Google

This ıs a digital copy of a book that was preserved for generations on library shelves before it was carefully scanned by Google as part of a project to make the world’s books discoverable online.

It has survived long enough for the copyright to expire and the book to enter the public domain. A public domain book is one that was never subject to copyright or whose legal copyright term has expired. Whether a book is in the public domain may vary country to country. Public domain books are our gateways to the past, representing a wealth of history, culture and knowledge that’s often difficult to discover.

Marks, notations and other marginalia present in the original volume will appear in this file - a reminder of this book’s long journey from the publisher to a library and finally to you.

Usage guidelines

Google ıs proud to partner with libraries to digitize public domain materials and make them widely accessible. Public domain books belong to the public and we are merely their custodians. Nevertheless, this work 1s expensive, so in order to keep providing this resource, we have taken steps to prevent abuse by commercial parties, including placing technical restrictions on automated querying.

We also ask that you:

+ Make non-commercial use of the files We designed Google Book Search for use by individuals, and we request that you use these files for personal, non-commercial purposes.

+ Refrain from automated querying Do not send automated queries of any sort to Google’s system: If you are conducting research on machine translation, optical character recognition or other areas where access to a large amount of text ıs helpful, please contact us. We encourage the use of public domain materials for these purposes and may be able to help.

+ Maintain attribution The Google “watermark” you see on each file is essential for informing people about this project and helping them find additional materials through Google Book Search. Please do not remove it.

+ Keep it legal Whatever your use, remember that you are responsible for ensuring that what you are doing is legal. Do not assume that just because we believe a book is in the public domain for users in the United States, that the work is also in the public domain for users ın other countries. Whether a book is still in copyright varies from country to country, and we can’t offer guidance on whether any specific use of any specific book is allowed. Please do not assume that a book’s appearance in Google Book Search means it can be used in any manner anywhere in the world. Copyright infringement liability can be quite severe.

About Google Book Search

Google’s mission is to organıze the world’s information and to make it universally accessible and useful. Google Book Search helps readers discover the world’s books while helping authors and publishers reach new audiences. You can search through the full text of this book on the web

auhttp://b060kSs, 00088le Son

Google

A propos de ce livre

Ceci est une copie numérique d’un ouvrage conservé depuis des générations dans les rayonnages d’une bibliothèque avant d’être numérisé avec précaution par Google dans le cadre d’un projet visant à permettre aux internautes de découvrir l’ensemble du patrimoine littéraire mondial en ligne.

Ce livre étant relativement ancien, 1l n’est plus protégé par la loi sur les droits d’auteur et appartient à présent au domaine public. L’expression “appartenir au domaine public” signifie que le livre en question n’a jamais été soumis aux droits d’auteur ou que ses droits légaux sont arrivés à expiration. Les conditions requises pour qu’un livre tombe dans le domaine public peuvent varier d’un pays à l’autre. Les livres libres de droit sont autant de liens avec le passé. Ils sont les témoins de la richesse de notre histoire, de notre patrimoine culturel et de la connaissance humaine et sont trop souvent difficilement accessibles au public.

Les notes de bas de page et autres annotations en marge du texte présentes dans le volume original sont reprises dans ce fichier, comme un souvenir du long chemin parcouru par l’ouvrage depuis la maison d’édition en passant par la bibliothèque pour finalement se retrouver entre vos mains.

Consignes d’utilisation

Google est fier de travailler en partenariat avec des bibliothèques à la numérisation des ouvrages appartenant au domaine public et de les rendre ainsi accessibles à tous. Ces livres sont en effet la propriété de tous et de toutes et nous sommes tout simplement les gardiens de ce patrimoine. Il s’agit toutefois d’un projet coûteux. Par conséquent et en vue de poursuivre la diffusion de ces ressources inépuisables, nous avons pris les dispositions nécessaires afin de prévenir les éventuels abus auxquels pourraient se livrer des sites marchands tiers, notamment en instaurant des contraintes techniques relatives aux requêtes automatisées.

Nous vous demandons également de:

+ Ne pas utiliser les fichiers à des fins commerciales Nous avons conçu le programme Google Recherche de Livres à l’usage des particuliers. Nous vous demandons donc d’utiliser uniquement ces fichiers à des fins personnelles. Ils ne sauraient en effet être employés dans un quelconque but commercial.

+ Ne pas procéder à des requêtes automatisées N’envoyez aucune requête automatisée quelle qu’elle soit au système Google. Si vous effectuez des recherches concernant les logiciels de traduction, la reconnaissance optique de caractères ou tout autre domaine nécessitant de disposer d'importantes quantités de texte, n’hésitez pas a nous contacter. Nous encourageons pour la réalisation de ce type de travaux l’utilisation des ouvrages et documents appartenant au domaine public et serions heureux de vous être utile.

+ Ne pas supprimer l'attribution Le filigrane Google contenu dans chaque fichier est indispensable pour informer les internautes de notre projet et leur permettre d’accéder à davantage de documents par l’intermédiaire du Programme Google Recherche de Livres. Ne le supprimez en aucun cas.

+ Rester dans la légalité Quelle que soit l’utilisation que vous comptez faire des fichiers, n’oubliez pas qu’il est de votre responsabilité de veiller à respecter la loi. Si un ouvrage appartient au domaine public américain, n’en déduisez pas pour autant qu’il en va de même dans les autres pays. La durée légale des droits d’auteur d’un livre varie d’un pays à l’autre. Nous ne sommes donc pas en mesure de répertorier les ouvrages dont l’utilisation est autorisée et ceux dont elle ne l’est pas. Ne croyez pas que le simple fait d’afficher un livre sur Google Recherche de Livres signifie que celui-ci peut être utilisé de quelque façon que ce soit dans le monde entier. La condamnation à laquelle vous vous exposeriez en cas de violation des droits d’auteur peut être sévère.

À propos du service Google Recherche de Livres

En favorisant la recherche et l’accès à un nombre croissant de livres disponibles dans de nombreuses langues, dont le français, Google souhaite contribuer à promouvoir la diversité culturelle grâce à Google Recherche de Livres. En effet, le Programme Google Recherche de Livres permet aux internautes de découvrir le patrimoine littéraire mondial, tout en aidant les auteurs et les éditeurs à élargir leur public. Vous pouvez effectuer

des recherches en ligne dans le texte intégral de cet ouvrage à l’adresselhttp: //books.google.com

9

Die Frage nach der Berechtigung der Feier war, weder bevor, noch während man die Vorbereitungen zu ihr in Angriff nahm, auf- geworfen worden. Auch keife der vielen auf dem Festmahl gehaltenen Reden trat ihr näher. Nur die Worte des damaligen Pfarrers Grienen- berger streifien die zu der Feier Anlass gebende Sage, ergingen sich aber mehr in einem Preis der christlichen Legenden überhaupt, als dass sie der Thanner Theobaldssage einen geschichtlichen Kern abzu- gewinnen suchten. Niemand hat es damals für angezeigt gehalten zu prüfen, ob die örtliche Überlieferung, welche die Übertragung der Theobaldsreliquie nach Thann auf den 1. Juli 1161 verlegt und zugleich diesen Tag als den Anfang der Stadt ausgibt, geschichtliche Berech- tigung hat.

Nicht nur das Bedürfnis, die in der Theobaldslegende selbst vor- handenen Irrtümer zu berichtigen, fordert zu einer neuen Untersuchung über die Zeit der Ankunft und die Herkunft der Thanner Reliquie auf. Vor allem drängt die Notwendigkeit die zahlreichen Angaben der Thanner Chronik, welche den Bau des Thanner Münsters mit der Übertragung der Reliquie in ursächlichen und zeitlichen Zusammenhang bringen, richtig zu stellen, dazu, die Sage von dem «Ursprung und Anfang der Stadt Thann» einer kritischen Prüfung zu unterziehen und mit den Ergebnissen dieser Untersuchung eine sichere Grundlage für die Dar- stellung der Baugeschichte des Thanner Münsters zu gewinnen.

Drei Fragen sind es, auf welche in den nachfolgenden Erörterungen eine Antwort gesucht werden muss: 1. Ist die in Thann verehrte Reliquie wirklich eine Partikel des heiligen eugubinischen Bischofs Ubald alias Theobald? 2. Zu welcher Zeit kam die Theobaldsreliquie nach Thann? 3. Wann ist der Bau des auf den Namen des heiligen Theobald geweihten Münsters begonnen worden?

4

auch in die seinem Werke vorausgeschickte Erzählung von dem «Ur- sprung und Anfang der Stadt Thann!» Schencks Bericht von der Über- tragung der Reliquie mehr oder minder willkürlich abgeändert herüber- genommen, nennt jedoch hier Schenck ausnahmsweise als seinen Ge- währsmann.

Von Tschamser, nicht unmittelbar von Schenck abhängig ist die Dar- stellung des Verfassers der Kleinen Thanner Chronik*, welche ihrerseits wieder die Quelle für die Fassung in A. Stöbers elsässischem Sagen- buch’ gewesen ist.

Die von einem ungenannten Thanner Franziskaner 1777 heraus- gegebene «Kurzverfasste Lebens-, Übersetzungs- und Wundergeschichte des heiligen Bischofen Theobaldus», eine gekürzte Neuauflage des Sum- marischen Berichts von 1628, weicht in der Wiedergabe der Trans- lation des Daumenfingers nach Thann nur stilistisch von ihrer Vorlage ab‘. Hingegen hat die 1868 von einem ungenannten Verfasser ver- öffentlichte «Andacht zu Ehren des heiligen Theobald®», die sich im Vorwort als erneuerte und vermehrte Ausgabe des Andachtsbüchleins von 1777 einführt, in der Erzählung von der Überbringung des Daumens (S. 12—15) die Darstellung eines italienischen Schriftstellers® mit der lokalen Überlieferung in eins verarbeitet. Da somit die bis jetzt bekannte älteste Aufzeichnung der Theobaldslegende, wie sie uns in den eben genannten 1723 und später verfassten Schriften entgegentritt, nicht nur in der Form, sondern auch hinsichtlich des Inhaltes mehr oder weniger von der ursprünglichen Fassung abweicht, die ältere Auflage von Schencks Büchlein aber äusserst selten geworden ist, so hielt ich es für angemessen, seinen Bericht von der Translation, trotz der epischen Breite der Darstellung unter Ausscheidung von Wieder- holungen und inhaltlich Nebensächlichem nachfolgend zum Abdruck zu bringen.

1. Grosse Thanner Chronik I, S. XXII—XX VII. 2. S. 4—11. 3. A. SrôBer, Die Sagen des Elsasses*, 1892-93, 1. T., S. 43—45 und 127 f.

4. S. 35—42. Druckort und Verleger sind nicht genannt; Typen und Format weisen auf Decker in Colmar hin.

5. Erschienen zu Colmar bei Hoffmann. 6. Carolus Oliverius Vincentinus, S. 50 f.

6

verwunderlichen sach weder hilf noch rat zu geben. Verliesse lestlich den stab und begab sich in ein nicht weit davon gelegen dorf, bittet etliche selbiger inwohner mit ihme zu gehn, zu sehen, ob doch sein stab etwan durch andere von der stett kunte gebracht werden. Aber widerumb alles vergeblich. Alhie befand sich der diener von gott gefangen, erkennende dises aus verhängnus gottes und des h. Theobaldi beschehen, erwartet mit zitteren und schräcken des ausgangs. .. Damalen soll ein landherr oder graf mit namen Engelhart auf jetzigem Thannischen schloss, so von seinem namen Engelburg genennet worden, gewohnt haben. Der habe zu drei underschid- lichen malen ein schön hellglänzendes liecht von dem schloss herab in dem darbei nachgelegenen tannenwäldlein auf einem hohen tannenbaum scheinen gesehen, seie dardurch bewegt worden selbsten persönlich sich in das wäldlein zu begeben, zu erforschen, was doch vorgedachte liechter andeuten wöllen: habe alldorten vil volk sampt dem vorgenanten pilgram angetroffen, desgleichen gesehen, dass sein angelehnter bilgerstab... nicht möchte von der stett bewegt werden, auch den pilgram voller forcht und schrecken sein. Vermerkte diser landherr, dass solches nicht ein natürliches, sonder ein göttliches werk sein müsse, dardurch der allmächtige ein grosse haimb- lichkeit wöll entdecken. Darumber dann hochgedachter landherr zweifelsohne disen diener angeredt: mein lieber freund, was ist das für ein seltsames werk, das gott durch dich will offenbaren? gib gott die ehr, bekenne die warheit! wer bist du? und was geht mit dir umb? Nach welchem mehr- benanter diener den willen gottes erkennend alles umständlichen vor dem landherr und allem volk bekennet, .. . dass der alweise gott auch der heilig bischof Theobald durch dise wunderwerk ihne von seinem gefassten vorhaben wölle abwenden. Als solches der landherr sampt dem ganzen volk... angesehen auch... gnugsamen bericht eingenommen, seien sie alle auf ihre knie nidergefallen, gott zu bitten, was ihnen in disem wunder- barlichen fall zu thuen seie. .. Ist ihnen innerlich inspiriert worden, dises heiligtumb. .. in ihren landen zu behalten und solches mit billicher ehr zu verehren. Darauf der landherr sampt dem ganzen volk ein gelübd gethan in disem ort, da... benantes heiligtumb unbeweglich stehen verbliben, ein capell und kirchen zu ewiger gedächtnus dises ... wunderwerks zu erbauen, daselbsten das... heiligtumb in höchsten ehren zu verwahren und aufzuhalten. In augenblick... nach erst angedeuttem geschehenen gelübd... [hat man] den stab... ohne ferneres bemühen könden zuhanden nemmen. Nach welchem dann sowol durch einmütige stimm und willen des vorgedachten landherren so auch des gegenwertigen versambleten volks. .. hat man angefangen erst- lichen das heıligtumb in einer absünderlichen capellen mit gebührender ehr zu verwahren. Und weilen alsobald. . . bei benantem heiligen partikel. . . underschiedliche wunderwerk sich zutrugen,... {ist} wegen des ohnzahlbaren zu diesem heiligtumb anwallenden volks. .. an demjenigen ort, da der diener

8

Die Angabe, dass der in Thann verehrte Theobaldsdaumen eine Par- tikel des umbrischen Bischofs Ubald sei, war Schenck in der Lage nicht nur durch die Berufung auf die «relation etlicher und vieler glaubwürdiger betagter leuten» zu stützen, sondern auch durch Vor- führung einer Reihe urkundlicher Zeugnisse zu erhärten. Dahin gehört die Bemerkung des Basler Martyrologiums von 1584 zum 1. Juli‘, der handschriftliche Translationsbericht, den Schenck in einem Exemplar der Vitae sanclorum des Petrus de Natalibus in der Bibliothek des Kart- häuserklosters bei Freiburg i. B. zum Leben des heiligen Übald am Rande eingetragen fand, der inhaltlich mit der von Stephanus Cremo- nensis (1519) gegebenen Version übereinstimmend der zweiten Hälfte des 16. Jahrhunderts angehören mag; ferner die am 2. September 1499 zu Thann von dem Bischof Heinrich von Kammerich (Cambrai) aus- gestellte Ablassbulle*. Während die früheren für die Thanner Kirche erlassenen zahlreichen Ablassbriefe* ihrer nur als ecclesia sancti Theo- baldi und ihres Patrones nur als heiligen Theobalds ohne den Zusatz episcopi gedenken, versichert diese Urkunde, dass die «pfarrkirch der statt Thann basler bistumbs in und zu der ehre des heiligen bischofs Theobald geweiht», und behauptet weiterhin, dass dessen ganzer Leib ausser dem in Thann bewahrten ersten Gliede des Daumenfingers «bei der statt Eugubin auf einem berg ohngefahr anderhalb meilen ob derselben statt gelegen geehrt wird». Wie es scheint, hatte der Bischof auf einer seiner Wallfahrten* auch Gubbio berührt. Seine Aussage bestätigte der 1544 von zwei Thanner Stiftsherrn über ihren Besuch des Grabes des heiligen Übald niedergelegte Bericht, auf den Schenck in gleicher Weise sich beruft®. Eine fernere Stütze für die volkstümliche Überlieferung und

I. Martyrologium Basileense Friburgi Brisgoviae MDLXXXIIII, S. 141: In Alsatia et oppido Thannensi festum sancti Theobaldi episcopi Eugubini ... eius dextrae manus pollex ibidem servatur, cum alias reliquum corpus adhuc integrum et incorruptum Eugubii fit. Thannis quoque diu claruit miraculis.

2, Beilagen Nr. 34.

3. Urkunden von 1340, 1346, 1422, 1424, 1440, 1444, 1462, 1474 (zu eeren unserm heiligen hußvatter und pattronen sant Thiebolt), 1491. Selbst der Ablassbrief von 1491, welcher die Doppelfeier des Theobaldsfestes in Thann zum ersten Mal erwähnt (sant Thieboltztag, der do herlich begangen wird an dem XVitag des monats meyen und an dem ersten tag des höwmonats), spricht nur von der «weltlich und stiftkilch sant Thiebolz».

4. Gallia christiana III, Sp. 50. Mossmann, Les origines de Thann, Rev. d'Alsacr, 1873, S 333.

9. Sanctus Theobaldus, 26 f. Beilagen 36.

40

von 1493, das dritte von 1424; unter letzterer Zahl steht der Name des Künstlers, den ich claus. bowis. d. i. Claus von Beauvais lese‘. Da das fünfte und achte Fenster abgesehen von der Übereinstimmung in Zeichnung, besonders der abwechselungsreichen, vielfach schöne Durchblicke gewährenden Architekturen, auch dieselben Wappen, den österreichischen Schild mit silbernem Querbalken in Rot und die beiden braunschweigischen goldenen Löwen in Rot zeigen es sind die Wappen Herzog Friedrichs IV. von Österreich + 1439 und seiner Gemahlin Anna von Braunschweig? wie das erste 1423 vollendete Fenster, so wird; die Entstehung dieser Fenster derselben Zeit und demselben Künstler zuzuweisen sein. Die Verwandtschaft in der Form gleichwie der enge stoffliche Zusammenhang der dargestellten Scenen zwingen uns auch in den Malereien des mittleren und des nach Süden anschliessenden Fensters mit der Darstellung des Marienlebens Claus Bowis als Meister anzunehmen. Dasselbe gilt für die Malereien des siebten Fensters, dessen grossartige Darstellung von dem Martyrium der heiligen Katharina vielleicht in Beziehung steht zu der edlen Wohlihäterin Thanns und eifrigen Förderin des Münsterbaues, Katharina von Burgund, Witwe Herzog Leopolds IL von Österreich, Inhaberin der Vorderösterreichischen Lande, die Ende 1424 oder Anfang 1495 starb. Es läge nahe für die Herstellung der Gemälde der beiden sich ent- sprechenden Fenster der Epistel- und Evangelienseite mit der Theobalds- legende und den messianischen Weissagungen bez. zehn Geboten die gleiche Zeit und Hand in Anspruch zu nehmen, der wir die anderen Chorfenster verdanken. Allein jene zeigen in Stil und Technik derartige Verschiedenheiten von diesen, dass wir einem anderen und zwar späteren Meister ihre Ausführung zuschreiben müssen. Entwurf und Raumverteilung lassen das Grossartige vermissen, das die Schöpfungen des unter flandrischem Einflusse stehenden nordfranzösischen Künstlers auszeichnet. Die einrahmende Architektur ist viel einfacher, stellen-

1. Am Fusse des Bauwerks, das den Turm von Babel vorstellt, steht MCCCCXXIII, an dem Oberbau des Stadttores von Jerusalem MCCCCXXTIMI. Vikar J. Buhr, jetzt Pfarrer in Eichwald, der 1892 von einem Gerüste aus die Fenster eingehender betrachtete und die Ergebnisse seiner Beobachtungen in einem wenig bekannt gewordenen Auf- satzeïdes Elsässer Hausschatzes, 2. Jahrg., 1892, S. 58-59 veröffentlicht hat, las claus hoch. Eine November 1900 für mich hergestellte Durchpausung der Inschrift ergab die Lesung claus.‘ bowis.

2. Das achte Fenster hat in einer Fischblase des Masswerks ausserdem noch den blauen Adler von Krain auf weissem Grunde.

42

oder zur Erinnerung an Errettung aus Todesgefahr auf Anrufung St Theobalds hin von den Pilgern mitgebrachten neuneckigen Ringe bezeichnete den Thanner Patron nicht als «Bischof», sondern nur als «hochwürdigen Bekenner'». Als aber der Münsterbau so weit fort- geschritten war, dass das Leben und die Thaten des Heiligen durch Bildhauerkunst und Malerei zur Darstellung kommen sollten, da musste

1. W. DEECKE, Amulelringe des Heiligen Theobald von Thann, in Jahrb. d. Vog.- Clubs VIII (1892), S. 37—44. Die Inschrift des ältesten der hier besprochenen Ringe wird richtig als Thebaljdus] c[onfessor] vfenerandus] t{utor] Tanf{nli gedeutet, wiewohl die stehende Bezeichnung patronus Tannensis war. Votiv- und Erinnerungszeichen aus Wachs vielleicht auch aus Blei oder Zinn zu giessen wird 1442 dem auf der Engelburg als Lichtkämmerer angestellten österreichischen Diener Johannes Licht- kamrer von Kaiser Friedrich als «ampt . . in sant Tycpolcz kirchen ze Tann die zaichen sant Tyepolcz gyessen und die ouch ausgeben sol und mag» verliehen (Beil. Nr. 30°). Dass man auch silberne ‚Zeichen ausgab, ergibt sich aus einer Bemerkung der St. Theobalds-Baumeisterrechnung von 1579 (Stadtarchiv): von Hans dem kilwart empfangen für 5 grosser silberer zeichen jedes 3 ß = 15 ß, item aber von ime für 12 kleiner silberer zeichen jedes-pro 2 ß, thuen 1 & 4ß. Die von Deecke beschrie- benen vier Ringe drei goldene und einen silbernen —, die in Gräbern in Lübeck, Jütland, Dänemark und England gefunden wurden, möchte ich noch am ehesten als Erinnerungszeichen an die auf Anrufung Theobalds zurückgeführte Errettung aus Gefangenschaft ansehen, welche die Geretteten als verkleinerte Nachbildungen der wirklichen Bande, mit denen sie gefesselt gewesen, und der aus Wachs hergestellten im Münster geopferten Votivringe von einem Goldschmiede in Thann anfertigen liessen. Als Thanner Goldschmiede habe ich mir notiert: 1408 der goltsmid ze Tanne (ALBRECHT, Rappolst. Urkb. 11, 583); 1456 Meister Michel Gyliar der Goldschmied (Bez.-Arch. Kolmar, Stift Thann, Lade 23); 1493 die goldsmidin; 1496—1512 Niklaus; 1510 Gerhard; 1521—1526 Balthasar (Steucr- und Reiselisten, Stadtarchiv z. Thann); um 1525 Sebold, der fallierte (Gerichtsakten daselbst); Caspar Angelrot siedelte nach Basel über und verfertigte dort 1516 die noch erhaltene spätgotische Monstranz für die Pfarrkirche in Sachseln i. Unterwalden (abg. in Basels Bedeutung für Wissenschaft und Kunst im XV. Jahrhundert, Bl. LXIV, Nr. 3). Die Annahme, dass wir in den Gold- und Silberringen Nachbildungen flüchtig hergestellter Wachs- oder Blei(Zinn-)ringe haben, erklärt auch, wie in dreien derselben das C ein G werden konnte; infolge Beschä- digung oder Abnutzung der Gussform hatte der Buchstabe GC die Form des G erhalten und wurde als solcher von dem Goldschmied, welcher der Bedeutung der Inschrift unkundig war, auf den Ring in Edelmetall übertragen. Für die Auffassung der Ringe als Erinnerung an Errettung aus Gefangenschaft oder Amulette gegen dieselbe scheint mir auch die Neuneckigkeit ihrer Form zu sprechen. Denn nach der bei Kraus, Real-Encyklopädie derächrist. Alterth. II, S. 1000 aus Chrysostomus mitgeteilten Stelle hatte die Zahl Neun günstige Bedeutung, weil «um die neunte Stunde der Heiland starb ..., die Finsternis gelöst und das Licht herbeigeführt », war also eine Anspielung auf die Befreiung der Seelen der Gerechten aus ihrer Gefangenschaft durch den gleich nach dem Tode in die Vorhölle hinabgestiegenen Heiland.

44

mit einfach verziertem Rande. Die mit den Bildern der der Thanner Theobaldsdarstellung eigentümlichen beiden knieenden Pilger gezierte Mitra wird von zwei schwebenden Engeln gehalten, die ehemals von einem das Ganze überragenden Baldachin herabhingen. Die beiden die Mitra haltenden Engel kehren wieder in einem Schlussstein des 1492 von Romey Fäsch vollendeten nördlichen Seitenschiffsgewölbes; sie fehlen in je einem Schlussstein des Langhauses von 1495, des Chores von 1422 und in dem mit der Vollendung des Chores gleichzeitigen Relief im Bogenfelde der aus dem Chore in die Theobaldskapelle führenden Thüre.

Übrigens lässt sich die Auffassung Theobalds als Bischof über das Jahr 1422 hinaus verfolgen. Das Siegel der Münsterbauverwaltung, von dem an den Urkunden des Thanner Stadtarchivs nur ein einziger und zwar beschädigter Abdruck vorliegt‘, dessen Gebrauch jedoch für das Jahr 1417 eine vom Thanner Rate ausgefertigte Verschreibung bezeugt’, zeigte Theobald in vollem bischöflichen Ornat, den Stab in der Linken, mit der Rechten ein Buch haltend, unter reich gestaltetem Baldachin sitzend. Dessen achiseitiger Aufbau bewahrt noch den rein gotischen . Charakter, wie ihn die älteren Teile der gegen Ende des 14. Jahr- hunderts umgebauten westlichen Portalanlage aufweisen, seine Bekrönung zeigt solche Übereinstimmung mit den Baldachinen über den Apostel- statuen des Chores, dass gegen eine Datierung des Siegels aus der Zeit der Wende des 14. Jahrhunderts stilistische Bedenken nicht bestehen. Ich bin geneigt seine Entstehung in die 80er Jahre des- selben zu verlegen, wo nach thatkräftiger Wiederaufnahme der eine Reihe von Jahren unterbrochenen Bauthätigkeit am Münster deren Beaufsichtigung von dem mit der Leitung und dem Rechnungswesen der Stadtumwallungsbauten vollauf beschäftigten Amt des Stadtbau- meisters getrennt und unter dem Namen S. Dieboldsbaumeister eine

1. 1514 mitwuchen nach sant Hilarien des heilgen bischofstage (18. Jan.). Vogt, Schaffner und Rat von Thann nehmen die Gertrud Signandin in das kurz vorher eröffnete Pfrundhaus auf; u. a. besiegelt mit des himelfursten sant Diebolt buws als unsers und bemelts pfrundhus patron insigel. Stadtarchiv Thann, G. 13, 7. Das Ori- ginal der von Ingold in StöBers Alsatia, 1876, S. 209 f. mitgeteilten Bestallung Hans Beltzlis zum Werkmeister an S. Dieboldsbau, welche das noch wohlerhaltene Siegel des Baues zeigte und nach Ingolds Angabe im Pfarrarchiv sich befand, hat sich nicht wieder auffinden lassen. S Abbildungen Taf. I, 2.

2. Beilagen Nr. 25. Besiegelt mit unsers herren und hymmelfursten sand Thieboltz eiyen ingesigel.

46

binischen übertrug, die Persönlichkeit Ubalds jedoch ganz dem Thanner Theobald unterschob.

Ein merkwürdiger Beleg für diese Vertauschung liegt uns schon aus dem Jahre 1369 vor. Der Basler Bürger Huglin von Schöneck hatte vielleicht weil er durch Gebet und Gelübde zu St. Theobald in Thann von der Pest geheilt worden war sich dem Heiligen dankbar erwiesen dadurch, dass er ihm zu Ehren an der Kirche des Augustiner- chorherrenstiftes St. Leonhard zu Basel aus eigenen Mitteln eine Kapelle hatte errichten lassen‘. Einen längeren Aufenthalt, den er Geschäfte halber in der Lombardei nahm, benutzte er, um seiner Stiftung auch Reliquien ihres Schutzheiligen, den er für identisch mit S. Ubald hielt, zu verschaffen. Er war befreundet mit den Augustinereremiten in Vicenza, die ihn in ihre Fraternität aufgenommen, und auf seine Bitte besorgte ihm deren Ordensprovinzial Johann von Verdello auf seiner Rückreise von Rom nach Vicenza in Gubbio von dem Stadtoberhaupte und den Stiftsherrn der Kirche von Gubbio cherrn Theobaldes heiltum und liphaften heiligen gebeines ein stuck»*. Dies schickte Huglin mit anderen Reliquien, welche ihm die Augustinermönche von Vicenza aus ihrem Kirchenschatze abgetreten hatten, nebst einem von mehreren Geistlichen ausgestellten und beglaubigten Zeugnisse über Ächtheit und Herkunft der Partikeln nach Basel. Hier wurden sie am 2. Oktober 1369 in feierlichem Zuge aus Kleinbasel nach der St. Theobaldskapelle in St. Leonhard übertragen. Der Konstanzer Generalvikar liess am 13. No- vember 1369 die Gläubigen seines Sprengels zur Verehrung der Theo- baldsreliquie unter Gewähr eines Ablasses für den Besuch der Theo- baldskapelle in Basel anhalten, der Rat von Basel die Nachbarstädte durch Boten von dem Erwerb von «sant Theobaldes gebein mit anderem

1. Basler Ukb. IN, S. 310 ff. Über die Kapelle s. Basel im XIV. Jahrhundert, S. 69. WACKERNAGEL, R., in Z. f. G. d. Oberrh., 1891, S. 306 f.

2. Da eine 1593 vorgenommene Untersuchung des Leichnams des H. Ubald dessen vollständige Unversehrtheit ergab, so ist Huglin mit der vermeintlichen Ubaldsreliquie mystiflziert worden. Es ist indessen nicht ausgeschlossen, dass damals eine wirklich ächte Partikel des wahren Theobald nach Basel kam. Ein Teil von dessen Leichnam war bei der Übertragung seiner Gebeine in seine nordfranzösische Heimat in Vicenza geblieben und wohl unter die Kirchen Vicenzas verteilt worden. Die in die Kloster- kirche der Augustiner Eremiten übertragene Theobaldsreliquie, von der die Mönche aussagten : quam reliquiam per maximum tempus tenuimus in conventu nostro de Vincentia, die mit anderen durch Namen näher bezeichnete Reliquien Huglin über- geben wurde, ist demnach verschieden von der Partikel, welche angeblich als Ubald- Theobaldsreliquie dem Ordensprovinzial in Gubbio für Huglin ausgehändigt wurde»

18

S. Theobald in Thann war wie die der hl. Jungfrau geweihte Mutter- kirche in Altthann dem Chorherrnstifte St. Amarin inkorporiert. Trotz der 1389 erfolgten Erhebung zur Pfarrkirche wurde der Gottesdienst im Münster nur nachlässig besorgt, so dass Herzog Friedrich 1429 Propst und Kapitel ernstlich an ihre Pflicht erinnern musste‘. Erst die längst beabsichtigte, doch erst 1441 durchgesetzte? Verlegung des Stiftes von St. Amarin nach Thann, die dem Basler Konzil u. a. auch mit dem Wunsche den Gottesdienst in S. Theobald regelmässig und feierlicher zu halten begründet wurde, brachte Ordnung und erweckte auch bei dem ein oder andern Stiftsherrn Teilnahme für den Münsterbau und die Hebung der Theobaldsverehrung. Ein leuchtendes Vorbild durch Opferwilligkeit wie vielseitige Thätigkeit war allen Klerikern Niklaus Wolfach, der Sohn des Thanner Bürgers und Ratsherrn Johann Wolfach. Am À. Juli 1443 wurde er vom Stifte als vicarius perpetuus in Thann und Altthann ernannt und mit Wahrnehmung der pfarramtlichen Funk- tionen in beiden Kirchen betraut unter Beilegung des Namens «Pfarrer» (plebanus). 1457 erhielt er eine Stifisherrnpfründe und wurde 1471 an Stelle des resignierenden Johannes Müller Propst des Stiftes. Er starb den 12. März 1488°.

Seiner Mitbemühung verdankte die Kirche eine Reihe neuer Ablässe‘, das 1448 vollendete Proprium*, die Beschaffung der Historia et legenda Sti. Theobaldi und die Sammlung und Fortsetzung der Miracula S. Theo- baldi. Dem Münster wie der Kirche in Altthann war er, wie die von ihm gestifteten Glasgemälde® und die Gründung einer Kaplanei in letzerer” zeigen, ein eifriger Wohlthäter.

I. Beilagen Nr. 29.

2. Der Beschluss des Basler Conzils vom 28. November 1441 SCHOEPFLIN, Als. dipl. 11, 367 f. GATRIO, Abtei Murbach, I, 584 f.

3. Inventar von 1682, S. 8; von 1573, f. 25, 37. Bez.-Arch. Colmar, Stift Thann, Lade 15. Gr. Thanner Chr. I, 668.

4. S. die Ablassbriefe von 1444, 1462, 1474, in den Beilagen.

5. Jetzt in der Handschriftensammlung der Kaiserl. Universitäts- und Landesbibliothek zu Strassburg.

6. Über das Marienfenster in Altthann von 1466, Kraus II, 13 und Bruck, S. 124 ff.; im Thanner Münster stiftete er die Hälfte des zweiten Fensters der Nordseite: eine Madonna mit Kind und dem H. Hieronymus, zu dessen Füssen der Donator kniet, ein Werk desselben Meisters, der das Altthanner Gemälde verfertigt hat. Die Inschrift in deutscher Minuskelschr. lautet: anno - dni. mcccel [v] - nicolaus - wolfach - plebanus - huig - ecclesie.

7. Beilagen Nr. 32.

ur

Glasgemälde über dem nördlichen Portale des Münsters. In den Thanner Wunderberichten ist nur dreimal die Rede von Teufelsaustreibung auf Anrufen Theobalds hin', der spezielle Vorgang aber, auf welchen das Bild Bezug nimmt, muss der erste dieser drei Fälle sein. Die vom bösen Geist besessene Frau die nebenbei bemerkt der Maler bärtig dargestellt hat ist durch ihre eigene Kleidung wie durch das Kostüm des hinter ihr stehenden Gaiten als vornehmem Stande angehörig be- zeichnet: es ist Thekla, die Gemahlin des Pommernherzogs Swantebert, die nach vergeblicher Wallfahrt zum heiligen Blut in Wilsnak durch Anrufung Theobalds in Thann vom bösen Geist befreit ward und 1407 mit ihrem Galten und dessen Kanzler die Wallfahrt nach Thann aus- führte ®,

Auch die übrigen Bilder sind Wiedergaben bestimmter im Tomus miraculorum verzeichneter Wunder, so zunächst die beiden in dem oberen und unteren Teil der Umrahmung des ersten Rundbildes dar- gestellten: Errettung eines dreijährigen Knaben aus Erfurt, der zwischen die Mahlsteine einer Mühle geraten war, und Erweckung eines gestor- benen Säuglings; beide Vorfälle trugen sich 1414 zu®.

Der Gegenstand des dritten Bildes Errettung aus dem Seesturme stimmt durch die Anwesenheit einer Frau unter den Fahrenden am meisten überein mit der zwischen 1436 und 1440 berichteten Rettung aus Wassersnot «einer richen mechtigen frow mit irem gesind und volk», deren Erinnerung auch das bei S. Theobaldsstock hängende, von der Geretleten geopferte wächserne Schiff fortpflanzte ‘.

In dem folgenden Wunder St. Theobald löscht den Brand einer Stadt erkenne ich den im Tomus miraculorum zwischen 1433 und 1435 erwähnten Brand der Stadt Wollin in Pommern, an den auch ein im S. Theobaldsschatze aufbewahrtes silbernes Haus, das Opfer einer Frau, deren Haus durch Anrufung des Thanner Patrons verschont worden war, erinnerte’.

Eine ganz besondere Verehrung genoss der Heilige als Befreier aus

1. StorreL, 8. 3, 21, 127.

2. Srorre, 8. 3; 2 f.; 66 fl.

3. Das., 8. 87 ff.; 71 1. Von den Berichten über die Wiederbelebung kurz nach ihrer Geburt gestorbener oder totgeborener Kinder (S. 14, 38, 47, 121) passt der genannte am ehesten zu der bildlichen Darstellung.

4. Storrer, 5. 33. Andere Rettungen auf dem Meere, s. 5. 8, 10, 33, 40, 45, 76, 81.

5. Das., 8. 17; 51, 52, 60 ist von einem Dorfbrande die Rede; S. 16 Nr. 21 erzählt von einem Brande in Stettin.

Gefangenschaft‘. Diese Seite seiner Wunderthätigkeit, derenthalben auch seine Hauptkultstätte in Nordfrankreich Lagny, wo Theobalds Arm ver- ehrt wurde, so zahlreiche Pilger selbst aus überseeischen Ländern anzog”, vergegenwärtigt das fünfte Rundbild. Wollte man Wert darauf legen, dass in dem ihm zu Grunde liegenden Berichte die Zweizahl der Ge- 'wiederkehrt, dann passt einigermassen zu der Darstellung die zu dem Jahre 1414 gemeldete Befreiung zweier Brüder von Roermund aus türkischer Gefangenschaft’. Allein da mir der Umstand, dass die aus dem Stock Erlösten im Hintergrunde noch einmal als Befreite sich zeigen, wie sie über ihren Schultern die Ketten tragen, zu verraten scheint, dass der Maler auf die Überbringung der Ketten an die Ver- ehrungsstätte des heiligen Befreiers den Hauptnachdruck legte und den Vorgang in Beziehung bringen wollte zu den Ketten und Ringen, «die sint do gehenket und gesmidet in ein sul, als man in die kilchen got, als man das hut bi tag do sicht», so sehe ich in dem Bilde die Wiedergabe des an erster Stelle in den Berichten eingetragenen Wun- ders aus dem Jahre 1407‘, Auch dessen nochmalige ausführliche Be- schreibung® unter der Auswahl von 22 Wundern, von denen alsbald zu sprechen ist, zeigt, welchen Wert man diesem Vorfalle beilegte.

Das letzte der Wunder, wie Theobald einen totkranken Mann heilt, im obersten Rundbild stimmt mit dem ersten der vielen Berichte über Errettung aus tötlichen Krankheiten® so bis in alle Einzelheiten überein, dass selbst die dort erwähnten Todesflecken im Angesichte des Siechen vom Künstler wiedergegeben worden sind. Das Wunder wird zum Jahre 1432 von einem Hamburgischen Einwohner erzählt”.

Geben uns die vita Ubaldi und die Aufzeichnung der Wunder Theo- balds vollständigen Aufschluss über die Bedeutung der im Theobalds- fenster vorgeführten Geschichten, so bieten sie uns auch ein Mittel, die Entstehungszeit des Fensters näher zu bestimmen.

Mit der Niederschrift der auf Anrufung Theobalds oder auf gelobte und ausgeführte Wallfahrt nach Thann hin erfolgten wunderbaren Rettungen und ie auf einzelne Blätter hatte man schon seit 1405

I. Srorrer, 8. 1, 6, 8, 9, 16, 23, 29, 32, 48, 58, 62, 70, 73, 77, 81, 83, 66. 2, Acta Sanctorum Junii V, S. 549 f.

3, SrorrEL, 3, 83.

4. Das, 5. Lf.

5. Das., 8. 62 ll.

6. Das,, S, 20, 25, 26, 43, 44, 55, 56, 61, 105.

7. Das., S. 11.

- 9

begonnen'. Diese Aufzeichnungen trug Pfarrer Niklaus Wolfach in einen Pergameniband ein und seizte sie bis 1456 ununterbrochen, von da an noch stellenweise eigenhändig fort. Die zweimalige Nennung Wol- fachs als Schreiber in Berichten‘, die in Sprache und Schrifi mit den vorhergehenden übereinstimmen, die Anbringung seines Wappentieres, des Wolfes in dem schönen farbigen Initial auf dem ersten Blatte der . Handschrift? stellen die Anlage des Bandes durch ihn ausser Zweifel. In die Zeit zwischen Michelstag 1448 und Auffahrtstag 1449 fallt die Aufzeichnung von 22 Wundergesehichten, die z. T. Ausarbeitungen schon vorher eingetragener, aber kürzer gefasster Berichte sind, denen eine Einleitung vorausgeht und ein Gebet als Schluss folgt‘. Wahr- scheinlich sollte diese Zusammenstellung als eine Materialiensammlung für Ansprachen der Geistlichkeit gelegentlich der Festtage des Patrons und der ihm zu Ehren veranstalteten Wallfahrten dienen. Dieser engeren Sammlung sind die Gegenstände zu drei der im Fenster dargestellten Scenen entnommen: die Rettung des Müllerkindes, des bereits gestor- benen Säuglings und die Befreiung aus Gefangenschaft‘. Somit kann das Fenster nicht vor 1448/49 entstanden sein‘. In das Jahr 1455 fällt die Ausschmückung der Fenster des kurz vorher unter Dach gebrachten, aber noch nicht gewölbten nördlichen Seitenschiffes”. Es liegt nahe, die Verglasung der beiden ihres Schmuckes noch entbehrenden Chorfenster in zeitliche Verbindung mit dieser Arbeit oder dem Altthanner Fenster von 1466 zu bringen und die Ausführung des Theobaldsfensters in die Leit zwischen 1456 und 1470 zu setzen. | Der Name des Künstlers ist uns unbekannt geblieben. Sein Bildnis erkenne ich in der Figur des älteren Mannes über dem Muttergottes-

I, Das., 8. 62 und Schluss des Vorwortes.

2 Berichte von 1450 und 1456. Srorrer, S. 100 ff. und 109 ff.

3. Abgoblidet SrorrsL, Vorw. 8. 1; sein Wappen auf dem Altthanner Glasgemälde Knaus II, 8. 135 Bnuck, T. 61.

À, Original, fol, 25—29. Srorrec, S. 57—113.

5. Srovra, 8. 87 M. 71 f. 62 f.

6, Man möchte vermuten, dass der Glasmaler, der, um den Plan zu dem Fenster au ontworfen, die Handschrift mit den Wunderberichten länger in Händen gehabt, sie mit don farbigen Initialen geschmückt habe. Allen vor Freitag nach Himmelfahrt 1449 eingotragonon Wundorn sind von ein und derselben Künstlerhand gemalte Anfangs- buchatabon vorgosotat, während diese den späteren Eintragungen fehlen, obwohl auf don nächaten sohn Selten der Handschrift, fol. 50—39, bis zum Schlusse der in das Jahr 1456 fallenden Wunder der Raum für die Initialen frei gelassen ist.

7. Lanpraiv, Kaiser Heinrich II. am Nünster su Thann, 1897, S. 57.

9%

Fenstern überein‘, dass das eine unter dem Einflusse des anderen entstanden sein muss. Ich neige zu der Ansicht, dass das Ulmer Fenster das ältere, das Thanner Fenster eine Nachahmung desselben ist, das aber an kunstvoller Gliederung, Feinheit der Zeichnung und Reichtum der Farben seine Vorlage übertrifft. Wie es kam, dass ein Fenster des Ulmer Münsters in Thann nachgebildet werden konnte, muss aus der engen Beziehung zwischen der Ulmer und Thanner Bauhütte während des 15. Jahrhunderts erklärt werden, die sich äusserlich in der Über- einstimmung und Verwandtschaft von Bauteilen und Skulpturen kund- gibt und durch die Thätigkeit des Klaus von Thann als Steinmetz am Ulmer Münster (1417—1421)* und die mehr als zwei Jahrzehnte umfas- sende Arbeit des jüngeren Hans Böblinger, Bruders des Ulmer Werk- meisters Matthäus Böblinger, am Thanner Münster (1467—1490)° be- zeugt ist. Letzterer, wie sein Vater und sein Bruder ein gewandter Zeichner, könnte dem Meister des Thanner Fensters eine Skizze des Ulmer Fensters gefertigt haben, aus welcher dieser die äussere Anord- nung herübernahm, während die Darstellung der Wunder Theobalds in den gegebenen Umrahmungen des Glasmalers eigenes Werk war.

Es erübrigt noch in Kürze einen Blick auf die (Quelle zu werfen, auf welche die Begebenheit aus Ubalds Leben und die genauere Kenntnis

von dessen Wundern zurückgeht. Es war das eine Copie des officium proprium sancti Ubaldi aus dem ältesten handschriftlichen Brevier der eugubinischen Domkirche, das «pro die festo et per octavam atque pro feria III acceptis inde (sc. e vita Ubaldi) lectionibus viginti et septem» zusammengesetzt war. Erhalten ist die von dieser genommene Abschrift auf Pergament‘, bestimmt als Missale für den Gottesdienst an den

{. In beiden Fenstern finden sich unter den Heiligen Jakobus d. À., Johannes Ev,, Sebastian, Augustin, Nikolaus, Benedikt, Franziskus, Margaretha, Katharina, Barbara, Ursula, Dorothea, in den Zwischenbildern zwei Propheten; David und Salomo.

2. PRESSEL, Ulm und sein Münster. Ulm, 1877, S. 42,

3. Den Nachweis dieser Thatsache werde ich an anderer Stelle bringen.

4. Im Pfarrarchiv zu Thann. Der in starke lederüberzogene und mit Messingbossen beschlagene Holzdecken gebundene Band besteht aus 3 Lagen von 12,11 und 3 je 0,33 m hohen und 0,215 m breiten Pergamentblättern, von denen das 24. und 25. ausgerissen sind. Er trägt die Aufschrift «hystoria s. theobaldi cum legenda» ; der auf der Innenseite des Rückdeckels stehende Vermerk «Johannes Hug plebanus tunc ao IMDJXVII» will wohl andeuten, dass Hug für die Erneuerung des Einbandes gesorgt hat. Schrift und Noten weisen auf die Mitte des 15. Jahrhunderts; die kunstlosen roten Initialen stammen von der Hand des Schreibers. Der Name Ubald ist überall durch Theobald ersetzt. Nun heisst aber bekanntlich auch der Verfasser der Vita

96

cooperator bezeichnet. Auf welche Weise es Wolfach gelang sich von dem eugubinischen Original eine Abschrift zu beschaffen, entzieht sich unserer Kenntnis.

Tritt uns die Identificierung Theobalds mit Ubald in der Herübernahme des Ubaldsoffiziums für den auf den 1. Juli fallenden Patronstag als vollendete Thatsache entgegen, so lässt sich im Gegensatze hierzu in den Wunderberichten der allmähliche Übergang der Theobaldsvor- stellung in die Ubaldsvorstellung verfolgen. Anfangs wird die Bezeich- nung Theobalds als Bischof von Gubbio noch ausdrücklich als subjektive Auffassung einzelner Pilger gekennzeichnet‘. Erst von der zweiten Hälfte des 15. Jahrhunderts an wird sie auch von den eintragenden Geistlichen angewandt*.

Mit der Vollendung des Fensters mit den Wundern Theobalds, in denen er nicht weniger als siebenmal in bischöflichem Ornat erscheint, war dessen Auffassung als umbrischer Bischof entschieden; andere fast gleichzeitig entstandene Darstellungen des Heiligen als Bischof konnten sie nur verbreiten. Dahin gehören die Statuen am West- und Nord- portal, erstere zwischen 1430 und 1440, letztere nach 1456 gearbeitet °. Jener ist die Figur Theobalds in dem unmittelbar nach 1442 geschnit- tenen Siegel des Stiftes nachgebildet, welches Statt der bisherigen Be- zeichnung «Capitulum sancti Amarini» den Namen «Capitulum ecclesiae sancti Theobaldi in Tannis» annahm und in seinem Siegel zu dem Bilde des Einsiedlers Amarin das des «Bischofs» Theobald mit einem zu seinen Füssen knieenden Pilger hinzufügte ‘.

1. StorrgL, S. 25: 1440 erscheint einem Kranken «ainer der was angelait in bischof- lichem gewandt und sprach, er were sant Thiebolt leiphaftig» ; das., S. 47: 1448 «do kam ir fur, als sy sprichet der liebe hymelfurst sant Thiebolt in eins byschofs wise als man in denn molts ; das., S. 122: 1469 ein Vater verspricht zu suchen «St. Theobald zuo Tann und ouch zuo Eugubina, do er ganz liplichen ruowet».

2. Srorrec, 8. 117: 1461 sti Theobaldi preciosissimi confessoris et pontificis; S. 159: 1489 den grossen nothelfer sand Thiebolt den heiligen bischof; S. 173: 1503.

3. LENPFRID, S. 32, 54 f.

4. Das alte Siegel ist abg. bei Gatrio, Abtei Murbach I, S. 416, Nr. 4; das Siegel von 1342 auf unseren Abbildungen T. 1, Nr. 3. Yon Wert ist es für uns, weil es uns die richtige Ergänzung der von den Revolutionshelden arg beschädigten Statuen Theo- balds und Amarins am Westportal lehrt. Von älteren Bildern Theobalds als Bischof sei ausser auf die Seite 13 f. und 23 erwähnten hingewiesen auf die grossartige Darstellung des Heiligen am Westgiebel unterhalb des Dachreiters, ein Werk des Münsterwerkmeisters Romey Fäsch von 1498, der sich in dem Konsolenträger unter dem sitzenden Bischof selbst porträtirt hat. Eine andere Statue des sitzenden Theobald

98

Einrichtung. Das 1448 für die Thanner Kirche gefertigte Manuale kennt jedoch nur den 1. Juli als Patronstag'; ebenso das älteste ge- druckte Basler Brevier von 1473—1478*, während das handschriftliche Brevier des Bischofs Friedrich zu Rhein aus dem Jahre 1437° nicht einmal diesen verzeichnet. Dagegen hat eine Hand des beginnenden 16. Jahrhunderts in dem Thanner proprium von 1448 an einigen Stellen zum 16. Mai bemerkt cperagitur festum Sti Theobaldi et natale eius . festum duplex»* oder «festum Sti Theobaldi et natalicium eius, quod ad- modum peragitur in civitate Eugubina» *. Von einer von dieser verschie- denen noch späteren Hand rühren Einträge her, welche den Tag als Sterbetag Ubalds, bez. als Geburts- und Sterbetag bezeichnen‘. Wir können an diesem Schwanken erkennen, wie die im 17. Jahrhundert von Schenck” verfochtene Ansicht, dass der 1. Juli der Tag der Reliquien- übertragung, der 16. Mai der Sterbetag des Patrons sei, im Laufe des 16. Jahrhunderts erst allmählich sich Geltung verschafft hat. Die anfäng- liche Begründung der Feier des 16. Mai, als sei der Thanner Patrun an diesem Tage geboren, wurde durch eine radikalere Festordnung verdrängt, die mit der Feier des 1. Juli als Sterbetages des Schutzhei- ligen aufräumte und ihr die Begehung des Gedächtnisses an die Über- bringung des wunderthätigen Daumens unterschob unter gleichzeitiger

1. Zum 1. Juli: Theobaldi episcopi totum duplex; zum 8. Juli: Octava Theobaldi duplex; zum 16. Mai ist ursprünglich gar keine kirchliche Feier vermerkt.

2. Staatsbibliothek zu Basel. Auch der von dem Thanner Stiftsherrn Joannes Berckmanu von Olpe seiner Pfarrkirche in Sewen 1494 geschenkte liber anniversariorum hat nur zum t. Juli eine Theobaldsfeier: «I. Julii Octava s. Johannis Baptistae. Theobaldi episcopi.>» Gütige Mitteilung des Herrn Pfarrers Haller-Sewen. Dagegen bringt das 1493 zu Nürnberg gedruckte Missale der Diözese Ratzeburg, die so zahlreiche Pilger nach Thann sandte, zum 16. Mai den Eintrag: Theobaldi episcopi confessoris.» GROTEFEND, Zeitrechnung Il, 2.

3. Staatsbibliothek in Basel.

4. Fol. 46, 54, 75, 131.

5. Fol. 117, 121, 124, 127, 134, 147.

6. Fol. 50 »peragitur festum sti Theobaldi in memoriam eius obitus totum duplex et celebre». Die Notiz festum natalis sti Theobaldi ist durch Rasur entfernt. Fol. 71 «festum s. Th. quo obiit diebus festis eius Eugubine.» Auf eine über 6 Zeilen sich erstreckende Rasur ist geschrieben «fiet commemoratio sti Theobaldi perpetue obitus eius. media missa celebrabitur in memoria sti Theobaldi.» Fol. 137 «natalicia sti Theo- baldi et eius obitus et est festum in Eugubina civitate sicut et hic festum celebre totum duplex.»

7. Sanctus Theobaldus Titelblatt «dessen Fest seines in Gott Hinscheidens den 16. Mai, der Translation aber den !{. Julii hochfeirlich gehalten wird». S. auch S. 28.

Proklamierung des 16. Mai als Sterbetag Theobalds'. Ein gleich zu erwähnendes Datum zeigt, dass diese willkürliche Umbenennung in der Mitte des 16. Jahrhunderts erfolgte. Im Volksmunde hat sich die Be- zeichnung der beiden Feste als «Kleiner St. Theobald» (16. Mai) und «Grosser St. Theobald» (1. Juli) bis auf den heutigen Tag erhalten. Bei der Erhebung des 16. Mai zu einem Feiertag in Thann hatte ausser der Absicht die Identifizierung Theobalds mit Ubald vollständig durchzuführen auch eine andere Erwägung bestimmend mitgewirkt. Altem Herkommen gemäss gebührten die in den Opferstock fallenden Pilgeropfer den Landesherren*, die ihrerseits zum Besten des Münster- baues auf sie verzichteten und ihre Erhebung der Thanner Obrigkeit überliessen. Die Geistlichkeit beanspruchte aber die Opfer für sich und brachte zur Begründung ihrer Ansprüche eine gefälschte Urkunde vor’. Schliesslich wurde der Streit 1461 dahin geschlichtet, dass die Sufts- herren das Recht der Obrigkeit die Opfer zu erheben und für den Bau zu verwenden anerkannten; diejenigen Opfer hingegen, die während der hl. Messe auf den Altar gelegt wurden und nicht über einen Plappert betrugen, sollten der Geistlichkeit gehören; ausserdem erhielt sie von den übrigen Opfereinnahmen jährlich 72 & Stebler‘. Seit der Glaubens- spallung waren die Pilgerfahrten nach Thann in Abgang gekommen, der Ausfall der Opfer traf die Geistlichkeit empfindlich. Ein Mittel Wall- fahrer in grösserer Zahl wieder nach Thann zu ziehen war es, dem 16. Mai eine erhöhte Bedeutung beizulegen. Das wurde erreicht, indem die Geistlichkeit ihn als den Todes- und Gedenktag Theobalds, den 1. Juli

1. Dass dieser Vergewaltigung des Festkalenders die Bestätigung der kirchlichen Oberen versagt blieb, zeigt die Bemerkung des Basler Martyrologs von 1584 8, 105 zum XVII. Cal. Jun.: «Eugubii sancti Ubaldi Ep. miraculis clari. Is alias vocatur Theo- baldus, cuius festum in Alsatia peragitur Calendis Juliis» und 8. 141 zu Cal. Jul. «In Alsatia et oppido Thannensi festam s. Theobaldi Episcopi Eugubini.»

2. Die von Herzog Rudolf 1358 gegebene Erklärung, dass er «den stock der da stet in der stat zu Tann in sand Thiebolds kilchen zu sinen handen genomen hat», wieder- holten 1394 Herzog Leopold, 1442 Kaiser Friedrich, 1458 Herzog Sigismund; indem sie die weltliche Obrigkeit mit dessen Verwaltung betrauten, überwiesen sie dem Vogt und Schaffner je einen, dem Rate zwei der vier Schlüssel des Stockes, Stadt- archiv Thaun G, 1; Beilagen Nr. 15 und 20.

3. Datiert vom 3. Mai 1358, inhalts, dass die Opfer halb dem Stifte 8. Amarin, halb der Bürgerschaft von Thann fallen, und von den beiden Schlüsseln zum Stock den einen Propst und Kapitel, den andern ein dazu beordeter Bürger von Thann haben solle. Beilagen Nr. 15*.

4. Abschrift Stadtarchiv Thann 6, I, 10.

%

als Tag der Reliquienübertragung ausgab. Bei der Bürgerschaft Thanns konnte das Bestreben den Zuzug von Auswärtigen zu den Patronstagen zu heben nur auf Beifall rechnen, war doch die Beherbergung und Ver- pflegung der Wallfahrer ehemals eine Haupteinnahmequelle eines grossen Teiles. der Bevölkerung gewesen. Somit darf es uns nicht wunder nehmen, wenn der 16. Mai auch ein bürgerlicher Festtag ward’, an dem in feierlichem Umzuge die Reliquie durch die Stadt getragen wurde. Zu Beginn des folgenden Jahrhunderts muss die Prozession wieder in Abgang gekommen sein: wir schliessen das aus einer Bemerkung Schencks, in der er zum Zwecke der Wiederbelebung der Theobalds- verehrung eine «allgemeine solemnische Prozession auf St ÜUbalditag» empfiehlt?. Erst die glückliche Rettung der in das Münster geflüchteten Bewohner vor der Gewalt der Schweden am 30. Dezember 1632 durch das Erscheinen Theobalds wird diese veranlasst haben in dankbarer Erinnerung an das Eingreifen des Patrones den Umzug mit der Reliquie wieder aufzunehmen und für alle Zeiten zu geloben. Wenigstens findet die noch fortlebende volkstümliche Anschauung den Grund der Ent- stehung dieser Prozession in dem genannten Ereignisse’.

Fassen wir die Ergebnisse der bisherigen Untersuchungen zusammen, so darf als erwiesen angesehen werden, dass um die Mitte des 15. Jahr- hunderts in Laien- wie in geistlichen Kreisen die Gleichstellung Theo- balds mit Ubald im Bereiche des Basler Sprengels durchzudringen begann, dass die Auffassung Theobalds als Bischof unter Einwirkung der Pilger- fahrten nach Thann, hier und da auch durch die Beziehungen des einen oder andern Steinmetzen der Thanner Hütte zu fremden Hütten auch in zahlreichen anderen deutschen Bistümern Eingang gefunden hatte‘. Her-

1. Bezeugt finde ich die weltliche Feier durch einen Eintrag der jüngsten Hand im Manuale f. 50: anno domini 1555 erat festum sti Theobaldi VI feria et consules cum civitate servabant festum cum processione in foro atque in choro.

2. Sanctus Theobaldus, $. 28.

3. Der der Thanner Chronik unbekannte Vorfall bei StöBeEr, Die Sagen des Elsasses |, S. 46. Zum ersten Male gedruckt finde ich ihn ohne (Quellenangabe bei J. Baquoz, l'Alsace ancienne et moderne. Strasbourg, 1849, S. 356.

4. Der Patron der um 1400 erbauten Theobaldskapelle in Wernigerode wird in Ablassbriefen von 1403 und 1405 als Theobaldus episcopus et confessor bezeichnet (Gütige Mitteilung des Herrn Archivrates Dr. Ed. Jacobs-Wernigerode). Das Münster in Ulm besass einen Altar zu Ehren der H. H. Konrad, Diepold und Maria Magdalena geweiht (PresseL, Ulm und sein Münster, 1877, S. 14). Einen Theobaldsaltar (in honore sti Theobaldi episcopi et beati Alexii confessoris . .. consecratum) stiftete im Konstanzer Dome 1383 ein dortiger Domherr (Kraus, Kunstdenkmäler des Grossher:.

39

geweiht war', und in Jung Sankt Peter ihm und Johannes d. Evange- listen der aus dem Oberelsass stammende Priester Johann von Northeim 1376 einen Altar stiftete*. Die Kunde von seinem wunderthätigen Wirken in Thann war ferner in allen Schichten des Volkes verbreitet; aber man verehrte in ihm nicht den Bischof von Gubbio, sondern den Ein- siedler Theobald aus dem Hause der Grafen von Champagne, und als solcher erscheint er auch in den Strassburger Heiligenlegenden’. «Sant Diebolt der helig beichtiger der ist geboren uss dem land Gallia», beginnt seine Lebensbeschreibung in dem 1513 von Johann Grieninger in Strassburg gedruckten Leben der Heiligen, die über seine Verehrung in Thann mitteilt: cund ward bestetiget in einem schönen stettlin ge- nant Thann Baseler bistumbs, da er nach teglichen gar vil gnad mit- teilt allen den menschen, die in mit andacht und gutem herzen süchen. wie und wan er aber daselbst hin ist komen, das selb das saget unser geschrift hie nit. dan alle ding einem menschen nit mögen ze wissen sin. aber on zwifel ist, das man daselbst findet solicher erhebung einen guten schein und eigenschaft. der die gnade hat, der mag das wol erfaren.»

Positive Zeugnisse darüber, dass dieser Glaube von der Herkunft der Reliquie in Thann auch noch im 16. Jahrhundert seine Anhänger hatte, liegen mir nicht vor. Wenn aber die beiden Stiftsherren Ulrich und Theobald Hess 1544 nach ihrer Rückkehr aus Gubbio, wo sie ver- geblich um Überlassung von Ubaldsreliquien gebeten hatten, «bei ihren treuen und glauben glaubwurdiglichen deponirt, dass sie mit ihren augen den ganzen h. leib s. Theobaldi gesehen und ermangle an dem sel- bigen allein der rechte daumenfinger», der in Thann aufbewahrt werde*, so kann einer solchen vor Schaffner und Rat abgegebenen protokol- larıschen Erklärung nur die Absicht zu Grunde liegen, eine ihrem Inhalte entgegenstehende in Thann verbreitete Ansicht von der Herkunft der Reliquie zu widerlegen.

1. GRANDIDIBR, Etat ecclésiastique du diocèse de Strasbourg en 1454. Mitteilungen d. Ges. f. Er. d. g. D. i. E., 1897, S. 373.

2. Das., S. 376. Die Strassburger Kalendarien des 14. und 15. Jahrhunderts kennen einen H. Theobald nicht. Erst das 1504 von Johann Prucz in Strassburg gedruckte führt zum 1. Juli hinter Octava Joh. Bapt. die Feier Theobaldi ep. an; desgl. das Missale von 1520 (GROTEPEND, Zeitrechnung II, 1).

3. Von den bei Fr. Fark, Die Druckkunst im Dienste der Kirche. Köln, 1879, S. 83 ff, verzeichneten ältesten Strassburger Passionalien besitzt die Colmarer Stadt- bibliothek den Grieninger'schen Druck von 1513.

4. SCHENCK, S. 26.

Für «das Fortbestehen der Zweifel, dass der Daumen ein Fingerglied des eugubinischen Bischofs sei, auch noch zu seiner Zeit, sprechen mehrfache Äusserungen Schencks'; geht doch durch den ganzen ersten Teil seines Büchleins ein Zug wenn auch milder Polemik gegen die- jenigen, welche den Glauben an die Gleichbedeutung Theobalds mit Ubald nicht teilen: ein Beweis, dass es solche Leute unter den Theo- baldsverehrern auch damals noch gab. Seitdem aber infolge der Heim- suchungen, die der dreissigjährige Krieg über Thann gebracht, ein grosser Teil der alteingesessenen Bevölkerung ausgestorben, andere treu öster- reichisch-deutsch gesinnte Männer, die nicht frauzösische Unterthanen werden wollten, die Stadt verlassen halten, da waren auch die letzten Erinnerungen an den wahren Ursprung der Reliquie ausgestorben, und die Schenck'sche Erzählung von der Translation des Daumens blieb ibgesehen davon, dass ihr der Druck Bestand und Verbreitung sicherte in Thann wenigstens unwidersprochen massgebend.

Dass wissenschaftlich gebildete Männer an der Herkunft der Thanner Reliquie vom Leibe des Einsiedlers Theobald festhielten, dafür mag Cardinal Mazarin ein Beispiel sein, der Dezember 1659 von Ludwig XIV. mit dem Besitze der alten Grafschaft Pfrt, also auch mit Thann be- lehnt wurde* und damit auch die landesherrlichen Rechte der Habs- burger an der St. Theobaldskirche erhielt. In seinem Nachlasse fand sich eine Handschrift von dem Leben Theobalds des Einsiedlers, die von dem Herausgeber der Vita Theobaldi in den Acta sanctorum benutzt wurde?. An einer Stelle nimmt ihr Verfasser auf die Theobaldsverehrung in ' Thann Bezug, irrt aber, wenn er Thann nach Alt-Burgund verlegt‘.

1. 8. 28. Ubelditag. LE da D are à der 29. «dass aber diser Theobaldus kein anderer seie als Ubaldus ..., kan gnugsamb erwisen werden aus der bull Bonifatii VIII . .. dahero sich desto voir m brnaler dés alas hi. patron ietzo Ubaldus oder sonst Theobaldus genant wird: sintemalen durch dise beede nammen niemands anders als eben der bischof zu Eugubin, dessen h. daumen- finger alhie zu Than aufbehalten wird, soll verstanden werden und gemeint sein.» Ob die angezogene Bulle in ihrem Original thatsächlich Theobaldus statt Ubaldus hat, bleibt festzustellen. Vergl. auch die peinlich genaue Bezeichnung auf dem Titelblatt «des h. himmelfursten Ubaldi sonsten gemeinklich Theobaldi genant», desgl. 8. 9, 8. 13, 8. 26: «und ist dessentwegen aller zweifel hind anzusetzen, das diser h. partikel seie ein ohnfählbares wahrhaftiges glied des hl. Theobaldi», dessen Identität mit Ubald das

2. Bez, Archiv Colmar, Stift Thann, Kasten 1 (Abschrift der Belehnung).

3. Acta Sanct. Maii III, 640— 641.

4. Das., 8. 599. Translata magna parte corporis eiusdem sancti a Vincentia.., apud Latigniacum per Burgundiam, in qua facta fuerunt magna miracula et ob hoc ibi fuit statuta ecclesia, ubi usque modo flunt in populo ad laudem domini multa

B. XXL (M.) 3

34

Im Jahre 1699 erschien in dem dritten Bande der Heiligen des Monats Mai des grossen Bollandistenwerkes die vita Ubaldi, herausgegeben von dem Jesuiten Papebroch, der sich in der Einleitung zur Vita mit der Frage, ob die Thanner Reliquie wirklich eine Partikel von ÜUbalds Leichnam sei, eingehend befasste. Liess es sich erweisen, dass derselbe noch alle Finger besass, dann war die Thanner Legende von der Übalds- reliquie ein für allemal in das Reich der Sage verwiesen. Und es wurde erwiesen. Die, wie schon erwähnt, auch in Gubbio bekannt gewordene Legende, dass ein Daumen Ubalds nach Thann gekommen sei, hatte die dortige Obrigkeit, um sich hierüber Gewissheit zu verschaffen, 1593 veranlasst, eine Untersuchung des Leichnams Übalds vornehmen zu lassen. Das Ergebnis der nach den kirchlichen Vorschriften vorgenommenen Besichtigung war, dass an beiden Händen alle Finger wohlerhalten vorgefunden wurden, dass nicht einmal ein Fingernagel fehlte. Durch die Veröffentlichung der Bollandisten wurde das Visitationsprotokoll' auch in Thann bekannt und rief in Laien- wie in geistlichen Kreisen nicht geringe Aufregung hervor. Totschweigen liess sich die Bekannt- gabe des wahren Sachverhaltes nicht. Bevor man jedoch zu ihr Stellung nalım, machte man 1705 den Versuch durch einen nach Gubbio ent- sandten Vertrauensmann die Erlaubnis zu einer Besichügung des Leich- nams zu erhalten’. Doch der Rat von Gubbio bedeutete dem mit Em- pfehlungsschreiben des Bürgermeisters und Rates von Thann versehenen Einsiedier Bruder Ludwig von Rufach, nach der genauen Besichtigung von 1593 liege kein Anlass zur Erneuerung des umständlichen Verfah- rens vor. Er musste sich somit begnügen den in bischöfliche Gewänder gehüllten Leichnam hinter den Schranken zu besichtigen und dem

beneflcia. Der Verfasser dieser Vita, ein Zeitgenosse Mazarins, sucht sich die Ent- stehung der Theobaldsverehrung in Thann in der Weise zu erklären, dass er die Leute, welche den Leichnam Theobalds von Vicenza nach seiner Heimat brachten es geschah das 1075 durch Theobalds Bruder Abt Arnulf (BovaQuET, Recueil des doc. X], 198), ihren Weg über Basel durch das St. Amarinthal nach Frankreich nehmen lässt.

1. Acta Sanct. Maii III, 640. Abschrift auch im Bez.-Arch. zu Colmar, Stift Thann, Kasten 6. Schon 1628 hatte Mich. Aug. Eugenius in seiner Historia vitae S. Ubaldi den Anspruch der Thanner Kirche eine Ubaldsreliquie zu besitzen unter nachdrück- licher Betonung, dass Theobald ein anderer als Ubald sei, zurückgewiesen. Dissertatio historico-legalis des Marcellus de Franciarivo. Bezirksarchiv Colmar, Stift Thann, Kasten 6.

2. «ut dignarentur huic expresse misso eremitae corpus beatissimi Ubaldi videre et inspicere, num careat nec non digitus sive pollex manus dextera.» Bezirksarchiv Colmar daselbst.

3.

zu bezweifeln fand er keinen Anlass dann musste die Thanner Le- gende als der Wirklichkeit widersprechend preisgegeben werden‘. Aber er hatte entweder nicht den Mut zu der Lokaltradition sich in Gegensatz zu setzen, oder es bestimmten ihn Opportunitätsgründe mit seiner besseren Einsicht nicht vor die Öffentlichkeit zu treten. Indem er auf Grund einiger geschichtlicher Ermittelungen über die Pfirter Grafen die Sage von der Übertragung der vermeintlichen Ubaldsreliquie zu histo- rischen Persönlichkeiten dieses Geschlechtes in Beziehung brachte, ver- fasste er eine neue in einigen Punkten von dem Schenck’schen Berichte abweichende Geschichte der Reliquienübertragung, die für unsere Unter- suchung ohne Belang ist‘.

Einen andern Weg der Wahrheit auf den Grund zu kommen schlug 1706 der Stadtschreiber Theobald Heisch ein: er suchte festzustellen, auf welchen urkundlichen Zeugnissen die Thanner Legende beruhe, und glaubte unter einigen «alters halben ganz authentischen schriften» die «wahre translation des würdigen heiligtumbs in einem brief, kurz, doch ganz begreiflich, in alter sprach» gefunden zu haben. Aber in dem 1723 veranstalteten Neudruck des Schenck’schen Büchleins veröffentlichte er diesen Fund nicht, sondern er begnügte sich im Eingang des von der Translation handelnden Abschnittes Nachricht von dem Funde zu geben, dessen Anfangsworte zu cilieren und zu versichern, dass er datiert sei von «dem jahr, da das heiltumb nacher Thann kommen ist», und dass der nun folgende Wortlaut des Schenck’schen Berichtes von 1628 «ganz gleich obgenanter schrift» sei. Letztere Angabe ist unwahr. Der Inhalt des von Heisch aufgefundenen Schriftstückes, das uns in einer Abschrift erhalten ist, enthält wesentliche Abweichungen von der Schenck’schen Relation. Sie festzustellen und auf Grund der Angaben dieses älteren Berichtes Zeit und Umstände der Ankunft der Theobaldsreliquie zu er- mitteln, wird die Aufgabe des zweiten Teiles unserer Untersuchung sein.

Auch der ungenannte Verfasser der 1777 herausgegebenen Lebens- geschichte des Theobaldus im wesentlichen ein Auszug des Schenck- schen Büchleins gibt nur dessen Darstellung von der Übertragung

1. Unter die erwähnte Dissertatio schrieb Propst Gobel die Bemerkung »vi cuius (sc, dissertationis) probaretur satis esse digitum beati Ubaldi, nisi hic extractus obstaret annexus de anno 1593, ex quo, si haec inspectio et emundatio a pollice verae essent, comprobaretur contrarium.»

2. Translatio reliquiarum beatissimi Ubaldi praesulis Eugubini, qualiter articulus seu pollex manus dexterae per cubicularium eius Thannas asportatus fuerit anno 1210, Bez.-Archiv Colmar, Stift Thann, Kasten 6,

38

Zügen. Der ein wenig geneigte Kopf ist unbedeckt, das dichte Haar, über der Stirne kurz gehalten, hebt sich über den Ohren etwas ab. Die kräftig gebaute Brust schützt ein feinmaschiges Panzerhemd, den Hals die Halsberge mit der auf die Schultern und den Rücken herabhängenden Panzerkappe. Die anliegenden Ärmel des Panzerhemdes endigen in mit Däumlingen versehene Handschuhe, die von den Händen abgestreift nach unten hängen. Über dem Panzer trägt der Jüngling ein oben eng anschliessendes, von den Hüften abwärts weiteres, sich in Falten legendes ärmelloses Gewand ohne Gürtel. Die Rechte fasst lose Griff und Heft des an seiner rechten Seite angelehnten Schwertes, dessen Riemen um die Scheide gewunden ist; die flache Linke ist ein wenig nach auf- wärts gehoben mitten auf die Brust gelegt. |

Die Deutung als Apostel Paulus, wie sie Ingold bei Kraus’ gibt, ist durch die Gesichtsbildung und die Rüstung ausgeschlossen. Auch die Vermutung, es könne die Darstellung eines Pfirter Grafen als Stifters irgend eines religiösen oder gemeinnützigen Zwecken dienenden Bau- werkes sein, halte ich nicht für zutreffend, ich vermisse ein für die Charakterisierung als schirmender und sorgender Landesherr wesent- liches Attribut, den Schild. Gerade das Fehlen der ritterlichen Wehr- stücke, des Schildes und Helmes, vor allem auch Jie Entblössung der Hände von der schützenden Panzerhülle, ferner das gleichgillige An- fassen des Schwertes, das mehr ein blosses Anrühren ist, sind dem Künstler die Mittel gewesen den Gedanken zum Ausdruck zu bringen, dass der Dargestellte seinen ritterlichen Beruf preiszugeben im Begriffe steht, die leise, Demut verratende Neigung des Kopfes in Verbindung mit der ergebungsvollen Haltung der Linken, dass er unter Aufgabe seiner eigenen Stellung als Herr in eines Ilöhern Dienst tritt, in welchem er keine kriegerische Wehr zu führen, sondern in den friedlichen Tugenden der Demut und Entsagung sich zu üben hat. Ich erkenne in dem Bilde den heiligen Einsiedler Theobald dargestellt in dem Augenblicke, wo er seinen ritterlichen Beruf aufgibt, um sich ganz dem Dienste Gottes zu weihen, und ich kann mir kaum denken, wie ein Bildner das Bedeutungsvolle an der Persönlichkeit des Ileiligen hätte treffender zum Ausdruck bringen können als dadurch, dass er den sittlich erhebendsten Moment aus seinem Leben darstellte: wie er, der Spross eines der mächtigsten und begütertsten Dynastengeschlechter Nordfrankreichs, die Weltstellung, die ihm Ab-

1. II, 687.

40

jene Stätte der Verehrung des Thanner Heiligen, welche ihm im fernen Österreich bereitet worden war. Die Pfirtische Erbtochter Johanna, nach ihres Vaters Ulrich Tode 1824 mit dem Habsburger Herzog Albrecht von Österreich vermählt, die dem heiligen Theobald zu besonderem Danke verpflichtet zu sein glaubte‘, stiftete mit ihrem Gemahle 1349 zu Wien vor dem Widmerthore zu Ehren des heiligen Diebold und der heiligen Katharina eine Kapelle und dabei ein Spital für 12 ehrbare Frauen und Jungfrauen von Adel. Die Kirche, die als- bald den Namen Dieboldskapelle annahm, wurde 1529 niedergelegt, ihr Altar in die Karmeliterkirche übertragen. Dort befand sich noch im 17. Jahrhundert die Statue des Schutzheiligen, die ihn als Ein- siedler vorstellte”.

Il. Wann und wie kam die Theobaldsreliquie nach Thann?

Der zu Thann verehrte wunderthätige Daumen ist eine Reliquie The- balds des Einsiedlers, nicht des italischen Bischofs Ubald von Gubbio. Mit Feststellung dieser Thatsache ist auch die Art und Weise der Reliquienübertragung, wie wir sie aus dem Schenck’schen Berichte kennen lernen, in das Reich der Sage verwiesen, und wir wären somit

I. Unter den Weihegaben, die zum Dank für gewährte Bitten dem hl. Theobald geopfert worden waren, befand sich noch 1763 die Gabe der Johanna von Pflrt, ein grosses Votivbild von Wachs und zwei mächtige von ihr und ihrem Gemahl Herzog Albrecht von Österreich gestiftete Wachskerzen. Die Veranlassung zu dieser Stiftung muss eine beide Gatten betreffende gewesen sein. Von schwerem Ungemach oder grosser Gefahr im Leben der beiden berichtet die Geschichte nichts; doch wurde ihre Ehe erst nach dem 14. Jahre ihres Bestehens mit Kindern gesegnet. Nun hören wir, dass St. Theobald in älterer Zeit nicht nur in Kindesnöten, sondern auch in Fällen, wo Kindersegen versagt blieb, mit Erfolg angerufen wurde (STOFFEL, S. 14, 57, 100, 107, 138, 173, 206, 209, 212). Darum ist vielleicht die Vermutung gestattet, dass die Geburt des ersten Kindes Rudolf im Jahre 1339 die Ursache gewesen, dem hl. Theobald die erwähnten Gaben zu weihen, eine Annahme, welche durch die Bemerkung der kleinen Thanner Chronik, dass die «kerzen noch heutiges tags in gewissen nöten mit andacht angezunden werden» (S. 83), gestützt wird.

2. Lorz, W., Kunsttopogr. Deutschl,, 1863, Il, 562; LicHnowsky, Gesch. d. H. Habs- burg, Reg. V 1508b; 1584; VI. 1680b; VI. Nachtrag zu den Reg.; Acta Sanct. Jun. V, 542. Auch die Verehrung des Altkircher Schutzpatrons, des hl. Morand, ward nach Wien verpflanzt. Herzog Rudolf IV. brachte das Haupt Morands, von dem er behauptete, dass er ihm verwandt sei (der unsere geschlechts gewesen), nach Wien in die St. Stefans- kirche und liess ihm daselbst eine besondere Kapelle weihen (Licunowsky IV, Reg. 652; von P&RGER, Der Dom zu St. Stefan in Wien. Triest, 1854, 8. 62).

HR

der Aufgabe enthoben näher auf seine Angaben einzugehen. Trotzdem halte ich es für angemessen den Nachweis zu erbringen, dass auch ohne Bezugnahme auf das Ergebnis unserer bisherigen Untersuchung der Translationsbericht an und für sich wegen seiner Unvereinbarkeit mit den geschichtlichen Thatsachen auf Glaubwürdigkeit keinen Anspruch

Er baut sich auf der Behauptung auf, dass der Daumen Theobalds noch im Todesjahre Ubalds, als welches man in Thann erst seit Ende des 18. Jahrhunderts 4161 statt des wirklichen Todesjahres 1160 aus- gibt‘, nach Thann gekommen und hier von dem auf der Burg ansässigen Landesherrn in Empfang genommen worden sei. Das ist nicht möglich, weil es in Thann zu jener Zeit ebensowenig einen Herrn als einen Herrensitz gab. Denn das Gebiet östlich von der Stelle an, wo der Kathenbach in die Thur mündet, und deren Thal sich nach der Ebene zu öffnet, gehörte den Egisheimern, seit 1144 deren Erben, den Dagsburger Grafen, und wurde erst nach 1251 zeitweiliger, nach 1275 dauernder Wohnort eines Dynasten. Um den Beweis für diese Behauptung zu erbringen, müssen wir ein wenig weiter ausholen und uns mit den Zwistigkeiten zwischen Kloster Murbach und den Grafen von Pfirt im 13. Jahrhundert befassen.

Zwar sicherten Burgen die durch den Egisheimschen Besitz führenden Strassen: die alte von Burgund nach der Rheinebene ziehende Ver- kehrslinie deckte da, wo sie die Doller überschritt, die auf deren linkem Ufer östlich von der jetzigen Exbrücke gelegene Feste Egisheim, Exen und den von dieser Linie sich abzweigenden, nach Westen thur- aufwärtsführenden Weg an dem Punkte, wo er an dem linken Fluss- ufer sich dicht an dem Felsen dem Drachenfels bei Altthann hinzieht, eine über dessen Abhang angelegte einfache Befestigung.

Das war das castrum Tanne, 1234 als das castrum de Tanne antiquum, 1236 als castrum Tanne vetus bezeichnet‘. Es lag auf dem heute «Roll» genannten südöstlichen Vorsprung des Rangen, der hier nach Osten hin durch das kurze Renschelbachthal von dem Kirchberg geschieden wird. Die auf der Höhe dieses Vorsprungs befindlichen Mauertrümmer, seine künstlich geschaffene Isolierung von dem Massiv

1. Der Irrtum geht darauf zurück, dass Ubalds Nachfolger Bischof Theobald 1161 starb. Die irrige Angabe findet sich auch bei dem eugubinischen Schriftsteller Michael Angelus Eugenius in seiner 1628 gedruckten Historia vitae Sti. Ubaldi. $. Acta Sanc torum Maii III, 635.

2. Laavitte, Histoire d'Alsace, pr., S. 38. ScHhaeprtin, Als. dipl. 1, 375.

49

des Berges, die gleichfalls von Menschenhand herrührende Abschürfung der Felsmassen an der Süd- und Ostseite bezeugen noch jetzt das ehemalige Vorhandensein einer bescheidenen Burganlage.

Aber diese Burg war nur die Behausung eines Egisheimschen Lehens- mannes, nicht Herrensitz, deren Inhaber Weg und Steg, Land und Leute seines Herrn zu schirmen und den ihm gehörenden Zoll zu erheben hatte. Als solcher erscheint 1182 ein Hugo von Thann unter den Wohlthätern des Klosters Ölenberg, einer Egisheimschen Stftung!.

Als aber 1225 mit dem Tode der Gertrud von Dagsburg das Egisheim- Dagsburgische Haus erlosch, setzte sich Graf Friedrich IL. von Pfirt mit Berufung auf seine Verwandtschaft mit den Egisheimern seine väterliche Grossmutter Stephanie war eine Tochter Graf Gerhards von Egisheim in den Besitz der im oberen Elsass gelegenen Egisheimschen Güter, von denen ein Teil bereits 1144 mit dem Aussterben des Egisheimschen Mannesstammes an das Pfirter Grafenhaus gefallen war. Der Plan Graf Friedrichs ging nicht allein darauf aus, sich die Egisheimer Erbschaft zu sichern, sondern auch das ganze von Thann aus auf- wärts gelegene Thurthal, das Karl der Grosse der Abtei Murbach geschenkt hatte, in seinen Besitz zu bringen.

Von dem Sitze des Klosters war das nach dem Ort St. Amarin benannte Thal durch den hohen Belchenkamm getrennt, über den Gebirgspfade zwar den Verkehr von Personen gestatteten; allein die nächste Verbindung mit der Ebene, die Ab- und Zufuhr von Erzeug- nissen aus dem Thal in das Kloster und umgekehrt ermöglichte nur der thalabwäris an der Burg von Thann vorbeiführende Weg. Wer es in seiner Hand hatte diesen zu sperren, der hatte das Thal in seiner Gewalt.

Zum Zwecke der vollständigen Beherrschung des östlichen Thal- einganges, zugleich aber, um zur Verteidigung des in Besitz genommenen Gebietes der Egisheimschen Verlassenschaft an der Thur gegen den gewaltsamen Versuch anderer auf die Erbschaft Ansprüche erhebender Personen ihm dieses zu entreissen eine weniger zugänglichere, stärkere und ausgedehntere Feste zu haben, erbaute Graf Friedrich von Pfirt 2000 Schritte oberhalb der alten Burg von Thann eine neue. Als Platz wählte er den nach drei Seiten steil zur Thur und zum Kathenbach abfallenden hohen Vorsprung, «die Spitz», des später den Namen Rosenburg führenden Berges gerade an der Stelle der Thur, wo auf

1. TROUILLAT, Mon. de l'hisf. de l'ancien évéché de Bdle, IN, 642.

Ah

bündeten sich zum Herrn der burgundischen Besitzungen der Abtei zu machen schon Mai 1226 für sich gewonnen! hatte.

Der Sieg des Bischofs bei Blodelsheim am 8. Juni 1228 und seine bald darauf erfolgte Aussöhnung mit König Heinrich, der zu Beginn des Erbstreites die Ansprüche der Pfirter anerkannt und ihre Partei ergriffen hatte?, zwang diese vor der Hand den Kampf um Egisheim und die anstossenden Besitzungen aufzugeben und sich auf die Behauptung der im Thurgebiet liegenden Teile der Erbschaft zu beschränken. Um so nachdrücklicher verfolgten sie ihre Absicht auf Kosten Murbachs ihr Ge- biet zu vergrössern. Die Abwesenheit des Abtes schien ihrem Vorhaben günstig. Seit 1226 weilte dieser im Gefolge Friedrichs Il. jenseits der Alpen und machte den Kreuzzug des Kaisers mit. Sommer 1230 muss er zurückgekehrt sein. Entschlossen nahm er sofort den Kampf gegen die Schädiger der Abtei auf und brachte den Theoderich von Mümpel- gard in seine Gefangenschaft”. Um sich aus ihr zu lösen, musste dieser April 1231 versprechen sich aller Feindseligkeiten und auf drei Jahre der Unterstützung des Pfrter Grafen zu enthalten sowie diesen für eine Beilegung des Streites geneigt zu machen‘.

Gleichzeitig suchte der Abt sich an König Heinrich einen Bundes- genossen gegen die Landfriedensbrecher zu gewinnen; als Preis für seine Lossagung von diesen übertrug er ihm das Murbachische Dorf Tattenried und die vorher den Pfirtern gehörige Vogtei über dasselbe* mit der Verpflichtung es zu ummauern.

Die Abwesenheit Bischof Bertholds, der 1233 dem König in den Krieg nach Bayern gefolgt war, gab den beiden Grafen Theoderich von Mümpelgard und Ulrich von Pfirt Anlass einen neuen Einfall in das Klostergebiet zu machen, der jedoch für ersteren mit Gefangennahme durch bischöfliche Krieger und Einkerkerung in Strassburg endete‘. Letzteren kostete die Niederlage den Verlust der beiden Burgen Alt- und Neuthann sowie des bei Colmar gelegenen Egisheimschen Besitzes.

Nur dadurch dass den Klosterfeinden die beiden festen Plätze am

1. SCHŒPFLIN, Als. dipl. I, 355.

2. Noch September 1228 bestätigte er Friedrich und seinen Söhnen den Besitz von Egisheim und Zubehör. Das. I, 262 f.

3. Annales Marbac. M. G. S. S. XVII, 177.

4. VIELLARD, Documents el mémoire pour servir à l'hist. du territ. de Belfort, 1884, 405.

5. SCHŒPPLIN I, 366 f.

6. GATRIO I, 283.

a Eingange des Thurthales, welche durch ihre Lage für die Abtei Aus- gangspunkte zu fortwährender Schädigung ihres Besitzes bildeten, so lange sie in Banden der Pfirter waren, entzogen wurden und an einen mächtigen Bundesgenossen übergingen, konnte Murbachs Eigentum vor weiterer Belästigung gesichert werden. Indem daher König Heinrich beide Burgen ob er sie als Oberlehnsherr der Egisheimschen Ver- lassenschaft oder zur vorläufigen Schadloshaltung seines nunmehrigen Verbündeten, des Abtes von Murbach, einzog, mag unentschieden bleiben an sich nahm, belehnte er am 28. Juni 1234 mit allem Rechte, das er an dem neuen oder alten Schloss von Thann und gesamten Zubehör hatte, den Bischof Berthold von Strassburg und verpflichtete sich, ihn und seine Kirche in diesem Besitze gegenüber den Ansprüchen der Pfirter zu schützen, oder falls sich diese im Verlaufe des gegen sie angestrengten gericht- lichen Verfahrens als begründet herausstellen würden, schadlos zu halten’. Auf dieses thatkräflige Eingreifen des Königs hin verlegte sich Ulrich von Pfirt auf den Weg des Unterhandelns mit dem Abte, um wieder in den Besitz seiner Burgen zu kommen. Von fünf ritterlichen Schiedsrichtern wurde 1234 auf 1235 der seit 1226 der Abtei zugefügte Schaden geschätzt‘. Auf die Klage des Abtes bei dem Kaiser hin erging September 1235 eine Entscheidung, welche die völlige Rückerstattung des der Abtei entrissenen Eigentums verfügte’. Wohl unter Vermittelung des als Zeuge in der Vertragsurkunde genannten Grafen Rudolf von Habsburg kam es Dezember 1235 zu einer teilweisen Erledigung der Streitpunkte zwischen Murbach und Pfirt‘. Ulrich musste nicht nur die Höfe zu Oltingen und Lutter bei Pfirt, zu Tattenried und Balschweiler als murbachisches Lehen, sondern auch den Zoll zu St. Amarin als zu Recht bestehend anerkennen; durch die bis Lätare 1236 zu vollziehende Abtretung eines Hauptgutes im Ertrage von 20 Pfund Basler Münze, das der Graf alsLehen zurückempfangen würde, sollte der in Abwesenheit des Abtes angerichtete Schaden ausgeglichen werden. Für die den Schieds- richtern angegebene weitere auf 1083 Pfund Goldes vom Abte geschätzte Schädigung finden wir in der Abmachung keinen Ersatz festgesetzt. Nun liegt aus dem Jahre 1235 weder eine Urkunde, noch eine Nach-

1, LAGUILLE, Hist. d'Alsace 1, 3. 224. Preuves, S. 32: contulimus et donavimus ei et suse ecclesiae quicquid iuris in castro de Tanne novo vel antiquo habuimus vel habere aliquomodo videbamur et eorum pertinencias universas.

2, SchaeprLin I, 297,

3. Daselbat I, 371 f.

4. Daselbst I, 372 f.

fe

46

richt von einem Auftrage Pfirtischen Besitzes an Murbach und dessen lehensweisem Rückempfang seitens Pfirt vor. Es ist daher anzunehmen, dass der Graf die beschworenen Vertragsbedingungen nicht hielt und durch diesen Vertragsbruch die Aussicht die Thanner Burgen zurück- zuerhalten sich abschnitt. Als nun März 1236 Kaiser Friedrich seine Zwistigkeiten mit Bischof Berthold beilegte, bestätigte er ihn nicht nur im Besitze von Egisheim, sondern auch im Besitze der Burgen Alt- und Neuthann und des alten Zolls daselbst‘.

Wie zu erwarten war, gaben die Pfirter die Anstrengungen Thann zurückzuerhalten nicht auf. Vorbedingung eines Erfolges aber war die Herstellung eines friedlichen Verhältnisses zu Murbach. Eine Aussicht dazu eröffnete sich, als der neue Abt Theobald (seit 1244) die Erwerbung der Vogtei im St. Amarinthale von den bisherigen Inhabern, den Herrn von Horburg als Untervögten der Grafen von Habsburg, 1244 ein- leitete?. Indem der Abt dem Grafen Ulrich von Pfirt für persönliche Kränkungen und die Schädigung des Klosterbesitzes Verzeihung gewährte, versprach letzterer des Klosters Eigentum und Rechte in Uffholz zu achten und dem Abte innerhalb der nächsten drei Jahre eine Burg im St. Amarinthale erbauen zu helfen’. War nach Errichtung einer Feste im Hauptort des Thales oder durch dessen Umwallung dem Abt der Schutz seines Gebietes und seiner Unterthanen gegen Übergriffe seines Nachbars gesichert und die ungehinderte Zollerhebung ermöglicht, dann waren die Gründe, die mit dazu geführt hatten den Pfirtern Thann zu nehmen und vorzuenthalten, zum Teil hinfällig geworden. Die Forderung Ulrichs um Wiedereinweisung in den Besitz Thanns unterstützte bei dem Strassburger Bischofe nachdrücklich Ulrichs jüngerer Bruder Berthold, seitdem er 1249 zum Bischof von Basel gewählt worden war. Auf seine Vermittelung hin erhielt Ulrich Februar 1251 unter Verzicht auf die Ansprüche auf Egisheim Thann als Lehen der Strassburger Kirche‘. Selbstverständliche Voraussetzung war die

1. «Renunciavimus eidem episcopo et ecclesiae suae, si quod ius habebamus in castris et possessionibus infra scriptis videlicet Tanne veteri, Eigensheim quae fuit comitis Alberti de Tagesburg . . . concessimus ei et ecclesiae suae novum castrum Tanne . . . et antiquum pedagium apud Tanne in statu in quo fuit tempore domini augusti patris nostri Henrici imperatoris».

2. ScHœpPFLin I, 387 f.

3. Daselbst I, 389.

4. Daselbst, 405: Noverint universi nos castrum de Tanne cum suis pertinenciis, cuius proprictas ad nos pleno iure spectabat, in manus venerabilis patris et domini nostri Heinrici . . . libere resignasse et hoc ab eodem in feudo recepisse.

18

seines Küchenmeisters Konrad aus dem Jahre 1254 bekannt, dem er ausser dem Zehnten in Ruelingen ein Fuder Weinwachs «an deme newen bergen zu Blozen» bei Thann vergabte'. Die genaue Bezeich- nung der Örtlichkeit sowie die Stellung des Belehnten machen es wahrscheinlich, dass der Ausstellungsort der Urkunde Thann ist. Auch als Theobald nach seines Vaters Ulrich Tode 1275 die älteren,Brüder Friedrich und Ludwig waren vor diesem gestorben? Herr des ganzen Pfirter Besitzes mit Ausnahme von Blumberg* wurde, blieb er auf der Burg in Thann, die er mittlerweile zu einem ansehnlichen Herrensitz erweitert hatte, wohnen. Kurz nach 1275 fällt seine Ehe mit Katlıarina von Klingen, der jüngsten Tochter Walthers von Klingen‘. Also erst nach 1251, gegen das Jahr 1260, hundert Jahre nach dem Tode Bischof Ubalds wird Thann Sitz eines Dynastengeschlechtes, dessen regierendes Haupt seit 1275 Theobald is. Wenn die Schenck’sche Erzählung ihm den Namen Engelhard gibt, so ist der Anlass zu dieser Benennung zweifelsohne das Bestreben gewesen, den Namen Engelsburg als verkürzt aus Engelhardsburg herzuleiten’; wie denn auch andere Angaben in Schenck’s Bericht in der Absicht ersonnen sind, um Namen

1. Stadtarchiv Mülhausen. Ich verdanke die Kenntnis des für die Ortsgeschichte wertvollen Stückes einer gütigen Mitteilung des Herrn Prof. Dr. Post zu Mülhausen.

2. Friedrich lebte noch August 1269, ScHoeprLin II, 464. Da er und Ludwig in der Lehensauflassung des Pfrter Besitzes vom Januar 1271 nicht genannt werden, so müssen beide vor diesem Jahre gestorben sein, Ludwig, wie es scheint, sogar vor August 1269.

3. Blumberg vererbte sich nach Ludwigs Tod auf dessen Sohn Ulrich. Nach seinem Tode fiel es an Graf Theobald. TROUILLAT II, S. LXXX; III, 138 ff.

4. Zuerst erwähnt 1256, ScHaeprLin I, 418; TROUILLAT II, 79; erscheint als Gattin Theobalds 1278 (noch kinderlos), TROUILLAT Il, 285. Da in der Lehensauflassung von 1271 nicht wie in der von 1278 von der Verschreibung der Einkünfte eines Teiles des Besitzes die Rede ist, so fällt die Ehe später als 1271; Juni 1274 begegnet uns Theo- bald mit Katharinas Vater zu Ensisheim im Gefolge König Rudolfs, TRouILLAT II, 250. In der bei ScuaeprLin I, 483 wiedergegebenen Urkunde (charta germanica, in qua mentio fit Theobaldi et Catharinae comitum Phiretensium MCCII) ist in der Jahreszahl des Datums cwolfhundert iar unde zwo iar die Zehnerziffer ausgefallen. Von den zwei Möglichkeiten der Ergänzung 1282 und 1292 empfiehlt sich wegen der Namen der genannten Zeugen (s. TROUILLAT II, 200, 266, 555, 644) am ehesten das Jahr 1292 als Ausstellungsjahr anzunehmen.

5. Über den Zusammenhang des Namens Engelsburg mit dem Erzengel Michael s. LEMPFRID, Kaiser Heinrich II am Münster zu Thann, S. 13 f. BeEısseL, Die Ver- ehrung der Heiligen und ihrer Reliquien während der zweiten Hälfte des Mittelalters. Freiburg, 1892, S. 42.

50

und als s. Diebolt zwei bistumb hat‘, wolten etliche den leichnam han und wurden eins und spanen zwen oxen in karen; wo die ihn hinfürten, da soll er ligen. und do giengen die oxen, do der heilig ligt. do stunten sie still und wolten nit witter gon. do was der karer, der die oxen trieb, der hatte ein ruot*, die steckt er in den grund und half den heiligen ablaten. do fangt die ruot an zu wachsen und ist erst in zwanzig iahrer. ganz von dem bruodern abgehauen worden. ist im iahr da das heltumb gen Thann kommen etc.?.

Bevor wir aufdie Abweichungen dieses Berichtes von der Schenck’schen Relation eingehen, ist die Frage nach der Zeit seiner Abfassung und seinem Verfasser zu erörtern. Die hier erwähnte Form der Über- tragung von Übalds Leichnam in die Gervasiuskirche von Gubbio erscheint zuerst in dem 1616 gedruckten Leben Ubalds von Oliverius', doch mit der Abweichung, dass hier die vier Stadtquartiere Gubbios ihren Anspruch auf den Leichnam Übalds durch den erzählten Vorgang “entscheiden lassen wollten. Da die sprachliche Form unseres Berichtes ein höheres Alter als das Erscheinungsjahr der italienischen Vita verrät, und diese erst 1731 in Thann bekannt geworden ist®, so kann sie nicht die Quelle für diese Nachricht sein. Mir scheint die Erzählung eine im Volk von Gubbio verbreitet gewesene Sage zu sein; zeigte man doch in der Vorhalle der Kirche die Kette jenes Wagens und vor der Kirche eine Ulme, die aus dem bei dem Abladen des Leichnams in den Boden gesteckten Stock eines der Ochsentreiber emporgewachsen sein sollte®. Wenn die Thanner Aufzeichnung eine andere Stadt den Bürgern Gubbios den Leichnam streitig machen lässt, so liegt hier ein Missverständnis vor, hervorgegangen aus der in der lateinischen Vita Ubaldi’ gebrachten Nachricht, dass Ubald vor seiner Wahl zum Bischof

1. am Ronde von der Hand Theobald Gobels: NB. erat episcopus etiam in civitate Urbino et prior in Fonte Avellani et episcopus Eugubinus.

2. eine Rute.

3. Darunter der Vermerk : Collacioniert von seinem ohnversehrten alten original, so in der verwalterei Thann gefunden und von wort zu wort selligem glichlautend gefunden, durch mich underzeichneten statt- und ambtschreiber der herrschaft Thann, den 16. augusti 1711. _ Heisch stattschreiber.

Papier. Bez.-Archiv Colmar Stift Thann Karton 6. d. Erwähnt in der Pruntruter Ausgabe von Scuenck’s Theobaldus von 1723, S. 72. Siehe oben S. 36.

4. Vita di San Ubaldo, S. 54 f.

5. Siehe oben S. 35, A. A.

6. Acta Sanct. Maii Ili, 637.

7. Daselbst 629, c. 7.

59

Translationsberichtes zu erkennen und dessen Abfassung in das Jahr der Rückkehr seines Bruders aus Italien 1491 anzusetzen. Wann Ubald gestorben ist, das hat der Verfasser des Berichtes nicht gewusst, sonst hätte er am Schlusse das Todesjahr, in welches die Thanner Legende die Ankunft des Daumens verlegt, angeben müssen, slatt die Auf- zeichnung mit «et cetera» zu schliessen. Wenn aber der Stadtschreiber Heisch in der von ihm beigefügten Überschrift das Jahr 1210 als Todes- und Translationsjahr vermutungsweise angibt, so hat er diese seine Kenntnis aus Surius Sanctorum vitae VII geschöpft, der in seinem 1574 auf Grund einer Lütticher Handschrift für den Druck bearbeiteten Leben Übalds 1210 als dessen Sterbejahr in Folge Lesefehlers' angibt. Für die Ermittelung der Zeit, wann die Theobaldsreliquie nach Thann gekommen ist, ist es günstig zu nennen, dass dem Verfasser des Berichtes Ubalds Todesjahr unbekannt war. Denn so blieb er davor bewahrt, die in der örtlichen Ueberlieferung haften gebliebene Erinnerung an das Aussehen Thanns zur Zeit der Ankunfl des Daumens zu unterdrücken, das ja für das Jahr 1160 mit nichten passen würde. Gerade die Angabe einiger Örtlichkeiten in Thann des Klosters, der Adelssitze, des Spitals gibt uns das Mittel an die Hand, das Jahr der Übertragung der Theobaldsreliquie annähernd zu bestimmen.

Von dem Barfüsserkloster wissen wir, dass der 1302 begonnene Bau seiner Kirche 1310 vollendet und 1311 geweiht wurde’. Somit kann der wunderthätige Daumen nicht allzulange vor 1310 nach Thann gekommen sein. Zu dieser Zeitannahme passt auch die Erwähnung der Höfe der Edelleute. Von einer grösseren Zahl derselben am Fusse der Burg kann erst die Rede sein seit deren Erhebung zum dauernden Herrensitz, also erst seit den letzten Jahrzehnten des 13. Jahrhunderts. Erst aus dieser Zeit datieren häufigere Erwähnungen Pfirtischer Lehens- leute als Inhaber eines Burglehens und Einwohner in Thann’, die

1. MCCX durch Lesefehler aus MCLX entstanden. Acta Sanct. Maii III, 636.

2. Gr. Thanner Chronik 1, 264, 271, 289.

3. 1256 Werner genannt Wurant Basler Urkb. II. 1273 und 1278 TROUILLAT II, 235, 286. 1262 Ludwig von Passavant, Otto Rubarius, ScuagprLin I, 445. 1273 und 1278 Werner Wurand, TROUILLAT Il, 236, 286. 1281 Ulrich der Kukenmeister, Hugo von Spechbach, TROuUILLAT Il, 338. 1291 Ulrich von Kattenbach, Basler Ukb. IN, 13. 1292 Erchinsint und sein Sohn Johannes, ScHo&PrLin I, 484. 1293 Hein- rich Spielmann, TROUILLAT II, 554 f. 1296 Berthold Wurant von Friesen, Basler Ukb. III, 168. 1298 Jakobus de Tanne, Jakob s. Bruder, das. Ill, 232, 244. 1296 Heinrich Hake, das. 1300 Richard von Spechbach, Heinrich von Thann, Friedrich von dem \ert, HERRGOTT, Geneal. Habsburg. Il, 582.

_— 54

sers Chronik enthaltenen Angaben über das alte Spital glaubwürdig, so hat Gräfin Johanna von Pfirt nach ihres Vaters Ulrich Tode wohl zur Stiftung einer Wochenmesse für denselben dem Spitale 1325 so reiche Einkünfte geschenkt, dass es erweitert werden konnte; 1328 wäre der Umbau vollendet gewesen‘.

Wahrscheinlich ist Graf Theobald der Gründer des Spitales® und Stifter einer Pfründe an demselben zu Ehren des hl. Ehrhard gewesen. Eine merkwürdige Notiz in einer 1682 verfassten Zusammenstellung der Gründungen der verschiedenen Kaplaneien an den Thanner Kirchen bringt die Stiftung der Erhardskaplanei in zeitliche Beziehung mit der Ankunft der Theobaldsreliquie.

In der 1682 von dem Propst, Kustos und Archivar des Theobalds- stiftes aufgenommenen Registratur seiner Urkunden findet sich unter der Überschrift «Cäplanei Erhardi in hospitali» der Eintrag, «dise capla- nei ist fundirt worden von dem iungen grafen Theobaldo gleich nach ankunft der reliquien und gibt unter andern wochentlich 2 B mühlen- gut von seiner mühli in Kathenbach. anno 1320»°; er kehrt wieder in der etwa 70—80 Jahre später vom Stifisarchivar Reisert geschriebenen Fundatio omnium capellaniarum‘ mit dem Zusatz: «es solle der kaplan wochentilich zwei messen lesen auf desen altar, ubrigens dem chor zu Thann im singen, lesen und chorgang beistehn und allen gewohn- heiten und statuten des stifts unterworfen sein. de anno 1320.» Woher diese Nachricht stammt, ist mit Sicherheit nicht mehr zu ermitteln, da, wie schon erwähnt, das ältere Urkundenmaterial des Spitals bei einem zwischen 1404 und 1408 im neuen Spital ausgebrochenen Brand vernichtet wurde. Vermutlich ist in ihrem ersten Teil der Inhalt der Stilungsurkunde der Erhardspfründe wiedergegeben, die besagt haben muss, die Übertragung einer Theobaldsreliquie nach Thann und deren Verehrung auch durch anwallende Pilger habe die Stiftung einer Kaplanei nötig gemacht; ihr Inhaber solle an bestimmten Tagen in der Spitalkapelle, die übrigen Tage an der Kirche, welche die Reliquie

1. Gr. Thanner Chronik I, 318, 321.

2. Auf die Zeit der Gründung unter dessen Regierung weist auch die Erwähnung eines Henricus filius dicti Spitaler in der Stiftung der Katharinenpfründe auf der Burg von 1311, siehe Beilagen 4.

3. Bezirks-Archiv Colmar, Stift Thann, Lade 3. Von späterer Hand ist iungen in alten und 1320 in 1220 verbessert worden.

4. Daselbst. Auch hier hat eine spätere Hand gefälscht, indem sie «gleich» durch- strich und durch die Worte «122 Jahrc» ersetzte.

56

heiligen Theobald geweihten Kapelle in Neuthann, von der später aus- führlicher zu reden ist, deren Errichtung der Anlass gewesen sein wird für das Gotteshaus eine Partikel des heiligen Theobald zu beschaffen. Seine Wahl zum Patron der ersten Bürgerkirche in Thann erfolgte mit Rücksicht auf die Person des Landesherrn, dessen Namenspatron der Heilige war, und der wohl aus eigenen Mitteln reichlich zum Baue der Kirche und zur Einrichtung des Gottesdienstes in ihr wird beigesteuert haben. Die gleiche Rücksichtnahme auf die Wohlthätigkeit der Landes- herren war es, wenn die Barfüsser 1311 die Kirche ihres Klosters unter andern auch auf die Namen Theobald und Katharina weihen liessen‘.

Die Zeit der Ankunft der Reliquie in das erste Jahrzehnt des 44. Jahrhunderts zu verlegen berechtigt uns eine weitere Angabe des älteren Translationsberichtes. Auch er bringt mit ihr in Beziehung ein Mitglied der landesherrlichen Familie, aber nicht den Grafen, sondern die Gräfin. In ihrer Gegenwart im Schlosse gibt der in dem Rohrstabe verborgene Daumen dadurch, dass sich der Stab von selbst bewegt, seine wunderbare Kraft zu erkennen. Die Gräfin ist es, welche der Träger der Reliquie aufsucht, um von ihr bewirtet und beschenkt zu werden. In dieser Mitwirkung der Schlossherrin liegt die Erinnerung an den wirklichen Hergang. Die Gemahlin Theobalds wird es gewesen sein, welche die Beschaffung der Theobaldsreliquie besorgt hat. Nach dem Tode Katharinas von Klingen hatte sich Theobald in zweiter Ehe mit Margaretha von Blamont’, einer Tochter Graf Heinrichs von Blamont und Kunigundes von Leiningen und Schwester der mit Landgraf Sigismund von Werd verheirateten Adelheid von Blamont, verehelicht, die in erster Ehe mit Johann von Burgund, llerrn von Montaigu, ver- heiratet gewesen war. Durch ihre Familienbeziehungen* zu den geist-

1. Gr. Thanner Chronik I. 289.

2. Auf freundschaftliche Beziehungen zwischen den Häusern Pfrt und Blamont weist die Urkunde von 1296 bei TROUILLAT II, 484. In dem Testamente ihrer Mutter von 1302, das Margaretha zur Vollstreckerin ihres letzten Willens ernennt, wird sie noch nicht Gräßn von Pfrt genannt. Als solche erscheint sie erst 1303: M. von Blamont, Gräfin von Pfrt, Herrin von Montaigu; 1309 willigt sie in den Verzicht Theobalds auf die vermutlich ihr verschriebene Herrschaft Blumberg zu Gunsten des Bischofs von Basel. Sie lebte noch 1335 und fand ihre Ruhestätte in der Abtei Faverney, deren Nekrolog sie als M. de Albomonte comitessa de Ferrette et domina de Montaigu er- wähnt. TROUILLAT III, 138. MARTIMPREY, Les Sires et Comies de Blamont in den Mem. de la Soc. d’archeol. lorraine XNIIL [1890], S. 140 f.

3. Ihr Oheim Thomas von Blamont war seit 1303 Bischof von Verdun, eine ent- ferntere Verwandte, Margaretha von Bar, Äbtissin von St. Maur, Stefan von Bar war Bischof von Metz; Margarethas Schwestern waren mit hervorragenden burgundischen und lothringischen Dynasten vermählt.

58

«Cum vir sanctus haberet quemdam famulum e Germania, qui per multos sibi servierat annos, in ipsa ecclesia lacrimarum effundebat imbres, unde sanctum corpus manu sinistra digitale (Fingerhandschuh) dextræ sub- trabens cum pollice miraculose abscisso pro. præmio laboris sui famulo tradidit. quem ipse accipiens Pinetum (Thann) Basiliensis dioecesig castrum remeavit. qui cum appropinquaret, omnes campanos illius oppidi nullo trahente pulsantur. hinc memor factus digitalis quem ab ipso sancto acceperat inquirens in eo pollicem dextræ manus invenit. quem cum ad primores civitatis attulisset, summa cum veneratione exceperunt et in divi Ubaldi honorem ingentem basilicam fabricarunt.»

Bezeugt die Erzählung einerseits, dass die Legende von der wunder- baren Ankunft des Daumens in Thann durch die Berichte aus Deutsch- land kommender Pilger auch in Gubbio bekannt geworden und Glauben gefunden hatte, so gibt sie andererseits die Anschauung wieder, wie ein frommer italienischer Kleriker des 16. Jahrhunderts sich den Her- gang des Wunders vorstellte.

Trotz ihrer Abweichungen stimmen die zwei Thanner Berichte über die Art und Weise, wie Ubalds Daumen nach Thann gekommen, in wesentlichen Punkten überein. Überbringer desselben ist des Bischofs Diener, dessen Heimat Deutschland ist; den Daumen hat er in seinem Stab verborgen; durch das Wunder, dass dieser nicht von seinem Platze sich entfernen lässt, gibt die Reliquie zu erkennen, dass sie in Thann verehrt sein will; Stätte ihrer Verehrung wird eine sofort darauf erbaute Kirche, in welcher St. Theobald Wunder wirkt. Wo ist die gemeinsame Quelle der von einander unabhängigen Erzählungen zu suchen? Ich finde sie in der aus dem Volke hervorgegangenen Auslegung des untersten Rundbildes des Theobaldsfensters. Dasselbe ist nämlich nicht eine Darstellung der bereits vorhandenen Legende, vielmehr hat sich diese erst aus dessen volkstümlicher Erklärung gebildet.

Der Glasmaler hat als Einleitung der ganzen Bilderreihe den Gedanken dargestellt: St. Ubald erkiest sich Thann als Verehrungsstätte. Der in Wolken schwebende Heilige, auch hier als Bischof wiedergegeben, hält nach rechst gewendet die Linke schirmend über die Örtlichkeit, auf der sich ihm zu Ehren ein Heiligtum erheben soll. Sie selbst und ihr Name ist durch je eine Tanne zur äussersten Rechten und Linken angedeutet. Von rechts ist herangeschritten ein Mann in vornehmer Tracht, Augen und Rechte nach oben erhebend; in der Linken hält er das Modell einer Kirche, eine flüchtige Skizze des Münsters in seinen

60

Somit geht die Thanner Legende von der Übertragung der Reliquie des Stadtpatrones zurück auf die volkstümliche Auslegung einer bild- lichen Darstellung, die nichts anderes vor Augen führen will als die geschichtliche Thatsache, dass die von dem Grafen Theobald von Pfrt und seinen Unterthanen zu Anfang des 14. Jahrhunderts dem heiligen Theobald erbaute Kirche mit der Zeit die Stätte zahlreicher Wunder, das Ziel einer Weltruf geniessenden Wallfahrt ward, die dank’ der Vergünstigungen der Landesherrn, der Opferfreudigkeit der Bürgerschaft und der reichlichen Almosen der Pilger zu dem Pracht- bau des Münsters erweitert werden konnte‘.

Dass die Theobaldsiegende ihre Deutung auch in dem Sinne gefunden hat, dass «die Stelle, an welcher jetzt die Theobaldskirche steht, als eine uralte berühmte germanische Kultstatt» anzusehen sei*, oder dass chinier dem Heiligen ein älterer verdrängter Kirchenpatron stecken mag oder gar ein alter heidnisch germanischer Gott und seine Ver- ehrung im Grunde eine Bekämpfung alter noch vorhandener Über- bleibsel und Reste beïdnischer Gepflogenheiten sei, wie sie sich zur Zeit seiner Erhebung zum Kirchenpatron in Thann noch vorgefunden haben müssen» °, nimmt nicht wunder, wenn man sich der in Gelehrten- kreisen weitverbreiteten Neigung erinnert, in christlichen Bräuchen und kirchlichen Überlieferungen nichts anderes als die Umgestaltung heidnisch- germanischer Einrichtungen und Anschauungen zu erblicken. Die Unter- suchung über das Alter der bürgerlichen Gemeinde Neuthann wird Veranlassung geben auf die von der Tannenverbrennung am Vorabend des Theobaldsfestes ausgehende Ansicht Pfannenschmids einzugehen.

Die Meinung, welche in der Thanner Theobaldsverehrung die Erinnerung an einen Wodanskult sucht, baut sich auf der Thanner Hufeisensage auf. Der Verfasser der durch die Zusammenstellung der mit dem Brauche der Hufeisenbefestigung an Kirchenthüren verwandten Erscheinungen

1. Wie auch viele andere elsässische Sagen ihre Entstehung den aus dem Volke hervorgegangenen Erklärungen von Bildwerken verdanken, zeigen die in STOEBERS Sagen d. E., 2 A. mitgeteilten Erzählungen I, 59, 66, 120, 128, 129; II, 46, 51, 264, 278, 302—304, 307, 309—314. Zu vergleichen ist auch die Sage von der Gründung der schönen gothischen Kirche in Münster in Lothr. bei CALuET, Notice de Lorraine, unter Münster; ferner KınkEL, Mosaik zur Kunstgeschichte V, Sagen aus Kunstwerken ent- standen.

2. PFANNENSCHMID, Germanische Erndtefeste, Hannover 1878, S. 563—565.

3. BanTH, Beiträge zur elsässischen Sagenforschung. Proar. des bischöfl. Gymn. zu Strassburg 1889, S. 7.

69

waren‘. Hingegen fanden sich wirkliche Rosseisen hinter der Statue eines Heiligen zur linken Hand beim Eingang in das Münster, die man Anfangs der vierziger Jahre des 19. Jahrhunderts von dort weg- nahm?®. Der Heilige selbst ein Geistlicher im Diakonengewand, mit unbedecktem porträtähnlichem, ungemein lebenswahrem Kopfe, mit der Linken eine Kette fassend, mit der ein durch ihn aus dem Turme befreiter Ritter gefesselt ist, in der Rechten ehemals ein Buch haltend’ ist Niemand anders als der heilige Leonhard. Ausser als Patron der Gefangenen geniesst er auch als einer der vierzehn Nothelfer und zwar als Helfer gegen die Krankheiten der Pferde und das Sterben des Viehes in den deutschen Landen, besonders in Süddeutschland hervorragende Ver- ehrung‘. Wie an andern Kultstätten Leonhards Hufeisen aufgehängt wurden, so haben auch die vor seinem Bilde in Thann Hülfe suchenden Landleute dem Heiligen durch Darbringung von Hufeisen gedankt und als der Raum zwischen Standbild und Portalleibung voll war, sie auf die Thürflügel zunächst des linken Einganges aufnageln lassen.

Die Hufeisen am Thanner Münsterportal haben also gar keine Beziehung zur Verehrung Theobalds gehabt. Ebenso wenig darf die angebliche Quelle vor dem Nordportal zur Herstellung eines Zusammen- hanges derselben mit einem heidnischen Kulte herangezogen werden. Denn das Wasser des Theobaldsbrunnens ist kein Quell-, sondern von jeher zugeleitetes Wasser gewesen, und der Glaube, dass es heilende Kraft besitze, ist erst aufgekommen, seitdem der Laufbrunnen 1549 mit dem Standbilde des Stadtheiligen geschmückt und nach ihm benannt wurde, und findet sich in den Wunderberichten zum ersten Male zum Jahre 1636 erwähnt. So fallen die an die Erwähnung der Hufeisen und des Wunderborns in Thann geknüpften Schlussfolgerungen, als ob der Platz, auf dem sich das Münster erhebt, eine ehemalige uralte heidnische Kultstätle aus germanischer oder gar aus keltischer Zeit gewesen, in sich zusammen.

Der Translationsbericht stellt sich die Entstehung der Stadt Thann in der Weise vor, dass noch im Jahre der Ankunft der Reliquie 1161

1. Mitteilung des 1810 geborenen Kirchenratsmitgliedes Herrn Bätzner in Thann und anderer über 70 Jahre alter Personen.

2. Mitteilung des verst. 80jährigen ehemaligen Maurers Theobald Müller.

3. Der Unverstand moderner Ergänzung hat der dem 15. Jahrhundert angehörenden Statue ein Kreuz gegeben, um sie als Franziskus Xaverius zu charakterisieren.

4. DETZEL, Christliche Ikonographie Il, 562. Barrta a. a. 0. 3i—36.

6

Ein Eintrag auf dem ersten Blatt des 1682 aufgestellten Inventars der Suftsurkunden von späterer [and versetzt die Erhebung der rechts der Thur gelegenen Niederlassung zum selbständigen Gemeinwesen in das Jahr 1290: in (dextra) flumin (is ripa) civitas Thannensis”condita fuit an. 1290'; auf welche Gründe sich diese Angabe stützt, ist nicht zu ermitteln, vielleicht ist sie nur eine Vermutung des Schreibers, mit der er der Wahrheit nahegekommen sein mag. Die Verleihung einer städti- schen Verfassung an die am Fusse der Burg angesiedelte Gemeinde mag um das Jahr 1295 fallen.

Die Erhebung Neuthanns zum selbständigen Gemeinwesen hatte zur Voraussetzung dessen Ausscheidung aus der Zugehörigkeit zum Banne des Dorfes Thann. Sie kommt formell zum Ausdruck in der Urkunde über die Stiftung der Michaelspfründe in der Pfarrkirche zu Altthann im Jahre 1304, in der für die Stadt und für das Dorf Thaun ein besonderer Meier und eine getrennte Feldmark erwähnt wird’, Die kirchliche Ge- meinschaft zwischen beiden Orten blieb in der Weise bestehen, dass Altthann als Mutterkirche, Thann nur als Filiale galt. Erst 1389 wurde auch dieses Verhältnis gelöst’; durch die Erhebung von St Theobald zur Pfarrkirche schied die Stadt aus dem Pfarrverbande mit Altthann aus.

Das allmähliche räumliche Wachsen der Stadt Thann lässt sich noch jetzt an ihrem Aussehen verfolgen. Der älteste Häuserbezirk erstreckte sich von der Thur ausgehend südwärts bis zur Langen Gasse, östlich begrenzt von der späteren Spital-, jetzigen Hallengasse in ihrem von Nord nach Süd gehenden Trakt, westlich von der jetzigen Tempel- gasse. In beiden Gassen sind die Stadtmauern in den Wänden der Hintergiebel noch deutlich erkennbar erhalten. Somit liegt das Münster ausserhalb des ältesten Mauerringes. Die Ausdehnung der Stadt nach Süden hin über die Lange Gasse hinaus (Lange Gasse, Ochsengasse, Pfarrgasse sowie nach Westen hin (Storchengasse, Dielengasse, Weiher-

1. Die in Klammern gesetzten Buchstaben sind Ergänzung dessen, was auf den zer- fressenen Teilen des Blattes gestanden hat. Bez.-Archiv Golmar, Stift Thann, Kasten 1.

2. Henricus dictus Hake (in der Abschrift Heber) villicus oppidi Tann, Henricus villicus villae Thann; bona . . . sita in bannis et in terminis seu finagils praedicto- rum oppidi et villae Thann. Ein Kaufakt von 1296 spricht von Reben in banno villae Tanne in monte dicto am Rangen, Basler Ukb. III, 168, während eine Urkunde von 1291 (das., S. 13) wie es scheint einen getrennten Bann noch nicht kennt.

3. In dem ior als man zolt mccclxxxix ward denen von Tann in der statt in Sant Thiebolts kilchen eigenen touf zu haben erloubt von bischof Johans zu Basel und den kilchhoff zu engen oder witren noch irer notturit noch inhalt eins briefs besiglet. Stadtarchiv Thann, G |, \r. 2.

PIE ya gasse) begann erst 1307 gleichzeitig mit dem in Angriff genommenen Bau der Kirche. Nach Osten hin blieb die Spitalgasse die Grenze. Indem aber die unter Herzog Rudolf IV. kurz vor 1360 begonnene Neu- befestigung der Stadt an der Ostseite eine neue äussere Mauer auf- führte, erhielt Thann an dieser Seite eine doppelte Mauer und einen doppelten Graben, welche den zu beiden Seiten des Niederthores sich hinziehenden Zwinger einschlossen. Durch die im Westen zwischen Thur und Staufen neuaufgeführte Mauer ging das Oberthor. Dreissig Jahre später wurde auch die zwischen Oberthor und Barfüsserkloster gelegene St Jakobsvorstadt ummauert, nachdem sie schon im Jahre 1369 einen Graben erhalten hatte‘. Der in dieser Weise erweiterte Stadtumfang genügte der Entwickelung Thanns bis zum Ende des 18. Jahrhunderts, wo infolge des durch Kleber geleiteten Baues eines Militärspitales, des jetzigen Rathauses, auf dem Zwinger die östlichen Aussenmauern zum Teil abgetragen und damit der Anfang gemacht wurde zur bedauernswerten Niederlegung der ehrwürdigsten Denkmäler der bürgerlichen Vergangenheit Thanns, seiner stattlichen Turm- und Thorbauten, welch letztere in den vierziger Jahren des 19. Jahr- hunderts als Hemmnisse des gesteigerten Fuhrverkehrs fallen mussten.

Die schnelle Ausdehnung Thanns und das baldige Anwachsen seiner Bevölkerung im Laufe des 14. Jahrhunderts erfolgte zum Teil auf Kosten der umliegenden Dorfschaften. 1344 wurde durch Johanna von Pfirt, die Gemahlin Herzog Albrechts, den Dörfern Altthann, Erbenheim, Ober- und Niederaspach, die bis dahin das Gericht Altthann gebildet hatten, 1361 durch Herzog Rudolf dem Gericht zu Hohenrodern, zu dem die Dörfer Rodern, Rammersmatt, Otzenweiler und Leimbach gehörten, die Selbständigkeit genommen, indem die Bewohner der genannten Dörfer hinfürder vor dem Stadtgericht in Thann Recht suchen mussten, mit der Stadt sollten «dinen und liden mit stur und allen andern diensten» und so ihr «mit allen nutzen eren rechten und guten gewonheiten» eingemeindet wurden®. Mochten sie anfangs nur widerwillig sich dieser Anordnung fügen, mit der Zeit musste sie der vorteilhafte Umstand, dass sie durch das Recht des freien Zuges nach Thann des Genusses der zahlreichen der Stadt verliehenen Freiheiten teilhañig werden konnten, mit dem Verluste ihrer kommunalen Selbständigkeit aussöhnen.

1, Urkundenbuch des Stadtarchivs zu Thann, A 1, fol, XIII f. 2. Daselbst fol. XVII ff. Sonœprun Il, 179, 239. B, zu, =. (M.) 5

Lin zu TE =

66

Diese Vereinigung dreier Gerichte durch eine Art Synoikismos zu einem Gemeinwesen fand ihren Ausdruck auch in der Zusammenlegung eines bürgerlichen Festes, der Johannisfeier. Nicht mehr in Altthann und in Rodern wurde das Johannisfeuer am Vorabende des Johannis- tages abgebrannt, sondern in Thann auf dem Rathausplatze‘ als dem Mittelpunkte des bürgerlichen Lebens, gerade so wie von den Bewohnern des der Stadt Gebweiler eingemeindeten alten Oberlingen auf dem Marktplatze daselbst ihre Johannisfackel angezündet wurde’. Mit der zunehmenden Bedeutung der Wallfahrten am Patronsfeste wurde dann, um dessen Glanz zu steigern, die Feier der Tannenverbrennung vom Vorabend des 24. Juni auf den Vorabend der Oktav Johannis (30. Juni) und damit auf die Vigilia Sti. Theobaldi verschoben. Wann diese Ver- legung stattgefunden hat, entzieht sich unserer Kenntnis. Einer Er- wähnung dieses Brauches als eines längst bestehenden, bei welchem die Bewohner der Dörfer mit ihren Harnischen in der Stadt erschienen, den feierlichen Umgang mitmachten. und auf Kosten des Theobalds- baumeisters auf der Ratsstube bewirtet wurden, begegnen wir in einer Ratsverordnung von 1459, die mit Rücksicht auf die durch die Bewirtung dem Kirchenbau erwachsenden Kosten den Dorfbewohnern die Teilnahme an der Feier untersagte*.

Der Brauch in Thann am Abend des 30. Juni drei Tannen abzu- brennen ist demnach entstanden aus der Zusammenlegung und Ver-

i. Das älteste Rathaus lag in der Schlüsselgasse gegenüber dem schon im 14. Jahr- hundert als Gasthaus erwähnten Hause Zu den Schlüsseln.

2. Zum Jahre 1485 enthält die Gebweiler Chronik die Bemerkung: Es war allwegen der brauch das am sanct Joannis abend die Oberlinger ein fackel auf dem viehmarkt anzündeten.

3. anno [mceccellviiii uf donrstag unser lieben frowen obent der liech[tmess] ist im rat geraten und beschlossen : als man bitzhar uf sant Thilebolt] den dörfern mit irem harnesch harin komen und denn die burger und si miteinander in dem harnesch und mit pfiffern etc. umbgangen sint und dann uff die stouben gangen sint daruff grosse kost gangen ist, derselb kost uff das goczhus gieng : daz hinfurme solichen kost uff daz goczhus nit me gon soll und bedorfent die von dorfer nit me harin komen. aber die burger die sollent zwuschent den thoren in iren harnesch warten bicz die vackeln harin köment und sollent dann auchen einen gang umbgon und dann auchen jeder- mann heim gen und sol man nuczit geben. und sol man denn viij oder x gluter. redlicher burger ordnen, die do wachent und uff die bäbery und unfur warnement] Stadtarchiv Thann, F 17, 2. Die Fackeln, d. h. die in ihrem oberen Teile gespaltenen, mit Harz und Stroh angefüllten Tannenstämme hatte der Theobaldsbaumeister zu be- sorgen. Die Ausgaben für ihre Zurechtmachung ist ein stehender Posten in seiner Jahresrechnung, z. B. 1579: zu den fackeln an Theobalditag 12 & harz 12 ß; 18 & russharz, 3 walen strau, ! lichen wecken daraus gemacht zu den fackeln. Rechnung Beat Winkler’s. Stadtarchiv Thann, G 7.

68

Da eine Übersicht über Schencks Angaben für den Zweck unserer Untersuchung dienlich ist, so geben wir eine Zusammenstellung derselben:

4460. «Dise kirch hat erstlichen mit einer kleinen kapellen ihren anfang genommen im iahr nach der geburt Christi 41160‘ nach absterben weiland vorgedachten ... h. bischoffen Theobaldi zu Eugubin in Umbria. »

[?] «weilen wegen täglichen daselbsten erschalleten miraklen und wunderwerken das erst erbaute kleine kirchlein und capell dem fremb- den anwallenden volk kein genügen thun könte, haben bald darauf von selbiger zeit an unsere liebe altvordern zu der ehr gottes und des h. Theobaldi freiwillig aus reichlichem ohn gezwungenem allmusen und steur disen jetzt gegenwertigen bau, sonderlich der vorkirchen zu verfertigen angefangen.»

4346. «ist auch endlichen die vorkirchen zum end geführt worden, _nachdeme sie mit erster vorgedachter kleinen kapellen und disem des h. Theobaldi münsteren der vorkirchen zugebracht 186 jahr: dann man findet in alten schriften dass allererst im jahr 1346 auf den sambstag nach des h. bischofs Valentini tag die vorkirch seie consecriert und geweihet worden durch den . . . herrn Henricum Wiss Anaverzischen erzbischofen weiland . . . Joannis . . . bischoffen zu Basel anwesenden weihbischoffen.»

4422. «seithero . . . haben... . unsre lieben voraltern ... mit grossem eifer und ernst den bau vollends befürdert, das chor und den turn verfertiget, massen aus alten documenten darzuthun, dass im jahr 1422 durch intercession der durchleuchtigisten fürstin und frauen Catha- rinae von Burgund erzherzogin zu Oesterreich am sontag vor Marlini der chor geweihet worden durch ... Theobaldum erzbischofen in Bisanz. »

will, die Jahrbücher der Barfüsser hätten unabhängig von dem Wunderbericht die Heilungen verzeichnet, oder einer ihrer vor Schenck lebenden Schreiber hätte sie aus der Pergamenthandschrift in die Klosterannalen übertragen, so trifft seine Ansicht nicht zu. Erst durch Tschamser sind sie aus Schenck der Klosterchronik einverleibt worden. Wo er gedrucktes Material fand, hat er es niemals für der Mühe wert ge- halten auf noch so leicht zugängliche schriftliche Quellen zurückzugehen.

. 1. Schenck und nach ihm Tschamser halten an 1160 als Todesjahr Ubalds fest. Erst bei dem Verfasser der Kleinen Thanner Chronik (1766) und in der Lebensgeschichte Theobalds von 1777 wird sein Tod in das Jahr 1161 verlegt. Über die Entstehung des Irrtums s. oben S. 41.

70

Quellen für die Geschichte des Münsters ausser Schencks Theobaldus die an verschiedenen Teilen der Kirche eingemeisselten oder auf- gemalten Jahresziffern und etwaige Nachrichten, welche seine Vorgänger im Guardianamte in ihren chronistischen Aufzeichnungen hinterlassen hatten. Mit diesen Angaben hat er die Erfindungen eigener Phantasie zu einem Bilde von der ältesten Baugeschichte des Münsters verwoben, das von besonnenen Kunsthistorikern als Trugbild entweder mit Still- schweigen übergangen' oder in einzelnen Zügen wenigstens als Fabel bezeichnet ist?, in Kreisen lokaler Forscher jedoch noch immer als völlig glaubwürdig hingenommen wird”. Daran trägt einmal der Umstand die Schuld, dass es uns bis jetzt an einer eingehenden Darlegung von dem Unwerte des Tschamserschen Machwerkes für die der zweiten Hälfte des 17. Jahrhunderts vorangehende Zeit fehlt, dann auch die Thatsache, dass alle seine Angaben über das Münster ohne kritische Sichtung in Kraus, Kunst und Alterihum in Elsass-Lothringen abge- druckt worden sind.

Eine genauere Prüfung von Tschamsers Nachrichten zu den Jahren 1160, 1184, 1193, 1201, 1224, 1269, 1275 und 1279 führt zu der Erkenntnis, dass ihn zu der erdichteten Angabe, als sei bereits im 12. Jahrhundert in der Stadt Thann ein Kirchlein entstanden und schon im nächsten Jahrhundert an dessen Stelle das jetzige Münster getreten, dreierlei bestimmt hat. Zunächst war es das Bestreben, die bei Schenck vorgefundene Mitteilung von dem Baue einer Theobaldskirche gleich nach Ankunft der Reliquie im Jahre 1160 recht glaubhaft zu machen; dann der durch Schencks Vergleichung des Thanner Münsters mit dem Strassburger in Tschamser angeregte und durch seine eigene Betrachtung des leizteren* bestärkte Gedanke in Erwin von Steinbach auch den

I. WOLTMANN, Geschichte der deutschen Kunst im Elsass, 1876, S. 188—192. DoHME, Geschichte der deutschen Baukunst, 1887, S. 230.

2. Kraus II, S. 632.

"3. u. a. vom Herausgeber der Tscuanser'schen Chronik A. MERKLEN in dem Vor- wort, S. x. ,

4. Durch Beschluss des Franziskanerkapitels zu Luzern 1726 war Tschamser zum Visitator der elsässischen Barfüsserklöster ernannt worden, kam als solcher 1727 nach Hagenau, wurde hier Guardian und verliess das Kloster am 10. Oktober 1729, um das Guardianat in Thann zu übernehmen. Für das Hagenauer Kloster schrieb er eine lateinische Chronik (jetzt im Stadtarchiv zu Hagenau), welcher diese Daten entnommen sind. Auf der Hin- und Rückreise fand er Gelegenheit zur Besichtigung des Strass- burger Münsters.

UE los Planentwerfer und Meister des Thanner Baues nachzuweisen. Mitgewirkt bat auch die Berechnung, dass der Nachweis von dem Vorhandensein einer bis in das 12. Jahrhundert zurückreichenden Kirche in Thann zu Ehren des hl. Theobald-Ubald die Sage von der Reliquienübertragung im Todesjahr Ubalds bestätigen müsse, und auf diese Weise die Dar- legung der Bollandisten von der Unhaltbarkeit der Thanner Legende am wirkungsvollsten bekämpft werde. Ein kurzes Eingehen auf die einzelnen Angaben Tschamsers dürfte die Richtigkeit unserer Auffassung

Nachdem Tschamser den Translationsbericht durch die Einschiebung erweitert, dass bis zur Vollendung des gelobten Kirchleins Graf Engel- hard die Reliquie in der Pfarrkirche zu Altthann aufzubewahren befohlen habe, bringt er unter dem Jahre 1184 es ist das um ein Jahr ein Vierteljahrhundert nach der vermeintlichen Ankunft des Theobalds- daumens die von Schenck zum Jahre 1440 gemachte und für diese Zeit zutreffende Vermehrung der Wohnungen und Wirtshäuser zur ccopirepl pb der Pilger und lässt zunächst Leute aus Altihann und dem eingegangenen Erbenheim um die neuerbaute Kapelle sich ansiedeln.

Die Erwähnung der Heiligsprechung Ubalds 1193 begleitet er mit der Bemerkung, dass das vor 30 Jahren erbaute Kirchlein für die Wallfahrer schon zu klein zu werden beginne. Die von ihm behauptete Ausdehnung der Pilgerfahrten nach Thann auf ganz Europa erinnert in ihrem Wortlaut ganz und gar an Schencks Bemerkung ‚über deren Umfang im ersten Drittel des 15. Jahrhunderts.

Der Beginn eines neuen Jahrhunderts es ist das dreizehnte lud den Chronikenschreiber ein Neues über die Entwickelung Thanns zu erdichten, und so berichtet er zum Jahre 1201 von der zunehmenden Menge der Bresthaften, Kranken und Notleidenden und von den zur Unterstützung des Pfarrers in Altihann gemachten Stiftungen mehrerer Kaplaneien an der Altthanner Kirche, die laut Urkundenausweis erst hundert Jahre später fallen.

Nach Verlauf eines viertel Jahrhunderts ist im Anschluss an die zum Jahre 1224 gebrachte Notiz von der Ummauerung von Ensisheim, Mül- hausen und Blodelsheim wiederum vom Fortschritte seiner Vaterstadt die Rede: von dem Zuzug von Handelsleuten, Wirten und Handwerkern aus Sennheim, Altkirch und anderen Orten, dem wachsenden Zulauf von Pilgern und der unter den Bürgern gepflogenen Erwägung, die kleine Kirche durch den Bau eines herrlichen Münsters zu ersetzen;

_ 79

um in der vorhandenen Kirche Platz zu finden, habe man «gleichsam alle jahr... einen neuen anhang oder vorschopf machen müssen.»

Tschamsers Übereifer Werden und Fortschritt alles kirchlichen und bürgerlichen Lebens in Thann auf die Theobaldsverehrung zurück- zuführen verleitet ihn sogar dazu, die Gründungsgeschichte seines eigenen Ordenshauses in Thann zu fälschen, indem er sie mit den Wallfahrten dahin in Zusammenhang bringt. Die Meinung, als ob sie mit «ihren geisteifrigen diensten nit ein weniges zu dero fortpflanzung contribuiren können», habe die von Graf Friedrich von Pfirt! mit ihrem Gesuch sich in Altkirch niederlassen zu dürfen abgewiesenen Barfüsser veranlasst sich 1279 an Graf Theobald von Pfirt in Thann zu wenden, der sie aber vorderhand nur dem Abt von Murbach empfohlen habe, «weil er sie nicht logieren kunte und der damalige flecken Neu-Thann vor inwohnern und pilgern wimslete und nit häuser genug kunten gebaut werden.» Die Art und Weise, wie sich die Mönche von ihrem vorläufigen Aufenthaltsorte in Bitschweiler oberhalb Thann aus der Pilger angenommen, bis sie 1297 von Graf Theobald dessen Tiergarten als Bauplatz für ein Kloster angewiesen erhielten, wird eingehender zum Jahre 1287 geschildert. Von der ganzen Geschichte, wie sie Tschamser vorträgt, kann als beglaubigt nur die Nachricht gelten, dass ober- rheinische Barfüsser, nachdem ihr Vorhaben sich in Altkirch nieder- zulassen auf Einspruch der Benediktiner in Sankt Morand hin von Graf Theobald nicht gebilligt worden, von ihm 1297 in Thann ein Grundstück zu einem Klosterbau bekamen, mit diesem 1302 be- gannen und 1311 Chor, Kirche, Kreuzgang und Brüderhaus weihen liessen.

Vier und vierzig Jahre lang, von 1225 bis 1269, weiss Tschamser nichts von den Pilgerfahrien nach Thann und dem Kirchenbau zu erzählen. Mit letzterem Jahre tritt der zweite der Gedanken, die seine Ansicht von der Entstehung des Münsters beherrschen, in den Vor- dergrund: der Versuch Erwin zum Meister des Thanner Baues zu machen.

1. In den 1724 begonnenen Thanner Jahrbüchern spricht Tschamser nur von dem damaligen Grafen von Pôrt; hingegen in der Hagenauer Barfüsser Chronik, die er in der Zeit seines dortigen Guardianates von 1727 bis 1729 verfasste, sagt er, dass sie missi a Friderico comite de Pfirt ad suum fratrem vel consobrinum Theobaldum comitem Ferretensem in eum locum, ubi nunc Thannae sunt, gekommen seien. Die Unhalt- barkeit der Nachricht ergibt sich schon allein daraus, dass Friedrich vor 1271 ge- storben war (S. 48).

= Me

Tschamser's Kenntnis von dessen Thätigkeit am Strassburger Münster muss auf eine der gedruckten Chroniken‘ zurückgehen, welche mit Berufung auf die ehemals an der Fagade aufgemalte Inschrift? das Jahr 1267 als Jahr der Grundsteinlegung der Westfront irrtümlich statt 1277 angaben. So kommt er dazu unter dem Jahre 1269 die Nachricht zu bringen, dass Erwin, welcher den Strassburger und Freiburger Kirchenbau geführt, den Riss zu St. Theobaldi Münster gemacht, von Sulz, Gebweiler, Rufach habe Steine führen, sie behauen lassen und die Arbeiten bis zur Legung der ersten Fundamentsteine zur Vorkirche fortgesetzt habe. Da die Notiz schon durch die ein- leitenden Worte «eben umb diese zeit» als eine erfundene sich cha- rakterisiert, ist es kaum nötig zu ihrer Zurückweisung darauf auf- merksam zu machen, dass Rufacher Stein erst mit der Ende des 44. Jahrhunderts einsetzenden zweiten Bauperiode zur Verwendung kam. Auch die Bemerkung, dass das grosse Haus bei St. Theobalds- brunnen schon damals die Werkstatt der Münslersteinmetzen gewesen, ist aus der Luft gegriffen. Das fragliche Gebäude war der städtische Werkhof, als fabrica zuerst 1328 erwähnt, eingerichtet, als man Ende des 13. Jahrhunderts mit dem Bau der Thore und Stadtmauern begann, anfangs vielleicht auch als Werkstätte bei dem Bau der ersten Kirche benutzt, bis die Bauhütte an der Nordost-, später an der Südostseite des Münsters ihren ständigen Platz erhielt.

Wenn nun Tschamser das Hauptportal mit seinem Bilderschmuck ein Werk Erwins sein lassen will, so muss er diesen vorher den Strassburger Bau vollenden lassen. Er thut das, indem er aus der Nachricht der Strassburger Chroniken von der Vollendung des dortigen Langhausbaues im Jahre 1275 dreist die Fertigstellung des Münsters durch Erwin ableitet und ihn nun in Thann mit dem Behauen der Steine nach der «kunst der bildhawern» anfangen lässt”. Durch die Schilderung, dass man bei der Herstellung des Westgiebels mit grossen Kosten eine geraume Zeit zugebracht, ist der Leser vorbereitet, dass die nächste Kunde über den Fortschritt des Baues erst nach Verlauf einer längeren Zwischenzeit zu erwarten ist. Sie folgt zum Jahre 1307 und besagt, dass man das vordere Portal (Westportal) mit Relief-

1. Ihre Namen bei Kraus |, 363.

2. Daselbst 1, 363.

3. Dass er Erwin nicht nur für den Verfertiger des Risses, sondern auch den aus- führenden Meister des Thanner Münsters gehalten haben will, besagt auch die zum Jahre 1516 gegebene Nachricht.

_ 7h

darstellungen geziert und mit dem Aufstellen der Standbilder begonnen, an deren Vollendung man lange gearbeitet.

Kurz darauf, 1310, wird auch die Beendigung des Nordportales gemeldet und hinzugefügt, dass «man nun an den fundamentsteineu zu arbeiten beschäftiget ist» d. h. an den Steinen, welche zu den Teilen erforderlich waren, die an die Portale sich anschlossen. Dass wir es hier mit einer weiteren ungeschickten Erfindung Tschamsers zu thun haben, gesteht er selbst durch die Mitteilung von der inschrifilich beglaubigten Grundsteinlegung des nördlichen Seitenschiffes und seines Portales im Jahre 1430. Mag nun aber auch die Art der von Tschamser zu den Jahren 1307 und 1310 berichteten Arbeiten eine von ihm erdachte sein, so nehme ich dennoch die Zahlen als Daten für die Bauthätigkeit an einer Kirche in Thann, wenn auch nicht an dem jetzigen Münster in Anspruch und beziehe sie als Anfangs- und Vol- lendungsjahr auf das Gotteshaus, das an der Stelle des Münsters sich erhob und später zum Teil in dieses einbezogen wurde. Da der Bau nicht aus Werksteinen, sondern sogenanntem Gusswerk («simplen mauern») hergestellt, nur die Sockel und Simse des Schiffes und Turmes, Thür- und Fensterleibungen, Konsolen und Rippen des als Chor dienenden Turmuntergeschosses aus behauenem Stein gebildet waren, so liegt es auf der Hand, dass die Kirche bei ihrem mässigen Umfang in wenigen Jahren vollendet sein konnte. Mit der räumlichen Ausdehnung der Stadt und der Zunahme der Bewohner steht es durchaus im Einklang, dass in dieser Zeit dem Bedürfnis nach einem Gotteshause in dem neuen rechts der Thur gelegenen Teile durch einen Bau abgeholfen wurde.

Woher aber nahm Tschamser diese eine thatsächliche Bauthätigkeit betreffenden, von ihm aber mit willkürlicher Änderung des Inhalts auf das spätere Münster bezogenen Daten? Ich vermute, es sind zwei von den wenigen in den ältesten Aufzeichnungen der Thanner Franzis- kaner enthaltenen, die Stadtgeschichte betreffenden Angaben. Sie gehen zurück auf die lateinische Chronik des Erbauers des Thanner Barfüsser- klosters, Bruder Johannes Wagners von Rottweil', die von Tschamser ein einziges Mal bei der Erzählung von der Klostergründung als Quelle erwähnt wird. Doch glaube ich nicht, dass er dessen Aufzeichnungen noch vorgefunden, sondern er hat dieses Citat aus einer jüngeren Quelle, die er ausgeschrieben hat, der Chronik des Guardians Joachim

t. I, 202 «unter anführung fr. Joannis Wagners, des (= dessen) lateinische Chronik nennt ihn Carpentarium von Rotwil».

u

und grössere kirch angefangen zu bauen.» In engster Beziehung zu ihr steht die Mitteilung zum Jahre 1341, welche von der vorläufigen Bedachung des 1332 begonnenen neuen Teiles meldet: «Zu Thann all hier ist dieses a die neue kirch S. Theobaldi, welche man vor neun oder zehn ngefangen über die alte capelle S. Theobaldi, . . . unter das dach ri Stan Auf das Jahr 1330, abgerundet für 1332, als Zeitangabe für den Beginn des Münsterbaues kommt Tschamser auch später noch einmal zurück, wo er von der Beendigung des Nordschiffes spricht: «in disem jahr (er hat die Jahreszahl an der Johannesstatue am Nordportal als 4446 statt 1456 gelesen) ward die Theobaldikirch, welche 1330 ange- setzt worden ... in einen solchen vollkommenheits stand gebracht. ..»! Mit der Angabe, dass 1332 ein Neubau begonnen und 1341 über- dacht worden sei, betritt endlich Tschamser geschichtlichen Boden. Wenn Jemand auch deren Richtigkeit anzweifeln wollte, so geschähe Tschamser mit solchem Zweifel kein Unrecht. Allein anderweitige Zeug- nisse nôtigen uns den Beginn des Münsterbaues gegen 1332 anzusetzen. Hierhin gehört zunächst die von Schenck auf Grund der Einsicht der Konsekrationsbulle mitgeteille Einweihung des fertig gestellten Teiles des Neubaues im Jahre 1346. Da im Mittelalter nicht immer der Vol- lendung einer Kirche oder eines Teiles derselben die Weihe folgte, so hat die erst 5 Jahre nach Fertigstellung eines vergrüsserten got- tesdienstlichen Raumes vollzogene Konsekration nichts Auflälliges. Dann der 1340 von zehn benannten Bischöfen zu Avignon für die Marienkirche zu Altthann und ihre Tochterkirche St. Theobald in der Stadt Thann ausgestellte Ablassbrief, der !allen denen, die «an den buw liechter bucher ornament oder solichs anders den genanten kilchen notturfl handreichen stur oder hilf tunt und die in ihrem lesten willen oder ander zil gold silber kleider oder ander stur den genanten kilchen gebent beschickent oder verschaffent», Sünden- und Strafenerlass ver- heisst?. Anlass, dass der gegen Ende der Bulle als cerhaller und

1, Vergleicht man mit diesen Angaben die im Vorwort 5. xxvı aufgestellte Behauptung, 1343 sei unter Jakob von Steinbach der erste Stein zum Münster gelegt worden, und prüft die dort gegebenen weiteren Mitteilungen über die Geschichte Thanns, dann kann man Tschamsers Befähigung zum Geschichtsschreiber nicht tief genug hängen. 2. Von den zwölf in der Zeit von 1340 bis 1499 für die beiden Kirchen ausgefer-

tigten Ablassbriefen ist nur einer mehr vom Jahre 1491 im Original erhalten (Bez.- Archiv Colmar, Stadt Thann). Ihre Kenntnis verdanken wir einer Zusammenstellung derselben in deutscher Übertragung aus dem Anfang des 16. Jahrhunderts; ablass und gnad so geben sint der kilchen sant Diebolt und unser frowen kilchen zu Alten- tann. Stadtarchiv Thann, G 1, ?. Beilagen Nr. 8, 10, 19, 26, 27, 31, 31», 34.

RE

erwerber» des Ablasses genannte Peter Hake denselben nachsuchte, Opfergaben Mittel zur Fortsetzung des Neubaues zu gewinnen. Da in der Regel erst, wenn diese spärlicher eingehen oder fehlen, Ablässe erbeten werden, um durch deren Gewährung die Gläubigen zu Spenden aufzumuntern, so kann recht wohl der Bau schon acht Jahre in Betrieb gewesen sein, ehe dass man sich in Thann um ein Ablass- privileg bewarb.

Für die Baugeschichte des Münsters werden wir vielleicht interes- sante Aufschlüsse gewinnen, wenn es uns gelingt über die Persönlichkeit des Ablassholers Näheres zu ermitteln. Seinem Stande nach muss er ein Geistlicher gewesen sein, seiner Abstammung nach wahrscheinlich ein Sohn des 1296 und 1304 genannten Thanner Meiers Heinrich aus der pfirtischen Ministerialenfamilie der Hake‘ und jüngerer Bruder des St. Amariner Vogtes Heinrich Hake*, der in Urkunden von 1328 bis 1358 erscheint, und war wohl Stiftsherr in St. Amarin. Nun müssen wir uns erinnern, dass die Bestrebungen der Stiftsherrn von St. Amarin sich der Murbachischen Oberhoheit zu entziehen und die geistliche Schirmvogtei mit einer weltlichen zu vertauschen nicht erst aus dem 15. Jahrhundert datieren. Sie gehen bis in das 13. zurück’. Der Aus- gang des pfirtisch-murbachischen Streites zu Gunsten der Abtei ver- eitelte jedoch damals ihre Anstrengungen. Sie tauchten wieder auf, je mehr der Besitz des Stiftes im oberen Thurthale an Murbach überging durch Tausch gegen Besitz und Einkünfle in ostwärts von Thann gelegenen Ortschaften‘. Ein weiteres Zeugnis für deren Wieder- aufnahme erkenne ich in der Plananlage des Thanner Münsters. Für die im Verhältnis zur geringen Länge des Schiffes grosse Tiefe des Chores scheint nur die Erklärung zulässig, dass er von vorneherein als gottesdienstlicher Raum für eine zahlreichere Genossenschaft von Geistlichen ins rk gefasst war. Da nun das Kapitel von St. Amarin

1, Beilagen Nr. 2 und 3.

2. Beilagen Nr. 7. Dass er dessen Sohn nicht war, ergibt sich daraus, dass in der Aufzählung von dessen Kindern ein Peter nicht genannt ist. Der hier erwähnte Johannes war 1344 Custos zu St. Amarin, von 1365—1368 Probst daselbst, sein Bruder Heinrich 1352 Pfarrer in Spechbach (TrouiLLAT Ill, 463. Bez.-Archiv zu Colmar, Stift Thann Karton 6 und 22. Stadtarchiv Thann G 1). Ein anderer Bruder Kunemann war 1362 Burgmann zu Thann (Heracorr Il, 708).

3. Garnio 1, 266 ©; 271 f.; 303 fl.

4. Über den Vertrag von 1323 s. Gatrıo I, 8. 411, 455 f.

_— 78

den Pfarrsatz an der seit 1255 dem Tisch des Propstes inkorporierten Kirche in Altthann und damit auch ein Recht an der Besetzung von deren Tochterkirche mit amtierenden Geistlichen hatte, so wird man es ihm nicht verwehrt haben seine Wünsche bezüglich der Gestaltung des Chores bei Aufstellung des Bauplanes zum Ausdruck zu bringen. Indem Propst und Stift den Bau zu fördern in Aussicht stellten mit der ernsten Absicht nach seiner Vollendung die Verlegung des Kapitels nach Thann bei der weltlichen und geistlichen Obrigkeit zu betreiben, wird es nicht schwer gewesen sein die Thanner Bürgerschaft zu bereden dem Ghor die für diese Eventualität notwendige Tiefe zu geben. Der erste Schritt zur Lösung des Versprechens war es, wenn das Stift der Kirche durch eines seiner Mitglieder einen Indulgenzbrief zum Zwecke der Beschaffung vermehrter Baumittel in Avignon besorgen liess. Wenn in demselben ausser für den Besorger auch für dessen Eltern‘ das Gebet der Ablassheischenden verlangt wird, so wird man nicht fehl- gehen mit der Annahme, dass der Vater des Stifisherren Hacke, der Meier Heinrich Hacke durch seinen Einfluss, mehr aber noch durch seine Mittel die Inangriffuahme des Neubaues wird betrieben haben.

Ein sicheres Zeugnis für den Baubeginn nach 1324, dem Jahre, in welchem die Grafschaft Pfirt und damit auch Thann durch Heirat an Albrecht von Habsburg kam, weist das Bauwerk selbst auf. An dem ersten der südlichen Pfeiler im Inneren, der als Wandpfeiler aus der Westseite hervortritt, dem zeitlich frühesten, da der Bau von Westen nach Osten fortschritt, erscheint als Kapitälschmuck der von einem Löwenpaare gehaltene habsburgische Schild, der als solcher auch vor seiner Neubemalung und der Ergänzung der Löwenköpfe im Jahre, 4896 immer deutlich zu erkennen war®.

Für den Beginn des Neubaues im Jahre 1332 scheint auch die kurze Erwähnung eines Rechtsgeschäftes zwischen Stadt und St. Amariner Chorherrn im Jahre 1331 zu sprechen. In einem Verzeichnis der von der Belforter Distriktsverwaltung 1791 dem Marinearsenal überwiesenen

1. Dieselbe Bestimmung enthält ein 1360 für eine Kapelle neben St. Martin in Colmar durch den dortigen Stiftsherrn Jakob von Thann vermittelter Ablassbrief (TROUILLAT IV, 681 f.).

2. Von Kraus II, 646 wurden die Löwen als zwei phantastische Vögel bezeichnet. Wenn Mossmann, S. 315 den Wappenschild als abgegriffen (fruste) bezeichnet, so macht das den Eindruck, als sei es ihm nicht darum zu thun gewesen ihn zu deuten. Denn die Festsetzung desselben als habsburgischer Schild musste seine Ansicht, als seien Westportal und Südschiff im Anfang des 13. Jahrhunderts erbaut worden, widerlegen.

Unmittelbar an die Vollendung des Südschiffes muss sich noch vor Inangriffnahme des Chores die Erweiterung des Baues nach Norden hin angeschlossen haben, über welche Tschamser besondere Nachrichten nicht bringt. War doch der Neubau der Kirche in erster Reihe durch das Bedürfnis nach einem geräumigeren Gotteshause als das bisherige ver- anlasst worden, in zweiter Linie erst durch den Wunsch, den alten unscheinbaren Bau durch einen kunstvolleren, prächtigeren zu ersetzen. Was durch Überkleidung der südlichen und westlichen Aussenmauer und Verringerung ihrer Dicke nach Innen, sowie den Ersatz der nörd- lichen Wand durch die Pfeiler an Raum gewonnen war, wurde durch die Vermehrung der Altäre um zwei wieder ausgenutzt. So war durch die von der Chronik in der Zeit von 1332—1344 gemeldete Bau- thätigkeit einer wirklichen Vergrösserung der alten Kirche keine Rechnung getragen worden. Da ein wenn auch räumlich beschränkter, so doch den gottesdienstlichen Ansprüchen vorläufig noch genügender Chor vorhanden war, aber es an Platz fehlte für die schnell wach- sende Bewohnerschaft der Stadt, mehr noch für die an dem Feste Theobalds und seiner Oktav oder anderen hohen Zeiten sich einfinden- den Pilger, so war die nächste Aufgabe der Bauleitung, nicht für einen grösseren Chor, sondern für einen erweiterten Raum für das Volk zu sorgen. Man schritt daher zu einer Ausdehnung der Kirche nach Norden, indem man dem nach Westen den neuen Raum abschliessenden Teile von vorneherein eine endgiltige Gestalt gab, nach Norden und Osten zu ihn mit einer einfachen Mauer abschloss, deren Material die nieder- gelegte massive Nordwand der alten Kirche lieferte. So entstand die von den beiden mittleren Strebepfeilern der Westseite eingerahmte Partie: das Portal und der über ihm sich erhebende mindestens bis _an den Sims unterhalb der viel später ausgeführten Rosetle reichende Teil der Fagade. Der ursprüngliche Portalbau jedoch war sicher um ein Drittel niederer als der gegenwärtige, so dass die in der Höhe neben dem Portal angebrachte Thüre nebst einer sie umschliessenden Brüstung bequem Platz hatte. Auf sie trat an den Tagen, wo in Prozessionen die Wallfahrer sich einfanden, der Geistliche, um ihnen das Heiltum zu zeigen, vielleicht auch eine Ansprache zu halten. Als Abschluss dieses mit den Gesamtverhältnissen der Front im Einklang stehenden Portales war ein bis zum erwähnten Simse reichender Wimperg vor- gesehen oder auch schon angebracht.

An die Innenseite des nördlichen der beiden Strebepfeiler legte man in der Richtung nach Osten eine Mauer, deren östliches Ende durch

u

eine Querwand mit dem letzten Pfeiler des Südschifles verbunden wurde, und so wurde diesem ein Raum angegliedert, der an Flächen- ausdehnung genau dem heutigen Mittelschiff entsprach. Seine Höhe ging über die Scheitelpunkte der südlichen Jochbogen nur soweit hinaus, als die Pfeilerdienste ausschliesslich roten Sandstein und ältere Steinmetzzeichen aufweisen. Ein Notdach schützte den Raum gegen Wind und Wetter. Während die Ostwand sicher nach Vollendung, wenn nicht schon vor dem völligen Ausbau des Chores fiel, konnte die nördliche Mauer erst bei Errichtung der nördlichen Pfeiler nach Auf- führung der Aussenmauer des 1430 begonnenen Nordschiffes nieder- gelegt werden, und das will, scheint mir, auch Tschamsers Bericht zum Jahre 1446 (lies 1456) sagen, wenn er erklärt, dass in diesem Jahre «man die innere alte nur von stein erbaute capell oder kirch hat können abbrechen und die neue völlig brauchen».

Durchaus ablehnend verhalte ich mich gegenüber der zweiten den Münsterbau betreffenden Nachricht, die Tschamser zum Jahre 1344 bringt: «umb diese zeit haben die herren schaffner: als herr Wernher Löw schaffner bei S. Theobaldsbau und herr Heinrich Schörplin vogt des lecken Neu-Thann, angefangen die fandamenter zu graben zu dem hohen kirchturn und chor bei $. Theobald münster daselbsten. darzu hat ihnen der durchlauchtigste fürst und herr Albertus Il. erzherzog von Oesterreich herrliche hilf, privilegia und freiheiten erteilt.» Denn abgesehen davon, dass sie schon aus dem Grunde zweifelhaft erscheint, weil sie ihrem Hauptinhalte nach zum Jahre 1351 wiederkehrt, sind sämtliche Nebenangaben falsch. Der genannte Schörpelin, ein einfacher Bürger, war nicht Vogt von Thann das Amt des Vogtes war damals noch mit dem des Landvogtes vereinigt und blieb ein adeliges Lehen sondern nur Klostervogt und wird als solcher von Tschamser selbst 1339, 1349 und 1357 erwähnt. Ebenso wenig war damals Wernher Löw Bauschaffner oder St. Theobaldsbaumeister, wohl aber Schaffner der Stadt d. h. herrschaftlicher Schultheiss oder Bürgermeister von Thann. Auch die Behauptung, dass Herzog Albrecht durch Erteilung eines Privilegs den Bau gefördert habe, ist unrichtig. Nicht von ihm, sondern von seiner Gemahlin, der Johanna von Pfirt, stammt die Urkunde, welche die Eingemeindung von Altthann, Erbenheim, Ober- und Niederaspach in Gerichts- und Steuerverhältnissen mit der Stadt Thann 1344 verfügt, und unter den ‚bresten‘, in deren Ansehung Thann diese Wohlthat zu teil wird, sind nicht zunächst die Kosten des Kirchenbaues, sondern der Befestigung mit Gräben und Mauern zu ver-

B. XXI. (M,) 6

_ 89

stehen‘. Aus der Bemerkung einer älteren Chronik über diesen Vorgang scheint Tschamser seine Angaben über den Beginn des Chor- und Turmbaues in diesem Jahre hergeleitet zu haben.

