zapfenfürmigen Embryo mit ausge- bildeten Haken bildet sich die oben erwähnte peri- pherische Zellenschicht in eine dünne Membran um, welche sich dann sehr stark zusammenfaltet und zu- letzt den Zellenbau vollständig verliert, indem sie nun- mehr in Form einer einfachen structurlosen cuticula- artigen Hülle auftritt. Obwohl diese den Embryo umgebende Hülle sich piemals mit Flimmerhaaren bedeckt, so ist doch sicher, dass sie derselben peripherischen Schicht der Embryo- nen von Bothriocephalus latus entspricht, welche in 19 291 Bulletin de l’Académie Empériale 292 Form eines Wimperkleides die Larve umschliesst und erst im Laufe des freien Lebens abgeworfen wird. Wenn wir aber die provisorische Embryonalhülle des Bothriocephalus proboscideus mit Recht als eine soge- nannte serôse Hülle (derselben Hülle der Arthropoden- embryonen ‘) entsprechende) betrachten, so dürfen wir auch die in’s Freie gelangende und mit Flimmerhaaren überzogene provisorische Haut des Bothriocephalus la- tus für eine Art freier serüsen Hülle halten. Dieselbe Betrachtung gilt eben so gut für die flimmernde Haut der Embryonen von Monostomum und der Desor’- schen Nemertine, da sich ja in diesen beiden Fällen die Embryonalanlage in zwei Theile sondert, von de- nen die äussere zur freien serüsen Hülle, die innere aber zum ganzen Embryo mit seiner Haut wird. Wenn wir mit Hülfe dieser Thatsachen einmal die Überzeu- gung gewinnen, dass die provisorischen Embryonal- hüllen bei niederen Thieren auch in’s Freie gelangen künnen, um hier eine Rolle bei der Metamorphose zu spielen, und wenn wir uns ferner an die eigenthüm- lichen Verhältnisse der Keimstreifenbildung bei Aphi- den erinnern, so künnen wir uns nicht von dem Ge- danken befreien, dass in letzter Instanz auch die Pi- lidiumhaut als eine Art provisorischer Hülle zu be- trachten ist, welche freilich einen viel grüsseren Grad der Selbstständigkeit erreicht hat. VII. Ueber die Larven und Knospen von Botryllus, Es giebt bei verschiedenen Arten von Botryllus zwei Formen der geschwänzten Larven, aber keine von die- sen Zeigt eine Zusammensetzung aus mehreren Indi- viduen, wie das jetzt allgemein angenommen wird. Bei einigen Arten, wie z. B. bei Botrylus auratus, ist der ovale Kürper der Larve mit drei conischen, vom Mantel überzogenen Anhängen versehen, ausser welchen noch acht andere Anhänge existiren. Diese letzteren stehen um den Rumpf der Larve rings her- um und sind von keinem Mantelüberzug ausgekleidet. Diese Gebilde sind nun diejenigen Theïle, welche von früheren Forschern für besondere Individuen gehalten wurden, was entschieden irrthümlich ist. Die ganze Larve stellt nur ein einziges Individuum dar, da man in ihrem Innern einen einzigen Verdauungsapparat, . nur ein Herz und ein Endostyl sehr deutlich unter- 1) Den Grund für diese Zusammenstellung finde ich in der ganz analogen Bildung der serôsen Hülle bei Scorpionen. scheidet. Auf der linken Seite des Larvenkürpers nimmt man noch ein Sinnesbläschen mit einem Pig- mentballen wabr. Ausser den freibeweglichen Botrylluslarven habe ich auch solche beobachtet, welche in verschiedenen Stadien des Festsetzens begriffen waren. Dabei konnte ich wahrnehmen, dass die oben erwähnten acht Fort- sätze nichts anderes als die sehr gut bekannten, mit dem Leibesraum communicirenden, in der Zellulose- masse eingebetteten Hautanhänge darstellen. Bald nach seinem Festsetzen beginnt das junge Thier seit- liche Knospen zu treiben. Es bildet sich anfangs nur eine laterale Knospe, die sich dann vergrüssert und ihrerseits durch Knospung vermehrt. Jede neugebil- dete laterale Knospe erscheint als ein Radius der spä- teren sternfürmigen Kolonie. Bei den Larven anderer Botryllusarten fehlen die acht Hautfortsätze gänzlich, weshalb sie blos mit drei vorderen Zipfeln versehen erscheinen. Ebenso wie die zuerst beschriebenen Larven lassen diese einen Darm- kanal, eine Sinnesblase und ein Herz in ihrem Innern unterscheiden. Ein auffallender Unterschied zwischen beiderlei Larven besteht darin, dass, während im Schwanze der letzteren Art ein Zellenstrang die Axe ausbildet, bei den zuerst beschriebenen Larven anstatt dessen sich ein Hohlraum befindet,. Aus dem oben Gesagten kann man schon sehen, dass die Knospen bei Botryllus keineswegs aus den ver- verästelten Hautanhängen hervorgehen, wie das Milne- Edwards behauptet, sondern dass sie auf dem Kür- per selbst sitzen. , Vom ersten Anfange an besteht die Knospé aus zwei Schichten, von denen die äussere einen dünnen zelligen Hautüberzug bildet, während die innere, aus viel dickeren Zellen bestehend, den Sitz aller Haupt- vorgänge während der Knospenbildung darstellt. Das aus der innern Schicht bestehende Bläschen wird ver- mittelst zweier Längsfurchen in drei Abschnitte ge- theilt, wovon der mittlere sich später zum Kiemen- sack ausbildet, die beiden seitlichen Abschnitte dage- gen zu zwei mit der Cloake communicirenden Schläu- chen werden. (Auf die Bedeutung dieser Schläuche wurde ich zum ersten Mal von Hrn. Kowalewsky aufmerksam gemacht.) Sehr bemerkenswerth ist der Umstand, dass der obere Theil dieser Schläuche, wel- cher vom Anfang an viel dicker als ihre übrigen Ab- 293 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 294 ———— © schnitte erscheint, sich direkt in die innere Knospen-| schicht der folgenden Generation verwandelt. Ich muss hier die Thatsache besonders hervorheben, dass wäh- rend der Knospenbildung sich die Genitalien oft sehr früh in Form von Zellenhaufen zwischen beiden Haupt- schichten der Knospe differenziren. Der Darmkanal bildet sich während der Knospen- entwickelung als einfache Fortsetzung des zum Kie- menschlauche werdenden mittleren Abschnittes, wäh- rend das Endostyl in Form einer longitudinalen Ver- tiefung auf der Rückenseite desselben Abschnittes zu Stande kommt. VII. Embryonalentwiekelung der einfachen Ascidien. Nachdem sich das Blastoderm aus den Furchungs- zellen gebildet hat, beginnt die bereits von Kowa- lewsky beschriebene Einstülpung einer ganzen Keim- hälfte. Dabei tritt sehr deutlich die bilateral symme- trische Bildung auf, indem man hinten eine kleine, in der Mitte verlaufende Rinne wahrnimmt. Bald darauf lässt sich in der inneren, eingestülpten Zellenschicht eine der äusseren durch Einstülpung entstandenen Of- nung parallel verlaufende Einschnürung erkennen, wo- durch sich ein hufeisenfürmig aussehender Abschnitt deutlich differenzirt. Dann kommt eine bedeutende Hühenzunahme des Embryo zu Stande, wobei dessen hinteres Ende gegen das vordere zu wachsen anfängt. Dieser Vorgang steht im innigsten Zusammenhage mit der Verkleinerang der durch Einstülpung entstande- nen Offnung, welche nunmebr aus dem unterén Eipole auf die Bauchfläche (d. h. auf die den Mund und die Cloakenüffnungen tragende Fläche) des Embryo über- geht. Gleichen Schritt mit der Hühenzunahme des Em- bryo haltend, verlängert sich der hufeisenformige Theil der inneren Zellenschicht, wobei er eine ovale Gestalt annimmt. Inzwischen ist der übrige Theil der eingestülpten Zellenschicht vermittelst einer Quer- furche in einen oberen und einen unteren Abschnitt zerfallen. Während der erstere ungefähr die Form einer Kappe trägt, nimmt der untere Abschnitt eher eine Cylinderform an. Ausser den drei angegebenen Theilen lassen sich noch im Bereiche der eingestülpten Zellenschicht, und zwar in der Mitte der Bauchfläche, zwei besondere Zellen unterscheiden, welche die erste Anlage der zelligen Schwanzachse der Larve darstel- len. Von den drei erwähnten Abschnitten der einge- stülpten Zellenschicht wird der zuerst entstandene zum Nervensystem, der obere kappenformige dagegen zur Anlage des Verdauungs- und Respirationsappara- tes, der dritte Abschnitt zum Muskelsystem. Wir sehen also, dass der grüssere Theïil der inne- ren Organe bei Ascidien sich auf Kosten der einge- stülpten Schicht bildet, ferner, dass hier, ebenso wie bei anderen Mollusken, das Nervensystem derselben Anlage wie das Muskelsystem seine Entstehung ver- dankt. Erst nach dem Entstehen aller besprochenen Or- gane lässt sich eine oberflächliche rinnenfürmige Ver- tiefung wahrnehmen, die sich auf derselben Fläche befindet, auf welcher später der Mund, resp. die Cloakenmündungen liegen. Diese Fläche kann also keineswegs für Rückenfläche, die rinnenformige Ver- tiefung für eine Rückenrinne gehalten werden. Man hat viel mehr Recht, die die genannten Offnungen tra- gende Fläche für eine Bauchfläche anzunehmen und die erwähnte Vertiefung mit der Bauchrinne der Ar- thropoden- und Hirudineenembryonen zu vergleichen. Am unteren Ende der rinnenfôrmigen Vertiefung lässt sich die sehr klein gewordene Einstülpungs- ôffnung wahrnehmen, welche nunmehr, dem Schliessen der Rinne parallel gehend, allmählich nach oben ge- schoben wird. Nach dem beschriebenen Stadium tritt der Unter- schied zwischen Kürper und Schwanz deutlich her- vor. Der gerade verlaufende Schwanz ist anfangs sehr dick; erst nachdem er sich gekrümmt hat, bekommt er eine Âhnlichkeit mit seiner definitiven Form. Gleich- zeitig mit diesen äusserlichen Veränderungen lassen sich auch manche, das Innere des Embryo betreffen- den Vorgänge beobachten. Es bilden sich nunmehr zwei seitliche runde Kürper, welche die erste Anlage zu den beiden Cloaken darstellen, obwohl sie anfangs noch vüllig geschlossen sind. Um dieselbe Zeit wech- selt der Zellenstrang des Schwanzes seine ursprüng- liche Lage, indem er jetzt die definitive Achsenstel- lung annimmt und von nun an vom caudalen Muskel- schlauch umgeben wird. Dieser letztere besteht an- fangs aus mehreren Reihen regelmässig sechseckiger Zellen, welche sich bei weiterem Wachsthum sehr be- deutend verlängern und schliesslich zu langen, bei- nahe spindelfürmigen, sich nie mit einander verschmel- 19* 295 Bulletin de l’Académie Hmpériale 296 ————…—…"…"…"…"…"…"—"—"—"…"—"—"—"—"—"—"—"—…"—"—"—"———— zenden Zellen werden. — Um die Beschreibung der Veränderungen im Schwanze zu schliessen, muss ich nun noch des zelligen Achsenstranges Erwähnung thun, welcher sehr lange seine ursprüngliche Form behält. Erst gegen das Ende des Embryonallebens werden die den Zellenstrang zusammensetzenden Zel- len stärker lichtbrechend, wobei ihr früher sehr deut- lich hervortretender Kern nunmehr blos mit Hülfe der Reagentien wahrgenommen wird. Bald darauf kommen zwischen den einzelnen Zellen kleine bläs- chenartige Zwischenräume zu Stande, welche ein was- serhelles Aussehen haben und dabei viel schwächer als die Zellensubstanz selbst das Licht brechen. Während der Grüssenzunahme dieser Zwischenräume schmilzt die Zellensubstanz mehr zusammen, wobei sie noch stärker lichtbrechend als früher erscheint. Schliesslich vereinigen sich alle Zwischenräume in einen grossen Innenraum zusammen, während die Zellensubstanz sich in eine stark Hchthbrechende cylinderfürmige Scheide (in welcher man keine Kerne mehr findet) verwandelt. Bei der Behandlung mit Essigsäure behalten die Zwi- schenräume zwischen den Strangzellen, ebenso wie der aus ihnen entstandene Innenraum, ihre vollkom- mene Durchsichtigkeit bei, was ausserdem noch für den Innenraum der Sinnesblase derselben Ascidien- embryonen von mir beobachtet worden ist. Die stark lichtbrechende rührenformige Scheide im Schwanze wird dagegen durch die Einwirkung von Essigsäure schwarz (bei durchfallendem Lichte) gefärbt. Wenn man damit das Verhalten der Chorda dorsalis zur Essigsäure bei Amphioxus und bei verschiedenen sich im Seewasser befindenden Fischembryonen vergleicht, so wird man sehen, dass die Hauptmasse der Chorda, cbenso wie die stark lichthrechende Scheide im Asci- dienschwanze, dabeï schwarz gefärbt werden, während die spaltenfôrmigen Lacunen in der Chordasubstanz ebenso durchsichtig bleiben, wie der Innenraum des Ascidienschwanzes. Während bei allen einfachen Ascidien die beschrie- benen Entwickelungsvorgänge im Schwanze genau auf eine und dieselbe Weise stattfinden, so sehen wir, dass bei manchen zusammengesetzten Ascidien, na- mentlich bei den Botrylluslarven zweiter Art, der zellige Achsenstrang der Schwanzes stets seine ur- sprüngliche Bildung beibehält, Dabei zeigt er eine grosse Analogie mit dem knorpeligen Achsenstrange der Kiemenfäden verschiedener Aneliden, was darauf hindeutet, dass beide Gebilde in eine und dieselbe Kategorie gehôüren mügen. Wenn wir nunmebr zu den Vorgängen im Innern des Embryonenkürpers zurückkehren, so müssen wir vor Allem die Veränderungen im Bereiche des Ner- vensystems besprechen. Wir haben bereits gesehen, dass die ursprünglich hufeisenfürmige Anlage dieses Systems während des Längenwachsthums des Embryo eine ovale Form angenommen hat. Zur Zeit der er- sten Differenzirung des Schwanzabschnittes lässt sich auch an der verhältnissmässig"sehr grossen Nerven- systemanlage ein Rumpf- und ein Schwanztheil unter- scheiden. Während der letztgenannte Theil die Form eines am Hinterende abgerundeten Bandes annimmt, erscheint der Rumpftheil des Nervensystems als eine rundliche Erweiterung, deren oberes Ende beinahe die hüchste Spitze des Embryonalkürpers erreicht. Im Bereiche dieser Erweiterung liegt auch die ursprüng- lich durch Einstülpung entstandene Offnung, welche nunmehr-ihre hôchste Lage angenommen hat. Indem ich diese Offnung niemals verschwinden sah und da genau an derselben Stelle später die Mundôffnung auf- tritt, so ist es mir sehr wahrscheinlich, dass die letzt- genannte Offnung aus der ursprünglich durch Einstül- pung entstandenen Offnung direct hervorgegangen ist. Auf den späteren Stadien, als der Schwanz sich be- reits gekrümmt hat, lässt sich die Bildung einer ge- räumigen, im obersten Theile der Nervensystemanlage liegenden Hühle beobachten, in welcher dann die Sin- nesorgane erscheinen. Das eigentliche, sehr grosse Hirnganglion liegt unterhalb der Sinnesorgane in Form eines trichterartigen Kürpers, welcher mit dem schmä- leren, in’s Innere des Schwanzes eindringenden Bauch- ganglion zusammenhängt. Jederseits neben der, die beiden genannten (von Kowalewsky weder beschrie- benen noch abgebildeten) Ganglien verbindenden Com- missur befinden sich die beiden runden, nunmebhr sich nach Aussen üffnenden Cloacken. ! Die Veränderungen, welche das beschriebene Ner- vensystem während der nachembryonalen Entwicke- lung erleidet, bestehen hauptsächlich in seiner relati- ven Grüssenabnahme, resp. in der Verschmälerung seines Bauchtheiles, welcher nunmehr in Form eines schmalen und langen Bandes bis in’s Ende des, aus dem Schwanze entstandenen Fettkôrpers reicht. In 297 Folge der Grüssenzunahme des ganzen Kürpers ent- fernen sich die beiden Cloacken vom Nervensystem, wobei dieses zwei laterale Nerven zu den Cloacken- säcken absendet. (Das Nervensystem einer jungen Asci- die mit zwei Paar Kiemenspalten hat bereits Krohn im Jahre 1852 beobachtet.) Ich habe bereits erwähnt, dass die Anlage des Re- spirations- und Verdauungsapparates sich sehr früh aus dem oberen Theile der eingestülpten Zellenschicht differenzirt. Es entsteht dabei ein halbkugeliges kap- penfürmiges (ebilde, welches bei weiterer Entwicke- lung sich zu einem geschlossenen Sack gestaltet. Die- ser sackartige Kürper, welcher eine Zeitlang unver- ändert bleibt, ändert später seine Gestalt, indem er im Querschnitt eine Halbmondform bekommt; er sen- det dann einen Ausläufer, welcher das rechte Cloacken- bläschen erreicht und in dasselbe mündet. Während der Ausläufer sich zum Darmapparate (incl. der Ma- gen) ausbildet, wird der Haupttheil des früheren Sackes zum Kiemenschlauch. (Da die Kiemenspalten, ebenso wie der Circulationsapparat, erst während des nachembryonalen Lebens erscheinen, so kann ich sie hier mit Stillschweigen übergehen.) Indem ich in kurzen Zügen die Bildung verschie- dener Organe aus ihren ersten Anlagen auseinander- gesetzt habe, kann ich jetzt einen Überblick über ei- nige beschriebene Entwickelungsvorgänge machen. — Wir haben gesehen, dass die eingestülpte Zellenschicht, welche eine geräumige Einstülpungshühle begränzte, sich in verschiedene Abschnitte zerfallen hat, aus de- nen das Nervensystem, die Muskeln, die Anlage zum Respirations- und Verdauungsapparate ihren Ursprung genommen haben. Dieser Umstand zeigt uns erstens, dass die allererste Bildung der Organe bei Ascidien keineswegs cine typische Ahnlichkeit mit der Wirbel- thicrentwickelung zeigt, wie das von Kowalewsky angenommen ist. Zweitens aber zeigt uns das Zerfal- len der eingestülpten Schicht, dass daneben auch die Einstülpungshühle in verschiedene Abschnitte getheilt werden muss, dass sie also keineswegs schlechthin in die Hühle des Respirations- und Verdauungsapparates übergeht, wie das wegen der Analogie mit anderen Thieren von Kowalewsky angenommen worden ist. Wenn also aus der eingestülpten Schicht, ausser der Anlage zum Respirations- und Verdauungssystem, noch die Cloacken, Muskeln, das Nervensystem und des Sciences de Saint-Pétersbourg. PE 29S der zellige Achsenstrang des Schwanzes hervorgehen, so sind natürlicherweise auch die Cloackenhühlen, resp. die, alle genannten Organe umgrenzenden Hüh- len, ebenso aus der Einstülpungshühle abzuleiten, wie die Hühle des Kiemendarmapparates. Dieses complicirte Verhalten der Kürperhühlen bei Ascidienembryonen (es existirt bei ihnen ausserdem noch die von Kowalewsky zuerst erkannte und ver- folgte, sogenannte Furchungshühle) steht nicht so iso- lirt in der Thierwelt da, wie es vielleicht im ersten Augenblick scheinen wird. Ich erinnere nur an die oben erwähnten Entwickelungserscheinungen bei Au- ricularia, wo sich eine geräumige, aus der Wasser- gefisssystemanlage hervorgehende, früher sogar für eine gewühnliche Leibeshühle angesehene Hôhle bil- det, welche indessen aber der eigentlichen, bei Auri- cularia anfangs sehr ausgebildeten Leibeshühle etwas ganz Fremdes darstellt. Wenn wir noch die Thatsache in’s Auge fassen, dass bei Bipinnaria die entspre- chende Hôühle (ich habe oft Gelegenheit gehabt, die von Al. Agassiz zuerst beschriebene Bildung der Wassergefäisssystemanlage bei Bipinnarien zu beob- achten) sich direct aus der Einstülpnngshôühle bildet, so künnen wir die Analogie zwischen den secundären, aus der Einstülpungshühle entstandenen Hôühlenräu- men bei Echinopodermen und Ascidien nicht verken- nen, besonders wenn wir dabei noch die Entwicke- lung der Botrylliden aus ihren Knospen zu Rathe zie- hen. — Bei genannten Thieren sehen wir also eine provisorische Communication zwichen Verdauungs- hôhle und anderen, aus der Einstülpungshôhle ent- standenen Hohlräumen auftreten, ein Umstand, wel- cher bei Coelenteraten zeitlebens existirt. Diese Deu- tung der Hühlen bei Coelenteraten stimmt vollkom- men mit den neuesten Untersuchungen von Kowa- lewsky über die Entwickelung dieser Thiere überein, nach welchen bei ihnen, ausser der der eigentlichen Leibeshühle anderer Thiere entsprechenden Furchungs- hühle, noch eine (wenigstens bei Actinien, Medusen und Ctenophoren) primitive Einstülpung sich bildet, welche die Anlage zur Verdauungs- und Gefässhühle darstellt. IX, Embryologie des Scorpions *). Der auf dem dünnen Eipole liegende — offenbar 2) Die erste Gelegenheit, die Entwickelung dieses interessanten 299 Bulletin de l’Académie Impériale 300 durch eine partielle Furchung entstandene — Zellen- haufen zerfällt zunächst in zwei Schichten, wovon die äussere zur serüsen Hülle, die innere — dickere — zum Keimstreifen wird. Das zuletzt genannte Gebilde wird vermittelst einer longitudinalen Rinne in zwei Hülften getheilt, welche die sogenannten Keimwülste darstellen. Zu gleicher Zeit theilt sich die ganze Masse des Keimstreifens in zwei Keimblätter, zu denen sich später noch ein drittes Blatt gesellt. Diese drei Keim- blätter sind auf dem ganzen Verlauf des inzwischen sich in Segmente getheilten Keimstreifens zu beobach- ten; besonders deutlich treten sie aber in dem soliden Zapfen hervor, welcher die erste Anlage des Post- abdomens darstellt. Auf späteren Stadien kommen die Extremitätenanlagen zum Vorschein, in welchen nur die zwei oberen Keimblätter unterschieden werden kün- nen. Zu gleicher Zeit nimmt man die Spaltung des mittleren Blattes in zwei Nebenblätter wahr, wobei im Bereiche des genannten Blattes in jedem Segmente eine Hôhle entsteht. In der Schwanzanlage, noch vor ihrer eigentlichen Segmentirung, zerfällt das mittlere Blatt in fünf Abschnitte, wovon die unteren (d. h. dem Abdomen näher liegenden) bereits eine Hôhle zeigen, während die oberen noch ganz solid erscheinen. Diese durch Spaltung entstandene Hühlen bilden die einzel- nen Abschnitte der Leibeshühle, während die gespal- tene Substanz des mittleren Blattes zu sogenannten Faserplatten und zum Nervenmuskelblatt wird. Das nittlere Blatt bleibt in den Extremitätenanlagen un- gespalten und verwandelt sich in die Muskeln und Nerven derselben. Das Nervenmuskelblatt dient über- haupt zur Bildung der Muskel- und Nervenfasern, während die Nervenzellen (wenigstens im Hirnganglion und in der Bauchkette) unmittelbar aus dem oberen Blatte entstehen. Während dieser eigenthümlichen Bil- dungsweise des centralen Nervensystems bleiben die Nervenfasern der Bauchganglienkette auf ihrer Dor- salfläche sehr lange offen und erst in späteren Zeiten werden sie von auf der Bauchfläche liegenden Nerven- zellenmassen umwachsen. Das obere Blatt dient aus- Thieres zu studiren, verdanke ich der Güte des Hrn. Prof. v. Sie- bold, dem ich hier ôffentlich meinen Dank ausspreche. Dies war im Sommer 1866, als ich durch seine Vermittlung lebendige Scor- pionen in München aus Meran bekam. Im nächstfolgenden Sommer konnte ich einige Entwickelungsstadien in der Krim verfolgen, wäh- rend die grôsste Anzahl meiner Beobachtungen im Sommer dieses Jahres in Meran und Triest angestellt worden ist. serdem noch zur Bildung der Oberhaut; es bildet sich auf seine Kosten noch eine Kopffalte, welche allmäh- lich von oben nach unten wächst und unter anderem die Augenanlagen trägt. Aus dem untersten Blatte bildet sich die sogenannte Darmdrüsenschicht, d. h. das Darmepithel mit seinen Anhängen. Es ist mir äusserst wahrscheinlich, dass dieses Blatt auch eine Rolle bei der Herzbildung spielt und zwar zur Bildung der inneren Epithelschicht ver- wendet wird. Der Vorder- und Hinterdarm bilden sich in Form einfacher Einstülpungen des oberen Blattes, ebenso wie die Lungen, welche nicht unmittelbar aus den Abdominalfussanlagen hervorgehen, wie das Ganin will, sondern vom Anfang an als kleine offene Taschen dicht unter den Anlagen der Abdominalfüsse auftreten. St. Petersburg, Anfang October 1868. 9 — BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. L'Académie a reçu dans ses dernières séances les ouvrages dont voici les titres: Proceedings of the Natural History Society of Dublin. Vol. IV part III. Dublin 1865. 8. Bulletin de la Société Impériale des Naturalistes de Mos- cou. Année 1867. X 1. Moscou. 8. Journal of the Academy of Natural Sciences of Philadel- phia. New Series. Vol. VI part I. Philad. 1866. 4. Proceedings of the Academy of Natural Sciences of Phila- delphia. 1866. M 1 —5. Philadelphia. 8. Annals of the Lyceum of natural history of New York. Vol. VIII, X 11 — 14. New York 1866 — 67. 8. Memoirs read before the Boston Society of natural history. Vol. I parf 1. 2. Boston 1866 — 67. 4. Proceedings of the Boston Society of natural history. Vol. X f. 19— 27, XI f. 1 — 6. 8. Condition and doings of the Boston Society of natural history. May 1866. 8. Proceedings of the California Academy of natural sciences. Vol. III part 2. 3. San Francisco 1864 — 66. 8. Nyt Magazin for Naturvidenskaberne. 14° Binds 4% og 15% Binds 1 og 2% Hefte. Christiania 1866—67. 8. Codazza, Giovanni. Sopra alcuni punti della teoria della costruzione dei generatori di vapore. Milano 1861. 4. Tilschner, Franz. System der technisch-malerischen Per- spective. Prag 1867. Mit einem Atlas. Fol. transv. Hinrichs, Gust. Atomechanik oder die Chemie und Me- chanik der Panatomie. Jowa-City, Etats-Unis, 1867. 4. 301 des Sciences de Saïint-Pétersbourg. 302 Magrini, Luigi. Sulla importanza dei cimel)j scientifici e | Moesta, C. G. Observaciones meteorolojicas verificadas dei manoscritti di Alessandro Volta. Milano 1864. 8. Zantedeschi, Fr. Intorno alla elettricitä indotta o d’in- fluenza negli strati aerei dell atmosfera, che a forma di anello circondano una nube risolventesi in piog- gia, neve 0 grandine. Venezia 1867. 8. The Journal of the Chemical Society. 1867. July, August, September. London. 8. Tillman,S. D. New chemical nomenclature. Albany 1866. 8. Guldberg, C. M., et P. Waage. Etudes sur les affinités chimiques. Christiania 1857. 4. Müller, A. Chronometrische Studien über Ferridsulfat. (Journ. f. prakt. Chemie, CI. pag. 193 — 216). 8. Chevreul. Rapport sur ses cours du museum en général et en particulier sur son cours de 1866. Mai 1867. 8. — Des arts qui parlent aux yeux, au moyen de solides colorés d’une étendue sensible, et en particulier des arts du tapissier, des gobelins et du tapissier de la savonnerie. Paris 1867. 4. — Exposé d’un moyen de définir et de nommer les cou- leurs d’après une méthode précise et expérimentale. Paris 1861. 4. Jacobi. Lettre adressée à M. Becquerel. 8. Chevreul, E. 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Archaeologiai küzlemények, à hazai müemlékek ismere- tének elümozditäsära kiadja a Magyar Tudomänyos Akadémia archaeologiai bizottmänya. Kôütet III. IV. V. 1. 2. Pest 1862 — 65. Életrajzi emlék Kazinezy Ferencez születésének szäzados ünnepére. Kiadta a Magyar Tudom. Akadémia 1859. 4. Petényi S. Jänos hätrahagyott munkäi. Kiadta a Ma- gyar Tudomänyos Akadémia. Szerkeszté Kubinyi Fe- rencz 1. Füzet. Pest 1864. 8. Philosophiai päalyamunkäk. Kiadja a Magyar Tudos Tar- sasäg. II. III kôtet. Pesten 1844— 1845. 8. Budapesti szemle. Szerkeszti és kiadja Csengery Antal. LVIII— LXX füzet. Pest 1863—64. — — — — Üj folyam. Füz. IX. Pest 1865. Szaboô, Jézsef. Magyaritäs a természettudomänyokban, skülünüsen annak gyakorlati jelentüsége. Olvasta à M. Tudom. Akadémiäban, Mäjus 13. 1861. Hivutalos kia- däs. Pest 1861. 8. — Pest-Buda kürnyékének füldtani leiräsa. À M. Tud. Aka- démia ältal Nagy-Käroly-dijjal koszorüzott pälyairat. Pesten 1858. 8. Sophoclis tragoediae ed. Aug. Nauck. Berolini 1867. 8. 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Napoli 1867. 4. —— Esperienze sul cambiamento dei cristalli di nitrato di strontiana idrato in cristalli anidri, e di questi in quel- li. 4. — Sopra un caso notevole di âimorfismo. 4. — Sulla poliedria delle facce dei cristalli. Torino 1862. 4. — Della polisimmetria e del polimorfismo dei cristalli. Na- poli 1865. 4. Scarpellini, Caterina. Catalogo degli uranatmi (ossia stelle cadenti) osservati alla privata stazione meteo- rologica di Roma negli anni 1861 —1867. Roma 1868. 4. Observations and discussions on the November meteors of 1867. U. S. Naval Observatory. Washington 1867. 8. Observaciones meteorolôgicas efectuadas en el real obser- vatorio de Madrid desde 1° de Diciembre de 1865 al 30 de Noviembre de 1866. Madrid 1867. 12. Resüimen de las observaciones meteorolôgicas efectuadas en la peninsula desde el 1° de Diciembre de 1865 al 30 de Noviembre de 1866. Madrid 1867. 12. Brubhns, C. Meteorologische Beobachtungen angestellt auf der Leipziger Universitäts- Sternwarte im Jahre 1866. 8. — Resultate aus den meteorologischen Beobachtungen an- gestellt an mehreren Orten im Künigreich Sachsen jn den Jabren 1826 bis 1861 und an den 25 kôünipgl. 315 Bulletin de l’Académie Impériale 316 Re sächs. Stationen im Jahre 1866. Dritter Jahrgang. Leipzig. 1868. 4. Jahrbücher der k. k. Central-Anstalt für Meteorologie und Magnetismus von C. Jelinek u. Carl Fritsch. N. F. Il. Band. Jahrgang 1865. Wien 1867. 4. Zeitschrift der üsterreichischen Gesellschaft für Meteoro- logie. Redigirt von Carl Jelinek. Band IL. Lief. 21 — 24, III. Lfr. 1—8. Wien 1867 —68. 8. Annales météorologiques de l'Observatoire royal de Bruxelles. Décembre 1867, Janvier et Février 1868. 4. Verhandlungen der Russisch-Kaiserlichen Mineralogischen Gesellschaft zu St. Petersburg. Zweite Serie. Erster Band. St. Petersburg 1868. 8. Naumann, Carl Friedr. Lehrbuch der Geognosie. 3ter Band. 2te Lief. Leipzig 1868. 8. 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Hochstetter, Dr. Moriz Hürnes und Franz Ritter v. Hauer. Zweiter Band. Erste Abth. Geologische Beob- achtungen. Wien 1864-—66. 4. Hopf, Carl. Geschichte Griechenlands im Mittelalter. Leip- zig 1868. 4. L'Investigateur. Tome VII. VIII. 4° Série, livraison 396, 397, 398 et 399. Paris 1867. 8. Note sur la fondation de l’ancien port de Cherbourg. Paris 1868. 8. Exposition universelle de Paris, 1867. Catalogue des pro- duits exposés par la Guyane anglaise. Londres 1867. 8. Witte, J. de. Discours lu au Capitole le 26 Avril 1867 à l’occasion de l’anniversaire de la fondation de Rome. Paris 1867. 8. Documenti di storia italiana pubblicati a cura della r. de- putazione sugli studi di storia patria per le provincie di Toscana, dell’ Umbria e delle Marche.—Commis- sioni di Rinaldo degli Albizzi per il comune di Firenze. Tomo primo (1399— 1423). Firenze 1867. 4. Jahrbücher für die Landeskunde der Herzogthümer Schles- wig, Holstein und Lauenburg. Band IX, Heft 3. Kiel 1867. 8. Fontes rerum Austriacarum. Oesterr. Geschichts-Quellen. Zweite Abth. Diplomataria et acta. XXVI Band. Die Relationen der Botschafter Venedigs über Deutsch- land und Osterreich im siebzehnten Jahrhundert. Wien 1867. 8. 317 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 318 Archiv für üsterreichische Geschichte. B. XXX VIII. Hälf- | Annual report of the Surgeon General, United States Ar- te I. Wien 1867. 8. Sacken, Ed. Freih. v. Das Grabfeld von Hallstatt in Ober- üsterreich und dessen Alterthümer. Wien 1868. 4. Beiträge zur Kunde Ehst-, Liv- und Kurlands, herausge- geben von der Ehstländischen Literärischen Gesell- schaft durch Eduard Pabst. Band I. Heft 1. Reval 1868. 8. Winkelmann, Ed. Livländische Forschungen. Riga 1868. 8. Kluge, Ernst. Biostatik der Stadt Reval und ihres Land- kirchsprengels für die Jahre 1834— 1862. I. Abthei- luog. Statistik der Geborenen u. Getrauten. Reval 1867. 4. Monumenta Hungariae bistorica. Scriptores. VII. XI. XII. Diplomataria. X. Pest 1862— 64. 8. 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Bericht der Gewerbeschule zu Basel 1867 — 68. Basel 1868. 4. 20 scripta academica in universitate litterarum Jenensi anno 1867/68 edita. Verzeichniss der Vorlesungen, welche im Hamburgischen akademischen und Real-Gymnasium von Ostern 1668 bis Ostern 1869 gehalten werden sollen. Hamburg 1868. 4. Hahn, Heinr. Rede bei der 41jäbrigen Stiftungsfeier des schulwissenschaftlichen Bildungsvereins am 20. April 1866. Nebst Jahresbericht von Johs. Halben. Ham- burg. 8. 200 scripta academica universitatis Berolinensis anno 1866/67 edita. 24 scripta academica in universitate Rostochiensi annis 1867 et 1868 edita. Catalogue of the officers and students of Harvard Univer- sity for the academical year 1867 —68. Cambridge 1867 — 68. &. Füreläsningar och üfningar vid kongl. Universitetet i Up- sala. Hôüst-Terminen 1866 och Vâr-Terminen 1867 Upsala 1866 — 67. 8. 319 Uulletia de l'Académie Hmpériale des Sciences de Saint-Pétersbourg. 320 Index scholarum, quae in Academia regia Upsaliensi publice et privatim per semestria autumnale anni MDCCCLXVI et vernale anni MDCCCLXVIT habe- buntur. Upsaliae 1866 — 67. 4. 18 scripta academica annis 1867 et 1868 Upsaliae editx Upsala Universitets Arsskrift. Upsala 1866. 8. ———— 1867. Upsala. &. Mémoires de l’Académie des sciences de l’Institut de France. Tome XXXVIL Première partie. Paris 1868. 4. — présentés par divers savants à l’Académie des sciences de l’Institut de France. Sciences mathématiques et physiques. Tome XVIII. Paris 1868. 4. Bulletin de la Société philomathique de Paris. Tome qua- trième. Octobre — Novembre, Décembre 1867. Tome cinquième. Janvier — Février, Mars. Paris 1867 —68. 8. Mémoires de l’Académie Impériale des sciences, belles- lettres et arts de Lyon. Classe des sciences. Tome XVI. Lyon, Paris 1866 — 67. 8. — — —— Classe des lettres. Tome XII. Lyon 1866—68. 8. Memorie del reale Istituto Veneto di scienze, lettere ed arti. Vol. 14. Venezia 1868. 4. Atti del reale Istituto Veneto di scienze, lettere ed arti. Tome XIII, dispensa 1 — 7. Venezia 1867—68. 8. Memorie del reale Istituto Lombardo di scienze e lettere. Classe di scienze matematiche e natural. Vol. X, fase. 4. 5. Classe di lettere e scienze morali e poli- tiche. Vol. X, fase. 5. 6. Milano 1867. 4. Reale Istituto Lombardo di scienze e lettere. Rendiconti. Classe di scienze matematiche e naturali. Vol. IT, fasc. 10, IV, fase. 1 — 10. Classe di lettere e scienze morali e politiche. Vol. IV, fase. 1—10.— Rendiconti Serie IT, Vol. I, fase. 1 — 10. Milano 1867 — 68. 8. Memorie della regia Accademia di scienze, lettere ed arti in Modena. Tome VIIL. Modena 1867. 4. Garelli, Vince. Memoria sul tema proposto della regia Accademia in Modena «Esaminare se ed in quali luoghi principalmente dell Emilia potesse aver luogo l’esperimento delle colonie agricole penitenziarie, etc. ete. Modena 1866. 8. Veratti, Bartol. Memoria sul tema proposto dalla regia Accademia in Modena «se nelle attuali condizioni d'Italia, giovi al maggiore interesse dell istruzione e della civiltä, e al conseguimento dei voti nazionali, la concentrazione dell’ insegnamento in poche uni- versitt Modena 1866. 58. Atti della r. Accademia delle scienze di Torino. Vol. I, disp. 1. 2. Torino 1866. 8. Società reale di Napoli. Rendiconto delle tornate e dei lavori dell Accademia di scienze morali e politiche. Anno settimo. Quaderno di Febbraio, Marzo, Aprile, Maggio e Giugné 1868. Napoli 1568. S. Rad jugoslavenske Akademije znanosti i umjetnosti. Knjiga II. U Zagrebu 1868. 8. Denkschriften der k. Akademie der Wissenschaften. Ma- thematisch - naturwissenschaftliche Classe. 27° Band. Wien 1867. 4. Sitzungsberichte der k. Akademie der Wissenschaften. Phi- losophisch-historische Classe. Bd. 56, Heft 3 und Bd. 7, Heft 1. Mathem.-naturwissenschaftl, Classe. 1°'° Abthl. Bd. 56, Heft 2— 5, 2" Abthl. Bd. 56, Heft 3 —-5. Wien 1867. S. Abhandlungen der historischen Classe der k. bayerischen Akademie der Wissenschaften. Bd X, Abthl. 3. Mün- chen 1867. 4. — der philosophisch-philologischen Classe der k. bayeri- schen Akademie der Wissenschaften. Bd. XI, Abthl. 2. München 1867. 4. Sitzungsberichte der k. bayerischen Akademie der Wis- senschaften zu München. 1867, II, Heft II——IV, 1868, I, Heft I — III. München 1867 — 68. 8. Almanach der k. bayerischen Akademie der Wissenschaf- ten für das Jahr 1867. München. 12. Abhandlungen der k. bühmischen Gesellschaft der Wissen- schaften. Fünfter Folge 14° Band. Von den Jahren 1865 und 1866. Prag 1866. 4. ———— Vom Jahre 1867. Sechste Folge 1° Band. Prag 1868. 4. Sitzungsberichte der k. bühmischen Gesellschaft der Wis- senschaften in Prag. Jahrgang 1859 Juli -— Decem- ber, 1860 Januar — Juni, 1861 Juli — December, 1863, 1865, 1866, 1867. Prag 1859 — 1867. 8. Abhandlungen der mathematisch-physischen Classe der k. sächsischen Gesellschaft der Wissenschaften. Bd. VIII X IV. V. Bd. IX X I. Leipzig 1867 — 68. 8. — der schlesischen Gesellschaft für vaterländische Cul- tur. Abtheïlung für Naturwisseuschaften und Medicin, 1867/68. Philosophisch-historische Abtheil., 1867/68. Heft 1. Breslau 1867 — 6S. 8. Verzeichniss der in den Schriften der schlesischen Gesell- schaft für vaterländische Cultur von 1804 bis 1863 incl. enthaltenen Aufsätze. Breslau. 8. 45° Jahresbericht der schlesischen Gesellschaft für vater- ländische Cultur. Breslau 1868. 8. Vierzehnter und funfzehnter Bericht der Philomathie in Neisse vom März 1863 bis zum März 1864 und vom März 1865 bis zum Juli 1867. Neisse 1867. S&. Monatsbericht der k. preussischen Akademie der Wissen- schaften zu Berlin. 1868 Januar bis Mai. 8. Mémoires couronnés et mémoires des savants étrangers, publiés par l’Académie royale des sciences, des lettres et des beaux-arts de Belgique. T. XXXIIT. Bruxelles 1867. 4. — couronnés et autres mémoires publiés par l’Académie royale des sciences, des lettres et des beaux-arts de Belgique. Collection in-8°. T. XIX, XX. Bruxelles 1867 — 68. 8. Paru le 2 novembre 1868, Bulletin de l'Acad. Jmp.d sc. TI PSTEPANOF Ueber d Entwickelung d weblichen Geschlechlselemente von Phallasia feg.1 Lig.2 4 or Lith. A Münste r V.0.9 Linie N T. XEEE, N° 4. Ç : CL ot Rd ) (e 5 (e BULLETIN DE L’ACADEMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG. TOME XHIE. (Feuilles 21—31.) | CONTENU. | Page. | Dr. Afanassiev, Du développement embryonnaire du coeur. (Avec une planche.)....... 321—335 J, Krohn, Quelques remarques se rattachant à la grammaire comparée des langues fin- | noises. Avec des notes de M. Wiedemann...............-....:-:.-...°%. 335—342 3 Fr. Brandt, Recherches sur le genre Hyraz Herm. (Second extrait.).............. 342— 344 A. Nauck, Rapport sur un ouvrage publié par M. E. Miller sous le titre de «Mélanges de littérature Grecque contenant un grand nombre de textes inédits».......... 344—401 | M. Brosset, Etudes sur l’historien arménien Oukhtanès, du X° siècle................ 401—454 C, Linsser, Ephémérides calculées pour la recherche de la comète périodique de Win- necke (1858 IT) à son réapparition en 1869..........---.-.--.------"+--°2: 454—457 Dr. Ed. Brandt, Le système nerveux de la Patella vulgaris. (Avec une planche.)....... 457 —462 | | Le système nerveux du Chiton ( Acanthochites) fascicularis. (Avec une planche.) 462—466 | | Ph. Owsjannikow, Action de l'osmiamid de Fremy sur le tissu animals 22.0 466—469 | J. Somoff, Note sur la solution, donnée par Abel, d’un problème de mécanique. ..... 469—472 N. v. Kokscharow, Notice sur les crystaux du linarite..............:-.:--:-.- "2: 472—476 | A. Schiefner, Les démarches de M. Jäschke', missionaire, pour se mettre en possession | d'un anses du. (es: 2" : 2-0 ere near en eeneeE 476—484 Bulletin bibliographique... ..........-.........-......r...-ssssersesessrerttt 484—496 | en On sante a cn ele cou Nes cet ne ES CECECCE S 496 | On s’abonne : chez MM. Eggers & Cie, H. Schmitzdorff et J. Issakof, libraires à St-Pétersbourg, Perspective de | Nefski; au Comité Administratif de l’Académie (Kowurer®& Iparaemis Huneparopecxkoï Axaxemiu Hayr®) et chez | M. Léopold Voss, libraire à Leipzig. Le prix d'abonnement, par volume composé de 36 feuilles, est de 3 rbl. arg. pour la Russie, ss 3 thalers de Prusse pour l’étranger. OX . —— ; NC Imprimerie de l'Académie Impériale des sciences. QD ND (Vass.-Ostr., 9° ligne, À 12.) CS Se = ——_— HS), LT = 1 n “ a Er | RANCE is “a | ù qe fu ; : | £ { l 4 . NE R : F da 1 ”. er Î no i 6 AO AP TANTABIE A0)5 00 04) Auriol) REA tue> SO #6 Pare : Mi abs ré À dre Lune battent dé RME UT, APR POS ETC tan ME pla nou AU HO HQE arr cl Hair Da DA HET TUE JADE ‘0.44 POTYTET CENT QU Mal eitr Nf vos ONTL EE M HS AOL SN SPA UE HE HAT | ET E à Li ; n fs dE A au EU U ur Dre dr nan BHO CROP ts me % UE à ER IR aline MC 26 sie CAPTER PET r Ha (LEE AN FAT 41° Este “HE e cn s} Tao LA dé Stnate 1e te este | mers See rte M. dut Merle CRE ET afaÿy dus Pas sie Ë nahgn 18 ae LR RE 77 2 0 at An te su tant SU DAT À tn Data à MARGE 14 aov-on ndlr ad se MMS RS are Ne el al ae + où RE D Dltiintent sir ao À oianaininu on COPPERPE Anar M Gao a Ré aie Lord ‘out dun ditit lue. it vu” à Fa ne AC DETTE nt A High ME Dons RY sun, 26. 1h vs gbariagtt: AE SAR Neal CÉTÉUON ETC Hu Fr <\natt-d à Ti nas ie fa ve née BULLETIN DE L'ACADÈMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG. Zur embryonalen Entwickelungsgeschichte des Herzens, von Dr. Afanassiev. (Lu le 8 octobre 1868.) (Mit einer Tafel.) Meine Untersuchungen über die Entwickelung der ersten Blutbahnen im Hühnerembryo begann ich 186°/, während meines Aufenthaltes in Wien, wo diese erste embryologische Arbeit in dem Sitzungsberichte der Wiener Akademie der Wissenschaften vom 12. April 1866 verüffentlicht wurde. Schon damals gelangte ich zu der Überzeugung, dass die Ansichten der verschiedenen Autoren, diesen Gegenstand betreflend, von der Wahrheit weit ent- fernt sind, und erklärte mich als entschiedenen Geg- ner der allgemeinen Lebre, nach welcher «die ersten Gefässanlagen und das Herz selbst sich aus soliden zelligen Strängen, deren Inneres sich verflüssigt, ent- wickeln: die Stränge werden hohl und stellen ein viel- fältig verflochtenes Canalsystem dar» je Schon a priori die raschen Verwandlungen im Ge- fässgebiete bei Embryonen (Verschwinden der einen Gefisse, Wiederauftauchen anderer an Stelle dersel- ben) berücksichtigend, hielt ich diese Theorie der so- liden zelligen Stränge für ungenügend. Die Unklar- heit der Vorstellung, wie sich die Stränge unter einan- der vereinigen um das Netz der Blutbahnen zu bil- den, und besonders die Verbindung derselben mit dem Herzen, fiel nicht mir allein, sondern auch dem be- währten Forscher Remak auf, dem wir so viele un- serer Kenntnisse in der Embryologie verdanken. «In dem Fruchthof (area pullucida der Autoren) erschei- nen “)», sagt er, «leere Canäle und Fäden von gros- ser Feinheit, welche diese leeren Canäle mit den soliden Strängen des Gefässhofes verbinden.» Es ist zu bewundern, wie spätere Forscher sich mit derartigen Ausserungen begnügen konnten!? Durch eigene Forschung gelangte ich bald zu der 1) Kôlliker, Handbuch der Gewebelehre. 2) Entwickelungsgeschichte. Tome XIII. Überzeugung, dass die Ergebnisse, welche Remak bei Untersuchung des dunklen Gefässhofes erhalten hatte (die dann weiter von Anderen nur auf andere Art und Weise wiederholt wurden), nicht unfehlbar sein konnten: die dicht mit Dotterzellen bedeckte dunkle Zone der area opaca ist für genaue Untersuchungen das unverlässlichste Object; letztere bildete jedoch den Hauptgegenstand der Untersuchungen Remak’s, aus welchen er die Überzeugung gewann, dass die Blutgefäisse aus soliden zelligen Strängen entstehen. Au durchsichtigen Fruchthof sah Remak schon hohle Canäle und sebloss, nur der Analogie nach, dass die- selben auch hier aus solchen soliden Zellensträngen entstanden sind. In meiner Wiener Arbeit beschränkte ich mich mit der einfachen Darlegung dessen, was in dem durch- sichtigen Fruchthofe des Blastoderma im Hühnerei am 2ten Brüttage vorgeht. Das Resultat einer solchen mikroskopischen Untersuchung war die Überzeugung, dass der Gefässraum des durchsichtigen Fruchthofes bei Betrachtuug des Blastoderma von unten —un- mittelbar unter dem Drüsenblatt liegt, dass die Ver- wandlung dieses, anfangs wenig begränzten Raumes in Canäle vermittelst eigenthümlicher blasenartiger Gebilde oder Herde aus embryonalem Bindegewebe geschieht, durch deren vielfältige Vereinigungen die volle Gefässcanalisirung erzielt wird. Die Richtigkeit der Beobachtung unterlag für mich keinem Zweifel; es wurde mir nur schwierig, die Art der Entwickelung der räthselhaften Herde und die vollkommene Ge- fisshbildung durch diese Herde embryonalen Binde- gewebes allein zu erklären. Es unterlag nur eins kei- uem Zweifel: die soliden zelligen Stränge der Auto- ren nahmen in der Anlage der ersten Blutbahnen bei Hühnerembryonen nicht den geringsten Antheil. Für mich, als in der Embryologie noch Unbefangenen, war aber dieser Umstand von grosser Wichtigkeit: da ich einmal die Überzeugung erlangt hatte, dass ruhmvolle Namen nicht genaue Beobachtungen garan- tiren kônnen, bezweifelte ich auch sehr die Richtig- 21 323 Bulletin de l’Académie Empériale 324 a —————— — …—.—…—————— keit jener Angaben derselben Autoren*), nach wel- chen auch das Herz, gleich den Gefässen, ursprüng- lich ein solider durch und durch aus Zellen zusam- mengesetzter Strang ist, welcher durch Verflüssigung seines Innern hohl wird und einen von allen Seiten ganz geschlossenen einkammerigen Schlauch bildet. Meine Untersuchungen begann ich nach derselben Methode directer Beobachtung der unteren Fläche des Embryoblastoderma, welche ich in der angefübrten Arbeit «Über die Entwickelung der ersten Blutbah- nen im Hühnerembryo» ausführlich auseinandergelegt habe. Bald aber sah ich, dass alleinige Beobachtung von der unteren Fläche aus zum Verständniss aller Entwickelungsstufen des Herzens durchaus nicht ge- nügt. Dass das Herz sich aus der Darmfaserplatte der Vorderdarmhôühle entwickelt, dass es schon ur- _sprünglich mit den in der Wiener Arbeit von mir be- schriebenen Gefässräumen des durchsichtigen Frucht- hofes communicirt, davon überzeugte ich mich leicht schon bei directer Beobachtung des Blastoderma. Es blieb mir aber vollkommen räthselhaft die Art der Entwickelung der Herzwandungen; dieselben traten nichtplützlich,sondernallmählichauf,undzwar bezeich- neten sie sich zuerst an den unteren Theilen der Kappe beider Kniebiegungen der venae omphalo-mesentericae in Gestalt von aus länglichen Zellen geflochtenen Schnü- ren oder Strängen, darauf verliefen diese Stränge an den Seiten hinauf, näherten sich einander im Niveau der Schlundhôühle und bildeten auf diese Weise die Seitenwandungen des Herzens und den bulbus aortae; so hatte das Herz die Gestalt eines Dreieckes, dessen Grundlinie unten, am freien Rande der Kappe lag, dessen abgestumpfte Spitze aber zum Kopfende des Embryo gerichtet war. Eine Erklärung bei den Ana- tomen zu suchen, fiel mir gar nicht ein; nach diesen müsste das Herz als solider Kürper an einem Stengel hängend‘), wie eine saftreiche Birne erscheinen; ich aber sah dasselbe in seiner frühesten Anlage als Hôhle, deren Wandbildung unerklärbar blieb. Daraus erfolgte evident die Nothwendigkeit, Quer- durchschnitte des Blastoderma anzufertigen. Ich würde solche auch schon früher gemacht haben, wenn Quer- 8) Siehe Külliker, Entwickelungsseschichte, 1861 p. 86; Rei- chert, Remak, Masslowsky, Entwickelungsgeschichte der Wir- belthiere. Charkov. 1866. S. 102. 4) Külliker. Entwickelungsgeschichte. S. 55. durchschnitte an frischen Embryonen, ihrer grossen Zartheit wegen, nicht vollkommen unmôglich wären. Ich habe die Anwendung der Müller’schen Flüssigkeit schwacher Lüsungen neutralen und doppelt chromsau- ren Kali’s versucht, fand dieselben aber vollkommen unzweckmässig. Durch Bearbeitung der Präparate mit genannten Lüsungen konnte ich nicht die erforderliche Erhärtung des Blastoderma ohne Stôrung des Zusam- menhanges der einzelnen Elemente desselben erzielen. Diese Procedur giebt ungenügende Resultate (die Ele- mente erschienen stark kürnig und hingen nicht fest genug mit einander zusammen, dabei litt auch im ho- hen Grade das Protoplasma derselben) und erfordert ausserdem sehr viel Zeit. Unvergleichlich günstiger erwies sich eine allmähliche Bearbeitung frischer Präpa- rate mit schwacher Alkohollüsung, der etwas Glycerin beigemischt wurde (ungefähr 3j spiriti rectificati auf3j} Wasser, und 30 Tropfen Glycerin). Ich legte das Blastoderma aus einer schwachen Lô- sung neutralen chromsauren Kali’s auf ein Objectglas und brachte, nach Entfernung des überschüssigen Thei- les der Flüssigkeit, oben genannte Lüsung aus einem Rôhrchen tropfenweise gerade auf das Präparat (beim Zugiessen von der Seite kann das Blastoderma schrum- pfen); dabei wurde von der Flüssigkeit so viel als müg- lich zugesetzt. Nach Verlauf von einer, zwei oder drei Stunden, je nach dem Grade der Verdunstung, erneu- erte ich die Flüssigkeit auf dem Objectträger; zugleich sorgte ich dafür, dass das Präparat während der gan- zen Zeit immer von einer bestimmten Klüssigkeits- schicht bedeckt blieb. Drei, vier Zuthaten genügen, um das Blastoderma se viel zu verhärten, dass das- selbe ohne Schaden eine viel Glycerin enthaltende Lü- sung, endlich fast reines Glycerin aushält. Nach zwei Tagen ist das Präparat fertig, man kann aus demsel- ben die feinsten Durchschnitte machen; ich fertigte solche auf demselben Objectglase mit Hülfe eines fei- nen Scalpells mit breitem abgerundetem Bauche und jedesmaligem Abtrocknen desselben. Der Schnitt wur- de durch allmähliches Neigen desselben von einer Seite zur anderen ausgeführt. Alle diese Kleinigkeiten müs- sen, Wenn man es mit Präparaten wie Hühnerembryo- nen am 2ten Brüttage zu thun hat, durchaus nicht vernachlässigt werden. Auf diese Weise angefertigte Querdurchschnitte des Blastoderma in der Richtung der Schlund- und Vorderdarmhühle — während der 325 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 326 Herzbildungsperiode (am 2ten Brüttage) — gaben mir Bilder, welche mit den Abbildungen der Autoren, die- sen Gegenstand betreffend, entschieden keine Aehn- lichkeit haben. So entsteht, ihren Abbildungen und Er- läuterungen nach, das Herz in Gestalt einer rundlichen Verdickung an der äusseren Fläche der Faserplatte, — unter der Vorderdarmhühle — nimmt dann all- mäblich die Gestalt eines soliden durch und durch aus Zellen bestehenden Stranges an, bekommt in der Mitte eine Hühlung und beginnt, sich von der Darmfaser- platte abschnürend, seine Zusammenziehungen, ob- gleich, wie Külliker aphoristisch sagt, «das Herz ursprünglich ein ganz geschlossener Schlauch ist.» Aus meinen Abbildungen ersieht man aber im Gegentheil, dass das Herz in keiner Entwickelungsstufe in Grestalt eines soliden, aus Zellen bestehenden Stranges er- scheint, sondern unmittelbar aus der Darmfaserplatte durch Faltenbildung entsteht, wie dies klar in Fig. 2 zu sehen ist. Um sich diese Entstehungsart zu erklä- ren, gehen wir von der Bildung der serüsen Herz- hühle aus. Bekanntlich nehmen an der Bildung der “Kopfkappe alle drei Blätter des Blastoderma Antheil, das obere (neuro-epidermoidale), das mittlere (Fasern- blatt) und das untere (Drüsenblatt), und zwar in sol- cher Anlagerung, dass das obere in Gestalt einer so- liden Falte sich in eine Falte der Fasernplatte hinein- drängt, das Drüsenblatt aber bedeckt letztere, — we- nigstens im Anfange — bildet einerseits die Obertfläche der Kappe und kleidet anderseits die untere Wand der Kopfdarmhôühle aus. Indem sie sich auf diese Weise in Gestalt von Falten an der Kappenbildung betheiligen, bleiben genannte Blätter in ihrem früheren Zusam- menhange mit den entsprechenden Blättern in der Axenplatte und den Seitenplatten. Bald nach Entste- hung der Kappe beginnt von dem freien unteren Rande derselben an die Bildung einer Hôhlung durch Freiwerden (Herausziehen) einer inneren Falte oder einer Falte des oberen epidermoidalen Blattes. Die Ursache dieses Freiwerdens des oberen Blattes liegt in der Erhühung des Kopfendes des Embryo über der Oberfläche des Blastoderma. Indem diese Falte sich nach oben hin entfernt, hinterlässt sie einen freien Zwischenraum, welcher von vorne durch die Drüsen- blattwand mit der kaum bemerkbaren Faserschicht an der Oberfläche, von hinten (vordere Darmhühlen- wand) durch die dicke Schicht der Darmfaserplatte begrenzt wird, welche letztere, die Kopfdarmhôühle umgebend, sich in das entsprechende Blatt der Axen- und Seitenplatten fortsetzt. Dieses ist der Bildungs- process der serüsen Herzhühle. Vor Allem geht dar- aus hervor, dass die Entstehung der serüsen Hühle mit dem Freiwerden des epidermoidalen Blattes aus der Kappe eng verbunden ist; hier ist und kann auch keine Theilung des mittleren Keimblattes in zwei Schichten stattfinden, wie dies allgemein in allen Hand- büchern der Embryologie angenommen wird. Daher wird auch die Grüsse einer solchen Hühle dem Raume entsprechen, den vorher die Falte des epidermoidalen Blattes in der Kappe cinnahm; nur in einer späte- ren Entwickelungsperiode entfernt sich die vordere Wand dieser Hühle noch mehr von der an der Ober- fiche des Kopfdarmkanals gelegenen Faserplatte und uimmt die Gestalt eines vom Winde geblähten Segels mit der Wüôlbung nach vorne an. Gehen wir jetzt, nach Beendigung der serüsen Hühle, zu der in der Kappe befindlichen Faserplatte über, welche, den Kopf- darmkanal umgebend, in die Seitenfaserplatten des durchsichtigen und dunklen Fruchthofes übergeht. Da letztere vor sich”) einen freien Raum (die serüse Hühle) bat, beginnt dieselbe durch Wachsen sich in ibrer grôsseren Masse von den Wänden der Kopfdarmhôühle abzulüsen und lässt an letzteren nur eine dünne ein- zelige Schicht übrig, mit welcher die Faserplatte nur in der. Längsmittellinie — bei der longitudinalen Verdickung der vorderen Kopfdarmhôühlenwand — in Verbindung bleibt. Bei diesem Abspalten oder Abhe- ben der dicken Platte von den Darmwänden gegen die Mitte der serôsen Hühle hin, folgt derselben daher Falten bildend auch die einzellige Schicht (Fig. 2 f) und lagert sich in der Mitte der gebildeten Hôühle zwischen der abgehobenen Faserplatte und der vor- deren Wand des Kopfdarmeanals. Wir haben Falten bildend gesagt, um damit das gleichzeitige Erscheinen des in der Längenmittellinie sich bildenden Querban- des aus der inneren einzelligen Schicht, welche schon ursprüngliah wie eine Scheidewand die oben genannte Hühle in zwei gleiche Theile — einen rechten und einen linken — theilt, zu erklären. Während sich der mitt- lere Theil der Faserplatte, die einzellige Schicht nach sich ziehend, von der vorderen Darmfläche entfernt, 5) Wir betrachten den Embryo von unten, und haben die Kappe vor uns liegen. 21* 4327 nähern sich die Seitentheile derselben der Basis, wo- durch Falten in der Fasernplatte entstehen, die von den Seiten her gegen das aus der inneren Zellenschicht bestehende Querband zusammenlaufen. Auf diese Weise wird eine noch grüssere Begrenzung der neugebilde- ten Hôühle als erste Anlage des Herzens erzielt. Wenn man in dieser Periode das Blastoderma von der unte- ren Fläche her betrachtet, so bemerkt man, dass in der Kappe, in der Richtung von unten nach oben, sich die Seitenwände des Herzens bilden, und sich zugleich auch die zwei Kniebiegungen der beiden venae omphalo-mesentericae zu bezeichnen anfangen. An der Stelle, wo die Umstülpung der Faserplatte unter sich selbst geschieht (nämlich an den Seiten und un- teren Theilen der Kappe), sehen wir unter dem Mikro- skop zwei symmetrisch gelagerte Zellenstränge, welche nach oben zu verlaufen und, sich gegen die Mitte der Kappe einander nähernd, einen engeren Canal bilden. Es ist leicht verständlich, dass diese Stränge nichts anderes, als die Seitenwände der Herzhôhle sind, wel- che sich durch Umstülpung der Faserplatte von den beiden Seiten gegen die Mittellinie hin, wo das aus der einzelligen Schicht gebildete Querband liegt,bilden. Von der Basis des Bandes kehrt die Platte, Falten bildend, längs den Seitenwänden der Kopfdarmhôühle zurück, um sich mit der Faserplatte des Rumpfes und der Fortsetzung derselben in die Seitenplatten zu vereinigen. Auf diese Weise hat sich also durch Um- stülpung der von der Kopfdarmhühlenwand abgehobe- nen Faserplatte auf sich selbst eine schlauchfôrmige Hühle gebildet, welche im Querdurchschnitt die Gestalt eines Beutels hat, dessen Eingangsüffnung sich an der vorderen Wand des Darmkanals befindet. Durch diese Offnung communicirt die Herzhôhle während der ersten Entwickelungsperiode frei mit den den Kopfdarmkanal umgebenden Seitenräumen. An den Seiten und un- teren Theiïlen der Kappe ist am Eingange in die Kopf- darmhôühle durch dieselbe Umstülpung der Faserplatte die Anlage zweier Venenschläuche (Fig. 3 &v) gegeben, welche in die Gefässräume des durchsichtigen Frucht- hofes münden. Von diesen später. Was aber die Ver- bindung des Herzens mit den primitiven Aorten, wel- che, wie ich beobachtet habe, nicht isolirt vom Her- zen angelegt werden (allen Autoren zuwidér), betrifft, so muss dies, so wie auch überhaupt das Verhalten der Herzhühle zu allen umgebenden Räumen, hier Bulletin de l’Académie Hmpériale 32s nothwendig auseinandergesetztwerden. DieFaserplatte in der Kappe hebt sich von den Wandungen der Kopf- darmhôhle nicht in der ganzen Ausdehnung und nicht überall gleichmässig ab; am meisten wird dieselbe vorne an einer bestimmten Strecke des Vorderdarms, an der Mitte der serdsen Hôhle getrennt; hier dient die Faserplatte mit ihren oben besprochenen Verände- rungen zur Herzanlage; geht dann an den beïden Seiten der Kopfdarmhühle in die Faserplatte über, wo dieselbe sich auch von den Seiten der hinteren Fläche dieser Hühle abhebt. Der ganz mittlere hintere Theïl derselben, um die chorda dorsalis herum, bis zum blinden Ende hinauf, und der mittlere vordere Theïl des Schlundtheiïles bleiben in fester Verbindung mit der Faserschicht, welche sich auf diese Weise in Ge- stalt eines langen Ausläufers in die Herzhôhle hinein- drängt. In Folge derartiger Lagerung der Faserplatte im Verhältniss zum Kopfdarmeanal wird in der ersten Zeit die Herzhôhle frei mit den Seitenräumen, so wie auch mit denjenigen Theilen derselben communiciren, welche, in der Herzspitze, an der longitudinalen Ver- dickung beginnend, etwas seitwärts das blinde Ende der Darmhühle umbiegen und längs den beiden Seiten der hinteren Wand derselben hinablaufen. Auf diese Weise theilt sich der Herzschlauch am Anfange des Schlundeanals gabelfrmig in 2 Gänge, die an ihrem Anfange nur von drei Seiten (von der vorderen, hin- teren und dem inneren Winkel) durch die Faserschicht begrenzt werden, von der Aussenseite aber, gleich dem Herzen, mit den Seitenräumen communiciren. Diese an den Seiten nicht begrenzten Gänge zu bei- den Seiten der Kopfdarmhühle sind die Anlagen zweier embryonalen Aorten. Wiederholen wir jetzt zum besseren Verständniss den Entwickelungsprocess des Herzens noch einmal, um so mehr da wir z.B. die Bildung der inneren Hülle desselben noch nicht erläutert haben. Der erste Entwickelungsact des Herzens folgt so- gleich nach Bildung der serôsen Herzhühle. Er be- steht in der Trennung, Abhebung der Faserplatte von der vorderen Kopfdarmhühlenwand (Fig. 1 fe und Fig. 2 fc), wobei an der Oberfläche der letzteren eine dünne einzellige Schicht (Fig. 1 fund Fig. 2f) zurückbleibt, welche mit der getrennten nur in der Längsmittel- linie der Kappe durch ein lamellenformiges Band in Verbindung bleibt. Die zweite Entwickelungsphase des 329 Herzens ist die schlauchfürmige Einstülpung des mitt- leren Theiles der Faserplatte in den freien serüsen Raum hinein, wobei die Seitentheile derselben sich in Falten legend gegen die Basis zusammenziehen (Fig. 2 fe), — die einzellige Schicht aber sich, in Folge der Verbindung mit der Vorderfläche des Darmcana- les, in den schlauchfürmigen Sack der Faserplatte hineinzieht und in der Mitte der entstandenen Hühle lagert (Fig. 2 fi). In dieser unvollkommenen Herz- hôühle bildet die dicke äussere Schicht (fc) die eigent- lichen Wände mit Anlagerung der künftigen Musku- latur des Herzens; die dünne, von der vorderen Darm- fiche abgestreifte Schicht(f)ist die innere Herzhülle (Endocardium). Zwischen der äusseren Wand und der inneren Hülle (Endocardium) hat sich ausser dem mittellänglichen Bande noch keine directe Verbin- dung festgestellt; dieselbe wird ohne Zweifel in der Folge durch Muskelfaserentwickelung aus der dicken äusseren Schicht zu Stande kommen. In enger Ver- bindung mit der inneren Häülle steht die lamellenfür- mige Querwand (Fig 2 if), welche die Herzhühle von der ursprünglichen Entwickelung an in zwei gleiche Hälften — eine rechte und eine linke — theilt. Ich betrachte diese Wand als eine Falte des Endo- cardiums, welche sich, aller Wahrscheinlichkeit nach, mit den weiteren Gestaltveränderungen des Herzens ausgleicht. In Fig. 4, wo das Herz sich schon auf die rechte Seite des Embryo gelegt hat (weitere Periode), existirt diese Querwand schon nicht mehr. Ander- seits unterliegt die Existenz einer Herzquerwand in der frühesten Entwickelungsperiode des Herzens kei- nem Zweifel; dieselbe kann nicht etwa als Anomalie be- trachtet werden, da ihr Auftreten in der ersten Ent- wickelungsperiode der inneren Hülle constant gefun- den wird. Wie dem auch sei, es unterliegt keinem Zweifel, dass die innere Hülle des Herzens unmittel- bar aus der einzelligen, die vordere Darmhôhlenwand überziehenden und sich in die Seitenspalten der vor- deren und hinteren Darmhühlenwand (Aortenanlagen), so wie auch in die Schlänche beider Venen fortsetzen- den Faserplatte (Fig. 1 und 2 f) entsteht. So bildet die intima der primitiven Venen und Aorten eine un- mittelbare Fortsetzungder inneren Herzhülle. Die oben beschriebene Herzhôühle ist nur von vorne und von den Seiten vollkommen begrenzt, geht unten in die auseinandergehenden venae omphalo - mesentericae, des Sciences de Saint-Pétersbourg. 330 oben in die gabelfrmigen Aortenanlagen über; die Basis des Herzschlauches aber, — in Gestalt einer Spalte — wo die Falten der Faserplatte zusammen- Jaufen, communicirt frei mit den die Kopfdarmhôühle umgebenden Seitenräumen. In diesem noch weit un- vollkommenen Zustande kann der Herzschlauch in Thätigkeit gerathen und den Inhalt nach allen Seiten hinaustreiben: nach unten — durch die Venenschläuche, nach den Seiten um die Kopfdarmhühle hinauf durch die Basisspalte. Früher, als ich die genauen anatomischen Verhältnisse der ersten Herzentwickelung noch nicht kannte und dasselbe für einen «vollkommen geschlos- senen Schlauch» (Koelliker und And.) hielt, fiel mir an frischen eben aus dem Ei geschnittenen Präpara- ten die Erscheinung auf, wie bei jeder langsamen Con- traction des Herzens (welche bekanntlich schon sehr früh beginnt) der Inhalt desselben (eine Flüssigkeit mit Blutkürperchen) von den beiden Seiten des Her- zens von unten aus in die Seitenräume stromte. Jetzt aber, die auseinandergesetzten Befunde berücksichti- gend, beweist solch ein Präparat sehr einfach die Rich- tigkeit der dem Leser, wie mir scheint, jetzt genug verständlichen Herzbildung aus der Faserplatte. [n der dritten Entwickelungsphase legt sich das Herz auf die rechte Seite, wobei die Ränder der Basisfalten des- selben sich eng aneinanderlegen und in der Spalte die innere Hülle (die intima) einklemmen, Fig. 4. Nach Verlauf von einiger Zeit verwachsen diese Ränder vollkommen mit einander, und dann erst verwandelt sich das Herzin einen Schlauch mit zwei Seitenschläu- chen, unten für die Venen und einem gemeinsamen oben (bulbus aortae), welche weiter, an der vorderen Schlundhôhlenwand hinziehend, sich gabelférmig in die beiden primitiven Aorten theilt. Es bleibt uns noch übrig, einige Lücken in unserer Wiener Arbeit über die Entwickelung der ersten Blut- bahnen im durchsichtigen und dunklen Fruchthof aus- zufüllen, Bekanntlich verlängert sich das mittlere oder Faserblatt von dem Axentheile des Embryo (von den Urwirbeln an) mit den beiden anderen — dem oberen (epidermoidalen) und dem unteren (Drüsenblatt) — in den Fruchthof (2 Zonen). Im Anfange sind diese drei Blätter auf dem Fruchthofe fest mit einander verbun- den; mit Bildung der Kappe entfernen sich das epi- dermoidale und Drüsenblatt; dem wuchernden mitt- leren Blatte Platz räumend, von einander und lassen 331 Bulletin de l’Académie Empériale 332 das verdickte Faserblatt frei; ein Vorgang äholich dem, den wir in der Kappe beobachtet haben. Auch hier nehmen das Drüsen- und Epidermoidalblatt, sich von dem Faserblatte abhebend, auf ihrer Oberfläche schr feine Faserschichten mit sich, so dass oberhalb und unterhalb des Faserblattes sich im Fruchthofe täume bilden, die wir Gefässräume nennen wollen. Die Grenzen dieser Räume müssen natürlich mit Wachsthum des mittleren (Faser-) Blattes sich immer mehr und mehr erweitern. So wie das Faserblatt von dem Fruchthofe in die die freien Seiten der Kopidarmgegend umgebenden Seitenfaserplatten übergeht, communiciren diese Ge- fässräume mit den schon mehreremal besprochenen Seitenräumen, und von hieraus durch die Basisspalte mit dem Herzen, mit denjenigen taschenfürmigen Ein- stülpungen, welche uns als Aortenanlagen bekannt sind, und endlich mit den beiden Venenschläuchen. Wenn man den Embryokürper von dem Drüsenblatt aus be- trachtet, so kann man schon von der Oberfläche aus Schritt für Schritt beobachten, wie das untere Blatt sich von dem darunter liegenden Fasernblatte abhebt, wobei ein Theil desselben, wie wir schon gesagt, in Form einer einzelligen Schicht dem Drüsenblatte an- haften bleibt. Diese Abhebung des Drüsenblattes von dem Faserblatte mit partieller Spaltung des ersteren geht in der Mitte des Embryokôürpers bis zur Hälfte der Urwirbel; auf diese Weïise entstehen zwei Spalten, welche sich nach oben hin einander nähern und der chorda dorsalis mehr anliegen, nach unten aber — gegen das Schwanzende hin — gehen dieselben aus- einander. Die Grenzen, oder die blinden Enden der so entstandenen Gefässräume an den Seiten der Ur- wirbel, bilden die inneren Wände der Embryonalaorten. Die gegen die Chorda dorsalis gekehrten Seitenwände derselben (wir haben dieselben innere genannt) werden in diesem Sinne isolirt angelegt; diese Seitenwände ändern aber leicht ihre Gestalt wegen der progressi- veu Spaltung des Faserblattes und der Trennung des Drüsenblattes mit einer dünnen Schicht des ersteren; von der Aussenseite hingegen communiciren die Aor- ten unmittelbar mit den Gefässräumen des Frucht- hofes, in der ersten Zeit wenigstens. Auf welche Weise entstehen aber aus den Gefässräumen regelmässige Gänge, oder anders — Gefässe? Schon bei Beginn der Gefissräumebildung bemerkt man, während der be- schriebenen Spaltung des unteren und oberen Blattes von dem mittleren, hie und da Querbalken zwischen der feinsten (auch faserigen), angenommen dem Drü- senblatte (dasselbe geschieht auch am epidermoidalen) angehefteten Schicht und dem eigentlichen Faserblatt. Diese Querbalken, welche die Gestalt von Strängen aus embryonalem Bindegewebe (Schleimgewebe) ha- ben, vergrüssern sich sehr rasch und theilen die Ge- füssräiume in Gänge von verschiedener Grüsse, wie dies aus Fig. 5 zu sehen ist, wo fv die Querbalken, v die Gefässräume bezeichnet. Zuerst getrennt verbin- den sich diese Balken später auch mit einander und bilden auf diese Weise Querwände, welche einen Gang von dem anderen trennen. Durch diese Querbalken und Querwände werden darauf die Aussenwände der primitiven Aorten gebildet; auf dieselbe Weise ver- üden die an den Kopfdarmhôhlenwandungen gela- gerten $Seitenräume, durch welche die Gefäissräume unmittelbar mit der Basisspalte des Herzens in Ver- bindung standen; endlich verwandeln sich durch den- selben Vorgang auch die von der Aussenseite un- begrenzten, von der Herzspitze gabelfôrmig längs der Schlundhühle und darauf längs derselben wie- der herablaufenden (von uns als Aortenanlagen an- genommenen) Gänge in Canäle, — grosse und kleine Gefisse. Eine solche Entwickelungsart der ersten Blutbah- uen bei Embryonen erklärt uns auch die weiteren Ver- änderungen in denselben: die Verüdung der Gefässe geschieht durch die uns bekannte Entwickelung von Querbalken, das neue Auftreten derselben durch wei- tere Spaltung des Faserblattes. So rücken z. B. die beiden Anfangs an den äusseren Rändern der Urwir- bel liegenden Aorten, durch Spaltung der gleich un- ter dem Drüsenblatte gelegenen Faserschicht, immer mehr und mehr gegen einander, — lagern sich über den Wirbelkôürpern, der chorda dorsalis näher, endlich werden dieselben nur durch eine dünne Querwand ge- trennt, mit deren Auflüsung aus den beiden primiti- ven eine ecinzige Abdominalaorta entsteht. Indessen geht der Verüdungsprocess weiter: die Querbalken entwickeln sich rasch, fliessen zusammen und begren- zen die Aussenseitenwände der Aorten, so dass letz- tere auf diese Weise, ohne an Durchmesser zuzuneh- men, sich allmählich gegen die Mitte des Embryo la- gern, um endlich in ein Gefäss zusammenzuschmelzen, > 0 Sangersja ge EN auvTg 350 PÉRLELE DRE RTÉ es J----à RE Re SA HR = Des Aa se SES © LES = Le SU 53 ES ee Res 333 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 334 Mit Hülfe von Querschnitten haben wir die schwie- rige Aufgabe der Herzbildung bei Hühnerembryonen gelüst und zugleich auch die Entwickelungsart der Blutbahnen in dem durchsichtigen und dunklen Frucht- hofe des Blastoderma erklärt. Die früheren nicht ganz erklärten Gebilde, die ich in meiner Wiener Arbeit Heerde und Stränge aus embryonalem Gewebe (auch hohle, blasenartige Gebilde) nannte, sind nichts ande- res als Querbalken, Querstränge zwischen den Blät- tern des gespaltenen Faserblattes des Fruchthofes. Der Werth der früheren Beobachtungen ist dadurch um nichts geringer geworden; dort hatten wir es mit lebendigen Embryonen zu thun, beobachteten dort lebende Bilder ; es war natürlich, dass wir bei Betrach- tung des Blastoderma von der unteren Fläche, in Flä- chenansichten mikroskopischer Objecte nicht die fein- ste Faserschicht sehen konnten, welche das Drüsen- blatt auskleidet; die Querstränge aus embryonalem Bindegewebe erschienen uns in Querdurchschnitten; wir sahen dieselben als Inseln im Gefissmeere (zu- weilen erschienen dieselben auch in ihrer wahren Ge- stalt, d.h. als zellige Stränge). In dieser Gestalt wur- den die Querbalken auch von Anderen geschen; so spricht z. B. Remak von ihnen, indem er dieselben «Substanzinseln» nennt, ohne denselben irgend eine Bedeutung in der Entwickelung der ersten Blutbah- nen bei Embryonen zuzuschreiben; er schreckte von der Schwierigkeit der Vorstellung ab, wie durch diese Gebilde allein ein allseitig geschlossenes Canalsystem entstehen kann? einer solchen Schwierigkeit der Vorstellung: «Ich «weiss, dass es schwer ist, sich vorzustellen, dass sich «durch die Hohlgebilde allein ein allseitig geschlosse- «nes Canalsystem abgrenze. Aber ich kann meine Be- «obachtungen nicht wegläugnen, weil sie mir die Auf- «assung des Gesammtbildes erschweren°).» Es ist be- merkenswerth, dass die in Rede stehenden Querbal- ken in Querdurchschnitten frischer Präparate sich wie hohl darstellten. Dieser Umstand erklärt sich dadurch, dass in solchen Ausläufern oder Strängen die Ele- mente in der ersten Zeit an der Peripherie derselben gelagert sind, in der Mitte befindet sich aber eine sehr klare Intercellularsubstanz (Schleim); später dringen die Elemente auch in das Innere der Balken. Eine 6) $. meine Wiener Arbeït, p. 7. Hier sind meine Worte in Betreff derartige Vertheilung der Elemente an der Oberfläche der Querbalken ist hüchst wahrscheinlich mit anderen für die Blutkôrperchenbildung wichtigen Zielen ver- bunden, worüber ich schon in meiner Wiener Arbeit sgesprochen habe. Erklärung der Abhildungen, Fig. 1. (btes System, Hartnack. Ocular X 3.) Längen- durchschnitt des Embryo in der Richtung der Kopfdarmhôhle. Bildungsperiode der serüsen Herzhühle (ungefähr nach 40 Brütestunden). Der Durchschnitt ist nicht ganz median. Hier sieht man die Spaltung des Faserblattes an der vorderen Kopfdarmhühlenwand; fe dicke Platte aus der sich die eigentlichen Herzwandungen bilden, und f dünne Schicht an der Obertiäche des Drüsenblattes, welche die innere Hülle des Herzens und der Aorten bildet, s Faserschicht, welche die serüse Hühle auskleidet, L epider- moidales Blatt, durch dessen Faltenbildung sich in der Kappe die serôse Hühle bildet, à Kopf- darmhôühle, welche oben blind endigt, f Faserblatt des Embryoschildes, e Drüsenblatt. Fig. 2. (7tes System, Hartnack. Ocular M 3.) Quer- durchschnitt des Embryo in dem unteren Drittel der Kappe (nach 48 Brütestunden). Hier kann man deutlich sehen, wie sich aus der dicken Fa- serplatte fc, durch Umstülpung der Herzschlauch mit der Spalte an der Basis bildet; durch die Basisspalte communicirt der Herzschlauch mit den Scitengefäissräumen an den Wandungen der Darmhôühle, und ausserdem nach Innen als Fort- setzung längs der hinteren Wand dieser Hühle (Aortenanlagen); hier sind die Aorten, &, durch Querwände mehr oder weniger begrenzt; fi Fal- ten der inneren Herzhülle, welche von der vor- deren Fläche der Kopfdarmhühle abgestreift sind, wo sich die dünne einzellige Faserschicht befin- det, ch chorda dorsalis, » neuro-epitheliales Blatt, welches an der Bildung der Medullarroh- res Antheil nimmt, à Kopfdarmhüble, e serüse Herzhühle. Fig. 3. (4tes System, Hartnack. Ocular K 3.) Quer- durchschnitt am äussersten Ende der Kappe, auf welchem man die Mündung der Venenschläuche 339 rm in’s Herzsieht. Man kann hier die intima der Ve- nen als Fortsetzung derjenigen des Herzens sehen. Der Durchschnitt ist aus dem vorhergehenden Präparate (Fig. 2), nur bei geringerer Vergrüs- serung, d untere Herzwand oder, besser, der Vorkammer. Die anderen Buchstaben wie in Fig. 1 und 2. Fig. 4. (4tes System, Hartnack. Ocular N°3) Das Herz hat sich schon auf die rechte Seite gelest; nach 56 Stunden. Die Basisspalte hat sich durch Zusammenziehung der F'alten der Faserplatte (b) fast ganz geschlossen, wobei die iunerc Hülle zwischen denselben eingeklemmtist, e Herzhôühle. Es ist bemerkenswerth, dass in allen Präparaten die innere Hülle in grôüsserer oder geringerer Entfernung von den eigentlichen Herzwänden bleibt, gleichsam der Bildung von Muskelelemen- ten und Herzgefässen Platz machend. 