19 N NA RVARD UNIVERSITY HERBARIUM. THE GIFT O LIBRARY OF THE GRAY HERBARIUM HARVARD UNIVERSITY SÉrs res DR = UE ee 4 k HE We £ (4 À EUR BULLETIN L'ACADEMIE IMPERIALE DES SCIENCES S'-PÉTERSBOURG. TOME VINGT-TROISIÈME. (Avec 2 Planches.) RE — ST.-PÉTERSBOURG, 1877, Commissionnaires de l’Académie Impériale des sciences : À ST.- PÉTERSBOURG: A RIGA: A LEIPZIG: L ie £ MM. Eggers & C*, J. Glasounof M. N. Kymmel; M. Léopold Voss. et Jacques Issakof; Prix dugyolume: 3 Roub. arg. pour la Russie, 9 marks Allemands pour l'étranger. . Imprimé par l'ordre de l’Académie Impériale des sciences. Juin 1877. C. Vessélofski, Secrétaire perpétuel. Imprimerie de l'Académie Impériale des sciences. (Vass.-Ostr., 9° ligne, M 12.) < TABLES DES MATIÈRES. A. TABLE SYSTÉMATIQUE. (Les chiffres indiquent les pages du volume.) SCIENCES MATHÉMATIQUES, PHYSIQUES ET NATURELLES. ASTRONOMIE. À, Sawiteh, Observations des planètes à l'Observatoire académique de St.-Pétersbourg; détermination de linclinaison de l'orbite de la planète Neptune sur l’écliptique. 521—524. PHYSIQUE. H, Wild, Le baromètre normal et ses comparaisons. 86—138. —— Sur l’état actuel de l’Anémométrie et sur la vérification des Anémomètres. 139—169. R. Lenz, Sur la résistance électrique des sels haloïdes. 250—279. H, Wild, Recherches photométriques sur la lumière diffuse du ciel (Continuation I.) (Avec une planche.) 290 —305. 0. Chwolson, Influence de l’incandescence sur la résistance galva- nique des fils métalliques durs. (Avec une planche.) 465—491. H, Wild, Moyen d'éliminer l'erreur produite par la capillarité dans le barographe à balance. 492—499, R, Lenz, Influence de la température sur la résistance galvanique des fils de Siemens. 565—572. CHIMIE. À, Linin, Sur l’isolépidène. 79—86. GÉOLOGIE ET MINÉRALOGIE. J, Mouchkétof, Les volcans de l'Asie Centrale. 70—79, G, v, Helmerser, Rapport sur les recherches géologiques faites de 1872 à 1876 dans les gouvernements de Grodno et de Kour- lande pour l'étude des giséments de substances minérales com- bustibles, 177—249, M, 4, Damour, Notice et analyse sur la Vietinghofite. 463—465. “ BOTANIQUE, C.J, Maximowiez, Diagnoses de nouvelles plantes asiatiques. 305—391. ZOOLOGIE ET PHYSIOLOGIE. A. Bôttcher, Nouvelle méthode pour l'étude des corpuscules rouges du sang. 286—290. F, W, Woldstedt, Les Ichneumonides des environs de St.-Péters- bourg. 432—460. V. Véliky et Istomine, Les centres dépresseurs et accélérateurs. 460—463. V. Véliky, De l'influence des nerfs dépresseurs sur la quantité de la lymphe. 524—529. PHILOLOGIE ET HISTOIRE. À. Schiefner, Contes indiens. VII— XXXIX. 1—70. XL — XLIV. 529—565. B, Dorn, Les manuscrits orientaux de feu M. Fonton aquis pour le Musée asiatique de l’Académie. 279—9288. —— Quelques remarques relatives à la numismatique Sassanide. 284—286. 0, Bühtlingk, Second Supplément à l’ouvrage sur les Sentences in- diennes. 401—432. M. Brosset, Sur une inscription géorgienne de l’église patriarcale de Mtzkhéta. 499—510. B. Dorn, Quatre-vingt-six monnaies d’argent avec inscriptions peh- levies. 513—521. —— » » Bulletin bibliographique, 169—176, 391—400, 511—512, 572—576. Rectifications, 400. — #4 — B. TABLE ALPHABÉTIQUE. (Les chiffres indiquent les pages du volume.) Bühtlingk, 0, Second Supplément à l'ouvrage sur les Sentences in- diennes. 401—432. Bôttcher, A. Nouvelle méthode pour l'étude des corpuscules rouges du sang. 286—290. Brosset, M, Sur une inscription géorgienne de l'église patriarcale de Mtzkhétha. 499—510. Bulletin bibliographique, 169—176, 391—400, 511—512, 572—576. Chwolson, 0. Influence de l’incandescence sur la résistance galva- nique des fils métalliques durs. (Avec une planche.) 465—491. Damour, M, A, Notice et analyse sur la Vietinghofite. 463—465. Dorn, B. Les manuscrits orientaux de feu M. Fonton aquis pour le Musée asiatique de l’Académie. 279—9283. —— Quelques remarques relatives à la numismatique Sassanide. 284—286. —— Quatre-vingt-six monnaies d'argent avec inscriptions pehle- vies. 531—521. Helmersen, 6, v. Rapport sur les recherches géologiques faites de 1872 à 1876 dans les gouvernements de Grodno et de Kour- lande pour l’étude des gisements de substances minérales com- bustibles, 177—249. Lenz, R. Sur la résistance électrique des sels haloïdes. 250—279. ——— Influence de la température sur la résistance galvanique des fils de Siemens. 565—572. Maximowiez, C, J. Diagnoses des nouvelles plantes asiatiques. 305—391. Mouchkétof, J, Les volcans de l’Asie Centrale. 70—79. Rectilications, 400. Sawitch, À. Observations des planètes à l’Observatoire académique de St.-Pétersbourg; détermination de l'inclinaison de l'orbite de la planète Neptune sur l’écliptique. 521—524. Schiefner, A, Contes indiens. VII— XXXIX. 1—70. XL— XLIV. 529—565. Véliky, V, De l'influence des nerfs dépresseurs sur la quantité de la lymphe. 524—529. Véliky, V. et Istomine, Les centres dépresseurs et accélérateurs. 460—463. Wild, H, Le baromètre normal et ses comparaisons. 86—138, —— Sur l'état actuel de l’Anémométrie et sur la vérification des Anémomètres. 139—169. —— Recherches photométriques sur la lumière diffuse du ciel. (Continuation 1) (Avec une planche.) 290—805. —— Moyen d'éliminer l’erreur produite par la capillarité dans le barographe à balance. 492—499. Woldstedt, F, W, Les Ichneumonides des environs de St.-Péters- bourg. 432—460. l'Linin, N, Sur l’isolépidène. 79—86. ———— » » — 8 — T. XXHEE, N° 1. XD. aa BULLETIN DE L'ACADÈMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG. TOME XXHIE. (Feuilles 1—11.) CONTENU. ' Page A“iSchiefner, Contes indiens VIT XX ER MR 2 Ron 1— 70 J, Mouchketof, Les volcans de l'Asie centrale.............................. T0 == 179) NZ Sur isolé pidenc le MANS A PNR A ae a ARE 79— 86 H Wild, Le baromètre normal et ses comparaisons. .......... aie NUM ee de AA, PCI, . 86—138 Sur l’état actuel de l’Anémométrie et sur la vérification des Anémomètres... 139—169 Bulletin bibliographique . ....:... Rene lare ee iitore SLT NA AT A UMR TA Den AV 169—176 On s’abonne : chez MM. Eggers & Ci8, J. Glasounof et J. Issakof, libraires à St-Pétersbourg; au Comité Ad- ministratif de l’Académie (Kowurers Ilparienis Huneparopekoï Akaxemin Haykr); N. Kymmel, libraire à ‘Riga, et chez M. Léopold Voss, libraire à Leipzig. Le prix d'abonnement, par volume composé de 36 feuilles, est de 3 rbl. arg. pour la Russie, 9 marks Allemands pour l’étranger. Imprimé par ordre de l'Académie Impériale des sciences. Janvier 1877. ——— C. Vessélofski, Secrétaire perpétuel. Imprimerie de l’Académie Impériale des sciences. (Vass.-Ostr., 9° ligne, N° 12) ir NAN (ts JUULE TR IENEUS mi} HHBNNE, | L LE MER UNLAN [ra RAA Fur de OMAN AA Ne, ur DIN PENT DE eh PTE tif [ |14 ! LE 1, VF AU Hit hi CA ot \ dwnr) PT PU IRITER vf AUTA Î fs, venir lt h M DL fi ct Um AN il TJ h DR ATLATINE (OTERET sl Kool ot mi 11 60 NN TNS PAALE 1: BULLETIN DE L'ACADEMIE IMPÉRLALE DES SUEA CES DE ST.-PÉTERSBOURG. Indische Erzählungen. Von A. Schiefner. (Lu le 12 octobre 1876.) VIT. Affen vom Tode gerettet. (Kandjur II Blatt 115 — 116.) Diese Erzählung wird von Spence Hardy, a Manual of Budhism (London 1853) $S. 113 f. unter dem Titel The Tinduka Jâtaka mitgetheilt. In längst vergangener Zeit lebte in einem Gebirgs- ort eine Heerde von 500 Affen, welche, wenn das Getreide gewachsen war, die Ernte verzehrte. Die im Gebirgsorte wohnenden Menschenschaaren versam- melten sich und fingen an sich zu berathen. «O Geehrte, wie sollen wir verfahren, da die Affen das Getreide gefährden?« Andere meinten, die Affen müssten getodtet werden; wie solle man das aber an- fangen? Man müsse im Umkreis des Gebirgsortes alle Bäume niederhauen und nur einen Tinduka- Baum') stehen lassen, die Umgebung mit Dornen einfassen und die Affen, wenn sie der Nahrung wegen auf den Baum stieg: n, in jener Umhegung tüdten. Da- rauf hieb man alle in der Umgebung des Gebirgs- ortes befindlichen Bäume nieder, liess nur einen Tinduka-Baum stehen, umgaben ihn mit einer Dorn- hecke und stellte einen Wächter hin, mit dem Befehl gleich Nachricht zu geben, sobald die Affen sich ver- sammelt hätten. Als nun zu anderer Zeit der Tin- duka-Baum Blumen und Früchte bekommen hatte und diese gereift waren, sprachen die Affen zu ihrem Anführer: «O Anführer, da der Tinduka-Baum reif ist, lass uns essen gehen.» Darauf bestieg der An- führer mit einer Schaar von fünthundert Affen den Tinduka-Baum und sie fingen an die Früchte zu ver- zehren. Da gab der Wächter dem im Gebirgsorte wohnenden Menschen Nachricht: «O Gechrte, alle Affen sind auf den Tinduka-Baum geklettert und essen, ibr aber thuet das, was zu thun ist.» Da begab sich He Schaar der im Gebirgsorte wohnenden Menschen, 1) De embryopteris Tome XXII. s. Bühtlingk-Roth u. d. W. mit Pfeil und Bogen und Streitäxten bewaffnet, mit geballter Faust in aller Eïle hin und fing an den Tinduka-Baum zu fällen. Da erschraken die Affen und sprangen auf dem Baume hin und her. Der An- führer sass unthätig da und die Affen sprachen zu ihm: «O Anführer, weshalb sitzest du, während wir in der Angst des unerträglichen Schmerzes hin- und herlaufen, unbekümmert da?» Er erwiederte in einem Verse: «Die vielgeschäftigen Menschen und die unthä- tigen sind einander ähnlich, des Baumes Enden sind zahlreich ; auf sein Lebenbedacht,soll man essen.» Zu der Zeit sass ein Junges des Affenanführers, welches im Ge- birgsdorf angebunden war, die Hand auf die Wange ge- "stützt, in Gedanken versunken da. Da kam ein guter Affe in die Gegend und, als er den jungen Affen so in Gedanken versunken sah, fragte er: «O Freund, wes- halb sitzest du, die Wange auf die Hand gestützt, so in Gedanken versunken da?» Er antwortete: «Wes- halb sollte ich nicht in Gedanken versunken sein, da die ganze Schaar der im Gebirgsorte wohnenden Men- schen ausgezogen ist, um meine Angehôrigen zu tüd- ten!«— «Weshalb zeigst du keine Tapferkeit?» — «Wie soll ein Angebundener Tapferkeit zeigen?» — Ich werde dich losbinden.— Als er losgebunden war, steckte er den Gebirgsort in Brand. Als der Ort zu brennen anfing und Geschrei und Lärm sich erhob, hôrten dies die Bewohner und sprachen: «O Geehrte, während wir und die Affen in der Entfernung sind, ist eine andere grosse Bedrängniss entstanden; da der Ort in Brand steht, wollen wir das Feuer lüschen und dann zurückkehren.» Sie eïlten also um das Feuer zu lôschen; die Affen aber stiegen vom Tinduka-Baum herab und liefen davon. VIIL. Adarçamukha. (Kandjur Band II Blatt 198—201). Wir haben hier eine einfachere und dabei con- | cretere Recension des 31. Capitels des Dsanglun mit Leiner Fortsetzung, die das 39. Capitel des Dsanglun 1 Bulletin de l’Académie Empériale 4 umfasst, über welches letztere namentlich Benfey, Pantschatantra B. I, S. 394 folgg. zu vergleichen ist. Auch ist Suchomlinows Aufsatz IoBberk 0 CYAB Ilemaru in den Sanuckn Vmneparoperoï Arkajemin Hayxs T. XXII Ku. I Caukrnerep6yprr 1873 zu beachten. Das im zweiten Theil der Fortsetzung vorkommende Gericht wird im Dsanglun C. 39 dem Künige RÈNZ| zugeschrieben; es müsste diesem Namen im Sanskrit Tshäru oder Tshärumän (St. Tschärumant) entsprechen. Bestätigte sich diese Form, die wir im Lexikon Mahävjutpatti Blatt 92 unter den Namen des Tshakravartins finden, so künnte eine durch das Alt- persische vermittelte Umgestaltung des Namens Salomo vorliegen. Dem Künige Ânanda wurden fünf Sühne geboren. Der jüngste derselben wurde, weil sein Gesicht einem Spiegel ähnlich war, Âdarcamukha®) (Spiegel-Antlitz) genannt. Es wuchsen alle fünf Sühne heran. Der Prinz Âdarçamukhawarsebr sanftund bescheiden, dieanderen aber hitzig, unbesonnen und rauh. Als der Vater sie einmal einer Angelegenheit wegen versammelt hatte, waren sie mit ihrem Verstande nicht im Stande das Geringste zu entscheiden. Der Prinz Âdarçamukha aber beantwortete die ihm vorgelegten schweren Fra- gen mit Einsicht. Als der Kônig Ânanda von einer Krankheit befallen wurde, dachte er daran, wen er in die Herrschaft einsetzen sollte. «Setze ich einen von meinen vier älteren Sühnen in die Herrschaft ein, so wird, da sie hitzig, unbesonnen und rauh sind, den Menschen wider Gebühr Schaden erwachsen. Setze ich aber den Prinzen Âdarçamukha in die Herrschaft ein, so werden die Verwandten es mir zum Vorwurf machen, dass ich mit Übergehung der älteren Sühne den jüngsten in die Herrschaft einsetze. [ch muss also eine Vorkehrung treffen». Er setzte demnach drei Kleinodien, die Anerkennung durch die Frauenschaar und sechs durch Einsicht zu ergründende Gegenstände fest und sprach zu seinen Ministern: «Hôret, o Führer, nach meinem Hingange habet ihr jeden der Prinzen der Reihe nach zu prüfen; welchem von ihnen die Edelsteinschuhe beim Anziehen passen, [8 bei welchem, wenn er auf den Thron gesetzt wird, dieser unbeweglich bleibt, bei welchem, wenn ihm das Diadem 2) ARTS aufgesetzt wird, dieses unbeweglich bleibt, welchen die Frauenschaar anerkennt und welcher durch seine Einsicht sechs zu ergründende Gegenstände: den inneren Schatz, den äusseren Schatz, den innern und äussern Schatz, den Schatz des Baumwipfels, den Schatz des Berggipfels und den Schatz des Fluss- ufers erräth und alle diese Bedingungen erfüllt, den- jenigen sollet ihr einsetzen.» Da nach dem Sprich- wort alles Angesammelte schwindet, alles Hohe zu Fall kommt, starb er. Als nun die Minister dem ältesten Prinzen die Edelsteinschuhe anziehen wollten, passten dieselben nicht; als er auf den Thron gesetzt wurde, bewegte dieser sich; als man ihm das Diadem aufsetzte, bewegte es sich sehr. Auch die Frauen- schaar erkannte ihn nicht an. Als ihm die sechs durch Einsicht zu ergründenden Gegenstände genannt wurden, errieth er sie nicht. Die jüngeren Brüder verhielten sich ebenso. Als man aber dem Prinzen Âdarçamukha die Edelsteinschuhe anzog, passten sie ihm vorzüglich. Als er sich auf den Thron setzte, blieb dieser unbeweglich; als man ihm das Diadem aufsetzte, nahm sich sein Haupt muthig aus, auch erkannte die Frauenschaar ihn an. Die Minister sprachen: «Nun musst du die sechs durch Einsicht zu ergründenden Gegenstände kennen: den inneren Schatz, den äusseren Schatz, den innern und äussern Schatz, den Schatz des Baumwipfels, den Schatz des Berggipfels, und den Schatz des Flussufers.» Âdarça- mukha dachte: «Fragt man, welcher der innere Schatz sei, so ist es der innerhalb der Schwelle befindliche Schatz; fragt man, welcher der äussere Schatz sei, s0 ist es der ausserhalb der Schwelle befindliche Schatz, fragt man, welcher der innere und äussere Schatz sei, so ist es der unterhalb der Schwelle befindliche Schatz: fragt man, welcher der Schatz des Baumwipfels se, so ist es der Schatz, der sich an der Stelle befindet, auf welche um Mittag der von dem Künige gepflanzte Baum seinen Schatten wirft [1%]; fragt man, welches der Schatz des Berggipfels sei, so ist es der Schatz, der sich unter dem Badestein in dem Teiche, in welchem der Künig sich vergnügt, befindet; fragt man, welcher der Schatz des Flussufers sei, so ist es der Schatz, der sich am Ende des Behälters befindet, in welchem das Wasser aus dem Hause abfliesst.» Die Minister mach- ten ihn, weil so alle Aufgaben gelüst waren, zum Künige und es wurde Âdarçamukha ein mächtiger Künig. 5 des Sciences de Saint-Pétersbourg. ô PR 1 Pons nl ee ce Mure Me émane ee AR In einem Gebirgsorte lebte ein Brahmane Namens Dandin. Dieser hatte von einem Hausbesitzer Ochsen geliehen und nachdem er sein Feld gepflügt hatte, ging er mit den beiden Ochsen zum Hause jenes Haus- besitzers. Da dieser sein Mittagmahl hatte, liess der Brahmane Dandin die Ochsen in die Hôhle geñen, diese aber gingen zu einer anderen Thür hinaus. Als der Hausbesitzer vom Essen aufstand und die Ochsen verschwunden waren, packte er Dandin und fragte, wo die Ochsen wären. Dieser entgegnete: «Habe ich sie dir nicht nach Hause gebracht?» — Da du meine Ochsen geraubt hast, so gieb sie mir zurück. — Jener erwiederte: «Ich habe sie nicht geraubt.» Dieser sagte: «Der Kônig Âdarçamukha ist weise; lass uns zu ihm gehen; er wird diese Sache ent- scheiden und uns Recht und Unrecht auseinander- setzen.» Es machten sich beide auf den Weg. Ein Mann, dem eine Stute entlaufen war, rief dem Dandin zu, er môge jene Stute aufhalten. Er fragte, wie er sie aufhalten solle. Jener meinte, auf welche Weise immer er es vermôüchte. Dandin hob einen Stein auf und warf ihn der Stute an den Kopf, wodurch diese umkam. Jener Mann sagte: «Da du meine Stute getodtet hast, so gieb mir eine Stute.» — «Weshalb soll ich dir eine Stute geben?» Jener sagte: «Komm, lass uns zum Künige Âdarçamukha gehen; er wird unsere Sache entscheiden.» Sie machten sich zu ihm auf, Dandin aber schickte sich an davon zu laufen. Als er von einer Mauer hinab [199] sprang, fiel er auf einen Weber, der unten webte, der Weber kam dadureh um: die Frau des Webers packte den Dandin und verlangte, dass er, da er ihren Mann getüdtet habe, ihr den Mann zurückgebe. «Woher soll ich dir den Mann geben?» Sie entgegnete: «Komm, gehen wir zum Künige Âdarçamukha; er wird unsere Sache entscheiden.» Sie machten sich auf den Weg. Auf der Mitte des Weges war ein tiefer Fluss, durch welchen ein Zimmermann mit dem Beil im Munde hinüber ging. Diesen fragte Dandin, ob der Fluss tief oder seicht sei. Der Zimmermann liess das Beil fahren und sagte: «Der Fluss ist tief.» Da ihm das Beil ins Wasser gefallen war, packte er den Dandin und sprach: «Du hast mein Beil ins Wasser geworfen.» — «Ich habe es nicht gethan.»—«Komm, lass uns zum Kôünige Âdarçamukha gehen; er wird unsere Sache entschei- den.» Nach und nach gelangten sie, indem sie den Dandin führten, in ein Schenkhaus. Da setzte sich Dandin auf den neugeborenen Knaben der Schenk- wirthin, der mit einem Gewand bedeckt schlief. Die Mutter rief: «Ein Kind liegt dort, ein Kind liegt dort.» Als sie nachsah, war das Kind todt. Sie packte den Dandin und verlangte, dass er, der ihr Kind getüdtet, es ihr wieder geben solle. Er ent- gegnete: «Ich habe es nicht getüdtet; weshalb soll ich dir ein Kind geben?» Sie sagte; «Komm, lass uns zum Kônige Âdarçamukha gehen.» Sie machten sich auf den Weg. An einer anderen Stelle fragte eine auf einem verdorrten®) Baume sitzende Krähe, als sie Dandin erblickte, wohin er ginge. Er entgegnete: «Nicht gehe ich, sondern werde von diesen geführt,.» == Wohin? — «Zum Künige Âdarçamukha.» — Dann nehmet auch einen Auftrag von mir mit und meldet dem Künige Âdarçamukha: «An der und der Stelle befindet sich ein Baum mit verdorrten Blättern; auf diesem Baum sitzt eine Krähe; diese lässt dich fragen, aus welchem Grunde sie auf diesem Baume weile und an anderen grünenden und saftvollen keinen Gefallen finde [2001» Als sie weiter zogen, fragten einige Gazellen, als sie Dandin erblickten, wohin er ginge. Er entgegnete: «Ich gehe durchaus nicht, sondern werde von diesen geführt.» — Wohin? —_«Zum Künige Âdarçamukha.» — Dann nehmet noch einen Auftrag von uns mit und fraget den Künig, aus welchem Grande wir an anderen Plätzen, wo Wiesen und grünes Gras sind, keinGefallen haben.» Sie zogen weiter. Als ein Rebhubn sie erblickte, fragte es, wohin sie gingen und so weiter wie oben bis zu den Worten: «Dann nehmet auch einen Auftrag von mir mit und fraget den Künig, weshalb ich an einer Stelle wie ein Rebhuhn singe, an einer anderen Stelle aber eine andere Stimme habe.» An einer anderen Stelle er- blickten sie eine Schlange und so weiter bis zu den Worten: «Dann nehmet auch von mir einen Auftrag mit und fraget dem Künig, aus welchem Grunde ich mit Leichtigkeit aus meinem Loche hervorkrieche, aber nur mit Schmerzen in dasselbe zurückkrieche.» Eine Schlange und ein Ichneumon, welche mit einan- der verfeindet in Krieg waren, baten ebenfalls den 3) Im Dsanglun S. 243 Z. 10 steht 8547157; worin offenbar eine Corruption des Sanskrit TTC steckt. 1 7 . Bulletin de l’Académie Empériale s Künig zu fragen, aus welchem Grunde sie bei Tage, so- bald sie einander sähen, sich bekriegten und missver- gnügt wären. Eine junge Frau gab ihnen ebenfalls einen Auftrag, sie sollten fragen, aus welchem Grunde sie, so lange sie im Vaterhause geweilt, sich nach dem Hause des Schwiegervaters gesehrt habe, seitdem sie aber im Hause des Schwiegervaters sei, sie sich nach dem Hause des Vaters sehne. Als sie nun weiter zogen und zum Kôünige Âdarçamukha [200*] gelangt waren, wünschte Dandin dem Kônige Sieg und langes Leben und nahm an einer Stelle Platz und auch die andern setzten sich; nachdem sie den Füssen des Kônigs mit dem Haupte Verehrung bezeigt hatten, fragte der Kônig den Dandin: «Weshalb bist du gekommen?» — «O Künig, man hat mich hergeführt.» — «Weshalb?»> Dandin erzählte alles, weshalb der Hausbesitzer mit ibm streite. Der Kôünig fragte den Hausbesitzer : «Hast du die Ochsen gesehen oder sie nicht gesehen? Hat Dandin deine Ochsen in die Hühle getrieben?» — «Ja, 0 Kôünig.» — Der Künig sprach: «Weil Dandin diesem nichts kundgethan, soll ihm die Zunge abgeschnitten werden. Weil dieser die Ochsen nicht angebunden hat, sollen ihm die Augen ausgestochen werden.» Der Hausbesitzer sagte: «Erstens habe ich die Ochsen verloren, bevor mir zweitens die Augen ausgestochen werden, will ich lieber die Sache gegen Dandin nicht gewinnen.» Jener Mann sagte: «O Kôünig, Dandin hat meine Stute getôdtet.» — Wie hat er sie getüdtet? — Jener erzählte die Sache ausfübrlich. Der Künig sprach: «Weil dieser Mann gesagt hat, er solle die Stute auf welche Weise immer aufhalten, soll ihm die Zunge abgeschnitten werden, dem Dandin aber soll, weil er es für unmôüglich gehal- ten hat anders als durch den Steinwurf die Stute auf- zuhalten, die Hand abgeschnitten werden.» Jener Mann sagte: «Zuerst ist meine Stute umgekommen; bevor mir nun zweitens auch die Zunge abgeschnitten wird, will ich lieber meine Sache gegen Dandin nicht gewinnen.» Die Frau des Webers erzähite ihre Sache ausfünrlich und der Künig sprach: «Du sollst nun diesen selbst zum Manne nehmen.» Sie sprach: «Erstens hat dieser meinen Mann getüdtet, bevor nun zweitens dieser mein Mann wird, will ich lieber meine Sache gegen Dandin nicht gewinnen.» Der Zimmermann trug seine Sache ausführlich vor. Der Kôünig sprach: Bei] hat fallen lassen und gesprochen hat, soll ihm die Zunge abgeschnitten werden, dem Dandin aber solleu die Augen ausgestochen werden, weil er, obwohl er es sah, dass der Fluss tief war, diesen Zimmermann gefragt hat [201]». Der Zimmermann sagte: «Zuerst habe ich mein Beil verloren, bevor mir nun zweitens meine Zunge abgeschnitten wird, will ich lieber meine Sache gegen Dandin nicht gewinnen.» Die Schenk- wirthin erzählte ihre Sache ausführlich und der Kônig sprach: «Weil die Schenkwirthin ihr Kind ganz und gar mit einem Gewande bedeckt schlafen gelegt hat, soll ihr die Hand abgehauen werden, dem Dandin aber sollen, weil er ohne zu untersuchen sich auf einen fremden Sitz gesetzt hat, die Augen ausgestochen werden.» Die Schenkwirthin sagte: «Zuerst ist mein Kind umgekommen, bevor mir nun zweitens dié Hand abgehauen wird, will ich licber meine Sache gegen Dandin nicht gewinnen.» Dandin trug die Bitte der Krähe vor. Der Kôünig sprach: «O Dandin, melde der Krähe: An jener Stelle befindet sich ein von dir, als du Dorfältester des Gebirgsortes warst, unter dem dürren Baume geborgener Schatz: gieb den- selben irgend einem und geh dann fort und du wirst dich wohl befinden.» Dandin trug den Auftrag der Gazellen vor. Der Künig sagte: MeldetdenGazellen: «0 Gazellen, dort ist ein Baum, von seinem Wipfel tropft Honig herab, dadurch werden Wiesen und Gras süss; da die Bienen nun aber fortgezogen sind, so hänget nicht länger am Orte: ihr würdet wider die Gebühr Schmerz erleiden.» Dandin trug die Bitte des Rebhuhns vor. Der Kônig sprach: Melde du dem Rebhuhn: «Wo du die Stimme des Rebhuhns hast, an der Stelle befindet sich kein Schatz, wo du aber cine andere Stimme hast, da befindet sich ein Schatz; diesen Schatz zeige irgend ei- nem und da es nicht recht ist, dass du wider Gebühr Schmerz erleidest, so begieb dich anderswohin.» Dandin trug die Bitte der Schlange und des Ichneu- mons vor und der Künig sprach: «Meldet den beiden: «Als ibr Menschen waret, wurdet ihr als zwei Brüder geboren. Da sprach der eine: Lasset uns das Ver- môgen theilen, der andere aber, von Missgunst über- wältigt, ging nicht auf die Theilung ein. Daher wurde der eine, der zu habgierig war, als Schlange geboren, der andere weil er auch am Vermügen hing und über- aus habgierig war, als Ichneumon (2011. Deshalb gebet Weil der Zimmermann in der Mitte des Flusses das | ihr diese Schätze den GÇramana’s oder den Brahmanen 9 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 10 PS und verlasset jenen Ort, so werdet ihr euch wohl- befinden.» Dandin trug die Bitte der Schlange vor und der Künig sagte: «Melde du der Schlange: Hungrig und zusammengefallen kannst du mit Leich- tigkeit aus deinem Loche hervorkriechen, hast du aber reichliche Nahrung genossen, so kannst du nur mit Schmerzen in das Loch zurückkriechen. Wenn du dich mit so viel Nahrung als dir zuträglich ist, begnügen kannst, wirst du dich wohlbefinden.» Dandin trug die Bitte der jungen Frau vor und der Kôünig sprach: «Melde du der jungen Frau: Im Hause deines Vaters befindet sich ein Freund; wenn du im Hause des Schwiegervaters bist, sehnst du dich nach diesem Freunde; wenn du aber im Hause deines Vaters bist, so sehnst du dich nach deinem Manne. Da es nicht recht ist, dass du wider Gebühr Schmerz erleidest, so gieb den einen Aufenthaltsort auf und setze dich in dem anderen ordentlich fest.» Die junge Frau und die Schlange thaten so wie ihnen befohlen wor- den war. Die Schlange und das Ichneumon, auch die Krähe gaben den Schatz dem Dandin. Auch die -übrigen handelten, so wie es ihnen angewiesen war. IX Der Pfau als Bräutigam, (Kandjur Band II BI. 90.) In längst vergangener Zeit lebte der Flamingo-Kü- nig Râshtrapâla‘). Als die in den verschiedenen Ge- genden wohnenden Vôügel gehôrt hatten, dass seine ‘Tochter sich selbst einen Gatten wählen wolle, ver- sammelten sie sich und jeder dachte, dass er ihr Ge- mahl werden werde. Als sie einen Pfau erblickt hatte, sagte sie: «Dieser soll mein Ehemann werden.» Da sagten ihm die andern Vôgel, dass sie ihn zum Gatten ersehen habe. Er entfaltete seinen Schweif und fing an zu tanzen. Als Râshtrapäla ihn erblickte, fragte er: «Weshalb tanzt dieser» Die andern sagten: «Es ge- schieht deshalb, weil er der Gatte deiner Tochter wird» Er entgegnete: «Diesem gebe ich meine Tochter nicht, weil er ohne Scham und Scheu ist» Als der Pfau dies gehôrt hatte, begab er sich zu Rashtrapäla und fragte in einem Çloka: «Weshalb giebst du mir deine Tochter nicht, obwohl ich eine liebliche Stimme, ‘ 4) Lara schône Farbe, mit Augen besetzte Flügel und einen dem Vaidürja-Edelstein gleichen Hals habe ?» Räshtra- pâla entgegnete: «Obwohl du eine liebliche Stimme, schüne Farbe, mit Augen besetzte Flügel und einen dem Vaidürja-Edelstein gleichen Hals hast, gebe ich sie dir nicht, da du mit Unverschämtheit behaftet bist.» X. Die beiden Fischottern und der Schakal. (Kandjur Band III Blatt 94*—95)) In längst vergangener Zeit lebten an einem Fluss- ufer zwei Fischottern, welche von Zeit zu Zeit ins Wasser stiegen und Fische aufs Trockne holten; zu der Zeit aber, da sie aufs Trockene gingen, kehrten die Fische ins Wasser zurück, so dass jene nichts vorfan- den. Darauf beriethen sich beide und beschlossen, dass die eine von ihnen ins Wasser steigen, die andere auf dem Trocknen bleiben und sie dann die Beute ge- meinschaftlich haben sollten. Es stieg darauf die eine ins Wasser, die andere aufs Trockene. Die ins Was- ser gestiegene scheuchte die Fische und zog sie aufs Trockene, die auf dem Trockenen gebliebene aber tüd- tete sie; die im Wasser gebliebenen tüdtete dieim Wasser befindliche Fischotter. Als nun der Fischhaufen gross geworden war, sagte die einel[%1: «Theile nun du.» Die andere entgegnete: «Ich werde nicht theilen.»— Wes- halb? — «ch môchte nicht, dass ich ein Versehen be- ginge» Die andere sagte: «Verhält es sich so, so künnte auch ich ein Versehen begehen.» Als beide nun in Gedanken versunken dastanden, kam der Schakal Mukhara°) an sie heran und fragte: «O Nichten, wes- halb seid ihr so in Gedanken versunken?»— O Oheim, wir haben Fische gefangen. — «Weshalb theilet hr sie nicht?» — O Oheim, aus Furcht vor Unrecht.— «Meinst du nicht dass Mukhara Kopfüber aus Furcht vor Un- recht nach der Hülle gehen würde?» — Mukhara dachte: «Da die beiden Anstand nehmen, will ich die Theilung vornehmen.» Als er darauf eine Schildkrôte, welche die beiden Ottern beständig bediente, erblickt hatte, ging der Schakal auf die eine derselben zu und fragte: «Nichte, was hast du hier gethan? — O Oheim, ich bin ins Wasser getaucht und nachdem ich hineingetaucht, habe ich die Fische gescheucht, welche aufs Trockene 5 ARS EN Builetin de l’Académie Empériale gezogen und von dieser getodtet wurden.—«0O Nichte, wenn man, ins Wasser gegangen, auch nur ein wenig finge, ginge Mukhara bestimmt ins Wasser. Die auf das Trok- kene gesandte Otter hat Gefahren durch Baumstämme, durch Dornen, durch wilde Thiere, durch Menschen nnd durch Erdspalten. Ferner wenn sie die Fische nicht tüdtete, wozu hälfe dein Scheuchen! Kurz, da der ganze Fang eigentlich nur durch ihre Kraft zu Stande gekommen, so musst du nehmen, was sie giebt und keinen Widerspruch erheben.» Da der Schakal sie so ins Herz treffend eingeschüchtert hatte, sprach die Otter kein Wort. Darauf ging er zur andern Fisch- otter und sprach: «O Nichte, was hast du hier gethan?» — O Oheim, ich bin aufs Trockne gegangen und habe die aufs Trockene geworfenen Fische getüdtet. — «0 Nichte, wenn man, aufs Trockne gegangen, auch nur ein wenig finge, würde Mukhara immer auf das Trockne gehen. Die ins Wasser gegangene Otter hat Gefahr durch die Wellen, durch die Schildkrôten, durch die Alligatore, durch die Krokodile und das Wasser: fer- ner, wenn sie nicht die Fische gescheucht hätte, wie hättest du sie getodtet! kurz, was hier an Fischen ge- fangen, das ist durch ihre Kraft geschehen: deshalb musst du mit dem, was sie giebf, zufrieden sein» Als die Otter durch ihn ins Herz getroffen und einge- schüchtert war, sass sie da, ohne etwas zu sagen. Mu- khara sagte: «O Nichte, hier ist ein Mittel durch den Laut des Çloka die Theïlung ohne Unrecht vorzuneh- men.» Diese zwei entmuthigt sagten: «O Oheim, nimm du die Theiïlung vor.» Mukhara machte drei Theile: den einen Theil die Fischschwänze, den zweiten die Fischkôüpfe, den dritten die Mittelstäcke und sprach den Vers: «Wer auf der Fläche geht, erhält die Schwänze, wer in die Tiefe geht, die Küpfe, wer im Gesetze weilt, erhält den Mittelkürper.» Mukbara dachte: «Nachdem ich diese beiden betrogen, werde ich den Fang bekommen.» Er nahm den Mittelkürper ei- nes grossen Fisches und begab sich zu seiner Mutter. Diese voll Freude fragte ihn in einem Cloka: «Mukhara, von wannen kommst du, da du einen grossen Fisch ohne Kopf und Schwanz gebracht, woher kommst du, so beglückt?» Er antwortete: «Gleichwie der Schatz des Künigs, der Recht und Unrecht nicht kennt, durch das, warum die Thoren streiten, vermehrt wird, wer- den wir zur Genüge Nabrung haben.» Sie auch sprach bewältigt. überaus brav: jene beide sind zufrieden und auch du hast reiche Beute.» XI. Bestrafte Habgier, (Kandjur Band III Blatt 103) Zu vergleichen ist zu dem Schluss Pantschatantra II, 3; der Anfang ist ein wohlbekanntes Thema; man vergl. Liebrecht in Benfey'’s Orient und Occident Bd. IS. 656: «Die vergifteten Gefährten.» In längst vergangener Zeit traf ein Jäger einen Elephanten mit einem vergifteten Pfeil; als er be- merkte, dass er ihn getroffen, ging er dem Pfeil nach und tüdtete den Elephanten. Durch einen Unstern gelangten fünfhundert Räuber, welche ein Gebirgs- dorf geplündert hatten, in jene Gegend und erblickten den Elephanten. Da damals gerade eine Hungerzeit war, sprachen sie: «Da wir dieses Fleisch gefunden haben, so lasset zweihundert und fünfzig von uns das Fleisch des Elephanten zerschneiden und braten, zweihundert und fünfzig aber Wasser holen.» Da meinten diejeni- gen, welche des Elephanten Fleisch zerschnitten und kochten: «O Geehrte, da wir solche Arbeit gethan und so viel Diebsgut zusammengebracht haben, wes- halb sollen wir jenen davon abgeben! Lasset uns vom Fleische, soviel uns beliebt, essen und den Rest ver- giften; jene werden das vergiftete Fleisch essen und sterben, das Diebsgut wird aber unser sein.» Nachdem sie also sattsam vom Fleisch genossen hatten, vergifte- ten sie den Rest. Diejenigen, die nach Wasser gegan- gen waren, hatten ebenfalls, nachdem sie Wasser zur Genüge getrunken hatten, den Rest vergiftet. Als sie nun gekommen waren und diejenigen, die das Fleisch gegessen hatten, Wasser tranken, die aber das Wasser getrunken hatten, das Fleisch genossen hatten, star- ben sie alle. Da kam ein Schakal durch die Banden der Zeit gefesseit, an jene Stelle und erblickte alle jene Leichname. Mit aus Begierde erwachsener Freude dachte er: «Da mir überaus grosse Beute erwachsen ist, will ich sie der Reiïhe nach vornehmen.» Er packte den Bogen mit dem Rachen und fing an die Bogensehnenknoten zu zernagen. Da riss die Sehne und des Bogens Ende fuhr ihm in den Gaumen, so dass er umkam. Der Schakal sprach den Çloka: «Man soll den Cloka: «O Mukhara, du bist schün, der du andere | wohl sammeln, aber nicht übermässig ansammeln; se- des Sciences de Saint-Pétersbourg. 14 pr 2 OS ANR EEE GES PEROU ENE EN ET LOUE RE 2 ST het, wie der nach dem Gesammelten gierige Schakal verblendet, durch den Bogen getüdtet wurde.» XII. Die tugendhaften Thiere. (Kandjur Band III Blatt 189 — 195.) Wir haben hier das Tittiradshätaka, welches auch in Fausbôll’s Jâtaka (London 1875) $. 218 folg. abge- druckt ist; es sind im letzteren nur das Rebhuhn, der Affe und der Elephant bei der Frage nach dem Alter betheiligt, der Hase aber fehlt; ebenso auch in der chines. Recension in Les Avadänas, trad. par Stanis- las Julien T. IT pag. 17 folg. In längst vergangener Zeit lebten in einem dichten Walde des Kâci-Landes vier Thiere: ein Haselhuhn, ein Hase, ein Affe und ein Elephant. Da sie zu ein- ander Zuneigung gefasst hatten, lebten sie zusammen einträchtig, überaus zufrieden, ohne Streit und ohne Furcht und verbrachten die Zeit in Freuden. Zu ei- ner anderen Zeit [189] fiel es ihnen ein, dass, obwohl sie bei gegenseitiger Zuneigung einträchtig, überaus zufrieden, ohne Streit lebten, sie doch nicht wüssten, wen sie verehren, hochschätzen und hochhalten sollten und sie sich dabei nach dem Alter richten müssten. Sie fingen an mit einander sich zu berathen, um zu erfahren, wer von ihnen der älteste sei. Da wies das Haselhuhn auf einen Feigenbaum hin und fragte: «(re- ehrte, von welcher Grôsse hat jeder von uns diesen Feigenbaum gesehen?» Der Elephant sagte: «Als ich mit der Heerde dieses Weges gegangen bin, habe ich die Grüsse desselben gleich der meines Kürpers ge- sehen.» Der Affe sagte: «Als ich mit der Heerde die- ses Weges gegangen bin, habe ich seine Grüsse mir gleich gesehen.» Da sagten die Thiere: «Du bist älter als der Elephant.» Der Hase sagte: «Als der Baum zwei Blätter hatte, habe ich mit der Zunge die Thau- tropfen von denselben geleckt.» Da sagten die Thiere: «Du bist älter als diese beide.» Das Haselhuhn sagte: «Ihr habet also den Feigenbaum von solcher Grôsse gesehen?» — Sie bejahten es. — «Als ich Samen geges- sen hatte, habe ich an dieser Stelle den Dünger fallen | lassen, aus welchem dieser Baum emporgewachsen ist.» Die Thiere sagten: «Wenn es sich so verhält, so bist du unter uns am ältesten.» Darauf fing der Elephant an allen Ehre zu erweisen, der Affe dem Hasen und dem Haselhuhn, der Hase aber dem Hasel- huhn. Sie erwiesen auf diese Weise je nach dem Alter einander Ehre und wandelten in dem dichten Walde auf und ab und, wenn sie sich in eine offene und abschüssige Gegend begaben, so ritt der Affe auf dem Elephanten, der Hase auf dem Affen, auf dem Hasen aber das Haselhubn. Als nun die Zuneigung und Ver- ehrung noch zugenommen hatten, da entstand ihnen solcher Gedanke, dass, da die Zuneigung und Vereh- rung zugenommen hätten, sie sich auch ein wenig noch anderer Tugenden befleissigen sollten. Auf die Frage, wie dies zu thun sei [190], sagte das Haselbuhn: «Man muss sich der Tôdtung lebender Wesen enthalten.» — Welcher Art sind diejenigen von uns, die lebende Wesen tüdten? — Das Haselhuhn sagte: «Es giebt sowohl Blätter, Blumen und Früchte, die mit Leben ausgestattet sind, als auch solche, welchen es fehlt. In Zukunft wollen wir das Belebte aufgebend, das Leb- lose geniessen.» Sie fingen also an das Belebte aufzu- geben und das Leblose zu geniessen. Dann dachten sie: «Nachdem wir nun der Tôdtung des Lebendigen entsagt haben, aber noch nicht der Aneignung des Nichtverliehenen, so wollen wir auch der Aneignung des Nichtverliehenen entsagen. Welcher Art sind die- jenigen von uns, welche Nichtverliehenes sich aneig- nen% Das Haselhuhn sagte: «Es giebt im Besitz be- findliche Wurzeln, Blätter, Blumen und Früchte, aber auch unbesessene, deshalb wollen wir in Zukunft die im Besitz befindlichen aufgebend, nur die unbesesse- nen geniessen.» Sie fingen nun an das im Besitz Be- findliche aufgebend, das Unbesessene zu geniessen. Sie dachten: «Wir haben nun der Aneignung des Nicht- verliehenen entsagt, aber noch nicht der Bublerei; wir müssen auch der Buhlerei entsagen. Worin be- steht unsere Buhlerei?» Das Haselhuhn sagte: «Da wir erlaubte Verbindungen eingehen und auch nicht erlaubte, so müssen wir fortan nur erlaubte Verbin- dungen eingehen, nicht aber unerlaubte.» Sie gingen nun die erlaubten Wege und gaben die unerlaubten auf. Sie dachten: «Wir haben nun der unerlaubten | Liebe entsagt, aber noch [1901 nicht der Lüge; wohlan, wir wollen auch der Lüge entsagen. Worin besteht denn unser Lügen — Das Haselhuhn sagte: «Da | wir alles durcheinander gesprochen haben, wollen wir in Zukunft nicht mehr durcheinander sprechen, son- dern nur wohlbedachte Worte zu rechter Zeït.» — 15 Sie sprachen nun nicht mehr allerlei durcheinander, sondern nur wohlbedachte Worte zu rechter Zeit. Sie dachten: «Wir haben der Lüge entsagt, aber noch nicht der schamlosen Berauschung durch berauschende Getränke; wohlan wir wollen auch der schamlosen Be- rauschung durch berauschende Getränke entsagen. Welcher Art sind diejenigen von uns, die sich schamlos mit berauschenden Getränken berauschen?» Das Ha- selhuhn sagte: «Da es berauschende Früchte giebt, aber auch nicht berauschende, so wollen wir in Zu- kunft die berauschenden Früchte aufgebend, nur die nichtberauschenden geniessen.» Sie fingen nun an die berauschenden Früchte aufgebend, nur die nichtbe- rauschenden zu geniessen. Als sie nun in den fünf Ge- lübden gehôürig fest waren, sprach das Haselhuhn: «Geehrte, da wir nun in den fünf Gelübden gehôrig fest sind, wollen wir auch andere in den fünf Gelüb- den befestigen.» Jene sprachen: «So wollen wir thun. Wen soll aber jeder von uns in denselben befestigen?» Der Affe sagte: «Ich werde alle Affen darin befesti- gen.» Darauf sagte der Hase: «Ich werde alle Hasen und behaarten Thiere darin befestigen.» Der Elephant sagte: «Verhält es sich so, so werde ich die Elephan- ten, Lôüwen, Tiger und Bären alle darin befestigen.» Das Haselhuhn sagte 91]: «Wenn es sich so verhält, so will ich nun auch die noch nicht bekehrten Fuss- losen, Zweifüssler, Vierfüssler und Vügel alle in den fünf Gelübden befestigen.» Darauf befestigten sie in dem Kâçi-Lande alle lebenden Wesen des Thierreichs, so- viel es deren gab, in den fünf Gelübden. Da sie ein- ander keinen Schaden zufügten und in dem dichten Walde nach ihrem Wissen und Belieben lebten, so sandte durch ihre Kraft die Gottheit von Zeit zu Zeit Regen und wurde die Erde stets mit Blumen, Frucht- bäumen und Saaten ausgestattet. Da auch der Kôünig sah, wie die Menschen, ohne einander Schaden zuzu- fügen, lebten und die Erde stets mit Blumen, Frucht- bäumen und Saaten ausgestattet war, sagte er: «Da ich nach dem Gesetze herrsche, so ist dies meine Kraft.» Seine Gattinnen, die Prinzen, die Minister, seine Krieger, Stadt- und Landbewohner meinten, es sei ihre Kraft. Da der Kônig sah, dass diese alle es für ihre Kraft ansahen, staunte er, liess die Zeichendeuter rufen’und fragte, allein sie wussten es nicht. Da gab es unweit von Vàränasi einen Lusthain, in welchem ein mit den fünf Klarsichten begabter Rshi wohnte, Bulletin de l’Académie Empériale 16 der den in Värânasi wohnenden Menschenschaaren, die ihm Verehrung bezeigten, weissagte. Zu diesem Rshi begab sich der Kônig, berührte seine beiden Füsse und sprach: «O grosser Rshi, da alle in mei- nem Lande befindlichen, dem Thierreiche angehôrige lebende Wesen, ohne [91] einander zu schaden, nach Wissen und Belieben leben, und die Gottheit zu rech- ter Zeit Regen sendet, die Erde aber stets mit Blu- men und Fruchtbäumen und Saaten ausgestattet ist, so habe ich gedacht, dass, da ich nach dem Gesetze herr- sche, es meine Kraft sei, da aber die Gattinnen, die Prinzen, die Minister, die Krieger, die Land- und Stadt- bewohner meinen, dass es ihre Kraft sei, so bin ich in grosses Staunen gerathen; es ist deshalb billig, dass du den Zweifel darüber lüsest, wessen Kraft es sei.» Er entgegnete: «O grosser Künig, es ist dies nicht deine Kraft, auch nicht der Gattinnen, nicht der Prinzen, nicht der Minister, nicht der Krieger, nicht der Stadt- und nicht der Landbewohner, sondern in deinem Lande giebt es vier lebende Wesen, deren Kraft ist es» Der Künig sagte: «Wenn es sich so ver- hält, so will ich sie sehen gehen» Der Rshi sprach: Was wünschest du sie zu sehen? sondern den Lebens- wandel, welchen sie ergriffen haben, diesen ergreite auch du und wandle nach demselben.» — Welchen Le- benswandel haben sie denn ergriffen? — «Die fünf Ge- lübde.» — O grosser Rshi, welcher Art sind diese fünf Gelübde? — «O grosser Künig, es sind diese: den le- benden Wesen das Leben nicht nehmen, fremdes Ei- genthum nicht rauben, nicht unerlaubte Verbindung eingehen, nicht lügen, nicht berauschende Getränke |trinken.» Der Künig sagte: «O grosser Rshi, wenn es | sich so verhält, so will auch ich diese fünf Gelübde übernehmen und nach ïhnen leben.» Darauf begann der Kônig diese fünf Gelübde zu übernehmen und danach zu wandeln. Als der Künig die fünf Gelübde übernommen und nach ihnen wandelte, thaten die Gattinnen es ebenso, die Prinzen, die Minister, die Krieger, die Stadt- und Landbewohner übernahmen die fünf Gelübde und fingen an nach ihnen zu wandeln. | Als die Vasallen-Künige hôrten, dass der Künig Brah- | madatta, seine Gattinnen, Prinzen, Minister, Krieger, | Stadt- und Landbewohner die fünf Gelübde übernom- .men und nach ihnen wandelten, so fingen auch sie mit |ihren Gattinnen, Prinzen, Ministern, Kriegern, Stadt- jund Landbewohnern zusammen an die fünf Gelübde 17 übernehmend sie zu beobachten. Die Mehrzahl der Menschenschaaren von Dshambudvipa übernahm die fünf Gelübde und fing an, dieselben zu halten. Wer damals in Dshambudvipa starb, der wurde, wenn sein Leib unterging, in der Tushita-Region der 33 Gütter wiedergeboren. Als der Gütterkünig Çakra den Kreis der Gütter so erweitert sah, sprach er den Vers: «Die im Büsserwalde mit Verehrung und Hochachtung wei- lenden Haselhuhn-Schüler haben die Welt in der Lehre unterrichtet.» Bhagavant sprach: «O0 Bhikshu’s, was meinet ihr? Das Haselhuhn jener Zeit das war ich selbst, der Hase jener Zeit war Çäriputra, der Affe Maudgäljäjana, der Elephant Ânanda.» XII. Rshjaçringa. (Kandjur Band IV Blatt 136—137.) Eine buddhistische Version der aus dem Mahäbhärata 1, 9999 folg. und Râmäjana [, 8 folg. bekannten Er- zählung. Ihr Schluss berechtigt uns wohl auch Hiouen Thsang, Mémoires I S. 124 als Ausfluss derselben zu betrachten; Ekacringa dürfte also demnach nicht so erklärt werden, wie ich es in der Anmerkung zu Ma- häkâtjajana u. Kônig Tshanda-Pradjota S. 25 gethan habe. In längst vergangener Zeit lebte in einer dorflo- sen, mit Blumen, Früchten, Wasser und Wurzeln reich ausgestatteten Waldgegend ein büssender Rshi, der sich von Wurzeln, Früchten und Wasser nährte, und sich mit Fellen und Blättern bekleidete. Da er die fünf Klar- sichten erlangt hatte, wohnten sogar wilde Gazellen, ihm Gesellschaft leistend, in der Einsiedelei. Als er eines Tages an einen andern Ort ging, um sein Wasser zu lassen, folgte ihm ein [137] Gazellenweibchen nach. Als er mit Samen vermischten Harn von sich gegeben hatte, sog die Gazelle diesen auf und beleckte mit der Zunge ihre Geschlechtstheile. Da die Folgen der menschlichen Handlungen nicht durch den Gedanken erfasst werden künnen, geschah es, dass sie trächtig wurde. Zur Zeit, da sie werfen sollte, begab sie sich dahin und es kam ein Knäblein zur Welt. Als sie es beroch und merkte, dass es kein ihr entsprechendes Geschôpf sei, erschrak sie und, nachdem sie Harn und Unrath von sich gegeben hatte, liess sie das Kind im Stich. Als nun der Rshi an den Ort gelangte und das Tome XXII. des Sciences de Saint-Pétersbourg. 1 Kind erblickt hatte, fing er an nachzudenken, wessen Kind dies sein künnte, und erkannte, dass es sein eig- nes Kind sei. Er nahm es mit sich in seine Einsiede- lei und zog es daselbst auf. Als der Knabe gross ge- worden war, wuchsen ihm auf dem Kopfe Gazellen- hôrner; aus diesem Grunde nannte er den Knaben Rshjacringa (Gazellenhorn). Als der Rshi von einer Krankheit befallen und er mit den gecigneten Heil- mitteln behandelt wurde, wollte die Krankheit nicht weichen. Als er nun merkte, dass er sterben müsse, sprach er kurz vor seinem Hinscheiden zu dem Kna- ben: «O Sobn, da in diese Einsiedelei von Zeit zu Zeit Rshi's aus den verschiedensten Gegenden kom- men, so musst du aus Liebe zu mir dieselben mit dem üblichen Gruss bewillkommnen, sie freundlich empfan- gen, sie auf das Lager einladen und ihnen nach Vermi- gen Wurzeln und Früchte vorsetzen.» Da, wie es heisst, das Ende des Zusammengesetzten Auflüsung, das Ende des Hohen Fall, das Ende des Zusammentreffens Schei- den, das Ende des Lebens der Tod ist, so leistete er diesem Gesetze Genüge. Der Jüngling verbrannte den Leichnam des Rshi nach herkômmlicher Art und als er durch den Schmerz um den Verlust des Vaters niedergedrückt war und trauerte, wurde er der fünf Klarsichten theilhaft. Als er zu einer andern Zeit mit einem Kruge nach Wasser gegangen war, begann die Gottheit es regnen zu lassen; als er mit dem Kruge, der mit Wasser gefüllt war, gegangen kam, liess er ibn fallen, so dass er zerbrach. Die Rshÿs sind sehr schnell zum Zorn geneigt. Da er nun das wenige Was- ser verschüttet hatte, machte er der Gottheit Vor- würfe und sagte: «Da durch dein schlechtes Verfahren mein voller Wasserkrug zerschlagen worden ist, sollst du vom heutigen Tage an zwôlf Jahre lang nicht reg- nen lassen!» Durch diesen Fluch liess die Gottheit es nicht regnen. In Väranasi entstand eine grosse Hun- gersnoth und die Menschenschaaren wanderten über- allhin aus. Der Kôünig rief die Zeichendeuter und sprach zu ihnen: «Geehrte, durch wessen Kraft ist es, dass die Gottheit keinen Regen sendet?» Sie ant- worteten: «Durch den Zorn eines Rshi. Kann man diesen in seiner Bussübung stüren, so wird die (rott- heit wieder Regen senden; anders ist es nicht müglich.» Der Kôünig sass in Gedanken versunken da; es fragten die Gattinen, die Prinzen und die Minister: «O Kôünig, weshalb bist du missvergnügt?» Er entgegnete: «We- 2 19 Bulletin de l’Académie Empériale 206 PE " n gen des Zornes eines Rshi sendet die Gottheit keinen | kraft. Die am Regen Freude habende Gottheit zog Regen; die Zeichendeuter haben ausgesagt, dass, wenn der Rshi in seiner Bussübung gestürt werden künnte, die Gottheit wieder Regen senden würde, anders sei es nicht môüglich. Nun weiss ich nicht, wer ihn in der Busse stôren künnte.» Eine Tochter des Künigs, Na- mens Çàntà"), sagte: «O Künig, wenn es sich so ver- hält, so beruhige dich; ich werde es so einrichten, dass der Rshi durchaus aus dieser Bussübung gebracht werde» Der Künig fragte: «Durch welche Vorkeh- rung» Sie entgegnete: «Lass mich und andere Frauen bei den Brahmanen Geheimsprüche lernen; lass auf einer Fähre eine mit Blumen, Früchten und Wasser ausgestattete Einsiedelei errichten.» Der Künig liess sie und andere Frauenzimmer bei den Brahmanen Ge- heimsprüche lernen und auf einer Fähre eine Einsie- delei errichten. Darauf liess sie berückende Gegen- stände und mit Wein gefüllte Früchte und andere sehr bunte Früchte verschiedener Art anfertigen, richtete ihr Aussehen wie das der Rshis ein, kleidete sich mit Gräsern und Baumrinde und begab sich mit den Frauenzimmern, welche bei den Brahmanen Geheim- sprüche erlernt hatten, zur Einsiedelei jenes Rshi. Es sprachen die Schüler zum Rshi: O Lehrer, es sind zu deiner Emsiedelei viele Rshi’s gekommen. — «Gut ist es, dass Rshi°s gekommen sind, führet sie herein.» Als sie eingetreten waren und er sie erblickt hatte, sprach er in Versen: «O weh, früher ist solches Rshi-Aus- sehen nicht dagewesen, ein unstäter, schwebender Gang, das Antlitz frei von Bart, die Brüste auf- und medersteigend.» Er bewirthete sie mit zweifelum- stricktem Sinne mit Wurzeln und Früchten. Sie ge- nossen dieselben und sprachen zum Rshi: «Deine Früchte sind rauh und herb, die in unserer, auf dem Wasser befindlichen Eïinsiedelei vorhandenen Früchte sind Amrta-gleich; deshalb laden wir dich in unsere Einsiedelei ein.» Er nahm die Einladung an und be- gab sich mit ihnen in den auf der Fähre befindlichen Lusthain, wo sie ihm die betäubenden Sachen und die mit Wein angefüllten Kokosnüsse und andere Früchte verabreichten. Als er durch den Wein berauscht und durch die berückenden Gegenstände gebannt, mit ihnen sich unreinem Verkehr hingab, schwand seine Zauber- . die Wolken von allen Seiten zusammen und der Rshi wurde durch jene zurückgehalten. Çantà sagte: «Weisst du jetzt, welche Macht es ist?» Sie brachte ihn, nachdem sie ihn durch Liebesbanden gefesselt hatte, zum Kôünig und sprach: «O Künig, dieser ist es.» Da nun die Gottheit Regen zu senden begann, kam eine gute Ernte. Der Künig gab Çantà nebst Gefolge je- nem Rshi als Gattin. Als derselbe aber Çântà verlas- send mit andern Frauen sich der Liebe hinzugeben begann, fing auch Cäntà mit ihrem von Neïd vernich- teten Gemüth an ihn geringschätzig zu behandeln und als sie im Wortwechsel mit ihm ihm mit dem Schuh einen Stoss an den Kopf versetzt hatte, dachte er: «Ich, der ich den Donner des Gewülks nicht habe ertra- gen kônnen, soil mich jetzt durch Liebesbanden gefes- selt von einem Weibe vernichten lassen.» Er gab sich aufs Neue der Anstrenguug hin und gelangte dann wieder in den Besitz der fünf Klarsichten. XIV. Der Zauberlehrling, (Kaudjur Band IV Blatt 171.) In lin£st vergangener Zeit lebte in Värânasi der Kü- nig Brahmadatta. Da gab es einen in der Zauberkunst und in Geheimsprüchen erfahrenen Tshandäla, welcher, indem er das Gândhâra-Mantra anwandte, durch Zau- ber von dem Berge Gandhamädana Blumen und Früchte, welche die Jahreszeit nicht darbot, herbeischaffte und dieselben dem Kôünige Brahmadatta gab. Der Kônig, der sich daran ser erfreute, verlieh ihmGeschenke. Da kam ein Brahmanenjüngling, der nach Geheimsprüchen Ver- langen trug, als er solche suchte,nachdem er davon durch Hôrensagen erfahren hatte, aus seinem Lande nach Väränasi. Von der Reise ermüdet, ging er, nachdem er sich erholt hatte, zu diesem der Zauberkunst und der Geheimsprüche kundigen Brahmanen und, zu ihm gelangt, sprach er: «ch will dem Pandita dienen.» — Wesbalb?— «Der Zauberkunst wegen.» Der Tshandäla erwiederte in einem Verse: «Die Zauberkunst wird keinem mitgetheilt, man stirbt mit derselben, oder wenn man Wissen und Dienstleistung sammt Vermô- gen hat, so wird sie verliehen» Der Jüngling fragte: «O Pandita, ist es so und habe ich Dienste zu leisten, so frage ich, bis wie lange?» Er entgegnete: «Wenn “ des Sciences de Saint - Pétersbourg. 22 a ————————_—_—————————————…— ————————————— —— — ——————————————————————————————— du zwülf Jahre gedient hast, wird es sich erweisen, ob ich sie dir verleihe oder nicht.» Da der Jüngling nach der Zauberkunst grosses Verlangen trug, ging er dar- auf ein. Als er darauf mit hüchster Freude seine Ver- ehrung bezeigt hatte, fing er an seine Dienste zu lei- sten. Als zu einer andern Zeit dieser Tshandâla be- rauscht nach Hause kam, dachte der Brahmanenjüng- ling: «Da der Meister so wider die Gebühr berauscht ist, will ich mich neben ihm schlafen legen.» Der Tshandäla fing an sich auf dem Bette zu wälzen und, als er sich wälzte, brach eine Bettseite, durch welches Geräusch der Brahmanenjüngling geweckt ward. Da dachte er: «Da der Meister unruhig schläft, werde ich meinen Rücken gegen die Bettseite stützen.» In Folge dessen stützte er seinen Rücken gegen die Bett- kante. Nun ist es in der Ordnung der Dinge, dass die Kraftvollen unter den Trinkern ihres Rausches in der ersten Nachtwache ledig werden und so kam es, dass der Tshandäla durch die Wucht des berauschenden Ge- tränkes auf den Rücken des Brahmanjünglings sich er- brach. Dieser bedachte, dass, wenn er seinen Kürper erhôbe oder ein Wort von sich gäbe, der Lehrer es hôren, erwachen und nicht einschlafen würde; deshalb hielt er geduldig aus. Als darauf der Tschandâla von selbst erwachte und den Jüngling so übel zugerich- tet sah, fragte er, wer dort sei. Er antwortete; «O Lehrer, ich, der Gefährte deines Glückes, bin es.» — «0 Sohn, was hast du gethan, dass du so zugerichtet bist?» Er erzählte was geschehen war. Der Tschan- dâla sprach mit vorzüglicher Freude: «O Sohn, da ich überaus erfreut bin, so geh, wasche dich und komm her; ich werde dir die Zauberkunst mittheilen.» Als der Jüngling sich gewaschen hatte und kam, ver- lieh er ihm die Zauberkunst. Da die Brahmanen hoch- fahrender Natur sind, vermochte er nicht es auszu- halten und wollte zuerst an Ort und Stelle die Zauber- kunst erproben und dann fortziehen. Er wandte die Zauberkunst an, erhob sich gen Himmel, gelangte bald nach dem Gandhamädana, nahm von dort Blumen urd | Früchte, welche die Jahreszeit nicht darbot, und über- gab sie dem Purohita des Kônigs, dieser aber dem Kôünig Brahmadatta. Dieser fragte, von wo er sie er- halten habe. «Es ist aus fernem Lande ein Brahma- nenjüngling da, dieser hat sie mir gegeben. Da die- ser in der Zauberkunst und in den Geheimsprüchen überaus bewandert ist und der Brahmane genügsamer ist, der Tschandäla aber von der ganzen Welt verachtet wird, so fragt es sich, was mit édiesem zu thun sei. Geruhe dem Tschandäla den Unterhalt zu entzichen und denselben dem Brahmanenjüngling zuzuwenden.» Der Këünig antwortete: «Handle also.» Darauf entzog der Purohita dem Tschandäla den Unterhalt und gab ibn dem Brahmanenjüngling. Durch seine Undank- barkeit aber wich die Zauberkunst von ihm. XV. Undank ist der Welt Lohn, (Kandjur IV Blatt 181) In läingstvergangener Zeit wurde der Bodhisattva in unvollkommner Ansammlung”) weilend in einer dorf- losen Einôde, in einer an Gebirgsbächen, Blumen und Früchten reichen Gebirgsgegend unter den Vôgeln als Baumhacker®) wiedergeboren. In derselben Gegend lebte ein Künig der Thiere, ein Lüwe, nach seinem Beha- gen, der Gazellen tüdtend, dieselben zu verzehren pflegte. Da ïhm zu einer anderen Zeit, als er Fleisch verzehrt hatte, ein Knochen zwischen die : Zähne gerathen war, war er, der keine Furcht und Angst kannte, da das Zahnweh seinen Kürper schä- digte, niedergeschlagen und vermochte nichts zu essen. Durch glückliche Fügung kam der Baumhacker, der von einem Baumwipfel zum andern zu fliegen gewohnt war, in die (regend, wo sich der Künig der Thiere befand. AIS er den Lüwen dureh Schmerz geplagt sah, fragte er: «Oheim, weshalb bist du niedergeschlagen?» Der Lüwe antwortete: «O Neffe, ich werde vom Schmerz geplagt.» — «Durch was für einen Schmerz?» Als der Lüwe alles ausführlich erzählt hatte, sagte der Baumhacker: «Oheim, ich werde dich behandeln. Da du der Lüwe und Künig simmtlicher Vierfüssler bist und Nutzen erweisen kannst. musst du mir von Zeit zu Zeit Nutzen erweisen.» Er ent- gegnete: «Ich werde demgemäss handeln.» Der Baum- hacker dachte: «Ich werde es so einrichten, dass er es nicht merke wie ich ihn behandle und es erst erfahre, nachdem er hergestellt ist. Da er nun bestrebt war EN CN _— 7) Anijatarâçi A'EN'TIQ) AF'As.Childers u. d.W. râsi; es wird wohl die Masse des durch frühere Thaten erworbenen Verdienstes durch dieses Wort bezeichnet. 9 YA MP 2* 23 Bulletin de l’Académie Impériale 24 ihm zu helfen, so sass er sein Wesen und Treiben beobachtend da. Als der Künig der Thiere einen gün- stigen Wind (d.h. kumor) empfunden und die Heftigkeit des Schmerzes nachgelassen hatte, war er auf einer grossen breiten Steinplatte mit offenem Rachen einge- schlafen. Da kam der Baumhacker in die Nähe des Künigs der Thiere und als er ihn in so behaglicher Lage fand, dachte er, dass dies der geeignete Zeit- punkt sei, 1hn zu behandeln. Nachdem der Baum- hacker ibn sorgfältig untersucht hatte, zog er den zwischen den Zähnen steckenden Knochen durch fort- gesetzte Bewegung der Flügel heraus und mit den nach überstandenem Schlaf sich üffnenden Augen sich erhebend, sass der Lüwe da. Da der Baumhacker nun wusste, dass der Künig der Thiere von Schmerz und Missbehagen befreit war, kam er mit hôchst freu- digem Gemüth an ihn heran und sagte: «O Oheim, dies ist der Knochen, der die Schmerzen verursachte.» Da sprach der Kôünig der Thiere mit vorzüglichem Staunen: «O Neffe, da ich für diesen Dienst dir Ver- geltung erweisen will, so komm von Zeit zu Zeit zu mir, damit ich dir von Nutzen sei.» Der Baum- hacker antwortete: «Gut, ich werde also handeln» und flog davon. Zu einer anderen Zeit, als der Kônig der Thiere Fleisch verzehrte, kam der Baumhacker, der von einem Falken ergriffen und kaum dem Tode ent- ronnen war, mit von Hunger geplagtem (Gemüthe zum Kôünig der Thiere. Als er ihm seine Noth vorgetragen hatte, sagte er: «Oheim, da ich von Hunger gequält werde, so gieb mir ein wenig Fleisch.» Der Lüwe er- wiederte in einem Verse: «Jetzt, da ich ein lebendes Wesen zerrissen, bin ich wild und Missethäter; bist du, mir zwischen die Zähne gekommen, nicht dankbar dafür, dass du am Leben bleibst?» Der Baumhacker ent- gegnete ebenfalls in Versen: «In den Ocean gewor- fene Haufen und Traumgebilde sind ohne Nutzen, der Verkehr mit einem schlechten Manne und Undank- baren erwiesene Wohlthat sind ohne Nutzen.» XVI. Die beiden Brüder. (Kandjur IV Blatt 186—189). In längstvergangener Zeit kam in einem Kôünigs- palast eines mit Reichthum, Wohlstand, guten Ernten und Menschenmenge ausgestatteten Landes ein Künig zur Herrschaft. Als er sich zu einer anderen Zeit mit seiner Gattin vergnügt hatte und diese schwanger geworden war, gebar sie ihm nach Ablauf von 8 oder 9 Monaten einen überaus schônen Knaben mit gold- farbiger Haut, dem der Kopf wie ein Baldachin stand, mit langen Armen, breiter Stirne, ineinanderfliessenden Augenbrauen, hohem Nasenrücken, mit allen Gliedern und Gelenken. Bei seiner Geburt ereigneten sich viele tausend Glücksfälle. Als man sein Geburtsfest feierte und es sich darum handelte, ihm einen Namen zu geben, sprachen die Minister: «O Künig, da bei seiner Geburt viele tausend Glücksfälle eingetroffen sind, soll er Kshemarnkara”) heissen. Man gab ihm diesen Namen und übergab ihn acht Ammen, zweien Trag- ammen, zweien Säugeammen, zweien Wischammen, zweien Spielammen:; diese Ammen zogen ihn mit ver- schiedenen Milchproducten und anderen vorzüglichen Nahrungsmitteln auf, so dass er wie ein Lotus im Teiche emporschoss. Als der Kôünig sich nochmals mit seiner (Grattin vergnügt hatte und diese schwanger geworden war, wurde nach 8 bis 9 Monaten ein Knabe geboren, bei Geburt viele tausend Un- glücksfälle eintraten, weshalb man ihn Pâparnkara") nannte, Auch dieser wuchs heran und wurde gross. Der Jüngling Kshemamkara, der von freundlichem, barm- herzigen Charakter und mitleidig gegen alle Geschüpfe war, hatte Lust zum Geben, und seine Freude am Geben und spendete den Gramana’s, HS] Brahmanen, Armen und Dürftigen, welche baten, Gaben. Der Vater sprach zu ihm: «O Sohn, gieb nicht fortwährend Geschenke: wenn du sie so hingiebst, wo sollten wir soviel Reichthum haben!» Durch die Natur der Dinge haben viele Menschen ihre Freude am Geben und an den Gaben und, da sie sich freuten, wurde sein Ruhm in Worten und Versen gepriesen, in allen Weltgegenden gefeiert. Der Künig eines anderen Landes, der von der Grüsse seiner Tugend gehôrt hatte, wollte ïhm seine Tochter geben. Der Künig wollte ïhr hoch- beglückt entgegen gehen. Kshemamkata aber sagte: «Bevor ich nicht einen Reichthum erworben habe, will ich nicht heirathen. O Vater, du wirst mir gestatten, dass ich auf den Ocean gehe.» Der Vater ant- wortete: «Handle also.» Als er mit Waaren nach dem dessen 9) TT ES “ 10) STI NL) 25 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 26 Ocean aufbrach, dachte sein Bruder Pâpañkara: «Da dieser vielen Menschen lieb und angenehm ist, wird er, wenn er ein Meeresschiff ausgerüstet hat und zu- rückgekehrt sein wird, den vielen Menschen noch weit lieber und angenehmer werden und da es Anlass sein wird bei Lebzeiten des Vaters ihn in die Herrschaft des Künigsreichs einzusetzen, so will auch ich statt hier bleibend abzuwarten, wessen Reihe komme, mit ihm zusammen auf den Ocean gehen, ihm dort das . Leben nehmen und werde dann auch gegen den Wil- Jen in die Nachfolge eingesetzt werden.» Mit diesen -Gedanken begab er sich zum Vater und sprach zu ihm: «O Vater, da Kshemamkara auf den Ocean aus- zieht, will ich mit ihm gehen.» Der Vater sagte: «Handle also.» Darauf liess Kshemarkara in seinem Lande ausrufen: «Ihr in der Stadt wohnenden geehr- ten Kaufleute, hüret: da sich der Prinz Kshemamkara mit Waaren auf den Ocean begiebt und derjenige von euch, der Lust hat sich unter Anführung des Prinzen Kshemamñkara auf den Ocean zu begeben, von Abgaben, Züllen und Fährgeld befreit ist, so bereitet die auf den Ocean zuführenden Waaren.» Es bereiteten viele hunderte Kaufleute die nach dem Ocean zu bringen- den Waaren. Darauf begab sich der Handelsanführer Kshemamkara mit seinem Bruder Pâpamñkara, nachdem er die glücklichen Erfolg erflehenden Ceremonien verrichtet, von vielen hunderten von Kaufleuten um- geben, mit Wagen, Trachten, Kisten, Kürben, Kame- len, Ochsen und Eseln auf den Ocean zu beférdernde viele Waaren mitnehmend, auf den Weg und gelangte nach und nach Dôürfer, Städte, Länder, Besitzungen und Handels-Marktplätzen sehend ans Ufer des Oce- ans, kaufte dort ein Schiff für 500 Kärshâpana, und fünfhundert Diener, Gräber'"), Reiniger"?), Fischer"), Bootsleute und Steuerleute mitnehmend, begab er sich, nachdem er dreimal einen Ausruf hatte ergehen lassen, auf den Ocean. Auf dem Schiffe sprach er zu seinem Bruder Päpamkara: «Sollte sich inmitten des Oceans ein Schiffbruch ereignen, so umfasse ohne Bedenken meinen Hals.» Jener erwiederte: «Gut, ich werde es 11) SANARETA ob nicht ALES JF 4? so thun.» Als darauf das Schiff mit günstigem Winde auf die Edelsteininsel gelangt war, sagte der Steuer- mann: «Geehrte Kaufleute aus Dshambudvipa hôüret: da ihr gehôürt habet, dass die Edelsteininsel eine Fund- grube von Diamanten, Vaidürja, Türkisen, Smarag- den und verschiedenen anderen Edelsteinen sei, sind wir hieher gekommen und deshalb nehmet Edelsteine, so- viel ihr wollet.» Als sie darauf mit Lust und Freude nachforschten, füllten sie das Schiff wie mit Sesam- kürnern, Reis, Erbsen u. s. w. Da die Bodhisattva’s sehr scharfsinnig und weise sind, befestigte der Prinz Kshemamñkara grosse Edelsteine von grossem Werthe an seinem Gurt. Auf dem Rückwege wurde das Schiff nicht sehr weit von dem Ufer in Folge eines durch ein Seeungeheuer herbeigeführten Unglückes unbrauchbar. Da umfasste Pàäparñkara den Hals des Kshemamñkara und dieser schleppte ihn mit grosser Anstrengung ans Ufer. Als er von der Last ermüdet eingeschlafen war und da lag, erblickte Pàapamkara die von ihm am Gurt befestigten Edelsteine und dachte: «Da er mit solchen Edelsteinen kommt, soll ich da mit leeren Händen kommen?» und entwendete diese Edel- steine dem in tiefen Schlaf versunkenen, stach ihm beide Augen mit einen Dorn aus und liess ihn blind am Ufer des Oceans zurück. Durch glückliche Fügung kamen einige Rinderhirten ihr Vieh weidend an diese Stelle. Als sie ihn erblickt hatten, fragten sie: «He, Freund, wer bist du?» Er erzählte ihnen wie es geschehen war ausführlich. Als sie es gehôrt hatten, erwuchs ihnen Mitleid und sie führten ihn in das Haus des obersten Rinderhirten. Dort fing er an die Laute zu spielen. Als die Frau des Oberhirten, welche von der Schünheit und Jugendfülle entzückt war, die Tône der Laute gehôrt hatte und ihn zu verlocken suchte, sass er, der durch die Thaten erlangten Lebensweise ein- denk, die Ohren schliessend da. Da es für die von der Begierde Ergriffenen nichts giebt, was nicht gethan werden künnte, sprach sie zu ihrem Manne: «Da die- ser blinde Mann mich verlocket, wirst du solche Leute dulden!» Da der Prinz bedachte, dass unter den Zornesarten der Zorn des Weibes die schlimmste sei, so sah er ein, dass ihm, um nicht von demselben betroffen zu werden, nichts übrig bleibe als fortzu- gehen. Er verliess also das Haus und auf allen Heer- strassen, Märkten, Kreuz - und Querwegen ernährte er sich durch sein Spiel. Als sein Vater gestorben 27 Bulletin de l’Académie Impériale 28 —————————"————— war, war sein Bruder Päpañkara zur Herrschaft gelangt und auch nach und nach in die Stadt des Nachbarkünigs gelangt, welcher früher seine Toch- ter zur Ehe hatte geben wollen. Diese war gross geworden und da um sie werbend die Sühne der in verschiedenen Ländern wohnenden Künige, Minister und Purohita’s gekommen waren, sagte der Vater: «O Tochter, der Prinz Kshemañkara, dem ich dich bestimmt hatte, ist auf den Ocean gezogen und daselbst durch ein Unglück umgekommen. Da jetzt Bewerber gekommen sind und diejenigen, denen du nicht gegeben wirst, unzufrieden sein werden, so frägt es sich, wie zu handeln sei.» Sie entgegnete: «O Vater, wenn es sich so verhält, so geruhe die Stadt kehren zu lassen, ich werde mir meinen Mann selbst wählen.» Der Künig sprach: «O Tochter, handle also.» Darauf liess der Künig in den verschiedenen Ländern und Städten ausrufen, dass seine Tochter eine Gattenwahl halten wolle und liess jene Stadt von Gerüll, Steinen und Scherben reinigen, mit Sandel- wasser besprengen und mit Wohlgerüchen räuchern, Baldachine, Standarten und Fahnen aufstellen, viele seidene Gehänge herabhängen mit Blumen mannig- facher Art, gleich einem Gütterhaine, Freude bezeigend ausrufen: «Geehrte Stadt- und Landbewohner und aus verschiedenen Ländern angelangte Menschen- schaaren, hüret! Da morgen des Künigs Tochter selbst die Gattenwahl vornehmen wird, so versammelt euch nach Gebühr.« Am andern Morgen kam des Künigs Tochter mit verschiedenem Schmucke angethan, von vielen Jungfrauen umringt, in einen von der Gottheit des Haines mit Blumen geschmückten Hain, überaus schün durch des Glückes grosse Fügung, während in der Mitte der Stadt viele tausend Menschen versam- melt waren, in die Versammlung um sich selbst emen Mann zu wähblen. Kshemamkara auch sass an einer anderen Stelle die Laute spielend. Da die Menschen nach ihren Thaten in gegenseitiger Beziehung stehen und durch die grosse Kraft der Ursachen die Kraft der Wirkung bezweckt wird, so blieb des Künigs Tochter, als durch die Tône der Laute ïhr € emüth berührt [189] wurde, an dem Lautenspiel Kshemamñkara’s haften und indem sie sagte: «Dies ist mein Mann,» warf sie den Blumenkranz auf ihn. Die Menschenschaaren waren unwillig und efnige fingen aus Herzeleid an sie zu tadeln: «Was hat das für einen Sinn, dass die künig- liche Prinzessin, welche von so grosser Schünheit, so vollendeter Jugendfülle und Kunstfertigkeit ist, mit Hintansetzung der aus verschiedenen Ländern gekom- menen Kônigs-, Minister- und Purohita-Sühne und der vorzüglichen Hausbesitzer einen Blinden sich zum Manne erlesen hat?» Die Beamten meldeten unwillig und unzufrieden dem Kôünige: «O Künig, die Prinzes- sin hat selbst die Gattenwahl vollzogen.» Der Kôünig fragte: «Was für einen hat sie gewählt?» — «O Kôünig, einen Blinden.» — Auch der Künig wurde, als er dies gehürt hatte, missvergnügt, liess die Tochter rufen und fragte: «O Tochter, weshalb hast du, obwohl es überaus schône junge und reiche Sühne von Kôünigen, Begüterten, Handelsherren, Caravanenführern, Mini- stern und Purohita’s giebt, dir einen solchen zum Gatten erlesen?» Sie antwortete: «O Vater, diesen gerade wünsche ich.» Der Künig sagte: «O Tochter, wenn es so ist, so begieb dich zu ihm: weshalb zügerst du?» _— Sie begab sich zu ihm und sagte: «Ich habe dich zu meinem Ehemanne erlesen.» Er erwiederte: «Daran hast du nicht gut gethan. Vielleicht hast du gedacht: da es so ist und dieser blind ist, kann ich mich mit einem anderen Manne vergnügen.» Sie entgegnete: «Ich bin keine, die solche Thaten verübt.» Er sprach: «Was giebt es für ein Zeugniss dafür?» Sie entgegnete, indem sie zu betheuern anfing: «Wenn es wabr ist, und meine Betheuerung richtig, dass ich nur zum Kôünigs- sohn und Prinzen Kshemamñkara und dir Liebe ge- fasst habe, und zu keinem andern, so soll kraft die- ser Wahrheit und der Betheuerung derselben das eine deiner beiden Augen wie früher werden.» Unmittelbar nach dieser Betheuerung wurde das eine Auge wieder wie früher und er sprach: «Kshemamkara bin ich selber, mein Bruder Pâpañkara hat mich so zugerich- tet.» Sie sagte: «Was giebt es für ein Zeugniss dafür, dass du der Prinz Kshemarkara selbst bist?» Auch er fing an zu betheuern: «Wenn es wahr ist und meine Betheuerung richtig, dass, obwohl Pâpamkara | meine Augen ausgestochen hat, ich ihm auch nicht im Geringsten zürne, so müge in Folge der Wahr- heit und der Betheuerung derselben mein anderes Auge cbenfalls wie früher werden.» So wie er die Betheue- rung ausgesprochen hatte, wurde auch sein anderes Auge wie früher. Darauf begab sich die künigliche Prinzessin mit Kshemarmkara, dem nun keines der Glieder fehlte, zum Kôünig und sagte: «O Vater, dies 29 ist Kshemamkara selbst.» Als der Künig es nicht glaubte, erzählte sie, wie es geschehen war; dem Künig erwuchs vorzügliches Staunen, er gab sie hochbeglückt dem Kshemamkara zur Frau, zog mit einem grossen Heer nach jener Stadt, vertrieb Pâparñkara aus der Herrschaft und setzte Kshemamkara in das Reich des Vaters ein. XVII. Wie eine Frau Liebe lohnt, (Kaudjur Band IV Blatt 189—191). Zur nachstehenden Erzählung vergl. man Benfey, Pantschatantra B. I, S. 436 folg. zu IV, 5. In längst vergangener Zeit herrschte in einem Palast eines in jeglicher Beziehung gesegneten Landes ein Künig, dem seine Gemahlin vier Sühne gebar: Çakha, Gulma, Anugulma und Viçâkha"“)H90! As diese heran- gewachsen waren und sich aus anderen Ländern Künigs- tüchter zu Frauen genommen hatten, fingen sie an sich geringschätzig gegen den Künig zu benehmen. Als der Künig sie verbannte und sie mit ihren Frauen da- vonziehend in eine üde Gegend gelangt waren, gingen ihnen die Nahrungsmittel aus. Sie kamen unterein- ander überein nach der Reïhe ihre Frauen zu tüdten und mit deren Fleisch sich durch die Einüde durchzu- schlagen. Viçàkha aber meinte, es sei besser sein eigenes Leben hinzugeben, als ein fremdes zu rauben und statt abzuwarten, wer sterben solle, beschloss er mit seiner Frau zu entfliehen., Als er nun mit der- selben entflohen war, sprach diese, welche durch Mangel an Speise und Trank und durch Anstrengung des Weges erschôüpft war: «O Herr, ich komme um.» Vicäkha meinte, es sei nicht gut, wenn sie nun stürbe, nachdem er sie aus den Händen der Ràäkshasa (Men- schenfresser) gerettet habe; er schnitt sich aus seiner Lende Fleisch aus und gab es ibr zu essen; und nach- dem er sich die Adern beider Arme geôüffnet, gab er ihr das Blut zu trinken. So gelangten sie nach und nach zu einem Berge und ernährten sich dort mit Wurzeln und Früchten. An dem Fusse dieses Berges floss ein Fluss, in den ein Mann, dem der Feind Hände und Füsse abgehauen hatte, gefallen war, und von dem Wasser fortgetragen, Laute der Verzweiflung von sich HAE ST NY AGT AAA N?] des Sciences de Saint-Pétersbourg. 30 gab. Vicäkha, der an einer anderen Stelle Warzeln und Früchte sammelte, hôürte das Hülferufen und da sein Gemüth durch Mitleid ergriffen wurde, bestieg er den Berg und fing an nach allen Seiten zu blicken. Als er nun den Mann vom Wasser fortgetragen sah, stieg er eilends den Berg hinab, sprang in den Fluss, nahm den Mann auf sich und trug ihn ans Ufer. Von seinem Unglücke ergriffen, fragte er ihn: «O Sobn, woher ist das gekommen?» Als dieser ihm den ganzen Verlauf erzählt hatte, sprach er ihm Muth zu, sättigte ihn mit Wurzeln und Früchten und übergab ïhn sei- ner Frau, durch deren Pflege er hergestellt wurde. Durch das mit dieser Pflege verbundene Behagen ging sie wiederholt zu ihm und verbrachte die Zeit in verschiedenen Gesprächen. Durch die Natur der Dinge sind die Bodhisattva’s nicht besonders der Liebesleidenschaft ergeben und so kam es, dass Viçäkha nur zeitweise der Liebeslust Genüge that. Da durch die Macht des Bodhisattva’s Stimme, Wur- zeln und Früchte überaus grosse Kraft hatten, wurde die Frau durch deren Genuss in geschlechtliche Aufregung versetzt und fing an jenen fuss- und hand- losen Mann zu verlocken. Der Krüppel wollte nicht darauf eingehen und bemerkte, dass er, der schon so gut wie todt gewesen, von dem Mann gerettet und hergestellt sei und durch eine solche Handlungsweise in eine Stellung gerathen würde, die üer eines Lebens- räubers gleichkomme. Da sie ihn aber wiederholt verlockte und es schwer war der Leidenschaft Herr zu werden, so ruhte er an ihrer Seite. Obwohl im Liebes- genuss die Leidenschaft zunahm, wollte er, wenu auch abgesandt, nicht zu ihr. Allein er bedachte, dass er, da sie nun so von Leidenschaft erfasst war und unter allen Feindseligkeiten die des Weiïbes die schlimmste ist, jetzt ins Verderben gerathen sei. In Folge dessen fiug er an sich mit ihr zu berathen: « Wenn dein Mann es erfährt, dass wir bei einander geruht, wird er ohne Zweifel dir ein Leid anthun und mich tüdten.» Sie meinte, diese Worte hätten ihre Richtigkeit und es sei eine Vorkehrung zu treffen. Da die Weiïber auch, ohne es gelernt zu haben, gescheidt sind, bewickelte sie ihren Kopf mit einem Tuche und legte sich auf einen Felsen schlafen. Als Viçäkha mit Wurzeln und Früchten heimkehrte und sie so schlafen sah, fragte er sie: «0 Gute, was ist dir?» Die entgegnete: «O Herr, da mir mein Kopf weh thut, ist mir sebhr unwohl.» Viçäkha sagte: Gebirgsschlucht Steinschmutz ©) erblickt H91] hatte, sagte sie: «O Herr, als ich schon frühereinmalvondiesem Kopfleiden befallen war, hat der Arzt mir Steinschmutz angeordnet und dadurch bin ich genesen.» Viçäkha antwortete: «Ich werde Steinschmutz suchen.» Sie ‘entgegnete: «Da es sich in dieser Gebirgsschlucht befindet, werde ich dich an einem Seil halten und du wirst es kerautholen.» Da die hehren Wesen aufrichtig und einfach sind, so vermuthete er keine Arglist und sprach: «Wollen wir so thun, halte du das Seil und ich hole Steinschmutz.» Als er sich nun am Seil herabliess, liess sie dasselbe aus ibrer Hand fahren, weshalb auch er losliess und ins Wasser fiel. Da der Bodhisattva zu langem Leben und zum Genuss der Herrschaft bestimmt war, kam er nicht um, sondern, von dem Strom eimhergetragen, gelangte er zu einer Kônigsburg. Dort war der Kônig ohne Nachkommenschaft gestorben und die Minister sammt den Stadt- und Landbewohnern beriethen sich, wen sie, da kein Künig da sei, in die Herrschaft einsetzen sollten. Sie wählten zeichenkundige Män- ner aus und hiessen diese einen mit Tugendver- dienst ausgestatteten Mann suchen, damit sie die- sen in die Herrschaft einsetzten. Da nun die Thaten, welche dem Viçakha die Herrschaft einbringen sollten, der Reife nahe waren, stieg er aus dem Flusse und liess sich an einer Stelle nieder, die durch die Macht des Bodhisattva wie geschmückt aussah. An diese Stelle gelangten die Zeichenkundigen und als sie das hehre Wesen mit den Merkmalen der Herrschaft aus- gestattet sahen, begaben sie sich voll Freude und Seligkeit zu den Ministern und meldeten, dass sie bei ihrem Suchen ein mit grossem Tugendverdienst aus- gestattetes Wesen, dem die Herrschaft zukomme, gefunden hätten. Es liessen darauf 9] die Minister den Weg und die Stadt reinigen, geleiteten ïhn hoch- beglückt in die Stadt und weihten ïhn an dem gecig- neten Tage, zur geeigneten Stunde, unter dem geeig- neten Sternbilde zum Kônig. Da er ohne Gattin war, es 15) F7 wofür das Sanskritwort noch nicht gefunden ist, hat Jäschke in seinem Wérterbuch neben ANTST] als Médicament; = : = = letzteres entspräche dem Sanskrit AFATTET, woraus man ASE gemacht zu haben scheint; vergl. Bôhtlingk-Roth unter dem ersteren Worte. Bulletin de l'Académie Impériale oo «Was ist hiebei zu thun?» Als sie in einer | brachten die Minister, die Purohita’s, die Künige an- 3? derer Länder, auch andere Begüterte, Handelsherren, Caravanenführer ïhre mit jeglichem Schmucke aus- gestatteten Tôchter, damit sie in den Palast aufgenom- men würden, in jene Stadt. Doch der Künig, der durch sein Weib so geschändet war, ging darauf nicht ein. Die Minister sprachen: «O Künig, es pflegen Künige nicht ohne (Gattinen, Prinzen, Minister, Stadt- und Landbewohner zu sein, deshalb geruhe eine Gattin ein- zusetzen. In den verschiedensten Gegenden wohnen- de Grosse und Kôünige und Grosse fremder Länder haben ihre Tôchter in Bereitschaft, um dir vorgestellt zu werden.» Allein er war dazu nicht zu vermügen und tadelte die Weiber fort und fort. Da durch die Macht der Tugendverdienste der Wesen alle Genuss- güter Kraft und Vollendung erhalten, geschah es, dass, nachdem der Bodhisattva durch die Unthat sei- ner Frau von jenem Berge geworfen worden war, Wurzeln und Früchte jenes Berges zusammenschrumpften und ihre Kraft verloren. Darauf begab sich die Frau zur Zeit des Hungers aus Furcht umzukommen, indem sie den Krüppel sich auflud, nach den Dôrfern und bettelte auf den Heerstrassen, den Marktplätzen, den Kreuz- und Querwegen. (Gefragt, antwortete sie: «Mir hat mein Mann nie einen Vorwurf gemacht.» Da eine Frau, welche von ihrem Mann keinen Vorwurf erhält, von der Welt hochgeachtet zu werden pflegt, erhielt sie, wohin sie auch kam, eine Gabe. Als sie nun auch in jene Residenz gelangte war, wurden die Leute, als sie von ihr hôrten, von Staunen ergriffen. Einige begaben sich voll Verwunderung hinaus, um sie zu sehen und die in der Stadt wohnenden Menschenschaaren pflegten, wenn sie (relegenheit gefunden hatten, jene zu tadeln, zurechtzuweisen und Nachrede zu halten, zu fragen, ob nicht dieser Kôünig, der an allen Frauen etwas aus- zusetzen habe, diese treffliche, von ihrem Mann nicht getadelte, den fuss- und handlosen Krüppel tragende Herumtreiberin anschauen sollte. Als der Purohita solche Rede dem Künige kundgethan hatte, besann sich dieser und befahl diese Frau herbeizurufen, da er sie sehen wolle. Als sie hereinbeschieden war und der Künig sie gesehen hatte, sagte er lächelnd diesen Vers: «Wirst du, die du mein Lendenfleisch gegessen, die du mein Blut getrunken und den Krüppel aufge- laden hast, nun vom Manne nicht getadelt? Wirst du, nachdem du wegen des Steinschmutzes vom Abhang 33 des Sciences de Saïint-Pétersbourg. 34 mich herabgeworfen, nachdem du den Krüppel auf- geladen, nun vom Manne nicht getadelt?» Sie stand mit schamerfüllten Herzen und gesenkten Angesichtes da. legenheit gefragt und er ihnen alles wie es geschehen war ausführlich erzählt hatte, trieben sie die Frau mit Schmähreden zur Stadt hinaus. XVIII. Viçvamtara. (Kandjur IV, Blatt 192—200.) Bei Spence Hardy, À Manual of Budhism p. 116 folg. als Wessantara Jäâtaka abgedruckt. In längst vergangener Zeit herrschte in der Stadt Vicvanâgara) der Kônig Viçvämitra; in derselben, die mitReichthum, Fülle, Wohlstand, Fruchtbarkeit und grosser Menschenmenge ausgestattet, ohne Zwist, Zank, Aufregung, Streit und Räuberei, auch frei von Krank- heiten, mit Reis, Zuckerrohr, Rindern und Büffeln reichlich versehen war, herrschte er als Künig des Gesetzes [192] nach dem Gesetze. Der Künig war von lauterem Glauben und tugendhaftem Sinn, auf sein eigenes Heil und das Heil anderer bedacht, voll Barmherzigkeit, der Hochherzigkeit beflissen und freundlich gegen die Menschen. Als er sich zu einer anderen Zeit mit seiner Gattin vergnügt hatte, wurde sie schwanger und nach Verlauf von acht oder neun Monaten gebar sie einen wohlgestalteten, schônen, wohlaussehenden Knaben, dessen Hautfarbe goldähn- lich war, das Haupt einem Baldachin gleich, die Arme lang, die Stirn hochgewôlbt, die Brauen inein- andergeflossen, der Nasenrücken hoch, alle Glieder und Gelenke vollzählig. Als man nach der Geburt sein Geburtsfest feierte, ging man daran den Knaben zu benennen. Die Verwandten sprachen: «Da der Knabe des Künigs Vicvamitra Sobhn ist, so soll er Viçvamtara heissen. Es wurde der Knabe Viçvamtara acht Ammen, zweien Tragammen, zweien Säugeammen, zweien Wischammen und zweien Spielammen über- geben, welche ibn mit Milch, geronnener Milch, Butter, | geschmolzener Butter, Butterschaum und anderen vor- züglichen Lebensmitteln verschiedener Art aufzogen, | 16) FAN STI TN A Tome XXII. | Als die Minister den Künig nach dieser Ange- | so dass er gleich einem Lotus im Teich rasch empor- wuchs. As er gross geworden war und Schreiben, Zählen, Rechnen und Handrechnen gelernt hatte, befleissigte er sich aller der Künste und Fertigkeiten, welche einem aus den Kshattrija’s zum Künige geweih- ten, mit Reichthum, Macht und Tapferkeit ausgestat- teten, den ganzen Erdkreis bändigenden Herrscher zustehen, als da sind: Das Reiten auf Elephanten, auf Rossen, das Fahren in Wagen, die Handhabung des Schwertes, des Bogens, das Vorrücken, das Zurück- ziehen, das Werfen des eisernen Hakens, der Schlinge, das Abschiessen der Waffen, das Hauen, Schneiden, Stechen, Packen, Marschieren und die fünf Schiess- arten. Der Jüngling Vicvamñtara, dem lauterer Glaube und tugendhafter Sinn innewohnten, war auf sein Heïl und das Heïil anderer bedacht, barmherzig und der Hochherzigkeit beflissen, gegen die Menschen freund- lich, hingebend und gewährend, ohne alle Leidenschaft reichlich spendend und der Hingabe beflissen. Als man von dieser seiner übergrossen Freigebigkeit hürte, kamen zahllose Menschen bittend zu ihm und er ent- liess sie, nachdem er ihre Erwartungen vollkommen befriedigt hatte. Eïnes Tages begab sich der Bodhi- sattva auf einem vorzüglichen, von Edelsteinen, Gold, Silber, Stahl, Korallen, Vaidürja, Türkisen, Rubinen und Sapphiren glänzenden, aus Agrasàra-Sandelholz verfertigten, mit Lüwen-, Tiger- und Bärenfellen bedeckten Wagen, dessen vier Rosse mit Windes- schnelle einherjagten und mit goldenen und silbernen Schellen klingelten, zur trefflichen Stadt hinaus in den Lusthain. Da sagten einige in den Veda-Theilen bewanderte Brahmanen dem Viçvañtara begegnend: «Kshattrija-Jüngling, mügest du siegreich sein» und fügten hinzu: «In der ganzen Welt bist du berühmt als einer, welcher alles hingiebt; deshalb ist es recht, dass du diesen Wagen den Brahmanen als Gabe spen- dest.» Als sie dies gesagt, 193] stieg der Bodhisattva Viçvañtara eiligst vom Wagen und, indem er freudi- gen Herzens den Brahmanen den Wagen hingab, sagte er: «Sowie ich mit vorzüglicher Freude den Wagen hingegeben, also müge ich die Dreiwelt hingebend der vorzüglichsten Einsicht theilhaft werden!» Zu einer anderen Zeit begab er sich auf dem Elephanten Rädshjavardhana, ”) der an Weisse den Kunda-Blumen, 17) In der von Hardy gesebenen Recension wird dem Elephanten 3 35 Bulletin de l’Académie Empériale 36 ——————_—_—_—_— re den weissen Lotussen, dem Schnee, dem Silber, und den Wolken gleichkam, von vorzüglichem Wuchs, mit gutgestalteten Füssen und Rüssel, wie der Elephant Airâvana einherschreitend, mit den Merkmalen der vorzüglichen Begabung, und durch seine Tüchtigkeit erkennbar, von der Schaar sehr ergebener Sclaven, Freunde und Diener gefolgt, gleichwie der von den Sternschaaren umgebene Mond, als der Frühling ge- kommen war, nach dem Lusthain des Waldes, in wel- chem Bäume und Blumen blühten, Flamingos, Kra- niche, Pfauen, Papageien, Predigerkrähen, Kukuke und Fasanen sangen. Da kamen einige mit Dispu- tiren beschäftigte Brahmanen eiligst an den Prin- zen Vicvamñtara heran und sprachen zu ihm: «Kshat- trija- Prinz, mügest du siegreich sein» und fügten hinzu: «In der Welt sammt Gôttern und Ungôttern bist du berühmt als Alles Spender, es ist demnach recht, dass du diesen vorzüglichen Elephanten uns schenkest.» Als sie dies gesprochen hatten, stieg der Bodhisattva eiligst von diesem vorzüglichen Elephan- ten herab und, nachdem er ihnen mit dem frohesten Gemüth diesen vorzüglichsten Elephanten gegeben hatte, sagte er: «Sowie ich mit vorzüglicher Freude den Brahmanen den Elephanten hingegeben habe, so môüge ich auch, nachdem ich die Dreiwelt hingegeben, der vorzüglichsten Einsicht theilhaft werden.» Als es nun verlautete, dass des Kôünigs Vicvämitra Sohn Viçcvamtara den vorzüglichen Elephanten Rädshja- vardhana den disputirenden [1%] Brahmanen gegeben habe, und auch der Künig Vicvämitra davon hürte, gerieth er in Zorn, liess den Prinzen Viçvarntara rufen und hiess ihn aus dem Lande gehen. Von dem Vater ver- stossen, bedachte Vicvamtara, dass er, der (vorzüg- lichsten) Einsicht wegen sich angestrengt, aus Wohl- wollen gegen die ganze Welt mit dem Panzer der Tu- gend bekleidet, auch den Elephanten hingeben habe; solange er im Hause geweilt, habe er nach Vermügen Gaben gespendet, im Büsserwalde weïilend, habe er vorzügliche Anstrengung zu machen; da er nicht im Stande sei gebeten eine abschlägige Antwort zu geben, wolle er lieber das Haus verlassend in den Büsser- wald ziehen. Darauf ging der Bodhisattva, nachdem er ein starkes Gelübde abgelegt hatte, zu seiner Gat- das Vermügen Regen zu schaffen beigelegt; sollte hier nicht durch die doppelte Bedeutung des Wortes ATIT eine den Nàga’s zustehende Eigenthümlichkeit auf den Elephanten übertragen sein? tin Madri ®) und erzählte ihr alles ausführlich. Sowie sie ihn angehôrt hatte, sagte sie mit einem Herzen, das von dem Geliebten getrennt zu werden befürchtete, die Handflächen zusammenlegend, zum Bodhisattva: «O Herr, wenn es sich so verhält, so werde auch ich in den Büsserwald ziehen; von dir, o Herr, getrennt, bin ich nicht im Stande auch nur einen Augenblick zu leben. Weshalb? Wie der Himmel, wenn er des Mondes ledig ist, wie die Erde, wenn sie des Wassers ledig ist, so ist das Weib, wenn es des Mannes ledig ist.» Der Bodhisattva sagte: «Wir müssen uns end- lich ohne Zweifel von einander trennen, es ist dies schon der Lauf der Welt. Du bist an vorzügliche Speisen und Getränke, Nachtlager und Gewänder gewohnt und deshalb vou sehr zarter Kürperbeschaf- fenheit; im Büsserwalde muss man auf Gras und Blätterstreu schlafen, Wurzeln, Blumen und Früchte geniessen und auf einem Boden, der mit Hirsengras, Splittern und Dürnicht angefüllt ist, wandeln, immer und immer sich an eine Speise halten, gegen alle Wesen Hochherzigkeit üben, den plôtzlich Erscheinen- den Bewirthung gewährend. Da ich nun auch dort ohne Zweifel nach Vermügen Gaben gewähren werde, musst du darob durchaus keine Reue empfinden. Deshalb musst du eine Weile dies gut bedenken.» Madri antwortete: «O Herr, soviel ich es im Stande bin, werde ich dir nachfolgen.» Der Bodhisattva sagte: «Verhält es sich so, so wolle du dein Gelübde im Sinn behalten.» Darauf begab sich der Bodhisattva zu seinem Vater, bezeigte ihm mit dem Haupte Ver- ehrung und sprach: «O Vater, geruhe mir mein Ver- gehen, die Verschenkung des Elephanten zu verzei- hen; da ich nun aus der Stadt in den Wald ziehe, wird, o Künig, dein Schatz nicht leer werden.» Der Künig, der aus Schmerz über die Trennung den Athem verlor, sprach mit zitternder Stimme: «O Sohn, gieb das Schenken auf und bleibe.» Der Bodhisattva er- wiederte: «Die Erde sammt den Bergen kann vielleicht zur Umkehr bestimmt werden, ich, o Herr der Erde, kann meinen Sinn vom Schenken nicht abbringen.» Nach diesen Worten ging er, bestieg sammt Sohn, Tochter und (Gattin den Wagen und begab sich zur trefflichen Stadt hinaus; hunderttausende der 37 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 38 Bewohner der Residenz und des Landes gaben ihm wehklagend das Geleite. Als ein Mann dieses Weinen und die Klagelaute hôrte und er jeune so grosse Men- schenmenge zum Thor der Stadt hervorstrümen sah, fragte er einen Mann: «He, Lieber, weshalb hat eine so grosse Menschenmenge solches Wehklagen erho- ben?» Jener antwortete: «Geehrter, weisst du es denn nicht, dass auf solche Weise des Künigs eigener Sohn Sudanshtra weil er standhaften Sinnes am (reben seine Freude hatte, von hier verbannt wird?» Als er mit Frau und Kindern zum Rande des Waldes autbrach, erhoben sämmtliche Leute des Hofgefolges laute Weh- klage, der Bodhisattva aber trat sowie sich’s gehôrte vor das aus der trefflichen Stadt ausgezogene Hofgefolge und forderte es auf umzukehren [9%51, «(Wenn man auch noch so lange etwas lieb und zum Freunde hat, so steht ohne Zweifel zuletzt die Trennung bevor. Die Verwandten und Freunde werden sich, ähnlich wie von den Bäumen der Einsiedelei, wo sie von der Ermüdung des Weges ausruhten, ohne Zweifel vom Liebsten tren- nen müssen. Denn, wenn ihr bedenket, dass in der gan- zen Welt die Menschen machtlos sich von den Freunden trennen müssen, müsset ihr mit vollständiger Anstren- gung der Ruhe halber euren unstäten Sinn befestigen.» Als der Bodhisattva 300 Jodshana’s gezogen war, trat ein Brahmane vor den Bodhisattva und sprach: «0 Kshattrija-Prinz, ich bin, da ich von deiner Tugend gehôrt habe, dreihundert Jodshana’s weit hergekom- men; es ist billig, dass du mir als Lohn für meine Ermüdung den vorzüglichen Wagen gebest.» Dies er- trug Madri nicht und sie sprach mit heftigen Worten zum Brahmanen: «O weh, dieser Brahmane, der des Kôünigs Sohn sogar im Walde um eine Gabe bittet, hat einen unbarmherzigen Sinn; erwächst ihm, der der Künigssohn aus dem kôniglichen Glanz gefallen sieht, hier kein Mitleid?» Der Bodhisattva sprach: «Mache dem Brahmanen keinen Vorwurf.» Weshalb? «Madri, wenn es nicht solche gäbe, welche nach Schätzen Verlangen tragen, gäbe es auch keine Hingabe und wie künnten wir dann auf der Erde der Einsicht theilhaft werden? Da das Geben und die anderen Päramita’s mit Fug die hôchste Tugend enthalten, erreichen die Bodhisattva’s stets die vorzüglichste Einsicht.» Da- rauf übergab der Bodhisattva mit überaus grosser Freude Ross und Wagen jenem Brahmanen und sagte: «O Brahmane, durch diese, von dem Makel des Nei- des befreite Hingabe des Wagens müge ich den von dem vorzüglichsten Rshi gelenkten Wagen des sünd- losen Gesetzeslenken !» Als Vicvartara mit überausfreu- digem Gemüth den vorzüglichen Wagen dem Brahmanen gegeben hatte, nahm er den Prinzen Krshna'”) auf seine Schulter, Madri aber die Prinzessin 195*] Dshâlini *); sie brachen nach dem Walde auf und gelangten endlich in den Büsserwald. Darauf lebte Viçvamtara in je- nem büsserwalde, nachdem er das sein Gemüth er- freuende Gelübde übernommen hatte. Als Madri um Wurzeln und Früchte zu sammeln in den Büsserwald gegangen war, trat ein Brahmane vor Viçvamtara und sprach: «Prinz aus dem Kshattrija-Geschlecht, du mügest siegreich sein! Da ich keine Sclaven habe und nur mit meinem Stab umherirre, deshalb ist es bil- lig, dass du deine beiden Kinder mir gebest.» Als nach diesen Worten der Bodhisattva Vicvamtara ein wenig über die Hingabe der geliebten Kinder nach- dachte, sprach jener Brahmane zum Bodhisattva: «0 Prinz aus dem Kshattrija-Geschlecht, nachdem ich gehôrt habe, dass du der Allspender seist, so frage ich, weshalb du bei dieser meiner Bitte an dich noch überlegst? Du bist auf der Erde berühmt als im Besitz alles spendender Barmherzigkeit, diesem Ruhm gemäss musst du beständig handeln.» Nach diesen Worten sagte der Bodhisattva zum Brahmanen: «He, grosser Brahmane, wenn ich mein eigenes Leben hin- geben soll, werde ich kein einziges Mal Bedenken haben; wie sollte ich denn, wenn ich meine Kinder hingeben soll, meinen Sinn anderswohin wenden? O grosser Brah- mane, da es sich so verhält, so habe ich, wenn ich die im Walde wachsenden beiden Kinder hingebe, daran ge- dacht, wie sie, von mir hingegeben, mit Schmerzen der Trennung von der Mutter leben werden, und da mich manche beschuldigen werden, dass ich mit übergrosser Unbarmherzigkeit die Kinder und nicht mich hingege- ben habe, so ist es besser, o Brahmane, dass du mich nimmst.» Darauf sagte der Brahmane zu Viçvamtara: «O Prinz aus dem Kshattrija-Geschlecht, aus einem grossem Künigsgeschlechte geborner, da ich sah, wie auf dieser Erde überall deine Tugend gepriesen wurde, 19) EE — in der südlichen Recension bei Hardy S.116 heisst der Knabe Jäliya, das Mädchen Krishnäjinä. 20) KT'84 9% 39 Bulletin de l’Académie Impériale 40 deine Güte, welche sich aller Wesen erbarmt, die Gabe, die Bewirthung und Verebhrung mit denen du, gleich den Duftelelephanten, (196! Cramana’s, Brahmanen, Ankümmlinge aufnimmst, Armen, Dürftigen, Schutz- losen und Hungrigen alle ihre Erwartungen erfüllst, ist es nicht recht, dass ich, nachdem ich zu dir gekom- men, ohne Gabe und ohne die Frucht meines Weges bleibe und mit der Weïsung, dass ich es nicht erhalte, alle in meinem Sinn gehegte Hoffnung zu Schanden gemacht werde. Deshalb ist es billig, dass du meine Hoffnungen erfüllend, die Kinder mir hergebest. Wes- halb? Die mit dem Ocean als Gewand bekleidete, die Âcker als unvergleichliche Augen, vorzügliche Berge als Oberkürper mit Brüsten habende, Städte sammt Dôrfern tragende Erde hingebend, ist man, Sudanshtra, nicht dir an Kraft gleich.» Als der Bodhisattva Vicvam- tara diese Worte des Brahmanen hôrte, überlegte er das an den Kindern haftende Verlangen: «Wenn ich nun die beiden Kinder diesem Brahmanen gebe, werden die Schmerzen der Trennung von den Kindern ich und Madri haben. Gebe ich sie ihm aber nicht, so werde ich meinem Gelübde untreu und dann geht der Brah- mane getäuschter Hoffnung wie er gekommen. Erhält er sie, so erlange ich auf der Erde Verzweiflungsjam- mer über den Verlust der Kinder. Handle ich nicht 50, so breche ich mein Versprechen und schwindet mein Gelübde.» Da beschloss der Bodhisattva Viçvamtara seine geliebten Kinder hinzugeben und sprach: «Nun wohl, es geschieht dies, damit ich durch hundertfache Bussübung aus dem mit mannigfachen Schrecken be- hafteten Schmerzensmeer, die in dasselbe, da es boden- los ist, Versinkenden errette wie die dem Vollmond mit fleckenlosen Antlitz gleichende Überfahrts-Brücke mit Stützen.» Nachdem er diese Worte mit ungetrübtem Gesicht gesprochen, füllten sich seine Augen mit Thränen, er (96 übergab seine beiden Kinder jenem Brahmanen und sprach: «Da ich für die Hingabe der Kinder einen übergrossen Lohn erhalte, werde ich die Welten aus dem Ocean des Kreislaufs retten.» Unmittelbar nach der Übergabe der Kinder erbebte die Erde auf sechsfache Weise, Als durch dieses Erdbeben die in diesem Walde wohnenden Büsser in Schrecken gesetzt, einander fragten, durch wessen Kraft die Erde auf so unerträgliche Weise in Bewe- gung versetzt wäre, und wissen wollten, wer eine solche Kraft besässe, that ein alter Büsser aus dem Vaçishtha- Geschlecht, der in der Deutung der Zeichen erfahren war, jenen Büssern die Sache kund: «Ohne Zweifel ist die Erde deshalb in Bewegung gerathen, weil die in dem Büsserwalde weïilenden, Früchte und Wasser geniessenden, schôünäugigen, geliebten beiden Kinder Vicvañtara, um die durch die Schmerzen in Verzweif- lung gerathenen Menschen gänzlich zu erlüsen, hin- gegeben hat.» Als nun die beiden Kinder es merkten, dass der Vater sie dahingeben wollte, berührten sie mit Klagelauten und die Handflächen zusammenlegend die Füsse Vicvamtara’s und sprachen: «O Vater, willst du uns in Abwesenheit der Mutter dahingeben? ge- ruhe uns, nachdem wir dieselbe gesehen, dann fort- zugeben.» Darauf stürzte der Bodhisattva durch den seinem Gemüth anhaftenden Schmerz zusammen, mit thränenbefeuchtetem Gesicht umarmte er beide Kin- der und sprach: «O Kinder, in meinem Herzen ist keine Unfreundlichkeit, sondern nur mitleidsvolle Barmher- zigkeit, da der ganzen Welt zum Heil die Tugend ich erschaut, geb’ich euch hin, wodurch ich die vollendete Einsicht erlange und, selbst der Ruhe theilhaft, die im Ocean der Qualen befindlichen, der Stütze enthehrenden Welten errette.» Als die Kinder nun sahen, dass der Vater sie aus festem Entschluss fortgab, erwiesen sie mit dem Haupte den Füssen des Vaters Verehrung, legten die beiden Handflächen [97] zusammen und mit Klagelauten sprachen sie leise: «Hast du nun das Seil zerschnitten, so haben wir zu melden: Gewähre du uns Nachsicht. O Vater, wolle du nun sprechen; auch andere Versehen, die wir, weil wir Kinder sind, gegen dich, den hôheren, begangen haben oder, wenn wir hin und wieder Worte ausgesprochen, die dir nicht gefielen oder nicht gehorchend ungerechter Weise nicht alles erfüllt haben, das geruhe, es als Versehen der Kinder ansehend, zu verzeihen,» Nachdem sie diese Worte gesprochen, dem Vater Verehrung bewiesen und ihn dreimal umkreist hatten, gingen sie mit thränen- erfüllten Augen das dem Oberen zu Sagende im Herzen habend, immer und immer zurückblickend aus jener Einsiedelei fort. Darauf beherzigte der Bodhisattva die mitleidserregenden Worte der Kinder und da er den Wunsch hatte die hôüchste Einsicht zu erlangen, be- gab er sich in eine Laubhütte des Büsserwaldes. Kaum waren die Kinder fortgegangen, so erbebte der Wel- tenraum der Dreitausendwelt auf sechsfache Weise. : Viele tausende von Güttern gaben in den Läüften ju- 41 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 42 belnde und jauchzende Laute von sich und sprachen: «O ob der grossen That der Hingabe! wessen Sinn auch nach Hingabe der beiden Kinder unwandelbar bleibt, der ist wahrlich der Bewunderung werth.» Als darauf Madri mit Wurzeln und Früchten nach der Einsiede- lei zu aufbrach und die grosse Erde erbebte, so eilte sie um so mehr der Einsiedelei zu. Eine gewisse Gott- heit, welche annahm, dass sie die von dem Bodhi- sattva zur Erlüsung der Wesen beabsichtigte Hin- gabe verhindern Kkünnte, nahm die Gestalt einer Lôüwin an und trat ihr hindernd in den Weg. Ma- drîi sprach also zu dieser Gattin des Künigs der Thiere: «Du Gattin des Künigs der Thiere voller Mauthwillen, was trittst du mir hindernd in den Weg? Damit ich wirklich untadelhaft verbleibe, weiche mir aus, dass rasch ich gehe. Ferner bist du Gattin des Kônigs der Thiere, ich die Gemabhlin des Lüwen der Fürsten, also sind wir Standesgenossirnen; deshalb o Kônigin der Thiere, üffne mir den Weg.» Als sie s0 gesprochen hatte, trat die Gottheit, welche Gestalt der Lüwin angenommen hatte, von diesem Wege auf die Seite. Als darauf Madri unheïlvolle Zeichen er- blickte, dachte sie einen Augenblick nach, da in der Luft Klagelaute ertônten, da die im Walde wohnenden Wesen Schmerzenstôüne von sich gaben, und meinte, dass ohne Zweifel in der Einsiedelei ein Unglück ge- schehen sei. «Da mir mein Auge zuckt, da die Vügel Tône von sich geben, da mir selber banget, sind sicher- lich beide Kinder hingegeben. Da die Erde bebet, da mein Herz erzittert, da mein Leib geschwächt ist, sind sicherlich beide Kinder hingegeben.» Mit der- gleichen hunderttausend Unglücksgedanken eilte sie nach der Einsiedelei; dort eingetreten, blickte sie traurig umher, und, als sie die Kinder nicht sah, ver- folgte sie betrübt und zitternden Herzens die Spuren auf dem Boden der Einsiedelei. «Hier hat der Knabe Krshna nebst seiner Schwester mit den Gazellenjungen stets gespielt; hier ist das von beiden aus Erde er- richtete Haus; dies sind die Spielsachen beider Kin- der. Da beide nicht zu sehen sind, künnte es sein, dass sie von mir ungesehen in die Laubhütte gegan- gen sind und dort schlafen.» Mit diesen Gedanken die Kinder zu sehen hoffend, legte sie die Wurzeln und Früchte an eine Stelle und mit thränengefülltem Auge umfasste sie die beiden Füsse ihres Mannes und fragte: «O Herr, wohin sind der Knabe und das Mädchen gegangen?» Vicvamtara antwortete: «Es ist zu mir der Hoffnung voll gekommen ein Brahmane; diesem gab ich beide Kinder, freue dich darob.» Als er diese Worte gesprochen hatte, sank Madri zu Boden, wie eine von einem vergifteten Pfeil getroffene (razelle und wälzte sich wie ein aus dem Wasser gezogener Fisch; wie ein der Jungen [8] beraubter Kranich gab sie Jammerlaute von sich, wie eine Kuh, deren Kalb umgekommen, verschiedene Klagelaute aus- stossend, sprach sie: «Mit der (estalt junger Lotusse ausgestattet, mit Händen, deren Fleisch zart ist wie ein junges Lotusblatt *'), erleiden meine bei- den Kinder Qualen, empfinden Schmerz, wohin sie gehen. Schlank wie Gazellenjunge, gazellenäugig, mit den Gazellen der Ruhestatt sich erfreuend, wie erlei- den jetzt meine Kinder in fremder Gewalt Schmerzen ? Die Augen mit Thränen angefüllt, mit kummervollem Schluchzen und starke Schmerzen erleidend, leben sie jetzt, da sie von mir nicht erblickt werden, unter armen Menschen in Niedergeschlagenheit. Die an mei- nem Busen aufgezogen, Wurzeln, Blumen, Früchte es- send, die, Nachsicht geniessend, am Besten stets sich freuten, meine beiden Kinder erleiden jetzt grosse Schmerzen. Von Mutter und Angehürigen getrennt, durch die Rohheit der Verwandten verlassen, mit sünd - haften Menschen zusammengetroffen, erleiden meine beiden Kinder jetzt grosse Schmerzen. Durch Hunger und Durst beständig gequält, werden sie, in wessen Ge- walt sie gerathen sind, zu Sclaven geworden, ohne Zwei- fei der Verzweiflung Schmerzen empfinden. Sicherlich habe ich in früheren Existenzen eine furchtbare Sünde begangen, indem ich hunderte von Wesen von ihren Liebsten trennte; deshalb klage ‘ich jetzt wie eine Kub, die ihr Kalb verloren. Wenn es eine Beschwü- rung giebt, durch die ich stets alle Wesen gewinnen kann, so sollen durch dieselbe meine beiden Kinder, nachdem sie zu Sclaven geworden sind, frei werden.» Als Madri darauf die von den Kindern gepflanzten und gepflegten Bäume mit dichtem Laub erblickte, um- armte sie dieselben zärtlich und sprach: «Es haben die Kinder mit kleinen Krügen Wasser geschôüpft und auf die Blätter Wasser geträufelt, Bäume, als wäret ïhr 21) Eigentlich ZZ'NQ'ANXA Lotus-Pfeil, nach Aussage meines à à Collegen Maximowicz haben die jungen Lotusblätter ein rühren- fürmiges, pfeilformiges Aussehen. 43 Bulletin de l’Académie Impériale 44 mit einer Seele begabt, gaben euch die Kinder die Brust zu trinken”).» (981 Als sie ferner die Gazellenjungen, mit denen die beiden Kinder zu spielen pflegten, in der Einsiedelei stehen sah, sprach sie traurig, langsam jammernd: «Mit dem VerlangenihreGespielen zu sehen, gehen die Gazellenjungen an der Stelle die Pflanzen durchsuchend, meinem endlosen Schmerz Gesellschaft leistend.» Darauf als auf dem Wege, auf welchen die beiden Kinder fortgegangen waren, die Spuren auf- hôrten und sie ihre Spuren nicht gerade ausgehend, sondern in die Kreuz und Quer gehend erblickte, wurde sie heftig von Schmerzen ergriffen und sagte: «Da die Spuren auf Ziehen und einige auf raschen Gang schliessen lassen, hast du sie sicherlich mit Schlä- gen fortgeführt, o unbarmherzigster Brahmane, und wie sind wohl meine Kinder, indem der Hals beengten Athem hatte, die Stimme unterdrückt war, die schüne Unterlippe bebend, den Gazellen gleich scheu umher- blickend, mit ihren zarten Füssen gegangen?» Als darauf der Bodhisattva dieses Klagen ausstossende Benehmen gesehen hatte, bestrebte er sich seine Gattin mit einer Reihe solcher und solcher Worte über die Unbeständigkeit zu belehren und sprach: «Ich habe deine beiden Kinder nicht des Ruhmes wegen fortgegeben, auch nicht aus Zorn, zum Heile aller Wesen habe ich die Kinder, die es schwer war hinzu- geben, hingegeben. Indem man die Gegenstände, die am schwersten fortzugeben sind, die Kinder und die Frau hingiebt, erlangt man wie die grossen See- len die vorzüglichste Einsicht. O Madri, da ich der Hingabe anhänge, habe ich die schwerhinzugeben- den Kinder zur Erlôsung der Welt hingegeben; mich selbst, meine Gattin, Kinder und Schätze hinzugeben, alles aufzuopfern ist mein Gedanke.» Als darauf Madri ihren Sinn gekräftigt hatte, sprach sie zum Bodhisattva: «Nicht will ich hinderlich dir sein; lass deinen Sinn du wandelfrei, wünschst auch mich du hin- zugeben, so gieb mich unbedenklich hin. O Tapferer wenn du dasjenige, um dessentwillen du das mit Unge- mach Behaftete aufgiebst, baldigst erreicht hast, errette die Wesen aus [1%] dem Kreislauf.» Als da- rauf der Künig der Gütter Çakra diese bewunderungs- würdige Ausdauer des Bodhisattva’s, das Bestreben der Madri und ihre sebr schwer auszuführenden Tha- ten sah, kam er, von der Trajastrinçat-Gôtterschaar umringt, vom Himmel herab zu der Einsiedelei und erhellte diesen Ort mit grossem Glanze; in der Luft weilend sprach er zum Bodhisattva: «Indem du auf solche Weise in der thürichten Welt, die einen durch den Knoten der Unwissenheit gebundenen Sinn hat, in der durch die Banden des dem Genusse huldigen- den Sinnes gefesselten Welt, Gewaltiger, allein ohne Leidenschaft die dich erfreuenden Kinder hingegeben, hast du sicherlich diese Stufe durch flecken- und freudenlose Ruhe erlangt.» Als er mit diesen Worten den Bodhisattva erfreut, dachte der Gôütterkünig Cakra: «Da dieser allein und ohne Pflege (Stütze) beengt werden dürfte, will ich ïhn um Madri bitten.» Er nahm also Gestalt eines Brahmanen an und nachdem er zum Bodhisattva gekommen war, sprach er zu ibm: «Gieb mir die an allen Gliedern schôüne, von ihrem Gatten nicht getadelte, liebliche, in ihrem Geschlecht gepriesene Schwester hier zur Sclavin.» Darauf sprach Madri ungehalten zum Brah- manen: «Schamloser, du voll Begierde, hast du etwa Verlangen nach derjenigen, die nicht wie du, Aus- wurf der Brahmanen, lüstern ist, sondern am treffli- chen (resetze ihre Freude hat?» Da fing der Bodhi- sattva Viçvatara mit mitleidsvollem Herzen an sie zu betrachten und es sprach Madri zu ihm: «ch habe keinen Kummer meinetwegen, ich habe keine Sorge um mich; wie du allein verweilen wirst, das nur ist mein Kummer.» Da sprach der Bodhisattva zu Madri: «Da ich die endloser Qual überhobene Stufe suche, muss man, 6 Madri, 19%] auf dieser Erde nicht jammern; folge du ohne zu jammern diesem Brahmanen nach; ich werde nach Art der Gazellen lebend in der Einsiedelei verweilen.» Als er diese Worte gesprochen bhatte, dachte er mit frohem und überaus zufriedenem Gemüthe: «Diese Gabe hier in diesem Walde ist meine beste (Gabe, nachdem ich hier auch Madri gänzlich hingegeben habe, soll sie durchaus nicht zu- rückbehalten werden.» Er nahm Madri bei der Hand und sprach zu jenem Brahmanen: » Diese meine theure Gattin, die von Herzen liebliche, dem Befehl gehor- same, mit Benehmen hohen Geschlechts, lieblich redend, empfange du, vorzüglichster Brahmane.» Als darauf Sudanshtra, um die hüchste Einsicht zu erlangen, die schüne Gattin hingab, schwankte wie ein Boot im Wasser 45 des Sciences de Saint - Pétersbourg. 46 die Erde in ihren Enden sechsfach. Als nun Madri in die Gewalt des Brahmanen gekommen war, sprach sie, durch den Schmerz der Trennung von ihren Mann, ihren Sohn und ihrer Tochter ergriffen, mit stockendem Athem und gleichsam mit durch Heiserkeit im Halse zuürückgehaltenen Tünen also: «Welche Un- that habe ich in meinem früheren Leben verübt, dass ich jetzt wie eine Kuh, deren Kaïb umgekommen, in einem menschenleeren Walde jammere?» Da legte der Gütterkünig Çakra die Brahmanengestalt ab und, seine eigene Gestalt annehmend, sagte er zu Madri: «O Glückliche, nicht bin ich Brahmane, auch nicht em Mensch, ich bin der Gütterkônig Çakra, der Bändiger der Asura’s. Weil ich darüber, dass du die vorzüglichste Sittsamkeit bewiesen, meine Freude habe, so sprich du aus, welches Wansches Gewährung du von mur hier verlangst?» Durch dieses Wort be- seligt, sprach Madri, indem sie sich vor Çakra nieder- warf: «Tausendäugiger, meine Kinder soll der Herr der Dreiunddreissig aus der Knechtschaft befreien und dieselben zum Grossvater gelangen lassen.» Der Gôtterfürst trat nach diesen Worten in die Einsiede- lei ein und begab sich zum Bodhisattva, Madri an der linken Hand nehmend, [200] sprach er zum Bodhi- sattva: «Ich gebe dir Madri zur Bedienung, du darfst sie keinem geben, giebst du das Anvertraute fort, so wird dich Tadel treffen.» Darauf bethôrte der Gôtter- künig Cakra den Brahmanen, der den Knaben und das Mädchen entführte, so, dass er in der Meinung, es sei eine andere Stadt, in dieselbe Stadt kam und sich anschickte die Kinder zu verkaufen. Als die Minister dies sahen, meldeten sie dem Kônige: «O Künig, deine Grosskinder Krshna und Dshälini hat ein über- aus nichtswürdiger Brahmane in diese vorzügliche Stadt zum Verkauf gebracht.» Als der Künig diese Worte hürte, sprach er unwillig: «Schaffet sofort die Kinder her.» Als die Minister den Befehl erlassen hatten und die Städter eiligst vor dem Kônige er- schienen, und einer der Minister die Kinder vor den Kôünig führte, und dieser die vor ihn geführten Enkel ohne Kleider und mit beschmutztem Kôürper erblickt hatte, fiel er vom Thron zu Boden, die ganze Umgebung, die Schaar der Minister und die Frauen fingen an zu weinen. Der Künig sprach zu den Ministern: «Der Schünäugige, der auch im Walde weilend an der Hingabe seine Freude hat, der soll sofort mit seiner Gattin herbeigerufen werden.» Dar- auf begab sich der Künig der Gôtter Çakra, nach- dem er dem Bodhisattva Verehrung bezeigt hatte, zu sich nach seinem Aufenthalt. Als darauf der Künig Viçvâmitra gestorben war, zogen die Brahmanen, Mini- ster, Stadt- und Landbewohner nach der Einsiedelei und baten den Bodhisattva, luden ihn in die Stadt und setzten ihn zum Kônig ein. Darauf ward der Kônig Vicvañtara Vicvatjäga (Alles Spender) genannt. Nach- dem er den CÇramana’s, den Brahmanen, Armen, Bedürf- tigen, Freunden, Verwandten, Bekannten und Dienst- leuten Gaben verschiedener Art gegeben hatte, sprach er in Cloka’s: «Um die hüchste Einsicht zu gewinnen babe ich den Kshattrija’s, Brahmanen, Vaicja’s, Çüdras, Tschandâla’s und Pukkasa’s furchtlos Gaben gespendet und Gold, Silber, Rinder, Rosse, Edelstenorgehänge, so auch arbeitende Sclaven, da das Geben die vor- züglichste Tugend ist, mit leidenschaftlosem Gemüth Kinder und Gattin hingegeben und erhalte dadurch in dieser Welt und der jenseitigen die Herrschaft der Männer.» Da der Kônig Vicvämitra Vicvamtara’s wegen dem Brahmanen Dshudshaka viele Schätze ge- geben hatte und er dadurch zu grossem Reichthum gelangt war, kamen seine Lieben, Verwandte und Freunde und sprachen: «Dein Reichthum, dein Ver- môügen und deine vorzügliche Habe hängen alle von Viçvañtara ab.» Er entgegnete: «Was habe ich mit dem Prinzen Viçcvämitra zu schaffen? da ich in der ersten Kaste geboren bin, habe ich den Lohn der Welt erhalten, deshalb bin ich so begütert geworden.» Bha- gavant sprach: O Bhikshu’s, was glaubet ihr? der Prinz Vicvamñtara jener Zeit war ich selbst, Dshudshaka aber Devadatta. XIX. Die strafbaren Hunde. (Kandjur Band IV Blatt 212). In längst vergangener Zeit langte in Väränasi der Künig Brahmadatta zur Herrschaft, als das Land mit Reichthum, Fülle, Glück und Saaten gesegnet war und eine grosse Bevülkerung hatte. Da gab es zwei Hunde, Ganda und Upaganda mit Namen, welche das Pferde- geschirr des Künigs zerfrassen. Als zu einer andern Zeit der Künig Brahmadatta gegen die Litshtshha- 47 Bulletin de l’Académie Ampériale 4% vis ®) ausziehen wollte, befahl er seinen Ministern das Pferdegeschirr in Augenschein zu nehmen. Als sie dies thaten und es ganz zerrissen und zerfetzt fanden, sprachen sie zum Künig: «O Künig, das Pferdegeschirr ist von den Hunden aufgefressen». Der Kôünig sagte: «O Geehrte, wenn es sich so verhält, so gebe ich die Hunde gänzlich preis». Da wurden einige getôdtet, andere liefen davon. Ein Hund, der aus einem andern Lande nach Vâränasi kam und sie davonlaufen sah, fragte sie, weshalb sie so sehr in Furcht seien. Sie er- zäblten alles wie es geschehen war ausfübrlich. Jener sagte: «Weshalb bittet ihr den Kônig nicht?» Sie ant- worteten: «Die andern sind verstummt, wir aber, die wir davonlaufen, haben keine Müglichkeit den Kônig zu bitten». Jener sagte: «Bleibet, ich werde den Kô- nig euretwegen bitten». Als er sie ermuthigt hatte, kehrten sie zurück und nachdem sie Halt gemacht hatten, baten sie in einer Entfernung, von wo sie ge- hôrt werden konnten, in einem Verse also: «Die in des Künigs Burg befindlichen beiden Hunde Ganda und Upaganda voll Kraft und Farbe sind zu tüdten, wir sind des Todes nicht schuldig. O Kônig, es ist nicht recht die Unschuldigen tüdten zu lassen». Als der Kô- nig dies gehôrt hatte, sprach er am Morgen zu den Ministern: «Geehrte, suchet die auf, welche gestern mich in Versen gebeten haben». Diese befahlen den Leibwächtern: «Suchet diejenigen, welche gestern den Künig in Versen gebeten haben». Sie sagten: «Œs waren des Landes Hunde». Der Künig sagte: «Ge- ehrte, untersuchet, ob Ganda und Upaganda das Gre- schirr zerfressen haben oder andre Hunde». Die Mi- nister versammelten sich und fingen an zu berathen: «Geehrte, der Künig hat befohlen die Hunde zu unter- suchen; wie sollen wir es thun?» Andere sagten: «Was soll man andere untersuchen! Man muss ihnen eine Haarkapsel geben und sie zum Erbrechen bringen». Nachdem man den Hunden eine Haarkapsel gegeben und sie zum Erbrechen gebracht hatte, brachen Ganda und Upaganda Lederstücke aus. Als der Kôünig davon in Kenntniss gesetzt War, gab er diese beiden Hunde gänzlich preis, den übrigen aber gewährte er Furcht- losigkeit. 23) '4l; diese Übersetzung findet sich so im Lexicon tibetico- sanscrit. Xe 586 des Asiatischen Departements (jetzt im Asiat. Mu- seum der Akad. der Wiss.), vergl. über dasselbe Bôühtlingk im Bull. histor. phil. T. II pag. 345. XX. Die dankbaren Thiere und der undankbare Mensch, (Kandjur Band IV Blatt 212*—213*). Diese Erzählung schliesst sich auf das Genaueste den von mir in Benfey’s Pantschatantra I, S. 194 folg. mitgetheilten an; vergl. ebendaselbst IT, $S. 128. In längst vergangener Zeit kam in Vâränasi der Künig Brahmadatta zur Herrschaft. Als ein Mann mit einer Axt und einem Tragreff ) nach Holz in den Wald gegangen war, erschrak er beim Holzsuchen vor einem Lüwen und davonlaufend fiel er in eine Grube *). Auch der Lôwe, der ihn zu fressen beabsich- tigte, fiel ebendaselbst hinein. Eine durch eine Schlange in Fureht gesetzte Maus lief davon und da ein Falke um die Maus zu verzehren, ihr nachsetzte, fielen alle in die Grube hinein. Alle hatten sie aber die bôse Ab- sicht einander zu tüdten. Der Lüwe sagte: «O Geehrte, ihr alle seid meine Genossen; da es sich so verhält und wir vor Angst unerträglichen Schmerz bekommen haben, so ist es jetzt nicht Zeit cinander zu gefährden; deshalb bleibet sitzen, ohne euch zu rühren». Durch Fügung des Geschicks kam ein Jäger, welcher Ga- zellen suchte, in diese Gegend, und, als er jene Grube zu betrachten anfing, sprachen jene mit bestürzten Worten: «He Freund, rette uns»! Darauf zog der Jä- ger, der es vernommen hatte, zuerst den Lüwen heraus. Dieser berührte seine Füsse und sagte: «Ich werde dir dankbar sein, allein jenen Schwarzküpfigen, der die empfangene Wohlthat vergisst, zieh nicht heraus». Nach diesen Worten ging er davon. Darauf zog der Jäger nach und nach alle aus der Grube. Zu einer andern Zeit hatte der Lüwe eine Gazelle getôdtet und als der Jäger auch in jene Gegend gelangte, erkannte ihn der Lüwe und, die Füsse des Mannes berübrend, gab er ihm die Gazelle. Zu einer anderen Zeit war der Künig Brahmadatta mit seiner Gemablin in den Lust- bain gegangen und, als er sich daselbst vergnügt hatte, legte er sich schlafen. Da die Frauen unbesorgt waren, zogen sie ihre Kleider aus und trockneten sie; legten ihren Schmuck an gewissen Stellen ab und lustwandel- ten, sassen, ruhten und schliefen im Haine. Als eine 24) GR = RE. 25) NL, worin wohl AR} steckt. 49 der Gattinnen ihre Schmuckgegenstände an einer | Stelle abgelegt hatte und eingeschlafen war, trug der Falke dieselben davon und schenkte sie aus Dankbar- keit dem Jäger. Als der Künig vom Schlafe erwacht war, zog er eiligst nach Väränasi. Auch die Gattinnen, Prinzen, Minister, Stadt- und Landbewohner brachen schleunigst auf. Als die Gattin ihren Schmuck suchte und nicht fand, sagte sie dem Künige: «O Kôünig, im Lusthain ist mein Schmuck verloren gegangen». Der Kôünig befabl den Ministern: «O (Geehrte, da der Schmuck verloren gegangen ist, so suchet, wer ïhn davongetragen hat». Als sie zu suchen anfingen, begah sich der Schwarzküpfige, welcher von Zeit zu Zeit den Jäger besuchte und es wusste, dass er den Schmuck hatte, undankbaren Sinnes zum Kônig und sagte es ihm. Da gerieth der Künig sehr in Zorn; des Künigs Männer liessen den Jäger rufen und sagten ihm: «He, Freund, du hast aus dem Lusthain den Schmuck ge- stohlen». Dieser erschrak und erzählte, wie es gesche- hen war; der Schmuck wurde dem Künige zurückge- geben, den Mann aber band man und steckte ihn ins Gefängniss. Die Maus begab sich zur Schlange und sagte ihr: Durch die Veranstaltung des schwarzküpfi- des Sciences de Saint-Pétersbourg. M ee Un Don 7 “ee Re MU. f RE gen Sünders ist unser Wobhlthäter von dem Kônige gebunden und ins Gefängniss geworfen». Die Schlange sagte: «He Jäger, ich werde heute den Kônig beissen, du aber heile ihn mit diesem Zauberspruch und diesem Heilmittel. Wenn es so geschieht, wird der Kôünig dich ohne Zweifel freilassen und dir Güter und Gaben zuertheilen». Der Jäger sagte: «Gut, es sei also». Die Schlange biss den Künig, der Jäger kam und heïlte ihn mit jenem Zaubersprnch und Heilmittel. Darauf entliess ihn der Künig voll Freude aus dem Gefiäng- niss und verlieh ihm Güter und Gaben. XXI. Ichneumon, Maus und Schlange, (Kandjur Band IV Blatt 213—214). In längst vergangener Zeit regnete es zur Unzeit 214] sieben Tage lang und ein Ichneumon begab sich in ein Mäuseloch. Auch eine durch den Regen einge- schüchterte Schlange gelangte, nachdem sie hin und her geirrt war, in eben dieses Loch. AÏS nun das Ich- neumon sich anschickte die Maus zu tôdten, sprach Tome XXIII. 20 die Schlange: «O Geehrte, da wir vor unerträglichem Schmerz Angst bekommen haben, so müssen wir ohne einander zu gefährden sitzen und uns nicht rühren». | Die Schlange hiess Nandasena *), das Ichneumon | Nanda, die Maus Gamgâdatta. Nandasena und Nanda sagten zu Gañgâdatta: «Geh verstohlen und suche uns Speise». Da die Maus aufrichtig und gut gesinnt war, fing sie an für jene beiden eïfrig Nabrung zu suchen, konnte aber keine finden. Nanda sagte zu Nandasena: «Wenn Gagâdatta ohne Nahrung kommt, so werde ich sie selbst verzehren». Nandasena dachte: «Selbst in der Angst bei unerträglichem Schmerz ge- dachte dieser jene zu tüdten, geschweige denn, wenn sie ohne Nahrung zurückkehrt, lieber will ich zuvor ihr Nachricht geben». Die Schlange gab der Maus Nachricht: «Nanda hat also gesprochen: «Wenn Gam- gâdatta ohne Nahrung kommt, so werde ich sie selbst verzehren». Gañgâdatta, welche, nachdem sie Nah- rung gesucht, nichts gefunden hatte, dachte: «One Zweifel wird er mich verzehren» und meldete dem Nan- dasena: «Da ein Mensch, durch die Gewalt des Hun- gers ermattet und beengt, unbarmherzig wird, so sage du zum undankbaren Wesen, dass Gaïngädatta nicht mebr zurückkehrt». XXII. Die Krähe mit dem Goldmützchen, (Kandjur Band IV Blatt 221). In lingst vergangener Zeit geschah es, dass in Và- rânasi vor einer Frau, deren Mann sich auf eine weite Reise begeben hatte, eine Krähe angenehme Tüne von sich gab. Da sagte die Frau: «Geh Krähe, geh, wenn mein Mann wohlbehalten heimkehrt, schenke ich dir ein Goldmützchen». Darauf kehrte ihr Mann auch wohlbehalten heim. Als die Krähe nun des Goldmütz- chens halber vor ihr erschien und angenehme Tôüne von sich gab, gab sie ihr ein Goldmützchen. Die Krähe setzte es auf und flog hin und her; des Goldmützchens wegen aber riss ihr ein Falke den Kopf ab. Eme Gottheit sprach den Vers: «Ein Vermügen, das eine unnütze Grundlage hat, wird geraubt; das auf dem Kopfe der Krähe befindliche Gold suchte ein Räuber». 29) TRS 51 Bulletin de l’Académie Empériale 52 a, XXII. Der Schakal in den Elephantenspuren, (Kandjur Band IV Blatt 222). In längst vergangener Zeit war nach dem Himà- laja ein Elephant gekommen um Wasser zu trinken, ihm folgte ein Schakal und, als er die Elephantenspu- ren erblickt hatte, fing er an sie mit seinem Schritt zu messen und dachte: «Diese Spur ist meine und fort und fort springend, steckte er den Fuss in die Spur und glitt auf einem zerbrochenen Lodhbaume aus» ?). Eine Gottheit sprach den Vers: «Kurz, nicht gleich sind des Elephanten Spuren und deine Spuren, Thor, gieb dein nutzloses Beginnen auf, du dürftest nur noch Müdigkeit davontragen». XXIV. Die rachsüchtige Krähe, (Kandjur Band IV Blatt 231*). In längst vergangener Zeit setzten die Männer von Râdshagrha und der Künig irgend einer Angele- genheit wegen fest, zwei Todtenäcker anzulegen, um auf den einen die Männer, auf den andern die Frauen zu werfen. Als zu einer andern Zeit ein Zwitter ge- storben war, konnte er weder auf dem einen noch auf dem andern Todtenacker Platz finden. In einer Gegend von Rädshagrha gab es einen Lusthain mit Wurzeln, Früchten und Blumen vorzüglicher Art und verschie- denen Singvügeln. Es wohnte dort ein Rshi geschore- nen Hauptes, der sich von Wasser, Wurzeln und Früch- ten nährte und mit einem Fell und Baumrinde bekleidet war. Da dort auf einem dreieckigen Felde eine Ricinus- staude wuchs, warf man den Leichnam des Zwitters dahin. Den Geruch des Leichnams witternd, kam ein Schakal und fing an den Leichnam des Zwitters zu verzehren. Eine Krähe hatte auf dem Wipfel des Ri- cinusbaumes ihr Nest sgebaut und nistete daselbst. Es fiel ihr ein, den Schakal zu preisen, damit dieser ihr die Ueberreste des Frasses gebe und sie fing also in einem Verse an sein Lob zu singen: Da ich dir, dem mit dem Halse eines Lüwen, mit dem Rücken eines Stieres ausgestatteten, meine Verehrung bezcige, so geruhe du zum Frommen des Bittenden mir geneigt zu sein». DES = 27) 2 RS JE = MURAT Symplocos racemosa, s. Bôht- lingk-Roth n.d. W. Der Schakal blickte auf und sprach ebenfalls in einem Verse: «Vorzüglichster der Vügel, der du durch die Lüfte wandelst, der du alle Gegenden erhellest, schôn gleich einem Edelsteine auf dem Wipfel eines vorzüg- lichen Baumes weilend». Die Krähe antwortete: «Da ich zu dir heruntergekommen bin um einen Hochbe- glückten zu sehen und dir als dem Künige der Thiere Verehrung bezeige, geruhe du zum Frommen des Bit- tenden gnädig zu sein». Der Schakal sprach: «Du, deren Hals dem Pfauenhalse gleich ist, du Krähe, schôn von Aussehen, du Vorzüglichste der Freuden- bringer, steig herab, damit du nach Belieben speisest». Die Krähe flog herab und fing an in Gemeïnschaft mit dem Schakal den Leichnam des Zwitters zu verzehren. Als der Rshi dies sah, sagte er in einem Verse: «O weh, von fern schon habe ich dich erblickt, dich, der du im Schatten des elendsten Baumes schamlos nistest und den elendsten Leichnam verzehrest». Als die Krähe dies hôrte, sprach sie unwillig den Vers: «Was geht es diesen Kahlkopf an, dass hier Lüwe und Pfan am trefflichen Fleische sich nährend, durch fremde Gabe ïhr Dasein fristen», Auch der Rshi wurde unge- halten und sprach den Vers: «Sehet hier die Vereini- gung des Schamlosen. Der elendste der Vügel ist die Krähe, der elendste der Vierfüssler der Schakal, der elendste der Bäume der Ricinusbaum, der elendste der Menschen der Zwitter, der elendste der Âcker der dreieckige». Da erwuchs der Krähe übergrosser Un- wille, sie begab sich in des Rshi Küche und fing an sich umzusehen. Da sie dort nichts sah, zerschlug sie die Krüge und Tôüpfe und flog davon. Als der Rshi in die Küche trat und die Krüge und Tüpfe zerschlagen sah, wusste er, dass kein anderer, sondern nur die büse Krähe dies angerichtet habe und sprach in einem Verse: «Demjenigen, der ohne, dass ihm dergleichen gesagt wird, mit schamloser Bosheit die Küche zerschla- gen hat, soll man niemals, sei etwas zu loben oder zu tadeln, auch nur das Geringste sagen; ein Vernünfti- ger erlangt beständig nur dadurch Ruhe, dass er schweigt». XX V. Die beiden zusammengewachsenen Fasanen, (Kanudjur Band IV Blatt 232—233). Man vel. Pantschatantra von Benfe y, B.IL. $.360 und B. I. S. 111. 53 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 54 ————_—_—_—_—_—_—_—_—_—_—…—…—…—…—…—…—…—…—…—…—…—…—…—…—…—…—…—…—…—…—…——— In längst vergangener Zeit lebten an dem Ufer des Oceans zwei Fasanen*), deren Kürper zusammenge- wachsen waren, Namens Dharmika und Adharmika. Als Adharmika schlief, wachte Dharmika und sah eine Amrta-Frucht von dem Wasser angetrieben. Er nahm sie auf und dachte, ob er den andern wecken oder die Frucht allein geniessen solle, auch bedachte er, dass wenn er sie genüsse, ihr gemeinsamer Kürper genährt würde. Er weckte also den andern nicht. Als dieser von selbst erwachte und bemerkte, dass den Dharmika Erbrechen der Amrta-Frucht betraf, fragte er: «Was erbrichst du»? Dharmika antwortete: «Amrta-Frucht». — Woher hast du sie bekommen? — Dharmika entgeg- nete: «As ich, wäbrend du schliefest, die Amrta-Frucht gefunden hatte, habe ich dieselbe aufgegessen, ohne dich zu wecken, weil ich dachte, dass der gemeinsame Kürper dadurch Nahrung hätte». Adharmika sagte: «Da du nicht gut dara5 gethan hast, werde auch ich die Zeit wahrnehmen». Als zu einer andern Zeit Dharmi- ka eingeschlafen war und Adharmika wachte, sah letz- terer eine Giftfrucht vom Wasser einhergetrieben, ver- zehrte sie und beide fielen in Ohnmacht. Adharmika sprach, von der Giftfrucht aufgeregt: «Wo immer ich wiedergeboren werden mag, da mag ich Dir Tüdter, Widersacher und Feind werden». Dharmika sprach: «Wo immer ich wiedergeboren werden mag, mag ich dir Freundlichkeit erweisen». XX VI. Die erfüllte Prophezeiung. (Kaudjur Band IV Blatt 253—236). In längst vergangener Zeit übte in Värânasi der Künig Sardsharasin *) in der reichen, weiten, glück- lichen, gesegneten und mit Menschen angefüllten Stadt die Herrschaft aus. Er nahm sich die Tochter emes andern Kônigs zur Frau und vergnügte sich mit der- selben, wodurch diese zu einer andern Zeit schwanger wurde und nach Ablauf von acht oder neun Monaten zur Mittagszeit der Sonnenhühe einen überaus schünen Knaben gebar. Als man nun sein Geburtsfest beging und man fragte, welchen Namen man dem Kinde ge- ben sollte, sagten die Minister: «O Künig, da der Knabe zur Zeit der Sonnenhühe geboren worden ist, soll er Sûrjanemi ”) benannt werden». Als er so be- nannt worden war, wurde er acht Ammen, zweien Trag- ammen, zWeien Säugammen, zweien Wischammen und zweien Spielammen übergeben. Da diese acht Ammen ihn mit Milch, geronnener Milch, Butter, flüssiger Butter, Butterschaum und anderen vorzügli- chen Nahrungsmitteln aufzogen, wuchs er rasch wie ein im Teich befindlicher Lous empor. Als er heran- gewachsen war, lernte er Schreiben, Rechnen, Zeich- nen und das Handrechnen und die Künste und Fer- tigkeiten, welche einem aus dem Kshattrija-Geschlechte zum Kônige bestimmten Prinzen zukamen. Des Kü- nigs Sardsharasin erste Gemahlin hiess Dharmikà de der erste Minister Goshthila Ÿ), zu dem der Künig das vorzüglichste Zutrauen hatte. Zu einer andern Zeit vergnügte sich der Künig wiederum mit Dharmikà und sie wurde schwanger. Die Zeichendeuter aber ver- kündeten, dass ein Sohn geboren werden würde, der dem Künige das Leben nehmen und, sich selbst das Diadem aufsetzend, der Herrschaft sich bemächtigen werde. Als darauf der Künig Sardsharasin erkrankte und die Krankheit, ungeachtet man Heilmittel jegli- cher Art anwandte, nicht gehoben werden konnte, be- dachte er [234], nachdem er den Zustand seines Kür- pers erkannt hatte, dass, damit nicht Sûrjanemi, wenn er nach seinem Tode Künig werden würde, Dharmikà tüdten liesse, eine Vorkehrung zu treffen wäre. Er be- schloss sie seinem Minister Goshthila, den er mit treft- lichen Gütern ausgestattet hatte, anzuvertrauen. Er liess ihn zu sich bescheiden und sagte ihm: «Meine erste Gattin ist Dharmikä, mein erster Minister bist du. Da ich meinen Zustand kenne und ich ohne Zwei- fel meines Lebens verlustig gehe, musst du aus Liebe zu mir dafür Sorge tragen, dass Sürjanemi nicht Dhar- mikà ums Leben bringe». Der Minister gab ihm eine ihn beruhigende Zusage. Als Sardsharasin gestorben und sein Leichnam mit allem Gepränge verbrannt worden war, wurde Sürjanemi zum Künige geweiht. 31) EE 32) BIN'ATT 4*+ 55 Bulletin de l’Académie Empériale 56 —_—————— Dieser befahl den Ministern Dharmikà zu tôdten. Goshthila wandte dagegen ein: «O Kôünig, ist es recht, sie unbedachter Weise zu tôdten? Wer kann wissen, ob sie einen Sohn oder eine Tochter gebären wird. Wird ein Sohn geboren, so wird dieser getüdtet werden». Der Kônig Sürjanemi befah] ihm demgemäss zu handeln und die Künigin zu überwachen. Er nahm sie zu sich ins Haus, wo sie nach acht bis neun Tagen einen Sohn gebar. An demselben Tage gebar auch die Frau eines Fischers ein Mädchen. Unmittelbar nach der Niederkunft vertauschte Goshthila, der die Frau des Fischers mit Geld berückte, die Kinder und mel- dete dem Künig, dass Dharmikä von einer Tochter entbunden worden sei. Der Knabe wurde von der Fischerin gesäugt und aufgezogen und, als er gross ge- worden war, lernte er Schreiben und Lesen und als er zu dichten anfing, nannte man ihn den dichtenden Fischersohn. Goshthila erzählte der Dharmikà, dass sie einen Dichter zum Sohn habe, und sie hatte den Wunsch ihn zu sehen. Der Minister suchte sie davon abzubringen, allein sie konnte die Sehnsucht nicht überwinden. Da Goshthila das Gefährliche der Sache erkannte, sah er, dass eine Vorkehrung zu treffen sei, und schickte ihn mit einem Fisch zur Künigin. Als der Jüngling in den Palast gekommen war, erfuhr der Künig, dass dieser dichtende Fischersobn es sei, von dem die Zeichendeuter verkündet hätten, dass er dem Künige das Leben nehmen, sich selbst das Diadem aufsetzen und die Herrschaft an sich reissen werde. Er befahl den Ministern, ihn zu ergreifen, damit er nicht entrinne. Der Jüngling hôrte dies, da der Be- fehl von Mund zu Mund lief, und hin und her laufend gelangte er ins Haus einer alten Frau, die ihn ver- steckte. Von dort aber wurde er, nachdem sein Kôr- per mit Senf- und Sesamül gesalbt und auf eine Bahre gelegt worden war, als sei es ein Leichnam, auf den Todtenacker hinausgetragen und hingeworfen. Als er sich aber erhob und davonlief, erblickte ihn daselbst ein Mann, ‘der Blumen und Früchte suchte. Die zu seiner Verfolgung ausgeschickten Leute fragten diesen Mann, ob er nicht einen Menschen von der und der Statur und dem und dem Aussehen des Weges gehen gesehen habe. Er gab ihnen die Richtung an, in wel- cher jener fortgegangen war; sie aber gingen dersel- ben nach. Der Jüngling gelangte in ein Gebirgsdorf in das Haus eines Färbers und erzählte seine Ge- schichte. Als nun die Verfolger das Gebirgsdorf zu durchsuchen anfingen, steckte der Färber den Jüng- ling in eine Kleiderkiste, lud diese auf einen Esel und führte ihn aus dem Dorfe hinaus zu einer Badestelle, wo er ihn liess. Der Jüngling stand auf, blickte nach allen vier Seiten und lief davon. Aber auch dort sah ihn ein Mann, der es den Verfolgern verrieth und ihnen den Weg anzeigte, den er eingeschlagen hatte. B3%5] Der Jüngling gelangte in ein anderes Dorf in das Haus eines Schuhmachers, erzählte diesem seine Ge- schichte und bat ihn Schuhe mit zur Ferse gekehrten Spitzen zu machen. Der Schuhmacher erklärte, er habe dergleichen noch nie verfertigt. Der Jüngling entgegnete in einem Verse: «Mannigfaltig ist der Sinn, zahlreich sind die Gaben, nicht auf gleicher Wag’ zu wägen, Schuster, mach du mir auf mein Geheiss, dass nach vorn der Absatz sei gerichtet». Der Schuhmacher machte ihm auf seine Anweisung solche Schuhe. Da der Gebirgsort mit einer Mauer umringt war, zog er die Schuhe an, kroch durch einen Wasserbehälter hinaus und entkam. Die Verfolger, welche den Schuh- spuren nachgingen, wurden durch diese zum Dorf zu- rückgeführt und sahen, dass er entkommen war. Er aber stieg ins Wasser und wurde von den Nâga’s in ihre Behausung gebracht. Als die Kunde von Mund zu Munde ging, erfuhr der Kônig Sûrjanemi, dass die Nâga’s ihn in ihre Behausung gebracht hätten. Da be- fahl er seinen Ministern sämmtliche in seinem Lande befindlichen Schlangenbeschwôrer zu ihm zu beschei- den. Als sie dies ausgeführt hatten, sprach der Künig zu den Schlangenbeschwürern: «Geehrte, gehet und fraget in der und der Näga-Behausung die Nâga’s». Die Schlangenbeschwôürer begaben sich sämmtlich dem Befehl des Künigs gemäss dahin. In einer Wildniss lebte ein Blut- und Fleisch geniessender Jaksha, Na- mens Pingala. Da aus Furcht vor ihm die wilden Thiere, geschweige die Menschen diese Wildniss ver- lassen hatten, hiess sie die Pingala-Wildniss. Als nun die Schlangenbeschwürer Anstalten trafen, um durch Zaubersprüche die Nâga’s zu gefährden, erschrak der Jünglig und floh, da er keinen Ausweg kannte, in die Pingala-Wildniss. Die Nâga’s hielten eine Berathung und meinten, es sei nicht recht, wenn sie den Jüng- ling nicht aus der Pingala-Wildniss retteten und es ihnen zum Schaden gereichen künnte, wenn er von Pingala getôüdtet würde und wussten nicht, was sie 57 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 28 thun sollten. Der Nâga-Künig aber hiess sie die Schlan- genbeschwôürer davon in Kenntniss setzen. Die Nà- ga’s meldeten ihnen: «Gechrte, derjenige, um dessen willen ihr uns in Unruhe versetzet, ist durch unsere Veranstaltung getüdtet, da er in die Pingala-Wildniss: entflohen ist». Die Schlangenbeschwôrer erzählten die Sache dem Künige, dieser befahl aber dennoch den Jüngling aufzusuchen. Der Jüngling aber fing an in der Pingala-Wildniss umherzuirren. Der Jaksha Pin- gala sass an einer Stelle von seinen Hunden umringt. AIS er und die Hunde schon von weitem den Jüngling erblickt hatten, dachte er daran, dass er gehôürt habe, letzterer werde ihn tüdten und meinte, dass er deshalb gekommen sei. Er hetzte die Hunde auf den Jüngling, dieser jedoch entrann ihnen und kletterte auf einen Baum, die Hunde und Pingala aber warteten am Fusse des Baumes. Pingala fragte ihn, ob er denn nicht davon gehürt habe, dass in der Pingala-Wildniss ein Dämon Pingala wohne, der alle, die dahin geriethen, tüdte; er forderte ibn auf herabzusteigen, da er sterben müsse. Der J'üngling antwortete: «So lange ich lebe, werde ich sitzen bleiben». Als der Jaksha Pingala, der mit der Zauberbinde *) sich in den Schatten gesetzt hatte, eingeschlummert war, warf der Jüngling ein Kleidungs- stück auf ihn. Die Hunde meinten, es sei der Jüngling herabgefallen, frassen den Jaksha Pingala auf und gingen davon. Der Jüngling stieg langsam vom Baume herab und, nachdem er hier und dort umhergeirrt war, erinnerte er sich, dass er einen Oheim habe, der unter den Rshi’s sich von der Welt zurückgezogen habe. Er beschloss sich zu diesem zu begeben. Er wohnte in einer Gebirgsgegend in einem Haine, der mit vorzüg- lichen Wurzeln, Blumen, Früchten und Wasser, mit Gebüschen verschiedener Bäume, mit dem Gesang verschiedener Vôgel ausgestattet war. Nach und nach gelangte der Jüngling durch Nachfragen dahin, offen- barte dem-Oheim seine Verwandtschaft und verweilte bei ihm (261. Als aber auch dort des Künigs Männer ihm suchten und im Begriff waren ihn zu packen, stürzte er sich von einem Bergabhang hinab. Als er sprang, packte ibn ein Mann an der Kopfbinde und die Kopfbinde blieb in seinen Händen. Da die Verfolger nun annahmen, dass er todt sei, beschlossen sie fort- 33) AIN'NA = jogapatta, s. Bôhtlingk-Roth u. d. W. J\ zugehen, nahmen die Kopfbinde, begaben sich zum Kôünig und sagten ihm: «O Künig, der dichtende Fischersohn ist todt, hier ist seine Kopfbinde». Der Kôünig aber stattete sie mit Gütern aus. Darauf sprach eme bn Rshi-Hain weilende Gottheit zu jenem Rshi: «Nimmst du dich denn gar nicht deines Neffen an, der in unerträgliche Leiden gerathen, zur Verzweiflung getrieben wird?» Der Rshi entgegnete: « Wenn ich ihn nicht in meinem Sinn habe, so müge ich auf der Stelle ums Leben kommen». Der Rshi war im Besitz von Zauber- und Geheimsprüchen und kannte einen Zau- berspruch, durch den ein Mann zum Weibe werden und wiederum Mann werden konnte. Diesen Zauber- spruch lehrte er den Neffen und sprach zu ihm: «Jetzt geh und sei ohne Furcht und Angst». Der Jüngling nahm durch den Zauberspruch die Gestalt eines un- vergleichlich schünen Weibes an und begab sich nach Värânasi. Als er sich im Lusthain des Kônigs aufhielt, erblickte ihn der Hainhüter, der von Bewunderung ergriffen eiligst aufbrach und dem Künig Sürjanemi meldete: «O Kôünig, in dem Lusthain weilt ein Weib von vollendeter Schünheit und Jugendfülle». Der Kü- nig befahl ihm das Weib herbeizuholen. Durch des Glückes gewaltige Fügung führte er das Weib in den Palast, der Künig Sürjanemi fasste starke Leidenschaft für dasselbe; allein sowie sich Gelegenheit fand, tôdtete der Jüngling an einem einsamen Orte den Künig, machte den Zauberspruch rückgängig und wurde wie- der zum Manne. Därauf setzte er sich selbst das Dia- dem auf, und, nachdem er den Minister Goshthila in Kenntniss gesetzt hatte, trat er die Herrschaft an. Eine Gottheit sprach im Çloka: «Wem der Kopf nicht abgeschlagen wird, der ist nicht todt, er steht wieder auf und vollendet sein Werk, gleichwie der Dichter, als er Gelegenheit fand und den Sohn Sardsharasin’s tüdtete.» XX VII. Der Schakal rettet den Lüwen. (Kandjur Band IV Blatt 244*). In längst vergangener Zeit als der Bodhisattva in unvollkommener Verdienstansammlung weilte *), wurde er in einer Gebirgsgegend Lüwe, Künig der Thiere. 