_ Aber auch die Form, in welcher das Ereignis zum Jahre 1351 gemeldet wird, ist an und für sich nicht geeignet der Nachricht Glauben zu erwecken. Die Einführung derselben mit: «umb diese Zeit», die Wieder- holung, dass der Riss von Erwin von Steinbach herrühre, die allgemeinen Wendungen über Zunahme der Wallfahrt und Mitarbeit der Bürger erregen den Verdacht, als ob wir es auch hier mit einer Erfindung zu thun hätten. Allein die Betrachtung der allgemeinen Zeitlage wie die Prüfung des Baumateriales und der Steinmetzzeichen weisen darauf hin, dass Chor und Turm noch in der ersten Hälfte der fünfziger Jahre des 14. Jahrhunderts begonnen sein müssen. Die Beschädigung des Baues durch das Erdbeben vom 18. Oktober 1356, die Pest im Jahre

* 1.'Diese Arbeit scheint in der Folgezeit sogar hemmend auf den Weiterbau des Münsters eingewirkt zu haben. Nur zu ihrer Förderung, nicht zur Mehrung der Münsterbaumittel unmittelbar wurden der Stadt mancherlei Rechte verliehen : Herzog Rudolf gestattet 1358 den Bürgern von Thann die unter 10 Pfund betragenden Bußen und Besserungen zu «keren und bewenden an den bawe derselben unser statt.» 1360 überweist er die Abgaben von den Brot-, Tuch-, Kram- und Fleischbänken (den sog. «schalen»), den Salz- und Schuhbänken «zu gemeinem nutz an den paw der statt ze Tanne.» 1361 verordnet er die Eingemeindung von Rodern, Rammersmatt, Otzen- weiler und Leimbach mit Thann zu Steuer- und Dienstgemeinschaft. 1363 verleiht er den Bewohnern von Thann, weil sie die Stadt mit einer neuen Ringmauer von «dem vordern tor unz an unser getruwen Heinrich Spiezzen hof» versehen haben, das Recht die Allmend vor der Stadt zu Hofstätten zu verteilen und den davon zu nehmenden Zins «an der statt bau ze Tann» zu verwenden. 1368 gewähren die Herzöge Albrecht und Leopold das Recht das neue Ungeld auf 6 Jahre zum Bau an «tornen, mauren und greben und andern werclichen pauen» zu verwenden, 1369 das Fischereirecht in den Stadtgräben, welche sie um die «merer statt und die minren statt» gemacht haben, damit sie «graben ringmurn turne tor und erker desterbas gebawen und in eren ge- haben mugen». Erst die Bewilligung Herzog Leopolds von 1373 in Ansehung «der grossen gepresten . .. von buwes wegen das notdürftig ze understan und ze buwen ist» das neue Ungeld auf 3 Jahre zum Bau der Burg und Befestigung und auf weitere drei Jahre zur Verwendung an der Stadt Bauten allein zu erheben, lässt die Vermutung zu, dass die Ungelteinnahmen von 1378 bis 1380 der Münsterbaukasse zu gute kamen. Chartular von 1481, Stadtarchiv Thann. Über den Fortschritt der Befestigung der Stadt sind auch Tschamsers Angaben zu 1361, 1370, 1371, 1394 zu vergleichen; ferner die Steuerprivilegien Herzog Leopolds von 1386, 1399, 1406 und seiner Ge- mahlin Katharina von Burgund von 1406 und 1407, Herzog Friedrichs von 1425 und 1428/29 im Chartular.

ang Eee ee ER pe ie role SER ASE 2 Ma SEP Se 2, ER een es den Namen St tadtbau |

ETS

_ A N Vi un } y À 16 LE . Set AT * a “à es. Ta „2 er EEE: \ L | ] I L

27 pi ranger D Dern deu ir ah tas us de Lx pee pp at met ont

86 1341 Überdachung des südlichen Seitenschiffes.

1343 Beisetzung des Ritters Gyat von Plantschier. Der noch erhaltene Grabstein zeigt die Umschrift: ANO : DNI - M : CCC : XL : IN - O - DNUS : GYAT : DE : PLASHIER - MILES :, der verstümmelte schräggeteilte Schild einen nach rechts springenden ungekrônten Löwen‘.

1344 Vollendung der Südschiffsfenster und Errichtung des Petrus- und des Marienaltares.

1346 Weihung der Kirche, des Kirchhofes und der fünf Altäre 1. des Frohn- oder Theobaldsaltares in dem als Chor dienenden Turmgewölb zu Ehren Michaels, Bartholomäus, Stefans, der 11000 Mägde und Theobalds; 2. des links am ersten Pfeiler von Osten her stehenden Apostel- . oder Peter-Paulsaltars zu Ehren des Täufers Johannes, Petrus, Laurentius, Nikolaus, Maria Magdalenas; 3. des in der Mitte des Schiffes vor dem Chore befindlichen Oswald- oder Dreikönigenaltars zu Ehren der Drei Könige, Oswalds, Erhards und Agathas; 4. des zu der rechten Hand d. h. an der südlichen Schiffswand angebrachten Liebfrauenaltars zu Ehren Uuser lieben Frauen, des Evangelisten Johannes, der 10000 Märtyrer, Bischofs Martin und Katharinas; 5. des gleichfalls an der rechten Wand stehenden Kreuzaltars geweiht zu Ehren des Kreuzes, Jakobs des älteren, Georgs, Josts und Margarethas.

1342—1350 Bau des Westportales, das in seiner ursprünglichen Anlage nur die Dachsimshöhe des südlichen Seitenschiffes erreichte; Bekrönung der drei südlichen und des südwestlichen Strebepfeilers mit Baldachinen und Statuen.

1351 Fundamentierung des Nordturmes und Beginn des Chores. :

1. Er ist im Inneren an der nördlichen Aussenwand der Theobaldskapelle rechts neben dem Herz-Jesualtar eingemauert. Von den zahlreichen Boden und Wände des Münsters bedeckenden Grabsteinen, die im Jahre 1786 zum Zwecke der Raumgewin- nung nebst mehreren Altären auf Grund der Verordnung bischöflicher Kirchenvisita- toren entfernt wurden (Stadtarchiv Thann, G 1), ist es der einzige im Inneren erhalten gebliebene. Ritter Gyat von Plantschier wurde 1322 mit Wein- und Geldzinsen in Watweiler, Wiesen in Altthann, Haus und Gesäss vor der Stadt Thann auf dem Graben u. a. belehnt. In der Lehensübertragung dieser Güter an seinen gleichnamigen Sohn 1312 wird die Lage des Hauses und Gartens bezeichnet «seises à Thann au dehors de la porte Saint Thiebauld entre les fossées» (französ. Übersetzung des 17. Jahr- hundertsi. 1395 wurde ein gleichlautender Lehensbrief für Gyat v. P. und seinen Sohn Johann Ludwig ausgefertigt; durch Johanna von Plantschier kamen 1406 die Güter an ihren Gatten Theobald von Masmünster. Österreichisches Lehensbuch. Bez.-Archiv zu Colmar, S. 875, 876.

—_ 88

c. 1380 Wiederaufnahme der Bauthätigkeit am Chore. Bestellung eines St. Theobaldsbaumeisters. Herstellung eines Siegels für die Bau- verwaltung .

1386 Hans Werlin St. Theobaldsbaumeister. 1389 Erhebung der St. Theobaldskirche zur Pfarrkirche*.

4396 Überweisung der der Herrschaft fallenden Pilgeralmosen durch Herzog Leopold an die Stadt zur Verwendung für den Münsterbau.

IV. Die ältere Theobaldskirche.’

Eine Untersuchung über die Anfänge des Thanner Münsters, will sie erschöpfend sein, kann nicht der Beantwortung der Frage aus dem Wege gehen: Was wissen wir denn von dem Kirchenbau, der vor 1332 an der Stelle des damals in Angriff genommenen Münsters sich erhob? Es soll daher an dieser Stelle, was sich Urkundliches über die ältere Theobaldskirche hat ermitteln und was sich von ihrem Baue als noch vorhanden hat feststellen lassen, im Zusammenhange besprochen werden.

Zuvor jedoch gilt es mit einem Irrtum Mossmanns aufzuräumen, der ihn und die ihn ausgeschrieben haben, in erster. Reihe verleitet hat, den Beginn des Münsterbaues um hundert Jahre vorzurücken. Das ist die falsche Ansicht, als bezöge sich die in zwei Urkunden von 1%55 vorkommende Erwähnung einer Pfarrkirche «in Tanne» auf die Kirche der Stadt Thann‘. Diese Urkunden haben nichts mit St. Theobalds Gotteshaus zu thun, sondern betreffen dessen Mutterkirche, die Lieb- frauenkirche in dem «Dorfe Thann» oder «ze alten Tanne», welcher Name im Laufe des 14. Jahrhunderts üblicher wurde. Ursprünglich im Besitze der Abtei Eschau’ kam der Pfarrsatz in Altthann mit deren Grundbesitz daselbst im 12. Jahrhundert an Murbach und von Murbach

1. S. S. 64.

2. «In dem ior als man zalet sicccLxxxıx wart denen von Tann in der statt in sant Thieboltskilchen eeigenen touf ze haben erloubt von bischof Johans zu Basel und den kilchhoff zu engen oder wittren noch irer notturft noch innhalt eins briefs be- siglet». Stadtarchiv Thann, G 1.

3. Plan Taf. IV.

4. MossMann, S. 303 f.

5. Güterverzeichnis der Abtei Eschau um 1100 verfasst, WALTER, Urk. der Pfarrei Rufach, 1900, S. 1. Gallia christiana V, Urk.,' S. 473. WÜRDTw&IN, Nova subsidia VI, 235.

90

thanner Banne zuweist'!. Von 1289 an diente die Kirche auch den Reuerinnen als Gotteshaus, die sich unter Führung der adligen Beguine N. von Gundolsheim an der Nordseite der Kirche in einem von ihr gekauften Hause niedergelassen hatten‘.

Mai 1293 stiftet Graf Theobald daselbst durch Schenkung von jährlich 20 Ohm Wein aus Weinzinsen von Reben am Blossen bei Thann und 10 Viertel Roggen aus Fruchtzinsen im Schweighauser Bann eine Kaplanei am St. Niklausaltar mit der Bedingung, dass der Pfründen- inhaber für sein und seiner Vorfahren Seelenheil alltäglich am ge- nannten Altare eine Messe lese?. Marien- und Niklauskaplanei zusammen nennt der 1317 ausgestellte Begabungsbrief für die Kreuzkaplanei in St. Theobald‘.

1300 erhält der Pfarrer zu Altthann (incuratus in Tanne) Weisung, das gegen die Klausnerinnen Himmeltrud und Katharina daselbst wegen unbefugter Übertragung ihres Hauses in Altthann an die Minderbrüder in Thann erlassene Urteil, welches dessen Wiederherausgabe durch die Mönche verfügt und den Klausnerinnenschaffner mit 5 @ Pfennige Strafe belegt, in seiner Kirche zu verkündigen‘.

Juli 1304 stiften Graf Theobald von Pfirt, die Bürger der Stadt Thann und Einwohner des Dorfes für den Michaelsaltar in der Pfarrkirche zu Altthann eine Kaplaneipfründe mit der Bedingung, dass deren Inhaber

I. Inventar von 1682. Über die Stiftung der Marienkaplanei besagt die fundatio omnium capellaniarum: «fundata fuit adomina quadam Elisabeth nobilissima; qua qui- busve conditionibus, non habetur». Sollte das nicht ein irriger Schluss aus der End- bestimmung des die Kreuzkuplanei betr. Stiftungsbriefes von 1317 sein? Siehe Bei- lagen Nr. 6.

2. Das hat Tschamsers Quelle sagen wollen, nicht, dass im Orte Gundolsheim be- reits ansässige Reuerinnen ihre Niederlassung nach Altthann verlegt hätten.

3. Fundatio omn. capell. S. 2; Inventar von 1682; Beilagen Nr. 1. Von den drei die Stiftung betreffenden Urkunden Schenkungsbrief Theobalds, Revers der Stifts- herren von St. Amarin und bischöfliche Bestätigung ist keine weder im Original noch in Abschrift mehr vorhanden. In meiner Schrift «Kaiser Heinrich Il. am Münster zu Th.», S. 15, habe ich in Anlehnung an die Auffassung des Inventars von 1682 die Stiftung von 1293 an die Stadtkirche in Thann verlegt, ein Irrtum, der durch die von dem kundigen Stiftsarchivar Reisert in seiner fundatio capellaniarum gegebenen Be- merkung ausdrücklich berichtigt wird. Somit ist auch die von mir dort ausgesprochene Vermutung, als sei St. Nikolaus der anfängliche Patron der Stadtkirche gewesen, hin- fällig geworden, die übrigens der ganze Gang unserer jetzigen Untersuchungen als unhaltbar erwiesen hat.

4. Beilagen Nr. 6. 5. Basler Ukb. III, S. 286 f.

Müller das herrliche Glasfenster mit Darstellungen aus dem Marıen- leben in der Nähe des alten Marienaltares hatte anfertigen lassen".

Die Nikolauspfründe bedenken mit Schenkungen 1368 Hermann Prediger aus Thann, 1487 Hans Erhard von Reinach, 1526 Kaplan Johann Heinrich Dots?.

Dass auch das stattliche, Ende des 15. Jahrhunderts vollendete hl. Grab durch Spenden des Adels, der Geistlichkeit und Bürgerschaft von Thann zu Stande gekommen ist, müssen die 18 Wappenschildchen besagt ‘haben, die an den unteren Enden der den Aufbau der Stützen umschliessenden Wimperge angebracht gewesen sind, von denen jetzt aber nur mehr zwei erhalten sind.

Gegenüber den Burginsassen und Bewohnern der Vorburg Kathenbach waren die rechts der Thur ansässigen Burgmannen und Bürger insofern im Nachteile, als sie auf ihrem Ufer eines Gotteshauses entbehrten. Wollten sie nicht in der Burgkapelle oder in der Kirche der Minder- brüder dem Gottesdienste beiwohnen, so mussten sie nach Altthann hinausgehen. Der Anstoss zur Errichtung einer eigenen Kirche in der Stadt wird demnach zunächst von deren Bewohnern als den zumeist dabei Interessierten ausgegangen sein. Dass die adligen Burgmannen auch wirklich zu einem Kirchenbau beigesteuert haben, zeigt eine Erwähnung bei Schenck der die Thatsache natürlich auf den Münsterbau bezieht —, «dass ein ansehnliches contribuieret herr Ludwig von Passavant, dessen uralte gedächtnus, wapen und begräbnus daselbsten noch zu sehen ist.» Ich schliesse aus dieser Bemerkung, dass der vor 1311 kinderlos ver- storbene‘ pfirtische in Thann wohnende Lehensmann ein hervorragender Wohlthäter der alten Kirche gewesen ist’.

Die erste urkundliche Erwähnung der Kirche als einer dem hl. Theobald geweihten liegt in einem Schriftstücke vor, das von 1314 datiert ist,

1. Kraus II, S. 12 f.

2. Inventar von 1682; Beilagen Nr. 33.

3. Er erscheint in Urkunden von 1262 ScuœprLin, Als. dipl. 1, 445, und 1270 TROUILLAT Il, 201; der Stiftungsbrief der Burgkaplanei von 1311 erwähnt die domina de Passavant als Witwe. In einem Verzeichnis der 1785 aus der Theobaldskirche be- hufs Vergrösserung des Raumes entfernten Grabplatten vom 14. Januar 1785 (Stadi- archiv G 1, 15) mit Zeichnungen und teilweiser Wiedergabe der Inschriften findet sich auf S. 57 das Bruchstück eines Grabsteines abgezeichnet, dessen verstümmelter Schild einen nach links schreitenden, gekrönten Löwen zeigt. Der Zeichner hat von der für ihn nicht zu entziffernden Inschrift nur wenige Buchstaben aufgeschrieben, die sich zu aNno ...PaSsavANT MiLes ergänzen lassen.

94

zinsen in Stadt-, Vorstadt und Bann Thann, Haus und Hof daselbst und zwei Häuser in St. Amarin!.

Einen dritten Altar begabten 1333, nachdem man seit Jahresfrist mit der Erweiterung der Kirche begonnen hatte, zu Ehren des hl. Oswald der Amtsschreiber Wilhelm Keller und seine Frau, wie uns die Inven- tare und Fundationslisten berichten, ohne Einzelnes über Art und Umfang der Schenkung anzugeben‘.

Von den Massen und dem Aussehen der älteren St. Theobaldskirche sind wir durch Feststellung der noch vorhandenen Reste ihrer Mauern und ihres Turmes und die vergleichende Betrachtung gleichzeitig ent- standener sundgauischer und oberelsässischer Landkirchen im Stande uns ein annähernd getreues Bild zu entwerfen. Der Grundriss dieser meist nur einschiffigen® Bauwerke ist ein verhältnismässig schmales Rechteck. Die massiven 1 bis 1‘/, m dicken Mauern der Seitenwände - sind von schmalen, niedrigen Fenstern durchbrochen, ein einfaches rund- oder spitzbogiges Portal an der Westseite bildet den Eingang. Der mit dem Schiff in seinem Äusseren in der Regel gleichbreite, im Mauerwerk stärkere und im Inneren nur wenig tiefe Turm lag durch- weg an der Ostseite, öffnete sich in seinem Untergeschoss nach dem Schiffe zu in einem Rund- oder Spitzbogen‘ und bildete den Chor der Kirche. Während das Schiff ungewölbt blieb, erhielt die Turmhalle entweder gleich bei ihrer Anlage oder später ein Gewölbe”. Da die Türme zugleich die Bestimmung hatten, bei feindlichen Überfällen der letzte Zufluchtsort zu sein, wenn der sie umgebende befestigte Kirch- hof nicht mehr zu halten war, so erklärt es sich, dass sie zu ebener Erde keinen Eingang von aussen haben. Erst in einer Höhe von ungefähr 20 Fuss befand sich eine Öffnung, zu der man auf einer leicht herauf zuziehenden Leiter emporstieg. Schmale Mauerschlitze gaben

m mn nn nn M - ——— . [m mm nn

1. Siehe Beilagen Nr. 6.

2. Wilhelm Keller erscheint 1304 unter den Vertretern der Stadt Thann in dem Stiftungsbrief der Altthanner St. Michaelspfründe, s. Beil. Nr. 3; als Amtsschreiber mit dem Zunamen Schandenat 1328 bei TSCHAMSER |, 321.

3. Dreischiffige Anlage weisen die Kirche in Wattweiler und der jetzt verschwun- dene frühere Bau in Sennheim auf. Kraus Il, 594, 688 ff.

A. Rundbogen zeigen die Turmhallen in Appenweier, Burnkilch, Leberau, Phrt, Steinbach (im vorletzten Jahrzehnt abgerissen).

5. Später eingewölbt sind die Turmhallen in Rammersmatt, Aspach, Burnkilch, Kienz- heim, Kirchberg, Lümschweiler, Mittelweiher; ungewölbt blieb die in Brunbach. Das Nähere bei Kraus II, unter den betr. Orten.

bis des Chores Fenster, so Terre den mässigsten Dimensionen. Der je nach seiner Höhe durch einfache Simse in zwei oder mehr Stockwerke gegliederte Turm wurde durch ein Satteldach erhöht und in dem aufgesetzten Teile mit lichten, masswerkgefüllten Fenstern versehen‘.

‘Nach diesem den allemannischen Gegenden* eigentümlichen Bauplane aufgeführt, bestand die ältere Theobaldskirche aus einem schmalen Schiffe mit schweren Mauern, dem an der Ostseite ein massiver Turm angelegt war. Letzterer ist fast ganz in der ehemaligen Höhe seines Mauerwerks noch erhalten in dem das jetzige südliche Seitenschiff ost- “wärts abschliessenden Turmansatz. Die Annahme, dass der Turm in die südliche Abseite hineingebaut sei”, ist irrig. Eine Prüfung des Mauerwerks allein, das aus in Mörtel gebetteten Flusswacken besteht, hätte den Gedanken an eine derartige dem Baubetrieb des 14. und 15. Jahrhunderts fernliegende Verkümmerung und Verunstaltung des Bauwerkes ausschliessen sollen. Indem ich der Besprechung des Münster- grundrisses die Erörterung über das Verhältnis zwischen diesem Turme und dem südlichen Seitenschiff® vorbehalte, bemerke ich über die Masse der Halle, dass sie genau quadratisch ist und die innere Seile 4,90 m = 16 Fuss misst, die Mauerdicke im Untergeschoss 1,90 m und die Länge der Aussenseite 8,70 m = 28 Fuss beträgt.

Den Innenraum überspannt ein Kreuzgewölbe. Es wird von schweren abgeschrägten, also im Durchschnitt 5 seitigen Rippen getragen, die auf Eckkonsolen, bestehend aus kurzem Kapitäl und ziemlich vor- ee Platte, aufruhen. Ein jedes Kapitäl zeigt als Schmuck dicht a ndes Blattwerk: stilisirte Akanthus- oder Eichen- oder Kastanienblätter, das vierte Knospen. Ihre noch romanische Form, sowie die Schwere der Rippen hat Anlass gegeben den Bau der Turmhalle in den Beginn des 13. Jahrhunderts zu setzen. Wenn man berück- sichtigt, dass Thann bis zum 14 Jahrhundert abseits der Wege der

ñ Typisch für diese A ist der Turm der Burnkilch, Kraus II, 186.

2. Über ihr häufiges Vorkommen in Schwaben vergl. P. KrrpLer, Württembergs kirchliche Kunstalterthümer. Rottenburg, 188, 8, XX f.. XXVII.

3. Kraus Il, 646. «Der Umstand, dass der Turm et in diese Abseite hineingebaut ist, nachdem dieselbe bereits bestand, .

96 neuen Richtung in der Baukunst lag, und die Thäler der Vogesen, auch nachdem in den Städten der Rheinebene die gotische Bauweise längst Eingang gefunden, an dem ererbten Formenschatze früherer Jahrhunderte festhielten, dann wird es nicht auffallend erscheinen, dass auch noch nach 1300 an einem Turme des allemannischen Kirchen- typus romanisch anklingende Einzelheiten sich finden. Begegnen uns doch auch dieselben wuchtigen Rippenprofile in den Seitenschifis- gewölben der Kirche in dem benachbarten Sulz und zwar in Bauteilen aus der Zeit des zu Ende gehenden 14. Jahrhunderts. Übrigens öffnete sich die Halle nach dem Schiffe zu von Anfang an spitzbogig; die jetzt so gedrückt erscheinenden und darum zur Annahme eines höheren Alters verleitenden Höhenverhältnisse (vom Boden bis zum Gewölb- scheitel 4 m, bis zum Konsolenansatze 0,55 m, Rippenanfang 0,90 m) sind erst durch die etwa 1 m betragende Auflüllung des alten Bodens herbeigeführt worden. Somit liegt kein Anlass mehr vor, der uns nötigte in der Datierung des Turmes über das Jahr 1300 zurückzugehen.

Erleuchtet wurde die Halle durch je eine kleine Lichtöffnung an der Nord- und Südwand. Letztere wurde 1853 zu einem aussen 2 m hohen und À m breiten, nach innen mächtig ausladenden Fenster erweitert, während jenes nach der Fertigstellung des südlichen Seitenschiffes des Neubaues in ein grösseres spitzbogiges Fenster umgewandelt wurde, das nach Vollendung des Chores durch Verlängerung nach unten zu einem Eingang in diesen umgestaltet wurde und in dieser veränderten Bestimmung noch fortbesteht.

An der Ostwand stand der kleine steinerne, in seinem Schmucke gleichfalls noch romanische Motive aufweisende Altar des heiligen Theobald bis zur Mitte des vorigen Jahrhunderts'. 1853 musste er dem jetzigen geschmacklosen gotisierenden Holzaltar weichen, zu dessen Unterbringung die ganze Ostwand etwa 1'/, m tief ausgehauen wurde.

Der Turm hatte über dem Gewölbe der Halle mindestens zwei durch einen Sims getrennte Stockwerke. An der Westseite ist derselbe noch erhalten, man sieht ihn im südlichen Seitenschiffe etwa 8 m vom jetzigen Boden entfernt. Ein zweiter Sims ist aussen fast ganz vorhanden bez. erneuert an der Stelle, wo im 16. Jahrhundert auf das Guss- werk Quadermauern aufgesetzt wurden, um einen Raum für das Münsterarchiv zu gewinnen, während der darunter liegende Raum als Stiftsarchiv und Kapitelssaal eingerichtet wurde. Ob schon hier in

1. Mitteilnng des ehemaligen Fabrikratsmitgliedes Bätzner.

Masse am Äusseren.

Länge des Chores... ...... 3 = 1 X 4. Länge des ganzen Baues . . . .. 96! = 6 X4%X4. Breite des Chores und Schiffes. . 928’ = 1x4.

Höhe des Turmes bis zum 1. Simse 28’ 1X4. » » bis zum 2. Simse 48' = 3XAX4 (?) » » » bis zum Dache. 64' = 44 X 4.

Das 15. Jahrhundert machte nach der Weihung des Chores und Verlegung des Gottesdienstes in denselben aus der Turmhalle eine atriskamer» d. h. Schatzkammer zur Aufbewahrung der Theobalds- reliquie und der reichen Weihgeschenke dankbarer Pilger, indem der nach dem Schiff zu offene Bogen vermauert und das erst später aus- gebrochene Spitzbogenfenster an der Nordseite zu einer Thüre erweitert wurde, die nach dem neuen Chore führte. Seit Erbauung einer zweiten Schatzkammer an der Ostwand der Sakristei im Jahre 1520 erhielt die alte den Namen das «alte St. Theobaldsgewölb». Nachdem schon im 17. Jahrhundert der Schatz zum grössten Teile veräussert und in der Revolutionszeit der Rest als Nationalgut eingezogen worden war‘, bedurfte man des Raumes nicht mehr als Schatzkammer, und so wurde 1852/53 wohl auf Böswillwalds Angabe hin von Baumeister Cult durch teilweise Ausräumung der eingesetzten Westmauer die Ver- bindung mit dem südlichen Seitenschiffe wiederhergestellt.

Äusserlich erfuhr der Turm eine Überarbeitung, die ihn wenigstens in seiner Achsenrichtung in Übereinstimmung mit dem Neubau bringen sollte. Da sie nicht genau von Westen nach Osten ging, der Neubau jedoch streng geostet wurde, suchte man durch Abschürfung des Mauerwerks an drei Seiten im Äusseren für das Auge eine annähernde Parallelität der Achsen zu erreichen. Daraus erklärt sich das etwas verschobene (Quadrat im jetzigen Querdurchschnitt des Turmes.

Der ehemalige Zugang zu den Obergeschossen auf der Nordseite dient auch jetzt noch als Eingang in dieselben; man gelangt zu ihm auf einer schmalen aus der Sakristei hinaufführenden Treppe, die in den von Osten nach Westen sich verengernden Zwischenraum zwischen nördlicher Turm- und südlicher Chorwand eingesetzt ist.

1. «da man in verwichenen Jahren das St. Theobald heiligtum so von Silber ge- wesen der Nation verabfolgen liess, so war man genötigt ein anders dergleichen von Kupfer bei dem citoyen Sebastian Jäger. Goldschmit daselbst, zu bestellen für 300 1.» Bruderschaftsrechnung des Franz Willig von 1793. Stadtarchiv G 3, 15. .

100

geben. Es kam jedoch nicht zur Ausführung dieses Bauprogrammes; als die Chormauern etwas mehr als über Manneshöhe sich erhoben, da folgte eine über zwanzig Jahre dauernde Unterbrechung des Baues, und als die Arbeit zwischen 1380 und 1390 wiederaufgenommen wurde, da wich der neue Meister in mehreren Punkten vom Plane seines Vor- gängers ab. Eine der einschneidendsten Änderungen war, dass er gezwungen durch den in den Zeitverhältnissen begründeten Mangel an Mitteln auf die Aufführung eines von Grund auf neuen Südturmes ver- zichtete und sich mit der Erhaltung des alten abfand. Die Folge dieser Planänderung zeigte sich gleich bei der ersten Arbeit nach Wieder- beginn der Bauthätigkeit, der Einwölbung des südlichen Seitenschiffes. Dadurch dass der Turm stehen blieb, wurde die östlichste Travee kaum halb so breit wie die drei westlichen, und indem das Gewölbe in den engen Raum zwischen Turmwand und nächsten Gurtbogen eingezwängt wurde, musste es die zusammengedrückte unregelmässige Form erhalten, die es jetzt noch aufweist.

Des Meisters zweites Werk war es, die zwischen dem östlichsten Südschiffspfeiler und nächsten Chorstrebepfeiler offen gelassene Partie der Chormauer, die nach der ursprünglichen Absicht erst nach Abtragung des alten Turmes durch die Nordwand des geplanten neuen Südturmes geschlossen werden sollte, zu füllen und in den Winkel zwischen Chor und altem Turm eine Sakristei anzulegen, die der Plan des ersten Meisters in dem Untergeschoss des neuen Turmes vorgesehen hatte. Dass die heutige Sakristei in ihrem westlichen Teile nicht gleichzeitig mit dem Chore begonnen, sondern erst der mit ca. 1380 einsetzenden zweiten Periode des Münsterbaus angehört, beweist die Verschiedenheit des Baumateriales und die Vergleichung der Steinmetzzeichen an den Aussenmauern wie im Inneren mit denen der unteren Chorpartie. Die Sakristei ist von unten auf in hellem Rufacher Sandstein aufgeführt und ist ganz ein Werk des Meisters ME dessen Zeichen am Chor erst in dem aus diesem Stein errichteten Mauerwerk, nicht aber in dem bis 1358 aus Rotsandstein erbauten unteren Teile erscheint.

Wenn vorhin gesagt wurde, der, ursprüngliche Plan habe die Errichtung zweier Türme an genau sich entsprechenden Stellen im Winkel zwischen Seitenschiffen und Chor vorgesehen, so kann diese Annahme zwar nicht mehr durch die Vorweisung des alten Entwurfes, wohl aber durch die Berufung auf eine erhaltene kurze Beschreibung desselben gestützt werden. Als dem Basler Steinmetzen Romey Fäsch, nachdem er 1495 das Langhaus vollendet hatte, die Werkmeisterstelle

102

Charakteristisch an der Thanner Kirche ist ausser dem tiefen Chor die Basilikenform, das Fehlen eines Querhauses, der für beide Seiten- schiffe ursprünglich beabsichtigte grade Abschluss der Ostwand, die Aufführung zweier Flankentürme als Ersatz der Querschiffe, und ge- räumiges Westportal: alles Merkmale deutsch-gotischer Kirchen, be- sonders der schwäbischen Schule, wie sie sich zum Teil unter dem Einflusse der Barfüsserbauten herausgebildet hatten und sich alle oder in der Mehrzahl finden an der Marienkirche in Reutlingen, St. Dionys in Esslingen, der Stiftskirche in Stuttgart (in ihrer ersten Gestalt), der Kreuzkirche in Gemünd (hier wurden die 1497 durch ein Erdbeben eingestürzten Seitentürme durch Kapellen ersetzt), dem Münster in Ulm und in Überlingen, der Kirche in Weil der Stadt. Erinnern wir uns nun, dass am Anfang der Thanner Kunstgeschichte der Name eines Schwaben steht, des Barfüsser-Laienbruders Johann von Rottweil, der 1303—1315 die Ordenskirche und das Kloster vor dem Oberthore erbaute, dass Mönche aus schwäbischen Klöstern nicht nur den Stamm der ersten Ansiedler bildeten, sondern auch späterhin bis über die Reformation hinaus wie in den meisten oberrheinischen Konventen so auch in Thann die thatkräftigsten, geistig regsamsten und künstlerisch thätigsten Brüder waren, dass der beständige Wechsel des Personales zwischen hüben und drüben und die alljährlich stattfindenden Provinzialkapitel den Zusammenhang und Verkehr der schwäbischen Klosterinsassen in Thann mit ihrem Heimatlande aufrecht erhielten und belebten, dann haben wir die Erklärung dafür, dass ein schwäbischer Meister den Grundriss zum Thanner Münster entwerfen und den Bau von 1332 bis 1358 leiten konnte. Welche von den vielen Möglichkeiten, wie ein Schwabe zur Übernahme dieser Aufgabe kam, zutrifft, ob es Johann von Rottweil selbst war, der den Plan anfertigte oder einer der unter seiner Leitung am Klosterbau thätig gewesenen Steinmetzen, oder ob durch Vermittelung schwäbischer Mönche ein Laiensteinmetz aus den Hütten in Esslingen, Reutlingen oder Gemünd als Bauleiter gewonnen oder ein gerade bei dem Bau der Franziskanerkirche in Basel beschäftigter Meister herübergeholt wurde, lässt sich nicht fest- stellen. Wir müssen uns mit der auch durch das Studium der Steinmetz- zeichen gestützten Annahme begnügen, dass der erste Meister der schwäbischen Schule angehörte und durch die Beziehungen der Thanner Franziskaner zu Schwaben nach Thann kam.

—_— 2-20 0 ——

104

stiften für den Altar des heiligen Michael in der Pfarrkirche zu AU- thann eine Präbende durch Überweisung der in den Gemarkungen der Stadt und des Dorfes Thann liegenden Heiligengüter und der der Kirche vermachien Wein-, Öl-, Wachs- und Geldzinsen mit der Ver- pflichlung, dass der Inhaber der Pfründe an drei Wochentagen in der Kirche zu Allihann, an den andern Tagen am Altare der heiligen Katharina in der Burgkapelle eine Messe lese, und übertragen die Pfründe dem Priester Nikolaus von Luzxeuil auf Lebenszeit, nach dessen Tode das Recht der Beselzung der Kaplanei dem Kapitel zu St. Amarin zusteht. Besiegelt von Graf Theobald von Pfirt und der Bürgerschaft von Thann (una cum_sigillo universitatis burgensium de Thanna). 1304 crastino Magdalenae. Gedruckt nach einer Abschrift des Stiftsarchivs, SCHaEPFLIN, II, 81. Eine noch vorhandene Abschrift auf Papier von 1756 im Bez.-Arch. Colmar, Stift Thann, Karton 8, enthält nachstehende Bestätigung der Stiftung :

Nos Theobaldus de Sylo vicarius reverendi in Christo principis et domini nostri domini Humberti dei et apostolicae sedis gratia episcopi Basiliensis in _spiritualibus generalis notum facimus, quandocunque quod nos auctoritate praedicti domini Basiliensis a vobis facta super altare divi Michaelis in villa Thannensi cum suis fundationibus indiciisque favoribus reditibus ac iuribus per praesentes confirmamus et appro- bamus ‚anno millesimo quatringentesimo proxima feria quarta post dominicam Laetare.

4. 1311 7. Februar. Thann.

Graf Uirich von Pfirt stiftet für den von seinem Vater Theobald in der Burgkapelle zu Thann errichteten Katharinenaitar eine Kaplanei- pfründe.

Noverint universi et singuli praesentium inspeciores, quod nos Ulricus comes Phirretarum considerantes, quod secundum apostolum qui parce seminat parce et metet et qui seminat in benedictionibus de benedictionibusjet metet vitam aeternam, cupientes itaque diem extremae messionis bonis operibus praevenire ac intendentes saluti animarum nostrae et felicis recordalionis Theobaldi nostri patris salu- briter providere altare in honorem beatae Katharinae virginis dedi- catum constructum per praedictum quondam patrem nostrum in castro Tanne nostro dotavimus de novo et eidem altarı pro dote ipsius dona- tione inter vivos damus donavimus transferimus et praesentibus irre-

+

vocabiliter assignamus redditus et proventus infra scriptos de bonis infra specificatis annis singulis provenientes volentes, ut .. capellanus ipsius altaris qui pro tempore fuerit nomine suae praebendae percipiat perpetuo proventus et reditus memoratos. Est autem specificatio dic- torum bonorum et redituum haec: videlicet reditus decem et octo quartalium siliginis provenientium annis singulis de molendino nostro in villa Tanne hoc adiecto, quod, si ipsum molendinum quovis casu destrui contigerit, iidem reditus de aliis nostris molendinis in oppido Tanne sitis per capellanum praedictum perpetuo percipiantur. item duorum quartalium siliginis de lunadio quod tenent dietus Rabus et.. uxor sua in superiori Aspach annuatim provenientium. item reditus unius plaustri albi vini provenientes de bonis sitis in bannis et oppidi et villae Tanne videlicet septem urnarum cum dimidia quas solvit annuatim .. cellarius sancti Amarini de bonis sitis in monte supra ecclesiam. item unius amae quam dictus.. marscalcus de Senheim, item unius amae quam Heinricus filius dicti .. Spitaler, item unius urnae quam Henricus Steger, item unius urnae quam dictus . . Negelin de Mulnhusen, item unius urnae quam Johannes dictus Bertram, item quinque urnarum quas Ita de Tanne et frater suus de uno lunadio annis singulis exsolvere tenentur. item duarum amarum quas Nicolaus Wlulini de vineis dictis am Hübacker, item unius amae quam.. domina de Passavant vidua, ilem dimidiam soumae quam Rudolfus Egge, item dimidiam soumae quam Gyerriat et Berta soror sua, item unius urnae cum dimidia quas Johannes dictus Brochanen, item dimi- diam sumae quam Hugo Toumeder, item in loco dicto am Milten- dimidiam soumae quam Fritschinus Grösse, ilem unius amae quam Hugo filius Jacobi, item unius amae quam Alma dicta Moysesin et unius urnae quam Johannes Bertram annuatim solvere tenentur de bonis in praedicto loco Miltenberg situatis. item census triginta duorum solidorum denariorum singulis annis provenientium de manso in Hohenrode quondam .. domini Johannis de Bolwilr, item in Ramersmatten novem solidorum denariorum et unius quartalis avenae de bonis dictis der capellangarten. In cuius rei testimonium sigillum nostrum duximus praesentibus appendendum. Datum apud Tanne anno domini M°CCC: undecimo feria quinta post festum purificationis beatae virginis. Original Pergament. Siegel an Pergamentstreifen. Umschrift : + S* VOLRICI ' comitis FERRETARVM. Bez.-Arch.- Colmar, Stift Thann, Karton 23.

106 D. 1314. 18. Oktober. [Fälschung.|

Ulrich Graf von Pfirt übergibt dem Kreuzaltar drei Sester Roggen Wochenzinses aus seiner der Frau Hermann und ihrem Sohne Klaus verliehenen oberen Mühle zu Thann.

Wir graf Ülrich von firt lünd kunt allen den die disen brief lesent oder hörend lesen, das wir hand geben luterlichen durch got und durch des heilgen cruczes ere z& dem altar des heilgen cruczes der ze Tann stot in sant Thiebolcz münster iij sester roggen ewiges geltes alle wochen ze gebend ab der obren muli ze Tann, die Hermannin und ir sun her Glas von uns baben umb ein vierteil roggen gelcz, alle wochen ze gebend ze einem rehten erb. des vierteil sind die drug vorg. sester roggen dem vorg. alter von uns vorg. graf Ulrich ewiklich durch got und des heilgen crutzes ere beschiket, dz uns daz heiligi crutz behôten welle vor allem ungeluke, allso dz man den selben altar eweklich und getrülich besingen sol und uns und alle unser vordren getrülichen gedenken sol. wer och dz der selb altar von keinem ungeluke abgienge (dz gut wende), so soll dz vorgenat gelt wider uns und unsern erben wider fallen, die andern ii) sester söllend si uns geben alle wochen oder wem wir si heissend geben. was an disem brief von uns geschriben stat, daz geloben wir vorgenanter graf Ülrich bi guten truwen stet ze haben an alle geferd und heissend und gebietend allen unsern nachkomen, dz si das stet söllend habend. das dis war si und stet belibe, so hant wir vor- genäte graf Ulrich von Pfirt disen gegenwirtigen brief besigelt mit unserm ingesigel ze einer rehten urkund der warheit. das beschach do man zalt von gottes geburt driczehen hundert jar in dem vier- zehenden jar an dem fritag an sant Lucas tag evangelisten etc.

Papier ohne Wasserzeichen 16. Jahrh. Bez.-Arch. Colmar Stift Thann, Karton 3. 6. 1317 8. Februar. Basel.

Elisabeth Gast von St. Amarin vermacht dem Altar des heiligen Kreuzes in der (Theobalds)kirche In Thann, dessen Kaplan ihr Sohn Niklaus ist, Geid-, Wein- und Fruchtzinsen in der Vorstadt und Stadt Thann, Haus und Hof daselbst neben der Stadtmauer und zwei Häuser in St. Amarin.

Nos officialis curiae Basiliensis notum facimus praesentium inspec- toribus seu auditoribus universis, quod Elisabeth hospita de sancto Amarino coram nobis personaliter constituta sana mente et corpore

Zu \ ı we = + a =

| PRE PEL | u. ri 1h A) «

De ge ee és 2 EE Fer ao Yan, 1

f L

108

vinearum in loco dicto in der Vues iuxta vineas quondam Richardi de Spechbach militis. Item redditus viginti quattuor quartalium provenientes de molendino sito inter domum fratrum minorum in Tanne et locum dictum Spitz. item domus et curia sua cum suis pertinentiis sitae in oppido Tann contigua& domui dictae de Kone et iuxta murum oppidi Tann. De quibus quidem redditibus 24 quartalium bladi 12 quartalia bladi penes dictam donatricem et inhabitario domus et curiae cum suis pertinentiis ad vitam eiusdem dumtaxat usufructualiter remanebunt, post mortem ipsius donatricis ad prædictum altare libere reversura. Et extunc capellanus dicti altaris, qui pro tempore fuerit, ipsas curiam et domum inhabitare debebit et de eis dicto altari lumen perpetuum, quod ante ipsum altare die noctuque incessanter ardeat, ministrare. Item duae domus sitae in oppido sancti Amarini una videlicet sita ex opposito domus dictae Stegerin, alia vero dicta der stall solventes annuatim duas libras denariorum, cum quibus post mortem donatricis praedictae anniversarium ipsius donatricis quater in anno videlicet feria sexta cuiuslibet ieiunii quatluor temporum debet cum debitis et con- suetis exequiis celebrari. Et capellanus praenominati altaris, qui pro tempore fuerit, de ipsis incuralo ecclesiae in Tann unum solidum et socio suo ac cuilibet capellanorum altarium beatae Mariae virginis et sancti Nicolai ibidem sex denarios in quolibet ieiunio quattuor temporum ministrabit. In cuius rei memoriam ut testimonium praemissorum omnium nos officialis praedictus sigillum curiae Basiliensis huic appendi fecimus instrumento. Datum Basileae anno domini 1317 feria sexta proxima post festum purificationis beatae Mariae virginis gloriosae. Abschrift auf Papier 17. Jahrh. Bez.-Arch. Colmar, Stift Thann, Karton 3.

7. 1328 6. Dezember.

Heinrich Hake, Vogt des St. Amarinthales, begabt den Altar in der von ihm wiederhergesteilten Marienkapeiie in der Kirche des heil. Amarin zu St. Amarin mit Korn-, Weingülten und Zinsen in Schweighausen, Burnhaupt, Micheibach, Aitthann und in banno oppidi Tanne vor dem Blosen, im Huobacker prope bona dominae dictae Lindenbäumin. .. et de domo sita prope domum Robin de Tanne tuxta fabricam. .. am Stouffen iuxta bona Joannis Reimbold et Heinrici über den bach... de domo Eberlin sita in oppido Tanne in opposito ecclesiae inter domum dicti Syder et dicti Valabe. .. Wiesen inter bona Joannis Sürlin et Hartmanni von Masmunster. . . in Kathenbach gen.

= r PR == | jast, attin Hermann Gast's. we | SRE rad x ou er Fr . |

| | | | \ | \ 1

| |

110

heiligen drivaltikeit und unsers herren fronlichnams tagen und aller fest und hochzitten unser lieben frowen und ouch sant Thiebolcz der genanten kilchen schirmer und patronen tagen ouch der heiligen sant Petter und sant Paul und aller heiligen zwölfbotten und ewangelisten ouch der heiligen sant Lourencz sant Steffan sant Vincencz sant Martin sant Niclaus sant Augustin ouch sant Maria Magdalenen Katherinen Margretten Agnesen Agathen aller heiligen tag und aller selen tag und ouch an allen suntagen die do zu denen kilchen ursach andachts bettens bilgerschaft kument oder die do zu mess predig metten oder vesper oder andren göttlichen emptren gegenwurtig sint oder ouch die dem heiligen sacrament dem fronlichnam unsers herren oder dem heiligen öle so man das den kranken bringt noch folgent oder an dem oben luten des engelschen gruss mit gebognen knuwen dru ave maria sprechent und ouch die an den buw liechter bücher ornament oder söliches anders den genanten kilchen notlurft hantreich stur oder hilf tunt und die in irem lesten willen oder ander zit gold silber kleider oder ander stur den genannten kilchen gobent beschickent oder verschaffent ouch die fur die selen zebetten den kilchhoff umb gon sint oder ire begrebnis in denselben kilchhöffen erwelen sint ouch die do fur herren Petter Hagge und sines vatter und mutter selen der dises abloss ein erholer und erwerber gewesen ist gott den herren erbetten sint so dick und vil sie die ob ussgeleiten ding oder etlichs derselben verlossnen dingen andechticlich tunt von der barmherzikeit gotz des almechtigen und derselben heiligen Petri und Pauli seinen zwölfbotten gewalt getruwen unser ein jeglich xl tag abloss der sund uffgesetzter buss barmberziclich wir inen erlichtrent so verr das uwers bischoffs will dorin verheng und verwillige. des zu woreri urkund hant wir unser insigel ieglicher gehenkt an disen brief der do geben ist zu Avinion an dem sibenden tag des brochmonats in dem ior als man zalt M. ccc. xl. bapstumbs Benedicti des xii. in sinem vi. jor.

Ablass und gnad so geben sint der kilchen sant Diebolt und unser frawen kilchen zu Altenlann, fol. 17. Stadtarchiv zu Thann, G 1 Nr. 2. Gedruckt Birlinger Alemannia XII, 1884, S. 150.

9. 1346 6. Februar. Niklaus, Sänger des Stifts St. Amarin und Kaplan des Kreuzaltares in der Kirche zu Thann, verpachtet die der Kaplanel dieses Altares gehörige Hofstätte in der Thanner Vorstadt an der Barfüsser-

112

10. 1346 18. Februar.

Erzbischof Heinrich Albert, Praomonstratenser Ordens, Statthalter des Basler Bischofs Johann, weiht die St. Theobaldskirche in Thann, den Kirchhof und fünf Altäre und verleiht einen vierzig- tägigen Ablass.

Zewissen sig allen christgloubigen menschen die dis hören oder lesen, das der ersam und wirdig vatter Heinrich Albert‘ vor zitten von got und des römischen stul gnad erzbischof Anavercensis und ouch zu denen zitten Jes wirdigen in Christo vatters und herren Johannes von söllichen gnaden bischoff zu Basel gemeinlich in geistlichen sachen versäher und statthalter diser kilch sant Thiebolt zu Tann und kilchhof sampt mit funf altaren gewibet und consecriret hat in dem ior als man zalt tusand drihundert vierzig und sechs ior uff samstag noch des heiligen bischofstag sant Valentins: nemlich den fronaltar in der eer der heiligen sant Michel erzengel sant Bartholome sant Steffan ersteren martrer elf tusend megden und sant Thiebolt etc. der ander altar zu der linken siten in der eer sant Johannes des toufers sant Peters zwölf- botten sant Laurenz martrer sant Niclaus und sant Mariae Magdalenae etc. der dritt und mittelaltar in der eer der heiligen drien kunigen sant Andres apostel sant Oswalt sant Erhart und sant Agathen jung- frowen etc. der vierde altar zu der rechten hand in der eer unser lieben frowen sant Johanns des ewangelisten der zehen tusend martrer sant Martin bischof und sant Katherinen jungfrowen. der funfte und der letste ouch zu der rechten hant in der eer des heiligen cruz und der heiligen sant Jacobs des meren sant Georgen sant Jos und sant Margarethen. der wirdig obgenant vatter und erzhischof hat ouch allen denen die obgenant kilch und altar worlich gebichtet und geruet in den hochgeziten unsers herren Jesu Christi und unser liben frowen und der obgenanten altaren patronen und heiligen tag ouch uf die kilchwihung und ire und den obgenanten heiligen octaven oder achten tag andechtiglich suchen und begeren vierzig tag döttlicher sund und ein ior deglicher sund ufgesetzter buss abloss auctoritate domini Jesu Christi et beatorum Petri et Pauli apostolorum confisi in domino misericorditer relaxamus. hat ouch der obgenant andechüg vatier und

l. Im Texte Wyss, was die Übersetzung des für Albertus gelesenen Albus ist. Über die Weihe der Klosterkirche zu Gnadenthal (Basel) und der Cistersienserkapelle :x Sulz durch denselben, s. TROUILLAT Ill, 574 und 586 J.

114

pfennige und korn furbass eim andern nechsten gotzhuse geben, do die selben selmessen teglichen werdent vollefurt in allen den rechten und ordenungen, als vor geschriben ist gen Tannedorf. und des ze urkunde und besserung geben wir disen brief besigelt mit unserm insigel und mit unsers herzelieben bruderlins! insigel herzog Albrecht Österrich ze Steyr ze Kernden. geben Wien am zistag nach unser lieben fröwen tag ze herbst nach Cristus geburde druzehundert ior in dem acht und vierzigesten ior etc.

Abschrift des XV. Jahrh. auf Papier mit Wasserzeichen: Krone. Dorsalvermerk: Erzhertzogin Johanna gibt dem vicario..., damit er täglich ein hl. mess lese für das heil der Elisabeth ôptissin zu Frelay und schwester der herzogin Johanna. der originalbrief ist anno 1613 nacher Ensisheim zur regierung gebracht worden wägen stritigkeit und säumnis des vogts zu Thann in lif- ferung der genanten nutz, früchten, wein und gelts. Bez.-Arch. Colmar, Stift Thann, Karton 15 a.

19. 1352 28. Januar. Thann.

Johannes von Watwilr lutpriester ze Wandich der etwane lutpriester was ze Tanne übergibt dem Golleshaus SL Thiebold zu Thann, dessen Kaplan er war und noch ist, Haus und Hof bei dem nidern tor hinder Matys Scherers zur ewigen Herberge für den Leulpriester an St. Theobald mit der Verpflichtung, dass derselbe für ihn, seine Kellnerin Katharina und seinen verstorbenen Vorgänger Herrn Niklaus wie dessen Tochter ein Jahrgedächtnis feiere, das Haus in Stand halle und ihn lebenslang mit einem Pferde herberge. Seinen Nachfolger im Leutpriesteramt Herrn Beringer, der zu dem Bau 10 & 9 s. gegeben, hat er in Gegenwart des Herrn Heinrich Hake, Kirchherrn in Spech- bach, dem ebenso wie Herrn Lupfrid von Ungersheim das Haus zinsel, in den Besilz gewiesen. Der Brief über diese Schenkung soll liegen in der kilchmeier hand und gewalt die sant Thiebolts pfleger sint. Zeugen Lupfrid von Ungersheim ritter, Heinrich von Spechbach lehensherr, Niklaus Beichtlan, Heinrich Walter kaplan ze Tann, Johannes Voders kaplan zu St. Amarin, Werner von Schanenberg edelknecht, Heinrich Spies schaffner ze Tanne, Johannes im Winkel, Peter Austin, Werner Kure, Johannes Schmalzhans, Heinrich Dapfart kilchwart. Besiegelt vom kilchherrn von Spechbach, Werner von Schönenberg, Heinrich Spiess und Johannes von Watwilr. 1352 am achten tag st. Agnesentag.

Original Pergament. 2 Siegel erhalten. Stadtarchiv Thann. G. I.

1. Auch in Urkunden von 1336, 1845 und 1347 (Steyerer Commentar. pro hist. Alberti Sapientis) bezeichnet Johanna ihren Gemalıl als bruder oder bruderlin.

116

grauf ze Hapspurg ze Phirt und ze Kyburg marchgrave ze Purgau lantgrave ze obern Elsass tun kund, das wir den stoke der da statt in sant Diebolts kilchen in unser statt ze Tann zu unsern handen haben wellen, also er von unsern vordern an uns bracht ist, und wellen auch, das die erbern unser getruwen andechtigen der propst und das capitel des gots huses ze sant Amerin dekein gewer und nütz furbazzer von dem egenanten stock yemer gehaben sullen mit urkund dis briefs der geben ist ze Rinvelden an dem sechsten tag ze meien nach Christs geburt drüzehenhundert und funfzig jaren un darnach in dem achteden iare etc. Stadtarchiv Thann, Copiar von 1488. A 1 fol. XLII.

16. 1361 22. Juni.

Peter Hoch ein gesworn botte ze Senheim an Stelle des Schaffners Ulman Trechen bekundet, dass Claus Ritler von Sennheim dem Clewin Lutschin weibel ze Tann im dorf an des altars und pfrunt stat, die die durchleuchtig hochgeborn furstin wilent herzogin ze Osterrich ze Tann in dem dorf in dem gotzhus gestift und gemacht hat, 2 Pfad. 6 B Pfennigzins von 3 Hüusern zu Senn- heim in der Stadt verkauft hat. 1861 zinstag nach S. Adolfstag.

Original Pergament. Bez.-Arch. Colmar, Stift Thann, Karton 23.

17.

1366. Stiftung eines ewigen Lichtes im [alten] Chor [der St. Theobaldskirche] zu Thann.

eine lateinische schrift in sich haltend die stiftung des ewigen lichts im chor‘). «Register über all diejenige in den Nationalarchiven des Belforter Distrikts

vorhanden gewesenen pergamentenen Titres..., so für unnütz erkannt und auf die Seite geschafft worden.» Bez.-Arch. Colmar.

18. 1377 22. Februar.

Johann Hagg, Propst des Stiftes St. Amarin, und das Kapitel daselbst bekunden, dass sie dem Niklaus von Baltersheim, Stifisherrn zu St. Amarin und Leutpriester zu Thann, auf Billen Herzog Leopolds die Leutpriesierei zu Thann verliehen haben, und versprechen, dass

L. ob durch den Vogt Johann von Walpach, der 1365 als Wohlthäter der Burgka- pelle erscheint?

118

redlich notdurft der obgenanten kilchen mit gûter kundschaft und wissend legen und keren, wa si dunke, da es aller nuczlihest sy, nach iren truwen und by den -ayden, so die, die es yeczunt umhaben, sullen gesworn habent, und ouch die es hinfur umhaben werdent, swern sullent, aber einem yeklichem vogt der zu Tann ist an alles geverd. und sollen sie daran unsern getruwen andechligen .. der probst und das capitel des goczhuss ze sand Amarin noch ir nach- _ kömen nicht irren noch sumen, wan wir underwiset sin, daz sie dheinen nutz gewer noch gewolte an demselben stock nicht haben sullen. davon gebieten wir vesteclich .. allen unsern lantvögten gegen- wurtigen und kunfligen, dacz si die vorgenanten unser vögt ambtlut und den rat ze Tann by der ordenung, als davor geschriben stat, halten und schirmen uncz an uns. das ist genczlich unser maynung mit urkund dicz briefs. geben zu Ensesheim an phincztag vor sand Urbanstag nach Kristes gepurd druczehenhundert iar darnach in dem vier und nunczisien iare.

Original Pery. Siegel fehlt. Stadiarchiv Thann. Abschr. i. Copiar von 1483 A,

fot. XIII r.

21.

1399 17. Oktober. Basel.

Wernher Magne von Felsperg, Generalvikar des Basler Bischofs Humbert von Neuburg, verleiht aus Anlass der Neubegabung des Marien. allars in der Pfarrkirche zu Altthann durch Hermann, den Trompeler Herzog Leopolds von Österreich, allen, die zur Mehrung der Einkünfte dieses Allares oder seiner Kirchenzier beisteuern, einen Ablass von 40 Tagen. Basel 1399 feria scxta proxima post festum sti Galli confessoris.

Gedruckt Straub L'église de Vieux-Thann. Strasbourg 1875, S. 16.

22. 1399 26. Oktober.

Georg, Bischof von Dimitri, Prediger Ordens, bekundel, dass er am 26. Oktober 1399 den zu Ehren der Passion und des Kreuzes Christi, der heiligen Johannes d. T., Lukas, Georg, Christof, Peter von Mailand, Anna, Barbara, Katharina von dem Pfeiferkönig Her- mann, Trompeler des Herzogs Leopold von Österreich, und der Pfeifer- bruderschaft neugestiftelen Altar zur Linken an der Mille der Seilenmauer der Kirche zu Allthann geweiht und mit einem Ablass von 40 Tagen begabt habe.

Daselbs!, S. 17.

4149)

und gebichtet, sunder uf deu heiligen winacht tag, uf den achten tag, uf den zwölften tag, ostertag, uffart und pfingstag, ouch uf unsers herren fronlichnamstag, ouch uf die hochzit unser lieben frowentag nemlich der geburt, als sie empfangen wart, der liechtmess, der ver- kundung und uf den tag, als si gon himel fur, ouch uf den tag, als die genant kilch gewihet wart, oder das fest der kilchwihung begangen wirt, ouch allen denen die do von irem gut an den buw der kilchen stur oder hantreich geben sint, so dick und vil sollichs vollbringen sint, drissig tag ufgesetzter buss inen oder denen von sinem erz- bischoflichem gwalt in dem herren barmherzlichen. abloss noch inhalt eins briefs versigelt und geben in der statt Tann anno etc quo supra die decima septima mensis maii per dominum concessa gratissime.

Abloss und gnod so geben sint der kilchen sant Diebolt und unser frawen zu Allentann, f. 8.

97. 1424 28. Mai. Erzbischof Theobaid von Besançon bekundet, dass er am 8. Nov. 1422 den neuen Chor der St. Theobaïidskirche zu Thann geweiht hat, und verleiht der Kirche einen Abiass.

Kilchwihung des nuwen kors und kilchen sant Thiebolt zu Tann etc und der abloss dozu geben etc. In dem ior, als man zalt tusent vier- hundert zwenzig und zwei jor, von bitt der burger und inwonenden der statt Tann wegen und der durchleuchtigen furstin frow Katberin von Burgund herzogin zu Osterrich grefin zu Pfirt anfordren hat der hochwirdig Theobaldus zu denen zitten erzbischof zu Bisanz gewihet und consecriret den nuwen kor und kilch zu sant Thiebolt zu Tann an. suntag nechst vor sant Martinstag und hat den genanten tag diser wihung verendert, geordnet und geleit uf den nechsten suntag nach unsers herren uffartstag zu ewigen zitten und all jor einst löblich zu begon von den obgenanten burgeren und inwoneren etc. welichen tag also verendert und durch die achtag uss derselbigen kilchwihung allen christglöubigen, worlich ruenden und gebichtet, die zu der genanten kilchen sant Thieboll an sinem fest oder hochzitt tag und ouch in den hochzittlichen tagen der gepurt unsers herren Jesu Christi und durch die acht tag, ouch der tag der beschnidung, der heiligen drien kungen und all suntag durch den advent und die fasten am hohen donstag, carfritag, ustertag, uffart und pfingstag und durch ire achten tag in allen festen unser lieben frowen nemlich der verkundung, der geburt, der liechtmess, der himelfart und als sie empfangen wart und ouch

a Se ie ar. \ a à | | DER DENT ar 4 FR: en ee N en re re ARTE en 2 Zu Var a DE EN a ee 23 | | EF tm, e s enden ie EEE Le "andechticlich a, 4 hyn Des

192

28. 1428 5. Oktober. Thann.

Georg Lupfrid von Ungerheim, Schaffner zu Thann, bekundel, dass Heingin Ulrich, Spitalmeisler des Spitals in der Stadt zunächst dem Niederihor, dem Alberlin Bogstecher, Gerber und Bürger, in ewige Lehnung gegeben des alten spitals in Kathenbach kor einsit neben Heinrich Schultessen gerbhus, das desselben spitals alte kilch was, anderseils neben Bogstecher mit der Erlaubnis daran zu buwen, turen zu siner notdurft machen gegen einen Jahreszins von 5 s. Pfennig Heller fällig auf helig hochzit zu winachten. 1428 cinslag nach sant Michelstag.

Original Pergament. Stadtarchiv Thann, G. 13.

29. [14]29 25. Januar. Innsbruck.

Friedrich Herzog von Österreich fordert Propst und Kapitel von St. Amarin auf die Unregeimässigkelt in Abhaltung der von seinen Vorfahren und anderen Gläubigen gestifteten Gottesdienste in der Theobaïdskirche zu Thann abzustellen.

Wir Fridrich von gotes gnaden herzog ze Oesterrich ze Slyr ze Kernden und ze Krain graf zu Tyrol etc embiten den erbern unsern andechtigen und getruwen dem bropst und cappittel zu Sand Amarin unser gnad und alles gät. uns ist furkomen, wie der gotsdienst zu Tann unordenlich gehallen und gemynret werde anders, denn billich und von alter herkomen sye, das uns umbillich dunkt: und wan wir als landsfurst und vogt der stift und gotzhueser in unsern landen gelegen umbillich verhengen, das solich gotzdienst, die von unsern vordern seliger gedechtnus und andren kristenglaubigen in denselben unsern landen und.gebieten von unflissikeit wegen abnemen und geringert wurden, so entphelhen wir üch und begeeren mit ernst, das ir mit dem lätpriester und capplenen daselbs zu Tann, die under üch sind, schaffent, ordent und bestellent, daz der gotsdienst da gehalten werde und für sich gee, als nach altem harkomen und güter gewonheit darzu gehört, das ouch des gotzhuses grose notdurft ist davon, so sind darin nicht sumig, daran tunt ir unser meynung und gevallen. geben zu Ins- prugg an sant Paulstag der bekerung anno domini etc vicesimo nono.

Wir schaffner und rat zu Tann bekennen, daz wir einen versigelten brief hinder uns haben, der da von wort ze wort wiset, als die vor-

Fire | an | nu

-

L BERN ur Te 9 >. I

a ac sta >

7 A SALES 1 + uch. w

né. FO

d'a en Fair. ei ee # . —.

von ı tige ee Ms ER she Fee, lat à Sad. RSS y ee " d andre sise en 4 ka taatıir ed tn re WETTE |

vun u COTE au a ar à we Jr rn Cros 1 I ten Hat Lcd tcamr r zu 1 nn. |

124

Crain, grave zu Tyrol etc entbieten den ersamen dem vogt und räle der stati zu Tann unsern und des reichs lieben getreuwen unser gnad und alles gut. lieben getreuwen. wir haben durch der getreuwen an- nemen dienst willen, die uns und dem hause von Osterreich unser lieber getreuwe Johanns Liechtcamrer getan hät und hinfur in kunfligen zyten wol tun sol und mag, im verlihen, gegonnet und erloubet das ampt, das er in sant Tyepolcz kirchen ze Tann die zaichen sant Tyepolcz gyessen und die ouch außgeben sol und mag und sust nyemand an- ders, verlihen, gonnen und erlouben im das also als der ältest regie- rend furst zu Österreich in craft diß briefs. darumb so schaffen wir mit euch gebietende, das ir in solicher unser gnad gebruchen und ge- nyessen laussen und in daran nit hindern in dhein weise. geben zu Costencz nach crists gepurt vierzehen hundert und im zway und vier- czigisten jare am 'zinstag nächst nach sant Conratstag unsers richs im dritten jare. Auf umgefalletem Rande: «d mandatum domini regis. d Georio Fuchs mare- scallo referente. Original Pergament. Siegel nicht mehr vorhanden. Auf Rückseite alter Registraiur- vermerk. Liechtkamerer von sant Thiebolez zeichen wegen. Thann, Stadtarchiv, G 1. 31. 1462 6. April. Rom.

Papst Pius Il verieiht denen, weiche die Liebfrauenkirche zu Alt- thann auf Maria Geburt und den Tag der Kirchweihe besuchen und zu ihrem Baus beisteuern, einen Abiass.

Zewissen sie ouch allen christglaubigen, dass der allerheiligest in golt vatter wilent bapst Pius der ander uss sunderlicher lieb und nei- gung den kilchen, so in der ere der himelschen kungen jungfrow und mutter Marie gebuwen und gewihet werden, umb das die gloubigen so vil mer uss andacht die zesuchen und so vil empficlicher zu denen ursach zebetten zuflucht gewinnent, so vil me sie sich gôtlicher gnaden und ablass versehen, zu denen kilchen ergetzet werden: harumb der genant heilig vatter bapst Pius geben und verluhen hat von des allınech- tigen golz gnad und barmherzikeit und der heiligen Petri und Pauli siner zwölfbolten gewalt getruwen allen worlich geruwet und gebichtet die uff den tag unser lieben frowen der geburt und uff das hochzit der kilchwihung dise kilch andechtielich suchent und an den buw und bereitschaft der kilchen gehören und noturft sint stur, hilf und hand- reich tunt fur ieglichen obgenanten tag funf ior und funf quadragenen

419% 34. 1499 2. September. Thann.

Heinrich von Bergen, Bischof zu Cambrai, vom Wunsche geleilet, dass die pfarrkirch der statt Thann .. in und zu der ehre des heiligen bischofs Theobaldi geweiht, in welcher das erste gleich desselbigen heiligen bi- schofs daumenfingers, wie solches warhaftig von allem her kundbar und von der kirchen approbirt, in einem köstlichen ciborio oder silbern uber- gülten gefäss mit gebürenden ehren aufgehalten wird, uns auf heut dato von den regenten derselbigen kirchen wegen sonderbaren andacht, so wir zu besagtem heiligen Theobaldo hatten, ist für augen gestellt worden, dessen ganzer leib ausserhalb dises ersten gleichs, so in ernanten statt Thann .. ist, bei der statt Engubin auf einem berg . . geehrt wird, ... mit gebürender ehr und andacht besucht wurde, verleiht auf Billen der Geistlichkeit, Obrigkeit und Bürger allen denen, die am Vorabend, Fest und in der Oktav des Theobaldstages die Thanner Kirche besuchen oder zum Bau und zur Kirchenzier beisteuern, einen Ablass.

Gedruckt Schenck, Theobaldus Ausg. von 1723, S. 84—95: im Aussuge ver- seichnet in Abloss und gnaden, fol. 9 u. 23.

39.

1544. Auszug aus den Stadtprotokollen von Gubbio über die Anwesen- heit der Thanner Stiftsherren Ulrich und Theobald Hess zur Besichtigung des Leichnams des heiligen Ubald.

Universis pateat evidenter, quod anno domini 1544 die vero quinta Aprilis venere ad civitatem Eugubium venerabiles d. d. Johannes Udal- ricus et Theobaldus Hessus cantor et custos ecclesise cullegiatae sti. Theobaldi oppidi Thannensis Basileensis divcesis causa, ut asseru- erunt, videndi visitandique corpus sanctissimum divi Ubaldi et eius ecclesiam affirmantes se [venisse] duntaxat ad dictum effectum, quia in dicto oppido reconditur particula digiti praelibati gloriosissimi numinis, sub cuius devotione maximum templum constructum apparet et successive oppidum ob infinita miracula fuit fabricatum nomine Thannense. Ad quam ecclesiam omnes convicini et etiam de longo infinitae personae utriusque sexus confluunt porrigentes manus adiu- trices ét meritis seu precibus tanli numinis sub reverentia et devotione digiti gratias immortales obtineri aflirmaruni claudos et caecos sanando tt eliam mortuos resuscitando et a quibuscumque languoribus liberando elc.

Collatione facta concordari vero vriginali in papiro scripto vidit Jo. Theobaldus Heisch pro tempore archigrammaleus civitatis et dictionis. Testatur Thannis die quurta Julii anni 1705. Be:.-Arch. Colmar, Stift Thann, Karlon 6. Gedruckt nach dem Originale Acta sanct. Mati III, 643.

19%

37. }

1739: ‚Bericht des: Thapner: Stiftspropstes Theobald Gohel: über die Bemühungen des Rufacher Einsiediere Ludwig. (1228) und der Thanner Stiftsherrn Sigmund_Gobel und Colin von Valoreil (729) - den Leichnam des "heiligen Ubald zu besichtigen.

. Hos. extractus e monumentis el annalibus Eugubinis! altulit rater, Ludovicus eremita. Rubeacensis, qui expresse ad civitatem . ‚Eugubinam, | abs praefecto et consulibus civitatis Thannensis missus fuit cum litteris rogaloriis ad d.d. confalonerium et consules Eugubinos, ul dignarentur, huic expresse misso eremilae. corpus beatissimi Ubaldi permittere videre, el inspicere, num careat nec non digitus sive pollex manus dexteraß, altefatissimi episcopi Ubaldi. Permissum fuit quidem dicto eremilae venerari sanctum corpus divi Ubaldi sed tantum per cancellas ita, ut nibil viderit nisi sanctum Ubaldum pontificalibus indutum et tandem eremitam dimiserint ei dantes extractum altera parte descriptum, qui extracius in curia Thannensi asservatur.

Anno domini 1739 iterum duo domini canonici propria devotione impulsi Eugubium petiverunt r. d. Sigismundus Gobel et Colling de Valoreil. una. cum litteris rogatoriis tam praepositi capiluli quam magistratus Thannensis, ut permitteretur duobus his peregrinäntibus canonicis inspicere, denudatam manum dexteram sti. Ubaldi, ut .cumi: securitate possent testari in reditu eodem de veritate ot realitate, pollicis, . quem credidimus esse de dicto beato ‘Ubaldo. At: minirhe: potuerunt hanc gratiam obtinere, sed loco responsi ad litteras domini Antonii Gobel eanonici eiusdem capituli attulerunt dissertationem hic - annexam, vi cuius probarelur satis esse digitum beati Ubaldi, nisi hic extractus obstaret annexus de anno 1593 ex quo, si haec inspeclio el emundatio a pollice verae cessent, comprobaretur contrarium.

Beztrksarchir Colmar, Stift Thann, Karton 6.

1. von 1544, 8. Nr. 35.

Tal. Il.

4 = E u Ki Fa 7 HAB ty

WEL

| Nor, i on ? fi) (if > ge vr u À

ZART:

Chorienster mit S. Theobalds Wundern. 1. u. 2, Rundbild

Taf. II.

b. 5, 4 Br dj „> J 2 r en, . f 8 4 (| Ce PU LT de”. d'art » A” Pr i + y RA {, 2 4,

Chorfenster mit S. Theobalds Wundern. 4, his 6, Rundhild.

| Ex

<5

Fa mom nd DR Pa BE ee

Grundriss des Münsters zu Thann.

Taf. IV

Inhalts-Angabe.

Seite Vorbemerkung. ............................. .. 1 I. Die Herkunft der Thanner Theobaldsreliquie ........... pr... 3 1. Der Schenck’sche Translationsbericht von 1623, die Quelle aller spä- teren Erzählungen ............................ 5 2. Ältere Zeugnisse für die Auffassung der Reliquie als Daumen Bischof Ubalds ................................... 7 3. Das Chorfenster mit der Ubaldslegende. . ................ 9 Alter und Meister der Glasmalereien im Chor. ............. 10 Darstellungen des Einsiedlers Theobald als Bischof. . ......... 13 Yerwechselung Theobalds mit Ubald seit dem 14. Jahrhundert nach- weisbar und durch die Thanner Darstellung der Wunder Ubalds weiter verbreitet ............................. 14 Mehrung der Theobaldsverehrung durch Pfarrer Niklaus Wolfach. . . 18 Die vita Ubaldi und der liber miraculorum als Quelle der dargestellten Wunder 222 oo 18 Zeit und Meister des Fensters und seine Verwandschaft mit einem Fenster des Ulmer Münsterchores. . .................. 22

4. Allmähliche Verdrängung der Theobaldsvorstellung durch die Ubalds- vorstellung. Der Ubaldstag 16. Mai als Todestag Theobalds und der Theobaldstag 1. Juli als Fest der Reliquienübertragung ausgegeben. 27

5. Spuren der unverfälscht erhaltenen Auffassung des Thanner Patrons

als Einsiedler Theobald. ......................... 31 6. Bemühungen die in den Acta sanctorum als Irrtum nachgewiesene

Thanner Legende von der Übaldsreliquie aufrecht zu erhalten... 33 7. Ein altes Standbild vom Münsterportal aus dem 1. Jahrhundert. Graf

Theobald nimmt Abschied von der Welt. ............... 38

8. Die in der Mitte des 1a. Jahrhunderts von Thann nach Wien ver- pflanzte Theobaldsverehrung ist von der falschen Ubaldsvorstellung

unberührt geblieben ........................... 39 I. Wann und wie kam die Theobaldsreliquie nach Thann? . ......... 40 1. Widersprüche in Schencks Bericht. . ................... Al Die alte Burg in Thann kein Herrensitz ................. 42 Bau der neuen Burg 1225 durch Graf Friedrich von Pfrt....... 13 Die Burgen Alt- und Neuthann gehen ihın im Kampfe gegen Murbach und den Bischof von Strassburg 123% verloren. . .......... 44 Belehnung mit Thann als Strassburger Lehen 1251. .......... 47

Graf Theobald von Pfirt macht Thann zum Herrensitz . . . . . . . .. 48

9 2

Der ältere Translationsbericht, Zeit und Verfasser ........... Die Örtlichkeiten des Berichtes; das Kathenbach-Spital Erhardspfründe und Reliquienankunft. .................. Graf Theobalds zweite Gemahlin, Margarete von Blamont, besorgte

vermutlich die Reliquie 1303—1310.................. Abweichungen und Übereinstimmungen in den beiden Berichten... Ihre gemeinsame Quelle ist die Darstellung im Chorfenster: wie

St. Ubald-Theobald sich Thann als Verehrungsstätte wählt... . . .

. Die Theobaldsverehrung ist nicht aus heidnischen Bräuchen herzuleiten.

Die Opferung von Hufeisen geschah zu Ehren des am Westportal dar- gestellten hl. Leonhard ......................... Die Meinung von der Heilkraft des Theobaldsbrunnens erst im 17. Jahr- hundert aufgekommen ..........................

. Die Gründung der Stadt Thann ......................

Ältestes Siegel. - .............................. Ausscheidung aus der Markgenossenschaft mit Altthann und Wachsen der Stadt. ................................ Vereinigung von Altthann und Hohenrodern mit Thann zu einem Gericht. Zusammenlegung der drei Johannisfeuer und ihre Verlegung auf Jo- hannisoktav, d. i. Theobaldsabend ...................

II. Der Beginn des Münsterbaues. .............,........,....

{.

LI

Schencks Theobalduslegende als Quelle der ältesten Angaben zur Bau- geschichte des Münsters. Zusammenstellung derselben. ....... Die Baunachrichten der grossen Thanner Chronik zu den Jahren 1160, 1184, 1193, 1201, 1224, 1269, 1275 und 1279, sind, ebenso wie die Angaben über eine Beteiligung Erwins am Baue, plumpe Er- findungen Tschamsers ..........................

. Errichtung der älteren Theobaldskirche 1307—1310..........

Beginn ihres Umbaues 1332........................ Der Ablassbrief von 1340 und die Beziehungen der St. Amariner Stifts-

herren zum Münsterbau . ........................ Weitere Anzeichen für den Beginn des Münsterbaues i. J. 1332 . .. Vollendung, Ausstattung und Weihe des Südschiffes 1340—1346 . . .

. Bau des Westportals und eines vorläufigen mittleren Langhausraumes.

Fundamenticrung des Chores und Nordturmes 1351.........

Das Amt des St. Theobaldsbaumeisters. . ................ Zusammenstellung der für die Geschichte der Kirche ermittelten Daten.

IV. Die ältere Theobaldskirche ...........................

Verwechselung der Thanner Stadtkirche mit der Liebfrauenkirche im Dorfe Altthann. 2 ............................,

Die Katharinenkapelle auf der Burg. ................... Die Marien-, Niklaus-, Michels-, Allerheiligen-, Katlıarinen- und Armen- pfründe an der Pfarrkirche zu Altlhann . .......... eures

68

90

II

Seite Ludwig von lassavant und Graf Ulrich von Pfirt als Wollthäter der älteren Theobaldskirche ........................, 92 Stiftung des Kreuz- und des Oswaldaltares. . .. «. . . . . . . .... 93 2. Der Grundriss der älteren Kirche. .................. y4 Der Turin und Chor. . ........................ 96 Noch crhaltene Teile des älteren Baues und seine Masse... . . . . 97 Spätere Verwendung des Chorraumes und der oberen Turmgeschosse. 98 3. Der ursprüngliche Bauplan des Münsters und sein Meister. . . . . . 99 V. Beilagen. . ................................ 103

VI. Abbildungen.

un

9

a

7.

8.

on à

Tafel I.

. Das alte Stadtsiegel von Thann (1296), beschrieben S. 63 und 103.

Das Siegel des St. Dieboldshaus (1417), beschrieben S. 14 und 119. Das Siegel des St. Theobaldsstiftes (1412), beschrieben S. 123. St. Theobald, Graf von Champagne, beschrieben S. 37. | Das Ostensorium mit der Theobaldsreliquie. Tafel IT.

. Erstes und zweites Rundbild aus dem St. Thcobaldsfenster, beschrieben

S. 19—21. Tafel II.

Viertes bis sechstes Rundbild aus dem St. Theobaldsfenster, beschrieben S. 19—21.

Tafel IV. Grundriss des Thanner Münsters.

Reste der älteren Theobaldskirche von 1307—1310. Südschiff, 1332 bis 1344, gewölbt ca. 1390. Westportal in seiner älteren Gestalt, 1341 bis 1356, umgebaut zwischen 1380 und 1422. Chor, begonnen 1351, vollendet 1122. Erste (westliche) Sakristei 1396— 1406. Nordschiff, 1430—1455, gewölbt 1492. Nördliche Pfeilerstellung und tlochschiff, 1468— 1495. ,Westlicher Dachreiter. 1498. Nordturm ‚!begonnen 1351; Vierung, vollendet 1467 ; Achtort und Helm 1506—1516. Neues Theobalds- “ewôülb (zweite -— östliche Sakristei), 1520. Schnecken im Südschiff, 1521. Kapitelssaal und Bauarchiv im Südturm, 1568. Schnecken am Nordschiff (Katharinenschnecken), 1555. Marienkapelle an der Südseite, 1629— 1631.

IS

Das

Seelenbuch des Spitals in Zabern.

(Sp. = Spitalarchiv in Zabern. Urkb. Strassb, Urkundedbuch. St, = Stadtarchiv Zabern. St. Kat. = Katalog des Zab. Stiflsarchive, im Museum zu Zabern. Bez. = Besirksarchiv.)

I. Einleitung.

Ueber die Anfänge des Spitals in Zabern liegen uns nur spärliche Nachrichten vor. Die alten Besitztitel, aus denen manche Angabe hätte können gewonnen werden, scheinen zum Theil im Bauernkrieg zu Grunde gegangen zu sein. Für die Briefe über die Spitalgüter in Reutenburg, wird uns dieser Verlust ausdrücklich bestätigt. Eine neue Beschreibung der dort gelegenen Gültacker musste am Montag nach Bartholomaei 1534 stattfinden, weil dem Spital in Zabern «ire brief und urkundlich gerechtigkeit, darüber sagend, in vergangener beürischer empörung”entwältigt und benommen worden, also dass sie nunmals iren lehnleuten kein brieflich anzeygung, oder wo und neben wem die güter gelegen wärend, habend mögen darthun ». (Sp. 8.)

Wir dürfen wohl annehmen, dass die reutenburger Urkunden da- mals nicht allein verschwanden. Die Bauern hatten es auf die Zerstörung der Besitztitel abgesehen. Nach dem Zeugniss Pfarrer Dempflins (Zinsbuch der Pfarrei, Sp. 2) wurden zu Zabern «das jahrzeitbuch der pfarrei sambt etlichen briefen und rechtlichen registern, auch kelch, mess- gewändern und ander kirchenzierd, in dem burenkrieg zerrissen, verloren und hinweggethan ».

Eine noch 1779 beschriebene Urkunde von 1278, ist erst seither verschwunden. Wir werden auf dieselbe zurückkommen.

Der Spital besitzt*hingegen noch sein altes Seelenbuch, einen mit Per- gament überzogenen Holzband von 0",28 X 0,22. Es umfasst, 18 Perga- mentblätter enthaltend: 1. EinKalendarium mit Notizen über die Stiftungen, 9. Ein Verzeichniss der Wohlthäter, 3. Ein Verzeichniss der Einkünfte. Ein

beigefügtes Blatt Papier enthält auch das Verzeichniss der Stiftungen auf

deutsch, aber ohne Beschreibung. Diesen deutschen Text schalten B. XXI. (M.) 9

130

wir zwischen Klammern ein. Darin gehn, am Schluss, drei Ansätze über das lateinische Seelenbuch hinaus. Letzteres trägt obenan eine Anmerkung vom Jahr 1667, welche, obschon aus so später Zeit, dennoch sehr wichtig ist. Wir widmen ihr darum, wie wenn sie mit zum Seelenbuch gehörte, einen Abschnitt dieser Arbeit.

Die Decke des Seelenbuches trägt auswendig, von der Hand Pfarrer Zwangers (f 1669), die Ueberschrift: «Liber Vitae Hospitalis Taber- nensis ». Inwendig ist sie mit zwei Pergamenturkunden beklebt. Die eine, auf beiden Seiten bloss leicht, unten aber stärker beschnitten, trägt oben den durchstrichenen Namen Johannes Messerer und lie- fert noch folgende Stellen:

«Henricus de Gundelfingen, archidiaconus argentinensis, sacerdoti in Morsmünster salutem in Domino.

4. Noveritis personas subscriptas ad instantiam personarum sub- scriplarum jam diutius [in libro], 2. in quo excommunicati registrari consueverunt, in grave animarum suarum dispendium excommuni- catas et aggravatas multipliciter contineri. Ne igitur in hujusmodi dispendio [permaneant, aut pretexlu, 3. oblivio] nis et ignorancie valeant excusari, ...... vobis sub pena suspensionis ab officio mandamus, precipientes firmiter et d{ecernentes, 4. ut] statim, visis presentibus, moneatis easdem, ut infra octo dies post vestram moni- tionem, ad gremium sancte matris ecclesie redeant et se absolvi procurent ........ 5. ..... Si que aulem ex eis sint sepulle, moneantur earum heredes nominatim, ut pro ipsis satisfaciant et eas infra dictum t[erminum absolvi] 6. procurent, alioquin earum heredes, quos extunc presentibus una cum predictis personis excommunicamus, excommunicatos faciatis, diebus dominicis et festivis, candelam accensam [proferentes] . .... 7. quam publice iniicietis, tamdiu quousque huiusmodi nostris mandatis paruerint cum effectu. Sunt autem hae persone»:

Die jetzt folgenden Namen sind schlecht erhalten. Einige scheinen ausgekratzt, andere sind überstrichen, bei andern wieder, steht die Bemerkung: «Do absolutionem». Aus zusammen 18 Zeilen ist mit Sicherheit bloss Nachstehendes herauszufinden: |

elt. Dietricus dictus Stultzer pro re judicata ..... It... . dicte Irmpsalin ... It. Hartungus . .. It... .. filius dicti Soeger . . .. Merge filie Frederici ... It. relicta quondam dicti Stange... It dictus Suesel ... Walterus dietus Mutzicher .... contra presbyterum Sancti Petri argentinensis . .. It. dictus Weregne.»

ee

11

Das ganze Schriftstück ist ohne jeglichen Bezug auf den Spital. Doch kommen uns darin, bei unserer Untersuchung über das Seelen- buch, mehrere Namen zu statten. Aus dem Strassburger Urkunden- buch (B. III, 166 u. 220) ergibt sich, dass Heinrich von Gundelfingen Erzdiakon war, ungefähr von 1304 bis 1312, und letzteres Jahr am 29, Juli sein Testament aufstellte.

Noch weitere Namen sind nachgewiesen. 1317 wird, Urkb. III, 264, das Haus des auch in unserem Seelenbuch vorkommenden Frischo von Sessolsheim beschrieben, als gelegen in Strassburg, « juxta Nicolaum dietum Stange de Morsmünster, civem argentinensem». Daraus dass die Stange von Maursmünster waren, erklärt sich das Vorkommen dieses Namens in der vorliegenden Urkunde. Niclaus Stange wird noch genannt, aber ohne andere Angabe, 1328 (Urkb. IV! 195) und 1330 (Urkb. III 379).

Desgleichen ist, Urkb. III 282, die Rede von zwei Häusern, gelegen “extra muros Argentine in dem Bruch bi dem Mutzicher» (21. Jan. 1.320) Ob hier unser Walther Mutzicher gemeint ist, bleibt zweifelhaft. Johannes Messerer kann hingegen kaum ein anderer gewesen sein, als der am 12. Dez. 1311 (Urkb. II 213) vorkommende «Frater Johannes dictus Messerer, prior fratrum heremitarum ordinis sancti Augustini, domus extra muros Argentine ».

Demnach ist der Mahnzeitel an die Leute in Maursmünster ungefähr von 1310. Die andere noch aufgeklebte Urkunde ist vom heiligen Ostertag 1320. Kraft derselben verkauft «Eberlin, hern Hessen seligen son, eines ritters und eines herren von Griffensthein », um 8 Mark Silber, und als rückkäuflich, « Walthern eime edeln knechte von Shnersheim und sin erben, ahte viertel halp rocken und halp gersten geldes», von seinem Zehnden in Wasslenheim, jährlich «zwischen unser frowen mes der eren und der jungeren (Mariae Himmelfahrt und Mariae Geburt) zwo milen verre von Wasselnheim » an den Käufer oder seine Erben zu «entworten ». Eberlin stelli als Bürgen «hern Lutzemanne ses- ritter zu Geroltzecke, Henselin und Albrecht gebrüder, miner (Eberlins) swester sune, herren von Hohensthein, und Johansen einen edeln knecht von Sweinheim dem man spricht von Bruomat », welche miteinander ihre Insiegel an den Brief hängen.

Johann von Brumath, sowie dem Namen Hohenstein, begegnen : wir aber im Seelenbuch.

Die sofortige Verwendung eines Kaufbriefes als Einbandmaterial, ist nicht leicht annehmbar. Anderseits könnte der Einband auch jünger

132

sein als das Buch, so dass wir, um das Alter dieses letztern festzu- stellen, uns weiter umsehen müssen, und darin die Namen zu unter- suchen haben. Dies kann nur geschehn durch Herbeiziehung anderer Urkunden. Eine der wichtigsten ist hierbei der im zaberner Stadt- archiv L. 18 zum Theil abschriftlich, L. 20 aber im Original, und mit 3 noch erhaltenen Siegeln, vorliegende «küttolsheimer Kauf- brief».. Aus demselben ergibt sich, dass Hans Bernack von Kutzelsz- heim, ein auch sonst vielfach genannter Ritter, und sein Vetter Wilhelm Sranck, ebenfalls ein Ritter, als greiffenstein’sches Lehn ge- meinschaftliche Güter besassen zu Künigshofen und Kaltwiller, zwei Dörfern jenseits der Steige, sowie auch in Lupstein und Zabern. Wilhelm Sranck tritt seinen halben Theil an Hans Bernack ab, wofür dieser an die drei Brüder « Eberhart, Wilhelm und Eberlin, herren von Griffenstein, herrn Hessen seligen sun», 300 rheinische Gulden bezahlt. In diesem Kaufbrief werden die zu Zabern gelegenen Güter in 41 Nummern beschrieben, meist mit Angabe der Nachbarn, wodurch wir eine Reihe von Namen gewinnen, von denen mehrere im Seelen- buch vorkommen. Wir lassen darum hier diese Beschreibung folgen: «Und dies sind die güter gelegen in der statt und bann zu Zabern. 1. Zue dem ersten Fritschmann küffer nebent Zapffen, vier untzen pfennig. | 2. It. Ottmann s[mildes hus, indewendig daran, & pfennig und fünt kappen. 3. It. uff Winters hus, inden an der smid, fünf kappen. 4. It. uff Marleyes hus an dem roszpfül, fünf pfennig. 9. It. Götz Lutensheimes hus, darnebent, [..... ] pfenig. 6. It. die Closnerin, zwen pfenig von eym halben acker reben in dem loch. 7. IL Hartman Falkenstein, zwen pfenig von eym halben acker reben neben der Closnerin. 8. It. Riechter der sattler, vier pfenig von eim acker nebent Hartmann. 9. It. Schönmetziger, zwen pfennig von eym halben acker reben nebent Riechtern. 10. It. Ellekint, der nuwen wirtin dochter, zwen pfenig von eym halben acker reben nebent Schônmetziger. 11. It. Gôtze, fro Sibilien sun, zwen pfenig von eim halben acker reben nebent Ellekinde der nuwen wirtin dochter. |

134

34. Johannes Kouffe, ein halben omen wins von eim halben acker an lietengruben.

35. It. Mestekage, ein halben omen von eim halben acker, lit inden daran.

36. It. Narrenberg, ein halben omen wins von eim acker, litt in der liettengruben.

37. It Zoller, ein omen wins von eym acker, litt an dem hohen- burge.

38. It. Jöcklin an dem roszpfuel, ein halben omen wins von einem stück, lit darnebent.

39. It. die Schalingerin, ein halben omen wins von eim halben acker reben, litt an dem hohenburge.

40. It. Bevellerin, ein halben omen wins von eim halben acker reben an dem hohenburge. |

44. IL Kuneman, er und sin gemeynden, vier sester rocken von vier ackern in der owen.

42. lt. swester Else, ein ‚sester rocken von eim garten, lit in der owen nebent denselben ackern.

43. It. her Bernack hatt auch ligen ein matte an der owen nebent der Vesselerin.

44. It der halb zehende sol werden her Bernack von allen disen vorgeschriben gütern. |

45. It. der apt von Nuwiller hatt ligen sehs matten an dem aples- berg, do ist der halb zehende auch herr Bernack von Kutzelsz- heim.

46. It. try acker ligent in der owen, by Conrat olemans acker, der-

selb halb zehende ist ouch sin.

41.1. ein und trysig acker ligent in dem baun zu Zabern, do ist der halb zehende ouch sin.

Geben am pfingstobent do man zalt von der gepurt Christi

tryzehen hundert und trü und vierzig jor (1343).

Andere Namen werden uns (St. 23) wieder geliefert durch einen Brief von St Veltentag 1380.

Unter diesem Datum verkauften nämlich: «Gerdrut von Knors- heim, Eberlin büttels seligen eliche wittwe, burger zu Zabern, Heinzeman und Nese ire elichen kint, .... den erbern und bescheiden luthen, dem gemeinen angwergke, den gerwern zu

136

Albrecht, « den man spricht Vorliebekindin », Bürgern zu Zabern, und dem dortigen Spitalmeister, « Dielman Melzen », getroffen wurde, über «des vorgenanten spitals gemeinechtlichen zwen halbacker reben . .. an der steige und in dem banne zu Zabern, einsite nebent Claus Koffen dem metziger und die ander seit an dem steygewege», um jährlich ceinen omen und achtzehn mos wins. » Diese Gülte ist nicht auf- gezählt. Dieselben zwei Brüder hatten, laut Angabe desselben Vertrags, auch «einen omen ewiges wingeltes in dem herbste dem spital zu bezalen von zwei vierzel reben, also sy gelegen sind eine an dem buss, stossende uff der Melerin twergagker, und die andere gelegen an der winder- halden, nebent des heilgen cruces gut.» Auch dieses «Weingelt» fehlt. Ein Erblehnvertrag von Samstag nach Halbfasten 1389 wird ebenfalls vermisst. Nach diesem hatten (Sp. 6) «Peter Oleyman von Lutenheim und Nese, Phössen dochter, sine eliche huszfraw», von «Frische Welgker, des spitals schaffner zu Zabern, und Johannes Metzelin, desselben spitals pfleger, » ein Haus gelehnt mit Garten, vor dem Oberthor, cheisset blanken- burger hus, ligt einsiten nebent Steffans seligen wittwen huse von Schweinheim, die andersit nebent Peter steinmetzen hus, das do zu ende uff den rein stosset,... umb ein pfund ewigen geltes guler strassburger pfennige, die sie alle jor jerlichen uff sancte Johans tag baptiste geben und bezalen sollent» (Sp. 8.) Auch vom 7. August desselben Jahres 1389, liegt (Sp. 4) im Inventar von 1562, über eine jetzt verlorene Urkunde, nachstehende, im Seelenbuch wieder völlig unberücksichtigte Angabe vor:

Herr Hans Keller von Zabern, ein frügemesser zu sanct Martin zu Strassburg, hat einer freien und unwiderruflichen gaben oder donation geben und zugestelt den kranken im spital zu Zabern, ein krautgarten mit allem begriff und zugehörden, ausswendig der vorstatt gelegen, oben an der Steiger mülen, zwischen den zweien wassern, welcher jars den hailigen der pfarrkirchen daselbst jerlichen ein pfund wax gibt. Solchen garten hat Hanns Meier von Wissentaw, als spitalpfleger, empfangen und aufgenommen anno 1389, laut eines darüber lateinischen brieff so zu anfang also lautet: «Coram nobis judice curiæ argentinensis constitutus Joannes Keller presbyter de Zabern » und zu Ende: «Et in evidens testimonium premissorum sigillum curiæ argentinensis, ad petitionem donatoris et gubernatoris prescriptorum, præsentibus est appensum. Datum 7. idus Augusti anno domini millesimo trecentesimo octo- gesimo nono. »

137 Ebenso fehlt im Seelenbuch folgende Sufung:

Ich, Hug Zinke, Vogt zu Borre, dûn künt mengelichem mit disem gegeuwertigen brieffe, daz ich fur mich und alle mine erben und nachkömen, und wur allermengelich, läterlich durch Got und mime selenheile, zu einem rechten selgerete, geben hant dem spitel Zabern und den siechen in dem selben spital, zwene schillinge guter strabburger pfennige jerliches ewiges pfenniggeltes, die ich habe uff dem erbern knechte Claus Welker, eime burger Zabern, und fallende sind uffe singihten, die er jerlichen git von eime bômstucke gelegen in der borre halden nebent Schahan Ülin, mime dochterman, daz derselbe Claus Welker zu eime rechten erbe umb mich gelehent hat; do wil ich, und heisse den vorge- nanten Claus Welker und sine erben, oder were das vorges(agl) - boumstuck in handen hat, daz si dem egenanten spitel und den siechen doselbes, der vorgeschriben zweiger schilling geltes gehor- sam sigent und geben, und niemans anders, vur mich, alle meine erben und nachkömen ... St. Gallen obend 1398.» (Sp. 4.)

Andere Namen, oder Gülten, aus späterer Zeit kommen ebensowenig vor. Wir werden hiermit nothwendig zur Annahme geführt, dass zwischen 1378 und 1383 die Eintragungen aufhörten, sowie auch, dass sie später nicht wieder stattfanden. Wann das Seelenbuch begonnen wurde, lässt sich dadurch mit beinahe völliger Bestimmtheit angeben.

An die Zeit der ersten Stiftungen ist nicht zu denken, denn von Henko und seinem Zeitgenossen Heinrich von Rittenburg (1270 oder 1278) ab, laufen im lateinischen Verzeichniss der Wohlthäter, dieselbe Schrift und Tinte längere Zeit fort, durch eine Reihe von Namen, unter welchen uns Fritsch von Sessolsheim (1306) Reinbold Falke (1315) Heinrich Buckenheim (1320), und selbst die noch 1343 vorkommende Lucardis Pfennigmännin entgegentreten. Wir können demnach, einerseits, mit der ersten Anlage des Registers nicht allzuweit hinaufgreifen, anderseits dürfen wir aber auch nicht allzuweit herunter gehn.

Den sichersten Anhaltspunkt bietet uns Walther, ein Kanonikus von St. Leonhart. Seine Suftung ist vom Jahre 1313. Bei seinem Vater und ihm begegnen wir aber schon einer andern Schrift, und vor dem Wechsel der Schrift, einer blassern Tinte. Im ganzen zählen wir von dem ersten Absetzen, bis auf Walther wieder 7 Ansätze, so dass man mit der Datirung am besten ungefähr bei 1310 stehn bliebe. Das Datum 1304, im Kalendarium 5 V°, kann eine Nachholung sein. Auch ist zu

138

bemerken, dass 1% R°, in einem lückenlosen Texte, Hand D vor B beginnt, nach B aber wieder ansetzt, ein Beweis, dass damals 2 Schreiber die Eintragungen besorgten.

Im Urkundeninventar von 1561, (Sp. 3) wird das Datum der soeben erwähnten Stiftung Henko’s angegeben mit «anno domini M CC. LXX ociavo Kal. februarii», was statt 1278 am ersten Februar, wie es (Sp. 3) im Inventar von 1770 aufgefasst wird, sehr wohl bedeuten könnte: Octavo Kalendas Februarii M. CC. LXX (am 23 Jan. 1270).

Wir geben hier den ganzen Auszug von 1561.

«Zu wissen dass ein alt klein brieflein vorhanden. Sein anfang: «Coram nobis Volmaro sculteto, neenon Reinboldo...», sein end aber: Datum et actum anno domini M. CC. LXX., octavo kal. februa. und mit der stette Zabern grossem insigel besiegelt; und besagt diss briefflein wie die güter zu Mutzenhausen an den spital zu Zabern geben worden seint von Thieterich Encken, der sie durch Heinrich von Ritenburg spitalmeister hatt lassen kaufen, fur sich sein leben lang, und nach seinem thot dem spital. Diese lauten also:

item sechs fiertel korns zu Mulzenhausen, von nachvolgenden ackern: Item Ill acker neben sanct Blesen acker. Item zu escher- rosen L Item vor mielwalde ein. Item bey dem weir L Item an der steigen IL Item bey der steingruben '/. Item an dem nideren veld I. Item bey dem weg ein frecht. Item vor dem mielwalde ‘/.. Item hinder genselache I. Item und der reinen L Item in dem garten ‘/, frecht.

liem zu Gundesheim fünf viertel: Item zu morsal ‘/,. Item zu dem nahern steinbrunn '/, Item zu des gellers rein '/, Item uff hart I. Item an dem mülweg ‘/, frecht. Item zu bonenweg fünf vierdegezal. Item uff gugenheim veld '/, Item uff Guntrames berg ‘/.. Item uff wanesdale '/, frecht. Item an dem mielwege '/,. Item zwischen den zweien reinen '/, frecht. Ilem in der keln L Item in wanesdale '/, matt und ein halb baumstück. Item ‘/, acker, stosset in krimmle matt neben dem pfaflen von Oberho.

Îlem zu Onolvisheim II fiertel jerlich von den ackern, nemlich: Item in gottelines winkel ‘/,. Item im munsterling weg 1 viertzal. Item uff hegeweg '/,. Item bey sant Martins burnen I. Item bey der weingart heg L Item uff breitenloch 1 vierdegezal. Item zu Zabern von einem fleischbank fünf schilling pfennig. Item in Monoltzweiler bann ein malt, gemein mit Sywalden.»

RU ve

Dieser Sywald ist uns bekannt durch einen jetzt im Stadtarchiv L. 17 befindlichen, aber 1561 im Spital inventirten Brief, in welchem Heinrich, ein Ritter von Borre (Hoh-Barr), mit Else seiner Ehfrau ein Lampenlicht stiftet vor dem St. Bartholomæusaltar in der zaberner Kirche, und hierfür Goetz dem Bäcker (furnario) zu Zabern 4 Frucht- acker als Erbstandsgut überlässt, Dieses Gut sollte auf das älteste der Kinder Götzo’s «quem generavit aut generabit ex sua uxore legilimä Demude filia Siwaldi de Monoldeswilre», und hernach immer auf den ältesten Erben übergehen. Das Schriftstück ist vom 8. April (sexto Idus Aprilis) 1285, ein Umstand, der, wie wir zugeben wollen, bei Henko vielleicht eher für das Datum 1278 als für 1270 sprechen würde, St. Blasius ist nebenbei bemerkt, noch heute Kirchenpatron oder Heiliger zu Mutzenhausen.

Das dem Seelenbuch beigegebene deutsche Verzeichniss, ist aus dem 15. Jahrhundert. Der erste darin über das Kalendarium hinausgehende Name ist Cunrat Schriber, wahrscheinlich der von Fischer (Gesch. v. Zab. 156) ohne Quellenangabe, für 1434 verzeichnete Stadischreiber Conrad von Berlingen. Die zwei andern noch angegebenen Namen, Burgers Ennel und die Schurmeygerin, sind von blasserer Tinte und anderer Hand. Dem Namen Schurmeyger begegnen wir zweimal. Am Samstag vor St. Dionisientag 1434 verkauft (St. 233) «her Claus Schürmeiger, ein Priester von Zabern,.... Nese Schallerin von Mels- heim sinre Stieffmutter», also der Schürmeigerin «zum ersten ein hus, hof und hoffestat, ... in der alten statt zu Zabern, unferre von dem obertore, einsite nebent Katherine, Otteman schuosters seligen, willwe, die ander site nebent juncker Hartunges seligen hoff von Wangen» (dem jetzigen Pfarrhaus) . .. Item auch ein Garten gelegen in zabern banne, nebent Retich dem pfiffer einseite und stosset hinten uff die ruten», desgleichen noch eine Reihe anderer Güter, Im Wegver- zeichniss des alten « Stettebuches», in welchem einzelne Namen bis 1410 hinaufreichen, das aber ein wenig später mag entstanden sein, finden wir einen Allmendweg beginnend vor der obersten Ziegelscheuer und (gegen den Rennweg) ziehend «untz an Schurmeigers erben garten». Die Schurmeigerin fällt also kaum in die zweite Hälfte des 15. Jahr- hunderts und ist vielleicht sogar noch vor 1450 zu setzen. Ein cher Johans Schurmeyger » wird in einer Zinsrodel für Altenheim und Olwisheim, vom Jahr 1483 (Pfarrarch. Waldolwisheim), 6 mal genannt.

Die Ueberschrift des deutschen Verzeichnisses: «(D)is sint der Namen

4140

aller der die ye gutes hant geton dem spilel, oder sich bevolen hant in die bruderschafit des spitels sant Niclaus zuo Zabern, der sol man gedenken so man billet fur alle die die dem spitels guotes geton hant, su sint sint doht oder lebenig» ist demnach so aufzufassen, dass der Hersteller die Namen der längst verstorbenen Wohlthäter aus dem Seelenbuch ausschrieb und nach ihnen seine Zeitgenossen eintrug. Der Zwischenraum blieb bei ihm unberücksichtigt

AUS

riorum predictorum, quos Henricus, Ellina et Gülzo prespiter, liberi quondam Alberli novi hospitis de Zabern, dicte donatrici, etiam annuatim persolvebant, de uno orto sito an dem Mülacker, super Sornam tendente, similiter (sicut) in instrumento contento, et sigillo diete civitatis sigillato, plenius continetur, se donasse, assignasse et libere resignasse publice est confessa, hac tamen condicione, quod Johannes, cappelanus dicti hospüalis, predictis redditibus ucifruatur quamdiu vixerit, ad suas necessitates suble- vandas, pleno iure, post eius obitum vero, prescripti redditus apud ipsum hospitale seu decumbentes in ipso perpetuo debeant permanere. Transtulit etiam per porrectionem calami, ul est moris, pro se et eius heredibus, dicta donatrix in nos, judicem predictum, presentem et vice el nomine sepedicti hospitalis et decumbentium in ipso recipientem, omne jus, possessionem, proprietatem et dominium, vel quasi, que ei in dictis redditibus competebant aut competere poterant, modo quovis, consliluens se et eius heredes dicta donatrix warandos et principales debitores dictorum reddituum [venditorum et perci- piendorum], erga ipsum hospitale et in ipso decumbentes, adversus quemlibet, ut est iuris. Renunciavit insuper ipse pro se et eius heredibus exceptioni pecuniae non numerate etc......, omnique juris auxilio canonico et civili, consuetudinibus et statutis tam pu- blicis quam privatis, exceptionibus et defensionibus aliis quibus- cumque et contra premissa, in judicio vel extra, in posterum vel ad presens quomodolibet valituros. Et in hujus rei testimonium sigillum curie argentinensis presentibus est appensum. Actum Il Idus Aprilis anno Domini millesimo trecentesimo quodragesimo quinto. (1345.) »

Unter den «redditus denariorum» ist in Seelenbuch, Hand A, von einem Acker die Rede, «qui jacet cum arboribus cerusarum bi der zigel- schuren» und von dem Herman Seiler eine unze (4 Schill., 8 Pfenn.), und Eberlin Seiler 8 Pfenn. bezahlt. Es handelt sich dort offenbar um eine ganz andere Stiftung, als die der Katharina Betteman. Auch sonstwo ist die Schenkung letzterer nicht verzeichnet. Von der Eintragung dieser Gülte wurde bei Lebzeiten des einstweiligen Empfängers abgesehen und als ers tarb, hatten die Einschreibungen in das Seelenbuch bereits aufgehört.

Frischo Bevelin 11 R°: (Hand F), 15 (Hand A), 17 (Hand B). Ein Bruder der Birkin von Otterstal, Namens Frischo Bevelin, war

144 1321 Spitalmeister. Die 1343 vorkommende Bevellerin (Küttolsh. Kaufbr.) und Bevelin der Erzpriester, 15 (Hand A), gehörten anscheinlich

zu Frischo’s Verwandten. Möglicherweise gab es einen ältern und einen jüngern Frischo Bevelin (Hand A und F). |

16 R°: Johannes Billung de Knörsheim (Hand D). Die Schrift ist hier dieselbe wie bei den drei Namen Niesac, der Melerin Sohn, und Johan von Hohenstein. «Hans Billung von Bergzabern myns gnädigen herren balbierer selig», dem wir 1475 (St 32) begegnen, gehört also zum voraus nicht hierher. 1351 finden wir zu Strassburg (Urkb. V 245) Johann Billung den Kürsner, «bürger und schöffel», doch ohne An- gabe über seine Herkunft.

17 RP: Birke (Hand D). Der Name kommt noch mehrmals vor: 8 V°, Gotzo Birke (Hand E); 11 V°, Conzo von Bircke (Hand A); 16 R°, Agnes de Oterstal, dicta de Birke (Hand B); 11 V°, der Birkin Hof in der Kirchgasse (Hand H.) Cf. Knobloch (G. B. 37): Claus zur Birken, 1398, zu Strassburg. |

44 V°: Demut die Blindin (Hand A). Cf. Ibid. Hand E., wo dieselbe Stiftung ein zweites mal eingetragen ist, mit der Bemerkung, dass der Hof auf dem sie ruhet, in Wintersberg liegt.

14 R°: Johannes von Brumat (Hand D) wurde schon oben (1320) erwähnt, als ein «edler Knecht von Schweinheim». Auch im küttols- heimer Brief (1343) kommt er vor. 1359 (Knobl. G. B. 50) wird ge- nannt «Hugo de Sweinheim natus quondam Johannis dicti de Brumat, armigeri».

13 Ro: Henricus presb. diclus Buckenheim. Heinrich von Bucken- heim, ein Priester, zu Zabern wohnhaft, hinterliess (St. Katal. 4, 36, 49 u. 93) 1320 den Steigern, zu einem Anniversarium, verschiedene Güter und Zinse zu Eckolszweiler, Gottenhusen und Monoltzwiler.

5 Ro: des Burggraven hag (Hand E). 16 R’: uff’ des Burgraven reben, uff den Burgraven (Hand A). Vielleicht ist hier an die Reimböldelin zu denken, die, nachdem Reimbold Reimboldelin zu Strassburg Burggraf gewesen war, sich unter Hinweglassung des alten Familiennamens einfach Burggraf nannten. Reimbold hatte eine Tochter des Ritters Johann v. Wa- sichenstein zur Frau. Das von Reimbold und seiner Gemahlin gegründete Gotteshaus am Merisot (S. Barbaragasse. Cf. Seyboth, das A. St. 71) hiess später des Burggrafen Gotteshaus. Dieser Reimbold wird schon genannt 1302. Wenn er identisch ist mit dem 1301 vorkommenden Reimbold an dem Holwege, so war damals seine Frau «domina Agnes de Brumntt»

446

gelegen, juxta Heintzonis filium quondam dicti Cuontzenhenselin de Eckolizwiller . . . Item I vierdegezal, stosset uff die hegematte juxta Heintzonem, filium quondam dictt Cuonzenhenselin » (Sp. 8).

15 R°: Agnes filia Ærbonts (Hand A). Hier zugleich genannt mit den im küttolsh. Brief (1343) vorkommenden zwei Namen Dietrich Pfennigmann und Dietrich Pfister. Der in Walters Stiftungsbrief 1313 uns entgegentretende Schôffe Erbo könnte hierher gehören.

13 R°: Falko filius Reimoldi (Hand A). Einen Reimold oder Reinbold finden wir in Henko’s Schenkung (1370 oder 1378) als Schöffen. 1315 (Bez. C. 5774) verkauft Reinbold Falke von Zabern, ein strassb. Bürger, an Heinrich, den damaligen Prior des zaberner Steigerklosters, um 31 Mark Silber, sein Drittel an einem Hofe, von dem zwei andere Drittel schon 1289 durch Friedrich von Uffwiller, einen Ritter, gegen 95 Mark Silber und Uebernahme einer Jahreszeit, an dasselbe Kloster waren abgetreten worılen.

Hartmann Falk und Gossegut «Reinbolds seligen» Söhne und Beldelin ihr Vetter, «Valken seligen» Sohn, werden (V. supra: Beldelin) 1354 miteinander genannt.

Derselbe Hartman Valke ist bei Knobloch (G. B. 80) in folgendem Zusammenhang erwähnt: «Hartmannus Valke de Zabernia, civis argen- tinensis, et liberi sui Reimboldus et Nesa, 1367.» Ebenso kommen vor: Johannes, filius quondam Johannis Valke de Zabernia (1388), seine Wittwe Greda von Maursmünster und seine Kinder Reimbold und Katharina. Heinrich Valke besiegelt 1428 einen Absagebrief an die Stadt Strassburg. Die Falke hatten Lehen von den Geroldseck (Knobl. Ibid).

15 R°: Von Frundisberg (Hand D). 1269 (Urkb. 11 12) versprechen Ludwig und Symond von Frundesberg, dem Bischof und den Bürgern zu Strassburg, Beistand gegen Friedrich von Windstein. Symunds beide Söhne Symond und Conrad, besitzen 1314 mit Eberhard von Frundes- berg, des verstorbenen Eberhard Sohn, zu Sessolsheim das Patronatsrecht über die dortige Kirche, samt dem Neubruchzehnten, und treten es ab gegen 110 Mark Silber, an den strassb. Schultheis Nikolaus Zorn (Urkb. III 233). 1349 tritt uns (Urkb. V 203) Else von Frundesberg, als Frau des Sigfrid Lymeltz v. Löwenstein entgegen. Die Heirath hatte 1346 stattgefunden (Clauss Wörterb. 360). Besitzer der Burg Frundes- berg waren damals (Schweighäuser, Antiquités 167) Eberlin v. Frundes- berg, Sigfrid v. Löwenstein, Ludwig v. Frundesberg und Reinhard

148

weiler auf Ingenheim verwidmen mochte». Mit der «villa Ingenheim» waren Eberhart und Eberlin (Vater und Sohn) 1316 belehnt worden (Kiefer, Pfarrb. 247). Eberhart ist 1348 Schiedsrichter zwischen dem Kloster Sindelsberg und dem Dorfe Waltenheim (Bez. H. 619). Ein Eberlin v. G.., wahrscheinlich Hesso’s Sohn, kommt (Urkb. II 414) wieder als «Eberlin der eltere» vor. Wilhelm v. G. ist 1356 (Knobl. G. B. 97) Pfahlburger der Stadt Strassburg.

5 R°: Grosfrüschen Heinizeman (Hand H). Das alte Wegver- zeichniss enthält folgende Angabe: It. so get ein wagen weg uff gein Borre zwischen Wollebens garten und Pfister Heinzmann veldackern, der ist XXXI schuhe wit und breit und zihet fur sich uff bitz uff Walter Stumpffs veldacker, als das mit margsteinen untersetzt ist. It. darnach ist aber ein almende weg gein Borre uff, zwischen Gross- früschen veltacker und Wollebens acker.» Beide Wege sind vom Renn- weg, der ebenfalls 31 Schuhe breit ist, sowie vom Weg «die Delle ufl» verschieden. Der hier genannte Heintzmann Pfister kommt 1412 (St. 32) und 1415 (Sp. 6) als Schôffe vor. Walter Stumpf ist Schöffe 1405 (St. 18) und 1419 (St. 36). Indem aber Grossfritschen Heintzemann zu- gleich mit Nicolaus Suneman und Winterhensel (V. infra) genannt wird, ist er notwendigerweise noch in das Ende des 14. Jahrhunderts hinauf- zurücken. Seine Feldacker konnten auch nach ihm noch seinen Namen ragen.

45 Vo: Gutkind (Hand A) wird hier kurz nach Frischo Bevelin genannt, der gegen 1320 lebte. 7 Vo kommt, mit der Schrift H, ein Gut- kind vor, der gegen 1380 gelebt haben muss, und wohl kein anderer sein wird, als Gutkind der Schmied und Mitbesitzer der Schleifmühle in Schlettenbach. (Cf. Wilhelms Hensel.)

45 Vo: Petrus dictus Hase und Johannes sein Sohn (Hand F) und 46 Ro: Fritschmann filius dicti Hase. Letzterer war nach Schrift (Hand F) und Text, ein Zeitgenosse der auf derselben Seite genannten «Ellekind _ der neuen wirtin». Im küttolsheimer Brief (1343) heisst Ellekind noch der neuen Wirtin Tochter, so dass hier, wo sie selbst die neue Wirtin ist, an eine spätere Zeit zu denken wäre. Einen Hasen Hensel finden wir 1380 (St. 23) unter den Gerbern in Zabern. Noch 1450, werden als Gerber eingeführt (St. 29) Loys und Diebold Hase.

43 Re: Dittericus dietus Henko (Hand A). Im Urkundeninventar von 1779 (Sp. 3) heisst es: «Mutzenhausen. Anno 1278 hat Dithericus ge- nannt Enke, ein Spitalpfründner des zaberner Spitals, gelegen ausser

450

Wittwe, vermachte dem Convent zu den Barfüssern in Zabern 20 Gulden für eine Jahrszeit. Diese Summe wurde an den Spital abgegeben, am Mittwoch nach St Urbanstag 1546. Die Franziskaner erhielten für die Abhaltung der Stiftung jährlich 9 Schill. Bei etwaigen Eingehn des Klosters sollte das Hauptgut dem Spital verbleiben (St. 13 u. 32).

12 Ro: Jösel cerdo (Hand E). 1313 in Walters Stiftungsbrief: Jöseline der Gerwer.

8 Vo: Jülins kind dat (Hand N). 1384 verkauft Hesseman v. Greiffen- stein ein Pfund Pfennig, ruhend zum teil auf seiner Matte «in der owen nebent Jölers matteplatz uf dem berger. 1419 werden wegen des «gebresten den der spital zu Zabern nuzumale hat an schaffeneren und pflegern, die sich desselben spitals und seines gutes annement, Bölde der Rebman und Jölers Katherin, seine ehliche Hausfrau, als oberste Pfleger und Schaffner ernannt. Sie bringen 8 Stück Rindvieh, À Pferd, ein Schwein, 14 Reb- und Feldstücke samt ihrem Hausrat mit, und dürfen von der «meisterschaft» nicht entsetzt werden. Jülin und Jöler scheinen derselbe Name zu sein.

13 Ro: Junta (Hand A). Vielleicht die 1323 vorkommende «Junta de Zabernia, soror quandam Petri plebani in Dabichenstein». Urkb. III. 302.

7 R. Heinize Kirkeler (Hand H). Einen ältern Heintze Kirkeler finden wir (N. Stadtb. 352) schon 1306. Der hier genannte ist Zeit- genosse Winterhensels, Baltzen Lawelins u. s. w. Er wird (St. 23) als Schöffe erwähnt am Donnerstag nach S. Lucientag 1371. Ein noch jüngerer Heintz Kirkeler kommt als Schöffe vor (Sp. 38, St. 23) von 4445 bis 1436. Im Seelenbuch wird der zweite Heintze Kirkeler auch 48 Vo (Hand K) angeführt. Der Name Kirkeler erinnert an den 1305 zu Bologna als «canonicus argentinensis» immatriculirten und nach einem sehr bewegten Leben 1360 zu Pairis als Noviz gestorbenen Conrad von Kirkel. (Cf. Ristelhuber Strasb. et Bol. 22 ff). Er hatte am 10. Sept. 1337 den Strassburger Bischof Berthold von Buchegg im Schloss Kirkel in der Pfalz einsperren lassen. Von der Ortschaft Kirkel werden auch die Kirkeler zu Zabern ihren Namen erhalten haben. Wir begegnen 1402 (Sp. 5) einem solchen als Kaplan des zaberner Spitals und 1420 einem andern als ckirchhere und erzpriester zu Zabern». Der Kaplan hiess aber «Nüclaus Stege, genannt Kirkeler». Der Erz- priester war sein Veiter. Beides ergibt sich aus folgendem Brief (Sp. 5):

elch Anszhelm Kirckeler, kirchhere und erzepriester zu Zabern tun kund allermeniglichen mit diesem briefe, als her Claus Stege

152

Nese und Clara, erstere vorher verheirathet mit Niclaus von Heiligen- stein, und die andere mit Ritter Walter von Mülnheim aus Strassburg, die Gülte auf die Lochmühle an Johan Meiger von Kleinwisendowe, Bürger in Zabern.

8 Vo: Cuno de Luphenstein (Hand E). Ein «Guno de Lupphinstein ministerialis ecclesie argent.» kommt, mit Judinta seiner Ehefrau schon 1119 vor, ein anderer wird um 1193 genannt (Knobl. G. B. 181). 1312 wurde (Ristelhuber, Strasb. et Bol. 8) «dominus Conradus (Cuno) de Luppfenstein» in Bologna immatriculirt. Er mag derselbe sein wie Cuno, Ritter Hezelo’s v. L. Sohn, dem wir 1856 als Rector der Kirche zu Gottesheim begegnen (Cf. Schöpflin-Ravennez V. 691). Ein Edelknecht Namens Johannes v. L. wohnte 1363 (Knobl. ibid) in Zabern. Einen Cuno v. L. finden wir 1869 (Urkb. v. 654) wieder, mit 12 andern Rittern und Knechten, als Bürgen Heinrich Conrad’s von Lichtenberg. Die Stiftung im Seelenbuch wird wohl von Cuno dem Rector zu Gottesheim herrühren. Johan v. L. und Johan von Dellingen, Edel- kneckte, vermachten (St. Kat. 25) 1363 den Beginen in Zabern 2 ohme Wein auf dortige Güter.

48 V°: Jecklins Lastold (Hand K) kommt 1380 (St. 23), beim Ankauf des grossen steinernen Hauses hinter der Metzig durch die zaberner Gerber, als Lutolts Jeckel vor. Die hier gleichzeitig genannten Degin und Gottesheim gehörten ebenfalls zum Gerberhandwerk und heissen dort Claus Degen, oder Degens llensel, und Johans Gottensheim. Heintze Kirgkeler ist beim Kauf als Schôffe zugegen.

9 Vo: Melerin (Hand D). Die Melerin wird genannt 1343 im küt- tolsb. Br. 1382 (Sp. 8) erscheint ein Meler als Geschworener «des gerichts und rats zu Zabern». 1383 besitzt das Spital ein «vierzal reben an dem buss, stossend uff der Melerin twergacker». Cf. 16 Re: «Katha- rina relicta dicti Mehlin» (Hand A).

4 Ro: Friedrich Mesers son von Wilre (Hand D). Unter Wilre ist hier Lochweiler oder W. im Loch zu verstehn. Einen Friedrich Meser (Mezzere) und seinen Sohn Friedrich finden wir schon 1239. Sie werden damals von Bischof Berthold mit einer Hofstatt ın der Flachsgasse zu Strassburg belehnt. 1311 kommt der schon erwähnte Prior Johannes Mezzerer vor. Knobloch (G. B. 195) nennt noch Rulman M., 1327 Bürger in Strassburg, Walther M., 1367 im Rate von der Ritterschaft, Johannes M., 1382 Ammeister, Nicolaus M, 1407 Vice- guardian bei den Barfüssern in Basel, und 1483 Martin M., Sohn Johan

153

Ehrhard Messeres, eines Bürgers in Strassburg. 1417 enthält die Be- schreibung der dem Spitalschafiner Bölde in Zabern (cf. Jülens Kind) und seiner Frau zugehörigen Güter, über die Messerer folgende Meldungen: «Das erste (Gut) ein huss, hoff mit drotten gelegen in der mittelstait nebent Fritze Messerer ... It. ein vierzal an der bus in oetristal banne nebent Hensel Messerer ... It. ein vierdezal am dünre nebent Hügel Messerers gule.» Die hier genannten Messerer werden sämmtlich Söhne eines früheren Fritze Messer oder Messerer gewesen sein. Das Alter der Schrift D (gegen 1343) zwingt zu dieser Annahme.

14 Vo: Johannes Mirseler (Hand A). 16 R°: Fridericus Mirselere (Hand A).

18 Vo: Berthold Munch (Hand K). Am Freitag nach St. Urbanstag 1356 wird (St. 29) genannt: «Berthold Munch ein Ritter, schultheis.» Dem Namen begegnen wir auch am Donnerstag nach St. Luciaetag 1371 (St. 29). Am 17. Mai 1374 wird in einem Brief Bischof Lamprechts (Urkb. V. 847) «Bechtold Münich der junge unser schultheis zuo Zabern» erwähnt. Bechtold der ältere übergab den Steigern 1375 (St. Kat. 21), von den 60 Fierteln Roggen die er in Bossendorf bezog, 8 Fiertel jährlich zu einem Seelengerete; er hatte bei ihnen seine Grabstätte gewählt. Von ihm wird, wegen der gleichzeitig angeführten Namen (cf. Leutold), im Seelenbuch die Rede sein. Die Grabschrift im Kreuz- gang der Franziskanerkirche zu Zabern + ANNO . DNI . MCCCLXXVIN . Ill. KL . OCTOB . O0. DNS . BERTOLDVS . DICT . MONACH . MILES . DE . WILDESBERG + ist ebenfalls eher vom ältern Bechtold. Vater und Sohn wurden nacheinander Schultheiss. Bei Knobloch (G. B. 423) finden wir als dieses Amt bekleidend: «Bechtold M. 1356 u. 58, Burkard M. 1361, Bechtold M. 1362 u. 73. Ob nicht Schultheis Burkard, den Fischer (Gesch. der St. Zab. 152) nicht kennt, hier durch falsche Lesung ent- standen ist? Der Name Berchtold oder Bechtold ist bei den Wild- spergern sehr alt. Schon 1255 kommt ein Bechtoldus de W., canonicus majoris ecclesie argentinensis und 1274 ein Berchtoldus Monachus de W, miles vor. Abwärts finden wir 1417, 18, 64 u. 75, sowie 1527, einen Bechtold M, v. W. als Unterschultheis zu Zabern, 7461 (Sp. 3) Marzloff v. W., 1552 (St. 48) «Cunrad, Bechtold u. Wilhelm gebrüder und vettern München von Wilsperg zu Steinburg.» 1560 (St. 340) quittirt zu Zabern Berthold M. v. W. für sich und seinen Vetter Wilhelm M. v. W. der Stadt über 61) Pfund 7 Schill. 6 Pfenn. Zins.

Im St. Kat. (6) finden wir noch erwähnt: 1446 Frau Kunigund v. Hoch-

154

felden, Juncker Volmars M. v. W. Wittib und 1452 Frau Emichin von Eich, ebenfalls eine wildsperg’sche Wittwe.

47 Ro: Johans Musicher (Hand C). Vielleicht für Mutziger. Einen Walter Mutzicher haben wir im monitorium Heinrichs von Gundelfingen gefunden (1303—1312). Knobloch (G. B. 26) verzeichnet 1316 einen Johannes Mutzicher, als Schwiegervater des Edelknechtes Joh. Sick. Gerhard Mutziger ist 1441 Schöffe und 1462 Gutleutschaffner in Zabern (St. 23). Johann Musicher wird (v. supra) genannt mit Peter Kneweling 1378.

7 R°: Niesac (Hand D). Kommt auch 11 (Hand E) vor, mit Ottman Faber oder Schmid (küttolsh. Br. 1343) und 14 (Hand E), mit der 1331 nicht mehr lebenden Begine Kath. Butzin.

16 RP: Conradus Oleman (Hand A). N. 19 im küttolsh. Brief.

11 Ro: Ottemanus Faber (Hand E), im küttolsheimer Br. als Ottman S(mi)d. Die Lesung (N. 2) ist sicher, obschon die zwei mittlern Buchstaben fehlen. Gleich hernach ist von Ottman’s Schmiede (smid) die Rede. |

2 Re: Ottemanus Lapicida et uxor eius Agnes (Hand E). Am Donnerstag in der H. Pfingstwoche 1417 verkaufen «Peter steinmetze und Conigund, Hensel Eberzans brotbecken seligen wittwe, sin eliche husfrowe», sowie «Peter, Nese und Ennelin geschwüsterde, des egenannten Hensel Eberzans seligen eliche kinder, und Otteman der vorgenanten Nesen elich husswurte, Kublers Hensel dem brotbecken und Katharina sinre elichen husfrowe», ein Haus in der Mittelstadt Zabern. Dieses Haus wird des verstorbenen Eberzans Bäckerei gewesen sein. Darauf lastele «eine unze strassburger pfennige zu selegerete dem lutpriester zu Zabern, nach usswisunge des selebuchs; item zwo untze strossburger pfennige jerlichs geltes und zwen cappen geltes (Gülte) unserme gnedigen herren dem bischoffe zu Strosburg und zehen pfennige geltes dem spittal zu Zabern als ewige zinse. Im Seelenbuch des Spitals steht keine Gülte von 10 Pfenn. auf ein haus. Dem Pfarrer bezahlte hingegen noch 1539 Brosius Beckh «vons einem haus in der mittel- statt Zabern ... laut des briefs darüber» gerade eine Unze (Sp. 1, Zinsbuch der Pfarrei). Wir finden hier einen neuen Beweis, dass das Seelenbuch nicht lange fortgesetzt wurde. Ottmann, der Agnes Eber- zahn ehlicher Hauswirt, dürfte, obgleich der Stiefvater seiner Frau auch Steinmetz war, nicht leicht mit dem Otteman Steinmetz des Seelenbuchs zusammenzubringen sein.

sr ET Dunzenheim und Mittelhausen Bruder Ebelin, ihrem Beichtvater, und den Predigern, mit dem Vorbehalt, dass wenn sie ein Haus hinter der Kürsehner Laube bauen wollten, sie die Güter in Mittelhausen würden verkaufen können (Urkb. III 144). Sie lebte noch 1317 (Urkb. III 184).

7 Vo: Domus dicli Ruwe (Hand F, Fraktar). 15 Vo: «Johannes dictus Ruwe de Zabernia» (Hand F, Fraktur) und 16 Vo: «Agnes filia dieti Ruwe» (Currentschrift, von derselben Hand F). An beiden letztern Stellen ist Ellekind die Neue Wirtin miterwähnt. (Cl. supra, Albertus.)

12 R°: Johannes d. Schade. (Hand E). Dietrich Burggraf von Dor- lisheim führte den Beinamen Schade (Urkb. II 4091). Ein Walter Sch. lebte in Strassb. (Urkb. II 93 u. 200) vor 1293. Einem Hanneman (Johannes) genannt Schade, Gonventbruder bei den Steigern zu Zabern, verschrieb 1404 seine Schwester Margareth von Ringendorf einen jähr- lichen Zins von 2 Gulden 2 Schill., auf Güter zu Eckolsweiler. Nach seinem Tod sollte der Zins den Beginen beim Stöckelbrunnen zufallen (St. Kat. 5). Genannt wird zugleich noch 1409 Elisabeth Kögin, H. Johannes Ringendörfers Wittib zu Zabern. Dieser Ringendörfer durfte mit un- serm Joh. Schade zusammenhängen.

1 Ve: Suneman Schaling (Hand F). Am 13. Juni 1376 (St. 28) verkauft «Johannes dictus Inber presbyter de Zabernia», einen Zins von 12 Schilling ruhend auf einer Wiese «in banno oppidi Zabern in der Subach, einsite an morsmunster Wege, un stosset uff Frische Schalinges matte». Die Schallingerin ist 1343 im küttolsh. Br. genannt.

à Ro: Johannis dicti Schulmeister (Hand E) Cf. 11 Re (Hand D). Agnes Schulmeister von Zabern verkauft 1317 an das Steiger Kloster Güter in Waldolwisheim (Bez. 6, 5756). 1313 (Domh. Walters Brief) kommt ein Heinrich Schulmeister als Schôffe vor.

44 Vo: (Hand A.) Hermanus Seiler. Cf. 11 Ro (Hand H) Heinzman. 16 (Hand A) Hug, und hier noch Eberlinus Seiler. Herman Seiler kommt 1313 in Walters Brief vor.

43 R°: Hugo Seriant (Hand A), und 16 Johannes Seriant (Hand A), konnten nicht ermittelt werden. Dagegen finden wir schon 1306 Claus Serigant, als Schöffen (N. Stadtb. 352), und einen fast nothwendigerweise jüngern Claus Serigant 1343 im küttolsh. Br. Ein Claus Seriant ist 1378 (St. 29) bis 1393 (Sp. 6, 8) Schöffe. 1429 werden |(Sp. 6) in einer Beschreibung von Feldäckern Wölfel Seriant’s Erben genannt.

13 Ro und 16 (Hand A): Frischonis de Sesselsenn. «Fritsch von Sehselsheim, ein burgere von Strazburg» kauft sich am 23, Febr. 1306

158

«sieben pfund geltes, 4 unze minre» auf Häuser und Hofstätten zu Strassburg «dernebent derselbe Fritsch uffgesessen ist» (Urkb. III 176). Er kommt noch vor am 10. Sept. 1317 und am 283. April 1328 (Urkb. III 264 u. 362), hier aber als verstorben. Metza seine Tochter tritt mit Ein- willigung ihres Sohnes Reinbold, eines Edelknechts, am 19. Mai 1330 ihr Haus «uff der almende», welches sie, am 23. April 1328, dem Kapitel von Jung-Sankt Peter abgekauft hatte, dem St. Claren Kloster ab. Es sollte auf ewige Zeiten zur Aufnahme von 22 armen Schwestern des dritten Ordens (de tertia regula St. Francisci) dienen (Urkb. Il. 379).

13 Ro: Rudolphus Strosetl (Hand A). Knobloch (G. B. 363) kennt 1318 einen Mathias S. von Waltenheim mit seinem Sohne Fritsche. Johannes S.1310 bis 1352 vorkommend, war Vogt zu Watiweiler. Anselm S., Ritter in Rheinau (1310) wird (Urkb. 5, 37) 1334 zu Erstein durch die Strassburger gefangen.

10 Ro: Früsche Stumphes sun (Hand H). Fritz Stumpff ist 1306 einer von den jüngern Schöffen zu Zabern. Wahrscheinlich ein anderer Fritsch Stumpf kommt 1349 (St. 23) als Schöffe vor. Dem Namen begegnen wir noch später. 1364 (St. 29) verkaufen «Anna und Chunnel, geschwistern von Mömburnen, und Suse und Agnes von Geroltzecke und der convent gemeinlichen der closen und des huses zu Hegenheim... Frischen Schumppe eym bürger Zabern unn sinen erben suben viertel weyssengelts ... von den zweien nuwen mulen die da allernehes ligent indewendig der steynin brücken... umb zwanzig phunt unn funftehalp phunt güter strossburger phennige», welche Gülte herrührte «von der mulen die die lochmule hies» und von «Sibilien selien Stielerin» einer Begine von Saarburg, wahrscheinlich aus dem Hause in Haegen. Fritsch Stumph, Unterschultheiss in Zabern, wohl derselbe wie der soeben erwähnte Frische Schumppe und wie Fritsche Stumph im Seelenbuch, indem uns die Schrift H. ungefähr auf jene Zeit zurückführt, kaufte 1370 (St. 23) von «Heinrich, juncher Werners sun von Ranberg, eines edelknechtes, sieben und zwenzig Schill. ewiges pheuniggeltesr. Wir finden nach ihm, 1412 (St. 32) und 1419 (Sp. 10) einen Walter Stumph. 1429 (Sp. 6) werden eines Claus Stumpfe Erben erwähnt. Die 15 Vo noch augeführten Walter Schumph (Hand A) und Peter filius dieti Stumph (Hand B) reichen ziem- lich hoch hinauf. Mit letzterm kommt 15 Götzman (Götze), Frau Sibilien Sohn, vor, der 1343 im Kuttolsheimer Brief genannt ist.

> RP: Niclaus Süneman (Hand H) war 1383 und 1386 Schöffe in Zabern (Sp. 8). |

160

sollent die burger befelhen uffe iren eit, on alle geverde, dass sie alle tage den siechen gebent unde teilent zweie phennewert brotes von den drie phunt geltes; unde were auch das etewenne in deme spitale nût siechen enwerrent oder nuwen einer, das man des brotes nût bederfte, so sollent die zwene den es befolhen ist, bi irme eide die phenninge sparen unde gehaben, unde sollent die phenninge niergent anders geben, wande in der siechen nûâtz unde in ir nôtdurft Dise zinse sint gelegen uffe diseme gute das hienach geschriben stöt: Uffe einer matten unde uffe fünf beten kornackere, lieget aneinander nidenan in der sletenbach, stozset uffe die sorne, unde von eime halben acker reben, lieget in der awen nebent Herman Seiler von Zabern, dovon sol Ebelin Häter unde sin erben alle jör geben von minen wegen zwei pbunt phenninge an sancte Martines tage. So soll Conrad Pirrigon unde sin erben ein phänt phenninge geben, alle jor an sancte Martine tag, von dem hüs und der hofstette do er unde sin erben inne sint unde gelegen ist nebent Jöseline deme gerwer. Unde were ouch das die vorgenanten zinse versessen wirdent unde wirdent nût gegeben zu deme vorgemelten zil alle jor, oder wirdent die vorgenannten güt nût in guten buwe gehalten, so sollent die zwene den es befolhen wird, das gät ziehen zu deme spitale den siechen, und sollent es den zu nutze bringen, also verre môgene, one alle geverde. Und das dis wor si unde stete blibe, so bit ich vorgenanter Walther die erbern scheffeln von Zabern dass su irre stete ingesigel an diesen brief gehenket zu eime urkunde der vorgeschriben dinge. Unde wir die scheffeln von Zabern, Wernher von Detewilre, Johannes sin bräder, Gotfrit, Erbo, Aberhart der alte, Aberhart sin sûn, Dither, Heinrich Schul- meister, Wolfelin Conrat, Tümegon unde Hartung, hant unsere stete ingesigel an diesen brief gehenket, dûrch bete willen des vorgenanten Walthers, unde sprechent ouch bi unserme eide, dass wir noch unser nochkummen, das vorgemelte selgerête niergent anders sollent lözsen geben, denne in der siechen nûtz, alse es her Walther ufgesat het, one alle geverde. Dirre brief wart gugeben do man zalte von gotes geborte dräzehen hundert jor unde drûzehen jor, an sancte Jacobes abent». |

Ein Waltherus de Zabernia wurde 1295 zu Bologna immatriculirt (Ristelhuber Strasb. et Bologne. 7).

161

13 Ro u. 15 Vo: Conradus dictus Wanbeschere de Steigewirke (jedesmal Hand A). Johannes sacerdos, filius Guntheri de Steingewirke verkauft (Sp. 8), am 26. März 1317, «Conrado sacriste de Steingewirk, famulo inelusarum in inclusorio ville Hegenheim, nomine earumdem et de potentia ipsarum», um 6 Pfund Pfennig, 2 Viertel jährlichen Korngeldes auf verschiedene Güter, darunter : «ltem unus ager frugifer situs in banno ville Monoltzwiller, stosset uff des Wanbeschers grube». Ein Johannes Wambescher wird, Rappoltsw. Urkb. 243, angeführt als begütert in Amerswilre (Ammerschweier).

14 Ro: Die Wasichenstein (Hand D) kommt auch im küttolsheimer Br. (1343) vor. Sie war die Schwester Juncker Johans von Brumat, aus Schweinheim. Einer Anna von Wachsenstein begegnen wir im Seelenbuch von St. Johan bei Zabern (Denkm. 1. E. 1899). Der Wassinger- (St. 418) oder Wasgauerhof zu Zabern (Fischer A. Z. 207) stand vielleicht in Zusammenhang mit den Wasichenstein. 1415 (Sp- 8) ist die Rede von des «Wahssigers seligen hoff in der Mittel- statt» herrührend von «Hans Wahssicher». Johan Wassicher und Gutin seine Frau lebten 1398 in Zabern, als «eingesessene Burger» (Cf. Knobl. B. 399 ff. und 402). Ob die Wassicher zu Zabern mit der gleichnamigen Familie in Strassburg verwandt waren, oder ob sie eher ihren Namen erhielten vom Wassinger- oder Wasgauerhof, der 1545 Schollen Claus gehörte (St. 418), 1584 aber (St. 427) schon zum Theil in eine Gasse gezogen war, ist allerdings nicht zu entscheiden. In die erste Hälfte des 14. Jahrh. fallen die drei Brüder Conze, Frischeman und Dieschi (Dietsch) von Waschenstein (Sch&rrLin, Als. dipl. 952). Cuno war verheirathet mit Anna, der Tochter Ritter Heinrich Hacker v. Landsperg’s, und Dietrich mit Anna von Lupstein. Die Wasichenstein im Seelenbuch könnte die Gemahlin Frischeman, des Raubritters, ge- wesen sein. 1309—1355 kommt auch ein Johannes von Wasichenstein vor (Knobl. G. B. 400). Cf. supra: Alexander sacerdos.

14 Vo: Welvelinus cerdo. (Hand F.) Ob «Wölfelin der Gerber» etwas gemein hat mit dem (St. 35) 1339 vorkommenden «Wölfelin von Oderzwiller», welchem Hugo von Geroldseck seine Güter sperrt und wegen des Wölfelin Bürgerrechts in Zabern, wieder ledig lassen muss, ist nicht festzustellen. Ein Wölfelin, ohne weitere Bezeichnung, wird in Domherr Walters Brief (1313) unter den Schöffen in Zabern angeführt.

41 Vo: Herrn Werlines hus (Hand H). Wernlin ist hier wahrscheinlich ein Geistlicher. Vielleicht ist jedoch an Beldelin Werlin den Alten zu

B, XXI. (M.) 11

162

denken, der 1306 Ratschöffe war (X. supra, Beldelin). Beldelin Werlin der Junge ist 1349 Unterschultheiss in Zabern. Als solcher lässt er der Stadt kleines Insiegel an einen Brief hängen, durch welchen Dyna, Hette- man Schen’s Tochter, den Steigern einen jährlichen Zins verkauft (V. supra, Hettemann). Cf. auch 6 V°, «nebent dem jungen Werlin» (Hand B).

18 Ro: Inter dom. de Wildesberg et Sculletum in Zabern (Hand D).

Der Schultheiss war also damals kein Wilsperger. In der gleich folgenden Meldung «bis dem markstein der scheidet das von Wilds- perg gut und junkern Wilhelm gut» ist ebenfalls nicht an einen Wilhelm von Wildsperg zu denken. Einem solchen begegnen wir übrigens erst 1396 (Bez.-A. 5783) und 1444 (Schöpflin Als. dipl. II, 373), während hier die Schrift in die erste Hälfte des 14. Jahrhunderts zurückweist. Junker Wilhelm, von dem an dieser Stelle die Rede ist, dürfte Wilhelm Burggraf von Osthofen sein, der 1328 (Urkb. II 408) als «der vitzdum des erwurdigen herren bischof Johannesen von Strassburg» vorkommt, und schon 1308 (Urkb. IV! 184) genannt wird.

6 Vo Fridericus miles de Wildesberg (Hand D). Dieser Name kommt mehrmals vor. Nach Fischer (Gesch. der St. Zabern, 159) wäre ein Friedrich von W. 1308 Schultheiss in Zabern gewesen. «Her Fridrich der eltere von Wildesperg» kommt vor 1325 (Urkb. II 408) und 1326 (Ibid. 414), und zwar an letzterer Stelle gleichzeitig mit dem, wie wir von sonstwoher (St. kat. S. 134) erfahren, mit Frau Else v. Lützelnburg verehlicht gewesenen und vor 1349 gestorbenen Berhtold Munich, Ritter von Borre (Hoh-Barr), und «Fridrich, hern Behrtold Munichs bruder». Ein Jahrhundert später am St Martinstag 1426 (Sp. 6) ist die Rede von «her Fridrichs seligen von Wildsbergs erben» und in einem Wegeverzeichniss aus ungefähr derselben Zeit (St. 8) von Friedrichs von «Wilsperg ritter seligen bomgarten». Beide Stellen werden sich auf Friedrich von W. den jüngeren beziehen. Im Seelen- buch ist eher Friedrich von W. der ältere gemeint. 1512 erscheint im zaberner Rotbuch ein dritter Friedrich von W.

6 Vo: Hartmann von Wildesperg (Hand B.) ist bei Knobloch (G. B. 423) erwähnt mit Ritter Friedrich von W., aber ohne dass angegeben wird, ob das für letztern stehende Datum 1326 auch für erstern gilt. Neben seiner hier genannten Ehfrau Anna v. Ansolzheim sind noch nachgewiesen: 1314 (Rappoltsw. Urkb. I 224) Ritter Counrat u. Ritter Friederich v. A., 1320 (Ibid. 261) Guntherlin, hern Gunthers sel. Sohn v. A. u. Sifrid v. A., sein Vetter.

108 à

5 Ro: Wühelms Hensel (Hand H). 1445 (St. 29) verkauft: Heinrich Kirkeler von Zabern der Stadt «zwene staden gelegen indenan am schlettenbach», sammt der dortigen Segmühle, an deren Platz «von alter her ein sliffmülen gestanden», welche er (Kirkeler) gekauft hatte «umb Wilhelms Hensel und Gutkind smide, gebrüder seliger. Wilhelms Hensel der Schmied kommt 1404 (St. 29) und bis 1412 (St. 25) als Schöffe vor. Dem in der Anmerkung 5 mit ihm genannten Claus Süneman begegnen wir von 1383 bis 1386. Ueberhaupt sind alle mit der Hand H. geschriebenen Namen aus der Zeit um 1380 (Cf. Niclaus Suneman, Heintze Kirkeler, Winterhensel, Fritsech Stumphe, Baltze

9 Ro: Winterhensel dat (Hand H). Elwibel, «Winterhensels des jungen» eliche Hausfrau, erhält 1386 (Sp. 6 St. 37) von «Heinrich von Gerspach ritter» ihrem Vater, eine Verschreibung über 8 Fiertel jährlicher Fruchtgülte. 1398 bekennen (Sp. 6) «Winterhensel der alte und Else, sine eliche huszwirtin», Johann Wassicher järlich auf eine Scheune 2 Schilling schuldig zu sein. Winterhensel, ehmals der Junge, mit Elwibel oder Else als Ehehälfte, war also anscheinlich nach 12 Jahren Winterhensel der alte geworden. Ihn selbst oder seinen Sohn, finden wir vielleicht 1408 (SL 23) als «Johans Wynter von Luphestein, gutleut- schaffner in Zabern». Johan Winter ist 1412 (St 32) und 1415 (Sp. 6) Schöffe. Martin Winter von Lupfestein, «wiland vogt der pflegenden Kochersperg, wohnhaft zu Zabern», wo er 1456 das Salve stiftete, dürfte sein Bruder oder sein Sohn gewesen sein. Die Winter halten 1343 (Küttolsh. Kaufbr.) ein Haus in Zabern. Ueber die Winter v. Lupstein cf. Knobl. G. B. 182.

> Re: Wollebin (Hand E). In einer Urkunde von 1348 wurden als Bürger zu Colmar angeführt «Heinrich Wolleben dem man sprichet Mungg, Haumann Wollebe dem man spricht Nune, Syfrid Wollebe, Wernli Wollebe und Cuontz Wollebe, dem man spricht Muletsch, gebrüdere» (Rappoltsw. Urkb. 459). Einen Hennin Wolleben finden wir (Ib. 332) schon 1323, ebenso (Ibid. 317) Johans und Heinzin Wolleben, gebrüdere 1331. Agnes Wolleberin erhielt 1366 von Katharina Sieglerin (Bez. G. 5750) einen Halbacker Reben zu Otterstal.

Im Verzeichniss der Wege zu Zabern (St. 8) ist von Wollebens garten (Cf. suprä Grossfritschen H.) und von Wollebens acker die Rede. Das Wegeverzeichniss ist aus der Zeit zwischen 1410—1430. Die Wollebin konnte aber früher gestorben sein.

ITS

Frilschman Zincke 3 Vo (Hand D), 14 Vo u. 45 Ve (Hand A) wird 1306 (N. Stadtb. 352) als einer der ältesten Schöffen angeführt. Der im küttolsh. Brief vorkommende Fritschmann Z. muss von ihm verschieden sein. Auf zwei Fritschman Zinke scheinen auch die zwei verschiedenen Hände A. und D. hinzuweisen. 1373 (St. 39) ist Hug Zingke Schöffe zu Zabern. 1398 (Sp. 6) erscheint ein Hug Z. als Vogt zu Barr (Hohbarr).

7 V. Johannes clericus dictus Zunpelin (Hand F). Der hier gleich- zeitig genannte Ruwe kommt 16 Re vor, neben Ellekind der neuen Wirtin (Küttolsh. Br. 1343).

13 R. Gonzo scultetus dictus Zorn de Zabernia (Hand A), Wir finden 1295 als Testamentvollzieher Ulrich Rybysin’s von Strassburg Jacob dessen Sohn, sowie «Conradum de Zabernia, avunculum dieti Jacobi et Conradum scultetumde Gugenheim, filium fratris legatoris (Urkb. II 103).» Dieser Conradus oder Gonzo de Zabernia kommt noch 1282 (Urkb. III 50) und 1292 (Urkb. II 145) vor, jedesmal als Bürger von Strassburg. Ein Conradus scultetus, aber von Gugenheim, ist uns durch eine Be- schreibung des Zaberner Bannbezirks bekannt, beginnend mit den Worten: «Anno domini dausend drey hundert sechs jarn, zu der Zeit als schultheisse Cunradt von Gugenheim schultheiss zu Zabern war».

Einen andern Schultheis Namens Conrad finden wir in Zabern 1331 (St. 29), 1335 (St. 35) und 1344 (Urkb. II 14). Doch könnte Gonzo scultetus dietus Zorn de Zabernia ein nach Zabern verzogener strass- burger Zorn sein. «Anno 1331 ,., war ein Zorn Schultheiss zu Strass- burg, der war sehr mächtig» (Herzog Chron. VI 300). Er blieb im Amt bis 1341 und hinterliess mehrere Söhne, welche sich Zorn-Schultheis nannten, (Knobl. G. B. 444). Ein Claus Zorn «den man sprach Schult- heiss-Zorn» und Hans «Zorn Schultheiss, sein Bruder» starben 1417 von der Pest. (Herzog Ibid. 302). Die Vermutung liegt nahe, dass Conrad von Zabern (Gonzo) ein Sohn des Schultheisses (Niklaus) Zorn von Strassburg war.

166

hospitali 1 frustum viniferum ziehende uff den unbeweg, oben an der spittelre gâte‘, tali conditione ut dicti hospi- talarii omni anno teneantur dare capellano hospitalis, qui pro tempore fuerit, Il solidos denariorum de dicto frusto, ut ipse perpetuis temporibus, omni feria sexta in quatuor tem- poribus, cum missa pro defunctis peragat memoriam omnium defunctorum qui eleemosinas suas dicto hospitali sunt largiti.

Metzelin, des Spitals Schaffnerin (1386); Frische Welgker, des Spitals Schaffner, neben Johannes Metzelin, des Spitals Pfleger (1389); Bölde, der Rebmann und Jölers Katherin, seine Ehefrau, des Spitals oberste Pfleger und Schaffner, die aber unter einem «Meister» aus dem Rat stehen (1419); Claus Rüsser, des Rats, zugleich Meister und Pfleger (1450); Friedrich Hesse, Spitalm. (1457); Gunthers Hensel von Dettweiler, Spitalm., und über ihm, als «Obmeister», Heinrich Breitzen des Rats (1466); Hans von Ringendorf, aus- tretender Spitalm. (1501); Jöry Metziger von Buckenheim, Spitalm. (austr. 1510); Lentz von Wyler, Spitalm. (1528, 29); Veltin, Spitalm., und Arnolt Rotgerber, Altspitalm. (1533); Hans Rodin, der alte Schenke, und seine Ehfrau, Spitalm. (1576); Anthoni Schweizer, Spitalm. (1582, 84); Paul Wild und seine Ehfrau, Spitalm. (1586—92); Nonnenhans, der Pfründner, Spitalm. (1592—96); Franz Mühl und seine Ehfrau, Spitalm. (1596).

Schon aus diesem Verzeichniss stellt sich heraus, dass der Spitalmeister manchmal einen andern Namen trug. Er wohnte im Spital und hiess später der Spitalvater. Der letzte Spitalvater vor der Revolution war Michael Traut aus Reichshofen. 1742 von «Underschultheiss» Rat und Lohnherrn ernannt, ist er noch 1789 im Amte. Von seiner Tracht gibt er folgende Beschreibung: «Qu'il a porté la livrée de cette ville dont Il’habit était et est encore aujourd'hui moitié blanc et rouge; que pour le distinguer des autres valets de ville et le reconnaltre en sa dite qualit de Spital- vatter il y avait à gauche une croix bleue». Der Meister im Spital war also zum Diener herabgesunken. Als «Spitaldiener» unterschreibt schon 1665 Claus Schwarzauer, der damalige Spitalvater. (Sp. 1, 6, 10. St. 426.)

1. Der Spitelre gut. Die Spitäler oder hospitalarii waren die eigentlichen Besitzer der Spitalgüter. Verträge über letztere (Cf. Urkb. III. 135, 173, 232 pass.) und Ueber- nahmen von Stiftungen (Ib. 139, 184, pass.) erfolgten in ihrem Namen. An der Ab- haltung von Anniversarien waren sie bisweilen gemeinschaftlich beteiligt (Tb. 261, 277). Bei der Verlegung des Spitals zu Strassburg 1315 klagten die dortigen Brüder über Bruder Heinrich von Hohenburg, dass er für den Neubau und die Kranken zu viel Geld empfing, wodurch ilınen Schaden erwüchse. Bruder Heinrich stand desswegen um zwei hundert Pfund zurück «doch nit gerne» una betonte hierbei, man solle wissen, «was rechtes die gesunden hant, daz hant von den siechen und nut anders.» Kurz zuvor hatte bestimmt werden müssen, dass «waz man dem selben spittale hinnen vurder git durch got, zu selgerete oder zu almusen, oder wie man dem spittale gut git, und waz bruder Heinrich gebettelt oder gewinnet in kein weg, daz er domitte der sichen unde der ellenden nutz und gefure schaffe, unde nut der die do pfrunde hant.» (Urkb. II, 283). Im Zaberner Seelenbuch ist der Fall vorgesehen, dass Stiftungen von den Brüdern vernachlässigt würden. (1 R°, 3 R°.)

-— 168 Iduus. Oclava epiphanie. Hylarii episcopi. XVIll. Kal. februarii. Felicis in pincis.

I Vo XVIL Kal. F: 9 Heizemanus, frater dicti Suneman Schaling, qui legavit infirmis in ponte‘ Zaberniensi VIII denarios annuatim super domum Johannis dicti Rebeknecht, in monte, iuxta torcular domini de Greifenstein, Eberhardi.

(tem. Heinzman, Sunmans Schaling bruder, der hat den siechen besetzet 8 4 geltes uff eim huse.)

XVL Kal. Marcelli pape el martyris. XV. Kal. Antonsi, monachi. XII. Kal. Prisce V. et mart. XII. Kal. Marie, Marte, Audifax et Abacuc martyrum.

XII. Kal. Fabiani et Sebastiani martyrum.

XL Kal. Agnetis V. et marl.

X. Kal. Vincentit dyaconi.

IX. Kal. E: Johannes dictus Kesseler, Anna uxor eius et Demodis mater eius, dederunt II den. et contulerunt (?) capellano ibidem super domum et curiam sitam retro domum dicli Gutbrot antiqui.

[Item. Johannes Kesseler und Anna sin huszfrowe und

Demöt sin muter die hant dem spitel besetzet II pfen. uff ein huse.]

VIII. Kal. Timothei apostoli.

VII. Kal. Conversio sancli Pauli. VI Kal.

V. Kal. Johanis Crisoslomi.

1. In ponte Zaberniensi. Aus medizinischen Gründen (Cf. RATzINGER, Gesch. der kirchl. Armenpflege. Freiburg, 1884, S. 219) wurden die Spitäler regelmässig an einem Fluss erbaut, so in Rom an der Tiber, in Mainz am Rhein, in München an einem Isararme. Der Spital in Zabern stand an der Sorn (Zorn), bei der sogenannten Spitalbrücke. Er besass dort ein Bad, das im Stadtarchiv bald die «Bruckbadstube», bald die «alte Badstube bei der Spitalbrücke» genannt wird. Durch das 1481, auf dem nahen Rosspfahle, bei der Stadtmühle, erbaute neue Bad, geriet die Bruckbadstube in Verfall. Von 1510 ab besitzt sie Lorenz Bader als Erblehen. Nachdem sie noch Peters Hans von Singrist und seinem Tochtermann Jörg Olman durch die Hände gegangen, wird sie 1534 vom Spital wieder zurückgenommen und 1545 abgebrochen. (Sp. 10, St. 24).

3

IL Id. Idus.

IX. Kal. VIIL Kal. VII. Kal. VI. Kal.

V. Kal. IL. Kal. IT. Kal.

ll. Kal.

Kalende.

VI. Non. V. Non.

II. Non.

. Kal. . Kal. . Kal. . Kal. . Kal. XI. Kal. X. Kal.

170 Eulalie v. et mart. E: Hennelo, quondam preco, et Ellina uxor eius, qui contu-

lerunt unum fertonem cere super horreum et domum iuxta domum Johannis dicti Schulmeister.

[ltlem. Henne, der ein bütel gewesen ist, und Ellin sine huszfrow, die hant dem spital besetzet 1 fierling wases uff einer schuren.]

Marti. Valentin: presbyteri. (sol in pisces.) Juliane v. et mart.

F: Rudolfus, Agnes, Katherina, Hiltegunt, Kunegunt, Agnes, Gertrut, Johannes et Rudolfus, qui dederunt II den. infirmis in hospitali, super curiam dicti Heime.

(tem. Rudolf, Agnes, Katterin, Hiltegunt, die hant

besetzet den siechen II +$ uff eim hoffe.)

Hylarii episcopi. Cathedra Sancti Petri. Vigilia.

Malhie Apostoti (Locus bissexti et concurrenlium).

Leandri episcopi.

Martius.

Martis prima necat aves sic cuspide quaria est. Simplicii pape. | E: Hugelo de Otristal et Wendelmuet uxor sua dederunt hospitali ‘/, amam vini super ‘’, vierdezal reben an deme langen velde.

[Item Hugel von Oeterstal und Wendelmüt sin husz- frow hant besetzt dem spitel ein ‘/, omen wines.]

Lucu pape.

. 17

fero ad en oleum duos agros frugiferos sitos in banno

insheim‘, de quibus Sigelo et Albertus fratres de Vol- finsheim dabunt medietatem fructum singulis annis de dictis agris provenientium. Committo autem item capellano ipsius hospitalis, ut intuitu Dei compellat fratres ipsius hospitalis, si forte in accendendo lumine essent negligentes, ad id per- petuo faciendum. Et scieendum quod si me contingat prius decedere quam fratrem meum predictum, tune medietas

Durchreisende, EEE ER für 1583 werden nämlich verabreicht: slt. den armen Pfründern in der Ellendenherberg im Spital, 11 Schill. 3 Pfenn.» Die Herberge ist darum nichts anderes, als der Untere oder Hintere Spital mit der gewöhnlichen oder niedern Pfründe. Frantz Michel von St, Johann wurde 1587 (St. 426), mit Ottilia seiner Frau, zum Pfründner in die Oberpfründe im vordern Spital angenommen (St. 426). Es sollte ihnen «das new stublin und kemmerlin daran, neben dem newen gang, wie man oben in die ellendt herberg geth, ir lebtag eingeräumbt sein», was beweist dass die Elendenherberge am Vordern Spital anlag. Von ihr ist aber bei der Zerstörung und dem Wiederaufbau des Spitals nie die Rede. Ebensowenig werden in den Rechnungen die Ausgaben für die Herberge besonders erwähnt, Die Elenden- herberge, als getrennte Anstalt, ist mithin ganz zu streichen. Dagegen bestanden seit dem der Mitte des 16. Jahrhunderts die durch Matern Vogt den Unterschultheis (f 21 März 1554) gestifteten «Armenleut Heuslin». Diese waren dem Spital unterstellt, erhoben sich aber ausserhalb desselben, am Rosspfuhl. Dort hatte das alte Frauenhaus gestanden (St. 340). Es wurde durch ein neues ersetzt und dem »allen schulzen» abge- treten, eben «dieweil zwo frauen so den kranken warten, darin wohnen sollten». 1555, im Jahr nach Vogts Tod, werden ausgegeben, «zu der siechwarterin behusung, s0 der alt schultheiss verordnet», 14 Pfund 10 Schill. 11 Pfenn. (Stadtr.) 1590 wird (St, 428) eine Mauer erwähnt zwischen Caspar Wimpf «und dem heuslin darinnen den siechen gewartet wird... in der mittelstadt Zabern gelegen...» Diese verschiedenen Angaben sind aber nur dahin zu verstehn, dass in den Häuschen die Frauen wohnten, welche den Kranken zu Hause, in deren eigenen Wohnungen, abwarteten. Wir finden von 1613 bis 1617 in den «Armenheuslins 4 Frauen, nämlich Aurelia Brennerin, Catha- rina, Frawel (Veronica) und Ursula die Kreuzwirtin, welche jährlich aus dem Almosen jede À Pfund Pfennig erhalten, darum «dass sie den Armen auswarten» (St. 302), Die «Heuslin» wurden durch die Stadt unterhalten. In einer Rechnung über das «was er im Spital für Arbeit (auf Kosten der Stadt) geliefert», gibt Martin Wollmann der Hafner 1623 (L. 348) an: «It. in den Armenheusslin in der obern stuben ein neuen Ofen gemacht .. , 2 Pfund 10 Schill.». In der Folge geschah, dass die Frauen oder Wittwen in den Häusslein, manchmal verheiratete Töchter, samt deren Männer oder sogar noch andere Leute zu sich nahmen. Dies wurde ihnen (R. P. 7. Mai 1632) vom Rat untersagt.