5. (5tes System, Hartnack. Ocular NM 3.) Das Präparat ist von 56 Stunden. Bildung von Quer- balken und Querwänden zwischen den Faser- schichten des durehsichtigen Fruchthofes; € Drüsenblatt mit daran gränzenden Quersträngen, hk epidermoidales Blatt mit denselben mehr ent- wickelten Quersträngen aus embryonalem Binde- gewebe fo; v durch Querbalken abgegrenzte Ge- fâssräume. Fig. Zur vergleichenden Syntax der finnischen Spra- Lectors an der Universität zu Helsingfors, an den Akademiker Wiedemann.) (Lu le 15 octobre 1868.) , Wiesbaden, abgesandt d. 15. Octbr. 1868. Hochgeehrter Herr Akademiker. — — — Die historisch-philologische Arbeit, für die ich von Jhnen so manche nothwendige Auskunft er- halten habe, ist noch immer nicht fertig. Die Hoffnung durch neue Quellen vielleicht noch neues, gewisseres Licht zu erhalten und die Furcht etwas gar zu Man- gelhaftes zu liefern hält mich noch von der Verüf- fentlichung ab. Bei dieser meiner Arbeit habe ich aber einige klei- nere Nebenproducte erhalten, welche vielleicht eini- ges Interesse für das finnische vergleichende Sprach- Fullotin de l'Académie Himpériale 336 studium haben kônnten. Ich erlaube mir Ihnen hiermit ein Paar meiner Beobachtungen mitzutheilen. Die erste betrifft einige von den gewühnlichen For- men abweichende Weisen, den Optativ und Imperativ auszudrücken. Ju Sjogren’s Livischer Grammatik S. 138 ist näm- lich bemerkt, es werde in der genannten Sprache der Optativ und Imperativ häufig durch ein vorgesetztes las (die 2te Person Sing. Imperativi vom Verbum lask lassen) verstärkt. So wird z. B. in der 3ten Person gesagt: las veit jodog jera (müge es etwas sich ab- kühlen). Auf dieselbe Art sehen wir auch in der 1sten und 2ten Person sowohl des Singulars wie des Plurals: las ma jeds s90g (môge ich erst essen), las sa jera kadog (vergehe oder môügest du vergehen), las meg iegod tan (bleiben wir hier). Ja das Wort las ersetzt sogar vôllig den Optativ oder Imperativ und wird mit dem Präsens construirt, z. B. las ta rokandob (er môge sprechen). Wie an oben citirter Stelle bemerkt ist, kann dieses las ausserdem auch, der deutschen Conjunction «dass» entsprechend, einen untergeordneten Satz anfangen, nach Verben wie «sagen, bitten, befehlen» u. s. w. 2. B. pola, las ta tulg (bitte, dass er komme). Ebenso in Absichts- und Einräumungssätzen S. 278 z. B. ta uldin broutsob, las aigstis sog sin (er fährt so- gleich, damit er zeitig ankomme). Diese Eigenheit ist in der oben genannten Gramma- le . h . : | tik als eine Entlehnung aus dem Lettischen bezeichnet, : : | wo lai ganz in derselben Art gebraucht wird. Ohne cher. (Aus einem Briefe des Herrn J. Krohn, im geringsten dieser sebr plausiblen Muthmassung widersprechen zu wollen, erlaube ich mir nur, auf das interessante Factum aufmerksam zu machen, dass äbn- liche Formen, mehr oder weniger deutlich beibehalten, ausser dem Livischen auch in mehreren anderen Dia- lecten der finnischen Sprache (in weiterer Bedeutung) vorkommen, Aehnlichkeiten, die ausser vielem Anderen auf einen früheren südlicheren Wohnort auch der nôrdli- cheren Finnenstämme und auf ibren langwährendenund vielfachen Verkehr mit den Letten schliessen lassen. So finden wir erstens in der Watja-(Woten) Spra- che lahss, la und den Pluralis laka mit dem Präsens construirt den Optativ ersetzen. Von dieser Eigenheit, welche Prof. Ahlquist in seiner Wotischen Gram- matik nicht aufgenommen hat, sehen wir in den dieser beigefüsten Sprachproben häufige Beispiele. So mit 337 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 33 "TT der ersten Person Sing. laka kukun, laka vilistän (Mag ich singen, mag ich pfeifen) S. 103, v. 9, 10; mit der 2ten Person Sing, la saat ukkâse (mügest Du verderben) S. 117. Im Pluralis ist diese Construc- tion bei den ersten zwei Personen nicht gebräuchlich, welches übrigens auch, was die 2te betrifit, im Livi- schen nicht der Fall ist. In der dritten Person dage- gen ist diese Umschreibung häufiger als der eigentli- che Optativ. Beispiele hiervon giebt beinahe jede Seite der Sprachproben ; es sei hier an einem Paar genug. La Nesteri vôtab, la vannob (Mag N.nehmen, schwô- ren) S. 108. Auch scheint die Construction mit la u. s. w. keineswegs eine schon ausgestorbene alter- thümliche Form zu sein, da sie ebenso häufig in den prosaischen Erzählungen, wie in den alten Runen vor- kommt. Als Conjunction anstatt eines «dass, damit» scheint der Wote sie jedoch nicht zu gebrauchen. In der Mundart der Twerischen Karelier, welche, wie bekannt, in ihrejetzigen Wohnsitze aus Ingerman- land und vom westlichen Ufer des Ladoga-Sees aus- gewandert sind, hat das Würtchen ana dieselbe An- wendung wie las im Livischen. Als Beispiele, deren man im Evangelium Matthäi in südkarelischer Mund- art unzäblige finden kann, môgen dienen: ana hyvitti- ät$ôv nimi $ivn (Gesegnet sei Dein Name), Suomi toinen jakso, 40sa, $. 16; tiijän usSondua myôt ana liev teilä (geschehe Euch nach Eurem Glauben) $S. 24. Der eigentliche regelmässige Optativ in der 3ten Person kommt beinahe gar nicht vor. In den “ersten Personen dagegen ist die Umschreibung nicht gebräuchlich. — Ebenso wie im Livischen las ersetzt dieses ana hier auch ein kuin (dass, damit) z. B.hÿô käzilôilä $ivn otetah, ana ei Sattuatse kiveh $ivn jalga (sie werden Dich mit den Händen aufneh- men, damit Dein Fuss sich nicht an einen Stein stosse) S. 11. — Dieses südkarelische ana, obgleich dem Laut nach verschieden, ist dennoch nichts Anderes als das Livische las. Esist nämlich sichtlich nur ein der leich- teren Aussprache wegen etwas vereinfachtes anna von antaa, welches im Karelischen, so wie auch in der finnischen Schriftsprache, auch die Nebenbedeutung «lassen, erlauben» hat. : Interessanter noch als alle diese schon genannten ist jedoch der Umstand, dass Spuren einer ähnlichen Constructionsweise sich auch noch weit nôrdlicher bei einem von aller Berührung mit Liven und Letten wäh- Tome XIII. rend der historischen Zeit ganz abgeschnittenen Stam- me noch vor zwei, drei Jahrhunderten nachweïslich ge- zeigt haben. Es war dieses nämlich der Fall bei den Bewohnern der Âboer Strandgegend. Viele Eigen- heiten dieses Dialectes wurden nämlich in die älteste finnische Bibelübersetzung aufgenommen, welche um die Mitte des 16ten Jahrhunderts erschien. In diesem Agricola’schen Werke kommt mitunter ein Lach als eine Art aufmunternder oder optativischer Interjection vor, Z.B. Lach mine tadhon minulleni ydhen su- ren honen raketa (in der jetzigen Bibel bloss mit mina tahdon, Jerem. 22,14); Lach te oletta tei- den lupauxet pitenyet(jetztblossteolette, Jerem. 44,25) u.s.w. Ja noch in einem kleinen Gesangbuch vom Jahre 1616 (Soomen pispain etc. latinankielised laolud) fängt ein Lied auf ganz wotische Weise an: lah, laola olen aicon (Auf! zu singen habe ich beschlos- sen). In etwas anderer Art, pleonastisch zusammen mit kun (wenn) finden wir den Plural lahka')in der alten Legendenrune vom Bischof Heinrich: Lahkakun Lal- loi kotia saapi (wart! wenn L. nach Hause kommt), Suomi 1856 $S. 47 v. 77. Diese letzte Bedeutung führt uns endlich zur estni- schen Sprache, wo in den alten Volksliedern gleich- falls noch einige Spuren dieser Construction sich er- halten haben. Als Beispiele môgen dienen: las’, lääb suwi tuleb sügise, Neus, Volksl. $. 368; las’ saab maale maasikaida, ebendas.$. 422. Dass das Estni- sche und der Âboer Stranddialekt hierin am nächsten stehen, ist nicht zu verwundern, da in letzterer Gegend die Sprache, wo sie noch unvermischt geredet wird, in ihren Formen beinahe vüllig dem Reval-Estuischen gleicht. Eine andere Eigenheit des Livischen, der Gebrauch des Genitivs mit dem ursprünglichen Endkonsonanten n versehen als Dativ, steht keinesweges vereinzelt da. Im Gegentheil ist eine analoge Construction in gewis- sen Füllen über alle in Finnland gesprochenen Dia- lekte verbreitet, in anderen auf die westlichen jämi- schen Mundarten beschränkt, in älterer Zeit aber, wie Agricola’s Bibelübersetzung zeigt, wenigstens im Âboer Stranddialecte in ebenso grosser Ausdehnung gebräuchlich gewesen, wie jetzt im Livischen. Eine 1) Beim Druck hat Prof. Lünnrot das unverständliche lahka durch jahka (wenn) ersetzt, glücklicherweise jedoch in einer Note das ursprüngliche lahka der alten Handschrift beigefügt. 22 339 Bulletin de l’Académie Empériale 340 —————— Entlehnung aus dem Lettischen (über welchen Um- stand jedoch nur ein gründlicher Kenner beider Spra- chen sicher zu urtheilen im Stande wäre) ist mir in diesem Falle nicht wahrscheinlich, besonders da, wie in Sjogren’s Liv. Gramm. $. 77 angegeben ist, das Magyarische auch für den Genitiv und Dativ nur eine Form hat. Dafür spricht auch, dass der mehr entartete, lettisirte Salis’sche Dialekt des Livischen diese Beugungsform gar nicht kennt. So wie es im Livischen heisst:too miedon pietulüb (tulüb)perimiest kul,so sagen wir auchimmerim Fin- nischen:tyômiestentuleeisäntää(—peremiestä) kuulla. Ebenso mit anderen Verben, welche eine Noth- wendigkeit oder Pflicht bedeuten z. B.miesten pitää täytyy, sopii (steht an) u. s. w. Dass hier wirklich ein Dativ vorliegt, beweist ausser dem inneren Sinn auch die analoge Sprachweise in den Nachbarsprachen, russisch: emy Hazo, npuuaaicxæuTe, altschwedisch: mig bür u.s.w. Ebenso hat die finnische Schriftspra- che (ob aber auch beide Hauptdialekte der mündlichen, weiss ich nicht recht) dem Livischen se om minnon lälam, tadon jo lat tulub, entsprechend auch mi- nun on vaikea,täiden tulee helpompi, wenn näm- lich ein Infinitiv darauf folgt, z. B. minun on vaikea nähdä; sonst schwankt der Gebrauch zwischen dem Genitiv und Adessiv, welcher letzterer in dem ôüst- lichen Dialekte vorherrschend ist. Als Ausdruck für haben» erscheint der Genitiv im Finnischen nicht so extensiv gebraucht wie im Livi- schen. Tammon um üd rontod muss in allen finni- schen Dialekten, so weit bis jetzt bekannt, mit hü- nellä on kirja übersetzt werden. Dagegen finden wir zu dem livischen min um luët sie pal vielfältige Analogien in dem westfinnischen Dialekte. Dieser unterscheidet scharf zwischen den äusseren Gegenstän- den, welche wirklich Besitz sein künnen, undideali- schem Eigenthum. Man sagt dort z. B. nie, wie in Ostfinnland minulla on nälkä, sondern minun on nälkä; ebenso minun on lusti od. ilo siitä u. s. w. Auf dieselbe Art soll, wenigstens in der Umgegend von Bjürneborg *) und wabrscheinlich auch in weiteren Kreisen, beim Dativ-Begriff ein Unterschied gemacht werden, ob das zu Gebende wirklich materiell gegeben *)Für die Richtigkeit dieser Angabe bürgt der Name von Magi- ster Rothsten, einem gründlichen Forscher, besonders was unsere Syntax betrifit. werden kann; nur in diesem Falle steht der Allativ, sonst der Genitiv, z. B. se teki minun hyvää, hän antoi minun anteeksi. In früheren Zeiten nun war der Gebrauch des Genitivs als Dativ, ohne irgend einen Unterschied zwischen materiellem oder ideellem Geben, ganz auf livische Art gebräuchlich. Ganz analog dem anda ogbizon veta heisst es in Agricola’s Bibel- übersetzung (welche, wie er in der Vorrede sagt, hauptsächlich auf den ÀÂbo-Dialekt basirt ist) immer- wäbrend, Marcus Evang. Kap 3: annoï ninen (alter Genitiv Pluralis stattniiden=— dem wotischen), synnit andexi annetan lasten, twli ja meri ovat henen (hänelle)ewliaiset (Kap.4), mursin viden tuhan- nen (Kap. 8), caiki ovat uskolisten mahdoliset (Kap. 9), anna vaivaisten (Kap. 10) u.s.w. Jedoch findet man auch oft den Allativ an solchen Stellen gebraucht, indem Agricola durchaus nicht conse- quent ist, sondern (nicht bloss im Nothfall, wie er selbst sagt) immerwährend auch Formen aus anderen Dialekten, besonders, scheint es, dem Wiburger Dia- lekt einmengt. — — — Schlussbemerkung. Daran, was Herr Krohnin der vorstehenden Mittheilung über die Umschreibung des Optativs und Imperativs in verschiedenen finni- schen Sprachen und Dialekten gesagt hat, erlaube ich mir noch folgende kleine Bemerkung zu knüpfen. Dass im Livischen das las dem Lettischen nachge- bildet ist, müchte wohl nicht zu bezweifeln sein neben so Vielem, das aus derselben Quelle stammt, wenn auch andere finnische Stimme, die jetzt wenigstens in keiner unmittelbaren Berührung mit dem lettisch- litauischen Stamme leben, ähnliche Ausdrucksweisen haben. Selbst die Deutschen in Kurland bedienen sich in der gewühnlichen täglichen Rede einer hieher ein- schlagenden Wendung, deren Ursprung sicher nirgends anders zu suchen ist als in dem Einflusse des Letti- schen. Sie gebrauchen nämlich in der dritten Person des Imperativs (statt mag) ebenfalls lass (lett. lai), zwar nicht ganz lettisch construirt mit der dritten Per- son des Präsens (also z. B. lass er wartet), aber doch auch nicht ganz deutsch mit der Attraction des Sub- jects und mit dem Hauptverb im Infinitiv, abhängig von lassen (lass ihn warten), sondern gemischt, mit dem Verb im Infinitiv wie im Deutschen, aber mit der 341 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 347? ————— Person im Nominativ wie im Lettischen (lass er war-| toñt selmstet, im ostjakischen mija ma nyn semen ten). — Das lai ist übrigens, obgleich in Grundbe- deutung und Gebrauch dem russischen nyere oder uyekaï ganz gleich, doch wohl kaum eine Entlehnung von dort her, denn es findet sich schon in den wenigen uns erhaltenen Sprachproben des Altpreussischen, in der ersten Pluralperson turrilimai als Infix (— lai turrimai) nach der im Litauischen auch sonst beliebten Weise. Man braucht in dieser Beziehung nur an den allgemein herrschenden Gebrauch zu erinnern, dass das das Medium bildende si in zusammengesetzten Verben nicht wie in den einfachen und wie im Letti- schen den Endungen einverleibt, sondern zwischen Adverb und Verbalstamm eingeschoben wird (also z. Bpasilinksminu, pasiliksmini,pasilinksmina etc., neben dem einfachen linksminus, linksmines, linksminas). Noch andere interessante Infigirungen, darunter auch Parallelen für die Verkürzung des lai zu li in dem oben angeführten altpreussischen turri-- limai, giebt Schleicher in seiner litauischen Gram- matik $. 230 und 234, nämlich die alten uZmistoj (von ufstoti helfen, beistehen) «er hilft mir» für das jetzige mane uZsto, und nemiteisus «er (ist) unge- recht gegen mich» statt neteisus man, oder sogar eikszte xommet her» für eikite szen. Eben so ist wohl unzweifelhaft richtig die Vermu- thung, dass die im Südkarelischen vorkommende Opta- tivpartikel ana eigentlich identisch ist mit dem Impera- tiv anna (gieb). Mein geehrter College Hr. Schiefner hat mich darauf aufmerksam gemacht, dass Busla- jew in seiner historischen Grammatik der russischen Sprache Th1.IL.S. 168 auch die kirchenslavische Opta- tivpartikel Ja (russ. nycre, nycKaü) zusammenstellt mit dem russischen in gleicher Bedeutung wie nyerk vor die erste Person gesetzten zaï (gieb), und dass diesem xaü das südkarelische ana nachgebildet ist, findet wie- der seine Bestätigung darin, dass auch andere unter russischem Eïnfluss stehende finnische Sprachen den Imperativ des Zeitworts «geben» auf dieselbe Weise gebrauchen. So entspricht z. B. dem südkarelischen ana mie otan $iun Silmästä ok$azen (lass mich einmal aus deinem Auge den Splitter ziehen, Math. VII, 4.) im syrjänischen Evangelium vai me perja tenad sin- my$ uv, im permischen vai me kyska jü$ tünat sinmys, im wotjakischen $ot mon potto tynad sinmystyd &ir- pyzä, im mordwinischen tuka mon targasa pitskast elta lunk kim vylem. F. J. Wiedemann. Zweiter Bericht über eine Abhandlung unter dem Titel: Untersuchungen über die Gattung der Klippschliefer (Hyrax. Herm.) besonders in anatomischer und verwandtschaftlicher Be- ziehung nebst Bemerkungen über ihre Ver- breitung und Lebensweise von Johann Fried- rich Brandt. (Lu le 29 octobre 1868.) Bereits im Jahre 1862 hatte ich die Ehre, in der Sitzung vom 14 November, so wie am 19. December einen Bericht über meine Untersuchungen der Gat- tung Hyrax in anatomischer und verwandtschaftlicher Beziehung vorzustellen, der im Bulletin scientifi- que T. V pag. 508—510 erschien. Ich konnte damals als ganz vollendet nur den Ab- schnitt über einige äussere Gebilde und die Beschrei- bung der vegetativen, sowie theilweis die der anima- lischen Organe vorlegen. Die in Aussicht gestellten Schlussuntersuchungen über die animalischen Organe, ebenso die über die Verwandtschaften der fraglichen Gattung, welche letztere die Arbeit veranlassten, wur- den dagegen bisher noch nicht eingereicht, sondern nur angekündiot. In der heutigen Sitzung nehme ich mir daher die Freiheit, nicht nur die von mir später bei der Unter- suchung der animalen Organe gewonnenen Ergebnisse vorzustellen, sondern auch über die geographische Verbreitung, die Lebensweise und besonders über die Verwandtschaften der Gattung Mittheilungen zu machen. Die so entstandene Abhandlung, welche vie- les Neue und Alles über die Gattung Hyrax früher be- kannte enthält, dürfte 12—1 6 Druckbogen der Memoi- ren füllen und als eine Monographie derselben im AlI- gemeinen') zu betrachten sein, obgleich die Materia- lien des Museums es nicht gestatteten, auch die einzel- nen Arten im Betracht zu ziehen. Dieselben konnten überdies um so cher übergangen werden, da vor kurzem J.E. Gray (Ann. and Magaz. of nat. hist. 4 ser. Vol.Ip. 35) nach den bedeutenden Materialien des bri- tischen Museums die Arten der Gattung Hyrax be- schrieb. Meine Untersuchungen der animalischen Or- 1) Ich nabm aus guten Gründen die Gattung Hyrax im Sinne Hermann’s. 29% 4 343 gane beziehen sich auf das Knochensystem, die Bän- der, das Muskelsystem, das Nervensystem und die Sinnesorgane. Einen sehr umfassenden Abschnitt der Arbeït bil- den die Mittheilungen üder die Verwandtschaften der Gattung Hyrax, da die für die Classification so wichtige genauere Erürterung derselben meine aus- führlichen Studien veranlasste. Zu diesem Zwecke wurden, nach alter Weise”), in einem besondern Ab- schnitte nach dem Grundsatze Suum cuique! die bis- herigen Ansichten der mir bekannt gewordenen nam- haftern Naturforscher, welche über Hyrax schrieben, gewissenhaft aufgeführt. Denselben folgt dann eine Aufzählung der Merkmale, welche Hyrax mit den unpaarzehigen Hufthieren gemein hat. Hierauf wird die Frage aufgeworfen, welchen Gattungen oder Fa- milien der Hufthiere sich Hyrax näher oder ferner anreihe? Zur Beantwortung derselben werden seine Beziehungen zu den Nashôrnern, Pferden, Nielpfer- den, Wiederkäuern, Schweinen, Tapiren, Elephanti- den, Anoplotherien, Paläotherien und Lophiodonten erôrtert und daraus allgemeine Schlussfolgerungen in Bezug auf die nähere oder fernere Verwandtschaft des Hyrax mit je einer der genannten Gruppen ge- zogen. Da man früher nicht ohne Grund Hyrax zu den Nagern stellte, so mussten auch die nicht unbedeu- tenden Beziehungen näher erürtert werden, die zwi- schen ihm und der genannten Thierordnung bestehen. Selbst einige Beziehungen zu den Edentaten konn- ten nicht unerwähnt bleiben. Eben so durften die Eigenthümlichkeiten der Gattung Hyrax nicht über- gangen werden, ehe als Endresultat und Zweck der Arbeit Schlussfolgerungen über die Verwandtschaften und die systematische Stellung der Klippschliefer ge- liefert werden konnten. In diesen Schlussfolgerungen erscheint Hyrax, wie ich schon früher (Bulletin a. a. 0.) andeutete, als ei- gener Typus (Unterordnung) der Hufthiere, und zwar als ein solcher, der bedeutend zu den Nagern hin- 2) Jeder exacte Naturforscher dürfte gegen das neuerdings von Mehreren begonnene Verfahren protestiren, die Ansichten der Vor- gänger ganz zu übergehen oder zu verstümmeln und theilweis zu ignoriren. Es ist freilich angenehmer und leichter seine Beobach- tungen ohne sorgsame Benutzung der Literatur oder wohl ganz ohne dieselbe niederzuschreiben, da ein gründliches, kritisches literäri- ches Studium oft weit mehr Zeit kostet, als die Beobachtungen. Bulletin de l’Académie Impériale 344 neigt”); weshalb die aus ihm gebildete Unterordnung der Ungulata am passendsten als Gliriformia oder Glireoidea bezeichnet werden künnte. Bericht über E. Miller Mélanges de littérature Grecque contenant un grand nombre de tex- tes inédits. Von A. Nauck. (Lu le 5 novembre 1868.) Nach vorläufigen Mittheilungen die in verschiede- nen Franzüsischen und Deutschen Zeitschriften ge- geben waren durften wir erwarten dass die von Herrn E. Miller im Auftrage der Franzôsischen Regierung vor einigen Jahren unternommene Reise nach dem Orient unsere Kenntniss der Griechischen Literatur vielfach erweitern und manche Bruchstücke verloren gegangener Dichter und Prosaiker zu Tage fürdern würde. In dem vorliegenden stattlichen Bande der Mé- langes de littérature Grecque (Paris 1868) finden wir noch bei weitem mehr als wir zu hoffen gewagt hat- ten. Obgleich die Millerschen Mélanges fast aus- schliesslich grammatischen Inhaltes sind und nicht so- wohl zusammenhängende Texte als vielmehr ein Ag- gregat von einzelnen Glossen mit kurzen Erürterun- gen zum grossen Theil nur in der Form von Varianten und Nachträgen zu bereits bekannten Werken enthal- ten, so kommt doch in denselben eine überraschende Fülle von neuen und schätzbaren Fragmenten älterer Schriftsteller zum Vorschein, und darum darf das Millersche Werk dem wichtigsten was die ziemlich bändereiche Literatur der neueren Anecdota enthält getrost an die Seite gestellt werden. Nach den hôchst dankenswerthen Publicationen von I. Bekker, Cramer, Daremberg, W.Dindorf, Gaisford, H. Keil u. a. muss- ten wir geneigt sein zu glauben dass die Griechischen Grammatiker für unsere Kenntniss der älteren Lite- ratur kaum noch einen nennenswerthen Ertrag liefern würden; das Millersche Werk überzeugt uns in erfreu- lichster Weise vom Gegentheil und weckt eben da- durch die Hoffnung auf weitere Ausbeute. Merkwürdiger Weise stammt der umfangreichere und wichtigere Theil der hier vereinigten Texte nicht 8) Murie und Mivart (Proceed. Zool. Soc. Lond. 1865 p. 329) haben irrigerweise meine Mittheilungen im Bulletin s0 aufgefasst, als stellte ich Hyrax zu den Nagern, woran ich niemals dachte. 345 des Sciences de Saïint-Pétersbourg. 346 aus dem Orient, sondern aus Florenz. Dass die nach Miller dem zehnten Jahrhundert angehôrige Floren- tiner Handschrift des Etym.M., die schon bei Fabri- cius Bibl. Gr. X p. 19 Anm. g und hiernach bei Gais- ford Etym. M. p. XIV als énsignis msctus codex er- wähnt wird, erst durch E. Miller dem philologischen Publicum erschlossen worden ist, dass weder einhei- mische noch fremde Gelehrte den Schatz zu heben sich bemüht haben, ist eine nicht genug zu verwun- dernde Thatsache. Was Miller ausserdem in dem vor- liegenden Bande mittheilt ist zwar nicht so reichhal- tig, aber keineswegs resultatlos oder unerheblich: von den Einzelheiten wird unten die Rede sein. Besonderen Dank verdient es dass Miller für die von ibm publicirten Texte mehr gethan hat als man von ihm zu fordern oder nach dem Herkommen zu er- warten berechtigt war. Während meistentheils die Her- ausgeber von Anecdota sich des Vorrechtes bedie- nen nur die aufgefundenen Texte aus dem in der Regel sehr unerfreulichen Schutt der Handschriften hervor- zuziehen und was sie nicht ohne grosse Anstrengung entziffert haben mit diplomatischer Genauigkeit d. h. mit allen Textesfehlern wiederzugeben, hat Miller um die Nachweisung der Citate aus sehr verschiedenen Autoren und um die Emendation der oft übel verun- stalteten Textesworte sich wesentlichverdient gemacht. Ist ihm in der einen wie in der anderen Beziehung manches entgangen, so gereicht ïhm dies durchaus nicht zum Vorwurf: wer so viel gefunden hat, darf für Übersehenes der Nachsicht der Leser gewiss sein, und wo bedeutende Vorarbeiten gemacht sind, ist es ein überaus geringes Verdienst im Einzelnen nachzu- arbeiten. Die nachfolgenden Blätter werden hie und da kleine Ergänzungen und Berichtigungen zu Millers _ Arbeit geben; der eigentliche Zweck derselben aber ist vielmehr dieser, über die neuen Ergebnisse der Millerschen Publication zu berichten. Sollte ich hier- bei manches als neu betrachten was längst bekannt war, so glaube ich schon durch den Umstand ent- schuldigt zu sein dass das Millersche Werk erst vor wenigen Wochen hier angelangt ist. I. Nach einer kurzen Einleitung (pag. 1—10) gibt Miller p. 11-—318 die Vergleichung der Florentiner Handschrift (F) des Etym. M., der ältesten und wich- tigsten Handschrift die wir vom Etym. M. überhaupt besitzen, einer Handschrift durch deren Benutzung die Gaisfordsche Ausgabe sehr gewonnen haben würde. Wir erfahren aus dieser Handschrift (Miller p. 57) dass bei Homer Od. 5, 182 ehemals v5v 8 dyouar (statt Éyopat) xaxdTnrt xal dAyeot gelesen wurde, wie vov à ayopat Od. 5, 256 oder +, 129 überliefert ist; ferner dass Od. v, 346 Zenodot las pæv{ouhXos (nach Miller p. 210 f. pavépuAdos) statt tavuguios élan, endlich dass Od. ®, 6 (nicht, wie Miller meinte, IL F, 376) statt yep raystn alte Kritiker vorzogen ys00t géo (M. p. 308 f.). Die Bruchstücke des Antimachus bekommen ei- nen kleinen Zuwachs durch die Erwähnung der EovSt- vor, deren Namen der Dichter von égv%o0s ableitete (M. p. 265). Bei weitem reicher ist der Ertrag für die Lyriker. Archiloch. fr. 38 p. 544 der zweiten Ausgabe von Bergk’s Lyrici(nach der ich im Folgenden citiren werde wo nicht ausdrücklich die dritte Ausgabe genanntist) wird nach M. p. 194 das Wort oudapos hinzuzufügen sein. Neu ist folgendes Bruchstück desselben Dichters (M. p. 53): xaxnv co Z:ùs éSwxey aovny, angeführt als Beleg für avc n EnosTtns. Vermuthlich ist avovny als Oxytonon zu schreiben und das Wort in der üblichen Bedeutung zu fassen, vel. Od. ©, 201: xahennv dé Te pui omacosv SnAuTÉoNot YuvoutËt. Aus Ztpovtôns (nach Bergk Lyr. p. 587 dem Iam- bographen, der vielleicht richtiger Zngowdns genannt werden würde) wird im Etym. M. p. 367, 40 die Form rerhnatat angeführt; vollstindiger F (M. p.124): r@ ® ah rerAmatat (vielleicht rérAntat) Évha. Bei Hipponax wird der Choliambus in fr. 70 ver- vollständigt (M. p. 41): ka vov apsuts (doetà F) ouxevoy pe rotnout. Der Zweiïfel ob im Etym. M. p. 615, 15 der Dich- ter oder der Grammatiker Hipponax gemeint sei ist pounmebr erledigt durch den in F (M. p. 231) erhal- tenen fast vollständigen Choliambus: xoobev n xvpuvdts és hadomv, wo ich den Artikel n hinzugefügt habe. Ein neuer Vers desselben Dichters steht in F als Beleg für xapeuvrov (M. p.307): Év puO Te al YaREUvÉO YUpLVOV. Den n‘mlichen Vers hat Miller p. 402 wiedergefunden in einem Excerpt aus dem angeblichen Didymus tegt rôv dropoupévoy mag IDiarov XéÉsov, wo es heisst: 347 y rapelo TE KO JABEUVÉE YUpLVEV. Es wird zu lesen sein £v te taguelo xai yapeuvto vouvév. Wenn wir p. 19 die Glosse finden: dxohoUSNsac" Eouns SE Spovaxtos axohouInous. éxraet toù À. otos ‘Howdtavos, so liegt es nahe mit Dübner p. 461 axohovSnous zu schreiben; ob die erste Hülfte des Verses richtig über- liefert sei mochte ich bezweifeln, und der Dübnerschen Behauptung, dass hier ein précieux fragment d'Hippo- nax vorliege, wage ich weder beizupflichten noch zu widersprechen. Der neuerdings durch die merkwürdigste Entdek- kung bereicherte Alkman bekommt wiederum einige neue Nummern; freilich sind die Neuigkeiten fast durch- gängig räthselhafter Natur. Als Beleg für den Super- lativ aidoréoraros wird p. 55 citirt: map Aya, otov vaoÎoLY AVSQUTOLTIV MÔOLÉGTATOV. Diese Worte zu deuten will mir nicht gelingen: viel- leicht ist zu lesen Axoïotv atdotéoratov. Ein undeutlich geschriebenes Axoîouw konnte theils NAOIZIN theils ANOISIN (d. h. éySewreuouw) gelesen werden. Übri- gens kônnte auch atdoëotatov verdorben sein aus dSuypéotatov, vgl. Etym. M. p.420, 50: à dë urepSe- ruxdv muuéoraroy Ahxuav éon, wo Schneidewin adv- péotaroy hergestellt hat. — Hüchst schwierig ist fol- gende Glosse (p. 60), die wir vollständig mittheilen: Bahe avtt Toù dBake” Bahe Ôn Bas axo Toù xrnouxos inv” 0 dë Akxpav TO afhe, otov afBake ka véovTa.… yéetar xat À (vielmehr d) xata cuyxomv, otov d Tavros {va Vous” dPOTEPX VAR TAVTOS [LÉAY GALAGUAY ÉOUGLV. Die Worte & ravros tva yioas gehüren dem Kalli- machus fr. 323, und in dem zuerst citirten Fragment ist offenbar nichts anderes enthalten als das bekannte Bahe n Bahs xnovhos einv des Alkman fr. 21 p. 639. Die Worte afœhe xat véovra vermag ich nicht zu ent- ziffern. — Pag. 212 lesen wir bei Miller: «uéyas Zon. Cod. add. rà 3 pen (sic) Alpäv (1 Ahxpäv) eîré pe D aire œuiôuuos Aius.» Die betreffende Stelle des Zona- ras p. 1338 lautet: péyas, Tapd To pi ya, à un Ov Th VA, NX dtepéyoy avrns. Mit dem Zusatz in F weiss ich nichts anzufangen. — Pag. 243 gibt Miller die Glosse: «rrpata (l. relpara) répata, xal mag Ahxpäv répaoa Bulletin de l’Académie Impériale : 27 ENS de mé 4e À res 348 raSôv.» Es scheint dass Alkman répuca statt Tépato sagte. Dem raSo liegt vielleicht ein Citat von (Hoo- Suavès) reg raSov zu Grunde. — Die Glosse axopogo Etym. M. p. 776, 21 erhält nach p. 291 aus F den Zusatz: rai Adpav: peloxcvx Toy auopn. Vielleicht wissen andere diese Hieroglyphen zu deuten. — Neue Glossen des Alkman finden wir p. 136: ro dEaroapu Tapa AXMLAV HOVONLGTÉOY XATA LETATRAGHLÈV AT TO £aroowov, und p. 206 Aryuxcotoy (denn dies dürfte in dem heyéxeutos und Aryüxvotov der Handschrift ent- halten sein, da es sich um eine Metathésis des Rho handelt). Für Sappho ist zu erwähnen das neue Bruchstück xor ëuoy stekeyuoy (vermuthlich otaayuov) p. 213, worüber zu vel. Bergk Lyr. p. 671 f. — Nicht un- wichtig ist auch was wir p. 129 lesen: après le vers de Sappho: pépets ofov pépets, ovoy pépets, mÉya pépets aroucv patéot raid. Diese Worte der Dichterin ken- nen wir bereits aus Demetrius de eloc. 141, wo es von Sappho heisst: yagrevriteror Jé note xai &E avapo- os, Os ént Toù écnépou’ ÉGTEpE TAVTA pÉEELS, NL, mépeus oivov, pépets aiya, péocts autéot taida. Aus dem Citat in F geht mindestens dies hervor, was freilich schon an sich unzweifelhaft war, dass Bergk Lyr. p.689 f. hüchst willkürlich verfuhr, wenn er die Worte mépets oivoy (péoeus dv Manutius), pépets aiya, pépets patéet raida, gegen das ausdrückliche Zeugniss des Demetrius, der gerade des wiederholten pepe wegen die Stelle citirt, der Sappho entzog. Eine andere Frage istes, welche Fassung die Worte der Sappho ursprüng- lich gehabt haben. Der Herstellungsversuch von Ahrens de dial. II. p. 545 oeis où, ooels aiya, oosis patent TOid GYATATA | ist als misslungen zu bezeichnen, wie ich in dem Auf- satze über das Verbum opéo (Bulletin VI p. 426 oder Mélanges Gréco-Rom. II p. 521 f.) gezeigt habe; ich halte es für wahrscheinlich dass œrotov in F aus dtv (Aeol. statt axe) entstanden sei, ziehe es aber vor weitere Vermuthungen zu unterdrücken. Alcaeus fr. 125 ist aus F zu ergänzen (M. p. 57): dxvacmu xaxHs" oÙte Vap cÙ hot. Das nach wahrscheinlicher Vermuthung demselben Dichter beigelegte yætgs xat to (Alc. fr. 54) bekommt den Zusatz ravie nach M. p. 258, und eben da findet sich, vermuthlich aus gleicher Quelle, das kleine Frag- ment devoo cupro. Neu, aber dunkel ist die Notiz 349 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 350 ; x 2 c » ’ 7 = € p. 264: oetw' Éort yap cé, os tag Adhxalo, otoy yäs | statt vi Vao TÉAETOL GÉ0. Dem Stesichorus werden fr. 47 die Worte patas eiroy beigelegt: eèrov wird zu tilgen sein, da in F (p. 212) Ztnotyopos LaTas etrev steht !). Bei Ibykus fr. 20 werden die Vorschläge von Bergk Kuaoas 5 Mndeiwy statt Kuaons 6 Mnôov durch F be- stätigt (M. p.197), und fr. 58 bekommt eine wesent- liche Ergänzung (M. p. 261): roxtha béypata xah0T- TR&S MeEpcvas T dvalvoapéva, während bisher nur die beiden ersten Worte roxtha béyuara überliefert waren. Ein neues Bruchstück des Anakreon kommt p. 218 zum Vorschein, Aevxirrov értdtveor. Nicht minder bemerkenswerth ist die Ergänzung und Berichtigung von fr. 37, das jetzt lautet: té Toùc XUGLOUS AOTLDOTNS. Dass diese Fassung nicht richtig sein kann liegt auf der Hand; denn die Worte des Anakreon sollen als Beleg für téAew im Sinne von cxortetv dienen. Oben- ein zeigt die Überlieferung dass xvapovs dorutotns nicht hinreichend verbürgt ist; denn Gaisford (Etym. M. p. 2010 F) bemerkt: cœvapous aomtdtotns] xbvas. ortôuc V. He ge D. xuvacriôus M.» Nun lesen wir in F (bei Miller p. 266): Avaxgéov éy rO reuto” cUtos Au T dhuators TÉXREL TOUS XUVAGTLÔES, und an einer anderen Stelle, die sich offenbar auf das nämliche Bruchstück bezieht (p. 162): Avaxoéov: ’Imvotous Ter xaotidas. Halten wir uns müglichst streng an die überlieferten Züge, so würde sich etwa ergeben odtos dir Imhuatous TÜRet Tobs XVAVAOT DES. Aber vielleicht hat Anakreon etwas wesentlich ver- schiedenes geschrieben. Simonides fr. p. 228 p.935 bekommt den Zusatz ofov xupar guSoo (p. 28), wo Miller xuÿpar apSoôv vermuthet. Ist diese Vermuthung richtig, wie wir sie für richtig halten müssen, so werden vorher die Worte rôv detSuôv auiSgo zu ändern sein in ro dptSpov au- Ai Neu und seltsam ist die Angabe dass Simonides 1) Zu dem ne isten Fragment des Stesichorus bemerkte Bergk in der zweiten Ausgabe der Lyr. p. 752: Lyrici poetae h: aud dubie est quod exhibet Hesych.: "Atac 2ehaôetv" pérua emeiv n Axe. Dieselbe Behauptung wird in der dritten Ausgabe p. 988 wiederholt. Aber die Glosse ätus xehadetv ist vielmehr aus Eur. Tro. 121 entlehnt, was Bergk ohne Mühe durch die Schmidtsche Bearbeiïtung des Hesychius erfahren konnte. os die Nominativform 5 nach der dritten De- clination gebraucht habe (M. p. 291): vios” Screv dis dos, Os Cote Gqros: cipntos n evSeie taupe Epovidn. Leider ist ein Beleg für diese Behauptung uns vor- enthalten. Irrig wäre es, wenn jemand die Erwährung des TyoSeos (M. p. 215) zur Bereicherung unserer Reste der lyrischen Poesie verwenden wollte. Die betreffende Stelle lautet: peteup{lo" éx Toù detpo, Toonÿ Toù À eis O cetpo xai éy UnepSéce Toù E xai anofohÿ too I écpû xai enrace toù O sig Q 000 xal pereopG xal pereopito xai petéwpos. TuynoSeoc. Hier ist Ty.0Scoç doch woh] nur ein Schreibfehler statt MeScdoc. Lyrisch scheint dagegen zu sein das Adespoton Y. 2 ’ nr . ae Agtapt butetpæ toËëwy (M. p. 263), wie einige unver- ständliche Brocken: tas ‘Padapavsus (bei Miller steht ‘PaSapavSvs in Folge eines Druckfehlers, wie es scheint) trhets Blav (als Beleg für das Participium Tmumheis) p. 76, ÊT dvp ivxocaro (als Beleg für tvacco To Coxuv ragéyo) p. 169. Für Aeolisch müchte ich halten was p. 171, wo es sich um die doppelte Mes- sung des Wurzelvocals in cos handelt, aus Kallima- chus angeführt wird, xon d Üoæ yeyta raloa, Wo vielleicht zu schreiben ist X0hœ BE io VÉVT dtaloais (d. h. éyéwe® araoas), da die Grammatiker taîs für ras als Acolisch bezeichnen, vgl. Anecd. Oxon. vol. 3 p. 240, 1. Ob eine Stelle des Kallimachus ausgefal- len ist oder Kakkyayo auf einem Schreibfehler (etwa statt Añxato) beruht, lässt sich nicht entscheiden. Unter den Tragikern bekommt zunächst Aeschy- lus mehrfachen Zuwachs. Als Beleg für é£auotre (fr. 417) wird angeführt p. 116 Atoyuros ASapavrt: xahxéouoty SÉauoThpEs JELLCUpLEVOr, wo die zweite Hälfte des Verses einer sicheren Hei- lung sich zu entziehen scheint. Ferner aus den Hôovot (M. p.62): Boris pirovas Basoagas te Audlas yet Todnpels. Bedenklich ist was Aeschylus év Neavioxouc gesagt haben soll (M. p.41), al XApTERIXOS KA TOMUXÔS AREÉPATOS. Diese Worte lassen sich mit leichter Mühe in einen iambischen Trimeter bringen, wenn man schreibt: 351 Bulletin de l’Académie Empériale 352 EEE xaoptepuès el xai roheuuxèc xäpeipartos. Aber einen sol- chen Trimeter kann ich dem Aeschylus nimmermehr zutrauen, und ich halte es für hüchst wahrscheinlich dass der Grammatiker nichts anderes im Sinne hatte als die bereits bekannten Worte agsépatoy Aa, die Hesychius aus den Neavioxot des Aeschylus (fr. 143) anführt. Noch wäre zu erwähnen p. 151: n6vnouc — naod Atoyvho, und p. 157: Sexos vis Tooo- routes, map Atoyuro (wir kennen Setév vicv aus Pind. OI. 9, 62 und Serov raÿdov aus Eur. fr. 361). Zu den Kay des Sophokles (überliefert ist ZSowoxdis Koptxots) finden wir p.143 einen Nachtrag, Tv OÙTIS NOEL ÊX DEOÙ HEKOULEVNV. Ohne Nennung des Stückes wird p. 32 der halbe Trimeter runs avaË Supupé angeführt. Die an zwei Stellen (M. p. 101 und p.156) dem Sophokles beigelegten Worte xal Tôv Los EiAn ÉXIVOY GTTALEVOY werden anderweitig als Aristophanisch bezeichnet (fr. 524 Dind. oder Com. 2 p. 1192). Für Euripides ist in doppelter Hinsicht von Wich- tigkeit die Glosse p. 208: Aoyaov' Tôv xexmévov, év G Eort hoxiow. Evprriènc Tmépo. xai év 'Alemotidt x HEp ÀOYUIR GHUTOV éÉdouc. Die letzten Worte beziehen sich auf Alc. 846: xavreg loynoas arov £é Edoas ovSels papgbo, wo bereits Hartung das unzweifelhaft richtige hoyatas hergestellt hat nach Anleitung des Sinnes und auf Grund der in einem Scholion angemerkten Variante Aoylas, womit eben Acyatas gemeint war, nicht das von Cobet vor- ausgesetzte hoyztus. Neu ist die auf den Telephus bezügliche Notiz, welche W. Dindorf in den Jahrb. f. Philol. 97 p. 399 f. aus Photius und Hesychius so er- gänzt hat: hoyaïoy ciîtov: rov xexdpévo, à © Eott hoyñca. Zu dem Iwhsus des Euripides kommt als Nachtrag der Vers (M. p. 153 TOREOUEV, LAN OÙX HOT AY OÙ LAQÉVTE JE, wie zum HIlheoSéyns die von Dübner hergestellten Worte (p. 205) xal XATOUSE XO TL AS Tolet, wo die Handschrift xat xatoS y ôtetigs molst bie- tet. Mit letzterem Citat wird die Form Àÿs belegt, wonach Eur. fr. 1086 aus den Bruckstücken ungenann- ter Dramen zu tilgen ist. — Für Eur. fr. 824 istan- zumerken dass (nach M. p. 266) F év Portée deutéoo citirt und die Worte des Dichters so schreibt: Len Gov avotéar pèv otpoûc oùx nÉouv. Fehlerhaft scheint die p. 302 mitgetheilte Stelle: «Poiwxss, 797, 11. Post Xéyetau !. 14 cod. add. xai rap Evdorrtôn Povisous œyn eipnta.» Wenigstens sehe ich nicht, welche Worte der Phoenissen hier semeint sein kôünnen. Aus der Omphale des Ion wird eine bekannte Stelle (fr. 27) zu einem Trimeter ergänzt (M. p. 244): ëreusac ahha rit Iaxtohoù box, wo man allerdings die Richtigkeit des Verbum émet- cas in Zweifel ziehen darf. Eine Beziehung auf das nämliche Stück glaubte Dübner in folgenden Worten (M. p. 23) zu finden: A\TAT éppova AUEAÂN TA ÉÂQUTA HOT GUYXOT NV. Er hielt nämlich apgaxn für eine Verschreibung statt ‘Ogosn und wollte hiernach dem Tragiker Ion die Worte dnta covçova beilegen (p. 461). Die arg ver- stümmelte Glosse bezieht sich vielmehr auf ein mehr- fach erwähntes Bruchstück des Sophron (der Name des Schriftstellers ist in dem überlieferten coppovæ noch erhalten), auf die Worte a ÿ apo œnte (oder au palnta) xurraker, worüber zu vgl. Schneidewin Philol. 1 p. 588 und meine Bemerkung eben da 4 p. 265. Für tragisch müchte ich halten die anonym über- lieferten Worte nôet (vielmehr %ôn) tadr yo ooaoat xa6s (M. p.143) und Xpvoeds à © pavrie (M. p. 194). Epicharm bekommt einen kleinen Nachtrag (M. p.207): ro è Aites rap Enyaome y dE Aétec Eortr. Beachtenswerth ist die Variante zu fr. 166 Ahr.: dhX& (statt xat) T&s xheuwas Evpaxous (M. p.275), und zu fr. 165 die Ergänzung dpa te ma oyuy dxoucas 1ôvpov (M. p. 143), wo äpa Bë xat zu schreiben ist. Zum Nachlass des Sophron kommt noch M. p.91: SotdvE — roga ro daduoco (andere Grammatiker bie- ten JauSvoco), à ompatvet To Tapaocw. Zdppwv y pu pous: év 6rw déer dadoloseoe (mindestens muss es heis- sen JaduoceoSe), und p. 311: Tô CE péquar. In doppelter Weise werden die Zeptou des Krati- nus ergänzt. Zur Glosse des Hesychius Boéxenot (Com. 2 p.140) bekommen wir die bisher unbekannten Worte des Dichters, œips Sedpgo toùs Bouxéhous (M. p. 71), die für die Schreibung der Glosse mit doppeltem Labda zu sprechen scheinen, und ausserdem das Bruchstück 353 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 354 rohutontots (so Miller statt rox 305). Die auf Pherekrates bezügliche Notiz bei dem so genannten Antiatt. p. 99, 23: Sncéo avri toù 51- geo. Pepexpatns AouhoÏtDacxaho, wurde bisher ver- schieden gedeutet. Dindorf schrieb im Thes. Gr. L. vol. 4 p. 380 f. Onséo avti roù Onssto, wogegen Meineke Com. 2 p. 273 ein Präsens Sncéo annahm, das er durch das Homerische x£o statt x2'0 und durch oMecv statt oder bei Sophron zu schützen such- te, wobei er sich noch genôthigt sah anzunehmen, der Dichter habe einem Doriensis homo die Form Incéo in den Mund gelegt. Jetzt bekommt Dindorfs Urtheil eine ganz unzweifelhafte Bestätigung durch die Florentiner RSS welche unter den Zusatz hat (M. p. 159): evpgntar SÈ Gta Toù E drhon, paX aicp0v év TO one Pr rettots) pot (M. p. Offenbar ist eben dies der Vers des Pherekrates, auf den der Grammatiker in Bekker’s Anecdota hinwies, und nun ist es auch klar, dass bei Choeroboscus in Cramer’s Anecd. Oxon. vol. 2 p. 219, 17 (wo über die Schreibung der vorletzten Silbe des Wortes @n- gztoy gehandelt wird) herzustellen ist, woran bereits Dindorf dachte, Xéystar BE rat Otioeov (statt Once). Ein erst durch Gaisford’s Ausgabe des Etym. M. bekannt geworderer Vers des Eupolis (Com. 5 p. XCI) lautet nach dem cod. Voss.: Eye yo éreTndstov avÔo& Év adTh, wofür Meineke 459 év Atrxi vorschlug. Die Floren- tiner Handschrift (M. p. 123) lehrt dass es heissen muss ëo yao émeTndetov GVÈO AÙTŸ TA, und dass der Vers aus den Ilcets entlehnt ist. Der NtcBos des Aristophanes wird bereichert mit einem Fragment von drei Trimetern (M. p. 210): Égrty Yo Mu Tois xATO TOÔs TOUS avo arc ouufcAov xai [LV © LLALAXTNEIOY, dv G Totodpey TA DUXUS HO TAS YRADS. Aus den Oxides desselben Dichters wird angeführt (M. p. 225): BaBshaxoy, GS dppoTÉLov ÜUOY Ter ra ToSyuaTa Cour np ka BaouoTaa, wo mit Miller $afaf, Adxoy und mit Dindorf üyov rev %v zu verbessern ist. Ohne Nennung der Stücke werden aus Aristophanes zwei neue Bruchstücke an- gemerkt, p.124: ody ox rootoy #9 (vermuthlich 3ev) Tome XIII. éTrtayosda Tav> Cueæ”), und p. 271: àa This Tous rogaxvrrav Die verdorbene Stelle des Aristophanes (fr. 525 Dind. oder Com. 2 p. 1192) EXTIVL TAVTOPIANLOY GOTAYL TRÉDOY (oder Gprayas toéouv) erscheint in F noch übler ver- unstaltet (M. p. 167), txriwa ravrco=alpoy cHSadyots révoy. Wenn ich nicht irre, ist mit leichter Anderung herzustellen txriva ravrooSao dorayais Toéquv. — Was bei Miller p. 277 aus Aristophanes angeführt wird, totobtov dort mug ’Aptotopdver taivioai vo bia, muss mit Dindorf (Jahrb. f. Philol. 97 p. 403) corri- girt werden: tag ‘Agtotomave «ratvooa» Tè bmua nach Eccl. 1032. Für den Komiker Plato ist ein neuer Vers (M. p. 209) anzumerken: pafovopetov" Iiarov Ebeouxt” SoTo tus ui puubovopetov ÉvdoSev, Unter die Fragmente desselben Dichters hatte Mei- neke Com. 2 p. 691 eine Stelle des Etym. Gud. p. 394, 22 eingereiht, wo gelehrt wird dass Mivos mit Tota (nicht Meivos) zu schreiben sei, érztôn edonta rai raga Iarow +6 xowxo. Später Com. 5 p. 50 schied er die $Stelle wieder aus, indem er glaubte, der Grammatiker habe aus Versehen den Komiker Plato genannt, wo er den Philosophen hätte nennen sollen. 2) Vgl. Hesych.: érrayopôu rahata éAn Ôt Errayopôou gô0- pEva. Auffallender Weise hat Dindorf in seinen nachträglichen Be- merkungen zur fünften Auflage der Poetae scenici Graeci (Jabrb. f. Philol. 97 p. 393—411) diesen Aristophanischen Vers nicht erwähnt. Ausserdem vermisse ich in den Sammlungen der Aristophanischen Fragmente noch folgende Stellen. 1. Schol. Eur. Hipp. 102: oùtws TPOGW IE. 2. Schol. Oribas. vol. 3 p. 680: xut Aptotopavns Gtas pilot Tupñouv ÊTL TNY ÉXPOOUV. Hier scheint 5tav fehlerhaft zu sein; man künnte dafür 5:wv oder oùtT &v vermuthen. 3. Schol. Theocr. 5, 119: éxxSnpev avtt rod Étunte xut ÉÉéOerpe zut Apiotopavns: oxoô@v tas mheuoge éxdSnoev. Diese Stelle hat Dindorf absichtlich fortgelassen, wie aus seiner Bemerkung im Thes. Gr. L. vol. 4 p. 759 f. hervorgeht. 4. Vita Eur. p. 137, 86 West, : sxUSpwTèe ÔE zut gÜvious Xu\ aÙ- srnpès éqoiver o xut HOSYEAU Xal IOOYUVNS, XU IG xuk AproTooavNe adtToy aèritar: oTpupvès Éuorye npocerretv Evpriônc. V ollständiger sind die Aristophanischen Worte bei Gellius XV, 20,8 erhalten, der sie unrichtiger Weise dem Alexander Aetolus beilegt: 0 AvaËayopou Te pt 106 dpyxxiou STRUPYÈS HÉY ÉMOLYE npodeuteËv xui Ho6YEX MS XO roSater oUOË rap oivov MEnaSnxus, dAX Gt ypdbar, toûr av métros xut Detpnvwv Éteteuyer. Vgl. meine Eurip. Stud. I p. 126 f. Im ersten Verse schreibt man gewübnlich topoguos yarod nach Valckenaer, wogegen Bergk Anth. lyr. ed. alt. p. XI zuerst tpogtuos toù No, nachher tpo@ts dpyaiou vermuthet hat. Zu Ende scheint weder étereuyer passend noch die Partikel 4v zulässig. Vielleicht GAX 8 te ypderev av (oder ypabers ro näv) mékitos Haut Setpnvuv ÉTERvEUxEL. LE , x \ XIL APLOTOPAYNS" ME TOUS 23 355 Bulletin de l’Académie Empériale 356 0 Dass diese spätere Ansicht irrig war, zeigt jetzt ganz unzweideutig die freilich räthselhafte Lesart in F (M. D2 17): éneudn cdpntar al év auotonÿ Toù Mévos os (1. év avatohÿ ro Méos) rapa Ilhatow: { dnep Soxns Axes domi 6te Mévo avr too pépvov. Die letzten Worte avi toù päuvov dürften nach dem codex Sorb. bei Gaisford in n ot rap Tè pyvo zu ändern sein. In den voraufgehenden Elementen ty anco Joxÿs Ayhed Eortv 8e Mo ist ein Trimeter des Komikers Plato enthalten; die Herstellung desselben muss ich anderen überlassen. Zur Kowodoroayoëta des Alcaeus Com. 2 p. 830 ist der Vers nachzutragen (M. p. 123): moe D étiyahxoy To otToua AGxuSov Épov. Ob hier AnxvSov + éyov, ob AnxvStov éyov, ob noch anders zu schreiben sei, vermügen wir nicht zu ent- scheiden; sicherlich aber gehürt hierher die bereits von Miller verglichene Glosse des Hesychius: értyæà- xov TÔ cTOua Toy adhov (TOY avAntoY Valesius) dt tv qcpBerv oovet émuoromtôx. — Das dunkle Frag- ment des Alcaeus Com. 2 p. 833 : un péyav tepl xvdpov reprotelyer Éva xuxdov, wird durch die Lesart étiovostv (M. p. 190) statt reptoretyer nicht aufgeklärt, und die neue Lesart scheint um so weniger verlässlich, da bei dem Grammatiker émtovoov:es voraufgeht. Dass bei Polyzelus Com. 2 p. 868 %Ëést roûc (nicht nécus D èt) éwedxpouvoy zu schreiben ist, lehrt F (M. p. 113). Erwähnung verdient auch die Lesart isp6v ya ovtéreuyes (statt fepov yap Ov reruynxac) Eraxotou Arcs bei Polyzelus Com. 2 p. 869 (vgl. M. p. 118). Meineke änderte fegeds ya dv teruynxas. Mit gleicher oder hüherer Wahrscheïinlichkeit darf man vermuthen iepeuç yo Ovroc Étuyes Etaxotou Auc; Die Glosse vtxov Géouæ bei Axionikus Com. 3 p. 536 erweitert sich durch F nach Miller p. 291 zu zwei vollständigen Trimetern: et Mshéayoos pèv ouyyevsis autod vo La Dép DELXOY LALOMÉVOUS KATÉHTEVE, womit vermuthlich auf das Euripideische Drama Me- héayo0os hingedeutet wird. Die ouyyeveis, welche Me- leager tôdtete, sind bekanntlich die Sühne des Thestius, Brüder von Meleagers Mutter Althäa (vel. Diod. $. 4, 34. Apollod. 1, 8, 3. Zenob. 5, 33. Anton. Lib. c. 2. Schol. Il. I, 534. 548): sie heïissen nach Ov. Met. VIII, 439 ff. Plexippus und Toxeus (letzterer heïsst anderwärts Sohn des Oeneus oder Bruder des Meleager), nach Hygin Fab. 174 Ideus, Plexippus, Lynceus, nach Hygin Fab. 244 Plexippus und Age- nor. Den Plexippus erwähnte auch der Tragiker An- tiphon in seinem Mehéaypos (Trag. Graec. fragm. p. 615). Auffallend dürftig ist der Ertrag für Menander, der nur einen neuen Trimeter bekommt (M. p. 110): ouai ce TOv ÊT ŒOLGTÉD ÉLTEPOVNMÉVOY oder vielmehr wohl éurespovouevor. Das Citat Mévav- Sos y AXeËtaepaxers (bei Miller p.203) beruht nur auf einem Schreibfehler. Einem Komiker scheint zu gehôren was p. 47 als Beleg für 45®nv angeführt wird, paX noSny céov oudé- note, Wo bereits Dübner coderorote vermuthet hat. Wenden wir uns zu den Alexandrinischen Dichtern, so wird am reichlichsten Kallimachus bedacht, dessen Bruchstücke von Jahr zu Jahr immer dringender ihren Bearbeiter fordern. Neu sind, so weit meine Erinnerung reicht, folgende Trümmer: radyopev Aotnvor, To. pèv cixoot (so Miller statt ot- xoSey) ravra Xéhaotot p. 50. xeîSt yao Gta yoynos dméSpuoev p. 99. avtixa KevSirnns ve molüxonmvov te Iloécupvav p. 183, ein Vers dessen zweite Hälfte p. 251 ohne Nennung des Verfassers wiederkebrt. An te Khvpévou te mohuËetvoro Sauapta p. 189. Téocds p. 287. Lo ovrtactroy [roue roy] p.312, wo dvrua- cirov nach Miller aus avttdcats verdorben ist, évrouc pnhowy aber dem voraufgehenden Citat aus Apollonius Rhod. seinen Ursprung dankt. aitodpev edpaseray ‘Eoyävos Soou p. 318. Dazu kommt noch eine übel zugerichtete Stelle (M. p. 51): atunv’ 6 Sodhos. Kalayos” wthadsApioy dT- pevos à ddstpoy, und das schon oben berührte, wie es scheint, mit Unrecht dem Kallimachus beigelegte Lo dE ioa yevre raioais (M. p.171). Dem Pentameter TÉRISVTO GTopÉANY MÜALKE VELOLOGOY wird im Etym. M. p. 229, 44 ein nicht recht passen- des oder doch sehr entbehrliches xaheîtat vorausge- schickt; statt dieses xaheîta: vermuthete Hecker Philo]. 4 p.478 f. den Namen des Autors KaXkiayos, und Kaà- payes steht klar und deutlich in F beï Miller p. 75. In gleicher Weise wird ein anderes schon vor zwanzig Jahren nach wahrscheinlicher Vermuthung dem Kal- limachus beigelegtes Bruchstück jetzt urkundlich als 357 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 358 dessen Eigenthum erwiesen. Aus dem cod. Voss. näm- lich hat Gaisford Etym. M. p. 1608 die Verse bekannt gemacht: où VA pot TEVÉN TATEW!CS CÙŸ ATÈ TATTOV etui AUTEOVETNS. Schneidewin Philol. 3 p. 535 f. besserte Areovitts und wies das Fragment der Hekale des Kallimachus zu. Die für diese Ansicht von ihm geltend gemachten Gründe sind so ansprechend und so überzeugend, dass wie O. Schneider (Zeitschrift f. d. Alt.-Wiss. 1848 p. 786) und Hecker Philol. 4 p. 478) seiner Vermu- thung unbedingt beitraten, so auch mir ein Zweifel kaum müglich schien. Aber Bergk meinte die Sache besser zu wissen; ohne auf eine Erürterung der Schnei- dewinschen Argumentation sich einzulassen, versetzte er in der zweiten Ausgabe der Lyr. p. 535 das neue Fragment mit einer merkwürdigen Sicherheit frisch- weg unter die Elegiecen des Archilochus, als ob ein woblfeiles Archilocho vindicavi den Mangel an Grün- den ersetzen künnte. Jetzt wird durch die Florentiner Handschrift der zweite Vers ergänzt und zwar nicht zu einem Pentameter, sondern zu einem Hexameter: die Schlussworte lauten Sæe ot, Bas To toftoy sin (M. p. 207). Folglich hat das anonyme Fragment mit den Elegieen des Archilochus ganz und gar nichts zu schaffen, und Bergk’s Verfahren erweist sich als durch- aus unberechtigt. Dass aber die Stelle wirklich Kalli- macheisch ist, kann keinem Zweifel unterliegen nach Schol. Dionys. Thr. p. 946, 17: Bahe por B&hs To tof roy ein, Kaïyayos, Worte die schon Näke Opusc. IT p. 156 f. mit gutem Grunde der Hekale beigelegt hatte, obschon es ihm nicht gelungen war den Zusam- menhang in dem sie vorkamen zu errathen. Mit Recht hat man dem Kallimachus die Worte vsvcis Evéavridos Etym. M. p. 394, 34 zugeschrieben (vgl. Schol. Dionys. Thr. p. 850, 25. Anecd. Oxon. vol. 4 p. 327, 1); die Florentiner Handschrift bietet (W. p. 134) das Fragment etwas vollständiger: aise to pv yevcfs Evéavridcs. Noch bemerken wir dass Kallim. fr. 152 eine klei- ne Berichtigung bekomnt, 1 pèv dr Asovglov qu:daTn oxeaxen (Miller p. 49), desgleichen fr. 178: arts arartitouoay nv sdsoyéa haxtiv (wie Casaubonus ver- muthet hatte) nach Miller p. 203, wie fr. 329: Aïe péy te Mecot (so bereits L. Dindorf im Pariser Thes., vel. Miller p. 207). Für fr. 170 ist die Lesart xai texz quvn statt téx:v yuvn anzumerken (M. p. 110). Unrichtiger Weise wird der Vers ’EsËtn, nû à aûr avohBos dSpolterar otpurtés im cod. Flor. (M. p. 127) dem Kallimachus beigelegt; statt Kaïniywayos ist zu bessern Apyfroyos. Einen neuen Hexameter des Euphorion lesen wir bei Miller p. 46: dvépos aogatoto oouo ave KépBsoov dEwv. In dem unter Euphorion fr. 89 von Meineke Anal. Alex. p. 121 angeführten Verse bietet F (M. p. 141) wohl richtig nÿ étarsthnous. Euphor. fr. 92 wird (nach Miller p. 76) ergänzt: deérreony Uncpéoye xat oyonpñs L'eouvefns, und für fr. 106 bekommen wir ausser dem Supplement ravtn dè géo xhéos AoTÉUÉAXTOY noch die interessante Notiz (M. p. 49): côtos év Uro- yat dvETtyonoo els TÔv xe{NvoTa Arévucov Evpcoto- vos, aus der wir schliessen dürfen dass die Worte ravrn dè géo xhécs dotépBaxtoy aus dem xeynvos Atc- vuoos des Euphorion entlehnt sind. Ein Atévucos des Euphorion wird ziemlich oft citirt (vgl. Meineke Anal. Alex. p. 45 ff.), neu aber ist der xeynvds Auovuocs die- ses Dichters, der in F noch einmal zum Vorschein kommt (Miller p. 260), 6aBnèov &v Atovuco xeynvott. Eine jetzt nicht mehr zu verkennende Hindeutung auf diesen Titel finden wir bei Aelian de nat. anim. VII, 48 (s. Meineke Anal. Alex. p. 140 f.), wonach das Ge- dicht des Euphorion an eine berühmte Darstellung des xeynvos AtGvyoos in Samos angeknüpft zu haben scheint. Für Apollonius Rhodius ist aus F anzumerken dass 1, 372 Bergk’s Vermuthung xata rowstpxv be- stätigt wird (Miller p. 256). Statt nhutvouon reot napSévou Etym. M. p. 425, hatte Cobet mhatvouon raga IIaoSsvio vorgeschla- gen; dass er richtig gesehen lehrt jetzt F bei Miller p. 147. Unter dem Namen des Orpheus sind im Etym. M. p. 787, 29 die Worte überliefert: tôv 3n xahéouat Pavnra, ot roûtos év aidée pavros éyevro, deren Her- stellung bisher nicht gelingen wollte (vgl. Lobeck Aglaoph. p. 481); im Flor. steht (M. p. 298): rôv On To: rowrtiora péyav Secv, Cv ba Pavnræ xaéouoiv, Tu toütos év aldégr QUTÔÈS ÉVEVTO. Hiernach ist die Heilung nicht weiter schwierig: man hat mit Miller xxAnmxous statt xahéousiv zu schrei- 23* 7 359 Bulletin de l’Académie Impériale 360 ———_———…"—"…"—"—"…—"—"—"—"—"—"—"—"—…—…—…—"—— ben und nachher aus anderen Handschriften œavtos ÉVEVTO. Schon oben wurden gelegentlich mehrere bisher unbekannte Verse angeführt, die ohne Nennung ihrer Verfasser in der Florentiner Handschrift des Etym. M. mitgetheilt werden. Indem wir uns anschicken die übrigen neuen Adespota zu verzeichnen, müssen wir die Nachsicht der Leser in Anspruch nehmen für die Fälle wo wir die Quellen schon bekannter Verse über- sehen haben sollten. Wie leicht namentlich bei Ver- derbnissen des Textes derartige Irrthümer unterlau- fen, kann folgende Stelle lehren (bei Miller p. 93): Suat: Ex Toù duo vivra dun xal dual: Sual pèv LERLEANYTOL, wo das letzte Wort im Nachtrag p. 462 als unsicher bezeichnet wird. Dübner vermuthete hier den Rest eines schlechten Verses und machte den Vorschlag: Suat pév pe (sollte heissen duo Lévy pe) peAmmaTé T atèv éxovotv. Miller hat dagegen vollkommen richtig erkannt dass hier lediglich ein verunstaltetes Homeri- sches Citat vorliegt. Die Stelle sollte etwa so lauten: Sotai: x Toù duo yivetar dorot mat Jouut: Douai WÈV Msvddo (apnyoves). Dass dies sich so verhält lehrt Zon. Lex. p. 579: Svai Ex toù Do yévstas dun xat Suat: Suat pèv Mevshao aon- yoves (IL. À, 7). In ähnlicher Weise wird xéxhstro Xipvn bei Miller p. 181 zu Ende verderbt sein aus xexkpé- vos Atpvn (richtiger wäre Atvn xexpévos nach IL E, 709). Sicher lässt sich eine andere Corruptel beseiti- gen, die zu der Annahme eines bisher unbekannten Dichterfragmentes verleitet hat; ich meine die Glosse (Miller p. 239): TETISOULEV" TEÉTOULEV KA (HTOUÏŸ TAOTETITOV- res» (Il , 37) xai «xcoxtdt rentSeiv». Die Worte xeoki nentSeiv glaubte Dübner der Ko- rinna beilegen zu dürfen nach Anton. Lib. c. 25. Es muss vielmehr heissen xat «hotes rentSeiv» (Il. I, 184). Die ersten beiden Buchstaben in xepxtdt danken dem voraufgehenden xat ihr Dasein, n aber und x las- sen sich vielfach kaum unterscheiden. — Indess be- dürfen wir nicht einmal absonderlicher Entstellungen, um den Ursprung vereinzelter Trümmer von Dichter- worten zu verkennen; auch bei richtig überlieferten Versen lässt uns das Gedächtniss nur zu leicht im Stich. So bietet Miller’s Buch trotz der anzuerkennenden Sorgfalt, die er auf Nachweisung der Quellen anonym citirter Verse verwendet hat, mancherlei Stoff zu Nach- trägen und Berichtigungen. Homerisch z. B. sind die Worte p. 100: efatar @yyxt veôv (Il. K, 161). p. 127: po” éx vnoou Säooov (Od. x, 72, nicht Soph. Phil. 72). p. 71: BeBooropéva teuyex (Od. à, 41). p. 287: rro- X0v oùx av Ts xahéot Tovbovra Éœutoy (Od. p, 387). — Der Vers (p. 280) tés pa Jaipov ka Tapô JohoUmevos gehürt dem Archilochus. Nicht aus Lykophron, wie Miller p. 307 angibt, sondern aus Hipponax ist das bekannte 8Ayæ œooveobaty où yav metmwxôtes. — Die Worte xat KiSapovos éras (p. 204) führt der Heraus- geber auf Aesch. Agam. 298 zurück; die Vergleichung anderer Grammatiker konnte lehren dass vielmehr eine Euripideische Stelle Phoen. 24 gemeint war. Statt xaT ui ynoñvat rore p.76 vermuthet Miller xauè ynoävat mote, und so war zu schreiben nach Soph. Oed. C. 870. — Aristophanisch ist das p. 215 angeführte xara ce ywcopev Aots (Ach. 295) und vn tov Ilooetdo p. 174 (Plut. 396). In einem uns erhaltenen Aristo- phanischen Stück steht der Vers 276 3è Sotôvx etotov rounoopar p. 91 (Pac. 288). Zu dem Verse (p. 275) 6 Ze nohutipn® , 6s xahat vGy ai yuval gibt Miller die Anmerkung: Philippides Adowa£ovonts, unde Antiatt. citat yvvat plur. Die Stelle des Antiatt. p. 86, 12 lautet: Vuvat avti toù yuvaixes Puurni- Sns ASowatouoats. Depexoutns Koatatahdots TV Yu- vnv. Dass auch sonst in der Komüdie entsprechende Formen vorkamen zeigt Meineke Com. 2 p. 295 f. Darum ist es zweifelhaft ob Philippides der Autor des obigen Verses ist, zumal da dieser Vers anderweitig dem Mépveopos (d. h. nach Meineke Com. 4 p. 327 dem Mévavèoos) beigelegt wird. — Dem Kallimachus fr. 44 gehôrt der Vers depot tou xaxelvo ÉTétosys he TTOS tovhos (p. 44). In den Worten (p. 68) Borwtey à ovépnve, To yap xahéouor Borges würde Miller seine Vermuthung Bornças unterdrückt haben, wenn er gewusst hätte dass der Vers in einem sonst vollständiger erhaltenen Bruchstück des Eupho- rion wiederkehrt, s. Meineke Anal. Alex. p. 88. Die Worte Gv D’ ëtexey pèv D ’Ehépa Spébar DE xai a éhoyevaato yaia, wo Miller p. 107 à EA. Soébev dë vorschlägt, sind aus Apoll. Rhod. 1, 761 f., der Mil- ler’s Vermuthungen bestätigt. Der Hexameter (p. 202) hardy pv xaSUTEpŸev ÉT AUYÉVOS ÉVIETO TAAUV stammt aus Apoll. Rhod. 1, 1237, wo richtiger avSeto 361 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 362 ———@ gelesen wird. Statt ds D êre ve pont retupévos stätigte, da der obige Trimeter wirklich in dem Hym- (p. 219) muss es heissen ris +2 puort nach Apoll. | nus ets Oecquvta Strophe 19, 2 sich findet. Rhod. 1, 1265. Die leichte Verderbniss (p. 179) Sa À ATX ÉTELTE HUTAODEMÈS ÉGOUTO KÜPLE liess sich mit Hilfe von Apoll. Rhod. 2, 593 ohne Mühe heben. Richtig hat Miller p. 166 in den Worten iSetas rokéot dxas haoïot drOEE! durch die Ânderung rohéecot das Metrum geheilt, s. Apoll. Rhod. 2, 1027. In dem verunstalteten Hexa- meter (p. 292) ds pv yao ratép duov anesÉsipuos will Miller vyèy vneËstoucz ©. schreiben; bei Apoll. Rhod. 2, 1181 steht: ôç pèv ydp Tatép vpov vnebet- euro wcvote, vielleicht aber ist das Activum UTeÉelpuoce vorzuziehen. Den halben Vers (p. 85) épos dé Tor ioov dvetpo begleitete Dübner p. 462 mit den aphoristischen Be- merkungen: Anon. hexam. Theocr.? Très-sinqulier. Ailleurs Snvos est dit de choses douces: Ürvo pakaxo- repos, etc. Es war vielmehr zu verweisen auf Apoll. Rhod. 4, 384: dépos dé to iov ovstpous olypouT ec Êpe- Bos petapoweoy. Unrichtig behandelt Miller p. 92 die Worte dun pv ein xai EU, wo er pevéetv zu schrei- ben vorschlägt; s. Apoll. Rhod. 4, 1387: Sun ye pèv n xai cuEvv tés x évéror. Mél. p. 239 wäre es rathsam gewesen die Worte &youË 6 Botous où téneupes als poe- tisches Citat kenntlich zu machen; die Quelle ist Ba- brius 19,9.— Aus Dionys. P. (947 und 537) sind die Verse 1005 à imepcevrt xahas Ectehhsv Éetpas p. 99 @ovoLo und Aëofou + evpuycoco rai ueotis Tevédoto p. 168. — Endlich lesen wir p. 172: ioSucs, 477, 29. Add. (ex Ezechielis Eéayoyi): iou.6 repäror hads Iopanhitns. Ad fin. cûtos ‘HgwBtaves. cf. Zon. Von dem Drama des Ezechiel, das den Auszug der Israeliten aus ÀÂgyp- sen behandelte, kennen wir durch Eusebius mehr als 250 Verse; einige derselben citirt auch Clemens Alex. Bei einem Grammatiker dagegen ein Citat aus diesem Drama zu finden war mir überraschend und seltsam; ich überzeugte mich indess sehr bald dass obiger Vers nur vermuthungsweise dem Ezechiel beigelegt worden war. Aus mehreren Gründen hielt ich die Millersche Voraussetzung für durchaus unwahrschein- lich und vermuthete meinerseits dass der Vers viel- mehr aus einem Hymnus des Iohannes Damascenus entlehnt sei — eine Vermuthung die sich sofort be- Die vorstehende Aufzäblung von Versen deren Quel- len Miller verkannt hat oder verkannt zu haben scheint, soll lediglich mir zur Entschuldigung dienen, falls ich im Folgenden unter die in F enthaltenen neuen dichterischen Adespota manche sonst überlie- ferte Stelle aufgenommen haben sollte. Es scheint zweckmässig diese Adespota, so weit es müglich, nach dem Metrum zu gruppiren. Kexponins Teuproat énicxugcs Evouxheux p. 280. evotayuos Getteins p. 157. rad dé co ncput heuxaontdes p. 260, wo Xeuxd- ortôes unrichtig zu sein scheint. ravtes paupotépois roxtoiot pépoy p. 249 angeführt als Beleg für die Form réxros statt xoxos, ausser dem Etym. M. p. 679, 44 vgl. Arcad. p. 80, 9. An der letzteren Stelle hat M. Schmidt Ertrepn tns xaSont- xns moccmôtus ‘Heodaveÿ p. 91, 21 das überlieferte réxtos stillschweigend in réxtes verwandelt; ich hielt dies téxtos für einen Druckfehler, sehe aber jetzt dass auch bei A. Lentz Herodiani technici reliq. I p. 217, 31 tméxtos 6 noxos ohne Angabe der Quelle gelesen wird. “Esudv droecxéos p. 318. eic Audos reptévte xhev Topo (xkeUSopat vermuthet Miller) p. 188. Den sinnlos entstellten Worten liegt vielleicht nichts anderes zu Grunde als Il. 4, 244: eis 8 me aros éyoy Ad xevTopat, Wo andere fälsch- lich x\c0S5omoat lasen, vgl. Schol. Ven. und Hesych. Sévres apiotuXhoy Tadgov àr écyagcov (so Dübner statt ên ioy.....) p. 28. Früher waren nur die Worte apigruhhoy Tadocv bekannt. xévropt Baccaptôus p. 61. ris x Ilaginy évSade houcuévny p. 237. oSéyyco, xudlorn, mhetotépn œapuyt p. 247, nach Dübner’s ansprechender Vermuthung Worte des Kal- limachus, vel. Etym. M. p. 675, 18. oudè Kootovitrns éÉsxadotpe Miov p. 269. être Yhooon Theïotos © hoïoSos Et p. 208. arixa pigpoy rhéovss (vermuthlich rhefcves) n duadov p. 194. Bloc À arpaymov toîs YÉpouot aupLpÉpEL, mahtota S ei TUyctev TR Tols TROT n'paxxoëv péAhoey à hnpsiv Cho, ee yeecvrov éaté p. 210. Gehüren diese Verse 363 Bulletin de l’Académie Hmpériale 364 einem Komiker, wie man nach der Farbe des Aus- drucks zu vermuthen geneigt sein muss, so erweist sich das auch von Seiten des Sinnes anstôüssige amhot aus ei- nem metrischen Grunde als unmôglich. Das seltene pax- xo&v kennen wir aus Archilochus*) und Aristophanes. Sipoou tétuxrau Bhôouw evtuyoy tépus p. 66. Die er- sten drei Worte waren schon früher bekannt. où ocwyda cœmptoy p. 299. Man künnte où opær- ot œauviya vermuthen, wenn es überhaupt statthaft wäre sich bei einem so abgerissenen Fragment auf Vermuthungen einzulassen. Auch in Betreff der Worte xoù vhavxGntwy Tlo Tavrote fBputoioty euvoéotarov p.134 muss ich meine vüllige Rathlosigkeit bekennen. Nur weniges wollen wir hinzufügen über die pro- saischen Fragmente, die im cod. Flor. des Etym. M. uns geboten werden. Interessant ist die Bereicherung des Hyperides xatx AwgoSéov fr. 113 bei Sauppe Orat. Att. II p. 291, die wir p. 121 erhalten: axovo yo Avtoxhéa Tôv bnropa moûs ‘Inrowxoy tov KaæhAtou rep yoptou tuvôs dupioBmrroavra (so Miller statt dy. œuoBnrioavros) xat houdoplas aurais Vevonévns baribeuv aÿrey ‘Intowxov éri xcopns. In diesen Worten ist ge- nau dasjenige enthalten was Harpocr. p. 80, 19 dem Inhalte nach andeutet, wenn er sagt: ‘Yneptôns Yoùvy n Puivos y TO xata AwpoSéou roocmoy (AutoxAéa) barioavra tèv ‘Inréwxoy ti xcpons vYoupivar UBpeos, y toîs ns Ooncp éényeitar Touvoua RÉVOY cÉTeTa ‘Inrévxos ÜT AÙtoxhéous pôvov époanio in Tv YYAdo, &yo À 00 routev (vielleicht toutou) toy Totyoy etlxd- nv, xovOvhous EAaBov.» Auf eben diese Stelle bezieht sich der so genannte Didymus rept Tov aropcupévoy ropa Ilhatow Aé£soy bei Miller Mélanges p. 400: où JE To éni xcppns ÉÉnycUvrat els ToÙs VVAIOUS TUTTE- 3) Dessen Fragment bei Herod. rept oyruatowvs p. 57, 3 ist so zu schreiben: vÜy dE Acwpthos pev üpyer, Aewprhos Ô ÉTIXpaTEt, Acopihw ÔË tovra xeltat, Aewpthos DE paxxog. Vgl. meine Errterung in der Zeitschr. f. die Alt.-Wissensch. 1855 p. 110, auf die ich darum verweise, weil Bergk sie nur flüchtig ge- lesen zu haben scheint. Das von mir hergestellte Aewptaos DE pux- xoä ist durch die Ucberlieferung ganz unzweideutig indicirt: die Handschriften sind getheilt zwischen Aswrke Ôë dxove (AB) und Aewpihos 8 üxove (CD). Wenn Bergk noch in der dritten Ausgabe der Lyr. p. 701 die schr verfehlte Conjectur Aewgpihou & dxouerat festhält, so steht dies in schônstem Einklang mit seinem Bericht über die Handschriften: « Acwgilos Où axove AB, Acwgtkos OS dxove CD.» Dies erzählt die zweite Ansgabe der Lyriker p. 551, und genau dasselbe finden wir wieder in der dritten Ausgabe, die überhaupt sich hôchst conservativ zeigt im Fortpflanzen der augenfälligsten Fehler. cat, ws ‘Yneplôns év TO xata AwpoSéou barttetv «v- Tôv ‘Introwmxov xara (1. ri) xcpons, Etat koi ‘Inrow- xos UT AUTroxAéous époatio in Ty YYASov. Was in F bei Miller p. 230 aus Isaeus und Lysias angeführt wird, kannten wir bisher nur durch Pris- cian. Instit. XVIII, 252. Aus einem Commentar zu Od. +, 307 wird in F bei Miller p. 112 folgendes Fragment mityetheilt: œoév- Tes no Zouviou TY Évn HAL vÉL ToÙ oxtpopopivos ets Zayov Seutepaior Kate} UOUEY TOUT xa Aelo TvEU- part. Miller ist geneigt diese Stelle dem Redner Ly- sias beizulegen. Bemerkenswerth sind noch folgende prosaische Fragmente. p. 191: Snmoxnos, à xuvnyeotôv pv n ru halotons n innrixñs oùdb dxapn péhe, péher D és Ta xufeio tévar xal dptuyoxoneiv at LESUOXET SOL LETA AVIQUTOV xoBakov rat To ratoOn ÉÉmpymmévov xx Roy ov oùros où) dv paSntns ever duvarto TÔv xoBaheua Toy. p. 200: eë yao un oùtos sûyev EÔÈ Lôv NÔn pLEoTÔs dyeyovets, TohAMY av roûs Ts dtaBokas Tapecksuaow ray xvbéknv ÉrimhaGas #00 TÈ Tu xal xareyeébo peyaha aitoÿ xat dnerémho TŸ TUYLŸ TÔ TLOCUTOY Sévoy (vielleicht Sevoy). p. 269: xai Exaotos adToy avetnpos ÉtTulony ni OUYTAËEL CTAIL. p. 275: raoa Vaio xmroupov xal YAMoYOOV VER YOV ré &v mis xepgavers mhéov (besser wohl rh) n couxé- hovs xat xhaURaTO; p. 285: © dE dxparos DmohaBdy Toîs dos yeaTaTou rôv ASnvnot TorBaiôv, Ov Éxagtos oÙD &v ts adToi unTteos avaoyorro oivopévos. Die Stelle leidet an meh- reren Feblern; sicher scheint nur, dass es heissen muss oÙD dv Ts AITOÙ HLNTOS ATOTYOUTO. Einem anonymeu Schriftsteller werden manche ge- neigt sein beizulegen was p. 119 steht, érnystavoio Totiopoîo rapetxovtes. Aber es sollte wohl heissen: dodpet érnetavei, rotiomoi où diuheërovtes, nach Od. V, 247. Inwieweit durch das Florentiner Etym. unsere Kenntniss der gelehrten Studien bei den Alexandri- nern und Byzantinern erweitert wird, mügen andere gelegentlich specieller darlegen; ich beschränke mich für jetst darauf, einige Notizen hervorzuheben, die mei- ner Ausicht nach eine besondere Beachtung verdienen. ‘Ein bereits bekanntes Fragment lautet (Etym. M. 365 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 366G —— a ’ p. 426, 17): nov tèv Alu xrnoacSar ny Orupniav \ _ _ » 4 L L#4 Là \ 7 , raga This lis, auTnv rapeauinpeoav HAuos te xat Ko0- vos. propre JE toi xripatos xotvés éott Boyos at- qoiv auroiy év Ohuutéa. oupBohov DE Kai Tode: Toù pèv Acoos xahoumevos, Toù dë Has péyet ToÙ vÜv 4 … \ , ’ da Toùto xat AUYyetus 0 Kocvtes AORGUBÉVN ÉTOVUROS TOÙ DEOÙ. ris juons éBaséheucs polous obons ‘HAloy, HAiou raïc Neu aber ist der Zusatz in F (bei Miller p. 154), év tô mept cAuunitowxôv. Ob der Autor des Fragmentes Eratosthenes oder ein anderer sei, weiss ich nicht zu entscheiden. Zu den sonst erhaltenen Resten der Schrift des Phi- lostephanus tept mapadcéwy nrotag&y (Westermann Paradoxogr. p. 179 f. Müller Fragm. Hist. II p. 32) kommt aus K die Notiz über den Fluss Aatooç, s Miller p. 208. Merkwürdig ist was über Kallimachus und Aristo- phanes von Byzanz gesagt wird p. 267: Zxetpor — yodpsror DÈ due Dipsoyyou do ioropias. xai yap Ka- Aupoyou veyoapéros airo a Toù I'Agroropavns © Year marixos noogédnxe to E Ketpov xal to xoucetpwva (?)' Lai © Porpoy à Tav Atrixmv voobas dia ris El àt- DScyyou yoaper. xal xara dvarcyiav dE (1. dei) dia This EI droScyyou yodoet (1. yodoeuv), Énedn ano Toù xelpo yéyovs Ketoov xai Exstowv. Vom Periegeten Polemon ist ein neues Bruchstück auf p. 213 leider schlecht überliefert: Meltatx xu- véBuu RéyoytTat, où (re Miller) tanctoy ‘Itakias vois 2071 Mshirn, Ë nc ect Memo wuvidua. Iloépoy dE éxrice Zrxelav Meïtrns onciv elvar. Statt xtice ver- muthet Miller & Kricecr wohl mit Recht; die nach- folgenden Worte scheinen lückenhaft zu sein. Im Laufe der vorstehenden Mittheilungen haben wir bereits gezeigt dass der bisherige Text des Etym. M. durch die Florentiner Handschrift vielfach berich- tigt wird. Zu den früher erwähnten Vermuthungen neuerer Kritiker, die durch F ihre Bestätigung be- kommen, liessen sich noch manche hinzufügen. Die Lesart Adehoéwmoos Etym. M. p. 689, 23 änderte schon Is. Voss in’Ehaocvynsos, und Eapévnocs bie- tet F nach Miller p. 254. Dass Pherecydes fr. 33° (Fragm. Hist. I p. 80) den Herakles nicht Ioépo», sondern [ahaipovy genannt hat, lag auf flacher Hand und konnte schon aus Tzetz. in Lycophr. 663 ent- nommen werden: jetzt lehrt das nämliche der cod. Flor. bei Milier p. 249 f. An anderen Stellen dagegen AUTOS WY. SUR AXGaS , war es schwieriger oder geradezu unmôglich die ur- sprüngliche Lesart zu ermitteln. Nachdem die érovv- po der zehn Phylen (Eg:ySeus, Atyeus, Ilavtov, Asds, Oiveus, Kéxçob, ‘Intocov, Alias, ‘Avtloyoc) aufgezählt sind, heisst es Etym. M. p. 369, 21: tadtæ SÈ vo dx ovouara aropa © [lues efhsto. Sturz machte den eitlen Versuch das sinnlose arosæ zu er- klären; das richtige ao éxatov bietet F (Mill. p. 124); vel. Pollux VIII, 110: ri D Ahxpatovos lich quaat) éyévorro, x mov vuatoy Éhopéy Taha toù IluStov. Die Lesart arc erklärt sich sehr einfach daraus, dass éxatév mit dem Zahlzeichen g geschrieben wurde. Darum war es hier wohl môglich die ursprüngliche Lesart durch Corjectur zu finden; wer aber würde im Stande sein Etym. M. p. “274,110 die lückenhaften Worte to BÈ papyns © Tuoavwwto dÉvves..… moomapoËu (1. raupoËuve) zu ergänzen? Dass nach cEvver die Worte Séhsuxos Ôë ausgefallen sind, erfahren wir durch F bei Miller p. 211. Was die Kritik betrifft welche der Herausgeber an den aus F mitgetheïlten Stellen geübt hat, so künnen wir im Allgemeinen uns nicht anders als beifällig über dieselbe äussern. Hie und da konnte er, wie schon gelegentlich angemerkt wurde, seine Vermuthungen durch anderweitige Zeugnisse sichern. So steht das p. 248 zu Anfang vorgeschlagene dxpotrptoy Anecd. Paris. vol. 4 p. 16, 7. Statt Sedv”Aptepuy cfov Étadev hat Miller p. 157 richtig emendirt ot étaïey, wie aus Choerob. in Theod. p. 421, 28 hervorgeht. Zu Tapc- xov wird p. 288 bemerkt «apud Latinos Tarchon»; dass auch bei den Griechen der Sohn des Telephus nicht Tapayov, sondern Tésyov heisst, lehren Stepha- nus Byz. p. 607 und Tzetz. in Lycophr. 1243. 1249. Ganz unberechtigt ist es, wenn p. 274 das überlieferte œarpta in poutres verwandelt werden soll; bei Iso- krates, Aeschines, Lucian hat man allerdings mit gu- tem Grunde die Form oartotx beseitigt, und es scheint mir hiernach hôchst zweifelhaft, ob Aristides vol. 1 p. 77 Dind. px& œareta geschrieben hat: den Byzan- tinern aber ist die überaus häufig vorkommende Form œarteta unbedingt zuzugestehen. Zum Schlusse gebe ich noch einige Verbesserungen zum Florentiner Etym. M. nach der Reihenfolge der Millerschen Seitenzahlen. p. 75: KaïMpayos" of 0 L'éha rorapod émuxstuevoy &otu. Der Vers des Kallimachus war zu berichtigen und zu ergänzen aus den Schol. déxo (näüm- où TŒ 367 Bulletin de l’Académie Impériale 368 EEE à M Pind., vgl. Bergk Anthol. Iyr. P- 153 ed. alt. — p. 191 zu ado: oÙTOE edpcv éy DTOULVNLATL Avdgovixou ets TNY ’OSvocerav. In diesen auch Etym. Gud. p. 334, 12 er- haltenen Worten muss statt AvSoovéxou vielmehr Aot- arovtxov hergestellt werden, wie ich im Aristoph. Byz. p.16 Anm. gesagt habe und andere nach mir.