34) S'ANAR ET = ARTE 59 Bulletin de l’Académie Hmpériale 60 In der Nähe des Berges wohnten fünfhundert Scha- kale, welche ihm nachfolgten und die Überreste ver- zehrten. Wenn der Lüwe Thiere getüdtet, deren treff- liches Fleisch gegessen und das treffliche Blut ge- trunken hatte, liess er sie liegen und ging davon. So dauerte es eine lange Zeit. Als zu einer andern Zeit der Lôüwe, der Kôünig der Thiere, bei Nachtzeit Thiere suchte, fiel er in einen Brunnen und es zer- streuten sich alle fünfhundert Schakale, mit Ausnahme eines einzigen, in die verschiedenen Gegenden. Nur ein Schakal gab auf den Lüwen Acht, sass an dem Rande des Brunnens und dachte, auf welche Weise er den Lüwen aus dem Brunnen ziehen kônne. Als er in der Umgegend des Brunnens hin und her ging, erblickte er nicht weit von demselben einen kleinen See. Als er diesen betrachtet hatte, machte er an einer Seite einen Canal und füllte den Brunnen mit dem Wasser des Sees, so dass der Lüwe selbst herauskam. Eine Gottheit sprach den Vers: «Machtvolle oder auch andere müssen sich Freunde machen; sehet wie der Schakai den Lüwen aus einem alten Brunnen er- rettete». XX VIII. Der barmherzige Jäger. (Kandjur Band IV Blatt 244*—245*). In längst vergangener Zeit als der Bodhisattva sich in unbestimmter Verdienstansammlung befand, war er Gazellenfürst von fünfhundert Gazellen. Darauf hatte ein Jäger um Gazellen zu fangen recht viele Fallen, Netze und Schlingen ausgestellt. Da der Ga- zellenfürst sorglos lebte und mit einer Schaar von fünfhundert Gazellen im Walde umherging, wurde er, da er an der Spitze der Gazellenschaar ging, im Netze gefangen. Als die Gazellen ihn so im Netze gefangen sahen, liefen sie alle davon. Nur ein Gazellenweibchen blieb allein beim Gazellenfürsten. Obwohl der Gazel- lenfürst sich apstrengte, war er nicht im Stande das Netz zu zerreissen; als das die Füsse hin und her wer- fende Gazellenweibchen dies sah, sprach sie: «Da der Jäger dieses Netz ausgestellt hat, so strenge dich, Be- glückter, der Gazeïlen Haupt, strenge dich an». Er entgegnete: «Obwohl ich meine Klauen gegen die Erde stemme, das mich umgebende Netz aber stark ist, meine Füsse auch sehr wund sind, kann ich es nicht zerreissen. Was ist also zu thun?» Darauf kam der Jäger mit Pfeil und Bogen und mit brauner Klei- dung angethan in jene Gegend. Da sah das Gazellen- weibchen den Jäger näher kommen um den Gazellen- fürsten zu todten. Und als sie ihn erblickt hatte, sprach sie eiligst in Versen: «Da dies der Jäger ist, welcher dieses Netz ausgestellt hat, so streng’ dich an, o hoch- beglückter Gazellenfürst, streng dich an». Er erwie- derte auch im Verse: «Obwohl ich meine Klauen ge- gen die Erde stemme, das mich umgebende Netz aber stark ist, meine Füsse auch sehr wund sind, vermag ich es nicht zu zerreissen. Was ist da zu thun?» Darauf begab sich das Gazellenweibchen mit muthigem Herzen vor jenen Jäger und sprach zu ihm herantretend den Cloka: «O Jäger, nimm das Schwert, zuerst todte mich, darauf tüdte den Gazellenfürsten». Als der Jäger ver- wunderten Sinnes fragte, was er mit ihr zu schaffen habe, sagte das Gazellenweibchen: «Es ist mein Mann» Der Jäger entgegnete in einem Verse: «Ich werde weder dich tüdten, noch den Gazellenfürsten; deinem geliebten Gatten sollst du Gesellschaft leisten». Sie erwiederte ebenfalls in einem Verse: «Wie ich, o Jäger, an dem lieben Gatten meine Freude habe, so mügest du, Jäger, dich mit allen Angehôrigen erfreuen». Der Jäger, dem das Staunen noch mehr wuchs, liess die Gazellen los und ging mit ihnen zusammen davon. XXIX. Der bestrafle Schakal. (Kandjur Band IV Blatt 245*—246). In längst vergangener Zeit war in einer Berggegend ein Lotusteich, in dessen Nähe ein Elephant wohnte; in einer andern Gegend lebte ein Schakal. Als zu einer andern Zeit der Elephant aus jenem Lotusteich Was- ser getrunken hatte und des Weges einherging, kam der Schakal und sagte zum Elephanten: «Lass uns kämpfen oder weich mir aus!» Der Elephant bedachte, dass, wenn er diesen nichtsnutzigen Frechling mit den Füssen, dem Rüssel oder den Hauern tüdtete, er gich durch solche Verunreinigung schänden würde, und meinte, dass er den Nichtsnutzigen mit Nichtsnutzi- gem tüdten müsse. Er sprach den Vers: «Nicht darf man dich mit Hand und Fuss, nicht tüdten dich mit Zalhin und Rüssel, Schund darf man mit Schund nur todten. Dich muss man auch mit Schund nur tôd- ten». Der Elephant dachte, dass wenn er auswiche, 61 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 62 er ihm ohne Zweifel nachgehen würde. Er wich also aus und fing an rasch zu gehen. Der Schakal dachte: «Ich habe ihn mit einem Worte überwunden; deshalb läuft er so schnell davon». Als er ihm nun nacheilte und der Elephant merkte, dass er nahe gekommen war, warf er mit grosser Gewalt seinen Unrath auf ihn und durch diesen getroffen kam der Schakal um. XXX. Bestrafte Ungläubigkeit, (Kandjur Band IV Blatt 246). In längst vergangener Zeit lebten in einer mit Blu- men und Früchten ausgestatteten Gegend in der Nähe eines Gebirgsorts zwei Anführer von Affenhcerden, deren jeder fünfhundert Affen um sich hatte. Der eine Heerdenanführer träumte in einer Nacht, dass er le- benden Leibes mit einer Umgebung von fünfhundert Affen in einen Kessel gesteckt würde. Darüber er- schrak er sehr und brach in Jammern aus. Noch vor Tages Anbruch erhob er sich, versammelte die Affen und begann ihnen seine Träume zu erzählen: «O Ge- ebrte, in der verflossenen Nacht habe ich einen büsen Traum gehabt, deshalb wollen wir diesen Ort verlas- sen», Die Affen sprachen: «Lasset uns so thun und fortzichen.» Da die Bodhisattva’s bedeutungsvolle Träume haben, sagte das hehre Wesen dem Anführer der andern Affenheerde: «Da ich einen solchen Traum gehabt habe, wirst du doch anderswohin ziehen?» Jener antwortete ihm ungläubig: «Werden denn die Träume wahr? Willst du gehen, so gehe! Da ich ein weitreichendes Gebiet habe, werde ich nicht gehen». Da der andere sah, dass er keinen Glauben hatte, ging er selbst mit seiner Heerde fort. Als zu einer andern Zeit in jenem Gebirgsdorf eine Magd auf dem Herde Gerste rüstete, kam durch ein Missgeschick ein um- herschweifendes Schaf dahin und fing an die Kôürner zu fressen; da die Magd es mit einem Feuerbrand schlug, lief das Schaf brennend in des Künigs Ele- phantenstall, durch seine Flammen gerieth der Ele- phantenstall in Brand und viele Elephanten wurden versengt. Der Künig liess den Arzt kommen und fragte, wie man die vom Feuer versengten Elephanten behan- deln solle. Der Azt verordnete Affen in Gerstenmehl zu kochen. Es wurde den Jägern Befehl ertheilt und diese fingen alle in der Nachbarschaft wohnenden Af- fen ein. Der Arzt steckte sie, deren Fleisch in der Länge der Zeit zugenommen hatte, lebend in den Kessel. Eine Gottheit sprach den Vers: «Nicht soll man in einem Dorf oder in einer Stadt, wenn Uneinigkeit da ist, wohnen, durch die Uneinigkeit des Schafes und der Magd kamen die Affen um». | XXXI. Der weise und der thôrichte Affenanführer. (Kandjur Band IV Blatt 247). In längst vergangener Zeit lebten in einer Gegend zwei Affenanführer, jeder mit einer Schaar von fünf- hundert Affen. Als der eine derselben mit seiner Schaar wanderte, gelangte er nach und nach in ein Gebirgs- dorf. Da sich dort ein Kimpäka-Baum befand, dessen Zweige durch die Früchte zu Boden gedrückt waren, sprachen die Affen zum Anführer ihrer Schaar: «O Anführer, da der Baum überaus reich an Früchten ist und durch die Früchte seine Zweïge zu Boden gezogen werden, wollen wir ermüdet die Früchte geniessen». Der Anführer der Schaar sprach, nachdem er den Baum betrachtet hatte, in einem Verse: «Obwohl der Baum in der Nähe des Dorfes ist, haben die Kinder die Frucht nicht genossen: daraus lässt sich abneh- men, dass die Früchte dieses Baumes nicht geniessbar sind». Nachdem er dies gesagt hatte, gingen sie fort. Auch der Anführer der andern Schaar kam ihm nach- folgend nach und nach in jenes Dorf und als die Affen den Kimpäka-Baum gesehen hatten, sprachen sie zum Anfübrer ihrer Schaar: «O Anführer, da der Baum Früchte hat, wolien wir, da wir ermüdet sind, diesel- ben geniessen und uns stärken». Er antwortete: «Gut, thuet also». Die Affen genossen die Früchte und tru- gen leider Schmerzen davon. XXXII. Der heuchlerische Kater. (Kandjur Band IV Blatt 247—218). In längst vergangener Zeit lebte ein Anführer einer Mäuseschaar mit einer Umgebung von fünfhundert Mäusen und gab es einen Kater Namens Agnidsha *). In seiner Jugendzeit tüdtete dieser, wo er wohnte, in 63 der Umgegend alle Mäuse. Als er aber zu anderer Zeit alt geworden mit seiner Überlegenheit keine Mäuse mehr fangen konnte, dachte er: «Früher habe ich in der Jugendzeit durch meine Überlegenheit Mäuse fangen kônnen, da ich es jetzt nicht mehr ver- mag, muss ich irgend eine List bereitend sie verzeh- ren». Er fing an verstohlener Weise Mäuse zu suchen. Bei diesem Suchen erfubr er, dass es eine Schaar von fünfhundert Mäusen gebe. Als er an einer von dem Mäuseloche nicht sehr entfernten Stelle trughafte Bussübung ausübte, sahen die Mäuse, als sie hin und herliefen, ihn mit frommer Haltung stehen. Aus der Entfernung fragten sie ihn: «Oheim, was machst du?» Der Kater antwortete: «Da ich in meiner Jugend viel untugendhafte Handlungen verübt habe, thue ich jetzt, um sie auszugleichen, Busse». Die Mäuse meinten, er habe nun das sündhafte Leben aufgegeben und es entstand in ihnen aus dem Glauben erwachsenes Zu- trauen. Als sie nun täglich, nachdem sie ihren Kreis gemacht hatten, in das Loch zurückkehrten, packte der Kater immer die letzte derselben und verzehrte sie. Als aber nun die Schaar immer kleiner wurde, dachte der Anführer: «Da meine Müäuse an Zahl ab- nehmen, dieser Kater aber gedeiht, muss es irgend eine Ursache geben». Er fing deshalb an den Kater zu betrachten; als er ihn dick und behaart sah, dachte er: «Ohne Zweifel hat dieser die Mäuse getüdtet, des- halb muss ich die Sache ans Tageslicht bringen». Als er nun aus einem Verstecke sorgfältig Acht gab, sah er, wie der Kater die letzte Maus verzehrte und näher tretend sprach er aus der Entfernung den Vers: «Da des Oheims Kürper zunimmt, meine Schaar dagegen ab- nimmt und wer Früchte und Wurzeln isst, nicht dick und dichthehaart werden kann, ist dies keine aufrich- tige Busse, sondern nur des Vortheils wegen; dadurch, dass die Zahl der Mäuse abnimmt, hast du, Agnidsha, Gedeihen». XXXIIT. Die stürrischen und die willigen Ochsen, (Kandjur Band IV Blatt 248*—249). In längst vergangener Zeit zogen zwei Kaufleute, jeder mit fünfhundert Wagen, durch einen Waldweg, auf welchem sie bald an Gras, bald an Wasser zu wenig, bald gar nichts hatten. Als nun die Kaufleute mit ihren Ochsen von diesem Waldwege sehr erschüpft Builetin de l’Académie Impériale é4 eine Gegend sahen, wo Wiesen und Wasser in Fülle waren, so liessen sie dort ihre Ochsen los, badeten sich selbst und tranken viel Wasser. Als nun die durch Wasser- und Grasmangel sehr erschüpften Ochsen sich am Grase gesättigt und Wasser getrunken und sich erholt hatten, da sprach derjenige, der unter diesen Ochsen der vornehmste war, also zu ihnen: «O Geehrte, nachdem wir durch Gras- und Wassermangel gänzlich erschôpft sind und diese Gegend Wiesen und Wasser in Fülle hat, so wollen wir, wenn ihr wünschet, hierselbst verbleiben.» Der vornehmste Ochse der andern Schaar sprach also zu denselben: «O Geehrte, da die Menschen Kraft haben und auch der schwer zu Bändigenden Herr werden und wir nur Schaden davontragen wür- den, so tragen wir die Last, welche uns auferlegt wird.» Als er so gesprochen hatte, sagte der andere [241] Hauptochse erzürnt zu seiner Schaar: «Geehrte, wer hat des Mondes Rückseite gesehen? Diese mügen sich die Last gefallen lassen, wir werden sie nicht tragen.» Als darauf die Kaufleute ihre Ochsen zu beladen an- fingen und jene stôrrisch zurückblieben, schlugen die Kaufleute sie, indem sie sie mit dornichten Ruthen schunden und spannten sie bluttriefend an die Wagen. Die andern liessen sich ohne etwas zu thun die Last ge- fallen und ihnen geschah nichts. Eine Gottheit sprach den Çloka: «Sehet, wie diese Rinder, welche der Ochse irregeleitet, mit Wunden und bluttriefend Hunger und Durst leiden. Sehet wie die von dem Ochsen gut ange- wiesenen Stiere, nachdem sie den Wald verlassen haben, kühlendes Wasser trinken». XXXIV. Die Affen und der Mond. (Kandjur Band IV Blatt 249). Man vergl. À. Weber in der Monatsberichten der K. Akademie der Wissenschaft zu Berlin 1860 p. 69 und «Indische Streifen» Band I (Berlin 1868) $. 246. In längst vergangener Zeit lebte in einem Walde eine Affenheerde. Als sie umherschweiften und in einem Brunnen den Wiederschein des Mondes gesehen hat- ten, sprach der Führer der Heerde: «O Freund, der Mond ist in den Brunnen gefallen, die Welt ist nun ohne Mond: sollen wir ihn nicht herausholen»? Die Affen sagten: «Gut, wollen wir ihn herausziehen». Sie fingen an sich zu berathen, wie sie ihn herausholen 65 sollten. Andere sagten: «Wisset ihr es nicht? Die Af- fen müssen eine Kette bilden und ihn herausholen». Sie bildeten also eine Kette, der erste Affe hing sich an einen Baumzweig, an seinen Schwanz ein anderer, an diesen wiederum ein anderer; als sich also alle an einander gehängt hatten, fing der Ast an sich sehr zu neigen, das Wasser trübte sich”) und der Wieder- schein des Mondes verschwand, der Ast brach, alle fielen in den Brunnen und kamen wider Gebühr zu Schaden. Eine Gottheit sprach den Vers: «Wenn hier thôrichte Menschen einen thôrichten Führer haben, so gerathen alle ins Verderben wie die Affen, welche den Mond hervorholen wollten.« XXXV. Der blaugefärbte Schakal. {(Kandjur Band IV Blatt 255). Vergl. Pantschatantra 1, 10: Hitopadecça IIT, 7, A. Weber, Indische Studien IT p. 349 und 366 und Benfey, Pantschatantra B. [. S. 224 folg. In längst vergangener Zeit gab es einen sehr gieri- gen Schakal, der sowohl im Walde als auch in den Ortschaften umherwandelte. Als er endlich auf seinen Wegen in das Haus eines Färbers gelangt war, fiel er in ein Indigo-Gefäss; nachdem er erbrochen hatte, legte er sich auf emem unweit davon befindlichen Düngerhaufen schlafen und, nachdem er sich auf dem- selben gewälzt hatte und sein Kôürper noch um so un- f‘rmlicher geworden war, stieg er ins Wasser und aus demselben hervorgekommen und durch die Son- nenstrahlen getroffen, erlangte er die Farbe des Sap- phirspaths.”) Als die Schakale ihn erblickten, liefen sie auseinander, blieben in der Entfernung stehen, und fragten: « wir der erstern dabei das 3-fache Gewicht beilegen: Browing À? 44 — Greenwich Standard — -+-0""041 .1, Ende 1870 aber war nach Vergleichung mit unserm Normalbarometer zufolge S. 55 der erwähnten Ab- handlung die Correction von Browing X 44 zur Re- duction seiner Angaben auf wahren absoluten Stand: Wabhrer Stand — Browning X 44 + 0""018..2. Nehmen wir an, dass sich Browning X 44 von.1866 bis 1870 nicht verändert habe, so würde hieraus als absolute Correction des Greenwich Standard folgen: Wahrer Stand — Greenwich Standard + 0""059.3, oder, wenn wir dies einfach als Vergleich der beiden Normale betrachten wollen: Petersb. Normal— Greenwich Standard=-- 0""059 4, Im Herbst 1875 erhielt ich durch die Freundlich- keit des Herrn Scott, Director des Meteorological Office in London, per Schiff ein gefülltes Marinebaro- meter: Kew B. J. 74 zugeschickt, das vor der Ab- sendung im Kew-Observatorium verificirt worden war und in vollkommen gutem Zustande in Petersburg an- langte. 13) 1. c. sub 9 p. 248. 14) Ich halte dafür, dass den Tausendstel-Millimetern bei Bar.- Correctionen keiïnerlei Werth beizulegen ist und habe sie daher hier nur beibehalten, um bei den weitern Combinationen nicht durch Häufung vernachlässigter hôherer Stellen auch die Hunderstel un- sicher zu machen. 7* 163 Bulletin de l’Académie Empériale 104 Nach dem beigegeben Certificate waren bezogen le let ©) D auf das Kew-Standard: beim Barometerstand 29,0 29,5 39,0 die Correctionen — 07,009 — 0”,008 — 0”,007 und die Correction des Thermometers att. bei 70° F. — — 09,1. Dieses Instrument habe ich im December 1875 direct mit Browning X 44 hei fallendem und steigen- dem Barometerstand verglichen und unter Anbrin- gung der vorstehenden Correctionen im Mittel aus 10 Vergleichungen erhalten: Browning NX: 44 — Kew Standard — — 0";"339 .4. mm welche Zahl eine Unsicherheit von Æ 0,109 in sich schliesst, da die Trägheit des Marinebarometers grüs- sere Abweichungen der einzelnen Beobachtungen ver- anlasst, als der Genauigkeit der Einstellung und Ab- lesung entspricht. — Durch eine eue Vergleichung im Januar 1875 von Browning X 44 mit dem Nor- malbarometer hatte ich aber gefunden: Wahrer Stand — Browning M 44 — 0,067 )..5. Somit wäre auch: Wahrer Stand — Kew Standard — 0,406 ...6, oder, wenn wir wieder nur die Normale betrachten: Petersburg Normal — Kew Standard — — 0""406 6 aus 3’ und 6’ aber würde folgen: Kew Standard — Greenwich Standard — + 0,465 7, 15) Da diese Bestimmung in meiner erwähnten Abhandlung nicht mehr comparirt, so theile ich sie hier in gleicher Weise wie dort die frühern als Ergänzung mit. Der Vergleich zeigt, dass seit der Ver- letzung der Elfenbeinspitze von Browning M 44 im März 1872 die Correction des letztern sich innerhalb der Beobachtungsfebler eon- stant erhalten hat: Absoluter Stand Correction 1875 CHERE CREER . RÉ Abweichung 18. Januar. D Non ; LR cui vom Mittel. nm nm mm Vormittags. 747,55 — 0,044 + 0,023 747,62 — 0,044 + 0,023 747,69 — 0,044 —- 0,023 747,76 — 0,064 + 0,003 747,80 — 0,104 — 0,037 Nachmittags 748,14 — 0,094 — 0,027 748,26 — 0,084 — 0,017 748,39 — 0,054 + 0,013 Mittel: — 0,067 + 0,021 Diese Daten habe ich Herrn Professor Mohn in Christiania unterm 9. Januar 1876 in Erwiderung auf sein vom 11. December datirtes bezügliches Schrei- ben mitgetheilt, worauf ich von ihm folgende Daten in einem Schreiben vom 18. Januar 1876 erhielt: Das Normalbarometer des meteorol. Instituts in Christiania: Negretti und Zambra Ÿ 648 (Fortin’sches System, Rühre 10°" weit) war vor seiner Absendung aus Lon- don im Herbst 1866 in Greenwich von Glaisher nach dem Standard-Barometer verificirt worden. Darnach betrug die Correction der Ablesungen an seiner Millimeter-Scale ): N.u.Z. À 648 — Greenwich-Standard — — 0""12 $. Im Jahre 1875 erhielt Herr Professor Mohn eine teihe von Barometern, die im Kew-Observatorium verificirt worden waren, und fand durch Vergleichung derselben mit dem Normal in Christiania: N.u.Z. X 648—Kew Standard = —0""61#0""02 9. Aus diesen beiden Daten folgt aber: Kew-Standard— Greenwich-Standard = + 0""49 10, also innerhalb der Beobachtungsfehler dieselbe Re- lation, wie wir sie oben in Gleichung 7. gefunden haben. Eine directe Vergleichung der Standard-Barome- ter zu Greenwich und Kew liegt zur Zeit nicht vor. Die Übereinstimmung der auf verschiedenen Wegen gewonnenen Daten für die Differenz dieser beiden Instrumente scheint mir eine Bestätigung der auf- fallenden Thatsache zu enthalten, dass nach 6 zwi- schen den Angaben der Normalbarometer in Kew und in Petersburg eine Differenz von 0"”"4 in runder Zahl besteht oder dass mit andern Worten das Standard- Barometer in Kew eine absolute Correction von — 0""4 besitzen muss. Angesichts dieser Sachlage war es mir doppelt in- teressant, bei Gelegenheit meines Eingangs erwähn- ten Besuches im Kew-Observatorium aus eigener An- schauung das Standard-Barometer desselben kennen zu lernen. Da ich überhaupt nur 8 Tage in London bleiben konnte und diese Zeit fast ganz von den Sitzungen des internat. meteorol. Comités in Anspruch genommen wurde, so war es mir leider unmüglich, 16) Sieh auch Norsk. Meteorol. Aarbog for 1867. Einleitung. 105 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 106 —_——UUU mehr als einen einmaligen kurzen Besuch in Kew zu machen. Ich konnte daher auch nicht selbst Messun- gen an jenem Instrumente anstellen, welche allein sichern Aufschluss über den Betrag einzelner Fehler- quellen hätten geben künnen und muss mich somit auf die Erwähnung einiger durch die blosse An- schauung bedingter Ausstellungen beschränken, welche vielleicht jene Differenz resp. absolute Correction er- klären künnten. Dass das Barometer auf die Anwesenheit von Luft in der Toricellischen Leere nicht geprüft ist, wurde schon oben erwähnt, kann aber hier, wo es sich um die Erklärung einer negativen Correction handelt, nicht in Betracht künnen. Von dem bei den ersten Füllungen verwendeten Quecksilber heisst es in Welsh’s Beschreibung, dass Dr. W. A. Miller Proben davon untersucht habe und keine Verunreinigungen darin habe entdecken künnen. Ob das auch von dem zur definitiven Füllung verwendeten Quecksilber gilt, ist nicht gesagt; ebenso vermag ich nicht zu entscheiden, ob es müglich ist, auf chemischen Wege das Vorhandensein von 38"# Wismuth oder 17" Zinn oder 14" Antimon auf 1 Kilogramm Quecksilber nachzuweisen, welche Quantitäten nach S. 11*meiner Abhandlung hinreichend sind, das spe- cifische Gewicht um 0,0002 zu vermindern. Ganz rein scheint indessen das verwendete Quecksilber nicht gewesen zu sein, da die alte Rôühre matte Stellen an der Wandung und oben zeigt und man sie deshalb auch zur Zeit meines Besuchs bereits durch eine an- dere sehr gut aussehende ersetzt hatte. Jedenfalls ist es erlaubt, da die gewühnlichen Verunreinigungen des Quecksilbers durchweg das specif. Gewicht desselben vermindern, also den Barometerstand erhôhen, einer solchen, wenn auch nicht ganz, so doch theilweise die negative Correction des Instrumentes beizumessen. Um sie dadurch ganz erklären zu kôünnen, müssten z. B.in 1 Kilogramm des verwendeten Quecksilbers 3120" Blei oder 2680" Quecksilberoxyd oder 680" Zinn oder 520" Quecksilberchlorür enthalten sein, was mir allerdings kaum annehmbar erscheint. Der Umstand, dass das Quecksilber in der Rühre nicht jeweilen vor der Beobachtung etwas gehoben wird, um die normale Quecksilberfläche herzustellen, kann ebenfalls bewirken, dass wenigstens bei fallendem Barometerstand die Angaben zu hoch erscheinen, also auch die durchschnittlichen Mittelwerthe der mit dem Standard-Barometer erhaltenen Barometerstände zu gross werden. — Bei dem analog eingerichteten Nor- malbarometer der Normal-Eichstätte in Bern habe ich wenigstens, so lange diese Vorsicht nicht beachtet wurde, beim Vergleich mit einem Normal-Heberbaro- meter nicht bloss nahe 10 Mal unsicherere, sondern auch absolut andere und zwar etwas hühere Resultate erhalten, als später, nachdem ich diesen stôrenden Einfluss der Capillarität auch bei weiten Rôhren er- kannt hatte. Dass die Temperatur des Quecksilbers mit einem von Zeit zu Zeit verificirten Thermometer gemessen werde, an welchem man die Correction jeweilen anbringt, ist, obschon nicht besonders angegeben, in Kew doch be- stimmt vorauszusetzen. Dagegen kann diese Tempe- ratur etwas zu niedrig und deshalb der reducirte Ba- rometerstand etwas zu hoch ausfallen, weil nur die Temperatur des Quecksilbers in der Cisterne bestimmt wird. Für ein Minus von 0,14 C. würde Z. B. der Barometerstand 0""02 zu hoch sein. Eine bedeutende Unsicherheit der Messung, wie dies übrigens schon Welsh angedeutet hat, wird Je- denfalls durch die grosse Entfernung des Kathetome- ters vom Barometerrohr (1%5) und eine mit Bezug hierauf ungenügende Einrichtung desselben bedingt. Indessen ist doch nicht abzusehen, wie hieraus ein constanter Fehler der Messungsresultate nach der ei- nen Seite hin entstehen sollte. Wenn daher überhaupt ein Theil des letzteren auf die lineare Messung fällt, so bin ich eher geneigt, denselben in einem Fehler zu suchen, der sich bei der Verification der Scale des Kathetometers oder der Entfernung der untern Spitze von der Marke am obern Ende der Einstellungsschraube bei der Cisterne eingeschlichen haben kann. Ein be- stimmtes Urtheil hierüber ist indessen nicht môglich, da alle Détails über diese Messungen, wie aus dem obigen würtlichen Citat folgt, fehlen. Die hieraus erwachsende Unsicherheit dürfte aufs Neue zeigen, wie sehr es wünschenswerth ist, dass die Physiker in solchen Fällen sich nicht mit Angabe des Endresultates ihrer Messungen begnügen, sondern die Détails der Beobachtungen wenigstens insoweit mittheilen, als zur Beurtheilung der Zuverlässigkeit desselben dureh Andere unumgänglich nôthig ist. Jedenfalls geht, so glaube ich, aus dem Vorigen die 107 Bulletin de l’Académie Impériale 108 Berechtigung hervor, trotz der bedeutenden Differenz mit dem Standard-Barometer von Kew, die Angaben des Normalbarometers des physikalischen Cen- tral-Observatoriums in St. Petersburg, wie es die ausführlich dargelegten Verificationen des- selben in allen Beziehungen nachweisen, bis auf Weiteres innerhalb + 0""O01 als absolut richtig zu betrachten. Unter allen mir bekannt gewordenen Normalbaro- metern kommen diesem Instrumente jedenfalls die Normalbarometer des physikalischen Kabi- nets, der eidgen. Normal-Eichstätte und der Sternwarte in Bern am nächsten, welche, wie ich seiner Zeit gezeigt habe "), ebenfalls auf die influiren- den Umstände hin untersucht sind. Sie gewährten da- mals (1864 — 68) für eine einzelne Messung eine absolute Sicherheit von mindestens + 0""04. Ob und inwiefern dies jetzt noch der Fall ist, kann nur eine neue Untersuchung lehren. Vielleicht wird diese Darstellung den einen oder andern Physiker veranlassen, ebenfalls an geeigneten zarometern, die in ihrem Besitze sind, die nothwen- digen Verificationen auszuführen, um ihnen den Cha- rakter eigentlicher Normalbarometer zu verleihen, oder gar solche bereits veranstaltete, aber nicht publicirte Untersuchungen der Offentlichkeit zu übergeben. Vor Allem aber hoffe ich, dass das über das Observatorium in Kew gesetzte wissenschaftliche Comité Personen und Mittel finden wird, um der bereits ausgesprochenen Ab- sicht gemäss em allen gegenwärtigen Anforderungen der Wissenschaft entsprechendes eigentliches Nor- malbarometer für diese so wichtige Anstalt zu creiren, von welcher nach allen Weltgegenden jährlich eine grüs- sere Zah] verificirter Instrumente ausgehen. Ob man nun, wie ich dem Vorigen zufolge ohne Prätension glaube vorschlagen zu dürfen, das Normalbarometer des physikal. Central- Observatoriums in St. Petersburg oder irgend ein anderes inzwischen irgendwo noch auftauchendes eigentliches Normalbarometer als Ausgangspunkt für die Vergleichung der Normalinstrumente der verschiedenen Länder und Observatorien wählen wird, so bleibt die Frage nach der Art und Weise, wie diese Vergleichung selbst mit 17) Wild, Bericht über die Reform der schweiz. Urmaasse etc. S. 136 etc. Aussicht auf wirklichen Erfolg soll ausgeführt werden, doch noch eine sehr ernste. Die Beantwortung dieser Frage hängt namentlich von der Genauigkeit ab, mit welcher diese Vergleichung soll ausgeführt werden. Man strebt in der neuern Zeit allgemein für die Messung des Barometerstandes auf den meteorol. Sta- tionen mit den gewühnlichen Barometern oder Baro- metern 2. Classe eine Genauigkeit von + 0*"1 an. Zu dem Ende muss also die Correction dieser Barometer ebenfalls mindestens mit einer Sicherheit von + 0"/"1 bestimmt sein. Dieser Anforderung ent- sprechend ist nun auch die von einem Barometer 1. Classe, das als Normal- und Ausgangspunkt für die Verificationen aller Barometer 2. Classe eines me- teorol. Bezirks dienen soll, zu verlangende absolute Genauigkeit zu bemessen. Gleichwie man aber im Maass- und Gewichtswesen von einem Normal, das zur Verification irgend welcher Maassgrüssen dienen soll, aus naheliegenden Gründen eine hôhere Genauigkeit verlangt, als sie für die letztern vorgeschrieben ist, so wird es auch da der Fall sein müssen. Der obigen Anforderung über die Sicherheit der absoluten Cor- rectionen der Barometer 2. Classe gemäss sollten also mit andern Worten in einem Beobachtungsbezrk die absoluten Angaben irgend zweier Barometer für den- selben Barometerstand nicht um mehr als 0*2 von einander abweichen. Dies verlangt streng genommen, dass die absolute Unsicherheit des nächst hühern Normals oder des Barometers 1. Classe der Central-Anstalt nicht grüsser als Æ0"°°025 sei. Würde diese Unsicherheiït z. B. nur # 0,03 be- tragen, so kann durch Häufung der Fehler der Baro- meter 1. und 2. Classe das eine Mal nach der einen Seite (+ 0,1 und +- 0,03), das andere Mal nach der andern (— 0,1 und — 0,03) zwischen 2 Instrumenten der letztern Classe eine Abweichung von 0”/26, d.h. also, da die Zahl näher an 0,3 als 0,2 gelegen ist, grüsser als die festgesetzte Toleranz entstehen. Da ich unter Sicherheit nicht bloss etwa den mitt- lern Beobachtungsfehler oder die mittlere Ab- weichung einer unter vielen Beobachtungen verstehe, sondern die absolute Constanz der Angaben eines Instrumentes während eines ge- wissen Zeitraumes — etwa von einer Verification durch ein hôheres Normal zur andern —, so ist es 109 des Sciences de Saint - Pétersbourg. EAG selbstverständlich, dass vorstehende Forderung nicht etwa durch eine grüssere Zahl von Vergleichungen, aus denen man das Mittel nimmt, zu umgehen ist. Hieraus folgt aber zugleich, dass zur Erfüllung jener Forderung durchaus nicht jede einzelne Ablesung am Barometer 1. Classe die Genauigkeit von Æ 0""025 haben muss; die Beobachtungsfehler kônnen sehr wohl doppelt so gross oder noch grüsser sein, wenn nur das Instrument im Übrigen so constant ist, dass die ein- zelnen Beobachtungsresultate um eine wirklich con- stante Grüsse bald nach der einen, bald nach der an- dern Seite schwanken, so dass das Mittel aus ihnen jene Grüsse mit der Sicherheit von Æ 0"/”025 dar- stellt. Eine grüssere Zahl von Vergleichungen zweier Barometer zur Ermittelung ihrer rela- tiven Correctionen, wo môglich zu verschiede- nen Tageszeiten und Tagen, ist übrigens auch aus einem andern Grunde geboten. Jeder, der sich häufiger mit Barometervergleichungen beschäf- tigt hat, hat gewiss Gelegenheit gehabt zu bemerken, dass bei wiederholten Vergleichungen der Barometer an einem Tage in kürzern Pausen sich mit ziemlicher Constanz, z. B. mit einer mittlern Abweichung von bloss # 0"/"05 oder noch weniger, sogar bei Baro- metern 2. Classe, eine gewisse Differenz ergibt, dann aber an einem andern Tage oder zu einer andern Tageszeit mit derselben Constanz eine Differenz ge- funden wird, welche von der frühern um weit mehr als z. B. 0";"05 im obigen Falle, nämlich um 0";"1, ja 0"/"2 abweïicht. Das rührt wohl davon her, dass eben der aus der Beobachtung abzuleitende, auf 0° redu- cirte Barometerstand eine Function von sehr viel varia- beln Grüssen ist, von welchen nur zwei, die Ablesung am Thermometer und die Einstellung der Absehvor- richtungen auf die Quecksilberkuppen unmittelbar in die Augen fallend sind. Der eigentliche, der letztern Einstellung entsprechende Beobachtungsfehler kann daher an und für sich klein sein und eine kurze Zeit lang allein hervortreten; dann aber treten Variationen in den übrigen Grôüssen wie z. B. Gestaltänderungen der Absehvorrichtungen durch Temperaturänderungen, Beleuchtungsdifferenzen, Capillaritätsvariationen, Dif- ferenzen zwischen der mittlern Quecksilbertemperatur und den Angaben des Thermometers etc. ein, welche bedingen, dass er um ein anderes Mittel schwankt. Aus alle Dem folgt also, dass wir bei den Baro- metern 1. Classe nicht sowohl auf eine sehr grosse, d.h. bis + 0""0925 gehende Genauigkeit der einzelnen Ablesung als auf eine entsprechende Constanz des be- züglichen Instruments für längere Zeit zu sehen haben. Eine Genauigkeit der Ablesung von Æ 0"/05, die also bei Barometern mit Millimetertheilung durch einen Nonius mit 20 Theilen auf 19°" leicht zu er- zielen ist, dürfte vollkommen genügen. Alsdann ist es auch môglich, mit dieser Genauigkeit ohne Beihülfe optischer Vergrüsserungen die untern Ränder von die Rôhren umschliessenden Ringen oder dergleichen Ab- sehvorrichtungen auf die Quecksilberkuppen einzu- stellen. Bei Barometern Fortin’scher Construction dürfte es auch bei dieser Toleranz gerathen sein, zur schärfern Einstellung auf die Spitze eine Lupe zu Hülfe zu nehmen. Als Bedingungen aber der Constanz bis zu einer Grenze von + 0"/"025 môchte ich folgende anführen. a) Das Quecksilber muss vor jeder Beobachtung in beiden Schenkeln des Barometers gehoben werden und die Rühre darf da, wo das Quecksilberniveau hinzu- liegen kommt, nicht wohl einen geringern innern Durch- messer als 12°" haben. b) Die Absehvorrichtung und ihre Einstellung soll wo môglich für beide Quecksilberniveaus homogen sein, um persôünliche Fehler zu vermeiden. Wo dies, wie bei den Fortin’schen Gefässhbarometern, nicht angeht, muss die allfällige persünliche Differenz der verschie- denen Beobachter besonders bestimmt werden. c) Instrumente, bei welchen die Absehvorrichtungen ihrer Construction nach leicht Verbiegungen und dergl. ausgesetzt sind, sind durchaus zu verwerfen. Soll zum Zweck der Reinigung auch eine nur theilweise Zerle- gung des Barometers erfolgen, z. B. bei Fortin’schen Barometern zur Erneuerung des Quecksilbers in der Cisterne, so ist eine sorgfältige Vergleichung mit einem andern Barometer 1. Classe vorher und nachher ge- boten, um allfällige Veränderungen in der Lagerung der Theile, welche auf das Resultat influiren künnten, zu erkennen und unschädlich zu machen. d) Das attachirte Thermometer muss vor Allem môglichst sicher die mittlere Temperatur des Queck- silbers in der Rôühre angeben, daher wo môglich mit seinem Gefäss an dieser anliegen oder wenigstens nach aussen in gleicher Weise umhüllt sein wie die Baro- meterrühre selbst. Von Zeit zu Zeit muss der Null- Lun Bulletin de l’Académie Hmpériale LL] punkt desselben neu verificirt werden, um die anfing- lich bestimmten Correctionen sofort entsprechend än- dern zu künnen, wenn die Verrückung desselben 051 erreicht oder übersteigt. Es ist kaum nüthig hinzuzu- | fügen, dass zur Reduction auf 0° stets auf denselben Constanten beruhende Tafeln benutzt werden müssen. e) Die freien Quecksilberoberflächen sind thunlichst vor Staub, Feuchtigkeit etc. zu bewahren. Sowie den- noch eine stärkere Oxydation derselben eingetreten ist, muss durchaus eine Reinigung des Quecksilbers daselbst erfolgen. f) Von Zeit zu Zeit ist die genügende Erhaltung der Vertikallage des Barometermaasstabes zu verifi- ciren. g) Es erseheint zur unveränderten Conservation eines Barometers 1. Classe räthlich, nicht die ganze Last desselben an der Scale aufzuhängen, sondern, wie dies z. B. bei englischen Barometern Fortin’scher Construction wohl geschehen ist, das Gefiss unten zu unterstützen und am obern Ende die Justirungsschrau- ben für die Vertikalstellung anzubringen. h) Wenn ein Barometer 1. Classe häufig gebraucht wird und eine ôüftere Controlle durch ein hüheres Nor- mal nicht wohl müglich ist, so sollte ihm eine solche Eiïnrichtung gegeben werden, dass von Zeit zu Zeit die Prüfung auf das eventuelle Vorhandensein von Luft in der Toricellischen Leere nach der Arago’schen Methode erfolgen kann. Wenn nun alle diese Bedingungen bei einem Baro- meter 1. Classe erfüllt sind, so fragt es sich jetzt weiter, wie die Correction desselben mit einer abso- luten Sicherheit von + 0""025 ermittelt werden kônne. Das sicherste Mittel wäre, nach dem in meiner er- wäbhnten Abhandlung über die Bestimmung des Luft- drucks $. 59 gemachten Vorschlage, diese Barometer 1. Classe durch eine gründliche Verification aller Theiïle den oben aufgestellten Principien gemäss zu eigent- lichen Normalbarometern zu gestalten oder, da hiezu wieder besondere constructive Bedingungen erfüllt werden müssen, welche den häufigen Gebrauch er- schweren, neben den Barometern 1. Classe wenigstens auf allen grüssern Central-Anstalten eigentliche Normalbarometer als Normale hüherer Ord- nung einzuführen, mit denen jene Barometer 1. Classe von Zeit zu Zeit verglichen werden künnten. Zur bal- digen Realisirung dieses Vorschlags scheint indessen wenig Hoffnung zu sein, nicht sowohl, weil etwa diese Aufgabe an und für sich eine sehr schwierige wäre, als weil ihre befriedigende Lüsung eine mühsame und zeitraubende Beschaffung mancherlei Hülfsmittel er- heischt. So ist man denn wieder, vor der Hand wenig- stens, zu der frühern Methode zurückgekehrt, die Nor- mal-Instrumente der verschiedenen Central-Anstalten und Observatorien durch Reisebarometer mit einander zu vergleichen, so ihre relativen Correctionen und, wenn Eines unter ihnen ein cigentliches Normalbaro- meter ist, damit auch ihre absoluten Correctionen zu ermitteln. Ich habe bereits auf S. 57 und folg. meiner mehr- fach citirten Abhandlung die Unsicherheit der üblichen Vergleichung der Normal-Instrumente durch Reiïse- barometer hingewiesen und dieselbe mit Beispielen belegt. Es ergab sich, dass dieselbe bis dahin noch 0"; 1 betragen habe. Die umfassendste und sorgfältigste Vergleichung dieser Art in neuester Zeit ist die schon oben citirte von Herrn Rykatschew im Jahr 1866 von Green- wich aus ausgeführte, wobei er sich des mehrfach er- wähnten Barometers 1. Classe Browning X 44 (Fortin’scher Construction) bediente. Die Zahl der Vergleichungen betrug an der Ausgangs- und Rück- kehr-Station (Greenwich) je 70 — 90, an den übri- gen Orten durchschnittlich 20 und nur für 2 Baro- meter (Berlin und Pulkowa) bloss 2. Diese letztern nicht gerechnet, stellt sich als mittlerer Fehler einer Vergleichung auf der Reise: + 0”,0027 — = 0""069 und in Greenwich: Æ 0”,0023 — = 0""058 heraus. Nun habe ich in meiner Abhandlung $. 35 und 56 gezeigt, dass eine meiner Vergleichungen des Barometers Browning MX 44 mit dem Normal- barometer des Observatoriums bloss eine mitt- lere Abweïchung von = 0""025 — 0”,001 besitzt, welchen Fehler ich fast seinem ganzen Betrag nach auf Rechnung von Browning X 44 glaube setzen zu müssen. Nach den Regeln der Wabrscheinlichkeits- rechnung sollte nun aber das Vergleichsresultat zweier Barometer, von denen jedes einen mittleren Beobachtungsfehler von Æ 0""025 darbietet, nur mit einem mittleren Fehler von # 0""035 behaftet . sein. Es muss also entweder zur Erklärung des obi- gen grüsseren Fehlers bei Herrn Rykatschew’s 113 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 114 Vergleichungen in Greenwich eine grüssere Unsicher- heit als # 0""025 bei beiden oder bei dem einen der beiden Barometer vorausgesetzt werden. Herr Ryka- tschew ist geneigt, bei seinen Ablesungen an bei- den Instrumenten einen Beobachtungsfehler von Je + 0""04, wie er zur Erklärung des Vergleichsfehlers + 0""058 in Greenwich anzunehmen wäre, zuzu- geben, da er bei beiden Barometern die Einstellung des Quelksilbers in der Cisterne stets ohne Hülfe einer Lupe ausführte. Dass auf der Reise der Vergleichs- fehler um 0""O1 zunahm, ist bei der wechselnden Beleuchtung und andern ungünstigen Verhältnissen sowie der geringen Zahl der Vergleichungen leicht begreiflich. Selbst wenn wir also nur an diesen Erfahrungen des Herrn Rykatschew festhalten, so wird es einer ganz besondern Sorgfalt und des Aufbietens aller Hülfs- mittel bedürfen, wenn die Correction der europäischen Normalinstrumente durch Reise-Vergleichungen mit einer Sicherheit von +0""025 bestimmt werden soll. Ich habe bereits erwähnt, dass es meinen Erfahrun- gen zufolge môglich ist, die absolate Correction eines Barometers 1. Classe durch Vergleichung mit emem eigentl. Normalbarometer mit einem mittleren Beobachtungsfehler von Æ0""025 zu bestimmen und ich glaube nicht, dass diese Genauigkeit zur Zeit viel weiter wird getrieben werden künnen. Wäre nun Obiges zugleich die Sicherheit des Endresultates, resp. auch die Grenze der Constanz dieser Instrumente, so wäre offenbar keine Hoffnung vorhanden, mit dersel- ben Sicherheit von einem Barometer 1. Classe wieder die absolute Correction eines weitern Barometers 1. Classe abzuleiten. Wir müssen indessen auch hier, wie früher schon, zwischen dem Beobachtungsfehler und der durch die Constanz des Instruments bedingten Sicherheit eines mittleren Beobachtungsresultates unterscheiden. Die letztere kann durch Vermehrung der Beobachtungen auch über den mittleren Beobach- tungsfehler hinaus gesteigert werden, wenn nur das Instrument wirklich einen hühern Grad der Constanz besitzt. Glücklicher Weise ist das Letztere selbst bei unserm Barometer Browning X 44, das doch noch nicht alle Anforderungen an ein constantes Baro- meter 1. Classe erfüllt, erfahrungsgemäss der Fall. Wenn wir nämlich von der Ânderung seiner Correction Tome XXII. am 11. März 1872 durch Beschädigung der Spitze absehen, so zeigt sich zwischen den Ende 1870 und Anfang 1872 erhaltenen mittlern Correctionen des- selben bloss ein Unterschied von 0"#002; ferner zwi- schen den Ende 1872 und Anfang 1875 gefundenen mittlern Werthen derselben eine Differenz von 0""016. Herr Rykatschew hat sogar seiner Zeit für die mit- lere Correction desselben vor und nach seiner Reise eine Differenz von bloss 0""004 erhalten, wobei die Mittelwerthe allerdings aus 70— 90 Beobachtungen gezogen waren. Die Constanz guter Barometer 1. Classe kann also sehr wohl bis auf eine bedeutend kleinere Grüsse als der mittlere Fehler einer Beob- achtung (Æ 0""025) verbürgt werden und somit kün- nen auch hier bis zu einer gewissen Grenze die Regeln der Wahrscheinlichkeitsrechnung zur Anwendung kom- men, wonach der Febler des Mittels aus 7 Beoachtungen nur = vom mittlern Fehler einer Beobachtung ist. Die Frage stellt sich also nun so: wie viel Verglei- chungen des Übertragungsbarometers 1. Classe mit dem eigentl. Normalbarometer einerseits und mit dem zu controllirenden Normal-Sta- tionsbarometer 1. Classe anderseits sind noth- wendig, um auch die absolute Correction des letztern mit einer Sicherheit von + 0”;025 zu erhalten, wenn wir dem Vorigen gemäss als mitt- lern Beobachtungsfehler 1. für das eigentliche Normalbarometer: + 0,005 2. für das Übertragungsbarometer 1. Classe: Æ 0,025 3. für das Stationsbarometer 1. Classe: = 0,025 annehmen. Der mittlere Vergleichungsfehler von 1. und 2. wird dann: + 0"/"026 und derjenige von 2. und 3.: + 0""035 sein. Die absolute Correction irgend eines Stafionsbarometers 1. Classe wird aber nicht um mebr als # 0""025 von der des eigentlichen Normalbarometers abweichen, wenn etwa das Verglei- chungsresultat von 1. und 2. keinen grüssern Fehler als + 0""010 und dasjenige von 2. und 3. keinen grüssern als 0""015 besitzt. Wir erhalten daher die Zahl » der mindestens nothwendigen Vergleichungen aus den Ausdrücken: V ich ’ I 12: 02,026 ergleichung von 1. und 2: n = 5:60 — 02,035 9 in = ET = » »- 2, und 3: # — 02015 6 8 115 Bulletin de l’Académie Impériale ———————— Unter den gemachten Voraussetzungen würden also je 10 Vergleichungen des Übertragungsbarometers mit dem Normalbarometer und dem Stationsbarometer 1. Classe genügen. Setzen wir aber der ungünstigen Ver- hältnisse halber auf der Reise den Fehler einer Ver- gleichung nach Rykatschew’s Befund — Æ0";069, so würden zur Erzielung der gewünschten Sicherheit des Resultates bereits mindestens 21 Vergleichungen erforderlich sem: Wenn also die Übertragungsbarometer nicht ge- wühnliche Reisebarometer, sondern gute und insbe- sondere constante Barometer 1. Classe sind, und selbst- verständlich auch die zu verificirenden Normalbaro- meter der Central- Anstalten solche repräsentiren, so ist doch einige Aussicht vorhanden, dass eme solche allgemeine Vergleichung zu dem gewünschten Resul- tate führen kann, nämlich die Correctionen aller Nor- male mit emer Sicherheit von # 0""025 zu erhalten. Um dieses Ziel noch sicherer zu erreichen, wäre es gut, auf die Reise zwei Barometer 1. Classe verschie- dener Construction, z. B. ein Heberbarometer und eim Fortin’sches Gefässbarometer mitzunehmen, welche schon während derselben eine gewisse gegenseitige Controlle ihrer Constanz gewähren würden. Im Anschluss an diese Erürterungen wird es nicht schwer sein, eine genaue Instruction für die auszu- führenden Vergleichungen aufzustellen. Avmhang. Über die Correction des Normalbarometers des Observatorinms in Tifliss, Herr Moritz, Director des physikalischen Obser- vatoriums in Tifliss, reicht jedes Jabr der Civil-Ver- waltung der kaukasischen Statthalterschaft einen Be- richt über die Arbeiten des Tiflisser Observatoriums ein. Diese Berichte werden auch regelmässig in Ab- schrift dem Central-Observatorium eingeschickt. Da sie weîter keine Verbreitung erfahren, so habe ich mich damit begnügt, aus denselben für die Emleitung zu den Annalen jeweilen einige sachliche Daten über den Zustand der kaukasischen meteorologischen Sta- tionen zu entnehmen, und die darm durchweg ent-| haltenen Ausfälle gegen die Central-Anstalt und mich persônlich aus naheliegenden Gründen ignorirt. Nur auf einige Ausstellungen an den seiner Zeit von Herrn Kupffer auf den russischen Stationen eingeführten Regenmessern, welche Herr Moritz in seinem Jahresberichte für 1871 gemacht hat, habe ich, da sie auf irrthümlich ausgelegten Beobachtungen be- ruhten, in meinem Jahresberichte für 1873 und 1874 S. 9 und folg. leider einige berichtigende Bemer- kungen und Nachweiïsungen machen zu müssen ge- glaubt. Ich sage leider, da ich hätte voraussetzen künnen, dass uns Herr Moritz trotzdem auch für diese Behauptung in semem Jahresberichte wie für die übrigen jeden nähern wissenschaftlichen Nachweis werde schuldig bleiben. Demgemäss habe ich einige Âusserungen des Herrn Moritz über die Correction des sogen. Normalbarometers des Tiflisser Observa- toriums in seinem letzten, diesen Sommer uns zuge- kommenen Jahresberichte für 1875 wieder mit Still- schweigen übergangen. Nachdem indessen Herr Moritz es für gut gefunden hat, hierüber einen Brief an den Director der Pariser Sternwarte, Le Verrier, zu richten, welcher in À 300 (26. October 1876) des weit verbreiteten meteorologischen Bulletins dieser Anstalt Aufnahme gefunden hat, halte ich es für ge- boten, im Anschluss an das Vorige seine fraglichen Ausserungen hier etwas näher zu beleuchten und den wahren Sachverhalt darzulegen. Herr Moritz behauptet in seinem Briefe an Le Verrier zunächst, dass von Seite des physikalischen Central-Observatoriums in der Einleitung zu den An- nalen desselben vom Jahre 1874 Seite VI die irrige Voraussetzung gemacht worden sei, es bestehe zwi- den Stationsbarometern in Nicolaew und im Tifliss eine Differenz von 0""7, der Art. dass man habe: schen Bar. Nicolaew — Bar. Tifliss + 0"7. Inwieweit gerade Herr Moritz berechtigt ist, diese an der fraglichen Stelle wirklich gemachte Angabe als eine irrige Voraussetzung des Central-Observatoriums hinzustellen, wird eine kurze Darlegung des Weges zeigen, auf welchem das Central-Observatorium zu dieser Zahl gelangt ist. Bei meinem Besuch im Tiflisser Observatorium im 117 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 11S TT — — ——— …———— —"—"—"—"—)—)—"—"— — Sommer 1869 wurde unter Anderem auch eine Ver- gleichung meines in Millimetern getheilten Reisebaro- meters Pistor und Martins X 1223 (Fortin’scher Construction) mit dem in russische halbe Linien ge- theilten sogen. Tifisser Normalbarometer (Kupffer”- sches Heberbarometer) gemacht. Nachdem ich mich überzeugt hatte, dass die Beobachter des Observato- riums mein Reisebarometer in gleicher Weise wie ich ablasen, haben dieselben am 31. Aug. — 3. September 74 Vergleichungen angestellt, deren Resultate mir Herr Moritz in einem Schema übergab, von dem ich hier eine genaue Copie (Übersetzung) beifüge. Differenz in russischen Halb- Linien bei 13°", R. Tifliss’sches Normalbarometer — Barometer Martins. 1869 neuer Styl. Stunde | 31. August : 1. Septbr. 2. Septbr. 3. Septbr. 0 | + 0,12 | +0,17 | — 1 A | + 0,28 | + 0,28 | + 0,29 Je? | + 0,32 | +0,14 | + 0,35 3 | + 0,16 | — 0,05 | + 0,24 4 + 0,25 | + 0,22 | + 0,37 5 | +0,19 +0,40 | + 0,38 GAY | + 0,41 | + 0,26 | + 0,42 RE | — 0,02 | + 0,13 | + 0,44 SA] | — 0,10 | + 0,02 | + 0,52 9 | + 0,34 | + 0,50 | + 0,45 10 | | +0,18 | +0,52 | + 0,18 11 | + 0,16 | + 0,99 | + 0,37 12 | + 0,24 | +0,25 | + 0,31 ‘ea F10.,06 |" 40:25 | 470,27 11: | +0,23 | +0,31 | + 0,27 15 | 4 0,30 1124 0,30: | 2 0,30 16 .| | + 0,47 + 0,40 |: + 0,22 7 + 0,42 +0,53 | +0,11 18 + 0,31 | + 0,28 | + 0,22 19 | + 0,40 | + 0,23 | + 0,34 20 | +0,20 | +0,57 | + 0,33 | + 0,26 SM 020 | + 0,35 | 10,29 | + 0,36 29 | +0,43 | +0,03 | + 0,33 | + 0,37 23. | +0,35 | +0,31| — | + 0,54 | Mittel (halbe Linien): + 0,29 Aus diesen Beobachtungen folgt also: Bar. Tifliss= Pistor u. Martins 1223+0""37#0""14 Nun war nach $. 64 meiner ob erwähnten Abhandlung «über die Bestimmung des Luftdrucks» bezogen auf des Normalbarometer die absolute Correction von Pistor und Martins 1223 vor der Reise nach Tifliss: — 0%"05=K0,07 nach » » » » + 0°"112#0.,04. Diese Differenz erkläre ich im a. O. durch die An- nahme, dass sehr wahrscheinlich bei der Vergleichung des Barometers in Gudaur (Hühe über Meer 2156"), wo der Barometerstand bloss 590"" betrug, etwas Luft ins Vacuum eingedrungen sei *). Da dies eventuell vor meiner Ankunft in Tifiss geschehen war, so habe ich für die Vergleichung mit dem Tifisser Barometer bloss die letztere Correction verwendet, so dass ich daraus als absolute Correction des sogen. Nor- malbarometers in Tifliss den Werth: ans (ARE 9 6 l oder in runder Zahl — 0"}"3 ableitete (sieh S. 80 meiner Abhandlung, wo ich alle auf meiner Reise bestimmten Barometer-Correctionen bloss bis auf 0""1 genau an- gegeben habe, da ich ihnen als Nebenzweck meiner 18) In Gudaur habe ich aus meinen Vergleichungen mit dem dortigen Stationsbarometer von Brecks (Parrot'scher Construction, Millimetertheilung) gefunden: Ana, Bar. Gudaur = Pistor und Martins 122340 , 30, woraus ich S. 80 meiner Abhandlung mit der Correction des letztern vor der Reise als absolute Correction des Barometers in Gu- daur den Werth — 0/3 (genauer — 0/35) ableitete. Bringeu wir dagegen an obigem Vergleichsresultat die Correc- | tion von Pistor und Martins nach der Reise an, so würde dann die absolute Correction des Barometers in Gudaur sein:—0"}"19 | Combiniren wir diese beiden Resultate mit der obigen absoluten Correction der Barometers in Tifliss, so kommt bei Benutzung des Correctionswerthes von Pistor und Martins vor der Reise: Bar. Tifliss — Barometer Gudaur — — 0°}"09 nach der Reise: » » — + 0,07 » » Nach einem von f/,, Dezember 1869 datirten Berichte des Herru Moritz über die Kaukasischen Stationen war aber damals nach seinen Vergleichungen: Bar. Tifliss — Bar. Gudaur = + 0”,"09 Hiernach ist es also wahrscheinlicher, dass schon vor der Ver- gleichung in Gudaur ja vielleicht gar nicht dort plôtzlich, sondern überhaupt nach und nach auf der langen Reise und durch den häu- æ 0,113 | figen Gebrauch etwas Luft in das Barometer eingedrungen war. gs 119 Bulletin de l’Académie Impériale EE damaligen Tour keine besonders grosse Aufmerksam- keit geschenkt hatte). In einem Schreiben des Central-Observatoriums an das Observatorium in Tifliss vom 6. Mai 1874 (sub % 264) bat ich darauf Herrn Moritz wôrtlich um folgende Auskunft über das Normalbarometer in Tifliss. «In der Einleitung zu den Annalen von 1874 habe ich die Absicht, die benutzten Correctionen der Instru- mente anzugeben; ich bitte Sie daher ergebenst dem Observatorium mitzutheilen, ob Sie für alle Statio- nen die Correctionen der Instrumente angebracht haben. Zugleich ersuche ich Sie uns mitzutheilen, welches Barometer Sie als Normalinstrument für alle kaukasischen Stationen und das Observatorium in Tifliss betrachten; wenn es dasselbe Instrument ist, welches wir im Jahre 1869 mit dem Barometer des Physikalischen Central-Observatoriums verglichen ha- ben, so bitte ich Sie anzugeben, ob Sie die Correc- tion des Barometers: — 0""27 ”) oder angenähert — 0"#3, welche ich nach meiner Rückkehr in St. Pe- tersburg fand, angebracht haben. Ich erinnere mich nicht, obich Ihnen hierüber Mittheilung gemacht habe. Diese Correction 0""3 ist auf Seite 80 des 3. Bandes des Repertoriums für Meteorologie von mir angegeben.» Hierauf erhielt das Central - Observatorium von Herrn Kiefer, Gehülfen des Directors Moritz, unterm 24. Mai 1874 (sub X 558) folgende Antwort: «Als Normalbarometer galt bis jetzt unser Tiflisser Barometer Girgensohn 83. Wir haben für dasselbe keine Correction benutzt nicht nur desshalb, weil wir die genaue Grüsse dieser Correction nicht kannten, sondern auch weil noch im letzten Winter beim Ver- gleich desselben mit dem Barometer des Hrn. Wran- gell (und dadurch mit dem Wiener Normalbarometer) Hr. Director Moritz es nicht für nôthig fand, an upser Barometer eine Correction anzubringen. Viel- leicht hat Ihnen Herr Moritz, der über St. Peters- burg reiste, schon die genauen Daten über diesen (re- genstand gegeben. «Vom 15ten bis zum 22sten Mai 1873 wurde das Barometer Girgensohn NM 83 durch das Barometer Parrot mit Schwimmer «Brücker X 25» in Millime- 19) Diese Zahl war bei einer ersten Berechnung mit andern Re- | ductionstafeln statt— 0,26 erhalten worden. ter und Thermometer Celsius ohne Correction ersetzt; vom 22. Mai 1873 ab war es wieder von Neuem auf- gestellt worden, jetzt schon mit einem Maasstab in Millimetern und mit einem Thermometer Celsius, Ba- rometer und Thermometer desselben ohne Correction.» Durch dieses Schreiben erhielt das Central-Obser- vatorium zuerst von zwei Thatsachen Kunde/ nämlich, dass Herr Baron Wrangell aus Nikolaew zu einer Barometer-Vergleichung im vorangegangenen Winter in Tifliss gewesen war und sodann dass bereits im Mai 1873 das bisherige Normal- und Beobachtungs- Barometer (Girgensohn K 83) des Tiflisser Ob- servatoriums verändert, nämlich mit einem Cel- sius’chen Thermometer und einem in Millimeter ge- theilten Maasstab (statt des frühern in halbe Linien getheilten) versehen worden war. Über den letzteren Punkt nämlich war weder in den vom Tiflisser Obser- vatorium uns eingesandten Beobachtungstabellen noch im Jahresbericht des Herrn Director Moritz für 1873, den wir am 20. März 1874 erhalten hatten, irgend etwas bemerkt worden. Wir erwarteten daher, dass wohl im nächsten Jahresberichte oder sonst wie etwas Näheres uns mitgetheilt würde. Ebenso hofften wir, von Nikolaew aus über den Er- folg der Barometervergleichung des Herrn Baron Wrangell ohne Weiteres unterrichtet zu werden, da in der Einleitung zu den damals bereits erschienenen Aunalen für 1873 S. VIIT von uns bemerkt worden war, dass die Correction des Barometers in Noworos- sijsk dem Central-Observatorium von Herrn Moritz — + 0""06, von Herrn Baron Wrangell nach Be- stimmungen von Nicolaew aus aber = + 07 an- gegeben sei und wir in Gewärtigung erklärender Auf- schlüsse über diese Differenz weder die eine noch die andere Correction angebracht hätten. Da diese Anfschlüsse indessen ausblieben, so rich- teten wir an die Direction der Flotte und Häfen des Schwarzen Meeres in Nicolaew, welche die Verwaltung der meteorol. Stationen an den Küsten des Schwarzen Meeres übernommen hat, unterm 12. October 1874 (sub. À 590) ein bezügliches Schreiben und erhielten unterm 28. October 1874 (sub. N 3378) von dort würtlich folgende Antwort: «Auf der meteorologischen Station in Noworossijsk | wurde und wird zu den Beobachtungen das Barome- 121 des Sciences de Saïint-Pétersbourg. 122 ter Brecks NX 10 benutzt, dessen Correction am 18ten November 1873 durch einen zur Inspection der me- teorologischen Stationen abkommandirten Officier durch Vergleich mit dem Heberbarometer Kapeller M 1198 bestimmt worden ist. Die Correction des letztern Ba- rometers war, bezogen auf das Normal-Barometer der Station in Nicolaew, vor und nach der Fahrt gleich +07. Beim Vergleich des Barometers Kapeller NV 1198 mit dem Normal-Instrument des Observato- riums in Tifiss (Girgensohn NM 83) am !‘,, Novem- ber 1873, zeigten beide Barometer denselben Stand; folglich unterscheiden sich die Angaben der Normal- barometer in Nicolaew und Tifliss um 0""7. Hierdurch erklärt sich der Unterschied der von Herrn Moritz und von dem aus Nikolaew commandirten Officier be- stimmten Correctionen (in Noworossijsk).» Da auch in dem Jahresbericht des Tifisser Obser- vatoriums für 1874 weder über diese Barometerver- gleichung noch über die Veränderung des Beobach- tungsbarometers in Tifliss irgend welche Notizen vor- kommen, so war Vorstehendes zur Zeit der Abfassung der Einleitung zu den Annalen von 1874 (November und December 1875) Alles, was uns über diese Ange- legenheit bekannt war. Das physikalische Central- Observatorium war daher meines Erachtens vollkom- men berechtigt, die fragliche Angabe über die Difte- renz der Normal-Stationsbarometer in Tifliss und Ni- colaew in die Einleitung der Annalen aufzunehmen. Wenn sogar noch irgend welche Zweifel an der Rich- tigkeit derselben bei uns bestanden hätten, da wir we- der die Qualification des Officiers, der die Verglei- chungen ausgeführt hatte, für solche Arbeiten noch die Qualität seines Vergleichsbarometers kannten, so mussten sie gegenüber dem Schreiben des Tiflisser Observatoriums vom 24. Mai 1874, wornach Hr. Di- rector Moritz auf diese Vergleichungen einen bedeu- tenden Werth legte, verschwinden und zwar um so mehr, als das Tiflisser Observatorium auch im Jahre 1874 fortfuhr, keine Correction an sein Barometer anzubringen. Es ist also gerade die Autorität des Directors des Tiflisser physikalischen Observatoriums, auf welche hin das Central-Observatorium die Angabe machte, von der Hr. Moritz jetzt sagt, dass sie eineirrige Voraussetzung des Central- Observatoriums sei. Was nachher geschah und uns bekannt wurde, kônnte allerdings die Vermuthung erwecken, dass Hr,. Director Moritz nur deshalb der Vergleichupg des Hrn. Baron Wrangell Vertrauen schenkte, weil das ibm zunächst allein bekannt gewordene Resultat der Vergleichung in Tifliss dafür sprach, es sei die Cor- rection des Tiflisser Normal-Stationsbarometers Gir- gensohn Ÿ 83 nahe gleich Null. Sowie ihm auch das Resultat der Vergleichung in Nicolaew mit dem dor- tigen Normal-Stationsbarometer Adie X 1019 be- kannt wurde (wahrscheinlich aus den ihm inzwischen zugekommen Annalen von 1874), die wegen der da- raus sich ergebenden bedeutenden Differenz dieser bei- den Instrumente, wieder einen Zweifel auf die Nulli- tät der Correction des Tiflisser Barometers warf, so verschwand jenes Vertrauen und Hr. Moritz machte sich mit Eintritt der bessern Jahreszeit mit zwei Rei- sebarometern: Brücker X 7 Parrot'scher Construction (Gefässbarometer mit Schwimmer) und Pistor (ohne Nummer) Fortin’scher Construction auf, um selbst eine Vergleichung der fraglichen Normalstationsbaro- meter in Tifliss und Nicolaew auszuführen. Schon vorher, ehe wir davon etwas erfuhren, hatte ich hier bereits hôhern Orts die nôthigen Schritte gethan, dass mein Gehülfe Hr. Rykatschew zu einer Inspection der Stationen im Süden des Reichs mit der ganz be- sondern Aufgabe der Bestimmung der absoluten Cor- rection des Normalstationsbarometers in Nico- laew abcommandirt werde. So ist denn im Sommer dieses Jahres das letztere Instrument durch Hrn. Mo- ritz mit dem Normalstationsbarometer des Tif- lisser Observatoriums und durch Hrn. Ryka- tschew mit dem Normalbarometer des Central- Observatoriums in St. Petersburg verglichen worden. Ich habe in den ersten 4 Columnen der nachstehen- den Tafel zunächst in getreuer Copie die Daten re- producirt, welche auf unsere Bitte Hr. Director Mo- ritz über seine Vergleichungen in einem Schreiben vom 14. October 1876 (sub X 1258) uns mitgetheilt hat, und füge in den weitern Columnen die daraus von uns mit Benutzung seines Reductionsverfahrens abge- leiteten Resultate hinzu: 123 Bulletin de l’Académie Impériale 124 SR RE RE RER RE 1876. Vergleichungen in Tifiss vor der Abreise. | E Datuin | Girgensohn | Brücker |Pistor ohne Ce MEINRE | CE TU) ENERNINEE Differenzen LE X7. Nummer. bei 0°. | und im Mittel. GpG EP: 26. Mai Bar. G. AE B. Temp.|Bar. P. Temp.| | | | | 7. Juni mm o | mm o mm où | | | 727.00 264 |726,30 27,0/727,60 27,0/723,91 723,14 724,44 | 04 aoxlron o1#1mo SL ee L'Àl72600 26,8 (726,45 27,0/727,45 27,1728,76 728:29/724 28/1 20:885)728,210/724860 0,68 0,525 nach (172690 26,6 [726,20 268/72745 26,9/723:79/723,07/724,30 | 00 pa |108 19 |724 30 4059 | 1, Stunde ||72660 26,6 (72630 26,7/727,45 26,9/723,49/723,17 724,80 |723.61 pes E0r20 00,06 27. Mai | | | | | | | | 8. Juni (|728,05 22,8 727,55 23,2/728,80 923,3/725,38,724,83/726,06 | 05 aon17 | | late Morgens 172810 231 (72750 23,8/72880 23,6725,39/724,77 726,08 | "99 /72480 (726,045 :-0,5840,88 nach (|728/00 23,1 72740 23,7/728/70 23,7,725,29/724,62.725,92 | 0 98 |7 RS A eg LA ue 1, Stunde 1172800 233 (72750 23/9/72870 24,0/725,07/724,70,725,80 | "5 |124:06 (725,905/+-0,62 |—0,625 l | Î Î 24 1 _21 im Mittel: |+-0,586.—0,618 NB. Die Klammern für je zwei auf einander folgende Vergleichungsreihen bedeuten, dass dieselben zusammen gehüren d. h. dass dabei von G. beginnend zu B. und P. vorgeschritten und von da wieder zu G. zurückge- gangen wurde. Vergleichungen in Nikolaew. Adie | | 15./27. Juni. MN 1019. | B. | Fe | 1. | Abel | pal", LAS 8... .P: |A BAS 29,904 18,5 758,40 22,8/759,80 22,9 756,50/755,62/757,00 | 56 4 L'}292900 18,4 758,55 22,8759,80 22,9 756,41/755,77/757,00 | 755,6951757,00 |--0,76 |—0,545 nach 7 | al J9 | | 1, Stunde 129,898 18,7 (75845 93,1/750,75 23,1756,31/755,63/756,92 | | (l Î 15/756,755|+0,74 | —0,500 20807 18,5 758,50 23,1 76070 23,1,766,38 765,08/750,87 |756 2 |755,655/766,896|-0,665|—0,575 29 899 19/25 75840 23/6/750,65 23/4,756,26/755,52/756 79 | me anxln darauf 9900 19,5 (75840 23,7.75960 23,5/756,25/755,51/756,72 | 0»209/759,5 nach 29,900 19,5 (758,45 23,7759,6 23,4/756,25/755,56,756,74|| 28 06 |1s5 5 Hal 1, Stunde 129901 19,5 (75850 23/8750,75 23,4/75627 755,60 756,80 || 770 (755,58 766,815) +-0,66 |—-0,599 im Mittel: [+-0,711|—0,544 NB. Die Ablesungen am Barometer Adie wurden, indem man dasselbe als russisches Barometer (halbe russische Linien und Réaum, Therm.) auffasste, nach den Tafeln von Kupffer auf 13//,° R. und dann nach denen von Moritz auf Millim, bei 0° reducirt (wie das auch bei den gew. Beobacht. geschieht). Vergleichungen in Tifliss nach der Rückkehr. [ | [ Kein Datum | . s | | : | | x D An eoBNen G. B. P. | GB: MPEG HRREB P. [GB G.—P. | | 24,6 [728,30 : RE RE pue) 728,90 25,1/729,50 24,9/726,01/725,36|726,57 | .. En k 72860 248 (72810 25,2,729,30 25,0/725,70/725,15/726,36 | 799 726:266|726/466 10,60 6 C ON nach [728,20 249 72760 25,2/72880 25,5/725,28/724,65 725,80 || 0 1751704 54 (725,75 20,685! — 0,576 ) PERS tu ] | , se Î 1/, Stunde 1/728,00 25,0 |727,40 25,4/728,70 925,6/725,07 724,43/725,70 | * j | | | duraut 172800 25,2 727,50 25,4728,70 25,7/725,05/724,53/725,69 | 395 18 |704,595/725,78 |+-0,585| —0,60 728,80 25,5 (727,65 25,5/728,90 25,8/725,31|724,66/725,87 | È 797,50 25,2 (726,95 25,5/728,15 25,8/724,55/723,96/725,18 | 704 727,60 25,8 |726,05 25,6/728,15 25,8/724,54 723,95|725,13 | nach 1, Stunde .5451723,955725,13 |+-0,59 | —0,585 | im Mittel: |+-0,602}—0, 592 NB. Für die übrigen Barometer erfolgten der Conformität halber die Reductionen auf 0° ebenfalls nach den Tafeln von Moritz, welche übrigens von den nach Guyot erhaltenen bloss um 0,01 Mm. abweichen. Im Mittel aus den Beobachtungen in Tifliss vor und PR M De Aid NL Ve) nach der Reise war also: G—B=-+0"594, G— P——0""605; PRO FAT A TT und hieraus folgt durch Combination mit den Ver-| Wenn wir diesen beiden Resultaten denselben Werth gleichsresultaten in Nicolaew: beilegen, so kommt also schliesslich 125 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 126 Girgensohn X 83 (Tifiss)— Adie X 1019 (Nicolaew) 0, 089 ME RS AR 2! Dieses Resultat ist durch wiederholte Berechnung und unter Benutzung derselben Reductionstafeln, de- ren sich auch Hr. Moritz bei seiner Berechnung be- mm Tifliss mm G—B—0,612 + 0,006 G—P— —0,592 + 0,022 diente, erhalten worden, stimmt aber gleichwohl nicht mit den Resultaten der letztern, die uns Hrn. Moritz früher allein mittheilte und die auch im erwähnten Bulletin compariren. Da gibt Hr. Moritz folgende Daten: mm am Nicolaew À — B — 0,716 40,016 4A— P—— 0,549 + 0,012 Tifliss Daraus folgt im Mittel: G—B—0,604-+ 0,008 G—P—— 0,596 + 0,006 G— B = 0,608 G—P——0,594 und somit durch B:G— À — — 0,108 P:G— A — — 0,045 im Mittel: G— 4 — —0""076 In seinem Schreiben an das Central-Observatorium begleitet Hr. Director Moritz die letztere Zahl mit der Bemerkung: «Es ist also die Differenz zwischen den beiden Normalstationsbarometern in Tifliss und Nicolaew nicht -7,, sondern -43 Millimeter.» Unsers Erachtens hat man indessen 0,076 zu 0,08 abzukür- zen. Die Differenz übrigens dieser Zahl und der in Gleichung 2 liegt, obschon sie nicht erklärbar ist, doch so ganz innerhalb der Beobachtungsfehler, dass wir uns dabei nicht aufhalten wollen. Hr. Rykatschew traf am 6. August in Nicolaew ein und untersuchte zunächst, ob das Thermometer attaché des Barometers Adie X 1019, wie man es bisher dort stets vorausgesetzt und wie es offenbar auch Hr. Moritz angenommen hatte ”), wirklich ganz rich- tig zeige oder eine gewisse Correction besitze. Er fand die nicht unbeträchtlichen Correctionen: bei 18°: —053 R bei 23°: — 0,4. Da hiernach die Reduction auf 0° nach dem uncor- rigirten Thermometer die Barometerstände von Adie bei 18° um 0""04 » 93? » 0,06 zu niedrig erscheinen lässt, so wird in Wahrheit ge- mäss den Vergleichungen des Hrn. Moritz und un- 20) Diese unsere Voraussetzung ist durch eine inzwischen noch eingetroffene Nachricht des Hrn. Moritz bestätigt worden. ter Anbringung der Thermometer - Correctionen die Relation bestehen: Girgensohn X 83 (Tifliss)—Adie À 1019 (Nicolaew) 0120 un. 2 wobei wir voraussetzen, dass die Correction des Ther- mometers att. von Girgensohn X 83, wie dies ja Hr. Moritz sonst immer that, bestimmt und ange- bracht sei *). Die Vergleichungen des Reisebarometers Turettini X 15 (neues Heberbarometer), die Hr. Rykatschew in St. Petersburg nach seiner Rückkehr ausführte und die hier allein zu berücksichtigen sind, da die Rühre desselben in Sewastopol durch einen Unfall zer- brochen war und dort von ihm durch eine neue, die er mit hatte, ersetzt werden musste, haben, wenn man die unmittelbaren Ablesungen an diesem und dem Barometer Browning 44 mit den corrigirten Angaben der att. Thermometer gleich schon auf 0° reducirt und an dem in Millimeter nach den Guyot’- schen Tafeln verwandelten Stande des letztern so- fort die absolute Correction —- 0""07 zur Reduction auf die Angaben des Normalbarometers anbringt, nach dem Reisebericht des Hrn. Rykatschew Folgendes ergeben: 21) Statt dieser Relation 1’. wird man übrigens doch 1 anzuwen- den haben, wenn man vor dieser Zeit gemachte Beobachtungen an G und À vergleichen will, da eben früher bei À die Therm-Cor- rection nie berücksichtigt worden ist. Seit wann dieselbe diesen Betrag erreicht hat, ist freilich nicht mehr anzugeben. 127 1876 Engl. Zolle| Vervandelt | Turrettini | Datum. 329 Fabrh. (reg Lie cu 15 bei 0°! bei Correct. — 0”, AGE Sept. : a 29,687 | 753, 07 | 754,56 »1'!" p 29,664 | 753,38 | 753,97 » 31) P, | 29,648 | 752,97 |753,38 2. Sept. 91, lal 29,599 | 751,73 752,30 » 14” .P 29,649) 753,00 753,60 4. Sept. 9° a | 29,993 | 761,74 762,35 » 1%" P | 29,991 | 761,69 762,25 5. Sept. 9" a| 29,952 | 760,70 761,32) » 2” p “| 29,073 | 761,23 | 761,80 | — » 4° p, | 29,975 | 761,28 | 761,89 6. Sept. 9° a! 30,007 | 762,10 | 762,70 » lp | 29,983 | 761,49 762,04 » 4} p, En 760,52 761,05 8. Sept. 9" a| 29,744 | 755,41 | 756,03 » 11, a | 29,733 | 755,14 | 755,78 » D? D 0) 20789 "755,11 |'795,72 »3"p. 29,736 | 755,21 | 755,82 9. Sept. “a | 29,721 | 754,83 | 755,48 » 11° 29.688 | 753,99 | 754,58 | » 3*p 29,640 | 752,77 | 753,31 Mittlerer Browuing NX 44 Bulletin de l’Académie Impériale Correction \von Xe 15 in Millimeter. — 0,59 | — 0,59 | — 0,41 |—0;07 | — 0,60 — 0,61 — 0,56 — 0,62 0. 57 en 0,61 | — 0,60 | — 0,55 :— 0,53 — 0,62 = 0,64 — 0,61 0,65 | — 0,59 [22 0:54 Werth der Correct. — 0,58 + 0,04 In Nicolaew erhielt Herr Rykatschew nach sei- nem Reisebericht mit Anbringung der Correction beim Therm. att. des Barometers Adie À 1019 und der vorstehenden absoluten Correction bei Turettini M 15 (nachdem er sich vorher durch das bei diesem Instru- mente ausführbare bekannte Verfahren überzeugt hatte, dass die Toricellische Leere keine Luft enthalte): 1876 | Adie X 1019 | Verwandelt, Engl. Zolle | in Millim. | Turettini | {N° 15 bei 0°! Correction Il corr. mit Absolute von SR HR BARE be ON eg r6 dde 1019. 8. Aug. 10h a 29,710 [754,62 754,22 | — 0,40 11%, a | 29,705 | 754,49 | 754,13 | — 0,36 1 p | 29,679 | 753,84 | 753,49 | — 0,42 3%, p | 29,652 | 753,15 | 752,74 | — 0,41 5 p | 29,665 | 753,45 | 753,06 | — 0,39 6}, p | 29,689 | 754,08 | 753,69 | — 0,39 Tkp | 29,715 | 754,74 | 754,42 | — 0,32 95, p | 29,714 | 754,72 | 754,41 —0,31 9. Aug. 11'La| 29,744 | 754,48 | 755,01 | —0,47 12!La| 29,742 | 754,43 | 754,98 | — 0,45 Mittel: — 0,39 + 0,04 128 Hiebei hat Hr. Rykatschew das Barom. Adie als englisches behandelt, d. h. nach Verwandlung der Réaumur-Grade in Fahrenheit’sche vermittelst der Ta- feln von Guyot die Reduction auf 32° F. vorgenom- men und dann nach denselben Tafeln die Umsetzung in Millim. bei 0° ausgeführt. Da indessen bei den ge- wühnlicheu Beobachtungen dieses Instrument als rus- sisches Barometer behandelt, nach unsern Tafeln auf 134 R. (als halbe Linien) reducirt und darauf nach ihnen auch in Mw. verwandelt wird und dasselbe oben auch von Seite des Hrn. Moritz bei seinen Verglei- chungen geschehen ist, so müssen wir der Überein- stimmung halber dies auch hier thun. Demzufolge ist für den vorliegenden Zweck die vorstehende Zahl des Hrn. Rykatschew um 002 zu vergrüssern. Es ist also bezogen auf das Normalbarometer des physikal. Central-Observatoriums die absolute Cor- rection des Normalstationsbarometers Adie X 1019 in Nicolaew: es D äl 2): und folglich nach 2’ die absolute Correction des Normalstationsbarometers Girgensohn X 83 (Millimeterscale) in Tifliss: Fe 02298 Aie Obschon diese Zahl in einer merkwürdigen Über- einstimmung mit der von mir früher bestimmten ab- soluten Correction (— 0""26) des Normal-Barometers Girgensohn X 83 in Tifliss steht, sieh Gleichung 1, so bin ich doch aus mebrerlei Gründen nicht geneigt, ihr einen sehr hohen Werth beizulegen. Erstlich stimmte bei meiner Vergleichung die Correction des Reise- barometers vor und nach der Reise bis auf 016 nicht überein und war auch die Unsicherheit der Ver- gleichungen durch die Beobachter in Tifliss eine re- lativ grosse (Æ+ 0""14); ich kann daher dem damals gewonnenen Resultate keine grüssere Sicherheit als + 0""1 beilegen*). Sodann verstüsst die Beobach- 22) In der Einleitung zu den Annalen von 1875 ist noch der erstere nach andern Tafeln erhaltene Werth — 0”}"39 angeführt worden. 23) Diese Zah] ist um 0/01 negativ zu vergrôssern, wenn man für die Differenz: Girgensohn-Adie den von Hrn. Moritz selbst berechneten Werth annimmt. 24) Hr. Director Moritz bemüht sich allerdings, in seinem neuesten Jahresbericht pro 1875 zu zeigen, dass dieser Verglei- chung überhaupt gar kein Werth beizumessen sei, indem er das, 129 des Sciences de Saïint-Pétersbourg. 130 tungsweise des Hrn. Moritz bei semen Vergleichun- gen in Nicolaew und in Tifliss nach der Rückkehr ge- gen die von mir $. 25 aufgestellte und begründete Regel. Sie deutet an, dass das von Hrn. Moritz ge- wonnene Resultat trotz der für solche Barometer so- gar sehr auffallend kleinen Beobachtungsfehler doch wegen der jeweilen bloss an einem Tage ausgeführ- ten Beobachtungen eine bedeutend grüssere, vielleicht mehr als Æ 0""05 betragende Unsicherheit haben kann. (Von den von Hrn. Moritz selbst angegebenen Fehlergrenzen + 0"/006 bis + 0”;"022 ist es besser zu schweigen, da ja schon die durch seine beiden Reise- Barometer erhaltenen Vergleichsresultate nm 0°”06 von einander abweichen). Ferner leidet die Vergleichung des Hrn. Rykatschew in Nicolajew ebenfalls wie meine frühere an dem Mangel, dass für die Correction des Reisebarometers nur die nach seiner Rückkunft nach St. Petersburg bestimmte benutzt werden konnte. Endlich bezieht sich die, durch die Vergleichungen im letzten Sommer bestimmte absolute Correction des Barometers Girgensohn X 83 in Tifiss offenbar auf die neue Millimetertheilung desselben, während die von mir im Jahr 1869 erhaltene für die alte Thei- lung in Russische halbe Linien gilt. Hr. Kiefer mel- det allerdings in seinem oben citirten Schreiben, «dass nach der Anbringung des in Millimeter getheilten Maasstabes und des Celsius’schen Thermometers, beide, Barometer und Thermometer, keine Correction gehabt hätten», woraus man schliessen künnte, dass die neue Theïlung mit der alten in ihren Angaben überein gestimmt habe, da ja auch früher das frag- liche Barometer als correctionsfrei betrachtet wurde. Da indessen über den Grad der Übereinstimmung der beiden Scalen jede nähere Angabe fehlte, und wir auf eine bezügliche Anfrage an Hrn. Moritz, nur die was ich über das môgliche Eindringen von etwas Luft ins Va- cuum meines Reisebarometers in Gudaur geäussert habe, dahin deutet, dass dort so viel Luft eingedrungen sei, um gerade in Tifliss meinem Barometer eine positive Correction von # 0"%"4 zu verleihen, welche sich dann anf der Rückreise nach St. Petersburg durch Entfernen der Luft in Folge der Erschütterung wieder bis 071 verringert habe. An die letztere Bemerkung anknüpfend bespricht sodann Hr. Moritz in allem Ernst den Vorschlag, Barometer nicht auszukochen, sondern durch Erschütterung anf Reisen von Luft zu * befreien. Ich habe dies Alles hier nur mitgetheilt, um eine Probe von den Wunderlichkeiten der Jahresberichte des Tiflisser Observa- toriums zu geben. Zur Widerlegung dieser Deutungen brauche ich bloss auf die oben mitgetheilten Beobachtungen in Gudaur und den Umstand hinzuweisen, dass ich von da bis Tifliss einen ganzen Tag im Tarantass zu fahren hatte. Tome XXII. Antwort erhielten, dass nicht zwei verschiedene Maas- stäbe am Barometer seien, sondern die Millimeterthei- lung bloss auf dem alten Maasstab neben der alten Theilung angebracht worden sei und somit zu jeder Zeit eine Vergleichung der Angaben beider Scalen stattfinden künne, so muss die Entscheidung dieser Frage der Zukunft vorbehalten bleiben. *) Zwei Umstände sprechen allerdings auch wieder da- für, dass die durch die Vergleichungen des letzten Sommers erhaltenen absoluten Correctionen der Nor- malstationsbarometer in Nicolaew und Tifliss sich nicht weit von der Wahrheit entfernen. Die von Herrn Rykatschew ermittelte absolute Correction von Adie À 1019: — 0""39 (bezogen auf unser Normalbarometer und unter Benutzung der Guyot’schen Reductionstafeln) ist sehr nahe dieselbe, welche ich (nach Gleichung 6) für das Normalbaro- meter in Kew: — 0""41 (ebenfalls bezogen auf un- ser Normalbarometer und unter Benutzung derselben Reductionstafeln) gefunden habe. Es ist nun sebr wahrscheinlich, dass das erstere von Adie in London angefertigte, in englische Zolle getheilte und seit 1867 gebrauchte Barometer nach einem in Kew verificirten Barometer justirt worden ist und daher nahezu die- selbe Correction besitzt. Was das Tifliss’sche sogen. Normalbarometer Girgensohn X 85 betrifft, so hat Herr Moritz das- selbe nach einer Mittheilung in Kupffer’s Correspon- dance météorologique pour l’année 1851 (Correspon- dance p. 26) mittelbar mit dem Normalbarometer von Girgensohn der Kaiserl. Akademie der Wis- senschaften in St. Petersburg verglichen. Indem er als absolute Correction des letztern (nach den Unter- suchungen von Lenz?) + 0,07 halbe Linien annahm, fand er für die des Tifliss’schen Normalbarometers: + 0,05 halbe Linien. Hieraus folgt also, dass damals die Relation bestand: Normal Tifiss=Normal Akademie Petersburg-+0""025. Über die fragliche Untersuchung des Normalbaro- meters der Akademie durch Herrn Lenz habe ich trotz der sorgfältigsten Nachforschung in seinen Schriften und in den Acten des physikalischen Kabinets der Akademie Nichts finden künnen. Dagegen hat Herr 25) Sieh den Zusatz am Schluss. 131 Bulletin de l’Académie Impériale EE Rykatschew im Jahre 1866 auch das Barometer Browning X 44 mit dem Normalbarometer der Akademie verglichen (L c.), woraus unter Anbringung der Correction des erstern, bezogen auf unser Normal- barometer, folgt: Wahrer Stand Normal Akademie Petersburg—0";"160 und darnach ergäbe sich als absolute Correction des Tiflisser Barometers M 85 für jene Zeit — 0""18. Herr Baron Wrangell hat uns kürzlich durch die freundliche Zustellung seines Beobachtungsjournals und mündliche wie schriftliche Mittheilungen nun auch in den Stand gesetzt, Einiges zur Erklärung des so abweichenden frühern Vergleichsresultates hier be- richten zu künnen. Spätere längere Vergleichungen in Nicolaew zeigten ihm nämlich, dass das von ihm benutzte Vergleichsbarometer Kapeller X 1198 durchaus unzuverlässig war, indem seine zu verschie- denen Zeiten bestimmten Correctionen um mehr als 1%" von einander abwichen. Überdies waren von Herrn Baron Wrangell in Gemeinschaft mit Herrn Director Moritz im Observatorium in Tifliss nur zwei cimzelne Vergleichungen des Baro- meters Kapeller mit dem Tiflisser Normal- stationsbarometer gemacht worden. Ich füge hier eine Copie der bezüglichen von der Hand des Herrn Moritz”) in das Buch des Herrn Baron Wrangell eingetragenen Zahlen (die einzigen, die überhaupt über diese Vergleichung existiren) in ex- tenso bei: Tifliss 10/22. November 1873. Normal Girgensohn 83. Kapeller Xe 1198. nm ram 10°5 727,6 110 778,0 — 50,3 M0 7976 11,0 778,0 — 50,3 bei 0° 726,37 726,42 726,51 726,42 726,44 726,42, also Corr. von Kapeller + 0702. Bilden wir die Differenzen der beiden Vergleichun- gen gesondert, so kommt: 26) Es ist mir daher nicht verständlich, was Herr Moritz unterm 14. October 1876 uns schrieb: « Das Resultat der Vergleichung un- sers Barometers mit dem Barometer Capeller Xe 1198 war mir per- sônlich vom Baron Wrangell mitgetheilt worden, und ich legte daber, ohne an seiner Richtigkeit zu zweifeln, demselben eine grosse Bedeutung bei.» Girg. — Kapeller == — 0""05 und + 0"; 09. Fügen wir hinzu, dass Herrn Director Moritz damals über die Constanz des Vergleichsbarometers Kapel- ler gar nichts und ebenso über seine Correction nichts Positives bekannt war, so wird man unsere oben aus- gesprochene Vermuthung, weshalb Herr Moritz einer Vergleichung wie die obige einen so hohen Werth bei- legte, um das Resultat der von mir veranstalteten zu verwerfen, nicht ganz ungerechtfertigt finden. In dem angeführten, im Bulletin météorologique abgedruckten Briefe an Le Verrier theilt sodann Herr Director Moritz noch eine Zahl von ihm bestimm- ter Daten für das Tiflisser Normalstationsbarometer mit, welche, wie aus seinem Jahresbericht für 1875 hervorgeht, den Zweck haben sollen, zu zeigen, dass dasselbe in jeder Hinsicht untersucht und daher inner- halb der Grenze von 0""1 als eigentliches absolutes Normalinstrument betrachtet werden künne. Mit Rück- sicht auf die oben gefundene 0""1 übersteigende abso- lute Correction dieses Barometers halte ich eine nähere Besprechung auch dieser Mittheilung für geboten. Ich werde mich dabei auf folgende etwas vollständigere Angaben des Jahresberichts beziehen. Zunächst hat Herr Moritz nach der Arago’schen Methode gefunden, dass die Toricellische Leere des Barometers Girgensohn X 85 eine vollkommene sei. Darauf theilt er mit, das Quecksilber sei aus dem rein- sten Quecksilberchlorid dargestellt und das specifische Gewicht desselben sei — 13,5959 bestimmt worden. Ferner sei die Länge der Scala gegen das Normal- maass, das im Transkaukasischen Kameralhof aufbe- wahrt wird, bestimmt worden (mit Hülfe eines Com- parators mit Mikroskopen); die Länge von 730"" wurde gefunden gleich 730""0010 + 0"0003. Der Aus- dehnungscoefficient des Messingstreifens, der die Scala trägt, sei zu 0,0000188 für jeden Grad von LHC: ab bestimmt worden und schliesslich sei der Unterschied in den capillaren Depressionen des Quecksilbers im Jangen und kurzen Schenkel zu verschiedenen Zeiten einer grossen Anzah] von Untersuchungen unterworfen und bloss von 0""3 bis 0""7 variürend gefunden wor- den, so dass er stets kleiner als jene Grüsse von 0";1 war, die als die Grenze der Genauigkeit der Stations- barometer betrachtet werde. Da, wie ich hinzufügen muss, bei den Barometern Kupffer’scher Construction auch das Quecksilber in beiden Schenkeln vor der Ablesung gehoben wird, so scheinen auf dem ersten Blick alle in meiner Ab- handlung und oben angegebenen Einflüsse mit Aus- nahme des Punktes 10. von Herrn Moritz bei seinem Barometer berücksichtigt und bis zur Grenze von O1 eine absolut richtige Angabe desselben zuzu- lassen. Warum Herr Moritz in seiner Untersuchung gerade den mit Ausnahme der Enge der Rühren na- hezu einzig wunden Punkt dieser ältern Kupffer”- schen Heberbarometer, nämlich ihre Absehvorrich- tung, nicht berübrt hat, kann ich um so weniger be- greifen, als ich denselben neben den bedeutenden Vorzügen dieses Barometers auf S. 72 meiner Abhand- lung, der er doch im Übrigen gefolgt ist, ausdrücklich hervorgehoben habe. Wenn bei dieser Construction die Striche auf den hinter der Barometerrühre an der Scale befestigten Winkeln nicht genau dieselbe Distanz wie die entsprechenden auf der Scale selbst besitzen, s0 ist die Verification der Theilung auf der letztern illu- sorisch. Dieser Umstand, wenn nicht beachtet, kann allein sehr gut die negative Correction von 0""3 des Tiflisser Barometers bedingen. Allein auch die Erfüllung der übrigen Bedingungen selbst nur bis zur Sicherheit von 0""1 ist nicht über- zeugend nachgewiesen, indem sie in keiner Weise die hier zu fordernde und durch eine Darlegung der De- tails der Untersuchung darzubietende Garantie in sich schliesst. Wenn z. B. Herr Moritz mittheilt, es habe die Verification der Länge von 730°" der Scale nach dem Normalmaass des Kameralhofs eine Abweichung von der wahren Länge von bloss 0"/0010 mit einem Fehler von + 0""0003 ergeben, so erscheinen gewiss für jeden Unbefangenen einige, wenn auch kurze An- gaben über die Natur jenes Normalmaasses, über seine eigene Gleichung —absolut genaue Normalmaasse gibt es bekanntlich ebenso wenig wie absolut genaue Baro- meter —, über die Verification der Theilung, resp. der von Herrn Moritz bei der Vergleichung verwen- deten Hülfstheilung bis zur Grenze von 00001 — da er ja die Länge bis zur 4. Decimale angibt — nicht bloss erwünscht, sondern geboten, wenn er den mit- getheilten Zahlen Vertrauen schenken soll. Es wäre dies auch deshalb noch nothwendig gewesen, weil die Theiïlstriche auf gewühnlichen Barometern, wie das | vorliegende, für die übliche Ablesung ohne optische des Sciences de Saint-Pétersbourg. 134 Vergrüsserungsmittel, stets so grob zu sein pflegen, dass eine Genauigkeit ihrer Ausmessung von#+0"; 0003 gar nicht erreicht werden kann. In fast noch hüherm Grade gilt die Forderung nach nähern Nachweïsen von der für das specifische Gewicht des Quecksilbers mit- getheilten Zahl: 13,5959, welche bis zur 4. Deci- male genau dieselbe ist, die Régnault im Mittel aus 3 unabhängigen Bestimmungen an ver- schieden dargestelltem reinem Quecksilber ge- funden hat. Ich war erstaunt, aus einer so genauen Messung des specifischen Gewichts des Quecksilbers durch Herrn Moritz entnehmen zu künnen, dass das Tifliss’sche Observatorium jetzt nicht nur im Besitze sehr sorgfältig (mindestens bis zu einer Grenze von + 0"#1) verificirter Gewichtssätze, sondern auch ausgezeichneter Waagen sich befindet, welche Ge- wichtsbestimmungen bis zu dieser Grenze zulassen. Da aber auch unter dieser Voraussetzung gewiss nicht eine einzige Bestimmung zufällig gerade den Werth 13,5959 gegeben hat, und zudem das Resultat sol- cher Messungen nicht unerheblich von den benutzten Daten über die Ausdehnung des Wassers, die ja von verschiedenen Forschern ziemlich verschieden ange- geben wird, abhängt, so hätte gewiss auch hier die Hinzufügung einiger wenigen Details das Zutrauen zu den Angaben des Herrn Moritz bedeutend er- hôüht. — Wenn endlich Herr Moritz sagt, dass er den Unterschied der Depressionen des Quecksilbers im langen und kurzen Rohre zufolge zahlreicher Un- tersuchungen zu verschiedenen Zeiten nur zwischen 0"*03 bis 0""07 varirend gefunden habe, so würde auch da Herr Moritz der Wissenschaft durch Mit- theilung seiner bezügl. Beobachtungsmethode und ein- zelner Daten einen grossen Dienst geleistet haben, indem bis dahin über den Unterschied der Quecksil- berdepression im Vacuum und in der Luft nur einige wenige und nicht sehr sichere Daten von Bohnen- berger (Pogg. Ann. Bd. 26, S. 4) vorliegen, welche zudem nicht mit den vorstehenden des Herrn Moritz harmoniren. Nach Bohnenberger nämlich beträgt jener Unterschied in Rôühren von 7°°2 innerm Durch- messer, wie sie das Barometer des Herrn Moritz be- sitzt, ungefähr: 0°%16 und kann wohl zwischen 012 und 0""20 variiren. Diese Beträge sind mehr als doppelt so gross als die von Herrn Moritz gefunde- nen und da nach Bohnenberger im Vacuum die g* 135 Bulletin de l’Académie Hmpériale 136 Depression kleiner ist als in der Luft, so würde, wenn | seine Daten richtig sind, hieraus für das Tiflisser Baro- meter eine negative Correction von —0""12 bis — 0*"20 sich ergeben. Was endlich den Schluss des Briefes des Herrn Director Moritz an Le Verrier *) betrifft, wo er von einem Vergleich alter franzüsischer Inclinatorien (von Gambey) mit englischen der neuern Zeit spricht, so hat uns darin wenigstens das Eine interes- sirt, dass bei dieser Gelegenheit Herr Moritz, seit über 25 Jahren Director des meteorologisch-magne- tischen (jetzt physikalischen genannten) Observa- toriums in Tifliss, zum ersten Mal zwei magne- tische Daten für Tifliss, nämlich 2 Inclinatio- nen (freilich ohne Angaben des Datums und der Ta- geszeit) verôffentlicht. Wir hoffen, dass damit das Eis gebrochen sein und endlich die wissenschaftliche Welt von den magnetischen Constanten der Stadt Tifliss durch Herrn Moritz Weiteres erfahren wird. Für das übrige in diesem Abschnitt Gesagte geht uns das Verständniss ab. Wir glauben, jedem wahren Jünger der Wissenschaft wird es gleichgültig sein, ob er franzôsische oder englische oder deutsche oder rus- sische Instrumente zu seinen Messungen benutzt, wenn sie nur gut sind; die Güte aber von Inclinatorien wird gewiss kein Sachkenner in der Weise beurtheilen, wie dies Hr. Moritz thut. Von Seiten des Hrn. Moritz freilich fiel uns diese Beurtheilung nicht besonders auf, nachdem wir bereits in seinem Jahresberichte für 1872 folgende analoge Kritik der Güte der abso- luten Declinationsbeobachtungen im Tiflisser Observatorium kennen gelernt hatten. Es heisst dort wôürtlich: «Setzen wir hinzu, dass die Genauig- keit unserer absoluten Declinationsbestimmungen sich durch die Untersuchungen des, Mailänder Profes- sors Diamilla-Müller bestätigt haben. Nachdem wir ihm die Resultate der auf seinen Wunsch zu ei- ner bestimmten Zeit, am 15. October, gemachten Extra-Beobachtungen mitgetheilt hatten, ersahen wir aus seinem in X 273 des Bulletin de l'Association scientifique abgedruckten Aufsatze, dass unsere Be- 27) Herr Le Verrier, Director des Observatoriums in Paris, scheint übrigens den Inhalt des Briefes des Hrn. Moritz selbst auch nicht gebilligt zu haben, da er mir unterm !/, December schreibt, «er habe empfohlen, denselben nicht in das Bulletin aufzu- nehmen, und er sei daher nur durch einen Irrthum in Folge der einem täglichen Dienst anhaftenden Schnelligkeit darin erschienen». obachtungen von den von ihm theoretisch für die magnetische Declination derselben Zeit in Tifliss er- langten Resultaten um weniger als *,, Bogen-Minu- ten abweichen.» Die schon an und für sich hierin lie- gende Absurdität wird indessen noch vergrüssert, wenn man in etwas weiterer Verfolgung des von Hrn. Mo- ritz gemachten Citats ersieht, dass der Ingenieur (nicht Professor) Diamilla-Müller die magnetische Declination in Tifliss für den 15. October 1872 nicht theoretisch, sondern ganz einfach vermittelst der bekannten erfahrungsgemässen säcularen Variation der Declination aus der ihm von Hrn. Moritz frü- her, nämlich für den 29— 30. August 1870, mitgetheilten ebenfalls erfahrungsgemässen absoluten Declination in Tifliss berechnet hat. Zusatz. Während des Druckes dieses Aufsatzes habe ich endlich auf meine letzten die Barometervergleichun- gen in Tifliss selbst betreffenden Anfragen eine be- stimmte Antwort des Hrn. Director Moritz erhalten. Darnach hat im Jahre 1873 vor der Veränderung des Barometers Girgensohn À 83 am 14. und 15. Mai eine Vergleichung der Angaben seiner Theilung in halbe Linien mit dem in Millimeter getheilten Baro- meter Brücker M 25 und ebenso am 22. Mai nach erfolgter Veränderung eine Vergleichung der Anga- ben seiner Millimeter-Theilung mit demselben Baro- meter Brücker stattgefunden. Die Mittel der beider- lei Vergleichungen bestehend aus je 10 einzelnen Beobachtungen zeigten Hrn. Moritz, dass die Anga- ben der beiden Scalen bis auf 0""01 übereinstimm- ten. — Vom 20. — 22. November dieses Jahres hat Hr. Moritz noch eine grüssere Zahl (40) gleichzei- tiger Ablesungen an beiden Scalen des fraglichen Ba- rometers Girgensohn X 83 ausführen lassen, nach welchen im Mittel die Ablesungen an der Millimeter- Scale einen um: 0""035 hôühern Barometerstand ge- ben, als die an der in halbe Linien getheilten Scale. In demselben Schreiben theilt uns Hr. Moritz auf unsern Wunsch auch die Vergleichungen mit, welche von Zeit zu Zeit zwischen dem fragl. Normalbarome- ter Girgensohn X 83 und einem Barometer von Barow X26 Fortin’scher Construction (Theilung in 137 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 138 russische Zolle) gemacht worden sind. Darnach war in halben Linien die Differenz: 1866 26. Juli + 0,59) 24 97. » +0,66 | AE 28. » + 0,52 Lien 24 29. » + 0,66 | 94 1868 12. und 13. Juli + 0,63) 9 1875 12. » 14. Mai +- 0,84 Millimeter 20 = + 0,66 halbe Linien Die Resultate dieser Vergleichungen würden für eine hohe relative Constanz der fraglichen Barometer sprechen, wenn dieselbe nicht in Folge der grossen | Unsicherheit der Beobachtungen selbst wieder als eine mebr zufällige erschiere. So beträgt am 26. Juli der Unterschied des grüssten und kleinsten Werths der Differenz Barow—Girgensohn: 2,39, am 27. Juli: 2,06, am 28. Juli: 1,13, am 29. Juli 1,08 halbe Li- nien, am 13. Mai: 0,8 Millimeter. Noch ist zu be- merken, dass Hr. Moritz selbst die Correction vom Mai 1875 zu 0"/61 angibt, er hat indessen bei der Reduction der unmittelbaren Angaben des Barometers Barow auf das millimetrische Barometer denselben Fehler in umgekehrter Richtung begangen, den er dem Nachfolgenden gemäss schon im Jahre 1869 bei ähnlichen Reductionen gemacht hatte. Hr. Moritz hat nämlich in demselben Schreiben auch noch in extenso die Daten der bei meinem Be- such in Tifliss im Jahr 1869 gemachten, oben erwähn- ten Vergleichungen sammt ihrer damaligen Berech- nung mitgetheilt. Die Resultate sind genau dieselben, die ich oben $. 34 bereits aufgeführt habe, alleiu aus den jetzt vorliegenden Details geht hervor, dass Hr. Moritz eine irrthümliche Berechnung der Beobach- tungen veranstaltet hat. Statt die Ablesungen an mei- nem millimetrischen Barometer von Pistor und Mar- tins auf 0° zu reduciren und zur Vergleichung mit den Angaben seines in russische halbe Linien getheil- ten und auf 13!/° R. reducirten Barometers von Gir- gensohn entweder die letztern Werthe nach seinen eigenen Tafeln zur Verwandlung des russischen Ba- rometers bei 13! R. in das millimetrische bei 0° auf Millimeter-Barometerstand oder die Millimeter des erstern in russische Halb-Linien Barometerstand um- zusetzen, liess Hr. Moritz beim Pistor’schen Baro- meter die abgelesenen Millimeter einfach in Russische | halbe Linien nach der für die beiden Längenmaass- systeme geltenden Relation verwandeln und dann ver- | mittelst der in Réaumur’sche Grade umgesetzten Cen- tesimalgrade des Therm. att. nach den üblichen Ta- | feln für das Russische Barometer auf 13/° reduciren. Es ist leicht zu zeigen und ergibt sich übrigens auch aus der Berechnung nach der einen und andern Me- thode, dass man beim letztern, unrichtigen Verfahren zu dem erhaltenen Resultate die Corrections-Grüsse: 21/0 Dh mm. lo hinzuaddiren muss, um den richtigen vergleichbaren Werth zu erhalten. Setzen wir hier für den Barome- terstand X in halben Linien den mittleren Werth 580 für den Ausdehnungscoefficienten »° des Messings pro 1° R. den in den russischen Reductionstafeln gebrauch- ten Werth: 0,00002362, so wird: c— 0,18 halbe Linien —0";23. Um diese Grüsse ist also jetzt die ober in Glei- chung 1. angegebene absolute Correction des Ti- flisser sogen. Normal-Barometers, zu vermin- dern, so dass sie in Wahrheit im Jahre 1869 bloss: EE 0720 3 betragen hätte. Fassen wir Alles zusammen, so wäre also die absolute Correction des Tiflisser Baro- meters Girgensohn X 83: mm im Jahr 1851 —0,18 » 1869 — 0,03 » 1876 —0,28 gewesen d. h. wie nach der Natur desselben und mei- nen Erfahrungen an gleichen Instrumenten im Cen- tral-Observatorium allerdings zu erwarten ist, eine mit der Zeit variable Grüsse. Angesichts der ver- schiedenen Widersprüche aber, in die uns die man- gelhaften Beobachtungen und Berechnungen des Hrn. Moritz in dieser Angelegenheit bereits verwickelt haben, halten wir es für besser, bis auf Weiteres die absolute Correction des Normalstationsbaro- meters Girgensohn X 83 im Tiflisser physika- lischen Observatorium als ganz unbekannt an- zunehmen. Bulletin de l’Académie Impériale 140 Über den gegenwärtigen Zustand der Anemometrie und über Anemometer-Verification. Von H, Wild. (Lu le 30 novembre 1876.) Herr A. v. Ottingen hat in der Einleitung zu sei- ner Abhandlung: «Wind-Componenten-Integra- tor», welche ich die Ehre hatte, in einer frühern Sit- zung der Academie zur Aufnahme in das Repertorium für Meteorologie vorzustellen, auf die Nothwendigkeit einer schärfern Beobachtung des Windes in der Me- teorologie hingewiesen und zu dem Ende sowie zur bequemern weitern Bearbeitung der Windaufzeich- nungen die Darstellung des Windes nach Richtung und Stärke durch vier Haupt-Componenten nach Nord, Ost, Süd und West in Gemässheit schon früher von ihm gemachter bezüglicher Vorschläge betont. Ich môchte an dieser Stelle dieselbe Frage einer schärfern Beobachtung des Windes von einem andern Gesichtspunkte aus betrachten und den Meteorolo- gen zur Beherzigung empfehlen; es betrifft dies näm- lich allgemein, gleichviel ob man den Wind nach Theilen der Windrose mit beigesetzter Stärkezahl in der bisherigen Weise oder durch 4 Haupt-Compo- nenten nach von Üttingen ausdrückt, die Messung seiner Stärke sei es nun Geschwindigkeit oder Druck. Die Unsicherheit, welche zur Zeit noch allen unsern Messungen der Windstärke anhaftet, ist so gross, dass daneben alle aus ungenauer Berechnung entspringen- den Fehler der Wind-Daten verschwinden. Dies zu zeigen und auf die Mittel zur Abhülfe hinzuweisen, ist der Zweck dieses Aufsatzes. Eine erste Classe von Anemometern bestimmt den Druck, welchen der Wind auf eine durch die Wind- fahne ihm stets senkrecht entgegen gehaltene ebene Platte ausübt und zwar wird der Druck durch die grüssere oder geringere Zusammenpressnng einer hin- ter der Platte befindlichen Feder gemessen. Die varia- beln Reibungshindernisse, welche aus der dieser be- weglichen Platte nothwendig zu gebenden Führung entspringen, sowie die Variabilität der elastischen Kraft der Feder mit der Zeit und mit der Temperatur las- sen bei dieser Art Anemometer, zu denen z. B. der seiner Zeit ziemlich verbreitete Osler’sche Anemo- graph?) gehürt, keine grosse Genauigkeit und Sicher- 1) T. Osler, A Description of the self-registering anemometer heit der Angaben erwarten. Den letztern Fehler der Feder haben zwar schon Gadolin *) und Beaufoy*) bei ihren Anemometern und neuerdings wieder Ca- tor*) bei seinem Anemograph durch an Spiralen oder variabeln Hebeln wirkende Gewichte zu beseitigen ge- sucht; doch liegen weder für das eine noch andere In- strument längere Beobachtungsreihen oder besondere Untersuchungen vor, welche über den Erfolg dieser Verbesserungen ein sicheres Urtheil gestatten wür- den *). Gegen die Art der Angaben dieser Classe von Ane- mometern Jässt sich noch fernerhin, wie dies schon Whewell gethan hat, einwenden, dass es bei ihnen wenn nicht unmôüglich, so doch mindestens sehr schwer ist, ein Integral des Windes zu gewinnen. Ich gestehe, dass ich z. B. beim besten Willen nicht angeben kônnte, wie man aus einigen mir vorliegenden Registrirungen eines Osler’schen Anemometers eine Summe der Wind- stärke herstellen sollte. Für viele Aufgaben der Meteorologie ist es endlich viel wichtiger, die Masse der über den Beobachtungs- ort hinstromenden Luft als ihren Druck zu erfahren. Bei den Anemometern, welche unmittelbar den letztern angeben, ist es aber bei dem jetzigen Zustand unserer aërodynamischen Kentnisse noch nicht môglich, aus dem gegebenen Druck des Windes mit Sicherheit seine Geschwindigkeit abzuleiten. Nach Newton‘) besteht zwischen dem Druck oder Stoss s senkrecht gegen die Einheit der Fläche und der Geschwindigkeit v der stossenden Luft vom specifischem Gewicht À (bezogen auf Wasser) die Relation : x 2g? wo g die Beschleunigung der Schwere repräsentirt. Man erhält hiebei s in Grammen auf ein Quadrat-De- S—% etc. Birminghan, by James Drake 1839; auch Report of the British Association for 1839. 2) Jacobus Gadolin Anemometrum novum. Dissertatio philo- sophica Nicolai Hieltt. Aboae 1760. 3) Thomson, Annals of Philosophy, T. Il. p. 431. 1821. 4) Proceedings of the British Meteorological Society Vol. II p. 49, Vol. IV. p. 27 und 273, Vol. V. p. 263. Auch Oesterr. Zeitschrift für Meteorologie Bd. V1. S. 167 und 1871. 5) Hierhin gehôren auch die Anemometer, wo der Druck des Windes durch die Grüsse einer gehobenen Flüssigkeitssäule gemes- sen wird, wie z. B. in dem Anemometer von Lind. (Philos. Transact. T..LXV. p. 853. 1776.) 6) Newton, Philosophiae naturalis principia mathematica Lib. IL. Sect. VII. 141 cimeter, wenn man v in Decimetern pro Secunde aus- drückt, à — 1,293 (Gramme Luft bei 0° und 7607" Druck in 1 Cubic-Decimeter) und g — 98,06 setzt. Man hat also: s—0,00659 v°. du Nun hat man aber gefunden, dass die Formel 1 der Erfahrung nicht genau entspreche, sondern rech- ter Hand noch eines von 1 mehr oder weniger ver- schiedenen, constanten Factors k bedürfe, also allge- meiner sei: k S— RU 3j l'. Muncke’) hat aus den Versuchen verschiedener Forscher (Woltmann, de Borda und Hutton) als wahrscheinlichsten mittlern Werth für k die Grôüsse: k—1,3 +0,1 3 abgeleitet, wobei wir der Unsicherheit dieser Bestim- mungen halber bei der ersten Decimale stehen ge- blieben sind. Darnach ginge Gleichung 2. über in: s— 0,00857 v° *). ?. G. Hagen”) ist in neuster Zeit durch sorgfältige bezügliche Experinente für den Druck s in denselben Einheiten zu folgendem Ausdruck gelangt: s — (0,007070 + 0,0001125. w) v?, wo # den Umfang der Stossfläche bezeichnet und als Normaldichtigkeit der Luft diejenige bei 15° C. und 758"" Druck angenommen ist. Beziehen wir die letztere wieder wie oben auf 0° und 760" Druck, so erhalten wir als unmittelbar vergleichbar mit 2”: s—(0,007478 + 0,0001190. «) v°. 4. Setzen wir hier den Umfang « der Tafel — 9 Decime- ter, so wird: s— 0,00855. »’, 7) Gehler’s physikal. Würterbuch. Leipzig 1842. — Bd. X.S. 2076. 8) Dieser Ausdruck resp. der Werth des Zahlencoefficienten bleibt unverändert, wenn wir als Einheit der Stossfläche einen Quadrat. Centimeter, als solche für die Geschwindigkeit » aber die conventionelle Einheit für die Windgeschwindigkeit nämlich 1 Me- ter pro Secunde annehmen. Für v = 25" à. e. Grad 9 der Beau- fort'schen Scale resp. Sturmwind, würde also der Druck auf 1 Qua- drat-Centimeter: 5,4 Gramme, d.h. wenig mehr als !/,6, Atmos- phäre sein. 9) Pogg. Ann. Bd. 152, S. 96. 1874. des Sciences de Saint-Pétersbourg. 142 d. h. also für eine Tafel von 9 Decimeter Umfang ist nach Hagen die Stosskraft sehr nahe dieselhe wie nach Formel 2’. Der Werth der Hagen’schen Constanten in Gleichung 4. wird indessen für die Anwendung in der Anemometrie dadurch bedeutend verringert, dass seine bezüglichen Versuche nur bis zu einer Maximal- Geschwindigkeit von 66 Pariser Zoll in der Secunde oder 18, pro Secunde sich erstreckten, welche Ge- schwindigkeit nur ganz wenig den Grad 0 der Beaufort”- schen Windseale resp. Windstille oder sehr leisen Zug überschreitet. Es bleibt somit auch nach den neusten bezüglichen Untersuchungen immer noch eine beträchtliche Unsi- cherheit über die Relation zwischen Wind-Druck und Windgeschwindigkeit bestehen, die wohl auf 10°, an- geschlagen werden kann. Eine zweite Classe von Anemometern besteht aus einem um eine horizontale Axe drehbahren Kürper, welche, wenn der letztere wie gewühnlich eine ebene Platte darstellt, durch die Windfahne immer senkrecht zur Windesrichtung gestellt wird. Die Stärke des Win- des wird dann durch den Winkel bemessen, um welchen die Platte entgegen der Wirkung der Schwere aus ih- rer vertikalen Gleichgewichtslage durch den Wind ge- hoben wird. Unmittelbar messen also diese Anemome- ter ebenfalls den Druck des Windes, haben aber vor denen der erste Classe den constructiven Vorzug, dass die Reibungshindernisse bei ihnen eine ganz unter- geordnete nicht stürende Rolle spielen. Im Übrigen lei- den sie an denselben Übelständen wie die vorigen, zu welchen noch der hinzukômmt, dass wenigstens für diejenigen mit ebener Platte das Gesetz zur Ableitung des Winddruckes aus dem Hebungswinkel desselben durchaus kein einfaches, ja bis zur Stunde noch nicht sicher bestimmtes ist. Nehmen wir an, dass der Mittelpunkt des horizon- talen Windstosses s auf die Flächeneinheit mit dem Schwerpunkt der Tafel zusammenfalle, so ist die Gleich- gewichtsbedingung beim Hebungswinkel + jedenfalls gegeben durch: GR wo G dasGewicht und g den Flächeninhalt der Tafel, f (@) aber eine den schiefen Stoss der Luft auf die Platte ausdrückende Function von + darstellen. s.q.f(@) = G. sin 9, 143 Bulletin de l'Académie Impériale 144 G. G. Schmidt ), der einen Windmesser dieser Art construirt hat, hat zunächst aus bekannten mecha- nischen Principien für f (9) den Werth: f(œ) = cos’? 6. abgeleitet, dann aber selbst diesen einfachen Ausdruck als ungenügend erkannt, um ihn auf den vorliegenden schiefen Stoss von Flüssigkeiten anzuwenden und des- balb seinen Berechnungen für f (o) folgende von Bos- sut'!) für Wasser experimentell bestimmten Werthe unterlegt. Werthe von f (@) nach Bossut. Le) 0° 1,0000 6° 0,9893 12 0,9578 18 0,9084 24 0,8446 30 0,7710 36 0,6925 42 0,6148 48 0,5433 54 0,4800 60 0,4404 66 0,4240 72 0,4142 78 0,4063 84 0,3999 Dr. Lübeck ) hat bei seinen Berechnungen f (®) = Cos ® gesetzt. Die Combination der Gleichung 5. mit 2”, resp. 4 wird das Gesetz der Abhängigkeit des Hebungswinkels der Tafeln von der Geschwindigkeit des Windes geben. Dieses Gesetz hat F. Dohrandt in seiner schünen Arbeit: Bestimmung der Anemometer-Constan- ten Ÿ) experimentell für das einfache von mir ange- gebene Anemometer dieser Art direct zu bestimmen gesucht, doch hat, wie ich in meiner das letztere be- treffenden Notiz *) des Nähern dargelegt habe, erst M. Thiesen auf halb theoretischem halb empirischem Wege dies Ziel erreicht, indem er nämlich die Con- stanten seiner theoretisch entwickelten Formeln aus 10) Pogg. Ann. Bd. 14, S. 59. 1828. 11) Bossut, Traité théorique et expérimental d'hydrodynamique T. II. p. 388 et p. 411. 1787 12) Carl's Repertorium für Exper. Physik. Bd. X. $. 201. 13) Repertorium für Meteorologie Bd. IV. X 5 S. 53. 1874. 14) Dieses Bulletin T. XXI. p. 177. Oct. 1875. Herrn Dohrandt's und eigenen Versuchen bestimm- te !). Aus Herrn Thiesen’s Untersuchungen folgt unter denselben Voraussetzungen wie oben und für eine am Ende der Tafel liegende Axe : 1 — 0,62 tg © fi) = cos p — —— cos” > Setzt man die verschiedenen Werthe von Function f (œ), wie sie die verschiedenen Forscher angenommen haben, in die Gleichung 5 ein, combinirt diese dann mit 2’ zur Herleitnng der Relation zwischen Windgeschwin- digkeit und Hebungswinkel der Tafel und wendet dar- auf diese Ausdrücke auf meine kleine Winstärketafel von 200% Gewicht, 450 Quadrat-Centimeter Ober- fäche und 9 Decimeter Umfang an (wobei, wie oben erôrtert, die Gleichungen 2’ und 4 sehr nahe iden- tische Werthe geben), so erhalten wir, @ der Reiïhe nach — 10°, 20°, 30°, ete. gesetzt, als entsprechende Geschwindigkeiten in Metern pro Secunde: 8. Geschwindigkeit in Metern pro Secunde. Hebungs | nach nach nach nach nach winkel ?. Schmidt. | Bossut. | Dohrandt.| Lübeck. | Thiesen. 0 | 000 | 0v00 | 0700! 000! 000 10 | 3,04 3,04 | 2,68 3,07 | ,310 20 | 4,48 | 4,47 | 3,95 | 4,41] 4,61 30 | 5,88 | 5,80 | 5,16 | 5,55 | 5,90 40 75400721" | 626 PNG 0" E 7 TS 501} "9,81 8,75 | 7,30 | 7,98 | 8,57 60 | 13,40 | 10,10 | 8,45 | 9,62 | 10,39 70 | 20,41 | 10,81 | 11,30 | 12,12 | 13,19 80 | 41,15 | 11,24 — |"17,40 | 19,23 Wir haben hier auch die rohen von Dohrandt unmittelbar aus seinen Beobachtungen gefolgerten Werthe mit aufgenommen. Man ersieht zunächst aus dem Vergleich derselben mit Thiesen’s Werthen, wie sehr diese rohen Zahlen durch die theoretisch gefor- derten Correctionen modificirt worden sind. Die Dif- ferenzen erreichen bei hüherenGeschwindigkeiten nahe- Z 207. | Das von Lübeck vorausgesetzte einfache Tangenten- | gesetz zeigt auch noch Abweichungen von 8°/, von dem 15) Repertorium für Meteorologie Bd. IV M 9. 1875. 145 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 146 als richtig angenommenen Thiesen’schen Gesetz. Auffal- lendend ist endlich die gute Übereinstimmung der nach Bossut berechneten Werthe mit den Thiesen’- schen bis zu 55° Hebungswinkel oder 975 Geschwin- digkeit (Abweichung bloss 1%), die dann freilich von 10" Geschwindigkeit an in eine vollständige Dishar- monie umschlägt. Innere Gründe wie auch die eben erorterte Überein- stimmung mit Bossut’s Werthen sprechen nun aller- dings dafür, dass bis zu einer Geschwindigkeit von 9°5 in der Secunde und wahrscheinlich auch noch bis zu etwa 12" Geschwindigkeit die Thiesen’sche Formel eine genügende Annäherung zur Ableitung dieser Ge- schwindigkeit aus dem Hebungswinkel der Windstärke- tafel darbietet. Der ganzen Ableitung nach repräsen- tirt aber auch diese Formel kein allgemeines Gesetz, sondern eben nur eine erste Annäherung, welche viel- leicht für hôhere, die Versuchsgrenzen bedeutend über- schreitende Geschwindigkeiten nicht mehr genügend sein dürfte. Nun respräsentirt aber die angegebene Geschwindigkeit von 12” pro Secunde erst den 5. Grad der Beaufort’schen Scale resp. frischen Wind, es bleibt somit immer noch eine grosse Unsicherheit für den ganzen Rest der Windscale bis zum 12. Grad mit cirea 40 Meter Geschwindigkeit. Auch die absoluten Werthe der aus dem Hebungs- winkel der Tafel erschlossenen Windgeschwindigkeit erscheinen noch unsicher, da das genauere Hagen’sche Gesetz für die Relation zwischen Winddruck und Wind- geschwindigkeit nur bis zu verhältnissmässig sehr klei- nen (Geschwindigkeiten geprüft ist. Bei der Schwierigkeit der mathematischen Analyse der mechanischen Vorgänge bei der Windstärketafel erscheint es aber durchaus geboten, zur sicherern Bestimmung des Winddruckes und der Windgeschwin- digkeit vermittelst derselben noch weitere experimen- telle Untersuchungen besonders bei grüssern Geschwin- digkeiten und unter genauer Berücksichtigung aller Umstände, auf welche die Theorie als influirende hin- weist, anzustellen. Inzwischen wird uns aber die Frage nahe gelegt, ob es nicht statt ebener Tafeln anders geformte Kôr- per gebe, für welche das Gesetz der Windwirkung in ibrer Abhängigkeit vom Hebungswinkel, resp. die Function f(œ) in Gleichung 5., muthmasslich ein ein- facheres sein dürfte als das jener. Das ist in der That Tome XXII. der Fall bei der Kugel, wo der Wind stets, welche Stellung sie auch einnimmt, immer dieselbe Fläche trifft. Schon G. G. Schmidt hat am a. O. $. 62 da- von gesprochen, dass deshalb für die Kugel die Gleich- gewichtsgleichung 5. die einfache Gestalt erhielte: CL wo C'eine von œ unabhängige, bloss durch die Dimen- sionen der Kugel, Hebelarme und der Vertheilung der Massen bedingte Grüsse repräsentirt; doch hat er die Sache nicht weiter verfolgt, weil «ein solches Kugel- Pendel schwerlich hinreichen würde, um Winde von sehr verschiedener Stärke zu messen.» Die in der obigen Tabelle für die Windstärke-Tafel nach der Lübeck’schen Hypothese, die obiger Gleichung ent- spricht, berechneten Werthe zeigen indessen, dass in letzterer Richtung das Kugel-Pendel nicht erheblich hinter dem Pendel mit ebener Tafel zurückstehen würde. Auch Parrot!) hat ein solches Kugel-Pendel als Anemometer in Vorschlag gebracht. In neuester Zeit hat Piche 7) diese Idee aufge- nommen, um ein Anemometer zu construiren, das sowohl Richtung als Stärke des Windes abzulesen ge- statte. Dasselbe soll nach seinem Vorschlage aus einem Stabe bestehen, der an seinem obern Ende eine hohle Messingkugel trägt und etwas oberhalb seines Schwerpunktes durch eine Cardanische Suspension gehalten wird und so nach allen Richtungen frei be- weglich ist. Der untere Theil des Stabes wird durch ein Holzgestell vor dem Einfluss des Windes geschützt. Piche theilt auch mit, wie das Instrument für die Richtung electrisch selbstregistrirend gemacht werden künnte. Es ist mir nicht bekannt, ob Piche diesen Vorschlag praktisch ausgeführt hat; doch lässt sich nach dem Vorigen erwarten, dass ein solches Instru- ment manche Vorzüge vor den gebräuchlichen Ane- mometern hätte und daher wohl eines nähern Studiums werth wäre ). Die dritte Classe von Anemometern besteht 16) Bulletin de la Société des sciences etc. de Pau 1872—73. p. 125; auch Oesterr. Zeitschrift für Meteorol. Bd. VIII. S. 299. 17) Voigt’s Magazin Th. I. St. 2. $S. 153. 18) In diesem Sinne spricht sich auch Herr Thiesen in seiner neusten Abhandlung «Zur Theorie des Robinson’schen Schalen- Anemometers (Repertorium für Meteorologie Bd. V. X 11) aus. Ich habe bereits ein solches Kugelanemometer construiren lassen und werde seiner Zeit darüber berichten, sowie die damit angestellten Untersuchungen beendigt sein werden. s — C'tang. y, 10 147 aus Flügel-Rädern, welche durch den Wind in Rotation versetzt werden und durch die Zahl der Umdrehungen in einer bestimmten Zeit den Druck, resp. die Ge- schwindigkeit des Windes messen. Die Theorie dieser Classe von Anemometern ist noch schwieriger als die der vorigen, da hier nicht Gleichgewichts-, sondern Bewegungszustände zu ver- folgen sind und ausser dem schiefen Stoss des Windes noch streng genommen die durch die Umdrehung des Flügel-Rades erzeugten Wirbel der Luft zu berück- sichtigen wären. Es ist daher nicht zu verwundern, dass man dieselben durchweg nur empirisch graduirt und demgemäss auch direct die Geschwindigkeit des Windes aus ihren Angaben abgeleitet hat, obschon sie, theoretisch betrachtet, zunächst gerade ebenso, wie die vorigen, den Druck des Windes messen. Bei den hieher gehôrenden Anemometern von Wolff!?), Schoder*), Woltmann*'}, Combes”) etc. sind windmühlenartige leichte Flügel an einer hori- zontalen Axe befestigt, welche durch eine Windfahne oder dergl. beständig der Richtung des Windes parallel gestellt wird, so dass der Wind immer unter demselben Winkel auf die schief gestellten Flügelebenen stüsst. Theorien dieser Anemometer haben schon Woltmann (1. c.), A. L. Crelle #), auch Combes (1. c.) zu geben versucht, die indessen schon deshalb nicht genügen konnten, weil dabei über den schiefen Stoss unrichtige Annahmen .getroffen wurden. Woltmann suchte da- her die Constanten seines Anemometers dadurch zu bestimmen, dass er es auf einem Rotationsapparat mit vertikaler Axe und 1317, Fuss (4”) langem horizon- talem Arm befestigte und ihm so eine bekannte Ge- schwindigkeit gegen ruhende Luft ertheilte; er ver- liess aber diese Methode wieder, da er bemerkte, dass die Luft im Saale mit in Bewegung gerieth. Nachdem er dann noch ohne Erfolg versucht hatte, das Instru- ment in gerader Richtung in ruhender Luft fortzube- wegen oder die Geschwindigkeit des Windes durch 19) Elementa matheseos universae. Halae 1745. T. IT. p. 405. 20) Hamburger Magazin Bd. IX. Stück 2. 21) R. Woltmann, Theorie und Gebrauch des Hydrometer- Flügels, oder zuverlässige Methode die Geschwindigkeit der Winde und strômenden Gewässer zu beobachten. Hamburg 1790 und Neue Auflage, Hamburg 1835. 29) Combes, Mémoire sur un nouvel anémomètre etc. Annales des Mines 3. sér. T. XIII p. 103. 1838. 23) A. L. Crelle, Theorie des Windstosses in der Anwendung auf Windflügel etc. Berlin 1802. Bulletin de l’Académie Impériale 148 fliegende Federn, Staub und Rauch zu bestimmen, blieb er schliesslich bei einer Ermittlung der Con- stanten durch Forthbewegung desselben in ruhendem Wasser stehen. Auf das Ungenügende dieses Verfah- rens für Anemometer hat schon Gerstner hingewie- sen. — Combes kehrte wieder für die empirische Be- stimmung der Constanten seiner kleinen Anemometer zum Rotationsapparat zurück, dessen horizontaler Arm indessen eine Länge von bloss 1” besass. Die grüsste Geschwindigkeit bei diesen Experimenten betrug: 46 pro Secunde und die Versuchs-Resultate liessen sich mit einer durchschnittlichen Genauigkeit von un- gefähr 1%, der Geschwindigkeit » der Luft durch die Formel: 10 darstellen, wo n die am Anemometer in der Zeitein- heit abgelesene Umdrehungszahl des Flügelrades und a und b zwei durch die Versuche zu bestimmende Con- stanten. In erster (grober) Annäherung ist die Con- stante b nach Woltmann und Combes: b = tang «, wenn æ& der Neigungswinkel der Flügelebenen gegen eine Ebene senkrecht auf der Rotationsaxe. Von einer Mitbewegung der Luft im Zimmer bei diesen Ver- suchen sagt Combes Nichts. Es sind mir keine neuern Versuche an grüssern Anemometern dieser Art und insbesondere für grôs- sere Geschwindigkeiten bekannt, und doch ist es dem Vorigen zufolge mehr als wahrscheinlich, dass unter diesen Verhältnissen die Abweichungen der nach der linearen Gleichung 10. aus den Anemometerangaben berechneten Windgeschwindigkeiten von den wirklichen 5—10%, erreichen würden. Dass die Axe des Flügeirades bei diesen Anemo- metern der Windrichtung parallel gestellt werden muss, führt in Folge der Schwankungen der letztern zu Übelständen und Ungenauigkeiten. T. R. Robinson“) hat daher nach einer Idee von Edgeworth ein neues Anemometer construirt, bei welchem 4 halbkugelfôr- mige Schalen an den Enden eines horizontalen, um eine vertikale Axe drehbaren Kreuzes so befestigt sind, dass sie ihre vertikal gestellten Offnungen alle nach derselben Seite wenden; das Schalenkreuz dreht Tv— a +b.n 24) Robinson, Description ofan improved Anemometer for re- gistering the Direction of the Wind and the space which it traverses in given intervals of Time. Transactions of the R. Irish Academy. Vol. XXII. Part III. p. 155 (Juni 10. 1850). Dublin 1862. 149 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 150 oo sich daher immer nach derselben Seite, woher auch der Wind kommen mag, da er auf die concaven Seiten derselben einen stärkern Druck ausübt als auf die convexen. Dieses allgemein unter dem Namen das Robinson’sche bekannte Anemometer hat seiner Bequemlichkeit halber eine solche Verbreitung, na- mentlich auch bei fast allen neuern Anemographen gefunden, dass es nothwendig erscheint, dasselbe hier etwas ausführlicher zu betrachten. In der citirten Abhandlung hat Robinson nicht bloss eine Beschreibung seines neuen Instruments ge- geben, sondern auch theoretisch das Abhängigkeits- gesetz der Geschwindigkeit der Drehung des Schalen- kreuzes # von der Windgeschwindigkeit v entwickelt und gefunden, dass sehr nahe, wenn man von der Rei- bung absehe, die einfache Relation: Vi—=y 30 11. bestehe, wobei die constante Verhältnisszahl 3 von der Grüsse der Schalen, der Länge und Form der Arme etc. unabhängig sei. Die Folgerung aus der Theorie fand er dann durch Prüfung des Anemometers auf einem Rotationsapparate und im fliessenden Wasser bestätigt; überdies schloss er aus seinen Versuchen, dass die Reibung von einer 4" pro sec. betragenden Windge- schwindigkeit an zu vernachlässigen sei. Auf Grund dieser Angaben Robinson’s hat man über 20 Jahre lang aus den unmittelbaren Beobach- tungen an seinen Anemometern nach der einfachen Formel 11. die Windgeschwindigkeiten berechnet, ob- schon dieselbe, wie eme nühere Betrachtung lehrt, weder theoretisch noch durch seine Versuche gerecht- fertigt ist und daher auch je nach den Umständen bis 24 Procent unrichtige Werthe ergibt. - Gegen die von Robinson aufgestellte Theorie seines Instruments lässt sich zunächst der Hauptein- wand erheben, dass er dabei die Bedingungen eines statischen Gleichgewichts des Schalenkreuzes auf- stellt statt die Gleichung für die Rotationsbewegung desselben zu entwickeln. — Von mehreren Hypothesen über die Natur gewisser Constanten in seinen For- meln, wie auch von den Methoden zu ihrer Bestim- mung muss sodann Robinson selbst zugeben, dass sie durchaus ungenügend seien. Es gilt dies namentlich von der Bestimmung des Verhältnisses der beiden Constanten « und &, in seinen Formeln und von der der Reibungsconstanten. Die Versuche aber von Robinson, die scheinbar seine Theorie bestätigten, beweisen deshalb Nichts, weil bei den Experimenten mit dem Rotations-Apparat 1) die Geschwindigkeiten nur von 0 bis 5” pro sec. im Max. varürten, 2) dabei der von jenem erzeugte Mitwind nicht berücksichtigt wurde, obschon er nach Dohrandt ungefähr 5° der Rotationsgeschwindigkeit ausmacht, 3) das Anemometer auf dem Apparat mit seiner Axe horizontal gestellt war, also offenbar ganz andere Reibungshindernisse als bei der üblichen Verti- kalstellung erfahren musste. Die Constantenbestim- mung in fliessendem Wasser aber ist für Anemometer ganz zu verwerfen. Überhaupt aber sind die bezüg- lichen Versuche von Robinson so summarisch be- schrieben und so wenig Detail-Daten mitgetheilt, dass es unmôüglich ist, sich über deren Genauigkeit ein Urtheil zu bilden. Dasselbe gilt von der Verification eines Robinson’- schen Anemometers, welche in Greenwich am 3. 4. und 13. Juli 1860 ausgeführt wurde *). Das Instru- ment, das bis zum 12. October 1866 zu den norma- len Beobachtungen in Greenwich benutzt wurde und Schalen von 3275 = 0""095 Durchmesser und Arme (Entfernung der Schalenmitte von der Rotationsaxe) von 6725 — 07171 Länge hatte, wurde im Park von Greenwich auf einen Rotationsapparat geprüft, dessen Arm 1718,7 — 5"66 lang war. «Bei einigen der Versuche war die Luft merklich rubhig, bei andern war ein wenig Wind». Für eine wirkliche Geschwin- digkeit von einer Meile registrirte das nach der Ro- binson’schen Regel graduirte Instrument bei der Dre- hung des Apparats nach der einen Seite: 1,15, bei der nach der andern Seite: 0,97 Meilen. «Die Resultate von schneller und langsamer Drehung waren merklich gleich» Welche Geschwindigkeiten angewendet wur- den, ist nicht gesagt. Der Mitwind bei der Rotation und der fremde Wind im Freien sind nicht berück- sichtigt. Es wird daher kaum irgend ein unbefangener Leser dem Verfasser beistimmen, wenn er am Schluss der kurzen Mittheilung sagt: «Dies Resultat bestätigt offenbar in einem hohen Grade die Genauigkeit der Theorie». In Wirklichkeit folgt aus dem Mittel der 25) Greenwich, Magnetical and Meteorological Observations, 1866 Introduction pag. XLVIII. 10* 154 Bulletin de l’Académie Impériale 15? 9 obigen Zahlen, dass der Robinson’sche Factor statt 3 sein sollte: 2,83 d. h. um 6% kleiner. Bei Berück- sichtigung des Mitwindes wäre er noch kleiner ge- worden. Erst im Jahre 1872 wurden auf Beobachtung sich stützende Bedenken gegen die allgemeine Rich- tigkeit der Angaben Robinson’s laut. Im April- heft 1872 des «Quarterly Journal of the Meteorologi- cal Society» publicirte nämlich Fenwick Stow die Resultate vergleichender Beobachtungen, welche er im Jahre 1871 zu Hawsker an 10 Robinson’schen Anemometern verschiedener Grüsse im freien Wind mit grosser Sorgfalt angestellt hatte. Sie bewiesen, dass sowohl die Grüsse der Schalen als auch die Länge der Anemometerarme entgegen den Angaben Robin- son’s von Einfluss seien oder dass mit andern Worten die Robinson’sche Verhältnisszahl zwischen Wind- geschwindigkeit und Geschwindigkeit der Schalen- mitten, wenn wir sie für ein bestimmtes Anemometer mit ihm gleich 3 setzen, für andere erheblich grüssere oder kleinere Werthe je nach den Dimensionen an- nimmt. Schon ehe diese Versuche mir bekannt geworden waren, hatte ich im grossen Saal des physikali- schen Central-Observatoriums einen Rotations- apparat herstellen lassen, um die Constanten unserer Robinson’schen Anemometer experimentell bestim- men zu künnen. Mit diesem Apparate hat dann Herr Dohrandt im Jahre 1873, wir dürfen es sagen, die ersten gründlichen und alle Umstände gehôrig berücksichtigenden Experimentaluntersuchun- gen über Anemometer-Constanten und ganz be- sonders über die der Robinson’schen Anemometer angestellt. Sie sind im Repertorium für Meteorologie Bd. IV. Xe 5 so ausführlich dargestellt, dass sich jeder Forscher über den Gang der Untersuchungen und die Sicherheit der Resultate ein Urtheil verschaffen kann. Herr Dohrandt hat bei seinen Versuchen nicht bloss die bisher bei Rotationsapparaten innegehaltene Geschwindigkeitsgrenze um das Doppelte überschritten — es wurden Geschwindigkeiten bis zu 11" pro sec. erzielt —, sondern auch zuerst den vom Rotations- apparat selbst erzeugten Mitwind bestimmt und in Rechnung gezogen. Die erstere Erweiterung seiner Versuchsgrenzen setzte ihn in den Stand, zu zeigen, dass bei hühern Geschwindigkeiten die einfache For- mel von Combes oder Robinson: 12. zur Ableitung der Geschwindigkeit des Windes v aus der der Schalenmitten # nicht mehr genügt, sondern ein quadratisches Glied der letztern hinzugenommen werden muss, so dass man hat: D = à + b.w VE 13. Die Berücksichtigung aber des Mitwindes, der mit einer Annäherung von Æ 1°, durchweg 5% der Rotationsgeschwindigkeit *) betrug, gestattete die ab- soluten Werthe der Constanten & und b resp. &, 6 und y sicherer als bisher zu bestimmen. Die Constante b erreichte so bei keinem der untersuchten 8 Anemo- meter den Robinson’schen Werth 3,00 und variirte überdies in Übereinstinmung mit Fenwick Stow je nach den Dimensionen der verschiedenen Anemometer- Theile von 2,09 bis 2,90. Hieraus folgt also, dass die bis dahin nach der einfachen, allgemein angenommenen Robin- son’schen Regel aus den unmittelbaren An- gaben seiner Anemometer abgeleiteten Wind- geschwindigkeiten je nach den Dimensionen ihrer einzelnen Theiïle bis zu 28°/, unrichtig sind. *) Durch seine Reise nach dem Amu-Darja und län- gern Aufenthalt daselbst wurde Herr Dohrandt frei- lich verhindert, selbst seine Beobachtungen zu einer weitern Entwickelung der Theorie des Robinson’schen Schalenanemometers zu verwerthen. Dies haben in ( 2 & + B.0 + Y.Ww.. 26) Dass der Mitwind proportional der Rotationsgeschwindig- keit sei, hat auch A. Freund bei seinen Versuchen über die Be- wegung der Luft um einen Cylinder, der gedreht wird, gefunden (s. Pogg. Ann. Bd. 118. S$. 1). 27) Ungefähr gleichzeitig mit Hrn. Dohrandt hat Prof. Ca- vallero in Turin ebenfalls neben andern Anemometern auch ein sol- ches von Robinson vermittelst eines von ibm für die dortige Inge- nieur-Schule construirten Rotationsapparates geprüft und gefunden, dass sich für dasselbe die Gleichung ergebe: © — 1,3844 + 4,013. , wenn w in Bruchtheilen od. Vielfachen des von den Schalenmitten beschriebenen Kreises ausgedrückt werde (Atti della R. Acad. delle Scienze di Torino Vol. VIII. Maggio-Giugno 1873). Da der Halb- messer des letztern: 0”212 und der Schalendurchmesser: 0098, so entspricht dieses Anemometer sehr nahe dem von Dohrandt un- tersuchten Anemometer von Nowikof (S. 51 seiner Abhandlung), des- sen zweite Constante (nach S. 52) von ihm zu 2,898 bestimmt wurde. Warum Cavallero diese Constante bei seinem Instrument — 4,013 statt des Robinson'schen Werthes 3 oder statt des vorstehenden von Dohrandt fand, erklärt sich durch die Nicht-Berücksichtigung des Mitwindes seinerseits (trotz einer Maximal-Geschw. von 112 pro 1% bei seinen Versuchen), sowie durch den Umstand, dass er, wie es sheint, seine Maschine nur nach einer Seite drehte. 153 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 154 0 seiner Abwesenheit zuerst Dr. Mägis und nach dessen Tode Herr Max Thiesen versucht, von welchem dem- nächst im Repertorium für Meteorologie Bd. V. X 11 eine bezügliche Arbeit: «Zur Theorie des Robin- son’schen Schalen - Anemometers» erscheinen wird. Die letztere enthält, soweit dies überhaupt zur Zeit und ohne begleitende Versuche môglich war, eme vollstäindige theoretische Behandlung und theilweise Lüsung dieses Problems. Inzwischen hat aber Hr. Robinson selbst eine kleine Abhandlung der R. Irish Academy am 13. Dec. 1875) vorgelegt, worin er erstlich die Versuche des Hrn. Dohrandt einer Kritik unterwirft, sodann eine etwas modificirte, im Principe aber gleiche Theorie seines Anemometers gibt und endlich ausführlich die Art und Weise bespricht, wie er in Zukunft Versuche mit einem Rotationsapparate einzurichten gedenke, um die Constanten der Theorie experimentell zu be- stimmen. Da die Theorie wieder auf die Bedingungen des statischen Gleichgewichts der wirkenden Kräfte basirt, so ist sie aus den schon oben angeführten Grün- den unhaltbar und ungenügend, kann also auch im Allgemeinen nicht als Hülfsmittel für eine rationelle Bestimmung der Constanten dienen. Nur eine schon in der früheren Abhandlung von Hrn. Robinson an- gegebene Methode, empirisch das Gescetz des Wind- drucks auf concave und convexe Kugelschalen zu er- mitteln, welche von Dr. Mägis weiter vervollkommnet und in dieser Form in der oberwähnten Abhandlung des Hrn. Thiesen mitgetheilt ist, kann auch nach der strengern Theorie mit Vortheil benutzt werden. Was dagegen die Kritik der Versuche des Hrn. Dohrandt und die € genen Vorschläge des Hrn. Robinson zur Modificirung des Rotationsapparates und der mit ihm anzustellenden Untersuchungen betrifft, so kann ich, insoweit als diese Ausstellungen und Modificationen nicht von Hrn. Dohrandt bereits selbst in semer Abhandlung angegeben und von Hrn. Robinson offen- bar blos übersehen oder auch wohl missverstanden worden sind, ihm nicht beistirimen. Ich werde kurz auf einige dieser Ausstellungen und Modificationen hier eingehen, da sie für den Gebrauch des Rotationsapparates im Allgemeinen von Wichtig- 28) On the Theory of the cup anemometer and the determina- tion of its constants by Robinson. Proceedings of the R. Irisch Academy 2. ser. Vol. IT. Jan. 1876 p. 427. keit sind und leicht in Zukunft zu Irrthümern und unnützen Complicationen Veranlassung geben künn- ten. Hr. Robinson macht zunächst die Ausstellung, dass der Rotationsapparat bei den Versuchen des Hrn. Dohrandt durch 2 Männer getrieben worden sei und daher keine gleichformige Geschwindigkeit angenom- men habe. Die Übung der treibenden Männer einer- seits und das grosse Trägheitsmoment des ganzen Apparats anderseits hat indessen, wie aus den von Hrn. Dohrandt angegebenen Details der Beobach- tungen zur Genüge hervorgeht, bewirkt, dass doch innerhalb der Genauigkeitsgrenze der Versuche die Bewegung als eine ganz gleichformige betrachtet wer- den konnte. Hr. Dohrandt fand diese Art, den Rota- tionsapparat zu treiben, allerdings unbequem, aber nur bei grüsseren Geschwindigkeiten ergaben sich daraus storende Schwankungen des Apparats, welche eine Verbesserung derselben für die Zukunft durchaus ge- boten erscheinen liessen. Hr. Robinson ist ferner der Meinung, man kônnte den Rotationsapparat aus so leichten Stäben zusam- mensetzen, dass die Luft im Saale dadurch nicht in merkliche Bewegung versetzt würde. Anderseits gibt er aber in seiner ersten Abhandlung selbst an, dass sein Apparat zu schwach gewesen sei, um grüssere (e- schwindigkeiten als 5" pro sec. damit zu erzielen. Ich glaube nicht, dass der Apparat viel leichter, als der von uns benutzte, gebaut werden darf, wenn er Ge- schwindigkeiten bis 10" pro sec. und mehr aushalten soll. Überdies wird ein grosser Theil der Mitbewegung der Luft durch das auf den Arm des Rotationsappa- rates aufgesetzte Anemometer selbst bewirkt und ist also unvermeidlich. Die Zweifel, welche Hr. Robin- son an der genügenden Bestimmung des Mitwindes durch Hrn. Dohrandt äussert, dürften wohl verstummt sein, wenn er die vom Letzteren mit dem Ballon aus- geführten Messungen dieser Grüsse mehr beachtet und die genauern Bestimmungen desselben nach der 5. 39 seiner Abhandlung mitgetheilten sinnreichen Methode nicht ganz missverstanden hätte. Hr. Robinson ist ferner der Ansicht, der Saal, in welchem der Rotationsapparat aufgestellt ist, sollte im Verhältniss zu ihm bedeutend grüsser sein als dies im physikalischen Central-Observatorium der Fall ist oder es sollte mit andern Worten das Anemometer bei seiner 155 Bulletin de l’Académie Hmpériale 156 Bewegung auf dem Apparat viel weiter von Wand und Decke des Saales abstehen. Was zunächst den Abstand von der Decke betrifft, so hat die Nähe der Decke bei Versuchen wie die unserigen, wo das Schalenkreuz sich stets, wie in Wirklichkeit, in einer horizontalen Ebene bewegt, offenbar keinen stôrenden Einfluss, sie vermindert hüchstens durch Reibung die Stärke des Mitwindes, was ja nur günstig sein kônnte. Ein ähn- licher Einfluss der Seitenwände kann also auch Nichts schaden, wohl aber würe die Reflexion der vom Ane- mometer selbst erzeugten Luftwirbel sowie der vom Apparat centrifugal nach aussen getriebenen Luft a den Wänden stürend, wenn sie die relative Stärke und Direction erlangten, die Hr. Robinson voraussetzt. Durch die Versuche mit dem Ballon hat nun aber Hr. Dohrandt zur Genüge erkannt und gezeigt, dass die centrifugale Stromung der Luft gegen die Wände des Saales hin eine viel zu langsame ist, um irgend- wie zu storenden Reflexionen Veranlassung geben zu künnen; wie wäre es sonst môglich gewesen, mit dem Ballon die Grôsse des Mitwindes zu bestimmen. Grüs- ser wären wohl die Stürungen durch die vom Anemo- meter selbst erzeugten Luftwirbel, wenn eben nicht das Anemometer schon längst vorbei wäre, ehe die von der Wand reflectirte Luft in die Bahn des Rota- tionsapparates zurückgelangt. Wer mit Aufmerksam- keit die Versuche selbst verfolgt, wird leicht erken- nen, dass gerade diese von der Nähe der Wände und Decke herrührenden stürenden Einflüsse durchaus Grôssen zweiter Ordnung sind und im Übrigen dieselbe nur einen günstigen Einfluss hat. Hr. Robinson bezweifelt endlich, dass das Mittel aus den bei Rotationen nach der entgegengesetzten Richtung genommenen Resultaten richtige, einer ge- radlinigten Bewegung entsprechende Werthe ergebe, da streng genommen nicht die Gleichung 12, sondern 13 zur Ableitung der Windgeschwindigkeit aus der Schalengeschwindigkeit zu benutzen sei und gibt da- her seiner Methode, die Axe des Anemometers auf dem Rotationsapparat horizontal zu legen, den Vorzug. Der erste Einwand ist deshalb nicht stichhaltig, weil Hr. Dohrandt durch seine Experimente (v. S. 27 und folg. seiner Abhandlung) direct nachgewiesen hat, dass innerhalb der Genauigkeitsgrenze der Versuche überhaupt das Mittel aus beiden Rotationseinrichtun- gen richtige Werthe liefere. Bei horizontaler Lage der — Axe des Anemometers fällt der Unterschied für beide Rotationseinrichtungen theoretisch allerdings fort, allein es macht sich dann eine von der normalen Lage des Anemometers bei den Beobachtungen abweichende und schwer zu bestimmende Reibung geltend und überdies ändert sich in jedem Moment die Richtung der Axe und damit auch der Rotations-Ebene des Schalenkreuzes, was nothwendig auf die Angaben des- selben sehr storend einwirken muss. So kann ich denn Hrn. Robinson nur in einem Punkte Recht geben, nämlich wo er von der Reibung der Anemometer-Axe in ihren Lagern spricht. Es ist richtig, dass auf dem Rotationsapparate zu dem Druck, welchen die widerstehende Luft auf die Axe des Scha- lenkreuzes ausübt, noch ein zweiter aus der Centrifu- galkraft entspringender Druck hinzukommt, der die Reibung an der Axe um eine entsprechende Grôüsse segenüber der bei geradlinigter Bewegung des Anemo- meters (oder bei ruhendem Anemometer in bewegter Luft) vermehrt. Diese Reibung muss streng genommen ebenfalls bei der Reduction der aus der rotirenden Bewegung abgeleiteten Constanten auf die bei gerad- linigter sich ergebenden berücksichtigt werden, ist aber von Hrn. Dohrandt vernachlässigt worden, weil zur Bestimmung dieses Einflusses besonders constru- irte Anemometer und Vorrichtungen erforderlich ge- wesen wären, wie sie Robinson in seiner letzten Ab- handlung proponirt, und anderseits die Vergleichung der bei verschiedenen Anemometern auf dem Rota- tionsapparat gewonnenen Resultate mit den von ihnen im freien Winde gemachten relativen Angaben trotz des verschiedenen Einflusses, welchen jene Reibung bei ihnen ausgeübt haben müsste, eine so befriedigende Übereinstimmung ergab, dass der Effect der letztern auf dem Rotationsapparate jedenfalls nur ein sehr kleï- ner gewesen sein konnte. Gleichwohl scheint auch mir in Zukunft eine besondere Untersuchung über diesen Einfluss wünschenswerth. Viel gewichtiger als die vorstehenden Einwände des Hrn. Robinson scheinen mir die Bedenken zu sein, welche sich aus den theoretischen Betrachtungen des Hrn. Thiesen in seiner oberwähnten Abhandlung über die Beistungsfäbigkeit überhaupt des Robin- son’schen Schalenanemometers ergeben. Die Reibung der Axe in ihren Lagern in Folge des Winddruckes und die Reiïbung des Schalenkreuzes an der Luft be- 157 dingt nämlich das Auftreten eines quadratischen Glie- des der Schalengeschwindigkeit im Ausdruck für die Windgeschwindigkeit (Gleichung 13) und dies hat zur Folge, dass streng genommen Wind-Integrale nur für solche Zeitintervalle gebildet werden künnen, während welcher die erstere resp. letztere als constant zu betrachten ist. Dies aber würde, wenn das quadra- tische Glied nicht, wie es scheint, einen verhältniss- mässig kleinen Werth behält, die Benutzung der Robinson’schen Anemometer zu Anemographen sehr erschweren und z. B. für den Componenten-Anemo- graph des Hrn. v. Oettingen ganz unbrauchbar ma- chen. Bei der Construction der Anemometer wird man also suchen müssen, die seitliche Lager-Reibung, etwa durch Frictionsrollen, môüglichst zu vermindern. Jedenfalls aber erscheint es geboten, zur genaueren experimentellen Bestimmung gerade dieser hühern Glieder die Anemometer auf den Rotationsapparaten auch bei grüssern, 10" übersteigenden Geschwindig- keiten zu prüfen und zu untersuchen. Nachdem die Thiesen’sche Theorie des Schalen- Anemometers nun willkommene und nothwendige An- haltspunkte zu einer weitern experimentellen Prüfung und Constanten- Bestimmung des Robinson’schen Anemometers gegeben hat, werden diese Untersu- chungen auch bei uns wieder aufgenommen werden. Ich habe zu dem Ende, um die Bewegung des Rota- tionsapparates bequemer zu machen and grôssere Ge- schwindigkeiten von hinlänglicher Constanz erzielen zu künnen, im grossen Saale einen Schmidt’schen Wasser-Motor (Turbine) von einer Pferdekraft aufstel- len lassen, we!cher durch eine Riemenübertragung der Axe des Rotationsapparates je nach der Offnung des Wasserhahns eine schnellere oder langsamere Bewe- gung ertheilt. So ist denn Aussicht vorhanden, dass die Lücken und Unvollkommenheiten, welche Hr. Doh- randt selbst in seiner ersten Untersuchung signali- sirt hat, in nicht gar ferner Zeit ausgemerzt und zu- gleich auch die Grenzen der Anwendbarkeit des Ro- binson’schen Anemometers ohne weitere Complica- tionen sicherer bestimmt werden. Fassen wir zum Schlusse nochmals Alles zusammen, so wird man aus der Darlegung der gegenwärtigen Leistungsfähigkeit der verschiedenen Anemometer un- des Sciences de Saint-Pétersbourg. 15% mittelbar entnehmen, dass sie in der That alle ohne Ausnahme zur Zeit noch nicht eine nur einigermaassen befriedigende absolute Messung der Geschwindigkeit oder des Druckes des Windes gestatten. Diesem Zustand der Anemometrie aber wird bei der Unzulänglichkeit der gegenwärtigen Entwicklung der Aërodynamik nur durch ein gemeinsames, wechsel- seitig sich ergänzendes Vorgehen von Theorie und Erfahrung abzuhelfen sein, wobei man sich, um die betreffenden Gesetze sicherer ermitteln zu künnen, nicht auf so geringe Geschwindigkeiten beschränken darf, wie sie bis dahin bei den meisten bezüglichen Untersuchungen allein gebraucht wurden. Aber auch dannzumal, wenn durch derartige Unter- suchungen die Theorie der Anemometer bedeutend weiter als jetzt vorgeschritten sein wird, wird es stets nothwendig sein, an concreten Instrumenten von Zeit zu Zeit neue Bestimmungen derjenigen Constanten der Theorie vorzunehmen, von welchen die numeri- schen Angaben der Instrumente abhängen werden. Zur Zeit aber gibt es nur eine bequeme und sichere Methode hiefür, d.i. die Verification mit dem Rota- tions-Apparate. Es ist also wünschenswerth, dass venigstens die grüssern Central-Anstalten mit solchen Apparaten ausgerüstet seien, um zu jeder Zeit in ähn- licher Weise Verificationen von Anemometern ausfüh- ren zu künnen, wie sie bereits solche von Thermome- tern, Barometern, ete. besorgen. Von derartigen Ideen geleitet habe ich seiner Zeit den oberwähnten Rota- tions-Apparat im physikal. Central-Observatorium einrichten lassen und auch die Mittel nicht schonen zu müssen geglaubt, um ihn neuerdings in der bereits geschilderten Weise zu vervolkommnen. Hat man auf diese Weise die Constanten eines gu- ten transportablen Anemometers, wir wollen es Nor- mal-Anemometer heissen, bestimmt, so halteich es nach den vorliegenden Erfahrungen trotz der entgegen- gesetzten Meinung des Hrn. Robinson für durchaus ausreichend, die Constanten anderer, insbesondere fixer Anemometer der Anemographen dadurch mittelbar zu bestimmen, dass man sie neben einander in gleicher Hühe und in nicht zu kleiner Distanz im Freien aufstellt und längere Zeit hindurch bei wechsemden Windstär- ken ihre Angaben vergleicht. Zur Bekräftigung dessen habe ich Hrn. Dohrandt veranlasst, eine von ihm aus- geführte Berechnung der Constanten der Anemometer, 159 Bulletin de l’Académie Impériale 160 ————— welche Fenwick Stow im freiem Winde verglichen hat, im Anschluss an diese Arbeit zu verôfrentlichen. Die relative Übereinstimmung der so erhaltenen Con- stanten mit den von Hrn. Dohrandt für ähnliche Anemometer gefundenen Grüssen spricht zusammen mit den vom letztern für dieselben Anemometer im freien Wind und auf dem Rotationsapparat erhaltenen Werthen entscheidend genug für die Anwendbarkeït dieser mittelbaren Verificationsmethode. Anhang. Berechnung der Consfanten für die Robinson'schen Anemo- meter, welche Herr Fenwick Stow der Vergleichung in freiem Winde unterzogen hat. Von F. Dohrandt. Herr Fenwick Stow beschränkt sich nach der ta- bellarischen Mittheilung seiner sehr eingehenden Ver- gleichungen von Robinson’schen Anemometern verschie- dener Dimensionen *) darauf hinzuweisen, dass die Re- sultate seiner Untersuchung nicht vereinbar seien mit der Robinson’schen Regel, nach welcher sich die Scha- lenmitten solcher Anemometer unabhängig von der Gestalt der Schalen und der Länge der Arme mit dem dritten Theile der Windgeschwindigkeit bewegen soll- ten. «Anemometer mit kurzen Armen ergeben nicht einmal angenähert dieselben Geschwindigkeiten als das Standard-Anemometer, ausgenommen bei geringen Geschwindigkeiten. Diejenigen Anemometer, welche die kleinsten Schalen im Verhältniss zu der Länge ibrer Arme haben, bewahren bei allen Geschwindig- keiten einen erträglich gleichen Procentsatz von der Geschwindigkeit des Standard-Anemometers, während im Gegentheil diejenigen mit breiten Schalen und Ar- men sich bei leichtem Winde mit einer verhältniss- mässig grossen Geschwindigkeit bewegen, aber weit hinter den andern zurückstehen, wenn der Wind stär- ker wird. Wenn die Angaben des Standard-Anemome- ters als correct angenommen werden, so bewegen sich die Schalen der Instrumente kleinster Dimensionen mit kaum mehr als dem vierten Theile der Windge- schwindigkeit. Es müge hierbei aber gefragt sein, welches der Anemometer ist correct?» — Diese Frage zu entscheiden, hatte Fenwick Stow aus 29) Quarterly Journal of the Meteorological Society London 1872 April pag. 41—49. nur vergleichenden Beobachtungsdaten keine Müglich- keit. Meiner Ansicht nach ist nun jedes sorgfältig ge- arbeitete Robinson’sche Anemometer correct, d. h. kann dazu dienen, die Windgeschwindigkeit für einen lingeren Zeitraum aus seinen Angaben mit grosser Schärfe abzuleiten, wäbrend es nur éncorrect ist, für alle verschiedenen Anemometer ein gleiches Verhält- niss der Anemometergeschwindigkeit zur Windge- schwindigkeit verlangen zu wollen. Im Folgenden ist der Versuch gemacht, dieses Ver- hältniss für die von Herrn Fenwick Stow geprüften Anemometer zu bestimmen und für dieselben einen Ausdruck von gleicher Form zu finden, wie ich dieses früher für Anemometer gethan habe, welche direct auf dem Rotationsapparate geprüft waren. Der glückliche Umstand, dass Herr Fenwick Stow ein Anemometer Casella von genau gleichen Dimen- sionen, wie ich deren zwei geprüft habe, mit in seine Vergleichung gezogen hatte, ermôglicht es mir, wäh- rend der Vergleichungen die wahre Windgeschwindig- keit abzuleiten, deren Kenntniss allein die Constanten- Berechnung besagter Anemometer ermüglicht. In 235 Stunden hatte Standard, Kew pattern (4) 3914 miles — gleichzeitig mit ihm aber Casella’s (B) 3045 miles Windweg registrirt. Im Mittel waren pro Stunde von (4) 16,65 miles, von (B) 12,96 miles Windweg angegeben, welchem — nach Robinson’s Re- gel — ein Weg der Schalenmitten von 5,55 miles und 4,32 miles pro Stunde oder 8,935 Kilometer und 6,951 Kilometer pro Stunde entsprechen würde. Diese letztere, für alle verglichenen Anemometer zu berechnende Grüsse — der Weg der Schalenmit- ten im Verlaufe einer Stunde — vertritt uns im Fol- genden die sonst gewühnlich in Rechnung gezogenen directen Ablesungen am registrirenden Theile der Ane- mometer; wir erhalten dieselbe für alle englischen Anemometer durch Division der angeblich vom Winde zurückgelegten Strecken, in aniles» ausgedrückt, durch die Zahl drei. Die von Herrn Fenwick Stow angegebenen Dimen- sionen für Casella’s (B) stimmen genau überein mit den Dimensionen der Anemometer von Casella (\ 317 und 318), deren Constanten ich seiner Zeit auf dem Rotationsapparate bestimmt habe und glaube ich daher, ohne einen irgend beträchtlichen Fehler Zu begehen, das Mittel der Constanten für N° 317 und X 318 (Re- LG des Sciences de Sainét-Pétershourg. 