1. Volfinsheim kann hier nur Wilwisheim sein. 1327 verkaufen die Pfleger des Frauenwerks in Strassburg «hern Ulrich Lorber, eim priester zu Straszburg ... rebäcker zu Wulfensheim und zu Mellensheim», wobei doch nicht an Wolfisheim bei Strassburg, sondern an die zwei nebeneinander liegenden Bänne von Wilwisheim und Melsheim zu denken ist.

173

ipsius luminis accendatur. Si autem ipsum prius decedere contigat, tunc alia medietas accendatur. Post mortem autem nostrorum (sic) amborum, omni nocte accendatur. Item do, lego infirmis in hospitali Il libras quas nunc tenet dominus Otto plebanus in Gothinsheim. It. I libram quam nunc tenet Fritzemanus, filius avunculi mei. (Ausge- kratzt. It. I libram quam nunc tenet Falko dictus Oleyman). [Item die Petererin von Gothinsheim, die do gewesen ist ein kellerin in dem spital, und Käntzelin ir bräder hant gegeben dem spital 2 felacker, dor umb das man alle naht solle ein licht burne vor den siechen yn dem spittel.] VIL Id. VL Id. V. Id. IL Id. Gregori pape. II. Id. IL Id. Leonis pape. Idus. XVIL Kal. Aprilis. XVI. Kal. Gertrudis virginis. XV. Kal. XII Kal. Joseph nutricit Domini. XI. Kal. XIL Kal. Benedicti abbatis (Equinoctium). XI. Kal. Pauli confessoris. X. Kal. D: 9 Ellina, uxor Fritzonis dicti Zinke, que contulit vir- lingum cere super domum quondam Hartungi de Druldingen. (It. Ellin Fritzen Zincke hüszfrow hat dem spitel besetzet

ein vierling wasz uff einem huse.] IX Kal.

VIIL Kal. Annunciatio dominica. VIL Kal. VI. Kal. Ressurectio Domini. V. Kal. IV. Kal.

3 Vo

174

III. Kal. Quiriani mart. ll. Kal.

Aprilis.

4R° Kalende. Aprilis decima est undeno ın fine minatus.

HT. Non. Theodosie V.

III. Non. D: @ Henricus de Weckerswilre', der greter geslette, qui donavit hospitali ein phennewert* matten in banno predicto, und lit ein helbicwert* matten in der walden matten nebent Frideriche Mesers sun von Wilre, das ander halbicwert lit in den phennewert hinder den zunen, ouch nebent Frideriche Mesers sun von Wilre. Und sol man geben alle jar von dem güle an das spital, one zwene, vier schillinge und zwene pheninge zu hovezinse von demselben gäte.

(Item, Heinrich von Weckerswiller, der greter geslehte, hat dem spitel besetzet ein phenwert maten in dem selben banne gelegen.)

IL Non. Ambrosii episcopi.

None. VIIL Id. VIL Id. VI. Id. Celestini pape. V. Id. Marie egypt. IIL Id. III. Id. Leonis pape. ll. Id. Zenonis pape. dus. XVIIL Kal. mai. Tyburci et Valerii marlyrum. 4 Vo XVIL Kal. XVI Kal. XV. Kal. (Sol in taurum.)

1. Wickersweiler, Kr. Saarburg, Amtsbz. Finstingen.

2. phennewert = pfennigwert, was einen Pfennig wert ist (Kleinigkeit) oder auch was Pfennige d. h. Geld wert ist (Verkaufsartikel, Waare). Hier ein bestimmtes Maas, der zwölfte Teil einer Mannsmatte.

3. helbicwert. Ein Helbig oder Helbeling ist die Hälfte eines Pfennigs.

5 Vo

176 vn. Id. VIT. Id. Translatio Nicolai. VI. Id. Gordiani et Epimachi atque Sophie. V. Id. Gangulfi mart. Il. Id. Nerei et Achillei atque Pancratii martyrum. I. Id. Suacii episcopi. II. Id. Pachumii abbatıs. Idus. Syri episcopi. XVII. Kal. Junii. XVI. Kal. Syri episcopi. XV. Kal. (Sol in geminos). XIV. Kal. Potenciane virg.

XIII. Kal. A: Anno Domini Me CCC Ille obiit Conradus presbyter de Gruningen, confrater hospitalis' et sanctus homo. Habeatur memoria anime eius, hoc die, pure propter Deum*.

XII. Kal.

XI Kal. X. Kal. Desiderii episcopi. IX. Kal.

VIIL Kal. Urbani pape et mart. (Estas oritur.) VII. Kal. Augustin: episcopi. VI. Kal.

1. Confrater hospilalis. Die «Spitälere» oder Spitalherren bildeten gewöhnlich geistliche Genossenschaften mit Regel und Ordenskleid. Für den Spital Sancta Maria in Saxia zu Rom hatte Innocenz Ill. 1204 vorgeschrieben, dass unter den Brüdern equatuor ad minus sint clerici regulam ejusdem hospitalis professi qui divinis vacent officiis et intendant ecclesiasticis sacramentis» (Tnuomassın, Discipl., P. I, L. I, e. 75). Die Sonderstellung des Spitalkaplans, der in Zabern die Spitalherren teilweise zu überwachen hatte und mit besonderen Legaten bedacht wurde, scheint anzuzeigen, dass sich unter den zaberner Spitalbrüdern gewöhhnlich keine Kleriker befanden. Brüder des Spitals in Zabern sind uns neben dem Priester Conrad von Grüningen und Fritsch Bevelin, nur noch bekannt Hugo, Conrad v. Nordheim u. Johan v. Waldolwis- heim. Verschiedene Namen im Calendarium und in dem Wohithäterverzeichniss könnten jedoch noch von Brüdern oder Schwestern herrühren. In Ruffach (Jahrb. des Vo- gesencl. 1899, S. 31) wurden auch weltliche Leute in die Bruderschaft aufgenommen. Gleulin Surcant, aus Geberschweier, lässt dort 1389 sich, sein Weib, seine Kinder und alle seine Geschwister in die Bruderschaft des H. Geistes eintragen.

2. Pure propter Deum, blos um Golteswillen, ohne Stiftung.

178

lariis pro XXX. (sic) solidis' denariorum, ita ut. habeatur memoria anime ipsius in anniversario suo.

(gestrichen: ® Fridericus miles de Wildesperg II solid. in anniversario infirmis, super domum Beldelini gegen der lôben*, penes novam hospitalem® ex una, et domum huiusdem hospitalis ex alia; dispensentur infirmis ista die et orent pro anima.)

(lt. Her Friderich, ein rithter von Wildesperg, und

Elisabet sine huszfrowe hant besetzet den siechen III B

geltes uff eim husz.]

XVIL Kal. Viti et Modesli martyrum et Crescentie. XVI Kal. Cyriaci mart. Ferreoli presbyleri.

XV. Kal. (Sol in cancro.) |

XIV. Kal. Marcellini et Marci martyrum.

1. pro XXX Solidis. Hier muss eine Verschreibung vorliegen. Zu einem Zins von 3 Schilling gehörten nicht 30 sondern 60 Schill. (3 Pfund = 6 Gulden) Hauptgeld.

2. Der Wben, Lauben heissen ursprünglich aus Baumzweigen hergestellte Räume oder Vorbäue, manchmal auch Gänge und Gallerien am obern Stockwerk eines Hauses. Hier ist eine Vorhalle an der Strasse gemeint.

3. «Novam hospitalem» setzt nicht nothwendigerweise einen ältern Spital voraus. Doch scheint hier der Ausdruck «nova (domus) hospitalis» ein Parallelausdruck zu «hospitalis in ponte», welcher Bezeichnung wir mehrmals begegnen (Cf. 17, Kal. Febr.). Der Spital könnte vorher an einem andern Platze gestanden haben. In dem Ablassbrief von 1289 ist vom Zaberner Spital als vom «hospitale beate Katharine» die Rede.. Im Seelenbuch heisst er «hospitale sancti Nicolai.» Der St Katharinenspital liegt «in Zabernia», der S' Niklausspital «apud Zaherniam» an dem rossepole. Dieser fing 1543 (Alt. Stadtb. f. 187), nach Aussage Wilden Bernhards, des Pfuhlmans an, «an Hans Martz des ferbers husz am eck, und von demselben eck bis hinab an Mattern Vogts husz und schuren, auch ein eck, daselbs dannen der rinkmuren nach, hinumb bis wider herfur zu Hans Kremers husz». Später heisst der Rosspfuhl gewöhnlich der Fisch- oder Lieferpfuhl, auch einfach der Pfuhl. Die vornehmen Einwohner in Zabern hatten darauf, für 10 Schill. 6 Pfenn. einen ganzen oder für 5 Schill. 3 Pfenn. einen halben Fischkasten. Jährlich in der Kreuzwoche, wurde der Stadtpfuhl gefischt, wobei den Ratsherrn und ihren Frauen ein kleiner Imbiss und Fische gegeben wurden. Auch der Oberschultheis und die bischöflichen Räte erhielten Fische. Der Pfuhl war von der Sorn gespeist. 1692 (St. 361) wurde von Caspar Marzloff u. Jacob Dorn- stock der «alte Canal, so oberhalb der Stattmühl aus der Bach in den Stattpfahl gericht, ausgegraben und wieder zurecht gericht, damit das Wasser wieder völlig hineinlauft.» Die Judengasse, unterhalb des Spitals, hiess ehmals die Rosspfuhlgasse. Bischof Franz Egon mietete 1671, von der Stadt; den Fischpfuhl, «sammt dem dasu gehörigen Haus, Fischzoll und Gerechtigkeit», um jährlich 30 Gulden, mit Nach- tragung der Zinse für 2 Jahre (Ratsprot. 8. Mai).

7 Ro

180

nathez burnen', durch unserer seillen willen*; diz sol eimer me?’ sinn, emol in dem iar, uffe disse zit, und diz sol dez spitdols meister alles uz richten,. und sol in ein cappellon deran manen ’‘.

D: Nota scriptoris: Quod omni anno tenetur cappellano dare À solidum dictis tribus denariis inclusis.

Sciendum quod, de istis VI denariis quos Dominus Hartmannus de Wildesperg legavit cappellano, IT denarii cedant hospitalariis, ques idem capellanus recipiet de re’. (Ausgekralu : B: Ich Hartman ein Ritter von Wildes- berg und (Anna) von Anselzheim hant geben durch Gott und durch unser selen heil.)

tem ber Hartmann ein ritter von Wildesperg und

Anna von Anszelszheim sine eliche huszfrowe hant

geben III korn acker an das spitel, das man alle ior

selle ir jorzit begen, und uff den selben sol man den siechen geken 1 schilling pfennig umb win, fleisz und wiszbrot.]

VI. Kal. Johannis el Pauli martyrum.

V. Kal.

IN. Kal. Leonis pape. Yrenei sociorumque eius. Vigilia.

Il. Kal. Petri et Pauli apostolorum. Il. Kal. Commemoralio Sancti Pauli apostoli.

Julius. Tredecimus julii decimo innuit ante Kalendas.

VII. Non. (Kalende.) Octava Sancti Johannis Bapt. VI. Non. Processi et Martiniani marlyrum.

ON de 7- Zu I)

V. Non. D: Sciendum quod hospitalarii habent XIII den censuum

super domo dicti Niesac in monte. Item capellanus altaris

. Des nathez burnen, des Nachts brennen.

. seilen, Seelen. . Eimer me, immer mehr. . Daran manen. Cf. supra VIII Id. Januarii: «Et si ipsi hospitalarii negligerent ..

6.

recipiet de re. Die 3 Pfenn. für das Licht erhielt der Kaplan. Er musste se

aber den Spitalherren geben, dass sie das Licht besorgten.

| stats. dl

181 beate Nicholai' et capellanus in reclusorio® et primissarius

I. Capellanus altaris beati Nicolai. Ist hier etwa an einen S* Niklausaltar im Spital H. Nicolaus benannt wird? Bekanntlich war aber das Kirchlein zu Hohbarr demselben Heiligen geweiht. Für die dortige St Niklauskapelle liegen (1342—1397) verschiedene bischöfliche Ablassbriefe vor (Bez.-Arch. G 1736). Doch auf diese Kapelle wird hier kaum hingewiesen sein. Bezieht sich darum die Meldung im Seelenbuch auf den Kaplan der S* Niklauskirche ausserhalb der Vorstadt? Dieses Kirchlein wurde bekanntlich erst 1456 erbaut und das folgende Jahr durch Bruder Jacob vom Predigerorden, Bischof v. Askalon und Abt zu Bethlehem, den Generalvikar Bischof Ruprechts, unter der Anrufung der sallerseligsten Jungfrau, des h. Nicolaus, des h. Ehrhard, des h. Lau- rentius und der h. Elisabeth consecrirt». Den Gottesdienst darin versah, nach Fischer (A. 2. 118), der Kaplan im Spital. Die Kapelle wurde gewöhnlich die St Niklauskirche genannt. Bei jener Stelle hatte sich 1301 ein Beginenhof, die sogenannte Clause oder Close, erhoben. Haus und Kirche standen unter dem Schutz der H. Magdalena, Von einer damaligen dortigen S' Nikolauskaplanei erfahren wir nichts. 1343 (Kutlolsh. Kaufbr.) gab es aber ein «sant Niclausgut, an dem guldenen bock». Anderseits be- zahlte 1394 (St, 23) ein an Johan Meiger von Wisendowe und Katharina seine Haus- frau verkauftes Haus, in der Vöglinsgasse zu Zabern, seinen schilling ewigen geltes zu St Niclausen». Auch ein dem Spitalschaffner Bölde /angehöriges Baumstück an der Steige gab (Sp. 10) 1419 acht Pfennig «Sant Niclaus». Im Seelenbuch kommen cbenso IX. Kal. Oct. «sante Niclawes stücke» vor. Die Schwierigkeit mit dem Kaplan des 5! Niklausallars scheint durch eine Urkunde von 1421 (Sp. 8) zuerst einiges Licht zu erhalten. Am Sanct Lucian Abend 1421 lehnen «Fritsche Smit, Hans Smides seligen sun von Steingewirke u. Margrede s. e. Hf, ingesessene Bürger zu Zabern», von Heinrich Wannemacher «von der guten lute und ires huses wegen zu Zabern, der(en) schaffner und plleger er ist,.... ein haus in der mittelstatt an der strassen..... das zemöl der cappelanen und sant Niclaus bruderschaft zu Zabern ist,» Es schiene hiernach, dass sich die St Nicolauskaplanei bei den Gutleuten befunden, welche die S! Niklausbruderschaft gebildet hätten. Den Gutleuten «bei den Glosen», welche auch noch so hiessen, nachdem sie 1313 weiter von der Stadt hinweg verlegt worden waren, wird darum die S' Niklauskirche ihren Namen verdanken. Mit der eigentlichen St Niklaus- kaplanei hat es aber, nach dem Stiftsarchivkatalog (8. 140), nachstehende Bewandtniss. Von Herrn Johannes Mann, viceplebanus der Pfarrkirche zu Zaubern und Herrn Kuhe- fleisch, einem Priester in dem Zaberner Spital, waren zwei Praebenden je auf 8. Johannis Baptistae und S. Nicolai Altar gegründet worden. Da aber, «durch Verlauf der Zeit», die Einkünfte der beiden Präbenden abnahmen, so dass kaum mehr ein Priester daraus leben konnte, wurden durch Bischof Johan 1370 die zwei Praebenden vereinigt und in den Spital verlegt, mit Befehl, dass’ den Kranken täglich die h. Messe gelesen würde. 1412 wurde (Ibid.) noch die Kaplanei des Muttergottesaltars mit der des h. Nicolaus zusammengelegt. Der S! Niclausaltar stand zuerst in der Pfarrkirche.

2. Capellanus in reclusorio, Beim Spital erhob sich einst das von Beginen bewohnte »gotzhuss by Stickburn.» Schwester Metze +«Götzman Muselers seligen dochter in Furchhusen» stiftete dort 1406 (Mont. vor Palmtag) ein »«selgerete» für sich «und aller irer frunden selen». Die hierzu verwandten Briefe, mit 11 Schill. jährlichen Zinses,

182

in ecclesia', quilibet eorum recipiet Il den. de eadem domo H: dicti Hürdener.

IN. Non. Udalrici episcopi.

IH. Non.

ll. Non. Octava apostolorum. None. VIIL Id. Kyliani sociorumque eius.

VIT. Id. F: Anselmus dictus Phennigman qui dedit ad candelam elevationis corporis Christi Ille den. et infirmis etiam in hospitali V den. et Il den. Sacerdoti in dicto hospitali super pratum in banno de Monoltzwilre obene an dem kleinen breme‘.

übergab sie Haman dem Metzger in Zabern. Nach seinem Tode, sollten sie an das Beginenhaus, und wenn dieses aufhörte, an die Steigerherren fallen (St. 37). 1576 wird das Beginenhaus in der Kleinen Stadt Zabern als nicht mehr bestehend (FıscHer, Das A. Zab., 119) angeführt. Vom «Beginenbrunnen beim Spital», dem ehmaligen Stickbrunnen, ist noch lange hernach die Rede (Stadtr. 1617). Indem die Beginen Stiftungen übernahmen, müssen sie auch eine Kapelle gehabt haben. Eine Kirche und ein Geistlicher gehören zu jedem Beginenhofe (Cf. WETzER u. WELTE, ad v. Beguine).

1. Primissarius in ecclesia. Anlässlich der Stiftung des Salve in der Pfarrkirche zu Zabern (St. 17) werden 1456 erwähnt als dort bepfründet, «zum ersten ein leutpriester, item zwene sine helfer, item die zwene frümesser.» GRANDIDIER (Elat eccles. du dioc. de Strasbourg en 1454) nennt jedoch nur einen Frühmesser, auch ist 1548 in einem gütlichen Uebereinkommen zwischen der Stadt und dem Kapitel nur eine «Friemess» erwähnt. Auf der Rückseite einer Urkunde von 1349, ist, in nicht viel jüngerer Schrift, des «frigmessers hus» erwähnt. Der zweite in der Salvestiftung angegebene Frühmesser existierte nichts destoweniger. Nach dem Stiftskat. (S, 41 u. 175) wurde für die «arbeitsamen Leut», wie schon oben erwähnt, eine tägliche h. Messe gestiftet, wie durch die zwei Priester Heinrich und Conrad, im Jahr 1299. Eine tüg- lich zu lesende h. Messe stifteten (Ibid., S. 179) anderseits 130% auf dem S. Niklaus- altar Waltram von Finstingen. Pfarrer zu Zabern, und Heinrich Gundellein, Erzdiakon Strassburg, vor oder nach dem soeben erwähnten Niklaus Mann. Jedenfalls haben wir hier den capelllanus altaris beati Nicolai und den premissarius in ecclesia neben- einander. So mögen sie noch zur Zeit der Schrift D, gegen 1350, bestanden haben. Der Frühmesserei bewilligte 1420 Wilhelm v. Diest die Hälfte des fallenden Opfers. Die Vergünstigung wurde 1453 von Bischof Ruprecht erneuert. 1464 wurde die andere Hälfte des Opfers ausdrücklich der Kirche zugewiesen, und 1541 gefordert, dass der Frühmesser wei sein sollten (Stiftskat., S. 41).

2. Breme. In Matern Vogts Testament vom 27. Juli 1556, werden dem Spital vermacht: «drei acker matten am Aleinen brem . . . stosst unten uff das brem oder graben». Dem Ausdruck begegnen wir schon 1285, in der Stiftung Ritter Heinrichs von Borre: «Insuper et pratum bey den bremen», und hernach immer wieder.

VI. Kal. V. Kal. III. Kal. il. Kal. IL Kal.

V. Non. III. Non. III. Non.

II. Non.

None. VII. Id. VIL Id. VL Id.

V. Id. III. Id. II. Id.

IL Id.

Idus.

XIX. Kal. XVII. Kal. XVII. Kal. XVI Kal. XV. Kal. XIII. Kal.

8

8 Vo

XIIL Kal.

184

altera penes domum dicti Ruwe, ut habeatur memoria ipsius et Metze matris eius, et Elline, et Ortwini et Cont- zonis et Johannis, et fertonem cere singulis annis super eamdem domum. H: Heinize Kirkeler und Gutkint dant Septem dormientium.

Pantaleonis mart.

Felicis pape. Simplicu et Beatricis martyrum.

Abdon et Sennes martyres. |

Germani episcopi.

Augustus. Augusti nepa prima fugat de fine secunda. (Kalende.) Ad Vincula sancti Petri. Stephani pape.

Inventio sancli Stephani. Oswaldi regis el mart. Sixli pape.

Afre virg.

Cyriaci el sociorum eius. Romani mart. Vigilia. Laurent mart.

Tyburcit mart.

Ypoliti mart. Septembris. Eusebii confessoris. Vigilia. Assumplio sancle Marie.

Octava Laurentii.

Agapiti mart.

Ausgekratzt: E: Item dominus Gotzo miles, dictus Birke, contulit hospitali Zabernie XX den. super domum suam pro anniversarlis.

E: Cuno de Luphestein et Genta soror eius contulerunt hospitali X denarios pauperibus pro pane, et VI den. pro

None.

418

VIIL Id. Magni conf.

VIL Id. VL Id. V. Id.

II. Id. Il. Id. IL Id.

Idus. XVII. Kal.

XVII. Kal.

9 Vo XVI. Kal. XV. Kal.

XI. Kal.

XII. Kal.

XIL Kal.

IX. Kal.

VII. Kal. VII. Kal. VI. Kal.

V. Kal. II. Kal.

Nativitas sancle Marie V. Gorgonii mart.

Prothi et Jacincti ei Regule marlyrum. E: Agnes die Zhopphin et Conzo pater eius dederunt ad

candelam hospitalis III den. super domum suam et curiam cum orto. H: Schüppel dat.

(lt. Agnes die Zhoppin und Cöntz ir vatter, die hant geben der kertzen in dem spittel III , vff eime huse. Exallalio sancle Crucis. Cornelii et Cyprians marlyrum. Octob. Nicomedis mart. Eufemie V., Lucie el Germiniani martyrum. Lamberti episc.

Eustachü et filiorum eius martyrum. Vigilia.

A: # Agnes de Oeterstal.

D: # Paulus, filius der Melerin, qui legavit infirmis in hospi-

tali IT sol. censuum super una vierdezal vinearum sita an des

appetes berge‘ nebent sante Nicclawes stükke einsite, und ander-

site nebent Jekelin an dem rossephul. H: Die Ritzin dat. {Item Paulus, der Melerin sun, hat besetzet den siechen

IB 5 uff eim fierdezal reben.]

Cosme et Damianı martyrum.

F: # Burkelinus testor et Lucardis eius uxor qui lega- verunt omni anno unum fertonem cere ad candelam eleva-

1. Des appetes berge, ein Gewannname. Cf. Kuttolsh. Brief, Nr. 45. 1672 er. st) besass das Stift von Zabern im Abtsberg 1 Acker Reben.

III. Kal.

ll. Kal.

VII. Non. VI. Non. V. Non. IN. Non.

Il. Non.

II. Non.

None. VIII. Id. VIL Id. VI. Id.

V. Id. III. Id.

Il. Id. II. Id.

Idus. XVII. Kal. XVI Kal. XV. Kal. XIII. Kal. XIL Kal.

XL Kal.

187

tionis Christi in hospitali, super unum ortum situm in oppido Zabernie, apud ortum dicti de Gelre situm. H: Gugenheim Hensel dat. (It. Burkel weber und Lückel sin husfrow die ha(n)t besetzet 1 wierling wasses vif einem garten.) Festum sancli Michaelis archangelı. Iheronimi presbiler:.

October. Tercius octobris gladios ex ordine nectit. (Kalende.) Remigii episc. Leudegarii episc.

E: 9 Ysenhart Zincke, Ellin uxor eius, Henricus, Johannes, Ellin et Hedewigis, dederunt I] den. super domum Elle- kindis dicte Zinken, et super domum dicti Zinken. H: Fritsche Stumphes sun dal. (tem, Ysenhart Zinke und Ellin sine huszfrowe hant besetzt II +4 uff eim husz.]

Fidis V. mart.

Marci pape.

Amoris confessoris.

Dyonisit el sociorum eius marlyrum. Gereonis el sociorum eius martyrum.

Calixti pape. Aurelie virginis. Nov. Galli abbatıs.

Luce evangelisle.

Januarii sociorumque eius marlyrum.

AI Milia virginum. (Wendelini, späterer Zusatz.) Gordule V. el mart.

X. Kal. IX. Kal. VIIL Kal. VIL Kal. VI. Kal. V. Kal. III. Kal. II. Kal. II. Kal.

11 Ro Kalende. IL Non.

IT. Non.

Il. Non.

None.

VIIL. I. VI. Id.

188

Severini episcopi. Crispini et Crispiniani marlyrum.

Vigilia. Simonis el Jude apostolorum. Narcissi.

Ointini mart. November. Quinta novembris acus vix lercia mansit in urna. Festum omnium sanclorum. Memoria omnium fidelium animarum.

Valentini mart. E: Ottemannus faber et Bigelin uxor eius dederunt IIII den. infirmiset I den. pro lumine, super domum dicti Niesag et super agrum viniferum iuxta dictam domum. II: Hürdern Clawes, Kuneman, Nesen Hensel, Heinizeman Seiler dant. (Item, Otteman smit vnd Bigel sin huszfrowe hant besetzt III 4 (den) siechen und Ill { zu der kertzen, vff ein rebe acker.] D: Dictus Zurne et uxor eius dederunt infirmis in hospitali JB den. super domum dicti Roseboum, sita(m) ex una parte inter Nicholaum dictum Tunre et dictum Rindezunge, et si deficerent in solvendo, tunc posuerunt zu eime underphande unam vierdezal reben an deme langen velde!, an der junger anewande twissent Tunre und Schulmeisters’ acker. H: Zenlins Tochterman dal. (tem Zärne und sine llusfrowe die hant besetzet dem spitel I ß 4 uff einem huse.] Leonardi conf. Florentii episc.

1. An dem langen velde. 1458 (Sp. 6) verkauft Paulus Johan ein Küfer, als «muntpar Michels Kirkeler seligen kinde ... ein acker reben gelegen im zabern banne am langen veld.» Ebenso finden wir 1518: «Ein acker feld zaberner bann im owfeld unden am langen feld.»

2. Schulmeister, hier Familienname. Cf. Idus Febr.

190

‘{tem, Johannes Düûrre von Ingenheim vnd Elsa sin husfrowe vnd Agnes ir swester, die hant besetzet dem spitel I viertel Bornes vif eime rebe stäcke.)

A: Item Gotzo nobilis dictus Harermeln ac eius soror, de Zabernia, contulerunt hospitali redditus unius sol. super curiam sitam gegen hern Wernlines huse in der kirche gassen'. H: Der Birkin hof.

XIV. Kal. Octava Martini.

XI. Kal. Elizabeth.

XII Kal.

XI. Kal. Columbani abbutis.

X. Kal. Cecilie virg.

IX. Kal. Clementis pape. Clementis Melensis episc.

VII. Kal. Crisogoni mart.

VI. Kal. Katherine V. el mart.

VI. Kal. Lini pape. |

V. Kal. A: Item, © Conzo de Birke qui contulit hospitali VI den. super pratum dictum Falkenbach’, ad colendum eius anni- versarium. |

[lem Kuntze von Burcke, der hat besetzet dem spitel VI 4 vff einer matten.]

IL. Kal. A: # Contzo de Ofterstal et Hedwigis eius uxor legavit VI 4 super pratum dictum Falkenbach in banno Oterstal, et legavit predictos denarios ad candelam elevationis cor- poris Christi. H: Hensel schaffener de Olergestal dal.

(Item, Cuntze von Ofterstal hat besetzet VI + uff einer matten.)

IN. Kal. Saturnini mart. Vigilia.

I. Kal. Andree apostoli.

1. Der Kirchegassen. Nicht der heutigen Kirchgasse, dem Portal der Pfarrkirche gegenüber. Diese Gasse nannte sich die grosse Steigergasse, wegen der 1303 nach Zabern gekommenen Steigerherren. Kirchgasse hiess früher die jetzige Schüler- gasse.

2. Falkenbach. Die Meisterin von St. Johann besass 1413 Bannrecht und hohe Gerichtsbarkeit «von Holders markstein an bis zu Simons Weiher, von dort bis zum Falkenbach, dann den Michelbach herab bis Monoltzweiler u. s. w.». (HANAUER, Constit. des camp. d'Als., 373.)

Kalende.

Ill. Non. Il. Non.

LL. Non. Barbare virg.

9 Hermannus dictus Polstorf qui contulit hospitali Zabernie

HIT den. super dimidium agrum viniferum situm iuxta Stegelin. [Item Hermann Polstorf der hat besetzet III Pfennige

None E:

VILL Id. VIL Id. VI. Id. V. Id.

IL Id.

II. Id. IL Id.

Idus. XIX. Kal. XVII. Kal. XVIL Kal. XVI. Kal. XV. Kal. XIII. Kal. XIIL Kal. xl. Kal. Xl. Kal. X. Kal.

IX. Kal.

VI. Kal.

1. Juxla pontem. Als Brücke ist auch hier die Brücke beim Spital gemeint.

Dat duodena choros VII inde decemque decembris.

11

December.

Eligii confessoris.

uff eime halben acker reben.]

Item Johannes dietus Schade contulit I sol. hospitali supra cellarium situm iuxta pontem' et dictum Jösel

cerdonem. H: Lauwelin Baltz

Nicolai episc.

Octava Sancti Andree. Conceptio sancle Marie V.

Eulalie V. et mart.

Lucie V., Odilie V.

Januarii.

Vigilia.

Thome apostoli.

Vigilia.

Nativitas Domini nostri Jesu Christi.

12 Ro

12 Vo

192

VII Kal. Stephan: prothomartyris. VI. Kal. Johannis Apostoli et Evangeliste. V. Kal. Sanclorum Innocentium. III. Kal. Thome Cantuariensis episcopi. Il. Kal. Silvestri pape. Folgt noch im deutschen Verzeichniss: [Item Cunrat'schriber hat geben dem spitel XXX schilling pfennige in seulde. Andere Tinte: liem Burgers Ennel het besetzet dem spittel V schilling geltz, also das ein brief wiset. Item, die Schurmeigerin het besetzet den spittel I gultin).

13Ro A: Hec sunt nomina omnium benefactorum hospitalis sanch Nicolai quod situm est apud Zaberniam, sive mortuorum, sive vivorum.

Henricus laycus de Ritenburch ac eius uxor Louwerata et Heinricus filius predictorum, canonicus Trevirensis, ac Elsa filia eciam predictorum. Item Dittricus dictus Henko. Item soror eiusdem Drutlint, Item Johannes dictus Dreppeler, de Menoltzheim. Item Ebelinus socius eius, etiam de Menoltzheim. Item Metza de Menoltzheim. Dominus

Conradus sacerdos. Item Merkelinus sacerdos. Idem Conradus sacerdos. Item Waltherus sacerdos. Item dominum (sic) Thesinum presbyterum. Item dominus Alexander sacerdos. Item Gisela.

Item Hugo rufus. Item dietus Rhäschere senior. Item Heinricus cellarius de Ötresdal. Item legittima uxor eius et mater eius. Item dictus Biner de Otrestal ac eius legittima. Idem Burchardus Ouenre in monte et mater eius Frideburg. Item Gottefridus civis Zaberniensis ac eius legittima. Item Clawes dictus Mehlin ac eius legittima. Item Heinricus Sweims de Sarwerden ac eius legit- tima Item Johannes Altbüssere ac eius legittima. Item Ber- toldus Buze, Lucardis eius uxor, Catherina, Conradus, Gotzo eorum liberi. Item Heinricus filius Kunonis dicti Bukerin, et mater eius Savina. Item Rudingerus de Wiere ac Hedwigis eius uxor. Item Ricwinus de Onolfesheim' ac eius uxor et Johannes filius eorum. -- Item Hugo de Wiere’. Item Hugo Serjant. Item Rudolfus Stroseil

1. Onolfesheim, Olwisheim, Waldolwisheim. 2. Wiere, Weyer bei Drulingen.

194

Item I acker im Özchedal nebent Agnes Greden tôther. Item I vierdezal reben nebent Cänzo Keyser. Item '/, acker uff langen matte! ziehende, neben der heiligen acker. Item '/, frehte uff neline nebent der Limpelerin. Item eine frehte zu alt wicke nebent Hagen. Item ein matte in elbersmatte, do hant sie ein dritteil; uff deme dritteil gent sie ein sesteil; und was die malte steinung Capetes. Item ‘/, ellenboge matten in elbersmatte nebent der Löschebreindin. Item '/, frehte uf Wilre nebent Capete. Item '/, acker bi dem escherosen boume* nebent Clawes Meyerlins anwender. Item ‘/, acker oben an oster matte®, nebent der Limpelerin. Und ist dis gut lidig und ingit keyne zinse.

14V A: Redditus denariorum : III den. in Wintersberg‘ de domo Demudis quondam nomine die Blindin. Item VI den. de prato zu Falkenbach sito in Oterstal. Item Johannes de Oterstal II den. de vineis sitis in banno Oterstal. Item Clawes de Monolzwiller II uncias de ortis apud Monaltzwiller sitis. Item dictus Hunbolt III den. de agro vinifero sito an der steigen‘. Item Hermannus Seiler I unciam de I agro quod jacet cum arboribus cerusarum bi der zigelschuren®. Item dominus Eberlinus Seiler dat VIII den. de eodem agro. Item Frischemanus faber dat V solidos de domo sua. Item Frischemanus Zinko III den. de area subter lobeam’. Item Peterman in monte VI den. de prato quod erat quondam dicti Wolpren. Item de scampno

1. UF langen matte. «Im Munchfeld in einer Abwand so uff die Langmatt ziehet: It. ein halben Acker einseit neben dem herrschaftlichen Meyergut ... die ander Seit neben dem Heiligengut ... oben uff Gegenstoss, unten uff die Langmatt.» (Renov. 1760.)

2. Escherosebaum, der Sperberbaum (sorbus domestica L.).

3. An ostermatte «Abwand gegen der Ostermatt, so nicht durchziehet : It. einen halbacker ... oben uff gegenstoss, unten uff ... Abwender.» (Renov. 1760.)

4. Wintersberg, Wintersburg bei Pfalzburg.

5. An der steigen. Unten an der Steige, in der Gewann, die noch heute die «Alte Steige heisst», befanden sich ehemals Rebäcker.

6. Bi der Zigelschuren. Die Stadt besass eine Ziegelei «in der cleinen statt Zabern am gebranten thurn». Lentz Ziegler gab ihr 1501 von derselben jährlich 60 Viertel Kalk sowie «dem Spital ein Viertel Kalk von der steingruben». Diese in der Nähe des Spitals liegende Ziegelscheune bestand bis 1636, wo sie mit der ganzen Kleinstadt niedergebrannt wurde. (Fischer, Das Alt-Zabern, 165 f.)

7. Subter lobeam. Dice Laube befand sich, wie 6 R. angegeben ist, neben dem Spital. 15 R. ist die Rede von einer «lobia in qua venditur panis».

108 inter macellum' V solidos, Item Dittericus dictus Sporrer XXX den. de domo prope domum suam, scilicet hospitali Il solidos, et presbytero VI denarios. Item dictus Otteman Kesseler, in monte, 1 solidum de orto in sassenburnen‘. Item Klingeler I solid. de domo prope domum suarm. Item Johannes Mirseler I solid. de area et de domo sua. D: Item dictus Otto de Andela constituit anniversarium et legavit Il solidos dandos in festo Martini, hospitali I solidum et capellano I solidum, de frusto prali, zuhet in des dorf zu Eckolzvire; quos census dabit Anna filia dicti Meierlin et eius heredes. B: Item Johannes Zinpelin clericus dedit hospitali redditus unius solidi super domum suam silam penes dietum Schoneweber fabrum; et unum fertonem cere ecclesie capelle in hospitali super eamden domum. Item Ill denarii dantur hospitali de domo et curia Entelini panifieis in monte, dantur enim ex parte dicti Clawes Clapperpriester in Oterstal. Item Guta Hertinbergin dedit hospitali VIII den. annuatim super orto hinder der obersten «rer Li habet dictus Hunbolt, D a à E:

1. De scampno inter macellum. Auch (Sp. 2) im Zinsregister der Pfarrei in Zabern (1539) stehen: sit, 3 Montagopfer ... von etlichen Fleischbänken. It, ein Montagopfer von einer Fleischbank». In der Stadtrechnung für 1665 lesen wir: «It. haben die 4 Metzger ein jeder für sein metzigbank zue standgeld der stadt zum halben theil erlegt 2 pfund pfennig.» Das folgende Jahr zahlten 6 Metzger zusammen 6 Pfund, wovon wieder nur die Hälfte der Stadt, die andere Hälfte aber der Herrschaft zufel. 1636 wurden Metzig und Kornhäusel in Zabern durch den Krieg stark beschädigt und 1663 die Metzig neu erbaut. 1697 wurden wieder nach Abbrechung der alten Metzig, das Kornzollhäuschen und die Metzig neu aufgeführt. (Stadtrechn.). Nach Fıscuer (A. Z,, 136) hatten die Metzger ihre Fleischbänke am Rathhaus. Sie hatten aber deren auch in der Metzig.

2. De (hjorto in sassenburnen. Dort befanden sich verschiedene Gärten. Im Stette- buch (St. 8) heisst es: «It.... do man den pfat die steige will uffgon, do get ein allmende weg herab durch die garten uber sossenburn. 1459 (Sp. 6) gibt sein krut- garten in sassengarte ... 6 pfen. geltz dem spital zu Zabern».

3, Der obersten ziegelschüre. Im Wegverzeichniss im +Stettebuch» finden wir folgende Meldung: «It. so get ein allmendweg im Milacker zunehst hindenan an den husern in der holgassen uf... bits in den rennweg ... IL darnoch so get ein almende vor der oberste ziegelschuren uff und ziehet in den vorgenant holen weg ...* (St. 8). Hiernach ist durch die oberste Ziegelscheuer die Ziegelscheune am Mülacker zu verstehn, Daneben befand sich 1591 (St. 428) das «Hundthaus» des Bischofs, Die Ziegelscheune gehörte der Herrschaft. In der Erneuerung von 1691 wird sie beschrieben als liegend einseits neben dem strassburger Weg, anderseits zum teil neben otterweiler Weg und zum teil neben der alten Kaiserstrasse, mit einem End der Stadt zu auf den St. Niklauskirchhof, mit dem andern End auf das sogenannte Schäfereigut, so Gegen- stoss». Ihr Areal, 5'j, Acker gross, wurde seither mehrfach überbaut. Ziegelscheune und Hundhaus stehn noch. In einem Vermächtniss von 1345 ist schon die Rede von einem Garten und Rebgarten an dem Mülacker «bi der zigelschures. (V. supra: Betteman,,)

we an

196

Item Katherina begina, filia dicti Bäcen contulit hospitali XX den. super domum dicti Niesag, in monte, iuxta tiliam]' F': Item Agnes, filia Ber- toldi de Otristal legavit III den. annuatim ad candelam elevationis corpo- ris Christi super dimidium agrum viniferum situm in Otristal penes ortos, situm nebent Johannese Gotzen sun, zu dem anwender. Item hospitale habet annuatim dimidiam libram cere super domum quondam Katherine dicte Butzin, vff das forder hus nebent Conzemanne dem meziger, et est eadem domus claustri de Lukesheim”.

Item Albertus novus hospes et Lucardis eius uxor legaverunt I fer- tonem cere ad hospitale super domum Ellekindis filie eorum, que domus sita est penes domum (dom)inarum de sancto Johanne’, perpetualiter

dandum. Item Demut dicta die Blindin, de Wintersberg, legavit ad hospitale III

1. Juxta tiliam. Diese Linde stand noch ein Jahrhundert später. 1421 verkaufen nämlich Utelin von Ottersthal und Hensel ihr Sohn «Clauss Wynzenheim dem rebman und Greden siner elichen husfrowen, gesessen uf dem berge zu Zabern, einenhalben acker mit reben uff dem vorgenannten berg gelegen di der linden, und ziehet uff die vorgenanten und lit ein sit nebent eckoltzwiller wege, die ander site nebent Fritsche Könten seligen kindern» (St. 8). Hier sei noch angemerkt, dass der Halbacker Reben bei der Linde, an die Bergkirche jährlich 1 Schill. Geldes und ein halbes Pfund Wachs zahlte; «item 6 moszen wines an das spital und anderthalb cappen». Letztere Gülte musste noch nicht lange bestehn. Sie wird im Seelenbuch gänzlich vermisst.

2. Claustri de Lukesheim. Cf. 15 «quae nunc est dominorum de L.» Conrad Frender von Zabern und Agnes seine ehliche Hausfrau verkaufen 1496 (St. 23) «Vonts- cuntzen Heinrichen von Morsmynster und Katherinen syner elichen husfrowen ... ein husz und hoff ... in der alten statt Zabern, einseit nebent den verkouffern obge- melt, andersit neben den herren von Luxheim, vornen uff die strass und hinden uff den burgkgraben ziehende, und ist die gass, (die) hinden by den herren von Luxheim husz uszget, als weit dasselbig der herren von Luxheim hus get, halb den herren von Luxheim.» 1560 (St. 25) löst Antoni Küeffer mit 5 Pfund Pfennig aus: «drei schilling vier pfennig ewigs gelts ... von einer behausung und hovestat . .. in der statt Zabern das Künigshaus genant, oben an Wackermans Haus und inden an den herren von Luckeszheim gelegen». Die Quittung ist ausgestellt durch Aristarchus Mornhinweg, Schaffner U. F. Werks.

3. De sancto Johanne. Die Klosterfrauen von S. Johan besassen in der zweiten Hälfte des 16. Jahrhunderts den am Greiffensteiner Thor gelegenen ehmaligen Greiffen- steiner Hof. Dieser kommt als «des Closters von St. Johan Behausung» (St. 426), oder «der Frau Meisterin Behausung von St. Johan» (St. 423) und «des Gottshaus St. Johan Haus in der Greiffensteinergass (St. 440) des ôftern im zaberner Stadtarchiv vor. Auch in der Oberstadt besass das Kloster ein Haus (Rathsprot., 9. März 1688). Der Greiffen- steinerhof war vom Kloster erst im 16. Jahrhundert angekauft worden (Cf. FıscHer, A. Z., 210). In welchem Stadttheil sein 14 genanntes Haus lag, ist nicht zu bestimmen.

198

150R D: Item dictus Hertrich de Argentina contulit hospitali in Zabernia I vierdezal matten in Olfisheim bann, bi der wester mälen! und hat die von Frundinsberg mit in gemeine.

E: Item redditus VII solid. argentin. cum IIIl den. habet hospitale in Zabernia super domum dicti Virnenweise que fuerat diete Penberin.

I: Item Hensel Stehelin in Eckoltzewuller (6 Zeilen unbeschrieben). Item Otto Hennelins son von Algestrof* git ein unciam den uf ein viergezal reben uf dem Unerberge® neben Getze Mattesligel, andersit nebent hern Gotzen dem lutpriester von Steinwircken, und gitt die‘ Clouwes son an der matten.

15 Vo Item redditus cere. A: Frischo Bevelin I libram cere [durch- strichen: de quatuor agris frugiferis sitis an dem cruzewege) G: von her Bevelins des erzpriesters ackern an dem nidersten owe wege", nnn gelobet och das zu werende*, vur sich unn sine erben (H: 1 phunt cere). A: Item Rudingerus de Ötresdal dimidiam libram cere de dimidio agro vinifero silo bi dem herwege’ an dem anewender. It. Johannes filius

1. Bi der westermülen. Eine andere Mühle in Waldolwisheim heisst die Niedermühle. Wir müssen denn annehmen, dass die Westermühle oberhalb der Mühle «am Weg» oder «der (waldolwisheimer) Steige», also mehr gegen Zabern lag. So erklärte sich der Name Westermühle.

2. Algestrof ist, vielleicht Albesdorf (Albestroff) bei Chäteau-Salins, oder eher noch Altdorf (z. B. bei Molsheim), das auch als Alchdorf vorkommt. (Cf. Clauss WB.) Die Lesung scheint sicher.

3. Unerberg, wahrscheinlich Underberg. 1384 besass Hesseman von Griffenstein einen Acker Reben «gelegen in zabern bann an deme Underberge und yeweder site nebent (s)ins vetters Eberlin und Peterman gebrüder von Griffenstein». (St. 23.)

4. Und git die, und gibt diese (unze).

5. An dem nidersten owe weg. Das «Stettebuch» hat gegen 1490 folgende Notiz: «it. der weg vom nidern owe weg in die roten hegen . . . soll 12 schuh wit sein» Zuvor, in dem ältern Theil heisst es «It. der alt owe weg hebt an uff dem berge in der baungart (Baumgarten) gassen an dem wege und strasse und ist XXXI schuhe wit und breit. It. der obere aige (Auen) weg ist XXXI schuhe wit und breit.» Im Inventar von 1562 steht für 1551 zu lesen: «Ein acker reben in der roten heg, . . . neben dem alten auwenweg, als man gehn Monoltzwyler gott.» Der niederste Auenweg ist also der ältere. Beide Wege sind vom Weg nach Monsweiler (via qua itur M.) verschieden.

6. Zu werende, to warrant, à garantir (wahrsch. ehemals der Heerweg).

7. Bi dem herwege. Der Herrenweg zweigt sich an der nämlichen Stelle wie die Neue oder Pariserstrasse, aber nach entgegengesetzter Richtung, von der heutigen Steige ab. Im alten «Stettebuch» fällt er zusammen mit dem «eckolzwillr weg der do anhebt mit dem heilgen crutz an der steigen» und «ist XXXI schuhe wit und breit.» Das ottersthaler Bannbuch von 1726 enthält über denselben folgende An-

9090

heim twischent dem shlate wege‘ und twischent nuwilre wege, libere; et sciendum quod hanc predictam dimidiam frehtam dedit predictus Ludewicus hospitali in Zabernia pure propter Deum.

D: Sciendum quod fratres hospitalis locaverunt domum novam sitam in ponte”, ab opposito domus capellani, Petro filio dicti Stumph et Metze uxori sue et heredibus eorum perpetuo, pro una libra denariorum annuatim; et dabunt X solidos in nativitate et alios X solidos in festo sancti Johannis Baptiste, et posuit dictus Petrus zu underphande dimidium agrum viniferum situm an deme nidern berge* apud Monoltz- wilre, neben Gotzeman, frow Sivilien säne, dicto de Tröusen; quod si ipse Petrus dictos census in dictis terminis, aut octo diebus post quemlibet terminum, non daret, tunc dicti hospitalarii trahent dictum dimidium agrum ad se, de quo solum datur unus solidus censuum annuatim, et est sciendum quod cellarium sub domo remanet hospitalariis, de quo ipse Petrus aut heredes sui nullum jus habent.

F: Item, domus Katherine quondam dicte Butzin, que nunc est dominorum de Lukesheim, que jacet ibi retro anteriorem domum,

1. In shlate weg. Sowohl der Schlattenweg als der neuweiler Weg kommen in einem uns vorliegenden «gottesheimer Erneuerungslibell» von 1730 vor.

2. Domum . . . in ponte. Cf. XVIII Kal. Julii «super domo dicte hospitalis in ponte. Auf Joh. Bapt. 1157 (Sp. 8) empfingen Vogtes Fritsche der Weissgerber und Margaretha seine ehliche Hausfrau, eingesessene Bürger zu Zabern, von Friedrich Hessen dem Spitalmeister als Erblehn, um jährlich 1 Pfund 5 Schill. Bodenzins, «des spitals huss und hof hindenan und vornenan gelegen, mit allem sinem gebuwe, begriff, rechten und zugehörden, als es litt in der cleinen stadt zu Zabern, gegen dem spital über, uff die steinin brücken stossen, einsit neben der Sorn, anderseit nebent eim örthus (Eckhaus) und stosset hindenan zu uff Loisz Heintzen, ist von dieser ledig eigen.» Später ist dieses Haus im Besitz Hans Genglingers, des Lohnherrn. «Aber weil er den Garten an der Stadt Ringmauer/dem Spital wieder geben hat, hat man ime versprochen, so lange er lebt, die 2 Gulden (1 Pfund, 5 Schill. nicht geben solle, aber nach seinem Tode solle (die Gülde) an den Spital wieder geliffert werden. Beschehen 166(9?). Der Bischof hatte damals «diejenige Weyer und Garten so vor dem alhiesigen Bergthor an der Statt Ringmauer gelegen und dem dahiesigen Spital zugehörig gnadigst verlangt, und desswegen vermög hochf. Decrets de dato Baden den 2? Nov. 1670, dafür so lang 100 Gulden Capital mit 5 Gulden verpensio- niren lassen wollen, bis dass umb solches Capital dem Spital ein ander bequem Gut anstatt dises erkauft werden möge.» Die Stadt ging (R. P. 8. Mai 1671) auf den Vorschlag ein. Die Aneignung war anscheinlich 2 Jahre vorher erfolgt. Der Kaplan im Spital wohnte am Spital an.

3. An dem nidern berge apud Monolzwilre. 1672 (St. 31) besass das Stift: «An dem Niedern Berg getreunt gegen Monswiler zu» mehrere Rebäcker.

202

amas cum VI biccariis de dimidio agro, stosset uffe des spitals gut, et de dimidio agro sito bi des burgraven reben. Item, Johanes Serjant dabit omni anno unam et dimidiam amas et VI biccarios de dimidio agro sito bi Johannese Lungeln. Item Heinricus et eius frater, dicti Dreuschen, dabunt omni anno unam et dimidiam amas vini cum VI biccariis de dimidio agro sito apud predictum Johanem Serjant. Item, Conradus dictus Oleman dabit omni anno unam et dimidiam omas vini de dimidio agro in der owen', stosset uffe den burgraven. Item, Petrus in monte unam et dimidiam amas vini de dimidio agro sito ibidem. Item, fili Symondi dicti Dunre dabunt omni anno Il amas vini cum VIII biccariis de frusto vinifero sito bi dem burgraven. Item, Betteman dabit omni anno unam et dimidiam amas cum dimidio quartali vini super frustum viniferum, stosset uf des burgraven reben. Item, Frischemanus, filius dicti Stube, dimidiam amam et dimidium quartale vini de vineis ibidem. Item, Johanes dat I amam annuatim de vineis sitis ibidem. Item [?/, Zeile ausgekratzi]. Item, Hugelinus de Otrestal Iamam vini de dimidio agro vinifero sito an dem langen- velde. Item, Hug Plochholz I amam quam Gottefridus de Vilderdingen legavit hospitali. Item, Katharina relicta dicti Mehlin [| amam etiam omni anno, quam pater predicte legavit hospitali. Item, Hug Seiler I omam omni anno de vineis sitis uf dem bos. Item filii dicti Treuses I omam de vineis uf dem bos*.

den andern 1616, um 40 Gulden. 1619 besetzt auch Georg Anthoni, der Müller, in Schlettenbach, einen Weier «ein halb Acker gross» 1672 finden wir dort fünf Weier. Darunter gehört wieder einer dem Spital, die andern gehören Hans Michel Kuntz dem Weissgerber, Hans Henninger, Jacob Anthoni dem Müller, Jacob Zoller, dem Schaffner im Gürtlerhof zu Strassburg, an. Zoller’s Weier war «zuvor eine Matte gewesen». In der Renovation von 1692 werden nur noch 4 Weier in Schlettenbach aufgezählt, einer Jacob Anthonis Erben, ein anderer Gregori Kuntz, und die zwei übrigen Hans Georg Würmel, dem Schwanenwirth, angehörend (St. 31, 428, 431, 440). Einer dieser Weier ist noch angefüllt. Er befindet sich in der jetzt in den Besitz H. Merkling's übergegangenen Villa About. |

1. In der owen der noch heute erhaltene Name ist sehr alt. 1278 (St. 20) verkauft . «Ulrich her zu Finstingen . . . her Hansen von Griffenstein» mit den zwei jetzt ver- schwundenen Dörfern «Kynekzhoffen und Kaltwyler», im Bann von Zabern «eyn mat in der ouwen die do heyset bronmate, und uff XXXII acker die do gelegen sin in moszwiler und-in eckerizwiler ban und zygent herab uff die owe matte».

2. Uf dem bos. Sp. 12, finden wir (1724): «lt. ein Drittel Reben ottersthaler Bann im Buss bei der Capellen». Diese Kapelle steht noch. Im ottersthaler Bannbuch von 1726, heisst es vom «Bussweg. Von dem Creutz so im Herrenweg steht ist ein ver- gunder Fahrweg (Bussweg) bis zu der Capellen».

E: Item, Ita an dem Muleacker* legavit hospitali redditus unius ami vini super duos dimidios agros viniferos sitos in banno Zabernie. tem Frischeman filius dicti Hase dat redditus unius ame vini super dimidium agrum situm an der michelbach? niden an dem langen velde und ist ein anwender.

Item Hugo de Otristal et Wendelmudis dederunt dimidiam amara vini in perpetuum hospitali, super dimidiam vierzal sitam an dem langen velde penes filium Hennelonis de Otristal.

[Item redditus cere, Agnes, filia dicti Ruwen, pater eius ac mater eius dederunt ad hospitale dimidiam libram cere annuatim super dimi- dium agrum viniferum an dem Bergheimere, in via qua ilur versus Eckoltzwiler, nebent Ellekinde der nuwen wurten.]

G: Item es ist zu wissen daz Hensel Jorhich dem spital sol geben 16 Vo

alle ior VII schilling geltes zu sancte marlinstag von einem stucke reben, ist ein vierdegezol unn ist gelegen ane dem owe wege, eine site nebent der Merlerin, die ander site nebent Baltzer Lawelin; und ist och beret, wele zit der vorgenant Hensel kommet mit dritthalb pfund pfennige, so sol man yme geben daz gelt wider zu losende. Anno LXX octavo. Item Petrus Knieweling git alle ior, on zwene (zilen), nun schillinge von seine huse und hofestat mit allem begrif, als es gelegen ist nebent Lochdinlin unn Musichers kellre; unn vellet das halbe gelt uf sant martinstag und das ander halbe zu singehten’; und git Johans Musicher öch IX. ß on Il .j von der schiren neben dem vorgesagten huse. [Gestr. Et sciendum est quod nos hanc concessimus domum dieto Heberdearto in monte, Thilmani filio, et hoc pro X solid. annuis perpetuis, et posuit zu eime underphande dimidium agrum vinearum situm in dem loche, vel agrum dicti Velle et agrum domine Engelin.]

1. Der Mulacker ausserhalb der Vorstadt vor zur st Niolausplatz, hatte trühzeitig einige Aäuser (Cf. A. Anam, Zaberner Messtag 4 Il.).

2. An der michelbach. Vom «markstein der stoht als man gohn Etterstal in das dorff goht, an der wegscheyde, und von demselben markstein gleich die reben abe bitz uff den markstein der in der Michelbach stoht, und von demselben marksteine die Michelbach abe untz gohn Monoltzweiler» lief 1303, «zur zeit als schultheisse Conradt von Gugenheim zu Zabern was», von unten an der Steige, die Grenze zwischen Zabern und Ottersthal. Diese Grenze ist dieselbe geblieben und wenn nicht der Markstein an der Michelbach, so ist doch der ihm vorangehende am Weg nach Ottersthal von jener Zeit her erhalten.

3. Singehten, Johannis Baptistæ.

Ro

904

B: Anno Domini. Mo CCC XX°. in quadragesima.

Agnes de Oterstal, dicta de Birke, fecit compositionem cum hospitali taliter, quod hospitale tenetur predicte Agneti dare annuatim ad vitam suam I quartale siliginis et post mortem suam nichil autem, et sciendum quod domus ipsius Agnetis sita bi der spitalre burnen‘, post mortem ipsius libere cedet hospitali; et presentes fuerunt huius frater Frischo Bevelin magister hospitalis, et Hugo, Conradus dictus de Northenn, Johanes de Onolfesheim et omnes communiter confratres hospitalis’. Sciendum etiam quod dominus Guntherus de Sweinheim miles, dominus? dicte Agnetis, semper fuit presens quum hec acta fuerunt.

D: Johanes Billung de Knorsheim et Elsa uxor eius et Haula filia eius, et Billungus filius eius, et Henselin filius eius, et Dina filia eius, et Ellina filia eius, et Elisabeth filia eius, contulerunt hospitali pro remedio animarum suarum VIII sextarios siliginis super bonis infra scriptis: Primo Il sextarios siliginis super uno agro frugifero sito oben

1, Der spilalre burnen, anscheinlich der Brunnen im Spital selbst. In der Stadt- rechnung für 1568 wird der «beginenbrunnen hinder dem spital» erwähnt. 1617 (Stadtr.) verfertigt Hans Schreiner, der Drechsler, für 12 Schill. «zwo hölzine Brunnscheiben an dem Beggyenbrunnen bei dem Spital» und Balthasar Lacher der Maurer hauct, für 4 Pfund, «Stein und Säulen » dazu. Demselben Lacher wird (St. 346) der « Brunnen- stock bei dem Spital verdingt, den man den Beginenbrunnen heisst. Dies war anscheinlich der einzige Brunnen in der Kleinstadt. Am 15. Juli 1771 klagte nämlich die dortige Einwohnerschaft, «dass der einzige sich in alhiesiger Kleinstadt befindliche Brunnen gänzlich verdorben», so dass man das Wasser in der Stadt holen musste. Ein Augenschein wurde eingenommen «ob man kommlicherweis einen Röhrbrunnen in albiesiger Kleinstadt einrichten kann». Der Augenschein flel günstig aus. Man beschloss 1773 den Röhrbrunnen vom Bleichergässel her in die Kleinstadt zu leiten (St. 8).

2. Omnes communiter fratres. Hier ist von eigentlichen Brüdern des Spitals die Rede, doch ohne dass wir auf ihre Zahl schliessen könnten. Aehnlich wird ja, in den vom Stadtrath angestellten Urkunden, meist bloss der Unterschultheiss genannt, mit zwei oder drei Schöffen und Geschwornen des Raths. Hierauf folgt «der rat gemeinliche der stette zu Zabern.» Es gab auch bloss angeschlossene, nicht in den Spitälern wohnende Brüder. Eine solche Laienbruderschaft erwähnt Walter (Vogesen Cl. 1899. S. 39) für das Haus zu Ruffach. Cleulin Surgant Altschultheiss zu « Gebelswilr » liess sich (Ibid. S. 31) sein Weib, seine Kinder und alle seine Geschwister in dieselbe aufnehmen. In Zabern finden wir keine Spur einer derartigen bloss namentlichen Einverleibung. Ebensowenig liegt irgend welcher Anhaltspunkt darüber vor, dass zu Zabern wie in Strassburg (Cf. Urkb. Ill. 50). blosse Pfründner ohne Uebernahme eines Dienstes, als Brüder und Schwestern gegolten hätten. Die Pfründner heissen in Zabern niemals Brüder, und haben bei Verträgen nicht mitzusprechen.

3. Dominus. Eheherr.

18 Ro

906

dem Rebstokke von Strassburg. Item, ein vierdezal uffe demselben velde, neben dem schultheise von Zabern und stosset uf den weg von Morsmunster ‘.

De hiis dat dictus Nicholaus (unum quartale?) et unum et dimidium sextarium siliginis zu bettekorn. Item de predicto schemelin dimidium vierlingum siliginis. Item denarium cum obolo. It. VII et dimidium denarium zu meierzinse.

[Zusatz, der Schrift nach aus der Mite des 16. Jahrhunderts: Die brottbecker geben selsen (sollen) von vasch (wachs)*: Item alles wass darufiget in der spittelkirchen, das sellen geben die brotbeckerknecht in die kirchen, darumb hend sy ir bruderschafl in dem spittel und hend ir eygen kammer in dem spittel, und git inne das spittel INT gulden 1 schill.]

D: Redditus bladi. Primo Conradus de Phaffenmatte? et Ottilia uxor

1. Weg von Morsmunster. In Henko’s Stifung: «munsterling weg.»

2. Von dieser Lieferung des Wachses durch die Bäckerknechte findet sich sonst keine Spur. Ein Abkommen bestand hingegen von 1543 ab, zwischen dem Rath und dem Schuhmacherhandwerk, dass «dans le cas qu'un garçon cordonnier travaillant dans cette ville chez un maître tombât malade, il sera recu à l'hôpital, nourri, abreuve et pourvu selon ses besoins jusqu'à ce qu'il ait recouvré la santé». Er sollte in den gewöhnlichen Krankensaal aufgenommen werden. Nach 4 Wochen bezahlte das Hand- werk für ihn wöchentlich 1 Schilling. Bei eintretendem Todesfall gehörte, was er im Spital bei sich hatte und was er noch bei seinem Meister besass, dem Spitale an. Bei Abschliessung des Vertrags hatten die Schuhmacher dem Spital ein für alle Mal 20 Pfund Pfennig gegeben. 1765 weigerte sich der Spital die Schuhmachergesellen aufzunehmen. Er wurde aber durch das bischöfliche Kanzleigericht dazu angehalten.

3. haffenmatte oder pfaffenmatte, jets Niederbarr. Schon die von Greiffenstein (ScuörrLin, A.-D. Il 303) hatten die Meierei Pfaffmatt als bischöfliches Lehen innegehabt. Im Jahr 1426 übertrug Wilhelm von Diest (Fiscuer, Alt-Zabern, 21) dieselbe Berthold Münch von Wiisperg. Nachdem 1587, mit Wilhelm von Wilsperg, auch dieses Geschlecht ausgestorben war, finden wir 1655 (Stadtrechn.) Dr. Grundschütz im Besitz des Lehns. 1665 wird es an Chirotheus Constantin von Rathsamhausen vergeben (ScHöPFLın, loc. cit.) und nach desssen Tod an Johann Georg Mayerhoffer. Die Familie «von Mayerhofen» behält es bis zur Revolution, wo sie Eigenthümerin desselben wird. Niederbarr hat mit Hohbarr nichts gemein. Dass seine Einkünfte zum Unterhalt des Schloss- kaplans gedient hätten, ist eine grundlose Vermuthung. Mag auch Pfaffenmatt nicht auf das keltische buhem «Einfriedigung für das Vieh und Wohnplatz» zurückzuführen (Frscuen, All-Zabern, 21) und das Wort, wie uns scheint einfach, von Pfaffe (Geistlicher) abzuleiten sein, so bliebe immerhin, wenn das Gut zum Unterhalt des Pfaffen auf Hohbarr gedient hätte, die Verleihung an «Eberlin von Greiffenstein sel. und seine Voreltern» (ScuöpeLıin, loc, cit.) unerklärlich. Die Namen Hoh- und Niederbarr sind

907

eius dederunt hospitali in Zabern I sextarium siliginis annuatim super agrum situm inter dominum de Wildesberg et scultetum (in) Zabern, bi dem marcsteine' der scheidet des von Wildesberg gät und juncher Wil- helmes gut. Item capellano ibidem II denarii, et si non darentur dictum sexlarium et duo denarii in festo beati Bartholomei, et si non darentur tunc, ipsum hospitale dicta bona ad se traheret pro dictis censibus.

F: Item, Henricus dictus Frecho de Onolfesheim dat annuatim hospitali in Zabernia redditus duorum quartalium siliginis de uno agro prati sito an den muselmaten*, die obermate nebent des closters frehten von Morsmunster. Item dimidium agrum arabilem iuxta molendinum dietum nidermulen* prope viam et penes filiam Hugonis dieti Freche; et sita sunt bona in banno ville de Onolfesheim.

Item hospitale, habet I quartale siliginis redditus super domum et curiam dicti Wicke in Furchhusen.

übrigens neu. Wir finden statt des ersteren sowohl im Zaberner Stadtarchiv als sonst nur immer Barr oder Borre, und statt des zweiten nur Pfaffmatt, Dem Namen Hohbarr begegnen wir in Zabern zum ersten mal in folgender Notiz: «It. anno 1594 den 31. martii in beysein des herrn Canzlers von Weich, den soldaten auf Hohen Borr... Kriegsbesoldung abgericht 400 Gulden» (St. 286). Der Name Niederbarr für Pfaffmatt taucht erst gegen Ende des 18. Jahrhunderts auf. Ein Sterbeakt von 1696 (8. Nov.) hebt aussdrücklich hervor, dass der gebräuchlichere Name damals noch Pfaffenmatt war (in Niderbahr vulgo Pfaffenmath).

Conradus de Phaffenmatte ist der dortige Hoffmann. Aehnlich finden wir im Zaberner Urtelbuch 1520: Claus von Pfaffmatt und hierauf (1534) Claus Wyss zu Pfaffmatt; oder (fbid, 1546): Wolf von Pfaffmatt, und hernach in den wilsperg’schen Rech- nungen (St. 408): «St, 25 Gulden halb rocken und halb habern gibt jerlichen Wolf der hoffman daselbst (zu Ploffmat), stet de A" 1555.»

1. Bi dem maresteine. In der Bannrenovation von 1692 (St. 32) werden an Marksteinen, vom «niederbarrer Bannscheid bis an den otterweiler Weg», jetzt Strasse von Zabern nach Maursmünster, 17 aufgezählt. Einige trugen das hochstiftliche Wappen. Der 6. gegen Juncker Conrad's (von Wilsperg) Wäldel hin» zeigte das Wappen nur noch zum teil; der 7. neben dem gottenhauser weg «am Conrads Wald hinaus» war ohne Wappen und Jahrzahl ... Nr. 10 zog an Junker Conrads Wald über eine alte Erd- grub ... Nr, 11 schied rechter Hand durch einen Strich «Junker Conrads, jetzt niederbarrer Wald», und fuhr «otterweiler Wald an linker Hand fort», Der Stein Nr. 3 trug die Jahrzahl 1576. Junker Conrad, von dem hier die Rede ist, kommt 1508 (St. 316) als Junker Conrad Münch von Wilsperg in der Sebastianusrechnung vor, 1527 nennt dieselbe Rechnung Conrad Münch von W. den Alten und den Jungen.

2, muselmaten. 1760 finden wir als Spitalgut in Waldolwisheim, sauf der Musselmatt auf dettweiler Graben: It. ein Fruchtviertzel . .. ziehet oben aufs Closter Maursmünster, sindelsberger Guth».

3. V. supra 17 Ve,

908

D: Item hospitale zaberniense habet annuatim dimidium quartale tritici in banno Steinbach! super his agris: Primo, uf den daslochern, uf den zwein ackern das dritteil. Item, das dritteil uf den zwein ackern uf den weck uf das banholz, das mitteste stücke. Item, uf bas zu vellemun, dedimidius ager. Item, dimidius ager uf krechenmatte, niden hin. Item, dimidius ager zu spielemannes affoltere*. Item, an aiswilre anwender II agri. Item, zu grunlinge ein blezzelin an einer anwende. Item, das dritteil eines Ackers an deme mülewege. Item, das dritteil eins ackers an dem hufel. Item, das dritteil eines ackers oben hin. Item, an dem berge ein blez matten. Item in aiswilre? banne ein helbeling wert. ltem das dritteil an dem blezze in dem boumgarte. Item, in rotingen malte ein blez. Item, das dritteil an zeismannes matte. Iteni, das seisteil an einem acker uf der matte an dem berge.

F: Item hospitale habet annuatim redditus unnius octalis siliginis in Eckoltzwiler quod datur de curia dicti Koltershof, que sita est zwischent der wasserluesen * und Johanese Reigere.

Item, hos redditus habuerunt Agnes et Metza sorores in banno ville de Phaffematen et iam sunt hospitalis Zaberniensis, videlicet: Duo quar- talia siliginis percipienda annuatim super tribus agris sitis prope Quetter- ling et super duobus agris silis prope nemus quod dicitur eychwalt’,

l. Steinbach, eiu verschwundenes Dorf zwischen Assweiler und Durstel (Caut. Dru- lingen).

2. Affoltere, erinnert an das englische apple-tree, Apfelbaum. Das Wort bezeichnet jedenfalls eine Baumfrucht, in Baiern einen Apfel (cf. GRIMM, Wörterbuch). « Affel- terle « ist in Wanzenau ein Flurname. Spielmans Affoltere könnte hier ein Garten mit Aepfelbäumen gewesen sein.

3. Aiswilre, Assweiler.

4. wasserluese, Wasserabfluss. 1552 begegnen wir (St. 419) für Eckartsweiler der Beschreibung : «It. ein halb acker an der wasserliessen, einerseits neben der fliessen, anders. neben dem aeufer selbs. Die «Liese» kommt Keufer selbs.... Zu Zabern kauft 1446 Hans Wimpf der Gerber einen Garten im Bann Zabern e nebent der Lüsen einsite... stosst undenan uff die Sorn ». Eine Allmendgasse vor dem Oberthor ging 1456 «slecht (einfach) hinus uff die wasserluse und von der wasserlusen . .... hinder den ruten uss...» Auch eine «üse igegen der Stein- gruben ... an der landstrassen ... die durch Schollen Clausen Garten geht kommt vor (1486). Wir erfahren später, dass sie sich an der Steige befand (L. 23). Viele Bannbücher weisen Liesen auf. St. 419 finden wir «ein frecht in der lisen, landers- heimer bann» und in Singrist Reben «neben dem lispfad » (St. 419).

5. Eychwalt. Hier ist nicht der zaberner, sondern der pfaffenmatter Eichwald gemeint, vielleicht später Junker Conrads Wald genannt. (V. supra 207.)

IV.

Zwangers Notiz zum Seelenbuch.

Auf dem ersten Blatte (R°) des Seelenbuches steht ganz oben folgende Anmerkung: «ft NB. NB. NB. Anno M. DC. XXXVI, mense Junio, Hospitale S Nicolai in Zabernia, lempore obsidionis gallo- suedicæ, 6 seplimanas duranlis, per Cæsarianos mililes, spe conser- vande relique civilatis, exustum fuit, el sic inler cineres usque ad annum 1653 permansit: Deinde largitionibus piorum el eleemosynis iterum reædificatum est: Anno 1662 nova quoque Capella S. Catha- rinæ accessil: de veleri eliam pars conservala, S. Wendelino sacrala. Ita testor Joan: Carolus Zwanger, SS. Th. D, pastor el praposüus, anno 1667: Omnia ad Dei gloriam Amen.»

Bevor wir diese Notiz besprechen, haben wir kurz auf die Zwischen- zeit, vom Abschluss des Seelenbuchs an bis 1636, einzugehen. Von den Urkunden abgesehen, die wir im Anhang geben, liegen uns aus dem 15. und 16. Jahrhundert, sowie über die erste Hälfte des 17. nur spärliche Nachrichten vor. Wohlthäter finden wir erst wieder von 1545 ab, und zwar:

1545. Veltin Hüpper,' Vik. zu Jung St. Peter in Strassburg. Dieser hat gegeben durch Testament, wegen Barbara Hölderin zu Kerzfeld, 20 Gulden,

1. Hüpper. Bei Ambrosius Volmar Probst zu Jung St. Peter, und Jakob Eichelberger Domherr zu Jung St. Peter, als Hippers Testamentarien entlehnte 1558 der Spital (St. 419) 480 Gulden, wovon jährlich 20 Gulden an die Franziskaner zu entrichten waren.

Valentin Hüpper hatte begehrt in der Pfarrkirche zu Benfeld begraben zu werden. im Chor oder vor U. L. F. Altar. Er hatte eine Reihe von Legaten ausgestellt. Sollte sich in Jahresfrist nach seinem Tod ein Verwandter aus Schliehingen ausweisen, 50 erhielt derselbe 28 Gulden. Widrigenfalls fielen die 28 Gulden der dortigen Kirche zu. Was nach ausgerichteten Legaten übrig blieb, sollte den Barfüssern in Zabern zukommen. So hiess es im Testament. Ein Codizill (1555) fügt hinzu: « Indem die Barfüsser kein Geld annehmen, soll der Nachlass dem rath in Zabern übermittelt werden, der dem closter den crtrag zu entrichten hat. Auf dem Kirchhof in Schlehingen am Sassenhart ist ein steinern Kreutz im preiss von 30 oder 40 Gulden zu errichten ». (St. 17 u. 37).

12

1554. Jacob Zwanger und Elwibel, Gabriel Kraufthals sel. Wittwe, «seine Schwiger». Sie hatten 11 Schill. 8 Pfenn. jährlichen Bodenzinses auf Adol Lech’s Haus, in der Mittelstadt, zu beanspruchen und mussten, indem Lech nur 10 Schill. geben wollte, desswegen (1547) gegen ihn klagen. Sie treten den ganzen Zins an den Spital in Zabern ab «umb Gottes willen» so dass er fürther dem Spital zustehn und gehören sollte. (Sp. 6).

1502 Prothasius Gebweiler', hoher Suft Strassb. Vikarius. Er hatte dem Spital in Zabern 50 Gulden legirt, ein järliches Gedächtniss, für ihr. seine Eltern und Verwandten, mit einer Vigil und einer Messe «NS enim credimus»r, in der Woche des Maitages in der Stiftkirche kalten zu lassen. Bei etwaigem Eingehn der Jahrzei sollte aller Zins dm Spital verbleiben. (St 13:

M Jacob Eichelberger’. Kanonkus zu Alt SL Peter in Strassburg. Er vermxæhte den Armen in Reichshofen eine jährliche Gülle von AN Fiertel Roggen und Hafer. Schultheiss und Gericht zu Reichshofen halten Schultheiss uni Rath zu Zabern jedes Jahr über die erfolgie Auäbeilunz Rechnunz zu stellen Wurde das Voermächtaiss verweigert cr die Rechaungstellunz abgeschnt, so gehörten Gülle und Gui dem atal m Zaiern an Sp 13:

Deses Verssichtinis sam nıcht nach Zabers

15. Fou Barbara Ubeßerin Gecrg Ubsihers’ des verstorbenen

ı Poches Wienzar Let 5 pas Unftürmer be Terme Ze Predart is ner u Nador win: san Len ouûc Beim. ace vou Zabern das Fume m uni Wie Su lent Kr amraodva Mlmie coke rum Zabern, de non RUaQr

LE Jam Tumander-per. eier il Ina wo uapemie Dre - 1a, write Sp À « Srpèsuines con Vendue Wen 2: ŒUINÔS LS EL xs. Me Svmenis

LE roms Je ReccheQenneun TamenMIT + Les ELLE mars Ecchebecr. myecm DUUE CLACUNUR OPRECUACIN rem alvicans » 1 Pied

Manu inches Emes „I sci um Ins raie ec Sn <ommx et CR TE, map Jon Euspelrero:e vrac «ce zumtummm vies et Petri LAURE. Di Ron mars œonn Dnabeere eng des Tiers Lakiséers. MEN am Tieljierpe Sy. 25 Jean za LE S 2er

K or Ice” vin n bee 'werswaik in sweien Es mens nier Émis vom Rues 4 smoke Iakusier Nan EL SERIES mi lacs: Ietelnire = Sera, ut racni “ra ARduagucr I. u Sri. ımi Sum Rae ia Étacrmair, verte Hure m Joux Verser CCmtEr «ar deb acier bei Jjerspam nat 27 ec mi to ane be lemme uni zum nl Pacte je Trieemam m Rio OST DST of de Yan Jun ker pme Julersteum me Sr etes Jur UL

214

1593. Agnes Losserin weil. H. Wendling Zippers von Angenstein sel. Wittwe. Sie vermachte in den Spital 200 Gulden davon 10 Gulden Zins, 1 Gulden bei ihrer Jahrzeit in der Woche Allerheiligen, die übrigen 9 Gulden sonst unter die Armen auszutheilen (Sp. 13).

1609. Hans Böller‘ des Raths zu Zabern. Er vermachte dem Spital 320 Gulden, von den ibm geschuldeten 400 Gulden abgehend. Von den 11 Gulden Zins, sollten 6 im Spital bleiben für arme Leute, 5 ver- wendet werden zu einer Jahrszeit im Franziskanerkloster, jedesmal mit einem gesungenen Amt, zwei Nebenmessen und Vigilien. Im Fall der Gottesdienst im Kloster abginge, sollte die Stiftung in der Pfarr- kirche gehalten werden; dabei waren zu geben den Chorherrn 3 Gulden, den Chorschülern mit dem Sigrist 5 Schill, und für Brod unter die Armen 1'/, Gulden. Würde die Jahrzeit gar nicht mehr gehalten, so sollte der Betrag dafür dem Spital zufallen. Davon war auch jährlich zu geben «den gemeinen armen, sundersiechen und gutleuten alhie, und den frembden auf zaberner messtag 10 schill. freundlich mit einander zu geniessen». Aus den ihm bleibenden 6 Gulden sollte der Spital «jährlich und alle jahr auf allerseelentag A sester früchten mahlen, backen und das brod in der statt, oder aber clossenkirchen da solches, breuchig under die armen gottes trewlich austheilen lassen». (Sp. 13.)

1618. Wilbelm Seger, Stadtschreiber. Er vermachte 40 Gulden, wovon die Zinsen jedes Jahr «zue der armen nach zeit erheischender nothurf zu verwenden waren. (Sp. 13.)

Von dem alten Closengut war ein Theil an den Spital gekommen, ohne dass wir den Grund dieser Ueberweisung erfahren. Indem die Beginen in Zabern unter der Leitung der Steigerherren gestanden

kommt er bald als Geilendörfer, bald als von Geilendorf vor. (St. 421). 1568 wohnt er zu gSchlettstadt (St. 428). 1584 ist er, als Amtmann zu Rixingen, der Stadt Zabern 600 Gulden schuldig, die er und Veronika Schmelszin, seine Frau, bei dem Legat, dem gemeinen Almosen, dem Spital und den-Gutleuten aufgenommen hatten (St. 33 u. 426). 1586 wird von ihm die letzte Rate dieser Schuld abbezahlt. Er besitzt auch eine Erblehnsgerechtigkeit «uff des thurnprobstes hoffe bei dem münster in Schlettstadt gelegen». Bischof Erasmus hatte in der Stift zu Zabern eine Jahrzeit, für welche der Stiftschaffner jährlich einen Gulden ausgab (Sp. 1).

1. Bölers Testament (St. 38) ist vom 19. Mai 1600. Sein einziger Sohn Niclaus Böller war «vor etlichen Jahren der schreyberey nach, dieselbig hien und wider ye mehr und besser zu erkundigen». Seitdem hatte man von demselben nichts mehr erfahren. Er war auch 1606 nicht wieder zurück.

215 (Fischer, À. Zab., 119) und diese in ein weltliches Stift umgewandelt worden waren, erhoben die zaberner Stifisherren ebenfalls Ansprüche auf die Closengüter. Dem Spital wurden die Gärten bei der Close, dem Suft aber die von der dortigen Pfründe herrührenden Zinse zugetheilt. 1556. Am frytag nach Mariä verkündigung 1556 hat ... juncker Jerg von Wangen oberschultheis zu Zabern der clossen- kirchen halben zwischen den stiftherren und dem spital alhie zu Zabern gehandelt; namblich dass alle die gerten so bei der closen gelegen und bisher darzu gehert haben, further dem spital eigen- Ihumbsweis zustan, auch durch den spital in baw erhalten werden, Dagegen sollen alle zinse so bisher an die pfrundt gehert und die stiftherren ingenommen, inen further also pliben und deshalb kein theil an das ander wither forderung haben noch suchen sollen in keinem wege. (Sp. 10). Mit dem Stift hatte der Spital mehrmals zu thun bekommen. 1541 war =" Bl S. 141) die Caplanei im Spital von Bischof Wilhelm zu "rühmessen in der Stiftskirche incorporiert worden. Dagegen mussle das Sun die Messen im Spitalkirchlein lesen lassen, «und ge- dachtes Kirchlein (heist es) ist eingeweihet in honore sancli Wendelini; der damalige letztere Capellan hiess Johannes Wickhram», 1558 (Ibid.) erfahren wir, dass der Spital dem Stift jährlich zahlen muss 4 Gulden, wegen des Herrn Maternus (Vogt) gewesenen Schultheisses zu Zabern fundierten jährlichen 4 Anniversarien, mit Vigilien, 2 Ämtern und 2 Messen, auch Beleuchtung des Grabes, jeden Dienstag nach der Frohn- fasten, und 1559 (Jbid.) dass das Stift verbunden war «alle tag in dem spitalkirchlein eine heilige mess lesen zu lassen, und war damals dazu bestellt H. Andres Werner (ein Stiftsherr), dem gab man von jeder heiligen Mess zu lesen 8 pfennig.» Wir kommen jetzt an Zwangers Notiz. Unsere Erläuterung zerfällt nothwendigerweise in folgende Theile:

A. Pfarrer Karl Zwanger.

Die Zwanger stammten aus Maursmünster. Dort war 1517 (Urtelb. 176) Stephan, Lienhart Zwangers Sohn, noch Bürger (St. 416). Erst seinen Sohn Jakob finden wir in Zabern, wo er 1549 dem Rath ange- hört und «Zwanger Petern, bürger zu Maursmünster», wahrscheinlich seinem Bruder, ein Haus mit Hofstalt verkauft, gelegen zu Maurs- münster, «hinten uff die allmendgass, gegen juncker Jergen von

A Zr

216

Wangen hof stossend, vornen uff den platz gegen der metzig oder dem brunnen». Er wurde Lonherr in Zabern.

Im jetzt dem zaberner Spital angehörenden ehemaligen Monet’schen ‘Haus, steht noch die 15-Sehuh weite, 69 Tritte zählende schöne Schnecken- treppe, die er von Andres Mörlin, Steinmetzen in Maursmünsler her- stellen liess, um 53 Pfund strassburger Währung, 19 Ohmen Wein und 8 Viertel Frucht, halb Weizen und Korn, wie solches (L. 430 fasc. d., F. 63) aus einer Quittung vom 12. Okt. 158% erhellt. Jakob Zwanger war am vorhergehenden 4. Juni gestorben und hatte also die Treppe nicht zu Ende sehn führen. Sein Sohn Stephan Zwanger kam im selben Jahr «zu Rat» (L. 438.) Er war seit dem 23. Februar 1576 verheirathet mit Agnes von Boisz, der Tochter des aus Saarbrücken gebürtigen langjährigen Unterschultheisses (1564—1592) Adam von Boisz, dem er selbst, als Unterschultheiss, unmittelbar nachfolgte, um erst 1627, alterswegen aus dem Amt zu treten. Er starb im Jahre hernach (4631). Zur Einschreibung in Sebastianus Bruderschaft hatte er 1609 (L. 317) folgendes Verzeichniss eingereicht: «Ich Zwanger, meine Hausfrau Sabina Strettin, unsere lieben Kinder, Philipp, Jacob, Anna, Maria Salome, Hans Jörg, Maximilianus, Carlen, Jörg Eberhartlin, Maria Elisabeth und Johann Christoffel, begehren aufgenommen zu werden.» Ueber Maria Salome wird dabei angemerkt, dass sie sich 1508 mit D" Boss zu Hagenau verheirathet habe.

Aus Hagenau scheint schon Zwangers Frau gewesen zu sein (St. 430). Geboren (Sterbakte) am 17. März 1564, heirathete sie mit ihm 159%. Dies ergibt sich aus der damaligen’ Zaberner Stadtrechnung: «lt. 15 Pfund seind h. Stephan Zwanger, des raths, ime uff sein hochzeit, in eime silberm becher, wegen der statt verört und geben worden, wie es dan durch ein ganzen rath bewilligt. IL, 1 8 2 „3 geben von dem wappen uff dem becher so herr Stephan Zwanger verört werden, in der woche nach Johannis.»

Das Zwangersche Wappen befindet sich mit der Jahreszahl 1582 über dem Eingang zum soeben erwähnten «Schnecken», sowie auf einem die Inschrift «Jacop Zwanger 157 ..» tragenden vor zwei Jahren bei Bau- arbeiten in einer Mauer des Monet’schen Hauses aufgefundenen, jetzt im Museum befindlichen Steine.

Wir sollten hier gleich von Karl Zwanger dem Wiederaufbauer des Spitals, reden, doch mögen zuerst einige Angaben folgen über seine Geschwister.

ss

Hans Jörg, der unter Stephan Zwangers Kindern in vierter Reihe aufgezählt wird, wurde (St. 430) getauft am Tag Christi Himmelfahrt 1593. Dieser Umstand, sowie die schon 1608 erfolgte Verheirathung der Marie Salome, zeigt dass Zwanger vor der Streilin eine erste Frau gehabt hatte. Sie hatte Ursula (Kraufthal) und ihre Mutter Ellwibel geheissen (Sebastianusreg. 1541).

Seine Schwester Anna Zwanger starb ledig am 9. Oktober 1656.

Marie Salome, mit Dr. Boss verheirathel, wurde die Mutter des kais. Leutenants Johan Stephan Boos. Hans Jörg Zw. studirte (St. 430) zuerst bei den Jesuiten in Molsheim und begab sich zur Fortsetzung seiner Studien 1609 nach Mainz. Maximilian Zw., getauft am 12. Nov. 1595 studirte (St. 432) zu Molsheim, zu Speier und zu Freiburg i. B. Er gedachte «noch andere Universitäten zu besuchen und wird 1620 als Pathe, mit dem Titel eines Doktors vorgeführt.

Ueber Georg Eberhard Zw. theilt uns Pfarrer Zw. in seinem Testa- ment mit, dass derselbe Pfarrer in «llerbsheim» bei Benfeld und Fruhmesser zu Alt-Sankt-Peter war, qui per Suecos, capto Ben- feldio, de sua parochia pulsus et omnibus fere suis rebus perditis, ad patrios lares confugit, deinde anno sequente 1633, Kalendis Augusti, sacramentis ecclesiae pie munilus vilam finivit, et in templo Patrum Franeiscanorum ibidem sepultus est.

Von Johan Cristoph, der am 8. Nov. 1608 von Joseph Bilonius, dem bisch. Kanzler, und Margaretha von Landsperg über die Taufe gehalten worden war, erfahren wir im selbigen Testamente noch folgendes: «Absolutis studiis, militiae nomen dedit et dum Norimberga a Wallen- stenio obsideretur sub capitaneo Emanuele Reich locum tenentem egit. Ambergae, in superiore Palatinatu, in febrim incidit, vitamque finivit, ibidem in coemeterio SS”** Trinitatis anno 1632, mense Augusto, christiane tumulatus, in pace requiescit.»

Ueber Philipp Jakob und Maria Elisabeth fehlt uns jede Nachricht,

Karl Zwanger wird, gleich seinen Brüdern Jörg und Maximilian, zuerst bei den Jesuiten in Molsheim studirt haben. Die Rechnungen des von Bischof Erasmus gestifteten «fürstlichen Legats» liefern uns von 1607 bis 1662 ein langes Verzeichniss solcher junger Zaberner, welche für den Besuch der Schule in Molsheim mehrjährige Unter- stülzungen bezogen. Molsheim war die von den, auch aus eigenen Mitteln Studierenden Schülern aus Zabern, am meisten besuchte Lehranstalt. Dort promovirten, von 1618 an, viele Zaberner zu den akademischen

Eee

scilicet parochus in Erstein», als

219

B. Der nene Spital.

Der alte Spital bestand, wie schon angemerkt wurde, aus zwei ver- schiedenen Häusern, dem obern und dem untern oder, wie man noch sagte, dem vordern und dem hintern Spitale. Beide Theile wurden nach- einander auch durch Pfarrer Zwanger wieder hergestellt. Darüber, wie die zwei Gebäude und das zum hintern Spital gezählte Blockhaus ur- sprünglich angelegt waren, finden wir einige Angaben in dem 1596, für Nonnenhans und seine Frau beim Antritt der Spitalmeisterschaft aufgestellten, schon oben berührten Inventar. Fur den Obern Spital kommen darin vor: der Kasten, die Stockfischkammer, der Saal (mit 3 Tischen), die Küche, des Spitalmeisters Stübel, des Spitalmeisters Kammer, «der Hausehren», 15 Pfründnekammern. Im Blochhaus finden wir, neben einem Raum mit allerlei Gerümpel, ein Kämmerlein, die Blochkammer, den Hausehren, die Vordere Stube, die Weiberkammer, die Armenleutstube, die Gesindestube, den Rossstall (mit 4 Pferden); im eigentlichen Hindern Spital, die Gastkammer, die Schuhmacher- kammer, den Gang, 4 Pfründnerkammern und des Hausknechts Kammer. Weiter waren Stallungen vorhanden für 5 Kühe, 2 Stiere, 4 Kälber und 7 Hühner, ein Gewölb, ein vorderer (gewölbter) Keller und ein Schenckkeller (Sp. 3). Alle diese Gebäulichkeiten wurden, wie in Zwangers Baurechnung wieder angemerkt steht, «den 26 Juny Abentz, in die Aschen sambt allem so noch darin war ingelegt.» Die Stadt wurde übergeben am folgenden 14 Juli.

Ein Krankenhaus wäre eben in jener Zeit nothwendig gewesen. Aber die Trümmer des Spitals blieben während des Krieges «elendlich legen» und erst nach Abschluss des für Zwanger so schmerzvollen Friedens zu Münster, der «iniqua pax westphaliana», wie er sich ausdrückt, konnte ernstlich an den Wiederaufbau gedacht werden.

Von den Gütern des Spitals erfahren wir in dieser Zwischenzeit wenig. Am 1. Juni 1642 begehrten die Franziskaner, denen der Spital, «von anno 1619 bis uff dato, 115 Gulden Zins usstendig» war, doch endlich bezahlt zu werden. Sie wurden vom Rath an die Kanzlei gewiesen, und von dieser der Stadt die Ermächtigung ertheilt, den Spitalgarten bei der Schwarzbach zu verkaufen. Dieser Garten, dem Spital gegenüber zwischen «den zwei Wassern» gelegen, kam (Sp. 13) am 93. Dez. 1642 um 120 Gulden an Hans Genglinger, den Rotgerber. Am 3. Febr. 1651 wurde vom Rath beschlossen, dass die «in der Weite gelegenen»

990

Spitalacker «wider in Bau gebracht» und dazu an Franz Schlessinger, der schon Einiges vom Spital baute, um 2 Sester vom Acker, môchten vergeben werden. «Sonsten, weilen der Leutenambt so in der Fegers- heimer Haus, ein Acker 20 oder 30 zu löhnen begert», sollten «von den übrigen Gärten des Spitals, sovil er begeren wurt, gesucht und jme umb gleiche Gult geluhen werden.»

1651 referirte H. Henniger, als Spitalschaffner, vor dem Rath (10.Nov.), dass er «das Gultgut zu Bussweiler 6 Jar lang verluhen, uff 37 Acker, davon der Entlüher alle Jar 22 Sester Frucht zu Gulten geben soll.» Ein wenig Leben zeigte sich also wieder in der Spitalverwaltung. Am 21. Febr. 1652 forderte der’ Rath die Inventirung der Spitalbriefe. Die Originalien sollten dem Spitalschaffner in Gewahrsam gegeben werden, «damit er sie den Censilen erweisen könnte. Am 21. Febr. 1653 berichtet das Rathsprotokoll: «Dieweilen Meister Hans Chuonz, der Weissgerber, unlangsten Becher Hansen ein Weierlein, woruffer dem Spital 20 Pfund Capital stehen, verkauft und man den Spital aber wider in Bau zu bringen Vorhabens, und aller Orten umb Gell umbzusehen ist, als ist jme Weissgerber ufferlegt, (dass er) innerhalb 14 Tagen das

halbe Capital erlegen und bezalen solle.»

In_einem Brief an Bischof Leopold, vom folgenden 9. März, äussert sich Zwanger dahin, der in der Kleinstadt gelegene Spital zu Zabern habe vorher bestanden «aus zwei herrlichen Gebäuden und annectirter Capellen S. Catharinae». Er sei im Krieg «in Brand gesteckt worden - sambt allem so darin war, ... dadurch wie man verhoffet die zwei übrigen Stätt (Oberstadt und Mittelstadt) zu erhalten, oder wenigstens den Feind, zu sonderm Vortheil der kaiserlichen Armee, wie auch be- schehen, länger aufzuhalten.» Bisher sei er in diesem «armen Stand geblieben. Dauert solches fort, so werden «die noch aufrecht stehenden Mauern vollends zerfallen, die Güter und Gefäll zergeben oder andershin verwendet und also die herrliche Fundation den Armen, die jetztund mehr als jemahl eines Hospitals vonnöthen hätten, entzogen oder viel- leicht gar extinguirt werden.» Gott, welcher ein «besonderer Vater und Beschützer der Armen» ist, könnte hierauf, «aus einem gerechten Urteil», noch grösseres Unglück über die Stadt verhängen. So of er (Zwanger) diese Zerstörung angesehn, sei sie ihm zu Herzen gegangen und habe er erumbt und numbt» gedacht, wie doch «aufs wenigst mit Wiederaufrichtung eines Gebäues dem Hospital und den Armen zu helfen sein möchte.» Doch nichts könne geschehen, ohne dass «Jemand extra-

99 ordinarie die Hand, mit Herschiessung einer Summe Gelts, den Anfang zu machen anschläge», damit dann Andere folgten. Die gewöhnlichen Mittel des Spitals seien für die Armen erforderlich. Er selbst habe nichts ihun können, indem er seit 11 Jahren, als Pfarrer, der gebührenden Competenz ermangle und mehrertheils aus dem Seinen leben müsse. Jetzt mache er den Anfang «mit Darschiessung von 300 Gulden». Der Ueberschlag zum Wiederaufbau des «frühern hindersten Gebäues» sei jetzt von den bischöflichen Räthen, und dem Stadtrath angenommen, werde aber mehr als 2000 Gulden erfordern. «Als habe ich», fährt Zwanger fort, «ein Samlung über mich gulwillig genommen; komb derhalben zuvorderist zu Ew. hochf. Durchl., als unsern gnedigsten Herrn Ordinarium, demütigst bittend, Sie geruhen nach Dero bekannten östrischen Milte, sonderlig gegen die Armen, eine Steuer liebreich gnädigst zu bewilligen, und dass aus der Hohen Stift Gefällen, doch ohne Massgebung, oder aus den Confiskationsgütern, die ad pias causas sicher wol angelegt sind, neben den notwendigen Frondiensten, die verhoffentlich die Underthanen hiezu, wenns zur rechten Zeit beschicht, gern leisten werden, etliche hundert Gulden gegen St. Johannis uns zu solchem Baw und Wiederaufrichtung der Armen-Wonung gelüffert werden.» Gott werde es lohnen. Zwangers Nothruf wurde erhört. Am 5. März 1656 dankt er dem Bischof für den erhaltenen Zuschuss von 400 Gulden. Der Bau sei, mit noch anderweitiger Beihülfe, so voran- geschritten, «ut iam nunc pulchra satis et ampla stet domus deinceps pauperibus oplime servitura.» Eine neue Aufgabe erwachse jetzt dem Pfarrer. Der Spital müsse auch schuldenfrei gemacht werden, und 500 bis 600 Gulden würden, wenn nicht besondere Hülfe komme, immer darauf stehn bleiben. Der Bischof möge demselben etwaige Confiscations- güter zuwenden. Ein besserer Gebrauch derselben lasse sich nicht denken. «Coeterum,» heisst es weiter, «informata est Serenitas Vestra, qualiter Reverendissimum Illustrissimam Capitulum abusum praebendarum summi chori argentinensis in meliorem usum per piam reformationem reducere deliberavit.» Die Folge ist leider unlesbar und das Concept abgebrochen. Nur soviel lässt sich noch ersehn, dass Zwanger dem Bischof die Ab- sendung von Commissarien und eine Untersuchung anräth. Wenn man das Datum der zwei Briefe Zwangers an Bischof Leopold Wilhelm ver- gleicht, so wird klar, dass die von letzterm gespendeten 400 Gulden, obschon im Gabenverzeichniss oben anstehend, einige Zeit auf sich warten liessen. Die sonstigen Gaben gingen ein von 1653 bis 1656. Der Verding mit den Handwerksleuten für den Wiederaufbau des vor-

_ 9% Ueberirag . . .

Item habe ich, der Pfarrherr, versprochen und wirklich in währender Zeit hergeschaffen . . . .

Item ex alia pia intentione [pro remedio animæ D. Stephani Zwanger gewessten Underschult- heissen, parentis mei p. m] ............

Item pro fratre meo Joanne Christophoro Zwanger [gewesten Leutnambt in der Kaiserl. Armee unter Gompagni Herrn Emmanuel Reichen; weil er, neben anderm mehr, auch den armen Studenten Geld auszuteilen in seinem Testamente anno 1632 verordnet], aber wegen vorüber- gangenen Kriegswesens nicht beschehn können, [als sind von bedachter Summa] hierher ver- ordnet .........................

Item in gleichem [weil die edel und tugend- reich] Frau Elisabeth Dusslingerin, [des edlen hochgelehrten Herrn Georgii Dusslinger D. U. Juris und der Hohen Stifft gewesten Kanzlers Egemal] selig (+ 22. Juli 1636), in ihrem Testament, nach ihrem Todt und 4”, 7t und trigesimo, aus der Schult bei hiesiger Stift, 30 Gulden den Armen auszuteilen verordnet, und aber wegen eingefallenen Kriegs und Mangelhaftigkeitgedachter Stift ehendter nit geschehen kennen, als sein dise 30 Gulden anstatt der Austeilung, zu Wieder- aufrichtung des Hospitals, den Armen zum besten gelieffert und angewiesen worden, anno 1656] .

Item [1657] wegen Herrn Doctoris Fischbach, als straussischen Erben, so wegen gehabter Mühewaltung in gedachter Erbschaft [mihi debe- bantur und] er mir verehrt, hiehero verwendet

Item so hat Herr Christian Harm sel, Probst zu Haslach, ex testamento legiert [ein Fuder Wein, so die executores testamenti zu Strass- burg verkauft, und an Gelt] gelüffert worden .

Zu übertragen... .

250 8

156 »

100 »

45 »

45 »

16 » 128 061 & 128

996

Uebertrag . . .

Item, ausser der Verlassenschaft Herrn Suffra- ganei Pauli von Aldringen [41 Gulden, so ich von einem Unbekannten empfangen pro Rwo Dr Altringer, er aber gestorben und seine Erben gantz nit bedurftig sein, also seiner Seele zum besten] hiehero verordnet.............. Item H. Diebolt Paulus [des Rats alhier] seligen Erben, aus der straussischen Erbschaft... ... Item verehrt H. Jacob Zoller, Schaffner des Gürtlerhofs zue Strassburg, (5 Gulden zue Er- kaufung von] 1000 Stück Setzblettlin ...... Item Hans Peter Haldenberger selig verehrt [von dem Kaufschilling der verkauften Acker in Sessolsheim 46561]................ Item hat Ihr Hochwürden Herr Jodocus Höpffner [Commissarius visitationis] verehrt... . . . . .. Item verehrt H. Prælat zu Maursmünster [zu eim Fenster, 14657].................. Item verehrt Ihr Wohlwürden Herr Johan Reineri, Probst Unser Lieben Frauen Collegiats- stifts alhier ...................... Item Herr von Elsenheimb verehrt einen Zinsbrief zu Altenheimb [auf ein Garten in Lutten-

heim), besagt in Capital (Angabe fehlt)... ... Ihr Gestreng der alt Herr von Neuenstein [wie versprochen]. . ............... 0

Item verehrt Ihr Gestreng Herr von Bulach, Oberamptmann zu Benfelden, [wie versprochen] 0

Item verehrt Herr Friedrich Burger, Ambt- schreiber der Pflegt Kochersperg (var: die Frau Amtsschriberin) ein halben Acker Egerten im Guldin Bock [so geschätzt wordten & 8 Gul- den, und neben dry Dalern für ein eissenen Offen in die grosse Hospitalstuben gegeben worden]... ....................,...

595 8 778

4 » 40»

3

9 » 10»

Zu übertragen . . . 644 # 268

_— 99

Kecepta zue dem Obern Hospital baw.

Item haben Ihr Erzfurst. Durchlaucht Herr Herr Leopold Wilhelm, unser gnädigster Bischof, Fürst und Herr, zue diesem Baw und Bezahlung etlicher Schulden, ausser der confiscirten Ver- lassenschaft weiland Herren Abrams Spaicher, gewesten Pfarrherrens zue Oberehenheim [el canonici ad S Leonardum', so ohne Testament gestorben, izu Wiederufferbauung gedachten Hospitals, auch Abzahlung etlicher Schulden:, gnedigst verordnet {und durch Herrn Stephan

Kessler den Landschreiber hüflern lassen’ . ... %0 # Item hab ich der Pfarrherr darzu versprochen und würklich beigeschossen . - .......... 100 »

Item, als ein Almusen ex pio legato meines Vettern sel, Herren Johan Stephan: Boosen, gewesten Leutenants under der Karserl Armee und ihn Wien gestorten, hiehero verwendet .. 2

‚item ex hereditate nobilis et clanssmi demini Johannis Henri Nraus verehrt 9 9 ...... 9 » Item aus der Vertassenschaft Frawen Margretha. des alten Palla: gewesten Ehefrawen sel. hier- bero verordnet .........-.-......-.-.. 1: 43 em verehrt, weyen seirer abgelebten Has:- fraw Fr. Anne Ceharine, M Han: vez Wirmike ; #. Noa recegi, hat: an Ferkbbn abvenent .-- -_ - - - --- 222222000. kem ex kyato IR! Kexkcthaler © Ir Hoch- wünken H Jokes Héçäiner. Ihrer Eroßerstl Darhl unser: madex>a Bich:& Firsten uni Herren Vrstativas-2_ warızsares: st Besser Hchen SR. nd piss cams kyert un} Jarch mb zasutrıier beivbke wunrkm beher: zeuinert WER... - >22 -...... eu eee 2 » 1259: Sum 4198 16395

- 229

C. Schulden des Spitals.

Zwanger suchte auch die Schulden des Spitals zu bezahlen. Diese reichten weit zurück.

Schon «in der Wochen Laurentii 1614» hatte Adam Betz, der Weih- bischof und Generalvikar von Strassburg, dem Unterschultheis Stephan Zwanger anzeigen lassen, dass von dem Rath in Zabern auf Mittel zu sinnen wäre, «wie dem Spital aufzuhelfen seie, damit die Armen mögen erhalten werden». In Folge der Kriegslasten lagen jedoch «Spital und Stadt in einem Spital und Krankheit krank». (St. 13.) Von den früheren Einquartierungen nicht zu reden, war zur Zeit als der damals noch zum Kaiser stehende junge Ernst von Mansfeld in Zabern kommandierte, dem Spital grosser Schaden erwachsen «an Hew und Habern im Haus, auch Sommer und Winterfrüchten, auch Gras auf dem Feld, item Rindvieh in das Commis, sodann Federwerk, das aus dem Spital hernacher aber der wenigste Theil wiederumb darein getragen worden». Seinerseits hatte der Spital «an armen Soldaten, welche in einer merklichen Anzahl darin gelegen, zu deren Unterhaltung, an Wein und Früchten und Anderm ein grosses verwenden müssen.» (R. P. 15. März 1618). Aber auch schon im bischöflichen Krieg und in den gleich darauf folgenden Zeiten war der Zudrang der Armen ein übermässiger ge- wesen. Durch die Wochenzettel, gab Stephan Zwanger 1614 an, wäre zu beweisen «dass vil Jar vier oder funf dausen Personen durch den Winter erhalten werden müssen» (St. 13). Selbstverständlich hatten später, im dreissigjährigen Krieg und bis zur Zerstörung des Spitals, die Ansprüche an letztern nicht abgenommen. Wohl waren, nach dem Untergang des Gutleuthauses ausserhalb der Vorstadt, die «Gutleutextanzen» dem Spital zugewiesen worden. Aber alles ging nicht ein. Unter anderen schrieb (R. P. 18. April 1629) Margraf Wilhelm von Baden, dass ihm unmöglich wäre, «anjetzo an Zinsen dem Spital etwas zu reichen». 1635 waren «beim Spital keine Früchte vorhanden (R. P. 7. März) auch kein einzig Giligut in esse, sondern alle uflge- kündet und ungebauwen».

Zwanger verwendete, zur Tilgung der Schulden, zum Theile eigene Mittel. Folgende zwei undatirte Zettel, beide mit der Ueberschrift: Exposita pro solutione debitorum, legen hiervon Zeugniss ab und verrathen uns zugleich, wie er sich weiter zu helfen suchte.

A. «ltem zu Bezalung Matterns Meyers (passiver) Schult, besagend 50 Gulden, beigeschaffen was Wiltenhans sein Dochterman mir

939

für Weitzen schuldig gewesen, nemblich 22 Gulden. Item monäali in Sylo pro sua parte dedi 2 & 5 ß. Item ein Capitalbrief, besagt 1000 Gulden, auf der Statt Hagenaw, so Herr Jacob Steub selig legiert, dessen Interesse den Armen iarlich auszutheilen, und nun uff den Hospital kommen, zur Hand zu bringen, spendiert 6 Thaler, thut 9 Gulden. Item mehr ein Brieff, 40 # besagen, so er dem Hospital legiert, mit eim Thaler zuwege bracht: 15 ß. Summa 37 Gulden».

Der hier genannte Jacob Steub kommt bei Seyboth (Das Alte Strassb. S.3) vor, als 1587 zu Strassburg wohnend, «zu dem Rade» am Hohensteg. Er war Kanonikus zu Jung St. Peter. Eine IHlandschrift, laut welcher er seinem Vetter Michel Steub in Ottersthal 8 Pfund Pfennig leihet (7 April 1609) befindet sich im Zaberner Stadtarchiv (L. 440). In Ottersthal wohnte auch 1616 sein Bruder Michael, dem er ebenfalls Geld lieh (St. 443). Conrad Steyb, vielleicht Jacobs und Michaels Vater, der 1534 vorkommt, war (St. 416) von Schutzingen.

Das zweite Verzeichniss pro solutione debitorum lautet:

B. Item haben die Patres Societatis Jesu [in Hagenaw] et Patres [im Alten Spital] Ord. Praemonstratensis, wegen beider Jecklinge, deren einer (Hans Jacob) in der Societät, der ander (Philipp) ein Monstratenser ist, ein Summa von [413 ® 8 ß 4 4] wegen ihres Vatters sel., als vermeinten Recess der Spitalrechnung de anno 163 . .., so gleichwol nit justificiert gewesen, dergestalt ver- glichen, dass sie centum pro ducento genommen, wie in der Spital- rechnung zu sehn ist. Dazu habe ich anderthalb Fuder Wein von Marlenheimb geben, aus der Stift zu Haslach Keller, der mir per 2 Gulden aufgerechnet worden, thun also 36 Ohmen 36 &. Item ingleichen ein andere Schult bezalt, so von dem Feissler herührt 148

Allerdings waren hiermit noch nicht alle Schulden getilgt, aber doch war ein erspriesslicher Anfang geschehn.

D. Wiederaufbau der Kapelle.

Ueber die ältere St. Katharinen-Kapelle besitzen wir wenige Angaben. Nur erfahren wir 1614, dass sie damals auf Befehl des Rath’s ausgebessert wurde. (St. 346) und 1580 (Stadtr.), dass sie ein Sakramentheussel hatte. Dieses auszustreichen erhielt Malerhensel 2 Schill. 9 Pfenn. Gleich- zeitig wurden gegeben «dem Priester, so ein Maler ist, von den Tafeln und dem Zeiger an der Uhren zu mahlen, 3 Pfund.» Der hier gemeinte

——

Priester ist «Herr Dietrich Molers (Stadtr. 1591). Sonst wird er noch «Dietrich Koch Paludanus», oder «Theodorus Joannes Koch von Lill an den Bruechen» oder auch «Her Dietrich der Priester, Niederländer» (St. 84) genannt. Er war (St. 430), von 1605—1612 Dechan, erscheint aber schon 1588 als Kanonikus zu Zabern und hatte 1609 einen «Leibgedingzins» zu Cöln fallen. Seine Zinsen für 2 Jahre (2 Pfund 2 Schill.), wegen «St. Jacob Altars zu Benfelden», dessen Besitzer er also gewesen war, nahm am 4. Nov. 1612 Adrianus Koch Paludanus, Stadtschreiber zu Kaisersberg, in Empfang (St. 335 und 347).

Den Wiederaufbau der St. Katharinen-Kapelle nahm Zwanger 1662 in Angriff, nachdem er Jahrs zuvor vom Dechan in Zabern, zu der Probst- würde emporgestiegen war. In seinem Brief vom Monat Februar 1662 über seinen Rücktritt von der Dechanstelle zu Hasslach bespricht er zugleich die Angelegenheit mit der Kapelle im Spital. Auch das zweite Spitalgebäude sei jetzt zum grossen Theil vollendet, so bleibe nur noch die St. Katharinen-Kapelle wieder aufzubauen, die mit dem Spital im Krieg abgebrannt und hernach vom Wasser völlig hinweggerissen worden sei (fluminis alluvione funditus eversam). Diese Kapelle habe einige von der Collegiatstift abhängende wöchendlich zu haltende Stflungen gehabt. Zur Ehre Gottes und zur Wiedererweckung der alten Andacht wolle er sie wieder herrichten, nicht an der nämlichen, sondern an einer bequemeren Stelle, auf der andern Seite des Spitals (commodiori loco, eidem hospitali altera ex parte adjacente). Er sei schon mit einigen Italienern, die geschickte Arbeiter sind, einig geworden; auch habe er von den Kommissarien Ihrer Durchlauchi die zum Bau kanonisch erforderliche Erlaubniss nachgesucht, um welche er jetzt bei Ihrer Durchlaucht selbst, als seinem Ordinar, demüthig anhalte. Dieses grosse Werk (salis grande hoc opus) übersteige, in einem so schlechten Jahre, seine Kräfte, er bedürfe besonderer Hülfe und erdreiste sich, einen neuen Anspruch an die von ihm in ähnlichen Fällen schon mehrfach empfundene Freigebigkeit Ihrer Durchlaucht zu erheben. Die- selbe möge anordnen und gestatten, dass die nothwendigen Materialien, als Kalk, Ziegelsteine und Ziegel aus der herrschafllichen Ziegelhütte umsonst und schnell verabreicht würden. Für die andern Auslagen, von wenigstens 500 Gulden, wolle er so viel möglich selbst auf- kommen, und dahin wirken, dass diese Kapelle, was jedoch ohne die nachgesuchte Hülfe nicht möglich wäre, noch im Laufe des Sommers vollendet würde. Die Frömmigkeit werde dabei einen grossen Aufschwung erfahren, besonders in jenem Theile der Stadt, wo bisher

132

kein Altar gestanden und daher das h. Opfer fehlte. Es würde nicht ohne Strafe hingehen, wenn man das Andenken der h. Katharina völlig erlöschen liesse, während die Fürbitte und die Verdienste dieser Heiligen bei Gott, für Ihre Durchlaucht den ewigen Lohn und lange Erhaltung erwirken würden.

Zwanger wurde erhört und säumte mit der Arbeit nicht lange. Gleich am 27. März 1662 musste Hans Adolf Reinbold, der dem Spital Geld schuldig war, mit dem Anfahren der Materialien beginnen. Am 15. April erhielt er von Christophorus Schmidle «gewesten Stuben- wirth, der jetzt gegen den blutdürstigen Christenfeind, den Türcken, zu ziehen Vorhabens» eine Handschrift besagend 40 Gulden, die dem Abziehenden noch ausstanden von Petrus Mathias aus Brüssel (Bruchsal), Bruder auf dem Odilienberg. Das Geld sollte für die neuerbaute Hospitalkapelle ad S. Catharinam angewendet werden, Zwanger aber 10 Messen lesen für den Schenker und dessen Mutter selig. Tags zuvor, am 14. April hatte Zwanger an die bischöfliche Regierung in Zabern ge- schrieben, um Ueberlassung der Steine von der im manfeldischen Kriege abgerissenen St. Niclaus-Kapelle: «Extra suburbium superius (Obervorstadt) in loco qui vulgo dicitur die Closse, lapides sanctuarii de Capella quondam Sti. Nicolai, tempore mansfeldici belli ad arcen- dum hostem dirutae, videre est sine honore et usu abjectos, qui melius applicari non possint, quam ad alium locum sacrum.» Er wolle an Ort und Stelle soviel Steine lassen «ut aliquando sacellum, sicut aliqui meditantur, exinde fieri possit.»

Es wurde ihm «verwilligt wie gebeten». Die St. Niclaus-Kapelle liess 1672 Joh. Georg Wurmel der Schwanenwirth wieder herstellen (Fischer, Alt-Zabern, 118. Cf. Act. sepulchr., 25. Febr. 1704).

Die Arbeiten an der Spitalkapelle dauerten bis Ende November. Wir sehen aus dem Seelenbuch, dass von der alten Kapelle ein Theil erhalten blieb und dem H. Wendelin geweiht war. Sie muss nach dem oben ange- führten Brief von der St. Katharinen-Kapelle getrennt gewesen sein. Von ihr heisst es in der Rechnung des Schlossers Hans Meyer: «Ein Kreuz auf die klaine Kapell gemacht 5 Schill». Auf das Chor der grossen Kapelle, kostete das Kreuz 2 Gulden 5 Schill. Ein Stück Eisen, «an die Helmstang des Fahnens auf dem Airchihurm (im Spital), geschweist», kostete 1 Schill. 4 Pfenn. Zu diesem Thurme brauchte der «Leyen- decker» 1000 Schindelnägel. Er war also mit sogenannten «Texeln» gedeckt. Die Glocke kam aus der Edel’schen Giesserei in Strassburg. Vom Glockengiesser ist folgende Quittung vorhanden:

9234

1667. Von Margaretha Diesin, einer Wittwe, 5 Gulden. 1668. Von Dorothea N. 5 Gulden.

Den 20. Oct. 1666 fielen cad altare S. Wendelini, cum prima missa dicta est»: 6 Gulden 2 Pfenn. Opfer.

Hiernach hatte die S. Wendelinskapelle erst damals einen Altar erhalten, denn wegen des für den damaligen Geldwerth so reichlich fallenden Opfers, muss die hier erwähnte erste Messe, die erste in der ckleinen Kapelle gewesen sein. Zwanger schaffte, wahrschein- lich für den neuerrichteten Altar, «ein Paar newer messinger Licht- stöck» an, die zusammen 5 Gulden 4 Schill. kosteten. Auch liess er 1666 den Opferstock beschlagen. 'Aus jener Zeit finden wir auch noch folgende Notiz:

«Anno 1666 nobilis Domina Anna Catharina von Mylen, praeno- bilis Dni. Matthaei Grundtschützen directoris Cameræ relicta vidua, pro refrigerio animae domini sui mariti miserabiliter decimo terlio Aprilis in publica via et pago Sincrist trucidati, eo fine et intentione mihi vigenti florenos tradidit, ut ista die occisionis, vel proxima, anniversaria missa dicatur. Quos 20 fl. ego 1667, 11. Martii, Mathiae Stern, civi et figulo, ad censum annuum juxta eius recognitionem et pro eo cautelam prestante Dno. Joanne Theodorico Cromer, senatore et mercatore, alocavi, quem Capellanus Capellae S. Catha- rinae annis singulis recipiat, sed et missam stato tempore, cum officio defunctorum consueto, diligenter et devote persolvat. Et si forte dictae summae relatio fieret, teneatur alibi applicare. Ita testor Joannes Carolus Zwanger, St. Th. Dr, Pastor et Præpositus, die 3 Sept. 1668.»

Am Tag vor dieser Eintragung, am 2. Sept. 1668 halte Zwanger sein Testament aufgerichtet. Darin vermachte er dem Spital seine Mühle zu Kirbrig (Kirberg) in der Grafschaft Saarwerden. Dieselbe hatte aber, wie sich später herausstellte, jährlich der dortigen Herrschaft ein Schwein, 4 Kappen, 5 Fiertel und 2 Sester Weizen, für den Wasser- fall zu liefern. Auch stand es, des Wassers halber, mit dem Mahlen sehr schlecht (R. P. 4. Juli 1670). Durch Dekret der hochf. Regierung wurde der Stadtrath ermächtigt, die Mühle, «zusambt zugehörigen Gütern» zu verkaufen, und das Geld anderwärts anzulegen. Sie kam am 21. Aug. 1671 um 220 Gulden, mit Termin, an Hans Georg Bachoffer in Olzheim, und als dieser nicht bezahlte, am 6. März 1673, an Peter Walderinger von Kirburg (R. P.). Dem Spital hatte Zwanger weiter vermacht ein

495

«Stück Reben bey der Kapelle Ottersthal gelegen», desgleichen den Zins von Epfig von 25 Gulden. Doch sollten «H. von Gail und Fraw Doctorin Reichin, seine Erben, diese Zinsen nulzen und geniessen solang dero Jugend in studiis begriffen, ohngefähr 10 Jahr», nach welcher Zeit das Kapital, samt den Zinsen, dem Spital anheim fallen sollte, ent- weder zum Unterhalt der dortigen Armen oder zur « Wiedererrichtung» der Fundation des früheren Schultheisses Mattern Vogt, «zum Underhalt (in den Häuslein), einer oder zwei Wittweiber, welche den Kranken aufzuwarten verpflichtet sein sollten». Sonst hatte das Legat zur Unter- haltung der Kapelle und des Kaplanhauses, zur Anschaffung von Ornaten, zum Ankauf von Oel für die Lampe, und zur Bestreitung des Honorars für 4 Messen zu dienen, welche jährlich an Pauli Bekehrung, am St Jo- sephs-, am Karl Boromæus- und am Florentiustag zu halten waren (Sp. 1).

Hier wirft sich die Frage auf, ob die noch stehende ehemalige Spital- kapelle, an der Hauptstrasse, von Zwanger herrührt. 1748 wurden näm- lich die von letzterm aufgeführten zwei Spitalhäuser abgetragen, und unter der Leitung des S" Masol, architecte de S. A. Eve le cardinal de Rohan, der heutige Spital erbaut. Der Kardinal hatte versprochen zu dem Neubau mitzusteuern und die Hoffnung ausgedrückt, dass wohl- thätige Personen in der Stadt gleichfalls mithelfen würden. Ueberhaupt musste aber auf des Spitals eigene Kosten gebaut werden. Bei diesen Arbeiten ist immer nur von «bâtiment de l'hôpital» die Rede (Sp. 3) und wird der Kapelle nie mit einem Worte gedacht. Die von Zwanger erbaute Katharinenkapelle lag zudem an der Brücke, wie das jetzt ver- lassene Kirchlein. Als Beleg seien hier nur zwei Stellen angeführt. 1670 (St. 355) erfahren wir, dass Jörg Dränkle «vier Bäum aus dem Falberg zur Brücken gefiert by S' Catharinen Kirchen» und 1698 fährt Nicolas Knoepfller 126 Kärche Stein und Sand zum Petin (Pflaster) in die Kleinstatt, «allwo die erste Bruck bei der Sant Catrin Kirchen». Die Zahl der in den Rechnungen angegebenen Dachziegel (6100 Stück) spricht ebenfalls für die Identität der (14 Meter langen, 6 Meter breiten) jetzigen alten Kapelle mit der ehedem von Zwanger aufgeführten. Dieses Kirchlein diente in der Revolution als Magazin und wurde als National- gut erstanden von Mathias Burg, dem Schlüsselwirth. Später gehörte es dem Kaufmann Michael Rieffel. Nach dessen Tod (1817) wurde es ver- steigert (Affiches de Sav., 4. Juli 1817), kam aber erst 1835 wieder an den Spital. 1836 wurde es wieder dem Gottesdienst übergeben. Nächstens soll es als Küche’ eingerichtet werden. Zwangers Grab dürfte sich noch darin befinden. Nach seinem Todesakt wurde er nämlich in

936

der Spitalkapelle bestattet: «Die 20 Maii 1669 obiit omnibus sacra- mentis munitus Rsimu Drus Joannes Carolus Zwanger, praepositus et parochus zelosissimus, quiescit in capella S. Catharinae a se erectae in Veteri (lege: parva) Urbe.»

Eine bestimmte Angabe über die Lage dieser Grabstätte finden wir später im Sterbeakte des Spitalkaplans Johan Franz von Gail. Auch er wurde (20. Sept. 1766) in der St Katharinen-Kirche begraben und zwar im Schiff, auf der Evangelienseite zur Rechten Zwangers (a latere dextro Ri. Di. J. Caroli Zwanger). Letzterer muss also mitten im Gang, gleich unten am Chor gelegen haben. 1787 wurde noch Friedrich Adolph von Gail (Stadtarch: Revolution, ohne Nummer), ebenfalls Kaplan im Spital, in das Katharinenkirchlein zur Ruhe gebettet. Für ihn wurde eine Gruft hergestellt.

Neben der St Katharinenkirche befand sich ein Gottesacker, der in den Sterbeakten bald vorkommt als «coemeterium Sae Gatharinae contiguum» (1693), bald als «sacelli sanctae Catharinae coemeterium» (1707). Vor einigen Jahren wurden dort zahlreiche Gebeine aufgedeckt. Es ist zu bedauern, dass die jetzige neue Spitalkapelle nicht wieder über dem Grab Zwangers auferbaut wurde. Der unermüdliche Pfarrer und Propst hat sich, sowie um die Stadt überhaupt, so ganz besonders um den Spital und um die Armen in Zabern ein unvergängliches Ver- dienst erworben. Sein Name verdient wirklich, wie durch ihn geschehn, wenn auch nur am Rand, so doch auf der ersten Seite des Seelen- buches, vor allen andern Wohlthätern zu stehen.

Zwangers Leichenpredigt wurde gehalten durch P. Ohnenberger und erschien im Drucke (Stadtr. 1669). Pater Ohnenberger kam oft nach Zabern. 1672 wurden ihm von der Stadt gesteuert 1 Pfund 10 Schilling, «zu Erkaufung pergamentiner Bilder für die Stadtkünder». 1673 hielten ihn die Herren der Statt «einsmals im Schwanen zu Gast». Im selben Jahr werden wieder gesteuert: «Herrn P. Ohnebergern Soc. Jesu zu Bildern 1 Pfund 10 Schill.» Dass ein Jesuit an Zwangers Gral redel, weist auf frühere Beziehungen des Verstorbenen zu der Gesellschaft hin.

A. ADAM, Pfarrer von Zabern.

938

Turtibulensis, Bonifacius Parentinus, Maurus Ameliensis, Henricus Tridentinus et Bartholomeus Gaietanus, eadum gratia, episcopi, salutem in Domino sempiternam.

Quoniam, ut ait apostolus, omnes stabimus ante tribunal Christi, recepturi prout in corpore gessimus, sive bonum fuerit, sive malum, oportet nos diem messionis extreme, misericordie operibus prevenire, ac eternorum intuitu, seminare in terris, quod reddente Domino cum multiplicato fructu recolligere valeamus in celis, firmam spem fiduciamque tenentes, quoniam qui parce seminat, parce et metet, et qui seminat in benedictionibus de benedictionibus et metet vitam aeternam. Cum igitur hospitale beate Katherine in Zabernia, Argentinensis diocesis, ad refugium et receptionem egenorum pariter et egrorum fundatum, in reditibus non habeat unde, huiusmodi karitatis et pietatis exercicium peragendo, egenos pariter et egros undecumque confluentes recipiat, et receptos educet et sustentet, nisi a Christi fidelibus subveniatur eidem, et eiusdem hospitalis inopie consulatur, universitatern vestram monemus, rogamus et in Domino exhortamur, vobis in remissionem vestrorum peccaminum iniungentes, quatenus de bonis vobis a Domino collatis, pias ad hoc elemosinas et grata karitatis subsidia erogetis, ut per vestram subventionem ipsius inopie consulatur, vosque per hec et alia bona que Domino inspirante feceritis, adipisci possitis vitam eternam. Nos de omnipotentis Dei misericordia et beatorum Petri et Pauli apostolorum eius auctoritate confisi, omnibus vere penitentibus et confessis, qui ad dictum hospitale manus porrexerint adiutrices vel pias suas elemosinas dederint vel miserint, aut qui ad capellam dicti hospitalis, in festis Nativitatis, Epiphanie, Resurrectionis, Ascensionis Domini nostri atque Pentecostes, in quatuor festivitatibus Beate Marie Virginis, sancti Johanis Baptiste, omnium et singulorum apostolorum, sanctorum Stephani, Laurentii et Georgii martyrum, beatorum Nicolai et Martini pontificum, beatarum Katarine et Margarete virginum et Undecim Millium virginum, in festo dedicationis ipsius et per octavas, causa devotionis accesserint, vel ad fabricam luminaria, ornamenta, seu ad alia necessaria ipsius capelle, manus porrexerint adiutrices, seu in extremis laborantes, quecumque facultatum suarum legaverint prelibatis, singuli singulas dierum quadragenas de iniunctis sibi penitenciis, dummodo consensus diocesani ad id accesserit, in Domino misericorditer relaxa- mus. In cuius rei noticiam sigilla nostra presentibus fuerunt appensa. Datum Rome Kal. Maii, anno Domini M.°CC.LXXX.IX°, pontificatus domini Nicolai pape Ill anno secundo.

999

B. 1471.

(Sp. 1. Pergament, Das Siegel beschädigt.)

Wir Ruprecht von gottes gnaden bischoff zu Straspurg, pfaltzgrave by Rin, herzog in Beyern und lantgrave Elsas u. s. w., bekennen uns und tün kunt meniglichen mit diesem briefle, fur uns und unsere nochkomenen bischoffen zu Straspurg, dass wir angesehen hant gebreche und abegang des spitals Zabern, wol notturft zu versehen und zu verkommen gehanthabet und uff brocht werde; und als der genant spittal vor zitten in regement und handen der ersamen wisen unser lieben getreuwen schultheisz und rate Zabern gestanden, das zu besetzen mit der bette sant Wendlings, auch in andern notturfligen dingen hantreichunge thün, han wir angesehen und betracht sollichs wie obgemelt, und den Spital nu und zu ewigen zitten, fur uns und unsere nochkommen bischoffen Straspurg, den egenanten schultheis und rate unser statt Zabern ingeben, mit aller regierunge zu besetzen, zu verhandelen und zu verwalten, noch ierer besten verstentnisse, do durch uffgang und nutze des spitales beschehen mag. Wir oder unsere nochkommen ensollen noch enwollen hinfurter nie kein mandata geben oder lossen geben in unserm stift uff sant Wendelings bettschaft, dann allein sant Wendeling in dem spitale zu Zabern, als das in altemher allewegen gewesen und gehalten worden ist. Wir oder unsere nachkommen, noch die unseren, sollen den vor- geschriben schultheis und rate eincherley darine tragen oder hindern, sonder sie truwelichen doby hanthaben schutzen und schirmen, wann sie des zu jeder zit notturfiig werdent, und ob sie uff die bettschaft mandaten bedurfftent, sollen wir inen, one weygerunge oder gift, tün geben usz unser cantzeleyen, doch mit dem cantzler do von uberkom- men, aller dinge ungeverlichen. In urkunde obgeschribener dinge hant wir unser ingesigel an disen brief tün henkent, der geben ist Zabern uff samstag nach sant Jergen tag, des heyligen martelers, des jores noch Cristi unseres herren geburt tusend vierhundert siebenzig und ein jore.

C 1511.

(Sp. 10: Noch 6 blechene Kapseln vorhanden, die Siegel aber zerstört. Rand mit Miniaturen. Oben in der Mitte Christuskopf, links in der Ecke H. Katharina, rechts St. Nikolaus, sonst Blumen und Verzierungen).

Rückseite, anscheinlich von Stephan Zwangers Hand: «Dieser brief weysset aus welcher gestalt sant Katherinen kirch im spittal zu Zabern anno 1510 in

_ 940

der ehren sant Catharine, sant Niclausen und sant Wendels gestifft und fundiert ist und denjenigen so die gottesdienst besuchen hundert tag ablass geben werden. Das spital hat anno (15)95 auch eine abschrift empfangen.»

Raphael episcopus Ostiensis, Ludovicus Johannes titulo sanctorum Quatuor Coronatorum, Franciscus titulo sanctorum Johannis et Pauli, Nicolaus titulo Sancte Prisce et Robertus titulo Sancte Anastasie, pres- byteri, Federicus Sancti Angeli et Amaneus sancti Nicolai in carcere tulliano, diaconi, miseratione divina sacrosancte romane ecclesie cardinales, universis, et singulis Christi fidelibus presentes litteras inspecturis salutem in Domino sempiternam. Quanto frequentius fidelium mentes ad opera caritatis inducimus, tanto salubrius animarum suarum saluti consulimus. Gupientes igitur ut cecclesia sive capella hospitalis sanciorum Catherine, Nicolai et Wendelini, Czaberine, argentinensis dioecesis, con- gruis frequentetur honoribus et a Christi fidelibus iugiter veneretur ac in suis structuris et edificiis debite reparetur, conservetur et manuteneatur, necnon libris, calicibus, luminaribus, ornamentis ecclesiasticis ac rebus aliis divino cultui inibi necessariis decenter muniatur, utque Christi fideles ipsi eo libentius devotionis causa confluant ad eandem, et ad reparationem, conservationem, manutentionem ac munitionem huius modi manus promptius porrigant adiutrices, quo ex hoc ibidem dono celestis gracie uberius conspexerint se refectos, Nos cardinales prefati, videlicet quilibet nostrum per se, supplicationibus dilecti nobis in Christo Bartholomei Koppe presbyteri Magdeburgensis dioecesis, nobis super hoc humiliter porrectis inclinati, de omnipotentis Dei misericordia, ac beatorum Petri et Pauli, Apostolorum eius, auctoritate confisi, omnibus et singulis Christi fidelibus utriusque sexus vere penitentibus et confessis, qui dictam ecclesiam sive capellam in singulis, videlicet dominica in ramis palmarum, et jovis in cena domini, ac sancte Catherine, necnon Sancti Nicolai, ipsiusque ecclesie sive capelle dedicationis solemnitatibus et diebus, a primis vesperis usque ad secundas vesperas inclusive, devote visitaverint annuatim, et ad premissa manus porrexerint adiutrices, pro singulis festivitatibus et diebus predictis, quibus id fecerint, centum dies de iniunctis eis penitenciis misericorditer in domino relaxamus, presentibus perpetuis futuris temporibus duraturis. In quarum fidem litteras nostras huius modi fieri nostrorumque sigillorum iussimus appensione muniri. Datum Rome in domibus nostris, anno a nativitate Domini millesimo quingentesimo undecimo, die vero quinta mensis Decembris, sanctissimi in Christo patris et domini nostri, domini Juli divina providentia pape secundi, anno nono.

949

erklärte, sie würde gerne sehen, wenn das Mittelthor (zwischen der Ober- u. Mittelstadt) gesperrt würde. Der Rath erkannte dagegen, «dass wegen allerhand Mangel so erscheinen würde, nit wol möglich das Thor zu sperren, allein könnten Soldaten und Bürger an das Mittelthor gestellt werden, so das Auf- und Abgehen verhüten, und denjenigen so etwas uss den Gäden (Läden) oder andere Notturft haben müssten, reichen, die inficirten Häuser aber können zugethan und Abends und morgens die Notwendigkeiten darin geschafft werden (R. P. 8. Nov. 1633)». Der Spital wurde, wegen der Pest stärker als sonst in Anspruch genommen, und war darum die Verwilligung des Herzogs ein geringes Entgeld für den durch die Gegenwart der lothringischen Truppen erlittenen Schaden. Am 9. Februar 1634 zogen die Lothringer aus der Stadt, der fran- zösischen Besatzung Platz zu machen. Das Salz aus Dieuze, wurde nie bezogen.

A. ADAM, Pfarrer von Zabern.

944

Um diese Zeit hat er eine grosse Anzahl von elsässischen Burglehn errichtet und die Herrn von Hattstatt und einen Herrn von Berg- heim für den Dienst in Ensisheim verpflichtet‘. Vielleicht damals schon oder doch bald darauf hat Rudolf zwei Statthalter für die Verwaltung der Reichsgüter und des habsburgischen Hausbesitzers im Elsass ernannt; denn bereits am 21. März 1274 wird Konrad Werner von Hatistatt in einem Briefe Colmars als Landvogt im Elsass bezeichnet’, und unter dem 28. Oktober 1274 geschieht zweier königlicher Land- vögte im Elsass Erwähnung. Bei der Werbung der Strassburger Ritter Nikolaus Zorn und Johannes als Reichsmannen gab der König als seine Bürgen den Konrad Werner von Hattstatt und Kuno von Berg- heim, seine Landvögte?. Als königliche Amtleute werden beide noch einmal neben einander genannt in einer Urkunde Rudolfs vom 26. Februar 1277. Damals befahl der König von Wien aus seinen Getreuen, dem Konrad Werner und dem Kuno von Bergheim, sowie seinen übrigen Amtleuten im Elsass, die Güter der Bürger Strass- burgs unbesteuert zu lassen‘.

Kuno von Bergheim

wird durch seine Thätigkeit charakterisiert als Landvogt des UÜnter- Elsass. Als König Rudolf Anfang Dezember 1275 den Strassburger Rittern Nikolaus Zorn und Johannes 20 Pfund auf die Steuer zu Oberehnheim verpfändete, beauftragte er seinen Landvogt Kuno von Bergheim, dieses Lehn zu «fertigen’». Am 22. Dezember 1275 über- trug der König dem Herrn von Bergheim, seinem derzeitigen Amtmann, den Schutz Hagenaus‘.

Als Rudolf am 16. April 1277 das Reichsdorf Heiligenstein bei Barr dem Eberhard von Landsberg um 100 Mark verpfändete, verbot er dem Kuno von Bergheim jede Einmischung in die Angelegenheit dieses

1. Ebenda 80a.

2. Ebenda 125.

3. Strassb. Urkb. II Nr. 62: «so sint vnsere burgen Cünrat Wernhere von Hadestat vnde Cüno von Bercheim vnsere lantvöte».

4. Ebenda II Nr. 53: «Conrado Wernhero, Cünoni de Bergheim ceterisque offciatis suis per Alsaciam».

5. Ebenda Ill Nr. 76: «vnde wand ez vnser wille ist vnd vnseres lantvütes Cünen von Bercheim, an den wirz sattent dis lehen ze vertigenne».

6. Als. dipl. II p. 11: «officiali nostro domino de Berchheim vel alteri pro tempore constituto».

946

suchen. Im Marchfelde stiessen sie zu Rudolfs Heere und teilten mit ihm den Ruhm des Sieges über Ottokar am 26. August 1278'. Bis Ende Februar 1279 weilte der Landvogt am königlichen Hoflager in Wien*; dann reiste er als Gesandter Rudolfs über das Elsass nach England, um bei König Eduard einen Aufschub der Vermählung von dessen Tochter Johanna mit Rudolfs Sohn Hartmann zu erwirken’. Bis zum 17. Dezember 1280 blieb Konrad Werner und wohl auch Kuno von Bergheim im Amt. Zu Wien nahm der König denselben an diesem Tage zum Reichsburgmannen an und versprach ihm 80 Mark, die er nach geschehener Auszahlung in Gütern anlegen und als Burglehn auf Blicksberg abdienen sollte‘. Am gleichen Tage erhob König Rudolf

Otto III. von Ochsenstein 1280—1294

zum königlichen Statthalter für das Elsass und Jen Breisgau. Er war der Sohn seiner Schwester Kunigunde und Ottos I]. von Ochsenstein. Der Neffe hatte den König auf seinen Feldzügen in Östreich und Böhmen begleitet’. In Anerkennung seiner grossen Verdienste und mit Rücksicht auf die Blutsverwandtschaft erhob der königliche Oheim ihn zu jener hohen, verantwortungsreichen Stellung am Oberrhein. Die Bestallungsurkunde® bezeichnet als Amtsgebiet des neuen Landvogts

—— ne

1. Ann. Colm. in Mon. Germ. Scr. XVII 202, 29: «Kpiscopus Basiliensis et advo- catus Alsatie cum exercitu ad regem Rudolphum in Austriam perrexerunt in mense Julio».

Chronic. Colm. ebenda p. 250, 6: «Rege Rüdolfo sic in periculo constituto, con- gregavit dominus Heinricus, episcopus Bas. et duminus Cuonradus Wernherus, advocatus Alsatiae, dictus de Hadistatt, exercitum centum militum ... cum autem venissent Wiennam ad regem ... gavisus est gaudio magno».

9, Ann. Colm. 204, 9: «Item post sancti Mathic venit advocatus Alsatie, Conradus Werherus, de rege, qui tunc temporis morabatur in Vienna».

3. BÔHMER, 1082.

4. BÜRMER, 1235.

5. BÜHMER, 930.

6. MONE, Zeitschr. für Gesch. d. Oberrheins XI 293: «Rudulfus d. g. R. r. s. a. Universis iudieibus, scultetis, advocatis, rectoribus et villicis per universam Brisgoviam et Alsaciam, a Basilea usque ad nobilis viri Friderici de Leiningen oflicium constitutis, fidclibus suis dilectis graciam suam et omne bonum. Ad universitatis vestre noticiam volumus pervenire, quod nos de fidei claritate nobilis viri Ottonis de Ohssenstein, consanguinei nostri dilecti, qua nobis et imperio duplici vinculo, tum sanguinis unione um fidelitatis et homagli iure constringitur, fiducie plenitudinem obtinentes, supra- dictas duas provincias cum civitatibus, castris, oppidis, foris et villicis ac universis bonis et pertinenciis earundem, ad nos et imperium spectantibus, imperii nomine atque nostro cominisimus, ac presencium auctoritate committinus gubernandas, dantes eidem

—_ 948

des Landfriedens berüchtigt war, wurde mit Hülfe Ottos von den Strassburgern im Jahre 1282 zerstört'. Von dem Kloster St. Johann in Colmar erpresste er wohl als Kriegscontribution in demselben Jahre 8 Fass Wein’.

Im Jahre 1284 hatte König Rudolf den Reichsstädten die ausser- ordentliche Vermögenssteuer des 30. Pfennigs (3'/,°/,) auferlegt und dadurch allenthalben einen offenen Widerstand der Städte hervor- gerufen. Im Elsass kündigten insbesondere Hagenau und Colmar dem Könige den Gehorsam. Der Zorn der Bürger Hagenaus wendete sich gegen den königlichen Landvogt, der auf der Burg zu Hagenau resi- dierte; um Pfingsten 1285 wurde der Landvogt zu schmählicher Flucht gezwungen’. Die Stadt Colmar hatte in letzter Zeit im Dienste des Königs und seiner Familie grosse Opfer gebracht; als er jetzt auch noch den 30. Teil sämtlichen Vermögens forderte, da war die Bürger- schaft dieser wiederholt durch den Landvogt im Namen des Königs geltend gemachten Forderungen überdrüssig‘; und als der Landvogt ernstlich zur Abschätzung der Bürger und zur Eintreibung der Steuer schritt, da gingen sie zu offener Feindseligkeit über, indem sie die benachbarten habsburgischen Besitzungen brandschatzten. Dies ; ver- anlasste den König, selbst einen Kriegszug gegen die aufrührerische Stadt zu unternehmen und sie zur Unterwerfung zu zwingen‘.

In den Jahren 1284 bis 1286 treffen wir den Landvogt Otto von Ochsenstein wiederholt im Bunde mit dem streitbaren Bischof Konrad von Strassburg auf Kriegszügen gegen Herzog Friedrich von Lothringen. Burg Eckerich im Leberthal war ein Lehn der Herzöge von Lothringen.

mn EEE nn mm

1. Ellenh. Ann. in Mon. Germ. loc. cit. 103, 19. Zu 1282: «Wegelenburg castrum expugnatum est a civibus Argentinensibus et domino de Ohsenstein, advocato Alsatie».

2. Ann. Colm. 210, 4: «Dominus de Hohensten, advocatus Alsatie, ab sororibus de Sancto Johanne octo vini vasa abstulit vivlenter». SCHOEPFLIN, Als. ıll. II, 699, berichtet noch zu 1282: «Lites varias inter Cunonem de Bercheim seniorem, qui Rudolfi I im- peratoris advocatus Alsatiae fuerat, et inter Andlavienses fratres de multis in Andlavise valle alibique iuribus Otto de Ochsenstein, advocatus provincialis Alsatiac, 1282 ut arbiter decidit».

3. Ann. Colm. 212, 12: «Circa festum Pentecostes (1285) cives de Haginogia advo- catum terre, filium sororis regis Ruodolphi, de castro, quod est in civitate, turpiter expulerunt, et postea regi servire minime voluerunt».

4. Chron. Colm. 254, 31: «Scultetus (Columbariensis) et advocatus terre non per omnia concordabant. Advocatus iubente rege vel saltem connivente, exacliones plurimas faciebat; scultetus et populus invite solvebant».

5. Ann. Colm. 211

950

eingedrungen war und dasselbe gebrandschatzt hatte‘, sowie mit dem Landvogt des Elsass Otto von Ochsenstein schloss Herzog Friedrich erst am 27. Januar 1286 einen endgültigen Frieden. Wir erfahren aus dieser Friedensurkunde, dass das Zerwürfnis mit dem Lothringer nicht so sehr wegen der Burgen Eckerich und Ochsenstein, als vielmehr wegen Stadt und Schloss Reichshofen hervorgerufen worden war. Dorf Reichshofen war im Anfang des 13. Jahrhunderts im Besitz der Herzöge von Lothringen und wurde 1232 von Herzog Mathäus dem Strass- burger Bistum zu Lehn gegeben; die Burglehn daselbst waren den Lothringern geblieben’. Herzog Friedrich verzichtete jetzt auf alle seine Rechte, welche er in der Burg Reichshofen hatte, ausgenommen, dass die bisherigen Burgmannen ihm für die ihnen übertragenen Lehn auch fernerhin dienen sollten”. Stadt und Burg Reichshofen gingen jetzt über in den Besitz des Ochsensteiners. Ihm zur Belohnung und besondern Gunst verlieh der königliche .Oheim Reichshofen am 13. Juni 1286 die gleichen Rechte wie Hagenau und einen Wochenmarkt‘. Otto aber verschrieb am 25. desselben Monats mit Erlaubnis der Strassburger Kirche seiner Gemahlin Kunigunde 1000 Mark auf die von ihm besessenen Lehn Reichshofen und Westhofen’. Kloster Walburg ver- kaufte am 5. Juli 1286 dem Reichslandvogt Otto eine Mühle um 10 Pfund Strassburger Pfennige‘. Derselbe Landvogt beglaubigte am 10. Dezember 1288 eine Verschreibung des Markgrafen von Baden für das Kloster Lichtenthal’. Sein Bruder Konrad bezeugte am 26. Sep- tember 1289, dass Landvogt Otto mit seiner Erlaubnis das ochsen- steinische Lehen zu Geudertheim von den Vasallen zu Guggenheim zurückgekauft habe”. In demselben Jahr trat Landvogt Otto als Schieds- richter auf in einer Verletzung des Landfriedens®. Am 17. März 1291

1. Ann. Colm. 212, 18: «Item episcopus Argentinensis terram ducis Lutringie pluries intravit et eum enormiter spoliavit».

2. Als. id. II 217.

3. Als. dipl. II 35. «Noverunt universi, quod orta controversia sive discordia inter Conradum, Argentinensem episcopum, ct ... Othonem dominum de Ohsenstein sacri imperii per Alsatiam advocatum generalem ex una parte».

4. Als. dipl. II 36.

5. MonE XVI 409: «Ich Otto von Ohsenstein der lantvöt » ; ebenda p. 408 ein Regest zum 28. Juni 1286. « Der lantv. 0. v. O.».

6. Mone XVI 408.

7. Monge VII 219. « herr Otti der landvöt von Ohsinstein ».

8. Moxe XVI 413: «Otte der lantvogt>.

y. Als. ill. 1 561, gestützt auf eine ungenannte Urkunde.

252

Mit dem Tode des königlichen Oheims am 15. Juli 1291 erlosch rechtlich die Amtsgewalt des Reichslandvogts Otto. Bereits am zweiten Tage nachher garantierte der Bischof Konrad von Strassburg der Residenz der Landvogtei, Hagenau, seinen Schutz für die Zeit der Thronerledigung‘.

ll. Die Landvögte des Elsass unter König Adolf von Nassau. Otto von Ochsenstein 1292—1294.

Auf den Rat erfahrener Staatsmänner hin beliess König Adolf dem Otto von Ochsenstein das Amt eines Landvogtes des Elsass; der Breisgau aber wurde davon getrennt und dem Grafen Eberhard von Katzen- ellenbogen, dem Oheime des Königs, anvertraut. Alle elsässischen Reichsstädte leisteten dem Landvogt den Treueid, ausser Colmar; hier nämlich erklärte der Schultheiss Walter Rösselmann sich nur unter der Bedingung zur Eidesleistung bereit, dass ihm der Landvogt im Namen des Königs verspräche, ihm das Schultheissenamt auf des Königs Lebenszeit zu belassen, die von ihm aus Colmar verwiesenen Bürger nicht zurückzuführen, überhaupt die Stadt nicht auf gewaltsame Weise zu betreten. Otto ging auf diese Bedingung ein, nachdem auch er von dem Schultheissen die eidliche Versicherung erhalten hatte, dass die Stadt niemand anders als König Adolf huldigen würde*.

Als Landvogt begegnet uns Otto von Ochsenstein am 3. November 1292, wo er als Bürge für Anselm von Rappoltstein sein Siegel an eine Urkunde für Strassburg hängt’. Gegen Ende November 1292 treffen wir ihn am Hoflager des Königs zu Hagenau als Zeugen bei der Erneuerung eines Privilegs für Kloster Neuburg‘. Am 13. April 1293 gewann Landvogt Otto den Ritter Reimbold Reimboldelin als Dienstmann für König und

1. vergl. die Urkunde im Anhang S. 264.

2. Chron. Colm. 257, 43: «Consilio procuratorum regni procuratores in ofûciis retinet. Ottoni de Ochsenstein. . . Alsatiam et que ab ea parte Rheni sunt, com- mittit. Civitates fidelitatem prefectis regis Adolli promittunt. Scultetus Columbariensis fidelitatem promittere recusavit, nisi advocatus Otto de Ochsenstein promittat regis nomine: offitium sculteti ad vitam regis, expulsos non reducere, civitatem potenter non intrare. Advocatus hec pollicetur, recepta fide, ne civitas Columbariensis alteri quam regi Adolfo tradatur ».

3. Rap. Urkb. I Nr. 197. Strassb. Urkb. 11 Nr. 185: «her Otte von Ohsenstein der landvogt».

4. LEHMANN IL 21.

954

Kuno von Bergheim wird von Schöpflin als Unterlandvogt des Otto von Ochsenstein für die ersten Regierungsjahre Adolfs von Nassau angesetzt; es wird dabei unentschieden gelassen, ob es «Kuno der Alle oder ein anderer gewesen sei»'. Teusch setzt: ohne irgendwelche Be- gründung Kuno den Jüngern dafür ein’.

Schöpflins Ansicht gründet sich auf Folgendes:

König Adolf überträgt durch Urkunde vom 28. Dezember 1292 den Schutz der Dominikanerinnen zu Colmar «den Landvögten, welche im Elsass eingesetzt sind». Matthias von Neuenburg, ein Strass- burger Kleriker, welcher die Reichsgeschichte seiner Zeit bis 1356 schrieb, berichtet: «Kuno von Bergheim, welcher zum Vorsteher des Königs im Elsass erhoben war, hat den König gegen den Bischof und die Bürger von Strassburg aufgereizt; diese haben deshalb Kunos Dorf Sermersheim gebrandschatzt und seine Burg Crax zerstört » ‘.

Die Chronik von Colmar endlich erzählt, dass 1293 in dem Kriege Adolfs gegen den Rappoltsteiner und die Stadt Colmar der Landvogt den Herrn von Bergheim zu dem Zuge gegen Weier im Thal ausgesandt habe‘.

Aus diesen Angaben schliesst Schöpflin, dass ein Kuno von Bergheim als Unterlandvogt Ottos von Ochsenstein anzusetzen sei; doch ist diese Annahme durchaus irrtümlich. Zunächst zwingt uns der Ausdruck «ad- vocatis provincialibus per Alsatiam constitutis» durchaus nicht, anzu- nehmen, dass es damals zwei Landvögte gegeben habe. Der Ausdruck ist formelhaft und auch anderweitig gebraucht, wo es erwiesenermassen nur einen Landvogt gab.

Mathias von Neuenburg sodann schrieb mehrere Jahrzehnte nach den diesbezüglichen Ereignissen. Ihm war bekannt, dass Kuno Landvogt des Elsass gewesen war, aber er setzte ihn irrtümlich in die Zeit Adolfs statt in das erste Jahrzehnt Rudolfs°, und zwar wohl deshalb, weil Kuno der Alte nur um diesen kann es sich handeln gerade unter

1. Als. 211. 11 562 und 699 Anm. m.

2. TEUSCH, p. 40.

3. Kopp, 2. Buch 888: «Nobilibus vel strenuis advocatis provincialibus per Alsacianı constitutis».

4. BÖHMER, Fontes IV 168: «Cuno autem de Berghein miles, preses principis in Alsatia elatus, infestans Cunradum de Liehtenberg episcopum et eciam cives Ar- gentinenses, contra eos principem incitavit. Hi autem opidum Cunonis Sermersheim destruxerunt, et post obitum regis idem episcopus castrum Crax Cunonis destruens, lapides quadros ad constructionem opidi Lichtenouwe traduxit».

5. Vgl. oben S. 253 Anm. 4.

6. Siehe oben!

956

und Leute daselbst eingesetzt‘. Gerade diese Übernahme der Regierung der österreichischen Vorlande scheint der Grund seines Rücktrittes oder gar seiner Entsetzung als königlicher Reichslandvogt im Elsass gewesen zu sein. Es wird nämlich unter dem 30. Juni 1294

Gottfried von Merenberg [1294—1297 ?]

als Reichslandvogt für Elsass und Burgund genannt. Nach Verab- schiedung des Ochsensteiners hatte demnach König Adolf einen Ritter seiner engern Heimat Merenberg ist ein Schloss in Nassau rechts der obern Lahn zu seinem Statthalter ausersehen. Gottfried war von dem Könige bereits am 13. Dezember 1292 zum Burgmann auf Calsmunt bei Wetzlar’ bestellt worden? und hatte den König auf seiner Herfahrt durch das Reich begleitet”. Am 30. Juni 1294 schlichtete der Reichslandvogt für Elsass und Burgund Gottfried von Merenberg im Verein mit mehreren elsässischen Herren darunter der Schuldheiss von Colmar, Kuno der Alte von Bergheim, im Auf- trage des Königs einen Judenstreit in Bern‘. Der Entscheid des Land- vogts erhielt die Bestätigung des Königs am 1. August 1294'.

Spuren von weiterer Thätigkeit des Merenbergers als elsässischer Landvogt finden sich nicht.

Als nicht im Lande begütert und ansässig hat er dort auch keine festen Wurzeln gefasst. Drei Jahre lang wird kein Landvogt des Elsass namentlich genannt, nur einmal am 22. Januar 1296 geschieht urkundlich des eLandvogtes» Erwähnung; er schuldete dem Ritter Nikolaus, Schult- heissen von Strassburg, 300 Mark Silber, deren Bezahlung die Bürger Col- mars übernahmen; ob Gottfried dieser Landvogt war, bleibt zweifelhaft‘.

1. Vgl. Kopp 6, 138 u. 221; auch Archiv für Kunde östr. Gesch. VI, 30. In einer Urkunde vom 22. Mai 1294 nennt er sich «Pfleger der Hohen Herren der Herzogen von Osterriche.» Ebenda p. 147. Am 22. Juni 1294 wird er ein «wissenthaft pfleger des herm herzogen Albrechtes von Österich» genannt. LEHMANN II, 22. Die Colm. Annalen 221, 31 nennen ihn zu 1295 «procurator ducis Austrie.» In einer Urkunde vom 20. Herbst- monat 1297 heisst es von Otto: «Der nu phleger ist des vorgenanden Herzogen von Osterrich, der ime beuoln hat lant und linte zi bisezzenne, vnd zi tun allez daz er tete, ub er zi lande were». Archiv für Kunde östr. Gesch. VI, 30 Anm. 3.

2. Kopp, 6,60. BÜHMER 78.

3. Gottfried ist Zeuge in Urkunden Adolfs am 1. Mär: 1298 Esslingen und am 8. Jan. 1295 Mühlhausen. Böhmer 102 u. 232. Ebenso am 20. Jan. 1293. Reg. Episc. Constant. Nr. 2884.

4. TROUILLAT, Mon. de Bdle Ill, pg. 675. Kopp, 6, 143 f.

5. TROUILLAT, ebenda.

6. Strassb. Urkb. II, Nr. 202.

en. OT. a Graf Theobald von Pfirt 1297-1298.

Um Marie Geburt 1297 erhob Kônig Adolf den Grafen Theobald von Pfirt zum Landvogt im Elsass; an die Spitze der Ortenau stellte er den Ritter Hermann von Geroldseck'. Während der König selbst vom Nie- derrhein aus Frankreich angreifen wollte, beauftragte er seinen elsäs- sischen Landvogt, vom obern Lande aus über die Vogesen vorzudringen. Der Graf von Pfirt brach mit einer ansehnlichen Streitmacht in Frank- reich ein. Als aber Verwandte, welche er in jenen Gegenden hatte, ihn um Schonung baten und mit 5000 Pfund beschenkten, zog er wieder ins Elsass zurück ®.

Hier hatten sich neue Unruhen erhoben. Der streitbare Bischof von Strassburg kündigte der Stadt Golmar wegen ihres Schultheissen Kuno des Ältern von Bergheim Fehde an’; ein Teil der Bürger scheint gegen den Schultheissen Partei ergriffen zu haben; sie wurden aus der Stadt vertrieben‘. Ebenderselbe Schultheiss verwickelte den Landvogt Theo- bald und das Reich in einen Krieg mit dem Grafen Egon von Freiburg. Der Bruder des Grafen nämlich, Dompropst Gebhard von Konstanz, bezog an Einkünften aus Colmar etwa 60 Mark jährlich; der Schultheiss verhinderte diese Einnahme. Graf Egon, durch seine Gemahlin Katha-

1. Ellenh. Chron. 135, 25: «Post hec an. dom. 1296 (soll 971) ssl Adolfus rex Thebaldum comitem Pherretarum Alsatie, item dominum Hermannum de Geroltzeke trans Renum instituit advocatos». Ann. Colm. 222, 46: «R, Adolfus circa nativitatem beate Marie v. dom. Thebaldum, comitem Phirretarum, Alsatie instituit advocatum. Comes descendit ad regem cum multitudine bellatorums.

2. Chron. Colm. 262, 36: «Rex Romanorum volens adiuvare regem Anglorum, in Alsaciam perresit, dominum Theobaldum comitem Phyrretarum advocatum terrae constituit,. ,....... . His gestis mandavit rex comiti Phyrretarum, advocato terrae, quod regem Franciae Adeliter impugnaret. . . quod et fideliter adimplevit. Congregavit enim exercitum magnum, perrexit ad Gallos et eos atrociter infestavit, Cognati sui venerunt, eumque suppliciter rogarerunt, ut eos a suis proprictatibus non deleret; insuper quinque milia librarum sibi Tullensium porrexerunt, Ipse eorum precibus acquievit et ad propria rediit festinanter».

3. Vergl. oben $. 255 Anm. 2.

4. Ann. Colm, 223, 20: «Advocatus autem terre, comes Phyrrelarum iniuriam sibi illatam vindicavit, acceptisque civibus Columbariensibus aliisque hominibus terram comitis Fryburgensis potenter ingreditur et vallem Glotyri et alias valles pro viribus deleverunt ».

Chron, Colm. 263, 4 [: «Anno dom. 1297 comes Fryburgensis cepit ante festum sancti Martini plus quam 40 colonos imperii fraudulenter divites et honestos. Ex his fame quosdam perire sine omni gratia faciebat. Ex hoc advocatus Alsacie,"comes Phirretarum, eivitatibus imperii mandavit, quatinus ad ipsum prope Brisacum pervenirent +.

B. XXL (M) 17

958

rina von Lichtenberg ein Schwager des Bischofs Konrad von Strassburg, rächte sich dafür, indem er etwa 40 Reichsbürger gefangen nahm und an Leib und Gut schädigte. Da entbot der Landvogt die Reichsstädte zu einem Kriegszuge gegen den Grafen. Um Martini 1297 führte er seine Streit- macht bei Breisach über den Rhein, brandschatzte das gräfliche Gebiet, insbesondere das Glotterthal, und zerstörte die Silberbergwerke'.

Während die Reichsstädte des Elsass unter der Leitung des Land- vogts und Kunos von Bergheim König Adolf treu blieben, hatten viele Fürsten und Herrn der Rheinebene sich zu einem Bunde zusammen- geschlossen, um den Herzog Albrecht von Östreich auf den Thron zu erheben; so waren Bischof Konrad und die Stadt Strassburg äusserst thätig für Albrechts Sache”.

Hagenau, die Residenz der Landvogtei, war von Hass erfüllt gegen die Stadt Strassburg und ihren Bischof. Als im Februar 1298 fünf Strassburger Kaufleute nach Hagenau kamen, wurden sie gefangen ge- halten. Auf des Bischofs Rat begannen deshalb die Strassburger am 9. Februar die Belagerung Hagenaus. Zwei Vorstädte sanken in Asche; einige Bürger wurden getötet; aber bei einem Ausfalle der Hagenauer erlitten die Belagerer so empfindliche Verluste, dass sie ihr Lager auf- heben mussten°. Infolge dieses Angriffes auf die Reichsstadt Hagenau rief der Landvogt die Reichsstädte und vor allen Golmar zum Kampfe auf gegen jene Reichsfeinde‘. Mit vielen tausend Mann wurde das bi- schöfliche Gebiet, insbesondere das Sulzmattihal, mit Feuer und Schwert verwüstet. Die Vorstädte von Rufach und Egisheim sowie das Dorf Sundheim gingen in Flammen auf; die Kirchhöfe in Geberschweier, Obermorschweier und Vögtlingshofen wurden zerstört; das feste Heilig- Kreuz musste sich ergeben.

Bald darauf brach das Verhängnis herein über König Adolf. Herzog Albrecht war im April 1298 bis Freiburg im Breisgau vorgerückt; dorthin führte ihm Bischof Konrad von Strassburg etwa 10.000 Mann Kriegsvolk zu ®.

{. Siehe vorige Seite!

2. Cfr. Ellenh. Chronic. 135, 27 f. zu 1297.

3. Chron. Colm. 263, 13 f.

4. Ebenda 29: «Audiens haec comes Phirretarum, imperii civitates convocavit et villas cum vallibus Argentinensis episcopi cum multis millibus hominum devastavit».

Ann. Colm. 223, 30: «Idibus Februarii 1298 Columbarienses armati cum suis, ut res Argentinensis episcopi devastarent. Comes Phyrretarum, advocatus imperii, veniens eis in adiutorium cum multis millibus rusticorum etc.».

5. Ellenh. Chron. 136, 18.

260

Kiensheim an‘. Am 27. Juni 1298 präsentierte er dem Bischof von Basel einen Kandidaten für das Rektorat der Kirche Pfaffans*.