— p.197: XTÂGLV' TV pee (MA388)} ie punv ÔLOUS te at NYepepéc. et90s TEQUXEPANQIRS LE ixtidos dÉopa- ros nuotsomévn xté. Miller hat nicht bemerkt oder we- nigstens nicht bemerklich gemacht dass vor etÿos Tept- xeoaratas das Wort xridén, mit dem eine neue Glosse begann, ausgefallen ist. — p. 214: Mepon vices 0m0 Megéns d9 die Handschrift) ques Auxowxn éctiv auTn pépyntat DE aÿris Sooiflos &v TO rep ES xai pnoiv Ott où mpesBuTepor AaxeSQLOVOL HOPEVOVTES TOÛTO éréheyov. Auf den Parômiographen Aristides scheint sich zu beziehen p. 363: tavekha (so Miller statt Tnv ÆEXddc) ToÙTo oumBoAxov ÉgTL pue dè Agroretdns "Aoythdyou eûvar al omaiver Tv év Tois dyO0L XV" méme yo var Toù aÿhntixod évdoctuov. Verschrie- ben ist vielleicht der Name ®ricÉeves p. 356 f., von dem oagpÿcvos yéhos geredet wird: PrAcéevos dé œnotv évéous ioropeiv 671 év Supôoi Th vnoo Écavoy dort roû Keôvou mooveivoy tac ysipas, ÉD où Tous clxobvtæs éruridévor ta Boéon Tais yoot Toù Écavou, (hier scheint der Text lückenhaft) ai GE hG», ETA TON KELV ka du TO YEAGY TOUTO KEXA NO IL TOV ÉTISaVATIOV YÉÀOTE. Die Zahl der neuen Sprichwôürter denen wir in Mil- lers Sammlungen begegnen ist äusserst gering; dahin gehôrt namentlich der Trimeter oùy Gt: Kovova Trpi- BaËos feras p. 360, über den der Herausgeber p. 343 gesprochen hat, und ein von Haus aus wohl ebenfalls metrisches Sprichwort p. 378: aoTnë dtaouyoüoa Téyas ait oùy dAwsetu, wo vermuthlich ein tro- chäischer Tetrameter herzustellen ist: dia tayas ou- voÿs (oder Stapuyodo’ draË) dAUrné ais oÙy &ho- AQTEpS" QÜTN TOÉTTETAL HAT TRY Tete aÜtn TU (?) flüssig sein; 376 getot. Längst bekanntist dagegen der Hexameter taîs por Toroyevns ein, un Torroyéverx (vgl. Suid. v. Torto- yévetu), was dem Herausgeber p. 345 und 375 nicht gegenwärtig war. Um so erheblicher ist der Gewinn der für die Er- gänzung und Berichtigung der auf uns gekommenen Texte der Parômiographen aus der neuen Publication sich ziehen lässt. Dies im Einzelnen vollständig nach- zuweisen würde hôüchst umständlich und ziemlich über- es wird genügen wenn wir einige Bei- spiele aus Zenobius anführen. I, 31: aoraya ta Kiwvaoov (ra Kowida die Miller- sche Handschrift, die wir fortan mit M bezeichnen, | p. 366) tautns pv péuvnrot (rautns mépvnrat richtig M) KaïMpayos év CduBors Tiuatos DÈ Épn Gt Kivwvapos (Kowidas M) éyéveto roovoBooxos (ropvorpcpos M) Zeat- voustos, mhovotwtates oûv (yoùv om. M, man schreibe 0s mhovoturatos) x Ts Épyaolas Vevépevos, ÉGV BÈV érnyyÉéAketo Tnv oÙotay icpav Ti Aovocdrn xatakeibar (xatohetber richtig M), teksutôv DE td cyta pou SnxE» ets dpraynv(reheutoy SE dtéteto oûtos: dora ya Ta Kov- vida" avoyvooSelons à Tis SLadmens © Jos Ts TE roudioxos xat ta yenuara Smpracev M). Jeder sieht sofort dass die in M vorliegende Fassung vollständiger und besser ist; streitig bleibt noch der Name des Se- linuntiers, doch scheint des Hesychius dotayn Ta Kéova eher auf Kowtô« als auf das vom neusten Her- ausgeber aus Zenobius entlehnte Kewvaocv zu führen. — II, 19: avropato © ayaSol dyaSov ént daîtas levrat oûtos ‘Heaxhstos éyoncato Ti rapoia üs Hoaxdéous érioortnoavtos ëtt Tiv otxtav Kauxos Toù Toaytviou. Statt Hoaxhertes hat Schneidewin ‘Hotodos vorgeschla- gen, indem er an den Hesiodischen Kmuxos yapos erinnerte; M bietet oùtos 0 Baxyvhtôns (p. 350), und das ist unzweifelhaft richtig, obschon die bei Ath. V p. 178 B erhaltenen Worte des Bakchylides etwas anders lauten: aÿteparto: ÿ dyaS@y Saîtas edoySous énépyovrau dixouor potes. Wer aber hätte es gewagt “Hoaxhertos in BaxyuXiôns zu ändern? Die Stelle zeigt dass nicht immer die leichtesten Ânderungen zugleich die besten sind. — II, 27: aùr® pehntéov, &XX Ent vôv oëxov. Statt merntéov hat Dindorf Mehtéov vermuthet; Mehertéoy bietet M (p. 372).—II, 41: Bañanotas éxa- Aouy Toùs oo (puoSoù richtig M p. 350) rov xap- mov toûroy ouhhéyoytac. — IV, 34: KaXkiotputos Ya 0 bntoo éxrecov ASnvnSev Étetoe Toûs ’ASnvalous TNv 37% dvuurépay yhv oxiout, éyoy Gt ral pouc& (1. yeusetc) pétaha yet ai iv apSovor xai Ganv (dhnv richtig M p. 360) defarnv, xal Clos Oaaov dyaIGv TÔv TORov éxaher. — IV, 37: qua vols Oodxas nTTdÉvTAS ÙTO Boturôv rept Koguvera xal oretcauévous orcyÈas TEVS- THÉ pous SÉCIA VUXT CES dë énryevomévous tofs Borutois, rods pèv aroxteivor, tous SE Éwyoñoa: Man verbessere mit M (p. 358): xai oretoayévous omovdas mevSnpépous émiSéaSou vuxrôs éneyevouévns Tois Bowroïs mai toùs roùs à Coyeñoar. — V, 6: 6 ‘Eppodo- o0c axpoats véyovs [adrovos xai Toûs UT’ œuTob cuv- reSemévouc hoyrowods (ouvmSenévous dtakcyous M p. 350) xoui£ov sis Zixshiav énwket. — V, 78: Edavpos Epn OxTO TOUS TAVTOV ElVAL KOWTOUVTA Seous, TÜo, 0800, vf», cupavov, cekynv, nauov, MiSpav, vote. Statt des hôchst unpassenden Ma bietet M p. 349 rich- tig muéoav. — VI, 11: Ta voa Tv els Toy Savarov: pépvntar Taurns ’AXéËavdoos év Aîrchors. Vielmebr "AhcËts y Aënohoux, wie ausser Suidas auch M bietet (p. 355): vgl. Meineke Com. 3 p. 385 und 4 p. 553.— VI,12: tas Iornvéas yuvaixas. Wyttenbach’s Vorschlag ornvéov wird durch M p. 369 bestätigt.— VI, 15: np0- ra répbas eis Ackgods rôs (besser té) dei xaheiv Toy ayôva, Athe xai Tue; Vielmehr Ag n IySee nach M p. 356, wie bereits Schneidewin vermuthet hatte. Von Stellen anderer Parümiographen beschränken wir uns auf folgende Proben. Plut. I, 10: Kakkxvo toy LLÈV aroxTeivar, M :, 0 (2 , TOTÈ TANIOS ÉTOXNTE Tous Zvoaxougas oùto Tohhot (tais Zupaxouoats oùto mou richtig M p. 370). — Append. I, 39: vois adnetSodaty 6 Arohov nrelhnse rodaxts doyuoäv Aov anonéuretv. Statt drorépretv ist érerépneu zu setzen und roxhkaxts wird besser nach rois aretSovot gestellt werden: beides mit M p. 370.— Macar. VI, 89: tapa xopoù SUows œheiv. Da in der Veneter Handschrift &hew accentuirt ist, so schrieb Walz gôeuv. Diese durch den Sinn gebotene Correctur wird bestätigt von M p. 376. — Arsenius p. 431, 19: dp éauris ta xépata Eti TOY értBouhas Éx TV cixelov dororapévos alya Vip pact toeuseiouv xal Doïoæy vo ToËoy Todro séreiv. Das Sprichwort lautete nach M (p. 376) é® éaurnv af ra xépara, und da- mit gewinnen wir einen Paroemiacus, der in Meive- ke’s Zusammenstellung (Theocr. p. 454 — 469) ver- misst wird *). 8) Was ich von sonstigen Nachtrügen zu dieser dankenswerthen des Sciences de Sainté-Pétersbourg. 378 Noch liesse sich darthun wie in M die Erklärun- gen der Sprichwürter vielfach vollständiger sind als in den bisherigen Sammlungen (vgl. Zenob. IT, 15 mit M p. 358, wo éyovtaz in Épyoyrat zu ändern ist; Diogen. IT, 57 und VI, 47 mit M p. 379 und 359, Append. IV, 93 mit M p. 354): wir verzichten ARS darauf, um noch einige Berichtigungen zu den von Mil- ler publicirten Sprichwôrtersammlungen mitzutheilen. In der Erklärung des Sprichwortes tuoæuatou popos (p. 352 zu Ende) bietet M: etpntor êtt Toy éautôv (1. Éautois) rocéevouvroy drowketuy cxouyartiynv. Man bessere oxopparixôs. — p. 353: © dÈ ‘HoaxAns éxé- Âeucev auTov tn feipa Toocpépovra To Sedy he. Der Herausgeber scheint nicht bemerkt zu haben dass in den letzten Worten ein Trimeter enthalten ist, den ich ehemals für tragisch hielt (Adesp. 113), vielleicht mit Unrecht, da wir bei Plut. Mor. p. 239 A lesen : rav Sammlung augenblicklich zu bieten vermag, môge hier eine Stelle finden, gesondert nach den drei Rubriken die Meineke unterscheidet. I."AtSou rpwxtw reptméoots (vermuthlich repemérrouc) Diogenian. IT, 43. Diog. Vind. I, 97. doxù S£ to Auou tavros Iambl. V. Pyth. $ 162. Philo Iud. vol. 1 p. 489. Marin. V. Procl. 34. vgl. Diogenian. II, 97. Zu Grunde liegen die Worte des Hesiod. Op. 40: oÿ6ë l'oucty Gow ThÉOY MULLGU TAVTOS. evopxorepos Tevssrou (andere lasen T'eveurou) Append. If, 88. Ouctos tais Ayhaopoyros Macar. IV, 63. vgl. Simonid. fr. 160, 1 p. 920. xai Baituloy dy xutémies (vielleicht xaténuvec) Apostol. IX, 24. un mot Baiwy: xaxds ty SUc Ath. VII p. 288 A. Etym. M. p. 192, 55. vos els ayvowvas dréôoa Schol. Ar. Vesp. 1310. vgl. Meineke Men. p. 425. 6 tt Got pihov, 000 épot Ex Spoy Macar. VI, 55. o0ô Atourov merätoxas Arsen. p. 592, 9. Worte des Aristo- phanes Av. 471. oùdeis TELVOy xaXS (1. #a}à) aôet Macar. VI, 73. rdga uEy Tediov, tapa À irroc Macar. VI, 87. Stpé qe (vielleicht 67. pégor) Àdyoy" où y&p auuëx Macar. VII, 79. 0 EUyWY pÜdov GAprra eye Apost. XIII, 78. Der Artikel ist wohl zu tilgen. xuost taie cos ro xUpuvoy (vermuthlich yaipet xutaparoe xUpuvov) Arsen. p. 718, 14. IT. énSovrov (überliefert ist o09 anôovrov) xuré0upSov Macar. VI, 69. axanva Suouoy Gotôot Eustath. Opusc. p. 59, 89. 235, 33. vgl. Meineke Ath. vol, 4 p. 6. dtxaLoGUvn x4X0V evo Corp. Inser. 5571 vol. X0.XOi xopou oÿx dvéyovrat Mant. prov. I, 80. 20p0vn veu xopéiet Apostol. IX, 87. SÉSpou netoup éparrat Diogen. VII, 96. Hesych. Phot. Suid. Das Sprichwort ist entlebnt aus Homer. ruSoôv dé te véreos éyvo Greg. Cypr. Leid. II, 98. Worte des Hesiod. Op. 218. Sehpiva toc oûpaïoy (andere pos roÿpaïov) ôets Diogen. Vind. II, 44. 000" aidé (s0 ed. Pant. statt aidoü<) cot répt40c Apostol. XIIT,48. Dass bei einigen der vorstehenden Sprichwôrter die ursprüng- liche Fassung hôchst zweifelhaft ist entgeht mir selbst keineswegs. 3 p. 608. IT. 379 XEÏOX ToTIpÉpOYTE ray Toyav xaheiv. Einen Sopho- kleischen Vers, Tax eiocueoïx [LAVTEY UTÉQTEROY (Ant. 631), hat Miller p. 380 zu Ende verkannt. — p. 354 lesen wir: «1 xp Evo n zohoxuvtn. Zen. IV, 18. À la fin: n à dno ExvTov bots ti TÔv dTOT ES OÙpLO- £euv ruvès Reyéyrow». Die letzten Worte haben mit dem Sprichwort mTou xotvov n xohoxvvtn nichts zu thun; wie es kam dass sie mit demselben verbunden wur- den, lässt sich aus Diogen. V, 10. 11 ersehen. — p. 357: Boës EB5ouos — éreudn Ta épbuya éÉéduov ci névntes. Statt éééSuov war ÊË ESvov zu schreiben, wie p. 377 £Ë épbuyæ Suovres sich findet. — p. 376 steht bei Miller: «aiyuahG hakets, vue day p— Tag vo Avolteusr. Ent rôv eùs parnv hakouvrov Tois (LA TOY he yopévoy ADS ÉTIOTOEDOMÉVOLS M ÉTALONEVAÉVOS KE ÊTL TOUTOV. DEy dYLOYTOY pe ai To «parnv dvahioxets Üoop». Tapocov oi Bnto- petovtes To mahardv roc DHp pLeETOnpÉVOY ÉhEVOV. Statt avévrov wird vermuthet cuwévrov, ein durchaus misslungener Vorschlag, da dieser Begriff nur im Da- tivus stechen kônnte, parallel den voraufgehenden Par- ticipia émrotecpouévors und érouoSavopévors. Und was soll das nachfolgende èxt tourov bedeuten? Es war zu schreiben pndèv avvévrev. ri TouTOY al To LETNY dvañioxets Lowo». — Die p. 378 angeführten Dichter- worte raSüv dé te virtos éyvo sind nicht aus der Ilias, sondern aus Hesiod, Op. 218 entlehnt. —p. 378 zu Ende: ados oùres ‘Hoaxhis: êni rôv t6 Bla rt rout- révrov. Vielmehr étt tôv Béx re roartovrov. — p. 379: das dyoy xaSeuders — Tapésoy À ŒÂMS AYOVTES VaU- rûhor xévôuvov dyetv Joxobvres xuSeudetv où DUvAvTE. Das unerhôürte x{#3uvoy &yz:ev ist durch das voraufge- hende &has œyovres veranlasst; man bessere xeyduveyerv Soxodvrec. — p. 379 zu Ende: aqua ës tp, Taup600v ro AuxiStov todto au TO Siéar nupos Ébera. Statt AvxtStoy fordert der Sinn éxSu8tov. Der Infinitiv Stéou wird geduldet werden müssen, da er wenn nicht durch Beispiele, so doch durch Analogicen gesichert ist. — p. 280: (AuBezs oder vielmehr Odpugtc) Ureywpnse ris Zvbapcos, DGÉav rois rohiTous Tapacywv’ o? dE pet chéyoy mavokeSpta depSdoncav. Vor oder nach dem Worte Jd£av ist avias ausgefallen. — p. 380: &as amqrouv, oO) aTeoUvro cxdpas” ÊTÈ TOY GAEUOA ÈV aratoumévov, Gas dE pm éxerv Xeyovrov. Die Emendation dieser Stelle ist aus Zenobius I, 83 zu entnehmen. — Bulletin de l’Académie Impériale 380 Der Vers auf p. 381: pnro péy eirns nolv Tekeutn- gehôrt dem Sophokles fr. 596. id: 382: "AÎodoTElt 1 VEETDOR TOËs peyahœuyapÉvoLs do TOU- U GaytT dns £ roy pnèèv arodSpacxeuwv. Vielleicht do To CU univ arodSsdcxeuw. — Bald nachher heisst es: AYOLYE Eéyoy &v xeôvw. Vielmehr araye Éévov nach ander- weitigen Zeugnissen, vgl. Meineke Theocr. p. 466.— Auf derselben Seite steht: autov tov Bornpæ Éxpougev' êri rOv Truyyavévrov 00 ép'evras. Statt Borños ist Ba- res herzustellen; vollständiger lautet das Sprich- wort: œurov xéxpouxas (oder nach Amipsias Com. 2 p. 711 èr aÿrov Yueu) Tov Batioa Ts Supas. — Am Schlusse von p. 382 dürfte in den Worten à Ta roprain ro à payaxTnpuôvos ka pivovres TEhoULEvE sowohl év als xai zu tilgen sein. IV. Aus derselben Handschrift der wir die Sprich- würter verdanken hat Miller mehrere kleinere Abhand- lungen grammatischen und lexikalischen Inhaltes be- kannt gemacht (p. 397 — 436, mit einleitenden Be- merkungen p. 385—396), nues die für die Gelehrtengeschichte des Alterthums von nicht gerin- gem Interesse sind, 1. Das kleine Excerpt x toy KAavdtou Kacthovos rago rois Attixois bnropor Entoupévav (p. 397 f.) bie- tet keinen neuen Text, sondern reproducirt lediglich einige Glossen aus dem rhetorischen Lexikon das Do- bree von den Rändern einer Cambridger Handschrift des Harpokration zusammengelesen und zuerst im J. 1822 hinter dem Porsonschen Photius, sodann 1834 besonders herausgegeben hat. Eine sorgfältige Bear- beitung dieses Lexikon verdanken wir M. H. E. Meier (Halle 1843), und im vorigen Jahre babe ich den Text desselben im Anhange zum Lexicon Vindobo- nense p. 329 — 358 drucken lassen. Die von Miller benutzte Handschrift enthält p. 352,15—355,2 und p. 356,7—10 meiner Ausgabe und stimmt in den auffallendsten Fehlern mit dem cod. Cantabr. überein; indess ergeben sich aus ihr doch einige Berichtigun- gen des Textes, die wir hier verzeichnen. p. 553, 1. nept ‘Hoaxhelas toùs Tmapaoadyyas }éyer 5. paéteov éotiv 6000, 6ç T7. 8. éÉnxovræ otadtæ 9. oùs &y- yogous xadoüauv éxeîvor p. 354, 11. 12. éx Tôv ado- Euv éÉvoroaxioSn da peySneta Toorwv p.356, 8— 10. of év rois mohguots émhwxotes xal dtà Todto Joudeu- euy BeBraopévo rois xexparnxdotv (mit Weglassung des unpassenden routavelots). Über die Person des Ver- des Sciences de Saint-Pétersbourg. 32 0 fassers Khavôtou Kaocthaves fehlt es an weiteren Nach- richten. Den Namen Kaoûov, für welchen Miller p. 385 kein Beispiel beizubringen wusste, hat Benseler aus Suidas v. AX#£avSpos Atyaios angemerkt, wo ver- schiedene Schriftsteller genannt werden, die den Na- men AXé£aævSocc führten: ot! St xai repos AXÉEG- 80os ’Apoodiauus, œthocopos® xai GXhos © Noupmviou, coptotns: xal GXhos, KAaUd1oS ponparious, copioTis" xal Erepos, © Kasthwvoc, comtorns, dehpos Evcefiou rod coprotoë, ant Sè Ioukrævcd. Sollten vielleicht hier die Worte Kaavôtos und 5 Kasthwvos zusammen- gehüren und auf eben den Grammatiker zu beziehen sein, von dem der Titel des von Miller verôflentlich- ten Excerptes redet? Dann hätten wir vor uns einen AXÉavS00s Kaasôtos, Sohn des Kæcthov, aus der zwei- ten Hälfte des vierten Jahrhunderts n. Chr. Unter dem vielversprechenden Titel ArtSoüpou mepi Toy ancpoupévoy raga IlAatow Xéécov folgen p. 399 — 406 Erklärungen theils selten vorkommen- der, theils ganz alltäglicher ”) Wôürter und Redensar- ten aus den Schriften des Plato. Für die Interpreta- tion und die Texteskritik dieses Philosophen dürfte das vorliegende Schriftstück ohne Werth sein; wenig- stens ist es mir nicht gelungen in der einen oder an- deren Hinsicht ihm etwas abzugewinnen, und es scheint mir dass Miller in der Freude über den neuen Fund durch den Namen des Didymus sich habe blenden las- sen, wenn er p. 387 sagt: «a Timée sert plutôt à éclair- cir qu'à corriger le texte de Platon; Didyme réunit les deux avantages, car son témoignage vient justifier cer- laines leçons qui avaient été mises en doute par les sa- vents. Les manuscrits qu'il avait sous les yeux présen- tent de nombreuses différences avec ceux que nous pos- sédons aujourd'hui». Abweichungen von unserem Text finden sich allerdings in den Platonischen Citaten des so genannten Didymus ziemlich oft; aber ich wüsste unter diesen Abweichungen keine namhaft zu ma- chen aus der sich, sei es unmittelbar sei es mittelbar, der Platonische Text berichtigen liesse; die zahlreiï- chen Abweichungen sind, so viel ich sehe, eben nur gleichgiltige Fehler, die der Flüchtigkeit theils des 9) 9) Zu den Trivialitäten gehôrt die Bemerkung auf p. 400: atta TIVa, üç agro Ev tô mept Vuyns «rotaïta GTTa» TYCUY TOLUÜTA TL. Unbegreiflicher Weise hielt Miller an dieser Stelle das Lemma axta für falsch, während vielmehr nachher rotaÿræ arra (statt &tta) zu schreiben war, vgl. Plat. Phaedon p. 60 A. Autors theils der Abschreiber zur Last fallen. Aber für mehrere andere Schriftsteller gewährt das neue Opusculum einen nicht zu verschmähenden Gewinn. Von einem neuen Verse des Hipponax, év tapeto Te koi yapeuvio pupvoy (p. 402), war schon oben die Rede; eben so von einem Fragment des Hyperides, das unter éri xcoons (p. 400 f.) angeführt wird. Un- mittelbar nach diesem Hyperideischen Fragment heisst es: xai Pepexpatns 0 S 'Ayuhebs eÙ Tos ÊT HCpONS AUTÔV émétaËev, Gore nôo dméhapbey Ex TÔv yvidov. Diese Verse des Pherekrates sind neu. Im zweiten der- selben hat Miller richtig érataf:v geschrieben; am Schlusse wird adréhauŸ êx rôv yraiov die leichteste Ânderung sein um das Metrum herzustellen. Der An- fang 6 S ’Aytheus — œurov ist dagegen so übel zuge- richtet dass es misslich scheint irgend welche Emen- dation zu versuchen. — Noch verdient erwähnt zu werden dass eine bereits bekannte Stelle des Simoni- des in unserem Excerpt p. 403 angeführt wird, weil diese Anführung für die Kritik der Stelle nicht ganz gleichgiltig ist. Simonid. fr. 10 p. 873 war überliefert: rés Dh TOY vÜv Tocdde TETAROIO! LUPTOY N GTEpAVOLGL co dvegoato vas Êv ayon reptxriovov; Statt to- cas hat schon Portus tocaoès hergestellt; ihm sind die neueren Kritiker gefolgt mit Ausnahme von Bergk, der toccaÿe in den Text gesetzt hat. Da in der neuen Quelle +écas n steht, so wird die Richtigkeit der an sich evidenten Besserung too4sès wohl nicht weiter bestritten werden. Was die Kritik des Textes der [Mharowxat AéËets betrifft, so hat Miller das meiste was verbessert wer- den musste und verbessert werden konnte selbst in Ordnung gebracht. Ein Accentfehler ist p. 401 gedul- det in den Worten +nv àë xaxnv (vielmehr xaxny) rt ris xoxlos voxte, und unmittelbar nachher wird statt des Attischen xataÿæoSo unrichtiger Weise ein Byzantinisches xat48a956 gefordert. Für verschrie- ben halte ich was p. 405 gelehrt wird, dass die Atti- ker +4v topuvv genannt haben sollen sdepyéTttv: eine Angabe die im Etym. M. p. 762, 34 wiederkehrt. Stattedeoyériy musste es vielmehr heissen cépynv oder coynv, wie längst Hemsterh. im Hesych. I p. 1503 gesehen hat: vgl. Eust. Il. p. 219, 25. Pollux 6, 88 (wo écoyñout in écpyivas zu ändern ist) und 10, 97. Hesych. éopyitetar und evcoyés. Das Separny Zu An- 383 fang von p. 405 ist entlehnt aus Plat. Menex. p. 244 E, wo Seoants gelesen wird. In Betreff des Verfassers der kleinen Abhandlung rep roy dropcupévoy rapa Iiitov ééewv künnen wir unsere Bedenken gegen die Autorschaft des Didymus nicht unterdrücken. Das Opusculum ist im Grossen und Ganzen ungemein trivial, und von absonderlicher xelehrsamkeit des Verfassers ist kaum etwas wahrzu- nehmen. Dies kann nun freilich seinen Grund in dem Umstande haben dass uns nicht Didymus selbst, son- dern lediglich Excerpte aus Didymus vorliegen. So scheint Miller zu urtheilen, wenn er p. 386 sagt: deux articles cependant, ri xdpons ct reptayetpopevor, parais- sent avoir conservé leur forme primitive, und es ist sehr wobl denkbar dass hier wie sonst unter den Händen der Byzantiner die ursprüngliche Fülle der Gelehr- samkeit zusammengeschrumpft sei zu den allermager- sten Excerpten. Auch ist die Môglichkeit nicht in Ab- rede zu stellen, dass Interpolationen sich eingeschli- chen haben, durch welche der echte Bestand mit werth- losen Zuthaten verfälscht worden ist. In einem ein- zelnen Falle zeigt sich dass die vorliegende Sammlung Platonischer Xé£ets nach verschiedenen Principien an- gelegt ist. Miller sagt p. 387: «Didyme ne suit pas, comme Timée, l'ordre alphabétique», und im Allgemei- nen ist dies richtig; wenn aber p. 400 — 402 die er- läuterten Ausdrücke in folgender Reihe auftreten: avareurdtsodat, aroxvaleuy, arodoroureis dat, AÜdN, dRQHTOY, LXTOLIVELV, ATTA, JUCOTEÎT IQ, TS baATO, ÊTL xoppns, éocoyehetv, épfoayv, éfSodomov, épostv, elAn, mdyn, Sahiar, Üutap, Saua, xaxnv, xatadagTo, pé- Acov, petanotstodat, cpaddietv, cxOAUSpIOV, GTAIEQCV, Te SupévO, pavdov, jaebvtov, ptet, SO ist hier das Princip einer Anordoung nach dem Anfangsbuchsta- ben, von dem nur einmal abgewichen wird (5ay.æ sollte vor txtao Stehen), ganz unverkennbar. Eine derartige Abweichung von dem sonst beobachteten Princip oder von der sonstigen Principlosigkeit in der Anordnung der Xé£ers lässt sich am einfachsten erklären entweder daraus dass der Verfasser für diesen Theïi seines Werk- chens ein alphabetisches Lexikon Platonischer Glos- sen excerpirte (eine solche Excerpirmethode würde aber einem Spätling weit eher zuzutrauen sein als dem Didymus), oder daraus dass ein Byzantinischer Inter- polator diesen Theil und dem gemäss vielleicht auch manchen anderen Artikel nachträglich einschaltete. Bulletin de l’Académie Empériale 384 Unter allen Umstäuden wird das Eigenthumsrecht des Didymus für jede einzelne Xééxs hüchst zweifelhaft, wenn wir im günstigsten Falle eben nur Excerpte und zwar mit späteren Zuthaten stark versetzte Excerpte aus Didymus vor uns haben. Aber vielleicht dürfen wir kaum einen Schatten des Didymus hier voraussetzen. Zwar mag ich kein beson- deres Gewicht auf den Umstand legen dass Miller p. 399, wo der Text des Opusculum beginnt, in der Überschrift gegen seine sonstige Gewohnheit (vgl. p. 397. 407. 413. 427) den Namen des Autors weg- lässt: da in der Einleitung p. 385 Atdvpou mept Toy arogoupévoy top Ilhatow Xééewy ausdrücklich als Titel bezeichnet wird, so wagen wir nicht zu bezwei- feln dass Aôvpov in der Handschrift steht; aber dies handschriftliche Zeugniss ist, so viel ich sehe, die ein- zige Stütze deren sich jemand bedienen kann um die Autorschaft des Didymus zu behaupten: die Zuver- lässigkeit derartiger Zeugnisse steht aber bekanntlich zu der Berühmtheit des Autors um den es sich han- delt in umgekehrtem Verhältniss, und dass der Ale- xandriner Didymus berühmt genug war um zu Fäl- schungen benutzt zu werden, lehren die von A. Maio herausgegebenen Ardupou "AnsÉavôoéos RétTea pLapua- pov xoi ravrotwy Évhovy. Dass Didymus sich mit der Erklärung des Platonischen Wôürtervorraths beschäf- tigt habe ist sonst nirgends bezeugt, und in den ziem- lich zahlreichen Bruchstücken des Didymus findet sich nichts was sein Anrecht auf die vorliegenden Xé£ers zu begründen geeignet wäre; denn wenn Photius Lex. p. 583, 10 sagt: teutdteu roaypateveodat N oxev- opeto Sat N OTOUYYEUEO dat ka To) Gtato(Betv Ed TO aUTO. Auxoppov. oÙtos xat Aldumos, Tooodeis TL éviote gave xai To pooytiéauv, s0 gleicht dies der bei Miller p. 399 gesebenen Notiz, érreutaberv (1. teutaterv) ToayuateteoSot à cxatwpelv (1. cxsvwogev), nicht voll- ständig genug, um Beweiskraft zu haben, da bei Mil- ler gerade das fehlt was als Eigenthum des Didymus hervorgehoben wird. Freilich ist nun einzuräumen dass wir über die schriftstellerische Thätigkeit des Xaù- xévrepos hôchst mangelhaft unterrichtet sind ; aber doch meine ich, wenn Ihatowxat Aé£ers des Didymus in voll- ständiger oder in verkürzter Fassung sich zu den By- zantinern vererbt hätten, so müssten wir deutlichere Spuren ihrer Benutzung antreffen als es jetzt der Fall ist. 385 Doch genug von diesen negativen Gründen, die uns abmahnen dem Didymus die kleine Abhandlung zuzu- gestehen. Positiv sprechen gegen Didymus zwei Stel- len und zwar der Anfang und das Ende der Abhand- lung selbst. Am Schlusse (p. 406) heisst es: at &hdo dÈ rAnDcs ÉGTL TOY CUTUS ÉXOYTOY Éeudiov, T Ep OV [LAKEQÔV ŒV EÙN dépE Sa, xoù TAÛTE VAQ ATOYONTELV (wohl amoyoviaet) mods Tv mano Ts Iatowxns peagens, ty À É één- not anédoapoy (?) Tüv AsËetdlov os Épayn Lot XATO T0 TOOHELQOY Mat TISEVOY HU GUVEXPELVONEVEY ÊX TOY cupppatonévo, dxokcuSnons TOY HAÏNYNTEY Tais Von- maso, cd duoyuprécueves [ôs oùy Étepos] Ôs oùy te pos Buvarèv adroy Éxmotoy mepi DÈ TOY GXOY OV Jen raoadtJoo Ta TA dVayvoceus ÉÉS UTOLYNLETIOMLEVOS avaSoco, Tetpopevos Év cis Gpeheîv ce dUvApLEt TECs ri TOv xaNoTOY panuuw reoupos peraddovar Hal yeoætesiv. Dieser Passus ist an mehreren Stellen feh- lerhaft überliefert: die eingeklammerten Worte 6$ oùy Etepos sind zu tilgen; gleich darauf wird nach Exaotev der Begriff ényeiodor vermisst, und zuletzt sollte es wohl heissen petadtôdvar xai yoonyeiv (statt yegsezu). Trotz dieser und anderer Verderbnisse lässt sich der Sinn der übel stilisirten Stelle so ziemlich er- rathen. Der Verfasser gibt zu verstehen dass sein Opu- sculum keine Ansprüche mache auf Gelehrsamkeit oder selbständige Forschungen, dass er den Unterwei- sungen anderer folgend geboten habe was ihm plau- sibel zu sein schien, und dass er einverstanden sei, weun von anderen manches anders erklärt werde. Dies Be- kenntniss passt zu dem uns vorliegenden Machwerk, nicht aber verträgt es sich mit unseren Vorstellungen von der literarischen Eigenthümlichkeit des Didymus. Noch dringendere Bedenken gegen Didymus erregt der Anfang: to «n à Os» onpatva, GS onct BonSos c gtoxèçg rATopos, To pr To DE «nv À pu» To Eprv Zont D Oxe mat Opnprxotepoy <ô «y» poñoat (vielmehr Lpfra) avri Toù on ds év apxg vas [ohtreias © ID19- roy. doautos xai «nv À yo» dvr. To Épny Êyo. Apt- GTAgICS BE td «mn à Ce» dvri Toù êpn Dé, ro DE «nv À yo» épnv ya To D «cp» TOY cpyutoy elvar no Xe- ÉeuStoy. Ohne auf eine detaillirte Besprechung dieser Stelle einzugehen fragen wir: ist es denkbar dass Di- dymus für die Interpretation des à à 6< durch éon sich auf die Autorität des «stoischen Philosophen» Boethus berufen habe? Die Antwort muss, denke ich, vernei- Tome XIII. des Sciences de Saint-Pétersbourg. 386 nend lauten. Die Worte 6 crtouxos œtcacpos sind von einem Halbwisser hinzugefügt; denn der Boethus von welchem hier geredet wird kann kein anderer sein als jener Grammatiker, von dem Photius Bibl. p. 100 a 14 berichtet: dveyvooSn à Ev ro aitü TEVyEt za BOHOOY oO Tâs Tyatou cuvayoyns 407 GRÔTEROY rpospe vei d& Me- £cov INarowxov cuvayoyn xata orerystoy, avr tit To cuvra patio, cuveroyn à avt wat Ête- poy TL ASmacen TROT POVOUpEVEY GTCLÔTOMOATIOV, © reoi Toy ropa Ihatovr roc Ausführlicher handelt über die lexikalischen Arbeiten dieses Bocthus $. A. Naber Phot. Lex. I p. 54— 71, wo gezeigt wird dass die Mebrzah]l der Me -hen Ré£eus bei Photius aus Boethus entlehnt ist, der selbst vorzugsweise den Pamphilus ausbeutete und dadurch mittelbar manches von den Schätzen des Didymus in Umlauf setzte. Sind Naber’s Combinatio- nen richtig, so müssen wir die von Miller aufgefunde- nen Does chEs Xé£ers dem Poethus zuschreiben; denn der bei weitem grüsste Theil der p. 399 bis zum An- fang von p. 405 gegebenen Xé£ers kehrt bei Photius wieder. Zur Bestätigung dieser Hypothese kann wohl auch der Umstand dienen dass der dem Millerschen Opusculum vorgesetzte Titel eg Tôv aropousévov rap Iiérov. AéËcov, abgesehen von einer unwesent- lichen Verschiedenheit in der Wortstellung, der näm- liche ist den, wie Photius bezeugt, Boethus für sein zweites an Athenagoras gerichtetes Werkchen wählte. 3. Unerwartet und interessant, wenn auch nicht reich an neuen Ergebnissen, ist die sich anschlies- sende kleine Schrift, Znvodmoou toy regt cuvnSetas ènt- ou p. 407— 412. Ein Werk nepi ris Opnpou (oder Opnpuxñs) ouvnteius wird von Porphyrius dem Zeno- dor, von Suidas dem jüngeren Zenodot aus Alexan- ana beigelegt. Da auch sonst wo @er überhaupt nur selten genannte ZnvoSwges vorkommt, ôfters der be- kanntere Name Znvéôotos unter den Varianten figu- rirt, so zweifelte man ob Porphyrius oder Suidas Recht habe. Dieser Zweifel darf nunmehr als erledigt be- trachtet werden: durch Miller’s Fund bekommt die Ansicht von Wolf Proleg. p. CXCVI, Lehrs de Arist. p. 227 f., Düntzer de Zenod. p. 25 fl. eine neue und bte Stütze, so dass wir die Angabe des Suidas verwerfen müssen. Von dem was sonst aus Zenodor angeführt wird scheint in der vorliegenden Epitome pichts sich zu finden; dies erklärt sich aus der Dürf- 25 vévoy }éÉcov êtt- YexpeL. 387 Bulletin de l’Académie Hmpériale 3ss ——————— ee 1 tigkeit unserer Epitome, die von einem zehn Bücher umfassenden Werke nur wenige Seiten gibt, wie aus den seltenen Erwähnungen des Autors zur Genüge. Sachlich bieten die Millerschen Excerpte aus Zeno- dor fast durchgängig nur ganz kurze und abgerissene, meist auch anderweitig überlieferte Erklärungen Ho- merischer Wôürter, denen häufig der herrschende Ge- brauch der ouwSeux gegenüber gestellt wird. Ausführ- licher und dem Inhalte nach verschieden sind die bei- den letzten Artikel über œhryotos und ouxopavtngs, von denen ersterer eine Erwähnung des Dionysius von Halikarnas enthält. 4. Die nächste Abhandlung p. 413—426 ist beti- telt Sountivou Tooyxuhou mept Bhacommoôv xai Todev éxaotn. Es wird uns hier, wie Miller richtig bemerkt, ein Auszug aus jener Schrift des Suetonius geboten, von der wir bisher nur zwei Erwähnungen kannten, die Angabe des Titels rept ducprpov AéËcov nrot Bhacpn- puôy xat noev éxaotn bei Suidas v. Tetyxvhdos, und ein in unseren Excerpten p. 420 wiederkehrendes Bruchstück im Etym. M. p. 151, 35: dppohmapos: 0 AnapGy va apyis TUXN, À ÉX TO dppelv MTaVOREVOS" côte ToæyxAoy rept Bhacpquoy, wo man mit Recht ToæyxvAhos wep Bhacpmmôv gebessert hat. Durch Miller’s Fund bekommen wir einen Einblick in den ungefähren Inhalt und die Gliederung des Suetonschen Werkchens, sofern wir die einzelnen Rubriken erfah- ren nach denen der Verfasser die fhacputar geord- net hatte. An der Spitze stehen etwas vollständigere Mitthailungen über Homerische Baacompia, wo es heisst: © toévuy rorntys & mèv anAos, à Dè cuvndws (L cuv$étos), à à dos nos (1. Ctotpdnus) roonveyxev aT}GS pv 65 hroy Toy paroov xTé. Darauf folgen aus späteren Dichtern oder aus der Sprache des gewühn- lichen Lebens entlehnte faucon in loser Aufzäh- lung, bald mit Interpretationen und sonstigen Nach- weisungen, bald ohne irgend welche Zugabe, abge- theilt nach Gruppen, die meistens durch besondere Überschriften bezeichnet werden: ét! avÿsôv axoha- gToy, rt yuvauxov (axokdoTov), nt ÉxdEdNTAUEVOY ka dénTrnonuévov (statt dieses fehlerhaften Wortes hat Mil- ler ééntaronpévoy vermuthet, ich würde ééquangévoy vorziehen) dopévov, ets moynpous, eis ŒAREGUNS, is &yo- tous xt TOAUTEAYLOVLS HAL DURS YHANLOVRS, ES [LO- poûs at elec, ec TocoButas, els dypolrous, is EU redeis otoatitus, ets amAnatous, ets Souhous. Neben- bei ist am Schlusse die Rede von faacommta die ent- lehnt sind ao éivôv xal mokcov xal Onuoy wie and agtSuov. Die einzelnen Artikel lassen sich zum grôs- sten Theile mit Hilfe anderer Quellen ergänzen, be- sonders aus Eustathius, in dessen Commentar zu Ho- mer ziemlich das ganze Werkchen des Sueton in voll- stindigerer Fassung enthalten ist. Obwohl unsere Excerpte hinter der Ausführlichkeit des Eustathius mebrentheils zurückbleiben, so enthalten sie doch hie und da auch einige nur hier aufbewahrte Notizen. Da- hin gehôrt p. 417: xcpxonia n drarn xata tov Zi- poviônv, ferner p. 423: toutous dÈ xai Bexxecehnvous xai rowtoseAnvous (?) ‘Agtotopavns xuhet, endlich p. 426: rap ‘Inrovaxrt 5 xat Énradouhos xal ÉTTa- Bouhoc, wo freilich das seltsame érraBouos dem Ver- dacht einer Corruptel unterliegt. Wenn p. 423 von Aristophanes gesagt wird: xat TupBoyépovta éxaeos rov UTépynoov xal raupesénuAmévoy, s0 geht diese No- tiz vermuthlich auf Ar. Nub. 908, wo ich schon frü- her ruyBoyépuv et (statt Tupoyépov et) xavæooatos vor- geschlagen habe: s. Aristoph. Byz. p. 98. Was über die Tehyives p. 417 gesagt wird ist dem Inhalte nach bekannt (vel. Eust. Il. p. 771 f.); neu aber sind die Erwähnungen des [apwesvôns ") und Zypéus in fol- gendem Passus: toÿtous où pÈv Salaoons taidas quoi: [lagpzviône © éx Tov 'Axraluvos xuvOy Vevéd dou peTa- pLoppuSéyroy Üro Auds eiç avSporous" GXhoL DË TOUS Tv ‘Podov cixodvres, Oùev xat Tehyuvia n vicos ÉAÉVETO* Tt- vès Sé, Ov éott xai Zuias, toc Ts Kontns oixmro- ous. Zwar erwähnt Simmias die Telyîves bei Clemens Alex. Strom. V p. 674, aber die daselbst citirten Worte, dues Tyviros xat Tehyivoy ou n ahvxn Ed, entziehen sich dem Verständniss. — Auch in lexikali- scher Beziehung gewährt die neue Abhandlung einige Ausbeute: wie z. B. erst jetzt die richtige Wortform Sudonaë p. 4925 zum Vorschein kommt, die von H. Stephanus statt Suaraë bei Hesychius und von mir (Philol. 1 p. 360) statt Supataë bei Eustathius Od. p. 1837, 41 in Vorschlag gebracht worden war. Ein erhôühtes Interesse gewinnen die Baxcputar des Suetonius durch einen Umstand, der dem Autor selbst keineswegs zur Empfehlung gereicht. Der ge- 10) Vielleicht ist Extuevtôns zu schreiben nach Ath. VII p. 282 : 6 uv tov Telxuviaxèv Loropiuv ouvdelc, eïr Enureviône Éctiv Kone n TohexkeiOne elt &Ahos tue, tepous noiv efvat iyJUas de- pivas xat TopTiAOU. Cure] 389 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 390 lehrte Rümer hat nämlich an der vorliegenden Ab- handlung entweder keinen oder einen hüchst geringen Antheil; der wirkliche Autor derselben ist vielmehr der Grammatiker Aristophanes, dessen Erürterungen rept Blacœnwiov Suetonius in bequemster Weise aus- gebeutet hat. Ob Suetonius darauf ausgieng sich mit fremden Federn zu schmücken oder often erklärte dass er die Arbeit des Aristophanes von Byzanz epitomire, wollen wir zunächst unentschieden lassen; das Factum jedoch dass er hier nicht als Gelehrter sondern als Epitomator oder Abschreiber verfuhr, wird keinem zWeifelhaft sein künnen der das Aristophanische Ca- pitel rep Bhaconuov (p. 163—180 meiner Bearbei- tung) und das vorliegende Opusculum vergleicht. Was À. Reifferscheid Suet. Trang. reliq. p. XVIIT vermu- thete, dass Suetonius sich von Aristophanes abhängig gemacht und nach seinem Muster gearbeitet habe, be- stätigt sich jetzt in einer Weise die früher niemand ahnen konnte, die geradezu unglaublich scheinen wür- de, wenn es nicht hinreichend bekannt wäre dass die Gelehrten des Alterthums das Ausschreiben fremder Arbeiten handwerksmässig und systematisch betrieben. Miller täuscht sich, wenn er meint unser Opusculum beweise que Suétone était très-versé dans la connais- sance de la littérature Grecque et qu'il avait lu avec soin les anciens poëtes comiques (p. 391): aber je weniger dem Suetonius an eignem Verdienst bleibt, um s0 hô- heren Werth bekommt die unter seinem Namen über- lieferte Arbeit, die in die Anfänge Alexandrinischer Erudition zurückreicht und die Aristophanischen Er- ürterungen ept Baaconut@v, die ich aus dem von Bois- sonade hinter Herodians Epimerismen herausgegebe- nen Excerpt des Aristophanes erschlossen habe, nicht nur gegen jeden Zweifel sicher stellt, sondern zugleich in überraschendster Weise ergänzt. Auch ganz abge- rissene Glossen des Sueton sind in dieser Hinsicht von Werth, darum weil uns die Mittel zu (ebote stehen sie aus anderweitigen Quellen zu vervollständigen. Schon oben sagten wir dass fast das ganze Suetonsche Opusculum im Homerischen Commentar des Eustathius sich findet. Eine Nennung des Suetonius sucht man in diesem Commentar vergebens, und ich môchte nicht mit Miller p. 392 behaupten dass Eustathius aus Sue- tonius geschüpft habe, da er eben so wohl andere als die Suetonschen Excerpte aus Aristophanes benutzt haben kann. Wohl aber müssen wir festhalten dass die Suetonschen Excerpte und die entsprechenden Anga- ben bei Eustathius dasselbe Original wiedergeben, dass also namentlich auf ihr Zusammenstimmen in gewissen Lesarten nicht das mindeste Gewicht zu legen ist !'). Für die Ergänzung und Berichtigung der Suetonschen Excerpte leistet begreiflicher Weise Eustathius sehr wesentliche Dienste, und Miller hätte noch üfter als es geschchen ist Emendationen aus dieser Quelle ge- winnen kônnen. So durfte unbedenklich p. 414 xaca- Bl£erv in xacadBaterw und xvrre in hodra geändert werden, beides nach den von Miller selbst angeführten Stellen des Eustathius. Statt v6Sovgcs p.415 vermuthet Miller ein hôüchst bedenkliches oder vielmehr ganz un- môgliches poSovocs, während die richtige Lesart vor- liegt bei Eust. Il. p. 862, 42: XOpEX | MËrs © voSou- pos, youy © vOSNY ÉLUY TAY CUEAV, pAGÉV, ËV TO GUY- veodar, vgl. Hesych. voSoupes (Aristoph. Byz. p.167 f.). Zu den Worten yhavoSqons © homoduTns p. 418 wird bemerkt, H. Stephanus, der im Thesau- rus das durch kein Beispiel belegte yhatvoSngzs eben so erkläre, müsse une glose du même genre vor Augen gehabt haben; wie die neueren Lexikographen so über- sah auch Miller die von H. Stephanus benutzte Stelle 11) Einige Beispiele werden diese Behauptung rechtfertigen. Eust. Od. p. 1571, 44 erwähnt, der Komiker Alcaeus (er hätte, wie Bergk geschen he vielmehr den Lyriker nennen sollen) habe cite Laktôns gebraucht als Bezeichuung eines Gecken der seine Wan- gen schminkte, did +0 xa)\wniteoSon tà püAu ris cyews. Dasselbe cidouukôns lesen wir bei Suetonius p.415. Gewiss aber hat Alcaeus dies nicht geschrieben, wahrscheinlich nicht einmal der Grammati- ker Aristophanes; denn Hesychius bietet iSopahtadme of Ta éVere xoouoimevor. Eine dritte Form $eSouuxto ut finden wir Schol. I. X, 68 (vgl. Suid. v. $£%0c). Keine dieser drei Formen lässt sich verstehen ; die Glosse sollte wohl lauten feyomæhtO at (oder viel- leicht Sea (Sat), «Wangenfärber ». Denn éEar ist so viel als Babar, $£yos das bunte Gewand, beyeus oder oyeus der Färber: vgl. Schnei- dewin Ibyc. p. 207. K. Keil Zwei Griech. Inschr. aus Sparta und Gytheion (Leipz. 1849) p. 21 und Meineke in den Jabrb. f. Philol. 1863 P- 388. — Bei den Texyive 6 unterscheïdet Eust. Il. p. 771, 58 Svo YÉVN; ro pév Bavauaoy PA LELPOVAXTEXOY , Satepoy dE nan otov Toy xaxk@v [nyouv tüv süopqwy]. Eben so Suet. p. 417, der nur die letzten, von uns cingeklammerten Worte fortlässt. Es muss doch wobl heissen Aupavrmocoy toy xaprmov: vel. Lobeck Aglaoph. p. 1191 f. — Bei Suet. p. 418 lesen wir dvSpayvoc ëtt rüv rovnpwv. Offen- bar ist gemeint avSpæyxoc, obgleich für die überlieferte Lesart Eust. Od. p. 1833, 54 geltend gemacht werden kann: DnuoxoLvos, Sc xut dvOpayvos n avSpuygos Émexahetro. — Dass zxGH&Ë im Sinne von @\üapos gebraucht worden sei berichtet ausser Suet. p. 420 nur Eust. Od. p. 1749, 28. «Vereor ne ÆEustathium vitiosa deceperit scriptura pro Bwuaë», sagt wohl mit Recht W. Dindorf im Thes. Gr. L. vol. 4 p.2191 C. — In den oben angeführten Worten des Suet. p. 423: toutouc OE xat Bexxegeknvous xat Tp@TOGEk vous Aproto- pavns xuhet, ist vielleicht TeOGEATVOUS zu bessern trotz Eust. I]. p. 1330, 13: èv SÈ idéa oxwpuatos Baacpauoïvrat of TAVU YVÉPOYTES — fexxedéAnvot, mpwTOGÉÀ mo, TuuoyÉpoyTEs, TapEËnUANuÉvOL, 25* 391 Es ES des Eust. Od. p. 1863, 59: kotiov ro iatiov, ODEV Ronodurns 6 mai hatvoSnoos. Auf Anlass der Glosse Anços 6 dvadnge p. 419 sagt Miller dass die Begriffe Añoos und Angeiv der ava‘deux oft ziemlich nahe kom- men: in dem überlieferten Angos war vielmehr Atpoç enthalten, wie ausser anderen Grammatikern Eust. Od. p. 1856 f. lehrt. Ganz ähnlich ist die Verschrei- bung rédov xai redérns p. 425, wo nednrns aus Eust. Od. p. 1542, 49 entnommen werden konnte. Noch berühre ich einige bisher nicht erwähnte Feh- ler der Suetonschen Excerpte. Pag. 414: Adyvns mre: Aayoyns Kat Aæyivns, amo Toù AA émeratixoù fLoplou. Die Verbindung xwyovns xat Amyuvns hat keinen Sinn:; es muss heissen tot hwyovns n A&YyUVs, Womit zwei verschiedene Etymologieen des Wortes Aayvns aufge- stellt werden. Bei Archilochus wurde, wie Eust. lehrt, ein lüderliches Frauenzimmer Squos genannt; darauf bezieht sich p. 415: dguos Aéystat D Bmpos ka To Mros, wo die Worte Aéyeta — hino; wahrscheinlich von einem Byzantinischen Grammatiker hinzugefügt, jedenfalls sebr unpassend sind. Das auf derselben Seite stehende Setcodns müchte Miller aus einem Wortspiele mit Sucans herleiten; aber vielleicht ist Setcoans nur ein Abschreiberversehen statt detooahéos oder derca- Xéoc. Als Bezeichnung der Greise wird p. 423 oatpot angeführt mit dem Zusatz Ent toù Euratpou do ra- hautnte, wo vielleicht zu lesen ao toù carpoÿ oivou. Bald nachher heisst es: rnv ë yoaby cpolos DC dpyatc- rate XUBnxa al TnSüv exact. Dem cuctos künnte © xoyxos zu Grunde liegen; dann wäre der jetzt un- verständliche Singularis éxahc in der Ordnung. Für xvBnro ist wohl KuBn3nv zu schreiben, so dass ein al- tes Weib «Gôüttermutter» genannt wurde, wie bei He- liod. VIL, 9 für eine rocofores der Name Kvfén ge- wählt ist; auf KuBnxn bei Hesychius ist nichts zu ge- ben. Endlich erwähnen wir p. 425: axo dè ésvov xal nékeov xat Ompoy rohhal Blacpmuiat bnuatixos rofnvrot, Gorep To xt vHSoho VE, al aÉyUTTIO- feu rè moynpeueodot, xomréteu ro Deudsoou, Acofta- Leu ro aioysonouiv, aiéwvsu:adat To xaxohoystr. Das unrichtige voSoroyeiv will Miller nicht ganz passend in voSonoyeiv äindern; ich würde puSohoyeiv vorzichen, werde aber etwas besseres gern annehmen. Mit Sicher- heit glaube ich dagegen einen anderen Fehler heben zu künnen: statt to xuxt£erv ist die Umstellung xth- #é£ety ro unbedingt nothwendig. T£E- Bulletin de l'Académie Empériale 392 5. Die Suetonsche Abhandlung rept Bhacpnutov be- ruhte, wie wir sahen, durchgängig auf Aristophanes von Byzanz: merkwürdig genug ist es nun dass in der von Miller benutzten Handschrift unmittelbar auf die Suetonschen Bhacœnmtat Excerpte aus verschiedenen anderen Capiteln der Aé£ets des Aristophanes von By- zanz folgen, ein Umstand der zweierlei beweist, einer- seits dass die Aristophanischen Excerpte bei Miller p. 427—434 ebenfalls von Suetonius herrühren, an- drerseits dass Suetonius nicht unredlicher Weise frem- des Gut sich angeeignet, sondern den Aristophanes als seine Quelle ausdrücklich genannt hat. Denn die oben besprochenen Bracommia und die p. 427 ff. sich anschliessenden Excerpte aus Aristophanes stehen als Glieder desselben Ganzen in dem innigsten organischen Zusammenhang; dass die innerlich zusammenhängen- den Glieder auch äusserlich in unmittelbarster Ver- bindung erscheinen, konnen wir nicht für zufällig hal- ten, und die Nennung des Grammatikers Aristopha- nes p. 427 kann eben nur aus Suetonius geflossen sein, der wenn er in der Mitte seiner Excerpte seinen Ge- währsmann nannte, gewiss dessen Namen auch zu Anfang nicht verschwiegen hat, wo die Angabe der Quelle jetzt lediglich deshalb vermisst wird, weil die Abhandlung des Suetonius nicht in ihrer ursprüng- lichen sondern in verkürzter Gestalt uns vorliegt. Die von Miller publicirten Excerpte aus Aristopha- nes bilden ein Seitenstück zu jenem kleinen Fragment, das Boissonade aus einer Pariser Handschrift (Cod. Reg. 1630) abgeschrieben und im J. 1819 hinter He- rod. Epim. p. 283 — 289 mitgetheilt hat. So winzig auch das Boissonadesche Bruchstück ist, so nichtig und unbedeutend es zunächst jedem erscheinen muss- te, bei genauerer Analyse erwies es sich für die Ein- sicht in die Gliederung und für die Ergänzung der Aristophanischen Xé£ets als hüchst fruchtbar. Die neuen weit umfangreicheren und an sich viel werthvolleren Excerpte sind verhältnissmässig nicht so wichtig, so- fern sie mehr die bereits gewonnenen Resultate be- stätigen als neue Aufschlüsse gewähren; gleichwohl erweitern sie unsere Kenntniss der Aristophanischen Xé£eux im Ganzen wie in manchen Einzelheiten, und ich kann nur bedauern dass mir vor Zwanzig und ei- nigen Jahren bei der Bearbeitung des Aristophanes von Byzanz dieses Hilfsmittel nicht zu Gebote stand. Das von Boissonade zuerst edirte Fragment hat die 393 Überschrift x toù (1. tôy) ‘Agrstogavous toi repi hé- Ésov dtæhaBovtos. Die Millerschen Excerpte haben zwei speciellere Titel, zuerst Aptotopavous ept Tv Uror- tevopévoy un eloÿoSot tots mahauoîs p. 427, sodann ovouata maxtGv p. 428. Von diesen beiden Titeln ist der erste in dieser Fassung neu; Eustathius aber hatte das nämliche Capitel vor Augen, wenn er xaætvotéoos und xaœvas xat tois mohhoîc (1. rois mahaoïs) aouvnSers oder xauvopovous Xééeus des Aristophanes erwähnt, Il. p. 279, 38. Od. p. 1761, 19. 23. Indess beschränken sich die vorliegenden Excerpte keineswegs auf die eben genannten Capitel der Aristophanischen Sets: auch die owyyewxs sind epitomirt und vielleicht ein Abschnitt mept Souhtxôv cvouarov. Was hiernach für die Anordnung und Vervollstäindigung der Fragmente der Aer des Aristophanes sich ergibt, schrittweise zu verfolgen kann nicht die Aufgabe unseres Berich- tes sein ‘*): ein künftiger Bearbeiter des Aristophanes von Byzanz wird wie in manchen anderen Quellen 50 namentlich in Miller’s Mélanges ein überaus wichti- ges Material finden um meinen jugendlichen Versuch vielfach zu ergänzen und zu berichtigen. Von allge- meinerem Interesse ist was wir p.430 lesen: Zowdns © év t{ Evpomn TÔy Tavpov OTÈ WLÈv Taupov, OTÈ DE pn- dov, otè È rocBatov ovoaéer, wonach Simonid. fr. 247 p. 938 zu dem Gedicht Edporn zu ziehen ist, dessen Titel sonst nirgends überliefert zu sein scheint. Neu ist mir auch das metrische Sprichwort p. 431 f.: ave- Drous Éhsyov toùs map mquiv éÉaSéhpous: TœuTnv DE Thy qevsdv où ravu Êtt éEnxprBobvro, OSev xal n Tapie avebiov Së raides oùxéT év ÀGYO. Offenbar beziehen sich die Worte tautny Tv yeveav nicht auf die aveduot, sondern auf die é£avéhror, deren Erwähnung durch die Schuld des Epitomators oder der Abschreiber ausgefallen ist: vel. Aristoph. Byz. fragm. p. 143. 12) Nur eine kleine Bemerkung môge hier Platz finden. Aus der Glosse rat xoxxuberv Émi toù dhextoudvos bei Boiss. Herod, p. 285 folgerte Reifferscheid Suet. reliq. p. XVIII, dass wie Suetonius so auch Aristophanes die Thierstimmen aufgezählt habe. Dass diese Vermuthung irrig war beweisen jetzt die von Miller gegebenen Excerpte p. 428, wonach die Bemerkung über xoxxv£etv vielmebr dem Capitel meet tôv ünonrevouévoy jun elpfodat tois mahatoïs an- gehürte. Auch was Reifferscheid über die Aristophanische Schrift xept Éwowv durch Combinationen zu ermitteln sucht kann ich nicht für wabhrscheinlich halten, und vielleicht ist Reifferscheid selbst jetzt zu einer anderen Ansicht gekommen durch die von Val. Rose Aristot. pseudepigr. p. 283 aus einer Pariser Handschrift mitge- theïlten Auszüge. des Sciences de Saint. Pétersbourg. 394 Für die Emendation der Aristophanischen Excerpte hat der Herausgeber das meiste selbst gethan. In den Worten maudlov To toepcuevoy Uno Ts TNTINs p. 428 war nicht +n5ns sondern tét%ns (nach anderen +173) zu schreiben; derselbe Fehler kehrt p. 432 wieder. Zu den Worten ratdtoxaptov xai Toutdioxlov xal xopiov koi xopæotov p. 429 bemerkt Miller dass ratd/oxtov den Lexika fehle; wahrseheinlich ist es hier ein durch die Endungen der Nachbarschaft bedingter Schreib- fehler statt raôtoxn. So dürfte p. 432 étpavèa n éréxAnpos aus pavoo n éréxAnees gemacht sein, falls nämlich Eust. Il. p. 674, 30 Glauben verdient; auf keinen Fall durfte ère povda n érixhngos vermuthet werden. Das Sicilische Wort für recpynotetx war nicht, wie Miller p. 432 meint, recupnStxtetx, sondern rpo- puStxtetx (die Handschrift bietet toopuSrnxtetx). 6. Den Schluss der Opuscules divers bildet p. 435 f. ein Fragment über die Spiele bei den Griechen. Ti- tel und Anfang der kleinen Abhandlung fehlen, weil in der Handschrift sich vorher eine Lücke von einem oder mehreren Blättern findet (p. 395). Miller legt diese Abhandlung dem Suetonius bei (über dessen Buch met rôv rap "Exhnat rad@v vgl. Roth in der Teub- nerschen Ausgabe des Suet. p. 275 f. und Reiffer- scheid Suet. reliq. p. 322 ff. 461 ff.), eine Vermuthung die sich wesentlich auf den Umstand gründet, dass der uns erhaltene Schluss der Abhandlung fast würt- lich wiederkehre bei Eustathius. Meiner Ansicht nach darf Suetonius als Verfasser des auf die Spiele bezüg- lichen Bruchstückes nur in dem Sinne betrachtet werden wie das von Miller p.413—434 edirte ihm beizulegen ist; er hat auch hier nur die Aé£ets des Aristophanes von Byzanz ausgeschrieben, zu denen die Abhandlung über die Spiele so sicher gehürt wie etwa das Capitel über Benennungen der verschiedenen Altersstufen oder über Verwandtschaftsnamen. Ein positives Zeugniss für diese unsere Ansicht gibt der Schluss des Miller- schen Fragmentes p. 436: oxtvSapiéetv ati to TG pLéco Saxruho rar tivos Tov puxtnoæ, eine Bemerkung die aus den Xégexs des Aristophanes angeführt wird im Excerpt bei Boissonade (Herod. Epim. p. 288): oxv- Sapéseiv Éort rè TO LécE DaxTÜAO Taety TLÔS TV LUXTN- pa: baSonuytEer SE To ouS TO mod Tov Yhoutov Tœetv, ds evpntar v ‘Inredorv Agroropavous. Dass bei Eusta- thius unser Fragment über die Spiele wiederkehrt, kann nur zu Gunsten unserer Ansicht sprechen; denn 395 dem Eustathius, der den Suetonius nirgends erwähnt, verdanken wir die wichtigsten Bruchstücke des im Ho- merischen Commentar oft genannten, oft auch ohne Nennung des Namens benutzten Grammatikers Ari- stophanes. Dass wir ein bisher nicht nachgewiesenes Capitel der Aristophanischen Xé£ats kennen lernen, ist wenn nicht der einzige, so doch jedenfalls der erheb- lichste Dienst den das Fragment über die Benennun- gen der Spiele uns leistet. Das handschriftliche togatéxras p. 435 hat der Herausgeber in tonuatitas geändert, es war viel- mehr tompartixtes oder besser tonpatixtas zu schrei- ben. Seltsam ist es wenn oitra p. 436 als not inconnu bezeichnet wird; aus zwei Stellen des Pollux und aus zwei Stellen des Eustathius ist das Wort nachgewicsen im Aristoph. Byz. p. 161 oder im Thes. Gr. L. vol. VIII p. 920 A. Pollux in dem Abschnitt über die Spiele und Eustathius lehren auch dass es ganz und gar nicht “ befremdlich ist (vel. Miller p. 395 f.) die Würter pn- XavSn, otre und xvvôædos in dem vorliegenden Frag- ment erklärt zu finden. V. In dem letzten Abschnitt seines Werks (p. 437 — 458) hat Miller drei Hymnen (er nennt sie «Orphische») bekannt gemacht, von denen der erste an die Hekate, der zweite an den Helios, der dritte (mit der Über- schrift ebvyn toùs Sehnvnv xt raon toaËet) an die Se- lene gerichtet ist. Wo, wann und wie der Herausge- ber zu diesen Hymnen gekommen ist, darüber werden wir vielleicht künftig einmal aufgeklärt; für jetzt sol- len wir uns an der Versicherung genügen lassen dass die Hymnen authentisch seien. Dieser Versicherung bedurfte es kaum; wenigstens ist dies klar dass in den drei Hymnen nicht moderne Fabricate vorliegen wie sie etwa vom Uraniusfälscher ausgehen konnten oder gar vom Verfasser jenes albernen Machwerkes, das als zweite Sammlung Babrianischer Fabeln zuerst in England und dann in Deutschland gedruckt worden ist. Die von Miller herausgegebenen Hymnen sind an- tik (sie scheinen ungefähr im dritten Jahrh. nach Chr. verfasst zu sein); weitere Aufschlüsse über die- selben werden uns aber willkommen sein, besonders darum weil die gegenwärtige Publication den Anfor- derungen die man an eine editio princeps stellen darf, nicht ganz entspricht. Wir machen dem Herausgeber keinen Vorwurf daraus dass er bei dem übel zugerich- teten Texte manche Fehler übersehen, andere falsch Bulletin de l’Académie Empériale 396 behandelt, ôfters auch Fehler vorausgesetzt hat wo keine zu sein scheinen: an derartigen Mängeln kran- ken wir alle, und keiner hat ein Recht sich seiner Er- folge zu rühmen. Misslicher ist es wenn Miller zuwei- len ganz unstatthafte Conjecturen aufnimmt, und wenn er mehrere Bemerkungen macht die seine Sorgfalt und auch wohl seine Kenntniss der elementaren Gräamma- tik in Frage stellen. Vorzugsweise aber ist an der vor- liegenden Publication auszusetzen dass der Text der Hymnen nicht ganz vollständig mitgetheilt wird und dass die Angaben der überlieferten Lesarten ôfters an Unbestimmtheit leiden: Mängel die um so befremd- licher erscheinen, da für einen Text von ungefähr 125 Hexametern ein Raum von 22 oder (mit Einschluss der auf den Hekate-Hymnus bezüglichen Erürterung des Herrn A. de Longpérier) 24 Seiten beansprucht worden ist. Der Herausgeber künnte unseres Dankes gewiss sein, wenn es ihm beliebt hätte sich jeder Tex- tesänderung zu enthalten und nur die überlieferten Züge mit allen ihren Ungeheuerlichkeiten treu und peinlich genau wiederzugeben: was uns jetzt geboten wird ist für kritische Zwecke nicht ausreichend. Hiermit künnten wir unseren Bericht schliessen; aber die gemachten Ausstellungen fordern eine Be- gründung: darum werden wir einige Stellen aus dem Hymnus an die Hekate kurz besprechen, nicht als ob wir uns getrauten die Emendation des Textes wesent- lich zu fürdern, sondern um zu zeigen dass so man- ches was Miller für sicher hielt, hüchst zweifelhaft oder geradezu unmüglich ist. V. 1 steht im Text: Aedo ‘Exarn, yrya:00, ainvns n MeSécuou, wozu bemerkt wird dass yryaécoa statt yryævtæta nicht môglich zu sein scheine, eine andere Erklärung aber sich nicht darbicte; sodann dass die Handschrift &nvns habe, also envns, corrigirt in &ovns, wofür mit Herrn Maury ainvns n Medécvou, la triste Méduse, gesetzt worden sei. Bietet also die Handschrift yry&soo oder yeyaeooa oder yryaéosa? Vielleicht yryæcsooa: denn gewisse Indicien scheinen darauf zu führen dass in der Handschrift wenige oder keine Accente vorkom- men‘). Wenn nun yryfecoa weder für yryavrat ste- 13) Wie gleichgiltig der Herausgeber solche Dinge behandelt, lebrt V. 24, wo im Texte steht koécoæ Ekouat statt des handschrift- lichen 1occou ekouar. Warum wird hier hoéocx accentuirt und nicht ein eben so berechtigtes Adecco oder Aocoot angenommen? Konnte 397 hen kann noch sonst sich erklären lässt, warum wird es durch géante übersetzt? warum wird nicht einfach gesagt dass yeyaecoa fehlerhaft ist? Maury’s Einfall ainvns n Medéouoa scheitert schon an dem Umstande dass der Artikel 7 hier keinen Sinn hat; ausserdem ist mir nicht bekannt dass Hekate und Medusa iden- tificirt würden oder dass statt Médouoa die Nebenform M:ôéouoa vorkäme. Man künnte versucht sein zu schreiben Acdp ‘Exarn totpacoow, Sinvexéos pedéouoa, wo tepaeooa (gebildet nach Analogie von Evovpaeo- ca) dem bei Ath. VII p. 325 A als Beiwort der He- kate angeführten te{ÿAnvos entspräche: aber ich bin weit entfernt diese Vermuthung für sicher zu halten. V. 2: Ileposén, BavBo, poouvn [re xal] toyéapa, wo Ilspceén und œoouvn [re xai] statt des handschrift- lichen I£:octx und ppovwr gesetzt ist von Miller. Statt Isposén war es gerathener [leoceix zu schreiben (wie eivodin, torxapave V. 8, xovpa V. 23, Ilepocqovæ tot- xaopave V. 25, totxagave im dritten Hymnus V. 8 und 24 beibchalten werden konnte), zumal da V. 12 ray ‘Exatay unangefochten geblieben ist (desgleichen im zweiten Hymnus yovocxqua V. 2, tous V. 16). Über œpcuvyn heisst es: «quant à ce mot, qu'il faut peut-ctre lire œpùvn, forme plus ancienne, il signifie crapaud fe- melle et s'adjoint très-bien à BavBo», und p. 460 sagt Herr de Longpérier: « Baubo, accroupie, les genoux re- levés, offre une analogie assez frappante avec le crapaud femelle ou la grenouille. La lecture de M. Miller me paraît donc excellente». Ob Hekate, die angerufen wird damit sie die treulose Geliebte dem Liebhaber zurück- bringe, mit der Anrede «Krüte» oder «Frosch» titu- lirt werden künne, darüber mag ein jeder urtheilen wie er will; aber œpouvn ist meines Wissens kein Grie- chisches Wort, und +t< xai ist hier schlechterdings unmôglich. Das überlieferte poouvr toyémpa ist also anders zu emendiren: ob etwa égrouwos toyéatpa? — Unstatthaft scheint mir ausserdem Bav$o, wofür ein häufiger Beiname der Hekate zu setzen ist, nämlich Boo. V. 3: adunrn, Audn, ddapdotop, surarépeue. Die Handschrift bietet a5amarop, eine sehr wunder- statt douar nicht auch Ékouzx stehen? — Übrigens glaube ich die angefübrten Worte mit Sicherheit emendiren zu künnen; in dem AOGCCA EAOMAI ist augenscheinlich nichts anderes zu suchen als AOEOEA EAOMAÏ, d. h. ASE Jedi, xÉhopat. des Sciences de Saïint-Pétersbourg. 39S liche Form, aber eben so wunderlich ist das von Mil- ler gesetzte aèapactoo, das durch die Bemerkung, Aayactop finde sich in den Schol. Apoll. Rhod. als Nom. propr., weder gesichert noch erläutert wird. Auf die nahe liegende Frage, ob aôprtn und aSapastog dasselbe oder verschiedenes bedeuten, dürfte der Her- ausgeber die Antwort schuldig bleiben. Und in wel- chem Sinne wird Hekate Avdn genannt? Vielleicht ist zu lesen: aôunr Etnout, edpatop etratépeus. Zum letzten Worte wird bemerkt: «Æymm. orph. LIV, 10: euratépstav, en parlant de Vénus». Passender war zu verweisen auf den Orphischen Vers in den Schol. Apoll. Rhod. 3, 467: xai tote ôn Exatnv Ano Téxev eura- TÉQELAV. V. 5: xh0% GtatevËaox nudas xhutoù ASauavtos. Sehr ansprechend vermuthet Miller Kavpévou d8apæv- tros. Unbegreiflich aber ist es, wenn er die falsche Mes- sung der ersten Silbe in xAvtoÿ schützen will durch Hymn. orph. LVIII, 2: xAvté pou euyouévou. Das Ad- jectivum xhutos und den Imperativus des Verbum xAo sollte doch niemand verwechseln "). V. 6: ”"Aoteu [ôn] xal nos pe’émioxoncs foie Le- YIGTN. Die Handschrift bietet aotepxxat und n5œ, Wonach vielleicht zu schreiben ist: "Anteuts n xal moco%ev (so hat Miller statt rocs p: vermuthet) érisxoncs cÜca peyT TN. V. 7: rorua, bnÉtySov, cxvhaxaiva ve ravdaparetoc. Wurde vorher Hekate Krüte genannt, so bekommt hier die nämliche Güttin als Artemis den Ehrennamen «Hün- din», wozu bemerkt wird: «dans les Argonaut. v. 982, en parlant d'Hécate: vocôris cxvhaxava». Die betref- fende Stelle lautet: oùv S' atorcuoppos lxavev — Tagtaporous ‘Exatn: Xatoû dé ci cour ër pou Innos parrners mord DeËta à mev a Spot AvocôTe cvhaxava" pan D CDIS LYLICLOPPOS HTÉ. Ein Wort hinzuzufügen wäre überflüssig. In unserem Hymnus aber wird aus der Handschrift oxvhaxæyey 14) Eben so seltsam ist was p. 447 zur Rechtfertigung der hôchst gewagten Conjectur rerparouev els veaurov Hymn. If, 6 beigebracht wird. Die Dehnung des Alpha in terparouov soll entschuldigt wer- den durch Hymn. Orph. 7, 19: tetpdopoy Gppa étwzwy und 7,5: Te- rpafduoot rosot Swxwv. Bekanntlich hat terpxopos die zweite und rerpaBauwy die dritte Silbe stets lang. — Im dritten Hymaus V. 50 schreibt Miller nach seiner Vermuthung poïpa 8 ëqus, Épreuve, Pa- guvs +, cherie te On où, mit zwei falechen Accenten und einem metrischen Fehler. 399 angefübrt; also ist zu lesen oxvhaxayétt TAVDGULOL- ze. Das bisher nicht nachgewiesene CXVAWXAYETIS ist eine poetische Variation des üblichen xuvnyétts. V. 9: xknéo ©, ÉAhoœov, à hoctoc , avèvain, TohU- FOIE: «Cod. ce xado ehhovovahostooa avôvera», Das von Mil- ler gesetzte n hozioo avdvain ist weder metrisch zu- lässig noch mir verständlich. Herr Maury findet in den Worten eine Anspielung auf die Monate Aocç und Adôtvatos, mois macédoniens dans lesquels tombaient les fêtes d’Hécate en Macédoine. Wie das gemeint sei und was unter dieser Voraussetzung die Worte 7 Xoctoo avôvain bedeuten, vermügen wir nicht zu sagen. VONT: Sedp ‘Exatn, tetodîtt, nuginvyce, pacpar Éycuoa, xoë ve Aayes devais pèv OJoUs, JAhET AS Ÿ ÉTÉ TOUT, räv Exdrav ye xaXG où ancoSpévorci dopots, xl TivEs noGMY Savoy dyvaiol TE ATAdES, dypuæ oupléovtes, ÊTt poaci JUL ÉYOVTES, où D dvépoy eid@hov ÉpOUTEs TAVTES UTP DEV 15 ris xepads, déco ÉRISUpNTÉY YhuXLY ÜTvov, unôérote Bhépapov'Blepapw xuAMaoTOV ÉTÉAIO!, retpéodo à ÊT émaict pa VEUT VOLTL Lephuvats. So Miller, der aus der Handschrift folgendes anführt: 10. totonid. 11. xatehayes. 15. dtôcavepov. 1b. rav- TES UTEO KEDAANS Ts d.. QpEThEDESUTNTOY. 17. xu)- Aunov. 18. épais. Der Ausdruck ououar éyeusa V. 10 lässt sich nicht wohl verstehen. Statt oyvatot +: amat- Ses V. 13 scheint der Sinn œyvaiot xat aratdes zu for- dern; noch deutlicher wäre ql3ec xai araÿes. Räth- selhaft ist die Bemerkung: «13. xet vives. On serait tenté de lire ofrives à cause de pèv qui précède, vers 11, et de Dè qui suit, vers 15, où à avépov»r. Sollen etwa gar die Worte Sewas pèv cdoùs V. 11 und oc à avé- poy V. 15 (wo übrigens ot à auf unrichtiger Vermu- thung beruht) sich entsprechen? — V. 14 ist in dem jetzigen Zusammenhang sinnlos; denn wie künnen die Sterbenden als œyeux ovptovtes (d. h. wild pfeifend, nicht poussant des cris sauvages) bezeichnet werden? Offenbar passt das œyeta ovgttetv nur auf die Winde. V.16 scheint Miller von der handschriftlichen Lesart sich weiter entfernt zu haben als nothwendig war; vorher V. 15 dürfte ravres in otavrec zu ändern sein. Endlich ist V. 17 das von Miller gesetzte xvXkoToy mir eben so dunkel als das handschriftliche xvXxkmov. Mein Herstellungsversuch ist folgender: Bulletin de l’Académie Ampériale 400 Se00 ‘Exatn Tetodit!, TUpÉRVOR HATUAT AYOUGA, 10 4 L aXETOS D ÉTITOUTES, rav Exarav ye x AG oùv aropSuévorouv dopots, » x CL NT Éhayes devis pv OÙoUs, } Wu y LS u Le = v xei Tives moowv Savoy œyvaior xui amaides, 13 Se Ie y y , € = Bedr dvépoy sidohoY ÉYOVTES, GTAVTES UTEQŸEV 15 2 = a LR SEPT re] 7 x (2 . xEBA TS TNOŸ GDÉAEGS EUAVTNTOV YAUXUV UTVOV, 16 dygta oupiéovtes, évl peot Supalvovtes, 1% oi , \ s undénote Bhéoaupoy Bhspape xANLOTOY ÉTÉA TO, 17 retpéodo à ër épol oAayeunvoroiv peheDOVAUS. Zu V. 33, pouwcpévn [ôn] xai èT épaîor Supator ta- xoto, wird bemerkt: «Cod. patvoyévn tout». Danach scheint patvouévn toatt épaiot überlicefert zu sein; aber wir künnen dies nur vermuthen, nicht wissen. In der Anmerkung auf p. 445 heisst es: «puis viennent une foule de mots gnostiques qui se terminent par le vers onredde xth.» Warum sind die gnostischen Wôrter uns hier (wie im zweiten Hymnus V. 24) vorenthalten? In derselben Anmerkung wird statt £tTr2 vôatov vorge- schlagen ér® 05., was £o® vd. heissen sollte. Im letzten Verse, onedde tayror 19 ër épaîot SU- gars. magéoto, dessen metrischer Fehler durch die leichte aber keineswegs sichere Ânderung von 9 in nôn ® beseitigt sein würde, hat Miller an der Verbin- durg der zweiten Person oxedde mit der dritten Per- son tagéoto keinen Anstoss genommen. Vorstehende Bemerkungen zum Hekate-Hymnus werden darthun wie sehr der Text dieser Hymnen im Argen liest. Zugleich glauben wir vezcigt zu haben dass die Kritik erst dann mit einiger Sicherheit wird operiren künnen, wenn vollständigere und genauere Mittheilungen von Seiten des Herausgebers vorliegen. Gerade deshalb sehen wir uns nicht gemüssigt die bei- den andern Hymnen detaillirt zu besprechen; nur eine Stelle aus dem dritten Hymnus wollen wir noch hervorheben, V. 39 —41, wo es jetzt heisst: xai povcecv [n] cxnrocv Éais xaTÉyELs Tahapausiv, vodupata cû cxnntoo & [yes] Ter Kocvos apeyaoaËev, Sôxe dE octpomopeiv, Cp ÉLTEÏL TAVTA JLÉVOLEV. In der Handschrift fehlen die Wôrtchen ôn und ve: statt £ais xatéyets soll cuis xatéyars überliefert sein, zu Anfang des letzten Verses aber SoxedeoStpopeeuv. Für den ersten Vers genügte es aais xatéyais in oæiov xaréyzis zu ändern; nachher ist & vo! mit dem ganz unzulässigen Relativum offenbar aus airôçs entstanden; endlich ist das neue Verbum oetpoocostv abzulehnen, 401 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 402 ———— da SoxsdcoStpogeetv nichts weiter bedeutet als 8Gxe Jè got popéev. Unserer Aufgabe, durch eine Zusammenstellung der hauptsächlichsten neuen Ergebnisse die Wichtigkeit der Millerschen Mélanges darzuthun, glauben wir ge- nügt zu haben. Hoffentlich wird niemand meinen dass unser Bericht ihn von der Lectüre des Buches ent- binden künne; wie wir gewisse Dinge absichtlich un- berührt liessen, so haben wir ohne Zweifel auch aus Unachtsamkeit manches übersehen; überhaupt aber wollten wir einem hüchst inhaltreichen Werke Leser gewinnen, nicht entziehen. Herrn E. Miller und allen denen welche den Zutritt zu verschiedenen Bibliothe- ken ibm ermüglicht oder bei der Verôffentlichung der gewonnenen literarischen Ausbeute ihn unterstützt ha- ben, sind wir den aufrichtigsten Dank schuldig, dem sich der Wunsch beigesellt dass die übrigen Ergeb- nisse der Millerschen Reise (s. Mélanges p. X) uns nicht allzu lange môgen vorenthalten werden. Etudes sur l'historien arménien Oukhtanès, X's., par M. Brosset. (Lu le 5 novembre 1868.) L’évèque arménien Oukhtanès a écrit un ouvrage dont le titre, en tête du manuscrit appartenant au Musée asiatique, est ainsi conçu: «Histoire en trois parties, composée par l’évêque Ter Oukhtanès, à la prière du P. Anania, supérieur du couvent de Narec et vartabicd de premier rang. «Partie 1". De nos rois et pontifes; » 2°. De la sécession des Ibériens; » 3°. De la conversion de la nation dite Dzad.» La copie du Musée asiatique a été exécutée en 1847, pour l’Académie Impériale des sciences, sur l’original appartenant à la bibliothèque du couvent d’Edchmia- dzin, et marqué N. 1675 dans le Catalogue, de ladite bibliothèque, imprimé à Tiflis en 1865, p. 186. Ainsi s’exprime le rédacteur du Catalogue: «D'Oukhtanès, évêque d’Ourha, Histoire, in-4”, en écriture ronde, à pleine page; il y a des questions sur le livre de Job. Pas de mémento; la fin est incomplète.» En ef- fet, la 3° Partie manque entièrement, et faute de mé- mento du copiste, on ne sait à quelle année remonte l'original. Notre copie est un petit in-f°, d'écriture cursive, peu élégante, mais correcte, passablement Tome XIII. lisible et, ce qui lui donne de la valeur, paraît avoir été collationnée, car les marges portent des répara- tions d’omissions faites par le copiste, et d’une autre écriture. La Préface n’est guère qu’une insignifiante phra- séologie, et une série d’amplifications sur des textes évangéliques, relatifs à la charité et à diverses ab- stractions mystiques. Voici les seuls faits intéressants qu'il me paraît possible de tirer des neuf grandes pages qu’elle remplit. Elle porte en titre: «Réponse à la lettre d’Anania et promesse d'accomplir ses de- mandes.» Puis Oukhtanès rapporte ce qui suit: Anania, abbé du couvent de Narec — au $. du lac de Van, dans la province arménienne de Vaspoura- can — et que notre auteur qualifie «mon père spiri- tuel, vartabied universel,» avait fait tenir à Oukhta- nès, par l’entremise du prêtre Philippos, une lettre où, à ce qu’il paraît, il le priait d'écrire une histoire d'Arménie; lui, s’y était refusé, alléguant sa faiblesse, son défaut de savoir, et avait répondu dans ce sens, par une lettre qui fut portée par le prêtre Simon. Anania, cependant, avait insisté et s’était rencontré personnellement avec Oukhtanès, qui rapporte le fait en ces termes: «En ce temps-là donc, lorsque vous alliez auprès du saint pontife Khatchic, honoré de Dieu, et lui portiez, comme présent et offrande spirituelle, le livre dit «Racine de la foi,» contre les Diphysites, que le Saint-Esprit, habitant en vous, vous avait dicté, en ce temps-là vous m'avez parlé de bouche à oreille, de l'Histoire que je devais écrire. Si vous désirez savoir en quel lieu cela est arrivé, je vous le dirai, comme aussi, s’il vous plaît, je vous expliquerai en quels termes et dans quelle saison. C'était au bord de l’Akhourian; nous avions récité les prières du S. Sa- crifice au Dieu des puissances, attribuées à $S. Atha- nase, en été, au mois de tré, un dimanche, le 11 du mois), à la 9° heure.» Il est impossible de mieux préciser, sauf l’année, qui manque, l’époque de la ren- contre des deux ecclésiastiques. Anania avait réussi à vaincre les scrupules d’Oukhtanès, et celui-ci pro- mis d'accomplir sa demande. Telles sont les circon- stances, dans lesquelles fut écrit l’ouvrage dont nous 1) C’est par erreur que j’ai imprimé «le 10 de tré» dans les Addit. et écl. à l’hist. de Géorgie, p. 124; car le texte porte wenep emwwbne dl}, 403 Bulletin de l’Académie Hmpériale 404 nous occupons, et que je viens d’achever de traduire. Il n’est pas à ma connaissance qu'aucun arméniste européen en ait profité avant que j'en aie donné de longs extraits dans mes Additions et éclaircissements à l'Histoire de Géorgie, p. 107 sqq. On sait que le catholicos arménien Khatchic siégea 972 — 992, d’ailleurs tré est le 4° mois de l’année arménienne: le 11 de ce mois est donc le 101° j. de l’année, y compris l’initial, car tous les mois sont ici de 30 jours. *) Or, en 973, le nouvel an ou le 1 du mois arménien de navasard répondant au 28 mars, le 11 de tré cor- respondait au 6 juillet, dimanche. En 980, année bissextile, le 1 de navasard répon- dant au 26 mars, le 11 tré coïncidait avec le 4 juillet, dimanche. Enfin, en 987 1 navasard — 25 mars, le 11 tré — 3 juillet, dimanche. Dans ces trois années les 6, 4 et 3 juillet tombè- rent donc en effet le dimanche; car le calendrier va- gue arménien, sans bissextiles, ramène chaque 7 ans les mêmes quantièmes hebdomadaires. °) 2) Je ferai une remarque, de peu d'importance au fond, même à mes yeux, sur l’étymologie des noms des quatre premiers mois ar- méniens. Navasard peut très bien s’expliqner par les deux mots sanscrits nava «nouveau» et sard, précisément «automne,» par ex- tension «année,» suivant ce que m’assurent mon collègue M. Schief- ner et le professeur M. Kossovitch: c’est donc la nouvelle année — commençant en automne. En persan p a le même sens que nava; D ps, comme l'arménien gnepun, signifie «froid.» Quant au nom du 2° mois, $enh, et au 8°, uw dh, ils ont la plus parfaite con- formité de son avec m6o «deux» et Lsda «trois,» en géorgien; enfin uwpk, le 4 mois, n’est pas sans analogie phonétique avec maba «quatre,» dans la même langue. 8) Voici la preuve de ces calculs: En 973 1 navasard — 28 mars; 11 tré 100 j. après. 973 980 243 245 1 L 1217:7— 6 Sam. 1 mars 1226 : 7 +-27 j. de mars 33:7—5 vend. TESTS +-100 j. après le 28 mars +-100 j. 105 : 7 —0 dim. 6 juillet. 105: 7—0 dim.d juill. 987 246 et 1934:7—= 2 24 266 +100). 105 : 7—0 dim. 8 juill. Il est nécessaire de dire, avant d’aller plus loin, que l’abbé Anania est connu dans la littérature armé- nienne comme un savant philosophe et un controver- siste distingué, ayant écrit contre les sectaires Pauli- ciens ou Thondrakians; Quadro della St. lett, di Arm. p.61; Tehamitch,1l,824,887.Nousn’avons aucun ren- seignement positif sur Philippos, son émissaire, ni sur le prêtre Simon, l’envoyé d’Oukhtanès. Quant à ce dernier, il n’est lui-même pas plus connu que les au- tres. Le P. Somal ne dit pas un mot de lui dans son Quadro, et Tchamitch seul le qualifie évêque d’Ourha, t. I, p.18 de son Histoire d'Arménie, historien, dans la Table des matières. Il dit dans sa Préface n’avoir pas eu entre les mains le livre d’Oukhtanès, et pourtant il ne fait que le citer au t. II, p. 301, dans le récit de la sécession des Ibériens d’avec les Arméniens, mais sous le titre: «Lettres de Kyron et d'Abraham,» ce qui fait penser qu’il ne possédait pas l’ouvrage complet. Ainsi les seuls points qui restent incontestables, d’après la Préface du livre d’Oukhtanès, c’est que l’auteur vivait et écrivait entre 972 et 992; qu’en l’une des trois années indiquées ci-dessus, probable- ment la plus ancienne, en 973, puisqu'il croit devoir rappeler ces détails à son correspondant, comme si celui-ci pouvait les avoir oubliés, il avait eu une en- trevue avec Anania et s'était décidé à écrire son His- toire, sur l'invitation de cet abbé et peut-être du ca- tholicos Khatchic. Qu’il eût le titre d’évêque d'Ourha, c’est ce dont le P. Tchamitch est seul garant, sans doute sur l’autorité de quelque Recueil, ou du titre même de son ouvrage. Toutefois Mkhithar d’Aïrivank, dans sa liste des auteurs arméniens lus par lui, nomme aussi «Oukhtanès évêque,» qu’il place un peu trop tôt, entre Ghévond, VIIL s., et Jean catholicos, IX°s. Quant au plan de l’ouvrage, voici les propres termes de l’auteur. «Afin de rendre mon discours correct, de le proportionner aux besoin et convenance des choses, de réduire à une juste mesure ce qui est dé- mesuré, de développer ce qui est trop serré, de re- trancher le superflu, de suppléer suivant mes forces à ce qui manque, de ranger tout successivement dans l’économie du plan, «Je dirai d'abord le nombre de nos rois et pon- tifes ; 405 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 406 «Puis la séparation des Ibériens de la communion arménienne; «Après cela le baptème de la nation des Dzad y; les cantons, villages principaux, villes, forteresses de ce pays; les ermitages des solitaires; les lieux où vi- vent les cénobites, dans la solitude; les manifestations de la puissance divine sur les convertis, soit secrètes, soit publiques, par la production de miracles, d’appa- ritions extraordinaires ‘), de révélations; les oeuvres spirituelles, les discours, travaux, solennités épisco- pales, de Grégoire et de ses serviteurs; la coopéra- tion et les ordres du roi Sembat°); le zèle des magnats pour l’oeuvre spirituelle; l’empressement des princes, chacun dans son domaine; de tous les gens hono- rables, chacun dans les limites de son influence, qui tous m'ont secondé dans mon travail littéraire et dans mon oeuvre spirituelle, et encore les craintes et angoisses que m'ont causées les menaces d'hommes féroces, légers dans la foi et semblables pour les moeurs à des dragons: tout cela, en exécution de vos ordres, donne de la consistance à l’histoire, en même temps que la longueur de la composition est pour moi une cause de fatigue.» Si tel était le plan d’Oukhtanès, ou il ne l’a pas rempli, ou notre manuscrit est bien incomplet. La 1" Partie de son Histoire ne contient en effet qu’un mince abrégé des ouvrages de Moïse de Khoren et de Mosé Caghancatovatsi, l’historien des Aghovans, avec de courtes notices seulement sur les personnages les plus marquants de l’histoire d'Arménie; puis la série des empereurs romains ou grecs, avec numéro d’ordre de ces princes, copiés sur la Chronique d’Eusèbe, et deux ou trois légendes de martyrs: le tout jusqu’au temps de Constantin. La légende de S. Grégoire-lII- luminateur est un extrait fort abrégé de celle d’Aga- thange. Ici s’arrête notre historien, n’ayant consacré à ce long récit qu’une cinquantaine de pages. La seconde partie traite exclusivement de la séces- sion des Ibériens de la communion arménienne, fait certain, aussi important qu’inexplicable dans les cir- constances dont le récit est accompagné chez les au- 4) L'auteur dit littéralement wprebunky mbujhuwilp, que l’on peut traduire «d’apparitions adroites, artificielles. » k 5) Dans les limites de temps indiquées plus haut, 972 — 992, il s’agit du roi Sembat II Tiézéracal «le dominateur du monde,» qui régna 977 — 989, teurs arméniens, et que l'on ne sait comment conci- lier avec les annales géorgiennes. Dans le dernier quart du VI*s., au moment où, suivant ces Annales, les Géorgiens venaient de se donner un roi, dans la personne de Gouram, Bagratide®), et où ils avaient un catholicos, du nom de Samouel, dans ce temps-là, sui- vant Oukhtanès, meurt un soi-disant catholicos géor- gien, qu’il ne nomme pas, et le catholicos arménien Mosé 1°, le remplace par un certain Kyron, natif de Seoutri, dans le Djawakheth, qui, bientôt, se tourne du côté de l’orthodoxie grecque, à propos des doctrines du concile de Chalcédoine, et, avec toute la nation soumise à sa juridiction, renonce à jamais à la com- munion arménienne. Du roi, il n’en est pas dit un seul mot, bien que l’auteur reconnaisse Tiflis comme aville royale,» capitale de l’Ibérie. Des grands du pays, il en nomme quelques-uns, mais ni Gourgen, ni Wakhtang, ni Djouancher, qui faisaient frapper alors ces monnaies bilingues, pehlevies-géorgiennes, bien connues dans la numismatique, et qui paraissent bien être du nombre de ces seigneurs auxquels le roi sas- sanide Ormizdas 1v avait conféré une sorte d’indépen- dance sous sa souveraineté. De quelle Géorgie parle done Oukhthanès? de la vraie Géorgie, qui avait son roi et son catholicos, si les Annales sont vraies; ou bien d’une portion du pays, où résidaient en grand nombre des Arméniens, ayant, comme ils l’ont eu plus tard, leur arhadchnord, leur supérieur spirituel? Dans le second cas, Kyron n’était pas un vrai catho- licos, mais un simple arhadchnord; dans le premier, pourquoi se taire sur le roi Gouram et sur Samouel? car enfin un pareil changement de rite ne pouvait s'accomplir sans que les chefs de la nation y eussent pris une part quelconque. Je ne dirai rien de plus à ce sujet, parce que je n’ai rien à ajouter à ce que j'ai écrit, il y a 17 ans, en 1851, dans mon Addition VW Malgré l’ennui que l’on éprouve à la lecture de ces récits de querelles théologiques, c’est ici que notre Oukhtanès devient réellement intéressant, par sa ma- nière de traiter et d’exposer l’origine da la nationa- 6) On sait que les auteurs arméniens ne s’entendent pas avec les Annales géorgiennes sur l’origine de la dynastie bagratide d’Ibé- rie, et la font carrément descendre d’un Bagratide arménien, Va- sac, vivant vers le milieu du VIII 8., frère de Bagrat, auquel re- monte sûrement la généalogie des rois Bagratides d'Arménie; cf. Add. IX, p. 161. Quant à Gouram, l’abrégé arménien des Annales, ibid. p. 49, ne le qualifie pas Bagratide. . 