162 pertorium für Metecorologie T. IV pag. 52) für das Anemometer Casella (B) annehmen zu dürfen; näm- lich: v—9,29+2,814K d.h. die Windgeschwindigkeit v, in Kilometern pro Stunde, ist gleich 2,2 Kilometer i. e. gleich der Windstärke, die eben das Anemometer in Bewegung zu setzen im Stande ist — plus 2,814 mal den während einer Stunde von den Mittelpunkten der Anemometerscha- len durchlaufenen Weg, ebenfalls in Kilometern aus- gedrückt. Letztre Constante sollte nach der Robin- son’schen Regel mit Vernachlässigung der Reibungs- constante — 3 gefunden sein. Nach obiger Formel berechnet, wäre somit die mittlere Windgeschwindigkeit während der ganzen Zeit der Vergleichung beider Anemometer = 21,8 Kilometer pro Stunde gewesen. des electrisch-registrirenden Standard (4) 4,0 an — welche die gleiche Constante für Anemometer Brow- ning und Breguet wegen schwereren Schalenkreuzes übertreffen, jedoch unter dem Betrage der Reibungs- constante des mechanisch-registirenden Anemometers Adie bleiben sollte — so ergiebt sich aus der Glei- chung: ne 21,8 — 4,0 +-b.8,935 die zweite Constante des Standard (4): b — 1,992 und würden wir im Folgenden die wahren, für Stan- dard (À) geltenden, Windgeschwindigkeiten nach der Formel v—=4,0+1,992XK zu berechnen haben. Auch mebrere der übrigen von Herrn Fenwick Stow gebrauchten Anemometer haben mit einigen von mir verglichenen sehr angenähert gleiche Dimen- Nehmen wir als wahrscheinliche Reibungsconstante | sionen: ; : sole | Durchmes-|Entfernung | y Te . | Durchmes-| Entfernung RE (Er Standard Kew pattern. | 022204208610 Adi 257... 07209 | 07624 DGSE AR lee | 0,076 | 0,170 | Casella.......... 0076 O0 » 2 und 3 Negretti und Zembra 0,094 | 0,170 | Marine Anemometer) 0,093 | 0,154 DUAL See nieleee ete :....l 0,102 | 0.142 | Electr.-registr.. . . .| 0,104 | 0,155 » 5 Adie’s mit verkürzten Ar- | MER Rae de nc el 0,1092:1|, 0102 » 6 Adie’s mit verlängerten | ENTRER UE a | 0,102 | 0,229 | Nowikof......... 0,096 | 0,219 » 7 Adie’s mit längeren Armen und grôssere Schalen.. . .| 0,117 | 0,285 | Breguet.........| 0.108 | 0,280 » 8 Adie’s mit conischen Scha- | | Len Lu .....| 0,102 | 0,142 Berechnet man die Reductionsformeln für die übri- gen Anemometer aus den von Herrn Fenwick Stow gegebenen vergleichenden Daten auf gleiche Weise, wie dieses für das Standard-Anemometer (4) geschah, d. h. mit Berücksichtigung der mittleren Anemome- tergeschwindigkeiten während der ganzen Versuchs- Standard, Kew pattern... v—4,0+1,992 K M2 u. 3 Negrettiu. Zambra = 2,0 + 2,805 K NRAPANIOR ME ie are = 2,5 +2,661K CA die MR, = 9 0562 983.7 Re NET ALA : =2,0+9,741 K NMPAdie NME. LEE — 3,0+2,450 K M 8 Adie (conisch) ..... = 9,0+ 3,423 K Tome XXII. zeit, bei bekannter absoluter Windgeschwindigkeit, und der Annahme der ersten Constanten nach Analogie mit den von mir geprüften Anemometern gleicher Di- mensionen, so erhält man folgende Anemometer-For- meln: [Casella v — 2,2 + 2,814X.] AIS RP ET v=5,3+ 2,094 K Marine Anemometer .... —3,1+2,548 K Electrisch-registr. M 4 .. —2,5+2,529K NOWIKONA TAN =1,8+2,898KX Bregie tee cn" —3,7+2,501K il 163 Bulletin de L'Académie Himpériale 164 Durch Vergleichung dieser Formeln mit den neben- stehenden Formeln der auf dem Rotationsapparate ge-| prüften Anemometer zeigt sich eine beträchtliche Übereinstimmung der zweiten Constanten bei Ane-| mometern von angenähert gleichen Dimensionen. Wenn schon aus diesem Grunde die Formeln, welche für die von Herrn Fenwick Stow gebrauchten Ane- mometer berechnet wurden, einiges Zutrauen verdie- pen, so giebt es noch ein naheliegendes Mittel, den directen Beweis dafür zu liefern, dass obige Formeln das factische Verhältniss der Anemometergeschwindig- keit zur Windgeschwindigkeit ausdrücken und dass dieselben, in der Praxis angewandt, die bedeutenden Unterschiede der Windgeschwindigkeiten nach den Angaben verschiedener Anemometer verschwinden machen würden. Berechnen wir nämlich, von diesen Formeln aus- gehend, das Verhältniss der Windgeschwindigkeiten nach verschiedenen Anemometern zu den von Stan- dard (À) angezeigten, wie Herr Fenwick Stow das- selbe finden musste, indem er der Robinson’schen Re- gel zur Berechnung der Vergleichsresultate noch voll- ste Geltung liess und finden wir gleiche Quotienten, so wäre damit die practische Brauchbarkeit dieser Formeln dargethan. Um einem etwaigen Einwurfe vorzubeugen, müchte ich den Gedankengang meiner Herleitung noch etwas umständlicher darlegen. Obige Anemometerformeln sind aus den summarischen Angaben zWeïer Anemome- ter während der ganzen Zeit ihrer Vergleichung und bei den verschiedensten Windgeschwindigkeiten her- geleitet worden; aus der einzigen hierdurch erhalte- nen Bedingungsgleichung ist es nicht müglich die bei- den Constanten der linearen Gleichung zu berechnen — die erste derselben, die Reibungsconstante wurde daher nach Analogie angenommen. Die Constanten obiger Anemometer hätten aber auch auf andere Weise hergeleitet werden kônnen und zwar auf gleiche Weise, wie dieses für die registriren- den Anemometer des physicalischen Central-Observa- toriums zu St. Petersburg, Adie und Breguet, ge- schah (enfr. Repertorium für Meteorologie T. IV X 5 pag. 48— 50): es hätten alle einzelnen Beobachtungen für ein Anemometer bei bezüglich herzuleitenden Windgeschwindigkeiten nach der Methode der klein- sten Quadrate berechnet werden kônnen; dann aber hätte der mehr oder weniger gute Anschluss der nach- her zu berechnenden Werthe an die factischen Beob- achtungen nur den Beleg für sorgfältige Beobachtun- gen und richtige Ausrechnung geben künnen und wir hätten in dem gefundenen mathematischen Ausdrucke our eine Umschreibung der Versuche selbst erhalten. — Jetzt liegt aber die Sache anders: der Quotient aus den betreffenden Anemometergeschwindigkeiten in den Vergleichungen von Fenwick Stow zeigt eine stetige, bei den einzelnen Anemometern zudem sehr verschieden rasche Abnahme mit grüsseren Windge- schwindigkeiten, In den summarischen Mittelwerthen aus allen Vergleichungen kann diese Gesetzmässigkeit sich weder dem Sinne, noch der Grüsse nach aus- sprechen; wir erhalten aus denselben einfach einen mittleren Quotienten, der es unentschieden lässt, ob überhaupt eine Ânderung desselben mit Ânderungen in der Windgeschwindigkeit stattfindet oder nicht, und folglich auch, ob dieser Quotient mit verminderten oder zunehmenden Windgeschwindigkeiten wächst oder ab- nimmt und ob dieses in rascherem oder langsamerem Verhältnisse geschieht. Geben uns nun die aus gerade solchen summarischen Mittelwerthen hergeleiteten Anemometerconstanten dennoch Auskunft auf alle diese Fragen und werden alle Æinzelnheiten der Ver- gleichsdaten durch dieselben wiedergegeben, so kann us erstlich bei der von uns befolgten Herleitung nicht der Vorwurf des Zirkelschlusses gemacht werden, fer- ner muss aber zugegeben werden, dass sowohl die Form unseres Ausdruckes (lineare Function), als auch die Grüsse der einzelnen Constanten ihre vollste Be- rechtigung finden. Einfacherer Rechnung halber bilden wir direct das Verhältniss der Anemometergeschwindigkeiten, wel- ches mit dem Verhältniss der Windgeschwindigkeiten identisch ist, da — wie wohl nicht zweifelhaft — bei Anfertigung aller englischen Anemometer die direct in miles abzulesenden Windwege einfach dureh Multi- plication des Weges der Schalenmitten mit 3 herge- leitet worden sind. Vermittelst obiger Formeln berechnen sich die Wege der Schalencentren aller Anemometer, welche gewissen Wegen des Anemometers Standard (4) ent- sprechen. Wir führen dic Rechnung successive für die Geschwindigkeiten des Standard (4) = 3, 7, 10, 14, 165 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 166 SE 17, 20 Kilometer pro Stunde aus; bezeichnen wir diese Geschwindigkeiten allgemein mit », so erhalten wir die jedesmal zugehürigen X, d. h. die Anzahl der Kilometer, welche die Schalenmitten irgend eines der Anemometer zurücklegen, durch die Gleichung: 4.0+1.992.n—a K— : wo a die Reibungsconstante, b die zweite Constante des betreffenden Anemometers bedeutet. Der Quotient aus den jedesmal zusammengehürigen | À 2 und 3 | K durch » entspricht der von Fenwick Stow gefun- denen Verhältnisszah]. | Die in der ersten Rubrik folgender Tabelle stehen- | den Geschwindigkeiten sind — leichterer Vergleich- | barkeit halber —in miles angegeben, und zwar be- zeichnen dieselben nicht wahre Windgeschwindigkei- ten, sondern sie sind — ohne Berücksichtigung der gefundenen Anemometerformel— durch Multiplication | des Weges der Schalen von Standard (4) mit 3 erhal- ten; diese Geschwindigkeiten sind somit identisch mit den von Fenwick Stow gebrauchten. Lite | cal ut Ke er Aa | Ads de 5,6 | 0,921 0,948 | 0,936 | 0,891 | 0,970 | 0,949 | 0,777 13,0 0,800 0,812 0,829 | 0,764 | 0,831 | 0,871 | 0,665 18,6 0,772 0,782 0,805 | 0,735 | 0,800 | 0,854 | 0,640 26,1 0,754 0,761 0,789 | 0,716 | 0,779 | 0,842 | 0,624 31,7 0,745 0,752 0,782 | 0,707 | 0,770 | 0,837 0,616 37,3 | 0,740 0,746 0,777 | 0,701 | 0,763 | 0,833 | 0,607 | | Herr Fenwick Stow hat seiner Abhandlung eine Tafel mit graphischer Darstellung der gefundenen Verhältnisse beigegeben. Auf diese selbe Tafel wur- den die Werthe aus obiger Tabelle ebenfalls graphisch eingetragen; die Differenzen beider Verhältnisse für gleiche Windgeschwindigkeiten sind in nachfolgender | M2und3 | Tabelle enthalten, in welcher das Zeichen + anzeigt, dass die von mir gefundene Verhältnisszahl sich mehr der Eirnheit nähert, während das — Zeichen bedeutet, dass die von Fenwick Stow gefundene Verhältniss- zabhl grüsser ist, als die von mir berechnete. iles: Celle Ne PR | es 1 NE an l | 10 | + 0,061 | 0,040 | + 0,037 | 0,000 | + 0,080 | 0,009 | + 0,022 15 | +0031 | 0,000 | + 0,010 | —0,032 | + 0,008 | +-0,005 | —0,012 20 | —0,015 | +-0,007 | — 0,024 | + 0,003 | — 0,008 | + 0,037 25 | 0,020 | —0,016 | — 0,004 | 0,003 | — 0,035 +- 0,041 30 — 0,038 | — 0,016 | + 0,032 + 0,012 | — 0,051 | | 9) — 0,024 0,000 + 0,083 | — 0,044 | Die Übereinstimmung der nach den abgeleiteten Anemometer-Formeln berechneten und von Herrn Fenwick Stow direct beobachteten Verhältnisse kann nicht vollkommener erwartet werden: bei Geschwin- digkeiten zwischen 15 und 25 miles erreicht die mitt- lere, im Zeichen wechselnde Abweichung von 0,016 nur einmal den Werth 0,041. Die grüsseren Abwei- chungen — bis 0,083 — bei niedrigen und sehr hohen Geschwindigkeiten finden ibre theilweise Er- klärung darin, dass die Zahl der Beobachtungen an diesen Stellen der Curve eine verhältnissmässig ge- ringe ist und dass gerade bei sehr schwachen oder sehr heftigen Winden die meiste Veranlassung zu nicht übereinstimmenden Anemometerangaben gege- ben ist, einerseits dadurch, dass bei der verschiedenen Grüsse der Reïbungsconstanten zeitweiliges Stillstehen 11* 167 Bulletin de l’Académie Hmpériale ; 165 des einen oder anderen Anemometers stattfinden konnte, während die anderen sich fortdrehten, ande- rerseits dadurch, dass bei sebr heftigen Winden gerade die meisten, ganz localen und von der nächsten Um- gebung beeinflussten Windwirbel entstehen. Die oben mitgetheilten Constanten für die engli- schen Anemometer sind aus den Mittelwerthen sänmt- licher von Herrn Fenwick Stow mitgetheilten Ver- gleichsdaten berechnet worden; aus folgender Tabelle wird ersichtlich, wie gut übereinstimmende Windge- schwindigkeiten sich für einzelne aus den Beobach- tungsreihen herausgegriffene gleichzeitige Beobach- tungen berechnen lassen. Die Zusammenstellung giebt mehr als nur eine Rechenprobe; sie veranschaulicht den Unterschied, welcher zwischen den Windgeschwin- digkeiten besteht, die einerseits durch Befolgung der Robinson’schen Regel und andererseits bei Anwen- dung von experimentell bestimmten Interpolationsfor- meln hergeleitet wurden. Die Geschwindigkeiten sind in miles pro Stunde ausgedrückt; in der Rubrik (4) stehen alle auf das Standard-Anemometer (4) bezüglichen Daten, in der mit J überschriebenen Rubrik sind die zu den ver- schiedenen in der ersten Spalte näher bezeichneten Instrumenten gehôürigen Daten enthalten, unter Z ist die Zahl der Stunden angegeben, während welcher die Vergleichung des Anemometers statt fand; nach der Robinson’schen Regel ergeben sich die Geschwindig- keiten v, nach den Interpolations-Formeln sind die Geschwindigkeiten v’ berechnet. Fenwick Stow’s Beobachtungen (Quarterly Journal 1872 April pag. 44 nnd 45). Beobachtungen (miles.) Nach der Robinson’schen|Nach der Interpolations- Regel. Formel. Anemometer. - 5 - A J | Z |o(4 | v() ou ) | v'(4) |» (J) “en CAS Ph ame eeruens ce 829 652 41 |20,2 115,9 0,786| 15,9 | 16,3 11,025 X 2 und 3 Negretti u. Zambra.|1077, 874) 94 |11,5 | 9,3 10,811] 10,1 10,0 0,990 DRAAITO ae enter 1091! 905] 61 |17,8 114,8 10,829] 14,3 | 14,6 11,921 DER ges ue s 829! 600! 41 |20,2 114,6 10,727] 15,9! 15,8 10,994 DACMAUIENN HU EU es Le 1123| 899! 59 [19,0 | 15,2 |0,800| 15,1 | 15,2 11,007 FA EN ARR 1694 1440 92 118,4 15,6 |0,850| 14,7 | 14,7 |1,000 DAARAUIE ne ina mére à ce 360, 246, 25 |14,4 | 9,8 10,683] 12,0 12,5 11,042 Man sieht aus obiger Zusammenstellung, dass durch Anwendung derartiger Anemometerformeln die Unter- schiede zwischen den Angaben zweier verschiedenar- tig construirter Anemometer, — bei nur irgend län- ger andauernder Versuchszeit —, bis auf 2%, ausge- glichen werden, nur für das Anemometer mit co- nischen Schalen beträgt der, Unterschied 4% —; ferner ersehen wir aber aus derselben, dass die abso- lute Grôsse der auf die eine oder andere Art berech- neten Windgeschwindigkeiten für das Standard-Ane- mometer (4) die bedeutenste Ânderung erfäbrt, wäh- rend dieselbe für das Anemometer Adie X 6 bei der vorliegenden Geschwindigkeit vollkommen überein- stimmend erhalten wird, wie dieses ja die Grüsse der Coefficienten in den betreffenden Interpolationsformeln von vornherein erwarten lässt. Sollen die gleichwerthigen — direct vergleichbaren — Windgeschwindigkeiten (v,,) nach miles pro Stunde aus den Anemometerangaben # — hierunter verstehe ich die Anzahl der auf der Registrirvorrichtung der Anemometer abzulesenden Windgeschwindigkeit in miles — abgeleitet werden, so wird nur die Reibungs- constante, welche oben in Kilomcetern angegeben ist, in miles umgerechnet werden müssen, der Coefficient des zweiten Gliedes der Interpolationsformel muss aber sachgemäss derselbe bleiben und X— Weg der Scha- lenmitten in Kilometern pro Stunde — wird durch ue F —Weg der Schalenmitten in miles pro Stunde ersetzt. Die Anemometer-Constanten für miles pro Stunde sind mithin: 169 des Sciences de Sainé-Pétersbourg. 170 "0 Standard, Kew pattern ...,, N 1 Casella — 2,48 + 1,992 M 1,37 + 2,814 M 6 2 u. 3 Negretti u. Zambra . — 1,24 + 2,805 M NPA ES Lio. . — 1,55 + 2,661 M MA NEED ei... — 1,24-+ 9,983 M MAGPAGIEn ET. = 1,24 + 2,741 M MAO bin — 1,86+ 2450 M SPA sie à = 1,24 + 3,423 M Wie bedeutend die Unterschiede in den Angaben der Windgeschwindigkeiten nach Anemometern ver- schiedener Dimensionen ausfallen künnen, je nachdem man an der Robinson’schen Regel festhalten zu müs- sen glaubt oder es vorzieht, ähnliche empirisch be- stimmte Interpolationsformeln zu benutzen, — wie dieselben aus Prüfungen auf einem Rotationsapparate erhalten werden künnen —, wird aus folgender Zu- sammenstellung angenähert ersichtlich, in welcher M und +», dieselbe Bedeutung wie oben haben, v, aber die nach Robinson’s Regel abg eleiteten Windececte D digkeiten bezeichnet. M = 2 . M=5 | M—10 | M—20 | M—30 vr = 6 mis. |? 15 mis. | Ur = 30 rals, | vr = 60 mls. | v, — 90 mls. | | | Vin mr) Um Um —Vr| Um (0m —Vr | Um | Vin Tr | Vm Vm— Vr Standard (4)........... 6,5/+-0,5/12,4—2,622,4/—7,649,31—17,7| 62,2. 27,8 NM 1 Casella (B). ... . …. .. 7 0 +1, 0/15,4/+-0,4/29,5—0,5157, 71 2,3] 85,8 — 4,2 » 2 u. 3 Negretti u. Zambral 6,8 +0, 815,3 | ue ,3129,3—0,7157,3 3 — 2,7| 85,4 — 4,6 DIE. a dors 6 71+-0,7/14, 9/—0,1128,2/—0,8 54, 8— 5,2| 81,4/— 8,6 D'NCIO SRPRRNREE 7,2+1,2/16,1|+1,1131,1/+1 160,9 4 0,9) 90,7+ 0,7 ET 0 CT EE 6,7/+-0,7114,9/—0,1128,7—1.3 56,1|— 3,9! 83,5— 6,5 PEATIE ME nn Ut del xt 6,8+-0,8,14,1—0,9/26,4—3,650,9— 9,1] 75,4—14,6 STATE ES NLUE VAT d 8,0 +-2,0118,3 +-3,3 De 69,74 9,71103,9 + 13,9 | | | | | Wir schen, dass das Anemometer Adie À: 5 die Robinson’sche Regel sehr angenähert befolgt — wie dieses schon sein Coefficient 2,983 anzeigt —, Ca- sella aber bereits Unterschiede von 5°, das Normal- Anemometer Standard (A) sogar Abweichungen von mehr als 30°, zeigt. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. L'Académie a reçu dans ses dernières séances les ouvrages dont voici les titres: Sveriges geologiska undersükning. bladet «Nora» (N holm 1875. 8. — —— — Bladet «Riseberga» Je 54. «Nara» J\ 56. Stockholm 1876. Fol. Gumælius, Om mellersta Sveriges glaciala bildningar, I. Stockholm 1874. 8 Hummel, David. Om Sveriges lagrade urberg jemfôrda med sydvestra Europas. Stockholm 1875. 8, Gumælius, Otto. Om malmlagrens fldersfljd och deras Beskrifning till kart- 56) af Otto Gumælius. Stock- «Latorp» J\ 55, användande säsom ledlager. 2 Exempl. Stockholm 1S7D21S;: Türnebohm, A. E. Geognostisk beskrifning üfver Pers- bergets grufvefält. Stockholm 1875. 4. Toula, Franz. Eine geologische Reise in den westlichen Balkan und in die benachbarten Gebiete. Mit 1 Karte. Wien 1876. 8. — — Über den Bercovica-Balkan und durch die Isker- Schluchten nach Sofia. 8. Sella, Quintino. Sulle condizioni dell’ industria mine- raria nell isola di Sardegna. Con Atlante. Firenze 1871. Fol. et 8. Hoffmann, H. Zur Speciesfrage (Natuurk. Verhand. der Hollandsche Maatsch. d. Wet. 3% Verz. Deel II. X 5) Haarlem 1875. 4. Bulletin de la Société botanique de France. Tome XXII. Comptes rendus des séances 2. 3.— Revue bibliogra- phique A. Table alphab. ete. T. XX. XXI. Paris 1876.8. Nederlandsch kruidkundig archief. Verslagen en mede- deelingen der Nederlandsche Botanische Vereeniging. 2" Serie. 2° deel, 2° stuk. Nijmegen 1876. 8. Kramer, Franz. Phanerogamen-Flora von Chemnitz und Umgegend. Chemnitz 1875. 4. Hooker, J. D. The Flora of British India. Part IV. Lon- don (s. u.). 8. 174 Loureiro, Joan. Flora Cochinchinensis. Tom. I. IT. Ulys- sipone 1790. 4: Palmén, J. A. Über die Zugstrassen der Vôgel. Leipzig 1876. 8. Procès-verbaux des séances de la société malacologique de Belgique. Tome V. 1876. Bruxelles 1876. 8. Dohrn, Anton. Erster Jahresbericht der zoologischen Station in Neapel. Leipzig 1876. 8. Transactions of the zoological society of London. Vol. IX. Part 5—8. London 1876. 4. Külliker, A. Über die erste Entwickelung des Säuge- thierembryo. (Würzburg 1876.) 8. Proceedings of the scientific meetings of the zoological society of London for the year 1876. Part L. Part IV. April 1876. London. 8. Büttger, Oskar. Bemerkungen über einige Reptilien von Griechenland und von der Insel Chios. 8. Società Entomologica Italiana. Resoconti delle adunanze, compilati dal Segretario G. Cavanna. Anno 1876. Firenze 1876. S. Annales de la Société entomologique de Belgique. Tome XVIIL Fasc. I—IIL T. XIX. Fasc. L. IL. Bruxelles 1875—76. 8. Société entomologique de Belgique. Série IL. 4 25—31. (Bruxelles) 1876. 8. Müller, Albert. Über das Auftreten der Wanderheuschreke am ÜUfer des Bielersee’s. Luzern 1876. 8. Mittheilungen der anthropologischen Gesellschaft in Wien. Bd. VI J 1—5. Wien 1876. 8. Journal of the Anthropological Institute of Great Britain and Ireland. Vol. V. \ TITI. January, .\X IV. April 1876. Vol. VI. X° IL. Jüly 1876. London 1876. 8. Klein, E. The anatomy of the lymphatic system. IT. — The lung. London 1875. 8. Hôülder, H. v. Zusammenstellung der in Württemberg vorkommenden Schädelformen. Stuttgart 1876. 4. Pacini, Filippo. Dei fenomeni e delle funzioni di trasu- damento nell” organismo animale. Firenze, Roma 1874. 8. Lenhossék, Jôzsef. Az emberi vese visszér -rendszere. Budapest 1875. 4. — — Az emberi gerinczagy, nyuültagy és värolhid szerve- zetének gôresüi täjviszonyai. Pesten 1869. 4. — — Santorini visszeres fonatai férfiunäl. 4. — — Das venüse Convolut der Beckenhühle beim Manne. Mit 2 Taf. Wien 1871. 4. — — Az emberi koponyaisme. Cranioscopia. XIT. Szäm- tâbläval és két képtäbläval. Budapest 1875. 4. Castilho, Alexander Magno de. Études historico-géogra- | phiques. Seconde étude. Lisbonne 1870. 8. Bulletin de la Société de géographie. Avril — Octobre 1876. Paris 1876. 8. Mittheilungen der kais. und kün. geographischen Gesell- Bulletin de l'Académie impériale ‘ 172 schaft in Wien. 1875. XVIII. Bd. (der neuen Folge VIN). Wien. 8. Cora, Guido. Cosmos. Torino 1876. 8. Portugaliae Monumenta historica, jussu Academiae scien- tiarum Olisiponensis edita. Scriptores Vol I. Fasc. 1—3. Diplomata Vol. IL Fasc. 1—4. Leges Vol. I. Fasc. 1—6 et Index. Olisipone 1856—1873. Fol. Quadro elementar das relaçoes politicas e diplomaticas de Portugal. Tom.I—TIl; IV, parte 1; V—XI; XIV— XVIII. Lisboa 1542—1860. 8. Collecçäo de monumentos ineditos para a historia das con- quistas dos Portuguezes. Lendas da India por Gaspar Correa: Tom: 11.2; IL 1. 2: IL 12 IVe 10 Corpo diplomatico Portuguez, publicado por Luiz Augusto Rebello da Silva. Tom. I—IV. Lisboa 1862—70. 4. Mémoires de la Société nationale des antiquaires de France. Quatrième série. T. VI. Paris 1875. 8. L’Investigateur. 42° année. Mars — Juin 1876. Paris 1876.8. Archiv des historischen Vereins von Unterfranken und Aschaffenburg. Bd. XXIIL. Heft 2. Würzburg 1876. 8. Korrespondenzblatt des Vereins für Kunst und Alterthum in Ulm und Oberschwaben. 1876, JË 5—10. Ulm 1876. 4. Neues Lausitzisches Magazin. Herausgeg. von Prof. Dr. Schünwälder. 52. Bd. 1. Heft. Gürlitz 1876. 8. Archiv des Vereins für siebenbürgische Landeskunde. Neue Folge Folge, Bd. XII, Heft 2.3. Hermannstadt 1875. 8. Jabhresbericht des Vereins für siebenbürgische Landeskunde für das Vereinsjahr 1874/75. Hermannstadt 1875. 8. Schirren, C. Beiträge zur Kritik älterer holsteinischer Geschichtsquellen. Leipzig 1876. 8. Zeitschrift des kün. preussischen statistischen Bureaus. 2edigirt von Dr. Engel. 15° Jahrg. Heft IV. Berlin 18795. 4. Mittheilungen des statistischen Bureaus der Stadt Leipzig. Heft 10. Leipzig 1876. Fol. Preussische Statistik. XXX.XXXI. XXXIV.XXXV.XXXVI. Berlin 1875—76. 4. Roulez, J. Les légats propréteurs et les procurateurs des provinces de Belgique et de la Germanie inférieure. (Bruxelles 1875). 4. Foreningen til Norske Fortidsmindesmerkers bevaring. Aarsberetning for 1874.(2 Exempl.) Kristiania 1875. 8. | Fontes rerum Austriacarum. Oesterreichs Geschichtsquel- | len. Herausgeg. von der Histor. Commission der Kais. | Akademie d. Wiss. Erste Abth. Scriptores. VIII. Bd. | Wien 1875. 8. | Archiv für üsterreichische Geschichte. 52. Bd. 2. Hälfte — 53. Bd. 1. u. 2. Hälfte. Wien 1874—75. 8. | Ninth annual report of the trustees of the Peabody mu- | seum of American archaeology and ethnology, presen- | ted to the president and fellows of Harvard College, April 1876. Cambridge. 8. Vol. IIL 1875—76. VIII. IX. 173 des Sciences de Saïint-PFétersbourg. 174 ———— Congrès international de statistique à Budapest. Neuvième session. 1876. III. Section. — IV. Section. Budapest 1876. 4. — — — — Programme avant-propos. Programme I.Section. Théorie et population. II. Section. Justice. Budapest. 1876. 8. Iron. The journal of science, metals etc. A 193 — 205. London 1876. Fol. Société d'encouragement pour l’indrie nationale. Rapport fait par M. Félix Leblanc sur un nouvel appareil de condensation mécanique des matières liquéfiables par MM. Eugène Pelouze et Paul Audouin. Paris 1876. 4. Société Néerlandaise pour le progrès de l’industrie. Adresse à Sa Majesté le Roi. Haarlem 1876. 8. Villa-Maior, Visconde de. Tratado de vinificaçäo para vinhos genuinos. Parte I. Il. Lisboa 1868—69. 8. Lapa, Joño Ignacio Ferreira. Technologia rural ou artes chemicas, agricolas e florestaes. Parte I—III (2 tom.). Lisboa 1871—74. 8. Witte, J. d La dispute d'Athéné et de Posidon. Paris 1876. 4. — — Noms des fabricants et dessinateurs de vases peints. Paris 1848. 8. Carmina latina. Amstelodami 1875. 8. Theatro de Molière, vertid. livremente por Ant, Felic. de Castilho. O medico à jorça. — Tartufo. — O avaren- to. — As sabichonas. — O misanthropo. Lisboa 1869 —74. 8. Cole, James E. The immediate fulfillment of prophecy; the advent of the spirit of truth, and the visible and powerful presence of the world's redeemer. New York 1874. 8. Bulletin de l'Académie royale de médecine de Belgique. Année 1876. Tome X. JX 3—8. Bruxellns 1876. 8. Mémoires couronnés et autres mémoires publiés par PAca- démie royal de médecine de Belgique. T. IL 5. 6°° et dernier fascicule. Bruxelles 1876. 8. Gomes, Bernardino Antonio. Elementos de pharmacolo- gia geral. 3° ediçao. Lisboa 1873. S. Da Costa Alvarenga, Pedro Francisco. Précis de ther- mométrie clinique générale. Trad. du portugais par Lucien Papillaud. Lisbonne 1871. 8. Pacini, Filippo. Del mio metodo di respirazione artificiale nella asfissia e nella sincope. (2 Exempl.). Firenze 1876. 8. — — Sopra il caso particolare di morte apparente dell ultimo stadio del colera asiatico. (2 Exempl.) Firenze 1876. 8. Nomenclature of diseases prepared for the use of the me- dical officers of the United States Marine Hospital service by the supervising surgeon (John M. Wood- worth). Washington 1874. 8. Toner, Joseph M. Contributions to the annals of medical] progress and medical education in the United States before and during the war of independence. Washing- ton 1874. 8. Fifty-sixth annual report of the trustees of the New York State Library for the year 1873. Albany 1874. 8. Fifty-seventh — — — for the year 1874. Albany 1875. 8. Jaffé, Philippus et Wattenbach, Guilelmus. Ecclesiae metropolitanae Coloniensis codices manuscripti. Be- rolini 1874. 8. The complete works of Count Rumford Vol IV. Boston 1874. 8. Atti della r. accademia delle scienze di Torino Vol. XI, 1—6 (Nov. 1875 — Giugno 1876). Torino. 8. Memorie della reale accademia delle scienze di Torino. Serie seconda T. XXVIII. Torino 1876. 4. Memorie della società italiana delle scienze fondata da Anton-Mario Lorgna. Serie terza. Tomo II. Firenze 1869—76. 4. Memorie dell accademia delle scienze dell istituto di Bologna. Serie IE. Tomo VI. Bologna 1875. 4. Rendiconto delle sessioni dell’ accademia delle scienze dell’istituto di Bologna. Anno accademico 1875—76. Bologna 1876. 8. Atti della r. accademia delle scienze fisiche e matematiche. Vol. VI. Napoli 1875. 4. Rendiconto dell accademia delle scienze fisiche e mate- matiche (Sezione della società reale di Napoli). Anno XII. XIII. XIV. Napoli 1873. 1874. 1875. 4. Sitzungsberichte der mathematisch-physikalischen Classe der k. b. Academie der Wissenschaften zu München 1876 Heft II. München 1876. 8. Preisschriften gekrünt u. herausgegeben von der fürstlich Jablonowskischen Gesellschaft zu Leipzig X XI. XIT der histor. nationalükonom. Section. XIX. A. Leskien. Die Declination im Slavisch-Litaui- schen und Germanischen. Leipzig. 1876. 8. XX.R.Hassenkamp. Über den Zusammenhang des let- toslavischen u. sermanischen Sprachstammes. Leipzig 1876. 8. XXXIX seripta academiea ab universitate Argentoratensi anno 1876 edita. XCIV seripta academica ab universitate Lipsiensi anno 1875/76 edita. Bibliographische Berichte über die Publicationen der Aka- demie der Wissenschaften in Krakau. Erstes Heft 1876. Krakau 1876. 5. Codex diplomatieus monasterii Tynecensis. Kodeks dyplo- matyczny klasztoru Tynieckiego. Z polecenia i na- ktadem zaktadu narodowego imienia Ossoliñskich wy- dali Dr. Wojciech Ketrzyñski i Dr. Stanislaw Smolko. We Lwowiel 1875. &. Proceedings of the American Academy of arts and sciences. New Series Vol. III. Whole Series Vol. XI from May, 1875, to May, 1876. Boston 1876. 8. 175 Bulletin de l'Académie Empériale des Sciences de Saint-Pétersbourg. 176 Bulletin of the Essex Institute Vol. VIT 1875. Salem, Mass. | Pubblicazioni del reale osservatorio di Brera in Milano 1876. 8. Catalogue of Paintings, Bronzes etc. exhibited by the Essex lustitute, at Plummer Hall, November, 1875. Salem -1875. 8. Memoirs of the Peabody Academy of science Vol. I. Num- ber IV. Salem 1875. 8. Sixth annual report of the trustees of the Peabody Aca- demy of science for the year 1873. Salem 1874. 8. Hôhere Bürgerschule zu Hamburg. Ostern 1875 — Ostern 1876 I. Addison’s influence on the social reform of his age. By À Paul D. 2. Schulnachrichten vom Di- rector Dr. Redlich. Hamburg 1876. 4. Realschule des Johanneums zu Hamburg Ostern 1876. 4. L Probleme aus der Theorie der Maxima u. Minima mit Nebenbedingungen von Dr. Arnold Matern. 2. Schul- nachrichten. Gelehrtenschule des Johanneums zu Hamburg. Schuljahr 1875—1876. 1. Die Symmetrie der rôm. Elegie vom Oberlehrer Dr. Gerhard Heinrich Bubendey. Ham- burg 1876. Harvard College. Treasaurer’s Statement 1875. 8. Fiftieth annual report of the president of Harvard College 1874—75. Cambridge 1876. 8. Anales de la universidad de Chile 1. Seccion. Memorias cientificas i literarias. Santiago de Chile. 2. Seccion. Boletin de instruccion publica. Apendice a los anales de la Universidad correspon- dientes à 1873. 8. The American Journal of science and arts Vol. X X 59. 60, 66 1875 November, December. Vol. XI X 61—68 1876 Jan. — Aug. New Haven 1875—76. 8. Journal of the Asiatic Society of Bengal. New Series Vol. XLIV partIl MIIL 1875 Vol. XLV part I J\ 1. 1876 part II X 1. 2. 1876 MCC. CCI. CCII. CCIV Cal- cutta. 8. Proceedings of the Asiatic Society of Bengal 1876 MI— VII January — July. Calcutta 8. Bibliotheca indica. New series M 334. 335. 337. Calcutta 1876. 8. The journal of the Bombay branch of the Royal Asiatic Society M XXXIIL. Vol. XII. Bombay 1876. 8. Lenormant, François. Étude sur quelques parties des syllabaires cunéiformes. Essai de philologie accadienne et assyrienne. Paris 1877. 8. Bullettino di bibliografia e di storia delle scienze mate- matiche e fisiche Tomo IX. Roma 1876. 4. De Forest E. L. Interpolation and adjustment of series New Haven 1876. 5. Vierteljahrschrift der Astronomischen Gesellschaft IT. Jahr- . gang Heft 4. Leipzig 1876. 8. Monthly notices of the Royal Astronomical Society Vol. XXXVI Supplementary number Vol. XXXVII X 1 Nov. 1876. 8. X XI Sugli eclissi solari totali del 3 giugno 1239 e del Gottobre 1241 Memoria di Giovanni Celoria. Mi- lano 1876. 4. Gyldén, Hugo. Astronomiska iakttagelser och undersôk- kningar anstälda pä Stockholms Observatorium B I. Häftet 1. Stockholm 1876. 4. Astronomical and meteorological Observations made du- ring the year 1873, at the United States Naval Ob- servatory, Rear-Admiral B. F. Sands. Washington 1875. 4: Stockwell, Ino. N. Theory of the moon’s motion. Phila- delphia 1875. 4. Tommasi, Donato. Les bateaux hémi-plongeurs. Nouveau type de construction navale applicable, soit à la ma- rine marchande, soit à la marine de guerre. Paris 1876. 8. Mémoires de la Société des Sciences physiques et natu- relles de Bordeaux. 2° Série. T. I. 3° cahier. Paris, Bordeaux 1876. 8. Bollettino della società adriatica di scienze naturali in Triest. Annata IT AN 2. Trieste 1876. 8. Schriften des Vereines zur Verbreitung naturwissenschaft- licher Kenntnisse in Wien. 16. Bd. Jahrg. 1875/76. Wien 1876. 8. Schriften der physikalisch-ükonomischen Gesellschaft zu Kôünigsberg. Sechszehnter Jahrg. 1875. Erste u. zweite Abtheilung. Künigsb. 1876. 4. Jenaische Zeitschrift für Naturwissenschaft. Zehnter Rd. Neue Folge, Dritter Bd. Heft 4. Jena 1876. 8. Bulletin de la Société vaudoise des sciences naturelles. 2° Série. Vol, XIV .J\X 76. Lausanne 1876. 8. Natuurkundige Verhandelingen der Hollandsche Maat- schappij der Wetenschappen. 3% Verz. Deel II X 5. Zur Speciesfrage von H. Hoffmann. Haarlem 1875. 4. The Transactions of the Linnean Society of London. Se- cond Series. Volume I p. 2. 3. (Botany. Zoology.) Lon- don 1875—76. 4. General index to the Transactions of the Linnean Society of London. Vols XXVI to XXX (completing the first series). London 1876. 4. The journal of the Linnean Society. Vol. XII Zoology \ 60 — 63. London 1876. Vol. XV Botany JX 81 — 84. London 1875—76. 8. | Linnean Society. Proceedings of the session 1874 — 75, Presidents address and obituary notices. Lond. 1875. 8. Nouveaux Mémoires de la Société Impériale des Natura- listes de Moscou. T. XIII Livr. V. Moscou 1876. 4. Proceedings of the Academy of Natural Sciences of Phila- delphia. Part I—TIT. 1875. Philadelphia 1875. 8. Paru le 29 Janvier 1877, T. XXHHE, N° 2. BULLETIN DE L'ACADÈMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG. TOME XXIIL. | | (Feuilles 12—25.) | CONTENT. G. v, Helmersen, Rapport sur les recherches géologiques faites de 1872 à 1876 dans les gouvernements de Grodno et de Kourlande pour l'étude des gisements de substances minérales combustibles. .....................................: 177— 249 R, Lenz, Sur la résistance électrique des sels haloïdes .......................:.:. 250—279 B. Dorn, Les manuscrits orientaux de feu M. Fonton acquis pour le Musée Asiatique | AE eu Re QU nn due coucou eee | Quelques remarques relatives à la numismatique SASSANIUGS meet 284 — 286 Art. Bütteher, Nouvelle méthode pour l'étude des corpuscules rouges du sang........ 286—9290 H, Wild, Recherches photométriques sur la lumière diffuse du ciel. (Continuation I.) Avecruné planche): MURS he. Sens one rer 290—305 , J. Maximowiez, Diagnoses plantarum novarum asiaticarum..............:.....:.. 305—391 Builetin bibliographique: asset etes doser cassée nes ee 391—400 IR ÉCÉACAEIONS ne de mots e Dane des cine cite NN Ce 400 | | —#$ÿ— On s’abonne : chez MM. Eggers & Cie, J. Glasounof et J. Issakof, libraires à St.-Pétersbourg; au Comité Ad- ministratif de l’Académie (Komurere Ipasaenin Hmneparoperoï Akaxemin Hayke); N. K ymmel, libraire à Riga, et chez M. Léopold Voss, libraire à Leipzig. | Le prix d'abonnement, par volume composé de 56 feuilles, est de 3 rbl. arg. pour la Russie, | 9 marks Allemands pour l'étranger. Imprimé par ordre de l’Académie Impériale des sciences. Mars 1877. C. Vessélofski, Secrétaire perpétuel. Imprimerie de l'Académie Impériale des sciences (Vass.-Ostr., 9° ligne, M: 12) n Ë (ES AN | AL) 1er. Mike à . DEL Hi PCT [Te L PUR TE TU TES ; ï Eu | DOUTE One OÙ fac era | ny CET ALU Lu heu, ti NE TE QAR SLT #  ï DAT 5 NX ! ‘4 Wan PTE l no (IL DL: n 54m L [RENE TE, mi | s ; DIT AUTANT Cradle 1f Vu r LH RE vétrque F ETS ETS 41 &i : if A à stunt: til QI 15 I (IS 1e. veut mn il LTERET LT DU or Et À DUT bé INR TTUME lb ni Ur ten à nn [0 SA PE FT OCTO nn Fi " 7 Pe Li 0h EN T CONS ts CRAN UE 1: IN \ | Cab Fa fete bus QURRETTE dns h4 Alu LEE dipl Me ARE Ne # # mater lé DT D ITENT dd ‘FM PA h mile, OO Et DIN CDIDPEAT cd suis fie PUR adiifé LITE ar SR 0 EN (CL an DUT FULL LIRE ah Vuiisnise BULLETIN DE L'ACADÈMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG. Bericht über die in den Jahren 1872 bis 1876 in den Gouvernements Grodno und Curland ausge- führten geologischen Untersuchungen zur Kennt- niss der dort vorkommenden mineralischen Brenn- stoffe. Von G. v. Helmersen, Mitgliede der Aka- demie. (Lu le 2 décembre 1875 et le 16 novembre 1876.) Durch eine lange Reihe von Untersuchungen, an welchen ich mich, mit andern Geologen, 58 Jahre hin- durch betheïligt, und über welche wir in den letzten vier Decennien an verschiedenen Orten ausführlich bérichtet haben, ist die Ausdehnung, der geologische Charakter, die Leistungsfähigkeit und die industrielle Bedeutung der vier grossen Steinkohlengebiete des Europäischen Russlands: am nôürdlichen Ural, in der Centralgegend: (Räsan, Tula, Kaluga), in Polen und im Donez-Gebirge, richtig erkannt, und damit der Grund zu einer rationellen Benutzung der in die- sen Gebieten so reichlich vorhandenen Steinkohlen und Eisenerze gelegt worden. Der Osten, der wald- lose Süden und der Westen, sammt dem bereits holz- armen Centrum Russlands, künnen so vollständig mit Mineralkohle versorgt werden, dass sich in ihnen ne- ben dem häuslichen und dem Bedarfe der Eisenbah- nen, in beliebiger Menge, Dampfkraft gebrauchende Gewerbe etabliren künnen, die unsere Rohproducte verarbeiten. Da aber die drei Ostseeprovinzen, Æst-, Liv- und Curland, so wie die litthauischen Provinzen nebst Pskow, keine Steinkohlenformation besitzen; da in ihnen die Wälder mit einer Besorgniss erregenden Schnelligkeit verschwinden, und da ihre Versorgung mit Mineral- kohle aus jenen entfernten Gebieten jedenfalls kost- spielig werden würde — so schien der Zeitpunkt zur Untersuchung der wichtigen Frage gekommen zu sein: Was etwa die genannten Provinzen an mineralischem Brennstoff enthalten und ob es môglich wäre, durch die Gebrauchseinfüh- rung desselben, den Holzverbrauch einzu- Tome XXIII. schränken, und die Waldbestände der Zukunft zu erhalten. Drei Meldungen waren es, welche unsere Aufmerk- samkeit zunächst auf Grodno und auf Curland lenk- ten, und die es veranlassten, dass die geologischen und bergmännischen Untersuchungen zuerst dorthin gerichtet wurden: 1) Dass in Curland Braunkohlen vorkommen, war lingst bekannt. Schon im Jahre 1827 (Gornoi Jour- nal 1827 Heft 8, pag. 33) berichtet der Oberhüt- tenverwalter Wansowitsch, der mit dem Berg- geschworenen Lehmann nach den deutschen Ost- seeprovinzen geschickt war, um sie geognostisch zu untersuchen, über das in Curland bei dem Gute Meldsern lagernde Braunkohlenflôtz. Die nach St. Petersburg mitgebrachten Proben derselben be- finden sich im Museum des Kaiserlichen Berginsti- tuts, in der geologischen Sammlung Russlands. Wansowitsch’s Formations-Bestimmungen und seine geologische Nomenclatur sind Wernerisch, und die ersteren zum Theil ganz irrthümlich. Wenn er auch den rothen Sandstein des nôrdlichen Curland, und den Kalkstein von Goldingen (beide Devonisch) zu «dem Alten Flützgebirge» stellt, so verweist er dagegen die Juraschichten bei Niegranden zum Muschelkalke, und die Kalksteine Estlands und der Gouvernements Pskow (Pleskau), Witebsk und Wilna zum «Neuesten Kalkstein»; und den «Allerneuesten Sandstein» glaubt er bei Wind- aushof in Curland, und bei Hasenpothund bei Püh- hanorm, Torgel, Taifer, Lachmes und Fennern in Livland gefunden zu haben. Wenn Wansowitsch ferner glaubt, (pag. 58), man künne vielleicht unter dem Rothen, die Ge- genwart von Steinkohlen indicirendem Sandstein des Wilnaer Gouvernements, wenn auch nur Spu- ren von Steinkohlen finden, und wenn er auf sol- chen eventuellen Fund hin vorschlägt, die nämli- chen Untersuchungen auch in Curland, bis in die 12 179 Bulletin de l’Académie Hmpériale 1S0 Gegend von Goldingen, auszudehnen , wo der näm- liche Sandstein wieder erscheint, und wenn er pag. | 42 allen Ernstes vorschlägt, die seiner Meinung nach sehr ergiebigen Lagerstätten von Eisenerz in Litthauen und Curland einer bedeutenden Eisen- industrie in jenen Ländern zu Grunde zu legen, so stimmen wir ihm darin nicht bei. Von allen seinen Propositionen verdiente nur wohl eine Berücksich- tigung, nämlich die (Pag. 57) das am Lehdischflüss- chen, bei dem Gute Meldsern, zu Tage gehende Braunkohlenflôtz näher zu untersuchen. Nach einer langen Reiïhe von Jahren, 1856, ge- schah nun eine solche Untersuchung, wie Professor Grewingk in seiner Geologie von Liw- und Curland» (1861) Pag. 212, berichtet, mittelst des Absenkens von drei Bohrlôchern am linken Ufer der Lehdisch. Diese durch Hrn. Grewingk ver- anlasste Arbeit wurde auf Kosten der Besitzerin von Meldsern, Krau von Dorthesen, unter der Leitung der Herren Walter und Harmsen ausge- führt, und die Bohrproben wurden von Professor C. Schmidt in Dorpat analysirt. Die Ergebnisse dieser Analysen sind in der «Geologie von Liv- und Curland» p.213, und in Grewingk’s Schrift: «Zur Kenntniss osthaltischer Tertiaer- und Kreidegebilde», Dorpat 1872, p. 1 und in der Baltischen Monatschrift 1865, p. 41 und 42 bekannt gemacht. Grewingk hatte das Schichtensystem an der Lehdisch bei Meldsern der echten Braunkohlen- formation zugezäh (Geol. v. Liv- und Curland Pag. 213), trat aber von dieser Ansicht zurück, nachdem Professor Güppert in Breslau, in den ihm zugeschickten Proben aus der Meldsern-Kohle, seinen Pinites jurassicus glaubte erkannt zu haben. Später jedoch erhielt Grewingk Gesteinsproben aus den Schichten, die bei Meldsern, bei dem Pul- werk Gesinde unter dem Braunkohlensystem er- bohrt worden waren, und die er sofort als Schreib- kreide bestimmen konnte. Damit war denn erwie- sen, dass die Meldsern-Braunkohle nicht dem Jura angehôren kônne, sondern eine supracretacee, Wahr- scheinlich tertiäre Bildung sein müsse. Wir wer- den später, bei der Beschreibung eines neuen Bohr- profils bei Meldsern, auf diesen Gegenstand zu- rückkommen. 2) Es war ebenfalls Professor Grewingk, der in dem citirten Buche'), 1861, einer älteren Torfschicht erwähnte, die in Curland, N. von Z4bau, bei See- muppen, in dem sandigthonigen Uferwalle vorkommt. Und 1872 nahm er in seiner Schrift «zur Kennt- niss ostbaltischer Tertiaer und Kreide-Ge- bilde», aus den Mittheilungen der Künigsberger Geologen”), die Nachricht auf, dass 1 Meile N. von Memel, bei dem Gute Purmallen, auf Preussischem Gebiete, ein tertiäres Braunkohlenlager aufgefun- den sei, Nachdem ich 1871 in Curland die Umgebungen der Güter Niegranden und Meldsern, der Städte Libau und Windau, und des, dem Baron Alphons von der Ropp gehôrigen Gutes, Bixten, untersucht hatte, begab ich mich im Sommer 1872 zuerst nach Dambrowa in Polen, wo ein Brand in der Steinkohlen- grube Xaver zu lüschen war; von hier in das Donez- gebirge und in das centralrussische Steinkohlenbassin, und im Herbste nochmals nach Meldsern, untersuchte bei dieser Gelegenheit auch einen Theil des Gutes Essern (des Baron Gustav Nolcken) und machte, von Libau aus, eine Excursion nach Hemel, um die Braunkohle bei Purmallen kennen zu lernen. Über die Resultate dieser Beobachtungen habe ich seinerzeit im Mai 1873 dem Finanzminister, Hrn. v. Reutern, berichtet”). Nachdem ich 1872, von meiner Reise nach St. Petersburg zurückgekehrt war, érhielt ich durch Herrn Dymtschewitsch®) die Nachricht, dass er in der Nähe von Grodno an zwei Stellen tertiaere Braunkohlenlager, und von emem Officier der Strand- wache in Curland, Capitain Katterfeld, die Mitthei- lung, dass er nôrdlich von Libau, auf dem Wege von hier nach Seraiken, am Strande, ebenfalls ein Braunkohlen- lager entdeckt habe, das nach einer, die Düne ‘unter- waschenden Sturmfluth, zu Tage getreten war. Auf meine Bitte erhielt ich 1873 durch den Oberst Carl von Sivers Proben dieser letzteren Kohle, die sich als Torf erkennen liess, und durch den Ingenieur- Mechaniker Katterfeld, ausführlichere Nachrichten 1) Geologie von Liv- und Curland, pag. 151. 2) Zaddach und Berendt, in den Schrifteu der physicalisch- okonomischen Gesellschaft zu Künigsberg. 3) Bulletin de l’Acad. d. sciences de St-Pétersbourg Tome VII, und Gornoi Journal 1873. 4) Ehemals Professor am Lyceum Richelieu in Odessa und später Präses im Statistischen Comité zu Grodno. Gestorben 1875. 1S1 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 182 über die Lagerungsverhältnisse dieses Torfes, und im Nov. 1873 die Nachricht, dass ein ähnliches Lager, südlich von Libau, am Strande der Kronsforstei Rutzau zu Tage trete, und bestimmtere Angaben über dieses Vorkommen, von dem Oberfôrster zu Rutzau, Herrn v. Gottschalk. Diese Mittheïlungen veranlassten mich, im Sommer 1873, zuerst die Umgebung von Grodno, in der Gesell- schaft des Herrn Dymtschewitsch, und nach einer Excursion nach Dambrowa, Brest-Litowsk und Belos- tok, nochmals über Grodno nach Libau zu reisen, und von hier aus den Strand nach Seraiken zu untersuchen, wo ich Herrn Katterfeld’s Angaben als richtig be- stätigen konnte. Es lagen nun bereits so viele Thatsachen vor, die eme geologisch-bergmännische Untersuchung gewisser Gegenden Curlands und der Gegend von Grodno ver- langten, dass ich es für gerechtfertigt hielt, den Herrn Finanz-Minister um die Mittel zur Ausführung der Untersuchungen anzugehen. Da sie in Grodno durch Herrn Dymtschewitsch eingeleitet waren und fort- gesetzt werden sollten, so abstrahirte ich vorerst von diesem Theil der bevorstehenden Arbeit, und be- schränkte mich auf Curland. Um, vor dem Beginne der hier auszuführenden Untersuchungen, mit der Braunkohlenformation Ostpreussens, besser bekannt zu werden, reiste ich im Sommer 1874 über Libau und Memel zunächst nach Künigsberg, um daselbst die Geologen kennen zu lernen, denen wir die lehr- reichen Arbeiten über die Braunkohlenformation und die Bernsteinformation des Samlandes verdanken, und um die geologischen Sammlungen aus diesem Gebiete zu sehen. Ich erfülle nur eine angenehme Pflicht, wenn ich den Herren Zaddach, Hendsche, Tischler, Albrecht und Dr. Sommerfeld meinen aufrichti- gen Dank ausspreche für die grosse Bereitwilligkeit, mit der sie meinen Wünschen in freundlichster Weise entgegengekommen sind. Nachdem ich mich in Künigs- berg, wenn auch nur ganz im Allgemeinen, in dem be- treffenden Gebiete orientirt hatte, bereiste ich den Bernsteinstrand des Samlandes von Neukuhren, über Rauschen, Sassau, Nortycken, Warnicken, Brüsterort, Kraxtepellen, Palmnicken bis Fischhausen, und kehrte über Xünigsberg nach Curland zurück, wo unterdessen die in St. Petersburg angefertigten Bohrapparate in Libau angekommen waren. Auf dieser Reise beglei- tete mich der Bergingenieuer, Hofrath Nikolsky, der die Bohrarbeiten leiten sollte, bei denen der Berg- ingenieur Popow und zwei aus Polen berufene Stei- ger angestellt waren. Was die Nachrichten über frü- here geologische Untersuchungen in Curland und was die betreffende Literatur anbelangt, so verweise ich auf Professor Dr. C. Grewingk’s Geologie von Liv- und Curland (Dorpat 1861) und auf dessen Geologie Curland’s. Mitau 1873, Pag. 1 bis 31. Ich werde nun die Ergebnisse unserer Untersuchan- gen in der Folge geben, wie sie ausgeführt wurden. Da ich über die Braunkohle bei Purmallen, unweit Meme, bereits früher berichtet habe (Mélanges phy- siques et chimiques tirés du Bullet. d. lAcad. d. scien, de St.-Pétersbourg, Tome VIIT, 1873), so be- ginne ich mit Grodno. I. Torfkohle bei Grodno. (Juli 1873.) Etwa 4 Werst S. von Grodno, liegt das Dorf Shi- dowtschisny, am rechten Thaïrande einer, Tschornaia balka genannten Schlucht, die tief und steil in den Diluvialboden einschneidet und in der Nähe des Gutes Ponjemun des Herrn Jagnizky, in den Niemenfluss mündet. Dem Dorfe schräge gegenüber, an der linken Seite der Schlucht, ging, als wir sie besuchten, der folgende, frische Gesteinsdurchschnitt zu Tage. Fig, 1. L a) Sandinger, geiber Lehm, mit abgerun- . , : ne | Dilu- deten Blücken (Rollern) krystallinischer RAT Gesteine. Bis 60 Fuss mächtig. | b) Blättrige Torfkohle mit plattgedrückten Âsten und Zapfen ven Pinus sylvestris. Die Kohle ist schwarz- braun von Farbe, geknickt und gebrochen, und 6 bis 7 Fuss mächtig. 12* 183 €) Dunkelgrauer, sandiger Schieferthon und d) derselbe Schieferthon wie c, aber härter À k 1 Fuss und fester und am Ausgehenden von ; :, j 1 Zoll Eisenocher überzogen. e) Grünlich grauer, sandiger Thon mit vielen, kleinen Bruchstücken weissen Kreidemergels und schwarzen Feuersteins. Scheint durch dieZerstürung von Kreiïde und Grünsand entstanden zu sein. Damit würde, wie es scheint, der Beweis geliefert sein, dass die Grodnoer Braunkohle nicht, wie Dym- tschewitsch glaubte, dem Tertiaer, sondern dass sie der Quartaerperiode angehôre. Professor Goeppert erwähnt zwar der Pinus syl- westris aus dem Tertiären bei ÆRauschen, im Sam- lande, aber Oswald Heer°) bezweifelt dieses Vorkom- men, weil die Zapfen dieses Baumes nicht im anste- henden Gestein, sondern in Wasserrinnen gesammelt wurden, in welche sie aus dem Diluvium oder Alluvium gelangen konnten. Chemische Analyse der Torfkohle. Die im Laboratorio des Finanzministeriums, unter Herrn Kulibin’s Aufsicht gemachte Analyse der Grodnoer Torfkohle hat folgende Resultate gegeben: a) Sandiger Blocklehm mit Rollern von dichtem Kalk- stein und verschiedenen krystallinischen Gesteinen des Skandinavischen Nordens. b) Ein grobes Conglomerat, bestehend aus abgerun- deten Bruchstücken der unter « aufgeführten (Ge- steine, die durch gelben, strahligen Arragonit zu einem festen Gesteine verkittet sind. Die Gerülle variiren an Grüsse von einer Erbse bis zur Grüsse 5) O0. Heer. Miocene Baltische Flora, in den Beiträgen zur Na- turkunde Preussens. Künigsberg 1869. pag. 4 u. 5. Bulletin de l’Académie Empériale 184 Torfkohle aus der Tschornaia balka. Kohle aus dem Bohrloche bei der Stadt Grodno 6). Nasser eee 15519 15,46 Flüchtige Theile 49,06 SO Kohlé- 2-2 26,80 23,43 Asche........ 8,95 25,77 100,00 100,00 Heizkraft. .... 3673 Einheiten. 2947 Einheiten. Beim Brennen entweichen Gase, die mit gelber Flamme brennen. Die Asche ist hellgelb und besteht aus Thon, Sand und Kalk. Der Coak backt nicht zu- sammen. Die Koble aus dem Bohrloche gehôrt zu den bessern Sorten und ist zum häuslichen und zum (rebrauche bei Dampfkesseln vollkommen tauglich. Die Kohle aus der Schlucht bei Skidowtschisny ist geringerer Qualität. Die Heizkraft wurde nach Ber- thier’s Methode bestimmt. Das Gewicht einer Cubik- Sashen (à 7 Fuss russisch) zu 250 Pud angenommen, würden, um dieses Quantum Fichtenholz zu ersetzen, erforderlich sein: 200 Pud aus der Kohle der Tschornaia balka...... 250 » Thalabwärts von dem oben erwähnten Durchschnitte ist der folgende (Fig. 2) entblüsst. eines Menschenkopfes und gehüren einem dichten Kalksteine an, in welchem Chaetetes Petripolitana und Orthoceras imbricatus aus dem Silurischen Sy- steme vorkommen, einem weissen, grauen und rothen Granite, einem Gneisse, Porphyren und einem ro- then Quarzite. c) Grober Quarzsand mit Bruchstücken rothen Ortho- 6) Dieses Bohrloch war von Hrn. Dymtschewitseh angelegt. 185 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 186 mm klases (Spathsand), diagonal geschichtet und bis- | weilen stark gewunden, wie z. B. bei c’. d) Grüner Thon mit scharfkantigen Bruchstücken von weisser Kreide und Feuerstein; identisch mit e in vorhergehenden Profile. Fig. a) Sandiger Diluviallchm, wie in den beiden vorher- gehenden Profilen. b) Conglomerat, wie in Fig. d) Grüner Then mit scharfkantigen Bruchstücken von Kreidemergel und Feuerstein; identisch mit & im Fig. 2 und mit e in Fig. 1. Die Kohle des Profils M 1 müsste im Profile À 3 zwischen b und « auftreten, ist aber môglicherweise durch Schutthboden maskirt, oder sie fehlt vielleicht hier, wie wir andrerseits, am Durchschnitte X 1, die Conglomerathank vermissen, da hier der lockere Dilu- viallehm unmittelbar auf der Kohle aufliegt. Fehlen der Kohle am rechten Ufer der Schlucht er- klärt sich vielleicht auf die Weise, dass die am linken Ufer zu Tage gehende Kohle (Profil Fig. 1) auf sekun- därer Lagerstätte liegt und mit ihrem diluvialen Dache zusammen von einem hôüher liegenden diluviälem Torf- 5) =: - Das | Bei dem Dorfe Shidowtschisny selbst, am rechten Ufer der Schlucht, tritt dieselbe Schichtenfolge auf. Hier ist aber die Conglomeratschicht sehr dick, und springt, da sie vermüge ihrer Festigkeit der Zerstorung besser widersteht, unter dem Blocklehm weit hervor. ES] moore getrennt wurde und thalabwärts hinabglitt. Solche Erscheinungen kommen im centralrussischen Steinkohlenbecken vor; z. B. bei der Stadt Kaluga und im Gouvernement Tula, auf dem Gute der Fürstin Obolensky, wo grosse Massive des Bergkalks sammt dem Kohlenflütze unter demselben, von dem hohen Thalrande herabgeglitten sind, ohne zu zerfallen und ohne die horizontale Lage zu verlieren. Wenn man an solchen Stellen von unten nach oben geht, glaubt man zwei Kohlenflütze und zwei verschiedene Berg- kalkschichten entdeckt zu haben, da in der That doch von jeder nur eins vorhandenist. Die Sohle der Schlucht ist ganz bedeckt mit den aus dem Diluvio a herausge- spülten Blüeken und Gerüllen, und mit diesen vermen- gen sich die Feuersteinknollen der Kreide und Krei- debruchstücke mit wohl-erhaltenen Exemplaren von Belemnitella mucronata aus der Kreide, die bekanntlich 187 Bulletin de l’Académie Impériale 1SS 0 in der Gegend von Grodno, z. B. in dem von den Herren Berendt und Grewingk beschriebenen Mäla- Thale auftritt. Vorherrschend sind Gerülle eines hel- len, dichten Kalksteins, der einer älteren Periode, der Devonischen und Silurischen, angehôren mag. Da die Herren Berendt und Grewingk, die 1870 semeinsam einen in demselben Jahre in Xünigsberg publicirten «Geologischen Ausflug in die russi- schen Nachbargouvernements» (Kowno, Wilna, Grodno) machten, des so eben beschriebenen Schwar- zen Thales und seiner diluvialen Torfkohle nicht er- wähnen, aber ähnliche Schichtenprofile in dem von ihnen so, benannten «Grünen Thale» des Lossosna- Baches beschreiben, so begab ich mich in dasselbe, um die Schichtenfolgen beider Lokalitäten vergleichen zu kônnen. Das ZLossosna-Bächlein mündet 5 bis 6 Werst von Grodno, nahe der polnischen Grenze, bei dem Orte Golowicze, in den Niemenfluss. Etwa eine halbe Werst thalaufwärts von der Mündung war an der linken Thalseite das folgende Schichtenprofil entblôsst: a) Horizontal geschichteter, gelber Sand, mit vielen Gerüllen und grüsseren Blücken nordischer, kry- stallinischer Gesteine und dichten Kalksteins. (Ent- spricht der Schicht a im Profile Fig. 2 und ist wie diese eine Glacialschicht.) Die zerstürende Wirkung der Erosion hat auch hier konische Pfeiler erzeugt, auf deren Spitze meist ein schützender Wanderblock zu liegen pflegt. b) Lockerer, gelber Quarzsandstein, gemengt mit Split- tern rothen Orthoklases, aber ohne Gerülle, ganz äbhnlich dem im Profile Fig. 2 mit c bezeichnetem Sande des Schwarzen Thales. An einigen Stellen ist dieser Sandstein à braungelb, ganz von Eisen- ocher durchdrungen und erinnert an den «Krant» der Bernsteinformation des Samlandes bei Künigs- berg i. Pr. c) Seladongrüner, undeutlich geschichteter, lockerer, weicher, nach NW einfallender Glauconitsandstein mit einzelnen festeren, quarzigen Partieen. Er er- scheint auch an der rechten Seite des Thales, ist stark vom Frühlingswasser benagt und verstürzt. a und b überlagern € discordant. Berendt und und Grewingk beobachteten ein antiklinales Fal- len dieses Sandsteins nach beiden Seiten des Thales. Unter dem Glauconitsandsteine ç sah ich an einer Stelle des Thales einen dünn geschichteten, gelben, lockern Sandstein, Schon die oben erwähnten Herren erwähnen dieser Schicht, in welcher sie auch noch Kürnchen ganz dunkeln Quarzes und vereinzelte Glauconitkôrnchen sahen. Organische Reste waren in ihm nicht zu bemerken. Herabgestürzter Schutt. Auch hier, wie im Schwarzen Thale, liegen auf der Sohle desselben alluviale Gerülle, unter denen ich rothen, dem schwedischen Ælfdaler ganz ähnlichen Porphyr, finnländischen Rappakiwi-Granit, weisse d) 189 des Sciences de Saint-Pétersbour£g. 190 —— ————…—…—…—…—…—…." ————————— —…—…— ———“—————————— Kreide, schwarzen Feuerstem und Silurpetrefakten, Chaetetes “Petropolitana, wahrscheinlich aus Estland, | nennen will. Die Gerlle krystallinischer und Silurischer Ge- steine sind der Thalsohle aus der Schicht a des Pyofils X 4, die Kreide und Feuersteingerülle aber entweder aus der anstehenden Kreide dieser Gegend, die Pro- fessor Berendt in dem erwähnten Bericht beschreibt, oder aus einer Schicht geliefert worden, welche den Schichten e des Profils M 1 und 4 der Profile À 2 und 3 entsprechen, in denen Gerülle weissen Kreide- mergels und schwarzen Feuersteins enthalten sind. Herr Berendt (c. 1. pag. 18) stellte im Grünen Thale folgende Schichtenreihe fest: a) Diluvium. b) Dünne Schichten der Braunkohlenformation, be- stehend aus grünem und gelblichem Sand und milchig-chocoladefarbenem Kohlensand. ce) Schichten der Bernsteinformation, fast reinem Glauconit bestehend, ganz wie in der Sam- ländischen Bernsteinformation. Ziemlich reiner Quarzsand, in welchem Kôrnchen ganz dunkeln Quarzes liegen und vereinzelte Glau- conitkôrnchen. aus Auf die Professor Berendt so genau bekannten Verhältnisse im Samlande gestützt, glaubte er mit vollem Rechte, hier, in grüsserer Tiefe, die sogenannte «Blaue, eigentliche Bernsteinerde» erbohren zu kün- nen (pag. 19) und erbot sich, Wenn man ihm dazu die nôthigen Geldmittel bewilligen wolle, diese Bohrver- suche auszuführen, die jedenfalls von grossem geolo- gischen Interesse gewesen wären. Dieses Anerbieten, dessen Ausführung ich in einem aus Wilna erbetenen Gutachten befürwortet hatte, ist, aus mir unbekannten Gründen, unberücksichtigt, und damit die Frage, ob bei Grodno die Bernsteinerde vorkommt oder nicht, ungelüst geblieben. Im Jahre 1872 hatte Dymtschewitsch das Schwarze und das Grüne Thal untersucht, und die Resultate dieser Arbeit in der Grodnoer Gouverne mentszeitung (l'poxnencria ry6epackia BE1omocru) be- kannt gemacht. Er sprach sich dahin aus, dass die von Berendt als Bernsteinformation beschriebenen Schichten nicht anstehend, sondern erratische Mas- sen eines, der unteren Kreideformation angehôürigen Grünsandes seien, und dass solche grünlich graue Thone auf die Nähe von Braunkohlenlagern weisen. Diess habe ihn veranlasst, die Umgegend zu unter- suchen und da sei es ihm gelungen, mittelst eines Bohrloches, bei der Stadt Grodho, am rechten Ufer des Niemen, in der Nähe des christlichen Gottesackers, und in dem Schwarzen Thale bei Shidowtschisny, am Uferfelsen, Braunkohlenflütze zu entdecken. Nachdem ich die Braunkohlenformation und die Bernsteinformation des Samlandes 1874 aus eigener Anschauung kennen gelernt hatte, musste ich den Be- stimmungen und der Ansicht des Professor Berendt durchaus beistimmen, und die Untersuchung der Pflanzenreste im Torfe des Schwarzen Thales lehrten, dass sie keiner tertiaeren Formation, sondern einer jüngern, namentlich der Quartaer-Periode angehüren. Diese Thatsache schliesst nun aber nicht aus, dass die bei Grodno erbohrte Kohle und die im Grünen Thale über dem Glauconitsandsteine lagernden Schichten der Braunkohlenformation angehôren. Eine bergmänni- sche Untersuchung auf Braunkohle und Bernstein ist hier jedenfalls indicirt. IL Die diluviale Torfkohle am Strande Curlands und das Hochmoor von Papensee. (1872, 1873 und 1874.) Von den drei deutschen Ostseeprovinzen Russlands war Curland bis vor einigen Jahren noch am ungenü- gendsten untersucht; und dass sein geologischer Bau, in seinen Hauptzügen und an vielen Orten auch schon im Detail, bekannt geworden ist, hat man Pander, und insbesondere Professor Grewingk zu verdanken, dessen geologische Beschreibung dieser Provinz bald im Drucke erscheinen wird, nachdem in Grewingk’s «Geologie von Liv-, Est- und Curland» eine vor- läutige Schilderung vorangegangen war. Nur die all- gemein verbreitete diluviale und alluviale Decke haben alle drei Provinzen mit einander gemein. Der Unter- grund dieser Decke ist aber in jeder derselben wesent- lich von den Nachbarprovinzen verschieden. Ganz Estland, sammt seinen Uferinseln, gehôrt dem Silursysteme an, und hat man, meines Wissens, bisher keine Ablagerungen jüngern Alters in ihm gefunden. Liviand besitzt nur in seinem nôrdlichsten Theiïle sporadiseh auftretende Obersilurische Glieder, und hat in seiner ganzen übrigen Ausdehnung einen Unter- 191 Bulletin de l'Académie Impériale 192 EE —pm———"————mmmaaZLZLUL grund aus Gesteinen Devonischen Alters. Wie in Est- land das Diluvium mit seinen Wanderblôcken unmit- telbar auf dem Silur, so liegt es in Livland unmittel- bar auf dem Devon, und ist also der gewaltige Hiatus vom Devon bis zum Diluvium in Livland nur um eine geologische Zeitperiode geringer als in Estland. In Curland liegt das Silur in unaufgeschlossener Tiefe; das älteste, was hier an die Erdoberfläche tritt, ist das Devon. Aber es ist hier in einigen Gegenden von jüngern Bildungen, namentlich von Schichten des Permischen, des Jura, der Kreide und angeblich auch von tertiaerer Braunkohlenformation bedeckt. Dass zwischen den Permischen und den Juraschichten in Curland irgendwo Repräsentanten der Kohlenperiode vorkämen, ist nicht bekannt. Im benachbarten Preussen bildet das Tertiaer den Untergrund des Samlandes, eines Plateaus, an dessen nôrdlicher und westlicher Steilküste die vom Diluvio überlagerte Braunkohlenformation die obere, und die Bernsteinformation die untere Etage der schünen 100 bis 120 Fuss hohen Profile bilden; die Bernstein- oder sogenannte «Blaue Erde», die wahrschemlich durch Umlagerung der ursprünglichen Lagerstätte des Bernsteins entstanden ist, und deren Bernstein mithin schon auf sekundärer Stätte liegt — erhebt sich hier nur selten über den Meeresspiegel, sondern wird erst einige Fuss unter dessen Niveau aufgegraben und ab- gebaut. Dass eine solche, aus undulirenden, fast hori- zontalen Gesteinslagern bestehende Steilküste eine weite Fortsetzung nach West und Nord gehabt haben, und dass ihr Schichtencomplex sich auch nach Süd und Ost landeinwärts erstrecken müsse, ist selbstver- ständlich. Und wenn dieses tertiäre Plateau nach den beiden ersten Richtungen steil abgebrochen ist, und nach Ost und Süd allmählich abfällt, so erklärt sich das aus der Wirkung grossartiger Erosion und müg- licherweise aus dem Umstande, dass die Schichten sich, Wenn auch nur unter sehr geringem Winkel, nach Ost und Süd senken, (Genaueren Aufschluss über diese Verhältnisse geben die belehrenden Arbeiten der Herren Zaddach und Berendt in Kônigsberg. (Zad- dach: Das Tertiaer-Gebirge des Samlands. 1868 — Berendt: Erläuterungen zür geologischen Karte des Westsamlandes. 1866.) Der nôrdlichste Punkt, an welchem in Preussen die Braunkohlenformation aufgeschlossen ist, liegt 1 Meile nôrdlich von Memel, bei dem nach Polangen führen- den Wege, auf dem Gute Purmallen, und kommt diese Formation weder im Osten vom Kurischen Haff, noch an dem Strande des benachbarten Curlands vor. Darauf hin konnte man schon vermuthen, dass die oben erwähnten Angaben über Braunkohlenfunde am Curischen Strande auf eine jüngere Bildung, als die tertiaere, hinaufzuführen seien. Die geologisch-berg- männischen Untersuchungen haben die Richtigkeit dieser Vermuthung dargethan. Der Strand zwischen Libau und Seraiken und die Bohrversuche am Medsenschen Strande. Als ich im Mai des Jahres 1874 von Libau an den Medsenschen Strand fuhr, nahm ich den Weg dahin über das Städtchen Grobin und die Rittergütter Kap- seden und Medsen. Die sumpfige, hie und da von Dünensand überlagerte Niederung, auf .der Libau und sein See liegt, steigt bei Grobin etwas an. Von hier führte der Weg am westlichen Fusse eines steil nach West abfallenden, aus Glaciallehm bestehenden, 60 bis 70 Fuss über dem Meeresspiegel erhabenen, von Nord nach Süd streichenden Hühenzuges hin, der dem Westrande des hügeligen Plateaus angehôrt, das, von Süden her ins Land tretend, das hohe Mittelland Curlands bildet. Nirgend stüsst es, wie im Samlande Preussens, mit einer hohen, sondern immer nur mit einer niedrigen Steilküste bis an das Meer vor. Diese Niederungen umsäumen das Centralplateau Curlands und sind an ihrem äussern Rande von Dünensand überweht. Dass das Diluvium seinerseits in einem grüssern Theile Cur- lands unmittelbar auf Devon-Schichten liegt, ward schon oben erwähnt. In den nächsten Umgebungen Zibaus kommt ein dichter, hellgrau und gelblich gefärbter Dolomit in geringer Tiefe unter der Diluvialdecke vor. Als man in Libau zwischen der Holzhbrücke und der über den Kanal führenden Eisenbahnbrücke vor einigen Jahren den Boden mittelst einiger Bohrlôcher unter- suchte, stiess mañ in 12,5 Fuss Tiefe unter dem Roden des Kanals auf anstehenden graugelben Do- lomit, und soll sich derselbe, nach der Angabe des Oberst der Wegecommunikation, Boetticher, auch weiter abwärts, nach der Mündung des Kanals hin, finden. 193 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 194 Ein anderes Vorkommen desselben ist an dem 7 Werst (eine deutsche Meile) N von Libau befindlichen Tosmar-See, wo der Besitzer des Gutes Xapseden ihn zur Anfertigung von Kalkmürtel brechen lässt. Pro- fessor Grewingk hat uns mit der Devonischen Dolo- mitetage Curlands näher bekannt gemacht und ihre Verbreitung angegeben. (Geolog. von Liv-, Est- und Kurland pag. 26 u. folg.) Der rüthlich gefärbte Glacialthon des Plateaus ent- hält ziemlich grosse Stumpfkantner krystallinischer Gesteine unseres Nordens, und kleinere Stumpfkantner dichter Kalksteine und dichten Dolomits. Auf der Nie- derung sieht man die durch Erosion aus ihm herausge- waschenen Blücke in Menge umherliegen. Aber viel zahlreicher und dichter gedrängt liegen sie in der süd- lichen Hälfte des Libauschen Sees, dessen sumpfiges, niederes Ostufer von flachen Sandablagerungen be- gleitet wird, in denen viele Stumpfkantner krystalli- nischer Gesteine liegen. Ich sah sie bei dem Gute PBattenhof und bei dem Gesinde Sweile, unwcit der Grobinschen Forstei, und erwähne besonders eines 5 Fuss langen Blockes von Rappakiwi-Granit. Da der Libausche See eine Erosion in dieser Glacialschicht ist, so begreift man, warum auf seinem Boden die Wanderblücke so häufig sind, und dass man sie zum Baue der Molos am Libauer Hafen vorzugsweise dem Boden des Sees entnahm. An manchen Stellen ist dieser Glacialboden, wie auch der Glacialthon der Medsenschen Niederung, von blocklosem Quarzsande überweht. Wir gelangen nun an den Meeresstrand. Ich besuchte den Strand zwischen Libau und Seraiken zum ersten Male im Juli 1873. Sechs Werst N von Libau war die 18 Fuss hohe Düne von den Wellen unterwaschen ugg das folgende Profil blossgelegt: a) Dünn geschichteter Dünensand. b) Schwarzer, blättriger Torf. c) Geschichteter Dünensand. 7 Werst N von Libau war folgender Durchschnitt zu sehen: a) Dünn geschichteter Dünen- sand. b) Blättrige Torfkohle 1,5 bis 2,5 Fuss. e c) Grünlicher, thoniger Sand mit Orthoklaskürnern. d) Von Eisenocher gelb ge- Fig. 5. Tome XXII. färbter Sand mit rothen Orthoklaskôrnern und spär- ich zerstreuten, ganz runden, bis 3 Zoll langen Gerüllen von Granit und Quarzit. 18 Werst nôrdlich von Libau war das Profil Fig. 6 zu beobachten. —— a C _AMNUOONEANTNNT a. Feingeschichteter Sand (Düne) bestehend aus gel- ben Quarzkürnern und kleinen Gerüllen krystalli- nischer Gesteine und Granit, Quarzit, etc. und dichter Kalkstein. b. Feingeschichteter, sandiger, grünlich-grauer Thon mit subfossilen Cardium edule und Tellina baltica. c. Wie b, aber sebr viele wohlerhaltene Schalen jener Muscheln enthaltend. d. Unmittelbar unter c der schwarzbraune Holztorf d, mit Aststücken von Pinus und Pflanzenabdrücken. Sichtbare Mächtigkeit 2 Fuss. Als ich diesen Strand im Mai 1874 wieder be- suchte, fand ich die Uferschichten durch die Sturm- fluthen des Winters von 1873 auf 1874, sehr stark benagt. Die Wellen hatten gewaltige Massen hinweg- gerissen und die Torfschichten auf weite Strecken blossgelegt. Da sah man denn, dass die Schicht d des Profils Fig. 6 schwach gefältelt ist. An einigen Stellen lag sie 7 bis 9 Fuss über dem Meeresspiegel, an an- dern im Niveau des Meeres, so dass die Wellen über sie hingingen, wie z. B. bei Fig. 6. Bei dem Landungsplatze Kram-valgum war der Durchschnitt Fig. 7 blossgelegt. a. Horizontal-geschichteter Dünensand 7 Fuss mäch- tig. b. Schwarzer, weicher Torf, braunkohlenartig — 2 Fuss mächtig. In ihm Stämme von Pinus auf- recht auf ihren Wurzeln stehend. Die Stämme bis 3 Fuss im Durchmesser und 1 bis 2 Fuss über den Wurzeln abgebrochen. Das Holz braun verrottet, weich, zerfasert. c. Grünlichgrauer, horizontal -geschichteter, kurz- brüchiger Thon mit kleinen Gerüllen von Granit, 13 195 Bulletin de l’Académie Impériale 196 Fig. 7. Glimmerschiefer, Quarzit — 6 Fuss mächtig. Am Fusse dieser Wand lag ein 4 Fuss 8 Zoll langer, vollkommen scharfkantiger Block 4 eines dichten, untersilurischen Kalksteins mit Orthoceras vagina- tus. (Vielleicht aus Estland zum Bau herange- bracht). Als wir von dem Medsenschen Cordon (Strandrei- terhause) weiter nach N. gingen, war das Torflager am Ufer nicht mehr zu sehen. Allein im Juni 1874 erhielt ich durch den Capitain Katterfeld Proben eines eben solchen Torfes aus der Gegend des Gutes Sernaten, wo er, 40 Werst von der Stadt Windau, am Meeresufer, vorkommt. Er hat also hier eine sehr grosse Verbreitung. Medsen. Ich wählte nun mehrere Punkte am Medsenschen Strande, um das Torflager abschürfen zu lassen. Ehe man zu diesem Zwecke Bohrlücher ansetzte, wurde das Torflager am Ufer bis 400 Sashen (2800 Fuss englisch) N. vom Medsenschen Cordon und bis zu einer Entfernung von 4 Werst (14000 Fuss) von demselben an mehreren Punkten aufsedeckt. Dabei zeigte sich eine Mächtigkeit des Lagers von 10 Zoll bis 3 Fuss 6 Zoll. Diese Dicke hat es bei Xram-val- gum. Darauf wurde ein Hohlbohrer an 6 Punkten ange- setzt, die auf dem beifolgenden Kärtchen angegeben | sind, und bis in das Sohlengestein des Torfes gebohrt. oÆAundsing Æ y, Oo bi, (e] Pr Æ Æ Æ =. = Se Z C7 2 \\\ C7 \\ A Hof Medsen se à ne » LI Klein-Medsen Bohrloch Xe 1 ward 2800 Fuss S. vom 197 des Sciences de Saïint-Pétersbourg. 198 Medsenschen Cordon und 280 Fuss O. vom Meeres-! d) Blauer Lehm mit kleinen Stumpf- ufer abgesunken und gab folgende Schichtenfolge : kantnern und mit Gerüllen kry- La L | Te . À CNET PAS : nas a) Weisser Diünensand . ........ 2 Fuss 4 Zoll. | stallinischér Gesteine...... -. 1 Fuss 3,8 Zoll. b) Sandige graue Ackererde (hu- 12 Fuss 3,8 Zoll. } Gi è ils ù MUS) ................... 00 Bohrloch X 4, 160 Sashen — 1120 Fuss vom rar iQ 2 : PANICISSeR Sand à... .. . . 1... 3 » 8 » | Meeresufer: dj) Grünlich grauer, thoniger Sand à . ) F o Rue x la) Schwarze Ackererde ........ — Fuss 3,5 Zoll. mit Schalen von Cardium edule NE ù 2 5 ; ; b) Weisser Sand ......... ee — 5» 1 » und Zellina baltica . ......... 6 » 9 » ARE ; A c) Schwärzlicher Sand . ........ — » 9 » CON TKON IE". . :........:.: DD DA 19 1) Woi a Cedllet : RL : u da) Weisser band mit Gerôlleri kry- f) Bläulicher Lehm mit Gerüllen jo : he stallinischer Gesteine. ....... Om SRE) von Granit und andern krystal- À. Ne: à e) Blauer Lehm mit Gerüllen kry- lnischen Gesteinen … ........ li» 2, » ras Re $ RTE stallinischer Gesteine. ..... ONE TR) 16 Fuss 5,9 Zoll. ne 13 Fuss 7,5 Zoll. Westlich von diesem Bohrloche ward in einem 99 Schurfe am Meeresufer eine Schicht Torfkohle von 2 Fuss 11 Zoll Dicke aufgedeckt. Bohrloch X 2, 150 Sashen — 1050 Fuss vom Meeresufer. mhAckererder:s int. — Fuss 5,2 Zoll. DJNVEISSen Sand. 1... 1... — » 9 » @} IEC: RSR ES — » 11,5 » d) Grünlichgrauer, sandiger Thon mit Meeresmuscheln ........ 4 » 4,5 » e) Blauer Lehm mit Gerüllen kry- stallinischer Gesteine (Diluvium) 2 » 7 Fuss 8,2 Zoll. In dem Bohrloche X2 ward der alte Torf gar nicht angetroffen; die grüne Thonschicht d, mit Mecres- muscheln (identisch mit d im Bohrloche X 1) liegt unmittelbar auf dem die Sohle der Torfkohle bilden- den blauen Diluvialthone e. Dagegen tritt hier eine obere Torfschicht jüngeren Alters auf, c. Das Bohrloch X 3 liegt 220 Sashen — 1540 Fuss von dem Bohrloch N 1 und 35 Sashen — 245 Fuss vom Meeresufer. Es zcigte dieselbe Schichten- folge wie X 1. E a) Sand mit Stumpfkantnern kry- stallinischer Gesteine des Nor- BEN 2 IRAN 8 Fuss 2 Zoll. b) Grüner, thoniger Sand mit Scha- len von Cardium edule und Tel- KITCNUI dt APRES SD ai ST LES CANON ER. En: AC s De or Bohrloch X 5, 325 Sashen — 5 Fuss vom Meeresufer in der Nähe eines ne GJéAckeréme Tete — Fuss 5,4 Zall. b) Weisser Sand ............. LH 5: 0) c) Bläulicher Lehm........... 2 31000 DATOTTRONEME EE 1l@0) » Thoniger Sand .:.......... 15103; 600) 7 Fuss 0,2 Zoll. 3ohrloch 6, 25 Sashen — 175 Fuss vom Mee- resufer und 160 Sashen — 1120 Kuss von der Mün- dung eines in das Meer fliessenden Baches. aJWNeisser Sandi tre 3 Fuss 2,5 Zoll. b) Sandige Ackererde ......... — » 10,5 » CSA ae SE PE TRS 3 4) Del C d) Grünlicher, thoniger Sand mit Mecresmuscheln ........... A ES AT 2) ICONE. ENS PAPE Je 2 2 NAN JAMES SEE) f) Sand mit Gerüllen von Granit und andern krystallinischen Ge- STCIMEn Lt A AMP RAIN AE ER ARE TM ONE EE) 20 Fuss 10 Zall. Ueber die Zusammensetzung und den Brennwerth dieses Torfes soll weiter unten berichtet werden. Hier will ich nur darauf aufmerksam machen, dass der Torf nur in einem der 6 Bohrlücher gar nicht, in den übrigen aber nur in einer Mächtigkeit von 11,5 Zoll bis 2 Fuss 2,4 Zoll vorkam. Da wir ibn aber an dem Uferprofil bei ÆXram valgum eine Mächtigkeit yon 3 6 Zoll beobachtet hatten, so darf man annehmen, 13* bis 199 dass der tiefste und mächtigste Theil dieses alten Moors sich westlich von dem jetzigen Meeresufer werde befunden haben, und dass es allmählich vom Meere zerstürt wurde, indem dieses sein Ufer, durch Benagung desselben, immer weiter nach Ost vorschob. Dass die Hühe des Torflagers über dem Meeresspie- gel, sogar auf kurzen Strecken variirt, kann, wie oben bereits erwähnt wurde, von schwachen Fältelungen, Bulletin de l’Académie Impériale 200 kann aber auch von Verwerfungen herrühren. In dem Sohlgestein des Torfes, blauer Lehm oder Sand mit kleinen Stumpfkantnern und Gerüllen kry- stallinischer Gesteine des skandinavischen Nordens, glaube ich ein Produkt der durch die Meereswellen bewirkten Benagung und Umlagerung des Glacial- schuttes zu erkennen, der die Niederung im Osten begrenzt. Fig. 9. Strand bei Medsen. Nachdem das Meer die alte Untermoraine a, die sich auf dem Devonischen Dolomite ç abgelagert, bis an die Büschung X zurückgedrängt, und die, wenig- stens an ihrer Oberfläche umgelagerte Schicht b zu- rückgelassen hatte, entwickelte sich auf deren trocken gelegter Oberfläche eine kräftige Vegetation. Es stan- den einst auf diesem Boden Pinus-Stämme, die über der Wurzel bis 3 Fuss im Durchmesser hatten. Die- ser Wald mit seinem Unterholze und seinem Gras- wuchse versumpfte und gab einen Theiïl des Materials zu der Torfbildung her. Nach vollendeter Torfbildung invahirte das Meer die Niederung aufs neue und hin- terliess, als es sich wieder zurückzog, den grünlichen Schlamm €, in welchem wohl erhaltene Schalen von Cardium edule und Tellina baltica, bis in eine Ent- fernung von 150 Sashen — 1050 Fuss O vom Meeres- ufer angetroffen wurden. Diese Muschelbank kann daher nicht aus der Jetzt- zeit herstammen, sondern ist eine ältere Bildung und gehôürt in die Kategorie ähnlicher und die nämlichen Arten enthaltender Lager, dieder AkademikerSchmidt in Estland und der Professor Grewingk am Babitsee, im Areal des Gutes Æolmhof unweit des Städtchens Schlock, an dem Südende des Rigaschen Meerbusens aufgefunden hat. Bei Hapsal waren sie schon früher bekannt, und kommen daselbst in etwa 20 Fuss abso- luter Hühe, in einem Meeressande vor, bei dem Fried- hofe. Der Sand f, der die Muschelbank e bedeckt und seinerseits von Dammerde überlagert wird, und in welchem sich Schmitzen eines jüngren Torfes gebildet haben, ist eine Strandbildung und alluvialen Alters. Auf ihm liegt der Flugsand der Uferdüne g und ein- zelne, landeinwärts gewanderte, flache Sandmassen. Die grüsseren Stumpfkantner, welche auf der Niede- rung zwischen dem Plateau a und dem Meeresufer liegen, sind durch Erosion aus a aufbereitet. Zum Schlusse mag noch bemerkt werden, dass hier gar keine Hoffnung vorhanden ist, weder die Braun- kohlenformation, noch die unter ihr lagernde Bern- steinerde aufzufinden, die am Samländer Strande, unter dem Diluvium, über 100 Fuss hoch aufsteigen. Bei Libau, also gewiss auch bei dem benachbarten Medsen, Viegt das Diluvium « unmittelbar auf Devo- nischem Kalksteine. Grewingk und in letzter Zeit auch Berendt”) haben dieses Verhältnisses bereits erwähnt. Rutzau und Papensee. Die Forstei und die Kirehe Rutzau liegen 54 WerstS. von Libau und 9 Werst O. vom Meecresufer. Wir fin- den hier im Wesentlichsten die Verhältnisse wieder, die wir am Strande von Medsen bereits kennen lern- ten. Der Devonische Dolomit tritt aber hier unter dem Diluvio nicht mehr zu Tage, sondern liegt in grüsserer Tiefe. Alle paläozoischen Schichten in Est- und Liv- land haben ein schwaches Fallen nach Süd. Am deut- lichsten kann man das an den Silurschichten bei Bal- tischport, ebenso auf den Inseln Dagô und Oesel, und auf der Insel Gotland beobachten. 7) Berendt. Notizen aus dem Russischen Grenzgebiete nordlich von Memel. In der Zeitschrift der Deutschen Geologischen Gesell- schaft. Jahrgang 1876. 201 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 20? oo po 2 OU Dieser Umstand hat eine besondere Bedeutung für die Frage, ob man hoffen kônne, im südlichen Theile der Westküste Curlands, unter dem Diluvium, Reste der Bernsteinformation zu finden. Wir werden später auf diese Frage zurückzukommen haben. Bei Libau sind weder am Strande, unter der Düne, noch bei den, bis auf das Devon gehenden Bodenun- tersuchungen, Torflager entdeckt worden. An den Ufern des Libauer Haffes finden sich dünne Torflager jüngsten Alters. Die Poststrasse von Libau nach Nie- der-Bartau ist auf der 1 bis 2 Werst breiten Düne angelest, die das Haff vom Meere trennt. Das Haff, das eine Länge von 18 und eine Breite von 2 bis 3 Werst hat, erstreckt sich, der Küste parallel von N. nach $. Ein schwach geneigter, aus Meeressand gebil- deter, bis 100 Schritte breiter Ufersaum trennt den westlichen Fuss der Düne vom Meere. Von ihrem üstlichen Fusse erstreckt sich eine schmale, in vielen Haken in das Haff vorspringende, mit Moor und Heide bedeckte Niederung, bis an das Westufer des Haffes. Der Flugsand dieser Düne ist von Stürmen vielfach durchwühlt und in einigen Hügeln bis zu 70 Fuss über den Meeresspiegel aufgethürmt. Die Hügel un- regelmässig gestaltet und vertheilt. Da grosse Stre- cken mit Sandgräsern, andere mit Kieferwald und Weiden bewachsen, noch andere sogar bewohnt und von den Bewohnern, wenn auch nicht ohne Mühsal, kultivirt sind, so giebt es hier keine Sturzdünen, wie auf der Curischen Nehrung. Wir sahen kleine Korn- felder und Kartoftelfelder, aber nie auf den Hühen und an den Abhängen, sondern in den Einsenkungen. Für die Knollenfrüchte gräbt man vertiefte Gründe aus, in denen sich etwas Feuchtigkeit ansammelt. Sie sollen so besser gedeihen, weil ein Sturm die gesteck- ten Knollen nicht aufwühlen kann. In Curland werden die Stranddünen «Kapen» genannt. Ich untersuchte die Düne auf einer Strecke von 13 Werst. Man pflegt im Sommer, wenn man den Weg von Libau nach Nieder-Bartau zu machen hat, nicht auf der sandigen Düne, sondern auf dem nassen, und daher festern Sande des Ufersaumes zu nehmen. Nachdem man so eine Strecke von 13 Werst zurück- gelegt hat, biegt der Weg nach Ost auf die Düne hin- auf und man erreicht die Poststrasse in einer Niede- rung, welche sich, der Niederung bei Medsen ent- sprechend, an das Südende des Libauer Haffes hinzieht, und die im Osten ebenfalls von einer aus glacialem Di- luvium bestehenden Hühe begrenzt ist. Auf jener ganzen Strecke war, weder auf der Düne noch am Meeresstrande, auch nur ein einziger Wan- derblock grosser oder mittler Dimension zu sehen. Wo die Stürme den lockern Dünensand von den Gipfeln weggeweht, oder wo Frühlings- und Regenwasser Ein- schnitte gemacht hatten, sah man, dass der Unter- grund des Flugsandes aus Grant, einem Gremenge von Sand und dichtgesäcten, vollkommen abgerollten Stücken krystallinischer Gesteine besteht. Hier und da bemerkte man auch Gerülle dichten weissen Kalk- steins. Die grüssten dieser Gerülle hatten eme Länge von 3 bis 4 Zoll. Der Flugsand ist nicht immer feinkôrnig, sondern man findet ihn auch von grüberem Korne. Wenn man die Kapen zur Zeit eines West- oder Südweststurmes besucht, wird man sehen, dass sie nicht nur feinen Sand, sondern auch Kürner grüsserer Dimension in rollende Bewegung setzen und sogar auf schwach ge- neigte Ebenen hinauftreiben. Auch wäre es irrthüm- lich, allen feinkürnigen Sand, wie das Professor Be- rendt schon in seiner Geologie des Xurischen Haffes pag. 14 bemerkt hat, für Flugsand zu halten. Zwi- schen den einzelnen Hügeln der Düne und is deren aus älterem Alluvium bestehenden Untergrunde wird man, wie selbst im jüngern und älteren Diluvium, feingeschichteten Sand beobachten kônnen, der offen- bar vom Wasser abgesetzt wurde. Da der Flugsand, und der vom Meere bespülte Sand nichts weiter sind, als ein Produkt der noch jetzt thätigen Umlagerung des Untergrundes der Düne, so erklärt sich daraus die petrographische Ahnlichkeit derselben. Und eine vergleichende Untersuchung der Zusammensetzung der ganzen Dünenmasse und des alluvialen Meeressandes einerseits und des im Osten von ihnen befindlichen diluvialen Plateaus andererseits wird lehren, dass alles Material zur Bildung der ersteren, auch hier, wie bei Medsen, dem Diluvio entnommen wurde. Dass die Meeresbedeckung sich auch hier einst weiter nach Ost und wahrscheinlich bis an den Fuss des Diluvialpla- teaus ausgedehnt hat, werden wir an den Schichten- profilen der zwischen dem Papensce und Polangen niedergestossenen Bohrlücher sehen. Eine Werst NO. von der Forstei Rulzau befindet sich ein Hühenzug, auf welchem das Gesinde Pinkus 203 liegt. Er besteht aus einem mit Thon gemengten Sande, in welchem viele, bis 6 und 7 Fuss lange Stumpfkantner der verschiedensten krystallinischen Gesteine des skandinavischen Nordens liegen. Da an manchen derselben geschrammte Schlifffächen zu sehen waren und die ganze Masse ungeschichtet ist, so glaube ich auch hier den Rest einer Untermo- raine aus der Glacialzeit annehmen zu künnen. Um die an dem Strande aufgefundenen Torflager kennen zu lernen und die Punkte näher zu bestimmen, wo derselbe genauer untersucht werden sollte, fuhren wir in der Begleitung des Herrn Gottschalk in westlicher Richtung an das Südufer des Papensecs. Der Weg dahin führte über alte, mit hohem Walde bestandene Sanddünen an das nôrdliche Ende eines hohen Moostorfmoores, das wir bei dem Gesinde Sticbel erreichten. In seinem nôürdlichen Theiïle hat es eine Breite von 2 Werst; allmählich schmäler werdend, zicht es sich 9 Werst von N. nach $S., und erreicht sein südliches Ende eine Werst nôrdlich von der Mündung der Heiligen-Aa (Swenta der russischen Karten). Von dem benachbarten Strande ist es durch eine niedrige, schwach begraste, bis 250 Sashen 1550 Fuss breite Sanddüne getrennt, an deren Ostfusse die Fischerdôürfer Kalnischke, Nidden, Keppo und Rinkus auf Flugsand liegen, der hier von der Stranddüne auch weit landeinwärts abgeweht wird. Die Bewohner trei- ben auch etwas Ackerbau und düngen dazu den dürren Boden mit Seetang und mit dem am Strande zu Tage gehenden alten Torf. Das Hochmoor ist cirea 17 bis 18 Quadratwerst gross, stark gewülbt; sein niedri- ges Ostufer ist mit Laubwald bestanden. Leider ist seine Hôühe über dem Meere von dem Ingenieur, der die Bohrarbeiten auszuführen hatte, nicht bestimmt wor- den. Man kann, nach Augenmaas, annehmen, dass seine Mitte die Ränder um 14 Fuss überragt. Dies bestätigte später der Topographen-Officier Meyer bei der geodätischen Vermessung des Moores. Es besteht aus Moos, ist baumlos, mit Wollgras bewachsen und wie ein Schwamm von Wasser durch- sogen. Beim Graben zeigte sich fahles, gelbes Moos und in demselben verrottete, abgebrochene Stimme und Âste von jetzt lebenden Pinus und Betula. Die Rinde der letztern noch wobhlerhalten. Bei 2,5 Fuss Tiefe war der Wasserandrang schon so gross, dass man ohne Pumpe nicht tiefer graben konnte. In die- Bulletin de l’Académie Hmpériale 204 ser Tiefe war der Moostorf dunkler von Farbe und harziger als die gelbe, leicht verflackernde obere Schicht. In grüsserer Tiefe soll ganz dunkler Torf liegen, der, wie die Anwohner des Moors sagten, sich bis an die Ränder desselben hinzieht. Durch seine Lage, seinen grossen Wasserreichtum, macht dieses Hochmoor den Eindruck eines zuge- wachsenen Sees. Und wenn man hinzufügt, dass sich ein ähnliches Hochmoor, vom nürdlichen Ende des Papensees 2 Werst nach N. zieht, und dass der Papen- see an niedrigen Moorinseln reich und offenbar in dem Processe des Verwachsens begriffen ist, so kann man annehmen, dass dieser See nur der Rest eines echemals sehr grossen Sees, von circa 20 Werst Länge, ist. An seinem S. W.-Ende hat der Papensee einen Aus- fluss nach dem Meere, und hier unterhält die Forst- verwaltung einen aus Sand und Wanderblücken aufge- schütteten Damm und eine Schleuse. Wenn bei SW.- Wind der Spiegel des Meeres hüher steigt als das Ni- veau des Sees, so schützt der Damm und die Schleuse die landeinwärts liegenden Wiesen vor Überfluthung durch Salzwasser. Steigt aber im Frühling, beim Schmelzen des Schnees, das Wasser im Papensee hô- her an, so lässt man es durch die Schleuse entwei- chen, um die kleinen Ortschaften und die Âcker an seinen Ufern zu schützen. Wir betraten das Moor zuerst in der Nähe des Gutes Papensee, südlich von der Schleuse. Es be- ginnt hier die Düne etwa 100 Schritte von dem fla- chen aus Sand und Gerülle bestehenden Ufersaüm und erhebt sich 10 bis 14 Fuss über den Meeresspiegel. An ihrem ôstlichen Fusse wurde der Sand durchgra- ben und es zeigte sich dabei, in einer Hôühe von 3 bis 4 Fuss über dem Meeresspiegel, eine Schicht desselben alten Torfes oder Torfkohle, wie bei Medsen. Etwa 2 Werst S. von der Schleuse ging dieser Torf an der steilabgerissenen Dünenwand zu Tage. Fig. 10 (nebenstehend). a) Horizontal geschichteter Sand mit Gerüllen kry- stallinischer Gesteine, die eine Länge von 6 Zoll erreichen (Dünensand). b) bräunlich schwarze Torfkohle, braunkohlenartig. Darin Stämme von Pinus, auf ihren Wurzeln ste- hend. Theile der Stämme und Àste liegen um- her, sind in der Mitte noch hell und nicht verrot- . 205 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 206 AN A VAE 0 AAA US. tet, nach Aussen hin geschwärzt. Die Tagewasser | Ergebnisse der Bohrarbeiten am Papensee’- sickern aus dem benachbarten Hochmoor durch |schen Strande. Die Arbeit begann hier am 27. Juni den Sand, dringen in den Torf und fliessen überall | 1874, am nôrdlichen Rande des Hochmoores, 160 auf dessen Oberfläche dem Meeresufer zu. Die | Sashen = 1120 Fuss $. von dem zu der Schleuse Schicht ist hier 4 Fuss mächtig. Ein unterir-|führenden Wege. discher Wald. Fig: 11. Schleus N 15 BALT. MEER Nidd Æ2 3 PP le) po | Düne. = Hochmoor. Sp: : ——— Hoch & Laubwald uu] hewachsen. SES] Hochwald auf Diluvinn. LA Bohrloch Nr. 1. c) Sehr feiner, grauer Quarzsand; die Kür- a) Gelblichbrauner, lockerer Moostorf .. 12F. 37%. ner mikroskopisch klein. Enthält wohl b) Grünlichgrauer Lehm. Wasserhelle, erhaltene Schalen von kleinen Indivi- weisse scharfkantige Quarzkürner und duen von Cardium edule und Tellina weisse Glimmerschüppchen in grauem DOUCE REPARER TEE 7F. 4Z., Thone, von Wurzelfasern durchzogen. 4» 11 » | d) Grober (nordischer) Sand, bestehend aus 207 Bulletin de l’Académie Impériale 205 grossen, verschieden gefirbten Quarz- la) Brauner, brauchbarer Moostorf mit kürnern, aus scharfkantigen Bruch- Wurzelstücken von Birken (Betula), die stücken von Feldspath, Granit und lich- Rinde noch frisch, schimmernd, das Holz tem Kalkstein, und Glimmerschuppen; erau UN ZETIASOnt . Me Rene 8F. 9Z. durch kohlensauren Kalk verkittet . .. 2.112. |) Schwarze, braunkohlenartige Moorerde, 97 Dans 7. gemengt mit wasserhellen Quarzkür- Das Bohrloch Nr. 2 wurde bei dem sogenann- Re HAUrenRe ES FREE ten Schwarzen Ufer (aepnpi 6eperr) unweit do sa me A re es ; : “He blüht an der Oberfläche eine weisse des Kalnischie niedergebracht und ergab die nach- Sale 7 TRES 3F. 17. sehende Schrohtentoles : c) Hellgrauer Sand, wie d im Bohrloche a) Quarzsand (Düne) . ...:........... JR 29 7 Nr De ee AE OR 1850 b b) Schwärzlichbrauner Torf mit vielen d) Dunkelgrüner, thoniger Sand mit Scha- Âsten und Fasern von Nadelholz 4» 35» len der genannten Mecresmuscheln. .. 2 » — » c) Schwazer, fester, zäher Thon ....... 1» 9» le) Weiche, schwarze Torfkohle wie f im d) Hellgrauer Sand mittlern Kornes, be- Bohrioche NF 2%.-#2200 ROmRe 2» 2» stehend aus weissen, runden Quarzkür- f) Grünlichgrauer Lehm mit groben Quarz- nern, rothen Orthoklassplittern und kürnern, etwas weissem Glimmer, Or- dunkel gefärbten Quarzitkôrnern. In thoklassplittern und Bruchstücken dich- diesem Sande ganz rund abgeschlif- ten, weissen Kalksteins. Entspricht g fene Stücke dunkelgrauen, femkôürnigen im Bohrloche Nr. 2... L'oT GTANITES RE ee crc... 21» 2» Tr 360 7 +11 , A: TT 1 à ose he ne An Ee su Für lokale Bedürfnisse ist auch dieses Vorkommen len von Cardium und Tellina baltica . . 2» —» = zu verwerthen, f) Kompakte, homogene Torfkohle, glanz- : , . (es DANCE CR CE Bohrloch Nr. 4 im Hochmocre, an dem joe dem g) Grèuer Lehm mit groben Kôrnern Gesinde Nidden nach Swirgsden führenden Wege. grauen Quarzes, Weissen Glimmerschüpp- a) Dunkelbrauner, fester Moostorf mit chen,Kürnernfleischrothen Orthoklases; Wurzelstücken von Betula ......... 5 F.10Z. geht in Sand über ............... 1» 10» | 0) Feiner, von beigemengten Holztheïlchen 2GF. 2Z. graugefärbter Sand, durch den sich hol- zige Wurzelfasern ziehen .......... — » 10» Der Torf b dieses Profils ist, nach Popows An-|c) Grauer Sand, wie b, lockerer Trieb- nahme derselbe, der am Meecresufer zu Tage geht, Sand NS SES SCIAN 3 » 10 » und er soll sich weiter nach O. auskeïlen. Die Torf- 10 RME kohle f aber liegt in 31 Fuss Tiefe vom Tage und 22 Fuss unter dem Mecresspiegel, und ist identisch mit den Schichten e des folgenden Bohrprofils Nr. 3 und mit e in den Profilen des Bohrloches Nr. 1 am Medsen’schen Strande, so wie mit c des Bohrloches Nr. 3 unde des Bohrloches Nr. 6 dieser letztern Lokalität. Für lokale Bedürfnisse sind die Lager des Bobr- loches Nr. 2, bei Xalnischke, bauwürdig. Das Bohr- loch Nr. 3 wurde 700 Fuss O. von Nr. 2 auf dem Hochmoore niedergebracht und zeigte: Da in dieser Gegend von Privatleuten tiefere Bohrungen zur Entdeckung von Bernstein ausgeführt werden sollen, so kann bei dieser Gelegenheit nach- geholt werden, was hier versäumt worden war, näm- lich mit dem Bobrloche Nr. 4 bis unter die tiefere Torfkohle niederzugehen. Bohrloch Nr. 5. In der Nähe des Meceresufers bei dem Gesinde Midden. TE NO Z: 1744 a) Weisser Dünensand b) Grauer Sand 209 des Sciences de Saint -Pétersbourg. 210 ——————_—…—…—…—…—…——…—…——…—……“………<…’ c) Dunkelgrüner, sandiger Thon mit Mee- FESMUSCHENERREMEN Er. PRET. — EF. 6Z. d)Blaulicher Sand. 0.4 4.05 ue can 2 » —-» e) Dunkelgrüner, thoniger Sand mit Scha- len von Cardium edule und Tellina DaACAe MERE EMA MEN RER: 2 » — » f) Schwarzbraune, weiche Torfkohle ganz wie e im Bohrloche Nr. 3 ......... 1 > 11» Thon. Die sandiger 9) Dunkelgrüner , Quarzkôrnchen weiss und vollkommen durchsichtig, ähnlich wie ce und e .... —F. 7 Z. h) Grünlichgrauer , lockerer Sandstein. Kürner von grauem Quarz und Horn- : stein, Splitter von rothem Orthoklas. Entspricht den Schichten f im Bohr- loche Nr. 3 und g im Bohrloche Nr. 2. Bindemittel kohlensaurer Kalk 9 » Gesammtiefe — 32F. 82%. = Ph) Sand (Düne). ms Schwarzer Torf und Torfkohle. is] Gelber Moostorf des Hochmoores. . a) Blauer Thon. b) Blauer Sand. c) Blaugrüner Sand mit Mecresmuscheln. d) Blocklehm. Blicken wir auf die 5 Bohrprofile auf dem Hoch- moore des Rutzauer Strandes zurück, so sehen wir im Ganzen eine fast vollkommene Übereinstimmung zwischen ihnen und den Schichtenfolgen des Medsen’- schen Strandes. Hier wie dort haben sich die Torflager am west- lichen Fusse eines aus Sand und Lehm und Wander- blücken bestehenden Plateaus gebildet, das den Cha- rakter einer Untermoräne der Glacialzeit hat. Hier wie dort sind die in den Bohrlüchern durch- sunkenen Schichten wahrscheinlich nur eine Umlage- rung dieser Glacialschicht, und zum älteren Alluvium zu rechnen. Dort wie hier erscheint, in einem bestimm- ten Horizonte, als Dach eines Lagers von Torfkohle, ein maritimes Lager von glauconitischem, thonigem Sand, in welchem wohl-erhaltene Schalen noch jetzt lebender Arten des Baltischen Meeres liegen, Cardium edule und Tellina baltica. Dieses Lager subfossiler Muscheln beweist, dass das sich am Strande hinzie- hende alte Torflager nach seiner Bildung vom Meere überfluthet wurde. Dann aber zog sich das Meer, allmählich sinkend, bis auf seinen jetzigen Spiegel zu- Tome XXII. Don oue e rück. Wie weit dieser ganze Schichtencomplex sich einst von dem steil abgebrochenen, von einer Düne bedeckten Ufer, nach W. mag verbreitet haben, lässt sich nicht bestimmen Das niedrige Steilufer wird gegenwärtig nur von den Wellen der Sturmfluthen noch erreicht und allmählich durch Abbrechen landein- wärts vorgeschoben. Ob der Merresspiegel dieses Stran- des etwa auch jetzt noch im Fallen, oder in einer stabilen Periode sich befindet, darüber mangelt es uns an ent- scheidenden Beobachtungen. Und ist ja überhaupt die Frage über die Ursachen der Niveauveränderungen im Baltischen, wie in allen nordischen Meeren, noch eine schwebende. Mit Sicherheit sagen uns ja nur die subfossilen Muschelbänke unseres Nordens, dass grosse Länderräume Nordeuropas, Nordasiens und Nord- amerikas einst von Meereswasser bedeckt waren, in welchem schon dieselben Molluskenarten lebten, die es auch heute noch bewohnen. Bei fortgesetztem Su- chen würde es auch wobl gelingen in Curland, weiter landeinwärts Muschelbänke zu entdecken, wie es un- längst in Estland durch Fr. Schmidt geschehen ist. Wir sahen oben, dass am Strande bei Medsen zwei Torfschichten durchsunken wurden, eine obere, sehr dünne, neuere, und unter der Muschelbank eine etwas mächtigere, ältere, die aber auch nur dem älteren Alluvium, oder dem Diluvium angehôrt. Hier fehlt das Hochmoor. Am Rutzauer oder Papenseeer Strande haben wir 3 über einander gelagerte Torfschichten: Oben den gelben Moostorf des Hochmoores. Dieser geht nach unten in dunkelbraunen, festeren Torf über. In bei- 14 211 Bulletin de l’Académie Impériale 212 den liegen Reste verrotteter Wälder. Dann folgt noch unten schwärzlicher Thon und grobkürniger Sand, dann die Muschelbank und unter ihr eine kompakte schwarze Torfkohle. Dieses Vorkommen ist, ich wiederhole es, für lokale Bedürfnisse zu verwerthen, da die Lager nicht tief liegen und leicht abzubauen wären. Und wir hüren, dass die Bewohner des Strandes diesen Torf bereits zum häuslichen Gebrauch verwenden. Die chemische Analyse sämmtlicher von uns unter- suchten Torflager, so wie die Heizkraft derselben, werde ich am Schlusse dieses Berichts in einer ver- gleichenden Übersicht geben. IT, Die Ergebnisse der im südlicheu Curland auf den Ritter- gütern Essern und Meldsern ausgeführten Arbeiten, Ich hatte die Gegend von Essern zum ersten Male 1872 und später 1874 untersucht und das Thal bei dem Gesinde Warne, unweit des Pastorates Grüsen, als einen geeigneten Punkt zu Bohrversuchen nach Braunkohle angenommen, weil der Windau-Fluss hier nicht nur den blockreichen Glacialthon, sondern auch eine ganze Folge von Sandschichten und lockeren Sandsteinen bis in eine Tiefe von 57 Fuss durch- schnitten hat, in denen sich scharfkantige Bruchstücke von Braunkohle finden, die jedenfalls bei einer Um- lagerung von Braunkohlenflützen in diese Sande ge- rathen sein müssen. Nachdem ich 1874 am rechten Ufer bei dem Warncgesinde die ganze Schichtenfolge hatte blosslegen lassen, erhielt ich folgendes Profil. Fig. 13. a) Rother Glacialthon mit vielen Stumpf- kantnern nordischer, krystallinischer Gesteme nr tre uk b) Brauner, eisenschüssiger Sandstein mit Gerüllen von Qnarzit und Stücksand. . c) Hellgelber, feinkürniger Quarzsand mit einzelnen scharfkantigen Kürnernrothen Feldspaths 2.622... 2 d) Braungelber, thoniger Sand ........ e) Lockerer, gelblichweisser, feinkürniger, diagonal geschichteter Quarzsand, wie €, mit Feldspath-Bruchstücken . ... 3 bis 4» f) Braungelber, sandiger Thon mit kleinen Granitgerôllen von Erbsengrüsse. .... — » g) Lockerer, gelblichweisser Quarzsand ohne Blücke und Gerülle .......... h) Lockerer, gelblichweisser Sand mit klei- nen rothem Feldspathe, weissen Glim- merblättchen und einzelnen, kleinen, scharfkantigen Bruchstücken von Braun- kohle, die auf dem Querbruche Glanz zeigen. Eïinige gaben beim Brennen Bernsteimgeruch von sich. Dieser Sand ist diagonal und wellig geschichtet, und es kommen in ihm grosse Sandstein- SCHONEN VO ere dec een i) Hellgrauer, feiner Quarzsand ohne sicht- bare Schichtung und ohne Gerülle . .. Gelbgrauer,diagonalgeschichteterSand- stein mit Glimmerblättchen und einzel- nen Feldspathsplittern. Er ist ziemlich fest, sein Cement kohlensauer Kalk. 4 bis 5 » ) Lockerer, feinkôrniger, in seinen untern Schichten von Glauconitkürnern grünlicher Sand, diagonal ge- schichtet. Dunkler und heller gefärbte Schichten dieses Sandes wechseln mit einander. m) Alluvium des Windauthales. 20 » — » I D —— ) En —— })) Das Bohrprofil bei Warne gab die nachstehende en : nt beton aus runden Kôrnern von Quarz, rothem Orthoklas und dich- tem Kalkstein 3) Rother Lehm mit Kürnern wasserhel- len Quarzes und kleinen Bruchstücken 213 des Sciences de Sainté-Pétersbourg. 214 weissen, dichten Kalksteins und mit Glimmerschüppehen............. 4) Feiner, gelber Quarzsand, die Kürner meist rundlich, andere mit scharfen Kanten; weisse Glimmerschüppchen und kleine Gerülle von Granit und Quarzit 5) Quarzsand, etwas grüber als À 4 mit Splittern von Orthoklas. 6) Gelber, sehr feiner Quarzsand, fast ohne alle fremde Beimengung; nur wenige weisse Glimmerschüppehen und scharfkantige, bis 10 Linien lange Bruchstücke einer schwarzen, glanz- losen Braunkohle 7) Rother Lehm mit verkoh]ten Pflanzen- resten und weissenGlimmerschüppehen TS —) Dour ÉCRR 2» 8» 9) Gelber, thoniger Sand mit Gerüllen weissen Quarzes und dichten weissen Kalksteins . . :....... Po. …. 9» 8» 10) Rother sandiger Lehm mit kleinen Scharfkantnern von weissem und grauem Quarz und hellem Kalk- stein. ‘11) Graurother, sehr thoniger Sandstein mit Scharf- kantnern und Stumpfkantnern von Quarz und dichtem Kalkstein, wie À 10. 12) Weisser, weicher Kalkstein. In dem Bohrmehl dieses Kalksteins, das Herr Aka- demiker Schmidt mikroskopisch untersuchte, waren keine organischen Reste zu finden. Doch unterliegt es wohl kaum einem Zweifel, dass auch dieser Kalk- stein, wie der bei dem Pulwerkgesinde bei Meldsern erbohrte Kalkstein, der Kreide angehôrt. In diesem fand Professor Grewingk organische Reste der Kreide, die er genau bestimmen konnte: Cristellaria rotulata d’Orb. und Rosalina ammonoides Reuss, eine unbe- stimmbare Cytheina und Bruchstücke der faserigen Schalenlage von wahrscheinlichem Znoceramus”). Da mit dem Erbohren dieses Kalksteins jede Hoff- nung auf Entdeckung von Braunkohle verschwunden war, ward die Arbeit cingestellt. Sowohl die am Ufer der Windau blossgelegten und in Fig. 12 dargestellten, als auch die im Bohrloche bei dem Warnegesinde 8) C. Grewingk: Zur Kenntniss ostbaltischer Tertiaer- und und Kreidegebilde. Dorpat 1872. pag. 15. durchsunkenen Schichten gehôren der Alluvialzeit, der Quartärperiode und müglicherweise auch dem Tertiär- system an, wie z. B. der untere Sandstein / in*dem Profile X 12. Über die Schichtenfolge im Bohrloche eine genauere Altersbestimmung zu machen, halte ich für schwierig. Die unmittelbar auf dem Kalkstein lie- gende Schicht macht noch den Eindruck einer quar- tireh. Meldsern. Die bei dem Pulwerkgesinde in früherer Zeit nieder- gebrachten Bohrlôücher befinden sich in der Nähe des Lehdisck-Klusses. Ich wählte 1874 einen Bohrplatz, der 2 Werst und 200 Sashen NO. von dem Hofe Meldsern und 1 Werst 350 Sashen südlich von dem zu der Ziegelfabrik führenden Wege liegt. Ich hatte gehofift, die Arbeit werde auch hier, wie bei Grüsen, bis auf den die Braunkohlenformation unterlaufenden Kalkstein gebracht und die Frage damit vollständig erledigt werden. Obgleich sie aber linger dauerte, als die von Herrn Nikolsky an der Windau ausge- führte, und eine geringere Tiefe als diese erreichte, so gelangte das Bohrloch nicht bis an die Schichten der Kreide, weil sie ungenügend geleitet worden war und die vorgerückte Jahreszeit ihre Vollendung nicht gestattete. Vielleicht künnte sie später beendet wer- den. Die vorliegenden Resultate derselben sind jedoch der Art, dass sie keine Hoffnung auf Entdeckung bau- würdiger Flôtze geben. Bohrprotil von Meldsern 1874. Ich muss bemerken, dass Herr Nikolsky, der im Spätherhst 1874 die Arbeit bei HMeldsern auf meine Bitte revidirte, nicht einmal eine genügende Samm- lung von Bohrproben vorfand. Das daselbst geführte Journal und die vorhandenen Proben ergaben die nach- stehende Schichtenfolge: 1) Rother Glaciallehm mit scharfkantigen Bruchstücken weissen, weichen Kalk- steins und Granits; auch faustgrosse Stumpfkantnern von rothem und grauem Granit und von dichtem Kalkstein mit geriebener, glänzender geschrammter ODETCRÉRRE em ass er ss 2) Fetter, grauer Thon mit Scharfkantnern hellgrauen dichten Kalksteins und weis- sen Glimmerschüppchen; lôst sich im 14* 215 Wasser langsam auf, im trockenen Zu- stande sehr fest .. 3) Grauer Sand mittlern Kornes mitStumpf- kantnern dichten, grauen Kalksteins und grauen Quarzes. Sehr kleine Bruch- stücke 4) Grauer, sandiger Lehm mit kleinen Stumpfkantnern von dichtem, hell- grauem Kalkstein, grauem Quarz und rothem Rappakiwi-Granit, und mit kleinen Glimmerschüppchen ........ 5) Schwarzer, fetter Thon mit Schwefel- kies, weissen Glimmerschüppehen und abgerundeten Bruchstücken hellen Kalk- steins und mit Stückchen verkieselten Horse, ne eme he Quarzsand mit einigen wenigen Kürn- chen von rothem Orthoklas und mit kleinen Bruchstücken schwarzer Braun- kohle, die dem Sande die graue Farbe geben. Einige Bohrproben stellen schwarzen, von Kohle gefärbten Sand- SÉMADAR AC se Ha OR. lee cér 2 » 7) Grauer Thon mit weissen Glimmer- schüppchen und kleinen Stücken schwar- zer. Kohle und kleinen Stumpfkantnern Mec IQUANZES..20 MS met ve 16» — » D 7 À » In den Bruchstücken der verschiedenen, in diesem Profile aufgezählten Kalksteine waren keine organischen Reste zu erkennen, und daher ibre ursprüngliche La- gerstätte nicht zu bestimmen. Nur nach ihren litholo- gischen Kennzeichen kann man vermuthen, dass sie aus dem Silur, Devon, aus der Kreide und etwa aus dem Zechstein herstammen. Die tiefste im Jahre 1874 bei Meldsern erbohrte Schicht X 7 mag dem Tertiär angehôren, vielleicht auch die Schichton 5 und 6, die an die Schichten bei dem Pulwerkgesinde erimnern. Die Schichten À 1, 2, 3 und 4 gehôren wohl ohne Zweifel in die Quartärzeit. Fügen wir allen bei Meldsern und bei Grüsen ge- machten Erfahrungen hinzu: a) Dass bei dem zum Essernschen Gütercomplexe ge- hôürigen Gute Luisenhof, bei Pampeln, beim Graben eines Brunnens, in 24 Fuss 6 Zoll Tiefe, unter dem Diluvio ein festes anstehendes Gestein, wahrschein- Bulletin de l’Académie Impériale 216 lich Zechstein oder Jura, erreicht wurde: und dass also hier, wie bei Grüsen, keine Braunkohle zu er- warten ist. b) Dass die bei dem Pulwerkgesinde zu Tage gehende und in den Bohrlüchern erreichte tertiäre Kohle nicht bauwürdig ist und eine geringe Verbreitung zu haben scheint, so dürften weitere Arbeiten zur Auffindung derselben nicht indicirt sein. Will man sich aber über diese Verhältnisse Gewissheit ver- schaffen, so würden sich zur Anlage von Bohrlüchern vielleicht folgende Punkte eignen: Das zum Essernschen Complexe gehürige Gut Windaushof, die Landstelle Titéel und die Gegend zwischen dem Pulwerkgesinde und Niedergranden. Wir verweisen hierbei auf die ausführlichen, um- fassenden Mittheilungen Grewingk’s in den genannten Schriften, die jedenfalls etwaigen Untersuchungen zu Grunde gelegt werden müssten. IV. Curlands Torfmoore im Innern des Landes, Weit wichtiger als das wenig versprechende Vor- kommen von Braunkohle, sind für Curland seine gros- sen Moore guten Torfes, und besitzt es in denselben ein grosses, werthvolles Kapital, das vielleicht schon bald seine Anerkennung und Verwerthung finden wird. Wir werden hier nicht von den in der ersten Abthei- lung dieses Berichts beschriebenen älteren Torfmooren am Meeresstrande, die einst submarine subfossile Wäl- der bildeten, da sie von einer Meeresmuscheln ent- haltenden Schicht überlagert sind, sondern von Torf- mooren jüngsten Alters, die sich in den Erosionsmulden des Dilivium, im Innern des Landes gebildet haben. Sie erregten sofort meine Aufmerksamkeit, nachdem ich durch Herrn Ingenieur-Mechaniker Katterfeld von ihnen Nachricht enhalten hatte, und ich besuchte in Juni 1874 zunächst einen Theil des grossen Moores bei Durben und das Moor bei Preckuln. In beiden wird der Torf bereits gestochen und benutzt. Das Durbensche Moor. Das lettische Pastorat Durben liegt 26 Werst ONO von Libau. Wir fuhren dahin über Grobin, das auf einer etwas erhôühten Diluvialterrasse, die von hier in der Richtung nach N. noch hôher ansteigt und die wir bei Xapseden und Marten bereits als ein welli- ges Plateau kennen gelernt hatten, das Mittelcurland 217 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 218 von Nord nach Süd durechzieht. In seinen unzähligen, nach allen Richtungen verlaufenden Erosionsmulden ziehen kleine Flussläufe hin oder liegen kleine Torf- moore. Die Generalstabskarte, im Maassstabe von 3 Werst in Zolle, giebt eine recht genaue und klare Darstellung von diesen Verhältnissen, Die grüsste dieser Mulden wollen wir die Durben- sche nennen. Sie beginnt im Norden bei dem Gute Aistern und ist hier von dem 4 Werst langen Durben- See eingenommen, an dessen Südspitze das Städtchen gleiches Namens liegt. Dieser See, aus dessen nürd- lichem Ende der Durbe-Fluss an Zichau und Sacken- hausen vorüber nach Norden dem Meere zufliesst, ist sicherlich nur der kleine Rest des grossen Sees, der einst die ganze, gegen 28 Werst (4 deutsche Meilen) lange Mulde einnahm. Er bedeckte sich allmählich, von Nord nach Süd vorschreitend, zuerst mit einem schwankenden Pflanzenfils, der sich dann zu einem Torfmoor ausbildete. Ich erinnere hier an die aus- fübrliche Darstellung der Genesis der Torfmoore, wie Professor Senfft sie unlängst bei der Versammlung deutscher Naturforscher und Ârzte in Graz (1875) mitgetheilt hat. Das Torfmoor beginnt am westlichen Ufer des $ees und zieht sich von N.nach$. bis zu dem Gute Warwen des Baron Keyserling, der den Torf bereits ver- werthet. Bei Warwen nimmt es eine südôstliche Rich- tung, erweitert sich bis zu einer Breite von 3 Werst, und wendet sich, einen Bogen beschreibend, über das Gut Todaiken, in südwestlicher Richtung bis Wirgen und von hier nach Süd bis Paplaken, in dessen Nähe es von der auf einem diluvialen Querdamme angeleg- ten Libauer Eïsenbahn durchschnitten wird. Die di- luvialen Ufer desselben steigen fast überall ziemlich steil auf, und die Uferlinie kann auf weite Strecken hin wie an einem See erkannt werden. Südlich von dem Querdamme setzt es noch etwa 4 Werst bis zu dem Gute Xruten fort, bei welchem der Bartau-Fluss (Wartaga) aus dem Moore heraustritt und dann eine südwestliche und endlich eine westliche Richtung nach Niederbartau nimmt und dann mit einer Wendung nach Nord in das Südende des Libauer Sees mündet. Nach der erwähnten Karte kann die mittlerer Breite des Moores mindestens zu einer halben bis drei Viertel Werst angenommen werden, und würde daher sein Flächeninhalt etwa 14 bis 21 Quadratwerst betragen. In jeñer Weitung zwischen dem Pastorate Durben und dem Gute Warwen allein nimmt es einen Raum von mindestens 4 bis 5 Quadratwerst ein. In dieser Ge- gend glaubte Herr Katterfeld eine mittlere Mächtig- keit des Torfes von‘ 7 Fuss annehmen zu künnen. Bei dem Pastorate sticht man ïhn bis in 7 Fuss Tieïe. Weiter von den Ufern soll er eine Mächtigkeit von 20 Fuss erreichen. Er ist von vorzüglicher Qualität, schwarz, fett und so zähe, dass die Ziegel auch bei heftigem Wurfe aus der Grube nicht leicht zerfallen. Getrocknet ist er sehr fest und eignet sich daher gut zu weiterem Transport. (represst würde er gewiss ein gutes Heizmaterial selbst für den Gebrauch auf Loco- motiven liefern. Lufttrocken wird er seit Jahren in dem zum Pastorate gehürenden Gebiete in allen Woh- vungen und Riegen verwendet. Pastor Katterfeld, der mit diesem Beispiele vorangegangen ist, sprach sein Bedauern darüber aus, dass man z. B. in dem Städtchen Durben noch immer statt des nahen Torfes das Holz verwendet, das von Unberufenen heimlich aus den Privatwäldern der Nachbarschaft genommen wird. Die gerichtlichen Verfolgungen dieses Wald- frevels wollen kein Ende nehmen. Ich habe es bedauert, dass die Zeit und die Mittel fehlten, dieses schône, grosse, günstig gelesene Moor näher untersuchen und abschürfen zu lassen, wie es an den Mooren von Preckuln und Essern geschehen ist, spreche aber die Hoffnung aus, dass die Besitzer des Durbenschen Moores es nicht unterlassen werden, mit vereinten Kräften an dieses Werk zu schreiten. Ich kann noch hinzufügen, dass ich bei meiner An- wesenheit in Zibau im August 1876, in Erfahrung brachte, dass der Gebrauch des Torfes daselbst in emigen Privathäusern bereits begonnen hat. Bei der Hôhe, die die Preise des Holzes gegenwärtig in Libau erreicht haben (18 bis 20 Rubel für einen Cubikfaden Kieferholz und 22 bis 24 Rubel für Erlen- und Bir- kenholz) ist es wahrscheinlich, dass der Gebrauch des Torfes bald allgemein werden wird, obgleich er aus dem Moore des Gutes Z{jen, üstlich von Grobin, etwa 14 Werst weit nach Libau geführt werden muss. Wenn man von München nach dem Slarenbergersee oder über Salzburg nach Graz reist, so wird man sehen, dass man auf den Lokomotiven dieser Eisenbahnen nur Zorf und Braunkohle verwendet. Ich bezweifle keinen Augenblick, dass wir der Zeit 219 Bulletin de l’Académie Hmpériale 220 a ——— nahe sind, wo die Eisenbahnen von Libau nach Riga und nach Aoschedary den Gebrauch des Curlindischen Torfes einführen werden. Das Preckulnsche Moor. Das dem Baron Korff gehôürige Gut Preekuln liegt an der Libauer Eisenbahr in der Nähe der Eisenbahn- station gleiches Namens, und wird von dem Baron 3ehr verwaltet, Die Waldbestände dieses Gutes waren bereits bedeutend gelichtet, als Baron Behr die Ver- waltung antrat, und dieser Umstand veranlasste ihn, das dicht bei dem Gute belegene, schüne Torfmoor zu untersuchen und zu verwerthen, um den Wald wieder aufforsten und dann rege]mässig bewirthschaften zu künnen. Diess geschah durch den thätigen Mann in rationellster Weise. Er studirte im Auslande die Torf- industrie, schaffte sodann gute Torfstichmaschinen und Pressen an und nahm die Fôrderung sogleich in An- erif. Herr von Behr hat das Verdienst in Curland, die Bereitung des Presstorfes zuerst eingeführt zu haben und diesem guten Beispiele sollen einige semer Nachbaren bereits gefolgt sein. Ich besichtigte das Moor in der Gesellschaft des Herrn von Behr am 2i. Juni 1874. Der Hof und die Eisenbahnstation Preckuln legt 8 Werst üstlich von dem ôstlichen Ufer der südlichen, von dem Bartauflüsschen durchstromten Hälfte des Durbenschen Moores, auf jenem, bereits oben erwähn- ten diluvialen Plateau des mittleren Curlands. Das Moor beginnt in der unmittelbaren Nähe des Hofes und der Eisenbahn und tritt letzterer so nahe, dass man die gestochenen Torfziegel mit geringer Anstren- gung auf ein Fuhrwerk der Bahn werfen künnte. Es hat eine Länge von 6 bis 7 Werst, ist an seinem nordlichen Ende bei Preekuln über 3 Werst breit und hat eine Richtung von hora 9!/, NW. nach S0.; dann verjüngt es sich mit enmer Wendung nach S. und er- reicht bei der Forstei Alein-Treken und bei AXlein- Gramsden sein Ende. Auf dem Gebiete von Preekuln hat das Moor emen Flichenraum von 200 Dessätinen, auf Gramsdenschem und Zrekenschem Gebiete 100 Dessätinen. Die gute Beschaffenheit und die günstige Lage des Moores, an der Eisenbabn, veranlassten mich es an mehreren Punkten durch einen der mitgenommenen Steiger abbohren und den gepressten Torf auf seinen Brennwerth im chemischen Laboratorium des Finanz- ministeriums in St. Petersburg bestimmen zu lassen. Ich theile weiter unten die Resultate dieser Unter- suchungen mit, will aber vorausschicken, dass Herr von Behr den Gebrauch seines Torfes schon vor meh- reren Jahren nicht nur auf dem Hofe und seinen agro- nomischen Dependenzen, sondern auch in den Bauer- gesinden des ganzen Gutes eingeführt hat und das Holz nur noch zum Anzünden des Torfes gebraucht. Den Bauern, Pächtern und Knechten hat er auf sei- nem Moore Parcellen angewiesen, denen sie ihren Be- darf an Torf unentgeltlich entnehmen dürfen. Der Preekulnsche Torf ist schwarz, zähe wie der Durbensche, giebt, stark gepresst, briquets von'solcher Härte, dass man sie nur mit einem Hammer zerschla- gen kann. In verschiedenen (egenden des Moores hat er, wie in allen Torfmooren, verschiedene Beschaffen- heit: er ist an manchen Stellen gelblich und locker, aber auch hier brauchbar. Es ist mir unerachtet aller Bemühungen nicht ge- lungen mit dem Torfe von Preckuln Versuche auf der Libauer Eiseabahu anstellen zu lassen. Da das Moor die Bahn unmittelbar berührt und der Torf sehr guter Qualität ist, so wäre es dringend zu wünschen, dass die Versuche gemacht würden. Das Preekulnsche Moor ward an vier Stellen abge- bohrt. Ich theile die erhaltenen Prafile mit. M1. Schwarzer Torf ....... 7F. 621 Heller Torf ......... 2» —» H11 F. 6Z. Schwarzer Torf....... 2» —»} Bläulichgrauer Thon... —» 6» 12 Fuss. MO Celber Lehm. .. D Pr Dunkelbläulicher Thon.......... = M8 Grauer Thon ce 20... 5) 40 Schwarzer Torf ............... 3» 4» Bläulicher Lehm ........... - 2» 115 GTrober Sand RE oe —) 100 Schwärzlicher Thon mit Gerüllen .. 2» 2» Grauer None APE 8» 9 Grober Sand mit Gerdllen, Blôcke von Granit und Kalkstein . ..... —_) 0 24 Fuss. des Seiences de Saint-Pétersbourg. 22? 221 NOUS MR LE nr. pese ttes LORIE 7; Blauerelon er ten 1020) Grater Thon 0,0, 210, COL ET ET Thon von hellrosenrother Farbe ... 1» 85» Blücke von Granit und Kalkstein .. — » 9» 19 Fuss. A0 ASIN à PO RE “e 9F. Rôthlicher Thon .............. 1» 6» Blücke von Granit und Kalkstein .. —» 3» AE NOZ: In allen 4 Bohrlüchern bildet grauer oder bläuli- cher Thon und Lehm die Unterlage des Torfes, und in à derselben wurden unter den diesen Thon unterla- gernden Thon- und Sandschichten, Granit- und Kalk- steinblücke gefunden, die übrigens nicht näher unter- sucht worden sind. N: 1 unterscheidet sich wesentlich von den drei an- dern Profilen dadurch, dass in demselben zwei Schich- ten schwarzen Torfes durch eine Schicht helleren ge- trennt sind. Essern’schen Gütern Nolcken. Die Torfmoore auf den des Baron G. Der Besitz Æssern bildet einen Complex von 19 Gütern, die man in drei grosse Oekonomien, Æssern, Pampeln und Ringen, gruppirt hat. Jede derselben hat einen Hauptverwalter. Der ganze Besitz ninmt einen Flächenraum von 350 © Werst ein, auf dem 330 Bauergesinde stehen und gegen 8000 Menschen woh- nen, und gehôrt zu den fruchtbarsten und bestange- bauten Gegenden Curlands. Wenn schon eine so ansehnliche Bevülkerung in ihren Häusern und Riegen grosse Massen von Holz verwenden, so wird der Bedarf desselben noch dadurch sehr gesteigert, dass sich auf den Essern’schen Gütern Branntweinsküchen, Kalkbrennereien und Ziegelhüt- ten befinden. Die Forste sollen hier in früherer Zeit ziemlich umfangreich gewesen sein. Sie sind jedoch zur Zeit, die der Verwaltung durch den jetzigen Be- sitzer voranging, bedeutend gelichtet worden, und der Nachwuchs entsprach dem Bedarfe in ungenügender Weise. Ehe ich den Bohrplatz bei Grüsen wählte und die Gutsverwaltung aufforderte nach Torf zu suchen, be- reiste ich in der Gesellschaft des ältesten Sohnes des Baron Nolcken, den grüssten Theil des ganzen Be- sitzes, um die geologischen Verhältnisse kennen zu lernen. Bei dem Hauptgute Gross-Essern *), gehen die Thal- einschnitte sowohl am Waddaxflusse als in den in ihn mündenden Schluchten nicht tiefer als in den rothen Glaciallehm, der auch hier reich an Stumpfkantnern nordischer krystallinischer Gesteine, verschiedener hellfarbiger Kalksteine dichten Gefüges ist. Ich sah hier nur einen einzigen Riesenblock von Rappakiwi- Granit. Derselbe hat früher auf dem benachbarten Hofsfelde von Essern gelegen und steht jetzt in dem schünen Schlossparke als Denkmal für Baron Bruno Toll, der diese Güter von 1845 bis 1855 als Bevoll- mächtigter des früheren Besitzers, Baron Stieglitz, verwaltet hat. Die nähere Beschreibung und Abbil- dung dieses Blockes werde ich in der zweiten Liefe- rung meiner Studien über die Wanderblücke und die Diluvialgebilde Russlands geben. Wir besuchten zunächst (im Juli 1874) von Essern aus das, 18 Werst nach N. belegene Gut Pampeln, das von einem intelligenten Agronomen, Herrn Eschenbach (aus Preussen), verwaltet wird. Auf dem ganzen Wege war nur Ackererde, Blocklehm und hin und wieder Heide zu sehen. Zwei Werst von lampeln, an dem rechten Ufer des Sangneflüsschens ist der Di- luviaiboden 20 Fuss hoch entblüsst, an einer steilen Wand. Die obere Abtheïilung dieses Profils besteht aus rothem, mergeligem, undeutlich geschichtetem Glacialthon, in welchem viele Stumpfkantner von Gra- nit, Gneiss, rothem Porphyr, rothem Quarzit liegen. Die Blücke erreichen bis 3 Fuss im Durchmesser, sind aber in der Regel nur kopf- und faustgross. An manchen derselben bemerkt man deutlich Reibungs- fächen, wie an den Blôcken der Untermoränen der Gletscher. Fast die Hälfte aller in dieser Abthei- lung eingeschlossenen Blôcke gehürt aber nicht kry- stallinischen, sondern hellgefärbten, gelblichen und grauen Kalksteinen an, die sowohl aus Permischen als auch aus Devonischen Schichten abzustammen schei- 9) Essern liegt an der Mündung des Esserbaches in den Wad- daxfluss und dieser fliesst in das rechte Ufer der benachbarten Windau. 223 nen, Auch sie sind nur an den Kanten abgestumpft und nicht gerollt. Die grüssten derselben haben 8 bis 10 Zoll Durchmesser. An einem derselben sah man eine Schlifffäche mit deutlichen Schrammen. Solche Stücke kônnen entweder von einem geschliffenen Mut- terfels losgetrennt und von Eis weggetragen sein, oder ihren geschrammten Schliff in der Untermoräne eines Gletschers erhalten haben. Die untere Abtheilung des Durchschnitts war deut- licher geschichtet und enthielt viel weniger Blücke. Von Pampeln aus besuchten wir die Steinbrüche bei Lukken, an deren senkrechten Felswänden man unmittelbar unter dem Diluvium den Permischen Kalk- stein blossgelegt sieht, ‘ohne dass der grosse Hiatus durch Gesteine einer andern Periode ausgefüllt wäre. Da nun bei dem Bunke-Gesinde, auf Essernschem Gebiete, Juraschichten anstehen, da man im Meldsern und bei Grôsen unter diluvialen und tertiaeren? Schich- ten die weisse Kreide erbohrt hat, so kann man daraus schliessen, dass die unmittelbare Auflagerung des Di- luvium auf dem Permischen bei Lukken, eine Folge der Erosion ist, welche hier Jura, Kreide und Tertiae- res zerstôrte. Dass hier das Wasser seine erodirende Wirkung geltend gemacht, geht unter anderem auch daraus hervor, dass in dem Kalkstein von Lukken, nach Aus- sage der Arbeiter, nicht selten Riesenkessel angetrof- fen werden. Bei unserm Besuche sahen wir zwei der- selben an der frisch gebrochenen Steilwand des rech- ten Ufers. Ich werde sie später in der zweiten Lieferung über die Diluvien Russlands abbilden und beschreiben. Die vielen, schün erhaltenen Juraversteinerungen, die man als Gerülle in dem Thale der Windau bei Niegronden und Grüsen, und Septarien, die man nach Herrn von Behr’s Angabe im Diluvio bei Preckuln findet !°), sprechen ebenfalls dafür, dass hier erodirende Prozesse in grossem Maasstabe stattgefunden haben. Von besonderem Interesse scheint mir das Vorkom- men der Septarien bei Preckuln. Ohne die Angabe be- 10) Exemplare dieser Versteinerungen und der Septarien habe ich in dem Museum des Berginstituts in St. Petersburg deponirt,. — Erstere verdanke ich der Güte des Pastors zu Grüsen I. Rosen- berger. Im Diluvium bei Preekuln wurde auch ein Exemplar von Ortho- ceratites vaginatus (Silar aus Estland} gefunden, und im Diluvium bei Grüsen, Chaetetes Petropolitana, bei Essern ein Prachtexemplar von Catenipora escharoïdes. Bulletin de l’Académie Hmpériale 224 zweifeln zu wollen, dass man bisher den Septarienthon in Curland nicht gefunden habe !), bin ich doch ge- neigt zu glauben, dass er daselbst, von Diluvien und Alluvien maskirt, vorkommen künnte. Da die Septa- rien benannten Concretionen und der sie umschlies- sende Thon, der in Posen, in Norddeutschland, in der Schweiz, im mittleren Oligocän, z. B. über der Braun- kohle des Samlandes vorkommt, weder in Finnland und Schweden, noch in Liv- und Estland auftritt, und da ein Transport von Gesteinstrümmern in der Rich- tung von $. nach N. in der Eisperiode und der Dilu- vialzeit nachweislich nicht stattgefunden hat, so bleibt nur anzunehmen, dass die bei Preckuln gefunde- nen Septarien aus dem Boden Curlands herstammen, in welchem der anstehende Septarienthon da, wo er mit den Jura und Kreideschichten den Angriffen der Erosion entging, noch aufgeschlossen werden künnte. Ein solcher Aufschluss wäre zu erwarten, wenn man auf den, die Flussthäler des mittlern Curlands tren- nenden, grossen, ebenen Plateaus, Bohrlôcher bis ins Permische und Devonische hinab triebe. Nur auf diese Weise, durch Tiefbohrungen, würde man in Curland alle geologischen Glieder seines Bodens vollständiger kennen lernen. Auf einer Rückfahrt von Grüsen nach Æssern be- suchten wir eine, der «Æummelsberg» genannte Hühe, den hüchsten Punkt der ganzen Gegend. Dieser iso- lirte Hügel erhebt sich 20 bis 30 Fuss über die ïhn umgebende Ebene und besteht aus sandigem Lehm mit vielen Stumpfkantnern nordischer krystallinischer Gesteine, An seinem Fusse breitet sich das in dieser Gegend vorherrschende Heideland aus. Dieses besteht aus einem feinkôrnigen, grauem Sande, auf dem nur Gestrüppe, niedriges Gras und Heidekraut wächst, und auf dem hie und da, so auch am Æummelsberge, sich dünne Torfschichten gebildet haben. Eine dersel- ben wurde durchgraben und zeigte 1 Fuss Dicke. Unter ihr folgte feiner grauer Heidesand. Dieses, wenn- gleich sehr geringe Vorkommen von Torf gab uns die Veranlassung zu weiteren Nachsuchungen in andern Theilen des Essernschen Gebietes aufzufordern, und nachdem in der That einige Torfmoore aufgefunden waren, liess Herr Nikolski sie durch Bohrarbeiten abschürfen. Sie liegen bei den Gesinden Pipe und Stre- 11) Rene Zur Kenntniss ostbaltischer Tertiaer- und Kreide- gebilde, pag. 3. 225 des Sciences de Saïint-Pétersbourg. 226 bul, üstlich, Tirel westlich von dem Gute Pampeln; bei dem Gesinde Puksche Purwe T bis 8 Werst nord- üstlich und bei dem Gute Garosen, 4 Werst nôrdlich von Æssern. In Pipe wurden 2 Bohrlücher niedergestossen, die eine Gesammttiefe von 57 Fuss 1 Zoll haben. Das Bohrloch M 1 gab die Schichtenfolge: 6, TP USE PNR ERP Eee DE 7. b) Thon mit Pflanzenresten und Muscheln 25» 6» c) Thoniger Sand mit Pflanzenresten ... 1» 2» d) Thoniger Sand mit Gerüllen........ 2» 25» e) Rother Lehm mit Gerüllen. ........ 19» 4» . 28F. 32. Das Bohrloch X 2. à) Ie ER RE Me cle DH TZ, b) Thon mit Pflanzenresten und Muscheln 5 » 10 » €) Thon mit Muscheln .............. 2» — » d) Dunkelblauer Thon mit Muscheln ... 1» 7» e) Thoniger Sand mit Gerüllen........ 5» 5» f) Rother Lehm mit Gerüllen......... 13%) 28F. 107. In Strebul wurde 19 F. 6 Z. tief gebohrt. Der Torf hat hier eine Mächtigkeit von 3 F. 10 Z. und unter ihm folgt eine Thonschicht mit Pflanzenresten und dann rother, thoniger Sand mit (Gerüllen. In Zirel liess Herr Nikolsky 3 Bobrlücher anlegen, die eine Gesammttiefe von 95 F. 8 Z. haben. Im ersten Bohrloche hat das Torflager eme Dicke von Imazweitens. msi : EmAdrittene esse Re en Tom Das Bohrloch À 2 wurde bis in die Tiefe von 51 F.9Z. gebracht und zeigte folgenden Durchschnitt: TE. —7. 2 » DONS. Lu se D SE ete AF. 22. b) Thon und thoniger Sand mit Pfanzen- MÉSÉON fees de eo MAS ce HS ES 18» 11» c) Thoniger Sand mit Gerüllen........ 3» —» d) Rother Thon mit kleinen Gerüllen ... 2» 2» e) Rother thoniger Sand mit Gerüllen... 21» 9» HEC DIODE ee 2e slide de ne + es eee 11 RE 51E,:927: Ich führe diese Durchschnitte bei Pipe und Strebul an, um zu zeigen, wie verschieden der Untergrund des Torfes an nahe bei einander gelegenen Orten ist. Tome XXII. Zu der Bestimmung der mittlern Mächtigkeit und des Flicheninhalts der drei Moore wurden noch 41 Bohrlôücher von geringer Tiefe angelegt, und diese er- gaben für die erstere 3 Fuss und für den Flächen- inhait 10 Dessätinen. Den Torf nennt Herr Nikolsky Holztorf und ist der Meinung, dass die drei Moore nicht mit Vortheil ausgebeutet werden künnen. Das- selbe gilt auch für das kleine Moor bei Garosen. Diese ersten Untersuchungen veranlassten aber noch andere und führten zu der Entdeckung eines 26 Dessä- tinen einnehmenden Moores bei Puksche-Purwe, un- weit der Okonomie Saatingen. Es wurde mit 35 Bohr- lüchern abgebohrt und die mittlere Mächtigkeit der Torfschicht zu 4 Fuss und die Gesammtmenge des in ihm enthaltenen Torfes, in getrocknetem Zustande, zu 17,500 Cubik-Sashen bestimmt. Bemerkenswerth ist noch der Umstand, dass die obere Torfschicht dunkelbraun und die untere heller gefärbt ist. In der Regel pflegt dies umgekehrt zu sein. Baron Nolcken ordnete nun die Anschaffung von Stichmaschinen und Torfpressen aus Preussen an, und nach dem Eintreffen derselben ward sofort an die Ar- beit und zugleich zum Suchen nach neuen Mooren geschritten. Als ich im Sommer 1876 wieder Essern besuchte, erhielt ich über die neuen Funde und auch darüber Mittheilung, dass in diesem Jahre auf den Essernschen Gütern bereits circa 2000 Faden Holz durch Torf ersetzt werden, und dass die Essernschen Moore mit der Zeit den Gebrauch des Brennholzes fast ganz und auf sehr lange Zeiten verdrängen wer- den. Eine eben so erfreuliche Nachricht war die, dass benachbarte Gutsbesitzer die Essernsche Torfindustrie in Augenschein nahmen, und dem guten Beispiel wabr- scheinlich und umsomehr folgen werden, als der Es- sernsche Presstorf von ganz vorzüglicher Qualität ist. Vergessen wir auch nicht, dass die Eisenbahn von Riga über Mitau nach Mosheiki das Gebiet von Essern bei dem Gute Ringen durchschneïdet. Die chemische Analyse des Torfes aus den Mooren von Preekuln, Essern und vom westlichen Meeresufer Curlands gab folgende Resultate: 1) Der Presstorf von Preekuln ward in dem Labora- torium des Finanzministeriums unter der Aufsicht des Herrn Kulibin, und im Polytechnicum in Riga von Herrn G. Thoms untersucht. 15 22% Bulletin de l’Académie Empériale RE — '— — ———…—…"”"”—"——_-—— —-— —>’'”>—>—”>”"—"—"—"_—" ’— _— — — Im St. Petersburger Laboratorium ergab sich die Zusammensetzung wie folgt: Hygroscopisches Wasser und flüchtige Theile. 64,25 ROMEO NÉE RP me ce 24,90 AS CNE RME Ce meme ee ie ner ao eue ole 10,86 100,00 Die Asche besteht aus Sand und Kalk. Die Heiz- | kraft (nach Bertier’s Methode bestimmt) beträgt 3162 Einheiten. Aus dem Rigaer Polytechnicum ward folgendes Re- sultat mitgetheilt: Der Preekulnsche Presstorf enthält in Procenten 22s AnKohlenstoff. see sel. ce 31229 p.24 WaSSeTS RON RM ENS Da ee 4,130 » STICKSTOTE 2 GARMIN EE 1,809 | Do D AUCESLOI CEE CE 20,335 » Wasser bei 100—110°.......... 22,800 ». tASChe ee aan Lt 13,690 | 100,000 Die relative Heizkraft verschiedener Brennmate- rialien ergiebt sich aus nachstehender Übersicht, | welche den bekannten Untersuchungen von P. W. 3rix entnommen wurde. Die Zahlen bedeuten deren Gewichtstheile Dampf aus Wasser von 0° erzeugt mit 1 Gewichtstheil Brennstoff. ——————— Holzarten: KTGTer TEEN RE PTS TA, BITES ARR NE NP me BCE RER RAEA ER LEE LES Sein une HAChER isa te M A Torf: Stichrevier Linie Flatow Sorte I......... ei LI RAR RE LE L PEER Steinkohlen: Inde-Ruvier Die chemische Zusammensetzung des Preekulnschen Torfes entspricht der des Torfes aus dem Stichrevier Linie Flatow Sorte I. Mithin darf angenommen wer- dep, dass ein Gewichtstheil des Preekulnschen Tortes getrocknet mindestens 4,75 Gewichtstheile Dampf aus Wasser von 0° erzeugen wird. G. Thoms, Versuchschemiker des Rigaschen Polytechnicums. Riga den 26. März 1873. 2) Der Torf von Pukische-Purwe (im Gebiete des Gutes Essern) gehürt zu den harzigen Arten und bil- det einen Übergang zur Braunkohle. Die obere Schicht des Lagers ist lockerer, die untere viel dichter und so fest, dass man die Stücke nur mit Mühe zerbrechen kann. | Mittel Maximum | Minimum lungetrocknet. getrocknet. getrocknet. _ — iles a _— EE se — 3,79 5,11 4,21 3,52 8,72 4,38 3,96 3,36 3,51 4,11 3,37 2,36 53 4,58 3,62 3,55 3,02 5,09 5,42 4,75 5,14 2,81 6,49 4,66 3,43 | 5,07 5,81 4,35 8,71 8,63 9,00 8,17 Obere Schicht. Hygroscopisches Wasser und Untere Schicht. flüchtige Substanzen . .... 13,19 65,25 Kohlénstoff.” 4:65 ..,,.5:0: 13,52 30,90 ASChER MER IE Eee 12,69 3,89 100,00 100,00 Die Heizkraft beträgt . . ... 3374 E 4003 E. Die Asche beider Schichten besteht aus Kalkerde mit einer Beimengung von Gyps, Sand und einer ge- ringen Menge von Eisenoxyd. 3) Der braunkohlenartige Torf vom Meeresufer bei Medsen, 18 Werst N von Libau. Hygroscopisches Wasser und flüchtige Theile. 34,23 Kohlenstoff 18,47 Asche 229 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 230 Die Asche besteht aus Kalkerde mit einer Beimen- gung von Gyps und Eisenoxyd. Die Heizkraft — 2962 Einheiten. 4) Der Torf vom Mecresstrande bei Papensee in der Gegend des Rutzauschen Kronsforstes 45 Werst S von Libau. Hygroscopisches Wasser und flüchtige Theile. 67,32 PE OR AS DE PE Re 28,02 ASCDORE NS NN MS ee ARR MARS 4,66 100,00 Die Asche besteht aus Kalkerde, Sand und einer geringen Beimengung von Gyps und Eisenoxyd. Heizkraft (nach Bertier) — 3588 Einheiten. Herr Kulibin theilte uns noch den folgenden Ver- gleich der oben angeführten Torfmnore mit. Will man den Torf als Heizmaterial verwerthen, so würde, um eine Cubik-Sashen Birkenholz zu ersetzen, erforder- lich sein: Presstorf aus Preekuln 304 Pud. Torf aus der obern Schicht bei Pukshe Puriwe 285 » Torf aus der untern Schicht bei Pukishe Purwe 240 » Torf vom Strande bei Medsen ......... 324 » Torf aus der Gegend bei Papensee ...... 268 » Die durch vorstehende Untersuchungen gewonnenen Resultate kann man, wie folgt, zusammenfassen: 1) Die bei der Stadt Grodno, im Schwarzen Thale (depras Gaara) als Braunkohle des Tertiaeren ange- gebene Schicht ist ein diluvialer, brauchbarer Torf, dessen Verbreitung näher untersucht zu werden ver- dient. 2) Die am westlichen Ufer von Curland, nôrdlich und südlich von Libau, als Braunkohle angezeigten Schichten sind ältere Torflager, die unter einem, mit Schalen noch jetzt im Baltischen Meere leben- der Muscheln angefüllten Sande liegen. Dieser Torf ist für lokale Zwecke brauchbar. 3) Das Bohrloch bei Grüsen (Gut Essern) zeigte nur schwache Spuren von Braunkohle und erreichte die weisse Kreide; daher hier keine Hoffnung ist, ter- tiaere Braunkohlenlager zu entdecken. 4) In den Torfmooren von Durben, Preckuln und Es- sern ist ein Vorrath guten und besten Torfes nach- gewiesen, aus dem nicht nur die curländischen Eisenbahnen, sondern ein grosser Theil des ganzen Landes nachhaltend mit Presstorf versehen werden künnen. V. Der Bernstein in Curland. Wir wissen, dass der Bernstein (oder Agtstein) schon den älteren Vülkern unter dem Namen électron und electrum bekannt war und dass man ihn nicht nur zum Schmuck, sondern auch als Amulet gegen Ge- fahren und gegen manches Gebrechen des Leibes und der Seele verwendete, wie das zum Theil noch heute geschieht. Die vielen fabelhaften Wirkungen, die man im zuschrieb, so wie manche unrichtige Angaben über seine Fundorte und die sonderbarsten Vorstel- lungen von seiner Entstehung, wies schon Plinius zurück®*); man wusste bereits vor ihm%), dass der Bernstein, wie der Gummi aus Kirschbäumen und wie das Harz aus den Fichten, so aus den Stämmen von Nadelhülzern herstammen, daher er auch succinum genannt wurde. Plinius wusste aber auch, dass er auf «den nürdlicher Inseln des Oceans» gefunden wird, von denen einige den Namen /nsulae glessariae erhielten ), dass er von den Wellen an den Meeres- strand ausgeworfen und von den Bewohnern des Nor- dens nach Pannonien gebracht wurde. Ein rômischer Ritter wurde in das Bernsteinland des Nordens entsen- det, um Bernstein zu kaufen, mit dem man beï einem : Fechterspiele zur Zeit des Kaisers Nero verschiedene Gegenstände schmücken wollte, wie z. B. die Waffen, die Todtenbahre und die Netze, welche das untere Podium des Theaters vor dem Einbruche der wilden Kampfthiere schützten. Dieser Ritter soll ein Stück von 13 Pfund mitgebracht haben. Auch war es Plinius bekannt, dass man in dem Bernstein kleine Thiere, z. B. Ameisen und Mücken, eingeschlossen findet. Er führt dies als Beweis dafür an, dass der Bernstein in flüssigem Zustande aus den Bäumen ausgeflossen ist, so dass die Insekten an ihm 12) Plinius, Naturgeschichte 37. Buch, 3. Capitel. 13) Der berühmte Geograph und Mathematiker Pytheas, aus Massilia (dem heutigen Marseille) lebte zu Anfang des 8ten Jabr- hunderts v. Chr. und unternahm eine Seereise, die ihn nach Can- tium (jetzt Kent), dann nach Thule und in das Bernsteinland führte. Er gab eine Beschreibung dieser Reise in griechischer Sprache unter dem Titel « Periodos oder Periplus» heraus, von der sich nur Bruchstücke erhalten haben. 14) Môglicherweise die Inseln in der Mündungsgesend der Elbe. 15* 231 Bulletin de l’Acadéimie Empériale 232 —Z—Z— kleben bleiben und dann allmählich ganz von dem Harze eingeschlossen werden konnten. In Europa kommt der Bernstein in verschiedenen Formationen und Gegenden vor. Die Literatur über denselben ist bereits eme sehr umfangreiche und wir finden sie in W. Runge’s belehrenden Schrift «Die Bernsteingräbereien im Samlande, Berlin 1869» Ÿ) sehr vollständig verzeichnet, und wollen hier nur einer neuern, unlängst in Frankreich von Rebaux verfassten Schrift «Sur l’ambre» !°) erwähnen, so wie der durch Gust. Rose bekannt gewordenen Angabe des Professors Engelhardt in Dorpat, dass der Bern- stein sogar im Ungulitensandsteine unseres Baltischen Unter-Silur vorkommen soll. Dies wäre das älteste Vorkommen desselben, wenn es sich bestätigen sollte, was sehr unwahrscheinlich ist, da man in unserer Si- lurformation nur Fucus und keine Spur von Coniferen kennt. Einen werthvollen Beitrag zur Kenntniss des Bern- steins der norddeutschen Ebene hat neuerdings L. Meyn geliefert in der Zeitschrift der Deutschen geo- logischen Gesellschaft XXVIII. Band 2. Heft pag. 171—198. Im Gypse von Segeberg, der zur Trias gehôrt, wird er von Pfaff, in dem untern Oolithe der Porta West- falica von Duncker, mit fossilem Coniferen - Holze; in einer Pechkohle des Pläner (Kreideperiode) bei Skutsch, unweit Richenberg in Bühmen, von Reuss, im Grünsand bei Türbau und im Brünner Kreise in Mähren von Glocker, in Sicilien, bei Castrogiovanni und Cal- tascibetta 7) im älteren Secundär- Gebirge (?) *) von Fr. Hoffmann”). Alle diese Fundorte, deren geologisches Alter Je- doch nicht in allen Fällen genau bestimmt ist, haben aber, wegen der sehr geringen Menge des an ihnen vorkommenden Bernsteins nur eine wissenschaftliche, keine praktische Bedeutung, mit Ausnahme des Sici- lianischen Bernsteins, der aus seiner ursprünglichen Lagerstätte von einem Flusse herausgewaschen und bei Catania an das Meer getragen und hier gewonnen 15) Separatabdruck aus der Zeitschrift für das Berg-, Ilütten- 23 und Salinenwesen in dem Preussischen Staate, Band XVI. 16) Compt. rendus Hebd. de l’Acad. d. sciences. Premier Se- mestre 1876 pag. 1374. 17) Beide in der Mitte von Sicilien. 18) Runge c. 1. pag. 3. mation. 