Die Entscheidung des Tages von Göllheim ward sehr verhängnisvoll für Landvogt Theobald. Bischof Konrad von Strassburg sonnte sich noch eine Zeitlang im Glanze des erneuerten Wahlfestes und der Krönungs- feier seines Schützlings Albrecht. Kaum aber war er in die Heimat zu- rückgekehrt, so eilte er, Rache zu nehmen an seinem verhassten Gegner, dem gestürzten Grafen von Pfirt. Zunächst wurden die verlorenen bi- schöflichen Gebiete wieder zurückerobert; dann ging es auf verhee- rendem Kriegszuge in die Grafschaft Pfirt. Der Graf sah bald seine Dörfer und Schlösser in Flammen aufgehen. Aufs Äusserste bedrängt unterwarf er sich dem siegreichen Kirchenfürsten? und fand die Gnade des Königs.

Ill. Die Landdvogtei unter Albrecht I. Johann von Lichtenberg 1298—1308.

Am 27. Juli 1298 war Albrecht von Östreich einstimmig zu Frank- furt von den deutschen Fürsten als König anerkannt worden; die Krönung sollte am 24. August in Achen statifinden. Die Zwischenzeit benutzte der Erwählte, um dem Bischof Konrad und der Stadt Strass- burg einen Dankesbesuch zu machen für ihre Treue und Anhäng- lichkeit. Mit stattlichem Gefolge zogen beide Fürsten ins Elsass und kamen vor Mitle August in Strassburg an. Albrecht fand hier eine äusserst glänzende Aufnahme‘. Nach der Krönungsfeier zu Aachen begleitete der Bischof den König auf seiner Huldigungsfahrt durch Schwaben, um dann gemeinsam mit ihm den verhassten ehemaligen Reichslandvogt, Grafen Theobald von Pfirt, im Oktober in seinem eigenen Lande zu züchtigen. An dessen Stelle war der Bruderssohn

1. Edenda, 222: «Wir grawe Diebold von Pfirt, lantfogt ze Elsass».

2. TROUILLAT, Mon. de Bdle Il, pg. 667: «advocatus imperii per Alsatiam».

3. Ann. Colm. 224 f.

Kopp 7, 8.

Math. Nuew. BôHMER, Fontes IV, 175: «Rex quoque in principio creacionis sue cum Conrado episcopo Theobaldum comitem Ferretarum invasit, eius terram vastando; qui comes dando filiam suam Ottoni de Obsenstein regi est reformatus ».

4. Annal. Colm. 224, 23. «Über die Einzelheiten vgl. SPECKLIN, Collectanea, im Bulletin de la Société pour la conservation des monuments historiques d’Al- sace 1888, S. 316.

962

Das Elsass erfreute sich unter König Albrechts Regierung eine wohlthuenden Ruhe‘. Deshalb fand der neue Landvogt weniger Gelegen- heit, sich kriegerisch hervorzuthun, als sein Vorgänger.

Als Schiedsrichter schlichtete Landvogt Johann von Lichtenberg am 5. März 1300 Streitigkeiten zwischen den verwandten Familien von Bergheim und Andlau®. König Albrecht befahl seinem Schutze am 1. April 1300 das Kloster Päris®, am 11. April das Kloster Alspach‘, und am 17. Mai das Kloster Schwarzach‘. Ein Kaufakt wurde für Friedrich von Leiningen am 25. Februar 1301 von dem Reichsland- vogt vollzogen‘. An dem Kriegszuge des Königs gegen die rheinischen Erzbischöfe nahm der Landvogt des Elsass ruhmvollen Anteil. Bei der Belagerung der churmainzischen Feste Bingen zeichneten sich die elsässischen Kriegsmannen vor allen andern Nationen aus’. Als hier am 27. August 1301 König Albrecht die Grafen von Nassau als «Reichshelfer» gewann und ihnen 1200 Mark zusicherte, stellte er unter andern auch seinen elsässischen Landvogt als Bürgen®. Im Lager vor Bingen verwandte sich der Landvogt beim Könige zugunsten der Bürger von Buchsweiler und erwirkte ihnen am 26. September 1301 die Bestätigung der Privilegien, welche sie von Albrechts Vater erhalten hatten®. Im Oktober des folgenden Jahres lagerte der Landvogt Johann mit dem Könige vor Köln. Albrecht sicherte ihm hier für seine treuen Dienste am 21. Oktober 1302 tausend Mark Silber zu und verpfändete ihm dafür die Dörfer Westhofen und Balbronn'. Hugo von Batzendort überliess dem Ritter Heinrich von Fleckenstein am 8. April 1303 den Kirchenzehnten von Berstein mit Bewilligung des Lehnsherrn, des Land- vogts Johann“.

1. Ellenh., 138, 4: «retraxit regnum de manibus et iugo perseccutionis domini Adolfi et subiit dominium domini Alberti suave».

2. Als. dipl. Il, 74 ... Ich Johannes von Liehtenberg, lantvogt zu Elzase».

3. Huco, Monumenta II, 294: «dilectis fidelibus nostris, Johanni de Liechtenberg advocato per Alsatiam et Friderico de Hunenburch sculteto Columbariensi».

4. Ebenda, 307 : «nobili viro de Tiechlenberg, advocato Alsatiae».

5. WÜRoWEIN, Monasticon Palat. IV, p. 100: «advocato generali Alsatiae isti qui nunc est et qui pro tempore fuerit». Johann ist nicht namentlich genannt.

6. Strassb. Urkb. II, Nr. 445: «Johannes de Liehtenberg, advocatus Alsatie generalise.

7. Chron. Colmar, 268, 36: «inter omnes nationes illi de Alsatia laudabilius faciebant».

8. BOHMER, 350: «Johann von Lichtenberg, vogt des Bisasses».

9. Ebenda, 353.

10. Ebenda, 401.

11. LEHMANN I, 83.

963

Am 23. Dezember 1303 war der Landvogt an einer Sühne beteiligt‘; am 20. Februar 1304 wurde seine gütliche Vermittlung angerufen zugunsten der Templer zu Thann, denen die Gemeinde Offweiler die schuldigen Zinse, Gülten und Zehnten verweigerte‘. Auf seine Bitten hin verzichtete Gottfried von Forbach am 14. April 1306 der Stadı Strassburg gegenüber auf seine Forderungen bezüglich des Angriffs im Stadtfrieden®. Landvogt Johann besiegelte im Juni 1306 einen Vertrag des Herrn von Girsberg mit Heinrich von Rappoltstein‘ und im Juni 1307 eine Sühne Hugos von Herrenstein mit den Städten Strassburg und Zabern®. Vor dem Landvogt wurde 1307 ein Vergleich geschlossen in Sachen Volmars von Hagenau und Walthers Mülnheim von Strassburg‘.

Mit Albrechts L Ermordung am 1. Mai 1308 endete die Amts- thätigkeit des Lichtenbergers als Reichslandvogt. Sofort suchte die Stadt Hagenau für die Zeit der Thronerledigung wiederum den Schutz mächtiger Nachbarn. Zunächst sicherten der Bruder des Landvogts, Sigibotho, Bischof von Speier, und Heinrich von Fleckenstein Hagenau ihren Schutz zu. Dann schwuren jener letzte Landvogt und Bischof Sigibotho als interimistische Schirmherrn der Stadt einen Schutzeid”.

1. Strassb. Urkb. 11, p. 203 Anm,

2. LEHMANN I, 83.

ScaôPrLIN bemerkt Als. id. Il, 562: «Anno 1305 Joh. v. L. advocatus per Alsatiam provincialis in charta monasterii Neoburgensis dicitur».

3. Strassb Urkb. Il Nr. 255: «Durch bette mins herren Johanneses von Liehtenberg des lantv’gites ze Elsaz».

4. Rap. Urkb. 1 Nr. 261.

5. Strassb. Urkb. IL Nr. 260: «nobilis viri domini Joannis de Lichtenberg advocati Alsatie generalis». .

6. Strassb. Urkb. Il, Nr. 262: «als es beret wart in dem garten ze den brediger vor dem lantvogete».

7. Vgl. meine Dissertation : Die Landvögte des Elsass von 1808-1408, Seite 1.

Beilage.

Le an

Bischof Konrad von Strassburg verbürgt der Stadt Hagenau seinen Schutz. 1291 Juli 17.

Conradus dei gratia episcopus argentinensis universis, ad quos pre- sentes littere pervenerint, notitiam subscriptorum. Vacante nuper imperio ex morte clare memorie quondam domini R. serenissimi romani regis, universitas civium civilatis de Hagenowe, sperantes civitatem ipsam cum personis, iuribus et pertinentiis ipsi civitati atlinentibus a malignantium insultibus nostra tuitione relevari, se nostre defensioni unanimiter commiserunt. Nos autem, ob ipsorum civium devolionem et desiderium pacis fovendae in nostra diocesi, diclam civitatem cum personis, iuribus et pertinenciis eidem attinentibus in nostram proteclionem recepimus et tutelam, promittentes bona fide, et ad hoc nos presentibus obligantes, quod omnia privilegia a divis augustis imperatoribus et regibus romanis quibuscunque ipsis civibus concessa, nec non iura et consuetudines rationabiles ipsius civitatis hactenus laudabiliter observatas servabimus et tuebimur, quemadmodum ab ipsis civibus sunt servata.

Promitlimus eciam quod dictos cives in pascendis suis pecoribus videlicet equis, bobus et vaccis in palude contigua sacre foreste vulga- riter dicta das Riet, temporibus ad hoc deputatis, non prohibebimus vel aliquo modo prohiberi patiemur; volentes eciam quod honestiores et digniores ex civibus predictis fenum ibidem pro suorum indigentia pecorum et persone mertlum suis expensis recolligere debeant, finibus intra quos hoc faciant a nobis vel nostris officiatis, qui pro tempore fuerint, deputandis.

em promittimus quod defensionem civium civitatis predicte, iuris- dictionem sive iura et districtum ipsi civitati allinenlia in nostra manu teneamus, et quod eciam scultetum de ipsa civilate non preficiemus ibidem, sed aliquem extraneum, honestum et circumspectum, qui in susceplione huiusmodi oflicii, prius iuramento prestito corporali, pro- mittat quod iuxta scabinorum et iuratorum sententias antiquum ius et consueludines laudabiles civitatis eiusdem nec non libertates, iura et privilegia ipsis civibus indulta, inviolabiliter teneat et observet, et quod honorem civitatis ipsius et civium tolis viribus studeat promovere.

ME

Item promittimus quod si contingat, quod absit, quod aliquis in civitate predicta vel suo districtu in aliquem manus iniecerit violentas, ipsum vulnere vel membri truncatione persequendo, postquam dictum maleficium nobis vel sculteto nostro ibidem accusatione iudiciaria dela- tum fuerit, morte non secuta ex vulnere vel membri truncatione huius- modi, et convicto malefactore predicto, legitime ab ipso delinquente pro maleficio huiusmodi non ultra decem libras denariorum argenti- nensium, si benigniorem gratiam consequi non poterit, satisfactione lesi salva ipso leso, nullatenus exigamus vel exigi permittamus. Morte autem ex vulnere vel truncatione predictis secuta, ipsum maleficium secundum tenorem privilegiorum ipsius civitatis, si delinquens beni- gnorem gratiam non inveniet, iudicemus et iudicare faciamus.

Item promittimus quod iudicia, iurisdicliones et districtus dependentia a iurisdictione civitatis predicte ad ipsam civitatem et iurisdictionem eiusdem, in quibuscumque locis distracta reperiemus, integraliter et pleno iure revocemus. Et feoda sive oflicia concessa, nec non donationes quarumeunque rerum factas dictis civibus a divis augustis imperatoribus el regibus romanis vel aliis nobilibus quibuscumque, eciam si ab eis per aliquos revocata sint vel ablata, ipsis vel eorum heredibus, in qui- buscunque locis ipsa feoda, officia sive donationes consistunt, presen- tibus restituimus ac eos in feodis, ofliciis et rerum possessione pro- mittimus defensare.

Ad recuperandum eciam bona quecunque mobilia vel immobilia in civitate Hagenowe vel extra per quoscunque contra iustitiam ablata ipsis civibus reperiuntur, totis viribus assistemus.

Item promittimus quod a civibus civilatis eiusdem vecturas, que vul- gariter dicuntur «anger», aliquo modo non extorqueamus de cetero vel citra eorum voluntatem a quibuscunque patiamur extorqueri. sed quod ipsos sallem cives in dicta civilate vel extra in provinciis vel regionibus quibuscunque mercimonia exercentes in personis et rebus ac suo iure efficaciter foveamus.

Item promittimus quod si alique violentie dictis civibus per aliquos illate fuerint, quod ipsas violentias sine laboribus et presentia dictorum civium, nisi plurimum existat necessaria, procurabimus emendari.

Et dictos eives ne extra civitatem suam predictam ad queque plebis- cila, que mansionarii in curiis quibusdam vulgariter dictis «dinchoven» solent exercere, venire compellantur, totis viribus defendemus. ita tamen quod dicti cives census debitos curiis predictis sive earum dominis et mansionariis debilis temporibus solvere sint parali.

266

Item promittimus quod forestam adiacentem et conliguam civitati pre- dicte vulgariter dictam «der heilige vorst», cum feris in ea degentibus ab extraneorum devastatione, combustione, sectura et venalione diligentius custodiri et in bona servari custodia faciemus. ita quod cives predicu iure suo et consueludine laudabili in dicta silva libere perfruantur, promittentes eis ex bona nostra voluntate et presentibus indulgentes quod usufructum sive redditus tertie partis illius tantum que domino civitatis predicte separata a parte communitati ipsius civitatis attinente, hactenus cessit ab hodierno die usque ad tres annos integre com- pletos et immediate subsequentes pro relevatione debitorum, in quibus predictus dominus R. quondam romanus rex ipsos reliquit oblegatos, recipiant et ex eis disponant prout sibi videbitur melius expedire.

Igitur ut omnia premissa et singula rata a nobis et firma permaneant et eciam inconvulsa operibus impleantur,, civibus et universitati predicte presentem litteram nostro nec non dilectorum patruorum nostrorum nobilium virorum Conrandi et Johannes de Lichtenberg dedimus sigil- lorum munimine roboratam.

Nos vero Conradus et Johannes de Lichtenberg predicti ad petitionem reverendi domini Conradi dei gratia episcopi argentinensis prefati el robur firmius sigilla nostra presentibus duximus appendendum in evi- dentiam et testimonium premissorum.

Datum feria tertia post festum beate Margarete virginis anno domini m. ducentesimo nonagesimo primo.

Orig. Perg. mit häng. Siegel des Bischofs im Reichsarchiv zu München, Habelsche Acten.

—9—

6. Ein Schreiben des Herrn Direktor Dr. Euting, wonach die Bibliothek von Upsala ein Exem- plar der 2. Serie unserer Hitteilungen zu erlangen wünscht. Der Preis der 20 Bände wird auf 50 .# festgesetzt.

Direktor Euting wünscht ebenfalls in der Zukunft 5 Exemplareder jeweiligerscheinen- den Mitteilungen direkt an den Verleger zu zahlen. Angenommen.

7. Ein Schreiben des Buchhändlers K. Trübner bez. des Preises der Bände XV, 1, XVI u. ff. Dieser wird auf 45 .# festgesetzt.

8. Einladungen zu dem Archäologischen Kon- gress in Agen und Auch (41.—18. Juni) und der Akademie Stanislas in Nancy.

Prof. Ficker bietet seitens des Herrn Pfarrers Prof. Anrich, aus Lingolsheim, der Gesellschaft ein Kästchen mit Goldwage (Köln, 1655) an. Dank,

Für Bibliotheksrayons werden 40 .# bewilligt.

Schluss der Sitzung um 4 '/, Uhr.

Vorstands-Sitzung vom 19. Mai 1901. Nachmittags 3 Uhr.

Vorsitsender: Kanonikus Keller.

Anwesend die Mitglieder: Binder, Ficker, Forrer, Henning, Himly, Martin, Müller, Salomon, Seyboth.

Der Herr Präsident teilt ein Schreiben des Herrn Landeskonservators Wolf mit, der im Namen des Ministeriums das Ersuchen an den Verein richtet, die dem Staate angehörenden Gegenstände des Museums mit roten Eliketten zu versehen. Prof. Henning und Ficker konstatieren, dass diesem Ersuchen früher entsprochen worden sei, die Btikeiten aber seither abgebleicht seien; sie sollen nunmehr durch neue ersetzt werden.

Assistent Welker stellt in einem ersten Schrei- ben an den Präsident den Antrag, auf drei Jahre fest angestellt zu werden, und die Kündigungsfrist

Leltre de M. le prof. Euting donnant cos. munication du désir de la bibliothegge : d’Upsala (Suede) de posséder un exemplain | de la II° serie du Bulletin. La valeur de 20 volumes dont il s'agit est fixée à 50 .4

Proposition du même demandant pes

l'avenir 5 exemplaires de chaque fasicls du Bulletin à payer directement à l'éditeer, Adopté.

Lettre de l'éditeur Trübner demandant k prix du Bulletin, tome XV, 1, XVI et n, jusqu'à ce jour. Ge prix est fixé à 49 .4

Invitation au Congrès archéologique de France du 11 au 18 juin à Agen et à Auch. Académie Stanislas à Nancy.

Prof. Ficker présente une cassette renfermag une balance de peseur d'or et les poids (1655 à Cologne), offerte à la Société par M. le pasiew prof. Anrich à Lingolsheim.

40 .& sont volés pour des rayons de bibl thèque.

La séance est levée à 4'/, heures.

Séance du Comité du 19 mai 1901 La séance est ouverte à 3 heures. Présidence de M. le chanoine KELLER.

Presents: MM. Binder, Ficker, Forrer, He» ning, Himly, Martin, Müller, Salomon, Seyboth

Le President donne lecture d'une lettre de M. le conservateur Wolf, demandant de la par du Ministère que les objets du Musée appartenast à l'État soient marqués d'une étiquette rouge. MM. les prof. Henning et Ficker assurent qu précédemment déjà on s'est conformé à cts prescription, mais que depuis lors les étiquettes ont eu le temps de blanchir; elles seront pro- chainement renouvelées.

L’assistant Welker, dans une lettre adressées Président, demande que son poste lui soit assuré pour trois ans el que le terme pour donner coagé

von zwei auf sechs Monate verlängert I, angesichts eines an ihn aus Trier er- ‘en Angebotes. In einem zweiten Schreiben w obigen Antrag zurück und bittet, der ıd möge sich darüber äussern, ob er prin- geneigt sei, falls die Mittel es der Gesell- gestalten, seine Anstellung als Assistent e dauernde zu betrachten.

Vorstand erklärt sich, ohne eine rechtliche chtung übernehmen zu wollen, im Sinne trages Welker und der Schriftführer wird gt, ihm davon Mitteilung zu machen,

Archäologische Gesellschaft von Gand (Bel- rünscht Umtausch ihrer Publikationen mit der Gesellschaft. Prof. Ficker wird beauf- lie betreffende Zeitschrift auf der Universi- jliothek sich anzusehen und über ihren In- id Charakter an den Vorstand zu berichten,

Vertrag mit der Buchhandlung Schlesier ich Verkauf des Hortus, wie ihn Herr ‘er Himly im Namen der Gesellschaft abge- ‘en, wird genehmigt.

Prof. Ficker berichtet, hat der Bürger- rin das städtische Budget nebst dem Ordi- ı von 500 .# ein Extraordinarium von 4 für das kommende Jahr zu Gunsten der ichaft einstellen lassen. Von diesen 3000 .# 1000 für den Assistenten und 2000 für isgrabungsarbeiten in der Stadt und Er- agen von Altertümern verwendet werden.

servator Wolf sendet die für die Ausstellung eproduktionen klassierten Denkmäler ihm erfügung gestellten Zeichnungen zurück

die Stücke, welche die Gesellschaft ıren kann, dem Archiv zu überlassen. Wird

Bigt. wird ferner beschlossen, einige vereinzelte Bun von Fortifikationen dem Stadtarchiv

! Ficker schlägt vor, aus einer Reihe von Kacheln einen Ofen zusammenstellen zu Kachlermeister Kromer soll ersucht werden mie Vorschläge bezw. Zeichnungen vorzu-

soit fixé à six mois au lieu de trois mois, vu qu'il avait reçu de Trèves une offre fort avantageuse. Dans une seconde lettre il modifie sa proposition et prie le Comilé de déclarer s'il est disposé à considérer sa nomination comme fixe, tant que les ressources de la Société le permettent.

Le Comité se prononce affirmativement dans le sens de cette dernière proposition et charge le secrélaire d'en aviser M. Welker, sans assumer toutefois une obligation juridique.

La Société archéologique de Gand (Belgique) désire échanger ses publications avec les nôtres. Le prof. Ficker est chargé de prendre connais- sance de la revue dont il s'agit à la bibliothèque de l'Université et de communiquer au Comité le résultat de son enquête.

Le traité de vente du « Hortus deliciarums à la librairie Schlesier est approuvé tel qu'il a été conclu par M. le caissier Himly au nom de la Société.

D'après le prof. Ficker, M. le maire a mis au budget de la ville outre l'ordinaire de 500 .# un extraordinaire de 3 000 .# au nom de la Société pour l'année prochaine. De ces 3000 .# 1 000 .# sont destinés à l'assistant et 2 000 .# aux fouilles faites dans la ville et à l'acquisition d’antiquites.

M. le conservateur Wolf renvoie les dessins mis à sa disposition à l'occasion de l'exposition des monuments classés et exprime le désir que la Société veuille consentir à déposer au Denkmal- archiv les pièces dont elle peul se passer. Adopté.

Il est ensuite décidé d'offrir au Stadtarchiv quelques dessins de fortifications.

M. le prof. Ficker propose de composer un fourneau d'une série de vieux carreaux de brique glacée et de s'adresser pour en avoir un devis, à M. Kromer, poélier.

4

Prof. Henning übergiebt zwei Schwalben- schwänze als Gabe des Herrn Pfarrer Nessler aus Hanau. Dank. Er berichtet ferner über die höchst interessanten römischen Funde, Fragmente von Wandmalereien, aus der Nähe des Rothen Haus.

Herrn Prof, Henning werden für die Ausgrab- ungsarbeiten 100 .#, Herrn Prof. Ficker für die Anschaffung kunstvoller Hauben 20 .# bewilligt.

Hierauf Schluss der Sitzung.

Vorstands-Sitzung vom 14. Juni 1901.

Vorsitzender: Kanonikus Keller.

Anwesend die Mitglieder: Binder, Christmann, Ficker, Forrer, Henning, Himiy, Martin, Müller, Salomon, Seyboth.

Entschuldigt die Mitglieder: Klem und Glück.

Der Schriftführer verliest das Protokoll der letzten Sitzung. Da bezüglich der Beschlussfassung über einen in jener Sitzung gestellten Antrag des Herrn Prof. Henning verschiedene Auffassungen entstanden sind, beantragen P. Martin, es möge das Protokoll am Schlusse jeder Sitzung summa- risch verlesen werden, Prof. Müller und Ficker, es möge über alle gestellten Anträge eine for- melle Abstimmung stattfinden. Beides wird angenommen.

Prof. Henning verliest hierauf ein an den Herrn Bürgermeister gerichtetes Schreiben, spe- zialisierte Aufstellungen über die von der Gesell- schaft im laufenden Jahre zu machenden Ausgaben enthaltend und bittet dementsprechend einen Ausgabeplan zu entwerfen. Für einen Kasten und die innere Binrichtung eines Schrankes werden 60 bezw. 120 .«, zusammen 180 .# bewilligt.

Dem Antrag des Herrn Prof. Henning, den Konservatoren des Museums einen halbjährigen Etat zu bewilligen mit dem 1. April und dem 1. Oktober als Termine wird zugestimmt.

Für das laufende Halbjahr werden mit Rück- sicht darauf, dass für die Ausgrabungen in der Stadt der Sommer die Hauptarbeitszeit darstellt,

M. Henning présente deux queues d’aroı la part de M. Nessler, pasteur à Han Remerciments. Il réfère ensuite sur les fra très intéressants de fresques romaines tre proximité de la Maison-Rouge.

100 sont votés à M. le prof. Hennin les fouilles et 20 .Æ# à M. le prof. Ficke l'acquisition de coiffures anciennes de fem

Clôture de la séance à 4 heures.

Séance du Comité du 14 juin 1901. Présidence de M. le chanoine KELLER,

Presents: MM. Binder, Christmann, Forrer, Henning, Himly, Martin, Müller, Sa Seyboth. |

Excusés : MM. Klem et Glück.

Le secrétaire donne lecture du procès de la dernière séance. Vu la diversité des prétations données à la proposition fa M. le prof. Henning à la dernière séance, tin propose la lecture du procös-verk: fin de chaque séance; d'autre part, MM. | Müller et Ficker demandent que désorm ait un vote formel pour chaque proposil Accepté.

Le prof. Henning donne ensuite lecture lettre adressée à M. le maire donnant un. détaillé des dépenses prévues par la Sociél l'année courante et demande de fixer le en conséquence. Le Comité accorde ı pour l'acquisition d'un coffre et l’amény intérieur d'une armoire une somme tol 180 .#

Sur la proposition de M. le prof. Henniı provision semestrielle payable le 1" avr 1°" octobre est accordée aux conservate Musée.

Pour le semestre courant 1 200 .4 son parce que la plus grande partie des foui ville se font en été. Dans ces 1 200 .4 so!

6—

Der Schriftführer teilt hierauf die Skizze des von ihm gelegentlich der Generalversammlung zu verlesenden Protokolls mit.

Herr Rechnungsrat Hohmann bittet um Über- weisung eines Exemplars der Mitteilungen, 2. Serie I—XX, zum Vorzugspreise an die Univer- sitätsbibliothek behufs Tausch mit einer anderen Bibliothek. Wird bewilligt falls noch 15 voll- ständige Exemplare vorhanden sind.

Herr Prof. Ficker berichtet, dass er das Ver- zeichnis der Baufragmente der alten Jung-St.- Peterkirche an das Bürgermeisteramt zurück- gesandt habe.

Bezüglich der von Herrn Dr. Forrer heraus- gegebenen Fundkarte bedauert Prof. Henning, dass, wie seitens des Bezirkspräsident von Loth- ringen an die Lothringische Gesellschaft, nicht auch an uns eine offizielle Anfrage betreffs etwa vorzunehmender Veränderungen ergangen, und in der Notiz über die Stellen, an welchen die Funde angezeigt werden sollen, der Name unserer Ge- sellschaft gestrichen worden sei.

Wir hätten allesInteresse daran, den Zusammen- hang mit den Findern zu wahren, und er schlage daher vor, sich in der Sache ans Ministerium zu wenden.

Herr Forrer bemerkt hierauf, dass er seiner Zeit Herrn Kanonikus Dacheux von der beab- sichtigten Veröffentlichung Mitteilung gemacht, den Namen der Gesellschaft habe er zuerst ange- geben, aber infolge einer Verfügung des Herrn von Puitkamer, wonach alle Funde dem Konser- vator anzumelden seien, wieder streichen müssen.

Der Vorstand schliesst sich dem Antrage des Herrn Prof. Henning an.

Auf Prof. Henning's Anfrage, wie sich der Vor- stand zu dem Wunsche des Herrn Konservators der historischen Denkmäler steilt, Herrn Welker für gewisse Arbeiten in seinen Dienst zu nehmen, wird beschlossen, dass diesem Wunsche von Fall zu Fall mit formeller Erlaubnis des Vorstandes ent- sprochen werden könne. Von Herrn Welker könne aberkeineRemuneration bezw. nureineVergütung derunmittelbaren Ausgaben angenommen werden.

Le secrétaire donne lecture d'un aper rapport à lire à la prochaine assemblée rale.

M. Hohmann demande de mettre à la sition de la bibliothèque de l'université un. plaire du Bulletin, série, I-XX, au prix def pour un échange avec une autre biblio Accordé s’il y a encore 15 exemplaires plets.

M. le prof. Ficker déclare avoir renvoyi mairie la liste des fragments provenant di cienae église Saint-Pierre-le-Jeune.

Quant à la carte des découvertes archéolo de M. le doct. Forrer, M. le prof. Henning le regret que l'on ne nous ait pas avisés lement au sujet des changements à faire ( le Bezirkspräsident de Lorraine l'a fait vi de la Société lorraine, et que le nom dt Société ait été rayé dans la note indiqu adresses les trouvailles sont à déclarer

Nous aurions lout intérêt à rester enr directe avec le public; il propose par cons de s'adresser au Ministère à ce sujet.

M. Forrer remarque quil avait prévenu! chanoine Dacheux de la publication et qu d'abord indiqué le nom de notre Société qu'ensuite, conformément à une ordonna M. de Puttkamer, il avait le raver, les trouvailles devant être déclarées au ı vateur.

Le Comité approuve la proposition dt prof. Henning.

A la demande de M. Henning si le Con disposé à mettre M. Welker à la disposi M. le conservateur des monuments hist pour certains travaux, le Comité décide d' à ce désir, à la condition d'une permissi melle du Comité pour chaque cas par M. Welker ne pourra accepter en pareil la rétribution de ses dépenses sans autre nération.

en e:

! ‚® d'u ee as . mr Wer = EAU Pau

| LR LR

ie OCR ER re re E Ans ogg)

._

| N

Wu

a

—8—

ziehen. Dazu halte unser langjähriger Kassierer, Herr Kurtz, dem es allerdings nicht gefallen hatte, ein Defizit verkünden zu müssen, seinen Abschied genommen, und so musste ich für Alles sorgen.

Glücklicherweise fand ich an HerrnMoritz Himly einen tüchtigen und bereitwilligen Kassierer, der mir mit Rat und That beigestanden und dem ich heute meinen persönlichen Dank, sowie den Dank der Gesellschaft hier öffentlich aus- spreche. Wir stellten gleich für das laufende Jahr ein Budget auf, in dem alle nicht absolut nötigen Ausgaben ausgemerzt wurden und die nötigen beschränkt, so dass schon einige Raten an verschiedene Gläubiger bezahlt werden konnten. Aber die sparsamste Verwaltung konnte in dieser grossen Not nicht allein helfen. Es mussten bei der hohen Regierung Schritte gethan werden, und diese wurden auch mit Erfolg gekrönt. Durch die freundliche Vermiltelung des Herrn Bezirkspräsi- denten, der zugleich statutengemäss Ehrenpräsi- dent der Gesellschaft ist, gelanglen schon Anfangs August an das Ministerium einige von demselben verlangten Schriftstücke, und auf diese Eingabe hin kam etwas später, im Oktober, auch Hülfe.

Zuerst wurde der Hortus deliciarum ein Retter in der Not, denn der Kaiserliche llerr Statthalter bestellte zehn Exemplare des Hortus deliciarum zum vollen Preise von 1200 .#, die sogleich be- zahlt wurden. Ferner liess er uns das schriftliche Versprechen zukommen von 5000 .#, zahlbar am 1. August 1903, unter der Bedingung, dass bis dorthin alle Schulden der Gesellschaft bis auf diesen Rest von 5000.% getilgt sein werden und dass nach dieser Zahlung die Gesellschaft schuld- los da stehen wird.

Andererseits gelang es, den Rest des Hortus deliciarum an die Firma Schlesier hier abzu- geben um den Preis von 4800 .4, welcher raten- weise in ziemlich kurzer Frist einlaufen wird.

tout seul à porter ce poids. C'était le temps des vacances, impossible de réunir le Comité... et notre ancien trésorier, M. Kurtz, peu flatté comme de juste, d'avoir eu à déclarer un déficit, venait de donner sa démission, toute la charge retombait donc sur moi.

Heureusement j'ai pu trouver en M. Maurice Himly un nouveau trésorier très entendu dans les affaires qui, avec une obligeance et une ser- viabilité parfaites, m'aida généreusement de ses conseils et de sa personne. Je lui en exprime aujourd'hui publiquement ma gratitude person- nelle et celle de la Société! Notre premier soin fut d'établir pour l'année courante un budget

toutes les dépenses non nécessaires furent suppri-

mées et les autres restreintes, de manière à pou- voir payer au plus tôt quelques acomptes à divers créanciers. Mais l'administration la plus sagement économe ne suffisait pas à nous tirer d'un si grand embarras. Il fallut s'adresser au gouvernement, et notre démarche fut couronnée de succès.

Le «Hortus deliciarum » fut notre premiere planche de salut, car son Altesse le prince de Hohenlohe, Statthalter d’Alsace-Lorraine, fit l’ac- quisition de 10 exemplaires du « Hortus deli. ciarum» au prix fort de 1 200 .# Puis au mois d'octobre le Ministère d’Alsace-Lorraine, par la bienveillante entremise de M. le Prefet, notre président d'honneur, d'après les statuts de la Société, nous fit parvenir la promesse écrite de 5 000 .# payables le 1°" août 1903, à la condition que d'ici toutes les dettes de la Sociélé seront éteintes jusqu'à ce dernier reste de 5 000 .#, et qu'après ce paiement la Société sera entièrement libérée de toute dette.

D'autre part nous avons pu vendre à la librai- rie Schlesier et Schweickhardt le reste des exem- plaires du « Hortus deliciarum» au prix de 4800 .# qui seront payés par termes d'une suc- cession assez rapide.

410

Wahl für sehr wichtig. Man kann eben unsere Gesellschaft vergleichen mit einem unmündigen Kinde, dessen Pfleger die Mitglieder des Vor- standes sind. Nur einmal im Jahre wird dieses unmündige kind volljährig und sprachfähig, nämlich in der General-Versammlung, in welcher ihm Rechenschaft abgelegt wird. In den übrigen Zeiten des Jahres sind die Mitglieder des Vor- standes die Verwalter der Güter und der Interessen der Gesellschaft Darum, meine Herren, ist es wichtig, in den Vorstand solche Mitglieder zu rufen, welche Zeit haben den Sitzungen beizu- wohnen und lebhaftes Interesse zeigen für den Zweck der Gesellschaft, solche Mitglieder, welche die vorhandenen Nittel zum wirklichen und all- semeinen Wohl der Gesellschaft verwenden wollen. Die Namen der ausscheidenden Mitglieder sind Ihnen bekannt, dieselben sind wieder wähl- bar. Doch habe ich zu bemerken, dass Herr Ge- heimrat Dr. Barack, der langjährige zweite Vor- sitzende der Gesellschaft, durch den Tod ent- nssen wurde; er hätte noch zwei Jahre im Vorstande zu verbleiben gehabt; ferner schreibt mir Herr Christmann, dass man ihn ersetzen möge, weil er durch Alter und anhaltende Beschäfti- gungen nicht mehr im Stande ist wie früher, regelmässig an den Sitzungen Teil zu nehmen. Endlich für den ehrwürdigen Greis in Colmar, Herrn Ingold, der früher so lebhaftes Interesse für die Gesellschaft an den Tag gelegt, ist ein Ersatzmann leicht zu finden in der Person seines als Historiker rühmlich bekannten Sohnes, Herra abbé Ingold.

Und nun, meine Herren, lege ich selbst sta- tutengemäss das Amt des Präsidenten nieder, mit dem Bewusstsein für die Wohlfahrt und die Selbst- ständigkeit der Gesellschaft gethan zu haben. was ich in diesen schwierigen Verhältnissen ver- mochte, und mit dem Vergnügen, den bisherigen Nitgliedern der Gesellschaft in dem Hortus deli- cıarum ein bleibendes Andenken zu hinterlassen.

Es wird sodann zur Ergänzungswahl für den Vorstand geschritten.

Ausgelreten, sind: Herren Christmann, Himis, Schickele, Schlosser, Ingold infolge der Amts- dauer, Dr. Barack durch den Tuu.

étant très importante. On peut en effet comparer la Société à un pupille dont les membres du Co- mité sont les tuteurs. Une fois par an, c'est-ê-dir dans l'Assemblée générale, ce mineur est ee quelque sorte émancipé et peut exprimer sa vo- lonté. Le reste de l'année il appartient aux mes- bres du Comité d’administrer les biens du papille, et de veiller à ses intérêts. Il est donc de la plus grande importance Messieurs, de n'appeler x Comité que des membres qui ont le temps d'assister

aux séances mensuelles, qui témoignent un veri- table intérêt pour le but de la Société et nem- |

ploieront ses ressources que pour le bien common Les membres sortants da Comité et rééligibles vous sont connus. Je remarquerai seulement que M. le D’ Barack, notre bien regretté vice-président, décédé au mois d'août dernier, aurait eu encore deux ans à rester membre du Comité. D'autre part M Christmann me prie de vous informer qu'il renonce à une réélection, vu que son âge ei des occupations incessantes ne lui permettront plus d'assister régulièrement comme autrefois à nos séances. Enfin, Messieurs, pour M. Ingold de Colmar, le vénérable vieillard qui nous a donné longtemps tant de preuves de son dévouemest et que l'âge retient désormais loin de nous, il ne sera pas difficile de trouver un digne remplaçant dans la personne de son fils, M. l'abbé Ingold, a avantageusement connu dans le monde savant par ses travaux historiques.

Et maintenant, Messieurs, conformément à nos statuts, je dépose la charge de président, avec la conscience d'avoir fait pour la prospérité et l'in- dépendance de la Société ce qui m'était possible dans ces circonstances difficiles, et avec la satis- faction de vous laisser un souvenir impérissable dans l'œuvre de Ia reproduction da ‘Hortus deliciarum.o

On procède ensuite aux élections des membres du Comité.

Membres sortants par ancienneté : MM. Christ- mann. Himly. Schickele, Schlosser et Ingold père. M Barack décéde est a remplacer pour 2 ans.

_— 41

Der äussere Bestand der Gesellschaft wies am 1. April 1901 eine Mitgliederzahl von 537 gegen- über der Zahl von 552 Mitglieder vom 1. April 1900 auf.

12 Mitglieder sind durch. Tod abgegangen. Wir haben vor allem den Tod unseres früheren ver- diensivollen Vize-Präsident des Herrn Geheimrat Dr. Barack, eines Ehrenmitgliedes, der Fräulein Pellechet, biblioth. hon. oflic. de l'instr. publ. aus Paris, des Herrn Konservators Audiguier, aus Labern, und des Herrn Dr. Danzas, aus St. Pilt, zu beklagen.

Die Thatsache, dass ein Rückgang von 15 Mit- gliedern zu verzeichnen ist, mahnt zu einer eifrigeren Propagandathätigkeit.

Diese erscheint um so notwendiger als die Gesellschaft mit schweren finanziellen Nöten zu kämpfen hat. Sie aus dieser misslichen Lage zu befreien, war die Hauptaufgabe, die der Vorstand in dem verflossenen Jahre überwältigen musste. Glüchlicherweise gelang es den materiellen Be- stand derselben zu sichern. Zuerst ergab die Erwerbung mehrerer Exemplare des Hortus deliciarum durch den Herrn Statthalter zum Gesamtpreis von 1200 .#, der Verkauf der Restauflage des Hortus deliciarum an den Buch- händler Schlesier eine Einnahme von 4 800 .#, zusammen 6000 .# Das verdienstvolle Werk, dessen Lieferungen trotz der hohen Herstellungs- kosten den Mitgliedern gratis bezw. zu cinem sehr bescheidenen Preise zugestellt worden sind, hat somit der Gesellschaft keine zu hohen Opfer auferlegt.

Aus staatlichen Fonds wurden ferner der Ge- sellschaft eine Unterstützung von 3 500 .# für das laufende Jahr und eine Extraunterstützung von 5000 .# für das Jahr 1901 zur Tilgung der Schulden vom Ministerium von Elsass-Lothringen gesichert, und die Konservierungs- bezw. Restau- rierungsarbeiten an einer Reihe von Monumenten auf das Budget des Landeskonservators über- nommen.

Angesichts der wichtigen Ausgrabungsarbeiten, die zur Zeit in Strassburg vorgenommen werden,

Le nombre des membres de la Société était de 537 au 1* avril 1901, tandis qu'il se montait à 552 au 1 avril 1900.

12 membres sont morts. Nous regreltons sur- tout la mort de notre ancien Président émérite, M. le Geheimerat D' Barack, celle de M'° Pellechet, biblioth. hon., offic. de l'instr. publ. à Paris, mem- bre honoraire de notre Société, celle de M. le conservateur Audiguier de Saverne et celle de M. le D" Danzas de Saint-Hippolyte.

La perle de 15 membres prouve la ne&cessile d'une propagande plus active, d'autant plus que la Société à de grandes difficultés financières à surmonter.

Ce fut la tâche principale du Gomité d'améliorer cette situation et il réussit heurcusement de sauve- garder l'existence matérielle de la Société. La commande de 12 exemplaires du Hortus deli- ciarum par M. le Statthaller au prix de 1 200 .4 et la vente du reste de l'édition du Hortus deli. ciarum au libraire Schlesier au prix de 4800 .4 donnèrent une recette de 6000 .Æ, de sorte que malgré des frais très élevés d'impression et bien que les membres d’ancienne date aient reçu l'ou- vrage gratuitement et les nouveaux à un prix très minime, cette œuvre remarquable n'a pas coûté de trop grands sacrifices à la Société.

Le Ministère d'Alsacc-Lorraine donne à la Société une subvention de 3500 ..# pour l'année courante et une subvention extraordinaire de 5 000 .4 pour l'année 1901, afin de couvrir les dettes. En outre, plusieurs travaux entrepris pour la conservation et la restauration de différents monuments furent portés au budget du Landeskonservator.

En raison de l'importance des fouilles faites actuellement à Strasbourg, la ville accorda, à la

14

Ausserhalb Strassburgs wurde in Königshofen am Engelbreitweg ein römisches Brand- und Grabfeld gefunden und daraus an 60 Urnen ins Museum überführt.

Die zahlreichen Strassburger Fundstücke aus christlicher Zeit erstrecken sich auf den ganzen Zeitraum vom Beginn des Mittelalters bis zum 18. Jahrhundert, wesentlich Proben der Klein- kunst, die das Leben in seinen verschiedenen Thätigkeiten und Bedürfnissen wiederspiegeln. Unter den kostbarsten Acquisitionen des Museums aus altchristlicher bezw. frühmittelalterlicher Zeit müssen vor allem die Erzeugnisse der Töpferei genannt werden: Reizende Figürchen in Thon, besonders eine Anzahl der so seltenen gotischen Nippfiguren in der Formgebung den Figuren an dem Südportal des Münsters vergleichbar und eine fast unübersehbare Zahl von Ofenkacheln aus der Spätgotischen- und Renaissancezeit mit reich wechselnden Mustern.

Herrn Konservatoren Henning und Ficker Dank für ihre Bemühungen.

Leider musste ein letztjähriger Beschluss des Vorstandes, durch literarische Veröffentlichungen die Mitglieder über die Resultate der Ausgra- bungen genauer zu orientieren, infolge der miss- lichen finanziellen Lage für dieses Jahr zurück- genommen werden.

Dagegen konnte auf Grund einer vom Ministe- rium in Aussicht gestellten Unterstützung, wovon bereits die Hälfte (1500 .4) bewilligt ist, die Drucklegung der Preisarbeit des Herrn Naue be- schlossen werden, wodurch der Vorstand hofft, den durch unsere Lage bedingten diesjährigen Ausfall an literarischen Veröffentlichungen, den Mitgliedern gegenüber auf's glücklichste ersetzen zu können.

An Geschenken sind dem Museum zugegangen 2 Nachbildungen altrömischer Waffen von Herrn Naue, interessante Nachbildungen von Kacheln

à jour une quantité de restes archéologiques. Un mur romain fut trouvé à deux endroits: rue des Veaux, 5 et rue du Maroquin.

En dehors deStrasbourg, à KOnigshofen, passage Engelbreit, on découvrit un champ de sépulture et de cr&mation de l'époque romaine, d'où l'on a tiré eaviron 60 urnes pour le Musée.

Quant aux nombreux objets trouvés à Sirw- bourg, appartenant à l'ère chrétienne, il y en a de toutes les époques, depuis l’origine du moyen âge jusqu'au 18° siècle; ce sont pour la plupart de petits objets pouvant donner une idée des diffe- rentes occupations ainsi que des besoins de la vie à travers les siècles. Parmi les plus importantes acquisitions du Musée, datant des premiers temps de la chrétienté ou du moyen âge, nous signale- rons particulièrement les produits céramiques: de ravissantes statuettes d'argile, surtout une cer- taine quantité de ces rares bibelots gothiques dans le genre des figures qui ornent le portail du sud de notre cathédrale (portail de l'horloge) et une multitude de carreaux de poêle de faïence avec dessins très variés de la dernière période gothique et de l'époque de la Renaissance.

Remerciments à MM. les conservateurs Henning et Ficker.

La pénurie de nos fonds nous a empêéchés d'adresser cette année aux membres de la Société une notice exacte et détaillée sur le résultat des fouilles et excavations, comme le Comité l'avait décidé l'année dernière.

Par contre, une subvention spéciale du Minis- tere d'une somme de 3000 .# en deux annuités a permis d'entreprendre l'impression de l'ouvrage de concours de M. Naue. Ce sera un dédommage- ment pour le manque d'autres publications litté- raires de la Société.

En fait de dons nous avons reçu: 1" pour le Musée: deux imitations d'armes romaines de la part de M. Nauc, d’interessantes imitations de car-

He

(achlermeister Kromer, eine antike Gold- von Herru Pfarrer Anrich, der Bibliothek rkundenbuch der Pfarrei Rufach von Herrn r Walter, wofür den Geschenkgebern it der verbindlichste Dank ausgesprochen

ı Mitgliedern wurde im Laufe des Frühjahrs enheit geboten, die Ausstellung der Repro- »nen klassierter Denkmäler im alten Schloss der bewährten Führung des Veranstalters, Konservators Wolf, dem wir hier ebenfalls en besten Dank aussprechen, zu besuchen.

ze nun, nach Überwindung der schwierigen iellen Krisis, die Gesellschaft einer thaten- rfolgreichen Zukunft entgegensehen. Mögen 'reunde unserer altgermanischen, altrömi- j und ich füge mit besonderem Nachdruck ‚auch unserer christlichen Altertümer mehr gemeinsamen Arbeit sich zu- enschaaren, damit unsere an Erinnerungen Denkmälern so reiche elsässische Heimat ler allgemeinen, aufwärtsstrebenden Be- og auf dem Gebiete der Altertumsforschung zurück bleibe!

:h Beendigung dieses Berichtes bat der Vor- de Herrn Himly, Schatzmeister des Vereins, hresrechnung vorzutragen. he die Rechnung, Seite 26.)

llich weist Prof. Henning in einem ausführ- ı Referat auf die geschichtlichen Ergebnisse ı der letzten Zeit gemachten Funde hin. Das ler älteren Vergangenheit Strassburg's ist die neueren zahlreichen Entdeckungen tlich ergänzt und vielfach berichtigt worden.

lem beginnt jetzt die grosse Lücke zwischen littelalter und der römischen Zeit sich aus- en. Dabei ergiebt sich, dass die frühere ıme, dasrömische Argentoratum habe lange Indig in Trümmern gelegen, und die früh-

nische Ansiedelung habe sich nur ausser- erselben vollzogen, nicht haltbar ist. Gerade reiche der Altstadt (Kalbsgasse, Schwestern- u. 5. w.) entstammen die frühesten mittel- ‘hen Funde, während die «Neustadt» bis

reaux de faïence de la part de M. Kromer, poëlier, et un ancien trébuchet de M. le pasteur Anrich; pour la bibliothèque: le recueil de documents de la paroisse de Roufach de la part de l'auteur, M. Walter. La Société remercie vivement les géné- reux donateurs.

Ge printemps les membres de la Société eurent l'occasion de visiter au Château l'exposition des monuments classés sous la conduite de l'habile organisateur M. le conservateur Wolf, à qui nous adressons également nos meilleurs remercie- ments.

Puisse notre Société, une fois qu'elle aura sur- monté les difficultés financières du moment, voir s'ouvrir devant elle un avenir fécond en œuvres et en succès. Qui, puissent tous les amateurs de nos antiquités germaniques et romaines, ainsi que, j'insiste sur ce point, ceux qui s'intéressent à nos antiquités chrétiennes, se rassembler de plus en plus et s'unir dans une activité commune, afin que notre chère patrie d'Alsace, si riche en sou- venirs et en monuments historiques, ne se laisse pas dépasser dans le mouvement qui porteactuelle- ment les esprits aux recherches archéologiques.

Après ce rapport le Président prie M. le tréso- rier Himly de donner lecture du compte rendu financier pour le dernier exercice 1900-1901.

(Voir ce compte rendu plus loin, page 27.)

Enfin M. le prof. Henning, dans une intéressante conférence, s'applique à démontrer les points d'histoire locale qui ressortent des fouilles accom- plies dans ces derniers temps. Les nouvelles dé- couvertes récentes ont grandement complété et corrigé en bien des points le plan de la ville de Strasbourg dans son antique origine. Tout d'abord la distance considérable qui sépare la période romaine du moyen âge commence à étre oubliée. Il se trouve maintenant que l'opinion autrefois accréditée, d'après laquelle l'Argentoratum romain serait resté longtemps complétement ruiné, et les colonies germaines ne se seraient établies qu'en dehors de l'ancienne ville, n'est plus soutenable. Ce sont précisément les quartiers de l’ancienne ville romaine (rue des Veaux, rue des Sœurs, etc.)

46

jetzt nur wenige frühmittelalterliche Dokumente aufweist.

Ferner haben die Ausgrabungen westlich von der Thomaskirche, in der Kinderspielgasse, am Weinmarkt, bei dem Roten Hause gezeigt, dass diese ausserhalb des Gebietes des alten Castrums liegenden Stadtteile bereits in der römischen Zeit überbaut waren.

Sie haben zugleich das hohe Alter des römi- schen Strassburg's erwiesen, das, nach denältesten vorgefundenen römischen Fibeltypen und Topf- waren zu schliessen, seit dem Anfang uneerer Zeitrechnung und nicht elwa, wie man an- nehmen zu müssen glaubte, erst seit der vespa- sianischen Zeit bewohnt gewesen sein muss.

Bestätigt haben sich dagegen durchaus die römischen Mauerzüge, wie sie durch Silbermann festgelegt worden sind.

Über die vorrömische Existenz der Stadt die durch ihren vorrömischen Namen gesichert ist glaubt aber der Referent im Gegensatze zu Dr. Forrer kein irgendwie zusammenhängendes sicheres Fundmaterial nachweisen zu können. Die von Dr. Forrer zitierten Gegenstände tragen wohl einen durchaus römischen Charakter. Die Spät- und Mittel La Tenezeit ist nicht vertreten.

Ein sicheres Resultat ergiebt sich ebensowenig aus dem bei der Aubelte gefundenen, von Dr. Forrer der Hallstattzeit zugewiesenen Bronze- messer, da es sich auf jeden Fall nicht um einen in silu gebliebenen Hallstattfund handeln könne.

Ein unverdächtiger Zeuge ist dagegen der unter den Kleinen Läden gefundene Dolch aus der späteren Bronzezeit.

An die Peripherie von Strassburg heran führen uns die gesicherten Zeugnisse aus der neolithi- schen Zeit, so die von Dr. Forrer aus der Salo- monschen Sammlung beigebrachte, der Bahnlıof- gegend entstammende Becherurne.

Prof. Henning schliesst seine mit lebhaflem Beifall aufgenommenen Darlegungen mit einem

qui ont présenté le plus d'objets de la première époque du moyen âge, alors que la nouvelle vilk n'en a fourni que très peu.

D'autre part, les fouilles exécutées à l'ouest de l'église Saint-Thomas, dans la rue du Jeu-des-Rr. fants, au Vieux-Marché-aux-Vins et près de la Maison-Rouge ont démontré que ces quartiers situés en dehors de l'ancien castrum, étaient déj surbâtis à l'époque romaine.

En même temps ces découvertes tendent à prouver la haute antiquité de Strasbourg romaio. A en juger par la forme des fibules et des pote- ries mises récemment au jour, Strasbourg a être habité dès le commencement de notre ère a pas seulement, comme on le croyait jusqu'ici, depuis l’époque vespasienne.

La direction des murs de l'ancien castrum romain, telle que Silbermann l'a donnéc, a été reconnue parfaitement exacte.

Quant à l'existence de la ville avant l'époque romaine existence constatée déjà par son ancien nom le rapporteur, en désaccord avec M. Forrer, n'admet pas les objets récemment trouvés comme des preuves suffisantes. Il affirme que les objets cités par M. Forrer comme précé- dant l'époque romaine ont au contraire un carac- tere absolument romain. La période La Tène moyenne et tertiaire ne serait nullement repré sentée. De même le couteau de bronze trouré pres de l'Aubelte que M. Forrer fait remonter à la période Hallstatt, ne fournit pas de preuve cer. taine, car de toute manière il ne saurait étre question d'un objet de la période Hallstatt resté in situ, c'est-à-dire trouvé dans l'endroit même de son origine.

Par contre, le poignard trouvé sous les Petites Boutiques est un témoin irr&cueable de la de. nière période de l'âge du bronze. Autour de Strasbourg nous trouvons des produits bien cer- tains de l'époque néolithique, par exemple lurne appartenant à la collection de M. Salomon «à trouvée aux environs de la gare.

Le prof. Henning termine ce rapport vivement applaudi par l’Assemblée, en exhortant les mem-

17

» Mitglieder, sie möchten ein wach-

haben für die im Bereiche ihrer emachten Funde und den Vorstand eitig benachrichtigen.

s-Sitzung vom 30. Oktober 1901.

rsitzender : Kanonikus Keller.

die Mitglieder: Binder, Ficker, Himly, old, Klem, Lempfried, Müller, Salo- h.

gt die Mitglieder: Becker, Marlin,

Puttkamer sendet bei Anlass seines ine Demission und wird auf Antrag ten zum Ehrenmitglied ernannt.

:missionirt: Herr Pfarrer Bandsept ‘0.

neldet werden die Herren:

leutnant Rathgus, Strassburg,

; de Reiset (Ghâteau de Vic-sur-

Schmitt von Horburg,

Adam von Bollweiler.

Keller berichtet über die in der ammlung vorgenommenen Wahlen.

säftsführende Bureau wird hierauf tion wiedergewählt.

Vinkler wird zum Vorsitzenden des :hen Comites gewählt.

von Prof. Henning wird beschlossen, H. Marconet, Nancy, und Erlenbach, ür die von ihnen überlassenen Funde r Gesellschaft auszusprechen.

ı Christmann und Baron von Müllen- ı eine Reilıe von Photographieen,

(8.-B.)

bres de la Société à prêter toute leur attention aux découvertes qui peuvent être faites dans leurs parages et à donner aussitôt avis au Gomité.

Séance du Comité du 30 octobre 1901. Présidence de M. le chanoine KELLER.

Présents: MM. Binder, Ficker, Himly, Henning, Ingold, Klem, Lempfried, Müller, Salomon, Sey- both.

Excuses: MM. Becker, Martin, Forrer.

M. de Puttkamer donne sa démission à l'oc- casion de son départ de Strasbourg; sur la proposition du Président il est nommé membre honoraire.

Autre démission: M. Bandsept, curé à Illhäu- Sern.

Nouveaux membres annoncés:

MM. Rathgus, général de division à Strasbourg, le vicomte de Reiset (Château de Vic-sur- Aisne), Schmitt, curé à Horburg, Adam, curé à Bollweiler.

M. le Président Keller réfère sur les élections de l'Assemblée générale.

Le bureau est réélu par acclamation.

M. Winkler est élu Président du Comité de la Haute-Alsace.

A la demande du professeur Henning il est décidé de présenter les remerciements de la Société à M. H. Marconet à Nancy et à M. Erlenbach à Strasbourg pour les objets qu'ils ont offert pour le Musée.

M. Christmann et M. le baron de Müllenheim envoient plusieurs photographies. Remercic- ments.

2

418

Prof. Ficker berichtet über eine von stud. Jagy dem Museum zugewiesene geschnitzte Bauernelle (Dank) und einen bei dem Bau der höheren Mädchenschule entdeckten höchst interessanten Memorialstein. (Bertonelli, Erbauer der Anton. Kirche.)

Hierauf berichtet Prof. Henning über die vor- zunehmende Veröffentlichung der Arbeit des Herrn Naue.

Für den Druck des Textes (ca. 40 Bogen und

600 Ex.) verlangen: Schultz u. Co. . ...... 3528 M Fischbach ......... 3728 » Wolf u. Sohn, München. . 4000 » Schlesier. ......... 3000 »

Für die Tafeln sind 500 .Æ# in Aussicht zu nehmen.

Der Herr Präsident, die Herren Binder, Ficker, Himly sind beauftragt die Sache weiter zu ver- folgen.

Was die Höhe der Auflage betrifft, wird der Vor- schlag angenommen, die Arbeit als Ergänzungs- heft zu den Mitteilungen drucken zu lassen und den Mitgliedern zu einem geringen Preise anzu- bieten. Dieser Preis wird auf Antrag des Schrift- führers auf 3 .# angesetzt.

Nach den bis zum 1. Januar eingegangenen Bestellungen soll sich die Zahl der zu druckenden Exemplare richten. Sie wird wohl von 600 auf 400 herabgesetzt werden können.

Als Tauschexemplar soll die Arbeit nicht ab- gegeben werden. Es wird beschlossen, mit Schlesier bezw. mit

Schultz in weitere Verhandlungen zu treten.

Es werden dann eine Reihe von Desideraten des Bibliothekars, Herrn Hohmann, erledigt.

Ein Schrank wird für die Bibliothek überlassen, ein Kredit von 100 .# für Einbände bewilligt.

M. le professeur Ficker réfère sur une am (mesure de longueur ancienne) sculptée, remse au Musée par M. Jagy, étudiant de l'Univers | (remerciements) et sur une pierre commémornatin . de Bertonelli, architecte de l'église Saint-Antoine | trouvée dans ie terrain de la construction de l'école supérieure des jeunes filles.

M. le prof. Henning parle ensuite de la pr«- chaine publication de l'ouvrage de M. Nane.

Pour l’impression du texte (environ 40 feuilles à 600 ex.) les prix suivants ont été demandés:

Schulz et Cie........ 3 528 4 Fischbach . ........ 3728 » Wolf et fils, Munich 4000 » Schlesier . ......... 3000 »

Les planches coûteront à peu près 500 .4.

Le Comité charge M. le Président, MM. Binder, Ficker et Himly de poursuivre cette question.

Quant au chiffre du tirage on adopte l'idée de publier l'ouvrage comme fascicule supplémentaire du Bulletin et de l'offrir aux membres à prix réduit. Ce prix est fixé à 3 .# sur la proposition du secrétaire.

Le nombre des exemplaires à imprimer pendra du nombre des souscriptions qui seront faites jusqu'au janvier ; il pourra probablement être fixé à 400 au lieu de 600.

L'ouvrage ne sera pas comme le Bulletin donné aux Sociétés savantes avec lesquelle nous sommes en Correspondance. |

Il est décidé de continuer les negociatiom avec Schlesier ou avec Schultz.

Plusieurs desiderata du bibliothécaire, M. Hot- manu, sont ensuite réglés.

Une armoire est remise à la bibliothèque et un crédit de 100 .# est voté pour reliures.

909

2. Der Preis unter Zugrundelegung des ersten Angebotes, womöglich per Druckbogen ab- zumachen. Die Summe von 3600 ..& als Ausgabe darf jedenfalls nicht überschritten werden.

3. Die Zahl der Exemplare, wobei die Zahl der Abnehmer aus dem Verein zu berücksich- tigen sein wird. Vorläufig werden 400 Exem- plare festgestellt.

Der Verfasser bittet um 40 Freiexemplare. Bei dieser Gelegenheit wird dem Herrn Präsidenten als Herausgeber des Horius deliciarum ein Freiexemplar dieses Werkes zugesprochen.

4.Die Bedingungen der Übernahme in den Kommissionsverlag.

Prof. Henning übernimmt es, die vorbereiten- den Schritte bei Schlesier (bezw. Schultz u. Co.) zu thun.

Die Tafeln sollen in München nach einem der vorgelegten Muster angefertigt und gedruckt werden. Der Vater des Verfassere hat in dankens- werter Weise sich bereit erklärt, die Zeichnungen sowie die Überwachung des Druckes zu besorgen.

Der Schriftführer wird beauftragt, beim Mini- sterium wegen der Auszahlung der 1. Rate von 1500 .& als staatliche Unterstützung des Unter- nehmens anzufragen.

Es wird beschlossen, eine Reihe von Zeit- schriften (50 Bände) in Hagenau binden zu lassen.

Die Rechnungsablage seitens des Herrn Prof. Henning muss wegen vorgerückter Zeit bis zur nächsten Sitzung verschoben werden.

m

Vorstands-Sitzung vom 17. Dezember 1901.

Vorsitzender : Kanouikus Keller.

Anwesend die Mitglieder: Ficker, Henning, Binder, Salomon, Seyboth, Müller, Martin, Schickelé, Winkler.

Le prix sur la base de la première offre autant que possible par feuille d'impression En tout cas les dépenses ne devront pas dépasser la somme de 3 600 A.

Le nombre des exemplaires, lequel dem être proportionné au nombre des com- mandes faites par les membres de la Société Provisoirement 400 exemplaires sont prévu.

L'auteur demande 40 exemplaires gratuits A l'occasion de cette demande, le Comit apprenant que M. le Président, en sa quali d'éditeur du Hortus deliciarum, n'a reg jusqu'ici aucun exemplaire gratuit de son ouvrage, s'empresse de réparer cet oubli es lui offrant un exemplaire encore disponible

Les conditions des libraires pour la vente de l'ouvrage.

M. le prof. Henning se charge de traiter ave Schlesier (évent. avec Schulz et Cie).

Les planches seront faites à Munich d'après m des spécimens présentés. Le père de l'auteur a eu l'obligeance de s'offrir à exécuter les dessins et à en surveiller l'impression.

Le secrétaire est chargé de solliciter du Ninie tère le versement des 1 500 .#, premier terme de la subvention accordée par l'État pour cette entre. prise.

On décide encore de faire relier une cingua- taine de brochures au pénitencier de Haguenau

A cause de l'heure avancée la lecture du compte rendu de M. le prof. Henning est ajourné à la prochaine séance.

Séance du Comité du 17 décembre 1901. Présidence de M. le chanoine KELLER.

Presents: MM. Ficker, Henning, Binder, Salomon, Seyboth, Müller, Martin, Schickelé, Winkler.

99

Vorstands-Sitzung vom 29. Januar 1902.

Vorsitzender: Kanonikus Keller.

Anwesend die Mitglieder: Becker, Binder, Forrer, Ficker, Henning, Himly, Klem, Martin, Salomon.

Entschuldigt die Mitglieder: Lempfried, Ingold, Seyboth.

Die Herren Ingold und Forrer schenken der Gesellschaft mehrere ihrer Schriften, wofür Dank.

Herr Ingold, der überdies die Revue d’Alsace der Gesellschaft in sehr dankenswerter Weise zur Verfügung stellt, schlägt vor, unsere Publika- tionen mit denen der Société Grayloise (Gray) umzutauschen. Wird beschlossen.

Der Zentralstelle für Grundkarten in Leipzig werden auf ihr Gesuch hin einige Exemplare unserer Grundkarten behufs Verkauf zum Preise von 30 3. per Karte zur Verfügung gestellt.

Die vierte Grundkarte ist bereits gedruckt. Mit dem Drucke der fünften soll die Publikation einst- weilen sistiert werden.

Die Tauschbeziehungen mit einer Reihe von Gesellschaften, die ihre Schriften nur unregel- mässig oder überhaupt nicht mehr einsenden, sollen einem Vorschlage des Herrn Rechnungsrat Hohmann gemäss geregelt werden.

Der Herr Präsident teilt ein Schreiben des Herrn Pfarrers von Ostheim mit, bezüglich Auf- findung eines Grabes mit 2 Schwertern. Herr Klem wird beauftragt, die Sache weiter zu verfolgen.

Ein Schreiben aus Ehl meldet die Auffindung eines Grabes mit Doppelskelett aber ohne weiteren Inhalt.

Die Stadtbibliothek von Mülhausen, welche wieder Mitglied der Gesellschaft geworden ist, wünscht die Mitteilungen vom Jahre 1880 an. Sie werden ihr zum Preise von 4 .# per Band bewilligt.

Séance du Comité du 29 janvier 1902 Présidence de M. le chanoine KELLER.

Presents: MM. Becker, Binder, Forrer, F Henning, Himly, Klem, Martin, Salomon.

Excusés : MM. Lempfried, Ingold, Seybott

MM. Ingold et Forrer, par l'entremise du sident, présentent à la Société plusieurs de

ouvrages. Remerciments.

M. Ingold a l'obligeance de mettre en ot Revue d'Alsace à la disposition de la Soci propose d'échanger nos publications avec de la Société Grayloise (Gray). Gette | sition est adoptée.

Le bureau central pour les cartes territ (Grundkarten) a demandé de lui envoyer qu exemplaires de nos cartes pour la vente à de 30 pf. l'exemplaire. Accordé.

La quatrième carte territoriale est ac après l'impression de la cinquième cette cation s'arrêtera provisoirement.

A la demande de M. Hohmann, le Comité de régler l'échange de nos publications av sieurs sociétés qui n'envoient plus les le ne les envoient qu'irrégulièrement.

M. le Président communique une lettre d curé d’Ostheim relative à la découverte tombe avec 2 épées. M. Klem est chargé d cuper de cette trouvaille.

Une lettre d'Ehl annonce la découverte tombe avec 2 squelettes sans adjonctions.

La bibliothèque de la ville de Mulhou: s'est de nouveau fait recevoir membre Société, demande le Bulletin à partir de 1880. Accordé au prix de 4 .# le volume.

94

Pairis. Nach einer Mitteilung des Herrn Aumonier Schäfer sind Arbeiten zur Erhaltung eines alten Thores und der Gruft notwendig.

Funde in Erstein. Es wird ein Schreiben des Herrn Konservators Wolf bezgl. der neolithi- schen Funde von Erstein mitgeteilt.

Mitglied Winckler soll um nähere Mitteilungen über die früheren Funde bezw. ihren Aufbe- wahrungsort angegangen werden.

Prof. Henning berichtet des näheren über die jetzigen Funde. 12 Gefässe mit einigen Bei- gaben, 2 Skeletten. Weitere Grabfelder sollen offen gelegt werden.

70 Æ werden Herrn Henning bewilligt.

Eine Rechnung des Schreinermeisters Keiling von .# 179,20 für Arbeiten im Museum schlägt Prof. Ficker vor reduzieren zu lassen.

160 .# werden bewilligt.

Herrn Henning werden 200 .# [für auswärtige Arbeiten] bewilligt.

Der Direktor des schweizerischen Museum in Zürich bietet Austausch der Publikationen an. Angenommen.

Für mehrere vom lIerrn Präsidenten und Ilerrn Forrer an das Museum geschenkte Gegenstände spricht der Ausschuss seinen Dank aus.

Pairis. Selon une communication de X. l'a. mönier Schäfer, il faudrait entreprendre quelques travaux pour la conservation d'une anciente porte et d'un caveau mortuaire. M. Salomon se charge d'examiner le dossier.

Découvertes a Erstein. Communication d'une lettre de M. le conservateur Wolf concernant les découvertes néolithiques d’Erstein.

On s'adressera à M. Winckler pour obtenir des renseignements sur les découvertes néolithiques antérieures et le lieu elles sont déposées.

M. Henning rend compte de découvertes ré. centes. 12 vases et quelques accessoires, ? squelettes. D’autres sépultures vont être mises à jour.

70 .# sont accordés à M. Henning daus ce bu

Un mémoire de .# 179,20 du maltre-menuisier Keiling pour travaux au Musée est trouvé trop élevé, M. le prof. Ficker propose de le faire ré- duire.

Le Comité vote 160 .#

200 .# sont accordés à M. Henning pour tra- vaux en dehors de la ville.

Le directeur du Schweizerische Museum à Zurich demande l'échange des publications. Adopté.

Le bureau exprime ses sincères remerciements à M. le Président et à M. Forrer pour les différents objets qu'ils ont offerts au Musée.

Rechnung für 1901/02.

Compte rendu des Recettes et des Dépenses de l'exercice 1901/02.

9

KRechnung für 1901/02.

EINNAHMEN.

Ordentliche Einnahmen.

A KaPiTEL 1. Beiträge der Mitglieder, 503 à 8 .#........ 4,024 > Il. Conto-Corrent-Zinsen . ............... 159 85 > III. Zuschüsse : a) Von dem Kaiserl. Ministerium . 3,500 b) » der Stadt Strassburg. . .. 3,500 c) » den Bezirken Unter- und Ober-Elsass 800 + 400 . ... 1,200 820

Summa der ordentlichen Emnahmen . . 12,383 85

Ausserordentliche Einnahmen.

1. Rechnungsüberschuss aus 1900/01 . . . .. 2,233 69 9. Verkauf vom Hortus. ............. 1,800 3. > » Bulletin (Mitteilungen) . . .. 192

4. Zuschuss zum Druck des elsäss. Münz- werkes von Naue. IL Rate vom Kaiser]. Ministerium ................. 1,500

Summe der ausserordentlichen Einnahmen . . 5,725 69

Summe aller Einnahmen . . . 18,109 54

_ 97

Compte rendu des Recettes et des Dépenses de l'exercice 1901/02.

RECETTES.

I. Recettes ordinaires.

CHAPITRE |. Cotisation des membres de la Société, 503 à 8.4 1024 » Il. Intérêts des fonds déposés à la banque . . . . .. 159 85 » [I Subventions:

a) du Ministère impérial . . .... l 3,000 b) de la ville de Strasbourg .... 3,00 c) de la Ilaute- et de la Basse- Alsace... .......... 1,200 8200 Total des recettes ordinaires . . ....... 12,383 85 II. Recettes extraordinaires. Reliquat de l'exercice 1900/01 . . ..... 2,933 69 % Vente d'exemplaires du Hortus . . ..... 1,800 3e > » » Bullelin....... 192 Subvention du Ministère impérial pour la publication de l'ouvrage de M. Naue, 4er acompte. ................ 1,500 Total des recettes extraordinaires . . . .... 5,725 69

Total de toutes les recettes . . . . ... 1 8,109 54

9% --

AUSGABEN.

Fortdauernde Ausgaben.

KaPiTEL L Verwultungskosten. A 1. Beaufsichtigung des Museums . ....... 490 50 2. Besoldung des Assistenten . . ........ 3,400 3. Hilfeleistungen bei den Büreau-, Kassen- u. Bibliotheksgeschäfien. . .......... 372

4. Porto- und Frachtkosten, Versendung der Veröffentlichungen undBüreaubedürfnisse 705 47 Unterhaltung des Museumslokals und des

or

Mobiliars sowie für Feuerversicherung. . 604 23 6. Vermehrung der Bibliothek. . ........ 44 80 Summa Kapitel I. . . . ...

%

KAPITEL ll. Ausgrabungen, Unterhaltung von Denkmälern und Erwerbungen für das Museum.

1. Ausgrabungen ................. 1,329 95

2. Unterhaltung von Denkmälern . . . ..... 866 46

3. Erwerbungen für das Museum . . ...... 778 15 Summa Kapitel IT... .....

KAPITEL Ill. Veröffentlichungen der Gesellschaft ..... . - -

Summa der fortdauernden Ausgaben . .

Ausserordentliche Ausgaben.

1. Zur Herausgabe des Hortus deliciarum... 253 2. Herstellung von Grundkarten, Blatt Il u. IV 880 50

Summa der ausserordentlichen Ausgaben... . . - -

Dazu Summa der fortdauernden Ausgaben .... . - . - Summa aller Ausgaben . . . . . ..

Die Einnahmen betragen . . . . . ...

Verbleibt Bestand am 1. April 1902. . . . ...

wovon: a) in der Kasse ............... 180 10 b) Hinterlegt bei der Bank. . . . . .... 3,945 50

Zu übertragen . . .

4,617

2,974 56

5,258 88 . 49,850 44

1,133 50

12,850 44

13,983 94 18,109 54

4,125 60

4125 60

99

DÉPENSES.

I. Dépenses ordinaires.

CHAPITRE 1. Frais d'administration. M

Pour les gardiens du Musée . ........ 490 50

90 Traitement de l'assistant . ........:. 9,400

Allocation pour divers services du bureau, de la caisse et de la bibliothèque . . . .. 372

4" Frais de bureau, d’affranchissements et de port...................... 105 47

Assurance contre l'incendie et entretien du local du musée et du mobilier. .. ... 604 23

Pour la bibliothèque ............. 44 80 À

Total du chapitre [ . ...... 4,617

CHAPITRE Il. Fouilles, entretien de monuments el acquisitions pour le Musée.

Fouilles..................... 1,329 95 Travaux d'entretien à divers monuments . . 866 46 Acquisitions pour le Musée. ......... 778 15 Total du chapitre IT. ...... 2,974 56 CHAPITRE 1ll. Publications de la Sociélé. ............ 0,258 88 Total des dépenses ordinaires . . . .... 12,850 44 II. Dépenses extraordinaires. Publication du Hortus deliciarum . . . . .. 253 2 Grundkarten, et feuilles . . . . . . .. 880 50 Total des dépenses extraordinaires . . . . ... 1,133 50 Dépenses ordinaires. . .............. 12,850 44 Total de toutes les dépenses . . . . . .. 13,983 94 Resume. Les recettes se sont élevées à . . . . . en 18,109 54 Les dépenses effectuées sont de. ............ 13,983 94 D'où résulte un excédent de recettes de . ....... 4195 60 dont en caisse. ............ 180 10 20 à la banque... . ....... 3,945 50

A reporter ... 4,125 60

30 M Übertrag . .. 4,195 60 Von diesem Saldo ist jedoch in Abzug zu bringen: a) noch nicht ausgegebener Zuschuss für Grund-

karten .................... 368 79 b) noch nicht ausgegebener Zuschuss für das elsäss. Münzwerk von Naue . ....... 1,500 1,868 79 Der wirkliche Saldo berechnet sich somit auf. ...... 2,256 81

welchem noch rückständig gebliebene Rechnungen an die Gesellschaft zum Gesamtbetrage von . . .. 8,090 gegenüberstehen.

_ JM A Report . .. 4,125 60 Il faut toutefois déduire de ce solde les subventions non dépensées, soit:

pour les Grundkarten. . ........ 368 79 20 pour le travail de M. Naue . ...... 1,500 1,868 79 Le solde effectif est donc de .. .............. 2,256 81

Les dettes de la Société se montaient en outre au 31 mars 1902 à la somme de A 8,090 —, soit une diminution de .# 5,691 15.

FUNDBERICHTE

KLEINERE MITTHEILUNGEN.

B. XXr.

hr

Auf der Vorderseite des Denkmals ist das Bild der Pallas-Minerva in einer nischenförmigen Vertiefung angebracht, die nach allen Seiten mit einem circa 2 cm breiten Rande umgeben ist. Links von der Figur ist dieser Rand bei der Ausgrabung des Steines zum Theil abgeschlagen worden; rechts davon wurde er schon im Alterthume gleichfalls be- schädigt. Zu jener Zeit wurde auch die rechte Hand der Göttin sowie ihr rechtes Knie abgestossen und das Gesicht etwas abgerieben. Abge- sehen jedoch von diesen unbeträchtlichen Verletzungen ist das kleine Relief noch ziemlich gut erhalten.

Es ist allerdings nur eine sehr mittelmässige Arbeit, das Werk eines ländlichen Bildhauers, welchem ein geringes Maass von Kunst- fertigkeit zu Gebote stand und der namentlich die Verhältnisse der verschiedenen Theile zu einander unrichtig bemessen hat. So ist z. B. der Kopf der Gestalt viel zu gross im Verhältniss zum Rumpfe u. s. w. So mangelhaft aber dieses Bild auch sein mag, vom künstlerischen, ja ich möchte fast sagen, vom allgemein religiösen Standpunkte aus, ist es trotzdem ein sehr anmuthiges und anregendes. Noch viel interessanter aber ist es vom Gesichtspunkte der Archaeologie oder vielmehr der Iconographie.

Zunächst ist Minerva auf diesem Steine sitzend oder, besser, thronend dargestellt: eine Haltung, die ihr auf antiken Bildhauerwerken äusserst selten zugetheilt worden ist. Auf den bis jetzt bekannten Viergölter- steinen, worauf die Göttin der Weisheit und der weiblichen Geschick- lichkeit so oft nach Juno, Merkur und Herkules erscheint, kommt sie in besagter Stellung nicht ein einziges Mal vor. Dort tritt sie uns «immer in dem ruhig stehenden Typus entgegen.'» Wären ihre eigensten Attribute (Medusenhaupt, Eule) auf unserm Steine nicht vorhanden, so wäre man sicherlich versucht gewesen in dieser Gestalt die der Minerva grossentheils nachgebildete und fast stets sitzend dargestellte Göltin Roma zu erkennen.

Auf dem zu Pisdorf aufgefundenen Denkmale ist Pallas etwas von der Seite vorgestellt, wie dies auf Reliefs bei sitzenden Figuren meistens der Fall ist. Die Göttin sitzt nämlich auf einem mit einem dicken Kissen belegten Stuhle, der eine Rücklehne, aber keine Armlehnen hat

1. Haus, Die Viergöttersteine (in der Westdeuischen Zeilschrift, 1891), S. 30%: «So tritt uns zunächst Pallas-Minerva entgegen und zwar immer in dem ruhig stehenden Typus, wo die Waffen nur noch Attribute sind und nicht zum Gebrauche erhoben werden.»

_6+

der rechte Fuss ist weit vorgestreckt, der linke hingegen ist zurück- gezogen und derart herumgebogen, dass man unter den Fältchen des Chitons die Sohle des Schuhes erblickt. Diese graziöse Stellung der Beine verstärkt noch den bereits aus der sitzenden Haltung gewonnenen Eindruck als ob die kriegerische Göttin nach vollendetem Siege von ihren Heldenthaten gemüthlich auszuruhen gedenke. Auch die umge- kehrte, mit der Spitze auf den Boden gestützte Lanze‘ sowie der zu Füssen der Gottheit gestellte Schild deuten darauf hin, dass Pallas hier als eine sieghafte und namentlich als eine friedenbringende Göttin {victriz et pacifera/ gefasst werden soll. Durch die leichte Vorbeugung des Oberkörpers zeigt dieselbe auch an, dass sie geneigt ist ihren Verehrern ein gütiges Gehör zu schenken.

Auf ihrer linken Seite sind an der flachrunden Wand der Nische, unmittelbar über dem Schilde, noch zwei Attribute angebracht, nämlich die Eule und der viel grössere Hahn’. Diese der Minerva geheiligten Vögel sind aber hier nicht einfach neben oder über einander gestellt; sie sind dadurch mit einander verbunden, dass sie beide an einer fast komischen Scene theilnehmen, indem die Eule sich auf ihren geflügelten Gefährten gesetzt hat, der, dadurch erschreckt, sich mit diesem unbe- quemen Reiter in hastiger Flucht davon macht.

Obwohl letzterer Vogel, dessen Kopf auf diesem Bilde bereits im Alterthume abgebrochen worden ist, einen gekrümmten Schweif nicht vorzeigt, wie dies auf den Reliefs des Mercur stets der Fall ist, so ist er doch durch seine dickschenkeligen Beine ebenso wie durch seine Art und Weise zu laufen so deutlich gekennzeichnet, dass über dessen Identification kaum ein Zweifel obwalten dürfte.

Diese nebensächliche Darstellung vergrössert noch das unserem Steine bereits anhängende Interesse. Während nämlich die Eule auf den Bildern der Minerva dann und wann erscheint, kommt hingegen der Hahn, das Symbol der Wachsamkeit, dort äusserst selten vor. Professor

I. Eine umgedrehte Lanze führt auf einer Münze des Kaisers Septimius Severus der dort als «Mars Victor» bezeichnete Gott des Krieges; fernef «Mars pacifer» auf einer Münze des Claudius Gothicus; derselbe Gott auf dem Silberrelief von Neuwied; desgleichen Zeus auf einer Münze von Syrakus und Kaiser-Septimius Severus auf einer Münze die ihn als erector orbis» verherrlicht. Vgl. Fr. WıeseLer, das Silber- relief von Neuwied, in den Bonner Jahrbüchern, Bd. XXXVII, S. 116 und 117.

2. Fr. WIESELER, a. a. O., S. 121. «Der Hahn ist ein Attribut, welches Mercurius unter Anderen mit dem Sonnengotte, dem deus Lunus, der Pallas Ergane und dem Mars gemein hat.»

_ g+

nach sicherlich eine Eule nicht ist, sieht weit eher einer Pfauin als einem Storche gleich. Uebrigens gehört letzterer Vogel meines Wissens nicht zum Gefolge der Minerva. Vielmehr ist zu vermuthen, dass auch hier, wie auf dem Niederbronner Relief, der Steinmetz einfach einen Hahn abbilden wollte, wenngleich er den charakteristischen Schweif dieses Vogels nicht wieder hervorgebracht hat.

Wie dem nun auch sein mag, immerhin geht aus Obigem hervor, 1. dass im nördlichen Unter-Elsass, dies- und jenseits der Vogesen, der Göttin Minerva nicht allein die Eule, sondern auch noch ein anderer Vogel beigegeben ward und 2. dass letzterer Vogel auf den Reliefs von Pisdorf und von Niederbronn, allem Anscheine nach, der der Pallas auch geheiligte Hahn ist bezw. war.

Da das Votivdenkmal von Pisdorf in mancher Hinsicht von der ge- wöhnlichen Darstellung der Minerva abweicht, so ist anzunelımen, dass es nach irgend einem guten Vorbilde gefertigt worden ist; denn un- zweifelhaft hat der saarländische Steinmetz, dem wir dieses Relief ver- danken, die erwähnten Eigenthümlichkeiten desselben nicht erfunden.

Ausser diesem Denkmale wurden in der Gemeinde-Quelle bei Pisdorf weder Münzen noch andere Votivgegenstände zu Tage gefördert, aus denen zu schliessen wäre, dass an dieser Stelle früher irgend einer Gottheit Opfer gebracht worden sind. Auch wurde dieser Brunnen nicht später mit den Trümmern irgend eines benachbarten Römerbaues, eines Wohnhauses, eines Tempelchens, eines Altars u. s. w. ausgefüllt, wie dies sonstwo mehrfach geschehen ist'. In dem Abflussgraben, der neulich zur Herstellung der jetzigen Wasserleitung gegraben wurde, sind allerdings nächst der Quelle Scherben von römischen Thongefässen sowie Bruchstücke von gleichzeitigen Randziegeln aufgefunden worden. Letztere waren aber so selten, dass sie kaum von einem Brunnen- häuschen herrühren dürften.

Wie ist nun das Bild der Minerva, einer Göttin, die mit den fliessenden Gewässern gar nichts zu thun hat, in diese jetzt namenlose Quelle gerathen? Vermuthlich wurde es in dieselbe als in ein sicheres Versteck von dem Besitzer hineingesenkt zu der Zeit, da der heidnische Cult im !römischen Reiche verboten wurde. Letzteres geschah im Jahr 392 durch ein Edikt des Kaisers Theodosius I, das die Ausübung

1. So z. B., in Jenthen und in Heddernbeim, bei Mainz. In Heddernheim wurde ein Wochengötter- und ein Viergötterstein aus einem römischen Brunnen heraus- geholt. Haug, Die Wochengoltersteine, in der Westdeuischen Zeitschrift, 1890, S. 24.

10*

in der Nähe der Minerva-Quelle nicht vor. Um solche aufzufinden, muss man eine oberhalb Pisdorf, am linken Ufer der Saar, bei einer Biegung des Flusses vorspringende Anhöhe besteigen; dort beim cHeiligen- Etzel», an einer Stelle wo man eine herrliche Aussicht auf das Saarthal sowie auf das gegenüber sich eröffnende Thal von Burbach geniesst, ist der Boden mit Bruchstücken von antiken Randziegeln übersäet.

Gleichartige Dachziegel wurden auch vor kurzem in dem Orte Pisdorf selbst, bei der Kirche, vor dem Hause Carl junior zu Tage gefördert, als man die neue Wasserleitung dort unter der Strasse hindurch- führte: ein Beweis, dass bereits zur Römerzeit an dieser Stelle eine Ansiedelung vorhanden war.

19

sich hierin. Durch ein ganz einfaches Verfahren ist es mir gelungen, diese Inschrift zu entziffern. Ich wusch die überschriebene Fläche ab und brachte sie, durch Umstürzen, in die horizontale Lage, so dass sich Wasser in den Vertiefungen halten konnte. Hierdurch trat zuerst rechts die vierzeilige Inschrift deutlich hervor. Nur ein Buchstabe, das I in Bina, hob sich nicht hinlänglich ab. Ein Zweifel, dass dort ein I zu lesen war, kann aber nicht obwalten. Doppelgräber, wie das hier vor- liegende, bemerkt H. von Caumont, dienten überhaupt zur Aufnahme der Asche verwandter Personen: «Deux de ces pierres (der hier be- sprochene und der an die strassburger Bibliothek abgetretene) sont, dit-il, des monuments géminés destinés à recouvrir deux urnes placées côte à côte, et dont les cendres ont appartenu à des personnes inti- mement liées pendant leur vie, comme un mari et son épouse, deux frères, des sœurs, des amis.» Der Leser braucht nur unsere Zeichnung umzuwenden und er wird sofort auf der spitz auslaufenden Seite den Namen Bina lesen. Ich wurde zuerst durch das deutlich umgestellte B dieses Wortes, hernach aber auch durch die Erwägung, dass lateinische Personennamen selten mit O anfangen, auf den Gedanken geführt, der Steinmetz möchte hier seine Vorlage umgekehrt haben. Noch andere Missgriffe stiessen ihm zu. Das N ist zweimal fehlerhaft gebildet. Ebenso scheint er, hinter dem Wort Bina, ein A umgestürzt zu haben. Wäre das nicht der Fall, so ist dem V ein entstellender Querstrich beige- fügt. Der Mann war des Lesens unkundig und schrieb ungeschickt ab. Das O bildete er mit dem Zirkel, sowie auch den oberen Theil des P. Mit letzterm ist rechts, 4. Zeile, ein A verschlungen. In jeder der beiden Inschrifien ist auch einmal das I im N enthalten. Wir lesen also wie folgt: Links: IV (nia).. BINA . IAN (jun?) . BINO.. Rechts: CANIS (ius) . BINO . JANVARIO . CANISIO . PATER . V.F.I.

Die drei Schlussbuchstaben werden heissen volo fieri jussit. So fällt die Hypothese, als hätten wir es hier mit einem Tribokergrab zu thun, gänzlich hinweg. Sprache und Namen sind lateinisch. Dass Dits Manibus über beiden Inschriften fehlt, ist ohne Belang. Ein Grabdenkmal ist der Stein immerhin, und auch ein heidnisches, indem darunter zwei Einschnitte zur Aufnahme der Urnen angebracht sind.

A. ADAM, Pfarrer von Zabern.

AT ——

14%

et dominus) IN GRESAWE METROPOLIT . ECCLESIÆ (coloniensis cano- nic) VS ET CATHEDRAL . ECCLESIÆ ARGENT. THESA VRARIVS.

Der Grabstein trägt das Wappen des Verstorbenen mit zwerch in 10 Felder getheiltem Schild.

Die fünfte Platte kommt aus der Kirche von Maursmünster. Sie misst in der Länge 2,40 m und halte ursprünglich eine Breite, oben von 1,02 m, unten von 0,85 m. Der rechte Rand ist so abgehauen, dass der Stein unten und oben nur noch 0,82 m breit ist. Die Inschrift ist wieder, auch hier, theilweise verschränkt. Vom Kranz ist oben der Anfang abgehauen. Man erkennt dort noch den untern Theil der Jahrzahl 1599, und die vollständig erhaltene Zahl XII. Nach den weiter her- vorzuhebenden Angaben, muss hier die Rede gewesen sein vom 12. November, oder vielleicht auch vom 12. Tag vor den Kalendæ De- cembris. Erstere Fassung gäbe uns folgenden Text: [Anno Domini] 1599. XIL [Nov. obiit venerabilis]| MAGISTER . ET . D . DOMINVYS . IACOBVS . SCHREIER. AB . HVSEN . EMERITVS . HVIVS . CŒNOBIT . ABBAS . CVIVS . ANIMA . IN . PACE . QVIESCAT . DIC . LECTOR . AMEN.

Inwendig zeigt der Stein einen nach links gewendeten Stab (Abts- stab) sammt Inful, sowie die Inschrift :

VNICA SCHEIERI VIRTVS INCOGNITA NON EST, ABSTVLIT HVNC ATROX PARCA NOVEMBER IIS

BIS SENOS TERRIS ANNOS VBI PRÆFVIT; ILLVD [VS DEDIT IN PROCERVM QVOD TVLIT ANTE MANVS.

HVIVS SPECTATOR, NE TE PVDOR IMPROBVS, ORO, TERREAT, HVIC REQVIEM DICITO MENTE PIA.

Bei Ingold-Grandidier wird Schreiers Tod in das Jahr 1599 angesetzt, was mit unsern Zahlenüberresten zusammentrifi. Der Titel «abbas emeritus» würde mit der zugleichigen Meldung, dass Schreier das Recht (Amt), dessen Inhaber er gewesen, in die Hände der « Vornehmen», d. h. des Kapitels, zurückgegeben hatte, auf einen Verzicht seinerseits hinweisen, wenn nicht, was beim Versificiren leicht denkbar wäre, das Ableben als Rücktritt gedacht ist. Ueber eine Verzichtleistung Schreiers fehlt sonst jede Kunde. Die Abdankung würde nicht lange vor dem Tode eingetreten sein. Schreier wurde, nach Herzog, am 20. Dez. 1588 Abt erwählt. Hiernach sind vom Verfasser zu der Grab- schrift die 10 letzten Tage des Jahres 1588 als erstes Jahr gerechnet. Schreier regierte nur 11 Jahre.

A. ADAM, Pfarrer von Zabern. CNRS

BULLETIN

DE LA

SOCIÉTÉ POUR LA CONSERVATION MONUMENTS HISTORIQUES

D’ALSACE

II SERIE. VINGT ET UNIEME VOLUME

Avec 15 planches

STRASBOURG IMPRIMERIE STRASBOURGEOISE

anc! KR. Scauzrz & C'e

1906

MITTEILUNGEN

DER

GESELLSCHAFT FÜR ERHALTUNG

DER

GESCHICHTLICHEN DENKMALER

IM ELSASS

Lae n mn

IL FOLGE. EINUNDZWANZIGSTER BAND

Mit 15 Tafeln

STRASSBURG STRASSBURGER DRUCKEREI & VERLAGSANSTALT

vorm. R. Scauzrz & Co.

1906

INHALTS-VERZEICHNIS. TABLE DES MATIÈRES.

mn N NUN

I. Mitteilungen. Mémoires. Seite lleınrıch Lemprrin, Die Thanner Theobaldssage und der Beginn des Thanner Münsterbaues. . ... . . . .. .. ... . . . . . .. 4 A. Anım, Das Seelenbuch des Spitals in Zabern........ . . . . . . . .. 129 Dr. Jos. Becker, Die Landvögte des Elsass von 1273 bis 1308 . . . . . . . .. . 243 Prof. Dr. R. Hennına, Der Helm von Baldenheim und die verwandten Helme des frühen Mittelalters. . . . . . . . . . . . . . . . .. 267 Prof. Dr. von Domaszewskı, Neue Inschriften aus Strassburg . . . . . . . .. 358 Prof. Dr. Josepn Becker, Urkunden zur Geschichte der Reichslandvogtei im Elsass. . .. .. .................... 369 IL Sitzungs-Berichte. Procès-Verbaux. Vorstands-Sitzung vom 49. April 4904 ..................... 4 Vorstands-Sitzung vom 19. Mai 4901. ..................... 2 Vorstands-Sitzung am 418. Juni 4901 ...................... & Vorstands-Sitzung vom 5. Juli 4901 ...................... 5 Generalversammlung vom 40. Juli 4901 . .. . . ..... . . . . . . . . .. 7 Vorstands-Sitzung vom 30. Oktober 1901. ................... 47 Vorstands-Sitzung vom 27. November 4901................... 19 Vorstands-Sitzung am 47. Dezember 1901 ................... 20 Vorstands-Sitzung vom 29. Januar 4902 .. .................. 22 Vorstands-Sitzung vom 5. März 1902. ..................... 23 Rechnung für 1904/1903. Compte rendu des recettes et des dépenses de l'exercice 1901/4909 ........................., 25 Ill. Fundberichte und kleinere Mitteilungen. Heinrich SchLossen, Die Minerva von Pisdorf (mit 4 Tafel) . . . . 2.2.2... 3* A. Avam, Nicht tribokisch sondern römisch. (Ein Doppelgrab im Zaberner Museun.) . . 2. 222 2220. EE 41%

268

willigkeit alle Objekte unserem Museum zunächst zur Ausstellung und Aufbewahrung überliess, um sie ihm, nachdem sich auch das Interesse des Kaiserlichen Statthalters, Fürsten von Iohenlohe-Langenburg, dem Helme zugewendet halte, im März 1903 als dauerndes Eigentum zu überweisen. Der ganzen Familie Pfiffer, welche von vornherein daran festhielt, den Ilelm dem Elsass zu erhalten, sind wir zu besonderem Dank verpflichtet.

Die Arbeiten des dritten Winters (1902/03) wurden von unserem damaligen Assistenten, Ilerrn R. Welcker, überwacht und zum Teil persönlich ausgeführt. Die nachfolgenden Angaben sind seinen Auf- zeichnungen entnommen. Danach durchschnitt der dritte (östliche) Graben einige zwanzig Grabstälten, die alle in der üblichen Weise mit dem Kopf im Westen und den Füssen nach Osten orientiert waren. Die Tiefe der Gräber schwankte zwischen 0,40 und 1,50 m. Die meisten lagen ziemlich oberflächlich und waren arm an Beigaben, während die tieferen, in den Kies gebettcten, besser ausgestattet waren, eine Be- obachtung, welche Herr Pfiffer für die beiden ersten Gräben bestätigt.

Von den 26 Gräbern dieser Reihe wurden 20 schon in einer Tiefe von 40—60 cm konstatiert. Es folgen drei Gräber des Nordendes, Grab 22, 23 und 24, in 90, 70 und 80 cm Tiefe, sodann im südlichen Abschnitt Fundstelle 25 in 1 m Tiefe, endlich in der Mitte der Reihe Grab 14 in 1,30 m Tiefe und, wie es scheint, in der Nähe desselben das zuletzt von Herrn Pfffer ausgebeutete Grab 26 in 1,40—1,50 m Tiefe.

Die 20 oberflächlichen Gräber hatten gar keine oder nur spärliche Beigaben. Die 3. Fundstelle dieser Reihe (37 m vom Südende), wo zwei Bestattungen zusammentrafen, enthielt zwei eiserne Messerbruchstücke, die 4. (bei 39,6 m) eine Anzahl Tonperlen in der Schultergegend sowie ein eisernes Messer zwischen den Oberschenkelknochen. Eine grössere Lanzenspitze stammt aus Grab 17 (bei 95,20 m), aus dem zerstörten 19. eine Anzahl von Tonperlen. Zwischen Fundstelle 40 und 11 lag 40 cm tief im hellen Boden eine eiserne Speerspitze.

Diese Geringfügigkeit von Beigaben mag zum Teil, worauf mehrfach die. unregelmässige Lage der Knochen deutete, auf späterer Zerstörung beruhen. Im Allgemeinen aber darf man die oberflächlichen Gräber für die jüngeren und ärmeren halten. Doch brachte auch das tiefere Grab 22 nur einige Scherben mit Wellenornament (Taf. VIII Fig. 5), Grab 24 gleichfalls nur einen Scherben sowie die Reste eines Kammes.

Besser ausgestattet war Grab 23 (143,50 m vom Südende), dessen Gegenstände Taf. VI abbildet. Eine kleine Bronzeschnalle aus der Nähe

970

aufgedeckt (Taf. VI Fig. 1—6). Nach seinen später gemachten Angaben lagen die Perlen (Fig. 1) alle in der Halsgegend, «die übrigen Schmuck- sachen in der Brust- oder meistenteils in der Hüftengegend, ebenfalls die Nadel (Fig. 2)». Zu den erwähnten Schmucksachen gehören jeden- falls die kleine viereckige Bronzespange (Fig. 3) und die längliche sehr reducierte Fibel (Fig. 4), die ursprünglich an der halbkreisförmigen Scheibe fünf Vorsprünge hatte, ferner wohl die zerstörte Zierscheibe aus Horn (Fig. 5) sowie die Knochenperle (Fig. 6). Eine Schnalle (wie Grab 23 Fig. 10) lag, «wenn ich nicht irre», bemerkt Herr Pfiffer, «ganz in der Nähe des Knies».

Über das Ilelmgrab, das wichtigste von allen, lässt sich nur Folgendes feststellen. Es lag, wie erwähnt, im zweiten, mittleren Graben und zwar, wie Herr Pfiffer nachträglich mitteilte, elwa 40 m vom südlichen und 110 m vom nördlichen Ende seines Grundstücks entfernt, 1,40 bis 1,50 m tief im festen Kies. Gleichzeitig mit dem Helm wurde von dem Pflug ein Geflecht von Ringen und eine Schelle zu Tage gefördert. _ Von dem Ringgeflecht ist leider nichts aufbewahrt. Im Juli 1902 be- merkte Herr Pfiffer-Baldenheim darüber, es sei eine Handvoll zusammen- geballter Ringe von etwa 1'/, cm Durchmesser und 2 mm Stärke gewesen, die dicht beim Kopfe gelegen hälten. Auf meine Frage, ob sie aus Bronze oder Eisen waren, meinte er im Februar 1903 und später brieflich, dass sie sehr wahrscheinlich aus Eisen gewesen seien, da sie bereits vollständig vom Rost aufgezehrt waren. Nach einem modernen Muster, welches er mir vorwies, scheint es ein in einandergreifendes Geflecht gewesen zu sein. Da diese Ringe nach der Aussage des sonst gul beobachtenden Gewährsmannes nur in der Kopfgegend und über keinen grösseren Raum zerstreut lagen, bleibt es jedenfalls fraglich, ob sie zu einem Panzerhemde oder zu einem am Helm ange- brachten Kopfschutze gehörten.

Erhalten ist dagegen die Schelle (Taf. VII Fig. 1). Sie hat einen Durch- messer von etwa 11 cm und ohne den Griff oder Henkel eine Höhe von 6 cm. Der Henkel ist 3 cm breit und 2 cm hoch. Sie besteht an- scheinend aus einem dicken Kern von Eisen, der innen mil stärkerm, grösstenteils erhallenem, aussen mil sehr dünnem, nur noch in Resten erkennbarem Bronzeblech verkleidet ist. Doch hält Herr Prof. Rose den ganzen Eisenmantel für einen später aufgerosteten Fremdkörper. Bei der Auffindung war noch der jetzt verschwundene eiserne Klöppel vor- handen. In Reihengräbern sind Schellen von solcher Dimension wohl selten. Doch wird aus den Gräbern von Ulm eine «Kuhschelle» aus Erz

972

Die oberflächlichen Gräber des letzten, von Welcker untersuchten Grabens ergeben keinen weiteren chronologischen Anhalt. Von den tieferen war das Frauengrab 14 am reichsten ausgestattet. Die Fibel mit dem Tierkopf und dem mit imitierten Knöpfen besetzten Schwanzstück (Taf. V Fig. 10) gehört schon nicht mehr der Völkerwanderungszeit, sondern dem sechsten oder siebenten Jahrhundert an. Im Übrigen ist das Grab für die Einzelheiten der Tracht bemerkenswert. Die kleinen runden Broschen (Fig. 14) wurden hier, wie auch sonst, in der Hals- und Brustgegend gefunden. Die lange Fibel (Fig. 10) lag dagegen auf der linken Ilüfte. Auch anderwärts, so in Schretzheim im schwäbischen Bayern, lagen ähnliche Spangenfibeln, meist paarweise, «links oben vom Becken», «rechts im Becken und zwischen den Oberschenkeln»' u. = f. Sie dienten wohl zum Zusammenfassen des Obergewandes. Die durch- lochten Gegenstände: die Muschel (7), der Bärenzahn (6), der Kamm (5), wolıl auch das Messer (8) bildeten mit dem Ring (4) das Gürtelgehänge, an dem zu unterst vielleicht noch die grosse Glasperle (4) hing. Auch in Schretzheim fanden sich ähnliche wirtelartige Glasperlen in ent- sprechender Lage?. Das an der linken Seite getragene Gürtelgehänge ist für die fränkisch-alemannischen Frauengräber dieser Zeit charakteris- tisch?. Eine gute Analogie bietet das von Harbauer beschriebene Grab 996® von Schretzheim.

Die in Grab 23 Bestattete hatte an der linken Seite ein ähnliches Gehänge. Zu ihm gehörte ein Bronzering wie in Grab 14, der hier noch über einer kleinen inwendig ausgebrochenen bronzenen Zierscheibe (Taf. VI Fig. 1) lag. Solche Zierscheiben sollen besonders in alemannischen und ostfränkischen Gräbern häufig‘ und vielfach von einem ähnlichen runden Umfassungsringe umgeben sein‘. Die beiden kleinen Anhängsel (3. 4) waren, wie die Rostspuren zeigen, an Metallringen befestigt. Ähnliche kegelförmige Anhängsel sind anderwärts mehrfach aus Erz oder Gold gefunden. Muscheln aus den Mecren des Südens wie Fig. 2 wurden gerne am Gehänge getragen: in Schretzheim lag eine solche in vier sicheren Fällen immer in: der Beckengegend oder noch weiter

1. HanBauEr, Kalalog der merowingischen Altertümer von Schrelzheim. Programm des Gymnasiums zu Dillingen für 1900/1901, I, Nr. 2110. 1998ab. 1598 ab. 1574 ab. 2081.

2. a. a. O., Nr. 1575 «am Knie», 1500, 1501 «zwischen den Knien» etc.

3. LINDEXSCHMIT, Handbuch 1, 466 f.

4. LINDENSCHMIT, Handbuch, S. 466.

5. Ebendort Taf. XXVII.

974

2. Der Helm und seine Verwandten.

Der Helm, das Hauptstück des ganzen Grabfeldes, ist im Boden schon so verdrückt, dass eine genaue Vorderansicht kaum zu gewinnen ist. Von dem Metall ist der ganze obere Teil, die eigentliche Kappe, ziemlich gul erhalten, der untere Randstreifen dagegen grösstenteils weggerostet oder verloren, und der erhaltene Rest in wenig gutem Zustande. Die Wangenklappen wurden lose und ohne Zusammenhang mit dem Helm gefunden. Sie sind gleichfalls sehr lädiert, teilweise erst nachträglich zusammengeselzt und in Mainz mit Leder an dem Helm befestigt.

Die Konstruktion des Helmes ist ziemlich kompliziert. Das Gerüst bildet ein kupfernes, aussen ursprünglich ganz vergoldetes Spangen- gefüge. Sechs geschweifte Bügel werden oben durch eine aufgenagelle runde Platte von etwa 4,7 cm Durchmesser zusammengehalten. In ihre Mitte ist der Fuss für die Helmzierde eingelassen, der sich noch 1,7 cm darüber erhebt, im ganzen 1,9 cm lang und unten fast 1 cm dick ist, während er nach oben sich etwas verjüngt. Inwendig hat er der ganzen Länge nach eine Öffnung, in welcher die eigentliche Helmzierde, aber allem Anschein nach keine metallische, steckte. Die Bügel sind zu ihrer Befestigung noch etwa ! cm unter die Platte gezogen. Sie haben nicht alle genau die gleiche Länge, sondern messen vom Rand der Scheitel- platte ab 17,1. 16,1. 16,8. 17.6. 16,6. 16,8 cm, also im Mittel 168,5 mm. Sie sind leicht gewölbl und haben in der Mitte eine mässig hohe Kante. Oben ziemlich schmal, verbreitern sie sich nach unten allmählich, haben an beiden Seiten in gleicher Höhe einen scharfen Vorsprung und laden alsdann zu einer regelmässigen Schweifung aus, bis sie unten als eckige Platten von 10,5—10,8 cm Breite sich berühren.

Zwischen den Bügeln bleiben sechs ovale Flächen frei, von 14,5 bis 15 cm Höhe und etwa 6,5 cm grösster Breite. Diese haben eine besondere Füllung oder vielmehr Unterfütterung, welche dem Helm erst seine volle Festigkeit gibt. Sie besteht aus 1,5 mm dicken Eisenlappen, deren Aussenseiten mil dünnem Silberblech überzogen sind. Diese Füllung liegt nicht in gleicher Ebene mit den Spangen, sondern unter denselben und wird an ihnen mittels der Stile festgehalten, deren gewölbte Köpfe die Ränder umziehen. Die Blätter haben in Wirklichkeit aber nicht den Schnitt, der von aussen zwischen den Spangen hervortritt. Ihre grösste Breite liegt tiefer, sie spitzen sich mehr nach unten zu und greifen noch etwa 1 cm unter den Randstreifen über die Spangen fort Dabei stossen

ART MAN D CE Per DS D OS Da MARNE D rec Ver PES

a 7 un DS 0 A

| pe + En y a N a À TRE RE PSS pe Te ge \ 3 he DH we 2? E É 4 | fr à ht re , ie | Fe" Pre FER \ L LIL HE m N, d ‚m NEE ERENTO TE

>e

= à Er à Pr - LL

a de ve nu. > a ae ar m + ds 3 = Le _ x

L 4 } | I | La NA | da‘ DD ne den u. I rn sa + Ten à £ , | à

276

Leder oder ‘Stoff kommen. Diese ganze Zusammenstückung, die dennoch etwas Festes schuf, wir ein merkwürdiges Licht auf die Entstehung der Helmform und die primitiven Künste ihrer Verfertiger.

Für die weitere Untersuchung wird es nölig, auch die näheren Ver- wandten des Helmes zu berücksichtigen. Während bis vor Kurzem über- haupt nur ein einziger derartiger Helm weiterhin bekannt war, ist in den letzten Jahren eine ganze Gruppe von nahezu gleicher Konstruktion zum Vorschein gekommen.

1. Der jetzt in der Eremitage in St. Petersburg aufbewahrte, von Lindenschmit zuerst 1880 veröffentlichte‘, aus der «früher Freiberrlich zu Rheinischen Sammlung [in Würzburg], welche jetzt leider ins Aus- land verkauft ist». Nach der Angabe von E. v. Lenz, welcher eine neue Publikation nach dem Originale gab*, kam er mit dem Bestande der Sammlung von Basilewski aus Paris nach Petersburg. Über seine Vorgeschichte brachte zuerst wohl Demmin in der zweiten Auflage seiner Kriegswaffen (1886) S. 376 die weitere Nachricht, er sei aus der Samm- lung der Herzogin von Berry in die Sammlung des Baron zu Rhein in Würzburg übergegangen. Ihm folgte v. Mansberg, Wäfen unde Wicgewæle S. 33. Als erster Besitzer des Ilelmes galt mehrfach des Löwenreliefs halber Heinrich der Löwe.

2. Im Jahre 1872 oder 1873 wurde in der Nähe von Vézeronce, Dép. Isère, Canton Tour-du-Pin ein zweiter Helm entdeckt’, aber wenig beachtet. Er war, wie es scheint, ein Einzelfund aus einem Moore oder einer Torfgrube («relire d’un terrain bourbeux», resp. «dans une lour- bière») und befindet sich jetzt im Musée archéologique zu Grenoble. Barriere Flavy® und v. Ubisch in seiner Abhandlung über den lango- bardischen Helm S. 209 citieren ihn. Herr Hofrat Gröbbels in Sigma- ringen hat ihn aufs neue untersucht und will ihn publizieren. Ausser der älteren Skizze liegen mir einige Photographien vor, auf die ich mich stütze. Nach der Annahme französischer Archäologen soll der Helm in

1. Handbuch, S. 258, vgl. Allert. uns. heidnisch. Vorz. III, 3, 10, 5. Röm.-germ. Cen- tral-Museum XIV.

2. Zeitschrift für historische Waffenkunde, herausgegeben von KötscHau Il (1900/02), S. 103—108, woselbst auch weitere Litteratur.

3. Bulletin de la Société nat. des Antiquaires de France, 1878 (Mémoires 39), S. 126, mit einer Skizze. Inventaire général des richesses d’art de la France. Province. Monu- ments civils NI (1892), S. 179.

4. Les arts industriels des peuples barbares de la Gaule (1901 £.) I, 69, 73.

278

disch untersucht wurde. Gleichzeitig mit dem Helm ist eine Anzalıl von Waffen und Schmuckstücken abgeliefert, die jetzt in der K. Slaats- sammlung zu Stuttgart aufbewahrt werden. Ein grösserer Teil von ihnen gehörte jedenfalls dem Helmgrabe an. Diese begleitenden Funde sind weilaus kostbarer als die Baldenheimer, die über das übliche Reihen- gräberinventar nicht hinausgehen. Mit ihrer vorwiegenden Gold- und Edelsteinverzierung zeigen sie noch den älteren oder reineren «byzanli- nischen» Kunststil, der von Lindenschmit S. 50 in den Ausgang des 5. und das 6. Jahrhundert gesetzt wird.

5. Ihm folgt chronologisch der Baldenheimer Helm vom Februar 1902.

6. Dem Gültlinger zunächst steht ein zweiter schwäbischer Helm, der im Dezember 1902 in Gammertingen, nördlich von Sigmaringen, ge- funden wurde. Er stammt aus einem grösseren Grabfelde der Reihen- gräberzeit und wird nebst den übrigen Funden im fürstlich Hohen- zollernschen Museum zu Sigmaringen aufbewahrt. Die Publikation durch Herrn Hofrat Gröbbels wird erwartet. Mir liegen durch die Güte von Herrn Gröbbels einige Photographien des Helmes, den ich im September 1904 in Sigmaringen sah, im Austausche vor.

7. und 8. Nach Abschluss dieses Berichtes wurden mir aus der Publi- kation von Dr. Camillo List? die beiden neuen Helme von St. Vid bei Metkovië im südlichen Dalmatien bekannt. Der eine von ilınen (St. Vid II) ist im Februar 1901 aus dem vom «Schutte alter Stadtmauern stark durchsetzten Boden» des jetziges Friedhofs nebst andern Gegenständen (darunter ein Eisenhelm, barbarische Speerspitzen und eine römische Fibel) 1,70 m tief, der zweite (St. Vid I) ebendort fast doppelt so tief und stark zerdrückt im März 1902 olıne alle Begleitfunde ausgegraben. Spuren von älteren Bestattungen sind nirgend bemerkt. Die heute noch vorhandenen ausgedehnten Ruinen des Dorfes Vido gelten als die Über- reste des alten römischen Narona, der Hauptstadt des südlichen Dalma- tiens?. Die gefundenen Gegenstände werden im Kaiserlichen Hofmuseum in Wien verwahrt.

9. Ein neuester Helm endlich wurde im Jahre 1903 in Frankreich bei Ghälons-s.-S. aus der Saône ausgebaggert und 1904 durch

1. Fundberichte aus Schwaben IX (1901), S. 38 f. und Alert. u. heidn. Vorzeit Y (Heft 2), Taf. 11. 12, vgl. auch ein Schwert von ebendaher IV, 6, 2.

2. Jahrbuch der K. K. Zentralkommission für Erforschung und Erhaltung der Kunst- und historischen Denkmale I (1903), S. 251—272.

3. Kıepert, Lehrbuch der alten Geographie, S. 359, Corpus Inscr. Lat. WI, 291.

280

dabei stehen die Helme von Vézeronce, Monte Pagano, St Petersburg, Gammertingen, Gültlingen sowie der vierspangige Vider einander näher, während der sechsspangige Vider und sein Baldenheimer Genosse eine Sonderstellung einnehmen und der Ilelm von Châlons wieder eine neue Gruppe eröffnet.

Neben diesen Übereinstimmungen sind aber die Abweichungen nicht zu übersehen und deren wichtigste einer vorläufigen Klassifikation zu Grunde zu legen. In Betracht kommt zunächst die äussere Form.

Die Hauptmasse, welche die Gesamtform bestimmen, sind erstens der untere Längendurchmesser, zweitens der untere Querdurchmesser. Das verschiedene Verhältnis beider ergibt eine mehr ovale oder runde Kopfweite. Drittens die Höhe ohne den Zimierfuss. Das Verhältnis der Höhe zu der unteren Länge und Breite des Helmes bestimmt die mehr oder weniger konische Form. Hierbei spielt aber viertens die Breite des Randstreifens eine gewisse Rolle. Denn dies Ringband ist gerade und aufrecht, der nach oben sich verjüngende Helmteil beginnt erst über demselben. So muss man, um die konische Form auszudrücken, die Breite des Randstreifens von der Gesamthöhe noch in Abzug bringen. Von den sonstigen mitwirkenden Faktoren, dem Biegungsverhältnis der Spangen u. A. sehe ich ab. Ich gebe zunächst die erwähnten Hauptmasse in Millimetern und ordne die Helme nach der auf den beigefügten Tafeln innegehaltenen Reihenfolge.

Unterer

Längs- Quer- Höhe Höhe des

Durchmesser. ohne Zimierfuss. Stirnreifs. Vezeronce . .... 212 189 190 37 Monte Pagano . .. 220 195 198 41 Baldenheim .... 230. 170 186 38 St. Vid 1...... 295 470 191 31 St. Petersburg . .. 293 195 175 40 Gammertingen . . . 220 205 183 4 Gültlingen. . . ... 290 180 155 39 Châlons... .... 935 185 170 41 St. Vid I ..... 299 187 198 36

Das Verhältnis des unteren Querdurchmessers zum Längendurclimesser zeigt, dass bei allen Helmen ein gewisses Vorwiegen der Längs- über die Querachse besteht. Alle sind mehr oder weniger oval. Am ovalsten wäre der Helm von Baldenheim, wenn nicht die im Boden breitge- drückte Form mit in Betracht käme (60 mm länger als breit). Es folgen

282

dem nach unten verflachen. Interessant ist, dass diese Vorsprünge auch bei dem Petersburger Helm vorhanden sind, aber sie sitzen der flachen Rundung -entsprechend ganz tief unten‘, schon einen Übergang anbah- nend zu den eckigen Ausschnitten, welche die zweite Gruppe: die Helme von Gammertingen, Gültlingen, Châlons und St. Vid Il charakterisieren. Aber auch diese eckigen Ausschnitte sind nicht ganz gleich: bei dem Gammerlinger und Gültlinger Helm bilden sie noch einen weniger stumpfen Winkel als bei demjenigen von Chälons und besonders dem zweiten St. Vider.

Dass die eckigen Blätter der zweiten Gruppe aus den ovalen der ersten hervorgegangen sind, lehrt die zu beobachtende Entwicklung. Diese ergibt auch, dass die untere Verbreiterung Jer Bügel nicht tech- nisch als eine Verstärkung durch Seitenflügel, sondern historisch zu erklären ist aus der teilweise noch bewahrten, teilweise schon entstellten ovalen Grundform der von ihnen eingeschlossenen Blätter. Wo sonst an Helmen eckige Blätter oder Ausschnitte sich finden, laufen diese unten immer gradlinig und parallel mit dem Helmrand, sind nicht zugespitzt wie unsere aus dem Oval entstandenen Formen.

Alle Merkmale weisen darauf hin, die grössere Ursprünglichkeit bei der ersten Helmgruppe zu suchen: die grössere Höhe, die konische Gesamtform und die ovalen Blätter. Nur braucht der Ausgang nicht bei der grössten [ôhe und den spitzesten Blättern, die nalur- gemäss zusammengehen, er kann auch bei den mittleren Formen liegen und zu den extremen hingeführt haben. Wie dem auch sei, die typologische Reihe: Helm von Vézeronce, Monte Pagano, Baldenheim, St. Vid I, St. Petersburg, Gammertingen, Gülilingen, Châlons, die sich mit geringen Schwankungen noch weiter bestätigen wird, bleibt die vorwiegende. Der zweite, vierspangige St. Vider Helm mit seinen dem Oval widerstrebenden, breiteren Blättern nimmi daneben eine Sonder- stellung ein. |

Dasselbe wie von den Helmkappen gilt von den erhaltenen Wangen- bändern. Auch sie sind bei dem Helm von Vezeronce am schlanksten und nach unten am spitzesten verlaufend, die übrigen haben breitere Formen.

So zeigen sich trotz der allgemeinen Übereinstimmung kleine Unter- schiede überall. Dabei lässt sich eine Entwicklung beobachten, welche

1. Auf unserer verkleinerten Abbildung sind sie nicht ganz deutlich herausgekommen: sie sitzen neben dem über die Bügel fortlaufenden horizontalen Strichbande.

984

Helmblätter. Deshalb setzen sie sich unten auch nicht längs der scharfen Bügelkanten fort, sondern ziehen sich bei den ovalen Blättern der Helme von Vezeronce, Monte Pagano, Baldenheim und St. Vid I wie ein Fries um die ganze Rundung herum. Nur die flachen und eckigen Blattformen beschränkten dies Muster. So sind die unteren Dreiecke bei deın Gammertinger Helm trotz dem gedrückten Raume in reduzierter Form zwar noch vorhanden, bei dem zweiten St. Vider dagegen schon unordentlich ausgeführt, und bei dem von Châlons nur noch an den breiteren Ecken bewahrt. Bei dem St. Petersburger und Gültlinger wurden sie in richliger Verwerlung des Raumes ganz fortgelassen und bei dem ersteren durch ein einfaches Schuppenband, bei dem letzteren durch eine feine Punktreihe und ein neues Muster, bei dem zweiten St. Vider durch ein einfaches Kreisband ersetzt. Alle diese Umgestaltungen und Degenerationen weisen wieder darauf hin, dass die Helmblätter von der ovalen und nicht von der eckigen Form ausgegangen sind.

Durch die untere Verbreiterung der Spangen entstanden auf den- selben über dem Slirnband grössere Zwischenräume, die gleichfalls irgendwie ausgefüllt wurden: auf dem Helm von Monte Pagano durch ein auf die Spitze gestelltes Viereck, ein Doppeldreieck mit hohem Fuss oder ein Kreuz, bei dem ersten St. Vider ebenso durch das christliche Kreuz, einen Vogel, einen Baum oder durch geometrische Figuren. Bei dem Baldenheimer sind die entsprechenden Stellen leider abgescheuert und keinerlei Andeutungen mehr vorhanden, ob an ihnen etwas den St. Vider Darstellungen Entsprechendes gestanden hat; leer waren sie vermutlich nicht. Die übrigen Helme verwenden wieder nur geometrische Ornamente. Der Grenobler ein einfaches Oblongum, das inwendig durch mehrere vertikale Linien gefüllt ist. Der St. Peters- burger und der Gammertinger Helm ziehen gemeinsam an der Stelle, wo die Bügel unten mit einem scharfen Knick sich verbreitern, von Ecke zu Ecke ein horizontales Band, unter welchem sehr passend zwei mit den Spilzen nach unten gekehrte Dreiecke angebracht sind. Der Gültlinger Helm knüpft an dies neue Motiv an und überträgt es auf die oberen Bügelabschnitte, welche er durch ebensolche von Nagel zu Nagel gezogene Bänder gliedert. Die beiden unteren Drei- ecke sind dabei in eines zusammengezogen, welches mit einem unteren Rand- und zwei Seitendreiecken eine symetrische Figur bildet, die an den Seiten durch einige an den Grenobler Helm erinnernde vertikale Linien und ein horizontales Dreieck abge- schlossen wird. Auf dem zweiten St. Vider Helm ist zwischen den beiden

286

Die Weinranke mit Trauben und Vôgeln ist ebenso wie das Arkaden- motiv aus der Antike übernommen, wo sie in der griechischen wie in der römischen Kunst mannigfach variiert wird. Als Randdekoration römischer Sigillaten des ersten Jahrhunderts ist sie ein stereo- types Ornament. Unser Museum besitzt ein ganz entsprechendes auf einer Schale von der kleinen Metzig (Inv. 3070 in Dragendorfis Nr. 29). Wichtiger ist, dass sie in ällerer Zeit auch als Randverzierung von Helmen diente, aber weniger bei rômischen, wo solche Streifen jeden- falls eine geringe Rolle spielten, als bei den barbarischen. Die Tro- phäenhelme der Trajanssäule haben mehrfach einfache oder doppelte Randstreifen, in denen sich eine stilisierte Ranke als Füllung herum- schlingt', und ein älterer Helm aus der Krim, den unsere Figur 3 abbildet, zeigt sie noch in reinerer Kunstform.

Allen Helmen dieser Gruppe eigen ist ferner die Einteilung des Streifens in mehrere besonders eingesäumte oblonge Felder. Sie muss schon auf älterem Herkommen beruhen, da auch der sonst ganz abweichende Streifen von Chälons mehrmals dieselbe grosse Scene in besonderer Einrahmung wiederholt. Auf dem Baldenheimer und dem ersten St. Vider Streifen ist eine solche Einteilung nirgend überliefert, aber andererseits kehren auch auf ihnen, wie wir sehen werden, grössere Partien mehrfach wieder, so dass wenigstens ein ähnliches Prinzip befolgt worden ist. Woher dasselbe stammt, bleibt noch zu ermitteln. Weder die römischen, noch die griechischen Helme scheinen es zu kennen.

Der Baldenheimer und ebenso der eine St. Vider Streifen haben ein ganz abweichendes Muster. Sie werden oben und unten durch zwei schnur- artige Bänder eingesäumt, zwischen denen ein feines Winkelornament sich hinzieht. In dem mittleren lauptfelde wechseln runde Medaillons und schräg gestellte Vierecke, je mit einer besonderen Innendekoration, regelmässig ab. Dabei sind die Figuren so eingepresst, dass sie bei aufgesetziem Helme nicht ihre natürliche aufrechte, sondern eine horizontale Stellung haben, die Fussenden also nach links, die Kopfenden nach rechts gekehrt sind. Auch die zwischen den Mittelfeldern frei bleibenden Seitenzwickel sind durch kleine Einzelfiguren ausgefüllt.

Wir besprechen zunächst die Baldenheimer Darstellungen.

1. Vgl. die genaueren Skizzen bei BENNDORF, Denkschriften der K. K. Akademie der Wissenschaften, Phil. Hisfor. Klasse 28(1878), S. 312, von denen einige in unserem letzten Abschnitt wiederholt sind, auch Weiss, Kostümkunde I, S. 248 nach Th. Hope, Costume of the ancients.

8/9

288

dicken Früchten an den Seiten, dessen obere Wedel zerstört sind. Die Palme wird im Süden besonders mit dem Christentum ein sehr beliebtes Ornament!, ist aber schon früher auf den Sigillaten* und sonst vorhanden.

In dem untern Zwickel zwischen beiden Feldern erkennt man ein Tierchen mit Pferdekopf, langem Hals, vorgestreckten Vorderbeinen und nach unten zusammengerolltem Fischschwanz, der unter der Lupe deutlich hervortritt. In derselben Richtung wie die anderen Darstellungen gesehen sind die Beine und der kopf gegen den Rahmen des Palmen- bildes gerichtet. Es ist eines von den phantastischen Geschöpfen, welche der antiken Kunst entstammend, im frühen Mittelalter sehr beliebt bleiben und früh bis in den germanischen Norden dringen. Die goldbelegten Silberplatten von Thorsbjerg aus dem 3. oder 4. Jahrh.’” bewahren auch davon zahlreiche Exemplare. Die Füllung des zweiten unteren Zwickels ist grossenteils und diejenige der beiden oberen gänzlich zerstört.

Die Darstellungsreste des letzten Medaillons sind aus sich selbst nicht mehr zu erklären.

Die Figuren des zweiten, längeren Streifens (Taf. III Fig. 22) sind weniger gut erhalten. An der Bruchstelle (neben der angesetzten Wangenklappe) bemerkt man zu unterst den grösseren Teil eines vier- eckigen Feldes mit demselben Palmbaum wie auf dem vorigen Streifen. Die dort verschwundenen oberen Zweige sind hier noch vorhanden. Es folgt ein von Rost zerfressenes Rundbild, dessen Darstellung trotz aller Zerstörung in den Umrissen noch hervortritt als ein nach rechts schreitendes Tier mit einem Reiter. Die Ansatzstelle des Schwanzes wird durch den Kopf eines Nagels verdeckt. Hinter und vor dem Reiter sind noch unsichere Umrisse zu erkennen, aber eine Deutung der Gruppe ist bei dem Erhaltungszustand nicht möglich. Das sich anschlies- sende viereckige Feld scheint wieder den Palmbaum mit Früchten oder ein anderes Pflanzen- oder Blättermotiv zu enthalten.

Von dem nächsten Medaillon ist das Kupferblech der linken Hälfte völlig abgeblättert. Von der rechten ist der untere Teil fast unkenntlich geworden, darüber aber erblickt man den aufgerichteten Oberleib eines Tieres. Der Kopf desselben ist nach links heruntergebogen, oben scheinen an ihm durch längere Striche Mähnen oder Haare angedeutet zu sein.

I. So auf Lampen, vgl. Knaus Il, 275. 2. HöLver, a. a. 0. XXI, 17. 3. ENGELHARDT, Thorsbjerg Mosefund, Taf. VI, 1 und XI, 47.

I

290

staud in einem viereckigen Felde wieder ein Palmbaum mit dickem Stamm und zahlreichen Wedeln. Das folgende Medaillon enthielt sicher ‚dieselbe geflügelte Figur mit den Tieren wie das Bruchstück 2®. Trotz aller Zerstörung bemerkt man, dass der Stempel sogar besser als auf dem früheren Bildchen herausgekommen war. Die ausschreitende Be- wegung der Figur, ihre Hüften und Oberschenkel, die Arme, der schraf- fierte Flügel lassen sich wiedererkennen, ebenso der grössere Teil des oberen Tierchens. Ein letztes viereckiges Feld scheint mit dem Stamm eines Baumes oder Zweiges zu beginnen.

Wie hier frühere Bilder wiederkehren, glaube ich auch in dem zer- störten Medaillon des ersten Bruchstücks (Fig. oben) die Reiterfigur des zweiten (Fig 22) wieder zu finden. Das Hinterteil des Tieres und Reiters heben sich, meine ich, immer noch ab. Alle diese Wieder- holungen aber erweisen, dass mit den fehlenden Partien des Rand- streifens nicht auch entsprechend viele Darstellungen verloren gegangen sind.

Soweit liessen sich die Figuren unseres Streifens aus sich heraus bestimmen. In ein neues Stadium trat die Erklärung mit dem Auf- tauchen der St Vider Helme. Die nahe Verwandtschaft des einen von ihnen mit dem Baldenheimer war sofort evident. Sie erstreckt sich nicht nur auf die Form des Helmes, sondern ebenso auf die ganze künstlerische Verzierung. Leider ist aber auch der betreffende St. Vider Streifen weder ganz erhalten noch in den Einzelheiten überall genü- gend deutlich. In verschiedenen Hauptpunkten ist seine Überlieferung jedoch weit besser als die des unseren. Eine Reihe von Unsicher- heiten lässt sich nunmehr durch die Vergleichung beseitigen. Dass dies in dem erreichten Umfange möglich wurde, verdanken wir dem Entgegenkommen von Herrn Dr. List, der mir nicht nur zwei Photo- graphien, sondern auch einen Gipsabguss des längeren Abschniltes zur Verfügung stellte. Die erhallenen Reste sind auf unserer Tafel I mit den Baldenheimern vereinigt: Fig. 1% ist der nach dem Abguss wieder- gegebene längere St. Vider Streifen, Fig. ein von Dr. List nicht besonders abgebildetes kürzeres Fragment nach der mir überlassenen Photographie.

Der St. Vider Streifen hat die gleiche Anordnung wie der Balden- heimer: an beiden Seiten den doppelten Saum, in der Mitte die abwechselnden runden und viereckigen Felder, in den Zwickeln die gleichen Tierchen. Wenn der Baldenheimer 38 mm, der St. Vider nach

994

Muster heraus in die Höhe gedrängt und durch das griechische Akanthusblatt ersetzt. Auf den gleichfalls «korinthischen » Halbsäulen des Lysikratesdenkmals ist der Mittelraum bereits völlig leer. Wie sich diese selteneren Formen zu den sonstigen klassisch-griechischen Pal- mettentypen verbalten, werden die Zusammenstellungen Conzes wohl ergeben. Die spätere orientalische Entwicklung hat Strzygowski er- läutert'.

Auf echt byzantinischen Denkmölern scheint die Doppelranke in der älteren Zeit noch selten zu sein. Auf den Münzen finde ich sie nicht, aber z. B. auf den Bronzetüren von St Sophie in Konstantinopel” und, mehr rankenartig verzweigt, in St. Paul vor Rom. Hier tritt an die Stelle der mittleren Blume meist ein schlanker Blätter- oder Knospenstiel, der dann auf den christlichen Medaillen und sonst vielfach durch das Kreuz ersetzt wird.

Auch in den Barbarenländern des Ostens ist das Ornament in ana- logen Formen schon früh verbreitet. Ungarische Bronzeschnallen und andere Gegenstände vom Stil der Völkerwanderungszeit ahmen es häufiger nach’. Die Einflüsse, welche hier vorliegen, sind noch weiter zu untersuchen, aber sie brauchen nicht alle von Byzanz zu kommen. Auch an den sassanidischen Säulenkapitälen von Bisutun begegnen Formen‘, welche den späteren abendländischen näher verwandt sind.

Wie die stilisierte Doppelranke schon in alter Zeit Ilelme und Mützen verziert, wird sie auch später an deuselben immer noch weitergeführt. Die sogenannte Mitra Ottos des Heiligen von Bamberg aus dem 12. oder 13. Jahrhundert‘ von der Art der Fig. 8 abgebildeten italischen Mitra verwendet ganz wie unsere llelmstreifen eine solche als Füllung der von Bandverschlingungen gebildeten Rundfelder ihrer Borten. In grosser Ausführung dient die Blume noch heute als Rundverzierung persischer Mützen, und in ähnlicher durchbrochener Arbeit wie an dem pontischen Helme werden heute noch an den hölzernen indischen Blumenmuster ausgeschnitten.

- nm nn _ ur— .——

1. STRZYGOWSKI, Mschalla, Jahrbuch der K. preuss. Kunstsammlungen 25, 258 f. 2. OWEN JoxEs, Grammaire de Tornement Pl. XXNIIL, 4.

3. HAMPEL, Der Goldfund von Nagy-Szent-Miklos S. 173.

1. FLANDIN et COSTE, a. a. 0. Pl. XVII CC.

3. V. HEFNER-ALTENECK, Kunstwerke und Gerätschaften des Mittelalters IL, Taf. 23. SEMPER, Der St I, 23.

996

ein einzelner Zweig angebracht. Was ich von der Gruppe zu erkennen glaube, wiederholt unsere Fig. 4 etwas vergrössert in freier Reproduktion.

Die lebhafte Darstellung, der unsere Nachbildung nicht ganz gerecht wird‘, geht offenbar auf ein gutes, seinem Charakter nach archaisches Original zurück. Der Löwe mit dem nach vorne gedrehten Kopf und den sehnigen Raubtiergliedern ist bis auf einige Einzelheiten durchaus cha- rakteristisch.

Mit dieser Scene sind die Reste des Bal- denheimer Medaillons offenbar identisch. Der aufgerichtete Oberleib, die herabhängende Pfote, der Kopf und Hals des Tieres sind gleichfalls erhalten, nur steht der Kopf nicht ganz so dicht am oberen Rande, so dass die von den Mähnen übrig gebliebenen Puscheln mehr hervortreten. Auch die spärlichen Überreste der linken Bildhälfle lassen sich mit der vollständigen St Vider Gruppe aufs Beste vereinigen.

Die Scene ist zweifellos der alten Kunst entnommen, gehört aber weder der römischen noch der klassisch-griechischen Sphäre an. Auf römischen Denkmälern sind Jagdscenen mit Löwen zwar häufig genug, aber sie haben immer einen anderen Charakter. Von griechischen Darstellungen oder deren Nachahmungen kämen höchstens der Herakles mit dem nemäische Löwen in Betracht. Aber bei dem vielbehandelten Hauptiypus halten beide sich immer gepackt und ringen miteinander, was auf unserem Bilde nicht der Fall ist. |

Dagegen besteht eine an Identität grenzende Übereinstimmung mit den entsprechenden orientalischen Gruppen. Diese lassen sich von den assyrischen Denkmälern bis in die persischen Paläste von Persepolis, auf persischen oder phönizischen Münzen und in der alten Zeit fast durch die ganze Kunst des östlichen Mittelmeergebietes verfolgen. Von den älteren mythologisch-phantastischen Darstellungen abgesehen ist es gewöhnlich der persische König, der so dem aufgerichteten wilden Tiere gegenübersteht. Meist ist das letztere ein Löwe oder hat doch

Fig. 4.

{. Es bedurfte mehrerer Versuche, ehe der Zeichner die Umrisse der Photographie zu fassen und entsprechend zu verdeutlichen vermochte. Das rechte Vorderbein des Löwen ist auch jetzt zu schräge, es hat viclmehr am Knie einen ähnlichen Knick nach oben, wie das linke nach unten.

998

herab, sondern hat, wie auch auf so vielen sassanidischen Bildern, den freieren griechischen Wurf. Ganz unklassisch dagegen ist der lange Rock und der hohe Schuh, der an die skylische Fussbekleidung! erinnert. Auch die persische Tracht, wie sie die Handschriften des Schah Nameh abbilden, ist ziemlich dieselbe.

Es ist klar: unser Helmbild hat nicht den Umweg über Griechen- land oder gar über Italien gemacht, sondern muss in gerader Linie dem Orient entstammen. Der persische Einfluss reichte in alter Zeit zwar über die politischen Grenzen des Landes hinaus, aber die west- lichste verwandte Darstellung, die ich nachzuweisen vermag, ist auf einem Goldring aus einem Kurgan der Ilalbinsel Taman im Norden des Schwarzen Meeres, sie gehört zu dem ferner stehenden Typus, wo der König das gezückte Schwert noch hinter seinem Rücken hält?. Die alt- orientalische Gruppe in so viel späterer Zeit nicht bloss auf einem dalmatischen, sondern auch auf einem elsässischen Fundstücke wieder- zutreffen, ist sehr überraschend.

Es folgt auf allen drei Streifen zunächst ein Viereck offenbar mit demselben undeutlich gewordenen Baum- oder Pflanzenornament, als- dann wieder ein Rundbild mit einer reitenden Figur, deren Umrisse wir schon auf dem Baldenheimer Streifen konstatierten (S. 288). Ob auf den St. Vider beide Mal derselbe Stempel gebraucht ist, lässt sich ohne die Kenntnis des Originals nicht entscheiden. Der etwas abweichende Eindruck dürfte auf dem verschiedenen Erhaltungzustand beruhen.

Durch das neue Material vervollständigt sich das Relief in mehreren Punkten. Zunächst sehen wir am innern Kreisrande hinter der Gruppe auf 1a wieder denselben Zweig wie bei dem ersten und dritten Medaillon. Auch vor dem Tiere scheint ein Zweig oder Strauch aus dem Boden zu ragen, mithin eine Scene im Freien anzudeuten. Das Tier sieht besonders auf dem Gipsabguss (1 a) recht steif und hölzern aus, hat lange Ohren und einen vorne zugespitzten Kopf, was nicht zu einem Pferd, eher zu einem Maultier oder Esel passt. Nach der ver- grösserten Photographie von Dr. List möchte ich an einen Esel denken. Er schreitet langsam einher. Auf seinem Rücken sitzt eine auf dem Abguss und der Photographie in den Umrissen deutlich er- kennbare Person. Aber sie hat nicht den gewöhnlichen männlichen Reitsitz, sondern scheint beide Beine nach der dem Beschauer abge-

l. Antiquiles du Bosphore Cimmerien Pl. XXXIIL ctc. 2. Compte-rendu. Atlas 1870 (pour 1869), Pl. I, 18.

10

300

populären Darstellungen wohl gerne behandelt wurde. Auf einer süd- russischen Vase‘ trägt das von einem Silen geführte Tier eine Kline, auf welcher der Gott halb aufgerichtet mit seiner Begleiterin sitzt, in der Rechten einen Kantharus, in der Linken einen bebänderten Thyr- susstab haltend. Eine ältere griechische Terracotie des Berliner Museums’ zeigt ihn auf einem Esel oder Maultier mit nach vorne herabhängenden Füssen, den entleerten Kantharus in der Rechten, mit der Linken auf den Thyrsus sich stützend, wie er des Reitens müde und vom Weine schwer absteigen will, wobei ihm der Silen behülflich ist. Wenn unsere Figur in der Rechten ein Trinkgefäss hielte, wäre an eine solche Scene zu denken. Aber das Gefäss scheint mir auf dem Original fraglicher als auf dem Abguss. So wird doch wohl eine weibliche Gottheit gemeint sein, wie denn auch die ganze Haltung eher eine weibliche ist. Damit müssen wir uns bescheiden. Über Möglichkeiten kommen wir einstweilen nicht hinaus, so wertvoll es wäre, auch für dies Bild den engeren Kulturkreis zu bestimmen, dem es entnommen ist.

Mit diesem Medaillon bricht 1b, der kurze St. Vider Streifen ab, der längere 1a hat noch drei weitere Bilder. Das sich anschliessende Viereck enthält wieder einen Palmbaum mit Früchten, der auf dem Abguss etwas verwischt, auf der Photographie deutlicher ist und dem Baldenheimer Palmbaum entspricht.

Sodann folgt in dem letzten Rundbilde auf beiden Streifen die Scene mit der vorwärts eilenden geflügelten Figur und den beiden Tieren. Sie war auch auf dem Baldenheimer Streifen deutlich und ist oben S. 287 beschrieben. Ein neuer Anhalt für die Erklärung bietet sich nicht. So sicher die Gruppe der Antike entstammt, so wenig entspricht sie den üblichen klassischen Typen, weder dem spielenden oder jagenden «Putto», dem Eros mit dem Ilasen, noch der Art, wie sonst die Nike oder Victoria dargestellt wird. Ohne die Flügel würde man an die Arte- mis denken. Und die orientalische Artemis war auch geflügelt, nicht nur auf älteren Denkmälern, sondern noch auf römischen Terracotten’ Doch mögen in der genrehaften Kleinkunst sich die Typen vermischt haben. Ein geflügelter Genius mit Tieren ist es jedenfalls.

In dem letzten Viereck endlich steht nochmals ein Palmbaum mil

i. Compte-rendu. Atlas pour 1863, Pl. V, 1.

2. Archäologische Zeitung 1875, Taf. XV, 2 und S. 168.

3. GERHARD, Die persische Artemis. Archäologische Zeitung 1854, S. 178 M. Vgl. dazu auch die südrussische Schale in den Antiquilés du Bosphore Cimmerien XLVI.

302

14 Feldern oder im Ganzen aus 42 Feldern. Hierzu stimmt der Gesamtumfang des Helmes von 666 mm fast genau (16 X 42 = 672 mm), besonders wenn man beachtet, dass die letzten Felder vor der Niet- stelle des Raumes halber etwas zusammengepresst wurden. Der Balden- heimer Streifen begann, wie sich so ergibt, hinten rechts an der Niet- stelle zunächst mit den vier verlorenen Bildern, denen sich die zehn erhal- tenen in der Folge von 10 bis 1 anschlossen. Ob jede der drei Serien eine ähnliche besondere Einrahmung hatte, wie sie auf den übrigen Streifen vorliegt, lässt sich nicht mehr bestimmen. Die ganze fortlaufende Art des Musters scheint einer solchen zu widerstreben. Doch bleibt auf dem ersten und Jritten St. Vider Fragment das vereinzelte Flechtmuster in den Zwickeln zwischen dem zweiten und dritten Felde zu beachten. Bänder wie die unseren, die aus abwechselnden Kreisen und auf die Spitze gestellten Vierecken bestehen, sind mir aus der Antike nicht bekannt. Beide Elemente für sich sind alt, nur ihre Kombination scheint es nicht zu sein. Aneinandergereihte oder zusammengruppierte Kreise mit Innenfiguren sind auf orientalischen und hellenistischen Stoffen, auf römischen Sigillaten und sonst häufig genug. Ohne die innere Füllung gehen sie in eine alte Zeit zurück. Dasselbe gilt von den Bändern aus hochkant gestellten Vierecken, welche nur in der römischen Kunst weniger beliebt sind. Und eine griechische Schale, welche zu Varpelew auf Seeland! zusammen mit einer Probusmünze gefunden wurde, verwendet bei den letzteren auch schon ein Blätter- motiv als Innendekoration. Die Vereinigung beider so disparater Formen, die immerhin etwas Unkünstlerisches behält, scheint nicht in der romi- schen Sphäre stattgefunden zu haben’. Jedenfalls wird sie in der byzan- tinischen Periode erst durchgeführt. Doch bleiben die einzelnen Kreise und Quadrate meist noch durch einen grösseren Zwischenraum ge- trennt. Aber die Einfassung der Kalenderbilder des Chronographen v. J. 354°, ebenso ein Mosaik von St. Sophie in Konstantinopel, das ins sechste Jahrhundert versetzt wird, rücken sie schon ähnlich nabe zusammen. Dasselbe ist mehrfach bei den Bandverzierungen des alten Domes von Parenzo* in Dalmatien der Fall. Von da ab mehren sich

I. NampEL, Der Goldfund von Nagy-Szent-Miklos S. 101. Ahnlich ein Kapitell von Edessa bei STRZYUOWSKI im Jahrbuch d. KL Preuss. Kuustsammlungen 25 S. 256.

2. DECHELETTE |, Fig. 105 ist entfernt zu vergleichen. Ob das Muster aber römisch ist?

3. Jahrbuch ‘des Kais. deutschen archäolog. Instituts. Erstes Ergänzungsheft. 1888.

à. CH. ERRARD. L'arf hyzafià II 1203 gibt die Jahreszahl 539—513. Vgl. auch die Wiener l'hotozraphien des Domes.

508

mit den Denkmälern die Belege. Am meisten und frühsten wurden alle diese Muster wohl auf gewebten Borten und Zeugstreifen ver- breitet. An unsere Helme sind sie gewiss durch das Vorbild der Mützenstreifen gekommen, bei denen die Tradition noch Jange forterbt. Fig. 8 ist eine wollene Mitra, die als byzantini- sche Arbeit des 12./13. Jahrhunderts gilt. Sie ge- hört der Kathedrale von Anagni südlich von Rom. Die Ausfüllung der Kreise durch Köpfe oder Büsten und der Vierecke durch Roselten, ebenso die Zwickelfüllung durch kleine Tiere ist eine ana- | - loge, nur haben die Köpfe hier ihre natürliche aul- rechte Stellung. Auch mittelalterliche persische Gegenstände bieten ver- wandte Muster.

Fig. 8.

Eine besondere Bewandtnis hat es jedenfalls auch mit dem Relief, welches an der Stirnseite des St. Petersburger Helmes und in drei- facher Wiederholung auf dem Gammertinger Streifen wiederkehrt. Auf dem Gültlinger sind die betreffenden Stellen fortgerostet. Es ist eine symmetrisch komponierte, offenbar ganz typische Gruppe.

Fig. 9.

Auf dem Si. Petersburger Relief (Fig. 9) erkennt man zwischen zwei schreitenden Löwen oben einen menschlichen Kopf, darunter einen nicht

305

Für die Erklärung der eigenartigen Komposition wird man sich zu- nächst wieder auf den römischen Denkmälern umsehen. In der Tat bieten die Sigillaten mehrfache Anknüpfungen. Eine Strassburger Schale des 2. oder 3. Jahrhunderts (Fig. 12), welche allerlei Getier in genre- hafter Weise abbildet', hat als Hauptgruppe eine bärtige Maske im Profil zwischen zwei wilden Tieren, vermutlich Tigern oder Panthern. Aber eine andere Strassburger Schale aus den späteren Dezennien des ersten Jahrhunderts mit dem Stempel des GERMANUS (Inv.-Nr. 3968 in Dragendorffs Nr. 29) verwertet bereits eine bärtige Maske en face

Fig. 12, zwischen zwei ihr zugekehrten Tierköpfen im Profil als Verzierung und deutet damit auf einen älteren ererbten Formenschatz zurück. Auf der- selben Schale sind auch, ähnlich wie dies im Elsass auf dem römischen Felsrelief am Donon der Fall war, ein Löwe und Eber in der bekannten alitypischen Weise einander gegenüber gestellt. Vergeblich wird man aber nach einer so vollständigen römischen Gruppe suchen, wie diejenige unserer [lelmbilder, besonders die St. Petersburger, ist. Die leiztere wirkt jenen gegenüber wie eine noch in später Zeit hervortretende treuere Version eines alten verlorenen Originales. Die Gruppe ist nicht innerhalb der römischen Kunst entstanden und für dieselbe keineswegs charakte-

L. Inv. Nr. 4618.

306

ristisch. Es fragt sich, woher sie stammt und welcher Tradition unsere Helmbilder angehören.

Schon aus dem Beginn der La-Tènezeit sind ähnliche Gruppen in unserer Gegend nachweisbar. Ein Gürtelhaken aus einem Grabhügel bei Weiss- kirchen (Kreis Merzig bei Trier) stell eine Maske en face über einer Art Podium dar, auf dessen Stufen zu den Seiten je zwei Löwen mit umgewendeten Köpfen sitzen‘. Auch ein gleichaltriger Goldring von Rodenbach in Rheinbayern? hat als Mittelstück eine Maske en face zwischen zwei liegenden Widdern, welche die Köpfe gerade so nach rückwärts drehen wie die Weisskirchener Löwen. Mit diesen Darstel- lungen, welche noch auf dem ältesten Import der La-Tènezeit beruhen, hängen die erwähnten römischen nicht mehr zusammen. Für Fig. 12 ist ausser der Profilstellung der bärtigen Maske (bei der man an Dionysos denkt) die freiere naturalistische Behandlung der Tiere charakteristisch, für die ersteren die en face-Stellung der bartlosen Maske und die ganze steife heraldische Stilisierung der meist sitzenden Tiere, welche ihren archaisch-südländischen Ursprung nicht verleugnet. Wie den römischen fehlt auch diesen älteren Gruppen der für den ganzen Aufbau so charak- teristische Gegenstand zwischen den Tieren unter der Maske. Unsere Helmbilder sind direkt von keiner der beiden Arten abbängig. Ihr eigentliches Vorbild muss noch einer anderen oder wenigstens einer volleren Überlieferung angehören.

In der Tat stehen den kleineren Gruppen mehrfach grössere und vollständigere zur Seite. So erinnern die vier Löwen und die Maske aus Weisskirchen an die bekannte plastische Darstellung der zu Grächwil in der Schweiz gefundenen archaischen Bronzevase, wo in der Mitte eine weibliche geflügelte Gottheit, zwei Ilasen in den Händen haltend, steht, während an jeder Seite ein ihr zugewendeler Löwe sitzt und über den letzteren auf einer kinnbartversehenen Doppelschlange noch- mals zwei Löwen in abgewendeter Stellung angebracht sind?. Auch ein Vogel ist hier auf dem Haupte der Göttin vorhanden. Die Gruppe ist wie alle verwandten Compositionen orientalischen Ursprunges. Die mittlere Ilauptfigur mit den Tieren ist bereits auf den Goldplättchen von Kamiros auf Rhodos, auf einer zu Olympia gefundenen Bronze-

1. Die Altertümer unserer heidnischen Vorzeit II, 4, 2, 7. HETTNER, Jahresbericht der Gesellschaft für nützliche Forschung in Trier, 1899, S. 33 und Taf. Il, 5.

2. Die Altertumer unserer heilnischen Vorzeit III, 5, 3, 3.

3. Mitteilungen der Autiquarischen Gesellschaft in Zürich NU, S. 112 £., Taf. UL

308

Heimen, sind auf europäischen Darstellungen zwischen den Tieren jeden- falls äusserst selten. Entweder bildet die Maske oder der Kopf das Mittel- stück, so auf archaischen Thongefässen' und den erwähnten rheinischen Funden. Häufiger bleibt eine kleine Pilanze als Vertreter der alten Pal- metle oder Blume zurück, so auch auf einer reichverzierten römischen Schwertscheide unseres Museums. Aber noch andere Motive sind zwischen den Tieren altüberliefert: eine Säule wie über dem Myke- nethor oder, wie gleichfalls schon im Orient’, eine Vase oder ein sonstiges grösseres Gefäss. Andererseits können auch die beiden Löwen fortfallen, so dass nur die Maske über einer stilisierien Blumenvolute zurückbleibt?.

Gewiss halte die Maske oder der Kopf ursprünglich auch eine Bedeu- tung. Der bärtige Dionysoskopf von unserer Schale Fig. 10 kehrt in besserer Ausführung und anderer Gruppierung wieder auf einer Silber- schüssel des 3. oder 4. Jahrhunderts nach Chr. aus Osziropataka‘ im nördlichen Ungarn (Komitat Saros). Er steht weinlaubumkränzt im °/, Proßl über einer gefüllten Fruchtschale, an deren Seiten zwischen einer &t Volutenverzierung zwei kleine mit gefüllten Vasen spielende Panther sizun. Im Museum zu Aquincum (Alt-Ofen) sah ich zwei römische Arditekturstücke mit einem Kopf, der eine mit Bockshörnern, also wall Pan oder Zeus-Serapis, zwischen zwei liegenden abgewendeten Liwen. Das Älteste aber mag in der uns zunächst liegenden Sphäre &e omentalische Kybele oder Magna Mater inmitten ihrer Tiere und Aurièale sein. Auch unsere Köpfe werden eher ein gôttliches als ein menschliches Wesen darstellen.

Der St. Petersburger hat ein regelmässiges Gesicht, eine kräflige Nase, grosse Augen und einen halbgeöflneten Mund. Über seine Herkunft würden wir nichts weiler wissen, wenn er nicht einen besonderen bisher übersehenen Kopfschmuck trüge. Auf der vortrefllichen Photo- graphie, welche ich der Güte des Ilerın Staatsrat v. Lenz verdanke, ist derselbe unverkennbar (vgl. Fig. 9 und die schematische Zeichnung Fig. 13). Nur die Stelle über der Nase und die rechte Seite (vom Be- schauer aus) sind stärker verletzt. An einem schmalen horizontalen Stirn- band steht eine zusammenhängende Reilıe schmaler länglicher Blätter

1. Conze, Melische Tongefässe \, 9.

e, PEnROT-CHIPIEZ Il, 129.

%, Weiss, Kostümkunde 1°, S. 342 nach Hope (auf einer griechischen Rüstung.. 4. Haupet, Der Goldfund ron Nagy-Szent-Miklos S. 153.

= Wiss ziemlich gerade in die Höhe. Sie setzen sich oben aber nicht weiter fort, sondern haben einen scharf begrenzten Rand und dienten wohl als äussere Verkleidung einer Kappe.

Dieser Kopfschmuck ist kein römischer, sondern ein orientalischer, und findet ein Vorbild schon in den Diademen und Kappen, die beson- ders für die ägyplischen und persischen Darstellungen so charakteristisch ‚sind (vgl. Fig. 14 aus dem Xerxespalaste) ‘und unter orienlalischem Einfluss in mehr- fachen Variationen sich weiter verbreiteten. So trägt eine weibliche Flügelfigur aus der Krim! einen Kopfschmuck, der dem unseren sehr ähnlich ist. In der griechisch

Fig. 13, @rchaischen oder archaisierenden Kunst Fig. 44.

finden sich entfernter vergleichbare For- men. Später scheint er durch byzantinischen Einfluss noch ins Mittel- alter gelangt zu sein, doch bleibt für den Nachweis ein vollständigeres Material abzuwarten. Dass er aber weder klassischen noch germanischen Ursprunges ist, darf man wohl jetzt schon behaupten.

Auf dem Gammertinger Streifen sind die Köpfe nachlässiger und unförmlicher ausgeführt (vgl. die henkelarlig abstehenden Ohren), über- dies slörker zerstört und deshalb schwerer zu erkennen. Doch ist die Zeichnung der oberen Partie bei Gröbbels irreführend. Man unterscheidet an der Kopfbedeckung auch hier besonders bei Fig. 11 ähnliche empor- stehende schmale Blätter oder Streifen wie an der St. Petersburger. Dass sie gleichfalls als Besatz einer steifen Kappe dienten, welche dem Anschein nach derjenigen von Fig. 14 noch mehr glich, ist anzunehmen. Der sonstigen Rankenverzierung des Streifens entsprechend schlingt sich um den unteren Rand der Kappe je eine einzelne Blattranke mit flatternden Enden herum.

Es bleiben noch die Gegenstände unter den Köpfen zu bestimmen. Sie sind auf beiden Helmen verschieden. Die auf dem Gammertinger drei Mal wiederholte Figur nennt Gröbbels «ein knospenartiges Gebilde». Mir scheint sie, wie schon bemerkt, ein aufrechter Pinienzapfen zu sein. Derselbe ist im Orient ein häufiges Symbol und in Griechenland beson- ders an den Dionysoskult geknüpft. Aber auch ausserhalb desselben fand er eine bedeutsame Verwendung. Von den eigenarligen pergame-

1. Antiquiles du Bosphore Cimmerien, Pl. LXX, 1,

310

nischen Heereszeichen, in denen der Herausgeber Prof. Bohn Admi- ralszeichen sucht‘, hat das eine als Mittelfigur eine hochstielige, von Voluten umgebene Blume, welche durchaus der Blume des Krimhelmes (Fig. 3) entspricht, das andere anstatt dieser Blume einen gleichfalls volutenumgebenen Pinienzapfen. Beide Symbole gingen also neben- einander her.

Schwerer zu deulen ist der entsprechende Gegenstand des St. Peters- burger Reliefs. Man unterscheidet einen höheren, nach oben sich etwas verjüngenden Fuss, der einen unten flach abgerundeten Aufsatz trägt.

Links von ihm ist ein Volutenschnörkel ange- . bracht, während die rechte Seite grôsstenteils

zerstört ist. Der Gegenstand ist vielleicht schon

elwas entstellt, wird aber gleichfalls unserem stereolypen Motivkreise angehören. Zur Erklä- rung möchle ich die punzierten Figuren auf den Blättern des Helmes von Monte Pagano heranziehen. Auf dem einen (Fig. 15) sind über- einander drei schreitende Tiere in ziemlich grober Technik dargestellt. Vor dem unteren pferdeartigen steht ein kleines Kelchgefäß, ein zweites mit höherem Fuss und sehr flacher

Schale zwischen den beiden oberen Tieren.

Auch auf den übrigen Blättern kehren ähnliche

Schalen wieder (vgl. Wulff S. 216). Eine Schale

oder vielmehr ein flaches Becken mit ‚hohem Fuss (wie vor dem Mithräum auf der Saalburg) soll wohl auch die St. Petersburger Figur sein. Vermutlich sind die Punzierungen von Monte Pagano überhaupt aus ähnlichen Gruppen entnommen. Das Gefäss steht vor dem unteren Tiere gerade so, als ob es zu ihm gehörte. Auf der Vorlage wird auf der anderen Seite des Gefässes wohl noch ein zweites entsprechendes Tier gestanden haben.

Fig. 16. Ähnlich sind vermutlich die beiden oberen Tiere mit der zwischen ihnen stehenden Schale aufzufassen. Solche Gruppen waren im Orient sehr verbreitet, Zum Belege verweise ich auf den Fries von Mschatta, der sie in mehreren Variationen

Fig. 15.

l. Altertümer von Pergamon II, Taf. XLIN.

312

einen eingelegten Spiess kunstgerecht in die Brust stösst. Zwischen beiden läuft ein langgestreckter Hund auf das Tier zu. Bekleidet ist der Jäger mit einem bis an die Kniee reichenden, in der Mitte gegür- teten faltigen Rocke, wehendem Überwurf und einer spitzen phrygischen Mütze. Das etwas plumpe Tier mit der spitzen Schnauze soll wohl ein Eber sein. Als dritte Gruppe folgt ein neuer Reiter, der einem auf ihn losrennenden Löwen einen Speer in den Hals bohrt, während von unten ein Hund gegen denselben anspringt. Die nächste Figur ist ein einzelner Reiter ohne Waffen, dafür aber mit einem merkwürdigen Instrument in der Hand, einem grossen über die Kopfhöhe des Reiters emporreichenden Stock, an dem oben eine lange dicke Schnur be- festigt ist, die über das ganze Pferd fortreicht. Vor diesem Reiter ist noch ein anderer galoppierender und am linken Rand wieder ein springendes Tier dargestellt.

Fast alle Gruppen und Figuren dieses oberen Streifens kehren mit geringen Varianten in dem unteren wieder. Zunächst an der linken Seite als erste Gruppe ein Jäger zu Fuss wie im oberen Streifen, der hier mit seinem Spiess aber einen Löwen angreift. Seine Kleidung ist ähnlich, doch fehlt die spitze Mütze. Es folgt eine Figur, welche der obere Streifen nicht enthielt: ein nach links galoppierender Reiter, der in der erhobenen Rechten einen runden Gegenstand hält, der kaum etwas anderes als ein Stein sein kann. Gestrecklen Laufes begleitet ihn sein Hund. Für die nächste Gruppe war der Raum durch die in der Mitte angebrachte Büste etwas beengt: aber es ist derselbe berittene, nach links gekehrte Löwenjäger wie über der Büste, nur ist er durch Versinterung unkenntlich, sein Hund kleiner und der Löwe in die Enge gepresst. Sodann folgt nach rechts gewendet wieder der Reiter, der mit der Rechten einen dicken Stock oder eine Stange hält, an der oben eine lange strickartige Schnur befestigt ist. Hier aber vervollstän- digt sich die Scene durch den vor dem Reiter zwischen den Bäumen laufenden langohrigen Hasen, auf den von unten ein Ilund losspringt und dem der Reiter nachzujagen scheint.

Von den drei Gruppen am rechten Rande wiederholt die untere nochmals den Reiter, der dem Löwen einen Jagdspiess in den Leib stösst, mit dem Hunde darunter. Die mittlere bringt vollständig die- jenige Gruppe, von der im unteren Streifen (links von der mittleren Büste) nur der einzelne Reiter mit dem Hunde dargestellt war. Ilier hat der Reiter auch seinen Gegner, den auf ihn losspringenden Eber. In der erhobenen Rechten hält er wieder einen runden Gegenstand,

313

offenbar einen Stein, den er auf das Tier werfen will. Die oberste Ecke wird mehr ornamental durch zwei aufeinander losspringende Tiere abge- schlossen.

Zwischen den Gruppen sind mehrfach einzelne kleine Bäume oder Sträucher angebracht, welche waldiges Terrain, also Jagden im Freien andeuten. Von den beiden Büsten ist die linke en face, die andere im Profil, beide scheinen weibliche Personen darzustellen.

So lässt die Komposition des anfangs wirr erscheinenden Streifens doch ein bestimmtes Prinzip erkennen, Zunächst ist es kein einfacher, sondern ein Doppelstreifen mit ziemlich identischen Darstellungen, der insofern den Doppelstreifen der beiden schwäbischen Helme entspricht. Nur ist der Trennungsstrich forigelassen, die Zonen sind mehr zusammen- gedrängt und die Zwischenräume durch die Büsten und Bäumchen ausgefüllt. Beide Reihen sind ferner symmetrisch in sich geordnet und bestehen im wesentlichen aus zwei Hälflen, von denen die eine mit ihren Hauptfguren nach links, die andere nach rechts gekehrt ist. Kleine Willkürlichkeiten und Verschiebungen, besonders die mehrfach abge- kürzten Darstellungen, deuten auf ein besseres und vollständigeres Original zurück. Die oben und unten nur halb wiedergegebenen Scenen müssen ursprünglich ganz vorhanden gewesen sein: der oberen Reihe wird der am rechten Rand nachgebrachte Steinschleuderer mit dem Eber einst ebensowenig gefehlt haben wie der unteren der Bogen- schülze. Der ganze Streifen hat elwas Degeneriertes und gewiss eine längere Vorgeschichte. Die einzelnen Figuren zeigen eine weniger slil- volle Ausführung als diejenigen des Baldenheimer und des St. Vider Streifens oder als das Petersburger Löwenrelief. Auch die Dekoration der Streifen von St. Vid II und Monte Pagano steht künstlerisch höher. Seiner Form nach mussten wir den Helm von Châlons an das Ende der beobachleten typologischen Entwicklung setzen. Auch seine Spangen- verzierung ist am nachlässigsten ausgeführt. So bleiben alle Kriterien miteinander im Einklang.