407 Bulletin de l’Académie Empériale 408 lité des Ibériens, l’état politique de leur pays au VI s. de notre ère, l’ethnologie des diverses peuplades qui l’occupent et une foule de questions tenant à l’histoire religieuse des deux contrées. Ses répéti- tions, ses digressions, son analyse des documents, sont excessivement fatigantes; sa haine contre le concile de Chalcédoine est réellement fanatique, mais le tout est original au suprême degré. Je crois que c’est, dans toute la littérature orientale, le seul point d’his- toire exclusivement traité par un Asiatique, d’après des pièces justificatives, alléguées en entier. Enfin la 3° Partie devait être consacrée à l’histoire d'une tribu arménienne, celle des Dzad, qui est à-peine connue, mais elle a disparu du manuscrit d'Edchmia- dzin et conséquemment de la copie du Musée asia- tique. Si, comme il est très probable, les Dzad sont les mêmes que les Dzodéatsi, nommés chez Moïse de Khoren, 1. II, ch. vin, ils descendent d’Arhan, pre- mier gouverneur connu des pays du N. de l'Arménie, institué par le roi arsacide Vagharchac; ils doivent être également identiques avec les Dzodek, mention- nés chez Eghiché, Guerre des Vardanians, p. 8, 42°), parmi les peuplades distinctes de l'Arménie septen- trionale. Comme issus d’Arhan, ils résidaient sans doute hors de la Siounie, à l'E. de l’Outi ou dans l’Outi même, i. e. sur l’une des rives du Kour, à l’en- droit où il quitte l’Ibérie pour couler vers la mer Caspienne*). Je suppose même, sans pouvoir le dé- montrer, qu'il reste encore quelque chose de cette peuplade dans les deux villages du gouvernement de Chamakhi où s’est conservée la langue, d’origine énig- matique, des Outiens”). Il faut, du reste, que leur con- version au christianisme soit déjà fort ancienne, puis- que notre auteur en avait connaissance; à ce qu'il paraît, leur persévérance à rester unis au rit grec- orthodoxe leur a attiré l’inimitié des Arméniens, dits Grégoriens; car, dans son voyage dans la Grande-Ar- ménie, le P. Dchalaliants s'exprime sur le compte des Outiens en termes assez durs, et c’est là, je n’en doute pas, la raison pour laquelle la 3° Partie de l’histoire d’Oukhtanès, manuscrit unique jusqu’à présent, aura 7) Eghiché, Oeuvres complètes, Venise. 8) Le P. Alichan parle aussi en passant des Dzodik, $ 186 de sa Description de la Grande-Arménie. 9) V. Schiefner, Versuch über die Sprachen der Uden, dans Mém. de l’Acad. des se. VIT® Série. t. VI, N. 8. 2 été lacérée "). Quant aux Dzanars, que notre auteur, $ 18 de la 2° Partie, regarde comme des Juifs, aussi bien que les autres [bériens, c’est presque aussi l’opi- nion des écrivains musulmans cités par M. S.-Martin, Mém. t. I, p. 233; Thoma Ardzrouni donne sur leur compte de longs et précieux renseignements, p. 196, ainsi que Vardan, Mosc. p. 135, Ven. p. 101; trad. russe, p. 134. C’est une question historique à élucider. Il n’y a pas de bonne histoire pragmatique sans chronologie, ne füt-ce qu’un système quelconque, soit l’un de ceux qui sont généralement admis, soit tout autre, créé par l’auteur d’après ses vues particulières. Oukhtanès n'étant pas à proprement parler un histo- rien, ni même un compilateur, mais un simple et très mince abréviateur, il n’est pas étonnant qu’il n’ait pas en chronologie d'opinions originales; encore devrait- il s’en tenir à quelque rédaction approuvée. Or, à part la date de son Introduction, régulière d’ailleurs, quoique incomplète, on ne trouve dans sa 1" Partie que cinq ou six notices chronologiques, très vagues et incertaines. Pour l’époque antédiluvienne, les années de pater- nité des patriarches sont, chez Oukhtanès, conformes à celles données par Eusèbe, sauf celle de Mathou- sala, 165 ans au lieu de 167, variante très fréquente dans les manuscrits arméniens; en y joignant les 600 ans de Noé jusqu’au déluge, elles atteignent réelle- ment l’an 2249 du monde, mais malgré la coïnei- dence de ce chiffre avec la date eusébienne, notre au- teur termine son $ 1° en disant que «Noé fut le 10° patriarche depuis Adam, durant un intervalle de 2000 ans:» par là il se contredit lui-même et ne se met d'accord avec aucun chronologiste connu. A l'égard des patriarches postdiluviens, des juges d’Israel et des rois de Juda, il ne donne que les dates particulières de paternité ou de durée d’emploi et de règne, sans se référer jamais à aucune époque fonda- mentale, et n’énonce de total qu’en plaçant, $ 15 dla naissance du Sauveur en 5500 depuis Adam, et là fondation du comput arménien en 500 depuis Jésus- Christ.» Sur le 1° point on pourrait s’entendre avec lui, puisqu'il s’agit de l’ère de Jules-Africain, si on 10) Chez Mkhithar d’Airivank, année 821, on trouve la notice, qu'un certain prêtre Pharsman, autrefois arménien -grégorien, avait converti au rite des Ibériens les habitants de Dzad, qui étaient en- core grecs au XIII°Ss. 409 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 410 ne lisait en marge, ici même, la date eusébienne 5198 — sans doute une note du copiste. Il paraît pourtant qu'il s’en tient à 5500, puisqu'il y revient au $ 25, en disant: «ll s’était écoulé depuis Adam jusqu’à la naissance de J.-C. 5500 ans; suivant les Juifs — texte hébreu — 4000 ans; suivant les Samaritains, 4000 ans l'); suivant le caleul grec d’Epiphane de Chypre, 5500 ans; enfin, d’après la Chronique d'histoire gé- nérale, 5195 *) ans.» Et encore au $ 78 on lit: «De- puis Adam jusqu’à la 15° année de Trdat (301 de J.-C.) il y a 5800 ans.» C’est une nouvelle preuve que l’ère de Jules-Africain domine chez notre auteur. Je re- viendrai plus tard sur la date de la fondation du ca- lendrier arménien. Je ne doute pas qu’on ne puisse trouver souvent du désaccord entre Oukhtanès et les autres historiens, pour la durée des règnes des rois de Juda, de Perse, d’Assyrie et d’autres; mais, à mon sens, il ne vaut pas la peine de faire un relevé général de ces variantes, qui peuvent n'être pas du fait de l’auteur, pour un ouvrage qui ne contient presque que des chiffres, et qui a été composé sans indication de sources ni cri- tique. Ce serait un travail à refaire, de la première à la dernière ligne, en substituant arbitrairement de nouvelles données à celles de l'original. Quant aux 29 empereurs «des Romains ou des Grecs,» comme Oukhtanès les appelle indifféremment, jusqu’à Probus, il leur donne les mêmes numéros d’ordre qu'Eusèbe, dans la traduction de $. Jérôme, jusqu’à Tacite et à Florien, dont les règnes n’occupent pas une année en- tière: aussi ne les compte-t-il pas dans la suite de la série. Les plus fortes variantes que j’aie remarquées sont: pour l’empereur Auguste, 50 ans et 6 mois, au lieu de 56 ans et 6 mois; pour Macrin, 20 ans, en toutes lettres, au lieu d’un an. Enfin aux $$ 51, 58 et 76, Oukhtanès donne des dates mensuelles du calendrier arménien, qui ne sont pas exactes. 11) Le texte samaritain de la Bible, d’après Tehamitch, Hist. d’Arm. t. II. Tables, p. 3, donne 4700 ans; un autre calcul donne 4304 ans: en tout cas le chiffre d'Oukhtanès est fautif. La soi-disant ère mondaine d’Epiphane ne peut être l’ère grecque 5508, puisque ce saint mourut en 403; quant à celle de la Chronique d'histoire générale, évidemment le Canon chronologique d’Eusèbe, il faut lire 5198. 12) L'on peut lire 5192, car l'écriture est tellement cursive, qu’elle permet à-peine de distinguer les lettres numérales g 2, E 5, 1) Suivant lui S. Théodore fut martyrisé sous Maxi- min 1° (235 — 237 de J.-C), le vingt-quatre du mois de maréri, — 17 ou 18 juillet. Or d’après les détails fournis par Oukhtanès sur la vie du saint, il est visible qu’il s’agit ici de S. Théo- dore Tyron, le guerrier novice, d’Amasée, martyrisé, d'après Baiïlet, en 306, sous Maximin Daza ou Daïa; la Vie des S$. arméniens, t. Il, p. 356, dit, ce qui ne change rien à l’époque: «Sous Galère, qui régna en 304 ;» en effet ce Galère s'appelait aussi Maximin et s’associa son neveu Maximin Daza, qui se fit proclamer empereur en 308. La fête du saint se célèbre chez les Grecs le 17 février, jour de son martyre; une autre fête le 1" samedi de carême, une 3° le 9 novembre, suivant des calendriers des VIT" et IX°$., enfin, la trans- lation de ses reliques le 8 juin. Il est donc fort pro- bable que $S. Théodore Tyron mourut en effet en 306, sous l’un des Maximin; comme donc, en 305, le 1 na- vasard tombait au 24 septembre, le 24 maréri répon- dit au 1 juillet 306. En 305, 1 navas. — 11 sept. 19 254 j. 31 293%: 30 547 de — 365 2 j. 1 juillet. 21 30 31 30 1 juillet. 293 j., 24 maréri. En 319, 1 navas. = 8 sept. 22 251 jours 3 293 » 3 | 544 31 — 365 31 EE D D 28 179 j. 28 juin. 231 30 31 28 juin. 293 j., 24 maréri. Il est bien vrai qu'un autre $S. Théodore, dit le stratélate ou le général, officier supérieur dans les troupes de Licinius, souffrit le martyre le 7 février 319, d’après Baillet; en 315, ou 320, Vie des S$. arm., V, 219. Il était fils d’une soeur du précédent, d’après les hagiographes arméniens. Or, si nous prenons pour exact le chiffre 319, en cette année le 1 navasard tombait au 8 septembre et le 24 maréri au 28 juin. Une biographie jouissant d’une certaine autorité, 411 Bulletin de l’Académie Hmpériale A1? l’'Universal - Lexicon, place le martyre de Théodore Tyron en 290, sous Maximin-Hercule; or en cette an- née le 1 navas. arménien tombait au 15 septembre, et le 24 maréri = 5 juillet. Ainsi aucune des dates assignées au martyre des deux Théodore, que les rédacteurs des vies des saints confondent sans cesse l’un avec l’autre, tant leurs actes ont d’analogie, ne coïncide avec la date armé- nienne de la fête de S. Théodore, donnée par Oukhta- nès, et celui-ci s’est en outre évidemment trompé d’au moins 60 ans sur l’époque. 2) Notre auteur fixe le martyre — la dormition — des 7 dormants, ainsi qu’il convient, sous le règne de l’empereur Dèce, 249 — 251 de J.-C. et leur réveil 140 ans après, donc vers la fin du [V°s. de notre ère; la Vie des SS. en arm. t. I, p. 157, se rapproche plus d’Oukhtanès et parle aussi de leur réveil en 389, 140 ans après leur disparition. Baillet au contraire place le premier évènement en 250, le second «en 479, sous Théodose-le-Jeune,» deux indications qui se contredisent. La question reste donc indécise entre les sources grecque et occidentale. 3) Enfin Oukhtanès, parlant des 40 martyrs de Sébaste «sous l’impie Licinien,» dit que le commen- cement de leur martyre eut lieu le 13 du mois armé- nien d'areg, jour auquel est indiquée leur fête, et la fin de leurs tourments au 9 mars, jour où leur mé- moire est honorée par l’église arménienne. Suivant Baillet, en effet, ils subirent le martyre le 9 de mars, en 320, en 310, d’après l’Universal-Lexicon, mais leur fête a été renvoyée au 10, pour des raisons particu- lières. Avger, dans les Vies des SS. en arménien, t. I, p. 482, ne dit pas en quelle année le fait eut lieu. Or ni l’année 310 ni 320 ne donnent le moyen d'établir une concordance entre le 13 areg et le 9 ou le 10 mars. En 310 1 navas. 10 septembre 253 j. 10 septembre 222 j. 13 areg 475 — 365 110 j., 20 avril. En 320 1 navas. 7 septembre 250 j. 7 septembre __ 222 j. 13 areg 472 — 366 106 j., 13 avril. Ce qu’il y a de certain ici, c’est que Grecs, Géor- giens et Arméniens, célèbrent en effet la fête des 40 martyrs de Sébaste le 9 mars, et que chez les Latins elle a été transférée au 10. En outre, le 13 d’areg ne correspond point à cette date, dans les années 310 et 320. Pour achever ce qui concerne la 1° Partie de l’ou- vrage d'Oukhtanès, il nous apprend, au $ 73, que le titre royal fut déféré à Trdat par l’empereur Probus; il soutient expressément cette opinion au $ 91, con- trairement à Moïse de Khoren, I. IT, ch. LxxxIn, LXXXV, qui fixe l’avènement du même roi dix ans plus tard, à la 3° année de Dioclétien, donc en 286. Cette opinion d’Oukhtanès avait prévalu dans l'esprit de M. Saint-Martin, qui se l’est appropriée, Hist. du Bas-Emp. nouv. éd. t. I, p. 76, et Mém. t. I, p. 436. Il faudrait de profondes recherches pour décider en connaissance de cause entre ces deux autorités, et à dire vrai, celle de Moïse de Khoren, si voisin des faits, me semble mieux fondée et plus concluante. Dans la seconde Partie, dont j’ai fait connaître plus haut le contenu sommaire, les indications chronolo- giques ne sont pas très nombreuses ni très nettes, mais en revanche elles ne manquent pas d'intérêt. Cette section de l’ouvrage commence précisément par un synchronisme quatre fois répété, $ 1, 30, 32, 35. Il est dit là que l’avènement du catholicos armé- nien Abraham, sous lequel s’opéra la sécession des Ibériens, tomba «sous l’empereur Maurice, en la 17° année de Khosro-Parviz; Sembat Bagratide étant marz- pan d’Hyrcanie ;» $ 1. Une première réunion pour l'élection d'Abraham eut lieu sans résultat au mois de maréri, $ 30, 32; le sacre se fit le dimanche après Pâques, à la fin de navasard, $ 35; mais pour com- pléter les notices fournies par notre auteur sur ce sujet, il faut ajouter qu’au $ 8 il dit en toutes lettres qu'Abraham succéda au catholicos Mosès «trois ans après la mort» de celui-ci, et qu’au $ 38 il reparle encore de «nombre d'années» écoulées entre la mort de Mosès et l'installation de son successeur. Or ce qui est certain, c’est 1° que Maurice régna du 13 août 582 au 2 novembre 602. 2° Que Khosro-Parviz devint roi de Perse en 590, et que sa 17° année tomba en 607: c’est la première preuve de la fausseté, dans le synchronisme ci-des- sus, de l’année 17, postérieure de cinq ans à la mort de Maurice. Une seconde preuve est celle-ci: l’histo- rien Sébéos, trad. russe par M. Patcanian, p. 71, place presque exactement la 1" année de Khosro-Parviz en la 7° de Maurice, done en 589. D’où vient donc l’in- 413 des Sciences de Saint-Pétersbourg. SLR] dication donnée par Oukhtanès? Si je ne me trompe, en voici une explication probable. Sembat, au dire de Sébéos, fut nommé marzpan d'Hyrcanie, par le roi de Perse, après l’apaisement de la révolte de Bahram- Tchoubin, done en 591 *). Ayant gouverné huit ans sa province, il fut, ajoute l’historien, appelé à la cour, done en 599; mais en la 18° année de Khosro, il lui fut permis d’aller visiter sa patrie arménienne; Sébéos, trad. russe, p. 70, 71. Comme c’est ici seu- lement que Sébéos parle accidentellement de la mort de Mosès catholicos et de l'avènement d'Abraham, on pourrait facilement croire que, d’après lui, ces évènements sont contemporains de la venue de Sem- bat en Arménie, en l’année indiquée du roi de Perse, tandis qu’en y regardant de près, ou se convainc que la date de la «18° année» se rapporte à une autre chose, et que la mort de Mosès est racontée ici «au plus-que-parfait.» Si, comme je le pense, c’est de là ou d’une source analogue que notre Oukhtanès a puisé ses renseignements, on comprend pourquoi il a donné une date trop élevée du règne de Khosro. Les faits relatifs à Khosro-Parviz et à Sembat étant constatés, à quelle époque se fit l’élection du catho- licos Abraham ? Mosès II, son prédécesseur, était devenu catholicos en 551; 30 ans après il prit pour coadjuteur le var- tabied Vrthanès et mourut, d’après les meilleures au- torités, notamment d’après la liste critiquée des ca- tholicos, rédigée avec beaucoup de soin par le P. Chahkhathounof, en 593: ceci a presque la force de l’évideuce. Quant à Abraham, il fut élu, suivant ce dernier, «quelques mois» après la mort de Mosès, done en 594, date admise par le P. Tchamitch. Qui des deux est dans le vrai? Oukhtanès, postérieur seulement de quatre siècles, qui dit #rois années, 44% Epk.p wdiugs où Chahkhathounof, notre contemporain, wbgbuw uulpuu fus, quelques mois s'étant écoulés? com- ment nous faire à ce sujet une opinion raisonnée, quand Jean catholicos, Mosé Caghancatovatsi, Asolic, Vardan et autres historiens plus au moins voisins de l’époque, se taisent sur les circonstances du fait qui nous occupe? Essayons pourtant de déterminer par approximation l’année, le quantième et le jour de l’a- vènement d'Abraham au catholicat: 13) ‘Ces faits et ces dates sont confirmés par l’Hist, du Bas-Emp. 1. LIT. Soit le dimanche après Pâques, fin de navasard. Soit le jour de la fête Bénie — les Rameaux — de l’année qui suivit la mort de Mosès, une première réunion n'ayant pas eu de résultat; Hist. de Siounie, ch. XXV. Admettons que la première réunion ait eu lieu en maréri, peu après la mort de Mosès; comme en 593 le 1 de navasard tombait au 1 juillet, maréri, 10° mois de l’année arménienne, coïncidait, 270 jours après, avec les quatre derniers jours de mars 594: ainsi l’élection à Pâques, tombant le 29 mars 593, était impossible. En 42 arm. — 593, 1 navas. = 1 juillet, Pâques 29 mars 593. 30 j. de juillet 592. 593 31 148 30 1 31 742 : = 0 1 mars. 30 +- 28 : 7 = 0 dim. 29 mars. 31 81 janvier 593. 28 29 mars 593. 271 j. = 2 maréri, 29 mars 593. 182 jours 1 juillet 1 juillet 182 jours 2 jours de mars 2 maréri 271 » 30 » d’avril — 94 453 31 » de mai 88 jours a — 365 30 » de juin — 29 mars, 2 maréri. —— . » de juillet : 88 jours. : ! é J — 29 mars, 2 maréri. 94 jours. Le 29 mars, ou la Pâque, tomba donc le 2 de ma- réri, chiffre omis par le copiste. Si l'élection et le sacre d'Abraham eurent lieu, soit le jour des Rameaux, soit le dimanche après Pâques de l’année suivante, i. e. en 594: dans le premier cas, Pâques étant tombé le 11 avril, et le 1 de navasard — Je 1 juillet 594, nous arrivons au 15 de maréri de l’année vague, et le dimanche des Rameaux serait huit jours plus tôt, la Quasimodo une semaine plus tard. En 43 arm. — 594, 1 navas., 1 juillet, Pâques 11 avril 594. 30 182 j. 1 juillet 594 31 284 j. 15 maréri 148 30 466 L 31 —365 743 :7 = 1 1 mars 30 St: HC 2 91 101 j. 11 av. 594. 1 31 janvier 594 Ts Tes 0: 28 31 _ 11 avril 594 984 j. 15 maréri. En 595, Pâques le 3 avril, le 1 de navasard — 1 juillet, nous atteignons le 7 du même mois de maréri, et le dimanche après Pâques serait une semaine plus tard. Dans ce cas, da fin de navasard» ykqu bueuw, 415 Bulletin de l’Académie Impériale 416 uwpuy Ne peut en aucune façon coïncider avec le di- manche de Quasimodo. Ainsi, de nouveau Oukhtanès a mal calculé, ou peut-être les synchronismes dont il s’agit, sont une interpolation. En 44 arm. — 595, 1 navas. — 1 juillet, Pâques 3 avril 595. 30 182 j. 1 juillet 594 31 _276 j. 7 maréri 595 30 _ 458 31 — 365 a _ 93 j. 3 avril. 31 jauvier 595 28 31 3 avril 595 276 j., 7 maréri. Enfin, si l’élection eut lieu en 596, Pàques tom- bant le 22 avril ou le 28 de maréri: En 45 arm. — 596, 1 navas. — 30 juin, Pâques 22 avril 596. 31 182 j. 30 juin 31 __297 j. 28 maréri 30 479 à — 565 =. 113 j., 22 avril. 81 janvier 596. 29 31 22 avril 596 -297 28 maréri, 22 A. 596. Conclusion; la 1° réunion pour l'élection d’Abra- ham put avoir lieu dans les premiers jours de ma- réri, fin de mars ou commencement d'avril 593, le catholicos Mosès étant mort quelque temps aupara- vant, l'élection et le sacre eurent lieu, soit le 4, soit le 18 avril 594. J'ai dit plus haut que je reviendrais sur la date de la fondation du comput arménien. C’est un sujet qui ne peut être traité en quelques lignes, une question à laquelle on ne peut répondre en deux mots, sans explication préalable. Les anciens Arméniens, pour autant qu’on le peut conjecturer, en déduisant du présent le passé, faisaient usage d’une année vague, sans bissextile, et d’une pé- riode de,1460 ans, nommée Haygh. C’est le savant P. Léon Alichan, qui a mis en circulation cette idée, puisée par lui chez un computiste du XII°s. Jean Sarcavag: «L’an 122 de J.-C., le roi Ardachès IT renouvela le calendrier, et le Haygh cessa» “). Sui- 14) Le Haygh, sa période et sa fête, Paris, 1860, 8°, p. 10, 26 et n. 4. Mkhithar d’Aïrivank a aussi émis l’idée que de l’époque de la dispersion des peuples après la tour de Rabel datent les différentes ères usitées en divers pays. vant lui, le Haygh aurait pris naissance le samedi 11 août 2492 av. J.-C, lors de la victoire remportée sur le géant Nébroth, par Haïe, le fondateur de la natio- nalité arménienne ). Il va plus loin: supposant que deux périodes semblables s'étaient déjà écoulées de- puis la création de l’homme, il en compose une ère mondaine, de 5412 ans av. la naissance de J.-C., ni plus ni moins insoutenable que toutes les autres et établit ce qui suit: av. J.-C. d.m. Une 1'° époque aurait commencé un vendredi !6) 11 août, 5412 » 1920 » » » » (m ard i) » » 3952 1461 » 82 » »° » » samedi >»)! », 02492-19921 » 4 » » » » mercredi » » 1032 4381 ap. J.-C. » 5e » » » » dimanche » » 428 5841 » 6° commencera..,.........2 jeudi » » 1888 7301 Voici probablement sur quoi reposent ces nombres: 1. Commence par 5 vendredi 1460 2. ete ee 1465 :7 —2 mardi __1460 BR ses ere ..... 1462: 7 — 6 samedi 1460 ANREN SE aber cte ..... 1466 : 7 — 3 mercredi 1460 Ehiooossobee Sosbotoonot bhdiéé 1465 : 7 — 0 dimanche (Soasococmdosanedvooboroc 00090000 ..1460 :7 = 4 jeudi. :7 —4 j. après vendredi = mardi. mardi — samedi. samedi — mercredi. mercredi = dimanche. dimanche — jeudi. Il y a à cela deux objections: 1° Les périodes ju- liennes de 1460 ans sont fixes, solaires, avec bissex- tiles et répondant à celles de 1461 ans, vagues, sans bissextiles, dites sothiaques. 2° L'économie du calcul est dérangée par le fait qu’en 428 ap. J.-C, le 11 août fut un samedi, et non un dimanche: 428 498 — 8 107 420 : 28 Lait 28 15 536 : 7 — 4 jeudi 1 mars 140 4 140 5 0 = 28 : 4 — 7 jeudi 1 mars ne 4 k 7 +98 — 35 : 7 — 0 jeudi 1 mars 27 :7 = 6 samedi 11 août. 4 5 14 23 : 7 — 2 samedi 11 août. 15) Ibid. p. 31. 16) Vendredi, jour de la création de l’homme, commencement de toute histoire. A17 des Sciences de Saint-Pétersbourg. . is ————————————————————— Le 11 août 1888 sera donc vraiment un jeudi, tan- L'année 353 avait pour terme pascal, suivant toutes dis qu’il faudrait, après la correction indiquée, un mer- | les formules, le 4 avril, ce qu’il importe de constater. credi, et que les trois points fixes des 1°, 5° et 6° ini- tiales empêchent toute correction des autres. 1888 472 jus 2 2361 : 7 — 2 mardi 1 mars 4 5 _14 95 : 7 — 4 jeudi. Cependant le P. Alichan assure encore, que 2492 est l’année de la mort de Bel, suivant la chronologie d’Eusèbe et de Jules-Africain, indication que je laisse sous sa responsabilité; de plus, dans sa note 13, il fait des calculs de sars, de sos et de nars, mesures du temps chez les Chaldéens, d’où il tire précisément l’an 2499, ni plus ni moins, pour la date de la mort de Bel. Tout cela est certainement très ingénieux, mais par trop hypothétique. D'après un passage extrêmement concis et obscur de Moïse de Khoren, 1. IT, ch. LIX, on suppose que le roi Artachès II, régnant 88 — 123 de J.-C., et no- tamment en l’an 122 de notre ère, réforma le calen- drier de sa nation, qui jusqu'alors, est-il dit, «ignorait les évolutions ou les cycles des semaines, des mois et des années.» Ce prince, dit-on, adopta l’année vague, alors usitée en Perse — 12 mois de 30 jours, plus 5 épagomènes, et un mois intercalaire de 30 jours tous les 120 ans, — sauf toutefois l’intercalation. Or, si la période de 1460 ans, du P. Alichan, était déjà pratiquée en Arménie, ce que ne dit pas Moïse de Khoren, on ne voit pas en quoi put consister la nou- velle institution, dûe au roi Artachès, qui eût mieux fait de prendre tout de suite et de toutes pièces le calendrier julien, car il eut de fréquents rapports avec les Romains, sous Domitien et sous Trajan. Quoi qu’il en soit, l'Arménie, depuis sa conversion au christianisme, faisait usage pour ses besoins reli- gieux d’un cycle de 200 ans, introduit en 353 de notre ère, sous Constance II, par un certain André de Byzance, et qui reposait sur le calcul alexandrin des termes pascaux. Ce cycle, qui avait commencé par le terme du 4 avril (9° a, du comput Nicée), s’a- cheva avec le terme du 25 mars (18° a. de Nicée), en l’année 552. s Tome XIII. Cycle grec. Nombre d'or. Cycle arménien. 353 353 353 T_2 #3. 1 TR 851 : 19 354 : 19 352 : 19 19 164 162 “161 152 mr 152 12 N. d’or. 10 N. d’or. 9 7 La ar N.d’or 9 353 : 19 te x 11 165 x 11 99 : 30 _152 88 9 épacte ‘ 11 14 épacte 11° ee — 13 102 : 30 pi 12 fond! oi 30 a — 11 30 ‘14 —19 2 35 18 = + 13 18 RL 3 + 14 PL 4A 35 3 EL tn PL 4 A. PL 4A. Ce spécimen des formules arméniennes offre des particularités singulières, qui seront plus bas expli- quées et motivées, pour la découverte du nombre d’or et de l’épacte, et pour le calcul du terme pascal. Malgré l’apparente simplicité des procédés tech- niques du comput, il est assez difficile d’en tirer des règles sûres pour l’application de la chronologie ar- ménienne aux faits historiques. L'absence de bissex- tiles, le défaut d’initiale fixe, qui fait répondre chaque année arménienne à deux années juliennes, et même une fois la même année chrétienne à deux années ar- méniennes, comme en 769 arm.=— 1 janvier 1320 et 770 = 31 décembre 1320 de J.-C., ce sont deux choses qui compliquent fort les calculs, lorsque les quan- tièmes mensuel et hebdomadaire ne sont pas indiqués par les historiens. Pour les faits de l’histoire armé- nienne proprement dite, ce comput était suffisant et paturellement sans contrôle possible; pour ceux qui se rattachent à l’histoire des autres peuples, il fallait toujours hésiter entre une et deux années d’écart. C'était la même difficulté que pour l’ancien calendrier égyptien, dont l’initiale resta fixée au 29 août julien — 1° du mois toth, dépuis qu’en l’an 729 de Rome, 24 av. J.-C., l'Egypte, conquise par les armes romai- nes, avait définitivement adopté la reforme de Jules- César, la même que pour le calendrier lunaire de l’hé- gyre. Telle était du moins l’opinion adoptée à l’égard 27 419 Bulletin de l’Académie Empériale 420 + des Egyptiens jusqu’à ce qu’en ces derniers temps le décret bilingue de Canope, qui a supplanté en impor- tance l'inscription de Rosette, eut démontré que les an- ciens Egyptiens avaient, outre leur année vague et leur période sothiaque, une année fixe, avec bissextile quadriennale, dont l’intercalation se fit en la 9° année de Ptolémée Evergète, 239 — 238 av. J.-C., sur la proposition du collége sacerdotal. "?) Le seul moyen de parer aux défauts de la chrono- logie arménienne était donc d'étudier et de fixer le rapport de la date cherchée à l’une des nombreuses particularités du calendrier ecclésiastique; mais par malheur il n’existait aucun traité complet sur la ma- tière, et peu de calendriers rédigés avec soin, par des personnes connaissant à fond le sujet. ) Au VIT s. de notre ère Anania de Chirac avait composé un traité de ce genre, qui existe, au moins en extrait, dans un manuscrit de la grande biblio- thèque de Paris, mais dont personne n’a encore donné une notice complète. Je l’ai eu entre les mains en 1832, et j'en ai fait un mince extrait pour le Jour- nal asiatique, mois de décembre de cette année, p. 536. Ce même manuscrit, N. 114 du fonds arménien, contient des fragments d'ouvrages de divers compu- tistes, tels que Jean Sarcavag, Jean Cozierhn et d’au- tres. Le Catalogue d'Edchmiadzin renferme aussi di- vers traités de comput, qui n’ont point été explorés jusqu’à présent: NN. 539, Encycelique de Mkhithar Goch, sur la Fausse-Pâque; 322, 1794, Traité de Jacques de Crimée, sur le comput; 1500, sur le com- put; 1594, sur la Fausse-Pâque, par Grigor Vcaïaser; 1627; 1633, 1659, Anania Chiracatsi: 1737, Traité de Jean Sarcavag. Or tous ces écrits, pour autant qu’on peut le supposer, ne donnent point une ex- position complète et systématique du sujet, travail qui exige la réunion, chez l’auteur, d’aptitudes ma- thématiques et d’un vaste ensemble de connaissances historiques et critiques. Du moins on y trouve, si l’on en juge par ce qui est connu, les faits de détail, qu’un esprit généralisateur peut concentrer: c’est ce que jusqu’à présent aucun Arménien ni arméniste n’avait 17) Lepsius, Das Bilingue-Decret von Canopus, Berlin, 1866. J’ai tiré ces derniers faits du Rapport de M. Guigniaut Sur le pro- grès des études orientales en France, 1867, 8°. 18) On cite pourtant un calendrier pour l’année 1147 arm. — 1698, Amsterdam, par Matth. Hohanisian et Luc de Vanand; je ne ai jamais vu. essayé. M. S.-Martin, que ses études chronologiques avaient convenablement préparé, mieux que nul autre, ne l’a pas entrepris. Précédemment Scaliger, le savant Fréret, MM. La Nauze, de La Bastie, Gibert et en partie Daunou, avaient abordé ce sujet, en grand ou dans quelques détails ), mais la connaissance de la langue et de l’histoire arménienne leur manquait, et les notices qui leur avaient été fournies péchaient du côté de lexactitude, en sorte que notamment les deux pre- miers sont tombés dans de telles erreurs que, malgré le mérite incontesté de ces savants, pas un mot de leurs écrits ne peut servir de guide. Le P. Tchamitch, un patient et érudit Arménien, un historien ex-professo, disposant de la riche biblio- thèque des Mékhitharistes de Venise et ayant exploré l'Europe entière pour son grand ouvrage, aurait dû et pu explorer à fond les origines et le mécanisme de son comput national; peut-être lui manquait-il ces aptitudes mathématiques dont j'ai parlé plus haut, peut-être aussi n’est-il pas donné au premier qui aborde une question scientifique de la saisir en entier, ou enfiu ne s’aperçut-il des difficultés que lorsque son Histoire était en voie d’exécution, et pensa-t-il, bien à tort, que l’à-peu-près suffit en fait de dates. Tou- jours est-il qu’il ignorait les bases rationnelles du ca- lendrier arménien et ne réussit presque jamais à éta- blir la vraie concordance des dates arméniennes avec celles du calendrier julien. Dans ses Tables de con- cordance, les années arméniennes et chrétiennes se suivent et se répondent sans interruption, depuis 552 = 1, bien que l’année chrétienne 1320 coïncide, ainsi que je l’ai dit, avec deux années arméniennes, 769, T10! Le P. Somal, qui à publié un traité complet du comput arménien, Venise, 1818, ne s’est pas inquiété du passé. Il pose surtout les règles du calendrier ecclésiastique, il les traite avec toute la minutie et l'exactitude désirables, au point de vue technique, multiplie les Tableaux et les analyses, mais ne con- 19) Mém. de l’Acad. des inscriptions, t. XIII p. 437, Sur la durée du règne de l'empereur Probus, article du baron de La Bastie; XVI, De La Nauze, histoire du calendrier égyptien; XIX, p. 31; Fréret, Sur l'opinion, que J.-César n’a fait qu’adapter à l’année romaine la forme usitée à Alexandrie depuis plus de 280 ans; XVI et XXXI p. 76, divers Mémoires sur la Chronologie, par MM. Fréret et Gibert; Daunou, Etudes hist, t. TITI, p. 508. 421 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 422 centre rien, et, quant aux origines, se tait complète- ment. Comme le P. Tchamitch, il prend le fait, tel qu’il est admis à son époque, et s’en rapporte pour la théorie à l’opinion commune. Quoique plus calcu- Jlateur que son devancier, il ouvre l’ère arménienne par 553 — 1, et il a laissé une faute énorme dans sa Table de concordance, en faisant coïncider le 1° du mois de navasard, dans les quatre années 532 —— 535 arm. — 1084— 1087.(1083 — 1086), avec le 29 fé- vrier, comme si quatre bissextiles pouvaient se suivre. Tel était l’état de la question, lorsque M. Ed. Du- laurier fit paraître en un vol. 4° ses Recherches sur la chronologie arménienne technique et historique, 1° partie, chron. technique, Paris, 1859, 4°. Les points à éclaircir étaient ceux-ci: 1) En quelle année a été organisé le calendrier armé- nien, quelle en est réellement la première année; 2) en quel mois, à quel quantième julien, mensuel et hebdomadaire, s’ouvrit le nouveau comput; 3) par quel procédé rationnel et sûr est-il possible de réduire en dates juliennes les dates arméniennes fournies par les historiens ? Malgré les excentricités de critique que se permet l’auteur des Recherches, vis-à-vis des personnes vouées comme lui à l’arménisme, je reconnais qu’il a parfai- tement éclairci et résolu ces trois questions. 1, Année initiale, En ce qui concerne l’année initiale du comput ar- ménien, entre les dix-huit ou vingt auteurs, dont quelques-uns anonymes, qui rappellent le fait directe- ment ou indirectement, désaccord complet, sans ex- ception, sur les synchronismes: sur les nom et année du catholicos arménien, du roi de Perse, du marz- pan, sous lesquels se fit la chose; unanimité sur un seul point, l’année chrétienne, non eusébienne, comme je l’ai cru autrefois, mais de l’ère vulgaire, en un mot, tous ceux qui indiquent l’année disent que ce fut en 553 de J.-C., après une bissextile (Rech. chronol. p. 52, 101 surtout, 161), et ce, non sans une forte ap- parence de raison, puisque la 1° année arménienne enjambe par moitié, ainsi qu’on va le voir, sur 552 et 553. A la fin du XIT°s. l’initiale que nous cher- chons était encore si peu connue et définie, que Mosé Caghancatovatsi, racontant un fait accompli en 451, dit qu'il eut lieu 120 ans avant l'établissement de l’ère arménienne; Mer. Argan, crp. 84; 1. II, ch. 1, à la fin. En outre, le remarquable historien Mikael Asori la fixe en principe en 559 de J.-C., ce qui donne un écart de 7 ans; mais il ne s’en tient pas là, et chez lui l’écart varie fréquemment, jusqu’à atteindre une différence de 21 ans, qui est la plus ordinaire. En outre, la grande majorité des écrivains arméniens con- fondent deux choses très différentes: la réforme du calendrier et l’introduction dans le comput, dix ans plus tard, de l’usage du cycle de 532 ans. Or, pour déterminer précisément laquelle de ces deux années 552, 553, fut la première, nous avons deux caractéristiques infaillibles, sans compter les in- ductions,. Ainsi que je l’ai dit plus haut, le cycle bicenténaire d'André, commencé en 353, finit en 552 «dans une année bissextile, où le terme pascal tombait au 25 mars:» c’est sur quoi s'accordent tous les computistes, ce qui est exact pour 552 et pour nulle autre année, dans les conditions du problème. 552 20 - — 22 550 : 19 NL 8 mars 38 + 14 170 3 152 PL 25 mars . 552 — 1 D 17 28 PARLE 544 : 28 17 264 17 252 14 +1 12 :4 202:30 ; je 44,8 ire 29 fondt 3+12 = 15: a vend. 1 mars 25 : 7 = 4 lundi 25 mars Es: P. 31 mars 552 : 19.4.7 24 38 19 24 172 +15 1- 6 171 34:30 — 54 : 7 —=5 1 0 22 + 9 = 31 mars 552 6 Le 4 £E : 5 27* Bulletin de l’Académie Impériale 424 423 553 30 553 :19.4.7 2 = 6 — à 38 19 138 551 : 19 NL 27 mars 170 PNR EC 171 7 171 38 146:7 — 6 171 4 5 +15 0 1 1 53 : 30 — 28 il PL 13 avril 0 ve 923 29 — 9 — 90 avril 553 x 11 553 6 TUE Me 18 545 : 28 14+1 265 ” 213: 30 252 8 fondt 13 :4 3 + 13 — 16:7 — 2 sam. 1 mars. 2 __18 17:7 = 3 dim. 13 avril + 7 P. 20 avril 553 Cet accord se continue dans les années suivantes. Il est connu que Pâques tombait le 16 avril en 898 de l’ère chrétienne. 898 30 898 Mur 6 18 896:19 NL 24 mars 890 : 28 76 + 14 84 31 156 3 50 133 41 28 3 — 51 22:4— — 1 PL 10avril 5+922—97 : 7 — 6 merc. 1 mars 2 2 x 10 : 29 18: 7 —4 lundi 10 avril + 14 Dao 6 36 : 30 P 16 avril 6 fondt 898 : 19.4.7 4 76 19 8 138 X 5 120 133 95 06 TA + 15 138:7—15 2 110 : 30 — 20 2 20 25 — 9 — 16 avril Or Mosé Caghancatovatsi, Hist. des Aghovans, 1. III, ch. xx, p. 274, nous dit: «Au bout de 4 ans (après 342 arm. — 893, 4, ère vulg.), lorsque le 1° jour de l’an- née coïncidait avec la sainte Pâque...;» donc en 346 arm., 897 — 898 de J.-C. L'année 346, ouverte le 16 avril 897, n’occupa que les 105 premiers jours de l’année 898 et l’année 347 — 898 commença réel- lement le 16 avril 898, jour de Paques. Dans l'occident, avant que le commencement de l’année fût définitivement fixé au 1° janvier, on ren- contre parfois des dates embarrassantes, analogues à celle-ci: l’ordre de la Dame blanche fut fondé, en France «le 11° jour d’avril treize cent quatre-vingt dix- neuf, jour de Pâques-Fleuries.» Pour que le jour des Rameaux — Pâques Fleuries — tombât au 11 avril, il faut que la Pâque de cette année fût le 18 avril; or c’est en 1400 de l’ère chrétienne que la Pâque tomba ce jour là. Comment expliquer la date qui nous oc- cupe? Dans ce temps-là l’année commençait à Pâques, ainsi les Rameaux appartenaient en réalité à l’année 1399, finissant le samedi 17 avril, l’année 1400 com- mençait le lendemain. L'Histoire de Siounie, tr. fr. p. 134, nous fournit un autre exemple qui n’exige aucune explication. «En 344, dit l'historien, Pâques tombant le 4 de navasard .» Or précisément en 895 de l’ère chrétienne, répondant à l’année 344 de l’ère arménienne, avec linitiale 552, Pâque tomba le 20 avril, 3 jours après le 1 de navasard, qui était le 17 avril. *) 695-1007 6 895 30 76 47 24 — 2 — 3 135 19 138 893 : 19 NL 27 mars 133 X 2 ae 0 76 NT 2 38 1745716 133 44 3 + 15 133 — 31 6 53 : 30 — 23 0 PL 13 avril 23 RU | 6 29 — 9 — 20 avril re 18 29 X 11 18 18 14 +1 213 : 30 21007 3 fond! 895 895 — 8 223 ” 887: 928 1 84 81 1119 :7 — 6 sam. 1 mars 47 2 28 ne 19 :4 21 :7 — 0 dim. 13 avril 4 + 19 = 93 : 7 — 2 sam. 1 mars EAU +2 P 20 avril 13 17:7 = 3 dim. 13 avril + 7 P 20 avril Autre exemple, tiré de Matthieu d’Edesse, p. 279, trad. franç.: «En 561 arm.— 1112, le 1 du mois de sahmi, lendemain de Pâques ....» Or en 561 arm.— 1112, Pâque était le 21 avril. 20) N'oublions pas qu’Et. Orbélian est un de ceux qui placent la 1'€ a. du comput en 553, et pourtant il donne ici la date armé- nienne comme si cette initiale était 552. des Sciences de Saint-Pétersbourg. 426 RER 1112 :19.4.7 24 95 19 150 162 X 10 + 15 + 6 152 205: 30 — 25 180 : 7 —5 Fa 30 — 9 — 21 avril 6 25 5 1 navasard — 22 février 1112 53 jours, 22 février 278 59 1 sahmi — 2 à cause du bissexte. 1 112 jours, 22 avril. 1391 : 7 = 5 1 mars 24 29 lundi 22 avril Enfin il y a encore un passage de Mosé Caghanca- tovatsi, 1. IT, ch 1x, qui prouve, mais par une voie dé- tournée, que cet auteur comptait, du moins dans le passage cité, l’année 552 pour la 1", puisqu'il fait concourir la 18° bissextile ou la 72° année arménienne avec l’an 35 du règne de Khosro- Anouchirvan. Dans la Chronol. arm. p. 9, où il est parlé de ce fait, par une erreur de chiffre, l’année 590 est comptée comme la neuvième, lis. {a septième du règne de Maurice: tout au plus pourrait-on dire la huitième. De ces témoignages et de bien d’autres qui ressor- tiront de ces recherches, il résulte très nettement que l’année 552 de notre ère a été la 1" du nouveau comput et calendrier réformé arménien. L’on sait po- sitivement que ces choses furent réglées dans un con- cile tenu à Dovin, très probablement en la 1" année du catholicos Mosès, concile dont nous n’avons pas les actes, mais seulement la mention en 551, chez Tchamitch, t. II, p. 256, 509 — 516. Le savant mé- . khithariste dit que ce fut en cette année, sans calcul ni preuves à l’appui de son opinion. Il, Jour initial de l'ère arménienne, Puisque l’année vague arménienne avance d’un jour tous les quatre ans sur l’année julienne, si en 898 — 551 — 347 arm. le 1° navasard tomba le 16 avril, entre le dimanche 16 avril 898 et le jeudi 11 juillet 552, ce sont 86 bissextiles ou un précès de 86 jours 14 j. d'avril 898 de J.-C. 31 j. de mai — 551 80 j. de juin 7 347 arm.:4— 686 __11 j. de juillet 552 66 j. mai d'avril, les 7 soustraits de mai et juin 11 j. de juillet 18:7 — 4 jeudi, 11 juillet, 552. Pâques le 31 mars, 0 j. en 552. 2 j. 5 j. C’est donc sans raison que certains computistes européens assignent à l'ère arménienne une tout autre initiale, et certains Arméniens celle du vendredi 11 juillet 553. Comme la fête de l’Epiphanie tombe à jour fixe, qu’elle est la première de l’année ecclésiastique, pour les Arméniens, et qu’elle réunit pour eux celles de la naissance, de la manifestation et du baptème du Sau- veur, le 6 janvier a presque autant d'importance pour leurs computistes, que le 1 mars pour les autres chré- tiens. Or, «En l’année où fut fixée l’ère arménienne*!), le 1 de navasard, établi initial de l’année, tomba, sui- vant la concordance des mois romains, au 11 juillet, PEpiphanie au 30 d’arats, un lundi.... La 1" année vint après une bissextile... En 748, l’Epiphanie entra dans le mois de navasard;» ainsi s'expriment d’anciens computistes anonymes, dont l’un est cité par le P. Sourmel, dans son Traité du comput, $ 37, et Chronol. armén. p. 101, 106%). Ces caractéristiques nous re- portent évidemment aux années 552 comme initiale, et 553 comme second semestre de la 1" année arm. En 552, le 1 de navasard — 11 juillet romain; terme pascal 25 mars, Pâques 31 mars, ainsi qu’il à été démontré plus haut; 30 d’arats au 6 janvier 553, 179 jours après le 11 juillet. 21) Le P. Sourmel ajoute en (): «La nouvelle ère, en 553;» c’est une concession que le savant fait à l’opinion vulgaire, ici et dans ses Tableaux de concordance; mais dans son texte il s’en tient à linitiale 552. 22) À la dernière page citée l’auteur arménien dit, à tort: «Lorsque la 246€ année depuis S. Grégoire fut écoulée, en la 1" année de notre ère...» Or en soustrayant 246 de 553 ou même de 552 il reste 307 ou 306, deux dates qui ne correspondent à aucune époque connue de la vie de S. Grégoire l’Illuminateur, qui a com- mencé sa prédication en 300 ou 301, 15° année du règne de Trdat: c’est ce que l’auteur des Recherches sur la Chron. arm. n’a pas fait remarquer. Le témoignage si concluant du computiste anonyme est, disons-le, entièrement contraire à celui cité au même $, comme extrait de l'oeuvre de Jean Sarcavag: «En la 1'° année de l’ère arm., la pleine lune de Pâques tombait le 7 du mois de maréri.» Ce qui est parfaitement exact pour 553. En effet en cette année le 1 navasard = 11 juillet, 192 jours 7 maréri — 1, 276 jours 468 — 369 103 jours, 13 avril 553. Le 13 avril fut un dimanche, et Pâques le 20 avril. Pourquoi n’a- voir pas cité ce témoignage, qui corrobore la démonstration? puis- qu’il prouve qu'en 552 Pâques tombait à une autre date, 42% Bulletin de l’Académie Empériale 42S 192 j. 11 juillet 552 20 j. juillet 179 j. 30 arats 31 août 371 30 septembre —365 31 octobre G Janvier Des, 30 novembre décembre 6 janvier 553 179 j. 30 arats. 552 138 1 691 : 7 — 5 vendredi 1 mars QU R 86:7 — 1 lundi 6 janvier 558. En 748 arm. — 1299, 1 navasard 6 janvier 1300. Comme l'Epiphanie avance d’un jour tous les quatre ans, procédez ainsi: 748:4— 187 bissextiles ou autant de jours, dont le jeudi 11 juillet 552 a reculé jusqu’en 748 = mer- credi 6 janvier 1300. De même en 1868 — 1318 arm., à quel quantième arménien tomba le 6 janvier? 1318 : 4 — 329 bis- sextiles ou autant de jours; en descendant de 329 jours depuis le 30 arats exclusivement, on arrive au 23 du mois de khaghots, répondant en effet au 6 jan- vier 1868. 1317, 1 navas. = 17 août 1867 229 j. 17 août 466 142 j. 23 khaghots 1 371 233 mercredi 2 mars —365 HE 4 6 janvier 1317 — 1868. à 5 5 6 al se :7 = 6 sam. 6 janv. 1868. Du double caractère de l’Epiphanie, sa fixité au 6 janvier et son précès d’un jour tous les quatre ans, il résulte cette formule pour trouver l’année armé- nienne, quand on sait la date mensuelle arménienne de ladite fête et le quantième annuel qui y répond: en multipliant par 4 le quantième en question, le pro- duit donne l’année cherchée. Pour cela il faut compter 1 le 1° du mois de méhécan, et 365 le 29 d’arats. On se souvient en effet qu’en 552 l’Epiphanie tombait le 30 d’arats. Si l’on sait l’année arm., il faut la di- viser par 4, puis compter les jours exprimés par le quotient, à partir du 1° de méhécan; le nombre au- quel on s'arrête est la date de l’Epiphanie, dans un mois de l’année arménienne. Seulement si le produit de la multiplication du quantième dépasse 192, qui répond à l’année arm. 769, il faut le diminuer d’une unité; si encore l’année arm. connue est plus de 769, il faut aussi la diminuer d’une unité, parce que depuis ce terme, répondant à 1320, ère vulgaire, le calendrier arménien en a gagné une sur le julien: autrement, il faut soustraire de l’année chrétienne non 551, mais 550. Il, Adoption du cycle de 532 ans, Les Arméniens, avant l’année 552, avaient déjà leur calendrier vague, calculé proleptiquement, à ce qu’il paraît, pour un cycle pascal de 532 ans, et dont il reste quelques traces dans les livres. Ce cycle, commencé en 20 de l’ère chrétienne, le jeudi 21 no- vembre, finit le mercredi 10 juillet 552, c’est ce qui prouve de nouveau l'exactitude de l’initiale assignée au nouveau comput. 552 13310 20 j. de juillet — 19 ou jeudi. 31 » août 533 : 4 — 133 biss. 30 » septembre ou jours. 31 » octobre 21 » novembre 133 j. avant le jeudi 11 juill. Ainsi l’an 20 de J.-C. le 1 navasard répondit au jeudi 21 novembre. 20 j. de juillet 5 j. septembre, octobre 1 novembre 26% 7— pb 10 mars ao CR 21 novembre 46 : 7 — 4 jeudi 21 novembre. Le P. Sourmel, $ 40 de son Traité, convient en effet que 552 est la 1° année de l’ère arm., mais au $ 38 il a rangé les années d’après l’initiale 553, parce que c’est «l'usage commun;» on ne comprend pas cette condescendance d’un savant convaincu à l’opinion du vulgaire ignorant. Après avoir fixé l’ouverture de leur calendrier au jeudi 11 juillet 552, terme pascal 25 mars, 18° an- née du cycle lunaire de Nicée, les Arméniens ne réus- sirent pas, durant 10 ans, suivant leurs computistes, à organiser convenablement la série de leurs fêtes, même en ce qui concerne la Pâque. C’est une asser- 429 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 430 oo 2 tion vraiment extraordinaire *); car il est bien évident qu'ils devaient simplement reprendre à 13 la série des termes pascaux, achevée au 25 mars, et qu'An- dré de Byzance n'avait pas sans motif imaginé son cycle de 200 ans, commencé au 4 avril, 9° année du cycle de Nicée, 303 30 = 9 ME 351 : 19 18 19 + 17 161 39 152 — 31 9 PL 4 avril. ul 8 NUL 88 + 14 102 : 30 12 fondt et qui devait finir avec le terme 25, propre à la 18, année, soit 552. Voilà même très probablement pour- quoi les Arméniens avaient songé, cette année là et non une autre, à organiser leur calendrier conformé- ment à leurs mois et à leur année vague, pourquoi aussi leurs computistes ne font mention d'aucun autre calcul que ceux qui convenaient à leur position par- ticulière. Le P. Sourmel, $ 158 de son Traité, dit en 23) Il parait cependant que les Grecs enx-mêmes n'avaient pas encore de méthode sûre pour calculer la Pâque; car on lit chez Théophane, éd. de Bonn, t. I, p. 349, qu’en 6038, ère de Jules-Afri- cain, ou plutôt d’Antioche, 6054 ère de C. P., soit 546 de notre ère (dans la traduction latine on trouve à tort en marge l’année chré- tienne 538), le peuple avait commencé l’abstinencc de viande le 4 février, comme si la Pâque devait tomber au 1° avril, et que Justinien ordonna de prolonger d’une semaine l’usage de la viande, afin que la Pâque chrétienne ne coïncidät pas avec celle des Juifs, et fût, comme il convient, célèbrée le 8 avril. 546 30 546 — 2 — 15 136 544 : 19 15 1 38 + 17 6834 7 164 32 2 152 — 31 ÿl 12 PL 1 avril, 7 dimanche 1 avril EE +7 11 P. 8 avril. ail 11 11 14 135 : 30 15 Or, ou les conditions du problème étaient, en 546, différentes de ce que nous savons, ou le terme pascal tombait au 1 avril, jour de la Pâque juive, et conséquemment les chrétiens ne pouvaient faire la Pâque ce jour là; v. Muralt, Chronogr. Byzantine, p. 189. effet que «c’est à l’occasion du changement général du comput en 552, chez toutes les nations chrétiennes, qu'eut lieu la fondation de l’ère arm.» Soit, la fin du cycle de 200 ans était une circonstance favorable; mais au $ 37 il a dit que 553 est la première année de cette ère, et il a raison et tort par moitié, puisque la 1" annéc arménienne est coupée en deux parties presque égales par deux années chrétiennes. Quoi qu’il en soit, en 562 les Arméniens, sur la proposition d’un computiste d'Alexandrie, admirent comme régulateur le cycle de 532 ans, qui était, dans l’état des connaissances d’alors, la forme la plus simple et la plus parfaite des calendriers ecclésiastiques. L’ayant adopté 10 ans après le règlement de leur com- put, ils en firent remonter la première année à l’an 552; toutefois il est rare qu’on en trouve les années indiquées dans les anciens livres, bien que Jean Sar- cavag ait fait courir un second cycle à partir de 1084 et Azaria, de Djoulfa un 3°, à partir de 1616. De ces deux derniers il est quelquefois fait usage dans les chartes et dans les livres modernes. On ne sait à quelle époque les Arméniens reportèrent proleptique- ment ce cycle à l’an 20 de l’ère chrétienne; ce pas fait, il devenait facile de faire remonter jusqu’à l’an 1, samedi 26 novembre, la concordance des quan- tièmes mensuels arméniens. 20 : 4 — 5 bissextiles ou 5 jours avant jeudi — samedi, qui est en effet le jour initial de l’ère chrétienne. Par parenthèse, le Sau- veur étant né une semaine avant le 1° janvier de l’année 1, voilà sans doute pourquoi le N° 1 du nombre d’or se compte un an avant notre ère. IV, Raccordement des années chrétiennes et arméniennes, Je ne suis pas grand admirateur du mécanisme de la chronologie arménienne, malgré l’apparente sim- plicité d'évolution de l’année vague; cette année, qui enjambe toujours sur deux années chrétiennes; dont les mois, tous de 30 jours, ne tombent jamais en re- père avec les mois juliens, et dont le raccordement est si compliqué que rarement, et le plus souvent par hazard, les anciens Arméniens eux-mêmes et les ar- ménistes nos prédécesseurs sont arrivés à l’obtenir exact. Sans doute on peut triompher de ces difficul- tés, soit par le calcul, soit avec le secours de bons tableaux, mais cela exige une application très minu- tieuse, ou l’on n’a pas toujours les tableaux sous la 431 Bulletin de l’Académie Impériale 432 main, et les tableaux eux-mêmes ne peuvent être com- pris sans grande attention dans tous leurs détails, car le créateur de ces ingénieux auxiliaires s’est assez souvent égaré dans leurs combinaisons. Les histoires arméniennes fourmillent d’erreurs contre la chrono- logie, au point qu'il ne s’y rencontre pas deux dates exactes contre 10 inconsistantes, quand il s’agit de faits qui ne concernent pas proprement et simplement l'Arménie. Les deux ouvrages les plus considérables, ceux de Samuel d’Ani et de Mikael Asori, ne peuvent être consultés que comme renseignements. Dans le 1°, qui a été édité par Zohrab, sans autres connaissances que celle de la langue arménienne, les transpositions de faits se rencontrent à chaque ligne. De l’autre, les 144 années critiquées par M. Dulaurier, dans le Journ. asiat., novembre 1848, ne l’ont été, heureusement, qu'avec des rectifications sans nombre. Disons maintenant par quels calculs, au moyen de quelles formules on peut sûrement raccorder les dates arméniennes avec les quantièmes juliens. Soit une date arménienne quelconque, avec indica- tion de l’année, du quantième mensuel et hebdoma- daire, souvent avec des indications du calendrier ecclé- siastique : 1) Pour obtenir l’année chrétienne, ajoutez 551 à l’année arménienne, jusqu’à 769, 550 depuis lors. Pour trouver l’année arménienne, plus forte que 552, soustrayez 551 de l’année arménienne, jusqu’à 769; depuis lors, soustrayez 550, par la raison déjà dite, que l’année julienne 1320 répond à 769, du 1 janvier au 30 décembre, à 770 depuis le 31 décembre. 2) Cherchez ensuite, avant tout, le quantième ju- lien du 1 navasard. Ce quantième s’obtient, ou par le calcul ou au moyen du Tableau. Soit pour exemple «l’année 186 armén. 27 ma- réri”), lundi du jeûne de Pâques, martyre de $. Va- han, prince de Coghthn.» Ajoutez 551; divisez 186 par 4, prenez le quotient et remontez d’autant de jours depuis le 11 juillet, le quantième restant est celui où tombe le 1° de navasard. 186 + 551 — 737 11 jours de juillet 186 : 4 — 46 +2 30° » de juin 5 » de mai 46 jours — 26 mai 1 navasard. 24) La date 27 est en toutes lettres dans la Petite Biblioth. arm., t. XIIL. p. 50. L'année arménienne 186 est la 3° après la bissex- tile julienne. Enfin en 737 Pâque tombait le 24 mars, et le lundi de la semaine-sainte le 18, qui était le 27 de maréri; or maréri est le 10° mois de l’année ar- ménienne: ce sont donc 297 jours depuis le 1 nava- sard inclus, ou 296 jours après. 737 30 737 — 2 — 26 — 8 735: 19 NL.4 mars 729 : 28 5798) 17 56 26 165 21 mars 169 152 168 13 1 vendredi 1 mars — 1] 17 12 16 : 7 — 4 lundi 18 mars + 11 6 12 P 24 mars. 12 14 146 : 30 120 4 26 fondt Par une formule, de beaucoup plus simple en ap- parence, mais qui exige ou du calcul ou des tableaux tout prêts, on peut obtenir les mêmes résultats. Après avoir trouvé l’année chrétienne et le 1 de navasard, il faut chercher le quantième annuel julien correspon- dant, puis le quantième annuel du mois arménien, di- minué d’une unité en année commune, de deux en bissextile, si ce quantième dépasse le 29 février julien; additionner ces deux nombres, en déduire 365, si la somme obtenue est plus forte, le total ou le reste est le quantième julien cherché. Ainsi: 5 j. de mai 26 mai 146 j. 1 navasard en 787. 30 » juin 27 maréri 296 31 » juillet 7 44 31 » août 965 30 » septembre EE 2 NL OS Rte 77 j. 18 mars 30 » novembre En 737 le 18 mars tombait un lundi 31 » décembre 1 vendredi 1 mars 81 » janvier 17 28 » février - 18:7 — 4 lundi. 18 » mars 296 j., 27 maréri. 929 :7— 1511 mars 17 7 22:1 — 1 lundi 18 mars. C’est à tort que l’auteur arménien et avec lui l’au- teur des Recherches sur la Chron. arm. p. 242, di- sent que le lundi de la semaine-sainte, en 737, tomba le 17 mars. 433 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 434 Autre exemple: En 95 arm., vendredi 20 du mois de tré, prise de Dovin par les musulmans. 95 : 4 — 23 bissextiles + 3 jours — 646, ère chretienne. 12 j. de juin 169 j. 18 juin 31 » juillet 110 j. 20 tré 31 » août 279 j. 6 octobre. 30 » septembre 6 » octobre 110 j. 20 de tré. 11 j. de juillet 12 j.— 18 juin 1 navasard. 92 23 646 161 1 _ 808:7 — 3 mercredi 1 mars 26 :7 — 5 vendredi, 6 octobre 646. M. Dulaurier, p. 230, dit pourtant que ce doit être l’année 647, la seule de la tétraétéride où le 6 octobre ait été un vendredi. On voit que ce n’est pas une chose si simple de réduire une date arménienne à une date julienne. Par exemple le savant Fréret a dit qu’en 1710 le 1 nava- sard devait être le 27 septembre. Or, suivant lui, 1710 = 1159 arm.: 4 — 289 bissextiles ou autant de jours à remonter en arrière du jeudi 11 juillet: 11 juillet 30 juin 31 mai 1 30 avril 3 31 mars 4 28 février 5 6 D 3 31 janvier 31 décembre 2 30 novembre Eve 31 octobre 5 — 25 septembre 1 navasard 289 jours. :7 = 1 lundi. Il est vrai que l’année arménienne répondant à 1710 est réellement 1160 — 290 biss. ou jours, et qu'à l’époque où écrivait Fréret on n’en était pas encore arrivé à ce degré de précision, de savoir qu’à partir de l’année arménienne 769, il faut retrancher une unité avant la division par 4: ainsi l’erreur de Fréret n’est en réalité que d’un jour. On peut tout simplement, comme je l’ai fait plu- sieurs fois au commencement de ce travail, fixer le 1° mars julien de l’année chrétienne dont il s’agit, et y ajouter le nombre de jours indiqués par le quan- Tome XIII. tième mensuel arménien, depuis le 1 navasard, en le diminuant d’une unité. Pour n’avoir pas recours aux tableaux, voici la série des opérations qu’exige le raccordement des dates: 1) Soustraire 551 de l’année chrétienne, 550 seule- ment après 1320 — l’année arménienne. 2) Ajouter 551 à l’année arm., 550 après l’année arm. 769 — l’année chrétienne. 3) Diviser l’année arm. par 4, égale le nombre des bissextiles ou jours, à remonter depuis le jeudi 11 juillet 552. 4) Remonter, à partir du 11 juillet, d’un nombre de jours égal à celui des bissextiles: le dernier chiffre est le 1 de navasard. 5) Additionner le quantième annuel du 1 navasard et le quantième annuel du mois arménien, en le diminuant d’une unité en année commune, de deux, en bissextile julienne, quand la somme trouvée dé- passe le 29 février. On peut aussi diminuer de même la somme des deux nombres, après l’addi- tion. 6) Il est plus sûr, mais cela exige quelques tâtonne- ments de compter les jours, y compris le quan- tième du 1 navasard: le jour où l’on s'arrête est le quantième julien. La formule proposée par M. Dulaurier, p. 390, ’est pas nouvelle, puisque Fréret et M. La Nauze en avaient fait usage il y a plus de 100 ans, mais notre auteur l'explique en termes si embrouillés, et il s’y rencontre, par un hazard fatal, tant de coquilles typographiques, qu’il est impossible de s’en servir avant de l’avoir corrigée convenablement. «Soit par exemple, dit l’auteur, une année commune. «En 771 arm. le 1° de navasard tomba le 31 décembre «1330 (lis. 1320), ou le 363° j. (lis. 365° j.) du calen- «drier julien, Tableau B. On veut savoir à quelle époque «de cette année 1330 — 1331 (lis. 1320 — 1321) «répond le 1° de maréri. Le 1° de maréri étant le «363° j. (lis. 271° j.) du calendrier arménien, Tableau «C, j'ajoute 363 (lis. 365) à 271, ce qui fait 644 (lis. «634, ou plutôt 365 et 271 — 636) — 1 = 643; je «retranche 365 de 643 (lis. 365 de 636 — 1 — 635), «reste 268 (lis. 270), c’est-à-dire le 268° j. julien (lis. «le 270° j.) ou 25 septembre 1331 (lis. 27 septembre 28 435 Bulletin de l’Académie Hmpériale 436 a «1321), date à laquelle se rencontra alors le 1° de «maréri.» Lisez donc: «Soit, par exemple, une année commune, «771 arm. Le 1 de navasard tomba le 31 décembre «1320, ou le 365° j. du calendrier julien, Tableau B. «On veut savoir à quelle époque de cette année 1320 «— 1321 répond le 1 de maréri. Le 1 de maréri étant «le 271° j. du calendrier arménien, Tableau C, j'ajoute «365 a 271, ce qui fait 636 — 1 — 635; je retranche «365 de 635, reste 270, c’est-à-dire le 270° j. julien «ou 27 septembre 1321, date à laquelle se rencontra «alors le 1° de maréri.» Je suis loin de jeter les hauts cris pour une coquille; les voyageurs de la science en laissent tomber malheu- reusement plus d’une de leur pélerine; mais je trouve qu’un législateur qui, dans un décret en six lignes, en a répandu tant, que ce soit éncuria où humana natura, na pas le droit de se faire l’exécuteur à outrance de ses co-laborateurs. De même que les computistes grecs et occidentaux, afin d’avoir une base certaine pour toutes les re- cherches de quantième annuel et hebdomadaire, ont imaginé d’ingénieuses et très simples formules pour la détermination de l’hebdomadaire du 1 mars, choisi à dessein, pour des raisons connues, de même les Ar- méniens cherchent le quantième mensuel et hebdoma- daire de leur première fête, l’Epiphanie. A raison des conditions particulières du problème, il faut absolument, pour le résoudre, ou exécuter des calculs longs et délicats, ou avoir un tableau, et celui de M. Dulaurier, p. 103, 406, est fort bien com- biné, mais compliqué passablement. On se rappelle qu’en 553, deuxième semestre de la 1° année arménienne, l’Epiphanie tombait au 30 d’arats — 6 janvier: c’est un dogme de la chronologie arménienne. En prenant un quantième annuel quel- conque arménien, à partir de ce 30 d’arats, et le mul- tipliant par 4, on obtient pour produit l’année armé- nienne répondant à ce quantième. Ainsi 180, qui est, dans ces conditions, le quantième annuel répondant au 30 hrotits, X par 4 — 720, année arménienne où l'Epiphanie tomba le 30 hrotits. Et encore, en divi- sant par 4 l’année arménienne, on obtient le quan- tième mensuel de l’Epiphanie. Ces deux résultats sont exposés dans le Tableau E, p. 406 des Recherches sur la Chron. arm., qu’il faut étudier avec beaucoup de soin pour en comprendre l’économie. Ainsi, en 95 arm.: 4 — 25, l’Epiphanie tomba le 23 de méhec. En 1159 arm. — 1 = 1158 "4989 "1 Epiphanie tomba le 13 de tré, qui est le 289° j. de l’année ar- ménienne, en partant du 1 méhec. Ici surgit une difficulté, la même que pour la Pâque: 95 arm. — 646 ère chrét., 1 navasard 18 juin; faut- il chercher la date de l’Epiphanie de l’an 95 ou de lan 646? Evidemmeat celle de l’année 646. II fau- drait agir au rebours, si lon cherchait le quantième mensuel arménien de l’Epiphanie 646. De même, en 1159 — 25 septembre 1709 — 24 septembre 1710, il faut chercher ou l’Epiphanie de l’année arm. en 1159, ou celle de Pannée julienne 1709, par un pro- cédé inverse: en un mot il faudra ou remonter en ar- rière du 1 pavasard, pour l’année julienne, ou re- descendre pour l’arménienne. Soit pour 646, année julienne: En 94 — 645, 1 navasard 18 juin. 12 j. de juin 169 18 juin 31 202 23 méhec 31 371 30 —365 31 RE 30 6 janvier 646. 31 6 janvier 202 j. 23 méhec. 94:4— 923 bissextiles, 23 méhec. Du 1 navasard en remontant, 169 —163 6 janvier. Pour 95 — 646, 7, les conditions et les résultats sont identiques. Pour 1710, 1 navasard 25 septembre. 1710 — 550 — 1160 : 4 — 290 — 14 tré. 268 j. 25 septembre 5 de septembre 103 j. 14 tré 31 871 36 —365 31 6 G janvier. te j 103 j. 14 tré. Pour 1868, 1 navasard 16 août. 1868 — 550 — 1318 — 1 — 1317 : 4 — 329 — 93 kaghots. 228 16 août 15 d'août 143 23 kaghots 30 371 31 965 30 TA QU 0 31 6 janvier. 6 143 j. 23 kaghots. 437 des Sciences de Saïnt-Pétersbourg. 438 —_————— oo Les complications et les ressources ne sont pas moins grandes, quand la date mensuelle arménienne est ac- compagnée d'indications relatives aux jeûnes, si nom- breux, et aux fêtes, mobiles ou non mobiles. Il est rare que les historiens eux-mêmes ou les copistes n’aient pas, en les transmettant, commis quelque erreur, tou- jours grave, lorsqu'une unité de plus ou de moins, une lettre mise pour l’autre, dérangent toute l’écono- mie de longs calculs. Par ex. # 3 et# 4,F 5 et 4 7, FE 20 et b 40, à 10 et d 50, sont fréquemment per- mutés dans les manuscrits. Aussi l’auteur des Re- cherches sur la chronologie, tout en ayant trié un peu plus d’une centaine de dates dans les écrits arméniens, trouve-t-il dans la moitié au moins des cas matière à conjectures, où il s’embrouille aussi parfois, et les compilateurs, tels que le savant P. Tchamitch, faute de règles, aujourd’hui trouvées et définies, s'accordent rarement entre eux. Puisque j'ai comparé précédemment, au point de vue des embarras, la chronologie arménienne à celle de l’hégyre, qu’il me soit permis de rapporter ici les formules, qu’à défaut des Tables si utiles de M. Wüsten- feld, Leipzig, 1854, 4°, les amateurs d'histoire musul- mane devaient employer, pour obtenir un à-peu-près, non entièrement satisfaisant toutefois, de raccordement entre les ères chrétienne et de l’hégire. 1) V. Raëkasckiñ Kazcnjaps sa 1852 r. crp. 42. La 1" a, de l’hégyre, 15 juillet 622 de J.-C. M l’année musulmane » chrétienne. __N—621, 54 nr, P ne M— 0, 97. 1868, quelle année de l’hégyre ? 1868 — 621, 54 1246, 46 : 97 1 97 97 1285 97 1285, comm. 22 A. 97 aunées de l’ère chrétienne donnent un = El peu plus de 100 années de l’hégyre. 276 194 824 776 486 485 1 Suivant les Tables de Wüstenfeld, où la 1" a. H. est marquée 622, 16 juillet F (vendredi), 1868 = 1285 H., commencée 24 avril F (mercredi). 2) Revue de numismatique Belge, 4° série, t. Il, p. 99, F. Soret. Pour trouver A. A année arabe NA oo X » chrétienne. 1bée 97 Suivant l’époque de l’année, on ajoute: Xi .. — 621, 84 Pour 3 mois, 25 =? à ñ 1246, 10:97 ço » à » 50 97 1284 » D » 19 97 Pour trouver l’année chrétienne: A X 97 +- 621, 84 = X. 1284 x: 97 8988 11556 62184 1867.32 sont un peu plus du tiers 32 100 de lannée. 3) Formule de Navoni; v. Daunou, Etudes hist. t. HT p- 5107: Pour trouver l’année de l’hégyre x — 621 — c. 33:34::c:x. 1868 — 621 ©1247 33 : 34 : : 1868 : 1284 1247 X 34 des 4988 Lt 3741 100 42398 : 3: 7 33 1284 93 66 279 264 158 132 2600 231 290 231 59 Pour trouver l’année chrétienne, il faudrait, comme avec la formule Soret, partir de 1284 et dire: J4 90e STE et le résultat serait ::19267.8:1284.5 Quoique le savant Daunou trouve la formule Navoni suffisamment satisfaisante, on voit qu’elle n’approche que d'assez loin de la vérité, et que celle du calendrier du Caucase est encore la meilleure. En l’augmentant de quelques centièmes, au lieu de 54, on obtiendrait un résultat presque exact. 28* 439. Bulletin de l’Académie Impériale 440 4 2 V4 4 2 2 V. La Fausse-Pàque. La dernière difficulté et en même temps un nouveau moyen de contrôle des calculs précédents, c’est la Fausse-Pâque, dont le retour dans la chronologie ar- ménienne est constaté par des témoignages historiques, si non pour les 16 années annoncées par la théorie, du moins pour la moitié de ce nombre. Le fond de la question est tel. Il paraît que dans l’ancien comput alexandrin, adopté par les Arméniens — c’est M. Dulaurier, Recherches .…, p. 74, 85, qui affirme ces deux faits — l’année 18 de l’ancien cyele lunaire, 17 du cycle nicéen, était affectée d’une erreur: le terme pascal, aujourd’hui 5 avril, était alors 6. On avait mal calculé: épacte 7, maintenant 8, par suite du Saltus lunae. En la 17° a. (16 a. nicéenne), l’épacte jul. est 26, à laquelle on ajoute 12 au lieu de 11, et l’épacte de l’année 18 est 8, qui amène le terme pascal 5. Dans l’ancien calcul alexandrin, en la 16° a. l’épacte était 28. 30 17° année, épacte 9 30 — 28 — 9 NL 2 mars NL 21 mars + 15 + 15 15 34 — 1 + 3 14 37 = © —= il > PL 17 avril. PL G avril Cycle lun. Epacte. Autrefois. Mainten. Terme, autrefois, mainten. D GR A ce ces =, 550 — 18....— RO EL ire one 5 19..,.— Eh I ARR RN EE Ancien calcul LOS Ep. 5 A 316 AG: 30 7 SA SI SAT ES — 6À Nouveau calcul. 16.... 29 Ep. + 30 — 52 — 7 — 45 — 351 — AAC EI TEA PT NNTO 30 402733 —31—2 A3 — 5 À Autrement dit, le Saltus lunae se faisait autrefois, d’après les Alexandrins, de la 17° à la 18° année, au- jourd’hui de la 16° à la 17° année. *) Autrefois: Maintenant: 182 année 18° année QE — 1 — 1 fondt 11: 17 17 30 X 11 x 11 il TT F7 NL 19 mars 17 17 HT 187 : 30 1 36 7 ép. jul. 188 : 30 — 91 8 ép. jul. 5 avril. 30 30 NT — 8 NL 93 mars NL 22 mars + 14 14 PL 37 86 of — 31 ! Gavril,terme. 5 avril. Chez les Grecs, le 5 À tombant un samedi, dans les années qui seront dites plus bas, la Pâque se célèbre le dimanche 6; chez les Arméniens, la pleine lune tombant un jour plus tard, la Pâque est renvoyée, comme il convient, au dimanche suivant, le 13 avril. Cela arrive quatre fois dans un cycle pascal de 532 ans, à des intervalles de 95 années (de 247 ans, d’un cycle à l’autre), en la 17° a. du cycle lunaire nicéen. Outre cela les Arméniens ont construit leur calen- drier d’après un cycle d’épactes qui leur est propre, et qui devrait amener encore une autre perturbation, en chaque 16° année du cycle lunaire nicéen: quand les Grecs célèbrent la Pâque le 24 avril, les Armé- niens devraient la faire le 17; mais comme l’histoire n’a pas enregistré un seul évènemeut de ce genre, il faut croire que la substitution de chiffres attribuée à Irion est restée une théorie, et que les résultats du changement d’épacte ne se sont pas produits. Voici la liste des années où la Pâque grecque de- vance réellement d’une semaine celle des Arméniens”) 25) 11 faut remarquer iei que les NN. des années du cycle lu- naire ont été avancés d’une unité; après le concile de Nicée, l’an- née 326, qui était la seconde, avec 11 d’épacte julienne, est devenue la 1'e, et ainsi des autres. Le terme pascal 13 avril, qui était le 1°", est devenu le 192. Les années ont changé de N., mais le Saltus est resté où il était, et les Arméniens l’ont conservé à l’ancien N°, qui retarde d’une unité. 26) Je dois remarquer ici que, dans le Tableau G de M. Dulau- rier, la Pâque pour ces années est indiquée en ordre inverse: arm. 13, en premier lieu, quoiqu’elle soit fausse, et la grecque, qui est la vraie, 6 avril, à la 2° place. Pour celles de la 2° catégorie, elles sont placées comme il convient: grecque, 24 avril d’abord; arm. 17 avril ensuite. A4 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 442 —————————————…—————— ———————————_—_—_—_—____ __]__ _—_____—_——_——__ _]__]__]_]___———__ 38 133 228 475 570 — 19 arm. 665 — 114 » 760 — 209 *7) 1007 — 466 » 1102— 551 » 1197 — 646 » 1292— 741 Sourmel. 1539 — 1009 (1008) 16354 — 1084 (1083) 1729 — 1179 (1178) 1824 — 1274 (1273) **) 2071 Toutes ces années sont 17 du cycle lunaire nicéen, 18 de l’ancien cycle. Elles se suivent réellement par groupes de quatre, à des intervalles de 95 ans; de 247,entre les groupes. La même chose se remarquera dans la série suivante. Dans les années où le 5 avril n’est pas un samedi, comme par ex. en 1843, où la pleine lune grecque tombait un lundi, et l’arménienne un mardi, la per- turbation n’a pas lieu. V. Addit. et éclairciss. à l'Hist. de Géorgie, p. 280 —— 282, les témoignages sur quelques Fausses-Pâques et la liste peu régulière qu’en a donnée l'historien Ara- kel, p.282, 544, 589: cf. Tchäm. t. III, p. 14, 23, 27) 7 années sans témoignage historique, de la part des Armé- uiens. À leur défaut, nous en trouvons un chez les Grecs, pour l’an- née 760. En effet on lit chez Théophane, en 6260, ère de Jules- Africain, 6268 ère de C. P., 760 de J.-C., que les orthodoxes firent la Pâque le G avril, et les hérétiques le 13, ce qui rentre exacte- ment dans nos calculs. Dans Ja traduction latine on lit à tort, en marge, l’anuée 752, répondant en effet à 6252, qui se lit dans le texte, mais le calcul montre que c’est réellement en 760 qu’eut lieu ce dont il s’agit, et d'ailleurs l’année de lère des Séleucides 1070, qui est donnée par les auteurs syriens, répond exactement à 759 — 760: Théophane a donc quelquefois mal appliqué l’ère de Jules- Africain. On trouve quelques détails sur le fait, chez Asse- mani, Biblioth, or. t, IE, p. 115; Muralt, Chron. byz. p. 558. 760 30 760 mn 2 =D 190 758 : 19 19 LS DIE = 1 951 :7 — 6 1 mars 183 36 2 171 —31 D A PL5 avril. 13 : 1=— 6 sam. 5 avril — 1 P. G avril. 16 CT 16 16 PER 191 : 30 11 28) 8 années avec témoignages historiques. 5) 161, 286,421, 615, 801; Dates de Wakhoucht, dans Addit. et éclairciss., p. 282. En 1539 et 1729 cet historien dit: «Les Arméniens manquèrent la pleine lune, sosljèobse sb do dsgbb;» en 1729, suivant Sekh- nia Tchkhéidzé, «Les Arméniens célébrèrent la Pâque le jour du dimanche Nouveau et mangèrent de la viande dans la semaine de $. Théodore, sogpes 3,65 Ghoggwebs DSsob gl &©$ nj2Re6e vol à 9S 32669 BSdLr, c’est-à-dire qu’ils retardèrent d’une semaine l’ouver- ture du Carême; leur Pâque étant le 13 avril, leur Carniprivium fut le 17 février, au lieu du 10. Enfin en 1824, «les Arméniens perdirent la $° Pâque et se trompèrent à l'égard de la pleine lune... cette erreur arrive {ous les SO ans;» dit le tsarévitch Bagrat, dans sa Chronique manuscrite. Années où les Arméniens devraient devancer les Grecs d’une semaine, d’après M. Dulaurier, p. 86, leur pleine lune calculée devant tomber un samedi 16 avril, ce qui n’est pas, ainsi qu’on le verra plus bas, et celle des Grecs tombant le dimanche 17. P. Arm, 17 avril, Grecque 24 avril. 