19) Hoffmann stellte (1838) dieses Vorkommen zur Kreidefor- wird. In Catania wird er noch gegenwärtig zu Schmuck- sachen verarbeitet. Die ergiebigsten Lagerstätten des Bernsteins finden sich im Tertiär-Gebirge, im Diluvium und Alluvium des nôrdlichen, südlichen und mittlern Europa. Das Vorkommen in Spanien, in den Provinzen Asturien und Galicien, in Frankreich, z. B. bei Autruil, unweit Paris, bei St. Quentin, im Hennegau bei Tranchières, bei Lobsanne im ÆElsass, sowie in Sufjolk und Essex in England, an der Küste Dänemarks, ist ebenfalls ohne grosse Bedeutung. Die bei weitem grüsste Ausbeute gaben von Alters her die Süd- und Südostküste des Baltischen Meeres, und gegenwärtig ist es die Strandgegend von Danzig bis Memel, und hier wieder das Sœmland und Curische Haff, welche weitaus die grüssten Quantitäten in die Welt schicken. Herr Oberbergrath Runge*) hat vor acht Jahren (1869) das auf der ganzen Erde jährlich aus dem Meere gewonnené Bernsteinquantum auf 150,000 Pf. geschätzt. Mit Sicherheit lässt sich dasselbe schon deshalb nicht bestimmen, weil er in vielen Gegenden, wie z. B. in Ssibirien und in Curland, ohne alle Con- trole von Seiten des Staates gewonnen wird. Und wenn in dieser Schätzung Ssibirien, Nordamerika und andere Küsten des Eismeeres, des atlantischen Oceans und Sicilien zusammen mit 10,000 Pfund angeschlagen worden, Dänemark (Jütland) mit 3000 Pf., die däni- schen Inseln und Schleswig - Holstein mit 2000 Pf., Curland mit 5000 P£.*) — so kommen allein auf die Küstenstrecke von Mecklenburg bis Memel 60,000 PF. und von diesen 50,000 Pf. allein auf die Küste von Danzig bis Memel, und hiezu noch 70,000 Pf: Bag- gerbernstein aus dem Curischen Haff bei Schwaraort. Die jährlich auf der ganzen Erde bergmännisch ge- wonnene Menge des Bernsteins, schlägt Herr Runge auf 100,000 Pfund an, von denen 70,000 Pfund auf den Preussischen Staat kommen. An der Bernstein- gewinnung auf der ganzen Erde von circa 250,000 Pfund mag daher Preussen mit einem Quantum von 200,000 Pfund im Werthe von mebr als einer Million Thaler betheiligt sein. (Dr. G. Berendt: Vorarbeiten zum Bernsteinbergbau im Samlande. Separatabdruck 20) Runge c. 1. pag, 1. 21) Diese Ziffer scheint zu hoch gegriffen zu sein, 233 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 234 aus dem Jahrgang XIIT Heft 2 der Schriftem der physic.-ükonom. Gesellsch. zu Künigsberg.) Als ich im Jahre 1874 von Kônigsberg aus den Samländischen Strand besuchte, um mit Professor Zaddachs und des Professors Berendt geologischen Beschreibungen jener Gegend in der Hand, die Braun- kohlenformation kennen zu lernen, hatte ich auch die Gelegenheitdie berühmten Bernsteingräbereien zu sehn. Wenn sie schon an sich von grossein wissenschaftlichem Interesse sind, so nehmen sie jetzt auch in der Mon- tanindustrie Preussens eine bedeutende Stellung cin. Wegen seines hohen Preises, des hohen Ertrages, den er den Producenten und dem Fiseus giebt, und viel- leicht auch wegen seiner gelben Farbe, wird er im Samlande häufig «das Preussische Gold» genannt. Um eine klare Vorstellung von den Lagerstätten des Samländischen Bernsteins zu erhalten, wollen wir auf das beifolgende Schichtenprofil bei Grosskuhren, am Zipfelberge blicken, das ich Herrn Zaddachs trefflichem Werke: «Das Tertiaer-Gebirge Sam- lands, Künigsberg 1868» entnehme. Das Samland ist ein Plateau mit hügeliger Ober- fäche, das nach Süd und Ost allmälig abfällt, dem Norden und Westen aber zwei Steilküsten zuwendet, die sich von 90 bis 150 Fuss über das Meeres-Niveau erheben. Diese Steilküsten sind entweder von der Na- tur an der Küste selbst, oder in den grossen Tage- bauen der Bernsteingräber, und zum Theil an den Wänden der die Küste durchschneidenden Schluchten so vollständig aufgeschlossen, dass der Geolog ihren . Bau Zoll für Zoll studiren kann. Auch die Schicht- profile bei Xraxtepellen und Nortycken haben die geo- logischen Verhältnisse des Plateaus zur Anschauug ge- bracht. Fig, 14. ss | | NN Meereshohe Der Zipfelberg Grosskuhren. a) Ackererde und Diluvium b) Unterer Diluvialmergel c)À q | d) j e) Glimmersand f) Thoniger Sand 9) Glimmersand k) Letten i) Grober Quarzsand ki) Grüne Mauer {) Krant m) Meeres-Niveau o) Grüner Sand und Krant p) Bernsteinerde 4) Wilde Erde and Braunkohlen- formation. Bernstein- formation. \ | | | J Diese Durchschnitte zeigen die Sedimente zweier verschiedener Formationen. Oben Diluvialmassen mit Wanderblücken, und unter ihnen zunächst die Braun- kohlenformation und unter dieser die Bernstein- formation, die in den Tagebauen und Schachten bis unter den Meeresspiegel aufgeschlossen ist. Die beiden letzteren Formationen gehôren der Tertiaer-Periode an, wie die Herren Zaddach*), Os- wald, Heer*) und Berendt bewiesen haben. Die | sogenannte ursprüngliche Lagerstätte des Bernsteins 22) «Das Tertiär-Gebirge Samlands ». 23) « Miocene Baltische Flora von Dr. Oswald Heer», in den Beiträgen‘zur Naturkunde Preussens, herausg. von d. Kônigl. physik.- okonomischen Gesellschaft zu Künigsberg. Künigsberg 1869. 235 die Blaue Erde, liegt im Samlande an der Basis des ganzen Schichten-Complexes, und meist einige Fuss unter dem benachbarten Meeresspiegel und hat eine Mächtigkeit von 4 bis 5 Fuss. Da man in den Gräbe- reien am Strande die ganze, dicke Decke der Bern-| steinerde abräumen muss um zu letzterer zu gelangen, | ist die Arbeit eine sehr kostbare und umsomehr, als! man den Abraum an das Ufer schaffen muss, um aus ihm Schutzwälle gegen den Einbrnch der Sturmfluthen in die, bis unter den Meeresspiegel gehenden Gruben, zu errichten. Nur der grosse Bernsteinreichthum der | «Blauen Erde, in welcher er so dicht gesäet liegt, | macht diese kostbare Arbeit rentabel. Als ich 1874 das Samland besuchte, fand ich einen bei Nortycken, eine Viertel Meile $. von Rauschen, von dem Staate angelegten Schacht, vollendet. Der Ort liegt 39 Meter über dem Meeresniveau. Der cylin- drische, mit Eisen ausgekleidete Bohrschacht von 4,5 Fuss Durchmesser im Lichten erreichte die «Blaue Erde in 44 Meter Tiefe, 5 Meter unter dem Spiegel des Meeres. Der Reichthum an Bernstein in der Blauen Erde des Nortyckener Schachtes, war über Erwarten gross. Nach diesem günstigen Erfolge | beschloss die Oberbergverwaltung Preussens die Bohr- arbeiten noch weiter ins Land zu rücken, namentlich in die Mitte des Westsamlandes, in die Nähe von Thierenberg. Diese von Herrn Berendt veranlasste und nach dem Entwurfe des Herrn von Krug von Nidda aus- geführte Musterarbeit hat die wichtige Frage zu lüsen, ob der unterirdische Abbau des Bernsteins auf die Dauer sich vortheilhafter erweisen werde, als der Abbau in den grossen Pingen. Ausser den beiden erwähnten, bergmännisch betrie- benen Arten des Abbaues, wird der von den Wellen an den Strand geworfene Bernstein aufgelesen, und, bei dem Leuchtthurme von PBrüsterort, durch Taucher vom Meeresboden hervorgeholt, Im Curischen Haff endlich, wird er aus dem Boden desselben, bei Schoarz- ort, mit grossen Dampfbaggern gewonnen. Von dieser Localität wird weiter unten ausfübrlicher die Rede sein, weil sie für das Vorkommen von Bernstein in Curland von Bedeutung ist. Werfen wir nun einen Blick auf das beifolgende Kärtchen des Samlandes und Curlands. Bulletin de l’Académie Impériale 236 { | ldine Die Tertiaerformation des Samlandes bildet ein Dreieck. dessen fast rechtwinkliger Scheitel bei Brüs- terort in das Baltische Meer vorspringt. An den Ufer- felsen der beiden Schenkel gehn die Schichten der beiden Glieder dieser Formation, bis in Hôhen von 120 bis 150 Fuss zu Tage. In der Richtung nach S. und S.O. fallen sie mit schwacher Neigung allmä- lig ab. Wenn die Schichten dieser Formation im Allgemei- nen auch eine fast horizontale Lage haben, so sind von Zaddach und Berendt in ihnen nicht nur bedeu- tende Verwerfungen nachgewiesen, wie z. B. bei War- nicken, bei Rosenort und Dirschkeim (Zaddach e. I. Taf. VII) sondern auch Fältelungen, deren Längen- axen nahezu parallel, aber nach N.0. konvergirend, — 3", und hor. 3 bis 27, verlaufen. Eine hohe Steilküste, wie die hier verliegende, das Samland begrenzende, muss einst eine weite Fortset- zung nach N.W., S.W. und N.0. gehabt haben, und ist das Samländer Plateau nur der Rest eines viel grüsseren tertiaeren Tafellandes, das allmählich von der Brandung der Meereswogen benagt und immer gerin- ger wurde. Diese Überzcugung sprach bereits Wrede im Anfange dieses Jahrhunderts aus. (S. dessen Mine- ralogisch-geologische Bemerkungen über das Samland, im Künigsberger Archiv für Naturwissenschaft und von hor. 3 237 Mathematik 1872.) Dasselbe kann auch von dem bis 400 Fuss hohen Silurplateau Estlands behauptet wer- den und das mit um so grüsserer Gewissheit, als manu neuerdings in Finnland und im Olonezer-Gebiete kür- nige, metamorphische Kalksteine und chloritische Schiefer mit organischen Resten gefunden hat, die das Süurische System Estlands und des St. Peters- burger Gouvernements repräsentiren *). Es würden also die umgestalteten Silurschichten unsers Nordens als die nôrdlichsten Ausläufer der Sedimente zu be- trachten sein, die sich einst auf dem Boden des Silur- meeres absetzten, und welche jetzt durch den Fimni- schen Meerbusen und die Niederung des Nevathales von dem grossen Silurplateau in Estland und am süd- lichen Nevaufer, getrennt sind, und einen eigenthüm- lichen metamorphischen Process durchgemacht haben, dem die intact gebliebenen, steil nach N. abgebroche- nen Schichten Estlands und an der Neva nicht unter- worfen wurden, Wenn wir die Streichungslinie der obenerwähnten Falten der Tertiaerformation des Samlands von der nôürdlichen Steilküste desselben nach NO. fortsetzen, so trifft sie zunächst auf Purmallen, ein Gut, das eine Meile nôrdlich von A/emel liegt und wo am Ufer eines Flüsschens tertiaere Braunkohle unter Diluvium zu Tage geht. Es ist das der nürdlichste Punkt Ostpreussens, an welchem bisher Schichten tertiaeren Alters aufge- funden wurden. Meldsern, im südlichen Curland, liegt circa 30 deutsche Meilen NO. von Purmallen, und da die bei Meldsern vorkommende Braunkohle eine supercretacee und sehr wahscheinlich eine tertiaere ist, so ist man zu der Annahme berechtigt, dass man unter dem Di- luvium auf dieser Strecke des Æownoschen Plateaus vielleicht auch die Braunkohlenformation werde auf- finden künnen. Wenn sie bei Grüsen, das in derselben 24) Ludwig hat im Bulletin de la Soc. Imp. des naturalistes de Moscou, 1874 Heft 5 pag. 111, eine Coralle, Cystiphyllum gracile n. sp., abgebildet und beschrieben, welche cr aus einer ans dem Boden hervorragenden, aus kalkig-chloritischem Schiefer bestehen- den Felsmasse 4 Werst NO. von Koïkara gefunden bat. Herr Lud- wig bemerkt, dass die neue Art weder mit Silurischen noch mit De- vonischen Species übereinstimmt. In den Dolomiten des Olonezer Bergreviers habe ich organische Reste gefunden, die freilich nicht näher zu bestimmen, aber Stro- matoporen so ähnlich waren, dass man sie für solche halten kann. Pusyrewsky hat vor Jahren Eozoon Canadense aus Dolomiten Finnlands beschrieben, zu einer.Zeit, wo man noch diese Form für eine animalische hielt, was sie jedoch nicht ist des Sciences de Saint-Pétersbourg. 238 üichtung und Entfernung von Purmallen Lhegt, wie Meldsern, nicht erbohrt wurde, so schliesst das noch nicht ihre Anwesenheit im Gouvernement Æowno und an andern Orten des Curischen Plateaus aus, das eine nordliche Fortsetzung des Litthauischen Hochlandes ist. Bei Grüsen wurden scharfkantige Bruchstücke von Braunkohle im diluvialen Sande gefunden. Sie sind ohne Zweifel einer Braunkohlenformation ent- nommen, die einst hier vorhanden gewesen, und die zerstôrt und zu der Bildung des Diluvium verwendet wurde. Die eigentliche Bernsteimformation scheint in Cur- land zu fehlen. Auch bei Meldsern, wo die Braun- kohlenformation auf Kreide liegt, hat man sie nicht gefunden und ebenso wenig bei Grôüsen, bei Libau, wo das Dilivium, wie bei Goldingen, unmittelbar auf dem Dolomite der Mittelgruppe des Devonischen liegt. En Diluvium und Alluvium Curlands ist aber Bern- stein häufig gefunden und zu Zcitcn sogar gefürdert worden. Dass er am Westufer Curlands, namentlich zwischen Polangen und Rutzau, seit den ältesten Zei- ten am Strande mit Sacknetzen (hier Koscher ge- nannt) in der Nähe des Ufers aus dem Meeresboden heraufgeholt und aus dem angeschwemmten Seetang herausgelesen wird, ist bekannt und soll die auf diese Weise gewonnene Menge nicht unbedeutend sein. Das Meer wirft ihn aber auch weiter im Norden, bei Libau und bei Windau und Domesnäs an das Ufer, wiewohl in geringerer Menge. Bei Windau habe ich ihn selbst im Seetang gefunden. Man hat bisweilen geäussert, dieser Seebernstein sei wahrscheimlich durch Strôomungen bei West- und Südwestwinden, vom Samlande und dem Curischen Haff an Curlands Westküste gebracht worden. Ein Theil desselben mag in der That auf diese Weise zu uns gelangt sein. Der Bernstein ist nur wenig schwerer als das Wasser und kann daher sehr weit durch das- selbe verschleppt werden. Der grüssere Theil kann aber aus dem Boden Curlands herstammen, so gut Wie die reichen Bernsteinfelder auf dem Boden des Curi- schen Haffes sicherlich aus dem Boden Ostpreussens, aus der Ufergegend des Haffes selbst herstammen, wie weiter unten besprochen werden wird. Nach allen Nachrichten, die ich auf meinen Reisen von Augenzeugen habe erhalten künnen, kommt der Bernstein im Boden Curlands an folgenden Orten vor: 239 Bulletin de l'Académie Empériale 240 SR —— — —— —"" — —"—" ———"———’ — ——— — … …—"—…—’—….—…—"—…."—"_"—"…—" …—. _——…—…— _—.—_——_———__—— 1) Auf dem Gute Polangen des Grafen Tyszkiewiez. Ich verdanke Herrn Professor Grewingk die folgende briefliche Mittheilung aus seinem Tagebuche: «Von der Mündung der /eiligen Aa (Swenta) nach «Polangen zu mehrt sich der Küsten-Bernstein. Das «grosse Moor zwischen Aursck und Mantsischlen (Mon- «schischki der Generalstabskarte) durchmusterte ich mit «dem Bohrer in der Hand von W. nach O. und ergab «sich hierbei und nach den spätern Schürfungen und «eingegangenen Nachrichten, dass an der ôstlichen «Seite des Meeres, in dem Meerparallel, der Bernstem «häufiger oder leichter zu erreichen ist. «Œtwa 1'/, Werst üstlich vom Meere und 10 Werst «nürdlich von Polangen er «nach unten: «3 Fuss Torf. C/, Fuss $ sandige Moorerde mit Bernsteingerüllen. «Mehrere Fuss weissen und grauen Meeressand mit «Fischresten, insbesondere Wirbel, und Flinsge- «schieben. gaben die Schürfe von oben «Die Grabungen, die ich hier von mehreren Arbeï- «tern ausführen liess, ergaben pecuniair günstige Re- «sultate, d. h. bei dem Vergleiche des Tagelohns mit «der Menge des gewonnenen Bernsteins einen nicht «unerheblichen Überschuss. Bei grüsseren Unterneh- «mungen wird man sich aber des zunehmenden Was- «serandranges zu erwehren haben — was nicht ohne «Kosten sein wird.» 2) Im Jahre 1875 begann ein Consortium, an dessen Spitze der Fürst Schachowskoï und die Herren Mo- nassewitsch und Fustow stehen, ernstliche Nach- suchungen nach Bernstein zwischen Polangen und Li- bau. Aus Preussen verschriebene Taucher brachten bei dem Steinriffe bei Polangen und nôrdlich von ihm, nicht unbedeutende Quantitäten von Bernstein vom Meeresboden herauf. Bei Swenta, an der Heiligen Aa und bei Nidden, wurden auch Schürfe angelegt. Bei Swenta bis in 52’ Tiefe. In 15° Tiefe bis in 30 Fuss vom Tage, grub man durch rôthlich grauen Thon, in welchem man nach dem Schlämmen kleine Splitter rothen Orthoklases und wasserhelle Kürner weissen Quarzes und kleine Kürnchen verkohlten Holzes er- kannte. In 52’ Tiefe grünlich grauer Thon, ebenfalls mit Kürnchen rothen Feldspaths und weissen Quarzes. Diese Schichten gehôren dem älteren Alluvium an. Bei Nidden fand sich beim Schürfen Bernstein in einem lockeren, dunkelgrünen, feingeschichteten Sand- stein, der feine, verkohlte Wurzelfasern und weisse Glimmerschüppchen enthält. Dieser Sandstein erinnert an die «Blaue Erde» des Samlandes und enthält nach einer mikroskopischen Untersuchung, die ich Herrn V.Môller verdanke, folgende organische Reste: (Ich gebe seine Mittheilung x extenso wieder.) «In dem glaukonitischen Sande von Nidden sind ausser den spiculae von Schwämmen, nur Reste von Bacillarien enthalten, aber diese gehôüren meist so charakteristischen Formen an, dass man nicht bezwei- feln kann, dass sie der Meeresfauna angehôren. Zu diesen Formen gehôren hier Coscinodiscus, Acti- nocyclus, Cocconeis, Grammatophora, Fragilaria, Pin |nularia, Dictiopyxis und eimige andere. Was die nähere Bestimmung dieser organischen Reste anbelangt, so finden sich unter ihnen Formen, die, wenn sie auch nicht identisch mit den unten an- gegebenen sind, devselben doch sehr nahe stehen. 1) Coscinodiscus radiatus, Ehrenberg, der im plastischen Thon bei Aegina in Griechenland, im Po- lirschiefer von Oran in Algirien, und im Tripel von San- Francisco in Californien, vorkommt. 2) Coscinodiscus fimbriatus limbatus, Ehrenb., im plastischen Thone bei Aegina. 3) Cocconcis scutellum, Ehrenb., aus der Braun- kohlenformation bei Feistingen im Sicbengebirge , im plastischen Thone bei Aegina und im Polirschiefer von Cassel. 4) Fragidaria striolata Ehrenb. aus dem plasti- schen Thone von Aegina, aus dem Mergel von Calta- nisetta in Sicilien, aus dem Polirschiefer von Oran und aus der Weissen Kreide von Gravesend, unweit London. 5) Fragilaria (?) bacillum Ehrenb. aus maritimem Polirschiefer von Sfatfort-Cliff in Virginien, und aus den Mergeln und dem Polirschiefer von Oran. 6) Pinnularia quadrifasciata Ehrenb. aus dem plastischen Thone von Aegina. Alle diese Formen weisen ziemlich bestimmt darauf hin, dass der AU glaukonitische Sand (locke- rer Sandstein H.) zur Tertiaerformation zu stellen ist. Aber den Horizont zu bestimmen, dem sie in dem Tertiaer angehôren, bleibt vorläufig unentschieden. Am wahrscheinlichsten ist es jedoch, dass sie nicht den 241 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 242 jängeren, sondern den älteren Schichten der Periode | Waldaiplateau, dessen Untergrund die rothen Sand- angehôüren.» Ausser den obenerwähnten Wurzelfasern kommen in diesem Sandsteine noch wohlerhaltene Reste von Bitterklee (Menyanthes trifoliata) vor, womit denn bewiesen wäre, dass dieser grüne Sand nicht tertiaeren Alters, sondern neueren Ursprungs, ein in der älteren Alluvialzeit umgelagertes Tertiaergestein ist. 3) Im Torfmoore des Gutes Paplaken, etwa 30 Werst OSO. von Libau, ist, einer mir gemachten mündlichen Mittheilung zufolge, Bernstein gefunden worden. Es ist das das südliche Ende des grossen Dur- benschen Moores, von welchem in der ersten Hälfte dieses Berichts die Rede war. 4) Nach einer Privatnachricht sollen auch in dem Forste von Rutzau an zwei Stellen Stücke von Bernstein gefunden sein. 5) Auf dem Gute Laidsen, der Frau von Brüggen, wurde vor einiger Zeit in einem See ein Theil des Wassers abgelassen um am neuen Ufer Wiesen zu ge- winnen, und bei dieser Gelegenheit Bernstein im Bo- den gefunden. Ein Sohn der Besitzerin, der mir die Nacnricht davon gab, hat diesen Fund aufbewahrt. Das Gut befindet sich im nürdlichen Curland, NO. von der Stadt Talsen. 6) Der Angernsee liegt am Ostufer vom nürdlichen Curland, dicht am Meerbusen von Ziga und ist von diesem, wie der Libausche See, nur durch eine Sand- düne getrennt. Es ist ein 19 Werst von NNW. nach S$O. sich erstreckendes Haff, in welches sich von W. her mehrere Flüsschen ergiessen. Aus seiner süd- lichen Hälfte fliesst ein Flüsschen durch die Düne in das Meer ab. Ich besuchte diesen See 1874 von dem Gute Senten aus, das dem Fürsten Carl Lieven gehürt. Senten und Lievenhof liegen auf dem Curischen Pla- teau. Es besteht hier und weiter nach Süd bis in die Gegend von Buschhof, aus rothgefärbtem, thonig-san- digem Diluvium mit ziemlich grossen Wander-Blücken kristallinischer Gesteine, und hat eine grosse Âbnlich- keit mit den rothen Thonen und Sandsteinen des un- tern Devon, dass seinen Untergrund bildet, und offen- bar das Material für das Diluvium hergegeben hat. Viele Schluchten, oft mit steilen Wänden, durchziehen es nach allen Richtungen. Sein landschaftlicher, wie sein geologischer Charakter erinnern lebhaft an das Tome XXII. steine des obern Devon bilden. Auf dem Wege von Senten an den Angern-$See, ist das Diluvium von Sanddünen überweht, zwischen de- nen in den Mulden Sümpfe liegen. Dann aber senkt sich der Weg zu einem ebenen, horizontalen Moorbo- den hinab, auf welchem üppiges Gras wächst, das ei- ven grossen Ertrag an Heu giebt. Jenüher wir dem See kamen, desto stärker schwankte dieser alte Seeboden unter uns und erwies sich als ein auf Wasser schwimmender Pflanzenfilz. Der Angernsee soll früher 7 Fuss über dem benach- barten Meeresspiegel gestanden haben. Um Wiesen- land zu gewinnen ward in den 50ger Jahren der Ver- such gemacht, ob dem trägen Abflusse des See’s nicht ein lebhafterer Lauf gegeben, und der Spiegel des See’s mittelst dieses Abzuges niedriger gelegt werden kôünne, Als dies geschehen war, entdeckte man auch am Ostufer des See’s, in dem freigewordenen Schlamme, auf dem Gebiete der Kronsforstei Margraven, Bern- stein. Man soll Stücke von 2 bis 3 Pfund Gewicht gefunden haben. Diese Entdeckung lockte sofort viele Menschen her- bei; man grub mit Schaufeln und Fangnetzen nach dem Bernstein. Dabei kam es zu mancherlei Miss- helligkeiten und die Obrigkeit verbot die Arbeit. Der Pastor zu Pussen, H. Kawall, hat uns über den Hergang dieser Sache genaueren Bericht gegeben in dem Correspondenzblatte des Naturforschenden Ver- eins zu Riga, 6° Jahrg. 1852—1853, X 5, pag. 69, (Der Bernsteinsee in Kurland.) Es sollen damals die Bernsteingräber den Juden für 4000 Rubel Bernstein verkauft haben. Die Domainen-Verwaltung wurde auf die Sache aufmerksam, ordnete eine Inspection an und liess den zugänglichen Boden parcelliren, um ihn Bern- steinsuchern zu verpachten. Am 27. Nov. 1852 sollte ein Torg abgehalten werden, um die am südôstlichen Ufer des See’s die ‘| Dessatine grossen Parcellen auf 2 Jahre auszubieten. Die Sache ist aber gefallen. Es wird nicht mebr gegraben. Nach einer mündlichen Nachricht, die ich am An- gern- oder Bernsteinsee exhielt, soil man auch früher |schon aus dessen Boden Bernstein gehoben haben. Dazu wurden hôlzerne Caissons in den Boden versenkt 16 243 Bulletin de l’Académie Impériale 244 a ——— und wenn man das Wasser aus ihnen herausgepumpt | b) 1 Fuss weisser oder gelblicher Flugsand unter der hatte, grub man nach Bernstein. Dass der Bernstein hier in einem Alluvialboden liegt, unterliegt wohl keinem Zweifel, und wahrscheinlich bleibt es immerhin, dass er aus dem Diluvium der Hochebene durch die Flussläufe in den $ee getragen wurde, wie das von einem Preussischen Geologen auch von dem Bernsteine des Curischen Haffes ist ange- nommen worden. 7) Dass man auch am Südende des Rigaschen Meer- busens Bernstein gefunden hat, wissen wir durch Herrn Grewingk. In der Baltischen Wochenschrift(Dorpat 1864 X° 30) berichtet Grewingk über einen Bernsteinfund: Zwischen dem rechten Ufer der Curischen Aa und | dem Babit-See, im Areal des zum Patrimonialgebiete Riga’s gehôrigen Gutes Holmhof, 1°, Werst SSO. von demselben, 1 Werst S. von dem Breesche-Gesinde, fanden im April 1864 Hüterjungen in den von dem Vieh eingetretenen Wegen, einige Bernsteinstücke. Die benachbarten Bauern fingen an mit Erfolg zu graben und verkauften den Bernstein (Lettisch: Siter) an hausirende Juden. Die Entdeckung ward bekannt, lockte Abenteurer herbei. Den zum Graben Berech- tigten wurde der Boden streitig gemacht, es entstan- den, wie am Angernsee, Misshelligkeiten, sogar Schlä- gereien, in Folge deren die Obrigkeit durch ein Ver- bot jedweden weitern Grabens einschreiten musste. Mit diesem Verbote stieg aber im Munde der Leute der Werth des schon gehobenen und noch im Schosse der Erde verborgenen Schatzes. Schon in den ersten Tagen des Juli hiess es: man habe bereits für 2000 Rubel Bernstein verkauft und für den noch auszubeu- tenden 20,000 Rubel geboten. Professor Grewingk besuchte darauf die Gegend. Er fand ein 280 Loofstellen grosses, sehr ebenes Wei- deland, das sich ganz allmählich nach Holmhof erhebt. Im südlichen Drittel dieses Raumes war der erste Bernstein gefunden und bis Anfang Juli 1°, Loofstel- len zusammenhängenden Landes nach Bernstein durch- wühlt. Mehrere Schürfe und Bohrlücher, die Grewingk machen liess, ergaben folgende Zusammensetzung des Bodens: a) Unter der Grasnarbe 2 bis 12 Zoll Mocrerde bis Torf ohne Algenreste. Moorerde, mit vertikal und horizontalliegenden verwesten Wurzeln von Nadelholz durchzogen, und in 2 bis 4 Zoll Tiefe häufig noch eine 1 bis 2 Zoll dicke Torflage, die sowohl Algenreste als Süsswas- serpflanzen aufweist. c) Grauer Triebsand, der wegen Wasserandrang nur bis 4 Fuss Tiefe verfolgt werden konnte. Ausser den wasserhellen und einigen gräulichen Quarz- brocken, so wie weissen Glimmerblättchen, enthält er zahlreiche schwarze Kürnchen verwester Pflan- zenreste und Lager von Cardium edule und Tellina baltica. Diese Muscheln unterscheiden sich weder durch Grüsse noch Schalendicke von den gegen- wärtig an der Meeresküste ausgeworfenen. Unter letzteren findet man die Tellina viel häufiger, wäh- rend bei den erbohrten Schalen das Umgekehrte der Fall ist. Es ist ein alter Meeresboden, die Bernsteinstücke sind durchweg abgerieben, die Bernsteinerde fehlt. Am bhäufigsten wurde der Bernstein in der Schicht b gefunden und kamen hier Stücke von !/, bis 1 Pfand Gewicht vor. Von anstehenden Tertiärschichten mit Bernstein, fährt Grewingk fort, kann daher hier nicht die Rede sein, sondern nur von einer alten Küste, an der die Anschwemmung des Bernsteins unter besonders sünstigen Verhältnissen erfolgte. Erwiesener Maassen sind bisher circa 45 Pfund Bernstein für 135 Rubel verkauft worden. Nimmt man an, dass die wahre Ausbeute von jenen 1} Loof- stellen das Doppelte, im Werthe von 250 Rubel be- trug, so würden 200 Loofstellen, vorausgesetzt dass sie aber so reich an Bernstein sind wie jene, einen schr bedeutenden Gesammtertrag ergeben. Grewingk hält es für nicht unwahrscheinlich, dass man im Angern und ähnlichen Strandseen, mit Baggern eine Ausbeute erzielen würde, wie sie so erfolgreich bei Schoarzort im Curischen Haff betrieben wird, und hält das Graben im Holmhofer Gebiete, wegen des Triebsandes, für weniger vortheilhaft, und abgesehen von der zeitweiligen Vernichtung eines Weideplatzes, weil er und die Umgegend durch den heraufgebrach- ten Triebsand überweht werden künnen, für sebhr ge- fährlich. Auch die umsichtigsten Contracte mit Bern- steinpächtern dürften kaum für die Unmüglichkeït 2 245 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 246 eines solchen Unheils garantiren, oder die Entschä- digung für dasselbe umfassen. Wenn wir den vorliegenden, etwas abgekürzten Be- richt des Professors Grewingk, mit den geologischen Ergebnissen vergleichen, welche die Bohrarbeiten auf dem Papenseer Hochmoore gaben; so finden wir eine grosse Uebereinstimmung zwischen den beiden, so weit von einander entfernten Lokalitäten. Dieselben Schichtenfolgen oder doch sehr ähnliche, dieselben organischen Reste und dieselben Lager von subfossi- len Meeresmuscheln. Wir haben endlich noch des neue- sten Fundes zu erwähnen. Als man 1875 mit den Erdarbeiten der Riga-Tukkum-Windauer Eisenbahn beschäftigt war, fand der Ingenieur Schapiro bei Schlock, angeblich in Sand, Bernstein. Ausführliche- res über diesen Fund habe ich bisher nicht erfahren künnen. Doch wird man annehmen künnen, dass der Bernstein auch hier, wie am Babitsee und bei Angernn im Alluvium gefunden ward. Das obenstehende Verzeichniss zeigt uns, dass der Bernstein nicht nur an den Küsten Curlands sondern auch mitten im sogenannten Unterlande, 4. h. in der nürdlichen Hälfte gefunden wird, wie 7. B. im Papla- kener Torfmoore. Ich würde Lesern dieses Berichts dankbar sein, die mir positive und zuverlässige Bernsteinfunde in Cur- land mittheilen wollten. Kehren wir nun zu dem Curischen Haff und an den Libau-Memeler Strand zurück. Der grosse Bernsteinvorrath des Curischen Haftes, der gegenwärtig bei Schwarzort ausgebeutet wird, liegt wie ich mich 1874 bei dem Besuche der Bag- gerei überzeugen konnte, in alluvialem Boden. Mit dem Bernsteine wird grauer Schlamm, Sand, Gerülle krystallinischer Gesteine des skandinavischen Nordens, verrottetes Holz und dergleichen Einschlüsse des Allu- viums hervorgeholt. Es befindet sich also hier der Bern- stein schon in einer vierten oder fünften Umlagerung. Die Blaue Erde wird zwar oft die ursprüngliche La- gerstätte desselben genannt, es ist aber schon oft und mit Recht bemerkt worden, dass er in der Blauen Erde hücht wahrscheinlich auch nur auf sekundärer Lagerstätte sich befinde. Wäre sie die ursprüngliche, | so würden sich in ihr wohl mehr Reste der Bernstein- | bäume erhalten haben: diese sind aber bekanntlich sehr selten. An Hunderttausenden von Stücken findet man oft keine Spur von Holzresten und muss daher glau- ben, dass das Holz der Bernsteinwälder fast vollständig zerstôrt wurde, während der Berstein, vermüge seiner Widerstandsfähigkeit gegen Zerstorung durch Luft und Wasser, nicht nur diese, sondern auch alle An- griffe in der jüngern Tertiaerperiode, im ältern und jüpgern Diluvialmeere und in der Alluvialzeit sieg- reich überstanden hat). Er sinkt zwar unter, wird aber von den Wellen, den Meeresstromungen am Strande und von den Flüssen mit Leichtigkeit bewegt und putzt sich dabei nur wenig ab. In Schiwarzort sagten mir die Herren Stantien und der die Baggerei leitende Ingenieur Bôüttger, dass man nôrdlich von Schwarzort auf dem Boden des Haf- fes graugrünen Sand und Schlamm finde, der eine um- gelagerte oder ein Rest der Blauen Erde selbst sein künnte. Ich äusserte den Wunsch, es müge im folgen- den Winter, auf der Eisdecke des Haffs, ein Bohrap- parat aufgestellt und der Boden des Haffs bis in grüs- sere Tiefe abgebohrt werden. Eine Nachricht darüber habe ich bisher nicht erhalten *). Der Bernstein, der ôstlich vom Haïff, z. B. bei Prô- kuls und Pempen gegraben wird, liegt dort in dem nie- deren Alluvialboden, der sich vom Ostufer des Haffs bis an den Fuss des diluvialen hüheren Landes zieht, das die ganze norddeutsche Ebene bis Holland ein- nimmt, und auch mit der grossen Diluvialdecke Russ- lands kontinuirlich zusammenhängt. Ueber die grosse Verbreitung des Bersteins im Diluvial- und Alluvial- boden Norddeutschlands, Litthauens und Polens, ver- weisen wir auf die Schriften von Schumann, Aycke, Kiôden, Pusch, Girard, Wrede, Pfaff, von dem Borne, Forchhammer, Beyrich, Berendt, Zad- dach, Runge, Meyn, Bock, Schweigger. Für unsern Zweck, das Vorkommen des Bernsteins in Curland zu beleuchten, ist es von Bedeutung zu wis- sen, dass er in Norddeutschland, Litthauen und Polen, mit Ausnahme des Samlandes, im Diluvium und Allu- vium, in mehr oder weniger grossen und bisweilen 25) Die Arbeiten Güpperts in Breslau, über die Bernsteinbäu- me, bilden noch immer die Haupt-Grundlage unserer Kenntnisse von denselben. Die Bernsteinflora, die Goppert und Menge be- arbeiten, wird erwartet. In seinem Werke über Bernstein gab Schimper eine betreftende Literatur-Uebersicht. 26) Berendt (die Bernstein-Ablagerungen und ihre Gewinnung Künigsberg, 1366, pag. 4 u. 6) spricht die Vermuthung aus, dass die Blaue Erde des Samlandes eine Fortsetzung unter den Küsten des Curischen Haftes habe. 16* 247 Bulletin de l’Académie Empériale 248 recht ausgiebigen Nestern vorkommt, die lange Zeit von der auf ihnen wohnenden Bevülkerung, sind aus- gebeutet worden. In Curland sind alle Versuche der Art nur von kurzer Dauer gewesen, obgleich einige Funde, wie der im Angernsee und bei Holmhof Gewinn versprachen. Noch nie sind in Curland ernstliche Schürfungen auf Bernstein ausgefübrt worden. Man hat sich immer auf die Bernsteinfischerei am Strande beschränkt. Preussische Geologen haben die Ansicht ausge- sprochen, es künne der Bernstein auf dem Boden des Curischen Hajjes von den üstlichen Zufiüssen desselben aus dem Diluvial- und Alluvial-Boden, den sie durch- fiiessen, herausgewaschen und allmählich in dem ge- schlossenen Becken angehäuft sein. Dieses hat nur an seinem nôrdlichen Ende bei Memel einen Abfluss in das Meéer, durch welchen der auf dem Boden angesam- melte Bernstein allmäblich in das offene Meer getragen werden künnte. Und dass ein Theil desselben in der That diesen Weg geht, wird dadurch wahrscheinlich, dass zu Zeiten die Abstromung durch das Memeler Tief, eine grosse Schnelligkeit und Gewalt gewinnt. Als Herr von Humboldt und dessen Begleiter, Ehrenberg und Gustav Rose, auf seiner Reise nach Russland, im März 1829 auf der Nehrung des Curischen Haffs, deren Nordspitze erreicht hatte, war das Haff im Eisgange begriffen. Die Reisenden konnten Memel nicht erreichen, das am andern Ufer vor ihnen lag. Sie waren genüthigt zwei Tage bei der Ueberfahrtsstelle zu verweilen *). Die Strümung, die hier gewühnlich nur 3 Fuss be- trägt, betrug am 20. März in der Mitte des Hafistro- mes 7,4 Fuss in der Secunde, und am Ufer, wo die Reibung stärker war, 5,8 Fuss. Das Eis unterwühlte am linken Ufer die 60 bis 80 Fuss hohe Sanddüne und ziss sie bis zu einer Entfernung vou 300 Fuss weg. Bei solcher Geschwindigkeit kann der Bernstein des Haffs leicht hinausgespült werden. Die bei star- ken Winden eintretenden Mecresstromungen tragen ibn dann allmäblich weiter am Strande hin, nach NO. und SW., und es kann daher ein Theil des an Cur- lands Westküste ausgeworfenen Bernsteins diesen oder jenen Ursprung im Samlande haben *). 27) Gustav Rose: Reise nach dem Ural and Altai und dem Kaspischen Meere. 1. Band pag. 11. 29) Wie stark die Stromung bei anhaltenden SW.-Winden an Aber eben so sicher ist es wohl, dass der andre Theil aus Curlands Boden herstammen kann, da man ibn nicht nur in der Nähe des Meeresstrandes, son- dern auch in grosser Entfernung von ihm, mitten im Lande gefunden hat, wie bei Paplaken und Laidsen. Am erstern dieser Orte liegt er in bedeutender Hühe über dem Meeresspiegel. Ich besitze leider keine Nachricht über die näheren Umstände dieses Fundes und über die Bodenbeschaffenheit der Localität. Die Niederung, die sich von dem westlichen Fusse des Diluvialplateaus bis an das ôstliche Ufer des Cu- rischen Haffs ausbreitet, ist von älterem und jünge- rem Alluvium bedeckt und von maeandrischen Wasser- läufen durchwebt, die alle in das Haff münden. Bei Memel tritt das Diluvium bis in die nächste Nähe des Meceres und zieht sich so bis Polangen und nürdlich von demselben fort. Dann aber tritt seine westliche Grenze etwas weiter landeinwärts, während das Mee- resufer gerade nach Nord weiter geht. Die so begrenzte Niederung ist im Osten von älterem Alluvium, weiter nach Westen von jüngerem Alluvium bedeckt, und schliesst den Papensee und das oben beschriebene Hochmoor und die unter demselben liegenden Torfla- ser ein. Der Papensee ist nichts weiter als der Rest” eines, ehemals 18 Werst langen Hañis. Dass diese Niederung einst vom Meere bedeckt war und dann, beïm Sinken desselben von ihm abge- schnürt ward, beweisen die Meeresmuscheln, die’man in ihrem Boden findet. Sie erstreckt sich aber vom Papensee noch weiter nach Norden bis Niederbartau und ist auch hier von älterem und jüngerem Alluvium und in der Nähe des Meeres von Flugsand bedeekt. Auch der ZLibauersee ist ein 15 Werst langes, dem Meeresufer parallel von N. nach $S. gehendes Hafi. An seinem ôstlichen Ufer zieht sich ein schmaler, sumpfiger Saum hin, an dessen Ostseite sich diluvialer, eine hühere Terrasse bildender und an Stumpfkant- nern krystallinischer Gesteine reicher Sand hin. An manchen Stellen ist er von blocklosem Flugsand über- weht. Dass dieser See eine Erosion im jüngern Dilu- vio bildet, scheint mir schon daraus hervorzugehen, der Küste Curlands ist, konnte man im Sommer 1875 sehen. Eine norwegische Brigg war während eines Orkans auf der Hühe von Po- langen oder Papensee gekentert. Die Stromung schleppte sie, den Kiel nach oben, die gebrochenen Masten nach unten, auf die Libauer Rhede, wo ich sie sah. Die umgekommene Mannschaft lag noch im Schifre. 249 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 250 dass sein Boden an manchen Stellen dicht mit Wan- derblücken besäet ist, die durch die Erosion aus dem Diluvium aufbereitet wurden, Vom Meere ist er durch die hüchste, 1 bis 2! Werst breite, Düne Curlands getrennt. Der Bartaufluss und die Ofanke münden in ihn, nachdem beide das Diluvialplateau durchstrômt haben, in welchem sich Bernstein befinden künnte. In der «Blauen Erde» ist der Bernstein dicht ge- säet. Bei ihrer Umlagerung in die Braunkohlenfor- mation, aus dieser in das Diluvium und endlich in die Alluvialniederschläge mariner und süsser Wasser, wurde der Bernstein über grüssere Räume zerstreut als die Bernsteinformation eingenommen haben mochte. Er wird sich daher in den Diluvien und Alluvien nur da in grüsserer Menge angehäuft haben, wo besonders günstige Verhältnisse dazu waren, wie im Curischen Haffe. Die Haffe Curlands sind eine kleinere Wieder- holung des Curischen, liegen aber weiter von den an- gehäuften Bernsteinschätzen des Samlandes. Da nun die Taucherarbeit bei Polangen, die Schürfungen nürd- lich von demselben bis Nidden, die Alluvien des Stran- des bei Angern und Holmkof, unerachtet ihrer gerin- gen Ausdehnung und Nachhaltigkeit, doch schon gün- stige Resultate gegeben haben, so wäre es wohl zu wünschen, dass die Untersuchungen an den erwähnten Orten beharrlich fortgesetzt würden. Diess beabsichtigte denn auch das Consortium, das 1875 den Strand zwischen Polangen und dem Papen- see untersuchen liess. Namentlich wollte dasselbe die Niederungen bei Rutzau, Papensee und Niederbartau absuchen lassen. Dazu müsste man aber in die Krons- forste von Rutzau und Niederbartau eindringen. Die Erlaubniss dazu ist zwar ertheïlt, aber doch nur ge- stattet worden, dabei nur eine Werst in den Forst vorzudringen. Da aber die Niederung sich an vielen Stellen bis 6, 8 und mehr Werst vom Mecresufer nach O. bis an das Diluvialplateau erstreckt, und das Feld der Untersuchung nur auf ein Minimum dieses Raumes beschränkt ist, sah sich das Consortium dazu veran- lasst, die Schürfungen für’s Erste zu sistiren, bis die Genehmigung zu umfassendern Schürfungen erfolgt sein wird. Über den electrischen Leitungswiderstand der Haloïd- salze !). Von Dr.R. Lenz. (Lu le 30 novembre 1876.) Schon zu wiederhalten Malen ist der Versuch ge- macht worden einen numerischen Zusammenhang zwi- schen demelectrischen Leitungsvermügen verschiedener Substanzen und ihren anderweitigen physischen oder chemischen Eigenschaften zu finden. Eine solche Re- lation wäre in der That in so fern von hohem Inter- esse, als wir dadurch zur Erwartung berechtigt würden, einerseits einen tieferen Einblick in den Vorgang beim Durchstrômen der Electricität durch die zersetzbaren Leiter thun zu künnen, andrerseits aber auch Schlüsse auf die Molecularconstruction und Atomverkettung der Kürper zu machen. Wenn sich nun auch bis jetzt al- lerdings mancherlei Beziehungen zwischen dem Lei- tungsvermügen der Kürper und verschiedenen ande- ren Eigenschaften derselben haben auffinden lassen *), so fehlt es doch an einfachen numerischen Beziehungen zwischen solchen und es ist bis jetzt nur eine Relation zwischen dem Leitungsvermügen der Chloride von Al- kalien und Alkalischen Erden einerseits und den spe- cifischen Gewichten ihrer Salze andererseits *) fest- sestellt worden. Von ganz besonderem Interesse wäre es, wenn sich eine solche feste Bezichung finden liesse für den electrischen Widerstand und die Molecular- construction der Kürper, wie sie die moderne Chemie mit so grossem Erfolge lehrt. Eine solche Beziehung ist aber bis jetzt noch keineswegs gefunden, denn auch die Proportionalität zwischen den Widerständen der Chlo- ridlüsungen und ihren Atomgewichten,wie sie aus Kohl- rausch’s Versuchen ‘) folgt, ist doch nur eine sehr grobe Annäherung an die Wirklichkeit, und weichen die ein- zelnen Salze von diesem Gesetz bis auf etwa 209, ab. Es hat mir geschienen, dass man bei den Untersu- chungen zur Feststellung einer solchen Beziehung nicht von dem günstigsten Standpunkte ausgegangen ist, denn statt mit den allereinfachsten Verhältnissen zu begin- nen, wie die Chemie sie auffasst, und dann zu den mehr 1) Diese Untersuchungsreihe war bereits Mitte October zum Ab- schluss gelangt, ist aber wegen verschiedner Umstände erst jetzt der Akademie vorgelegt worden. Doch habe ich über dieselbe bereits am 2/,, November der hiesigen physicalischen Gesellschaft referirt, be- vor mir Kohlrausch’s Abhandlung im 10. Hefte v. Poggendorffs Annalen pro 1876 bekannt war. 2) Siche nu. A. Lothar Meyer. Die modernen Theorien der Chemie. 2te Auflage 1872 pg. 321 f. 3) Pogg. Ann. CLIV pg. 237 4) Pogg. Ann. CLIV pg. 236. 251 Bulletin de l’Académie Impériale 252 complicirten hinanzusteigen, hat man die Leitungs- fihigkeiten der verschiedensten Kürper unter einander verglichen, ohne auf ihre Molecularconstruction ir- gendwie Rücksicht zu nehmen. Nur die neueren Ar- beiten Kohlrausch’s machen hiervon eine Ausnahme, und ich denke mir, ähnliche Betrachtungen haben ihn dazu veranlasst, eben die Chloride zum Gegenstande seiner Untersuchung zu machen. Indem ich von demselben Standpunkte ausging wie Kohlrausch, habe ich doch einen andern Weg verfolgt, denn statt die Verbindungen des C! mit K, Na, u. s. w. zu studiren, habe ich umgekehrt die Verbin- dungen des Kaliums mit den Haloïden, ebenso die des Natriums u. s. w. untersucht und hierbei hat sich denn auch wirklich eine sehr auffallende und strenge (re- setzmässigkeit feststellen lassen. Folgende Betrachtun- gen haben mich diesen Weg einschlagen lassen. Die einfachsten Kôrper, ihrer Molecularconstruction nach, sind die einwerthigen Elemente, zu denen man, ihres chemischen Verhaltens wegen, noch Cyan, Am- moniak, zum Theil auch Rhodan, zu rechnen hat. Be- trachtet man diese Kürper in Bezug auf ïhr electri- sches Leitungsvermügen in flüssigem Zustande, so ist es bekannt, dass sich die ganze Gruppe in dieser Be- ziehung in 2 scharf gesonderte Unterabtheilungen theilt: in Leiter und Nichtleiter der Electricität, und zwar gehôren, so weit bis jetzt bekannt und nach Analogie zu schliessen ist, zur ersten Classe lauter vorzüglich gute Leiter, zur zweiten Isolatoren, nicht nur in dem Sinne, wie man diese Benennung gewühnlich auffast, d. b. also schlechte Leiter, vielmehr scheinen diese Kôürper wirkliche Nichtleiter zu sein, in demselben Maasse wie Wasser. Gesondert nach diesem Gesichtspunkte erhält man für die einwerthigen und die ihnen anzureihenden Kür- per folgende zwei Classen: Leiter: HK—Na— Ti — Ag — Rb— CS —Am Nichtleiter : C— Br —J—F1— Cy— Rn. Für einige dieser Kôrper ist das Leitungsvermügen allerdings entweder gar nicht, oder doch in flüssigem Zustande nicht bestimmt worden, so 7. B. für Z7, Am, Ft und Rn, doch lässt sich wohl kaum bezweifeln, dass der erste Kürper im flüssigen Zustande ein guter Lei- ter sein muss, wofür sowohl der metallische Charac- ter desselben, als auch seine gute Wärmeleitungs- fähigkeit in Gasform sprechen. Das Ammon ist wahr- scheinlich auch als ein guter Leiter zu betrachten, wo- für die gute Leitungsfähigkeit seiner Salze spricht, wäh- rend das Fluor und Rhodan, ihrer Analogie mit den an- dern Haloïden nach zu urtheilen. Isolatoren sind. Für das Cyan in flüssigem Zustande hat Andrejeff eine äusserst schwache Leitungsfähigkeit gefunden, doch ist er selbst der Ansicht, dass dieses wohl einigen Beimengungen zuzuschreiben sei und dass reines Cyan den Strom nicht leite. Das Brom ist wenigstens ebenso sehr Iso- lator wie Wasser, denn directe Versuche haben mir gezeigt, dass die Leitungsfähigkeit des Wassers durch eine Auflüsung von Brom nicht im mindesten vermehrt wurde. Als ich ferner durch eine 1 cm. dicke Rôhre mit flüssigem Brom einen Strom von 6 Bunsen’schen Bechern leitete, musste ich die Platindrahtelectroden bis auf 0,1 Cm. nähern, um überhaupt eine Bewegung der Nadel eines sehr empfindlichen Galvanometers zu bemerken, während bei Anwendung von Wasser statt des Broms eine Ablenkung schon bei 0,3 Cm. erfolgte. Diesem verschiedenen Verhalten der Kôürper erster Classe gegen das electrische Leitungsvermügen liegt eine tief gehende Verschiedenheit in der Beschaffenheit ihres Molecüls zu Grunde, die bis jetzt noch durchaus unverständlich bleibt. Es liegt gewiss ein tiefer Zu- sammenhang darin, dass die einwerthigen Elemente nach dem Leitungsvermügen classificirt, zugleich zwei Gruppen — Metalle und Metalloïde — bilden, die im ihrem chemischen Verhalten so sehr von einander ver- schieden sind, ja zum Theil diametral einander gegen- über stehen. Dürfte man annehmen, dass das Molecül der Kür- per der 2ten Classe aus einem Atom gebildet wäre, oder aus einer. durch den Strom untrennbaren Atom- gruppe, also ein Molecül 2ten Grades; die der ersten Classe hingegen aus 2 durch den Strom trennharen Atome oder Unter-Molecüle, so liesse sich der Satz aufstellen, dass die Electricität nur dann durch einen Kürper stromen kann, wenn dabei das Molecül ge- spalten wird, d. h. der bekannte für flüssige Leiter | gültige Satz: «kein Strom ohne Zerlegung» wäre auf alle Kürper auszudehnen. Einer soleher Annahme in- dessen widerspricht bis jetzt die Auffassung der Che- mie, denn ©! muss bis jetzt ebenso sehr 2-atomig be- trachtet werden wie Æ. Die nächste Frage richtet sich nun dahin, wie sich 253 die Verbindungen zweier einwerthiger Elemente in Be- zug auf die electrische Leitungsfähigkeit verhalten, und man kann erwarten, hier einfache Verhältnisse zu fin- den, da ja diese Verbindungen überhaupt sehr einfa- che physikalische Eigenschaften besitzen. Man weiss in der That, dass z. B. alle diese Verbindungen, wenn sie wasserfrei sind, im regulären System krystallisiren ; ich weiss aber nicht, ob es schon hervorgehoben wor- den ist, dass die einzigen für Wärmestrahlen farblosen festen Kürper, die wir kennen, das Kochsalz, NaC1 und das Sylvin, XI, beide zu solchen Verbindungen gehü- ren. Auch noch in einigen anderen Beziehungen zei- gen die Verbindungen solcher Elemente eine auffallend einfache Gesetzmässigkeit. Schon Hittorf”) hat ge- funden, dass manche von ibnen gleiche Überführung der Jonen zeigen, Hübner’s Versuche®) beweisen eine auffallende Gleichheit des inneren Reibungscoefficien- ten von Lüsungen einiger Salze dieser Gruppe; Favre und Silbermann’s Versuche?), ebenso die Tomsen’s, zeigen für manche dieser Elemente eine gleiche Neu- tralisationswärme. Bei dieser grossen Âhnlichkeit in den physischen Eigenschaften der Haloïdverbindungen ist zu erwarten, dass sie auch in Bezug auf ihr electrisches Leitungs- vermügen einer einfachern Gesetzmässigkeit folgen als andere, complicirtere, Verbindungen; besonders liegt-der Gedanke nahe, dass in einer Verbindung von Leitern des ersten Typus mit Isolatoren desselben der Widerstand der Verbindung nur vom Widerstande des ersteren bedingt wird, die Isolatoren hingegen hierbei ganz unwesentlich sind. Es giebt auch in der der That eine Beobachtung, die diese Annahme bestätigt. Als Hittorf®) eine Lü- sung von XC/ mit einer andern von XJ vermengte und das Gemisch durch den Strom zerlegte, fand er, dass bei der Electrolyse C! und J ausgeschieden wur- . den, und zwar in demselben Verhältniss, in welchem sie im Electrolyten gemischt waren. Er hat hierüber zwei Versuche gemacht, das eine Mal waren die Salze gemengt im Verhältniss gleicher Aequivalente, das andere Mal kamen auf 1 Aequivalent des einen Salzes etwa 3", Aequivalente des andern. Das Resul- 5) Wiedemann. Lehre v. Galvanismus 1861 L. Th. pg. 360. 6) Poggendorff’s Annalen CL pg. 248. 7) Annales de chimie et de physique 1853 HI Sr. T XXXVII pg. 419. 8) Pogg. Ann. 1838 B. CII pg. 1. des Sciences de Saint-Pétershbourg. 254 [tat war aber in beiden Versuchen dasselbe. Aus die- sen Versuchen folgt demnach, dass in einem Gemenge von XC! und XJ die Salze zerlegt werden, proportio- nal der in ihnen enthaltenen Anzahl von Aequivalen- ten, und ferner, nach dem electrolytischen Grundge- set, dass der Strom sich in demselben Verhältniss, in welchem J und CZ ausgeschieden werden, in zwei Theile spaltet. Nun habe ich in einer kürzlich er- schienenen Abhandlung °) nachgewiesen, dass der Satz von Kirchhoff über die Stromverzweigung in paral- lel sich verzweigenden Leitern für Flüssigkeiten genau ebenso anwendbar ist, wie für Leiter erster Classe. Um diese beiden Thatsachen, den Versuch von Hit- torf und meinen Nachweis in Einklang zu bringen, muss angenommen werden, dass die Leitungsfähig- keit von Lüsungen von XC! und ÆJ der Anzahl der Salzmolecüle, welche in ihren enthaltenen sind, pro- portional ist, wie Hittorf dieses in der That, ohne den experimentellen Nachweis dafür zu liefern, an- nimmt. Dieser Satz schien mir nun von so hohem In- teresse, dass ich ihn einer experimentellen Prüfung unterzog und mich dabei nicht allein auf die zwei an- geführten Salze beschränkte, sondern auch andere Ele- mente ausser Kalium der Beobachtung unterzog und Verbindungen sowohl einwerthiger als auch zweiwerthi- ger Elemente untersuchte. Ich habe alle Salze in flüssiger Form, als wässrige L- sungen angewandt, denn in dieser Gestalt lässt sich er- warten am sichersten zum Ziele zu gelangen. Allerdings sind die Verhältnisse bei Anwendung geschmolzener Salze insofern einfacher, als man es nicht mit dem Ein- fluss des Lüsungsmittels zu thun hat; es bieten sich aber dann erstens in practischer Beziehung grosse Schwierig- keiten dar, wie die Versuche Braun’s!°) zeigen, und es tritt zweitens eine neue Complication dadurch auf, dass man die Vergleichung der verschiedenen Salze nicht bei ein und derselben Temperatur durchführen kann. Ferner habe ich nur schwache Lüsungen ange- wandt, weil es durch Erfahrung festgestellt ist, dass bei grosser Verdünnung der Einfluss des Lüsungs- mittels auf die Leitungsfähigkeit der Salze viel gerin- ger ist, als bei hüherem Concentrationsgrade. Die be- nutzten Salze waren die reinsten, die ich im Handel 9) Bulletin de l’Académie Impériale de St-Pétersbourg. 1876 T. XXII pg. 440. 10) Pogg. Ann. CLIV pg. 161. ff. 255 beziehen konnte und von dem Grade der Reinheit, wie sie in der Pharmacie benutzt werden. Die Lüsungen wurden so bereitet, dass einer gewogenen Menge Salz die für die gewünschte Concentration erforderliche Menge Wasser nach Gewicht zugesetzt wurde. Selbst- verständlich wurden die Salze müglichst trocken ge- wogen, doch unterliegt es wohl keinem Zweifel, dass manche von ihnen eine nicht ganz zu vernachlässigende Menge von Wasser enthielten. Ich glaubte jedoch den umständlichen und zeitraubenden Weg der analyti- schen Bestimmung des Concentrationsgrades vermei- den zu dürfen, da die ersten Versuche schon eine (re- setzmässigkeit recht deutlich zeigten. Die Abweichun- gen von der Gesetzmässigkeit, die man weiter unten fin- den wird, rühren wohl vorwiegend von dem Wasserge- halt der Salze her. Um mich dessen zu vergewissern, habe ich für zwei Serien von Verbindungen: für Zink und Kalisalze die Analysen gemacht. Von einer jeden berei- teten Flüssigkeit nahm ich genau 200 Cm., stets in ein und derselben Maassflasche, und füllte mit ïhr ei- nen Trog aus Spiegelglas, nachdem ich zuvor das spe- ‘cifische Gewicht der Lüsung bestimmt hatte. In den Trog tauchten 2 Platinelectroden von circa 18 Cm. q. Oberfläche, von denen jedoch nur 6,58 Cm.q. von der Flüssigkeit benetzt waren. Die Widerstände hätte ich gern mit dem vorzüglichen Apparate von Kohlrausch gemessen, mit welchem die Bestimmungen so ausserordentlich leicht und si- cher sich ausführen lassen, doch stand mir ein solcher Apparat nicht zur Verfügung und ich hatte auch nicht die Aussicht, mir bald denselben verschaffen zu kün- nen. Ich musste mich daher mit der alten, schon von Horsford angewandten, Methode begnügen und den Widerstand durch Verschiebung der Electroden mes- sen. Bei gehôüriger Sorgfalt und Umsicht ist diese Methode durchaus nicht so ungenau, wie es beim er- sten Anblick scheinen mag. Als Galvanometer diente eine Siemens’che Tangenten- und Sinusbussole, die je- doch stets in Form der Tangentenbussole angewandt wurde. Die Widerstände wurden gemessen an einem Siemens’schen System von 0,1 bis 5000 Einheiten, das zwar nicht verificirt worden war, von dem ich aber schon bei vielen Messungen mich überzeugt habe, dass die Übereinstimmung der einzemen Wider- standsstücke eine recht genügende ist. Der Einfluss einer Ânderung der Stromstärke während des Versu- Bulletin de l’Académie Impériale 256 ches wurde dadurch eliminirt, dass die einzelnen Be- obachtungen auf zweckmässige Weise zu Mittelwerthen combinirt wurden. Bezeichnen a, — b, — a, — D, —a, u. s. w. abwechselnd die grossen und kleinen Ab- stände der Electroden, bei welchen die resp. Wider- stände a —8, —a, —f8,—a; —$,....... waren eingeschaltet worden, so wurden Abstände Z und Wi- derstände W durch folgende Combinationen gefunden: L,="'},(a +a)—1ù, W, ‘kB @ + b,) Ve (æ, eLe &2) ET B W,= 0 — A (8, + 89) Anderungen in der Stromstärke werden auf diesem Wege sehr vollständig ausgeschlossen, die Methode leidet aber vor der Kohlrausch’s mit alternirenden Strômen an dem bedeutenden Nachtheïle, dass durch die Zersetzung des Salzes die Concentration, damit auch der Widerstand, der Lüsung sich ändert; es wird da- her durch eine längere Serie von Beobachtungen der- selber Lüsung an Genauigkeit eimgebüsst. [ch habe aus diesem Grunde nur immer 5 volle Versuche gemacht, bei fünf grüsseren und 5 kleineren Abständen, wobeï die volle Versuchsreihe nicht über ?/, Stunde dauerte. Fünf solche Versuche gaben 8 Mittelwerthe, die, wie unten zu sehen ist, genügend gut stimmen. Noch bleibt der Einfluss der Temperatur zu beach- ten. Die Versuche sind im October gemacht, an 7 ver- schiedenen Tagen. Während eines Tages blieb die Temperatur in meinem Laboratorium sehr nahezu constant, und variürte nur selten um }, Grad; von ei- nem Tage zum andern jedoch betrugen die Tempera- turschwankungen mehr als 1°, obgleich sie von der andern Seite 3° nicht erreichten. Um nun die Be- obachtungen verschiedener Tage unter einander ver- gleichbar zu machen, wurde an jedem Tage eine zweite Probe von einer der Lüsungen benutzt, deren Wider- stand am Tage vorher gemessen worden war und aus diesen 2 Beobachtungen ein Reductionsfactor für die neue folgende Beobachtungsreihe berechnet. Dieser Factor, der demnach nur für eine der am Beobach- tungstage untersuchten Lüsungen giltig ist, wurde auch auf alle anderen übertragen. Eine volle Berechtigung hierzu findet man in Kohlrausch’s Untersuchungs- resultaten !!), aus denen folgt, dass der erste Tempe- raturcoefficient für alle Salzlüsungen, wenn sie hin- Le — y ee 11) L. c. pg. 226. 257 des Sciences de Saïint-Pétersbourg. 258 reichend schwach genommen werden, derselbe ist; in der That ist der grüsste Werth dieses Coefficienten (NaC) — 0,0292, der kleinste hingegen (für Am CI) 0,0266. Diese Reductionsfactoren habe ich in den unten folgenden Tabellen unter s mit angegeben und man sieht, dass sie nicht viel von 1 abweichen. Bevor ich an die Aufführung der Resultate schreite, will ich in folgender Tabelle diejenigem Zahlen auffüh- ren, welche zur Bereitung der Lüsungen dienten, so wie auch die specifischen Gewichte der Lüsungen. In dieser Tabelle ist in der ersten Spalte der Name des Salzes angeführt, in der 2ten das Atomgewicht des- selben, in der 3ten das Gewicht des Salzes, welches auf 500 Gr. Wasser genommen werden muss, damit die Lüsungen äquivalente Mengen der Salze enthal- ten, in der 4ten Spalte die wirklich genommenen Men- gen und in der 5ten Spalte endlich die specifischen Gewichte der Lôsungen. Salz. Atmgw. Berch.Gew. Genom.Gew. Spec. Gew. CaCL 111 14,14 14,14 1,014 CaJ° 294 8744) "3744 1,049 CaBr° 200 95,47 925,47 1,034 ZnCE 136 17,32 17,3064 1.029 ZnJ° 318 40,56 40,5112 106% ZnBr° 295 28,65 28,6632 1,049 BaCE2H?0 2441 31,09 31,07 1,054 BaJ°2H20 496,9 54,37 54,28 1,081 BaBr°2H,0 333,1 42,41 492,42 1,063 Diese Tabelle umfasst 2 Gruppen von Verbindun- gen, die durch einen Abschnitt von einander getrennt sind. Die erste Gruppe enthält Haloïdverbindungen ein- werthiger, die 2te Gruppe zweiwerthiger Elemente. Im Folgenden theile ich nun die Beobachtungs- resultate über die in der Tabelle angeführten Salzlô- sungen mit, wobei ich die Versuche in Reihen geson- dert habe, so dass die Zahlen einer Reïihe stets die Beobachtungen eines Tages umfassen, also solche Be- obachtungen, bei welchen die Temperatur nahezu gleich war. In den folgenden Tabellen sind in der ersten Tabelle 1. . | A Spalte unter ZL die Verschiebungen der Electroden Salz. Atmgw. Berch.Gew. Genom.Gew. Spec. Gew. angeführt, d. h. die Differenzen L — D (a = 4): (KCI), Ie 19,00 19,00 1,025 etc., der oben erwähnten Mittelwerthe, ebenso bedeu- Hi A in ne Fa tet W den Mitielwerth is (œ + 0) Fr PAUL RE w In (KCy) 1302 16,58 1658 1015 der dritten Spalte unter 7 ist der W iderstand für ei- (NaCI), 117 14.90 14,90 1.020 nen Abstand des Electroden von 10 Cm. berechnet. (NaBr), 207 25,57 26,28 1,037 Aus dem 8 Bestimmungen für 7 ist das Gesammtmittel (Na), 300 38,20 38,20 1,050 |8ezogen, welches schliesslich mit dem Reductionsfactor (AmC!) 107 13,62 13,64 1,007 |s multiplicirt wurde, und so den reducirten Widerstand (Amd), 289 36,80 36,81 1,044 | À ergab. Die Längen Z sind in Centimetern, die Wi- (AmBr), 196 24,97 24,97 1,026 | derstände in Quecksilbercinheiten — SE ausgedrückt. 1 Reihe. s — 0,9686 1 KCI 2 KJ 3 KaBr L W r L W r L W r 17,81 57,25, 42,15 17,39 54,70 31,46 18,14 56:50 131,15 17,94 58,50 32,60 16,88 54,60 32,34 18,56 57,40 30,92 17:09 57,25 232,090 16,98. 068,251,92/51 418 000059543120 17:07. 56,00 32:80 16.68 53,501,32/07 18:09) 59:15" 31,15 LS 05%059.55.692/980046,990 54100831 8400008500 D NS 17,:160-.58,10. 3271007,40. 55,00: 31,644/19:06,59,/65# 31.30 1612753595 92.03201787. 57.050,31 032 19%11:,5980031.30 185242%58,50 :32,0441727. 55,39,.132,09 01045 59:69) 31,13 32,50 SOA 31,16 Corrigirt 30,85 30,85 R = 31,48 R—29;88 R— 29,88 Tome XXII. 17 259 Bulletin de l’Académie Impériale 260 An die Beobachtungsmittel von » für ÆJ und XBr | der zweiten 198 Cm. C. genommen waren. Man findet mussten kleine Correctionen angebracht werden, weil | die corrigirten Werthe, indem man die Zahlen resp. von der ersten Lüsung statt 200 Cm. nur 193, von | mit 0,965 und 0,990 multiplicirt. 5 NACI W 75,30 75,80 75,65 75,30 75,10 74,50 73,65 73,95 2 Reihe. SE 4 KCy L W r 18,20 96,6 31,10 18,77 58,7 31,27 19,34 60,4 31,23 19,145 59,85 31,27 18,96 59,55 31,40 19,05 59,55 831,60 19,16 60,05 531,35 19,56 60,95 31,16 R—=31:27 6 NaBr L W r 19-7900 45 ;1 37,93 19,97 76,0 38,24 19279 1670 38,66 19,60 76,25 38,89 19,86 11,450738,99 20,12 78,40 38,96 19599 77,95 39,13 19:79 71,00..39,02 RSS rS 3 Reihe. s— 09915 7 Na L W r 19,20 18,15: 40,71 18,945 77,85 41,09 18,70 77,00 41,18 18,79 76,85 40,09 18,91 76,95 40,69 18,93 77,00 40,67 18,955 76,80 40,51 19:075077,40 40,57 40,79 5 NaCl L W rY 19,475 76,95 99,11 19,78 18:2 39,53 20,09 790 29 O1 19:93 TSH 30.211 19,80 77,10 38,94 19,70 76,90 39,04 19,54 76,70 139,25 19,465 76,00 39,04 R=#39:25 8 CaBr° L W r 18,915 86,55 45,75 119227 88,80 46,08 19,61 90,40 46,06 19,705 : 90,50 45,92 19,815 90,65 45,75 19,735 90,40 45,80 19,655 90,35 45,97 19,865 91,35 45,99 45,91 = 261 des Sciences de Saïint-Pétersbourg. 262? 9 Ca! K20°S0? 4 Reiïiïhe. à a “0” 0 OIL L W r L W r a) K?0?S0? b) KHO*CO 18,87 85,85 45,50 18,315 74,75 40,80| L W r L W r 18,78 86,20 45,90 19,005 77,5 40,74 18,985 76,75 40,42 19,89 87,5 43,98 19,075 88,35 46,32 19,72 80,25 40,70 LOS 77,85 40,70 19,885 88,25 44,37 19,44 90,75 46,46 19,675 79,75 40,53/19,23 77,85 40,49 19,91 88,25 44,32 19,34 89,50 46,27 19,63 79,50 40,50 19,115 77,40 40,48 19,89 88,15 44,31 19,185 87,50 45,60 19,46 78,75 40,50 |19,01 77,00 40,51 19,865 87,7 44,15 19,095 87,50 46,06 19,26 77,75 40,50 18,925 76,80 40,58 19,895 87,3 43,87 19,035 87,75 46,09 19,205 78,00 40,36 18,845 76,65 40,67 19,905 87,1 43,75 26.02 10,59 18,825 76,30 40,52 19 9152087;1 43,73 Dé, UE À 40,59 44,06 R — 45,63 R — 40,24 | R — 40,24 R = 43,68 5 Reihe. s — 0,9777 b) KHO*°CO 10 CaCF 11 BaCF2H°0 L W r L W F 18,86 84,90 44,91 19,94 123,75 62,05 19,87 83,3 41,93 18,845 85,35 45,29 19,98 124,00 62,06 19,875 83,2 41,83 19,02 85,35 44,87 20,05 123,85 61,77 19,95 83,5 41,85 19,03 85,30 44,81 20,075 123,7 61,74 20,015 84,55 42,26 19,025 85,45 44,91 20,06 123,5 61,41 20,03 84,90 42,39 18,995 85,60 45,06 20,015 123,9 61,91 20,025 85,00 42,45 18,97 85,50+ 45,07 19,96 124,0 62,12 20,04 85,40 42,63 18,95 85,00 44,84 19,97 124,15 62,16 20,105 85,65 42,61 44,97 61,90 42,24 R — 43,68 R—60,52 À — 41,29 12 BaJ°2H°0 13 BaBr°2H°0 L W r L W r 19,96 74,65 37,39 19,98 73,35 36,71 19,95 74,50 37,36 19,97 74,20 37,15 19,94 74,65 37,43 19,995 73,85 36,94 19,94 75,10 37,65 20,035 74,15 37,01 19,94 75,10 37,65 20,05 74,30 -37,06 19,945 74,60 37,39 20,08 74,65 37,20 19,94 74,15 37,18 20,105 75,05 37,34 19,995 74658 7.47 20,055 75,00 37,40 37,44 37,10 R = 36,61 R = 36,28 17* 263 Bulletin de l’Académie Impériale 264 6 Reihe. s— 1,005 11. BaCP2H°0 14 AmClI 15 Ambr L W r L w r L W r 19,99 U0189 15), 041,241 L2D,00:4063,7: ,131,89 & 19,974.1 60,0% :50,07 19:93 82,60 ,, 41,44 .190,00.1/:64,7::, 32,350 19,94: « (60,15%80/16 19,040 189,10 . 41,16:.120,005.164,85, 32.41 , 19,935159,752:29;97 191940089850 ./41,26 19,97 064,15: 39,13. 19,94: 1 59,9%11180,04 19,95 82,30 41,25 19,93 63,5 31,85 19,91 59,9 30,04 19,950V%82,30:041,925.019,99%0%63,55 31,79 19,955 60,0, 30,07 20,08 82,25 40,97 20,065 63,55 31,68 20,045 60,0 29,94 20,11 82,20 40,88 20,05 63,50 31,68 20,055 59,85 29,84 41,18 31,97 30,02 R—41,29 R—52,07 R—30:12 16 AmJ 17 ZnCF entstehen, dass die Substanzen nicht immer ganz trocken a ni ss L M | r angewendet wurden, wahrscheinlich grüsser sind, als in PES 30,95 oe 96,25 48,34! dicjenigen, von welchen die Rede ist. Bedeutender < = 9 5 96 7 Q F0 . : - ne ee ie us ne sind die Correctionen nur für KJ, KBr und NaBr. 19 905 an 30 07 19 0% is . Für die Zinksalze sind diese Correctionen zwar sehr Je sAt JU.,4 Jde JD +0, : œ : 19 91 $ 6100 20 63 20 025 97 0 18 50 gering, da aber für diese Gruppe der Gehalt an CI, J 19.92 61,10 30,62 20,01 96,75 48.34 pui Br durch Füllung mit salpetersaurem Silber und 19,991 60,70 30,49 19,995 96,8 48,42 Wägung des Niederschlages direct bestimmt wurde, 19,905 60,55 30,35 19,99 96,7 48,38 | 50 nehmen diese Resultate eine bedeutend grüssere 30.49 48 47 | Genauigkeit in Anspruch als die übrigen; daher habe R — 30,59 R — 48,62 ich auch für diese Gruppe die Correctionen angebracht. ; Le Um den Fehler des Gewichtes zu eliminiren, habe ich : 15 ZnBr 19 ZnJ° angenommen, dass bei so weit verdünnten Lüsungen, de à . 7 1: ” _ à Fe. wie ich sie benutzt habe, der Widerstand der Lôsung J JE J9,t ÆO,U: Je Jo, 40,/0 + Den ranto a sr Colya ook 4 7 nt 20,00 96,05 48,03 19,92 93,65 47,01 de m Pi ocentgehalt der Salze umgekehr t proportional 00 04 959 4786 1945 93 60 16 99 ist. Führt man diese Verbesserungen ein, so erhält AVE DE UE ES 2195 AUOT SEE 20,05 96,0 47,88 19,99 93,70 46,87 | mn fi ; ; , ; 3 ’ re : T. . 20,04 96,4 48,11 19,985 93,95 47,01 Se KBr ni As 20,02 96,65 48,40 19,965 94,20 47,19| Statt 29,88 29,88 56,75 20,015 96,5 48,21 920,00 94,30 47,16 die Widerstände 30,00 30,04 39,80. 20,00 96,25 48,23 19,906 94,80 47,24 ue : : 18 10 | d 00 Für das ZnCF war durch Analyse das Gewicht 17,3064 + mit dem Verhältniss —— ie w- Dass die reducirten Widerstände ÆR.d von denen der ersten Tabelle ab- weichen, rührt von einem verschiedenen Concentra- tionsgrade der Flüssigkeiten her. Aus dieser Reihe von Beobachtungen sicht man, dass auch Rhodankalium einen Widerstand besitzt, der demjenigen der Haloïd- verbindung des Kaliums sehr nahe steht, doch scheint es, dass der Widerstand dieses Salzes etwas grüsser ist, als der für die andern Salze gefundene. In Berücksichtigung der geringen Differenzen, wel- che die Widerstände von Lüsungen einer und derselben Gruppe zeigen, lässt sich als Resultat der Untersuchung der Satz aussprechen: «Aequivalente Mengen von Haloïdsalzen einer und derselben Base, in Lüsungen von gleicher Länge und gleichem Querschnitte, besitzen gleiche galvanische Widerstände». Hieraus lässt sich dann mit einiger Wahrschein- lichkeit folgern, dass in den Haloïdsalzen die galva- nische Leitungsfähigkeit ausschliesslich von den Basen, den Leïtern in den Verbindungen, bedingt. wird, die Halogenen aber auf die Leitungsfähigkeit keinen Ein- fluss üben. Bei genauerem Einblick in die Zahlen der oben angeführten Tabellen sieht man jedoch, dass in den Widerständen der Salze einer und derselben Base kleine Differenzen bestehen, die ihrerseits gleichfalls eine Gesetzmässigkeit zeigen, indem unter den ver- schiedenen Haloïdverbindungen fast in jeder Gruppe die Chloride den grüssten Widerstand besitzen, die Jodide den geringsten, während die Bromide zwischen ihnen stehen. Zugleich bemerkt man, dass die Chlor- verbindungen das geringste specifische Gewicht, die Jodverbindungen hingegen das grüsste besitzen, und es stehen daher die Widerstände der Verbindungen einer und derselben Gruppe in einem umgekehrten Verhältnisse zu der Dichtigkeit der Lüsungen. In der Absicht, ein solches Verhältniss nüher zu be- stimmen, habe ich die in obigen Tabellen angeführten Widerstände mit den Dichtigkeiten der Lüsungen mul- tiplicirt und die hierdurch erhaltenen Producte in der letzten Spalte unter «reducirte Widerstände» und Z. d aufgezählt. Im Allgemeinen werden die Widerstände durch die ausgeführte Multiplication einander nicht näher ge- rückt, für die Gruppe der Zinksalze indessen und die des Kaliums, deren Salzgehalt analytisch bestimmt ist, stimmen die Widerstände fast vollständig unter einander. Daraus glaube ich den Schluss ziehen zu dürfen, dass für Verbindungen einer und derselben Base mit verschiedenen’ Halogenen die Widerstände den Dichtigkeiten der Lüsungen umgekehrt propor- tional sind, und wo Abweichungen von diesem Gesetz auftreten, künnen sie durch die Fehler der Beobach- tungen erklärt werden. Die Differenzen in den Widerständen der RE denen Haloïdverbindungen einer und derselben Base und ihre Abhängigkeit von der Dichte der Lüsungen von äquivalenten Salzmengen kann verschieden ge- deutet werden. Sie künnte daher rühren, dass die Ha- logenen auf den Widerstand der Verbindung doch nicht ganz ohne Einfluss sind; man würde aber dann zu dem Schlusse gelangen, dass ein Halogen den Widerstand der Verbindung um so grüsser macht, je grüsser das Aequivalentgewicht des Halogenen ist, was doch sehr unwahrscheinlich ist. Man kann aber die Ursache der Differenzen auch in dem inneren Reibungswider- stande der Lüsungen suchen, der dann um so grüsser anzunehmen wäre, je grüsser das Aequivalentgewicht des Halogenen ist, und diese Annahme hat viel Wahr- scheinlichkeit für sich. In diesem Falle wäre die Ver- schiedenheit der Widerstände äquivalenter Salzmen- gen bedingt von dem Concentrationsgrade der Lüsun- gen. Denkt man sich nun die Lüsungen immer mehr und mebr verdünnt, ihre Querschnitte aber in dem- selben Maasse vergrôüssert, so müsste der Einfluss des Li 269 Halogenen der Verbindung auf den Reibungswider- stand der Lüsang immer mehr abnehmen, und man käme schliesslich zu einem Grenzwerthe, wo dieser Einfluss verschwindend klein würde. Diesem Grenz- werthe entspräche die Dichtigkeit der Lüsung 1, und der Widerstand wäre der oben als «educirter Wider- stand» bezeichnete. Um einen solchen Einfluss der Concentration zu untersuchen, wurden noch folgende zwei Versuchs- reihen gemacht. Ich präparirte 2 Lüsangen —K CI und KJ — von halber Concentration gegen die in der Ta- belle aufgeführten und bestimmte den Widerstand eines doppelt grossen Querschnittes dieser Lüsungen, indem ich 400 Cm. in den Trog brachte. Die Lüsungen der- selben Salze, die auch bei der ersten Reïhe benutzt waren, bestanden aus 19,00 Gr. KCI und 42,31 Gr. KJ auf 1000 Cm. statt auf 500 Wasser. Hierbei fand ich folgende Widerstände: für KC1... 30,37 statt 31,48 wie im ersten Versuche penKJ.... 30,00: » 30,001» » « » » Differenzen 0,37 1,48 Die Dichtigkeiten der Lôsungen betrugen 1,012, und 1,030, daher sind die reducirten Widerstände: für KC1.. 30,73 statt 32,20 wie im ersten Versuche KJT....:30,89, »: 31,80,» » » » Differenz — 0,16 0,40 Die nicht reducirten Widerstände von KCI und KJ stehen einander viel näher für die schwachen Lôsun- gen als für die stärkeren. Allerdings sind diese Diffe- renzen geringer auch für die reducirten Widerstände der schwachen Lüsungen, indessen sind sie hier über- haupt so gering, dass sie von den Beobachtungsfehlern ganz verdeckt werden. Bei einer 2ten Versuchsreihe wurden 166,1 Gr. KJ und 74,6 Gr. KCI in je 500 Gr. Wasser gelüst, so dass auf je 1000 Gr. Wasser 2 Aequivalente Salz kamen. Von diesen Lüsung wurden dann Proben auf 1, und 1}, Aequivalent verdünnt, von denen je 200 Cm., von der letzten 400, in den Trog abgegossen und dann ihre Widerstände bestimmt wurden. In den folgenden An- gaben der Resultate sind nur die Widerstände je zweier Lüsungen von demselben Concentrationsgrade unter sich vergleichbar, weil nur je zwei solche Lü- sungen dieselbe Temperatur hatten. Für diese Lü- sungen fand ich folgende Widerstände: des Sciences de Saint -Pétersbourg. 270 Lüsungen von 2 Aeq. 1 Aeq. KaJ 9,011 17,065 KCI 9,555 17,858 29,10 55,95 52,98 Corr. KCI 10,042 18,26 29,24 56,06 53,02 An die Widerstände des KCI habe ich noch zwei Correctionen angebracht, erstens weil die abgewoge- nen Salze müglicherweise nicht trocken waren und dann 2/, Aeq. 1/, Aeq. !/ Aeq. 27,77 53,77 52,16 wegen der bei der Lüsung eintretenden Verdichtung, wodurch gleiche Querschnitte der Lüsungen nicht ge- vau äquivalente Salzmengen enthalten. Diese Cor- rectionen wurden auf folgende Weise berechnet. Es bedeute p das Gewicht des zur Lüsung benutz- ten KJ in Grammen, À dasselbe in Aequivalenten ausgedückt , also À — £, wo «das Aequivalentgewicht bedeutet, d sei das spec. Gewicht der Lüsung; ferner sei # das Gewicht des zur Lüsung benutzten Wassers und v dasjenige Volumen der Lüsung, welches in den Trog abgegossen wurde, # endlich bedeute das in Aequivalenten gemessene Gewicht des KJ welches im Volumen » enthalten ist. Das Volumen der präparirten Lôsung ist: p +w q .__ Av.d 7 p+w Für die entsprechende Lüsung von KCI erhält man ebenso : und ne Ai vdi 1 + Bezeichne ich ferner dureh y, den für KCL ge- fundenen Widerstand und durch > denjenigen Wider- stand des KCI, welchen man erhalten hätte, wenn die in den Trog abgegossene Lüsung statt +, dieselbe Salz- menge + enthalten hätte, wie die Lüsung des KJ, 0 ist: 14 T=T SE Ati, PEU ge LAd + Schreibe ich nun p + w — (1 + = . und M + = ( l+ € 1): w,,mache ich ferner d=1 + à und \ w) d, = 1 + à,, berücksichtige ich endlich, dass à und Ô;, ebenso £ und PL kleine Brüche sind, deren zweite und hühere Potenzen vernachlässigt werden künnen und endlich, dass stets v— v, ebenso # — #, genommen wurden, so erhalte ich die angenäherte Gleichung Ph Hs A; renll+a—5it = 2: 271 Bulletin de l’Académie Empériale 272 Mist, genau in lent Mengen gelôst sind, so erhalte ich für die in der letzten Tabelle in der 3ten Hori- zontalreihe angeführten corrigirten Widerstände von KCL. Um noch das Verhältniss von = zu finden, wurden die letzten Proben von KJ und KCI mit Silberlüsung titrirt. Für 20 Cm. der Salzlüsungen wurden folgende Mengen Silberprobe gefunden: für KC128,52—928,73—928,75 » KJ 28,92 -28,89— A: Las Nehme ich an, dass d. h. dass die Salze im Mittel 28,67 28,87—28,92 » » 28,90 : Re A Demnach ist das Verhältniss von 1 — 0,992 und die RL Widerstände sind : Difler. 10,0 5,9 à 3 Aus dieser Beobachtungsreihe tritt der Einfluss der Concentration sehr deutlich hervor. Die specitischen Gewichte der Lüsungen waren fol- gende : für KCI 1,086 1,046 1,026 1,013 1,006 KJ 1,218 1,1145 1,068 1,034 1,016. Multiplicirt man die zuletzt mitgetheilten Wider- stände mit den zugehôürigen Dichtigkeiten der Lüsun- gen, so erhält man folgende reducirte Widerstände: für KCI 10,81 19,00 29,76 56,32 52.95 » HU 10,920 19,01 29,66, 55,60 53:03 Differ. — 1,5 —0 +04 —1,3 <+0,2% Diese Differenzen sind so gering, dass sie durch Beobachtungsfehler erklärt werden künnen, wofür auch das wechselnde Vorzeichen derselben spricht. Dem- nach folgt aus dieser Beobachtungsreihe: «Dass die Widerstände äquivalenter Lüsungen von KCI und KJ den Dichtigkeiten der Lüsungen umge- kehrt proportional sind». Dieser Satz widerspricht nicht dem oben ausgespro- chenen von der Gleichheit der Widerstände, wenn der letztere nur auf schwache Lüsungen angewendet wird. Vergleicht man ferner die in der ersten Tabelle aufseführten Mittelwerthe für die Haloïdverbindungen einer Base mit denen der andern, so sieht man, dass die Widerstände der Lüsungen verschiedener Basen bei gleicher Concentration weit davon entfernt sind, den Aequivalentgewichten umgekehrt proportional zu sein, da in diesem Falle alle in der ersten Tabelle an- gegebenen Widerstände einander gleich sein müssten. Eine einfache Relation zwischen den Widerständen der Lüsungen und denen der Basen scheint kaum zu be- stehen, denn nach Mathiessen verhalten sich die Wi- derstände des Kaliums und Natriums, bei äquivalen- ten Mengen derselben, in fester Form wie 1 zu 1,06, nach meinen Versuchen aber die der Lüsungen wie 1 zu 1,30. Nimmt man zum Vergleich K und Na flüssig, so nähert sich das Verhältniss ihrer Widerstände etwas mebr dem der Lüsungen. Es lassen sich aber aus diesen Versuchen andere, interessante Folgerungen herleiten, wie in Folgendem gezeigt werden soll. 1) Nach der Auffassung über das Wesen der Elec- trolyse, wie sie von Quincke ”) auseinandergesetzt ist, gelangt man für das Leitungsvermügen eines Salzge- misches zu dem Ausdruck: À — © p, (Cie — Ce), worin A ++ --.) as Die einzelnen Grüssen à,--), bedeuten das spe- cielle Leitungsvermügen der einzelnen chemischen Verbindungen. Alle in dieser Abhandlung untersuchten “Lüsungen enthalten nur eine chemische Verbindung, und daher hat man nur zwei Werthe für À anzunehmen, einen für das Salz, den andern für das Wasser. Nimmt man die Leitungsfähigkeit des letzten gleich Null, so kommt man zu der einfachen Formel: k = 7 p1 (Cie — Ce), Ganz ähnliche Ausdrücke erhält man für alle un- 4 ter suchte Lüsungen. In dieser Gleichung ist x, — gesetzt, wo % eine Constante und 7, den Widerstand der Lüsung bedeutet, p, ist die Anzah]l der Salzmole- küle in den Lüsungen. Wendet man diese Gleichungen auf die Haloïdver- bindungen einer und derselben Base an, so sind 7, und ÿ, in allen Ausdrücken dieselben, weil die Salze in äquivalenten Mengen gelüst waren und dabei gleiche Widerstände hatten. Man hat daher für alle Verbin- dungen einer Base die Relation: 12) Pogg. Annal. CXLIV p. 16. s 253 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 274 ne k— (Cie, — Cie) —(Cses — yes) = (C3 — C'ie'3). Bei gleichem Widerstande sind aber die einzelnen Glieder dieser Relation proportional den relativen Ge- schwindigkeiten, mit denen die Tonen ancinander vor- beigeführt werden und der von Kohlrausech ”) für die Wasserstoffsiuren aufgestellte Salz kann, verallgemei- nert, so ausgedrückt werden: «In schwachen äiquivalenten Lôüsungen ver- schiedener Haloïdverbindungen ciner und der- selben Base werden die Tonen durch gleich grosse Scheidungskräfte und mit gleicher re- lativer Geschwindigkeit an einander vorbei be- wegt» Bei allen meinen Versuchen ist innerhalb einer und derselben Gruppe das Gewicht derBase dasselbe, die Concentration der Lôsungen (nach Molekülen) dieselbe, die positiven Tonen haben genau dieselbe Constitution, sie sind also identisch und befinden sich unter ganz gleichen Verhältnissen. In diesem Falle wird es daher wohl gestattet sein anzunehmen, dass sie auch gleiche absolute Geschwindigkeiten haben; dann sind aber auch die absoluten Geschwindigkeiten der negativen Jonen einander gleich, und man kommt daher, unter der oben gemachten Voraussetzung, zu dem weiteren Schluss: «in schwachen äquivalenten Lüsungen verschiede- ner Haloïdverbindungen einer Base haben die Mole- küle der Halogenen gleiche absolute Geschwin- digkeiten». 2, Nach Quincke’s Auffassung von der Electrolyse ist der Widerstand einer Lüsung direct bedingt durch die Eigenschaften der Ionen, die hierbei auftreten, und nur indirect durch die der Verbindung. Sucht man demnach nach einer Beziehung zwischen der Lei- tungsfähigkeit einer Lüsung und irgend welchen andern Eigenschaften derselben, so hat man sein Augenmerk dabei nicht so sehr auf das Salz in der Lôüsung zu richten, als vielmehr auf die Jonen, die bei der Elec- trolyse auftreten. Von diesem Gesichtspunkte aus, hat sich schon im Punkte 1 eine hôchst interessante Relation ergeben, Zu einer zweiten gelangt man, wenn man vom demsel- ben Gesichtspunkte aus den Einfluss der positiven Ionen auf die TE ee te der Lüsung untersucht. 13) Pogg. Annal, CXLX 269. Tome XXIII. Hier bietet sich indessen die Schwierigkeit, dass wir den in dieser Abhandlung untersuchten Lô- sungen über die Constitution der positiven Moleküle weniger sicher sind, als über die der negativen. Neh- men wir beispielsweise die Electrolyse des KCI. As negatives Molekül tritt hier das CI auf; als positives im Moment des Entstehens K; dieses indessen muss beim Entstehen schon in K°0 übergehen, und nun kann darüber ein Zweifel entstehen, ob man als positives Molekül, das am Cl vorbeigeführt wird, die Ver- bindung K°O oder die andere (KHO), anzusehen hat. Man muss daher hierüber eine Annahme machen. Die wahrscheinlichste und greifbarste Voraussetzung ist nun die, dass das positive, bei der Zerlegung fort- geführte Molekül dieselbe Constitution hat, wie die an der Kathode auftretende Tone, vorausgesetzt, dass ersteres sich gegen die Electrode indifferent verhält. Dieser Annahme liegt die Voraussetzung zu Grunde, dass in jedem Querschnitt des Leiters genau die- selbe Zerlegung erfolgt und nur in den zwei äusserten Querschnitten, den Electroden, eine Wiedervereinigung der Moleküle nicht eintreten kann. Unter dieser Voraussetzung habe ich nun folgende Constitutionen der Ionen angenommen: bei (KHO + H), — (NaHO + H), — (AmHO + H), #) — (CaO°H° + 2H) — (BaO° +- 2H) — Zn. Für die Zersetzung des ZnCP ist als Tone Zn an- genommen, Weil das Zn metallisch sich niederschlägt. CaO°H° und ebenso BaO°H° konnten in dieser Con- stitution angenommen werden, weil bei so verdünnten Lüsungen, wie ich sie angewendet, an der negativen Electrode keine sichtbare Trübung erfolgte. In folgender Tabelle sind für die verschiedenen Gruppen die Widerstände 7 und die Acquivalente À der positiven [onen zusammengestellt, in der 4ten Reihe endlich die Producte r A. (NaHO+H), (KHO+H), (AmHO+H), Ca02H2+2H BO2H2+2H Zn. r 41,26 31,68 31,71 47,47 39,16 50,0 A82,1 114,8 36 , 76 173,2 65 rA3387 3620 'L3426 3608 2.3391 3253 Mittel 3445 Dif. 1,7 5,1 0,6 A 1,5 5,5% 14) Annalen d. Chemie u, d. Pharmacie Bd. LXIV p. 237. 18 275 Bulletin de l’Académie Impériale D 276 Ein Blick auf diese Tafel zeigt, dass für die ver- | haben *). Der Versuch bestätigt die Erwartung. Ich schiedenen Basen der Haloïdverbindungen das Product aus dem Aequivalentgewicht der positiven Ione und dem Widerstande der Lüsung constant ist und der Zahl 3445 nahe kommt. Die Differenzen von diesem Mittel weichen nicht um mehf ab, als nach den müglichen Fehlern der vorliegenden Versuche zu erwarten ist. Eine Abweichung von diesem Verhalten zeigen nur die Lüsungen von AmCE und BaCP. Schwerlichist es wohl ein Zufall, dass für die Lüsung des AmCI ein genau 3 mal kleineres. für die des BaCE ein 2 mal grüsseres Product gefunden ist, als für die übrigen Lüsungen. Auch in einer andern Verbindung, von der weiter die Rede, giebt das Baryum ein doppeltes Product gegen Na und K. Aus den hier angeführten Beobachtungen scheint demnach folgender Satz zu folgen: «Die Producte aus den Widerständen von Haloïd- verbindungen in Lüsungen von gleicher Anzahl Salz- theilchen und den Aequivalente ihrer positiven Ionen sind entweder constant oder stehen zu einander im Verhältniss einfacher Multipla.» Wie weit dieser Satz für andere Verbindungen gül- tig ist, muss durch weitere Untersuchungen bestimmt werden; dass er nicht allgemeine Gültigkeit hat, sieht man aus dem Widerstande der Wasserstoffsäuren; denn nach diesem Gesetz müssten die letzteren einen sehr grossen Widerstand besitzen, während er factisch sehr gering ist, wie Kohlrausch es gezeigt hat, und wie auch ich es bei einigen Versuchen gefunden habe. 3. Aus diesem Satze lassen “sich mancherlei Folge- rungen zichen, von dénen hier nur zweier erwähnt werden sol]. Aequivalente Lüsungen von cinfachem und doppel- tem kohlensaurem Kali geben dieselben positiven Io- nen und haben nahezu gleiche Widerstände, die dem des schwefelsauren Kali gleichkommen. Ich fand für diese Lüsungen resp. die Widerstände: 43,34 Differenz 0,5 45,03 4,5 41,00 Mittel 43,12 5,0 Procent. Lüsungen von Kali-, Natron- und Baryt- Hydrat geben bekanntlich bei der Electrolyse alle nur O und H, man ist daher berechtigt zu erwarten, dass sie, im äquivalenten Mengen gelôst, auch gleiche Widerstände fand : | Fe À bei BaO°H° (NaHO), (KHO), die Widerstände 2.19,27 19,59 19,76 Mit. 19,54 Differenzen . .. 1,4 0,3 11 Bemerkenswerth ist, dass hier der Widerstand des Baryums wieder halbirt werden muss, um dem Gesetz zu folgen. Vergleiche ich zum Sehluss die Resultate meiner Beobachtungen mit den vorzüglichen Bestimmungen von Kohlrausch, so ergiebt sich eine ganz befriedi- gende Übereinstimmung. Bezeichnet man zum Ver- gleich den Widerstand des Kaliumchlorids nach Kohl- rausch mit 100 und drückt den der andern Chloride in dieser Einheit aus, nimmt man ferner für meine Reihe die Mittel aus den reducirten Widerständen einer Gruppe in Bezug auf die Kaliumsalze als 100, so er- hält man folgende Vergleichstabelle: Salze, Kohlrausch. Lenz. K 100 100 Na 130 130 Ca 146 150 Am 105 100 Ba 127 123 Anbhang. Zum Sehluss will ich noch auf eine auffallende Re- lation aufmerksam machen, welche zwischen den Atomgewichten einiger chemischen Elemente und ih- ren electrischen Widerständen, in festem Aggregat- zustande gemessen, zu bestehen scheint und die bis jetzt, so weit mir bekannt, nicht bemerkt oder nicht erwähnt worden ist. Die electrischen Widerstände verschiedener Kür- per werden stets nur bei gleichem Volumen vergli- chen, und da zeigt sich denn kein Zusammenhang zwi- schen dem Atomgewicht und dem Leitungswiderstande. Eine solche Relation wird aber ersichtlich, sobald man den Widerstand nicht bei gleicher Dicke der Drähte vergleicht, sondern bei Durchschnitten, die den Dich- tigkeiten umgekehrt proportional sind, d. h. bei glei- chem Gewicht für dieselbe Länge. Bezeichnet à die Leitungsfähigkeit bei gleichem Volumen, W den Wi- 15) Auch für H2S04 ist der Widerstand sehr nahezu gleich, wie ich später gefunden. Die Electrolyse der Schwefclsäure giebt aber auch H als positive Ione. 27% des Sciences de Saint -Pétersbourg. 278 derstand bei gleichem Gewicht und gleicher Länge, und s das specifische Gewicht des Kürpers, s0 ist: Ve W—. Bezcichnet ferner À das Atomgewicht des Kôrpers, ' W : Nr , soistw,—, der Widerstand bei äquivalentem Gewicht und daher kann w, als Aequivalent-Widerstand be- zeichnet werden. Es ist: s W—=— À, welchen Ausdruck wir noch mit 100000 multipliciren wollen um kleine Brüche zu vermeiden; dann ist: w — 10000 : 4. In der folgenden Tabelle ist nun eme Reihe von Elementen angeführt, deren Leitungsfähigkeit von Matthiessen bei 0° bestinnt worden ist; seine Mes- sungen sind in der Spalte unter À angegeben. Unter s habe ich die specifischen Gewichte angeführt, die ich zur Berechnung von # angewandt habe; sie sind ohne besondere Auswahl in abgerundeten Zahlen genom- men; unter À stehen die Atomgewichte der Kôürper und in der letzte Spalte endlich, unter w, die Aequiva- lent-Widerstände, wie sie nach obiger Formel berechnet sind. Die Elemente sind nach abnehmendem w geordnet. Name À s A vw Bi 1,24 9,8 208 3769 Sb 4,62 6,7 120,3 -— 1206 Ni 13,11 8,3 59 1073 Pl 10:53: 121.0 198 10071 Pd 12,64 11,9 106,3 S85ÿ Fe 16,80 7,9 56 83401 Cot1r,2204%8,5 59 837 Ph 8,32 11,35 207 6591 LD,9:2 MES 204 629j Sn , 12,36 139 118 500 Li 19,00 0,6 7,02 4501 SO, TI 0 87,5 442j Zn 29,00 7,0 65 371 Cd 23,70 3,60 39,14 326j Al 33,76 2,67 2714 289 Mg 25,47 1,75 24 ” 286; Ca 22,14 1,6 40 E79 Cu 99,8 8,9 635,9 1341 Au 78,0 19,9 196 126f Na 37,43 0,97 23,04 115) K 20,84 0,865 39,14 106/ g 100 10,5 108 97 AS 4,76 5,5 75 15 Man sieht aus dieser Tabelle, dass der Aequivalent- Widerstand verschiedener Elemente innerhalb der Grenzen von 15 bis 3769 eingeschlossen ist; wahr- scheinlich jedoch ist die letzte Zahl bedeutend zu gross, denn Mathiessen selbst bemerkt, dass das Wismuth ein grosses Bestreben zum Krystallisiren zeigte. Da- her hat die Masse wohl auch Risse und Sprünge ge- habt. Will man auch diese Zahl als unsicher nicht in Be- tracht ziehen, so bleiben doch die Grenzen, innerhalb welcher die Aequivalentwiderstände schwanken, immer noch sehr gross. Es ist um so auffallender, dass inner- halb dieses weiten Grenzgcbictes einige der Wider- stände einander sehr nahe kommen und noch auffal- lender wird dieser Umstand dadurch, dass es chemisch ähnliche Kürper sind, die sich so zu gleichen Aequi- valentwiderständen gruppiren. Solche Gruppen sind in vorstehender Tabelle durch Klammern verbunden, und man erhält daher folgende Elemente mit gleichem Aequivalent-Widerstande: PI 1007 — Pd 585 Fe 840 — Co 837 (vielleicht auch Ni) Pb 659—Th 629 Li 450—$r 442 Zn 371 — Cd 326 (vielleicht auch Sn) Al 289 — Mg 286 Cu 134— Au 126 (?) Na 113—K 106—Ag 97 Bemerkenswerth ist, dass das Ag, obgleich seine Leitungsfähigkeit die des Kaliums 5 mal, die des Na 3 mal übersteigt, doch in dieselbe Gruppe geht; es ist aber bekannt, dass im chemischen Verhalten diese drei Kôürper einander nahe stehen. Berücksichtigt man nun, wie sehr die Leitungsfähig- keit einiger, besonders nicht dehnbarer, Kôrper Zu- fülligkeiten unterworfen ist, wie unbedeutende Risse und Sprünge in solchen Kürpern den Widerstand ver- grüssern künnen, wie bedeutend das Leitungsvermü- gen durch Beimengungen modificirt wird, wie stark die Temperatur auf dasselbe wirkt, wie schwankend endlich die Angaben über die specifischen Gewichte sind, so wird man wohl kaum umhin kôünnen, die Gleich- heit des Aequivalent-Widerstandes für viele chemisch- ähnliche Elemente als eine sehr nahe übereinstimmende zu erkennen. Es scheint aber auch ein zufälliges Zu- 18* 279 Bulletin de l’Académie Empériale sammentreffen wohl kaum annehmbar, und es scheint daher, dass: «Chemisch ähnliche Elemente bei gleicher Draht- linge und äquivalenten Gewichtsmengen gleiche Lei- tungsfähigkeiten besitzen.» Die Fonton’sche Handschriften - Sammlung. Von B. Dorn. (Lu le 23 novembre 1876.) Durch die Vermittelung des Kaiïs. Deutschen Gene- ral-Consuls Dr. Blau in Odessa hat das Asiatische Mu- seum der Akademie die nachgelassenen morgenländi- schen Handschriften des Geh. Rathes Fonton (+ 1864) erworben. Der seit dem J. 1818 von Frachn einge- führten Gewohnheit gemäss lasse ich hier das Ver- zeichniss dieser Erwerbung folgen. Es hat den ge- nannten Gelehrten zum Verfasser, welcher es mir zum Behuf des Ankaufes übersandt hatte. 1. Der Koran. Neuere schüne Schrift mit Gold- einfassungen und Arabesken, in einem mit Gold verzier- ten Maroquin-Einband in einer dergleichen Kapsel. e # nas Abhandlungen ni Es von Ahmed b. Alib. Masud. Anfang: _ 59) dl À al JB. Zum Theil mit kand- und Interlinearbemerkungen. Abgeschr. Éd PISE: b) Le j#ll. Anfang: all] Qi pan) 0 phel à d sd} Abgeschr. 1115 H. 6)» geill. Anfang : D) ÿail de umeyell Lis, J 4 sd) mit Rand- und Interlinearbemerkungen, Abschr. 1145 F. 4) Ls. Anfang: LL Ookés dus co peil) OI ol ) el. Abgeschr. von Mustafa ben Muhammed. 1116 H. e) pal Ye all do. Vergl. Catalogue, p. 156, Nr. CLIIL. 3. Ibn Chaldun’s Mukaddime in türkischer Über- setzung unter dem Titel Ju (lus all Glée ll pe) Pb | cs? als A bai] ist nach Hadschi Pirizadeh Mu- 1162 H. Der An- LS9? "9 rele y Dis Der Verfasser der Übersetzung Chalfa, ed. Flügel, Nr. 14622: hammed Sahib Efendi, + AL sel (Jsl (ble. Dieser Band umfasst, wie am Schlusse ausdrücklich bemerkt wird, die Einleitung und die ersten fünf Abschnitte des arabischen Werkes (bekanntlich in den meisten Handschriften Ibn Chaldun’s dem ersten Theil des arabischen Textes entsprechend). Abschrift v.J. 1191 H. von el-Hadsch Muhammed b. el-Hadsch Muhammed. Als erster Besitzer steht eingeschrieben Osman, Kadhi der Stadt Smyrna, Sohn des el-Hadsch Ahmed Pascha fang dort wie hier ist: 1. J: 1195 or) pos! au Je Gel ue Je Has} és us asc Qie 0); on sel LL yal els 591) 1190 Feu > S Auf dem Vorderblatt: sé la 5 Ugl59s AS Le IIO aie ailiuls dans, Gut gehaltene, schône Handschrift, 366 BI. fol. otbe els. 24 BL gr. 8; in zwei Spalten beschrieben. Schmutztitel: SlEe J, Schluss: uo Le Persische Handschrift vom J. 1170 H. Kürzere Redaction in 58 Abschnitten, bei deren zehn letzteren die Überschriften fehlen. 5. Dschelal-eddin Rumy'’s Mesnewi (Sy çsptre) vollständig bis auf die prosaischen Ein- leitungen vor dem vierten und sechsten Abschnitt. Schôüne, alte Handschrift, nur die Prosastücke sind von anderer Hand geschrieben — der Rest vollendet i. J. 891 H. von der Hand des Kutbeddin b. Muhammed. 6. Sady”’s Gulistan, feines Nestalik, 75 BL in 13 Zeilen. 7. Hafiz, Diwan, ein goldgepresster Prachtband; der Text in verzierten Blattrahmen eingeklebt. Hand- schrift v. J. 951 H. Als ältester Besitzer schrieben (& PE Ua pp JS 8. Hafiz mit dem türkischen Commentar des Mustafa b. Schaban Sururi (62, Hadschi Chalfa, Nr. 5371), welcher nach der Unterschrift voll- endet wurde am 4. Zilhidsche 966 H. Die vorliegende Copie ist von demselben Monat d. J. 1019 H. von der Hand des Abubekr b. Mustafa b. Hamsa b. Muham- med. Ausgezeichnete Handschrift — 387 BL. fol. — mit mannigfachen nützlichen Zusätzen am Rand. Das Werk endet auf dem drittletzten Blatt: dann folgen “ ol. grosses ist einge- 2S1 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 282 noch von anderer Hand Bb al 5 2 Lis. Anfang: le Je LS JD usilee 29? af Ja, JE Los tb Je JS üle 9. Fragment aus der Vorrede zu Kemalpascha- zadeh”’s Nigaristan (F1. Hadschi Chalfa, Nr. 13981). 1 BL Fol. Anfang: ol Ggbre 43) Er JP ro ci. Schluss : 9 gel ae 1 ÿ® oLs? y=| e y) üall 10. Vier BL. 4° von Fonton’s Hand. Auszüge aus türkischen Dichtern: Copy, (625, Qoless Qias, dés, bicceucln, ces 4BL 4 11. Nimet-Ullah’s persisch-türkisches Würter- buch. Abschrift von Chalil b. Schaban Aga aus Kos- tainitza, Serail-Secretär von Ahmed Pascha in Banja- luka i. J. 1027 H. Die persischen Würter mit rother Dinte. Enthält auch slavische Glossen 7. B. Es ailes Ji 225», di. mére bedeutet: es ist nicht, nein. 227 BI 4°. Nr. XDI. 12. Los Ë )Ù, eine schüne, saubere Handschrift Vergleiche Catalogue, p. 426, von Naima’s türkischer Geschichte (v. J. 1000 — 1034 H.) Erster Theil, 301 BI. fol. 13. Uk A OL &b Cols, Sultan Selim’s Gesetzbuch. Es umfasst in vier Abtheïlungen, Straf- codex, Zolltarif, Steuerverordnung, Administrativ- Normen; zuletzt folgen Nachträge aus dem neuen Ge- setzbuch (Jus y), veranlasst durch den Nischan- dschi Dschelalzadeh, dem Zeitgenossen und Ge- schichtschreiber Suleiman des Prächtigen und Sohn des Dschelal-Bey, der unter Sultan Selim I. Wezir war 3/7 BL 16. 14. 34 BL S’. Gute türkische Handschrift ohne Titel. Inhalt, fol. 11: Beschreibung des Festes, wel- ches aus Anlass der Beschneidung der zwei Sühne des Sultan Muhammed, Mustafa und Ahmed und der Ver- mählung der Sultanin Chadische im Rebi-ul-ewwel d. 3. 1086 H. (Mai 1675) in Adrianopelstattfand. Die Über- schrift und der Anfang lautet: Cyles 39e Ole (8 ©b Qibee LE HO us «sb ali abc dons 9 plis llitasos ol rec JS TROIE, C2 oJ© LS 5],) L9> bu (ES bis &sblus Le A4 LU Besonders ausführlich und merkwürdig ist die Auf- zählung der einzelnen Geschenke. Vorher geht ein an- deres Surnameh (vergl. Hadschi Ch. ed. Flügel, Nr. 14759), eine Beschreibung der Hoffeste, welche vom 7 — 29 Zilkada 1132 H. (Sept. 1720) aus Anlass der Beschneidung der vier Sühne Sultan Ahmed III. in Konstantinopel auf dem Okmeiïdan begangen wur- den (s. Zinkeisen, Gesch. V. 578). — Anfang in rother Schrift: 3 gas Goglss Gb Gale jou it dés }s Le V Der Verfasser ist nicht genannt, scheint aber nicht identisch mit Seyid Husein Wehbi (s. Flügel à. a. O.), der den gleichen Stoff in einem grossen Werke und wie es scheint, poetisch behandelt. 34 BL 8’. ? 15. 1 Vol. 8. 56 BL., davon mehrere unbeschrie- ben: Sammlung russisch-türkischer Slaatsverträge. Türkischer Text, «)des am 14. Dschemasi-ul-ewwel 1188 H.(1774) zwischen Russland und der hohen Pforte abge- schlossenen Vertrages von Kutschuk Kainardschi nebst zwei Separatartikeln; b) der neuen Convention sJ9lee oJ > vom Rebi-ul-ewwel 1193 von Inoboli-Kawak; c) der Handschreiben des Sultans Abdulhamid vom 21. Redscheb 1197 betreffend den freien Verkehr russischer Kaufleute in der Türkei (Ratification des folgenden); d) des Handels- und Freundschaftsvertrages zwischen Russland und der Pforte vom 9. Schewwal 1197 nebst Handelstarif und der Nachtragsconvention vom 28. Nov. 1783. Officiel beglaubigte Abschrift. 56H. 16. Türkische Handschrift — 93 BI. 4° — mit fran- zôsischem [nhaltsverzeichniss. Der Band enthält die Concepte türkischer Übersetzungen von Noten und Memoranden, welche in den Jahren 1767 — 1769 von der franzüsischen Botschaft bei der hohen Pforte, an deren Spitze damals Hr. v. Vergennes stand, an die Pforte gerichtet worden sind. Es sind 85 Acten- stücke, grossentheils bezüglich auf die damaligen pol- nischen Wirren und die russischen Rüstungen, da- runter, soviel ich sehen kann, viele unedirte Sachen. Das Ganze ist von der Hand des damaligen ersten Botschaftsdollmetsch Deval geschrieben, dessen Un- terschrift sich deutlich Nr. CXVIIT fol. 76 tindet: unter 283 gel AE Jls> 4 ES L 17. a). 14 BL 4° ungeheftet. Türkische moder- ne Hand. Eine türkische Geschichte des Feldzuges Bonaparte’s nach Russland i.J. 1812. Scheint aus einem deutschen Werke übersetzt zu sein, da die Distan- zen überall nach L les deutschen Meilen ange- geben sind. Verfasser nicht angegeben. b) 3 Blätter fol. Diplomatische Actenstücke, dar- unter der franzüsische und türkische Text einer schar- fen Note (Frankreichs) vom 16. März 1762, gegen die Thalassokratie Englands und seine Einmischung in die spanischen Angelegenheiten. c) 4 BI. Türkische Übersetzung von Bulletins, Cor- respondenzen und Couriernachrichten betreffend Bona- parte’s Rückkehr nach Frankreich und den Feldzug der Verbündeten i.J. 1815, darunter eines Briefes von Blücher (Di9b e? IE Le) 18. 12 BL. fol. Ganz modern türkisch. œuf, Re- den am Grabe des Generalfeldmarschalls Fürsten Mi- chail Simonowitsch Woronzoff »lif Jlileuks JL) Spas Easy Ji Lise) am 10.Nov.1856. Aus dem Russischen übersetzt. 19. 160 BI. 4”, elegante türkische Schrift: Resmi Ahmed Efendis de ,) à , Sefinct er-Rusa. Blumen- lese historischer und epistolographischer Stücke, 7. B. Biographie des Grosswezires Raghib Muhammed Pascha + 24. Ramazan 1176 — Einnahme von Taif — Be- richt über die Lage Belgrads aus der Zeit Mahmud I. — Rapport über den Bund zwischen dem Kaiser von Deutschland und der Zarin (as,ls) — Über die Con- vention mit Nadir Schah 1746 Chr. — Über die Kün- digung des Vertrages mit dem Moskowiter (aiJ},s gâwse) 1741 Chr. — Über die Investitur des Chanes der Krim etc. etc. Der Koran lithographirt in Tebris 1249 H. von Muhammed Husein ibn Mirsa Muhammed et-Te- brisy 8°. Bulletin de l’Académie Hmpériale 284 Einige Bemerkungen zur Sasaniden-Münzkunde. Von B. Dorn. (Lu le 7 décembre 1876.) Die Sasaniden-Münzkunde kann bis zu einem ge- wissen Grade als abgeschlossen betrachtet werden. Wir künnen mit wenigen Ausnahmen von allen der- gleichen Münzen angeben, welchem Prägeherrn sie zuzuschreiben und welche Inschriften auf ihnen zu suchen sind; ja von Firüus an in einzelnen Füällen, von Dschamasp an durchgängig bestimmen, aus welchem Regicrungsjahre sie herrübren. Freilich die Frage, wo sie geprägt seien, bleibt immer noch dunkel; nimmt man die Abkürzungen auf der Rückseite, wie das jetzt fast allgemein geschieht, für die Bezeichnung der Münsstätten, so ist es doch in den meisten Fällen nur unsichere Vermuthung, wenn man diese Abkürzungen jergänzt. Münsstätten, wie Rescht sind ganz zu verban- nen, da diese Gilanische Stadt erst lange nach der Sasaniden-Zeit gegründet worden ist, oder doch wenig- stens den jetzigen Namen erhalten hat. Das bisher Gesagte schliesst aber die Môglichkeit nicht aus, dass noch manche bis jetzt ungekannte Sasaniden-Münzen zu Tage kommen künnen; sie werden aber voraus- sichtlich immer nach den bestehenden Regeln zu er- klären sein. Es wäre ein grosses Verdienst, wenn es Jemand übernähme, ein Handbuch der in Rede stehenden Münz- kunde zu schreiben, in welchem er die bisher gewonne- nen sicheren Ergebnisse dieses Zweiges der Münzkunde zusammenstellte. Jetzt sind sie in vielen grüsseren oder kleineren Schriften verschiedener Gelehrten zer- streut, so dass es für einen, der sich nicht ausschliess- lich oder besonders damit beschäftigt, oft schwer ist, das Richtige herauszufinden. Ich kenne nur ein Werk, welches fürs Erste ein solches ausführliches Handbuch in verschiedenen Beziehungen zu ersetzen im Stande ist, | das sind die Bartholomäischen Münztafeln (Collection de monnaies Sassanides de feu le L.-G. de Bartholomäi ete. 2° édit. St-Pétersb. 1875), in welchen die Münzen nach den sichersten Forschungen geordnet erscheinen; |einzelne, aber im Ganzen unwesentliche Veränderun- gen werden nicht ausgeschlossen sein. Aber da diese Tafeln eben nur aus getreuen Nachbildungen der Münzen ohne weitere Erôrterungen bestehen, so wird durch sie der Wunsch nach einer ausführlichen Erläu- | terungsschrift doch nicht beseitigt. In dem neuesten 285 des Sciences de Saïint- Pétersbourg. 286 mir bekannten Werk über die Geschichte der Sasani- den), in welchem auch die Münzen berücksichtigt werden, finde ich jene Tafeln nur einmal erwähnt. Eine weitere Einsicht derselben würde aber doch wahrscheinlich nicht unzweckdienlich gewesen sein. Ich will das durch einige Beispiele darzuthun suchen. I. S.102—103 des unten genannten Werkes ist in Anmerkung 6) von den Münzen Hormisdas T. die Rede. Es wird ($. 102) angegeben, dass man zweifele, ob! wir überhaupt Münzen von ihm besitzen, aber dann die Vermuthung ausgesprochen, ass die bis jetzt Hor- misdas IT. zugeschriebenen Münzen solche von Hor- misdas I. sein müchten. Ein Blick in die Bartholomäischen Münztafeln ge- nügt, um die Unhaltbarkeit dieser Vermuthung darzu- stellen. Hormisdas I. regierte nur kurze Zeit, und wir künnen also von ihm nur wenige Münzen erwarten. Von der dort befindlichen Münze (PI. III. Nr. 1) sind nur sehr wenige — nach Mordtmann — nur vier Exemplare bekannt. Der Kopfputz schliesst sich offen- bar dem des Artaxerxes I. (s. T. I. Nr. 8. 9. 10 —16), des Schahpur IL. (s. T. IE.) und dessen Nachfolgers Warahran [. (s. T. IL.) und Warabran IL (s. T. IV.) an, wäbrend der Kopfputz Hormisdas 1. sich mehr dem des Narses anschliesst, wozu noch kommt, dass seine Münzen nicht zu den sehr seltenen gehôren, also auf eine längere Regierung als die Hormisdas I. hin- weisen. Man kann zu dem Gesagten noch die in der Table Planches in der Anm. 1} angeführten Schriften nachsehen. 2. $S. 327 wird angegeben, dass es zweifelhaft sei, ob wir Münzen von Hormisdas TI. besitzen und in der Anmerkung der Münzen von Chodad Varda u. s. w. Erwähnung gethan. Davon ist nichts erwähnt, dass es solche Münzen gar nicht giebt und dass die eine Zeit- lang so gelesenen dem Walagesch angehôren. In der That sind sie auch $S. 338 als Walagesch-Münzen (Hur Kadi Valakäshi) angefübrt. Vergl. Bartholom. EAXNE, 3. S. 328 werden Münzen mit dem Namen Ram erwähnt. Abgebildet sind sie bei Bartholom.T. XVIIT, Nr.1—15. Nun, wer das da befindliche Wort ous glaubt Ram lesen zu künnen, der mag es auf seine eigene Verantwortung hin thun. Die mir bekannten des 1) The seventh great Oriental Monarchy ete. By George Raw- linsou. London 1876. Münzen der Art lassen eine solche Lesung nicht zu. Ich glaube im Namen meines verstorbenen Freundes versichern zu künnen, dass er dabei bleibt, das frag- liche Wort Dscham oder Zam zu lesen und die mit demselben versehenen Münzen als Münzen des Dscham- asp betrachtet, welcher nur einige Jahre regiert hat, weshalb auf seinen Münzen bis jetzt auch nur als letztes Regierungsjahr 3 gefunden worden ist. 4. Dagegen soll es nach $. 349 doch Münzen von Dschamasp mit den Inschriften Zamasp oder Bag Zam- asp geben. Es giebt aber in der That keine solchen. Nachdem $. 347 angegeben ist, dass die Regierung des Dschamasp gegen zwei oder drei Jahre gedau- ert zu haben scheine, wird $. 348 als von ihm her- rührend eine Münze angebracht, auf deren Vorderseite wir deutlich lesen: ÆKawad af (was allerdings vor Zeiten füilschlich Guamasf gelesen wurde), auf der Rückseite links: Hescht deh #3 ous, . i. 18; es ist also mit nichten eine Münze von Dschamasp, sondern von Kobad, in seinem 18 Regierungsjahre ge- schlagen. In den Bartholom. Münztafeln ist diese Münze an ihrem richtigen Ort. 5. Die Beantwortung der Frage (s. $. 641, Anm. 5), ob es wirklich Münzen von der Kôünigin Buran oder Puran (Docht) gebe, wird Hrn. Dr. Mordtmann überlassen bleiben müssen. Vergl. in der Collection (2% édit} S111tu.13—"J4 Eine neue Methode zur Untersuchung rother Blutkür- perchen. Von Arthur Boettcher. (Lu le 11 janvier 1877.) Als ich der Akademie der Wissenschaften darüber Mittheilung machte, dass concentrirter Alcohol die rothen Blutkürperchen nicht nur vorzüglieh erhält, sondern auch zur Entfernung des Farbstoffs eine wei- tere Behandlung derselben mit Essigsäure gestattet (Mémoires etc. Tome XXII. M 11), konnte ich nicht umhin hervorzuheben, dass diese Methode insofern nicht allen Anforderungen entspricht, als durch die Essigsäure leicht eine Quellung der Blutkürperchen cintritt, welche der mikroskopischen Untersuchung Schwierigkeiten bereitet. Es durfte nur sehr ver- dünnte Essigsäure in einem ganz bestimmten Verhält- 287 niss auf die mit Alcohol behandelten Blutkôrperchen einwirken, um die feinern Structurverhältnisse der- selben sichtbar zu machen. Ferner liess die Essig- säure auch darin zu wünschen übrig, dass sie in dem mit grüssern Mengen Alcohol, etwa in dem Verhält- uiss von 50:1, versetzten Blute den Kern zu demon- striren nicht gestattete. Zur Demonstration des Kerns mussten Blutproben verwandt werden, deren rothe Blutkôürperchen durch die Behandlung mit diluirterem | Alcohol schon einen Theil ihres Farbstoffs abgegeben hatten. In diesen war dann, wie in der citirten Ab- handlung genauer ausgeführt ist, ein Kern und eine ihn umhüllende kürnige Masse nachweïsbar. Nachdem ich so weit gekommen war und das Mit- tel gefunden hatte, den Kern in den rothen Blutkür- perchen des Menschen und der Säugethiere künst- lich zu färben, durfte ich die Einwände, die gegen meine frühern Angaben erhoben worden waren, als widerlegt betrachten. Es hatte der Kern der rothen Blutkürperchen aufgehürt, eine vorübergehende Er- scheinung zu sein, er konnte in haltbaren Präparaten Jedermann vorgewiesen werden. Es war ausserdem dargethan, dass die rothen Blutkürperchen imnerhalb der homogenen rothen Substanz eine kürnige farblose Masse (Protoplasma) einschliessen, in welcher der Zel- lenkern steckt. Bei genauerer Prüfung dieser Resultate musste ich mir aber sagen, dass mit denselben hôchst wahrschein- lich nur der Anfang weiterer Ermittelungen gemacht sei, die sich durch Vervollkommnung der eingeschla- genen Methode ergeben müssten. Namentlich erschien es als ein noch zu beseitigender Übelstand, dass ge- rade bei denjenigen rothen Blutkürperchen, welche durch die Alcoholbehandlung am wenigsten alterirt waren, d. i. bei den mit grossen Mengen Alcohol be- handelten, die innern Structurverhältnisse nicht mit der gewünschten Klarheit übersehen werden konnten. Den Grund davon musste ich in der dicken Hämoglo- binschicht suchen;, die ihnen durch den Alcohol erhal- ten wird und die bei einer nachträglichen Behandlung mit Essigsäure der eintretenden Quellung wegen alles das, was weiter nach innen liegt, nicht zu sehen ge- stattet. Es war also wünschenswerth eine Methode zu finden, durch welche sich der Farbstoff der rothen Blutkürperchen entfernen liesse, ohne dass sie etwas von ihrem Eiweissgehalt einbüssten, Das Hämatin Bulletin de l'Académie Empériale 2ss musste extrahirt werden, durfte aber der mit demsel- ben verbundene Eiweisskôrper weder sich lôüsen, noch auch in anderer Weise wesentlich verändert werden. Nach Lüsung dieser Aufgabe durfte ich hoffen an den entfärbten, in ihrer Masse aber nicht weiter geschä- digten Blutkürperchen besonders durch Vornahme künstlicher Färbungen hinsichtlich ihres Baus noch mehr zu erfahren. Das Mittel, welches den bezeichneten Anforderun- gen entspricht, habe ich in einer concentrirten alco- holischen Sublimatlüsng gefunden. Wenn man einen Theil Blut mit 50 Volumtheïlen Alcohol von 96 pCt., in welchem Sublimat bis zur Sättigung gelôst worden ist, derart vermischt, dass eine rasche Vertheilung der Blutkürperchen in der Flüssigkeit eintritt, so sieht man in überraschender Weise das sich vollzichen, was theoretisch als das zu erreichende Ziel hingestellt wer- den musste. Sobald die alcoholische Sublimatlüsung mit dem Blute in Berührung kommt, färbt sie sich dunkel und wird dann nach und nach immer dunkler. Die stattfindende Einwirkung auf die rothen Blutkür- perchen wird durch wiederholtes Umschütteln vor- theilhaft unterstützt. Wenn man dann letztere sich absetzen lässt, so findet man nicht mehr einen rothen, sondern einen mehr oder weniger erblassten Boden- satz, über dem die vollkommen klare Flüssigkeitssäule dunkelbraunroth erscheint. Eine vollständige Entfärbung der rothen Blutkür- perchen kommt in ungefähr 24 Stunden zu Stande, doch kann man den Prozess durch Erneuerung der Sublimatlüsung sehr beschleunigen. Ich habe es aber vorgezogen, die Blutkürperchen 48 Stunden in dieser Flüssigkeit verweilen zu lassen, bevor ich sie behufs der histologischen Untersuchung andern Operationen unterzog. Nach dieser Zeit wird die Sublimatlôsung von dem grau erscheinenden Bodensatz abgegossen und durch reinen Alcohol ersetzt. Mit diesem werden die Blut- kürperchen durch Schütteln gehôürig ausgewaschen und haben in demselben wenigstens 24 Stunden zu verweilen. Dann wird auch der Alcohol einfach durch Abgiessen entfernt und durch Wasser ersetzt. Die sich zu Boden senkenden Blutkürperchen stel- len jetzt eine weisse, etwas ins Graue spielende, etwa wie Eiter aussehende Masse dar. Sie haben ihren Farbstoff vollkommen verloren und sind so wider- 289 des Sciences de Saint. Pétersbourg. 290 00 standsfähig geworden, dass sie durch das Wasser nicht ! mebr angegriffen werden. Ich habe sie acht Tage und länger in demselben stehen lassen, ohne dass ich in dieser Zeit eine Veränderung an ihnen hätte wahr- nebmen künnen. Die nachträgliche Behandlung mit Wasser bietet für die mikroskopische Untersuchung manche Vortheile und wird namentlich durch die vor- zunehmenden künstlichen Färbungen geboten, wenn man zu dem Zweck nicht alcoholische Farbstofflüsun- gen verwenden will. Die Structurverhältnisse sind zum Theil schon an den auf die angegebene Weise farblos gemachten Blut- kürperchen zu sehen, schüner treten sie aber nach künstlicher Färbung derselben hervor, wozu ich vor allen Dingen wieder das Carmin, doch auch Eosin, Hämatoxylin, Anilin und Pikrinsäure empfehlen kann. Alle diese Farbstoffe sind brauchbar, das Carmin ge- stattet aber am besten nach Farbennüancen die ver- schiedenen Bestandtheile der rothen Blutkôrperchen zu unterscheiden. Die Blutkôürperchen der Säugethiere (Mensch, Hund, Katze, Kameel) und die des Frosches zeigen einen durchaus übereimstimmenden Bau, die Blutkôrperchen eines und desselben Individuums bieten aber grosse Verschiedenheiten dar. Es giebt unter den Säuge- thierblutkôrperchen: 1. Homogene Formen, an denen man ausser der homogenen Substanz nichts weiter sieht. Dieselben werden durch Carmin und Kosin gleichmässig gefärbt. 2, Blutkôrperchen, die innerhalb einer homogenen Rindenschicht ‘eine mehr oder minder umfangreiche kôürnige Protoplasmamasse erkennen lassen. Dieses Protoplasma ist sehr vielgestaltig und erscheint bald zusammengeballt, bald mit zahlreichen Ausläufern an der Peripherie, wie man sie an den weissen Blutkür- perchen zu sehen gewohnt ist. Es färbt sich dasselbe dureh Carmin und durch Eosin stärker als die homo- gene Rindenschicht. 3. Blutkürperchen, die ausser der homogenen Rin- denschicht und der verschieden geformten Protoplas- mamasse innerhalb dieser letztern noch einen Kern erkennen lassen, der meist ein Kernkürperchen ein- schliesst. Tome XXIII. Bei den Froschblutkôrperchen sind in der Regel alle drei Bestandtheile (die homogene Rindenschicht, das kôrnige Protoplasma und der Kern) gleichzeitig zu sehen. Nur bei den homogenen Former verschwin- det das Protoplasma und werden die Contouren des Kerns undeutlich. Indem ich mir eine ausführliche und durch Abbil- dungen erläuterte Mittheilung über diese Structur- verhältnisse der rothen Blutkôrperchen vorbehalte, will ich nur noch bemerken, dass eine spectralanaly- tische Untersuchung der durch die alcoholische Subli- matlôsung gewonnenen Hämatinlüsung, sowie auf die krystallinische Ausscheidung des Farbstoffs hinzie- lende Versuche zwar in Angriff genommen, aber noch nicht abgeschlossen sind. Photometrische Bestimmung des diffusen Himmels- lichtes. (Erste Fortsetzung.) Von H. Wild. (Lu le 11 janvier 1877.) (Mit einer Curven-Tafel.) In Verfolgung meiner im Jahre 1875 begonnenen und in Bd. XXI. $S. 312 — 350 dieses Bulletin’s kurz mitgetheilten Messungen der Intensität des diffusen Himmelslichts habe ich mich im Sommer 1876 vor Allem bemüht, eine directe Vergleichung der Helligkeit der Sonnenscheibe mit der irgend einer Himmelsstelle zu erzielen. Bei meinen frühern Messungen habe ich die Hel- ligkeit eines Punktes des Himmels mit derjenigen ei- ner transparenten matten (lasplatte verglichen, wel- che von der Sonne und von einem grüssern zur Sonne concentrischen Bezirk des Himmels erleuchtet wurde. Wenn es nun auch, wie ich damals des Nähern gezeigt habe, gestattet sein dürfte, die Helligkeit dieser Glas- platte während der Dauer einer Beobachtungsreihe als nahezu constant zu betrachten, so gilt dies keines- wegs für verschiedene Zeiten und Orte, was also die Vergleichbarkeit der Messungsresultate beeinträchtigt, Allerdings wird es später, sowie die vorliegende Un- tersuchung etwas weiter vorgeschritten sein wird, auch môglich sein, die Variation in der Erleuchtung der 19 291 Bulletin de l’Académie Impériale 29? Glasplatte mit Zeit und Ort genau genug anzugeben und somit diese in mancher Hinsicht bequemere und sicherere Beobachtungsweise. beizubehalten. Für den Anfang aber schien es mir um so mehr geboten, durch eine directe Vergleichung mit dem Sonnenlicht allein die zweite, in noch unbekannter Weise variable Er- leuchtungsquelle für die matte Glasplatte, nämlich ei- nen gewissen zur Sonne concentrischen Himmelsbezirk, zu umgehen, als die Zurückführung der Vergleichung mit der erleuchteten Glasplatte auf absolute Grüssen, wie ich sub 7 der ersten Mittheilung erwähnt habe, noch besondere, nicht in kurzer Zeit zu absolvirende Untersuchungen über die Gesetze der Diffusion ver- langte. Das in der vorigen Abhandlung beschriebene Urano- photometer bedurfte nur geringer Ânderungen, um auch zur Lüsung der vorliegenden Aufgabe benutzt werden zu künnen. Wenn man nämlich das Instrument in der beschrie- benen Weise orientirt hat, um die Licht-Intensität 1r- gend einer Himmelsstelle zu bestimmen, und dann die matte Glasplatte w, auf welche dabei die Sonnenstrah- len senkrecht einfallen, entfernt, so sieht man das durch'das Polariscopfernrohr vergrüsserte Bild der Sonnenscheibe auf die fragliche Himmelsstelle hell projicirt und, wenn vorher die Neutralisation der In- terferenzfarben erzielt worden war, nunmehr dieselben deutlich wieder hervortreten und zwar auf der Sonnen- scheibe complementär zum Himmelshintergrund. Das Stück der Farbfransen, welches auf den der Sonnen- scheibe entsprechenden Theil des Gesichtsfeldes fällt, wird nun allerdings bei Vergrüsserung des Winkels &, der Polarisationsebene des Polarisators p mit der Einfallsebene der Glassäule nach und nach durch Ab- schwächung des Sonnenlichts blasser und blasser, allein wegen der bedeutenden Intensität des letztern gegen- über derjenigen des diffussen Himmelslichts muss ©, so nahe gleich 90° werden, bis die Gleichheit der In- tensitäten und damit das Verschwinden der Fabfran- sen erfolgt, dass eine sichere Einstellung auf den Neutralisationspunkt nicht mehr erfolgen kann. Das aber erkannte ich aus einem solchen ersten Versuche, dass das Bild der Sonnenscheibe für das Erkennen der Neutralisation gross genug sei und es somit bloss noch weiterer messbarer Schwächungen des direct einfal- lenden Sonnenlichtes zur Lüsung der Aufgabe be- dürfe, Zu dem Ende liess ich, nachdem die Rühre s mit ih- rem Halter etwas abgerückt worden war, vor dem Polari- sator p' noch einen entsprechenden dritten Polarisator p''anbringen, der in einer über die Rühre o geschobenen Messinghülse sass und sich mit dieser um o als Axe drehen liess. Die Grüsse dieser Drehung und damit die Stellung überhaupt des neuen Polarisators ist ver- mittelst eines an der Hülse sitzenden Index zu bestim- men, der auf die Kreistheilung L hinweist. Es zeigte sich indessen bald, dass auch dieser Polarisator noch keine für die Messung genügende Schwächung des Sonnenlichts gebe und entweder noch ein 4ter Polari- sator oder ein anderes Schwächungsmittel auf dem Wege a s u w eingeschaltet werden müsse. Obschon das erstere als das beste Verfahren bezeichnet werden muss, so wandte ich es doch, um den Apparat nicht zu complicirt und schwerfällig werden zu lassen, nicht an, sondern begnügte mich vor der Hand damit, an die Stelle der Glasplatte # ein stark absorbirendes Rauchglas (smoking glas) vorzusetzen. Herr Opti- kus Richter dahier hat mir freundlichst gestattet, un- ter einer grossen Zahl solcher Gläser diejenigen, für meinen Gebrach auszuwählen, welche am meisten eine rein graue Färbung d. h. weder einen Stich ns Gelbe noch Blaue zeigten. Immerhin bleibt es zweifel- haft und muss jedenfalls durch eine besondere Unter- suchung noch bestimmt werden, ob und inwiefern diese Gläser wirklich alle Farben des Spectrums in gleicher Weise schwächen; deshalb wäre die Schwächung durch Polarisatoren vorzuziehen. Heissen wir den Schwächungscoefficient des vorge- setzten Rauchglases für durchgehendes Licht: Æ,, k, denjenigen der neuen Polarisators p” und y den Winkel zwischen dem Hauptschnitt des letztern und dem von p’, so wird jetzt die Neutralisationsgleichung 23 der ersten Abhandlung: TS. ce 28)k,r .k,.cos'as. cosy. Ji, 20, l 0 wo die Constante € den frühern Zahlen-Werth: GC —"\); 1872 hat, J, jetzt die Intensität des directen Sonnenlichts 293 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 294 darstellt und die übrigen Grüssen dieselbe Bedeutung wie früher behalten. Wenn wir der Einfachheit halber unter J, die gesammte, von der ganzen scheinbaren Sonnenscheibe der Flächeneinheit an der Stelle des beobachtenden Auges zugesandte Lichtmenge verste- hen, so repräsentirt dann 7° ebenso das gesammte, von einem der Sonnenscheibe gleichen Flächenstück des Himmels an der untersuchten Stelle desselben der Flicheneinheit beim beobachtenden Auge zugeschickte Licht. Die Schwächungscoefficienten k,, des neuen Pola- risators und k, des Rauchglases wurden in ganz glei- cher Weise, wie früher sub 6 mitgetheilt worden ist, vermittelst des in ein gewôhnliches Photometer ver- wandelten Instrumentes bestimmt und gefunden: k,y = 0,8569 + 0,0050, k,(10) = 0,3105 + 0,0021. Das hiebei benutzte Rauchglas trägt die Nummer 10. Für zwei andere, mit den Nummern 6 und 8 be- zcichnete Rauchgläser fand ich die Werthe: k,(8) — 0,3892 # 0,0041, k,(6) = 0,3934 Æ 0,0008 ‘). Mit dem so gestalteten Instrumente habe ich am 30. Juni und am 8. August (n. St.) 1876 directe Ver- gleichungen des diffusen Himmelslichtes mit dem Son- nenlicht angestellt. Da dabei stets das Rauchglas À 10 . s Mers 2 angewandt wurde, so hat, wenn wir die Intensität J, 1) Den Schwächunscoefficienten des letzteren mit Nummer 6 be- zcichneten Rauchglases habe ich auch noch zum Vergleich mit mei- nem Krystallphotometer, das die Mechaniker Hermann und Pfister in Bern kürzlich in vorzüglicher Weise für mich construirt haben, bestimmt. Mit diesem Instrumente fand ich den Werth: ke, (6) — 0,4084 + 0,0053, der wenn auch nicht: bedeutend, so doch über die Beobachtungs- fehlergrenze hinaus von dem obigen abweicht. Dies hat mich bewo- gen, auch das letztere Instrument zur Untersuchung des Himmels- lichts einrichten zu lassen, um so für die Bestimmungen mit dem Glassatz-Photometer auch da eine Controlle zu erhalten. Ich werde darüber bei einer künftigen Gelegenheit berichten. des von der ganzen Sonnenscheibe ausgestrahlten Lichts — 1000000 setzen, die Berechnung dieser pho- tometrischen und polarimetrischen Messungen nach den Formeln : T= J° + Pi= 49810.(1 —S, . cos 2 B) cos a cos Y. P—A4,.7T zu geschehen, wo die den beobachteten Winkeln à und æ entsprechenden Werthe vou S, und À, den Ta- feln IV und I der ersten Abhandlung zu entnehmen sind. Am 8. August habe ich sodann noch nach der frü- :hern Methode, d.h. unter Einschaltung einer einerseits mattgeschliffenen Glasplatte in den Weg der Sonnen- strahlen vergleichende Beobachtungen angestellt. Da hiebei der 3te Polarisator p” nicht ausgeschaltet wurde, so sind diese photometrischen Beobachtungen nach der Formel : T=c.k,r.(1 —S, cos 28)cosæ&.coS Y.Tt:.J,° 26 zu berechnen, wo € und k,' die obigen Zahlenwerthe besitzen und +, J,° wie früher das durch die matte Glas- platte hindurchgegangene resp. von ïhr diffus zum Auge des Beobachters hingeschickte Licht bezeichnet. Hier hat 7° dieselbe Bedeutung wie oben bei derdirecten Vergleichung mitdem Sonnenlicht, wenn wir mit ty, die Lichtquantität bezeich- nen, welche von einem der scheinbaren Sonne entsprechenden Stück der matten Glasplatte der Flächeneinheit beim Auge des Beobachters zugeschickt wird. Setzen wir diese Lichtquantität wie in der ersten Abhandlung gleich 1000, so wird also die obige Be- rechnungs-Formel : T° — 160,4(1 —S,.cos 28) cos &, cos y. Die nachstehende Tafel VI enthält die einzelnen Haupt-Daten der Beobachtungen und der Berech- nungsresultate in entsprechender Weise wie Taf. V der frühern Abhandlung zusammengestellt. 19* 295 Bulletin de l’Académie Impériale 296 Tafel VI. Datum. | Distanz von der Sonne NE ; DER ER Neuer Styl. 11295 | . 90° ° 1876. m 370" 2 | | Directes | Am Horizont + | | 85°30" | | leichte Cirri und a, | | 7848 | | Sonnen- | Cirro-Strati, 30. Juni.| 28 | 25 0 | sonst ganz ÿ | 16 12 | licht heiterer Him- p | 55 24 | mel. Am Vorm. 2 ES 0,695 gleich ziemlich T2 1,556 | bewülkt. eine m | 235” — 040" 0° 5" — ] z |51°40/ — 43°b5'144°93/|. — Million y [82 48 a 82 30 [82 30| — a, |[82 24 — 84 30 83 36| — Einhei- Wenige 8. Aug. | 28 119 12 = 23 12 (95 48| — | à [16 55 - 16 34 117 38! — | [tenfür 7° Cumuli og 44 30 — 45 6 [28 30 gen am Hori- A. |0,490 ee 0,506 10,182| — gesetzt. T° 1,264 0,832 0,930 |1,368 12619 zont, sonst m | 20" 135" | 1! 5"23/35"23/15"] )Durch die| { der Him- + |48°39| 46°53 |45°16/144°11/[44 43 || matte ne y 17 17 0 17 07 0117 O0 |1Glasplatte Fa a 159 21 (65216427 161 48 157 42 143 9 | | durchge- | | heiter den 8-u. 7. | 28 |18 48 |18 30 |18 24 117 86 21 6 |18 42 | | Sangenes | August. | 5 117 17 |17 17 16 55 18 0 17 38 16 34 |[ Licht duo o 143 48 152 30 153 18 |44 42 |28 24 |13 30 | sleioR Tag über. 4, 10,472 [0,650 |0,663 10,495 [0,180 |0,032 [11000 Ein | TÉ |3,380 [2,221 [2,401 |2,496 |4,113 17,989 | [heïten für. | mm mme | | 7° gesetzt.| } 2,311 | | | In dieser Tafel sind die mit einem Stern (*) be- | für Distanz von zeichneten Werthe von 7° am 8. August in folgender | ue Weise interpolirt worden. F' Av4 5° T°?—0,000001368 J?— 0,004113 r,J\° Aus den, auf dieselbe Himmelsstelle resp. Distanz | von der Sonne in einem Vertikalkreise durch dieselbe sich beziehenden beiderlei Messungen am 8. August ergeben sich, je nachdem wir 7° auf das directe Sonnenlicht ./° oder auf das von der matten Glas- platte ausgestrahlte resp. durchgelassene Lieht: +7 - beziehen, folgende Werthe: 6755 T° — 0,000000930 J° — 0,002496 +, JS 112,5 T°—0,000001264 J = 0,003380 rt; woraus für die Intensität des von der matten Glas- platte nach hinten ausgestrahlten Lichts die 3 Werthe sich ergeben: des Sciences de Saïnt-Pétersbourg. 298 297 ed 0,0008905 47 — 0,0003726 — 0.0003739 also im Mittel: td —=0,0008507. Je 27 Mit dieser am gleichen Tage und für eine nicht sehr verschiedene Zenithdistanz der Sonne nahezu als constant zu betrachtenden Verhältnisszahl wurden aus den für 90”und 2275 Distanz von der Sonne allein bestimmten Werthen von T° bezogen auf +,/* die entsprechenden auf J sich beziehenden Daten in obiger Tafel berechnet. Würde die matte Glasplatte bloss von der Sonne Licht empfangen haben uud einfach als ein durch Re- flexion und Absorption das durchgehende Licht schwä- chender Kôürper etwa wie das Rauchglas zu betrach- ten sein, so wäre in vorstehender Relation 27. JF = J zu setzen und +, — 0,0003597 würde dann den Schwächungs - oder Transparenz - Coefficienten der Glasplatte darstellen. Der Effect des Vorsetzens der matten Glasplatte würe also eine Schwächung des directen Sonnenlichts bis zu ungefähr ,54 seines Be- trags. Die matte Glasplatte wurde indessen in Wirklich- keit nicht bloss von der Sonne, sondern ausserdem noch entsprechend einer ihr vorgesetzten Rühre mit Diaphragmen von einer zur Sonne concentrischen Zone des Himmels beleuchtet, deren scheinbarer Halbmesser v = 11°19’ war. (Bei den Messungen im Jahre 1875 war die matte Glasplatte stärker beleuchtet, indem sie, wie die Figur zeigt, damals ganz am Ende der Rühre angebracht war, also ausser von der Sonne nahezu von einer Hemisphäre zerstreutes Licht empfing; das letztere rührte zum Theil vom Himmel, zum Theil von der Erdoberfläche her und erschien daher nicht ge- nau definirbar; daher die vorliegende Abänderung). Heissen wir ® den Winkel, unter dem irgend eine Stelle dieser Zone vom Centrum der Sonne aus er- scheint und ?, die Intensität des diffusen Himmels- lichts daselbst (bezogen auf die Flächeneinheit), v, den scheinbaren Halbmesser der Sonne, endlich À den Ra- dius einer Kugel, auf welche wir die Sonne und den Himmel projicirt denken, so ist das von der fraglichen Kugelzone der Einheit der Fliche unserer matten Glasplatte zugesandte Licht: Oo —=U JT fi, sin @ cos odp p=v, wenn wir 2, je in concentrischen Kreisen um die Sonne als constant betrachten oder dafür jeweilen den mitt- lern Werth der verschiedenen Intensitäten in einem solchen Kreise setzen. Die directe Vergleichung des Lichts der Himmelsstellen um die Sonne mit dem der letztern selbst nach unserm obigen Verfahren wird er- lauben 3, als Function von @ zu bestimmen. Nehmen wir inzwischen an, die ganze hier in Betracht kom- mende Kugelzone sei gleichmässig erleuchtet und be- zeichnen demgemäss die durchschnittlich von der Ein- heit der Fläche derselben ausgesandte Lichtmenge mit è,, so kommt: TJ = i,.nEe (sinv — sin°v,). Die Messungen nach der oben erwähnten Methode geben uns aber nicht unmittelbhr 2, sondern die von einer, der scheinbaren Sonne an Grüsse gleichen Fläche des Himmels ausgestrahlte Lichtmenge T° als Bruch- theil a der Intensität J? der ganzen Sonne. Es ist somit: . su aTo?. 2 nR?sin%, — rR?sin# also auch : VA EE ( sin? sin2#, sin*Ÿ, i) JS. Angenähert ist demnach die der Flächeneinheit der matten Glasplatte zugestrahlte Lichtmenge : Ji +dJ?= (il ed ( = 1)].J — sin?v, und folglich die Erleuchtung /° eines Stückes der- selben, das vom Auge des Beobachters in der Entfer- nung © aus betrachtet der scheinbaren Sonne gleich ist und dem Obigen zufolge bei der Vergleichung mit dem diffusen Himmelslicht in Betracht kommt : J = re sinv, [1 + a( Te — 1)] SFR in? sin?v, Dieses Licht wird aber von der matten Glasplatte durch Diffusion nach allen Seiten wie von einem Selbst- leuchter ausgesendet, so dass es sich nach einer be- stimmten Zeit, wenn kein Verlust durch Absorption stattfindet, auf der Oberfläche einer Kugel um die be- treffende Glasplattenstelle als Centrum befindet. Nehmen wir als Radius dieser Kugel die Entfernung e des beobachtenden Auges von der Glasplatte an und 299 Bulletin de l’Académie Impériale ————— setzen voraus, dass sich das Licht gleichmässig nach allen Seiten vertheile, so ist die gesuchte Grôsse, d. h. die der Einheit der Fläche bei dem Auge zugeschickte Lichtmenge: oder: 9 sin?v sin?v td lol 4 sin?v, —1)].J6. Wenn wir die Werthe von 7° der Tafel VI bezogen auf directes Sonnenlicht graphisch auftragen, so er- gibt sich für die mittlere Helligkeit der erwähnten Kugelzone um die Sonne resp. für «a der angenäherte Werth: a—= 0,000005 und da ferner: U—1119 2% —16 ist, so erhalten wir auch: t,.J,? = 0,00000541 (1 — 0,008889).7° oder: 92 — 0,00000536.J? Aus dem 2ten Glied in der Parenthese der ersten Gleichung ist ersichtlich, dass das diffuse Licht der wirksamen Himmelszone um die Sonne weniger als 1%, des Sonnenlichts ausmacht und daher kleine Un- genauigkeiten in der Abschätzung seiner Intensität keinen erheblichen Einfluss auf das Resultat haben. Vergleichen wir das vorstehende Rechnungs-Resul- tat 28 mit dem Beobachtungs - Resultat 27 für das von der matten Glasplatte zum Auge des Beobachters geschickte Licht, so ergibt sich, dass in Wirklichkeiït von unserer Glasplatte aus in der Richtung ihrer Nor- malen nach der von der Beleuchtungsquelle abgewen- deten Seite 67 Male so viel Licht ausgesendet wird, als nach der Hypothese einer gleichformigen Diffusion des auffallenden Lichtes nach allen Richtungen hin dorthin gelangen würde. Dass die Diffusion des Lichts nach verschiedenen Richtungen eine sehr verschiedene ist, beweisen auch die interessanten bezüglichen Unter- suchungen von Lallemand”), auf welche ich seiner Zeit bei der nähern Behandlung der Diffusion werde 2) Lallemand, Recherches sur l’illumination des corps trans- parents. Ann. de Chimie et de Phys. 4, sér.T. XXII, p. 200 (1871) und 5. sér. T. VIII. p. 93 (1876). einzutreten haben. Ich lasse daher auch die vorher- gehende Erürterung für jetzt auf sich beruhen und wende mich zur Betrachtung der in der Tafel VI ent- haltenen Beobachtungs-Resultate. Sollen die Werthe von 7° der Tafel VI bezogen auf das directe Sonnenlicht unmittelbar vergleichbar sein, so müssten sie streng genommen noch wegen der Variation der Intensität des letztern mit der Zenith- distanz der Sonne auf dieselbe Zenithdistanz oder dann auf die Intensität des Sonnenlichts ausserhalb der At- mosphäre reducirt werden. Das erstere künnte vermittelst der schon früher er- wähnten Exstinctionstabelle von Seidel, das letztere dureh Multiplication der einzelnen Werthe mit: e — à, Sec 2% geschehen, wo e die Basis der natürl. Logarithmen, 2 die Zenithdistanz der Sonne und im Mittel der Be- stimmungen von Bouguer und Lambert: LE (074 zu setzen ist. Da ich indessen alle bisherigen Beob- achtungen immer noch mehr als Orientirungsversuche denn als endgültige Messangen betrachte, so verzichte ich vor der Hand auf die Anbringung dieser immerhin noch etwas unsichern Correction. Weun man die Werthe der Gesammt-Intensität T? des diffusen Himmelslichts der Tafeln V (der ersten Mittheilung) und VI graphisch darstellt, so er- geben sich über die Vertheilung derselben in einem Vertikalkreise durch die Sonne bereits folgende Regeln: 1. Die Intensität nimmt vom nôrdlichen Horizont aus anfangs rascher, später langsamer bis zu ungefähr 80° Winkel-Distanz von der Sonne, wo sie ein Mini- mum erreicht, ab, steigt dann von da an verhältniss- mässig viel rascher und stärker gegen die Sonne hin wieder an, und zeigt endlich von der Sonne aus gegen den südlichen Horizont hin, wo sie das Maximum zu erreichen scheint, nur eine langsame und kleine Zu- nahme. 2, Die Veränderung der Intensität resp. die Diffe- renz zwischen dem grôssten und kleinsten Werth der- selben in verschiedener Entfernung von der Sonne ist bei kleinern Zenithdistanzen der Sonne geringer als bei grüssern. 3. Bei grüssern Zenithdistanzen der Sonne rückt des Sciences de Saint - Pétersbourg. A das Minimum der Intensität in Folge des verhältniss- mässig raschen Ansteigens derselben zur Sonne hin von 80° Winkelabstand aus etwas gegen 90° und bei kleinern Zenithdistanzen etwas gegen 70° hin. 4. Bei einer Zenithdistanz der Sonne von 45° ist in 45° Abstand von derselben nach Norden hin resp. im Zenith die Intensität des diffasen Himmelslichtes gleich 0,0000014 derjenigen der Sonnenstrahlen an der Erdoberfläche, das Minimum in einem Ver- tikalkreise durch die Sonne ist gleich 0,0000008 der letztern Intensität, und das Maximum ungefähr 0,0000064, so dass die Amplitude ihrer Variation ungefähr 0,0000056 beträgt. Bei einer Zenithdistanz der Sonne von 60° ist das Minimum der Intensität wieder bezogen auf diejenige der Sonnenstrahlen an der Erdoberfläche: 0,0000012 und das Maximum un- gefähr: 0,0000117, also die Amplitude der Variation: | 0,0000105, d. h. nahe doppelt so gross als bei 45° Zenithdistanz. (Wenn man die Intensität des diffusen Himmelslichts bei verschiedenen Zenithdistanzen auf dieselbe Einheiït, d. h. das Sonnenlicht ausserhalb der Atmosphäre bezieht, so werden die Differenzen der Amplituden bei verschiedenen Zenithdistanzen zwar etwas kleiner, behalten aber immer noch eine erheb- liche Grüsse.) Die vorhandenen Beobachtungsdaten dürften hier- nach für cine erste ganz approximative Vergleichung mit den Rechnungs - Resultaten der einzig vollständig durehgeführten Theorie der Lichtzerstreuung in der Atmosphäre, nämlich derjenigen vonClausius”), genügend erscheinen. Die Clausius’sche Theorie stützt sich ausser auf die bekannten photometrischen Principien nur noch auf folgende specielle Hypothesen (siehe 2te Abhandlung, S. 207): 1. Die lichtzerstreuenden Kôürperchen in der At- mosphäre sind Wasserbläschen (Nebelbläschen). 2, Es findet in der Atmosphäre keine eigentliche Absorption resp. Verschwinden eines Theils des Lich- tes als solches statt. 3. Die Schwächung des Sonnenlichts bei senkrech- tem Durchgang durch die Atmosphäre in Folge der | Zerstreuung desselben beträgt ? 3) Crelle’s Journal für die reine und angewandte Mathematik. Bd. 34. S.122 (1847) und Bd. 36. $. 135 (1848). , des einfallenden Lichts oder es ist die Intensität des dabei zur Erde gelangenden Lichts : 0,75. 4. Die Albedo (Reflexionscoefficient) der Erdober- fläche ist: 1/2. Am Schlusse seiner Untersuchung (2. Abhandlung, S. 212) stellt Clausius in einer Tafel die von ihm nach der Theorie für verschiedene Zenithdistanzen der Sonne berechneten Intensitätswerthe verschiedener Himmelsstellen zusammen. Für 60° Zenithdistanz der Sonne entnehme ich derselben für einen Vertikalkreis durch die Sonne unmittelbar folgende Helligkeiten des Himmels : Distanz von der Sonne. Helle des Himmels. 150° nach Nord. 3,)55 120 » » 1,774 60 » » 1749 O0 » » 10,227 30 nach Süd. 10,367, wobei die Helle der Sonne ausserhalb der Atmosphäre — 1000000 angenommen und also diejenige ihrer Strahlen an der Erdoberfläche 562500 ist. Aus der graphischen Darstellung der Clausius’schen Tafelwerthe habe ich für 45° Zenithdistanz der Sonne folgende Daten abgeleitet: Distanz vou der Sonne. Helle des Himmels. 135 nach Nord. 3,95 DD 2,00 45 » » 2,59 0 » » 8,9 15 nach Süd. 8,85 45 » » 8,95 wobei die Helle der Sonnenstrahlen an der Erdober- flche gleich 662000 ist. | Um diese theoretischen Werthe mit meinen be- obachteten vergleichen zu künnen, habe ich dieselben zunächst durch Division mit 562500 resp. 662000 je auf die Intensität des Sonnenlichts an der Erd- | oberfläche als Einheit bezogen und sodann aus einer graphischen Darstellung der erhaltenen Zahlen die : Werthe für die bei meinen Messungen gewählten Son- nendistanzen abgeleitet. Anderseits habe ich die für eine ungefähre Zenith- |distanz von 60° geltenden Beobachtungsdaten des 303 Jahres 1875 in Tafel V, nachdem ich sie durch gra- phische Interpolation ergänzt und sodann alle einzel- nen Reïhen zu einer mittlern vereinigt hatte, durch Multiplication dieser Mittelwerthe mit dem Factor 0,4 ebenfalls auf directes Sonnenlicht bezogen — ich wählte den Factor 0,4 statt 0,3597 nach Gleichung 27., weil die Beleuchtung der matten Glasplatte in jenem Bulletin de l’Académie Impériale À gh 304 Jahre, wie oben erürtert worden ist, merklich stärker war als im letzten Jahre — und endlich die Daten der Tafel VI, welche einer mittlern Zenithdistanz von 45° entsprachen, durch graphische Interpolation er- gänzt. So ergaben sich zum Vergleich folgende Zahlen- werthe: 0 Helle des Himmels in einem Vertikalkreise durch die Sonne, Zenithdistanz der Sonne. 60° f Berechnung . .... 4,64 | Beobachtung 3,82 45 { Berechnung ..... 5,96 | À Beobachtung 2,02 Die Clausius’sche Theorie gibt hiernach durchweg grôssere Werthe als die Beobachtung, was sich in- dessen dadurch erklärt, dass Clausius bei der Zahlen- berechnung die in seine Formeln eingeführte Absorp- tion des Lichtes dem Obigen zufolge als unbekannt gleich Null angenommen hat, was in Wirklichkeït je- denfalls nicht der Fall ist. 135° |112°5 (90° Distanz von der Sonne nach Nos nt 67°5 45° 2995 | 0° |22° | | | | | | 2,65| 1,92! 2,40) 7,82/16,3 [18,2 |18,4 2,12) 1,21| 1,38] 2,21] 6,31/10,6 |11,6 3,64) 2,39) 2,30! 3,91) 9,75112,97] 13,44 1,26| 0,83| 0,93) 1,37] 2,62) 4,75] 6,00 educiren wir demgemäss die berechneten Werthe für 60° Zenithdistanz vermittelst der für 90° Abstand von der Sonne geltenden Verhältnisszahl von Beobach- tung und Berechnung und für 45° Zenithdistanz mit der für 67,5 Abstand von der Sonne sich ergebenden Relation auf der Bcobachtung entsprechende absolute Werthe, so kommt: ————————— Zenithdistans 135 l112° 590° l67° 545° la9° 5) 0° |22° 5 der Sonne. | | go * { Berechnung..... 2,92| 1,66| 1,21| 1,50] 4,92/10, 211, 4/11, 5 | Beobachtung . . .. 3,82| 2,12) 1,21) 1,38| 2,21] 6,31110, 6/11, 6 | | | 45 { Berechnung Re 2,41| 1,47| 0,96 0,93 1,58 3,94) 5,25] 5,41 | Beobachtung . ... | 2,22) 1,26) 0,83] 0,93) 1,37) 2,62) 4,75) 6,00 | Wir ersehen hieraus, dass die reducirten Werthe der Theorie in der That viel besser mit der Beobach- tung stimmen und dass namentlich auch die vorher sehr verschiedenen Amplituden ihrer Variation mit dem Abstand von der Sonne nahezu gleich werden. Die graphische Darstellung der beiderlei Zahlen in der beiliegenden Tafel zeigt auch sonst sowohl für die unmittelbaren, als für die reducirten Werthe der Theorie im allgemeinen Gang derselben eme nicht zu verkennende Übereinstimmung mit der Beobachtung. Dass freilich bei den Curyen der berechneten Werthe der für kleinere Sonnenabstände rasch sich erhebende Ast derselben früher ansteigt als bei den der Beobach- tung entsprechenden, erheischt weitere Untersuch- ungen. Diese Abweichung nämlich zwischen Theorie und Bulletin de l'Acad. Imp. À se T XXIE Jntensitat des diffusen Himmelslichtes in emem Vertikalkrei! Helle der Sonne an der Erdoberfläche je - 1000,000 4 19 18 17 15 14 13 12 it 10 E FE F 1x : an Ï LA B ne + DE TE À d + .. T F | t É Sinnel JAeE un en 20 AOTE ET fe AU in IT 447 H + su ft SE Ft j ] 4 3! ++ F T HET L æ TT + Ce] QÙ La 40° 60° 80° 100° 0° 140° 160° Abstand von der Sok Nord. LE H. Wild, Photometr Bestimmun des Himmelshehts. durch die Sonne. petzt. 