Im Allgemeinen ist der antike Charakter der Darstellung wieder unverkennbar. Antik sind nicht nur die kleinen Büsten, sondern auch die Gewänder, besonders die typischen wehenden Mäntel. Aber der Jäger zu Fuss in der Mitte des oberen Streifens trägt eine phrygische Mütze, und dasselbe ist, wie ich meine, mit einigen Reitern der Fall, deren Köpfe auf dem S. 311 abgebildeten Felde gerade beschädigt sind. Dies weist mehr in die griechische Sphäre hinüber. Auch die Situationen haben nichts speziell Römisches. Dargestellt sind keine Arenakämpfe,

314

sondern, wie die Tunde und kleinen Bäume lehren, wirkliche Jagden im Freien auf Löwen, Eber und Hasen und zwar mit der einen Aus- nahme immer zu Pferde. Löwenjagden zu Pferde kommen auf griechi- schen und römischen Sarkophagen vor, selten schon auf römischen Sigillaten, jedenfalls sind sie ein altererbtes orientalisches Thema. Aber der zum Schuss sich umdrehende berittene Bogenschütze ist weder ein römischer noch ein griechischer, sondern ein feststehender sarmalisch- orientalischer Typus. Die Zeichnung des Bogens ist allerdings schon so ungenau, dass sie kaum noch auf wirklicher Anschauung beruht. Doch bildet gelegentlich auch auf der Trajanssäule der Bogen selbst bei ge- spannter Sehne fast eine gerade Linie (XXXIl). Noch andere Dinge deuten mehr auf barbarische als auf die bekannten römischen oder griechischen Gebräuche. Der Reiter, der mit der erhobenen Rechten einen Stein auf den Eber werfen will, ist schwerlich klassisch. Steinschleuderer zu Fuss findet man auf der Trajanssäule und sonst, in der internen klassischen Kunst traditionell auch bei der alten kaledonischen Jagd, wo die Dioskuren oder einzelne Jünglinge öfters in primitiver Weise den Stein zum Wurfe auf den Eber in die Höhe halten. Auf einem römischen Sarkophag ist dieser Jagd noch eine Scene beigefügt, in der ein jugend- licher Reiter einen Stein auf einen sich emporrichtenden Löwen schleu- dern will‘. Doch das sind vereinzelte künstlerische Reminiscenzen eines mehr barbarischen Kulturlebens.

Sehr merkwürdig ist ferner die zweimal vorkommende hohe Stange mit der langen Schnur. In dem unteren Streifen sprengt mit ihr ein Reiter hinter einem Hasen her. Da auch der übliche Jagdhund zur Stelle ist, muss man fast annehmen, dass sie in der Tat ein Jagd- instrument sein soll. Sonst könnte man nur an eine Fahne denken, aber von der dargestellten Form ist mir keine bekannt und in dieser Zu- sammenstellung würde sie überdies befremden.

Der Jäger zu Fuss, der den Eber abfängt, ist ein allgemein ver- breitetes Motiv. Der klassische ist vielfach, wie noch auf den Sigil- laten gelegentlich der hingesunkene Gefährte andeutet, den Meleager- scenen entnommen. Er ist in der Regel mit der blossen flatternden Chlamys bekleidet und trägt keine phrygische Mütze. Erst die spätere halbbarbarische Kunst führt wieder eine vollständigere Gewandung ei. Die unsere gleicht aber mehr der älteren griechischen als der römischen oder harbarischen. Auch auf einem Silbergefäss aus der Krim steht ein

I. ROBERT, Die antiken Sarkophagreliefs Il, Fig. 221a, vgl. S. 287.

515

Jäger in gegürtetem kurzärmligem Chiton und Nlatternder Chlamys, von seinem Hunde begleitet, mit seinem Spiess vor dem anrennenden Eber, während vereinzelte Bäume waldiges Terrain andeuten'. Auf einem der Helmblätter von Monte Pagano kehrt die Gruppe gleichfalls wieder, nur ist der Hund nicht unter, sondern über den Eber gestellt.

Charakteristisch für unser ganzes Tableau bleibt die Lebhaftigkeit und Bewegtheit der zu Pferde ausgeführten Jagden. Diese findet ihre nächste Analogie wohl in den freilich stilvolleren Darstellungen der sassanidischen Silberschalen aus dem südlichen Russland, besonders dem Gebiete von Perm, wohin sie wie Stephani annimmt, seit dem 2. Jahrhundert aus dem Orient importiert wurden. Auf einer derselben? sind drei Gruppen berittener Löwenkämpfer in gleich lebhafter Be- wegung ähnlich zusammenhangslos vereinigt: die Reiter mit lang nach- flatternden Gewändern, die Pferde sprengend, die Löwen hoch aufge- richtet; zwei dieser Reiter sind Bogenschützen, die gerade den Pfeil auf einen Löwen abschiessen, der dritte bohrt einem Löwen die einge- legte Lanze in den Hals. Ein anderer sassanidischer Teller’ zeigt den sich zum Schuss umwendenden beritienen Bogenschützen, den König Sapor, dessen Haltung derjenigen unseres Bogenschülzen gleicht, wie denn überhaupt die berittenen Bogenschützen hier im Osten zu Hause sind‘. Auch unser Bild deutet auf ein extremes Reitervolk.

Damit übersehen wir das gesamte Material.

Das Auffallendste bleiben die altertümlichen, weit nach dem Orient reichenden Bezüge. Das Bild mit dem persischen König und dem Löwen, das ich hier seiner Bedeutung halber in einer neuen Zinkographie nochmals wiederhole (Fig. 18), scheint mir eine volle beweisende Kraft zu haben und keine andere als die oben vorge- nommene Deutung zu gestalten. Dann ist aber nicht nur die Tatsache des orientalischen Einflusses bemerkenswert, sondern auch die hohe Altertüm- lichkeit des Vorbildes. Von den erwähnten orien-

Fig. 18.

1. Antiquités du Bosphore Cimmérien Pl. XL—XLI.

2. GC. R. Atlas pour 1878-79. PI. VII, 2. Hauper 8. 93.

3. C. R. Atlas pour 1867, II, 1. 1878, 1879, VII. 2. Hampez S. 86,

4. «Die phile sie sère zuo den wenden vaste zugen» heisst es noch im Nibelungen- lied 1280, 4 von den «wilden Pesneren», den türkischen Petschenegen vom Osten der Wolga,

B. XXI. (M.) 21

316

talischen Darstellungen dürfle keine jünger als das dritte Jahrhundert vor Christus sein. Aus dem eigentlichen Europa, d. h. westlich von der Krim, war bisher keine einzige bekannt. Und wenn nun so viele Jahr- hunderte später mitten in Europa plötzlich wieder ein zusammengehöriges Paar die neue Lebendigkeit des alten Motives bezeugt, dann müssen wohl erneute stärkere Einwirkungen es wieder aus der alten Heimat hergebracht haben, wo es allein in dieser strengen Art sich gehalten und die ganze klassische Zeit, in der es so nicht vorkommt, überdauert haben kann. Wir erhalten zugleich einen Fingerzeig, auf wie alter- tümlicher Stufe die Kunst dieser Gegenden verharrte.

Nur etwas anders steht es mit dem Löwenrelief des St. Petersburger und Gammertinger Ilelmes. Das Motiv an sich ist ebenso altorienta- lisch, aber es hat keinen so speziellen Bezug und gewinnt darum eine viel grössere und allgemeine Verbreitung, die durch seinen ursprüng- lich mythologischen Charakter noch mehr begünstigt wurde. Kein anderes ist in seinen Grundlagen so echt und gemeinorientalisch wie dieses. Deshalb treffen wir seine Abkömmlinge und Spuren auch überall und ist seine Lebenskraft eine schier unbeschränkte. Schon die früh- griechische, wie jede alte Kunst des ganzen Kulturkreises ist davon durchsetzt. Nur die eigentlich klassische begünstigt es nicht, und die römische führt es verstandenermassen wohl überhaupt nur, soweit erneute hellenistisch-orientalische Einflüsse im Spiele sind. In Mittel- Europa ist es aus den verschiedensten Zeiten bezeugt. Deshalb hat die Forschung hier auch cinen schwereren Stand, doch wird der Stil- charakter vielfach ein Urteil gestatten, welcher der in Betracht kommen- den Traditionen es angehört.

Im Allgemeinen geht das eigentliche Haupt- und Mittelstück, die mythologische Figur zwischen den Tieren, sei es die ganze Person oder der blosse Kopf oder die Büste verloren. Die neutrale Pflanze, Palmette, Volute oder das Gefäss erhalten sich besser. In dem Panskopf von Aquin- cum (S. 308) sahen wir schon einen neuen hellenistisch-orientalischen Einfluss, der auch auf unseren Sigillaten vorliegen mag. Reineren Helle- nismus verrät die Schale von Osztropataka mit dem Dionysoskopf und den kleinen Panthern (S. 308). Wer aber mit dieser Fassung, die das Motiv schon spielend auflöst, unsere Gruppe zusammenhält, wird deren altertümliche Starrheit nicht verkennen. Die feierlich schreitenden Löwen .des St. Petersburger Reliefs und die ganze Komposition erinnern durch- aus an den archaischen Stil. Auch der Kopf ist, wie die beibehaltene Krone oder Kappe zeigt, noch nicht zur blossen Maske herabgesunken.

8318

der Palmette näher berührt, fehlt es noch an einer Zusammenstellung des umfassenden Materiales. In seiner letzten Form byzantinisch, hat sich das Ornament nicht auf klassischer, sondern auf älterer griechisch- orientalischer Grundlage entwickelt. Die geometrisch stilisierten Win- dungen, welche ursprünglich die altorientalische Blume oder ein anderes Mittelstück einfassten, sind in der klassischen Kunst meist an den Akanthos, in der späteren orientalischen an die beliebtere Wein- ranke angelehnt. Bald aber tritt an die Stelle der orientalischen Blume ein Blätterstiel oder das Mittelstück verschwindet ganz. In der römischen Kunst spielt das Ornament allem Anschein nach je länger je mehr eine sekundäre Rolle‘: auf den barbarischen Schilden der Trajanssäule finde ich öfters, auf den römischen nur einmal ein näher verwandtes Muster*. Im frühen Mittelalter ist die Form mit dem mittleren Blätterstil auf den östlichen Funden nicht sellen (so im Museum von Budapest), während das Ornament im Westen noch ganz zu fehlen scheint. Erst mit der ebyzantinischen» Kunst ist es in verschiedenen Formen ins Abendland gedrungen. | | eByzantinisch» sind auch die orientalischen Palmbäume, die Zweige und Blätter in den Quadraten, ebenso die fortlaufenden Ranken, die in ‚bester Ausführung auf dem einen Ilelm von St. Vid, in geringerer auf ‚denen von Gammertingen, Gültlingen und Vézeronce vorliegen. Mit oder ohne Vögel oder sonstige Tiere sind sie seit der hellenistischen Zeit bereits zum Gemeingut der damaligen Kunst geworden und bieten für die Lokalisierung keinen weiteren Anhalt, wenn in der speziell römi- schen Kunst das Interesse für sie auch zu erlahmen scheint. Aber Rankenformen, welche für die dalmatische von St. Vid als Vorbild ge- dient haben könnten, findet man z. B. auf den Grabsteinen von Salons, der {lauptstadt des römischen Dalmatiens, im Museum von Spalato in grosser Zahl. Für die Beliebtheit des Musters in dem neu sich heraus- bildenden byzantinischen Stil zeugt ebendort der Rankenfries mit Vögeln am Eingang des Diokletianstempels (Battisterio). Die Ranke bleibt hier noch lange die llauptverzierung für Streifen, und in Cattaro, der süd- lichsten Stadt Dalmatiens, sah ich über dem Portal der ins 11. Jahr- hundert gesetzten Donikirche eine solche (mit Vögeln) in der Mitte für den Kopf des heiligen Trifon, des Schutzpatrons der Fischer, gerade so

1. Ranken, wie die frührömische bei DÉCAELETTE I, Fig. 6 verraten noch helle- nistische Muster. Der grosse Hildesheimer Krater ist wohl rein hellenistisch. 2. Bild LXXVIII. XL. LXVI. LXXI gegenüber XXXVIII.

320

wurde eine Anzahl solcher christlicher Embleme hinzugefügt, die der neueren Richtung und den Gesinnungen der Helmbesitzer Rechnung tragen sollten. Auf den nördlichen Helmen, der Baldenheimer gestaltet leider kein Urteil fehlen sie ganz, was wohl kein Zufall ist. Übrigens scheint auf dem einen der Blätter von Monte Pagano der Mann mit dem Kreuze wieder eine hohe spitze Mütze zu tragen.

Dagegen zeigen die geometrischen Muster und die Technik der Pun- zierungen auf allen Helmen die nächste Verwandtschaft. Sie stehen der gemeinsamen Vorlage noch ganz nahe und haben der lokalen Ent- wicklung noch keinen grösseren Spielraum gestattet.

Gröbbels in seiner neu erschienenen Publikation S. 31 f. schwankt für die Herkunft der Darstellungen zwischen dem cravennatischen Kunst- gebiet» und einem «Fabrikationscentrum in Gallien». Aber er hält sich, wie schon die offengelassene Wahl andeutet, dabei doch nur an solche Motive, die während dieser Zeit überall gang und gäbe sind. Die Wein- ranke und die Arkaden können nach keiner Richtung entscheiden. Auch die christlichen Sarkophage Galliens bei Le Blant, auf die er für die «eigentümliche Jagddarstellung» des Helmes von Chälons verweist, wiederholen immer nur die bekannte Scene, wie ein einzelner Jäger zu Fuss einem wilden Tiere einen Spiess in den Leib oder Rachen bohrt. Bei XIX, 3 stammt der hingesunkene Gefährte wohl immer noch aus der alten bis in die griechische Kunst zurückreichenden Tradition (S. 314). Berittene Jäger finde ich hier nicht. Auch auf den Sigillaten, auf welche Gröbbels gleichfalls verweist, sind sie verhältnismässig selten, auf helle- nistisch-römischen Sarkophagen kommen sie vor. Aber überall fehlen die speziellen Eigenheiten unserer Darstellung. Um solche zu finden, müssen wir schon weiter nach dem Osten gehen.

Bei der Maske zwischen den Löwen des St. Petersburger und den wilden Tieren des Gammertinger Streifens denkt er an den biblischen Daniel zwischen den Löwen (oben S. 317). Aber das Zusammenschrumpfen des sonst immer in der bekannten Pose dargestellten Daniel zu einem Kopf oder einer Maske ist meines Wissens nicht bezeugt, bei den er- wähnten älteren Figuren dagegen ganz regulär. Auch der Pinienzapfen und die Schale wollen ebensowenig wie der Vogel und die Krone zum Daniel passen.

Bei zweien der St. Vider und Baldenheimer Medaillons findet Gröbbels

392

Durch das Beobachten der orientalischen Einflüsse und Vorbilder erhält die Untersuchung erst ihre richtige Front. Sie streift ein Problem, das neuerdings besonders Strzygowski mit grosser Energie verfolgt hat: die Bewertung der orientalischen Elemente in der abendländischen Kultur gegenüber den früher zu einseitig in den Vordergrund gestelllen rômi- schen Einflüssen. Aber während dieser Gelehrte meist an Syrien und Ägypten und etwa an Mailand als Eingangspforte denkt, dürften unsere Betrachtungen mehr auf den Landweg im Norden des Schwarzen Meeres führen. Bis zur Krim lassen sich in der älteren Zeit persische Funde (der König mit dem Löwen, der Dämon zwischen den Tieren, der schwebende Ahura Mazda etc.) noch nachweisen. Durch die den Persern nalıe verwandten eranischen Skythen, welche hier wohnten, bestanden in Europa von Alters her Verbindungen nach Asien hin. Um das Jahr 30 oder 40 n. Chr. selzten sich dann die sarmatischen Jazygen in der Theissebene und an der mittleren Donau fest, wo sie im Jahre 50 für den Sueben Vannius kämpften‘. Seit der Zeil stehen die Sarmaten im europäischen Völkergetriebe, bald als römische Hilfstruppen, bald mit den Barbaren vereint.

Daneben macht sich bald noch ein anderer und vielleicht wirksamerer orientalischer Einfluss geltend. Nach dem Zusammenbruch der alten dakischen Volksmacht wurde durch Trajan die Provinz Dacien, wie man annimmt, ganz wesentlich («magna ex parte» Mommsen) mit Asiaten neu kolonisiert. Hierauf hat an der Hand der Inschriften zuerst Henzen, dann Mommsen hingewiesen?., Ein collegium Galatarum bestand an der Maros. Im siebenbürgischen Klausenburg weiht eine Galaterkolonie (Galatae consistentes) dem Jovi optimo maximo Taviano (aus Tavia in Galatien) einen Altar’. Im ungarischen Szathmar thun karische Männer aus Eriza dem J. O0. M. Eruseno das Gleiche‘. Andere asiatische Wid- mungen und die gerade in Dacien häufigeren griechischen Inschriften sind bekannt. Diese mit dem zweiten Jahrhundert einsetzende Kolonisation bewirkte gewiss schon ein Vordingen des orientalischen Kunsthand-

1. MÜLLENHOFF, Deutsche Altertumskunde 3, 35 u. sonst.

2. HEXZEN im Budletino 1818, S. 129 f., Moxusen, €. I. L. III, 169, vgl. vox Doua- SZEWSKI, Westdeutsche Zeitschrift 11, S. 59.

3. €. IL. UT, Nr. 860. Dass auf dem Marktplatze von Tavia, nach Straso XII, 52, eine eherne Kolossalstatue des vermutlich auf dem Throne sitzenden Zeus stand (vgl. die Münze von dort bei Mioxxer, Med. ant. Suppl. VII, 56), sei mit Rücksicht auf den Zeus des pannonischen Helmes erwähnt.

4 CE LUI, Nr. 859.

924

4. Zur Entstehungsgeschichte der Helme.

Trotz ihrer übereinstimmenden Form und weiten Verbreilung lassen sich unsere Heime von keinem der sonst in Deutschland und den Nachbargebieten gefundenen Typen unmittelbar herleiten.

Charakteristisch für sie sind erstens ihre vorwiegend konische Form, mehr noch ihr auffallend zusammengesetzter Charakter und nicht am wenigsten die eigenartige Kombinalion der ovalen Helmblätter mit den sie umfassenden Spangen.

Die konische Form teilen sie mit den meisten orientalischen und vielen europäischen Helmen. Konisch sind bereits die nach Deutschland importierten cetruskischen» Erzhelme', doch haben sie andere Mass- verhältnisse und einen anderen Aufbau. Vor allem aber sind sie massiv. Aufgeselzt ist nur die in einen Knauf endende Spitze, die teilweise auch von einer Röhre zum Einfügen des Helmbusches durchzogen wird. Die schönen gallischen Helme der La-Tènezeit von Berru und Gorge Meillet im Marnegebiet* sind höher ausgezogen, so dass ein allmählicher Über- gang vom Körper in die Spitze statifindet, im übrigen aber von ähn- licher Art. Die meisten mitteleuropäischen Metallhelme und Kappen’ sind massiv. Bei anderen ergeben sich wohl einige nähere Berührungen, auf die ich später zurückkomme, aber sie behalten dennoch ihren beson- deren Charakter. Die massiven antiken Helme* stehen wieder in aus- gesprochenem Gegensatz zu den unseren, und die gewöhnliche römische metallbeschlagene Soldatenkappe kann auch nur nach ihren allgemeinsten Merkmalen verglichen werden. Das gesamte ältere europäische Fund- material enthält bis jetzt nichts, was als die Voraussetzung unserer Helmform angesehen werden könnte.

Dagegen sind die auf der Trajanssäule abgebildeten Barbarenhelme vielfach nicht nur konisch, sondern auch mehr oder weniger zusammen- gesetzt, so dass die meisten Autoren, die sich mit unserer Helmfrage

1. Aus Selsdorf in Mecklenburg (jetzt im Museum zu Schwerin) und Pförten in der Lausitz, LINDENSCHMIT, Allertümer unserer heidn. Vorzeit I, 11, I. 2. UnDser, Auf- treten des Eisens S. 19%. Ähnliche Helme aus Ungarn bei HAMPEL, Altertümer der Bronzezeit in Ungarn XXX, 1. 2.

2. BERTRAND, Archéologie cellique et gauloise S. 356 und 367.

3. Vgl. die bei LiNnenscauiT abgebildeten im Register IV, 29.

A. Archäologischer Anzeiger 1905, S. 15 ff., aus der von LrPPERHEIDE’schen Sammlung. Alterlümer unserer heidnischen Vorzeit N, 141 ff. und sonst.

von Hokash, die aber nie von kämpfenden T So bleibt ihre Herkunft fraglich. Den sonst h | sie schwerlich angehören. Eher ist an einen tradition ae Tro zu DES Zwei oo: N naueren

HERE Métis tn

328

entfernten Zusammenhang deuten, nicht die Grundlagen der Konstruk- tion. Um diese zu erfassen, müssen wir schon in die Entstehungs- geschichte unserer Helme einzudringen versuchen.

Das Vorbild aller Helme ist und bleibt die Mütze. Die Mützen sind älter und weiter verbreitet als die Metallhelme und waren vor allem bei den nördlichen und vielen östlichen Völkern schon in der alten Zeit sehr gebräuchlich. So geht auch die äussere Form der Mütze auf die Helme über, und verschiedene Eigenarten der letzteren haben an den ersteren sich ausgebildet. Aber schon die Mütze, die hohe, konische wie die runde, ist ein kompliziertes Ding und bei dem gewöhnlichen Material nicht einheitlich, sondern zusammengesetzt, weil ein einzelnes Stück Leder oder Stoff sich in die betreffende Form nicht bringen liess. Wer die runden Hirtenkappen unserer Sennen zur Hand nimmt, etwa die Appenzeller oder Toggenburger, findet, dass sie aus mehreren oben im Scheitelpunkt zusammentreffenden Keilen bestehen: die Toggenburger aus 6 unten breiten, oben spitzen Keilen und einem breiten dekorierten Randstreifen, die Berner aus 4, andere aus einer noch grösseren Anzahl von Keilen. Im Norden hat sich diese Technik am längsten wohl bei den Finnen und Lappen gehalten. So bemerkt Retzius' von den Finnen, «die Männer hatten kleine runde Kappen, die aus mehreren Stücken zu- sammengesetzt waren, so dass die Spitzen im höchsten Punkte zusammentrafen». Die einzelnen Keile haben vielfach verschiedene Farben. Auch in Deutschland wie in Frankreich waren solche Kappen einst in allgemeinem Gebrauche und sind auf den Bildern der alten Meister öfters zu sehen. | In Deutschland haben sie sogar ein respektables Fig. 22. Alter, da schon die vielgestaltigen Mützendeckel

der vorhistorischen ostdeutschen Gesichtsurnen mehrfach eine analoge Feldereinteilung erkennen lassen. Fig. 22, der Deckel einer Gesichtsurne von Kehrwalde (Kr. Marienwerder in West- preussen), dem nur die obere Spitze fehlt’, ist die Nachbildung einer solchen osigermanischen Mütze vorrömischer Zeit, mit der man etwa

1. Gustar RETZIUS, Finnland. Deutsch von APPEL S. 55.

2. BERENDT, Die pommerellischen Gesichlsurnen 1872-1877, sowie die späteren Publikationen, besonders in der Berliner Zeitschrift für Ethnologie.

3. Zeitschrift far Ethnologie 31 (1899), Ber. S. 405.

329

die niedrigeren Kappen aus Norwegen bei Racinet' vergleichen mag. Auch ein schmaler Randstreifen ist angedeutet. :

Die klassische Mützengegend ist aber der Orient geblieben, schon in Europa und weiter bis Persien und zum fernen Osten hin. Die Ana- logien zwischen Mützen und Helmen sind hier noch auf Grund des modernen Materiales vielfach zu erkennen. Ein altes Beispiel von Über- tragung der Mützenmuster auf die Metallhelme liefert Fig. 23, ein bei Koul Oba in Südrussland in einem Kurgan gefundener silberplattierter Eisenhelm. Der Beschreibung nach ist er aus 6 der ganzen Länge nach sich unmittelbar berührenden Platten zusammengesetzt, welche oben in der Spitze zusam- | mentreflen und über die eine hohe Kamm- rippe fortzieht. Im Ornament

sind es aber nicht bloss 6, sondern 10° Sal TZ ff | solcher beson- KM W- 18 ders umsäum- El} fi

ter Plaiten, ÏE meistens von spitzer Drei- ecksform*, Das rt |

Vorbild der aus Fig. 23. (Nach Hampel.)

verschiedenen Keilen zusammengestückten Mülze ist unverkennbar. Eine vergleichbare, nur niedrigere moderne persische Mütze besitzt das Berliner Ethnolo- gische Museum.

Nicht nur die Art der Zusammensetzung, auch die Dekoration steht in nächster Parallele. Der breite Randstreifen ist an Mützen und Hel- men gleich entwickelt. Als Ausfüllung desselben dienen heule noch die ältesten Motive: die moderne afghanische Kappe verwendet die laufende Spirale noch ebenso wie die Trophäenhelme der Trajanssäule, auch die Ranke, besonders die in Rosetten sich auflösende, ferner Dreiecksver-

x 1# | go BE x 2 4 . F LS | L EAN TITEL Pr Notre ZA, = ms LOST EE + Am N + Op ee J 2 Co je PE ET Te is - a nn AT } jr me | Te ee x ù r | ul v . = - = = a # = s Ps. 1 À = | —— D | FRE 4 .

I. Racıser, Le costume historique, passim. 2. Nach Hauper in der Zeitschrift für historische Wafenkunde II, 197 fl.

UN ne

Randstreifens können an die kleinen Kreise über dem Nackenschirm der Trophäenhelme (Fig. 20. 21) erinnern.

Aber alles dies betrifft nur die äussere Gesamlform und deren Ent- stehung. Den eigentlichen Kriegshelm macht erst das Metall, und dies neue Material verlangt eine neue Technik, die sich in verschiedener Richtung entwickelt. Sieht man von den massiven Helmen ab, zu denen ich auch die aus zwei Hälften zusammengenieteten rechne, so lassen sich zwei Hauptarten unterscheiden.

Entweder findet eine Verstärkung der Mütze oder des Hutes durch aufgesetzte Metallteile statt, dann entsteht der Plattenhelm.

Ein interessantes Beispiel ist schon der alte Hallstatthelm von St. Margarethen in Krain (Fig. 25)". Der Körper des- selben besteht aus einem lederüber- zogenen Ruthen- geflecht, welches aussen durch 6 runde, an ihrer breitesten Stelle sich berührende Bronzescheiben verstärkt ist. In gewissem Sinne entsprechen diese h Scheiben den 6 Fig. 25.

ovalen Blättern

unserer Helme. Die Zwischenräume, wo bei den Helmen die Kupfer- spangen und Eisenlappen sitzen, werden durch dicht nebeneinander eingesetzte Bronzenägel ausgefüllt. Ein Stirnband ist nicht vorhanden, dagegen ein besonderer Bronzeaufsalz, aus dem eine eiserne Spitze her- vorragt Helmhüte aus feinem Flechtwerk, das meist aus gespaltenen Haselnussstäbchen hergestellt wurde, sind aus alter Zeit auch sonst

L. v. Hocustertten, Die Grabfunde von Watsch und St. Margarethen, Denkschriften der Kaiserl. Akademie der Wissenschaften, Mathent--natarwiss. Klasse 47 (1883) 8. 161 f. Vgl. auch Altertümer u. h. Vorzeit IV, 61, 5. Das Original steht im Wiener Museum neben der obigen Rekonstruktion.

B. XXL (M) 22

332

nachweisbar und «die Fusssoldaten der Chinesen tragen noch heute sehr ähnlich geformte Ilelme ... aus Flechtwerk». Solche Scheiben oder Platten wurden gewiss nicht bloss auf Holz, sondern auch auf anderem Material (Leder usw.) angebracht. In unseren Museen sind noch mehr- fach entsprechende vorhanden, aber in ihrer Vereinzelung auf ihren Gebrauchszweck hin nicht mehr zu kontrollieren.

Natürlich gab es sehr verschiedene Arten von Plattenhelmen. Einige sind wohl auch auf der Trajanssäule abgebildet. Bei den Tschakos, wie bei denen der «Jazygen» (S. 325) war es verhältnismässig leicht, die Oberfläche mit einigen viereckigen Platten zu bedecken, bei den spitzen und hohen konischen llelmen dagegen schwierig. Diesen liessen sich besser schmale und biegsame Streifen anpassen, wie sie an den Helmen der «Palmyrener» (Bild LXX) angedeutet zu sein scheinen. Häufiger wurden wohl noch spitz zulaufende Dreiecke verwendet. Eine Kombi- nation verschiedener Formen zeigt der Helm von Koul Oba (Fig. 23), der an der mittleren, breilesten Stelle gleichfalls mit oblongen Platten, dagegen an den Seiten mit spitzen Dreiecken dekoriert ist. Bei den niedrigen konischen Helmen wurde mit der Zeit ein Belag mit länglichen, oben schmalen, unten breiten Blättern sehr beliebt. Er war dieser Form besonders gemäss, da er nicht allein ein gefälliges Aussehen gab, sondern auch die Möglichkeit bot, die ganze Oberfläche der Kappe mit Ausnahme der kleinen zwischen den unteren Blattspitzen frei bleibenden Zwischenräume zu bedecken. Das Aufkommen dieser ovalen Blätter ist noch nicht hinreichend geklärt, aber sie sind sehr verbreitet und erben im Muster noch lange fort, besonders an den mittelalterlichen franzö- sischen Helmen und den sogenannten Burgunderkappen'. Zu den ältesten Zeugnissen mag eine Abbildung der Stuttgarter Handschrift der Leges Langobardorum aus dem neunten Jahrhundert gehören”. Entstanden ist das Motiv in unserem westlichen Kulturkreise schwerlich, da für dasselbe hier in der älteren Zeit alle Voraussetzungen fehlen. Die kleinen aneinander gereihten Blätter, wie sie auf gallischen Münzen und nordischen Bracteaten gelegentlich vorkommen, sind wohl aus dem einfachen Blätterkranz entstanden. Dagegen wurden im Orient Jie läng- lichen, unten teils rund, teils eckig geschnittenen Blätter sehr üblich. Auf den Bildern persischer Handschriften, besonders des Schahname, welche die Sachkundigen für altertümlich halten, sind die Helme viel-

1. Dessin, Kriegswaffen * Helm Nr. 130. 128 bis. 96 dis. 2. Deuuin, a. a. 0. S. 356, 2 und Guide? S. 180, 2.

fach damit dekoriert. Fig. 26 ist einer Zeichnung des 16. Jahrhunderts entnommen, welche den Mogol Baber (f 1530) mit seiner Begleitung in kriegerischem Aufzuge darstellt. Alle Helme haben Nackenschirme und Backenlaschen und mehrfach oben einen eigenen Aufsatz mil einem Knopf und einer Hülse, in der bei Baber ein Wedel steckt, ebenso unten einen dekorierten Randstreifen. Der Raum zwischen dem letzteren und dem oberen Aufsatz ist mit länglichen, sich unmittelbar berührenden Blättern gemustert, Das Motiv scheint sich während der byzantinischen Zeit, in | der solche Runddekorationen häufig sind, verbreitet zu haben.

Ebenso alt oder älter als diese mit den Langseiten sich unmittelbar be- rührenden und vielfach geometrisch stilisierten Blätter sind wohl die einzeln = angebrachten Ovale, die ich aber vor Fig. 26. unseren Helmen im Abendlande nicht : nachzuweisen vermag. Auf orientalischen Mützen (des Berliner Ethno- logischen Museums) sah ich dagegen solche weissen Ovale auf farbigem Grunde befestigt, und wir werden dieselbe Form an orientalischen Metallhelmen (Fig. 33) wiederfinden. Hiermit hängen gewiss auch die ovalen oder eckigen Blätter- unserer Helme zusammen. Sie sind noch eine Erbschaft von den Mützen oder Plottenhelmen her, aber bereils einem neuen Prinzip untergeordnet und diensthor gemacht, indem sie von breiten Spangen eingefasst sind, deren Füllung sie bilden. Diese Spangen beherrschen nunmehr die Konstruktion und bringen in dieselbe erst das Wuchtige und Massive hinein, das den erwähnten ogientalischen Helmen fehlt.

Im eigentlichen Europa scheinen sich die Plattenhelme früh verloren zu haben und überhaupt nicht recht im Gebrauche gewesen zu sein, während sie im Orient bis in die neuere Zeit sich erhielten. Gerade bei ihnen findet sich vielfach wie bei Fig. 25 und 26 ein oberer Aufsatz mit besonderer Spitze, eine Röhre für den flelmbusch oder wenigstens ein höherer Knopf.

Eine zweite Art metallverstärkter Helme entsteht, wenn über oder um die ganze Kappe Metallbänder gespannt werden, welche dieser

Fig. 27 (nach Hampel).

Grunde. Zu ihnen gehôrt der mehrfach erwähnte p Budapest! (Fig. 27). Repräsentiert er mit s der feinen Silberplattierung und seiner ganze | auch schon einen entwickelteren Typus, so welches über den ganzen Helm fortzieht und « dieselbe Grundlage doch erkennen. Wahrscheinli ch ist er m ERBEN, Art Feen Sit We Batch à

1, Hansen, Zeitschrift für historische rate Be Er

338

Helmgestell von Benty Grange in Derbyshire (Fig. 31)', das, wie das Kreuz auf der vorderen Nasenstange zeigt, bereits der christlichen Zeit enistammt, gehörte wieder zu einem regulären Bandhelme. Bei ihm liefen nicht bloss zwei, sondern drei breitere, am unteren Ringbande befestigte Bänder in ununterbrochenem Zuge über die ganze Kappe fort. Eine besondere Spitze ist nicht vorhanden, nicht einmal eine Scheitel- platte, sodass das Tier ziemlich unbeholfen auf das eine Band genietet werden musste. Die äussere Verkleidung bildeten, wie aus den vor- handenen Resten zu schliessen, fischgrätenartig angeordnete Horn- plätichen. Ilelmblätter von der Art der unseren können also nicht ver- wendet gewesen sein. Das vierleilige Spangen- werk von Leckhampton Hill (bei Cheltenham)? hat zwar ein Ringband und oben eine kleine aufgenietete Platie mit einem Knopf, an der vier einzelne Bügel befestigt sind, aber die besonderen Eigentümlichkeiten unserer Helme fehlen. Auf so allgemeine Merkmale lässt sich keine nähere Verwandtschaft begründen, und wir können nicht mit Lindenschmit in dem St. Petersburger Helm eine weitere Entwick- lungsstufe dieser vermutlich auch jüngeren angelsächsischen Helmgestelle anerkennen.

So verwies Lindenschmit-Sohn? denn wieder auf die Barbarenhelme der Trajanssäule, speziell auf die S. 325 besprochenen oben abgeflachten Hutgestelle der «Sarmaten» (Bild XXXI. XXXVII) und «Jazygen» (C. CLJ). Da die ersteren von derselben Truppe getragen werden wie die bienen- korbarlig gewölbten und mit ihnen die Konstruktion aus horizontalen und verlikalen sich kreuzenden Bändern teilen, auch niemals eine be- sondere llelmspitze haben, so werden sie zu der gleichen Gruppe der Bandhelme gehören, von denen sich die unseren schon in der Grundlage unterscheiden. Die Ilelme der «Jazygen» sind undeutiicher. Nach den Abbildungen von Gichorius scheinen sie eher Plattenhelme zu sein (oben S. 332), deren Gestelle vielleicht den sarmatischen glichen. Alle diese Tschakoformen, mögen sie oben breiter oder spitzer zulaufen, behalten einen besonderen Charakter und können nicht als die Vorstufe unserer konischen Ilelme gelten. Der Fig. 19 abgebildete Typus steht ihnen

Fig. 31.

1. LINDENSCHIT, a. a. O. II, 10, 5, Fig. 3. Handbuch S. 256 und sonst. 2. LINDENSCHNIT, a. a. 0. Fig. 2 und Handbuch S. 257. 3. a. a. 0. V, S. 194.

339

immer noch am nächsten. Aber die Unterschiede bleiben gleichwohl so beträchtlich, dass eine direkte Kombination nicht statthaft erscheint. Allen besprochenen Helmen fehlt die primitive Art des Zusammenstük- kens, fehlen die ovalen Helmblätter, die man nicht als etwas Zufälliges und Nebensächliches betrachten darf. Als nur der eine Helm bekannt war, mochte man darüber hinwegsehen. Jetzt, wo wir wissen, dass gerade die ovalen Blätter altertümlich sind, geht dies nicht mehr an. Die Form der Spangen hat nicht die ovalen Blätter, sondern die ovalen Blätter haben umgekehrt den Schnitt der Spangen bedingt. Auch die Helmspitze fehlt den von Lindenschmit verglichenen Helmen der Trajans- säule. Dagegen lassen sich diese Eigentümlichkeiten, einzeln oder bis zu einem gewissen Grade vereinigt, an orientalischen Ielmen nachweisen, Jie auch bei abweichender Form von verschiedenen Seiten her die Ent- stehung der unseren verdeutlichen.

Die konische Form ist altes orientalisches Erbe, Aber auch die Zu- sammenslückung, die wir sonst nur bei den Mützen beobachten konnten, findet sich im. Orient bei den Metallhelmen wieder. Dies ist bei Fig. 32 der Fall, einem von Percy Gardner veröffentlichten Bronzehelm des britischen Museums, den er für assyrisch hält und mit Münzen des Arsaces kombi- niert (S. 17)'. Das Gerüst bilden vier schmale Metall- streifen, die in der Längs- mitte gralarlig umgebogen sind und nach oben hin zu- sammenlaufen. Zwischen diese Streifen sind vier keilförmige Blätter eingesetzt und werden an ihnen durch kleine Nägel oder Stifte festgehalten, deren Köpfe man zum Teil auf der Abbildung sieht. Es ist dies auch das Prinzip unseres nur elwas komplizierteren Helmgelüges. Den zusammenhaltenden Streifen ent- sprechen unsere mit einem scharfen Längsgrat versehenen Spangen und

Fig. 32 (nach Gardner).

1. Percy GanoNen, The Parthian Coinage (1877). Frontispiece.

4

für sassanidisch (etwa aus dem 5. Jahrlı. n. Chr.) gehalten. Er hat ziemlich genau die konische Form der unseren. Oben ragt aus einer viereckigen Scheitelplatte ein dicker Stil hervor, der wohl gleichfalls zur Befestigung der Helmzierde diente. Die vier breiten Spangen haben wie die unseren in der Längsmille eine scharfe Kante, von der aus sie nach den Seiten zu sich abflachen, ebenso oben die geschwungene Form, welche den ovalen Zwischen- feldern entspricht. Unten berühren sie sich nicht, sondern sind von der am weitesten vorspringenden Stelle mit einem scharfen Knick gradlinig bis an den Randstreilen geführt. So bilden sie eine Art Vorstufe zu den unseren, deren Seitenflügel unmittelbar zusammenstossen. Und zwar stimmt die Höhe der Seitenflügel am meisten zu den älteren Vertretern unserer Gattung, die sie noch übertrifft, während sich die späteren Formen immer mehr verflachen. An den beiden seitlichen Spangen erkennt man auch, dass sie oben nicht zusammenhängen, sondern nur elwas unter die Scheilelplatte gezogen sind und schon vor dem Mittelgrat der Vorder- spange aufhören, welche ihrerseits unter die beiden Seitenspangen hineingreif. Hier sind die Ovale der Zwischenfelder auch keine blossen Metallausschnitte mehr (wie bei Fig. 33), sondern werden wie die unseren durch die Spangen gebildet, welche sie fast ganz umschliessen. Alle Teile, die Scheitelplatte, die Spangen und der Randstreifen sind miteinander und auf ihrer Unterlage durch grossköplige Nägel vernietet, Damit sind die Zusammenhänge bereits so eng geworden, dass bis zur Identität der Helme eigentlich nur die letzten Schritte fehlen. Wir haben bei Fig. 34 eine der unseren entsprechende konische Form, haben mehrfach eine analoge oder identische Zusammenstückung aus

Fig. 34.

349

verschiedenen Teilen, haben zwischen den Bändern oder Spangen die ovalen Blätter, die wolıl meist noch obere Deckblätter trugen, haben bei Fig. 34 auch die Helmspitze und mehrfach einen angesetzten Rand- streifen. Aus Europa lassen sich entsprechende Vorstufen bei einem sehr viel grösseren Materiale bis jetzt nicht nachweisen. Trotz der weilen Entfernung bleibt Fig. 34 einstweilen der nächste auswärtige Verwandte, der somit wohl als ein Vorläufer unserer Helme gelten darf. Wir ersehen zugleich, dass die Umwandlung der Bänder oder Streifen zwischen den ovalen Einsätzen in Spangen bereits im Orient eingetreten ist. Sehr primitiv bleibt die ziemlich derbe und reichliche Vernagelung von Spangen, Randstreifen und Scheitelplatie, die ähnlich bei unsern Helmen wiederkehrt. Die Auflösung des ganzen Gerüstes in leicht zu- sammenfügbare Einzelstücke ist bei den unseren noch weiter getrieben, und die Verwendung eiserner Hülfsteile hinzugekommen. An die Stelle des alten einfachen Metallarbeiters ist der Schmied getreten, aber der äussere Glanz, die Wirkung der grossen silberplattirten Blätter

zwischen den vergoldeten Kupferspangen ist noch von orientalischer Lebhafligkeit.

Die erhaltenen Metallkappen sind aber nicht die ganzen, sondern nur die Hauptteile der alten wirklichen Helme. Alles was an ihnen aus Leder oder Stoff war, ist verschwunden, selbst die feineren Eisenteile sind weg- gerostet, nur einige weiter führende Anzeichen sind übrig geblieben.

Um den unteren Rand aller Helme zieht sich, soweit dieser nicht zerstört ist, eine zusammenhängende Reihe dicht nebeneinander befind- licher Löcher. Auch an dem Baldenheimer sind links von der hinteren Nietstelle noch zwei 1,5 cm voneinander entfernte, regelmässig ausge- schlagene, z. T. aber ausgesprungene Randlöcher erkennbar. Diese Löcher- reihe kann zum Festhalten des Helmfutters oder, wie von Lenz (S. 104) und mit ihm von Übisch (S. 209) annehmen, zur Befestigung des Panzer- zeugs gedient haben.

In der Tat sind mit vier unserer Helme kleine eiserne Panzerringe gefunden, was den Umständen nach schon sehr viel ist. In drei Fällen lässt sich nicht mehr entscheiden, wie sie verwendet waren. Von dem Helm von Vezeronce heisst es: an den Wangenklappen cadhèrent encore, ainsi qu’en pourtour du casque quelques fragments d’une étoffe de mailles destinée à protéger les épaules‘, Mit dem Baldenheimer Helm ist eine

1. Inventaire général 1892, S. 179.

344

Helme festzuhalten, kann auch die Lôcherreihe an unseren Helmen gedient haben.

Alle diese Schutzvorrichtungen sind meist orientalischen Ursprunges. Schon im Altpersischen gibt es eine technische Benennung für den Nackenschirm. Auf der Trajanssäule haben die Orientalen bis auf die Schultern herabhängende Nackendecken (vgl. Taf. LXX mit den «Pal- myrenern), die auch an den Trophäenhelmen der Säule (vgl. oben Fig. 20. 21), auf der Platte von Niederbieber und sonst dargestellt sind. Dieser Anhang bestand vermutlich aus Leder, war mit kleinen Ringen besetzt und an den Stellen befestigt, wo man am Rande der Trophäenhelme (Fig. 20. 21) die kleinen Kreise oder Löcher erblickt, denen die Rand- löcher unserer Helme entsprechen.

Mit der Nackendecke hingen ursprünglich auch die Wangenbänder zusammen. Sie sind erst nachträglich durch einen Einschnitt von einander getrennt und bilden gemeinsam die alte Kapuzenerbschaft des Helmes. Vom flelme des Baber (Fig. 26) fällt die schuppenbesetzte Nackendecke nicht nur hinten, sondern auch seitwärts bis auf die Schultern herab, sodass nur vorne das Gesicht freibleibt, unter dem sie gewiss zusammen- gebunden werden konnte. Sie ist nichts anderes als der untere Teil der Kapuze, welche auf demselben Bilde andere niedere Personen über den Kopf gezogen haben, und ein Ersatz für die grossen um den Kopf und Hals geschlungenen Tücher, wie sie die Perser auf dem pompejanischen Bilde von der Alexanderschlacht tragen, oder die barbarischen über den Kopf gezogenen Tierfelle‘, die bei den römischen Truppen wie eine Paradeuniform forterbten u. A. m.

Wie die griechisch-orientalischen Mützen an den Seiten einen Ein- . schnitt für die Ohren erhielten, sodass der hintere Teil als Nackenschirm, die beiden vorderen als Wangenbänder dienten, ist auch bei den Dar- stellungen des Wendelhelmes (Fig. 30) und der etwa gleichaltrigen ölän- dischen Bronzeplatten? der Zusammenhang dieser Teile noch ersichtlich. An einem Kopf auf der Schwertscheide von Nydam in Schleswig, die dem dritten Jahrhundert n. Chr. angehören mag, scheint dagegen unter der Helmkappe eine Kapuze zu silzen, die von allen Seiten weit ins Gesicht und übers Kinn gezogen ist’. Und wenn die Abbildungen bei

1. Henopor VII, 76. 2. KNUT STJERNA a. a. 0. S. 103. Monreuus, Kulturgeschichte Schwedens, S. 231.

3. KNUT STJERNA S. 105. Auch J. Mssronr, Zeitschrift für Ethnologie 26 (1894), S. 316.

346

derselben spricht. Den mitteleuropäischen und den älteren germanischen Kappen fehlen sie noch.

Eine Neuerung dagegen, welche unseren Helmen fehlt, ist die später so gebräuchlich gewordene Nasenstange, wie beim Wendelhelm und demjenigen von Pferrsee. Sie ist der letzte Überrest eines vollstän- digeren Gesichtsschutzes. Auf nordischen Abbildungen zum Teil noch aus älterer Zeit, auf dem jütischeu Kessel von Gundestrup, wohl auch auf nordischen Bracteaten und den öländischen Platten scheint eine Ilalbmaske für die obere Hälfte des Gesichtes angedeutet zu sein. Diese ist wieder aus der Vollmaske entstanden, die nicht nur antik, sondern auch barbarisch ist. Der vorderste Krieger auf dem Wendelhelm trägt eine solche, und sie war gewiss in mancherlei Formen verbreitet. Ihr germanischer Name «grima», der jede unkenntlich machende Kopfum- hüllung bezeichnet, reicht in die älteste mythische Zeit zurück. Nach ihr ist Grimhild und der Kriegsgott Wodan selber (als Grimnir) zube- nannt. Sie ist eine allgemeinere barbarische Einrichtung.

5. Schluss.

Wir haben unsere Untersuchungen soweit geführt, als das vorliegende Material es gestattet. Die archäologischen und technischen Kriterien bleiben miteinander im Einklang. Wie die Ornamente nicht der eigentlich römischen, sondern einer allgemeineren antiken, stark mit orientalischen Elementen durchsetzten Sphäre angehören, weist auch die Vorgeschichte der Helme auf orientalischen Ursprung zurück. Ornamente und Kon- struklion stimmen also zusammen und werden gemeinsam übernommen worden sein. Aus der lokalen mitteleuropäischen Tradition sind sie nicht gut zu erklären. Die Helme mit ihren Ornamenten sind ohne erkenn- bare Vorstufen plötzlich in Mitteleuropa fertig und ausgebildet da, was bei ihrer ganzen entwickelten Art sehr auffällig ist. Wie ist dies zu verstelien ?

Das Fundgebiet der Helme reicht bis jetzt von der dalmatischen und der gegenüberliegenden italischen Küste der Adria über das schwäbisch- alemannische Südwestdeutschland bis zum östlichen und südlichen, viel- leicht auch mittleren Frankreich hin. Am festesten lokalisiert sind die drei südwestdeutschen Helme, da sie aus regelmässigen Grabfeldern einer ortsangesessenen Bevölkerung stammen. Die übrigen, soweit ihre Herkunft bekannt ist, sind Einzel- oder Depotfunde, die auch durch besondere historische Ereignisse, durch Kriegs- oder Raubzüge, an

348

schmieden und die italischen Städte ihren Eisentribut in den Dienst stellen mussten‘. Nun gewann auch für die Germanen das entwickeltere Kunst- und Schmiedehandwerk des Südostens eine praktische Bedeutung, das hier vielfach in den Händen barbarischer Metallarbeiter lag, der Barbaricarii, deren die Notitia dignitatum gedenkt und die, wie der Codex Theodosianus erwähnt, unter Anderem silberplattierte Ilelme ver- goldeten*. Auch die rugische Königin Giso hielt zur Zeit des Odoaker in Faviana barbarische Goldschmiede unter Verschluss oder Bewachung, welche ihr die königlichen Zierrate anfertigen mussten ’®.

Im Verlauf des sechsten Jahrhunderts hatten dann wenigstens die germanischen Fürsten des Südens einen vollen Kriegsschmuck. Totila besass im Jahre 552 eine von Gold strahlende Rüstung und von seinem Hut (rÜXov) und Speer hing purpurner Schmuck von grosser Schönheit herab, wie er wohl für einen König ziemte‘. Aber ein Metallhelm ist auch damit noch nicht gekennzeichnet. Diese vermochten bei den Ger- manen nur langsam einzudringen. | |

Der alte nationale Kopfschmuck war nicht der Helm, sondern die Hauptbinde, wie sie auch die dakischen Edlen auf den Abbildungen der Trajanssäule ums Haar tragen. Sie behauptet lange ihre auszeichnende Bedeutung. Ilauptbinde, Krone und Helm bleiben synonyme Benennungen, und noch den Metallhelm umgibt später ein «llerrenband» (freäwıäsn, Beowulf 1452). So wirkten die germanischen Anschauungen dem Auf- kommen der Metallhelme sogar entgegen. Auch der «flammeus torulus», den Chnodomar i. J. 357 in der Schlacht bei Strassburg trug, wird nicht auf einem Ilelm, sondern als ein hoher Wulst über dem Scheitel angebracht gewesen sein (Amm. XVI, 12, 24: vertici aptabatur). Der mit «hehlen» zusammenhängende «llelm» bezeichnete ursprünglich eine jede Kopfumhüllung, wie noch got. hilms griech. rsgıxspadel« übersetzt. Erst allmählich beginnt bei den Westgermanen die eigentliche Helmzeit. Die in den ältesten Quellen und bei den Ostgermanen sehr seltenen mit Helm— oder —helm zusammengeseizten Namen werden nunmehr häufig, und man meint dem Bevwulfgedichte noch die erste Helmfreude anzuspüren. Aber vielfach blieb der Ilelm wohl noch eine kostbar

1. CLAUDIAN 26, 536 fi.

2. Tam apud Antiochiam quam apud Constantinopolim a singulis barbaricariis cassi- des... tegerentur. .. tegerent argento et deaurarent. Cod. Theod. X, 22, 1. Vgl. SBECK bei Pauly-Wissowa II, 2856. lAMpEL, a. a. 0.

3. Vita St. Severini VI.

4. Prokop, Bell. Goth. 4, 31.

welche dieselben trugen. Für die Zeiten der Völkerwanderung liegt diese Annahme besonders nahe, da die Beziehungen zwischen den Germanen und ihren orientalischen Nachbarn damals die allerengsten wurden. Nur ist nicht an die kulturfernen Ilunnen zu denken, die schwerlich entsprechenden antiken Einflüssen ausgesetzt waren, wie wir sie annehmen müssen, überdies gekrümmte Fellmützen trugen‘, eher an die eranischen Nachfolger der Skythen und Sarmaten am Schwarzen Meer, die Alanen, deren letzte Reste sich am Kaukasus erhielten, deren kollektivischer Name bei den alten Ilistorikern aber wohl alle Jäger- und Reiterstämme von der unteren Donau bis weit nach Asien hinein umfasst. Ammianus nennt sie «armorum levitate veloces», später gelten sie als die schwere Kavallerie der Völkerwanderung”. Sie waren zugleich Bogenschützen, deren Zahl ein chinesischer Autor für den Osten allein auf reichlich 100000 berechnet’. An den berittenen Bogenschützen des Streifens von Chälons sei erinnert.

Kavallerichelme sind die unseren sicher gewesen. Sie wurden auch von schwer bewaffneten Panzerreitlern getragen (S. 342 f.). Ebenso enthielt das Gammertinger Helmgrab ausser der Eisenbrünne zahlreiche, das Baldenheimer wahrscheinlich mehrere Pfeilspitzen. Die Funde führen also auf eine ähnliche Truppe oder Bewaffnung. Mit einer sulchen Reiterausrüstung, die bei den Germanen wohl erst unter dem Einfluss ihrer orientalischen Bundesgenossen aufkam, wird sich unser Helmtypus weiter verbreitet haben.

Die Gothen am Schwarzen Meer waren schwerlich schon entsprechend bewaffnet, sondern standen noch auf einer primitiveren Stufe (S. 347 fi). Auch die neue germanische Kultur der Völkerwanderungszeit, welche die Gothen und später die Langobardeı nach Italien mitbrachten, wird erst an der unteren und mittleren Donau ausgebildet worden sein‘. Von einigen Besonderheiten abgesehen, ist sie eine ziemlich einheitliche.

So ist es mehr eine Frage der Chronologie als der Stammeskultur, ob man den Helm von Monte Pagano für langobardisch, für go- thisch oder für noch etwas anderes halten will. Dass die Darstellungen

l. AMMIANUS, 31, 2, 6.

2. AMMIANUS 31, 2, 21. Suavum pede, Hunnum sagilla praesumere, Alanum gravi, Herulum levi armalura aciem strui. JORDANES, Get. L. 261.

3. Hırr, Die Volgahunnen und Hiung-nu. Sitzungsber. der bayer. Akademie der Wissensch. Phil. hist. Kl. 1899, S. 250.

4. VIRCHOW, Auf dem Wege der Langobarden. Zeitschr. f. Elhnologie XX (1888), Ber. S. 521 ff.

352

ausgesetzt war', die Gegenstände in den Boden kamen, ob zu gleicher Zeit oder ob der in grösster Tiefe gefundene Pendant unseres Balden- * heimer Ilelmes zuerst, bleibt dahingestellt. Vor dem Ende des sechsten Jahrhunderts war es aber ziemlich sicher der Fall,

Die beiden fast gleichen Helme von Vid und Baldenheim müssen notwendig dieselbe Herkunft haben. Die Übereinstimmung ist zu frappant und erstreckt sich nicht nur auf die Dekoration, sondern auf die ganzen Stücke, den Schnitt der Spangen, die eingefügten Silberblätter u. s. f. Aber der Sprung von Dalmatien nach dem Elsass ist weit und unvermittelt. Wenn die Abzweigung auch von einem gemeinsamen Zentrum aus statlfand, so bleibt Joch ein rasches Vor- dringen dieses Typus vom Osten nach dem Westen wahrscheinlich. Und die Vider Verhältnisse berechtigen uns auch zu der Annahme, dass der Baldenheimer Helm nicht später als im sechsten Jahrhundert angefertigl sein wird.

Damit nähern wir uns der Periode, in der bei uns die germanische Kultur neu begründet wurde. Mit der römischen hat die letztere auch vorher kaum eine Berührung gehabt, eine geringere jedenfalls als am Niederrhein und im Osten. Das Fehlen aller germanischen Elemente in den römischen Inschriften und Darstellungen redet hier eine deutliche Sprache. Der Umschwung begann, als im Anfang des fünften Jahrhunderts die grosse Ablenkung der Oststämme, der Hosies Pannonii, nach dem Westen erfolgte. Die Wandalen und Alanen, die längere Zeit in Pannonien gesessen und von denen die letzteren grade Hlyrien durchstreift, gefolgt von den Sueben, setzen sich in Bewegung, verwüsten alles Land über den Alpen und gehen im Jalıre 406 über den Rhein. Dies gab das Signal zum allgemeinen Vor- dringen. Jetzt besetzen auch die Burgunden, die bis dahin noch auf der andern Rheinseite gewohnt, die Pfalz, und grade diese Ereignisse sind den Germanen so unvergesslich geblieben, dass sie die wenigen Dezennien der Burgundenherrschaft um Worms (bis 437) in der Sage für immer festgehalten haben. Aus dem Jahre 409 haben wir die zusammenfassenden Angaben des Hieronymus: Mainz, Worms, Speyer, Strassburg werden erobert, den Römern entrissen und an Germanien

I. In Dalmatien und llivrien hat schon Alarich, haben die Alanen geplündert, hat i. J. ist Odoaker gekämpft, haben abwechselnd Römer und Gothen geherrscht, haben die Langobarden geheert, Hunnen und Avaren zehaust, bis die Slaren das Land okkupierten.

954

anderen franzôsischen und der beiden schwäbischen Helme. Das Haupt- relief ist archaischer und stilvoller als die Gammerlinger, welche bereits eine Umbildung desselben zeigen. Deshalb brauchen die letzteren aber noch nicht von dem St. Petersburger selbst abhängig zu sein. Die ge- meinsame Quelle für alle kann im Osten liegen. Und wenn der Gammer- linger Helm seiner Beigaben halber ins 6. Jahrhundert zu setzen ist, so werden die reineren Vorbilder desselben wolıl wieder dem 5. Jahr- hundert angehören.

Vielleicht war die Art der Verbreitung nicht in allen Fällen die gleiche. An eine ältere, mehr sprunghaft vordringende, mag sich eine spätere, langsamer nachwirkende angeschlossen haben, bei der noch nicht zu entscheiden ist, wieweit sie gleichfalls auf Import oder auf einer daran anknüpfenden lokalen Industrie beruht. Zu beachten ist jedenfalls, was Salin für die Gewandnadeln der Vôlkerwanderungszeil mil ihrer eigenarligen Dekorationsweise darlegte*. Die Quelle dieser über die ganze germanische Welt sich verbreitenden Gattung findet er im südlichen Russland, etwa auf der Krim, während Strzygowski, noch weitergehend, die orientalische Herkunf als selbstverständlich bezeichnet. Von Südrussland, wo die einfachsten Formen im 4. Jahrhundert hervor- treten, verfolgt Salin die späteren Umbildungen bis nach Frankreich hin. Aber neben der Masse der lelzteren, treten gelegentlich noch ganz im Westen wieder so altertümliche Typen hervor, dass sie den süd- russischen unmittelbar an die Seite zu stellen sind, so schon einige rheinische (vgl. Fig. 26 aus der Gegend von Strassburg‘, besonders aber Fig. RI— 3%, aus einem Grabe der Normandie. Salin hält auch diese, noch dem & Jahrhundert zugewiesenen Mücke nicht für zufällig ver- schlagen, sondern für Zeugnisse eines allgemeiner wirkenden Vorganges, einer Einwanderung aus dem fernen Osten (S. 141 £, vgl. S. 355), und unterscheidet eine ältere raschere und eine spätere langsamere Ver- breitung in derselben Richtung. Jedenfalls haben wir auch hier ein Zeugnis für einen Jamals rasch vom Osten nach dem äussersten Westen berüberwirkenden Eiufluss.

In unserem Falle, wo es sich um die Ausrüstunz schwer bewaffneter Reiter handelt, mag n.ch an das Schicksal der im eurspäischen Westen endenden orientalischen Truppen erinnert werden. Nachdem em Teil der Alanen bereits nach alien un] weiter rach Spanien aufgelrucher war. ist ein anderer ı. J. ET noch am Rhein unter Goar stark genug.

à SUN Dr sperme Zirracmre ik LR Te Nenar. mu

956

stelle erreichten, später und rascher vorübergeflutet zu sein. Dagegen lassen die Ornamente mit ihren Umbildungen wohl noch einen Zu- sammenhang erkennen. Dem St. Petersburger Relief Fig. 9 gegenüber, welches dem Originale jedenfalls näher steht, ist das Gammertinger Fig. 10. 11 bereits entstellt: die Köpfe der laufenden Tiere gleichen schon mehr denen von Pferden, obwohl die langen Löwenschwänze noch beibehalten sind, der Vogel fehlt, die Kappe auf dem menschlichen Kopfe hat lang flatternde Bandenden. Eine noch weiter getriebene Um- wandlung, bei der des Raumes halber das eine Tier ganz fortblieb (wie bei Fig. 15) und der Kopf in die Mitte gerückt wurde, mag der vieleedeutelen Hauptgruppe der nordischen Bracteatendarstellangen zu Grunde liegen. Das laufende oder schreitende, vielfach mit Hörnern oder Kinnbart, bald mit Hufen, bald mit Klauen versehene Tier spollet jeder Definition und wurde von Steenstrup allen Ernstes für einen asia- tischen Yak erklärt. Über dem Tiere steht ein grosser menschlicher Kopf im Profil, der sich öfters zu einer Büste, aber nie zu einer ganzen Figur vervollständigt. Es findet sich nirgend ein Anzeichen, dass er jemals einem Reiter angehört habe. An einen Odin oder Thor, wie noch Salin und Montelius! annehmen, ist schwerlich zu denken. Dass die nordische Amuletgruppe aber der unseren nahe steht, wird dadurch wahrscheinlich, dass der Kopf mehrfach dieselbe orientalische Kappe mit den flatternden Bandenden trägt, wie derjenige des Gammertinger Reliefs. Fig. 35 zeigt einen solchen Bracteaten aus Schonen mit dem Kopfe, dem freilich schon sehr reduzierten Tiere und dem Vogel (Salin Fig. 28, vgl. daselbst Fig. 8). Die nordische Fassung braucht aber natürlich nicht auf der Gammerlinger zu beruhen, sondern beide können verschieden weit getriebene Umbildungen desselben Originales sein. In den gleichen Zusammenhang mögen noch andere, im Norden vielverbreitete Darstellungen gehôren*. Auch der Mann auf dem Bracteaten von Vedby’ trug wohl eine ähnliche Kappe wie die unsere. Ilier erinnern die 24 bärtigen Köpfe, welche

l. SALIN, De nordiska Guldbraktealerna. Antiquarisk Tidskrift för Sverige 1A (1899) Nr. 2 S. 91. MoxTELius, Kulturgeschichte Schwedens S. 227.

2. Der Vogel mit dem Kranz im Schnabel neben dem Reiter, den SopHus MÜLLER (Urgesch. Europas S. 186) für Odin hält, findet sich schon auf parthischen Münzen als Vertreter der kranzhaltenden Nike.

3. STEPHENS Nr. 52 (vom Typus der Dannenberger Bracteaten).

959

2

(la antürl. Grösse,)

[in] h(onorem) d(omus) d(ivinae). [lovi oplimo mazximo, Genilo locli] [pro ...ijo Libefr . .. filio ?].

Die Formel in hlonorem) d(omus) d(ivinae) findet sich zuerst auf dem Steine C, XIII 7458 aus der Zeit des Kaisers Pius (a. 138—161 p. Chr.). Ihr Gebrauch ist auf die germanischen Rheinlande und die angrenzenden Keltengaue der Helvetii, Mediomatrici, Treveri beschränkt, während in dem eigentlichen Keltenlande statt dieser Formel die Weihung Numinibus Augustorum an die Spitze trit'. Letztere Formel sagt es direkt, dass das Kaiserhaus überall noch vor den Göttern Gegenstand der Verehrung ist. Aber auch die rheinische Formel hat denselben Sinn. Sie ist eine deutliche Nachbildung der im Lagercult üblichen Formel in honorem aquilae*, welche auf Altären und Weihgeschenken angeschrieben wurde, die im heiligen Bezirke des Legionsadlers standen. Demnach ist hier der Einfluss der für die Rheinlande mass- gebenden Soldatenkultur fühlbar.

>

(1, natürl, Grösse.)

s(olvil) l(ibens) [b(ene) die) s(e)] m(erito) ex voto.

I. Vgl. Toutain, Beiträge zur alten Geschichte. 2, 196 7. 2. Westd. Zeitschr. 14, 41 und Festschr. für Olto Hirschfeld (1903). 5. 243 Anm, 5.

[Ti)bierius) Cab... Quinti filius) Urvini [annlorum) zz] VII stiplen- diorum) [x. Her)es ex [eius vollunt(ale) et [lestame)nto couts eura)vi, quem stalluit el posjuit nomen.

Dieser altertümliche Grabstein gehört einem Legionar an. Dass die Truppe nicht genannt ist, hat eine Analogie in dem Mainzer Steine G. XI 7013. In Q am Anfange der Zeile 2 wird man den Namen des Vaters Q{uinti) zu erkennen haben mit Weglassung des flilius). In Urvioum ist wahrscheinlich das bekanntere Urbinum Mataurense, das heulige Urbino, zu erkennen',

I. VgL €. XI, p. 894 Das Urbinum Hortense, wenn es ebenfalls der Stellatins angehört, wie Bormann C. XI, p. 747 annimmt, lässt sich in den Inschrifien, die en einfachen Stadtnamen nennen, nicht von dem anderen unterscheiden.

ss DORE

Die Ergänzung in Zeile 4 heres ist indiciert durch das in Zeile 7 erhaltene quem. Sonst ist die verwirrte Formel für die einfache Tat- sache der Erbeinselzung eine rechte Illustration zu der von den Kaisern oft hervorgehobenen nimia imperitia der milites, die ihnen die libera testamenti factio gewährten. Es sollte heissen testament(i] causa! und el [cuius] posuit nomen. So schlecht der Stil, so ausgezeichnet ist die Schrift des Steines, der der iulischen Zeit angehört.

5

(l, natüch Grösse.)

Fr an(norum) XL, stiplendiorum) XVI h(ic) s(ilus) est). H(eres)

f(aciendum) c{uravit).

Der Stein ist nur durch die Darstellung eines römischen Militär- wagens bemerkenswert? Der Kutscher trägt an einem Bandelier den gladius; hinter den beiden Maultieren sieht man einen Baum als An- deutung der Landschaft.

I. Vgl. GC. XIII n. 6862, 2. Das ganze Denkmal ebenso wie Nr. 13 und 14 wird im Album des Strassburger Museums. veröffentlicht.

08

(lu natürl. Grösse.)

Kopf einer Frau, Kopf eines Mannes.

Dis) m(anibus), Ursioni patri, Morien(a)e matri Cresce(n)s filius pienlissimus d(e) suo poslu)il. Posit wie Cresces gibt nur die wirkliche Aussprache der Worte wieder.

7

('/, natürl Grösse.)

[d(is) m(anıbus) et] perpeluale securitati] [Aujr(elius) Super «....

= MR

8 (N m natürl, Grösse.)

Oblonge Platte.

Dis) M(anibus) Marcus) Poreius M(arci) lib(lertus) Crescens lestamento fieri iussit sibi el Porciae Mansuelae coniugi suae. M. Porcius Verecundus liblertus) et h(eres) flaciendum) celuravil).

9 (}, natliel, Orösse ) Verschleppt aus der römischen Mauer beim Hause Siegfried neben dem protestantischen Gymnasium. Jetzt gleichfalls im Museum zu Strassburg.

Opus coh{ortis) (seplimae),

Ist der Baustein der cohors seplima einer Legion.

B. XXL (M.) 24

= Mb

10

(le natürl. Gröme.) Blauwolkengasse, Anwesen Kuhff, nahe der Jung-St.-Peterskirche.

Marti Loucel (io) v(otum) s(oluit) lU(ibens) Uaetus) m(erito) Fillio, Condolli f(ilius), eg(ues) ala Pelri(ana) Treve(rorum).

Der Stein ist, wie es scheint, an seinem ursprünglichen Aufstellungs- orte gefunden worden. Es ist der Platz vor der porta prineipalis sinistra des Lagers, wo das Quadrivium sich befand', Mars Leucelius oder Lucelius wird besonders von den Treverern verehrt’, ebenso Mars Lenus’, Mars Intarabus*. Hierin spricht sich der kriegerische Geist des

1. ©. XITT 5971 mit Zaugemeisters Bemerkungen. Vgl. auch Westd. Zeitschr, 1902, 197.

2,6. XII n. 7412; VII 36. Vel, GC. XII 6131; auch die Heiligtümer C XII 7241, 7242, 7252 liegen auf altem Trevererboden.

3. C, XIIL 7661.

4. GC, XIII 3632, 3053, 4128.

365

tapferen Volkes aus, während die ganz unkriegerischen Mediomatrici den Marscult kaum kennen. Der Name des Reiters, Fittio, ist sonst nicht bezeugt, der des Vaters Condollus geläufig. Von besonderem Interesse ist die Bezeichnung der Ala, als Petriana Treverorum. Die Ala heisst sonst Gallorum Pelriana, so auf der Inschrift aus der Zeit Neros C. XIII 6820. Man sieht, dass der allgemeinere Name Gallorum an Stelle des Volksnamen Treverorum getreten ist. Dasselbe musste man vermuten für die ala Indiana Gallorum'. Petriana heisst das Reiterregiment zur Erinnerung an einen Obersten Pelreius, der es in der Zeit der Bürgerkriege mit Auszeichnung geführt hatte’. Schrifiform wie Sul zeigt’, dass der Altar noch der augusteischen Zeit angehört.

11 (fi, matürl, Grösse.) Haus Siegfried am Neuen Markt.

Rest eines grossen Grabmales. In Zeile À ist vielleicht [Po]m[pllina, mit Legatur von T und I zu ergänzen und dahinter die Heimat : Clircei] oder G[rumenlum]; 2 [Sleverus (centurio) [leglionis) II Aug(ustae)].

1. GC. XI, 1 p. 584.

2. Vgl. Pauly-Wissowa 2, 2620.

3. Man achte auf die Nennung des Dedicanten nach der Formel V.S8, L. L. M., die rein keltischen Namen, den Ablativ ala, die Abkürzung mit dem Vocal Petri; Treve.

367 14

(!/, natürl, Grösse.)

Sarcophag aus Königshofen, der Dekel fehlt.

Diis Mlanibus) el memoriae aeternae g(uondam) G(... .‚iae) Florenlinae malronae incomparabili, quae viait ann(os) XXX VII m(enses) V d(ies) XIII. Iun(ius) Eudemus coniugi rarissimae flaciendum) c(uravit).

370

im Speiergau, in der Wellerau , ‘in Schwaben, dauernden Bestand gewann und erst durch den 30jährigen Krieg aufgelöst wurde.

Die Geschichte jener kaiserlichen Statthalter im alten Elsass, es sind deren mehr als 100, worunter ein Ahnherr unsers hohenzollerischen Kaiserhauses, Burggraf Friedrich V. von Nürnberg 1363—1367, und ein Graf von Hohenlohe 1486—1493 sich finden, ist vor kurzem erschienen unter dem Titel: «Geschichte der Reichsland- vogtei im Elsass von ihrer Einrichtung bis zu ihrem Übergang an Frankreich 1273 bis 1648» von Professor Dr. Becker. Mit einer Übersichtskarte. Strassburg i E, Verlag von Schlesier und Schweikhardt, 1905, XI, 256 Seiten.

Über dieses Buch urteilt der hervorragende Kenner der histori- schen Vergangenheit des Elsass, Professor Dr. E. von Borries, in der Strassburger Post, Nr. 1262 vom 29. November 1905, folgendermassen :

« Verfassungs- und verwalltungsgeschichtlliche Werke zäblen nicht zu denjenigen, denen das Interesse weiterer Kreise mit Bereitwilligkeit entgegenkommt. Ihr Verständnis setzt meist genaue Einzelkenntnisse voraus; sie beschäfligen sich mit Zuständen, während unsere Teil- nahme in erster Linie dem handelnden und leidenden Menschen gehört. Und doch ist die Verfassungs- und Verwaltungsgeschichte das lückgrat der allgemeinen Geschichte; sie gibt häufig den Schlüssel für das Begreifen der politischen Geschicke eines Landes, sie zeigt uns die Wechselwirkung zwischen Regierenden und Regierten, und wenn sie einerseits nicht die dramatische Lebendigkeit von Kampf und Sieg auf blutigem Felde, anderseits nicht den poetischen Reiz des kulturgeschicht- lichen Bildes aufweist, so lehrt sie, wie politische Institutionen ent- stehen, sich wandeln und vergehen, wie sie gedacht sind, angewandt und aufgenommen werden, und gibt so ihrerseits einen sehr wesent- lichen Beitrag zur Erkenntnis der Eigenart der Völker, die zu verstehen ein Hauptzweck aller Geschichtsforschung ist.

Das Buch von Professor Joseph Becker über die elsässische Landvoglei gehört in das Gebiet der Verfassungs- und Verwaltungsgeschichte, aber es entbehrt darum doch weder den Reiz des Persön- lichen noch den Zauber des Kulturgeschichtlichen. Der Gegenstand ist für das Elsass von grosser Wich-

372

zunehmen bemühten, so begann jetzt die Überleitung der Landvogtei in französischen Besitz, die 1648 ihren Abschluss fand.

Die Bestimmungen des westfälischen Friedens über die Abtretung der Landvogtei und die unsäglichen Schwierigkeiten, die sich aus ihnen für die zehn kaiserlichen Städte ergaben, werden nur durch die genaue Kenntnis des Wesens und der Bedeutung der Landvogtei verständlich, die der Verfasser im zweiten Hauptteile seines Werkes in lebendigster und gründ- lichster Weise darlegt. Da werden nacheinander die allmäh- liche Festigung des Titels und des Wirkungskreises, die Anstellungs- weise und die Befugnisse der Landvôgte behandelt.

Seit Mitte des 14. Jahrhunderts unterstehen der Landvogtei die zehn Reichsstädte: Hagenau, Colmar, Schleustadt, Mülhausen, Rosheim, Oberehnheim, Weissenburg, Kaysersberg, Münster und Türk- heim. Die drei letztgenannten Städte mit Zubehör waren zu der soge- nannten Reichsvogtei Kavsersberg zusammengefasst und als solche der Landvogtei Hagenau unterstellt. Von 1358 an gehörte als elfte Reichs- stadt Selz-Hagenbach auf etwa 50 Jahre zum Bunde. 1515 schied Mülhausen aus, nachdem kurz vorher Landau eingetreten war, so dass es nun wieder ein Zehnstädtebund, eine Dekapolis, war. Hierzu kam als Landvogtei im engeren Sinne der heilige Forst bei Hagenau mit seinen Klöstern und die Reichsdörfer, die die « Reichspflege » oder «Pflege der Stadt Ha;zenau» bildeten, um 1350 etwa fünfzig an der Zahl. Ausführlich werden die Vorgänge bei der Einführung der Landvügte in ıhr Amt dargelegt, wobei einerseits die dem Mittelalter eigentümliche Zähigkeit im Festhalten an überkommenem Recht und überlieferter Sitte hervortritt und sich anderseits vielfache Blicke in das bunte Leben nnd Treiben jener Zeit eröffnen, die sich namentlich an guten Mahlzeiten nie genug tun konnte. Sodann werden die sämt- lichen Beamten der Landrogtei einzeln behandelt: die Unter- landvûügte, der Reichsschultheiss von Hagenau, der Zinsmeister, der Kastenkeller, der Gezenschreiber. die Forstbeamten, die Amtsknechte und schliesslich die Räte des Hotxenchts, und ferner die Verhältnisse der Reichsdörfer, ihre Fronen, Steuern und Abgaben, ihre Wirtschafs- ordnung usw. dargelegt. Besonders lehrreich ist der Einblick in die vielfältige Art der Rechtsprechung. In Hagenau selbst ist Cas Lauberzencht und des Hichgenickt vaut der Grathe». das ver- mutich um HN durch des lardlréctische Gericht ersetzt wurde, tätig;

373

dazu kommen das Waldhausgericht im heiligen Forst, über dessen wirtschaftliche Ausnutzung und Verwaltung viel Interessantes beige- bracht wird, und schliesslich die Dorfgerichte. In drei weiteren Kapiteln wird sodann das Verhältnis der Landvogtei zu den zehn Reichsstädten, zum heiligen Forst und zur Reichsvogtei Kaysersberg erörtert. Das erste ist natürlich das interessanteste; es zeigt des Landvogts militärische Stellung zu den Städten, seinen Einfluss bei der Entwicklung der Stadt- verfassung, seine Mitwirkung bei den Ratswahlen, seine Arbeit an der Rechtspflege und an der Finanzverwaltung; es zeigt anderseits die Be- strebungen der Städte, sich durch Bündnisse vor Eingriffen des Land- vogis zu schützen, bis 1354 der kluge Kaiser Karl IV. gute Miene zum bösen Spiel machte, den Zehnstädtebund selbst begründete, ihn jedoch unter die oberste Leitung des Landvogis stellte. Ein Überblick über die Schutz- und Schirmverhältnisse im Landvogteibezirk und ein ‚Schluss- wort über die Unterbringung der Landvogteiregierung in Hagenau beendigen die Darstellung, der im Anhange Regesten über die Iage- nauer Schultheissen bis 1350 und die Daten derselben Beamten von 1350 bis 1621, ein Verzeichnis der Zinsmeister und ein alphabetisches Register der Landvögle, sowie zwei wichtige Urkunden beigefügt sind.

Es ist natürlich unmöglich, in wenigen Worten den reichen Inhalt des Beckerschen Buches zu erschöpfen; aber diese kurzen Andeutungen genügen, um zu zeigen, welche Fülle von Tatsachen sich für die Geschichte der Verfassung, der Verwaltung, des Rechts und der Volkswirtschaft, sowie für die allgemeine Kulturgeschichte aus ihm ergeben. So stellt es sich als eine wesentliche Bereicherung der elsässischen Geschichtsliteratur dar.»

1. Sigebot, Bischof von Speier, und Heinrich von Fleckenstein der Junge sichern als interimislische Landvôgte der Stadt Hagenaw ihren Schutz zu für die Zeit der Thronerledigung. 1308 Mai 9.

Wir Sygebote von gottes gnaden bischof ze Spire vod ich Heinrich von Fleckenstein der junge tünt kunt allen den, die disen brief gesehent oder gehörent lesen, daz wir die burger von Hagenowe vnd die stat, beide cristen vnd juden, lute vnd gät, vnd alles daz, daz ze Hagenowe höret, mit güten truwen nement in vnsern schirm vnd in vnsern friden mit vrkunde dirre briefe, vnd gelobent in bi gâten truwen vnd bi dem eide, den wir in gesworn hant ze den heiligen, daz wir die burger von IHlagenowe gemeinliche vud ir stat vnd alle, die da inne wunent, cristen oder juden, vnd alles daz, daz ze Hagenowe höret, lib vnd güt, schirmen vnd befriden bi güten truwen ane alle geuerde, vnd hant in gelobet, daz wir si lassen in aller der friheite vnd in allem dem rechte, die sie hant von keisern oder von kunigen, vnd in derselben gewon- heit, alse si herkomen sint, vnd sulent in steie halten ire recht, ire friheit vnd ir güte gewonheit, vnd sulent ir darus nüt triben in den- heine wis. Vnd waz ôch die burger von Hagenowe lehene oder ambaht habent von keisern oder von kunigen, si sint ir daher entwalliget oder nüt, die sulent wir in lassen. Wir sulent öch nüt gestaten, daz die burger von Hagenowe iergent ze rehte standen an denheime gerihte, wanne alleine ze Hagenowe vor dem schulteissen, der da schulteisse ist. Wir sulent in Sch geben ze eime schulteissen einen erbern man, der ein gemeine man si. vnd nüt ein burger von der stat si, vnd èch si ein gemeine richter. nüt daz er, obe zwene burger missehulle ge- wunent miteinander, eime sestunde vnd dem andern nüt, wanne er sol ane geuerde sin ein gemeine richter dem richen vnd dem armen ze richtende nach rechte vnd nach der scheflen vrteil ze Hagenowe, als es herkomen ist. Wir sulent in Sch lassen daz schärriet ze iren almenden. doch sol der schulteisse da inne meigen vnd (howe) nemen ze siner nötdurft, alse die scheffen ze Hazenowe zimelich vnd mugelich dunkel.

Wir sulent in Sch lassen daz dritteil an dem eckern vf dem teile, daz da heisset des kuniges teil, vad Sch des kuniges ambahilute vntz her genutzet hant ze irre stete nôtdurft. Wir gelobent in Sch, daz wir deheinen burger von Ilazenowe. der ietzant an ir burger ist, oder bi kunix Albrechtes geziten ir burger ist gesin, si sin von in gevarn oder sin noch ir burger, in denheiner vnser vesten enphahen ze burgern,

316

sulent in stete halten ire reht, ire friheit, vnd ir gûte gewonheit, vnd sulent ir darus nüt triben in denheine wis, vnd was Öch die burger von Hagenow lehene oder ambaht habent von keisern oder von kunigen, si sint ir daher entwaltiget oder nüt, die sulent wir in lassen in nutz- licher wer. Wir sulent öch nüt gestaten, daz die burger von Hagenowe iergent ze rehle standen an denheime gerihte, wan alleine ze Hagenowe vor irme schultheissen, vnd sulent der vorgenante herre, der bischof von Spire, vnd wir in geben ze eime schulteissen einen erbern man (ritter drübergeschrieben!) den si heischent, der ein gemeine man si vnd nüt si ein burger von der stat vnd Ôch si ein gemeine rihter, nt daz er, ob zwene burger missehulle gewunnent miteinander, eime ge- stunde vnd dem andern nüt, wanne er sol ane geuerde sin ein gemeine rihter dem richen vnd dem armen ze rihtene nach dem rehten vnd nach der scheffen vrteil ze Hagenowe, alz es her komen ist, vnd entete daz der schulteisse nüt vnd wolte die burger vsser irme rehten triben vnd vs ir gewonheit, wanne si es danne an den vorgenanten herren, den bischof von Spire, oder an vns vorderent, so sulen wir den schul- teissen abelün vnd absetzen vnd in einen andern geben, den si wellent, vnd der ein gemeine rihter si, alse vorbeschriben ist Wir sulent in öch lassen daz schärriet ze iren almenden, doch sol ein schulteisse da inne meigen vnd howe nemen ze siner nôtdurft, alse die scheflen ze Hagenowe zimelich vnd mugelich dunket Wir sulent in öch lassen das dritteil an dem eckern vf dem teile des waldes, der da heisset des kuniges walt, vnd Sch des kuniges ambahtlute vntz her genutzet hant ze irre stete nôtdurf. Wir gelobent in dch bi dem eide, daz wir den- heinen burger von Hagenowe, der iezant an ir burger ist oder bi kuniges Albrehts seligen geziten ir burger ist gesin, si sin von in gevaren oder sin noch ir burger, in denheiner vnser vesten enphahen ze burger oder in denheinen vnseren dienest, die wile wir ir phleger sint. Die burger von Hagenowe sulen weder dem vorgenanten herre... dem bischofe von Spire, noch vns denheinen andern dienest tün, wanne daz wir beide miteinander den nutz haben sulent, der von dem gerihte vellet ze Hagenowe nach der scheffen vrteil. Wir sulent öch mittenander haben die dorfer vnd die hofe vnd die gerihte in dem lande, die ze Hagenowe hôrent, vnd sulent die niessen, also die scheffen ze Hage- nowe sprechent, daz wir ir niessen sulen. Öch sulent dem vorgenanien herren, dem bischofe von Spire, vnd vns die juden ze Hagenowe dienen vod gelten jargelich, die wile wir phleger sint, funfzig mark silbers vnd nüt me, vnd sulent da nach die juden dienen ze der stete nötdurft

311

alse bescheidenlich ist, vnd sulent si lassen da nach in allem irme rehte ane geuerde. Dise vorgeschriben sachen han wir gelobet vnd gesworn stete ze hanne den burgern von Ilagenowe ane alle geuerde, und were es oder beschihet es, daz wir oder denhein vnser ambahtman den burgern von Hagenowe brechent vnd nul stete halten die vorgeschriben sachen, alse wir gelobet hant, so sulent die burger von Hagenowe ires eides, den si vns getan hant, lidig sin, vnd mugent vnd sulent ein anderen herren, wen si wellent, nemen vnd kiesen ze irem phleger, vnd ist daz mit vnserm güten willen vnd ane vnsern zorn, vnd sulent si noch den phleger, den si nement an vnser stat, nüt irren an dorfern, noch an gerihte, noch an dem heiligen vorst, noch an dem schürriet, noch an walde, noch an weide, noch an denheime güte, daz ze Hage- nowe höret, vnd von alter vntz her die pbleger, die ze Hagenowe phleger sint gesin, gephlogen hant, vnd ensulent weder si noch ir phleger niemer bekumbern noch ansprechen vmbe denhein daz gût, daz ze Hagenowe höret, vnd darvmbe wir si vnd ir phleger ansprachen vnd ze rede satten vor den, die vber den lantfriden gesetzet sint, wanne wir vurahent vns vf die burger von Hagenowe vnd alle die gät, die ze in hörent, aller ansprachen, aller vorderungen vnd alles rehtes, daz wir hatten oder haben mohten an si oder an die güt, da wir vf clageten, in deheine wis.

Daz dis war si vnd stete blibe, darumbe han wir den burgern von Hagenowe gegeben disen brief vursigell mit vnserm ingesigele ze eim vrkunde der vorgeschriben dinge. Dis beschach vnd wart dirre brief gegeben an dem ersten mantage vor sante Bartholomeus tage des jares, da man zalte von gotz geburte druczehen hundert jar, da nach in dem ahten jare.

Orig. Perg. Hgd. Siegel fehlt, im Kgl. Bayer. Reichsarchiv, Habelsche Akten, zu München.

3. König Ludwig der Baier befreit die Stadt Hagenau auf zwei Jahre von aller Steuer und bewilligt ihr für die gleiche Zeit die Mast- nulzung im hl. Forst. Im Lager bei Speier 1315 Marz 4.

Ludowicus dei gracia Romanorum rex semper augustus uniuersis presentes litteras inspecturis graciam suam et omne bonum. prompti- tudinis indefesse gratos obsequio et probatos fidei puritate conuenit fructuosis nostre munificentie fauoribus preueniri. hinc est, quod pru- dentes viros, ciues nostros et imperü in Hagenowe, fideles nostros dilectos, propter incorruptam fidei sue constanciam, qua erga nos et

378

sacrum imperium actenus claruerunt et ad presens clarent et, ul spe- ramus, in antea conplacebunt, in subleuationem debitorum suorum ex parte imperii contractorum et reconpensam dampnorum ipsis illatorum per biennium continuum a data presenlium ab omni slura, exaclione seu quolibet seruitio dimittimus et ex nunc dicimus et facimus liberos et solutos. volumus eciam, ne hec eis facta gracia in posterum in dis- pendium conuertatur, ne post lapsum dicti biennii per nos seu officislos nosiros, qui pro tempore fuerint, ultra consuelam sluram et solila seruitia quomodolibet pregrauentur. Item de gracia speciali ex liberalitate regia predictis ciuibus concedimus et permittimus, ut edulio in sacra foresla in parte nos conlingenti per predictum biennium libere perfruantur. in cuius rei testimonium presentes ex inde conscribi et maiestatis nostre sigillo iussi- mus communiri. datuın in castris prope Spiram anno domini millesimo tre- centesimo quinto decimo, quarto nonas marlii, regni vero nostri anno primo.

Orig. Perg. Grosses Siegel hängt, im Kgl. Bayer. Reichsarchiv, Babelsche Akten,

zu München.

4. könig Friedrich befreit die Stadt Hagenau auf zwei Jahre von aller Steuer und bewilligt ihr für die gleiche Zeit die Masinulzung ım hl. Forst. 1315 März 11.

Fridericus dei gracia Romanorum rex semper auguslus universis sacri Romani imperii fidelibus presentes litteras inspecturis graciam suam et omne bunum. promptitudinis indefesse gratos obsequio et probatos fidei puritate conuenit fructuosis nostre munificentie favoribus preueniri. hinc est, quod prudentes viros, ciues nostros et imperii in Hagenowe, fideles nostros dilectos, propter incorruptam fidei sue conslanciam in subleuationem debitorum suorum ex parte imperii contractorum hinc usque ad instans festum Martini episcopi et abinde per biennium con- tinuum ab omni stura, exactione seu quolibet seruitio dimittimus et ex nunc dicimus et facimus liberos. volumus eciam, ne hec eis facta gracia in posterum in dispendium conuertatur, ne post lapsum dicti biennii per nos seu ofliciatos nostros, qui pro tempore fuerint, ultra consuelam sturam et solita seruicia quomodolibet pregrauentur. item de gracra spe- cıali ex liberalitate regia predictis ciuibus concedimus et permittimus, ut edulio in sacra foresta in parte nos contingenti per predictum biennium libere perfruantur. in cuius rei testimonium presentes ex inde conscribi et maiestatis nostre sigillo iussimus communiri. datum XVL kalend. april. anno Dom. M. C GC quinto decimo, regni vero nostri anno primo.

Hagenauer Copialbuch, Hag. AA 99, pag. XXXVIIL

380

heizzen wir ouch ernstlich, gemeinlich vnd besunder, by vnsern vnd des reichs hulden, daz ir den vurgenanten walt forbaz mer heyen, huten, besetzen vnd beschirmen sullent, also daz vns, dem reiche vnd der vorgenanten stat zu Hagenow hernachmals dheyn schade geschehe noch verhowen werde, wen zu notdurft als zytlich vnd besclieydenlich ist in dheynen wis, wer aber dez nicht entede, so wizzent, daz wir daz zu uch oder wer daz vorgenante vnsir gebot übertrete warten wollen, vnd daz ditz vorgenante vnser gebot nu vnd hernach ewiglichen gantz stete und unczebrochen blibe, des han wir vnser kunizlich insigel an disen brif tun henken, der geben ist zu Prage, do man zalte nach Cristus geburte druczehenhundert jar vnd darnach in dem czweyvnd- funfezigisten jare, an sante Blasius tage, im sechsten jare vnserer reiche.

Hag. A. A. 24. Perg. Vidimus von 1417.

7. Karl IV. beschuldigt die Bürger Hagenaus, dass sie den hl. Forst sehr geschädigt und seinen Richter gewaltsam vertrieben hällen ; zugleich leill er ıhnen mil, dass er den Pfalzgrafen Rudolf, (den Pfand- inhaber der Landvogtei), mit der Ahndung jener Frevel beauftragt habe. Prag 1352 April 11.

Karl von gots gnaden Romischer kunig ze alln zeitn merer des reichs und kunig ze Beheim.

Lieben getruwen, wann vnser hochwirdikeit genczlich vnderweiset ist, das ir schuldig seit vnd wider vns vnd das reich getan habt, als ir sehet in den artikeln, die hernach geschriben sten, von erste, das ir vnsern richter do selhest ausgestozzen vnd abgesaczt habet, damit ir euch des gerichtes vnderwunden habet mit gewalt vnd on vnsers pflegers willen vnd wort, dornach do vnser richter phantunge nam in des reichs forst von sogetanen leuten vnd burgern, die dorezu kein recht nicht habent, vnd die den forst vil vormals beschedigt habent, vnd die selbe phantunge der richter in seinen hoff brachte, do vylt ir hin in vber die mawr vnd bracht im den huff vff vnd namet die selben pferd her aus mit frewel gewalt vnd varecht, dornach habent ir eins gefunden, daz ir alle vnthat selber richtet vnd wellet nicht, das man es bringe fur den richter, vnd das sie, dy das tun, dorumb gebust vnd gebessert wurden, als billeich vnd recht wer, dornach habt ir das tor von der burge abgenomen freuenlich mit gewalt vnd on alles vrlaup vnser oder vnser amptlut, dornach so habt ir euch des reichs forst vnderwunden an dem schonsten vnd an dem besten vnd habt des iczzunt genozzen ain ganczes iar vnd den forst beschedigt mer wen vmb lausent pfunt

382

urkunde han wir vnser insigel gehenkt an disen brief, der gebn ist der Nuwenstadt des samstags nach sant Jakobs tag, do man zalt von Cristes geburte drüzehen hundert vnd zwei und funfzig jar. Orig. Perg. Sigel hängt, im kgl. Bair. Reichsarchiv, Habelsche Akten, zu München. 9. Pfalzgraf Rudolf, Pfandinhaber der Reichslandvogtei im Elsass, und die Stadt Hagenau einigen sich dahin, ihren Slreit wegen des Millel- stückes des hl. Forsles durch den Kaiser entscheiden zu lassen. Lauterburg 1352 Seplember 1.

Wir Rädulf... pfaltzgraue byRin..... bekennen ... daz wir gut- lich vad friuntlichn vmbe alle missehellunge vnd vfloufe gericht sin fur vns vnd alle vnser helfer vnd diener mit den erbern hescheiden, dem meister, dem rat vnd den burgern gemeinlichn der stat Hage- nowe, alln iren friunden, dienern vnd helfern vmbe alle sache, die wir mit eynander gehabt han bitz vf disen hutigen tag in alle die wise, als hernach geschiiben stad, zu dem ersten sullen wir eynen schultheissen setzen Hagenowe, vnd der sol richten, als eyn schultheisse von alter her gericht hat, darnach so sulln wir den vorst behuten als ander lantvogete vor vns getan habn, vsgenomen des mitlelstuckes in dem- selben vorst, daz sulln wir beidersyt zihen vor vnsern herren den Romischen kunig, and wie vns der uzrichtet dar vmbe, daz sullnt wir stete halten, es ist ouch geret worden vmbe den gewalt, den die von Hagenowe getan habnt vnserm schuliheissen zu Hagenowe in vnsers herren des kuniges hof, vnd vmbe die herberge uf dem lande vnd vmbe den schaden, der den von Hagenuwe geschen ist an brande, an name, vad an totslegen, daz sullnt wir ouch beidersyt für vnsern vorgenanten herren den kunig zihen, vnd waz der dar in machet, daz sullnt wir ouch beidersyt gehorsam sin vnd stede haltn ane geuerde, es ist ouch beret worden, daz aller brantschatz vnd gedinge abe sullnt sin, vnd des zu eyner waren sicherheit vnd gezynisse so hahn wir der vorgenant herzoge Rudolf vnser eygen insigel gehenket an disen brief. Wir ouch die vorgenanten der meister, der rat vnd die burger gemeinlichn der stat zu Hagenowe verjehn vnd gelobn, daz wir alle die vorgeschriben stucke.... veste wellent halten by guten truwen an alle geuerde, vnd des zu eynem waren vrkunde habn wir vnser vorgenanter stet ingesigel zu Hagenowe zu vnsers vorgenanten gnedigen herren herzogen Rädolfs ingesigel an disen brief gehenket. Der gebn ist zu Luternburg, als man zalte nach Christs geburte drutzehen hundert iar, darnach in dem zwei vnd funfzigesten iar, an dem nehesten samstage nach sant Johns tag, als er enthaupt wart.

Orig. Perg., beide Sigel hängen, im Reichsarchiv zu München, Habelsche Akten.

384

den herbergen vngehindert vnd vageirret sullent lazzen, alz von alter her komen ist, vnd mit namen alz sie der von Otingen inne gehabt hat ane geuerde, och hat er gesprochen, daz sie vns, vnser landfogte vod schultheizzen hanthaben sullent, lazzen bliben vnd pflegen by allen rechten, frvheiten vnd gewuhnheiten, alz es von aller her komen ist, vnd mit namen alz sie der von Otingen och inne gehabt hat, vnd dar nach hat er och gesprochen vmb daz, daz ein stete fruntschaft vnd sune zwischent vas vnd der vorgenanten stat Hagenowe verlibe vnd daz sie och dem riche, vns, vnsern landfogten vnd schuliheizzen vnd ampt- luten deste williclicher vnd gerner dienen, daz wir verzihen vnd ver- gezzen, gentzlichen vnd gar, vif die freuel vnd vflloufle, daz sie dem riche, vns, vnserm Jandfogte vnd schultheizzen getan habent an dem spicher- hof vnd an allen stucken, alz vorgeschriben stat, vnd daz wir daz also war, stete, gantz vnd vnuerbrochen halten wollen, dez geben wir in diesen briefe, besigelt mit vnserm insigel, daz wir daran gehenkt haben, vnd wir, graf Huge von Hohenberg vorgenant, veriehen offenlichen an diesem briefe, daz wir mit verhencknusse vnd gätem willen beider partyen alle die vorgenanten stucke vnd artickel von worte zu worte gesprochen haben, alz hie vor von beiden teiln geschriben stat, vnd daz ürkunde vnd mererm gezucknusse haben wir vnser insigel des vorgenanten vnsers herrn insigel an disen briefe gehenckt, der geben ist an dänrstag vor sant Gallen tag, nach Cristus geburt druzehenhundert jare vnd dar nach in dem zwei vnd funfzigisten jare.

Orig. Perg. die Siegel fehlen. Universitätsbibl. zu Heidelberg Nr. 194.

11. König Friedrich IV. bestätigt die Verpfändung der Reichslandvogtei im Elsaß an die Kurfürsten der Rheinpfalz, sowie Kaiser Sigismund sie am 11. Januar 1423 vorgenommen halte. Wien 1440 Mai 17.

Wir Friedreich von gotes gnaden Römischer kunig, etc. .. bekennen vnd tän kund etc. . . Als loblicher gedechtnuß kayser Sigmund etc... Ludwigen, phallczgrauen bey rein, . . . seliger gedechtnus vnd seinen erben, phallczgrauen bey rein, die kurfursten sind, ein verschreibunge vber die lantuogtie des heiligen reichs in Elsaß getan vnd gegeben hat, dieselbe verschreibung von wort zu wortte hernach geschriben stet vnd also lutet:

«Wir Sigmund von gotes gnaden Römischer kunig etc. bekennen vnd tün kund etc.... das wir von kuniglicher vorsichtigkeit gemerkht vnd angesehen haben soliche trewe vnd manigueltige dienst, die vns vnd dem heiligen Römischen reich etc. . . vnser lieber ohem Ludwig,

386

«Allein ist ein copey eines pfandibriefs von kayser Sigmund [bey hiesiger canzley, zu Hagenau!] vmb die landtuogtey im Elsaß vorge- dachten pfalizgraf Ludwig dem churfärsten mit allen iren herligkheiten, steuren, nutzen, renten, fällen vnd vnfällen, nichts außgenomen, der pfandtschilling ist 50000 fl. reinisch, doch soll die pfandtschaft erst angehen, wann der stift Göln der 32 000 fl, so ertzbischof Dietrich zu Cöln kayser Sigismund zu irer mjt. kronung in Aach vorgelihen, zuuor endiricht oder vergnuegt ist; datum anno 1493».

12. Der Römische König Albrecht II. befreit die Reichsdörfer «der Pflege Hagenau» von ungebührlicher Bedrückung. Prag 1438 Juni 19.

Wir Albrecht von gotis gnaden Romischer kunig, zu allen cziten merer des reichs ect. ....... bekennen vnd tun kunt offentlich mit disem briue allen den, die in sehen oder horen lesen, als vnsere vor- farn Romische keiser vnd kunige loblicher gedechtnuss vnser vnd des heiligen reichs dorfere, genant des reichs pflegede zu der stat Hagenow gehorig, zu derselben stat gegeben haben, by vns, dem reiche vnd der- selben stat Hagenow ewiclich zubliben vnd douun niemer zukomen, vnd als dornach vnserm lieben herren vnd vater keiser Sigmund loblicher gedechtnuss furkomen was, wie vnser vnd des heiligen reichs armen lute in denselben dorfern swerlich getrenget vnd vberladen weren mit vogewonlichen vbersturen vnd mit furungen an vngewonlich ende vsser dem reiche vnd vil anders, dann sy vorcziten von lantvogten vnd ampt- luten gehalten worden sind, deshalp ir etliche von dem heiligen reiche vnd der stat Hagenow wichen vnd entpfremdet werden musten, darumb nu derselb vnser vater keiser Sigmund zu der zeit vnsern vnd des reichs lieben gelruwen, burgermeistern, reten vnd der gemeinden zu llagenow gebotten hat, das sy die egenanten armen lute hanthaben, schutczen vnd beschirmen sullen, das die lantvogte vnd die amptlute, 80 zu der zit worent vnd nach inen komen wurden, dieselben vnser vnd des reichs armen lute bliben lassen sollen by iren alten, gewonlichen sturen, diensten, furungen vnd engern, vnd nit furbasser als sy dann by vnsern vorfaren, Romischen keisern vnd kunigen, vnd besunder vnsern vorfaren keiser Karlen vnd kunig Wenczlawen, ouch vnserm herren vnd vater keiser Sigmund seligen gehalten worden, als wir des eigentlichen vnder- weiset sein. Also ist vns ouch furkomen von wegen der egenanten armen lute, wie das etliche armen lute in den obgerurten dorfern noch me gelranges vnd vberlastes zugefuget worden sie, dann mit vorgerurten dingen, nemeliche das etliche lantvougte vnd ir amptlute inen furge-

dorfer vnd die insessen vnd inwonern derselben dorfer vad ir nachkommen an egerurten vnsern gnaden, friheiten, geseczen vnd alten herkomen nicht irren oder hindern, sunder sy doby vnd by vns vnd dem heiligen riche vnd der egenanten stat Hagenow ernstlich vnd vesticlich hanthaben vnd schir- men sullen on allerley intrag vnd geuerde. Mit vrkunt dif briues versigelt mit vnserm kuniglichen, anhangenden insigel, geben zu Prag nach Cristi keburt vierczenhundert jar vnd dornach in dem achtvndJrysigistem iare, am donerstag nach sand Vils tag, vnser riche in dem ersten iare. Orig. Perg. im Stadtarchiv zu Hagenau AA 149, hgd. Siegel fehlt.

18. Erzbischof Dietrich von Köln teilt König Friedrich IV. mit, daß der Pfalzgraf Ludwiy ihm 14402 Gulden, seine Restforderung auf die Steuern der Reichsstädle des Elsaj), übermillell habe. Andernach 1441 Mai 18.

Dem allerdurchluchtigisten fursten vnd herren, hern Friderich, Romischen konig, zu allen ziten merer des richs etc... . embieten ich, Dietherich, von gots gnaden erczbischoff zu Colne, ec. ... mynen vndertenigen, schuldigen, willigen dienst. Gnediger, lieber herre.

Als mynem sliefle zu Colne vnd mir ein summe geltes von des richs sture der stelle in Elsas vffzuheben von lobelicher gedechtnisse keyser Sigmunds verschrieben gewest ist, da lassen ich uwer koniglich gnade wissen, das ich soliche sume, so mir verschriben gewest ist von der sture der richstelte in Elsas ingenomen han biß vff vierzehen- lusent vierhundert und zwen gulden, vnd das mir der hochgeborne furste her Ludwig, pfalezgraue bi Rine, .... vmb soliche vierzehen- tnsent vierhundert vnd zwen gulden ein gancze gute genugen gelan hat, daran mir wol genugel, also das ich nu der ganczen summe, die mir vff der sture der richstette verschriben gewest ist, wol vnd gancze bezalet bin, vnd des zu warem vrkunde, so han ich myn ingesiegel an diesen brieff tun hencken. Der geben ist zu Andernach vff donrstag nach dem sontage, als man singet in der hl. kirche Cantate, anno do- mini millesimo quadringentesimo quadragesimo primo.

\gl. Orig. Perg. Vidimus des Bischofs Reinhard von Worms vom 12 April (46. Strassh. Bez.-Arch. C I Nr. 14. 14, Aonig Friedrich IV. erneuert die Verpfändung der Reichslandvoglea im Elsıo zu gunsicn des Pfulzgrafen Friedrich, des Bruders Ludwigs IV. Neustadt 145] Mir: 27.

Wir Friderich von gets gnaden Romischer konig .... bekenneu vn tun kKunt .... Als seliger gedechtmß kevser Sizmond, vnser vorfare,

390

sins vorgenanten valers von erblichem rechten gefallen ist, vnd sinen erben pfaltzgrauen hinfur bliben soll, vnd daß sie die innhaben vnd die mit rent vnd gult, als die sin itzgenanter vatter ingehabt, inge- nomen vnd genossen hat, innemen, nutzen vnd nießen sollen, vnd von iren henden nicht nemen noch empfremden, noch die yemands anders, welcher wirdickeit, wesens oder stands die sin, geben sollen noch mogen, als lang, biß das wir vnd vnser nachkomen am rich Romisch keyser oder kunig dem selben vnserm oheim Friderichen, pfalczgrauen, oder sinen erben, pfalczgrauen, die vorgeschriben sume fuuflzig tusent guter rinischer gulden gancz vßgericht vnd bezalt haben vnd ime oder inen in iren sichern gewalt geantwort sint, etc. ...

Mit vrkund dif brieffs, versiegelt mit vnser koniglicher maiestat inge- siegel, geben zu der Nuwenstat am 27. des monats martii, nach christ geburt vierzehenhundert vnd im ainsvndfunflzigsten vnd vnsers rich im ailfften jare.

Unbeglaubigtes Copiehcft, Strabb. Bez.-Arch. CG 1 Nr. 59.

16. Die Pfalzgrafen Ludwig und Friederich quillieren Kaiser Karl V. und seinem Bruder Ferdinand über 80 000 Gulden, womit diese die Landvogleien Hagenau und Ortenau aus der pfälzischen Pfand- schafl gelöst haben. Bensheim 1520 März 20.

Von gots gnaden wir Ludwig etc. ... vnd wir Friedrich, beyde pfaltz- grauen bei Rhein.... bekennen und thun kundt offentlich mit dem brief vor allermeniglich. Als weyland.... Maximilian, Romischer kayser,

. in zeyt seins lebens auf dem nechsigehalten reychstag zu Augspurg für sich vnd seiner maiestat erben vnd nachkomen des haus Österreichs mit vns vnd vnsern erben vnd nachkomen von wegen der landtuogtey Hagenau vnd Ortenau mit sambt andern herschaften, stücken vnd guttern, so sein kayserlich maiestat in dem vergangen bairischen krieg von der pfallz zuhanden gepracht vnd eingenomen, ainen endtlichen vertrag gemacht vnd aufgericht, darinnen ir kayserlich maiestat für sich vnd ire erben vnd nachkomen vns, vnsern erben vnd nachkomen der pfaltz für vnd vmb sollich obgenant landtvogteyen, herschaflen stückh vnd gutter vnd .... nutzungen, zu- vnd eingehörungen, für alles nemlichen achizigtausent gulden reynisch zu geben vnd auß- zurichten bewilligt, bestimbt vnd versprochen hat, alles nach außweysung vnd ferrerm inhalt desselben vertrags oder betädingsbrief, des datum steel zu Augspurg am zwaintzigisten tag des monals augusli anno etc.

. im achtzehenden, dad wir darauf die itzgemelten suma achtzig-

39%

so ir mayestat darauf gelegt hat, das sich alles hundert tawsent gulden reinisch in guetem gold trift, dem haus Össterreich kauf- und pfanndts- weiss, doch auf ain ewigen widerkauf und ablosung einzugeben, und wir aber nach des gemelten unnsers lieben herrn und anherrn kayser Maximilians absterben von unnser und des durchleuchtigen fursten herrn don Ferdinannds, infannten zu Hispanien und ertzhertzogen zu Össterreich, unnsers lieben brueders wegen als seiner kayserlichen mayestat verlassen erben den vorgenannten pfaltzgraf Ludwigen und hertzog Fridrichen, gebruedern, die beruerten achtzig tawsent gulden reinisch in guetem gold ausgericht uud bezalt und zu iren sichern hannden uberanntwurt und ir baider lieben dagegen sich aller gerech- ligkeit, so sy an und zu den gemelten lanndtvogteyen gehabt, not- durfligelich verzigen, und unns und unnserm lieben brueder und unn- serm haus Össterreich genntzlich zuegestelt haben, das wir demnach mit wolbedachten muet, guetem, zeitigem rat unnser und des reichs churfursten, fursten, graven, herrn und ander unnser rele, so dazumal in treffenlicher anzal bey unns gewesen sein, dem gemelten unnserm lieben brueder von unnser und sein selbs wegen und unnserm haus Össterreich die vorbestimbten zwo landtvogteyen zu Hagenaw und Or- tenaw milsambt iren reichsstet stewrn, nemlich Hagenaw, Weyssen- burg, Lanndaw, Schletstot, Colmar, Kaysersberg, Ober-Ehenhaim, Munster in sannt Gregoriental, Mulhawsen und Rosshaim, so in die landtvogtei Ilagenaw gehören, und Offenburg, Giengenpach und Zel im Hamers- paclı mit dem schloss zu Ortemberg, so in die lanndtvogtei gen Orte- naw gehörn, mit allen und jeden iren fleckhen, lanndtschafften, herr- lichaiten, oberkaiten, vörsten, wildpännen, wälden, höltzern, vischentzen, vischwaiden, gelaiten, rechten, gerechtigkaiten, regalien, zynnsen, rennten, gulten, nutzungen, gefellen und sonst allen anndern zue- und ein- gehörungen, nichts davon ausgenomen noch hindan gesetzt, in aller- massen wie die der gemelt pfaltzgraf Philips und seine vordern inge- hebt, genutzt unnd gnossen, umb die beruerten hundert tawsent gulden reinisch in guetem gold, kauf und pfannts eingesetzt und zuegestell haben, setzen ein und stellen inen die zue von Römischer kayserlicher machtvolkumenhait wissenlich in craft dits briefs und mainen, selzen und wellen, das der gemelt unnser lieber brueder von unnser unnd sein selbs wegen und unnser baider erben und unnser haus Össter- reich die vorbestimbten zwo landtvogteyen mit sambt den reichsstet steurn und allen irn zue- und eingehörungen, wie obstet, unverrait und on abschlag der haubtsuma innhaben, nulzen, niessen und ge-

393

prauchen und damit als unnserm und iren aigen unnd erkauften guc- tern nach unnserm und irem willen und gefallen hanndlen, thuen und gefarn sollen und mugen von allermenigclich unverhindert; duch be- halten wir unns als Römischem kayser fur unns und unnser nach- komen am reich, Römisch kayser und kunig, und dem heiligen reich hierinnen bevor ain eewigen widerkauf, also das wir oder dieselben unnser nachkomen am reich zu ainer yeden zeit, wann unns das ge- felt, die gemelten zwo lanndtvogteyen mit iren zuegehörungen, als obstect, umb die vorbestimbten hundert tawsent gulden reinisch in guetem gold widerumb an unns kauffen unnd lösen mugen, und wann wir solichen widerkauf und ablosung thuen, sollen und wellen wir dem gemeltem unserm lieben brueder ertzhertzog Ferdinannd von unsern und sein selbs wegen und unnser baider erben und unnserm haus Össterreich ain jar zuvor verkunden, die alsdann unns und unnsern nachkomen am reich auf solich verkundung gegen betzalung der be- ruerten hundert tawsent gullen reinisch in gueleın gold desselben widerkauffs und ablosung gehorsam sein und stat Ihuen sollen, alles getreulich und ungeverlich. Mit urkund ditz briefs besiglt mit unnserm kayserlichen anhaungenden innsigl. Geben in unnser und des reichs stat Wurmbs, am ersten lag des monats mai nach Cristi gepurdt funf- zehenhuudert und im ainundzwaintzigisten, unnserer reiche, des Romi- schen im anndern, und der anndern aller im sechsten iaren.

CAROLUS. Ad mandatum cesare et catolice maiestalis proprium. Statthaltcrei-Archiv Innsbruck, Kopialbuch Bekennen zu 1521 fol. 20 ff.

17. König Ferdinand ordnet die Verhältnisse der Reichslandvogtei im Elsass. Stuhlweissenburg 1527 Nov. 9.

Ferdinand von gots gnadn zu Hungern etc... kunig etc... etc...

Instruction, ordnung vnd stat, wie vnser landuogt, zinsmaister vnd ander officier in vnserer landuogtey Hagenaw dieselben hinfur verwalten, versehen, auch was ir yedem sollen vnd zuestend bis auf vnser wolgeualn vnd widerruefn gegeben vnd eruolgen solle.

Landuogt.

Erstlich wellen wir dem edlen vnserm lieben getreuen Hanns Jacoben, freyherrn zu Merspurg vnd Beffurt, vnserm landuogt, zu sold an gelt geben 600 guldin reinisch.

Auf sein person jerlich 8 ellen lindisch vnd darzue 12 ellen futer-

894

tuch, auch vnser farb, wie wir die andern vnserm hofgesind yederzeit geben, darnach er alsdann seine diener in sein selbst costen in dieselb farb auch beclaiden solle.

Darzue habern vnd stro auf 8 pherd, wie hernach in dem gemainen articl begriffen ist. |

Item jerlich 60 ernd- vnd 60 vasnachthuener, mer auf ostern 3 lamb vnd zu gewonulicher zeit 12 cappaunen erung in sein kuchen.

Vnd sollen darzue ytzigem und ainem veden kunfligen vnserm land- uogt nachuolgend beynutz vnd zuestend neben hie bestimbter seiner besoldung auch eruolgen. Erstlich das er sein wonung und haushablich wesen, So lang er vnser landuogt ist, in vnserer behausung zu Ilagenaw in der stat, genant die landvogtey, haben solle vnd mage.

Zum andern den freysitz sein vnd aller seiner geproter diener, so er von vnsern wegen daselbst hat. |

Zum dritten von der fron vnserer vnderthan aus vnserm vorst beholzung gnugsam, doch das er vnsern vnderthanen, die im das holz yeder zeit bringen, zimlich essen vnd trinken von seiner besoldung gebn solle.

Zum vierden gleichweiss die fron von vnsern vnderthanen, was er sonst hin vad wider zu fuern vnd holn hat, es sey seiner gemahl frauenzymmer, wein, traid vnd anders, doch das er solche fron an die vnderthanen nach gelegenheit der notturfi auch ires vermugens beschai- denlich beger, darzue die gemelten vnderthanen, so er sy dermassen braucht, nach zimlichhait verzer, ine auch die maut vnd zoll, so sy von seiner hab vnd gut allenthalb ausgeben muessen, widerumb ableg vnd erstat.

Zum funften das unsere vnderthanen ime die 18 mansmad, wißwachs genannt, im schueriedt, so Wolf von Turkhaim von vnserer landuogtey vnd dem reich zu lehen inhat, so lang er landuogt, die bestandsweis newst meen, hewen vnd einfuern, vnd er inen dagegen auch zimlich essen vnd trinken geben solle, wie von alter herkommen ist.

Zum sechsten das schanckgelt, so im in vnserm namen von des reichs steten Colmar, Schletstat, Kaysersperg, Munster in sand Gregorien- tal, Oberehenhaim vnd Roshaim, wann er die rei darin besetzt, vereret wirdet, doch dieweil solichs ain ordenliche ambtssach ains yeden vnsers landuogts ist, vnd er in solichen steten albeg aus den herbergen gelost wirdet, er auch den atz oder liferung auf vnseren dörfern vnd vnderihanen hat, das er dann yedes jars solich ratbesatzungen selb persondlich thun, ob in aber ehafl vrsachen daran verhinderten, die

+ + durch niemant dan vnser zinsmaister oder ander vnser ansehenlich ret vnd diener von Hagenaw aus thun lassen, vad ime noch den andern vnsern reten vnd dienern hinfur nit weiter zerung auf solich ritt aus vnserm zinsmaisterambt gegeben, sonder welicher reit, sich selb von der vererung, die auch dem reitenden yeder zeit beleiben, was weiter vber in lauft, verzern solle.

Zum sibenden das er mit einslagen swein in vnserm wald gehalten werd, wie nachuolgender ain gemainer articl aller vnserer ambtleut vnd diener halb ausweist, |

Aber aller juden vererungen, ophergelt, begrab- vnd strafgelt, des- geleich sonst aller ander geniess vnd schankungen, clain und gross, wie die genannt werden vnd ime von juden geuallen mogen, nichts ausgenommen, soll er sich bey mitl seins aids entslagen vnd muessigen, vnd das alles in vnser zinsmaisterambt veruolgen lassen, in mass wie der juden halb hienach auch ain gemainer arliel gesetzt ist.

Dagegen gedachter und yeder kunfliger vnser landuogt alles des, so ime seine bestallungen auflegen, getreulich vnd gestracks ausrichten, thun vnd volziehen vnd vns darzue hinfur 8 pherd zu aller zeit gerust halten vnd dieselben zu straifen, auch in allen andern vnsern gescheflen yederzeit, wie ander vnser bestelt raisig daselbs, brauchen vnd warten lassen solle.

Zinsmaister.

Dieweil ytzo vil weniger nutzung dan vor zeiten in vnser zinsmaisler- ambt geuallen, aus der vrsach, das etwouil herrschaften vnd embter dauon komen, darumb der arbeit vnd sorgfeltickaiten auch dester weniger, so sein wir entschlossen, diser zeit kainen keller noch wald- maister mer zu halten, sonder wellen, das hinfur gegenwurtiger vnd yeder kunfliger vnser zinsmaister alles, so bisher die keller vnd waldmaister gehandelt und verrait, auch in sein verwaltung vod raitung nemen, auch durch sich selb, oder wo er zu zeitn nit weil hat, vnsern gegenschreiber das waldheuslin all sonntag, wie von alter her die zinsmaister und keller gethan, versehen solle.

Das auch hinfur an ains keller stat ain kornkasiner oder kornmesser, wie hernach weiter gemeldet wird, bestellt, so korn, vnd habern in namen vnsers zinsmaisters ein- vnd ausmess, auch vnserm zinsmaister darumb raitung red vnd antwort vnd nichts ausgeb, dan durch vnsers zinsmaisters in beysein vnsers gegenschreibers verschaffen.

Dagegen wir ylzigem vnd yedem kunfligen vnserm zinsmaisler zu

B. XXI. (M.) 26

396

sold geben wellen benentlich 80 gulden, auch auf ain schreiber 8 guldin vnd auf sein person 8 ellen lindisch vnd darzue 12 ellen futer- tuch sambt unser farb fur hofclaider, darnach er, wie vnser landuogt, seine diener selb in vnser farb claiden, vnd auf 3 pherd strow vnd fulerung, wie in gemainem articln der futerung halb hernach gemelt wirdet, vnd darzue aus gnaden in ansehung seiner langen, gelreuen dienst noch ‚weiter 50 guldin, damit er auf sein person vnd pherd 130 guldin sold hab mit dem unterschaid, so er lebend oder tod vom cambt kumbt, das solich 50 guldin kainem zinsmaister mer nach im gegeben werden sollen, es gescheh dann auch aus sondern gnaden.

Darzue ime 10 ernd- vnd 10 herbsthuener, ein lamb vnd 6 cappon jerlich in dy kuchin veruolgen, vnd er mit zerung wie ander vnser ret vnd diener gehalten werden solle.

Und das ime sambt dem allem fur zuestend vnd beynutz werden sollen der freysitz zu Hagenaw, beholtzung genug, die fron, sein gesind vnd anders zufueren, inmass wie vaserm landuogt, als hieuor vnter- schaiden ist, desgeleich alles anders in gelt, korn vnd habern, so von vnsern underthanen neben irn gewonlichen pethen laut vnsers vrbars von alter her ainem yeden zinsmaister geuolgt ist, 2 enger heu von Gunstet, 2 kreutzer in schreibgelt von den glaiten, das gelt von erlaubung des weihnachtenspils von wirten auf vnsern dörfern, und darzue all gefell der cantzley, dieweil er dieselb auch versicht, in welchem ime auch vnser landuogt durch sich selbs, seine schreiber noch yemands andern ainicherlai einpruch noch entziehung thun noch zu thun yemands gestaten solle.

Er solle auch mit einslagen der schwein in vnsern vorst gehalten werden, wie hernaeh der gemain articl desselben halb gestelt ist.

Und hiegegen solle ytziger vnd ain yeder kunfliger vnser zinsmaister der juden ophergelt, wie bey zeiten der phaltz auch beschehen, des- gleich das begrabgelt, all ander nutzung vnd vererung, clain vnd gross, nichts ausgenommen, dann allein hindangesetzt, was er mit schreyben vmb sy verdient, von den juden geuallend, vns in vnser camer verraiten vnd der kains im selbst behalten.

Schulthais- vnd vorstambt.

Dyweil Wolf Wilhalmen von Andlau aus sondern, gnedigen willen das schulthais- vnd vorstmaisterambt durch vnsern lieben herrn vnd anherrn, kaiser Maximilian, loblicher gedechtnus mit nachgemelten einkomen verschriben, aber dazumal ir mayestat nit bericht worden,

997

was der gebrauch bey der phaltz gewesen, vnd so vnser vnd vnserer landuogtey notturft eruordert, die in ordnung, wie die bey der phaltz gewesen, zubringen, so soll demnach mitgemeltem von Andlaw durch vosern zinsmaister gehandelt werden, das sich derselb von Andlaw vns zu vnderthenigem geuallen, vnangesehen seiner verschreibung, so er von weilend kaiser Maximilian hat, aller nachbenanter frefel, strafen puessen vnd gefell in allen vnsern reichsdörfern entslage vnd vns die nun hinfuro in vnser zinsmaisterambt, wie ander einkomen, gutwilliglich volgen vnd ainen yeden vnsern zinsmaister vnuerhindert einziehen vnd auf vnser camer verraiten lasse, es betref mulgueter, mord, todsleg, diebstal, vneliche kinder, vberfaren glubd, er vnd aidschmach, schelt- wort, clagen, die sich nit erfinden, fridpruch, vorst oder wildprath, desgleichen Niessend, tiefe oder painschrötig wunden oder anders, wie das genant werden mage. Aber in der stat Hagenaw wellen wir ime sein tail in den frefln, wie das der stat ordnungen zuegeben vnd von alter herkomen ist, volgen lassen, doch was von mulguetern oder frefikaiten in der stat Hagenaw geuallen, so vber 50 guldin werdt sein, soll hinfuro dem schulthaiss in den vellen der drittail zugehoren, vnd die zwentail in vnser zinsmaisterambi gezogen vnd vns verrait werden.

Und dieweil er als vnser schulthaiss nachuolgend vortail vnd beynulz sambt vorgemelten freueln in der stat Hagenaw hat, nemlich den freysitz sein vnd der seinen, dessgleich von vnser fron beholtzung gnug, durch die fron im sein frauenzymer vnd alles anders zefueren in aller mass, wie vnsers landuogts vnd zinsmaisters halb hieuor gemelt ist.

Swein, souil er zu seinem hausbrauch notturflig ist, mag er auch in vnser ackhart vergebens slagen.

Von yeder zinsphandung, so unser putl vnd leuferpotten ausgeschickt werden, soll im 28 pfening volgen.

Es solle im auch zuesteen in vnserm wald vnd vorst alle windwerfig vod vmbgeuallen paum, so man wurtzling nent, die er jerlich seines geuallens verkaufn mag vnd vngeuerlich bis in 13 guldin ertragen.

Item all an weber vnd protschauen vnd der wache in der statt den dritten phening.

Item all hingeflogen imben, so in welden gefunden werden, vnd ander beynulz mer, so wir ime bis auf weiter vnser wolgefallen hinfur ein- zunemen vnd zu niessen hiemit genediglich zuelassen.

So haben wir vos auch in ansehung ytzmal des klainen vnsers zinsmaisterambts einkomen entschlossen, die besoldung vnd ander aus-

398

gaben zum tail einzuziehen, nicht destminder wellen wir ime, vnange- sehen das er swachheit halben seines leybs solich vorstmaisterambt nit mer versehen kan, dy 100 guldin prouision, so im laut seiner brief vorschryben sein, genediglich volgen vnd raichen lassen, dagegen solle er vns, inmass wie bey der phaltz zeitn die schulthaissen auch gethan, hiegegen 3 geruste pherd halten, die sich in allen vnsern gescheften, wie ander vnser bestellt raissig daselbs, dergleich er als vnser rat sich an vnserm hofgericht vnd in andern vnsern reten vnd sachen, wie ander vnser ret, auch willig vnd gehorsam gebrauchen lassen sollen.

Darauf soll ime durch vnsern zinsmaister jerlich 8 ellen lindisch vnd zwelf ellen futertuch auf sein person vnd vnser farb gegeben werden, vnd das er furter seine diener selb claide, desgleich fuetrung. vad strow auf 3 pherd, wie hernach in gemainem articl der fuetrung halb gesetzt ist, jerlich volgen.

Aber aller andrer nutzung vnd gefell von juden soll er sich gleicher- weise, wie wir hieuor andern merern vnsern ambtleuten aufgelegt haben, hinfur auch gantz muessigen vnd entslagen vnd dieselben in vnser zinsmaisterambt einziehen lassen vnd vns auch verraite werden. |

Kellerambt.

Wiewol, als wir bericht werden, vns vnser keller Pals Reichart bisher frumbklich vnd wol gedient hat, darumben wir im mit gnaden genaigt, so will vns doch nit gelegen noch gemaint sein, furter das kellerambt weder durch in, noch kainen andern aigen keller furter dermass als bisher zuhandlen, sonder denselben costung abzethun, wellen demnach ine solichs seins dieusts vnd ambis hiemit genedigelichen erlassen vnd muessigen, vnd wellen das hinfur gegenwurtiger vnd ain yeder kunftigcr vnser zinsmaister alle geschefi, raitung vnd verwaltung, so vnser keller bisher versehen haben, in ir verwaltung vnd ambt nemen vnd vns das ambt, dem wie vnsere zinsmaister bisher im zinsmaisterambt gehandlt, sambt den beynutzungen, so ain keller an etlichen hennen, huener, schweinrechten vnd anderm vntzher fur sich selbs eingenomen hat, verraiten sollen, darin wir im an des kellers stat ein kornmesser, wie hernach gemeldet wirdt, verordent, derselb auch ains zinsmaisters gegenschreiber vnd darzue in dem allen hilfich vnd gewertig sein soll.

Vnd soll demnach auch zestund nach erôfinung dits vnsers stadts vnser keller vnserm zinsmaister vnd yetzigen verordneten kastner all vnser frucht, so alsdann auf vnserm casten daselbs ligen, sturtzen vnd

nach dem mass vberantworten, auch furter yr yeder weyler raitung vnd veranwortung, wie sich geburt, dauon halten.

Vnd zu argetzlicheit gemelts vnsers kellers Palsen Reicharts bisher bewisen getreuen dienst wellen wir im hiemit aus sondern gnaden jerlich 20 guldin reinisch aus vnserm ziusmaisterambt bis auf vnser widerruefen vnd wolgeuallen zu geben verordnet haben, die ime auch vnser zinsmaister jerlich ausrichten vnd antworten, dagegen soll er sich auf vnsers landuogts oder zinsmaisters erfordern in vnsern raten vnd andern vnsern gescheften gehorsamlich gebrauchen lassen vnd wider menigelich treulich zu dienen verpflicht sein, deshalb auch vnser land- uugt in beysein vnsers zinsmaisters die aydsphlicht, wie sich dann des- halb geburt, von ime an vnser stat aufnemen solle,

Waldmaisterambt.

Dieweil wir vnsers yetzigen noch kains anderen waldmaisters not- turflig sein, sonder solichs ain vergeben ambt vnd besoldung ist, so wellen wir desselben hiemit vrserm yetzigen waldmaister Fridrichen Ketiner auch gemuessigt vnd ledig gezelt haben.

Drey holzvorstknecht ambter.

So wir aber gleicherweise, wie die stat Hagenaw, zu beschirmung vnseres vorsts vnd walds 3 holtzvorstknecht zehalten notturftig sein vnd nit empern könnden, so wellen wir die 2 yetzig knecht, Ochsen Hainrich vod Hug Hans, bey solchen ambtern beleyben vnd obgenanten Friedrich Kettner an Marczolf Schnußels stat zu Suffelnhaim behalten vnd gebrauchen vnd denselben Schnußel hiemit genedigclich gemuessigt vnd abkundt haben.

Vnd soll darauf den obbenanten dreyen vnsern knechten nemlich vedem an gelt 24 guldin 24 kreutzer, darzue 10 viertl haber vnd 6 ellen niclas parter auch 6 ellen futertuch zu ainem rock sambt vnser farb durch vnsern gegenwurtigen vnd ainen yeden kunfligen zinsmaister vnd noch von vnser fron yedem alle jar 8 fueder holz gegeben werden.

Vnd darzue sollen inen eruolgen nachgemelte zustend vod beynutz irer embter, der haber, so sy bey vnsern vnterthanen auf dem land ersamlen, auch ire recht von afterslegen vnd thorgelt.

Item von den ruegungen nach vermögen der waldsordnung ire reclıl, die huener von Durnpach vnd etwas wenig geltgeuell. Vnd mit dem einslagen der schwein in vnser akhert sollen sy auch gehalten werden, wie hernach der gemain articl zuegibt.

_ 400

Vnser mainung vnd beuclh ist auch, das solich vnser 3 holtzvorst- knecht bey iren gsschwornen aiden, wie bey zeiten der phaltz auch albeg bescheen, auf vnser wildprat gleichsowol als das holtz aufsehen haben, des behueten, beschutzen, beschirmen vnd daruber ruegen sollen, so weit ir vermugen raicht, deshalben auch vnser landuogt in beysein vnseres zinsmaisters die aydsphlicht, wie sich geburt, an vnser slat von ir yedem insonders aufnemen vnd emphahen solle.

Das Vorstmaisterambt vnd reitenden vorstknecht berurend.

Nachdem wir, als hieuor stet, hinfur kain vorstmaister mer halten, so wellen wir dieselben besoldungen hiemit alle abkundt haben.

Dyweil aber Dietrich von Motri ain alter weilend kaiser Maximilians auch erzherzog Sigmunds diener gewesen, so ist vnser mainung vnd beuelh, das demselben hinfur jerlich 32 guldin vnd dazu 5 ellen lindisch vnd 6 ellen futertuch sambt vnser farb, auch die fueterung, wie hernach in gemainem articl gemeldt wirdet, durch vnsern zins- maister gegeben werden, vnd er in vnserm jegerhauss zu Suffelhaim sein sitz haben solle.

Diweil vns dan die andern vnser zwen vorstknecht, Benedict von Udenhaim vnd Lienhart Grenisen, vntzher auch getreulich gedient haben, deshalb wir inen mit gnaden sy auch in vnsern dienst zubehalten ge- naigt sein, vnd sollen demnach vnser landuogt, zinsmaister vnd ret mit ine handlen, damit sy sich aus der stat Hagenaw in die dörfer, dem vorst vnd wald gelegen, setzen, damit sy lag vnd nacht den vorst dest pass bereilen vnd beschirmen mogen. .

Und soll darauf yr yedem des jars 32 guldin in gelt auch 5 ellen lindisch vnd 6 ellen futertuch zu ainem winterrock sambt vnser farb vod darzue fueterung, wie andern vnsern raisigen, bis auf vnser wider- ruefen durch vnsern zinsmaister gegeben werden. Dergleich sollen die vorstknecht zufuess, als Hansen Kirstenbach im ainsidlenhauss vnd dan an Mayrs Lentzen zu Suffelhaim stat, dieweil derselb entloffen, ain anderer, frommer knecht durch vnser landuogt vnd ret aufgenommen vnd yr yedem des jars 6 guldin diensigelt durch vnsern zinsmaister gegeben werden.

Und hierauf soll yetziger vnd yeder kunftiger vnser landuogt oder, wo er je zuzeilen nit anheim ist, sein stathalter vnd verwalter bey solichen vnsern bestellten vorst- auch holtz- vnd sonst allen andern vnsern ambtknechten vnd andern besoldten raisigen ernstlich darob vnd daran sein vnd seine aigne diener auch darzue verordnen, damit vnser

a MODE

vorst teglich, wie die notturft eruordert, beriten, beschuzt, beschiermbt vnd gehandhabt, auch gnugsam versehen, auch die schutzen vnd vber- farer nidergelegt vnd gestraft werden, alles wie bey zeitn der phaltz, domals, als wir vernemen, nit aigen vorstmaister gehalten worden sein, auch beschehen ist. |

Unser landuogt, zinsmaister vnd ret sollen auch von vnsern wegen mit vnsern vmbgelegen anstossern, als dem marggrauen von Baden, herzog Ludwigen von Zwayenpruggen, den grauen von Bitsch vnd Hanaw vnd den freyherrn von Fleckenstain, ain verstand vnd ainigung machen, so ainich wildpretschutz in iren oberkaiten erfunden wurde, das yeder macht habe, in des andern oberkait solich schutzen nachts an pethen vod sonst, wie man mag, aufzeheben, hinwegzefueren vnd strafen, wie sich geburt, damit solich schulzen vertrieben werden mogen, vnd der- gleichen erbieten von vnsern wegen gegen denselben furter auch (hun.

Weliche oder welcher auch vnder allen vnsern dienern wildpret- schutzen dermassen ergriffen, anzeigen vnd niderwerfen, dem oder denen soll zu sambt liren gewondlichen besoldungen albeg von der straf, souil der gefellt, der drittail aus gnaden geben vad die andern zwenlail in vnser zinsmaisterambt einzogen werden.

Vnser landuogt soll auch ordnung geben, damit durch vnsere diener vedes jars in vnserm vorst auf vnsern costen wildpret vnd swein, yedes zu seiner zeit, zimlich gejagt vnd furter das wildpret laut vnsers vorst- maisters stat vnd ordnung austailt vnd das vbrig vns an vnsern hof geliefert vnd gefuert werde.

Vier raisigen ambtknecht.

Dann als vnizher vier ainspennigen raisig ambtknecht gehalten worden sein, sollen dieselben vnser ytzige knecht mit namen Hanns Lobach, Hanns Wigl, Stoffl Bender vnd Gorg Partenkircher noch lenger bis auf vnser wolgeuallen behalten, doch inen in iren aidsphlichten eingebunden werden, auf den vorst gleicherweise wie die vorstknecht ir aufsehen zehaben vnd den nach gutbedunken vnsers landuogts oder seins stat- halters yeder zeit bereiten zehelfen, desgleich sich sonst in allen andern vnsern gescheflen, als raisigen zuestet, gehorsamlich gebrauchen zu lassen in vnsern dienst wider menigelichen.

Dagegen inen vnser zinsmaister jerlich zu sold geben solle yr yedern an gelt 32 guldin, 5 ellen lindisch sambt vnser farb vnd 6 ellen futertuch zu ainem winterrock, auch stro vnd fueterung, wie hernach, aller vnser diener halb ain gemainer articl gesetzt ist, vnd inen darzue

_ 409

veruolgen lassen nachuolgend beyuutz, als nemlich den freysitz zu Hagenaw in der stat, auch yedem von vnser fron jerlich 8 fueder holtz, den scholder von den platzen zu verleihen auf der kirchweyh sambt dem atz, so sy auf den dorfern, wan sy in vnsern gescheflen reiten, haben, vod mit slagen der schwein in vnser akhart vnd vorst, wie das der gemain articl hernach zuegibt.

Gegenschreyber.

Wiewol von alter her kain gegenschreyber, sonder bey kaiser Maximilians zeiten ainer vnd derselb vniz hieher gehalten worden, ist doch vnser mainung vnd beuelh, das vnser tirolischen camerordnung nach nochmals in diesem, wie andern vnsern ambtern, ain gegenschreyber gehalten werden solle.

Doch dieweil vnser keller vnd waldmaister ambter ytzo abgethan sein, so soll derselb gegenschreyber in denselben abgethonen ambts- handlungen auch in allen andern vnsern gescheften vnserm zinsmaister behilflich vnd gewertig sein, lassen vns auch vnseru vorigen gegen- schreyber Thoman von Zwaypruggen darzue gelallen.

Und ordnen ime den freysitz zu Hagenaw, desgleich beholtzung, wie von alter her komen, vnd darzue fur jerlich besoldung 32 guldin vnd auf ain pherd fueterung, auch 5 ellen lindisch vnd 6 ellen futertuch sambt vnser farb, auch fueterung vnd stro, wie nachuolgend der gemain articl zuegibt

Boten.

Und nachdem sich vnser ainspennig vnd raisig an alle end, dahin sy durch vosern landuogt vnd zinsmaister vnser und vnserer landuogtey not- turfi nach verordnet werden, gehorsamlich gebrauchen lassen sullen, vod sonderlich, so ir an vosern hofgerichten zu thurhueten auch zuwarten begert wirdet, sollen sy dasselb gehorsamlich thun, desgleichen vnser leyfboten, die vnder vnsern puchsen auf vnsern zinsmaister warten, so die vnsern ir in vnsern gescheften bedorfen, vmb das zimlich alt potenlon auch laufen sollen, so muessigen wir hiemit vnser bisher gehaltenen reitenden boten, vnd ist auch vnser beuelh, das du vnser zinsmaister vnser pherd, so derselb vnser reitender bot bisher geritten hat, verkaufest vod das, so du darumb einnemen wirdest, zu nechst konftiger deiner raitung in emphang nemest vnd verraitest, doch die- weil derselb reitend bot Martin Berlin lange zeit vad williglich gedient hat auch mit alter vnd vil kindern beladen ist, deshalben wir im mit

TT" JA

gnaden genaigt sind, so lassen wir vns gefallen, das er noch furter als vnser reitender bot vnd kornmesser sey, doch das er sich selbs furan beritten mache vnd in vnserm ringhaus sitzen beleibe vnd die gefangen hinfur wie bisher behuet vnd verware.

Und das er auch vnser korn vnd habern ein- vnd ausmessen, wie er deshalb sonder pflicht vnd aid thun solle, getreulich versehe, auch nichts ausgebe, verkauf, noch fur sich selbs dauon verbrauche, dann laut nach gemelter vnserer ordnung vad nach vnsers #insmaisters in beysein vnsers gegenschreibers gutbedunken vnd verschaffen, auch vaserm zinsmaister jerlich vmb alle sein handlung erber, aufrecht raitung vad vergnuegen thun.

Dagegen ordnen wir im den freyen sitz in der stat, desgleich vergebne behausung in vnserm ringhauss vnd von vaser fron jerlich 8 fueder holtz, auch den zuestandt, so im werden mag von gefangnen, desgleichen das mess- vnd aufschreibgelt, so von vnsern vnderthanen bisher vnserm keller, wan sy ir habern vnd korn gar gericht haben, geuallen ist, das sich jerlich bis in die sibenthalben guldin vngeuerlich erlaufen mage.

So soll er auch mit schweinrechten vnsers agkertz gehalten werden, wie ander hieuor benennt vnser diener laut gemains articls.

Und zu dem allen ime durch vnsern zinsmaister jerlich zu sold gegeben werden solle, nemlichen 20 guldin, 6 ellen niclas partner sambt vnser farb, auch 6 ellen futertuch zu ainem winterrock vnd auf sein pherd fuetrung vd stro, wie der gemain articl hernach inhalt.

Ander gemain nachuolgend articl die new angenommen raisigen beruerend.

Als durch vnser landuogt vnd zinsmaister vor etlichen jaren in der französyschen kriegshandlung zu sterkung vnser straifenden ret nach- uolgend extraordinary raisig zu vnsern dienern angenommen vnd sich dieselben in jungster, peurischen empörung auch willig vnd gehorsam brauchen lassen haben, mit namen Haman Volmar vad Marx Schweicker von Reichshofen, yeder mit ainem gerusten pherd, vnd Wolf Voltzen mit zwayen gerusten pherden, demnach in ansehung solcher irer dienst solleu dieselben raisigen, dieweil, als wir bericht werden, sy redlich vod gut, tapfer, wolgeschickt reuter sein, sy auch wolberitten vnd gerust halten noch in vnserm dienst bys auf vnsern ferrern beuelh vnd geualleu beleiben vud behalten werden, vnd sy sich in allen vnsern gescheften, vnsern vorst zubewaren vnd zubereiten, desgleichen zu straifen vnd in anderweg, wie raisigen zustat, nach vnsers landuogls,

404

zinsmaisters oder ir stathalters beuelh zu aller zeit wider meniglich gehorsamlich vnd willigelich brauchen lassen, dagegen vnser zinsmaister inen jerlichs auf yedes gerust pherdt 15 guldin vnd darzue 5 ellen futertuch sambt vnser farb auch stro vnd fueterung, wie das der gemain nachgeendt articl vermag, geben, vnd sy als vnser diener den freyen sitz zu Hagenaw hinfur wie bisher haben.

Und so aber, als wir bedenken vns nutzer vnd besser zu sein, raisige schulthaisen fur pawrn in vnsern dörfern vnd sonderlich den nambhañigisten flecken zu halten, durch die zu beschirmung vnserer walde, vorst vnd in ander weg vns mer guts vnd fruchtbars ausgericht, handlet vnd geschafft werden mag, ist darauf vnser beuelh, das vnser landuogt, zinsmaister vnd ret mit vorgemelten vnsern dreyen raysigen vorstwildpratknechten, desgleichen den andern yetzgenannten extraor- dinarii raisigen, oder wo es denselbigen nit geliebt sein wollt, mit andern vleyssig handlen, damit sy sich mit der zeit zu solichen schulthayssenambtern brauchen vnd sambt den freyen sitz vnd andern geniess, den sy von schulthayssenambtern in dörfern gehaben mogen, sich zimlicher besoldung als des jars 12 guldin vnd 24 viert! habern vnd darzue 5 ellen lindisch sambt vnser farb vnd 6 ellen futertuchs zu ainem winterrok fur ir dienst, inmassen wie ander vmbgelegen herren auch dermassen raissig schulthaissen halten, benuegen vnd, in allen vnsern gescheften vnd handlungen, wie raisigen zuesteet, gebrauchen lassen.

Fueterung.

Wir wellen auch, das hinfuro vnserm landvogt, zinsmaister, schulthaiss vnd sonst allen andern vnsern vorgemelten dienern auf yedes pherdt, soviel ir yedem, als vorsteet, hinfur zu halten aufgelegt sind, jerlich 52 viert! habern vnd 200 wallen stro, ausgeshlossen Marx Schweickher, demselben aus vrsach, daz er zu Rischhofen wonet, nur 15 viertel habern gegeben, vnd das vnser zinsmaisler, gegenschreyber vnd korn- messer albeg ir ordentlich aufmergken haben, welcher sein anzahl pherdt nit halt, oder so oft ainer, es sey welcher es well,tkainen ausgeschlossen, vbernacht vnd wieviel nacht er in sein aigen oder vnsern gescheften ausserhalb der stadt Hagenaw ist, das sy demselben albeg nach gebur- licher anzal sein fueter aufheben, abziehen und aufschreyben, auch solichs in zinsmaisters raitung durch ein sonder register jerlich und aigentlich angezaigt werde, doch so sollen in solchem ebzug der fueterung die knecht, su ylz auf dem land vnd nicht zu Hagenaw

TT

sitzen oder kunftiglich hinausgesetzt, das inen solcher abzug der fueterung nit geschehen soll, ausgesondert seiu, sy reiten dann in andern gescheften ausserhalb des gezirks unsrer landvogtei, so sollen sy dieselben zeit, wie ander unser diener halb zu Hagenaw yetzt unterschaiden ist, gehalten werden.

Sweynrecht.

Vnser landuogt, zinsmaister, schulthaiss, gegenschreiber vod ander vaser hieuor geschriben ambtleut vnd diener sollen hinfur, so in vnsern vorst agkart wird, nit mer dann soviel ir yeder schwein in seinem gewondlichen haussbrauch notturfig ist, einschlagen, vnd was er der- massen also zu seiner haussnotdurfi nit beslecht, ir kainer ainige weiter recht fur sich selbs andern verleyhen noch gelt dafur zu irem nutz, wie bisher ir etlich im brauch gehabt haben, nemen, sonder das alles vnd yedes gelt, soviel von allen andern schweinen, die in wald geslagen, gefellt, durch vnsern zinsmaister zu vnsern handen einge- nommen vnd vns jerlich verrait werden.

Korn, wein, hew vnd beslaggelt,

Als bisher aus vnserm zinsmaisterambt vnserm landuogt vnd andern dienern etlich korn, wein vnd hew oder fur dasselb ain anzal gelts gegeben vnd vns aber wenig korn vnd wein vnd gar kain hew in vnser zinsmaisterambt gefellt, so wellen wir demnach solichs sambt dem beslaggelt hiemit aufgehebt vnd abgethon haben, also das hinfur vnser landuogt, zinsmaister vnd all ander officier sich an dem, wie hieuor ir yedem bestimbt ist, benuegen lassen sollen.

Musterung.

Vnser zinsmaister, gegenschreyber, oder wen wir sonst yeder zeit nach vnserm geuallen darzue verordnen, sollen auch all viertl jars vnsern landuogt vnd sonst all ander vnser diener, so vas laut irer bestallung vnd dits vnsers stats vnd ordnung rustung vnd pherdi ze halten schuldig sein, mustern vnd besichtigen, vnd bey welichem oder welichen ir anzal pherd vnd rustung nit erfunden wirdet, den oder dieselben lauter beschriben vnd dasselb jerlich neben iren jarraitungen auf vnser oberosterrichischen camer einlegen vud anzeigen, auch ir besoldung in gelt, claider, fueterung vnd allem andern aufheben vnd nit bezallen, wo aber vnser zinsmaister solichs daruber thun wurden, soll inen des in raitung nit passirt werden.

406

Hernach volgen die ret vnd ander, so ratsold, offnung, diensigell auch prouision vnd gnadgell, zins vnd lehengut auf der landuogtey verschriben haben.

Hanns Hofwarten von Kirchaim, riter.

Dem solln durch vnsern zinsmaister seine ausstende 200 guldin verfallen rat- vnd dienstgelt mit der zeit nach erleyden vnsers zins- maistersambis, als so agkhern wirdet, bezalt, vnd wiewol er alt vnd vnuermugenlich worden ist, aber als wir bericht sein, vns vnd vnsern fordern bisher erlich, getreulich, frombklich vnd wol gedient hat, auch noch teglich durch sein son sein auferlegt rustung, so er in vosern geschefen eruordert worden ist, wie sich geburt, gehalten vnd sich gebrauchen lassen hat, so wollen wir ime sein lebenlang gegen solcher haltung seines sons rustung sein jerlich dienstgeld volligelich volgen lassen, vnd das auch du vnser zinsmaister ime dermass von vnsern wegen raichen vnd geben sollest.

Adrian von Brembd

schreyben wir hiemit, das er sich vnangesehen vnser genedigen bewilligung vnd verschreibung zu erhallung vncostung ains andern rats besoldung gen llagenaw setz vnd vns mit $ gerusten pherden zu allen vnsern gescheften willig vnd gehorsam wider meniglichen auch nach vermög werlend vnsers lieben hern vnd anhern kaiser Maximilians bestallung als vnser hausrat an vnserm hofgericht vnd in allen andern vnsern reten gehorsam gebrauchen lasse, dadurch wir alsdann des costen vad besoldung ains andern rats vnd 4 pherdt erlassen werden, als daun du vnser zinsmaister ime die 200 vod darzue die 50 guldin besserung geben sollest laut seiner verschreybungen, ob er aber nit erscheinen wollte oder wurde aus was vrsachen, vns derselben benchtest vod unsers terrern beuelhs erwartest.

Doctor Wernher Wolf zu Strassburg.

Nachdem wir glaublich verpemen, das er in rosern dienst, sonderlich in rat suzeen, bisher ain zertlan: vofsvss; befunden, demnach soll durch vosara haduat vn! simmaster mi ime van mem wegen ernälah daraus jebanlit werdea, das er ska seines dienst pass dann an seither ters wo er Jariber mreiorsan der saumig sein wuni, alslaoa wue haie: ri ucsmaiter vn: sckhes an bof zue- schrerten ml ms an min knlen Las Serre: masen, so welien women RiMbiiez fm um led. 123 leschai ges

SC CARRE > ss). BZ + M TRS re RT dt

CE | U {ir " | N : 1"

5,47 re

‘4

mnt | F.

re

.= | : | F à P 5 . | 7 [LL LL LA

17.

u ee

ah PT PRE P- % Pr spi, £ 7: y A I

N Tr - EG | : L : "AL j f ! are ' um PR "WER WE N a 2 nt hu L

+ als 1e L |

AU use ,

18 Jacoben von Landsberg

zu Strassburg soll vnser zinsmaister sein veruallen diensigelt ytzmals bezalen vnd ime durch vnsern landuogt, zinsmaister vnd rei furler geschrifilich oder mundlich anzaigt werden, dieweil er mit so schwerer krangkait beladen sey, deshalb er vns lenger zeit nit mer dienen moge, so wellen wir ine solichs diensts mit gnaden erlassen mit dem anhang, das er nichtdesiminder als vnser rat in disen vnsern neu auf- gerichten stat geselzt sey, damit er one besoldung in vnserer land- uogtey Hagenaw schutz vnd schirm behalten, vnd wir wellen vns nicht- destminder zu im genedigelich versehen, er werde vns nit weniger dan vor sein leben lang dienen, dargegen wir ine auch in gnedigem schutz vnd schirm behalten wellen.

Hainrich von der Thann,

vnserm diener vud seiner hausfrauen soll ir baider lebenlang ir prouision vnd gnadengelt, als jerlich die 40 guldin reinisch, durch vnsern zins- maister laut irer verschreybung volgen vnd geraicht werden.

Wir wellen auch, so hinfuran in reten, ambtleuten vnd andern dienern in der landuogtey, es sey durch abgang, alter oder andern vrsachen ainiche endrung beschehe, das alsdann kain rat, ambtmann oder diener von neuem angenomen werde, sonder zuuor durch vnsern landuogt oder zinsmaister vnserer tirolischen camer solche enderung vnd auch mangl angezaigt vnd dieselb vnser tirolische camer dasselb furter vns an vnsern hof sambt irem gutbedunkhen verkhundt vnd daruber vnsers beschaids erwartn, wo aber solcher dienst oder ambisverwaltung vnsers beschaids nit erwarten mecht, in solichem fall mugen landuogt und zinsmaister ain verwalter mitler zeit, doch nur auf geuallen vnd vnsern weitern beschaid verordnen.

Jakob Sturtzl,

phruendner zu sand Waltpurg, sambt seiner phrund, so er daselbst hat, sollen alle wochen die 8 halben creutzer gnadgelt, thut jars 6 guldin 12 kreutzer, furter wie vntzher gegeben werden.

Bastian phruendner, vischer

im gotshaus Neuenburg zu gleicherweis der wochen 8 halben kreutzer, thut jars 6 guldin 12 kreutzer.

Doctor Jacoben Spiegl,

vnserm rat vnd secretarien, soll von dem ersten tag octobris nechst verschinen 1526 jar an zeraiten nun hinfuran sein lebenlang anderthalb-

SE > eichsdorf DE = À = j | | tion an: r ‚soll y |

MO

an den 90 guldin aussteender schuld auch jerlich 25 guldin, bis dieselben gar bezalt werden, geben.

Otten Sturmbs,

riters, erben zu Strassburg lehen zins laut irer verschreybung jerlichen die 12 guldin zu geben.

Brobst vnd conuent zu Ingelshaim

sollen fur dy geuell, so sy auf dem ambt kaysersperg gehebt haben, laut irer verschreybung 40 guldin jerlich zins, wie bisher beschehen ist, furter aus vnserm zinsmaisterambt geraicht werden, so lang bis weylend Heronimus Pruners erben von kaysersperg abgelost vnd oban- gezaigter zins ainem kunftigen pfandherrn zuuerrichten vnd damit das zinsmaisteramt zu entledigen aufgelegt wirdet.

Abstellung etlicher vergebner prouision.

Verrer ist unser beuelh, das vnser zinsmaister Jacoben Krutschart, lautenslager, herrn Jacoben Zimmerman, dechant zu Colmar, Steffan Rasteter, Hannsen Joachim, vogt zu Surburg, vnd Rudolfen Schutzen, irer vermainten prouision halben, desgleichen den Beginen am Mulberg von wegen Johann de Prees tochter, vnuerhindert das sy in etlich alten ordnungen vnd staten sten, aus bewegenden vrsachen vnd die weil es alles vergeben ausgaben sind, hinfur nichts mer geben noch bezallen solle.

Claus Becklins

zu Strassburg erben aussteends rat- vnd dienstgelt, nemlich 60 guldin, desgleichen vnserm lauduogt ain zerung, als er in yrrungen des ambis Phirt halb gehandelt hat, laut ains zedis von vnser raitcamer aus gegangen, der auch 60 guldin ist, dise zwo posten sollen durch vnsern zinsmaister nach statten vnsers zinsmaistersambis mit der zeit bezalt werden.

Gabriel Heckher.

Aldann vnser zinsmaister, wie er anzaigt, weylend kaiser Maximilian von ime dem Hegker zu Hagenaw 300 guldin haubtgut aufbracht vnd seine gueter darumb verphend halben solle, vnd er die bisher aus vnserm zinsmaisterambt mit 15 guldin verzinset, soll unser zinsmaister furderlichen die original der zinsverschreybung vnd losbrief oder aber glaubwirdige vrdrnuss dauon, so durch vnsern landuogt zu Hagenaw colacionirt vnd vnderschriben sey, vnsern stathaltern vnd reten vnserer railcamer gen Yensbrugg antwortn, auch doneben lauter vnd clar anzaigung thun oder

AU = vrkund des darlehen, wo er bestimbt 300 guldin haubtguts gegen kaiser Maximilian oder vnser camer fur emphang verrait, vnd wem er auch dieselben gegeben hab, daruber gemelt vnser stathalter vod camerret weyter beuelh vnd ordnung geben, wie es furter damit gehalten solle werden.

Gebew in der Landuogtey.

Was vnser landuogt hinfur fur namhaftige gebew in unser behausung der landuogtey seiner verwesung ze thun notwendig acht, die soll er albegen an vns oder vnser statthalter vnd ret vnserer oberösterreichischen raitcamer bringen und beschaid daruber erlangen, auch was furter also zu pauen beuolhen, durch vnsern zinsmaister das paugeld bezalt vnd ime in seiner railung fur gut ausgab passiert werden. was aber vnserm landuogt vber thurn, laden, venster, gleser, ofen, pachofen, kachlen, in rosstellen die stendt, rauffn, pern, schloss nnd schlussel, so in der behausung vnd stallungen yetzzutzeiten zerprochen, erworfen oder ver- loren werden, chosten auflauft, denselben soll vnser landuogt, dieweil ime solich behausung mit dem allen versehen eingeantwort vnd bisher mit pauen völligelich vnderhalten worden ist, selbs tragen vnd bezalen, dann ime solich vnser behausung wesenlich vnd vnwuestlich innezu- haben geburt, wie dann alle ander vnser vogt vnd phleger an andern enden thun, aber so oft die dacher der zimmer zu degken not ist, soll vnser zinsmaister dieselben dachungen albegen in vnser kosten machen vnd degken lassen, vnd ob vnser landuogt oder zinsmaister hieruber on beuelh ychts weiters bauen vnd zinsmaister in sein raitungen fur ausgab bringen wird, soll ime dasselb nit passiert werden.

Hofgerichtscostung.

Dieweil bisher vber vnser hofgericht viel vnnulzer kosten mit ver- sebener gastung aufgeloffen, das auch in vnserer landuogtey hausung gehalten wirdet, ist vnser beuelh, willen vnd mainung, das gegenwirtiger vnd yeder kunfliger vnser landuogt allen vnsern reten, auswendig vnd haimischen, auf ihr personen vnd ainem oder zwaien vnsern knechten so albeg beschaiden vnd vnder inen in solichem ein tag vmb den andern vmbgewechselt thur zu huten vnd auf vnser ret zu warten, zu essen geben, vnd damit vnser landuogt deshalb one schaden gehalten, soll im durch vnsern zinsmaister fur yedes mal 8 kreuzer bezalt, auch so ainicher fursten oder anderer stend erlich botschaften oder ander erlich leut, die vor vnserm hofgericht zu handeln haben, vorhanden sein, dieselben mugen von iren wegen etlich mal zu gast geladen, das

B. XXI. (M.) 27

42

auch yeder vnser edler auswendiger rat mit 2 pherden komen, vnd im sambt den mällern, so er dermass bei vnserm landuogt hat, in seiner herberg auf sein person vud pherd 10 kreuzer vnd sein knecht vnd knechts pherd 20 kreuzer yedes tags vnd nachts gegeben werden, duch sollen hierin vnser prelaten vnd comenthur, dieweil sie all aigen huf zu Hagenaw haben vnd ihr gesind von schirms wegen, wie von aller her billig, selb vnterhalten, ausgeschlossen sein.

Ret vnd diener aufnehmung.

Es ist auch vnser mainung, das weder vnser landuogt noch zins- maister hinfur ainicherlay ret noch diener nit mer annemen, dan mit vnserm oder vnserer stathalter vnd ret vnserer oberösterreichischen raitcamer vorwissen vnd beuelh, vnd damit dann vnser hufgericht desstatlicher gehalten, sollen vnser vnd der landuogtey prelaten comenthur, desgleich die edlen, so belehnet sein, vnd etwan geschickt leut von den steten auch darzue gezogen vnd gesetzt werden.

Gemain zerung.

So dann vnser landuogt, zinsmaister vnd ander vnser officier den atz vergebens auf des reichsdörfern haben, so soll inen hinfur im zirgg der landuogtey kain zerung von vnsern wegen gegeben noch vascrn zinsmaistern in ausgab nit gelegt, wo sy aber ausserhalb dem ziryg vnserer landuogley in vnsern gescheflen reiten, sollen sy gleicherweis wie ander vnser ret vnd diener vnser regierung zu Ensishaim vnserer oberösterreichischen raitcamer ordnung vud gebrauch nach gehalten werden, das ist ye «in tag vd nacht auf ain pherd 20 kreuzer.

Gejaid Costung.

In dem sulle durch vnser ambtleut gute ordnung gehalten, das aller zimlicher uncosten vermiten auch nit anders oder weiter gejagt, dann wie wir yeder zeil nach vnserm wolgeuallen ordnung vnd beuelh darin geben werden.

Freysessen zu Hagenaw.

Als vntzhere all vnser vnd vnserer voruordern ambtleut vnd diener, desgleich aller adel in der stadt Hagenaw frev gesessen sein, vnd wir dann durch diesen vnsern stalt vnd ordnung etlich vnser diener vnd embier dieser zeit bis auf weiter vnser wolgeuallen abgestellt, so wellen wir doch hiemit vorbehalten haben, das solichs dem reich vnd vns an vnsern alten herbrachten oberkaiten der freysitz vnd ander herrlichkait vnuergriffen vnd vnschedlich sein solle.

- " ns +

PT EN a N = RE cb: soderugegeaholss han zulıren, ae nice de FRE ie E OL nn ue =

die | . | | VIP": Dot MAP as ch x AU Gi ER . SRE N an ORNE | A

à

EE À, 2 ty e . y 7 NEN NE rt à

era à + otre 2

start otind Fire

a er cap he re LS

M4

ernstlicher beuelh, will vnd mainung ist, so behalten wir vns nichts dest- minder beuor, solchs hinfur zuendern, den oder andern vnsern dienern, so wir yetz haben oder kunftiglich bestellen werden, mer oder minder holtz auch ander freyhait vnd gerechtigkait im freysitz vnd in ander weg zuuerordnen, alles nach vnserm geuallen, vnd wie wir das altem herkhomen vnd gebrauch nach gewalt und macht haben.

Das einnem berurendt,

so folgen hernach die articl, darin wir bisher mangl gehabt, die hinfur durch vnsern zinsmaister eingezogen vnd verrait werden sollen.