113 de J.-C. 208 455 arm. 550 94 — 645 189 — 740 436 — 987 531 — 1082 626 — 1177 Sourmel 121 — 1272 (969) 969 — 1519 (1063) 1064 — 1614 (1158) 1159 — 1709 (1253) 1254 — 1804 2051 2146 Toutes ces années sont 16 du cycle lunaire nicéen, 17 de l’ancien cycle. J’ai mis entre () l’année armé- nienne donnée par le P. Sourmel, en retard d’une unité, et qui se conserve encore dans les almanachs de Venise. Il serait inutile et exorbitant d’entrer dans le dé- tail des huit ou dix Fausses-Pâques historiquement constatées, et je crois bien suffisant d’en citer une seule, pour établir de nouveau que toutes tombent dans des années arméniennes supposant l’initiale 552. L'année 646 arm. *”) a vu une Fausse-Pâque, au su- 29) Cf. Assemani, Bibl. or. t. II, p, 269. 443 Bulletin de l’Académie Empériale jet de laquelle Kiracos s'exprime ainsi: «On jeta les fondements d’une église magnifique, au couvent de Nor-Gétic...… ; commencée en 640, quatre ans après la prise de Jérusalem par Saladin, elle fut achevé en 5 ans, lors de la perturbation de la Pâque grecque.» *) Pour déterminer l’année arménienne où fut achevée la construction dont il s’agit, nous avons d’abord ce texte formel de l'historien Sembat, écrivant à la fin du XIV°s.: «En la même année 646 les Grecs s’af- folèrent au sujet de la Pâque.» Puis les deux éditions de Kiracos, portant en toutes lettres «en cinq ans,» et non comme l’a traduit M. Dulaurier p. 95 «la 7° année *);» enfin une inscription rapportée par le P. Sargis Dchalal, t. I, p. 140 de son voyage dans la Grande-Arménie «en cinq ans,» aussi en toutes lettres; enfin une très bonne copie que je possède donne le même nombre. Le P. Chahkhatounof t. IT, p. 367, est seul à donner en chiffre le nombre £ 7. Au reste ni 5 ni 7 n’atteignent l’année chrétienne convenable : Jérusalem fut prise par Saladin le 17 rédjeb ou 3 octobre 583 H. comm. 13 mars 1187 *). Quatre ans après nous avons l’année 1191 — 640 arm; 5 ans ni 7 ans après n’atteignent exactement 646 arm., indiqué par l'historien Sembat et répondant à 1197. M. Dulaurier p. 158, n. 11 ne s’embarrasse pas de si peu: «La prise de Jérusalem, dit-il, étant de l’année 1187, les quatre années après... nous conduisent à 1191;...1e couvent de Nor-Kédig fut terminé 7 ans -après,... c’est-à-dire en 1197.» J’aime mieux dire que Kiracos et l'inscription se sont mal exprimés. Il est donc bien entendu que la Fausse-Pâque eut lieu en 646 — 1197, qui suppose linitiale 552. Cette année, en effet, est la 17° du cycle lunaire de Nicée, où se fait le Saltus lunae, Pâque le 6 avril pour les Grecs, le 13 pour les Arméniens. 30) M. Dulaurier, p. 158. 31) Au reste, quatre lignes plus loin, au lieu de: «Ils procla- maient avec effronterie comme erroné l'excellent calendrier, faussé par l’impie Irion;» lisez: «comme excellent le faux calendrier... » Il y à là contre-sens et non-sens, qui a échappé au traducteur; wub fit aPEptr nerf, qep WT] andpu pou je nb. Kiracos, Mosc. p. 124; Venise p. 109 donne quelques variantes, qui Winfluent pas sur le sens. 32) D’Herbelot, Bibl. or. au mot «Saladin. » 1187 296 13 mars 1496 : 7 — 5 vendredi. 444 Grec. 30 1197 — 11 as NL 19 mars 1195;::19 17 il 14 36 05 — 21 35 PL 5 avril. 17 — 1 1197 16 us X 11 1189 : 28 g 16 112 16 69 14+ 1 56 191 : 30 15 1 , L 1 fond 3+13—16:7—2 sam. l mars ÿ 9 & 9: 7 = 2: sam. 5 avril P 6 avril 1197:19°4%7 Arm. 114 1197 : 19 57 2 114 57 +15 90 57 0 + 6 57 1 #0 Han —9 0 15 — 9 — 6 avril. 15 30 0 — 9 21 + 13 3 37 — 381 G avril dim. P 13 avril. Toutes les autres années signalées par la Fausse- Pâque tardive rentrent dans la même catégorie et ne diffèrent que par des détails historiques, qui ne chan- gent rien aux conditions du comput. Disons la même chose pour l’année 1824—1273 arm. et non 1274 Dul. Gr. 30 Arm. 1824 — 11 1273:19 — 2 19 114 1822 : 19 + 17 33 171 ë 36 133 112 — 31 0 un PL 5 avril ép. 19° 17 P G avril. = 9 M L 16 ge x : D Q 16e RUE 14 +- 1° _. 191:50 Le 21 11 fond! 6 avril dim. P 13 avril. En ce qui concerne spécialement l’année 741 arm. — 1292, le P. Sourmel, $ 233,4, dit formellement 445 que les Grecs n'avaient pas tort en célébrant la Pâque le 6 avril, puisque la pleine lune avait déjà paru le jeudi 2 de ce mois: c’est ce dont convient le roi Héthoum, dans une pièce de vers consacrée à cet évènement et imprimée à la suite de certaines édi- tions de la Bible, qui me manquent, Amsterdam, 1666; Venise, 1703; CP. 1705. Lui, Héthoum, donna donc raison aux Grecs et fut soutenu par une assemblée d’évèques, réunis à $Sis; mais l’Arménie orientale tint bon et fit la fête suivant le comput na- tional. Quant à la soi-disant Fausse-Pâque, qui devrait mettre les Arméniens en avance d’une semaine sur les Greës, 17 avril, au lieu de 24 avril, l’épacte ju- lienne 26 donne aux Arméniens le terme pascal 16, qui, tombant un samedi, permettrait de célébrer la Pâque le 17; mais le fait est que l’épacte arménienne 28 amène le terme, 18 avril, un lundi, et n’agmet pas d'erreur. Gr. 3 1614 — 2 = D 1 1612 : 19 + 14 152 15 92 — 1 76 14 16 + 3 — 1 PL 17 avril 15 S'en 1614 15 ns 15 1606 : 28 14 140 179 :30 200 29 L 196 4:4 1-4 —5 mardi 1 mars 2 17 24 : 7 — 3 dim. 17 avril P 24 avril. 1614 53 — 26 — 27 + 1 26+3—99—9=—927:7 —6 GIE : 19 33 — 9 — 24 avril 152 95 95 1614 403 cs —— 2018 : 7 = 2 mardi 1 mars. 16 LL 16 16 176 : 30 des Sciences de Sain(- Pétersbourg. 446 Armén. 1614 : 19 ou 1614 30 152 EE Le | — 926 94 1615 : 19 NL 4 76 152 13 18° ép. 95 17 — 98 95 il A 0 PL 16 avril. 50 — 3 —_28 16 2 X 11 + 15 ET: REG) 16 PL 18 avril. 7176 : 30 26 En ajoutant, ce qui est indispensable, 3 au terme pascal 16, obtenu par ce procédé, pour atteindre la pleine lune de Nicée, on obtient 19 avril, mardi, ct Pâque tomberait également le 24 avril. C’est pour- quoi l'historien Kiracos dit: «16 pour 17 ne cause pas derreur.» Avec 28 épacte et 3 pour la pleine lune on arriverait encore au terme pascal 21 avril, ce qui serait aussi sans inconvénient. Ainsi, à tous égards cette seconde Fausse-Pâque n’a pas de rai- son d’être. Quant au mécanisme des épactes arméniennes, il va en être question tout à l’heure. VI, Des auxiliaires du comput arménien, Pour compléter nos éclaircissements il est néces- saire de faire connaître le mécanisme des auxiliaires du comput arménien: les lettres dominicales, le nombre d’or, les épactes, portant, comme tout ce qui a cours chez cette nation singulière, un cachet d’ori- ginalité et d’appropriation individuelle. a) Le tableau des lettres dominicales, pour les 28 ans du cycle solaire, commence ici par une année commune, et les lettres se suivent dans l’ordre di- rect de l’alphabet, naturellement doubles dans les années bissextiles. Sourmel, $ 79— 88. Pour trouver la lettre domi- nicale de l’année arménienne, il faut d’abord sou- straire 5 du millésime donné, puis diviser par 28: le reste donne et l’année du cycle solaire et la lettre y afférente, parce que la 1° année de l’ère arménienne, 552, était la 24° d’un cycle, et qu’un autre cycle a commencé la 5° année après celle-là. Autrement dit, suivant les Arméniens, la 1" a. chrétienne avait, pro- leptiquement, à ce que je crois, 5 du cycle solaire, en sorte que, pour trouver la lettre de l’année chré- A4% Bulletin de l’Académie Mmpériale 448 tienne concordant avec l’année arménienne, il faut ajouter 4 avant de diviser par 28. 646 arm 1197 de J.-C. ou 646—5—532— 1197 — 5 + 4 537 He 4 641 : 28 1201 : 28 109 : 28 1201 56 22 112 42 84 —1064 81 81 25 137 56 56 112 25° a. lettre # 3. 25 95 Après 1320 de J.-C. il faut, avec le P. Sourmel, ajouter 1 à l’année chrétienne donnée par M. Dul. comme correspondant à l’année arménienne. 894 arm. 1445 (Dul. 1444) UE + 4 889 : 28 1449 : 28 SLm3L 140 51 49 49 28 28 mr 21 Je rappelle ici que, d’un bout à l’autre, la Table de concordance des années chrét. et armén. du P. Sourmel est établie d’après l’initiale 553, ce qui donne toujours une année de plus que celle marquée dans la Table A de M. Dulaurier. Au reste, les ex- cellents almanachs des Mékhitharistes de Venise sont tous rédigés dans le système du P. Sourmel. J'ai insisté sur ces détails, parce que, pour déter- miner la date des Fausses- Pâques et pour calculer celles de certaines fêtes mobiles, comme l’Assomption et l’Exaltation de la croix, se célébrant toujours le dimanche le plus proche de la date mensuelle fixe, il est indispensable de connaître exactement la domini- cale. b) Sourmel, $ 105 — 107. Le nombre d’or, le cycle lunaire et les épactes forment trois périodes de 19 ans, sans lesquelles le calcul de la Päque était autrefois impossible. Voici comment les Arméniens les ont appropriées à leur usage. Pour trouver le nombre d’or, il soustraire 1 de l’année arménienne chrétienne, et diviser le reste par 19. faut chez eux et de l’année Soit 646 arm. 1197 ou 646—1—532— 1197 —1—1064— nl sl 533 1065 645:19 1196:19 113:19 132 : 19 57 33 114 PE 114 75 56 18 18 57 38 N.d’or 18 18 Après 1320 il faut soustraire 1 de l’année chré- tienne du P. Sourmel. Sourmel 1445 (Sourme]) — 1 se 1444 : 19 = 33 7 898 : 19 114 STGENAT 114 133 19 153 N.d’or 19 La rectification de l’année chrétienne se fait donc d’elle même, en suivant l'indication du Tableau A Dul. La raison pour laquelle il faut soustraire 1 de l’année arménienne, pour trouver le nombre d’or, d’après le P. Sourmel, $ 107, c’est que la 1" année du comput arménien, comme aussi de l’ère chrétienne, était la dernière du cycle de 19 ans. Or nous avons montré précédemment qu’en effet l’année 552 avait pour terme pascal 25, qui est le 19° de l’ancienne série des termes, commençant par 13, mais le 18° du cycle lunaire ou nombre d’or nicéen. Ainsi, en remontant, la 1" année de lincarnation était aussi 18°), du même comput de Nicée, ce qui s’accorde avec la formule greque, mais non avec la formule latine, ouvrant son nombre d’or un an avant la naissance du Sauveur. Par là on voit encore que ce n’est pas le nombre d’or julien, plus fort de 3 unités que l’orien- tal, qui prévalait en Arménie. c) Ayant adopté le nombre d’or nicéen, les Armé- niens auraient dû aussi, ce qu'ils n’ont pas fait, en prendre les épactes, dont la série est toute ration- nelle: 30, 11, 22..., sauf le N° d'ordre, qui a été avancé d’un rang, pour une raison connue, 11 étant l’épacte de la 1" année du calendrier nicéen. Cycle nicéen. 1 2 3 d 5 6 7 CNT D Ep. nicéennes 11 22 ENT NDS 6 1728 9 20 Termes...... 2A 922M 104 80M 18A O#7A 97M 15A 4A 24 Ep. armén....13 24 b 16 27 CAMES 2 Cycle nicéen Cl T2 MS TASER EME SENS Ep. nicéennes. 1 12 23 AMIS 260U8S51)19 30 ‘Permes. -.1. 124 O1A 91M JA 29M 17A: 5A 95M 134 Ep. armén.... 3 14 25 GITES JAI 2 Dans le cycle nicéen tout est d'accord — l’avan- cement d’un rang étant admis — et le calcul relatif de l’épacte au terme se fait naturellement: 33) Chez les Géorgiens 19, à cause d’une addition de 96 ans = 5 cycles lunaires + 1, dont je parlerai plus bas, il faut aussi di- minuer l’année chrétienne d’une unité, avant la division par 19. 34) S. Saltus lunae. 30 30 ii — 93 19 7 14 14 33 21 mars, et ainsi des autres. — 31 2 avril. Au contraire, dans le cycle épactal arménien, où l’ou n’ajoute que 13 au quantième de la nouvelle lune (Sourmel, $ 141), pour obtenir la pleine lune, ou n'arrive au terme pascal qu'après une nouvelle addition de 3, complément de la pleine lune de Nicée. 30 30 — 13 — 25 17 5 13 13 30 18 + 3 — 3 33 21 mars. — 31 2 avril Le P. Sourmel ne parle pas de ce complément, que j'ai moi-même imaginé, pour le besoin du caleul. Comme donc le Saltus lunae se fait à la 18° année, au lieu de la 17°, l’épacte 9, avec l’addition de 3, donne le terme 6, au lieu de 5, et amène la Fausse- Päque. x — 9 | y avril. ao) | a Les autres termes ne souffrent aucun dérangement, sauf le 16°, qui devient 18 au lieu de 17, mais sans inconvénient pour la Pâque. Peut-être me trompé-je en prétendant déterminer la pleine lune par un calcul découlant de l’épacte, calcul qui exige forcément ici l’addition de 3 unités; toutefois je ne puis croire que les computistes ar- méniens aient simplement mis leurs épactes en re- gard des termes, sans s’occuper de les supputer. En tout cas, voici le résultat de mes recherches à ce sujet. 1) 30—2—28+13+3(—16)—=44—31—13A 2) 30— 13 — 17 + 16 — 33 — 31 —2A 3) 30— 24 — 6 + 16 — 22M 4) 30— 5 — 25 + 16 — 41 —31— 10A 5) 30— 16 — 14 + 16 —30M Tome XIII. des Sciences de Saint-Pétersbourg. . EE EN 6) 30—27—3+16—1—15+3—18A 7) 30—8—99+16—38—31 —7A 8) 30— 19 —11+16—27M 9) 30 + 16 — 46 — 31 —15A 108011191635 31 =4A 11) 30—22— 8 + 16—24M 12) 30—3— 927 + 16—43— 3] — 12A 13) 30—14— 16 + 16— 32 — 31 —1A 14) 30—25—5-+16—21M 15) 30 — 6 — 24 + 16— 40 — 31 —9A 16) 30— 17 — 13 +16—29M 17) 30— 28 — 9 + 16—18A *) 18) 30—9— 21 +-d 6 — 37 — 31—6A 19) 30— 21 —9 + 16—25M. D’où vient donc ce dérangement ou plutôt cet ar- rangement non rationnel, qui fait tomber l’épacte 30 ou 0, la 1" de toute la série, en l’année 8 nicéenne, et l’épacte 11, la 1" de la série nicéenne, en l’an- née 9? Si les recherches de M. Dulaurier sont exactes, les Arméniens auraient pris de toutes pièces une an- cienne série épactale alexandrine, qui s’ouvrait réel- lement autrefois en la 9° année actuelle du cycle ni- céen, avec l’épacte 10, au lieu de 9, et l’épacte 11, initiale du cycle d'André, était la 12° de l’alexandrin. Je suis sans matériaux qui m’autorisent à contester ces faits; mais il me semble douteux que les Alexan- drivs aient pu établir une pareille initiale Ÿ); car si 35) Si même on dit 24+ 13 —=15—1—=14+3— 17, on n’arri- vera jamais au terme 16, introduit là par Irion: ainsi il n’y a réel- lement de fautif que le terme 6 avril. Ne pouvant arriver au 16 avril par aucune combinaison régulière, je suppose de trois choses lune; ou qu'Irion avait changè arbitrairement le terme 17 en 16, ou que cette substitution, si elle a eu lieu sur le papier, n’a pas été mise en pratique, car aucun historien ne dit que les Arméniens aient jamais fait la Pâque une semaine avant les Grecs (cf. Dulaur. p. 877); ou enfin qu’il y a une fausse indication chez les auteurs, et qu’au terme 17 Irion avait substitué 18, qui réellement donne la pleine lune un lundi, dans les années mentionnées. Ainsi, en 1614, année déjà citée, et dans toutes les autres de cette catégorie, sans exception, 28 d’épacte, le terme 18 avril tombe un lundi: 1614 403 1 2018 : 7 — 2 mardi 1 mars 2 18 "22:7= 1 lundi 6 P. 7 dim. 24 avril. 36) On trouve pourtant une indication de ce genre dans le ma- 29 451 le cycle bicenténaire d'André de Byzance s’ouvrit avec l’épacte 9 ou 10, terme pascal 4 À, en 353, ce n’est pas que ce fût là le 1° terme de la série, puis- qu’on assure qu’au contraire la dernière année de ce cycle tombait en 552, mais bien parce qu’on avait fixé par le calcul, à ce quantième, la pleine lune pascale, en l’an 353, 28 aus après le concile de Nicée. Il avait fallu cet intervalle pour déterminer et contrôler tous les comptes des Alexandrins. Quelles qu’aient été les causes et les circonstances de ces dispositions, les Arméniens, après avoir rac- cordé avec les termes pascaux la série d’épactes que j'ai dite, ont imaginé un procédé particulier pour déterminer celles-ci annuellement. Partant du fait, que 552, la dernière année du nombre d’or, est la 1° de leur comput, ils rangent leurs épactes dans cet ordre”): 1@: 28 CERN APE En CRUE lee Epactes......21s. 2 3 24 D 2 SAAORS0 EM TE EN OS ON (7 OO VE EE Epactes...... di RO O ERNS DÉ PONT AIME 0) Pour eux il s’agit donc de trouver le rang ordi- ual de l’épacte, et pour cela ils divisent tout simple- ment par 19 l’année arménienne et la chrétienne. 646 : 19 1197:19 ou 646 1197 : 19 _57 34 114 63 — 532 114 76 57 114 : 19 57 Murs 57 114 6 np ép. 19° —9 19 19 19 La 19° épacte est 9, terme G avril, pour eux, ainsi qu’on l’a vu plus haut: pour lobtenir, il n’est pas besoin de chercher le nombre d’or, de diminuer, de multiplier, d'exécuter les nombreuses évolutions que l’on sait. Après 1320 il faut opérer sur l’année chrétienne donnée par le P. Sourmel comme correspondante; mais évidemment ici le résultat est faux, puisque l’année chrétienne est théoriquement trop forte d’une unité. 894 : 19 1445 (Dul. 1444) : 19 76 47 133 76 134 115 133 114 ÉPALE JL Terme 25 mars. nuscrit académique de Mkhithar d’Airivank, f° 32 v”. 10 n’était pas en réalité la première épacte du cycle alexandrin; mais, dit M. La- loch, ce cycle commença à être mis en usage dans une année chré- tienne répondant à la 10° de la série des épactes nicéennes. 37) V. Sourmel, $ 149. Bulletin de l’Académie Hmpériale ———— ———— ———————————————_—_—]—ZEEEELELELE 452 Au reste toute ce que j'ai dit précédemment des opérations à faire snr l’année chrétienne est pure- ment spéculatif, car l’essentiel est le résultat fourni par l’année de Père arménienne, dont l’initiale est invariablement, chez le P. Sourmel, lan 553, du commencement à la fin de sa Table de correspon- dance, $ 38. Tel est le système original que les Arméniens gré- goriens ont conservé jusqu'à nos jours. Aussi les al- manachs qui s’impriment à Venise ont-ils le soin d’in- diquer la Pâque conformément à ces règles, sans omettre, bien entendu, celle du nouveau style, afin de pouvoir satisfaire aux besoins des deux parties de la nation. Au rebours de ce qui précède, la chronologie géor- gienne est vraiment simple par excellence; fondée uniquement sur la période de 532 ans, remontée proleptiquement, jusqu'en 5604 avant J.-C., par l'addition de 96 ans, elle procède par une série de ces périodes, dont les initiales sont, après J.-C.: 12° en 249 13° 34) 781 dont la 25° année est aujourd’hui (1869) en cours. Tous les cycles donnaient, en l’an 284 de la X[° avant J.-C.: 14° 1313 15° 1845 Cycle lun. Epactes jul. C. sol. Lettres. ne RUE C. sol. 20 SM 80 122 T 4, 5 17 Tous recommencent par le 1° terme avec chaque période. Comme les Géorgiens ont dû ajouter 96 ans afin de compléter en 780 de J.-C. le 12° cycle prolep- tique, et qu’il en résulte une année de trop, 96 : 19 == 5 +1, il faut, pour raccorder le comput géorgien avec le grec, retrancher 1 de l’année chrétienne, 2 avant de commencer le calcul de l’épacte. Ainsi: 1200 30 — 1 — 11 1199 : 19 19 114 14 59 33 57 — 31 2 PL 2 avril. — 1 Jl XL 11 ép. jul. 38) Il n’existe pas une seule date géorgienne connue, avant le 13e cycle. 453 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 454 ————— Mais si l’on opère sur le total de l’ère mondaine avec l'ère chrétienne, cette soustraction est inutile. 1:19 Les résultats du comput grec sont parfaitement identiques. 98 : 19 avril. : 30 Une particularité du comput géorgien est que, par le décompte régulier du total des années on obtient la lettre ou le quantième hebdomadaire (l’hebdomade commençant chez eux le dimanche) du 25 M., jour de l’Annonciation, au lieu du 1 M., et qu'en année commune la lettre du 1° janvier, initiale de l’année, est d’une unité plus forte que celle du 25 M., égale en bissextile. Ainsi: 1868 biss. 1867 5604 5604 7472 : 28 TAT1 : 28 56 56 187. 187 168 168 192 191 168 168 | 24:4 93 : 4 +923—928:7—0sam, jour de l’Annonc. 1 dimanche 1°" janvier. 6 + 24 = 30: 7 —2 lundi, 5 jour de l'Annonc. 2 Jundi 1° janvier. 4 Toutes les fêtes se célèbrent aux mêmes jours que chez les Grecs. La détermination seule du À ordinal de la période de 532 ans peut causer quelque em- barras, quand il s’agit de personnes et d'évènements peu connus ou sans rapports synchroniques avec d’autres. Pour la plupart du temps cette difficulté n'existe pas. Je devrais maintenant dire quelques mots des fêtes et jeünes mobiles ou non du calendrier arménien, et du calendrier fixe de Jean Sarcavag. Quant au pre- mier point, il faudrait entrer dans des détails sans fin, pour lesquels un bon tableau est indispensable, ce qui n'empêche point un historien exact de vérifier les calculs. Le calendrier fixe, tenté vers 668 de notre ère par le catholicos Anastase, et préparé par le computiste Anania de Chirae, n'ayant pas abouti, Jean Sarcavag, à la fin du XI°s., profita de l’achève- ment du premier cycle de 532 ans, en 1084, pour préconiser l’ouverture d’un pareil cycle au 11 août 1084, et fit tous les calculs pour établir un calen- drier en rapport exact avec le romain. Tout en con- servant l’année vague, les mois de 30 jours et les épagomènes, il admit en son lieu le bissexte, comme 6° épagomène, et fit courir les mois arméniens à côté des mois romains et grecs. Pour en trouver la concordance, il vaut mieux également consulter un bon tableau, sauf vérification. Les deux Tableaux nécessaires pour ces opérations se trouvent dans les Recherches sur la chron. p. 402, 408; v. aussi Sour- mel, Traité du comput, $ 202 sqq., pour la détermi- nation des fêtes. Ephemeride zur Aufsuchung des periodischen Cometen von Winnecke (1858 II) bei seiner Rückkehr 1869, von C. Linsser. (Lu le 21 jan- vier 1869.) Die nachstehende Ephemeride zur Aufsuchung des Winnecke’schen Cometen beruht auf den aus sämmt- lichen Beobachtungen der Erscheinung von 1858 ab- geleiteten und durch die Berechnung der Jupiter- Stürungen auf 1869 gebrachten Elementen, über welche ich mir ausführlicheren Bericht vorbehalte. Der Durchgang durch das Perihel findet nach densel- ben 1869 Juli 3.650 Berl. Mittl. Zeit Statt. AT be- zeichnet im Folgenden die hypothetische Ânderung der Perihel-Zeit. 29 455 Bulletin de l’Académie Hmpériale 456 a. Zeit. S'APP: Ca QE g Lg 4 Ler tr AT — 10 Tage HA T'+ 10 Tage 1869/Febr3, ATAS CASE OMIS 00.328 22170 1655 1on0 100 17 4 48.3 14 45 5 48.1 14 57 6 47.9 15°09 7 47.6 15 22 8 ATOME EHESS MODO 0.328 . +22 71037 900 4 102 9 47.0 15 49 10 46.6 1602 11 46.2 16 17 12 45.7 16 31 13 A DGA MODES 0 5180 04 MIO ER 0 0 14 44.6 100 15 44.0 rer 16 43.4 17 33 17 49.7 17 50 18 DOME MS MIDIDS END 308 +26, 61400 SP O0 TG 19 41.3 18 24 20 40.5 18 42 21 39.6 18 59 29 38.8 19 17 23 SRE EP DIODES NOIR OSN7 UN DAS TIRUO 24 36.8 19 54 25 35.8 20 13 26 34,7 20 32 rl 33.6 20 51 28 32 LED TT 085 02800 30281 00 OS EE Tel März 1 12 DNEI 2 29.9 HAE 3 28.6 25) il 4 27.3 22 39 5 DDR 00 D MONO SONO TA D TT 7 NO EPA 6 24.5 23 13 71 23.0 23 33 8 21.5 23 54 9 20.0 24 15 10 DOC 5500 09 6 M0 60-20 LES 70 ONE 11 16.7 24 56 12 15.0 25 17 3 13.3 25 38 14 11.6 25 59 15 98 260 19,09/916000.249 + 35 920091 20978 T0 16 8.0 26 39 17 6.1 26 59 18 4.3 27 19 19 2.4 27 3 . 20 0.5 4-27 58 9.899 0.236 + 36.8 (OL 97 TG En 210586 28 18 29 56.6 28 37 457 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 45% oo ——— DRE & app. # ÿ app. A Lg À 1869 März 23 10 54.7 28°56 24 52.8 29 14 25 50.8. —+29,31.,9883 26 48.8 29 48 27 46.8 UN 28 44.8 JUL 29 42.9 30 38 30 40.9" + 30 54" 9,871 31 38.9 ELA Über das Nervensystem der gemeinen Schüs- selschnecke (Patella vulgaris), von Dr. Eduard Brandt. (Lu le 12 novembre 1868.) (Mit einer Abbildung.) Der Mangel an genauen Untersuchungen über das Nervensystem derjenigen Abtheilung der kopftragen- den Mollusken (Mollusca cephalophora), welche Milne- Edwards «Prosobranchia» nannte, veranlasste mich, dieses Thema zu bearbeiten, zumal da mir am Strande des Meeres (La-Manche) an einem der Repräsentanten, der gemeinen Schüsselschnecke (Patella. vulgaris), eine Menge Exemplare zu Gebote standen. Der sebr complicirte Centraltheil und das System des nervus stomatogastricus sind von mir vorzüglich studirt worden. Schon G. Cuvier machte in seinen berühmten «Mémoires pour servir à l’histoire et à l'anatomie des Mollasques» eine (obgleich sehr kurze) Beschreibung des Nervensystems dieses Thieres und giebt auch eine Abbildung desselben. Die Abbildung aber, gleich wie auch die Beschreibung ist theils ungenau, theils falsch, und der nervus stomatogastricus gar nicht erwähnt. Die Beschreibungen des Nervensystems dieses Thie- res, die wir bei den andern Beobachtern, nämlich bei Garner '), Rymer Jones *) und Anderson *) lesen, sind auch ungenau und theilweis falsch. Auch diese Ge- lehrten haben das Mundmagennervensystem (nervus stomatogastricus) nicht vüllig erkannt. Gerade dieser Abschnitt des Nervensystems der Patella vulgaris ist 1) Rob. Garner, On the nervous system of Molluscous Animals, in: Transactions of the Linnean Society. London. Vol. 17. 1527. pag. 489. Tab. 25. fig. 3. 2) Rymer Jones «Gasteropoda» in: Todd’s Cyclopaedia of Ana- tomy and Physiology. Vol. II. p. 337. London. 1839. 3) Anderson «Nervous system» in: Todd’s Cyclopaedia of Ana- tomy and Physiology. Vol. IIL. pag. G05. Aa AÔ für AT + 10 Tage Aa AS LET fix AT — 10 Tage 0.222 + 3777 + 0.208 t- é es aber, durch welchen das Nervensystem der Chi- tonen (wie es aus meinen Untersuchungen über das Nervensystem des Chilon fascicularis sich ergiebt) sich an dasjenige der Patelliden anschliesst, und also sei- nen Molluskentypus manifestirt. Der Centraltheil des Nervensystems der gemeinen Schüsselschnecke (Patella vulgaris) zeigt drei Paar unter einander durch Commissuren verbundene Gan- glien, nämlich 2 ganglia cerebralia (C, C), 2 ganglia visceralia s. branchialia (B, B) und 2 ganglia pedalia (PME)! Die ganglia cercbralia (C, C) bilden das vorderste Paar. Sie sind die grüssten aller Ganglien, haben eine eckige Gestalt und liegen an den Seiten des Schlund- kopfes. Ein jedes ganglion cercbrale ist durch fünf Commissuren mit andern Ganglien verbunden und entsendet vier Nerven. Die Commissuren, welche die ganglia cerebralia mit andern Ganglien verbinden, sind folgende: 1) commissura cerebralis (1), welche die bei- den ganglia cerebralia unter einander verbindet; 2) commissura cerebro-pedalis (3) zur Verbindung eines ganglion cerebrale mit dem ganglion pedale (P); 3) com- missura cerchro-visceralis (2) zur Verbindung des gan- glion cercbrale mit dem ganglion viscerale s. branchiale (B); 4) die Commissur (3), welche das ganglion cere- brale mit dem vorderen ganglion pharyngeale superius (D) verbindet und 5) die Commissur (4), welche das ganglion cerebrale (C) mit dem ganglion pharyngeale inferius (L) verbindet. Die Nerven, welche ein jedes ganglion cerebrale entsendet, sind folgende: 1) der ner- ous antennarius (a) für die Fühlhôrner; er ist der dickste und giebt Zweige für die Muskulatur dersel- ben. Er ist der stärkste aller. Nerven dieses Ganglions; 2) der sehr winzige nervus oplicus (0p), welcher sich 459 Bulletin de l’Académie Empériale 4690 zu dem kaum bemerkbaren, an der dorsalen Seite der Fühlhornbasis befindlichen Auge begiebt *). Alsdann 3) ein noch kleiner Hautnerv (c). Alle diese Nerven entspringen von den äusseren Seiten des Ganglions, und von der innern geht 4) ein nervus pharyngeus lateralis inferior posterior (g) zu den unteren seitli- chen Schlundkopfmuskeln ab. Ausserdem entspringt noch aus der commissura cerebralis (1) 5) ein nervus pharyngeus lateralis inferior anterior (h), der ebenfalls zu den unteren seitlichen Schlundkopfmnskeln geht, und 6) mehre Lippennerven (nervi buccales l). Die ganglia pedalia (P. P.) sind die am aller tief- sten gelegenen Ganglien und befinden sich in der Mitte der unteren Halspartie des Thieres. Sie sind durch eine kurze und sehr breite commissura pedalis (11) unter einander verbunden; ausserdem verbindet sie die commissura viscero-pedalis (15) mit den beiden ganglia visceralia (B, B), und die commissura cerebro- pedalis (3) vereinigt sie mit den beiden ganglia cere- bralia (C, C). Aus jedem ganglion pedale (P) ent- springt ein sehr starker nervus pedalis (r), der in den Fuss eindringt, längs der Aussenseite desselben ver- läuft und mit vielen rechts und links von ihm abge- henden Zweigchen die Muskulatur desselben versorgt. Ausserdem geht von jedem Fussnerven (nervus peda- lis) noch unweit seines Abganges aus dem ganglion pedale ein kleiner Nerv (s) für die oberflächlichen Muskeln der vorderen Fusspartie. Die beiden ganglia visceralia sive branchialia(B, B) liegen ctwas hôher und mehr nach vorne als die Pe- dalganglien, und dabei das linke etwas tiefer als das rechte. Folgende Commnissuren verbinden sie mit den beiden andern Ganglienpaaren: 1) die commissura cerebro-visceralis (2) mit dem ganglion cercbrale (C) und 2) die commissura viscero-pedalis (15) mit dem ganglion pedale (P). Aus jedem ganglion viscerale (B) entspringen 2 Nerven, nämlich 1) nervus recur- rens (k), ein sehr starker, ziemlich kurzer Ast, der Zweige für die Muskulatur des Halses und an den oesophagus abgiebt und ausserdem einen kleinen Ast für die Leber (x) schickt. Gleich nach seinem Ursprunge begiebt er sich nach hinten und macht alsdann eine bogenfürmige Krümmung von hinten und unten nach 4) Es wird ganz falsch angegeben, dass das Auge der Patella vul- garis an der Spitze der kleinen, neben der Fühlhornbasis gelegenen Hervorragung sich befinde. vorn und oben und endigt in der Seiten-muskulatur des oesophagus. 2) nervus branchio-muscularis (b), ein sehr kurzer Stamm, der etwas dünner ist als der nervus recurrens und sich sehr bald in zwei dünne und lange Nerven spaltet, nämlich a) in den nervus muscularis (v) und b) in den nervus branchialis (br). Der nervous muscularis (v) dringt in den Schalenmus- kel und versorgt denselben mit Seitenzweigen. Der nervus branchialis (br) verläuft nach aussen von dem Schalenmuskelnerven und giebt Zweige an die Kie- men. Ausser diesen Nerven, welche sowohl aus dem rechten, wie auch aus dem linken ganglion viscerale (B) jederseits entspringen, giebt das linke ganglion viscerale noch 2 Nerven ab, nämlich 1) den nervus ovarii (z) und 2) den nervus splanchnicus (m). Der nervus ovarû (x) ist ein sehr kleiner Zweig, der zum Eierstock geht. Der nervus splanchnicus (m) begiebt sich von links nach rechts und geht über der Pedal- commissur (11) und über dem rechten ganglion visce- rale etwas hüher als dieses Ganglion nach vorne und spaltet sich da in einen (nach unten gehenden) un- teren Ast (ramus inferior d) und oberen Ast (ra- mus superior f). Der untere Ast giebt kleine Nerven für die hinteren oberen Halsmuskeln; der obere Ast giebt Nerven für die hinteren oberen Halsmuskeln und für den Schlundkopf, wo er sich auch endigt. Das stomatogastrische Nervensystem besteht aus drei Paar Ganglien, die sowohl unter einander als auch mit dem Cerebralganglienpaare durch Com- missuren in Verbindung stehen und Nerven zu den Muskeln des Schlundkopfes absenden. Ein Paar befindet sich unter dem Schlundkopfe und kann als ganglion pharyngeale s. buccale inferius (1) bezeichnet werden. Die beiden andern Paare be- finden sich über dem Schlundkopfe und werden als ganglion buccale s. pharyngeum superius anterius (D) und ganglion buccale superius posterius (F) bezeichnet werden künnen. Die Commissur 4 verbindet die un- teren Buccalganglien (7) mit den Cerebralganglien (C); durch die Commissur 6 werden dieselben mit den vorderen oberen Buccalganglien (D) vereinigt, und durch die Commissur 10 verbinden sie sich gegen- seitig. Aus der Commissur 10 entspringen 2 Nerven nach hinten (à) und 2 nach vorne (e) für die Schlund- kopfmuskeln. Die beiden vorderen oberen Buccal- ganglien (D) stehen durch die Commissur 6 mit den DULLETIN DELACADEMIR IMPÉRIALE TXT]. (kkd Brandt. Nervensustem von Meeiser der geneinen So asslsoh tie | DORÉ CESR "HPatetlanvrlrarts| J er 2 Thiele pers de Nosky re L'église Cabot. W'Frderlect ad mater dolered, x SR PERRET "= : < Le tien MER En Sa PART NRA CAR | Haba ne * r< der tt mn 17; Sie. Ls és AL ON UE PA R eu a id FLAT ES Te AE AUTSNNS ANR EP TAET A et te , "fi CAR be ÉD CU rù (yes 47 er liée à À NOT OR INR RERENET EC" TAPER sh dent Denmnve | 4 ns Hs pli sus: de 4 hr PA ANATS dé :4 1 \ Pt JE HR ; ' PR ra PAPE Ke Sous Pi ee at era r: N à dti sal air é F : k. " c AL 2) 7e L | HIS EA AURAI , : 1 F p> Cr t OPEN MT: v- xp v NCAA £ Pi , MEL: arrive) #i0 | den porte PE ES RSR QUE PEUT 6° : ÉOTIT LE Ÿ] LANDE | L , RAR 7 tete dE Er, 8 à 0952 té à TA. ONE LE OUT De PRIE RUN RENE nt vba 2H 7 AOC UE: L'An: 4 Ke Aa Pl R'Hr NE ADR AE FE nee: FE Et NN LP AU TRS LUE LOL sn RPONE è ét) 7i - “? “ ' AG des Sciences de Saint-Pétersbourg. 46? beiden unteren Buccalganglien (Z) in Verbindung; die Commissur 7 vereinigt sie mit den beiden hinteren oberen Buccalganglien (F), und ausserdem sind sie noch durch eine Commissur 14 mit einander verbun- den. Aus jedem oberen vorderen Buccalganglion (D) entspringt ein kleiner Nerv für die oberen Schlund- kopfmuskeln, ebenso wie auch zwei solche Nerven aus den beiden oberen hinteren Buccalganglien (7) kommen. Die hinteren oberen Buccalganglien (Æ) verbinden sich durch die Commissur 7 mit den beiden oberen vorderen Buccalganglien (D) und durch eine Commissur 8 mit einer Quercommissur 9, aus welcher zwei kleine Nerven für die radula ihren Ur- sprung nehmen. Erklärung der Abbildung (Fig. D. C. C. B.B. BYE; D.D. HF GG. Ganglia cerebralia. Ganglia branchialia s. visceralia. Ganglia pedalia. Ganglia pharyngealia superiora anteriora. Ganglia pharyngealia superiora posteriora. Commissura transversalis, welche bei Chilon [as- cicularis zu einem ganglion pharyngeale posterius impar sich ausbildet. (siehe fig. 1 À. g.) I. I. Ganglia pharyngealia inferiora. 1. Commissura cercbralis zur Verbindung Cerebral-Ganglien CC. unter einander. 2, Commissura cerebro-visceralis zur Verbindung der ganglia cerebralia (C) mit den ganglia visce- ralia (B). 3. Commissura cerebro-pedalis zur Verbindung der ganglia cerebralia (C) mit den ganglia pedalia (P..). 4. Eine Commissur zur Verbindung der ganglia cere- bralia(C) mit den ganglia pharyngealiainferiora (D). 5. Eine Commissur zur Verbindung der ganglia cere- bralia mit den ganglia pharyngealia superiora an- teriora (LD). 6. Eine Commissur zur Verbindung der ganglia pha- ryngealia inferiora (1) mit den ganglia pharyn- gealia superiora anteriora (D). 7. Eine Commissur zur Verbindung der ganglia pha- ryngealia superiora anteriora (D) mit den ganglia pharyngcalia superiora posteriora (EF). 8. Eine Commissur von den ganglia pharyngealia su- periora posteriora (F) zur Quercommissur (9). beider 10. Eine Commissur zur Verbindung der beiden gan- glia pharyngealia inferiora (T) unter einander. Eine Commissur zur Verbindung der beiden gan- glia pedalia (P) unter einander. — commissura pedalis. sie 5. Commissura viscero-pedalis, zur Verbindung der ganglia visceralia (B) mit den ganglia pedalia (P). a nervous antennarius. : nervus opticus. nervous Cutaneus. g nervus pharyngeus lateralis inferior posterior. h nervus pharyngeus lateralis inferior anterior. L_ nervi labiales. r_nervus pedalis profundus. s nervus pedalis superficialis. k nervus recurrens. æ rami hepatici nervi recurrentis. b nervus branchio-muscularis. D nervus muscularis. br nervus branchialis. 2 nervus ovarii. m nervous splanchnicus. d ramus inferior nervi splanchnici. { ramus superior nervi splanchnici. Über das Nervensystem von Chiton (Acantho- chites) fascicularis, von Dr. Eduard Brandt. (Lu le 12 novembre 1868.) (Mit einer Abbildung.) Die in ihrer Organisation und in ihrer Entwicke- lung so viele Verschiedenheiten vom Bauplane des Molluskentypus darbietenden Kerfschnecken (Chito- nida) siud gewissermassen Mittelglieder zwischen den Mollusken und den Gliederthieren. Ihre aus mehreren einzelnen Stücken bestehende Schale, die am hinteren Kürperende befindliche Analôffnung und die beiden seitwärts am Hinterende des Kürpers ausmündenden Eileiter nähern sie den Arthrozoen; dagegen zeugt die Anwesenheit des Mantels und eines stark ausgebilde- ten und zum Kriechen gut angepassten breiten Fus- ses von dem Molluskentypus derselben. Ihre eine Metamorphose durchmachenden Larven gleichen sehr denen mancher Anneliden. Das Nervensystem, wel- ches im Allgemeinen so charakteristisch ist für den Typus, zu welchem das Thier gehôrt, ist bei den Chi- 463 Bulletin de l’Académie Empériale | AG tonen bisher sehr wenig untersucht, und aus dem, was wir jetzt darüber kennen, wissen wir nur, dass es ein ganz eigenthümliches sei. Es fehlen Vergleichungs- punkte, welche dasselbe als ein dem Gliedertypus oder dem Molluskentypus zugehüriges nachgewiesen hätten. Das Ziel meiner Untersuchungen an dem Chiton (Acanthochites) fascicularis ist eben, den Charakter und die typische Natur des für den Verwandtschaftsnach- weis so wichtigen Nervensystems zu erforschen. Zum Gegenstande meiner Untersuchungen habe ich den von mir in grosser Anzahl in der Normandie ge- sammelten Chiton fascicularis gemacht und bin zu dem Resultate gelangt, dass das Nervensystem dieses Thie- res mit dem der gemeinen Schlüsselsehnecke (Patella vulgaris) in Einklang zu bringen ist. Damit wäre also ein neuer wichtiger Anhaltspunkt für die Mol- luskennatur der Chitonen gegeben. Der Centraltheil des Nervensystems von Chiton fas- cicularis (der nur von Garner ') untersucht ist, und zwWar oberflächlich und der des Nervus stomato-gastricus oder der gangliapharyngealia gax nicht erwähnt)besteht, wie auch bei allen anderen Kerfschnecken, aus zwei grossen eckigen Ganglien (4, À) und der sie verbin- denden, breiten und flachen bandartigen Commissur(1). Die beiden Hauptganglien (A À), welche an den Seiten der unteren Schlundkopfpartie liegen, müssen für eine Verschmelzung der ganglia pedalia und bran- chialia s. visceralia angesehen werden, denn es ent- springen aus ihnen ein nervus pedalis (r), der sich in den Fuss begiebt und dessen Muskulatur mit reich- lichen Seitenzweigen versieht, und ein nervus branchia- lis (b), der, längs einer Rinne am inneren Seitenrande des Mantels verlaufend, Zweige an die Kiemenblätter abgiebt. Das ganglion cerebrale fehit, wenn man nicht allenfalls einen Theil der breiten Commissur (1), wel- che die beiden ganglia pedo-branchialia A. verbindet, dafür ansprechen will, wie es Middendorff ?) that, was aber meiner Meinung nach nicht richtig wäre, da diese Commissur (1) überall (in der ganzen Ausdehnung) gleich ausgebildet ist und gleiche Nerven abgiebt, nämlich von der vorderen Seite die Lippennerven 1) Garner. On the nervous system of Molluscous Animals in: Transactions of the Linnean Socicty, London. Vol. 17. 1827. pag. 33. Tab. 95 fig. 1. 2) Middendorff. Beiträge zu einer Malacozoologia rossica aus: Mémoires science. natur. de l’Acad. Imp. St.-Pétersbg. Tom. VI. be- sonders abgedruckt. 1847. pag. 75. (nervi labiales) und von der hinteren eine Menge kleiner Nerven zum pharynx. Viel natürlicher ist es also, diese Commissur für eine stark entwickelte Commisur der beiden ganglia pedo-branchialia (AA) zu betrachten. Da bei den Chi- tonen keine Augen und keine Antennen vorhanden sind, so befinden sich auch keine ganglia cercbralia, welche ja eben Nerven für diese beiden Sinnesorgane abgeben sollten. Mau künnte also diese Commissur (1) die commissura pedo-branchialis s. pedo-visceralis nen- nen, und sie würde der commissura cercbralis der Pa- tella vulgaris entsprechen (siehe fig. [. 1.), wie es die aus ihr gleich wie dort entspringenden Nerven bewei- sen. Diese Commissur ist gleich wie auch die ganglia pcdo-branchialia (AA) und die aus diesen Centralthei- len entspringenden Nerven, und gleich wie auch die Nerven und Ganglien des stomato-gastrischen Systemes (wie auch bei vielen Gasteropoden) intensiv gelb ge- färbt. Eine Commissur (4) verbindet ein jedes gan- lion pedo-branchiale (AA) mit einem kleinen Ganglion (J), welches das ganglion pharyngeale s. buccale infe- rius ist. Ausser der eben genannten Commissur ver- binden sich die ganglia pharyngealia inferiora noch durch eine Commissur (10), commissura interpharyn- gealis inferior, wie bei der Patella vulgaris, unter ein- ander *) und durch eine andere Commissur (6) mit den beiden vorderen oberen ganglia pharyngealia s. buccalia (D, D.). Ausserdem geht von jedem gan- glion pharyngeale inferius noch eine sehr dünne und lange Commissur (12) nach hinten, welche dasselbe mit einem grossen querovalen Ganglion (x) verbindet, welches man das hintere untere ganglion pharyn- geale nennen künnte, und das Ganglion Z müsste dann ganglion pharyngeale inferius anterius heïissen. Die beiden Ganglia ZZ sind durch eine kleine bogenfürmige Commissur (13) mit einander in Verbindung gesetzt. Diese Ganglien liegen auf einem grossen bogenfür- migen, in der hinteren Halspartie gelegenen Gefäss- stamme, (Siehe fig. 2.) Aus der Commissur (10), wel- che die beiden vorderen unteren Pharyngealganglien verbindet, gehen 3 Paar Nerven nach vorne («, B, y) und ein Paar($) nach hinten zu den Schlundkopfmus- keln. Die vorderen oberen ganglia pharyngealia (D) sind durch 5 Commissuren mit andern Ganglien und 3) Diese Commissur ist eben so wie bei der Patella vulgaris bo- genférmig und kebrt die Convexität nach vorne. 465 des Sciences de Saïint-Pétersbourg. 466 unter einander verbunden. Nämlich die Commissur 6 verbindet sie mit den vorderen unteren Pharyngeal- ganglien; die Commissur 7 vereinigt sie mit den paarigen hinteren oberen Pharyngealganglien (F) und mit einander sind sie durch die Commissur 14 ver- bunden. Aus diesen Ganglien (D) entspringen zwei kleine Nerven für die oberen Schlundkopfmuskeln. Die hinteren oberen Schlundkopfganglien (F, F), wel- che kleine Nerven zu den seitlichen oberen Schlund- kopfmuskeln absenden, werden durch die Commissur 7 mit den vorderen cberen Schlundkopfganglien (D) vereinigt und durch die Commissur 8 mit einem un- paaren hinteren Schlundkopfganglion (9) verbunden, das zwei Nerven für die radula abgiebt. Vergleichen wir nun dieses eben geschilderte Cen- tralnervensystem des Chiton fascicularis mit dem der Patella vulgaris, so finden wir eine Übereinstimmung, die am meisten in dem stomato-gastrischen Systeme auffällt. Dasselbe ist bei Chiton fascicularis sogar noch complicirter, indem hier zu denselben 3 Paar Gan- glien, wie man sie bei der Patella vulgaris findet, noch ein Paar hinterer unterer ganglia pharyngealia (x) hinzutreten. Dagegen ist der Hauptabschnitt des centralen Ner- vensystems auf die einfachste Stufe reducirt, indem er bei Chiton fascicularis, wie überhaupt bei den Chi- tonen nur ein einziges Ganglienpaar vorstellt, nämlich das ganglion pedo-branchiale. (A.) Erklärung der Abbildungen (Fig. IT. À, B, C'). AA Ganglia pedobranchialia s. pedovisceralia. DD Ganglia pharyngealia superiora anteriora. FF. Ganglia pharyngealia superiora posteriora. GG Ganglion pharyngeale superius posterius impar. HI Ganglia vascularia sive pharyngealia inferiora po- steriora. I,1. Ganglia pharyngealia inferiora anteriora. 1. Commissur zur Verbindung der beiden ganglia pe- do-branchialia (A À) unter einander mit zahlrei- chennervi labiales undnervipharyngeales superiores. 4. Commissur zur Verbindung der beiden ganglia pe- do-branchialia(A)mit den vorderen unteren Schlund- ganglien (ganglia pharyngealia inferiora anterioraT) 6. Commissur zur Verbindung der beiden ganglia pha- ryngealia inferiora anteriora (1) mit den beiden ganglia pharyngealia superiora anteriora (D). Tome XIII, 7. Commissur zur Verbindung der beiden ganglia pha- ryngealia superiora anteriora (D) mit den beiden ganglia pharyngealia superiora posteriora (F). 8. Commissur zur Verbindung der beiden ganglia pha- ryngealia superiora posteriora (F) mit dem gan- glion pharyngeum superius posterius impar. 2. Commissur zur Verbindung der beiden ganglia pha- ryngealia inferiora posteriora (H) mit den beiden ganglia pharyngealia inferiora anteriora (D). 3. Commissur zur Verbindung der beiden ganglia pha- ryngealia inferiora posteriora (H) unter einander. . Commissur zur Verbindung der beiden ganglia pha- ryngealia superiora anteriora (D) unter einander. Das Gefäss, auf welchem die beiden ganglia pha- ryngealia inferiora posteriora (H) aufliegen. b. nervus branchialis. r_ nervus pedalis. œ, 8, y vordere untere Schlundkopfnerven. à hintere untere Schlundkopfganglien. Pig. 1 À. stellt das ganze Nervensystem bei 16-ma- liger Vergrüsserung vor. enthält bloss die ganglia pharyngealia infe- riora posteriora (1) sammt dem Gefäss- stamme (ÆX) welchem sie aufliegen, bei 16-maliger Vergrüsserung. Das Nervensystem von Chiton fascicularis bei 2-maliger Vergrüsserung. Fig. 10P: Fig. 1 C. Über die Einwirkung der Osmiamidverbindung Fremy’s auf thierische Gewebe, von Ph. Ow- sjannikow. (Lu le 12 novembre 1868.) In der letzten Zeit sind üfters neue Reagentien zur Erleichterung der mikroskopischen Untersuchungen vorgeschlagen worden, von denen manche der Wis- senschaft wirkliche Dienste geleistet haben; andere hingegen, wenngleich sie sehr gerühmt wurden, haben der Erwartung keineswegs entsprochen. Zu den neuen Reagentien für histologische Untersuchungen gehôrt die Überosmiumsäure, die so sehr von Max Schultze gerühmt wurde. Es ist nicht zu leugnen, dass Über- osmiumsäure für einige Untersuchungen sebr wichtig geworden ist, aber sie hat cinerseits schon zu man- chen Missverständnissen geführt, andererseits besitzt dieselbe einen sehr unangenehmen Geruch, der ihre Anwendung sogar schädlich für die Augen macht. Wir 30 467 Bulletin de l’Académie Impériale 468 oo suchten nach einem anderen Präparate, welches geeig- net wäre, die sehr zarten und fast durchsichtigen Ner- venelemente zu fürben und sie anschaulich zu machen. Mein verehrter College, Akademiker Fritzsche, schlug mir zu diesem Zwecke die Osmiamidverbindung Fremy’s vor, welche ich im Folgenden der Kürze wegen Osmiamid nennen werde. Sebr bald stellte es sich heraus, dass dieses Präparat bei Untersuchungen des Nervensystems uns dieselben Vortheile darbietet wie Überosmiumsäure, ohne die Nachtheïle desselben, namentlich ihren vwiderlichen, schädlichen Geruch zu besitzen. Da ich aus eigener Erfahrung weiss, wie wichtig es zuweilen ist, den thierischen Gewe- ben eine dunklere Farbe zu geben, um sie besser untersuchen zu kônnen, und unsere Farbemittel noch sehr mangelhaft sind, so theile ich hier Einiges über die Einwirkung des Osmiamids auf thierische Gewebe mit. Wir Jüsten anfangs 1 Grm. Osmiamid in 200 C.C. Wasser auf. Dieses ist eine sebr starke Lüsung. Später wandten wir eine schwächere Lôüsung an, 1 Grm. in 1000 C.C. Wasser, und fanden dieselbe bes- ser. Osmiamid färbt alle thierischen Gewebe ohne Ausnahme, auch Bindegewebe miteingerechnet, an- fangs braun, dann schwarz. In erster Instanz, d. h. nach kurzer Einwirkung, bei stärkerer Concentration, werden selbst nach einigen Minuten das Fett und die Nerven der Wirbelthiere gefärbt. Es ist dabei ganz einerlei, ob das Gewebe ganz frisch einem lebendigen Thiere entnommen ist, oder schon einige Zeit gelegen hat. Die Präparate die in Chromsäure, Spiritus oder in anderen Erhärtungsmitteln aufbewahrt waren, kün- nen ebenfalls mit Osmiamid gefärbt werden. Der Zusatz des genannten Reagens verhindert nicht die Gerinnung des Nervenmarks. Der Axencylinder der Wirbelthiere wird zwar nicht so schnell wie das Ner- venmark, aber dennoch ebenfalls dunkel, dann schwarz gefärbt. Die Nerven der wirbellosen Thiere verhalten sich so wie der Axencylinder der Wirbelthiere. Quer- gestreifte und glatte Muskelu werden gleichmässig gefärbt. Die Blutkürperchen der Früsche veränderten sich bei gewissem Concentrationsgrade wenig. Sie behielten eine Zeit lang ihre normale Gestalt. Der Zelleninhalt wurde etwas dunkler, der Kern aber weiss. Schliesslich wurde auch er schwärzlich. Zu Untersuchungen der feineren Verhältnisse aller Epithelialzellen ist Osmiamid sehr geeignet. Wir haben es angewendet bei Untersuchungen der Leucht- organe der Lampyris, der Saamenbildungszellen, der Nervenendigung in der Froschzunge, und stets mit grossem Erfolge. Den grüssten Dienst verspricht uns das Osmiamid in der Untersuchung des centralen Nervensystems zu leisten, und zwâr nicht allein in der Weise, wie man von Überosmiumsäure erwartete, dass man den Verlauf der markhaltigen Faser in der grauen Substanz leicht verfolgen kann, sondern auch bei Untersuchung der Nervenzellen und ihrer Fort- sätze. Allerdings färben sich die doppelt conturirten Nerven sowohl durch Überosmiumsäure wie auch Os- miamid schneller schwarz als die Cylinderaxen; mit der Zeit werden dieselben aber eben so dunkel tin- girt wie die ersten. Der Unterschied liegt also nur in der Zeit. Auf den Präparaten stechen die dunkelge- färbten Nerven von den hellen unconturirten Fasern ab und geben der Zeichnung ein sehr zierliches und instructives Aussehen. Für uns ist es jedoch viel wich- tiger, den Verlauf der von den Zellen abgehenden Fortsätze nach allen Richtungen zu verfolgen. Dieses erzielten wir dadurch, dass wir dünne Schnitte aus dem Rückenmarke, oder anderen in Chromsäure er- härteten Centraltheilen anfertigten und dieselben durch schwache Lüsung von Osmiamid tingirten; darauf be- netzten wir auf dem Objectivglase die Präparate mit Spiritus; als dieser sich verflüchtete, fügten wir einige Tropfen Creosot und zuletzt Canadabalsam zu. Gewühn- lich macht das Creosot die Gewebe viel zu sehr durch- sichtig, als dass man dieselben genau untersuchen kann. Diesem Umstande wird durch die Osmiumfär- bung entgegen gesteuert. So kann man auf diese Weise in denselben Präparaten durch das durchsich- tig gewordene Gewebe andere histologische Ele- mente scharf hervortreten lassen. Durch Osmiamid wird die Stibchenschicht der Retina zwar nicht mit derselben Geschwindigkeit wie das Nervenmark oder Fett gefärbt, einzelne Bestandtheile der Retina treten jedoch an zerzupften Präparaten in ihrem Zusammen- hange mit einer überraschenden Deutlichkeit hervor. Endlich muss ich erwähnen, dass ich Osmiamid bei der Untersuchung der Entwickelung kleiner Cru- staccen mit Erfolg benutzt habe. Die frischen Eier wurden auf einige Zeit, etwa 24 Stunden, in Os- miamidlüsung gelegt und darauf entweder in Gly- 469 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 470 cerin oder Creosot untersucht. Die Embryonal- | l'honneur de présenter à l’Académie. — En même anlage ist stärker gefärbt als die übrige Dotter | temps je montre que le résultat trouvé par Abel s’ap- masse und sticht deshalb von derselben ab. Ge- wühnlich untersuchten wir unsere Präparate, die eine Zeiïtlang in Osmiamidauflôsung gelegen hatten, in Glycerin und bewahrten dieselben auch so auf. Das Glycerin wird zuweilen auch schwarz. In diesem Falle muss man es vorsichtig entfernen und durch neues ersetzen. Es ist bekannt, dass man Glycerin- präparaten den Vorwurf gemacht hat, dass sie durch längeres Aufbewahren sich verändern, indem sie zu durchsichtig werden; dieses kann natürlich mit Os- miamidpräparaten selbst bei lingerem Liegen in Gly- cerin nicht geschehen. Wir môchten nicht die Wirkung des von uns vor- geschlagenen Mittels überschätzen, wie es so häufig in ähnlichen Fällen geschehen ist, meinen aber, dass dasselbe die Überosmiumsäure ganz verdrängen wird, und dass ihm als Hülfsmittel bei histologischen Un- tersuchungen eine grosse Zukunft bevorstehe. Den 12. November 1868. Note sur la solution, donnée par Abel, d’un pro- blème de mécanique. Par J. Somoff. (Lu le 26 novembre 1868.) Un mémoire d’Abel inséré dans le premier tome du journal de mathématiques de Crelle *) contient la solution d’un problème de mécanique, qu'on peut énoncer ainsi: «trouver la courbe décrite par un corps «pesant, connaissant le temps employé par le corps à «descendre d’une certaine hauteur, en fonction de «cette hauteur». Ce problème comprend, comme cas particulier, celui de la tautochrone dans le vide. — Abel, en partant des propriétés des intégrales Eu- lériennes, trouve une formule générale, de laquelle il tire, comme cas particulier, l'expression de l’arc dé- crit par le corps en fonction de la hauteur. Mais si l’on veut se borner à ce cas, c.-à.-d. seulement à la solution du problème énoncé, on peut obtenir facile- ment l'expression de l'arc, sans recourir aux inté- grales Eulériennes, par une transformation très simple des variables dans une intégrale double. C’est ce que je me propose de faire voir dans la note, que jai *) Voir aussi les Oeuvres complètes d'A bel. T. I. plique aussi à la solution d’un problème plus général, savoir: «trouver la courbe décrite sur une surface «quelconque par un point sollicité par une force qui «a un potentiel quelconque, connaissant le temps en «fonction du potentiel». Cette extention, autant que Je sache, n’a pas encore été remarquée. Soit: À la position initiale du corps, AB sa trajec- toire, AZ sa position à l'instant #, B sa position à l’in- stant +, BD — x la différence des hauteurs des points M et B, BC— a la différence des hauteurs des points A et B, g la pesanteur et s Pare BPM. Le principe de la force vive donne ds AE V2g(a— x) 14) es 1 ds V2g Va æ Supposons, qu'après avoir exprimé l'arc s au moyen de l'équation de la trajectoire en fonction de x, que nous désignerons par f (x), et opéré l'intégration (74 ds Va—x 0 on doit obtenir une fonction donnée de «. cette fonction par æ (a), on aura l'équation d’où l’on tire Désignant à !(&) dæ [Er re de laquelle il faut tirer la fonction f(x). Or, on y par- vient par le moyen suivant: Posons # — a sin 1°9 pour débarrasser la fonction à intégrer du radical Va—x et pour donner à l’in- tégrale des limites indépendantes de 4. On trouvera aptès cette substitution 2 f' (a sin” 4) a” sin 040 — 9 (a). Multipliaut les deux membres de cette équation d SE LR par = et intégrant entre les limites o et x, on le g(a)da = 0 30* da Vr—a f f'(a sin°0) a ‘sin 0. dO = 471 Bulletin de l’Académie Empériale 472 ce qui devient CL “ si l’on pose dans le premier membre & PI Les variables > et 4 peuvent être considérées comme des coordonnées polaires d’un point # et le premier mem- bre comme une intégrale double étendue à la surface f'(?sin?6)r sin 6.r dr db (x? sin?06)r sin 6.r dr d0 PRE CN) p(a)da son (D d’un cercle de rayon x. Cela posé, si l’on désigne par 6 et n les coordonnées rectangulaires du point #, telles que Ë — 7 cos 0, n — rsin 0, et que l’on change les variables r et 4 en Ë et n, le premier membre de l’é- quation (1) se transformera en l l'intégrale par rapport à æ étant prise entre les li- mites o et Væ — n° et l'intégrale par rapport à n en- f'(n?)ndndé, x —E?— 12 1 tre o etæ. La première intégration donne NPA Mb Var—E2—n? Hi [2] et la seconde à’ fn 2ndn = ro) Ainsi l’équation (1) se réduit à (a)da Tf (x) =. = 5 SN æ (a)da T |. Va—a ce qui est le résultat trouvé par Abel. Concevons maintenant un point sollicité par une force, qui a un potentiel #, et assujetti à se mouvoir sur une surface donnée dont l’équation en coordon- nées quelconques g:, 4; 4: est F(Q15425 3) — 0. Cette équation et une autre inconnue déterminent la trajectoire du point. Si l’on y joignait l’expression du potentiel « en fonction de q;, 4+, 43, On pourrait ex- primer l’are s de la trajectoire en fonction de #. Cela posé, on peut trouver cette fonction au moyen de la formule (2). En eflet: en prenant l’origine de s de par conséquent ae eee) oo eee Er et cllse le manière à ce que s diminue, quand é croit, on aurait, par le principe de la force vive, ds PNR TONGS _ — — VIu—2u, la vitesse initiale étant supposée nulle et , désig- nant la valeur initiale du potentiel. On tire de cette équation 8 “i du CS à du V2u—2% pour l'expression du temps employé par le point à décrire l’are compris entre les surfaces de niveau (u,) et (w:). Posant #, —4, —@ et u—u,—a—x stituer la variable æ à w, on aura Ar 1 Cr 0 Si cette valeur de + doit se réduire à une fonction donnée ® (w,) de w,, on aura, en vertu de la for- mule (2) où o(a)— V2.B(u,)= V2.P(u,+ a), ce que l’on peut encore mettre sous la forme vof Si la trajectoire doit être une tautochrone, on aura pour V2.® (w,) une constante que nous désignerons par À. Alors uw l ———— — SA Dire Vu—u u pour sub- 1 S da L a—% g(a)da 2 Vx—a’ D (u;) dus Vu us Notiz über Linaritkrystalle. Von N. v. Kokscha- row. (Lu le 12 novembre 1868.) In den diesjährigen Memoiren der Kaïiserlichen Akademie der Wissenschaften zu St. Petersburg habe ich eine ziemlich ausführliche Abhandlung über den Linarit von Cumberland geliefert. Das Material, das mir zu meinen Untersuchungen diente, verdanke ich der Güte Seiner Kaiserlichen Hoheit Herzog Nikolaï Maximilianowitsch Leuchtenberg, der mir alle Linarit-Exemplare aus seiner ausgezeichneten Samm- 473 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 474 lung zu Gebote gestellt hatte. Hier gebe ich nur ei- nen ganz kurzen Auszug aus meiner oben erwähnten Arbeit. Es wurden von mir nämlich 39 Linaritkrystalle untersucht. Die beigefügten Figuren (horizontale Pro- jectionen) stellen die wichtigsten Combinationen dieser Krystalle dar. Die genauen Messungen wurden vermittelst des Mitscherlich’schen Goniometers, welches mit einem Fernrohre versehen war, ausgeführt, Aus denselben babe ich für die monoklinoëdrische Grundform des Linarits folgendes Axenverhältniss berechnet: 0,483428 : 1 : 0,582710 112240; a DEC \ = wo durch a die Hauptaxe, durch b die Klinodiago- vale, durch € die Orthodiagonale und durch y der schiefe Winkel bezeichnet ist. Es wurden weiter erhalten : Durch Rechnung. Durch Messung. MM Be 0 Te TO orthodiag. Kante ] (Mittel aus 8 Messungen in verschiedenen Krystallen.) ! M AG 20 MONS PRE NTO OP à DES à (Mittel aus 11 Messungen.) Mia = 59 925"... 59° 1014 (4 (Mittel aus 8 Messungen.) RAR GE A ARE 0 or (Mittel aus 5 Messungen.) Qu 08 10 440 0 UE (Mittel aus 1 einzigen Messung.) M : w = 1157 19498825" 204P08 (Mittel aus 1 einzigen Messung.) Ml = 6047 0e AE0DABEANE anliogende (Mittel aus 1 einzigen Messung.) 1) Weiter unten werden wir, der Kürze wegen, nicht mehr die Worte «in verschiedenen Krystallen» schreiben, jedoch ist immer zu verstehen, dass die Messungen entweder an verschiedenen Kry- stallen oder an verschiedenen Kanten eines und desselben Krystalls ausgeführt wurden. 455 Durch Rechnung. Durch Messung. M:1 RU UT UE. über £ Ce (Mittel aus 1 einzigen Messung.) 1022274900 EMILE CE (Mittel aus 21 Messungen.) DOAD NET PER UN (Mittel aus 19 Messungen.) rt A Le s u Fe — 12953 40129250 00; über s (Mittel aus 1 einzigen Messung.) = rA° LA 9 1 F @) ! [24 LA ; 506220 502 (Mittel aus 5 Messungen.) ber 0 = A169 240 52 8085" über 6 a aus 2 Messungen.) “el ji MIT PASSENT AG 0" ue (Mittel aus 1 einzigen Messung.) — 154° 45 20”... 154° 46’ 40” 7 (Mittel aus 3 Messungen.) #17 429 01 12728741; eu (Mittel aus 12 Messungen.) 0 52 220008 (Mittel aus 5 1, HN “il 5 Messungen.) RS 157 49/62 1570 36 007 anliegende Î , (Mittel aus 1 einzigen Messung\ US an Don 7 MAD Ne 00 1045 nicht anliegende [ (Mittel aus 2 Messungen.) DD yaemdtaa" nt. 178012 0" über « (Mittel aus 1 einzigen Messung.) DÉMOS" LE" 105" 10" 48" anliegende (Mittel aus 8 ru = TA 16 44 74° 49' 57" über € MAC (Mittel aus 6 AIR Os 6 275) anliegende (Mittel aus 2 Messungen.) ee | 170026 121 1IT un (Mittel aus 2 Messungen.) ENG 2 05527-20062 38) N01 (Mittel aus 2 Ve à ya } — 125° 43! 44"... 195° 45' 47" anliegende (Mittel aus 3 Messungen.) EN D = OI ZEN 101° 42’ 40" stumpfe Kante ; 5 (Mittel aus 1 einzigen Messung.) AO RO ed 20 anliegende $ e Gears aus 1 einzigen Messung.) Bulletin de l'Académie Impériale 476 ——@—@—— Als neue, bis jetzt noch nicht beobachtete Formen habe ich bestimmt: 2 positive Orthodomen und 10 positive Hemipyramiden. Die Orthodomen sind näm- lich: 8 — 12P und 9 = + $3P>. Was die Hemipyramiden anbelangt, so kommen 6 derselben folgende krystallographische Zeichen zu: g = + FP, o—+P9,a—+P13,y=+1{iPll,0—+11,P22 und ç« — +- (2P2). Die Zeichen der anderen Hemi- pyramiden konnte ich nicht mit Sicherheit berechnen, obgleich ich sehr viele ihrer Winkel durch Messung bestimmt habe. Diese letzteren Hemipyramiden sind folgende: 4 = + L4P2$ (?),k= + 25$P%$ 0), 1= + sP224/0) und ur (. Wenn man diese neuen Formen zu den schon be- kannten & — ®P>, b = (-P«), 6 = 0P, M = P2, d=— + {Ps>, 0 = + 2Ps, SE s—= + Po, 4= + $P, rs = + TP; y = — Ps, UPS) r— (PS) ele + SP8, n — + 2P und g = + 2P2 hinzufigt® À), so wird die Kiystlreie des Linarits sehr gross, sie besteht alsdann aus 31 Formen, nämlich: 3 Pinakoiïden, 2 Prismen, 10 Orthodomen, 2 Klinodomen und 14 Hemipyramiden. Des Missionärs Jäschke Bemühungen um die Erlangung einer Handschrift des Gesar, von A. Schiefner. (Lu le 19 novembre 1868.) Schon aus Csoma’s tibetischer Grammatik war es bekannt, dass eine tibetische Recension der Gesar-Sage existirt, allein weder die Bemühungen Schmidt’s noch die des Herrn Prof. Wassiljew, in den Besitz einer Handschrift desselben zu gelangen, sind mit ei- nem Erfolge gekrünt worden. Glücklicher waren die Gebrüder Schlagintweit, die wenigstens einen Theil des Werks mit nach Europa gebracht haben, wie ich im Bulletin T. VI pag. 485 (— Mélanges asiatiques T. V p. 47) auseinandergesetzt habe. Es musste mir daran liegen, auch die Bibliothek des Asiatischen Mu- seums mit diesem merkwürdigen und für die Sagen- welt Mittelasiens so wichtigen Werke zu bereichern. 2) Die Hemipyramide m — + $P{, welche Hessenberg, nach den Greg’schen Angaben berechnet hat, ist zweifelhaft und wahr- scheinlich bis jetzt noch nicht beobachtet worden; vielleicht hat man für dieselbe eine von den schon bekannten Formen genommen, näm- lich n = + 2P. . AT des Sciences de Saint-Pétersbourg. 478 mm Ich wandte mich zu diesem Behufe an den in wissen- | sein wird. Ich weiss nun kaum, was das Beste zu thun schaftlichen Fragen äusserst aufopferungsvollen Mis- sionär Herrn Jäschke, dem es endlich gelungen ist, unseren Wünschen nachzukommen. Wenn auch die von ihm glücklich erlangte Abschrift noch nicht an unsere Akademie gelangt ist, glaube ich doch, dass es den Freunden tibetischer Litteratur und auch mittel- asiatischer Verhältnisse nicht uninteressant sein dürfte, aus den Briefen des Herrn Jäschke den Sachverlauf näher kennen zu lernen. Ausserdem dürfte den Her- ren Naturforschern wohl auch das im dritten Briefe über die hirschartigen Thiere Bemerkte nicht uner- wünscht kommen. Kyelang, Lahul, 21. October 1865. ——— Die Hoffnungen wegen des Gesar sind leider wieder ganz ins Ungewisse geschwunden. Der tibetische Kalon in Le giebt sein Exemplar durchaus vicht aus der Hand, nicht einmal zum Lesen, viel we- niger zum Abschreiben, und Tara Tschands Ver- sprechungen haben sich als ächte Orientalismen er- wiesen, die blos durch Erregung unbegründeter Hoff- nungen Aufenthalt von mehr als einem Jabhr veran- lasst haben. In Sikkim selbst soll ein Gesar existiren, doch versicherte mir ein in Darjiling fungirender Lama aus dem Kloster Dromo (4), welches in dem Winkel des tibetischen Gebietes liegt, wo die Sikki- mer, Bhotaner oder Tibetischen Gränzen zusammen- stossen, und über welches der gewühnliche Weg von Sikkim nach Lhasa führt, dass dort ein, aber in U-med (SZ) geschriebenes Exemplar davon sei; nach sei- ner Beschreibung müsse es wohl von dem doppelten oder dreifachen Umfang des Dsanglun sein, und, in Betracht der bedeutend kleinern Schrift, vielleicht noch um ein Grosses mehr. In Kanam in Kunaur habe ich, noch nicht selbst Erkundigungen einziehen künnen; doch wollte ein hier durchreisender Ober- Lama aus jener Gegend nichts von dem Vorhanden- sein des Buches wissen. Eine andere Nachricht, von einem alten Lama, der in Taschi Lhunpo das Werk geschen hatte, und cs nüthigenfalls von dort ver- schaffen zu kônnen versicherte, liess auf verschiedene Ausgaben und Recensionen schliessen, da sie es neun- bändig bezeichnet —, was, wenn es gegründet ist, ohne Zweifel eine dem ganzen Werk nicht eben zum Vor- theil gereichende Verweitläufigung der Erzählung sein wird, Des Taschi Lhunpoers Vorschlag ist der un- sicherste von allen; da müsste man auf jeden Fall vorauszahlen und hätte nicht die mindeste Garantie, noch auch Mittel den säumigen oder unehrlichen Be- sorger zu nüthigen, den Vertrag zu erfüllen, auch mit Dromo ist es etwas Zweifelhaftes, und vielleicht wäre doch im nächsten Sommer noch einmal ein Versuch mit dem Kalon zu rathen, wo man müglicher Weise durch ein ansehnliches Geschenk noch etwas ausrich- ten künnte — oder auch durch Furcht, womit sich ir- gend ein englischer Officier oder Reisender, deren im Sommer immer einige dorthin gehen, willig fände, den Mann durch Einschüchterung zur Herausgabe zu nüthigen, was vielleicht sehr wenig Schwierigkeiten machen würde. Da das Werk grüsser ist, als ich es mir anfangs dachte, so wird das Abschreiben immer eine ziemliche Zeit erfordern, wabrscheinlich aber hier in West-Tibet wohlfeiler erlangt werden künnen als von Darjiling aus. Vor nächstem Sommer kann kaum etwas Weiteres gethan werden, es sei denn, dass Sie während des Winters, wo mir die Communication abgeschnitten ist, das Abschreiben (denn am Kaufen verzweifle ich) in Dromo einleiten liessen, etwa durch den russischen Consul oder einen andern Freund, der sich an den Superintendent of Darjiling und dieser an Cheboo Lama wenden müsste. Kyelang, 3. November 1867. Ganz unerwarteter Weise habe ich das Vergnügen, Ihnen melden zu künnen, dass ich so eben den Gesar von hier für Sie abgeschickt habe, und Sie ïihn, wenn alles gut geht, im Laufe des nächsten Frühjabrs er- halten künnen. Die glückliche Erlangung desselben haben wir dem Umstande zu verdanken, dass die indische Regierung während dieses Sommers einen Beamten in Le austellte, um die indischen Kaufleute gegen die schmachvollen Erpressungen der Untersa- trapen zu schützen. An diesen wandte ich mich denn wegen Ihres Wunsches, und er brachte auch sogleich den bornirten und bigotten Besitzer des Buches dazu, seinen Schatz herauszurücken, was vor vier Jahren unmôüglich schien, und liess ibn durch einige Lama’s copiren. Nur einen nicht ganz unbedcutenden Übel- stand muss ich Ihnen sogleich mittheilen, den ich erst entdeckte, als ich das Buch in die Hände bekam: 479 Bulletin de l’Académie Hmpériale 480 es ist nicht in dem gewôhnlichen Druckcharakter, sondern in U-med copirt worden. Wahrscheinlich war auch das Original so geschrieben, so wie auch das in dem tibetischen Kloster an der Sikkim-Bhotaner Gränze, dessen ich in einem früheren Briefe an Sie erwähnte, befindliche Exemplar des Gesar in U-med ist. Allerdings hätten die Abschreiber sehr gut den- noch U-tschan (8455) schreiben künnen; allein sie hät- ten dann gewiss noch einmal so viel Zeit und Papier gebraucht und wären, da mir der Gedanke, mich an jenen englischen Resident desshalb zu wenden, erst im August plôützlich einfiel, kaum mehr vor dem Win- ter fertig geworden. Bei deu ersten Unterhandlungen darüber, vor einigen Jahren, hatte ich an diesen Fall gedacht; dies Mal aber schrieb ich sogleich und in Eile, und vergass das U-tschan zur Bedingung zu ma- chen. Ich setze nämlich voraus, dass Ihnen dieser Charakter ungewohnt ist, da es wahrscheinlich in Petersburg wenig solche Handschriften giebt, und man in Europa natürlich sich zunächst nur mit dem weit deutlicheren U-tschan Charakter beschäftigt. Indess ist es jetzt leider nicht mebr zu ändern, und ich hoffe, dass Thnen das Buch desshalb nicht un- brauchbar wird. Die Schrift ist auf den ersten Blät- tern sebr gut und deutlich, später etwas nachlässiger (wahrscheinlich hat der beste Schreiber den Anfang übernommen und sich besondere Mühe gegeben), doch soviel ich Zeit hatte, zu sehen, (ich habe das Buch nämlich, da periculum in mora war, nur eiven Tag in Händen gehabt) überall noch bei weitem besser, als man sie oft sowohl in Briefen als in so geschriebenen Büchern zu sehen bekommt. Mit Hülfe des trefflichen Syllabic scheme, der litographirten Beilage zu Csoma’s Tibetischer Grammatik, kann jeder leicht eipe gut geschriebene U-med Schrift entziffern, und eine sonstige tüchtige Kenntniss der Sprache wird damit das weniger gut Geschriebene verdeutlichen helfen; nur wird es für den Anfang etwas zeitrau- bend sein. Immer ist auch die schlechteste tibetische Currentschrift an Undeutlichkeit, ja fast Unmôglich- keit der Entzifferung nicht zu vergleichen mit dem schrecklichen Schikastaf, zu welchem die persischen und indischen Schreiber das Arabische entstellt ha- ben, und in welchem alle und jede officiellen Docu- mente in ganz Indien — in Urdusprache geschrieben werden. Meine Collegen, vorzüglich Herr Pagell, gegenwärtig in Kunaur, haben sich diese U-med- schrift ganz angecignet; da man sie bei weitem schnel- ler schreiben kann als U-tschan so ist sie sehr vor- theilhaft für den eigenen Gebrauch, und ebenso auch unentbehrlich für den Verkehr mit den Natives, da viele von diesen sie allein oder wenigstens geläufiger schreiben als U-tschan und sich in Briefen fast stets derselben bedienen. Ich selbst bin freilich ein sebr schlechter U-med-Leser und Schreiber, da ich durch meine Beschäftigung nur wenig zur Übung darin genôthigt wurde. Bemerken môchte ich noch, dass in Csoma’s Tabelle einige sebr gewühn- liche Abkürzungen oder compendiôsen Züge fehlen, (AN CK ä a 2.B. à oder \ für La (5) und überhaupt dieses Über- geschriebene # in der Form” oder ”; E für 5; Q für IN als Doppelschlussconsonant. Ob die Orthogra- phie correct ist, hatte ich nicht Zeit zu untersuchen. Fehler der Art, wie Weglassung des S am Instrumen- tal, oder Hinzusetzung desselben am Genitiv, unrich- tige Präfixe und dergl. werden wahrscheinlich vor- kommen, da kein Lama, den ich in diesen 10 Jahren gesehen, in der Orthographie sicher war, wie dies auch fast als eine übermenschliche Zumuthung er- scheint, wenn man die Schwierigkeiten bedenkt, die bei dem gegenwärtigen Zustande der Sprache einem Tibeter im Wege stehen. Der europäische Gelehrte darf in solchen Fällen seinem eignen Urtheile mehr trauen, als den Buchstaben des Manuscripts, und wenn er einigermassen in der Sprache bewandert ist, kühn die Schreibfehler der Lamas verbessern. Kyelang 4. Juni 1868. Zwar habe ich Ihr Gechrtes vom 21. Jan. (2 Febr.) schon mit der ersten bei uns einlaufenden Post dieses Jahres,d.h. am 13.April(der Winter war nämhch unge- wühnlich schneereich und lang) erhalten; da ich aber von da an jede Woche von den Herren Schrüder, Schmidt & Co. in Calcutta Nachricht zu bekommen erwartete über die Absendung des Kistchens mit dem Gesar und über ihre Auslagen dafür, so liess ich die Beantwortung desselben anstehen. Nun kam endlich vorgestern ein Brief von ihnen, — aber kein Wort von jenem Kistchen; ich muss also schreiben, ohne jenen Punkt erledigen zu kônnen. Es kann Einem wirklich zuweilen die Abgesperrtheit an einem Posten, 4S1 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 48? wie der unsrige ist, verdriesslich werden; wenn man über das Schicksal eines Briefes-oder einer Sendung erst nach einem halben Jahre Nachricht erwarten kann, und dann, wenn endlich ein Schreiben an- kommt, durch irgend einen Zufall gerade ein Punkt, an dem Einem recht viel gelegen war, zu erwähnen vergessen ist; oder wenn man, wie das bei meinem kleinen tibetisch-englischen Würterbuch der Fall ist, erfährt, dass eine vor mehr als Jahresfrist als «mit dem nächsten Dampfer abgehend» bezeichnete Sen- dung noch immer nicht in Europa angekommen ist, und vielleicht noch in Calcutta liegt. Wegen Täranätha werde ich wohl kaum etwas aus- mitteln künnen. Es wäre ja nicht unmüglich, dass ein Druck oder Manuscript davon in einer der Kloster- bibliotheken in Zangskar oder auch in Kanam sich be- finde, wiewohl es dann zu verwundern wäre, dass es Csoma de Kürüs’s Augen entgangen sein sollte; aber selbst wenn das der Fall wäre, so zweifle ich, dass jemand unter den München davon wüsste, da nicht leicht ein Tibeter, wenigstens hier im Westen, ge- funden werden wird, der aus historischem oder über- haupt rein wissenschaftlichem Interesse Jäse, son- dern bei weitem in den meisten Fällen liest man, um damit Tugendverdienst (AN SAN) zu erwerben, oder weil sie aufrichtig glauben, dass daraus ihrer $Seele Heil erwachse (RAA AT), oder aus Utilitätsin- teresse: so studiren Ârzte ihre medicinischen, Astro- nomen (Astrologen) ihre mathematischen Schriften u.s. w. Wenn für religiüs geltende Schriften noch nebenbei der Phantasie Unterhaltung gewäbren, wie unter den altclassischen der Dsanglun, unter den neu- eren die Heiligenlegenden, oder das Büchlein «über die kindliche Liebe» (wo ein frommer Sohn seiner in Sünden verstorbenen Mutter durch alle Hôllenregionen nachreist, um sie wo müglich zu erretten, und dabei überall die grausigsten Dinge erblickt) so erhôht dies natürlich den Reiz derselben. Da aber Täranâtha zu keiner dieser Classen gehürt, so mag er wohl auch in Tibet verhältnissmässig nur wenig gelesen werden. Unser Taschi Lhunpoer Lama kannte zwar den Na- men Târanâtha, doch nur als solchen, nicht ein mal als Verfasser einer buddhistischen Religionsge- schichte, vielweniger das Buch selbst. Was die von Schmidt (in seinem tibetischen Wür- Tome XIII. terbuch) gegebenen Namen für «Rennthier» betrifit, so kennt dieselben weder unser Taschi Lhunpoer noch die Ladaker. Wenn ich mir eine Conjectur erlauben darf, so stelle ich mir die Sache so vor. Schmidt hat diese Benennungen nicht von Csoma entlehnt, son- dern wahrscheiniich aus seinen in der Vorrede ange- führten mongolisch-tibetischen Würterbüchern'). Dass in Tibet selbst weder wilde noch zahme Rennthiere vorkommen, ist wohl keinem Zweifel unterworfen; cher wäre es noch in der Mongolei denkbar, obgleich ich auch davon nie etwas gelesen zu haben mich er- innere. Aber der Name =" (Horn-flach) führt auch nicht auf das Rennthier, sondern vielmehr auf das Elenn, welches ja flache Schaufeln am Ende des Ge- weihes besitzt (während das der Rennthiere, wie beim Hirsch, in Stangen ausläuft) und das weit südlicher als das Rennthier vorkommt. Schmidt führt freilich für Elenn den Namen F7 ?) an, welches, wenn man an die Etymologie «Schnee-Hirsch» denkt, wahrschein- lich klingt, vielleicht jedoch nur gerathen ist. In Sik- kim wenigstens bezeichnet man damit das Reh, wel- ches auch kein tibetisches Thier ist, sondern in den Wäldern des Terai am südlichen Fusse des Himalaja, vielleicht auch in Sikkim und Nepal selbst lebt, des- sen verarbeitetes Fell jedoch in Tibet wohl bekannt ist. Ich sah ein solches (nämlich das lebene Thier, nicht dass Fell) in Darjiling bei dem dortigen Arzte und erhielt den Namen von einem Lama aus Tsang, welcher als Priester für Darjiling und Umgegend func- tionirte, und den ich zu dem Thiere hinführte. Jene Etymologie hält dann freilich nicht mebr Stich. Ich 1) Ich hatte, von meinem geehrten Collegen Brandt dazu veran- lasst, mich wegen der im Tibetischen vorkommenden Namen des Rennthiers an Herrn Jäschke gewandt. Die von ihm ausgespro- chene Vermuthung ist eine vollkommen richtige. Aus dem in Peking & verfassten viersprachigen Würterbuch Cap. 31 stammt HA "AA prachig = und entspricht dort dem Mandshu-Worte oron buho, Mongol. tsa bughu, welches Kowalewski S. 2072 als «zahmen Hirsch» erklärt, während in verschiedenen tungusischen Mundarten oron das zahme Rennthier bezeichnet, F4 aber dem Mandshuworte Kandahan Elenn entspricht, letzteres heisst aber auch in einem gewissen Alter toko (Mong. toki), wie denn das obengenannte Würterbuch, in wel- chem das Mandshu voransteht etwa an dreissig Namen hirschartiger Thiere darbietet. Schiefner. 