306 segmentis ultimis breviter (la- etiolulatis cuneatorotundis tri- ratis; panicula ampla terminali muda, pedicellis erectis fructi- s; sepalis ovalibus parvis; sta- bus, filamento leviter clavato ; carpellis ad 8 diffusis semiob- utrinque 3-nerviis stylo recto ipitatis (juvenilibus stipite fili- 18). su (Przewalski, 1872). sparsifloro Turez., nec non Th. iis sessilibus, panicula pauciflora tis, flore nutante, carpellis breve theris longe mucronatis, sepalis ut prius, sed magis diversum. omonanthea DC.) Patentipilosa, », foliis radicalibus 2—3 demum orbiculato-dilatato lamina tri- adatis lateralibus bi-terminali trilobis apiceque profunde pau- atis; scapo bipollicari; involueri itis basi connatis, laminis trifi- xedunculo flore breviore villoso; HR lamentis filiformibus: carpellis HIDE labris stylo conico brevi apice FHRHEE nsu (Przewalski, 1873). HE 5 te L., sed nulli arctius affinis. HE soligo DC.) Humilis glaberrima, 4 s; foliis petiolatis ambitu oblon- ciniis ovatis mucronatis passim ; HE 3 sepala fere duplo superantibus 1 He HE ù ructifero globoso, stylis leviter - rE se nsu, rara (Przewalski, 1873). CE DE PRET x, (Hecatonia D C.?) Erectus ap- Hi meatis tripartitis laciniis lanceo- serratis lateralibus passim extus cr D 20° 40° s linearibus; caule multifloro; CE Süd. salyce patente piloso petalis late sviore; carpellis compressis mar- deltoideo brevi. alis regione Ordos, pratis vere wg-ho (Przewalski, 1871.) A sectionem subdubius, in men- 20 19 18 17 16 15 2 10 suen 160° 305 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 306 0 Erfahrung kann einmal dadurch bedingt werden, dass die Absorption jedenfalls nicht in Form eines blossen constanten Factors auf die Berechnungs-Resultate in- fluiren wird, und sodann macht Clausius selbst dar- auf aufmerksam, dass seine Entwicklungen nur für homogenes oder für solches gemischtes Licht gelten, in welchem alle Farben dieselbe Schwächung durch die Atmosphäre erfahren. Das gilt aber, wie die blaue Farbe des Himmelslichts zeigt, für das weisse Sonnen- licht jedenfalls nicht. Ehe daher die Theorie resp. Berechnung in diesen beiden Richtungen hin ergänzt sein wird, erscheint es allein auf Grund der vorliegenden Beobachtungen un- môglich, sich bereits mit Bestimmtheit über die Gültigkeit derselben und damit insbesondere über die Zulässigkeit der ihr zu Grunde gelegten Hypothese betreffend die Natur der das Licht zerstreuenden Kôürperchen in der Atmosphäre resp. das Gesetz dieser Zerstreuung auszusprechen. Anderseits aber berech- tigt die bereits vorhandene allgemeine Übereinstim- mung der Folgerungen der Clausius’schen Theorie mit unsern Beobachtungen doch bereits dazu, dieselbe als willkommenen Wegweiser für die zweckmässigste Anordnung der weiteren experimentellen Untersuchun- gen zu benutzen. Diagnoses plantarum novarum asiaticarum. Scripsit C. J, Maximowicz, (Lu le 2 novembre 1876.) Clematis nannophylla, (Ælamamula) Kruticulus erectus densissime ramosus, ramulis hornotinis brevissimis erec- topatulis pubescentibus; foliis minutis pinnatifidis co- riaceis; flore in ramulis solitario terminali; sepalis 4 erectopatulis ovalibus acutis; filamentis basi dilatatis glabris. In Chinae prov. Kansu (Przewalski, 1872. Dr. Piasezki, 1875). Flores lutei. Affinis CI. fruticosae Turcz. Descriptionem et figu- ram serius Cconferas in Enumeratione plantarum a Przewalski lectarum, ubi invenies et sequentes omnes e China vel Mongolia ortas. Thalictrum Przewalskii, (PAysocarpum D C.) Elatum glabrum apice florigero tantum ramosum ; foliis breve superioribus brevissime petiolatis petiolo basi ample- xicauli-auriculato lamina ampla ambitu deltoidea tri- Tome XXII. ternatim decomposita, segmentis ultimis breviter (la- teralibus brevissime) petiolulatis cuneatorotundis tri- lobis et obtuse pauciserratis; panicula ampla terminali oblonga sparsiflora subnuda, pedicellis erectis fructi- feris fructu longioribus; sepalis ovalibus parvis; sta- minibus triplo longioribus, filamento leviter clavato anthera oblonga obtusa; carpellis ad 8 diffusis semiob- ovatis planocompressis utrinque 3-nerviis stylo recto elongato mucronatis stipitatis (juvenilibus stipite fili- formi parum longioribus). In Chinae prov. Kansu (Przewalski, 1872). Nonnihil affine Th. sparsifloro Turez., nec non Th. cultrato W all. Prius foliis sessilibus, panicula pauciflora foliata, pedicellis elongatis, flore nutante, carpellis breve stipitatis, posterius antheris longe mucronatis, sepalis amplis aliisque signis, ut prius, sed magis diversum. Anemone exigua. (Anemonanthea DC.) Patentipilosa, rhizomate tenui obliquo, foliis radicalibus 2— 3 demum elongatis petiolo basi orbiculato-dilatato lamina tri- secta segmentis rotundatis lateralibus bi-terminali brevissime petiolulato trilobis apiceque profunde pau- cicrenatis crenis apiculatis; scapo bipollicari; involueri 3-phylli petiolis vaginatis basi connatis, laminis trifi- dis incisoserratisque; pedunculo flore breviore villoso; sepalis 5 ovalibus; filamentis filiformibus: carpellis subduodecim ovatis glabris stylo conico brevi apice recurvo. In Chinae prov. Kansu (Przewalski, 1873). E serie À. nemorosae L., sed nulli arctius affinis. Adonis coerulea, (Consoligo DC.) Humilis glaberrima, cauliculis dense foliatis; foliis petiolatis ambitu oblon- gis bipinnatisectis, laciniis ovatis mucronatis passim 1 — 3-lobis; petalis sepala fere duplo superantibus patentibus: capitulo fructifero globoso, stylis leviter r'ecur vis. In Chinae prov. Kansu, rara (Przewalski, 1873). Ranuneulus cuneifolins. (Æecatonia D C.?) Erectus ap- presse pilosus; foliis cuneatis tripartitis laciniis lanceo- latis acuminatis parce serratis lateralibus passim extus lobulo auctis, summis linearibus; caule multifloro; pedunculis teretibus; calyce patente piloso petalis late obovatis plus duplo breviore; carpellis compressis mar- ginatis laevibus rostro deltoideo brevi. In Mongoliae australis regione Ordos, pratis vere inundatis secus f. Hoang-ho (Przewalski, 1871.) Radice ignota quoad sectionem subdubius, in men- 20 307 Bulletin de l’Académie Impériale D tem vocat À. acrem L., nimis tamen diflert foliorum | lis calyce paulo brevioribus pallidis superioribus utrin- omnium subconsimilium forma cauleque densius foliato. Delphiniaom Pylzowi. (Delphinastrum DC. $ 2.) Pedale sericeo-villosum, caule foliato, petiolis basi dilatatis, foliis ambitu cordato-rotundatis 5-partitis lobis bis tripartitis lacinulis linearibus; racemo paucifloro saepe composito, pedicellis arcuatis flore duplo longioribus; sepalis violaceis calcari brevioribus; petalis nigris in- ferioribus bifidis ; ovariis 5 sericeovillosis. In Chinae prov. Kansu (Przewalski, 1872.) Habitu, floris colore, petalis nigris appropinquat D. caucasico y. chinensi Rgl., differt praesertim fol- liculis 5 foliorumque laciniis tenuioribus et numero- sioribus. À D. coeruleo Jacquem., cujus folia et ger- mina 5 habet, petalis bifidis floreque duplo saltem majore dignoscitur. Delphiniom albocoeruleum. (Delphinastrum D C. $ 2.) Elatum gracile sericeopubescens, caule foliato; petiolis basi paulo dilatatis; foliis ambitu profunde cordatis 3—5-partitis partitionibus rhombeis profunde bitrifi- dis incisisque lacinulis late linearibus acutis; racemis terminali ad 6-, lateralibus 1 — 3-floris; pedicellis apice bibracteolatis florem aequantibus arcuatopatulis; sepalis albidocoeruleis calcari gracili brevioribus pe- tala atra inferiora biloba superantibus: folliculis 3 sub anthesi dense villosis. In Chinae prov. Kansu (Przewalski, 1872.) Ex affinitate D. tristis Fisch. et D. elati L. Primum, quoad folia simile, calcari crasso sepalis breviore, ra- cemo simplici, sepalis fuscis, secundum racemo mul- tifloro, foliis minus dissectis, flore minore sepalis ma- gis conniventibus, pedicellis multo tenuioribus, brac- teis bracteolisque filiformibus neque lanceolatis diver- sum. Delphinium sparsiflorum, (Delphinastrum $ 2.) Elatum gracile glabriusculum, caule foliato: petiolis aequali- bus; foliis ambitu profunde cordatis pedatotrisectis: segmento terminal basi integra cuneato subpetiolulato apice trifido et inciso-serrato, lateralibus latioribus sessilibus bipartitis laciniis apice 2 — 3-fidis inciso- serratisque serraturis mucronatis; foliis summis indi- visis linearilanceolatis integris: panicula pyramidali e racemis lateralibus et terminali elongato paucifloris; pedicellis patulis flore multo longioribus filiformibus minute linearibracteatis; calyce parvo decoloro conico- connivente; calcari late conico sepala aequante; peta- que obtusis, inferioribus bifidis; folliculis 3 glaber- rimis. : In Chinae prov. Kansu (Przewalski, 1872). Ab omnibus notis structura petalorum superiorum in calcaria obtusa plana laminae subaequilata abeun- tium abhorret, ceterum D. denudato Wall. non ab- simile, a quo tamen statim pedicellis filiformibus et calcari brevi dignoscitur. Aconitum gymnandrum, (Napellus DC.). Humile, totum pilis longis patentibus hirtum; foliis trisectis segmen- tis petiolulatis terminali tri-lateralibus bipartitis laci- mis pinnatifidis lacinulis lanceolatis acute serratis; floralibus breve petiolatis sensim simplicioribus; ra- cemo elongate, flore pedicellum superante; sepalis la- mina longius unguiculatis; nectariorum calcari obtu- sissimo crasso labio maximo rotundato serrato e cas- side convexa recteque lateque rostrato subexserto: carpellis 8 villosis. In Chinae prov. Kansu (Przewalski, 1872). Perinsigne sepalis longe unguiculatis genitalia mi- nime tegentibus nectariique labello petaloideo maximo. Berberis brachypoda, (Sect. IT. $ 1. Hook. f. et Thoms. FL. Brit. India.) Spinis tripartitis, ramis florife- ris sulcatis cinereis; foliis petiolatis utrinque pubescenti- bus concoloribus subtus elevatoreticulatis membrana- ceis obovatis v. ellipticis acutis patentim spinuloso- dentatis; racemis erectis folia aequantibus basi nudis multi- et densifloris, rhachi pedicellisque flore brevio- ribus pubescentibus; sepalis rotundatis petala oblonga apice bidentata aequantibus; stigmate sessili. In Chinae prov. Kansu (Piasezki, 1875). Habitus B. vulgaris L. normalis et quidem grandi- foliae, differt tamen foliis pubescentibus patentim spi- nulosis, pedicellis abbreviatis, oribus dense imbricatis , minoribus. Berberis dasystachya. (Sect. IL. K 1. Hook. f et Thoms.) Glaberrima, spinis sacpissime simplicibus; ramis foriferis angulatis cinereis; foliis petiolatis mem- branaceis subtus glaucis utrinque demum elevatoreti- culatis rotundis v. rotundatoelliptieis obtusis vel emar- ginatis basi subito in petiolum attenuatis spinuloso- serrulatis: racemis folia superantibus erectis basi nudis multifloris densissimis: pedicellis fasciculatis flore lon- gioribus ; sepalis integris petalisque bidentatis ovatis aequilongis; stigmate sessili; fructu ovalioblongo rubro. 309 = des Sciences de Saint-Pétersbourg. e 310 In Chinae prov. Kansu (Przewalski, 1873). Affinitas proxima cum praecedente, a qua pedicellis elongatis et foliis discoloribus rotundatis incumbenti- serratis distinguitur. Folia B. heteropodae Schrenk, racemi fere B. vulgaris L., sed erecti, densiores et magis multiflori quam in ulla alia affini, flores ‘/, mi- nores. B. diaphana, (Sect. IT. $ 3. Hook. f. et Thoms.) Glaberrima, spinis validis tripartitis; ramis sulcatis cinereis; foliis chartaceis elevatoreticulatis breve pe- tiolatis ellipticis obtusis basi cuneatis parce spinulo- sociliatis; pedunculis 1—2 floris folia aequantibus per 1—5 fasciculatis, pedicellis apice incrassatis nutanti- bus; flore saepe 4-mero majuseulo; sepalis integris ovalibus petala bidentata obovata superantibus; ovario stipitulato brevistylo; bacca opalizante pellueida ovoi- dea 6-sperma stylo brevi stigmateque amplo coronata. In Chinae prov. Kansu (Przewalski, 1872). Naulli e notis propius affinis, nisi forte B. wmbella- tae Wall., quae tamen floribus in pedunculo elongato subumbellatis et stigmate sessili nimis differt. Folia fere B. heteropodae Schrenk, flores magnitudine 1illos B. aristatae DC. vel B. asiaticae Roxb. aemulantes. Epimedium pubeseens, (Microceras Dune.) Foliis seto- sociliatis subtus adpresse crebre pilosis radicalibus simplicibus v. ternatis; caule simplici foliis 2 opposi- tis ternatis: foliolis cordatoovatis longe acuminatis; racemo composito glandulosopiloso; sepalis ovatolan- ceolatis minutis patulis; filamentis ovario oblongo 5 — 9-ovulato aequalibus. In Chinae prov. Schensi (Piasezki, 1875). A proxime affini Æ. (Acerantho) sagittato Sieb.Zuc c. F1. Jap. fam. nat. I. 175. n. 296., cujus synonymon, praeter illa a Miquel Prol. 2. enumerata, est Æ. Ika- riso Siebold in Rgl. Ind. sem. h Petrop. 1868. p. 89., et quocum foliis caulinis oppositis ternatis, ra- cemo composito, flore parvo, ovario pluriovulato con- venit, differt prima fronte foliolis non hastatis et flore duplo majore albo nec sordido, sepalis acuminatis ne- que obtusis, praeter alia signa. Æ. concinnum Vatke in Rgl. Gartenfl. 1872. 165. tab. 726. (descript. et fig. pessima '))abhorret foliis biternatis, ut et Æ. alpi- num L. 1) An idem ac Æ, rubrum Morr., a C. Kochio inter japonica non enumeratum et igitur a Vatkeo, qui Kochium laudat, prae- tervisum ? Catheartia integrifolia. Foliis lanceolatis indivisis, flo- ribus erectis, staminibus innumeris, filamentis dilata- tis; ovario setoso. In Chinae prov. Kansu (Przewalski, 1872. 1873). Habitus Meconopsidis nipalensis Hook., cui satis accedit, praeter folia integra et flores paucos erectos, sed stigma et ovarii structura Cathcartiae. Fructus maturus ignotus. Meconopsis racemosa, Aculeata, foliis linearilanceola- tis indivisis; floribus racemosis 5—8-petalis purpureo- violaceis. In Chinae prov. Kansu (Przewalski, 1872). A proxima M. aculeata Royle foliis integris, a M. horridula Hook. f. et Thoms. floribus racemosis, ab utraque petalis 5—8 dignoscitur. Glaucium leptopodum, (Divis. ovario tuberculato Boiss. FL. or. I. 122.) Glaucum fastigiatoramosum confervoi- deopuberulum; foliis radicalibus pinnatisectis, segmen- tis remotiusculis rhomboiïdeis acute incisolobatis ter- minali trilobo; foliis caulinis paucis parvis basi atte- nuatis 3—5-partitis lobis acuminatis parce acute dentatis; sepalis pubescentibus; siliquis maturis pedi- cello subaequilongo vel longiore duplo crassioribus utrinque attenuatis laevibus glabris stigmate subqua- drato duplo saltem latioribus; seminibus ovoideis api- culatis. In Chinae prov. Kansu (Piasezki, 1875). Bamis fastigiatis, foliis caulinis basi attenuatis par- vis, pedicellis tenuibus, siliqua brevi, stigmate parvo obtusissimo ab omnibus optime diversum. Viola L. Synopsis specierum Asiae orientalis. Clavis specierum dichotoma. Semper acaules, demum neque ramos neque stolones epigaeos emittentes. Stigma in omnibus marginatum subconcavum cum rostro pl, m. evoluto. (Conf. species sub 18. collocatas, si estolonosas col- legisti.) 2. Floriferae primum acaules, tum ex axillis foliorum radicalium in aliis saepe stolones foliatos, in aliis semper ramos foliatos, utrosque epigaeos, passim florigeros, prostratos, ascendentes vel suberectos emittentes. 18. Caulescentes, caulibus pl. m. elongatis axin primariam consti- tuentibus v. saltem ex caudice aphyllo neque ex axillis foliorum ro- sulae radicalis ortis. 25. 2. Radix napiformis v. prope collum in fibras paucas crassas divisa, stolones hypogaei nulli. 3. Rhizoma pl. m. elongatum articulatum, in aliis tenue stolones hypogacos emittens, in aliis crassum in ramos breviores divisum pleiocephalum, (Specc. juvenilia v. incompleta rhizomate carentia 20* 311 Bulletin de l’Académie Impériale 312 ————————_—_—_—_—_——— ab illis radice divisa saepe aegre cosgnoscenda, quam ob causam Stigma rostro longo, flos violaceus, stolones species hujus divisionis hic etiam inter illas praecedentis collocantur, breves non radicantes v. nulli.............. V. hirta. signo ( ) inclusae.) 15. 23. Vaginae fuscae collum tegentes stipulaeque inte- 3. Folia incisa vel dissecta partitave. 4. graë, axis primaria demum elongata. 24. » crenata. 6 Vaginae nullae, stipulae pectinatae, axes secun- 4. Folia palminervia. 5. dariae demum elongatae................ .… V. sylvestris. » . penninervia INCISA ee 4e vie» « e! oo "e » aivie 0 00e V. incisa. 24, Flores caulini fere subcoëtanei, vulgo apice 5. Segmenta foliorum dadne subpetiolulata . V. dactyloides. caulis congesti, stigma immarginatum,....... + V. mirabilis. Segmenta v. partitiones 3 iterum secta v. partita V. pinnata. Flores caulini inter se remoti minime coëtanei, 6. Petioli distincte alati v. marginati. 7. stigma anguste marginatum ................ V. Langsdorfi. F » nudi. 10 25. Bulbus, stolones nudi ex collo, flos albus totaque 7. Lamina foliorum medio latissima in petiolum planta MINUTA..........ce…er......e.... V. bulbosa. SENS AILENUALA see eee ctenos messes .… V. Gmeéliniana. Rhizoma. 26. Lamina basi latissima. 8. 96. Folia ovalia elliptica v. anguste oblonga. 27. 8. Flos albus brevicalcaratus, capsula acuta, folia » cordata vel reniformia. 29. anguste oblonga basi truncata............ … V. Patrini var.a | 27. Melanium. Flos maximus, cauliculi abbreviati Flos violaceus longecalcaratus 9. dense foliati, folia ovalia v. elliptica......... V. grandiflora. 10. 11 14. 15 16 11 18. 19. 20. . Capsula (v. .Petala profunde azurea vulgo imberbia, folia seriora oblonga pl. m. obtusa, capsula acuta . V. Patrini var. £. Petala rubroviolacea barbata, folia hirta cor- dato-ovata attenuato-acuta, capsula obtusa . . V. phalacro carpa Calcar petala v. saltem sepala aequans. 11. » scrotiforme sepalis brevius. 15. Folia sinu aperto cordata, obtusa v. acuta. 12. (Sinus basi latior quam ad ostium, folia acumi- nata, rhizoma, petala pallida imberbia)...... (V. Selkirki.) . Calcar gracile, flos barbatus parvus, folia obtusa v. obtusiuscula nunquam deltoidea. ......... V. variegata. Calcar crassum, flos imberbis magnus, folia acu- tiuscula seriora saepe cordato-deltoidea. ..... V. japonica. . Flos albus imberbis minutus. 14. (» dilute violaceus parce barbatus, stipulae liberae, rhizoma repens) ....... rec . (V. palustris.) Folia cordato-ovata obtusa, stipulse adnatse, TAUX SN eee cesse sit SOC c ATDE rene V. Sieboldi. (Folia cordato-reniformia seriora acuta, stipulae liberae, rhizoma stoloniferum)........ san (V. blanda.) . Rhizoma validum ramosum pluriceps, collum va- ginis fuscis conspicuis, stolones nulli, folia late cordata subito acuminata, flos magnus violaceus Rhizoma tenue v. filiforme, vaginae ad collum ob- soletae v. hyalinae, stolones hypogaei elon- gati. 16. Calcar longum, petala imberbia violacea, sinus foliorum basi latior quam ostio, folia acumi- nata crenatoserrata......... ...........: Calcar breve, folia aperte reniformicordata. 17. V. vaginata V, Selkirka. Flos albus imberbis minutus. sepala acuta, sti- pulae lanceolatae.........4...40.. Flos lilacinus parce barbatus, sepala obtusa, sti- pulae ovatae..,,.... e Stipulae ad medium adnatae, calcar longum. 19. » liberae v. basi tantum adnatae. 20. Glabra, stigma marginatum.................. Villosa, stigma immarginatum convexum, ..... Petioli alati, folia seriora oblonga, stolones radi- cantes ... Petioli exalati, V. blandu. V. palustris. V. Keiskei V_ yezoënsis. _ folia cordata v. cordatoovata. 21. 7 diffuse. saltem ovarium) pilosa, demum car- nosa valvis dehissis planis, axis primaria sem- per abbreviata. 22. Capsula cartilaginea, valvis dehissis arcte com- plicatis. 23. . Stigma brevissime rostratum, flos coerulescenti- albidus, stolones dum adsunt longissimi radi- cantes... 7, serpens. Nomimium. Caules elongati, folia remotiora an- guste oblonga. 28. 98. Lamina in petiolum alatum sensim attenuata ... V. montana. » … bagi subsagittata............ ........ V. Raddeana. 29. Flores albi v. lilacini, eaules foliati. 30. » lutei. 31. 30, Nomimium. Stipulae pectinatae .......... .... V. canina. Dischidium. D MITIEDTAE se ere see V. verecunda. 31. Dischidium, caules debiles foliati............. V. biflora. Chamaemelanium, caules firmi basi longe nudi. 32. 32, Stipulae amplae membranaceae .............. V. pubescens. » minutae herbaceae. 33. 33. Folia apice caulis approximata acuminata ..... V. uniflora. » remotiora subito acuminata, petioli et pedunculi longiores, .... .........se..se V. glabella. Sect. I. Nomimium Ging. I. Semper acaules. a. Radix napiformis vel mox infra collum in ramos plures crassos divisa. 1. Folia partita, secta v. incisa. V. pinnata L. Cod. 6767. Glabra v. pubescens, radice divisa, foliis ambitu rotundatoreniformibus pal- mati-tripartitis-sectisve laciniis iterum semel vel bis terminali tri-lateralibus bifidis-partitisve in lacinias linearioblongas apice parce dentatas; stipulis ultra medium adnatis angustis; flore dilute violaceo crebre striato barbato longe calcarato : stigmate convexo mar- ginato rostrato; capsula obtusa. — DC. Prodr. I. 293. — Ledeb. F1. Ross. I. 243.— Rgl. PI. Radd. L. 219. Hab. in flora Baicalensi, locis frigidioribus, prae- terea in Alfai et alpibus Æuropae. 8. dissecta Turez. F1. Baic. Dah. I. 178. Seg- mentis foliorum petiolulatis, cetera ut in typo. — Rgl. 1. c. 222, — V. dissecta Ledeb. I. e. 244. — Maxim. FI. Amur. 47. 469. 480. Hab. in China boreali: kino occidentem versus (Fatarinow), Zaghan-Balghassu (Kirilow), Mandshuria : montibus Dai-che-lin, a Pe- Mongolia : ad ad Armur 313 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 314 —_—…—"—"—"—"—"—"—"—"—"—"—"—"—"—————— — ———— — superiorem, Dahuria, Baicalia, Sibiria orientali (ad Lenam usque ad mare glaciale, Adams) et altaica. y. Sieboldiana: foliis bis trisectis, segmentis ultimis semel v. bis tripartitis in lacinulas elongatas anguste lineares. Vidi cultam ex horto Sieboldiano Nagasaki Japo- niae. — Flos parcius barbatus. 5.? chaerophylloides Rgl. 1. e, 222: segmentis fo- liorum petiolulatis lateralibus rarius indivisis vel bi- partitis terminali bi-tripartito, omnibus ovatis vel ovatolanceolatis crebre inciso-serratis iterumve tri- fidis; flore parce barbato. — Capsula ignota. — V. pin- nata var. dissecta Miq. Prol. 84. nec Turez. nec Rgl. Hab. in Korea (Wilford) ad portum Hamilton nec non in archipelago vicino (Oldham), in Kiusiu vul- cano Wunzen locis graminosis inter rupes, ad promont. Nomosaki alibique, in Méppon prov. Nambu, in Yezo (hb. Siebold). Varietas paradoxa, fructifera saepe pedalis, foliis amplis nonnullis trisectis in segmenta ovata subindi- visa. Anne species propria? Var. Sieboldiana, omnium magis dissecta et var. chaerophylloides , omnium minus dissecta, à ceteris formis, quibus appendices sepalorum truncato-rotun- datae, differunt appendicibus magis productis apice profunde acuteque pluridentatis. Flores utriusque quam in Sibirica saepe duplo majores, petala fundo dilute violaceo striis profundioribus elongatis numerosis picta. Reichenbach PI ecrit. I fig. 84. et FL German. IT. fig. 4490. petala ex violascente coerulea aequalia pin- git, Haupt in schedula ad plantam Z>cutianam pur- pureoviolacea dixit, flos plantae chinensis tamen in icone pulehra ad vivum curà Tatarinowi picta ill pl. japonicae simillimus, ita ut color foris differentiam vix ostendat. Sed capsula utriusque var. japonicae nondum cognita. V. pedata Li. nostrae simillima est, sed grandiflora, ebarbata, brevicalcarata, distincte pedatisecta seg- mento terminali simpliciore minoreque, stipulae dense nec parce ciliatae, ferrugineae neque albidae, denique stigma vix e staminibus emersum neque illa totum superans, brevissime nec distincte rostratum. 2. V. dactyloides R. $. Syst. V. 351. Pubescens, radice divisa, foliis ambitu rotundatoreniformibus digi- tato-5-sectis segmentis subpetiolulatis lanceolatis in- aequaliter dentatis v. incisis; stipulis ultra medium adnatis; flore violaceo barbato modice calcarato; stig- mate convexo marginato rostrato; capsula. ... DC. 1 ce. 292. — Ledeb. 1. c. 244. — Turez. L ce. I. 179. — Maxim. L. c. 47.—Rgl. L. c. 218. Hab. in Mandshuria: ad Amur fl. à montibus Bu- reicis usque ad Schilkam, Dahuria, Baicalia, alpibus Sajanensibus, ubique rarius. Praecedenti valde affinis, sed segmenta foliorum subtriplinervia, calcar brevius. 3. V. incisa Turez. L ec. I. 184. Glabra, radice subindivisa; foliis ovatis penninerviis profunde serrato- incisis; stipulis ad medium adnatis; flore azureoviola- ceo dense barbato modice calcarato; stigmate margi- nato convexo brevirostri; ovario obtuso. Hab. ad lacum Baical. A Turczaninowio stipulae perperam liberae di- cuntur extimis aphyllis tantum examinatis, et species collocatur inter illas stigmate uncinato nudo, est au- tem stigma convexum quidem, sed marginatum, angus- tius tamen quam in praecedentibus. Qui errores jam à Ledebourio FI. Ross. I. 246. corriguntur. Var. acuminata Franch. Savat. Enum. [. 41: fo- liis acutis irregulariter et profundius incisis. Ex urbe Yedo Japoniae accepit Savatier. Vidi olim specimen incompletum, foribus bene evolutis nullis. Nostrae speciei affinis videtur VW. sagittata Ait., quae typica etiam folia basi incisodentata habet, neque habitu dissimilis est. Adnot. Huic seriei fortasse adnumeranda erit V. sp. nov.? $. L. Moore in Trim. Journ. of bot. IV. 226. e China centrali (Kiu-kiang, Dr. Shearer). Folia, ex Moore, ovata acuminata, late et profunde cordata, regulariter inciso-dentata, fere 4 poll. longa, 274 —3 poll. lata, petioli 9—10-pollicares. Cetera ignota. An V. incisa, quae fructifera nondum nota et hucusque unico loco tantum collecta est, quum fere omnes ce- terae species late distributae occurrant? Confer quod supra sub V. pinnata chaerophylloide, fructifera gigan- tea, dicitur. 2, Folia indivisa. 4. V. Gmeliniana R. S. Syst. V. 354. Parva nec fructifera multo major, radice subindivisa; stipulis ultra medium adnatis; lamina folii elliptica vel lan- ceolata sensim in petiolum breviorem late alatum atte- nuata; flore intense violaceo barbato breve calcarato: | stigmate marginato rostrato: capsula brevi obtusa. — 315 Bulletin de l’Académie Impériale —_—_—_——0 eo Ledeb. I. c. 246.—Turez. 1. c. 181.—Trtv. Mey. FI. Ochot. n. 52. — Maxim. I. ec. 46. — Rgl L c. 232; Hab. in ditione fl. baicalensi-dahuricae, ab Irkutzk orientem versus in Dahuriam usque frequens ; in Mand- shuria ad Amur superiorem, in Sibiria orientali inter Irkutzk et Ochotzk, sed ultimum locum non attingere videtur, denique in regione wdensi. Fere semper florens colligitur, quia fructifera nana, foliis pedunculos fructiferos subimmutatos longe supe- rantibus, inter herbas elatas pratorum praetervidetur. A patribus pro V. lanceolata Li. sumebatur, quae tamen jam rhizomatis tenuis praesentia praeter alia signa distinguitur. 5. V. Patrini DC. Prodr. I. 293. Radice infra collum divisa; stipulis ultra medium adnatis; foliis infimis ovatis reliquis oblongis basi cuneata truncata v. subcordata in petiolum alatum demum v. ab initio longiorem attenuatis, glabris v. parce pubescentibus demum maximis: flore brevi- v. longecalcarato albo v. violaceo pl. m. barbato v. glabro; appendicibus sepa- lorum brevibus passim subdentatis: capsula oblonga acuta. — Maxim. FI. Amur. 48. — Rgl. PI. Radd. I. 230. Species prae reliquis variabilis, a me sedulo collecta et observata, sequentibus varietatibus mihi notis oc- currit: &. typica : flore albo barbato breviter et crasse calcarato saepius parvo.—V. Patrini Ledeb. FI Ross. I. 245 — Turcz. F1. Baic. Dah. I. 181.—V. P. « et Bel. L c. Hab. in Sibiria a Jenisea fl. orientem versus usque in Dahuriam, tota Mandshuria, Japonia: in paludibus circa Hakodate cum var. chinensi (Wright) et in alpi- bus interioris ins. Kiusiu Kundsho-san dictis, nec non in Himalaya ditione Kumaon (Strach. et Winterb. s. n. V. nepalensis, H. alb.). Folia oceurrunt ovatooblonga et linearioblonga basi ac medio aequilata obtusa vel basi latiora acuta v. acuminata. Flos plantae sibiricae et vernalis man- dshuricae 8 mill., serior et ille pl. japonicae 15 mill. longus, calcari serotiformi calyce duplo v. vix breviore, albus v. lilacino leviter suffusus, fundo striatus. Planta himalaica alpina laminam petiolo longiorem, cetera omnis multo breviorem habet. 8. chinensis Ging. in DC. 1. c.: flore profunde viola- ceo imberbi v. parce barbato longius et saepe graci- Jius calcarato majore (13—23 mill. longo). — V. pri- mulifolia Lour. F1. cochinch. 628. ex deser.—Roxb. F1. Ind. I. 650.— V. P. y. napaulensis Ging. L. e.— V. caespitosa Don Prodr. fl. Nepal. 205. (1825.), — V. chinensis G. Don Gard. syst. I. 322. (1831.). — V. prionantha Bge Enum. Chin. n. 44. — V. Patrini Bth. F1. Hongk. 20.—Wight. F1. Ind. I. 32.—Hook. f. F1. Brit. Ind. L. 183. (excel. syn. nonnull.). —V. P. et var. Gmelimiana (specc. vernalia) Miq. Prol. 84. — V. P. var. macrantha Maxim. L c. Hab. in Mandshuria: ad Amuy superiorem et austra- lem et meridiem versus usque ad fines Xoreae frequens, tota Japonia et China et late dispersa in Zndiae orien- talis montibus usque ad Ceylonam. Planta vernalis in siccioribus v. alpinis crescens laminam foliorum habet petiolo longiorem (typus VF. caespiosae Don, Buchan.!), pratorum humidiorum simillimam ii var. &., quacum in Mandshuria et circa Hakodate mixta occurrit. Calcar plantae indicae cras- sum calyce vix brevius, illi var. &. simillimum, tale oceurrit rarius et in mandshurica, chinensi et japonica, saepius tamen in eadem calyce longius invenitur, de- nique in prima vernali pekinensi et passim japonica petala fere aequat vel idem duplo gracilius est (typus V. prionanthae Bge). Simul habemus in planta statio- nun aridiorum folia brevius petiolata, saepe omnia ovatooblonga, pratorum humidiorum illis var. æ. exacte analoga. Aestate provectiore utraque varietas interdum fert folia inferiora triangularia, reliqua basi hastatodilatata grosse dentata, ceterum anguste oblonga acuminata, quae sistunt var. subsagittatam m. 1. ©. (triangularem Franch. Savat.! Enum. I. 41.), in Mandshuria a F. Schmidt, in Japonia a me florentem, ceterum vero saepius tantum fructiferam lectam. Eadem prostat fructifera a variis collectoribus e Ceylona missa. Florem semper inodorum habui, sed Loureiro odo- ratum dixit et Siebold figuram pulchram manu pictam var. 8. habet, quam odoram fuisse affirmat. Formas tam diversas conjungere diu haesitavi, dum vivas observabam et colligebam certe diversas crede- bam, sed frustra tempus perdidi signa diagnostica cer- tiora quacrens. Habet quidem Bungeus radicem ni- gram in VW. Patrini, albidam in V. prionantha, sed equidem in Mandshuria et Japonia saepe vidi nigram im 317 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 318 utraque,appendices sepalorum dentatas dixit in prionan- tha (unde nomen), integras in V. Patrini, equidem in floribus majoribus hujus pariter dentatas inveni. Ita etiam forma et longitudo calcaris transitus innumeros offert. Fateor tamen, me nunquam coloris transitum observasse, v. gr. florem pallide violaceum vidisse. Sem- per est in var.$. initio atroviolaceus, demum petalorum ungues albi copiose striati magis protenduntur et flos variegatus fit, in var. &. vero semper albus vel vix ex lilacino albidus et ad petala inferiora solito more striolatus. 6. VW. japonica Langsd. Radice prope collum di- visa albida, stipulis ad medium adpatis; foliis aperte cordatis infimis rotundatodeltoideis sequentibus cor- datis cordatoovatis vel autumnalibus cordato-deltoideis obtusiusculis vel acutiusculis membranaceis laetevi- ridibus crenatoserratis glabris vel parce ad petiolos laminam pedunculosque superne puberulis in petiolum exalatum demum longiorem breviter decurrentibus; flore magno (pollicari) pallide violaceo longe calcarato -imberbi; ovario glabro, stigmate late marginato, capsula oblonga obtusa. — Langsd. in hb. Fischer et in DC. 1. c. 295. (pessime descripta). — V. mysorensis Wall. list. 1446 ex descr. in Wight. FI. Ind. L. 32. — V. Wal- keri Wight. IL. TI. 42. tab. 18. (icon ob flores errore flavos pessima). — V. prionantha var. latifolia Miq. Prol. 85. et V. prionantha Miq. L. c. 84. p. p. — F. Kamtschatica var. pekinensis Rgl. PI. Radd. I. 230. — V. Patrini Aut. Flor. Ind. p. p. . Japonia australi frequens: Nagasaki ubique ad agro- rum, sylvarum, fossarum viarumque margines, in mu- ris vetustis, montibus lapidosis cet. Yokoska (Savatier n. 97.), Yokohama: Korea; Lutschu;: China: Pekin, ostium Yang-tze in insula Saddle (Dr. Weyrich), For- mosa. Zndia borealioceidentali (Royle) et peninsula (ex Wight). À praecedente saepissime optime distinguenda. Ad- | sunt quidem rarissime specimina flore intensius vio- laceo parce barbato amplo, foliis oblongis in petiolum cuneatis, locis obvia ubi hacc cum praecedente promis- cue crescit, quae inter utramque medium tenent, sed probabilius hybrida censenda sunt. Vulgo locis siccio- ribus obvenit, quum V. Patrini humidioribus crescat. V. japonica juvenilis brevifolia floribus sat longe | exsertis, fructifera spithamaea, sed occurrit toto anno | pallida prope collum divisa, stipulis ultra medium ad- florens et tune major foliaque latiora plantae fructi- | natis; foliis infimis rotundatis, ceteris ovatis, omnibus ferae habet. Flores hiemales observavi interdum 3—4- calcaratos. Specimen authentieum Langsdorffi in herb. Fi- scher., circa Nagasaki lectum, serotinum, à diagnosi V. japonicae Ging. in DC. Prodr. [. 295. valde dif- fert: huic adscribitur capsula turgidosubrotunda et stigma immarginatum ut in V. hirta, prope quam lo- catur. Quum autem specimen unicum Fischeri flore et capsula singulis gaudeat, Ginginsianum quod vi- disse asserit vix divitius erat, quamobrem ab autore fortasse obiter examinatum fuit. Ceterum stigma hu- jus speciei magis quam in aliis affinibus variabile: in spec. Langsdorffi v.gr.anguste deltoideum anguste- que marginatum rostro valido crasso foraminule majus- culo, in mea japonica saepius late deltoideum vel ob- cordatum late marginatum rostro brevi mox gracili minute perforato mox crassissimo foramine amplo, vidi imo stigma unum praeter foraminulum rostri aliud amplius centrale gerens. In plantu Lutschuana à Wey- rich lecta denique stigma obovatum concavum apice emarginatum basi perforatum fere erostre. V. japonicae Langsd. sane persimilis est V. macro- ceras Bge in Ledeb. fl. alt. L. 256, Icon. fl. Ross. t. 219, FI. Ross. IL. 245., sed nimis diversa stigmate fere uncinato (basi concava anguste crasseque margi- nata rostrum gracile elongatum minute perforatum exserente), flore barbato odorato, appendicibus sepa- lorum depresso-rotundatis integris, neque elongatis truncatis dentatisque. Habitus etiam alienus: tota planta glaberrima, folia infima reniformiorbicularia basi truncata, reliqua cordatoovalia vel cordatoovata, omnia obtusa, flores minores calcare breviore, denique antherarum nectaria linearia obtusa, in V. japonica longissima filiformia apice incurva, et planta fructifera quantum vidi non major. Nihilominus specimina pekinensia, a me ad V, japo- ricam, a cl. Regel ad V. kamtschaticam sub nom. var. pekinensis ducta, glabritie perfecta foliisque infimis truncatosubreniformibus ad V, macroceratem accedunt, sed stigma late marginatum breve rostratum, folia acuta acutius serratocrenata, calyx, petala imberbia, calcar longius V. japonicae. 7. V. phalacrocarpa. Obscure viridis tota hirta, flo- rens parvula fructifera saepe valde ampliata; radice 319 Bulletin de l’Académie Impériale 320 e basi saepe profunde cordata in petiolum marginatum apice alatum demum longiorem subito attenuatis obtu- sis v. acutis minute crenulatis; flore profunde rubro- violaceo barbato longe calcarato caleare gracili com- presso; ovario villoso, stigmate crasse angusteque marginato: capsula ovali obtusa glabra. In Mandshuria: ad Amur australem, Usuri, Suifun f., circa sinum Possjet ad limites Koreae, silvis fron- dosis lucidioribus, ad rupes umbrosas, rarius in pratis, passim frequens. In Japonia boreali: Hakodate, ad declivitates littoreas graminosas sat frequens, Yoko- hama ad margines agrorum in consortio W. sylvestris non rara. Pubes e pilis sat longis albis corrugatis patulis. Appendices sepalorum oblique rotundatae. Sepala ova- tolanceolata acuta v. obtusiuscula. Bracteae filiformes breves circa medium pedunculum. Planta fructifera interdum pedalis, Horens bi-quadripollicaris. Arcte affinis hic W. japonicae Langsd., a qua tamen pube densa, fronde obscura, flore atrorubroviolaceo copiose albobarbato parvo, praesertim vero ovario vil- loso distincta, illic VW. variegatae (irculianac), quae petiolo immarginato, pube nulla v. minuta papillosa et foliis firmis dignoscitur. Quae vidi V. phalacrocarpac specimina fructifera omnia, folia, minime ut in W. ja- ponica dilatata et breviora subdeltoidea, sed longiora et profundius cordata acutioraque quam in planta #o- rente protulerunt. — Affinis fortasse etiam V. Keiskei Miq., quae praeter glabritiem foliaque reniformia v. rotundatocordata grosse crenata praesertim stolo- num praesentia et ovario glabro differt. Silentio tamen praeterire nolo, me ad Amuwr meridionalem inter nu- merosa alia specimen unicum fructiferum collegisse, ubi ex collo articulato longiusculo prodeunt rami arti- culati pollicares rosulam maternae aequimagnam fruc- tiferam ferentes, sed hi non stolonibus V. Kciskei ana- logi, quum non ex axillis foliorum radicalium hornotinis prodeant, neque floribus multo seriores sint. Sunt meo sensu capita radicalia qualia speciminibus vetustis omnium specierum hujus affinitatis propria sunt, casu raro basi non sessilia, sed elongata. Hujusmodi spe- cimen primo aspectu V. hirtam in mentem vocat, sed valde differt jam petiolo apice alato et capsula glabra. V. hirta? var. glabella Rgl. FI. Ussur. n. 77. ad Amur fl. prope Burejae ostium a Maack collecta, capsulis glabris instructa, postea ab autore ad V. hirlam aman- data (PL. Radd. [. 236), fortasse huc pertinet, sed plantam nune in herb. horti Petrop. frustra quaesivi. 8. V. variegata Fisch. Parva humilis, radice prope collum divisa, stipulis ultra medium adnatis parvis; foliis carnosulis firmis obscure viridibus glabriusculis v. pulvereopuberulis cordatorotundis cordatoovatisve obtusis petiolo immarginato; flore parvo violaceo longe calcarato pl. m. barbato; stigmate parvo apice mar- ginato orbiculari valide rostrato: capsula ovali obtusa. DC. Prodr. I. 293. — Turez. F1. Baic. dah. I. 180. — Ledeb. FI Ross. I. 244. — V. ircutiana Turez. L €. — V. Selkirkii Miq. Prol. 85. p. p. (ex descript.) In ditione baicalensi- dahurica, Mandshuria: ad Amur superiorem et inferiorem (hic rara in saxis ex adverso Adi), fluvios Usuri et Li-Fudin, circa ae- stuaria Wladiwostok et Possjet. in desertis, collibus aridis, sylvis lucidis saxosis, agris sterilioribus re- quietis, in borealibus frequentior; in China boreali non procul à Pekino; nec non in J/aponia, unde specimen 1 florens foliis concoloribus s. n. Miyama sumire a Keiske datum vidi in herb. Siebold. : V. ircutianam Turcz., foliis concoloribus glabris longioribus minoribus, cum Regelio (1 €. 226) pro varietate W. variegatae Fisch. habeo. Dum brevis- sime pubescit var. chinensem KRgl. sistit, circa Pekin cum typo et in Mandshuria ad #. Suifun obviam. Plantula sub anthesi saepius pollicaris, parviflora, et fructifera vix tripollicaris, si typica foliis supra venis pallidis variegatis, subtus violaceis instructa, inter omnes sat facile cognoscenda, sequenti tamen ex fronde simihior quam als. 9. V. Sieboldi, Minuta gracilis glabra, radice prope collum divisa; stipulis ultra medium adnatis; foliis cordatoovatis vel cordatoorbiculatis obtusis obiter cre- natis venis pallidioribus; sepalis acutis calcari crasso saccato longioribus: flore minuto albo imberbi; stig- mate truncato suberostri, ovario obtuso. — W. Se/- kirkii Miq. Prol. 85. p. p. In Japoniae alpibus: Kiusiu interioris montibus Kundsho-san, silvis vetustis, nec non in vulcano Wun- zen principatus Simabara, utraque florens. Folia fere V. variegatac var. ircutianae, sed venis pallidioribus variegata ut in V. variegata typica, flores albi, in modum V. blandae W. striati, quae species tamen rhizomate repente foliorumque forma abhorret. Specimina omnia gracilia, macropoda et microphylla, 321 qualia interdum inter W. Selkérki, neque inter V. va-! riegatam oceurrunt, unde à Miquelio pro priore ha- bita. Ocecurrit in herbario Lugduno-batavo, V. varie- gatae et fortasse V. Selkirki typicae intermixta sub nomine inedito V. Sieboldi Oudemans (in schedis), sed quum herbarium hocce ante oculos nune non ha- beam, Oudemansium autorem pro certo laudare nequeo. Stigma V. Sicboldi truncatum immarginatum sub- deltoideum, mox convexiuseulum angulo inferiore per- vium vix tamen rostratum, mox concavum centro aper- tura ampla pervium! Appendices sepalorum brevissi- mae depressorotundatae. b.. Rhizoma articulatum. Plantae hujus seriei juveniles primum florentes radicem qnidem fibrosam habent, sed a praecedentibus fibris numerosis tenuibus te- nerisque differunt. 10. V. Selkirki Goldie. Radice tenui albida, de- mum rhizomate apice articulato ceterum subaequali utroque stolonibus hypogaeis elongatis passim flori- feris; stipulis ad medium adnatis; foliis membranaceis pl. m. pilosis profunde cordatis vel cordatoovatis acu- minatis vel acutis crenatoserratis: flore dilute violaceo imberbi longiuscule calcarato, stigmate truncato bre- vissime subrostrato: capsula ovali obtusa. — (Goldie in Edinb. phil. journ. 1822. 319. — A. Gray Bot.Japan. 382. — VW. kamtschatica Ging. in Linnaea I. 406. (1826). — V. umbrosa Fries Novit. 271. (1828). — V. imberbis Ledeb. FL alt. I. 257. (1829). — V. Sel- kirkii var. glabra Miq. Prol. 85. In Sibiria, Dahuria, Kamtschatka, Mandshuria: ad Amur inferiorem et usque ad limites Koreae (Wladi- wostok) in sylvis umbrosis, in borealibus frequens, Sachalin, Japonia: Nambu ins. Nippon, Kundsho-san Kiusiu interioris, ad latera montium graminosa syl- vosa. Vidi practerea e Rossia europaea, Suecia, Norve- gia, Canada, Michigan, New-York. Japonice: Miyama sumire 1: e. Viola montis Mi. Calcar variat parum et fere duplo longius quam latum et uterque lusus in America occurrit, longe cal- caratus in Mandshuria, brevius calcaratus in ÆEwropa et Japonia. Vix unquam plane glabra est, semper pili nonnulli manent ad marginem foliorum vel alibi. E supellectili collecta patet, V. Selkirki initio habere ra- dicem fibrosam tenuem elongatam, tum rhizoma albi- dum infra collum paullatim formatum filum emporeti- Tome XXIII. des Sciences de Saint-Pétersbourg. 32? cum crassum, post anthesin stolones hypogaeos hori- zontales teneros filiformes emittens, mox breves mox elongatos. Colliguntur ita specimina vetusta subcae- spitosa e capitibus pluribus, inter se rhizomatis ra- mis conjunctis constantia, vel juvenilia in radicem fibrosam abeuntia vel denique juvenilia e stolone orta, quae ultima, solo madido vel muscoso pro- pria, internodüs infra rosulam interdum valde elonga- tis gaudent et quasi breviter caulescunt. Habeo imo specimen tale e cauliculis duobus stolone horizontali ultra bipollicari conjunctis compositum, quorum alter florens, alter sterilis. Folia plantulae juvenilis etiam paulo diversa: saepe enim sunt cordatoovata acuta sinu basali apertiore. Planta vetustior autem folia ha- bet cordata subito acuminata sinu ad ostinm subclauso originem versus dilatato et serraturas majores. Descriptio Friesii (Novit. 271.) a diagnosi mea discrepat «capsula lanceolata» in pedunculo terrae ad- presso, sed hoc verosimiliter ex capsula dehissa spe- ciminis macri, quale ab ipsa manu autoris datum habeo. In planta ejus vero hb. norm. Scand. fase. V. e Me- delpadia capsula obtusa est, ut video in pl. mandshu- rica, japonica et americana. Ipse Fries serius (Novit. Mant. IT. 118) laudat bonam figuram VW. wmbrosae suae in Rehb. Ic. fl. Germ. fig. 4492. et haec habet capsulam ovalem obtusam! Pedunculi fructiferi V. Selkirki vulgo breves erecti capsula valde nutante, foliis radicalibus quasi occultati, occurrunt tamen et elongati debiles, prostrati, vel firmiores erectiusculi. Flores plantae mandshuricae odori, an ita sint ubique, nondum constat. Var. pekinensem Rgl. PI. Radd. 230. ob calcar pe- tala aequans gracile, florem majorem, radicem napi- formem, folia leviter cordata glabra et stigma margi- natum ad V. japonicam Langsd. duxi. 11. V. blanda W. Radice praecedentis, stipulis Hibe- ris lanceolatis; foliis infimis reniformibus ceteris ro- tundato- vel ovatocordatis hisce acutis vel breve 0b- solete acuminatis; sepalis acutis; flore minuto albo imberbi brevicalcarato; stigmate submarginato breve rostrato; capsula obtusa. — Willd. h. berol. t. 24. — Rgl. 1. ce. L 234. — V. brachyceras Turez. FI. Baic. dah. [. 183. In regione Baicalensi prope Krugloje (Turez.), in Kamtschatka, rara. Practerea in America boreali, unde e multis locis vidi. on Inter nostras hinc V. Selkirki, illinc V. palustri sub- similis; utraque floris majoris colore et foliis, prior Bulletin de l’Académie Impériale calcari longo, secunda radice, stipulis, sepalis, capsula | distinguenda. sine dubio pro speciebus novis proposita sunt, sub- deflorata baicalensis sistit V. brachyceratem Turez., ex ipso autore tantum petalo inferiore ceteris breviore neque, ut in icone V. blandae apud Reichenb. pl. crit. fig. 104., ceteris longiore et calcari brevissimo distinctam, £amtschatica ob stigma erostre a Regelio L c. cum dubio V. Hookeriana vocatur. Sed stigma mox suberostratum, mox distincte rostratum occurrere frequenter observavi, petala in specc. americanis inve- muntur talia qualia et in V. brachycerate describuntur, calcaris longitudo denique valde intra limites certos variabilis. Revera specimina fructifera?) Turezani- nowi, florentia e Kamtschatka omnibus punctis ame- ricanis Simillima. Radix et modus crescendi rhizomatis ut in W. Selkirki, séd stolones saepe longiores et fere fibris radicalibus orbati, passim vaginis obsessi, quae in priore obsoletae. .…. 12. V. palustris L. Cod. 6771. Rhizomate arti- culato filiformi repente ramoso, stipulis Hiberis ovatis: foliis 2 — 4 reniformicordatis sepalisque obtusis; flore pallide violaceo brevicalearato parce barbato vel im- berbi; stigmate truneato brevirostri; capsula acuta. In Sibiria baicalensi (Turez.) et hine occidentem versus per Æuropam borealem. Var. epipsila (Ledeb. sp. pr.). Foliis vulgo 1 — 2 subtus pilosiusculis seriore acutiuseulo, calcari lon- giore (parum breviore quam sepala). Ledeb. FI. Ross. [. 247. — V. repens Turez. Cat. Baic., Trtv. et Mey. FI. Ochot. n. 5 In Sibiria dshuria : 9 9. orientali, Dahuria, Kamtschatka, Man- Schilkam, Amur inferiorem, affluentes Usuri Superioris, portu St. Wladimiri, in silvis mu- scosis paludosis, caricetis, ripa limosa rivulorum syl- vaticorum, nec non rarius ad saxa humida: Sachalin. Praeterea in Europa boreali, Sitka. Stigma, contra Turczaninowium. in utraque iden- ticum, bene observantibus Ruprecht (FI. Ingr. 126.) et Regel (PI. Radd. I. 233.) et occurrunt formae in- termediae (hybridae?), ex tisdem. Planta sibirica ta- ad 2) Hisce jam impressis specc. baicalensia optime florentia in herb. Acad. Petrop. vidi, americanis simillima. Specimina asiatica ab autoribus non | 324 men, quot ejus specimina examinavi, rostrum stigma- tis longius habet quam epipsila europaea. 13. V. vaginata. Trunco subterraneo articulato ra- moso pluricipiti valido nigrescente, collo vaginis brun- neis integris circumvallato: stipulis liberis; foliis pro- funde late cordatis subito acuminatis crenatis, petiolis pedunculisque aequilongis basi sensim distincte in- crassatis; flore magno pallide violaceo striato imberbi brevicalcarato; stigmate marginato; ovario acuto. Yezo, frequens in luco umbroso graminoso Crypto- meriae japonicac prope Hakodate. V. cucullata ET]., huic subaffinis, differt rhizomate fibrisque vaginis et stipulis albidis, petiolis pedun- culisque gracihibus tenuibus, neque crassis basinque versus incrassatis, folio reniformicordato acutiusculo v. obtuso, petalis profunde violaceis copiose barbatis, capsula obtusa. Sepala autem simili modo albomar- ginata (tamen eciliata), calcar aeque crassum et breve, antherae stigmaque eadem. Species robusta, rhizomate a ceteris hujus seriei diversissimo, illi V. hirtae analogo, sed estolonoso, ca- lamum scriptorium crasso, petiolis pedunculisque pur- purascentibus, foliis ultra bipollicaribus subtus ad venas pubescentibus petiolis non multo brevioribus, stipulis ovatolanceolatis indivisis, flore ultra pollicari inodoro in modum VW. pinnatae violaccostriato, sepalis ovatis obtusiusculis appendicibus quadratis apice dentatis, calcari scrotiformi sepalis breviore. Il. Caulis ad rosulam foliorum radicalium ex axillis florigerorum reductus, dein ex axillis corundem saepissime stolones epigaeos fo- liatos prostratos vulgo iterum floriferos, in 15. et 18. radicantes, emittens. 14. V. Keiskei Miq. Prol. 85. Glabra, post anthe- sin stolones foliatos ex axillis emittens; rhizomate brevi obliquo dense fibroso; stipulis ad medium adnatis: foliis reniformibus v. reniformirotundatis obtusissimis crenatoserratis, petiolis‘acqualiter anguste marginatis; flore subimberbi longe calcarato: stigmate marginato rostrato, ovario obtuso. In Japonia (bot. japon. ! in herb, Lugd. bat. specc. 2,), ex alio loco communicavit Miquel sub nom. falso V. sylvestris acaulis, ex urbe Yedo accepit Dr. Savatier V, verecundae admixtam et cl. Franchet sub nom. Y. Keiskei florentem misit, admixta W. hirta (nipponica) fructifera. 325 Ex Miquel flores (ad siceum) fortasse flavi, mihi potius dilutius violacei fuisse videntur. Affinitas speciei minus notae subdubia, forsan cum V. phalacrocarpa, quae pube copiosa, flore barbato, stolonum absentia cet. distincta, vel cum V. diffusa Ging., ob petiolos submarginatos. Auctor speciei habitum non male ob foliorum formam cum V. odorata comparat. Si poni- mus, flores revera flavos esse, tum affinitas proxima videtur cum V. rotundifolia Mx., cujus var. pallentem Bkse. Kamschatka habuit Gingins(D C.Prodr.L. 295), a nemine postea visam. W. rofundifolia americana, qua- lem ante oculos habeo ab A. Gray et Eaton et ejus formam clandestinam ab Hookero et Goldie missam, a nostra differt pubis praesentia, flore minore brevis- sime calcarato, praesertim vero stolonibus aphyllis demum ex rhizomate ortis, qui in nostra foliati sunt et ex axillis foliorum radicalium ipsorum prodeunt. 15. V. diffusa Ging. in DC. Prodr. IL. 298. Pu- bescens v. glabrata pallide virens, ex axillis foliorum radicalium stolones radicantes elongatos apice foliatos saepeque floriferos emittens; stipulis liberis subulatis; foliis crenatis infimis v. omnibus truncatoovatis ro- tundatisve, ceteris saepissime subcordatoovatis cor- datooblongisve; petiolo alato demum lamina longiore; flore pallide coeruleo imberbi brevicalcarato; stig- mate immarginato suberostrato subcapitato; capsula obtusa glabra. — Bth. FL Hongk, 20. — V. tenuis Bth. in Lond. Journ. I. 482.; Kew Journ. III. 260. Hab. In China australi: Hongkong, frequens (Wright!), nec non in Zndia orientali: Nipal, Khasia!, Sikkim. Flos ex Bentham pallidus, ex G. Don Gard. syst. I. 327., verosimiliter ex sicco, luteus, ex Wrightio in schedis pallide coeruleus. Stigma a Benthamio clavatum subeapitatum dicitur, ipse video immargina- tum sat convexum rostro brevissimo non exserto; simili modoGingins deseribit subcapitatum rostro brevissimo obtuso nudo et in $ stigmate immarginato Convexo enumerat. — An huc ducenda V. Parkeri Champ., de qua confer ad calcem, inter species minus notas ? 16. V. yezoënsis, Acaulis pubescentihirta, rhizomate obliquo articulato brevi; stipulis ad medium adnatis; foliis imis reniformicordatis ceteris profunde auricu- lato-cordato-ovatis apice attenuato obtusiuseulis cre- natis; sepalis obtusis longe dentato - appendiculatis; flore lacteo inodoro imberbi longe calcarato; stigmate des Sciences de Saint-Pétersbourg. ? 326 uncinato .immarginato Cconvexo brevissime rostrato; ovario obtuso glabro. Fruticetis subpaludosis prope Hakodate ins: Yezo frequens. A V hirta L. stipulis ad medium adnatis, ovario glabro, foliorum et stigmatis forma, floris colore, a F. Keiskei Miq., quacum stipulis, flore longe calcarato, crenis foliorum majuseulis congruit, stigmate convexo immarginato, foliorum forma, pube copiosa differt, nec aliis speciebus quod sciam affinis. Stipulae parte libera ovatolanceolatae acuminatae, parce et breve ciliatodentatae. Pedunculi infra medium bracteati. Sepala ovalia obtusa. Petala ad ungues stri- ata, infimum striis violaceis, cetera lilacinis, calear crassum, a latere compressum, apice lilacino suffusum, sepalis longius. Specimina florentia stolonum ne vesti- gium quidem ostendunt, sed rhizomata nonnulla viden- tur e stolonibus vetustis plantae matris orta. 17. V. hirta L. cod. 6770. «. typica: Florens nana, fructifera ampliata, stolonibus foliatis brevibus ex axillis foliorum radicalium raris, rhizomate pluricipiti, capitibus articulatostipitatis approximatis; stipulis basi adnatis crasse ciliatis: foliis infimis subreniformibus ceteris cordatis omnibus acutis erenulatis; sepalis ob- tusis breve integreque appendiculatis; flore inodoro pallide violaceo parce barbato brevicalcarato; stigmate uncinato immarginato convexo valide rostrato; capsula in peduneulo prostrato erecta subglobosa hirta valvis dehissis planis. — Turez. 1. €. 183.— Ledeb. L. c. I. 248. Hab. In regione baicalensi ad. fl. Angaram, Jenise- ensi ad Krasnojarsk, et occidentem versus per Æuro- pam totan. Var. collina Rgl. PL Radd. I. 236: stipulis an- gustioribus densius et longius ciliatis; flore odorato. — Y. collina Bess. Enum. n. 243. — Ledeb. L. c. I. 249.— Maxim. L. c. 49. Hab. Yezo, declivitatibus graminosis montis Juxta Hakodate; ins. Sachalin; Mandshuria: ad Usuri medium, in populetis et ad margines sylvarum fron- dosarum, in montibus Bureicis, ad Amur inferiorem et superiorem; praeterea in Æossia europaea et Caucaso. Specimina yezoënsia et mandshurica, magno spatiG a proxima statione sejuncta, omnibus notis quidem cum typica V. collina Bess. conveniunt, florentia tamen mi- nutiora sunt, incipiente anthesi pollicaria. Tali statu 21* 327 Bulletin de l’Académie Impériale 328 facile confundi possunt hine cum V. sylvestri grypoce- rate acauli, illinc cum W. japonica vernali, sed ab utra- que viva flore odoro, sicca rhizomate vetusto pleio- cephalo nudo articulato, ut sileam de calcari breviore, stigmate convexo longe rostrato, ovario hirto cet. facili negotio discernenda. Var. japonica: semper stolonifera, foliis infimis re- niformibus cum apiculo, sequentibus profunde reni- formicordatis acutiusculis. An huc V. hirta Thbg FT. Jap. 326? (in herb. ejus non adest). In Nippon media fructiferam collegit Tschonoski; e Kamitschatka spec. 1 f. frf. adest in hb. Fisch. Peduneuli fructiferi omnino praecedentium varieta- tum, ex axillis axeos principalis et inferioribus stolo- num, ut vidi v. in W. Airla var. stolonifera Tausch hb. bohem. Stigma et sepala etiam eadem. Folia fere identica vidi in specimine kungarico a Lang olim cum Ledebourio communicato, de quo men- tio facta in FIL Ross. [. 249. sub VW. hirsuta Schult. Prima fronte diversissimum videtur specimen kam- tschaticum. Hoc sistit stolonem vetustum sine radice v. fibris radicalibus ullis, abruptum igitur a planta matre, rosula ampla foliorum pedunculos florales emittente terminatum, ex nodis partis nudae stolones laterales foliatos basique floriferos gerentem. Habet igitur ha- bitum proprium, sed stigma, calcar, petala parcius barbata, floris magnitudo, capsulae pubes, structura et situs omnino hujus speciel. An tota war. japonica forma climatica, pluvioso harum regionum orta, an species sui ulteriori investigationi in vivo commendatur. Adest praeterea forma magis adhuc memorabilis, quam nomine provisorio V. nipponicae salutabo : folia infima orbiculata vel orbiculatoreniformia apice acu- tiuscula, basi sinu profundo angusto, sequentia rite gr. vere valde juris, reniformia rotundato-obtusissima, e sinu angusto et profundo brevissime in petiolum subprotracta, maxima 8 cent. lata, 7 cent. q longa, petiolo 25 cent. longo, erecto! Petioli reversopilosi, lamina utrinque ad | venas pilosa margineque late obiter crenato ciliata. Stipulae lanceolatosubulatae ciliatae, fere hberae, sub- hyalinae caducae. Stolonum vestigia adsunt distincta. Pedunculi supra medium bracteati, debiles breves. Capsula parva globosa hirta oligosperma. — Differt igi- tur à ceteris varr, praesertim in 60, quod folia seriora non acutiora, sed obtusiora, sed flores et stigma ignota. CXC. Hab. Nippon: Yokohama(Siebold), Kanagawa silvis umbrosis (ipse), Yedo (Savatier! sub nom. V. Keiskei et cum illa florente mixtam accepi a cl. Franchet). 18. V. serpens Wall. in Roxb. FI. Ind. ed. Wall. II. 449. Pubescens, rhizomate articulato pleiocephalo capitibus stipitatis, stolonibus dum adsunt filifor- mibus foliatis elongatis radicantibus; stipulis basi adnatis subulatis fimbriatis; foliis profunde cordatis cordatoovatisve obtusis acutis v. saepius acuminatis crenatis; sepalis acutis breve appendiculatis; flore parvo albidocoerulescente barbato brevicalcarato ino- doro; stigmate convexo brevissime rostrato; capsula in peduneulo debili suberecta globosa pubescente valvis dehissis planis. — Hook. FT. of Brit. Ind. 1. 184. — V. aspera Ging. in DC. Prodr. 1, 295. — V. Wightiana Wt. Icon. 943. — V. confusa Champ., Bth. F1. Hope 184. — Omnia synn. ex Hooker. Hab. in China australi: Hongkong (ex Bentham). Plantam chinensem estolonosam, ex ipso Bentham non satis notam et in posterum ne V. serpenti subjungendam, à me non visam, duce Hookero sub specie Wallichiana enumero. Hujus specimina ên- dica numerosa quidem ante oculos habeo, sed pauca authentica, ita ut non dijudicatum relinquere coactus distanti Wall, capsula cartilaginea elastice dehiscente instructae, tam arcte affinis, an formae variae ad priorem amandatae con- specificae, an stigma tam variabile sit, ut suspicatus est ill. auctor florae Indicae. Descriptio W. odoratae Lour. sim, an V. serpens re vera V. FI Cochinch. 627. (exel. syn.) in W. serpentem Wall. satis quadrat ob «stolones filiformes repentes perennantes», nec con- sed flos dicitur coeruleopurpureus odore gratissimus. — Ex Loureiro hab. Cantone in hortis et prope vias, inde in Cochinchinam delata, ubi raro culta. Adnot. Capsula V. hirtae et V. odoratae L., V. ser- pentis Wall. et fortasse aliarum, a ceteris Violis valde differt, non tantum situ erecto in pedunculo debili prostrato et hirsutie, sed etiam structura. Non est enim Coriacea, le. et dura, maturitate in valvas carinatas elastice areteque complicatas secedens, ut in reliquis, sed carnosa, tam mollis, ut à seminibus ma- turescentibus parietes capsulae gibbis tot quot seminà instruantur, et maturitate valvae dehissae planae, ecarinatae et non elasticae semina vi emittere nequeunt. tradicunt «folia cordata subacuta, flores parvi. 329 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 330 II. Flcres vernales primi ex axillis foliorum radicalium, seriores ex axillis caulinis, in 19. et 20. caulis primarii nune elongati, in 21. caulium secundariorum ex axillis rosulae axeosabbreviatae primariae ortorum. Stipulae liberae. 19. V. Langsdorffi Fisch. in DC. Prodr. I. 296. Rhizomate articulato obliquo valido post incipien- tem anthesin caules foliatos et florentes vulgo ascen- dentes basi vaginis fuscis aphyllis obvallatos emittente; stipulis amplis subintegris: foliis cordatoreniformibus cordatorotundisve infimis obtusis superioribus pl. m. acutiusculis; floribus caulinis ex axillis superioribus minime subcoetaneis longe pedunculatis folia superan- tibus"violaceis barbatis breve calcaratis; stigmate un- cinato basi maïginato longe rostrato; ovario acuto. — V. mirabilis 8. Langsdorffi Rgl 1. €. [. 240. tab. VI. fig. 24— 29, (acaulis). Hab. In Sibiria orientali: tres mansiones ante Ja- kutzk, Kamitschatka, ins. St. Pauli, Kurilis, Sachalino, nec non Unalaschka. — Specimina livonica, ex Regel a Basinero s. n. V. mérabilis lecta (lusus e. livonica L. €. 245.) minime livonica, sed confusione quadam ad schedulam Basineri V. mirabilis affixa, cujus specimen fructiferum schedula Basineriana V. arenariae af- fictum est. Evolutione florum caulinorum à V. mirabili L. certe differt et stigma diversum. Caulis V. mérabilis folia floresque vulgo apice tantum profert, semper autem internodia caulina ante anthesin tota elongantur, tum flores fere eodem tempore aperiuntur et pedicelli eorum folio saepissime multo breviores sunt. W. Langsdorffi vero incipientem caulem ex infima axilla flore longe peduneulato ornat, in cujus quasi axilla nidulat axeos continuatio brevissima, tum flore infimo deflorato in- ternodium sequens evolvitur cum flore multo igitur seriore, et sic postea. Omnes videntur petaliferi et fertiles, tales tamen vidi occurrere et In sequente. Stigma, apud Regel fig. 26. bene, nimis parvum tamen, delineatum, caput anserinum sat exacte re- fert,ubi margo incrassatus caput, stylus collum an- seris simulat, rostrum vero elongatum obtusum ean- dem erga caput proportionem in utroque tenet. Dum acaulis à sequente aegre dignoscitur appen- dicibus sepalorun brevioribus, calcare breviore, nec- tariis antherarum inferiorum hamatodeltoideis, nec hamatosubulatis, praesertim vero stigmatis forma semper constante. 20. V. mirabilis L. Cod. 6777. Rhizomate prae- cedentis eodem tempore caules foliatos floriferos basi vaginis aphyllis fuscis obvallatos strictos emittente ; stipulis foliisque praecedentis; floribus caulinis folio subbrevioribus omnibus subcoëtaneis, saepissime cum folis in apice caulis nudi dispositis, violaceis modice calcaratis barbatis; stigmate uncinato convexo im- marginato brevirostri; ovario capsulaque acuminatis. — V.brachysepala Maxim. F1. Amur, 50, Hab. In tota Mandshuria frequens, in borealibus tamen vulgatior, Dahuria, regione Baicalensi ad Anga- ram, Jeniseensi ad Krasnojarsk; in Japonia: Nippon media (Tschonoski! fr. immat.). Occidentem versus per Sibiriam et Rossiam abit in Æuropam, exclusa tamen australi. . Florem pl mandshuricae inodorum esse semel adno- tavi, an semper ita, nescio. V. brachysepala, a me olim proposita, sepalis brevioribus saepe obtusis, semper inter typicam rara crescit ad f. Amur, ubi denuo a. 1859 collegi, sed vix aliud quam forma V. mirabilis. 21. V. sylvestris Kit. in Schult. Ostr. FL I. 428. o. typica: Vernalis acaulis, tum e foliorum radica- lium (rarissime deficientium) axillis caules adscenden- tes floriferos saepissime à basi foliatos emittens, sti- pulis fimbriato - laciniatis petiolo multo brevioribus submembranaceis; foliis infimis v. omnibus reniformi- cordatis ceteris cordatis acutiusculis v. breve acumi- patis; floribus violaceis barbatis breve calcaratis, cap- sula acuta. — Ledeb. FT Ross, [. 253. — Maxim. FI. Amur. 51. — VW. canina $. Z. FI Jap. fam. nat. I. 169. n. 259. — V. canina 8. sylvestris Lam., Re- gel PI Radd. J. 245. Hab. per Æuropam, unde transit in totam Sibiriam, Mandshuriam, Kamtschatkam, Sachalinum, nec non ins. Yezo. 8. rupestris Rgl. 1. c. 250. Minor, tota et ad cap- sulam pubescens, caulibus abbreviatis, foliis omnibus late subreniformi-cordatis. — VW. rupestris Schmidt. Boh. n. 249. — YV. arenaria DC., Ledeb. I. ce. 254. Hab. in flora Baicalensi-Dahurica et Kamtschatka, et occidentem versus ut praecedens. Mediante var. sabulosa Rchb., quae simillima, sed glabra, in praecedentem abiens. Var. sabulosa in di- tione nostra observata est regione Baicalensi, Udensi et Kamtschatka. y. grypoceras À. Gray in Perry Exped. 308. Bulletin de l’Académie Empériale 33? (sp. pr.). Acaulis ex axillis foliorum radicalium nume- rosorum copiose florens, pedunculis saepe folia plus duplo superantibus, tum caules emittens floriferos ut in &. cui fructifera simillima fit; stipulis dense pro- fundeque laciniatis; flore imberbi v. parcissime bar- bato saepius longe calcarato, stigmate breviore, cetera ut in &. — V. canina =. japonica Ging.? 1 c. 298, ex À. Gray ibid.— W. canina var. imberbis À. Gray Bot. Jap. 3892. — VW. Reichenbachiana, V. Riviniana et VW. grypoceras Franch. Savat. Enum. I. 42. 43. Hab. per totam Japoniam vulgaris, in pratis, de- clivitatibus graminosis collium, rupibus muscosis, sil- vis lucidis et umbrosis. Japonice: Yabu sumire. Varias secundum sfationes induit formas, supra enu- meratas varietates fere omnes simulans. Saepissime tota planta glabra, sed oceurrit et pubescens. Ludit flore pallidius violaceo (vulgatissimo) et pulchre in- tensius azureoviolaceo tunc subfragrante, vel raris- sime albo, calcari fere petala aequante adunco v. recto vel fere tam brevi ut in typica sylvestri, concolore v. flavido, petalis saepissime imberbibus v. rarius parce barbatis, minoribus vel fere duplo majoribus (forma macrantha À. Gray, circa Hakodate in fruticetis um- brosis a Wright et me ipso collecta). Flores hiema- les circa Nagasaki observavi interdum 3-calcaratos vel 4-petalos ecalcaratos. Mediante planta sachalinensi V sylvestris, calcari solito jam longiore instructa, jungitur cum &., à qua tamen vernalis plerumque valde distincta videtur flo- ribus radicalibus numerosis et longepedunculatis, quo signo sane persimilis fit V. Mühlenbergianae Torr., nuper à botauicis Americanis omni cum jure V. syl- vestri (caninae) subjunctae. Flores radicales enim plan- tae quam americanac tam japonicae neque semper longe peduneulati neque semper evoluti oceurrunt, fo- lia radicalia sic dicta ipsa saepius nil sunt nisi ramea- lia infima internodiis nondum elongatis et omnia ce- tera signa sat vaga et variantia inveniuntur. Melius igitur videtur, V. sylvestrem, grypoceratem et Mühlen- bergianam pro varietatibus unius speciei amphigaeac habere transitubus innumeris inter se conjunctis, at- tamen secus regiones geographicas sat bene distin- guendis. Adnot. À multis scriptoribus V. syvestris Kit. a V. canina Li. non distincta habetur, ita v. gr. ab opti- mis observatoribus Mertensio et Kochio, ab exper- tissimo Trautvettero aliisque, Reichenbach imo ipse utramque tute solà capsulà distingui contendit. Ab aliis autem diversae creduntur in eo, praeeuntibus ni fallor AI. Braun et Doell, quod PV. sylvestris ra- mos floriferos ex axillis foliorum radicalium rosulam in apice caulis primarii brevissimi formantium, Ÿ. ca- nina autem ex caule primario elongato aphyllo emittit; conf. Dôüll, FI Bad. 1260, 1264. KEquidem fateor, hanc differentiam vel plane fallacem esse vel me sal- tem plantas in herbario examinantem effugere. Obser- vavi enim in innumeris speciminibus europaeis, quae sub oculis sunt, transitus innumeros inter caudices fo- liatos brevissimos et aphyllos elongatos. Ceiakowski |(Prodr. FL Boehm. 480) etiam quidem Doellii di- stinctionem secutus est, V. sylvestri axin primariam indefinitam brevissimam foliosam tribuens, V. caninac axin definitam, sed jam addit, rhizoma VW. caninae ini- tio etiam esse abbreviatum, dein elongari et tunc fo- lis carere. Recte igitur, me judice, a nonnullis ex habitu utraque species conjungitur. Nemo vero, quod sciam, capsulae diversitatem hucusque negavit. Quum insuper in ditione nostra utraque species optime sem- per distineta neque unquam transitus offerre videatur, equidem utramque seorsim enumeravi. IV. Caules erecti ex rhizomate aphyllo orti; stipulae liberae 22. V. canina L. Cod. 6773 p. p. 0. typica Trautv. PI Schrenck. n. 179: Caulibus erectis basi demum nudis; stipulis laciniatociliatis pe- tiolo multo brevioribus: foliis inferioribus v. omnibus cordatis ceteris cordatoovatis acutiusculis; foribus omni- bus caulinis pallide violaceis barbatis breve calearatis: stigmate uncinato convexo immarginato; capsula ob- longa obtusa. — Rgl. 1. c. 244. excel. 6. et à. Hab. in Mandshuria boreali passim, in ora Baica- lensi-Dahurica et occidentem versus. 8. acuminata Rgl. PI Radd. 247: Ut praecedens, sed vulgo major, stipulis foliaceis pectinatolacinia- tis v. pinnatifidis petiolo saepe aequilongis; foliis cordatis subito aeuminatis; flore minore albo v. pal- lide lilacino. — VW. acuminala Ledeb. FT. Ross. I. 252.— Maxim. F1. Amur. 50. — F. Schmidt. F1 Sachal. n. 69.— Hce in Journ. of bot. XIIL. 131. — V. micrantha Turez. in Bull. Mose. V. 183. et X. 333 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 334 X 7. p. 148. — V. laciniosa À. Gray in Perry Ex- pedit. 308 (ex descript.). Hab. in Japonia: Nippon media in pratis (Tscho- noski! f.), sylvis et declivitatibus graminosis umbro- sis inter frutices frequens circa Hakodate ins. Yezo; Sachalino; tota Mandshuria frequens; China boreali ad radices rupium montium In-shan (Kirilow), in m. Po-hua-shan (Dr. Bretschneider); in Dahuria ad fi. Argun et Nertscha. Planta continentalis petala alba inferiora basi vio- laccostriata, planta japonica similia vel rarius etiam lilacina habet. Ab hace specie non differre videtur W. striata Aït,, flore majore «lacteo» vel «flavescente», stipulis mino- ribus minusque profunde divisis potissimum digno- scenda. Omnium nostratium robustior et altior (ad bipeda- lis), tantum V. Raddeanae aeque alta. 23. V. montana L. Cod. 6774. Caulibus numerosis erectis basi demum nudis, stipulis angustis foliaceis in - cisodentatis petiolo subaequilongis; foliis ovatolanceo- latis in petiôlum alatum cuneatoattenuatis; oribus om- nibus caulinis pallide coeruleis barbatis breve calcaratis; stigmate convexo immarginato breviter uncinato; cap- sula oblonga acuta. — Rgl. PI Radd. [. 251. — VW. persicifolia Roth, Turez. FI Baic. Dah. I 187. — V. elatior Fr. (pl. Turez.), V. pratensis M. et K., . stagnina Kit. Ledeb. FL Ross. I. 251. 252. Hab. in flora Baicalensi cirea Balagansk (ad f. An- garam infra Irkutzk) et hinc occidentem versus. A Doell(F1. Bad. I. c.), ob formas intermedias rarius observatas varietas V. caninae habetur, a ceteris auto- ribus omnibus legitima species creditur. 24. V. Raddeana Rgl. PI. Radd. TI. 256. tab. VIT. fig. 1—5. Glabra multicaulis gracilis erecta v. flac- cida, stipulis foliaceis angustis subintegris petiolum vulgo superantibus; foliis anguste oblongis basi ha- stato-cordatis petiolum apice alatum superantibus; peduneulis demum folio longioribus; flore parvo cae- rulescente imberbi breve calcarato; sepalis acumina- tis; stigmate convexo submarginato brevissime ro- strato; capsula oblonga acuta. Hab. in Mandshuriae montibus Bureicis ad Amur meridionalem sitis (Radde!): pratis paludosis cirea Pompejewka frequens (ipse). Praecedenti affinis, ut recte monuit cl. Regel, qui tamen stigmatis minuti structuram non recte exposuit et delineavit, neque sectionem indicavit. Ex mea senten- tia a sectione Nomimii Ging. non nimis repugnat, prae- ter minutiem stigmatis et pilos breves interdum circeum- circa orificium irregulariter dispositos et non semper evolutos, sed ad structuram bene perspiciendam stigma aqua fervida necesse est imbuere, tune autem aquà | superficiem tegente evaporatà examinare. V. Caulis erectus e bulbo ortus, demum ex basi supra bulbum sto- lones aphyllos emittens. 25. V. bulbosa. Nana, bulbo carnoso squamato bul- biparo stolonibusque nudis (demum in bulbum incras- satis?) perennans, pilosa, breve caulescens erecta; fo- lis approximatis alatopetiolatis cordatis ovatisve ob- tusiusculis crenatis; stipulis triente adnatis ovatolan- ceolatis ciliatis: peduneulis axillaribus folia parum superantibus; flore minuto albo imberbi brevissime calcarato; sepalis ovatis acutis; stigmate marginato brevirostri; ovario trigono glabro. Hab. in Chinae prov. Kansu (Przewalski). Unica Violarum quod sciam bulbo instructa. Plantula tota cum radice vix tripollicaris, parte epigaea pollicari v. bipollicari. Bulbus magnitudine pisi, e squamis Crassis carnosis 7—8 imbricatis, Cum bulbillis singulis inclusis ex axillis nonnullis. Cauli- culi pars inferior vaginis paucis obsessa, e quarum axillis sub anthesi prodire incipiunt stolones filiformes horizontales nudi, nonnulli tripollicares. Petioli la- minà 10:10 ad 6:15 mill. magna paullo longiores. Flos diametro 7 mill. Sect. 2. Dischidium Ging Stigma accuratius examinatum vix rite bilobum. Est quasi stigma truncatum (v. gr. V. Selkirki) a latere ita compressum, ut sulco ver- ticali peraratum et quasi bilobum appareat, neque deest interdum inferne angulus parvus vix protrusus, vestigium sane rostri quale occurrit ex, gr. et in V. Sieboldi. Tota sectio fortasse melius in No- mimium mergenda. 26. V. biflora L. Cod. 6778. Rhizomate arti- culato dense fibroso; caulibus debilibus basi stipulis aphyllis foliisque radicalibus longe petiolatis fultis; stipulis basi adnatis obtuse ovatis: foliis omnibus reni- formibus crenalatis; peduneulis axillaribus folia supe- rantibus; floribus omnibus caulinis parvis luteis im- berbibus breve calcaratis; stigmate bilobo; capsula ovali cum apiculo. — Ledeb. FI. Ross. I 254. — Rgl. 1 c. 253.—.F. Schmidt FI. Amg. bur. n. 64, 335 FI. Sachal. n. 71. —- Hce. in Journ. of bot. XIII. 131. — V. Wallichiana Ging. in DC. Prodr, I. 300. Hab. in Kamtschatka, Sachalino, Japonia: prov. Nambu alpibus(Tschonoski), Sibiria orientali, Man- dshuriae alpibus borealibus, Dahuria, Altai, Songaria, Mongolia: montibus Alaschan (Przewalski); China boreali: montibus Po-hua-shan(Kirilow, Bretschnei- der) et Siao-wu-tai-shan (Hancock), prov. Kansu (Przewalski), nec non in Himalaya à Nipal ad Tibet occidentalem, in America boreali frigidiore et Europa arctica et alpina. Folia superiora vulgo ut radicalia obtusa, sed ra- rius et apud nos occurrunt acuta. Semper obtuse acu- minata inveniuntur in planta songarica et tianschanica, quae tota vulgo robustior fere pedalis fit et var. 8. acutifoliam Kar. Kir. sistit (Enum. n. 137). 27. V. verecunda À. Gray Bot. Jap. 392. Rhi- zomate brevi articulato dense fibroso, caulibus debili - bus basi foliis radicalibus longe petiolatis fultis; sti- pulis basi adnatis lanceolatis ovatisve acutis parce dentatis; foliis omnibus reniformibus crenulatis infi- mis obtusis ceteris acutiusculis; floribus parvis omni- bus caulinis folia superantibus albis v. albidolilacinis imberbibus v. parce barbatis brevissime calcaratis; stigmate bilobo; capsula oblonga acuta. — Miq. Prol. 86.— V. japonica Miq. Cat. 9. nec Langsd. — Fr. Sav. Enum. I. 42. — V. palustris Thbg.! FI. Ja- pon. 326. Hab. frequens per totam Japoniam, v. gr. circa Hakodate pratis fruticetisque ubique; Yokohama simi- libus locis; Yokoska in silvaticis (Savatier n. 107.) Hakone (Siebold!); Nagasaki (Thunberg!) in pratis silvarum secus rivulos alibique; ad pedem vulcani Wunzen. In Chinae ins. Formosa (OIdham n. 20.). Japonice: tsubä sumire. 8. semilunaris: foliis ambitu ovalibus sinu angusto usque ad centrum attingente semilunato-sagittatis. Cetera pl. typicae. In Mippon media legit Tschonoski 1864. y. excisa (Hance in Seem. Jouru. bot. 1868. 297. sp. pr.): caulibus ad nodos radicantibus saepe elon- gatis, petalis dilute violaceis. Cetera ut in $. Hab. in China australi: prov. Canton variis locis! Stigma in V. excisa sectionis Nomimii ex Hanceo, mihi potius bilobum Dischidii videtur. Solis caulibus radicantibus, a me inter numerosissima specimina Bulletin de l'Académie Impériale 336 plantae japonicae nunquam observatis, a V. verecunda differre videtur, quacum mediante var. $. conjungitur. Planta habitu sat variabilis, mox gracilis erecta ultra pedalis, mox palmaris cauliculis abbreviatis subdecumbentibus, foliis rite reniformibus v. magis rotundatis v. anguste semilunatis, petalis saepissime albis ad basin violaceostriatis, rarius et in Japonia dilute lilacinis. Semper tamen sibi constans, neque ulli practer V. bilobam affinis. L Chamaemelanium Gin g. 28. V. uniflora L. Cod. 6779. Rhizomate arti- culato obliquo robusto fibris radicalibus crassis obsito ; caule stricto erecto basi ipsa stipulis aphyllis rarius folio radicali longe petiolato late cordato acuminato fulto; foliis caulinis ad apicem caulis confertis brevis- sime petiolatis ovatis cordatisve acuminatis omnibus saepius profunde crenatoserratis; stipulis basi adnatis herbaceis minutis reflexis; pedunculis ex foliorum cau- linorum axillis folio brevioribus; floribus 1—3 luteis brevissime calcaratis papillosobarbatis; stigmate capi- tato cum fasciculis pilorum ad latera; capsula oblonga acuta. — Rgl. PI. Radd. I. 254. — V. canadensis var. sitchensis Miq.! Prol. 86., nec L. nec Bong. a. Capsula minute pubescente. Hab. in Mandshuria austroorientali: silvis frondo- sis ad Usuri. superiorem, circa sinus Sti Wladimiri, Olgae et Possjet, nec non circa aestuarium Wladiwo- stok, sat frequens. Ad ripam Baicalis borealem. b. Capsula glabra. Hab. in Japoniae ins. Kiusiu, jugo centrali Kun- dsho-san, locis rupestribus graminosis. In Mandshuria austroorientali ad fl. Suifun (Goldenstädt) et in Si- biria «a Tomo fl. ad Lenam» (Gmelin, alii) frequens. Planta sibirica a nostrate foliis apice saepe trunca- tis et grandidentatis differt. 29. V. glabella Nutt. in T. et Gr. FI. N. Am. I. 142. Rhizomate articulato obliquo valido crasse fibroso, eaule basi et infra medium stipulis aphyllis instrueto debili flexuoso, foliis radicalibus longe pe- tiolatis reniformicordatis acutis, caulinis summis 3—4 confertis brevissime, ceteris 1—2 remotiusculis laminà cordatà subito acuminatà brevius petiolatis, omnibus crenatoserratis; stipulis parvis membranaceis ovatis v. lanceolatis acutiusculis erectis: pedunculis ex axillis foliorum caulinorum omnium laminam fere aequanti- Sect. 3. 337 bus; floribus 2—5 flavis papillosobarbatis brevissime calcaratis; stigmate capitato ad latera fasciculatopi- loso; capsula oblonga acuta glabra. — Brew. et Wats. in Bot. of Calif. I. 57. (exel. syn. nonn.) — V. canu- densis B. sitchensis Ledeb. FL. Ross. I. 254. — VW. canadensis Hook. F1. bor. Am. I. quoad pl. occiden- talem..— Bongd. De veget. ins. Sitcha n. 14. — V. biflora 8. sitchensis Rgl. PI. Radd. I. 253. Hab. in Japonia boreali: circaHakodate(Albrecht), prov. Nambu (Tschonoski), in America boreali occi- dentali: Sitcha!, Oregon!, California! — Patria Kam- tschatka à Regel L. c. adducitur ex falsa interpreta- tione sigli K. K. speciminis songarici V. biflorac acuti- foliae Karel. Kiril. coll. n. 1265., à nostra planta stigmate Dischidii abhorrentis. A Brewer et Watson I. c. patria extenditur per totam latitudinem Americae borealis, quia huc ducunt V. scabriusculam Schwein. (V. pub. var. scabriusculam Torr. et Gr.). Haec tamen, ex pluribus specc. partim authenticis Schweinitzianis, quae ante oculos sunt, capsula subglobosa obtusissima gaudet, stipulasque amplas pallide membranaceas habet. Quibus notis con- venit cum V. eriocarpa Schwein. (V. pub. var. eriocarpa T. Gr.) pube densissima capsulae solum distincta. Utramque si nomine V. eriocarpae jungamus, speciem, ni fallor, legitimam habemus, a V. canadensi L. flore luteo stipulisque latis, a V. glabella, uniflora et pube- scente capsula globosa obtusissima distinctam. V. glabella Nutt. valde affinis est V. uniflorae, à qua signis diagnosticis levioris momenti dignoscitur, sed habitus diversus: folia subito acuminata, mani- festius cordata, numerosiora, inter se remotiora, lon- gius petiolata, pedunculi numerosiores longiores, cau- lis plantae americanae debilis foliaque radicalia nu- merosiora. Planta japonica tamen caule stricto, foliis radicalibus parcioribus V. uniflorae magis appropin- quat. Anne melius utraque species jungenda et se- quens addenda ? 30. V. pubescens Ait.; Torr. et Gray I. c. 142.— Rhizomate praecedentium; caule firmo basi et medio stipulis aphyllis, a medio apicem usque foliis instructo; foliis radicalibus longe petiolatis cordatis subito acu- minatis, caulinis lamina brevius v. infimis longius pe- tiolatis consimilibus v. summis vix cordatis, omnibus crenatis; stipulis amplis membranaceis ovatis acu- tiusculis erectis; peduneulis ex omnibus foliorum cau- Tome XXII. des Sciences de Saint- Pétersbourg. 338 linorum axillis folia saepe aequantibus v. imo supe- rantibus; floribus 1—4 luteis papillosobarbatis bre- vissime calcaratis; stigmate capitato ad latera fasci- culatopiloso; capsula oblonga acuta. — VW. uniflora $. pubescens Rgl. PI. Radd. IL. 255. Hab. in America boreali orientali a Canada! ad Louisianam! et Missouri! Adest ex hb. Fisch. sum- mitas florens caulis unici «ex Sibiria orientali». Caule magis foliato foliorumque forma ad V. gla- bellam magis accedit quam ad V, unifloram, ab utra- que fortasse specie haud sejungenda. Omnes, medi- ante V. eriocarpa Schwein., accedunt etiam W. cana- densi L., quae habitu simillimo, sed stipulis subulatis et flore albo v. coerulescente gaudet, utraque nunc nominata autem capsula brevi obtusa à tribus hic de- scriptis magis recedere videtur. Sect 4 Melanium DC. 31. V. grandiflora L. Cod. 6781. Caespitosa gla- bra, cauliculis numerosis basi nuda repentibus parte foliosa abbreviata erectiusculis; foliis approximatis ovalibus obtusis ellipticisve acutis crenatis laminà lon- gius petiolatis; stipulis amplis foliaceis oblongis inci- sodentatis; pedunculis axillaribus folia longe superan- tibus strictis erectis; flore maximo flavo v. violaceo fundo luteo barbato brevissime calcarato; stigmate amplo capitato pubescente foramine magno subcen- trali basi labello fulto; capsula... Rgl. PI Radd. [. 218 in nota. — V. altaica Pall. in Schult. Syst. V. 383. — Ledeb. FL Ross. I. 255. — VW. oreades M. Bieb. F1. Taur. Cauc. LIL. 167. Hab. in flora Baicalensi: alpe Chamar et non pro- cul a Bargusin, semper flore cyaneo, ex Turczani- now, nec non in Altai, Songaria, Caucaso et Tauria. V. lutea Sm. (V. sudetica W.) cum V. amoena Sy me stipulis pinnatifidis et calcari longiore a V. grandiflora L. differre dicitur, dubitante jam Biebersteinio et Ledebourio. Planta faurica revera jam offert stipu- las fissas et simul integras et calcar plantae europaeae variabile esse satis constat. Quum autem frustra de radicis natura et capsulae forma V. grandiflorae L. apud auctores aliquid quaesiverim, omnia dubia de identitate plantae sibiricae et europaeae nunc solvere nequeo. Radix V, luteae Sm. a Mertens et Koch in Roehl. Deutsch]. F1. II. 272. napiformis describitur cauliculos numerosos proferens, sed omnia utriusque 22 339 Bulletin de l’Académie Impériale 340 ————————@ speciei exempla, quae vidi, radice carebant, cauliculi vero ipsi in utraque sane simillimi sunt. Species exclusa. V. tricolor L. y. saxatilis Schmidt ex Rgl. PI. Radd. 255. a Radde ad ripas boreales lacus Baical d. 6. Maji collecta, e speciebus Asiae orientalis ex- cludenda, nam cl. Radde Baicalem adiit post medium Junium, plantam illam vero, ut patet ex schedula collec- toris, ad fl. Wiatka Rossiae europaeae orientalis invenit. Species incertae. 1. V. Parkeri Champ. in Kew Journ. of bot. II. 261., indescripta, quae cum V. confusa Champ. (supra duce Hookero ad V. serpentem ducta) similibus locis in flora hongkongensi occurrere dicitur, de qua vero silet Bentham in opere de hac flora tractante, for- tasse nil est nisi V. diffusa in collibus frequens dicta, a Champion sub silentio praetermissa. 2, V. rotundifolia Michx. 8. pallens Banks in DC. Prodr. I. 295. e Kamtschatka. À collectoribus rossi- cis nunquam collecta, mihi prorsus ignota. 3. V. Thibaudieri Franch. Savat,. IL. c. p. 43. (no- men). Hab. in Japonia (Tanaka! in hb. Franchet). Specimen unicum collectum a me visum plantam caulescentem erectam semipedalem sistit, foliis ellip- ticis utrinque acuminatis subintegris, floribus axilla- ribus parvulis, a me ob plantae raritatem non exactius examinatis. Videtur V. montanae L. affinis, sed sectio mihi ignota. Descriptio autorum nondum publica facta est. 4. V. odorata L., «in montibus Nagasaki, Kamino- seki alibique vulgaris circa margines viarum, floret Januario — April» et 5. V. tricolor Li. «cerescit juxta margines viarum vulgaris, foret Februario — Aprili» utraque ex Thbg. F1. Jap. 326., cum synonymo ad utramque laudato Kaempferi Am.875. Kinsai vulgo Sémire, Jacea tri- color, sive flos Trinitatis, — nunquam erunt enuclean- dae, nam desunt in herbario Thunbergiano Upsaliae servato. — V. odorata L. a Gingins in DC. Prodr. 1 c. 296. etiam in China indicatur, an tantum fide Loureirii, tamen innominati? Sed hujus planta for- tasse V. serpens Wall. 6. De Viola n. sp. e China centrali, apud $. L. Moore in Trim. Journ. of bot. IV. 226. confer ad calcem V. incisae Turez. Adumbratio specierum generis Chrysosplenii L.). Subgen. Gamosplenium Maxim. Diagn. Dec. XI. Calyx sub anthesi patens, viridis v. rarius luteus. Stamina sepalis semper breviora. Ovarium saepissime totum inferum, capsula apice vel ad medium libera truncata, rarius biloba, stylis divaricatis. Divis. 1. Axis primaria repens emittit cauliculos, ad intervalla, ut ipsa, squamis (hypophyllis) al- ternis obsessos, quae versus apicem cauliculo- rum paulatim in folia transeunt. 1. Ovalifolia Rhizoma firmum duriuseulum eauliculique basi radicantes ra- mosa. Folia radicalia nulla, caulina alterna, cuneatorotunda vel elliptica, crenata. 1. Ch. carnosulum Hook. f. et Thoms. in Journ. Linn. soc. II. 73. Glabrum, cauliculi 2-3-pollicares innovando-ramulosi, ramulis erectis basi radicantibus, folia cuneatoobovata v. rotundata v. late elliptica obiter incumbenti-pauci-crenata, cyma pauciflora, flores subsessiles luridi, sepala truncata latiora quam longa, filamenta sepalis parum breviora; capsula convexa triente libera; semina ovalia laevia subopaca glabra, 1 mill. longiora. Sikkim (J. D. Hooker). Flores rarius omnes 4-an- dri, v. inter 8-andros nonnulli staminibus alternis brevioribus v. minutis sterilibus. Ex toto abortiunt semper et ubique in hoc genere tantum stamina sepalis alterna. 2, Chr. ovalifolium M. Bieb. hb., Bge in Ledeb. FI. Alt. II. 115., Ice. pl. ross. tab. 404. Glabrum pal- mare v. spithamaeum, folia cauliculorum fertilium cu- neatorotunda obsolete crenata v. integra, sterilium ta- lia v. elliptica, semper praeter cuneum crebre crenato- serrata, cyma laxa, flores subsessiles virides, sepala 3) Synopsin generis fusiorem serius parabo. Plantas hic enume- ratas omnes et rarissimas ipse vidi et examinavi, fautoribus autem, qui occasionem examinandi dederunt, gratias ago quam maximas: ante omnes ill. Hooker, qui spec. et figuras larga manu dedit, tum cl. vv. Ascherson, Boissier, Al. Braun, Decaisne, Fenzl, Franchet, A. Gray, Parlatore, qui vel omnes vel rariores species a se servatas miserunt. $ 341 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 34? ——_—_—_—_—_——— late ovata, filamenta duplo breviora, capsula semisu- pera, semina subglobosa subopaca laevia minutissime dense papilloso-puberula, 0,5 mil, longa. Altai (Salessow). 3. Ch. axillare. Pedale arcuato-ascendens glabrum, ex omnibus axillis ramosum, ramis infimis longiuseulis innovandis, ceteris folium stipans vix superantibus 1- floris, folia cuneatoovata v. subrotunda crebre cre- nata, cyma 2—3-flora laxissima, flores longe pedicel- lati nutantes virides, sepala breve unguiculata late deltoidea, stamina multo breviora, ovarium semisupe- rum. Rhizoma et semina ignota. China occidentalis, prov. Kansu (Przewalski). Divis. 2. Folia alterna, interdum inter basin et inflorescentiam nulla. 2, Nudicaulix. Axis primaria dura valida repens, in caulem fertilem basi squa- mis foliisque dense approximatis instructum elongata, stolonibus (ubi noti) hypogaeis strictis squamatis apice rosuliferis innovata. Folia radicalia floraliaque evoluta, caulina intermedia nulla. Caules crasse carnosi vel firmi. 4. Chr. nudicaule Bge 1. ce. 114. Ledeb. Icon. t. 405. Glabrum, folia radicalia squamis acutis stipata caulem aëequantia profunde cordatorotunda cireumeirca floraliaque à medio erenatolobata, crenis truncato- subquadratis contiguis, cyma subcapitata, flores ses- siles luteovirides, sepala truncata, filamenta brevissima, ovarium capsulaque truncata semisupera, semina Ovoi- deooblonga lucida laevia glabra, 1,5 mil. Altai orientalis ad Tschujam f., alpes Corgonenses ad fl. Chair-cumin (Pallas ex Chamisso in Linnaea VI. 558), Alatau cisiliensis (Schrenck) et transi- liensis (Semenow), alpes Sajan regionis Baicalensis, Kamtschatka (hb. Fischer), China occid. prov. Kansu (Przewalski). 5. Chr. Griffithi Hook. f. et Thoms. L. c. 74. Gla- brum, folia membranacea radicalia caule breviora pro- funde subaperte cordatorotunda floraliaque sinu ex- cepto crenatolobata, crenis ovatis truncatis obtusisve sinubus acutis interceptis, cyma laxa, flores pedicellati virides, sepala depresse ovata, filamenta brevissima, ovarium convexum. Himalaya orientalis temperata: Butan (Griffith), Tibet orientalis: princip. Mou-pin (David). G. Chr. pellatum Turcez. EL. Baic. Dah. I. 464. Basi fuscopilosum, folia carnosa radicalia eaule multo breviora peltatoorbiculata v. -reniformia circumeirca floraliaque cuneata obiter paucicrenata, crenis incum- bentibus, eyma densiuscula involuerata, flores luteovi- rides pedicellati, filamenta sepalis depresse ovatis breviora, capsula margine tantum libera, semina late obovoidea lucida glabra, vix 1 mill. longa. In florae Baicalensis alpe Nuchu-daban (Kus- nezow). 7. Ch. adoxoides Hook. f. et Thoms. in sched. Pilis corrugatis longis laxe lanuginosum, crassé carno- sum, folia radicalia caule multo breviora rotundata subcordata v. ovalia floraliaque ovata v. reniformia obiter crenata, caulis a medio solutus in cymam laxi- floram, flores pedicellati virides, filamenta brevissima. Adoxoidea Griff. Itin. notes 129. n. 515. — Saæi- fraga adoxoidea Griff. Notul. IV. 428. — $. adoxioi- des Griff. Ie. pl. asiat. IV. tab. 570. fig. 3. — Chr. lanuginosum Hook. f. et Thoms. L ec. Himalaya: Butan (Griffith), Sikkim (T. Ander- son). ) 3. Alternifolin. Innovatio hypogaea, axi primaria stolonibusque filiformibus sub- nudis repentibus, cauliculi aquosocarnosi, folia alterna membra- nacea, — Ch. Davidianum huc pertinere dubito. 8. Ch. alternifolium Li. Cod. 3137. PI. m. praeser- tim inferne confervoideopilosum, folia radicalia cor- datorotundata et caulina pauca reniformia late crenata crenis saepe truncatis, cyma densiuscula multiflora foliis floralibus majoribus basi cuneatis involucrata, flores subsessiles, filamenta sepalis late ovatis multo breviora, semina ovoideoelliptica laevia lucida, 0,5— 0,6 mill. longa. Ch. nivale Schur Enum. pl. Trans- sylv. 241. (Fuss FIL Transs. 247. non differe dicit, praeter staturam humilem; occurrit passim et in Ros- sia, ubi semina typi). Circumpolare. Loca maxime australia, e quibus vidi, sunt Himalaya, Caucasus, Rumelia, Apenninus hetru- seus et pistoriensis, et illa sub var. 6. enumerata. In olla eultum, aqua semper copiosa, habitum valde mutavit: totum et ad flores parcissimos saturate vi- ride, densissime caespitosum, humile, macrophyllum, floribus supra folia radicalia non emersis; post tres annos, ubi semper virebat, sine causa perspicua interiit. Basis caulis in europaeis (germanicis, ingricis) raris- sime amylo repleta incrassata fit, frequentius hoc oc- currit in var, 8., ubi mox cauliculi pars basalis sub- hypogaea tantum tali modo turgescit, mox vero prae- 22* 343 terea in axillis petiolorum vetustorum evolvuntur tu- berculi pisiformes globosi v. lobati (squamis nempe 2— 3 crasse carnosis), ochroleuci, dense farinosi, gustu amaro. | 8. japonicum: semina non ut in typo glaberrima, sed dense minutissime papillosopuberula. Ch. alternans Thbg FI. Jap. 182. — In Japonia tota frequens, ubi typicum non observavi, in China boreali: in viciniis | Pekini prope She-che vel Jehol (David). Spec. a Hancock in m. Siao-wu-tai-shan, a Pekino 250 sta- dia occidentem versus lectum, semine jam fere gla- berrimo gaudet. +. tetrandrum Lund in sched.: humillimum repens v. erectum, folia paucius et profundius crenata, sta- mina 4 (sepalis opposita), semina magis globosa, obso- lete hine inde papillosa. Ch. tetrandrum Th. Fries Bot. Notis. 1858. 193. In arcticis: Finnmarken, archipel. Spitsbergen (Keil- hau, Th. Fries), ins. St, Laurentii et Unalaschka (Eschscholtz), Mont. Scopulosis lat. 39741" (Hall et Harbour n. 576.) Semina var. y. vidi rarius et in typo, ex borealibus, v. gr. e terra Samojedorum. 9. Ch, Davidianum Dane in litt. Brunneohirtum, folia basi cuneata inferiora subtrunecato-ovata, reliqua cre- bra floraliaque radiantia rotundata, omnia crenata, cyma densiuscula multiflora, flores subsessiles, sepala rotundatoovata, stamina breviora. Tibet orientalis, prineip. Mou-pin (David). Vidi tan- tum partem caulis superiorem mihi communicatam, de affinitate igitur incertus sum et fructus ignoti. CI. auctor appropinquat Ch. adoxoideo. 4. Tenela. Herbulae vix bipollicares tenere membranaceae, glabrae, cae- spitose intricatae. E collo incrassato, e vaginis dilatatis fuscis petio- lorum vetustorum formato, fibris longis radicalibus obsesso, pro- deunt folia radicalia caule breviora, e quorum axillis demum surgunt stolones epigaei horizontales, apice tantum rosula minuta foliorum demum radicante instructi. Cauliculus erectus foliis paucis alternis, apice dichotomus, peduneulis 1—3 elongatis 1-floris foliis floralibus fultis. Bracteae sub flore 2, integrae. Capsula convexa infera. 10. Ch. tenellum Hook. f. et Th. 1. ce. 73. Folia reniformia v. cordatoorbiculata crenis 5—7 crenato- lobata, flores intra bracteas subsessiles 8-andri, sepala et filamenta sequentis, semina elliptica laevia nitida glabra, 0,5 mill. Himalaya: Kumaon (Royle, Strachey et Winter- bottom). Bulletin de l'Académie Empériale 344 11. Ch. Sedakowi Turez. 1. e. 404. Folia profunde 3-loba ambitu reniformia, flores pedicellos aequantes ochroleuci 4-andri, filamenta sepalis depressorotunda- tis breviora. Davuria: rupibus jugi Urulgui secus fl. Nertscha, non procul à Nertschinsk (Sedakow). 5. Flagelliferum. Radix dense fibrosa. Folia radicalia nulla. Caules permulti cae- spitosi floriferi erectiusculi, stolones sub finem antheseos e collo orti, decumbentes demum radicantes, heterophylli. Innovatio igitur Oppositifoliorum. Folia alterna omnia rite evoluta. 12. Ch. flagelliferum F. Schmidt FI. Sachal. n. 176. Palmare v. pedale, cauliculi steriles parce adpresse pilosi, fertiles glabri, priorum folia cordatorotunda v. reniformia paucicrenata, posteriorum parva Cuneata latiora quam longa antice 3—5-loba, cyma laxifiora foliis fulcrantibus parvis, flores dissiti pedicellati, se- pala ovata, stamina duplo breviora, capsula semisupera, semina globosoovalia apiculata laevia subopaca minu- tissime papillosopuberula, 0,5 mil. In regione Baicalensi: alpibus Sajan (Lessing), Sachalin (Glehn), Japonia: circa Hakodate et prov. Nambu, ad rivulos in lapidibus, alpe Niko, Kiusiu vuleano Wunzen: Mandshuria ovientali montana sil- vatica: ad Usuri superiorem. Divis. 3. Folia opposita. Innovatio in omnibus epigaea stolonibus foliatis ex demuim elongatis radicantibus, in unico nudis apice tuberi- axillis infimis caulinis ortis ascendentibus, feris. Stolonum folia autumnalia terminalia saepius maxima, hibernantia, vere cauliculum floriturum e stolonis apice ortum in nonnullis usque ad anthesin fulcientia, vel sub anthesi corrugata sed persistentia, vel denique diu evanida. 6. Valdivicum. 13. Ch. valdivicum Hook. in Lond. Journ. bot. L 459. tab. 17. (steril.) Caulis elongatus procumbens ramosus ad nodos radicans, folia rotundata vel trans- verse orbiculata obiter multicrenata, flores ex axillis summis ramulorum breviorum solitarii folio Iongius peduneulati subrotati, sepala breve unguiculata trans- verse ovalia, stamina breviora, capsula infera vix con- vexa, semina globosoovalia opaca laevia glabra, 1 mill. Chile australis (CL Gay): Valdivia (Philippi), Cor- dillera de Ranco (Lechler). 345 des Sciences de Saïint-Pétersbourg. 346 7. Oppositifolia. Caulis suberectus. Folia cuneatoorbiculata obsolete subrepando- crenata, crenis paucis vel in Chr. macrantho numerosioribus dis- tinctisque. Sepala depresse ovata. Capsula trancata stylis divaricatis vel in 2 ultimis bicornis bilobave. 14. Ch. oppositifolium L. Cod. 3138. Stolones fo- liati. Folia suborbicularia v. subovata, capsula ?/, li- bera, semina globosoovalia lucidula laevia minutissime papillosa, 0,50 mill. Chr. alpinum Schur in Skof. Oest. bot. Wochbltt. XI. 44., Enum. Transsylv. 241. — Ch. glaciale Fuss FI. Transsylv. excurs. 247. — Ch. rosulare Schott in sched. 1850. — Chr. repens LKk ined. Europa temperata, exclusa Rossia. — Nomina Schu- ri, Fussi et Schotti mera synonyma. Fuss omnem plantam éranssylvanicam huc ducit, Schur plantam vegetiorem pro vero Ch. oppositifolio habet, alpinam nanam cum Schottio distinctam credit et semina ejus mtida dicit, sed differentias cum Ck. oppositifolio non in his, sed in habitu quaerit. 15. Ch. ramosum Maxim. FI. Amur. 121. Stolo- nes foliati. Folia transverse ovalia v. suborbiculata, capsula semisupera, semina ovalia v. oblonga subopaca laevia glabra, 0,75 — 1 mill. Ch oppositifolium Trtv. Mey. FI. Ochot. n. 145. (excl. syn. C4. kamtschatici). — À. Gray in Perry’s Exped, 311.— Ch. kamtscha- ticum À. Gray Bot. Jap. 389. Sibiria austroorientalis: Udskoi, Mandshuria orien- talis montana sylvatica: ad fl. Alyn, Kerbi, Amgun, sinum de Castries, f. Wai-Fudin superiorem, ad ostium fl. Daubicha Usuri superioris; Yezo: circa Ha- kodate. 16. Ch. americanum Schweinitz in Hook. F1. bor. am. I. 242. Stolones foliati. Folia suborbiculato- ovata, cauliculorum fertilium quam in praecedentibus minora, capsula semisupera, semina subglobosa lucida laevia pilis fuscis undique hispida, 0,65 mill. Ch. op- positifolium Michx. FI. I. 269. America borealis orientalis, a Saskatschavan et Ca- nada ad Alabamam et Carolinam. 17. Ch. kamtschaticum Fisch. in DC. Prodr. IV. 48. Stolones usque ad apicem rosula instructum nudi. Folia paulo magis quam in pracced. omnibus cuneata, latiora quam longa subdeltoideo-rotundata v. orbicu- lata, Capsula *, supera, cornubus divergentibus in- aequalibus calyee latior, semina late elliptica utrinque apiculata opaca glabra longitudinaliter *) sub-15-cos- tata costis laevibus, 0,75 —0,85 mill. Ch. oppositifo- lium Cham. Schtdl in Linnaea VI. 557. Ins. Auriles (Urup), Kamtschatka, terra Tschuk- tschorum, ad sinum St. Laurentii. 18. Ch. macranthum Hook. in Lond. Journ. bot. E. 458. tab. 16. Pedale robustum simplex in rhizoma durum repens abiens, folia cuneatoovata v. ovalia ul- tra pollicaria repando-pluricrenata, cyma involucrata pauciflora, flores sessiles diam. 7 mill, (totius generis maximi), sepala semirotunda stamina superantia, cap- sula ‘/, supera breve bicornis apicibus divergens, se- mina ovalia laevia lucida glabra, 1 mill. Ad fretum Magellan (Vahl in hb. Willd.), Eagle bay ad portum Famine (King), in portu Orange Fue- giae (exped. Wilkes). Caule firmo, neque tenero, inter oppositifolia ano- malum, Ch. valdivico hac nota accedens, reliquis cha- racteribus abhorrens. 8. Nepalensix. Folia argute crenata. Sepala depresse ovata. Capsula biloba vel bicornis. 19. Ch. nepalense Don Prodr: fl. Nepal. 210. Ra- mosum, cauliculis et stolonibus isophyllis. Folia trans- verse subovalia v. rotundata v. rarius rotundatoovata, basi cuneata, antice multicrenata, erenis obtusis sub 13, cyma laxa, flores subsessiles, stamina calyce duplo breviora, capsula semisupera truncato-subbiloba, se- mina subglobosa cum apiculo lucida laevia glabra, 0,65 mill. Himalaya: Sikkim (T. Thomson frf., Treutler fL.), Himal. orient. (Griffith n. 2489. f.), Nipal (Wall. n. 438 frf. pro parte, in hb. Kew. et Vindob.). 20. Ch. glechomaefolium Nutt. in Torr. et Gray FI N. Am. I. 589. Praecedente multo gracilius, cau- liculi florentes simplices digitales stolonibus spitha- maeis multo magis microphylli, folia rotundato-sub- ovata incumbenticrenata crenis minoribus et humi- lioribus, cyma laxa pauciflora, flores subsessiles, sta- mina sepalis paulo breviora, capsula semisupera bi- cornis stylis rectopatulis, semina subglobosa lucida laevia glabra, fere 1 mill. Ch. oppositifolium var. 6. Hook. FL bor. am. L c. | America borealioccidentalis (Scouler): ad f, Co- 4) Semina, dum costata vel seriatim pilosa sunt, costas vel lineas pilorum in omnibus speciebus longitudinales habent. 347 Bulletin de l’Académie Impériale 348 lumbia (Nuttall in hb. Gray, Brit. mus., Kew), territ, Washington (Dr. Cooper). — Habitu praesertim ab antecedente differt. 21. Chr. suleatum, Simillimum flore et capsula Ch. nepalensi, sed folia rotundatoovata incumbenticrenata ut in praecedente, semina globosoelliptica apiculata opaca, profunde sub-12-sulcata costis laevibus, gla- bra, 0,75 mill. Ch. nepalense Maxim. F1, Amur. 121. in nota. Nipal (Wall. n. 438. in hb. h. Petrop.). 22. Ch. macrocarpum Cham. in Linn. VI. 558. Fo- lia rotundatoovata vel superiora stolorum late ovalia, obiter incumbenticrenata crenis numerosis, cyma elon- gatoramosa multiflora, flores pedicellati, filamenta bre- vissima, capsula *. supera inaequaliter bicornis cor- nubus erectopatulis stylis rectis, semina globosoovalia lucida laevia, seriebus sub-15 pilorum instructa, pilis linearibus obtusis clavatis vel rarius hamatis, 0,5 mill. Ch. orientale Gei facie Tournef. Coroll. 8. — Ch. du- bium J. Gay in DC. Prodr. IV. 48. — Ch. ovalifolium Bertol. F1. Ital. IV. 449. Transcaucasia: Abchasia, prope Suchum(Ruprecht), in m. Alagôz et ad fortalit. St. Nicolai (Frick), in Asia minore: Lazistano (Balansa), Galatia (Tournefort), Ltalia: Calabria (Tenore, Pasquale). 23. Ch.trichospermum Edgew.inHook.f. et Thoms. L c. 73. Roustum, folia ovata basi cuneata, incum- benticrenata, cyma laxa subpauciflora, flores pedicel- lati, sepala rotundata stamina duplo superantia, ova- rium apice exsertum, Capsula semisupera truncato- biloba, semina globosoovalia laevia lucida pilis linea- ribus longiusculis undique hispida, 0,65 mill. Himalaya (Jacquemont n. 683): Kumaon (Stra- chey et Winterbottom). 24. Ch, Echinus, Gracile digitale, folia parva semi- | orbicularia basi truncatocuneata antice argute multi- | crenata, cyma laxa paucifiora, flores breve pedicellati, | sepala stamina aequantia ovata, capsula SemISUPETA | subparallele bicornis, semina ovalia seriebus sub-15 | pilorum ornata, nitidula, 0,5 mill., pilis densis longe linearibus obtusis. Kiusiu, in vulcano Wunzen, Nippon, in alpe Niko. | 25. Ch, rhabdospermum, Gracile digitale glabrum, fo- | lia parva, stolonum cuneatorotunda depresse grandi- | crenata crenis 5—7, cauliculorum paucissima (2—4) minora antice tri-quinque-crenatolobata, floralia cu- | neato-spathulata ipso apice tricrenata, cyma laxa pau- ciflora, flores pedieellati, sepala deltoideodepressa sta- mina aequantia, capsula semisupera apicibus divergen- tibus bicornis, semina subglobosa apiculata glabra li- neis sub-15 elevatis argute muricellatis percursa, ni- tida, 0,5 mill. Kiusiu: viciniis Nagasaki. Subgen. Dialysplenium Maxim. L c. Sepala semper erecta campanulato-conniventia lutea ochroleuca vel alba. Stamina sepala vulgo aequantia vel superantia disco saepe obsoleto, ovarium parallele bicorne capsulaque cornubus patulis ipsa basi adnata. — Omnia Japonico-sinica, oppositifolia, eademque in- novatione. - ne 9. Sinica. Folia cuneatorotunda vel ovata, cuneo brevi excepto cireumeirea incumbenticrenata, crenis numerosis. Palmaria, robusta, a basi ra- mosa glabra, floribus luteis. 26. Ch, Grayanum, Cauliculis ab ipsa basi ramosis repentibus ceterum erectis caespitosum, folia brevi- petiolata orbiculata basi saepius latiora, cyma densa multiflora, flores brevissime, fructus longius pedicel- lati, sepala rotundata stamina 4 duplo superantia, capsula ‘/, adnata calycem duplo saltem superans, se- mina ovalia laevia lucida, seriebus sub-30 pilorum brevissimorum tecta, 0,65 mill. Ck. ovalifolium A. Gray Bot. Jap. 389. excel. syn. — Neko nome. Soo bokf. IT. 70. Yezo, cirea Hakodate vulgare. 27. Ch sinieum. Nanum erectum saepe multicaule, folia longe petiolata cuneataque, caulina rotundata, floralia ovata, cyma densa pauciflora, flores subsessiles, sepala rotundata stamina 8 duplo superantia, ovarium | semiexsertum cornubus patulis. China occidentalis: prov. Kansu (Przewalski). 28. Ch. maerostemon Maxim. in Franch. Savat. Enum. I. 148. (nomen). Simplex erectum basi stolo- nibus post fructus maturos elongatis serius radicanti- bus, folia stolonum rotundata basi latiora vel ut cau- lina rotundatoovata, floralia elliptica saepe acuta, cyma densa multiflora, stamina 8 sepala rotundata subduplo superantia, ovarium !/, adnatum stylis longis (stamina aequantibus), capsula basi adnata calyce pl. duplo longior cornubus divergentibus, semina ovoidea lineis elevatis muricellatis sub-15 percursa, glabra 349 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 350 opaca, 1 mill. vix breviora, Ch. ovalifolium Miq. Prol. 261. 369. excel. synn. et spec. Wright. Nippon : Hakone, Yokoska (Savatier), alpe Niko. 10. Püosu. PI. m. confervoideo-pilosa vel 1 species glabra, digitalia vel 1 species usque spithamaea, erecta gracilia tenera. Folia latiora quam longa, a medio cuneata, antice (in uno obsolete) argute pro- funde paucicrenata. Ovarium basi adnatum, capsula sublibera. 29. Ch. Maximowiczi Franch. Savat. 1. c. (no- men). Glabrum, folia radicalia nulla, e collo stolones filiformes nudi apice in tuberculum lanceolatum car- nosum confervoideolanuginosum incrassati, caulis sim- plex debilis, folia rotundata antice 5-7-crenata, cyma laxa, flores pauci pedicellati, sepala ovata obtusius- cula stamina 8 superantia, ovarium ‘, adnatum, cap- | sula patulobicornis calyce duplo longior, semina (ex Franchet in sched. c. figura) «depresso-globosa lu- cida profunde 12-sulcata, costis eximie muriculatis ». Nippon : Yokoska (Savatier). 30. Ch. pilosum Maxim. FI. Amur. 122. Subspi- thamaeum basi repens, ex axillis longe stoloniferum, folia stolonum rotundiora apice obsolete v. repando- 5-9-crenata, caulina subreniformia fere integra, cyma densa piuriflora, flores lutei demum pedicellati, sepala rotundata staminibus 8 paulo longiora, capsula calyce duplo longior cornubus patulis, semina apiculatoellip- tica opaca profunde sub-15-costata costis argute mu- ricellatis, 0,75 mill. Mandshuria orientalis montana sylvatica : ab Alyn fl. ad fines Koreae (sinum Possjet). 31. Ch, sphaerospermum, Folia antice profunde 5-10- crenata, stolonum terminalia rotundiora, cyma densa pluriflora obscure involucrata, flores pedicellati lutei, sepala rotundata stamina 8 vix süperantia, capsula basi adnata stylis longis subpatulis, semina globosa, lineis elevatis muricellatis sub-15, opaca glabra, 0,5 mill. Kiusiu : vulcano Wunzen. 39. Ch. album Maxim. Diagn. dec. XE 510. Si- millimum praecedenti, sed sepala alba ovata acumi- nata quam stamina subbreviora, antherae nigrae (nec luteae), filamenta opposita infra media sepala (nec basi) inserta, ovarium subsuperum bipartitum cornubus in stylos stamina aequantes attenuatis. Semina ignota. Ch. alternifolium forma minor Miq. Prol. 261. Kiusiu: alpe Wunzen (ipse), monte Tara (Buerger in hb. Lugd. bot.), Nippon: Hakone (Siebold), Rhododendron Przewalskii. (ÆZu-Æhododendron, $ Can- delabra, isomera Maxim.) Arboreum, cortice vetusto nigrogriseo ruguloso in annulos soluto et deciduo in- feriorem cinnamomeum laceratum nudante, juvenili cinnamomeo laevi: ramulis floriferis abbreviatis petio- lisque brevibus glabris; foliis coriaceis utrinque laevi- bus ovaliellipticis basi rotundatis apice obtusiusculis cum mucronulo, tenuiter sub-12-costatis, superne mi- pute impresse reticulatis glabris, subtus primum te- nuissime rubiginosotomentosis (tomento e pilis tener- rimis intricatis cum interspersis crassioribus), demum glabris viridibus; tegmentis sub anthesi deciduis mi- pute ciliatis; floribus breve corymbosoracemosis erec- tis 12—15; pedunculis forem subaequantibus fructi- feris elongatis glabris; calycis brevissimi glabri den- tibus semiorbicularibus; coroila campanulata 5-loba alba lobis rotundatis emarginatis; staminibus 10 in- clusis basi villosis; ovario 5—6-loculari profunde sul- cato glabro. In Chinae prov. Kansu (Przewalski, 1872). Rh. brachycarpo Don et Rh. campanulato Don arcte affine et quasi intermedium. Prius differt cortice ra- mulorum floriferorum cinereo, foliis basi cordatis lon- gioribus ad petiolos ramulosque juventute occosis, tegmentis cakyceque pubescentibus, lobis corollae ob- tusis, maculis corollae viridibus (nec purpureis), ova- rio rufotomentoso subtereti, posterius foliis acutis subtus dense ferrugineo tegmentisque tomentosis, ca- lyce piloso, antheris cinnamomeis (neque albis); neu- trum folia demum subtus viridia glabra habet. Rhododendron anthopogonoides (Osmothamnus Ma- xim.). Pumilum inordinate fastigiatoramosum; ramis juventute puberulis cum tegmentis medio dorso par- cius foliisque subtus dense (juvenilibus etiam supra parce) lepidotis, his demum subtus pallide ferrugineis:; foliis biennibus ovalibus v. ellipticis utrinque, basi truncato-apice mucronato-obtusis coriaceis opacis, margine revolutis; corymbis hemisphaericis densis ad 20-floris; floribus breve pedicellatis; tegmentis sub anthesi mox deciduis calyce longioribus rotundatis truncatis margine ciliatis interioribusque dorso seri- ceis; calyce 5-partito lobis foliaceis ciliatis oblongo- 351 Bulletin de l’Académie Impériale 352 ovatis tubo corollae duplo breviore; corollae flavae | bus stylo longioribus inclusis optime distinctum. ÆRh. subhypocraterimorphae tubo cylindrico leviter recurvo limbum lobis depressorotundis triplo superante intus villosobarbato; staminibus 5 tubo duplo brevioribus filamentis subulatis ad medium pilosis, antheris oblon- gis; stylo duplo breviore sursum subincrassato; ovario lepidoto 5-mero. In Chinae prov. Kansu (Przewalski, 1872). Rh. Anthopogoni Don propius quam Æh. fragranti Maxim., ob folia majora, ramos inordinatos, corollae colorem, sed ab utroque bene distinctum limbo corol- lae parvo, filamentis pilosis. Rhododendron capitatum, (Osmothamnus Maxim.). Fastigiatoramosissimum , 2—3-pedale, dense lepido- tum; foliis ellipticis utrinque obtusiusculis coriaceis utrinque subtus su bfusco-lepidotis; umbellis capitatis sub-5-floris; pedunculis subnullis; calycis colorati 5- partiti obliqui lobis 1— 2 ovatis oblongisve ceteris rotundatis; corolla aperte campanulata tubo intus supra ovarium barbato; staminibus 10 ad medium dense paleaceo-villosulis styloque aequilongo inelusis; capsula ovoidea lepidota. In Chinae prov. Kansu (Przewalski). Valde affine et magnitudine omnium partium simil- limum Zh. parvifolio Ad., quod tantum differt pedun- culis longioribus, calyce aequali nano lobis omnibus rotundatis, staminibus a stylo superatis utribusque ex- sertis, filamentis brevius et tenuius barbatis, foliis flo- ribusque sacpe minoribus, sed corolla intus non gla- bra, sed etiam barbata, Flos purpureus. Ludit floribus roseis. Rhododendron thymifolium, (Osmothamnus). Fruticu- lus anguste virgatus ramulis brevissimis squarrosulis, cortice pallide cinereo sublaevi; foliis minutis inferio- ribus ramuli obovatis plerisque oblongis obtusis utrin- que(subtus albido)lepidotis; floribus parvis inter perulas rotundatas obovatasve ciliatas sessilibus apice ramu- lorum solitariis violaceis; calycis nani in fructu deci- dui colorati ciliati laciniis rotundatis: corolla rotato- campanulata ad faucem tubi brevissimi intus filamen- taque prope basin barbata; staminibus 10 inclusis sty- lum gracilem sursum paulo crassiorem superantibus; ovario lepidoto; capsula breviter ovoidea. In Chinae prov. Kansu (Przewalski, 1873). Affine Ah. nivali Hook. fil, sed statura erecta virgata, calyce nano caduco, capsulae forma, stamini- lepidotum Wall., ex prima fronte subsimile, nimis differt fronde pallide viridi, corollae tubo inflato, ca- lycis laciniis foliaceis amplis, staminibus 8, capsula oblonga. Fa Asclepiadeae ex Asia orientali enumeratae. 1. Periploceae *). Cryptolepis RbBr. Cr. Edithae Benth. in Bth. et Hook. Gen. pl. IE 740. — Aganosma Edithae Hance in Ann. se. nat. 5 sér. V. 227. China australis : ad fluv. Canton, in fruticetis prope Sintong (Sampson! in hb. Hance). Periploca L. P. sepium Bge Enum. Chin. 43. — Dne in DC. Prodr. VIII. 498. In China boreali : in ditione florae pekinensis (coll. ross.). In Mongolia australi: montibus Alaschan, Jugo medio et meridionali (Przewalski). 2. Secamoneue. Toxocarpus W. À. T. Wightianus Hook. Arn. in Bot. of Beech. voy. 200.— Dne I. ce. 506.— Benth. FI. Hongk. 224. China australi: cirea Macao (Callery ex Decaisne, Vachell, Hance!), in fruticetis ad littora insulae Wang mau (Sampson!), Hongkong (Wright!). 3. Cynancheue. Asclepias L. À. curassavica L., Benth. FI. Hongk. 225. — Dne 1. € 566. — T6 wata ï. e. Gossypium chinense. Soo bokf IV. 31. In China australi, Hongkong, introdueta, in Japonia (Yedo, Yokohama) rarius culta. Pycnostelma Bge. Coronac stamineae squamae a Benthamio a latere compressae, tubo stamineo adnatae, dorso incrassatae dicuntur. Ex meis analysibus annotavi esse fere tota superficie interiore mediante erista tenuiore gynostegio adnata, ceterum a basi subdependente arcuato-incurva, apice acuminata et ipso apice libera subovoidea, acque 5) Series tribuum et generum Benthamiana, in Benth. Hook Gen. pl. Il. | 353 alta ac lata, gynostegium aequantia. Gynostegium breve conicum, filamentis brevissimis, antheris magnis loculis paulo divergentibus, membrana depressorotun- data. Massae pollinis obovoideae apice affixae, pendu- lae, processu ovato breviore. Stigma depresso-penta- gono-stellatum, medio obscure papillosum subbilobum, P. chinense Bge apud Dne L c. 512. — Maxim. F1. Amur. 474. — Herd. PI. Radd.lIIL. 144. — Miq. Prol. 58. — Asclepias paniculata Bge Enum. Chin. 43. In Dahuria: ad Nerezinsk (Sensinow), Stretensk ad #. Schilkam. (Glehn), inter fl. Gasimur et Argun (Radde); Mandshuria: ad Amur superiorem et meri- dionalem, ad lacum Hanka, secus fl. Suifun ; in China boreali cirea Pekin; Korea, Chusan (Wilford!); Ja- ponia, circa Nagasaki, in m. Higo-san, jugo Hakone, Yokoska, Yokohama. Graphistemma Champ. Gr. pictum Champ. ex Bth. Hook. Gen. pl. 11.760. — Holostemma chinense Bth. FI. Hongk. 224. China australis, ins. Hongkong. — Non vidi. Vincetoxicum Mch. Differentiae hoc genus inter et Tylophoram a De- caisneo praesertim e polliniorum directione petitae, quae pendulae in Vincetoæico, erectae vel ascendentes in Tylophora, unde primum ad divisionem Haplostem- marum tribus Eu-Asclepiadearum, secundum ad tribum Stapeliearum relatum est. Practer quam distinctionem fundamentalem in charactere generico utrinsque ab au- tore laudato (DC. Prodr. VITE, 523. et 606) exposito invenimus differentias sequentes: Vincetoxico corolla alte b-loba, Tylophorae 5-partita, utrique rotata tri- buitur, corona staminea prioris dicitur scutelliformis, carnosa, 5— 10-loba, lobis rotundatis v. obscure api- culatis (sed in charactere Haplostemmarum (1. ce. 511) corona postulatur 5-phylla), Tylophorae corona 5-phylla foliolis acuminatis carnosis, gynostegio prominenti pl. m. adnatis perraro stigma superantibus, massae pollinis Vincetoxici describuntur infra apicem affixae pendulae, Tylophorae transversae v. subascendentes v. procèssu tereti flexuoso erectae minutae, denique Vincetoxica her- bae v. suffrutices erecti v. subvolubiles, Tylophorae her- bae aut frutices volubiles habentur. Ita signa ad digno- scenda utraque genera a Decaisneo adhibita reducun- tur ad pollinis massas pendulas vel pl. m. ascendentes simulque minutas, habitum, coronac phylla rotundata Tome XXII. des Sciences de Saint-Pétersbourg. 354 æ v. acuminata. — Equidem a. 1859 descripsi Vince- toxicum volubile e Mandshuria, caule orgyali valde vo- lubili Tylophorae, ob pollinis massas pendulas tamen sine dubio ad: Vincetoæica referendum, Miquel autem (Prol. 60.) a. 1866. quatuor species promulgavit, quas ob habitum volubilem Tylophoris adscripsit, quae ta- men ex mea investigatione partim inter utrumque ge- nus ambigunt. Benthamius, quem de observationibus meis brevius certiorem feci, in Gen. pl. IT 761. et 770. genera ista sequenti modo intellexit: pollinia Vinceloxici ad vel infra apicem affixa, pendula, Tylo- phorae caudicula horizontali erecta v. lateraliter affixa vel à caudicula erecta pendula, parva, globosa v. ovo- idea, prioris corona cyathiformis (lobis igitur a dorso compressis), posterioris lobi a latere compressi dorso saepius gibbi v. plus minus incurvo-producti, prae- terea in Zylophora loculos fertiles antherae corpusculo parvo parallelos vel id superantes dicit. Ex Bentha- mio igitur differentia tribuum minus in massae polli- nis, quam in caudiculae directione ponitur, generica in lobis coronac a dorso vel a latere compressis. — Equidem ex disquisitione propria hic pollinis massas minutas ovoideas longe infra apicem affixas, rite tamen caudiculae deflexae insertas cum lobis coronae a dorso compressis, illic pollinia minuta globosa ex ipso apice a caudicula horizontali dependentes cum lobis coronae a latere compressis inveni, omnibus v. fere omnibus punctis igitur inter Vincetorica et Tylophora ambiguas formas. [ta differentianr inter utrumque genus inter- dum omnino evanescere contendo. Nam et habitus in utroque omnino idem esse potest: adsunt enim hic Vincetoæica volubilia, illic Zylophorae crectae (T. Go- vani Due, T. macrophylla Bth.). Attamen in utrius- que generis speciebus typicis directio polliniorum, con- formatio coronae optime expressae, et T'ylophorae volu- biles, vix non omnes fruticosae, a Vincetoæicis volubi- libus, omnibus herbaceis, foliorum forma distinguuntur, quae in Tylophoris typicis medio, in Véncetoxicis basi latissima esse solent. Formac paucae Vincetorici ad Tylophoras vergentes, hic sub nomine VW. Tylopho- roidea a me comprehensae, à ceteris horum duorum generum formis petaiis saepius caudato-acumimatis sat facile dignoscuntur. Essentialis et sola, etsi vaga dif- ferentia horum generum nihilominus ponatur in polli- niorum directione, in ceteris Asclepiadeis facile distin- guenda, neque in ullis aliis signis. 23 355 Bulletin de l’Académie Impériale 356 ——————_——— a. Vincetoxica vera. Caules !, — 3-pedales firmi, erecti vel in eadem specie interdum apice non alte volubiles, plerumque simplices v. apicem versus breve ramosi. Corollae la- ciniae ovatae v. ovatooblongae oblongaeve, obtusae v. obtusiuseulae. Massae pollinis apice vel vix infra api- cem affixae, saepius majusculae, rarissime minutae, oblongae vel ovoideae vel rarius globosae. 1. Suflruticosa. Radix subsimplex elongata, caudex subterraneus ramosus s. ramosissimus, fibris radicalibus tenuibus parce obsessus, ad ramos longiusculos fasciculatos gemmascens et innovans. — Species mihi notae 2, ambae deserticolae. V. fruticulosum Dne in eo differt, quod rite fruticosum est, scilicet caudice elongato epi- uec hypogaco gaudet. Nostrae dignoscuntur : Folia linearia, phylla coronac deltoidea......... V. sibiricum. Folia lanceolata, phylla coronae rotundata...... V. mongolicum. 1. V. sibiricum Dne in DC. Prodr. VIII. 525. — Maxim. Ind. Pekin. et Mongol. in F1. Amur. 474,483. Var. borealis : humilis a basi pluricaulis et ramosa erecta, ramis patulis patentibusque cauli saepe aequi- longis. In flora Altaica et Baicalensi, Transbaicalia et Da- ouria usque ad Nerezinsk ad #. Schilkam, Mongolia rossica inter fl. Onon et Argun, chinensi inter Peki- uum et Kiachtam, inter Urga et Alaschan, in jugo Alaschan medio et australi, inter Kalgan et montes In-schan. Mongolice : temeni chuchu i. e. mamma cameli, ob fructus formam. In hortis cultum caulis debilior, elongatus, minus ramosus, folia longiora, et tale transitum facit ad Var. australem: caulis debilis parum ramosus, apice elongato saepe volubilis, pubes parcior, folia li- nearia v. linearioblonga, flores minus numerosi et magis dissiti. Gen. nov. aff. Vincetoxico. Maxim. I. c. Mongolia australis: terra Ordos, ad #. Hoang-ho (Przewalski), China circa Pekin. Calycis et corollae laciniae paulo variabiles. Priores plus vel minus acuminatae, posteriores pl. m. acutae, et simul cum illis phylla coronae stamineae duplo et triplo altiora quam lata, et membrana antherae acuta v. acuminata. Stigma convexum bilobum. Massae pollinis majusculae oblongae, duplo longiores quam corpusculum subquadratum, caudiculae breves crassae, versus poilinia incrassatae. 2. V. mongolieum, Glabrum glaucum, folis breve petiolatis lanccolatis acutis acuminatisve coriaceis; eymis folio brevioribus plurifloris densis; calycis 5-fidi laciniis ovatis acutis; corollae atropurpureae glabrae 5-partitac laciniis ovatis obtusis; phyllis coronae sta- mineae rotundatis scutellatis concavis gynostegio bre- vioribus. Mongolia australis: ad fl. Hoang-ho in ditione Or- dos, nee non in Alaschan medio et australi (Prze- walski). Paululum in mentem vocat V. pumilum Dne, sed elatum abundeque distinctum. Antherae breves, membrana truneata latiore quam lata, massae pollinis minutae, globosae, corpusculo aequilongo obovato, caudiculis elongatis pollinii apici affixis. Stigma depressum, obtuse 5-angulum. 8.? Hancockianum: viride ad caulem 1-fariam costamque foliorum subtus parce puberulum, foliis de- mum glabris tenuioribus; calycis corollaeque laciniis acutioribus,. In China borcali: in monte Siao-Wu-tai-shan, ultra 10 mill. ped, alto, a Pekino 250 stadia ad occidentem sito, legit et misit Hancock 1876. (f. et frf.). Summitates missae dubia de radice, an suffruticosa sit vel perennis, non solvunt, quamobrem de identitate cum typo incertus haereo. Planta ceteris partibus omnino simillima. Calyx ad sinus intus cum glandulis parvis singulis oblongis, laciniae ovatodeltoideae acu- tissimae. Corollae laciniae acutae. Corona atque gyno- stegium identica. Folliculi qui adsunt solitarii, ex lan- ceolata basi sat longe attenuati, 40 — 45 mill. longi, 6 mill. crassi. Semina anguste ovata subattenuata, vix angustissime marginata, 6 mill. longa, 3 mill. lata, utrinque 1-nervia, coma fere triplo breviora. 2, Perennia. Radix primaria nulla. Rhizoma abbreviatun sub- horizontale, fibris radicalibus crassis longissimis dense obsessum. Innovatio ope gemmarum e rhizomate. Cau- lis basi haud gemmascens, vel in regionibus meridio- nalibus parce ipsa basi gemmiparus, gemmis tamen vix unquam evolutis (ita vidi in exemplis paucis austro- rossicis, caucasicis et corsicis V. officinalis et V. medii). Folia basi cordata subsessilia ............. » distinctissime petiolata. 2 V. ampleæicaule, 357 des Sciences de Saïint-Pétersbourg. 358 Le) Folia subtus cinereo-v. rufo-tomentosa. 3. » pl. m pubentia v. glabra, viridia. 5. 3. Corollag laciniae triangulae.............., oblongae. 4. 4. Robustum erectum, flores atropurpurei magni. V. atratum. Gracile, apice volubile, flores virentes parvi. V. versicolor. 5. Folia pauca maxima in caule subverticillato- approximata, corolla intus pubescens ... Folia crebra sparsa, corolla intus glabra 6. 6. Cymae sessiles, folia inferiora cordatoovata. . » pedunculatae, folia basi non cordata. 7. 7. Corolla alba laciniis rotundatoobtusis, folia ovata Corolla colorata laciniis obtusis, folia medio VA IADICR JATIOTA eee emo sosie V, mandshuricum. » » V. macrophyllum. V. inamoenum. V. acuminatum. V. japonicum. 3. V. ampleæicaule Sieb. Zuce. fl. Jap. fam. nat. IT. 162. n. 551. Pluricaule elatum, eaule simplici v. saepius bis dichotomo vel rarius ex axillis mediis et su- perioribus fastigiatoramoso dense foliato; foliis subses- silibus e basi cordata amplexicauli a late elliptico per obovato-in oblongoellipticum ludentibus apice rotun- datis v. obtusis cum apiculo v. rarius acutis, floralibus basi interdum attenuatis; cymis secus caulem ramosque numerosis interpetiolaribus alternis compositis laxi-et plurifloris, primum folio brevioribus, demum vel su- perioribus folio longioribus; flore pedicellum subsupe- rante; calycis laciniis ovatis vel ovatolanccolatis acutis ciliatis corolla subrotata viridilutea (rarissime fusca) triplo saltem brevioribus; laciniis corollae ovatis lan- ceolatisve apice attenuato obtusis intus praeter mar- ginem puberulis; coronae stamineae erectopatulae gyho- stegium convexum subaequantis lobis carnosis rotun- datis obsolete lateque apiculatis planis; membrana antherae depressorotundata; polliniis oblongis funiculo elongato a corpusculo obovato fere duplo breviore pendulis; stigmate convexiusculo levissime sulcato subquinquelobo; folliculis abortu solitariis anguste lan- ceolatis longe attenuatis. — Rgl. fl. Usur. 108 n. 385. — Herd. pl. Radd. 141. — Miq. Prol. 58. In Japoniae ins. Kiusiu: Simabara , vulcano Wun- zen, circa Nagasaki in montibus lapidosis aridis, sat frequens, v. gr. Sitzi-yama (Sicbold!, nec «insula Sitzigoa» ut legit Miquel; ali); Mandshuria austra- liore: ad Usuri, lacum Hanka, fl. Suifun; China bo- reali, in planitie ad Kantai prope Pekin (Tatarinow); Mongolia australi: terra Ordos, in valle f. Hoang-ho (Przewalski). Japonice (ex schedulis indigenis hb. Lugd. Bat.): rokuon-sô, sutzume-no-ogoke, haku-dzen. Caule paniculato et foliis amplexicaulibus inter omnia insigne. Planta typica glaberrima glaucoviridis, foliis subtus glaucis. Caulis 0,5— 1 metr. altus. Folia media cau- lina utrinque sub-10-costata, passim auriculis basa- libus acutis, vulgo 4 : 5,5 ad 4,5 : 9, in robustis 6:12, in stenophyllis 3 : 9 cent. magna. Peduneuli media totius cymae longitudine dichotomi, tune iterum pluries ramulosi subracemose floriferi. Flores fuscos vidi in spec. 1. pekinensi et unico inter ultra 40 ja- ponica. Corolla diam. 7 mill. Folliculi 5 — 5,5 cent. longi, basi 7 mill. lati Var. Krameri(Franch. et Savat. Enum. I. 318. sp. pr.): foliis subpetiolatis luteoviridibus utrinque sat dense puberulis. In Mippon, loco speciali ignoto (hb. Franchet! N 2088.) Pubis praesentia tantum a typo differt, nam de foliüis brevipetiolatis jam mentio facta apud Miquel L c. in spec. cultis etiam luteoviridibus (W. a. var. pe- tiolata Miq. Cat. 59. V. Brandti Franch. Sav.! En. I. 318. (nomen)) et omnes ceterae partes identicae, praeter corollae lacinias ovatooblongas, quas tamen tales in planta typica (mandshurica) etiam observavi. 4. V.japonicum Morr. Dne in Bull. Acad. Brux. II. 1836. 172. Caule erecto v. apice volubili pl. m., ut totum, pubescente; foliis petiolatis à rotundato retuso in ellipticum subito acuminatum variantibus costis arcuatis utrinque 5 —7; cymis vulgo alternis sub- multifloris densiusculis petiolum v. laminam supe- rantibus; pedicello florem subsuperante ; calycis laci- niis ovatis acuminatis v. lanceolatis ciliatis; corollae coloratae laciniis ovatooblongis obtusis patentibus in- tus glabris; corona quam gynostegiuur humile bre- viore phyllis rotundatis concavis carnosis; polliniis oblongis corpusculo angustius oblongo longioribus infra ipsum apicem affixis pendulis; stigmate convexo emarginato 5-angulo; folliculis subdivaricatis ex ovata basi longe acuminatis; semine ovato attenuato. a. Verum: erectum v. decumbens ramosum, foliis parvis rotundatoovalibus obtusis vel retusis cum mu- crone; cyma paucifora brevi; flore sordide lutescente. V. japonicum Dane L. e. et in DC. Prodr. VIIT. 524. — S. Z. FI. Jap. fam. nat. I. 163. — Cynanchum fla- vescens Siebold in Paxt. FI. Gard. IT. 150. fig. xy- logr, 306. | 23% 359 a In Japonia cultum (Siebold!, Itoo Keiskel). Folia cirea 2 : 2,5 cent., petiolus 0,5 cent. 8. Grayanum: erectum simplex macrophyllum, foliis late ovalibus v. ellipticis obovatisve retusis cum mu- crone v. subito breve acuminatis; cyma multiflora saepe composita petiolum vulgo pluries superante; flore sordide lutescente. W. japonicum A. Gray in Perry’s Exped. 317. In Nippon sponte: Simoda (Wright!), Tanega si- ma (Small!), Yokoska (Savatier! n. 823.), Kana- sawa (ipse). Planta 35 — 40 cent. alta. Folia 3 — 4,5 :5 — 6 cent., petiolus 5—12 mill., peduneuli 1,5—3,5 cent. longi, sammi ut in omnibus varr. subnulli. Corolla diametro 7 mill., utrinque glabra, vel (e Simoda) extus secus lineam mediam laciniarum pube- rula, tunc et tota planta densius pubescens. y. pPwrpurascens: vulgo elatius et gracilius apice- que vel a medio volubile; foliis ellipticis subito acumi- natis magnis; cymis mox folio subaequilongis mox (in planta volubili frequentius) ad fasciculos subsessiles reductis, plurifloris; flore sordide lutescente, roseo, fascopurpureo vel fundo sordido fuscostriolato. Morr. Dne IL. c. (sp. pr.) — Dne L. €. —$S. Z. 1 ec. — Miq. Prol. 59.— Lindl. in Journ. hortie. soc. VIT. 285. c. icon. xylogr. Japonia: Simoda, sponte, fl. lutescente (Yolkin!), in Yedo et Nagasaki saepe culta. Typus V. purpurascentis, vivi a Sicbold a. 1830. introducti, subvolubilis, foliis ellipticis, peduneulis brevioribus, apud Lindley 1. e. delineatus est, sed siecus ab eodem et Zuccarinio! distributus fuit et erectus, pedunculis infimis 2—3-pollicaribus (de hoc, Dezimae culto, mentio facta est apud Miq. L e.). Co- rolla utriusque 7 —8 mill. Folliculus apud Siebold 3 cent. longus, 1 cent. crassus, ovatolanecolatus acumi- natus, solitarius. Ipse habui formam erectam, huic proximam, flore roseo, folliculis ut in diagnosi de- scripsi, 5,5 cent. longis, cui caulis saepe apice tantum florens 25—50 cent. altus, folia breve acuminata 3:7 ad 5:10 cent., petiolus 8—10 mill., corolla 8-— 14 mill.—— Alia forma, à me observata, volubilis erat, folia acuta v. apiculata, 1,5 : 4 vel 3:7 cent., pe- tiolus 5 mill., cymae saepe subsessiles, flores fuscorubri v. sordide sulfurei 8—10 mill., ad quam formam duco spec. à Tanaka datum s. n. kuro-hana-n0 ivo-kadsura Bulletin de l’Académie Impériale 360 in hb. Franchet. n. 827. In hisce omnibus folia ad : venas et marginem pubescentia. Anno 1855 autem Sie- bold introduxit formas flore roseo, variegato et «atro- purpureo», quae cum nostris congruae, sed folia utrin- que sat dense pubescentia habent. Ad quam formam pertinet planta ad Yokoska a Savatiero collecta, quam s.n. W. Vernyi vidi in hb. Franchet. In hac corolla extus pubescit, ut in $. rarius vidi. Habemus ita cyclum formarum, quarum extremae: erecta, flore sordide lutescente, cyma saepe longe pe- dunculata, et volubilis, flore fascopurpureo, cyma subsessili, primo aspectu diversissimae videntur, sed formis intermediis ita connectuntur, ut, nisi hybridae adsint, pro unica specie habendae sint, donec fortasse forma volubilis fusca sponte crescens invenictur et signa meliora praebebit. V. japonicum à V. purpuras- cente etiam frustra dirimere conatus sum, et assenti- tur Siebold, qui in notis mscr. habet: «W. purp. et V. japon. a Morr. Dne descripta culturae varietates sunt.» Character ex reticulo laxiore et densiore, ma- gis vel minus prominente, a Franchet ad distinguen- dum propositus, ex mea suppelectili ditissima quam maxime fallax est. V. japonicum proxime affine est V. officinali Mch. V. acuminatum Dne in DC. Prodr. VII. 524. Erectam, caule basi glabro apice pubescente; foliis breve petiolatis a late ovato per ovatoelliptieum in ellipticolanceolatum et lanceolatum rarius variantibus basi rotundatis apice acuminatis utrinque subtus den- sius molle pubescentibus vel pl. m. glabratis; cymis oppositis compositis laxis paucifloris folio brevioribus v.apice caulis longioribus subconfluentibus; pedicellis florem aequantibus; calycis extus dense pubescentis laciniis ovatis acuminatis; corolla magna alba glabra laciniis oblongis apice rotundato v. emarginato aequi- latis patentibus; ecorona staminea gynostegium breve aequante lobis rotundatis carnosis; polliniis ovalioblon- gis corpusculo aequimagno consimili; stigmate Convexo subbilobo 5-angulo; follieulis patentissimis linearilan- ceolatis longe acuminatis glabrescentibus ; seminibus anguste ovatis. S. Z. L €. n. 953. (nomen). — Ausa tatschibana? Soo bokf IV. 26. In Nippon: alpe Nikko (Tschonoski), frequenter cuitum in hortis Yedo et Nagasaki; Mandshuria austro- orientali: ad Usuri superiorem pluribus locis, ad fl. Da-dso-schu portum Wladimiri affluentis, cirea portus 5. 361 St. Olgae, Bruce et Wladiwostok, ad idem litus inter 44—45° legit Wilford s. n. Pycnostelmatis n. sp. Vera planta Decaisnei, cui specimen submisi! Si- millimum quidem VW. japonico, attamen flore duplo majore pure albo corollae laciniis obtusissimis folio- rumque forma facile distinctum. Cultum minus den- sius pubescens, microphyllum (petiolus 1 cent., lamina in medio caule 5 : 9 cent.) et micranthum (corolla dia- metro 12—14 mill.). Spontaneum japonicum glabra- tum elatius, folia angustiora, 6 : 12 cent. petiolus 1,5 cent., vel 5,5 : 14 cent., folliculi glabri, Planta mandshurica elata, robusta, magis pubescens, tenui- folia, interdum e radice crassa valde fibrosa pluricau- lis, folia saepius late ovata (in fructifera 10 : 14 cent.) vel ovatoelliptica (10 : 17 cent., sine petiolo 5 — 10 mill. longo), cymae rite evolutae folio non multo bre- viores, pedunculo ad 6 cent. longo, apice cymam com- positam contractam gerente, vel medio bifurco, ores in quadam cyma 2—10, diam. 14 — 18 mill. Folli- euli 4—5 cent. longi. 6. V. inamoenum, Multicaule, caulibus simplicibus ereetis angulatis fistulosis pubescentibus; foliis breve petiolatis ad petiolos venas marginemque utrinque pu- berulis late ovatis, inferioribus subcordatis obtusis acutisve, mediis acuminatis, superioribus ovatolanceo- latis basi euneatis apice longius acuminatis; umbellis subaxillaribus alternis paucifloris, floriferis sessilibus basin folii parum superantibus, fructiferis brevissime peduneulatis; pedicellis pubescentibus flores parvulos superantibus ; calycis laciniis lanceolatis acutissimis glabris; corollae triplo longioris glabrae sordide lu- tescentis laciniis ovatis attenuatis obtusiuseulis patu- lis; coronae stamineae patulae gynostegium éonvexum vix àäequantis lobis carnosis late deltoideis breve acu- minatis;, antheris brevibus membrana depressorotun - data; polliniis ovalibus corpusculum late obovatum aequantibus, sed angustioribus, funiculo brevi pendu- lis; stigmate convexo obsolete bilobo 5-gono; folliculis angulo plus quam recto patentibus linearilanceolatis acuminatis. In Mandshuria orientali, portu St. Olgae, in cacu- mine montis 1300 ped. alti, in fruticetis lapidosis sat frequens et gregarium ; Sachalino, parte austroorientali, sterile, ceterum identicum (Vincet. sp. F. Schmidt FI. Sachal. n. 317.). Simillimum W. pisidico Boiss. et Heldr., quod ex des Sciences de Saïint-Pétersbourg. 36? diagnosi vix diversum videtur caule humili bifariam pubescente, calyce duplo quam corolla breviore et coronae stamineae lobis subobsoletis gynostegium su- perantibus, triangularibus. Sed ex investigatione floris differentiae optimae eruuntur : V. pisidici laciniae co- rollinae ovatae apice obtuso subemarginatae, corona gynostegium superans patula breve 5-loba lobis de- pressotriangularibus apiculo reflexo, interjectis denti- bus 5 obtusis duplo brevioribus, omnibus carnosis utrinque planis, prioribus basi antheris adnatis. An- therae illis W. inamoeni similes, corpuscula linearia!, pollinia ovata acute! acuminata, funiculo longiusculo infra apicem appensa. Stigma supra marginem leviter 5-gonum non prominens, depressum igitur, sulco ob- soleto pereursum. — À V. officinali Mch., quocum spe- cies nostra structura floris magis convenit, caule un- dique pubero, umbellis sessilibus, coronae lobis deltoi- deis, stigmate convexo dignoscitur. Caules 0,30 — 0,45 metr. alti. Folia infima ad squamas subscariosas reducta, sequentia fere orbicu- laria 3:3 cent. petiolo vix 3 mill., média maxima 5',:9 cent., costis utrinque subsex arcuatis parum prominulis. Umbellae 3 — 5-florae. Corolla pelvifor- mis, diam. 7 mill. Folliculi 4, 5 cent. longi, 5 mill. Crassi. 7. V. atratum Morr. Dne in Bull. Brux. L ce. Ro- bustum erectum elatum tomentosum, caule elongato, foliis breve petiolatis late ovatis v. ovatoellipticis apice subito breve acuminatis basi rotundatis v. obsolete sub- cordatis, superne dense pubescentibus demum glabra- tis, subtus cinerascenti-tomentosis; umbellis sessilibus plurifloris, pedicellis flore brevioribus calyceque to- mentosis; calycis laciniis anguste lanceolatis acutis vel acuminatis corolla extus pubescente plus duplo brevioribus; corollae atropurpureae laciniis ovatis v. ovatooblongis emarginatis v. obtusis patentibns; co- ronae stamineae gynostegium convexum aequantis lobis carnosis rotundatis intus concavis; antheris bre- vibus membrana depressorotundata; polliniis ovalibus velsubglobosis e funiculo longiuseulo pendulis, corpus- culo late oblongo quam pollinia duplo angustiore ae- quilongo;: stigmate convexo obscure bilobo 5-angulo; folliculis (an semper?) solitariis lanceolatis obtuse acu- minatis patentim pubescentibus; seminibus ovatis. Dne in DC. Prodr. VIIL 523. — $. Z. L c. n..554! — Maxim. F1. Amur. 195, 474. — Herd. PI. Radd. Bulletin de l’Académie Impériale 364 ———————EEE 363 140. n.101. — Miq. Prol. 58. — Cynanchum atratum Bge Enum. Chin. n. 251. — Turez. Enum. Chin. n. 138. in Bull. Mosc. 1837. X. n. 7. pag. 155. — Y. pauciflorum Miq. Prol. 59. — Rokuyen-sô, Sin. jap. hak-bi. Soo bokf IV. 27. — VW. atr. Funavara sau. Fakbi. Hoffm. Noms indig. 63 n. 609. In Japonia: Kiusiu circa Nagasaki, Kumamoto, Hi- gosan cet., Nippon media et boreali (Tschonoski); Mandshuria: ad Amur et Usuri fluvios ; China boreali, circa Pekin. 0,4—0,8 metr. altum. Folia in parvis 4:8 cent. in angustifolüs 6 : 10,5 cent., in robustis 7—8: 11,5 cent. magna, absque petiolo 5—10 mill. longo, infima internodiis longis sejuncta rite cordatorotundata, 1,5: 1 ad 4, 5:5 cent. magna. Corolla diam. 10—12 mill. Folliculi ad 9 cent. longi, ad 1,5 cent. lati. Si angustifolium et minus tomentosum, (foliis, ut ait Miquel, obverse oblongis v. oblongoellipticis) sistit V. pauciflorum Miq.! Prol. 59 et simul V. atratum glabrius Miq.! Cat. 59. Floris structura à me exacte scrutata in utroque eadem, praeter calycis lacinias in V. paucifloro angus$te deltoideoacuminatas eglandulo- sas, in V, atrato magis lineares, imtus inter dentes glandulis breve bicornibus instructas. Corolla aequi- magna, sed male exsiccata V. pauciflori minor apparet. Corona eadem, lobis in sicco «oblique truncatis» ut habet Miquel, revera concavis incurvis gynostegio vix brevioribus. Ovaria sub anthesi aequecrassa. 8. V. mandshuricum Hce Advers. 28. in Ann. se. nat. 5 sér. V. In Mandshuria australi, ad sinum Ta-lien-whan (R. Swinhoe ex Hance). Non vidi. Ex descriptione Hancei a praecedente differt: fo- lis ovatolanceolatis subtus dense ferrugincotomento- sis, umbellis multifloris, corollae laciniis triangulatis intus pubescentibus extus subglabris, coronae stami- neae gynostegio brevioris lobis transverse oblongis rugulosis et flore ex sicco purpurascentiflavido. Lobis coronae rugulosis et corolla intus pubescente accedere videtur ad V. macrophyllum S. Z. 9. V. macrophyllum $. Z. 1. c. IT. 162. Simplex flaccidum, caule fistuloso basi stricto parte florifera tenui flagelliformi vel subvolubili parce bifariam pube- rulo; foliis basalibus minutis v. caducis, caulinis mediis paucis maximis saepissime approximatis tenue mem- branaceis longe petiolatis ad venas obsolete puberulis | late ovatis ellipticisve rarius angustioribus, basi ro- tundatis vel breve suboblique cuneatis, apice subito acuminatis, floralibus parvis brevius petiolatis ab ovato ad linearilanceolatum mutatis longe acuminatis; cymis interpetiolaribus vulgo geminis, inferioribus fo- lio brevioribus, sammis folia floralia superantibus; pe- duneculo gracili ramoso umbellas plures laxi- et pluri- floras gerente subbifariam puberulo; pedicellis florem duplo superantibus; calyeis corolla plus triplo brevio-" ris laciniis ovato-v. rite lanceolatis glabriusculis; co- rollae atropurpureae intus longissime cinereohirsutae laciniis oblongoovatis-lanceolatisve obtusis; coronae stamineae gynostégium minutum subsuperantis lobis subglobosis verrucosis ; antherae membrana depresso- rotunda; polliniis minutis late oblongis funiculo cor- puseuloque consimili aequilongis : stigmate COnvexIus- eulo 5-angulo; folliculis divaricatissimis linearibus acuminatissimis; semine oblongo. V. acuminatum Miq. Prol. 59. et Cat. 59. — non Decaisne. In Kiusiu silvis vetustis alpinis: Higo-san prov. Higo, Kundsho-san prov. Bungo. Japonice : tsuru-gasiwa (Keiske in hb. Lugd. bat.) Habitus inter omnia peculiaris. Folia maxima ad 11:21 cent. magna, praeter petiolum 3 —4 cent. longum. Peduneuli 3 — 10 cent. longi, umbellae sin- gulae circa 10-florae. Corolla diametro varians à 5 ad 10 mill. Folliculi angulo plusquam 180° divergentes, 7 cent. longi, basi 4 mill. crassi. Semina pauca, 12:9,5 mill. magna, coma duplo breviora. Var. nikoënsis: foliis caulinis interdum minus ap- proximatis floralia magis aemulantibus; eymae petio- lum vix aequantis umbellis approximatis subdensi- et multifloris. V. acuminatum Miq. 1. c. quoad pl. Keiskei. — Franch. Savat. L. e. I. 318. — Ascle- pias nigra. Tsuru-gashiwa, species «hakbi» (V. atrato nempe) affinis. Soo bokf. IV. 28. In Nippon mediae alpe Nikko (J. Keiske, Tscho- noski). Ex prima fronte sat distineta videtur, sed habeo exempla cjus ad typum magis accedentia et inter- media. 10. V. wersicolor Dne 1. ce. 524. — Maxim. F1. Amur. 474. — Cynanchum versicolor Bge Enum. Chin. 44. n. 250.—-Turez. Enum. Chin. L €. n. 137. In China boreali non procul a Pekino (coll. ross.). Ex foliis subeinereis superne puberis subtus to- 365 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 366 mentosis, sat magnis, cymis sessilibus, floribus atro- purpureis, folliculis erassis apice obtustuseulis in men- tem vocat V. atratum, a quo caule gracili apice volu- bili et corolla intus pubescente remotum. Calycis laciniae lanceolatosubulatae pubescentes, co- rolla duplo breviores. Corolla diam. 6 mill., primum sordide virens, dein atrofusca, subrotata, intus minute sat dense pubescens. Laciniae ovatae attenuatae apice obtusae. Corona stäminea gynostegio prominente duplo brevior, atropurpurea, lobi carnosi depressorotundati intus carinati alteque gynostegio adnati. Antherarum membrana loculis angustior, ovata, incurva. Pollinia ovoidea, ex apice pendula, corpusculum angustius, sed aequilongum, ovale. Stigma crassum planiusculum, vix obsolete sulcatum, margine latiusculo obtuse 5-lobo. Follieuli juveniles tantum visi, 2 cent. longi, ovoidei acuminati, demum verosimiliter adhue magis attenuati. Species dubia 11.7 V. multinerve Franch. Savat. 