Peth vnd steuer.

Item er soll die jerlichen peth und steuer von den steten vnd dörfern desgleich sonst all ander gefell wie bisher einziehen vnd die- selben all, von wem vnd wie sy geuallen, vnder sonderer rubrigg jer- lich, er hab die einbracht oder nit, in sein emphang stellen vnd ver- raiten.

Freuel.

Er soll auch hinfur die freuel vnd puessen, wie sy laut der satzungen mit recht verfallen, einziehen vnd ime die nit wie bisher geringer abtaidingen lassen, es were dan der frefel etwo zuzeiten so vngeuar begangen, oder die personen gar arm, so mag er nach gestalt der sachen vnd personen darin miltrung vnd zimliche mas halten, auch etwan die armen, so mutwillige frefel begeen vnd sich trosten, das sy die nit zubezalen vermugen, am leyb die mit venknuss abzudienen strafen.

Zwing vnd peen zu Grassendorf.

Als dann vor jaren bey zeiten der phaltz aus zwing vnd peen zu Grassendorf 9 phund 10 schilling phennig fur emphang in vnser zins- maisterambt verrait worden sein, dauon yetz etliche jar her nichls geuallen, solle er vns hinfur daselbs widerumb einziehen, souil der phaltz gerechtigkait vormals gewest ist.

Juden gewerb vnd stewer auch inzuggelt vnd strafen.

Dieweil wir auch gleublich befinden, das die juden, so bey zeiten der phaltz in vnserer landuogtey gesessen, der phaltz nit allein den guldin phennig, sonder gross gewerb vnd steuer jerlich nach gestalt irs vermugens, desgleich so ainer von neuem einzogen ist, ain gross einzug- oder satzgelt, auch wo sy ausgewandert, sonder glaitgelt, vnd

M5

so sy misshandet, darfur gross strafgelt geben, vnd in kurzen jaren solicher juden vil mer, dan ir vor nie gewest, allenthalben in stet vnd dörfer vnserer landuogtey einkomen sein vnd vns bisher nichts dan der guldin phennig von inen veruolgt sey, sy auch zu mergelichem verderben vnd nachtail vnser vnderihanen dasselbs raichen, so beuehlen wir vnd wellen ernstlich, das solich juden hinfur nit in so grosser anzahl, als erst kurzer jar auferstanden, in stetn vnd dörfern vnserer landuogtey geliten noch weiter ingenomen werden, vnd welche seit einnemung der landuogtey von neuem einkumen vnd ingesessen sein, sich nochmals vmb ir satz- vnd inzuggelt mit vnserm zinsmaister ver- tragen, derselb auch solichs inbringen vnd vns verraiten, oder welcher jud sich des widert, ime aus vnserer landuogtey geboten werden solle. Die ambtleut kain genies zenemen.

Unser ernstlicher beuelh, willen vnd mainung ist auch, das vnser landuogt, zinsmaister vnd schlecht alle ander vnser offizier vnd diener in vnserer landuogtey Hagenaw hinfur ganz dhainerlei vererung, opher-, begrab-, insatz- noch strafgeld, schankung noch sonst ainicherlai andern genies, wie der genant werden mag, von yetzigen noch konfligen juden einnemen noch haben, sonder was inen zu einzug, satzgelt, ergelt, ophergelt, schannkung, strafen oder wie dasselb genannt werden mag, nichts ausgenommen, gefelt, des alles klain vnd gross sie bei mitl irer ayd vns in vnser camer durch ain zinsmaister vberantworten vnd verrait werden solle.

Leybpeth von des reichs leuten.

Dieweil sich auch in den alten phaltzgrafischen raitungen befindt, das vor jarn von den leybpethen oder leybsteuern der aignen leut in und ausserhalb vnser landuogtey dörfern vil mer vnd grossers dan ytzo geuallen, in demselben auch ordenliche nachfrag vnd vleyss, die leut, wo sy gewonel, zuerkonden, vnd das, so sy schuldig gewesen, ein- zuziehen gehalten, sollen vnser zinsmaister vnd ambtleut vnser aigen reichsleut hinfur vleissiger dan bisher erkonden, die leutpethn von inen laut der alten phaltzgrefischen raitung, dauon wir inen zu merer vnderricht abschriften antwortn lassen, desgleich sonst all ander gefell so sy bisher aus mangl solcher alten raitungen nit wissen gehabt haben mogen, sonder erst durch solich abschriften erinnert vnd gewar werden, alles des so vor der phaltz veruolgt ist, zum vleissigisten ergrunden, erfaren, einziehen vnd albeg von namen zu namen verrailen.

M6

Zins auf der capell.

Vnser zinsmaister soll auch ain phund sechs phennig sambt den sechsunddreissigst halben caponen, die vos zu sant marlinstag auf der capell in der purg in der stat Hagenaw zins geuallen, als das zinspuechel das aigentlich ausweist, hinfur volligelich vnd gar sambt dem, so bisher ausstendig beliben, wie bey zeiten der phaltz beschehen vnd sich in den alten raitungen erfindt, einziehen.

Etlich vbersehen zins berürend.

Vnd dieselben desgleich die 3 schilling phennig vom dingshof zu Ritershofen, 10 guldin von dem von Ebershaim atz oder legergelt, 9 guldin zins vom haus von Hegne vnd sonst all steendt gultn, jerlich vnder sondern rubriggen steender gulten vnd nit in gemainem emphang verraiten.

Zoll zu Betzendorf.

Als sich dann in solichen alten raitungen erfind, das vns ytzo zu Betzendorf vil weniger zoll oder weggelt, dan bey zeiten der phaltz, verrait wirdet, soll demnach hinfur sollicher vnser zoll vnd weggelt wider zum teuristen, wie bey zeiten der phaltz, hingelassen vnd verrail werden.

Holz vnd wisengelt.

Vnser zinsmaister soll auch hinfur vnder der rubriggen von walds- gefellen das wisen vnd kuchengelt von namen zu naınen, wieviel yeder auch zum tail vmb vnd fur was holtz sy das geben, wie bey zeiten der phaltz, einziehen vnd vns auf vnser camer verraiten.

Vorstrecht von etlichen wegen aus etlichen dörfern.

Dieweil auch vormals der phaltz laut ir raitungen zu Batzendorf, Talhaim, Kriegshaim, Scheffelingeshaim, Ritershausen, Bersthaim, Hoch- stein, Hegne, Merspern vorstrecht, von ainem wagen 16 phenning 2 huener, von ainem karn 16 phennig À huen, welcher kain pherd, der hat 16 phennig vnd kain huen, vnd welcher des jars haymburg gewesen, ain schilling phennig geben, geuallen, welches yedes jars auf vnd abgangen, vnd wir in diser post, das vns nit souil verrait wirdet, grossen abgang befinden, soll vns hinfur vnser zinsmaister die vorst- recht an gelt vnd hennen, inmass wie bey zeiten der phaltz von alter herkumen ist, vleissig einziehen vnd vns auch vnder ainer sondern rub- brigen wie vud von wem die geuallen, von namen zu namen, wie das die alten zinsmaister der phaltz gethan, anzeigen vnd verraiten.

M8

Geben in vnser kunigelichen stat Stulweyßenburg am 9. tag des monats nouembris, nach Cristi vnsers lieben herren geburde 1500 vnd im 27., vnserer reiche im andern jaren.

FERDINAND. Ad mandatum domini regis proprium. Orig. Pergm. Strassb. Bez.-Arch. C 1 Ar. 40.

18. Kaiser Karl V. erlaubt seinem Bruder, König Ferdinand, die

Reichslandvogtei Hagenau an die Pfalzgrafen Ludwig und Friedrich zu verpfänden. Augsburg 1530 Okt. 24.

Wir Karl der funft etc... . bekhennen ... als der durchleuchtig konig, vnser lieber brueder vnd furst, herr Ferdinand, zu Hungern etc.... konig, etc... seiner licb gelegenhait vnd notdurft nach die landtuogthey Hagenaw in vnder Elsas, so von dem reich seiner lieb von wegen des hauß Österreich pfandtschaft ist, verrer dem hochgebornen vnserm lieben oheim vnd chürfursten Ludwigen ... pfallzgrauen bey Rein... seiner lieb lebenlang vnd nachmals dem hochgebornen vnserm lieben oheim vnd fursten Friderichen, pfaltzgrauen etc. . ., seiner lieb brueder, auch seiner lieb lebenlang, vnabgelost vmb viertzig tawsent guldin reinisch, je fünftzehen patzen für ainen guldin züraiten, zu verphendten, zuuerschreiben vnd einzugeben furgenommen, vnd vns deshalb vmb vnser bewilligung ersuecht vnd angelangt, das wir darauf in solch obgemelt vnsers lieben brueders, konig Ferdinanden, verphendtung vnd verschreibung der landtuogthey Hagenaw vnsern gonst vnd willen gegeben haben, thuen solchs auch hiemit wissentlich mit disem brieue, was vns als Romischem kaiser oder auch als ainem ertzherzogen zu Österreich oder in anderwege daran zu bewilligen zuesteet oder von vns zu bewilligen von nöten ist, also daß gedachtes konig Ferdinanden verphendtung beruerter landtuogthey Hagenaw ganz kreftig sein vnd durch vns vnd vnser nachkommen kainerley irrung darinnen furge- nommen oder gethon werden in kainerley weise, vnd was bißher von den stetn in gedachte landtuogthey gegeben worden ist, dasselb alles auch gedachtem pfaltzgrauen eruolgen solle vngeuerlich.

Mit vrkundt dits briefs, besiglt mit vnserm kayserlichen, anhangenden insigl. Geben in vnser vnd des reichs statt Augspurg, am vierundt- zwaintzigisten tag des monats octobris, nach Cristi geburde funftzehen- hundert vnd im dreissigsten, vnsers kayserthumbs im zehendten, vnd der andern reiche im funftzehenden jaren.

Orig. Perg. Siegel und Schnüre fehlen. Strassb. Bez.-Arch. CG. I, 45.

Us

19. König Ferdinand verpfändet die Landvoglei Hagenau um 40 000 Gulden an die Rheinpfalzgrafen Ludwig und Friedrich und ihre Erben. Augsburg 1530 Nov. 1.

Wir Ferdinand von gottes gnaden zu Hungern, Beheim ele. . .. konig ... bekhennen fur vns, vnser erben vnd nachkhomen ete. .... dab wir vi beweglichen guten vrsachen auch in ansehen vnd vmb der manigfaltigen, freuntlichen, dienstlichen erzaigung willen, die nit allein der hochgeborn fürst, herr Ludwig, pfalentzgraue bey Rhein, . - vnser lieber oheim vnd freundt ... dem allerdurchleuchtigsten fürsten, herrn Carolen dem funften, Romischen kaisser, vnserm gnedigen lieben herrn vnd bruder, auch vns mit nachlassung der acht dausent golt gulden jerlicher pension, so seiner lieb von genantem vnserm gnedigen lieben hern vnd bruder, kaisser Carlen, auff iren nidderbur- gundischen landen verschrieben gewest, sonder auch sonst in viel ander wege, darin sein lieb sich gegen vns, auch dem haus Österreich zu gefallen, gutwillig bewiesen, welches auch vns vnd demselben vnserm haus Österreich zu ehren, nutz vnd wolfart wole erschossen, vnd sein lieb hinfürter zu thun sich freuntlichen erbotten, das wir von seiner lieb zu freundlichem dankh vfigenomen, darumb auch vs besonder freund- schafft, damit wir seiner lieb billichen genaigt sein, gegen derselben dankbarlichen zu erzaigen bey vus für zimlich vnd loblichen erwegten.

Vnd deshalben so haben wir vb vorbestimpten vrsachen vnd ange- borner milte sein liebe mit nachgemeltem freundtlichen begabet, nem- lichen seiner lieb vnd dero erben mit bewilligung des allerdurchleuch- tigsten, großmechtigsten fursten vnd hern, hern Carln, Romischen kaissers elc..... vnser landtvogtey Hagenaw in vnder Elsas, so weil- landt seiner lieb furalten vnd valter seliger gedechtnus hieuor auch inhands gehapt haben, wiederumb vd obgemelten vrsachen vnd freyer eabe mit aller irer oberkeit, herligkeit vnd gerechtigkeit, schlossen, stetten, flecken, dorffern, weylern, höflen, leutten, zinssen, gulten, renthen, nutzungen vnd gefellen, wildpennen, welden, feldern, wassern, waiden, jegereyen, fischereyen vnd sunst allen andern derselben landuogtey zu- gehorigen offnungen, auch lehens vnd aigens, ein- vnd zugehorungen, sampt den brieflen, zinsbüchern, registern vnd verzaichnissen vber solche der landtuogtey recht, gerechtigkeit, renthe, nutz, gefelle vnd anders sagende, wie wir das alles bis vif heut dato ingehapt, vmb vierzig dausent gulden rheinisch in montz, je funfzehen batzen fur ein gulden zeraitten, pfandsweis zugestelt, ein- vnd vbergeben haben,

499

entziehen oder zu entziehen gestadten, vnd alles das thun, so sich von solcher pfandtschafft wegen gebürt vnd wir selbst zuthun schuldig gewest

Doch in diesem allem haben wir vns vnd vnsern erben die lossung der landtuogtey furbehalten, also wann vns oder vnsern erben, ertz- hertzogen zu Osterrich, nach obgedachter pfalentzgraue Ludwigs chur- fursten vnd pfalentzgraue Friderichs dötlich abgang alsdann vber kurz oder lang gelegen vnd gemeint sein will, die lossung gemelter landt- uogteyen zuthun, so sollen wir dieselbe irer liebden erben zuuor ein jarlang verkhunden, vnd alsdann nach ausgang des jars inen zu Speyer, Germersheim, Neustadt an der Hart oder Pretheim, welliche vnder diessen stedten ire liebden vns oder vnsern erben ernennen werden, die viertzig dausent gulden rheinisch, je fünfzehen patzen für einen gulden geraittet, sampt allen andern pfandschilling, so ire liebden oder deren erben zu an sich bringung derselben verpfandten flecken vnd gueter vsgelegt, vnd wie sie dieselben vsgeben heiten vnd dasselb mit genugsamen schein vnd urkhundt darthun werden, also sampt obge- meltem pfandtschilling auch wiederumb bezalen, sie uns auch der losunge stadı thun vnd alsdan die landtuogtey allermassen, wie sie jets iren liebden von vns vbergeben, wiederumb einanwurten, es were dann, ob durch kunftig felle icht mit prandt, zerstörung, gewaldt, kriegsleuf oder anders, wie sich sollichs one irer liebden oder deren erben verursachen zudrüge, an schlossen, stetten, flecken oder andern guetern schaden vnd abbruch entstanden war, das sollen ire liebden zu kern mit pflichtig sein, alles onegeuerde, in massen sich ir liebden durch ein reuers gegen vns verschrieben haben.

Des zu vrkhunde besiegelt mit vnserm koniglichen, anhangenden in- siegel, geben zu Augspurg am ersten tag des monats nouembris nach Christi vnsers lieben hern geburt im funfzehenhundert vnd dreissigsten, vnser reiche im funften jaren.

FERDINAND. Ad mandatum domini regis proprium. Strassb. Bez.-Arch. C. 1 Nr. 46 beglaubigte Copie.

20. König Ferdinand tut dem Pfalzgrafen Otto Heinrich seinen festen Entschluß kund, die Reichslandvogtei Hagenau um Michaelis aus der pfalzischen Pfundschaft zu lösen. Prag 1557 April 15.

Ferdinand von gottes gnaden Romischer kunig . . .. Wir haben deiner lieb schreiben, des datum stet Wormbs den andern tag ditz laufenden monats aprilis, belangendt die landtvogthey Hagenaw, den zwelflen lag ernennts monats empfangen vnd alles inhalts freundtlich

ENT je vnd genedigelich vernomen. Nun wissen wir vns deiner lieb vorfarn, auch deiner lieb selbst vnd irer vettern des löblichen churfürstlichen haus der Pfalz getrewen, freundtlichen, nutzlichen vnd ersprieslichen dienst, so sy vnsern löblichen vorfarn, auch yetziger Römischen kayser- licher maiestat vnd vns erzaigt vnd bewisen haben, freundtlich vnd gene- digelich wol zu erinndern, darumben vnd in betrachtung solcher ge- trewen vnd freundtlichen gelaisten dienst wir dann auch vmb souil mer bewegt worden, deiner lieb gegen begerter verfertigung der reuersrotl zu bewilligen, angeregte landtvogthey Hagenaw vmb den zuuor darauf steenden pfandtschilling, vngestaigert desselben, deiner lieb ir lebenlang vnabgelöst inhendig beleiben zu lassen, vngeachtet daß dein lieb sich durch ire rät, solchen pfandtschilling auf den fall, da wir ir die landt- vogtey lenger inhendig lassen wurden, zu erhöhen angeboten, auch vnangesehen, dad wir diesebig vnser landtvogtey lenger iro inhendig zulassen nit schuldig, sonder wol befuegt gewesen weren, alsbaldt nach weilandt vnsers lieben schwagers und churfurstens, pfalzgraf Friedrichs tödtlichen abgang dieselb vermüg der pfandtverschreibung zu vnsern vnd vosers haus Österreichs handen widerumb zu lösen. Wiewol wir vns nun freundtlich vnd genediglich versehen, dein lieb wurde ob solcher vnserer freundlichen vnd genedigen bewilligung zufriden vnd das begehrte reuers zu verferligen vnd vns zu übergeben vnbeschwerdt gewesen sein, in erwegung, dab in der landtvogtey Hagenaw von vnuordengklichen jaren . . . her vnser alte, chatolische, cristliche reli- gion löblich herbracht vnd gehalten worden, auch noch auf disen tag darin in wesentlichem gebrauch vnd übung ist vnd vnsers gewissens halber darin ainiche veränderung vnd newerung fürnemen zulassen nit gebüren noch tuelich sein will, dieweil aber deiner lieb die in der reuersrotl gestellten condilionen nit annemblich vnd dein lieb der an- gekhündten ablösung statt vnd platz zugeben vnd die berüert landt- vogihey gegen erlegung des darauf steenden pfandtschillings vnd anderer deiner lieb angezognen alten forderungen, in obberuerten deiner lieb schreiben begriffen, abzutreten sich erbieten thuen, so sein wir bedacht, die widerlosung angeregter landtvogtey Hagenaw zu vnsern vnd vasers haus Österreichs handen zuthuen vnd dasjenig deiner lieb zuerstatten, so vns nach ausweisung der pfandtverschreibung vnsers thails gebürn wirdet, Nachdem aber dein lieb, alls vorgemelt, etliche andere angezo- gene vorderungen deiner lieb neben dem pfandtschilling auch zube- zalen oder auch sonst laut deiner lieb schreibens richtig zu machen begern, deren halben vnser notiurft eruordert, vns von etlichen orten

49%

merers berichts zu erholen, vnd dann vns deiner lieb jetzig schreiben vnd erclerung ires gemuels erst auf obgedachten zwelften tag ditz monats zuekhommen, also daß nunmer die bemelt widerlosung auf die zeit vorbestimbter vnsrer loskondung nach fueglich nit wol beschehen khan, vnd aber wir deiner lieb begern, souil wir ymer fuegclich thuen mögen, je gern freundtlich vnd genedigclich statt geben wollten, vnan- gesehen daB wir der andern vorderungen halber von rechts wegen die ablosung gedachter landivogtey ansten zulassen nit schuldig waren, sonder zu volziehung derselben genueg, allain das zuerstalten, das die pfandtuerschreibung selbst mitbringt, so wellen wir doch deiner lieb zu sonder freundtlicher vnd genediger willfarung hiemit bewilligt vnd zugelassen haben, daß dein lieb merberuerte landtvogtey Hagenaw noch bis auf Michaelis neclıstkonfig innenhalten mag, vnd sein alsdann freundtlich vnd genedigelich erbielig, auf dieselb zeit deiner lieb auf gebürliche abtretung solcher landtvogthei den darauf ligenden pfandt- schilling in deiner lieb statt Brethaim laut deiner lieb begern zu erlegen, vad dasjenig vnsers thails zu volziehen, so die pfandiverschreibung mitbringt, dergleichen auch vns der vbrigen deiner lieb vorderungen halben nach empfangenen: bericht gegen deiner lieb dermassen zu- erzaigen, darob sy zur billicheit zufriden vnd ain freundtlichs, guets benuegen haben solle, vndt damit wir vns auch solcher deiner lieb vorderung halben vmb sovil desto pessei zu entschliessen wissen, so gesinnen wir an dein lieb freundtlich vnd genediglich, sy wolle vns abschrift ires von vns habenden schuldtbriefs vmb die in deiner lieb schreiben vermeldten zehen tausent gulden, dergleichen auch einen laullern auszug des vncostens, so weilendt pfalzgraf Friderich, chur- fürst, auf die reiterschickhung in unser cron Behaim im verschinen sibenvndvierzigisten jar aufgewendet haben soll, vnuerzug vbersenden, was wir dann auch in ander weg deiner lieb vnd der gantzen agna- tion der churfursilichen pfaltz für freundschafli vnd gnad erweisen khönden, des sein wir zuthuen jeder zeit freundtlich vnd genedigelich woll genaigt, vnd haben solches alles deiner lieb auf obberürt ir schreiben zu freundtlicher vnd genediger antwort nit wollen pergen. Geben auf vnserm kunigclichen schloß Prag den funfzehenden tag aprilis anno im sibenvndfunfzigisten, vnserer reiche des Römischen im sibenvndzwaintzigisten vnd der andern im ainvnddreißigisten.

FERDINAND. Ad mandatum domini regis proprium

Orig. Papierbrief, Spuren des hinten aufgedrückten roten Sigels. Strassb- Bez.-Arch. G 2 Nr. 6.

495

21. Pfalzgraf Ollo Heinrich bescheinigt Kaiser Ferdinand den Empfang von 40 000 Gulden, wofür die Reichslandvoglei Hagenau an die Pfalz verpfändet gewesen war. 1558 April 24.

Wir Ott Heinrich von gottes gnaden pfalntzgraue bei rein etc... . bekennen für vns, vnser erben vnd nachkomen etc. . .. Als etc. ... Herr Ferdinandus, erwählter Romischer keyser, etc. ... als ertzhertzog zu Österreich vnd au handen desselben hauß Österreichs, nechstver- schienens tausent funfhundert dreissigsten jars weilend pfaltzgraue Ludwigen vnnd pfaltzgraf Friderichen, churfursten, loblicher gedecht- nussen, die landtvogtey Hagenau pfandsweiß verschriben vnd eingegeben, vnd aber ihr keyserliche majestat innamen vnd von wegen wolgemelten derselben hauß Österreichs sich nach abgang ytzgedachter beyder chur- fursten der widerablosung solcher landvogtey Hagenau mit vus der- maßen gnedigst verglichen haben, das wir ihrer keyserlichen. majestat als ertzhertzogen zu Österreich derselben landivogtey Hagenau sampt allen derselben herrlichkheyt, obrigkheyt, recht und gerechtigkheyt vnd allen anderer nutzungen, ein- vnd zugehorungen, nichts außgenomen, ınmaßen die vnsern vettern, weilend pfaltzgraf, Ludwigen vnd Fride- richen, etc.... ein- vnd vbervantwort worden ist, gegen erlegung der virtzig tausend gulden daruf verschribenen pfandschilling abtreten vnd ihrer keyserlichen majestat widerumben zuhanden derselben hauß Öster- reichs zu vberantworten, daß wir darauf von ihrer keyserlichen majestat als ertzhertzogen zu Österreich auß handen derselben raths vnd thyro- lischen camermeysters Hansen Schauberg die itzgemelten virtzig tausent gulden reinisch in müntz pfandschilling, yeden gulden zu sechtzig Kreutzer gereyt, zu vnserm volligen, gulem benugen in gulem, parem gelt vnd guter, landleufiger werung eingenomen und empfangen haben, elc...., etc. . . . Mit vrkunt did brifs, den wir mit unserm anhan- genden insigel verfertigt vnd mit eygener hand vnderschriben haben. Bescheen am virvndzweintzigisten tag aprilis anno tausend fünfhundert fünfzig vnd acht.

OTTHAINRICH Curfürst. Orig.-Perg. Hgd. Siegel fehlt. Strassb. Bez.-Arch. G I Nr. 57.

YOANN A LEONE TN TR

el I,

BALDENHEIN

er *.

U. BALDENHE

Taf. IV.

Taf. V.

GRAB 23.

GRAB 26.

Taf.

VI.

Taf. VII.

4. Vézeronce. 3. Baldenheim.

2. Monte Pagano.

Taf. X.

6. Gammertingen.

ESS AT

sur les divers costumes figurés dans les miniatures du Hortus deliciarum, manuscrit du XIT siècle de l'abbesse Herrade de Landsberg.

Lara LR RTS à Lu

A.vant-Propos.

On sait que le célèbre manuscrit composé par l’abbesse Herrade de Landsberg au XIIe siècle, le Hortus deliciarum, fut communiqué à M. le comte A. de Bastard à Paris. Pendant les dix années que ce trésor fut entre ses mains, le comte de Bastard, qui voulait publier un grand ouvrage sur l’ornementation des manuscrits, a fait copier un certain nombre de miniatures ainsi qu'une partie du texte original latin, qu'il a même fait traduire en français, et de plus, il a fait un travail sur les divers costumes figurés dans les ‘miniatures du Hortus deliciarum. Après la mort du comte de Bastard, les calques, les extraits du texte latin, la traduction française de ces lexles et diverses notes ont passé à la Bibliothèque Nationale de Paris. Le travail sur les costumes du Hortus deliciarum, que nous publions aujourd'hui, se trouve consigné à la suite des extraits latins du texle dans un volume in-4° portant le numéro 6083.

Cette étude consciencieuse, qui entre dans tous les détails du cos- tume, intéressera certainement les membres de la Société pour la conservation des monuments hisloriques d'Alsace, particulièrement ceux qui possèdent le Horlus deliciarum.

G. KELLER.

B. XXII. (M.) 1

Divers costumes contenus dans les miniatures du Hortus deliciarum d’Herrade de Landsperg.

Comme ce livre a été compilé à une époque de transition et que ses miniatures ont été évidemment exécutées sous l'influence byzantine, il en est résulté une diversité de costumes, pour le classement desquels une attention soutenue et des comparaisons et rapprochements sans nombre étaient nécessaires.

Les miniatures de ce manuscrit dans leur ensemble offrent six sortes de costumes: le costume traditionnel de l'antiquité chrétienne, le costume de convention ou arbitraire, le costume du clergé, le costume byzantin, le costume moderne du temps, et enfin celui de la dernière mode. Ces costumes, moins celui du clergé, n’entrent pas toujours d'une manière absolue dans chacune de ces catégories, et comme cela se voit de nos jours, ils retiennent quelquefois telle ou telle partie d’une mode précédente, ou adoptent certaines choses de la mode nouvelle.

Costume traditionnel de i’antiquité chrétienne.

Dieu, la Trinité‘, les 12 Disciples®, plus tard les apôtres, sont toujours dans le costume traditionnel de l'antiquité chrétienne et pieds nus; c'est-à-dire qu'ils portent la tunique toujours ornée des clavi qui sont quelquefois doubles, mais joints, et qui sont d’or dans les images d’apparat, comme dans la personne de la majesté divine et dans celle des deux anges qui l’approchent de plus près au fol. 3; dans la personne de Lucifer au moment il conspire au fol. 3 v.; dans les trois per- sonnes de la Trinité’ au fol. 8, ainsi qu’au fol. 8 v., 17 et 17 v. dans la personne de la Divinité. Ailleurs ces clavı doubles, mais sans or, se trouvent chez des anges de second ordre aux fol. 3, 3 v.; d'autre part ces doubles clavi, soit par inadvertance du dessinateur, soit en réalité, ne paraissent plus comme insigne d’une plus grande dignité, car sur la même miniature on voit J.-C. avec ces clavi simples, tandis

1. Voy. au fac-simile.

2. Les 12 disciples ne sont appelés apôtres dans le manuscrit qu'après la descente du S. Esprit. Judas au fol. 138 n'est pas à l'antique à l'un des dessins du fol. 138 verso, il donne le baiser à J.-C., il n'a pas le clavi, bien qu’il soit vêtu à l'antique.

3. Voy. au fac-simile.

à

qu’un disciple en a de doubles, comme aux fol. 106, 123 et 138. Les clavi simples, blancs ou d’un jaune clair sont en immense majorité". Ces tuniques descendent non pas jusqu'aux talons, mais jusqu’à un peu au-dessus de la cheville des pieds; leurs manches larges sont pour l'ordinaire engagées partiellement dans la partie du pallium qui est passée autour du corps au bas de la poitrine ou au-dessus des reins il forme comme une espèce de ceinture’. Le plus souvent on voit en-dessous de ces manches larges d’autres manches étroites garnies pour l'ordinaire d’un parement quelquefois d’or (fol. 3, 8, 8 v., 17, 17 v.), le plus souvent bordé ou gemmé, ce qui annonce un autre vêtement par dessous cette tunique. Cependant ces manches étroites sont toujours de la même couleur que la tunique visible”. Par dessus cette tunique est jeté le pallium ou manteau qui est placé sur le corps de manière à laisser le bras droit entièrement libre ‘.

En examinant ces manteaux dans les miniatures on voit que le côté droit du pallium était d’abord pris par la main droite, et jeté sur l'épaule gauche de manière que, passant sous le bras droit, il forme cette espèce de ceinture, dont il vient d’être question tout à l'heure, il couvrait une partie du devant du corps, et allait tomber par un bout sur le dos; puis on passait le côté gauche du manteau sur l'épaule gauche de manière a en faire tomber le bout gauche en avant. C'est la manière la plus générale dont il est placé dans les miniatures du manuscrit. Mais comme ce vêtement pouvait, par sa simplicité de forme, s'adapter sur le corps à volonté, et s'arranger selon la commodité ou l'urgence du moment, il est tout simple qu’on le trouve quelquefois autrement disposé, comme au fol. 80 v. Abraham y a son bras droit engagé, au fol. 92 v. Siméon en a les mains couvertes pour recevoir l'enfant Jesus; au fol. 98 Joseph, à la fuite en Égypte, a le côté droit du pallium jeté par dessus le côté gauche de ce même pallium. -

Les autres personnages, à quelques exceptions près, qui portent

1. Au fol. 263 verso Abraham qui tient les justes dans son giron, a les clavi gemmés.

2. Voy. au fac-simile de la Trinité, les Dieux près de la personification de l'eau.

3. D'autres fois les manches étroites manquent, comme chez les prophètes au fol. 63 recto et verso et comme presque toujours chez les disciples et les apôtres.

4. Voy. au fac-simile de la Trinité.

5. C'est de la même manière qu'est placé le manteau au dyptique de l'empereur Romain et de l'impératrice Eudoxie, de la Bibliothèque du roi.

5

le costume traditionnel de l'antiquité chrétienne avec et sans chausses, brodequins ou souliers, sont d’abord les anges qui le plus souvent ont les pieds nus, mais qui portent quelquefois des souliers ou des brode- quins; puis les Patriarches, qui ont pour l'ordinaire chausses, brode- quins ou souliers; Adam au fol. 251 v., au jugement dernier, a les pieds nus; Abraham aux fol. 34 r. et v. et 36 a des chausses et des brodequins, et au fol. 193 v. a des souliers, au fol. 263 v. il est pieds nus; Jacob au fol. 36 v. a les pieds nus; Isaac, par exception, est représenté au fol. 36 dans le costume du temps, c’est-à-dire avec la tunique courte et la chlamyde ; au fol. 251 v. les patriarches ont un cos- tume de convention; les principaux personnages de l’ancien testament : tels que Moïse, qui, dans les nombreuses miniatures il est repré- senté, a toujours les pieds nus; Aaron au fol. 38 également pieds nus, comme le sont aussi les prophèles au fol. 63 r. et v. et au fol. 64 v. et 65; au fol. 251 les prophètes sont en grande partie à l'antique, mais ils ont des chaussures, tandis qu’au fol. 253 les faux prophètes, également à l'antique, vont pieds nus!. Loth au fol. 34 v., Aaron au fol. 51 v., Tobie au fol. 60, Esdras au fol. 60, Elie et Enoch au fol. 241 v. sont dans le costume traditionnel de l'antiquité chrétienne, mais ils portent des souliers, tandis qu'on voit dans le costume de l’époque Loth au fol. 34, Aaron au fol. 40 et 51? et Élie et Élisée au fol. 59. Melchisédech au fol. 34 et 34 v. et Aaron au fol. 51 sont modernisés, à peu près, en évêques du moyen-âge, et ce dernier au fol. 53 est accoutré comme les prêtres et docteurs juifs le sont ordi- nairement dans les miniatures de ce manuscrit, costume qui est sans doute de convention, à moins que les rabbins juifs ne l’aient porté au XIIe siècle, ce que j'ignore.

Outre les disciples’ ou apôtres, et la figure de J.-C. il y a très peu de personnages du nouveau testament qui soient vêtus du costume traditionnel de l'antiquité chrétienne, cependant nous y trouvons Joseph aux fol. 84 v., 99 r. et v., 97 v. et 98 toujours pieds nus, excepté au fol. 97 v.; Siméon au fol. 92 v., et le serviteur de Joseph au fol. 97*.

1. Au fol. 80 v. l’un des prophètes porte le costume byzantin; et au fol. 63 v. Jonas a la chlamyde.

2. À intercaler Josué au fol. 54.

3. Deux disciples qui ne faisaient pas partie des douze et qui sont nommés Cléophas et Lucas portent le costume byzantin de l'époque, au fol. 160 v. au repas d’Emmaüs.

4. Les deux derniers pieds nus.

6

Par extraordinaire un personnage profane, un ministre de Pilate, est aussi vêtu du costume traditionnel au fol. 143 v. Mais il est possible que l'artiste ait songé à Nicodème qui passait pour avoir été ministre de Pilate quoique secrèlement sectateur de J.-C.

Parmi les femmes représentées dans le Hortus deliciarum il y en a qui portent le costume traditionnel, mais comme il n’est pas tout à fait sans mélange de moderne, nous nous réservons d'en parler à l’article: Costume des femmes.

Costume de convention ou arbitraire.

Outre Melchisédech et Aaron! des fol. 34 r. et v. et 51, ou ces deux personnages sont représentés à peu près comme les évêques du moyen-äge, et les patriarches du fol. 251 v. qui ont aussi un costume de convention, et dont il a déjà été question, les miniatures de notre manuscrit nous offrent encore d’autres costumes que je crois devoir attribuer non pas au caprice de lartiste, mais à une idée générale, devenue convention pour donner un type reconnaissable à des person- nages sur le costume desquels on était dans l'ignorance; tels sont par exemple les prêtres et docteurs juifs des fol. 40 v., 51, 53, 84 v., 98, 101 v. (102 v.’), 126, 138 v., 141, 167 v., 186, 189 v., 209. Ce cos- tume consiste en une tunique longue qui est presque toujours unie, mais qui a quelquefois cependant des ornements byzantins*; un manteau qui diffère du pallium antique qui a presque la forme de la chasuble, et qui est plus long par derrière que par devant, est jeté sur cette tunique. Ce manteau est quelquefois court ou reployé en dessous sur l'épaule droite, et laisse alors le bras droit en liberté‘. La tête est couverte par un voile court qui est tantôt uni et tantôt décoré de petits points symétriquement places; quelquefois il est noué sous le cou avec l’un des bouts pendant.

D’autres costumes encore me paraissent des conventions, tels sont ceux des juifs, scribes et autres du fol. 141 et au-dessus desquels on lit coneilium°; outre une tunique longue et une sorte de chasuble, ils

1. Voy. aux calques.

2. 102 v. est la copie de 101 v.

3. Les manches de cette tunique sont larges comme celles du costume antique traditionnel, et par dessous de ces manches larges on en apercoit d'autres qui sont étroites. Il y en a néanmoins qui ont les manches étroites.

4. À prendre ceux des fol. 51, 98, 102 v., 141. Voy. aux calques.

5. Voy. aux calques.

8

on la voit. Leur‘ dalmatique, partout blanche a une fente de chaque côlé à son bord inférieur, et ce bord est garni d’une bordure jaune brodée ou d’or, et aux fol. 251 et 283 une large bande jaune, l’une brodée, l'autre gemmée, est sur le devant et la partage par le milieu du haut en bas, du moins à ce que je pense, car on ne voit cette bande jusque vers la ceinture. Les clavi rouges et doubles qui au fol. 254 ont des petites franges de distance en distance, ornent la dalmatique. Ges doubles clavi ne se ‘touchent pas, comme ceux qui sont dans le costume traditionnel de l'antiquité chrétienne, mais ils sont séparés de la largeur de quelques doigts. Au fol. 253 les clavi tracés au trait n'ont pas été couverts de couleur rouge. La dalma- tique, à ses larges manches, aux fol. 241, 251 a une bordure brodée jaune.

Est-ce le rational qu'on voit au haut de la chasuble et qui a l'air de la border autour du cou par une bordure gemmée ? La cha- suble est bleu de ciel au fol. 80 v.; au fol. 225 v. l’on voit deux papes, l’un a la chasuble rouge et l’autre bleu de ciel; aux fol. 241, 251 et 253 v. elle est rouge. Elle n’a de bordure inférieure qu’au fol. 241 et celte bordure est gemmée. Le manipule au fol. 225 est d'or; jaune orné et avec les bouts gemmés et garnis de franges jaunes au fol. 241 ; il est jaune et garni de franges vertes -aux bouts qui sont en outre gemmés fol. 241; et jaune et entièrement gemmé avec des franges vertes aux bouts fol. 253 v. La tiare, appelée frigium dans le manus- crit’, est d’une forme conique très élevée, au bas il y a une bordure jaune ou d’or. L’étoffe qui la recouvre est blanche, et les morceaux de cette étoffe sont disposés comme les assises des pierres dans la bâtisse au fol. 251. La couleur blanche recouvre les traits de cette disposition, mais au fol. 253 v. la couleur blanche les avait aussi couverts on les aperçoit de nouveau. Cette disposition est surtout très visible au fol. 80 v. Nulle part ils ne portent de gants (leurs mains sont partout couvertes de couleur chair), ni d’anneau, ni de croix. Les papes aux fol. 80 v. et 241 sont imberbes, les autres ont barbe et cheveux blancs. Le palliam est porté par tous les papes, il est toujours blanc, avec le bout d'or et à franges au fol. 225 v.; jaune et brodé

1. L’Elole qui est passée sous la dalmatique et qui la dépasse en bas aux fol. 225 v., 241 et 251 est jaune et brodée; au fol. 253 v. blanche à raies jaunes. Elle a partout des franges rouges excepté au fol. 225 v., l'on a oublié de les colorier.

2, Au fol. 225 à côté d’un pape et d'un évêque on lit: frigium est opus texlo- rium preciosum ex albo serico. Papa portal frigium celeri episcopi infuas.

9

au bout avec des franges rouges aux fol. 241, 251 et 253. Il y a cinq croix noires sur la partie antérieure.

Évôques.

Voy. fol. 80 v., 204 v., 295 v., 241, 251, 253 v. et 258 v. Les san- dales sont rouges au fol. 295 v. et blanches aux fol. 251, 253 v. et 258 v. Le humerale ou amiclus' ainsi que l’aube sont blancs partout. L’elole est jaune ainsi que ses franges au fol. 225 v.; au fol. 251 elle est jaune et ornée avec des franges rouges; au fol. 253 v. elle est blanche ayant au bout des raies horizontales jaunes avec des franges rouges. La dalmalique est blanche partout et est faite comme celle des papes; l’évêque du fol. 258 v. a seul des franges cspacées à ses clavi rouges. Au fol. 251 l’évêque a sur le devant et au milieu de la dalmatique cette large bande verticale comme le pape placé à côté de lui. Le rational (?) ou bordure près du cou de la chasuble est d'or au fol. 225 v. et jaune et gemmé partout ailleurs.

La chasuble de l'évêque n’a de bordure nulle part, si celle autour du cou est le rational. On en voit des bleues et des rouges aux fol. 80 v. et 225 v.; des vertes aux fol. 241, 251 et 253 v.; une de pourpre foncée parsemée de groupes de 3 points blancs et une de pourpre claire au fol. 258 v.* Le manipule au fol. 225 v. est d’or avec franges aux bouts; jaune et orné, il a les bouts gemmés avec franges rouges au fol. 241; il est blanc avec bouts jaunes et gemmés et franges vertes au fol. 251; et il est jaune à bouts jaunes avec franges rouges au fol. 253 v. La müre est généralement basse avec bordure ornée et jaune en bas et une bande verticale jaune et ornée de même qui descend du sommet de la corne antérieure et va rejoindre la bordure inférieure au fol. 225 v. Ges ornements sont d’or. Nulle part à ces mitres on ne voit les pendants (ou fanons) des mitres d'aujourd'hui, sauf à la mitre entourée d'une couronne que porte J.-C. comme roi et prêtre (sacerdos) au fol. 67 v.” Ces fanons sont jaunes et ouvragés avec une bordure gemmée aux bouts et des franges vertes à cette

1. Voy. aux calques l’un de ceux du fol. 204 v.

2. J'allais passer sous silence deux évêques placés debout auprès de la table de Salomon au fol. 204 v.; mais ils sont vêtus absolument comme ceux dont il vient d'être question. La seule chose qu'il y a en sus, c'est que les bords des larges manches de leurs dalmatiques sont ornés d'une bordure ouvragée et jaune. Au-dessous d'eux on lit Pontifices, mais ce ne sont pas des pontifes juifs.

3. Voy. aux calques. La mitre de J.-C.

410

bordure; elles descendent jusqu’au milieu des reins. Les palliums sont comme ceux des papes. Au fol. 204 v., l’un des. évêques porte la crosse et ceux du fol. 225 v. en sont également pourvus; ces crosses sont ordinairement sans couleur, quelquefois jaunes à leur extrémité (c'est-à-dire la crosse même) et d'une forme très simple. Nulle trace de gants ni d’anneaux dans aucune miniature. Les évêques ont la barbe et les cheveux tantôt blonds, tantôt blancs; les deux du fol. 204 v. sont imberbes ainsi que quelques-uns de ceux du fol. 225 v.

Prötres (Presbyteri).

Voy. fol. 108 v. 215 v. 295 v. 241 v. 242 v. 258 v.

Il n'y a pas dans tout le manuscrit une seule figure de prêtre revêtue de tous ses habits sacerdotaux. Cependant il y en a un en fonction au fol. 242 v.; il administre le baptème à la Synagogue per- sonnifiée en honıme barbu et qui se convertira après la mort de l’anté- christ. Ce prêtre est barbu et tonsuré, il n’est revêtu que de l’aube, par-dessus laquelle est passée l'étole qui ne se croise pas sur la poi- trine, mais qui tombe tout droit de chaque côté des épaules; au- dessus des hanches elle est jointe au corps par le cingulum qu'on ne voit point. Il y a encore d’autres figures de prêtres chrétiens, mais ceux-là sont en habits de voyage ou de ville. Au fol. 108 v. on voit le prêtre de la parabole du Samaritain; il est à cheval, sa tu- nique est bleue, ses chaussures sont rouges et son manteau cramoisi est pourvu d'un petit capuchon. Au fol. 258 v. un jeune tonsuré avec un pareil manteau, mais de couleur verte, est placé dans l’Uni- versilas malorum et marche immédiatement derrière l’évêque. Au fol. 215 v. on voit un jeune prêtre imberbe qui fait tomber de l'échelle des vertus une religieuse dont il saisit la main avec une des siennes, tandis qu'il lui offre de l’autre une poignée d’argent. Ge prêtre est vêtu d'une tunique ceinte qui n’atteint pas jusqu'aux chevilles des pieds et laisse ainsi voir des chausses rouges renfermées dans des souliers noirs bordés de lisières jaunes, à côté de lui on lit Presbiter. Il a un parement bvzantin au bout des manches. Au fol. 225 v. un ecclésias- tique, assis immédiatement derrière l’évêque, porte une longue tunique grise à manches larges, dessous lesquelles on en aperçoit d’autres étroites; celte tunique a une échancrure près du cou; la place de cet ecclésiastique et son vêtement absolument semblable à celui d'un autre

1. Au-dessus de lui on lit Prespiter (sic) xptavus.

—_ 1

ecclésiastique du fol. 242 v.! qui converlit un juif et auprès duquel on lit prespiler (sic) xoianus, me font penser que c'en est un aussi. Au fol. 241 v on voit l’antéchrist qui trompera le clergé par la sagesse mondaine; le seul clerc qui soit en évidence est barbu et porte une tunique grisâtre de la forme de celle du prêtre du fol. 215 v. Ses chausses sont rouges également, mais ses souliers sont jaunes. Autour du cou 1l porte une étoffe rouge, courte et peu large; j'ignore ce que cela peut être; il est probable aussi, à cause de son costume semblable au précédent, que le clerc (clericus), qui au fol. 215 v. tombe de l’echelle des vertus, soit un prêtre. Ce dernier a les cheveux et la barbe gris. Ses souliers sont noirs avec des liserets jaunes.

Ordres inférieurs à celui du prêtre.

Au fol. 241° on voit auprès de S. Pierre un jeune clerc en tunique blanche non ceinte qui a la forme d’une dalmatique‘ de pape ou d’ev&que, pourvue comme celle-ci d’une bordure jaune et garnie sur le devant d’une large bande verticale également jaune et qui a aussi les doubles clavi rouges, mais sans franges latérales. Près de son cou on voit l'amictus blanc, son aube est blanche et les bouts de son étole sont jaunes et garnis de franges rouges. Ce clerc qui a sa tête ton- surée, entourée du nimbe, est sans aucun doute S. Étienne qui était diacre. Ses souliers sont noirs. Au fol. 251 on voit un clerc imberbe vêtu de même, mais dont la figure plus grande laisse voir davantage le détail des habits. La seule différence qu'il y ait entre les deux, c'est que le dernier a des franges latérales à sa dalmatique et porte des souliers rouges. Le manipule qu'il porte a les bouts jaunes ornés de franges vertes. Ce clerc ou plutôt ce diacre qui marche à la tête des martyrs, est le prolomartyr S. Étienne. (Voy. ce dernier aux cal- ques). Au fol. 108 v. le jeune levite tonsuré de la parabole du Samaritain, est à cheval. Il porte une longue tuniqne verte, à manches étroites, qui ont des parements gemmés et des espèces de bracelets byzantins également gemmés. Par dessus la tunique il a une chlamyde cramoisie; ses chausses sont rouges.

1. Voy. aux calques.

2. Voy. aux calques.

3. Voy. fol. 241 et 251.

4. C’est bien la dalmatique que le diacre porte.

19

Abbés et Moines.

Il y a des abbés et des moines représentés aux fol. 215 v., 225 v., 251, 253 v. et 258'; mais comme il n’y a pas de différence entre leurs vêtements, nous ne ferons pas un paragraphe spécial pour les abbés, en nous bornant à dire qu’il y en a deux au fol. 295 v. qui portent des crosses.

Nous remarquons deux différences très sensibles dans la coupe de la cuculla des moines. La forme la plus générale de la cuculla est celle d'un vaste surtout, pourvu d'un capuchon pointu et qui est formé partout, à l'exception d’une série de trois ouvertures verticalement placées sur deux rangées, pour passer les bras. Sa couleur est ver- dâtre au fol. 215 v. Verdätre grise ou plutôt bleuätre et pourpre claire au fol. 255. Par dessous cette cuculla ils portent un autre vêtement long, à manches étroites et dont la couleur est tantôt blanche, tantôt jaune, bleue ou pourpre. Leur chaussure sont toujours des brodequins le plus souvent noirs, une fois bruns au fol. 258 et une fois rouges au fol. 258 v. L'autre cuculla (fol. 251 et 253 v.) consiste égale- ment en un surtout à capuchon pointu, mais qui n’a pas les deux rangées d'ouvertures sur le devant pour y passer les bras. Pour se servir de ses mains il fallait le relever comme une chasuble et alors il en prenait la forme; au fol. 253 v. l'ouverture de devant qui existait lors de la coupe est fermée par des points de couture très espacés ou par des lacets dont les trous sont très rapprochés. Il n'y a pas plus d’uniformite dans la couleur de ces cucullae qu'aux précédentes; celle du fol. 251 est bleu clair et celle du fol. 253 v. pourpre claire. Le long vêtement de dessous qui a aussi les manches étroites, est jaune au fol. 251 et blanc au fol. 253 v.’

Le costume byzantin.

Aussi bien sous le rapport de l’art que celui des costumes, les miniatures de ce manuscrit trahissent l'influence byzantine; sous le

1. Voy. aux calques ceux des fol. 215 v., 253 v. et l’un de ceux du fol. 251.

2. Je ne sais si je dois ranger parmi le clergé les hommes appelés spiritales au fol. 225 v., qui n'ont pas un costume fixe, et dont quelques-uns n'en ont pas du tout, car ils sont entièrement nus, et l’on ne peut pas appeler vêtement la touffe d'herbes avec laquelle ils cachent leurs pudenda. Au fol. 215 un ermite à longue robe avec vêtement qui laisse à découvert les jambes et les bras, tombe de l'échelle des vertus; au mème fol. un reclu un peu plus couvert en tombe également; les mots heremita et Inclusus sont écrit à côté d'eux. Au fol. 251 il y en a un nu comme celui du fol. 225 v. et un autre, qui a un vètement tressé de paille ou de jonc. Même observation pour le fol. 253 v.

143

premier rapport cette influence nous paraît directe et récente, et sous le second elle date déjà de loin; l'artiste, élève de l’école grecque plutôt sous le rapport du dessin que sous celui du coloris, a avoir sous les yeux une quantité considérable de tableaux grecs ou de miniatures grecques d'une époque antérieure à celle les figures humaines commencent dans l'art byzantin, à prendre ces formes longues et grèles, c’est-à-dire d’une époque antérieure au onzième siècle. Le luxe de la cour impériale de Byzance, malgré l’abaissement de l'empire et les vicissitudes de sa fortune, servait toujours de modèle aux autres cours de l'Europe. Son costume à peu près le même, quant à la coupe, que celui que l'antiquité chrétienne avait légué également aux peuples de l'Occident à ceux de l'Orient, n'avait éprouvé que peu de changements, et ces changements consistaient principalement dans les ornements des diverses parties de ce costume, c’est-à-dire dans de larges bordures brodées ou gemmées, ajoutées à l’encolure de la tu- nique, à ses parements, à la partie supérieure de ses manches, elles forment comme des sortes de bracelets, à son bord inférieur et enfin assez souvent d’une manière verticale sur sa partie antérieure, elle occupe le milieu et elle descend depuis l’encolure jusqu’au bord inférieur’,

Il serait possible que ce dernier ornement fut une réminiscence de l’ancien laticlave (?), mais ici, bien qu'il soit porté par des rois, des papes, des évêques et des hommes riches, il n'est plus une marque de la dignité du personnage, car au fol. 119 le serviteur de l’homme de la parabole: Homo quidam fecit cenam magnam, en porte un, et l’un des hommes qui flagellent Jésus-Christ au fol. 141 v. en a aussi un à sa tunique. Un autre ornement cependant est la marque d’une haute distinction: c’est le lorum dont sont revêtus les consuls sur les anciens dyptiques et qui sous une forme plus large constitue le vêtement le plus apparent de l’empereur Romain, mari de l'impératrice Eudoxie sur la tablette d'ivoire de la bibliothèque du roi; ce lorum est une longue bande, attachée dans les miniatures du manuscrit par devant ct par derrière à la bordure de l’encolure de la tunique et qui tombe libre sur le devant jusqu’au bord inférieur. (Dans les diptyques le lorum est passé autour du cou et n’est pas attaché à la tunique. Celui porté par l'empereur romain ressemble un peu, quoiqu'il soit beaucoup plus étroit,

{. Voy. aux calques le jeune homme riche qui ne voulut pas vendre ses biens. Il est du fol. 112 v. et l’homme qui flagelle J.-C. du fol. 141 v.

14

aux chasubles actuelles des prêtres catholiques. Mais aussi bien sur l'ivoire de la bibliothèque royale que sur le diptyque du consul Basi- bus publié par Buonarotti, la partie postérieure du lorum est rame- née sur le devant du personnage par le bras ou la main gauche.) Sa partie postérieure plus longue que sa partie antérieure est ramenée du côté droit sur le devant du personnage et passe de sur le bras gauche d'où son bout reste tombant. C’est dans les figures de Lucifer avant et durant sa chute que ce lorum se laisse le mieux distinguer; au fol. 3 r. et v. la bande antérieure se termine partout par un bout demi circulaire garni de trois glands ou longues poires, et la posté- rieure qu'on ne voit qu’au fol. 3 r. et v. est terminée par un bout anguleux pourvu d'un gland'. Voy. aussi aux fol. 215 et 261. Ces ornements (il n’est plus question ici du lorum) en général se trouvent aussi dans des miniatures des Xle, XIIe et XIII siècles, exécutées en Allemagne, en France et en Angleterre et dans lesquelles on n’apergoit aucune trace de l'influence de l’art byzantin. I] nous paraît donc certain que ces ornements décoraient en Occident les vêtements durant les siècles que nous venons de mentionner, et ils devaient avoir été exé- cutés avec une plus grande somptuosité et être devenus plus généraux depuis que les croisés avaient pu admirer le luxe grec à Constantinople. Ce qui nous confirme dans notre opinion, c’est que les habits pontifi- caux rendus dans notre manuscrit avec une exactitude si scrupuleuse en sont aussi pourvus, et puis les modes nouvelles que nous montrent les jeunes élégants, tels que les armigeri, les pages (?), les jongleurs, les chevaliers courtois et les amateurs des belles. (Voy. fol. 38, 60 v., 215, 215 v., 238.) Ces modes tout occidentales conservent pourtant à leurs manches les bordures byzantines.

Étoffes.

Les miniatures n'étant pas exécutées avec assez d'art pour faire dis- tinguer les matières qui sont entrées dans les tissus des étoffes, nous ne pouvons parler que de leur apparence, c’est-à-dire de leur couleur et des divers dessins dont elles sont ornées. Il sera parlé plus tard de leurs formes. Nous ferons entrer aussi dans notre récapitulation les étoffes qui composent ou qui recouvrent les différentes parties du li et celles dont sont formés les rideaux, les tentes, etc. Il va sans dire que les couleurs unies ne nous occuperont pas ici.

1. Voy. aux calques.

Fol. 99 v.

Fol. 119

Fol. 119 v.

Fol. 123 v.

Fol. 126 v.

Fol. 140

Fol. 150 v.

Fol. 186

Ibidem.

Fol. 258 r. et v.

16

ronds blancs radiés en dedans. Ce matelas est coupé régulièrement par trois larges bordures byzantines.

Le coussin qui sert de selle à la Vierge est rouge, parsemé de six points blancs ayant un septième au milieu.

Chlamyde. Manteau d’un jaune verdâtre avec des croisés d’un vert jaunâtre. Idem la mariée au fol. 119 v. Idem ibid. le dossier et le tapis d'un siège, et au fol. 123 le manteau de la femme du mauvais riche et des points blancs au milieu des croisillons.

Tunique grisätre très claire à croisés roses et des points blancs au milieu. Voy. aussi au fol. 193 et fol. 126 v. 129 la tunique du mauvais riche.

Un jeune homme assis à table porte une tunique rose avec des ronds rouges radiés en dedans et un point blanc au milieu.

Lazare dans le giron d'Abraham a une tunique bleu de ciel croisée de blanc.

La couverture de lit du fils de Regulus (Évangile) a le fond brun- rosé, parsemé de dessins de cette forme dont on ne distingue pas bien la couleur jaunätre ou verdätre.

Un juif à la poursuite de S. Jean l’evangelisie, après l’arrestation de J.-C., porte une sorte de capuchon pourpre parsemé de sept points blancs qui en entourent un huitième. L’espèce de chasuble que porte ce juif est rosâtre ou pourpre clair sans ornement et sans pointes.

Le matelas sur lequel est étendu J.-G mort est jaunâtre et parsemé de six points noirs qui en entourent un septième.

Le matelas d'Eneas, le paralytique des Actes des apôtres est à fond rouge et couvert de losanges blancs au milieu desquels est un point bleu foncé.

Un malade est couché sur un matelas de pourpre claire à losanges violacés, avec des points relevés de blanc.

Au point de l'intersection les points placés dans les milieux sont violacés comme les raies.

La prostituée de Babylone a une robe pourpre parsemée de ronds blancs traversés d’une croix et de groupes de cinq points et par-dessus le tout de quatre gros points d'or. Cette tunique est doublée d'une étoffe jaune clair à larges raies horizontales verles par-dessus lesquels il y a de petites croisés noirs Sa chlamyde est d'un fond vert à larges croisés d’un vert plus foncé au milicu desquels il y a des points gris, et le tout est parsemé de groupes de trois points d'or.

17

Doubiure.

La doublure de cette chlamyde est d'un fond bleu d'un gris plus clair au milieu desquels il y a des petits ronds de la même couleur. C'est le second exemple de doublures en étoffe qui se trouve dans tout le manuscrit, et cependant les miniatures allemandes des siècles précédents et même du Xll® siècle en fournissent beaucoup d'exemples’. Comme je suis ici à parler de la doublure en étoffe, je ne puis me passer de mentionner une autre espèce de doublure qu’on rencontre plus fréquemment dans le Hortus deliciarum et qui est la fourrure de vair.

Vair.

Nos miniatures nous offrent un nombre assez considérable de man- teaux et de chlamydes et même quelques couvertures de lit? qui sont fourrés de vair. Mais il existe une différence dans la manière dont ces peaux sont placées, soit entre celles du manuscrit même, soit entre elles et celles des miniatures et des vitraux du XIIIe siècle les parties bleuâtres descendent de cette manière entre les parties blanches, tandis que dans le Hortus deliciarum le plus grand nombre de ces fourrures est placé de travers. Voy. aux fol. 32 v., 60, 60 v., 119 v., 426 v., 186 v., 189, 189 v., 201 v., 202 v., 215, 215 v. (au manteau qui n’est porté par personne), 238, 241 v., 242, 243, 247 v. et 258 r. et v. Il n’y a nulle part des parties bleuâtres descendant de haut en bas, la fourrure de la couverture du lit du fol. 126 v. ne peut faire excep- tion, car on ne sera pas allé jusqu'à penser que si on reployait le bout de couverture, les parties bleuätres iraient de haut en bas, comme aux monuments du XIIe siècle, mais il y a des exemples elles montent du bas en haut, comme aux fol. 59, 215 v. (le miles) 295, 296. Ces diverses manières de disposer le vair me font penser que ce n'est pas par ignorance que l'artiste en a agi ainsi, car il devait avoir vu ces sortes de fourrures et connu la direction des poids. Il me semble donc qu'ici la disposition du vair provient plutôt de la manière dont les diverses nuances de peaux étaient coupées, que des nuances symétriques de la peau de l'animal. Il faudrait consulter un fourreur à ce sujet pour savoir si ces sortes de fourrures proviennent d’un ou de plusieurs animaux.

1. Le premier exemple est la doublure rose brun, croisée de même que la chla- myde que porte le père du lunatique au fol. 118.

2. Voy. plus bas ce qui sera dit par rapport à ces couvertures.

B. XXII. (M.) 2

418

Ces fourrures étaient un luxe et non une marque de dignité. Le plus grand nombre des rois représentés dans ce manuscrit, et ils sont nombreux, ont leur chlamyde doublée de vair; ces chlamydes et autres manteaux sont doublés de cette fourrure et portés: au fol. 225 par l'Église personnifiée en reine; au fol. 119 v. par la jeune mariée; aux fol. 186 v., 189, 189 v. par Saulus (S. Paul); aux fol. 201 v. et 202 v. par le vice de la luxure personnifié en jolie femme; au fol. 204 v. un seigneur assis à table avec Salomon; au fol. 215 un jeune homme montant sur la roue de la fortune; au fol. 215 v. le jeune et élégant chevalier (miles‘); au fol. 238 l’elegant fornicator caressant la juvencula coquelle, et enfin au fol. 242 v. un suivant ou seclateur de l’antéchrist.

Costume des hommes. Coiffure.

A l'exception des rois qui portent leurs couronnes, des prêtres et des docteurs juifs qui ont leurs voiles, des papes et des évêques qui ont la tête décorée de leur tiare et de leur mitre, ainsi que de quel- ques abbés et moines qui sont couverts de leurs capuchons, nous ne trouvons que très peu de coiffures dans les miniatures du Horlus deliciarum, l'immense majorité des hommes étant tête nue. Nous allons signaler ce petit noınbre avec la réserve de les déclarer authentiques, quand nous en aurons trouvés de semblables ailleurs, sans pourtant les mettre sur le compte du caprice de l’artiste, car les mêmes formes se reproduisant à de grands intervalles dans le livre peuvent militer en faveur d’une opinion qui prétendrait que ces coiffures étaient por- tées par les laïques d'Allemagne vers l'an 1180.

Au fol. 8 nous voyons l’eau personnifiée, porter un bonnet hémis- phérique rouge avec un bord jaune et une petite boule jaune sur le sommet*. Deux bonnets semblables coiffent au fol. 225 v. deux hommes figurant parmi les laïcs qui font partie de l’Église réunie dans le temple du Seigneur; le corps du bonnet est bleu de ciel, et le bord ainsi que la boule sont jaunes; au fol. 238 l’hypocrite qui figure parmi les individus jetés hors du temple, porte également un bonnet de cette forme, mais il est tout entier de couleur jaune; au fol. 258 v.

1. A ce fol. 215 v. on voit derrière la jeune femme laïque un manteau sans possesseur, qui est doublé de vair et qui a au collet une autre peau d'un poil plus foncé et plus long; près de ce manteau on lit: preciose vestes.

2. Voir aux calques.

19

on voit deux hommes dans le groupe des païens, coiffés de ce bonnet qui a le corps et la boule rouges et la bordure jaune.

Il y a quatre exemples d’une autre sorte de coiffure d'homme qui se rapproche de la forme du bonnet phrygien, mais qui est fait d’une loison crépue, teinte de diverses couleurs. Ce bonnet qui couvre toujours la tête d’un homme de distinction, je suis disposé à l’admettre comme authentique. Portés par des hommes à la suite ou dans la compagnie des rois, ces bonnets devaient être faits d’une peau chère et précieuse, peut-être de la toison des agneaux d’Astracan. Au fol. 65 v. on le voit sur la tête d’un homme de la suite de Nabucho- donozor, et au-dessus du groupe dans lequel cet homme figure on lit: Principes regis; il est de couleur pourpre. Au fol. 204 v.' il est vert et porté par un homme assis à table avec Salomon, et au-dessus d'eux on lit: Salomon epulatur in mensa cum amicis suis etc. Au fol. 225 v. il est de couleur rouge et sur la tête d’un homme placé immédiatement à côté d’un roi parmi les laïcs membres de l'Église réunie dans le temple du Seigneur. Au fol. 241 il est brun et coiffe un homme qui porte un panier rempli de raisins et qui suit immédiate- ment un roi chargé aussi d’un panier de raisins qu'il verse dans le pressoir mystique ou J.-C, foule le fruit de la vigne. Les juifs sont souvent représentés avec des bonnets pointus et pas toujours avec un sentiment de mépris, car Mardoché au fol. 60 en porte un.

Nous allons à présent passer en revue les vêtements du corps de

l’homme, en commençant par ceux qui sont intérieurs et cachés. Chemises*.

Bien qu'il y ait des exemples de deux tuniques placées l’une sur l’autre, il n’y a nulle trace de chemises dans les miniatures de notre manuscrit, ce qui, joint à ce qu’on voit toujours, hommes et femmes couchés avec leurs tuniques, me fait penser qu'on ne portait pas de chemise du tout en Allemagne vers la fin du XII siècle. Mon opinion se trouve soutenue par deux exemples: au fol. 64 v. un ange Öte au grand-prêtre Jésus (voy. le prophète Zacharie) sa tunique grise, et il n’a en dessous aucun autre vêtement. Au fol. 108 v.’ les larrons

1. Voir aux calques. 2. Voy. fol. 203. 3. Voy. aux calques.

9

dépouillent l’homme de la parabole du Samaritain, on voit la chair de celui-ci entre la subucula ou les femoralia (ici véritable caleçon) et sa tunique vers le haut des cuisses. Cependant au fol. 44, col. 1, ligne 13, le mot camisia se trouve parmi ceux qui composent les habits du grand pontife juif; voici l’explication qui en est donnée: secundo ordine (le premier ordre sont les femoralia qui se portaient sous la camisia) byssina (sabenin) sindone duplici vestiebalur quod telomone idest lineum dicebatur, quam nos lineam striclam sive camisiam dicimus vel subu- culam (ti. schurliz)'. Quam moyses abanech appellavit. Sed post a babi- lontis discentes hebrei emi Saneam dixerunt. Est aulem descendens usque ad talos (enchel) et decenter corpori coaptata et manicis (i. brachtalibus) brachia valde constringens, nastulis (hæftelin vel nestelen vel cnopfelin) hinc inde super humeros capicium stringentibus.

On lit encore au fol. 43 v., de vestimentis sacerdolalibus ygianorum.

Subucula (schurliz) vel supparum est camisia que sub alba induilur.

Cette explication ne peut se rapporter à ce que nous appelons che- mise aujourd’hui et convient encore moins aux tuniques courtes de notre manuscrit. Mon dictionnaire d’allemand du moyen âge ne donne pas plus de lumières au mot Schurliz.

Femoralia ou Subucula*(?), caleçons.

Les femoralia étaient d’etoffe blanche, probablement de lin ou de chanvre; ils s’attachaient à la ceinture par un ruban de fil ou une courroie passé dans une large coulisse; ils se partageaient en deux comme nos culottes et nos caleçons et descendaient plus ou moins bas. Le fol. 108 v. est représentée une partie de la parabole du Samaritain, montre des femoralia tout entiers et dans tous leurs dé- tails’. Au fol. 123 J.-C.‘ délivre les deux possédés, ceux-ci portent, à ce que je crois, des femoralia pour tout vêtement, mais qui sont attachés aux reins, non pas par un ruban passé dans une cou- lisse, mais par l’étoffe elle-même qui y est serrée par un nœud; les uns sont longs comme des pantalons, les autres plus courts, mais ces derniers à cause de leur couleur rosée pourraient n'être qu’une cein- ture, car partout ailleurs les femoralia qu'on aperçoit chez les hommes

1. En marge: subucula (schurliz) vel suppar est camisia que sub alba induitur.

2. I me semble que j'ai vu quelque part le mot subucula rendu par caleçon, mais je ne sais plus où.

3. Voy. aux calques.

4. Voy. aux calques.

__ 99

condition inférieure aux fol. 129 et 138 v., le fond est rosé à croisés rouges. Peut-être ces dernières sont-elles le résultat d’une inadvertance de l’enlumineur.

Souliers et Brodequins.

Les formes et décorations des chaussures sont extrêmement variées dans les miniatures du Hortus deliciarum. (Voy. chaussures.) Il nous reste seulement à ajouter que la grande majorité des personnages à manteaux doubles de vair ne porte pas de brodequins, mais des souliers ouverts par devant sur le coude de pied; cependant il y a des excep- tions aux fol. 65, 92 r. et v., 128 v., 141 r. et v. Les mages (fol. 92 r. et v.) n’ont point de souliers; ils sont voyageurs. Ils portent les chaus- sures propres aux bergers et aux gens du commun. Ce sont peut-être des espèces de gu£tres qui ont l'air d’être attachées à la chaussure. Au fol. 441 r. et v., et ailleurs les guêtres sont très bien exprimées; ce sont plutôt des espèces de canons inférieures.

Tuniques'.

Que les tuniques soient longues ou courtes, qu'elles aient ou non des bordures byzantines, qu’elles soient tailladées ou non à leur bord inférieur, elles ont toujours leurs manches étroites (nous ne parlons pas ici de tuniques traditionnelles de l'antiquité chrétienne, ni des tu- niques des costumes de convention) chez l’homme du commun comme chez le roi. Nous n'avons trouvé d'exception que chez des hommes dont l’etat exigeait des manches courtes pour faciliter leur travail, comme chez les bergers du fol. 92; chez Malchus qui vient arrêter J.-C. au fol. 129 v. et chez l’homme qui porte l'échelle sur laquelle J.-C. doit monter à la croix, fol. 150; chez les infirmes du fol. 118 v. et 119 v. et chez le lunatique du fol. 118, ces manches sont aussi plus larges et plus courtes. Chez Hérode au fol. 141 v. les manches de la unique supérieure sont à l'antique ainsi que chez Pilate au même fol.

Aux tuniques à la mode nouvelle qui sont toujours portées par des jeunes gens, le bord inférieur est tailladé, mais avec des différences; les tuniques longues sont ouvertes sur le devant et leurs taillades faites à leur bord inférieur ont cette forme, comme aux fol. 38, 215 v. et

1. Au fol. 95 v. col. 2 on lit en marge: clamis, mantel, tunica, rok quasi tonica quod incedentis sonum facit. Tonus enim sonus est. Talaris quod ad talos descendat, polimita varia varia vel multicolor id est gikkelvechrok. Au fol. 203 un homme enlève à un autre sa tunique et on lit auprès de lui: tste (suppléez diripil) tunicam. Cet homme du fol. 203 a une double tunique,

9

romain et qui s’est perpélué jusqu'à une époque avancée du moyen âge (XIIIe siècle?) est très fréquente dans les miniatures du Hortus deliciarum; mais on ne la voit pas toujours agrafée sur l'épaule droite; quelquefois l’agrafe est sur l'épaule gauche et quelquefois sur le devant". Il paraît qu’on ne détachait pas toujours l’agrafe, soit pour mettre la chlamyde, soit pour l’öter et qu'on se. bornait à passer la tête par l’encolure formée par la fermeture de l’agrafe. (Voy. au fol. 29 v. la chlamyde que vient d’öler Sem pour en couvrir la nudité de son père Noé et au fol. 60 v.. L'un des enfants d’Israel qui suivent Esdras à leur sortie de la captivité de Babylone; cet homme la porte sur l'épaule après l'avoir Ôôtée de dessus le corps)’. Quelquefois les chlamydes sont décorées sur tous leurs bords d’une lisière brodée gemmée ou tissée avec ornements, comme à celle de Nabuchodonozor au fol. 65 v., celle de Salomon au fol. 209 v.; celles de Salomon et du roi de la roue de fortune au fol. 215; celle du plebanus et de l’hypocrite au fol. 238 et celle d’un roi au fol. 258 v. Ailleurs ces lisières ornées bordent la chlamyde, à l'exception du bord inférieur comme à celle de Saulus (S. Paul) au fol. 186 v. à celle de la figure de Salomon au fol. 209 et au fol. 258 v. à celle d’un roi. Aïlleurs on voit aux chlamydes ces lisières ornées près du cou et sur les côtés, tandis que le bord infé- rieur de la chlamyde n’est pas visible comme à celle d’un des rois amis de Job au fol. 60; à celle d’un homme de la foule nourrie par le miracle des sept pains, fol. 116 v. Ailleurs encore ces lisières sont unies et sans ornement comme au fol. 111 à la chlamyde de l’un des serviteurs de l’homme de la parabole: Homo quidam nobilis abtit in regionem longinquam; et au fol. 129 v. à celle du fils du paler familias, qui fut tué par les agricolaee Enfin on se bornait quelquefois à n’orner de ces lisières brodées que l’encolure des chla-

1. Le plus souvent c'est lorsqu'elle est soulevée pour y porter ou recevoir quelque chose: au fol. 111 un homme recoit de l'argent-monnaie dans son manteau, au fol. 180 les fidèles y apportent de l'argent, et tous ont l’agrafe sur l'épaule gauche, au même fol. Saphire qui apporte aussi de l'argent, a sa chlamyde disposée de même, tandis que chez Ananie l’agrafe se trouve sur le devant; au fol. 241 v. un roi reçoit dans sa chlamyde les présents de l'antéchrist, et ce manteau est agrafé sur l'épaule gauche; au fol. 203 un pauvre recoit dans sa chlamyde agrafée à gauche, l'argent que lui donne la largesse personnifiée; en revanche David au fol. 54 v. tient dans sa chlamyde agrafée à droite les pierres qu'il doit lancer à Goliath.

2. Voy. aux calques.

3. Voy. aux calques.

96

le manteau était de pourpre. S. Matthieu et S. Jean disent qu'il était écarlale.

Costume des divers âges et des divers états.

Il nous reste maintenant à nous occuper du costume des divers âges et des différentes classes de la société masculine depuis l'enfant jusqu’à l’homme fait (il n’y a rien qui distingue le costume des vieil- lards) depuis le mendiant jusqu’au roi.

Costume des enfants.

Au fol. 36. Isaac sur le point d’être sacrifié porte une tunique ceinte, courte et à l'antique avec des clavi simples; il a les jambes et les pieds nuds. Au fol. 36 v. Joseph vendu par ses frères porte une tunique longue et ceinte, à manches étroites et pourvue d'orne- ments byzantins; la couleur de cette tunique est variée en raies horizon- tales, rouges, bleu-clair-violacé et blanches; ses brodequins sont jaunes sans ornement Au fol. 40 les enfants des Israélites, conduits par Moïse au Sinaï, ont la tunique courte et ceinte; les uns vont jambes et pieds nus, les autres portent des chausses et des brodequins sans ornement. Au fol. 118 l'enfant que Jésus-Christ montre à ses disciples en leur disant: Msi efficiamini sicut parvulus hic, non intra- bilis in regnum celorum; Matth. 18, 3. Le texte de la vulgate n'est pas le même, le voici: 2. El advocans parvulum staluit cum in medio eorum. 3. el dixit: Amen dico vobis, nisi conversi fuerilis, el efficia- mini sicut parvuli, non intrabitis in regnum coelorum. La tunique longue de cet enfant est tout à fait byzantine avec les bordures ordi- naires aux manches étroites et une large bordure jaune, ornée à mon- tants latéraux au bord inférieur. Sa couleur est rose à croisés rouges. Les brodequins de l'enfant sont noirs à lisières blanches Au fol. 123 le Lazare dans le sein d'Abraham peut être regardé comme un enfant; il porte une longue tunique ceinte de couleur bleu de ciel à croisés blancs; à ses manches étroiles il y a des bordures byzan- tines.

Il paraîtrait, d'après ce qui précède, que les parents aisés choisis- saient pour les tuniques de leurs enfants des étoffes de couleurs variées. J'allais oublier de parler de l'enfant Jesus; au fol. 92 v. à l’adoration des Mages et au fol. 98 à la fuite en Égypte et au fol. 97 v. au retour de l'Égypte il porte une longue tunique rouge à clavi jaunes simples et un pallium vert, et au fol. 92 v. à la présentation au temple

98

ou tissées avec des ornements, chez les autres elles sont garnies de perles et de pierres précieuses. Bien que leur rang à la cour des sou- verains eut pu leur permettre ce luxe, les miniatures de ce manuscrit ne sont cependant pas une autorité sur laquelle on puisse baser la prétention qu'ils ont effectivement porté des habits aussi riches, car le dessinateur a été extrêmement prodigue de ces ornements précieux, et jusqu’à les placer sur les tuniques de personnes d’un rang très inférieur comme entre autres à la figure du fol. 119 r. et v. à côté duquel on lit: Servus, et un homme dans le groupe des pauvres, aux- quels la largesse distribue de largent, fol. 203. Du reste, il est probable que, puisque la mode des habits décorés de pierreries et de perles était si répandue, les personnes peu riches et de fortune très médiocre avaient porté des pierres fausses, comme il s’en trouve encore sur les couvertures des livres.

L’armiger du fol. 38 porte une tunique mi-partie à la mode récente, qui est ouverte par devant est tailladée au bord inférieur.

Les chausses des armigeri sont toutes d’une couleur unie, c'est-à- dire qu'il n’y en a pas à couleurs variées; ils portent indifféremment des souliers et des brodequins, et il n’y a qu'un seul qui ait ses chausses pointues à découvert et sans souliers ou brodequins; il porte ce que nous appelons un pantalon à pieds. (Voy. fol. 98.) U n'y a qu'un seul armiger qui porte la chlamyde ou le manteau, c'est celui de Nabuchodonosor au fol. 65 v.

Quelques autres jeunes gens des classes élevées se trouvent dans les miniatures du Hortus deliciarum (chez les hommes imberbes du peuple on ne peut deviner s'ils sont jeunes ou vieux), mais je ne puis dire quelles sont leurs fonctions. Il y a par exemple au fol. 60 v. un jeune homme (peut-être un page?) qui est placé derrière l’armiger du roi Assuérus. Ce jeune homme porte une tunique courte, de couleur verte parsemée de groupes de trois points et tailladée à taillades angu- leuses en bas; elle est assez serrée au corps et ceinte d'une ceinture blanche à la mode récente, dont l’un des bouts est pendant; il va sans dire que les ornements et parements byzantins ne manquent pas aux manches qui sont étroites. Au même fol. est représenté le repas d’Assuerus qu’on voit à table avec Esther, Mardoché et Amon; près de la table se tient debout un homme imberbe que je suppose être

it. A l'avenir je ne signalerai que le manque de ces ornements aux tuniques des hommes, car ce seraient des répétilions continuelles dans le cas contraire.

9

sont pas retenues par des liens; c'est son père plus grand et plus fort que lui qui les lui maintient. Les deux démoniaques du fol. 123 ne portent l'un qu'une espèce de femoralia et l’autre une ceinture; leurs cheveux sont en désordre et leurs mains liées derrière le dos.

Lépreux.

Voy. fol. 51 v., 106, 123 v., 126, 238, 238 v.

Job au fol. 60 est complètement nu; le lépreux mystique du fol. 938 v. l'est presque aussi, car l’etoffe Jongue et étroite qui l’entoure n'a pas l'air d'être faite pour couvrir ce que la pudeur empêche de nommer; les autres sont aussi nus, mais ils ont en général de larges ceintures. Néanmoins le livre offre deux exemples de lépreux habillés complète- ment. C’est (au fol. 51 v.) Marie, sœur d’Aaron et de Moïse, qui fut punie de la lèpre pour avoir murmuré contre Moïse (voy. Nombres XII); et au fol. 238 Sezi ou plutôt Giezi, disciple d’Elisee, frappé de la même manière en punilion de son avidile; mais je pense que ces deux lépreux sont ainsi représentés habillés, parce qu'ils viennent sur le moment d’être frappés de la maladie??? Voy. le calque de ce fol. 238. Giezi parle à Simon le magicien (?), c'est probablement une généra- lité, car il s’agit de Simonie. Dans ce même fol. 238 Sezi (Giezi) est représenté une première fois au moment il reçoit du général Syrien Néaman (Naaman) les deux talents d'argent (Rois, liv. IV, chap. V, vers. 23 et suiv.). Il est habillé à moitié. Il a un femoralia et une chlamyde retenue par un bouton sur l'épaule droite. On aperçoit ses deux jambes nues, couvertes de lèpre, son bras droit et le côté droit de son corps. Il n'a ni tunique ni chaussure. Je remarque à propos de la lèpre marquée ici par des points sanguinolents que l'Écriture dit en parlant de Marie et de Giezi qu'ils furent frappés d'une lèpre blanche comme la neige.

Voleurs.

Les larrons qui, au fol. 108 v., dépouillent l’homme de la parabole du Samaritain, n’ont rien qui les distingue du reste du peuple.

Le larron du fol. 238 a pour coiffure une sorte de chapeau gris ou de casque qui est l'unique coiffure de cette espèce dans le livre; du reste, son costume n’a rien de remarquable. Il vient de travailler à sa besogne el porte une pique ensanglantée dans une de ses mains et une tête humaine dans l’autre; c’est pourquoi le dessinateur lui a relevé sa tunique.

99

avec et sans chlamydes, et avec des ornements byzanlins aux manches; tous portent des brodequins. Du reste, dans la représentation de celte parabole l'artiste me semble s'être livré à un caprice d’imagina- tion ou n'avoir pas été attentif à son sujet, car au fol. 129 v. on voit les mêmes agricolae' tuant le fils du pater familias, et ils y sont armés en chevaliers; l'un d'eux même porte autour de son casque une couronne. Cependant comme au fol. 128 v. ces agricolae sont dans le texte allégorisés en pécheurs; il est possible que le dessinateur ait été sous l’impression de cette idée, car le pécheur et le démon sont assez souvent représentés sous la figure de chevaliers ou soldats.

Au fol. 112 v. on voit deux agriculleurs dont l’un mène une charrue; ils ont des tuniques courtes et des ornements aux manches; celui qui mène la charrue a même une bordure byzantine à l’encolure de sa tunique; les deux ont des brodequins.

Au fol. 108 v. Le semeur de la parabole: ÆExitt qui seminat, semi- nare (Matth. 13, 3) relève de la main gauche sa chlamyde est placée la semence. La tunique est sans ornements et il porte des brodequins. Au fol. 120 les semeurs du bon grain et de la zizanie sont vêtus de même, excepté qu'ils ont des ornements aux manches. Les moissonneurs de la même parabole sont vêtus de tuniques courtes qui ont des parements aux manches; l’une des tuniques a même l’ornement au haut du bras; tous portent les brodequins.

Au fol. 97 v. Le serviteur de Joseph est vêtu à l'antique en tunique longue à clavi et par-dessus le pallium; aux fol. 84 et 98 il n’a qu'une tunique courte à peu près à l'antique; à ses jambes nues il porte des brodequins; il en porte aussi au fol. 97 v. Ce costume à l’antique me paraît avoir eu pour type une peinture traditionnelle.

Au fol. 111. Les dix serviteurs du noble de la parabole homo qui- dam nobilis abut (Luc. 19, 12) sont richement vêtus; ils portent la chlamyde et la tunique brodée et non bordée, mais ayant toujours les ornements aux manches. Tous portent les brodequins dont plusieurs sont jaunes et quelques-uns très ornés; l’un des serviteurs a des brodequins gris.

Au fol. 419 v. le premier serviteur de l’homme de la parabole homo quidam fecit coenam magnam (Luc. 14, 16) est vêtu d’une longue tunique rouge à bordure gemmée à l'encolure, aux manches, en -bas et à bande verticale également gemmée sur le devant; le second ser-

1. Le nom est écrit auprès d'eux.

viteur a une tunique rose, courte avec des ornements aux manches seulement. Tous les deux ont des brodequins noirs.

Au fol. 120. Les serviteurs de l'homme de la parabole, qui sème le bon grain, ont, l’un la tunique longue et l’autre courte, mais les tuniques des deux sont ornées à l’encolure d’une bordure gemmée, tandis que les ornements des manches de l’un d’eux sont brodes ou Lissés.

Au fol. 129. Les serviteurs du pater familias qui avait loué sa vigne aux agricolae (Matth. 21, 33) portent tantôt la tunigne longue, tantôt courte; quelquefois avec des bordures byzantines gemmées à V’encolure et en bas, mais toujours avec des ornements aux manches; tantôt ils sont vêtus de la chlamyde, tantôt non. Toujours ils ont des brodequins; un des serviteurs a des brodequins jaunes.

Au fol. 221 r. et v. on voit des mariniers; ceux du fol. r. n'ont rien de remarquable; mais celui qui conduit le navire d'Ulysse au fol. v. porte une sorte de cuculla de moine, d'une couleur verdätre, dont la forme s'est conservée à peu de chose près chez les marins du Levant.

Le peuple comprenant les basses et moyennes classes,

Ce qui précède en donne une idée; cependant on peut le voir réuni au fol. 54, l’on voit les Israélites suivre Josué, ainsi qu'au fol. 61, les Israëlites suivent Esdras.

Classes supérieures.

En première ligne j'aurais parler du duc Eticho, le fondateur du monastère d’Hohenbourg. Il est représenté deux fois au fol. 322 v. I porte une longue tunique verle à bordures et parements byzantins, une chlamyde rouge doublée de vair, une couronne à deux fleurons seulement, des chausses bleues et des souliers ouverts, noirs, bordés de blanc et ouverts sur le cou-de-pied. Voy. aux calques. Le cos- tume des classes supérieures ne se distingue que par un luxe un peu plus grand et plus constant dans les bordures des tuniques, et déjà nous en avons vus de très riches chez des serviteurs, et par des chla- mydes quelquefois doublées de vair et des souliers plus souvent portés.

Nous allons faire une courte récapitulation des figures qui paraissent devoir fixer plus particulièrement l’attention. Les poètes au fol. 32. Loth au fol. 34, sujet du milieu. Le bonnet du prince à la suite de Nabuchodonosor au fol. 65 v. Le pater familias au fol. 108, Le jeune homme riche de l'Évangile qui ne voulut pas vendre son

B. XXIL. (M.) 3

94

bien pour suivre J.-C, au fol. 112 v. Luc, médecin, au fol. 160 v., sujet du milieu. Saulus (s. Paul) au fol. 189. Les seigneurs assis à la table de Salomon au fol. 204. Les trois hommes assis en pre- mière ligne à côté du roi parmi les laïcs membres de l’Église dans le temple du Seigneur au fol. 225, et le fornicalor qui embrasse la juvencula au fol. 238.

Milites' en costume civil.

Je crois que chez la plupart des milites la pensée d'une classe supérieure predominait chez le dessinateur lorsqu’il exécutait les minia- tures dont il va être question et que le mot miles avec la significa- tion de chevalier y exergait son influence. Leur costume civil consis- tait du reste dans les mêmes vêtements que celui des autres hommes et se composait des chausses, des souliers ou brodequins, une tunique le plus souvent longue et la chlamyde.

1 y a un miles au fol. 129; il porte une tunique longue, ceinte, ornée d’une bordure à l’encolure et au bord inférieur, et d’ornements byzantins aux manches. Sa chaussure consiste en brodequins noirs?. I y en a trois à côté du trône d’Herode au fol. 141 v.; on ne voit l'habillement que de deux: l’un porte une longue tunique verte et ceinte?; elle a par extraordinaire des manches larges par-dessous des- quelles il s'en montre d’autres étroites de même couleur, à pare- ments brodés; cette tunique a aussi au bas une large bordure brodée et sur sa manche large un rond gemmé; cet ornement est fort rare dans les miniatures de ce manuscrit, et je n’y en ai pas trouvé d’autres que ceux qui sont sur la chlamyde de Nabuchodonosor au fol. 65 v. Au haut de ses souliers noirs il y a comme des guêtres grises ou bleuâtres. L’autre miles a une tunique gris de fer, c'est-à-dire bleuätre, un peu plus courte que l’autre, à manches larges sur d’autres manches étroites de même couleur et les mêmes garnitures qu'un chevalier précédent, moins le rond; on aperçoit, de même que chez le premier, une pelite partie de sa ceinture blanche. Par-dessus de la tunique il porte une chlamyde rouge avec une large bordure gemmée qui la tra-

1. Le mot miles est difficile à rendre ici, car il signifie également simple soldat et chevalier; je pense pourtant que les trois milites près du trône d'Hérode, au fol. 141 v., sont des chevaliers, à cause de leurs longues tuniques ornées. Voy. aussi fol. 143.

2. Il est imberbe.

3. On apercoit une petite partie de la ceinture qui est blanche.

95

verse un peu plus bas que les épaules; cet ornement aux chlamydes est aussı fort rare‘.

Au fol. 150 v. les milites qui tirent au sort la robe de J.-C. n’ont rien de particulier dans leur costume, trois portent la chlamyde; les deux dont on voit la tunique, l'ont, l’un courte et l'autre longue; l’un d'eux porte des brodequins, l’autre des souliers surmontés jusqu'à mi- jambe d’espèces de chaussons rouges et ornés. Il y a deux miltles barbus dont l’un a ses moustaches pointues et comme cirées et deux imberbes. Enfin au fol. 215 v. nous voyons un miles (cette fois-ci incontestablement un chevalier qui est habillé avec la recherche de la dernière mode). Par-dessus une tunique longue, rouge, ouverte sur le devant, tailladée au Las et ceinte d’une ceinture blanche à bout pen- dant, il porte une chlamyde verte ayant des taillades semblables au bas et doublée de vair. Il n’a ni souliers ni brodequins à ses chausses vertes et pointues (elles ressemblent à ce que nous nommons un pan- talon à pieds). C'est un jeune homme imberbe.

Pilate,

Pilate assis à son tribunal est représenté quatre fois dans les minia- -tures du Hortus deliciarum, aux fol. 141, 141 v., 148 v. et 150 v. Mais c’est surtout aux fol. 141 v. et 143 v. que son costume est inté- ressant; une large bande (ornée et raide au fol. 141 v. et sans orne- ments et avec des plis 143 v.) jaune est passée sur ses épaules; un des bouts passe derrière le dos et par-dessus l’autre bout qui tombe sur le devant du corps. Cette bande rappelle le lorum des consuls byzantins sur les diptyques; était-il en usage chez les juges en Alle- magne au XIe siècle? Ou bien est-il reminiscence de quelque peinture byzantine? Dans les deux min'alures mentionnées en dernier lieu, fol. 141 v. et 143 v., Pilate porte une tunique gris de fer à manches larges, au-dessous desquelles sont d’autres manches étroites de même couleur à parements jaunes, et il n’a pas de chlamyde. Aux fol. 141 et 150 v. il porte une tunique rose à manches larges avec d'autres manches étroites par-dessous, lesquelles (les étroites) sont de même couleur rose et ornées de parements gemmés, et par-dessus cette lunique il a une chlamyde gris de fer au fol. 150 v. et verte au fol. 141. La plupart des chlamydes des rois sont rouges; d’autres ont diverses couleurs; il y en a même qui ont leur couleur variée; un assez grand

1. Les deux sont barbus.

96

nombre de ces chlamydes sont doublées de vair. Ce n’est que par excep- tion qu'ils ont des tuniques courtes, comme les mages voyageurs au fol. 92 et l’antéchrist au fol. 241 v. Alors qu’il coupe la tête d’Elie; ce sont partout ailleurs des tuniques longues qu'ils portent. La tunique longue était donc une marque de dignité. A l'exception de Nabuchodo- nosor qui (au fol. 65 v.) porte des brodequins noirs, et d’un roi à brodequins jaunâtres (au fol. 258) du pére de famille et de son fils, fol. 129 v., d’Herode f. 141 v. et de l’antéchrist fol. 241 v.; tous les rois sont chaussés de souliers ouverts sur le cou-de-pied. Ces souliers là, sans doute une mode nouvelle‘, était donc aussi une marque de distinction; et nous avons vu que des hommes de condi- tion inférieure portaient généralement des brodequins. La plupart des souliers des rois sont noirs à bordures blanches et quelquefois à ornements blancs’. Il y en a aussi de jaunes avec et sans ornements. Les souliers des rois, amis de Job, au fol. 68, sont jaunes et ornés; ceux des rois au fol. 241 v., 242 v., 253 v. et 258 r. et v. sont jaunes sans ornements. Les chausses des rois n’ont pas de couleur qui leur soit propre; il y en a de plusieurs couleurs (non pas de plusieurs couleurs pour les chausses d’un même roi). Jamais ils ne portent le globe. Quelquefois quand ils trônent en roi, ils portent un sceptre terminé par trois feuilles, comme Hérode recevant les mages au fol. 92. (Le même quand Jésus est conduit devant lui (au fol. 141 v.) n'a pas de sceptre; cependant il est assis sur le plus beau trône de roi qui soit dans les miniatures du livre); comme Salomon aux fol. 209 et 209 v.; comme le roi assis au banc des laïcs parmi les membres de l'Église assemblée dans le temple du Seigneur au fol. 295 v.

Voy. aux fol. 59, 60, 60 v., 65 v., 92, 92 v., 98, 111 v., 129, 199 v., 441 v., 204 v., 209, 245, 225 v., 226, 241 v., 242, 242 v., 247 v., 253 v., 258 et 258 v.

Couronnes.

Les couronnes des rois sont en grande partie des couronnes byzan- tines ornées de pierres précieuses, mais très peu variées; la plupart sont de couleur jaune, mais il y en a qui sont d’or comme celles des

1. Voy. le calque du Salomon du fol. 215. 2. David, au fol. 59, les a entièrement noirs.

97

fol. 204 v., 209, 209 v., 215, 225 v., 241 v., 242 et 242 v., ainsi que les couronnes de J.-C. et de l'Église au fol. 295.

Au fol. 241 v. Les couronnes des rois qui reçoivent des présents de l’antéchrist sont d'argent, tandis que celle de l’antéchrist lui-même est d'or.

Leurs formes, fol. 59, 60, 60 r., 98, 111 v., 129, 129 v., 204 v., 209, 209 v., 215, 295, l'Église et J.-C 225 v., 226, 241 v., 242, 242 v. 241 v., 253 v., 258, 258 v., 261, les élus.

Couronnes des mages au fol. 9% r. et v.

Couronnes porlées par les reines.

Voy. la reine de Saba, fol. 209 r. et v. La reine du pressoir mystique, fol. 241. L'Église, fol. 199 et 225 v. La grande Baby- lone, fol. 258 r. et v. et la femme de l'apocalypse, fol. 262. On peut voir aussi la couronne portée par la femme du riche, fol. 123. Les vertus, fol. 199 v. et suiv. Les femmes élues, fol. 261, et la couronne de la fortune au fol. 215.

Ces couronnes sont semblables à celles portées par les rois.

Assuérus au fol. 60 v. ne tend pas vers Esther un sceptre, mais un long bâton, une hasta pura.

Armures döfensives et offensives des milites et autres.

Voy. aux fol. 11 v., 34, 38, 38 v., 40, 51, 54 v., 64 v., 98, 129 v., de 199 v. à 204 v., combats des vices et des vertus, 221 v.

Casques.

Trois espèces de casques se trouvent parmi les armures défensives représentées dans ce manuscrit. Je ne comprends pas dans ce nombre la coiffure du larron représenté au fol. 238; j'ignore si c'est un casque.

Le casque conique, qui y est le plus souvent reproduit; le casque hémisphérique à sa partie supérieure, et une autre sorte de casque qui ressemble au bonnet phrygien et de l'authenticité duquel je ne suis pas sûr.

Casque conique.

Le casque conique pour l'ordinaire a sa pointe un peu inclinée en avant, et il n'y a qu'un exemple il soit tout à fait conique (aux marionettes du fol. 215, et ce casque n’a pas de nasal); le corps du casque est en acier ou fer blanc et à son bord inférieur il y a une

38

lame jaune (de cuivre ou de cuivre doré) à laquelle est attachée le nasal. À deux de ces casques il y a de véritables visières qui rem- placent le nasal et dans lesquelles sont pratiquées des ouvertures pour la respiration; ces visières sont de couleur jaune: l’une est le casque de la Vérité personnifiée au fol. 202; cette visière a des ouvertures de la forme de celles qu'on voit ici en marge; l’autre est au casque de l'un des soixante forts d'Israël qui entourent le lit de Salomon au fol. 221 v. Les ouvertures de respiration de cette visière consistent en trous ronds.

Casque hémisphérique.

Le casque hémisphériqne par le haut a la même bordure jaune en bas et se trouve presque toujours pourvu du nasal. Il est en outre décoré de rainures symétriquement espacées qui partant de la bordure jaune inférieure vont se réunir à son sommet. Les casques hémisphé- riques, comme mode plus nouvelle, paraissent avoir été de meilleur goût et de plus grande distinction que les casques cuniques; cela se remarque dans les miniatures sont représentés les combats des vertus et des vices; dans ces miniatures, bien que ces casques soient portés par les unes et par les autres et que dans les files des combattants ils alternent respectivement et régulièrement avec les casques coniques, les vertus principales qui sont les chefs de file de leur parti portent constamment un casque hémisphérique qui est entouré d'une cou- ronne‘, tandis que cela ne se remarque pas chez les principaux vices, alors qu’ils sont armés ou qu'ils portent des casques. Au fol. 221 v. Ulysse porte un casque hémisphérique, et celui de ses compagnons qui est armé en porte un de forme conique.

Au fol. 51 un miles à pied parmi les enfants d'Israël porte un casque orné d’une manière particulière. La bande verticale est jaune.

Casque en forme de bonnet phrygien.

La troisième espèce de casque se trouve dans la peinture mystique relative au sacerdoce de J.-C. selon le prophète Zacharie au fol. 64 v. Les casques d’un groupe de guerriers sont en grande partie hémisphé- riques par le haut, mais sans nasal; cependant il y en a quatre pres- que coniques et dont trois sont terminés par une sorte de fleuron ployé en avant, qui les font ressembler aux bonnets phrygiens. L'artiste

1. Ces casques à couronnes peuvent à coup sùr représenter des rois.

99

qui a composé cet intéressant dessin n’est pas le même qui a exécuté immense majorité des miniatures; il avait du goût pour l’archaisme, et ce goût se manifeste dans l’ensemble de la composition, aussi bien que dans ces armures mal imitées de l’antique et dans les calques dont nous nous occupons.

Haubert.

L’armure défensive la plus apparente est le haubert ou cotte de mailles. Il est pourvu d’un capuchon également en mailles qui collait sur la tête et sur lequel on placait le casque; ce capuchon devait être fortement rembourré, pour qu'il ne blessät pas la tête, alors que le casque était placé par dessus. Au fol. 54 v. on voit ce capuchon rejeté sur la nuque de Goliath, mais bien qu'on apergoive une partie de son intérieur, il n'y a nulle trace du rembourrage dont je viens de parler, au fol. 200 v. les vices principaux de la colère et de la gloutonnerie ont la tête couverte du capuchon sans porter de casque. Soit qu'il y ait eu dans les mailles de ces capuchons des dispositions divergentes, soit qu'on ait porté des sortes de calottes en mailles, il y a certains bauberts un demi-capuchon, après avoir couvert le menton, paraît avoir été relevé par derrière et attaché à une sorte de calotte qui recou- vrait les côtés et le dessus de la tête; cependant il me semble plus probable que cette divergence du cour des mailles était exigée pour mieux adapter le capuchon entier sur la tête du porteur.

Le haubert est collant aux bras et au corps jusqu'à la ceinture; vient l’entourer le ceinturon de l'épée; il va ensuite s’elargissant et ne descend pas plus bas que jusqu’au-dessus des genoux. Sur le devant il a en bas entre les cuisses une petite fente qui est loin de remonter jusqu’à l’enfourchure des jambes. Selon l'apparence on pourrait croire en regardant les miniatures des fol. 40, 54 v., 98, 129 v. que les hau- berts étaient à leur partie inférieure divisés en deux et arrangés comme des espèces de culottes pour contenir les cuisses, mais outre que cette manière eut empêché un long séjour à cheval, elle se trouve contredite par les hauberts des fol. 34, 51, 203, 204 v. et 221 v. qui tous montrent la petite fente dont il vient d’être question. Mais arrangés même de cette dernière manière, les mailles ramassées en bourrelets entre les fesses et le pommeau de la selle devaient être presque aussi incommodes, car nulle part on ne voit le bas du haubert relevé et couvrant le pommeau postérieur de la selle. Aurait-il été ouvert par derrière, comme le ferait supposer celui d’un milites du fol. 129 v. 22?

40

Les hauberts portés par les vertus et les vices personnifiés en femmes, aux fol. 199 v., 200, 200 v., 201, 201 v., 202, 202 v., 208, 203 v. et 204, ne différent pas de ceux portés par les hommes dans les autres miniatures.

Chausses en mailles.

Nulle part on ne voit la manière dont elles sont attachées aux femoralia ou calecon, mais il est probable qu’elles devaient l'être comme les chausses ordinaires. Elles étaient serrées à la jambe par des lacets et non par des rubans ou cordons, car il n’y a aucune trace de bouts de rubans pendants, et comme ces chausses étaient lacées jusqu'aux bouts des pieds, les rubans et leurs nœuds auraient embarrassé la marche. Il est probable que ces chausses en mailles étaient attachées et placées sur d’autres chausses en cuir ou en étoffe.

Boucliers.

Outre un bouclier rond (rondache?) ayant de beaux ornements et qui est porté par Goliath! et deux autres hémisphériques à leur partie supérieure et se terminant en pointe à la partie inférieure (au fol. 64 v.)’; tous les boucliers très nombreux dans ce manuscrit ont la même forme, c’est-à-dire qu'ils sont longs, pointus en bas et droits à leur bord supérieur qui s’arrondit vers les angles; les bords latéraux à partir des angles arrondis sont aussi en ligne droite jusqu'à la pointe elles se réunissent; ils se courbent autour de la taille dans leur largeur. Dans leur longueur ils s'étendent pour l'ordinaire et alors qu'ils servent de défense depuis le menton jusqu'au milieu du tibia; et lorsque leur pointe repose à terre, le haut arrive jusqu'au bout des tétons. La couleur des boucliers est pour l'ordinaire le jaune, le rouge et le vert; il n’y a que deux exemples d’un bouclier, l'un des mille boucliers suspendus à la tour de David, fol. 204, et celui d'Ulysse au fol. 224 v.) qui soit peint de deux couleurs à la fois. Des boucliers d'une seule couleur, mais traversés d’une bande horizontale ou diago- nale, ornée ou gemmée, se trouvent aux fol. 11 v., 129 v., 204 v.. Quant aux boucliers exceptionnels des fol. 38 v.’ et 64 v.? ils sont

1. Fol. 54 v. aux calques.

2. Au fol. 38 v. un Égyptien qui se noie dans la Mer rouge a aussi un bouclier de cette forme.

3. Comme ce sont des impies et conséquemment des payens qui portent ces boucliers à bordures, il pourrait se faire que l'artiste ait pensé aux boucliers des Sarrasins ??? Il s'agit dans cette remarque des boucliers représentés au fol. 38 v. (retour des Égyptiens) et au fol. 64 v. (des soldats sur la montagne). Voy. chap. IV, v. 7 de Zacharie.

li

entourés d’une large bordure qui au fol. 38 v. est garnie de clous ou de pierreries et de couleur jaune qui tranche sur le fond intérieur qui est vert, tandis que cette bordure, quoique jaune aussi, au fol. 64 v., est de la même couleur que le reste du bouclier et dépourvue de clous ou de pierreries; ces derniers boucliers du fol. 64 v. ont en outre, un un rond rouge au milieu, entouré de quatre autres ronds plus petits; et l’autre qui a au milieu un ornement rouge de cette forme. Ce rond plus grand du premier bouclier et cet ornement du second pourraient bien être le nombril du bouclier, bien que la peinture n’an- nonce aucune éminence. Le bouclier rond de Goliath au fol. 54 v. a aussi dans son centre un petit cercle entouré de clous qui désigne peut-être ce nombril. À part ces exceptions on ne voit nulle part de nombril aux boucliers. Une courroie ordinairement rouge ou jaune, quelquefois blanche et rarement ornée de broderies ou de dessins (voy. fol. 499)! était attachée de deux côtés intérieurs au bouclier; on la passait derrière le cou sans qu'aucun des bras y fut engagé. (Voy. au fol. 200, en bas à droite le bouclier de l’Esperance person- nifiée, l’on distingue ce qui attachait cette courroie et aussi au fol. 201 v. le bouclier de la prudentia). Nulle part on n’appergoit la courrroie ou le tenon* (j'ignore le nom véritable) par lequel la main gauche tenait et dirigeait le bouclier. Il paraît que lorsque le guerrier s’avouait vaincu et qu'il se rendait, il plagait le bouclier sur son dos comme on le voit au fol. 202 chez les vertus qui se rendent aux vices.

Armes offensives.

Dans les miniatures du Hortus deliciarum on ne voit pour armes offensives que la lance et l'épée.

Lances. Javelots.

Il y a cinq sortes de lances.

Voy. aux fol. 34, 38, 40, 51, 54 v., 64 v., 199 v., 203 v. Voy. aux calques la figure de la gloutonnerie, fol. 200 v. (voracitas) qui indique la manière dont les javelots étaient lancés.

1. Voy. aux calques, c'est à toutes les courroies de boucliers des vices à la suite de la Justicia.

2 Le nom véritable est énarmes. Voir VIoLLET-LE-Duc, Dict. dw Mobilier français, vol. V, p. 341. La courroie pour suspendre l'écu s'appelle guige. Voir ibid.

49

Les bannières étant terminées par un fer peuvent être rangées au nombre des lances. Leur flamme varie de forme dans les miniatures du Hortus deliciarum.

Épées.

Les épées sont droites, larges, et nulle part leur lame n’est terminée en pointe; elles sont toujours arrondies aux bouts. Leur poignée, quant au pommeau et à la garde, est toujours d'acier; le pommeau a la forme ovale et non sphérique; la garde est toujours droite, quelquefois élargies aux bouts. La poignée véritable, c’est-à-dire la partie serrée par la main, est ordinairement à raies, qui désignent les petits cordonnets ou lanières dont le bois est entouré; sa couleur est quelquefois rouge (voy. aux fol. 34, 38, 200) et quelquefois blanche; quelquefois l’enlumi- neur lui a donné par inadvertance la couleur du haubert. L'épée la mieux vue est celle de la fides au fol. 200.

Le fourreau, à l’exception de l'entrée qui a une lisière blanche, est entièrement noir, même la pointe; car je ne regarde pas comme en faisant partie les lanières blanches qui l'entourent vers le haut et l'atta- chent au ceinturon dont elles font partie. Le ceinturon lui-même est sans doute de buffle blanc.

Costume des femmes.

On voit dans le Hortus deliciarum quatre sortes de vêtements de femmes bien distincts.

Le costume presque antique et en même temps byzantin, cos- tume probablement traditionnel et qui n'existait plus en Allemagne vers la fin du XIIe siècle. Voy. fol. 31, 60, 80 v., 84 v., 92, 92 v., 97 v., 98, 107 v., 118 v., 143, 143 v., 150, 150 v., 160, 167, 180, 203 v., 204, 247 v., 251.

Les tuniques longues et sans ceinture des femmes élues du fol. 261 qui me semblent tout à fait byzantines.

Les modes existantes, mais non nouvelles qui se trouvent dans la plupart des miniatures.

Les modes tout à fait nouvelles. Voy. fol. 199 v., 201 v., 238, 255.

Costume presque antique.

Le costume antique consiste en un grand manteau semblable au pallium des hommes et la tunique longue et ceinte. (Je ne parle pas des vêtements de dessous, car nulle part on n’en aperçoit, si ce n'est la petite coiffe sous le voile.)

—_ 18 Voile antique.

Ce grand voile ou manteau, évidemment de tradition antique, couvrait d’abord le dessus de la tête, puis un de ses bouts"etait passé sur l’une ou l’autre épaule, mais sans passer comme chez les hommes sous l’ais- selle du bras opposé, et ensuite l’autre bout du manteau était jeté par- dessus le bout déjà placé, de manière qu'il formait sur le devant une espèce de sinus, comme la chasuble des prêtres, quand ceux-ci levaient les mains. Voy. fol. 67 v., 80 v., 92 v. (voy. aux calques), 97 v., 98, 407 v., 118 v., 150, 150 v., 160, 167, 180. Quelquefois il est ouvert par devant comme chez la femme de Job au fol. 60. Il paraît plus long par derrière, mais cela vient de ce qu'il est toujours rejeté par les bouts sur les épaules ou relevé par les mains; je pense que sa forme était celle d'un carré long. Il est toujours d’une seule couleur, quoique les couleurs varient, mais le voile de la Vierge est constamment de pourpre, comme sa tunique est toujours bleue (au fol. 176 v. la Vierge porte l’habit de religieuse; cette tunique est verte). Je n'ai trouvé à ce voile qu'une seule fois une bordure ornée; elle se trouve au bas de celui de la Vierge au fol. 98. Sous ce voile les femmes portent une espèce de coiffure dont l’etoffe, ordinairement de couleur grise, quelquefois de couleur rouge, est presque toujours rayée. (Voy. au fol. 38 r. et v. le peuple juif, plusieurs femmes ont cette coiffure de dessous; au fol. 38 une seule de ces coiffures est rayée). Elle couvre les oreilles et cache les cheveux, mais on ne peut en dire la forme, parce que le voile en cache la plus grande partie. Cette coif- fure n'est pas le signe distinctif de la matrone, car Esther en porte une au fol. 60 v. Cette coiffure se trouve aussi sous les petits voiles modernes, ce qui me fait penser qu'elle devait être contemporaine des miniatures.

Tunique.

La tunique est toujours longue et descend de manière à couvrir la plus grande partie du pied; les manches en sont généralement étroites et elles ont des parements aux bouts; au fol. 65, dans la peinture mystique relative au sacerdoce de J.-C, on voit deux femmes sans grands voiles, qui portent des tuniques non ceintes et aux manches larges. Les tuniques sont toujours ceintes (moins celles du fol. 65 citées tout à l'heure), mais on n’apergoit qu’une fois les deux bouts pendants et blancs de la ceinture de la Vierge au fol. 163 est représentée l'ascension de J.-C.

44

On ne peut dire qu’elle espèce de chaussure portaient les femmes vêtues à l'antique, la tunique descendant presque partout trop bas; au fol. 360 on voit cependant des souliers ornés et montant jusqu’à la cheville chez les deux Maries auxquelles apparaît J.-C. Mais on ne peut dire si c'étaient des souliers ou des brodequins. Ceux de la Vierge Marie sont constamment rouges.

Les luniques longues des femmes élues.

Les tuniques longues à larges bordures à la byzantine, richement brodées qu’on voit portées au fol. 261 par les femmes élues qui jouissent d'une éternelle beauté dans le ciel, sont sans ceinture. Chez l'une d’elles la bande brodée qui descend sur le devant du haut en bas de sa tunique, chez les trois autres est remplacée par le lorum dont il a déjà été question au costume des hommes. Les tuniques ont aussi des manches larges, mais non très longues, comme les portent aussi les hommes vêtus de la tunique à l'antique, et par-dessous de ces manches larges on aperçoit d’autres étroites de même couleur, garnies de parements. Toutes ces femmes portent des souliers jaunes; leurs chausses! sont les unes cramoisies, les autres vertes. Leurs che- veux longs descendent sur le dos; elles portent toutes des couronnes byzantines. Le costume des élus hommes au même fol. est le même que celui des femmes, à l'exception que leurs cheveux courts sont bouclés sur la nuque.

Chlamyde.

Une sorte de mélange d’antique et de moderne se montre dans quelques figures de femmes qui portent la chlamyde. Ce manteau est tantôt agrafé sur le devant, tantôt sur l'épaule droite ou sur l'épaule gauche. Quelques muses au fol. 31 ont des chlamydes bordées de lisières gemmées, qui sont agrafées et portées par-dessus le voile antique*, sous lequel on aperçoit la coiffure dont il vient d'être ques- tion à l'article des femmes vêtues à l’antique. Ce qui vient d’être dit s'applique aussi à la figure de la philosophie au fol. 32 v., avec la diffé- rence seulement que sa chlamyde n’a de bordure qu'à l’entour du cou. Au fol. 150 est représenté le mystère de la Rédemption, l'Église

{. 11 reste à savoir maintenant comment les chausses des femmes étaient attachées ?

2. C'est probablement à tort que j'appelle ici ce voile antique, car il doit avoir été plus court et de la forme de celui porté par la femme de l'apocalypse au fol. 261 v.

si =

personnifiée, sans voile, les cheveux longs et une couronne sur la tête, porte sa chlamyde sans bordure, agrafée sur l'épaule droite, et sa tunique a des manches larges à l'antique, sous lesquelles on en voit d'autres qui sont étroites et garnies de parements gemmés. Au fol. 180 Saphire représentée trois fois, porte par-dessus de sa tunique à manches longues, à la moderne, une chlamyde altachée une fois sur l'épaule droite et l'autre fois sur l'épaule gauche. Au fol. 241 une reine qui porte un panier de raisins pour les verser dans le pressoir J.-C, les foule, est vêtue d’une chlamyde, agrafée vers l’épaule droite et qui la couvre presque tout entière. Enfin la plus belle des chlamydes est portée au fol. 258. (Voy. aux étoffes et doublures) par la prostituée de Babylone; elle est brodée sur toutes ses lisières d’une bordure garnie de pierres précieuses, et une riche agrafe la retient sur l'épaule droite. Sa tunique de pourpre d'une étoffe précieuse variée a de longues manches à la moderne, mais moins longues qu’à l'ordinaire, et par-dessous de celles-ci il y en a d'autres qui sont étroites et garnies de parements gemmés. Ses sou- liers sont rouges à raies d’un rouge plus foncé, écarlate, de même couleur que la bête.

Costume hors ligne.

Avant d’entrer dans les détails des modes modernes, il me semble que je dois faire mention de deux figures de femme qui portent un costume qui n'a rien de semblable dans tout le livre et que je crois copié de quelque peinture byzantine. Il s'agit ici de la Samaritaine représentée au fol. 126 et de la servante qui parle à s. Pierre au fol. 141. La première a les cheveux pendants; elle porte une tunique longue à manches étroites, avec des bordures byzantines et à l'enco- lure de laquelle est une bordure inusitée. La ceinture qui serre cetle tunique à la taille est inusitée également. La seconde a les cheveux assez courtes et autour desquels un bondeau blanc fort étroit est passé une seule fois. Elle porte des boucles d'oreilles qui sont les seules qu'offrent les miniatures du Hortus deliciarum. Sa tunique rose est serrée non pas à la taille, mais sous les seins; une fois (la ser- vante est représentée deux fois) sa tunique rose n'a d'autre ornement que des parements gemmés à ses manches étroites, et l’autre fois il y a par-dessus une large bordure en bas, et sur le devant une bande gemmée qui descend depuis le sein jusqu’à la bordure inférieure; à celte dernière figure un fichu rouge est passé autour du cou, mais je

46

ne puis deviner s'il passe sous le bord supérieur de la tunique (ce que je crois plus probable), ou s'il est passé par-dessus. Je crois qu'il est en dedans comme on le voit constamment à notre époque.

Modes modernes sans être récentes.

Nous commencerons par les coiffures et nous prendrons ensuite un à un les vêtements dont ce costume se compose, en allant du vête- ment de dessous au vêtement extérieur.

Voile.

Cette coiffure est appelée peplum au fol. 202 v. la pompe per- sonnifiée le jete loin d'elle’. Je m’autorise donc à donner le nom de voile à celte coiffure.

Le voile consistait en une bande longue et d’une largeur médiocre qui entourait la tête de la femme et que nous y voyons disposé de différentes manières. Mais avant d'entrer dans le detail, montrons ce voile sous sa forme propre et avant que les mains de la coquetterie ne l’aient ployé et reployé à leur guise. On le voit déployé au fol. 180 Saphire tombe morte, et au fol. 202 v. la pompe personnifiée le laisse tomber. Il est en général de couleur jaunâtre et sans nul ornement, ce qui me fait penser qu'il ne devait pas être de lin, mais plutôt d’une fine étoffe de laine; cependant il y a un exemple il est blanc et orné d'une bordure jaune et d’un groupe de cinq points noirs sur le front; c’est au fol. 143 il couvre la tête de la femme de Pilate couchée dans son lit; car il se conservait au lit, comme on le voit aussi au fol. 186, il est porté par Thabita malade, guérie par saint Pierre.

Le plus souvent il enveloppe la tête et lowjours sans laisser voir aucune irace de cheveux? et passe ensuite devant le cou (et au bas du cou) en laissant celui-ci à découvert par devant et sans qu'aucun de ses bouts paraisse. Voy. aux fol. 32, 32 v., 36, 38, 38’v., 40, 40 v., 60, 98, 112, 143, 180, 186, 209 v.

Au fol. 209 r. on le voit par derrière sur la tête de la reine de Saba voyageant.

D’autres fois il ne passe pas devant le cou, et les bouts en paraissent

1. On lit auprès: Pompa peplo, auro et gemmis nudatu fugit.

2. L'exemple de l'avarice, les cheveux paraissent, vient'confrmer mon opinion; les cheveux ne se montrent que parce que l’avarice a été trop avare pour acheter un voile suffisant.

retomber sur le dos comme aux fol. 40, 98. Ailleurs un des bouts tombe en avant, comme chez la Dialectique personnifiée au fol. 32 et chez la femme du mauvais riche au fol. 123.

Au fol. 112 et au fol. 209 le voile a un nœud l’on voit pendre l'un des bouts.

Enfin aux fol. 123 v., 143, 215 v., 221, 221 v., 253 v. et 258 le voile est disposé avec plus d’art sur la tête, et ses deux bouts relevés et passés sous la bande qui serre la tête forment comme de longues oreilles de chien pendantes. On les distingue le mieux au fol. 221 v. chez une sirène.

Une manière inusitée et probablement exagérée de porter ce voile se voit chez la superbia personnifiée au fol. 199 v. Il y est disposé en une sorte de haut turban, et l’un de ses bouts flotte au vent. En revanche au fol. 202 v. et 203 le voile de l’avarice personnifiée est tellement exigu qu'il ne peut couvrir ses cheveux. On dirait d’après ces deux derniers exemples que le grand luxe consistait à avoir beaucoup d’aunes d’etoffes dans ce voile.

Sous la premiere espêce de ces voiles, qui, bien examinée, pourrait bien ne pas toujours consister dans cette large bande dont il a été queslion au commencement de cet article, on voit assez souvent la coiffure dont il a été parlé plus haut au chapitre du costume antique, ce qui me fait croire que cette coiffure de dessous était une actualité. Voy. fol. 32, 36, 38 v., 40 v., 186.

Au fol. 261 v. La femme de l’Apocalypse porte un voile blanc qui n'est pas formé d’une bande, mais qui paraît un morceau de toile carré, jeté sur la tête et retombant sur les épaules. Sur ce voile est placée la couronne aux 12 étoiles, et en dessous on aperçoit la coif- fure dont il a été déjà plusieurs fois question.

Cheveux longs.

Assez souvent les femmes n'ont pas de coiffure du tout, et leurs longs cheveux tombent sur leurs épaules et leur dos jusqu'à mi-corps. Il est difficile d'après les personnes qui ont les cheveux découverts, de décider que c'est la coiffure des femmes non mariées’, mais à coup sûr ce n'est pas dans ces miniatures un signe de virginité”. Cepen-

1. Au fol. 60 v. Esther a un voile sur la têle et les cheveux ne paraissent pas du tout.

2. Au fol. 201 v. la Luxure personnifiée, et au fol. 258 la Prostituée de Babylone, portent les cheveux longs. L’amie du fornicator au fol. 238 porte aussi les cheveux longs descendant jusqu'à mi-corps.

48

dant les jeunes filles portant presque toujours les cheveux longs, sur- tout quand le mot filies est écrit auprès d'elles, comme aux fol. 209 v. et 225 et que l'Église vierge aux fol. 150, 199 et 225 les a égale- ment, „il est probable que les cheveux longs ont été portés par les femmes non mariées. Les femmes qui faisaient folie de leur corps devaient être, en grande partie du moins, non mariées.

Voici les fol. l’on voit les femmes à longs cheveux, et je désire qu'on puisse établir à ce sujet une meilleure critique que la mienne.

Au fol. 32, parmi les personnifications des arts libéraux, 4 portent les cheveux longs.

Au fol. 40. Une des femmes qui mènent le chœur devant le veau d’or.

Au fol 60 la servante de Judith.

Au fol. 60 v. la suivante d’Esther.

Au foL 98 l’une des mères du massacre des Innocents; elle s’arrache ses longs cheveux; ici le motif explique la nudité de ces cheveux.

Au fol. 119 v. la jeune mariée.

Au fol. 126 la Samaritaine.

Au fol. 141 la servante à laquelle parle s. Pierre n’a pas les che- veux longs, mais elle a la tête découverte. Ses cheveux descendent en boucles jusque sur les épaules.

Au fol. 199. L'Église vierge.

Au fol. 201 v. La luxure personnifiee.

Au fol. 209 v. Les filles de Jérusalem.

Au fol. 215 v. La personnification de la charité.

Au fol. 225. L'Église vierge et les filles de Jerusalem.

Au fol. 238. La Juvencula qui se laisse caresser par le fornicalor. Les cheveux de celle-ci sont entourés dans leur longueur par une étoffe blanche et divisés en deux queues. Les portait-on ainsi en public, ou cette étoffe servait-elle à les rendre ondoyants?

Au fol. 253 v. Une infidèle qui vient pour se faire condamner au jugement dernier et enfin

Au fol. 258. La Prostituée de Babylone.

Robes de dessous.

Sous les longues manches des robes de dessus on voit toujours paraître d’autres manches étroites, garnies ou non, de parements ornés et au coin de l’encolure des mêmes robes de dessus on aperçoit une partie d’un autre vêtement intérieur; ces manches étroites et celte partie de vêtement faisaient partie d’une autre robe portée en dessous

50

ces ornements et des bordures d’or aux lisières, comme chez la per- sonnification de la luxure au fol. 201 v.; ce sont les seuls exemples.

Ces manches qui devaient être fort incommodes pouvaient cependant servir à quelque chose dans certaines occasions; au fol. 60 Judith porte dans une de ses manches la tête d’Holopherne qu’elle vient de couper, et au fol. 215 v. l’amica clerici a passé une des siennes sur sa main et l’agite en guise de drapeau pour faire signe à son amant qui tombe de l’échelle des vertus.

N y a quelques modifications dans ces longues manches, mais elles rentrent dans le chapitre de la dernière mode.

Pour l'ordinaire les robes à longues manches sont seules le vête- ment extérieur du corps; néanmoins il arrive qu'un manteau est jele par-dessus.

Manteaux.

Il s'agit ici de manteaux véritables et non de voiles, car jamais ils ne sont passés sur la tête et ils différent des chlamydes en ce qu'ils n'ont pas d’agraffe. Ces manteaux n'ont aucune couleur qui leur soit propre, et il y en a des verts, des rouges et des variés. Quelquefois ils sont doublés ou fourrés de vair. Longs et trainants chez les personnes qui ont des robes traînantes, sans pourtant qu'ils soient aussi longs que les queues de ces robes, ils sont courts et plus courts que les robes sans queue, chez les femmes qui en sont revêtues. Je ne suis pas tailleur et ne puis deviner leur coupe, mais ce que j'ai pu dé- couvrir, c’est qu'ils ne sont pas reserrés près du cou, à l'exception pourtant de celui qui n'est porté par personne et qui est derrière la femme laïque qui tombe de l'échelle des vertus. Ge manteau est doublé de vair et a un collet formé par une autre fourrure à poils plus longs; auprès de lui on lit: preciose vestes. Au fol. 215 v. Au manteau de la femme du mauvais riche, au fol. 193, il paraît y avoir un capuchon. Ce manteau est porté de plusieurs manières : aux fol. 60 v., 123, 143, 209 v., 225 il couvre presque tout le corps et laisse à peine apercevoir la main qui en sort; aux fol. 119, 209 v. et 225 il est placé sur l'épaule gauche et retenu de l’autre côté sous l’aisselle droite par la main gauche; aux fol. 499 et au même fol. 209 v. il est jeté sur les deux épaules et ouvert par devant; au fol. 201 v. il est jeté sur l'épaule gauche de la Luxure personnifiée qui porte la main - au cordon qui le retient au cou; il semble avoir été passé par-dessus la tête.

59

hanches et s'étendent jusqu'aux bouts des manches. Peut-être les manches n'étaient ainsi lacées que chez les merveilleuses du premier ordre, car nulle part on ne voit ainsi lacés les bouts des manches étroites qui paraissent sous les longues manches des robes modernes, même de celles à la dernière mode. J'ignore pourquoi une queue est placée à cette robe de dessous; peut-être n’y est-elle que pour indi- quer la coquetterie de la femme qui la porte et qui est si cruelle- ment punie par elle a principalement péché, c’est-à-dire par les lacets. Le livre ne présente pas d'autre exemple de robe de dessous à queue.

Nota. Dans la femme en question ces ouvertures rosées qui s’apercoivent des deux côtés depuis la hanche jusqu’à l'extrémité des bras, au poignet, me paraissent être ce qu’on appelle des crevés, mode qui reparait chez nous de temps à autre. Cependant il est évident que chez cette femme la taille est serrée par la robe, comme si elle portait effectivement un corset ou comme si la robe était lacée; ce qui semble ici le cas. Au surplus la question des corsets ne semble pas devoir être mise en doute. Les hanches très saillantes d'un cer- tain nombre de femmes représentées en robes longues dans le manus- crit indiquent que la robe était coupée de manière à serrer tout le buste, et l’on sait qu'il est nécessaire d'avoir un corset ou que la robe fasse elle-même corset, afin qu’elle se maintienne dans cette appa- rence. Voy. fol. 32. Les sept figures de la grammaire, de la rhéto- rique, de la dialectique, etc. Voir aussi une femme juive fol. 38 v., deux autres juives fol. 40 v., peut-être Judith fol. 60. La religieuse et la femme laïque fol. 215 v. Les syrènes fol. 221, etc., etc.

Robes de dessus à longues manches lacées sur les côtés du corps.

Parmi les nouveautés de l’époque je compte les robes lacées sur les côtés pour serrer la taille; elles ne sont qu'en très petit nombre; outre la femme du fol. 255, de la robe de dessous de laquelle il vient d’être parlé, il n’y a que (au fol. 199 v.) la personnification de la Superbia et au folio 238 la juvencula qui embrasse le fornicator qui aient les robes de dessus ainsi faites. La Superbia montée à cheval porte une robe de pourpre clair dont la queue flotte au vent, et entre les ouvertures que laissent les lacets on aperçoit une étoffe rayée de vert et de blanc. Les ouvertures laissées par les lacets chez la juven- cula ne font pas voir d'autre couleur que la blanche, qui est celle de sa robe. Chez l’une et chez l’autre, surtout chez la dernière, on voit

les petits plis horizontaux au corset que nous avons déjà remarqués à la robe de dessous de la damnée. Sans les plis de la Superbia j'aurais pris ceux de la juvencula et de la damnée pour des points de piqué.

N nous reste à dire un mot sur les longues manches de la Superbia qui diffèrent de la plupart de celles à la mode ordinaire en ce qu'elles ne commencent à s’elargir et à s’allonger que près des poignets. La juvencula a des manches longues ordinaires, mais il y a quelques autres femmes qui n'ont pas leur robe lacée sur les côtés dont les manches s’elargissent et tombent tout d'un coup près des poignets; voy. au fol. 32 les arts libéraux personnifiés et au fol. 292 v. la per- sonnification de la volupté.

Nota. Voir mon observation à l’article précédent. On ne peut mettre en doute que la Superbia ne porte de véritables crevés d’une etoffe blanche et verte, accompagnant la robe rose, couleurs qui s’har- monisent parfaitement. La juvencula du fol. 238 offre le même dessin de crevés, mais ici ils sont restés blancs, soit à dessein, soit par oubli du peintre.

Malgré ce qui vient d'être dit, peut-être faut-il regarder ce que j'appelle des crevés comme de simples ouvertures laissées par les intervalles des lacets.

Coiffure.

Le voile jaune si haut élevé en forme de turban et dont un bout flotte au vent que l’on remarque dans la figure de la Superbia au fol. 199 v. est probablement une exagération, comme nous l'avons déjà dit, mais sa chaussure, ces

Poulaines

qui ont une si longue pointe méritent d'être prises en considération; leur couleur est brune à raies grises transversales et à points blancs qui les partagent par le milieu.

Et cette espèce de Châle

ou petit manteau gris qui l'enveloppe et qui se tient on ne sait com- ment, est aussi une chose insolite. «

Les cheveux de la juvencula du fol. 238 ont déjà été mentionnés au feuillet 15 de ce petit aperçu (article cheveux longs).

54 Religieuses.

Voy. fol. 176 v., 215 v., 253 v., 322 v. et 323. Dans les habits des religieuses il y a bien de l’uniformité quant aux divers vêtements dont il est composé, et quant à la coupe de ces vêtements; mais il n’y a pas d’uniformite dans leur couleur. La seule partie de l'habille- ment qui ait partout la même couleur, c'est le petit couvre-chef (guimpe?) qui est blanc chez toutes les religieuses. Ce petit couvre- chef manque à la Vierge Marie au fol. 176 v., elle est habillée en religieuse. Chez la Vierge Marie ce couvre-chef est de la couleur pourpre du manteau, ce qui fait supposer que cette partie du vête- ment a été oubliée ou coloriée en pourpre mal à propos. Du reste, les couleurs ne sont nulle part tranchantes, et celle qui a le plus d'éclat, c’est le cramoisi.

Le voile consiste en une pièce d’etoffe plus longue que large, placée transversalement sur la tête, par-dessus la guimpe (?) et dont les deux bouts tombent sur le devant des épaules.

L’habit descend fort bas, mais il n’a de queue que chez les fausses abbesses et religieuses du fol. 253 v. qui vont au jugement dernier pour y être condamnées; les mêmes fausses abbesses et religieuses ont aussi des manches assez longues, tandis qu’à l'ordinaire ces manches, bien que pendantes, sont d’une longueur médiocre. A en juger d'après la religieuse qui tombe de l'échelle des vertus, l’habit dessinait la taille comme chez les femmes laïques qui ne suivaient pas la dernière mode.

Le manteau a aussi la même coupe que celui dont nous avons parlé en nous occupant du costume des femmes (voy. l’article manteau au chapitre de la mode moderne sans élre récente), et il est placé, tombe et est tenu de la même manière.

S'Ü n’y a rien de fixe dans les couleurs des différentes parties qui composent l’habit des religieuses, il existe pourtant de l’uniformite dans celui des abbesses de Hohenbourg; s. Odile, Relinde et Herrad portent toutes un voile cramoisi, une tunique ou robe pourpre foncée et un manteau d'un gris jaune tirant un peu sur le pourpre au fol. 322 v., 323.

56

im Nekrolog selbst verzeichnet sind, fol. 76 v die Bischôfe von Basel und Strassburg, dann die Saeculares von K. Philipp 1206 an im Ganzen 15 Könige und Kaiser, auch Ludwig XIII. und XIV. Fol. 79 r beginnt der 2. Teil, das Kopialbuch, vidimierte Kopien der hauptsächlichsten päpstlichen (15) und kaiserl. Privilegien und anderen Urkunden, die letzte vom J. 1730 ist unterschrieben fr. Condu /?/ alors prieur de ladite abbaye de Pairis.

Verfasser und zum grössten Teil auch Schreiber des Bandes ist, wie die Initialen F. B. angeben, der Abt Bernhardin Buchinger aus Kienzheim, O.-E., über den Ingold jüngst eine auf Archivalien und Tagebuchaufzeichnungen beruhende Biographie in der Revue cathol. d'Alsace veröffentlicht hat‘. Dem überaus tatkräftigen und klugen Manne geb. 22. Jan. 1606, 22. Juli 1642 Abt von Maulbronn und Pairis, 4654 von Lützel, + 6. Jan. 1673 verdankt das Kloster seine Wieder- herstellung. Pairis war nämlich dem Untergange sehr nahe gewesen. In einem einsamen Tale hinter Kaysersberg unweit des bekannten schwarzen Sees im J. 1138 von dem Grafen Ulrich v. Egisheim gegründet und von Lützel bevölkert, war die Abtei nach langer Blüte infolge Zerstörung durch die Armagnaken und schlechter Verwaltung mehrerer adeligen Äbte zu einem Priorat der würtemberg. Abtei Maul- bronn herabgesunken 1452. Durch die Religionswirren und die folgenden Kriege entstand ein steter unheilvoller Wechsel des Bestandes. Am 28. Sept. 1537 fiel Maulbronn in protestantische Hände, der Konvent und Abteititel kam nach Pairis, 1548—57 wieder nach Maulbronn, 1557—1630 wieder zurück, 1630—48 wiederum nach Maulbronn, und während dieser steten Wanderungen litt das einsame Talkloster unter den Verwüstungen des Schwedenkrieges, ja wurde selbst dem schwedischen General Wetzel von Marsilien geschenkt, der die Einkünfte verzehrte und nur drei Mönchen kaum den notdürftigsten Unterhalt gewährte. B. gelang es nun unter ungeheuren Schwierigkeiten, von K. Ludwig XIIL das Kloster zurück zu erhalten. 1649 zog er mit dem treugebliebenen Konvent von Maulbronn in Pairis ein und begann sofort das Werk der Wiederherstellung in allen Teilen. Das erste war die Herstellung des Nekrologs und der Rechtstitel des Hauses im Kopialbuch. Das alte Totenregister in Verbindung mit der Regel war verloren; er suchte ein neues aus den alten Urkunden und den zahlreichen Grabsteinen

t. Auch separ. Colmar, Hüffel 1901. 12°, 120 S. m. Portr.; Suppl. in Rev. cath. 1901 fevr., S. 120—124.

A

und Denkmälern in Kirche und Kreuzgang anzulegen. Sein Vorwort vom 2. August 1650 gibt hierüber Auskunft (fol. 1):

Fr. Bernardinus / Dei gralia humilis | Abbas / S. Mariae de Mulbrun et Paris, Ord. Cist. Congregat. S. Bernardi superioris Germaniae etc. Venerabilibus fratribus et dilectis filiis nostris Parisiensibus presentibus et futuris salutem in Domino et subscriplorum notiliam. Quoniam Parisiense nostrum Monasterium instinclu divino multorum diverso- rumque Christi fidelium eleemosynis et piis largitionibus fundatum et dotatum esse constat, omni aequitali el iustiliae consentaneum est, ul quorum beneficiis fruimur et peccala comedimus, iugem in oralionibus nostris el missarum celebrationibus relineamus memoriam üsque debilae servilulis exsolvamus officia, sicque nostra coram summo Judice con- scienlias exonoremus. Hinc est, quod nos mullo et diuturno labore lolum Archivium nostrum Parisiense, omnes lilleras el documenta ilerum iterumgque revolverimus alque alias quaslibel anliquilales el velera monumenta accurale perscrulali sumus, ut eorum quae post lot Paris. Monasterii conflagrationes et clades bellicas remansissent Benefactorum el devotorum amicorum nostrorum nomina el memorias indagaremus el conquireremus. Ea vero quae comperimus el collegimus, presentibus tabulis annotavimus alque unam alleramve [alteramve) regulam appo- suimus, tuxla quas pro possibililale nostra el moderni slalus lempore, salvo semper superiorum meliore iudicio, ralionabiliter et conslilutio- nibus Ordinis conformiter ullimis testantium volunlalibus salisfieri possil ac debeal; omnes ac singulos vos nostros dilectissimos in Christo filios, in Domino obsecrantes et serio commonentes, ul quorum memorias presentibus Tabulis particulariter annotalas pio amore complectimini vel quorum Chrisli fidelium nomina hic omissa bealae predestinalionis liber in coelis adscripta retinet, eos omni tempore in oralionibus vestris commendalos suscipialis. Valete. In Paris. Monaslerio die 2. Augusti. Anno Domini Millesimo Sexcentesimo quinquagesimo.

fr. Bernardinus Abbas Mria /manu propria).

Wenn wir also auch kein altes, gleichzeitiges Totenbuch besitzen, so ist B.s Arbeit nicht weniger verdienstlich. Sie ist vollständig zuver- lässig wie aus verschiedenen Stichproben hervorgeht. Zwar könnte die Bezeichnung einer Handschr. aus Pairis auf der Colmar. Stadtbibliothek leicht irre führen. Der dem 15. Jh. entstammende Sammelband Nr. 300 (123 BI. fol.) trägt nämlich die Aufschrift: Collectarium cum Kalendario

et obituario abbatum Parisiensium. Das Obituar beschränkt sich indess auf kaum ein Dutzend Einträge des Todes der ältesten Äbte in den Kalender ohne Datierung. ;Wir geben sie hier, den ersten Eintrag mit den Abkürzungen des Originals:

(Fol. 3 v) VII id. Mart. Dns Heinric. seplim. Abbas in Paris.

IX kal. April (24. März) Obiit d. Nicolaus duodecimus Abbas in P.

5 non. Maii (3. Mai) O. d. Hezelo quartus Abbas in P.

18 kal. Jul. (14. Juni) O. d. Degenhardus primus huius monaslerii Abbas.

4 kal. Jul. (28. Juni) O. d. Bertholdus undecimus etc.

11 kal. Aug. (22. Juli) O. d. Wezelo tertius etc.

4 kal. Aug. (29. Juli) O. d. Johannes oclavus etc.

4 non. Aug. (2. Aug.) O. d. Johannes nonus etc.

10 kal. Sept. (23. Aug.) O. d. Martinus secundus huius monast. Abbas.

4 kal. Sept. (29. Aug.) O. d. Arnoldus quintus etc.

5 non. (! = 1. Sept.) O. d. Johannes sextus etc.

5 kal. Nov. (28. Okt.) O. d. Ulricus decimus etc.

Der Tag der Einträge deckt sich mit dem des Nekrologs.

Die zahlreichen! Grabschrifien und Denkmäler des alten Pairis sind alle spurlos verschwunden. Noch Hugo sah sie um 1730. Vielleicht wurden sie schon kurz darauf weggenommen, als Abt Jak. Triboulet (1726—36) die Abteigebäude, sein Nachfolger Matth. Tribout (1736—59) die erst 1760 konsekrierte Kirche aufführen liess. Dieser Neubau wurde nach Zerstreuung des Konvents und des Mobiliars zum zweiten Male 1804 verkauft und kurz darauf niedergerissen. Was heute noch übrig ist, beschränkt sich auf etliche Skulpturreste, die Hauptpforte und ein langes zweistöckiges, im Erdgeschoss gewölbtes Gebäude, das einst Wirtschafts- und Wohnraum für die Dienstboten war, jetzt zum Ge- meindespital eingerichtet ist. In letzter Zeit wird der stille, aber land- schaftlich schöne Erdfleck als Luftkurort besucht. Im Jahr 1888 wurde in der Nähe der Stallungen eine Grabgruft aufgedeckt neben der nördlichen Langhausmauer der ehemaligen Kirche. Mehrere Stufen führen zu ihr hinab, von dem einstigen Tonnengewölb in Sandstein sind noch die Ansätze vorhanden. Rechts in der Wand sind zwölf Öffnungen zur Aufnahme der Gebeine in zwei Reihen zu je 16 loculi, von denen nur das letzte der oberen Reihe noch unbesetzt ist. Aber auch die andern sind

1. H sagt hierüber: Vix aliquod cenobium invenias, quod magis splendeat Magnatum sepulturis. Totius claustri ambitus tumulis inspersus visitur et epitaphiis.

profaniert und enthalten nur mehr etliche Knochenreste. Auf den Schlusssteinen sind die Anfangsbuchstaben, bei dreien der volle Name der Beigesetzten nebst Jahrzahl. Aus all dem geht hervor, dass diese Gruft nur für die Würdenträger des Klosters, Äbte und Prioren, be- stimmt war. Eine Wiederherstellung dieses ehrwürdigen Ortes wäre sehr zu wünschen. Die Inschriften ergeben von links unten ange- fangen: 1) D. Jacob Wichoffer 1752, 2) D. Franciscus / An, 1755, 3) D. Tribout Abbas 1759, 4) 1765, 5) 1767, 6) 177.., 7) D. I. R. 1784, 8) D. 1. 6. 1785, 9) G. H. 1786, 10) 1. W. 1787, 11) D. Bours (te) abbé 1788,

Was nun die Edition betrifft, war die Aufgabe einem modernen Schrift- stück gegenüber leicht. B. oder sein Sekretär ist äusserst inkonsequent in seiner Schreibweise, ich habe sie deshalb unbeachtet gelassen. Etliche, aber nur ganz wenige Einträge, sind von jüngerer Hand, sie stehen hier in Klammern. Auch von der Notierung der Sonntagsbuchstaben und der latein. Tageszählung ist abgesehen, sie wäre zwecklos. Die Angabe der liturg. Feste ist, da ja der Cisterzienser Kalender bekannt, auf das Aussergewöhnliche und direct auf Pairis Bezügliche beschränkt worden. Glücklicherweise hat sich B. nicht mit trockenen Angaben der betref- fenden Tagesheiligen begnügt, sondern durchweg auch die speziellen Beziehungen seiner Abtei und der zugehörigen Kirchen und Kapellen zu denselben angemerkt. So erhalten wir mancherlei sonst unbekannte Nachrichten, welche für die elsässische Kirchengeschichte nicht ohne Wert sind. Bezüglich eines Punktes war ich lange im Zweifel, was nämlich das oft wiederkehrende + nach der Angabe eines Festes zu bedeuten hätte. Es bezeichnet aber wohl die Tage, an welchen die Konversen nicht zur Arbeit gingen. Auf eine Wiedergabe oder auch nur Inhaltsangabe des Il. Teiles der Handschrift, wie manche sie erwarten, muss hier verzichtet werden, obgleich ich seit Jahren ein Reperlorium der Pairiser Urkunden angelegt habe. Es ıst dies Aufgabe eines eigenen Urkundenbuches.

Benutzt und excerpiert wurde unser Nekrolog oftmals, besonders für die elsässische Adelsgeschichte (vgl. Kindler v. Knobloch, der alte Adel im Ober-Elsass, Albrecht’s Rappoltstein. Urkundenbuch), auch war es von dem verstorbenen Pfarrer Uhrin von Schirmeck abge- schrieben worden. Seine Kopie hätte mir vielleicht die Veröffentlichung bedeutend erleichtert, allein die gegenwärtige Besitzerin knüpfte an die Überlassung unverschwingliche Bedingungen (das Gleiche gilt von seinen zahlreichen Auszügen und Abschriften von Pairiser Urkunden,

60

die ich aber nicht eingesehen habe). Handschriftliche Auszüge, umfassend die Notiz über die Fundalio, die Series abbatum et priorum und nur Weniges aus dem Necrol. selbst (fol. 18—27 v), besitzt die Stadtbibliothek in Colmar aus der Biblioth. Chauffour Nr. 99 rappoltst. Urk. Abschn. II? (vgl. Waltz, Catal. Chauff. 153). Sie wurden von Rath- geber in der Revue d’Alsace 1874, S. 109—16 und in seinem Buche: Die Herrsch. Rappoltstein S. 48—62 veröffentlicht. Noch ein Wort über die Anmerkungen. Dieselben sind auf das äusserste Mass be- schränkt und sollen die Benutzung des Totenbuches erleichtern. Hugo bat in seinem seltenen! Il. Bde. der Monumenta sacrae anlıqulalis, S. 278—82 eine Reihe von Grabschriften aus Pairis gegeben (von Kraus, Kunst u. Altertum in Els.-Lothr., Il, 505—9 wiederholt), die er direkt von den Grabsteinen abgelesen hat. Sie stimmen oft wörtlich mit B’s Text, zeigen aber dass B viel besser gelesen als H, der über- dies noch viele Druckfehler hat. Ich bezeichne diese Angaben mit H. An Abkürzungen habe ich gebraucht: D. vor den N. Dominus oder Domina, E. D. = eodem die, B. n. = Benefactur noster. Die übrigen bieten der Ergänzung keine Schwierigkeit.

In den Literatur-Angaben bedeutet: mein Wb. = histor.-topograph. Wörterbuch des Elsass.

Knobl.! = Kindler v. Knobloch, Der alte Adel im Ob.-Elsass. Knobl® = ders., Das goldene Buch von Strassburg.

Knobl? = ders., Oberbadisches Geschlechterbuch.

RU = Albrecht, Rappoltstein. Urkundenbch.

SU = Strassburger Urkundenbuch.

Tr Trouillat, Monuments de l’Ev&che de Bâle.

W Würdtwein, nova subsidia diplomatica.

{. Er bleibt noch selten, wenn auch Ingold ein Exempl. der Colm. Stadtbibliothek erwähnt u. ich ein 3. Ex. in Schlettstadt gefunden habe, denn bisher war nach Eberts Bücherlexikon u. Brunets Manuel III‘ 367 seine Existenz den deutschen u. franzö- sischen Forschern unbekannt.

Fol. 16 r,

8.

9.

15. 16.

19.

69

Obiit venerabilis P. Joannes Bauman ex Ensisheim, monachus et sacerdos Lucellensis, quondam prior in Paris. [1625].

Mem. fratris Fritschemanni de Hattstatt*, ex Münster monachi nostri [1339].

Obiit Gregorius X papa, benef. nostri. [1276].

. Commemoratio Episcoporum et Abbatum Ord. nostri. transfertur in 16 huius velti

dominica fuerit, in 19. Mem. fratris Cunzonis monachi nostri. [1315]. Obiit Maximilianus I Romanorum imperator. [1519].

. Obiit Wiggramus armiger de Sulzbach’, sepultus in claustro. [1343]

Mem. fratris Joannis de Celle“. [1313]. Mem. Conradi Küefer de Amerswilre‘*, Elisabeth uxoris ac proge- nitorum suorum. [1323]. Mem. nobilis viri D. Anselmi de Rapoltstein‘. [1283]. Mem. fratris Hennemanni de Werde‘, monachi nostri. [1345]. Anthonii abbatis, XII lect. MM in monasterio Paris. Com. ss. Speusippi etc. S. Anto- nius patronus ecclesiae nostrae in curia Widen extra muros Colmarienses. Item compatronus (fol. 15 v) ecclesise s. Germani in sylva nostra Widensol

Mem. Rev. D. Wernerii'* abbatis in Paris. R. L P. A. Obiit D. Bertholdus de Horburg“, praepositus Luterbacensis, cano- nicus Argentin. et Colmar., sepultus in claustro. [1296].

E. D. Mem. fratris Petri monachi nostri. [1252]. Mem. D. Bertrammi de Schlettstat, B. n.

. Fabiani et Sebastiani mart. XII lect. MM. in valle Urbeis et in Paris. t

Mem. fratris Lutoldi, monachi nostri. [1252].

. Mem. Mezae Villingerin et Agnetis filiae de Columbaria. [1319]. . Mem. Gredae Kilchtorin de Morswilre‘ et progenilorum suorum.

[1359].

8. K. Sulz O.-E., Dynastengeschl. 1184—1585 bezw. 1643. Vgl. mein Wb. 8. 447. 9. H.— K. Münster; Adel in verschied. Geschl. seit 1185 (Knobl.' 92).

10. Df. Zell—La Baroche, K. Schnierlach. Ist die erste urkdl. Erwähnung des Ortes. il. Ammerschweier, K. Kaysersberg. 12. Anselm I, der 1219—36 bezeugt ist. Sein Todestag ist Albrecht (R. U. I, 706,

vgl.

122 f.) entgangen.

13. Wol aus dem Rittergeschl. Werd, das aus den Grafen v. W. hervorgegangen.

14. Abt 1187.

15. H. dasselbe, doch nach Argentin. noch Basileensis. 1284 can. basil. et prepos. Lautenbac. u. (Nov. 22) Rektor von Rappoltsweiler (Urk., Ztschr. Oberrh. ' IV. 360).

Die

Grafen v. Horburg, Df. bei Colmar, seit 1125, ausgest. 1386, s. Knobl.' 40.

16. Niedermorschweier, K. Türkheim.

Fol. 18 r.

Fol. 18 v.

Fol. 19 r.

Fol. 19 v.

an

|

11.

64

Februarius habet dies XXVIIL

. Anniversarium D. Dietrici militis de Blienswilre” hoc die defuncti

et in claustro sepulti, Mezae uxoris, Annae filiae. Comm. 1290. E. D. Mem. Nicolai Küefer civis in Amerswilre et Annae Hagen- thalin uxoris, magnorum benefactorum. 1406.

. Mem. fratris Bertholdi dicti zum Thore*‘ de Basilea, monachi nostrz

1359.

Mem. fratris Joannis Fabri, monachi nostri. 1360.

Mem. D. Ittae relictae Hugonis militis de Richenstein, Colmariensis et progenitorum suorum. 1319.

E. D. obiit venerab. D. Joannes Entefues* ex Under Owisheim, quondam abbas in Mulbrunn et Paris, sepultus in claustro Mul- brun. R. I. P. A. 152.

Mem. sororis Melchtildis Scheurerin. 1295.

. Mem. fratris Conradi de Münster, monachi nostri 1282.

E. D. Mem. fratris Joannis Knobloch, conversi nostri. 1337.

E. D. obiit venerab. P. Jacobus Wyd, ex Brettheim*, professus Mulbrun., prior in Paris ibique sepultus in ecclesia conversorum.

1514.

. Mem. reverendi D. Conradi*& abbatis in Paris. R. I. P. A. . Obütt f. Benedictus lleüslin ex Ruederbach, monachus et sacerdos

Lucell., quondam conventualis in Paris. 1643.

. Mem. venerab. P. Nicolai de Strasburg, prioris nostri. 1302.

E. D. fratris Joannis Schreüberlin ex Brettheim, professi Mul- brun, provisoris in grangia nostra Buchs. 1502.

. Obiit D. Hugo miles de Richenstein, sepult. in claustro. 1303. [H.]

Mem. dicti Coria de Urbach, civis in Keisersberg. 1407. E. D. fratris Joannis Môringer, monachi et procuratoris nostri. 1417.

23. H. Zerst. Df. bei Colmar, s. mein Wb. 146.

24. De Porta, oberels. Adelsfamilie 1265—1376 (Knobl.! 94).

25. Joh. 1IL Entenfuss von Unteröwisheim, Df. bei Maulbronn. Die Abtsliste sagt von ibm: Litem cum Colmariensibus transegit propter Weiden 1517, deinde utramque abbatiam resignavil 1517. Starb A. Febr. 1525 u. im dort. Kreuzgang begraben; die Platte noch erh. mit der Inschr. Er baute das Herrenhaus u. das Winterrefektorium in M. (s. Paulus, Maulbr. 77 ff., 89 mit Abb.)

26. Bretten i. Bad., die bek. Heimat Melanchthons; H hat Weydt.

26°. Abt c. 1234.

65

42. Mem. D. Adelheidis de Berckheim, uxoris Henrici Loselini. 1256.

43. Mem. Domicellae Adelheidis, filiae D. Jacobi Saltzmüter, civis in Colmar, magnae benefactricis nostrae. |

14. Mem. fratris Lucae Humel Vaingensis, professi in Mulbrunn et sup-

prioris in Paris. 1537.

Mem. Mechtildis dict Voglerin. 1314.

E. D. Anuiversarium D. Petri militis de Keisersberg et Husae uxoris dictae Sündlerin, civium Argentinensium, magnorum bene- factorum, et progenitorum suorum. Comm. et Missa. 1353.

16. Mem. fratris Joannis Spiegelin, monachi et infirmarii nostri. 1325.

17. Anniversarium nobilis viri D. Joannis iunioris de Rappoltstein, et D. Elisabeth de Gerolzeck hodie defunctae et in presbyterio sepultae, et aliorum de Hohnac et Rappoltstein”. Comm. et missa. 1341.

18. Mem. Elisabeth Kilchtorin de Morswilre. 1352.

19. Mem. fratris Henrici Beüttener, monachi nostri. 1347.

20. Mem. Theobaldi Los et Margarethae Simlerin uxoris, civium in Colmar. 1496.

21. Mem. illustris viri D. Theobaldi ducis et marchionis de Lotha- ringia, comitis de Tagesburg, advocati nostri. 1218.

22. Mem. fratris Petri Zeis, monachi et procuratoris nostri. 1428.

23. Mem. fratris Henrici Meziger de Ensisheim, monachi nostri. 1383.

24. Obiit D. Petrus plebanus in Minrewilre” et decanus ultra Ottens- bühel, sepult. in claustro. 1351.

15

27. Joh. v. R., Herr in der Oberstadt f 1362 vor 25. Mai u. begraben in der St. Kathar. Kap. zu Rappoltsw. (RU I. 569). Er gibt als Seelgerät 1332 (vgl. den Gegen- brief des Abtes Ludwig, RU I. Nr. 440) ein Stück Reben in Rapp., davon erhalten die Brüder eine Weinpitanz an den Festtagen «Hochziten so man ze capitel brediget vnd die arbeit an gotes dienste aller gros ist» u. eine Fisch- oder sonst. Pitanz. Eli- sabeth, Tochter Gangolfs von Hohgeroldseck, des Vor. 1. Gemalin; seine 2. war einc Tochter Hugos v. Grossgeroldseck im Els. H hat über Elisab. Grab: In sanctuario ad latus evangelii eminet statua muliebris effusa super lapidem, ad cujus lumbos legitur: Anno D. 1441(N) 13. kal. Marti. obiit Domina E. de G., uxor D. Joannis de Rapolstein. Vgl. ausführl. RU I. 388, wo aus Briefen des Priors Jak. Wyd zu entnehmen ist, dass der Grabst. unter einem Bogen (also in der Wandnische) auf 4 Säulen ruhte, an den vorderen die W. von Rappoltst. u. Geroldseck, die Gestalt mit gefalteten Händen auf 2 Hunden ruhend. Kopie davon im BAC (E. 1038 Var. Rapp. fol. 29) mit Umschr. : + Ano. Dni | M°. CCC. XLI. X III. Kl. Mar. @. Dna | Elisabet: D. Gherolzekke : Vzor Dni : | Joh'is : D': Rapoltstein. + Abb. des Steines (mit fehlerh. Inschr.) nach Zeichn. in Rothmüller, Musée pittor. etc. pl. 33, daraus Wanderer III. S. 364.

28. Meiweier, zerst. Df. bei Ammerschweier. Jenseits Ottensbühl (b. Hattstatt O.-E.) war Landkapitel oder Dekanat des basl. Bistums. H hat decauus ultimus (!) anst. ultra.

B. XXII. (M.) ÿ

Fol. 21r.

Fol. 21 v.

Fol. 22 r.

Fol. 22 v.

Fol. 23 r.

25.

26. 27.

28.

8.

66

Mem. D. Guntheri militis de Gazewangen ®.

E. D. obiit reverendus D. D. Philippus episcopus Aistettensis, natus de Ratsamhausen*, quondam abbas in Paris, sepult in summa Aistettensi basilica. R. I. P. A. 1322.

Mem. D. Walteri de Sigolzheim’', B. n.

Mem. Werneri dicti Gyrr de Morswilre, uxoris ac progenitorum. 1250.

Mem. fratris Petri, conversi nostri. 1526.

Martius habet dies XXXL

. Meın. fratris Joannis Schreiber, monachi nostri. 1360.

Mem. fratris Nicolai Nies, monachi et procuratoris nostri.

. Mem. fratris Werneri de Basilea, m. n. 1271.

Mem. D. Gyselae de Ensisheim. 1308.

. Obiere DD. Jacobus et Hansemannus Gros, germani fratres, cano-

nici et decani Colmarienses, simul sepulti in capella ss. undecim mille Virginum iuxta sacellum B. Virginis®, 1419.

. Anniversarium D. Gertrudis de Egisheim, filiae Joannis militis de

Sultze dicti Buckeler, et parentum ac progenitorum suorum. Comm. Mem. magistri Werneri dicti Kurtze, sacellani altaris s. Leonardi in Colmar. 1292.

E. D. D. Catherine Symundin de Strasburg”, residentis in Colmar. 1334. Mem. reverendi D. Bertholdi de Rapoltzwilre”, abbatis in Paris. R. [ P. A.

. Obüt reverendus D. Henricus*, abbas in Paris. R. I. P. A.

29. Zerst. Df. bei Bennweier. Geschl. 1303—72 (Knobl.' 46).

30. Dr. Theol. u. Beichtvater K, Albrechts, Abt 1301—6, liess die St Antoniuskap. in Colmar bauen, Bisch. 1306 T 1322.

31. Schultheiss von Colmar 1226 Juli F vor 1233, wie hervorgeht aus des hage- nauer Schultheissen Wölfelin Bestät. der für seine Seelenruhe an P. gemachte Schenkung squarundam vinearum que pro remedio anime Walteri quondam sculteti columbarie eis collate sunt (vgl. Bull. als.? I. 28).

32. Diese Kap. links neben dem Chor. H: Hermannus. Aus einem breisacher Geschl. (Knobl.’ 476). H. ist 1381 als can. an der Universität zu Bologna immatrikuliert.

33. Aus dem uralten basl. Rittergeschl. 1169, davon eine Linie sich seit 1279 Basler, de Basilca nannte.

34. Abt c. 1279.

35. Abt seit 1307.

10. 11.

67

E. D. obiit Joannes dictus Vro Christine de Könsheim, sepult. in ecclesia conversorum. 1331.

E. D. Anniversarium Hennemanni Isner, civis in Keisersperg, et progenitorum. Comm. | Mem. fratris Petri de Egisheim, monachi nostri. 1304. Anniversarium D. Catherinae Buchlerin de Columbaria, magnae benefactricis. Comm. 1348.

E. D. Mem. sororis Ittae de Urbeis, benefactricis nostrae in Colmar.

12. Obiit Wiggramus miles de S. Gregorio, sepult. in ecclesia conver-

13

14.

15.

16.

17.

18.

sorum. [H.]

E. D. Obüt D. Othilia dicta Buckin de Sigolsheim”, sepülta in claustro.

Obiit fr. Vitus Bebenhaurer Bavarus, monachus et sacerdos Lucell., conventualis in Paris ibique sepult. infra Campanile. 1619.

E. D. Obiit fr. Melchior Weingart ex Sennheim, monachus et sacer- dos Lucell., conventualis in Paris ibique sepult. infra campanile. 1636. Anniversarium D. Gerschinae Buchin benefactricis nostrae, residentis in Colmar. Comm. 1345.

E. D. obiit D. Wiggramus scultetus in Monasterio, sepult. in ecclesia conversorum.

Obiit D. Waltherus Landose, miles, scultetus de Colmar, sepult. in claustro, magnus benefactor cum uxore Hedwige, qui curiam in Colmar et vineas in Morswilre et Cazelthal nobis contulere.

E. D. Mem. D. Gertrudis de Wilre et Catherinae nepotis, resi- dentium in Amerswilre. 1322.

Anniversarium dicti Hatsche de Tangnach* ex Valle Urbeis. Comm. E. D. Obiit Erlewinus civis in Colmar, B. n., sepult. in claustro. 1313. |

E. D. Obiit soror Gerina dicta Meyerin de Colmar, sepulta in ecclesia conversorum.

Obiit Honorius III®, papa, benefactor noster.

36. H: O. de Buctz et de Sig. 1313. Buckin wird sie auch in den Urkunden genannt. Sie lebte anscheinend auf des Kl. Hof zu Sigolsh. Wegen ihrer Hinterlassen- schaft entstand ein Streit zw. dem Kl. u. den vermutl. Erben Walther Schop v. Rap- poltsweiler u. Buck v. Zellenberg, dessen Oheim. Erst 1. Febr. 1335 ward die Sache durch ein Schiedsgericht beigelegt (RU I, Nr. 454).

37. Tannach, Wir. 1 St. von Pairis.

38. Gab eine Bulle 1224, ed. Hugo 286.

Fol. 23 v.

Fol. 24 r.

Fol. 24 v.

Fol. 25 r.

Fol. 25 v.

Fol. 26 r.

68

E. D. obiit venerab. frater Thomas Henselman Haingensis”, con- ventualis in Bebenhausen et Paris ibique prior seu vicarius, sepult. in choro medio. 1594.

E. D. Obiit fr. Casparus Freiburger ex Sennheim, monachus et sacerdos Lucell., conventualis in Paris ibique sepult. infra Campa- nile. 1618.

19. Mem. D. Juliani Cardinalis s. Laurentii in Lucina*, magni bene- factoris in curia Romana.

Obiit D. Joannes miles de Kirsperg“, sepult. in claustro cum uxore et Heinrico dicto Leimer. 1300.

E. D. Mem. D. Hugonis dicti der Unbölder de Geispoltzheim“, militis, et Agnetis de Gundoltzheim uxoris et progenitorum.

E. D. Obiit venerab. P. Wibertus Eggs, monachus et sacerdos Lucell., patria Rheinfeldensis, quondam prior in Paris”. 1644. Obiit D. Hedwigis, uxor Sigfridi dicti de Monasterio de Keisers- perg, sepulta in ecclesia conversorum. 1324.