2) Auch LS (ich habe nur F1 und EI gehèrt), welches eben- falls ein anderes Thier, ein wildes Schaf, Ovis ammon oder ein die- sem verwandtes bezeichnet. 31 1s3 môüchte also vermuthen, dass jener obenerwähnte Name LRÉSSE ein von Tibetisch sprechenden Mongolen für das Elennthier gebildeter sei. In wie weit diese Con- jectur durch die mongol. - tibetischen Wäürterbücher unterstützt oder widerlegt wird, werden Sie selbst leicht ausmachen künnen. Dass für Naturproducte, welche in Tibet selbst nicht vorkommen, auch nicht einmal bekannt sind, doch in den nächsten Grenzlän- dern, wo das Tibetische nicht eigentlich Landesspra- che ist, aber von Geistlichen und Vornehmen viel gesprochen wird, rein tibetische Namen gebildet wer- den, davon habe ich in Sikkim gar manche Beispiele a AN, sammeln künnen. Mit Namen wie FAURAN, welches Schmidt (p. 543) für «Linde» anfühbrt, muss es ähn- liche Bewandtniss haben°); denn im eigentlichen Tibet giebt es sicherlich keinen Baum dieser Art. Auch diesen Namen kennt man weder hier noch in Sikkim, môglicher Weise künnte er aber in Kham oder auch in der Mongolei vorkommen. Die genaue Bestim- mung von Benennungen von Naturproducten bleibt immer etwas Schwieriges und wird kaum eher voll- ständig ins Klare gebracht werden künnen, als die be- treffenden Länder für Europäer ungehindert zugäng- lich und wirklich von Naturkundigen durchforscht worden sind. Sind doch bis jetzt kaum die grüsseren Wildgattungen des West-Himalaja (Kaschmri, Ladak, Spiti, Kunauor), welcher seit 20 — 30 Jahren bereits von englischen Jägern ohne Hinderniss durchstreift worden ist, alle vollkommen wissenschaftlich bestimmt, wenigstens ist mir noch nichts Umfassendes hierüber bekannt geworden. Bei Bäumen und vollends bei klei- neren Pflanzen- und Thiergattungen tritt dann die provincialistische Mannigfaltigkeit, — wie Sie schon selbst bemerken, — immer mehr und mehr hervor, wie dies ja selbst in den civilisirtesten Ländern Eu- ropas der Fall ist. Ich hoffe vielleicht im November in Deutschland anzulangen und wenn ich mit der Übersetzung des neuen Testaments fertig bin, was 3) Es ist das tibetische Wort eine Übersetzung des Mandshuwor- tes usiten hailun (Mongol. deltu) und bezeïichnet eine Ulmen- art (chin. shan youi), wie denn auch Schmidt S. 532 das Wort Dar durch Ulme erklärt; in seinem mongol. Würterbuch $. 270 aber findet sich deltu durch Lindenbaum erklärt; auch das im Tib. Würterbuch S. 300. als «Lindenbaum» aufgefasste Wort 54 muss einen andern Baum bezeichnen. Schiefner. Bulletin de l’Académie EÉmpériale LS zunächst meine Aufgabe und Pficht ist und hoffent- lich im Laufe des nächsten Jahres zur Vollendung kommt, wünsche ich sehr, an die Bearbeitung meiner in diesen 11 Jahren gesammelten Materialien zu ei- nem ausführlichen Tibetisch-Deutschen Lexicon ge- hen zu künnen, vorausgesetzt, dass mir Gott Leben und Gesundheit erhält. —"26z———— BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. L'Académie a reçu dans ses dernières séances les ouvrages dont voici les titres: Bulletin de l’Académie royale des sciences, des lettres et des beaux-arts de Belgique Tome XXIV. Bruxelles 1867. Annuaire de l’Académie royale des sciences, des lettres et des beaux-arts de Belgique. 34° année. Bruxelles 1868. 12. Archives du Musée Teyler. Vol. I. fascicul. 2. 3 Harlem 1868. 8. Philosophical Transactions of the R. Society of London. For the year 1867. Vol.157. PartIl. London 1868. 4. Proceedings of the Royal Society. Vol. XVI. X 95—100. London 1868. 8. Catalog of scientific papers, compiled and published by the R. Society of London (1800—1863). Vol. I. London 1867. 4. Proceedings of the Royal Institution of Great Britain. Vol. V. Part I. II. X° 45. 46. London 1867. 8. Det k. danske Videnskabernes Selskabs Skrifter. Femte Raekke. Naturvidenskabelig og Mathematisk Afdeling. Bind 6, 7. Kjübenhavn 1867—1868. 4. Oversigt over det k. danske Videnskabernes Selskabs For- handlinger og dets Medlemmers Arbeider. 1865 X 5, 1866 M 7, 1867 X 4. 5. Kjübenhavn. 8. A Magyar Tudomänyos Akadémia évkünyvei XI kôtet. IV — VIII darab. Pest 1865—67. 4. — — — — Értesitôje — szerkeszti Rônay Jéczint. Elsô évfolyam 1—17 szäm. Pest 1867. 8. Magyar Akadémiai értesitü. Philosophiai türvény- és tür- ténettudomänyi osztälyok küzlünye. V kôtet 2. 3 fü- zet. Pest 1866. 8. ————A mathematikai és természettudomänyi osztälyok kôüzlünye VI kôtet 1. 2 füzet. Pest 1866. 8. Értekezések a türvénytudomänyi osztäly kürebül — szer- keszti Hunfalvy Jänos. III szäm. Pest 1867. 8. — a philosophiai osztäly kürebül — szerkeszti Hunfalvy Jänos. I—IV szäm. Pest 1867. 8. 485 des Sciences de Saint-Pétershourg. 486 Értekezések a nyelv és széptudomänyi osztäly kürebül — szerkeszti Toldy Ferencz. I szäm. Pest 1867. 8. — a torténettudomänyi osztäly kürebül — szerkeszti Hun- falvy Jänos. I— VI. Pest 1867. 8. — a mathematikai osztäly kürebôl — szerkeszti Szily Kälmän. 1 szäm. Pest 1867. 8. — a természettudomänyi osztäly kürebül — szerkesti Greguss Gyula. I—VII szäm. Pest 1867. 8. Nyelvtudomänyi kôüzlemények. Kiadja a Magyar Tudomä- nyos Akadémia nyelvtudomänyi bizottsäga. V. 1—3. VI. 1. Pest 1866—67. 8. Mathematikai és természettudomänyi küzlemények vonat- kozélag a hazai viszonyokra. Kiadja a Magyar Tudo- mänyos Akadémia IV kütet 1865—1866. Pest 1866. Magyar Tudom. Akadémiai Almanach csillagäszati és kü- zünséges naptärral 1868". Pesten. 8. A Magyar Tudom. Akadémia jegyzükünyvei MDCCCLXVT. Pest 1866. 8. Statisztikai és nemzetgazdasägi küzlemények. IL. IIL. IV. kôtet 1 füzet. Pesten 1866-—67. 8. Archaelogiai küzlemények. VI kôtet, VII kütet 1 füzet. Pest 1866—67. 4. A Magyar Tudomänyos Akadémia munkälédäsairoi s pénz- tira mibenlétérül 1866-ban jelentése az igazgato ta- näcsnak. Pest, 1867. 8. Budapesti szemle. Uj folyam XI—XXX füzet. Pest 1866 —1867. 8. 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Catalogue systématique de la collection paléontologique. Harlem 1867. 8. Commissiäo geologica de Portugal. Estudos geologicos. Da existencia do homem no nosso solo em tempos mui remotos provada peloe studo das cavernas. Pri- Bulletin de l’Académie Empériale ————@— 492 miero opuscolo. Noticia äcerca das grutas da Cesareda por J. F. N. Delgado. Lisbon 1867. 4. Ludeking, E. W. A. Natuur-en Geneeskundige Topogra- phie van Agam (Westkust van Sumatra). ?S Graven- hage 1867. 8. — Schets van de Residentie Amboina. *$S Gravenhage 1868. 8. Miquel, F. A. G. Annales Musei Botanici Lugduno-Ba- tavi. Tom. III, fasc. 6—10. Amstelodami 1867. Fol. Regel, E. u. E. Ender. Aïlgemeines Gartenbuch. Ein Lehr- und Handbuch für Gärtner und Gartenfreunde. 9" Band. Der Zimmergarten. Zürich 1868. S. — Kurze systematische Übersicht der russischen Apfel- sorten. 8. — Die Himbeere und Erdbeere. Erlangen 1866. 8. Meissner, C. F. Über die geographischen Verhältnisse der Lorbeergewächse. 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Circa particolari appendici delle branchie della Cephaloptera Giorna. 4. — Ricerche sugli organi che nei Gasteropodi segregano l’acido solforico. 4. — Altre larve di Alciopide (Rinconereella) parassite della Cydippe Densa, Forsk. 4. — Sulla fecondazione artificiale e sulla entrata degli sper- matozoi nelle uova del Branchiostoma. 4. — Nuovo genere di Polipi Actiniarii. 1868. 4. The Ray Society. A monograph on the structure and de- velopment of the shoulder-girdle and sternum in the vertebrata, by W. Kitchen Parker. London 1868. Fol. Owen. Derivative hypothesis of life and species: being the concluding chapter of the Anatomy of Vertebrates. 1868. 8. Berlin, Karl Henrik. Om de elektriska fiskarna. Upsala 1566. 8. Burmeister, Herm. Ein neuer Chlamythorus. Halle 1863. — Beschreibung eines behaarten Gürtelthieres Praopus hirsutus, aus dem National-Museum zu Lima. Halle 1861. 4. — Beschreianng der Macrauchenia patachonica Owen. Halle 1864. 4. Stoliczka, F. 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Statistische Mittheïlungen über den Civilstand der Stadt Frankfurt a. M. im Jahre 1867. 4. Jahresbericht über die Verwaltung des Medicinalwesens, die Krankenanstalten nnd die üffentlichen Gesund- heitsverhältnisse der freien Stadt Frankfurt. VII. Jahr- gang 1862—65. Frankfurt a. M. 1867—68. 8. Kastner, August. Geschichte der Stadt Neisse. 1° Theil, 3° Band. Neisse 1866. 8. Jahrbücher für die Landeskunde der Herzogthümer Schles- wig, Holstein nnd Lauenburg. Band IX, Heft 2. Kiel 1867. Staatshaushalts-Abrechnung über das Jahr 1865 per ul- timo December nebst Anlage. Hamburg 1867. 4. Verhandlungen zwischen Senat und Bürgerschaft zu Ham- burg im Jahre 1867. Hamburg 1868. 4. Jahrbücher des Vereins für mecklenburgische Geschichte und Alterthumskunde, aus den Arbeiten des Vereins herausgegeben von Dr. G. C. Fr. Lisch. 32° Jahrgang. Schwerin 1867. 8. 495 Bulletin de l’Académie Impériale des Sciences de Saint-Pétersbourg. 496 2 Mecklenburgisches Urkundenbuch. IV. Band. Schwerin 1867. 4. Des Ritters Ludwig von Eyb des Aelteren Aufzeichnung über das kaïserliche Landgericht des Burggrafenthums Nürnberg. I. Abtheïilung. Erlangen 1867. 8. Archiv für üsterreichische Geschichte. Band 38, 2" Hälfte Wien 1867—68. 8. Regesten zur Geschichte der Markgrafen und Herzoge Osterreichs aus dem Hause Babenberg. Gesammelt und erläutert von Andr. von Meiller. Wien 1850. 4. De vrije Fries. Mengelingen, uitgegeven door het Friesch Genootschap van Geschied-, Oudheïd- en Taalkunde. Elfde Deel, Tweede Stuk. Te Leeuwarden 1865. 8. Schaffers, V. Fr. Anvers considéré sous le rapport de ses travaux maritimes, d’agrandissement et transfor- mation. Anvers 1868. 8. Quetelet, Ad. Sur l'age et l’état civil des mariés, en Belgique, pendant le dernier quart de siècle. (1841 à 1865). 8. Mémoires de la Société royale des antiquaires du Nord. 1850—1860 et nouvelle série 1866. Copenhague 1861—66. 8. Annaler for nordisk oldkyndighed. og historie, udgivne af det k. nordiske Oldskrift Selskab. 1861, 1862, 1863. Kjôbenhavn. 8. Aarbüger for nordisk oldkyndighed og historie, udgivne af det k. nordiske Oldskrift-Selskab. 1866, Heft 1—4, 1867, Hefte 1—4. 1868 Hefte 1. Kjôbenhavn. 8. Tillæg til Aarbüger for nordisk oldkyndighed og historie. Aargang 1866. 1867. Kjôbenhavn 1867. 1868. 8. Antiquarisk Tidsskrift udgivet af det k. nordiske Oldskrift- Selskab. 1858—1860 og 1861—1863. Kjôbenhavn 1860—64. 8. Wretlind, E. W. Undersükningar rürande Stockholms Mortalitet. Stockholm 1866. 8. Grande Société des chemins de fer Russes. Compte-rendu du conseil d'administration aux actionnaires pour l'exercice 1867. St. Pétersbourg 1868. Fol. Schirren, C. Verzeichniss livländischer Geschichts-Quel- len in schwedischen Archiven und Bibliotheken. Aus- beute des Jahres 1860. Dorpat 1861—68. 4. Baltische Monatsschrift Band XVII Heft 4—6. B. XVIII Heft 1. 1868. April, Mai, Juni, Juli. Riga 1868. 8. Justinus, des Magisters, Lippiflorium. Nebst Erürterun- gen und Regesten zur Geschichte Bernhard II. von der Lippe, des Abts von Dünamünde und Bischofs der Selonen, herausgegeben von Dr. Ed. Winkelmann. Riga 1868. 8. Melgunof, G. Das südliche Ufer des Kaspischen Meeres oder die Nordprovinzen Persiens. Leipzig 1868. 8. Monumenta Hungariae historica. — Mäsodik osztäly: irôk. T. X. XIII. XVI—XVIII. Pest 1865—67. 8. Czinär Mér, Index alphabeticus codicis diplomatici Hunga- riae per Georgium Fejér editi. Pesthini 1866. 8. Notice sur la Roumanie, principalement au point äâe vue de son économie rurale, industrielle et commerciale. Paris 1868. 8. Boué, Ami. Recueil d'itinèraires dans la Turquie d'Eu- rope. Vienne 1854. 2 Vol. 8. Album de 28 planches photographiées représentant des vues et des types d’habitans du Groenland. De la part du Dr. Rink. Eskimoiske eventyr og sagn, oversatte efter de indfüdte fortælleres opskrifter og meddelelser af H. Rink. Kjübenhavn 1866. 8. Baer, K. v. Das neuentdeckte Wrangeils-Land. Dorpat 1868. 8. The Peabody Institute of the City of Baltimore. Baltimore 1868. 8. Martius, Dr. Carl Fr. Phil. v. Beiträge zur Ethnogra- phie und Sprachenkunde Amerika’s, zumal Brasiliens. I. Zur Ethnographie. Leipzig 1867. 8. Las historias del origen de los Indios de esta provincia de Guatemala, traducidas por Fr.Ximenez, publicado por C. Scherzer. Viena 1857. 8. Catalogue d’une collection extraordinaire d’estampes, de dessins et de sculptures de Albert Durer, formée par Alex. Posonyi. Munich. Brunn, Heinr. Ueber die sogenannte Leukothéa in der Glyptothek Sr. Majestät Künig Ludwig’s I. München 1867. 4. Hettinger, Frz. Die Kunst im Christenthume. Festrede, Würzburg 1867. 4. Archivio giuridico di Pietro Ellero. Vol. I. Fasc. 3—6. Bologna 1868. 8. Tonyosiou Beyheon vod Apyipavdoirou Aoyor Bvo, éxdidovrar Ôrd Kovoravzivou KaXkia. Er ‘Oônoco 1868. 8. Berichtigung zu meiner Notiz über die quantitative Bestimmung des Jods in ver- schiedenen Flüssigkeiten, speciell im Harn (s. Bulletin de l’Acad. tom. XIII, pag. 276 — 284). Durch ein Versehen ist die Stundenzahl der Dauer beider Ver- suche der Jodkalium-Ausscheidung durch den Harn nicht richtig angegeben. Es soll nämlich dort stehen: in der ersten Versuchs-Reiïhe an Stelle von 92 Stunden — 68 Stunden, und in der zweiten Versuchs-Reihe an Stelle von 97 Stunden — 100 Stunden. Ferner muss in den Schlussfolgerungen gelesen werden: 3) Die Resorption und Ausscheidung des Jodkaliums aus dem Kürper durch den Harn ist in 68—76 Stunden beendigt. Hierbei rechnet man in der zweiten Versuchs - Reihe vom 7. Juni 2 Uhr Nachm. an, zu welcher Zeit das letzte Quan- tum Jodkalium eingenommen worden war. Tiflis, October 1868. Heinrich Struve. Paru le 8 février 1869, T. XIIX, N° 5°et dernier. BULLETIN DE L'ACADÈMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG. TOME XIII. (Feuilles 32—37.) CONTENU: F. J. Wiedemann, Les ehstes habitant parmi les lettes en Livonie, dans les districts de FE Marienbourg et de Schwanebourg........................................ 497—524 F, Minding, Loi de la formation des dénominateurs et des numérateurs pour la réduction des fractions continues en fractions ordinaires.............................. 524—528 J. Dédiuline, Rapports entre l’action du Laryngeus superior et du Vagus, et celle de DACCESSONMS AN AISU ee ee ee dre ocre 529—530 J. Fritzsche, Notions sur les hydrocarbures. (Continuation.)........................ 531—548 H, Hildebrand, Rapport concernant les recherches historiques faites dans les archives de la ville de Riga.......... D ec casccct-heeceDioeceteceierie 548—567 7 J, Borodine, Action de la lumière sur la répartition des graines de la chlorophylle dans les parties vertes des phanérogames. (Avec une planche.)..................... 567—586 Bulletin bibliographique... ................................................... 586— 588 Ci-joint les titres et les tables des matières du Tome XIII. On sabonne : chez MM. Eggers & Ci, H. Schmitzdorff et J. Issakof, libraires à St-Pétersbourg, Perspective de Nefski; au Comité Administratif de l’Académie (Kouurer® Jpassenia Huneparopeko“ Akaxemiu Hayx®) et chez M. Léopold Voss, libraire à Leipzig. Le prix d'abonnement, par volume composé de 36 feuilles, est de 3 rbl. arg. pour la Russie, 3 thalers de Prusse pour l'étranger. Imprimé par ordre de l’Académie Impériale des sciences. Avril 1869 C. Vessélofski, Secrétaire perpétuel. Imprimerie de l’Académie Impériale des sciences. (Vass.-Ostr., 99 ligne, X 12.) de jt AGE S Gr AOS ANUS, ei ne CASA dx, BULLETIN DE L'ACADÈMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG. Die Ehsteninseln in den lettischen Kirchspielen Marienburg und Schwaneburg in Livland. Ein Nachtrag zu dem Artikel des verstorbe- nen Akademikers Sjôgren vom 11. Juli 1849 «Zur Ethnographie Livlands», von F.J. Wie- demann. (Lu le 5 novembre 1868.) Die erste Notiz von diesen rings von Letten ein- geschlossenen Ehsten bekam Herr Sjügren auf sei- ner ersten Reise zu den Liven im Jahre 1846 in Riga durch eine Note von Hrn. v. Brackel im zweiten Hefte des zweiten Bandes der «Mittheilungen aus dem Gebiete der Geschichte Liv-, Ehst- und Kur- lands (1841)» S. 375. Ein glücklicher Zufall brachte ihn um dieselbe Zeit auch mit dem Arrendator des Kronsgutes Aahof und einigen solchen ehstnischen Bauern von demselben Gute zusammen; es war jedoch aus diesen letzten nichts herauszubringen. Aber durch Vermittelung des Schuldirectors v. Napiersky er- hielt er im folgenden Jahre nicht nur zwei Über- setzungen der Bacmeisterschen Sprachproben aus Aahof und Ilsen, sondern auch noch sonst einige No- tizen über die Anzahl dieser isolirten Ehsten, ihre Entfernung von den anderen, zusammenwohnenden Ehsten u. s. w., und auf diese Mittheilungen eben ist der oben angezogene Artikel gegründet. Manches in den Übersetzungen war, wie auch Hr. Sjügren patürlich leicht bemerkte, von den des Ehstnischen selbst nicht kundigen Schreibern unrichtig aufgefasst, allein er konnte an die Stelle des Falschen meist nur Conjecturen setzen, weil es ihm weder auf der Hin- reise zu den Liven noch auf der Rückreise môglich gewesen war, zu den von seinem Wege weit ab liegen- den Ehsteninseln zu gelangen. Die viel umfangreiche- ren Sprachproben, welche ich so glücklich gewesen bin mir zu verschaffen, rühren zwar zum grüsseren Theile ebenfalls von einem Freunde her, dem Doctor O. Girgensohn, jetzt in Pleskau, damals als Kirch- spielsarzt in Marienstein in der Nähe von Marien- burg wohnend; aber ausserdem hatte ich im Sommer Tome XII. des Jahres 1866 durch die freundliche Vermittelung des Pastors Kupffer in Marienburg noch Gelegen- heit, selbst mit einem sehr intelligenten Manne aus diesen Ehsten, einem Kirchenvormund, mich za be- sprechen, unmittelbar von ihm Auskunft über ihre Sprache zu erlangen und mit eigenem Ohre die Laut- verhältnisse aufzufassen, so dass ich in den Stand gesetzt wurde, auch in den Sammlungen des Herrn Dr. Girgensohn — er ist selbst des Ehstnischen nicht mächtig — wohl hier und da vorkommende kleine Versehen und ungleiche Schreibweisen mit Sicherheit zurechtzustellen und ein ziemlich vollstän- diges Bild von der Sprache zu erlangen. Dieses Bild ist in sofern freilich etwas mangelhaft, als es sich nur auf die Sprache der Ilsenschen (Sel- tinghofschen) Ehsten bezieht, und doch nicht nur aus Herrn Sjôgren’s Mittheilungen ersichtlich ist, dass die Sprache in Aahof etwas abweicht, sondern auch a priori schon angenommen werden muss, dass eine durch keinerlei Schriften irgend wie fixirte Sprache in den verschiedenen, zum Theil wohl wenig mit den anderen verkehrenden Sprachinseln nicht ganz die- selbe sein kann, namentlich sich gegen den fremden, lettischen Einfluss nicht gleich verhalten haben mag. Trotz dem ist aber doch ohne Zweifel der Charakter der Sprache im Ganzen wobhl derselbe, so dass die der ohnehin volkreichsten Isenschen Parcelle immer- hiu als Repräsentant aller gelten kann. Wenn man yon Aahofschen und Seltinghofschen Ehsten oder Li- ven spricht — Aahof und Seltinghof sind Filiale, er- stes von dem Kirchspiele Schwaneburg, letztes von Marienburg —., so hat man sich nicht bloss zwei Stel- len zu denken, wo sie wohnen, sondern sie finden sich auf verschiedenen Gütern, von einander getrennt, theils in grüsseren und kleineren Dürfern (nach ehst- nischer Weiïse), theils auch in einzelnen Hôfen (mehr nach lettischer Weise), im Ganzen etwas über 2000 Personen, am zahlreichsten in Aahof (in dem Pfarr- filiale gleiches Namens) und auf den Gütern des Ma- 32 499 Bulletin de l’Académie impériale 500 —__—————— pen er rienburgschen Kirchspiels sen, Alswig, Kalnemuisch, sonst aber sollen sie in kleineren Parcellen auch noch anderswo in demselben Kirchspiele vorkommen. Dass diese Leute nicht Liven sind, wie sie wohl in dortiger Gegend auch genannt werden, sondern Ehsten, war schon Sjügren unzweïfelhaft, und so weit die Sprache darüber entscheidet, kann man un- môglich anderer Meinung sein. Ich erfragte von dem Ilsenschen Ehsten, mit dem ich mich in Marienburg besprach, absichtlich eine Anzahl Würter, welche livisch anders lauten als ehstnisch, er kannte aber durehaus nur die ehstnischen Ausdrücke, wie z. B. wits (Ruthe, liv. jotas), jänen (Hase, L. kops), kahr (Bär, I. ok$), aukude (bellen, I. utt), saizde (stehen, L pil), mahl (Baumsaft, 1. kolim), kuhi (Heuhaufen, I. tupuks), tüpin (krank, 1. ruja), karu (Feder, 1. tüurgos), lehm (Kuh, 1. niem), oinas (Widder, I. jos), wer (Rand, L. aiga), ligade (schneiden, L. ied), upin (Apfel, L. umars), kôüldan (gelb, 1. wiri), pahr (Eber, 1. opkas), peim (Milch, 1..semda), kirp (Floh, I. siezors), liu (Sand, I. jovg), palju (viel, L. jenno), kaïjus (Hüter, 1. paint), taba (Schloss, L. klok$), rält (Tuch, I. orn), kala-mañja (Fischrogen, 1. müma), loits (Lüffel, 1. koi), inemin (Mensch, IL. ristin) ete. — Sein Volk nannte er, wie durchgängig die Ehsten thun, ma rahwas, d. h. Lan- desvolk, sich selbst nach seinem Gute Ilsen auch Il- senits. Der Name Liwits für einen Genossen seines Volkes war ihm freilich auch bekannt, allein dieser Umstand beweist wohl noch nichts für wirkliche Volksgemeinschaft mit den Liven, denn der Name Liven ist hier wie dort nur der von Fremden gege- bene und durch sie neben der eigentlichen volksthüm- lichen Benennung auch bekannt. Eben so kennt und gebraucht jetzt der Ehste neben dem volksthümlichen ma-mês, ma-rahwas auch éstlane, und der kurische Live kennt durch die benachbarten Letten auch den Namen lib, obgleich er selbst sein Volk kala-mied nennt. Dass die Marienburgschen und Schwaneburg- schen (oder Seltinghofschen und Aahofschen) Ehsten von den andereu Ehsten schwer und zum Theil gar nicht verstanden werden, liegt also nicht daran, dass sie Liven wären, sondern nur an den abweichenden Formen ihrer Sprache, welche für einen Ungebilde- ten immer ein noch grüsseres Hinderniss der Ver- stindigung sind als für einen Sprachgebildeten, an der cigenthümlichen Aussprache und an den einge- mengten lettischen Wôrtern. Hieraus erklärt sich auch leicht die Sjügren gemachte Mittheilung, dass die isolirten Ehsten sich wohl mit den ebenfalls an Letten gränzenden Ehsten bei Walk verständigen künnen, nicht aber mit denen aus der Pernauschen oder Fellinschen Gegend. Etwas bedenklicher muss man wohl bei der Annahme einer anderen Mitthei- lung aus derselben Aahofschen Quelle sein, dass dort pämlich «erst seit 40 — 50 Jahren (im Jahre 1847) die Ehsten lettisch sprechen, und manche alte Leute es noch nicht verstehen». Môglich ist es wohl, dass Einzelne nicht lettisch sprechen, aber wenn man sieht, wie wenig die seit Menschengedenken nach Lettland übergesiedelten ehstnischen Colonisten, und umgekehrt, ïihre Sprache verändert haben, wie stark dagegen lettischer Einfluss in der Sprache un- serer isolirten Ehsten hervortritt, bei der doch nur seringen Entfernung von der ehstnischen Sprach- gränze die Aahofschen Ehsten sind in gerader Li- nie nur 20 bis 21, die [lsenschen und Alswigschen nur 17 bis 18 Werst davon entfernt —, so kann man un- môglich glauben, dass sie seit so kurzer Zeit erst lettisch sprechen. Der «Ilsenits», mit dem ich in Ma- rienburg verkehrte, sprach mit mir ehstnisch, mit dem Pastor eben so vollkommen geläufig lettisch, und zwar die reine Büchersprache, wie der Pastor selbst, nicht die unangenehm klingende Marienburg- sche Volksmundart. Der lettische Einfluss auf die Sprache zeigt sich cines Theils in den aufgenommenen Wôrtern, nicht etwa bloss für neue, von den Letten erst kennen ge- lernte Begriffe, sondern für solche, die nur drei Mei- len nordlich im Ehstnischen allgemein gäng und gäbe sind, was durchaus eine ältere, linger dauernde Eïn- wirkung der fremden Sprache anzunehmen nôthigt. Solche Würter sind, ausser den in den Bacmeister- schen Sprachproben schon vorkommenden, aus mei- ner Sammlung z. B. gulbe (Schwan), gult (Bettstelle), pritsig (froh), mira (ruhig), lipig (ansteckend), gluse (ganz, gänzlich), meileidzema (lieben), nabednik (Bett- ler), godeidzema (sorgen), perk (Blitz), wälis (Befehl), del (Brett), draudze (Gemeine); hieher gehüren auch wohl Würter wie skapp (Schrank), ursprünglich wohl deutsch, aber sonst bei den Ehsten, ihrer Sprach- weise accommodirt, mit abgeworfenem Anlaut kapp, wäbrend die Ilsenschen Ehsten nach der lettischen 501 des Sciences de Saïint-Pétersbourg. 50? Form des Wortes das s im Anfange beibehalten; eben so sind, obgleich ebenfalls auch deutsch, doch ohne Zweifel wohl von den Letten entlehnt Wôrter wie nute (Noth), strid (Streit), krôg (Krug, Schenke), strapi (strafen), strikk (Strick) u. dgl. Anderen Theiïls offenbart sich der lettische Einfluss in der Aussprache. Nicht nur sind lettische Wôürter aufgenommen, ohne dass — wie sonst die Ehsten bei Lehnwürtern wohl thun — die schwierigen oder nicht mundgerechten An- laute verändert wurden (vergl. in den obigen Beispie- Jen die mit g, d, st, sk anfangenden Wôrter), sondern es sind auch in ursprünglieh ehstnische Würter Laute hineingekommen, welche den Letten wohl schr ge- läufig sind, im Ehstnischen aber sonst nicht vorkom- men und in Lehnwôrtern regelmässig in solche um- gewandelt werden, welche den Ehsten leicht sind. Diese Laute sind $ und Z statt s und z und daher auch t$ und d? statt ts und dz, meist durch Eïinfluss eines Ï, und wo das s mouillirt ist, aber auch sonst. Beispiele, -wo Mouillirung zu Grunde liegt, wie die in Klammern beigesetzten werro-ebhstnischen Wôürter zeigen, sind: üt$ (ein, üts), kats (zwei, kats), weiz (fünf, wi4), kuz (sechs, kü), läütsi (er ging, sie gingen, lits, lüfsiwä), oëte (kaufte. oste), laits, Inf. pl. lati (Kind, Kinder, lats, lafsi, aber Gen. sg. latse wie werro-chstnisch), ofsiti (es wurde gesucht, ofsiti), kaë$ (Katze, ka$$), püss (Flinte, püs$), tawas, kafaë (er nahm, sprang, tawas, karas), môiZe (Braut, môfzja), ohne Mouillirung, aber vor einem [, namentlich vor einem betonten, aber auch sonst, z. B. Sinna (dahin), Silmi (Augen), SisSe (hinein), tsiga (Schwein), tsirk (Vogel), kargaëi (sie sprangen), wirgsit (Furchen, v. wirus), Käzi (Hand), inemiet (Menschen), jusid (Haare), endlich noch sonst, namentlich in Verbin- dung mit sogenannten weichen Vocalen, als $è (dieser mês (Mann), Süändin (zornig), Sünü (satt), Sôk (Speise), S6wä (sie essen), Sen (in), wäits (Messer) etc. Von den Letten stammt ferner wohl die Mouillirung von Consonanten, welche sonst im Ehstnischen nicht, oder wenigstens an solcher Stelle nicht mouillirt werden, wie joske (lief), KäZi (Hand), Kkümme (zehn), lehm (Kuh), meile (uns), ñema (sie) Gen. pl. ñemmi, mi- tade') (etwas); endlich ist ohne Zweifel lettisch die 1) Für midagi oder midage, ein Übergang des Gutturals durch die Mouillirung in den Dental, wie er bei den Salisschen Liven sebr bäufg ist (d und t aus &, K). freilich viel seltener als im Livischen vorkommende Zusammensetzung der Verba mit untrennbaren (let- tischen) Adverben, wie tema mulle es atanna tad rahad (er gab mir das Geld nicht ab), und in der Construction des Comparativs der Gebrauch der Ne- gation vor der Partikel «als», wie tema om rikkeb ei ku sina (er ist reicher als du). Es ist interessant zu vergleichen, wie diese Letticismen sich sämmtlich auch bei den Liven finden, aber darauf beschränkt sich auch wohl so ziemlich das Livische in der Sprache der Aahofschen und Isenschen Ehsten, welche im Übrigen durchaus ehstnisch (werro-ehst- nisch) ist, und sich zunächst, wie natürlich, der Lo- calmundart der Ehsten im Kirchspiel Harjel an der Lettengränze ansehliesst. Es wird daher, um ein ge- nügendes Bild von der Sprache dieser isolirten Ehsten zu geben, nicht einer vollständigen Grammatik be- dürfen, sondern genügen, wenn mit Hinweisung auf meine im J. 1864 erschienene Abhandlung über den werro-chstnischen Dialekt (Memoiren Bd. VII, X 8). das Verhältniss zu dicsem angegeben und die respec- tiven Abweichungen von demselben zusammengestellt werden. Aus der Lautlehre wäre anzuführen 1) eine Hin- veigung zu den starken Consonanten (p, t, k) für die schwachen (b, d, g) des Werro-ehstnischen, welches selbst schon in gleichem Verhältniss zum Reval-ehst- nischen steht, also open (Pferd, w. hobene), aber im G. obeze, topin (krank, w. tobine), aber tobi (Krank- heit), sopr (Freund, w. sôbr) etc., die einsylbigen der Art, wie sôpr, nakl, sôkl, nehmen erst durch Muta- tion im Werro-ehstnischen dieselben starken Conso- nanten an, also im Infin. sôpra, nakla, sokla (von sôbr, nagl, sôgl). — 2) Häufig ist eine Brechung des langen 1 in den Diphthong ei, so weiZ (fünf, w. Wi), lein (Stadt, w. lin), ei (Maus, w. hif), nei (so, w. mi), neitma (mähen, w. nitma) u. dgl., auch in den aus dem Lettischen entlehnten Wôrtern, wie meileidze (ich liebe, v. lett. mihleht). — 3) Die Diphthonge ai, äü erleiden eine cigenthümliche Tenuation (vergl. werroehstn. Dial. $S. 11) in à, à, z. B. laib (Brot) G. liwa, Inf. laiba, paik (Stelle) G. paga, Inf. paika, käütma (binden) kädet (gebunden);, mundartlich findet sich im werro-ehstnischen Gebiet Achnliches, beson- ders im Süden, — 4) Der dem Ehstnischen eigenthüm- | liche Vocal à ist nicht ganz rein erhalten, theils hôrt 32* 503 Bulletin de l’Académie Impériale 504 ——————— man fast e (wie in Allentaken), theils fast y (russ. br, | auch diese beiden letzten Punkte ein Ergebniss sein wie freilich zum Theil auch schon im Werroehstni- schen nach der Russengränze hin), daher wohl auch in den Sjügren zugesandten Sprachproben bisweilen von den Schreibern mit ü ausgedrückt; um keine neuen Zeichen einzuführen habe ich — das eben Ge- sagte vorausgeschickt — das à beibehalten. Ebenso lautet der Diphthong ôi fast wie ei, so dass man bei- nahe gleich gut seitma, meistma oder sûitma, mûistma schreiben künnte, ausserdem entsteht, eben so wie im Werroehstnischen, der Diphthong ei regelmässig durch Flexion aus dem à, wie seije (ass) aus sümä (essen). — 5) Die langen Vocale 6, ê, à finden sich wie im Werroehstnischen neben 6, 6, 6, aber noch mehr zu ü, 1, ü hinneigend als dort, so dass auch im Di- phthong aus Ô nicht oi wird, sondern ui, wie im Pro- nomen (s. unten). — 6) Die Verwandlung des conso- nantischen Auslauts w einsylbiger Würter, welche in der Declination den Vocal a annehmen, in u ist zwar nicht werroehstnisch, kommt aber doch sonst hier und da mundartlich vor, z. B. karu (Haar, Feder), G. karwa, liu (Sand), G. leiwa (wa), siu (Flügel), G. seiwa (siwa). —7) Die Endungen der Wärter sind, wie es bei einer bloss gesprochenen Sprache zu erwarten ist, bis- weilen etwas unbestimmt, bald so, bald anders lautend, z. B.tulede oder tule (du kommst), im Ganzen wohl noch etwas mehr abgeschliffen und verkürzt als im Werro- ehstnischen; so hôrt man von den mehr als zweisyl- bigen Würtern der XXI. Classe (vergl. werroehstn. Dial. S. 31) statt der Endung ne regelmässig nur n, wie jänen (Hase), open (Pferd), tôpin (krank), inemin (Mensch). — 8) Die Vocalharmonie ist nicht ganz geschwunden, sondern an manchen Wôürtern und Wortformen wohl noch deutlich zu vernehmen, wie müüwdü (verkanft), jänü (geblieben), Sônü (satt), mñ- rän (was fast ein), aber das sind eigentlich nur Aus- nahmsfälle, und im Ganzen kann man sagen, dass von der Vocalharmonie nicht eben mehr übrig ist als bei Dorpat und nürdlich und westlich von dort. — 9) Auffallend ist es, dass die Aspiration im Anlaut, welche im Werroestnischen sehr deutlich ist und gerade im Süden, in der Nachbarschaft der Ilsener, über die Gebühr ausgedehnt wird, hier ganz fehlt, also open (Pferd), äfg (Ochs), oledu (sorglos), à (gut), ähk (Hochzeit) ete. für hobune oder hopen, härfg, ho- letu, hä, hähk; es liegt die Vermuthung nahe, dass mügen der Gewühnung das Lettische zu hüren und zu sprechen, welches bekanntlich so wenig von Vo- calharmonie weiss wie von einem H im Anlaute. Über die Wortbildung ist nichts Besonderes zu bemerken, sie ist von der des Werroehstnischen nicht verschieden, nur haben die caritiven Adjective d statt t in der Endung, 7. B. äüdü (unverschämt), oledu (sorglos) statt häütü, holetu, eine Consonantenschwä- chung, welche auch in dem Nachfolgenden noch hier und da bei der Flexion zu erwähnen sein wird. Die Flexion der Nomina stimmt ebenfalls fast ganz überein. Im Allgemeinen wäre nur anzufübren, dass das auslautende a des Caritivs und Instrumen- tals hier zu e abgestumpft ist, z. B. ommi sûpruge (mit seinen Freunden),- wakage (mit einem Lof), ilm lawade (ohne Boot), ilm kutsmade (ungerufen), statt sôproga, wakaga, leiwata oder léwata, kutsmata, Wo- bei ausserdem noch die so eben erwähnte Schwä- chung des t in d eintritt, und dass durch denselben Process auch-das auslautende t des Infin. sing. und plur. hier wohl eher wie d lautet. Auslautendes e statt a im Instrumental ist auch bei den Harjelschen Ehsten ganz gewôühnlich, seltener bei den Rauge- schen. Die anderen Suffixcasus ausser dem Cari- tiv und Instrumental — sind von denen der benach- barten Ehsten nicht verschieden, auch der Ilativ wird eben so gebildet, theils ohne Suffix, wie külla (ins Dorf), theils mit demselben, und zwar auf de, wie im Dôrptischen, nicht he, z. B. kambrede (in’s Zimmer), so wie auch der Inessiv die dürptische En- dung n hat, nicht h, z. B. leinan (in der Stadt), statt Hinah; diese Abweichungen von dem reinen Werro- ehstnischen kommen aber auch im Süden des Werro- schen Sprengels selbst schon vor. Zu einer verglei- chenden Übersicht wird es also genügen, wenn von den verschiedenen Classen der Nomina (vgl. werro- ehstn. Dial. S. 19 ff.) Beispiele von den wichtigsten Casus (Nom., Gen. und Infin. sing. und Inf. plur.) gegeben werden; auch diese sind übrigens mit denen des Werro-ehstnischen im Ganzen übereinstimmend, ein Paar Vocallaute (i und u für e und o) bisweilen abgerechnet. I. Classe. Téirk (Vogel), G. tsirgu, Inf. tSirku, Infin. pl. t8irke, 8ôk (Speise), Sügi, &ôki, Sôke, kott (Sack), koi, kotti, kotte, skapp (Schrank), skapi, 505 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 506 skappi, skappe, wakk (Lof), waka, wakka, wakku, laud (Tisch}, lauwa (laua), lauda, laudu, nurm (Feld), nurme, nurme, nurmi, del (Brett), deli, deli, dele, nahk (Haut), naha, nabka, nahku, urg (Bach), ura, urga, urge, og (Halm), ole, olge, oloi, aig (Zeit, Wet- ter), aja, aiga, aige, poig (Sohn), poja, poiga, poige, aid (Zaun), aia, aida, aide, lehm (Kuh), lehma, lehma, lehmi, ärg (Ochs), äfja, ärga, ärgi, Silm (Auge), Silma, Silma, Silmi, laib (Brot), lawa, laiba, laibu, paik (Stelle), päga, paika, paiku etc.; die Bildung der Suffixivcasus im Plural geschieht nach denselben Regeln vom Gen. oder gleichlautenden Inf. plur. wie im Werroehstni- schen, also urest (aus den Bächen, von urge), küigist pagust (von allen Stellen, von kiki paiku) etc. II. Classe. Sôpr (Freud), Gen. sobra, Inf. süpra, Infin. plur. sôpru, nakl (Nagel, Pfund), nagla, nakla, naklu ete. Da hier nicht bloss der Infin. sondern auch schon der Nominativ des Singulars die starke Form hat, welche im Genitiv geschwächt wird, so fallen diese Würter fast zusammen mit denen der ersten Classe, nur dass die Tenuation hier nicht den letzten Buchstaben des Stammes trifft, sondern den vor- letzten. III. Classe. Peni (Hund), Gen. peni, Inf. peñni, Inf. pl. peñne, kala (Fisch), kala, kalla, kallu, eza (Vater), eza, esa, esi, ema (Mutter), ema, emma, emmi, tSiga (Schwein) t$ea, tSika, tSike, rüga (Rog- gen), rüa, rüka, rüki, küla (Dorf), küla, külla, külli etc. Wie bei den südlichen Ehsten auch ausserhalb des Werroschen Sprengels, so hürt man auch hier den Infin. sing. auf d (t) bilden bei Wôrtern auf a, rahad, ezad st. rahha, esa. IV. Classe. Ahi (Ofen, auch ahj gesprochen), Gen. abju, Infin. ahju, Inf. plur. ahje, wähi (Krebs), wähja, wäbja, wähje, kari (Heerde), kaïja, kaïja, karju. V. Classe. Nimi (Name), Gen. nime, Inf. nimme, Inf. plur. nimmi, teri (Riege, Darrscheune), tere, terre, terri, läwi (Thür), läwe, läwwe, liwwi etc. VI. Classe. Sar (Insel), Gen. säre, Inf. sart, Inf. plur. sari, suf (gross), sure, surt, suri, nôf (Jung), nôre, nôrt, nôri, kèl (Zunge), kele, kèlt, kéli, wêr (Rand), wére, wèrt, wéri, pôl (Seite), pole, pol, pôli etc. VIII. Classe. Von den wenigen zur siebenten Classe gehôrenden Würtern sind mir keine bekannt, da die Ilsenschen Ehsten zum Theil auch andere Ausdrücke dafür haben, wie das in der fünften Classe angeführte teri (Riege) statt rih. Aus der achten ist mir das eben so wie im Werrochstnischen declinirte wäits (Messer) vorgekommen, Gen. wäidze, Anf. wäist, Inf. pl. wäüitsi. IX. Classe. Täüz (voll), Gen. täüe (täüwe), Inf. täüt, Inf. pl. tüüzi, war’ (Stiel), warre, wart, warZi ete. X. Classe. Pu (Baum), Gen. pu, Inf. pud, Inf, pl. puid, Gen. pl. puie, ma (Land), ma, mad, maid, maie, té (Weg), tè, tèd, teid, teie etc. XI. Classe. Wezi (Wasser), Gen. wee, Inf. wet, Inf. pl. wesi, kKäzi (Hand), käe, Kät, Käsi, suZi (Wolf), soe, sut, susi etc. XIT. Classe. Meri (Meer), Gen. mere, Inf. merd, Inf. pl. merri, tuli (Feuer), tule, tuld, tulli etc. XIII. Classe. Ramat (Buch) Gen. ramatu, Inf. ra- matud (ramatut), Inf. pl. ramatid (ramatit), kübär (Hut), kübäre, kübäred, kübärid, kazuk (Pelz), kazuge, kazuged, kazugid, waZik (Kalb), waziga, waZigad, wa- Zigid, tütrik (Mädchen), tütrigu, tütrigud, tütrigid, pritsig (frôhlich), pritsigi, pritsigid, pritsigid, nädal (Woche), nädali, nädalid, nädalid, sôzar (Schwester), sôzare, sûzared, süzarid, ezand (Herr), ezande, ezan- ded, ezandid etc. Hier findet — aber schwankend und nicht consequent, so viel ich bemerkt habe — die auch im Werroehstnischen vorkommende Tenuation der zweiten Sylbe Statt, namentlich am auslautenden t und k, also soldat (Soldat), G. soldati auch soldadi, tütrik (Mädchen), tütriku oder tütrigu; eben so kommt auch eine Tenuation in der Mitte vor, wie kipen (Funke), Gen. kibene. XIV. Classe. Karjus (Hüter), Gen. kaïjuze, Inf. kaïjust, Inf. pl. karfjuZid (kafjuZit), rikkus (Reich- thum), rikkuze, rikkust, rikkuZi etc. XV. Classe. Kallis (theuer), Gen. kaïli, Inf, kal- ist, Inf, pl. kallid (kallit), oinas (Widder), oina, oinast, oinid, roiwas (Kleid), roiwa, rüiwast, rûiwid, sabas (Stiefel), sapa, sabast, säpid, rikas (reich), rikka, rikast, rikkid, tobras (Rind), topra, tübrast, toprid, lammas (Schaf), lamba, lammast, lambid etc. XVI. Classe. Tütar (Tochter), Gen. tütre, Inf. tü- tard, Inf. pl. tütrid (tütrit), tungel (Feuerbrand), tuñgle, tuñgeld, tuñglid ete. Auch hier ist die Zahl dieser Wäürter beschränkt, da die meisten, welche im Reval- chstnischen diesen analog declinirt werden, hier wie 507 Bulletin de l’Académie Hmpériale 508 im Werrochstnischen die Form der Würter der fol- genden Classe angenommen hat. XVII. Classe. MôiZa (Landgut), Gen. müiza, Inf. môizad (moizat), Inf. pl, moizid (môiit), kañge (stark), kañge, kañged (kañget), kañgid (kañgit), ruble (Rubel), rüble, rubled, rublid, kambre (Zimmer), kambre, kam- bred, kambrid ete. XVII. Classe. Da die im Werroehstnischen die Würter dieser Classe charakterisirende Aspiration im Nominativ des Singulars wegfällt, so fallen sie hier mit denen der vorigen Classe fast ganz zusammen bis auf die bei einigen dazukommende Firmation des Gen. sing. und Infin., plur. Draudze (Gemeine), Gen. draudze, Inf. draudzed (draudzet), Inf. pl. draudzid (draudzit), môrZe (Braut), môrZe, morzed, morzid, wene (Boot), wene, wened, wenid, pale (Wange), palge, paled, palgid etc. XIX. Classe. Aze (Stelle), Gen. azeme, Inf. azend, Inf. pl. azemid (azemit), wôti (Schlüssel), wôtme, wô- tind, wôtmid ete. XX. Classe. Die Würter dieser Classe haben das Abweïichende, dass sie den Inf. plur. auf Zit endigen, ein ähnliches Auskunftsmittel wie das reval-ehstnische sid vielfach statt des einfach durch Flexion gebilde- ten Infin. plur., wie majasid, werro-ehstn. maijo. — Süke (blind), Gen. süke, ne süket (für sôgect), Inf. plur. sügezid. XXI. Classe. Die hieher gehôrenden Würter wer- den, wie schon oben bemerkt wurde, regelmässig um das auslautende e verkürzt, sonst aber wie im Werro-ehstnischen flectirt, z. B. open (Pferd), Gen. obeze, Inf. obest, Inf. pl. obeZid (obeZit), inemin (Mensch), inemize, inemist, inemizi, naine oder nane (Weib), naize oder näze, naist, naïZi, satlemin (Fluch), satlemize, satlemist, satlemizi. Statt des werro-ehst- nischen tse erscheint hier das weichere dze, wie sau- une oder sauwune (rauchig), sauudze, sauust, sauudzid, kate palgalidzege (mit zwei Knechten), von palgalin. XXII. Classe. Die caritiven Adjective werden meist mit du statt tu ausgesprochen und nehmen das m in der Flexion nicht an, wie auch einige Casus im Werro- ehstnischen thun, also oledu (sorglos), Gen. oledu, Inf. cledud (oledund), Inf. pl. ‘leduid (oleduit). XXII. Classe. Môiznik (Gutsbesitzer), Gen. müiz- niku, Inf. môiZniku, Inf. pl. moi/nike. XXIV. Classe. Lats (Kind), Gen. latse, Inf. last, Inf. pl. latsi, mês (Mann), mehe, mêst, mêhi, loits (Lüflel), loidza, loidzad (loidzat), loidzid (loidzit) etc. Als besonderes Wort kommt hier noch hinzu wirus (Furche), wirgu, wirust, wirgzid (wirgZit). Die Cardinalzahlen sind: üts (1), kats (2), kol (3), neli (4), weïz (5), kuz (6), seidze (7), kateze (8), üteze (9), Kkümme (10), üts-teiz-Kümme (11), kats- teiz-Kümme (12), oder genauer üts-teist-kümmend etc., kafs-Kkümmend (20), kafs-Kümmend-üts (21), kats-Kümmend-kats (22) ete., kol-Kümmend (30), neli- kümmend (40), weiZ-Kümmend (50) ete., sada (100), katë-sata (200), kol-sata (300) ete., toha (1000). Die Declination derselben ist ganz der werro-ehstnischen analog, nur bei kol (3) wäüre zu bemerken, dass in der Flexion das weggefallene m wieder erscheint, also kolmege (mit dreien), kolmest (von dreien); auch die Construction hat nichts Kigenthümliches, ausser dass neben dem Infin. sing. auch der Infin. plur. ge- braucht wird. Die Ordinalzahlen sind: ézman (1), teine (2), kolmas (3), nellas (4), weies (5), kües (6), seidzmes (7) ete., die Flexion hat mit Ausnahme der beiden ersten Zahlen, welche regelmässig nach der XXI. Classe der Nomina declinirt werden, nur die kürzere werro-ehstnische Form ohne das n, also kolmas (der dritte) Gen. kolmate, Inf. kolmated (kolmatet), weies (der fünfte) weiete, weieted (weietet) etc. Das Personalpronomen ist mina (ma) ich, Inf. minnu, Gen. minu (mu), davon mull, mulle, mukka , Plural mi, wir, Inf. meid, Gen. meide (m1), da- von meil, meile, meidege ete.; — sina (sa) du, Inf. Sinna, Gen. sinu (su), davon suli, sulle, etc., Plural ti, ihr, Inf. teid, Gen. teide AU avon teil, teile, tei- dege etc.; tema (ta) er, Inf. temma, Con tema (ta), davon temal, temast de. Plural nema, sie, Inf. und Gen. nemmi, davon nemil, nemist ete., oder da- für häufig auch das Demonstrativpronomen tô, jener, Inf. tôd, Gen. t6, davon tôle, tôst, toge etc., Plural nô, inf. noid (nuid), Gen. noide (nuide), davon noile, noist (nuile, nuist) ete. — Demonstrative Prono- mina sind $è (dieser), Plur. né, ta (dieser, der) Plur. na, to (jener) Plur. nô. Wie das letzte von diesen auch als Personalpronomen (er, sie, es), so wird das zweite, dem lettischen tas nachgeahmt, als miss- bräuchlicher Artikel verwendet, so wie das erste von den dreien von den anderen Ehsten, — Das persün- 509 liche Reflexiv ist enne (seiner, sich), Inf, ennast, mit Suffixen ennele, ennega etc., aber, wie es scheint, ohne Unterschied im Singular und Plural gebraucht, wie im Lettischen, während die Ehsten des Werro- schen Sprengels und die übrigen für Singular und Plural verschiedene Formen haben; — das posses- sive Reilexiv, oma, wird vollständig in der Em- und Mehrzahl declinirt wie im Werro-ehstnischen, also oma latse (seine Kinder), omma last (sein Kind), omast ezast (von seinem Vater), omile latsile (seinen Kindern) u. s. w. Relative sind ke (von Personen) und me (von Thieren und unbelebten Gegenständen), und aus ihnen werden interrogative Fürwôürter gebildet durch An- hängung des interrogativen s, wie im Werro-chstni- schen, als kes (wer), kelles (wem), kiñkas (wessen, wen), ketas (wen), mes (was), melles (wozu, warum), mikast (wovon), mikage (womit) ete. Conjunctives Interrogativ, vor Substantiven stehend, ist kumbas, eigentlich aus dem sonst gewühnlichen ehstnischen kumb (welcher von beiden) Gen. kumma gebildet mit dem interrogativen s, aber in dieser Form, wie es scheint, indeclinabel geworden, z. B. kumbas tütrigu (welche Mädchen), und missbräuchlich wie auch im Werroschen Sprengel für kes und mes, z. B. kumbas man (bei wem). —- Indefinite Für- oder Zahlwôür- ter sind ega, koagi oder koade (jeder), kûik (all), mi- tade (irgend etwas), môlebe (beide), palju, pallu (viel), teine, mu (anderer) u. a. Der Comparativ hat als vollständiges Suftix mb, wie im Werro-chstuischen, wofür aber, besonders nach langer Sylbe, häufig kürzer — wie zum Theil auch bei den benachbarten Ehsten — ein blosses b steht, was auch schon in den Bacmeisterschen Sprach- proben bei Sjügren vorkommt (z. B. soureb in dem- selben Satze neben wehamb), und dem gemäss ist auch das eben genannte moôlebe (beide), werro-ehstn. môlemba’. Dass bei der Construction des Compara- tivs die Negation (ei, es) hinzugenommen wird, wurde schon oben als ein Letticismus bemerkt, z. B. ta om rikkeb ei ku ennebe (er ist reicher als früher), m1 ennast enambe meéileidzeme ei ku muid (wir lieben uns mehr als Andere). Das Zeitwort trägt, cinige wenige Abweichungen abgerechnet, im Ganzen durchaus den Charakter des Werro-ehstnischen, und wir betrachten es daher zu des Sciences de Saint-Pétersbourg. 510 D on 27 ni ON TR ul leichterer Vergleichung mit diesem auch wieder in derselben Ordnung wie in meiner oben citirten Ab- handlung $S. 36 ff. L Affirmatives Verbum. À) Activ. In dem er- sten Tempus ist cigenthümlich die Bildung der zwei- ten Singularperson auf de gleich der zweiten Plural- person”) und die Abstumpfung des Auslauts a der dritten Pluralperson zu e. Die dritte Singularperson hat auch hier nicht die dürpt-ehstnische Endung -p, sondern ist der unveränderte Verbalstamm, oder hat das Suffix s, welchem dann der Plural ze entspricht statt we. Bei den Verben ohne Bindevocal lieben es die [lsener, wenigstens vor dieser Endung we einen Vocal einzuschieben. Beispiele: von andma (geben) anna, annade, and, anname, annade, andawe, von tu- lema (kommen) tule, tulede, tule, tuleme, tulede, tu- lewe, von ôtma (warten) oda, odade, ôt, odame, üdade, ôtawe, von umblema (nähen) umble, umbleïe, umbles, umbleme, umblede, umbleze, von kofjama (lesen), koïja, kofjade, koïjas, kofjame, kofjade, kofjaze. — Die Bildung des zweiten Tempus ist der im Werro- ehstnischen analog, die Personalendungen aber sind sehr vereinfacht, der ersten Singularperson wird in der Regel die zweite, so wie die erste und zweite Pluraiperson gleich gebraucht, die dritte Pluralper- son hat das Suffix we nicht, und fällt daher bei den- jenigen Verben, welche in der dritten Person nicht eine Firmation eintreten lassen, ebenfalls mit der er- sten Singularperson zusammen. Die dritte Singular- person unterscheidet sich von der ersten meistens durch Firmation oder Tenuation oder durch den End- vocal, in Verben, wo keiner dieser Unterschiede ge- boten ist, wird auch sie der ersten Singularperson gleich. Beispiele: von minema (gehen) lätsi, lätsi, läts, lätsi, lätsi, lät8i, von andma (geben), aññi, añni, and, añnñi, añni, añdi, von kargama (laufen), kargaëi, kar- gaSi, karas, kargasi, kargasi, kargasi, von walama (giessen), walli in allen Personen. Dieselben Ab- kürzungen sind auch im Harjelschen Kirchspiel ge- bräuchlich. Der Optativ wird durchgängig für alle Personen gleichlautend gebraucht, wie mundartlich auch schon bei den übrigen Ehsten, also z. B. vor den beim er- sten Tempus, von dem ja der Optativ gebildet wird, 9) Die zweite Singularperson auf de haben auch die benachbar- ten Ehsten in Harjel, seltener in Rauge. oi! angeführten Zeitwürtern annasi (annas), tuleSi (tules), odaëi (odas), umblesi (umbles), kofjasi (korjas). Der Imperativ ist in der zweiten Singularperson der ersten des Präsens durchaus gleich, also anna, tule, oda, umble, kofja, ole (sei), tô (bringe), saista (stelle dich) etc. Die zweite Pluralperson endet auf ke, die dritte im Singular und Plural auf ka, welche Endungen ke und ka eben so angehängt werden, wie im Werro-ehstnischen. Das ka (statt ku) hôrt man auch bei den umwohnenden südlichen Ehsten. Ein Conjunctiv oder Potential und ein relativer Modus mügen vielleicht nicht mehr gebraucht wer- den, ich habe wenigstens nichts der Art bemerkt. Die Verbalnomina sind wie im Werro-ehstnischen. Das vollständig declinirbare auf mine hat hier natür- lich die oben bei der XXI. Classe der Nomina ange- gebene verkürzte Form auf -min, z. B. neitmin (das Mähen), neitmizel, neitmizest ete., das zweite, defec- tive auf -ma hat dieselben Casus wie dort, also neitma (zu mähen, zum Mähen), neitman (beim Mä- hen), neitmast (vom Mähen), neitmade (ohne Mähen, ungemäht), eben so das dritte, dessen Endung -da wieder zu -de abgestumpft wird, z. B. tulla (kom- men), ella (leben), kanda (tragen), osta (kaufen), mwa (verkaufen), Sôwä (essen), kofjade (lesen), tullen (kom- mend, beim Kommen) etc. Das adjectivische und substantivische Verbalnomen auf -ja wird auch um den Auslautsvocal verkürzt, z. B. mineja (gehend, Gänger), üle-käja (Aufseher), tekej (Arbeiter). Im Werro-ehstnischen findet sich dieselbe Verkürzung an einigen abgeleiteten Nomina, wie tsakaj (Kohlhacke), rapaj (Flachsschwinge) , elläj (Thier), welche aber wohl mit diesem Verbalnomen identisch sind. Die Participe haben die gewôhnliche werro-ehst- nische Form, also im Präsens z. B. minewa astagu (im vorigen Jahre), tulewast nädalist (von der künfti- -gen Woche), kèba wet (kochendes Wasser), im Prä- teritum kôlnu (gestorben), tulnu (gekommen), wihanu (zornig geworden), Sünü (gegessen habend, satt), koï- janu (gelesen). B) Passiv. Das Particip hürt man, eben so wie im Werro-ehstnischen, theils mit der vollen Form, auf den Vocal u (ü) ausgehend, theils um diesen Vocal verkürzt, z. B. moüwdü (verkauft), 1üd (geschlagen), kädet (gebunden). Präsens und Präteritum haben Bulletin de l’Académie Hmpériale I 51? ebenfalls die ähnliche Form, z. B. antes (es wird ge- geben, man giebt), üteldes (es wird gesagt), strabiti (es wurde gestraft), otsiti (es wurde gesucht), auch die Construction ist eben so, doch scheinen nicht bloss im Imperfect die persünlichen Formen vorzu- kommen, sondern auch im Präsens, nicht bloss die dritte Pluralperson, wie im Werro-ehstnischen, son- dern auch andere, so z. B. antame (wir werden ge- geben). II. Negatives Verbum. Die beiden Tempora des Activs sind ganz wie im Werro- und Dürpt-ehstni- schen, der Stamm des Zeitwortes mit einer für jedes Tempus besonderen Negation, die aber nicht, wie im Livischen, nach den Personen selbst noch flectirt wird, z. B. ma, sa, ta, mi, ti, nema ei taha und es (is) taha (ich ete. will nicht, wollte nicht), der Imperativ aber hat die etwas verschiedene Negation ala (statt ärä), ala ole (sei nicht). Diese Form der Negation soll auch bei Personen aus den südlichen ehstnischen Kirchspielen Harjel und Rauge gehôürt werden, wenn sie unter Letten gelebt haben. Das Passiv ist eben so einfach, nur in der Form von dem sonstigen Ehstnischen etwas abweichend, nämlich ei annad und es annad (wird nicht gegeben, wurde nicht gegeben). Einige Beispiele noch von den verschiedenen Clas- sen, in welche ich die Zeitwürter im Werro-ehstni- schen gebracht hatte (vgl. die oben citirte Abhand- lung S. 44 f.), môgen folgende sein. I. Classe. Kuiwatama (trocknen), Infin. kuiwatade (kuiwata), Präs. erste Person kuiwata, dritte Person kuiwatas, Imperf. erste Person kuiwati, dritte Person kuiwat, Partic. des Activs kuiwatanu, des Passivs kuiwadet, wärizema (zittern), wärizede, wärize, wä- rizes, wärizi, wäriz (WäriZi), Wärizenu. II. Classe. aigutelema (aigutlema, gähnen), Inf. aigutelda, Präs. aigutele, aiguteles, Imperf. aiguteli, aiguteli, Partic. aigutelnu. IV. Classe. Istuma (sitzen), Infin. istude (istu), Präs. istu, istus, Imperf. istu, istu, Partic. istunu. V. Classe. kofjama (lesen), Infin. korjade, Präs. korja, koïjas, Imperf. koïSi, kofas, Partic. korjanu, kofjat, kargama, (springen, laufen), Inf. karade, Präs. karga, kargas, Imperf. kargSi, karas, Partic. karanu, karat, umblema (nähen), Infin. ummelde, Präs. umble, umbles, Imperf. umbli, umme}, Partic. um- 513 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 514 melnu, ummeld, ütlema (sagen), Infin ütelde, Präs. ütle, ütles, Imperf. ütli, ütel, Partie. ütelnu, üteld. VI. Classe. Wedama (ziehen), Infin. weta, Präs. wea, weda, Imperf. wei, wedi, Partic. wedanu, weetu, pidama, (halten), Infin. pita, Präs. pea, pida, Imperf. pei, pidi, Partic. pidanu, peetu. VII. Classe. Magama (schlafen), Infin. maade, Präs. maka, maka (makas), Imperf. magazi, magazi, Partic. maganu, maat (maatu). VIII. Classe. Walama (giessen), Infin. walla, Präs. wala, walas, Imperf. walli, walli, Partic. walanu, walet, elama (leben), Infin. ella, Präs. ela, elas, Im- perf. elli, elli, Partic. elanu, elet, kaema (sehen), Inf. kaija, Präs. kae, kaes, Imperf. kaïje, kaïje, Par- tic. kaenu, kaet. IX. Classe. Tulema (kommen), Infin. tulla, Präs. tule, tule, Imperf. tulli, tull, Partic. tulnu, tult, nô- zema (aufstehen), Infin. nôsta, Präs. nôze, nôze, Im- perf. nôsi, nô$i, nüznu. X. Classe. Ostma (kaufen) Infin. osta, Präs. osta, ost, Imperf. o$ti, o$te, Partic. ostnu, ostet, môistma (verstehen), Infin. müista, Präs. môista, môist, Imperf. môisti, moôiste, Partie. môistnu, moôistet, andma (ge- ben), Infin. anda, Präs. anna, and, Imperf. anni, añd, Partic. andnu, ant, leidma (finden), leida, l'eia, leid, leidze, leidze, leidnu, Jeit, sôitma (fahren), Infin. sûita, Präs. sôita, sûit, Imperf. sûidi, sûit, Par- tic. sûitnu, sûidet, käütma (binden), Infin. käüta, Präs. käüda, käüt, Imperf. käüdi, käüt, Part. käütnu, kädet, neitma (mähen), Infin. neita, Präs. neida, neit, Imperf. neidi, neit, Partic. neitnu, neidet, jôskma (laufen), Infin. jôske, Präs. jüze, jôsk, Imperf. jozi, JôSK (jôSke), Partic. jôsknu, jozet, wôtma (nehmen), Infin. wôtta, Prüs. wôta, wôtt, Imperf. wôti, wôtt (wôtte), Partic. wôtnu, wôtet, satma (fallen), Infin. sattu, Präs. satu, satt, Imperf. sati, saft (safe), Par- tic. satnu, Ôtma, (warten), Infin. ôta, Präs. oda, ôt, Imperf. 6di, dt (ôte), Partic. ôtnu, odet. XII. Classe. Hier kommen am meisten Abwei- chungen vom Werro-ehstnischen vor, wie aus den Beispielen zu ersehen ist. Sômä (essen), Infin. Süwä, Präs. $ô, 8, Imperf. seije, seije, Partic. Sônü, &d, jôma (trinken), Infin. jôwa, Präs. jô, jô, Imperf. jüije, joije, Partic. jônu, jôd, mümä (verkaufen), Infin. môwä, Präs. mü, mô, Imperf. müje, müje, Partie. moünü Tome XIII, (méüwnü), moüwdü, sama (bekommen), Infin. saija, Präs. sa, sa, Imperf. saije, saije, Partie. sänu, sad. XIII. Classe. Minema (gehen), Infin. minna, Präs. läte*), lätt, Imperf. lätsi, läts, Partic. linnu, Imperat. mine. Das Hülfszeitwort olema (sein) geht bis auf die dritte Person des Präsens, om statt ole und im Plu- ral om statt olewe, eigentlich wie tulema (vergl. IX. Classe), aber sehr gewühnlich ist auch im Imperfect olle für alle Personen des Singulars und Plurals. — Die sonst noch in diese Classe gehôrenden unregel- mässigen Verba môüchten vom Werro-ehstnischen wohl nicht eben abweichen. Die Postpositionen sind fast gar nicht von den werro-ehstnischen verschieden, z. B. all (unter), alla, alt, azemen (anstatt), ên (vor), ette, êst, kes-pagan (mitten in), kes-paika, kes-pagast, läbi (durch), mann oder monn (bei), manu oder monu, mant oder mont, môda (längs, vorbei), otsan (an), otsa, otsast, päl (auf), päle, pält, unmittelbar nach dem Nomen stehend (d. h. also als Postpositionen, nicht als Adverbe, ge- braucht) gewôhnlich bäl, bäle, bält gesprochen, pera, perä (nach), perrä, peräst, perä-bol (hinter), perä-bole, perä-bolt, pol (bei), pole, polt, polest eben so wie päl etc. auch mit b anlautend statt mit p (vgl. das vor- hergehende), säni (bis, von), Sèn (in), Sisse, sést, üle (über), ümbre (um), ümbrele, ümbrelt, wabhjel (zwi- schen), wahjele, wahjelt, wasta (gegen), wéren (an), wêrde, wérest u. a. Häufiger noch als im Werro-ehst- nischen ist der Gebrauch, die Postpositionen zam Theil auch nicht von dem Nomen abhängig zu machen, sondern als Adverbe zu construiren mit dem Nomen im Adessiv, z. B. tô sûit mull ên (er fährt mir vor st. vor mir), melles sa mull perrä lätede (warum gehst du mir hinter st. hinter mir), tô mull päle tulle (er kam mir über st. über mich her), tema saiZ kes- pägan lafsil (er steht den Kindern mitten unter st. mitten unter den Kindern) u. dgl. Vielleicht ist auch hier lettischer Einfluss sichtbar, welchem wenigstens in Kurland offenbar im Deutschen ähnliche Wendun- gen ibhre Entstehung verdanken, z. B. das oft gehürte «kommst du mir mit» st. kommst du mit mir. Noch einige, zum Theil cigenthümlich gebildete Adverbe und adverbiale Ausdrücke sind: püirede 3) Von lätma, genauer als das lä des Dürpt- uud Werro-ehstni- schen, welche erst in der dritten Person lät (lätt) das t des Stammes zeigen. 33 515 Bulletin de l’Académie Empériale 516 ——————Z—ZEEE (jetzt), ommen (morgen), ülemidze (fbermorgen), eila (gestern), tomba (vorgestern), temba (heute), temüze (in dieser Nacht), mullud oder minewa ästagu (im vorigen Jahre), wêl (noch), kä (auch), taza (mit), sm oder sein (hier), sejia (hieher), koes (wohin), säl (dort), kôigin (überall), ussen (draussen), usse (hinaus), kü (nach Hause), ku, kui (wie), nei (so), wois (nur), ütte wätki (immerfort), jo (schon), wai (lett. Frageparti- kel — ehstn. kas). Theils als Beleg zu der vorstehenden grammati- schen Skizze, theils als Sprachprobe überhaupt mü- gen hier einige den Ilsenern abgefragte Sätze folgen. Mina (ma) wois üte obeze ole ostnu (ich habe nur ein Pferd gekauft). Sina (sa) tule kolme palgalidzege (du kommst mit drei Knechten). Tema (ta) taht üte lehma müwä (er will eine Kuh verkaufen. Mi aname ta waziga üle nella rüble (wir geben das Kalb für vier Rubel). Teil om Kümme lammast oder lambid (ïhr habt zehn Schafe). Nema tulli kolmaten päwan (sie kamen am dritten Tage). Né neli inemist ma tunne, tad wieted ma ei tunne (diese vier Menschen kenne ich, den fünften kenne ich nicht). Ma temma meileidze (ich liebe ihn). Ta lätt tôge (er geht mit ihm). Mi ütleme tôle (wir werden es ihm sagen). Nema mulle añdi rahad (sie gaben mir Geld). Ma su tunne (ich kenne dich). Tema sulle ruki müw (er verkauft dir Roggen). Nô meide mant lätsi (sie gingen weg von uns). Ma teid ei näe oder näi (ich sehe euch nicht). Anna meile wet (gieb uns Wasser). Tô tule teide manu (er wird zu euch kommen). Mi teist koldzi (wir hürten von euch). Nema tahtawe teidege minna (sie wollen mit euch gehen). Ma femmi ei meileidze (ich liebe sie nicht). Ma ei wôa nemile mitade anda (ich kann ihnen nichts geben). To ütte wärki ennest pat (er spricht immer von sich). Mi ennast enambe meileidzeme ei kui muid (wir lie- ben uns mehr als Andere). Ti kôige enne manu wôtade (ihr nehmt Alles zu euch). Sè més om mu eza (dieser Mann ist mein Vater). Ta nane om mu ema (jene Frau ist meine Mutter). Né mehe om mu wele (diese Männer sind meine Brüder). Nä tütrigu om su sûzare (jene Mädchen sind deine Schwestern). a mi maja (das ist unser Haus). Ta om nemmi nurm (das ist ihr Feld). Sein om tô ratta (hier ist sein Wagen). Kumbas tütrigu om ti sôzare (welche Mädchen sind eure Schwestern ?). Märäst ramatud sa korjade (was für ein Buch liest du ?). Mes sa ütlede (was sagst du). Mikast oder mikage ti elade (wovon lebt ihr). Kelles sa wôtme añni (wem hast du den Schlüssel gegeben ?). Kinkas sa olede sätnu (wen hast du geschickt?). Kumbas mann ti olle (bei wem wart ihr?). Wai $é tä open, me sa o$ti (ist diess das Pferd, wel- .._ches du kauftest?). Nè äfja, me tt eila kaije, jo moüwdü (die Ochsen, welche ihr gestern saht, sind schon verkauft). Ma ole topin (ich bin krank). Sa olede rikas (du bist reich). Tema om wahn (er ist alt). Mi oleme sure (wir sind gross). Tx olede terwe (ihr seid gesund). Nema om jôbonu (sie sind betrunken). Ma olle leinan (ich war in der Stadt). Sa olle nurme bäl (du warst auf dem Felde). Tema ofle môtsan (er war im Walde). Mïi olle pritsigi (wir waren frühlich). Ti wêl nôre olle (ihr wart noch jung). Nô olle jo kôlnu (sie waren schon gestorben). Ma ommen sa kü (ich werde morgen nach Hause kommen). Mi ülemidze same leina (wir kommen übermorgen in die Stadt). Ütte wärki wajag Gigel olla (man muss immer ehr- lich sein). Laz’ tema olka nei kange, kui tema taht (mag er so stark sein, wie er will). Ala ole äüdü (sei nicht unbescheiden). Laz’ nema mikka, koe tahtawe (mügen sie gehen, wo- hin sie wollen). Mi tuleme neitmast (wir kommen vom Mähen). 517 des Sciences de Saint-Pétersbourg. o1s Tä aig mi pidi tulemizest (das Wetter hielt uns ab | Naïde lambide wahjel kitse ka litewe karja (unter vom Kommen). Tô tulli od. tulle ilm kutsmade (er kam ungerufen). Wüi tema tulka wüi ala (mag er kommen oder nicht). Ta ma unedi taza kanda (das vergass ich mitzubringen). Tema todze tulewa nädali seia saia (er versprach in der künftigen Woche her zu kommen). Mullud tema rikkeb olle ei ku pèirede (im vorigen Jahre war er reicher als jetzt). Säl sauudze tuñgle wêl (da sind noch rauchende Feuer- brände). Tô mulle kéba wet (bring mir heisses Wasser). Temal om lipig tobi (er hat eine ansteckende Krank- heit). Na läbi mineja soldadi jäze temôze mi külla (die durchmarschirenden Soldaten bleiben diese Nacht in unserem Dorfe). Ma läte nurme bäle (ich gehe auf das Feld). Tô tege nurme bäl (er arbeitet auf dem Felde). Mi gluÿe ilm lawade oleme (wir sind ganz ohne Brot). Ma tema üle-kaejas pañni (ich machte ïhn zum Auf- seher). Wai ti olede $ônü (habt ihr gegessen, seid ihr satt). Temma strabiti (er wurde bestraft). Ta laits om sur jänü (das Kind ist gross geworden). Temma kôigin otiti (er wurde überall gesucht). Mi aitame kôigist pagust (wir werden von allen Stel- len vertrieben). Meid ei meileidze üttegi (man liebt uns garnicht). Lôd peni ulw (ein geschlagener Hund heult). Nabednik istus tè weren (ein Bettler sitzt am Wege). Kas$ makas lauwa all (die Katze schläft unter dem Tische). Ta ramat saîte lauwa alla (das Buch fiel unter den Tisch). Üt eit tulle skapi alt usse (eine Maus kam unter dem Schrank hervor). à tegi mu azemen (er arbeitete statt meiner). kôige tè mull ên sûit (er fuhr den ganzen Weg vor mir). Tema mu Silmi ette ei ole tulnu (er ist nicht vor meine Augen gekommen). Sina ei godeidze üle oma latse (du sorgst nicht für dein Kind). Tema läts soldadis (er wurde Soldat). 5 5 © © den Schafen weiden auch Ziegen). Melles sa ütte wärki mull perra lätede (warum gehst du immer hinter mir her). Tema ti man elas (er lebt bei euch). Ma tema ennege taza wôti (ich nahm ihn mit mir). Ta tema omast ezast tawas (das hat er von seinem Vater bekommen). Tema mulle es atanna tad rahad (er hat mir das Geld nicht abgegeben). Ta peni om liha mann (der Hund ist bei dem Fleische). Tema oma tè wôtt môda kerik-ezande môiZat (er nahm seinen Weg bei dem Pastorate vorbei). Säl sa kegzwa wakage müüwdü (dort wird Gerste lof- weise verkauft). Tema saiZ kes-pagan latsil (er steht mitten unter den Kindern). Wele wahjel ei tohi strid olla (zwischen Brüdern darf nicht Streit sein). Tema istus läwe manu (er sitzt neben der Thür). Ta pilw saiz ta pädaistu môtsa bäl (die Wolke steht über dem Tannenwalde). sona mu bäle lätt (das Wort geht auf mich). lehm om saina manu kädet (die Kuh ist an die Wand gebunden). lats ei lite mu polest (das Kind geht nicht von meiner Seite). Wôta putsaj kätte en kifjuta (nimm die Feder in die Hand und schreibe). Mu weli saiZ polwid sani wee Sên (mein Bruder stand bis zu den Knien im Wasser). Mu sôpr leidze üte koti skapi otsast (mein Bruder fand einen Sack oben auf dem Schrank). Ta tul tule pole-päiwa bolest (der Wind kommt von Süden). Ta perk leije kambrede &i$se (der Blitz schlug in das Zimmer hinein). Üten päiwan môlebe latse koli (an einem Tage star- ben beide Kinder). Saista mu poja pera-bole (stelle dich hinter meinen Sohn). Naide puie wahjel om nätta üts maja (zwischen den Bäumen ist ein Haus zu sehen). Tema elas kala-lômizest (er lebt vom Fischfange). Ta krôg kerikul wasta om (der Krug ist der Kirche gegenüber). Ta Ta Ta 33* 519 Bulletin de l’Académie Empériale 520 Mi tulli läbi môtsa (wir kamen durch den Wald). Tema kand üte korsi pä bäl (er trägt einen Korb auf dem Kopfe). Ta palgalidze näne (naine) wôtt 80gi wälla lauwa bält (die Magd nahm das Essen vom Tische hinaus). Suzi karas üle aia (ein Wolf sprang über den Zaun). Ta nane (naine) om wihanu üle ta mehe (das Weib ist ärgerlich über den Mann). Soe kargazi tallil ümbre (Wülfe liefen um den Stall). Tema räti käüt ümbre käla (sie band ein Tuch um den Hals). Ta püs$ saiz saina manu (die Flinte steht an der Wand). Karjat$ tobrast ldiga môda weda (der Hirt führt das Thier am Stricke). Téiga jô8ke aid-wêrt môda (das Schwein lief den Zaun entlang). Ta tekej tegi kôige welist môda (der Arbeiter machte Alles dem Befehle gemäss). Päle pühid nema ähja tegewe (nach dem Fest werden sie Hochzeit machen). Tema wärizes külmamizest (er zittert vor Kälte). Ma anna üle raha (ich gebe es für Geld). Tema airedzes tad wened wasta wet (er rudert das Boot gegen den Strom). Tema tegi mu tahtmizel wasta (er handelte gegen meinen Willen). Séd aSja ei annad ilm rahade (diese Sache wird nicht ohne Geld gegeben). Ta ezand sôit leina ommi sôpruge (der Herr fuhr in die Stadt mit seinen Freunden). Tô säd delest butka (er macht aus Brettern eine Hütte). Urest wähiteswäbje (aus den Bächen fängt man Krebse). Tema kink omile tütrile râte (sie schenkte ihren Tôch- tern Tücher). Tema es taha mukka tulla (er wollte nicht mit mir kommen). Tema kuiwat ommi rôiwid (er trocknete seine Kleider). Tema kuiwatas kallu (er trocknet Fische). Na näze umbleze ammid (die Weiber nähen Hemde). Ta laib kal pôl teist nakla (das Boot wiegt andert- halb Pfund). kala kal kafs en pôl nakla (der Fisch wiegt zwei und ein halbes Pfund). Tema kôiki pôlg (er tadelt Alle). Ma wedi strikki (ich zog an dem Stricke). Tema kaitses oma nôted (er klagt seine Noth). Ta Ma üreidZi üte obeze (ich miethete ein Pferd). Tä lat jo müist korjade (das Kind versteht schon zu lesen). Tema ennebe parebede koras (früher las er besser). Ma ole palju kofjanu (ich habe viel gelesen). Tema taht ma bäl ella (er will auf dem Lande leben). Tema walli olle (er goss Bier ein). Ketas tema ôt (auf wen wartet er). Ma wina jüije, tema lihad seije (ich trank Branntwein, er ass Fleisch). Ma tahtsi laiba S6wä (ich wollte Brot essen). Die Bacmeisterschen Sprachproben, (Vergl. den angezogenen Artikel von Sjgren, S. 7 ff) 1. Jumal ei küle (Gott stirbt nicht). 2. Inemin ei ela kauge (der Mensch lebt nicht lange). 3. Ema armadzes ommi laf8i (die Mutter liebt ihre Kinder). 4. Tôl om palju peima rinnun (sie hat viel Milch in den Brüsten). . Ta mês t64 armadzes (ihr Mann liebt sie). . Ta näne ofle läülä (diese Frau war schwanger). . Ên küt päiwa tôle om Sündünu üts poig (vor sechs Tagen ist ihr ein Sohn geboren). 8. Tô om wêl topin (sie ist noch krank). 9. To tütrik tôl istus manu en ikk (ihre Tochter sitzt bei ihr und weint). . Ta laits ei taha imme (das Kind will nicht saugen). . Sè tütriguken ei wôa wêl käüwä (dieses Mädchen kann noch nicht gehen). . Tô om ën ütte astagud en katte küd Sündünu (sie ist vor einem Jahre und zwei Monaten geboren). . Né neli poizikest om kûik terwe (diese vier Kna- ben sind alle gesund). . Ta êzman jô$k, ta teine kargas, ta kolmas laul, ta nellas nakr (der erste läuft, der zweite springt, der dritte singt, der vierte lacht). . Sè mês om sôke (dieser Mann ist blind). . Tô näne om kurl (sein Weib ist taub). . Tema ei küle, mes mi pätame (sie hôrt nicht, was wir sprechen). . Su weli aigutles (dein Bruder gähnt). . Su sôzar makas (deine Schwester schläft). . Ti eza om ärranu (euer Vater ist wach). 21. Tô 86 en jô weidü (er isst und trinkt wenig). I OO © 521 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 52? 22. Nena om kes-pagan paled (die Nase ist mitten im Gesicht). Meil om kats jalga en koagi käe manu wei? sorme (wir haben zwei Füsse und an jeder Hand fünf Finger). . Juze kazwaze pà bäl (die Haare wachsen auf dem Kopfe). . Ta Kkél en na amba om sün (die Zunge und die Zähne sind im Munde). . Ta à KäZi om kañgeb ei ku ta kura (die rechte Hand ist stärker als die linke). . ÜE jus om pikk en pêne (ein Haar ist lang und dünn). . Ta weri om werew (das Blut ist roth). . Na lüu om kale nei ku kiwi (die Knochen sind hart wie Stein). . Tal kalal om Silma, kôrwu ei ole (der Fisch hat Augen, Ohren hat er nicht). 23. . Sè t$irk lendas illakesti (dieser Vogel fliegt lang- sam). . Tô lask ma bäle (er lässt sich zur Erde nieder). . TÔl om musta karwa nain siwun (er hat schwarze Federn in den Flügeln). . Tal pül om alla lehe en jäme ossa (der Baum hat grüne Blätter und dicke Àste). . Sell tSirgul om waib nena en lühü_ and (dieser Vogel hat einen spitzen Schnabel und kurzen Schwanz). . Tô pezan tôl om walge muna (in seinem Neste hat er weisse Eier). . Ta tuli palas, mi näeme ta sauwu, ta tule en na üdze (das Feuer brennt, wir sehen den Rauch, das Feuer und die Kohlen). Ta wezi uran jô$k kergede (das Wasser im Bache fliesst schnell). Ta kü om süreb ei ku nä tühe, en wähemb ei ku päiw (der Mond ist grüsser als die Sterne und kleiner als die Sonne). Eila üdagu satte wihm (gestern Abend regnete es). Temba omugu ma näije ta wika-kare (heute Mor- gen sah ich den Regenbogen). Üze om pime, en päiwa elle (des Nachts ist es finster und am Tage hell). 38. 39. 40. 41. 42. Ich gebe zum Schluss noch Einiges über eigen- thümliche Gebräuche bei diesen Ehsten nach Mitthei- lungen des oben genannten Herrn Dr. Girgensohn. Es ist dabei zwar immer das Präsens gebraucht, aber Eins und das Andere mag doch vielleicht auch schon antiquirt sein. Die Hochzeit wird nicht unmittelbar nach der Trauung, sondern zwei bis drei Wochen später ge- feiert. Wenn der Bräutigam nach der Braut fährt, so bindet er sich ein Handtuch als Schärpe um. Wenn man sich zu Tische setzt, so muss die Braut unter dem linken Arm ein Brot haben und in der rechten Hand einen Melkeimer mit Bier. In beiden Häusern steht während der ganzen Hochzeit ein kleines Brot, in ein weisses Tuch gebunden, auf dem Tische. Braut und Bräutigam essen das erste Mal mit Handschuhen, welche von der Braut gestrickt sind. Wenn die Braut aus dem elterlichen Hause geführt werden soll, so wird ein Pelz vor die Thürschwelle gebreitet, ihr selbst werden, indem sie auf einem aus Rinde ge- machten Korbe sitzt, von den Angehürigen die Füsse mit Basteln von ungegerbtem schwarzem Felie be- kleidet. Den Führern schenkt sie Handschuhe und Gurten. Wenn sie zur Pforte hinausgefahren sind, hält der Anführer den Zug an, reitet drei Mal herum und bewirthet die zusammengekommenen Zuschauer mit Bier und Branntwein. Unter Weges werden dem jungen Paare die Augen verbunden. Bei des Bräuti- gams Hause angekommen, wird die Braut aus dem Wagen gehoben, und sie muss sogleich ein Brot auf den Ofen. legen. In ihren Reisekleidern wird sie an den Tisch geführt, ein Kind von fünf bis sechs Jah- ren wird ihr auf den Schooss gesetzt, und so ange- kleidet muss sie bis zum nächsten Morgen bleiben. Dann erst werden ihr die Reisekleider ausgezogen, die Brautkrone wird abgenommen und in ein Tuch gebunden. An diesem Tage wird sie in allen Gebäu- den umhergeführt und muss überall ein Stück Geld oder einen Gurt hinlegen. Allen Gästen muss sie Kleidungsstücke schenken, und zwar jedem Ver- wandten ein bestimmtes Stück, Hemd, Strümpfe u. s. w. Am Abend muss sie dem Schwiegervater das Bett machen und ein Laken nebst zwei Hemden als Geschenk darauf legen, die Schwiegereltern geben ihr dagegen irgend ein Stück Vieh, je nach ihrem Vermügen. Wenn die Schwiegermutter zum ersten Mal nach der Hochzeit Brot backt, so muss die junge Frau auf den Brottrog wieder ein Hemd legen, und 523 Bulletin de l’Académie Impériale 524 RE ——— — — — — — —" ——…—….