1. c. 319 (no- men). Caule gracili erecto, foliis breve petiolatis ob- longolanceolatis acuminatis subparallele 8— 9 -costa- tis, cymis sessilibus paucifloris, flore parvo . ... In Japonia, unde Tanaka s. n. hosoba-no rokuon- sû 1. e. Vincet. angustifolii specimen 1. vix floribus nondum apertis ad apicem caulis instructum commu- nicavit cum cl. Franchet, in cujus herbario olim vidi et adumbrationen rudem servavi, sed an pubes adsit, adnotare omisi et structuram floris examinare non potul. Species. vix nota, costis foliorum numerosioribus subrectis tamen ab V. japon. purpurascente et V. acu- minalo, quibus affinis videtur, certe distincta. b. Vincetoxica tylophoroidea. Radix et innovatio perennium inter Vancetoxica vera. Caules debiles elongati, saepe orgyales, semper cum ramis longissimis volubiles. Corollae rotatae v. campanulatae lacimis angustis caudatoacuminatis. Pol- linia minuta, mox pendula, mox medio affixa verticalia, mox apice affixa subtransversa. Typus hujus seriei est V. volubile Maxim., polliniis paullo infra apicem affixis pendulis e corpuseulo altius sito quam illa, unde et a Benthamio (in Gen. pl. IL. 762.), etsi pollinia minuta sint, huic generi adseribitur. Reliquae species hic descriptae, quarum una a Miquel Tylophoris adnumerabatur, V. volubili tam arcte affi- nes, ut meras fere varietates ejus diceres. Sed in VF. ambiquo pollinia duplo adhuc minora, magis infra api- cem affixa vulgo pendula, rarius oblique subtransversa in eodem flore, in W. sublanceolato medio affixa verti- calia, corpuseulo tamen demissius posita. Quam ob causam, nec non ob coronae stamineae lobos a dorso compressos, sensu Decaisnei et Benthami Wince- toxico neque Tylophorac adscribenda sunt. Corolla intus pubescens. 2. DIADER see conte 2. Pedicelli flore breviores, corolla sordida diam, » » V. sublanceolatum. V. ambiguum. Pedicelli flore longiores, corolla lactea diam. 10—15 mill. ..... rate et V. volubile. 12. V. ambiguum, Caule pedunculis pedicellisque unifariam, petiolis supra, foliis utrinque pubescentibus, his breve petiolatis e latiore truneata v. rotundata basi anguste lanceolatis sensim longe acuminatis; pe- dunculis numerosis alternis petiolum superantibus umbella pluriflora terminatis (rarius ipsa basi cum ramo accessorio in umbellas paucifloras duas diviso), pedicellis flore brevioribus ; calycis laciniis ovatolan- ceolatis crebre ciliatis corolla triplo brevioribus; co- rollae rotatae intus puberae laciniis anguste triangu- laribus triplo longioribus quam latis; coronae gyno- stegio prominente brevioris 5-partitae carnosae lobis rotundatoquadratis erectis; antherae membrana rotun- data; pollinis obovoideis infra apicem affixis a cor- pusculo consimili aequimagno pendulis vel subtrans- versis, stigmate convexo anguste marginato Crasso; folliculis . . .. Im Kéusiu: in pratis circa lacum ad pedem vuleani Wunzen situm, Statura sequentibus humilius, 0,4 — 0,8 metr. al- tum, quam W. volubile omnibus partibus minus et den- sius pubescens. Folia, sine petiolo 3 mill., non ultra 1:7 cent. magna, vulgo minora. Corolla diam. 9 mill. sordide lutescens. Pollinia cum corpuseulo et funicu- lis breviora quam 0,25 mill. 15. V. volubile Maxim. Prim: fl. Amur. 195. Ela- tum, pube praecedentis parciore demum obsoleta, foliis infimis basi cordatis ovatolanceolatis, reliquis .vel omnibus e basi truncata summisve rotundata lanceola- tis vel saepius linearilanceolatis longe acuminatis; pe- dunculis interpetiolaribus alternis petiolum duplo su- perantibus umbellam paucifloram gerentibus; pedicel- lis florem superantibus; calycis laciniis ovatolanceolatis corolla rotata intus pubescente lactea laciniis lanceo- 367 Bulletin de l’Académie Impériale 368 latis longe acuminatis triplo brevioribus; corona gy- nostegio prominente breviore 5-fida lobis carnosis ovoideis in apiculum attenuatis; antherae membrana rotundata; polliniis ovalibus infra apicem affixis a corpuseulo simili aequilongo pendulis; stigmate con- vexo leviter bilobo anguste marginato 5-lobo; follicu- lis e cylindrica basi utrinque basi breve apice longis- sime attenuatis divaricatis; semine ovatooblongo atte- nuato anguste marginato disco minute dense punctato. Rgl. F1 Usur. n. 334. — Herd. PI. Radd. n. 102. — Asclepiadea incerta Oliv. in Journ. Linn. soc. IX. 166 (ex descript.). | Hab. in Mandshuria secus Amur fl. à montibus Bureicis ad ostium Gorini fl. rarum, secus fl. Usuri et Suifun sat frequens, circa portum St. Olgae, nec non in archip. Koreano: Long Reach (0ldham, ex Oliver Le.). Folia variant forma et magnitudine: 1:7 cent., 158: Llcent., 2,9 : 7 cent., 2 : 14 cent., 3 : 12 cent. Corolla diametro 12—15 mill. Pollinium cum caudi- culis et corpusculo 0,5 mill. altum. 14. V. sublanceolatum: Elatum pube praecedentis, foliis petiolatis cordato- vel truncato-ovatis ovatolan- ceolatis elongato-lanccolatisve longe acuminatis ; pe- dunculis numerosis ut in praccedente praeter umbel- lam plurifloram alteram sessilem gerentibus vel raris- sime ramosis (umbellis 3 — 4 paucifloris); pedicellis flore majusculo glabro saepe duplo longioribus; caly- cis laciniis ovatolanceolatis corolla rotata laciniis lan- ceolatis longe acuminatis quadruplo brevioribus; co- ronae gynostegio duplo brevioris 5-partitae lobis late deltoideis dorso ad basin gibbis; antherae membrana depressorotundata; polliniis stigmateque praccedentis; follieulis linearilanceolatis acuminatis abortu (an sem- per) solitariis. a. typicum: folia angustiora utrinque pubescentia, corolla vix 10 mill. diam. fuscopurpurea vel rarius sordide lutescens, subcampanulata. Tylophora sublan- ceolata Miq. Prol. 60. In Nippon: fruticetis cirea Yokohama, montibus Hakone (Savatier K 831. s. n. T. japonicae). 8. macranthum: folia latiora ad marginem venasque pubescentia, corolla diam. 15 mill. favoviridula rotata. In Nippon boreali: Nambu, Yezo: circa Hakodate, Kamida, Arigawa. Omnibus punctis V. volubili simile, sed corolla gla- bra coronaque nana distinguendum. Species mihi ignota. 15? V. chinense L. M. Moore in Trim. Journ. bot. IV.228.(1875.). — In China centrali circa Kiu-kiang legit Dr. Shearer. Describitur volubile. Petioli 2 — 3 lin. longi, folia 8—15 lin. longa, prope basin 3—12 lin. lata, cordato- ovata acuminata, supra puberula, subtus crispe pu- bescentia fere tomentosa. Flores axillares. Pedicelli graciles petioli fere longitudine. Calycis lobi subulati, corollae laciniae triplo longiores obtuse oblongae. Lobi coronae carnosuli gynostegium acquantes. Pollinia in- fra apicem affixa caudiculis brevissimis. Stigma pel- tatum, obtuse 5-lobum. Folliculi acuminato-oblongi, cireiter 3 unc. longi, glabri. Ex hac nimis brevi descriptionc, affinitas an sit cum Tylophoroideis, an potius cum W. versicolore, an ex foliorum forma et floribus axillaribus cum Tylo- phova aristolochioide, mihi non patet, neque ulla spe- cies affinis ab auctore comparatur. Cynoctonum E. Mey. A Benthamio jure forsan Vincetoxico subjungitur. Sed in nostratibus corona sacpissime gynostegio altior et semper ab illo, praeter ipsissimam basin, ubi circum- cirea inseritur, libera est, neque cum filamentis me- diante crista loborum connata. Quo signo, nec non corona saepissime membranacea (quae in Véncetoæicis carnosa , quotquot species examinavi) commode dis- tinguis. IHerba erecta, folia corollaeque laciniae lineares, corona campanulata 5-loba lobis angustis.... ©, roseum. Volubilia, corollae laciniae oblongae vel ovato- oblongae. 2. 2, Folia rotundata profunde auriculato-cordata su- bito acuminata, corona gynostegio brevior lo- bis 5 rotundatis Folia angusta, corona gynostegio longior 10- ni loba. 3. . Folia oblongo-elliptica, lobi coronae 5 acuti, 5 truncati nani Folia lanceolata vel sagittata, lobi coronae ac- QUALES se si. sens e-ecehessessseberse C. insulanum. 1. C. roseum Dne in DC. Prodr. VIII. 532. — Ledeb. FI. Ross. III. 47. — Turez. FI. Baic. Dah. II. 245. — Maxim. F1. Amur. 196. 474. — Herd. PI. Radd. 143.— Trtv. Mongol. n. 71.— Cynanchum ros. RBr. in Wern. soc. I. 47. — Asclepias purpurea Pall! It. III. 260. In F1. Baicalensi-dahurica, Mandshuria ad Amur C. Waford. O2 C. formosanum. 369 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 370 a —————_——…—…—…—…—…—…—…—…—…—…—— —— ——_——2a——— superiorem, Mongolia orientali et China boreali non procul a Pekino. Corollae ad basin partitae laciniae lineares obtu- sae. Corona staminea corollà Ÿ, vel Ÿ, brevior, mem- branacea, tubulosocampanulata , mox fere ad medium 5-loba, mox 5-crenata lobis staminibus oppositis an- guste vel late deltoideis acutiusculis dorso convexis in cristam tubi convexam abeuntibus, ita ut tubus ele- ganter 5-plicatus sit; rarius in sinubus coronae occur- runt denticuli breves adventitiüi. Gynostegium plus duplo brevius, antheris filamentum superantibus pyra- midato - conniventibus, membrana ovata obtusissima. Stigma conieum obtuse bilobum 5-angulum. Pollinia ovalia corpuseulo aequimagno et quoad formam con- simili caudiculis brevioribus infra apiceni ipsum ap- pensa. 2, €, Wilfordi, Volubile caule tereti umbellisque uno latere tenuiter puberulis; foliis longiuscule petiolatis profunde auriculato -cordatis cordatoovatisve subito breve cuspidatis superne adpresse subtus ad venas patule pilosulis pallidisque; pedunculis petiolo brevio- ribus umbella multiflora simplici vel binata termina- tis; pedicellis forem campanulatum superantibus; ca- lycis laciniis ovatolanccolatis glabris triplo quam co- rolla intus puberula laciniis ovatis brevioribus; coronae albae membranaceae phyllis truncato-rotundatis basi attenuatis erectis a gynostegio aequialto liberis. ÆEn- dotropis auriculata Franch. Savat. I. €. [. 319., nec Dne. In Nippon: fruticetis circa Yokohama (ipse) et Yo- koska (Savatier! n. 832), Korea: portu Chusan (Wil- ford! s. n. Cynanchi aff. Bungei). Quoad staturam et folia simillimum Cynancho cau- dato vel Cynoctono paucifloro Dne, sed flores diversis- simi, structurà illis Cynoctoni maritimi (Seuterac Rchb., Vincetoxici Bth. Gen. pl. IT. 762.) simillimi °). Petioli 4 cent. longi, sulco parce puberuli, demum praeter basin glabrati. Lamina foli ad 8 : 10 cent. sinus basalis versus petiolum dilatatus, auriculae ro- 6) Seutera maritima Rchb., quam Decaisne I. c. 590. quoad floris structuram iterum examinandam esse declarat, «quoniam in flore silente observavit » ex disquisitione mea (Lindh. PI. Texan. coll. 1. 119.) florem habet ut sequitur. Flos illo C. Wälfordi vix mi- nor, glaber. Phylla coronae ipsa basi tantum conjuncta, fere libera, quam in nostra paulo crassiora, rite ovata, erecta, staminibus lon- giora, stigmate breviora. Antherae sessiles. Stigma conicum, altius quam in C. Wäfordi. Pollinia anguste oblonga, subcompressa, cau- diculis brevissimis crassiusculis suspensa, corpusculum duplo brevius. Tome XXII. tundatae, nervi sub 5, practerea costae laterales nervi medii utrinque subbinae, reticulum laxum, subtus parum prominulum. Umbella vulgo simplex, rarius adest accessoria valde approximata sessilis. Pedicelli 7 mill. longi, uno latere ut pedunculi puberuli. Flos 4 mill. longus, calyx 5-partitus, corolla ad basin par- tita virescens, laciniis conniventibus, praefloratione contortis, pube interna minutissima. Phylla coronae basi margine angustissimo conjuncta, ceterum à gy- nostegio et inter se libera, petaloidea. Gynostegium basi constrictum, antheris nempe extus tumidis quam filamenta crassioribus, loculis subparallelis, membrana acute ovata. Pollinia ovoidea caudiculis non multo brevioribus ex apice suspensa, corpusculum fere ae- quilongum. Stigma basi 5-angulo-pyramidatum, sur- sum late conicum, attenuatoacutum. Ovaria laevia glabra. 3. C. insulanum Hance in Seem. Journ. bot. VI. 1868. 330. In Chinae australis insula Hainan (R. Swinhoe ex Hance). Non vidi. Foliis anguste lanceolatis vel hastata cordatave basi subtriangulo-lanceolatis, calycis laciniis ovatis, corol- lae laciniis oblongis, corona aequaliter 10-fida a se- quente abunde, nec non à C. angustifolio Dne, qua- cum ab autore comparatur, distincta videtur. Folia cum illis Cynanchi hastati quoad formam conferuntur, sed lobi basales minus expressi dicuntur. 4. C. formosanum, Volubile glabrum, foliis longius- cule petiolatis oblongo- vel rite ellipticis utrinque acu- tis carnosulis obscure venosis, axillis passim diphyilis: foliolis minutis rotundatis; pedunculis subinterpetio- laribus alternis umbellas paucifloras racemosas geren- tibus pedicellisque flore brevioribus pulvereopuberu- lis; calycis lacinüis rotundatis ciliatis plus triplo bre- vioribus quam corolla carnosa rotata glabra partita in lacinias ovatas obtusiusculas:; corona a gynostegio bre- viore basi constricto ceterum conico sublibera breve tubulosa 10-loba 5-plicata: plicis introflexis in lobos ovales apice incurvos stamen oppositum superantes, extus flexis in lobos subobsoletos plicatorepandos ab- euntibus. In ins. Formosa, prope Tamsuy (0Oldham n. 333.). C. Callialatae Dne quoad habitum, C. angustifolio Dne quoad coronam affine, a priore foliis haud corda- tis, inflorescentia petiolum subsuperante non simpli- 24 371 Bulletin de l’Académie Hmpériale 372 citer ambellata et coronae fabrica, à posteriore (a me sterili tantum viso: Wt herb. propr. n. 1553.) folio- rum forma, peduneulis elongatis, stigmate integro non apiculato distinctum. Planta ex exemplis examinatis alte volubilis. Cau- les vetustiores pennam corvinam crassi petiolique su- perne sub lente valida passim pilis brevibus paucis obsessi, 1— 1,5 cent. longi. Lamina 1,8 : 4 cent. ad 2,5 : 7 cent. magna. Corolla diametro 8—9 mill., in sicco fusca, corona brevior alba fuisse videtur. An- therae membrana depressorotundata. Pollinia globoso- ovalia caudiculis late triangulis fere toto latere affixa, a corpusculo majore obovato pendula. Stigma con- vexum integrum, basi obscure 5-angulum. Cynanchum Li. Endotropis Endl. a Benthamio cum Cynancho jungitur, neque revera generice diversum videtur, et- si in nostris coronae fabrica petalisque reflexis a Cy- nanchis nostratibus optime distinctum apparet. Sed in ÆE. Jacquemontii Dne in Prodr. 1. c. 547. (Cynancho Jacquemontiano Dne in Jacquem. Voy. tab. 112.) petala patentia et coronae tubus altior laciniis sinu- busque fere Cynanchi acuti L., neque desunt sine du- bio species aliae ambiguae inter utrumque genus. Cynanchum: petala patentia, tubus coronae gynostegium aequans. Corona corollam aequans laciniis stamina spectanti- bus filiformibus longissimis. Folliculi angulo 45° diver- gentes augustissime Jineares longissimi ............. C. pubescens. Corona corollà multo brevior, laciniis stamina spec- tantibus tubo aeque vel duplo longioribus. Folliculi diVArICATISSIMINCTASSIe eee memes esse C. acutum. Endotropis: petala reflexa, corona gynostegium vix superans tubo vix ullo 5-partita. Folia cordata subito caudatoacuminata, umbella glo- bosa multiflora, phylla coronae obtusiuscula ligula DIÉVISSIMAODIUSA 2 cms oc C. caudatum. Folia sagittata acuminata, umbella hemisphaerica pluriflora, phylla coronae acuminata ligula acuta .... C. Bungei. a. Cynanchum. 1. C. pubescens Bge Enum. Chin. 44. (1832.) — Dne IL. c. 548. — Turecz. Enum. Chin. n. 136.— C. deltoideum Hance Advers. 29. (ex descriptione). China boreali, in sepibus prope Pekinum (coll. ros- siei), in valle #. Hoang-ho jugo Muni-ula vel In-shan (Przewalski), prov. Kansu (Piasezki), Mandshuria australi, ad sinum Ta-lien-wan (Swinhoe ex Hance: C. deltoid.). Signis in clavi analytica indicatis, nec ullis aliis a sequente diversum. À Decaisneo incano-velutinum dicitur, sed hoc non semper valet imo de surculis juvenilibus, planta adulta vero non raro fere glaber- rima fit. Folia tamen nunquam alia quam cordata. Calycis laciniae ovatae obtusae ciliatae, cum glan- dula parva lineari in sinubus. Corolla alba, diametro 10—12 mill., fere ad basin 5-partita, laciniis carnosu- lis oblongolinearibus obtusis. Corona erecta, corollae aequelonga, 10-fida, 5-plicata, tubus gynostegio sub- acquialtus, plicae extus flexae staminibus alternae ad basin usque à gynostegio liberae ovatae acutiusculae vel (in planta Przewalskii) obtusae dentatae vel acute bifidae, laciniae stamina spectantes intus supra basin tubi cum filamento connatae, subulatofiliformes tubo 4-lo longiores, complicatae, cum ligula interna con- simili, sed ‘/, breviore. Antherac filamento aeque cras- sae et longae, membrana ovatorotunda. Pollinia ovalia corpusculo ovato duplo minori, caudiculis brevibus in- fra apicem suspensa, a se invicem ?, mill. Stigma basi } 5-angulum, convexum, obscure bilobum. Folliculi sae- pissime singuli, dum gemini angulo circa 45° patuli, 12 cent. longi, clausi 3 mill. crassi, lincares longis- sime attenuati. Diu ante Bungeum a R. Brown (Wern. soc. [. 44. 1811.) descriptum est, ex eadem provincia Petchili a Staunton allatum, C. chinense R. Br. cum diagnosi: «foliis ovatis cordatis: acumine brevi, laciniis corollae «lanceolatolinearibus acutis, coronae laciniis 5 exte- «rioribus compressofiliformibus integris.» Decaisne 1. e. 548., qui specimen vidit, addit, folia esse glaber- rima tenuia, petiolos graciles longiusculos, pedunculos folio breviores, antherae membranam coronae tubum superantem (quod passim ita vidi et in C pubescente). Ex hac descriptione unica differentia perspicitur in pe- talis, quorum forma tamen adeo variabilis: R. Brown L €. in ©. monspeliaco v. gr. lanceolata obtusiuseula dicit, Martens (Reise n. Venedig IT. tab. 7.) lincari- oblonga obtusiuscula delincavit, Decaisne, qui cum C. acuto junxit, ovatooblonga subemarginato -obtusa habet. Quibus omnibus perpensis planta Browni vix non eadem, tune vero species C. chinense KR. Br. vo- canda erit. 2, C. acutum L. Cod. 1754. — Dne I. €. 547. — Ledeb. FL ross. III. 47. 8. longifolium Ledeb. 1. c. 48. — C. longifolium Martens F1. veneta in Reise n. Venedig. IL. 570. (1824) tab. VI. — Dane I. c. — C. acuminatum Moric. 373 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 374 0 ex Martens, nec Thbg. nec H. B. in R. S. Syst. VL 111. (a Decaisne 1. e. omissum). — Coronae ligulis internis nanis tubum non vel vix superantibus, laciniis externis saepe abbreviatis, foliis longius hastatis. In Mongoliae centralis jugo Ala-shan nec non in deserto aridissimo adjacente (Przewalski), Songaria, Sibiria Altaica, Turkestania, Rossia australi nec non regione #editerranea passin. ; Species haec, cum formis C. monspeliaco L. et C. longifolio Martens, mirabile exemplum praebet, quo modo corona in nonnullis hujus generis speciebus va- riare potest. Primum hae formae ex solis foliis valde variantibus diversae credebantur, donec Martens figu- [ \\! | l | \ } | LS | ) ml ph EH be : ? _È* Ë Fe 5 À 4 | Î {| /| | Î | | ? | | | \ J JA | (l | [ f — T\ ee | A le MERE YA | / [ | 8 | 7 6 | | | \ U Î | | | | ET STATE NTOE \ | \ | | 147) | Explice. figurarum. In omnibus corona vel pars ejus delineata est, explicata et à facie interna visa, remotis staminibus, quorum loci sub lobis perspiciantur. Fig. 1. Spec. hispanicum (Catalonia, Costa) foliis subsagittatis, C. acuti typici. Coronae pars delineata sat congruit cum fig. Rchb. Ic. fl. Germ. tab. 1570., sed in hac lobi exteriores longiores (tubum fere duplo superantes) et sinus repandi. Fig. 2. PI. graeca (Athenae, Heldreich) foliis rite cordatis C. acuti typici. Corona tota delineata cum stamine 1 adnato ceteris remotis. Stamina inter se libera erant! Fig. 3. ex spec. Karelin. e Turcomania, a Decaisne C. longi- folio adscripto (ob foliorum formam et patriam Asiam). Coronä et ad 3. b. gynostegium basi constrictum. Fig. 4. et 5. spec. caspieum (Uralsk, Burmester) foliis cordatis. Coronae e floribus ejusdem speciminis, 5. a. lacinia calycis cum glandulis, 5 b. anthera a ventre, 5.c. pollinia cum mensura trans- versa eorum ‘/, millim. Coronac delincatae sat exacte referunt C. tongifolium Martens 1. c. tab. VI. Fig. 6. E spec. altaico (Ledebour) solito magis grandifloro, fo- liis subsagittatis. Ad G.b. pollinia oblique pendula, ‘/, mill. Figura ris optimis et descriptione exactissima signa à corona deprompta adhibere conatus est. Decaisne, qui opus Martensi non vidit, ©. longifolium ejus, de quo ex Ferr. Bull. bot. notitiam habuit, pro specie distincta agnovit. Ledebour non sine dubio pro mera varie- tate sumpsit, sed coronae fabricam ex planta viva quoad constantiam probandam reliquit. Equidem, structura paradoxa plantae mongolicae motus, varia specimina e diversis locis exacte dissecavi, e quibus coronas sta- mineas passimque alias partes delineavi et in figuris adjacentibus ita disposui, ut coronae lobis longioribus praecedant et paullatim ad brevius lobatas progre- diatur. E — —— u Il [ 19. 3nill m / Fi \ f ( Ca) [ X ses | \ (Re * | 1.8. 5 a j (| On C. acuti Martens I. ce. tab. VIL satis convenit, habet tamen lobos exteriores acutos, interiores tubo longiores, sinus obtuse deltoi- deos. Fig. 7.8. ex variis floribus spec. songarici foliis subsagittatis (ad Tentek, Schrenck). 7.b. gynostegium valde constrictum, 7. €. sta- men a ventre. 7.d. pollinia 4/, mill. Fig. 9. Songaria (ad Balchasch, Schrenck) foliis sagittatis. Lobi interiores medio tubo vix plicato inserti, tenue membranacei adpressi, primo aspectu deficientes. Fig. 10. e Rossia australi (ad Tanain fl. prope Nachitschewan, Pabo) foliis cordatis, gynostegio basi vix constricto. Fig. 11. e Mongolia (Alashan, Przewalski) foliis sagittatis. Delineatus est flos integer (duplo minus auctus quam corona ex illo), corona tota. Gynostegium hujus basi non constrictum, stamen rectum ut in fig. 5. b., pollinia ut in fig. 6.b. Huic sat similis est figura C. monspeliaci apud Martens I. c. tab. VIL, in qua tamen tubus coronae triplo longior quam lobi et sinus inter lobos bilobi. Fig. 12. e Songaria (Schrenck n. 176) foliis sagittatis. Omnium maxime paradoxum: lobi interiores nulli, sinus angustissimi, lobi exteriores latissimi trilobi, sed cetera omnino ut in reliquis. 24% 375 Bulletin de l’Académie Empériale 376 æ Patet vero ex his figuris, coronae conformationem tam variabilem esse, ut species ab aütoribus propositae vix varietates considerandae, nam lobi externi et interni non solum quoad longitudinem variant, sed etiam quoad formam: acuti, obtusi, plani, coneavi, subulati, deltoidei vel interiores obsoleti v. nulli, In universum coronae orientem versus magis et magis brevilobae fiunt, oc- currunt tamen brevilobae et in occidente (conf. fig. Martensi sub nostra fig. 11. citatam). Variat etiam gynostegium, basi non constrictum (fig. 1.2. 4.5. 10. 11.) vel conspicue, imo valde constrictum (fig. 3. 7 — 12.), unde stamina subrecta v. eurva esse possunt (2. b.,7 c.), filamentis usque ad loborum originem adnatum U vel ab illis liberum (in 3.). Stamina fere semper inter se connata, sed libera inveni in 2., spec. graeco. Pol- linia variant longitudine %, — *, millim., verticaliter vel oblique pendula. Sed hae variationes minime paral- lelae sunt cum formis foliorum vel coronae. b. ÆEndotropis. 3. C. caudatum. — Endotropis caudata Miq. et E. auriculata Miq. Prol 59, 60. nec Dne. — J. Keiske. Icon. 46. — Urostelma Ikema Siebold Toelicht. 161. 2. (ex patria). — Ikema. Soo bokf. IV. 38. In Yezo, circa Hakodate sat frequens, in Nippon: prov. Nambu (Tschonoski), circa Yokohama, in jugo Hakone. Simillima Æ. auriculatae Dne, quam ex India bo- reali a Royle et Falconer collectam vidi, quae dif- fert umbellis plurifloris nec dense multifloris, subhe- misphaericis neque globosis, floribus majoribus, petalis patentibus neque reflexis, coronae phyllis obtusis nec acutiusculis, lacinula interiore minore et demissius in- serta. Ramuli C. caudati unifariam puberuli. Folia pro- funde late cordata v. cordatoovata, subito caudato- acuminata cuspide acutissimo, basi leviter auriculata et in petiolum brevissime cuneata, superne parce ad- presse pilosa. Umbellae longe pedunculatae, Flores in- odori, 7 millim. alti. Petala virescentia intus puberula. Corona staminea erasse carnosa, phylla dorso leviter sulcata, ex basi attenuata ovoidea, apice obliqua quasi truncata intusque concava et denticulo acuto promi- nulo instructa. Pollinia ovaliglobosa, corpusculum mi- nus late ellipticum. Folliculi 9 cent. longi, 0,8 cent. crassi, utrinque apice longius acuminati, omnes a me visi solitarii. Ex icone optima Keiskei radix tuberosa napiformis, fere pollicem crassa fibris paucis obsessa. E. caudata Miq. et auriculata Miq. ex fragmentis singulis herb. Lugd. bat. descriptae, ad candem plan- tam pertinent, cujus ramulus foliis angustioribus Æ. caudatam, pars e medio caule demta Æ. auriculatam Miq. sistit. 4. ©. Bungei Dne 1, €. 549. — Asclepias hastata Bge 1 ec. 43. n. 146. — Symphyoglossum hastatum Turez. in Bull. Mosc. XXL. 1848. In China boreali (coll, ross.) Corona staminea omnino Ændotropis. Phyllum basi quasi breve petiolata stamini adnatum, tune hastato- dilatatum acuminatum, intus prope basin ligula car- nosa acuta multo breviore instructum. Pollinia obo- vata, ita ut corpusculum subaequilongum. 1. p. 255. Metaplexis R. Br. Petala arcuatopatentia, sulcata, intus longe hirsuta. Corona staminea e phyllis nanis rotundatis concavis carnosulis inter filamenta brevissima positis antherarum bases vix attingens. Antherac filamento multo longio- res, membrana cordatoovata acuminata. Pollinia ovalia majuseula, infra apicem caudiculis breviusculis affixa, corpuseulo ovato. Stigma conicum filiformiacuminatum, apice fili flexuoso bilobum, lobis primum conglutinatis demum patulis. Folliculi abortu solitarii crassi laeves, acuminatolanceolati cum apiculo reeurvo. Semina ova- planocompressa, hine 1-costata, circumcirca ala disco subtriplo angustiore basi dentata cincta, utrmque laxe elevatoreticulata. Species unica: M. Stauntoni R. S. Syst. VI. 111 (1820). — Maxim. F1. Amur. 196. — Franch. Savat. 1. c. I. 316. — M. chinensis Del. ec. 511.—Sieb.Zuec.L.c.161.— Miq. Prol. 58.— Urostelma chinense Bge I. c. 44. — Pergularia japonica Thb! F1. Japon. 111. — Gaga imo. Soo bokf. IV. 36. — Metaplexis rostellata Turez. in Bull. Mosc. XXI. 1. 253 In tota Japonia fruticetis frequens, in China bo- reali (Fortune A. 87.): circa Pekin (coll. ross.), in Mandshuria: a finibus Koreae secus fl. Suifun, Usuri, Sungari ad Amur australem, frequens. Planta a R. Brown et Decaisne examinata fores vix apertos stigmatis lobis conglutinatis, specimina Turczaninowi corollas plena anthesi collectas lobis stigmatis patulis habebant, quae posterior sistit 27. «)e 377 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 378 rostellatam. Klores non ingrate odori, sordide rosei vel albi (AZ. rostellata Maxim. FI. Amur.) vel albidi basi et medio petalorum lijacini (haec e Yokohama et Pekino). Rhizoma tenue laeve breve subverticale, fibris ra- dicalibus paueis subhorizontalibus erassiuseulis. Folia lividoviridia subtus glauca, caulina infima oblonga vel ovatooblonga, basi truncata, apice rotundatoobtusa, sequentia similia sed leviter cordata et apiculate, tune profundius cordata apice subito acuta, reliqua multo numerosiora cordata vel ramorum cordatoovata, sat longe acuminata. Folliculi ultra bipollicares. 4. Marsdenieue. Pentasacme Wall. P. Championi Bth.. in Kew Journ. V. 54. — F1. Hongk. 228. Hongkong (Wright, Hance, Forbes). Gymnema KR. Br. G. affine Dne 1. e. 622. — Bth. F1. Hongk. 227. Hongiong (Wright, Forbes), Macao, in fruticetis (Hance). Tylophora R. Br. Coronae stamineae lobi in nostris mox erecti, a dorso compressi (species 3 primae), illis Vincetoæici igitur simillimi, mox depressoglobosi patentes corollae incumbentes. Pollinia in T. japonica et T. hispida trans- versa in caudiculis erectis, in 7. Tanakae et T. flori- bunda pollinia et caudiculae transversae, in 7. aristo- lochioide caudiculae transversae, pollinia apice ipso affixa pendula, sed, quum globosa et minutissima sint et corona staminea à Vinceloxicis nimis differat, huc collocavi. Folia basi cuneata . T. japonica. truncata vel cordata. 2. . Dense pubescentes. 3. Fere glabrae. 4. 3. Folia cordatoovata acuminata utrinque hispida. T. hispida. Folia orbiculatoovata vix cordata subito bre- vissime cuspidata supra glabra T. Tanakae. 4. Folia truncata acuta, corolla intus glabra ... T. floribunda. » cordata acuminata, corolla intus longe pilosa 1. T. japonica Miq. Prol. 61. — ($ 1 Dne) Volu- bilis, caule glabro tereti; foliis membranaceis petio- latis petiolo laminaque superne hac ad costam pube- rulis ellipticis vel subovato- vel sublanceolatoellipti- cis basi obtusis apice breve mucronatoacuminatis; pe- » » T. aristolochioides. duneulis glabris folio brevioribus gracilibus post par- tem nudam petiolo plus duplo longiorem squarrose semel vel bis 2—3-chotomis ramis brevioribus v. alternis subnullis umbellas paucifloras gerentibus, pe- dicellis flore brevioribus; calycis laciniis ovatis acutis ciliatis corolla glabra sordide lilacina 5-fida plus triplo brevioribus, hujus laciniis. ovatis acutiusculis; corona erecta 5-partita gynostegio fere duplo breviore lobis orbiculatis obsolete apiculatis planis; antherac mem- brana depressa truncata: polliniis ovalibus in caudicula erecta transversis corpuseulo ovato; stigmate hemi- sphaerico: folliculis abortu solitariis e lanceolata basi acuminatis. Kiusiu: in fruticetis montium et vallium circa Inassa et Akano-ura prope Nagasaki, parce; in m. Ka- wara (Siebold! in hb. Lugd. bat.). T. Iphisiae Dne habitu proxima et flores subaequi- magni, sed folia majora, non coriacea nec ovata, pe- duneuli et pedicelli non crassi, coronae lobi haud acu- minati. 7. longifolia Wt., ex descriptione, foliis an- gustioribus et longioribus (1!/, : 8 unc.) differre videtur. 9 Frutex orgyalis caulibus vix 2 mill. crassis. Petioli inferiores ad 18 mill., superiores 5 mill. Lamina prio- rum 3:8—3,5:9,5 cent., posteriorum 1 : 3,5 cent. magna, opaca subconcolor, costae parum distinctae utrinque subsex. Corolla diam. 7 mill., pelviformis, crassius membranacea, laciniis 5-nerviis. Pollinia a sinistro ad dextrum transverse mensa 0,5 mill., illis T. TIphisiae igitur, de quibus Wight (Contrib. 49) ait, multo majora esse quam Tylophorarum genuinarum, aequalia. Folliculi 5 cent. longi, basi (si !, partem folliculi dehissi metior) vix 5 mill. lati. 2, T. hispida Dne L €. 610. — Bth. FI Hongk. 225. c. synn. In China australi circa Canton (Callery ex De- caisne), Hongkong, vulgaris (Hance, Wright, For- bes), Formosa (0Oldham, n. 326.). Ex Decaisneo coronae phylla gynostegio breviora basi dilatata, et species posita est in serie ubi phylla erecta curvata, acuminata, introrsum cuspidata postu- lantur. Ex Benthamio lobi coronae vix ad bases an- therarum attingunt, breves, orbiculares, glanduliformes. Ipse lobos video cum Benthamio bases antherarum attingentes, stamine angustiores, rotundatodeltoideos acutos, basi extus tumidos. Antherae filamento ses- 379 Bulletin de l’Académie Himpériale 380 ——————————— quibreviores. Stigma 5-lobum planum, centro conve- xiusculum et leviter sulcatum. 3. T. Tanakae Maxim. in Fr. Sav. 1. c. 316. (no- men). ($ 3. Dne) Volubilis, caule tenui petiolis pe- duneulis foliisque subtus crispe dense pubescentibus; folüs petiolo 4-lo longioribus orbiculatoellipticis ro- tundatoovatisve basi truncatis v.subcordatis apice subito brevissime cuspidatis discoloribus chartaceis superne praeter venas puberulas subglabris; pedunculis inter- petiolaribus alternis filiformibus folio brevioribus um- bellas subbinas alteram sessilem prope basin gerenti- bus gracilibus; calyeis pubescentis laciniis ovatis acu- tis corolla subrotata glabra plus triplo brevioribus, hujus laciniis ovatis acutiusculis; coronae phyllis gy- nostegio subduplo brevioribus ecarnosis ovoideoconi- cis acutis; antherae membrana depressorotundata : polliniis ovalioblongis minutis cum caudicula brevi transversis corpusculo subquadrato fere 3-lo majori- bus; stigmate convexiusculo. Tsuru-mo-urinkuwa, Soo bokf. IV. 34. (fig. bona.) Japonia (v. in hb. Franchet à Tanaka commun. sub nom. Zsuru moôrinkwa spec. 1. floribus praeter unieum abortivis.) Exemplum visum fere 0,4 metr. longum. Caulis teres, 1 mill. paullo crassior, pilis crispis ejus diame- trum fere aequantibus subappressis sat dense vestitus. Petioli 4—7 mill., lamina 21—22 : 30 mill., in sum- mis 10:15 mill. magna, costae utrinque 3 — 4 parum distinctae, prope marginem arcuatim conjunctae. Pe- dunculi saepe basi ipsa et infra medium umbelliferi, sed florum loco in spec. suppetente bracteae fere so- lae evolutae. Flos 1 superstes pedicello 4 mill. longo parce puberulo suffultus. Corolla diam. 6 mill., in sicco sordide lutescens. Affinis 7, hispidae Dne et praesertim 7. asthma- ticae W.A. Prior pube hispida patente, foliis utrinque hispidopilosis cordatoovatis acuminatis, pedicellis flore 3 — 4-lo longioribus differt, sed flores subaequimagni et pollinia similia. 7. asthmatica, quoad pubem nostrae affinior, abhorret foliis fere T°. hispidae, flore fere duplo majore, polliniis globosis. Coronae structura, quantum ex unico flore judicare possum, in 7. Tanakae fere eadem ac in 7. lispida. 4. T. floribunda Miq. Prol. 60. Volubilis, caule suleato tenui glabro; foliis membranaceis ovatis trun- perne ad costas marginemque puberulis; cymae alter- nae folium superantis laxiflorae ramis elongatis pedi- cellis florem superantibus per 2—3 aggregatis ad in- tervalla obsessis; flore minuto toto glabro atropurpureo; calycis 5-fidi laciniis deltoideis acuminatis corolla 5-fida duplo brevioribus, hujus laciniis ovatis acutis; gyno- stegio nano coronae lobos depressoglobosos patentes duplo superante; polliniis ovalibus minutis candiculas superantibus transversis corpusculo punctiformi; stig- mate stellato-5-fido convexiusculo. Japonia: Siebold olim Dezimae coluit s. n. 1yo kadzura (v. hb. Lugd. bat.), mihi spec. 1. Yokohamae attulit collector meus. Ob coronae phylla corollae incumbentia subglobosa cum 2, aristolochioide vix non seriem propriam con- stituit, ab illa vero bene differt folio nec profunde cordato nec acumipato, corolla glabra, gynostegio mi- nus depresso polliniorumque fabrica. A T exili Colebr., quacum bene comparat Miquel, foliis basi haud ro- tundatis nec ad Himbi ortum glanduliferis, praeter alia signa, distinguitur. A Miquel bene descripta, sed folia majora 3- pollicaria. Corolla diam. 4 mill. brunneopurpurascens. Corona atropurpurea intus filamentis adnata. Antherae filamenta aequantes, totae e corona exsertae, mem- brana depressorotundata hyalina. Pollinia transverse cum caudiculis brevioribus 0,25 mill. metientia. 5. ©. aristolochioides Miq. 1. e. 61. Volubilis, caule filiformi 1-fariam petiolis superne foliis supra ad margi- nem et utrinque ad costam puberulis; foliis tenue mem- branaceis longiuscule petiolatis e basi auriculatocordata ovatis longe acuminatis; eymis mox folio brevioribus laxifloris peduneulo a basi divaricatoramoso umbellulis paucifloris, mox contractis subdensifloris petiolo triplo brevioribus; pedicellis forem superantibus; calycis glabri corolla triplo brevioris laciniis ovatolanceolatis, corollae rotatae sordide violaceae, intus longe pilosae laciniis oblongo-v, rite ovatis; coronae nanae gynoste- gio depresso vix brevioris lobis carnosis globosis pa- tentibus corollae incumbentibus; polliniis minutis glo- bosis apice caudiculae longiori affixis pendulis corpus- culo punctiformi; stigmate plano 5-lobo; folliculo e basi lineari-lanceolata acuminatissimo. Vincetoxicum£ micranthum Sieb. Zucc.! 1. ce. IT. 163. (nomen). — Lyo kadsura. Soo bokf. IV. 35. (opt.) catocordatis apice mucronatoacutis cum petiolis su- | Nippon: circa Yokohama fruticetis rara (ipse), alio 381 loco, nec non ad pedem Fudzi yama (Tschonoski), Kiusiu: in m. Suke yama prov. Higo (Siebold), circa Nagasaki, in declivitate sicca ad Tomats inter frutices, nec non inter gramina elata Yuwaya yama, semper sat rara. 1 metr. ad minimum alta, tota volubilis. Petiolus foliorum inferiorum 2 cent., lamina (infimorum pas- sim subhastatocordata) 4: 11 cent., mediorum 5 : 9,5, superiorum 2:5 cent. magna. Corolla diam. 4—6 mill., sordide violacea, dilute purpurea v. sordide purpurascens. Corona atropurpurea. Pollinium à pol- linio vix !/, mill., caudiculae horizontales cum corpus- culo polliniis altiores. Pubes corollae fundo passim evanida, e pilis elongatis mollissimis tenuibus constans, cinerascens. Folliculus unicus observatus 5 cent. lon- gus, prope basin 3 mill. q. exc. crassus. Marsdenia K. Br. Folia rotundata subito breve acuminata. Fol- NCUILOVATES ODENSIS 02 2e - eee Folia ovatooblonga. Folliculi acuminati. 2. 2. Corolla intus praeter fasciculos pilorum glabra. A. tinctoria. Corolla intus praeter fasciculos pilorum to- MONO ere as assessment II. tomentosa. 1. lachnostoma. 1. M. tomentosa Morr. Dne in Bull. Brux. 1856. 172.— Dnel.c.617.—$S.Z.L.e.163.— Miq. Prol. 61.—Fr. Savat. I. c. 321.— Kidzi yo ran. Soo bokf. IV: 87. Japonia(Siebold!): Nippon, culta in Yedo (ipse), in insula Parry (Savatier ex Franchet), Kiusiu: in monte Yuwaya non procul a Nagasaki, nec non in m. Tara. Flos 5 mill. longus. Calyx tomentellus 5 - partitus lobis rotundatis imbricatis. Corolla duplo longior car- nosula, breve tubulosa, limbo vix patulo bis breviore quam tubus, lobis rotundatis. A fauce intus versus me- dium tubum pili recti densi 1-cellulares deorsum flexi, faucem claudentes. Gynostegium tubo subduplo bre- vius, filamenta antheris multo breviora, columna anthe- rarum late breve conica. Coronae foliola dorso ad an- therarum bases tota adnata, gibbiformia, illis multo breviora. Membrana antherae ovata acuminata. Pol- linia magna (!/ mill. alta), oblonga, erecta in caudicula hamata brevissima, corpusculum late ovale, polliniis pl. duplo brevius. Folliculi ultra 10 cent. longi, bre- vissime puberuli, quotquot visi singuli, in vivo angu- latoteretes. des Sciences de Saïint-Pétersbourg. 352 2. M. lachnostoma Bth. FL Hongk. 226. Hongkong (Wright). Non vidi. 3. M. tinctoria R. Br.1. €. L. 39.— Dne L. ce. 615.— Benth. I. c. 226. | Hongkong (Champion), Formesa (O1dham) et hine in Zndiam et Java. Flos 3 — 3,5 mill. longus. Calycis laciniae rotun- datac, in planta formosana pubescentes, in indica fere glabrae. Corolla triplo longior, limbo vix patulo lobis rotundatis carnosis. Faux fasciculis densis pilorum ob- lique subascendentium faucem claudentium instructa, medio tubo adsunt fasciculi pilorum minus densi, nervo in lobum corollae tendenti impositi, deorsum flexi. Gynostegium humile filamentis antherà triplo brevio- ribus. Phylla coronae carnosula ultra basin atherarum adnata, e latiore basi obtuse acuminata, in pl indica antheram aequantia, in planta formosana paulo bre- viora. Stigma convexum. Folliculi pl. indicae 6—7 cent. longi, e basi lanceolata longe acuminati, tomen- tosi, ex Bentham reflexodivaricati, a me tantum soli- farii visi. Spec. formosana ab indicis differunt foliis minoribus totaque planta pubescentibus, in utraque folia basi vix cordata dicenda. Stephanotis Thouars. St. (Jasminanthes) chinensis Champ. in Kew. Journ. V. 53. — Bth. FI Hongk. 227. Hongkong. — Non vidi. Pergularia L. P. odoratissima KR. Br. L. €. 31. — Dne L c. 618. — Cynanchum odoratissimum Lour. FI. Cochinch. ed. Willd. 206.— Asclepiad. incerta. Miq. Prol. 355. In Japonia rarius culta (herb. Lugd. bat.! s. n. Asclep. inc.), in China saepius culta: Pekin (Skatsch- kow), Cantone (Loureiro, Hance!) et in Cochinchina tantum in viridariis culta et nunquam fructifera, ex Loureiro. Sponte in /ndia orientali, v. gr. Berar, in sepibus(Heyne!), Tranquebar (s. n. P. purpureae V ah in hb. Schumacher), in Java. Ex flore plantae pekinensis examinato corona 5- partita, laciniis stamini cui oppositae adnatis, quod apud autores non dicitur, praeter Loureirium, qui «nectarium 5-fidum, filamenta nectario externe ad- haerentia» describit, et Benthamium in gen. pl IT. 418% 383 Bulletin de l’Académie Hmpériale 334 II, carnosa. H. Pottsi. ROMA LEenELVIA See seen seen lens seuseseesss ces «__ 3-nervia 1. 1. carnosa R. Br., Traill in Trans. hort. soc. VIT. 19. — Dne I. c. 636. — Benth. FI Hongk. 228. — I. laurifolia (non Dne), H. Motoskei Teysm. et Binnend., À. rotundifolia Sieb!, Miq. Prol. 61. 62. — Schollia crassifolia Jacq. Ecl. I. 5. tab. 2. — 77. variegata de Vriese in Ann. soc. d’agricult. de Gand II. n. 22. — V. Houtte FI. d. serr. VIIL. tab. 838., quae A. picta Sieb! var, argentea et var. aurea Rev. hortic. 1853. p. 274. Japonia, verosimil. tantum eulta: Yedo (Siebold! s. n. À. rotundifoliae in Javam introduxit, ipse attuli eandem plantam flor.), Nagasaki, culta in hort. bota- nici indigeni Motoske, a quo Javam missa fuit. China: ex Blume introducta, ex Bentham in au- strali spontanea, v. gr. Hongkong et alibi, ipse e For- mosa sterilem ab Oldham lectam vidi. In Zndia: Sik- kim (Bentham). Ad fretum Sunda (ex Jacquin, sed a recentioribus non reperta videtur). Synonyma supra adducta omnia formae unius spe- ciei mihi videntur, levissimis notis tantum diversae. Quam opinionem tam ex specc. siccis à me ipso et Siebold lectis, quam ex iconibus ad vivum factis ejusdem ineditis vel supra laudatis editis hausi. Nec praetermittenda videtur observatio Traïllii L c. 21.: semina 11. carnosae floribus carneis in Anglia pro- duxisse plantas floribus pallidioribus et foliis minori- bus et tenuioribus. Si praeterca icones 1. carnosae ante promulgatas perlustramus, differentias jam in- venimus vix minoris momenti quam illas ad distin- guendas species sic dictas supra commemoratas adhi- bitas. Ita ZI. carnosa apud Rchb. Mag. I. 32. folia acu- minata oblonga valde discolora variegata, flores albos, coronam albidam apicibus purpureis habet, petala del- toidea acuta, apiculo brevissimo reflexa. Eandem spe- ciem depingit Sims in bot. mag. 188. foliis ovatoel- lipticis brevissime obtuse acuminatis concoloribus immaculatis, flore pallide carneo petalis ovatis obtu- sis, coronae phyllis pallide ochraceis apice sanguineis, scilicet omnibus punetis cum meis speciminibus 7. rotundifoliae Sieb! congruis, praeter folia subtus parée pilosa, de qua pube silet descriptio Simsii. Smith Exot. bot. 70. flores delineat Simsianis congruos, folia autem oblonga acuta, analysis floris cum mea propria convenit, praeter stigma griseum papillis purpureis. Jacquin 1. c. flores iterum similes habet, sed folia ovata vel elliptica acuta, subtus al- bida, superne maculis albidis adspersa, analysis exacte cum mea congrua. 1. variegata de Vriese depingi- tur foliis pl. m. oblongis acuminatis variegatis, peta- lis roseis ovatis obtusiuseulis, corona alba apicibus purpureis, magnitudine florum inter figg. Reichenb. et Simsii v. Smithi, et quoad ceteras partes quasi intermedia. A. Motoskei Teysm. et Binnend. in Na- tuurhist. Tijdschr. voor Nederl. Ind. 1852., de Vriese Tuinbow flora I. 66. tab. 4. foliis gaudet late ovatis breve acuminatis subtus concoloribus pubescentibus, nonnullis longiuscule petiolatis, caule solito magis pu- bescente, flore ut apud Smith I. c. delineato. Nec differre videtur A. pallida Lindl. bot. reg. 951., quoad foliorum formam et paginam inferiorem pallidiorem im fig. Rchb. quadrans et flore aequimagno et subsimi- liter colorato instructa, petalis tamen ovatis acutiuscu- lis flavescentibus et foliis immaculatis subdiversa, ex Lindleyo e delta Gangetico introducta. Blume (Rumphia IV. 30) Æ. pictam et H. variega- tam Siebold a. 1845 à 1. carnosa tantum foliis va- riegatis et non magis differre dicit quam ZZ. crassifoliam Haw. et A. pallidam Lindl.; ita etiam opinionem meam de his formis comprobat, minime vero plantas illas Sieboldianas pro varietatibus Æ1. laurifoliae de- clarat, ut male intellexit Miquel L. ce. 61. Z. laurifolia Dne, frutex timorensis, coronac structura ab illa AZ. carnosae diversissima gaudet, unde à Blumeo in genus proprium erecta est (conf. BI. Mus. Lugd. bat. I fig. XIIL.). Specimen sterile Æ. carnosae foliis subacuminatis, de quo ait Miquel I. c. 61., ad Gardneriam nutantem pertinet, sed postea accedit hb. Lugd. batavo spec. florens typicum 4. carnosae s. nom. jap. sakura ran i. e. orchidea cerasina. 2, H. Potisi Traill. L ©. 25. tab. 1. — Dane I. c 38.— Lodd. Bot. cab. 1969.— Bot. mag. 5425. China australis: Macao (Potts ex Traïll.). Foliis pagina superiore trinervis, petalis flavescen- tibus fere glabris, corona alba à praecedente facile distincta videtur. Z1. trinervis, Traill, verosimiliter non differt; patria eadem. 385 Species minus notae. 1. H. chinensis Trail]. 1. €. 27.— Stapelia chinensis Lour. FI. Cochinch., e Cantone, a Decaisneo L. c. 636. «teste R. Brownio» ad Æ. carnosam ducta, ex Trail. 1 ec. 21. ab eodem R. Brown, qui specimen Loureirii examinaverat, a À, carnosa diversa decla- rata est. 2, H. angustifolia Trail 1. ce. 28., e China (Potts). 3. H. crassifolia Haw. Succ. pl. suppl. 8., Traill 1. c. 22., e China 1817 attulit Whitley, ex Decaisne L ce. synonyma habetur Scholliae crassifoliae Jacq. (su- pra inter synonyma À. carnosae enumeratae, consen- tiente Blumeo, contradicente Decaisne) a Traill tamen a Schollia crassifolia distincta declaratur. Dischidia R. Br. Folia orbicularia, laciniae corollae lanceolatae, flo- MOSRDETICE ARTE EE EE nes Nec D. formosana. Folia et corollae lobi ovata, flores sessiles......... D. chinensis. 1. D, formosana, Gracilis radicans, ramis filiformi- bus, foliis carnosis orbicularibus emarginato - obtusis in petiolum brevem cuneatis glabris; peduneulis axil- laribus subnullis paucifloris; floribus pedicellatis par- vis; corollae urceolatae tubo subinflato laciniis e lata basi lanceolatis infra apicem incrassatum fasciculo pilorum patentium instructis; coronae stamineae medio gynostegio insertae foliolis emarginatis lobis reflexis subcultriformibus acutis. Fcrmosa (Oldham n. 532.). Habitus D. nummulariae KR. Br., orbicularis Dne, Gaudichaudi Dne aliarumque, sed differunt hae tres species foliis farinosis, prima praeterea foliis subses- silibus, secunda peduneulis petiolo longioribus, ambae laciniis corollae intus ad basin pilosis et coronae phyllis lobis obtusis, tertia et D. rhombifolia BI. foliis ova- torhomboideis. Inter omnes hujus seriei D. Gaudi- chaudi (ex ins. Timor), a me non visa, nostrae similior esse videtur. Specc. suppetentia fere pedalia, ad genicula basalia radicantia, parce ramosa ramis elongatis debilibus subhorizontalibus. Folia petiolo 3—4 mill., lamina 10 mill. Pedunculi axillares subnulli 4—5-flori, pedi- celli vix 2 mill. longi. Flos fere 4 mill. longus. 2. D. chinensis Champ. in Kew Journ. V. 55. — Walp. Ann. V. 504. - Bth. F1. Hongk. 228. Hongkong, in rupibus. Non vidi. Tome XXII. des Sciences de Saint-Pétersbourg. 386 À praecedente foliorum forma, floribus sessilibus, corollae laciniis ovatis obtusis intus ad faucem pauci- pilosis et fortasse coronae forma distincta. Teucrium L. Species Asiae orientalis. Species nostrae omnes rhizomate repente et, saltem in japonicis, stolonifero praeditae. Calyx omnium sub- bilabiatus (5), dentibus inferioribus acutioribus et saepissime angustioribus. Corolla persimilis: tubus e calyce non exsertus, labium tubo longius, lohi superio- res deltoidei acuti, sequentes ovati obtusi aequimagni, lobus terminalis multo major, rotundatus vel ovalis, concavus, saepius undulatus vel crenatus. Typus seriei nostrae est 7. canadense L., quocum et aliiscum rhi- zomate repente instructis, melius seriem propriam constituunt. Racemus compositus pyramidatus densus. Pubes subnulla vel parca eglandulosa ........ ... T, japontcum. Racemi simplices subsecundi, verticillis biflo- ris 2: 2. Dens calycis summus ceteris major, pubes densa fulva vel grisea subeglandulosa. 3. Dentes calycis 3 superiores aequales. Pubes in- florescentiae glandulosa. 4. 8. Calyx jam sub anthesi inflatus ore constrictus . Ÿ, nflatum. Calyx tubulosocampanulatus .....,.......... T. quadrifarium. 4. Racemus interruptus, folia subcordatoovata ob- tusiuscula, calycis dentes obtusi ........... T. veronicoides. Racemus continuus, calycis dentes acuti, folia cuneatoovata acuminata.......... SD C T. stoloniferum. 1. T! inflatum Sw. Prodr, 4. Ind. occ. 88. — Benth. FI. Hongk. 279. In Hongkong ruderatis, ex America australi intro- ducta. PI. chinensem non vidi. A simili 7. canadensi L. calyce inflato distinetum. 2. T. japoricum W. Sp. pl TT. 23. — Miq. Prol. 45. — Franch. Savat. Enum. I. 381. — Niga kusa. S00 bokf. XIE. 15. — T. virginicum Thbg FI. jap. 244. Per totam Japoniam locis humidis umbrosis, v. gr. Nomosaki (Buerger), Nagasaki, Simoda (Yolkin), Yokoska (Savatier), Yokohama, Hakodate. Statura, rhizoma, foliorum et florum forma T. ca- nadensis, sed pubes parca e pilis brevibus crassiuscu- lis vel subnulla et inflorescentia diversissima, et in spec. minimis (spithamaeis) ubi vix pollicaris tamen racemus basi saltem compositus. — Calycis dentes 3 superiores aequilatero-deltoidei acuti, 2 inferiores an- 26 387 Bulletin de l’Académie Impériale 3ss 0 gustiores acuminati. Corolla calyce vix duplo longior, pallide rosea, illam 7. canadensis aemulans, 9 —10 mill. longa , tubo lobisque latioribus qnam in reliquis nostris. Genitalia labio conspicue breviora, stylo sta- mina paulo superante; in specc. valde robustis panicula densissima vero stamina corolla plus duplo breviora stylo fere immutato habet (tale specimen brachyan- drum in fig. cit. japonica delineatum), unde tendentia ad dichogamiam adesse videtur, ceterum et in 7. ca- nadensi expressa. 3. T. stoloniferum Hamilt. ex Bth. in DC. Prodr. XII. 583. — Bth F1. Hongk. I. c. Formae distinguen- dae duae : &. typicum: pubescens, superne densius glanduloso- hirtum, folia ovata acuta vel obtusiuscula, crenata vel crenatoserrata. In India, vidi ex Assam (Jenkins), Khasia(Simons), Himalaya orientali (Griffith), Sikkim (Thomson) et China australi: in montib. Pakwan supra Cantonem (Hance), Hongkong, Formosa (Oldham n. 360) et ex Bentham in archipelago Malayano. Calyx vix 3 mill., dentes superiores, contra Ben- tham, aequimagni, acute deltoidei, inferiores aequilati acuminati, in fructu conniventes, in pl. indica densius pilis capitatis hirti quam in chinensi. Corolla 7 mill. longa, verosimiliter ex sicco flavescens dicta, extus pl m. viscidopuberula, lobis summis acute ovatis, sequen- tibus minoribus terminali multo majori approximatis ompibus tribus rotundatis. Genitalia labio breviora. Nuculae laeves vel in eodem calyce obsolete reticu- latae. 8. Miquelianum: glabratum et ad flores minus dense glandulosum, folia cuneatoovata, inaequaliter subdu- plicato-grandiserrata. T. stoloniferum Miq. Prol. 45. In silvis humidis umbrosis totius Japoniae, T. ja- ponico rarius, v. gr. Nagasaki, declivitate boreali m. Yuwaya, Yokohama (Oldham 1861), Hakone, in sil- vis ad rivulos, Hakodate locis umbrosis ad aquaeductum, ad lacum Konoma, cire. 20 stadia ab eadem urbe, ad vias herbosas silvarum frequens. Typico aequimagnum vel (pl. e Konoma, simul bre- vius parceque pubescens) interdum vix spithamaeum, laete viride. Calyx et corolla ut in &., sed filamenta extra ostium tubi interdum longe pilosa et corollae lobi summi fasciculo pilorum terminati, omnes pallide rosei, lobo terminali obscuriore. Nuculae 1°} mill., fere orbiculares, a dorso leviter compressae, laeves. Persimile specc. depauperatis 7. japonici, sed racemi simplices secundi, flores distincte minores, corollae duplo angustiores, et pili rhacheos calycisque glandu- losi, quum in ?. japonico ad summum glandulae sub- sessiles parcissime interspersae occurrunt. Praeterea folia var. 8 acutius profundiusque serrata. 4. T. veronicoides. (Scorodonia Bth.) Spithamaeum gracile, rhizomate repente stolonifero, caule petiolis- que longe patentipilosis; foliis longe petiolatis subcor- datoovatis obtusis vel superioribus acutis argute sub- inaequaliter erenatoserratis utrinque longe adpresse pilosis; racemis terminalibus et axillaribus secundis; verticillastris remotis bifloris; calycis dentibus subae- qualibus obtuse deltoideis glandulosopilosis; corollae lobis obtusis; nuculis laevibus. Yezo: Oiwagi, ad vias silvarum umbrosas passim frequens. Affine T. Royleano Wall., quod pube cinerea bre- viore et densiore, foliis acuminatis brevius petiolatis, racemis brevibus continuis, calycis dente summo la- tiore infimis angustis acuminatis, corollae glandulosae lobis lateralibus acuminatis nuculisque reticulatis op- time differt. Spithama brevius vel pedale, caule tenui. Petiolus foliorum inferiorum et mediorum lamina longior. Folia infima, saepius jam evanida, reniformia petiolo alato, sequentia deltoideo-cordata obtusa, media ovata leviter cordata, samma cuneatoovata vel elliptica acuta, maxi- ma sine petiolo 25 : 35 mill. magna, laete lutescenti- viridia. Bracteae calyces superantes, ellipticae acutae, pauciserratae, intervallo inter verticillastra breviores. Calyx 3,5 mill., dentibus 3 superioribus semiorbicu- laribus, 2 infimis late deltoideis minus obtusis. Corolla 8,5 mill. longa, pallide rosea, lobi summi acutiusculi sequentibus duobus ceterum similes, terminalis crena- tus multo major. Nucula obovata laevis 1°, mill. longa. 5. PT. quadrifarium Hamilt. in Don Prodr. H. Nepal. 108.— Bth. F1. Hongk. 280.— T7. Fortunei Bth. in DC. Prodr. XII. 583.— T. fuloum Hance in Walp. Ann. III. 270. China (Fortune n. 71. ex Bentham): Hongkong (Hance!, Forbes!) et in Zndia boreali montana. Pubes caulis et foliorum fulvotomentosa. Dens ca- lycis summus vicinis duplo latior, omnes 3 deltoidei 389 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 390 acuti, inferiores conniventes acuminati. Corollae plus duplo longioris lobi laterales ovati acutiusculi, summi saepius apice pilosi, terminalis major ovalis. Styli rami quam in nostris reliquis breviores, patuli tantum, nec revoluti. Calyces fructiferi quam in 7. stolonifero duplo majores campanulatotubulosi. Nuculae subglo- bosae, reticulatae, 1 mill., areola ventrali quam in ce- teris nostris distincte minore, tantum ad dimidiam nuculac altitudinem attingente. Species exclusae. 1. T. oliganthum Hassk. Cat. h. bogor. alter. 310. — Bth.l. c. 580., e Japonia s. n. akidoovi missum in horto bogoriensi olim cultum, mihi perfecte ignotum, sed ex descriptione nimis brevi, praesertim vero ex nomine japonico, fortasse ad Plectranthum longitubum Miq. amandanda, cui nomen in Soo bokf. XI. 36. aki teudsi vel kiritsubo; in priore, manu Sieboldi cito scripto facile ds. pro ov. legat quisque japonicae lin- guae non expers. 2. T. nepetaefolium Benth. I. ce. 580., e China bo- reali (Fortune! A.73.): ad lacum Ta-hu prope Shang- hai (Forbes!), ob inflorescentiam axillarem fere a basi ramorum incipientem folia superantem et corollae amplae conformationem certe e Teucriis excludendum. Fructu ignoto locus in systemate dubius maneret, nisi corolla simillima esset ill Clerodendri divaricati S. Z., quocum ad Caryopterides amandandum videtur, nisi utrumque in dignitatem genericam eruendum ?). 7) Caryopterides mihi notas sequenti modo in typos tres dispono: Calyx 5-fidus fructo multo longior. Eucaryopteris. Valvae fructus maturi 4 oblongae, a gynobasi mi- nima pyramidata secedentes, a dorso compressae convexae subalato- marginatae, tenuiter coriaceae, obiter reticulatae, facie ventrali pseudosepto (Bocquillon) hine longitudinaliter adnato illic hiante, longitudinaliter subcarinato, incomplete clausae. Placenta pseudo- septo a basi ad medium adnata, semen pendulum obovatum gerens. 1. C. mongolica Bge. Corolla cyanea fauce villis clausa lobis 4 acute ovatis, quinto infimo majore fimbriato. Antherae loculis pa- rallelis stylusque ramis longis longe exserta, filamentis rectis. Folia lanceolata acuta integra. 2, ©. Wallichiana Schauer. Corolla rubra ad faucem intus vil- losula lobis omnibus anguste obovatis infimo majore integro. Fila- menta basi dense villosa flexuosa, antherae loculis divaricatis, sty- lusque aequilongus ramis brevissimis obtusis longe exserta. Folia lanceolata acuminata a medio serrata. Mastacanthus. Valvae coriaceae obovoideae, profunde navicula- res marginibus introflexis, ventre areola breviore et angustivre depressa instructae, quae elausa est pseudosepto longitudinaliter carinato apice adnato ceterum demum cireumeirea soluto. Semen Ajuga incisa, (Bugula Bth.). Elata stricta estolonosa scaberula, foliis longe petiolatis ovatoorbiculatis vel ovatis basi truncatis subcordatisve grosse incisolobatis serratisque lobis et serraturis acuminatis, floralibus breve petiolatis flores duplo saltem superantibus; ver- ticillastris 4 —- 5 subsexfloris approximatis subsecun- dis; flore brevissime pedicellato ultrapollicari azureo: calycis laciniis subulatis: corolla triplo longiore, tubo angusto longe exserto recto exannulato, limbo brevi, labii superioris lobis rotundatis, inferioris lateralibus acute deltoideis antico rotundato emarginato: genita- libus subinclusis. — Hiragi s6. Soo bokf. XI. 54 (opt.). Japonia, loco exacto ignoto (herb. Lugd. bat. s. n. Wôgi kadsura, commixta cum À. japonica Miq.; herb. Siebold, nune Acad. Petrop. a bot. japon. commun. s. n. zintos0, ab alio s. n. yama utsibo). Culta in horto sic dicto caesareo prope Hakodate (ipse, Albrecht). infra apicem pseudosepti affixum late obovoideum. Placenta et gy- nobasis praecedentis. 3. C. incana Miq. Corolla exacte C. mongolicae, sed multo mi- nor. Genitalia parum exserta, antheris et stylo C. mongolicae. Folia late ovata grandiserrata. Calyx 5-dentatus fructu subbrevior. Phasianuwrus (ex nomine japonico, ob genitalia arcuata longe ex- serta). Calyx fructifer late campanulatus patens. Valvae Mastacan- thi, sed crasse coriaceae, arcola ventrali dimidio minore valde im- pressa, pseudosepto placenta et semine ut in Mastacantho. Sed tota caryopsis processu filiformi elastice cartilagineo ab ipsa basi pseu- dosepti exeunte gynobaseos apici affixa! Gynobasis caryopsibus fere triplo brevior, constans e tuberculis conicis minutis 2, inter bases caryopsidum positas, et cruciatim cum his ex lamellis majoribus sub- coriaceis 2 ovalibus, quorum margines exteriores incrassati per lon- gitudinem fovent processus elasticos caryopsidum apicibus lamella- rum insertos, margines interiores autem inter caryopsides inserun- tur (fructus ad C. divaricatam descriptus). 4. C. divaricata $. Z. (sub Clerodendro). Corolla albidocoerulea lobis 4 obovatis quinto majore subobcordato integro, tubo lato pa- rum exserto. Genitalia longe exserta arcuatoincurva, filamentis basi vix puberulis, antherae loculis divaricatis. Styli longioris rami lon- giusculi acuminati, Ovarium glabrum. Suffrutex 5-pedalis divaricato- ramosissimus foliis ovatis acuminatis grandiserratis, cymis axillari- bus plurifloris. 5. C. nepetaefolia Benth. (sub Teucrio). Calyx praecedente am- plior. Corolla pallide purpurea (ex Forbes mss.) ut in praecedente, sed lobus infimus obovatus, filamenta basi villosa, styli longioris rami acutiuseuli, ovarium apice villosum, 4-lobum, 1-loculare pla- centis parietalibus crassis Z-ovulatis (ut in fig. Mastacanthi sinensis apud Lindley Bot. reg. 1846. tab. 2). Cetera praccedentis. Spitha- maea ramis ascendentibus, folia rotundoovata pauci-grandiserrata, cymae 1-florae. Genus Glossocaryae Wall., mihi tantum ex Gl. Linnaei Thw. {sub Clerodendro) florens notum, calyce oblongo, corollae tubo gra- cili, habitu Clerodendri discrepans, a Bocquillonio (Rev. du gr. des Verben. 111) cum Caryopteride jungitur, a Benthamio autem servatur et augetur. Calyce 5-dentato cum Phasianuro convenit, sed fructus ex descriptione potius Caryopteridis. 26* 391 Planta fere bipedalis, petioli inferiores 3,5 cent. Jamina 4,5 : 7,5 cent. Species sui juris, e longinquo tantum cum À. japonica Miq., omnibus partibus di- versissima, confundenda. Ajuga Iupulina, (Bugula Benth.). Krecta spithamaea robusta, caule mox glabrato foliisque margine paten- tim villosis, his caulinis 4—6 breve petiolatis lanceo- latooblongis acutis, ceteris floralibus amplexicaulibus infimis oblongis reliquis ovatis rotundatisque subito acuminatis; spica densa elongata; floribus ultrapolli- caribus folio florali duplo brevioribus et suboccultatis; calyeis laciniis subulatoacuminatis longe villosis ; co- rolla plus triplo longiore albida versus faucem inflata, limbi brevis lobis sammis nanis, lateralibus ovalibus, infimo late obcordato majore. In China boreali: prov. Kansu alpibus (Przewalski, 1872.), in montib. Siao-wu-tai-shan ditionis Pekinen- sis (Hancock. 1876.). Species insignis, soli À. pyramidali subaffinis, folis floralibus amplis lutescentibus viridireticulatis flores occultantibus, corolla magna albida atropurpureo-veno- sa. Folia caulina 3 : 12 cent., floralia media 2,5 : 3,5 cent. magna, inferiora majora. Calyx 8 mill.. corolla 25 mill. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. L'Académie a reçu dans ses dernières séances les ouvrages dont voici les titres: Systematisch-alphabetischer Hauptkatalog der küniglichen Universitätsbibliothek zu Tübingen. C. Philologie. Bog. 15. 2te Hälfte — 26. Tübingen 1876, 4. XXII. Zuwachsverzeichniss der küniglichen Universitäts- bibliothek zu Tübingen. 1874—75. 4. Additions to the library of the Linnean Society. Received from June 20, 1874, to June 9, 1875. (London.) 8. Nicholson, Francis. Catalogue of the books in the lib- rary of the Manchester literary and philosophical Society. Manchester 1875. 8. Bericht über die im Jahre 1876 den herzoglichen Samm- lungen des Schlosses Friedenstein zugegangenen Ge- schenke. Gotha. 4. Reden zum Gedächtniss C. E. von Baer’s, gehalten bei der Becrdigungsfeier in Dorpat. 1876. 8. Straszewski, Maur. Jan Sniadecki. Jego stanowisko w dziejach o$Swiaty i filozofii w Polsce. W Krakowie 1875. 8. Bulletin de l’Académie Impériale 39? X scripta academica ab universitate Tubigensi anno 1875 edita. Tübinger Universitätsschriften aus dem Jahre 1875. 4. XLIII scripta academica ab universitate Marburgensi anno 1875/76 edita. VI scripta academica ab universitate Gissensi anno 1876 edita. LXXIX scripta academica ab universitate Jenensi anno 1876 edita. XX VIII scripta academica ab universitate Lipsiensi annis 1874. 75. 76 edita. Norske Universitets og Skole-Annaler. Tredie Række XIII 3 og 4 Hefte, XIV 1 og 2 Hefte. Christiania 1875— 76. 8. scripta academica ab universitate Upsahensi anno 1875 edita. Upsala universitets ärsskrift 1875. Upsala. 8. Fifty-first annual report of the president of Harvard Col- lege. 1875—76. Cambridge 1877. 8. Mémoires de l’Académie des sciences, belles-lettres et arts de Lyon. Classe des sciences. T. XXI Paris, Lyon 1875—76. 8. — de l'Académie de Stanislas 1875. série. T. VIII Nancy 1876. 8. Atti dell’ Accademia pontificia de’ nuovi Lincei anno XXIX, sessione V" del 23 Aprile 1876. Roma 1876. 4. Memorie del reale istituto Veneto di scienze, lettere ed arti. Volume XIX. Venezia 1876. 4. Atti del reale istituto Veneto di scienze, lettere ed arti. Tomo secondo, serie quinta, dispensa 4 — 9. Venezia 1875—76. 8. Denkschriften der kaiserlichen Akademie der Wissen- schaften. Mathematisch-naturwissenschaftliche Classe. Bd. XXXVI. Wien 1876. 4. Philosophisch-historische Classe. Bd. XXIV. XXV. Wien 1876. 4. 5 Sitzungsberichte der kaiserlichen Akademie der Wissen- schaften. Mathematisch-naturwissenschaftliche Classe. Erste Abtheïlung LXXII. Bd. Heft IV. Zweite Abtb. LXXII ‘Bd. Heft 1— V. LXXIIL Bd. Heft 1 — III. Dritte Abth. LXXI. Bd. Heft 1—V. LXXII Bd. Heft I— V. Philosophisch - historische Classe. LXXX. Bd. Heft IV. LXXXI Bd. Heft I— III. LXXXII. Bd. Heft 1 — II. Wien 1875—77. 8. Almanach der Kaiserlichen Akademie der Wissenschaften XXVI Jahrgang 1876. Wien 1876. 8. Sitzungsberichte der philosophisch-philologischen und hi- - storischen Classe der k. b. Academie der Wissenschaf- ten zu München 1876 B. I. Heft III. IV. — der mathematisch-physikalischen Classe 1876. Heft IL. München. 8. l Drei und fünfzigster Jahres-Bericht der Schlesischen Ge- sellschaft für vaterländische Cultur. Breslau 1876. 8. XV CXXV° année. 4° 393 Monatsbericht der kün. preuss. Academie der Wissenchaf- ten zu Berlin. September und October 1876. Berlin 8. Vortrag des Geschäftleiters in der General-Versammlung der Gesellschaft des Museums des Künigreiches Büh- men am 15 Mai 1874— am 20 Mai 1875 — am 20 Mai 1876. Prag 1874—76. S. Pamätky archaeologicke a mistopisné Dila X roënik L. IL. IT. 1874 1875. 1876. V Praze 1874—76. 4. Casopis musea krälovstvi éeského 1874. XLVIII rocnik. Sv. 3. 4. 1875 XLIX rocn. M. 1 — 4. L roën. 1876. . Sv. 1.2. V Praze 1874—76. 8. Ziva. Sbornik vèdecky Musea krälovstvi &eskeho. Odbor prirodovèdeenÿ a mathematicky XI. V Praze 1874. 8 Pamietnik Akademii umiejetnoéci w Krakowie. Wydziat MmatematyCzno-przyrodniczy. Tom drugi. W Krakowie 1876. 4. Rozprawy i sprawozdania z posiedzen wydzialu filologicz- nego Akademii umiejetno$ci. Tom III W Krakowie Jen 48; Rocznik zarzadu Akademii umiejetnosci w Krakowie. Rok 1875. W Krakowie 1876. 8. Typis impressorum collegii historici Academiae Literarum Cracoviensis .\ 9. Monumenta medii aevi historica res gestas Poloniae il- lustrantia. Tomus III continet: Codicem diplomaticum Poloniae minoris 1178—1386. W Krakowie 1875. 8. Mémoires de l’Academie royale des sciences, des lettres et des beaux arts de Belgique T, XLI partie 1. 2. Bru- xelles 1875—76 4. Mémoires couronnés et mémoires des savants étrangers publiés par l’Académie royale des sciences, des lettres et des beaux arts de Belgique T. XXXIX partie 1. Bruxelles 1876. 4. — et autres mémoires — Collection in-8° T. XXIV—XX VI. Bruxelles 1875. 8. Bulletin de l’Académie royale des sciences, des lettres et des beaux arts de Belgique 2"° série T. XXXVITI— XLI (années 43 et 44). Bruxelles 1874-76. 8, Annuaire de l’Académie royale des sciences, des lettres et des beaux arts de Belgique 1875 — 1876. Bru- xelles. 12. Académie royale des sciences, des lettres et des beaux arts de Belgique. Notices biographiques et bibliogra- phiques concernant les membres et les correspon- dants, ainsi que les associés résidents. Bruxelles 1875. 4. Memoirs of the literary and philosophical society of Man- chester. Third series. Fifth volume. London 1876. 8. Proceedings of the literary and philosophical society of Manchester Vol. XIII. XIV. XV. Session 1873 — 74. 1874—75. 1875—76. Manchester 1874—76. 8. Oversigt over de Kongelige PURE Videnskabernes Sel- skabs Forhandlingar 1876 X: 2. Kjobenhavn. 8. des Sciences de Saint-Pétersbourg. 394 Forhandlinger i Videnskabs Selskabet i Christiania. Aar 1874. 1875. Christiania 1875—76, 8 Nova Acta regiae societatis scientiarum Upsaliensis. Seriei tertiae Vol. X. Fasc. 1. Upsaliae 1875. 4. Kongl. svenska Vetenskaps Akademiens Handlingar. Ny Füljd. XI Bandet. 1872. Stockholm 1873—75. 4. Bihang till kongl. svenska Vetenskaps Akademiens Hand- lingar Band IIT Häft 1. Stockholm 1875. &. Lovén, S. Études sur les échinoïdées. Atlas de cinquante- trois planches. Stockholm 1875. 4. Ofversigt of kongl. Vetenskaps Akademiens Fôrhandlingar XXXII ärgängen. Stockholm 1875—76. 8. Kongl. Svenska Vetenskaps-Academien Maj 1876. 8. Sophokles. Erklärt von F. W. Schneidewin. Zweites Bänd- chen. Oedipus tyrannos. Siebente Auflage, besorgt von August Nauck. Berlin 1876. 8. Siebentes Bändchen Philoktetes. Siebente Auflage, be- sorgt von August Nauck Berlin 1876. 8. Storch, Adolf Fr. nee Ersatzmittel für eine welt- sprache. Budweis 1877. Jagié, P. Archiv für Fate Philologie. Band I Heft 5. Band II Heft 1. Berlin 1876. 8. Novoteskä bibliothéka vydävanä näkladem musea kral. Ceskeho. Cislo XVIIL. W Praze 1875. Üislo XX.W Praze 1874. 8. Journal asiatique VII série T, VIII Paris. 8. Zeitschrift der Deutschen Morgenländischen Gesellschaft Band XXX Heft IV. Leipzig 1876. 8. The palacographical Society. Facsimiles of ancient manu- scripts. Oriental series Part. 1 Edited by William Wright. London 1875. 6. Revue africaine. Vingtième année. Numéro 118. Juillet. Août 1876. Alger. 8. Oppert, Jules. Les inscriptions en langue susienne. Essai d'interprétation. (Extrait \ 13 des Mémoires du Con- grès international des Orientalistes. T. II. 1'° session. Paris 1875.) 8. Rapport sur les progrès du déchiffrement des études cu- néiformes, rédigé par M.Julien Duchateau. Avec le concours de M. Jules Oppert. (Extrait NV 10 des mé- moires etc.) 8. Oppert, Jules. Sumérien ou Accadien. Paris 1876. 8. Blix, E. De vigtigste Udtryk for Begreberne Herre og Fyrste i de semitiske Sprog. Kristiania 1876. 8. Garcin de Tassy. La langue et la littérature hindousta- nies en 1876. Paris 1877. 8. Räjendraläla Mitra. Notices of Sanskrit Mss. Vol UT part IV. Calcutta 1876. 8 Boncompagni, B. Bullettino di bibliografia e di storia delle scienze matematiche e fisiche. Tomo IX. Set- tembre, Ottobre 1876. Roma 1876. 4. Archiv der Mathematik und Physik. 60°? Theil. 1°*% Heft. Leipzig 1876. 8. 3 Octobre 1876. 395 Vierteljabrsschrift der Astronomischen Gesellschaft. I. Jabhrgang Heft 4. Leipzig 1876. 8. Bulletin de l’Académie Impériale 396 sellschaft für die gesammten Naturwissenschaften. Band XXVII. Zürich 1876. 4. Monthly notices of the Royal Astronomical Society. Vol. | Mémoires de la Société de physique et d'histoire natu- XXXVIL 6 1 Nov. J\ 2 Dec. 1876. 1876. 8. Wolf, Rud. Astronomische Mittheilungen. XLI. Annalen der k. k. Sternwarte in Wien. Dritter Folge XXV. Band. Jahrgang 1875. Wien 1876. 8. Annales de l'observatoire royal de Bruxelles. 1876, Feuilles 11. 12. Bruxelles. 4. Annuaire pour l'an 1877 publié par le Bureau des longi- tudes. Paris. 12. Connaissance des temps ou des mouvements célestes, à l'usage des astronomes et des navigateurs pour lan 1878 publiée par le Bureau des longitudes. Paris. 8. Annales de l'observatoire de Moscou. Vol. IT 1° livr. Moscou 1877. 4. Leveau, G. Éléments et éphéméride de la Comète pério- dique de d’Arrest. Paris. 4. Gyldén, Hugo. Extrait d’une lettre à M. Hermite, rela- tive à l’application des fractions elliptiques à la thto- rie des perturbations. (Journ. de Math. 5° série T. IL. Décembre 1876.) Annales de la Société Linnéenne de Lyon. Année 1875. (Nouvelle série.) T. XXII. Lyon 1876. &. Actes de la Société Linnéenne de Bordeaux. T. XXXI. Quatrième série, T. L. 1° hivr. Juin 1876. Bordeaux 1876. 4. Mémoires de la Société nationale des sciences de Cher- bourg, T. XIX. Deuxième série. T. IX. Paris 1875. 8. Atti della Società toscana di scienze naturali, residente in Pisa. Vol. IT Fase. 2°. ed ultimo. Pisa 1876. 8. — della Società italiana di scienze naturali. Vol. XVIII Fasc. II. III. IV. Milano 1875—76. 8. Memorie della Società degli spettroscopisti Italiani, rac- colte e pubblicate per cura del Prof. P. Tacchini. Dispensa 12°. Dicembre 1876. Palermo 1876. 4. Verhandlungen der physik.-medicin. Gesellschaft in Würz- burg. Neue Folge. IX. Bd. Heft 3—4. X. Band Heft 1—2. Würzburg 1876. 8. — des naturforschenden Vereines in Brünn. 1875. Brünn 1876. 8. — des naturhistorischen Vereines der preussischen Rhein- lande u. Westfalens. XXII. Jahrg. 2° Hälfte. XXXIIL. Jahrg. 1°" Hälfte. Bonn 1875—76. 8. Fünfzehnter Bericht der Oberhessischen Gesellschaft für Natur- und Heïlkunde. Giessen 1876. 8. Abhandlungen aus dem Gebiete der Naturwissenschaften herausgegeben vom naturwissenschaftlichen Verein zu Hamburg-Altona. VI. 2. 3. Hamburg 1876. 4. Vierteljahrsschrift der Naturforschenden Gesellschaft in Zürich. Redigirt von Dr. Rudolf Wolf. XIX. XX. Jahr- gang. Zürich 1874—75. 8. Neue Denkschriften der allgemeinen Schweizerischen Ge- XIV. Band. .relle de Genève. T. XXIV. Seconde partie. Genève 1875—76. 4. Pulletin de la Société Impériale des naturalistes de Moscou. Année 1876 Ni 8. Moscou 1876. Twenty-third — twenty-sixth Annual Report on the New York State Museum of Natural History by the Re- gents of the University of the State of New York. Albany1872—74. 8. Bulletin of the Buffalo Society of Natural Science. Vol. HI. .\ 1. 2. Buffalo 1876. 8. Proceedings of the Boston Society of Natural History. Vol. XVII. Part III Dec. 1874 — Febr. 1875. Part. IV Feb. — April 1875. Vol. XVIII Part I May — June 1875. Part II June 1875 — January 1876. Boston 1875—76. 8. Memoirs of the Boston Society of Natural History. Vol. IL. Part IV Number IL. Revision of the North Ame- rican Poriferae; with remarks upon foreign species. Part I. By Alpheus Hyatt. Number III On Gynan- dromorphism in the Lepidoptera. By A. $. Packard. The structure and transformations of Eumaeus Atala. By Samuel H. Scudder. Number IV. Prodrome of a monograph of the Tabanidae of the United States. Part II. The genus Tabanus.. By C.R. Osten-Sacken. Boston 1875—76. 4. : Occasional Papers of the Boston Society of Natural His- tory. II The spiders of the United States. By Nicho- las Marcellus Heutz. Boston 1875. 8. Proceedings of the American Association for the advance- ment of science. Twenty-fourth meeting, held at De- troit, Michigan, August, 1875. Salem 1876. 8. Memoirs of the American Association for the advancement of science. Salem. Mars 1875. 4. Proceedings of the American Philosophical Society, held at Philadelphia, for promoting useful knowledge. Vol. XIV June to December, 1875. M 95. Vol. XVI January to June, 1876 X:97. S. Archives of science Vol. I A VIITL. IX April July 1874. (Newport). 8. The Transactions of the Academy of science of St. Louis Vol. III M 5. St. Louis 1876. 8. *| The American Naturalist. Vol. VIII Feb.-Jun. 1874. Vol. IX Jan.-Dec. 1875. Salem. 8. Nature. Vol. 14. > 374—80. London 1876. 4. Nyt Magazin for Naturvidenskaberne. Bind XXI Hefte 1 —4., Bind XXII Hefte 1—3. Christiania 1875—76. 8. Archiv for Mathematik og Naturvidenskab. Udgivet af Sophus Lie, Worm Müller og G. 0. Sars. BindI Hefte 1—3. Kristiania 1876. 8. Volante, Alessandro. L'Aeronautica, aerial navigation. Torino 1873. KFol. (1870—71—72.) 397 des Sciences de Saint-Pétersbourg. ————————— Gèny, Étienne. Principes de la mécanique moléculaire relatifs à l’élasticité et à la chaleur des corps. Nice 1876. 8. Graham, Thomas. Chemical and physical researches. Edin- burgh 1876. 8. Berichte der deutschen chemischen Gesellschaft zu Berlin 1876 NN 18. 19. 1877 A 1. 2. 8. Journal of the chemical Society J CLX VIT. Nov., CLXVIIT. 1876 Dec. London. 8. The American Chemist. Vol. VII .\ 75. 76. 77. New York 1876. 4. Bolletino meteorologico ed astronomico del regio osserva- torio della Regia Università di Torino. Anno IX (1874). Anno X (1875). Torino 1876—76. Fol. transv. Meteorologiska iakttagelser i Sverige, utgifna af Kongl. Svenska Vetenskaps-Akademien, anställda och utar- betade under inseende af Meteorologiska Central-An- stalten. XV Bandet 2dra Serien. Vol. 1. 1873. Stock- holm 1876. 4. Bulletin météorologique mensuel de l’observatoire de Puni- versité d'Upsal. Vol. VII. Année 1875. Upsal 1875— — 1876. 4. Guldberg, Cull. et H. Mohn. Études sur les mouve- ments de l'atmosphère. Première partie. Christiania 1876. 4. Seue, C.de. Windrosen des südlichen Norwegens. Kristia- nia 1876. 4. . Wex, Gust. Über die Wasserabnahme in den Quellen und Strômen bei gleichzeitiger Steigerung der Hochwäs- ser in den Culturländern. Wien 1876. 4. Wibel, F. Die Fluss- und Bodenwässer Hamburgs. Che- mische Beiträge zur Analyse gewühnlicher Lauf-, Nutz- und Trinkwässer, sowie zu der Frage der Wasserversorgung grosser Städte vom sanitären und sewerblichen Standpunkte. Hamburg 1876. 4. Rivers Pollution Commission (1868). Sixth report of the commissioners appointed in 1868 to inquire into the best means of preventing the pollution of rivers. Domestic water supply of Great Britain. London 1874. 4. Dall, W. H. Harbors of Alaska and the tides and cur- rents in their vicinity. 4. — Report of gcographical and hydrographical explorations on the coast of Alaska. 4. fFrom the U. $. Coast Sur- vey Report for 1873.] Annuario hidrogräfico de la marina de Chile publicado por la oficina respectiva. Anño 1. Santiago de Chile 1875. 4. Verhandlungen der k. k. geologischen Reichsanstalt 1876 M 7—10. Wien. $. Jahrbuch der k. k. geologischen Reichsanstalt. Jahrgang 1876 XXVI Band X 2 3 April—September. Wien. 8. Bulletin de la société géologique de France T. IV X 6.7 feuilles 24 — 30 1875—76. T. V A 1 feuilles 1 —3. Paris 1877. The quarterly journal of the geological society Vol. XXXIT p.4 Nov. 1 1876 .\: 128. London 8. List of the geological society of London November 1st. _ 1876. 8. Transactions of the Manchester Geological society Vol. XIV part. VI. VII Session 1876—77. Hayden, F. V. Report of the United States geological survey of territories Vol. IT Vol. IX. X. Washington 1875—1876. 4. — Annual Report of the United states geological and geo- craphical survey of the territories, embracing Colo- rado and parts of adjacent territories being a report ‘of progress of the exploration for the year 1874. Washington 1876. Cloiseaux. Mémoire sur l'existence, les propriétés optiques et cristallographiques et la composition chi- mique du microline, nouvelle espèce de Feldspath tri- clinique à base de potasse, suivi de remarques sur l’e- xamen microscopique de l’orthose et de divers Feld- spaths tricliniques (Extrait des Annales de Chimie et de Physique 5° série t. IX; 1876). Paris. 8. Des j Mineral map and general statistics of New South Wales Australia. Sidney 1876. 8. Dall, W. H. Report on mt. St. Elias (From the U.S. Coast survey Report for 1875 appendix .\) Printed July 1875. 4. Owen. Evidences of Theriodonts in Permian Deposits el- sewhere than in South Africa (From the Quarterly Journal of the Geological society for August 1876).8. —_ Evidence of a carnivorous Reptile (Cynodraco major, Ow.) about the size of a Lion, with Remarks thereon. (From the Quarterly Journal of the Geological Society for May 1876). 8. _— On a new Modification of Dinosaurian Vertebrae (From the Quarterly Journal of the Geological-Society for February 1876). 8. — On Petrophryne Granulata Ow., a labyrinthodont reptile from the Trias of South Africa with special compari- son of the skull with that of Rhinosaurus Jasikovii Fisch. Moskwa 1876. 8. Bulletin de la société botanique de France T. XXIIT. Sé- ances, feuilles 11—18 1876. Paris. 8. Atti del congresso internazionale botanico tenuto in Fi- renze nel mese di maggio 1874, pubblicati per cura del- la R. Società Toscano di orticultura. Firenze 1876. 8. Acta horti Petropolitani T.IV fasc.Il. St. Petersburg.1876.8. Schübeler, FI. Die Pflanzenwelt Norwegens. Specieller Theil Christiania 1875. 4. Wolff, Reinhold. Aecidium Pini Pers. und sein Zusam- menbang mit Coleosporium Senecionis Lév: Eine ent- wickelungsgeschichtliche Untersuchung. Festschrift der Kaiserlichen Akademie der Wissenschaften zu St. Petersburg zu ibrer hundertfünfzigjährigen Ge- 399 Bulletin de l’Académie Impériale ées Sciences de Saint-Pétersbourg. 4100 ——— denkfeier dargebracht von der Plenarconferenz der polytechnischen Schule zu Riga. 4. Briosi. Prof. Giovanni. Sulla phytoptosi della vite. (Phy- toptus vilis Landois.) Palermo 1876. 8. — Sul lavoro della clorofilla nella vite. Communicazione preliminare. 8. Cheek list of the Ferns of North America, North of Mexico. Published for John Robinson. Salem 1873. 8 Proceedings of the scientific meetings of the zoological Society of London for the year 1876. Part I. HI (duo exemplaria). Part IT in triplo. London. 8 Transactions of the Zoological Society. Vol. IX Part 8. 9 (9 in duplo). London 1876. 4 Pickering, Charles. The geographical distribution of animals and plants. Part II Plants in their wild state. Salem Mass. 1876. 4. The fourth Annual report of the board of directors of the Zoological Society of Philadelphia. Philadelphia 1876. 8 Entomologische Zeitung. Herausgegeben von dem ento- mologischen Vereine zu Stettin. Jahrgang XXXVIT. Société entomologique de Belgique. Série IT NX: 32— 34. 8 Siebeke, H. Enumeratio insectorum. Fasc. II. Catalogum Coleopterorum norvegicorum continentem. Fase. TI. Catalogum Lepidopterorum continentem edidit $S. Sparre Schneider. Christiania 1875—76. 8 Collet, M. Robert. Norvège. Carte zoogéographique con- tenant une carte complète de tous les animaux ver- tébrés de Norvège. Christiania 1875. Fol. Boettger, Oskar. Die Reptilien und Amphibien von Ma- dagascar. Frankfurt a. M. 1877. 4 Boeck, Axel. De skandinaviske og arktiske Amphipoder, beskrevne af Axel Boeck. Andet Hefte. Efter Forfat- terens Dod udgivet ved Hakon Boeck. Christiania 1876. 4. Sars, George Ossian, Researches on the structure and affinity of the genus Brisinga, based on the study of on new species Brisinga coronata. Christiania 1875. 4. Annual report of the trustees of the Museum of compara- tive zoülogy, at Harvard College, in Cambridge... for 1874. Boston 1875. 8. Memoires of the Museum of Comparative Zoôlogy, at Har- vard College, Cambridge. Mass. Vol. IV X 10 The American Bisons, living and extinct by J. A. Allen. Cambridge 1876. 4. Ilustrated Catalogue of the Museum of comparative zoû- logy, at Harvard College A VIII. Zoülogical results of the Hassler Expedition. IL. Ophiuridae and Astro- phytidae, including those dredged by the late Dr. William Stimpson. By Theodore Lyman. Cambridge 1875. 4. Schiaparelli, G. V. Di alcune questioni concernenti il movimento degli occhi. Milano 1876. 8. Kongliga svenska fregatten Eugenies resa omkring jorden under befäl of C. A. Virgin. Âren 1851-1853. Veten- skapliga iakttagelser pà H Maj: it Konung Oscar den Fürstes befallning utgifna af K. Svenska Vetenskaps Akademi. Fysik IT. Häft 13. 14. Stockholm 1858 — 1874. 4. Voyage autour du monde sur la frégate suédoise l'Eugé- nie, exécuté pendant les années 1851 — 1853, sous le commandement de C. A. Virgin. Observations scien- tifiques publiées par ordre de sa Majesté le Roi Oscar I par l’Académie royale des Sciences à Stockholm Physique III. Stockholm 1858—74. 4. Bulletin de la société de Géographie. Décembre 1876. Pa- ris 1876. 8. Documenti di storia italiana pubblicati a cura della r..de- putazione sugli studi di storia patria per le provincie di Toscana, dell Umbria e delle marche — Vol. VI Cronache dei Secoli XIII e XIV. Annales Ptolemaci Lucensis, Sanzanome iudicis gesta Florentinorum. Dia- rio di ser Giovanni di Lemmo da Comugnori. Diario d’anonimo Fiorentino. Chronicon Tolosani Canonici Faventini. Firenze 1876. 4. Bianchi, Nicomede. Le materie politiche relative all’es- tero degli archivi di stato piemontesi. Modena 1876.8. Conti, Romolo. Sul Pineto Ravenuate notizie e pensieri. Ravenna 1876. 8 Würtembergische Jahrbücher für Statistik und Landes- kunde. Jahrgang 1875 Theil I—IT und Anhang. Stutt- gart 1876. 4. Archiv für ôsterreichische Geschichte LIV Bd. TI Hälite. Wien 1876. 8. Fontes rerum Austriacarum. Osterreichische Geschichts- Quellen. Zweite Abtheilung Diplomata et acta. XXXVIII Band. Wien 1876. 8. Dèjiny närodu teského wyprawie Frantisek Palacky. Dilu IT castka I. IL IIL W Praze 1875—76. 8 Rectifications. statt: zu lesen: Pag. 191 Zeile 5 v. o. Devon ...... =: 4 DITUT » 192 » 5 v. u. Roden.....…......... Boden » 194 » 8 v.o. und Granit.......... Granit » 199 * » 10 v. o. abgelagert.. . ablagerte » 212 » 5 v. o. «und Stücksand» .... - » 216 » 14 v.o. Niedergronden....... Niegronden » » (20) VU. Werden...........0. reden » » 4 v. u. Diluvialterrasse ...... Diluvialterrasse liegt. » (217090 T2 0-/ZIChAU Se --rrese Zierau. » » 17 v. 0. Nord nach Süd ...... Süd nach Nord. » » 18 v.,0. Pflanzenfils.......... Pflanzenfilz » » 17 v. u. Todaiken ........... Tadaiken » 237 » 19 v.u. supercretacec ....... supracretacee » 245 » 18 v. 0. Angernn............ Angern » 946 » 9 v.'u. Breelau ............ Breslau D 289» 21v-0, 3e eee CL S Paru le S mars : 1877. T. XXKEIE, N° 3. BULLETIN DE L'ACADÈMIE IMPERLALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG. TOME XXL. (Feuilles 26—32.) CONTENU. Page. 0. Bühtlingk, Second supplément pour mon ouvrage sur les sentences indiennes ...... 401—432 F, W. Woldstedt, Les Ichneumonides des environs de St.-Pétersbourg............... 432—460 V. Véliky et Istomine, Les centres dépresseurs et accélérateurs..................... 460—463 M. À, Damour, Notice et analyse sur la Vietinghofite .....,.......,...,..,.......... 463—465 0. Chwolson, Influence de l’incandescence sur la résistence galvanique des fils métal- lues durs (AVEC une planche) 2. ee eee ec 0 465—491 H. Wild, Moyen d'éliminer l'erreur produite par la capillarité dans le barographe à BATAN CE A Re menthe scene cena annee once ciel 492—499 | M, Brosset, Sur une inscription géorgienne de l’église patriarcale de Mtzkhétha.. ..... 499—510 | Bulletin bibliographique... ............... ..... RE 511—512 #4 — On s'abonne : chez MM. Eggers & Ci°, J. Glasounof et J. Issakof, libraires à St.-Pétersbourg; au Comité Ad- | ministratif de l’Académie (Kowurers Ipasienis Huneparopekoï Akaxemiu Hayke); N. Kymmel, libraire à Riga, | et chez M. Léopold Voss, libraire à Leipzig. Le prix d'abonnement, par volume composé de 36 feuilles, est de 3 rbl. arg. pour la Russie, 9 marks Allemands pour l'étranger. Imprimé par ordre de l’Académie Impériale des sciences. Avril 1877. C. Vessélofski, Secrétaire perpétuel. Imprimerie de l'Académie Impériale des sciences. (Vass.-Ostr., 9° ligne, X 12) » L vs $ [l . : s à | F i l | o + | | ce : ' | | 4 | | } : ‘ : ann F fau il à ï i Ê { L ‘ LL 1e, (AS | È | | î , Tr Pt er { À * A) 1} UE 1 NE | . Yr à bn | nr | ‘4 + : | D DE D'PREE | AS | Û TITLE | Û ll au, CETTE | ; " fm 1e, Hd Û 4 FO up d UE ki 14 | EUR \} an n LR CARRE De ae cu La » ne) bn Hoi + à ñ CUILUE Al : + ap 1} : DRE # x { n pti mr Lu _ il HS 1 pre ITA ' « \ OL i : 1: : ï L } L Le ‘ de s Tu ' . K NÉ cr ) Lt. | i n D CRUE |! i TUE ontiks tn ELLE PAU jh Arr À ent ! » au tt 14 M . L. fra e HF 1 Deuil A au Vu L Û EL, ET cit babe HART préaiut Rhil ra ,! il \ (ou fa, | UT AL ll LEcber tot LE te VA HU ME 11 de : Cobra ter de. team Si HER LL Tan PTT id PTS DO vin 1. , h | à a wa fue COTES .. a nf th DLL DTA RL oo lrqu ALU fui [ 1 ù POULE 2 “a Ah 1 HE us 1 EN qi LU | u cttatf AE 1 te LA û Ai nid V4 dt ne #4 . vs "0 #! Fe 147 18 BULLETIN DE L'ACADEMIE EMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG. Zweiter Nachtrag zu meinen Indischen Sprüchen. Von 0. Bühtlingk. (Lu le 21 décembre 1876.) Den ersten Nachtrag, wenn ich von dem am Schluss des Werkes selbst gegebenen absehe, findet man im 21. Bande dieses Bulletins S. 400. feg. (— Mélanges asiatiques VIT, 659. fgg.). Seitdem bin ich durch die Freundlichkeit des Prof. Jacobi in Münster in den Stand gesetzt worden eine in Indien zusammengestellte Sammlung einzusehen, die manchen guten neuen Spruch und manchen alten Spruch in besserer Fassung birgt. Der englische Titel des Buches lautet: «Subhäshita Ratnäkara. A Collection of witty and epigrammatic sayings in Sanskrit compiled and edited with explana- tory notes by Krishna Shästri Bhâtavadekar. Bombay 1872». Die Sprüche hat der Sammler in ähnlicher Weise, wie es Cârfigadhara in seiner Paddhati ge- than hat, sachlich angeordnet. Am Schluss des Werkes stehen die Anfangsworte der Sprüche in alphabetischer (aber nicht sehr strenger) Ordnung nebst Angabe der Quelle. Correcter Druck und dankenswerthe Glossen unter dem Texte entschädigen uns einigermaassen für die Zusammenrückung der Worte in dem Falle, wenn diese durch ein einfaches Spatium getrennt werden konnten. Dieses unterlassen zu haben bedauert übri- gens der Verfasser selbst in seinem Vorwort. Das Quellenverzeichniss enthält folgende Namen von Auto- ren (Sammlern) und Werken: AAEUTTA, AJATA, AT, fa aa (in der im Sanskrit abgefassten Vorrede heissen dieselben MATH ATAT: ATEAT & Fan 90). SU, ANT, ÉTAT, METTRE MI ZT, MEURT, MN, FAT, MAN, MAN aa, aura, IQ, BRUN, JTTENMAN, ETAT, AU, TANIA, Pat OT, AATATATT, AA TT, AFP ACT TI ENE, MÇATET, AA, AT LE EL EPL LL © PE € 19 à 64 LLU PE LE Et EN Lai 2€ 12€ LEA RAT, DATA, TRE, AZ io, ARE, SAT, TAN, ARR, NE, ATEN, à- DEIEGR MFAT, MEUT (nichl etwa bloss als Autor, sondern auch Tome XXII. als Compilator), PTATIT, TRAIT, ETAT (d. i. bekannte Sprüche, die man hier und da zu hôren Gelégenheit hat. AT AT-4 EREAERT uA FAT q a: sagt die Vorrede), ITA und FEAR. Nicht selten hat eine nachweïisbare ältere Quelle einer wenig besagenden neueren weichen müssen; meine Indischen Sprüche brauchten gar nicht citirt zu werden, da hier die Quellen stets angegeben sind. Mahäbhârata, Râmäjana und Manu werden gar nicht genannt, obgleich mancher mitgetheilte Spruch bis hierher zu verfolgen ist. Dass aber das Buch auch des Guten sehr viel enthält, wird man aus dem Folgenden ersehen kôünnen. Zunächst theile ich dem Leser alle abweichenden Lesarten zu den von mir verôffentlich- ten Sprüchen mit, unter denen eine sehr grosse An- zahl ohne Weiteres in eine etwaige neue Auflage des Werkes aufsenommen zu werden verdienen würde. Den Schluss bildet eine mit Auswahl vorgenommene Nachlese zum ersten Theile meiner Sammlung, bei der ich zur Erleichterung der Citation die Zählung mit 7614 (meine Sammlung enthält 7613 Sprüche) be- ginne. Im ersten Theiïle wird man hier und da auch eine nachträgliche Verbesserung sowohl von mir selbst, als auch von Herrn Fritze finden. A. 11. PRASANGARATNAVALI. — 39, Ebendaselbst, c. d. DC IEal Ait An GI AEÙ À TEEN. — 44. Ebendaselbst. — 32, SpauragLoka. Das erste Wortswird ein Mal durch A{AT 4 TUE aa, das andere Mal dure AT TA AE A0 AT ANA er klärt. — 60. c. ZPAATUA 4°. — 80. Kanrararaéant. D. ZUA SL ZT. cd. ART TT ARTE ATÉ AZI À AACNMIAUE. — 82. a. AF- aa71. — 90. SasnÂrarañica. — 96. Karparanu. — 97. Ebendaselbst. b AT. c. MAT. — 118. Prasañcan. — 127. 0. Et und ATRT. — 140. SPHUTAÇLOKA. €. ARTE d. i. ARTE st. °aut. — 148. b. FIAT (ohne 5) SAqa fa AAMFAT. d. TE nach FA einge- schaltet, Bei dieser Lesart ist das Versmaass in Ordnung. — 155, b. | ETAA. d. AUOT. — 164. Prasañcan. a. AIBA st. AMAT. 0. RT- ai: et a nf SAP 2. 2. ART ITA 26 403 Bulletin de l’Académie Empériale 404 LE re LL LL LR LL AA LEE 1e € 1 ca it L a EMTETT. — 169. PrasaNGar. — 195. ViçvaGuniDarça. c. AT EN A. 209. A4: EL TAG AT aa au | RTAEAAT. — 311.4. à rai — 6.0. aeftaR. à Her. — 328. c. ANT rad ohne 4.— 343. 4. À GA À AA. a AU: ARTE. — 370.0. ANRT. ce PAL OL. à ANAT und SNA. — 380. a. AA st. At d. CITE — 408. CaRNGADHARA. a. T ai st. CG d. EL LE LEA GAT; bei uns ist are te ° zu lesen. — 400. In der Chrestomathie habe ich die Lesart RTE aufgenom- men. — 409,0. ax ST. c; DIT st. aa. — 449. SpuurAgLOKA, c. FAT. — 455.0. TON. ce. d. ART AN NTRT LAATAT TA. —_ 515, Prasañcan. a. b. ODTANAUTUIA AIS. — 535. Cinkcaomana. TA. ce. FEAT. — 544. 0. CNET. — 545. b. qua. — 547. c. In der Chrestomathie habe ich 74 st. 34 sg ge- setzt. So wird hier gelesen und ausserdem agat st. Arga. — 550. SaBnÂTaraGa, — 553. c. AZ AAA. d. AA TATATTTATT- “Ar. — 559. a. afz fehlt. — 567. PRasaNGaAR. c. “TT Tia: st. fax - A: — 570.0. d. E EL BEL SEUTEEAT LEE PL ST: ANA. — 507. An zwei Stellen, ein Mal in c. fälschlich ATUIGAA. — 599. a. T1ZT- AT. — 602. Sruvracuous. e. RIATAQION. a. À RIT AT. — 614. KazrpATARU. b. TANT, ohne 4. — 615. b und c wechseln die Stel- len. €. TA: st. ATRETET. — 636. KALPATARU. C. AT AT. — (S. 197.) d. TARA: dû. — 706. Pra- san. €. d. AA MARI J& TA RGIENET. — 710. GânRéanuana. b. Q st. A. — 716.0. HANSAAPIAIET. — 773. Piu- saNGar. b. d. GIE st. À TI. — 777. SpuuTaÇLoKaA. d. at: st. faq: — 789. b. EAUX st. NP. — 795. Zweimal. b. ATETTTEAT, c. Das eine Mal TA a AUITET, das andere Mal LG] ÉC: RurT. — 804. SABBATARAAIGA, Q. ZTATETET. c. aATAT. — 806. SaBHÂTaRAñGA. — Zur Kritik und Erkla- — 349. PRASANGARATN. 645. ÇarNGapuara. — 649. 826. ÇAnNGapuara. — 837. In meinem Artikel rung verschiedener Werke“ ist 836 st. 837 zu lesen. — 8%1. Sa- BBÂTARAMNGA. — 849. PansararañGini. D. TEE. — 867. HaxÜmaNNi- EPP LL LS A rac Le 6 Ba LT 2 1 Lo PL 6 AG ET LES LE AT AA AA ETAT. ce. & AXE, AQURUE. 2. ATARI RAEUATAAT d°. — 869. a. AA st. AA. b. AATAI und am Ende HAl- ZE. à. S0 INTAAA TA. — 908. Karraranc. — 933.0, FATSIN. — 956. c. d. FAT AIO TEA JAI. — 963. Srnuragcora. a. ATARI. c. Taearafe AE. d. AÉÇATAI st. TR. — 1011. Prasacan. d. f2I- ACTA. — 1020. setriises, c. fran TEA. — 1049. Sa- snârarañics. a OT À ohne ET. €. d. AT AT TT AGT ZAR ELLE — 1052. Spuuraçcoxa. — 1054. b. EG st. TTL. — 1088. chtcnnals d. 4 st. a. — 1093. SPHUTAÇLOKA. a. a EL Le 1 LG q- Zen. 0. RE st. ART. — 1108.6. AU Druckehler für AT. 1198. Prasañcan. a. SAGUAMRTAT. — 1134. Rasikaéivana. — 1137. # RS GTUUGE É. 0. MAÉ. — 1450. 0. NET. — 1471. c CL AUAG EL ARRTATUTT. — 1190. Kasrarauc. a. M st AA d. FI Aqui A. c. EC T und qd. d. AU st. TON und FAT. — 1493. Caueaomans. b. AE GTA TT. c. fre aa TRE TNT ST. 2. ATETRT AU AU AIT. — 1233. puana. a. PA si QU. c. d. Éprerare tit ME AETITTA (= CTATAGA Glosse). — 1234. PrasaNGar, à. Mode : — 1235. a. FT. 0. ŒTA TE OÙT AA. d. FT TU — 1241. Kama TARU, a. Te ÉRTERT En ARIANTAT EE Glosse. — 1247. SruuraçLoka. b. af: IE qqre. c. JA AA Add. 2. AA 7a: 4- RURAL — 1255. Sannñran. 24 AAA. Ed RITIT. Nach Aur- Recur in Z. d.d. m.G. 27,18 ist Kesaxamiçra der Verfasser, — 1264. Sa- BHATAR. €. OH: A AS EAU dieses — AREA: Glosse). — 1272. a. fai Fi. d. AT. — 1981. c. d. vor a.b. — 1324. b. MIE: st. aa. d. alFAA. — 1340. c. fai al far. — 1357. KaLPATARU. d. RIM. — 1362. L. AA Druckfehler für FIAT. — 1388. c. AT st. HER: d. INA, _ Lo c. TANT Fe 1412. Spuu- raguona. a. b. PAT TORAA FAT ATEN. d. TT. — 1416. Mrovaure. D. IF st. FEAT. ed, Het TRUE HAN FT At — 1417. KasparTanu, d. TANT st. TA. — 1418. SPauragLOoKA. a TARA TE A0. — 1419. Sauiranaños. D. RER ARTE, — 1498. PrassRcan. à... TANT: BUT FT AA TA c. 2. Fanfa: GTA LE 11 CUT°. — 1441. Kiviasañcraua. c. d. A an TZ ÉlEGU AE AA IMNTEUT. — 1462. 0. ATH 1. TRI. L. AU. e. BUTS, SARA. — 1460. 0. À À HETQUR d. ER UÉLE tea. — 1478. Kararano. a. QE FATAL. 0. fQE- AA. Far se AT. c. d. EUX TANIA NAT ÉTAT TE ai IRAN AN AAAT Cd. Dial AT. — 1487. KazPararu und zwar swei Mal. c. Ein Mal AT st PAT. — 1513. ce. HCHE ERÈT SL. ST. 2. MU SL AA. — 1519. ce. AATTAENTA T°. — 1522. Srnuraçroua, b, JATATTTE st. TATIT. c. AA TETE TA ATT- AT. d. HTC. — 1596. Samuiranañes. e. 3 APTE st. A MC. — 1537. RTATEUT: aa (so muss es heissen). — 1539. PrasaNGan. a. FER. C: ATRTATNAEAT. — 14575. Lies ,Wort“ st. ,, Werk‘, — 580. 4. FAT. — 1584. Ein äbnlicher Spruch aus PrasaRean.: - LE A EL A 2 LL LL e LE AT: TEA TN ART IA ADI. 21592 ab: tcmahrzdran APNANE TT. — 1596. SPuUTAÇLOKA. b. CiEGLe: Cal AA RENTE Rrafante s A TTART: | qaregdeù after SU {er RENTE: AUUTÉ ZEN A LOT 1 ART ART AURET TINET TEA AT: | étai rat mA fra I LUN S ART AU ANA Fe PTT 4 % UE | TPE AT ATRTR AU ANTATE 11 WLÈO II LEE LL LE A TOTAE AAATAENTANT | apatie a AREA TERESA, 1 LA 11 7709. 7710. HAA1 7712. 7743. PRasANGAR. 7714. 7715. 7716. 7717. 7718. 7719. 7720. 7721. SABHÂTARANGA. Naisu. 12,106. b. AATATAT: st. PANÉAIUDHAPRAPANÉABE ANA . BuÂRATAKAMPE. SPHUTAÇLOKA. ÇÂRNGADHARA. SABHÂTARAMGA. SPHUTAÇLOKA. SABHÂTARAMGA. PRASANGAR. SPHUTAÇLOKA. CARNGADHARA. ATATAIEU: die Ausg. ES LR ne 0 LEA LA FE LL LL LL Lo LL LA LL LL LL LE ELLE 2 LE 14 1 A OL Bi aa afp Be APTE 11 LLXS attente rte A ARE UT TEA | af BAR AT ETAT 1 LENS 11 ADI: NUE A ZATTANENT (4. 1. SEAT EN 0) | À sit a get a gent Para A 1 LLÈB 1 aura fé nec AE A TE A | A6 AAA AT AT AT 11 LOU 1 AQU AA EATA AAA ANEEN | a AR ARAT ATA AE AAA 11 WOLË, I ar qu AT AAA FN | € 1 1e LP LL ES LG E GATE (2 EL Ce EG LE RuEl {ir AENATETAT SA AFAAEAAT AIT | are en sa + fe dater er fa aa Re € LE 1 LG 220 AE LE LEE LA LL LES LE GER TE AI ANT SUN À HE ICT | Ra © € Le à 6: LUE LE LE GG EU COrcEr E 1 CeU AAENTR AT AE FAST | ff gen a: Pen Ada 1 Loèo 1 DL D FA LES EL A LL à EE ART ENATE ATTETE: 11 ON 1 AZ AT ICT AT LAID EG HET: ATTAEA GALL US qci ART ti: | ART EX afenta Rruia EL LPAUL Tee PUR AH: HATENTE EEE 1 LLËS D 1 fe Rad L 2 12 UE Las LE(S EG LE GEL HLEC À LU ca 2 A LL UE ARRETE 1 LLSS 1 ViGVAGuNâDARG A. SPHUTAÇLOKA. Q. AU — = DA und AFT fan. b. a — = ca und AT. 772%. SPUUTAÇLOKA. 7725. PrasaNGar. d. AT — TEA und qi. 7726. SPHUTACÇLOKA. 7727. KALPATARU. 7728. SPHUTAÇLOKA. 7729. SaguÂraraMGa. €, C5 da : gedr. 7730. KALIVIDAMBANA. 7131. KALPATARU. 7732. KALPATARU. 7733. SABuÂTARAMGA. 421 ATAT SrAqA A ATTA: TAN 2 LL LE LL LE LG ranafa apart TA AT À GA Mad TAG 1 LLËB 1 APE HENENAT À DFA AU Ph AA | asfaiaeaaennr me Pi MIA TT N LOU 1 ATEUTÉ ANR: AT Ram, | GG 6 ARTE TIPAET TANT 1 LOËË, 11 ATT:AA 2 ATAAEA Heat fait as au TT: AURA À AA II LUËL 11 aTTaat RENNAGA À AAA TAN | ana afoanafe ça deg THAT 11 VoËT 1 AIR AT: u. s. w. herausgegeben von Tu. Aurarcur à. a. O. c. TAN ÇA. AIN AAA CALE LE GA LE AT ARTE HAT TENTE AFAT 11 L TETE ATA RAT A ET AMIAATE JE | RAR aerniaaenrete a Ac a qi 2 11 ovdo 1 Le 116} HA A ANT AT TUAIN | 2 LA LA RL LE LC LE LUE LL ETAT TNT MAR AEAE | aa sf QT AA À AT AAA: 11 VOB AAA REP AAA ANT AAA | BTE ANRT AT ETAT TETE 11 LUS 1 TEA AT aan Es LE LA 111 LS rt? de AT aqu AA M TA: | EMA AÈAT A AU: HOT SA AT ANOMT aA QE R ECC af ndtaa FREE Il LOBR 1 AE HQIEA AT HENTE RER RTANIPMET | GE LS RE LUE AU LEE PS0 TELL ALES CLÉ E 15 € du 1 eat Re Braun gr Te À RRQ A EPA ATAT SEAT 11 LLBË 1 S. 49. LES 1 7734. BuâminiviLâsa. 7735. 7736. 14 91- 7738. 7739. 7740. SPUUTAÇLOKA. 7741. SpAUTAÇLOKA. d. aa ist TE Pradicat zu HAT MÉSIÎN.: AE zu JAI u. s. w., EG LLÎ] ist mit AT TA° zu verbinden. 7742. RÂDHAKRSHNASAMYADA. KALIVIDAMBANA. KALIVIDAMBANA. SPHUTAÇLOKA. SPHUTAÇLOKA. RASIKRAGIVANA. . BaâminiviLisa. . ÇiRNGADHARA. . SPHUTACLOKA. des Sciences de Saint-Pétersbourg. . SPHUTAGLOKA, d. CUT Wolke und zahnlos, 42? TER AZ DA Te FINI RES af Jar Fig: TE ti FAT EL ELU SA na A AA ATANA Le AA ar aa: AA: | LB) | DUT Qi PATENT TETE | TA: Pl Tea À Fra 1 af al Em | SERGE RAP LR TIC AL ESELE ERA AIT A ATEN HAACNENTT TARA 11 LUBT 1 TEEN PE AIZAAAIA FAT SAT | q: HAZI face a LG A Le à SRMIAIET | LBS 1 Re L LL LG RE GEL LG RS LE TELE EntEA MGIAA À AMALTNE | ra AAA EAN ATAET- cafqiea fe AA ATEN WUO 1 BAUTTA: s. zu 1137. gaedt MAT À ATEN AAA À AAA RUE AT MENT ATEN | Ra arr BA AA SEAT FOI: RUE ARABE AT NA LOU IT AIT aierei ROULE LR EG EL Tu afa AT AAA ( oder FET°) Ta: | boUS 1 ZAR AA: RG M ET GE FAN: FAQ 5 pra aa sf area: | PRO AA: ARTIQUENAU ANT Fan ea Ad AR ATRETEAA AT 11 LOUE 11 tm: RL LE NÉE GES TARA CARTER: | ana Breaden qd Bt Bu REA Ta: A: 1 LOU es AEJTAN sia ARTISTE: | Es EL LS LL EL 2 5 LUCE 6 A UE fr arr. ÉRLIE RIRRNTITENQO: | DC jItu LE PELLE GIE LUE Hd RATE A LOUE, 11 FHATAT © heraussgegeben von Te. Aurrecur a. a. O. 12. a. far BOUÈRÉ + SPHUTAÇLOKA. + VIÇYAGUNADARÇA. ViTHOBAanNâ. . CARNGADHARA. … RASIKAGIVANA. . e = = . SPHUTAÇLOKA. b. UT = 44 und ST. STATE STATE- dat: v. I. 7753. SPHUTAÇLOKA. 7754. ViçvaGuNâDARÇA. d. fair 24 und C CES 7755. KaLPATaRU. STCRTIRT =U =! 7756. SPHUTAÇLOKA. Le] = + 423 Bulletin de l’Académie Empériale 424 sn tit fera A4 a 1 oafaar AT TA TU: AT N LOU IN SAFTANAE TENTE | AA SA AS À APT NEIL NN LOUT 1 LEGAL EG LE GTECE RATE QI net EE: AA ÉTEINT | ana MAI AOTTTTÉ AAA: AN HET HENTAI ATEN T 2 TA ES NA GOUS 1 SR: HAN: Lu HAE E area QUE EEE Fri afp TA AT: TER 1 MATIERE TEST AIT - Fqaenea STE TA AMEN 11 LoËO SATA TENTE TAEAAT GE LE ELA EE LUCE LR E GG GA aa af feat aù fa a 4 PGA A TA 1 DGA 1 Senna aan re gere REA ATEN TAN fan fra ATEN 11 LÉ 37 REA | afe Ad AÉRAN: MAT M AIT: 1 LES 1 SPACE C0 Le LE LE Le A La LC LE HE Ronnie te À 1 Wok l SATA 0 9 ATAAR ANRT ARE LAENTNT: | FAT SEA À TAATUR: FAT FAR ST AATE TANT SEA 11 LOËU 1 Sara ft Fraaeanit fard ua SLI +5 ED AE 1e Le EG GUL 6 A AT TANT: MALE ELLE Le D 3 LG LE LE LL LER LCR 7157. SPHUTAÇLOKA. 7758. ÇÂRNGaDuara. 7139. RasikaGivaNA. 7760. PANKisupuaPraP ANÉABHÂNA. a. CIE = AA und AT. UT- Far = HER ÎQIT vod JAPAN. GÉANT — ATEN und FAETAT. AT = HAUT. d. MEÛ = ANA. MAIZIAIA geir. 7761. CARNGapaara. b. ATAIUE © gedr. = 7762. Rarnâv. 18. a. Hier und bei Aurrecur a, a. O. 98. 324T31- PAS 7763. CARNGADHARA, Verfasser SARVABHAUMA 4 pis AUTRECUT à. à 0. 95. 7764. k: l 7764. VirioBAaNNÀ. a. FERTT ann auch S-mR Es — fa) sein. 7765. RâDnakRsNAsAMvADA. €. d. RUNULET das erste Mal — ÆQTT- FA, das zweite Mal — AU TANT TENICH:. 1 7766. PANÉ IODHAPRAPANKABHANA = RarNiv. 10. En LU le Le LG Le 6 LE AGE TURIN MIT: | ARR AN A SAP 47 APT: || VOL | FAN AA: NUL Aai TUE: | Qt RAA EIRT AAA FAIR 11 WLËT 1 SA AUS MT MATE | ANRT MNT MATH 1 LLËS 1 SET UE AQU NET A Fa fran fafatrar sa 1 Ph ça Rata A: AA RTE FA AQU APE A LULO SARA AAA PTIT: TANT AGO | CAMES REMISES = AS NAT TA AT PET ART SA TE IN WOLA ne LE Le CR LL LRU LA DA A a LE Le LG LE AR TA À Et RTAENT MATAENR GATE 11 LLLÀ I 2 5 LE ra EL LL RE CS LLe LE RE 16 € FA AERTSITAAT 0 A AA TEA LOLÈ | SRB DPI REA FEAT | RENE MAN TAA ASIA AA ANT SÉA HFT 11 WOLË 1 0e Lu EN LE 1 D ce Lis 2 LEE aa a NT Qt AR MAT A: AN LOU TRAIN ENT Si PITTESA TAN: | IQ AUA A4 À HAT À AAA NI LUE II TRAIT 0 AZUR AT | QRA: ANT AAA MAMA 1 LoL0 II LE 56 LRU PUR LE) RTE enfant dû AA AEUET AAA M LL || SU a ={ . CARNGADHARA. 8. SPHUTAÇLOKA. 69. PrasaNGaR. 0. GARNGapuara, Çiva fanraafà) tragt den Stechapfel wie den 4 ei «x CS 5 | Mond auf seinem Haupte. Vgl. Spr. TAGTEAT u. S. W. bei AUFRECET a, a. O. 49 und meine Bemerkungen ebend. 633. fg. 71. SPHUTACLOKA. 72. Î. 73. SPHUTAÇLOKA. 74. KALPATARU. T5 + SPHUTAGLOKA. = =t a . Karcvararu, Gemeint ist die Nadel. ñ GINADHARMAVIYEK A: 8. CÂnNéanuara, a. Tel zugleich — AT. SUR UT ST EU EU TI A 1 425 des Sciences de Saint-Pétershourg. 426 TRE TAN: a ar: sn A 7 FUN: | TA TEA DINANCTIN ELLE GR © 16 EE ER a GE ERA CCNT TANIA TITI TITI IQ | TEST À CREER SATA ERA 11 LOTO 1 LE LE LE 6 LE CL 121 LL KA (5 E À AAA SAN TANT AEENT À REA 1 LOT || RAT TUETQQN: ARE ANA. LE où © Der EL EC LE: Re LEGS LG LE LE AIT T Ph 7 PTT IGN: ATTEAT AAA RÉ 7 AAA EEE A LOT, 1 ELLE! morte F5 RAT GT AT IAA SET | ANRT RAT PANTATON ART SAT AAA 11 LOTS I ren Mi Fper AU BR TARA | TR Port A ART ÉTAT 1 LOT li LL as: À LE ELLE ni EE 1 16 IE RE SR 6 LAS Re LEE G 0 RAT TT AA Banana. AT: ENS AIPRINAMARZ TARA: 11 LOT U 1 NES 14 HAT herausseseben von Tu. Aurrecur a. a O. 71, € 4 D “bb ST1°, wie das Metrum verlanct. za TAN aa AT AT ARE NA PAT | aa À scan * AAA 1 ÿotè Î TA AFEMNAAT TA ATTTANET: | DETTE ET: ANTEUTAT: I LOT za ATEN À EPA TEA | LE LEGS EG LE 2 LS Er re 6 ae Te EATAT s. zu 1478. tie À paf ça Ma TANT LELUA LL a Etc 9 De LEE Lo LE CE C2 GRR A 74 » 7779. 7780. 7781. 7782. 7783. 7781. 7785. 7786. Senf. d. 7787. 7788. Rein CARNGADHARA. PRasaNGar. KaLPATARU. CiRNGanuara. ÇirNGapuaa. CâRNGaDuana. Ps C Sruuragroka. ©. THRTA der sein Ziel erreicht hat und weisser = Ed Zuneigung und Oel. VICVAGUNADARÇA. PrasaNGAR. 7789. Karpararu, a, Niemand denkt sogleich bei Elie dass dieses in El = 1fIET) und af ( (= TA) zu zerlegen sei. Daher die Frage in d. Ronan A AAA fa À | ARR aan RTE 11 Lego A TSTAT À JPA AT AA: AT AAA AA | DAT AA 4 TA: TNT AENIT TA ÇA NN LOS ÉLicd Re Eul herausgegeben von Tu. Aurnecur a. a, O. 62. d. AIANTANT AR. AT erklärt eine Glosse durch ART, HET 47 464 Tù TANT A RNTATTEANT | na Ted AAA AATEU AAANET À 2°) HET: 11 Loÿo 11 He PATENT HT PNA | GARE ENT MÉRTA ATEUETET 1 O2 1 FA TAN A EL NO EN | TEA 9 BG: AA TA ARTE 11 LLSE 1 AAA MINE: s. zu 1846. ea PQ: TZ TP AAA: AN: EE ERA TENTE AA À TANT AAA TETE: FACE À IAA FAIT: RANGER QC: AZ TA 11 EU 1 RAIN AAA ACTE: MAT: | AR HENTAI: A STAÉA ATEN 2 SAT 11 LOSE, 1 TU Retaraie mrandienateat Ait A4 TA | ECG Er ati 42 feat At Ad fa ANT: 1 gogo 1 Fa APR Pat: AT ZEN À MAT NT 9 ATEN A+ 4 RTE QU RER PAR 11 LOGE Lu Le RU FRA AGUFAET AU | AT: TANT ANT AE A 11 LOSS ll ATEN NEA: TARA RTRT: ELLE LE PR LE Le 2 5 (CIE GE) qu qafà Fa GNUZ: 1 LTOO 1 ent aan RETCAANE: AA ZERO RAM PNQTENT: 11 LEON 7790. CiRNGADuARA . 7791. 1192. CARNGADHARA. SPHUTAÇLOKA. e HT: RU | TA TATUT. d. AHAU- FA FAT | LE] à TA 7FZ: LATEX RUE. 7793. 7794. 7795. 7796. 7797. 7798. SPHUTAÇLOKA. gebenden Fragen. 7799. SPHUTAÇLOKA. 7800. SPHUTAÇLOKA. CARNGaDuHaRA. KALPATARU, RES ù Lam CarNGanuara. €. TT gedr. d. TAAlT À gedr. D] VisavanarrÀ, Eingangsstrophe. SPHUTAÇLOKA. d. Enthält die Antworten auf die drei voran- b. AG -UTAET und AG AFAET. 7801, CikNGaDmara. b, Gi gedr. 427 TT 7 FATTENAAT TT | rendrait FA TU AT NN OTOX 1 TER TIR RENCN Si MU TA, Ph AAICNTAU 4 5 qe: ANT 1 OTo 1 RARE AU M 1 AT gate at AT: etui TUTET HER 3 aa fran Great PTT aafz: EniEds LÉ Far amet arf AT: AT AA El: AA A TE TT - FAT ACTA 11 LTOË 1 “rente er scafani SEA 1 AN TER enfe gta af adfazta À | LR 1 € LL AL 1: ER LE Th ANTIEUT A TEA 1 LOU FEI AR AA TA 7: LE rie 10 22 LE AAA EG) af À A: FA A7: | At ana RAT AT An SU EAU | fac RENTREE AA AA ATCA 11 WTOË, 1 FR Aa FRET À À TAF | TERTIRANTEA Eu RAT A A: || LTOL || Fit: AT AIS RIERET MAT PTT: | aarà sf Aya RENMMATA: FA: 1 LTOT Il RE RENE Ra Me TANT CEE atft: HAUT TEA 2 TER TNT | E LE GA le Le 2 LE LE LP REnÉRUSETEÎ Ta te afa af qe RE AA: N OTOS ll 21 D LE LE: QUE 1: E Ka 1 LE LE RE 1 ES ÉELC BAFA A TA AAA 1 TA II AU RTAAN AN A ZA fa TAPER | CT AL LE LEE Le Arpamianae fat 1 FA 11 OTAA 1 7802. Vigvacuninan a. 1803. ÇânNéanuana. d. Die drei Worte enthalten der Reihe nach | die Antwort auf die drei vorangehenden Fragen. Dies ist eine soge- nannte CR LENE 7804. Spnuragroka. Die vier letzten” Silben beantwor ten alle zWOIf Fragen und War auf folgende Weise: à ( = 37), TA, T 4 (um- gestelltes © A). TR (umgestelltes XI), HER 37; ch ( = fr), ET, d (Voc. von à), A, AT. Gleichfalls eine Antarlâpikà. 7805. SPHUTAÇLOKA. 7806. SABHATARAMGA. Q. LUS Wasser und Milch. und Wochentag. c. Ana Wasser und Nektar. 7807. SPHUTAÇLOKA. 7808. Gânkc ADHARA. 7809. ÇARNGADHARA. 7810. Spnuragroka. c.d. Vgl. PANINI 6,4,132 7811. Karpararu, €, Der vom Malaja- Échirge wehende Wind ist durch den Athem der dort hausenden Schlangen vergiftet. b. aR4 Wässer Bulletin de l’Académie Impériale 428 a qe fan 1 ANA | SRATATT AQU ELA à 1 TATATAA 11 LT 1 ht Re rana TRATÉETAT LL GE LS EL EEE LE LL À al Eu AAINEA TENTE ue Tan tata 94 PT BRAEZA N LTU RTE BRUN IAA AGAIN | A TRNAAEUNATIUE 11 LEAB 1 fa PATENT TETE À AEA | ETAT 1 AA ANT FA I TA I qrarsrà Bande fa dû son ot fe 1 ELA LL LS LE La LE GEL LORS € GE LG LCR RO EU | PATTES TA TNA: | ELLE LE: € 6 Léa F8 L LES Le (9e à Lo Ra LE 10 LT CI! Rd aenfa ATA AA À AMC TMANTA LL QT AA 9 TA | fai TA 1 ae TR NA 77- Fri ana AA ATEN faatfa td IE PARA LA | ame ra cie Li: BIRT TU ANT: | EE Lac LE CA LE LLELL te IA LL LE LG RO CL med Re ar: AZI ÇA SANTA AAA | a af aa qaafe Met à ACHAT 11 LT 20 1 RETTTATA Lai Ed À ATARI | aa: Mer AAA 7 AT AAFAAETT: 11 OEQN 11 Sn EL LE Le OL RE LG ER RQ HIT | re taf a Far are bad 7 geafa AR: 1 UT ÈX l Fa ag LR: Pr ee TATIANA À | {EE 2 EH LE E a LE RE 0 LG LG LL QT REA 7812. 7813. 7814. 7815. 7816. 7817. 7818. CARNGADHARA. 7819. Kazpararu, d. Die vier Worte re. die Antworten. 7820. fà. st. (? 7821. En 7822. PRASANGARATN AV. ÇiaNGaDnaRs, KALPATARU. SABHÂTARAMGA. CanNGaDHARA. Angeblich aus UrraRanâMañ. SPHUTAÇLOKA. 4°, q° und T° bilden d. Der ganze Satz ist die Antwort auf die = letzte Frage, die einzelnen Worte 31°. 4 2: d° und 44° beantworten | | die vier ersten Fragen. 7823. CARNGADHARA. 429 ÉTÉ RE LI CGRE LI26 En E 05 AE TELE LE O2 LL PE à Lo EE A EL LL LE LE EL Le LE 6 € 1 LE (22 AG Bi CeLLRe 2e LE ADI: AFETANRERAEAT: HAUT: AA A: | TELE 1 LE D D: 6 LR EE Las LA G LTD EL EE A Le SPRL 115 € FEAT À HA Had ATAT: TAROT JEAN A: 1 LTLU Ph ami ptet À gaie am: M Rae AA: à ha Form ATT en Let FORT EUR | ANS Le LE A LT Le LL aan Ale ad gentiadeerh EAUX, NOTE 1 Ph a + ae fa and APENQU AT | LE LD LE LE Ce LL AL LE LL EL CE LEE LE EE a Ra LIU EL a Fi afa ad IS Ph AT À quid LL A2 LA 5 LS A LE LE Far sta aufraenen À FRATA 1 LT AT 1 LE da a Re 2 LE LG 6 CB LE LG ELLE Le EN nf: QE AT RTE: AEA AFTAAA TE HAT 11 LTRK I Fran At: IGAT TNT AT TN En: | AT aa: FAEAA LRU, I UT 30 Il Rte one RAR TA AA TT \ aa AA A A4 PAIE AA AA HAT NL ON NI Pa md: PA MAEQET MOLET ETC: | an af S AMATT À M AA: 1 TÉL NI LE D LL DEL 7 LE Le GE 3 LE LE 2 nai: \ RAI AA: AAAICA AE A AT NOTÉE EN NAT PA À AE aaia AA | aa: DATA AU ÂTES EU NL LTÉB 1 7824. 7825. SPHUTAÇLOKA. 7826. Senuraçcora. Die vier Antworten auf je zwei Fragen sind: Au4 Speise und blind, AE LL à die Dânava und Wassergabe, (SL: Rähu und Finsterniss, aux Vügel und Jugend. Beispiel einer B ie läpikà. 7827. GARNGADHARA. 7828. ÇanNGaDuaARs. 7829. FF (. 7830. SPHUTAÇLOKA. PRASANGaR. Antwort: Ted: getrennt und verbunden. Eine BauiIRLAPIKA. 7831. ÇARNGADHARA. 7832. ÇARNGADHARA. 7833. PRASANGAR. 7834. SPHUTAÇLOKA. des Sciences de Saint-Pétersbourg. 430 FA ADI AA FAR A A NA A | À EU QU: HET ANET À AE A || LTAU | ANA DE CAFE AREAS REURT NAT | MBA AA ANR: AT NO 1 ot il PA: RER LE co LE 1 26 E RL LLE L € AREA ATEN Tarn affa ll ET 1 CELL LL GL RENAAT ARENA | Raraçae: ARENA ATEN 1 LTÈT 1 an EAMIREDIE herausgeg. von Tu. Aurnecur a. a. O. 17. c. Besser ATRA Fr TT FEAT TANT AMAR AA | art SM MER TRTPIEUR 11 OT AA AE AU LE UrTES EE ARENA REQUR a ET ERA 11 LTÈO II RAA: EMA AE MATNET MAU | rataent AP RTS TRANCHE 1 LTBA RAnrA 2 Le 1 TT: ( (so hier) berausgeg. von Tu, AUFRECHT à. a. 0. S. 48. d. HAT. ANT AAA EST AT AIPDIES TA | Med AN AA 12: A À ft TU TT NN LTBS 1 RO AURA TA ARENA ns LE RATE \ DENTÉRETET aa AIT HA BR: MANN A A MER YA 11 TES II ä FACE maarÉa ea | 14 densfa Br merde AAA 11 TER 1 RAM 17: AT ST AGA | art: FA ANT EL ATEN: 11 HTBU 1 ETIE. drqAÎl herausgeg. von Tu. Aurrecur à. a, O. 85. c. as st. AAG. d. AT AIO. 7835. 7836. 7837. 7838. 7839. 7840. SPHUTAÇLOEA. PRASANGAR. SPHUTAÇLOKA. SaguirarAñGa. Ein Fluss wird angeredet. SABHÂTARAMGA. SasnâirarañGa. a. UT — REG und AJ. b. faragt = en und FATAT FAT: RAA AEAT:. AT ° = aa a DIEU IN ARMENEAT und FANS AN. c. MA = ANA. moe PRAsANGaR. 7842. 7843. ÇCARNGADHARA. 7844. SPHUTAÇLOKA. 7845. CARNGADHARA. SABHÂTARAMGA. 431 _ A: apte Fi at Et Tai ELLE Le A GA 3 Le A Ca RSR LCR CLR Arena fit À AT EPA Ta at ad end Et PRO TE ANG MA MEATQ | LTÉË, CIE al TA: (so hier) herausgeg. von Tu. Aurarcur a. a. O. 40. A 0 DEN aaTa BA PA À 7: | alta: EI ad: LUUIDGE a TE a Il orèo il Eù RONA herausyeg. von Tu. Aurrecur a. a. O. 78. d. a; wie ich ebend. 636 vermuthet batte, aber ST wie bei AUFRECOT. Man verbinde also TTATEANT 0. ATTE dea Sn: Th MA | AQU AAA AT: FATAAANEATE 11 LTBT 1 to: te ANT QU: QU STATE | SAT PAPA AERT TA AIO: 11 LT BY 1 AATAT AAA AAA TA ANT | SIA 4 AGP À AAA À AAA: LT UO 1 a: ARR SA ZT HET HAT | re SE TA A AT: RAA 1 LEUR II ATTEQ FAN: ATU fenaeaain | FIAT: HA: AIME FICHE, LOTUS 1 D C2 LL LE GG LE Eu GA: KG Le L2 ES LE TEA ACAIA TRAIT | ETAT LE À GE 5 Al LEE] Fe aa an faÊr. ACTA EMI 11 LTUË HA ÉT ATQNEZ À AUTÉ AA À AAEA | CRT AYANT: MARATE | LEUR 1 DE RC EE LLC: LE LE 2 LR: LG LEE © AAA EUR MAZT DEP ATEN TA EAN name FRA TA FF AA | FAT MAR EE ANA AT A AA 11 TU, Il 7846. SPRUTAÇLOKA. 7847. NiDAGDBAMUKHAMANDANA 2, 59. @. al st. FI Has. d. mA Ham». Antwort auf die erste Frage: T!, auf die zweite: A (= qd - aa), auf die dritte: UÀ. auf die vierte: aa JFUR (PAINI n 7848. PrasaNGan. 7849. ÇirNGaDHaRa. €. CE Sonne und Freund. Tèl meine Aende- rung fur D 29 DEN 7850. CARNGADHARA. 7851. CinN6aDuaRa. 7852. KaLPATARU. 7853. SPAUTAÇLOKA. 7854. PrasANGaR. 7855. H1iropADEcA. 7856. ÇanNGADHARA. a. RAA godr. Bulletin de l'Académie Impériale 432 GATE AT SCT AT AA SA SHTEUZA | RENE CTÉANT A: HAT SCA AGAIN 1 LT UL II HAT SCA MA Fr FA AA A: | Feimt Sfa : AG A ETC APTE 11 TUE 1 LE LL ie LL GE 6 LU D LE G LEA qeù TA Br RAR: HONTE 1 TUE IN EL EAELEE A ACTA AT | QE A AA HAT FAP AA UE 11 LEO 1 PERLE FA LE LEA SA: HENTAI TT PAT: HET A 11 LTÉA 1 srecfanteet Bateer: Mana Aa: PRO | TAFTE ÉLÈre Tue et SET Pre EU NN LEE 1 ELLE LE LE a a LE AU G LG LL GLEN SEA AAA ARIANE 11 LTÉE 1 TA SARA 7 a Fi facara aura | MRRTATA F1 AREA ART NL LTÉE 1 RAA ET mqun: PA A7 | radin a Aa ana Te 1 EU 1 Beitrag zur Kenntniss der um St. Petersburg vorkom- menden Ilchneumoniden, von F. W. Woldstedt. (Lu le 25 janvier 1577.) Was man bis jetzt über die in der Umgegend St. Petersburgs vorkommenden Ichneumoniden weiss, ist noch sehr wenig. In Georgi’s «Versuch einer Beschrei- bung der Russisch-Kayserlichen Residenzstadt St, Pe- tersburg.» Band IL. St. Petersb. 1790 finden wir die Angabe, dass in der hiesigen Gegend 7 Arten der Gattung Ichneumon vorkommen. Bei Cederhjelm, in dem «Faunae Ingricae Prodromus», sind 38 Arten ange- führt, von denen jedoch mehrere, als zu den eigentli- chen Ichneumoniden nicht gehôrig, ausgeschieden werden müssen, und in Hummels «Essais entomolo- 7857. 7858. 7859. 7860. 7861. 7862. 7863. SABHÂTARAMGA. PuasaNGAR. CARNGADHARA, CARNGADHARA. SPHUTAÇLOKA. VAIDIAGIVANA. SPHUTAGLOKA. @. TAF ATA = TETE und adafeufa. Aa AT und ÀT. 7864. SapnÂTarañGa. & 7865. PrasaNGar. 433 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 434 giques» sind ein Paar zerstreute Notizen verhanden über einige Arten, die als dem petersburger Bezirk angehürig bezeichnet werden. Bei Osten-Sacken hin- gegen, in dem «O4ePKBR COBPEMEHHATO COCTOAHIA HO3HA- HiA 9HTOMOJOTHJeCKOÏ æaybr oKpecraocreñ C.-[erep- Gypra. C.-Ierep6. 1858» fehlt die Familie der Ich- neumoniden ganz. Es scheint mir darum nicht ganz unangemessen zu sein, wenn ich die mir bis jetzt aus der hiesigen Gegend bekannt gewordenen Arten ver- ôffentliche, so unvollständig und dürftig das Verzeich- niss auch ausfallen muss. Das hauptsächlichste Mate- rial, welches mir dabei zu Gebote gestanden hat, ist von dem Conservator am entomologischen Museum der Akademie der Wissenschaften Herrn Aug. Morawitz gesammelt worden. Es ist aber natürlich, dass ein ein- zelner Sammler, insbesondere wenn er noch dabeï sein Hauptaugenmerk auf andere Insectengruppen richtete, nicht alle Schätze der Natur zu heben im Stande war. Daher steht gerade in Bezug auf diese Familie den hiesigen Entomologen und Sammlern noch ein weites Feld der Thätigkeit offen, und ich glaube versichern zu künnen, dass die Zahl der in der petersburger Ge- gend vorkommenden Ichneumoniden sich mit der Zeit auf das Dreifache von dem herausstellen wird, was mir bis jetzt bekannt geworden. In Bezug auf die systematische Eintheilung der Ichneumoniden habe ich die «Familien», die Æürster in der «Synopsis der Familien und Gattungen der Ichneumonen !» aufstellt, angenommen, jedoch mit der Abweichung, dass ich die Endung «-oidae» in «-ina» verwandelt habe. Es künnen aber diese Gruppen wohl nicht gern «Familien», sondern müssen eher «Tribus» genannt werden, denn der grosse Artenreichthum der Ichneumoniden kann kein triftiger Grund sein für die Zersplitterung derselben in eine Menge selbstständi- ger Familien, da wir in anderen Insectenordnungen auch sehr grosse Familien haben, so z. B. unter den Dipteren die Musciden. Was nun ferner die ungeheuere Menge der von Æürster kurz charakterisirten neuen Gattungen betrifft, bei denen nicht emmal eme ty- pische Art angeführt ist, so war es mir sehr oft un- müglich, zu einem definitiven Resultat darüber zu ge- langen, in welche Gattung die eine oder andere Art einzureihen sei. Es sind daher diese Gattungen nur 1) Verhandlungen des naturhistorischen Vereines der preussi- schen Rheinlande und Westphalens, 25-ster Jahrg, 1868. Tome XXIII. bisweilen, wenn ich ganz sicher zu sein glaubte, be- rücksichtigt worden. Mein Verzeichniss, in welchem auch einige neue Arten und Varietäten beschrieben werden, gestaltet sich folgendermaassen : Amnomalonina. Trichomma Wesm. 1. Tr. enccator Rossi. Fauna Etrusca T.II. 48.777 (Ichneumon). — Gravenhorst. Ichneumonologia Euro- paca. T. IT. 641.10 (Anomalon). — Wesmael. Bulle- tins de l’Académie royale de Belgique. T. XVI. IT. 137. — Holmgren. Monographia Ophionidum Sueciae in Kongliga Svenska Vetenskaps-Akademiens Handlin- gar. Ny Füljd. Andra Bandet. Andra Häftet (1838). 1o Q 2 ES Habronyx Foerst. 1. H. heros Wesm.1.c. 125.4 (Anomalon).—Holmgr. I. c. 20. 6 (Anomalon). — Foerster. Verhandlungen des naturhistorischen Vereines der preussischen Rhein- lande und Westphalens. 17 Jahrgang (1860). 149. Exochilum Wesm. 1. Zx. cèrcumflexum Linné. Fauna Suecica. n. 1631 (Ichneumon). — Grav. 1. c. IT. 643.112 (Anomalon). Wesm. IL. c. 122. — Holmgr. L. c. 14. 1. — Var. 1 Grar. Anomalon Jurine. 1. An. flaveolatum Grav. 1. c. III. 664. 122. — Holmgr. 1. €. 25.14. 2, An. tenuicorne Grav.1.c. HT. 671.125.— Holmgr. 1022820 Nototrachiina. Nototrachys Marshall. 1. AN. folator Fabricius. Supplementum Entomolo- giae Systematicae. 239. 21 (Ophion). — Grav. I, c. III. 715. 148 (Trachynotus). — Holmgr. L. c. 13. 1 (Trachynotus). — Marshall. A Catalogue of British Hymenoptera (1872). 50. Porizonina. Porizon Fallén. 1. P, hostilis Grav. 1. c. TT. l::c7 13296 2, P. harpurus Schrank. Fauna Boica Il. 2.n. 2110 (Ichneumon). — Grav. L. e. IL. 758. 164. — Holmgr. LC 15416: "KA 753. 161.— Holmgr. 28 435 Thersilochus Holmgr. 1. Th. caudatus Holmgr. var 1. Holmgr. 1. c. 144. 2. Th. boops Grav. 1. c. III. 776. 172 (Porizon). — Holmgr. 1. c. 145.23. Pristomerina. Pristomerus Curtis. Pr. vulnerator Panzer. Faunae Insectorum Germa- nicae Initia. Fase. 72. T. 5 (Ichneumon). — Grav. I. c. III. 724. 149 (Pachymerus). — Curtis. British Ento- mology. Vol. XIII. 624. — Holmgr. 1. c. 146. 1. Cremastina. Cremastus Grav. 1. Cr. interruptor Grav. 1. ©. III. 736. 153. — Holmgr. 1. c. 107.2. 2. Cr. infirmus Grav. 1. c. III. 746. 160. — Holmgr. lc: 110.7: Ophionina. Opheltes Holmgr. Bulletin de l’Académie Impériale 436 4. C. subaequalis Foerst. 1. c. 822. 36. — Holmgr. Lie 3329% 5. C. terebrator Foerst. 1. c. 810.26 et 27.—Holmgr. l:0. 34410: 6. C. anceps Holmgr. Monogr. Oph. Suec. 35. b et Om Ophionidsl. Campoplex 42. 15. 7. C. bucculentus Holmgr. Monogr. Oph. Suec. 36. 4 et Om Ophionidsl. Campoplex 49.18. 8. C. lapponicus Holmgr. Monogr. Oph. Suec. 37.8 et Om Ophionidsi. Campoplex 51.19. 9. C. monozonus Foerst. 1. c. 833.44. — Holmgr. Om Ophionidsl. Campoplex 52. 20. 10. C. obliteratus Holmgr. 1. c. 59. 24. 11. C. oxyacanthae Boie. Stettiner Entomologische Zeitung. 16° Jahrgang. 104. 43. — Holmgr. L. c. 60. 25. 12. C. parvulus Foerst. 1. c. 86.69. — Holmgr. 1. c. 64. 28. 13. C. tenuis Foerst. 1. c. 851. 58. — Holmgr. I. c. 1. Oph. glaucopterus Linn. 1. e. n. 1630 (Ichneumon). | 69. 31. — Grav. 1. c. III. 632. 108 (Paniscus.) — Holmgr. 1MCA30:1: k Paniscus Grav. 1. P. cephalotes Holmgr. 1. €. 31.1. Absyrtus Holmgr. 1. Abs. luteus Holmgr. 1. c. 33.1. Opliion Fabr. 1. Oph. ramidulus Linn. 1. €. n. 1629 (Ichneumon). — Grav.l. c. III. 699. 139. — Holmgr. I. c. 11.2. 2. Oph. luteus Linn. 1. c. n. 1628 (Ichneumon). — Gray. L. c. III. 692.136. — Holmgr. 1. c. 12.5. Campoplegina. Campoplez Grav. 1. C. carinifrons Holmgr. 1. c. 34.2 et Om de skan- dinaviska arterna af Ophionidslägtet Campoplex in Bi- hang till Kongl. Svenska Vet. Akad. Handlingar. Band I. À 2 (1872). 24.5. 2, C. nitidulator Holmgr. Monogr. Oph. Suec. 36. 6 et Om Ophionidsi. Campoplex 26. 6. 3. C. pugillator Linn 1. ©. n. 1624 (Ichneumon) (ex parte). — Grav. I. c. IIT. 606.102 (ex parte). — Foerster. Monographie der Gattung Campoplex in Ver- handlungen der zoologisch-botanischen Gesellschaft in Wien. XVIII. Band (1868). 816.32. — Holmgr. Om Ophionidsl. Campoplex 29.7. 14. C. facialis Holmgr. 1. ©. 77.35. 15. C. viduus Grav. 1. c. III. 497.28. — Holmgr. 1. c. 84. 40. Zachresta Foerst. 1. Z. insignis n. sp. Punctata, pubescens, nigra; ore, maculis elypei et faciei, puncto ad orbitas verticis tibiisque flavidis; abdominis medio, apice femorum et tarsis anticis rufescentibus: alarum stigmate brunneo, nervo transverso anali fere in medio fracto. Long. 12 millim. @. Caput subbuccatum, pone oculos paulo angusta- tum, facie in medio nonnihil elevata, nigra, maculis duabus subtriangularibus flavis ad orbitas. Mandibu- lae dentibus inaequalibus apice instructae, inferiore scilicet paulo longiore. Clypeus apice depressus. An- tennae fere filiformes, corpore breviores. Thorax ro- bustus, altitudine nonnihil longior, supra, praesertim antice, opacus, pleuris nitidis; areis metathoracis su- perioribus quinque subdistinctis, quarum superomedia apice dilatata, aperta. Segmentum abdominis primum posticorum pedum coxis cum trochanteribus longitu- dine subaequale, canaliculatum, nigrum, apice badio, petiolo lateribus profunde excavato; secundum et ter- tium latitudine paulo longiora, rufa; quartum et quin- tum transversa, dorso fusca, lateribus rufocastanea; sequentia nigra; terebra segmento primo vix longiore, 437 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 438 TT RE Re né UE 04 OM AN de ne 6. L. erucator Zett.1. ce. 394. 1 (Porizon). — Holmgr. lc 58008 7. L. fenestralis Holmgr. var. 3 Holmgr. 1. e. 59.11. 8. L. majalis Grav. 1. c. TITI. 462. 4 (Campoplex). Holmgr. 1. c. 60.12. 9. L. chrysosticta Grav. 1. c. III. 522. 49 (Campo- plex). — Holmgr. 1. c. 60.153. 10. Z. combinata Holmgr. 1. c. 62.16. 11. L. lugubrina Holmgr. 1. c. 64.19. 12. L. cursitans Holmgr. 1. c. 64. 20. 13. L. fuscipes Holmgr. 1. c. 66. 22. 14. L. vivida Holmgr. 1. c. 76.41. 15. L. notata Grav. 1. ce. TIT. 570. 82 (Campoplex). — Holmgr. I. c. 78.44. 16. L. rufocincta Graw. 1. c. III. 580.87 (Campo- plex). — Holmgr. 1. c. 79.45. 17. L. errans Holmgr. 1. c. 83.53. 18. L. longipes Mueller. Zoologiae Danicae Pro- dromus n. 1847 (Ichneumon). — Grav. 1. c. II. 546. 65 (Campoplex). — Holmgr. 1. c. 85.56. 19. L. fulviventris Gmel. 1. c. 2704 (Ichneumon). — Grav. 1. ©. IT. 540. 62 (Campoplex). — Holmgr. L c. 86.58. 20. L. pagana Holmgr. 1. c. 86. 59. 21. L. sericea Holmgr. 1. c. 88. 61. 22. L. erythropyga Holmgr. 1. c. 91. 65. 23. L. auctor Graw. 1. c. TITI. 566.79 (Campoplex). — Holmgr. 1. c. 95.72. fasca, apice fulvo. Alae infumato-hyalinae, squamula rufa, areola irregulariter quadrangulari, subpetiolata. Pedes mediocres; tibiis posterioribus apice fuscis; un- guiculis tarsorum basi pectinatis. Cymodusa Holmgr. 1. C. leucocera Holmgr. var. 2 Holmgr. Monogr. Oph. Suec. 40. 1. 2. C. cruentata Grav. 1. c. IT. 575.84 (Campoplex). Holmgr. 1. c. 40. 2. Sagaritis Holmgr. 1. S. raptor Zetterstedt. Insecta Lapponica. 395. 4 (Porizon). — Holmgr. 1. c. 44.2. 2. 5. zonata Graw. 1. c. TITI. 584. 89 (Campoplex). — Holmgr. 1. €. 45.4. — Var. 1 Holmgr. — Var. 5 Holmgr. 3.8. laticollis Holmgr. 1. ce. 46.5 — Var. 1 Holmgr. — Var. 2 Holmgr. Casinaria Holmgr. 1. C. varians Tschek. Ichneumonologische Frag- mente I in Verhandlungen der zoologisch-botanischen Gesellschaft in Wien. XXI. Band (1871). 55.5. Rhimphoctona Foerst. 1. Rh. fulvipes Holmgr. 1. c. 102.3 (Pyracmon). Pyracmon Holmgr. 1. P. fumipennis Zett. 1. ec. 395. 6 (Porizon). — Holmgr. I. c. 101.1. 2. P. melanurus Holmgr. 1. c. 102.4. Banchina. Scolobates Grav. Canidia Holmgr. 1. C. subcincta Grav. 1. e. TIT. 494. 25° (Campo- plex). — Holmgr. 1. c. 103.1. 1. Sc. auriculatus Fabr. Systema Piezatorum. 69. 82 (Ichneumon). — Grav. 1. c. II. 360. 230 (crassitar- sus). — Holmgr. 1. c. 154.1. Limmeria Holmgr. Exetastes Grav. 1. Ex. fornicator Fabr. Species Insectorum. T. I. 432. 72 (Ichneumon). — Grav. 1. c. III. 402. 10. — Holmgr..l; c,150: 41 2. Ex. fulvipes Grav. 1. c. III. 401.9. 3. Ex. tarsator Fabr. Syst. Piez. 134.20 (Ophion). — Grav. L c. IIL. 405. 11 (clavator) et III. 418. 15 (osculatorius). — Holmgr. 1. €. 150. 2. 4. L. albovincta Holmgr. 1. c. 56.6. 4. Ex. iülusor Grav. 1. ce. TT. 427. 25. — Holmgr. 5. L. viennensis Grav. 1. e. III. 478. 14 (Campo-|L. c. 151.8. plex). — Holmgr. L. e. 57.7. | 5. Ex. laevigator Villers. Caroli Linnaei Entomolo- 28* 1. L. albida Gmelin. Caroli a Linné Systema Na- turae. Ed. XIIL T. [. 2705 (Ichneumon) (ex parte). — Grav. 1. c. HIT. 474.13 (Campoplex) (ex parte). — Holmgr. 1. e. 53.1.— Var. 1 Holmgr. 2. L. geniculata Grav. 1. c. III. 486. 19 (Campo- plex). — Holmgr. 1. €. 54.2. — Var. 1 Holmgr. 3. L. mutabilis Holmgr. 1. c. 55.3. 439 Bulletin de l’Académie Impériale 440 gia. T. III. 193. 189 (Ichneumon). — Grav. L c. II. 494.93. — Holmgr. |, c. 151.4. 6. Ex. nigripes Grav. 1, €. IT. 416.17. — Holmgr. lac (Log. 7. Ex. robustus Grao. 1. e. IT. 422. 21. — Holmgr. l,,6:158.9. 8. Ex. guttatorius Grav. 1. e, HIT. 411. 14.— Holmgr. l'AC 154;10. Coleocentrus. Gran. 1. C. excitator Poda. Insecta musaei Graecensis, 105. 4 (Ichneumon). — Grav. 1. €. IIT. 439. 31. — Holmgr. Monographia Pimplariarum Sueciae in Kongl. Svenska Vet. Akad. Handl. Ny Füljd. Tredje Bandet (1860). À 10.7. 1. Corynephanus Wesm. 1. C. monileatus Grav. 1. €. IT. 393.5 (Banchus). — Holmgr. Monogr. Oph. Suec. 149.4. Banchus Fabr. 1. B. falcator Fabr. Syst. Piez. 128.6.—Grav. L. c. III. 385.4 (ex parte). — Holmgr. 1. c. 148.2. 2, B. (Cidaphurus Foerst.) volutatorius Linn. 1. e. n. 1591 (Ichneumon). — Grav. 1. c. III. 385. 4 (fal- cator) (ex parte) Holmgr. I. c. 149.3. Metopiina. Metopius Panzer. 1. M. dissectorius Panz. Faun. Germ. Fasc. 98 T. 14 (Ichneumon). — Grav. 1. c. III. 291. 1 (sica- rius). — Holmgr. Monographia Tryphonidum Sueciae in Kongl. Svenska Vet. Akad. Handl. Ny Füljd. Für- sta Bandet (1855—56). À 3 et 5. 372. 1. 2. M. necatorius Fabr. Entomologia systematica. T. II. 144. 45 (Ichneumon). — Panz. Kritische Revi- sion der Insectenfaune Deutschlands. T. IT. 79, — Grav. 1. c. III. 292. 2 et 299. 3 (micratorius). — Holmgr. L. c. 373. 3 (micratorius). Orthocentrina. Nrthocentrus Grav. 1. Orth. protuberans Holmgr. 1. €. 333. 15. 2. Orth. ridibundus Grav. 1. ©. III. 366. 33. — Holmgr. 1. c. 336. 21. Exochina. Hyperacmus Holmgr. 1. Æ. crassicornis Grav. 1. c. IT. 347. 221 (Exo- chus). — Holmgr. I. c. 322. 1. Chorinacus Holmgr. 1. Ch. funcbris Grav. 1. c. I. 695. 226? (Exo- chus).— Holmgr. 1. c. 321. 3 et Dispositio methodica Exochorum Scandinaviae in Ofversigt of Kongl. Vet. Akad. Fürhandlingar. 30" ärgängen (1873). M 4. 78. 2, — Var. 1. d: facie nigra, macula flava utrinque supra clypeum. 2, Ch. cristator Grav. 1. €. II. 352. 226 (Exochus). — Holmgr. Monogr. Tryph. Suec. 321. 2 (subeari- natus) et Disp. Exoch. Scand. 78. 3. Triclistus Foerst. 1. Tr. congener Holmgr. Monogr. Tryph. Suec. 319. 28 (Exochus), et Disp. Exoch. Scand. 57. 2. — Var. 2 Holmgr. 2. Tr. podagricus Gravw. var. 3 Holmgr. Disp. Exoch. Scand. 58. 3. Metacoelus Foerst. 1. M. femoralis Fourcroy. Entomologia parisiensis. et III. 394 (monileatns var. 1). — | 396. 11 (Ichneumon). — Grav. L c. Il. 346.220 (Exochus). — Holmgr. Monogr. Tryph. Suec. 308. 1 (Exochus) et Disp. Exoch. Scand. 61. 1. 2, M. mansuetor Grav. 1. e. II. 339. 217 (Exochus). — Holmgr. Monogr. Tryph. Suec. 309. 2 (Exochus) . [et Disp. Exoch. Scand. 61. 2. Exochus Grav. 1. Ex. gravipes Graw. 1. c. IT. 351. 225.—Holmgr. Monogr. Tryph. Suec. 310. 4 et Disp. Exoch. Scand. 63. 1.— Var. 4 Holmgr. — Exochus prosopius Grav. lL c. IL. 349:223. 2. Ex. tibialis Holmgr. Monogr. Tryph. Suec. 317. 22 et Disp. Exoch. Scand. 76. 29. Bassina. Bassus Panz. 1. B. lactatorius Fabr. Ent. Syst. IL. 147. 54 (Ich- neumon). — Grav. 1. €. III. 353, 26. — Holmgr. Mo- nogr. Tryph. Suec. 353. I. 2. DB. albosignatus Grav. 1. Holmgr. 1. c. 354. 2. c. III. 343. 20. — 441 3. B. nemoralis Holmgr. 1. c. 354. 3. — Var. 1. Holmgr. 4. B. multicolor Grav. 1. ce. IT. 352. 25.— Holmgr. lc. 355. 4 5. B. bisonarius Grav. 1. c. III. 350. 23. — Var. 1 Grav. 6. B. lateralis Gravw. 1. c. III. 342. 19. — Holmgr. lée355:5. 7. B. pectoratorius Grav.1. c.TIT. 333.11.—Holmgr. lc 357. 9. 8. B. pictus Grav. 1. c. III. 336. 13. — Holmgr. 1. ©. 361.20. — B. pumilus? Holmgr. 1. e. 364. 27. 9. B. fissorius Graw. 1. ce. IIT. 335. 12. — Holmgr. 1202362. 22. 10. P. strigator Fabr. Ent. syst. IL. 173.166 (Ich- neumon). — Grav. 1. €. IT. 330. 9. — Holmgr. L. c. 363.24. e 11.B. nigritarsus Grav.\. c.IIT. 338. 15. — Holmgr. IC 965.28: 12. B. pulchellus Holmgr. 1. c. 366. 30. — Grav. 1. c. III. 321 (sulcator var. 1—4). 13. B. signatus Grav. 1. ce. TIL. 325. 6. — Holmgr. 1262/9307. 33. 14. B. festivus Fabr. Suppl. Ent. syst. 230. 213 (Ichneumon). — Grav. 1. c. III. 314. 3. — Brischke. Die Hymenopteren der Provinz Preussen. Vierte Fort- setzung. Tryphonides in Schriften der Küniglichen physikalisch-ükonomischen Gesellschaft zu Künigsberg. Jahrg. XI (1870). 105. 15. B. rufonotatus Holmgr. 1. ec. 369.36. 16. B. pulcher Holmgr. 1. c. 370. 39. 17. B. elegans Graw. 1. c. III. 313. 2. — Holmgr. lcu371. 40. 18. B. compressus Desvignes. Catalogue of British Ichneumonidae in the collection of the British Museum (1856) 91.19 var. 1 Q: facie tota nigra. 19. B. (Promethes Foerst.) sulcator Grav. 1. c. TITI. 320. 4 (excl. var.). — Holmgr. 1. c. 365. 29 (areolatus). 20. B. (Syrphoctonus Foerst.) biguttatus Graw. 1. €. III. 332. 10.— Holmgr. I. c. 358. 12. 21. B. (Syrphoct.) exsultans Grav. 1. c. III. 328.8. — Holmgr. 1. c. 359. 13. 22, B. (Syrphoct.) rufipes Graw. 1. c. HI. 337. 14. — Holmgr. 1. c. 360. 17. 23. B. (Syrphoct.) confusus Woldstedt. Materialier till en Ichneumonologia Fennica in Bidrag till känne- des Sciences de Saint-Pétersbourg. 44? dom af Finlands natur och folk. 21°" häftet. 84. 5. — Grav. 1 ©. IT. 340.17 (deplanatus) (exel. d). Pimplina. Rhyssa Grav. 1. ih. persuasoria Linn. 1. c. n. 1593 (Ichneumon). — Grav.l. ce. [IL 267. 119.— Holmgr. Monogr. Pimpl. Suec. 9. 1. Thalessa Holmgr. 1. Th. curvipes Grav. 1. c. III. 265. 117° (Rhyssa). — Holmgr. I. c. 10.1. 2. Th. superba Schrank. Enumeratio Insectorum Au- striae indigenorum n. 707 (Ichneumon). — Grav. L. c. III. 276.122 (Rhyssa). — Holmgr. 1. c. 10. 2. 3. Th. perlata Christ. Naturgeschichte, Klassifica- tion und Nomenclatur der Insekten vom Bienen-, Wespen- und Ameisengeschlecht. 356. Tab. 36. Fig. 6 (Ichneumon). — Grav. 1. c. III. 280. 123 (Rhyssa clavata). -— Holmgr. 1. €. 11.3 (clavata). Ephialtes Grav. 1. Eph. imperator Kriechbaumer. Stett. Ent. Zeit. XV.156.1.— Grav. I. c. IIL. 232. 107 (manifestator) (ex parte). — Holmgr. L e. 12.1. 2. Eph. tuberculatus Fourcr. Ent. paris. 395. 7 (Ichneumon). — Grav. 1. €. IT. 228. 105. — Holmgr. AA EE 3. Eph. carbonarius Christ. 1. c. 365. Tab. 38. Fig. 5 (Ichneumon). — Grav. 1. c. IT. 240. 108.— Holmgr. CAGE k Perithous Holmgr. 1. P. mediator Fabr. Syst. Piez. 117.23 (Pimpla). — Grav. 1. €. IT. 256. 115 (Ephialtes). — Holmgr. lc D: 2. P. varius Grav. 1. c. TT. 254. 114 (Ephialtes). — Holmgr. L c. 16.3. Pimpla Fabr. 1. P. anstigator Fabr. Ent. Syst. IL. 164.126 (Ich- neumon). — Grav. 1. ©. TITI. 216.103.— Holmgr. L c. 18,1 2. P. arctica Zett. Ins. Lapp. 375. 8. — Holmgr. lL5c:09#8: 3. P. examinator Fabr. Syst. Piez. 85.62 (Cryptus). — Grav. 1. c. IIT. 207.99. — Holmgr. L. ce. 19.4. 4. P. (Apechthis Foerst.) rufata Gmel. Ed. Linn. I. 2684. 240 (Tchneumon). — Grav. 1. c. III. 164. 82. 443 — Holmgr. I. c. 19.5 (flavonotata). — Taschenberg. Die Schlupfwespenfamilie Pimplariae in Zeitschrift für die gesammten Naturwissenschaften. Band XX1(1863). 2 09e 5. P. (Ap.) varicornis Fabr. Ent. Syst. IL. 180. 193 (Ichneumon). — Grav. 1. €. III. 167. 83. — Holmgr. L c. 20.6 (rufata). — Taschenb. I. c. 263.8. 6. P. (Iseropus Foerst.) graminellae Schrank. Fauna Boica II. 2. n. 2128 (Ichneumon). — Grav. L. €. IEL. 181. 91 et III. 186. 92 (stercorator) (exel. Q). — Holmgr. 1. c. 22. 9. 7. P. (Epiurus Foerst.) stercorator Grav. 1. c. HI. 186.92 (exel. d) et IIT. 197.94 (favipes). =— Holmgr. le. 23.12: 8. P, (Ep.) brevicornis Grav. 1. c. TTL. 211.100. — Holmgr. 1. c. 24. 14. 9. P. (Ep.) Gravenhorsti Taschenb. 1. ce. 266. 22. 10. P. (Ep.) ovivora Boheman. Svenska Vet. Akad. Hand. (1821) 336.— Holmgr. IL. c. 26.20. 11. P. (Ep.) melanopyga Grav. 1. c. IL. 149. 76 var. 1: segmentis abdominis primo, tertio et quarto basique coxarum infuscatis. 12. P. (toplectis Foerst.) turionellae Linn. 1. €. n. 1615 (Ichneumon). — Grav. 1. c. IL. 192. 93. — Holmgr. 1. e. 21.7. — Var. 1 Holmgr. 13. P. (Itopl.) scanica Vil. C. Linn. Ent. TI. 190. 174 (Ichneumon).— Grav. 1. c. IL. 204. 98.— Holmgr. 1. ç. 21.8.— Var. 1 Holmgr. Lycorina Holmgr. 1. L. triangulifera Holmgr. 1. c. 43. 1 var. 1 Q: macula faciei utrinque supra clypeum pallide flava. Glypta Grav. 1. GL. flavolineata Grav.1. c. III. 27.13. — Holmgr. 102397: 2. GL. consimilis Holmgr. 1. ce. 40.9. 3. G. teres Grav. 1. c. II. 8. 2. — Holmgr. L c. 40.10.— Taschenb. L. c. 277.8. 4. GI. bifoveolata Grav. 1. c. I. 25.12. — Holmgr. 1 c. 41.11. — Var. 2 Grav. 5. Gl. mensurator Fabr.Systema Entomologiae. 338. 65 (Ichneumon). — Grav. 1. c. III. 21.9.—Taschenb. C2277. 9. 6. GI. scalaris Holmgr. 1. ce. 42.15. 7. GI. vulnerator Graw. 1. c. III. 11.3. Holmgr. L. c. 42. 14. Bulletin de l'Académie Impériale 444 8. Gl. (Conoblasta Foerst.) fronticornis Grav. 1. c. IT. 17.7. — Holmgr. I. c. 38.4. 9. Gl. (Conobl.) ceratites Grav. 1. c. TT. 18. 8. — Holmgr. 1. ec. 38. 5. — Brischke. Die Hymenopt. der Provinz Preussen. Dritte Fortsetzung. Pimplariae in Schr. der Künigl. phys. ükon. Ges. zu Künigsb. Jabrg. V (1864). 187 (cornuta). — Var. 1 Grav. Diblastomorpha Foerst. 1. D. bicornis Desvignes. Cat. of Brit. Ichn. 74. 6 (Glypta). —Glypta bicornis Boie? Stett. Ent. Zeit. XI. 216. XIII. — Glypta corniculata Siebold. Brischke L c. 186. ; Polysphincta Grav. 1. P. carbonator Grav.1. c. TL. 123.67. — Holmgr. 1 © 31.6; 2, P. (Zaglyptus Foerst.) varipes Graw. 1. e. TI. 117. 64. — Holmgr. 1. c. 29.1. Lissonotina. Lampronota Haliday. 1. L. nigra Graw. 1. c. IT. 935. 318 (Phytodietus). — Haliday. Annals of natural history. Ser.I. Tom. 2. 121 (fracticornis). — Holmgr. 1. c. 47. 1. 2. L. caligata Grav. 1. c. II. 936. 319 (Phytodie- tus). — Holmgr. L. c. 48. 3. Phytodiaetus Grav. 1. Ph. coryphaeus. Grav. 1. c. IT. 945. 326. — Holmgr. 1. €. 62. 1. 2. Ph. segmentator. Grav. 1. ce. IT. 944. 325. — Holmegr. 1. c. 63. 4. Bothynophrys Foerst. 1. D. catenator Panz. J. Chr. Schaefferi Iconum Insectorum circa Ratisbonam indigenorum enumeratio systematica. 29, Tab. XX. Fig. 10 (Ichneumon). — Grav. IL. c. LIL. 45. 23 (Lissonota). — Holmgr. I. c. 61. 2 (Meniscus). Lissonota Grav. 1. L. parallela Grav. 1. e. TT. 79. 43. — Holmgr. L:c.49, 2. 2. L. bellator Graw. 1. €. III. 106. 60. — Holmgr. L ce. 49. 3. — Var. 2 Holmgr. 3. L. cylindrator Vül. C. Linn. Ent. 180. 136 ({ch- neumon). — Grav. 1. e. III. 102. 58. — Holmgr. L. c. 6 ÿ ASE 445 4. L. segmentator Fabr. Ent. syst. II. 163. 124 (Ichneumon). — Grav. 1. c. II. 52. 28. Holmgr. L. c. 57. 24. 5. L. errabunda Holmgr. 1. ce. 58. 27. Alloplasta Foerst. 1. AU. murina Grav. 1. c. III. 99. 54 (Lissonota). — Holmgr. 1. €. 62. 5 (Meniscus). Acoenitina. Collyria Schioedte. 1. C. calcitvator Grav. Vergleichende Übersicht des Linneischen und einiger neuern zoologischen Systeme n. 3780 (Bassus) et Ichn. Eur. III. 727. 150 (Pachy- merus). — Schioedte. Ichneumonidarum ad Faunam Daniae pertinentium genera et species novae in Gué- rin-Méneville. Magasin de Zoologie. T. IX (1839). 10. Acoenites Latreille. 1. Ac. arator Rossi. Faun. Etr. IT. 49. 778 (Ich- neumon). — Grav. Ichn. Eur. IT. 813. 5. — Holmgr. Rice8."1: Xoridina. Odontomerus Grav. 1. Od. dentipes Gmel. Ed. Linn. I. 2719. 384 (Ich- neumon). — Grav. 1. €. [IL 854. 17.— Holmgr. L. c. Slt Ischnocerus Grav. 1. {schn. rusticus Fourcr. Ent. paris. 426. 95 (Ich- neumon). — Grav. 1. €. Il. 951. 327. — Ratzeburg. Die Ichneumonen der Forstinsecten. Band IT. 108. 14 (Xorides cornutus).— Holmgr. 1. €. 72. 1. (Mitro- boris cornuta).—Brischke. Hym. Preuss. Pimpl. 200. Xylonomus Grav. 1. X. depressus Holmgr. 1. c. 70.6. Poemenia Holmgr. 1. P. tipularia Holmgr. 1. ce. 67.2. Mesochorina. Mesochorus Grav. 1. M. confusus Holmgr. var. 2 Holmgr. Monogr. Oph. Suec. 129. Plectiscina. Plectiscus Grav. 1. PI. zonatus Grav. 1. c. II. 984. 342. des Sciences de Saint-Pétersbourg. 146 Pezomachina. Agrothereutes Foerst. 1. Agr. abbreviator Fabr. Suppl. Ent. Syst. 222. 89 (Ichneumon). — Grav. 1. c. II. 878. 291 (Pezomachus). — Foerst. Monographie der Gattung Pezomachus. 33. 1. Aptesis Foerst. 1. Apt. microptera Grav. Monographia Ichneumonum pedestrium. 26.2 (Ichneumon) et Ichn. Eur. II. 879. 292 (Pezomachus). — Foerst. 1. c. 41.7. Pezomachus Grav. 1. P. Debeyi Foerst. 1. c. 110. 37. Iemitelina. Hemiteles Grav. 1. H. oxyphymus Grav. \chn. Eur. II. 815.249 et IT. 818. 252 (palpator) (excl. d) et II. 822 (palpator var. 5). — Taschenb. Die Schlupfwespenfamilie Cry- ptides in Zeitschr. für d. gesammten Naturwiss. Band XXV (1865). 123. 12. 2. H. tristator Graw. 1. c.Il. 787.231.— Taschenb. 1. c. 126, 24. 3. H. bicolorinus Grav. 1. c. II. 862. 284. — Ta- schenb. 1. ec. 127.30. 4. H. aestivalis Graw. 1. e. IT. 805. 244,— Taschenb. lc 199.32 Für. 1 Gruv. 5. H. pulchellus Graw. 1. c. IT. 854. 280.—Taschenb. NC 1307/60; 6. H. pictipes Graov. 1. c. II. 799. 239. — Taschenb. lc 1310917; 7. H. inimicus Graw. 1. c. II, 824. 254. — Taschenb. l.0.492:#1 8. H. floricolator Grav. Vergl. Übers. n. 3750 (Ich- neumou) et Ichn. Eur. IT. 841. 269. — Taschenb. I. c. 132. 45. Phygadeuontina. Phygadeuon Grav. 1. Ph. flavimanus Grav. Ichn. Eur. IL. 647.152. — Taschenb. I. €. 23. 4. 2. Ph. dumetorum Grav. 1. c. II. 669. 168. — Ta- schenb. 1. c. 24.6. 3. Ph. variabilis Grav. var. 1 Grav. 1. c. IL. 706. — Taschenb. I. c. 24.7. 4. Ph. fumator Grav. var. 3 Grav. et var. 6 Grav. 1. c. II. 691 et 693. — Taschenb. IL. c. 27. 14. 445 Bulletin de l’Académie Impériale 148 oo 5. Ph. nitidus Grav.1. c. II. 708.188. — Taschenb. lc: 30:22; 6. Ph. vagans Graw. 1. c. II. 738. 207. — Taschenb. | Lerals25: 7. Ph. ovatus Grav. 1. c. II. 668. 167. — Taschenb. lc 92527: 8. Ph. improbus Grav. 1. c. II. 670. 169. — Ta- schenb. 1. c. 36.41. 9. Ph. profligator Fabr. Syst. Ent. 334.39 (Ichneu- mon). — Grav. 1. e. II. 729.203 (excel. d et var.). — Taschenb. 1. c. 37.45. 10. Ph. parviventris Grav. 1. c. IT. 746. 214. — Taschenb. 1. c. 39.49. ; 11. Ph. abdominator Grav. var. 2 Taschenb. 1. e. 43. 61. — Grav. I. c. II. 736 (vagabundus var. 1) et IT. 676 (quadrispinus var. 1) et IL. 729. 203 (profligator d). 12. Ph. brevicornis Taschenb. 1. c. 48. 77.— Grav. 1. c. II. 648.153 (oviventris) (exel. ). 13. Ph. lacteator Grav. 1. c. II. 618.131 (Cryptus). — Taschenb. 1. c. 50.81. 14. Ph. sperator Muell. Zool. Dan. Prodr. n. 1829 (Ichneumon).— Grav. 1. c. IL. 683.177. — Taschenb. 1 c. 50.82. — Var. 3 Taschenb. 15. Ph. monticola Grav. 1. €. I. 108. 1 (Ichneumon). — Taschenb. 1. c. 53. 89 (regius) et Die drei ersten Sectionen der Gattung Ichneumon Gr. in Zeitschr. für d. gesammten Naturw. Band XX VII (1866). 229.1. — C. G. Thomson. Opuscula entomologica. Fasciculus quintus (1873). 473.1 (locryptus regius). Cryptina. Xenodocon Foerst 1. X. macrobatus Grav. 1. €. IL. 440.15 (Cryptus). — Taschenb. Die Schlupfwespenfamilie Cryptides 106. 1 (Linoceras). Cryptus Fabr. 1. Cr. viduatorius Fabr. Syst. Piez. 70.2. — Grav. 1. c. II. 476.40. — Taschenb. I. c. 70. 2. 9. Cr. tarsoleucus Schrank. Enum. Ins. Austr. ind. 359.725 (Ichneumon). — Grav. 1. c. IL. 447. 19. — Taschenb. L. c. 71.7. 3. Cr. parvulus Grau. 1. c. Il. 459. 26. — Taschenb. l'c74 5; 4. Cr. anatorius Grac. 1. e. II. 460. 27.— Taschenb. PACA: 5. Cr. furcator Graw. 1. c. II. 462. 28.— Taschenb. lc To aT: 6. Cr. claviger Taschenb. 1. c. 76.21. 7. Cr. stomaticus Grav.1.c.IT.466.31.— Taschenb. l.c:77:23: 8. Cr. leucopsis Grav. 1. c. IT. 467.32. — Taschenb. 1. c. 77.24. 9. Cr.grisescens Graw.T. c. IT. 464. 29.— Taschenb. Écrans 10. Cr. titillator Graw. 1. c. IT. 564. 98 (excel. syn..). — Taschenb. I. c. 80. 34. — Var. 2. Grav. 11. Cr. hostilis Graw. 1. ce. II. 512. 62. — Taschenb. Le:s9.57. 12. Cr.porrectorius Fabr. Mantissa Insectorum. T. I. 260.8 (Ichneumon). — Grav. L. c. I. 642.277. (Isch- nus) et II. 495.50 (assertorius). — Taschenb. I. ec. 90. 60 (assertorius). — Thoms. I. €. 498.1 (Habrocryptus assertorius). 13. Cr. analis Grav. Vergl. Uebers. n. 3781 (Bassus) et Ichn. Eur. IL. 560.97. — Taschenb. I. e. 91. 62. 14. Cr. confector Grav. Xchn. Eur. IT. 518.66. — Taschenb. I. c. 95.72. 15. Cr. peregrinator Linn. 1. c.n. 1601 (Ichneumon). — Grav. I. ce. II. 605.123.