E. D. Mem. Hennin dicti Schultheis de Morswilre, B. n. 1358. 22. Mem. fratris Joannis de Geberswilre“ monachi nostri. 1450.

23. Mem. venerab. P. Joannis prioris in Abbatia de Paris vacante et administratoris. 1451.

24. Obiit D. Hesso miles de Könsheim“ B. n., sepult. in claustro cum

bac inscriptione: Quod sumus iste fuit, erimusque quandoque, quod hic est.

E. D. Obiit reverendus D. Nicolaus abbas“ in Paris. R. I. P. A.

25. Obiit D. Guta dicta Berwertin de Reichenwilre”, sepulta in ecclesia conversorum. 1322.

20

21

39. H. Prior seit 1565.

40. Bei Eubel, Hierarch. cathol. 1198—1431 nicht verzeichnet.

41. H besser Girsberg, Burgr. im Münsterthal u. Geschl. 1185 —c. 1450, s. mein Wb. 393. H bringt dann weiter unten zum gleichen Tag u. J. die Notiz von einem Grabst. in claustro : Ob. Dns Johannes miles de Kaisesberg, was wohl Druckfehler.

42. Df. bei Strassburg. Eines der vielen dortigen Rittergeschl. gen. Duncbolder (= Polterer), erw. sonst 1262; s. mein Wb. 380.

43. Prior seit 1619.

44. Geberschweier, K. Rufach.

45. H. Kienzheim b. Kaysersberg. Das Rittergeschl. 1236—1413 erw. (Knobl.' 47). Hesso III. (sein Vater 15. Sept., seine Mutter 5. Aug., seine Gemahlin 4. Apr. sein Bruder 17. Juli) 1256 erw., 1264 kaiserl. Schultheiss, 1278—81 Ratsherr in Colmar.

46. Nicol. de Ingewilre (Stadt Ingweiler U.-E.) aus Strassburg, Abt 1390 } 24. März 1430]45. Sein Vater 13. Sept. Knobl.? kennt dieses Geschl. nicht.

47. Reichenweier, K. Kaysersberg.

26. 27.

28. 29.

30.

31.

Obiit reverendus D. Claudius Collinchair, parochus in Urbeis, qui Parisio dedit quatuor Schatz vinearum in Morsweier, sepult. in sacello B. Virginis. Missa. 1657.

Mem. fratris Trutmanni, monachi nostri. 1384.

Mem. Bertholdi Inservitoris, et Adelheidis uxoris, in claustro sepul- torum. 1300.

Mem. fratris Bertholdi de Sulze, monachi nostri. 1293.

Obiit Martinus IV“ papa, B. n. 1285.

E. D. Obüt D. Bertha de Kônsheim, mater dominae Itae de Reichenstein“ sepulta in claustro.

E. D. Mem. Heinin Öffenlin et Gredae uxoris, civium Amers- wilre. 1358.

Obit D. Elisabeth uxor D. Friderici de Sulzmatt, dicti an dem Werde, sepulta in claustro. [H].

E. D. Mem. Annae Steigerin, residentis in Colmar. 1367. Mem. fratris Henrici de Herickheim", monachi nostri. 1275.

Aprilis habet dies XXX.

Memor. reverendi D. D. Henrici de Hasenburg episcopi, et capituli Argentinensis, qui predium in Arzenheim*' nobis contulerunt. 1190.

E. D. Mem. fratris Joannis de Uffholz, monachi et maioris celle- rarii nostri, 1341.

2—8. Obiit Honorius IV. papa, B. n. 1287.

E. D. Obiit D. Gertrudis uxor Syfridi Rebman*, civis Colmariensis, sepulta in ecclesia conversorum.

E. D. Obiit fr. Martinus Haug Brisacensis, monachus, sacerdos et senior Lucell., quondam conventualis in Paris. 1628. Obüit Nicolaus IV papa. 1292.

E. D. Obiit D. Gertrudis, uxor D. Hessonis militis de Könsheim, magna benefactrix sepulta in claustro.

E. D. Obiit Mechtildis, uxor Bertholdi dicti Regis de Rubeaco, sepulta in ecclesia conversorum.

48. Bestät. 1281 die Schenkungen Ulrichs v. Rappolstein u. Hessos v. Kienzheim.

49. H. Beide in demselben Grab, vgl. 22. Sept.

50. Ober- u. Niederhergheim, K. Ensisheim.

51. Dem Domstift gehörig, das auch Heinr. v. Sulz u. Egenolf v. Urslingen, der Stammvater der II. Linie v. Rappolstein, beansprucht hatten; Urk. RU I, Nr. 41.

52. Ein Ratsherr Sigfried R. 1296—1308 in Colmar, 1298 ist er Verwalter des Armenspitals (BAC, fonds Unterlinden).

Fol. 26 v.

Fol. 27 v.

Fol. 28 r.

Fol. 28 v,

70

Mem. venerabilis P. Chonradi de Sünzheim” professi Mulbrun, quondam prioris in Paris, deinde provisoris in grangia nostra Forst, ibique sepulti. 1474. 6. Obiit D. Bertholdus dictus Rex de Rubeaco, sepult. in sacello XI mille (!) virginum iuxta sacellum B. Virginis. 1388. E. D. Mem. fratris Jacobi Sickerlin de Wattwilre, monachi et vicarii nostri in Türkeim. 1388. 7. Mem. venerabilis P. Othmari Nüfen de Friburgo, quondam prioris in Mulbrunna et Paris, vicarii in Turckem. 1537. 8. Mem. fratris Ludovici de Zabernia, monachi nostri. 9. Mem. fratris Joannis de Appenwilre“, provisoris nostri et sacellani in curia nostra in Keisersperg. 1441.

10. Mem. fratris Petermanni de Richenstein, monachi nostri.

11. Anniversarium illustris viri D. Ulrici de Rapolistein®, magni bene- factoris (qui hodie obiit) in claustro sepulti, uxoris et progeni- torum et aliorum de Rappolstein et Honac. Comm. et missa. Iste D. Ulricus dedit nobis curiam in Egisheim.

12. Anniversarium D. Wezelonis Berwart, civis in Keisersperg, qui curiam ibi cum aliquibus redditibus dedit et capellam®’ construxit et progenitorum suorum. Comm. et missa.

13. Mem. fratris Simonis Mulbrun., provisoris nostri in grangia Widen.

ni

53. Sinsheim; Prior 1453—59.

54. In der Priorenliste nennt ihn Buch. Othmar Bregenzer, 1559 Prior.

55. Bruder des bek. basler Chronisten u. Domkaplans Erhard v. A. (s. Bernonilli, Basl. Chron. IV. 376 ff.). Die adel. Familie 1214—1457 erw. (nicht bei Knobl.', s. mein Wb. 46). A. bei Neubreisach.

56. Ulrich, der grosse Woltäter des Kl., 1239—1262, f 11. Apr. 1283 (s. RU I. 122, Nr, 152). Die Inschr. seines Grabst. lautete nach einer Zeichnung des BAC in got. Majusk.: AO. DNI. || MCCLXXXIV IDVS APRILIS OBIIT || VLRICVS DNS. || DE RAPPOLT- STEIN. Im J. 1239 schenkt er einen Acker zu Sigolsh. (RU I, Nr. 73), macht den Schiedsrichter in verschied. Prozessen des Kl : 1240 wegen der Erbschaft Konr. v. Ammerschweier (ib. 74), 1241 u. 1243 (75, 77), mit der G. Urbeis 1252 (83), mit Dein- heim, wegen der dort. gemeinsamen Weiden 1255 (91), mit Heinr. Löselin, wegen der Schenkung seiner Frau Adelheit v. Bergheim 1256 (92); schenkt wiederum eine Jahres- rente von 8 Viert. Getreide aus Bebelnheimer Gütern zum Seelgerät seiner Frau 1249 (81), endlich 10. Okt. 1262 zu seinem eigenen den Egisheimer Hofu.a. mit

“der Bestimmung, an Weihnachten u. an seinem Todestag, Mittags u. Abends, jedem

Mönche unum servicium cum piscibus zu reichen (100, vgl. Urk. 1283, ib. 151). Näheres über letzt. s. mein Wb. 296.

57. Die jetz. Oberhofkap., über die nächstens an anderem Orte mehr. Vgl. auch mein Alt. Kaysersb, S. 8, Taf. 5.

_— 1

44—15. Anniversarium D. Gertrudis* filiae Enselini de Rapolzwilre magnae benefactricis, fratris, parentum et progenitorum. Comm. et missa.

46. Obiit fr. Hesso, miles de Könsheim, quondam scultetus in Colmar, novilius in Paris.

E. D. obiit reverendissimus D. D. Gerardus de Wippingen, episc. Basil. 1325.

17. (Obiit Reverendus D. D. Olivarius d’Antoville” Normannus, insignis

abbas in Paris, sepult. iuxta gradum presbyterii ad cornu evan-

gelii. Fuit 38% abbas de Parisio etc. 1692).

Mem. fratris Henrici monachi nostri, qui libros Epistolarum et Evangeliorum ad maius altare scripsit et illuminavit*. Anniversarium D. Henrici Böler, primissarii in Kentzingen, paren- tum et progenitorum. Comm. 1478.

E. D. Mem. fratris Thomae Mulbrun., provisoris in Grangia nostra Bux. 1490.

E. D. Obiit Agolzus de Ruuach (? Rufach), qui cum coniuge sua Wernburga ad altare s. Stephani in Paris libram cereae anni census, calicem et indumenta sacerdotalia, pallas et missale fundavit. 49. Leonis papae IX, patroni Paris. XII. Oct. MM. sermo t.

Mem. Conradi de Scongerd Augustani et Hildeburgis uxoris.

90. Hoc die consecratur Sacellum et altare in Paris ante portam a fratre Nicolao episcopo Tripolitano et Basil. Suffraganeo, in honore SS. Trinitatis B. M. Virginis et SS. Philippi et Mathise apostolorum. Dedicatio vero celebratur 28 huius. 1469.

E. D. obiit Clemens V papa. B. n. 1314. 21. Mem. venerabilis P. D. Diederici* quondam abbatis in Paris. R.I.P.A, 92. Mem. fratris Henrici Nachtigall, monachi et procuratoris nostri. 1837.

18

58. Schenkt 1308 mehrere Rebstücke, Weinzins u. Kapaunen (BA C, fonds P., Nr. 23).

59. H 277 nebst der eigenhändig vf. Reimgrabschr. D'Anfoville de Foulongue, Nacht. Buchingers seit 1656. In Kienzheim wurden 1900 zwei aus dem dort. Klosterhof stammende Steine mit seinem Wappen gefunden: 6 mal (anscheinend Gold u. schw.) quergeteilt, darüber ein Schrägrechtsbalken belegt mit 3 Muscheln. Oben die Devise : Non est mortale quod opto, 1670 u. 1671. Jetzt im Colm. Mus.

60. Diese Notiz auch bei Gérard, les Artistes en Alsace I. 339—41, der ihn in das 14. Jh. setzt.

61. Über ibn berichten die Annal. Colmar. 1193 (ed. Liblin 1854, Nr. 156): Abbas Parisiensis capilur a suo subdito ordinis converso, ungewiss aus welcher Ursache, u. z. folg. J. (nicht erst 1301, wie Ingold I. c. 378): Item abb, Peris. circa II. nonas Marcii [6. März] ab oficio removetur,

Fol. 29 r.

Fol. 29 v.

Fol. 30 r.

Fol. 30 v.

Fol. 31 r.

Fol. 31 v.

Fol. 32 r.

Fol. 32 v.

79

93. Georgii martyris, (IX lect. et II M.

Est patronus filialis Ecclesiae in Urnsheim.

Anniversarium D. Ulrici armigeri de Keisersperg (qui 35 obiit, sepult. in claustro), parentum et progenitorum; dedit nobis vineas plures in Amerswilre et alibi. Comm. et missa. 1316. (H).

E. D. obiit dicta Petersche villica de Columbaria, sepulta in eccl. conversorum. 1305.

25. Obiit honesta matrona Anna Syüentzin de Glattern, B. n., sepulta in

26. 28.

29

30.

1

claustro. 1464. Mem. D. Conradi de Rubeaco et Guttae uxoris suae. 1263. Dedicatio ecclesiae nostrae S. Mariae in Paris. Xll lect. MM. sermo f. Mem. D. Conradi de Sünderbach et progenitorum suorum. 1267. E. D. obiit D. Henricus de Cnoringen®, monachus noster et benefactor Ordinis. Mem. reverendi D. Tielmanni‘* abbatis in Paris. R. L P. A. Mem. D. Catherinae de Munzenheim, benefactricis nostrae residentis in Brisac. E. D. obiit Iserschlorfii Austriae oppido, ubi D. abbatis Zwette- lensis* vicarium egit, venerab. P. fr. Edmundus Schÿtz Wald- kirchensis, professus Tenbacensis, designatus coadjutor Parisiensis.

Maius habet dies X XXI.

Obiit Albertus I. Caes. Archidux Austr., magnus B. n.*a, a nepote Joanne duce Sueviae inique interemptus in loco Königsfelden hodie dicto. 1308.

E. D. obiit fr. Albertus novitius noster, miles de Hattstatt“, quondam praepositus Colmariensis, sep. in claustro.

9, 3. Obiit R. D. Hezelo‘’ abbas in Paris. R. I. P. A.

62. Urschenheim, K. Andolsheim.

63. Knöringen, K. Hüningen.

64. Abt 1379—81, lebte noch 1384.

65. Abtei Zweitl in Österreich.

65°. Gibt dem Kl. das Bürgerrecht frei von allen Abgaben in Schlettstadt, Brei- sach, Kaysersberg u. Münster 130%, ed. H 289.

66. Auch basl. Domherr 4. Okt. 1259—65, als Colm. Stiftspropst 1279—83 erw. (vgl. Tr. Il 385); Ingold in seiner Als. sacr. I. 112 ist sein Famil. N. u. die Notiz d. Nekrol. unbek. geblieben.

67. Sonst Wetzelo, Abt 1219—22.

Fol. 38 r.

Fol. 38 v.

Fol. 39 r.

Fol. 39 v.

D. 1.

8.

10.

11. 14.

15.

16. 17.

18.

76

Mem. Venerab. P. Philippi de Mulbrun.*, prioris n. in Paris. 1466. Obüt fr. Henricus de Rosenbach, mon. et sacerdos Lucell., quondam conventualis in Paris. 1634.

Hoc die, secundo dedicatur eccl. in curia nostra Keisersperg a fr. Nicolao episc. Tripolitano et suffraganeo Basil., in honorem SS. Trinitatis, B. Mariae V., 8. Michaelis arch. et omnium angelorum, Benedicti, Bernardi, Martini, Nicolai etc. Dedicatio celebratur dominica ante festum 8. Michaelis. 1473.

(Annivers. Manegolti Raboldey de Urbeis et progenitorum eius. Missa Requiem privata de annivers. in plurali.)

Annivers. Gonradi Vilhecker de Egisheim, Irminae uxoris, Catharinae et Adelheidis filiarum et progenitor. Comm. 1341.

Mem. D. Hedwigis et mariti sui Zebolle dicti. 1297. Commemoratio Imperatorum, Regum, Principum, Magnatum alio- rumque particularium monast. Paris Benefactorum. Coll. Praesta quaes. sola. Celebratur cum plenario officio defunctor. et Missa solemni si occurat infra oct. Corporis Christi vel in dominica, transfertur in diem proxime vaccantem.

E. D. ob. venerand. D. Tegenhardus, primus abbas in Paris, a D. Christiano Lucell. abbate cum conventu 12 fratrum illuc missus. 1138. Annivers. D. magistri Jacobi de Novo Castro®, canon. Lutenbac., parentum et progenitor. suorum. Comm.

Mem. Joannis Scholaris de Hunewilre**, B. n. 1290. Obiit D. Hedwigis*, filia D. de Tuselingen, in claustro sep. 1309.

E. D. ob. D. Ulricus de Balgowe*, canon. Colmar., sep. in eccl. conversorum. 1393.

Men. fr. Conradi Töritz de Leonberg, dicti Leontorii®, secretari

82. Prior bis 1478, s. Näh. Ingold, Grandid. Œuvr. inéd. 379.

83. Bad. Stadt Neuenburg a. Rh.

84. Hunaweier b. Rappoltsweiler.

85. H zum 30. Juni u. als uxor D. Conradi de (!) Besserer (vgl. 12. Juli).

86. Balgau, K. Neubreisach. Aus dem nied. Adelsgeschl. (s. Knobl.' 9 u. 39’); 1321 als Stiftsherr erw.

87. Der bek. Humanist Leontorius aus Leonberg, Df. Löwenberg in Württemb.

Geb.

1460, 1489 in Italien, 1492 Juni 23. in Heidelberg immatrikuliert, Prior in P.

1480 (?)—150; seit 1505 in Engenthal b. Muttenz, wo er + 1. Jan. 1511. Die erw. Privilegiensammlung des Ordens, auf Befehl des Abtes Jean de Cirey zusammengestellt, hat Anmerkungen von ihm u. ein elegantes Vorwort in 17 Distichen. Sie wurde 4. Juli 1491 in Dijon durch den Deutschen Peter Mettlinger gedruckt u. ist äusserst selten (197 BI. 4°; s. Beschreibung in Guignard, Monum. primit. de la Règle cisterc. Dijon 1878, p. XC—XCViIl). Über L. s. ADB 18, S. 315 u. Visch, Bibl. script. Cisterc. S. 82.

_ 7

D. Joannis abb. Cistercii et compilatoris privilegiorum Ord., professus Mulbrun., conventualis in Paris et confessor sacrarum virginum nostrarum in arcta valle vulgo Engenthal. 1507.

49. Obiit nobilis Domicella Gertrudis, filia D. Dietrici de Hohnac, magnae B., sepulta in claustro.

20. Mem. fr. Friderici, mon. et procuratoris n. in Grangia Buchs. 1458.

E. D. ob. R. D. Nicolaus de Breitheim®, quondam abbas in Mul-

brun. et Paris, sepultus in claustro Mulbrun. 1475.

21. Mem. D. Anselmi procuratoris de Rapolzwilre, B. n.

92. Mem. Gerinae et Catharinae dictarum de Wilre, residentium in Amerswilre. 1346.

94. Mem. fr. Joannis Nell, bursarii n. 1486.

95. Mem. R. D. Alberti” quondam abbatis in Mulbrun. et Paris, hic ut creditur in capitulo sepultus est. 1475.

26. Mem. fr. Sigismundi, provisoris n. in Widen.

27. Mem. venerab. P. Balthazaris’' de Mulbrun., prioris in Paris. 1480.

28. Obiit R. D. Bertholdus” abbas in Paris. R. I. P. A.

E. D. ob. R. D. Joannes Rüescher de Laudenburg”, secundo

abbas in Mulbrun. et Paris, sep. in claustro Mulbrunae. R. I. P. A.

99. Mem. fr. Joannis de Sulze dicti Buckelerer, monachi n.

30. Mem. fr. Conradi de Blienswilre, mon. n. 1342.

Julius.

4. Obiit Ulricus filius Beschelarii” de Keisersperc, sep. in claustro 1315. 3. Mem. fr. Joannis de Keisersperc, mon. n. 1310. 4. Translatio s. Martini ep. Mem. fr. Ulrici Roder, mon. n. 1288.

88. Vgl. Anm. 79. Im Grabe ihres Vaters (s. 18. Aug.) beigesetzt. Die Inschr. des verschw. trapezförm. Steines in got. Majuskeln lautete nach einer genauen Zeichnung des 16. Jh. (BAC, RU I. 35 vgl. H Il. 279): XV. Kal. Sept. || @ Teoderi || cvs De Hon || Nac. XIII. Kal. Jvl. & Pie Me || morie Gerd || rut Filia Eivsdem. VI. Id. Arg. @ He || nricus De || Salmis.

89. Sein Grab mit verstüm. Inschr. noch erhalten (Paulus 88). Abt 1462—67, wo er resignierte. } 1475.

90. Abt 1473 + 26. Mai 1475; die Grabplatte verschw.

91. Prior seit 1478.

92. Von Rappoltsweiler 1279/80.

93. Abt 1475—88 u. ganz kurz 1504. Seine Grabschr. gibt als Todestag den 17. Juni.

94. H: de Bescheldrin.

Fol. 40 r.

Fol. 40 v.

Fol. 41! r.

Fol. 41 v.

Fol 42r.

Fol. 42 v.

Fol. 43 r.

Fol. 43 v.

_ 78

Mem. Adelheidis et Itae matris eiusdem, sepultarum in eccl. conversorum. 7. Obiit D. Joannes dictus Herzoge de Zelleberg”', sep. in eccl. con- versorum. 8. Obiit beatae memoriae Eugenius Ill papa, S. P. N. Bernardi antea in ordine discipulus, monast. n. Parisiensis benefactor. 1153. 10. Annivers. Heintzlin Metziger et Elsinae uxoris, civium in Egisheim, ac progenitorum suorum. Comm. E. D. ob. D. Heinricus miles de Salm *, Benefactor n., sep. in claustro. 11. Mem. fr. Joannis de Egisheim, monachi n. 1495. 12. Annivers. D. Conradi Besserer, civis in Keisersperc, et progenitor. suorum. Comm. E. D. Mem. R. D. Ludovici”’ quondam abbatis in Paris. R. L P. A. 43. Henrici imper., Patroni Dioec. Basil. XII lect. MM. sermo. Mem. Berthae relictae Diederici, civis in Keisersperc. 14. Mem. fr. Conradi conversi n., in grangia Forst residentis. [Obiit D. Ludovicus dictus Vind, plebanus in Urbeis, sep. in capitulo ]'. Dominica prox. post festum 8. Margaritae quod 15 huius celebratur Dedicatio eccl. n. filialis in Ursnheim. 15. Annivers. nobilium virorum DD. Ulrici, Brunonis, Hugonis fratrum de Rappolstein®, ac progenitorum suorum ac aliorum de Hohnac et Rapolstein, B. n. Comm. et missa. 1377. E. D. ob. R. D. Joannes de Winsheim®”, SS. Theol. licent., abbas in Mulbrun. et Paris, sep. in capitulo Mulbrun. 1467.

1. Zus. in Bleistift.

95. H: 1133. Zellenberg, K. Kaysersberg.

96. Vgl. oben Anm. 88. Wahrscheinl. Gatte der Gertrud v. Hohnac, sonst würde sich die Beisetzung in demselben Grabe nicht erklären.

97. Es gibt zwei Äbte des N., der eine 1331 erw., resign. 1339 (al. 1333) dein in quadam rixa periit apud Richwihr ; der andere 1368 erw.

98. Hugo 1262/63 erw. kinderlos; Bruno 1344—63 verheir. mit Johanna v. Blankenberg ; Ulrich, 1337 Domherr von Basel, verheir. sich c. 1348 als «Herr zu der Hohen Rapp.» mit Herzlanda v. Fürstenberg, + 1377 nach dem basl. Münster- nekrolog: Ob. Ulricus de R. miles, quondam canon. huius eccl., qui sepultus est in claustro Päris (Tr. IV. 751); sein Todestag 9 kal. Nov. 24. Okt. ist unrichtig, da er urkundl. bereits am 5. Sept. als tot gemeldet wird. Ein II. jüng. Nekrol. des basl. Domkap. gibt nähere Bestimmungen über seine Jahrzeitstiftung im Münster (vgl. RU I. 130 f.).

99. Buch.: Verbi Dei predicalor insignis. Die Inschr. des verschw. Grabst. vor- handen, s. Paulus 88,

79

16. Obiit R. D. Henricus Reütter de Nördlingen'®, post introductam heresim Mulbrunam ultimus ibi abbas et in Paris, ubi antea prior fuit; sepultus in capitulo Mulbrun. 1557.

E. D. ob. B. de Egiusheim, sep. in eccl. conversorum.

17. Mem. fr. Henrici, mon. n., filii Hessonis= de Könsheim, qui cum adhuc in saeculo esset ex singulari devotione certis annuis reddi- tibus festum S. P. N. Bernardi in eccl. Colmar. festive peragendum instituit. 1290.

E. D. ob. Innocentius III papa‘", B. n. 1216.

18. Annivers. Nicolai Brune de Colmar‘ et Adelheidis uxoris et pro- genitor. suor. Comm.

E. D. Mem. D. Annae Vögtin et Finae filiae, magnarum Benefactr., ac progenitor. suor. 1361.

19. Mem. fr. Petri dicti Hend vnd Fües (!), mon. et procuratoris n. 1415.

90. Mem. fr. Martini de Mulbrun., bursarii n. 1495. 21. Mem. Philippi Romanorum regis, B. n. 1208.

22. Obiüt Rudolphus I. Imperator, comes Habsburg., qui pascua per Landgraviatum Alsatiae nobis indulsit, nemus in Mochenheim donavit et plura insignia privilegia alia concessit. 1291. E. D. ob. R. D. Wezelo‘*, abbas in Paris. R. I. P. A. E. D. ob. R. D. Joannes de Lenzingen‘*, SS. Theol. Baccalaur., abbas in Mulbrun. et Paris, utriusque antea monaslerii prior, vir

100. Bruder des Kaisersheimer Abtes Konrad, 1521 Prior in P., wo ihm der Colm. Augustiner Joh. Hofmeister seine Dialogi widmet, 13. Sept. 1547 Abt v. M. Die erhalt. Grabschr. (Paulus 89) gibt als Todestag den 1. Aug.

101. Best. Bulle v. 6. Nov. 1209, ed. H Il. 284.

102. Vermacht 1325 (Archiv, I. c. Nr. 12) ein Haus in der Kirchgasse u. Geldzins von Haus u. Scheune bei St. Martin.

103. Abt 1174 + 1187; Buch.: cum Petro abb. Cisierciensi legatus ad Belam Hun- garorum regem missus.

104. Prior 1515—21, aus Df. Lienzingen (unricht. de Lenzinger, Ingold als. sacr. - 12 St. südl. von M., Abt 1521—25. Er floh beim Versuche Württembergs, die Reform. einzuführen, nach Speier (1534) u. verlegte den Abtsitz 28. Sept. 1537 nach P. Buch. bringt ausserdem die interessante Nachricht : in Einsiedeln iuxta sacellum Deiparae sepullus, pro culus honoris augmento Salve Regina quotidie post Vesperas decantan- dum ordinarat, cum magno quorumvis accurenlium peregrinorum et Christifidelium pietatis afectu et applausu hucusque continuato. Diese Stiftung machte er am 11. Aug. 1547, vgl. Ringholz, Wallfahrtsgesch. von Einsied. S. 182; P. G. Meier, Das S. R. von Einsiedeln (Hist. pol. BI. 1900, S. 907—14, Bd. 126).

Fol. 44 v-

Fol. 45 r.

Fol. 45 v.

Fol. 46 r.

Fol. 46 v.

Fol. 47 r.

89

instructae constantiae et admiranda patientia, in perferendis pro fide catholica persecutionibus et innumeris incuriis, sep. in Eremo B. Virg. apud Helvetios. 1547.

23. Obiit D. Catharina de Mollesheim‘", mater et B. n., sepulta in eccl. 1349.

E. D. ob. fr. Jacobus Beisser, monachus Bebenhusanus'* et Parisiensis, sep. in choro n. 1566.

24. Mem. D. Henrici militis de Winecke‘”, civis in Keisersperg. 1299.

95. Jacobi apost. XII lect. MM. + Comm. ss. Christoph. et Cucufatis mart. S. Jacobus patronus sacellaniae n. in Türckheim.

26. Obiit Ferdinandus I. Roman. imper., qui ne Paris. monasterium in manus ducis de Wirtemberg veniret, et heresi sicut Mulbruna pol- lueretur, impedivit idque generose defendit.

27. Annivers. D. Annae relictae Nicolai am Graben'”, civis Colmar. magnae Benefactr. et progenitor. suorum. Comm. et miss. 1358.

S. Anna, patrona eccl. n. parochialis in Thürckheim. Dominica proxima post fest. s. Annae Dedicatio ibidem.

28. Mem. Werneri dicti Michel de Hunewilre et Berthae uxoris eius. 1358. Obüt R. D. Joannes'” Abbas in P.

Annivers. Domicellae Agnetis de Monasterio, residentis in Amers- wilre, el progenitor. Comm.

29

Augustus.

4. Petri ad vincula, XII lect. MM. Com. ss. Machabeorum mart., item s. Eusebii ep. mart.

E. D. obiit R. D. Joannes''° abbas in P.

105. H: iuxta sacellum s. Theclae. Am Ende die gleiche Notiz mit dem Dat. 1841 II. kal. Aug. (31. Juli).

106. Aus Bebenhausen 1 St. nördl. Tübingen, einer Tochter (1190) von Schönau, Fil. Clairvaux, geflüchtet als Herz. Ulrich die Reform. einführte, entw. 1535 oder 1560 (s. Paulus. Bebenhausen 52).

107. Schl. Win(d)eck b. Katzenthal; Geschl. 1262—1467 (Knobl.! 109).

108. Gibt ein Haus mit Scheune zu Colmar, 3 Morg. Reben im K. Mittelhart 1358 (Arch. Nr. 12); ihr Mann ein Haus zu Colmar, Reben in Bergheim, Wiesen in Hausen u. Zinse in Logelnheim, 1355.

109. Johann Il. 1260 + 1279.

110. Joh. I. c. 1240—52 (?). Bei Ingold, Als. sacr. 378 Druckf. betr. Todestag, der sich auf Joh. III (s. 1. Sept.) bezieht.

Fol. 49 v.

Fol. 50 r.

Fol. 50 v.

89

E. D. obüt fr. Jacob Gôtzel de Ensisheim, monachus et sacerd. Lucell., quondam convent. in Paris. 1626.

1654 Translatio brachii s. Leonis pap. IX, Patroni n., späterer Zusatz; dazu am Rand: de consensu episcopi Basil. ex eccl. et oppido S. Crucis'!* per D. Theo- baldum Ludwig ibidem parochum ad curiam nostr. Colmar.

14. Obüt Pius II pap. B. n., qui etiam incorporationem monast. nostri confirmavit'. 1464.

45. Assumptio B. M. XII lect. MM. sermo }.

E. D. Mem. Henrici Romanorum regis, singularis B. n. 1313.

16. Obiit venerab. P. Henricus Toritz de Leonberg‘" Mulbrun., per 25 annos prior in Paris, ibique in eccl. sepultus. Is combustum monast. restauravit. 1904.

E. D. Obiit vener. P. Leonardus Jos de Ilsfeld‘" prior in Beben- hausen, inde a duce de Wirtemberg ejectus cum aliquot fratribus venit in Paris ibique etiam per aliquot annos Prior fuit, sepultus in choro. 1562.

17. Obüt D. Agnes, uxor D. Alberti de Avilina'” sepulta in claustro.

18. Obiit nobilis vir D. Theodericus de Hohnac‘*’*, insignis B. n., se- pultus in claustro. |

E. D. obüt R. D. Johannes Umbstatt‘"® abbas in Mulbr. et Paris, sepultus Spirae in eccl. s. Johannis. 1504.

19. Obiit D. Gysela, uxor D. Burchardi militis de Ensisheim, magna B. n. quae plura bona et census nobis assignavit, pro vestiendis monachis, sepulta in claustro. 1302.

E. D. obiit fr. Anthonius Freuertisch ex Pfetterhausen ""*, monach. et sacerd. Lucell., quondam convent. in Paris. 1626.

20. S. P. N. Bernardi abb., principalis Patroni Ord. n. XII lect. MM. sermo f.

Obiit D. Henricus miles dictus Röberer de Keisersperg'''“ se- pultus in claustro. 1333.

E. D. obiit vener. P. Jacobus Greder Lucernas per aliquot annos

1. Welche? Wahrscheinlich die mit Maulbronn.

114. Heiligkreuz b. Colmar.

115. Vgl. Anm. 87.

116. H: Leon. Johannes (!) de J.

117. H: 16. Aug. o. J. Auch Aulin, v. Avelines, Adel 1271—1370 (KnobL' 8).

117%. Vgl. Anm. 88.

1172. Abt 1492. Floh nach Speier, als Herz. Ulrich v. Württemberg das Kl. überfiel, um die 1361 von K. Karl IV. an Kurpfalz übertragene Vogtei zu erlangen.

117°. Df. an der schweiz. Grenze, K. Hirsingen.

1174 Die adel. Rouber seit 1283 beurk. (Knobl.' 77). Vgl. 10. Nov.

Fol. 52 v.

Fol. 53 r.

Fol. 53 v.

Fol. 54 r.

Fol. 55 v.

31.

Hu

Commemoratio fundatorum et Benefact. Mulbrun., quibus propter monast. Paris, obstricti sumus. Collect. praesta quaes. sola. Cele- bratur cum plenario officio defunctorum et missa solemni. Si occurat in dominica, transfertur in feriam tertiam.

E. D. obiit D. Adelheidis dicta Grewin de Könsheim, sepulla in eccl. convers.

Septembris.

. Obiit R. D. Joannes de Hattstatt‘* abbas in Paris, Caroli IV Caesaris

secretarius et capellanus, a quo multa insignia privilegia obtinuit. E. D. obiit Elisabeth, fiiia Ebbonis de Oengersheim‘*, sepulta infra Campanile. 1300.

. Mem. illustris viri O. Othonis comitis de Ochsenstein‘”, advocati

Alsatiae et defensoris n.

. Annivers. D. Gyselae magnae Benef., et mariti D. Burchardi militis

de Ensisheim, et progenitor. suorum. Comm. et missa. E. D. Mem. fr. Ludovici Sarras, m. n. 1392.

. Mem. fr. Nicolai Mulbrun., provisoris in grangia s. Barbarae in

Buchs. 1468.

. Annivers. Joannis militis de Ongersheim et progenitor. suor. Comm.

1342.

. Annivers. Gutae Bilgerin de Morswilre et progenitor. suorum.

Comm. 1347. Mem. fr. Hessonis Bergholtz, conv. n. 1328.

. Nativitas B. Mariae. XII. lect. MM. sermo +. Comm. s. Adriani mart.

Mem. vener. P. Georgi de Hallis Mulbrun., Prior in Paris”. 1504.

E. D. obiüit R. D. Joannes Hanser'*, abb. Lucell., qui pro Pari- siensis monasterii restitutione multum laboravit. 1625.

. Mem. fr. Marquardi bursarii n. 1343. 10. 11.

Mem. fr. Joannis de Pfortzheim, professi in Mulbrun. et Paris. 1527. Obiit D. Agnes de Wangen, uxor D. Walteri Kurtzen militis, sepulta in claustro. 1294.

125. Abt Johann III. 1339 + 1354; über s. Familie s. mein Wb. 448. 126. Ingersheim b. Colmar. H zum 31. Aug., Erbonis de Engelsheim. 127. Otto IV, der Oheim des K. Friedrichs d. Schön., Landvogt 1315—23, + 3. Apr.

1327 (s. Becker, Landvögte'! S. 5). 1272, 1501 ist er subbursarius.

128. Von Ensisheim, 1605 + 1625.

12. 13.

14.

15.

16.

18.

22.

Ë à

85

Obiit Innocentius VI papa, B. n. 1362.

Obiit Joannes dictus Ingewilre‘*, civis Argentinensis, sepultus in

capella prope sacristiam. 1379.

Exaltio 8. Crucis XII lect. MM. +. Comm. ss. Cornelii et Cyprian. pontif. mart. Mem. fr. Bernardi Wilde villici seu provisoris in curia nostra

Amerswilre.

Hoc die dedicatur nova Ecclesia in grangia nostra Buchs, cum tribus altaribus

a fratre Telamonio episc. Tripolitano suffrag. Basil., in honorem S. Barbarae

virg. et mart., principalis patronae, s. Catharinae virg. et mart., s. Joannis Bapt.,

8. Augustini Episc. etc. Huius vero ecclesiae Dedicatio celebratur in die s. Bar-

barae 4 decembr.

Dominica proxima p. Exalt. s. Grucis dedicatio parochiatis eccl. in Widensal.

Obüt D. Hesso miles de Kônsheim‘”, insignis B. n., sepultus in Fol. 54 v.

claustro iuxta uxorem D. Gyselam. 1236. Euphemiae virg. et mart., cuius venerandum caput Lucellae quiescit. Comm. ss. Lucelae et Geminiani mart.

Mem. R. DD. Lutholdi episc. Basil. 1242.

. Hodie fit absolutio solemnis in capitulo.

Mem. fr. Nicolai, convent. n. 1526.

Solemne Tricenarium fratrum. Coll. Deus veniae et Praesta quaesumus. Per 30 dies quottidie tres portiones pauperibus distribuentur.

. Memoria Schulteti in Egisheim 1361. 21.

Mem. fratr. Joannis de Amberg, Mulbrunnensis, Provisoris in Grangia S. Barbarae in Buchs. 1475.

E. D. Obiit venerab. P. Franciscus Hugue‘”"' Dellspergensis, prof. Lucellens. SS. Theol. Doctor, Praepositus seu vicar. in Paris, ibique ante gradus presbyterii sepultus 1645.

Obiit D. Petrus dictus Schurpsag'*, sacerdos de Orswilre, sepultus in sacello B. Virg. 1300.

E. D. Obiit D. Ita de Richenstein, sepulta in claustro, cum matre

sua D. Bertha de Könsheim 1326. Theclae virg. et mart. XII lect. MM. cuius venerandum caput apud nos quiescit. Annivers. Conradi Mezger de Egisheim, dicti Gros Küenze, Mezae uxoris ac progenitor. Com. 1338.

E. D. Obiit Innocentius IL Papa, Benefact. n. 1148.

129. Warsch. der Vater des Abtes Nikolaus, s. 24. März. H: 13. Okt. 1370.

130. Beide unter einem Steine; H: 1238 u. Oisela.

131. Hugues oder Hugué. Über die Rolle, die er gespielt s. Ingold, Als. sacr. 381 u. Buchinger 434.

132. H: 1340, Schourpsag de Morswir.

Fol. 57 v.

Fol. 59 r.

Fol. 59 v.

25. 26.

27.

29.

30.

86

E. D. Mem. fratris Bertholdi'* maior. cellerarii nostri 1288. Obiit Walterus dictus Koler de Ongersheim, sepultus in Eccl. Convers. Anniv. Nicolai Berner de Basilea et Agnetis zum Thore uxoris, Salemanni filii et progenitor. Commem.

E. D. Memoria fr. Brune monachi n. 1315.

E. D. fratris Henrici de Mulbrun., Bursarü n. 1481.

Mem. venerab. P. Othmari Bregentzer. Is fuit de Mulbrunensibus ultimus prior in Paris‘, inde Parochus in Megenheim ibique se- pultus 1566.

. Hoc die dedicatur Sacellum et altare in Infirmitorio in Paris, a fr. Joanne'"*

suffraganeo Basiliensi, in honorem S. Thomae Cantuar. ep. et mart., S. Gregorii Papae et S. Petri archiep. de Tharanthasia. Dedicatio celebratur 28. April. (1325.)

Michaelis Archang. XII lect. MM.

Compatroni sacelli nostri in Keisersperg. S. Michael etiam Patronus est Eccl. seu Sacelli supra Coemeterium in Thürckheim. Pretiosa mors Sancti Conradi Ep. Portuens'*. Apost. sedis Legati, antea Abbatis Cistercii, nati ex comitibus de Urach ex Suevia. Cuius interventu exemptionem a teloneo in urbe Argentinensi ab Ep. et Capitulo obtinuimus 1228.

October.

. Obüt R. D. Christophorus Schaller'”" ex Sennheim, prof. Lucellens.

ex Priore Euserstallensi, Mulbrun. monasterii 1630 restituti primus catholicus Abbas, sepultus in Capitulo Mulbr. aliquot mensibus ante mortem abbatiam resignavit. Is etiam pro Parisiensis monasterii recuperatione laboravit. R. L P. A.

. Obiit Urbanus IV papa, B. n. 1264. . Mem. D. Werneri de Lobgassen‘* militis, Annae uxoris et proge-

nitor., sepultor. in Paris. 1252.

133. In einer rappolstein. Urk. v. 11. Febr. 1284 ersch. er als «der grose Keller» (RU I. 123).

134. Im J. 1560.

135. Fr. Joh. episc. Recreh. (Tr. V: Rurehens) 1315 erw. Bei Eubel, Hierarchia cath. nirgends zu finden.

136. S. die ausführl. Biogr. nebst Regesten v. Freih. Roth zu Schreckenstein, For- schungen z. deutsch. Gesch. VII 319 ff.; Freib. K. Lex.? VII. 961 ff. u. Fürstenb. Urkb. I, 71—151. Das Dat. ist das seines Todes. Die Bestät. Urk. Bisch. Berthold u. des Domkap. v. Strassb. ist v. Nov. 1225 (SU I, Nr. 196), bestät. v. K. Friedr. II, Juli 1226 (H Il, 291 = Grandid., inéd.! III, 235).

137. + 1642; die Inschr. der verschw. Platte bei Paulus 89.

138. Laubgasse b. Rufach; Adel 1183—c. 1560, s. Knobl.! 50.

87

. Mem. fr. Joannis Stôre, m. n. 13922.

9. Mem. fr. Wilhelmi, monachi Lucell., qui librum missalem ad nos- trum maius altare multa scripsit diligentia.

6. Mem. fratris Rütschelini Procuratoris nostri 1346.

[E. D. Obiit fr. Bernardinus Streit ab Imendingen Wormatiens., profess. in Mulbr. et Paris. subdiac. sepult. Spirae in Eccl. s. Joan.]

andere Hand.

7. Ob. Gerina de Öngersheim, sepulta in Eccl. Convers.

[E. D. Obiit frater Sebast. Moger de Seltz professus (?) Argen- linae, procurator Guriae nostrae S. Barbarae in Buchs ibique se- pultus (1509)]. Dies. Hand wie ad 6.

8. Mem. fratris Jacobi Saltsmütter, m. n. 1303.

Mem. venerab. P. Bernardi Maffré ex Thann prioris nostri Paris. in choro sub sepulchrali lapide R. P. Leonardi de Bebenhausen sepulti (1662).

9. Dionysii et socior. mart. XII. lect. MM. Feria 3. post fest. SS. Dionysii et socior. primo Sacellum et Altare in Curia nostra in Keisersperg consecratur in honorem SS. Bartholomaei apost., et Bernardi abbatis, a fr. Jacobo episc. Casteriensi, Suf-

__ fraganeo Basil. et Argent. Dedicatio celebratur ut supra fol. 47. (1391).

10. Obiit fr. Rudolphus Stuelmuller‘*” Augustanus monach. et sacerd. Lucell., Mulbrunae Cellerarius et quondam etiam Conventualis in Paris 1635. |

11. Obiit Bonifacius VIII papa, B. n. 1308.

Le

E. D. Obiit magister Conradus dictus de Rheno, civis Brisacensis,

sepultus in claustro 1316. E. D. Obiit Ludovicus Cesar, dux Bavariae, B. n. 1347. 42. Pantali ep. et patroni Basil., mart. XII lect. MM. Obiit D. Anna uxor Werneri Truchses de Rhinfelden'*, filia sororis Joannis de Aulin, sepulta in claustro 1337. 13. Mem. fratris Andreae Syber de Mulbrun provisoris in grangia S. Barbarae in Buchs 1506. 44. Mem. fr. Joannis Zuffenhusen, subbursarii nostri 1476. 45. Hedwigis viduae ord. nostri XII. lect. MM. Mem. Elsinae Schaffnerin de Walbach 1367. 16. Mem. fratris Bertholdi de Rappolzwilre, m. n. 1302.

139. Nach d. Grabschr. (bei Paulus 84) Séwmiller, + 4. Okt. 1635, im Maulbr. Kreuzgang begraben. 140. H: 1437, Trusses,

Fol. 60 r.

Fol. 60 v.

Fol. 61 r.

Fol. 61 v.

Fol. 62 r.

Fol. 62 v.

Fol. 63 r.

17.

18.

19.

22.

23.

24.

25.

26. 27.

88

Mem. venerab. D. Stephani Öttinger‘*, quondam abbatis in Mul- brun et Paris, sepulti Mulbrunae in claustro 1492. Hodie finitur Solemne Tricenarium.

Mem. Fratris Friderici de Waldorf, Professi in Mulbr. et Paris. 1476.

Obiit Frater Germanus Matthaeus Dellspergensis Mon. et sacerdos Lucellen. quondam Convental. in Paris. 1652. Mem. Illustrium viroram: D. Henrici'* Comitis de Werde, Land- grauij Alsatiae, Sigibertj patris et progenitorum eor. 1331.

. Mem. D. Nicolai Sacerdotis, dicti zen guten Kinden, sepulti in

sacello B. Virg. 1360. (H.)

. Mem. Conradi Meginheim dictj Scriptoris'® sepulti in Ecclesia Con-

Versor.

Severi Epi, conf. Patroni in Cazwangen. Item Dedicatio eiusdem Ecclesiae S. Sever]. Obüt Fr. Andreas Scheppelin ex Altkirch monachus et Sacerdos

Lucell. quondam conventual. in Paris 1622.

Annivers. Nobilium Virorum D. Ulrici de Gutenburg‘“* seu Hohnac,

Egelosti (! anst. Egelolfi) Patris et Adelheidis Avorum et progeni-

torum aliorumg. de Hohnac, quorum beneficio habemus vineas in

Buchs, Molendinum et pratum in Colmar, Dornach dictum. Com.

et Missa.

Mem. de Haggenecke'*, quiescentis in claustro.

E. D. Obiit venerab. P. Joannes Berod ex Senheim‘*, professus Lucell. prior in Mulbrun et quondam etiam in Paris prioris officio functus 1635.

Mem. fratris Bernardi Beyer ex Brettheim, de Mulbrun vicari nostri in Thürckheim, deinde etiam in Cazwangen 1518.

Mem. fratris Reuboldi scribae, monachi nostri 1288.

Memor. Rudolphi camerarii dicti Okerme et Benedictae uxoris.

141. Die noch vorhand. Grabpl. (Paulus 89) hat Ofinger.

142. Schenkt einen Teil seines Allods in Ehl b. Benfeld zum Seelgerät für seinen Vater Sigbert 1231 (RU I, Nr. 66).

143. Ein Konversbruder u. Kalligraph, s. Gérard Il. 41. . 144. Deren Schenkungen werden in einer su Beg. des 13. Jh. aus verschied. Urk.

zusammengesetzten Notitia bonorum aufgezählt: die Ulrichs 1196—1202, seines Vaters E. 1176—96, seiner Grossmutter Adelheid 1162 (ed. W. nov. X, Nr. 64. RU I, Nr. 49).

145. Burgr. b. Wettolsheim, Adelsgeschl. 1263—1335. S. mein Wb. 438. 146. Im Maulbr. Kreuzgang begraben, Stein mit Inschr. noch vorh. (Paulus 84).

Prior in P. 1616 (1614—19).

89 28. 291, Obüt R. D. Ulricus‘" Abbas in Paris. R. L P. A. Mem. fratris Ulrici de Schlettstatt, cellerar. n. 1339. Annivers. Joannis Wolebe‘* civis in Colmar, Agnetis de Neuen- Fol. 63 v. burg uxoris ac progenitor. commem. 30. Obiit venerab. P. Gallus Martinus ex lllfurt‘*, monach. et sacerd.

Lucell. et prior in Paris, sepultus in Eccl. conversorum 1614. Hodie dedicatur primum et antiquum Sacellum in grangia nostra S. Barbarae in Buchs, a Nicolao episc. Tripolitano et Suffrag. Basil., in honorem 8. Barbarae virg. et mart, S. Joan. evang., S. Sebastiani, S. Anthonii. Dedicatio celebratur in festo s. Barbarae 4 decembr. (1474.)

November. Fol. 64 r.

1. Festum omnium Sanctorum. XII lect. MM. sermo t. Mem. fratris Humberti, m. n. 1282. Mem. fratris Joannis de Ansolzheim, m. n. 1302. 2. Commemoratio Omnium Fidelium defunct. Collecta. Fidelium sola. Mem. fratris Wendelini Meyer de Mulbrun, provisoris nostri in grangia nostra S. Barbarae in Bux. 1527. 4. Obiit D. Martinus Brender dictus Masmünster, quondam Rector Eccl. in Morswilre, sepultus in sacello B. Virg. 1531. 5. Malachiae ep. et Conf. Ord. nostri. XII lect. MM. Mem. Waltheri dicti de Paris, residentis in Gebwilre, et Adel- heidis uxoris. E. D. Obüit D. Guta de Richenstein'®, uxor D. Wilhelmi militis de Werde, sepulti in claustro 1349. 6. Obiit dna. Kunza de Horburg‘", Benefactrix n., sepulta in claustro. Annivers. dnae Belimae Störin'®, relictae Burchardi militis Störe, maximae benefactricis, quae plura bona, agros, vineas, census in diversis locis nobis contulit, sepultae in claustro, ac progenitorum eius. Obiit prid. Kal. Nov. com. et missa 1321.

1. Die lat. Datierung ist vorhanden, der Tag fehlt.

147. Ulrich v. Türkheim, Abt 1281 + 1282.

148. Aus einem weitverbreit. Golmarer Geschl., Ratsherr das. 1318/39; s. Gattin + 1335. Ihr Sohn Walter s. 30. Nov.

149. Als Prior 1612 erw.

150. H: Jufta u. den häuf. Lesfehler de Widen.

151. H: Konsa.

152. Kines der verbreitesten Geschl. 1235 + 1595 (Knobl.' 90).

Fol. 65 v.

Fol. 66 r.

Fol. 66 v.

7. 8.

10.

11.

12.

13.

99

Memoria Jacobi Gros de Columbaria 1358.

Mem. D. Hessonis militis de Keysersperg 1310. (rot:) Hoc die 1643 monast. Paris, authoritate Lud. XIIIL Reg. Gall. pulso occu- patore a catholico, ordini restituitur.

. Dedicatio S. Salvatoris seu celebritas 8S. Sanguinis Berithensis'’*, de quo

ampulla apud nos servatur pie. Officium de Dedic. XII. lect. MM. Sermo.

Ob. D. Joannes dictus Köfelin de Königshoffen'®, civis argent, sepult. in claustro.

Annivers. D. Adelheidis Röberin, relictae Andreae Kurtzen, militis de Keisersperg et progenitorum suorum. Commem.

E. D. Mem. Domicellarum Clarae, Catharinae et Berthae sororum de Egisheim 1360.

Martini episc. conf. XII lect. MM. + com. S. Mennae mart.

Obiit Nicoleta relicta Anselmi de S. Deodato, sepult. in eccl. Con- versorum.

E. D. Obiit Hedina de S. Deodato, sepult. in eccl. conversorum 1330. rot: 8. Martinus patronus Eccl. in Curia nostra in Egisheim''‘, et Dominice post s. mart. Dedicatio ibidem.

Mem. D. Werneri militis de Gundolzheim residentis in Amerswilre, et Gyselae de Ensisheim, uxoris benefactorum nostrorum 1347. Mem. fratris Matthiae monachi n. 1526.

14. Annivers. Illustrium virorum D. Joannis comitis de Lupoduno, Stüe-

lingae Landgravii, Domini in Hohnac, Eberhardi patris, Ursulae comitissae de Ferreto, matris, Hertzclaviae (! = Herzlandae) de Rapoltstein primae, et Elisabeth comitissae de Rotenburg se- cundae coniugis. Eberhardi, Henrici, Sigismundi, et Joannis filio- rum, Annae, Elisabeth, Magdalenae et Siginae filiarum et proge- nitor. aliorumque de Hohnac et Rapolistein. Com. et missa. Dictus D. Joannes comes nobis praebendam sacellaniae (B. Mariae virginis, Zus. am Rand) in Hohnac contulit'’*a.,

E. D. Mem. fratris Ulrici de Hailbrun, Mulbrunensis, bursarii et procuratoris nostri 1455.

1522, Über die im M. A. weithin bekannte Begebenheit s. den dem hl. Athanasius zugeschrieb. Sermo de miraculo in imagine Christi crucifixi, ed. Migne, Patrol. lat.

129,

283 sqq. Vgl. auch Biblioth. hagiogr. lat. Bolland. (Bruxell. 1899) I, 627.

153. H: vir nobilis de Kofelin de Kunighofen 1305.

154. S. über diese schon 1145 bestät. Hofkap. mein Wb. 296.

154. Über die Lupfen s. Rav.-Schæpflin, Als. ill. V. 642f. Graf Johann 1400 zu seinem Tode 1437 infolge Erbvertrags mit den Rappoltst. im Besitze von Hohnack,

vgl.

Curios. d’Als. II. 217; Rav. IV. 287.

15.

16.

17.

19.

20.

21.

22. 23. 24.

95. 26.

9

Mem. D. Joannis de Keisersperg, dicti Röber, sepult. in eccl. con- versorum 1300. Edmundi episc. conf. XII lect. Ord. nostri. MM.

Obiit Dna Heilewig, uxor Conradi Besserer de Könsheim, sep. in claustro 1339.

Obiit D. Agnes de Newenburg, uxor D. Joannis Wolebe de Colum- baria, benefactrix sepult. in claustro 1335. H.

Obiit D. Elisabeth de Monasterio, dicta de Bircha, sepult. in claustro 1326.

E. D. Obiit venerab. Pater Joannes Benedictus Keller‘, Uberlin- gensis, professus divitis Augiae Ord. s. Bened., Conventual. in Paris, ibique in choro sepultus 1604.

Mem. D. Gwilhelmi Vetter de Erstein, scribae in Keisersperg, benefact. sacelli nostri ibidem, Elsae uxoris et progenitorum suorum 1411. Commemoratio Parentum et fratrum nostrorum. Collecta. Deus cui prop. sola.

Mem. fratris Henrici prioris in Widen 1499.

E. D. Henrici Langer, B. n., qui cereos pro summo altari et ad altare SS. Undecim mille Virginum calicem ac missale atque lam- padem in nocte nativitatis Domini accendendam fundavit 1499. Obiit Reverend. D. Joannes Burrus de Brettheim‘*, qui bis abbas fuit in Mulbrun et Paris, et secundo resignavit abbatiam, sepult. in claustro Mulbrun. R. I. P. A. 1521.

Mem. R. D. Conradi'" abbat. in Paris. R. I. P. A.

Obiit Cuno armiger de Könsheim, sepult. in claustro 1300. H. Anniv. sororis Mezae dictae de Ungerer, magnae B. n. residentis in Colmar. Comm.

Obiit Lucius II.'® papa, B. n. 1185.

Mem. Reverendissimi DD. Bertholdi principis a Teck episcopi, et capituli argent., qui ad instantiam S. Conradi Cardinalis apost. sedis Legati a teloneo nos exemerunt'"* 1293.

155. H die Grabschr. ... septennio hoc in loco peracto... cuius anima Deo vivat et fruatur.

156. Abt 1491—1503 u. 1518—21, bonus oeconomus et praecipuus religionis cultor (B.), Erbauer des herrlichen Sprechsaals u. des Oratoriums darüber 1493/95. + 1521, sein Grabst. noch erlı. (Paulus 89, über seine Bauten 76 f. mit Abb.)

157. Konrad II. + 1379.

158. Gibt 12. März 1184 Exempt. u. Güterbestät., ed. H IL 282 sehr fehlerhaft; W. nov. X, 135.

159. S. 30. Sept.

Fol. 67 r.

Fol. 67 v.

Fol. 68 r.

Fol. 68 v.

Fol. 69 r.

FoL 69 v.

Fol. 70 r.

Fol. 70 v.

27.

28.

29.

30.

99

Mem. fratris Conradi Salzmütter, mon. n. 1302.

Anniv. Domicellae Annae de Illzich in Keisersperg, magnae B. n., et progenitor. suorum. com. et missa. contulit nobis domum quon- dam in Keisersperg, vineas et census pecuniarum et capponum in Amerswilre, Könsheim et alibi. Sepulta in Paris 1349.

Mem. fr. Ludovici de Leonberg‘'*, Mulbrun. provisoris grangiae nostrae S. Barbarae in Buchs 1451.

Obiit Carolus Quartus‘" imperator, rex Bohemiæ, maximus benefact. n., qui plurima insignia nobis privilegia et exemptiones largitus est 1378.

Mem. fratris Walteri Wolebe de Columbaria, monachi nostri 1335.

December. Obiit D. Wilhelmus miles de Werde‘*'a, sep. in claustro 1845.

. Mem. reverendi D. Michaelis Scholl'*, primi abbatis in Alba Domi-

norum, deinde in Mulbrun et Paris. Abbatiam resignavit, Albam Dominorum reversus, ibique sepultus. R. I. P. A. 1523.

. Annivers. D. Wilhelmi militis de Werde (id est huius defuncti et

in claustro sepulti sic) et progenitorum. commem. Dedicatio et Patrocinium in nostra Grangia s. Barbarae in Buchs. vide fol. 72 et 83. Obiit Joannes XXII papa, B. n. 1334.

S. Barbara compatrona filialis Eccl. nostrae in Vrnsheim.

. Mem. Othonis Romanor. regis, B. n. 1218. . Nicolai episc. confess. XII lect. MM. + Mulbrunae, vbi est patronus. Sermo.

Memor. fratris Nicolai Strus, monachi n. 1377.

. Annivers. Heilmut Relictae Volmari Sünders de Marckolzheim, civis

in Schlettstatt et progenitor. suor. Commem.

. Memor. D. Ymmonis Sacellani Altaris s. Nicolai in Egisheim 1320.

E. D. fratris Henrici de Liechtenberg, monachi nostri 1320.

. Obiit Anna uxor D. dicti Bezzelin de Rubeaco, sepulta in claustro

1306. E D. Obüt Sigismundus Cesar, Rex Bohemiae, B. n. 1437.

160. Mächtiges Geschl. aus Illzach b. Mülhausen 1227—c. 1429 (Knobl.' 43).

1602, Noch daselbst 1501, Urk. des Pair. Priors Johann (BAC).

161. Gibt 1354 Befreiung von verschied. Abgaben, erneuert die Privilegien von 4 seiner Vorgänger, ed. H II, 290—98.

1612. H, der dann weiter unten z. gleichen Tag u. J. die Notiz eines Wilielmus miles de Widen bringt. Vgl. 3. Dez.

162. Aus Vaihingen, würt. O.-A.-Stadt sö. Maulbr., Abt 1504—12.

Fol. 72 v.

Fol. 72br.

Fol. 72b v.

Fol. 73 r.

13.

14.

15.

16.

17.

18.

94

Ob. Fridericus IL‘* imperator, Rex Siciliae, magnus B. n., cuius etiam favore et gratia vineas in Morswilre habemus.

Obiit D. Anselmus Rector, sepultus in claustro.

Hodie D. Telamonius episc. Tripolitanus, suffragan. Basil, decretum fecit, ut dedicatio eccl. nostrae S. Severi in banno Benwiler, Katzwangen vulgariter dictae, nobis incorporatae deinceps in festo s. Severi, die 22 octobr. quotannis pera- geretur. Datum Basillae. M. D. IX.

Memor. fratris Conradi, mon. nostri 1377.

Memor. Rev. D. Ludovici‘” Abbatis in Paris. R. I. P. A.

Ad magnificat antiph. O Sapientia.

Obiit Conradus Volco, sepultus in eccl. conversorum 1368.

E. D. Obiit Anna, soror fr. Henrici de Ellenwilre, sepulta in eccl. conversorum.

Mem. D. Friderici comitis de Ferreto, advocati nostri 1218.

[E. D. Obiit D. Christianus Buchinger, consul in Kiensheim, pater D. Bernardini abbatis, iurium nostrorum defensor. Com. et missa], pro cuius anniversario habemus 3. om. vini de vineis in Sigoltz- heim im Ebenich 1631.

. Ob. Urbanus V. papa'“, B. 1373. . Mem. Annae dictae Meyerin, residentis in Colmar, parentum et

progenitorum eius 1358.

[Mem. venerab. P. Benedicti Lorillard, Bruntrutani senioris huius domus, sepulti in choro apud R. P. Bernardum Maffre, priorem et magistrum novitiorum. R. I. P. A. 1676].

. Mem. fr. Philippi Kebdt de Brettheim, Mulbrunensis, provisoris Gran-

giae S. Barbarae in Buchs 1411.

. Mem. D. Joannis militis de Thune, residentis in Thurckheim et

Agnetis sororis suae, relictae Rudolphi militis de Wegsode (1362). Obiit D. Wezelo miles de Blicksperg'*, sepultus ante capitulum 1332

. Mem. N. de Richenberg quiescentis in claustro. . Nativitas D. n. J. Chr. XIl lect. NMM. Sermo t.

Mem. Heilwigis de Keisersperg, sepultae in Eccl. conversorum.

166. Zollfreiheit eines Schiffes auf dem Rhein 29. Nov. 1214 (H 1. c., B-F. Regest. 768), Schutz Apr. 1219 (B-F. 1010, ed. H), Bestät. einer Schenkung seines Vogts Friedr. v. Schauenburg 17. Mai 1220 (B-F. 1130), Steuerfreiheit 15. Febr. 1230.

167. Ludwig II. 1354 + 1368.

168. Bestät. die durch Bisch. Joh. v. Lichtenberg vorgenom. Inkorporation der Kirche von Widensolen 1363 (uned., B. Kopiar).

169. H— R. Plixburg b. Türkheim; Adel 1281 ; dieser anscheinend der Letzte (vgl. Knobl.! 14).

95

26. Mem. fratris Henrici dicti Carnificis, professi Lucellensis et Pari- siensis 1418. 27. Mem. fratris Joannis, conversi nostri 1318. 28. Mem. dicti Better, sepulti in eccl. conversorum. Thomae Cantuar. episc. et mart. Ord. nostri. XII lect. MM. Mem. fratris Bernardi Sutoris, monachi et vicarii nostri in Türck- heim 1536. E. D. Obüt Venerab. P. Henricus Fusier‘'”, Bruntrutanus, mona- chus et sacerdos Lucell., quondam prior in Paris 1629. 30. Missa Puer natus. Mem. D. Adelheidis de Keisersperg, sepultae in eccl. conver- sorum. Fuit secunda uxor D. Joannis militis dicti Köber 1300. 31. Mem. fr. Nicolai Schurer, monachi nostri 1420.

Absolutae sunt hae Tabulae a me F. B. A. M. P. 8. April 1650 [= fratre Bernardino abbate Mulbrunensi Parisiensi].

170. Prior 1624—29.

Fol. 73 v.

Personen-Register.

Betrifft nur den Text des Nekrologs. Die Vornamen sind nur berücksichtigt, wenn Familien-Namen fehlen. Die römischen Ziffern bezeichnen den Monat.

A.

Adelheid, 4. VII

Albert, König 1. V.

Abt 25. VI.

Alexander, papa Ill, 27. VIIL

papa IV, 25. V.

Amberg, Johann. 21. IX.

Am Graben, Anna u. Nikolaus, 27. VII.

Andolsheim (Ansolzh.), Adelheid, Sigfried, 1. L

Johann, 1. XI.

d’Antoville, Olivier, 17. IV.

Appenweiler, v. Johann, 9. IV.

Aquis, de Tilmann, 16. V.

Awelin, v. Agnes u. Albert, 17. VIN.

Johann, 12. X.

B.

Balgan, v. Ulrich, 17. VI. Balthasar, Prior, 27. VI. Basel, v. Wernher, 3. II. Baumann, Johann, 8. 1.

Bayern, v. Ludwig Cäsar, 11. X.

Bebenhaurer Vit., 13. II.

Beisser, Jakob, 23, VII.

Benedikt, pap. XI, 26. V. Berckheim, v. Adelheid, 12. II. Bergholz Hasso, 6. IX.

Berner, Nikolaus, 26. IX. Bernhard, Konverse, 11). V.

Berod, Johann, 24. IX.

Berthold Abt, 28. V.

Konverse, 24. IX.

Berwart, Wezel, 12. IV.

Berwertin, Guta, 25. IL

Besserer, s. Könsheim.

Betscheler, s. Kaysersberg.

Better, N., 28. XIL

Beuttener, Heinrich, 19. IL

Beyer, Bernhard, 25. X.

Bezzelin v. Rufach, Anna, 12, XI

Bilgerin Guta, 6. IX. |

Bircka, v. s. Münster.

Blicksberg, v. Wezel, 23. XIL

Blienschweiler, v. Anna Dietrich u. Meza, 1. Il.

Bertsch Gros, 7. VII.

Konrad, 30. VI.

Böler, Heinrich, 18. IV.

Bolene, v. Anna, 12. XII.

Bonifaz, pap. VII, 11. X.

Brant, Andreas, 11. XII.

Bregenzer, Othmar, 27. IX.

Breisach, s. Colmar.

Brender, Martin, 4. XI.

Bretten, v. Nikolaus, 20. VIL

Brune, Mönch, 26. IX.

Adelheid u. Nikolaus, 18. VIL

Buchlerin, Katharina, 11. Ill.

Buchinger, Christian, 18. XII.

Buckeler, s. Sulz.

Buckin, Gerschina, 15. IIL

97

Buckin, Ottilia, 12. II. Burggrave, Sigfrid, 10. VIIL Burrus, Johann, 21. XI.

C.

Carnificis, Heinrich, 26. XII. Cazewangen, Günther, 25. IL Celle, s. Zell. Cerdo, Nikolaus, 10. VIIL Christian, Abt, 21. V. Cimiterio, de Anna u. Johann, 31. V. Clemens, pap. V, 20. IV. Collinchair, Claudius, 25. Ill. Colmar, v. Johann, gen. v. Brei- sach, 28. VII. Coria N., 11. IL Cunzo, 12. 1. D. Dagsburg, v. Albert u. Hugo, 12. XL Dietrich, Abt, 21. IV. Mönch, 12. V. Bertha, 13. VII. E.

Egelolf, Prior, 7.1. Egisheim, v. B... 16. VIL

Clara Katharina u. Bertha, 10. XI.

Gertrud, 6.11. Johann, 11. VII. Peter, 10. II. Ulrich, 12. XI. Eggs Wibert, 21. IIL Ellenweiler, v. Anna u. Heinrich, 17. XI. Elisabeth u. Heinrich, 6. VIII. Konrad, 30. V. Elsenheim, v. Itta, 30. V. B. XXII. (M.)

Ensisheim, v. Burchard, 24. I.

Gisela u. Burchard, 19. VII; 3. IX.

Gisela, 4. II; 12. XL

Entenfues, Johann, 4. Il.

Eschbach, v. Ulrich, 15. V.

Eugen, pap. III, 8. VII.

F.

Fabri, Johann, 3. IL.

Falkenstein, v. Johann, 2. VI. Ferdinand, Kaiser I, 26. VIL Firmant, Nikolaus, 23. VIII. Flörchingen, v. Egidius, 29. L Freiburger, Kaspar, 18. Ill. Freuertisch, Anton, 19. VII. Friedrich, Kaiser Il, 13. XI.

Mönch, 20. VII.

Fusier, Heinrich, 28. XII.

G.

Geberschweier, v. Johann, 22. [IL Geispolzheim, s. Unbölder. Geroldseck, v. Adelheid u. Kon- rad, 15. V. Elisabeth, 17. I. Götzel, Jakob, 13. VIII. Graben, s. Am Gr. Greder, Jakob, 20. VII. Gregor, Papst, 11.1. pap. IX, 22. VII. pap. XI, 2. VI. Grewin, s. Könsheim. Gros, Johann, 26. I. Jakob, 7. XI. Jakob u. Hanseman, 5. II. S. auch Trut. Gundolsheim, v. Agnes, 20. Ill. Wernher, 12. XI. 7

98 Gutenburg, v. Adelheid, Egelolf Horburg, v. Berthold, 18. I.

u. Ulrich, 283. X. Gyrr, Wernher, 27. IL

H.

Habsburg, v. Rudolf, 22. VII. Hageneck, v. N., 24. X. Hagenthalin, Anna, 1. IL. Hailbronn, Ulrich, 14. XI.

Halle, v. Georg, 8. IX.

Händ und Füss, v. Peter, 19. VII. Hanser, Jahann, 8. IX. Hartmann, Abt, 23. V. Hasenburg, v. Heinrich, 1. IV. Hattstatt, v. Albert, L V.

Fritschemann, 9. I.

Johann, 1. IX.

Konrad, 12. XII.

Willina u. Heinrich, 1. VI Haug, Martin, 3. IV.

Heidler, Georg, 25. VII. Heinrich Kg., 15. VII.

Abt, 9. III.

Prior, 20. XI.

Mönch, 17. IV.

Konverse, 26. IX.

aus Colmar, 22. VII.

Laie, 5. 1.

Helfenstein, v. Georg, 24. I. Henselman, Thomas, 18. II. Herckheim, v. Heinrich, 31. III. Herzog, Johann, 7. VII. Heuslin, Benedikt, 8. II.

Hezelo, Abt, 8. V.

Hinderer, Eberhard, 14. V. Hohnac, v. Dietrich, 18. VII. Gertrud u. Dietrich, 19. VI. Honorius, Papst, 18. II.

pap. IV, 3. IV.

Kunza, 6, XI. Hugue, Franz, 21. IX. Humbert, Mönch, 1. XL

L

Illzich, v. s. Kaysersberg. Ingersheim (Oengersh.), v. Elisabeth u. Ebbo, 1. IX. Gerina, 7. X. Johann, 5. IX. Ingweiler, v. Johann, 13. IX. Nikolaus, 24. IL Innocenz pap. II, 24. IX. pap. Il, 17. VII. pap. VI, 192. IX. Inservitor, Adelheid u. Berthold, 27. II. Isner, Hannemann, 9. IL Ita, 4. VII. J.

Jacob Subprior, 8. VIII. Mönch, 26. VII. Johann pap. XXII, 3. XIL. Abt I, 1. VII. Abt II, 29. VII. Prior, 23. II. Konverse, 27. XIL, 2. L Jos, Leonhard, 16. VII. Julianus, Kardinal S. Laurent. in Lu- cina, 19. III. K,

Kabur, Heinrich u. Gisela, 24. VIL Karl, Kaiser IV, 29. XI. Kaysersberg, v. Adelheid, 30. XII

Hedwig, 25. XIL

Hesso, 8. XL

Peter, 15. II.

Ulrich, 23. IV., 1. VIL

99

Kaysersberg, v., Bescheler v. K., Ulrich 1. VIL Illzich v. K,, Anna, 27. XI. Kurtze v. K., Andreas, 10. XL Johann, 9. V. Walter, 11. IX. Wernher, 7. II. Wilhelm, 4. 5. Münster v. K., s. Münster. Röber (Rouber) v. K., Adelheid, 10. XL Heinrich, 20. VIIL Johann, 15. XI., 30. XII. Kebdt, Philipp, 21. XII. Keller, Joh. Benedikt, 17. XI. Kienzheim, s. Kôonsheim. Kilchtorin, Elisabeth, 18. IL Greda, 22. L Kirkel, v. Konrad, 1. VII. Kirsperg, v. Johann, 20. IL. Knobloch, Johann, 6. II. Knöringen, v. Heinrich, 28. IV.

Köblerin, Egina u. Katharina, 3. V. Köfelin v. Königshofen, Johann, 9.

XL Kogenherr, Johann, 1. VL Könsheim, v. (Kienzheim) Bertha 29. III, 22. IX. Cuno, 28. XI. Gertrud u. Hesso, 4. IV. Gisela u. Hesso, 15. IX. Gisela, 5. VIII. Heinrich, 17. VII. Hesso, 24. IL, 16. IV.

Besserer v.K., Heilwig, 16. XI.

Konrad, 12. VIL

Grewin v. K., Adelheid, 31. VII.

Koler, Walter, 25. IX. Konrad König, 22. V.

Konrad, Abt 1,7. IL.

Abt II, 22. XL

Mönch, 15. XII

Konverse, 14. VII.

Kuefer, Konrad u. Elisabeth, 14. L Nikolaus, 1. I.

Kunegund, Schwester, 11. V. Kylian, Pfarrer, 7. V.

L.

Landose, Hedwig u. Walter, 16. II. Langer, Heinrich, 20. XI. Leimer, Heinrich, 20. 1. Lenzingen, v. Johann, 22. VIII. Leonberg, v. Ludwig, 28. XI. S. auch Torite. Lichtenberg, v. Heinrich, 8. XIL Lorillard, Benedikt, 20. XII. Los, Theobald, 20. IL Loselin, Heinrich, 12. Il. Lothringen, v. Theobald, 21. II. Lobgasse, v. (Loubg.) Anna u. Werner, 3. X. Lucius, pap. III, 25. XI. Ludwig, Abt, 12. VIL, 16. XI. Lupfen Stüblingen, v. Johann. Eberhard I. Eberhard II. Anna. Elisabeth. Heinrich. Johann. Magdalena. Sigina. Sigismund, 14. XI. Lutold, Bischof, 16. IX. Mönch, 20. L

10

Maffré, Bernhard, 8. X., vgl. 20. XII.

Mainz v. Johann, 8. V.

Martin Papst, 29. III.

-— Abt, 23. VII.

Konverse, 20. VII.

Martinus Gall, 30. X.

Marquard, Konverse, 9. IX.

Masmünster, v. s. Brender.

Matthaeus, German, 18. X.

Mönch, 13. XI.

Maximilian, Kaiser, 12. 1.

Meginheim, Konrad, gen. Scriptoris, 94. X.

Merdinger, v. -— Konrad, 31.1.

Meyer, Wendelin, 2. XI.

Meyerin, Anna, 20. XII.

Gerina, 17. IL

Meziger, Konrad, gen. Gros, Kuenze u. Meza, 24. IX.

Elsina u. Heintzelin, 10. VII.

Heinrich, 23. II.

Michel, Bertha u. Werner, 28. VII.

Minreweiler, v.— Adelheid, Konrad u. Hedwig, 4. V.

Mittelweiler, v. Berner, Simon u. Walter, 21. V.

Möringer, Johann, 11. IL.

Moger, Sebastian, 7. X.

Molsheim, v. Katharina, 23. VI.

Münster, v. Agnes, 29. VIL

Konrad, 6. Il.

v. Kaysersberg, Hedwig u. Sig- fried, 21. I.

v. Bircha, Elisabeth, 17. XI.

Munzenheim, v. Katharina, 30. IV.

Murwe, Cuno, 3. VIII.

N.

Nachtigall, Heinrich, 22. IV. Nadler, Lorenz, 21. VIIL Nell, Johann, 24. VI Neuenburg, v. Agnes, 17. XL Jakob, 15. VI. Neuenstein, Agnes, 29. X. Nicolaus pap. IV, 4. IV. Abt, 24. [IL

Mönch, 17. IX.

Konverse, 4. IX.

Nies, Nikolaus, 2. III. Nüfen, Othmar, 7. IV.

O. Ochsenstein, v. Otto, 2. IX. Oeffenlin, Heinin u. Greda, 29. IIL Oengersheim, 3. Ingersheim. Oettinger, Stephan, 17. X. Okerme, Benediktina u. Rudolf, 27. X. Ostheim, v. Adelheid u. Heinrich, 25. V. Ottilia, aus Colmar, 22. VIIL Otto, König, 5. XII.

P.

Paris, v. Adelheid u. Walter, 5. XL

Peter Pfarrer, 24. IL Mönch, 18. 1. Konverse, 28. II.

Petersche, N., 23. IV.

Pfirt, v. Bertha, 10. XII Friedrich, 18. XII. Ludwig, 12. XII. Ursula, 14. XI

Philipp König, 21. VIL Prior, 5. VI.

Pius, pap. Il, 14. VIIL

101

R.

Raboldey, Mangold, 8. VI Rappoltstein, v. Anselm, 15. 1.

Bruno, Hugo u. Ulrich, 15. VIL

Johann jun., 17. IL Ulrich, 11. IV.

Rappoltsweiler, v. Anselm, 21. VI.

Berthold, 8. IIL, 16. X. Enselin u. Gertrud, 15. IV. Herzlanda, 14. XI.

Rathsamhausen, v. Philipp, 25.

IL.

Rebmann, Gertrud u. Sigfried, 8.

IV.

Rector, Anselm, 14. XII. Regis (Rex), Berthold, 6. IV. Reichenberg, v. N. 24. XII. Reichenstein, v. Guta, 5. XI

Hugo, 10. II.

Hugo u. Ita, 4. II.

Itta, 29. III, 22. IX.

Johann, 3. I.

Petermann, 10. IV. Reichenweier, s. Berwerlin. Reuboldus, Mönch, 26. X. Reutter, Heinrich, 16. VII. Rheno, de Konrad, 11. X.

Richlerin, Guta u. Heitschmann, 18.

Y. Roder, Ulrich, 4. VII. Röber, s. Kaysersberg. Röfllingen, Johann, 19. V. Rosenbach, v. Heinrich, 7. VI Roswag, v. Berthold, 6. V.

Rotenburg, v. Elisabeth, 14. XI.

Ruedlin, Jakob, 4.1. Ruescher, Johann, 28. VI. Ruetschelin, Konverse, 6. X.

Rufach, v. Algolz u. Wernburg, 18. IV. Guta u. Konrad, 26. IV. S. auch Bezzelin.

Rupert, König, 13. VIIL

Ruppus, Christmann, 24. V.

Salm, v. Heinrich, 10. VII. St. Deodato, de Anselm u. Nico-

lata, 11. XL

Hedina, 11. XL St. Gregorio, de Wiggram, 12.

IN.

Salzmüter, Adelheid u. Jakob, 13.11.

Jakob, 8. X.

Konrad, 27. XI. Schaffnerin, Elsina, 15. X. Schaller, Christof, 1. X. Schauenburg, v. Friedrich, 17. V. Scheppelin, Andreas, 22. X. Scheurer, Nikolaus, 28. I. Scheurerin, Mechtild, 5. Il. Schindeler, Burchard u. Meza, 4. VI. Schlettstadt, v. Bertram, 19. I. Ulrich, 29. X. Schönerin, Hedina, 9. VII. Scholaris, Johann, 16. VI. Scholl, Michael, 2. XII. Schongerd, v. Konrad, 19. IV. Schreiber, Johann, 1. III.

Meza u. Hedwig, 8. V. Schreuberlin, Johann, 9. II. Schueler, Ulrich, 5. V.

Schultheiss, Hennin, 21. III., s. auch Sculletus.

Schurer, Nikolaus, 31. XII.

Schurptag, Peter, 22. IX.

Schwarzach, v. Hermann, 7. I.

102

Schweighausen, v. Nikolaus, 12. XIL |

Schytz, Edmund, 30. IV.

Scriptoris, s. Meginheim.

Scrutan, Greda, Peter u. Greda, 27. V.

Scultetus, Nikolaus, 28. I.

N., 20. IX.

Sickerlin, Jakob, 6. IV.

Sigismund, Kaiser, 9. XI.

Konverse, 26. VI.

Sigolsheim, v. Billung, 5. I. Walter, 26. IL

Simlerin, Margaretha, 20. II.

Simon, Mönch, 13. IV.

Sixtus, pap. IV, 12. VII.

Spiegel, Johann, 16. II.

Steigerin, Anna, 30. III.

Stenzel, Johann, 6. V.

Stifter des Klosters, Gedächtni .

tp edächtnis, 12

Stör, Burchard u. Belina, 6. XI. Jobann, 4. X.

Strassburg, v. Nikolaus, 9. II.

Strauss, Morand, 23. I.

Streit, Bernhardin, 6. X.

Strus, Nikolaus, 6. XII.

Stühlingen, v. s. Lupfen.

Stuelmüller, Rudolf, 10. X.

Sünderbach, Konrad, 28. IV.

Sünders, Heilmut u. Volmar, 7. XII.

Sündlerin Husa, 15. IL

Sünzheim, v. Konrad, 5. IV.

Sulz, v. Berthold, 28. II; 29. VI. Buckeler, Johann, 6. IL

Sulzbach, v. Heinrich, 25. I. Wiggram, 13.1.

Sulzmatt, v. s. Werde, an dem.

Sutor, Bernhard, 28. XII.

Syber, Andreas, 13. X. Symundin, Katharina, 7. Il. Syüentzin v. Glattern, Anna, 25. IV.

T.

Taugnach, v. Hatsche, 17. IL

Teck, v. Berthold, 26. XL

Tegenhard, Abt, 14. VL

Theinheim, Heinrich, 29.1

Thomas, Mönch, 14. IV.

Thune, v.— Agnes u. Johann, 22. XII.

Tielmann, Abt 29. IV.

Töritz, Heinrich, 16. VII.

Konrad, 18, VI.

Truchsess v. Rheinfelden, Anna u. Wernher, 12. X.

Trut, Joh. gen. Gros, 5. V.

Trutmann, Mönch, 26. II.

Tuselingen, v. Hedwig, 17. VL

V.

Uffholz, Johann, 1. IV. Ulrich, Abt, 28. V. Umbstatt Johann, 18. VII. Unbölder v. Geispolsheim, Hugo, 20. I. Ungerer, Meza 24. XI. Urach, v. S. Konrad, 30. IX. Urban, pap. IV, 2. X pap. V, 19. XII. Urbeis, v. Ita, 11. II.

V.

Vetter, Wilhelm, 19. XI.

Vilhecker, Konrad Adelheid Katha- rina u. Heminde, 10. VI.

Villingerin, Agnes u. Meza, 21. L

Vind, Ludwig, 14. VI.

Vögtin, Anna u. Fina, 18. VII.

103

Voglerin, Mechtild, 15. U.

Volco, Konrad, 17. XII.

Volcolzheim (Volgesh.), v.— Peter, 6. 1.

Rudiger, 2. 1.

Vro Christine, Johann, 30. I; 9. III.

W.

Waldorf, Friedrich, 18. X. Wangen, v. Agnes, 11. IX. Wegsode, v. Rudolf, 22. XIL Wehelin, Johann, 27. L Weingart, Melchior, 13. IL Werd, v. Heinrich u. Sigebert, 19. X. Hennemann, 16. 1. Wilhelm, 5. XI. Werde, an dem Rudolf, 3. VI. Wilhelm, 1. 3, XI. Elisabeth u. Friedrich v. Sulz- matt, 30. I. Werner, Abt, 16.1. Wezelo, Abt, 22. VIL Wiblispach, Margaretha, 7. VIII. Wiggram, Schultheiss, 15. IIL Wilde Bernhard, 14. IX. Wilbelm, Mönch, 5. X.

Wilre, v. Gerina u. Katharina, 22. VI.

Gertrud u. Katharina, 16. IIL

Wineck, v. Heinrich, 24. VIL

Winsheim, v. Johann, 15. VII.

Winzenheim, Adelheid u. Konrad, 29. VII.

Wippingen, v. Gerhard, 16. IV.

Wolfgang, Mönch, 28. V.

Wolebe, Johann 29. X, 17. XI. Walter, 30. XL

Wyd, Jakob, 6. IL

Y. Ymmo, Priester, 8. XIL

Zabern, v. Ludwig, 8. IV.

Zatz, Johann, 29, V.

Zebolle, Hedwig, 11. VI.

Zeis, Peter, 22. Il.

Zell, Jobann, 13.1.

Zen guten Kinden, Nikolaus, 20. X.

Zuffenhusen, Johann, 14. X.

Zum Thore, Agnes, 26. IX. Berthold, 2. IL.

Die Pfarrei Jedersweiler.

Einleitung.

Jedersweiler, heute Jettersweiler und zum Kanton Maursmünster ge- hörend, war von jeher ein kleinerer Ort. Wie dortige Einrichtungen einer Besprechung mögen wert sein, leuchtet darum nicht gleich ein; wird aber berücksichtigt, dass diese Einrichtungen und Gebräuche zum grossen Teile auch sonstwo bestanden, so gewinnen unsere Aufzeich- nungen dadurch einen allgemeinern Wert, dass sie uns ein konkretes Bild von der einstigen Stellung eines Dorfpfarrers, sowohl zu der Bauern- schaft, als zu dem Inhaber des Patronatsrechtes der Pfarrei liefern.

Jedersweiler lag im Amte Kochersperg und gehörte mit seiner Filiale Krastatt zu dem Landkapitel Betbür. Es besass nach Grandidier (ÉL ecclés. du dioc. de Str., p. 36) schon 1454 ein der Abtei Maursmünster einver- leibtes Rectorat mit einem Plebanat, zu dem der Abt ernannte, und einer Frühmesserpfründe. Krastatt hieng damals pfarrlich noch von Wasselnheim ab. Unsere Mitteilungen über Jedersweiler beruhen beinahe ausschliesslich auf einem im dortigen Pfarrarchiv befindlichen Register mit der Über- schrift «Liber vilae parochiae Idersweyler, ex antiquo descriptus 1617».

Den Abschreiber aus dem alten Pfarr- oder Seelenbuch verrät uns folgende von dem Kämmerer Peter Bauer, aus dem Protokollbuch des Kapitels, auf die vordere Decke eingetragene Notiz: «Anno 1612 erat in Jettersweiler parochus sacerdos saecularis, nomine Joannes Brassel, Tabernensis, venerabilis capituli (Betburensis) deputatus. Anno 1630 erat in Jettersweiler parochus sacerdos saecularis, nomine Michael Woltz, et hic primae classis.»

Wolz war Brassels unmittelbarer Nachfolger, denn wir begegnen diesem noch am 7. Sept. 1628 im Zaberner Stadtarchiv (L. 437, A. fol. 68) als Pfarrer zu Jettersweiler. Im Liber Vitae tragen zwei Aufsätze Brassels Unterschrift. Indem sie von der nämlichen Hand sind, wie alle aus dem alten Buche übernommenen Urkunden, kann über die Anlegung des neuen Registers durch Brassel nicht der geringste Zweifel bestehn.

Beiläufig sei hier bemerkt, dass 1590 ein Johan Brassel Stadtmüller in Zabern (Stadtarch. L. 428) und 1630 (ibid. L. 436) ein Marzloff Brassel Müller in Rohr war.

106 1. Kalender und kirchliche Gebräuche.

Januarius. 1 Circumcisio Domini. Octava Stephani; 3 Octava Joannis; 4 Octava Innocentium; 6 Epiphania Domini; 8 Erhardi Ep.; 10 Pauli primi Eremitae; 13 Hilarii ep.; 16 Marcelli papae; 17 Anthoni confes- soris; 20 Fabiani et Sebastiani: Fraternilas Maurimonasterii ; 21 Agnetis Virginis; 22 Vincentii M.; 25 Conversio Pauli.

Februarius. 1 Brigidae Virg.; 2 Purificationis; 12 Eulalise Virg.; 14 Valentini Ep.; 16 Julianae Virg.; 33 Vigilia; 24 Maihiae Apostoli

Semper feria post Cinerum eril angaria quatuor lemporum'. Ei habet plebanus in Jedersweiler deservire 1 B in Reinacker sabbatho 4. lemporum, et est quarlus in ordine specificalus.

Martius. 4 Adriani Mart.; 7 Perpetuae et Felicitatis; 12 Gregori papae. Ciriaci et sociorum; 25 Annuntiationis B. M. Virg.

Semper feria post dominicam Invocavit peragelur fraternitas capi- tuli in Maursmunster, et conveniunt sacerdotes istius anguli celebrando, et habel sacerdos prandium el vesperlinam collationem.

In diebus B. M. V. annunciationis et assumplionis, sacerdos loci celebret in Reinacker, et est quarlus in ordine specificatus.

Omnis colonus curiae B. M. V. in Jedersweiler tenelur ex inslilu- tione, pauperibus dare spipendium (stipendium) in bona sexla feriä vel in sexla poenosä’, de quibusdam bonis quae idem possidet speclanlia ad eamdem curiam.

Aprilis. 3 Translatio Florentii; 4 Ambrosii ep.; 11 Leonis papae; 14 Tiburtii et Valeriani; 20 Victoris ep.; 23 Georgü Mart.; 25 Marci Evang.; 28 Vitalis; 30 Quirini Martyris. Vigilia.

Semper feria 6'° ante dominicam Misericordia Domini, celebratur festum lanceae et clavorum et fit magna processio in Reinacker. Semper sabbatho post dominicam Quasimodo, celebratur festum compassionis B. M. Virginis.

Maius. 1 Philippi et Jacobi; 3 Inventionis crucis; 4 Floriani ep.; 6 Joannis ante portam latinam; 8 Victoris; 10 Sophiae; 11 Gangolphi

1. Angaria, Frondienst, daher der sonderbare Ausdruck «angaria quatuor tempo- rum», für die Fronfasten zu den 4 Jahrzeiten. Bekanntlich bedeutet «Frön» ursprüng- lich Herr (goth. frauja). Fronarbeiten waren solche, die für die Herrschaft geschahen; die Fronfasten hätten darum heissen können «Jejunium Domini» (Fronleichnam = Corpus Domini). «Angaria» ist aber ganz verfehlt.

2. bona sexta feria, der gute, auch stille Freitag (Charfreitag, engl. good Friday); Jeria sexta poenosa, der schmerzhafte Freitag (Freitag vor Palmsonntag).

108

Semper in festo Michaelis est patrocinium et vera dedicalio in Furch- hausen, et si festum hoc cadat in feriam sexlam, transfertur (spälere Hand: dedicatio) in dominicam sequentem.

October. 1 Remigii ep.; 2 Leodegarii ep. et mart.; 6 Fidis Virg.; 9 Dionysii et sociorum; 14 Callixti papae; 15 Aureliae Virg.; 16 Galli con- fessoris; 18 Lucae Ev.; 21 Undecimmille Virginum, Wandalini; 25 Crispi et Crispiniani mart.; 27 Vigilia; 28 Simonis et Judae Apostolorum; 31 Quintini.

November. Omnium Sanctorum; 2 Commemoratio animarum;; 8 Pir- mini ep.; 6 Leonhardi confess.; 7 Florentii ep. argent. (A plerisque in Haslach visitatur); 11 Martini ep.; 18 Briccü ep.; 16 Othmari abbatis; 19 Elisabethae Landgraviae; 21 Prasentatio B. M. Virginis; 22 Cœciliae Virg.; 23 Clementis mart.; 25 Catharinae Virg.; 26 Conradi ep.: Hodie debel peragi anniversarium in Reinacker, dicti Petri, advocati quondam in Einhartshausen (Pfalzburg), de quo cedit sacerdoti 1 B secundum inslitulionem libri vilae ibidem ; 30 Andreae Ap.

Notandum quod hæredes quondam dicli Adams Dietrichs in Jeders- weyler tenenlur ex instilutione dare spipendium (sic) in die S. Catharinae de quibusdam bonis quae possident.

December. 3 Athalae Virg.; 4 Barbarae Virg.; 6 Nicolai Ep.; 8 Con- ceptio B. M. Virg.; 10 Eulaliae Virg.; 13 Othiliae Virg.; Luciae et Jodoci: Feria 4 post, eril angaria 4 lemporum, et sabbatho habel plebanus de- servire 1 ß in Reinacker, el est 4“ in ordine specificatus; 17 Adel- heidis imperatricis; 21 Thomae ap.; 24 Vigilia; 25 Nativitas Domini; 26 Stephani; 27 Joannis Apostoli; 31 Silvestri.

De ritu ecclesiastico et missarum celebratione.

Alle Sambstag zu Nacht, alle 12 Botten-, alle Unser Frauwenabendt, alle Hochzeitabend', und darnach genannte Tag durch das Jahr, soll man das Salve singen. Alle Morgen der genannten Tag, soll man Metten halten und an den Sonntag vor der Messen, soll man das Saltz und Wasser weyhen. Auch am Sonntag zu Nacht, wann die Vesper usz ist, soll man mit dem Weyhwasser umb die Kirch vor den Gerner gehen und ein De profundis cum collecta sprechen. Darnach gehet man wider in die Kirch und singt das Ave Maria und gibt den Segen.

Am Montag soll man celebrieren Missam pro defunctis, und nach der Messen gehet man abermals mit dem Weywasser umb, wie rechten;

I. Hochzeiten, festa solemnia, oder «dies summae festivitatis», nämlich Ostern, Pfingsten, Allerheiligen, Weihnachten.

110

Tertia feria fiebat' processio in Allenweiler, iam vero in Reinacker, et inde habet prandium a communitate.

Quarta nunquam itur, sed veniebant ad nos plebani de Allenweiler, nunc vero de Crastatt, et praestolatur eos cum celebratione, qua finita conducit eos foras, et inde nihil habet.

In die Ascensionis.

Mane circa quintam horam, fit processio cum SS. Viatico per ban- num et leguntur 4 initia Evang., et post processionem habet a com- munitate prandium et equum.

Feria secunda Pentecostes. Veniunt ad nos plebani de Crastätten cum Sacramento et vexillis. In die Corporis Christi.

Hodie fit processio circiter 7. horam per villam ab extra, et inde

nihil habet. Quivis sacerdos tenetur facere unam candelam ceream

unius librae, ad illuminandum corpus Christi in Ecclesia sub octava, et illud decretum est in Concellaria (1523).

De vino communicanlium.

Quivis procurator ecclesiae debet procurare vinum diebus palmarum, coenae Domini et Paschae, ratione Sancti, et si quid supererit ple- banus potest deporlare aut dare aedituo, si favet.

Vinum quo lavantur altaria dat de certis quibusdum bonis Heintzen Henrich, iam vero Qualter Haas. Si quid supererit potest, si placet, plebanus deportare, vel in ecclesia bibendum dare*.

I. Vor der Reformation.

2. Mit diesen Angaben über die kirchlichen Gebräuche in Jedersweiler stimmen einige Aufzeichnungen im Taufbuch von Lupstein, vom Jahre 1689 überein. Pfarrer Jost, gestorben am 7. Sept. 1712 im St. Margaretenkloster zu Strassburg, vorher während 49 Jahre Pfarrer in Lupstein und dabei über 30 Jahre Erzpriester des Kapitels Betbür, berichtet über die Processionen in Lupstein und Leutenheim, wie folgt:

a) Feria secunda Paschatis itur cum Venerabili processionaliter per bannum in Leutenheim, et parochus percipit pro salario symposium, quod solvit Sanctus ibidem, quod mihi semper fuit visum et etiam nunc videtur absurdum, quia Sancto non itur per bannum, sed sic volunt rustici nec potui corrigere. (N. B. Per D. Vicarium generalem Ratabon abrogatum hoc est, et permisi mihi dari pro salario 7 solid. 6 den.)

b) Festo S. Marci itur cum Venerabili per bannum in Lubstein, et parochus per- cipit 5 solidos denariorum, qui quinque solidi continentur in sua quota annua a Sancto, scilicet 4'}, florenis, ut dicunt rustici, sed ego non credo. (N. B. Eodem die processio ex Leutenheim in Lubstein.)

112

2) Zweitens, sobald der Sigrist, Sonn- und Feirtagmorgens, das dritte Zeichen in die Kirch leiten thuet, so sollen sich under solchem dritten Zeichen, des vierten unerwart, Alle, Mann, Weib, Kind und Gesündt zu und in die Kirchen verfiegen, jedoch kann und mag ein Mensch im Haus verbleiben, und vor Feur und was in der Haushaltung ist, Sorg haben.

3) Drittens, wan dan Jedermann in der Kirchen, das vierte oder leste Zeichen geleuth, der Herr den Umbgang thun wirt, so soll der Dorffbott und Heyligenmayer, Greütz und Fahnen, einer des Gerichts oder sunst, den Weykessel tragen, und so dero keiner vorhanden, bey ir Endschuldigung des Abwesens, so solle der Nechst, er seye wer er woll, solches verrichten, bey Straff 8 Pfennig.

Und sobald dan der Umbgang gehalten, das Ampt der heyligen Mess oder Predig angefangen, so soll von gemelten Kirchenriegern einer in der Kirchen verbleiben, der ander hieraus, im Dorff von Haus zu Haus herumber gehn, besichtigen wer in den Hausern ist, und so mehr als ein Person darinnen, so Leibs halben wohl ausgehn khann, das selbig alsobalden in die Kirch, dem Gottesdienst beyzuwohnen und

Pro solis tribus proclamationibus et testimonialibus dederunt medicum imperialem (später überstrichen).

Pro sepultura et tribus missis dederunt semper, praeter oblata in ecclesia, impe- rialem.

Pro sepultura parvulorum nihil dederunt, quamvis ad aliquod tenerentur.

Quando mulieres eorum in et ad primnm puerperium praemature nimis pepererunt, ut intelligerent se male fecisse et peccasse, curavi mihi dari (et si non de lege el consuetudine scripta, sed tamen bene traditä) saccum novum avenae vel pretium elus, vel aequivalens, et semper solverunt.

1689 wird bemerkt: Non tenetur parochus in summis festivitatibus sacristano seu ludi moderatori dare prandium, quamvis ego ex mera liberalitate eidem dare solitus fuerim.

Wegeñ der Osterzettel schreibt Pfarrer Jost: «N. B. (1682): Dum nobis mandaretur a nostris episcop. consiliariis, ut circa pascha omnibus et singulis daremus schedulas confessionis, easque a parochianis reciperemus ad contestandum se praecepto eccle- siae satisfecisse, cumque parochiani in Lubstein non darent nummum confessionalem, quod tamen pie consuetum est ferme in omnibus provinciis, et ubi non dant in con- fessionali, solent bis (statt einmal, wie dies an den vier «Hochzeittagen» zu geschehn hatte) diebus summae festivitatis in ecclesia offerre, parochiani vero huiates neutrum facerent, ego dum eos hunc in librum inscriberem, ad mandatum superiorum iussi ut simul omnes adferrent nummum confessionalem, quod et fecerunt hactenus, et faciunt.»

Von einem Pferd zum Reiten bei der Prozession, wie in Jettersweiler, ist zu Lup- stein nicht die Rede. Dass der Pfarrer bei der Prozession zu Pferd sass, war im Elsass

nicht selten.

113

abzuwarten weisen; so er aber Jemandt findt, der verbottene Hand- arbeit iebt, als mit Wannen oder dergleichen, dem soll der Kirchen- rieger alsobalden, bey seinem Eydt, dem Schultheisen anzeigen.

4) Viertens, wann alsdann der ein Rieger herumbgangen und in die Kirch kombt, so soll alsdann der ander herumbgehn, und dem vorigen gleich thun.

5) Fünflens, wann nun, wie gemeld, Jedermann in der Kirchen, so soll auch ein jeder vom Anfang bis zum Endt, also lang bis der Priester das Weywasser geben, es were dan dass Jemandt notwendigerweis, welches bey Erkantnuss und Gudachten der Kirchenrieger geschehen kann, hinaus müsste, jedoch dass dieselb Person wider nach jrer Ver- richtung zu dem Gottesdienst khome, verbleiben, bey Straff 8 Pfennig dem Heyligen, der Obrigkeit jre Straff vorbehalten.

6) Sechstens, welcher inmittels des Gottesdienstes ausgienge, und wissentlich nichts zu schaffen, der bessere dem Heyligen 8 Pfennig.

7) Zum Sibenden, der in die Kirch kohmbt, dass der Priester albe- reit die Epistel gelesen, der gübt dem Heyligen ohnnachlässig 4 Pfennig.

8) Zum Achten, der in die Kirch kombt, dass der Priester das H, Evangelium gelesen, der gibt 6 Pfennig.

9) Zum Neunten, oder nach der Elevation, dass man unsern Herren und Gott erhebt hatt, der liffert dem Heyligen 8 Pfennig.

10) Zum Zehenden, wan nun der Pfarrherr nachmittag in die Kinder- lehr leidet und halten will, sobald die Glock geleithet wurt, so sollen Spiel und Kurtzweilen, sowohl in den Wirtshausern als im Dorfl, ein- gestellt und abgeschafft sein; also hat es auch den Verstandt, an den Morgen, wann man in der Kirchen ist, und der darüber erfunden würdt, bessert dem Heyligen 1 Schilling.

Und sodann sollen alle Haushalten jre Knecht, Mägt, Künder, Sohn und Dochter, in die Kinderlehr weisen, und können die Alten eben sowohl hierein gehn, dan sie der guden Lehr sowohl vonnôthen als die Jungen. Und wer also an Kündern und Gesündt nicht in die Kirch kombt, darzu dann die Kirchenrieger, wie obgemelt, gude und fleissige Achdung geben und haben sollen, der oder die, es seye Sohn oder Dochter, Knecht oder Magdt, bessert dem Heyligen, zum erstenmahl 2 Pfennig, zum zweitenmahl 3 Pfennig, zum drittenmahl 4 Pfennig, zum vierten, fünften oder mehrers 6 Pfennig.

Dise Straffen sollen alsobald dem Herren Pfarherrn angezeigt, der sie auffzeichnet, dem Heyligenmayer gibt, welcher sie alsobald in frischer That erheben, und so die Verbrecher die Straff nit legen und sich

B, XXII. (M.) 8

114

widern wolten, dem Schultheissen vorbringen, der bey seinem Eydı alsbalden dem Heiligenmayer darzu verhilfllich sein, oder so er nicht helfen will, aus seinem selbsteigenen Seckel legen, den Verbrecher aber beneben in das Frevelregister setzen soll, und so auch der Schult- heiss sich verwegern, soll er solche Kirchenstraff nicht allein verfallen, sonder auch in der Obrigkheit Straff stehn und ohnnachläslich gestraft werden.

Dessen zu wahrem Urkundt und mehrer Becrafftigung, hab ich under- schribener mein adenlich Insigel zu Endt dieses uffgetruckt und mich selbsten underschriben.

Geschehen den 6. Februarii A°. 1629. (Wie in originali zu sehen, so die Gemeindt under Handen.) JAKOB VON LANDTSPERG.

3. Einkommen des Pfarrers aus der Gemeinde Jedersweiler.

Ein jeder Priester oder Leutpriester in Jedersweiler hatte sowohl den grossen als den kleinen Zehnten zu beziehen (fol. 15). Ersterer wurde gegeben von Frucht und Wein, da hingegen «Flachs, Hanf, Linsen, Bohnen, Erbsen, Füll, Kelber, Lemmer, Schwein, Immen, Obs, auch Heuw», kleiner Zehenten waren.

Der Pfarrer konnte den Zehnten selbst behalten, und war dann «der Gemeindt schuldig zu geben '/, Ohmen Weins zu vertrincken und vor 1 Schilling Weissbrod». Ebenso mochte er denselben der Gemeinde «mit dem Sester verliehen, umb ein Sumen zu liefern». Von letzterm Auswege riet aber Pfarrer Brassel, oder vielleicht schon der ursprüng- liche Verfasser ab, «quia est maxima deceptio».

Ein anderes Verfahren bestand darin, dass der Pfarrer der Zehnten «an zwei oder drei» versteigerte und selbst ihn heimfahren liess, oder dass er denselben an einen oder zwei verlieh, die ihn einzuheimsen hatten.

Wer den Zehnten vom Pfarrer erstanden hatte, war «der Gemeind schuldig zu geben 1 Ohmen Weins zu vertrinken und vor 2 Schilling Weissbrodt».

So war es für den Bann Jedersweiler.

Auch jenseits der Banngrenzen besass der Pfarrer Zehnten, nämlich in Zehnacker, von zwei Acker Feld, und in Crastatt von einer Wiese und von 9 Feldstücken. Diese letztern waren fest vergeben um 3 Sester Hafer, 2 Sester Korn und 1 Sester Weizen, oder um 1 Fiertel Roggen.

Zehntbar war in Jedersweiler sogar das Almend.

Als solches werden aufgezählt: «3 Acker Feld, das Lang Vorhaupt

116

Beilegung des Streites von den andern «darunder» anstossenden Aeckern mit einem Stein unterschieden. Wurde, von dann ab, dem Ssgrist Unser Frauen Hof zu teil, so sollte er «den Zehnten obwendig des Steines sammlen», im entgegengesetzien Falle verblieb dieser Zehnte dem Pfarrer. Hieraus ergibt sich, dass der Pfarrer die «etlichen Acker oberhalb der Obermatt» zu dieser rechnen, und dadurch auch von denselben unter allen Umständen den Zehnten hatte beziehen wollen.

Wenngleich aus des Pfarrers Einkommen besoldet, wurde der Sigrist nicht vom Pfarrer angestellt, sondern vom Praelaten zu Maursmünster. Als dieser 1598 die Stelle unbesetzt gelassen hatte, wurde ihm Vom Officialamisverwalter in Molsheim (foL 30) «sub poena suspensionis be- vohlen, ein gewissen Sigristen zu selzen».

Als weiteres Einkommen des Pfarrers finden wir: Zwei Schilling des Jahrs, «von einem Jahrgezeit mit einer Messe, zwischen Ostern und Pfingsten zu halten, wegen Hammans Clausen seeligen der zu todi ge- schlagen», und wofür ein halb Acker Reben zum Unterpfand verlegt war.

Zwei Sester Roggen, von einem Halbacker Matten under der Bilgers Matten gelegen.

Vier Mass Wein, von 2 Acker im Zimmerheusel gelegen.

Zu all dem kam «das Kirchengut dem Priester allein gehörig».

Wer es baute oder unter Händen halte, gab «jährlich dem Priester 9 Viertel Roggen zu Gilten», ohne Zehnten. «So aber der Hoffmann», heisst es fol. 21, ceinem andern etliche Acker mit Flachs, Rubsamen oder anderm sehen wirde, und dieselbig Frucht in seinen Nutzen nit kheme, so soll dasselbig dem Priester zehenden. Und ist solches erkhant worden 1528.»

P. Anselmus Moser vermietete (17. März 1701) das «Giltgut in dem Bann Jettersweiler gelegen, dem Pfarrer allda zugehörig, unter Zurück- behaltung von 3 Acker Matten und einem Acker Feld, um «3 Fiertel Weizen, 3 Fiertel Korn, 2 Fiertel Gerst und 2 Fiertel Hafer, zu liefern jedes Jahr auf Katharinentag». Der Gültmann Diebold Voltz sollte noch verpflichtet sein «allen Fasel (das männliche Zuchtvieh) in seinen Kosten zu halten», auch, in Ansehung einer so «gültigen und sanften Lehnung», dem Pfarrer das sogenannte Heiligen Stück in stätem guten Bau halten und auf seine Kosten ansähen, und zuletzt, «so der Pfarrherr discreter- weis eines Dienstes wird nöthig sein», ihm an die Hand gehn.

Dieses Giltgut umfasste zu Pfarrer Brassels Zeit, 23 Acker, 8 Vierzel Feld und 6 Acker Matten.

In der Erneuerung von 1664 waren ungefähr 4 Acker Matten mehr

118

haupt der Fall und wird für Jedersweiler in einem Vertrag zwischen dem Rector zu Jedersweiler und der Gemeinde am Freitag nach Appo- loniae 1519, ausdrücklich hervorgehoben. Der ersame andächtige H. Lud- wig Hutsch, damaliger Pfarrherr, erhob, heisst es (c£ 27), «den kleinen Zehnten von Lämmern, Schweinen, Kelbern, Gensen und Obs, auch umb das Vaselvieh zu halten».

Er musste «uff den Genszehenden verzichen», dagegen sollten «die von Jedersweiler das Vaselvieh fürther wie bishero halten».

So war denn das Vaselvieh von Husch, und wahrscheinlich schon von seinen Vorgängern, der Gemeinde zugeschoben worden.

Auf die vor der Kanzlei in Zabern abgeschlossene Vereinbarung von 1519, wird auch fol. 17 des Registers hingewiesen. «Von Nussen- und Gensenzehenden, heisst es dort, ist ein Vertrag zwischen dem Kirch- herren und der Gemeindt geschehen, require fol. 27 et 28.»

Vom Nüssenzehenten ist aber an der angerufenen Stelle keine Rede. Nach der soeben von dort angeführten Meldung folgten 3 Zeilen, die mit fetter Tinte überstrichen. Vielleicht war darin von Nussenzehnten etwas angemerkt. S. 34 kommt abermals eine Streichung von 4 Zeilen vor. Wir geben hier das noch Vorhandene, weil es sich auf den Vieh- zehnten beziehet: «Die 12 Maii 1665, die sancti Pancratii, patroni in Jettersweiler (4 Zeilen gestrichen) .... geben sollen 4 Pfennig. Zahl der Kelber de anno 1664 von St. Jörgentag bis wieder zu selbigem 4665: Schultheis, Kälber 2, Marten 2, der rothe Diebolt hat 1, Hans Uri 2, der Hirte 1. Summa: Kelber 8, thut an Geld 4 Batzen. Lämmer de A°. 64: Schultheiss hat 9, Hans Voltz 2, Adam 12, Martz Blasy 7, Hans Ury 5, Hirten 5. Summa: 40 Stücke, jedes 4 Pfenn., thut 20 Batzen.»

Indem 1519 von der Gemeinde das Abtreten des Gänsezehnten als hinlängliches Entgelt für das Halten des Fasels angesehn wurde, muss die Gänsezucht in Jedersweiler eine sehr ausgedehnte gewesen sein.

Die Gemeinde sollte jedoch durch das damalige Abkommen nicht für immer gebunden bleiben: «Wo jnen oder jren Nachkhomen» heisst es «den Vasel fürther zu halten über kurz oder lang nit gelegen were, und (sie) deshalben widerumb an den Pfarrherr wurden Forderung haben, so soll dem Pfarrherr sein Gerechtigkeit an gemel- tem Genszehenden auch vorbehalten sein.» Weiter wurde verabredet, dass edie von Jedersweiler uss guoder Freindschaft dem Pfarrer aus ierem gemeinen Holtz, so sie darin Wellen hauen, auch ein halb Hundert Wellen davon zu verehren folgen lassen und ihm heimfieren».

190

oder entlehnet, so ist er dem Priester uff S. Georgii des H. Martyrers, den Zehenden von dem selbigen schuldig zu geben, ohne alle Widerred, nach altem Herkommen.» Gleich hierauf folgt die Bemerkung : «Anno Domini 1529, uff Donderstag Georgii Abent, ist zu Zabern in der Can- cellei ussgesprochen worden: So ein Priester zu Jedersweyler einem Schäfer daselbst das Vaselviehe stellet, oder sunst mit jme deshalben uberkhomet, so soll der Schäfer dem Priester den Zehenden schuldig zu geben sein, nemblichen von 10 eins, ohne einige Widerred.»

Der Pfarrer hielt aber auch eigenes Vieh. Er musste hiefür den Hirten- lohn geben, «wie ein ander gemeiner Mann und gehet im kein Viehe ledig vor den Hirten» (fol. 19). Statt «kein» setzte eine interessierte Hand an dieser Stelle «ein» oder «sein», aber die Tinte wurde blass, so dass ein Nachfolger die Fälschung durch eine Anmerkung korrigierte.

4. Das Frühmessergut.

Als im Jahre 1503 (Zab. Stadtarch., L. 212) eine allgemeine Samm- lung für den Bau der Kirche zu Zabern vorgenommen wurde, gab der Pleban in Jedersweiler (Plebanus in Uedersweiler) eine Beisteuer von 13 Pfennig. Ein dortiger Rector ist damals in der Sammlungsliste nicht verzeichnet. Auch 1523 ist in dem schon erwähnten Streit zwischen dem Pfarrer und der Gemeinde in Jedersweiler, nur der Pleban als ım Orte wohnend angeführt.

Der Rektor oder Kirchherr wird wohl auswärts «residiert» haben. Herr Bartholomäus, der damalige Pleban, muss ein ganz junger Geist- licher gewesen sein, denn 1586, also 53 Jahre später, begegnen wir im Zaberner Stadtarchiv (L. 83, fol. 56) wieder einem Herrn Bartholome, als «Pfarrherrn zu Jedersweiler». Mit seinem ganzen Namen hiess er Bartholomaeus Weiss. Er war 1580 Kämmerer des Kapitels Betbür und lebte noch 1589 (Zab. Stadtarch. 424, fol. 163 u. 164). Schon 1550 finden wir neben ihm zu Jedersweiler einen Frühmesser Namens Michael Irpus (Zab. Stadtarch. 419). Derselbe Irpus heisst 1568 (Zab. Stadtarch. 443) weiland H. Michel Irps, Pfarrherr zu Jedersweiler, und ist bereits 4567 (Zab. Stadtarch. 421) Pfarrer in Männolsheim. Sonst dürften der Frühmesser und der Leutpriester in Jedersweiler oft nur eine Person gewesen sein. Auch die Bezeichnungen Priester, Leutpriester und Kirch- herr sind im Seelenbuch nicht immer auseinander gehalten.

Zu Jedersweiler bestand ein besonderes Frühmessergut. Bevor wir uns damit beschäftigen, haben wir, wenn auch nicht zur Erbauung, so doch zur Kennzeichnung der damaligen Zeit, uns weiter über den

m 10

Frühmesser Michael Irpus zu ergehn. Er starb zu Männolsheim im Jahr 1567, zwei Söhne hinterlassend, die er zu Testamenterben einsetzte. Die beiden Knaben, Michael und Felix, liessen die Bücher ihres Vaters, deren wenigstens ein Teil zuerst in Strassburg abgeholt werden musste, von Männolsheim nach Maursmünster schaffen. Sie wohnten in letzterm Orte, bei Ottilia, Niklaus Schreyers Wittwe. Michael, der ältere, entwich nach Hagenau, wo er durch einen Boten aufgesucht werden musste. Bald hernach begaben sich beide Brüder nach Trier. Felix starb 1569 und Michael heiratete jenes Jahr, mit Monika, Diebold Botts Tochter, von Zabern.

Die ärgerliche Aufführung des Pfarrers von Männolsheim muss dem- nach bis in die Zeit hinauf gereicht haben, da er Frühmesser in Jeders- weiler war, Hier ist noch zu bemerken, dass Fälle wie der seinige damals nicht selten vorkamen. Im Zaberner Stadtarchiv ist 1553 (L. 419, fol. 126) die Rede von «Herrn Heinrichs Sturms Dochter; Pfarrherrn zu Minversheim», 1554 muss sich Mathias Anthoni, Kanonikus und Sänger zu Zabern, vor dem Stadtrat als Vater eines unehlichen Kindes bekennen (L. 448). «Herr Peter zu Wilwisheim selig» (1565) hatte ebenfalls eine Tochter hinterlassen (L. 420), Balthasar Lein, 1560 Pfarrer in Kugenheim (L. 83), 1572 (L. 81) aber als «Pfarrer zu Truchtersheim selig» vorkommend, und Johan Scheffner, von Ingenheim gebürtig, ein Verwandter des Kämmerers Niklaus Schmitt (1533), und nach letzterem Pfarrer in Lupstein (L. 444 et passim), hatten jeder einen Sohn. Dies waren traurige Zustände, die vom Bischofe ein strenges Einschreiten erfordert hätten. Aber durch die religiösen Wirren war die Macht der Oberhirten, auch auf dem Gebiet der kirchlichen Zucht, vielfach ge- hemmt. Irpus scheint die jetzt noch stehende Kapelle in Männolsheim als Schuppen gebraucht zu haben. Durch H. Samuel, seinen Nachfolger, wurde, als er «die Gapel hat bauen lassen», auf des Michael und des Felix Kosten, «das Fass herausgemacht» (L. 443). Das hier erwähnte «Bauen» kann, wegen dieses Herausmachens von dort, bloss eine Wieder- herstellung gewesen sein.

Wir kelıren jetzt zu unserm Gegenstande zurück.

Das Frühmessergut in Jedersweiler umfasste, nach der 1629 erfolgten Erneuerung, «zwei Geldgütlin, das ein in Jedersweiler Bann, darvon hat ein jeder Frühmesser, der zur Zeit ist, 8 Fiertel Frucht fallen, nemblich 4 Fiertel Roggen, 4 Fiertel Haber; das ander Geldgütlin ist gelegen in Schweinheim Bann, thut Jahrs 7 Fiertel Frucht, nemblich 3'/, Fiertel Roggen, 3'/, Fiertel Habern». |

19

Dessgleichen hatte der Frühmesser zu beziehn : «It. ein Fiertel Roggen zu Crastätten, von einer Matten genannt die Steigmatt, gelegen im Crastaiter Bann.» Item standen ihm zu: «2'/, Acker Reben... . einer am Dorff, im Rebmesser genant, ... zinst Jahrs ‘/, Ohmen Weins; der ander in den Niederreben, zinst auch ‘/, Ohmen Weins; der dritte, ist Reben gewesen, ‘/, Acker am hellischen Berg.»

Folgt noch von Brassels Hand, aber mit blasserer Tinte, die Bemer- kung: «Diese gedachten 2'/, Acker Reben hat jetzt der Pfarrherr.»

Weiter heisst es, doch mit der vorigen schwärzern Tinte: «Item hatt auch der Frühmesser ein Hoffstatt gehabt, einseit neben dem Allmendt bey dem Pfarrhoff, gegen der Linden, jetzt dem Pfarrhoff incorporiert und zur Scheinen gemacht.»

Der Frühmesser war also gegen das Jahr 1612 schon gänzlich in Abfall geraten. Die Güter der Pfründe werden dessungeachtet von Pfarrer Brassel getrennt aufgezählt; es waren (1629) 39'/, Acker Feld und 3 Acker Matten. Anscheinlich von der Hand des P. Johannes finden wir f. 34 die doppelte Notiz:

«Zimmerhensel von Jedersweiler hat (vom Frühmessgut) uff Assump- tionis 1647 dise 3 Ackher Matten (Spitzmatt, Matte am Ellenbrunnen, Matte am Grossen Allmend) nit lenger als dies Jahr umb 1 Pfund 9 Schill. endiehnt» und: «Uff heut den 28. May 1650, hat Balthasar Walther dieses Frühmessgut (das ganze) gelehnt, davon ackersweis abzurichten was Landtsbrauch sein wirdt, die Matten ausgedingt, und absonderlich sich darumb zu verglichen.»

Brassel hatte das Gut 1629 «nach Uffsagung Diebolt Rieckers, von Herrn Praelaten (zu Maursmünster) angenommen, umb 2 Fiertel Roggen und 2 Fiertel Haberen, den halben Theil, undt in 4 Fiertel alte Gilten gestanden».

Der Abt übte also hier, dem Pfarrer oder Pleban gegenüber, sein Rectorrecht aus, und zog, indem kein eigentlicher Frühmesser vorhanden war, das Einkommen der Pfründe an sich. Später heisst es (f. 20) von den in das Frühmessergut gehörigen Rebstücken: «Ist verlichen worden dem Hans Seltzer das halbe Theil, und das andere halbe Theil Hans Portemich 1685, mit diser Beding, dass sie es 6 Jahr frey sollen ge- niessen; wann aber unterdessen Wein darinnen wachst, sobald solches geschieht, sollen sie jährlich schuldig sein, ein Ehrentrunck dem Pfarrer zu spentieren; nach verflossenen 6 Jahren aber, sollen ein jeder ab- richten ein halben Ohmen; ist protocolliert in der Ambtschreiberey zu Zabern.» 1685 war nämlich der Pfarrer ein Benediktiner, so dass der

12%

In der Aufzäblung der einzelnen Ertragsquellen kommt 3 mal das Pfarrgut vor, nämlich:

a) Item Lippers Andres, vom Pfarrgut, gibt 8 Fiertel (Weizen).

b) It. Vix Metziger hatte geben, so jetzt die Gemeind in Handen und

nichts bishero davon geben, 6 Fiertel (Weizen). Über diesen Teil des Gutes finden wir fol. 49 folgende Bemerkung :

Nota. Das Pfarrgut, so Vix Metziger und darnach die Gemeindt viel Jahr in Handen gehabt und darvon Nichts geben, ist anno 1618, den 28. Aprilis, der Gemeindt umb 3 Fiertel Weizen und 3 Fiertel Habern, 12 Jahr lang verliehen worden, und baben 1618 die erste Gilt, wie sie versprochen, geliffert. Geschehn uff Tag und Jahr wie obstehet, in Beiseyn H. Udelrici Wachendörfers des derzeit Erzpriesters, und Herren Johannis Roderbusch Pfarrherren zue Willgotheim und Deputaten des E. Capituli Betber. Johannes Brassel, parochus in Jedersweiler, m. propria».

c) Lippers Andres, vom Pfarrgut, 7 Fiertel (Weizen).

Lippers Andres hatte der Kirche (fol. 50) auch einen Ohm Wein zu entrichten, weiter einen Schilling 3 Pfennig für seinen Anteil an dem Frauengut (fol. 44) und 1'/, Schilling andere Zinsen. Bei der 1626, den 12., 13. und 14. Mai (fol. 52 ff) durch Schultheiss und Gericht, in Beisein Herrn Cornelii Fischer, des Amtsschreibers der Pflege Kochersberg und seines Dieners, sowie in Gegenwart Pfarrer Brassels vorgenommenen Erneuerung des Kirchenguts zu Crastatt, hat Hans Lipper der Junge letzteres unter seinem Pflug und behält es auch weiter. Dasselbe um- fasst im ganzen 39 Acker, 3'/, Vierzel Feld und 4'/, Acker Matten, wofür als «Gilt» entrichtet werden 8 Fiertel Korn und 7 Fiertel Hafer, statt der 1618 gegebenen 8 + 7 Fiertel Weizen.

1642 verzeichnet Pfarrer Martin Churman von dem Einkommen in Crastatt nur was «giebig» ist. Die «Competenz der Kirchen oder des Pfarrherren in Crastatt» belief sich damals an «Geltpfennigzins» noch auf 1 Pfund 5 Schill.; an «Innahmefruchten», blos auf 3 Fiertel 3 Sester Roggen und 2 Sester Weizen. Sie war also seit 1618 stark gesunken.

Andere, auf Privatgütern lastende Bezüge sind anfänglich aufgezählt als «Bona et reditus S. Justini (Augustin) Patroni filialis ecclesiae Crastall, renovali anno 1613». Sie umfassen zusammen 73 Item, mit 18 Schill. 8 Pfenn. Geld- und 15 Pfund 3'/, Vierling Wachszins, werden aber 1618 und 1642 nicht mehr erwähnt. Der «lleilige» diente zum Unterhalt des Gottesdienstes, während der Ertrag der Pfarrgüter dem Geistlichen zufiel.

195

6. Nachtrag.

Aus dem Vorhergehenden ergibt sich deutlich, dass die Competenz in Krastatt immer mehr abnahm. Über das Einkommen in Jedersweiler gab Pfarrer Johan Baptist Exel, der dritte Nachfolger Mosers, am 29. Okt. 1790 folgende Erklärung ab: Das Pfarrgut in Jodermuäller umfasst 68 Acker im Jedersweiler und 24 Acker im Schweinheimer Bann. Der Pfarrer bezieht, alles einbegriffen, jährlich 25 Fiertel Weizen, 14 Fiertel Gerst, 10 Fiertel Hafer. An Wein, hat er 40 Ohme Com- petenz, und 2'/, Acker Reben, womit er «ein ins ander Jahr» auf zusammen 110 Ohme kommt. Weiter besitzt er einen Küchen- und einen Grasgarten von miteinander 2'/, Acker, auch 2'/, Acker Matten. Letztere und der Heuzehnte geben jährlich ungefähr 7 Wagen Heu. Von 6 Halbacker im Crastatter Bann bezieht er 3 Gulden für den Zehnten. Als Brachzehnten erhält er «ein ins ander Jahr», Maassamen 2 Fiertel; Winterfrucht und Sommerfrucht, Molzer, 2 Fiertel; Hanf ungefähr für 20 Gulden; Erdäpfeln für 8 Gulden; Klee für 15 Gulden; Kraut für etwa 4 Gulden.

Nach der Revolution, am 8. Floreal anno II (28. Apr. 1803) stellt der damalige Maire Adam ein Verzeichniss auf «der Güter Jettersweiler Banns, welche der Fabrik allda einen unveränderlichen Zins abstatten, als nämlich alle Jahr (für den Acker) ‘/, Sester Weizen- und ein '/, Sester Habernfrüchten» und zählt hierbei im ganzen 149 Acker '/, Vierzel zusammen, jedoch als Gülte nur 12 Fiertel 4 Sester Weizen, und 10 Fiertel 5 Sester Hafer.

Exel, geboren in Zabern am 30. Juni 1731, scheint in der Ver- bannung gestorben zu sein.

Zwischen ihm und Moser reihen sich ein: 1704 Johan Sauvage, und 1725 Nicolaus Dellinger. Exel war 1764 Pfarrer in Jedersweiler geworden.

In den obigen Aufzeichnungen wurde Joh. Roderbusch, Pfarrer zu Willgotheim, und Deputat des Kapitels Betbur erwähnt. Im $. Michaels- register zu S. Johan (Pfarrarch.) kommt er 1602 vor, als «H. Johan Roterbusch von Franken, Pfarrer zue Willgotheim». Indem das Register in St. Johan bloss eine Abschrift ist, dürfte die Bezeichnung «Pfarrer zu Willgothein» ursprünglich gefehlt haben. Wir finden nämlich als Pfarrer zu Wilgotheim 1595 H. Joh. Jacob Frey, 1598 H. Michael Kien und 1606 Dr. Rutgerus Lautenburger. Zwischen diesen Namen ist kein Platz für Roterbusch, der 1618, als Pfarrer in Wilgottheim, erst Lauten- burgers Nachfolger sein konnte. Dass im Bruderschafisregister zu S. Jo-

(ke

196

han oft die spätere Amtseigenschafl angehängt ist, zeigt übrigens das Beispiel mit dem Probst Rhodanus von Neuweiler, der als solcher schon unter dem Jahr 1594 vorkommt, obschon er erst 1613 zu dieser Würde gelangte. Diese Eigentümlichkeit wollten wir hier anmerken als Warnung für die spätern Benützer des Registers zu St. Johan.

Über die Würdeträger des Kapitels Betbur liegen uns noch einige Angaben aus dem Zaberner Stadtarchiv vor, die hier gelegentlich angeführt werden mögen. Erzpriester dieses Kapitels war der 1486, als Pfarrer in Monsweiler, und 1516, als Kapellan zu St. Johan, vorkommende Herr Gabriel Raspe (Stadtarch., L. 316). Der Titel «Erzpriester des löb- lichen Capitels in Elsass-Zabern», den er sich 1496 beilegt (Cf. Dioece- sanbl. 1902, H. 1), kann nichts anderes bedeuten als Erzpriester von Betbur. Augustin Spengler, Pfarrer zu Zabern von 1502 bis 1532, trägt (L. 338) den Titel Erzpriester schon 1513. Anno 1548 (L. 418) ist H. Mathias Anthoni Erzpriester und H. Andreas Leuv Kämmerer des Kapitels. 1568 finden wir (L. 418) H. Mathis Hesius als Erzpriester und Theobald Hess als Kämmerer; ebenso 1570 (L. 84) H. Niklaus Martini oder Martin, Pfarrer von Hohgöffll, als Erzpriester, und Bartholomeus Weiss (Pf. v. Jedersweiler), als Kämmerer. 1572 w 1575 (LL. 422 u. 433) ist Ludwig Lollius, Pferrer zu Lupstein, Erzpriester. 1581 bekleidet Johan Schott, Pfarrer zu Lupstein, dieselbe Stelle. Lollius oder Loli war Pfarrer zu Molsheim geworden. Als solcher kommt er im Zaberner Stadtarchiv (L. 445) schon 1577 vor. Er starb 1591, als Dechan in Haslach. Peter Loli, bischöflicher Landschreiber in Zabern (L. 428) war sein Bruder. Seine Nichte Susanna heiratete Chrysostomus Rohs, den Ochsen- wirt in Buchsweiler, einen Bruder des Zaberner Stadtschreibers Niko- laus Rohs. Sie erbte von ihrem Oheim Ludwig Loli (L. 431) ein Haus zu Molsheim.

A. ADAM.

GESELLSCHAFT

FÜR BRHALTUSG

ER GESCHICHTLICHEN DENKMALER IM ELSASS.

VI É@ Lara

Vorstands-Sitzung vom 23. April 1902. Vorsitzender: Kanonikus Keller.

Inwesend: die Herren Becker, Binder, Forrer, ıning, Lempfrid, Martin, Salomon, Schlosser.

ntschuldigt: die Herren Ingold und Seyboth. estorben : Herr Notar Hoppe in Sundhausen.

err Ingold schenkt der Bibliothek 5 Bände velles auvres inedites de Grandidier, wofür k.

ber die Ruine Klein-Hohnack bemerkt der sitzende, dass die Kaiserl. Verwaltung, welche Mittel zur Erhaltung gewährt, wünscht, das ntumsrecht zu erwerben. Die Gesellschaft be- */,., den Mittelpunkt des Ganzen. Ein bezügl. T des Herrn Bezirkspräsidenten des Oberelsass 1 vorgelesen. Die anwesenden Mitglieder er- en sich in dankbarer Anerkennung der finan- l der Gesellschaft geleisteten Beihilfe bereit, ı Wunsche der Regierung zu entsprechen, ‘hen jedoch darauf aufmerksam, dass die entumsrechte der Gesellschaft zuerst noch auer aus den Akten herzustellen seien.

ie Museumsgegenstände, welche Eigentum 'Regierung sind, sind aufs neue kollationiert rden.

Xe Reparation der Abtei Pairis betreffend, tHerr Salomon mit: Es besteht noch das alte ‚an welchem das Mauerwerk auszufugen ist. altes Grabgewölbe mit 12 Nischen (loculi) ist estürzt oder eingeschlagen worden und wird nit Wasser gefüllt. Bin dort wohnender Geist-

I. XXII. (8.-B.)

SOCIETE

POUR LA

CONSERVATION DES MONUMENTS HISTORIQUES D’ALSACE. 2-9 pate

Séance du Comité du 23 avril 1902. Présidence de M. le chanoine KELLER.

Presents: MM. Becker, Binder, Forrer, Henning, Lempfrid, Martin, Salomon, Schlosser.

Excuses: MM. Ingold et Seyboth. Décédé: M. Hoppe, notaire à Sundhausen.

M. Ingold fait don à la bibliothèque des Nou- velles œuvres inédites de Grandidier. Remer- ciments.

Le Président donne lecture d'un écrit du préfet de la Haute-Alsace concernant la ruine du Petit- Hohnack, dont l'administration désire acquérir la propriété. La Société en possède °|,,. Le Comité se déclare prêt à répondre aux vœux de l’admi- nistration, à supposer que les droits de propriété de la Société soient bien établis.

On a collationné à nouveau les objets du musée qui sont la propriété de l'administration civile.

Réparations à faire à l'abbaye de Pairis. M. Salomon fait remarquer que la maçonnerie de l’ancien portail demande à être rafratchie. L'eau menace de détruire complètement un caveau sépulcral dont la voûte s'est effondrée ou a été enfoncée. Un ecclésiastique habitant Pairis pro-

1

_ 9

licher schlägt vor, das Wasser abzuleiten, was allerdings wünschenswert ist. Dagegen ist eine weitere Abänderung der Reste nicht zu empfeh- len, vielmehr ein einfaches Gitter um die jetzt bestehende Vertiefung anzubringen.

Eine Zuschrift des Herrn Staatsministers von Köller teilt mit, dass 3000 .& aus Landesmitteln gewährt sind, wobei ausbedungen wird, dass der Assistent davon besoldet werde.

Herr Schlosser hat mehrere Bruchstücke aus einer römischen Heizanlage geschenkt. Dank.

Die Arbeit des Herrn Naue ist im Druck bis zum 3. Bogen fortgeschritten.

Vorstands-Sitzung vom 27. Mai 1902.

Vorsitsender: Kanonikus Keller.

Anwesend: die Herren Binder, Ficker, Forrer, Henning, Himly, Klem, Kurtz, Martin, Müller, Sa- lomon, Schlosser, Seyboth.

Entschuldigt : Herr Ingold.

Anmeldung: Herr Hommel, bischöfl. Privat- sekretär.

1. Ruine Hohnack. Gemäss dem vom Präsi- denten vorgelesenen Akte der Erwerbung, ist die Gesellschaft befugt, den ihr gehörenden Anteil zu veräussern, wovon das Bezirkspräsidium in Golmar benachrichtigt wird.

2. Ruine Wineck. Es wird beschlossen die Landesverwaltung, gemäss der von ihr gemachten allgemeinen Zusage, um eine Beihülfe zur Restau- rierung zu ersuchen.

3. Grundkarten. Die Verwaltung fordert den Nachweis über die Verwendung der für den Druck der Karten bewilligten Summe.

Die industrielle Gesellschaft in Mülhausen bittet ebenfalls um Auskunft über den Stand des Unter- nehmens.

pose de protéger le caveau en détour et en entourant la ruine d'une grille.

D'après une pièce officielle, signée ministre d'État, une subvention pul 3 000 .# est accordée à la Société sous que cette somme soit employée pour le! de l'assistant.

M. Schlosser a fait don au musée de fragments provenant d'un appareil de romain. Remerciments.

La troisième feuille de l'ouvrage de est sous presse.

Séance du Comité du 27 mai (9 Présidence de M. le chanoine KELLE

Presents: MM. Binder, Ficker, Forrer, Himly, Klem, Kurtz, Martin, Maller, Schlosser, Seyboth.

Excusé: M. Ingold.

Nouveau membre : M. l'abbé Hommel, s particulier de Mgr. l'évêque de Strasbou:

1. Ruine du Hohnack. M. le Préside lecture de l'acte d'acquisition, d'après I Société a le droit d’aliöner sa part de ce dont le préfet de Colmar sera avisé.

2. Ruine du Wineck. On décide dede à l'administration un subside pour les restauration.

3. Gartes territoriales. L’administralio demande à être informée sur l'emploidela allouée par elle pour la publication de ces

La Société industrielle de Mulhouse pr lement le Comité de la renseigner sur cette publication.

4

7. Dir. Seyboth weist auf die Entdeckung von Lederabfällen aus dem 13. Jahrhundert am Alten Fischmarkt hin, die aus Allbüssernwerkstätten herrühren.

8. Prof. Henning spricht den Wunsch aus, es möchte das Verhältnis der Gesellschaft zum Lan- deskonservator geregelt werden.

Vorstands-Sitzung vom 10. Juli 1902. Vorsitzender : Kanonikus Keller.

Anwesend: die Herren Binder, Forrer, Hen- oing, Himly, Klem, Kurtz, Lempfrid, Martin, Müller, Salomon, Seyboth.

Entschuldigt: die Herren Ficker, Ingold, Wink- ler.

Angemeldet: Herr Pfannenstiel, Notar in Wan- zenau.

1. Herr Julius v. Forsten, 2. Präs. der Kommis- sion z. Erh. d. Baudenkmäler in Ungarn, schenkt durch Vermittlung des Herrn Präsidenten sein Werk über Bela III., König von Ungarn, wofür Dank.

2. Herr Konservator Wolf wünscht auch die Zeichnungen der nicht klassierten Denkmäler für das Denkmalarchiv, vorbehaltlich der Eigentums- rechte der Gesellschaft.

Diesem Wunsche wird entsprochen. Der Kata- log der Zeichnungen soll in unserer Bibliothek aufbewahrt, und auf die Zeichnungen ein Vermerk «Eigent. d. Ges. f. Erh. d. gesch. D.» angebracht werden.

3. Der Herr Präsident macht interessante Mit- teilungen über einen in der Kapelle St. Andreas, gelegentlich der Arbeiten für die Heizung des Münsters, aufgefundenen Sarg.

Von der bischöfl. Verwaltung dem Museum ge- schenkt. Dank.

4. Für die Ruine Wineck werden 200 .# be- willigt.

7. D'après les communications de M on a découvert sur la place du Vieus aux-Poissons des retailles de cuir du 1. provenant d'ateliers de cordonniers.

8. M. le prof. Henning voudrait voir | situation de la Société vis-à-vis du con des monuments historiques.

Séance du Comité du 10 juillet 19 Présidence de M. le chanoine KELLHI

Presents: MM. Binder, Forrer, Hennin Klem, Kurtz, Lempfrid, Martin, Müller, : Seyboth.

Excuses: MM. Ficker, Ingold, Winkler.

Nouveau membre: M. le notaire Pfan Wanzenau.

1. M. Jules de Forsten, président ds mission pour la conservation des mo d'architecture en Hongrie, fait don à k par l'entremise de M. le chanoine Keller, ouvrage: Bela III, roi de Hongrie I ments.

2. M. le conservateur Wolf désire co également aux archives des monument riques nos dessins des monuments non dont la propriété doit être réservée à la

Le Comité y consent, à condition que! sins portent la marque de la Société et catalogue en soit conservé dans notre thèque.

3. M. le Président donne communicatio intéressante trouvaille faite à l'occasion stallation du chauffage de la cathédrale « chapelle de Saint-André. Il s’agit d'un sarc en pierre, dont l'administration diocésai don au musée de la Société. Remerc

4. 200 .# sont alloués pour la restaura la ruine du Wineck.

5

je Grundkarten hat die Gesellschaft ierung 2000, von der Industriellen in Mülhausen 400 .# erhalten. Davon och 360 für die fünfte Karte. Diese rn Rothenberg noch ausgeführt und ıg dann um einen weitern Zuschuss ion der weitern 3 Karten angegangen

prechung der Vorschläge des Herrn heim-Rechberg bez. der Gründung vereins für Burgenpflege wird bis rien verschoben.

itteilung des Herrn Henning sind von es Herrn Naue 10 Bogen gedruckt.

»ralversammlung wirdaufDonnerstag angesetzt und soll im Unionsaal statt-

Il Schlosser gibt eine Reihe iñteres- >n über die Ruine von Domfessel,

versammlung vom 24. Juli 1902.

rsitzender : Kanonikus Keller.

r Begrüssungsansprache des Präsi- len die Ergänzungswahlen für den genommen.

werden die Herren Klem mit 43, t 40, Ott mit 39, Winterhalter mit 37, ? Stimmen.

rlesung des Geschäfts- und des Kas-

chäfisbericht 1901—1902. Herren!

des Vorstandes habe ich die Ehre, kurzen Bericht über die Tätigkeit llschaft im verflossenen Geschäfts- atten.

5. La Société a obtenu pour la publication des cartes territoriales 2000 .# du gouvernement, 400 de la Société industrielle de Mulhouse. Il en reste 360 .# pour la cinquième carte. M. Ro- thenberg est chargé de faire imprimer celle-ci, après quoi on priera le gouvernement d'accorder un nouveau subside pour la publication des trois dernières.

6. La discussion de la motion de M. Müllenheim- Rechberg, tendant à créer dans le sein de notre Société une association pour la conservation des vieux châteaux, est remise jusqu'après les va- cances.

7. Dix feuilles du travail de M. Naue sont im- primées.

8. L'Assemblée générale aura lieu jeudi le 24 juillet dans la salle de l'Union.

9. M. Schlosser donne une intéressante com- munication sur les ruines de Domfessel. Remer- ciments.

Assemblée générale du 24 juillet 1902. Présidence de M. le chanoine KELLER.

Après une allocution de M. le Président on procède aux élections d'usage.

Sont élus comme membres du Comité : MM. Kiem (43 voix), Bourgeois (40), Ott (39), Winterhalter (37), Nessel (22).

Le secrétaire donne lecture du rapport sur les travaux de la Société, le caissier du rapport financier.

Rapport du secrétaire, exercice 1901—1902. Messieurs,

J'ai l'honneur de vous présenter au nom de votre Comité un rapport suceinct des travaux entrepris par la Société durant l'exercice 1901 à 1902.

6

Vorerst einige Daten über den Personalbestand des Vereins.

Bei der letztjährigen Generalversammlung wurden als Vorstandsmitglieder wiedergewählt die Herren Himiy, Schickelé und Schlosser.

Neugewählt die Herren Gymnasialoberlehrer Dr. Becker, Abbe Ingold und Gymnasialdirektor Dr. Lempfrid.

Herr Kanonikus Keller wurde per Akklamation als 1. Vorsitzender wiedergewählt.

Eine Änderung in der Bestellung des geschäfts- führenden Büreaus wurde nicht vorgenommen.

Der Bestand der Gesellschaft, die am 1. April dieses Jahres immerhin die erhebliche Zahl von 502 Mitgliedern aufweisen konnte, ist leider seit dem 1. April 1901, teils durch den Tod (3), teils durch freiwillige Austrittserklärungen, um 35 Mit- glieder zurückgegangen.

Dagegen hat sich die finanzielle Lage der Ge- sellschaft, dank der Unterstützung der Landes-, Bezirks- und Stadtverwaltungen, wofür der Vor- stand seinen wärmsten Dank ausspricht, und infolge einer sparsamen Verwendung unseres Einkommens, zusehends gebessert.

Besonders erfreulich aber ist der Zuwachs, den in diesem Jahre unsere Altertumssammlung er- fahren hat.

Der alten Abteilung hat das letzte Jahr eine Reihe wertvollster Erwerbungen gebracht, vorerst aus Strassburg selbst.

Durch neue Nachgrabungen auf dem Kleber- platz, vor dem Rothen Haus, erhielt die Samm- lung römischer Wandgemälde einen wesentlichen Zuwachs, darunter das grösste u. hervorragendste Stück, das augenblicklich im Norden der Alpen vorhanden sein dürfte: eine von Blumen und Ranken eingerahmte Fläche, nebst einigen im edlen Stil gehaltenen weiblichen Köpfen, die in Rebgelände spielenden Nixen angehörten.

Ein anderes grösseres Bruchstück hat mytholo- gischen Inhalt: den Kampf des Herkules mit der Amazonenkönigin um den Gürtel der Ceres.

Laissez-moi vous donner d’abord | notices concernant la composition és ( le nombre de nos membres.

Ont été réélus comme membres do Coı de notre dernière Assemblée generale, M Schickelé et Schlosser.

Sont entrés dans le Comité comme ı membres : MM. Becker, Ingold, Lempfrid

M. le chanoine Keller a été réélu Prés la Société par acclamation Le boreau est resté le même.

La Société comptait au 1” avril de cet 502 membres. Elle a perdu 3 membres pa de décès. Grâce à une série de démiss n'ont pas été compensées par les nouve missions, le nombre des membres a diei 35 depuis la fin de l'exercice précédeat.

Par contre, la situation financière del s'est visiblement améliorée, grâce aux a que lui ont accordé le gouvernement, le nistrations départementales et la ville de bourg, auxquels nous exprimons nos m remerciments, grâce aussi à une sage gen nos finances.

Je suis surtout heureux de pouvoir c un accroissement considérable des riches contient notre musée d'antiquités.

Pour les temps anciens, c'est aux fouille à Strasbourg même que nous devons les] téressantes découvertes.

Notrecollection de peintures muralesdel romaine s'est enrichie de quelques belles mises à jour sur la place Kléber devant la Rouge. L'une d'entre elles est sans doule considérable et la plus importante qui j ait été découverte en-deçà des Alpes: une encadrée de branchages et de fleurs, des’ nymphes se jouant au milieu des vigne l'expression frappe par sa noblesse.

Un autre fragment assez considérable sente un sujet mythologique: la lutte dl avec la reine des Amazones pour la ceiol Cérès.

a de nr en Aster er rat ges wide re heran Katar en = onst ae era | wa a re

Se LP baie En nai + 3 ms à

| Past) sert. Dur ECS + =

2

Se der le ares HE he A ER : - + tan Ach, en n- Mas ide

te É Re

Mae

—_ 8

In ganz neue Beleuchtung ist die älteste, die neolithische Periode unseres Landes getreten. In Erstein konnte das erste Grabfeld dieser Zeit, wenigstens in seinen Resten noch sorgfältig aus- gebeutet werden, nachdem uns eine erste Probe durch die Vermittlung des Herrn Landeskonser- vators vorgelegt worden war. Eine Anzahl von Skelettgräbern mit ihren Beigaben an Thonge- fässen, Steingeräten, Farbsteinen u. s. w. wurde gehoben durch unsern Assistenten Herrn Welker, dem hiermit für seine umsichtige Tätigkeit bei den Ausgrabungen und seine erfolgreichen Be- mühungen bei der schwierigen Zusammensetzung und Ergänzung der aufgefundenen Fragmente die Anerkennung des Vorstandes ausgesprochen wird.

Die archäologische Stellung dieser Kultur, die ihren nächsten räumlichen Abschluss jenseits des Rheines, in den Neckargegenden findet, lässt sich aus den vorgefundenen Resten hinreichend be- stimmen.

Ein weitaus grösseres Fundgebiet eröffnete die Anlage der Strassenbahn Hausbergen— Westho- fen. Die Direktion halte von vornherein in der zuvorkommensten Weise alle archäologischen Funde unserm Museum in Aussicht gestellt und die Durchforschung der ganzen Strecke in jeder Hinsicht erleichtert.

Aus fast allen Perioden der Vorgeschichte un- seres Landes wurden neue und wertvolle Ent- deckungen gemacht. Eine besondere Art der neo- lithischen Kultur trat hinter Hausbergen zu Tage. Später schlossen sich weitere Funde aus der Marlenheimer Gegend an. Sie haben unserm Mu- seum die erste ausgiebige Vertretung dieses be- sondern Typus geliefert.

Die Überreste einer ausgedehnten Ansiedelung, eines prähistorischen Dorfes der Hallstattzeit wurden auf der Fessenheimer Höhe bei Marlen- heim gefunden. Etwa 28 Wohnungsgruben dieser Periode wurden konstatiert und ausgebeutet. Eine Anzahl von Tongefässen von bemerkens- werter Form ist bereits zusammengesetzt. Ausser- dem kamen allerlei Gerätschaften, wie Armringe, Gewichte, eine Gussform, geringe Eisenreste zum Vorschein. In unmittelbarer Nähe dieser Ansiede-

D'autres découvertes ont jeté un jou veau sur notre période néolithique. importants d’un cimetière de cette épo le premier échantillon nous avait été M. le conservateur des monuments à furent mis à découvert à Erstein. Un tombes avec squelettes, objets en terre pierre, etc., soigneusement collationn: posés et complétés par notre assistant, qui avait pris aux fouilles une part | Le Comité se fait un devoir de rendre au zèle et à l'intelligence qu'il a déplo Occasion.

Les restes en question suffisent poı marquer la place qui revient au poi archéologique au genre de culture sentent et dont les limites les plus ra s'étendent au-delà du Rhin dans la Neckar.

La construction de la ligne de Hat Westhofen nous offrit un champ d'e bien plus vaste. La Direction avait mi toutes les trouvailles archéologiques à sition de notre musée et favorisé de à les travaux de recherches sur toute la

Presque toutes les périodes de nos t mitifs sont représentées par quelques Des restes trouvés derrière Hausbergen vinrent se joindre plus tard d'autres re: contrée de Marlenheim, caractérisent tout particulier de la culture néolithiqu trouve ainsi dignement représentée da musée.

Sur les hauteurs de Fessenheim, près lenheim, on découvrit les restes d'on vil historique de la période d’Hallstatt. On l'existence d'environ 28 fosses provenant tations. Une série de vases en terre cuit forme remarquable ont été reconstitués | objets, tels que des bracelets, des poid forme, de petites ferrailles ont été égalem à jour. Tout près de on constata l'ex d'une voie romaine inconnue jusqu'alon

10

Dem Vorstande war es leider infolge der finan- ziellen Verhältnisse der Gesellschaft auch dieses Jahr nicht möglich, über die hochbedeutsamen Entdeckungen der letzten Zeil den Mitgliedern eine zusammenfassende Arbeit zur Verfügung zu stellen. Dagegen ist Ihnen ein weiteres Heft unse- rer Mitteilungen mit den Sitzungsberichten und einigen kleinern Aufsätzen zugegangen, und befin- dei sich die im letzten Jahresberichte in Aussicht gestellte Arbeit des Herrn Naue über die elsässi- schen Gräberfunde, auf welche, bei der Beschei- denheit des angesetzten Vergünstigungspreises, eine grosse Anzahl von Mitgliedern subscribiert haben, seil einiger Zeit im Druck.

Da auf Grund des Ihnen von unserm Herrn Kassierer vorzulegenden Kassenberichtes eine baldige glückliche Überwindung der finanziellen Krisis in Aussicht steht, so möge es der Gesell- schaft in der nächsten Zukunft vergönnt sein, ihre wissenschaftliche Aufgabe mit neuem Eifer in Angriff zu nehmen und in erfreulichster Weise zu erfüllen. Mögen all unsere Mitglieder, von nah und fern, durch ihr reges Interesse für unsere elsässischen Altertümer und ihre kulturhistorische Verwertung, zu diesem neuen Aufblühen unserer Gesellschaft tatkräftig beitragen.

Folgt der Vortrag des Herrn Prof. Ficker über die wichtigsten christlichen Altertümer unseres Museums.

Redner beklagt es zuerst, dass die Raumver- hältnisse für eine gedeibliche Entwicklung der christlichen Abteilung unseres Museums so un- günstig seien und wünscht dringend, dass in Bälde der Gesellschaft grössere Räume zur Ver- fügung gestellt werden mögen.

Auf den eigentlichen Gegenstand seines Vor- trages übergehend, glaubte er vorerst sein Be- dauern darüber aussprechen zu müssen, dass der Ruhm unseres Museums, die herrlichen Altar- bilder aus Neuweiler, statt in unserer Abteilung, in den Räumen des städtischen Museums Platz gefunden haben.

Neues ist infolge von Umbauten aus Kirchen (Jung St. Peter, Münster), aus den abgebrochenen Kurien vom Hahnekrot und vom Römer, sowie infolge der Kanalisationsarbeiten in den letzten

A son plus vif regret le Comité n'a pu encore cette année, grâce au mauvais état de nos finan- ces, offrir aux membres de la Société un travail d'ensemble sur les plus importantes découvertes de ces derniers temps. Par contre vous avez reçu un nouveau fascicule du Bulletin, contenant outre les rapports de nos séances quelques études ar- chéologiques et historiques. Le travail de M Nane, que nous avons pu offrir aux membres de la Société à des conditions très avantageuses et au-

quel un grand nombre a souscrit, est en mo-

ment sous presse.

D'après le rapport financier que vous fera M le trésorier, notre situation financière s'améliore Puisse dans un avenir très prochain la Société reprendre avec une nouvelle vigueur ses travaux scientifiques. Puissent tous les membres de ls So- ciété contribuer à ce nouvel essor par un intérêt toujours croissant pour nos vieux monuments alsaciens et les grandes ères de civilisation natio- nale qu'ils représentent.

Suit la conférence de M. le prof. Ficker sur les antiquités chrétiennes les plus importantes de notre musée.

L'orateur regrette tout d'abord que le local mis à la disposition de la Société pour les antiquités chrétiennes soit si peu favorable au développe- ment de cette partie de notre musée. Il espère qu'il en sera bientôt autrement.

Il regrette également que le plus précieux joyau de notre musée, l'autel de Neuwiller, ai trouvé sa place dans le musée de la ville.

Passant au sujet de son rapport, il fait remar- quer qu'une série de découvertes faites à l'occe- sion de travaux de restauration d'églises et autres (Saint-Pierre-le-Jeune, Cathédrale) de la démoti-

an 2m pl pe

TA Le | re

u > u. “4 A 5 Mi = 3 ar

u 7 af TP a Fu

ert, geht ron z

AE “us f La r: 5 we A A er : m + "4 TR; Aa nn

.

r- u Dar = er -. Mn * ARE PR

Cure der

à e nos m 4 mbr es, dass in À Prêt | se pars de nos monume

Ps - Πsr

49

bedrohten Bruchstücken der christlichen Vergan- genheit werde: «Sammelt die Brocken, damit sie nicht verloren gehen!»

Der Herr Vorsitzende dankte dem Redner für seinen höchst anregenden, von der Versammlung mit lautem Beifall aufgenommenen Vortrag.

Vorstands-Sitzung vom 30. Oktober 1902. Vorsitzender : Kanonikus Keller.

Entschuldigt: die Herren Klem, Lempfrid, Becker, Schickele, Seyboth.

Angemeldet, durch Herrn Macker: Herr Inge- nieur Schwörer aus Colmar.

Ausgetreten : Herr von Freyberg, Prof. Ehr- hard.

Gestorben: Pfarrer Tauflieb. 1. Wiederwahl des Bureaus per Akklamation.

2. Mitteilungen des Vorsitzenden, wonach die Übertragung der Ruine Hohnack auf die Gesell- schaft zuerst im Grundbuch eingeschrieben sein MUSS.

3. Herr von Müllenbeim-Rechberg verzichtet einstweilen auf seinen Antrag bez. Gründung einer Sektion für Burgkunde.

4. Ein Vorschlag des Herrn Rodenbusch, die Grundkarten zu 350 .# zu liefern, wird später in Erwägung gezogen werden.

5. Der Umtausch unserer Publikationen mit denen des Vereins für die Geschichte Berlins und das Schweizerische Landesmuseum in Zürich wird beschlossen.

6. Für ein Gitter in Pairis werden 200 .# be- willigt.

7. Herr Julius von Forsten wünscht Copie von Photographie und Abguss der Inschrift einer alten Glocke von Lautenbach. Genehmigt.

destruction : «Amassez les fragments, afin que riea ne se perde

M. le Président remercie vivement l'orate, dont le rapport si substantiel fut chaleureusemest accueilli par l'assemblée.

Séance du Comité de 30 eoctebre 1902. Présidence de M. le chanoine KBLLER.

Excusés : MM. Becker, Klem, Lempfrid, Schi- ckelé, Seyboth.

Nouveau membre: M Schwôrer de Colmar, pré senté par M. Macker.

Démissionnaires : MM. de Freyberg, Léon Ehr- hard.

Décédé : M. le pasteur Tauflieb. 1. Le bureau est réélu par acclamation.

2. D'après une communication de M. le Prés dent, on exige que l'acte de translation par leguel la Société est devenue propriétaire du Honac soit inscrit au Grundbuch.

3. M. de Müllenheim-Rechberg retire pour k moment sa motion concernant la fondation d'une section pour l'étude et la conservation des vieu châteaux.

4. On discutera plus tard la proposition de M. Rodenbusch qui se déclare prêt à livrer is cartes territoriales à 350 .4#

5. La Société pour l’histoire de Berlin et le Musée national de Zurich demandent l'échange des publications. Accepté.

6. 200 .# sont alloués pour une grille à Pairis.

"7. N. Jules de Forsten désire prendre copié d'une photographie et l'empreinte de l'inscription d'une ancienne cloche de Lautenbach. Accord.

44

Die Anregung, in verschiedenen Teilen des Landes Vertrauensmänner der Gesellschaft zu er- nennen, wird in Erwägung zu ziehen sein.

5. Für die Arbeit des Herrn Lempfrid sind 4 Tafeln nötig, die einen Kostenaufwand von 246 .# bedingen. Angenommen.

6. Dem Assistenten, Herrn Welker, ist eine feste Stelle in Frankfurt in Aussicht gestellt. Es sollen Schritte beim Bürgermeister getan werden, um ihm eine ähnliche Stellung im Dienste der Ge- sellschaft zu sichern.

7. Mitglied Bourgeois bittet um die moralische Unterstützung der Gesellschaft um einen interes- santen Grabstein in Lièpvre gegen Zerstörung zu schützen.

8. Prof. Henning macht den Vorstand auf den schönen merovingischen Helm aufmerksam, der vor kurzem in der Nähe von Schlettstadt aufge- funden wurde und zu den merkwürdigsten Exem- plaren gehört. Herrn Henning werden 500 .# behufs Ankauf des Helmes bewilligt.

Die Frage der Heizung des Museums soll mit der Stadt verhandelt werden.

Die Besuchszeit von 10 bis 12 Ubr, von Herrn Seyboth vorgeschlagen, wird genehmigt.

9. Herr Bourgeois übergibt 2? Photographien der alten Kirche von Markirch und eines alten Markircher Schlösschens. Dank.

Vorstands-Sitzung vom 21. Januar 1903.

Vorsitzender: Kanonikus Keller.

Anwesend: die Herren Becker, Ficker, Forrer, Klem, Himly, Henning, Martin, Binder, Ingold, Müller, Schickelé, Winterhalter, Salomon, Ott.

Entschuldigt: die Herren Seyboth, Bourgeois, Lempfrid. |

Ausgeschieden: die Herren Schott (Wangen), Adloff (Strassburg), Schmitt (Schirmeck), Roederer (Strassburg).

On discutera plus tard la proposition faire nommer pour les differentes parti des hommes de confiance charges des la Société.

5. Les planches qui devront être l'étude de M. Lempfrid exigeront une 246 .& Accorde.

6. Une situation stable est offerte à à notre assistant, N. Welker. On s’effor maintenir au service de la Société en ll de la part de la ville de Strasbourg un équivalente.

7. M. Bourgeois, membre du Comité l'appui moral de la Société pour er destruction d'une intéressante pierre Lièpvre.

8. M. le prof. Henning appelle l'atı Comite sur un beau casque méroving récemment près de Sélestadt, l'un des e: les plus curieux de ce genre. On accor pour l'acquisition du casque.

On entrera en pourparlers avec l'admi de la ville à propos du chauffage du m

M. Seyboth propose d'ouvrir le musée de 10 heures à midi. Accepté.

9. M. Bourgeois fait don de deux phot représentant l'ancienne église et un peti de Sainte-Marie-aux-Mines. Remercim

Séance du Comité du 21 janvier 19 Présidence de M. le chanoine KELLER.

Présents: MM. Becker, Ficker, Forrer Himly, Henning, Martin, Binder, Ingold, Salomon, Schickele, Winterhalter, Ott.

Excusés : MM. Bourgeois, Lempfrid, Seyl

Demissionnaires: MM. Schott (Wangen), (Strasbourg), Schmitt (Schirmeck), Roederer bourg).

45

ıldet: die Herren Bollacher, cand. jur. ’ursthorn (Grafenstaden), Illing (Strass- :hoff (Strassburg), Sieveking (Rappolts-

tadt lehnt es ab, die Besoldung und die rung des Museumsassistenten Welker chen Mitteln zu bestreiten.

enning bemerkt, dass die Regierung r Herr Statthalter) die Geneigtheit aus- n habe, einen weitern Zuschuss zum s Assistenten zu gewähren, auch der ister sei geneigt, dahin zu wirken, dass jge Zuschuss seitens der Stadt fortge- e. Der Antrag auf Erneuerung desselben jlichst bald seitens der Gesellschaft ge- len.

Jbergabe von Hohnack an die Landes- g von Oberelsass ist nunmehr voll-

ılocke von Zellenberg soll durch den esser Durand-Chambon in Montargis stauriert werden.

einem Schreiben des Herrn Rouge aus finden sich in dem Keller eines dortigen ılte Arkaden. Er bittet, die Gesellschaft deren Erhaltung eintreten.

n Vikar Clauss (Kaysersberg) werden die Restaurierung eines Bildstöckchens

> wird als Vertrauensmann der Gesell- ussicht genommen.

ler Arbeit des Herrn Naue sind 15 Bogen

Ingold schenkt der Gesellschaft einige riften: Le P. Danzas, Notice sur Marie Revue d’Alsace. Dank.

ird vorgeschlagen, auf die nächste ung die Berichterstattung über die : der Gesellschaft und die Frage der g unserer Publikationen zu setzen.

Nouyeaux membres: MM. Bollacker (Berlin), Wursthorn (Grafenstaden), Illing (Strasbourg), Bi- schoff (Strasbourg), Sieveking (Ribeauvillé).

1. La ville de Strasbourg refuse de prendre à son compte les appointements de notre assistant et de lui assurer une pension.

M. Henning croit savoir que le gouvernement serait disposé à accorder un nouveau subside et que, sur la proposition de M. le maire de Stras- bourg, la ville nous continuera le subside accordé jusqu'ici. Il faudrait au plus tôt renouveler notre demande.

2. La propriété du Hohnack vient d'être defi- nilivement allouée à l'administration de la Haute- Alsace.

3. La cloche de Zellenberg sera restaurée par M. Durand-Chambon, fondeur de cloches à Mon- targis.

4. D'après une communication de M. Rouge d’Andlau, il existerait dans une cave de cette ville de vieilles arcades qui seraient à con- server.

5. On accorde 50 .Æ# à M. Clauss de Kaysers- berg pour la restauration d'un petit monument.

On propose de nommer M. Clauss homme de confiance de la Société pour le district de Kay- sersberg.