—]—]— …—]—————— der Schwiegervater erhält dabei ebenfalls irgend ein Kleidungsstück für das Bierbrauen zur Hochzeit. Wenn die junge Frau zum ersten Mal in die Bad- stube geht, so muss sie für das Weïb, welches die Badstube geheizt hat, zum Geschenk Handschuhe und Strümpfe auf die Schwitzbank legen, sie selbst darf das Feuer dazu nicht anzünden. Wenn zum er- sten Male Wäsche gewaschen wird, so darf sie nicht anfangen, sondern ein bestimmtes Weib oder Mäd- chen, welches dafür wieder ein Geschenk erhält. Wenn sie ihren Kirchgang hält, so wird sie im Kir- chenkruge von den Verwandten aufgehoben und muss ihnen zu essen und zu trinken geben. Früher wurde sie sogleich, wenn sie in des Bräutigams Haus kam, in den Stall geführt, wo man die Thür ausgehoben hatte, und hingesetzt. Hier wurde ïihr das Haar ganz kurz abgeschoren, wie es bis zum Tode bleiben musste, und ein weisses Tuch um den Kopf gelest, hinten zusammengenäht mit herabhängenden Enden (koikal). Im Staat trug sie ein anderes Tuch (linask), welches von hinten nach vorn und dann wieder zu- rückgenommen wurde, so dass die durchgezogenen Enden hinten herabhingen. Mit dem Wasser, womit ein Kind getauft worden, besprengt man das Vieh, damit es gut gedeihe. Wenn das Vieh zum ersten Male im Frühjahr hin- ausgelassen wird, so geben sie dem Hüter den Schlüs- sel des Vorrathshauses mit, damit der Wolf den Som- mer über dem Vieh nicht schade. Wenn die Pferde zum erster Mal auf die Weide ge- lassen werden, so wird dem Hüter Essen mitgegeben, wovon er an der Stelle, wo dem ersten Pferde die Füsse gekoppelt werden, ein Ei vergräbt, dort aber, wo das erste Feuer angezündet wird, von Allem einen Theil. Wenn im Herbst das Vieh eingetrieben wird, s0 wird ein Hahn geschlachtet und gegessen. Wenn das erste Getreide in die Riege (Darrscheune) gefübrt wird, so muss ein Stein auf das Riegenfenster gehoben werden, und wenn das Dreschen beendigt ist, so muss ein Brot auf die Darrstangen gelegt wer- den, welches später aufgegessen wird. Beim Kohlpflanzen legen sie Nesseln auf das Beet und einen Stein darauf. Am Gründonnerstag muss vor Sonnenaufgang das Haus gefegt und der Kehricht in der Küche verbrannt werden, was sie «ckirpe palutama» (Flühe verbrennen) nennen. Am Johannisabend schmückt man die Häuser mit Grün, bringt vor der Riege Gras zusammen und isst darauf sitzend zu Abend vor einem angezündeten Feuer. Alle am Abend dieses Tages gemelkte Milch muss gekocht werden. Dem Vieh werden alte Eisen- stücke an den Hals gehängt. Am Nachmittag dieses Tages legt man Zweige in die Felder, und zwar jeder Getreideart Zweige von bestimmten Baumarten. Den Leichen legen sie Geld, Branntwein und eine Pfeife in den Sarg. Am Beerdigungstage werden Erbsen gegessen. So lange eine Leiche im Hause ist, darf keine Milch gegessen, früher durfte auch nicht gearbeitet oder Jemand ins Haus gebeten werden, weil diess als eine Beleidigung angesehen wurde, und er vermeintlich dadurch einen Schaden davontrug. Wenn die Leiche aus dem Hause geführt wird, s0 müssen die Zurückbleibenden aus dem Aschenloche vor dem Riegenofen drei Mal mit einem Kienspan der Leiche Asche, so weit wie môglich nachwerfen, worauf man einen alten Hufeisennagel in die Schwelle schlägt. Über das Bildungsgesetz der Zähler und Nenner bei Verwandlung der Kettenbrüche in ge- wôhnliche Brüche, von Ferd. Minding. (Lu le 7 janvier 1869.) Wird der Kettenbruch Q= a+ in einen gewôhnlichen Bruch verwandelt, so erhält man nach der üblichen Bezeichnung .ÿ? wo Zähler und Nenner nach einer bekannten Regel zu berechnen sind, welche jedoch das allgemeine Bildungsgesetz dieser Ausdrücke nicht anschaulich macht. Hierüber lehrt Euler in seinem Specimen al- gorithmi singularis $ 8 (novi comment. acad. Petrop. t. IX) Folgendes: Possunt autem ii (valores) quoque hoc modo repre- sentari: 525 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 526 0 j: 1 1 1 1 (abcd) — abed (1 SERRE PE a) (abcde) — 1 1 1 1 1 1 1 abcde (1 ET SP VASE PÈRE ra) In his autem denominatoribus occurrunt primo facta ex binis indicibus contiguis, tum vero producta ex binis illorum factorum, qui nullum indicem commu- uem involvunt, tum sequentur producta ex ternis, quaternis etc. combinationibus, quae nullum impli- cant indicem communem; unde ratio compositionis jam fit perspicua. Hiermit ist das fragliche Gesetz sofort auf die ein- fachste Weise gefunden und weitere Untersuchungen darüber scheinen nicht nôthig zu sein. Bei Anwendung der bekannten Formeln auf ein dioptrisches Linsensystem hat sich mir jedoch das- selbe Gesetz in einer anderen Gestalt dargeboten, welche auch nach der obigen Euler’schen Darstel- lung noch einer kurzen Mittheilung werth scheint. Werden nämlich durch 1 1 1 1 u° uw PERS TOR u (n) die Brennweiten von » + 1 auf einer gemeinschaft- lichen Axe gereihten Glaslinsen, durch t b? pur ! PAUL) die Entfernungen vom zweiten Hauptpunkte jeder Linse bis zum ersten Hauptpunkte der folgenden be- zeichnet, und setzt man MH TP) ET so ist nach $ 14 der dioptrischen Untersuchungen von Gauss — + die Brennweite des Linsensystems. Diesen dioptrischen Bedeutungen gemäss nenne ich in dem vorstehenden Ausdrucke von k&, # €’ #”... der Reiïhe nach die Abstände zwischen den Argumen- ten «° und w! w’ und w} u. s. w., daher auch # +#” den Abstand zwischen w° und w, überhaupt AE 0 RE AE EN den Abstand zwischen # * und « ®**. Für die Dar- stellung von k gilt dann folgende Regel: Man verbinde die » + 1 Elemente w zu Producten von je 1,2,3...n+ 1 Factoren, auf jede môügliche Weise, ohne Wiederholungen, ordne die Factoren je- des Productes nach der Reihe der steigenden Zeiger, bilde für jedes dieser Producte (U) aus den { die Ab- stände zwischen je zwei in U unmittelbar auf einan- der folgenden « und aus allen diesen Abständen das Product T, aus U und T7 das Product TU; so ist die Summe der auf diese Weise aus allen Combinationen der « entstandenen Producte TU der gesuchte Werth von k. Beispiel. Of lt y k=(uitutut'u")=w+u rw +u" +tu (dues ss lan" + d'u ou! ( Là + (+ ua + tu u" + El uw ! 1 +V( + nue" ++ tt uw" JP Ole TP CI) + l'l'uu'u"+tlt nu u". Man kann diese Regel auch so ausdrücken: Nachdem die sämmtlichen Producte aus den « ge- bildet und ihre Factoren überall nach steigenden Zei- gern geordnet sind, setze man in jedem Producte zwi- schen je zwei auf einander folgende « ihren Abstand, d. h. die Summe der in dem Schema (&° #'u'…. 4" 0) dazwischen befindlichen #, als Factor hinzu. So würde in obigem Falle beispielsweise anstatt #'(#" +4") uu'u"" zu schreiben sein: tu (+ uw". Im Vorstehenden ist eine ungerade Anzahl von Elementen vorausgesetzt worden. Ist die Anzahl der Elemente gerade, so braucht man aus dem Werthe von # nur die mit dem Factor w° behafteten Glieder zu entnehmen, deren Summe nach Weglassung von u° den Werth von !— (fu tu" .... 1" y") — A darstellt. Man erhält z. B. dut'u"tl'u") == ere 4 w + (# ne t”) TE = (l+ AE tu! RE Y 4 w uw! pre A (7 pre #1) w uw"! ar (E + t) pu” uw! uw”! ar d t! HU w uw! uw". Auch hier besteht wieder dasselbe Bildungsgesetz, wenn nur zu #u’u” ein erstes Element w° hinzuge- dacht wird, welches in alle vorkommende Combina- tionen der « eingeführt werden muss, schliesslich aber wieder wegfällt. Ist in obigem X eines der { gleich Null, so treten die beiden daneben stehenden in eine Stelle zusam- men, da ihr Abstand gleich Null ist, und ihre Summe 527 Bulletin de l’Académie Empériale 528 —————————— bildet ein neues Element. Dabei vermindert sich die | Bedeutung zusammengefasst. Es sei z. B. {’— 0, so | obigem Beispiele bei 7 Elementen 21 Glieder in 15 Anzahl der Elemente um 2. wird (au Ou"d"u") =(u°d'(u + ut" un). Die Richtigkeit der Regel wird leicht durch einige Beispiele bestätigt; ein vollständiger Beweis kann so gefübrt werden: Soll &,,,—=(utut'u".... nach obiger Regel gebildet werden, so unterscheide man die Glieder, welche den Factor #{®*" enthalten, von allen übrigen. Die letzteren ergeben sich sofort aus der Annahme #9 — O und ihre Summe ist mit- hin (uw d'u". Qu D) = en qu, Die in #°*" multiplicirten Glieder müssen alle auch den Factor #®Ÿ" enthalten, da der Regel zufolge #®%+# nie ohne w®* auftreten kann; alle diese in 4®%#9 y %T0 multiplicirten Glieder entstehen aber durch Verbindung dieses Factors mit allen aus den Elementen w° #' ut" . 4 x ® hervorgehenden Gliedern, deren Summe k, ist; die fraglichen Glieder geben also die Summe #k,* 4% #9 und man erhält: ALOPU)ETCO pate) _dn_ benne rm Derselbe Werth folgt aber auch nach der gewühnlichen Rechnungsweise; denn es ist fé Ps OPA ErLPEETr. n +1 n +1 js k,,,=(uiutir Aa Re; or (MH) (+1) _din . un. PTE à = folglich LS 440) din \ +1) RU Ne 0 rt) astert wie vorhin. Der wichtige Satz, dass die umgekehrte Anordnung der Elemente den Werth von k nicht ändert, folgt hier eben so unmittelbar aus dem Bildungsgesetze, wie bei Euler. In der Euler’schen Form entwickelt, stellt sich (abcd...i), wenn die Anzahl der Elemente » ist, als eine Summe von Q+V59+1i (—vV5)r—+i1 on -+#+1,y5 einfachen Gliedern oder Producten aus den Elemen- ten dar; diese werden nach der vorstehenden Regel, | 5 nm je nachdem » gerade oder ungerade ist, in 2° n +1 2 2 oder — 1 Gruppen von einfacher und ansprechender So vereinigen sich in Gruppen, bei 6 Elementen 13 Glieder in 8 Gruppen. Wenn der Kettenbruch in folgender Form vorliegt: DEN be a + 3 a+ — Aa eee so wären die Theiïlzähler b erst auf Einheiten zu brin- gen, um dann obige Regel anzuwenden. Nimmt man einerseits alle b mit ungeraden, andererseits alle b mit geraden Zeigern bis zu einer gewissen Grenze zu- sammen und setzt demnach: b,b,b,. ; Mi ban b,b,b, bn = Bin so ist 1 Li er i B; Bit 1 B; B,4;3 1 B, Eu :B Ohne von dieser Umstellung Gebrauch zu machen, hat Hr. Stern im 10ten Bande des Crell’schen Jour- pals (S. 5 und 6) das allgemeine Bildungsgesetz der Zähler und Nenner entwickelt. Diese Darstellung ge- winnt noch an Einfachheït, wenn man sich dabei ganz an Euler’s Verfahren anschliesst. So z. B. giebt der Kettenbruch a+ + da den Zäühler: ab,b, + a,b,b,+ a, b,b,+aa,a, b,+aa AUX +44, à, b tes +a4,a,4,@,; welcher sich auch schreiben lässt wie folgt: b, De b, b, (a &i Ga az Q;) {1 PE Ga ma mi a bb bb bb De 173 174 274 ps CALE CUAEUR CELA Hiernach ist jeder im Nenner vorkommenden Ambe a, € der Zähler b,, , , beizufügen und mit den so m +1 tnt ten Ausdrücken —"*— ganz nach Euler’s Vor- ntm + 1 schrift zu verfahren. Dorpat im December 1868. 529 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 530 Über das Verhältniss der Hemmungs-Wirkung des Laryngeus superior und des Vagus zum Accessorius Willisii, von Dr. med. Jacob von Dedjulin, Privat-Docent der Physiologie zu St. Petersburg. (Lu le 10 décembre 1868.) Rosenthal hat zuerst die Thatsache entdeckt, dass bei Reizung des Nervus laryngeus superior ein Still- stand der Respiration in der Enspirationsstellung statt- findet. Das Näühere darüber findet sich in seiner Arbeit: Die Athembewegungen und ïhre Beziehungen zum Nervus Vagus (Berlin 1862) und Comptes rendues LIT, 754. Dieses Factum wurde durch Schiff (in Mole- schott’s Untersuchungen zur Naturlehre 1861, Seite 312) und Blumberg (Untersuchuugen über die Hem- mungsfunctions des Nervus laryngeus superior, Inau- guraldissertation, Dorpat, 1865) bestätigt. Letzterer hat ausserdem angegeben: 1) dass ausser den Hem- muogsfasern im Laryngeus sup. noch sensible Fasern vorhanden sind, die bei Reizung ihrer peripherischen Endausbreitung Husten ausrufen, die aber, wenn der Nervenstamm des Laryngeus gereizt wird, Schmerzens- äusserungen erzeugen; 2) dass bei Reizung des cen- tralen Endes des Laryngeus super. Schluckbewegungen auftreten, die sich durch ein Auf- und Absteigen des Kehlkopfes kundgeben; und 3) dass während der durch die Reizung des Laryngeus super. erzeugten Expira- tionsphase eine Verlangsamung des Herzschlages und eine Verstärkung der Herztône beobachtet wird. Ausgehend von den anatomischen Verhältnissen, nämlich dass der Laryngeus super. vom Nervus Vagus abgeht, und dass der Vagus vom innern Zweige des Aecessorius Willisii Fasern erhält, die eine hemmende Wirkung auf die Herzcontractionen ausüben, legte ich mir die Frage vor, stehen nicht auch Fasern des Ac- cessorius Willisii zum Laryngeus super. in demselben Verhältnisse, wie sie zu den hemmenden Vagusfasern des Herzens stehen? Zur Entscheidung dieser Frage legte ich an Kaninchen, jungen Hunden und jungen Katzen (an alten Hunden und Katzen misslingt häufig das Experiment wegen der sehr festen Verbindung des Accessorius Willisii mit dem Vagus) den äussern Zweig des Accessorius Willisii bloss, fasste ihn mit- telst der Pincette dicht an seinem Austritte aus den Schädelknochen und zog ihn langsam aus dem Schä- del heraus. Wenn diese Operation gelang, so betrug die Länge des herausgerissenen Nervenstückes 3 — 4 Tome XI. Centimeter. War die Wunde verheilt, was bei Kanin- chen drei, bei Hunden und Katzen sechs Wochen dauert, so wurde abermals eine Operation gemacht und zwar in folgender Weise. Der Kehlkopf wurde unterhalb der Cartilago cricoidea durchschnitten, und die Schleimhaut der Seite des Kehlkopfs, auf der frü- her der äussere Zweig des Accessorius Willisii heraus- gezogen wurde, mittelst eines Federbartes oder klei- nen Pinsels gereizt; dann wurde auf der operirten Seite der Laryngeus super. auch der Vagus bloss gelegt und gereizt. Bei diesen Experimenten bekam ich folgende Resultate. 1) Bei Reizung der Schleimhaut der operirten Seite erhielt man Husten. 2) Reizung des Laryngeus super. bewirkte nicht die geringste hemmende Wirkung auf die Respiration; ebenso 3) blieb bei Reizung des Vagus die hemmende Wir- kung desselben auf das Herz vollständig aus; und 4) zeigten herausgeschnittene Stücke des Laryngeus super. und des Vagus, unter dem Microscope, eine fettige Degeneration einzelner Nervenfasern. Wurde an demselben Thiere der Laryngcus super. und der Vagus der andern, nicht operirten Seite ge- reizt, so erhielt man einen vollständigen Stillstand in der Expirationspause, eine Verlangsamung, respective Stillstand der Herzcoutrationen, und ausserdem bei Reizung der Kehlkopfschleimhaut Husten. Aus den Ergebnissen dieser Untersuchungen muss man schliessen, 1) dass die Hemmungszellen, von denen die Fasern des Laryngeus super. und Vagus abgehen, in einer sehr nahen anatomischen Connexion zu einan- der stehen; 2) dass der Laryngeus super. zwei Hemmungscenter’n besitzt, für jede Seite eins; und ebenso der Va- gus, und 3) dass im Laryngeus super. Hemmungsfasern und sensible Fasern vorhanden sind, die zu verschie- denen, in direkter Abhängigkeit stehenden Cen- ter’n gehen. Durch diese Versuche, die einen ganz andern Aus- gangspunkt haben, sind die Angaben von Rosenthal und Blumberg bestätigt und erweitert. St. Petersburg, den 6. December 1868. 34 531 Bulletin de l’Académie Empériale 532 Mittheilungen über Koklenwasserstoffe, von J. Fritzsche. (Lu le 4 février 1869.) (Fortsetzung.) $ 8— 18. 8. In meinem am 28. Februar 1867 der Akademie vorgelesten Berichte (Bull. T. XI p. 385) habe ich be- reits ausführlich des hüchst merkwürdigen Verhaltens erwäbnt, welches mein Kürper C,, H,, und noch ein anderer ihm sehr nahestehender Kohlenwasserstoff ge- gen das directe Sonnenlicht zeigen, indem aus ihren Lôsungen durch Insolation krystallinische Kürper von ganz anderen Eigenschaften ausgeschieden werden, welche durch blosses Schmelzen eine vollkommene Rückbildung in die Kürper, aus denen sie entstanden sind, erleiden. Bis jetzt hatte ich diesen meinen neuen Kürpern noch keine Namen geben wollen, bei dem steigenden Interesse aber, welches der von vielen Chemikern für das Anthracen von Dumas und Lau- rent gehaltene, und als solches bezeichnete Kürper C;,H9 in neuester Zeit durch seine künstliche Bildung erhalten hat, glaubte ich nicht länger anstehen zu dürfen, und babe gelegentlich bei der Versammlung der deutschen Naturforscher in Dresden jene beiden Kürper mit den Namen Photen und Phosen belegt, wodurch sowohl ihr Verhalten gegen das Licht, als auch ïhre nahe Verwandtschaft angedeutet werden sollen. 9. Photen nenne ich den schon im Jahre 1857 beschriebeuen Kôürper von der Zusammensetzung Cy Hs), dessen Schmelzpunkt bei + 210 — 212° ungefähr liegt. In dem obenerwähnten Berichte habe ich zwar p. 392 gesagt, dass ich den Schmelzpunkt picht hôher als + 207° C. gefunden habe, allein spä- ter ergab sich, dass mein Thermometer unrichtig ge- worden war, und ich widerrufe daher diese Angabe. Den in jenen Berichten enthaltenen Angaben über das Photen habe ich noch folgendes hinzuzufügen. Die violette Fluorescenz”), welche das aus Chryso- gen haltenden Lüsungen durch Insolation erhaltene grossblättrige Photen (Bull. T. XI p. 391) im gewôhn- 1) C=—12; H=1. 2) Dieses Namens will ich mich der Kürze halber für die in Rede stehende Erscheinung bedienen, muss es aber dahin gestellt sein lassen, ob sie damit richtig bezeichnet ist. Sie scheint mir eines eingehenden Studiums von physikalischem Standpunkte aus nicht uuwerth. lichen zerstreuten Tageslichte ohne alle Anwendung von Apparaten so schôn zeigt, ist noch kein Kriterium für seine Reinheit. Reines PhoËen muss nämlich nach vorsichtigem Schmelzen, wobeï es auch bei müglich- ster Vermeidung aller Überhitzung nie ganz farblos erscheint, sondern stets eine schwach-gelbliche Farbe besitzt, nach dem vollständigen Erkalten vollkommen farblos werden. Dies ist aber nicht immer der Fall, sondern auch schün fluorescirendes Photen behält oft nach dem Schmelzen und Erkalten eine mehr oder weniger gelbliche Farbe. Dies findet dann statt, wenn es eine mechanische Beimengung von Paraphoten enthält, welches bei der Isolation behufs der Zerstü- rung der durch Chrysogen bedingten gelben Färbung der Lüsungen gebildet worden war, und so gebildet, obgleich es vollkommen farblos erscheint, doch beim Schmelzen jederzeit ein gelbes Photen liefert. Aus einem solchen Photen habe ich reines Photen erhal- ten, wenn ich es mit einem Gemisch von Steinkoh- lenül mit starkem Alcohol übergoss, dieses Gemenge dur bis 30° erhitzte und filtrirte. Dabei lôst sich Photeureichlich, aber hüchstens Spuren von dem ihm mechanisch aufsitzenden Paraphoten, und wenn man das beim Erkalten ausgeschiedene Phoéen nicht lange in der Flüssigkeit verweilen lässt, sondern bald von derselben, am besten durch Coliren durch Nesseltuch trennt, so erhält man es von der gewünschten Reinheit. Das Auftreten der violetten Fluorescenz muss übri- gens an gewisse Bedingungen geknüpft sein, denn ich erhielt, sowohl aus Lüsungen als auch durch Subli- mation, farblose Krystalle von reinem Photen, wel- che gar nicht fluorescirten. Die violette Fluorescenz ist ferner bei Kerzen-, Lampen- und Gaslicht nicht sichtbar, bei Magnesiumlicht aber ist sie eben so schün wie bei Tageslicht. Eine der Bedingungen für das Auftreten der violetten Fluorescenz ist die voll- kommene Abwesenheit jeder Spur von Chrysogen, denn auch noch so schwach dadurch gefärbtes Photen zeigt keine Spur jener Fluorescenz, während etwas stärker gelb gefärbtes eine gelbgrünliche Fluorescenz, ähnlich der des Uranglases, besitzt. Das Photen zeigt die violette Fluorescenz nicht blos im festen, sondern auch im flüssigen, geschmol- zenen Zustande. Schmilzt man ganz reines, nach dem Erkalten vollkommen farblos erscheinendes Pho- ten in einer Probierrôhre, so zeigt die noch flüssige, 533 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 534 —————————————————————— _—_—_—__ ______ ___ _ _—_—————"— —" —— schwach gelblich gefärbte Masse während des Erkal- tens bei auffallendem Lichte eine geringe violette Fär- bung; diese kann man aber bis zum tiefsten indigo- blau steigern, wenn man das geschmolzene Photen zum Kochen erhitzt und dabei so lange erhält, bis es eine braungelbe Färbung angenommen hat, und bei durchfallendem Lichte noch mit brauner Farbe durch- sichtig, bei auffallendem Lichte aber braun und un- durchsichtig erscheint. Sobald nun eine solche Flüs- sigkeit zu erstarren beginnt, was gewühnlich vom Bo- den des Rohres aus stattfindet, so tritt von dort aus eine tief-indigoblaue Färbung auf, welche sich sebr bald über die ganze mit Flüssigkeit erfüllte Fläche des Rohres verbreitet, und erst mit dem vollstän- digen Erstarren verschwindet, wobei gewühnlich ein Zeïitpunkt eintritt, in dem die Masse ein dem ZLapis lazuli ähnliches Aussehen hat. Diese ausgezeichnet schôüne Erscheinung beginntalso erst bei einer bestimm- ten, den Erstarrungspunkt nur wenig übersteigenden Temperatur, und findet nur innerhalb enger Grenzen statt. Es ist nicht unwahrscheinlich, dass die Undurch- sichtigkeit der Flüssigkeit einen grossen Theiïl an diesem prachtvollen Phänomen hat”). Das diese Er- scheinung in ihrer vollen Schünheit zeigende Photen hat nach dem Erstarren eine dunkle Farbe, zeigt aber auch dann noch deutlich einen blauen Reflex; durch das Mikroskop erkennt man, dass darin hier und da braun gefärbte Stellen als Streifen oder Adern vorhanden sind, welche jedenfalls durch die zuletzt erstarrte dunklere Flüssigkeit entstanden sind. Mit Lôüsungsmitteln giebt dieses Photen bräunlich gefärbte Lüsungen, und auch das auskrystallisirte Photen hatte eine bräunliche Färbung und zeigte keine Fluorescenz. Aus dem oben angefübrten Verhalten schien mir hervorzugehen, dass wohl auch das Chrysogen eine äholiche Einwirkung durch das Licht erleide, wie 3) Beim Erstarren von geschmolzenem, durch Chrysogen gelb- gefürbtem Photen, welches cine braungelbe Flüssigkeit darstellt, findet vom Boden des Rohres aus eine schnell an den Wänden sich weiter verbreitende Bildung von schôün grasgrün crscheinenden, eis- blumenartigen Krystallen statt. Diese Farbe beruht aber auf einer Täuschung, welche durch die hinter den Krystallen befindliche Flüssigkeit hervorgebracht wird, denn wenn man durch Neigung des Rohres die Flüssigkeit hinter der erstarrten Masse entfernt, so erscheint diese sogleich mit der ihr eigenthümlichen gelben Farbe. Dass Fluorescenz die Ursache dieser Täuschung ist, unterliegt wohl keinem Zweifel, und ich beobachtete auch in der That zuweilen eine, wenn auch nur momentane grüne Farbe der Klüssigkeit un- mittelbar vor dem Auftreten der grünen Krystalle, Photen und Phosen, und eben so wie diese beiden Kürper in einen Parakürper umgewandelt werde, wel- cher mit dem Paraphoten zugleich niederfiele und ibm hartnäckig anhinge, indem es auch durch Um- krystallisiren mir nicht gelang, aus solchem Parapho- ten ein nach dem Schmelzen farbloses Photen zu er- halten. Um über diese schon früher ausgesprochene Ver- muthung ins Reine zu kommen, habe ich den bereits einmal angestellten Versuch (Bull. IX p. 418) wieder- holt und reines Chrysogen, in Steinkohlenül gelüst, dem directen Sonnenlichte ausgesetzt. Auch diesmal erhielt ich eine kleine Menge eines farblosen, in stern- férmig vereinigten flachen Nadeln krystallisirten Kür- pers; als ich aber diesen in einer Glasrühre in einem Schwefelsäurebade erhitzte, fand ich, dass er schon bei + 140° C. zu einer orangegelben, beim Erkalten festwerdenden Masse schmolz. Durch Auflüsen in ei- nem Tropfen Steinkohlenüls konnte ich in dieser Sub- stanz kein Chrysogen nachweisen, welches übrigens ei- nen weit über 140° liegenden Schmelzpunkt besitzt; als ich aber in das enge Glasrohr, welches den bei + 140° geschmolzenen Kôürper enthielt, etwas ganz farbloses reines Phoéen brachte, und nun im Schwefelsäurebade bis gegen + 300° C. erhitzte, sublimirte von der ge- schmolzenen Masse aus ein gelber Kürper, welcher vollkommen das Ansehen eines durch Chrysogen ge- färbten Phoéens besass, während eine kohlige Masse im unteren Theile des Glasrohres zurückblieb. Als ich ferner in geschmolzenes Photen etwas von dem farb- losen, durch Insolation aus dem Chrysogen erhaltenen Kürper eintrug, erhielt ich ebenfalls eine gelbe, fluores - cirende Masse, welche jener sublimirten ganz ähnlich war, und durch Auflôüsen gelblich gefärbte Photenkry- stalle gab. Solche Krystalle erhielt ich auch beim Auf- lüsen des bei + 140° geschmolzenen Kürpers in einer Photenlüsung beim Verdampfen auf einer Glasplatte. Als ich die farblose, bei +- 140° geschmolzene Masse im Schwefelsäurebade für sich hôher erhitzte, nahm sie schon unter + 200° C. eine schwarzbraune Farbe an, gab aber auch jetzt beim blossen Behandeln mit Lüsungsmitteln keinen Chrysogengehalt zu erkennen. Wurde aber dem bei + 200° C. schwarzbraun gewor- denen Kürper nun ebenfalls etwas reinstes Photen zugesetzt und im Schwefelsäurebade wie oben erhitzt, so bildete sich auch hier ein grüngelbes Sublimat. Endlich wurde nun der farblose Kürper einerseits, 34* 535 Bulletin de l’Académie Empériale 536 und reines Chrysogen andererseits in dünnen Rüh- ren im Schwefelsäurebade bis gegen -+ 300° C. er- hitzt und dabei eine wesentliche Verschiedenheit beider Kürper beobachtet. Der farblose schmolz wie früher und ging vom orangefarbenen in eine schwarz- braune Masse über, von der sich nichts sublimirte, während sich in dem Rohre mit dem Chrysogen, welches noch keine voliständige Schmelzung erlit- ten hatte, ein schüner krystallinischer Anflug von orangefarbenem Chrysogen in dem aus der Schwefel- säure herausragenden Theiïle gebildet hatte. Demzu- folge kann der durch das Licht aus dem Chrysogen entstandene farblose Kürper nicht einfach als Para- chrysogen betrachtet werden, sondern er muss das Produkt eines complicirteren Processes sein. Dies ergiebt sich auch aus dem Verhalten der Lüsung, aus welcher sich der farblose Kürper abgesetzt hatte, denn dieser gab beim Verdunsten auf einer Glasplatte krystallinische Produkte, deren eines mit Oxybinitro- photen eine in dunklen Prismen krystallisirende Ver- bindung gab, welche von der des Chrysogens sowohl, als von denen aller anderen mir bekannten derartigen Verbindungen bestimmt verschieden war. Jedenfalls bietet das Verhalten des Chrysogens gegen das Licht ein grosses Interesse dar, und ich werde mich bemü- hen, weitere Aufklärungen darüber zu erhalten. 10. Oxybinitrophoten ist der Name, welcher der Zusammensetzung des bisher als mein Reactif bezeich- neten Kôürpers entspricht und mit welchem ich ihn fortan bezeichnen werde. Er giebt bekanntlich mit einer ganzen Reïhe von festen Kohlenwasserstoffen verschiedener Abstammung Verbindungen, welche sich durch lebhafte Farben auszeichnen, und dadurch s0- wohl als auch durch ihre verschiedenen Krystallfor- men ein unschätzbares Mittel zur Erkennung und Un- terscheidung dieser Kôürper an die Hand geben. Auf diese Verbindungen, welche ich theilweise bereits auf- gezählt habe, werde ich noch oft zurückzukommen Gelegenheit haben 11. Phosen nenne ich einen Kohlenwasserstoff, des- sen Schmelzpunkt ungefähr bei + 193° C. liegt, und welcher gleich dem Photen das merkwürdige Verhal- ten zeigt, durch die Einwirkung des Sonnenlichtes auf seine Lüsungen in einen mit ganz anderen Eigen- schaften begabten Kôrper verwandelt zu werden, in Paraphosen nämlich, welches durch blosses Erhitzen bis zum Schmelzen wieder in Phosen mit allen seinen früheren Eigenschaften zurückgebildet wird. Trotz jah- relanger Beschäftigung mit diesem Kôürper und zahl- loser mit ihm angestellter Versuche bin ich zwar auch jetzt noch nicht im Stande, eine genaue Charakteristik desselben zu geben, weil ich noch nicht sicher bin, ob es mir gelungen ist, ein von Photen vollkommen freies Phosen zu erhalten; nichtsdestoweniger kann aber kein Zweifel obwalten, dass ein solcher, vom Photen bestimmt verschiedener Kohlenwasserstoff existirt. Das Phosenistin den Mutterlaugen enthalten, wel- che ich bei der Darstellung des Phoéens (Bull. T. IX p. 392) erhielt, und welche beim fractionirten Abde- stilliren des als Lüsungsmittel angewendeten Steinkoh- jenôles Produkte von sehr verschiedenen Schmelz- punkten zwischen -+ 210 und + 190° C. lieferten. Durch fortgesetztes Wiederauflüsen und fraktionirtes Abdestilliren, so wie auch durch fraktionirtes Abfl- triren der ausgeschiedenen Kürper vor dem vollstän- digen Erkalten der Lüsungen, gelingt es, Kürper von + 193 C. Schmelzpunkt zu erhalten, und diese be- stehen vorzugsweise aus Phosen. Zur weiteren Rei- nigung lôste ich diese letzteren in 95procentigem Al- cohol auf und erhielt dabei Flüssigkeiten, welche beim Erkalten blättrige Krystallisationen gaben, deren Aus- scheidung zwar auch, wie beim Phoéen, vom Boden aus begann, bald aber auch in der Mitte der Flüssig- keit stattfand, und sie dann gewühnlich bald, während sie noch ziemlich warm war, ganz erfüllte. Diese erste Ausscheidung erwies sich bei der Betrach- tung durch die Loupe gewühnlich als gleichformige, gewundene, hüchst dünne Blättchen, bei weiterem Er- kalten der Flüssigkeit aber, selbst in vollkommener Ruhe, wurden diese Blättchen mit anderen kleineren, gewübhnlich zu Gruppen vereinigten Blättchen besetzt, und ich erhielt fast immer Krystallisationen, welche unter dem Mikroskope ungleichfürmig erschienen, und ganz das Ansechen eines Gemenges von wenigstens zWei zusammenkrystallisirten Substanzen hatten. Er- wärmt man eine solche erkaltete Flüssigkeit mit der krystallinischen Ausscheidung ganz allmählich in ei- nem Wasserbade, so lüsen sich die zuerst ausgeschie- denen, hôchst feinen Blättchen gewôhnlich zuerst wie- der auf, und man kann dann eine sich in der Flüssig- keit zu Boden setzende, ein kôrniges Ansehen habende 537 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 538 "0, Krystallisation auf einem Filter sammeln. Die sich zuerst ausscheidenden Blättchen dagegen kann man getrennt erhalten, wenn man, so lange sie noch ein gleichfürmiges Aussehen haben, die noch warme Flüs- sigkeit durch Nesseltuch seihet und das darauf zurück- gebliebene auspresst, wobei es zu einem überaus klei- nen Volumen susammenschrumpft. Behandelt man die durch Erwärmen wieder klar gemachte Flüssigkeit wiederholt auf gleiche Weise, bis endlich beim Erkalten nichts mebr sich ausscheidet, und danv auch die Mut- terlauge durch fractionirte Abdestillation und Aus- scheïidung, so erhält man vielerlei einander sehr ähn- liche, aber doch verschiedene Produkte. Durch un- zählige solche Krystallisationen hatte ich auf diese Weise schon lange vor der Entdeckung des Oxybini- trophotens eine grosse Menge von Produkten in mei- stens nur kleinen Mengen erhalten, welche ich der Behandlung mit Pikrinsäure unter Mithilfe verschie- dener Lüsungsmittel unterwarf, in der Hoffnung, da- durch eine scharfe Trennung der verschiedenen, darin allerhand Anzeichen zufolge vermutheten Kôürper zu erreichen. Dass mir dies trotz vielen darauf verwen- deten Fleisses nicht gelungen ist, habe ich bereits 1862 (Comptes rendus, séance du 28 avril) und auch später noch einmal (Bull. T.IX p. 207) ausgesprochen, hielt es aber für überflüssig, die Einzelnheiten dieser Arbeit zu verôffentlichen. Erst mit Hülfe des Oxybi- nitrophotens ist es mir gelungen, durch Darstellung verschieden gefärbter und krystallisirender Verbindun- gen desselben die Existenz von fünf Kürpern von hohem Schmelzpunkte, und eines sechsten, dessen Schmelz- punkt unter dem Kochpunkte des Wassers liegt, in meinem Rohmateriale mit Bestimmtheit nachzuweisen. Nach dieser Abschweïfung zum Phosen zurückkeh- rend, kann ich als sicheres Mittel, es von den beglei- tenden Kürpern, Photen ausgenommen, zu trennen, nur seine Umwandlung in Paraphosen und nachherige Regeneration durch Schmelzen empfehlen. Man setzt zu diesem Behufe Lüsungen der ungefähr bei +193°C. schmelzenden, auf die oben angegebene Weise erhal- tenen Kôürper in Steinkohlenôül, Alcohol oder auch Âther, welche bei der gewühnlichen Temperatur da- mit gesättigt sind, dem directen Sonnenlichte aus und wartet die Ausscheidung des unlüslichen Parakürpers ab, welche je nach der Intensität des Sonnenlichtes sich schneller oder langsamer einstellt und längere Zeit fortfährt, bis der grüsste Theil des Phosens in den Parakürper übergeführt ist”). Durch Filtriren und Auswaschen trennt man den mehr oder weniger kry- Stallinischen Niederschlag von aller Mutterlauge und erhitzt ihn nach dem Trocknen zum Schmelzen. Das Paraphosen bedarf, ganz eben so wie das Parapho- teu, zum Schmelzen einer hüheren Temperatur, als das Phosen selbst, und deshalb hôrt man beim Beginn des Schmelzens gewohnlich ein Geräusch, welches dadurch entsteht, dass das gebildete Phosen durch die über- hitzten Wände des Gefüsses ins Kochen geräth und sich verflüchtigt. Der so gewonnene Kohlenwasserstoff zeigte mir den bereits oben angeführten Schmelzpunkt von + 193°C. ungefähr, und besitzt in geschmolzenem Zustande eine ganz ähnliche tiefblaue Fluorescenz, wie ich sie beim Photen beschrieben habe. Auch die aus Steinkohlenül krystallisirten flachen Blätter fuoresciren violet, allein in diesem Zustande fand ich sie dem Photen nach- stchend. Ebenso zeigen die Krystallisationen aus Al- cohol unter gewissen Umständen eine violette Fluo- rescenz, da diese aber, wie ich schon früher angege- ben habe, sich auch noch bei anderen festen Kohlen- wasserstofien des Steinkohlentheers findet (Bull. T. XI p. 391), so verliert diese Erscheinung an ihrer Wich- tigkeit als Unterscheidungsmittel. Das Phosen ist in den angegeben Lüsungsmitteln viel leichter lüslich als das Photen, worüber ich spä- ter genauere Angaben mitzutheilen mir vorbehalte: dagegen ist seine Verbindung mitOxybinitrophoten schwerer lüslich, namentlich in Steinkohlenül. Davon kann man sich sehr leicht schon dadurch überzeugen, dass man unter dem Mikroskope beide Kürper mit ei- nem Tropfen einer Lüsung von Oxybinitrophoten zu- sammenbringt, wobei das Photen gewühnlich erst nach einiger Zeit, das Phosen aber augenblicklich Krystalle der Verbindung giebt. Die Phosen verbindung besitzt eine dunklere Farbe als die Photenverbindung und während diese letztere bei durchfallendem Lichte eine rothviolette Farbe zeigt, erscheint die Phosen verbin- dung rothbraun. Zur Bestimmung der Krystallform 4) Vollkommen scheint diese Überfübrung nicht stattzufinden und bei einem zu kleinen Phosengehalte der Flüssigkeit nicht mehr vor sich zu gehen, ausserdem aber bilden sich beim Zutritte der Luft zu den Lüsungen Oxydationspunkte, welche die anfangs farblosen l'lüssigkeiten mehr oder weniger bräunen. 539 Bulletin de l’Académie Impériale 540 beider Verbindungen hatte sich bei Gelegenheit der Naturforscher-Versammlung in Dresden Herr Dr. P. Groth freundlichst erboten, und aus den mir mitge- theilten Resultaten seiner Untersuchung geht hervor, dass die Verbindungen isomorph sind. Die Details sei- ner Untersuchungen folgen weiter unten. Über die Zusammensetzung des Phosens sind die Untersuchungen noch nicht geschlossen, es ist aber sehr wahrscheinlich, dass es mit dem Photen eine gleiche Zusammensetzung hat, und dass auch ihm die Formel C;,H,, zukommt. Gegen Salpetersäure verhält sich das Phosen dem Photen ganz äholich, und giebt damit einen dem Oxybinitrophoten entsprechenden Kürper, den ich, obgleich ich ihn noch nicht analysirt habe, nicht anstehe, als Oxybinitrophosen zu be- zeichnen. Er bildet sich zwar auch bei Anwendung von Säure von der beim Phofen angegebenen Concentra- tion, allein die Bildung ging besser von Statten,wennich das Verhältniss der Säure zum Wasser statt 1 zu 5, hier 1 zu 10 nahm. Die Verbindungen, welche das Oxybinitrophosen mit Kohlenwasserstoffen eingeht, | haben die grüsste Ahnlichkeit mit denen des Oxybini- trophoten, beide Reiïhen bedürfen aber noch einer genauen Vergleichung untereinander, welche bisher aus Mangel an Material nicht vorgenommen werden konnte. Auch die Reactionen des Oxybinitropho- tens auf gemischte Kohlenwasserstoffe, worüber mir schon manche Erfahrungen vorliegen, erfordern noch ein genaues Studium, dem ich fortwährend meine Auf- mersamkeit schenke. 12. Über die Krystallformen der Verbindungen von Photen und Phosen mit Oxibinitrophoten von Dr PCroth. a. Photen und Oxibinitrophoten. Krystallform monoklinoëdrisch. Verhältniss der vertikalen, klino- diagonalen und orthodiagonalen Axen a:b:c—0,9049:1:0,7477. C— 8125". Die Krystalle sind dünne, durchscheinende dunkel- rothe Blättchen von rhombischer Gestalt, ausgedehnt nach der basischen Endfläche c: an den $Seiten sind äusserst schmal die Flächen des Grundprisma pp, auf deren scharfe Kanten die schiefe Endfläche gerade aufvesetzt ist, und der hinteren (positiven) Hemipyra- mide 00. Die Flächen sind sämmtlich glänzend, aber P. /o 2 "4 ?» 4 wegen ihrer ausserordentlich geringen Grüsse künnen die Messungen einiger derselben nicht auf grosse Ge- nauigkeit Anspruch machen. Die Substanz ist sehr vollkommen spaltbar nach dein Prisma p, weshalb die Blättchen sehr leicht nach diesen Richtungen, so wie nach €, zerbrückeln. Die wichtigsten Kantenwinkel sind die folgenden, wobei die mit * bezeichneten der Rechnung zu Grunde gelegt sind. berechnet beobachtet p:panb 74215" » € 105°45" p:e 95022" 95°35' ungefähr p:0 144°41/ 144915 0 :0 (Kante Z) *92° 7! o:c *119057' Optische Untersuchung. Die Substanz besitzt ziem- lich starke Doppelbrechung. Die Ebene der optischen Axen ist die Symmetrieebene, der Winkel derselben ist sehr gross, da die eine derselben fast in der End- fliche ec, die andere ziemlich normal zu derselben steht. Die letztere sieht man unmittelbar, wenn man eines der dünnen Blättchen unter das Polarisations- mikroskop legt. Die Krystalle lassen fast nur rothes Licht durch. Der Strich ist dunkelroth. b. Phosen und Binitrophoten. Isomorph mit der Photenverbindung. Monoklinoëdrisch. Axenver- hältniss: a:b:e—0,901:1:0,744. D = 79° 45" Die Krystalle haben dieselbe Form wie die vorigen, sind jedoch meist noch dünner, weshalb es seltener môglich ist, die scitlichen Flächen der nach der Basis ausgedehnten rhombischen Blätichen zu messen. Zu- dem ist die Mehrzahl nach zwei parallelen Seiten im ganz scharfe Kanten zugerundet, und zeigt also nur zwei gegenüberliegende Flächen des Prisma p ausge- bildet. o kommt eben so vor, wie bei der Photenver- 541 bindung. Die Spaltbarkeit ist ebenfalls dieselbe. Zu- weïlen finden sich Blättchen, wie die ersten nach der Basis tafelartig, von einem viel spitzeren Prisma be- grenzt, dessen Ableitungszahl sich indess nicht fest- stellen liess. Die Messungen sind sehr wenig genau, wie die Abweichungen der an mehreren Krystallen gefundenen Werthe zeigen. berechnet beobachtet p:panb #749]9/ (74019 — 77090') » € 105248" pie *96010/ (96210 — 98°30') 0 :0 (Kante Z) 91930’ (92°— 940) o:c *119°30' Der Strich ist rothbraun. 13. Von meinem verehrten Freunde Limprieht batte ich mir, wie ich gelegentlich (Bull. T. XIT p. 154) angeführt habe, eine Probe seines künstlich dargestell- ob dasselbe nur aus einem Kohlenwasserstoffe bestehe, oder ob mehr als einer darin enthalten sei. Durch Ge- währung meiner Bitte in den Stand gesetzt, diese Un- tersuchung auszuführen, habe ich gefunden, dass der mir überschickte Kôrper aus Photen mit einer gerin- gen Beimengung von Phosen bestand. Durch Behan- deln mit Âther auf einer Glasplatte (Bull. T. XI p. 387) erhielt ich keine ausgebildeten Krystalle, wie sie das reine Photen stets liefert, sondern es bildete sich ein ziemlich undurchsichtiger, nur geringe Zeichen von | Krystallisation besitzender Wulst, welchen ich als cha- rakteristisch für einen Gehalt von Phosen gefunden habe. Durch Auswaschen des Kürpers auf einem sehr kleinen Filter mit einem sehr feinen Strahle Âthers aus einer Spritzflasche und freiwilliges Verdunsten der nur wenige Gramme betragenden Flüssigkeit an einem dunklen Orte erhielt ich einen Rückstand, welcher die Anwesenheit von Phosen noch deutlicher zu erkennen gab. Dasselbe Resultat hat mir die Untersuchung des Anthracens ergeben, welches die Herren Gräbe und Liebermann aus Alizariu dargestellt haben, und von dem mir auf meine Bitte bereitwilligst eine Probe übersendet worden war. Endlich muss ich noch er- wähnen, dass ich im Herbste 1867 auf meine Bitte auch von Hrn: Berthelot eine Probe Anthracen er- halten hatte, welche ein feines, lockeres, durch Sub- limation erhaltenes Pulver darstellte und sich bei der Untersuchung als reines Photen erwies. Dies ändert aber nichts an dem Urtheile, welches ich über das des Sciences de Saint-Pétersbourg. 212 Anthracen des Hrn. Berthelot (Bull. T. XII p. 152) abgegeben habe, und gerade dass Hr. Berthelot in seiner Antwort (Bull. de la soc. chim., octobre 1867. p. 225) anführt, es sei genügend gewesen, seinen Kürper einmal aus Alcohol umzukrystallisiren, um einen Kohlenwasserstoff zu bekommen, welcher roth- violette Lamellen ohne irgend eine Beimengung lie- ferte, spricht für die Unreinheit des Präparates, wel- ches er mir als Anthracen vorgelegt hatte, und wel- ches mit Oxybinitrophoten blaue Lamellen ab, die zu charakteristisch für meinen bei 235° schmelzenden Kôürper sind, als dass ich sie hätte verkennen künnen. Warum hat Hr. Berthelot, der ja im Besitze meines Reactifs und meiner Kürper war, diese Reinigung nicht vorgenommen, ehe er die von mir citirten Zeilen im | Aprilhefte des Bull. p. 288 niederschrieb? ten Anthracen in der Absicht erbeten, zu untersuchen, | 14. Oxyphoten nenne ich einen Kürper, welchen ich als Nebenprodukt bei der Darstellung des Oxybi- nitrophotens erhalten habe und welcher identisch ist mit dem von Anderson beschriebenen und analysir- ten Oxanthracen, aber auch identisch mit dem von Laurent schon 1835 unter dem Namen Paranaphta- lèse beschriebenen und analysirten Kôrper, denn die schon damals von Laurent erhaltenen Zablen (Ann. de Ch. et de Ph. T. LX p. 222) stimmen sehr gut zu der Formel C,, H,0,. berechnet gefunden Laurent Anderson Ci4 168 80,77 80,6 81,0 80,19 80,77 80,63 HEC 3,6 3,6 3,99 3,92 3,99 0, 32 15,38 15,8 15,4 15,82 15,31 15,38 208 100,00 100,0 100,0 100,00 100,00 100,00 Wenn Laurent später (Ann. de Ch. et de Ph. T. LXXII p. 424) andere Zahlen bei der Analyse erhielt, so ist dies wohl durch die veränderte Darstellungs- methode zu erklären, und vielleicht auch aus dem Wunsche hervorgegangen, die Zahlen mit der für das Paranaphtalin auigestellten Formel im Einklange zu sehen. Jedenfalls ist es keinem Zweifel unterworfen, dass Laurent 1835 das reine Oxyphoten in den Hän- den gehabt hat. Die Gewinnung des Oxyphotens ist schon theil- weise bei der Darstellung des Oxybinitrophotens angeführt worden (Bull. T. XIII p. 144): das dabeï erbhaltene Rohprodukt enthält 50 pCt. und mehr davon, und man reinigt es durch Umkrystallisiren aus Stein- kohlenël, worin es in der Wärme viel leichter lôslich 543 Bulletin de l’Académie Empériale 544 oo ist, als bei der gewôhnlichen Temperatur. Das ihm etwa noch beigemengte Oxybinitrophoten bleibt selbst bei nicht unbedeutender Menge noch in der Lôüsung, wenn das Oxyphoten schon auskrystallisirt ist, und setzt sich erst später ab. So dargestellt hat es eine hellbraune Farbe, kann aber durch Umkry- stallisiren aus Salpetersäure farblos erhalten werden. Eine andere, sehr expeditive Darstellang des Oxy- photens ist die folgende. Man bereitet sich heisse Lôüsungen von Photen einerseits und von Chrom- säure andererseits in krystallisirender Essigsäure, und setzt von letzterer Lüsung so lange zu ersterer hinzu, als noch eine Reduction der Chromsäure stattfindet: hierbei entsteht fast augenblicklich ein Niederschlag von nadeMôrmigem Oxyphoten, welchen man auf einem Filter sammelt, mit Wasser auswäscht und das getrocknete Produkt aus Steinkohlenôl umkrystallisirt, wodurch man es in farblosen Nadeln erbält. Endlich bildet sich das Oxyphoten auch durch allmähliche freiwillige Oxydation beim langen Stehen der Lüsungen von Photen bei Zutritt der Luft in Ge- fissen mit engen Offnungen, wobei es sich gewühulich in spiessigen Krystallen von gelbbrauner Farbe auf dem Boden der Gefässe absetzt. So indifferent auch das Oxyphoten gegen Salpe- tersäure sich verhält, da es sich auch durch Kochen damit nicht verändert, sondern nur etwas gelüst, beim Erkalten aber unverändert wieder abgeschieden wird, so ist es mir doch gelungen, es zu nitriren. Seine Läüslichkeit in concentrirter Schwefelsäure, welche auch Laurent schon bekannt war, hat mir dazu das Mittel an die Hand gegeben, denn auf eine solche Lü- sung wirkt Salpetersäure sehr energisch ein. Lôüst man einen Theil Oxyphoéen in 100 Th. englischer Schwefelsäure auf, so erhält man je nach der Reinheit desOxyphotens eine gelbbraune, mehr oder weniger dunkel gefärbte Lüsung. Setzt man nun zu dieser Lü- sung allmählich 10 Theile Salpetersäure von 1,38 sp. Gew. hinzu, so findet eine bedeutende Erwärmung der Flüssigkeit statt, und bald sieht man die Farbe der- selben heller werden, bis sie in ein helles gelb über- gegangen ist, worauf allmählich die Flüssigkeit sich zu trüben beginnt und ein hellgelber Kürper in mi- kroskopischen Krystallen sich ausseheidet. Man lässt vun erkalten und bringt dann die Flüssigkeit mit dem in ihr schwimmenden Niederschlage auf einen Trich- ter, in welchem auf einer Schicht von grobem Sande eine Lage Asbest ausgebreitet ist, welche den Nieder- schlag zurückhält und nur das klare Säuregemisch durchlässt. Verdünnt man nun diese saure Flüssigkeit mit Wasser, so entsteht dadurch ein gelblicher Nie- derschlag, welcher nach dem Filtriren, Auswaschen und Trocknen eine rôthlich-gelbe, zusammengebackene Masse bildet. Diese mehr als 30 Procent vom ange- wendeten Oxyphoten betragende Masse lôst sich grôsstentheils in Steinkohlenül und diese Lüsung ent- hält einen Kôrper, welcher gleich dem Oxybinitro- photen die Eigenschaft besitzt, mit Kohlenwasser- stoffen verschieden gefärbte krystallinische Verbin- dungen zu geben. Ich muss mich jetzt auf diese An- gabe beschränken, werde aber später weitere Mitthei- lungen über diesen Kürper und seine Verbindungen machen. Der auf dem Asbestfilter zurückgebliebene Kürper hat eine schwefelgelbe Farbe und zeichnet sich durch seine ausserordentliche Schwerlôslichkeit aus. Er betrug eben so viel oder selbst etwas mehr als das anwendete Oxyphoten und gab nach dem vollkomme- nen Auswaschen mit Wasser und Trocknen beim Ko- chen mit Steinkohlenül rothgelbe Lüsungen, aus wel- chen sich beim Erkalten und Stehen geringe Mengen kleiner, gut ausgebildeter, an den Wänden der Gefässe festsitzender Krystalle ausschieden. Durch Behandeln mit Zink und Essigsäure giebt dieser Kürper dunkel- rothe Lüsungen, und es unterliegt daher wohl keinem Zweifel, dass er ein Nitrokürper ist. Vom Oxyphoten habe ich nur noch vorläufig ei- nes Versuches zu erwähnen, in welchem mir dasselbe beim Behandeln mit Zinkstaub in der Hitze neben unverändertem Oxyphoten erhebliche Mengen von Photen gegeben hat. 15. Das Verhalten der Salpetersäure gegen eine Lüsung des Oxyphotens in Schwefelsäure hat mich veranlasst, einen anderen Kôrper eben so zu behan- deln, welchen ich aus dem schon oft erwähnten, bei - 235° C. ungefähr schmelzenden Kürper durch Be- handlung mit verdünnter Salpetersäure ganz in der bei der Darstellung des Oxybinitrophotens befolg- ten Weise erhalten hatte. Dieser, auch in Steinkolenül nur sehr wenig lüsliche Kürper, welcher mit Koh- lenwasserstoffen keinerlei Verbindungen einzugehen scheint, lüste sich leicht mit dunkler Farbe in eng- lischer Schwefelsäure, ohne auch beim Erwärmen 545 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 546 re schweflige Säure zu entwickeln; in dieser Lôsung aber brachte Salpetersäure eine sich sogleich durch Ver- änderung der Farbe manifestirende Wirkung hervor, ohne dass jedoch irgend eine Ausscheidung stattfand. Durch Eingiessen der erkalteten Flüssigkeit in Was- ser entstand ein copiôser, flockiger Niederschlag von dunkler Farbe, und dieser gab nach dem Filtriren, Auswaschen und Trocknen eine dunkel gefärbte, amor- phe Masse, welche sich grôüsstentheils in Steinkohlenül lüste und einen in Krystallen zu erhaltenden Kürper enthielt, der mit vielen Kohlenwasserstoffen, sogar mit dem gegen Oxybinitrophoten indifferenten Naphta- lin, gelbgefärbte, meist nadelfürmige Verbindungen giebt. Weitere Mittheilungen darüber behalte ich mir vor. 16. Hr. Mag. Wahlforss hat in der Sitzung der hiesigen chemischen (Gesellschaft vom 5. December 1868 Mittheilungen über einen aus Reten durch Ein- wirkung von chromsaurem Kali und Schwefelsäure er- haltenen Kürper gemacht, welcher in orangefarbenen Nadeln krystallisirt, der Formel C,;,H,, 0, entspricht und Dioxyretisten genannt worden ist. Die Eigen- schaft, welche dieser Kürper mit dem Oxyphoten ge- mein hat, sich in concentrirter Schwefelsäure zu lüsen und daraus durch Wasser unverändert wieder abge- schieden zu werden, machte es mir wünschenswerth, ihn eben so zu behandeln wie das Oxyphoten, um so mehr, als sowohl meine, als auch Hrn. Wahlforss Bemühungen, durch directe Behandlung des Retens mit Salpetersäure zur Untersuchung geeignete Nitro- produkte zu erhalten, erfolglos geblieben waren. Durch Hrn. Wahlforss Güte mit Material versehen, habe ich diesen Versuch ausführen künnen. 1 Theil Dioxyretisten wurde in 100 Th. englischer Schwe- felsäure gelôst, und der dunkelgelb-grünen Lüsung 10 Th. Salpetersäure von 1,38 sp. Gew. zugesetzt: dabei ging die Farbe der Flüssigkeit unter bedeutender Erwärmung sofort in eine dunkelgelbe über, setzte aber auch beim Erkalten nichts festes ab, und gab beim Ein- giessen in Wasser einen flockigen, bräunlichgefärbten Niederschlag, welcher nach dem Trocknen gegen 20 pCt.mehr betrug, als das angewendeteDioxyretisten. Der so erbhaltene Kürper wurde in Steinkohlenül ge- lüst, und diese Lüsung mit Kohlenwasserstoffen zu- sammengebracht. Photen und Phosen gaben mir damit bis jetzt keine krystallinischen Verbindungen, Tome XII. dagegen giebt mein bei + 235° C. schmelzender Kr- per sehr leicht eine charakteristische, in dunklen, fast schwarz erscheinenden nadelfrmigen Prismen kry- stallisirende Verbindung, und auch noch zwei an- dere Kôürper aus dem Steinkohlentheere geben kry- stallinische Verbindungen, welche aber ausserordent- lich leicht lüslich sind. Den in diesen Verbindungen enthaltenen Nitrokürper habe ich bis jetzt noch nicht isoliren künnen; dazu bedarf es grüsserer Mengen von Material, als mir zu Gebote standen. 17. Schon vor einer Reiïhe von Jahren hatte ich die Beobachtung gemacht, dass aus geschmolzenem Photen während des Erstarrens ein Aufsteigen von Gasblasen stattfindet, und als ich dies bei der Natur- forscher - Versammlung in Giessen (1864) erzählte, wurde ich darauf aufmerksam gemacht, dass H. Kopp schon 1855 beim Naphtalin ein gleiches Verhalten beobachtet habe (Ann. d. Ch. u. Pharm. Bd. 95 p. 330). Seitdem hat Dr. H. Vohl beim Erkalten einer Menge von mehreren Pfunden Naphtalin eine so starke Gas- entwickelung beobachtet (Journ. f. p.Ch. Bd. CIT p.30), dass die Masse ins Sieden zu gerathen schien, und gefunden, dass das von Naphtalin absorbirte Gas fast 50 pCt. Sauerstoff enthielt. Ich hatte schon lange die Erscheinung weiter verfolgt und gefunden, dass die aus meinem geschmolzenen Kürper sich entwickelnden Gasblasen nur einen Theil der überhaupt beim Erstar- ren sich ausscheidenden ausmachten, indem ein gros- ser Theil derselben zwischen den in der erstarrenden Masse sich bildenden Krystallen sitzen bleibt. Dass dies der Fall ist, kann man schon durch die Loupe deutlich sehen, und wenn man eine im Erstarren be- griffene Masse dann wieder vorsichtig erhitzt, wenn die Oberfläche noch flüssig ist, also von einem mecha- nischen Eindringen von Luft in durch Zusammenzie- hung entstandene Hohlräume nicht die Rede sein kann, so sieht man während des Schmelzens eine grosse Menge von Gasblasen aufsteigen, welche als solche in dem erstarrten Theile der Substanz vorhanden waren. Man kann das Schmelzen und Erkaltenlassen beliebig oft unmittelbar hintereinander wiederholen, ohne eine bedeutende Abnahme der Gasentwickelung eintreten zu sehen, und da der Grund dieser Erscheinung nur auf einem grossen Gehalte an aus der atmosphärischen Luft absorbirten Sauerstoff und Stickstoff beruhen kann, so müssen die Kürper, welche dieses Verhalten 35 547 zeigen, ein ausserordentlich starkes Absorptionsver- môgen besitzen, weil ihnen ja, wenn man den Versuch in Probierrôhren anstellt, nur sehr kurze Zeit zwischen dem Aufhüren des Erhitzens und dem Beginnen des Erstarrens gegeben ist. Das Aufsteigen der Gasblasen kann man übrigens nicht blos sehen, sondern auch hôüren, und wenn die Wände des Rohres, in dem man den Versuch anstellt, auch schon mit erstarrter Sub- stanz überzogen sind, so dass man nichts mehr durch sie hindurchsehen kann, so hat man nur die Offnung des Rohres an das Ohr zu halten, um noch sehr deut- lich das Geräusch von auf der Oberfiäche der noch flüssigen Masse zerplatzenden Gasbläschen zu hôüren. Das Interesse, welches mir diese Erscheinung dar- bot, hat mich veranlasst, auch andere Kürper während des Erstarrens zu beobachten, und ich habe gefunden, dass, wie es vorauszusehen war, die Ausscheidung von Gasblasen beim Erstarren geschmolzener Kürper eine sehr allgemeine Erscheinung und nichts als ein Co- rollar der Ausscheidung von Luftblasen beim Ge- frieren des Wassers ist. Dabei zeigen aber manche Kôürper Eigenthümlichkeiten, über welche ich gele- gentlich eine besondere Mittheïlung zu machen mir vorbehalte. 18. Bei dem Umkrystallisiren von Paraphosen aus Steinkohlenül sowohl als auch bei der Bildung dieses Kôrpers durch Insolation von Auflüsungen pho- senhaltiger Kohlenwasserstoffe in Steinkohlenül hatte ich kleine, rhombische Tafeln bildende Krystalle er- halten, welche beim Übergiessen mit Âther oder Al- cohol sehr bald ihre Durchsichtigheit verloren. Schon mit blossen Augen war dies durch das porcellanartige Ansehen zu erkennen, welches die Krystalle alsbald annahmen, noch deutlicher aber trat es unter dem Mikroskope hervor. Durch Erhitzen der Krystalle in einer Probierrôhre ergab sich sofort, dass sie einen ülartigen Kohlenwasserstoff enthielten, und diesen suchte ich nun quantitativ zu bestimmen. Dazu leitete ich über das in einem horizontalen Robre bis +150°C. erhitzte Krystallpulver einen Luftstrom, und liess die entweichenden Oldämpfe in einer stark abgekühlten Vorlage sich verdichten, wodurch gegen 22 pCt. eines Ôles erhalten wurden, welches bei einer nur wenige Grade unter 0° liegenden Temperatur vollständig er- starrte, bei + 133° C. ungefähr kochte und sich durch einen angenehmen, an Anis erinnernden Geruch aus- Bulletin de l’Académie Impériale 548 zeichnete. Nimmt man, auf den Kochpunkt gestützt, an, das ÔI habe die Zusammensetzung des Xylols, so stimmen die erhaltenen Zahlen sehr nahe zu einer Formel, welche 2 Mol. Phosen auf 1 Mol. Xylol enthält, und welche nahe an 23 pCt. Xylol verlangt. Daraus künnte man wieder vielleicht den Schluss zie- hen, dass bei dem Übergange von Phosen in Para- phosen zwei Mol. des ersteren zu einem Mol. des letzteren sich verdichten, alles dies sind aber nur Ver- muthungen, über deren Zulässigkeit erst weitere Ver- suche entscheiden hônnen. Bei meinen bisherigen Versuchen über die Darstel- lung dieser Verbindung, welche nur in kleinem Maass- stabe angestellt worden waren, fand ich, dass sie sich nicht mit jedem Steinkohlenüle bildet, und dass man nicht aus allen Mengen der Verbindung ein so leicht erstarrendes OI erhält. Wenn ich mich aber des mit Hilfe von Pikrinsäure aus dem Steinkohlenôüle abge- schiedenen leichten Oles (s. $ 6 Bull. T. XIII p. 154 ff.) bediente, erhielt ich stets Verbindungen, welche leicht erstarrendes Ôl enthielten, und durch jenes, selbst bei — 20° C. nicht erstarrende Ôl gelang es mir auch, eine Verbindung des erstarrenden Üles mit Paraphoten zu erhalten. Da mir einige Kilo jenes Ôles zu Gebote stehen, hoffe ich bald genauere Mit- theilungen über diesen Gegenstand machen zu kônnen. (Fortsetzung folgt.) Bericht über die in Rigischen Archiven vor- nämlich für litauische und westrussische Ge- schichte angestellten Forschungen von Dr. Hermann Hildebrand. (Lu le 3 décembre 1868.) Indem ich die Ehre habe der Kaiserl. Akademie der Wissenschaften über die in ihrem Auftrage im Laufe der Monate Juni bis November d. J. in den Ri- gischen Archiven angestellten Nachforschungen für die ältere westrussische und litauische Geschichte Be- richt zu erstatten, beginne ich mit derjenigen Arbeit, welche sich als Mitteipunkt aller anderen ansehen lässt, der Durchsicht der Archive des Rigischen Raths. Die vortreffliche Ordnung in denselben und die genauen Kataloge ersparen hier dem Benutzenden den zeit- raubendsten und unerquicklichsten Theiïl der archiva- lischen Arbeit. So war zunächst im Âussern Archiv das gesammte 549 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 550 auf Russland und Litauen bezügliche Material in den beiden Abtheiïilungen «Moscovitica» und «Ruthenica» untergebracht, von denen die erstere 13, die zweite 18 mehr oder weniger umfangreiche Convolute ent- hält. Auf die genaue Durchsicht derselben durften wir uns beschränken, da die vorliegenden Acten in der That alle die verschiedenartigen Verhältnisse um- fassten, in denen Riga vom 13.— 17. Jahrhundert zu den ôstlichen und südlichen Nachbarvülkern gestan- den. Der Umstand aber, dass sich unter den Hunder- ten von Urkunden, die uns vorlagen, kaum irgend eine nicht hierher gehôrige auffinden liess, bürgt zu- gleich dafür, dass sich keine weiteren Documente, welche für uns von Interesse sein künnten, in andern Theilen des Archivs zerstreut finden. Da der namentlich um die Interessen der livländi- schen Geschichte so vielfach verdiente C. E. Napier- sky sich bereits der dankbaren Aufgabe unterzogen, dies Material zu durchmustern, und uns die Resultate dieser Arbeit nun in der Ausgabe der Russisch-Livlän- dischen Urkunden vorliegen, so konnten unsere Nach- forschungen nur den Zweck haben, seine Leistungen zu ergänzen, den Werth der bisher übergangenen Do- cumente einer neuen Prüfung zu unterziehen. Trotz des von uns gern gemachten Zugeständnisses, dass mit richtigem Tact für jene Edition durchaus die wichtigsten und interessantesten Stücke des Rigischen Archivs ausgewählt sind und obgleich der bei Wei- tem grüsste Theil der von uns untersuchten Urkunden wieder bei Seite gelegt werden musste, da dieselben theils wegen ihrer Geringfügigkeit, theils weil sie über den für uns massgebenden Zeitpuukt des Jahres 1569 hinausliegen, keinen Anspruch auf Verüffentlichung haben, so war die Zahl der übrig bleibenden doch noch erheblich genug, um die erneute Arbeit aufzu- wiegen. Die jetzt gesammelten und copirten Archiva- lien bieten noch manches Neue, besonders für die rus- sisch-livländische Handelsgeschichte des 15. Jahr- hunderts, bestätigen Anderes weniger Feststehende, vervollständigen namentlich das bisher verôffentlichte Material häufig in sehr erwünschter Weise — kurz sie führen entschieden eine Bereicherung unserer Kennt- niss jener Zeit herbei. Allerdings haben wir hierbei eines Umstands zu er- wäbnen, der auf den ersten Blick ihren Werth wesent- lich herabzudrücken scheint, den, dass viele undatirt, die meisten aber nur das Tages-, nicht aber das Jahres- datum enthalten. Doch abgesehen von den allgemei- neo, in der Handschrift liegenden Anhaltspunkten, bie- tet die Mehrzahl inhaltlich Momente genug dar, um die Zeit ihrer Abfassung genau zu fixiren. Nur wenige gehôren dem 14. Jahrhundert an, der bei Weitem grüsste Theil dem 15., und zwar dem An- fange desselben, der ebenfalls nicht bedeutende Rest dem 16. Die Sprache ist daher meist die nieder- deutsche, bei nicht sehr zahlreichen die hochdeutsche oder lateinische. Von russischen Urkunden hatten wir keine in unsere Sammlung aufzunehmen, da diesen bereits früher hervorragende Aufmerksamkeit zuge- wandt worden; der numerisch noch sehr bedeutende Rest aber musste aus den oben angeführten, allgemei- nen Gründen der Ausschliessung unberücksichtigt bleiben. Inhaltlich beziehen sich 18 unserer Actenstücke auf den hansischen und livländischen Handel mit Nowgo- rod und Pskow im 14. und 15. Jahrhundert. Bei Weitem bedeutender und durch die geographische Lage bedingt sind die Beziehungen Riga’s zu Polozk. Die deutsche Handelscompagnie, die dort lange Zeit wohlorganisirt bestand — im Kleinen ein Abbild des Hofes von St. Peter — war direct von Riga abhängig: sie erhält durch dieses Mittheilung von den allgemei- nen Schlüssen der Hansetage; von ihm Befebhle in Betreff des Abbruchs und des Wiederbeginns des Ver- kehrs mit den Russen; an dasselbe wendet sie sich in allen zweifelhaften und schwierigen Fällen um Rath und Hilfe; in Rigas Händen befindet sich die diplo- matische Vertretung der Compagnie Litauen und spä- ter den Künigen von Polen gegenüber. Die polozker Handlungshäuser sind auch zum guten Theil nur Com- manditen Rigas. So besteht denn eine ziemliche Anzahl von Acten- stücken aus der Correspondenz Rigas mit Litauen: namentlich für die Zeit Witauts ist der Schriftenwech- sel ein sehr lebhafter. Ein weiterer Theil betrifit die di- recten Bezichungen des deutschen Handels zu der russischen Gemeinde in Polozk, allgemeine Streitig- keiten mit derselben u. s. w. Am bedeutendsten aber ist die Correspondenz mit der deutschen Compagnie selbst: sie umfasst bei uns 43 Nummern. Demnächst hatten wir unser Augenmerk den Ver- hältnissen der russischen Kirche in Riga zuzuwenden, 35* 551 ohne aber hier zu gleich günstigen Ergebnissen zu ge- langen. Die ziemlich bedeutende Zahl der hierauf be- züglichen Documente stand in umgekehrtem Verhält- nisse zu ihrem Werth: die meisten waren von nur sehr untergeordnetem Interesse und gehürten grôüsstentheils einer späteren Zeit an. Nur 5 schienen der Mittheilung werth zu sein !). Daneben wurde cine Abschrift der im Âassern Raths- archiv befindlichen, wol aus dem Anfang des 14. Jahr- hunderts stammenden Handschrift der Skra von Now- gorod *) angefertigt, da dieselbe geeignet scheint, die bisher noch nicht entschiedene Frage nach dem Ver- hältnisse der verschiedenen Redactionen zu einander immerhin weiter zu fürdern. Am nächsten steht sie der im Lübecker Urkundenbuche in den Anmerkun- gen zum Abdruck der Skra*) herangezogenen Hand- schrift, ohne sich aber mit letzterer vüllig zu decken. Das Innere Archiv des Raths, das beinahe durch- gehend die kostbarsten urkundlichen Schätze enthält, bot eine nur spärliche Ausbeute. Zu seinen beiden Abtheilungen, von denen die eine die städtischen Pri- vilegien, Friedensschlüsse und andere Verträge um- fasst, die zweite das Grundeigenthum betrifft, sind schon im vorigen Jahrhundert sorgfältige Kataloge, welche den Inhalt jedes einzelnen Documents genau verzeichnen, angefertigt. Hierdurch ist die Benutzung so sebr erleichtert, dass alle Urkunden von einigem [n- teresse bereits verôffentlicht sind. Wir mussten uns also darauf beschränken, einzelne Stücke von Neuem zu vergleichen und die nicht mit erforderlicher Ge- nauigkeit abgedrueckten nochmals zu copiren. Um eine etwas speciellere Einsicht in das aus bei- den Rathsarchiven neu gewonnene Material zu er- môglichen, lassen wir kurze Inhaltsangaben aller co- pirten Urkunden folgen, wobei die Zusammenstellung eine nur vorläufige ist, da die zu ibrer genaueren chronologischen Einordnung erforderlichen Untersu- chungen noch nicht angestellt werden konnten 1) 1) S. unten N° 94—98. — Kurze Angaben über mehrere dieser Actenstücke, welche sämmtlich in dem 14. Convolut der Ruthenica enthalten sind, hat neuerdings W. von Gutzeit in seiner Abhand- lung: Die griechisch-katholischen Kirchen Rigas (Mittheilungen aus der livl. Gesch. Band XI, pag. 384 ff.) geliefert. 2) Vergl. Napiersky, Russisch-Livländische Urkunden X 3, pag. 4. 3) Lübecker Urkundenbuch Band I, pag. 700 f. 4) Wir bemerken ausdrücklich, dass wir hier noch nicht im Stande sind vollständige Regesten zu geben, sondern nur vorläufig über den Inhalt orientiren wollen. Bulletin de l’Académie Empériale ils 1 6. JU JLILE ilgk 14. 15. 16. 9, 55? Geleitsbrief Gross-Nowgorods, den Abgesandten der Hanse ertheilt. .Instruction für die Gesandten der livländischen Stidte an Gross-Nowgorod. Entwurf zu Unterhandlungen von livländischer Seite mit Nowgorod und Pskow. . Die Vorsteher des deutschen Comptoirs zu Now- gorod theilen dem Rathe von Dorpat die von rus- sischer Seite im Handel eingeführten nachtheili- gen Neuerungen mit. . Die Pskower beklagen sich beim rigischen Rath über das von dem Rigenser Ewald zweien ihrer Mitbürger angethane Unrecht. Lübeck räth den livländischen Städten, Verhand- lungen mit den Russen nur unter Zuziehung aller Betheiligten zu pflegen, und empfiehlt Festhalten am aufgerichteten Recess. . Die Rathssendboten der livländischen Städte mel- den dem lübischen Rathe, dass die preussischen Städte, den Vereinbarungen zuwider, den russi- schen Handel fortsetzen wollten. Der Rath von Dorpat theilt dem rigischen ein Schreiben Gross-Nowgorods mit, die Absendung von Boten an den livländ. Meister betreffend. . Derselbe theilt ebendemselben einen Brief des deutschen Hofs zu Nowgorod mit, und bittet um Rath, v. J. 1453. Ders. giebt ebendems. Auskunft über den Han- del der Russen zu Dorpat und die wegen des dro- henden Kriegs in demselben festgesetzten Beschrän- kungen, v. J. 1498. Ders. schreibt ebendems. über die mit Pskow gehabten Verhandlungen und eine anzusetzende Tagfahrt. . Ders. bittet ebendens. gewisse benannte Personen, die an Gesandten von Pskow einen Mord verübt, anzuhalten. Ders. schreibt ebendems. über das in Nowgo- rod von den Russen ergangene Verbot, mit den Deutschen Handel zu treiben. Ders. übersendet ebendems. einen Brief von Now- gorod, schlägt eine Tagfahrt vor, u. s. w. Ders. macht ebendems. Mittheilung darüber, was in Sachen des dem Comtbur von Vellin gehôrigen, zu Nowgorod arrestirten Silbers geschehen. Ders. theilt ebendems. mit, dass ein Streit zwi- 553 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 554 ——————————————————— ————————.— —— __—_—_—_—_____ schen zwei benannten Deutschen und Russen aus- getragen, und meldet die neuen Verordnungen im Pelzhandel zu Nowgorod. Ders. schreibt ebendems. über die Sendung des Sueder Kowede nach Nowgorod. Der Rath von Reval theilt ebendems. mit, dass die neuesten Bestimmungen für den Handel mit den Russen von ihm gehalten werden würden, u.s. w. 107 18. 19. Friede zwischen den Landen und Städten Liv, Est- und Curlands und dem Grossfürsten Gedemin von Litauen, v. J. 1323). Entwurf einer Einigung des Grossfürsten Witaut mit dem livländ. Meister Conrad von Vietinghoff über den Handel zwischen Riga und Polozk”°). Grossfürst Witaut verspricht der deutschen Han- delscompagnie zu Polozk, sie bei ihren verbrieften Rechten zu erhalten. . Ders. verwendet sich beim rig. Rathe für einen Bürger von Polozk, diesem sein Eigenthum wie- der zu verschaffen, v. J. 1409. Ders. schreibt ebendemselben in letzterer Ange- legenheit. Ders. theilt ebendems. die Beschwerden der Po- lozker gegen die Deutschen im Pelz- und Wachs- handel, so wie die in Betreff der Münze mit, und bittet um Abstellung. . Ders. erklärt ebendems., wegen seiner feindlichen Stellung zum Orden, die Klagen der deutschen Kaufleute über die Polozker vorläufig nicht be- rücksichtigen zu kônnen. Ders. theilt ebendems. mit, demnächst persünlich nach Polozk kommen und die Beschwerden der Deutschen untersuchen zu wollen. Ders. beklagt sich bei ebendems. über den ihm von deutschen Kaufleuten zu Polozk verweigerten Credit, droht mit Repressalien, meldet die Be- 20. 21: 23. 24. 26. 27. 5) Unsere Abschrift ist nach dem im Innern Rathsarchiv Le- findlichen Original angefertigt. Abdrücke nach Brotze (Sylloge I, 42—43) finden sich zwar in den Monumenta Livoniae antiquae Tom. IV, pag. CLXXI und in Raczynski, Codex dipl. Lithuaniae, pag. 39, X IV, doch sind dieselben überaus ungenau. Vergl. auch Napiersky, Russisch-Livl. Urkunden X 58, pag. 35. 6) Vergl. Napiersky, Russ.-Livländ. Urkunden, X 161. Unsere Copie ist angefertigt nach dem dort erwälhnten « Deutschen Entwurf auf Papier.» Sie stimmt übrigens weit mehr mit der deutschen Fas- sung von À 160. 29. 30. 31. 32. 33. 40. strafung von Russen, welche falsches Gut geführt, die Vereidigung der Wäger, u. s. w. . Derselbe schreibt ebendems., dass er dem Meister auf dessen Mittheilung in Betreff des Salzgewichts zu Polozk geantwortet. Derselbe antwortet dem Meister zu Livland auf dessen Mittheilung über die Vergrüsserung des Salzgewichts zu Polozk, und bittet seine Antwort auch dem rig. Rathe zugehen zu lassen. Der Meister zu Livland schreibt dem rig. Rathe was derselbe zu thun babe, um seine Streitigkei- ten mit Witaut und den Polozkern zum Austrag zu bringen und zu seinem Rechte zu gelangen. Iwau Semenowitsch, Hauptmann zu Polozk, er- klärt die zwischen Riga und seinen Untergebenen obschwebenden Händel für erledigt und sich mit dem Wiederbeginn friedlicher Beziehungen ein- verstanden. Künig Kasimir von Polen übersendet dem rig. Rathe die von seinem Arzte, dem Griechen An- drea, ihm überreichte Bittschrift, welche eine Geldforderung an einige Narvenser und bittere Klagen über das ihm in Livland verweigerte Recht enthält, wol v. J. 1464. Einige litauische Grosse verwenden sich beim rig. Rathe für jenen selben Griechen (der hier aber Andronicus genannt wird), v. J. 1464. . Sytezeke und Natzemer Soczenowe verlangen von ebendemselben Recht für ihren Vetter. b. Den Handel betreffende Beschwerden und Vor- schläge von rigischer Seite an die Polozker. . Rigische Instruction zu Friedensverhandlungen mit Polozk. . Ein ebensolches, doch umfangreicheres und etwas jüngeres Actenstück. . Klagepuncte von deutschen Kaufleuten beim rig. Rathe wider die Polozker eingereicht. . Ollechno Sudymontowitz, Hauptmann zu Polozk, beklagt sich bei Rath und Bürgerschaft Rigas über die von einem Rigenser geschehene Friedensver- letzung und entschuldigt das von ihm dabei ein- geschlagene Verfahren. Künig Kasimir von Polen schreibt dem rig. Rathe über die zu Polozk angehaltenen Güter und die Beendigung dieser Sache. 555 Bulletin de l’Académie Hmpériale 556 41. Erzbischof Silvester von Riga theilt ebendems. die von polozkischer Seite bei ihm wider die Stadt vorgebrachten Klagepuncte mit, erbietet sich zur Vermittlung, u. s. w.; v. J. 1466. 42. Die ebengenannte Klageschrift der Polozker (wol v. 1466). 43. Erzbischof Silvesters Antwort an die Polozker, worin das Verfahren Rigas entschuldigt und ein Tag zur Untersuchung der Streitigkeiten anbe- raumt wird, v. J. 1466. 44. Der rig. Rath theilt dem Hauptmann von Troki, Rodewil Astkewitez, die zwischen Riga und Polozk obschwebenden Händel mit, was zu ihrer Beile- gung bisher geschehen, und bittet dabei um seine Hilfe, v. J. 14667). 45. Der Rath von Polozk verwendet sich bei dem ri- gischen für die Forderung eines seiner Bürger an einen Deutschen, v. J. 1499. 46. Derselbe bittet den Meister zu Livland, den Ri- gensern die Auslieferung des von ihnen arrestir- ten, polozker Bürgern gehôrigen, Wachses anzu- befehlen, v. J. 1509. 47. Der Schenk von Dünaburg legt Zeugniss ab über ein vor ihm zwischen einem Russen und einem Deutschen aufgerichtetes Abkommen in Handels- sachen, v. J. 1509. 48. Der Meister zu Livland trägt dem rig. Rathe auf, dem Russen Michael, der von einem Litauer im Handel betrogen, sein Recht zu schaffen, v. J. LATE 49. Der Comthur zu Goldingen verlangt von eben- demselben die volle Berichtigung einer Schuld, da er die zu Polozk vom Handel erhobene Ge- bübr nicht mitzubezahlen habe. 50. Schuldverschreibung zweier Russen von Witebsk an Lorenz Ewers von Riga. 51. Der rig. Rath theilt der deutschen Handelscom- pagnie zu Polozk den allgemeinen Städteschluss mit, uächstfolgende Weïhnacht den Handel mit den Russen abzubrechen, u. s. w. 7) Dieser Brief und fünf andere sind in den Russisch-Livländi- schen Urkunden, X 951, schlechtweg als mit dem dort abgedruckten übereinstimmend bezeichnet. Sie alle enthalten aber eine Jängere historische Einleitung, die dem mitgetheilten Schreiben fehlt, und erst in ihrem zweiten Theil kommen sie mit demselben überein. 52 60. 61. 64. 