— Taschenb. I. c. 99.81. — Var. 2 Taschenb. — Cryptus brevicornis Grav. I. c. IT. bil/G1: 16. Cr. tricolor Grav. 1. e. Il. 514. 64.— Taschenb. 1. c. 100.84. 17. Cr. migrator Fabr. Syst. Ent. 334.38 (Ich- neumon). — Grav. Le. I. 592.119. — Taschenb. I. c. 102. 90.— Var. 2 Grav. 18. Cr. pygoleucus Grav. var. 1 Grav. 1. c. TI. 702. — Taschenb. 1. c. 103. 92. 19. Cr. rufoniger Desv. Cat. of Brit. Ichn. 58.57. — Hoplocryptus mesoxanthus Thoms. IL. c. 509. 2. Trogina. Trogus Panz. 1. Tr. lutorius Fabr. Mant. Ins. I. 262.34 (Ich- neumon). — Grav.l. e. II. 374. 2 (exel. var. 5). — Wes- mael. Tentamen dispositionis methodicae Ichneumonum Belgii in Nouveaux Mémoires de l’Académie Royale des Sciences et Belles-lettres de Bruxelles. T. XVIIT (1844). 143.1. — Holmgr. Ichneumonologia Suecica. TA (1871):285. 1 2. Tr. exaltatorius Panz. Schaeff. Ice. enum. 199. 449 des Sciences de Saïint-Pétersbourg. 450 Tab. CCXLII. Fig. 3 (Ichneumon). — Grav. 1. ec. Il. | Tent. 158.8. — Taschenb. L. c. 465. 12. — Holmgr. 378 (lutorius var. 5). — Wesm.I. c. 143. 2. — Holingr. | 1. c. 322.11. lc": 2852: Automalus Wesm. 1. Aut. alboguttatus Grav. 1. c, II. 373. 1 (Trogus). — Wesm. I. c. 144. 1.— Holmgr. I. c. II. 286.1. Stilpnina. Stilpnus Grav. 1. St. gagates Grav. Vergl. Uebers. n. 3760 (Ich- neumon)etIchn. Eur. I. 667.288.— Taschenb. I. c. 56. Atractodes Grav. 1 Afr. vestalis Hal. Ann. of nat. hist. Ser. I. Tom. 2.118. — Holmgr. Monogr. Oph. Suec. 112.1. 2. Atr. exilis Hal. 1.c. 119.— Holmgr. I. c. 113. 6. Exolytus Holmgr. 1. Ex. laevigatus Grav. Monographia Ichneumonum Pedemontanae regionis in Memorie della Reale Acca- demia delle Scienze di Torino. T. XXIV. n. 121 (Ich- neumon) et Ichn. Eur. Il. 111.69 (Mesoleptus). — Holmgr. 1. c. 115.1.— Taschenb. 1. c. 10. Ichneumonina. Probolus Wesm. 1. Pr. alticola Grav. var. 2 Wesm. Ichneumones Platyuri Europaei in Bulletins de l’Académie Royale de Belgique. T. XX. IIT° Partie (1853) 303. — Ta- schenb. Die Arten der Gattung Ichneumon Gr. mit linealen oder lineal-elliptischen Luftlüchern des Hin- terrückens in Zeitschr. für d. gesammten Naturw. Band XXXVI (1870). 462. Platylabus Wesm. 1. Pl. dolorosus Grav. Ichn. Eur. I. 204. 57 (Ich- neumon). — Wesm. Mantissa Ichneumonum Belgii in Bull. de l’Acad. de Belgique (1848). 168. — Taschenb. L ©. 463. 5. — Holmgr. Ichn. Suec. IL. 312.4. 2. PI. leucogrammus Wesm. Ichn. Plat. Eur. 316. — Taschenb. 1. c. 464.10. — Holmgr. I. c. 315.6. 3. PI. pedatorius Graw. |. c. I. 180.44 (Ichneumon). — Wesm. Tent. 158.7.— Taschenb. IL. c. 464.8. — Holmgr. 1. c. 317.7. 5. PI. borealis Holmgr. 1. c. 324.13. Anisobas Wesm. 1. An. hostilis Grav. Monogr. Ichn. Pedem. reg. n. 41 et Ichn. Eur. 339.127 (Ichneumon), — Wesm. Tent. 145.2 (rebellis). — Brischke. Die Hymenopt. d. Prov. Preussen I. Ichneumones in Schr. d. Künigl. phys.-ükon. Ges. zu Künigsb. Jahrg. IT (1861). 22. — Holmgr. 1. c. 289 (cingulatorius var. 4). Amblyteles Wesm. 1. Ambl. amatorius Muell. Zool. Dan. Prodr. n. 1758 (Ichneumon). — Grav. Ichn. Eur. I. 315.112 (Ich- neumon) et I. 414 (Ichneumon luctatorius var. 4). — Wesm. Tent. 123.17. — Taschenb. I. c. 414.9. — Holmgr. IL. c. 219.4. 2. Ambl. subserieans Grav. Monogr. Ichn. Pedem. reg. n. 9 et Ichn. Eur. I. 161.31 (Ichneumon). — Wesm. Tent. 128.22. — Taschenb. 1. c. 416.16. — Holmgr. 1. c. 249.22.— Var. 1. Wesm. 3. Ambl. Gravenhorsti Wesm. Bull. de l'Acad. des Sc. et Belles-lettres de Bruxelles. T. IIT (1836). 337 (Ichneumon) et Tent. 127.21. — Ichneumon exten- sorius Grav. Ichn. Eüûr. I. 266.89 (exel. Q). — Ta- schenb. 1. ©. 451.25. — Holmgr. I. c. 230.11. 4. Ambl. pseudonymus Wesm. Tent. 76.74 et Mant. 97 (Ichneumon) et Ichneumonologica otia in Bull. de l’Acad. de Belgique (1857). 51.4. — Taschenb. I. ce. 453.33. — Holmgr. 1. c. 238. 16.— Var. 1 Wesm. D. Ambl. strigatorius Grav. 1. c. I. 352.136 (Ich- neumon). — Wesm. Tent. 138.38.-—-Taschenb. L c. 460.56. — Holmgr. 1. c. 275.41. Hoplismenus Grav. 1. À. perniciosus Grav. 1. c. II. 413.3. — Wesm. Tent. 108.1. — Holmgr. Ichn. Suec. T. I (1864). 208. 2. . Chasmodes Wesm. 1. Ch. motatorius Grav. Vergl. Uebers. n. 3777 et Ichn. Eur. I. 353.137 (Ichneumon). — Wesm. Tent. 15.1. — Holmgr. 1. c. 4.1.— Taschenb. I. c. 369.1. 2. Ch. lugens Grav. Ichn. Eur. I. 215.65 (Ichneu- mon) (excel. 4) et I. 226 (Ichneumon fuscipes var. 2). 4. PI. orbitalis Grawv. 1. c. I. 490.203 (Ichneumon) | — Wesm. Tent. 16.2. —- Holmgr. I. c. 6.3: — Ta- et I. 338.126? (Ichneumon subalbellus). — Wesm. | schenb. L c. 370. 3. Tome XXIII. 29 A51 Ichneumon Linn. 1. Zchn. pisorius Linn. var. 1 Grav. 1. ©. EL 464. — Wesm. Tent. 24.8 et Ichn. otia 12.8. — Holmgr. 1. c. 10.1.— Taschenb. L. c. 375. 14. 2, Ichn. Coqueberti Wesm. Mant. 70 et Tent. 24 (fusorius var. 1 4). — Holmgr. L. c. 13.3. — Taschenb. 1. ©. 375.15. — Tischbein. Uebersicht der europäi- schen Arten des Genus Ichneumon in Stett. Ent. Zeit. XXXIV. 348.5. 3. Ichn. sugillatorius Linn. 1. c. n. 1578. — Grav. 1. c. IL 437.172 (excel. 3) et I. 440.173 (designato- rius) (exel. Q). — Wesm. Tent. 29.15. (guttiger) et Remarques critiques sur diverses espèces d’Ichneu- mons de la collection de feu le professeur Gravenhorst in Bull. de l’Acad. de Belgique (1858). 57. 4. Ichn. falsificus Wesm. Tent. 25.10. — Holmgr. 1. c. 19.8. — Taschenb. L. c. 375.16. 5. Ichn. comitator Linn. 1. €. n. 1600. — Grav. 1. c. I. 108.2 et I. 119.8 (fasciatus). — Wesm. Tent. 30.17. — Holmgr. I. c. 31.16. — Taschenb. IL. c. 377.24. 6. Ichn. bilineatus Gmel. Ed. Linn. I. 2698. 265. — Grav. IL. c. I. 127.11 (ex parte) — Wesm. Tent. 26.11 et Mant. 71. — Holmgr. L. c. 35.19. — Ta- schenb. 1. c. 375.17. à 7. Ichn. castaniventris Grav. 1. €. I. 556. 233 et I. 539.224 (haemorrhoidalis). — Wesm. Tent. 32. 21. — Holmgr. 1. c. 37. 20. — Taschenb. I. c. 378. 27. — Var. 1 Holmgr. 8. Ichn. scutellator Grav.]. c. I. 175.40.— Wesm. 1. c. 35.25. — Taschenb. L. c. 379. 33. 9. Ichn. trilineatus Gmel. 1. c. I. 2679. 228.— Grav. 1. c. I. 173. 39. — Wesm. Tent. 35. 24. — Holmgr, 1. c. 46.26.— Taschenb. L. c. 379. 32. 10. Zchn. sarcitorius Linn. 1. c. n. 1580. — Grav. 1. ce. I. 302.105 et I. 357.138 (vaginatorius). — Wesm. Tent. 60. 54 et Ichneumonologica documenta in Bull. de l’Acad. de Belgique (1867). 458. 11. — Holmgr. 1. c. 56.32. — Tascheub. I. c. 391. 82. 11. Zchn. suspiciosus Wesm. var. 1 Holmgr.1. ce. 63. 12. Ichn. luctatorius Linn. 1. ©. n. 1590. — Grav. 1 c. I. 411.162 (ex parte; excl. ©) et I. 266. 89 (ex- tensorius) (ex parte; excel. &). — Holmgr. |. c. 76.43. 13. Ichn. gradarius Wesm. Mant. 80. 47" et Ich- neumonologica miscellanea in Bull. de l’Acad. de Bel- Bulletin de l’Académie Impériale 452 gique (1855). 23. 17 (refractarius). — Holmgr. L. c, 80. 46. 14. Ichn. latrator Fabr. Species Insectorum. T. I. 451. 69.— Grav. L. c. I. 572.242 (ex parte; excl.Q) et I. 622. 267 (crassipes). — Wesm. Tent. 63. 58. — Holmgr. 1. c. 87.51.—Taschenb. L. c. 393.87. 15. Ichn. gracilicornis Grav. 1. c. I. 290.989 et 1.326.121 (iocerus).— Wesm. Tent. 41.34.— Holmgr. 1. ce. 95.56.— Taschenb. I. c. 383.47. 16.1chn.emancipatus Wesm.Tent. 46.38.— Holmgr. 1. c. 98.58.— Taschenb. I. c. 385.55. 17. Ichn. raptorius Linn.]. e.n. 1579.— Grav.l. c. I. 286.97 (ex parte; excel. d). — Wesm. Tent. 43. 37. — Holmgr. 1. c. 104. 61. — Taschenb. I. c. 384. 51. 18. Ichn. melanobatus Grav. 1. c. T. 266. 88. — Wesm. Tent. 39.31.— Taschenb. I. c. 382. 44. 19. Ichn. saturatorius Linn. 1. €. n. 1586. — Grav. Le. 1. 237.77 (excel. quibusdam var.). — Wesm. Tent. 66. 62. — Holmgr. IL. c. 133. 78. — Taschenb. L. c. 395.95.— Var. 1 Wesm. 20. Ichn. faunus Grav. var. 2 Wesm. Mant. 91. — Grav.L. c. I. 156. 29 (leucopygus). — Holmgr. I. c. 136. — Taschenb. 1. c. 395. 21. Ichn. nigritarius Grav. Monogr. Ichn. Pedem. reg. n. 3 et Ichn. Eur. I. 113.4. — Wesm. Tent. 68. 65.— Holmgr. 1. c. 138.81. — Taschenb. L. c. 396. 100.— Var. 6 Wesm.— Var. 11 Holmgr. 29, Ichn. pallidifrons Grav. Ichn. Eur. [L. 117.7 (exel. ©) et I. 149 (annulator var. 3) (ex parte). — Wesm. Tent. 70. 67. — Holmgr. L. c. 146. 86. — Taschenb. L c. 397. 103.— Var. 1 Wesm. 23. Ichn. fabricator Fabr. Ent. syst. II. 166. 138. — Grav. L. c. EL 185.46 et I. 147. 24 (annulator) (ex parte). — Wesm. Tent. 69. 66. — Holmgr. I. c. 142. 83.— Taschenb. I. c. 397.101. 24. Ichm. lacteator Grav.1. c. I. 202. 55°. — Wesm. Tent. 75.73 (depexus). — Holmgr. 1. ce. 163. 97. — Taschenb. 1. c. 400.111. 25. Ichn. oscillator Wesm. Tent. 14. 1 (Eupalamus). — Grav. 1. ce. I. 219. 68 (deliratorius) (excel. 9) et I. 233. 75 (pallipes) (exel. d). — Holmgr. L. e. 172.103. — Taschenb. L. e. 400.112. — Var. 1 Holmgr. 26. Ichn. castaneus Grav. var. 4 Graw. 1. c. I. 559. — Wesm. Tent. 78 (var. 2). — Holmgr. I. c. 198 (var. 2).— Taschenb. 1. ce. 401 (var. 2). 453 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 454 27. Ichn. fortipes Wesm. Mant. 101. 89%. — Ta- schenb. 1. c. 404.131. 28. Ichn. monostagon Grav. Monogr. Ichn. Pedem. reg. n. 12 et Ichn. Eur. I. 172. 38. — Wesm. Tent. 84.85 (indagator) et Rem. crit. 21 et 23. — Holmgr. 1. ce. 167.100. — Taschenb. 1. c. 403. 126. 29. Ichn. anator Fabr. Ent. syst. II. 169. 149. — Grav. Ichn. Eur. I. 250.81. — Wesm. Tent. 220. 9%. — Holmgr. 1. c. 181.108. — Taschenb. 1. c. 405.135. 30. Ichn. callicerus Graw. 1. c. I. 343.130 (excl.d). — Wesm. Tent. 96.101 et Ichn. mise. 39. 30 (pluri- albatus) (exel. var. 1). — Holmgr. 1. c. 184. 110. — Taschenb. 1. c. 408. 147. 31. Ichn. bilunulatus Grav. 1. c. I. 331. 125 et I. 487. 201 (sexlineatus). — Wesm. Tent. 98. 103. — Holmgr. 1. c. 187.112.— Taschenb. IL. c. 409. 149. ‘82. Ichn. semirufus Grav. var. 1 Wesm. Ichn. ot. 36. — Taschenb. 1. c. 410. 33. Ich. albicinctus Graw. 1. c. TI. 509.213.— Wesm. Tent. 101.108.— Holmgr. 1. c. 203.121.— Taschenb. c#410154. Phaeogenina. Apaeleticus Wesm. 1. 4p. bellicosus Wesm. Tent. 166.1 et Ichn. Plat. Eur. 324. — Holmgr. Ichn. Suec. II. 336.1. 2. Ap. flammeolus Wesm. Tent. 168.2 et Ichn. Plat. Eur. 326. — Holmgr. I. c. 338. 3. 3. Ap. mesostictus Graw. 1. c. T. 504.209 (Ichneu- mon). — Wesm. Ichn. Misc. 56.2 (longicornis) et Ichn. Plat. Eur. 325 (longic.) et Rem. crit. 62. — Holmgr. 1. c. 337.2 (longic.). Aethecerus Wesm. 1. Aeth. dispar Wesm. Tent. 203. 1. — Ichneumon ischiomelinus Grav. var. 1 Grav. L €. I. 608. Colpognathus Wesm. 1. C. celerator Grav. Vergl. Übers. n. 3740 (Ich- neumon) et Ichn. Eur. I. 566. 239 (Ichn.). — Wesm. Tent. 174.1. Dicaelotus Wesm. 1. D. pumilus Grav. Ichn. Eur. I. 152.26 (Ichneu- mon). — Wesm. Tent. 175.1. Centeterus Wesm. 1. C. opprimator Grav. 1. c. 595. 252 (Ichneumon) (excel. 4). — Wesm. Tent. 178.3 et Rem. crit. 73. Phacogenes Wesm. 1. Ph. melanogonus Wesm. Tent. 182.3 et Mant. 177 et Rem. crit. 95. 2. Ph. stimulator Grav. 1. e. I. 143.21 (Ichneumon) (excel. var.). — Wesm. Tent. 184.6. 3. Ph. bellicornis Wesm. Tent. 186.11. 4. Ph. ophthalmicus Wesm. Tent. 188.14 et Mant. 180. 5. Ph. fuscicornis Wesm. var. 1 Wesm. Mant. 181. 6. Ph. ischiomelinus Grav. 1. c. L. 608. 259 (Ich- neumon) (exel. var.). — Wesm. Tent. 192.21. 7. Ph. amoenus Wesm. Tent. 196.27 et Ichn. misc. 66.8. 8. Ph. lascivus Wesm. Ichn. mise. 68. 10. 9. Ph. vafer Wesm. Tent. 198. 31 et Mant. 185. 10. Ph. macilentus Wesm. Tent. 199. 32 et Mant. 185. À Alomyina. Alomya Panz. 1. Al. debellator Fabr. Syst. Ent. 333.37 (Ichneu- mon). — Grav. 1. c. IT. 398. 1 (ovator). — Wesm. Tent. 217 (ovator). — Var. 2 Wesm.— Grav. L. c. II. 405. 2 (nigra). Cteniscina. Delotomus Foerst. 1. D. lucidulus Grav. var. 2 Holmgr. Monogr. Tryph. Suec. 223 (Acrotomus). Cteniscus Hal. 1. CE. (Tricamptus Foerst.) pratorum Woldst. Bidrag till kännedom af Finlands Tryphonider in Bidrag till kännedom af Finlands natur och folk. 21°" häftet. 52. 13 (Exenterus). — Var. 1 d': femoribus posticis medio rufis. 2. Ct. lituratorius Linn. 1. e. n. 1594 (Ichneumon). — Grav. 1. c. IL. 149. 96 (Tryphon scalaris) et IL. 159, 102 (Tryphon sexlituratus). — Holmgr. 1. c. 228. 4 (Exenterus). — Var. 2 Holmgr. 3. Ct. sexcinctus Grav. 1. ce. IT. 164. 105 (Tryphon). Holmgr. 1. c. 229.7 (Exenterus). 4. Ct. succinctus Grav. 1. e. IL. 166.107 (Tryphon). — Holmgr. 1. c. 230.8 (Exenterus). 5. CE. gnathoxanthus Grav. 1. c. II. 147. 94 (Try- phon). — Holmgr. 1. e. 231.12 (Exenterus). — Var. 1 Brischke. Hym. Preuss. Tryph. 98. 6. Cf. pachysomus Stephens. Mustrations of British 29% 455 Bulletin de l’Académie Impériale 456 ————_—…—…—…—…—…"—…—…—…—…——…—…—…——…—…—"—"—…—…—_——— Entomology. Vol. VII. 245. 39 (Tryphon). — Marshall. Ichneumonidum Britannicorum Catalogus (1870). 19. — Holmgr. I. c. 234.20 (Exenterus colorator). 7. Ct. pictus Grav. 1. c. II. 288. 192 (Tryphon). — Holmgr. 1. c. 238.29 (Exenterus) 8. Cf. mitigosus Grav. 1. ©. IT. 258.168 (Tryphon). — Holmgr. I. c. 241.37 (Exenterus limbatus). 9. Ct.(Diaborus Foerst.)quinquecinctus Grav. Monogr. Ichn. Pedem. reg. n. 125 (Ichneumon) et Ichn. Eur. IL. 165.106 (Tryphon). 10. Ct. (Diab.) sedulus n. sp. Nitidulus, pubescens, niger; ore, clypeo, apice genarum, facie, colli parte infera, squamulis alarum, apice scutelli et postscutelli, marginibus apicalibus segmentorum ultimorum abdo- minis, anteriorum pedum coxis et trochanteribus maxi- ma ex parte basique tibiarum posticarum pallide fla- vis; antennis apicem versus subtus, segmentis abdo- minis secundo apice late et 3—7 pedibusque rufescen- tibus, posticorum coxis et trochanteribus, femoribus basi apiceque, tibiis apice et ante basin tarsisque nigro-fuscis; foveola apicali scutelli nulla; areis me- tathoracis superioribus quinque, quarum superomedia quadrangulari, latitudine longiore; segmento abdomi- nis primo apicem versus sensim dilatato, scabriculo, carinulis ultra medium extensis; nervo alarum trans- verso anali infra medium fracto. Long. 5 millim, 4. Caput nonnihil tumidum, pone oculos vix an- gustatum. Antennae filiformes, corpore breviores. Seg- menta ultima abdominis interdum infuscata. Alae sub- fumato-hyalinae, stigmate majusculo, piceo, areola subpetiolata, nervum recurrentem inter medium et apicem excipiente. Coxae anteriores basi infuscatae. Exyston Schioedte. 1. Ex. cinctulus Grav. Monogr. Ichn. Pedem. reg. n. 107 (Ichneumon) et Ichn. Eur. II. 37. 23 (Meso- leptus). — Holmgr. 1. c. 246. 1. 2. Ex. sponsorius Grav. Ichn. Eur. 41. 24 (Meso- leptus). À Ctenopelmina. Rhorus Foerst. 1. Rh. mesoxanthus Grav. 1. c. IT. 233. 152 (Try- phon) et II. 326. 213 (Tryphon punctus). — Holmgr. 1. c. 117.1 (Ctenopelma). Ctenopelma Holmgr. 1. Ct. xanthostigma Holmgr. 1. €. 118.3. Erromenus Holmgr. 1. Err. brunnicans Grav. 1. e. 270.177 (Tryphon). — Holmgr. 1. e. 221. 1.— Erromenus oppositus Foerst. in sched. — Var. 1 Holmgr. 2. Err. zonarius Grav. Monogr. Ichn. Pedem. reg. n. 132 (Ichneumon) et Ichn. Eur. II. 268.175 (Try- phon). — Holmgr. 1. c. 221.2. 3. Err. punctulatus Holmgr. 1. ©. 222.3. 4. Err. frenator Graw. Ichn. Eur. IL. 332. 214 (Exo- chus). — Ratzeb. Ichn. d. Forstins. 1. 129. 12 (Try- phon haemorrhoicus). — Holmgr. 1. c. 222.4. 5. Err. analis Brischke. Hym. Preuss. Tryph. 95. Trichocalymma Foerst. 1. Tr. plebejum n. sp. Nitidulum; metathorace brevi, areis superioribus quinque distinctis; segmento primo abdominis nonnihil elevato, carinulis fere ad apicem extensis; alarum nervo transverso anali infra medium fracto —; nigrum; ore clypeo, abdomine apicem ver- sus, femorum apice, tibiis et tarsis rufescentibus. Long. 4 millim. 4. Caput pone oculos paululum angustatum; fronte supra antennas impressa; tuberculo faciali distincto. Antennae validiusculae, corpore breviores, flagello piceo-ferruginco. Thorax robustus; area metathoracis superomedia hexagona, longitudine vix latiore. Ab- domen thorace non brevius, rufum, segmento primo toto, secundo basi fasciaque media segmenti tertii nigro-fuscis. Alae latiusculae, subfumato - hyalinae, stigmate et squamula rufo-piceis, radice pallida. Pedes validi; apice femorum rufescente, tibiis et tarsis sub- spinosis, pallide rufis. 2. Tr. punctatum n. sp. Subnitidum, punctulatum ; areis metathoracis superioribus quinque distinctis; seg- mento primo abdominis subaciculato, carinulis vix ultra medium extensis; nervo alarum transverso anali infra medium fracto —; nigrum; ore, apice clypei, squamulis alarum, abdominis medio late pedibusque rufis, horum posteriorum coxis et trochanteribus in- fuscatis. Long. 5 millim. 3. Caput pone oculos nonnihil angustatum, vertice angusto, subelevato; fronte supra antennas impressa, 45% des Sciences de Saint-Pétersbourg. 458 D, fortiter punctata; facie planiuscula, confertim fortiter punctata. Thorax robustus, altitudine paulo longior; mesonoto et pleuris nitidis, crebre punctatis, spatio superiore mesopleurarum laevissima. Scutellum non- nihil ultra medium marginatum. Metathorax rugulo- sus, area superomedia subhexagona, longitudine paulo latiore. Abdomen capite cum thorace vix longius, griseo-sericeum; segmentis 2 — 4 rufescentibus, ulti- mis nonnihil infuscatis. Alae subfumato-hyalinae, stig- mate piceo, radice et squamula pallide rufis. Pedes validiuseuli, rufi; coxis posticis totis, anterioribus basi nigricantibus ; trochanteribus fusco-maculatis. 3. Tr. bipunctatum n. sp. Nitidulum; areis meta- thoracis superioribus quinque distinctis; segmento pri- mo abdominis subelevato, carinulis fere ad apicem ex- tensis, secundo bipunctato; nervo alarum transverso anali infra medium fracto —; nigrum; ore, clypeo, marginibus summis apicalibus segmentorum abdomi- nis pedibusque rufis, coxis, trochanteribus et basi femo- rum nigricantibus. Long. 3—4 millim. Q. Caput pone oculos vix angustatum, nitidum ; fronte canaliculata, supra antennas utrinque nonñihil impressa: facie subelevata. Antennac filiformes, fuscae; scapo longiusculo. Thorax robustus, altitudine paulo longior. Abdomen capite cum thorace non longius, segmento primo marginato, subopaco; secundo punctis duobus paulo pone medium impressis instructo. Alae subfu- mato-hyalinae, stigmate et squamula fuscis, radice pal- lida. Pedes validiusculi. Monoblastus Holmgr. 1. M. neustriae Ratzer. Ichn. d. Forstins. II. 115. 16 (Tryphon). — Holmgr. 1. c. 203.2 (Polyblastus femoralis) et 385. 2. M. longicornis Holmgr. 1. c. 387.5. Polyblastus Hartig. 1. P. varitarsus Graw. 1. c. IT. 222.146 (Tryphon). — Holmgr. 1. c. 204.5.— Var. 1 Brischke 1. c. 91. — Tryphon albovinctus Grav. 1. c. II. 224.147. — P. affinis Woldst. Ichn. Fenn. 83.3. 2. P. cothurnatus Grav. 1. c. IL. 285.189 (Tryphon). — Holmgr. 1. c. 205.7. 3. P. palaemon Schioedte. Ichn. Dan. gen. et sp. n0OV: 13.2:—Holmgr. L. c. 211. 22. 4. P. annulatus Holmgr. 1. e. 212.24. 5. P. sanguinatorius Ratzeb. 1. c. III. 129. 51 (Try phon). — Holmgr. 1. €. 213.925. 6. P. grammicus Holmgr. 1. c. 215.30. Oedemopsina. Oedemopsis Tschek. 1. Oed. scabricula Grav. 1. c. II. 180.119 (Try- phon). — Zett. Ins. Lapp. 381.20 (Bassus dorsatus) et 382.25 (Bassus pulcher). — Holmgr. Ofvers. af Kongl. Vet. Acad. Fürhandl. 29 ärg. (1872). Nr. 2. 145.2 (dorsatus). Mesoleptina. Perilissus Holmgr. 1. P. bucculentus Holmgr. Monogr. Tryph. Suec. 12970: 2. P. dissimilis n. sp. Parum nitidus, niger; capite rufo-testaceo, macula ad ocellos et occipite fuscis; basi antennarum, suturis pleurarum, abdominis medio pedi- busque posticis rufescentibus; punctis ad alarum radi- cem, squamulis alarum pedibusque anterioribus flavi- dis; clypeo vix discreto; areis metathoracis superiori- bus quinque obsoletis, quarum superomedia elongata; segmento abdominis primo planiusculo, carinulis et canalicula nullis; areola alarum petiolata, nervum recurrentem pone medium excipiente, nervo trans- verso anali supra medium fracto. Long. 5 millim. 3. Caput subbuecatum, pone oculos haud vel vix angustatum. Antennae setaceae, longitudine corporis, articulo primo flagelli secundo vix longiore. Segmentum abdominis primum coxis posticis vix longius, nigrum, apice testaceo; secundum latitudine parum longius et tertium quadratum rufo-testacea, illo macula basali fusca. Stigma alarum majusculum, fuscum, basi pal- lida. Pedes graciles, pallide rufi, posticorum geniculis, apice tibiarum et tarsis parum infuscatis; calcari in- terno tibiarum posticarum articulo secundo tarsorum haud breviore. Notopyqus Holmgr. 1. N. (Polycinetis Foerst.) resplendens Holmgr. 1. c. 116.4.— Brischke I. c. 69. Catoglyptus Holmgr. 1. C. crassipes Holmgr. 1. c. 107.2. 2. C. foveolator Holmgr. 1. c. 108.4. — Var. 1 Holmgr. 459 3. C. fuscicornis Gmel. Ed. Linn. I 2701.295 (Ichneumon). — Grav. L c. IL. 87.51 (Mesoleptus) et II. 70.42 (Mesoleptus nemoralis) (excel. Q). — Holmgr. |. c. 108.5. A Mesoleptus Graw. 1. M. cingulatus Grao. 1. €. IT. 22.15. — Holmgr. 1:c2103. 9: 2. M. (Hadrodactylus Foerst.) Typhae Fourcr. Ent. paris. 413.59 (Ichneumon). — Grav. L. c. IL. 62.39 (excel. var.). — Holmgr. I. c. 104.11. 3. M. (Hadrod.) macrodactylus Holmgr. 1. c. 106. 16.— Brischke 1. €. 66. 4. M. (Alexeter Foerst.) melanocephalus Grav. 1. c. II. 28. 16. — Holmgr. 1. c. 100.1 — Var. 2 Holmgr. 5. M. (Alex.) ruficornis Gravw. 1. c. II. 43.26. — Holmgr. 1. c. 101.4. 6. M. (Alex.) lugubris Woldst. Fil. Tryph. 31:5. Euryproctus Holmgr. 1. Eur. nemoralis Grav. 1. c. II. 70.42 (Mesolep- tus) (excel. 4). — Holmgr. L e. 110.5. 9, Eur. nigriceps Grav. 1. e. IL. 202. 130 (Tryphon). — Holmgr. 1. c. 113.14. Tryphonina. Adelognathus Holmgr. 1. Ad. nigrifrons Holmgr. 1. c. 197.2. Trematopyqus Holmgr. 1. Tr. vellicans Graw. 1. c. IT. 263.171 (Tryphon). — Holmgr. 1. ce. 182.7. 2. Tr. procurator Grav. Monogr. Ichn. Pedem. reg. n. 131 (Ichneumon) et Ichn. Eur. II. 266.174 (Try- phon). — Holmgr. 1. c. 184.135. Tryphon Fallén. 1. Tr. consobrinus Holmgr. 1. c. 188.8.— Grav. Ichn. Eur. II. 310 (rutilator var. 5). — Var. 1 Brischke Lc°88: 2. Tr.tenuicornis Grav.1.c.Il. 228.150. — Holmgr. lsc2192 19; 3. Tr. (Cosmoconus Foerst.) elongator Fabr. Syst. Piez. 67.72 (Ichneumon). — Grav. L. €. IT. 238.155. — Holmgr. 1. c. 185.1. — Var. 1 Grav. 4. Tr. (Otitochilus Foerst.) vulgaris Holmgr. 1 ec. 186.4. — Grav. I. c. II. 309 (rutilator var. 3). — Var. 1 Holmgr. — Var. 2 Brischke 1. c. 87. Bulletin de l’Académie Empériale 460 5. Tr. (Otitoch.) trochanteratus Holmgr. 1. c. 187. 5.— Grav. 1. c. IL. 308 (rutilator var. 2). — Var. 1 Holmgr. Mesolius Holmgr. 1. M. (Protarchus Foerst.) rufus Graw. 1. c. IT. 200. 129 (Tryphon). — Holmgr. IL. c. 133.2. 9. M. aulicus Grav. 1. c. II. 173.113 (Tryphon). — Holmgr. 1. c. 134.4. 3. M. caligatus Graw. 1. €. I. 170.111 (Tryphon). — Holmgr. 1 ce. 135.6. 4. M. sanguinicollis Grav. 1. c. II. 187.122 (Try- phon). — Holmgr. 1. ce. 137. 10.— Var. 1 Holmgr. 5. M. haematodes Graw. 1. ce. I. 177.116 (Tryphon). — Holmgr. 1. c. 137.11. 6. M. conformis Holmgr. 1. €. 7. M. carinatus Holmgr. 1. © 8. M. anceps Holmgr. 1. €. 154.56. 9. M. rufolabris Zett. Ans. Lapp. 380. 15 (Bassus). — Holmgr. 1. c. 171.96. 10. M. nigricollis Grav.1. c. IT. 234. 153 (Tryphon). — Holmgr. 1. €. 176.106. 11. M. bilineatus Grav. 1. c. II. 179.118 (Tryphon). — Brischke 1. c. 85. Les centres dépresseurs et accélérateurs. Par V. Veliky et Istomine. (Lu le 22 février 1872.) (Du laboratoire physiologique de l’Académie des sciences de St.-Pétersbourg.) Vulpian!) le premier et jusqu'à présent le seul a fait voir qu’en électrisant la moelle au niveau de l’axis on obtient une dilatation considérable des vais- seaux mésentériques et intestinaux et que cette dila- tation était accompagnée de la contraction des vais- seaux de la rate. «Cette action vaso-dilatatrice, dit M. Vulpian, est analogue à celle que l’on obtient par l'électrisation du bout supérieur des nerfs dépres- seurs.» Pour vérifier ces faits et voir jusqu'à quel point on peut comparer ces deux effets, nous avons voulu avoir la pression sanguine enregistrée. L’appa- reil enregistreur dans nos expériences était le kymo- graphion de Ludwig avec le papier sans fin. Le com- mencement et la fin de excitation de la moelle étaient 1) Vulpian. Leçons sur l'appareil vasomoteur. 1875. V."1/p:°219: 461 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 462 ——————— enregistrés de même. Le temps était enregistré par le chronographe de Bowditch et par l'horloge à se- condes. La galvanisation était produite par la bobine Dubois. La force du courant est suffisante, si l’on sent dans le bout de la langue un faible picotement qu'on peut supporter sans nul désagrément. On curarise le chien (toutes nos expériences ont été faites sur les chiens) jusqu’à la complète immobilité (les petits mou- vements n’empêchent pas pourtant l'effet de se pro- duire). On unit, après avoir fait la trachéotomie, une des carotides avec le manomètre enregistreur à mer- cure, on tourne le chien le dos en haut, en lui incli- nant la tête en même temps presque sous l’angle de 90°. Avec un peu d'habitude on peut arriver à faire l'opération de la division des muscles du cou de la protubérence occipitale jusqu’à la troisième vertèbre presque sans verser du sang; puis avec un trépan on perfore la première et la seconde vertèbre du cou, mais comme l’axis a déjà l’apophyse épineuse, il faut la couper avec les pinces de Müller avant le com- mencement de la perforation. Si la perforation est faite juste au milieu, alors elle ne donne pas beaucoup de sang et on arrête l’hémorragie avec de la penha- war djambé. Puis on casse les os entre les deux trous faits dans les masses apophysaires des vertèbres et la moelle est à découvert. On coupe la dure mère le long de la moelie, juste au milieu, on tourne sur les bords des vertèbres coupées le morceaux de la dure mère, qu’on retient par deux serres fines. De cette manière le sang des os ne vient couler entre la mo- elle et la dure mère. En cherchant le centre dépres- seur nous avons commencé l'excitation à la hauteur de la première vertèbre (f. 1. a). La pression se leva dans la carotide aussitôt à la hauteur presque double, mais dès que nous descendimes avec nos électrodes au niveau de la masse apophysaire de l’axis, nous vimes que la pression était devenue presque normale, quoique l'excitation fût la mème, encore de deux mm. plus bas elle commençait déjà à baisser sensible- ment et enfin (f. 4. b. 3) elle baisse à 16 mm. et puis jusqu'à 46 mm. maximum. Et chaque fois que l’exci- tation tombait à cette place, l’abaissement avait lieu. Quelquefois il durait quelques secondes après l’exci- tation, mais plus souvent il cessait presque aussitôt. Quoique les nerfs vagues fussent intacts, nous avons vu survenir à chaque dépression l'accélération du pouls cardiaque jusqu'à , dans cinq secondes, même un peu plus et l'accélération persistait encore 11” et plus après l'excitation, quand déjà l’abaissement avait cessé depuis longtemps. Cela porte à croire qu'ici près nous avons deux centres, les centres dépresseurs et les centres accélérateurs du coeur. Cette accélération ne venait jamais dès que nous mettions nos électrodes un peu plus haut que la deuxième vertèbre. Dans ce cas-là il y avait toujours l’augmentation de la pres- sion avec le ralentissement des battements du coeur. La force du courant est très faible, à peine sent on un faible picotement au bout de la langue. L’excita- tion est faite à cinq minutes d'intervalle. Les chiens étaient parfaitement curarisés jusqu’à la complète abolition des mouvements réflexes. e PME AA AETIES FPE CE IERTIÈE IEEE NS |ES PO ÉS JE" 172") SÈE 107 2271100 T6 0 IRRS 4 1400 2 DB HATLE | 06 Gina | 10 | a |"104%} 945 6 | 10 104282 | 1200) 010 179 150 | 10 2 | 130110 | -9 1 LE) a 110 140 | M2041N8 12 | 20 | 0) EE QT 0 MIOURS 13 | 20 100 M0 800 irO) RSI EE 0 U10 | a |f130 16008 5 (DONS 8 NME NRNES 9 6 [10 a | 1038/1501 109 7 52110 | #00) 124 001 8er 1007 | 10 be... 199) 76 ons ra lA6 U|10 Pour le moment nous avons à ajouter à ce travail encore quelques précautions à prendre, savoir, il faut toujours enfoncer les électrodes dans les colonnes an- térieures, et enfin pour s'orienter plus sûrement on peut prendre pour point de départ le niveau des racines de la troisième paire pour le centre dépresseur et de la deuxième pour le centre accélérateur *). 2) Ce travail était sous presse quand nous reçümes le travail de M. Couty L’encéphal dans lequel il montre que M. Claude Bernard dans son «Cours sur la chaleur animale» a défini la posi- tion des centres accélérateurs dans les places désignées aussi par 463 Bulletin de l’Académie Impériale 4164 Fig. À. La moelle du chien c — cervelet. 19 — première vertèbre du cou. 2v deuxième vertèbre du cou. 30 — troisième vertèbre dn cou. 1 — première paire cervicale (séparée des vertèbres). 2 — deuxième paire cervicale. 3 — troisième paire cervicale. al, a?, b1, b?, 3 — les points excités. S — Sortie des nerfs de la première paire cervicale. Notice et analyse sur la Vietinghofite. Par M. A. Damour. (Lu le 8 février 1877.) Cette matière minérale a été rapportée des envi- rons du lac Baïkal par Mr. de Lomonossow qui lui a nous. M. Claude Bernard a vu survenir après la section de la moelle au-dessus de la deuxième paire des nerfs cervicaux, en ex- citant quelque nerf sensitif; l’accélération du coeur. De même M. Couty en injectant dans la carotide les spores de lycopodium pour oblitérer les vaissaux de l'encéphal, à vu survenir toujours l’accélération du coeur dès que le lycopodium obliterait les vais- seaux de la moelle allongée. | donné le nom de Vietinghofite en l’honneur de Mr. de Vietinghof. L'’échantillon qui m’a servi à déterminer les princi- paux caractères et à faire l’analyse de cette substance m'a été remis par M. de Kokscharow. Il est amorphe; sa couleur est le noire foncé, | opaque, avec éclat demi-métallique. Sa cassure est vitreuse et sa poussière est brune. Dureté — 5,50 à 6. Densité — 5,53. Chauffé dans le matras, il décrépite et laisse déga- | ger un peu d’eau, sans changer de couleur. Chauffé à la flamme du chalumeau, sur le char- bon, il se désagrège, puis fond en une scorie noire, non magnétique. a Fondu avec le phosphate Ammoniaco-Sodique, il se dissout en totalité, et donne, au feu de réduction, un verre coloré en vert qui ne change pas d’aspect au feu d’oxydation. | Fondu avec le Borax, au feu de réduction, il donne un verre Jaune verdâtre: au feu d’oxydation, et par l’addition d’une, parcelle de Nitre, le verre devient brun violacé. Fondu avec le Carbonate de Soude, il donne la ré- action du Manganèse. Il n’est attaqué que très par l’Acide Chlorhydrique. Réduit en poudre fine, il est facilement attaqué par lPAcide Sulfurique chauffé à + 300 degrés. Après avoir chassé par l’évaporation, l’acide mis en excès, si l’on reprend par l’eau froide la matière restée en- core très acide, il se forme d’abondants flocons blancs formés principalement d’Acide Niobique qui reste longtemps en suspension dans la liqueur. L'analyse m’a donné les résultats suivants: lentement et difficilement gr. ACiderNi0DIQue Pr CAL NAEE 0,5100 Acide: TITANIQUEN. 22. ET 0,0184 ZLITCOD ES eee à te 0,0096 Oxyde’Uranique 257. mr .. 0,0885 MDP SE NME Re 0,0657 Oxyde Céreux (Lanthane Didyme) 0,0157 Oxyde Férrexetis Er 0,2300 Oxyde Manganeux 424,008. 0,0267 Magnésie mime de 0,0083 Eau et Matières Volatiles . . .... 0,0180 465 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 466 On voit que cette matière minérale présente les principaux caractères physiques, et renferme les élé- ments qui constituent l'espèce déjà désignée sous le nom de Samarskite, telle que l’ont fait connaître les analyses de MM. Chandler, Hermann, Peretz, Finkener et Stephans etc. Ici, la proportion de l’'Oxyde de Fer est plus forte que dans les échantil- lons de l’Oural et de l'Amérique analysés par les au- teurs précités. Je suis amené toutefois à considérer la Vietinghofite comme devant être réunie à la Sa- marskite dont elle ne serait qu’une simple variété. Über die Wirkung des Ausglühens auf den galvani- schen Widerstand harter Drähte. Von 0. Chwol- son, Priv.-Docent an der St. Petersburger Univer- sität. (Lu le 8 février 1877.) (Mit einer Tafel.) Eimleitumg. Mit dem früher (Mélanges phys. et chim. tirés du Bull. de l’Acad. Imp. des Sc. de St.-Pétersb. T. IX. pag. 665) beschriebenen, neuen Quecksilberrheosta- ten von M. H. von Jacobi habe ich im physikali- schen Cabinet der Akademie auf Anregung und mit Genehmigung des Directors des Cabinets, Herrn Aka- demiker Wild, einige Untersuchungen über die durch verschiedene Ursachen bedingten Variationen der gal- vanischen Widerstände metallischer Leiter begon- nen, zu deren Ausführung der Apparat besonders geeignet erschien. Von diesen Arbeiten ist abgeschlos- sen die Untersuchung der Wirkung des Ausglühens auf Drähte von 15 verschiedenen Metallen und ich theile daher die Resultate derselben hier mit. Zur Orientirung dürfte es nicht überflüssig sein, die Gruppirung der Apparate, wie sie in jenem frühe- ren Aufsatze beschrieben war, nochmals kurz zu wie- derholen. Es stellte jene Gruppirung in ihrer Ge- sammtheit eine Wheatstone’sche Brückencombination dar, welche schematisch auf Fig. 1 noch einmal ange- geben ist. MM NN.ist die Oberfläche des Tisches, an welchem die beiden Rheostaten I (cd) und IT (c’d’) angebracht sind; e, b, e’ und D’ sind gläserne Queck- silbernäpfe, die durch quecksilbergefüllte Glasrühren ed, bc, be’ und éd’ mit den Rheostaten I und IT ver- bunden sind. mist ein gewühnlicher Jacobi’scher Ago- Tome XXIII. meter, der durch zwei starke Kupferdrähte mit den Quecksilbernäpfen f und f” verbunden ist. Bei 4’B7, ausserhalb der Oberfläche des Tisches, zwischen 6’ und f’, also in demselben Zweige der Brückencombination, in welchem sich der Rheostat II befand, wurden die zu untersuchenden Drähte angebracht, während bei A, zwischen e und f eine entsprechende Widerstands- masse eingeschalten wurde, gewühnlich aus nicht zu dünnem Kupferdrahte. Der Strom (zwei grosse Daniell’sche Elemente) trat bei a’ ein, verzweigte sich bei #, kam bei À wieder zusammen und ging bei « weiter. Bei f und f” mün- deten die Drähte fy und f'j der Brücke, in welche das in der früheren Arbeit kurz erwähnte, ausge- zeichnete Galvanometer eingeschalten war. Unter Ein- stellung eines Rheostaten wird, wie früher, eine solche Einstellung desselben zu verstehen sein, bei welcher der Strom in der Brücke Null ist, bei welcher sich also der Widerstand des Zweiges wf verhält zu dem von mf', wie der von fAedcbh zu dem von f'B'A'éd'cb'h. Bei & befand sich eine Klammer, welche herausgenom- men wurde, wenn durch den Draht 4’B' starke Strôme geführt wurden, deren Abzweigung nach den Rheo- staten und der Brücke vermieden werden sollte. Durch Einführung der Widerstände bei À — wurde das Ver- hältniss der Widerstände fm : fm nahe gleich 1 ge- macht. Die Einstellungen geschahen natürlich alle am Rheostaten IL und sollen daher über diesen einige Data in Erinnerung gebracht werden. Es befindet sich bei ihm (ebenso wie auch bei dem anderen) die 0 ganz oben, die Zahl 400 ganz unten. Jeder Scalentheil ist ein Millimeter und entspricht dem Widerstande zweier Quecksilbersäulen von 1 Mm. Länge und etwa 5 Mm. Dicke. Einer grüsseren auf der Scala des Rheostaten abgelesenen Zahl entspricht auch ein grüsserer einge- führter Widerstand. Sei, wie früher, S, der Mittel- werth der ersten 30,5 Scalentheile des Rheostaten IT, so war früher gefunden worden (). S, — 0,0000885 Siem. Einh. oder \ 1.Siem. Einh. = 11297,0 52. Bei den Ausrechnungen wurde die Tabelle C°$ 4 des früheren Aufsatzes benutzt. Jede Widerstandsveränderung im Drahte 4'B' do- cumentirte sich dadurch, dass die Einstellung des 30 467 Bulletin de l’Académie Impériale 468 Rheostaten IT verändert werden musste. Vergrüsserte sich der Widerstand des Drahtes AB", so musste der des Rheostaten IT um ebensoviel verringert werden, der bewegliche Ring musste herauf geschraubt wer- den, die bei der Einstellung erhaltene Zahl war also kleiner, als die frühere, — oder kurz: Eine Vergrüsserung der am Rheostaten IT rhaltenen Zahl zeigt ein Sinken, ein Kleiner- werden jener Zahl dagegen ein Wachsen der bei 4'B' eingeschaltenen, untersuchten Wider- standsmasse. Dies muss zum leichteren Verständniss des Folgenden festgehalten werden. $ 1. Schon Pouillet (s. p. 244 der weiter unten citir- ten Abhandlung von Bequerel) hatte gefunden, dass sich der Widerstand eines harten Kupferdrahtes beim Ausglühen verändert und zwar fand er eine Vermeh- rung des Widerstandes in dem Verhältniss von 3838 zu 3842, also um etwa 0,001. Bei der von ihm an- gewandten, hüchst unvollkommenen Methode (s. Wie- demann Galv. Band I pag. 248) konnte aber diesem Resultate keine grosse Sicherheit zugesprochen wer- den. Es unternahm daher Bequerel (Annales de Chim. et de Phys. (3) T. XVII p. 242) 1846 unter anderen Widerstandsuntersuchungen auch eine Unter- suchung der von Pouillet kaum berührten Frage. Mit seiner verhältnissmässig viel feineren Methode (Differentialgalvanometer) erhielt er für alle unter- suchten Drähte eine Verminderung des Widerstan- des beim Ausglühen der harten Drähte und zwar bei Ag um 0,0701 » Cu » 0,0264 » Au » 0,0166 » Fe » 0,0101 » Pt » 0,0130. Die von ihm angewandten Drähte hatten eine Dicke von ungefähr 0,3 Mm.— Ein mit diesem nicht über- einstimmendes Resultat erhielt neun Jahre später Mousson (Neue Schweizerische Zeitschr. Band XIV p. 33, 1855). Er benutzte die Wheatstone’sche Brük- kencombination, schaltete aber den untersuchten Draht und den Rheostaten (Wheatstone) nicht in ein und denselben, sondern in zwei verschiedene Zweige ein, während die beiden anderen Zweige aus zwei 600 Mm. langen, «sehr dünnen» Kupferdrähten bestanden. Er untersuchte Stabl und Kupfer und gelangte zu dem folgenden, merkwürdigen Resultate: der Widerstand eines Stahldrahtes vergrüssert sich beim Härten durch Ablüsehen und verringert sich, wenn der durch Ablüschen gehärtete Draht durch Glühen und lang- sames Erkaltenlassen wieder weich gemacht wird. Da- gegen wird der Widerstand eines, durch Ziehen ge- härteten Drahtes bei derselben Behandlung nicht ver- ringert, sondern vergrôüssert. Es wäre also der Wi- derstand eines durch Ziehen gehärteten Drahtes ein Minimum, der Widerstand eines durch Ablôschen ge- härteten Drahtes ein Maximum; der weiche Draht stände gleichsam zwischen den beiden harten. — Für Kupfer dagegen erhielt er eine Vergrüsserung des Widerstandes sowohl beim Ablüschen als auch beim Weichmachen des abgelüschten oder durch Ziehen ge- härteten Drahtes. Es haben also der durch Ziehen ge- härtete Draht das Minimum, der weiche das Ma- ximum des Widerstandes, während der abgelüschte Draht zwischen jenen beiden stände. Zuletzt beschäf- tigten sich mit dieser Frage und zwar fast gleich- zeitig Siemens und Matthiessen. Siemens (Pogg. Ann. Bd. CX p. 18) findet für Silber, Kupfer und Messing beim Ausglühen der ursprünglich har- ten Drühte eine. Verminderung des Widerstandes um resp. 10%, 6%, und 16%. Das specifische Gewicht der Drähte wurde dabei für Silber grüsser, für Kupfer und Messing dagegen kleiner. Ein ganz ähnliches Resultat erhielt Matthiessen für Silber, Kupfer und Gold (Pogg. Ann. Bd. CX p. 224 und Bd. CXV p. 353). Er erhält für die Lei- tungsfähigkeiten die folgenden Mittelwerthe bei 0°: hart weich Silber 100 108,74 Kupfer 99,947 102,213 Gold 77,964 79,327: Er findet ausserdem, dass mehrtägiges Erhitzen bis 100° dieselbe Wirkung auf das Leitungsvermügen hat, wie Weichmachen durch starkes Glühen. Fassen wir alle Resultate zusammen, so sehen wir, dass Bequerel, Siemens und Matthiessen für Cu, Ag, Au, Fe und Pt eine Verminderung des Wider- standes fanden, während Mousson für Stahl und Cu ein sehr sonderbares, diesem theilweise entgegenge- setztes Resultat findet. 469 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 470 In der nachfolgenden Untersuchung ist der Versuch gemacht, die Frage über die Wirkung des Weichma- chens auf den Widerstand von Metalldrähten genauer und für eine grüssere Anzahl von Metallen zu prüfen und die Widersprüche zwischen den früheren Beob- achtungen zu lôsen. $ 2. Zur Erklärung der angewandten Methode dient Fig. 2. — An die Seite NN (Fig. 1) des die beiden Rheostaten und die Brückencombination tragenden Tisches wurden die drei Tische 7, T, und 7, (Fig. 2) aufgestellt. Der mittlere, 7, hatte eine bewegliche Platte, die gehoben und wieder herabgelassen und durch die Schraube S in beliebiger Lage festgehal- ten werden konnte. Auf diesem Tische stand cin mit Wasser gefüllter Blechkasten GG von 760 Mm. Länge, 160 Mm. Breite und 160 Mm. Hühe. Auf jedem der Seitentische stand ein hôülzerner Retorten- halter CDE, welcher am Ende des horizontalen Ar- mes je einen Glascylinder von 60 Mm. Länge und 14 Mm. innerer Weite trug, aa und aa. Diese Glas- cylinder sind oben offen, unten dagegen sorgfältig mit Korken geschlossen, durch welche die dicken Kupferdrähte bed nnd Led’ hindurchgehen, an de- ren unteren Enden die Klemmschrauben 4 und d’ angelôthet sind; an die oberen Enden dagegen sind die Drähte bB' und d'A’ befestigt, deren erste bei f” (Fig. 1) mündet, während die zweite zur Klammer % (ib.) führt, so dass also À’ und B” die gleiche Bedeu- tung auf beiden Zeichnungen haben. Wird nun zwi- schen d und d’ auf irgend eine Weise der zu unter- suchende Draht ausgespannt, so ist derselbe offenbar in den Zweig f’B'A'ked'eV'R (Fig. 1) der Brücke ein- geführt, d.h. in denselben Zweig, in welchem sich der Rheostat II befindet. Der Draht wurde in einigen Ver- suchen direct bei d und d’ festgeklemmt. Bei den meisten Drähten aber wurde folgendermaassen verfah- ren: es wurde eine grôüssere Menge von 3,6 Mm. dik- ken Kupferdrähten in die Form dphe und d'p'h'e! ge- bogen. Bei p und p' wurden dann die Enden der zu untersuchenden Drähte mehrfach um die dort eine Ecke bildenden Kupferdrähte gewickelt und festge- lüthet. Eben solche, an jedem Ende Klemmschrauben tragende Kupferdrähte fe und f’e’ waren an die Stän- der CD unbeweglich befestigt. Diese Vorrichtung diente dazu, die zu untersuchenden Drähte durch starke, galvanische Strôme zu erwärmen: in diesem Falle wurden die Enden der Drähte dpe und d'p'e' durch die Klemmschrauben e und €’ mit den Drähten ef und ef” verbunden, die Klammer bei k (Fig. 1) her- ausgenommen und die von einer starken Batterie kommenden Seitendrähte mit den Klemmschrauben s und s’ verbunden. Der Strom durchlief in diesem Falle den Weg sfehpph'ef's, erwärmte den Draht pp’, ohne sich nach der Brücke hin abzuzweigen. War die Tisch- platte, wie in Fig. 2, in die Hôhe gehoben, so befand sich der Draht pp’ innerhalb des im Blechkasten GG enthaltenen Wassers; war sie herabgelassen, so befand sich der Draht so hoch über dem Wasser, dass er ohne Mühe von untenher durch eine Gasflamme er- wärmt werden konnte. Zwischen den verticalen Holz- stiben DE war ein Eisendraht £E ausgespanut, an welchem zwei Thermometer hingen, deren Kugeln den Draht pp beinahe berührten. Die Methode des Experimentirens, nach Ausführung der weiter unten zu besprechenden Prüfung derselben durch vorgängige Versuche, bestand nun in Folgen- dem: nachdem der Draht pp’ vermittelst der in die Klemmen 4 und d’ gesteckten Hülfsdrähte dp und d'p'h' in den Zweig LA'B'f' (Fig. 1) der Brücke einge- führt war, wurde bei À eine ihm nahe gleiche Wider- standsmasse (0,1—0,8 Siem. Einh.) eingeführt, durch Drehen des Agometers # (ib.) der Strom in der Brücke auf fast Null gebracht und dann der Rheostat IT ge- nau eingestellt. War der Widerstand des Drahtes pp’ grüsser als 0,3 Siem. Einh., so war eine sichere Ein- stellung nur dann môglich, wenn das Wasser während des Einstellens beständig, wenn auch langsam, gerührt wurde. Im anderen Falle wurde die Erwärmung des Drahtes, welche durch das mehrfache, beim Einstellen nothwendige momentane Stromschliessen hervorgeru- fen wurde, nicht schnell genug durch das Wasser ab- sorbirt. Man bedenke aber auch, dass eine Tempera- | turveränderung von 0,1° C. den Widerstand z. B. des untersuchten Eisendrahtes um etwa 1,6 Scalentheile des Rheostaten ändern musste (etwa 0,00013 Siem. Einh.); wurde aber das Wasser nach jedem momen- tanen Stromschluss gerührt, so liess sich der Rheostat mit einer Genauigkeit von 0,1—0,2 Scalenth. einstel- len. Nach erfolgter Einstellung wurde die Tischplatte mit dem Wassergefäss herabgelassen, der Draht mit 30* 471 Bulletin de l’Académie Impériale 472 einem Pinsel und Fliesspapier vorsichtig getrocknet, die Thermometer zur Seite geschoben und der Draht geglüht; sofort nach seiner Erkaltung wurde die Tisch- platte wieder in die Hühe gehoben, das Wasser um- gerührt und der Rheostat II von Neuem eingestellt. Die Glascylinder aa und a'a' waren stets mit Wasser gefüllt, um in den Füällen, wo der Draht pp’ starkem und anhaltendem Glühen (bis 35 Minuten) ausgesetzt war, sicher zu sein, dass in keinem Theile der Leitung auch nur eine Spur von Erwärmung übrig geblieben sein konnte, als der Draht pp' wieder im Wasser sich befand. Was die Zeit betrifft, die von einer Einstel- lung des Rheostaten IL ‘bis zur nächsten verging, so muss wohl bemerkt werden, dass dieselbe in den meisten Fällen 3—4 Minuten betrug, oft auch noch weniger. | einer Prüfung unterworfen, die Unveränderlichkeit des Das Ausglühen der Drähte wurde auf zwei Arten bewerkstelligt: durch starke galvanische Strôme und durch eine Gasflamme. Zum Ausglühen durch galvanische Strôme wurde eine Batterie von 12 Bunsenschen Elementen gebraucht, von welcher dicke Leitungsdrähte zu den Klemmen / und f (Fig. 2) geführt wurden, Damit die Lôthungen bei p und y hiebei durch die starken Strüme nicht angegriffen würden, um das Zinn bei dem oft lange anhaltenden Weissglühen der Drähte pp' vor dem Schmelzen zu schützen und der ganzen Leitercombination den nôthigen Grad von Unverän- derlichkeit zu verleihen, wurden sowohl die Lüthstel- len als auch die Enden der Drähte pp" (etwa einen halben Zoll weit) mit dünnem weichem Kupferdrahte in mehreren Lagen umwunden. Dadurch wurde er- reicht, dass die Hitze an den Lôthstellen p und p’ nie- mals einen hohen Grad erreichen konnte. Vermittelst eines an geeigneter Stelle angebrachten Stromschlies- sers kônnte der Strom anhaltend oder auch nur auf wenige Secunden durch den Draht gesandt werden. Um den Grad des Glühens vorher zu wissen, waren Hülfsdrähte an einer andern Stelle ausgespannt. — Sollte die Wirkung des Ablüschens untersucht wer- den, so wurde die Tischplatte mit dem Wasser in die Hôhe gehoben, während der Draht glühte. Sofort nach der Ablüschung wurde der Strom geüffnet. Bei diesen Versuchen waren alle Drähte angelôthet ausser dem Alluminium-Bronce-Draht, dessen Lüthung sehr um- ständlich ist und der in zwei bei p und p' befestigten Klemmen festgeschraubt war. Über das Ausglühen vermittelst einer (blauen) Gasflamme ist nichts Besonderes zu bemerken. Na- türlich konnten hierbei die einzelnen Theile des Drah- tes nicht anders als successive zum Glühen gebracht werden. | Es braucht wohl kaum bemerkt zu werden, dass alle die bei der ersten Untersuchung als nothwendig erkannten und beschriebenen Vorsichtsmassregeln jetzt auch angewandt wurden. So wurde z. B. bei je- dem der beiden Rheostaten einer der mit Hg gefüllten Glascylinder von Zeit zu Zeit ein Wenig in die Hühe gehoben und dann wieder herabgelassen, um die un- beweglichen Glasrühren immer wieder mit frischem Hg zu füllen. Vor dem Beginn der Versuche musste die Methode ganzen Leitersystemes untersucht werden. Zu diesem Zwecke wurde mehrmals hinter einander der Rheo stat II eingestellt, das Wasser heruntergelassen, der Draht getrocknet, nach einiger Zeit das Wasser wie- der in die Hôhe gehoben und der Rheostat II von Neuem eingestellt, ohne dass der Draht in der Zwi- schenzeit geglüht worden wäre. Ausserdem wurde das System mehrmals längere Zeit sich selbst überlassen, um zu sehen, wie gross die durch zufällige, storende Einflüsse (Temperaturwechsel etc.) entstehenden Wi- derstandsvariationen und demgemässe Ânderungen in der Einstellung des Rheostaten IT seien. Die Resul- tate dieser vorgängigen Versuche erwiesen sich als äusserst günstig. So veränderte sich z. B. am 1. De- cember die Einstellung des Rheostaten IL im Laufe einer Stunde (von 10 Uhr 42 Min. bis 11 Uhr 45 Min.) nur um 0,4 Scalentheile; am 4. Dec. in 42 Mi- nuten um 1,3 Scalentheile; am 24. Nov. war die Ver- änderung nach 20 Minuten gleich Null, nach eimer Stunde 1,5, nach zwei Stunden 2,3 Scalentheile; auch an anderen Tagen wurde nach ‘, Stunde keine merk- liche Veränderung in der Einstellung bemerkt. Ein Mal (4. Nov.) wurde sogar in einer ganzen Stunde eine Veränderung der Einstellung um nur 0,2 Scalentheile constatirt. Ebenso zeigten sich auch beim Trocknen und wieder ins Wasser Bringen des Drahtes Verän- derungen in der Einstellung manchmal von 0,0 Se. — Nur bei wenigen Versuchen zeigten sich bei mehrma- ligem Trocknen und längerem Warten Veränderungen von 2—3 und mehr Scalentheilen — dies waren of- 473 fenbar Ausnahmen. Bedenkt man nun aber, dass bei den wirklichen Versuchen zwischen den einzelnen Ein- stellungen meist nur wenige Minuten vergingen und die beobachteten Veränderungen der Widerstände fast immer eine sebr grosse Anzahl (oft mehrere Hundert) von: Scalentheilen betrug, so darf man wohl keinen Zweifel hegen, dass diese beobachteten Veränderun- gen den in Wirklichkeit stattfindenden entsprachen. $ 3. Die Wirkung des Weichmachens (durch Ausglühen) auf den galvanischen Widerstand hart gezogener Drähte ist untersucht worden für die folgenden Metalle: Pla- tina, Platina-lridium, Palladium, Aluminium, Alumi- nium-Bronce, Eisen, Stahl, Kupfer, Messing, Neusil- ber, Zink, Silber, Blei, Magnesium und Cadmium. Aus dieser Reihe sind die beiden Letztgenannten aus- zuschliessen, da deren Untersuchung, wie weiter unten gezeigt werden wird, zu keinem deutlichen Resultate führte. Bei allen Übrigen liess sich nicht nur die gestellte Frage eindeutig und unzweifelhaft beant- worten, sondern auch der eigentliche Grund der frü- heren Widersprüche angeben. Es sollen nun nach ein- ander die, mit den oben erwähnten Drähten ausgcführ- ten Versuche dargelegt werden, und zwar sollen vorerst diejenigen Metalle betrachtet werden, mit denen aus verschiedenen Gründen nur wenig Versuche gemacht wurden. Im Vordergrunde stand bei allen Versuchen die Frage über die Wirkung des ersten Weichmachens ; die Frage über die Wirkung des Ablôschens ist nur nebenbei behandelt und durchaus kein Versuch ge- macht, dieselbe in irgend einer Richtung zum Ab- schluss zu bringen, Trotzdem dürften die in Bezug auf das Ablüschen erhaltenen Resultate ein vielleicht nicht ganz überflüssiges Material und Fingerzeige für künftige, eingehendere Untersuchungen abgeben. Die nachfolgenden Tabellen bestehen jede aus fünf Colonnen, In der ersten sind die mit dem Draht vor- genommenen Manipulationen angegeben; im zweiten der, nach einer jeden derselben, bei der Einstellung des Rheostaten IT erhaltene Scalenwerth, wobei noch- mals bemerkt werden soll, dass eine Vergrüsserung dieses Werthes eine Verkleinerung des Widerstan- des und umgekehrt bedeutet; Colonne IT enthält die daraus berechneten successiven Widerstände der Drähte. Bei 10 Metallen ist der Widerstand beson- des Sciences de Saint-Pétersbourg. 474 ders bestimmt worden; bei den drei übrigen (Alumi- nium, Blei und Zink) ist er aus den bekannten Dimen- sionen und dem Material berechnet worden. Die hier- durch erhaltenen, auf keine grosse Genauigkeit An- spruch erhebenden Zahlen sind in Klammern gesetzt. Da es vor Allem darauf ankam, die Richtung, nach welcher sich der Widerstand änderte, zu bestimmen, die Grüsse der Ânderung aber von zufälligen Umstän- den (Stärke des Glühens, Dauer desselben, etc.) ab- hängt, so war eine genaue Bestimmung jener Grôüsse vatürlich auch ohne besonderen Werth. Die vierte Colonne enthält die Zeiten, zu welchen die Ablesun- gen am Rheostaten IT stattfanden; dass sich bei jeder dieser Ablesungen der Draht im Wasser befand, ist klar. Colonne fünf enthält die entsprechenden Tem- peraturen des Wassers, I. Platina-lridium. Der Draht ist 0,55 Mm. dick und 473 Mm. lang; er enthält 10° Iridium!) und ist, wie alle folgenden Drähte, bei denen nicht das Gegentheil ausdrücklich bemerkt ist, unmittelbar vor den Versuchen aus be- deutend dickerem Draht gezogen und daher ursprüng- lich sehr hart. Es sind in der nachfolgenden Tabelle auch die vorgängigen Einstellungen mit eingeschlos- sen, welche zur Prüfung der Stabilität des ganzen Lei- tersystemes gedient hatten. 24. Nov. (6. Dec.) 1876. Geglüht durch Strôüme. Temper. des Binst. des \viderstand. Zeit. Wissers 1) Draht hart. 100,0 1,00000 10° 15°” 2) Unverändert 100,0 1,00000 10 35 — 3) dito . 98,5 1,00000 11 15 16,7° C. 4) dito 97,7 1,00000 12 11 16,8 » 5) 5 Minuten lang hellroth- glühend .... 299,5 0,96780 12 26 16,9 » 6) noch 5 Minu- 17,045 ten glühend. 296,1 0,96835 12 48 7) abgelôscht . 275,1 0,97170 12 55 17,0 » Während fast 2 Stunden hatte sich also die Ein- Le) 1) Diesen Platina-ridium-Draht hat vor Kurzem Herr Akadem. Wild durch die Vermittlung des Herrn H. Sainte -Claire-De- ville von Herrn Matthey in London als ganz rein, d.h. nur Spu- ren von Rhodium, Ruthenium und Eisen enthaltend, zugesandt be- kommen. 475 Bulletin de l’Académie Impériale 476 stellung des Rh. IT um nur 2,3 Scalentheiïle verändert, während sie sich nach dem Ausglühen des Drahtes um mehr als 200 Scalentheile verändert hatte. Da zwischen der 6. und 7. Einstellung, wie man aus Colonne vier sieht, nur sieben Minuten vergangen waren, so ist es unzweifelhaft, dass die hiebei consta- tirte Veränderung von 21 Scalentheilen keine zufäl- lige, sondern eine Folge der Ablôschung des Drahtes sein musste. Eine sorgfältige Messung hatte ergeben, dass der Widerstand des Drahtes gleich 0,55486 Siem. Einh. ist, woraus sich der specifische Widerstand der Platina-fridium-Legirung gleich 26,86 ergiebt, der des Quecksilbers als 100 angenommen. Die in der obigen Tabelle enthaltenen Versuche ergeben das fol- geude Resultat: Beim Ausglühen eines durch Ziehen gehär- teten Platina-[ridium-Drahtes verringert sich 20 sein Widerstand um etwa 3°; beim darauf fol- genden Ablôschen vergrüssert sich der Wider- stand von Neuem, wenn auch nur wenig (beim obigen Versuche um 0,00335). IL Zink. Der sehr harte Draht ist 0,4 Mm. dick und 520 Mm. lang. Von eigentlichem Ausglühen kann bei die- sem Metalle keine Rede sein; doch gelang es durch vorsichtiges Erhitzen mit einer unter dem Draht hin und her geführten Gasflamme, dem ursprünglich sehr elastischen und harten Draht die Weichheit eines Zwirnfadens zu verleihen. Dabei ergab die Wider- standsmessung das folgende Resultat: 22. Dec. 1876 (3. Jan. 1877). Li . Geglüht durch die Gasflamme. RE Wident Zeit Gand 1) Draht hart.. 137,2 100000 11/1" 15,5° 2) » ange- lasse. 185,1 (0,98282) 115 15,2 Der Widerstand des Drahtes ist nicht gemessen, sondern aus den Dimensionen berechnet, daher die in Klammern stehende Zahl keinen Anspruch auf Ge- nauigkeit machen kann. Trotzdem steht fest das Re- sultat: Beim Ausglühen eines harten Zink-Drahtes verringert sich sein Widerstand um etwa 2, I, Aluminium, Der Draht ist 0,95 Mm. dick und 570 Mn lang; er wird ebenfalls vorsichtig durch die Gasflamme er- hitzt, wobei er ausserordentlich viel weicher wird, 22. Dec. 1876 (3. Jan. 1877). Geglüht durch die Gasflamme. EE 1) Draht hart.. 126,5 1,00000 10/12" 15,3° 2) » ange- . lassen ..... 132,3 (0,98177) 1119 15,3 Auch bei diesem Draht ist der Widerstand berech- net. Er beträgt nur 318 $,, daher die nur scheinbar geringe Widerstandsänderung. Resultat: Beim Ausglühen eines harten Aluüminium- Drahtes verringert sich sein Widerstand um : 0 Er IV, Aluminium-Bronce, Es sind zwei Drähte untersucht worden; der erste (À) wurde durch den galvanischen Strom, der zweite (B) durch die Gasflamme ausgeglüht. Die Drähte ha- ben 0,6 Mm. Dicke und 517 Mm. Länge. Die Mes- sung des Widerstandes ergab 0,25261 Siem. Einh., woraus der spec. Widerstand gleich 13,81 sich be- rechnet (Hg — 100). Draht.4,15.:(27.) Dec. 1876. Geglüht durch Strôme. Einst. des Rh. I Temper. des Zeit. Zeï Wassers. L Widerstand. 1) Draht hart.. 118,7 1,00000 1 22" 18,2° C. 2) Strom 4 Sec. lang. Draht sehr heiss.. 130,5 0,99586 1 30 18,1 3) Draht einen Momentroth 269,0 0,94732 1 35 18,0 4) Draht abge- lüscht. . 220,0 0,97448 1 41 17,9 5) Dr. hellroth 271,8 0,94633 — — Draht B. 22. Dec. 1876 (3. Jan. 1877). Geglüht durch die Gasflamme. Einstd. wriderst, Zeit, ,Sembde 1):Draht hart. ..., 68,1 1,00000 12/3" 15,9° 2) » wenig heiss. 70,1 — 126 — 3) » sehr heiss.. 162,9 0,96680 129 — 4) » hellroth ... 293,0 0,92075 12 13 — 42% des Sciences de Saint-Pétersbourg. 478 ———_————— Bei Draht À ist der letzte Glühversuch (5) an einem anderen Tage und bei anderer Eiïnstellung des Rheo- taten IL ausgeführt: aus der erhaltenen Ânderung von 51,8 Scalentheïlen ist die Zahl 271,8 gefunden. — Bei beiden Drähten misslang der Versuch, länger und stär- ker zu glühen, indem die Drähte rissen. — Bei Draht B sind in Anbetracht der starken Widerstandsänderung die Temperaturen des Wassers nicht beobachtet wor- den. Die sehr harten Drähte waren beim Ausglühen weich geworden. Resultat: Beim Ausglühen eines harten Aluminium- Bronce-Drahtes verringert sich sein Wider- stand bis zu 8%; beim darauf folgenden Ablü- schen vergrüssert er sich wieder (beim obigen Versuche um fast 3°/). V. Palladium. Der Draht ist 0,95 Mm. dick und 492 Mm. lang; er war wohl kaum sehr gezogen worden und daher nicht recht hart; er wurde durch den Strom nur dun- kelroth. Die Messung des Widerstandes ergab 0,1480 Siem. Einh., woraus sich der spec. Wider- stand gleich 20,88 berechnet (Hg — 100). 8. (20.) Dec. 1876. Geglüht durch Strôme. D Widerst. Zeit. te 1) Draht hart...... 62,3 1,00000 2*46" 17,3° 2) roth 1 Minute ... 69,5 0,99569 2 52 17,2 3) abgelüscht . . .... 68,0 0,99659 2 56 17,1 Da zwischen den Einstellungen 2 und 3 nur 4 Mi- nuten vergangen waren, so ist es sehr wahrscheinlich, dass die beobachtete Vergrüsserung des Widerstandes um 1,5 Scalentheile eine Folge des Ablüschens ge- wesen ist. Resultat : Beim Ausglühen eines harten Palladium- Drahtes verringert sich sein Widerstand; beim Ablüschen scheint er sich wieder zu vergrôs- ce VI. Silber-Kupfer-Legirung. Der Draht ist 0,55 Min. dick und 454 Mm. lang. Die Messung seines Widerstandes ergab ein hôchst unerwartetes Resultat; der Widerstand war gleich 1345 S,—0,11906 Siem. Einh., woraus sich der spec. Widerstand des Drahtes gleich 6,005 (Hg—100) berechnet, während er nach Matthiessen für reines Silber gleich 1,63 sein müsste. Wäre diese letztere Zahl für den benutzten Drabt gültig, so müsste sein Widerstand nur 364,7 $, = 0,032284 Siem. Einh. sein. Anfangs lag der Gedanke eines groben Ver- sehens bei der Widerstandsbestimmung nahe; dem widersprach aber doch von vorn herein die beim Aus- glühen (s. w. unten) beobachtete Veränderung des Widerstandes um 153,4 $,, was bei der Annahme der obigen Zahl 364,7 S, eine Anderung um 42%, er- geben hätte, Um sicher zu sein, wurde (mehrere Wo- chen später) eine nochmalige Bestimmung des speci- fischen Widerstandes unternommen, dazu aber nur ein Stück jenes Drahtes von 332 Mm. benutzt. Der Widerstand dieses Stückes wurde gleich 859,8 $, ge- funden. Nun war aber dies Stück bereits ausgeglüht; um den ursprünglichen Widerstand zu finden, musste diese Zahl durch 0,903 dividirt werden — wie man leicht aus der unten folgenden Tabelle sieht. Daraus berechnet sich dann der specif. Widerstand zu 5,978, was sich von der früher gefundenen Zahl um nur 0,4°/, unterscheidet. Es ist also kein Zweifel, dass der Widerstand der benutzten Legirung 3,7 Mal grüsser war, als der des reinen Silbers. Der von einem Gold- arbeiter verfertigte und aus einem grüsseren Stück Silber gezogene Draht wurde im chemischen Labora- torium der Universität auf meine Bitte durch Herrn Stud. Elejneff unter der Leitung des Herrn N. Lju- bawin einer chemischen Analyse unterworfen. Es fanden sich 82,901, Ag, 13,391°, Cu, 0,837, Fe und 1,720°/, Au. 15. (27.) Dec. 1876. Geglüht durch Strôüme. Einst. d. Rb. IL. 153,0 1,00000 11/59" 17,8° Temp. d. Widerst. Wassers Zeit. 1) Draht hart 24 2) schwachroth einen Moment ....... 268,0 0,91450 12 3 3) 17, Minutenroth. 306,4 0,88695 12 8 17,8 4) abgelüscht 283,0 0,90334 12 11 Diese Zahlen ergeben das folgende Resultat : Beim Ausglühen eines harten Drahtes aus einer Silber-Kupfer-Legirung (82,9% Ag und 13,47, Cu) verringert sich sein Widerstand um 479 fast 12%; beim darauf folgenden Ablüschen vergrôüssert er sich wieder. Rückblick. Die Reïhe derjenigen Metalle, welche einem starken und anhaltenden Glühen nicht ausge- setzt wurden, ist hiermit abgeschlossen. Sie ergaben alle das gleiche Resultat : Verringerupg des Widerstandes beim Weich- machen des Drahtes durch Ausglühen und wieder Vergrôüsserung desselben beim Ablüschen, so weit ein Solches zu beobachten ausführbar war. Es sollen nun die für die anderen Metalle gefundenen Resultate dargelegt werden. VII, Stahl. Von ganz besonderem Interesse musste die Unter- suchung des Stahles sein, da, wie $ 1 erwähnt, Mous- son beim Ausglühen eines durch Auszichen gehärte- ten Drahtes eine Vergrüsserung des Widerstandes, während Bequerel eine Verminderung bei dem ver- wandten Kôrper Eisen gefunden hatten. Die ausge- führte Untersuchung zeigte klar den Grund jenes Wi- derspruches. Es wurden zwei Drähte von 0,55 Mm. Dicke und 485 Mm. Länge untersucht, deren erster (À) durch die Gasflamme, während der zweite (B) durch den galvanischen Strom ausgeglüht wurden. Die Messung des Widerstandes ergab 035258 Siem. Einh., woraus sich der spec. Widerstand des benutzten Drahtes zu 16,64 ergiebt (Hg — 100). Draht 4. 27. Dec. 1876 (8. Jan.) 1877. Geglüht durch die Gasflamme. us Widerst. Zeit. Dipe 1) Draht hart..... 68,2 1,00000 8/4" 18,4° 2) » sehr heiss. 202,4 0,96630 8 7 — 3) » rothglühend einen Moment... 162,6 0,97629 811 — 4) Draht weissgl.. .—242,7 1,07807 817 18,5° Wir finden das überraschende Resultat, dass der Stahl-Draht beim ersten nicht zu starken Ausglühen und Weichmachen eine Verringerung des Wider- standes zeigte, ganz so, wie die früher untersuchten Drähte; beim stärkeren Glühen dagegen wuchs der Widerstand wieder und wurde zuletzt um fast 80 grôsser, als er ursprünglich gewesen war. Bei der letzten Einstellung musste der Rheostat I herabge- Bulletin de l’Académie Empériale 480 schraubt werden, woraus die negative Einstellung des Rheostaten IT berechnet worden ist. Draht B. 8. (20.) Dec. 1876. Geglüht durch Strôme. RU Widert Zeit Kasters 1) Draht hart. . 176,4 1,00000 3/48" 16,6° 2) Strom 3; Draht sebr heiss .... 203,2 0,99327 — — 3) Draht hellroth einen Moment. 366,8 0,95219 3 57 16,5 4) abgelôscht .... 341,1 0,95869 — — 5) Dr. hellroth 2 Minuten lang.. 66,4 1,02762 4 7 16,4 6) abgelôscht .... 42,7 1,03358 4 10 — 7) Dr. hellroth 1 Min. 20 Sec.. 23,7 1,03835 — — Genau dasselbe Resultat, wie bei Draht A! Aus- serdem ist aber hier zwei Mal die Wirkung des Ab- lüschens beobachtet. Obwohl die erste Ablüschung stattfand, als der Draht nur wenig geglüht, sein Wi- derstand also nahe beim Minimum war, die zweite aber nach anhaltendem Glühen, als der wieder gestie- gene Widerstand den ursprünglichen Werth bereits um fast 3°, überschritten hatte, ergaben doch beide ein fast identisches Resultat: Vergrüsserung des Wi- derstandes um 25,7 und 23,7 Scalentheile, was etwa 0,6, des gesammten Widerstandes ausmacht. Im Ganzen erhalten wir also für Stahl das folgende Re- sultat: Beim ersten schwachen Ausglühen eines harten Stahldrahtes verringert sich sein Wi- derstand um etwa 5%; bei anhaltendem Glühen wächst derselbe wiederum und kann seinen ursprünglichen Werth um 8% übertreffen. Beim Ablôüschen vergrôssert sich der Wider- stand. Die Vergrüsserung des Widerstandes bei anhal- tendem Glühen mag eine Folge der an der Luft statt- findenden Oxydation sein. Wir werden sehen, dass die hier beobachtete Doppelwirkung des Ausglühens auf den Widerstand bei allen nachfolgenden Metallen (Fe, Messing, Cu, Pt, Neusilber) bemerkbar war, Da un- ter diesen auch Platina war, so wird die zweite Wir- kung wohl kaum lediglich als Folge der Oxydation ASI des Sciences de Saint-Pétersbourg. 48? anzusehen sein. Der frühere Widerspruch und das von Mousson gefundene, auf den ersten Blick so son- derbare Resultat, erklärt sich nun auf die einfachste Weise: es finden eben zwei verschiedene, einander entgegengesetzte Wirkungen des Ausglühens auf den galvanischen Widerstand Statt — eine Verringerung durch das Weichwerden und eine Vergrüsserung durch das anhaltende Glühen. Beim Stahl ist die zweite Wirkung sehr bedeutend, so dass man Mühe hat, die erste überhaupt zu bemerken: ein zu starkes erstes Glühen genügt, um sie gänzlich zu masciren und dies wird bei Mousson’s Versuchen auch ge- schehen sein. : VIT. Eisen. Es wurden im Ganzen vier Drähte untersucht; die ersten zwei (À und Z) wurden durch Strôme, die letzten zwei (C und D) durch die Gasflamme ausge- glüht. Die Drähte haben 0,55 Mm. Dicke und 482 Mm. Länge. Die Messung des Widerstandes ergab 0,34013 Siem. Einheiten, woraus sich der spec. Widerstand zu 16,16 berechnet (Hg — 100). Draht À. den 4. (16.) Dec. 1876. Geglüht durch Strôme. ot Wide Zeit à'Wae, 1) Draht hart . 110,0 1,00000 9/35" 18,4° 2) Draht sehr heiss ... 110,0 1,00000 — — 3) Dr. rothglü- hend einen Moment .... 110,5 1,00013 942 18,4 4) Dr. anhaltend rothglühend . —51,4 1,04200 9 49 : 5) Abgelôüscht . —73,5 1,04776 9 56 fs 6) Rothglühend kurze Zeit .. —73,5 1,04776 — — 7) Rothglühend 1 Minute... —149,0 1,06740 100 18,3 Das erste schwächere Glühen hatte den Widerstand des Drahtes gar nicht verändert. Starkes Glühen ver- grôsserte den Widerstand um fast 7°; Ablüschen vergrüssert ebenfalls den Widerstand, während darauf folgendes schwaches Glühen den Widerstand wiederum unverändert lässt. Die negativen Werthe der Einstel- lung sind, wie früher, berechnet. Tome XXII. Es entstand nun eine wichtige Frage: war die beim schwachen Glühen bemerkte Unveränderlichkeit des Widerstandes eine wirkliche Unveränderlichkeït oder eine nur scheinbare als Folge zweier, einander aufhe- bender, Wirkungen? Mit anderen Worten: fand nicht vielleicht auch hier, wie beim Stahl, eine Doppelwir- kung auf den Widerstand Statt, deren erste Wirkung des Weichwerdens durch die zweite Wirkung des an- haltenden Glühens ebenso mascirt worden war, wie dies bei den Mousson’schen Versuchen mit dem Stahl- draht der Fall gewesen sein muss? Diese Frage ent- scheidet sich vüllig durch die nachfolgenden Versuche. Draht B. den 15. (27.) Dec. 1876. Geglüht durch Strôme. nd ‘ Widerst. Zeit. ru 1) Draht hart.. 65,6 1,00000 1031” 18,8° 2) Strom 2 Sec. Dr.sehr heiss 74,3 0,99774 10 36, 18,7 3) Strom 5 Sec. 63,5(2)1,00049 10 43 18,7 4) Dr. einen Mo- ment dunkel- TOUR 2221 75,3 0,99748 10 48 18,6 5) Dr. bhellroth 30 Secunden. — 90,4 1,04060 10 53 18,5 6) Abgelüscht.. —119,2 1,04809 10 57 18,4 7) Rothglühend 15 Sec. .... —121,4 Draht C. den 27. Dec. Geglübht durch die Gasflamme. 1) Draht hart .. 128,2 1,00000 7'33” 18,3° 2) Dr. sehr heïiss. 133,0 0,99875 7 37 3) Dr. hellroth.. 31,4 1,02519 742 18,3 Draht D. den 27. Dec. 1876 (8. Jan. 1877). Geglüht durch die Gasflamme. 1,04867 11 O0 18,4 1876 (5. Jan. 1877). 1) Draht hart .. 260,5 1,00000 7“46" 18,3° 2) Dr. wenig heiss 265,2 0,99878 749 — 8) Dr. fast rothn111272,7 n 0,99671:, 7 53 — 4) Dr. weissglüh. kurze Zeit... 70,0 1,04958 7 56 18,4 Die Betrachtung der hier gefundenen Resultate entscheidet die obige Frage: es ist kein Zweifel, dass auch beim Eisen dieselbe Doppelwirkung des Ausglü- 31 483 hens auf den galvan. Widerstand stattfindet, wie beim Stahl. Der Unterschied ist ein nur quantitativer: die erste Wirkung, die des Weichmachens, wird fast vôl- lig durch die zweite mascirt, so dass es Mühe macht, sie überhaupt nachzuweisen. Trotzdem tritt sie bei allen drei Drähten ganz deutlich hervor; nur beim er- sten Draht stellt die dritte Einstellung eine sonder- bare Unregelmässigkeit dar. — Fassen wir Alles zu- sammen, so erhalten wir das folgende Resultat: Beim ersten schwachen Ausglühen eines harten Eisendrahtes verringert sich sein Wi- derstand, aber nur um etwa 0,33%,; bei stärke- rem Glühen wächst derselbe und kann den ur- sprünglichen Werth selbst nach kurzem, aber starkem Glühen um 5°, übertreffen. Beim Ab- lüschen vergrôüssert sich jedes Mal der Wider- stand. Merkwürdig ist es, dass die beiden hier an zwei verschiedenen Drähten beobachteten Vergrüsserungen der Widerstände beim Ablôschen 22,1 und 18,8 Sca- lentheile betrugen, Zahlen, die sich nur wenig von den beim Stahldrahte gefundenen (25,7 und 23,7) unter- scheiden. IX. Messing. Es wurden vier Drähte untersucht und von ihnen zwei durch die Gasflamme und zwei durch Strôme ausgeglüht. Sie hatten 0,6 Mm. Dicke und 455 Mm. Länge. Die Messung des Widerstandes ergab 0,23789 Siem. Einheiten, woraus sich der spec. Widerstand zu 14,78 berechnet (Hg — 100). Draht À. den 15. (27.) Dec. 1876. Geglüht durch die Gasflamme. Eu Widerst. Zeit. ne 1) Draht hart =... 71,8 1,00000 1*15” 17,6° 2) Dr. einen Mo- ment roth .... 164,5 (0,92829 1 24 — Draht B. den 1. (13.) Dec. 1876. Geglüht durch Strôme. 1) Draht hart.... 92,4 1,00000 10/42” 13,7° Dion ere 92,6 1,00000 11 45 13,9 3) Dr. wenig heiss. 109,3 0,99379 11 55 13,9 4) Dr. sehr heiss . 281,4 0,92975 12 O0 13,9 5) Abgelôscht ... 254,2 0,93976 — 14,0 Bulletin de l’Académie Impériale A4S4 Draht C. den 4. (16.) Dec. 1876. Geglüht durch Strôüme. 1) Draht hart ... 9,5 1,00000 8" 0” 19,5° 2) Dr. wenig heiss 34,2 0,99091 8 7 19,4 3) Dr. sehr heiss . 204,7 0,92587 815 19,3 4) Dr. rothglühend kurze Zeit .... 186,2 0,93425 8 20 19,2 5) Abgelüscht.... 171,5 0,93972 826 19,0 6) Dr. rothglühend kurze Zeit .... 183,8 0,93514 8 30 19,0 Draht D. den 29. Dec. 1876 (10. Jan. 1877). Geglüht durch die Gasflamme. 1) Draht hart.... 115,3 1,00000 12* 1” 18,2° 2)Dr.schwachroth 339,5 0,91657 12 5 18,2 3) Draht anhaltend hellroth ...... 325,4 0,92182 12 13 18,5 Bei allen vier Drähten sehen wir eine bedeutende Verminderung des Widerstandes (bis 8,4%) beim er- sten Ausglühen. Starkes Glühen vergrüssert diesen Widerstand wiederum, aber nur wenig, wie man dies bei Draht C, Einst. 4 und Draht D, Einst. 3 sieht, sie beträgt kaum 1°, Wir haben also auch beim Messing eine Doppelwirkung des Ausglühens. Im ge- raden Gegensatze zum Eisen ist es aber hier die zweite Wirkung, die unvergleichlich schwächer ist, als die erste und die es schwer ist nachzuweisen. — Das Ab- lüschen vergrüsserte in beiden beobachteten Füällen den Widerstand. Bei Draht B war es versäumt wor- den, die Zeit der 5ten Einstellung anzunotiren; doch waren jedenfalls ur wenige Minuten zwischen der 4ten und der 5ten Beobachtung vergangen. Resultat: Beim Ausglühen eines harten Messing-Drah- tes verringert sich sein Widerstand um mehr als 8°; anbaltendes oder sehr starkes Glühen vergrôssert diesen Widerstand wieder ein we- nig (um kaum 1%); dieselbe Wirkung hat auch das Ablüschen. X, Kupfer. Es sind drei Drähte untersucht worden; sie hatten 0,5 Mm. Dicke und 462 Mm. Länge. Die Messung ihres Widerstandes ergab 0,05023 Siem. Einh., wor- aus sich der spec. Widerstand zu 2,135 berechnet (Hg — 100). 485 Draht À. den 22. Dec. 1876 (3: Jan. 1877). Geglüht durch die Gasflamme. ur Widerst. Zeit. dun 1) Draht hart ... 104,2 1,00000 12°21” 16,0° 2) Dr. hellroth .. 115,6 0,98176 12 26 Draht B. den 4. (16.) Dec. 1876. Geglüht durch Strôme. 16,0 1) Draht hart ... 93,9 1,00000 911” 18,7° 2) Dr. sehr heiss . 97,9 0,99360 914 18,7 3) Draht schwach A DEN ERES 112,1 :0,97088 918 .18,6 4) Abgelüscht ... 109,4 0,97520 924 18,6 5) Draht schwach TOR... :ue 109,1 0,97568 927 18,9 Draht C. den 29. Dec. 1876 (10. Jan. 1877). Geglüht durch die Gasflamme. 1) Draht hart ... 86,6 1,00000 1221” 18,4 9) Draht schwach TOR. 93,2 0,98944 1225 — 3) Draht anhaltend hellroth ...... 84,4 1,00352 12 33 18,5 Wir sehen bei allen drei Drähten eine Verringe- rung des Widerstandes beim ersten Ausglühen; die Veränderungen in der Einstellung des Rheostaten IT. sind nur scheinbar so sehr klein, da der Gesammtwi- derstand des Drahtes nur etwa den zehnten Theil von dem der meisten bisher untersuchten Drähte aus- machte. — Relativ genommen bildet diese Verringe- rung etwa 3°,, ist also grüsser als beim harten Pla- tina-Iridium-Draht. Eben so deutlich ist die Vergrüs- serung des Widerstandes beim Ablôschen; sie ist etwa ebenso gross, wie beim Messing, Platina-fridium etc. Anhaltendes, starkes Glühen vergrüssert, wie Draht C zeigt, den Widerstand so, dass er grüsser werden kann, als er ursprünglich war. Also auch beim Kupfer die- selbe, bei den letzten drei Metallen beobachtete Dop- pelwirkung des Ausglühens. Hier ist, wie beim Mes- sing die erste Wirkung präponderirend. Resultat: Beim Ausglühen eines harten Kupfer-Drah- tes verringert sich sein Widerstand um etwa 8°,; beim Ablüschen steigt er wieder um etwa 0,5%; bei anhaltendem, starkem Glühen wächst des Sciences de Saint-Pétersbourg. 486 der Widerstand wieder und kann zuletzt sei- nen ursprünglichen Werth übertreffen. XI, Platina, Es sind 2 sehr harte, aus bedeutend dickerem Drahte ausgezogene Drähte untersucht worden; sie hatten 0,55 Mm. Dicke und 462 Mm. Länge. Der erste (A) wurde durch Strüme, der zweite (B) durch die Gasflamme ausgeglüht. — Die Messung des Wi- |'derstandes ergab 0,4375 Siem. Einh., woraus sich der D rl »| spec. Widerstand zu 21,69 berechnet (Hg — 100). Draht À. den 8. (20.) Dec. 1876. Geglüht durch Strôme. Einst.d iderst. Zeit. api 1) Draht hart ... 44,2 1,00000 12/58” 18,4° 2) Draht geglüht 3 Minuten .... 112,8 0,98612 117 18,5 3) Draht geglüht 5 Minuten .... 114,1 0,98516 127 18,1 4) Draht geglüht 30 Minuten ... 98,5 0,98901 2 17,9 5) Abgelüscht ... 62,9 0,99622 2 5 17,8 6) Draht geglüht 40 Secunden .. 70,6 0,99466 2 8 17,8 7) Draht geglüht 5 Minuten :... 52.5 0,99832 2 19, 17,6 8) Abgelôüscht ... 31,8 1,00251 224 — 9) Draht geglüht 5 Minuten.... 63,7 0,99605 233 17,5 10) Abgelüscht .. 59,8 0,99684 238 17,5 Merkwürdig klar sprechen sich bei diesem Versu- che die Resultate aus: wir sehen, wie beim ersten Glühen des durch Zug oder Ablôschen gehärteten Drahtes, als Folge des Weichwerdens, der Widerstand sich vermindert; beim lange anhaltenden Glühen da- gegen vergrüssert sich der Widerstand von neuem; dasselbe geschieht auch bei jedem Ablüschen. Nach heftigem Glühen und Ablôschen kann der Widerstand des Drahtes zuletzt seinen ursprünglichen Werth über- treffen. Dass auch hier eine Doppelwirkung des Glü- hens auf den Widerstand stattfindet, zeigt, dass die zweite, den Widerstand vergrüssernde Wirkung des Glühens nicht eine blosse Folge der Oxydation sein kann. Um diese zweite Wirkung deutlicher hervor- treten zu lassen, wurde ein zweiter Draht durch die 31 487 Bulletin de l’Académie Hmpériale 48 Gasflamme ausgeglüht und dabei diese letztere so hin und hergeführt, dass der Draht sich am Saume, der unter ihm befindlichen, ihm parallelen Flamme sich befand; dadurch gerieth er in ein blendend weisses Glüben. Draht B. den 27. Dec. 1876 (8. Jan. 1877). seglüht durch die Gasflamme. HE Widerst. Zeit. ne 1) Draht hart ... 47,7 1,00000 647" 17,8° |: 2) Dr. sehr heiss . 76,1 0,99426 6 50 — 3} Dr: rot. 106,1 0,94698 7:10 17,9 4) Dr. lange weiss- glühend . ..... 84,8 0,99249 7 10 — DiAÈ roth:- 7. 84,8 0,99249 7 13 — 6) Draht anhaltend blendend weiss. 26,1 1,00423 7 25 18,2 Hier sehen wir ganz deutlich die erwähnte Doppel- wirkung: zuerst ein Sinken des Widerstandes um fast 514%, und dann wieder Anwachsen desselben um fast 6°/,, so dass der ursprüngliche Werth um 0,4°/, über- schritten wird. Resultat: Beim Ausglühen eines durch Zug oder Ablü- schen gehärteten Platina-Drahtes verringert sich sein Widerstand bedeutend (im ersten Falle um fast 5°); bei anhaltendem, starkem Glühen vergrôüssert er sich wieder und kann seinen ursprünglichen Werth sogar übertref- fen; beim Ablüschen vergrüssert sich der Wi- derstand. Ausser den beiden harten sind auch zwei gewühn- liche weiche Platindrähte anhaltendem Glühen durch galvanische Strôme ausgesetzt worden. Nach heftigem, eine halbe Stunde andauerndem Glühen vergrôüsserte | sich der Widerstand des einen um hüchstens 0,14%; darauf folgendes Ablüschen gab keine Spur einer wei- teren Veränderung. Der zweite Draht gab keine Ver- änderung nach 5 Minuten Glühen, nach 25 Minuten andauerndem Glühen eine Vergrüsserung des Wider- standes um etwa 0,4%. Diese Versuche stehen in keinem Widerspruche mit dem für harte Drähte ge- fundenen Resultate. Sie zeigen, wie wenig sich der Widerstand des Platina selbst nach heftigem und lange andauerndem Glühen verändert. Die Anwendung des Platina in dem Siemenschen Pyrometer ist daher wohl als gerechtfertigt zu betrachten, vorausgesetzt, dass von vorn herein weiche Drähte genom- men werden. XII. Neusilber. Es wurden zwei Drähte untersucht von 0,55 Mm. Dicke und 476 Mm. Länge. Die Messung ihres Wi- derstandes ergab 0,67856 Siem. Einh., woraus sich der specifische Widerstand zu 32,64 berechnet (Hg — 100); Draht À. den 4 (16.) Dec. 1876. Geglüht durch Strôme. POSE À = Wpiderst 1.01 IZeit (RE 1) Draht hart ... 25,4 1,00000 842" 18,8° 2) Strom 2 Secun- den, Draht sehr HEISSAL OR D3,1 40,996395 8 47 0I8:5 3) Dr. fast roth .. : 60,5 .0,99542,, 8 52, 188 4) Draht hellroth 5 Secunden ..... —8,0 1,00436 8 58 18,8 5) Abgelüscht ... 32,0 O0,99914 9 2 18,8 Wieder dieselbe Doppelwirkung des Ausglühens: zuerst Verminderung, dann wieder Anwachsen des Widerstandes. Im hüchsten Grade unerwartet ist aber nun das Resultat der letzten Beobachtung: die Ver- minderung des Widerstandes beim Ablüschen. Bei allen bisher untersuchten Drähten — Platina- Iridium, Silber, Aluminium-Bronce, Palladium, Stahl, Eisen, Messing, Kupfer und Platina hatte sich beim Ab- lüschen eine Vergrüsserung des Widerstandes gezeigt. Dass die für Neusilber gefundene umgekehrte Wirkung unzweifelhaft ist, zeigen die folgenden Versuche. Draht B. den 8. (20.) Dec. 1876. Geglüht durch Strôme. Fins. d Widerst. Zeit, SEE 1) Draht hart .. 186,4 1,00000 3 9” 17,0° 2) Strom zwei Se- cunden. ...... 252,7: 0,991358,8 14% 16,9 3) Dr. fast roth .. 272,4 0,98878 3 18 16,9 4) Draht hellroth 5 Secunden ... 234,0 0,99379 3 22 — 5) Abgelôscht.. 264,2 0,98985 — — 6) Geglüht 2 Mi- Et 119,0 1,00964 3 32 16,8 7) Abgelüseht.. 230,9 0,99149 3 37 16,7 489 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 490 Hier geht die erste Verringerung des Widerstan- des bis 1,2%; beim starken Glühen steigt er wieder um 2,1%; beim jedesmaligen Ablüschen verringert sich der Widerstand und zwar sehr bedeutend: bis 1,8%! Dies merkwürdige Resultat ist bisher nur für Neusilber nachweisbar. Resultat: Beim ersten, nicht zu starken, Ausglühen eines harten Neusilber - Drahtes verringert sich sein Widerstand (bis 1,2%); bei stärkerem Glühen wächst derselbe wieder und kann sei- nen ursprünglichen Werth übertreffen. — Beim Ablüschen verringert sich der Widerstand sehr bedeutend (bis 1,8°/). XIII, Blei, Es wurden Drähte von 1,85 Mm. Dicke und 570 Mn. Länge untersucht. Von eigentlichem Ausglühen konnte natürlich keine Rede sein; doch gelang es durch vorsichtiges Hin- und Herführen einer Gasflamme un- ter den Drähten, diese stark zu erhitzen. Die Drähte wurden dabei ausserordentlich viel weicher, als sie natürlich schon vordem gewesen waren. Die Wider- standsmessung ergab dabeiï das folgende Resultat: Draht À. den 22. Dec. 1876 (3. Jan. 1877). Erwärmt durch die Gasflamme. Einst. d Widerst. Zeit. Nu 1) Draht hart 100,0 1,00000 11/25” 15,7° 2) Dr. sehr heiss. 90,8 (1,00458) 11 28 15,7 Hier finden wir eine Vergrôüsserung des Widerstan- des beim Weichwerden des Drahtes, wäbrend in sämmtlichen früher untersuchten 12 Drähten eine Verringerung des Widerstandes beim ersten Weich- werden constatirt wurde. Um nun aber zu sehen, ob nicht vielleicht eine Mascirung dieser ersten Wirkung durch die zweite stattfand, wurde am selben Tage ein zweiter Draht nur ganz schwach erwärmt. Draht B. Einst. Tree . Temper. des de Bb IL Widerstand. Zeit. En) 1) Draht hart . 105,5 1,00000 11" 37" 15,7° 2) Draht wenig erwärmt ... 101,5 (1,00199)11 41 — " Also selbst beim ersten schwachen Erwärmen eine Vergrüsserung des Widerstandes. Ein dritter Draht wurde erwärmt, während er auf einem untergeschobe- nen Kupfernetze lag; es sollte dabei einer etwaigen Verlängerung und Verdünnung des Drahtes, die durch die Schwere desselben während der Erwärmung her- vorgerufen sein konnte, vorgebeugt werden. Dieser Draht gab das folgende Resultat. Draht C. den 27. Dec. 1876 (8. Jan. 1877). Erwärmt mit untergeschobenem Kupfer- netz. Einst. Ts . Temper.des des Eh IT Widerstand. Zeit. Wracers- 1) Draht hart .. 111,1 1,00000 8 35" 18,5° 5 2) Drahterwärmt 105,3 (1,00389) 8 40 18, An der Richtigkeit der obigen Beobachtungen kann somit wohl kaum gezweifelt werden. Resultat : Beim Erhitzen und dabei Weichmachen eines relativ harten Blei-Drahtes vergrüssert sich sein Widerstand (bis fast 0,5%). Wie erwähnt, ist dies das einzige beobachtete Bei: spiel einer Vergrüsserung des Widerstandes beim ersten Erbitzen und Weichmachen. Da bei den meisten Me- tallen eine Doppelwirkung des Ausglühens wahrge- nommen wurde, so ist es wohl natürlich anzunehmen, dass beim Blei die zweite Wirkung von Anfang an überwiegt und die erste, die beim Weichwerden auf- tretende Verringerung des Widerstandes vüllig mas- cirt bleibt, so dass es nicht gelingt, sie bei vorsichti- gem schwachem Erwärmen zu beobachten, wie dies z. B. beim Eisen der Fall gewesen war. XIV und XV, Cadminm und Magnium, . Es wurden ein Cadmium-Draht von 1,5" Dicke, 570" Längeundein Magnium-Drahtvon0,7"" Dicke so stark erwärmt, als dies nur môüglich war. Dabei liess sich keine Spur einer Widerstandsänderung bemerken. Diesem Resultat ist keine Bedeutung zuzumessen, da von einem ursprünglichen Hartsein der Drähte über- haupt nicht die Rede sein konnte. Übersicht der Resultate. Stellen wir nun die sämmtlichen Resultate für die 13 Drähte zusammen. Bulletin de l’Académie Impériale 492 ————— re $ Max. der beob, | HET pepb | Max. d. beob, Material | ersten AÂnde- Wiederan- | Ad EN: d d ÉCREE 7 | wachsens des | bei : A IG î S Widerstandes. |, Wid. beim Rent Drühte. j'MMOrnUe l'starti Ginhen | à SCRÈR | n Proc. |. InProc | In Proc. SHARE EN: | — 4,8% | + 8,6% | + 0,6% Hiseni 952" | — 0,4 + 5,5 + 0,7 Messing ..... | — 8,8 + 0,8 + 1,0 Kupfer ...... | — 9,9 + 1,4 + 0,4 Platina ......l — 5,3 + ),8 + 0,7 Neusilber | — 1,1 + 2,0: | — 1,8 Al.-Bronce ...| — 8,0 | — | + 2,7 Palladium .... (— 0,4) — (+ 0,1) Pt=Inidie tre — 3,2 — + 0,3 Ag.-Cu. Legir. | —11,5 — + 1,7 LINKS eee — 1,8 — = Alumin.......| — 1,9 | — — Biel: sente | + 0,5 ROLE) . Die Zahlen für Palladium stehen in Klammern, da der Draht nicht hartgezogen war. In der ersten Ko- lonne stehen die ersten, beim nicht zu starken Glühen beobachteten Anderungen des Widerstandes: sie sind sämmtlich negativ, ausser beim Blei: bei 12 von den untersuchten 13 Metallen verringert sich also der Widerstand beim Weichwerden der Drähte, beim er- sten Ausglühen, In der zweiten Kolonne stehen die grüssten beobachteten Werthe des Wiederanwachsens des Widerstandes bei heftigem oder anhaltendem Glü- hen. In allen beobachteten 6 Fällen sind diese Werthe positiv, spricht sich also die oft erwähnte Doppelwir- kung des Glühens klar aus. Dass die zweite Wirkung nicht lediglich der Oxydation zuzuschreiben ist, zeigt deutlich der so grosse, für Platina gefundene Werth (bei heftigem Glühen stieg der Widerstand wieder über seine ursprüngliche Grüsse) und der verhält- nissmässig sehr kleine bei Messing und Kupfer gefun- dene Werth. Die dritte Kolonne enthält die beim Ab- lüschen beobachteten Widerstandsänderungen. Von 10 beobachteten Fällen ist diese Ânderung 9 Mal posi- tiv und nur Neusilber zeigte ein bedeutendes Sinken des Widerstandes beim Ablôschen. Bei allen in der obigen Tabelle befindlichen Anga- ben ist selbstverständlich nicht der absolute Werth der gefundenen Zahlengrüssen, sondern vor Allem ihr Vorzeichen und nur in zweiter Linie bei den Zahlen der ersten und dritten Kolonnen das ungefähre relative | Verhältniss derselben von Bedeutung. Beseitigung des Capillaritäts-Fehlers beim Wag-Ba- rograph. Von H. Wild. (Lu le 8 mars 1877.) In meiner Abhandlung: eber die Bestimmung des Luftdruckse (Repertorium für Meteorologie T. IT. M 1,S. 143) habe ich bei Besprechung der Fehler des selbstregistrirenden Wagbarometers darauf hin- gewiesen, dass die bedeutendste Fehlerquelle, welche für sich allein schon die damalige Unsicherheit einer Registrirung: + 0%"17 erklären künne, in der ca- pillaren Anhängung des Quecksilbers an der Rühren- wandung zu suchen sei, durch welche bei fallendem Barometerstand der Meniskus ausgefüllt und so ge- wissermaassen ein Zurückbleiben des registrirten Ba- rometerstandes hinter dem wirklichen bewirkt werde. Zur Beseitigung dieser Fehlerquelle wurde von An- | fang 1874 an zunächst versuchsweise eine Vorrichtung angebracht, wodurch jeweilen das Quecksilber im Ba- rometerrohr auf kurze Zeit zum Sinken und darauf wieder zu einem langsamen Ansteigen bis zur ursprüng- lichen Hühe gebracht werden konnte. Es geschah dies durch Herunterlassen eines an einem Faden hängenden kleinen Reiter-Gewichtes auf den Arm des Wagebalkens, an welchem das die Barometerrühre theilweise äquili- brirende Quecksilbergefäss für die Temperatur-Com- pensation hängt, und ein nachheriges langsames Auf- zichen resp. Entfernen desselben. Diese Operation wurde durch die Beobachter 3 Mal am Tage, nämlich jeweilen unmittelbar vor den 3 täglichen Controll- beobachtungen, ausgeführt. Der Erfolg dieser Maass- regel war im Laufe des Jahres 1874 ein so unzweifel- hafter, dass ich von Herrn Hasler in Bern einen Apparat zur automatischen Ausführung der Belastungs-Opera- tion ausführen liess, welcher Ende Juli 1875 am Barographen angebracht wurde und seitdem regel- mässig functionirt hat. Dieser Apparat zur automatischen vorübergehen- den Belastung des einen Wagarmes und damit zur Bescitigung des stürenden Anhängens des Quecksilbers im Barometerrohr besteht aus einem, jeden Tag ein oder zwei Male aufzuziehenden Laufwerk und einem Electromagneten, welcher in eine Zweigleitung des- selben Stromkreises wie der Barograph selbst einge- schaltet ist, durch einen Sperrhaken an seinem Anker- [hebel in seiner Ruhelage das Laufwerk hemmt und es nur beim Anziehen des Ankers zur Wirkung kommen Bulletin de lAcad.Jmp.des se T XXII Chwolson, Galvan Widerstand. ALL on} it Ms il k ù L'N de dt ARMES 7 Un Le he HR 1T4 ! DA ' OR TN DL AN il Nu oi Ne FL di di RP 11 AT "4 PR. DA AT ALT ou DENT LALETUItE 1 O'ANTE QUR ane deu Ta Ly: te À MAMAN da WU L AA à PT jui Da R 493 lässt. Dabei wird vom Laufwerk eine Axe mit einer excentrischen Scheibe umgedreht, wodurch der kürzere auf dem Rand der letztern aufruhende Arm eines Hebels auf- und niederbewegt wird, an dessen längerem Arm der Faden mit dem auf den Wagarm aufzusetzen- den und wieder abzuhebenden Gewichte befestigt ist. Die Operation des Hülfs-Apparates ist also folgende: Alle 10 Minuten lôst derselbe Uhr-Strom, welcher die Markirung am Barograph bewirkt, durch Anre- gung des Electromagneten auch gleichzeitig das Lauf- werk des Belastungsapparates aus, die excentrische Scheibe macht eine Umdrehung, nach welcher der Sperrhaken wieder einfällt und sie arretirt: bei dieser Umdrehung senkt sich der längere Hebelarm mit dem Gewicht langsam, legt das letztere so geraume Zeit nach erfolgter Markirung des Zeigerstandes, also ohne Storung desselben, auf den Wagbalken auf und hebt es nachher durch Zurückgehen ebenso langsam wieder ab. Die Grüsse des Gewichtes ist so berechnet, dass dasselbe eine Senkung des Quecksilberniveaus im Ba- rometerrohr um ungefähr 1°" zur Folge hat. Die Wirkung dieses Hülfsapparats wäre eine voll- kommene, wenn erstlich die Belastung des Wagebalkens nicht, wie eben geschildert worden, unmittelbar nach der Markirung, sondern ganz kurze Zeit vorher erfolgte, sodann wenn die Auflegung und Abhebung des Gewichts so leise und langsam geschähe, dass da- durch der Wagebalken in keinerlei pendelartige Schwingungen versetzt würde, endlich wenn die Be- wegungsgrenzen des Hebels resp. Gewichtes so be- messen wären, dass dasselbe bei jedem Barometerstand resp. jeder bezüglichen Stellung des Wagebalkens denselben noch trifit, ohne im Ruhezustand an ihn an- znstossen. Die erstere Bedingung ist also bei unserm Apparat nicht erfüllt und ihre Herstellung vor der Hand auch noch nicht angestrebt worden, da dieselbe zu viel Com- plicationen erfordert hätte und durch die jetzige Ein- richtung nur eine Verzügerung von etwa 10 Minuten in der Aufhebung des Capillaritätsfehlers bewirkt wird, was nur bei sehr raschem Steigen oder Fallen des Barometers einen merklichen Einfluss haben kann. Leider sind auch die beiden letzten Bedingungen bei diesem ersten Apparate noch nicht genügend realisirt; einmal ist die Bewegung des Hebels noch etwas zu rasch, so dass ganz kleine Schwingungen des Wage- des Sciences de Saint -Pétersbourg. 494 balkens erfolgen und sodann sind die Grenzen der Be- wegung etwas zu klein bemessen worden, so dass bei sehr hohen Barometerständen der Wagebalken ôfters nicht mehr vom Gewichte getroffen wurde. Bis diese Übelstände durch kleine bei erster Gelegenheit (wo dies ohne eine besondere Unterbrechung der regel- mässigen Function des Instruments geschehen kann) auszuführende Veränderungen beseitigt sein werden, kann man also von ihm noch nicht das Maximum sei- ner Leistungsfähigkeit erwarten und namentlich wird sein Effect in den Monaten, wo die stärksten Barometer- schwankungen vorkamen, zu wünschen übrig lassen. Dem letztern Übelstande haben wir vorläufig vom August 1876 an dadurch zu begegnen gesucht, dass die Beobachter durch Verlängerung oder Verkürzung des das Uebergewicht tragenden Fadens jeden Tag in seiner Ruhelage eine ungefähr gleiche Distanz dieses Gewichtes vom Wagebalken herstellten. Die durch diesen Hülfsapparat, selbst in seinem jetzigen noch nicht ganz vollkommenen Zustande, er- zielte Erhühung der Leistungsfähigkeit des ganzen Barographen wird man am besten aus der nachstehen- den Zusammenstellung der mittlern Abweichungen seiner Registrirungen von den zu den 3 Terminen 7'a., l°p. und 9, p. direct angestellten Controll- beobachtungen für jeden Monat entnehmen künnen. Âlterer Barograph. Neuerer Barograph. 1871 1872 1873 1874 1875 1876 Jan. +0,93 +016 +0,22 +0,24 +0,15 +0,14 Febr. 0,29 018 0,31 0,18 0,08 0,14 Miärz 0,25 0,19 0,17* 0,15 0,10 0,14 April 0,23 0,16* 0,18* 0,09 0,10 0,13 Mai 019 0,20 0,16* 0,09 0,10 0,10 Juni 0,21 016 0,17* 0,10 0,08 0,09 Juli 0,22 0,18 0,14 0,11 0,07 0,11 Aug. 0,19 0,17 0,11 0,09 012 0,07 Sept. 0,24 027 0,14 0,09 0,10 0,08 Oct. 0,21 0,21 0,16 0,09 0,14 0,10 Nov. 0,25 0,80 0,19 0,11 0,11 0,11 Dec. 0,25 022 0,23* 0,13 0,13 0,08 Jahr +0,23 +0,20 +0,18 +0,12 +0,11 +0,11 Die mit einem Stern (*) bezeichneten Daten in den Jahren 1872 u. 1873 beziehen sich bereits auf die Auf- zeichnungen mit dem neuern verbesserten Barographen : (vergl. die oben citirte Abhandlung $. 133); ihr Ver- 495 Bulletin de l’Académie Hmpériale 496 gleich mit den spätern zeigt, dass der auffallende Sprung in der Erhôühung der Genauigkeit der Angaben des Barographen von 1873 zu 1874 durchaus nicht allein der Ersetzung des ältern Barographen durch den neuern, sondern hauptsächlich der von 1874 an eingetretenen Verminderung des Capillaritäts-Fehlers beizumessen ist. Dass in der That die Wirkung der Capillarität i. e. des Ausfüllens des Meniskus bei sinkendem Barometer- stand durch Anhängen des Quecksilbers am Glase ver- mindert worden ist, geht aber auch noch direct aus folgender Berechnung, welche Herr Mielberg auf meinen Wunsch angestellt hat, hervor. Für die Monate November 1875 und Januar 1876, wo besonders starke Schwankungen im Barometerstand vorkamen, wurden die Differenzen zwischen Beobachtung und Registrirung für die 3 Termine 7" a., 1° p. und 9° p. nach steigendem, constantem und fallendem Barometer- stand in der vorhergehenden Stunde gesondert zusam- mengestellt und ihre Mittelwerthe berechnet. Dabei ergaben sich folgende Werthe für die Differenz : Barograph — Directe Beobachtung : Barometer steigend constant fallend. November 1875 —-0,06 — 0,05 +0,10 Januar 1876 —0,02 <+0,02 +0,05 Mittel: —0,04 —0,01 +0,06 Eine ähnliche Untersuchung für den October 1873 hatte dagegen (vergl. die citirte Abhandlung $. 144) als mittlere Differenz zwischen Registrirung und Be- obachtung ergeben: Barometer steigend fallend. myo mm — 0,12 +0,17. Wenn also auch der verzôgernde Einfluss der Capilla- rität den erstern Zahlen zufolge durch die automatische Belastung noch nicht vollständig aufgehoben ist, so ist sein Betrag dadurch doch so vermindert worden — von 0""15 zu 0"°05 —, dass der übrig bleibende Fehler ganz innerbalb der Sicherheitsgrenze der Re- gistrirungen fällt. Damit dürfte auch durch die Erfahrung der schon theoretisch unhalthbare, gegen die Wagbarographen erhobene Einwand widerlegt sein, dass nämlich diesel- ben in ihrer Angabe wegen der grossen trägen Mas- sen den Variationen des Barometerstandes nicht ge- nügend rasch folgen dürften. Da es sich hier nicht um eine Bewegungserscheinung handelt, sondern nur statische Verhältnisse in Betracht kommen, so hat selbstverständlich das Trägheitsmoment der Wage keinen Einfluss auf ihre Gleichgewichtslage, die Rei- bungshindernisse aber sind auf ein Minimum reducirt. Die grossen Quecksilbermassen künnten nur insofern Bedenken erregen, wenn sie den Temperatur-Varia- tionen der Umgebung ungleich folgten, wodurch der Effect der Temperatur-Compensation gestürt würde. Dies aber wird nicht eintreten, wenn im fraglichen Local rasche Temperatur-Variationen vermieden wer- den, und das ist eine Bedmgung, die ja überhaupt für alle guten Barometerbeobachtungen gestellt wer- den muss. Es beruht also auf unrichtigen Voraus- setzungen, wenn man geglaubt hat, aus diesem Grunde den Aneroid-Barographen den Vorzug geben zu müs- sen, Es gilt dies auch schon deshalb, weil, wie ich an anderer Stelle bereits gezeigt habe (Jahresbericht des physik. Central-Observatoriums für 1873 und 1874 S. 8), das Aneroïid-Barometer entgegen den üblichen Annahmen überhaupt weniger empfindlich als das Quecksilberbarometer ist, d. h. den Schwankungen des Barometerstandes weniger leicht und rasch folgt. Was nun die Sicherheit der Registrirungen über- haupt betrifft, so ist den obigen Daten zufolge — na- mentlich auch, wenn man die der zweiten Hälfte von 1876 mit denen der ersten vergleicht — bestimmt zu erwarten, dass dieselbe durch die Beseitigung der letzten Mängel des automatischen Belastungsapparates mindestens Æ 0""09 erreichen wird. Dies ist aber die mittlere Abweichung einer Vergleichung zweier Barometer durch unsere Beobachter, so dass also unser Barograph dannzumal und, wie wir sahen, in einzelnen Monaten mit geringern Schwankungen des Barometerstandes jetzt schon mit derselben Sicher- heit den Barometerstand aufzeichnet, wie ihn unsere Beobachter am Barometer ablesen. Der Einwand gegen diesen Schluss, dass nämlich die obigen Abweichungen sich vielleicht nicht auf be- liebige Registrirungen des Barographen erstrecken, sondern blos von den, zur Bestimmung der Reductions- constanten verwendeten, mit den 3 Controllbeobach- tungen zusammenfallenden Notirungen gelten, ist be- reits dadurch widerlegt worden, dass die Vergleichung einer um 240" p. m. (simultane Beobachtungen mit 497 des Sciences de Saint-Pétersbourg:. 498 D Washington) eingeschalteten directen Barometer--Be- und reducirter Registrirung dadurch nicht vergrôssert obachtung, die zu den Scalenberechnungen nicht hin- wurde; die nachstehende Zusammenstellung aber der zugezogen wurde, mit den betreffenden Registrirungen seither für dieselbe Ordinate 120 auf dem Papier des Abweichungen von derselben Ordnung ergab. Diesel- ben betragen nämlich: 1873 1874 1875 Januar — 10209511 0,15 Februar —— 0,17 0,08 März —— 0,12 0,12 April — 0,13 0,12 Mai — 0,10 0,07 Juni — 0,14 0,07 Juli Æ 0,12 OS 0,07 August 0,11 0,14 0,10 Septbr. 0,11 0,09 0,13 October 0,18 0,09 0,12 Novbr. 0,19 0:19 0,13 Decbr. 0,21 0,15 0,16 Mittel..==0,15: 0,14 +0,11 Die hiermit nachgewiesene allgemeine Sicherheit der Registrirungen unsers Barographen gewinnt aber erst dadurch ihre volle Bedeutung, dass derselbe eine verhältnissmässig ebenso grosse Constanz im Laufe der Zeit gezeigt hat. Für den ältern Barographen babe ich bereits in der mehrfach citirten Abhandlung; »Über die Bestimmung des Luftdrucks« S. 138 und folg. gezeigt, dass inner- halb eines Zeitintervalles von 2, Jahren, wo keine absichtlichen Veränderungen an demselben erfolgt waren, der Normalstand desselben bis auf Æ 009 constant geblieben war und entsprechend auch seine Empfindlichkeit — Ausschlag des Zeigers pro 1” Ânderung des Barometerstandes — sich nicht merk- lich geändert hatte. — Diesen Erfahrungen zufolge wurde nun bei dem vom 1. Dec. 1873 an eintreten- den neuern Barographen nicht mehr aus den Controll- beobachtungen blos eines Monats die Reductionsscale der Aufzeichnungen des erstern für diesen Monat ge- sondert berechnet, sondern zu dem Ende je 3 Monate unter der Voraussetzang einer genügenden Constanz des Apparats während dieses Zeitraums zusammen- gefasst. Dass die Wirklichkeit dieser Voraussetzung entsprach, geht schon indirect daraus hervor, dass die mittlere Abweichung zwischen directer Beobachtung Tome XXII. Barographen gefundenen Barometerstände spricht auch direct dafür. Barometerstand Abweichung Zeitintervall. für die vom Ordinate 120. Mittel. Dec.1873,Jan.u.Febr.1874 759,68..... —0,11 März, April u. Mai...1874 759,87..... —0,30 Juni, Juli, August....1874 759,69..... —0,12 Septbr., Octbr., Novbr. 1874 759,64..... —0,07 Dec.1874,Jan.u.Febr.1875 .759,75..... —0,18 März, April, Mai....1875 759,54..... +0,03 JoniJuli: 2220 Li 1875 #759,57un. 0,00 August, September...1875 759,63..... —0,06 Octbr., Novbr., Decbr. 1875 759,39..... +0,18 Januar — März ...... 1876" 709,58. —0,01 April—Juni ....... 1876 1759540057 +0,11 Juli—— September ....1876 759,32..... +0,25 October — December .1876 759,33..... +0,24 Mittel 709,57... É0,13 Selbst wenn wir also alle 3 Jahre zusammenfassen, so beträgt die mittlere Veränderlichkeit des Normal- standes blos Æ# 0""13. Aus den Vorzeichen der Ab- weichungen ersehen wir aber deutlich, dass derselbe ganz allmählich im Laufe der 3 Jahre um circa 0""4 resp. also per Monat um circa 0""01 abgenommen hat. Eliminiren wir diese langsame und continuirliche Ab- nahme aus unsern obigen Zahlen, indem wir per Monat 0%"01 hinzuaddiren, so kommt: 759,68 +0,07 759,90 —0,15 759,75 0,00 759,73 +0,02 759,87ab —0,12 759,69 +0,06 759,75 0,00 759,83 — 0,08 759,61 +0,14 759,83 —0,08 759,74 +0,01 759,63 +0,12 759,67 +0,08 Mittel 759,75 +0,07 32 499 Bulletin de l’Académie Impériale 5006 Mit Ausschluss der continuirlichen Abnahme des Normalstandes bleibt also eine mittlere Unsicherheit desselben von blos Æ 0""07 übrig, welche wir, da jene langsame und continuirliche Veränderung leicht zu constatiren und aus den Resultaten zu eliminiren ist, als eigentliches Kriterium der Constanz des In- strumentes zu betrachten haben. Fassen wir Alles zusammen, so künnen wir also sa- gen, dass der neue Wage-Barograph mit seiner Temperatur-Compensation und der automati- schen Vorrichtung zur Beseitigung des Capil- laritäts-Fehlers im Laufe von 3 Jahren den Variationen des Barometerstandes so genau gefolgt und auch seinen absoluten Stand so sicher bewahrt hat, dass aus seinen Aufzeich- nungen nach einer einzigen für den ganzen Zeitraum geltenden Formel oder Scale die ein- zelnen Barometerstände mit einer absoluten Sicherheit von Æ 0%1 hätten abgeleitet wer- den künnen. Es kann also das Instrument bis auf einige von Zeit zu Zeit anzustellende Con- trollbeobachtungen resp. Vergleichungen mit einem Normalbarometer zur Berechnung jener Scale in seinem gegenwärtigen Zustand voll- ständig einen Beobachter ersetzen. Sur une inscription géorgienne de l’église patriarcale de Mtzkhétha. Par M. Brosset. (Lu le 15 février 1877.) Tout en haut de la coupole de l’église patriarcale, à Mtzkhétha ‘), se voit une inscription en grands ca- ractères géorgiens ecclésiastiques, que je n’ai pas réussi à transcrire, lors de mon voyage, en 1847, faute d'instruments, et dont j'ai enfin obtenu une copie, de la part de M. Bakradzé, qui m'écrit à ce sujet, le 3 janvier de l’année courante: «Voici la copie de l'inscription de la coupole de Mtzkhétha, transcrite par moi avec toute l'exactitude possible, le 27 juillet de l’année passée. Elle est fort belle et sculptée en relief sous la corniche. 1) À 15 sagènes — 34 mètres du sol, d’après le beau plan de l'architecte D. Grimm dans ses Monuments de l’architecture byzan- tine. BALE EhO OCTH(G)E Lh LOI GE L..d'Ih1 hIPTRR POLER GE OP.Hh hhh «Plus loin, sur la même ligne, à une grande distance de ce qui précède, se trouve une pierre où est gravé, en caractères d’un style différent, j'ai oublié si c’est en creux ou en relief, le mot & R'hkdh'b1, qui doit être le reste de quelque inscription plus ancienne que l’autre, pierre qui est entrée avec le mot en question dans le revêtement de la corniche, au temps de Rostom.» M. Bakradzé n’a pas cherché à se rendre compte du mot gravé isolément, où moi, je crois voir d’une manière très probable, s bs6n%bo «le 1°” jour du nau- rouz,» Conséquemment je regarde ce mot non comme la fin, mais comme le commencement de l'inscription, que je traduis: «Le 1° jour du naurouz, de l’année cyclique 344 — 1656 de l'ère chrétienne, la coupole s’est écroulée, et je l’ai restaurée, #01 le roi Rostom et la reine Mariam.» Pour plus d’exactitude je fais remarquer que le mot défectueux &..d'IR'I se lit sûrement s93sd463, mais exigerait ensuite le mot H'] «moi,» si toutefois, avec nne légère correction, ce ne serait pas plutôt sosdjbs «a restauré,» sans addition de moi, comme on le verra plus bas. Les faits étant tels, si je ne me trompe, il reste à déterminer par les témoignages historiques: 1° L'époque de l’écroulement de la coupole. 2° Le rapport du 1° jour du naurouz au calen- drier chrétien, dans l’année de l'inscription. C’est à ces deux objets qu’est consacrée la présente note. J'y joindrai, pour être complet, 3° une courte étude sur l’année persane, ISA FE Le fait principal, l’écroulement de la coupole de l’église patriarcale de Mtzkhétha est mentionné la- coniquement dans les Dates de Wakhoucht: «En 344 — 1656 la coupole de Mtzkhétha s’est écroulée, et le roi Rostom l’a rebâtie:» Hist. mod. de la Gé. I, 395; le même fait et dans les mêmes termes se lit dans l’Hist. du Karthli, ibid. p. 73. D’autres indications, plus circonstanciées, je ne sache pas qu'il en existe en aucun livre géorgien ou autre document quelconque. 501 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 50? ——————"—"—"—"—"—"—"—"—"—"—…—————— La date géorgienne, exprimée seule dans l'Histoire, est la 344° du XIV” cycle pascal géorgien de 532 ans, et répond précisément à l’année 1656 de l'ère chré- tienne. Or on sait d’après des textes authentiques, déjà publiés, que l’année géorgienne, est julienne et commence au 1°” janvier, bien que pour certains cal- culs, notamment pour celui de l’indiction, le mois de septembre soit, comme à Constantinople, chez les orthodoxes, nommé en géorgien «le nouvel an.» Quart au «1° jour du naurouz,» qui, suivant ma conviction, ouvre l'inscription dont il s’agit, je vais essayer d’en déterminer la valeur. STE Le roi Rostom, venu de Perse et installé en Géorgie en 1632, était musulman chiite, comme son suzerain Séfi 1°”; sa femme, la belle et noble reine Mariam, était chrétienne: il n'y a donc rien d'étonnant à trouver, à côté de l’année cyclique, proprement pas- cale, l'indication du naurouz, i. e. du nouvel an per- san, du pays où s’était passée la jeunesse du roi, qui lui devait son trône. Sur la tour d’Oubé, en Iméreth, on trouve bien, outre l’année chrétienne 361 — 1141 de J.-C., celle intercalaire de l'Hégyre 535, qui y correspond, et dans les Dates de Wakhoucht des an- nées de l’Hégyre sont plusieurs fois placées à côté de celles du calendrier chrétien ?); ainsi rien ne s’oppose à ce que le 1°” du haurouz persan figure aussi sur la cathédrale de Mtzkhétha, restaurée par un roi mu- sulman. Maintenant, que signifie pour nous le 1” jour du naurouz? L'année 344 ayant commencé en janvier 1656, ainsi qu'il a été dit, cherchons à quelle date julienne tomba en cette année le nouvel an persan. Comme la fête du naurouz dure ordinairement trois jours, au dire de Chardin, il résulte de notre in- scription et de ce qui sera dit plus loin que le 1” du naurouz se rencontra le 11 mars, vieux style, en 1656. Nous avons en effet deux témoignages positifs, qu'en 1673 Chardin vit célébrer le naurouz persan à Érivan le 21 mars, 47’ après le lever du soleil, en- trant dans le signe du bélier, et en 1674, le 20 mars, à Bender-Abassy *). Or le 21 et le 20 mars du nou- veau style, chez Chardin, répondent au 11 mars du Années 1615, 1624, 1628, 1642... 2) 3) Chardin, éd. Langlès, Il, 249; petite édition, IV,78; XIV, 154. vieux style, l’un après une année bissextile, 1672, l’autre après une année commune: donc en 1656 le 1°” jour du naurouz répondait au 21 de mars, vieux style. Je pourrais m'en tenir à cette courte et concluante explication de l'inscription de Mtzkhétha, si je ne me tenais pour obligé de rectifier une erreur qui m'est échappée à l’occasion du naurouz. 1) Dans le t. II de la Collection d’historiens armé- niens, p. 311, le catholicos Abraham, présent aux cérémonies de l’avénement de Nadir-Chah, dit: «Le jeudi 26 février 1105 arm. (commencée vendredi 19 septembre 1735) — 1736, à la 5° heure“) (donc à 11 heures du matin) eut lieu l'inauguration de Tahmaz- Khan.» Cette indication d'un témoin oculaire est complète- ment exacte, sauf peut-être l’heure et la minute qui sont autrement précisées par un autre témoin. Or le 26 février, vieux style, coïncide malheureusement, comme il va être dit, avec la date du 9 mars «égale- ment vieux style,» — 20 mars nouveau style, mais relative à un autre événement: c’est à ce sujet que je dis à tort, dans ma note sur le passage de P'Hist. de Nadir-Chah par le catholicos Abraham, cité plus haut, que ce 9 mars est «nouveau style.» Voici les autres témoignages authentiques, sur les dates de l’avénement ou de l'inauguration de Nadir- Chah, témoignages peu concordants entre eux, je me hâte de le dire, parce qu'ils se rapportent à deux phases différentes du fait principal. 2) Wakhoucht, Dates: «Œn 424—1736, le 9 mars, Thamaz-Khan prend le titre suprême à Moughan, et le nom de Nadir-Chah.» Hist. mod. de la Gé. I, 404; 132 ib. sans date; Sekhnia Tchkhéidzé, ib. IT, 50, même année, sans autres détails. 3) Hanway, Descript. des dernières révolutions de Perse, trad. allem. Hambourg et Leipzig, 1754 2 vol. in-4, IL, 291, 293,4; 300: «Le 10 mars est, comme je l'ai dit plusieurs fois, le nouvel an des Persans. «Les délégués de toute la Perse étant réunis dans la plaine de Moughan, on profita de cette occasion. Thamaz envoya des émissaires les inviter à réfléchir 4) On verra plus bas que l’historiographe persan fixe le moment du couronnement le même jour «20’ après la 8° heure;» mais le 26 février était réellement un jeudi. 32* 2 503 Bulletin de l’Académie Impériale 504 ee ——_—_—_—"—"—"—"—"—"—"—"—"—"—"—"—"—"————— sur l’état de la Perse; après trois jours — donc le 10 mars — les délégués reconnurent Nadir pour futur souverain. Le jour suivant (11 mars), le général fut proclamé roi, sous le nom de Nadir-Chah. Après quoi il alla à Qazwin et à Ispahan où il fut de nouvean proclamé et décoré de l’aigrette royale, à trois plumes d’aigle noir.» Ainsi, d’après Hanway, Chah-Nadir fut installé roi à Moughan le 11 mars, lendemain du naurouz. Ceci sera apprécié plus bas. 4) Malcolm, Hist. of Persia, London 1815, p. 66. «L'historien de Nadir a pris soin de nous informer que la couronne fut placée sur la tête du conquérant précisément le matin du 26 février 1736—1149°)H., moment certainement fixé par les plus habiles astro- nomes, et on le fit asseoir sur un magnifique trône. «Il partit pour Ispahan bientôt (soon) après cela.» 5) Le frère Bazin, médecin de Nadir: «Il fut proclamé‘) arbitre souverain de l'autorité royale ..; la proclamation se fit à Ispahan le jour de l’équinoxe ,» plus tôt ou plus tard dans les autres villes; Lettres édifiantes, IV, 208, 285. 6) William Jones, Works, V, 239, 240. «Les habiles observateurs des cieux et astronomes, héritiers de la science de Ptolémée, fixèrent pour le jour du couronnement le jeudi 24 du mois de chawal de l’année 1148, répondant à celle du lièvre, douze jours avant la fête fortunée du naurouz» (en marge, 26 février 1735, lis. 1736). «Le même jour, 20° après la 8° heure, son illustre majesté fut parée du précieux diadème ..….; «ce fut un mardi, le 7 de zilcadeh ?); que le roi de lorient — le soleil— vint avec impétuosité se placer dans le bélier;» trad. fr. de l’ouvrage de Mirza Mehdi-Khan, historio- graphe de Nadir. «Le même jour, il y eut conseil pour la guerre 5) Lis. 1148, année qui commença le 12 mai 1735 v. st. et se prolongea jusqu’au 1° mai 1736 id. 6) Sans indication du lieu. ‘ 7) Zilcadeh v. st. 3 M. 1736:4 +7 434 10 1 2171:7=1 9 10:7 = 3 mercr. légère différence. contre les Afghans.» Cf. Fraser, Hist. of Nadir-Chah, 1749, 4 vol. in-8°. M. Dorn, qui a bien voulu vérifier sur le texte persan les indications données par Mirza Mehdi-Khan, a trouvé dans son exemplaire que le naurouz de l’an- née 1736 tombait «le jeudi 19 de zilcadeh, à 57’ du matin.» La différence de 12 jours avec la traduction de W. Jones, doit ici provenir d’une correction d’après le nouveau style; mais cette correction est tout à fait fautive, puisque Mirza Mehdi affirme que Nadir fut couronné «12 jours avant le naurouz,» où du moins il s’agit ici de la proclamation à Ispahan, postérieure de 12 jours à l'inauguration et au couronnement à Mou- ghan. 7) Biographie Universelle de Michaud et Nouv. Biogr. Univers. de Hoefer, art. de H. Audiffret et de Ch. R., il est dit que Nadir fut couronné le 20 mars 1736 n. st. — 9 mars v. st. 8) L'abbé Leclaustre, Hist. de Thamaz Kouli-Khan, Paris 1743, in-12°, anonyme, p. 287: «Le lendemain de son élection, il se rendit à Ispa- han et y fit son entrée avec la plus brillante cour. Il alla descendre à la grande mosquée, où il fut cou- ronné solennellement et proclamé sous le nom de Chah- Nadir.» Il est donc démontré qu'il y eut deux cérémonies, l’une dans la plaine de Moughan, l’autre dans la ca- pitale de la Perse. 9) M. Zinkeisen, Hist. de l’emp. ott. en Europe, dans Hist. des nations europ. par Heeren et Ukert, en allem., Gotha, 1857, in-8°, V, 643: «Après la mort d’Abbas IT, Thamas Kouli-Khan, ayant réuni pour le 10 mars, nouvel an persan, une assemblée de 100,000 personnes, leur proposa de s’occuper de l'élection d’un roi de Perse....; au bout de 3 jours ils lui apportèrent l'épée et le dia- dème royal, et il prit le titre de Nadir-Chah.» Or les nombreuses indications réunies dans Îles textes précédents se rapportent à deux faits entière- ment distincts: 1°. À la date du couronnement de Nadir-Chah, à Moughan. Ici se rencontrent deux témoignages essentiels et concordants, fournis par des témoins oculaires, ayant participé à ce qu'ils racontent: le catholicos arménien 505 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 506 Abraham a vu) ce qui s’est fait à Moughan, le 26 | ment qu’elle eut lieu dans la capitale de la Perse, le février 1736 vieux style; il en parle dans son bref, p. 330 du t. II de la Collection d’historiens arméniens, comme devant se faire le 24 de la lune, comme ac- compli, le 25, à la 3° h. du jour, sans mention toute- fois du naurouz, au chap. XLIIT de son Histoire de Nadir. Puis Mirza Mehdi-Khan, historiographe en titre, à également assisté et pris part aux cérémonies dont il parle, sous la date du 24 chawal 1148 H. — 26 février 1736 de J.-C. v. st., douze jours avant le naurouz, après quoi il raconte ce qui s’est fait le 7 de zilcadeh, le jour même du naurouz. De là il résulte clairement que le naurouz, en 1736, tombait douze jours après le 26 février. Soit le 9 ou peut-être le 10 de mars vieux style. Chez ces auteurs le couronnement de Nadir à Mou- ghan eut donc lieu réellement le 26 février v. st., ré- pondant précisément au 8 mars n. st. en l’année bis- sextile 1736, par l'addition des 11 jours de précès du calendrier julien, au XVIIL s., et douze jours avant le naurouz. Wakhoucht, mal renseigné, et par suite d’un léger retard du calendrier persan, indique aussi le couron- nement à Moughan le 9 mars, ce qui n’est exact que pour le nouveau style et pour la cérémonie d’Ispahan. Malcolm, tout en admettant le 26 février, fait er- reur sur l’année de l’Hégyre et sur celle de l’ère chrétienne, et parle d’un départ de Nadir pour Ispa- han, bientôt après cette date, sans faire mention d’une seconde proclamation à Ispahan. Il se trouve, par ha- zard, que le 9 mars est exactement intermédiaire entre le 21 mars n. st. et le 26 février v. st., et correspond, en avant comme en arrière à deux faits différents. Hanway, moins exact, parle du couronnement à Mou- ghan, le lendemain du naurouz, 11 mars, puis d’une seconde inauguration à Ispahan, dont il ne donne pas la date. 2) A la proclamation de Nadir à Ispahan. Bien que la distance de Moughan à Ispahan ne soit pas fort considérable, un potentat avec sa nombreuse suite, parti bientôt après le 8 ou le 9 mars ne pouvait la franchir rapidement. Mirza Mehdi ne dit rien d’une seconde proclamation, mais le frère Bazin dit positive- 8) Ou ce qui revient au même, le prêtre Thoma d’Agoulis, chargé par lui d'assister à la cérémonie, l’a vue et le lui a raconté. Jour de l'équinoxe, qui est le naurouz, conséquemment le 21 mars nouveau style soit le 10 mars v. st. en soustrayant 11 jours seulement, le 9 si les Persans n’ont pas tenu compte de la bissextile tombant en 1736: delà les auteurs des deux grandes Biogra- phies ont été en droit de fixer le couronnement de Na- dir, à savoir la proclamation à Ispahan, au 20 mars n. st. ou 10 de mars v. st. Ces légères différences d’un jour s’expliquent soit par les longitudes, soit par la manière de compter le commencement du jour, soit par la non-prise en con- sidération du bissexte, soit par l'écart dans l’appré- ciation de certaines fractions de jour, dont je parlerai plus bas, et de l’exactitude astronomique, qui, dans nos calendriers modernes, place l’ouverture du prin- temps au 20 mars, au lieu du 21, soit enfin et sur- tout parce que les estimables auteurs que j'ai cités ont perdu de vue l’une des deux proclamations de l’avénement de Nadir et les confondent en une seule, comme par ex. M. Zinkeisen. $ III. Il me reste maintenant à exposer ce que c’est que le naurouz et le mécanisme de cette institution dans la chronologie persane. N’étant pas versé dans les matières astronomiques et le sujet ayant été traité magistralement par plusieurs bons auteurs, je dois me contenter de résumer et de citer les écrits les plus saillants. Je commencerai par Chardin, homme pratique et ordinairement bien renseigné. Le mot Naurouz est formé de deux mots persans 32 # Signifiant «nouveau jour,» et par extension «nouvel an.» La fête civile du nouvel an dure trois jours, autre- fois huit jours entiers. Une personne qui connaît bien la Perse m'a dit qu'on le qualifie de deux manières, signifiant presque la même chose «Nawrouzi Djélali, Nawrouzi Soultani, naurouz djélaléen, ou sultanien, impérial,» parce que dans sa forme actuelle il re- monte au sultan Seldjoukide Djélal-ed-Din Malek- Chah, vivant dans le dernier quart du XI°Ss., auteur de l’ère djélaléenne ou malékite. On publie chaque année, en Perse, au commencement de mars, un alma- 507 Bulletin de l’Académie Empériale 508 oo nach, petit in-f° avec lettres dorées”). J'ai vu un de ces almanachs, sans le luxe de lettres d’or, portant le nom de Sal-Nameh «el JL «règle de l’année,» où le naurouz est bien indiqué à sa place, dans le calendrier musulman. Où .Chardin est moins exact, c'est quand il dit que l’année 1078 H. (commencée 23 jun 1667, d’après la Table de Wustenfeld) s’ouvrit avec l'équi- noxe vernal.?) D'après le sévère critique Daunou, Études histo- riques, IV, 384, «la fixation de l’équinoxe vernal au 21 mars est purement fictive et souvent fausse...; en- core aujourd'hui les lunes astronomiques anticipent d’un jour et quelquefois plus sur le calendrier.….; l’é- quinoxe vrai ni le moyen ne tombent pas au 21 mars, puisque le moyen peut varier de 55 heures; et que le vrai précède de 46 heures, du 19 mars, 4 h. après midi, au 21 mars 9 h. du soir.» Nous ne devons donc pas nous étonner, si les calculateurs persans ne sont pas toujours d'accord avec nos astronomes, ni les his- toriens avec les calculs précis de la science des astres, dans les textes que j'ai allégnés plus haut. De son côté Hyde, Hist. relig. veteris Persarum, 2° éd. p. 206, partage entièrement cet avis du savant Daunou ; il cite des auteurs, entre autres un certain Kàs Kuria- eus, qui fixent le naurouz au 11, ou au 13 de mars, et ajoute: «Quamvis medio modo loquendo solis ingressus in arictem plerumque dicatur esse die 10 martit, rem tamen stricte scrutando compertum est solem aliquando posse uno die citius aut tardius arietem ingredi; idque vel ratione bissextilis, vel aliter. Ideoque perpenden- dum est quo anno facta fuerint orientalia calendaria, cum ante 130 annos ingressus fuerit uno die tar- dior, qui nune, illis annis elapsis, est per 11 minu- torum anticipationem uno die citius. Et eädem ra- tione ante 400 annos erat 3 diebus tardior, qui nunc 3 diebus citior quam tunc erat.... Id autem quod di- ximus de anticipatione et de tardiore aut citiore in- gressu intelligendum est de anno communi, qui julia- nus, nam annus astronomicus est semper idem...» Ces deux citations sont suffisantes pour expliquer ou du moins pour excuser les variantes signalées pré- cédemment. 9) V. Chardin, Voyages, éd. Langlès, [1, 249; petite édition, IV, 78; VIII, 187; XIV, 75. 10) Ibid., XX, 105. Si l'on veut comprendre à fond le mécanisme de l’année persane, il faudra certainement consulter les ouvrages Originaux : Gravius (Greaves), Epochae celebriores .... Ëres chinoise, grecque, arabe, khorasmienne, mises en con- cordance avec l’ère chrétienne d’après Oulough-Beg, prince indien (sic); Londres, 1652. Golius, Alfragani elementa astronomica. Hyde, Hist. rel. veteris Persarum, p. 189, 239, sqq. 2° éd. Wolf, Elementa mathematica, IV, 101, sur l'ère djélaléenne. Fréret, Mém. de l’Ac. des Inscr. XVI, 233, sur l'ancienne année persane; il cite un historien arabe Nouwéiri, qui admet le naurouz, aux 1°” et 6° jour du mois de fervardin, 1° de l’année persane. Gibert, ibid. XXXI, 51, 75, nous dit que les Per- sans ont une année civile, vague, et une année sacrée, fixe, au moyen de l'intercalation d’un mois tous les 120 ans, commençant en automne, qui a aussi son naurouz particulier. Elle avait le défaut de l’année julienne, avec précès de l’équinoxe, d’un jour en 128 a. l,. Le savant auteur donne dans son Mémoire tou- tes les phases, année par année, des intercalations. Pour les lecteurs qui n’éprouvent pas le besoin de ces recherches aprofondies, je citerai seulement quel- ques autorités dignes de confiance, qui résument le sujet, mis à la portée de tout le monde. M. Gibert, Mém. de l’Ac. des Insc. XXXI, 74, 75, dit que l’année fixe, introduite après l'invasion arabe, a toujours subsisté en Perse, jusqu’à la réforme du Seldjoukide Djélal-ed-Din, et qu'en 1762 le naurouz — d'automne — devait tomber au 7 septembre julien, 18 grégorien: ce fut donc Djélal-ed-Din qui plaça le naurouz au jour suivant, de son temps, l'entrée du so- leil dans le bélier, soit au 15 mars, lisez, au 14. L'ère persane dite d'Iezdédjerd commence le 16 juin 632, que l’on croit être l’initiale précise de l’avé- nement de ce prince, le III° du nom et le dernier roi de la dynastie Sassanide. L'ancienne période chronologique persane était de 120 ans et terminée par le mois sacré — interca- laire. ") 11) V. à ce sujet t. II des Voyages de Chardin, p. 264, éd. Langlès. 509 Jusqu'en 1079, durant 448 ans, elle fut tout-à-fait vague, sans intercalation — d’un 6° jour complémen- taire, et n’avança sur notre calendrier que de 112 jours, car la différence n’était en 4 ans que d’un jour. Sous prétexte de réforme d’anciens abus, Iezdé- djerd substitua des noms d’Iezds, ou génies, à une mo- menclature plus raisonnable, empruntée à des phéno- mènes ou propriétés physiques, ce qui indisposa ses sujets, ainsi que le dit Saint-Martin. En 1075 de J.-C. le premier jour de l’an tombait au 29 février. Quatre ans plus tard, en 1079, Djélal- ed-Din Malek-Chah, arrivé au pouvoir le jour même du naurouz, fut conseillé de revenir à l’ancienne cou- tume nationale, et replaça le commencement de l’an- née, selon l’ancienne pratique de Perse, à l’équinoxe du printemps, répondant alors au 14 mars du calen- drier Julien. Pour que ce point demeurât fixe, il régla que tous les quatre ans il y aurait un 6° épagomène, mais qu'après 7 intercalations la 8° n’aurait lieu qu'au bout de la 5° année suivante, en sorte que l’année civile ne s’écarte d’un jour entier de la tropique qu’a- près un nombre considérable d'années. La nouvelle ère partant de 1079 J.-C. il faut ajou- ter ou soustraire 1078 pour savoir le rapport des an- nées djélaléennes à celles de l'ère chrétienne. On peut la concevoir comme divisée par un cycle courant de 33 ans, dont les années 4, 8, 12, 16, 20, 24, 28, 33 ont chacune 366 jours et les 25 autres chacune 365 j. Ce cycle se répète trois fois en 99 ans. Les Persans ont done 24 bissextiles par siècle et 73 bis- sextiles en 400 ans; mais leur méthode, de l’aveu des astronomes, est plus simple et plus ingénieuse que la nôtre, en ce qu’elle remédie plus promptement aux écarts — provenant d’un calcul inexact de la longueur de l’année tropique, au lieu que nous attendons la 100° ou la 400"; d’ailleurs elle approche plus de l’ex- actitude rigoureuse; car l’année tropique est de 365 J. 2499419; or le calcul djélaléen suppose 365 j. 24242, et le grégorien 365 j. 24250. Des deux côtés l’er- reur n’est que de quelques cent-millièmes, de 18 seu- lement chez les Persans, de 26 chez nous — différence 00008 cent-millièmes. Il faut 5555 ans pour le mé- compte d’un jour entier, dans la méthode persane; il en faut 3846 d’après la méthode grégorienne. L'ère de Djélal-ed-Din est donc à distinguer comme des Sciences de Saint-Pétersbourg. 510 celle à laquelle est attaché le meilleur mode d’inter- calation connu. ”) Je me permettrai d'ajouter ici quelques réflexions. Si en 1079 l’équinoxe vernal djélaléen ou naurouz fut reconnu coïncidant avec le 14 mars julien, il y avait done déjà un précès de 7 jours; plus tard ce fut de 10, au XVIT'Ss , de 11 au XVIIT. Daunou, dans ses Études historiques, IT, 200, se trompe, à ce que je crois, en indiquant la série de ce précès après chaque 114 ans, au lieu de 1287 ans, depuis l’année 325, celle du concile de Nicée, jusqu’en 1579. Je demande la permission de profiter de l’occasion pour annoncer un petit fait de chronologie géorgienne, qui à une certaine importance. En remuant mes notes pour le présent travail, j'y ai trouvé une feuille de papier détachée, qui m’a été donnée en Géorgie, provenant d’un bon vieux manu- scrit khoutzouri; cette feuille contient une partie de lIntroduction de la grande chronique, dite de Wakhtang, depuis la p. 27 de ma traduction, ligne 15, jusqu’à la p. 31 ligne 2. Entre autres particularités, jy lis: «Œn l'an 2443 depuis Adam, Moïse fit traverser la mer aux Israélites; en 3300 depuis Adam, Nabouchodonosor fit les Juifs captifs;» deux dates parfaitement concordantes avec la chronologie d'Eusèbe ), que les copistes des manu- scrits dont j'ai fait usage ont jugé à propos d’omettre, probablement comme bien d’autres, qui se trouvaient dans le manuscrit dont je ne possède qu’un feuillet. 12) Ces notices, depuis le $ «l'ère persane, sont tirées de Dau- nou, Études historiques, IL, 518, 519, 523; cf. 1V, 65. On en trou- vera une partie chez Deguignes, Hist. des Huns, Préface, p. XLV; S.-Martin, Encycl. moderne, art. Calendrier. Dans l’Art de vér. les dates in-f° p. XLI, la réforme de Djélal-ed-Din est mentionnée en l'année 1075, au lieu de 1079, avec l’intercalation du 6° épagomène tous les quatre ans six ou sept fois de suite, après quoi, au bout de cinq ans, méthode adoptée et suivie maintenant chez les Persans. Ici, outre l’inexactitude de la date de la réforme, il ÿ a confusion de l’année civile vague, et de l’année sacrée rendue fixe par l’inter- calation. 13) 1'° date eusébienne. 2242 d. m. déluge + 942 Abraham + 505 Moïse 2° date id. 2242 déluge + 942 Abraham + 1412 Nabuchodonosor 3689 d. m. 4596 + 1509 J.-C. + 602 J.-C. 5198 d. m. 5198 d, m. ôl1 Bulletin de l’Académie Impériale des Sciences de Saint-Pétersbourg. 51? BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. L'Académie a reçu dans ses dernières séances les ouvrages dont voici les titres: Korrespondenzblatt des Vereines für Kunst und Alter- thum in Ulm und Oberschwaben. Jahrg. I. 1876 Ne 11. 12 Jahrg. II 1877 Je 1. Ulm 1876—77 4. Kalender und Statistisches Jahrbuch für das Künigreich Sachsen... auf das Jahr 1877. Dresden. 8. Zeitschrift des k. sächsischen Statistischen Bureau’s XXII Jahrgang 1876 Heft I und II. Dresden 1876. 4. — Zeitschrift des küniglich preussischen statistischen Bu- reaus redigirt von dessen Director Dr. Ernst Engel. Sechszebnter Jahrgang 1876 Heft I—II. Berlin 1876. 4. Biographie nationale, publiée par l’Académie royale des sciences, des lettres et des beaux arts de Belgique T.V p.L. IL. Bruxelles 1875—76. 8. Catalogue of the special loan collection of scientific appara- tus at the South Kensington Museum MDCCCLXX VI. Second edition. London 1876. 8. Aarbager for nordisk Oldkyndighed og Historie udgivne af det Kongelige Nordiske Oldskrift- Selskab 1875 Hefte 1—4. 1876 Hefte 1. 2. Kjobenhavn. 8. Tillag til Aarboger. Aargang 1874. Kjobenhavn 1875, 8. Cinquantième anniversaire de la fondation de la société des antiquaires du nord solennisé le 28 Janvier 1875 sous la Présidence de $S. M. le Roi de Danemark. Dis- cours prononcé par J.J. A. Worsaae, Vice-Président. Traduit du danois par l’abbé L. Morillot. 8. Diplomatarium norvegicum udgivne af C. R. Unger og H. J. Huitfeldt. Niende Samling forste Halvdel. Chri- stiania 1876. 8. Munch, P. A. Oplysninger om det pavelige Archiv og dets Indhold, fornemmelig Regesterne og disses In- dretning, samt om det Udbytte, heraf er at hente for Nordens og især Norges Historie, udgivet af Dr. Gustav Storm. Christiania 1876. S. Broch, O.J. Le royaume de Norvége et le peuple norvé- gien. Christiania 1876. 8. Norway. Art of the present time. Painting and Sculpture. Christiania 1876. 8. Den norske Turistforenings Arbog for 1874. 1875. Kri- stiania. 8. Forklaringer til Statsregenskabet for Aaret 1874. 1875. Udgifne af den Kongelige Norske Regjerings Finants- Departement. Christiania 1875—76. 4. Berghs, C. W. Folkemængdekart over Norge udgivet ved L. Broch und H. Krag. Fol. Norges Officielle statistik udgiven i Aarene 1871 — 1876. A.X 1 Beretning om Skoleyæsenets Tilstand i Kongeri- get Norges Landdistrict for Aaret 1874. Christiania 1876. 4. B..\: 1 Criminalstatistiske Tabeller for Kongeriget Norge for Aaret 1866, 1867—1868. 1869. 1870. 1871. 1872. 1873. Christiana 1871—75. C. X 3° Uddrag af Consulatberetninger vedkommende Norges Handel og Skibsfart i Aaret 1874. Christiana 1874. C. X 3! Tabeller vedkommende Norges Handel i Aaret 1874. Christiania 1876. C. NX: 3° Tabeller vedkommende Norges Skibsfart i Aaret 1874. Christiania 1876. C. X 8 De offentlige Jernbaner i Aaret 1873. 1874. Christiania 1875—76. C. X 9 Beretninger om Norskes Fiskerier i Aarene 1873 og 1874. Christiania 1876. C. X 13 Statistiske Opgaver til Belysning of Norges industrielle Forholde i Aarene 1870—74. Christiania 1876. 4. D. X 1 Oversigt over Kongeriget Norges Indtægter og Udgifter for Aaret 1873. 1874. Christiania 1875 — 1876. 4. F. 1 Den norske Statstelegraphs Statistik for Aaret 1875. Christiania 1876. 4. Love 1865—69. 69—70. 1874—76. Christiania. 4. Smitt, J. Det norske Landbrugs Historie i Tidsrummet 1875—1876. Anden Udgave. Kristiania 1876. 8. Anden Beretning an Ladegaardsaens Hovedgaard. Fgrste og andet Hefte Christiania 1875. 4. Beretning om Bodsfængslets Virksomhed ji Aaret 1874. 1875. Christiana 1875—76. 8. Statsraad Paul Christian Holsts Efterladte Optegnelser om sit Liv og sin Samtid udgivne af den norske histo- riske Forening. Hefte III. Christiania 1875.—76. 8. Beiträge zur Kunde Ehst-, Liv- und Kurlands, herausge- geben von der Ehstländischen Literärischen Gesell- schaft. Bd. II Heft 2. Reval 1876. 8. Schuler von Libloy, Fried. Aus der Türken- und Je- suitenzeit vor und nach dem Jahre 1600. Historische Darstellungen, zumal Fürsten- u. Volksgeschichte in den Karpathenländern. Berlin 1877. 8. Fechner, A. W. Chronik der Evangelischen Gemeinden in Moskau. Bd. L. II. Moskau 1876. 8. Schuyler, Eugen. Turkistan. Notes of a journey in rus- sian Turkistan, Khokand, Bukhara and Kuldja. Vol. IL. IL London 1876. 8. The historical Magazine and Notes and Queries concerning the Antiquities, History and Biography of America. January, 1868. Second Series. Vol. IIT \: 1. New Se- ries Vol. II July 1872. Extra Number. Morrisania, N. Yves. Paru le 23 avril 1877, T. XXIIE, N° 4 et dernier. ) Î | | | , L r LL na a Q | } ] L 1 DE L'ACADEMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG. TOME XXII. | (Feuilles 33—36.) | CONTENU. | Page. B. Dorn, Quatrevingtsix monnaies d'argent avec inscriptions pehlevies............... 513—521 | A, Sawitsch, Observations des planètes à l'Observatoire académique de St.-Pétersbourg; | détermination de l’inclinaison de l'orbite de la planète Neptune sur l’écliptique.. 521—524 | W, Véliky, De l'influence des nerfs dépresseurs sur la quantité de la lymphe......... 524—529 À. Schiefner, Contes indiens. XL— XLIV...................................... 529—565 R. Lenz, Influence de la température sur la résistence galvanique des fils de Siemens 565—572 Bulletin bibliographique .......,........,..... Re desc crccone 572—576 | Ci-joint le titre et les tables des matières contenues dans le tome XXIII du Bulletin. | On s’abonne: chez MM. Eggers & Ci°, J. Glasounof et J. Issakof, libraires à St.-Pétersbourg; au Comité Ad- ministratif de l'Académie (Koumurers Ilpaszemia Huneparopckoï Akaxewin Hays); N. Kymmel, libraire à Riga, et chez M. Léopold Voss, libraire à Leipzig. Le prix d'abonnement, par volume composé de 36 feuilles, est de 3 rbl. arg. pour la Russie, 9 marks Allemands pour l'étranger. AP Imprimé par ordre de l’Académie Impériale des sciences. T È Juin 1877. ——— C. Vessélofski, Secrétaire perpétuel. Imprimerie de l'Académie Impériale des sciences. (@ 7) (Vass.-Ostr., 9° ligne, Xe 12.) & 5) 4 j LL cm Î | | 2, j NE AE Pre MA Lu ral D'Un , , 0 “ +s 1 & lu À 4 n : ta .e | tres | | . | | Lee | al Le Û ï db, | : : ñ : : : . sl D ” 4 P LU ei a ee ju 2 ue NA PORAEAUTE CHE tr js il Li L { j . rs J ñ d à Ra {: A 5 Hu] is li} EL ho PER : l TA 1 _ 5 : * é ' tre 1 i ‘ ï mie. à i Ë TR AS F 0 û ; | : U ; LE : 10, PU | 1e IN ni | ‘à # TER LE | ; : Li ; D À | L | f 7 dd rt Mb À &' ce, L CA [a n L | “ wù Loi ñ DR ire Et L | 1: L | ’ . L ht ; : à DEN, €, » Pa 0 MENT © | i L 5 A Mn | | : à F a : . . 0. L'TEM 4 CLP M DAS ing aile biaipiiqe ec opt pétoun u dt ulonils-T1 VANNES lai : | LA TA EE OUTILS AMC US if QUE le Ge EEE NM LL re orsnull QUL \ ou L Ne 2 , 0 CR _ .' l : l . ARE TEE EN TT TT RE EN A . : LL 27 i u x a D ” | î | F | n ) L | 17 , À ten h ee «re à Ai À ahton rihe ge ee à dc dre anti 2 Eur + Hit : : a Lu. A ! ! | LE : À enr Le LL : Le Gp tr LO et pins eue ne Mod 96 diL, ts (2H W = ju nn À ; | : he | | L ar | ñ ne er, NEO 014 ILUNE Qi ARE tt it À re | | | ’ . # [ES Le E | & L Le à ï | dar DATE TON A Te En tn malt ETIER te 5 qitA NE HAS LES | ) En du D " LL 1 L y : | | î \ = à Cu : a: de RS TTL pin CERTA TT NUS RTE w re PTE Radie: ‘or pool impair DOME TIAUNES snaqf QLLE CLS errenns t CS TENTE LE ENT Li ba no LAON 4 a | tubes nh ass, CAN ëf. dsbitus. OL LT Cap AL? Me Tige ER TOR, BIT L| Aadeiés DUB A 46 usé mm nf 0 at mn “Ai sil ni t ne ‘ _4"0u0 ire COTON à pins Merh À 1h) ounatant a . | ASE Ne it NP che LUTSA +, _— FEES DTA ' | LE BULLETIN DE L'ACADEMIE IMPERIALE DES NCIENCES DE ST.-PETERSBOURG. Sechsundachtzig Silbermünzen mit Pehlewy-Inschrif- ten. Von B. Dorn. (Lu le 1 mars 1877.) Ein eifriger Münzsammler, Herr Jos. Hornung aus Moskau, hat vor Kurzem die Freundlichkeit ge- habt, mir seine reiche Sammlung von morgenländischen Münzen zu zeigen. Unter denselben fiel mir die be- deutende Anzahl von Münzen mit Pehlewy-Inschriften | auf. Ich erkannte augenblicklich, dass sie wohl geeig- | net sei, die derartige Sammlung des Asiatischen Mu- seums nach verschiedenen Seiten hin zu ergänzen. Der Besitzer erklärte sich ohne Weiteres bereit, diesen Theil seiner Sammlung abzutreten, wenn sie in dem Museum zum Frommen der‘ Wissenschaîft zu verwenden sei. Und so ist sie denn das Eigenthum dieser Anstalt geworden. Ich lasse hier das Verzeich- | niss der in Rede stehenden Münzen folgen. I. Sasaniden. | Schahpur F. 1— 1) 4 Exempl. Narses. 1 St. Münzen von diesem Sasaniden gehôrten früher zu | den grüssten Seltenheiten. Jetzt ist dem freilich nicht | mehr s0. Allein aus der Bartholomäi’schen Sammlung finden sich deren zwülf abgebildet. Die jetzt unse- rige sehr schün und gut erhaltene bietet auf er Rück- seite links: æuu Narsach:rechts in nueva. Sie ist die b) fünfte Narses-Münze unseres Museums. Fraehn hat i. J. 1829 die erste dieser Münzen bekannt gemacht. Sein Aufsatz steht in der St. Petersburger Zeitung, N 6. Da aber dieselbe Vielen nur schwer zugänglich sein dürfte, so glaube ich den Liebhabern der Sasa- niden-Münzkunde einen nicht unangenehmen Dienst zu erweisen, wenn ich den Aufsatz noch einmal mit- theile. Er kann wenigstens als ein nicht unerwünsch- ter Beitrag zur Geschichte der genannten Münzkunde dienen. Man wird namentlich aus ihm ersehen, welche damals, als er geschrieben wurde, kaum vorauszu- Tome XXII. sehende Vervollkommnung diese Münzkunde seitdem erlangt hat, sofern die Münzen, welche von Präge- herren herrühren, welche einen und denselben Namen tragen, Schahpur, Hormisdas, Warahran, jetet mit vülliger oder überwiegend wahrscheinlicher Sicherheit ihre Stellung finden. Und von Firus an finden sich ja auch chronologische Data, d. h. die Angabe des be- treffenden Regierungsjahres vor. «Numismatik. «Unter den vielen Privat-Münzsammlungen, welehe sich hier in St. Petersburg finden, ist die des Hrn. Kollegienrathes v. Reichel') unstreitig nicht blos die reichste, sondern auch die ausgesuchteste. Namentlich sind die Münzen des Mittelalters und der neueren Zeit, Russische sowohl als ausländische, die Partien, welche | der unermüdete Eifer und die seltene Erfahrenheit ihres Besitzers zu einem Grade der Vollständigkeit | cebracht hat, die oft nur Wenig von Bedeutung noch | vermissen lässt. In diesem Kabinette hat Ref. unlängst ein Sassanidisches Kleinod entdeckt: eine un- edirte, seltene und merkwürdige Silber-Münze von Narses, dem 7ten Kônige Persiens von der Dynastie Sassan, von welchem bisher noch kein einziges Münz- denkmal bekannt geworden war. Dieses interessante Stück durch eine kurze Beschreibung zur Kenntniss der Freunde der Numismatik zu bringen, mügte um so weniger für unzweckmässig erachtet werden, je dürftiger es bis jetzt noch mit unserer Sassanidischen Münzkunde aussieht. «Vorderseite: Brustbild des Künigs, das Gesicht im Profil rechts, die Brust nach vorne. Das Gesicht älter- lich, die Nase lang und oben etwas geründet. Knebel- bart. Der Kinnbart kurz und kraus. Das Haupthaar hinten in Flechten gesammelt, die (sieben an der Zahl) serade herunter laufen. Das Ohr unbedeckt und mit einem kleinen Ohrgehänge. Auf dem Kopfe eine fein- sezackte Krone, von der vorne, hinten und an der 1) Die Münze befindet sich jetzt in der Asiatischen Lehranstalt des Ministeriums der auswärtigen Angelegenheiten. 33 915 Bulletin de l’Académie Impériale o16 Seite Zinken sich erheben, welche die Form kurzer | Kirmanschah, in welcher jener Name aufs deutlichste Baumzweige haben; oben auf derselben nach vorne hin, die mit Perlen besetzte Kugel (es ist der obere Theil von der eigentlichen Kopfbedeckung, welcher abgebunden ist und so in Kugelform erscheint). Oben am Saume des Gewandes eine einfache Perlenreihe; nach der linken Schulter hin eine Spange in Gestalt einer offenen Rose. Die Umschrift in alten Pehlewy- Charakteren ist: Der Ormuzd-Diener, der treff- liche Narsehi, der Künig der Kônige von Iran, des Himmels Sprôssling von den Gôttern. «Kehrseite: Eine hohe ungeschmückte Altarsäule, auf welcher das heilige Feuer lodert; neben diesem links eine kleine Figur, welche vermuthlich den Fer- wer oder Genius des Künigs andeutet, rechts von eben- demselben eine andere, welche vielleicht Dschem- dschids famüsen Pokal vorstellt. Die beiden Wächter, gegen die heilige Flamme gewandt, halten in der linken Hand einen kurzen Stab oder Scepter vor sich aufrecht; der zur Linken, mit der gedachten Kugel über der Krone, ist hôchstwahrscheinlich der Künig selbst, der andere, mit einer einfachen Mauerkrone, wird der Satrap seyn, in dessen Provinz die Münze geschlagen ward. Randschrift, rechts: Narschi, links: der gôttliche *). «Distinctiv-Charakter dieser Münze ist im Costüme des Kopfes, ausser dem nur hinten in geraden Flech- ten herabfallenden Haare, die feingezackte Krone mit den zweigähnlichen Zinken. Bei keinen andern der bisher bekannt gewordenen Sassaniden findet sich em ähnliches, in so grosser Varietät auch bei denselben die Anordnung des Haares und die Form der Tiara erscheint. Namentlich ist es letztere, in welcher jeder Kônig von dieser Dynastie seiner eigenen Phantasie gefolgt haben muss; indem selbige unabhängig von der alten Persischen Reichskrone getragen wurde, welche nur bei der Krünung und andern feierlichen Gelegenheiten gebraueht ward und dann wegen ihrer Schwere nicht anders als durch (soldene) Ketten., an denen sie aufgehängt war, über dem Haupte des auf dem Throne sitzenden Fürsten gehalten werder konnte. «Dass aber Narsehi die Pehlewische Orthographie des Namens Narses, wie er bei Gricchen und Rômern lautet, sey, dafür bürgt die bekannte Felsinschrift von 2) Bekanntlich wird dieses Wort jetzt nuvazi gelesen,; s Mordt- mann, Beilage zur Allgemeinen Zeitung, N° 231. 