69, 66. . Ders. ertheilt ebenders. mit Rücksicht auf den zu unterbrechenden Handel allerlei Verhaltungs- massregeln. . Ders. setzt ebenders. gegenüber die vom russ. Handel zu erhebende Abgabe fest. . Ders. schreibt an Wulfhard v. Ravenslagh und Wulfhard von Stade wegen des zu unterbrechen- den polozker Handels. . Die deutsche Handelscompagnie zu Polozk mel- det dem rig. Rathe, wie gewisse benannte Kaufleute den Satzungen zuwider gehandelt, v. J, 1409. . Dieselbe setzt ebendems. auseinander, zu wie gros- sem Nachtheil ïihr gewisse für den Pelzhandel festgesetzte Bestimmungen gereichen, v. J. 1437. . Dies. meldet ebendems., wie die Deutschen von russ. Seite am freien Verkehr mit Smolensk und Witebsk gehindert würden, v. J. 1448. . Dies. macht ebendems. Mittheilung über ihre Verhandlungen in Betreff des freien Verkehrs nach Russland, u. s. w., v. J. 1451. . Dies. theïlt ebendems. mit, wie zwischen ihr und den Polozkern, so wie dem Grossfürsten von Li- tauen, ein feindliches Verhältniss herrsche, u. s. w. Dies. legt ebendems. einen bestimmten Fall in Handelssachen vor, um zu entscheiden, ob hier die Satzungen gewahrt oder nicht. Dies. theilt ebendems. mit, dass Einigen von ihnen der Aufenthalt in Polozk noch gestattet worden, um ibhre Schulden einzucassiren, bittet für ihr und ihrer Güter Fortkommen zu sorgen, u. s. w. . Dies. theilt ebendems. mit, dass ihnen von russ. Seite der Handel mit den Gästen verboten und andere Beschränkungen getroffen seien. . Dies. macht ebendems. weitere Mittheilung über jene Beschränkungen und bittet um Verwendung bei Witaut. Dies. theilt ebendems. mit, wie schwierig es sei die Handelsbeziehungen bis Weïhnachten zu lü- sen, da gerade grosse Vorräthe angehäuft seien, U.5. W. Dies. schreibt ebendems. von neuen hinderlichen Einrichtungen der Russen im Wachshandel und remonstrirt gegen die Fortdauer einer Abgabe vom Handel. Dies. theilt ebendems. mit, dass sie wegen der weiterhin zu erhebenden Handelsabgabe noch zu 557 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 558 ———————————…—……——————.———.————————————_—_—_—_—_—__————_———_——— Um 67. 68. 69. 72: 74. 75. 78. fer keinem Entschluss gekommen, dass die Polozker die Fahrt weiter nach Russland hinein nicht mehr gestatteten, u. s. w. Dies. schreibt ebendems. von einem durch einen gewissen deutschen Kaufmann im Tuchhandel be- gangenen Verstoss gegen die Gesetze, von man- cherlei Neuerungen der Russen, u. s. w. Dies. klagt ebendems. die Unregelmässigkeiten, welche im Wachshandel vorkommen, von dem Streit mit den Russen wegen der Wage, u. s. w. Dies. schreibt ebendems. von dem wegen des Salz- gewichts mit den Russen ausgebrochenen Zwist. . Dies. schreibt ebendems., dass in Folge der fal- schen Wage der deutsche Kaufmann die grüssten Verluste erleide, und bittet ihnen eine andere, richtige, zu schicken. . Dies. machit ebendems. Mittheilung von ihren Ver- handlungen mit den Russen wegen der Wage,u.s.w. Dies. schreibt ebendems. von den Bedenken der Russen gegen die neue Wage, den darüber ent- standenen Zweifeln, u. s. w. . Dies. bittet ebendens. zu entscheiden, ob sie den Russen für Salz, das ungewogen verkauft, Wäge- geld zu zahlen habe, theilt mancherlei Beeinträch- tigungen von russischer Seite mit, u. s. w. Dies. theilt ebendems. mit, dass neue russ. Silber- und Wachswäger angestellt, die ihr Amt sehr zum Nachtheil der Deutschen verwalteten, von dem Frieden mit Litauen, u. s. w. Dies. benachrichtigt ebendens. vom Empfang der der neuen Gewichte und äussert ihre Bedenken, die alten den Russen zu übergeben. . Dies. meldet ebendems. mancherlei Zwist mit den Russen wegen des Salzgewichts u. s. w., und bit- tet um seine Vermittlung. . Dies. berichtet ebendems. von weiteren [rrungen und Verhandlungen mit den Polozkern wegen der Wage. Dies. meldet ebendems., dass die Polozker die neue Wage nicht annähmen, sondern bei ihrer alten bleiben wollten, dass mehrere Beschränkun- gen im Handel eingeführt, u. s. w. Dies. meldet ebendems., dass demnächst polozker Boten nach Riga kommen würden, dass mancher- lei Beeinträchtigungen, besonders im Wachshan- del, ihnen widerfahren, u. s. w. 80. (o 0] 84. 85. 86. 87. 88. 89. 90. CE Dies. theilt ebendems. mit, dass neue Wäger angestellt, die nicht vereidigt, dass ihnen An- und Verkauf in geringeren Quantitäten untersagt sei, U. S. W. . Dies. berichtet ebendems. von der Differenz, welche sich zwischen der alten und der neuen Wage herausgestellt, und den sich daran knüpfen- den Irrungen mit den Russen (ums J. 1408). . Die zu Polozk gefangen gehaltenen deutschen Kaufleute bitten ebendens., dafür Sorge zu tra- gen, dass sie und das Handelsgut daselbst befreit würden. 3. Dieselben wiederholen ebendems. ihre frühere Bitte mit Hinweis auf die Gefahren, die dem Handels- gut durch die Russen drohen. Dieselben berichten den Bürgermeistern Vischer und Wittenborch und den andern Besitzern der arrestirten Waaren ihre traurige Lage, so wie die Gefahren, welchen das Gut ausgesetzt, und bitten für ihre Befreiung sich zu bemühen. Dieselben wiederholen dem Wittenborch, Witte und den Vorgenannten ïihre Bitte in dringendster Weise. Hans Swanebeke schreibt an die polozker deutsche Compagnie wegen eines Rechtsstreits in Handels- sachen. Hermann Dasberch, Abgesandter des livländischen Meisters an Herzog Skirgail, macht ebenders. Mittheilung von seinen Verhandlungen und ge- gründete Aussicht auf Befreiung für sie und ihre Güter. Heinrich Grynpe und Berthold Becker zu Polozk berichten dem rig. Rath mehrere Füälle, in denen deutsche Kaufleute von Witebsk die Gesetze über- treten, u. S. W. Claus Ryman erstattet ebendems. einen allgemei- nen Bericht über den Stand des Handels zu Po- lozk, theilt politische Nachrichten aus Litauen, von Witauts Feldzug gegen die Tataren, u. s. w., mit. Volkmar von Anderten, der auf einer Reise nach Litauen begriffen, giebt ebendems. Nachricht über Verhandlungen mit russ. Boten von Polozk. Kurt von Borsen und Hermann Bunnynk zu Po- lozk schreiben ebendems. von der Flucht und Wiedergefangennahme eines Russen, der einen Deutschen erschlagen, u. s. w. 559 Bulletin de l’Académie EImpériale 560 92. Johannes Plighe, Abgesandter des rig. Raths an die Polozker, berichtet ebendems. von den gün- stigen Erfolgen seiner Mission. Bericht eines deutschen Kaufmanns aus Polozk an ebendens. über seine fruchtlosen Verhandlungen mit dem dortigen Statthalter wegen der ihm ge- stohlenen Güter, u. s. w. 93. 94. Der russ. Priester Procop bittet den rig. Rath um ein Empfehlungsschreiben an den Künig Sigis- mund von Polen, um die Priesterstelle an der Kirche in Riga zu erhalten, die ihm der Erzbi- schof von Polozk unrechtmässiger Weise entzo- gen, v. J. 1508. Inventarium der russ. Kirche in Riga, aufgenom- men unter der Verwaltung des Bürgermeisters Jürgen Padel im J. 1548, nebst einer Revision der Kirchencasse v. J. 1550. . Kurzer Bericht über die Verhandlungen livländi- scher Gesandten in Moscau in Betreff der russ. Kirche in Riga, über den Handel der Russen in Livland, u. s. w. Erzbischof Wilhelm fordert den rig. Rath auf, dem Landtagsschluss gemäss den Russen ihre Kirche einzuräumen, v. J. 1551. Derselbe verlangt von ebendems. die ungesäiumte Erfüllung seiner frühern Aufforderung, v.J. 1555. SJ) OTe 98. 99. Beschreibung mehrerer Siegel aus der ältern liv- ländischen Geschichte. 100. Die rigische Handschrift der Skra von Now- gorod. Neben dem Copiren dieser Urkunden wurde in Übereinstimmung mit der uns ertheilten Instruction eine nochmalige Revision mehrerer von Napiersky herausgegebenen Actenstücke nach den Originalen ausgefübrt. Die Erfahrung hat längst gezeigt, dass auch bei sorgfältig und von kundiger Hand edirten Sachen eine erneute Durchsicht nicht überflüssig ist, dass in der Paläographie, wo unsere Kenntnisse in erfolgreichster Weïise durch den Gesichtssinn unter- stützt werden, vier Augen in der Regel mehr sehen als zwei. Dies glauben wir auch für den vorliegenden Fall bestätigen zu kônnen. Obgleich namentlich die nieder- deutschen Documente recht genau wiedergegeben sind, so konnte doch noch eine ziemliche Anzahl von zum Theil allerdings geringfügigeren Abweichungen zu- rechtgestellt werden. — Bei den lateinischen Acten- stücken waren durchgehend bedeutendere Emenda- tionen vorzunehmen, durch welche nicht selten der bisher nicht sicher zu ermittelnde Sinn erst klar her- vortrat. Den Grund für diese stürenderen Errata müs- sen wir wol in der nicht vüllig correcten Auflüsung der zahlreichen, und zum Theil willkürlichen Ab- breviaturen suchen. Folgende zwei und funfzig Nummern der Russisch- Livländischen Urkunden sind der erneuten Durchsicht unterzogen worden: M 53; M 54; M 58; X 62; M 67; X 69; X 71; X 75; Xe 81; X 82; N° 83; N'a8s N° 117; N'123; M 125; N° 126; N 127; Xe 128: N 129; M 130; Xe 131; Xe 132; N 133; MX 135; NM 136; M 140; M 143; N 160 und ’; M 161; M 171; M 180; MX 182; N° 183; M 184; M 190: M 192; M 193; M 194; M 195; M 196; MX 197; X 198; M 200; M 209; X 242; N 243; Xe 246: M 248; M 251: M 254; X 261. Beiläufig führen wir an, dass ausserdem mehrere Urkunden des Innern Archivs, die für die älteste liv- lindische Geschichte von besonderem Interesse, uns vorgelegen haben. So z. B. die angebliche Verlei- hung der Zollfreiheit in seinen Landen von Seiten des Künigs Mindowe an Riga, vom Jahre 1253, welche zuletzt von Napiersky für einen «Entwurf» erklärt ist*). Wir nehmen keinen Anstand, sie den übrigen Fälschungen beizuzählen, die später unter Mindowes Namen ausgeführt sind, da sie, angeblich der Mitte des 13. Jahrhunderts angehürig, nach ihren Schriftzügen frühestens in die Mitte des 14. gesetzt werden darf. — Die im Livländischen Urkunden- Buche unter den Nummern: 48, 53, 75, 105 u.s. w. abgedruckten Stücke wurden ebenfalls mit ihren Ori- ginalen verglichen, was sich auch hier als nicht ganz nutzlos herausstellte. Den zahlreichen und gut erhal- tenen Siegeln wurde dabei besondere Aufmerksamkeit zugewandt. Eine weitere uns gestellte Aufgabe bestand in 8) Vergl. Russisch-Livländische Urkunden, X 4, pag. 5. 61 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 56? SR Ausbeutung des im Archive der Livländischen Ritter- | in keinem Verhältniss namentlich zu ihrem Umfang schaft vorhandenen Materials. Das Archiv selbst erwies sich als ganz bedeu- tungslos für unsere Zwecke, indem die einschlägigen Actenstücke erst für das 17. Jahrhundert vorhanden waren. So hatten wir uns auf Benutzung der dort auf- bewahrten Copiensammlung zu beschränken, welche für die Geschichte der baltischen Provinzen aus dem Kôünigsberger Geh. Ordensarchiv veranstaltet worden. Die Zahl der auf Litauen und Westrussland be- züglichen Documente ist in derselben eben eine sehr bedeutende. Zunächst war eine zeitraubende Vorarbeit zu er- ledigen. Da im Laufe der Jahre eine grosse Anzahl der in jener Sammlung enthaltenen Acten in den ver- schiedensten russischen, litauischen, baltischen und preussischen Urkundenbüchern und in zahlreichen andern, die (reschichte jener Länder behandelnden, Werken bereits verôffentlicht worden, so musste zu- erst festgestellt werden, welche der uns interessiren- den Documente schon gedruckt, welche dagegen noch unter die Inedita gehürten. Es war diese Nachfor- schung um so langwieriger, da bei sehr vielen Stücken das falsch berechnete Datum erst rectificirt werden musste. Aus dem angefertigten Verzeichnisse geht her- vor, dass 440 russisch-litauische Nummern edirt, 486 dagegen noch ungedruckt sind. Bei dieser beträchtlichen Menge schien das Copi- ren aller, der letzteren Kategorie angehôrigen, nicht môglich, weshalb wir uns auf die ältesten beschränkten. Von folgenden Urkunden (citirt nach den Nummern des Index) wurden Abschriften angefertigt: X 165; M 318; NM 319; X 359; Xe 459; M 460; X 506; M 532; M 544; Ne 549; Xe 550; M 570; M 573; M 574: Ne 575; Xe 577; Ne 581; Xe 582; Ne 585; Xe 588; X 596; X 602; Xe 611; X 612; X 617; X 618; M 620; X 621; X 624; X 629; M 652; M 653; NX 656; X 657; X 658; X 666; M 671; » 677; X 678; X: 679; X: 683; X 685. Bei folgenden, welche der vollständigen Mittheilung nicht werth erschienen, ward das im Index gegebene Regest vervollständigt: M 164; M 303; 496; À 525; M 571; NM 616; X 643; Xe 644; À 660; À 665; M 672; X: 686. Wir dürfen nicht unerwähnt lassen, dass bei vielen dieser Urkunden der aus ihnen hervorgehende Nutzen Tome XIII. » \ J\: e Xe JA steht. Bei den früheren Verüffentlichungen sind doch meist die wichtigeren ausgewählt, so dass für uns ein häufig nur spärlicher Rest übrig geblieben ist. Durch einen weitern Umstand wird der Werth die- ses Materials in unsern Augen noch zweifelhafter. Zwar hat man auf die glänzende äussere Ausstat- tung der Sammlung, durch Abzeichnung der Siegel u.s. W., viel Fleiss gewandt. Mit einer gewissen Osten- tation ist die Übereinstimmung jeder einzelnen Ab- schrift mit dem Original von Seiten der damaligen Künigsberger Archivverwaltung officiell beglaubigt. Trotzdem aber scheinen die Anforderungen, die man heutzutage an derartige Arbeiten in Betreff der Ge- nauigkeit stellt, nicht vollig erfüllt. Häufig stossen wir auf unzweifelhaft falsch gelesene Worte, finden Lücken oder leicht zu emendirende Fehler, bei wel- chen letzteren jedenfalls angedeutet werden musste, ob dieselben bereits der Vorlage angehôüren. Wir verweisen hierfür auf unsere Abschriften na- mentlich der X 359, M 459, X 573, X 574, X: 582, M 588, X 611, X 617, X: 621, X 652, X 656, NX 671 und X 678. ; Nicht selten mussten wir sogar bemerken, dass das- selbe Wort, welches unten als das letzte auf einer Seite steht, und auf der folgenden wiederholt wird, an beiden Stellen verschieden geschrieben ist! Die Bemerkungen über das Âussere der Urkunden sind hier und da sehr unvollständig; die Inhaltsanga- ben häufig von starkeu Fehlern nicht frei. Leider sind die letzteren ohne Ausnahme in den Napiersky’schen Index übergegangen, auf deu wir bei Benutzung der ungedruckten unter diesen Urkunden doch noch aus- schliesslich angewiesen sind. Für einen Missgriff muss man auch die Wahl der deutschen Schrift für jene Co- pien halten: sie erreicht in den späteren Bänden — bei spärlicher fliessenden Geldmitteln — einen ho- hen Grad der Undeutlichkeit. Einen nicht unerwünschten Beitrag für die mittel- alterliche, und speciell die livländische und russische, Handelsgeschichte glauben wir in unserer Abschrift des im Aussern Rigischen Rathsarchiv aufbewahrten Schuldbuchs liefern zu künnen. Dasselbe enthält 1909 amtlich beim Rathe verzeichnete, meist durch den Han- delsverkehr zu Stande gekommene, Schuldurkunden aus den Jahren 1285— 1352. Dieselben sind nach dem 36 563 Bulletin de l’Académie impériale 564 —_—_—_———————_Ù——US Alphabet geordnet, wobei der Name des Schuldners voransteht und somit für die Stellung der einzelnen massgebend ist. Zu diesen Buchstabenrubriken kom- men 6 Privatconti für die Geld- und Handelsgeschäfte der damaligen Vertreter der haute finance Rigas, und zwei Blätter mit Aufzeichnungen mehr officiellen Cha- racters, über die Banquiergeschäfte der Stadt selbst für den Grossfürsten Gedemin von Litauen und ihren Erzbischof Friedrich, und A. m. Die Inscriptionen enthalten nun in der Regel aus- ser den Namen der beiden Contrahenten und dem Ge- genstand der Schuldforderung (der in Geld, oder auch in gangbaren Handelsartikeln als Wachs, Talg, Flachs, Asche u. s. w. besteht) nur den Zahlungstermin, auf den sich auch die am Rande angemerkten Jahreszah- len beziehen. Zu diesen einfachsten Bestandtheilen treten aber sehr häufig weitere erläuternde Bestim- mungen: den Namen der Personen sind Bemerkun- gen über ihre Verwandtschaft mit andern, ihre Her- kunft, ihren Wohnort, beigegeben; es werden Compag- nons erwähnt; die Münzsorte, in der die Zahlung zu leisten, und der Cours, über den man sich geeinigt, oder die Qualität der zu liefernden Waare werden ge- nauer bestimmt; der Ort der Zahlung, häufig Lübeck oder Flandern, wird angegeben; dazu kommen Fest- setzungen zur Sicherstellung des Gläubigers durch Verpfändung von Immobilien oder durch Bürgschaîten. Sebr häufig finden wir auch anderweitige Rechts- geschäfte verzeichnet, Lieferungscontracte, Ausein- andersetzungen in Erbschaftsangelegenheiten, Renten- kauf, u. s. w. Etwa 200 Inscriptionen, welche durch allerlei Ne- benbestimmungen zumeist in’s Auge fallen, sind be- reits früher im Livländischen Urkunden-Buche verüf- fentlicht”). Der Hauptwerth jener Aufzeichnung scheint aber nicht sowol in dieser oder jener abgesonderten, interessanten Notiz zu liegen, obgleich sich nicht ver- kennen lässt, dass unsere Kenntniss der damaligen Geld- und Handelsverhältnisse, der rigischen Topo- graphie, des Privatrechts u. s. w., auch im Einzel- nen vielfach schätzhbar bereichert wird: ein weit grôs- serer Nutzen ist zu erreichen, wenn das ganze hier niedergelegte Material nach den verschiedenen darge- 9) Livländ. Urkunden-Buch Band II, 1044 finden sich 186 Inscriptionen abgedruckt; ausserdem sind ebendaselbst M 10444 die Notizen der beiden Beiblätter wiedergegeben. botenen Momenten rein — statistisch verarbeitet wird. Dann werden sich uns nicht allein einzelne, Interesse erregende, Facta ergeben, sondern wir werden zu kla- rerer und sicherer Erkenntniss der gesammten Ver- hältnisse, vor Allem der üconomischen Lage der Zeit, durchdringen. Auch wir hatten anfangs nur die, allerdings recht zahlreichen, auf russische Verhältnisse bezüglichen Aufzeichnungen im Auge, kamen aber zur Einsicht, dass durchaus das ganze noch vorhandene Material mitgetheilt werden müsse. Wir haben hier zu erwäh- nen, dass leider das Schuldbuch nur ein Fragment ist. Durch Zählung der Lagen und weitere Schlüsse gelangten wir zu dem unerfreulichen Resultat, dass über ein Viertel uns verloren gegangen. Von den 206 Folioseiten, die ursprünglich mindestens vorhanden gewesen, unter denen etwa 78 vollgeschrieben waren, sind nur 98, darunter allerdings 55 ausgefüllt, erhal- ten. Trotzdem aber halten wir die uns derart verküm- merte Erbschaft noch für gross genug, um bei richti- ger Verwerthung erheblichen Nutzen zu stiften — d. h. noch immer zu verhältnissmässig sicheren Resul- taten zu führen. Die Anfertigung der Abschrift war mit mancher- lei Schwierigkeiten verbunden. Zunächst enthält das Schuldbuch eine Menge der willkürlichsten Abkür- zungen, die nur durch genauen Vergleich mit andern, von derselben Hand herrührenden, Inscriptionen rich- tig aufgelôst werden konnten; sodann sind alle bezahl- ten Schuldverschreibungen, also der grüssere Theil, später durchgestrichen, wodureh nicht selten, nament- lich bei feineren Schriftzügen, das Characteristische an einzelnen Buchstaben verwischt ist; mehrfach sind endlich Inscriptionen ausradirt und so ihre Entziffe- rung bedeutend erschwert. Die Abschrift selbst umfasst 157 Quartseiten, wo- bei der Kürze halber bei einzelnen regelmässig wie- derkehrenden Worten die Abkürzungen noch beibe- halten sind; dazu kommen Anmerkungen, welche vor- läufig aber nur die Herstellung des Textes hetreffen; ferner eine allgemeine Beschreibung des Codex; eine Handschriftentabelle, aus welcher zu ersehen, welcher Schreiber jede einzelne Inscription verfasst hat; und Facsimile von siebenzehn Händen, welche mit gewis- ser Regelmässigkeit in jeder Rubrik wiederkehren. Um diese Quelle für die Geschichte nutzbar zu ma- 565 chen bedarf es allerdings noch mannichfacher Arbeit: doch die erste grundlegende ist, wie wir hoffen, hier- mit beendet. Einige Zeit verwandten wir auch auf Durchsicht der in der Rigischen Stadtbibliothek befindlichen Sammlung der «Manuscripta ad historiam Livoniae». Es sind dies ursprünglich dem Rathsarchiv angehü- rige Archivalien aus dem 15 — 18. Jahrhundert, die in eine gewisse Ordnung oder, wenn man will, Un- ordnung gebracht, nun zu 20 meist umfangreichen Folianten verbunden sind. Der Inhalt des 4. Bandes z. B. bezieht sich auf die Lennewarden- und Uexküllsche Belagerung durch die Russen im J. 1578; der des 5. betrifft die Unterwer- fung Livlands unter Schweden; der 6. enthält lauter Actenstücke, welche auf die Chytraeus’sche Darstel- lung des rigischen Kalenderstreits Bezug haben. Andere bieten bunt durcheinander historische Ma- terialien, welche die verschiedensten Gegenstände be- treffen, den verschiedensten Zeiten angehôüren: neben hansischen und livländischen Correspondenzen aus dem | 15. u. 16. Jahrh. und Briefen Gustav Wasa’s finden sich Schreiben vom Versailler und Münchener Hofe aus der Zeit des 30-jährigen Krieges; neben den Be- richten über polnische Reichstage und polnische Frie- densverhandlungen mit Russland aus dem Anfange des 17. Jahrh., «Zeittungen von der Tatarschen Grentze», Correspondenzen aus Constantinopel, Briefe des Sul- tans an Kônig Sigismund III und Jan Kasimir. Der 1, 13. und 15 Band enthält beispielsweise ein derart zusammengewürfeltes Material. Brotze hat einige dieser Acten gekannt; Napiersky ein Schreiben aus dieser Sammlung verôffentlicht "?); gründlich für einen speciellen Zweck ausgenutzt sind sie erst von Bienemann in seinen «Urkunden und Briefe zur livländischen Geschichte in den Jahren 1558—1562'')» Von dem übrigen reichhaltigen Ma- terial ist noch keine Kunde ins Publicum gedrungen. Bei Durchsicht dieser Bände fertigten wir für 16 derselben — 4 befanden sich behufs Verwerthung für die ebenangeführte livländische Urkundensamm- 10) Vergl. Russisch-Livländische Urkunden, 393. 11) Neuerdings hat ausserdem Büttner in seiner Abhandlung: Über die beïiden abweichenden Darstellungen des Rigaschen Kalen- derstreits durch David Chytraeus (Programm des Gymnasiams zu Riga für 1868) das einschlägige Material aus mehreren Bänden ver- werthet. des Sciences de Saint-Pétersbourg. 7 566 lung noch in Reval — Inhaltsverzeichnisse an, die je nach der Wichtigkeit der Schriftstücke und ihrer mehr oder weniger passenden Anordnung, theils in voll- stindigen Regesten zu jedem einzelnen Actenstück, theils in zusammenfassenden Angaben über den Inhalt einer grüssern Anzahl von Schreiben bestehen — eine Arbeit, welche für die Benutzung dieses über- aus Weitschichtigen Materials nicht werthlos sein môüchte. Für unsere augenblicklichen Zwecke war die Durch- forschung allerdings ziemlich unergiebig: wir konnten jenen Bänden nur drei russische Schreiben aus den Jahren 1574 und 1577 nebst einigen, den russischen Handel in Livland betreffenden, Sachen aus dem An- fange des 17. Jahrh. entnehmen. Ausserdem wurden mehrere hansische, schwedi- sche und dänische Briefe aus dem 15. Jahrh. und einige Actenstücke, welche das polnische Künigthum Heiïnrichs von Valois betreffen, copirt. Wir kônnen schon bei dieser Gelegenheit nicht un- terlassen die Bearbeiter der russischen, livländischen und polnischen Geschichte, vornämlich für den Aus- gang des 16. und das 17. Jahrhundert, darauf auf- merksam zu machen, dass unter vieler Spreu so man- ches für sie brauchbare Korn in diesen Bänden ver- borgen liegt. In der Kürze ist nur noch zu erwähnen, dass wir in dieser Zeit mit der Vergleichung der in Riga be- findlichen Handschriften der Chronik Heinrichs von Lettland begannen, Ausser dem schon früher von uns benutzten Scodaiskischen Codex, dessen Werth für die Textesherstellung jener Quelle genügend erkannt ist, standen uns dort folgende fünf zu Gebote: der Wittische Codex und ein Exemplar des von David Werner herrührenden Auszugs, beide der Stadtbiblio- thek gehôürig; von Seiten der Gesellschaft für Geschichte und Alterthumskunde der Ostseeprovinzen ebenfalls eine vollständige Handschrift und ein Werner’scher Auszug; aus der ritterschaftlichen Bibliothek ein Exem- plar derselben Excerpte. Da diese Untersuchung noch nicht zum Abschluss gebracht werden konnte, be- schränken wir uns auf die Angabe, dass von jenen Handschriften zwar nur die vollständige, der Alter- thumsforschenden Gesellschaft gehürige, von entschie- dener Bedeutung für die Textescritik ist, dass aber alle zur Anfklärung des Verhältnisses der verschie- 36* 567 Bulletin de l’Académie Empériale 568 denen Recensionen und Handschriften zu einander beitragen werden. Mit vollster Anerkennung habe ich der vielfachen Fürderung zu gedenken, welche mir von Seiten der rigischen Archiv- und Bibliothekverwaltungen wäh- rend meines ganzen dortigen Aufenthalts zu Theil ge- worden. Die dort herrschende Liberalität gestattete nicht nur Einsicht und Benutzung jedes einzelnen erbetenen Actenstücks, sondern bei allen ohne Aus- nahme wurde mir das Mitnehmen in meine Woh- nung auf längere Zeit zugestanden, wodurch die Ar- beit ebenso sehr erleichtert wie beschleunigt wurde. Den Herren: Bürgermeister Bôüthführ, Rathsherrn Dännemarck und L. v. Napiersky, so wie Stadtbiblio- thekar G. Berkholz, Dr. Buchholtz und ritterschaft- lichen Archivar v. Rennenkampff gebührt dafür mein besonderer Dank. Indem ich der Kaiserl. Akademie der Wissenschaf- ten und namentlich dem Herrn Akademiker Kunik, der mich fortwährend mit seinem Rath bereitwilligst unterstützt hat, meine aufrichtige Erkenntlichkeit für das durch Übertragung dieser Arbeiten in mich ge- setzte Vertrauen ausdrücke, knüpfe ich die Hoffnung daran, hinter den gehegten Erwartungen nicht allzu weit zurückgeblieben zu sein. St. Petersburg, im November 1868. Über die Wirkung des Lichtes auf die Verthei- lung der Chlorcphyllkôrner in den grünen Theilen der Phanerogamen, von J. Borodin. (Lu le 21 janvier 1869.) (Mit einer Tafel.) Nachdem es mir gelungen war zu zeigen!), dass die von Famintzin in den Mniam-Blättern ent- deckte”) Abhängigkeit der Lage der Chlorophyllkür- ner vom Lichte eine bei den hôheren Kryptogamen weit verbreitete Erscheinung sei, lag die Vermuthung nahe, dass auch bei den Phanerogamen dieselbe vor- komme. Da die Wasserpflanzen zu diesen Untersu- chungen aus manchen leicht zu ersehenden Gründen am geeignetsten schienen, so stellte ich mir die Auf- gabe, an ihnen meine Vermuthung einer genauen 1) Borodin. Über die Wirkung des Lichtes auf einige hôhere Kryptogamen. Mélanges biologiques tirés du Bullet. de l’Acad. Imp. de St-Pétersbourg. T. VI. 1867. 2) Famintzin. Mélanges biologiques. T. VI. 1866 u. Prings- heim’s Jabrbücher, Bd. VI, S. 49 u. ff, Prüfung zu unterwerfen. Schon eine flüchtige an Lemna, Ceratophyllum, Callitriche und einigen an- deren gemeinen Wasserpflanzen angestellte Untersu- chung lehrte, dass auch hier die Lage der Chloro- phyllkôrner veränderlich sei; aber es wollte mir lange nicht gelingen, eine Abhängigkeit derselben vom Lichte zu entdecken, denn einerseits kam es hin und wieder vor, dass durch Verdunkelung des grünen Pflanzentheiles die Lage der Chlorophyllkürner nicht verändert wurde, andererseits wurde oft am Lichte eine Vertheilung des Chlorophylls beobachtet, die nach der Analogie mit den Kryptogamen als nächt- liche bezeichnet werden musste. Schon war ich sogar geneigt, bei einigen Pflanzen eine gerade umgekehrte Wirkung des Lichtes auf die Lage des Chlorophylls anzunehmen, d. h. die Vertheilung desselben auf den Seitenwänden der Zellen für die Tages- und die ent- gegengesetzte für die Nachtstellung zu erklären, als ich auf den glücklichen Gedanken kam, zu untersu- chen, ob nicht die Intensität des Lichtes einen we- sentlichen Einfluss auf die mich beschäftigende Er- scheinung ausübe. Diese Vermuthung war um so wabrscheinlicher, als, wie aus Famintzin’s Unter- suchungen*) bekannt ist, die Lichtintensität bei eini- gen anderen Processen des Pflanzenlebens, nament- lich bei der Ergrünung der etiolirten Blätter und bei der Bewegung der Zoosporen, eine wichtige Rolle spielt. Wie das Folgende zeigen wird, erwies sich auch diese Vermuthung als vollkommen richtig. Die vollständigste Reihe meiner Beobachtungen be- zieht sich unter den Wasserpflanzen auf Lemna tri- sulca L. Ihre platte Form und unbedeutende Grüsse erlaubt an einer und derselben Pflanze wochenlang zu experimentiren, ohne sie im mindesten zu beschä- digen. Ausserdem aber ist die Lemna trisulca unter allen bei uns vorkommenden Lemnaceen durch ihren verhältnissmässig geringen Luftgehalt, der auf die Untersuchung einen stôrenden Einfluss ausübt, aus- gezeichnet. Der Auseinandersetzung der an dieser Pflanze angestellten Experimente lasse ich eine kurze anatomische Beschreibung ibrer Vegetationsorgane vorausgehen, was um so nothwendiger erscheint, da dieser Gegenstand, so viel ich weiss, nirgends in einer zusammenhängenden Weise behandelt wird. 3) Famintzin. Mélanges biologiques, T. VI u. Pringsheim's Jahrbücher, Bd. VI. 569 Der abgeplattete, thallusähnliche Stamm der Lemna trisulca ist beiderseits von einer aus sehr platt ge- drückten, geschlängelt contourirten und chlorophyll- freien Zellen bestehenden Epidermis (Fig. 1 — 5), die keine Spaltüfinungen besitzt'), überzogen. Zwi- schen den beiden Epidermisschichten liegt ein ziem- lich regelmässiges reichlich Chlorophyil führendes Parenchym. An der Spitze und den Rändern, d. h. im Marginaltheile des platten Stammes, ist dasselbe auf einer bedeutenden Strecke einschichtig; der Ba- sis und der Mediane näher wird es zweischichtig; noch weiter treten allmählich zwischen den beiden Parenchymlagen ziemlich regelmässige, von der Fläche betrachtet elliptische Lufträume auf, deren längerer Durchmesser gewühnlich der Mediane parallel liegt, und die von einander durch zur Oberfläche perpendi- kuläre aus einer Schicht gleichfalls chlorophyilführen- der Zellen bestehende Scheidewände getrennt sind. Die Mediane des Stammes durchzieht ein kleines Leitzellenbündel ”), das sich in einiger Entfernung von der Spitze im Parenchym verliert. Da, wo dieser mediane Strang zwischen den beiden seitlichen Ta- schen, in denen die jungen Knospen sitzen, verläuft, werden von ihm zwei seitliche Bündel abgezweigt, die zuerst schwach bogenfürmig, dann dem medianen Strange parallel verlaufen und noch früher als der letztere im Parenchym verschwinden. Die Grenze zwi- schen dem ein- und zweischichtigen Theiïle des Paren- chyms, die wegen des viel intensiveren Grüns des letzteren sogleich in die Augen springt, ist gewühn- lich sehr unregelmässig ausgebildet: nicht nur zeigt sie mannigfaltig entwickelte Vorsprünge, sondern es kommen sogar einzelne zweischichtige Inseln ringsum von eine einzige Lage bildenden Parenchymzellen um- geben vor. Bemerkenswerth sind ferner die mit Luft erfüllten Intercellularräume des einschichtigen Thei- les des Parenchyms. Sie bilden ein zierliches, hie und da unterbrochenes Netz, in dessen Maschen immer zwei bis mehrere Chlorophyllzellen eingelagert sind (Fig. 1 u. 6). Zwischen den gewôhnlichen chlorophyil- führenden Parenchymzellen liegen meist einzeln (Fig. 1, 2 u. 5), seltener zu zweien an einander unmittel- 4) Spaltoffnungen kommen nur am nicht untergetauchten Theiïle der blühenden Pflanze vor. S. Hoffmann. Ann. des se. natur, 2de sé- rie. T. XIV, p. 230. Ich habe bloss sterile Exemplare untersucht,. 5) S. Caspary. Pringsheim’s Jahrbücher, Bd. I, S. 382. des Sciences de Saint-Pétersbourg. PP 570 bar angrenzend (Fig. 4) etwa zwei bis drei Mal län- gere Zellen, deren jede ein grosses Raphidenbündel enthält. Schon mit einer schwachen Loupe erblickt man diese-Raphidenbündel als im durchfallenden Lichte schwarze, im reflectirten weisse Striche, Sie kom- men vorzüglich im einschichtigen Marginaltheile des Parenchyms vor, wo sie ziemlich gleichmässig ver- theilt sind und sämmtlich der Mediane oder dem Rande parallel liegen. Wird eine nicht allzu junge, aber noch keinen Stiel besitzende Knospe aus ihrer Tasche herauspräparirt, so erblickt man an ihrer Ba- sis, die den jüngsten vermehrungsfähigen Theil der neuen Pflanze bildet°), ein kleinzelliges gleichfürmi- ges Gewebe ohne luftführende Intercellularräume. Die Zellen enthalten ein gewühnlich blassgrünes Pro- toplasma, in welchem man jedoch noch keine Chloro- phyilkürner unterscheiden kann. Sehr früh differen- zirt sich die hier aus rechteckigen kernhaltigen Zel- len bestehende Epidermis. Etwas weiter kommen plôtzlich lufterfüllte Intercellularräume, die schon jetzt das oben erwähnte Netz bilden, zum Vorscheine. Gleichzeitig treten zwischen den jungen Parenchym- zellen einzelne ellipsoidische wie blasig angeschwol- lene Zellen auf, die mit einer schleimigen hyalinen Flüssigkeit erfüllt zu sein scheinen. Bald erblickt man in diesen Zellen ein winziges Raphidenbündelchen. Je weiter von der Basis entfernt, desto grüsser wer- den diese Zellen; das Wachsthum der Raphiden hält mit demjenigen der sie cinschliessenden Zellen glei- chen Schritt, bis sie ihre schliessliche Grüsse, die sie dann bis zur Stengelspitze bewahren, erreicht haben. Somit genügt schon ein flüchtiger Blick auf eine junge Knospe von Lemna trisulca, um zu allen den Schlüs- sen zu gelangen, die in jüngster Zeit Hilgers”) aus der Betrachtung mühsamer Knospendurchschnitte und aus Zzahlreichen Messungen der Raphidenbündel gezo- gen hat *). 6) Das Wachsthum des zweiten am meisten entwickelten Inter- nodium der Lemna trisulea schreitet in basipetaler Richtung fort. Sieche Kayæmanp. O BOCXOAHINUXBE OCAXE HÉKOTOPHIXE PACOKE. Tpyxer 1'o cr'baxa pycekuxBR ecrecrsoncusrarereñ. Ein kurzes Re- ferat über diese interessante und für die Morphologie der Lemna- ceen sebr wichtige in russischer Sprache erschienene Arbeit findet man in der Bot. Zeit, 1868, A: 25, S. 383. 7) Hilgers. Über das Auftreten der Krystalle u. s. w. Prings- heim’s Jahrbücher, Bd. VI, S. 285 u. ff. 8) Holzner (Flora 1868, X 20, $S. 807) findet das Resultat der Hilgers’schen Untersuchung «sehr beachtenswerth, indem durch di- 571 Ich gehe jetzt zur Vertheilung der Chlorophyllkür- ner im Parenchym von Lemna trisulca über. Es muss bemerkt werden, dass ich dieselbe vorzüglich in dem ein- und zweischichtigen Theiïle desselben unter- sucht habe. Da, wo es die oben erwähnten Luftbehäl- ter umgrenzt, ist eine genaue Untersuchung der Chlo- rophyllkürnervertheilung sehr schwierig, denn bei der allseitigen Abgeschlossenheit dieser Behälter und bei dem vollstäindigen Mangel der Spaltôffnungen kann die in ihnen enthaltene Luft nicht ohne gleichzeitige Beschädigung des Gewebes entfernt werden. Die Me- thode des Durchschneidens ist aber bei solchen Fra- gen gewiss nicht zuverlässig genug. Am gewôhnlichen diffusen Tageslichte findet man die der Oberfläche des platten Stengels parallelen Zellwände des Parenchyms gleichmässig mit Chloro- phyllkürnern bedeckt (Fig. 1). Wird aber eine solche Pflanze der Wirkung des directen Sonnenlichtes aus- gesetzt, so tritt rasch eine Veränderung der Chloro- phyllkürnervertheilung ein. Nach 10 —15 Minuten bedecken sie gleichmässig die Seitenwände, d. h. die- jenigen Wände, mit denen die chlorophyllfährenden Zellen an einander stossen, wobei ursprünglich auch die Seitenwände der Raphidenzellen nicht ausgeschlos- sen bleiben (Fig. 2); am Rande der Parenchymschicht aber bleiben die nach aussen gekehrten Seitenwände gleich der oberen und unteren chlorophyllfrei (Fig. 3). Bei fortgesetzter Einwirkung des directen Sonnenlich- tes verlassen die Chlorophyllkürner diejenigen Schei- dewände, die die gewühnlichen Parenchymzellen von den Raphiden einschliessenden trennen, dann aber auch einige andere Seitenwände (Fig. 4). Nach ”, — 1-stündiger Beleuchtung ist das regelmässige ununter- brochene Chlorophyllnetz nicht mehr vorhanden; die Chlorophylikôrner bilden jetzt unregelmässige Grup- recte Messungen nachgewiesen ist, dass die Ausscheidung des oxal- saueren Kalkes in Krystallform allmählich geschieht».Ich glaube,dass Hilgers einfach das formulirt hat, was bis jetzt als selbstverständlich angenommen wurde. Es ist ja eine längst bekannte Thatsache, dass im Vegetationspunkte, wie in allen der Zellenvermehrung zunächst dienenden Geweben, die Zellen weder Stärkemehlkôrner, uoch an- dere feste Kohlenhydrate enthalten, überhaupt nur ein dickflüssiges Protoplasma als Inhalt erkennen lassen (s. z. B. Schacht. Beiträge zur Anat. u. Phys. der Pflanzen 1854. $. 4). Nun wird aber gewiss Niemand geglaubt haben, dass die Raphidenbündel plützlich und nicht allmählich entstehen. Was die Hilgers’sche Methode, die auf den Durchschnitien der einzelnen Blattanlagen einer Knospe sicht- baren Krystallzellen zu zählen, betrifft, so kann sie gewiss an grosse Genauigkeit keinen Anspruch machen. Bulletin de l’Académie Impériale 57? pen, die die Ecken, wo mehrere Zellen zusammen- stossen, einnehmen (Fig. 5). Damit hat die Wande- rung der Chlorophyllkürner ihr Ende erreicht, denn bei weiter fortgesetzter Beleuchtung erfolgt keine weitere Veränderung ihrer Vertheilung. Alles bis jetzt Gesagte bezieht sich zunächst auf denjenigen Theil des Stammes, wo die Chlorophyllzellen bloss eine ein- zige Lage bilden. Da, wo sie in zwei über einander liegenden Schichten gelagert sind, findet fast das Nämliche statt; am frühesten verlassen die Chloro- phyllkürner die an die Epidermis anstossenden Aus- senwände:; diejenigen Scheidewände, die die obere Parenchymschicht von der unteren trennen, bleiben noch einige Zeit mit Chlorophyll bedeckt, bald wan- dern aber auch diese Chlorophyllkôrner auf die Sei- tenwände über, so dass nun zwei Chlorophyllnetze, eins unter dem anderen liegend, vorhanden sind. Bei fort- gesetzter Beleuchtung wird auch hier die regelmässig netzformige Vertheilung in eine gruppenweise über- geführt. Die übrigen Theile der Pflanze: der Stiel, die Taschenwände, sowie auch der die Luftbehälter einschliessende Theil verhalten sich ebenso. Die in den einschichtigen Scheidewänden, die die Luftbehäl- ter von einander trennen, stattfindenden Vorgänge konnte ich nicht studiren. War eine Pfanze der Lemna trisulca etwa eine Stunde lang der Wirkung des directen Sonnenlichtes ausgesetzt, so erscheint sie sehr blass, und ihre Zel- len mit ihren zu Gruppen vereinigten Chlorophyll- kôrnern sehen unter dem Mikroskope wie abgestor- ben aus. Man braucht aber nur eine solche Pflanze wieder ins diffuse Tageslicht zu versetzen, um sich zu überzeugen, dass davon gar keine Rede sem kann. Denn nach einiger Zeit, zuweilen schon nach //-stün- digem Aufenthalte im gemässigten Lichte, bedecken die Chlorophylikôrner wieder die der Fläche des Sten- gels parallelen Zellwände. Diese Überführung der Chlorophyllkürner aus einer Lagerung in die andere kann durch alternirende Versetzung aus dem diffusen Tageslichte ins directe Sonnenlicht und umgekehrt an einer und derselben Pflanze beliebige Male erzielt werden. Dass dabei die Wärmestrahlen des Sonnenlichtes keine Rolle spielen, ergiebt sich daraus, dass die Ver- einigung der Chlorophyllkürner zu Gruppen durch die Abhaltung der Wärmestrahlen nicht beeinträchtigt 573 wird: ein kleines glattrandiges Porzellangefäss, auf dessen Boden sich in einer dünnen Wasserschicht die Pflanze befand, wurde von einem grossen parallel- wandigen mit Wasser gefüllten Glasgefisse bedeckt dem Sonnenlichte ausgesetzt; die Gruppirung der Chlorophyllkôrner erfolgte bei solchen Umständen ebenso rasch, wie ohne Abhaltung der Wärmestrah- len. Weiïter brachte ich ein grosses Wassergeläss mit einem Thermometer versehen an die Sonne; nach ’,-stündiger Beleuchtung betrug die Temperaturerhô- hung des Wassers bloss 1° C., während in der am Boden des Gefässes liegenden Versuchspflanze simmt- liche Chlorophyllkürner die Seitenwände bedeckten. Den deutlichsten Beweis aber dafür, dass nicht die Wärmestrahlen die oben beschriebenen Erscheinun- gen verursachen, giebt der Umstand, dass dieselben our durch die brechbarsten Strahlen des Sonnenspec- trums hervorgerufen werden künnen, wie folgende Versuche lehren. Am 2. September wurden auf einem offenen Fenster drei Porzellanschalen, jede zwei aus dem Aquarium frisch gebrachte Pflanzen enthaltend, dem directen Sonnenlichte ausgesetzt; da das Aquarium am zerstreuten Tageslichte stand, so fanden sich in allen Versuchspflanzen sämmtliche Chlorophyllkürner auf den der Stengelfläche parallelen Wänden. Die drei Schalen wurden mit drei gleichen parallelwandigen Glasgefässen, von denen das eine Wasser, das an- dere eine Lüsung von Kupferoxydammoniak, das dritte eine Lüsung doppeltchromsauren Kalis ent- hielt*), überdeckt. Nach einer halben Stunde waren unter den beiden ersten Gefässen die Chlorophylikür- ner überall auf den Seitenwänden vertheilt, während sie im gelben Lichte wie früher die horizontalen Wände bedeckten. Jetzt wurde ein Pflänzchen aus dem gelben Lichte ins blaue und umgekebrt versetzt; ausserdem brachte ich eins von den beiden unter dem Wasser- gefässe vorhandenen ins diffuse Tageslicht. Nach einer neuen halben Stunde wurde unter dem Kupferoxydam- moniakgefässe in beiden Pflanzen die Vertheilung der 9) Die farbigen Flüssigkeiten wurden spectroskopisch geprüft. Das doppeltchromsaure Kali liess die rothen, orangen, gelben Strahlen und einen kleinen Theil der grünen durch, so dass die Grenze des absorbirten und nicht absorbirten Theiïles des Spectrums etwa zwei Mal näher der Linie D als der Linie Æ lag. Die Kupferoxydammo- niaklüsung absorbirte den ganzen weniger brechbaren Theil bis znr Linie F. Da aber eine so concentrirte Lôsung auch diejenigen Strah- len, die sie durchlässt, merklich schwächt, so wurde sie später etwas verdünnt, so dass die Absorption bloss bis zur Linie Æ statt fand. des Sciences de Saint - Pétersbourg. 574 Chlorophyllkürner auf den Seitenwänden beobachtet: dasselbe zeigte auch die unter dem Wassergefäisse am Sonnenlichte gelassene Pflanze. Im zerstreuten, sowie im gelben Sonnenlichte wurden sämmtliche Chloro- phyllkôrner auf den horizontalen Wänden gefunden. Wird eine Pflanze der Lemna trisulca auf einem Objectglase unter dem Mikroskope den directen Son- nenlichtstrahlen ausgesetzt, das von oben auf dieselbe fallende Licht durch Beschattung abgehalten und die übermässige Erwärmung durch ein vor dem Spjegel des Mikroskops gestelltes mit Wasser gefülltes pral- lelwandiges Glasgefäss verhütet, so findet in dem von unten durch grelles Sonnenlicht direct-beleuchteten Theile der Pfanze eine rasche Überwanderung der Chlorophyllkôrner auf die Seitenwände statt, während sie in den übrigen Theiïlen derselben Pflanze wie frü- her die horizontalen Wände bedecken. Verschiebt man jetzt das Objectglas, so dass ein neuer früher beschatteter Theil beleuchtet wird, während der vor- her beleuchtete sich im Schatten befindet, so sind nach etwa ‘/,-Stunde im ersten die Chlorophyllkôrner auf den Horizontal-, im zweiten auf den Seiten- wänden vertheilt. Ich führe diesen Versuch bloss desswegen an, weil er ganz deutlich zeigt, dass der Parallelismus der Sonnenstrahlen bei der in Rede stehenden Erscheinung keine Rolle spielt, denn nach ibrer Reflexion von dem concaven Spiegel des Mikro- skops verlieren dieselben ihre Eigenschaft, die oben beschriebene eigenthümliche Vertheilung der Chloro- phyllkôürner hervorzurufen, nicht. Übrigens ist ein volles directes Sonnenlicht zur Beobachtung dieser Erscheinung nicht durchaus nothwendig: auch bei einem bedeckten Himmel, auf dem der Ort der Sonne fast unmerkbar war, habe ich dieselbe mehrmals be- obachtet. Die eben bei Lemmna trisulca geschilderte Erschei- nung tritt auch sebr deutlich an den Blättern von Callitriche verna L.") auf. Am diffusen Tageslichte bedecken die Chlorophyllkôrner auch hier die hori- zontalen Wände, während sie am Sonnenlichte auf die seitlichen überwandern. Das Blattparenchym von Cal- 10) Callitriche autumnalis L., dessen Blätter bloss ein zweischich- tiges Parenchym besitzen und daher zu solchen Beobachtungen noch geeigneter wären, konute ich leider zur Zeit, wo mir die Bedeutung der Lichtintensität schon bekannt war, nicht mehr untersuchen. So viel ich mich jetzt erinnern kann, verhält sie sich der Callitriche verna gleich. 579 Bulletin de l’Académie Empériale 5576 litriche verna besteht aus 3—4 Schichten chlorophyll- führender Zellen, von denen die unter der oberen mit Spaltôffinungen versehenen Epidermis liegenden eine ziemlich regelmässige sphäroidische Form besitzen, während die der unteren Blattseite angehürenden eine unregelmässig sternfürmige Gestalt und grosse mit Luft erfüllte Intercellularräume zeigen. Die Luft stürt hier die Untersuchung nicht, da sie leicht mittelst der Luftpumpe entiernt werden kann; solche Blätter, de- ren Intercellularräume mit Wasser injicirt sind, ver- halten sich zum Lichte den normalen luftfübrenden ganz gleich, wie vergleichende Versuche lehren. Die Lageveränderung der Chlorophyllkôrner findet am Sonnenlichte sowohl auf der unteren, als auf der obe- ren Blattseite statt, in der letzteren ist sie aber we- gen der grüsseren Regelmässigkeit der Parenchymzel- len viel ausgeprägter. Nach anhaltender Beleuchtung sammeln sich hier die Chlorophyllkôrner an denjeni- gen Stellen, wo die einzelnen Parenchymzellen an ein- ander stossen, während die an die Intercellularräume grenzenden Theile der Seitenwände chlorophyllfrei bleiben (Fig. 7). Dass diese Lage der Chlorophylkür- ner der Gruppirung derselben in den Zellenecken der Lemna trisulca entspricht, liegt auf der Hand. Eine solche Lageveränderung der Chlorophyllkür- ner im directen Sonnenlichte kommt aber nicht bloss bei Wasserpflanzen '') vor; vielmehr habe ich diese Erscheinung auch an Landpflanzen wie z. B. an Stel- laria media Vill. beobachtet, wo sie sehr ausgeprägt ist. Weiter gehôüren auch die interessanten und schon vor längerer Zeit von Bühm an vielen Crassulaceen gemachten Beobachtungen uuzweifelhaft hieher. Bühm fand nämlich Ÿ), dass am directen Sonnenlichte säimmt- liche Chlorophyllkürner einer Zelle sich zu einer der Zellenwand anliegenden Gruppe vereinigen. Dasselbe bemerkte er) auch an einer grossen Anzahl fleisch- blätteriger Saxifraga-Arten. Das war die erste That- sache, die einen Einfluss des Lichtes auf die Verthei- lung der Chlorophyllkürner demonstrirte. Oben wurde bei der Besprechung der in den Pa- renchymzellen von Lemna trisulca stattfindenden La- 11) Auch Ceratophyllum demersum L. zeigt diese Erscheinung. 12) Bôhm. Beitrâge zur näheren Kenntniss des Chlorophylls. Sitzungsberichte der Wiener Akademie, 1856; Bd. 22, S. 510 u. ff. 18) Bôhm. Über den Einfluss der Sonnenstrablen auf die Chlo- rophyllbildung u.s. w. Sitzungsberichte der Wiener Akademie, 1859. Bd. 37. $. 476. genveränderungen der Chlorophyllkürner erwähnt, dass die Pflanze nach einer etwa einstündigen Insola- tion, wenn ihre Chlorophyllkôrner sämmtlich in den Zellecken zu unregelmässigen Gruppen vereinigt sind, sehr blass erscheint. Ebenso verhalten sich auch die Blütter von Callitriche verna und Siellaria media. Die 'hatsache des Erbleichens der grünen Pflanzentheile am directen Sonnenlichte ist schon längst bekannt. Sie wurde von Marquart an verschiedenen Farrnblät- tern, z. B. an denjenigen von Aspidium patens L. be- merkt'*). Im Jahre 1859 publicirte Sachs eine aus- fübrliche Abhandlung über diesen Gegenstand ”), den er an den Blättern verschiedener Pflanzen, wie Zea Mais, Nicotiana Tabacum, Oxalis und vielen anderen untersuchte. Er machte diese Erscheinung dadurch besonders augenfällig, dass er geschmeidige Bleistrei- fen um grüne Blätter legte, welche dann der Wirkung des directen Sonnenlichtes ausgesetzt wurden. Wurde nach 10— 20 Minuten das Bleiband entfernt, so er- blickte man den Schatten desselben als dunkelgrünes Bild auf hellgrünem Grunde. Dieses «Schattenbild» verschwand sowohl im diffusen, als im directen Son- nenlichte: im ersten aber durch Dunklerwerden des Grundes, im letzten dagegen durch Hellerwerden des Bildes. Sachs untersuchte solche deutliche Schatten- bilder zeigende Blätter unter dem Mikroskope nicht, was übrigens nicht unmôüglich war, da, wie er selbst angiebt "), die Schattenbilder «bei Blättern unter Wasser ebenso, wie es scheint, sogar energischer» auftreten, «selbst dann, wenn die Intercellularräume mit Wasser infiltrirt sind (Sambucus nigra)»"). Er suchte die von ihm beobachteten Thatsachen da- durch zu erklären, dass er eine theilweise Zerstürung des grünen Farbstoffes durch das directe Sonnenlicht annahm; im Schatten sollte nun das zerstôrte Chloro- phyll wieder erzeugt werden. Drei Jahre später be- zeichnete aber Sachs) diese von ihm versuchte Er- klärung als ungenügend. Etwas später wies Bôhm n) 14) Clamor Marquart. Die Farben der Blüthen. 1835. S..47. 15) Sachs. Über das abwechselnde Erbleichen und Dunkelwer- den der Blätter bei wechselnder Beleuchtung. Berichte der mathem. phys. Classe der K. sächs. Gesellschaft der Wissenschaften, 1859, S. 226 u. ff. 16) 1. c. S. 230. 17) Sachs. Experimentalphysiologie, 1865, S. 16. 18) Flora, 1862. X 14, S. 220. 19) Bühm. Beiträge zur näheren Kenntniss des Pflanzengrüns. Sitzungsberichte der Wiener Akademie, 1863, Bd. 47, S. 352 u. ff. 07% bei Gelegenheit einer kritischen Beleuchtung der von Sachs gegebenen Erklärung auf die von ihm schon vor einigen Jahren entdeckte, aber im Allgemeinen wenig berücksichtigte Thatsache der Lageveränderung der Chlorophyllkürner bei den Crassulaceen im direc- ten Sonnenlichte als auf die wahrscheinliche Ursache des abwechselnden Erbleichens und Dunkelwerdens der Blätter bei wechselnder Beleuchtung hin. In seinem Handbuche der Experimental - Physiologie bestreitet Sachs Bühm’s Beobachtungen und Folgerung nicht; «sie (diese Folgerung) auf die von mir genannten Fälle zu übertragen,» bemerkt er, «scheint mir aber ungerechtfertigt, da die wandständigen Chlorophyll- kôürner dieser Pflanzen wohl keine derartigen Lagen- veränderungen eingehen künnen, wenigstens spricht keine Beobachtung dafür ”); eher wäre hypothetisch anzunehmen, dass die wandständigen ChlorophylIkôr- rer sich zusammenzôügen, oder auch radial gegen das Zellenlumen sich ausdehnten und in den tangentialen Richtungen kleiner würden, sich somit von einander entfernten, ohne ihren Platz an der Zellenwand zu verlassen; auch so künnte der Farbenton des ganzen Gewebes für das Auge sich ändern, Doch sind das Vermuthungen, die zunächst jedes Beweises entbeh- ren»*'). Micheli, der vor kurzer Zeit in Sachs’s La- boratorium arbeitete, glaubt nun gefunden zu haben, dass die erste von diesen Hypothesen die richtige sei. Er giebt an”), dass in den Blättern von Ceratodon purpureus die Chlorophyllkürner durch starkes Son- nenlicht deutlich contrahirt werden. Micheli spricht weiter die Vermuthung aus, dass auch das von Sachs beobachtete Erbleichen verschiedener Blätter am di- recten Sonnenlichte demselben Umstande zuzuschrei- ben sei. Ohne die Richtigkeit der von Micheli an Ceratodon purpureus angestellten Beobachtungen (ich habe dieselben nicht wiederholt) im mindesten be- zWeifeln zu wollen, muss ich seine Vermuthung als vüllig unhaltbar zurückweisen. Jeder, der sich die Mühe geben wird, die von Sachs mitgetheilten das 20) Famintzin’s Beobachtungen über die Wanderung der Chlo- rophyllkôrner in den Mnium-Blättern wurden erst Ende 1866, also ein Jahr nach dem Erscheinen der Physiologie von Sachs, pu- blicirt. 21) 1. c. S. 16 u. f. 22) Micheli. Quelques observations sur la matière colorante de la chlorophylle. Archives des sciences de la Bibliothèque univers. de Genève, T. 29, 1867, Xe 113, p. 26. Tome XIII. des Sciences de Saint-Pétersbourg. 578 Srbleichen der grünen Blätter am Sonnenlichte be- treffenden Beobachtungen mit den von mir oben für Lemna, Callitriche und Stellaria beschriebenen Lagen- veränderungen der Chlorophyllkürner zu vergleichen, der wird eine so vollständige bis in die Einzelheiten gehende Analogie erblicken, dass er gewiss an der Richtigkeit der von Bühm gegebenen Erklärung kei- nen Augenblick mehr zweifeln wird. Dass das Auftre- ten der Sachs’schen Schattenbilder wirklich auf einer solchen Lagenveränderung der Chlorophyllkürner be- ruht, zeigen folgende Versuche auf eine unzweideu- tige Weise. Ich legte nach Sachs’s Vorfahren dünne Bleibänder um grüne Blätter von Callitriche verna, Stellaria media, oder auch um Thallome der Lemna trisulca, die ich dann dem directen Sonnenlichte aus- setzte. Nach kurzer Zeit erhielt ich, wenn die Blei- bänder entfernt wurden, immer sehr deutlich ausge- sprochene Schattenbilder, die wenigstens bei Lemna und Stellaria sowohl im durchfallenden, wie im auf- fallenden Lichte erschienen. Die mikroskopische Be- trachtung eines solchen Blattes zeigte, wie sich auch erwarten liess, dass in dem von dem Bleibande be- deckten Theile desselben die Chlorophyllkürner auf den Horizontalwänden, die sie wie am zerstreuten Tageslichte gleichmässig bedeckten, geblieben waren, während sie in dem erbleichten Theile des Blattes sämmtlich auf den Seitenwänden vertheilt waren. Lag das Bleiband dicht genug an, so war die Grenze des Schattenbildes unter dem Mikroskope stets sehr aus- geprägt, so dass oft von zwei an einander unmittelbar angrenzenden Zellen in der einen die Chlorophyllkür- ner die Aussen-, in der anderen dagegen die Seiten- wände bedeckten. Fig. G stellt eine solche Grenze eines an ZLemna trisulca erhaltenen Schattenbildes dar; Fig. 8 zeigt dasselbe für Callitriche verna. Selbst- verständlich muss daher das Schattenbild sowohl im directen, als auch im zerstreuten Sonnenlichte ver- schwinden: im ersten Falle wegen des Überwanderns der Chlorophylikürner in dem dunklen Bilde auf die Seitenwände, im zweiten wegen des Hervorkrie- chens derselben im erbleichten Theile des Blattes auf die Aussenwände. Weiter ist leicht einzusehen, dass die Schattenbilder im blauen, nicht aber im gelben Lichte auftreten müssen, wie mir auch directe an Blättern von Cullitriche verna angestellte Versuche zeigten: unter dem Kupferoxydammoniakgefässe tra- 37 579 Bulletin de l’Académie Impériale 580 ten die Schattenbilder ebenso rasch und intensiv als im vollen Sonnenlichte auf, während unter der dop- peltchromsauren Kalilüsung ihre Bildung gänzlich un- terblieb. Somit ist es erwiesen, dass die vom Lichte abhän- gigen Lagenveränderungen der Chlorophyllkürner nicht nur bei den hôheren Kryptogamen, sondern auch bei vielen Phanerogamen vorkommen, und dass das Erbleichen der grünen Pflanzentheile sowie das Auftreten der Sachs’schen Schattenbilder durch sol- che Wanderungen der Chlorophyllkürner bedingt werden. Damit ist aber die hier zu behandelnde Frage noch offenbar nicht erschôpft. Erwägen wir den Um- stand, dass bei den Kryptogamen, wie aus Famintzin’s und meinen übereinstimmenden Beobachtungen be- kannt ist, die Chlorophyllkürner auf die Seitenwände in der Dunkelheit überwandern, während sie bei den darauf untersuchten Phanerogamen, wie oben gezeigt wurde, dasselbe im directen Sonnenlichte thun, so erscheint die Analogie der beiden grossen Pflanzen- gruppen noch sehr lückenhaft. Offenbar musste noch das Verhalten der Moosblätter, Farrnprothallien u.s.w. zum directen Sonnenlichte einerseits, sowie das Ver- halten der grünen Theile der Phanerogamen zu der Dunkelheit anderseits geprüft werden. Einige Ver- suche, die ich zu diesem Zwecke an Blättern von Funaria hygrometrica und an Prothallien von Aneimia Phyllitides Sw. anstellte, zeigten mir sogleich, dass sie sich dem directen Sonnenlichte gegenüber ganz ähnlich wie z. B. die Blätter von Sfellaria media ver- halten; eine kurze Insolation genügte, um die Chloro- phyllkürner auf die Seitenwände überzuführen, so dass starke Insolation dieselbe Wirkung wie vüllige Dun- kelheit, aber viel rascher ausübt. Daher wird es nicht befremden, dass in einem aus der Dunkelheit ins di- recte Sonnenlicht versetzten Funaria-Blatte die nächt- liche Lagerung der Chlorophyllkürner unverändert bleibt, während sie am zerstreuten Tageslichte rasch auf die Aussenwände hervorkriechen *). Was nun das Verhalten der hüheren Pflanzen zu ‘der Dunkelheit anbetrifft, so habe ich darauf gleich- falls Lemna trisulca, Callitriche verna und Stellaria 23) Aus Mangel an Material konnte ich bis jetzt bloss eine sebr begrenzte Zahl von Versuchen an Kryptogamen anstellen, werde aber nicht versäumen, diese Beobachtungen so bald als môglich weiter zu prüfen und zu vervollständigen. media geprüft. An den Blättern von Callitriche verna konnte ich keine Lagenveränderungen der Chlorophyll- kürner durch Verdunkelung hervorbringen; sie be- deckten dabei stets die Aussenwände, wie es am zer- streuten Lichte der Fall ist. Es muss aber ausdrück- lich bemerkt werden, dass alle in vorliegender Arbeit beschriebenen Beobachtungen und Versuche in einer späten Jahreszeit, nämlich im September und October, angestellt wurden; dass aber die Jahreszeit, in welche die Untersuchung fällt, von grosser Bedeutung ist, ersieht man sogleich aus folgenden Daten. In den heissen Junitagen waren schon nach einer stunden- langen Verweilung im dunklen Raume sämmtliche Chlorophyllkôürner des Blattes von Funaria hygrome- trica auf den Scheidewänden anzutreffen. Als ich aber dasselbe Moos, bei mir im Zimmer wachsend, im Oc- tober untersuchte, so zeigte es entweder gar keine Lagenveränderungen des Chlorophylls in der Dunkel- heit, oder es wanderte dabei bloss ein geringer Theil der Chlorophyllkürner auf die Seitenwände über, während die meisten auf den Aussenwänden blieben. Im Stengel von Lemna trisulca ist es mir indessen gelungen, auch zu dieser ungünstigen Jahreszeit eine, wenn auch nicht immer deutlich ausgesprochene Über- wanderung der Chlorophyllkürner auf die Seitenwände in Folge der Verdunkelung zu beobachten. Es kamen hin und wieder einzelne Exemplare vor, bei denen eine in der Dunkelheit stattfindende Lagenverände- rung der Chlorophyllkôürner ebenso wenig wie in den Callitriche-Blättern zu finden war; meistens aber be- merkte man eine solche wenigstens in den in den Taschen verborgenen, also jüngeren Theilen der seit- lichen Knospen, zuweilen auch in den Taschenwänden selbst. Jedenfalls wird die Überwanderung der Chlo- rophyllkürner auf die Seitenwände durch die Verdun- kelung viel langsamer als durch directes Sonnenlicht hervorgerufen und ist ausserdem nie so scharf wie im letzten Falle ausgeprägt: ein mehr oder weniger be- deutender Theil der Chlorophyllkôrner verbleibt in der Dunkelheit fast immer auf den Aussenwänden; eine Gruppirung des Chlorophylls in den Zellecken, wie sie bei längerer Einwirkung des directen Sonnen- lichtes eintritt, konnte ich in der Dunkelheiït nie be- obachten. Dass aber die Verdunklung wirklich der starken Insolation gleich, aber nur viel langsamer auf die Chlorophyllzellen der Lemna trisulca wirkt, darü- 581 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 58? ber kann ich gar nicht zweifeln. Noch jetzt, wo ich diese Zeilen schreibe (14. Januar), zeigen die vor mir liegenden Pflänzchen diese Erscheinung sehr deutlich: während im diffusen Tageslichte (directes Sonnenlicht ist jetzt nicht zu haben) die Chlorophyllkürner die Aussenwände gleichmässig bedecken, finden sie sich im einschichtigen Parenchymtheile der etwa während 24 Stunden im dunklen Raume gehaltenen Pflänzchen so gut wie sämmtlich auf den Seitenwänden; im zwei- schichtigen Theiïle sieht man aber nicht zwei unter einander liegende Netze, weil die die obere Paren- chymlage von der unteren trennenden Scheidewände gleichfalls mit Chlorophyllkôürnern bedeckt sind. — Noch viel deutlicher ist die in der Dunkelheit statt- findende Lagenveränderung der Chlorophyllkürner in den Blättern von Sfellaria media. Fig. 9 u. 10 der beigegebenen Tafel stellen beide einen und denselben Theil der Oberseite eines Blattes von Stellaria media dar, aus dessen Intercellularräumen die Luft mittelst einer Luftpumpe entfernt wurde. Die Fig. 9 zeigt die Vertheilung der Chlorophyllkürner, wie sie am diffu- sen Tageslichte anzutreffen ist; Fig. 10 ist dagegen nach einer fast 24-stündigen Verweilung des Blattes in einem dunklen Raume gezeichnet. Letztere Figur kann gleichzeitig auch die dem directen Sonnenlichte entsprechende Lagerung des Chlorophylls darstellen; nur sind nach längerer Insolation die Chlorophyllkür- ner nicht mehr gleichmässig auf den Seitenwänden vertheilt, sondern daselbst zu unregelmässigen Grup- pen vereinigt. Noch will ich bemerken, dass man zu- weilen nicht alle Chlorophyllkürner der äussersten Parenchymlage in der Dunkelheit auf den Seitenwän- den trifit: ein kleiner Theil davon bleibt auf den Aus- senwänden; diese letzteren Chlorophyllkürner zeigen dabei eine sehr eigenthümliche Vertheilung, indem sie in einer Reihe gerade unter den die Epidermiszellen von einander trennenden Scheidewänden, die sie in ihrem geschlängelten Verlaufe überall begleiten, lie- gen (Fig. 11). Das Vorhandensein einer in der Dunkelheit statt- findenden Lagenveränderung der Chlorophyllkürner in den Blättern von Sfellaria media suchte ich noch durch folgende belehrende Versuche festzustellen. Legt man ein dünnes Bleiband um ein Blatt, das lange genug in der Dunkelheit verweilte, und setzt man es dann dem zerstreuten Tageslichte aus, so muss man erwarten, dass in dem unbedeckten Theile des Blattes die Chlorophyllkürner auf die horizontalen Wände überwandern, während sie unter dem Bleibande, falls dasselbe dem Blatte dicht genug anlag, auf den Sei- tenwänden verbleiben werden; desshalb muss man nach Entfernung des Bleibandes einen blassen Strei- fen auf dunkelgrünem Grunde erblicken. Directe Ver- suche wiesen dieses Raisonnement als vüllig richtig auf: sowohl in diesem Falle, als auch wenn ein Blatt aus dem directen Sonnenlichte mit einem Bleibande versehen in gemässigtes Licht versetzt wurde, erhielt ich mehrmals sehr deutliche blasse Streifen, die be- sonders im durchfallenden, aber auch im reflectirten Lichte auftraten. Die mikroskopische Untersuchung lehrte, dass die verschiedene Intensität der grünen Farbe des bedeckt gewesenen und des unbedeckten Theiïles des Blattes wirklich durch die verschiedene Lagerung der Chlorophyllkürner bedingt war. Dass der bleiche Streifen nicht etwa durch allzu dichtes Anliegen des Bleibandes, wodurch das Gewebe be- schädigt werden künnte, verursacht war, beweist zur Genüge der Umstand, dass dieser Streifen nach Ent- fernung des Bleibandes am zerstreuten Lichte immer undeutlicher wurde, bis er endlich gänzlich ver- schwand. Aus allen im Vorherigen mitgetheilten Beobach- tungen und Versuchen geht hervor, dass die vüllige Abwesenheit des Lichtes, so wie starke Insolation eine im Wesentlichen gleiche Vertheilung der Chlorophyll- kürner hervorrufen, nur kommt dieselbe unter der Wirkung des directen Sonnenlichtes viel rascher zu Stande. Diese Wirkung der Dunkelheit scheint schon Bühm wenigstens theilweise bemerkt zu haben, wie man aus folgender Stelle seiner ersten Abhandlung *) schliessen darf. «Um zu erfahren, ob die Lageverän- derung der Chlorophyllkürner auch an den dem Son- nenlichte ausgesetzten, zur mikroskopischen Betrach- tung verfertigten Präparaten erfolge, legte ich selbe, um sie vor dem Vertrocknen zu schützen entweder auf einen Streifen weissen Filtrirpapieres, dessen eines Ende in ein mit Wasser gefülltes Gefäiss getaucht wurde, oder gleich ins Wasser selbst . . .. Die Grup- pirung der grünen Kürner erfolgte stets auffallend schnell; doch es zeigte sich bald, dass unter solchen 24) Bôh m, Sitzungsberichte der Wiener Akademie, 1856, Bd. 22, S. 511 u. f. 87* 283 Bulletin de l’Académie EHmpériale 84 Umständen besagte Veränderung auch im vollkommen finsteren Raume nach mehreren Stunden eintritt. Das- selbe geschieht auch, wenn die Intercellulargänge der Blätter mit Wasser injicirt werden, nur vereinigen sich in diesen Fällen die Chlorophyllkôrner derselben Zelle nie so vollkommen, sondern bleiben fast immer in mehrere Gruppen vertheilt.» Etwas weiter aber sagt Bôhm (1. c., S. 512): «Da auch zerstreutes, be- sonders aber das von einer weissen Wand reflectirte Sonnenlicht auf die Lage der Chlorophyllkürner nicht ohne Einfluss ist, so muss die Pflanze wenigstens einen halben Tag vor dem Versuche (denn so lange beiläu- fig brauchen die gruppirten Chlorophyllkôrner, um in ihre frühere Lage wieder vollständig zurückzukehren) in einen finstern Raum gestellt werden.» — In seiner zweiten Abhandlung *) führt Bühm einige weitere Beobachtungen die Wirkung der Dunkelheit auf die Lage der Chlorophyllkürner betreffend an. «Im Sten- gel von Sedum Telephium fand ich die Chlorophyll- kôrner stets zu Gruppen vereinzelt, und sie kehrten auch nicht an die Wand zurück, wenn man die Pflanze durch vier Wochen und länger in’s Dunkle brachte, — In Blättern von abgeschnittenen Zweigen von Se- dum spurium, die ich in’s Dunkle brachte, zeigten sich, wenn solche abzusterben und sich zu entfärben anfin- gen, die Chlorophyllkürner ebenfalls in Gruppen ge- ballt.» Diese Beobachtungen gehôüren aber nicht hier- her, da sie an im Absterben begriffenen Pflanzenthei- len angestellt wurden *). Erwägen wir die oben festgestellte Gleichheit der Wirkung der Dunkelheit und des directen Sonnenlich- tes, so erscheint Micheli’s Angabe, dass die im direc- ten Sonnenlichte contrahirten Chlorophyllkôrner in der Dunkelheit”) wieder breiter werden und sich gegenseitig nähern, etwas auffallend. Da jedoch Mi- 25) Bôhm. Sitzungsberichte der Wiener Akademie, 1859, Bd. 37, S. 476. 26) Nach einigen noch nicht abgeschlossenen Untersuchungen bin ich geneigt anzunehmen, dass bei Verletzung z.B.durch mechanischen Druck die Chlorophyllkôrner der absterbenden Zellen sogleich auf die Seitenwände überwandern. So sah ich z. B. an der Basis der von ihrer Mutterpflanze abgetrennten Blätter von Callitriche verna diese Lagerung der Chlorophyllkôrner in einigen der Schnittwunde am nächsten liegenden Zellreïhen eintreten; sie wird dann weder durch Verdurkelung, noch durch Insolation verändert. 27) Nach Sachs, der Micheli’s Beobachtungen in seinem neuen Lehrbuche der Botanik anführt (S. 568), sollen die contrahirten Chlorophyllkürner im Schatten wieder breiter werden. In der betref- fenden Arbeit von Micheli steht aber das Wort «obscurité» (L. c., p. 26). cheli nicht angiebt, durch welche Strahlen des Spec- trums die von ihm bemerkte Contraction der Chloro- phyllkürner hervorgerufen wird, so ist es schwer zu sagen, in wie weit diese Erscheinung der bei anderen Laubmoosen, z.B.Mnium, Funaria stattfindenden Lage- veränderung der Chlorophyllkürner analog ist*). Je- denfalls wäre es interessant, Micheli’s Beobachtun- gen in einer günstigeren Jahreszeit zu wiederholen, da seine Arbeit im Winter ausgeführt wurde *). In seinem neuen Lehrbuche der Botanik spricht Sachs (S. 568) die hôchst wahrscheinliche Vermu- thung aus, dass die von Famintzin und mir beobach- teten Wanderungen der Chlorophyllkürner auf einer vom Lichtwechsel veranlassten Bewegung des farblo- sen Protoplasma beruhen, durch welche die grünen Kürner passiv mit fortgeführt werden. Wirklich hat Frank diese Lagenveränderungen auch an etiolirten Chlorophyll-, also an blossen Protoplasmakürnern be- obachtet”’). Immer noch bleibt es aber zu untersu- chen, ob die grünen Kürner dabei wirklich bloss pas- siv mit fortgeführt werden. Nägeli schreibt bekannt- lich den Kôrnchen wenigstens einen activen Einfluss auf die Plasmabewegungen zu *). Weitere Beobachtungen über den hier behandelten Gegenstand hoffe ich in einigen Monaten beim Wie- dererwachen der Vegetation anzustellen. Schliesslich will ich noch die Hauptresultate der vorliegenden Untersuchung kurz zusammenfassen. 1) In den grünen Theiïlen vieler Phanerogamen finden vom Lichte abhängige Lagenveränderungen der Chlorophyllkürner statt. 2) Die Intensität des Lichtes hat auf die Verthei- lung der Chlorophyllkürner einen grossen Einfluss. 3) 1m zerstreuten Tageslichte bedecken die Chloro- 28) Ich kenne bloss eine einzige Thatsache, die eine, wenn auch vielleicht entfernte Analogie mit der von Micheli angegebenen Contraction der Chlorophyllkôrner im directen Sonnenlichte darbie- tet, namentlich die von Famintzin beobachtete Contraction der stürkefreien Chlorophyllbänder der Spirogyra orthospira Naeg. (Fa- mintzin, Pringsheim’s Jahrbücher, Bd. VI, S. 38.) Diese Con- traction trat jedoch in der Dunkelheit auf, im blauen Lampenlichte fand dieselbe nicht statt. 29) Micheli, 1. c., p. 10: «ayant fait ce travail entièrement en hiver.» 30) Siehe die Berichte über die Verhandlungen der botanischen Section der 42sten Versammlung deutscher Naturforscher und Arzte in Dresden. Flora, 1868, M 31, S. 492 und Bot. Zeit, 1868, N 45, S. 828. 31) Nägeli u. Schwendener. Das Mikroskop. 1867. S. 396 u. ff. 585 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 586 phyllkürner die der Oberfläche des Pfanzentheiles | der oberen Epidermis am gewühnlichen zerstreuten parallelen Zellenwände; im directen Sonnenlichte wan- dern sie sehr rasch auf die Seitenwände über. 4) Die darauf untersuchten Kryptogamen verhalten sich in dieser Hinsicht den Phanerogamen gleich. 5) Nach kurzer Insolation findet man die Chloro- phyllkürner auf den Seitenwänden gleichmässig ver- theilt; nach längerer Einwirkung des directen Sonnen- lichtes (”/, —1 Stunde) bilden sie dagegen einzelne den Seitenwänden anliegende Gruppen. (Die Kryptogamen habe ich leider darauf zu untersuchen versäumt.) 6) Die Einwirkung des Sonnenlichtes ist durchaus auf die direct insolirte Stelle beschränkt; zwar pflanzt sie sich in die tieferen Schichten des Blattes fort *), picht aber in seitlicher Richtung: zwei benachbarte Zellen einer und derselben Schicht künnen eine vüllig verschiedene Vertheilung der Chlorophyllkürner dar- bieten. 7) Das Erbleichen der grünen Pflanzentheile im directen Sonnenlichte, sowie das Auftreten der Sachs- schen Schattenbilder, beruht auf der dabei stattfin- denden Lagenveränderung der Chlorophyllkürner. 8) In der Dunkelheit wandern die Chlorophyllkürner einiger Phanerogamen (Lemna, Stellaria) ebenfalls auf die Seitenwände über. Somit ruft die Abwesenheit des Lichtes im Wesentlichen dieselbe Vertheilung der Chlorophyllkürner wie das directe Sonnenlicht hervor, nur ist die Wirkung des letzteren stets viel rascher und intensiver. 9) Alle vom Lichte abhängigen Lagenveränderun- gen der Chlorophyllkürner werden bloss durch die brechbarsten Strahlen des Sonnenlichtes verursacht. St. Petersburg, im Januar 1869. Erklärung der Abbildungen. (Säimmtliche Figuren sind mit der Camera lucida bei einer und derselben Vergrüsserung entworfen”und dann aus freier Hand ausgeführt worden.) Fig. 1. Ein Stück des einschichtigen Marginalthei- les des Stengelparenchyms von Lemna trisulea Li. mit 39) Ohne Zweifel wird bei dicken Blättern diese Einwirkung des Sonnenlichtes sich nur bis zu einer bestimmten Tiefe fortpflanzen kônnen, da die dabei thätigen brechbarsten Strahlen bald absorbirt, oder wenigstens geschwächt werden. Dieser Umstand erklärt, warum, wie Sachs angiebt, die Schatienbilder (bei dickeren Blättern) im reflectirten Lichte bloss auf der besonnten Seite des Blattes auf- treten. Tageslichte betrachtet. Fig. 2 u. 3. Ebenso nach einer etwa 15 Minuten dauernden Insolation. Fig. 4. Ebenso nach einer halben Stunde. Die Seitenwände der Raphidenzellen bleiben chlorophyll- frei. Fig. 5. Ebenso nach einer */,-stündigen Einwirkung des directen Sonnenlichtes. Die Chlorophyllkürner fangen an sich in Gruppen zu vereinigen. Fig. 6. Ebenso. Die Grenze eines Schattenbildes. Die Epidermis ist nicht mitgezeichnet. Fig. 7. Ein Theil der oberen Parenchymschicht eines Blattes von Callitriche verna nach längerer Inso- lation. Die Intercellularräume waren mit Wasser in- filtrirt. Fig. 8 Ebenso. Die Grenze eines Schattenbildes. Fig. 9. Ein Theïil der oberen Parenchymschicht an der Basis eines Blattes von Stellaria media nach Entfernung der Luft mittelst der Luftpumpe am diffu- sen Tageslichte betrachtet. . Fig. 10. Dieselbe Stelle nach einer fast 24-stün- digen Verweilung dieses Blattes in einem dunklen Raume. Fig. 11. Zwei Zellen der oberen Parenchymschicht eines anderen Blattes von Sfellaria media. Nicht alle Chlorophyllkürner finden sich in der Dunkelheit auf den Seitenwänden. —_—_otOt— - BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. L'Académie a reçu dans ses dernières séances les ouvrages dont voici les titres: Catalogus van de Bockerij der koninklijke Akademie van Wetenschappen, gevestigd te Amsterdam. Tweeden Deels tweede stuk. Amsterdam 1868. 8. KaTaïOTB HHOCTPAHHBIXE KHUTB, Npi06P'ÉTEHABIXE Yurne- paropekon IlyGauamow Bnôxiorekow. X 8. 9. C. Ile- repôypre. 1868. 8. Tabulae codicum manu scriptorum praeter graecos et orientales in Bibliotheca palatina Vindobonensi asser- vatorum. Vol. II. Vindobonae 1868. 8. Catalogus codieum manu scriptorum Bibliothecae regiae Monacensis. Tomi III pars I codices latinos continens. Monachii 1868. 8. Vorsterman van Oijen, G.A. Notice sur Ludolphe van Colen. Rome 1868. 4. S7 Bulletin de l’Académie Impériale des Sciences de Saint-Pétersbourg. 588 56 scripta academica Universitatis Vratislaviensis. Annales academici. 1863 — 1864. Lugduni Batavorum 1868. 4. Acta Universitatis Lundensis. 1867. 2 Voll. Lund. 1867 — 1868. 4. Norske Universitets- og Skole-Annaler. Tredie Række, 1—4 Hefte. Christiania 1868. 8. Det kongelige Norske Frederiks Universitets Aarsberetning for Aaret 1867. Christiania 1868. 8. Index scholarum in Universitate regia Fredericiana cen- tesimo ejus semestri a. 1868 habendarum. Christiania 1868. 4. Wykaz szkoly gléwnej Warszawskiéj. 1865/, M 10. War- szawa 1868. 8. Report of the Commitee on organization, presented to the trustees of the Cornell University. Albany 1867. 8. Mémoires de l’Académie des sciences, inscriptions et belles lettres de Toulouse. VI° série, tome VI. Toulouse 1868. 8. Società reale di Napoli. 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A _Münster S!Pthg W 0 2L 7 Ah :rorarThA | ME TIT PE U x ESS pe T TE Lu: se ad re à £ x ee à L'AETE 22 SREMGX GA 22 2 Me ete d F2 PE # sr: Fb1R en É FEMME LE 3 5185 0025 FES FA TD : F ee