1876, S. 3538. erscheint, so wie die ähnliche Schreibung desselben bei alten Armenischen Autoren. Und da in der gan- zen Reihe der Sassanidischen Künige nur einer die- ses Namens vorkommt — denn ein späterer Narses, 3ruder von Behram-Gur, ist nie zur Regierung ge- langt —, so ist dadurch das Alter dieser Münze, der Zeitraum von 296 bis 303 nach Chr., in welchen die Regierung des Künigs Narses fällt, unbestreitbar fest- gesetzt. Es ist diess ein Umstand, durch welchen diese Münze einen besondern Grad von Wichtigkeit gewinnt, insofern sich unter allen bisher bekannt gewordenen Sassaniden-Münzen nur äusserst wenige in dem Falle befinden, dass sie sich mit einiger Bestimmtheit auf ihren wahren Urhecber zurück führen liessen. Alle nämlich, welche man bisher zu entziffern im Stande gewesen ist, führen Namen, welche mehr als Einem Kônige dieser Dynastie gemein waren (7. B. Sapores, Hormuz, Varanes), und da sich auf diesen Münzen die Angabe, ob der erste, zweite oder dritte des Na- mens gemeint sey, eben so wenig als irgend ein chro- nologisches Datum findet; so ist ihre Bestimmung in der Regel den grüssten Willkührlichkeiten ausgesetzt; was man freilich nicht glauben wird, wenn man den Mionnet liest. Zur Beseitigung solcher eigenmächti- gen Bestimmungen wird bei einigen jener Münzen die hier bekannt gemachte zweckmässig benutzt werden kôünnen. «Wenn man bei Mionnet eine Silber - Münze von Artaxerxes IL. 300 Francs taxiert sieht — obgleich sie keineswegs, wie es dort heisst, R° 4. i. du plus grand degré de rareté ist, denn ich habe sie hier wenigstens in einem halben Dutzend Exemplaren in Händen ge- habt — und wenn derselbe eine Silber-Münze von Varaes IL, von der ich ebenfalls hier mehrere Exem- plare gesehn habe, auch als eine Münze du R° zu 600 Francs anschlägt — welchen Preis würde dieser er- fahrne Numismatiker wohl auf den Narses unicus setzen, den wir hier aus des Hrn. von Reichel Museum aufocführt? Frähn.» Schahpur IT. 6— 10) 5 Ex. Jesdegird I. 11 — 12) 2 Ex. Auf der Rückseite des einen Ex. links neben der Flamme y. 517 des Sciences de Saïint-Pétersbourg. 518 Warahran V. 13) 1 Ex. Vorderseite. Rechts von dem Kopf: o quosrvs, Warahran m (a), links hinter dem Kopf: u35 /ca. Der Buchstabe 3 in #alca ist offenbar ein 4 (3) und nicht ein d. Gewühnlich werden beide Buchstaben im Inschriften so unterschieden, dass Æ durch 3, d durch 3 angezeigt wird. Auf den Münzen von Walagesch aber findet sich 3 — 3 so oft, dass man dadurch ver- anlasst worden ist, Varda zu lesen, zumal in derselben Reihe auch 3 = 3 vorkommt. Vergl. die Bartholomäi- schen Münztafeln. Jesdegird II. 14) 1 Ex. Firus. 15 — 16) 2 Ex, Rücks. Rechts: su und mis ? Kawad (Kobad). TE 246 Ex a Lie") mm; 4, 19 (Sn) 38 (2 Ex. &8 ); a. 35 (nicht deutlich); a. 36 (u3); a. 40 (xDD0Ù }; à. 41 (au). Die von G. Rawlinson dem Dschamasp zuge- schriebene Münze ist nicht vom Jahr 18, sondern 38 (ou ous);s. Bulletin, T. XXIIT, S. 286; Mélanges asiat. T. VIII, $. 200. Chosrau I. 25—31) 7 Ex. a. 8 (x=_ WW); a. 8 (undeutlich); 4.11 (Sa); a. 20 (fou); a. 21 (35); a. 31 (undent- lich); à. 43 (vu). Hormisdas IV. 32 — 33) 2 Ex. a. 3 (34); a. 9 (1035). Chosrau TT. 34— 55) 22 Ex. à. 6 (ous); a. 6 (?undeutlich); ) a. 7 (pw5au), à. 9 ( taux ); à. 9 (x -_ eu); à 9 (xopu); a. 10 (x —5% ); a. 10 (undeutl.): a. 11 (x); a. 15 (3, am Rande der Vorderseite Ba); a. 21 (35); a. 23 (au); a. 25 (_:,.,); à. 34 (wo? zerbrochen); a. 34 (xiopu); à. 34 (ærur); à. 35 (Sy); a. 35 (ru); a. 39 (x &wv); a. 35 (35, auf der Vorders. 3au); a. 36 (y); à. 37 (us — auf der Vorders. am Rande 3au). — Eine Münze mit undeutlichem Jahre. 3) Die mit * bezeichneten Buchstaben finde ich nicht bei Mordt- mann, Zeitschr. d. D. m. G, Bd. XIX. II, Arabische Statthalter-Miünmzen mit Chosrau IL.- Geprâge. Ubaid-Allah ben Siad. 56) 1 Ex. Vorders. Hinter den Kopf: 2. vor dem Kopf: (Pehlewy) Obaid - Alla || - i- Ziadan: s. Mordtmann, Zeitschr. d. D. m.G. Bd. VITL, Taf. I. 21. Am Rand: 4} Rückseite. Links: schescht (sechszig); rechts: 3 (ëd); s. Mordtmann, Zeitschr. Bd. XIL $. 51, À 295. Vergl. ebenda, Bd. XIX, $. 471. Mussab ben el-Subair. 57) 1 Ex. Vorders. Hinter dem Kopf wie X 56. Vor dem Kopf: (Pehlewy) Mutschaf(p)-i-Zubi(ai) ran; s. Mordtmann, a. a. O..Bd. VIII. X 29. Am Rand: a, dj) pt; vergl. Mordtmann, a. a. O0. S. 165, der das Pehlewy-Wort wiedergiebt: Zn Frusch. Thomas, The Journ. of the R. As. Soc. vol. XII, S. 306 setzt dem Worte, ebenso wie Mordt- mann, ein Fragezeichen nach. Auf unserer Münze müchte man es bfrui oder bfrub lesen. Vor, also rechts von dj sw, hat unsere Münze noch eine Contre- marque: ou — doch nicht af” vergl. Mélang. asiat. TT, I:S: 524. Rückseite, links: nu schescht (69 — 689); rechts: pd. Mordtmann liest AXérmanschehr?; Thomas: Kermansir? Aber der zweite Buchstabe ist kaum 7, sondern eher ein # oder allenfalls ». Mussab ben el-Subair wird von Makrisy ({is- toria monctae Arabicae ed. O. G. Tychsen. Rostochii, MDCCXCVIT) cinmal in dem eben genannten Werk, das zweite Mal in der Schrift Margaritae collectae — de ponderibus et mensuris erwähnt. Wir lesen da $. 82: «Nec minus frater eius (sc. Abdullahi) Massab f. Zo- bair in Zraka drachmas, quarum decem VIT methka- libus respondebant, percussit, quibus homines donavit», ete. und $. 147: «Primus aulem, qui numos cudencdos curaverit, fuisse dicitur Massab f. Zobair, qui fratris sui Abdallah f. Zobair iussu, anno LXX Chr. 639. in uno latere: benedictio, et in altero: per Deum vis inscripserit. Mutavit hoc Alhadsjadsj f. Jusuf anno post, et numis inscripsit: in nomine Dei. Al-Hads- ] ad S] », Bei de Sacy (Traité des monnoies musulmanes, tra- 33* 519 duit de l’ Arabe de Makrizi. Paris. 1797. $. 17 u. 72) lauten die Stellen: «Son frère Mosab Ben-Alzobeïr fit aussi frapper des dirhems dans l'Irak sur le pied de 10 dirhems pour le poids des 7 mithkals, et il en fit usage pour payer le prét des troupes». S. 72. «Le premier, qui fit frapper des dirhems (à un coin Musulman) fut Mosab ben-Alzobeïr, par l’ordre de son frère Abdallah ben-Alzobeïr, en l’anné 70. Il les fit frapper aux empreintes des Cosroës; mais il mit d’un côté le mot bénédiction, et au revers de Dieu. Un an après Alhadjadj changea cette légende, et y substitua celle-ci: au nom de Dieu, Alhadjadÿ». Vorerst aber will ich bemerken, dass vor der zwei- ten Angabe im Text (S. 65 Tychs.) JS, man sagt steht, was sowohl von Tychsen als de Sacy unbeach- tet geblieben ist. Makrisy hat also nicht nach eige- ner Kenntniss und aus eigener Ansicht gesprochen, sondern nur nach den Angaben Anderer. Und in der That erweisen diese Angaben sich nach den jetzt be- kannten Münzen als nicht richtig; es ist bis jetzt keine Münze von Mussab zum Vorschein gekommen, welche die Worte 4f,, und y} in der angegebenen Weise auf- wiese, obgleich beide Würter auf Abbasiden- und an- deren Münzen vorkommen. Auch war Mussab nicht der erste, welcher Arabische Legenden auf den Mün- zen mit Chosrau-Gepräge anbringen liess. Solches ist schon auf Münzen von Siad ben Abi Sufjan vom J. 43 (663) der Fall, auf welchen dj fs vorkommt; vergl. Mordtmann, Zeitschr. Bd. VII, $. 152. und Thomas, à a. O. $. 280. Heddschadseh war also nicht der erste, welcher gl ss auf den Mün- zen anbringen liess. Und es würde auch nicht viel ge- wonnen sein, Wenn man Zwangsweise übersetzen wollte : «er liess auf einer Seite einen Segenswunsch, auf der anderen den Namen Gottes anbringen», sofern der Segenswunsch in 23 ;51 & (etwa) majestas augeatur, der Name Gottes in djl ps 1 suchen wäre. Und end- lich wird die Richtigkeit des Jahres 70 durch die vor- liegende Münze vom J. 69 widerlegt. Âhnliche durch Münzen selbst bis jetzt noch nicht als richtig erwiesene Nachrichten über Sasaniden- Prägungen finden sich z. B. bei Abu Hanifa Daina- wery uid Tabary; s. Bullet. hist.-phil. T. LS. 281— 283. Sollte namentlich der sonst s0 zuverlässige Ta- Bulletin de l'Académie Kmpériale 20 bary, dessen Geschichte der Sasaniden eine der im Ganzen merkwürdigsten ist, welche sich in den mir bekannten morgenländischen Schriftstellern findet, ohne nähere Prüfung nur das nachgeschrieben haben, was er entweder gelesen oder gehôrt hat? Vielleicht klärt uns der Arabische Text darüber auf. Der a. a. O. mitgetheilte Persische Text lässt manche Bedenken aufkommen, welche selbst die Vergleichung noch meh- rerer Handschriften kaum beseitigen dürfte *). III. Tabaristanische Münzen. A. Ispehbed Ferchan. 58) 1 Ex. v. J. 73. Auf der Vorderseite am Rand: 3oau und tan. B. Arabische Statthalter. Omar. 59— (692) 4 Ex. a. 124. Vorderseite: boy (Omar). Am Rande: 3au und 19+ (Harun); a. 127. Vorder- seite: ,e, am Rande: 3au und tan; a. 129. Auf der Vorderseite (mit ec) ist nur ton zu sehen; der Rand rechts, wo wohl 3au gestanden hat, ist abgebrochen; a. 129. Wie die vorhergehende, aber vollständig, also auch mit 3ou. Saïd. 63) a. 126. Vorderseite: Jaz.. Am Rande: tan und 3au. Namenlose. G4—83)20 Ex. à. 130. Vorderseite : tobr und 3au; a. 132, V.1d::4, 194 (3 x); a. l995 (Ex) 41606 (3 Ex.); à. 137; a. 139 (22 Ex.); a. undeutl. (1 Ex.). Sulaiman. 84— 85) a. 137. Vorderseite: gels. Im Rhombus: (2 Ex). o Hani. 86) à. 157. Vorderseite: Gb. In dem von mir herrührenden Zusatz zu Fraehnii opp. post. p. Il, ist S. 208 letzte Z. anstatt cils zu 4) Der Gefälligkeit des Hrn. Prof. Dr. Nüldeke verdanke ich die Belehrung, dass die fragliche Stelle im Arabischen Text fehlt und überhaupt keinen Theil der alten Überlieferung bildet; ein Sei- tenstück zu der bekannten Nachricht Tabary’s über die Russen Vor der Herausgabe des Arabischen Textes wird man Tabary selbst kaum mebr als Gewährsmann anführen künnen. 521 des Sciences de Saïint-Pétersbourg. 52? ee —————————————————— lesen vf. Ebendas. ist S. 263, Z. 5 v. u. anstatt 947 natürlich zu lesen 347. Es ist eine Münze des, Fatimiden el-Muïss-lidinillah Abu Temim Maadd: s. auch $. 205 u. S. 236; zu den Münzen von el- Mustansir-billah Abu Temim Maadd, s. $. 24 u. 25 x Observations des planètes à l'Observatoire acadé- mique de St.-Pétersbourg; détermination de l'incli- naison de l'orbite de la planète Neptune sur l'é- cliptique. Par A. Sawitsch. (Lu le S mars 1577.) De même que dans les années précédentes, les posi- tions des planètes ont eté obtenues à l’aide du cercle méridien: elles se rapportent aux temps des passages par le méridien de St.-Pétersbourg; les déclinaisons sont corrigées de la réfraction et de la parallaxe. Sous le titre: corrections du Nautical Almanac sont don- nées les différences entre les positions observées et celles que donne le Nautical Almanac anglais. Pallas (opposition en 1876). L'observation des passages de l'étoile polaire (& Ur- sae min.) dans sa culmination inférieure servit à trouver chaque soir l'azimuth de la lunette tant pour | les observations de Pallas, que celles de Cérès. L'é- toile de comparaison pour Pallas a été: n Bootis d’a- près le Nautical Almanac. Date. Asc. droite || : ; \ 1876. app. Obs.— Call Décl. app. |Obs. — Cal. Avr. 23 | 13/55"26596 | —9$31 |+21°5521/4 | — 13 21 54 40,96 | —2,22 | +922 6 16,4 | +4,1 Avr. 26 | 1853 10,43 | —1,8 +22 26 31,8 | —3,9 Moyenne......— 9513 Moyenne. ...— 0,37 Cérès (opposition en 1876). Les étoiles de comparaison ont été: EVirginis d’a- près le Nautical Almanac et 102 Virginis (v) d’après le Catalogue of stars, from seven Year Obs. Greemvich. Date. Asc. droite ; , A ; 187G. app. Obs. — Cal.[ Décl app. [Obs.— Cal. Avr. 23 4 3549 | —2017/11; 24 | + 4,23 | —2 15 31; 26 50120:10 | «+ 3,61) — 21216, l | Moyenne ...... + 3578 Moyenne... Neptune (opposition en 1876). L'azimuth de la lunette a été déduit chaque soir des observations de l'étoile polaire (& Urs. min.) à sa culmination supérieure; les étoiles de comparaison ont été: n Piscium, 8 Arietis et £?Ceti d’après le Nautical Almanac. Date. Asc. droite Déel. app. + 1876. | app. Obs. — Cal (boréale). ons — Cal. Octbr. 7 | 2/11” 6591 — 0522 L+-11°16/531 | —18 1291) 10 36,73 000 14 9,1 104 14 | 10 24,12 — 0,15 13 5,0 + 2,7 17 10 5,32 —0,07 11 15,8 50 18 9 59,13 + 0,10 10 42,7 — 4,1 SA 9. 39,50 — 0,35 9 8,3 + 3,8 22 9 33,29 — 0,14 8 29,9 — 0,5 23 1 9,26,60 — 0,39 4059;9 +- 3,6 24 | 2 972065 +0,10 |+ 11 7238 + 0,5 | Moyenne.. — 0$125 = 05040 Moy... — 013 + 0/67 La planète Neptune s'approche à présent de ses plus grandes disgressions de lécliptique; en automne de l'an 1876 elle se trouvait éloignée de son noeud descendant à-peu-près de 83°28,5. Cette position de la planète est favorable pour déterminer l’inclinaison de l'orbite de Neptune sur l’écliptique. Il nous à paru intéressant de voir, quelle inclinaison donnent nos ob- servations. Pour obtenir la position de la planète de son oppo- sition en 1876 appliquons les corrections — 015 aux ascensions et — 01 aux déclinaisons apparentes de. Neptune que donne le Nautical Almanac d'après les tables de M. Newcomb pour les 25, 26 et 27 octobre 1876; de plus ajoutons la correction à cause de la- berration de la lumière, qui était égale à — 1:08 pour l'ascension droite et — 5,6 pour la déclinaison; nous aurons ainsi les positions géocentriques non af- fectées par l'aberration. Prenant en considération le mouvement géocentrique de la planète et admettant l'inclinaison apparente de l’écliptique sur léquateur 23°27 98,2 pour le 26 octobre 1876, nous obtenons conformément à nos observations: Temps moyen de Greenwich. RUE k le 25 oct. à 12” » 26 » ) D] » 27 » » » Longitude géocentr. comptée de l’équ. app. dore mlRE 1—=33°55" 7,65 099 r9o ar or 39 53 26,99 a [2] 3 51 45,22 Latitude géocentr. b=——1°49 5095 4051 1 49 51,23 Nous empruntons les longitudes apparentes (L), les 523 latitudes (B) héliocentriques et les logarithmes des rayons vecteurs (2) de la terre au Nautical Almanac, en ajoutant + 20,6 aux longitudes pour A l'influence de l’aberration de la lumière; à l’aide de l'interpolation nous trouvons: Temps moy.de Long. hélioc. de laterre Latitude Lo e Greenwich comptée de l’équ. app. hélioc. à le 25 oct. à 124 L—3956 316 B—+ 037 9,9971317 » 26 » » » 33 56 27,2 0,27 9,9970122 » 27 » » » 54 56 24,4 0,16 9,9968940 Les logarithmes du rayon vecteur (r) de Neptune et de la distance (A) de cette planète à la terre sont aussi donnés dans le Nautical Almanac d'après les tables de M. Newcomb. L'interpolation, étendue jusqu'aux troisièmes différences inclusivement, donne Temps moy. de Greenw. Log » Log A 25 oct. à 12 1,4744412 1,4597342 26 » » » 1,4744412 1,4597362 27 » » » 1.4744412 1,4597426 Nommant À et 6 la longitude et la latitude hélio- centriques de Neptune, on a ER sin(L — 1) : 4 cos b + R cos (L — 1)? D B'S > € (05 ————— tang (À ane : A . sm$ — ; : sin (b + x); effectuant le calcul, nous avons obtenu pour Neptune Temps moyen Long. hélioc., comptée Latitude hélioc. de Greenwich. de l’équ. app. le 25 oct.à 192% —33°53 1054 B——146 11535 » 26 » » » 39.59 92,9 1 46 11,65 », 27, 2» » D 33 D3 D4,4 1 46 11,85 Il s’en suit que l'opposition de Neptune à dû avoir lieu le 26 octobre 1876 à 1049"347 du temps moyen de Greenwich; à cette époque la longitude hélio- centrique de Neptune, comptée de l’équinoxe apparant était À — 33°53 31,33 et sa latitude héliocentrique 8— — 1°46/11/64; pour réduire cette longitude à l’équinoxe moyen de la même date, il faut retrancher 2*5 de la longitude afin d'éliminer la nutation. D'après les tables de M. Newcomb la longitude du noeud ascendant de Neptune était de 130°7°32” au commencement de Pan 1850, comptée de léquinoxe moyen de la même époque; elle diminue chaque année de 10,5; depuis le 1876 elle à diminué 1° janvier 1850 jusqu'au 26 oct. de 440"; la l’a précession Bulletin de l’Académie Impériale 224 99! 22 augmentée de 28"; ainsi le 28 octobre 1876 à 10/49"34°7 t. m. de Gr. elle était égale à 130°25'20”; la différence de la longitude héliocentrique de la pla- nète et de la longitude de son noeud descendant s'élevait à — 83°28,5 — D, la latitude australe étant 1°4611,64. Soit à l’inclinaison de l'orbite de Neptune sur l’écliptique; on a nn: tangf tang = = TT): sin (è—$) = 2 sin° (45°—1D). Nous trouvons ainsi que le 26 octobre 1876 l’in- clinaison de Porbite de Neptune sur lécliptique était égale à 1°46/53/16; les tables de M. Newcomb don- ve pour cette époque linclinaison 1746753, sin ? COSB. 03,26:10ceS tables sont donc parfaitement d'accord avec les obser- vations. De l'influence des nerfs dépresseurs sur la quantité de la lymphe. Par W. Véliky. (Lu le 5 avril 1877.) (Travail exécuté dans le laboratoire physiologique de l’Académie des sciences de St.-Pétersbourg.) L'influence des nerfs sur la quantité de la Iymphe n'était pas connue du tout presque jusqu'au dernier M. Paschutin a voulu approfondir cette question et il est arrivé à des résultats négatifs. Dans son travail de 1873 il s'exprime ainsi: «Hieraus ist zu schliessen, dass die Lymphbildung an den Orten, an welchen sie durch die passive Bewegung der Glieder eingeleitet wird, unabhängig von dem Zuthun der nervôsen Centralorgane auftreten kann. Zu weit würde man dagegen gehen, wenn man aus meinen Versuchen schliessen wollte, dass die Lymphe auch unabhängig von der Nervenerregung abgesondert werde.» Il pré- tend que la lymphe est un produit de sécrétion et non de filtration, comme c’est déjà depuis longtemps dé- montré. Il prétend de même que le curare augmente la quantité de la lymphe en vertu d’une force spéci- fique. Ranvier?) encore en 1869 a démontré qu'en liant la veine fémorale et en coupant le n. sciatique on amène une plus grande quantité de la lymphe dans le membre inférieur. Emminghaus”) en 1874 à répété le même fait et est arrivé au même résultat. Sans la temps‘). 1) Arbeiten aus der physiolog. Anstalt zu Leipzig 1873. 2) Ranvier 1869. Comptes-rendus de PAcadémie des sciences. 3) Emminghaus. Arbeiten aus der physiologischen Anstalt zu Leipzig 1874. Tarchanoff. 525 section du nerf le résultat est nul. M. de Tarchanoff en répétant les expériences de M. Drosdoff sur la destruction des globules blancs par le curare est ar- rivé à des résultats bien différents de ceux de M. Dros- doff et a déduit des ses expériences des conclusions d’une grande portée contre les vues de M. Paschu- tin sur les conditions de ja formation de la lymphe. M. Drosdoff à agi par le curare de deux manières sur les globules blancs hors de l’organisme et dans organisme de la grenouille en lui injectant une faible solution de curare. Dans le premier cas il voyait dis- paraitre les globules blancs et dans le second en ana- lysant le sang des grenouilles avant et quelques jours après l'injection il voyait diminuer sensiblement la quantité de globules blancs et disparaitre complète- | ment. M. Tarchanoff a observé que cette action de- structive du curare n'appartient pas à tous les échan- tillons de curare, et que c’est un cas bien assez rare, parce que de quatre échantillons qu'il avait, deux seu- lement ont produit cet effet. M. Tarchanoff en cura- risant les grenouilles et en les laissant dans une chambre fraiche pendant quelques jours et en analysant le sang sous le microscope n’a pu jamais constater la com- plète disparition des globules blancs, quoique leur quantité diminuät sensiblement. En même temps il a donné son attention à un fait, qui a été observé avant lui par Bidder. Quand on laisse une grenouille curarisée quelque temps dans une chambre fraiche et puis on la pend la tête en bas, alors on voit le sac sublingual rempli de la lymphe et dans quelques cas une telle quantité de lymphe y afflue qu'elle ne peut plus refluer, si même on met la grenouille horizontal- lement. En analysant cette lymphe sous le microscope M. de Tarchanoff y a trouvé une masse des glo- bules blancs, dès lors il a soupconné, que peut-être cette accumulation des globules blancs dans les sacs lymphatiques et la diminution de leur quantité dans le sang est en rapport direct entre eux, et que dans cette expérience, comme le curare tient les petites artères dilatées survient une plus grande tension dans les petites artères et une affluence du sang aux capil- laires et aux veines, ce qui est une des conditions es- sentielles à la transsudation de la lymphe. En voulant vérifier cette idée M.Tarchanoff a détruit la moelle chez les grenouilles non curarisées, il a recu la même accumulation de la lymphe. Et quoique la préssion des Sciences de Saint-Pétersbourg. 526 diminuat dans les grandes artères, dans les petites ar- tères elle était plus grande qu'auparavant, avant l’ad- ministration de curare. D’après cette manière de voir, il est facile à expliquer les faits observés par Ranvier et Emminghaus, en coupant le nerf sciatique on pro- duit une paralysie des petites artères et dès lors la pression sanguine monte dans les petites artères, de là l’affluence d’une plus grande quantité du sang dans les capillaires et dans les veines et la plus grande transsudation de la lymphe du sang dans les voies lymphatiques. Dans l’organisme animal on trouve des nerfs qui dilatent les petites artères, et cet effet est localisé pour quelques nerfs, j'ai résolu de faire quelque expé- riences à ce sujet avec les nerfs dépresseurs du coeur, qui dilatent les artères mésentériques et intestinelles. Les animaux que j'ai préférés pour ces expériences étaient le lapin et le chat. Comme j'avais en vue la plus grande affluence du sang aux vaisseaux mésen- tériques et intestinaux, il faHait bien mesurer la quan- tité de la lymphe qui coulait du ductus thoracicus, voilà pourquoi j'ai fixé la canule dans ce conduit lym- phatique. : Mode d'expérience, On a fait trachéotomie à un lapin où à un chat, on les a curarisés jusqu'à la complète abolition des mouvements reflexes et on leur fait la respiration ar- tificielle avec un soufflet, mu par un électro-aimant d’une manière uniforme. Ces préparatifs faits on dé- couvrait la veine jugulaire externe gauche et avec une aiguille à préparation en tenant la veine jugulaire sur la ligature on arrivait jusqu'à son bifurcation avec la subelavia et anonyma: dans l’angle formé par V. ano- nyma et subclavia se trouvait presque toujours le duc- tus thoracicus facile à préparer, j'ai dit presque, parce que quelquefois il passe non pas dessous, mais au- dessus de la subelavia et entre assez haut dans la veine jugulaire, cette anomalie se répète souvent chez les chats et chez les lapins, Ayant trouvé le ductus tho- racicus on procède de la manière ordinaire pour y fixer une petite canule en verre, à laquelle est ajouté par un morceau de tube en caoutchouk un tube en verre divisé en 0,01 de cent. cub. et placé horizonta- lement. Deuxième mode de fixer la canule est celui-ci; on met les ligatures sur la veine jugulaire externe sur la veine anonyme et sur la subclavia, alors la lymphe 025 Bulletin de l'Académie Impériale o?s 0 s’accumule dans ces trois tronçons des veines, et si on met la canule dans la veine jugulaire, alors la lymphe coule tout à-fait pure, si on laisse écouler les premières portions, c’est plus commode, parce que on ne craint pas de déchirer le d. thoracicus. Puis on coupe les pneumogastriques et les dépresseurs et on prend les bouts centraux sur des ligatures. Chez le chat il est indispensable de prendre le vague et le dépresseur gauche, chez le lapin on ne prend que les dépresseurs, parce que l’effet dépresseur du bout central du vague chez le lapin est très inconstant, mais chez le chat pour le vague gauche il est constant (Roever) ?. La plèvre est toujours déchirée. Le courant de la bobine inductrice de Dubois est sensible à la langue. En méme temps le nerf crural est préparé. Les animaux étaient en partie nourris, en partie ils étaient sans nourriture pendant trois jours avant l'expérience. Comme lexci- tation du nerf dépresseur peut se produire presque trois minutes, on peut l’exciter pendant trois minutes, mais dans la première série de mes expériences je ne l'excitais qu'une minute. Avant l’expérience on peut si bien régulariser l’insuflation de l'air dans les poumons que la lymphe s'arrête dans le tube gradué, si dans ce cas-là on commence à exciter ou le vague ou le dé- presseur, on voit deux ou trois secondes après le com- mencement de l'excitation affluer la lymphe dans le tube, le minimum pendant une minute est 0,1 de Cf. cube, si on continue à produire l'excitation encore pendant une minute, l’affluence augmente, et J'ai eu un cas, où la quantité de la lymphe en deux minutes s’é- deva jusqu'à 0,5 Cet. cube, dès que je cessais lexci- tation, la lymphe s’arréta presque aussitôt, une nou- velle excitation renouvela son mouvement progressif. Ces expériences ont été produites sur les chats., sur les lapins, on avait une plus minime quantité de la lymphe, quoique le phénomène fût le même. Ces ex- périences ont été répétées plusieurs fois par moi avec l'assistance de mon ami Istomine et ont mené tou- jours aux mêmes résultats. Dès lors je me suis ex- pliqué ce phénomène de la manière analogue à celle de l'explication de M. de Tarchanoff pour le curare, c’est-à-dire qu'avec la dilatation des petites artères évoquée par l'excitation du nerf déprésseur augmente 4) Roever. Kritische und experimentelle Untersuchungen des Nervencinflusses auf die Erweiterung und Verengerung der Blut- gefisse. Rostock. l'affuence et la pression du sang artériel dans les pe- tites artères intestinelles et mésentériques dilatées par le nerf déprésseur et comme conséquence de cette augmentation de la pression artérielle dans les petites artères vient l'augmentation de la pression et Paf- fluence du sang dans les capillaires et dans les veines, ce qui amène une transsudation abondante de Ta Iymphe | dans les voies Iymphatiques. Pour démontrer que nous avons ici une plus grande pression dans les veines, une petite veinule m'a servi sur laquelle j'oubliais parfois de mettre la ligature. Cette veinule se trouve près de la veine souselavière, Avant lPexcitation il n’y a pas du tout d'hémorragie, mais dès que je commence à ex- citer le bout central du n. vague ou le dépresseur de chat ou de lapin que le sang commence à couler abon- damment de cette veinule. D’après cette manière de voir on pouvait très bien supposer que l'excitation d’un nerf sensitif qui amène la constriction des petits vaisseaux artériels devra diminuer où même arrêter l’écoulement de la lymphe, ce qui en effet a eu lieu pendant lPexei- tation du nerf erural et même dans le cas où l'animal n’était pas tout-à-fait complètement curarisé et qu'il faisait de tous petits mouvements avec les pieds posté- rieurs. On pourrait et on m'a même fait des re- marques que peut-être j'ai affaire ici à la péristaltique des intestins et c’est peut-être la lymphe déjà préparée qui est chassée de voies lymphatiques par les mouve- ments péristaltiques. Là-dessus j'ai fait quelques ex- périences bien simples qui démontrèrent l’inexactitude de cette supposition à savoir. J’excitais le bout cen- tral du vague chez le chat (mis dans les conditions de l'expérience décrites dans le mode d’expérimentation) pendant deux minutes; d’un coup de scalpel j'ouvris les parois abdominaux et je n’apperçus nul mouve- ment péristaltique et seulement bien longtemps après un faible mouvement commença. Du reste il était à attendre, si on consent à des vues proposées dans un travail récent de M. Ottomar Rosenbach”), qui at- tribue les mouvements péristaltiques des intestins à la plus grande veinosité du sang. En excitant les nerfs dépresseurs nous envoyons aux intestins beaucoup du sang riche en oxygène, ce qui d'après Rosenbach, doit arrêter la péristaltique. La deuxième remarque qu'on pourrait me faire, c’est que la dilatation des vaisseaux 5) Rosenbach. Centralblatt 1877 X: 6. 529 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 530 0 sanguins détermine une propulsion de la lymphe déjà préparée, mais comme pendant deux ou trois minutes même de l'excitation la lymphe coule sans s’arrèter, cette supposition n’est pas probable. Un des facteurs seulement peut entrer ici, c’est que le coeur bat un peu plus lentement, toujours dès que le nerf dépres- seur entre en fonction, cela hausse un peu la pression dans les veines. Les expériences nouvelles que j'ai en- treprises tâcheront d’élucider cette question. Indische Erzählungen. Von A. Schiefner. (lu le 15 mars 1877. XI: Die Flucht der Thiere. (Kandjur Band VII Blatt 194.) In längstvergangener Zeit war an dem Ufer eines Sees ein Vilva-Wald; in diesem Walde hielten sich sechs') Hasen auf. Als nun aus diesem Walde ein Vilva- Baum in den See stürzte, verursachte dies einen grossen Lärm. Als die sechs Hasen diesen Lärm vernahmen, fingen sie, da sie einen kleinen Kürper hatten, voll Schreck an davonzulaufen. Es sahen sie die Schakale laufen und fragten: «O Geehrte, weshalb laufet ihr?» Die Hasen antworteten: «Es ist ein Lärm entstanden.» Darauf fingen auch die Schakale an zu laufen. Als die Affen sie laufen sahen, fragten sie: «O Geehrte, weshalb laufet ihr?» Die Schakale antworteten: «Es ist ein Lärm entstanden.» Darauf fingen auch die Affen an zu laufen. Als die Gazellen sie laufen sahen, fragten sie: «O Geehrte, weshalb laufet ihr?» Die Affen antworteten: «Es ist ein Lärm entstanden.» Darauf fingen auch die Gazellen an zu laufen. Als die Eber sie laufen sahen, fragten sie: «O Geehrte, weshalb laufet ihr?» Die Gazellen antworteten: Œs ist ein Lärm ent- standen.» Darauf fingen auch die Eber an zu laufen. Als die Büffel sie laufen sahen, fragten sie: «O Geehrte, weshalb laufet ihr?» Die Eber antworteten: «Es ist ein Lärm entstanden.» Darauf fingen auch die Büffel an zu laufen. Als die Nashorne sie laufen sahen, fragten i) Die Sechszahl ist gewählt worden, weil sie Bezug hat auf die sogenannte Sechsschaar der Bhikshu's, welche in dem Vinajavibhanga in den meisten Fällen als Anlass gebend für die einzelnen Verbote angeführt werden. Es ist also ganz s0 wie mit der Sechszahl der Minister, worüber ich in der Einleitung zu I. Mahaushadha und Viçàkhà gehandelt habe. Tome XXII. sie: «© Geehrte, weshalb laufet ihr?» Die Büffel ant- worteten: Es ist ein Lärm entstanden.» Darauf fingen auch die Nashorne an zu laufen. Als die Elephanten sie laufen sahen, fragten sie: «O Geehrte, weshalb laufet ihr?» Die Nashorne antworteten: Œs ist ein Lärm entstanden.» Darauf fingen auch die Elephanten an zu laufen. Als die Bären sie laufen sahen, fragten sie: «Geehrte, weshalb laufet ihr?» Die Elephanten ant- worteten: «Es ist ein Lärm entstanden.» Darauf fingen auch die Bären an zu laufen. Als die Hyänen sie lau- fen sahen, fragten sie: «Geehrte, weshalb laufet 1hr ?» Die Bären antworteten: «Es ist ein Lärm entstanden.» Darauf fingen auch die Hyänen an zu laufen. Als die Panther sie laufen sahen, fragten sie: «Geehrte, wes- halb laufet ihr?» Die Hyänen antworteten: «Æs ist ein Lärm entstanden.» Darauf fingen auch die Panther an zu laufen, Als die Tiger sie laufen sahen, fragten sie: «Geehrte, weshalb laufet ihr?» Die Panther ant- worteten: Œs ist ein Lärm entstanden.» Darauf fingen auch die Tiger an zu laufen. Als die Lôwen sie laufen sahen, fragten sie: «O Geehrte, weshalb laufet ïhr?» Die Tiger antworteten: «Es ist ein Lärm entstanden.» Darauf fingen auch die Lüwen an zu laufen. An dem Fusse des Berges wohnte ein bemähnter Lüwe, der gleichsam ein Diadem zu haben schien. Als dieser die Lüwen laufen sah, fragte er: «O Geehrte, weshalb laufet ihr alle, obwohl ein jeder von eueh Kraft in den Klauen und Kraft in den Zähnen hat?» Die Lüwen antworteten: «Es ist ein Lärm entstanden.» — «O Ge- ehrte, woher-ist der Lärm entstanden ?» — «Wir wissen es nicht.» Da sagte jener Lüwe: «O Geehrte, laufet, nicht! Es ist zu untersuchen, woher der Lärm ent- standen ist.» Er fragte die Tiger: «Wer hat es euch gesagt?» Die Tiger antworteten: «Die Panther.» Er fragte die Panther: «Wer hat es euch gesagt?» Die Panther antworteten: «Die Hyänen.» Er fragte die Hyänen: «Wer hat es euch gesagt?» Die Hyänen ant- worteten: «Die Bären.» Er fragte die Bären: «Wer hat es euch gesagt?» Die Bären antworteten: « Die Elephanten.» Er fragte die Elephanten: «Wer hat es euch gesagt» Die Elephanten antworteten: «Die Nas- horne.» Er fragte die Nashorne: «Wer hat es euch gesagt?» Die Nashorne antworteten: «Die Büffel» Er fragte die Büffel: «Wer hat es euch gesagt?» Die Büfel antworteten: «Die Eber.» Er fragte die Eber: «Wer hat es euch gesagt?» Die Eber antworteten: «Die Ga- 34 531 Bulletin de l’Académie Impériale 53? zellen.» Er fragte die Gazellen: «Wer hat es euch ge- sagt?» Die Gazellen antworteten: «Die Affen.» Er fragte die Affen: «Wer hat es euch gesagt ?» Die Affen antworteten: «Die Schakale.» Er fragte die Schakale: «Wer hat es euch gesagt?» Die Schakale antworteten: «Die Hasen.» Er fragte die Hasen: «Wer hat es euch gesagt?» Die Hasen antworteten: «Wir haben das Schreckliche mit eigenen Augen gesehen, kommt, wir werden euch zeigen, woher der Lärm entstanden ist.» Sie führten den Lüwen und zeigten ihm den Vilva-Wald mit den Worten: «Von hier ist der Lärm entstanden.» Da nun der Lärm dadurch entstanden war, dass aus diesem Walde ein Vilva-Baum in den See gestürzt war, sprach der Lüwe: «O Gechrte, fürchtet euch nicht, da dies nur ein leerer Lärm war.» So wurden sie alle beruhigt. Eine Gottheit sprach den Vers: «Worten trauend geh’ man nicht, selber muss man alles seh’n; sieh, wie durch den Vilva-Sturz sein Gethier der Wald verlor.» XLI. Der geprellte Schauspieler. (Kandjur VII Blatt 221 — 229) Der Buddbha Bhagavant befand sich in Rädshagrha in Venuvana in Kalandakaniväsa. In Rädshagrha lebten die beiden Nägarädsha’s Girika und Sundara?), durch deren Macht in Rädshagrha die fünfhundert warmen Quellen, die Flüsse, Seen und Teiche von der Gottheit von Zeit zu Zeit reichliche Wasserfülle erhielten und dadurch die Saaten auf das Vortrefflichste gediehen. Als Bhagavant die beiden Nàägarädsha’s Nanda und Upananda gebändigt hatte, kamen diese am achten, vierzehnten und fünfzehnten des Monats zu den Ab- stufungen des Sumeru und bewiesen Bhagavant ihre Verehrung. Dabei dachten die jeiden Nägarâdsha’s Girika und Sundara, dass, da die beiden Nâgarâdsha’s Nanda und Upananda am achten, vierzehnten und fünf- zehnten sich zu den Sumeru-Abstufungen begaben, um Bhagavant ihre Verehrung zu beweisen, sie selbst, da sie an derselben Stelle weïlten, Bhagavant ihre Ver- S=— a 1! 2) À und DRE, für welchen letztern Namen au der Parallel- Dre : sr : stelle AE N'T! vorkommt; nach dem letzteren habe ich die Zurück- übersetzung gemacht, obwohl in der Liste der Nägarädsha’s in Vjutpatti {. 86 dieser Name nicht vorkommt, wohl aber unter denen der Nâgws. ehrung bezeigen müssten. Sie begaben sich also zu Bhagavant, erwiesen mit ihrem Haupt den Füssen desselben Verehrung und liessen sich an einer Stelle nieder, worauf Bhagavant sie in der Zufluchtsuchung und der Grundlage der Lehre festsetzte und sie sich dadurch an ihrem Leib und ihrer Haut sehr ge- hoben fühlten. Sie hatten deshalb die Absicht, sich in den Ocean zu begeben. Sie gingen zu Bhagavant, be- zeigten ihm ihre Verehrung und [22] sprachen also zu Bhagavant: «O Ehrwürdiger, dadurch, dass Bhaga- vant uns in die Zufluchtsuchung und die Grundlage der Lehre eingeführt hat, sind wir an Leib und Haut so sichtlich gehoben worden, dass wir, wenn Bhagavant es genehmigt, uns in den Ocean begeben môchten.» Bhagavant entgegnete: «Q Nâgarädsha’s, da ïhr euch in dem Lande des Magadha-Künigs Bimbisära befindet, so müsset ihr diesen fragen.» Sie dachten, es müsse seinen Grund haben, weshalb Bhagavant ihnen nicht gestatte sich in den Ocean zu begeben. Wenn sie bei Nacht vor Bhagavant erschienen, um ihm ihre Ver- ehrung zu bezeigen, geschah dies in Umgebung der Gütterbehausung *), kamen sie aber bei Tage, so hatten sie das Aussehen von Hausbesitzern. Darauf begab sich der Magadha-Kônig Bimbisära nach Venuvana nach Kalandakaniväsa. Aus Kshattrija-Stolz machte der Künig unterwegs Halt und sprach zu einem niede- ren Mann: «He, Mann, geh° und sieh nach, wer dem Bhagavant seine Verehrung bezeigt.» Der niedere Mann gehorchte dem Befehl des Kônigs, begab sich dahin, wo Bhagavant sich befand und sah, dass es zwei Hausbesitzer waren, welche Bhagavant ihre Verehrung bezeigten. Dies meldete er dem Kôünig mit dem Be- merken, dass [222] diese ohne Zweifel in seinem Lande wohnten. Der Künig meinte, dass diese beiden Haus- besitzer, wenn sie in seinem Lande wohnten, wohl bei seinem Anblick sich erheben würden, und begab sich dahin, wo Bhagavant sich befand. Die beiden Nâga- raädsha’s erblickten ïhn schon von ferne und fragten Bhagavant : «O Ehrwürdiger, wie ist es? Sollen wir nun dem trefflichen Gesetze Verehrung bezeigen oder dem Künig?» — «Q Nàgarädsha’s, nun bezeiget 1hr dem trefflichen Gesetze Verehrung. Die Buddha Bhagavants bezeigen dem trefflichen Gesetze Verehrung und auch die Arhant’s achten das Gesetz hoch» Dieselben Worte 3) S. Childers, Dictionary of the Pali language unter dem Worte Vimäna. 533 wiederholte er in Versen. Da unterliessen es die bei- n A , . Fadnite | den Nâgarâdsha's sich vor dem Künige zu erheben, der Künig gerieth in Zorn darüber, dass die beiden in seinem Lande ansässigen Hausbesitzer nicht aufgestan- den waren, und nachdem er mit seinem Haupte den Füssen Bhagavant’s seine Verehrung bezeigt hatte, liess er sich an einer Stelle nieder und bat Bhagavant ihm die Lehre vorzutragen. Bhagavant sprach folgende Verse: «Von den ausser sich Gerathenen, durch Zorn Aufgeregten kann die vom vollendeten Buddha vorge- tragene treffliche Lehre nicht erfasst werden; wer sündhaftes Beginnen eingestellt, die Aufregung besei- tigt und die Leidenschaftlichkeit aufgegeben hat, der- jenige wird die trefflichen Worte erfassen.» Da dachte der Künig, dass Bhagavant es mit den beiden Haus- besitzern halte und ihm deshalb die Lehre nicht vor- trage, bezeigte ihm deshalb seine Verehrung und begab sich von dannen. Als er Venuvana verlassen hatte, befahl er seinen Dienern: «Sobald jene beiden Haus- besitzer von Bhagavant fortgehen, so meldet ihnen in des Künigs Namen, dass sie nicht im Lande bleiben dürfen.» Als die Diener den Befehl des Künigs ver- nommen hatten, blieben sie dort und richteten, als die beiden Nâgarâdsha’s zum Vorschein kamen, den Befehl des Künigs aus. Als die beiden Nâgarädsha’s sahen, dass ihr läingst gehegter Wunsch erfüllt war, erzeugten sie auf der Stelle einen mächtigen Wasserstrahl und begaben sich in kleine Canäle, aus den kleinen Canälen in grosse, aus den grossen Canälen in kleine Flüsse, aus den kleinen Flüssen in grosse Flüsse, aus den grossen Flüssen in den Ocean. Als beide nun in den Ocean gelangt waren, waren sie an Leib und Haut noch weit mehr gehoben. Allein zu derselben Zeit fingen in (223] Rädshagrha die fünfhundert warmen Quellen, die Flüsse, Seen und Teiche, da ihnen die Gottheit nicht von Zeit zu Zeit Wasserfülle sandte, an zu ver- trocknen und die Saaten fingen an zu verkommen. Da bedachte der Künig, dass durch die Macht der beiden Nâgarädsha’s die Gewässer stets an Wasser Fülle gehabt hatten und da dies nun nicht mehr der Fall war, meinte er, ob nicht vielleicht die beiden Nâgarädsha’s gestorben, fortgezogen oder von eimem Schlangenbeschwürer eingefangen worden seien. Er beschloss sich darüber Auskunft bei Bhagavant dem Allwissenden zu holen [22%*l. Bhagavant sagte, dass die beiden Nâgarâdsha's weder verkommen, noch gestor- des Sciences de Saint-Pétersbourg. © | ben. noch entwichen, noch von einem Schlangenbeschwü- 534 rer eingefangen, sondern von ihm selbst des Landes verwiesen seien. — © Ehrwürdiger, ich habe die beiï- den Nâgarädsha’s Girika und Sundara, so viel ich mich erinnere, nicht gesehen, geschweige denn verbannt. —«O grosser Künig, ich werde die Sache dir in Er- innerung bringen.» Er theilt ihm darauf mit, dass jene beiden Hausbesitzer, welche er des Landes ver- wiesen hatte, eben jene Nâgarädsha’s gewesen waren und räth ihm, um seinem Lande aufzuhelfen, sie um Verzeihung zu bitten. Als der Künig bemerkt, dass er nicht im Stande sei dies zu thun, da jene sich in den Ocean begeben hätten, bedeutet Bhagavant ihm, dass sie am achten, vierzehnten und fünfzehnten kä- men, um jihm ihre Verehrung zu bezeigen; wenn er ihnen dann die Lehre vortrüge [224], sollte er sie um Verzeihung bitten. — «O Ehrwürdiger, wie soll es sein? Soll ich die Füsse jener beiden berühren!» — Nein, o grosser Künig, dies thun Menschen niederer Stellung, welche die Hand der Hühergestellten ergrei- fen; du aber wirst deine rechte Hand ausstrecken und zu den beiden Nâgarädsha’s sprechen: «Verzeihet !» Als darauf der Künig mit den beiden Nägarädsha’s bei Bhagavant zusammentrifft, befolgt er dessen Vorschrift und erhält die erbetene Verzeïhung. «O Nâgaràdsha’s, wenn ihr mir Verzeihung gewährt habet, so kehret in mein Land zurück.» — Sie entgegneten, dass sie es nur dann thun würden, wenn er zwei Tempel errich- tete, den einen für Girika, den andern für Sundara und in dieselben die nôthige Bedienung setzte, alle sechs Monat aber ein Fest veranstaltete, an welchem sie selbst erscheinen würden und bewirthet werden sollten (221, Der Künig kommt diesem Befehle nach, errichtet die beiden Tempel, den einen für Girika, den andern für Sundara, und veranstaltet alle sechs Monat ein Fest. Wenn dieses Fest stattfand, versam- melten sich aus den sechs grossen Städten zahlreiche Menschenschaaren. Einstmal langte auch aus dem Sü- den ein Schauspieler an und in der Absicht etwas aus- findig zu machen, wodurch er die Menschenschaaren erfreuen, selbst aber grossen Gewinn erzielen künnte, hoffte er beides zu erreichen, wenn er den vorzüglich- sten der Männer verherrlichen würde. Da nun aber damals die Menschenschaaren voller Glauben an Bha- gavant waren, wollte er diesen zum Gegenstand der Ver- herrlichung machen, begab sich zu Nanda und sprach: 34* 535 Bulletin de l’Académie Impériale 536 «Ebrwürdiger, als Bhagavant als Bodhisattva in der Tushita-Region verweilend die fünf Erwägungen rück- sichtlich der Kaste, des Geschlechts, des Landes, der Zeit und des Weibes angestellt und die sechs Kâmà- vatschara-Gütter dreimal die Läuterung hatte vorneh- men lassen und in Gestalt eines Elephanten wissentlich den Mutterleib bezog, erbebte die grosse Erde stark und wurden die Weltregionen, welche das Sonnen- und Mondlicht nicht geniessen und deshalb von der grüss- ten Finsterniss erfüllt sind, von dem grüssten Glanz erhellt (2251 und als die Wesen, die sonst die eigene Hand, wenn sie sie ausstreckten, nicht sehen konnten, durch dieses Licht nun einander erblickten, sagten sie: «O Geehrte, es sind hier auch andere Wesen ge- boren.» Als Bhagavant der Bodhisattva nach Ablauf von zehn Monaten aus dem Mutterleib geboren wurde, erbebte ebenfalls die grosse Erde und erfolgte der helle Lichtglanz. An welchem Tage Bhagavant der Bodhisattva geboren wurde, an demselben Tage wur- den auch vier grossen Künigen Sühne geboren: und zwar in Crâvasti dem Kôünige Aranemi Brahmadatta, der weil bei der Geburt des Sohnes die ganze Welt von dem Glanze erfüllt war, ihn Prasenadshit ‘) be- nannte. In Râdshagrha wurde dem Künig Mahäpadma ein Sohn geboren, den er, weil bei seiner Geburt die Welt wie durch den Aufgang der Sonnenscheibe er- hellt wurde und er der Sohn der Künigin Bimbi war, Bimbisära nannte. In Kaucämbi wurde dem Künige Catänika ein Sohn geboren, den er, weil die Welt wie durch den Aufgang der Sonne erhellt worden war, Udajana nannte. In Videha wurde dem Künige Anan- tanemi ein Sohn geboren, den er, weil bei seiner (Ge- burt die Welt sehr erhellt worden war, Pradjota nannte. An dem Tage, an welchem Bhagavant der Bodhisattva geboren wurde, wurden auch fünfhundert Çàkja-Sühne: Bhadrika u. s. w., fünfhundert Aufwärter: Tshhanda u. s. w. geboren, von fünfhundert Stuten fünfhundert Füllen Kanthaka u. s. w. geworfen, und von den Gôttern fünfhundert Schätze angewiesen. Von den der Zeichen kundigen Brahmanen wurde vor- hergesagt in Betreffe Bhagavants des Bodhisattva’s: Verbleibt der Prinz in dem Palaste, so wird er ein die vier Weltgegenden besiegender Tshakravartin, ein nach dem Gesetze regierender und mit den sieben Kleino- 4) Vergl. meine Anmerkung 8 zu der tib. Lebensbeschreibung Càkjamunrs. dien, dem Kleinod des Tshakra, des Elephanten, des Rosses, des Edelsteins, des Weibes, des Hausbesitzers und des Feldherrn ausgestatteter Künig, dem ein vol- les Tausend heldenmüthiger, überaus schôner und die Heere der Widersacher besiegender Sühne geboren werden und unter denen die gesammte grosse Erde bis zum Ocean ohne Schaden und Gefährdung, ohne Strafen und ohne Waffengewalt im Einklang mit dem Gesetze und in Gemüthsruhe leben wird. Verlässt er aber, nachdem er Haar und Bart geschoren und ein dun- kelbraunes Gewand angelegt hat, von Glauben erfüllt das Haus und tritt er in den geistlichen Stand, so wird er in der Welt den Ruhm eines Tathägata, Arhants und gänzlich vollendeten Buddha’s erlangen. Zu der Zeit als Bhagavant der Bodhisattva geboren wurde, ward es überall bekannt, dass am Ufer des Flusses Bha- girathi am Abhange des Himavant nicht sehr weit von der Einsiedelei 226] des Rshi Kapila ein Çâkja-Prinz geboren sei und dass die zeichenkundigen Brahmanen solche Vorhersagungen verkündet hätten. Als die Kü- nige der Erde davon hürten, bedachten sie, dass wenn sie den Prinzen hochhielten, sie den Vortheil davon haben würden, und, wenn sie den Künig Suddhodana chrten, der Prinz dadurch geehrt würde, und fingen an dem Künig Suddhodana Ehre zu erweisen und ihm zeitgemäss Boten und Schatzkästchen zu senden. Da bedachte der Künig Suddhodana, dass da bei der Ge- burt seines Sohnes alle Angelegenheiten in allen En- den zu Stande gekommen seien, der Sohn den Namen Sarvärthasiddha erhalten müsse und benannte ihn also. Als der Prinz geführt wurde um dem Çäkja-Gotte, dem Jaksha Cäkjavardha, seine Verehrung zu bezei- gen, er aber von ihm, dem Cäkja-Mächtigen, verehrt wurde, erhielt er den Namen Çäkjamuni und Gôtterober- gott (Devâtideva). Als Bhagavant der Bodhisattva in allen Wissenschaften Vollendung erreicht und in dem Jugendspiel sich vergnügt, dann aber Alter, Krank- heit und Tod erblickt hatte und sein Gemüth erschüt- tert war, zog er in den Wald und befleissigte sich sechs Jahre der Bussübungen. Zu der Zeit wurden alltäglich 250 Männer gesandt, welche des Künigs Suddhodana und Suprabuddha’s Worte meldeten und täglich Bhagavants des Bodhisattva Worte holten. Als Bhagavant der Bodhisattva sechs Jahre lang Busse geübt hatte und zur [226*l Einsicht gelangt war, dass sie nichts nütze, wollte er sich zur Genüge erholen und 53% des Sciences de Saint-Pétersbourg. 538 mo nahm Reisbrei, warme Speise in reichlichem Maasse zu | übermässig erhellt wurden, so dass die dort geborenen sich, salbte seinen Kürper mit geschmolzener Butter und Ü, badete ihn in warmem Wasser und als er nach dem Dorfe Senâni gelangte, gaben ihm die Dorfmäd- chen Nandà und Nandabalû 16 mal geläuterte Milch mit Honig gemischt, der Nägarädsha Kälika pries ihn, von dem Svastika-Gras-Verkäufer nahm er Gras mit goldener Farbe entgegen und, nach Bodhimanda ge- langt, nachdem er sich seinen Sitz von unzerstürbarem Grase eingerichtet, mit untergeschlagenen Beinen sich hingesetzt und den Kürper gerade gerichtet, seine Erin- nerung angestrengt hatte, sprach er mit bewegtem Gemüth: «Bevor ich nicht Sündlosigkeit erlangt habe, gebe ich meine sitzende Stellung nicht auf» Wie dann Bhagavant der Bodhisattva, nachdem er in der Mitter- nachtszeit durch das Rad der Milde Mära mit einer Schaar von 360 Millionen Dämonen gebändigt hatte, die allerhôchst vollendete Einsicht erreicht hat, alles dies geruhe mir ausführlich zu erzählen». Nanda fragte : «Wozu hast du es nüthig?» Der Schauspieler antwor- tete: «O Ehrwürdiger, ich will ein Schauspiel verfas- sen.» Nanda sagte: «Elender, willst du, dass wir dir den Lehrer abbilden! Geh fort, da ich dir nichts mit- theilen werde.» Darauf begab sich der Schauspieler zu Upananda, erhielt jedoch von diesem denselben Be- scheid, ebenso, als er sich an Açuga, Revata, Tshhanda und Udajin gewandt hatte. Darauf begab sich der Schauspieler dahin, wo sich die Zwülfschaar der Bhikshuni’s befand. Zuerst wandte er sich an Sthüla- nandà. Als diese ihn gefragt, wozu er dessen bedürfe, und er gesagt, dass es zu einem Schauspiel sei, fragte sie, ob er ihr für ihre Mühe einen Lohn geben werde. Er sagte [227] ïhr denselben zu. Da Sthülanandà sehr gelehrt war und das Tripitaka inne hatte, theilte sie ihm aus dem Abhinishkramana-Sûtra alles ausführlich mit, wie Bhagavant der Bodhisattva in der Tushita- region weilend die fünf Erwägungen angestellt in Be- _treff der Kaste, des Geschlechts, des Landes, der Zeit und des Weibes und nachdem er diese Erwägungen angestellt und die sechs Kämävatshara-Gütter dreimal die Läuterung hatte vornehmen lassen, in einen Ele- phanten verwandelt wissentlich den Mutterleib bezogen, wobei die grosse Erde stark erbebte und die Zwischen- räume der Welt, wo Sonne und Mond als grosses Wun- der gelten und dadurch, dass man ihr Licht dort nicht geniesst, die Finsterniss überaus gross ist, von neuem Wesen, welche ihre eigne Hand, wenn sie dieselbe ausstreckten, nicht zu sehen vermochten, als sie durch dieses Licht einander erblickt hatten, ausriefen: O Gechrte, es sind auch andere Wesen hier geboren. Von da an erzählte sie alle Begebenheiten bis zu der Zeit, als Bhagavant der Bodhisattva in der Mitternacht Mära sammt seiner Umgebung von 360 Millionen Dämonen durch die Kraft der Milde besiegte und die aller- hôchste Einsicht erreichte. Darauf verfasste der Schau- spieler sein Schauspiel und, da er wusste, dass er da- durch in der Masse der Gläubigen den Glauben noch erhôhen konnte, sann er nach, wie er auch in den Nichtgläubigen den Glauben wecken künnte, und da er der Sechsschaar des Bhikshuw’s grollte und einen Vor- wurf suchte, ging er ihnen nach. Nun hatte der À jush- mant Tshhanda Nahrung zu sich genommen und sie stehen lassen und in der Hoffnung, falls er süsse Speise finde, dieselbe zu verzehren seine Hände gewaschen und als 227#] À jushmant Udajin solche sich verschafft hatte, setzte er sich vor ihm mit untergeschlagenen Beinen hin und bat ihn seiner zu gedenken. «ch der Bhikshu Tshhanda habe Nahrung genossen, sie aber stehen lassen, da ich vüllig gesättigt war, allein da ich eine Speise finde, wünsche ich zu essen und bitte dich mir etwas übrig zu lassen.» Udajin sagte, nach- dem er von dort zwei bis drei Bissen genossen hatte: «Nimm und geh.» Als der Schauspieler dies gehôürt hatte, dachte er, dass er damit auch die Nichtgläubi- gen gläubig machen künnte. Da spannte dieser Schau- spieler in Ràâdshagrha an dem Tage, wo das Fest der Nâgarädsha’s Girika und Sundara gefeiert wurde, ei- nen Baldachin aus und schlug die Pauke, und als eine grosse Menschenmenge sich versammelt hatte, stellte er die obengenannten Begebenheiten aus dem Leben Bhagavants in Übereinstimmung mit dem Abhinishkra- manasûtra in einem Schauspiel dar, so dass die Dar- stellenden und die Menschenschaaren um so gläubiger wurden und Laute des Beifalls ertünen liessen, er aber grossen Gewinn davon hatte. Um nun auch in den Nichtgläubigen Glauben zu erwecken, liess er darauf einen Schauspieler in Gestalt Udajin’s, einen anderen in Gestalt Tshhanda’s auftreten und füllte ein Gefäiss mit Asche, auf welche er zwei bis drei Zucker- stücke legte. Vor denjenigen, welcher den Udajin dar- stellte, setzte sich der andere mit untergeschlagenen 539 Beinen hin und sprach: «Ehrwürdiger Udajin, ge- denke mein, ich bin der Bhikshu Tshhanda und habe mein Essen stehen lassen, da ich vüllig satt war, allein, da ich Speisen finde, will ich essen und bitte dich mir etwas übrig zu lassen.» Derjenige, der den Udajin vorstellte, verzehrte darauf die zwei oder drei Zucker- stücke und schüttete die im Gefässe befindliche Asche | auf den Kopf desjenigen, welcher den Tshhanda dar- stellte und sprach: «Nimm und geh.» Die Menschen- schaaren brachen in ein lautes Gelächter aus, auch die Nichtgläubigen wurden gläubiger und nannten es ein tolles Stück, der Schauspieler aber hatte grossen Gewinn. Als nun durch die Gespräche der Leute auch die Sechsschaar erfahren hatte, dass der Schauspieler sie dargestellt habe, beschlossen sie ihm eine Unan- nehmlichkeit zu bereiten und sich mit den Bhikshunï’s zu berathen. Sie begaben sich also zu der Zwülfschaar und fragten [22%], ob sie von dem von ihnen verfassten Schauspiel aus dem Leben des Bodhisattva Namens Kuru noch etwas in der Erinnerung behalten hätten. Als sie darauf zusammen in den Lusthain gingen und es sich erwies, dass sie auch nicht das Geringste ver- gessen hatten, schafften sie sich aus dem Palaste des Kôünigs Schmuck und Gewänder, spannten nicht weit von jenem Schauspieler den Baldachin aus, Upananda hüllte sein Haupt in ein Tuch und schlug die Pauke; es kam eine grosse Menschenmenge herbei, darunter auch jener Schauspieler, der ein gôttliches Schauspiel zu sehen glaubte und der Ansicht war, dass Gütter, Nâga’s, Jaksha’s, Gandharba’s, Kinnara’s oder Mahora- ga’s dasselbe darstellten: derartig war sein Staunen. Als nun die Sechsschaar, nachdem sie das Spiel be- endigt und die Gewänder ausgezogen hatte, davon ging, folgte ihnen der Schauspieler nach, um zu ermitteln, wer sie seien. Als sie nun voran gingen, wartete der Schauspieler am Eingange. Als Udajin, dessen Ohren wie mi Auripigment eingeschmiert zu sein schienen, hervortrat, fragte ihn der Schauspieler, ob er das Schauspiel dargestellt habe. Udajin sagte, dass sie ihm auf diese Weise Unannehmlichkeiten bereiten wollten. «Du Elender, du lebst durch unsere Kunst, und da du uns dargestellt hast, werden wir uns überall dorthin begeben, wo du Darstellungen g'ebst und dir zum Ârgerniss sein; wir brauchen keine Pauke und keine fremden Geräthschaften uns anzuschaffen.» Der Schau- spieler bat um Verzeihung, da er ja davon Jebe, Uda- Bulletin de l’Académie Impériale 540 jin verlangte zu diesem Behufe, dass der Schauspieler ihm die ganze Einnahme abtrete, worauf dieser aus Furcht vor fernerer Beeinträchtigung einging. XLII. Mahâkàçjapa und Bhadrà, (Kandjur Band IX Blatt 26—42.) Als Bhagavant in der Tushita-Region verweilte, lebte in der Stadt Njagrodhika ein überaus vornehmer Brah- mane Namens Njagrodha von so grossem Vermôügen, dass er an Reichthum dem Vaiçravana gleichkam. Er besass 16 Sclavendürfer, 30 Ackerbaudôürfer, 60 Ge- müsegärtendürfer, 999 Paar Pflugochsen, 60 Koti Gold und 80 goldne Ohrenschmucke, die es mit denen des Künigs Mahâpadma aufnehmen konnten. Er hei- rathete eine ebenbürtige Frau, allein die Ehe blieb ohne Kinder. Um Nachkommenschaft zu erlangen flehte er alle Gütter an, jedoch ohne Erfolg. Als er nun betrübt da sass, rieth ihm seine Mutter, dass er sich im Lusthain an die Gottheit des mit vorzüglicher Krone und weitreichenden Zweigen ausgestatteten, laubreichen Njagrodha- Baumes, nach welchem die Stadt ihren Namen hatte [27], wenden solle. «Auch dein Vater war, obwohl er zu vielen hunderttausend Gôttern um Nachkommenschaft gefleht hatte, kinder- los geblieben. Da ging er zu jenem Njagrodha-Baum und, nachdem er ihn angefleht hatte, wurdest du ge- boren und deshalb ward dir der Name Njagrodha ge- geben. Da nun auch du kinderlos bist, musst du ebenso verfahren.» Es begab sich nun auch Njagrodha zu je- nem Baum, liess den Umkreis desselben besprengen und reinigen, schmücken, mit Wohlgerüchen, Blumen, Räucherwerk füllen, Standarten und Fahnen aufstel- len *). Nachdem er -darauf 800 Brahmanen gespeist und ihnen Stoff zu Gewändern gegeben batte, flehte er zu der im Baum wohnenden Gottheit: «Geruhe mir 5) In Band VI des Kandjur Blatt 280* giebt Bhagavant die Weisung, dass falls es durchaus nothwendig sei einen Baum zu fällen, der Werkmeister der Bhikshu’s sieben oder acht Tage vor dem Fällen des Baumes ihn mit einem Kreise umziehen, Wohl- gerüche, Blumen und Streuopfer spenden, Tantra’s herlesen, Segen- sprüche hersagen, die Verabscheuung der Pfade der zehn Untugen- den verkünden und also sprechen solle: «Die in diesem Baume woh- nende Gottheit suche sich einen andern Wohnsitz, mit diesem Baum soll entweder ein Tshaitja-, ein Religions- oder ein Werk der Geist- lichkeit ausgeführt werden.» Sieben oder acht Tage darauf ist dann der Baum zu füllen. Ist aber eine Veränderung sichtbar, so soll er nicht niedergehauen werden; ist keine Ssichtbar, so kann er cefallt werden, 541 einen Sohn zu verleihen, Wird mir ein Sohn geboren, so werde ich im Lauf eines Jahres auf solche Weise dir maasslose Verehrung erweisen; wird mir aber kein Sohn geboren, so werde ich dich bis auf das Maass der Rohini ‘)-Wurzel zerspalten, in Späne hauen und diese, wenn sie durch Wind und Sonne gedürrt sein werden, verbrennen, ihre Asche aber entweder in den Sturm-Wind sieben oder in den reissenden Strom streuen.» Die Gottheit, welche von geringer Macht war, hatte zwar ihre Freude an dieser Bitte, anderer Seits fürchtete sie, dass sie aus ihrem Wohn- sitz vertrieben werden künnte und begab sich, da sie bei den vier Mahärâdsha’s in Gunst stand, zum Ma- hârâdsha Râshtrapala und bat ihn Njagrodha’s Bitte zu erfüllen. Dieser bedachte, dass er dieses nicht ver- môge, da die Geburt von Sühnen und Tôchtern nur in Folge früherer Thaten stattfinde, und begab sich mit der Gottheit des Baumes zu Virüdhaka, zu Virü- pâksha und zu Vaiçravana, welche ebenfalls ihre Ohn- macht kundgaben. Darauf begaben sich die vier Ma- hâràdsha’s zu dem Gôütterfürsten Çakra und sprachen: «O Kaucika, es steht eine zu unserer Umgebung ge- hôrige Gottheit in Gefahr aus ihrem Sitze vertrieben zu werden, deshalb geruhe du dem vornehmen Brah- manen der Stadt Njagrodhika, Njagrodha, einen Sohn zu verleihen.» Çakra entgegnete, dass er nicht im Stande sei irgend einen Sohn oder eine Tochter zu ver- leihen, da Sühne und Tôüchter in Folge der eignen Verdienste geboren würden. Da wurde der Gôtterhof durch einen grossen Glanz erhellt, bei dessen Anblick Gakra die vier Mahärâdsha’s aufforderte noch nicht fortzugehen, da ohne Zweifel nun Mahäbrahma er- scheinen werde. Da erschien Mahäbrahma in Jugend- fülle mit den fünf Haarbüscheln einer Jungfrau und nahm an Çakra’s Busen Platz. Er ist es, der alles, was bewerkstelligt werden soll, vollzieht. Da legte der Gôtterfürst Cakra seine beiden Handflächen zusam- men und flehte also Mahäbrahma an: «Mahäbrahma, bist du nicht Brahma, Mahäbrahma, Machthaber, Wirker, Verleiher, Hervorzauberer PS), Herr, Hôchster und als Vater der Welten Schôpfer der Wesen! Siehe, eine zu unserm Hofe gehôrige, auf Erden wandelnde Gottheit ist in Gefahr aus dem Baum, in welchen s'e ist Andropogon muricatus (Bartgras). des Sciences de Saint- Pétersbourg. 4? ihren Sitz hat, vertrieben zu werden, deshalb geruhe du dem vornehmen Brahmanen Njagrodha in der Stadt Njagrodhika einen Sohn zu verleihen.» Mahäbrahma bedachte, dass er zwar nicmanden einen Sohn oder eine Tochter verleihen künne, wenn er aber sage, dass er dies nicht künne, alle die Namen, die man ihm bei- lege: Brahma, Mahäbrahma, Machthaber, Wirker, Verleiher, Hervorzauberer zu Schanden werden würden; er müsse deshalb, wenn er sage, dass er einen Sohn oder Tochter verleihen werde, da er dies doch nicht vermôüge, zusehen, wie er die Verleihung anfangen solle, Er sprach deshalb heimlich zum Gôtterfürsten Cakra: «O Kaucika, weder hat mich die Welt, noch habe ich die Welt geschaffen.» Çakra entgegnete : «Mahâbrahma, wenn es sich so verhält, so sieh du deine Region an und wenn ein dem Gesetze des Ster- bens unterworfenes Wesen sich findet, so veranlasse es in dem Hause des vornehmen Brahmanen den Mut- terleib zu beziehen.» Brahma fragte, weshalb er denn nicht seine eigene Region ansehe. Çakra entgegnete: «In dieser Region gelten die Gôütter als ohnmächtig, in der Brahma-Region aber als mächtig, durch ihre Ohnmacht wagen sie es nicht ihren Einzug zu halten» Als Brahma nun seine Zusage gegeben hatte und in seine Region zurückgekehrt war, sah er, dass einem Gotte das Leben zu Ende ging und fünf Vorzeichen da waren, Da sprach er zu ihm: «O Freund, da es den Anschein hat, dass du aus dem lieblichen Aufent- halt ausscheidest und einen Umzug hältst, so wolle du in der Stadt Njagrodhika in dem Hause des vorneh- men Brahmanen Njagrodha den Mutterleib bezichen; ich werde es an der Ausstattung nicht fehlen lassen. » Der Gott erwiederte missvergnügt: «O Mahäbrahma B8*], enthebe mich dessen! Wozu diese Anstrengung ? Die Brahmanen sind verkehrter Lehre zugethan ; wer im Hause eines Brahmanen zum Dasein kommen will, gleicht einem Maune, der aus Liebe zu goldenen Fes- seln seine eignen Füsse in Fesseln schlägt. Jetzt wird der Bodhisattva, nachdem er dreimal den sechs Käi- mävatschara-Gôttern die Läuterung bewerkstelligt hat, aus der Region der Tushita-Gôtter hinscheidend, um Mitternacht als dem Airâvana ähnlicher weisser, schneefarbener junger Elephant mit sechs Hauern und trefflichen sieben Gliedern an dem dem Himalaja be- nachbarten Gâmgà-Ufer in dem von der Einsiedelei des Rshi Kapila nicht weit entfernten Çàkja-Sitze des 543 Bulletin de l’Académie Impériale 544 Künigs Cuddhôdhana den Leib seiner Gattin Mahà- mâjà beziehen und nach Ablauf von zehn vollen Mo- naten geboren, der allerhüchsten vollkommensten Ein- sicht theilhaft werdend, die Säule der Lehre aufrichten, die Pauke der Lehre schlagen und die Opfergabe der Lehre verleihen. Deshalb will auch ich von hier aus- scheidend, in einem machtlos geltenden Hause meinen Einzug halten und aus demselben ausziehend, in der Lebre, der Welt entsagend, den Güttertrank geniessen. Werde ich in dem Hause eines reichen Brahmanen geboren und nur der einzige Sohn sein, so wird mir niemand gestatten in den geistlichen Stand zu treten. Da es sich so verhält, so habe ich es nicht nôthig in einem Brahmanenhause geboren zu werden.» Mahà- brahma sprach also: «Auch wenn es sich so verhält, wirst du dennoch auf meine Bitte dort deinen Einzug halten; ich werde dann deine Eltern zu rechter Zeit ermahnen.» Da gab der Gôüttersohn seine Einwilli- gung und bezog [21 den Leib der Gattin Njagro- dha’s. Als nun nach Ablauf von acht oder neun Mo- naten ein schôner Knabe geboren wurde, feierte man sein Geburtsfest. Es wurden in der Stadt Njagrodhika alle Steine, Schutt und Kies auf die Seite geschafft, mit Sandelvasser gesprengt, Blumen aller Art aus- gestreut, aus Rauchfässern mit Wohlgerüchen geräu- chert, Standarten, Fahnen, seidene Bänder und Ge- hänge ausgehängt, Waarenmärkte errichtet, an den vier Thoren und inmitten von Kreuzwegen Gaben aus- getheilt und Wohlthaten erwiesen, den Speisebedürf- tigen Speisen, den Trankbedürftigen Getränke, den Kleiderbedürftigen Kleider, den Kranz-, Wohlgeruch- und Salbenbedürftigen [2%] Kränze, Wohlgerüche und Salben gereicht. Nachdem während dreimal sicben, also einundzwanzig Tage auf diese Weise vielfache Gaben verabreicht und Wohlthaten erwiesen worden waren, versammelten sich die Verwandten und gaben dem Knaben, weil er durch die an den Njagrodha- Baum gerichtete Bitte erlangt war, den Namen Nja- grodhadsha, die Brahmanen aber nannten ihn, weil der Vater aus dem Käçjapa-Geschlecht war, Kâcçjapa. Als er herangewachsen war und in allen brahmani- schen Wissenschaften Unterricht genossen hatte, über- trug der Vater ihm den Unterricht von 500 Brahma- nensôbhnen. Darauf bedachte der Vater, dass es zwar Sitte der Brahmanen sei 48 Jahre in Keuschheit zu verleben und erst im Alter sich mit der Gattin zu vergnügen; er aber wollte bei Zeiten seinem Sohne eine Frau nehmen, um das grosse* und reiche Ge- schlecht fortzupflanzen. Er sprach deshalb zum Sohne: «O Sohn, da dies ein Gesetz der Welt ist, muss man zur Erhaltung des Geschlechts ein Weib nehmen.» Der Sohn entgegnete: «O Vater, was soll ich mit ei- ner Frau anfangen? Ich will in den Büsserwald zie- hen.» Als der Vater wiederholt darauf bestand, dass das Geschlecht fortgepflanzt werden müsse, sann er auf ein Mittel, wodurch er nicht als Widersacher des Wortes seiner Eltern erschiene und der Verbindung mit einem Weibe überhoben würde [1]. Dann sprach er zu seinem Vater: «O Vater, lass mir Dshambu- Fluss-Gold geben.» Der Vater rief den Schatzmeister herbei und befahl ihm dem Sohne Njagrodhadsha so viel Dshambu-Fluss-Gold zu geben, als er bedürfe. Der Schatzmeister versprach diesem Befehl gemäss zu handeln. Darauf liess Njagrodhadsha einen ge- schickten Schmied rufen und hiess ïhn aus diesem Golde ein Bildniss eines Weibes verfertigen. Dieses Bildniss gab er dem Vater und sprach: «O Vater, lässt sich eine diesem Bildnisse ähnliche Jungfrau finden, so soll sie meine Frau sein, eine andere kann ich als Frau nicht brauchen,» Als der Vater nun in Gedanken darüber, dass es schwer halte eine Jungfrau von dem Aussehen gewühnlichen Goldes zu finden, geschweige denn von dem Aussehen eines Bildnisses aus Dshambu-Gold, traurig dasass, sahen ihn die Brahmanenjünglinge und nach der Ursache seiner Nie- dergeschlagenheit gefragt, erklärte er ihnen, dass es in Folge des von den Eltern nicht geahnten Verlan- gens des Sohnes sei. Die Brahmanenjünglinge spra- chen ihm Muth zu. Man müsse einem also gear- teten Menschen ebenso gestaltete treffliche Vorkeh- rungen entgegenstellen; während er ein solches Bild- niss habe anfertigen lassen, solle der Vater noch drei andere anfertigen lassen. Mit diesen vier Bildnissen solle er sie in die vier Weltgegenden entsenden; sie würden ohne Zweifel eine Jungfrau auffinden. Der Brahmane gehorchte ihrer Weisung (#21 und liess drei andere Bildnisse anfertigen. Die Brahmanenjünglinge nahmen die vier Bildnisse und machten sich auf die Wanderung durch Dôürfer, Marktflecken, Städte und Orte, wobei sie auf ihrem Wege wiederholt musikali- sche Instrumente ertünen liessen. Der Brahmane Nja- grodha hatte ihnen nur die Weisung gegeben, nicht 545 aus niederer Kaste und Familie ein jenem Bildniss gleichendes Ebenbild zu schaffen. Da sie nun bedach- ten, dass sie unmüglich von Haus zu Haus gehen künnten, so beschlossen sie ein Mittel zu ersinnen. In den Dürfern, Marktflecken, Städten und Orten, wohin sie gelangten, stellten sie in der Mitte das Bild- niss auf und erwiesen demselben Verehrung, indem sie Wohlgerüche, Blumen, Räucherwerk u. s. w. spen- deten und Musik ertünen liessen. Sie verkündeten, es sei die Güttin der Jungfrauen angelangt; wenn die Jungfrauen ihr Verehrung bezeigten, so werde sie fünferlei Wünsche erfüllén: Geburt in hohem Ge- schlecht, Verheiratung in ein hohes Geschlecht, Woh- nung in einem vollständig ausgestatteten Hause, Un- terwürfigkeit des Ehemanns und Besitz von Kindern. Als man diese Worte gehürt hatte, kamen Schaaren von alten und jungen Jungfrauen herbei und mit Opfergaben und Ehrenbezeigungen flehten sie das Bild- niss an. Nach einer Weile kehrten die nach Osten, Süden und Norden ausgegangenen Brahmanenjünglinge unverrichteter Sache zurück. Als der Brahmane Nja- grodha sie kommen sah, sass er in Gedanken versun- ken da, sein Sohn Njagrodhadsha aber war überaus froh und sagte: «Wenn ihr nichts gefunden habet, ist es gut.» Die nach Westen ausgezogenen Brahmanen- jünglinge gelangten durch Dôürfer, Marktflecken, Län- der und Residenzen wandernd, endlich nach der in dem Kapila-Lande (32*1 belegenen Stadt Kapila. Dort lebte ein überaus reicher Brahmane, Namens Kapila, dem, nachdem er aus ebenbürtigem Geschlecht geheirathet hatte, eine-überaus schône Tochter geboren wurde, der man nach der in Madhjadeça bestehenden Sitte wegen ihrer Schônheit den Namen Bhadrà gab und sie, weil der Vater Kapila hiess, Kapilabhadrä nannte. Als sie gross geworden war, geschah es, dass jene Brahmanensühne mit dem Bildniss auf die Mitte des Marktes gelangten und es daselbst mit allen Ehren- bezeigungen aufstellten und die Jungfrauen der Stadt Kapila an die Güttin der Jungfrauen herantraten und zu ihr flehten, indem sie Opfer darbrachten. Da hôrte denn auch des Brahmanen Kapila Frau davon und forderte die Tochter auf, dorthin zu gehen und der Güttin der Jungfrauen zu opfern. Sie entgegnete: «Wozu soll es dienen, wenn ich der Gôttin der Jung- frauen opfere?» Die Mutter sprach: «Wenn du sie anflebst, werden fünferlei Dinge gewährt: Geburt in Tome XXII. des Sciences de Saint-Pétersbourg. 546 hohem Geschlecht, Verheirathung in ein hohes Ge- schlecht, Wohnung in vollständig ausgestattetem Hause, Unterwürfigkeit des Mannes und Besitz von Kindern.» Auf diese Worte der Mutter entgegnete Kapilabhadrà : «O Mutter, ich bin aus hohem Geschlecht und mit Schünheit ausgestattet, da ich aber nach keinerlei Liebe Verlangen trage, so sehe ich nicht, was ich wünschen soll.» Als die Mutter sie aber wiederho- lentlich antrieb, begab sich Kapilabhadrà um den Willen der Mutter zu erfüllen mit Blumen, Wohl- gerüchen, Pulvern, Gewändern u. s. w. zu der Gôttin der Jungfrauen. Je mehr sie sich dem Bildnisse näherte, um so dunkler wurde dasselbe, so dass es, wie sie an dasselbe gelangt war, wie von Eisen verfertigt schien. Als die Brahmanenjünglinge darüber nachsannen, was das für eine Umwandlung sei und durch wessen Macht sie entstanden, erkannten sie, dass jener Glanz von jener Jungfrau sei. Sie fragten sie also, wessen Toch- ter sie sei. Sie antwortete: «Des Brahmanen Kapila Tochter Bhadrä.» Als sie dies vernommen hatten, be- gaben sie sich zum Hause des Brahmanen Kapila und am Eingange stehen bleibend, baten sie um Verlei- hung einer Gabe. Der Brahmane Kapila glaubte, es seien Almosen Bittende und befahl den Brahmanen- jünglingen Mehl von der Farbe der Mäluta-Blüthen, OI, Weintrauben, Granatäpfel und Tamarinden zu ver- abreichen. Nach der Sitte von Madhjadeça pflegen die Tôchter aus dem Vaterhause die Gaben zu verabrei- chen; es geschieht dies deshalb, weil man annimmt, dass sie durch die Gabe aus dem Vaterhause das Küst- lichste erlangen. Darauf kam Kapilabhadrà mit den Gaben dahin, wo sich die bittenden Brahmanenjüng- linge befanden und überreichte die Gaben, allein die Brahmanenjünglinge wollten sie nicht entgegenneh- men. Das hürte der Brahmane Kapila und fragte die Brahmanenjünglinge, was sie wünschten? Sie entgeg- neten: «Die Tochter sollst du uns verleihen, nicht bedürfen wir der Gabe des Mehls.» Da sagte der Brahmane Kapila voll Zorn jenen Brahmanenjünglin- gen, dass er ihnen die Tochter nicht geben werde. Sie entgegneten, dass sie nicht für sich die Verleihung der Tochter verlangt hätten. Der Brahmane Kapila sagte darauf, dass er die Sache nicht begreife. Da fragten ihn die Brahmanenjünglinge, ob er denn nicht von dem überaus reichen und vornehmen Brahmanen Njagrodha und dessen überaus schônem, in allen Wis- 35 547 Bulletin de l’Académie Impériale 548 oo senschaften überaus scharfsinnigen Sohne gehôrt habe, es sei für diesen, dass sie um die Hand der Tochter bäten. Kapila sagte, dass er zwar von den Tugenden und Eigenschaften des vornehmen Brahmanen aus- fübrlich gehôrt habe, allein nicht wisse, wie bei die- ser Entfernung eine Verwandtschaft einzugehen sei. Die Brahmanenjünglinge erwiederten: «O Gechrter, hast du früher nicht gehôürt, was man zu sagen pflegt: Was Feuer ist, was Wind ist, Gift, das mit Blut zu- sammentrifft, ein Brahmane mit festem Entschluss und was ein Ross ist, lässt sich nicht aufhalten. Es ist jener Brahmane sehr reich und du bist es ebenso auch. Ihr habet zum Gehen und Kommen Thiere und Menschen und ferner ist die Freundschaft, welche man mit Fernwohnenden schliesst, dauerhaft.» Als nun die Brahmanenjünglinge den Brahmanen Kapila dem Brahmanen Njagrodha geneigt zu machen ver- sucht hatten, gab er ihnen allen Badezubehôür, Bade- tücher, Backsteine, Pulver, Sesamôül, Kämme u. s. w. Als die Jünglinge dann mit diesen Gegenständen nach den ausserhalb der Stadt Kapila belegenen Badeteichen gegangen waren, dachte der Brahmane Kapila, wäh- rend die Brahmanenjünglinge sich badeten, sich mit seinen Verwandten und Freunden zu berathen. Er ging ins Haus zurück und besprach diese Sache mit seiner Frau und den Verwandten. Diese sagten: «Die- ser Brahmane ist sehr vornehm und deshalb würden wir, auch wenn er kein Verlangen hätte, uns sehr be- mühen, um ihm die Tochter zu geben; um wie viel mehr muss sie jetzt, da er jetzt selbst nach derselben verlangt, ohne Vorbehalt ihm gegeben werden. Wenn er mit uns eine Verwandtschaft eingeht und Ehe- mann wird, wird auch die Tochter glücklich werden.» Darauf verlobten die Eltern die Tochter, nachdem sie gebadet und weisse Gewänder angezogen hatte und die auf guten Erfolg und Glück absehenden Gebete von den Brahmanen gehalten worden waren, dem Brahmanenjüngling Njagrodhadsha. Darauf bestimm- ten die Brahmanenjünglinge den Eltern der Jung- frau Monat, Tag, Sternbild und Stunde, wann der Jüngling erscheinen sollte. Als die Brahmanenjüng- linge ihre Absicht vollständig erreicht hatten, brachen sie voll Freude nach Njagrodhika auf. ÂAls sie dort angelangt waren, erblickte der Brahmanenjüngling Njagrodhadsha sie schon von weitem und, da er sie von Freude erfüllt kommen sah, dachte er, dass sie ohne Zweifel eine Jungfrau wie er sie sich [5] gedacht gefunden hätten. Die Brahmanenjünglinge begaben sich zum Brahmanen Njagrodha, erwiesen ihm Ver- ebrung und setzten sich. Er bewillkommnete die Brah- manenjünglinge und fragte sie: «Habet ihr, o Brah- manenjünglinge, das von uns Beabsichtigte und Ge- hoffte erreicht?» Voller Freude antworteten sie dem Pandita also: «O Pandita, freue dich, wir haben eine weit vorzüglichere erlangt, als du sie gedacht hast. Du hast, o Pandita, darauf hingewiesen, dass nicht auf Kaste, Geschlecht und Abstammung der Jungfrau, sondern auf ihre Schünheit Rücksicht zu nehmen sei. Wir haben eine erlangt, die mit Schünheit, Kaste, Ge- schlecht, Abstammung und Vermügen ausgestattet ist.» Es legten die Brahmanenjünglinge dann ausführlich alle die Fragen vor und wie Name, Tag, Sternbild und Stunde festgestellt worden seien. «Da wir, o Pan- dita, alles vollführt haben und zurückgekehrt sind, so wisse, o Pandita, dass die Zeit gekommen ist» Als der Brahmane Njagrodha diesen Bericht hôrte, freute er sich sehr, und verlieh den Brahmanenjünglingen Speisen, Trank, Kleidung, Schmuck der vorzüglich- sten Art. Als nun der Brahmanenjüngling Njagro- dhadsha von der Schünheit und dem grossen Glanze dieser Jungfrau hürte, gerieth er in Aufregung und meinte, dass wenn sie von so grosser Schônheit sei, sie ohne Zweifel auch eine grosse Leidenschaft habe. Er beschloss demnach hinzugehen und sie zuvor anzu- sehen, Er sprach zu seinen 51 Eltern: «Zuvor werde ich, o Eltern, an einem Badeplatz baden, dann aber heirathen.» Die Eltern gaben ihre Einwilligung. Dar- auf begab sich Njagrodhadsha, von einem einzigen Brahmanenjüngling begleitet, aus der Stadt Njagro- dhika nach der Stadt Kapila. Als er dort angelangt war und sich von den Anstrengungen der Reise erholt hatte, nahm er ein Baumblatt und begab sich um Al- mosen zu sammeln nach der Stadt. Als er von Haus zu Haus ging, gelangte er an die Thür des Hauses des Brahmanen Kapila. Als darauf des Kapila Tochter Bhadrà mit der Gabe hervorkam, erblickte sie der Brahmanenjüngling Njagrodhadsha und dachte, dass sie es sei. Da fragte er die Jungfrau: «Wessen Toch- ter bist du?» Sie antwortete darauf: «Ich bin die Tochter Kapila’s.» — «Bist du einem andern verlobt?» Sie antwortete also: «Ich habe gehôrt, dass meine Eltern mich an den Sohn des in der Stadt Njagro- 549 dhika wohnenden vornehmen Brahmanen Njagrodha, Namens Njagrodhadsha, verheirathen.» Njagrodhadsha sagte: «O Bhadrâ, wozu bedarfst du eines solchen Ehemannes? Wisse, dass diejenige, deren Mann er wird, so gut wie ohne Mann sein wird.» — «Auf wel- che Weise?»— Er entgegnete: «Da er nach keinerlei Liebe Verlangen hat, was soll man mit einem solchen Manne anfangen?» — «O Herr, das ist vortrefflich.» «Du hast mir mein Leben wiedergegeben, du hast mich mit Amrta bewirthet» dachte sie und sagte: «Auch ich, o Brahmanenjüngling, trage nach keinerlei Liebe Verlangen.» Ferner sagte sie: «Gleich dem Abstand zwischen dem Reichen und dem Armen ist mir dein Anblick eine solche Wonne gewesen, wie sie nicht die liebliche [56] Sandel- und Rohini-Salbe ist. Allein da ich machtlos bin und meine Eltern mich ver- lobt haben, weiss ich nicht, was zu thun ist.» Da sprach der Brahmanenjüngling Njagrodhadsha zur Tochter Kapila’s, Bhadrà: «O Bhadrà, fasse Muth; der Brahmanenjüngling Njagrodhadsha bin ich selbst.» Als Kapila’s Tochter Bhadrà dies hôrte, ward sie sehr beruhigt und sprach zu Njagrodhadsha also : «Brahmanenjüngling, tritt ein und bekräftige das Ge- lübniss; Treffliche halten ihr Gelübniss.» Als sich darauf Njagrodhadsha mit Kapila’s Tochter Bhadrà berathen hatte, begab er sich wiederum nach Njagro- dhika. Als darauf der Brahmane Njagrodha nach den Gesetzen der Hausbesitzer das Haus eingerichtet hatte, heirathete Njagrodhadsha und wurde von den Eltern mit seiner Frau in einer und derselben Wohnung un- tergebracht und für sie zwei Betten eingerichtet. Da sprach Njagrodhadsha zu Kapila’s Tochter Bhadrà: «O Bhadrà, gedenke des früher abgelegten Gelübdes» und dasselbe sagte auch Bhadra zu Njagrodhadsha. Nachdem sie einander also ermahnt hatten, wohnten sie wie Mutter und Sohn. Da fragte der Brahmane Njagrodha nebst Frau die Dienerinnen, wie der Sohn mit seiner Frau lebe. Diese antworteten: «Wie eine Mutter mit inrem Sohn oder wie ein Sohn mit seiner Mutter.» Als der Brahmane sammt seiner Frau dies gehôrt hatte 6], sagte er: «Das ist unsere Schuld, nicht die Schuld jener beiden; weshalb haben wir ihnen zwei Betten hingestellt?» Deshalb liess er nur ein Bett und einen Sessel hinstellen. Da bedachte Njagrodhadsha, dass die Eltern diese Vorkehrung ge- troffen hätten, die dem abgelegten Gelübde zuwider- des Sciences de Saint- Pétersbourg. 550 laufe, und da Kapila’s Tochter Bhadrà die Absicht der Eltern merkte, sagte sie zu Njagrodhadsha: «O Herr, unseretwegen hat man diese Einrichtung getroffen, al- lein sei du des früher abgelegten Gelübdes eingedenk.» Er erwiederte: «Sei getrost und fürchte dich nicht.» Da schlief denn den ersten Theil der Nacht Kapila’s Tochter Bhadrà im Bett, Njagrodhadsha aber sass auf dem Sessel. In der zweiten Nachtwache schlief Nja- grodhadsha, Bhadrà aber sass. In der letzten Nacht- wache schlief wiederum Bhadrà, Njagrodhadsha aber wachte auf dem Sessel sitzend. Als die Eltern nun auch den Sessel fortgeschafft hatten, ermahnte Kapi- lus Tochter Bhadrà wieder den Njagrodhadsha wie oben. Er antwortete: «Sei ohne Furcht und Besorg- niss und bleibe des Gelübdes eingedenk.» Darauf schlief Bhadrà während der ersten Nachtwache, Nja- grodhadsha aber wandelte auf und ab, während der mittlern Nachtwache schlief Njagrodhadsha, Bhadrà aber wandelte auf und ab und in der letzten Nacht- wache schlief wiederum Bhadrà, Njagrodhadsha aber wandelte auf und ab. So lebten sie im Verlauf von zwülf Jahren in demselben Gemache mit einem Bette, ohne dass in ihnen ein Liebesgedanke entstanden wäre. Da dachte der Gütterfürst Çakra [57 also: «Da es ein grosses Wunder ist, solche Leidenschaftlosigkeit wahr- zunehmen, will ich diese beiden auf die Probe stel- len.» In dieser Absicht nahm er die Gestalt einer Schlange an, begab sich in ihr Schlafgemach und rollte sich unter dem Bette zusammen. Als Njagro- dhadsha die schwarze Giftschlange mit furchtbaren Giftzähnen unter dem Bette erblickte, befürchtete er, dass sie einen Schaden zufügen kônnte. Es hatte aber Bhadrà im Schlafe die Hände herabhängen las- sen. Als nun Njagrodhadsha darüber nachsann, was da zu thun sei, hob er die Hand mit dem Edelstein- stiel des Fliegenwedels empor. Bhadrà aber, durch die Berührung mit dem Stiel geweckt und erschreckt, sprach missvergnügt also zu Njagrodhadsha: «O Herr, was bedeutet diese Berührung? Du hast mich doch nicht mit liebehaftetem Sinn berührt?» Er entgegnete: «O nein, Bhadrâ, sondern da ich befürchtete, dass diese Giftschlange dich beissen künnte, habe ich deine Hand emporgehoben.» — «Womit hast du es gethan?» Er entgegnete: «Mit dem Edelsteinstiel des Fliegen- wedels.» Sie sprach: «O Herr, besser wäre es gewe- sen, mich hätte die Giftschlange gebissen, als dass du 35* 551 Bulletin de l’Académie Impériale 55? mich mit dem Edelsteinstiel des Fliegenwedels berührt hättest.» — «Weshalb?» — «Wie ein schôner Baum von der Schlingpflanze Mäluta umfasst schwindet, so gehen die Menschen zu Grunde durch Berübrung der Frauen. Deshalb ist es besser schleunigst von der Todesschlange gebissen zu werden, als dass die Hand des Mannes ein vorzügliches Weïib berühre. Ferner schwand dem grossen Büsser Rshjaçringa die Busskraft durch Berührung mit dem Leib der Künigstochter, auf dem Wege des stürmenden Windes gelangte er ins Künigshaus 7#l, zu Fuss ging er in den Wald zu- rück.» Als sie nun auf solche Weiïse gelebt hatten, starben die beiden Eltern. Da dachte der Brahmanen- jüngling Njagrodhadsha: «So lange die Eltern am Le- ben waren, hatten wir keine Sorgen, da sie nun aber gestorben sind, haben wir selbst das Hauswesen zu verwalten.» Er sprach deshalb zu Bhadrà, sie müge auf die Geschäfte des Hauses achten, er aber wolle gehen und die Dorffelder in Augenschein nehmen. Als er nun die Feldarbeiten betrachtete, wie die 999 Paare von Pfugochsen durch kleine Insecten geplagt wurden, wie den Ochsen die Nasen durchlüchert, der Rücken geborsten, die Steissbacken durch das Eisen zerrissen waren, die Arbeiter aber langes Haar und langen Bart, Streifen an Händen und Füssen hatten und Hanfkleider trugen, ihre Küôrper mit Staub be- deckt, ausgebrannten Baumstümpfen gleich waren und sie, wie Piçàätscha’s aussehend, wegen des Pfluges, der Pflugschar, wegen des Gebrauchs der Ochsen und we- gen des Stachelstocks einander schalten und schlugen, trat er an sie heran und fragte, wem sie angehôürten. Sie antworteten, dass sie Arbeiter des Brahmanen- jünglings Njagrodhadsha seien. Er fragte, von wem sie in Dienst genommen seien. Sie erwiederten, dass sie nicht von ihm, sondern vom Vater zur Bestellung seiner Wirthschaft angenommen seien, Da sprach Nja- grodhadsha zu diesen F5] Feldarbeitern : «O Geehrte, wenn ihr von dem Vater Njagrodhadsha’s zur Bestel- lung der Wirthschaft angenommen seid, weshalb ar- beitet ihr mit Schelten und Schlagen? Wenn ihr solche Thaten des Kôrpers und der Rede verübet, fürchtet ihr denn nicht durch das Reifen dieser Handlungen im Kreislaufe lange Leiden zu erdulden?» Darauf be- dachte Njagrodhadsha, dass er weder mit dem Kürper, noch mit der Rede und dem Gedanken sündigend sich ein Verdienst erwerben wolle. Nach Hause gekommen, sprach er zu Bhadra: «O Bhadrà, bestelle das Haus mit Wachsamkeit!» Sie entgegnete: «O Herr, was wirst du thun?» Er sagte: «Ich will in den Büsser- wald ziehen» und sprach folgenden Vers: «Ein kleines Maass gekochten Reis, ein einziges Bett gewährt Be- seligung, ein baumwollenes Doppelgewand ist zu tra- gen, das übrige ist von Finsterniss ergriffen.» Eine Weile verwaltete Bhadrà das Haus. Als aber die Sclavinnen mit Streifen an Händen und Füssen, mit Hanfkleidern bekleidet, den Kopf zerzaust, wegen Môr- ser, Môürserkeule, Kochgrube?), Stuhl u. s. w. einan- der mit Keulen schlugen, fragte sie dieselben, wem sie angehürten. Sie entgegneten: «Der Tochter Ka- pila’s, Bhadrà.» Auf die Frage, ob Bhadrà sie selbst auserwählt habe, antworteten sie, dass nicht sie, son- dern ihre Schwiegermutter sie zur Bestellung der Wirthschaft angenommen habe. Auch sie gerieth in Auf- regung und, da zu der Zeit der Buddha noch nicht ge- boren war, so gab sie andern Tirthaka’s, Mimâmsaka’s, Parivradshaka’s, Nirgrantha’s, Âdshivaka’s, Aschenträ- gern *) u. s. w. und Armen, Bedrängten und Almosen- bittenden Gaben, so dass die Armen nicht arm waren, die Sclavinnen, Tagelôhner und Diener nicht mehr zu kochen hatten. Nachdem er sämmtliche Güter an Freunde, Minister, Verwandte und Angehôrige ver- theilt hatte, trat er ins Haus und in der Absicht, ein schlechtes Gewand zu nehmen, sah er sich die Vor- rathskammer der Kleider an und nahm sich von dort ein grosses Baumwollgewand, das hunderttausend werth war und ein ebensolches gab er der Bhadrà, das Haus aber überliess er den Verwandten. Da sprach Njagro- dhadsha zu Bhadrà: «O Bhadrà, wohin willst du ge- her?» Sie antwortete: «Mit dir zusammen in den Büsserwald.» Er sprach: «Es ist nicht statthaft, dass ich mit einem Weibe im Büsserwald wohne.» Bhadrà entgegnete : «Verhält es sich so, so lass mich zuerst aus dem Hause ziehen.» — «Weshalb ?» — Bhadrà sprach also: «Wenn du früher von hier fortgehst, so werden viele Menschen nach der Frau gleichwie nach fertigem Reisbrei Verlangen haben; es ist nicht an- ständig, dass, wenn du fortgehst, einige nach mir Ver- langen tragen.» Da dachte der Brahmane Njagrodha- 553 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 554 TT ——_—p—p—p—Z—Z—Z dsha: «Diese Jungfrau ist sehr gescheidt und von ge- regelter Einsicht» (91 und sprach zu Bhadrâ: «Bha- drâ, komm her, wir wollen zusammen von Hause zie- hen.» Sie zogen darauf beide zusammen von Hause. Nachdem sie ein Weiïilchen zusammen gegangen Wa- ren, sprach der Mann zur Frau: «O Bhadrà, geh und lebe auf die Weise, welche du wünschest.» Zu der Zeit lebte in Rädshagrha der Nirgrantha Pürana, wel- cher von sich behauptete, dass er alles Unwissbare wisse, und war von vielen Nirgrantha’s und Nirgran- thaschülern umgeben. Es begab sich Bhadrà zu ihm und sagte: «O Ehrwürdiger, ich wünsche von dir in den geistlichen Stand aufgenommen zu werden.» Er nahm sie auf und sie trat unter die NirgranthŸs ein. Als die Nirgrantha’s die vorzügliche Schünheit von . Bhadrä sahen, sprachen sie zu einander: «Wir alle, welche wir den geistlichen Stand ergriffen haben, ha- ben dies wegen der fünf Kräfte der güttlichen Liebe gethan; da nun Kapila’s Tochter Bhadrà einem Güt- terweibe ähnlich sieht, wissen wir nicht, ob sie die Kräfte der güttlichen Liebe erlangt hat oder nicht; wir wollen also zuvor Kapila’s Tochter Bhadrà ge- niessen.» Sie begaben sich zum Nirgrantha Pürana, setzten ihm alles auseinander und baten sich Kapila’s Tochter Bhadrà aus; er aber gestand sie ihnen aus Gunst zu seinen Schülern zu. Darauf genossen sie durch die Folge früherer Thaten die fünfhundert Nir- grantha’s alle Tage, In Aufregung gerathen, fragte sie Pürana. Er sprach: «Wen das Zeichen trifft, mit dem verkehre.» Zu der Zeit hatte [3%] Bhagavant, nachdem er als Bodhisattva 29 Jahre in der Liebe sich vergnügt, dann aber Alter, Krankheit und Tod erblickt hatte, aufgeregt zur Zeit der Mitternacht, sich auf dem vorzüglichen Rosse Kanthaka in den Wald begeben und, nachdem er sechs Jahre lang eine zu nichts nützende Busse ausgestanden hatte, im Flusse Nairañ- dshanà sich gebadet, die von Nandà und Nandabalà sechszehnmal geläuterte Milchspeise genossen, war er durch den Nägaradsha Käâla in Versen gepriesen wor- den, hatte von dem Grasverkäufer Svastika Gras em- pfangen, sich zum Bodhi-Baum begeben, ohne sich stüren zu lassen und ohne Furcht die Streu ausge- breitet, sich gleichwie der schlafende Nâgarädsha zu- sammenrollt, mit untergeschlagenen Beinen sich hin- gesetzt, war bis zu erlangter Läuterung in dieser Stel- lung verblieben und hatte seinen Geist anregende Worte gesprochen. Nachdem er darauf Mâra mit einer Schaar von 36 Koti Dämonen besiegt hatte, erreichte er die vollendetste Einsicht und wurde vollendeter Buddha. Auf Mahnung Brahma’s begab er sich nach Vâràänasi und nachdem er das Glaubensrad in Bewegung gesetzt hatte, setzte er Âdshnâna Kaundinja und 80,000 Güt- ter in der Wahrheit fest, auch bekehrte er die Fünf- schaar, die Unter-Fünfschaar, funfzig Sühne von Dorf- jünglingen. Nach dem Baumwollenwalde *) gelangt, bekehrte er die 60 Bhadravargija’s, nach Senâni ge- langt, setzte er die beiden Jungfrauen Nandà und Nandabalâ in der Wabhrheit fest, nach Uruvilvà ge- langt, bekehrte er Uruvilvà-Kâçjapa durch die 18 zauberhaften Umgestaltungen und andere 500, nach Gâjà gelangt, den Nadikäçjapa und 1000 Flechten- träger durch drei 40] Umwandlungen, nach dem Jash- ti)-Walde gekommen, den Künig Bimbisära nebst Sohn und Umgebung, 80 tausend Gütter, viele hun- derttausend Brahmanen und Hausbesitzer von Maga- dha. Aus Venuvana begab sich zu der Zeit Bhagavant nach dem Bahuputratshaitja. Da sieht Kâcçjapa unter einem Baume Bhagavant, wird von ihm aufzenommen, Käcjapa giebt ihm das kosthbare Baumwollgewand und erhält dagegen das Gewand Buddha’s. Zum Feste der Begegnung der Nâgarädsha’s Girika und Sundara kamen auch viele [#21 Nirgrantha’s nach Rädshagrha. Als Kapila’s Tochter Bhadrä von Käçjapa erblickt wird, fragt er, da er ihr Aussehen verändert findet, ob sie die Keuschheit bewahrt habe. Als sie ihm das Geschehene mittheilt, fordert er sie auf, sich zur Lehre Bhagavant’s zu bekehren. Als sie Anstand nimmt, giebt er ihr die Versicherung, dass diese Lehre nichts Sündhaftes in sich schliesse. Ihre Bekenner trü- gen kein Verlangen nach der Gütterliebe, geschweige denn der Menschen. Er übergab sie der Mahäpradshà- pati, welche sie aufnimmt. Als sie dann beim Almosen- sammeln ihm wieder begegnet, klagt sie, dass sie durch ihre Schünheit gleich einem fetten Schaf die Aufmerk- samkeit aller auf sich ziehe, worauf er ihr bedeutet, sie môge ferner nicht sammeln gehen, er werde ihr die Hälfte seiner Sammlung täglich geben. Die Sechs- 9) Kârpâsika-Wald GE RCE vergl. Hardy, Budhism p. 118. 10) HAN N EN 85, 555 Bulletin de l'Académie Impériale 556 schaar macht sich darüber lustig. Als nun Bhadrà endlich Arhantin geworden war, stellt Mahäkäcjapa ihr wieder frei, für sich selber zu sammeln. Als Adshâtaçatru seinen Vater getüdtet hatte und durch nichts aus seiner Trübsal gezogen werden konnte, fasst ein büser Minister den Gedanken, als er die Schônheit der Bhadrà sieht, dass diese es vermüge, seinen Sinn zu erheitern. Er liess sie, als sie auf Almosen aus- geht, ergreifen, in einem küniglichen Bade abwaschen, mit kôniglichen Wohlgerüchen, Blumenkränzen, Ge- wändern und vorzüglichem Schmuck ausstatten und übergab sie dem Künige, der, so wie er sie erblickte, von Liebe zu ihr entbrannte und sich mit ihr ver- gnügte. Als Bhadrà nun am 15ten Upavasatha fehlte, befahl Mahäpradshâpati der Utpalavarnà sich ibrer anzunehmen. Ulpalavarnà begab sich mit Zauber durch eine Fensterüffnung in den Palast und wies sie in der Zauberei an. Darauf begab sich Bhadrà mit allem Schmuck angethan in die Sommerbehausung der Bhik- shunî’s, wo die Zwülfschaar sich über diesen Aufzug aufhält. Mabhäpradshäpati befiehlt ihr, den Schmuck dem Kônig zurückzugeben und das braune geistliche Gewand wieder anzulegen. Als sie wieder im Palast erscheint und der Künig, aus dem Schlaf erwacht, sie umarmen will, erhebt sie sich durch Zauber gen Himmel. Als er sie so schweben sieht, geräth er in Furcht, stôsst Angstrufe aus und fragt, ob sie eine Gôttin, eine Nâgà, eine Jakshini oder Räkshasi sei. Auf seine Bitte schwebt sie wieder herab und als er ibr zu Füssen fällt, gesteht sie ihm die erbetene Ver- zeihung zu. XLIIL. Uipalavarnà, (Kandjur Band VIII Blatt 216—223.) In Takshaçilà lebte ein überaus reicher Hausbe- sitzer, dem seine Fran eine Tochter von grosser Schün- heit gebar; da ihre Augen blauen Lotussen ähnlich waren, da sie selbst nach Lotussen duftete und eine Kôrperfarbe ähnlich den Lotus-Staubfiden hatte, ga- ben die Verwandten ihr den Namen Utpalavarnä. Da der Vater keinen Sohn hatte, gedachte er die Toch- ter, als diese herangewachsen war, nur an einen sol- chen zu verheirathen, der als Schwiegersohn bei ihm im Hause bleiben würde. Ebenfalls in Takshaçilà gab es einen andern Hausbesitzer, der einen Sohn hinter- liess, der, nach dem Tode der Eltern umherirrend, ins Haus des Vaters der Utpalavarnà kam. Der letztere machte ihn den Vorschlag, als Schwiegersohn bei ihm im Hause zu bleiben, worauf er einging. Als der Va- ter der Utpalavarnä gestorben war, empfand die Mut- ter, die Kleidung und Nahrung vollauf hatte, Licbes- sehnsucht. Da sie aber Anstand nahm, einen fremden Mann ins Haus einzuladen, beschloss sie, den eignen Schwiegersohn zu verlocken. Da dieser die von ihr gegebenen Winke verstand, ging er auf ihre Wünsche ein. Utpalavarnà war gerade (217 im Begriff niederzu- kommen und befahl der Magd, ihre Mutter zu rufen. Als die Magd in das Gemach trat, fand sie die Mutter mit dem Schwiegersohn in der Einsamkeit weilend und beschloss ein wenig zu warten. -Als nun die Mutter aus dem Gemach hervorkam, meldete sie ïhr, dass Utpalavarnà sie rufen lasse. Als sie zur Herrin zu- rückkehrte, hatte diese eine Tochter geboren und fragte, was sie aufgehalten habe. Die Magd antwor- tete: «Deine Mutter und dein Mann môgen von Krank- heit verschiont bleiben.» Auf die Frage, was das be- deuten solle, erzählte die Magd das Geschehene. Ut- palavarnà meinte, die Magd verläumde ihre Mutter und ibren Mann, die Magd aber sagte, dass wenn sie ihr auch nicht glaube, sie ihr die Sache klar machen werde. Als nun die Mutter und der Schwiegersohn wieder in der Einsamkeit beisammen sassen, rief die Magd Utpalavarnà herbei. Als diese nun beide bei- sammen sah, dachte sie: «Hat diese Unglückselige keinen andern Mann in Takshacilà gesehen, dass sie mit ihrem Schwiegersohn sich abgiebt? Und hat die- ser Unglückselige kein anderes Weib in Takshacilà gesehen, dass er sich mit seiner Schwiegermutter ab- gibt?» Voll Unmuth rief sie ihrem Manne zu: «Un- elückseliger, vergnüge dich fortan mit dieser.» Mit diesen Worten warf sie ihre neugeborene Tochter auf den Mann, das Kind glitt von dem Kürper des Vaters herab und fiel auf die Thürschwelle, wodureh es sich den Kopf zerschlug. Utpalavarnà aber verhüllte ihr Haupt und verliess das Haus. Da sie eine Caravane nach Mathurà aufbrechen sah, schloss sie sich dersel- ben an und als der Führer [2171 derselben, durch ihre Schünheit vor Liebe gegen sie entbrannt, sie frag- te, wem sie angehôre, antwortete sie, dass sie dem- jenigen gehôre, der ihr Nahrung und Kleidung gebe. Er nahm sie also zur Frau und als sie endlich nach Ma- 557 des Sciences de Saïint-Pétersbourg. 558 Eee thurà gelangt war, liess er sie daselbst. Als er nun seine Waaren verkauft hatte und mit dem Gelde nach Takshacilà zurückkebrte, luden diese Kaufleute einan- der zu Gast ein und bewirtheten einander. Da nun der Anführer der Caravane kein Gastmahl gab, frag- ten die Kaufleute, weshalb er es nicht thue. Er ent- gegnete: «Ihr, die ihr eure Hausfrauen habet, künnet freilich bewirthen; da ich aber niemand habe, welcher die Sorge übernehmen kônnte, so weiss ich nicht, wie ich bewirthen soll.» Die Kaufleute meinten, er solle sich unter diesen Umständen nach einem Mädchen umsehen. Er antwortete: «Finde ich ein meiner Frau ähnliches Mädchen, so werde ich es heirathen.» Sie baten ihn, das Aussehen seiner Frau zu beschreiben. Er that dies und sie fanden, dass er ein Juwel von Frau habe, dass sie sich aber dennoch bemühen woll- ten, eine äbnliche aufzufinden. Als sie nun die eigene Tochter der Utpalavarnà jener Beschreibung entspre- chen sahen, warben sie um das Mädchen für den Ca- ravanenführer. Die Eltern sagten: «O Geehrte, wir sind bereit sie zu geben, allein er künnte, wenn er irgend etwas zu tadeln findet, nachdem ihr sie erhalten habet, sie zurückweisen und fortgehen.» Als die Kaufleute die Versicherung gegeben hatten, dass dies nicht der Fall sein werde, wurde ihnen das Mädchen übergeben und der Anführer heirathete sie. Als der letztere seine Waaren abgesetzt hatte und mit dem Erlôs nach Ma- thurà aufbrach, gelangte er unweit der Stadt Mathurà zu einem Felsen. Dort liess er seine Waaren und das Mädchen und sagte, er (2181 müsse ein wenig nach Ma- thurà gehen. Als Utpalavarnà ihn begrüsste und frag- te, wie er sich befinde, beklagte er sich, dass er be- raubt worden sei. Sie freute sich, dass er selbst wohl- behalten angelangt sei und meinte, dass die Gottheit des Reichthums ihm später helfen werde. Nach eini- ger Zeit sagte er: «O Schüne, ich muss gehen, um die geraubten Güter zu suchen.» Sie ging darauf ein. Kaum war er fort, so kam sein Jugendfreund und fragte Utpalavarnà, wohin er gegangen sei. Als sie ihm sagte, dass er gegangen sei, um die geraubten Güter aufzusuchen, erklärte er ihr, dass er nie so un- versehrt wie dieses Mal angelangt sei und er sie hin- tergangen habe. Auch erzählte er ïhr, dass er aus Takshacilà eine Gâmdhârerin mitgebracht habe, wel- cher Utpalavarnà nicht würdig sei die Füsse zu wa- schen. Als der Jugendfreund diese seine Aussage be- theuert hatte, sass sie schweigend da. Als nun der Caravanenführer wiederkam, liess sie die Verachtung bei Seite und fragte ibn, ob er die Güter wiedergefun- den habe. Als er dies bejaht hatte, sagte sie: «O Herr, du hast mich hintergangen; dir sind die Güter nicht geraubt worden; ich habe gehôrt, dass du aus Tak- shacilà eine Gàamdhärerin mitgebracht hast; bringe dieselbe hieher. Denn wer an zwei Stellen sich nie- derlässt, dessen Mittel gehen bald zu Ende.» — «0 Schône, das ist freilich wahr; allein hast du nicht ge- hôrt, dass, in wessen Hause zwei Frauen sind, dort die Brühe üfters kalt ist und deshalb nicht genossen werden kann, dass dort Streit, Tadel und Zwietracht stattfin- det?» — «O Herr, lass das ruhen; es wird nicht s0 so sein; hole sie nur her. Ist sie wie eine jüngere Schwester, so werde ich sie als Schwester betrachten, ist sie wie eine Tochter, so werde ich sie als Tochter betrachten.» Als der Caravanenführer nun auf ihren Wunsch einging und das Mädchen geholt hatte, er- wachte in Utpalavarnà bei ihrem Anblick Liebe zu ihr. Als sie einmal das Haar des Mädchens zu ordnen an- fing, erblickte sie eine Narbe auf dem Kopfe und fragte, woher sie stamme. Das Mädchen antwortete: «Ich weiss es nicht, allein meine Grossmutter hat mir gesagt, dass meine Mutter mich im Zorn dem Vater zugeworfen habe, ich aber auf die Thürschwelle ge- fallen und dadurch die Narbe entstanden sei.» — «Wie heisst deine Grossmutter?» — «So und so.» — «Wie deine Mutter?» — «Utpalavarnä.» Da dachte Utpa- lavarnä : «Da ich nun dort Mutter und Mitfrau war, hier die Tochter Mitfrau ist, muss ich auf jeden Fall fort.» Sie verhüllte ihr Haupt und verliess das Haus. Da sie eine Caravane nach Vaiçàli aufbre- chen sah, schloss sie sich derselben an und, sich mit den Kaufleuten dem Liebesgenuss hingebend, ge- langte sie mit ihnen nach Vaiçâh. Als die in Vaiçàli wohnhaften Hetären fragten, weshalb die Kaufleute von Mathurà sich mit ihnen nicht vergnügten, sagte eine Hetäre: «Es geschieht deshalb nicht, weil sie eine Gädhärerin von solcher Schônheit mitgebracht haben, dass wir nicht werth sind, ihr die Füsse zu waschen.» Da thaten sich alle Hetären zusammen, begaben sich zu Ut- palavarnà und forderten sie auf, bei ihnen eimzutreten, da sie dasselbe Gewerbe habe. Utpalavarnà legte die Kopfbedeckung ab und trat sofort zu ihnen ein. Als die Hetären einst auf der Trinkbank sassen, unterhielten 559 Bulletin de l’Académie Impériale 560 sie,sich darüber, welchen Kaufmann sie um die oder die Summe gebracht hätten. Nun gab es in Vaiçäli einen jungen Spezereihändler, Namens Anishtapräpta, den keine Hetäre noch hatte verlocken kônnen. Da meinten die Hetären: «Diejenige unter uns, der es gelingt, jenen jungen Spezereihändler zu verlocken, wollen wir ein tüchtiges Weib nennen.» Da fragte Utpalavarnà, ob er mit Mannesvermügen ausgestattet sei oder nicht. Als sie die Antwort erhalten, dass es an dem sei, fragte sie, ob man sie, wenn es ihr gelänge ihn zu verlocken, als Herrin anerkennen wolle. Man bejahte dies, wogegen sie, im Fall es ïhr misslänge, 60 Kärshâpana einzuzahlen versprach. Darauf miethete sie sich in der Nähe des Spezereihändlers ein und gab ihrer Magd die Anweisung, jeden Tag bei ihm Wohl- gerüche zu kaufen; falls er sie frage, für wen sie die- selben kaufe, solle sie sagen, es sei zu Utpalavarnà ein Sohn aus vornehmem Hause gekommen; für die- sen sei die Waare bestimmt. Die Magd handelte die- ser Anweisung gemäss. Ferner befahl Utpalavarnà der Magd, bittere, herbe und scharfe Arzeneien von demselben Jüngling zu holen. Falls er frage, für wen sie bestimmt seien, solle sie sagen, dass jener Sohn aus vornehmer Familie erkrankt sei und sie die Ar- zenei für ihn hole. Falls er frage, wessen das Geld sei, solle sie sagen, dass Utpalavarnä es hergebe. Die Magd that so wie ihr befohlen war. Der Spezerei- händler fasste, als er sah, dass Utpalavarnä aus eignen Mitteln den Kranken behandle, zu derselben Zuneigung und bat die Magd, der Utpalavarnä zu sagen, dass er sie zu besuchen wünsche. Sie richtete den Auftrag aus, allein Utpalavarnà liess ihm sagen, dass der Sohn aus vornehmer Familie noch nicht genesen sei. Da der Spezereihändler aber wiederholt fragte, an welchem Tage er kommen dürfe, merkte Utpalavarnà, dass er starke Leidenschaft für sie habe und beschloss ein kôstliches Stück auszuführen. Sie fertigte aus Gras einen Mann an, liess ihn auf einer Bahre nach dem Todtenacker tragen und nachdem sie ihn dort ver- brannt hatte, begab sie sich mit zerrauftem Haar und wehklagend in die Nähe des Ladens jenes Spezerei- händlers, wo der letztere sie erblickte. Nach dem Worte Bhagavant’s fesseln die Weiber die Männer auf achter- lei Weise: durch Tanz, Gesang, Spiel, Lachen, Wei- nen, Ansehen, Berührung und Fragen. Der Spezerei- händler, von heftiger Leidenschaft erfasst, sagte zur Magd: «O Mädchen, jetzt werde ich kommen.» Die Magd fragte Utpalavarnâ; diese antwortete ihr: «Geh, Mädchen, und sage ihm: Der Sohn aus vornehmer Familie ist heute gestorben und die Trauer noch nicht vorüber, wie solltest du da einen Besuch machen?» Als nun die Magd den Auftrag ausgerichtet hatte, wuchs dem Jüngling das Verlangen, Utpalavarnà zu sehen, Utpalavarnä liess ihm aber sagen, er solle nicht zu ihr ins Haus kommen, sondern bestimmte ihm eine Stelle im Lusthain. Der Spezereihändler nahm Spei- sen, Getränke, Kleider und Blumengewinde in Menge mit und begab sich in diesen Lusthain. Nachdem er eine Weile mit Utpalavarnà gespeist und getrunken hatte, darauf aber berauscht durch die Gewalt des Weines seiner Sinne nicht mächtig war, dachte Utpa- lavarnä , dass sie ihn jetzt von der Menschenmenge wolle sehen lassen. Sie setzte ihm einen Kranz auf den Kopf, umwand seinen Hals und führte ïhn nach Hause. Als die Hetären dies sahen, brachen sie in Verwunderung aus und sprachen: «Diese Gadhärerin hat den jungen Spezereihändler trefflich berückt» und ernannten sie zu ibrer Herrin. Als sie nun sammt den Hetären sich mit dem Liebesspiel abgab, wurde sie nach einiger Zeit schwanger. Es gab in Vaiçäli zwei Thorwarte, des Ostthors und des Westthors. Da beide mit einander befreundet waren und diese Beziehung wo môglich auch nach ihrem Tode fortgesetzt wissen wollten, beschlossen sie, dass ihre Kinder sich hei- rathen sollten. Als [220%] nun Utpalavarnà nach Ablauf von neun Monaten einen Sohn geboren hatte, bedachte sie, dass die Frauenzimmer, die kleine Kinder hätten, von den Männern gemieden würden und sprach zu ihrer Magd: «Geh, Mädchen, nimm das Kind und eine Lampe, lege beide auf dem Wege an eine bestimmte Stelle und warte, bis jemand das Kind genommen ha- ben wird.» Die Magd nahm das Kind und legte es unweit des ôstlichen Thorwarts an eine Stelle nieder, stellte neben das Kind die Lampe und wartete daselbst. Als der üstliche Thorwart die Lampe sah und Arg- wohn hatte, begab er sich dorthin und, als er das Kind erblickt hatte, nahm er es auf und brachte es zu sei- ner Frau mit den Worten: «O Gute, da hast du einen Sohn.» Sie aber war sehr erfreut. Als der Morgen angebrochen war und der Jubel fortdauerte, fragten die Nachbarn einander, worüber im Hause des üst- lichen Thorwarts solcher Jubel sei. Da sagten einige, 561 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 56? SR EEE D EE En es sei ein Kind geboren worden, andere fragten, wo- her das Kind kommen kônne, da die Frau gar nicht schwanger gewesen sei, noch andere sagten, dass es bei einigen Frauen gar nicht zu merken sei, dass sie schwanger seien. Als der westliche Thorwart davon hürte und bedachte, dass, wenn ihm eine Tochter ge- boren würde, der Sohn des ôstlichen Thorwarts sein Schwiegersohn werden würde, schickte er Kleider und Schmuck. Der Knabe aber wuchs heran und als er gross geworden war trat er in eine Genossenschaft. Als nach einiger Zeit Utpalavarnà wiederum schwan- ger geworden war und nach Ablauf von neun Monaten eine Tochter geboren hatte, verfuhr sie mit derselben ganz wie mit dem Knaben. Die Magd legte das Kind unfern des westlichen Thorwarts auf den Weg und es wurde von dem westlichen Thorwart seiner Frau ge- bracht, die es mit Freuden aufnahm. Der ôstliche Thorwart aber sandte, weil er in dem Mädchen seine künftige Schwiegertochter sah, Kleider und Schmuck. Das Mädchen wuchs heran und als es erwachsen war, trat auch sie in eine Genossenschaft. Als nun einmal 500 Genossen nach einem Lustwald aufbrechen wollten und sich beriethen, kam ihnen der Gedanke, eine Hetäre dahin mitzunehmen und sie be- schlossen, die Gâmdhärerin aufzufordern. Daher setz- ten sie die Bestimmung fest, dass derjenige von ihnen, der sich nicht mit ihr vergnügen würde, den Genossen 60 Kärshäpana’s zahlen müsse. Als sie nun Utpala- varnà für 500 Kärshäpana’s gewonnen und nach dem Lusthain mitgenommen hatten, vergnügten sich alle Genossen der Reihe nach mit derselben. Als aber der Sohn des ôstlichen Thorwarts keine Lust dazu hatte, sagte ihm Utpalavarnä: «O Herr, vergnüge dich, sonst musst du diesen 60 Kärshäpana’s zahlen.» Als er aus Furcht vor dieser Strafe sich dem Genuss hingab, er- wachte in ihm Zuneigung zur Utpalavarnà und er machte sie zu seinem Kebsweibe. Die Litshtshhavi’s geriethen darüber in Zorn und wollten ihm, weil er eine Hetäre zum Kebsweibe gemacht hatte, das Leben nehmen. Da man in der Welt Freunde, Feinde und Gleichgültige hat, ging er zum ôstlichen Thorwart und erzählte ihm das Geschehene. Der ôstliche Thor- -wart erschrak und begab sich zu den Litshtshhavi’s, fiel ihnen zu Füssen und bat für den Sohn. Da der ôstliche Thorwart ihnen seit langer Zeit her von Nutzen gewesen war, so beschlossen sie, seinem Sohn die Tome XXIII. Hetäre zu geben, falls er sie liebe. Darauf nahm sich der Sohn des üstlichen Thorwarts, da ihm die Erlaub- niss gewährt war, ohne Furcht Utpalavarnä zur Frau. Darauf sprach sein Vater zu dem westlichen Thorwart: «O Freund, gieb deine Tochter meinem Sohne zur Frau.» Jener entgegnete: «Wozu braucht dein Sohn eine andere Frau, da er schon geheirathet hat?» Der üstliche Thorwart entgegnete: «Da wir früher die Ab- machung getroffen haben, so gieb deine Tochter: da ich Vermôgen habe, werde ich das Haus der Frau meines Sohnes trefflich ausstatten.» Der westliche Thorwart gab also der Abmachung gemäss seine Toch- ter dem Sohne des üstlichen Thorwarts zur Frau. Zu der Zeit kam der AÂjushmant Maudgäljäjana in das Haus des ôstlichen Thorwarts und als er die Tochter geschen hatte, sagte er: «O Tochter, deine Mitfrau ist deine Mutter; dein Mann ist dein Bruder. Allein wolle dich nicht zu sehr betrüben und nicht Gedanken an die Hülle haben.» Utpalavarnà vergnügte sich mit ihrem Mann und es wurde ihr ein Sohn geboren, welchen die Tochter des Spieles halber vor den Eingang des Hauses setzen wollte. Da kam ein Brahmane des Wegs gegangen und als er sie erblickt hatte, fragte er in einem Verse, was ihr der Knabe sei. Sie erwiederte auch in einem Verse: «O Brahmane, er ist mein Bruder, des Bru- ders Sohn, mein Sohn und Schwager ; sein Vater ist mein Vater, mein Bruder und jetzt mein Mann.» Als Utpalavarnâ dies hôrte, fragte sie die Magd, was jene beiden sprächen. Die Magd sagte: «Was Jene beiden sagen, ist wahr und nicht gelogen.» — «Was ist denn hier wahr?» — «Dein Sohn, den ich am ôst- lichen Thor ausgesetzt habe, ist jetzt dein Mann; deine Tochter, die ich am westlichen Thor ausgesetzt habe, ist jetzt deine Mitgattin.» Utpalavarnà bedachte, dass sie früher Mutter und Mitgattin und die Tochter Mitgattin gewesen und auch jetzt die Tochter Mit- gattin, der Sohn aber ihr Mann sei und sie auf jeden Fall fortgehen müsse. Sie verhüllte ihr Haupt und verliess das Haus. Als gerade eine Caravane nach Râdshagrha aufbrach, schloss sie sich derselben an und gelangte mit ihr nach Rädshagrha, wo sie eben- falls als Hetäre lebte. Dort lud eine Gesellschaft von fünfhundert Jünglingen, die sich nach einem Lusthain begab, die Gâmdhärerin ein gegen eine Zahlung von 500 Kärshäpana’s mitzukommen [22%]. Als sie Speise 36 563 Bulletin de l’Académie Impériale 264 und Trank genossen hatten, vergnügten sie sich mit ihr. Ajushmant Maudgäljäjana aber erkannte, dass die Zeit der Bekehrung der Utpalavarnà gekommen sei und wandelte in einer kleinen Entfernung von den Jünglingen auf und nieder. Da sprachen die Jünglinge: «Dieser ehrwürdige Maudgäljäjana ist von den Ban- den der Sünde erlôst, wir aber sind in den Sumpf der Leidenschaft versunken.» Utpalavarnà sagte: «Ich habe in Vaiçäli den jungen Spezereihändler Anishtapräpta berückt,» Die Jünglinge sagten: «Willst du denn auch diesen berücken?» Sie fragte: «Hat er Mannesver- mügen?» Als dies bejaht worden war, fragte sie, was sie zahlen würden, wenn sie ihn berücke. Sie gestanden ibr 500 Kärshäpana’s zu, wogegen sie sich anheischig machte, im Fall es ïhr nicht gelänge, einem der Ge- nossenschaft Kebsweib zu werden. Man ging darauf ein. Utpalavarnà begab sich dahin, wo Mahämaud- gàljàjana sich befand und wandte alle Weiberkunst- stücke und alle Weïberlist an, allein Mahämaudgäljà- jana’s Sinne blieben unbethôrt. Da bedachte sie, dass Berührung der Weiber Gift sei und wollte ihn umar- men und so in ihre Gewalt bringen. Als sie sich daran machte, erhob Mahämaudgâljäjana sich gleich einem Flammigokônig mit ausgebreiteten Fittigen in die Hühe und durch die von ihm ausgesprochenen Worte ward Utpalavarnà so gestimmt, dass sie ïihn bittet, sie in der Lehre zu unterrichten. Er thut es und sie er- schaut die vier Wahrheiten. XLIV. Die fünf Liebhaber. (Kandjur Bd. IX Blatt 67—69) Ein Kaufherr hatte eine Frau, in welche sich vier Stadt-Süldner !!) und der Obersôldner verliebten und Mittelspersonen zu 1hr schickten. Sie gab ihnen Gehôr. Sie bestimmte die Zeit der Zusammenkunft und als jene nach dem Orte fragten, wies sie ihnen einen un- weit der Stadt befindlichen Feigenbaum, der mit sei- ner Krone gen Himmel ragte, dessen Zweige sehr aus- gebreitet und dessen Laub sehr dicht war, an. Sie sollten auf diesen Baum steigen und sie erwarten. Sie selbst aber wartete die Gelegenheit ab, um von Hause 11) ATAN, welchem im Sanskrit ELA entspricht; es kônnte frei- lich auch auf die Mischlingskaste gehen, die sich mit Lobreden abgiebt, worauf uns der Schluss der vorliegenden Erzählung führen kônnte. zu gehen. Der Mann jedoch schôpfte Argwobhn, schlug sie und band sie an eine Säule. Einem der fünf Lieb- haber hatte sie sagen lassen, er solle einen Zweig auf der Ostseite des Baumes besteigen, sie würde an dem Tage kommen. Dieser that mit Freuden also. Der zweite bestieg ebenfalls auf ihre Anweisung einen Zweig auf der Südseite des Baumes, der dritte auf der Westseite und der vierte auf der Nordseite. Der Obersüldner aber kletterte auf einen Zweig in der Mitte des Baumes. So brachten sie die ganze Nacht allein, von dem Winde in Furcht gesetzt, in Erwar- tung auf dem Baume zu, allein das Weïb kam nicht, obwohl der Morgen schon anbrach. Da sagte der auf dem Zweige der Ostseite Wartende in einem Verse: «Aufgegangen ist die Sonne, aus dem Dorfe kommt der Ackersmann; dass die Lügenhafte nicht erschie- uen, muss der Feigenbaum erfahren.» Der auf dem Zweige der Südseite Harrende sagte: «Das Weib, das kommen wollte, ist wahrhaftig lügenhaft, diese Sonne voller Herrlichkeit wird nun aufgehen.» Der auf der Ostseite Befindliche sagte: «Wirst du, Treffliche, kom- men?» 50 gefragt, sprach sie: «Ja wohl.» Darauf sprach der auf dem Zweige der Westseite Sitzende in einem Verse: «Da zur rechten Zeit die Sonne sich erhoben, gehn aus dem Dorf die Ackerleute; da ich die Zeit nicht hab’ gekannt, hab’ in der Nacht mein Aug’ ich nicht geschlossen.» Nach einer Weile sprach der auf dem Zweige der Nordseite Sitzende: «Da ich zur Klar- heit nicht gekommen, hat mich die ganze Nacht der Wind geschüttelt; wer fremden Frauen nachgeht, er- leidet solcherlei und anderes.» Darauf sagte der Ober- sôldner: «Hat euch der Wind durchschüttelt, will auch ich nicht klagen, der Feigenbaum, der nichts ver- schuldet, klagt, dass ihm die Âst’ gebrochen.» Die in dem Baume wohnende Gottheit sagte, als sie jene angeführt sah: «Klagen sollst du selbst und auch die andern vier; ist der Vaiçäkha-Mond gekommen, wächst der Baum, den man beschnitten.» Jene aber, welche ibre Hoffuung auf die Frau aufgegeben hatten, stiegen vom Baume und machten sich nach Hause auf. Auch jene Frau wurde von ihrem Manne losgebunden und begab sich heimlich zu jenem Baum. Als die Süldner sie erblickten, fragten sie, weshalb sie sie angeführt habe. Sie erzählte den Verlauf der Sache. Jene sag- ten: «So bist zum Vorschein du gekommen.» Da sie aber bedachte, dass sie nicht nach Art und Weise der 565 Hunde sich mit fünf Männern abgeben dürfe, sagte sie, sie wolle sich demjenigen hingeben, der ihr die schünsten Blumen brächte. Nun gab es in der Kôünigs- burg einen Wächter der küniglichen Lotusse, dem Ohren und Nase abgeschnitten waren. Zu diesem be- gaben sie sich und dachten, dass sie zwar durch Kauf nichts erlangen würden, allein wohl, wenn sie ihn lob- priesen. Also sprach einer von ihnen: «Wie das Schilf- rohr abgeschnitten wieder wächst, also wachse deine Nase wieder, gieb dem Bittenden die Blumen.» Der zweite sprach: «Wie das Kucça-, Kaça-Gras, wenn es ge- mäht ist, wieder wächst, also wachse deine Nase wie- der, gieb dem Bittenden die Lotusse.» Der dritte sprach: «Wie das Dürva-Gras und Virana ©) geschnitten den- noch wieder wächst, also wachse deine Nase wieder, gieb dem Bittenden die Blumen.» Der vierte sprach: «Wie Haar und Bart, wenn auch rasirt, doch wieder wach- sen, also wachse deine Nase wieder; gieb dem Bitten- den die Blumen.» Der fünfte sprach: «Die Lotusbitter alle haben Unsinn dir gesagt, giebst du Lotusse, giebst du sie nicht, nimmer wächst dir deine Nase wieder.» Der Wächter dachte: «Jene vier Männer haben mir unnützes Zeug gesagt, der fünfte aber aufrichtig nach der Wahrheit; diesem werde ich die Lotusse geben.» Er gab ihm also soviel Lotusse, als er nôthig hatte; jener begab sich voll Freude zu jener Frau, deren Genuss ihm dann zu Theil wurde. Über den Einfluss der Temperatur auf den Widerstand des Siemens’schen Argentandrahtes. Von R, Lenz. (Lu le 19 avril 1877.) Die Methoden und Apparate zur Messung galvani- scher Widerstände haben einen so hohen Grad der Vollkommenheit erreicht, dass, unter einigermaassen günstigen Verhältnissen, die Fehler der Messungen 0,05, ja selbst 0,01 Procent des gesuchten Wider- standes nicht überschreiten. Dadurch wird es noth- wendig, auch die Correctionen und Reductionen, durch welche die gefundenen rohen Werthe zu verbessern oder auf vergleichbare Maasse zurückzuführen sind, mit entsprechender Genauigkeit in Rechnung bringen zu künnen. Vor allen Dingen gilt dies für die Re- 12) Andropogon muricatus, des Sciences de Saint-Pétersbourg. 566 ductionen der Widerstände auf eine Normaltemperatur, die ja bei allen Messungen auszuführen sind und in der Regel die grüsste aller Correctionen ausmachen. Da die Widerstände gewübnlich bei der Zimmertem- peratur gemessen werden, so ist es jetzt üblich, die- selben auf die Temperatur 18° C. zu reduciren. Die- ses überhebt uns jedoch keineswegs einer Reduction auf 0? indem die letztere Temperatur als normale für die Quecksilbereinheit angenommen ist. Zu den Widerstandsmessungen werden jetzt in weit überwiegender Menge die Widerstandssysteme von Sie- mens und Halske benutzt und es ist daher nothwendig, den Temperaturcoëfficienten für die von Siemens zu seinen Systemen benutzten Drähte mit einer solchen Genauigkeit zu kennen, dass durch Reductionen auf etwa 20° keine Fehler entstehen, welche die oben be- zeichneten Grenzen überschreiten. Die Grüsse des für den Temperaturcoëfficienten zulässigen Fehlers lässt sich leicht durch folgende Betrachtung bestimmen. Bedeuten #, und w, die Widerstände eines Drahtes bei {° und 0°, a den Temperaturcoëfficienten, so be- steht zwischen diesen Grüssen die Relation: w, = Wo (1 + di). Wenn die Temperatur nicht zu hoch ist, also etwa 20° nicht überschreitet, so genügt erfahrungsmässig ein Coëfficient vollständig und es ist nicht erforder- lich, in die Relation noch ein quadratisches Glied ein- zufübren. Um den Fehler von & in seiner Abhängigkeit von dem des # bei Reductionen von 0 auf {’ oder umge- kehrt zu finden, ist obige Gleichung zu differenziren, wobei #, als Constante anzusehen ist. Man erhält dann Jane “TIME NET? wo die Indices bei # fortgelassen sind. : d # 2 à Hier bedeutet ® den für den reducirten Wider- stand zulässigen Fehler, ausgedrückt als Bruchtheil des Widerstandes. Ich will nun im Folgenden annehmen, dass die Widerstandsmessungen bis 0,04 Procent genau seien dann ist: da — 7: 0,0004. Wendet man diesen Ausdruck auf den Argentandraht 36* 567 Bulletin de l’Académie Impériale 568 von Siemens an, für welchen a — 0,0004 (nahezu) ist, und macht man { = 1, so ist: da = 0,0004, d. h. der für den Temperaturcoëfficienten zulässige Fehler ist diesem Coëfficienten selbst gleich. Es folgt also hieraus, dass bei einer Genauigkeit der Wider- standsmessungen bis 0,4 pro mille, eine Reduction wegen der Temperatur des Argentandrahtes erst dann erforderlich wird, wenn letztere um mehr als 1° von der normalen abweicht. In der Regel aber hat man es mit Reductionen auf 20° zu thun, und in solchem Falle muss der Tempe- raturcoëfficient mit einer Sicherheit von ‘/, oder fünf Procent bekannt sein. Es fragt sich nun, ob wir diesen Coëfficienten für die von Siemens zu seinen Widerstandsetalons be- nutzten Drähte mit solcher Genauigkeit kennen. Siemens wendet zu seinen Systemen Neusilber- drähte an. Der Einfluss der Temperatur auf den Wi- derstand des Argentans ist von Arndtsen!) gemessen und dafür die Relation: w,=w,(1+0,000 387 36.{— 0,000 000 557 76.Ë) aufgestellt worden. In den Grenzen von 0 bis 20° kann die Ânderung des Widerstandes der Temperatur { proportional ge- nommen werden, wodurch obige Gleichung die ein- fachere Gestalt w, = W, (1 + 0,000 375 5.6) annimmt. Ausser den Messungen von Arndtsen sind mir keine anderen für Argentan bekannt; Siemens selbst hat diesen Coëfficienten für seine Drähte nicht bestimmt, er nimmt”) vielmehr für dieselben den von Arndtsen gefundenen an. Nach Siemens ist a — 0,000 39 und dieses ist in der That der erste Coëfficient in Arndt- sen’s Formel. Da die Siemens’'sche Zahl von der Arndtsen’s nur um etwa 4 Procent abweicht, so werden durch diese Differenzen bei den Reductionen nur solche Feh- ler entstehen, die zu vernachlässigen sind; es sei denn, dass eine grüssere Genauigkeit gefordert werde, als oben angenommen wurde. 1) Poggendorf’s Annalen Bd. CIV. 2) Ib. Bd, UX. Es kann aber fraglich erscheinen, ob der von Arndtsen für Argentan gefundene Temperaturcoëffi- cient auf die Siemens’schen Drähte überhaupt an- wendbar ist. Neusilber ist ja durchaus nicht als Le- girung von constanter Zusammensetzung anzusehen; es scheint vielmehr, dass dieselbe in recht weiten Grenzen schwanken kann. Dafür sprechen die Bestim- mungen des Leitungswiderstandes für dieses Material, welche ganz auffallend von einander abweichen. So fanden, um nur wenige Beispiele anzuführen, drei Beobachter folgende Widerstände des Argentans bei 0° gegen Silber — 1: Buit....... 8,3, Riess 1,0, Arndtsen... 5,3. Solche Differenzen sind doch kaum anders als durch die Verschiedenheit des benutzten Materials zu er- klären. Hierzu kommt dann noch, dass von allen Be- stimmungen des Widerstandes für Argentan diejenige Arndtsen’s für diese Legirung den geringsten Werth ergiebt und daher ist es sehr wahrschcinlich, dass Arndtsen’s Neusilber von einer mittleren Composi- tion dieser Legirung beträchtlich abweicht. Da es andererseits wohl bekannt ist, dass der Ein- fluss der Temperatur auf den Widerstand der Legi- rungen mit der Zusammensetzung der letzteren nicht unbedeutend variiren kann, so muss der Zweifel an einer unbedenklichen Zulässigkeit des von Arndtsen für Argentan gefundenen Temperaturcoëfficienten auch auf die Siemens’schen Drähte als ein wohl begrün- deter erscheinen. Mit einer Untersuchung von Widerständen beschäf- tigt, bei welcher es mir um môüglichst genaue Resul- tate zu thun war, habe ich mich durch diese Betrach- tungen genüthigt gesehen, den Temperaturcoëfficien- ten für den Widerstand der Siemens’schen Drähte zu messen, und will im Folgenden die Resultate die- ser Untersuchung mittheilen, da sie bei der häufigen Benutzung Siemens’scher Etalons allgemeines In- teresse beanspruchen dürfen und manchem Beobachter von Nutzen sein künnen; zu dieser Mittheilung bin ich um so mehr bewogen, als der von mir bestimmte Coëfficient, wie weiter unten gezeigt werden soll, auf alle Systeme aus der Werkstätte der Herren Siemens jund Halske Anwendung findet. 569 Ich verschaffte mir für die Untersuchung aus der hiesigen Werkstätte des Herrn Siemens drei von den Drähten, welche zur Herstellung der Etalons dienen. Diese Drähte, von 1 — 2 Meter Länge und resp. von 0,15 — 0,20 — 0,25 Mm. Dicke (ohne Umspinnung gerechnet) wurden zu doppelten Spiralen gewunden, so dass bei momentaner Schliessung der Kette sich keine Inductionsstrome bilden konnten, dann durch wiederholtes Eintauchen in dünne Schellaklôsung ge- firnisst, worauf dann ihr Widerstand bei 0° und etwa 18° gemessen wurde. Die Temperatur 0° wurde den Drähten durch Eintauchen derselben in Schnee mit- getheilt, die zweite Temperatur war die des Zimmers und wurde an einem in die Windungen der Spiralen eingeführten Thermometer gemessen. Da es nicht müglich war, die Temperatur des Zimmers während läingerer Zeit constant zu erhalten, so stand zu be- fürchten, dass Draht und Thermometer im Moment der Messung etwas verschiedene Temperaturen haben künnten; es wurde deshalb die Vorsichtsmaassregel angewandt, den Widerstand ein Mal bei steigender, das andere Mal bei abnehmender Zimmertemperatur zu messen. Zwei solche Messungen geben eine volle Beobachtung bei hüherer Temperatur. Der noch etwa restirende Fehler in der Bestimmung der Temperatur des Drahtes kann nur verschwindend gering sein, weil die Temperaturschwankungen im Beobachtungslocale überhaupt nur sehr klein waren. Vier oder fünf ein- zelne Beobachtungen, abwechselnd bei 0° und der Zimmertemperatur lieferten eine Beobachtungsreihe, deren zwei für jeden Draht gemacht wurden, so dass die Endresultate aus 4 bis 5 Messungen bei 0° und ebensovielen bei der Zimmertemperatur hergeleitet sind. Auf eine genauere Beschreibung der Messungen ein- zugehen, erscheint unnüthig; es sei nur noch erwähnt, dass zu denselben ein Widerstandssystem, von 0,1 Q.E. beginnend, benutzt wurde und ausserdem ein Rheo- chord aus dickem Platindraht, von welchem circa 30,5 Cm gleich sind 0,1 Q. E. Selbstverständlich diente zu den Messungen eine Brücke, wobei, wie bei mei- nen früheren Beobachtungen, der zu untersuchende Draht, das Siemens’sche Widerstandsysstem und der Rhcochord in ein und denselben Zweig eingeschaltet waren. Diese Combination bietet vor den gewühnlich in Anwendung kommenden einen doppelten Vorzug, des Sciences de Saint -Pétersbourg. 570 indem erstens die oft lästigen Rechnungen ganz fort- fallen und zweitens die Beobachtungen von dem Ver- hältniss der Zweigwiderstände unabhängig werden. Die Messungen ergaben nun folgende Temperatur- coëfficienten für die Drähte in den Grenzen von 0 — 20°: Draht 0,15 Mm. 0,20 Mm. 0,25 Mm. 1°" Reihe 0,000 425 4 0,000 430 1 0,000 430 6 9" Reihe 426 3 499 5 4329 Differenzen 9 6 16 Mittel 0,000 425 8 0,000 429 8 0,000 451 4 Gesammtmittel 0,000 429 0 Differenzen 0,000 003 2 0,000 000 8 0,000 002 4 In Procenten 0,75 0,19 0,56 Es scheint demnach, dass den verschiedenen Dräh- ten etwas verschiedene Temperaturcoëfficienten zu- kommen; es deutet darauf der Umstand, dass die Dif- ferenzen für die verschiedenen Drähte etwas grôsser ausfallen als diejenigen, welche aus den zwei Beobach- tungsreihen für einen und denselben Draht folgen. Der Grand dieser Verschiedenheit mag wohl darin lie- gen, dass die Drähte nicht bei derselben Temperatur ausgeglüht sind. Die Differenzen für die verschiede- en Drähte sind indessen so gering, dass sie vollstän- dig vernachlässigt werden künnen, und es ist alsdann für die Reduction auf die Normaltemperatur der mitt- lere Werth für die Drähte anzunehmen. Hierdurch künnen keine Fehler entstehen, welche 0,01 Procent des gesuchten Widerstandes ausmachen. Die Reductionsformel für die Siemens’schen Drähte hat nach diesen Bestimmungen die Gestalt: w, = W,(1 + 0,000429 .t). Der von mir ermittelte Werth für den Temperatur- coëfficienten des Argentans weicht demnach von dem von Siemens angenommenen (0,00039) nicht ‘uner- heblich ab. In den überwiegend meisten Fällen wird es freilich gleichgültig sein, mit welchem der beiden Coëfficienten man die Reductionsrechnung macht, so- bald es sich jedoch um grosse Genauigkeit der Beob- achtung handelt, wird man nicht übersehen, dass die zwei Coëfficienten Reductionen ergeben, die bis 0,07 Procent des Widerstandes von einander abweichen. Es schien mir ferner interessant zu entscheiden, in wie weit der oben gefundene Temperaturcoëfficient 571 Bulletin de l’Académie Impériale 57? für verschiedene Etalons von Siemens Anwendung fin- den kann, ob nämlich das zu den Widerstandsstücken benutzte Argentan soweit gleichartig ist, dass für ver- schiedene Exemplare der Etalons, die zu verschiede- nen Zeiten hergerichtet wurden, der Temperaturcoëf- ficient derselbe ist. Diese Frage liess sich durch schon früher von mir gemachte Versuche bejahend entschei- den. Um die Angaben meines Rheochorden in Queck- silbereinheiten umsetzen zu kônnen, habe ich densel- ben vor etwa zwei Jahren mit einem Siemens’schen Widerstandssystem verglichen. Diese Vergleichung der Widerstände war bei zwei verschiedenen Temperatu- ren ausgeführt worden, das eine Mal in einem bis etwa 3° abgekühlten Zimmer, das andere Mal bei der ge- wübnlichen Zimmertemperatur, also etwa 18°. Aus diesen Messungen lässt sich nun der relative Tempe- raturcoëfficient des Platins gegen den des Siemens’- schen Drahtes berechnen. Es liegen mir vier Gruppen von Beobachtungen vor, bei vier verschiedenartigen Einschaltungen des Rheochorden, der aus zwei paral- lel gespannten Drähten bestand. Aus diesen vier Grup- pen erhält man folgende vier Werthe für den relati- ven Temperaturcoëfficienten : Temper. coëff. Difier. In Proc. Der rechte Drahtal- 0,002010 0,00011 0,55 lein Der linke Draht allein 1993 06 0,30 Beide Drähte hinter 2012 13 0,65 einander Beide Drähte parallel 1981 18 0,90 Mittel 0,001999 Ausserdem war auch noch der Temperaturcoëfficient für den Rheochordendraht direct bestimmt worden, an einem Stücke desselben Drahtes, welches nur dün- ner ausgezogen war, Zu 0,2 Mm Durchmesser. Die Widexstände waren wiederum bei 0° und 18° gemes- sen worden und drei Versuche ergaben die Werthe: Diff. In Proc. 0,002432 0,000002 0,08 2419 11 0,45 2440 10 0,41. Mittel 0,002430 Aus dem relativen Temperaturcoëfficienten des Pla- tins gegen Argentan und dem absoluten des Platins berechnet sich der für Argentan zu 0,000431, also fast genau wie oben. Ich müchte jedoch dem di- rect gefundenen Coëfficienten einen grüsseren Grad von Genauigkeit zuschreiben, weil seine Temperatur genauer gemessen war als bei den eben beschriebenen Versuchen. Diese letzte Bestimmung bezieht sich auf ein Wi- derstandssystem, welches ich im Jahre 1874 aus der Werkstätte des Herrn Siemens erhalten hatte, von 0,1 bis 5000 Q. E. reicht und mit der Fabriknum- mer 1768 bezeichnet ist. Dasselbe wurde noch mit einem viel früher bezogenen (eine Brücke mit M 666 bezeichnet) verglichen. Diese Vergleichungen ergaben bei den Temperaturen 3° und 19° ein und dasselbe Ver- hältniss der Widerstände; es wurden zwar Abweichun- gen beobachtet, dieselben überschritten jedoch nicht die Beobachtungsfehler. Also auch in diesem Systeme ist ein Draht benutzt, für den der oben gefundene Tem- peraturcoëfficient gilt. Diese Untersuchungen führen demnach zu folgen- den zwei Schlüssen: 1. Innerhalb der Grenzen von 0° bis 20° ist der Temperaturcoëfficient für den Draht der Sie- mens’schen Widerstandsstücke gleich 0,000429. . Dieser Coëfficient ist ein gemeinsamer für alle in der Werkstätte der Firma Siemens und Halske ausgeführten Widerstandssysteme, aus welcher Zeit dieselben auch stammen môügen. Le) BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. L'Académie a reçu dans ses dernières séances les ouvrages dont voici les titres: Astor library. Twenty-eighth Annual Report of the Trustees. New York. 1877. 8. L scripta academica anno 1876 ab Universitate Erlan- gensi edita. XIX scripta academica ab Universitate Regimontana anno 1876 edita. 7 XVII scripta academica ab Universitate Dorpatensi anno 1876—77 edita, Académie des Sciences et Lettres de Montpellier. Mémoires de la section des sciences. Tome VITE II et IV° fasci- cules. Année 1875. Mémoires de la section des lettres. 573 T. VI. I” fascicule. Année 1875. Montpellier 1876. 4. Monatsbericht der küniglich preussischen Akademie der Wissenschaften zu Berlin. November, December 1876. Januar, Februar 1877. Berlin 1877. 8. Proceedings of the Royal Institution of Great Britain. Vol. VII part V. VI. Vol. VII part I. II J 62—64. April 1875 — December 1876. London 1875—76. 8. Sitzungsberichte der gelehrten estnischen Gesellschaft zu Dorpat 1876. Dorpat 1877. 8. Keilii, Henrici, Quaestionum grammaticarum p. V. Ob- servationes in Velium Longum cum epistula L $. Semleri. Halae 1877. 4. Neue, Friedr. Formenlehre der lateinischen Sprache. Er- ster Theil. Zweite erweiterte Auflage. Berlin 1877. 8. Journal asiatique. Septième série Tome VIIT, .\ 4, Nov. — Dec. 1876. T. IX Xe 1. Janvier 1877. Paris. Räjendraläla Mitra, Catalogue of Sanskrit Mss. existing in Oudh. Fasc. VIIL Calcutta 1876. 8. Revue africaine. Vingtième année, Numéros 119 — 120. Septembre — Décembre 1876. XXI"* année. J\ 121 Janvier, Février 1877. Alger et Paris 1876. 8. Bulletin de la Société mathématique de France, publié par les secrétaires. T. V J\ 1. 2. Paris 1877. 8. Archiv der Mathematik und Physik. LX. Theil Heft 2. Leipzig 1877. 8. Bullettino di bibliografia e di storia delle scienze mate- matiche e fisiche pubblicato da Boncompagni. Tomo IX. Novembre, Decembre 1876. Tome X. Gennaio, Febbraio 1877. Roma 1876. 4. Anuario del Observatorio de Madrid. Ano XIII. — 1873. Ano XIV.— 1876. Madrid 1872. 75. Annales de l'Observatoire royal de Bruxelles. 1876 feuille 13, 1877 f. 1—5. Monthly notices of the royal astronomical Society. Vol. XXXVII 6 3—6. January — April 1877. Schiaparelli, G. V. Die Vorläufer des Copernicus im Alterthum. Historische Untersuchungen — ins Deut- sche übertragen von Maximilian Curtze. Leipz. 1876. 8. Lettres inédites de Joseph Louis Lagrange à Léonard Euler, tirées des archives de la salle des conférences de l'Académie Impériale des sciences de St.-Péters- bourg et publiée par B. Boncompagni. St-Pétersbourg 1867. 4. Marie, Max. Sur les deux théorèmes de M. Clebsch re- latifs aux courbes quarrables par les fonctions ellip- tiques ou par les fonctions circulaires. Paris 1877. 4. — Sur les relations qui existent nécessairement entre les périodes de la quadratrice de la courbe algébrique la plus générale de degré », et, à plus forte raison, d’une courbe particulière dans son degré. Paris 1877. 4. — Les périodes cycliques ou logarithmiques de la qua- dratrice d’une courbe algébrique du degré » sont les produits par 2xy/—1 des racines d’une équation al- gébrique de degré », qu'on peut toujours obtenir et des Sciences de Saint. Pétersbourg. —————_—— 574 dont les coefficients sont des fonctions rationnelles de ceux de l'équation de la courbe proposée. Paris 1877. 4. Matton, Louis Pierre. Sommaire des cinq brochures sur la quadrature de tous les polygones réguliers et sur le bissegment. Lyon 1877. 4. — Le bissegment. Principe nouveau de géométrie curvi- ligne. Lyon 1876. 4. __ Première suite et premiers développements de la bro- chure le bissegment. Lyon 1876. 4. — Résumé des deux premières brochures sur le bissegment. Lyon 1876. 4. — Réponse à une seule et dernière objection contre la tendance des trois brochures sur le bissegment. Lyon 1876. 4. — Quadrature de tous les polygones réguliers, depuis le Triangle équilatéral, jusqu’au polygone d'un nombre infini des cotés. Lyon 1877. 4. Berliner Astronomisches Jahrbuch für 1879 mit Epheme- riden der Planeten (© — (46 für 1877. Herausgegeben von der kôniglichen Sternwarte zu Berlin unter Re- daction von W. Foerster und F. Tietjen. Berlin 1577. Bcobachtungen der Kaiserlichen Universitäts - Sternwarte Dorpat, herausgegeben von J. H. Mädiler. Zehnter Band (oder der neuen Folge zweiter Band). Beobach- tungen des Jahres 1844 nebst einem Anhange. Dor- pat. 4. Wolf, Rud. Astronomische Mittheilungen. XLIT Februar 1877. XLIII. April 1877. 8. Carret, Jules. Le déplacement polaire. Preuves des va- riations de l’axe terrestre. Avec une carte en couleurs. Paris, Chambery 1877. 8. Ontologie. Morceaux extraits des Travaux de M. Henri Monnier. Morceau extrait Astronomie. Texte: La Terre ne tourne pas sur son axe. La Terre ne tourne pas autour du Soleil. Montereau 1877. 4. Stebnitzky, General-Major J. Über die geographische Lage und die absolute Hübe der Stadt Teheran. (Nach dem russischen Manuscripte des Herrn Verfassers übertragen und mitgetheilt von A. Moritz.) 4. Société nationale des sciences naturelles de Cherbourg. Compte rendu de la séance extraordinaire tenue par la Société le 30 décembre 1876, à l’occasion du vingt- cinquième anniversaire de sa fondation. Cherbourg 1877. 8. Bulletin de la Société des sciences de Nancy. Série IT. T. II. — Fascicule V. 9° année. 1876. Paris 1876. 8. Actes de la Société Linnéenne de Bordeaux. T. XXXI. Quatrième série T. I 2° livraison. Sept. 1876. Bor- deaux 1876. 8. Atti dell accademia Gioenia di Scienze naturali in Cata- nia. Serie terza. Tomo X. Catania 1876. 4. Memorie della Societi degli spettroscopisti italiani raccolte e pubblicate per cura del prof. P. Tacchini. Dispense 575 Bulletin de l’Académie Impériale des Sciences de Saint-Pétersbourg. 576 I—IV. Gennaro, Febbraro, Marzo, Aprile 1877. Pa- lermo 1877. 4. ù Atti della r. Accademia dei Lincei anno CCLXXIV 1876 — 77. Serie terza. Transunti Vol. I Fascicolo 3°.—Feb- brajo 1877. 4° — Marzo 1877. 5° Aprile 1877. Roma 1877. 4. — dell” Accademia pontificia de’ nuovi Lincei. Anno XXIX. Sessione VI* del 21 maggio 1876. Sessione® VII: del 18 giugno 1876. Anno XXX. Sessione 1° del 17 De- cembre 1876. Roma. 4. Annali del museo civico di storia naturale di Genova. Vol. VIII. Genova 1876. Società Toscana di Scienze naturali. Adunanza del 14 Gen- naio 1877.— del 14 Marzo 1877. Firenze. 8. Bollettino della Società Adriatica di Scienze naturali in Trieste. Annata II JM 3. Trieste 1876. $. Bulletin de la Société Vaudoise des sciences naturelles. 2 $. Vol. XIV J\ 77. Lausanne 1877. Verhandlungen des naturhistorisch-medicinischen Vereins zu Heidelberg. Neue Folge. Erster Band. Fünftes Heft. Heidelberg 1877. 8. Jenaische Zeitschrift für Naturwissenschaft. Bd. XI. Neue Folge. Vierter Band Heft 1. Jena 1877. 8. Sitzungsberichte der naturforschenden Gesellschaft zu Leipzig. I. Jahrg. 1874. IL Jahrg. 1875. II. Jahrg. 1876. IV. Jahrg. 1877 NS 1. Leipzig 1875—77. 8. Meddelanden af societas pro Fauna et Flora fennica. Fürsta häftet. Helsingfors 1876. 8. Archiv für die Naturkunde Liv-, Ehst- und Kurlands. Erste Serie. Bd. VII Lieferung 5. Bd. VIIT Heft I. IT. Zweite Serie. Bd. 7 Lief. 3. Dorpat 1876—77. 8. Sitzungsberichte der Dorpater Naturforscher-Gesellschaft. Vierter Band. Zweites Heft 1876. Dorpat 1876. 8. Bulletin de la Société Impériale des naturalistes de Moscou. Année 1876 J\ 4. Moscou 1877. 8. Természetrajzi füzetek az ällat-, nôvény-, äsvany- és fôldtan kürébül. Évnegyedes folyéirat. Kiadja a Magyar nem- zeti müzeum. À természetrajzi osztälyok küzremü kü- dése mellett szerkeszti Herman Otto. Elsô kütet. 1. füzet (Januär — Märczius). Budapest 1877. 8. Transactions and proceedings of the Royal Society of Victoria. Vol. XII. Melburne 1876. 8. La Nature. Revue des sciences et de leurs applications aux arts et à l’industrie. Journal hebdomadaire il- lustré. Rédacteur en chef Gaston Tissandier. 5° an- née J\% 183—208. Paris 1876—77. 4. The constitution and by-laws of the Ann Arbor Scientific Association with proceedings for the year ending Mai 1, 1876. Ann Arbor 1876. Nature J 382—396. London. 8. Hugo, Le comte Léopold. La théorie hugodécimale, ou la base scientifique et définitive de l’arithmologistique universelle. Paris 1877. 8. Nystrom, John W. Principles of Dynamics. Philadelphia 1874. 8. Berichte der Deutschen Chemischen Gesellschaft. X. Jahr- gang 1877 J\ 1—0. Berichte 1876. Titelblatt und Register. Berlin. 8. The American Chemist. Vol. VII JË 6—9. December 1876. Whole 78—80. Chavanne, Josef. Das Klima und sein Einfluss auf Pflan- zen- und Thierwelt. Wien 1877. 8. Resumen de las observaciones meteorolôgicas efectuadas en la peninsula desde el dia 1° de Diciembre de 1870 al 30 de Noviembre 1871, 1871—72, 1872—73. Madrid 1872—75. 8. Observaciones meteorolôgicas efectuadas en el observa- torio de Madrid. Desde el dia 1° de Dic. de 1870 al 30 de Nov. 1871. 1871 » » » » 1872, » 1872 » » » » 1873. » » » » » » » » » » » » » Madrid 1872—74. 8. Zeitschrift der üsterreichischen Gesellschaft für Meteoro- logie. Redigirt von C. Jelinek und J. Hann. X. Band. Wien 1875. Jahrbücher der k.k. Central-Anstalt für Meteorologie und Erdmagnetismus von Carl Jelinek und Ferdinand Osnaghi. Neue Folge. XI. Band. Jahrg. 1874. Wien 1876. 4. Deutsche Seewarte. Monatliche Übersicht der Witterung. Januar — Mai 1876. Januar 1877. Hamburg. 4. Observations météorologiques faites aux stations inter- nationales de la Belgique et des Pays-Bas sous la direction de J-C. Houzeau et C-H-D. Buijs-Ballot. Première année 1877. Feuilles 1. 2. Bruxelles. Meteorologische Beobachtungen angestellt in Dorpat im Jabre 1874. 1875, redigirt und bearbeitet von Prof. Arthur von Oettingen und Prof. Karl Weïhrauch. Neunter, zebnter Jahrgang. II. Bd. Heft 4. 5. Dorpat 1875—77. Bulletin de la Société géologique de France. 8° série, t. IV°. 1876 Xe 8. 9. T. V. 1877 A 2. 3. Paris 1875 à 1876. 1877. The quarterly journal of the geological society. Vol. XXXIII part 1 J\ 129. London 1877. 8. Transactions of the Manchester geological Society. Vol. XIV part VIII—IX. Manchester 1877. 8. Zeitschrift der Deutschen geologischen Gesellschaft. XX VII. Band. 3. Heft. Juli bis September 1876. 4. Heft. No- vember bis December 1876. Berlin 1876. 8. Kokscharow, Nikolai v. Materialien zur Mineralogie Russlands. Bd. VII Bog. 9—14. Atlas. Taf. LXXX VIT. St. Petersburg 1877. 8. u. 4. Katalog der Bibliothek der küniglichen geologischen Lan- desanstalt u. Bergakademie zu Berlin. Berl. 1876. 8. Paru le 23 juin 1877. D Aie Ci (LE DA NRA (I à Heron COPA TI MENT N DUT TE QUIL