6. 15 feuilles du travail de M. Naue sont im- primées.

7. M. l'abbé Ingold fait don de plusieurs de ses écrits: Le P. Danzas, Notice sur Marie Pellechet, Revue d'Alsace. Remerciments.

8. Dans la prochaine séance on entendra le compte rendu de notre situation financière et on discutera la question de la continuation de nos publications.

46

Vorstands-Sitzung vom 4. März 1903. Vorsitzender: Kanonikus Keller.

Anwesend: die Herren Salomon, Forrer, Ott, Binder, Seyboth, Himiy, Ingold, Henning, Martin, Winterhalter.

Herr Glück entschuldigt sich für die vorige Sitzung, Herr Müller für die gegenwärtige.

Demissioniert : Herr Dr. Hausmann.

1. Herr Welker geht voraussichtlich nach Frankfurt. An seiner Stelle wird Herr Weigt in Aussicht genommen, zunächst für ein Jahr zur Probe. Für diesen Fall würden die näheren Be- dingungen festgesetzt und der Abschluss abge- nommen werden von einer Kommission (Herr Präsident, Herr Schatzmeister, Herr Müller, Herr Seyboth, Herr Ficker, Marlin und Henning).

2. Die Glocke in Zellenberg. Herr Durand- Chambon hat einen Vertragsentwurf eingeschickt (450 Fr.) 200 werden von der Gesellschaft übernommen.

3. Herr Bürgermeister Back hat sich bereit erklärt, einen Zuschuss von gleicher Höhe wie im Vorjahr zu beantragen, wünscht aber einen Bericht über die Ausgaben dieses Jahres zu er- halten.

4. Kleinhohnack. Die Landesverwaltung wünscht, dass das Grundstück in das Grundbuch eingetragen und auf sie übertragen werde. Der Herr Präsident wird dementsprechend an das Amtsgericht schreiben.

5. Herr Himly gibt Auskunft über den Kassen- bestand.

6. Für die Grundkarten wird in ca. 2 Monaten eine neue Ausgabe nötig werden.

7. Herr Clauss berichtet über ein Bildstöckchen von 1474 bei Kaysersberg u. A.

8. Frau Prof. Albrecht in Colmar bietet das Rappoltsweiler Urkundenbuch für 80 an.

Séance du Comité du 4 mars 1983 Prösidenee de M. le chaneine KELLER.

Presents: MM. Binder, Forrer, Henning, Ingold, Martin, Salomon, Seyboth, Winte

Excusés: pour la séance précédente M pour la séance d'aujourd'hui M Müller.

Démissionnaire : M. le D’ Hausmann.

1. M Welker acceptera sans doute d Francfort On propose de le remplacer Weigt, provisoirement pour un an. Une c sion composée de M le Président, MX Müller, Henning, Ficker, Martin, Seyboth, gera de fixer les conditions du contrat e signer.

2. La Société accorde un subside de pour la restauration de la cloche de Zell dont les frais s'élèveront à 450 fr.

3. M. le maire de Strasbourg est prêt à pr un subside égal à celui de l’an dernier. Il de un rapport des dépenses de l'année courar

4. Conformément à un désir exprimé p ministration de la Haute-Alsace, M. le Pré sadressera au tribunal pour obtenir l’inscı au Grundbuch et le transfert du château d nack.

5. M. Himly donne un court aperçu de lt nos finances.

6. Une nouvelle dépense s’imposera d'ic mois pour la publication des cartes territo

7. Communication de M. Clauss de Kayser sur le monument cité plus haut.

8. M®® Albrecht de Colmar offre le Rop weiler Urkundenbuch pour la somme de:

417

9. Die Altertümer erster heidnischer Vorzeit, Mainz, V. Bd., 1. Heft, werden übersandt u. sollen gelegentlich besprochen werden.

10. Prof. Henning berichtet, dass Herr Vikar söltgens in Königshofen seine Funde geschenkt Bat. Dank.

11. Derselbe berichtet über die Schwierigkeiten, mfolge deren das Werk von Herrn Naus im Brucke verzögert worden ist.

12. Für die Colmarer Funde von Lehrer Buhl wird beschlossen, eine entsprechende Gratifika- Son zu zahlen.

13. Prof. Martin stellt sein Exemplar der Westdeutschen Zeitschrift zur Verfügung Bank.

B. XXII. (8.-B.)

9. On nous adresse l'ouvrage: Die Allertümer erster heidnischer Vorzeit, Mayence, vol. V, fasc. 1, dont il sera donné plus tard un compte rendu.

10. D'après communication de M. Henning, M. l'abbé Götlgens, vicaire à Koenigshofen, fait don à la Société d'objets par lui trouvés. Remer- ciments.

11. L’impression du travail de M. Naue, grâce à des difficultés inattendues, n'avance que très lentement.

12. On accordera une gratification à M. Buhl, instituteur, pour les objets trouvés à Colmar.

13. M. le prof. Martin met son exemplaire de la Westdeutsche Zeitschrift à notre disposition. Remerciments.

48

Rechnung für 1902/03.

EınNAHMEN.

A. Ordentliche Einnahmen.

A KariTEL I. Beiträge der Mitglieder, 473 à 8.4. ....... 3,784 > II. Conto-Corrent-Zinsen ............... . 166 25

» Ill. Zuschüsse : a) Von dem Kaiserl. Ministerium . 3,000 b) » der Stadt Strassburg. . .. 3,500 c) » dem Bezirke Unter-Elsass 800 dd » » Ober-Elsass. 400 7,70

Summa der ordentlichen Einnahmen . . 11,650 35

B. Ausserordentliche Einnahmen.

1. Rechnungsüberschuss aus 1901/02 . . ... 4,125 60 9. Verkauf vom Hortus. ............. 1,000

Summe der ausserordentlichen Einnahmen . . 5,125 60

Summe aller Einnahmen . . . 16,775 85

49

Compte rendu des Recettes et des Dépenses de l'exercice 1902/03.

RECETTES.

A. Recettes ordinaires.

A CHAPITRE L Cotisation des membres de la Société, 47348.4 3,784 » IL Intérêts des fonds déposés à la banque . . . . .. 166 25 » IL Subventions: a) du Ministère impérial . . . ... 3,000 b) de la ville de Strasbourg .... 3,500 c) de la Basse-Alsace . . . . . .. 800 d) de la Ilaute-Alsace . . . . . .. 400 7,100 Total des recettes ordinaires . ........ 11,650 25 B. Recettes extraordinaires. 40 Reliquat de l'exercice 1901/02 ....... 4,125 60 % Vente du Hortus................ 1,000 Total des recettes extraordinaires . . . . . .. 5,125 60

Total de toutes les recettes . . . . . .. 16,775 85

9 —-

AUSGABEN.

A. Fortdauernde Ausgaben.

KaPiTEL I. Verwallungskosten. AM 1. Beaufsichtigung des Museums . ....... 523 2. Besoldung des Assistenten . . ........ 2,400 3. Hilfeleistungen bei den Büreau-, Kassen- u. Bibliotheksgeschäften. . .......... 372

4. Porto- und Frachtkosten, Versendung der Veröffentlichungen und Büreaubedürfnisse 588 79 5. Unterhaltung des Museumslokals und des

Mobiliars sowie für Feuerversicherung .. 683 84 6. Vermehrung der Bibliothek. ......... 112 15 M

Summa Kapitell....... 4,674 78

KaPiTEL Il. Ausgrabungen, Unterhaltung von Denkmalern

und Erwerbungen für das Museum.

4. Ausgrabungen ................. 652 43

2. Unterhaltung von Denkmälern . . ...... 999 26

3. Erwerbungen für das Museum . ....... 612 80 Summa Kapitel I ....... 1,824 49 KAaPiTEL Il. Veröffentlichungen der Gesellschaft . ....... 1,968 55 Summa der fortdauernden Ausgaben . .. 8,467 82

B. Ausserordentliche Ausgaben.

4. Zur Herstellung res Hortus deliciarum . . . 1,300

2 » d von Grundkarten . . .... 26 30

3 » » des Werkes von Naue. .. 49 45 Summa der ausserordentlichen Ausgaben. . . .... 1,517 75 Summa aller Ausgaben... . . . .. 9,985 57 Die Einnahmen betragen . . . ..... 16,775 8 Verbleibt Bestand am 1. April 4908. . ..... 6,790 28

wovon: a) in der Kasse ............... 178 53

b) Hinterlegt bei der Bank. . . .. .... 6,611 79 Zu übertragen . .. 6,790 28

_- A

DEPENSES.

A. Döpenses ordinaires.

CHAPITRE 1. Frais d'administration. M

Pour les gardiens du Musée ......... 023 90 Traitement de l'assistant . .......... 2,400

30 Allocation pour divers services du bureau, de la caisse et de la bibliothèque . . ... 372

Frais de bureau, d’affranchissements et de port...................... 583 79

Assurance contre l'incendie et entretien du local du musée et du mobilier . .. ... 683 84 Pour la bibliothèque ............. 112 15 Total du chapitrel....... CHAPITRE Il. Fouilles, entretien de monuments et acquisitions

pour le Musée.

40 Fouilles..................... 652 43 2 Travaux d’entretien à divers monuments .. 559 26 Acquisitions pour le Musée. . ........ 612 80 Total du chapitre IT. ...... CHAPITRE Ill. Publications de la Société. . ........... Total des dépenses ordinaires . . . ....

B. Dépenses extraordinaires.

Publication du Hortus deliciarum . . . ... 1,300 do Grundkarlen. ................. 26 30 30 Pour le travail de M. Naue......... 191 45 Total des dépenses extraordinaires . . . . ...

Total de toutes les dépenses . . . . ...

Les recettes se sont élevées à ..............

D'où résulte un excédent de recettes de. .......

dont en caisse. . ........... 178 53

20 à la banque... ........ 6,611 75

À reporter ...

4,674 78

1,824 49

1,968 55

8,467 82

1,917 75

9,985 57 16,775 85

6,790 28

6,790 28

99 A Übertrag Saldo. . . 6,790 38 Von diesem Saldo ist jedoch in Abzug zu bringen: a) Restfonds für Grundkarten II Extraord. ... 342 49

b) > » das Werk Naue......... 1,308 55

Der wirkliche Saldo berechnet sich somit auf . . . .... 5,139 24 welchem noch rückständig gebliebene Rechnungen an die Gesellschaft gegenüberstehen zum Betrage

Report saldo . .. N faut toutefois déduire de ce saldo les subventions non dépensées, soit :

a) pour les Grundkarlen. . . ..... .. 842 49 b) » le travail de M. Naue . . . . ... 1,308 55

Le saldo effectif est donc de ................

Les dettes de la Société se montaient en outre au 31 mars 1903 à la somme de. .... 7,500

A 6,790 28

1,651 04

5,139 24

B. Xx1l.

FUNDBERICHTE

UND

KLEINERE MITTEILUNGEN.

vr m... QU -

hr

Das Gefäss ist in Hohlguss hergestellt, der Boden aber ist nicht mil- gegossen, sondern nachträglich eingefügt worden. Der Henkel, schnurartigen mitgegossenen Relieflinien verziert, sitzt be zwei am Kopfe angebrachten Ösen. Ein über dem Hinterkopfe si Charnier verrät, dass die runde Mündung auf dem Scheitel de gefässes einst durch einen kleinen, leider fehlenden Deckel geschk werden konnte.

Die Wände des Gefässes sind kaum einen halben Genti Der Kubikinhalt beträgt ca. 1 °/, Deziliter, das Gewicht des G '/, kg, die Höhe mit dem Henkel 15'/,, ohne diesen 11 cm, die der Basis 8'/, cm.

Gefässe verwandter Art sind vielfach bekannt. Am häufigsten 3 sie Frauenkôpfe dar. Ich besitze aber auch ein derarliges Gels Genf) mit dem Kopfe des Herakles als Kind. |

Man ist darüber einig, dass es Balsamarien sind, analog den in E und Art verwandten römischen Kopfgläsern, wie sie aowohl am Ri wie hauptsächlich im Orient, in Palästina, in Syrien und in : gefunden werden.

Nach Mitteilung des Herrn Stiegelmann enthielt der Kopf ı Kohle. Ich selbst fand darin auf dem Boden noch Teile einer yarkahlien Masse, welche vielleicht vom einstigen Inhalte herstammt und den Ein- druck macht, als wäre es der verbrannte und verkohlte Rückstand einer einst fetten Masse.

Der eben erwähnte Inhalt sowohl als die an der Wendung à und aussen z. T. noch festklebenden Reste von verkohlten Holz und Strohteilen verraten, dass das Kopfbalsamarium anlä Brandkatastrophe am Fundorte sein Grab fand. Nach Mitteilung Herrn Stiegelmann lag der Kopf 1'/, Meter tief in einer Schicl 4 Kohle und Asche. Mitgefunden wurden einige wenige Ter I scherben verschiedener Art und ein kleines bronzenes Verzierung. Leider stand der Arbeiter, welcher das Gefäss Herrn Stie mann verkaufte, ohne Aufsicht und sind dadurch die nähern Fi umstände unserer Kontrolle entzogen.

Das Fundgebiet, das Terrain hinter der Aubette, ist reich an rön schen Fundstücken aller Epochen. Es sind dort sowohl Funde ı frühesten wie der spätern Kaiserzeit zum Vorschein gekommen » Fundort selbst gibt uns also über das Alter dieses Bronzegefässes ı genauere Anhaltspunkte; es bleibt uns nach den dorligen Funden. e Spielraum vom I. Jahrhundert vor Chr. bis zum Ill. Jahrhundert na

4 =

= . hälchen

‘Aingsseng nz opqny Jep uoa serjoijdoy saosIMOY :uayuoj] ‘Y

Chr. Auch die Technik gibt keine präziseren Daten, da die Sitte der Inkrustation mit Kupfer, Silber und Glas während der ganzen Kaiser- zeit üblich war.

Ebensowenig bietet die Gefässform selbst ein sicheres chronologisches Merkmal, da Früh- und Spätzeit Bronze-, Thon- und Glasgefässe in Kopfform übten. Sicher kann wohl nur gesagt werden, dass es sich um ein Kunsterzeugnis der römischen Kaiserzeit handelt.

Sicher scheint mir auch, dass das Gefäss nicht hier im Lande, sondern im Süden entstanden ist, und ich vermute wohl nicht mit Unrecht, dass es sich um eine römisch-agyplische Bronze handelt. Dafür spricht nicht nur die von den römisch-italischen Kopfbalsamarien verschiedene künst- lerische Behandlung, auch die naturwahre Wiedergabe des Nubiertypus und der Umstand, dass gerade die Bronzen verwandter Art teils direkt dem ägyptischen Boden entstammen, teils (bei europäischer Provenienz, wie bei den Bronzen von Baden) von den Archäologen als orientali- sche Erzeugnisse angesprochen werden. Auch die Verwendung von Glaspupillen ist eine Erscheinung, die besonders häufig an Fundstücken aus Ägypten zu beobachten ist. Ich habe von dort Portraitköpfe der Kaiserzeit mitgebracht, von denen einige eingesetzte Glasaugen tragen. Unsere europäischen Bronzen zeigen dagegen, wenn inkrustiert, statt des Glases meist silberne Augeneinlage oder silbernen Apfel und kupferne Pupille.

Ich gehe also wohl nicht fehl, wenn ich das an der Aubette gefun- dene Henkelgefäss in der Form eines Nubierkopfes als ägyptische Arbeit der römischen Kaiserzeit anspreche.

Den Fund habe ich dem Strassburger Museum elsässischer Altertümer als Geschenk überwiesen.

Einige römische Grabsteine im Zaberner Museum.

EN, Din PP TER

I.

Wir haben voriges Jahr den lange für tribokisch gehaltenen Cani- siusstein des Zaberner Museums an dieser Stelle besprochen.

Diesmal möchten wir die Entzifferung einiger andern bisher nicht entzifferter oder falsch gelesener Inschriften versuchen.

An erster Stelle kommt der im Katalog von 1872 unter Nr. 15 ein- getragene Stein:

«Pierre tumulaire avec une inscription indechiffrable, trouvée au Gross-Limmersberg: hauteur 1%,04, largeur 0,63, épaisseur 0,21. Don de M. Alf. Goldenberg.»

Der Stein war dem Museum schon 1859 geschenkt worden. De Morlet berücksichtigte ihn 1863 nicht; denn er fehlt unter den damals von ihm herausgegebenen Abzeichnungen. Er ist zerschlagen und ein Fragment davon verloren.

Die noch vorhandenen Stücke liefern folgendes Bild:

In der dritten Zeile scheint mit dem Buchstaben N ein M zusammenzu- hängen, aber viel wahrscheinlicher rührt das nach dem N vorkommende Zeichen von einem falschen Meiselstreich, vielleicht auch von einem Spatenhieb bei der Ausgrabung her. Das folgende I mit dem links

—_ 7

noch erkennbaren Punkte wird von einem nach oben verwitterten T herkommen. Diese Vermutungen drängen sich durch den Zusammenhang von selbst auf.

Die Inschrift ist teilweise wegen der Aussprache bemerkenswert. Schon längst steht fest (Cf. Gramm. de Portroyal. Paris 1761, p. 646), dass QV als C, dieses aber, auch vor I und E, als K ausgesprochen wurde.

Man findet ähnlich CIS für QVIS und umgekehrt liguebit oder ligebit für licebit.

Daher kann über unser CINTVS in der vierten Zeile kein Zweifel obwalten. Es ist Quintus zu lesen. Ebenso muss in der dritten Zeile Cinla oder Quinta Mussa gelesen werden.

Die untern Striche des abgebrochenen M vor VSSA sind auf dem Steine deutlich erkennbar. Indem wegen der Mehrzahl FILI (für fili:) wenigstens zwei Personennamen vorkommen müssen, bleibt keine andere Lesung möglich als CINTA (Mussa).

Letzteres ist als Foemininum auffallend, aber sicher, sodass die ganze Inschrift gelautet hat:

D(iis) M(anibus) . LAETO [MVRI] CINTA MVSSA ET CINTVS MVS FILI P(onendum) G(uraverunt).

u.

Ein in Walscheid gefundener Stein, Höhe m 0,92, Br. m 0,58, oben abgerundet, wird im Katalog gelesen: D.M. CARATI GAIT A E Eine Inschrift mit dem Namen CARATIVS befand sich nach Schæpflin (Als. ill, L., 527) ehemals im Garten des Franziskanerklosters in Zabern. (D. M. Casae et Caratii filü e.) Auch in Metz und in Nîmes (Schogpflin, ibid.) ist der Name nachgewiesen. Dessungeachtet schlagen wir hier eine andere Lesung vor. Wir finden nämlich für die letzte Zeile GAITI....NE, so dass wohl ursprünglich gestanden haben mag: D.M. CARA TI[TIA] GAI TI(TID NE. (Diis Manibus: Cara Tilia, Gai Tilii neplis.) Gai ist für Gaii unter welcher Form der römische Name Gaius auch in der Vulgata (cf. Act: Ap. XIX, 29 u. XX, 4; sowie 3. Joh. 1) vorkommt.

S 8*

III.

Ein anderer in der Nähe von Zabern gefundener, von de Morlet als Nr. 14 blos mit D.M.CARA und einigen unentwirrbaren Zeichen wiedergegebener Stein, trägl die noch leicht erkennbaren Zeichen:

| D.M. CARA TITIA PA

Was folgte, ist nicht mehr zu lesen, muss aber offenbar lauten. faciendum curavit (F. C.) oder ähnlich. Dass PA pater heissen soll, dürfte kaum bezweifelt werden.

Wir hätten hier, wenn die Inschrift aus Walscheid richtig gelesen ist, zweimal den nämlichen Namen.

Cara erinnert an M. Aurelius Carus, gest. 283.

IV.

Der Stein 6 in de Morlets Notiz vom Jahr 1863 bietet in der dama- ligen Zeichnung folgende Figur dar:

D M CODO | IIN M SVS Im Katalog des Museums (1872) gibt Morlet hiefür D M CODO | SIT NII LM RVS Diese Lesart war schon besser. Tatsächlich ist der Stein zu lesen: D M CODO | SIE NV LN RVS

was heissen muss: D(iis) M(anibus) CODOSII NVRVS L. N. L. N. wird wohl ein Versehn sein für L. M., libens merito. Der Stein wurde im Greiffensteiner Wald gefunden.

V. De Morlets Stein 9 (Mus. Nr. 20) hat ebenfalls noch nicht entziffert werden können. Im Katalog des Museums lautet die Inschrift: D. M. JAHIMI MONIME ..... F Der Querstrich im II ist auf dem Stein nicht deutlich angegeben ; eben- sowenig ist das Zeichen, bei der deutlichen Bildung IT, etwa als N zu lesen.

9%

Wir vermögen daher die Gruppe IAHI nicht zu deuten.

Nach M ist weiter nicht ein I, sondern der eine Schenkel von A er- kennbar.

In der dritten Zeile steht vor F noch ein I, so dass wir lesen müssten : MONIME(ntum) IF.

In Zeile 2 könnte MA der Anfang von MATER gewesen sein; wir hätten hierdurch: IAHI mater monimentum jussit fieri, wobei vielleicht das H ein falsch gebildetes N sein könnte.

Der Stein kommt aus dem Gross-Limmersberg.

VI.

Der Stein 8 bei Morlet war schon 1852 (Bibl. de l'École des Chartes, nov.-déc., p. 2?) der Aufmerksamkeit der Gelehrtenwelt empfohlen worden, doch ohne dass 1863 bei der Verôffentlichung Morlets, oder 1872 bei der Drucklegung des Museums-Katalogs, die Entzifferung wieder ver- sucht worden wäre.

«Pierre tumulaire de forme prismatique, haute de 0”,74, large de 0m,66, trouvée sur la hauteur de Saverne, au lieu dit Hergott et décorée de l'inscription suivante :

D.M. BIILLA DAROM RIIVL Cette inscription semble à peu près illisible, au moins pour un épigraphiste qui ne peut s’aider d'aucune autre connaissance que de celle des divers alphabets grecs et latins.» So drückt sich das Katalog aus. Die Schwierigkeit ist jedoch keine so grosse, wenn nur recht auf die Buchstaben geachtet wird.

10*

IT in der zweiten Zeile ist unbedingt richtig. Bekannt ist aber, dass I oft für E gebraucht wird (z. B. VIINVS für VENVS).

DAROM ist jedoch verfehlt. Auf dem Steine und sogar schon auf de Morlets Abbildung ist leicht erkennbar, dass das angebliche R als CL aufzufassen ist.

Das L ist ein wenig in das C hineingezogen, aber beide Buchstaben sind deutlich angegeben. Auch in Bella ist der sonst wagerechte untere Strich der beiden L so herabgezogen, dass der Buchstabe jedesmal statt eines Gerade- oder Spitzwinkels einen Stumpfwinkel bildet. Diese Form kommt auch in andern Inschriften vor. |

Am Anfang der letzten Zeile fehlt ein Buchstabe, indem ein Stück vom Steine abgesprungen ist. Die letzten Buchstaben sind FIL und nicht NL. Wir bekommen dadurch

D(iis) M(anibus) BELLA DACLOM

[DRI FIL(ia)

Dass in die Lücke vor R ein I oder doch ein Vokal einzusetzen ist, kann nicht zweifelhaft sein. Auch braucht nicht besonders hervorge- hoben zu werden, dass Daclomir, oder auch Daclomar, an Hlodomir erinnert'. Mir oder mer ist ein altdeutsches Wort, dass sich noch in «Märe» (cf. Nibelungen, IL, Av. 1) erhalten hat und als Adjektiv durch «berühmt, herrlich, bekannt» übersetzt wird. Es kommt als Substantiv auch im Sinn von Heerführer vor.

Diese Inschrift ist also darum wichtig, weil sie auf eine Annäherung zwischen dem aligermanischen und dem römischen Elemente hinweist. Der Vater der Verstorbenen ist ein Germane nnd die Tochter trägt einen lateinischen Namen.

Daglo scheint auf Tagl, Haar, ein altdeutsches noch bei Ulphilas (Matth. 5, 36 u. 10, 30; Mark. 1, 6) erhaltenes Wort zurückgeführt werden zu müssen. Nach einem zuerst von Grimm hervorgehobenen

1. In Hlodomir oder Chlodomir, berühmter Anführer, ist mir substantivisch ge- braucht. In Theodomir oder Dietmar (berühmt unter dem Volk), ebenso in Offomar (hervorragend durch das Glück), ist es Adjektiv. Heyne können wir nicht beistimmen, wenn er (Ulphilas S. 375; cf. auch Curtius Griech. Etym. 1866 S. 96) das gotische mers (berühmt) mit memor zusammenbringen will. In «memor» gehört r, wie das Lateinische «memini» und das Griechische pvaopar und utuvñoxw zeigen, nicht zum Stamm. Dagegen dürfte vielleicht das Lateinische «mirus» mit dem altdeutschen «mer: ursprünglich verwandt sein.

11+

Verschiebungsgesetze (cf. Stamm, Ulfilas, ed. Heyne, 1872, S. 384) wären die im Gotischen des Ulfilas vorhandenen Mutenlaute meist nicht die ursprünglichen; die dortigen Tenues stünden für frühere Mediae und die Medise für frühere Aspirierte. Demgemäss hälten wir uns für tagl ein ehemaliges daghl zu denken. Von dieser Regel abgesehen ist der Umtausch von d mit t und wechselseitig, in der Vergleichung der altgermanischen Dialekte zu einander, eine stets hervortretende Erschei- nung. Sehn wir weiter auf die Aussprache, so unterscheidet, wie Gott- sched in seiner Abhandlung über die Frage, «ob man Deutsch oder Teutsch schreiben soll», mit Recht hervorhebt, «die eine Hälfie von Deutschland» die zwei Buchstaben kaum oder gar nicht von einander (Gotisch., Sprachl., 1762, S. 682). Die Bemerkung gilt auch für uns im Elsass.

Wir würden darum Daglomir übersetzen: «durch das Haar berühmt». Der Name erinnert an die langhaarigen Merowinger.

Was aber auch für eine Deutung vorgeschlagen wird, bleibt der Name durch die Endung immer ein deutscher. Als deutsch-römisch, stellt er sich der schon von Schoepflin (Als. ill., IL, 459) besprochenen in Zabern gefundenen gallo-römischen Inschrift « Mercurio et Appolini Magioriz et Quintus secundi filius volum solverunt libero munere» und dem 1868 zu Durstel gefundenen Stein, mit demselben keltischen Namen Magiorix (D. M. Magiorici, Natalis filio) zur Seite, die beide in unserm Museum untergebracht sind, hier aber als schon entziffert nicht weiter besprochen werden.

A. Anıu, Pfarrer von Zabern.

Zwei Inschriften in Wilwisheim.

I.

Am Kirchturm zu Wilwisheim steht eine Inschrift in gotischen Minus- keln, die schon Grandidier (Œuvres VI, 454) zu lesen versucht hatte. Straub corrigierte bei diesem, in der vierten Zeile, den Namen Roter- husen zu Jordaestein, mit einem Fragezeichen, welche Lesung von Kraus (K. u. A. im U.-Els.) unbeanstandet gegeben wird.

Sowohl Grandidier als Straub hatten die zwei letzten Zeilen unbe- achlet gelassen. Die Inschrift lautet tatsächlich:

Anno . dni. m. cccc. (eiii°, inceptum. e. pns. opus. sub. dus. can rads. ratsamhusen. rectore. buins. ecclesie. bec. scripta. sut. per ioane. seile. plebanum.

«Anno domini MCCCGLXIN inceptum est presens opus sub domino Cunrado (de) Ratsamhusen, rectore huius ecclesie. Hec scripta sunt per Joannem Seile plebanum.»

Über der Inschrift ist von fremder, wenig geübter Hand das kleinere Schild aus dem ratsamhausischen Wappen angebracht. Bezüglich des Wortes «praesens» (gegenwärtig) für choc», verweisen wir auf die beinahe gleichzeitige Inschrift (1475) auf der alten Zaberner Glocke, wo «precens vocat ad opus Bartolomei devotos» demnach heissen muss: «Sie ruft die Frommen zu gegenwärtigem Bau der H. Bartholomaeus.»

Wie die obige Richtigstellung zeigt, hatte Grandidier den Namen in der vierten Zeile beinahe herausgefunden. Es muss selbst wunder- nehmen, dass er mit Rotenhusen nicht auf Rotsenhusen kam, das die Volksaussprache war für Rathsamhausen. Letztere Schreibung ist, wie die ganze Lesung, völlig sicher.

13+

IT.

Auf einem an das Schiff der Kirche, auf der Epistelseite angelehnten Grabsteine, steht nachfolgende Inschrift, auf die von Grandidier, loc. ci., ebenfalls hingewiesen wird:

P. V. R. D. HIC. IACET. PL(VRIMV)M. R. D. JOANNES. PETRVS. SIMONIS. QVI. PER. XLV. ANNOS. HVIVS. LOCL FIDELES. VT. PASTOR. QVEM. DILIGEBANT. REXIT. TANQVAM. PATER. EGENIS. LEVAMEN. AEGROTIS. VIGILANSQVE. OVIVM. SVORVM. CVSTOS. DIVINL REDEMP- TORIS. CHRISTI JESV. AGONIZANTIS. ICONEM. SACRIS. HISCE. PARIE- TIBVS. PROPRIS. ET. MAGNIS. SVMPTIBVS. APPLICARI. CVRAVIT. VIVERE. CAEPIT. AMMERSWIER. ANNO DNI. MDCXCVII. POST. MOR- BVM. NONNISI. XVIIL HORARVM. QVO. CATECHIZANS. CORREPTVS. SACRAMENTIS. RITE. MVNITVS. VIVERE. DESIT. DIE. MARTIL XX. M.DCCLXXIX. R. L P.

Das Bild vom Heiland im Ölgarten war, nach Grandidier, ein Gemälde. Es verschwand beim Abbruch der Kirche. Joh. Peter Simonis war, wie die Inschrift zeigt, ein Landsmann und wird auch wohl ein Verwandter des 1903 verstorbenen Superiors und einstigen Reichstagsabgeordneten Simonis gewesen sein. Die Todesangstbruderschaft besteht noch in Wilwisheim.

A. ADAM, Pfarrer von Zabern.

GESELLSCHAFT

FÜR

ERHALTUNG DER GESCHICHTLICHEN DENKMALER IM ELSASS.

—0; {0e

Vorstand.

Büreau mit dem Sitze in Strassburg.

Präsident... . KELLER, Prälat, Superior des Priesterseminars.

Vice-Präsident . SALOMON, E., Stifisbaumeister,

Schriftführer . . MOLLER, Dr. Eugen, Universitätsprofessor, Ehrendomherr. . . SEYBOTH, Dr., Direktor der städtischen Kunstsammlungen.

Schatzmeister. . WINTERHALTER, Cäsar, Cementwarenfabrikant.

Mitglieder des Vorstandes.

BECKER, Dr. Prof, Gymnasialoberlehrer in Strassburg.

Binper, C., Conservator der städtischen Kunstsammlungen in Strassburg.

Bourceoıs, Kaufmann, Markirch.

FıckEr, Dr. Universitätsprofessor in Strassburg. Conservator des Museums in Strassburg.

FoRRER, Rob, Dr., Redakteur, Strassburg.

GLöck, Emil, Fabrikant, Mülhausen.

Henning, Dr., Universitätsprofessor, Conservator des Museums, Strassburg.

Jen, C., Rentner in Strassburg.

InsoLp, A. M. P., Abbé in Colmar.

Kıem, Bildhauer, Colmar.

KŒRTGÉ, Alb., Kunstmaler, Strassburg.

Kurrz, K., Kaufmann, Strassburg.

LEMPFRIED, Dr., Gymnasialdirektor, Hagenau.

MARTIN, Dr., Universitätsprofessor, Strassburg.

NesseL, Rentner in Hagenau.

Orr, Isidor, Glasmaler, Strassburg.

SCHICKELE, M., Domherr, Strassburg.

SCHLOSSER, Eigentümer, Drulingen.

SCHLUMBERGER, Jean, Dr. von, Excellenz, in Gebweiler.

Wın&Ler, Baurat, Conservator a. D., Colmar.

Ehrenmitglied. PUTTKANER, M. von, Excellenz, Staatssekretär a. D., in Baden-Baden.

win pue pen le in pie © 00 I CT im

CO wm C2 m C0 N RO RD SONORE S D 0% 18 Et à 0 Ne 13

ln ein mb Selle GO KO æ © DO 00 1 O O1 = CO ND mm

Mitglieder der Sesellschaft

nach dem Stande April 1904.

REN SWL

. ABT, Rechtsanwalt, Colmar. . ACKERMANN, Abbé, Professor am Collège Stanislas, Paris.

ADAM, Pfarrer, Ehrendomherr, Zabern.

. ADAM, Eugen, Pfarrer, Metzeral.

. ALBRECHT, Dr., Ministerialrat, Strassburg.

. Amann, Jos., Pfarrer im Bürgerspital, Strassburg. . ANDLAU, Graf Hubert von, Stotzheim.

. ANDLAUER, Pfarrer, Ehrendomherr, Egisheim.

. ANRICH, Universilätsprofessor, Strassburg.

. ANSEL, Heinrich, Forstvorsteher, Weiler b. Thann. . Archiv der Sadt Mülhausen, Mülhausen.

. ARTH, Eigentümer, Nancy.

. Bach, Jos., Gymnasialdirektor, Dr., Strassburg.

Bac, Rentamtmann, Metz.

. BACHMANN, Peter, Rentner, Strassburg.

. Back, Unterstaatssekretär z. D., Bürgermeister, Strassburg. . BAUDISSIN, Graf von, Landgerichtsrat, Zabern.

. BAUMGARTEN, A., Fabrikant, Markirch.

. BAYER, Dr., Victor, Rentner, Meran.

. BECHSTEIN, Dr., Oberlehrer, Professor, Strassburg.

. BECKER, Jos., Dr., Professor, Oberlehrer, Strassburg.

. BEEMELMANS, Ministerialrat, Strassburg.

. BEnrA, Ant., Pfarrer, Bebelnheim.

. BEIGER, Moritz, Kaufmann, Strassburg.

. BENCARD, Xav., Kaufmann, Colmar.

. BERGER, Dr., Gantonalarzt, Bühl b. Gebweiler. . BERNARD, Jos., Pfarrer, Schwobsheim.

. BERNINGER, Architekt, Strassburg.

. BERTRAND. L., Pfarrer, Limersheim.

. Beucuor, Isid., Pfarrer, Colmar.

. Bibliothek, Königliche, Berlin.

. Bibliothek, Stadt-, Colmar.

. Bibliothek, Stadt-, Hagenau.

. Bibliothek, Stadt-, Mülhausen.

1H

. Bibliothek, Stadt-, Schlettstadt.

. Bibliothek des Progymnasiums, Thann.

. Binper, C., Direktor des Kupferstichkabinets, Strassburg. . BIRLINGER, Pfarrer, Merxheim.

. Breca, Ernst, Fabrikant, Markirch.

. Breca, Ferdinand, Fabrikant, Markirch.

. Buinn, Dr., Arzt, Strassburg.

. Boca, Dr., Professor, Strassburg.

. BLUMER, Rentner, Strassburg.

. BeeckeL, Karl, Kaufmann, Strassburg.

. Beeckıng, Landgerichtspräsident, Strassburg.

46. BŒURER, Paulus, Pfarrer, Wilwisheim.

41. 48. . BorrıEs, von, Oberlehrer, Prof., Dr., Strassburg. . BoSTETTER, Dr. med., Sanitätsrat, Brumath.

. BOTTLENDER, Bauunternehmer, Neuweiler.

Berscai, Aug., Gutsbesitzer, Mittelbergheim. BoLLACHER, stud. jur., Berlin.

52. BoucaHoLtz, Förster a. D., Marlenheim.

53. 54. 55. 56. 51. 58. 99. 60. 61. 62. 63. . CHRISTMANN, Kommerzienrat, Bürgermeister, Monsweiler.

. CHRISTMANN, Gust., Fabrikant, Monsweiler.

. CLAUSS, Jos., Vikar, Kaisersberg.

. CŒœuorn, Menno, Baron von, Ittenweiler.

. CRONENBERGER, L., Pfarrer, Oberhergheim.

. DANTZER, Valerius, Pfarrer, Surburg.

. DE Bary, Eduard, Gebweiler.

. DE DARTEIN, Eigentümer, Plobsheim.

. DE DARTEIN, Fréd., inspecteur des ponts-et-chaussées, Paris. . Desus, Ant., Pfarrer, Ergersheim.

. DEDELLEY, Chefredakteur, Strassburg.

. DELLINGER, Eustach., Pfarrer, Hausen.

. Deısor, N., Pfarrer, Reichstagsabgeordneter, Marlenheim.

BourcaRT, Alexander, Fabrikant, Gebweiler. Bourceois, Julius, Fabrikarbeiter, Markirch. Braun, Goldschmied, Strassburg.

BressLav, Dr., Universitätsprofessor, Strassburg. Brıon, Albert, Architekt, Strassburg.

Brunck von FREUNDECK, Domherr, Strassburg. Bruncx von FREUNDECK, Eigentümer, Geberschweier. Burger, Paul, Pfarrer, Rosheim.

Burcusuru, P., Hopfenhändler, Strassburg. CALAME, Abbé, Paris.

Casino, kommerzielles u, litterarisches, Strassburg.

IV

11. Dieckuorr, Dr. Polizeipräsident, Mülhausen.

18. DIESNER, Pfarrer, Saargemünd.

19. Dıetscn, Camille, Fabrikant, Leberau.

80. Dierscu, Jean, Fabrikant, Leberau.

81. DorLruss, Gustav, Mülhausen.

82. DoLLıncer, Leo, Gutsbesitzer, Strassburg.

83. DoLLINGER, Dr. med., Arzt, Strassburg.

84. DoRNSTETTER, L. Fr. Jos., Pfarrer, Habsheim.

85. Dreyruss, Clement, Kaufmann, Strassburg.

86. Dürr, Paul, Bauunternehmer, Strassburg.

87. Duss&£re, Gust., Pfarrer, Altenschweiler.

88. EHRHARD, Alb., Universitätsprofessor, Dr., Prälat, Strassburg. 89. ExRHARD, Aug., Brauereibesitzer, Schiltigheim.

90. ExrHARD, M. Aug., Pfarrer, Ehrendomherr, Markirch. 91. Eıssen, Karl, Commerzienrat, Strassburg.

92. Eutin, Jul., Dr., Prof., Bibliotheksdirektor, Strassburg. 93. Fırter, Luc., Pfarrer, Westhofen.

94. FERRENBACH, Dr., Gymnasialoberlehrer, Altkirch. 95. Ficker, Joh., Dr., Universitätsprofessor, Strassburg. 96. Fıcker, Dr., Privatdocent, Halle a/S.

97. Fıscher, Notar, Zabern.

98. FLeıscHeL, V., Abbé, Strassburg.

99. FLEISCHMANN, Jules, Kaufmann, Markirch.

100. ForrER, Dr., Redakteur, Strassburg.

101. FREUDENREICH, Cam., Pfarrer, Weckolsheim.

102. Frey, Aug. Alph., Pfarrer, Deutsch-Rombach.

403. Frey, Stephan, Pfarrer, Ehrendomherr, Colmar. 104. Frick, K. K. Hofbuchhändler, Wien. 105. Fritsch, Fr. Xav., Pfarrer, Krastatt. 406. Fritsch, Jos., Pfarrer, Reichshofen.

107. Fritsch, Mor., Pfarrer, Bühl (Ob.-Els.).

108. Fritzen, Dr., Bischof, Strassburg.

109. Fre&uuy, Laurent, Pfarrer, Ammerschweier.

410. Fürst, Dr., Landgerichtsrat, Mitglied des Landesausschuss, Zabern. 444. Fuchs, Albert, Druckereibesitzer, Zabern.

412. GanTER, Benjamin, Pfarrer, Heilig-Kreuz i/L.

413. Gass, Jos., Dr., Professor, Strassburg.

144. Gava, Julius, Strassburg (Gymnasiall. St. Stephan). 415. GÉNY, Dr., Abbé, Stadtbibliothekar, Schlettstadt. 116. GERocK, Apotheker, Strassburg-Neudorf.

417. GLöcKLER, Ludw., Pfarrer, Stotzheim.

448. GLöck, Emil, Fabrikbesitzer, Mülhausen.

VV

. Gerz, Fr. Ant., Pfarrer, Mommenheim.

. Gerz, Ignat., Pfarrer, Westhausen.

. GŒTTGENS, Car., Vikar, Königshofen.

. GOLDSCHMIDT, Dr., Kantonalarzt, Strassburg.

. Grimm, M!*, Rentnerin, Andlau.

. GrouveL, Baron Léon von, Paris.

. GRUNELIUS, Gutsbesitzer, Kolbsheim.

. Gruss, Alph., Pfarrer, Ichtratzheim.

. Guntz, Eigentümer, Zabern.

. GUTHMANN, Hauptlehrer, Mülhausen.

. Gyss, Ed., Pfarrer, Diedolshausen.

. HADERER, Vict., Pfarrer, Strassburg.

. H£cy, Jos., Pfarrer, Ehrendomherr, Rufach.

. HÆN, Bart., Pfarrer, Westhalten.

. Harn, Bezirkspräsident, Strassburg.

. Ham, Ministerialrat, Strassburg.

. Hıuu, Car., Pfarrer, Lautenbach.

. HAMMERSTEIN, Freiherr von, Staatsminister, Berlin. . HANNIG, Baumeister, Zabern.

. HansmänneL Felix, Vikar in Zabern..

. Hans, Eugen, Pfarrer in Bergheim.

. HARTMANN, Dr. med., Arzt, Lützelhausen.

. Hartz, Jul. Alph., Pfarrer, Markirch.

. Hassenrratz, Ign., Pfarrer, Ruprechtsau.

. Hausuann, S., Dr., Senatssekretär, Strassburg. . HECKMANN, Alph., Vikar, Strassburg (Jung St. Peter). . Heırz, Kreisdirektor, Weissenburg.

. HELL, DE, Rentner, Oberehnheim.

. HELMER, Dr. jur., Barr. |

. Henning, Dr., Universitätsprofessor, Strassburg. . HERMANN, Ad., Direktor des «Elsässer», Strassburg. . HERRENSCHNEIDER, Leon, Weier a/Land.

. Hertzoc, Felix, Pfarrer, Andlau.

. HERTZoG, Dr., Schuldirektor, Metz.

. Hınıy, Louis, Kaufmann, Strassburg.

. Hocu, Dr., Gefängnispfarrer, Strassburg.

HerreL, Dr. med., Reichstagsabgeordneter, Buchsweiler.

. Horruann, Charles, Kienzheim.

. Horı, Sohn, Metalldrehermeister, Strassburg. . HoLTzuann, Div.-Pfarrer, Rastatt.

. Homme, Dr., Geheimsekretär des Bischofs, Strassburg. : . Hopr, Adolph, Pfarrer, Küttolsheim.

161. 162.

163. 164. 165. 166.

161. 168.

169. 470.

174. 172. 173. 174. 175. 176. 471. 178. 479. 180. 181. 182. 183.

VI

Hoppe, Dr. Landgerichtsrat, Mülhausen. HornG, Prof., Dr., Oberlehrer, Strassburg. Hornıng, W., Pfarrer, Strassburg.

Huser, Alph., Pfarrer, Bischheim.

Höck, Theoph., Pfarrer, Hüttenheim. Hürreı, Leo, Apothekenbesitzer, Hagenau. HörrerL, Buchhändler, Colmar.

Huntzicer, Alph., Pfarrer, St. Amarin. J&cer, Karl, Oberlehrer, Strassburg.

Jan, von, Privatgelehrter, Strassburg.

Jeur, Rentner, Strassburg.

Illing, Oberregierungsrat, Strassburg.

Jörc, Architekt, Mülhausen.

Jost, Georg, Generalvikar, Strassburg. IncoLp, Ehrennotar, Colmar.

Incocn, A. M. P., Abbé, Colmar. IssENHART, Georg, Pfarrer, Dingsheim. Jung, Kreisbauinspektor, Zabern. KAGENEcK, Freiherr von, Major a. D., Altenburg. Karrer, Bernh., Pfarrer, Wasserburg. Kasse, Dr. med., Arzt, Hochfelden. KELLER, Superior des Priesterseminars, Prälat, Strassburg. KessLer, Fritz, Fabrikbesitzer, Sulzmatt.

484. Kigrer, Pfarrer, Balbronn.

185. 186. 187. 188. 189. 190. 191. 192. 193. 194. 19. 196. 197. 198.

199. 200.

201.

202.

Kıerrer, Alph., Erzpriester und Domherr, Strassburg. KLEIN, Pfarrer, Colmar.

KLeu, Bildhauer, Colmar.

KLıpreı, Karl, Pfarrer, Willgottheim.

KnoLL, Dr. med., Arzt, Hochfelden.

Koser, Apothekenbesitzer, Oberehnheim. Könıc, Alb., jun., Fabrikant, Markirch.

Könıc, Franc., Fabrikant, Markirch.

Könıs, Rod., Fabrikant, Markirch.

KoeRrTGE, Alb., Kunstmaler, Strassburg.

Kors, Th. C., Pfarrer, St. Pilt.

Korux, Dr., Bischof, Trier.

KRÆMER, Hofphotograph, Kehl.

KrAFFT, Architekt, Strassburg.

Krartz, Versicherungsdirektor, Strassburg. Krertz, Edm., Pfarrer, Neudorf.

KREYER, Architekt, Colmar.

KRŒKNER, A., Abbé, Dr. phil., Prof., Zillisheim.

VII

. KösLer, Eigentümer, Altkirch.

. Kuenan, Mart., Pfarrer, Odratzheim.

. Kurtz, Karl, Kaufmann, Strassburg.

. Lacour, Paul, Fabrikant, Markirch.

. LANGHÄUSER, Jul. Jos., Vikar, Königshofen.

. LAUGEL, Anselm, Eigentümer, St. Leonhard.

. LauceL, Viktor, Eigentümer, Illkirch.

. Lecay, Henri, Pfarrer, Leberau.

. Leitscaun, Dr., Universitätsprofessor, Strassburg. . LEHMMANN, Jos., Pfarrer, Walburg.

. LEMPFRIED, Dr., Gymnasialdirektor, Hagenau.

. Levy, Jos., Pfarrer, Grussenheim.

. LicaTLé, J. Claude, Pfarrer, Herlisheim (Ob.-Els.). . LINDER, Paul, Rentner, Oberehnheim.

. Lintzer, Aemil., Pfarrer, Mülhausen.

. Lossen, Dr., Oberlandesgerichtsrat, Colmar.

. LoTTER, Pfarrer, Blienschweiler.

. LoTz, Ant., Superior, Ehrendomherr, Rappoltsweiler. . Louvar, Alex., Architekt, Mülhausen.

. Lutz, Leo, Pfarrer, Reutenburg.

. Lux, L., Pfarrer, Gambsheim.

. Lux, M. Alph., Pfarrer, Neuhof.

. Macker, Viktor, Colmar.

. Merz, M. Alph., Pfarrer, Röschwoog.

. MALLÉ, A., Paris.

. Manias, Photograph, Strassburg.

. MarBacH, Dr., Weihbischof, Strassburg.

. Marc, J. L., Pfarrer, Gebweiler.

. MARTIN, Dr., Universitätsprofessor, Strassburg.

. MaT&IAS, Dr., Münsterorganist, Strassburg.

. Maruıs, Hotelbesitzer, Niederbronn.

. Matuis, Ernst, Pfarrer, Weyer b. Drulingen.

. MEININGER, Ernst, Kaufmann, Mülhausen.

. MÉQUILLET, Colmar.

. Messner, Paul, Pfarrer, Wörth.

. Merz, Fr. Xav., Anstaltsgeistlicher, Strassburg.

. METZENTHIN, Baurat, Strassburg.

. MEYER, Eigentümer, Zabern.

. MEYER, Charles, Kaufmann, Paris.

. MEYER, Emil, Dr., Kreisarzt u. Mitglied des Landesausschusses, Schiltigheim. . MEyER, Martin, Apotheker, Münster. . Micaaeis, Ad., Dr., Universitätsprofessor, Strassburg.

VIH

245. MicHELanc, Karl, Fabrikant, Markirch.

246. Micuecs, von, Dr., Eisenbahndirektor, Strassburg.

247. Mırc, Mathieu, Fabrikant, Mülhausen.

248. Möper, E., Rentner, Strassburg.

249. Me&cLın, Ern., Dr., Abbé, Generalsekretär des Bischofs, Strassburg.

250. Monsch, Ignat., Pfarrer, Hochfelden.

251. Morram, Ad., Privatgelehrter, Strassburg.

252. Mosser, Fl., Domherr, Strassburg.

253. MOLLENHEIM-RECHBERG, von, Freiherr, Heinrich Ludwig, Schloss Grür- stein b. Stotzheim.

254. MOLLEnHEIM-RecHBere, von, Freiherr, Paul, Hauptmann, Hannover.

255. MüLLer, Bildhauer, Strassburg.

256. MüLLer, Bürgermeister, Rufach.

257. MOLLER, Eug., Dr., Univ.-Professor, Domherr, Strassburg.

258. MüLLer, Fr. Xav., Pfarrer, Pfirt.

259. MüLLer, Henri, Bankier, Markirch.

260. MOLLER-Sımon:s, Paul, Dr., Ehrendomherr, Strassburg.

261. MünneL, Curt, Buchhändler, Strassburg.

262. Munscn, Phil., Pfarrer, Fessenheim.

263. Museum der Stadt Metz, Metz.

264. Naumann, Georg, Geh. Oberregierungsrat, Berlin.

265. NesseL, Rentner, Hagenau.

266. NEUMANN, Dr., Universitätsprofessor, Strassburg.

267. Nora, Apothekenbesitzer, Karlsruhe.

268. OBERLIN, Bürgermeister, Beblenheim.

269. OEsSInGER, Heinrich, Rentner, Strassburg.

270. D'OLEIRE, Buchhändler, Strassburg.

271. Ortn, Gustav, Mühlenbesitzer, Zabern.

272. OSTERMEYER, Gutsbesitzer und Landesausschussmitglied, Rufach.

273. Ott, Bernh., Pfarrer, Rittershofen.

274. Ort, Heinrich, Rechtsanwalt, Strassburg.

275. Ort, Ignaz, Pfarrer, Reichstett.

276. Ort, Jos., Dr., Domherr, Strassburg.

277. Ort, Isidor, Glasmaler, Strassburg.

278. Ort, Theodor, Kunstmaler, Strassburg.

279. Pauut, Dr., Geh. Oberjustizrat, Landgerichtspräsident, Strassburg.

280. PEerrı, Dr., Unterstaatssekretär, Strassburg.

281. Perri, Präsident des Oberkonsistoriums, Strassburg.

282. Prister, Franz, Pfarrer, Mutzig.

283. PıerRROT, Jos., Vikar, Logelbach.

284. PLecer, Lehrer, Isenheim.

285. POHLMANN, Oberregierungsrat, Strassburg.

IX

. Pocaczek, Dr., Universitäts-Professor, Strassburg.

. Ress, Simon, Domkapitular, Strassburg.

. RamsPpAcHER, G., Mühlenbesitzer, Wilwisheim.

. Rapp, C., Jos., Pfarrer, Breitenbach b. Münster.

. Rasp, Bankbeamter, Strassburg.

. RassıcA, Unterstaatssekretär, Landgerichtspräsident, Colmar. . RATHGEN, von, Generalleutnant, Excellenz, Strassburg.

. ReıßeL, Viktor, Pfarrer, Ehrendomherr, Strassburg.

. RetBeL, Dekorationsmaler, Strassburg.

. REıBER, Paul, Kaufmann, Strassburg.

. REICHENWEIER, Gemeinde, Reichenweier.

. Reinach, Baron von, Sigismund, Hirtzbach.

. REISET, DE, vicomte, Vic-sur-Aisne.

. REUMONT, Dr., Oberlehrer, Montigny.

. Reuss, Dr., Rod., Professor, Versailles.

. REussner, Ingenieur, Guise-la-Motte, près Compiègne.

. RicatTer, Wirkl. Geh. Oberregierungsrat, Strassburg.

. RırLens, Alfred, Notar, Strassburg.

. RŒ&DER von DiERsBURG, Generalleutnant, Excellenz, Strassburg. . Rönrıc, Frau Pfarrer, Strassburg.

. Ronuer, Aloys, Pfarrer, Königshofen.

. RoLLINGER, Alph., Pfarrer, Ehrendomherr, Gebweiler.

. Rora, Dr., Universitätsprofessor, Strassburg.

. Rouce, Karl, Eigentümer, Molsheim.

. RupLorr, Alexander, Baumeister, Colmar.

. SAILÉ, Fr. Xav., Buchdruckereibesitzer, Colmar.

. SALOMON, Alb., Architekt, Strassburg.

. SALOMON, E., Stiftsbaumeister, Strassburg.

. SALOMON, Heinr., Architekt, Strassburg.

. SALZMANM, J. Alb., Pfarrer, Ehrendomberr. Drei-Ähren.

. SCHAAF-AuMEL, Rentner, Strassburg.

. SCHALLER, J. Bapt., Pfarrer, Felleringen.

. SCHALLER, Jul., Kommerzienrat, Strassburg.

. SCHAUMANN, Pfarrer, Ehrendomherr, Strassburg.

. SCHEIDECKER, Leo, Fabrikant, Mitglied des Landesausschusses, Lützelhausen. . SCHICKELÉ, Mod., Domherr, Strassburg.

. SCHIELÉ, Jos., Pfarrer, Ehrendomherr, Ammerschweier. . SCHISSELÉ, Alfr., Rechtsanwalt, Zabern.

. SCHLESIER, Fritz, Buchhändler, Strassburg.

. SCHLOSSER, Eigentümer, Drulingen.

. SCHLŒSSER, Karl, Pfarrer, Jungholz.

. SCHLUMBERGER, J. VON, Dr., Exzellenz, Gebweiler.

. SCHLUMBERGER, Camille, Bürgermeister, Rappoltsweiler.

. SCHLUMBERGER, Gabr., Fabrikbesitzer, Mülhausen.

. SCHMIDT, Karl, Rentmeister, Barr.

. SCAMITT, Franz, Pfarrer, Horburg.

. SCHMITT, Jos., Pfarrer, Herbitzheim.

. SCHMITT, Lue., Pfarrer, Flexburg.

. SCHNEEGANS, Ed., Dr., Strassburg.

. SCHNEIDER, Jos., Pfarrer, Griesheim.

. SCHŒCB, Alb., Pfarrer, Hüningen.

. SCHRAUT, VON, Excellenz, Unterstaatssekretär, Strassburg. . SCHRICKER, Dr., Prof., Geh. Regierungsrat, Strassburg.

. SCHÜTZENBERGER, Arth., Eigentümer, Strassburg.

, SCHWAB, Reichsmilitärgerichtsrat, Berlin.

. SCHWALBE, Dr., Universitätsprofessor, Strassburg.

. SCEWARTZ, Ludwig, Fabrikant, Mülhausen.

. SCHWARTZBROD, F. R., Pfarrer quiesc., Oberehnheim.

. SCHWINDENHAMMER, Fabrikbesitzer, Türkheim.

. SEDER, Professor, Direktor der Kunstgewerbesehule, Strassburg. . SELENSPERGER, Karl, Mülhausen.

. SENSENBRENNER, Ambr., Pfarrer, Ehrendomberr, Sırassburg. . SEYBOTH, Ad., Dr., Direktor des Kunstmuseums, Strassburg. . SEYFRIED, Car., Pfarrer, Ehrendomherr, Molsheim.

. SEYFRIED, Victor, Pfarrer, Niederhaslach.

. SIEVEKING, Dr., Geh. Regierungsrat, Strassburg.

. SIGRIST, Felix, Pfarrer, Bitschhofen.

. SITZMANN, Direktor, Ehl b. Benfeld.

. Société industrielle, Mülhausen.

. SPETZ, Fabrikbesitzer, Isenheim.

. SPIES, Karl, Bankier, Zabern.

. SPINDLER, Viktor, Pfarrer, Reiningen.

. SPINNER, Kunstmaler, Weissenburg.

. SPITZ, Alois, Pfarrer quiesc., Strassburg.

. SPITZ, Aug., Pfarrer, Ostwald.

. SPÖRLIN, Mülhausen.

. SPRAUEL, Ludwig, Pfarrer, Osthausen.

. STAAT, Friedr., Buchhändler, Strassburg.

. Staat, Holzhändler, Schiltigheim.

. STAMM, Stadtbaumeister, Schlettstadt.

. STEFFAN, J.-B., Pfarrer, Ehrendomherr, Weissenburg.

. STEINMANN, Fridol., Pfarrer, Stundweiler.

. STELLER, Baumeister, Hagenau.

. STERN, Eugen, Präsident des St. Thomasstifts, Strassburg.

XI

. STIENNE, Bildhauer, Strassburg.

. STOEFFLER, Superior, Ehrendomherr, Strassburg.

. STROMEYER, Leon, Kaufmann, Strassburg.

. STUCKMANN, Druckereidirektor, Strassburg.

. STÜCKELBERGER, Buchhändler, Strassburg.

. STUHL, G., Elektrotechniker, Strassburg.

. SUTTER, Aug., Pfarrer, Maursmünster.

. TAUFLIEB, Karl, Bankier, Barr.

. THILMONT, Pfarrer, Oberginingen.

. THRAEMER, Dr., Universitätsprofessor, Strassburg.

. Tornow, Baurat, Metz.

. TRÜBNER, Dr., Verlagsbuchhändler, Commerzienrat, Strassburg. . TORCKHEIM, Ed., Baron von, Niederbronn.

. TÜRCKHEIM, Hugo, Baron von, Truttenhausen.

. ÜBLERICH, Fr. Anton, Pfarrer, Markolsheim.

. Ugcericu, Ant., Pfarrer, Urbeis.

. VoLrtz, Gipsermeister, Strassburg.

. WAGNER, Theodor, Architekt, Strassburg.

. WALDEYER, Dr., Universitätsprofessor, Berlin.

. WALDNER DE FREUNDSTEIN, Graf, Lurcy-Levy (Allier). . WALTER, Alphons, Pfarrer, Hersbach.

. WALTER, Ludwig, Pfarrer, Neuweiler.

. WALTER, Abbé, Stud. theol., Priesterseminar, Strassburg. . WALTFR, Theophil, Landwirtschaftslehrer, Rufach.

. Wartz, André, Stadtbibliothekar, Colmar.

. WEBER, Dr., Bürgermeister, Weiler b. Schlettstadt.

. WEBER, Jos., Pfarrer, Hilsenheim.

. Weiser, Viktor, Fabrikant, Alspach b. Kaysersberg.

. WEISSGERBER, Henri, Dr., Strassburg.

. Wenptinc, Dr. jur., Direktor des Priesterseminars, Strassburg. . WENDLING, J., Alm., Pfarrer, Lützelhausen.

. Wenisca, C. Jos., Pfarrer, Triembach.

. WERNERT, Jos., Pfarrer, Ehrendomherr, Strassburg. . WETTERLE, Abbé, Landesausschussabgeordneter, Colmar. . Weya, Bildhauer, Colmar.

. Wicker, Alois, Pfarrer, Bergbieten.

. WiEGAND, Prof., Dr., Archivdirektor, Strassburg.

. WIieGer, Alb., Architekt, Strassburg.

. WıLem, Karl, Pfarrer, Romansweiler.

. WINCKELMANN, Dr., Stadtarchivar, Strassburg.

. WiNKLer, Baurat, Colmar.

. WinTER, Rentner, Strassburg.

412.

413. 414. 415. 416. 41. 418. 419. 420. 421. 422. 493. 424. 425. 426.

m C9 RO mim

XI

WINTERER, L., Pfarrer, Ehrendomherr, Mitglied des Landesausschusses, Mülhausen.

WINTERHALTER, Cäsar, Fabrikant, Strassburg.

Wırz, Fabrikdirektor, Rothau.

Worr, Felix, Architekt und Landeskonservator, Strassburg. Worrr, Daniel, Kaufmann, Zabern.

WorinGer, J., Apotheker,? Strassburg.

WOoRrInNGER, L., Dr., Chemiker, Buchsweiler.

WURSTHORN, Pfarrer, Grafenstaden.

Wuyax, Jos., Pfarrer, Sulz (Ob.-Els.).

ZIEGLER, Louis, Pfarrer, Regisheim.

ZIMMER, Jos., Pfarrer, St. Petersholz.

ZIMMERMANN, Oberlehrer, Strassburg.

ZısLin, Pfarrer, Echenzweiler.

ZırvoGEL, Mich., Pfarrer, Truchtersheim.

ZoRN von BuLach, Franz, Weihbischof, Strassburg.

Korrespondierende Mitglieder.

. KINDLER von Knogcocx, Major a. D., Berlin.

. MoucENoT, consul hon. d’Espagne, Malzéville-Nancy. . MörLer, L., Dr., Prof., Oberbibliothekar, Strassburg- . Ort, Stadtbaurat, Strassburg.

BULLETIN

DE LA

SOCIÉTÉ POUR LA CONSERVATION

DES

MONUMENTS HISTORIQUES

D’ALSACE

II SERIE. VINGT-DEUXIEME VOLUME

Avec 3 planches

TT SPEED TI

STRASBOURG IMPRIMERIE STRASBOURGEOISE anct KR. Scuurrz & Cie

1908

MITTEILUNGEN

DER

GESELLSCHAFT FÜR ERHALTUNG

DER

GESCHICHTLICHEN DENKMALER

IM ELSASS

II. FOLGE. ZWEIUNDZWANZIGSTER BAND

Mit 3 Toafelu

STRASSBURG STRASSBURGER DRUCKEREI & VERLAGSANSTALT

vorm. KR. Scauzrz & Co.

1908

INHALTS-VERZEICHNIS. TABLE DES MATIÈRES.

I. Mitteilungen. Memoires. u G. Kerner, Essai sur les divers costumes figures dans les miniatures du Hortus deliciarum, manuscrit du Xlle siècle de l’abbesse Herrade de Landsberg .................... { J. M. B. Causs, Das Nekrolog der Cisterzienser-Abtei Pairis . . . . . . . . . 55 A. Ana, Die Pfarrei Jedersweiler . . . .. ........... ...... 104 Prof. Aloys Meıster und Dr. Aloys Rurrez, Die Strassburger Chronik des Johann Georg Saladin . ............. Loue 127 A. M. P. Incorn, Fragment de l’armorial de Luck: Les Ingold. . . . . . . . .. 207 Jos. Levy, Nachtrag zum Urkundenbüchlein der ehemaligen Ritterburg zu Dehlingen (U.-E)....................... 223 Rod. Reuss, Une page de l’histoire du Hortus Deliciarum . . . . . . . . . .. 231 Prof. Wozrr, Grabstätten in der Klosterkirche St. Maria zu Niedermünster . . 236 11.

Sitzungs-Berichte. Procès-Verbaux. Vorstands-Sitzung vom 23. April 490% ..................... | Vorstands-Sitzung vom 27. Mai 4902. ..................... 9 Vorstands-Sitzung vom 40. Juli 4902. ............. ....... & Generalversammlung vom 24. Juli 4902 . ................... 5 Vorstands-Sitzung vom 30. Oktober 1902. ................... 12 Vorstands-Sitzung vom 27. November 490% .................. 43 Vorstands-Sitzung vom 24. Januar 4903 . . .................. 414 Vorstands-Sitzung vom 4. März 14903. ........ ............ 16 Rechnung für 1902/1903. Compte rendu des recettes et des dépenses de

l'exercice 4902/1903 .......................... 18 Vorstands-Sitzung vom 29. April 1903. .................... 25 Vorstands-Sitzung vom 28. Mai 4903. ..................... 27 Vorstands-Sitzung vom 24. Juni 4903 . .. .... ....... ... …. 28 Generalversammlung vom 8. Juli 1903..................... 30 Vorstands-Sitzung vom 14. Oktober 4903.................... 33 Vorstands-Sitzung vom 27. November 4903. .................. 34 Vorstands-Sitzung vom 20. Januar 1904 . ................... 35 Vorstands-Sitzung vom 2. März 190%. . . . . . . ... fée eee 36 Vorstands-Sitzung vom 27. April 4904 ..................... 36 Vorstands-Sitzung vom 48. Juni 490$. ..................... 37 Generalversammlung vom 43. Juli 490&..................... 38

Vorstands-Sitzung vom 12. Oktober 4904. ................... 44

VI

Seite

Vorstands-Sitzung vom 23. November 4904 . ................. 46 Vorstands-Sitzung vom 18. Januar 4905 .................... 48 Vorstands-Sitzung vom 45. Februar 4905. ................... 50 Vorstands-Sitzung vom 12. April A905 ..................... D? Vorstands-Sitzung vom 41. Mai 4905. ..................... 53 Vorstands-Sitzung vom 28. Juni 4908. ..................... 56 Sitzung vom 5. Juli 4905 ............................ 58 Generalversammlung vom 20. Juli 4905. .................... 59 Vorstands-Sitzung vom 16. August 4905 . . ... ................ 65 Vorstands-Sitzung vom 25. Oktober 14905.................... 66 Vorstands-Sitzung vom 6. Dezember 1905 . . .. ............... 7 Vorstands-Sitzung vom 2%. Januar 4906 . . .... . . . . . . . . . . . . .. 69 Vorstands-Sitzung vom 14. März 4906 ..................... 13 Vorstands-Sitzung vom 2. Mai 4906....................... 73 Kommissions-Sitzung vom 21. Mai 4906 .................... 15 Vorstands-Sitzung vom 13. Juni 4906.................. ....% Vorstands-Sitzung vom 24. Oktober 1906. . .................. 18 Jubiläums- und Generalversammlung vom 20. Dezember 1906. . . .. Tee. 80 Rechnung fir 4903/0%. Compte rendu des recettes et des dépenses de

l'exercice 4903/04............................ 102 Rechnung für 4904/05. Compte rendu des recettes et des dépenses de

l'exercice 4904/05............................ 106 Rechnung für 4905/06. Compte rendu des recettes et des dépenses de

l'exercice 1905/06............................ 110

IIl.

Fundberichte und kleinere Mitteilungen.

Dr. R. Fonner, Ein römisches Kopf-Balsamarium von Strassburg (mit 1 Tafel. 3% A. Apısı, Einige römische Grabsteine im Zaberner Museum. . . . . . . . .. 6*

Zwei Inschriften in Wilwisheim . .................. 19% O. Rapavoıe, Petite notice archéologique sur l’église de Fouday (Ban de la Roche) 15*

Die Strassburger Chronik

des Johann Georg Saladin

Herausgegeben von

Professor Aloys Meister und Dr. Aloys Ruppel.

ww

Vorwort.

Als ich im Jahre 1895 die verschollene Handschrift der Chronik Saladins wiederfand, glaubte ich, nach dem Erscheinen meines «Strass- burger Kapitelstreit» gleich die Edition dieser Chronik folgen lassen zu können. Durch Beruf und andere Arbeiten abgedrängt, gelang es mir jedoch nur, gelegentlich in Seminarübungen die Quellenuntersuchung vorzubereiten und langsam die Kopie der Handschrift zu fördern. Durch das freundliche Entgegenkommen der Münchener Bibliotheksverwaltung konnte der Codex wiederholt längere Zeit in der Münsterschen Uni- versitätsbibliothek und zuletzt auch in der Landesbibliothek zu Fulda benutzt werden. An der Abschrift des umfangreichen Bandes, von dem nur ein Teil, wie in der Einleitung motiviert ist, zur Edition gelangt, halfen mir in liebenswürdiger Weise Frl. Oberlehrerin IL. Rie- fenstalıl und die Herren stud. K. Berner und A. Ruppel. Die beiden ersten Kapitel der Einleitung hat letzterer unter meiner Leitung als Dissertation ausgearbeitet, und da er auch im übrigen fleissig mitge- holfen hat, so möchte ich ihm meinen Dank dadurch bezeugen, dass ich ihn als Mitherausgeber nenne.

Münster, 1. Februar 1908. ALOYS MEISTER.

5. XXII. (M.) 9

Häufigste Abkürzungen.

M = Manuskript. Cod. M. = Codex manuscriptus.

Str.St. Arch. = Strassburger Stadt-Archiv.

Str. St. Bibl. = Strassburger Stadt-Bibliothek.

Str. U. Bibl. = Strassburger Universiläts- und Landesbibliothek.

Die Tauf-, Hochzeits- und Totenbücher Strassburgs sind meist nach den Archiv- nummern ciliert. Die Datierung nach dem Julianischen Kalender wurde durch- weg beibehallen.

Drucke. Reuss = Rudolphus Reuss, De Scriploribus rerum Alsalicarum historicis inde a primordiis usque ad saeculi XVIII exitum (thesim proponebat facullali litterarum Parisiensi). Argentorali (Bull), 1898.

Friese = J. Friese, Historische Merkwürdigkeiten aus den Silbermännischen

Schriften gezogen. Strassburg, 1804.

Einleitung.

Ep ne

Die Strassburger Chronik des Apothekers Johann Georg Saladin, zu Beginn des 17. Jahrhunderts geschrieben, war noch vor wenigen Jahren verschollen. Nur dürflige Auszüge des elsässischen Orgelbauers Andreas Silbermann (17142 1783) hatten das Andenken an ihre ehemalige Existenz erhalten‘. Aus diesen Excerplen musste man schliessen, dass die Chronik im Jahre 1610 geschrieben, dann aber bis 1621 fortgesetzt wurde’, dass aber auch wenigstens bruchstück- weise Foriseizungen bis mindestens 1633 darin enthalten seien‘.

1. R. Reuss, De scriptoribus rerum alsaticarum historicis, S. 126. Dieses Werkchen des um die strassburgisch-elsässische Geschichte so hochverdienten Forschers gab sehr willkommene Fingerzeige für Auffindung der Literatur und der Handschriften, wenn wir uns auch in jedem einzelnen Falle sebständige Nachprüfung der abge- gebenen Urteile vorbehielten. Und in der Tat zeigt die Schrift manche Irrtümer und Druckfehler. Zwei charakteristische Beispiele seien hier als Belege dafür angeführt. Das Calendarium historicum des Bernhart Hertzog über das Hanau-Lichtenbergische Haus (in der Stadtbibliothek zu Frankfurt a. M.) bringt Nachrichten bis zum 15. Dez. 1591 (die von 1568 ab recht reichhaltig sind). Reuss lässt es (p. 101) im Anschluss an Roehrich nur bis 1568 fortgeführt sein, einem Jahr, das allerdings örtlich an letzter Stelle steht. Das in dem Chronikfragment des Strassburger Rotgerbers Adam Schertz wiedergegebene Beispiel althochdeutscher Sprache ist eine Beichtformel, be- ginnend mit: «Truhlin got allmehtigo...», wahrscheinlich Münsters Cosmographic entnommen. Reuss nennt es (p. 114) cantilenam veterum Francorum (= ein altfränkisch Leicht).

2. Herausgegeben von dem Strassburger Schulmeister J. FRIESE, Historische Merk- wiürdigkeiten, aus den Silbermännischen Schriften gezogen, Strassburg, 1804. Sie enthalten Excerpte Silbermanns aus verschiedenen, teils verlorenen Strassburger Handschriften. Friese scheint diese Merkwürdigkeiten aus didaktischen Gründen ver- öffentlicht zu haben. Die Auszüge, die nach Friese aus der Saladinschen Chronik stammen, finden sich auf den Seiten 97, 102, 103, 109, 115, 155—157, 163, 167, 177, 202 ff. (Vergl. auch DacHgux, Fragments de diverses vieilles chroniques, 61--241, wo sich die Excerpte Silbermanns aus der Saladinschen Chronik zerstreut wieder Onden.)

3. Ad. W. STROBEL, Vaterländische Gesch. des Klsasses, Bd. (Strassburg, 1851), S. 483, sagt von ihr: «Die Chronik von Johann Georg Saladin, Apotheker in Strass- burg, um 1610 zusammengetragen, ging bis 1621.» (Vergl. auch Reuss, 126.)

4. Nach Friese, p. 97, soll Silbermann eine Tatsache aus dem Jahre 1633 aus der Saladinschen Chronik geschöpft haben. (Vgl. Reuss, p. 126.)

130

Ausserdem berichtet uns Primärlehrer Strobel, dass die zierlich geschriebene Chronik mit den Wappen der Strassburger Bischöfe und Ammeister von der geschickten Hand des Malers Brentel geschmückt gewesen sel‘.

So dürftig auch diese Angaben waren, so glauble man doch gewiss nicht mit Unrecht auf einen ziemlich hohen Wert der Chronik schliessen zu dürfen*®.

Mehr wusste man aber bisher nicht, weder von Chronik noch Chronisten. Wir werden im Laute unserer Untersuchung sehen, dass nicht einmal dieses Wenige ganz richtig war. Offenbar ist, dass man in der Frage nach der Abfassung der Chronik sich auf falschem Wege befand. Deutlich spricht aus all den spärlichen Nachrichten, dass man Johann Georg Saladin für den alleinigen Verfasser der ganzen Chronik hielt; ein anderer wird wenigstens nicht genannt. Wollte man aber einem Zweiten Anteil an der Verfasserschaft gewähren die Nach- richten erklären sich hierüber nicht ausdrücklich —, so war man geneigt, diesem zweiten Verfasser die Fortsetzung der Chronik von 4610 ab zuzuschreiben’. Auch schloss man, dass dieser Unbekannte ein Familienangehöriger Saladins war®. Wir sind jedoch in der Lage, beinahe das Gegenteil im Folgenden nachweisen zu können. Ist cs doch gelungen, die verloren geglaubte Handschrift der Saladinschen Chronik in der Münchener Hof- und Staatsbibliothek bei den Vorarbeiten über den Strassburger Kapitelstreit unvermutet wieder aufzufinden°.

5. In Julius AUFSCHLAGERS Werk : Das Elsass, Supplementband, Strassburg, 1828, S. 145. (Vgl. A. W. STRoBEL, Gesch. d. Elsasses, 4°, S. 483.)

6. Reuss, p. 176.

7. Reuss, 126. Derselbe Gedanke leuchtet auch durch, wenn Reuss (p. 126, 127) in dem 1680 als Mitglied des XVer Kollegs gestorbenen Strassburger Apotheker Joh. Carl Saladin lieber einen Enkel als einen Sohn unseres Chronisten erblicken möchte; cr glaubte also, dass Joh. Georg schon um 1610 starb. Der Dictionnaire bibliogra- phique d'Alsace, Liste préparatoire, Mulhouse, 1869, p. 77, setzt hinter den Namen Saladins das Zeichen «— 1610», was wohl andeuten sollte, dass er nach Meinung des Herausgebers nur bis zu diesem Jahre lebte. Silbermann sagt (nach Friese) nichts über Verfasser und Abfassung der Chronik.

8. Reuss, 126.

9. Vgl. Aloys MEISTER, Der Strassburger Kapitelstreit 1588—1592, ein Beitrag ur Geschichte der Gegenreformution, Strassburg (Heitz) 1899, Vorrede IV, Anm. 2.

PHP Q SEE Te 0 ——

I. Kapitel. Die Handschrift der Saladinschen Chronik.

81. Beschreibung der Handschrift.

Cod. gern. 1222 (CCXXXVIII) der Münchener Staatsbibliothek, ein Kleimfolioband (resp. Grossquart: 33'1/, X 23), ist in zwei Buchenholz- deckel gebunden, die mit gepresstem braunen Leder überzogen sind. Der Einband, bes. der Rücken, ist stark beschädigt. Auf der Aussen- seite des vorderen Deckels stehen die drei Buchstaben

d. G. S!.

und die Jahreszahl 1614.

Der Schnitt ist fein vergoldet und mil hübschem Linienornament geziert. Der Codex enthält XH und 774 Blätter, d. i. 1572 Seiten®. Die Handschrift ist auf 2 verschiedene Sorten ziemlich starken Papieres seschrieben; fol. XII, 1—8 und 718—774 weisen die eine, fol.9—717 die andere Qualität auf, wie der Unterschied der Wasserzeichen deutlich macht.

Das Titelblatt (fol. V) ist von Künstlerhand in bunten Farben geschmackvoll umrahmt, rechts und links flankiert von den beiden synı- bolischen Frauengestalten der Ratio und der Sapientia. Die kunstvolle Hand des Malers zeigt sich auch in der Wiedergabe des Strassburger Stadtwappens (fol. VI) und in dem Greifenwappen des in dem Titel genannten Verfassers Johannes Georgius Saladinus (fol. X)’. Die «wahre Contrafraktur der Löblichen Freyen Reichs-Statt Strassburg» ist ein zwischen zwei abgeschnittenen Blättern eingeklebter Stich des

I. Jfohann] Gjeorg] Sfaladin]; der Name auf der Aussenseite des Deckels bezeich- nete zu damaliger Zeit, soweit wir sehen, den Eigentüner, und nicht den Verfasser.

2. Bl. I—XII und 714—774 sind erst von moderner Hand paginiert. Blätter 713® bis 724 und 767—774 sind unbeschrieben.

3. Dieses Wappen kam uns sonst nicht zu Gesicht. Es ist möglicherweise erst vou dem Maler der Chronik für die Familie Saladin erfunden worden. Vorfahren und Nach- kommen Saladins befanden sich soweit wir schen können nicht in Stellungen, in denen sie öffentlich Wappen führen durften.

132

M. Greuter* nach Zeichnungen des Strassburger Festungsbaumeisters und Chronisten Daniel Specklin aus dem Jahre 1587°. Der Künstler hat den Stich in feiner Abtönung zart übermalt. Die Handschrift ist ausser den genannten Malereien noch geschmückt mit zahlreichen Wappen Strassburger Bischöfe, mit den Wappen der zwanzig Zünfte und der beiden Constafeln, und denjenigen sämtlicher Ammeister der Stadt Strassburg von 1333—1616. Während der Schild der Bischofswappen von der bebänderten Mitra gekrönt wird, tragen die Zunft- und Ammeisterwappen keine Helmzier, sind aber wie alle anderen Malereien mit solcher Virtuosität und Feinheit ausgeführt, dass wir sie nur einem sehr geschickten Künstler zuschreiben können. Die Bischofswappen beginnen bei dem 44. Strassburger Bischof «Wernharius, der erste Graff von Habsburg» (1006—1028), und endigen mit dem Leopolds I. von Österreich. Die Zunftwappen und die der beiden Constafeln sind der Schilderung der Stadtverfassung vom Jahre 1482 (fol. 266267!) eingereiht.

Die Ammeisterwappen stehen unter dem Namen des Ammeisters eines jeden Jahres, in den allermeisten Fällen zu Beginn einer neuen Seite. War die vorhergehende Seite noch nicht voll beschrieben, so blieb sie teilweise leer. Ja, es finden sich ganze Seiten und Blätter unbeschrieben, die dazu bestimmt waren, späteren Nachträgen zu den einzelnen Jahren jederzeit Aufnahme gewähren zu können.

Die ganze Handschrift ist sehr sauber und korrekt geschrieben. Im allgemeinen ist die Schrift schwarz; doch finden sich auf den oben

4. Matheus Greuter (so schrieb er seinen Namen auf dem Stich der Himmelfahrt des Elias nach Wendel Diterlin «Argentinae 1589»), geboren zu Strassburg 1564 oder 1566, gestorben zu Rom 1638, war ein sehr geschickter Kupferstecher. Er stach viele Copien von Dürers Passion. Auch übertrug er Werke anderer Meister sowic eigene Erfindungen auf die Kupferplatte. Sein Sohn Joh. Friedrich, geb. zu Rom 1600, gest. um 1660 in Italien, übertraf seinen Vater in derselben Kunst. (NAGLER, Neues allg. Kiünstlerlexikon, Bd. 5, München, 1837, S. 365—367.)

5. Diese Angaben sind auf dem Stiche ersichtlich, der wahrscheinlich als fliegendes Blatt verkauft wurde. Ausser dem in unserer Chronik vorliegenden Originalexemplar befindet sich noch eines (nebst mehreren Lichtdrucken) im Kupferstichkabinett der Stadt Strassburg (Altes Schloss). Eine verkleinerte Nachbildung dieses Stiches findet sich in dem vom Architekten- und Ingenicur-Verein für Elsass-Lothringen heraus- gegebenen Werke: Strassburg und seine Bauten, Strassburg (Trübner) 1894, S. 255. Nach einer frdl. Mitt. des Verlages ist diese Nachbildung nach dem im Kupferslich- kabinette befindl. Original hergestellt, das hinwieder in einem Buche Specklins er- schienen sein soll. Der Stich trägt jedoch keine Spuren früherer Einheftung.

=" ER

genannten Titelsachen auch Worte in roter Schrift. Der Kopf einer jeden Seite der Chronik (1—714) «Strassburgische Cronica», gegen Ende immer reichlicher mit Schnörkeln verziert, ist ebenfalls in roter Farbe gemalt. Alle Überschriften der Berichte über die Jahre 1614—1621, sowie die Überschriften der unten gekennzeichneten Nachträge sind ebenfalls rot. Auch sind nach 1614 hie und da einzelne Worte im Texte zur Hervorhebung rot geschrieben.

Die Sprache der Saladinschen Chronik ist deutsch, wie wir sie in den damaligen Strassburger Chroniken durchweg beobachten. Doch hält sich unsere Chronik von Dialekten mancher damaligen Handschriften”, die sicherlich von Eingewanderten geschrieben wurden*, vollständig fern. Nur verschwindend kleine Teile in unserem Codex sind lateinisch geschrieben, da wo die Vorlage lateinisch war. Auf den Stil der Chronik kommen wir in einem anderen Zusammenhange noch zu sprechen.

82 Anlage und Inhalt der Chronik.

Auf dem langen Titelblatt, das uns zugleich über den Hauptinhalt der Chronik unterrichtet, nennt sich als Verfasser Johann Georg Saladin, Bürger und Apotheker zu Strassburg. Darunter steht die Jahreszahl 1610. Die in schöner Minuskel mit druckähnlicher Exaktheit geschriebene Vorrede (XI—XI) trägt das Datum des 13. Februar 1614. Es folgt sodann die Aufzählung der Sehenswürdigkeiten Strassburgs, Vermessungen der Stadt, Gassennamen und Häuserzahl (1—8). |

Auf den Seiten 9—713 wird über Strassburger Stadibegebenheiten, sowie über Ereignisse der elsässischen und Reichs-Geschichte, die die Stadt berührten, von der sagenhaften Gründung Strassburgs bis zum 26. Dezember 1621! bald ausführlicher, bald knapper erzählt. Wir

6. Gegen Ende der Chronik waren einzelne Blätter an diesem Kopfe zusammen- geklebt. Eine unvorsichlige Hand hal sie so auseinandergetrennt, dass sie an dieser Stelle manchmal durchlöchert sind.

7. z. B. die sog. Imlinsche Chronik (M. in der Str. U.-Bibl.). Vergl. R. Reuss, Strass- burg im 16. Jahrhundert (1500—1591). Auszug aus der Imlinschen Familienchronik, Colmar, 1875, S. 21; Alsatia, 1873—1874, S, 383.

8. Vergl. S. 32, Anm. 7. An dem dortigen Beispiele ist deutlich, dass es sich um einen Eingewanderten handelt,

1. Die Notiz über die 1633 geschehene Abschaffung der Ostereiereinsammlung durch die Waisenkinder, die Silbermann (nach Fniese, $. 97) aus der Saladinschen Chronik geschöpft haben will, ündet sich also nicht in unserer Handschrift.

134

lesen von der reichen Nachkommenschaft Noas, von der Flucht Trebetas aus Babylonien vor der Unkeuschheit seiner Stiefmutter Semiramis über das Meer zur Mosel, von der Gründung Triers und Strassburgs, von einem grossen Unwetter, von Einfällen der Römer und Franken, von einem heidnischen Tempel des Merkur zu Ebersheimmünster, von der Bekehrung Strassburgs zum christlichen Glauben, von seinem Rückfall in das Heidentum und seiner erneuten Bekehrung, von Stiftungen einzelner Kirchen und Klöster in Strassburg und im Elsass, von der Grundstein- legung des Münsters durch Chlodwig ı. J.510, von einem grossen Sterben 591. Im Gegensatz zu den Chroniken des Jacob Twinger von Königs- hofen und des Johann Jacob Meyer ist die Saladinsche Chronik nicht nach stofflichen Gruppen, sondern streng chronologisch geordnet. Höchst selten bezieht sie sich auf ein früheres oder späteres Jahr.

Von dem Beginne des 7. Jahrhunderts ab lehnt sich die Erzählung der Ereignisse an die Regierungszeiten der Bischöfe an. Nach dem etwas ausführlicheren Berichte über die vier ersten Bischöfe folgt die etwas eintönige Reihe der Bischöfe mit Angabe ihrer Regierungsdauer und ihrer Todesjahre, nur kurz hie und da unterbrochen durch die Erzählung von König Dagoberts Tod und Teilung seines Reiches, von Herzog Ettich und der hl. Ottilia, von Herzog Adelbrecht und Gründung des Stiftes Hanau, von der Erweiterung der Stadt Strassburg i. J. 700, von der Bezwingung des Elsasses durch Karl Martell, von der Er- hebung Strassburgs zur freien Reichsstadt 742 und von der Bekehrung Sachsens durch Karl den Grossen 780. Bei dem 42. Bischofe Wildrolfl, den die «meuse und Ratten assen», weil er den Leib der heiligen Attala aus Gewinnsucht stellen wollte, wird die Erzählung über die Bischöfe wieder ausführlicher. Wir hören sodann von Bränden in der Thomaskirche und im Münster, von der Teilung des Reiches 840, von dem Wiederaufbau des Münsters und der Thomaskirche 1015, von dem Wunsche Kaiser Heinrichs IL, 1016 Domherr in Strassburg zu werden, von der Stiftung_der Kirche Jung Sanct Peter, von Wunderzeichen, Klöster- und Kirchenstiftungen, von Weinmangel und Teuerung, von Bränden, Sterben, schrecklichen Wettern und deren Vorhersagung, von Erweiterung der Stadt, von dem Kinderkreuzzug, von der Einführung der Bettelorden, von Graf Rudolph von Habsburg und seiner Einigkeit mit der Stadt. Hervorgehoben möge werden der in allen Zeilen unter- strichene Abschnitt «Strassburg wirdt gefreyet» ca. 1100 -und der längere über den Streit der Stadt mit dem Bischofe Walther von Geroldseck 1261/62. Aus der Summe des immer reichhaltiger Gebotenen

—_ 135

mag noch ausdrücklich betont werden der Streit zwischen Adel und Handwerk 1308, Kampf Ludwigs des Bayern und Friedrichs des Schönen im Elsass 1314, Erbauung der Pfalz und des Pfennigturms 1321, An- fertigung des Stadibuches 1322, des Bischofs Feindschalt mit den «Thumbherren» 1328, Aufruhr zwischen den Familien Zorn und Müllen- heim und Änderung der Stadtverfassung 1332/33, Verbrennung der Juden und zweite Änderung in der Stadtregierung 1349.

Von hier ab schliesst sich die Darstellung der Ereignisse enge an die Regierung der Ammeister an. Die Wahl des Ammeisters eröffnet stereotyp den Bericht des Jahres, darunter werden die Namen ‘der vier adeligen Städtemeister genannt, links von diesen Namen prangl das Wappen des regierenden Ammeisters.

Es folgen sodann die ausführlichen Abschnitte über die Ankunft und das Treiben der Geissler zu Strassburg 1349, den Krieg Österreichs mit «Zürich» 1350/54, den Einfall der Engländer in das Elsass 1365 und 1375, den Streit des Thomaskapitels mit dem Bischof 1378, über den Beitritt Strassburgs zum schwäbischen Städtebund 1377 ff, über die dritte Änderung der Stadtverfassung 1382, über Herzog Leopolds von Österreich Zug gegen die Schweizer 1386, über die Fortsetzung des schwäbischen Krieges 1388, über Zwistigkeiten mit dem Bischofe 1388—1393 und Aussprechung der Acht über Strassburg 1389/90.

Warum wir bis gegen Ende des 14. Jahrhunderts eine etwas aus- führliche Schilderung des Inhalts unserer Chronik geboten haben, wird dem einsichtigen Leser nicht entgehen. Eine volle Rechtfertigung für unser Vorgehen bietet das dritte Kapitel dieser Einleitung. In der luhaltswiedergabe des folgenden können wir uns wesentlich kürzer fassen, da ein grosser Teil davon in der Publikation der Saladinschen Chronik uns selbst vor Augen treten wird.

Wir heben deshalb nur die längeren und wichtigeren Ahschnitte schlagwortähnlich hervor: Adelige verlassen 1419 die Stadt, vierte Äuderung der Stadtverfassung, neuer Schwörbrief, Krieg der Stadt mit Bischof Wilhelm 1428, die sehr ausführliche Schilderung des «Armen- Gecken-Krieges» 1439, 1444—1446, Wasslenheimer Krieg 1447—48, Änderung der Stadtverfassung 1462, «Zug für Pariss» 1465, des Herzogs von Burgund «Brautlauf» 1468, der Burgundenkrieg 1474—77, Felde zwischen Zürich und Strassburg 1480, fünfte Änderung der Verfassung und dritter Schwörbrief 1482. Hieran schliesst sich ein Exkurs über die Ordnung der Zünfle (mit den Zunflwappen), über Verfassung der Stadt, Wahl des Ammeisters, Ordnung des Magistrats und des

136

Gerichtes, Befugnisse der Regierungskollegien der XXler, XVer, XIller und sonstiger Âmter in Strassburg.

Sodann folgt wieder die chronologische Reihe: Fortsetzung des Streits mit Zürich 1482, Bundtschuh 1493, Einführung der Reformation in Strassburg, Beweibung der Priester, Abschaffung der Messe usw. Zahl- reiche Mandate der Stadiobrigkeit, die meist den Untertanen fleissigen Besuch der Predigt und die Führung eines ehrbaren Lebens anem- pfehlen, sind in unserer Handschrift wiedergegeben. Auch ist das bare Geld aufgezählt, was die Städte und Fürsten Kaiser Karl V. im Jahre 1547 geben mussten. Ein längeres «Liedt auf die dollen Opferpfaffen» bei Einführung des Interims zeigt die Erbitterung der Strassburger über die katholische Geistlichkeit. Bischof Joh. von Manderscheidt will der Stadt den Eid nicht schwören, was er endlich aber doch tut; Versöhnungsfeste zwischen Bischof und Rat zu Strassburg, Auszug aus den Freiheiten der Stadt Strassburg vom Jahre 1579. Von 1581 ab finden sich in unserer Chronik die sog. Jahrzettel, d. h. statistische Aufzeichnungen über Sterbefälle und Geburten, Heiraten, Ausführung von Landesprodukten, Anzahl der verpflegten und gekleideten Armen während eines Jahres. Längere Pasquillen auf die katholischen Dom- kapitulare während des Strassburger Kapitelstreites fehlen nicht in unserer Chronik '. Nun folgt die ausführliche Schilderung des bischöf- lichen Krieges 1592/93, die Tag für Tag erzählt, was sich ereignet hat, Beschreibung des Zeremoniells bei der Krönung des Königs Matthias zu Frankfurt am Main 1612, Bericht, wie sich ein regierender Ammeister zu verhalten hat, Witterung des Jahres 1613, Unruhen in Frankfurt 1614, Bürgermusterung zu Strassburg 1615, eine epistola apologelica gegen ein arianisches Buch (lat.), Mandate über die Juden, über den Kornmarkt, über nächtliches Reiten und Fahren in der Stadt usw. Kaiserliche Exekution vom 28. Februar 1616 zu Frankfurt, Kriegs- rüstungen zu Strassburg, Erhebung der Akademie zur Universität und Beschreibung der deshalb veranstalteten Feier (7. Juli 1621); gegen Erde folgt dann noch ein guter ÜUlk auf die aufgelôste Union und Berührung des Einfalls des Grafen Mansfeld in das Elsass.

Dazwischen stehen zahlreiche Notizen über alle möglichen Vor- kommnisse in Strassburgs Mauern, über grosse Wetter und Wasser, Feuersbrünste, wohlfeile und teuere Zeiten, über Preise der Frucht

I. Ein Pasquill davon ist bereits aus unserm Codex veröffentlicht. (Vergl. Aloys Meıster in den Annalen für Geschichte des Niederrheins, Neft 75, S. 143—151.)

= AN

und des Weins, über Hinrichtungen von Ehebrechern und Kupplern, überhaupt über alles, was einen ehrsamen Strassburger Bürger da- maliger Zeit, der für die Vorgänge in der Stadt ein offenes Auge halte, interessieren konnte. Die Aufzeichnungen werden gegen Ende immer reichhaltiger und mannigfaltiger, so dass uns all diese kürzeren und längeren Notizen ein ungemein anschauliches Bild des Lebens und Treibens in einer Stadt, vor allem aber über deren sittliche und soziale Zustände zu Beginn des 17. Jahrhunderts klar vor Augen führen. Wert dieser so reichen Notizen ist um so höher, als das meiste der- artige Material durch den unseligen Brand der berühmten Strassburger Bibliothek im Jahre 1870 zugrunde gegangen ist.

Schliesslich tragen die Blätter 725—766 noch ein vierfaches Register der Chronik über die Bischöfe, die Städt- und Ammeister der Stadt Strassburg, sowie über die sachlichen Materien. Die Register sind zwar alphabetisch, aber innerhalb des Alphabetes chronologisch geordnet, Die Namen sind nach den Vornamen registriert.

83. Geschichte der Münchener Handschrift.

Im Jahre 1614 befand sich der noch unvollendete Codex in Händen des Joh. Georg Saladin, wie die Buchstaben auf dem vorderen Einband- deckel ausweisen. Aller Wahrscheinlichkeit nach blieb er auch in dessen Händen bis zur Verheiratung seiner Tochter Barbara mit Mathias Strohm'; die Tochter aus dieser Ehe, Barbara Strohm, heiratete am 4. Mai 1684 den Arzt Johannes Braun, med. Doctor* und brachte wahrscheinlich den Codex in dessen Bibliothek. Nach dem Tode der Barbara heiratete Braun noch dreimal, Aus seiner dritten (zweitleizten) Ehe mit Susanna geb. Bressler (geschlossen am 25. Sept. 1721) hatte er drei Kinder’, doch nur das eine Mädchen Susanna blieb am Leben und heiratete den Kaufmann Johann Leonhard Kuff den Jüngeren‘. Dieser Ehe ent- stammen die drei Söhne Johannes Leonhard, Johannes und Johann Daniel’. Als diese im Jahre 1752 ihe mütterliches Erbe teilten, fiel dem zweiten Sohne Johannes, damals Student der Rechte und Notariats- kandidat®, die Saladinsche Chronik aus der Bibliothek seines Grossvaters

I. Näheres s. unten bei der Genealogie Saladins.

2. Nachruf des Rektors auf den Tod Brauns. (Str. St. Arch. Progr, funebr.)

3. Ebenda, 4. Ebenda. 5. Ebenda.

6. An der Universität Strassburg als stud, phil. immatrikuliert am 30. Sept. 1741. (Gustav C. Kxon, Die alten Matrikeln der Universität Strassburg 1021—1793, 1, 422.)

138

Braun zu’. Durch welche Hände unser Codex in den nächsten Jahren gegangen ist, wissen wir nicht”. Andreas Silbermann hat wahrschemlich erst nach 1752 seine Auszüge aus ihm gemacht, aber in wessen Besitz die Handschrift in diesem Augenblicke war, sagt er uns nicht. Friese, der Herausgeber der historischen Merkwürdigkeiten aus den Silber- männischen Schrifien, gibt es wenigstens nicht an’. Die Papiere Silber- manns, die diese Excerpte trugen, sind 1870 verbrannt, so dass eine Feststellung daraus nicht mehr möglich ist. In seiner Lokalgeschichte der Stadt Strassburg beruft sich Silbermann nicht auf die Saladinsche Chronik. Und das handschrifiliche Tagebuch des Orgelbauers" ver- zeichnet ebenfalls nicht den Namen Saladins; es enthält fast nur Notizen über ausgebesserte und neu aufgestellte Orgeln im Elsass''. Primär- lehrer Strobel hat, wie bereits oben erwähnt, nach seiner 1828 darüber erschienenen Beschreibung offenbar noch in Strassburg unsern Codex gesehen. Aber schon 1825 finden wir ihn in der zu München veran- stalteten Auktion der Bibliothek des Geh. Legationsrats von Rheinwald'". lu dem gedruckten Auktionskatalog ist unter den Manuskripten als Nr. 238 verzeichnet: «Saladins, F. G. Chronik von Strassburg. Mit illum. Wappen. Fol.» Aus einer Eintragung Schmellers in den band- schrifilichen Katalog der Münchener Hof- und Staatsbibliothek «Rhei- wald Msc. GCXXXVIlI»'* lässt sich mit Sicherheit schliessen, dass die Ilandschrifi auf obiger Auktion von der Münchener Bibliothek erstanden wurde‘, in deren Besitz sie sich ja noch heute befindet.

7. Eigenhändiger Eintrag des B-sitzers Johannes Kuhff auf fol. III der Handschrift, der übrigens auch seinen Namen auf das Titelblatt geschrieben hat.

8. Eine Anfrage bei der jetzt noch in Strassburg lebenden Familie Kubff (Wein- handlung) lieferte kein Ergebnis.

9. Bezeichnend ist es für Frieses Arbeitsweise, dass er die Excerpte Silbermann: unbesehen herausgab, ohne die Originale, die doch 1804 in Strassburg unschwer zugänglich waren, einzuschen.

10. M. in der Str. U. Bibl. (L. Alsat. 862.)

11. Beschreibung des Tagebuches in der Landeszeitung für Elsass-Lothringen vum 28. Dezember 1895, Artikel: «Zur Gesch. des Orgelbaues im Elsass» von X. Eine schöne Schilderung des Verhältnisses Andreas Silbermanns zu seinem Bruder, dem Orgelbauer Gottfried S., und über dessen tragisches Geschick in der Suonutagsbeilasc der Nordd. Allg. Zeit. vom 16. Okt. 1881 scheint sich nur teilweise auf historische Grundlagen zu stützen.

12. Er dürfte also nicht lange im Besitze Rheinwalds gewesen sein, und ist wohl erst kurz vor der Auktion der Rhciuwaldschen Bibliothek nach München gewandert.

13. Saladin hiess Johann Georg. Bei einer solch ephemeren Erscheinung, wie sic ein zu Auktionszwecken hergestellter Katalog ist, kann eine Verwechselung von J- und F. sehr leicht entstehen.

14. Diese Nummer trägt unser Codex ebenfalls neben der neuen 1222.

15. Freundliche Auskunft der Münchener Bibliothek durch llerrn Dr. Leidinger.

139 $ 4. Ist der Münchener Codex Original oder Kopie ?

Der uns vorliegende Münchener Codex der Saladinschen Chronik ist trotz seines grossen Umfanges von anderthalbtausend Seiten durchweg sehr sauber geschrieben. Nachträge und Verbesserungen am Rande, die wir bei Originalen sehr oft beobachten können, finden sich nicht darin. Ja, wir stossen nicht einmal auf gelegentliche Durchstreichungen einzelner Worte im Texte, die bei Originalhandschriften geradezu unvermeidlich sind, zumal wenn sie solch grossen Umfang annehmen. Dieser Umstand muss doch unsern Zweifel an der Originalität der wiedergefundenen [andschrift erwecken.

Dazu scheinen noch andere Gründe dafür zu sprechen, dass die er- haltene Handschrift Kopie ist. Wie wir bereits oben sahen, berichtet uns Strobel, dass die zahlreichen Malereien der Saladinschen Chronik von der Hand des geschickten Brentel herrühren. Es geschieht dies nicht schlussweise, sondern Strobel stützt sich offenbar auf eine direkte Quelle. Hat er vielleicht die Originalquelle, das Monogramm oder den Namen Brentels an den Malereien der von ihm benutzten Handschrift zu Strassburg gesehen, was an denen der Münchener Handschrift durchaus nicht zu entdecken ist?" Dann müssten wir annehmen, dass es zwei Handschriften der Saladinschen Chronik gab, und dass die Münchener Kopie ist. Auch der Umstand, dass Strobel seine Chronik offenbar nicht allzulange vor 1828 in Strassburg gesehen hat, während unser Codex sich 1825 schon in München findet, scheint für eine doppelte Handschrift der Chronik zu sprechen.

Dazu kommt noch ein anderes sehr wichtiges Moment. Die oben erwähnten Auszüge, die Andreas Silbermann nach dem Zeugnis Frieses aus der Saladinschen Chronik gemacht haben soll, stehen teils überhaupt nicht in unserer Handschrift*, teils zeigen sie Abweichungen mit unserem

1. Erst nach Vollendung unserer Abschrift, als der Codex bereits wieder nach München geschickt worden war, fanden wir die Strobelsche Notiz. Eine gütige Mitt. der Münchener Bibliothek bestätigt uns jedoch, dass ein Monogramm oder Name an den Malereien nicht zu Inden sei.

2. Über das Excerpt Silbermanns aus dem Jahre 1633 s. oben 8. 11, Anm. I, Ebenso findet sich nicht in unserer Handschrift die Geschichte von den 3 Sonnen mit einem doppelten Regenbogen, die am 17. Febr. 1522 passierte (Friese, 8. 115), Der Jahrzettel von 1604, den Silbermann (nach Friese, $. 194 u. 5. 202 Anm.) aus Salndins Chronik geschöpft haben will, ündet sich ebenfalls nicht in unserer Handschrift, wie auch der Bericht über die Erbauung der Kleinen Metzig 1521 (Friese, 167) nicht in ihr zu ünden ist.

Texte. Benutzte also Silbermann einen Codex, in dem er die Berichte so fand, wie sie uns Friese aus dessen Papieren mitgeteilt hat? Dann hätten selbstverständlich zwei Chroniken Saladıns existiert, und wir müssten die Münchener Handschrift als eine verkürzte Kopie des Strass- burger Originals bezeichnen. Wir verkennen keineswegs das Gewicht obiger Momente, wenn wir trotzdem behaupten, dass die Münchener Handschrift als Original anzusprechen sei. Wir haben oben schon nach- gewiesen, dass der Münchener Codex, in dem sich Joh. Georg Saladin als Verfasser nennt, beinahe anderthalb Jahrhunderte in der weiblichen Linie der Saladinschen Familie sich vererbt hat. Soviel dürfte also sicher sein, dass an dem wiedergefundenen Münchener Codex ein Saladin geschrieben hat, ein Saladin, der in Strassburg ansässig war. Der Codex wurde aber, wie wir im zweiten Kapitel näher darlegen werden, im Jahre 1623 abgeschlossen. Um diese Zeit ist aber in Strassburg kein anderer erwachsener Saladin nachweisbar? als unser Apotheker Johann Georg. Er allein kann also als Verfasser und Schreiber der Münchener Ilandschrift in Betracht kommen. Hätte aber neben diesem Münchener Codex noch ein Strassburger existiert, so wäre gerade die Strassburger Handschrift Kopie und die Münchener das Original. Die Annahme, dass derselbe Verfasser die Chronik doppelt angefertigt habe, will uns bei ihrem grossen Umfang unmöglich dünken.

Die Strobelsche Beschreibung der Saladinschen Chronik passt ganz genau auf unsere Münchener Handschrift; sie ist schön geschrieben, mit kunstvollen Wappen geziert, reicht bis 1621. Somit ist glaubhaft, dass die von Strobel zu Beginn des 19. Jahrhunderts in Strassburg gesehene Saladinsche Chronik identisch ist mit der jetzt in München befindlichen‘. Aber muss nicht Silbermann eine andere Handschrift der Chronik benutzt haben, da er doch Tatsachen aus seinem Codex geschöpfl haben will, die in unserer Handschrift nicht stehen? Der Schluss wäre elwas voreilig. Ist doch zu bedenken, dass Silbermann seine Auszüge aus sehr verschiedenen Handschriften machte; leicht konnte er daher den Namen Saladins zu einem Excerpt gesetzt haben, das in Wirklich- keit aus einer anderen llandschrift stammt, zumal ja anzunehmen st,

3. s. unten bei der Genealogie Saladins.

4. Strobels Angabe, Brentel sei der Maler der Wappen, beruht also auf einer anderen Quelle als dem Codex selbst. Freilich enthalten die nachgelassenen Papiere Strobels, die auf der Stadtbibliothek zu Strassburg aufbewahrt werden, diese Quelle ebensowenig, wie sie uns sonst irgendwie bezeichnet ist. Auch muss er den Codex spätestens ca. 1820 eingesehen haben.

14

dass der Orgelbauer mehr die Tatsache als den Namen des Bericht- erstatters beachtete; auch dürfle er die Auszüge in ziemlich hohem Alter gemacht haben und nur durch den Tod an ihrer Publikation gehindert worden sein®. Hauptschuld an der unrichtigen Wiedergabe der Saladinschen Berichte trägt offenbar der Herausgeber Friese, der uns geradezu Typus des biederen und fleissigen Dilettanten zu sein scheint. Ihm kommt es nicht auf die Tatsache, sondern auf das für seine lehrhafte Absicht benutzbare Beispiel an. Häufig knüpft er die Nutzanwendung an, nachdem er die erzählte Tatsache dafür zurecht modelliert hat?. Also auch die Abweichungen der Silbermännischen Excerpte sind kein unübersteigliches Hindernis, die Münchener Hand- schrift als Original anzuerkennen.

Dass unsere Handschrift keine Durchstreichungen und Korrekturen aufweist, setzt allerdings ein ziemlich sorgfälliges Concept voraus. Es ist auch nichts natürlicher als das. Stelle man doch eine kostbare Familienchronik her, die man von einem geschickten Künstler ausmalen liess und der ein kunstverständiger Buchbinder ein schönes, ja prächtiges Gewand gab; selbstverständlich sorgte man dann auch dafür, dass die Schrift sauber und korrekt war. Und dazu bedurfte es eines ausführ- lichen Conceptes”.

Den letzten Zweifel an der Originalität der Saladinschen Chronik behebt unsere Beobachlung der doppelten Verfasserschaft derselben, die wir im Folgenden näher darlegen werden.

5. Silbermann starb 1783 im Alter von 71 Jahren.

6. So erzählt Saladin, dass ein Knabe daran gestorben sei, dass ihm eine Schlange aus dem Halse kam. Friese setzt jedoch hinzu, dass dieser Knabe unvorsichliger- weise im Grase geschlafen habe, wobei die Schlange ihm in den Hals gekrochen sei, um vor unvorsichtigem Schlafen im Grase zu warnen.

7. Die Annahme, dass Silbermann dieses reichere Concept zu seinen Excerpten benutzt habe, gäbe zwar eine recht plausible Erklärung der Abweichungen der Aus- züge, scheint jedoch unrichtig zu sein. Denn warum sollte das Concept bis 1633 gegangen sein, während die Reinschrift, für die es bestimmt war, schon 1621 abbricht?

IL. Kapitel

Abfassung der Chronik.

8 5. Die Saladinsche Chronik hat zwei Verfasser.

Der uns vorliegende Münchener Codex zeigt bei genauerem Studium zwei verschiedene Handschriften. Hicrüber kann kein Zweifel sein, da man den Unterschied der Schrift beinahe an jedem Buchstaben, besonders aber an den Buchstabenverbindungen genau beobachten kann'. Auch ist die zweite Schrift kräftiger und gleichmässiger als die erste. Die Linienführung des zweiten Schreibers ist gerade, während die des ersten manche Krümmungen aufweist. Die Überschriften des letzten Schreibers zeigen Minuskel von druckähnlicher Exaktheit, während beim ersten Schreiber Text und Überschrift gleich geschrieben sind. Auch wendet der zweite Schreiber im Gegensatze zu seinem Vorgänger vom Jahre 1614 ab rote Überschriften an.

Mit dem Augenblicke, wo eine andere Schrift in unserer Chronik eintritt, ändert sich auch plötzlich die Orthographie und bleibt bei dieser Änderung durch den ganzen Rest der Chronik bestelien. Wenn auch in der damaligen Zeit die deutsche Orthographie fast jeder Konsequenz und Regel entbehrie, so gewöhnte sich doch ein Schreiber daran, häufig vorkommende Worte stets gleich zu schreiben, und wir dürfen schon bei plötzlicher Änderung der Orthographie dieser Worte auf einen neuen Schreiber schliessen, wenn diese Änderung dann dauernd beibehalten wird. Auffallend ist die Verdoppelung des nn‘, und die Schreibweise des Diphthonges eu und au‘. Auch wendet der zweite Schreiber sehr häufig ck mit folgendem Ih an, wo wir bein ersten nur einfaches k sehen‘.

1. Der zweite Schreiber schreibt häufg die Buchstaben b und f ganz schief, was wir beim ersten Schreiber nie beobachten. Auffällig unterscheiden sich die Buchstaben w, zund d und die Buchstabenverbindungen dt und tt. Der erste verbindet durch eine Schleife d mit t, was der zweite nie tut; dieser schreibt auch ct, wo der crste tt geschrieben.

2. Der zweite schreibt: vnndt, gesanndt, willenn, seinner (585b), feinndt, gesunndt, Lanndt, seinndt (587), wo sich der erste mit einem n begnügt.

4. Der erste schreibt ew, aw (fewer, frawen), der zweite dagegen cüw, aux (feüwer, frauwen).

5. Der erste hat Junker, der zweite Junnckher.

143

Nach diesen äusseren Merkmalen müssen wir dem ersten Schreiber die Erzählung über die Zeit von der Gründung Strassburgs bis zum 14. Juni 1611 (Fol. 9—585") zusprechen.

Dem zweiten Schreiber fallen zu: Titelblatt und Vorrede (I—XIh, die Aufzählung der Sehens- und Merkwürdigkeiten Strassburgs (1—8), die Berichterstattung über die Zeit vom 16. Juli 1611 bis zum 26. Dezember 1621 (785P—713)°, das vierfache Register am Schlusse der Chronik (725—766) und zahlreiche Nachträge zu den Berichten des ersten Schreibers ? ":*,

6. Die Paginierung der Chronik von 1—713 rührt von einer Hand, also der des zweiten Schreibers her. Dies sieht man noch deutlicher daran, dass der erste Schreiber Seite 9 beginnt. Er hatte die Kustoden eines Quaterns am unteren Rande mit den Buchstaben A, B.. Z, Aa, Bb.. Zz, Aaa.. Zzz. Der erste Buchstabe A steht auf Seite 9.

7. Blatt 427 ist aus irgend einem Grunde von dem zweiten Schreiber entfernt, neu eingesetzt und beschrieben worden. Er führte jedoch den Satz, den der erste Schreiber auf Seite 426b angefangen hatte, zu Ende.

Erster Schreiber 426b: «Da wardt der

Zweiter Schreiber 427: «Vertrag gemacht...

Offenbar hat hier der erste Schreiber dem zweiten als Vorlage gedient.

8. Diese Nachträge finden sich nur da, wo der erste Schreiber Platz gelassen hatte, und bestehen meist in der stereotypen Wiederkehr des Jahrespreises der Frucht («Weitzen, Rockhen, Gersten, Habern») und des Weins. Hie und da sind auch Notizen anderer Art darunter zu finden. Die Nachträge fallen sofort ins Auge durch die rote Überschrift. Da wir diese erst von 1614 ab in der Chronik antreffen, so sind diese Nachträge sicherlich frühestens 161i geschrieben. Es findet sich nun auf folgenden Seiten

ein Nachtrag :

S. 115, 1436, 145b, 1476b— 148, 1496, 150, 151b, 152, 1626, 167—167b, 169", 2195, 220, 2246, 2326, 243b, 2456, 261, 2906, 298b, 304b, 308b, 313b, 314P, 317, 325, 333, 356, 356b, 361, 363, 365, 3696, 371, 373, 3746, 375, 385, 3976, 398, 411, 412, A13b, 422, AA&, 451, 453, 463, 466, 468b, 470b, 472, 481, 493, 495, 555, 557, 5576, 5585, 560, 560?;

zwei Nachträge :

S. 82, 222, 231P, 244b, 296, 312%, 334, 347, 350%, 352, 354, 366P, 368, 372?, 374, 376, 379, 383», 389, 390, 392b, 394b, 396, 399b, 400b, 402P, 404b, 406, 408, 424b, 427, 432b;

drei Nachträge : S. 313, 328b, 330b, 341P, 361, 362b, 371;

vier Nachträge : S. 314, 345;

fünf Nachträge : S. 3325,

B. XXII. (M.) 10

Abk

Unterstützt werden wir in dieser Verteilung der Chronik an die beiden Schreiber durch die oben erwälnte Beobachtung der Ver- schiedenheit der Wasserzeichen in dem Papiere der Handschrift. Die Blätter, die der erste Schreiber beschrieb (9—585P), tragen ein anderes Wasserzeichen als die Blätter des zweiten (IX, 1—8, 125—766)°.

Es handelt sich aber in unserer Chronik nicht bloss um zwei Schreiber, die nur niederschrieben, was ein und derselbe Verfasser diktierle, sondern ganz sicher um zwei selbständige Autoren. Das zeigt einmal die Verschiedenheit des Interesses der beiden Schreiber, indem wir beim zweiten Schreiber eine auffallende Berücksichtigung der Frucht- und Weinpreise finden, die den ersten Schreiber kaum interessieren. Das zeigt aber noch viel deutlicher die Verschiedenheit des Stiles. Während der erste Schreiber über 200 mal mit der stereotypen Wendung den Bericht eines Jahres begann etwa:

«Da man zahltt 1460 wardt von der Zunfli zum spiegel zum dritten «mahl zum ammeister gewählt Herr Jacob Wormbser», lesen wir beim zweiten Schreiber:

«Anno 1612. Alß man zalt nach der Gnadenreichen geburth Vnnseres «lleylanndis Vnnd Seeligmachers Jesu Christi wardt vonn der Tüecher «Zunff Stueben zum Ammeister Erwehlet Herr Wolffgang Grienewald «Vnndt Regierte dass erste mahl. (588). »

Ferner bildet der erste Schreiber bei einer Reihe von Präpositionen die Dative Sing. der zu einem Neutrum gehörigen Adjektiva, Pronomina und Artikel auf n, während sich der zweite conform unserm heutigen Brauche verhält. Genannt mögen sein die Präposilionen an, aus, bei, mit, in und von‘.

Die Sätze des ersten Schreibers sind meist sehr einfach, kurz und klar, während die des zweiten häufig geschraubt, vielfach sehr lang und daher oft anakoluthenhaft und unklar sind. Diese Unklarheit wird noch erhöht durch vielfache falsche Beziehungen der Fürwörter. Nicht

9. Zwar benutzte noch der zweite Schreiber von 585°—713 das gleiche Papier wie der erste Schreiber, aber dies hatte er mit der Chronik vom ersten Schreiber erhalten, der es bereits angeschafft hatte. Schrieb doch der zweite Schreiber noch auf dieselbe Seite (585b), auf der der erste aufgehört halte.

10. z. B. «man sah einem Cometen an den Himmel stehen» (435b), «auß diesen zergenglichen lebens (417), «bey den newen thor» (418), «mit den Schwert, mit den radt gerichtet» (418b, 421), «in diesen Jahr, in gemelten Jahr» (A34b), «von den weg- führen» (435).

145, =

selten fehlt in den Sätzen des zweiten Schreibers Subjekt oder Prädikat"; ja es finden sich sogar Sätze, in denen wir vergeblich beides suchen,

Das sind lauter Unterschiede, die gerade da plötzlich auftreten, wo sich eine andere Handschrift bemerklich macht. Eine solche plötzliche Stiländerung ein und desselben Mannes ist eine Unmöglichkeit, zumal wenn wir annehmen, dass ein Verfasser gerade da plötzlich eine ganz andere Diktion anfinge, wo er einen anderen Schreiber engagiert hatte.

Die doppelte Verfasserschaft unserer Chronik scheint uns hierdurch erwiesen.

Nun kennen wir aber nur den Namen des einen Verfassers, des- jenigen, der sich auf dem Titelblatt als solcher nennt. Das ist der Strassburger Apotheker Joh, Georg Saladin.

S 6. Ist nun Saladin der erste oder zweite Verfasser ?

Da wir den Namen Saladins an der Spitze der Chronik lesen, so könnte man geneigt sein, ihm den ersten Teil zuzuschreiben, Dies wäre jedoch falsch. Haben wir doch schon, auf die Handschriftenvergleichung gestützt, die Herstellung des Titelblattes (soweit der Maler nicht in Be- tracht kommt) dem zweiten Schreiber zuweisen müssen,

Immerhin könnte der zweite Schreiber den Namen des ersten auf das Titelblatt geschrieben haben, um den seinen am linde zu nennen. Aber auch diese Möglichkeit müssen wir ausschliessen. Die am 13. Februar 1614 geschriebene Vorrede ist zeitlich und handschriftlich unzweifelhaft dem zweiten Schreiber zuzuweisen. Sie ist allerdings mit keinem Namen unterzeichnet; aber in ihr beruft sich der Schreiber auf das von ihm angefertigte vierfache Register am Schlusse der Chronik. Und in der Tat müssen wir nach der Handschriftenvergleichung diese Register dem zweiten Schreiber zusprechen. Nun nimmt auf dem Titelblatt Joh. Georg Saladin ebenfalls das vierfache Register als seine Arbeit in Anspruch, also ist Saladin der zweite Schreiber unserer Chronik. Dieses Resultat findet seine volle Bestätigung in den Lebensnotizen Saladins, soweit solche in Kirchenbüchern und Nachrufen auf verstorbene Familienglieder aufzufinden waren. Nach diesen tritt Joh. Georg Saladin erst im

11. z. B, «Die solten im anzeigen, dal er... solle 4 Wochen an Hauß pleiben vandt dan enlgülten Straf, dauon 500 f. zue St. Wilhelmen erlegen soll, auch beneben sein Stettmeister ampt abgesagt vand aller elıren vnndt Empter entsetzet, vnndt ist Junekher Heinrich Prechter, .. erwölet. Starb aber, „.» (586°—)587,)

u

m in

146

Februar 1611 durch seine Heirat in Strassburg in die Erscheinung. Es ist nun zum mindesten sehr unwahrscheinlich, dass der landfremde Junggeselle die umfassende Chronik einer Stadt, in der er nur Gast- rechte genoss, geschrieben und wenige Monate nach seiner Verheiratung die Chronik einem anderen zur Fortsetzung übergeben habe. Auch lässı sich aus dem Umstande, dass die Chronik sich in Saladins Familie ver- erbte, schliessen, dass er zuletzt daran geschrieben hat.

8 7. Zur Genealogie der Familie Saladin.

Johann Georg Saladin! stammt aus Ileilbronn, wo sein Vater Philippus Saladin Stadiphysikus war*. Dieser hinwieder ist zu Wimpfen geboren’, wurde an der Universität Heidelberg am 20. April 1552 immatrikuliert, bacc. art. 1554, als Dr. med. in Tübingen inskribiert am 29. Mai 1557, Magister am 16. Februar 1558, Stadtphysikus in

I. Unser Chronist trägt den Namen des bekannten Sultans von Ägypten und Syrien, der 1137 zu Tekrit am Tigris geboren wurde und 1193 zu Damascus starb. Ungefähr 300 Jahre später stossen wir auf einen Saladinus Asculanus, wahrscheinlich von Ascoli di Satiano in der apulischen Provinz Capitanata, südlich von Foggia; derselbe war Leibarzt eines Fürsten von Tarent, später (?) auch des Gross-Connetabel von Neapel, Fürsten Giovanni Antonio de Balzo Ursino. Er verfasste vermutlich zwischen 1452—1458 das merkwürdige Apothekerbuch ; Compendium aromatariorum Salwlini principis tarentini dignissimi medici, verb. Auflage 1488. (Handschriftl. Notizen iu dem sehr selten Drucke im Bes. der Str. U. Bibl., sowie der Druck selbst.)

Eine Verwandtschaft oder Abstammung unscres Chronisten von jenem Leibarzt lässt sich aus Mangel an Material nicht nachweisen. Beruf und Beschäftigung des Süd- italieners passen sehr gut zu unseren Saladins, und deren reger Wandertrieb liess. eine Abstammung der deutschen Familie aus einer italienischen auch erklärlich er- scheinen. Dann wäre das Wort Saladin nicht identisch mit dem germanischen Namen Soldan, Soldin, verlatinisiert Solatinus, sondern es wäre eben auf Salah-eddin zurück- zuführen, da man in Süditalien, wo die Sarazenen gehaust, den Knaben den Namen gegeben haben mag. Erst später hat sich aus dem Vornamen der Familienname entwickelt.

2. Heinrici (Pfr. zu St. Thomas in Strassburg), Leichpredigt auf den Tod der Marga- retha Otto (Gattin des Diplomaten Marx Otto), geb. Saladin, + 28. Aug. 1678. (Str. St. Arch. Programmata funcbria Ill, 77.)

3. Leider beginnen die Wimpfener kirchenbücher erst 1590 und enthalten deu Namen Saladin nicht. Wir wissen also nicht, wann Phillippus geboren wurde. Die Saladin sind unter den neuen Geschlechtern Heilbronns genannt in Dürr, Chronik von Heilbronn, S. 31. (Vergl. E. v. LOEFFLER, in Württemb. Vierteljahrshefte, N. FE. XL 1902, S. 139, Anm.)

141

Ileılbronn 1565°, gestorben vor dem 27. April 1587°. Er war zweimal ‚verheiratet; die erste Frau hiess Modesta, die zweite Clara, diese war eine geborene Lutz‘. Die Kinder aus beiden Ehen sind:

I. Ehe (mit Modesta): 1. Euphrosyne getauft am 12. Febr. 1569”.

Il. Ehe (mit Clara Lutz): 1. Philipp gelauft am 24. April 1576! 2. Philipp » » 4. April 1577 3. Simeon » » 43. Juli 1578 4. Hans Philipp » » 96. Jan. 1580 9. Johann Georg » 20. Nov. 1581.

Der Letzigenannte ist ohne Zweifel unser späterer Strassburger Apotheker und Chronist. In Ileilbronn ist über das Schicksal der Familie Saladin nichts weiter eingetragen. Die Witwe Clara verheiratete sich am 9. Februar 1591 mit Nicolaus Maler, Stadischreiber zu Wimpfen, wohin sie nun auch übersiedelte. Dieser zweite Gatte stirbt in Wimpfen am 29. Juli 1603 und hat an der dortigen Stadtkirche einen Grabstein®.

4. Zusammen mit Dr. Phil. Salutinus wurde Dr. Spitzer als Stadtarzt von lleilbronn 1565 angestellt. (Gütige Mitt. des städt. Archivs zu Heilbronn. Dürr, Beschreibung von Heilbronn, Bd. II, S. 156.)

5. An diesem Tage wird seine Witwe erwähnt.

6. Das älteste Ehebuch von Heilbronn fehlt leider, so sind die Familiennamen der beiden Frauen aus den Kirchenbüchern nicht zu ermitteln; dass die zweite Frau des Philippus Saladin eine geborene Lutz war, ersicht man unzweifelhaft aus dem Inventar des Gaspar Lutz vom 5. Juli 1599 (Heilbronner städt. Archiv). Die oben cit. Leich- predigt des Heinrici auf Marg. Otto nennt die zweite Frau des Philippus cine Anna cb. Haug. Hier muss jedoch ein Irrtum vorliegen. Die Heilbronner Kirchenbücher sind für den Vornamen und das citierte Inventar, für Vor- und Familienname hicr ganz sicher die zuverlässigeren Quellen, weil sie offiziellen Charakter tragen, und weil ihre Niederschrift zu Lebzeiten der Clara Lutz geschah. In der Leichpredigt ist also weder Vor- noch Familienname richtig angegeben. Emil von LocMer hat in seinem Aufsatze : Marx Ollo, Vater und Sohn, Schreiner und Diplomal \Würtlemb. Vierteljahrshefte für Landesgesch., N. F. XI, 1902, S. 129—147) diesen Irrtum aus der Leichpredigt nachdrucken lassen.

7. Das Heilbronner Taufbuch beginnt erst 1567; ces könnten also noch 1—2 ältere Kinder vorhanden sein.

8. Vor dem 1. April 1577 gestorben, da an diesem Tage ein neuer Philipp derselben Familie getauft wird.

9. Die Notizen über Phil. Saladin und seine Frau verdanken wir einer gütigen Mitteilung des Herrn Prof. Max Cramer-Heilbronn.

148

Es ist sehr wahrscheinlich, dass der bei der zweiten Verheiratung seiner Mutter erst 10jäbrige Hans Georg in das Haus seines Stiefvaters nach Wimpfen kam. Hier mag ihm auch wohl die Lust zum Schreiben eingeimpft worden sein. Wie lange er jedoch dort geblieben ist, wissen wir nicht. Der Todestag seiner Mutter, der vielleicht bestimmend für die Auswanderung Saladins war, konnte bisher nicht festgestellt werden.

Hans Georg widmete sich dem Apothekerberuf; wo er jedoch diese Kunst erlernte, entzieht sich ebenfalls unserer Kenntnis. Es ist anzu- nehmen, dass er der Sitte der Zeit gemäss sich zur grösseren Aus- bildung auf die Wanderschaft begab. Dabei ist er auch nach Strassburg, wo schon manche Ausländer vor ihm Amt, Würden und Reichtum er- langt hatten‘, gekommen und hat wohl in der Apotheke des Carl Ringler in der Oberstrasse Beschäftigung und Unterhalt gefunden". Wann die Einwanderung Saladins stattfand, ist nicht auffindbar; sie geschah jedoch spätestens im Jahre 1610. Denn schon am 4. Februar 1611 heiratete er Magdalena, die Tochter des Strassburger Bürgers und Apothekers Carl Ringler und der Margaretha'* geb. Kirchhoffer'”. Diese Magdalena war am 16. Sept. 1591 in der St. Thomaskirche zu Strass- burg getauft‘. Infolge dieser Heirat erlangte «Salatinus» das Bürger- recht der Stadt am 19. Nov. 1611 und meldete sich gleichzeitig zur Zunft zum Spiegel an‘.

10. Darunter befand sich auch sein Heilbronner Landsmann Jacob Herrmann, der seit 1545 in Strassburg war, und von 1549 ab die hohe Würde eines Syndicus der Stadt besass. Im Jahre 1549 verheiratete er sich mit Brigitta Schott, verwitweter Lindenfels. (Str. St. Arch., M. 85, S. 27; vergl. Fıckgr und WINKELMANN, Handschriflen- proben des 16. Jahrhunderts nach Slrassburger Originalen, Bd. 1, Tafel 33. Bd. Il, Nachträge zu Tafel 33, und Alphabet. Verzeichnis der Strassburger Magistralspersonen, M. auf der Str. St. Bibl. M. 366.)

il. Näheres s. unten.

12. Tauf- und Hochzeitsbuch von St. Thomas, D. S. 3092, \r. 883. (Str. St. Arch,, Nr. 248.)

13. Heinrici Leichpredigt auf Marg. Otto 1687 und Str. St. Arch. M. 86, S. 24®, Nr. 6.

14. Tauf- und Hochzeitsbuch von St. Thomas, C, 1077. (Str. St. Arch., Nr. 217.)

15. Bürgerbuch der Stadt Strassburg, II, 941 (Str. St. Arch.). Die Apotheker hatten sich früher zu den Constofllern (constabuli, Stallgenossen = Adelige) gehalten; stand es doch den Gelehrten und Apothekern frei, sich zu melden, wohin sie wollten. Schon vor Saladin waren sie gewöhnlich Zudiener zur Kaufmannszunft, die man nach ihrem Haus «zum Spiegel» nannte (Forma rei publicae Argentoratensis delineatio. . . exposita per Jo. Casp. Berneggerum, ?. Aufl. (Paulli, Argent.), p. 157). Bei der Zunft zum Spiegel dienten neben den Kaufleuten «sonst allerley Müßiggänger» (Cod. M. des Mich. Kleinlawel auf der Str. St. Bibl.), wozu ausser den Gelehrten auch die Apotheker gerechnet wurden.

149

Wir wollen hier gleich eine Unstimmigkeit, die dem aufmerksamen Leser sicherlich nicht entgangen ist, zu erklären versuchen.

Auf dem Titelblatt bezeichnet sich Johannes Georgius Saladinus zum Jahre 1610 als Bürger, was er doch erst Eude 1611 wurde. Wie wir noch näher zeigen werden, ist dieses Titelblatt in Verbindung mit dem

Maler erst ca. 1615 hergestellt worden. Dass die Jahreszahl MDCX durch _

ein Versehen auf das Titelblatt gekommen sei, will uns bei der sonst so sehr sorgfältigen’ Ausführung zumal an dieser hervorragenden Stelle nicht recht glaubhaft dünken. Wahrscheinlicher bezeichnet die Zahl das Jahr, in dem der erste Schreiber die Chronik zu schreiben begann. Allerdings müssen wir dann auch annehmen, dass Saladin diese Jahres- zahl vom ersten Schreiber übernommen, dass sie also auf einem von diesem angelertigten Titelblatt schon gestanden hat, welches Saladin später durch ein neues und sicherlich schöneres ersetzte. Aus der Ehe Saladins mit Magdalena Ringler wurden unserem Chro-

nisten folgende Kinder geboren und zu St. Thomas getauft:

1. Margreth get. am 22. Sept. 1612"

9. Magdalena » » 21. Juli 1614

3. Margaretha » » 18. Mai 1619"

4. Joh. Carolus » » +4. Nov. 1621"

16. Taufb. St. Thomas D. Nr. 2284 (Str. St. Arch. N. 248). Margreth ist sicher vor dem 18. Mai 1619 gestorben, da an diesem Tage eine andere Tochter Saladins auf diesen Namen gelauft wird.

17, Dasselbe Taufbuch (Str. St. Arch. N. 248) Nr. 2462.

18, Str. St. Arch. N. 248, Nr. 2926. Margaretha wurde geboren am 14. Mai 1619 (Heinrici, Leichpredigt); sie heiratete am 12, Dez. 1637 den Dr. ulr. jur, Marx Otlo aus Ulm, damals Inspektor der Kanzlei der Stadt Strassburg (Tauf- und Hochzeitsbuch von St, Thomas, E, $. 211 im Str. St. Arch.) und Referent E. E. grossen Rates, verlor ihren Mann uach 37jähriger glücklicher, aber kinderloser Ehe (Heinrici, Leichpredigt auf Marx Otto, + 1674, Str, St. Arch., Progr. funebr. Ill, 77), starb nach 4jähriger Witwenschaft am 28. August 1678 um 10 Uhr abends und wurde am I. September auf dem Friedhof St. Gallen begraben. (Str. St. Arch. N. 251 und Heinrici, Leich- predigt auf Marg, Olto, 1678.)

19, Str. St. Arch. N. 248, Nr. 3178. Geboren war er am 28, Okt. 1621, absolvierte das Strassburger Gymnasium am 12. Juli 1636, erlernte zu Ulm bei Meister Christian Zachemann die Apothekerkunst, reiste 1640 nach Augsburg, 1641 nach München und Regensburg. Von hier rief ihn sein Vater nach Strassburg zurück, doch blieb er nur 14 Tage zu Hause, reiste nach Frankfurt, Köln, Holland, Hamburg und zurück nach Frankfurt. In dem nahegelegenen Hanau war er sodann eine Zeit lang lälig. Im Jabre 1643 errichtete er eine Apotheke zu Straubing, gab sie jedoch im folgenden Jahre wieder auf, denn der Wandertrieb führte ihn nach Wien, Venedig, Padua, Rom,

r

150

5. Anna Maria » » 30. Nov. 1624” 6. Barbara » » 47. Mai 1627*! 7. Salome » 47. Mai 1630".

Mit grosser Sicherheit dürfen wir annehmen, dass Joh. Georg Saladın

Florenz, Genua, und nachdem er noch 10 Monate in Lyon zur Erlernung der Sprache des Landes zugebracht hatte, kehrte er im Dezember 1646 nach Strassburg zurück. Dort half er seinem Vater in der Apotheke, die er nach dessen Tod übernahm. Von 1653 ab durchlief er als Kandidat der Zunft zum Spiegel die politischen Ämter der Republik Strassburg. Am 26. Mai 1667 wird er schon eines Rates alter Beisitzer (Str. St. Arch. N. 222), 1673 Allmendherr und alter Dreyer auf dem Pfennigturm genannt. (BERNEGUER, Des heil. Röm. Reichs Freyer Stadt Strassburg Regimenis- verfassung, 1679, p. 68.)

Im Jahre 1679 wird er Mitglied des XXler und 1680 des XVer Kollegs. In den schwierigen Läufen des Jahres 1678 unternahm Joh. Carl die Gesandtschaft des Rates an den Herzog von Lothringen zu Oppenau und führte mitten durch das französische Heer den Grafen Piccolomini und den Baron Mercy glücklich in die Stadt. (Nachruf des Rektors J. Alb. Sebitzius, Progr. funebr. 1680, Nr. 71 der Str. U. Bibl.; vergl. auch Reuss, Reisseisens Aufzeichnungen, p. 74.) Er starb am 8. Okt. 1680 kurz vor 11 Uhr abends, sein Leichenbegängnis fand am 11. Okt. von der Zunftstube zum Spiegel aus statt. (Progr. funebr.)

Joh. Carl Saladin war seit dem 24. Febr. 1650 mit Ursula, Tochter des Dreiers auf dem Pfennigturm Franz Cameel, verheiratet. (Str. St. Arch. Hochzeitsbuch des Münsters.) Aus dieser Ehe stammen folgende Kinder:

1. Margaretha Ursula, get. im Münster den 13. Nov. 1650 (Str. St. Arch, N. 220, S. 3941.

2. Anna Barbara, get. am 5. April 1652 (Str. St. Arch. N. 220, 8. 431b).

3. Anna Salome, get. am 31. Mai 1654 (Str. St. Arch. N. 220, S. 186).

4. Joh. Georg, get. am 12. Februar 1656 (Str. St. Arch. N. 221, S. 4).

5. Joh. Carl, get. am 2. Aug. 1659 (Str. St. Arch. N. 221, S. 84).

6. Johann Adam, get. am 15. Sept. 1561 (Str. St. Arch. N. 221, S. 126).

7. Anna Magdalena, get. am 26. Mai 1667 (Str. St. Arch. N. 222, S. —).

Johann Gcorg und Joh. Carl gingen ihrem Vater im Tode voraus, Joh. Adam. seine Töchter und seine Frau überlebten ihn. Seine älteste Tochter Margaretha Ursula hatte ihm bereits aus der Ehe mit Christoph Güntzer, J. U. D., Sckretär des Xlller Kollesx. zwei Enkel geschenkt, doch nur Christophorus überlebte seinen Grossvater. Sein Sohn Johann Adam, der einzige männliche Träger dieses Namens im Jahre 1680, hat den Namen Saladin in Strassburg nicht fortgepflanzt. Doch findet sich der Name Saladin in Frankreich und in der Schweiz wiederholt bis in unsere Zeit. Es schien uns jedoch über den Rahmen dieser Einleitung zu gehen, die Familie weiter zu verfolgen.

20. Str. St. Arch. N. 249, S. 112.

21. Ebenda, N. 249, S. 354. Sie verheiratet sich später mit Mathias Strohm, «Prin- cipis Würtenbergici Montisbelgardensis Consiliariuse, wird am 5. April 1652 noch Jungfrau genannt. (Str. St. Arch. N. 220, S. 431b.)

22. Str. St. Arch. N. 219, 8. 753. Es ist das jüngste Kind unseres Chronisten und am 31. Mai 1054 noch ledig. (Str. St. Arch. N. 220, S. 486P.)

I: u

BR,

die Apotheke seines Schwiegervaters Ringler übernahm”, Im öffent- lichen Leben scheint Saladin, zumal er Ausländer war, zunächst nicht

sonderlich hervorgetreten zu sein. Er wurde scheinbar erst im hohen Alter in den Rat gewählt. Die erste Nachricht hiervon erhalten wir

erst im Jahre 1650, wo er eines ehrsamen Rates alter Beisitzer ge- nannt wird”, Über seine Tätigkeit im Rate oder über sein sonstiges öffentliches Auftreten in der Stadt erfahren wir nichts. Obwohl sein Sohn Joh.’ Carl seit 1646 in der väterlichen Apotheke tätig war und 1650 sogar einen eigenen Hausstand gründete, so behielt der Vater doch die Apotheke bis zu seinem Tode”, der ihn in dem hohen Aller von nahezu 75 Jahren am 7. Fehruar 1656 um 5 Uhr abends ins Jenseits rief. Am 11. Februar wurde er auf dem Friedhof St. Galli vor Strass- burg zur Ruhe gebettet”. Am Tage darauf (12. Februar 1656) wurde im Strassburger Münster sein erster Enkel auf seinen Namen getauft”.

Die Lebensgefährtin unseres Chronisten sahen wir am 17. Mai 1631 noch am Leben. Da die Totenbücher von St. Thomas, die von 1651 ab geführt werden, ihr Hinscheiden nicht mehr berichten, so ist sie sicher vor 1651 gestorben. Andere Angaben über sie sind nirgends auflindbar.

$ 8. Die sonstige literarische Tätigkeit Saladins.

Der literarische Eifer Saladins ist nicht bloss auf unsere Uhronik beschränkt. Gegen Ende derselben beruft er sich auf seinen Traktal über den Krieg Spinolas in der Pfalz, und auf sein Pasquillenbuch

23. Die Familie Ringler war eine Apothekerfamilie, Der Vater des Carl R,, Jacob, war Apotheker. Ausserdem weisen Strassburgs Kirchenbücher noch mehrere Apotlieker mit dem Namen Ringler auf, die wir teils noch unten zu berühren haben.

Die Zahl der Apotheken betrug damals fünf. Noch 1682 erscheint ein Mandat, das bestimmt, dass diese Fünfzahl beibehalten werden soll. Erst 1746 wird die sechste Apotheke errichtet. (Protoc. der XXI, 1746, $. 159 u. 169. Str. St, Arch.)

24. Str. St. Arch. M. 120 (24. Febr. 1650). Dieselbe Bezeichnung erhält er noch zwei weitere Male in den Kirchenbüchern, nämlich am 5. April 1652 (Str. St. Arch. N. 220, Ss. 431) und am 31. Mai 1654 (Sir. St. Arch. N. 220, S. 486); ausserdem lleinrici, Leichpr. auf Marg. Otto, 1678 und Progr. funebr. 1680, Nr. 71 der Str. U. Bibl.)

25. Sebitzius, Nachruf auf Joh, Carl Saladin 1680. (Progr. funebr, Nr, 71 der U, Bihl.)

26. Kirchenbuch von St. Thomas. (Sir. St. Arch. N. 250.)

27. Str. St. Arch. N. 221, S. 4.

152

über die Union, das mit Kupferstichen geschmückt sei'. Beide Werke könnten für uns von der grössten Bedeutung sein, zumal die Eroberung der Pfalz durch Spinola sehr ausführlich geschildert war. Leider aber sind sie verschollen oder verloren; wahrscheinlich haben sie überhaupt nur handschriftlich existiert. Zwar erwähnt Saladin (707b) «ein klein büchlein von einem bogen, in dem stundt auf jedem blatt die Verrich- tung iedes Jahres der Vnion», das dem Markgrafen von Anspach, «der Vnion gewesenem General», versiegelt von einem Unbekannten 1621 überreicht wurde. Auf dem folgendem Blatte (708) gibt Saladin sugar Titel und Inhalt jenes Büchleins wieder”. Nun wären wir ja geneigt, unter diesem satirischen Scherz das von Saladin verfasste Pasquillen- buch zu verstehen, wenn nicht die Kupferstiche in dem Drucke fehlten’-

Gleichzeitige Traktate über den Krieg Spinolas in der Pfalz (1620 bis 1621) existieren allerdings. Soweit sie uns zu Gesicht kamen, sind

I. Diese Stellen lauten wörtlich :

«Waß Spinola weiters verrichtet. . .. ist in meinem anderen tractat alles außfürlich beschrieben alle Statt, dorffer waß er cinbekommen, auch findet man im Paßquillen- buch alles in Kupfer ordentlich verzeichnet, weil cs diß Elsas nit betroffen, hab ich es auch nit hierein verzeichnen wöllen» (699b).

«... ist also die Ynion gestorben, auch begraben ... in meinem andern tractat würdt man von diesem Kriegswesen weittläufig finnden, wie im Paßquillenbuch die Kupferstuckh» (703b).

«AIS die Vnion gestorben Ynndt begraben dauon lise meine Kupferstickh im Pab- quillenbuch» (700).

«Da die Stätt von der Ynion gethon, ist deroselben die Samader abgehauwen worden, dahero sie schwach wordenn Ynndt wie solches in Kupfer ist aubgangen besihe mein Paßquillenbuch. wirsts ordentlich finden» (701®). Es handelt sich ganz deutlich um zwei Werke, von denen das eine ziemlich umfangreich gewesen zu sin scheint.

2. Der Titel lautet (abgekürzt): «Triumphus Unionalis, daß ist ordentliche... vnndt gewiebe Verzeichnus, was die

samptliche \nirten von Anno 1618... biß auff instehendez 1621 Jahr... loblich.... verrichtet. Teutschlandt zuer Nachrichtung vndt fleißiges Nachfolgens für Augen ge- stellt durch Patientem Nileffectiuum nobilem Francicum. Gedruckht MDCXXI.»

Der Inhalt lautet (vollständig):

«Anno 1618 nichts, Anno 1619 gar nichts, Anno 1620 Vberall nichts, Anno 1621 durchaus nichts. Summa Summarum 0.»

3. Die uns vorliegenden Drucke der Kgl. Bibliothek zu Berlin und der Stadtbibliothek zu Frankfurt a. M. (die Strassburger Bibliotheken besitzen den Druck nicht) enthalten lediglich das, was Saladin Scite 708 seiner Chronik wiedergegeben hat. Offenbar stellte in Saladins Pasquillenbuch ein Kupferstich den Tod einer Person, ein anderer ihr Begrähnis dar, Tod und Begräbnis der Union zu versinnbilden.

A

sie pseudonym oder anonym‘; alle rühren höchstwahrscheinlich von ein und demselben Verfasser her. Dieser ist jedoch nicht Saladin. Die Citation der Bibel (Exod. 29, Ps. 34. u. 62, Apoc. 13. 17. u. 18) könnten wir sehr wohl auf Saladin zurückführen, da er ein guter Bibelkenner ist, wie wir gleich sehen werden. Auch könnte man die zahlreichen lateinischen Stellen, die zum Teil aus Klassikern stammen (Quiquid delirant Reges, plectuntur Archivi), als Saladinisch gelten lassen. Aber das in den Traktaten angenommene rhetorische Pathos ist dem Schreiber unserer Chronik nicht zuzutrauen. Auch findet sich kein Anklang in diesen Traktaten, weder sachlich, noch in Worten, noch in der Art der Diktion, der uns an unsere Chronik erinnerte, und dieser wäre doch gar nicht zu vermeiden gewesen, wenn beide einen Verfasser gehabt hätten.

Auch Werke, die keinen historischen, ja nicht einmal selbständigen literarischen Wert haben, sind von Saladins Hand geschrieben worden. Seiner Tochter Margaretha, Frau des Marx Otto, hatte er «ein von seiner eignen Hand sehr schön und zierlich ja kunstreich geschrieben ziemlich großes Quartbuch, von kernhaften Sprüchen H. Schrift, wichtigen Lehren und Reden der alten Kirchenväter und anderer vornehmen gesunden Lehrer, sampt andächtigen Gesängen und Gebeten hinderlassen», das seine Tochter «als ein herrlich Erbgut von ihrem seligen Herrn Valter geachtet»*. Leider ist auch dieses Erbauungsbuch nicht auf uns ge- kommen, so sehr interessant es schon deshalb wäre, weil wir in ihm einen zweiten Beleg für die Handschrift Saladins hätten, die wir so nur in unserer Chronik beobachten können. Die ansehnliche Bibliothek des Marx Olto und seiner Frau wurde von den beiden Ehegatten durch

4. In einem Sammelbande der Str. U. Bibl. zur deutschen Gesch. während des 30 jährigen Krieges, I (1617—1623) finden sich folgende Drucke :

1) «Motiven, warumb dem Marches Spinola etliche Stätt und Oerter in der Chur- pfalz sich zu bemächtigen nachgesehen und verstattet worden.» Gedr, 1620, Verf. Christian Gegenwehr (pseudonym).

2) «Spanischer Schlafftrunk (Dormi secure), den samptlichen Teutschen Churfürsten und Ständen ...zugerichtet, Auf, welchem wie artlich der Spinola solcher Schlaff- sucht an jelzo... gebraucht... zu sehen.» Gedr. 1620, Verf. unbekannt.

3) «Vertrag zwischen Vnion und Spinola zu Mainz am 2/12. April 1621, lat. und deutsch.» Herausgeber unbekannt

4) «Auffrichtiger Discours . .. der Motiven warumb dem Spinola ettliche Stätt... sich zu bemächtigen nachgesehen worden auß Trieb eyffriger Lieb, für das betrangte Valterland aubgefer iget.» Gedr. 1621, Verf. ist unbekannt,

5. Heinriei, Leichpredigt auf Marg. Ollo, 1678.

154

ein clestamentum reciprocum» vom 2. Dec. 1652 und vom 19. Okt 1673 (nebst einem heute noch bestehenden Stipendium) an die Strass- burger Universität vermacht und der berühmten Bibliothek einverleibt‘ Es ist also ganz sicher, dass das erwähnte Erbauungsbuch in dem Brande der Bibliothek 1870 zu Grunde ging”.

Die uns bekannte literarische Tätigkeit Saladins liegt (mit Ausnahme des Erbauungsbuches, das wahrscheinlich später eutstanden ist) vor 1623, wie wir am Schlusse dieses Kapitels noch näher dartun werden. Ob er in der langen Zeit seines späteren Lebens (1623—1656)

noch andere Werke verfasst hat, entzieht sich vollständig unserer Kenntnis.

Die Kindererziehung Saladins wird in den Leichpredigten und Nach- rufen auf seine Kinder stets gelobt, was aber bei der Phrasenhafligkeit dieser Produkte nicht viel bedeuten will. Besonders betont wird die religiöse Seite der Erziehung. Seinem einzigen Sohne Joh. Carl liess er eine gründliche Ausbildung zu teil werden; ja selbst seinen Töchtern fehlte es nicht an einer gewissen geistigen Schulung®. Er lehrte sie besonders Sprüche aus der Bibel zu schreiben®. Die Geschwister scheinen auch späterhin in gutem Einvernehmen gelebt zu haben".

6. E. v. LOEFFLER, loc. cit. S. 145.

7. Vergl. v. LOEFFLER, loc. cit. S. 147. Wir wollen hier nicht verfehlen, auf ein sehr schön, ja kunstreich geschriebenes Manuskript hinzuweisen, das sich im Besitze der Str. U. Bibl. (L. Alsat. 118) befindet und das alle von Heinrici geschilderten Eigen- schaften besitzt. Sein Titel lautet: «Extract oder kürtze Außzüg aüß der Strabbur:i- schen Christlichen Kirchenordnung von den Fürnemisten Sachen Vndt Haüpt Punckten Christlicher gottseliger Lehre, So in der Kirchen fürm Altar Ynnd auf der Cantzel gehandlet Vnnd verrichtet wirdt...» Man ist erstaunt zu sehen, welcher Fleiss auf die Exaktheit der Schrift und die Verzierung der Buchstaben verwendet wurde. +Dil Buch hat geschrieben vnnd verfertiget Johannes Moser von Friedbergk in der Wethe- raw, des Vhralten Stammens Vnd Namens genant Veith Moser von Winkel zu Villach in Kärnten, Bürger zu Straßburg, Güldenschreiber und Rechenmeister den 27. Februarij Anno... 1601.» Dieses Buch könnte Vorlage des Saladinschen gewesen sein.

8. Margaretha Otto «war gar ein scharfsinnig und wohlberedtes Weib, die nicht nur von gemeinen, sondern auch wichtigen Sachen also wissen zu sprechen, dab man ihr nicht gemeine Gemüthsgaben wohl wahrnehmen können ... sie war auch eu verständige und fleibige haubfrau.... die auch selbst die Arbeit angriffen». Sie schriel: «cin ganz Register schöner und kräftiger Sprüche aus einer kleinen Bibel», verfer- ligte eine Selbstbiographic u. a. m. (Heinrici, Leichpredigt auf Marg. Otto; vergl. auch E. v. LOEFFLER, loc. cit.)

%. Heinrici, Leichpredigt, 1678, S. 23.

10. Desgl., S. 22.

= EB 2

$ 9. Saladins Charakter als Chronist.

Saladin gehörte mit seiner Familie der Augsburgischen Konfession an, die damals in Strassburg fast allgemein eingeführt war. Auf seine Recht- gläubigkeit ist er so sehr bedacht, dass er einen lateinischen apologetischen Brief gegen ein von Valentin Schmaltz aus Gotha dem Strassburger Rate dediziertes arianisches Buch in seiner Chronik (634) wieder- gibt. Dass er ein recht eifriger Protestant ist, ersehen wir aus seiner Gegnerschaft gegen die in Molsheim residierenden Jesuiten*, die er bald «Gotishosswichter» (676), bald die «ertzfrummen Knechtlin des Bischofs» (641), bald das «Jesuiterische Ottergezicht» (641) nennt. Er spricht von «Jesuiterischen Praktika, damit sie lang schwanger gangen» (640), Seine Feindschaft richtet sich auch gegen die übrige katholische Geist- lichkeit im Elsass. (Vergl. 659, 664b und andere Seiten.) Übertroffen wird diese Abneigung gegen Katholiken noch durch seinen Hass gegen die Juden. Selbst wo Saladin einer Vorlage folgt, die nichts Gebässiges gegen die Juden enthält, gibt er ihr diese Beigabe. Wir sehen dieses recht deutlich in dem Berichte über die Hinrichtung des Vinzenz leit- milch am 28. Febr. 1616 zu Frankfurt a. M., den Saladin einem fliegenden Blatt getreu entnimmt‘,

I. Heinrici, Leichpredigt auf Marg. Otto, 1678.

2. Die Jesuiten wurden von Joh. von Manderscheid nach Molsheim gerufen und grün- deten dort eine kath, Universität, (Vergl. A. Meisten, Der Strassburger Kapitelstreit, 1899.)

3. Weitere Beispiele: «Der Schaffner schwur dem Deüffel ein bein ab, kundte wegen der Jesuiten aequivocalion sicherlich schweren dan meines erachtens die Jesuiten vorhin deb Deüfels» (692®). Ein Jesuit wird auf der Kanzel zu Hagenau unsinnig, als er gegen Luther predigte, «ist hinforth nimmer mehr gesehen worden, ist meines erachtens in den himmel kommen, darein die Jesuwiter alle sollen. Empfing also seinen verdienten Lohn» (670). «Die Deuffelskinder kennen nicht ruhig sein, man handelt dan mit ihnen wie die Böhmen welche den 12, Martii dises Jahres (1619) 20 Wagen voll Loioliten und Jesuiter wie sie der gürtel beschloßen auß dem König- reich Böhmen veriagt, Diabolus sit Comes,» (676).

4. Als Beispiel diene folgende Nebeneinanderstellung :

Vorlage, Saladin. E. Die einbekleidtung der Juden. | E. Die einbekleidtung der Juden oder Deuffels-Kinnder (6489).

12. Seinndt die Juden mit ihren Weib Saladin ebenso, er setzt jedoch hinzu: vandt Kindern in der Prozebion in ihre | «Der Deuffel holl alle Juden, die sich zum gaben begleitet worden. christlichen glauben nit bekheren wöllen»

(648).

156

Haben wir uns nun, soweit dies möglich war, genau über den zweiten Verfasser unserer Chronik unterrichtet, so erhebt sich ungestümer die bisher zurückgedrängte Frage:

8 10. Wer war der erste Verfasser der Saladinschen Chronik?

In der ganzen Ilandschrift wird der Name des ersten Verfassers an keiner Stelle genannt; keine einzige Ausdrucksweise in ihr ist auch so individuell, dass man wenigstens auf seinen Stand schliessen könnte; keine Handschrift konnte trotz bester Mühe gefunden werden, die in den Buchstabenformen mit unserer Chronik übereinstimmte; auch kein anderer gedruckter oder handschrifilicher Hinweis auf den ersten Verfasser unserer Chronik ist uns auffindbar gewesen. Eines jedoch können wir leicht schliessen: Der zweite Schreiber Saladin paginierte die ganze Chronik, also auch die vom ersten Verfasser beschriebenen Blätter; er schrieb teilweise auf Papier, das der erste Schreiber schon angeschafft hatte; er liess ferner die von dem ersten Schreiber ganz offenbar geplante Ausmalung der Chronik® von geschickter Hand be- sorgen: das alles lässt uns vermuten, dass zwischen erstem und zweilem Schreiber ein ziemlich nahes (vielleicht verwandtschaftliches) Verhältnis bestanden habe. Der aus der Chronik sprechende Patriotismus für Strassburg sowie die Kenntnis der Strassburger Begebenheiten kiss! uns mit Sicherheit schliessen, dass der erste Verfasser ein Strassburger Bürger war. Ausserdem muss er älter als Saladin gewesen sein, aber im Juni 1611 noch gelebt haben. Dies ist die Richtschnur, die uns leiten kann auf der Suche nach dem ersten Verfasser. Mancher Name ist bereits an uns vorübergezogen, dessen Träger in nahen Beziehungen zu Saladın stand. Wir wollen sie durchmustern und sehen, ob der gesuchte unter ihnen sich befindet.

Dass etwa der erste Schreiber auch Johann Georg Saladin geheissen habe und Bürger und Apotheker zu Strassburg gewesen sei, ist aus- geschlossen, da kein Saladin vor dem Jahre 1611 in Strassburgs Kirchen- büchern und Bürgerlisten nachweisbar is. Und zur Zeit des uus bekannten J. G. Saladin gab es üherhaupt keinen zweiten erwachsenen Saladin in Strassburg, wie oben (S. 18) schon dargetan wurde.

5. Dass der erste Schreiber seine Chronik mit den Wappen der Bischöfe und Ammeister schmücken wollte, zeigt sich deutlich daran, dass er die Stellen, wo die Wappen stehen sollten, leer liess.

157

Der Maler der Chronik Brentel kommt nicht als Verfasser in Frage, da dessen Handschrift, die wir an einer Handzeichnung im städtischen Kupferstichkabinett zu Strassburg beobachten konnten®, nichts mit der unserer Chronik gemein hat. Auch dessen Vater, der Maler Georg (nicht Friedrich!) «Brendiel», dem wir zunächst aus gewissen Er- wägungen die Verfasserschaft des ersten Teiles zuschreiben wollten, kommt nicht in Betracht, da er am 1. Oktober 1610 schon tot ist”. Noch weniger aber dürfen wir auf den oben genannten Heilbronner Landsmann Saladins, Jakob Herrmann, hinweisen, da er bereits am 4. März 1572 das Zeitliche segnete". Auch Vater und Stiefvater Saladins können nicht Schreiber des ersten Teiles unserer Chronik gewesen sein. Beide waren nicht Strassburger Bürger, auch starb der eine schon 1603, der andere war gar schon 1587 tot.

Nun bleibt uns nur noch ein Mann übrig, der unter den uns bekannten als Verfasser der Saladinschen Chronik in Anspruch genommen werden könnte: der Schwiegervater Saladins, der Strassburger Bürger und Apotheker Carl Ringler. Und in der Tat scheinen verschiedene Erwägungen ihm die Verfasserschaft zuschreiben zu wollen.

Einmal ist es doch sehr natürlich, dass der Schwiegersohn die von dem Schwiegervater begonnene Chronik erhielt und fortsetzte. Leider konnte die Handschrift Carl Ringlers nicht mehr aufgefunden werden. Zwar erwähnt der erste Verfasser die Apothekermandate vom 17. und 31. Januar 1558, von denen ein dürftiges Manuskript der Str. U, Bibl. zu berichten weiss, nicht, was uns von einem Apolheker immerhin wundern muss. Aber dieses liesse sich noch leicht erklären. Erschienen doch diese Mandate 10 Jahre vor seiner Geburt, sodass er sie nicht kannte. Aber selbst wenn er sie nachträglich gekannt hälte, so spräche ihre Nichterwähnung nicht gegen seine Verfasserschaft; hat doch der zweite Schreiber, von dem wir unzweifelhaft wissen, dass er Apotheker war und dass er in den Jahren 1615, 1616 und 1620 an unserer

6. Es ist dies eine auf einer Muschel stehende nackte Diana, die sich durch ein mit ihren Händen gespanntes Segel über das Meer treiben lässt. Rechts oben stehen die 5 Hexameler: «At tu divitias, .... » Darunter lesen wir: «Zu freundtlicher ge- dächtnub schrieb dieses in Stuttgart den 4. Octobris Anno 1618 Fridrich RBrentel, Burger und Mahler in Straßburg m. p.» Unter der Zeichnung steht: «8. Festina lente. »

7. Str. St. Arch. N, 248, 5. 2956, Nr, 856.

8. Str. St. Arch. IV. J. (Vergl. Ficken und WiINKELMANN, Handschriftenproben, Bd. II, Nachträge (zu Tafel 33) IX.)

158

Chronik schrieb, die Apothekermandate von 1615° und 1616'* und die Zollfreiheitserklärung der Apothekermaterialien von 1620" und die Apothekertaxe von 1615" nicht nur nicht wiedergegeben, sondern mit keinem Worte erwähnt.

Ausserdem wissen wir, dass Carl Ringler im Jahre 1611 noch am Leben war‘, eine Forderung, die wir an den ersten Schreiber stellen mussten.

Wäre Carl Ringler bald nach 1611, mindestens aber vor 1614, dem Jahre, in dem Saladin die Fortsetzung der Chronik beginnt, gestorben, dann wäre unser Indizienbeweis ziemlich schlüssig. Dies ist nun aber nicht zutreffend; wir finden Ringler noch am 10. Oktober 1624 unter den Lebenden.'* Aber eine andere Möglichkeit liegt nahe und lässt den Übergang der Chronik vom alten Ringler auf seinen Schwiegersohn als sehr wahrscheinlich erscheinen. Seine Tochter hatte sich mit einem Nicht-Strassburger versprochen, der Strassburger Ratsherr sollte sein Kind einem «Auswärtigen» antrauen lassen. Was liegt näher, als dass er aus Lokalpatriotismus die Geschichte Strassburgs aufzeichnete, um sie dem Schwiegersohn, der sich anschickte, Strassburger Bürger zu werden, zur Lektüre zu geben und ihn in die Strassburger Geschichte einzuführen? Er stiftete sie vielleicht den jungen Leuten in die Ehe, damit Saladin sich damit vertraut mache und ein guter Strassburger werde. Er wird ihn sogar angeregt haben, die Chronik fortzusetzen. Bis zum Juni des Heiratsjahrs 1611 schrieb der Schwiegervater, im November 1611 wird Saladin Strassburger Bürger und von 1611 an wird die Zeitgeschichte Strassburgs in der Tat durch den Schwiegersolin fortgeführt. Bei diesem Verhältnis ist es nicht wunderbar, dass Saladin die Chronik als seine Chronik ausgibt. Sie war für ilın bestimmt; er hat dann noch den grössten Teil daran geschrieben, sie war seine Chronik.

9. Protok. der XXler, 1615, 8. 360. (Str. St. Arch...

10. Str. St. Arch. Protok. der XXler, 1616, S. 106, 196.

11. Ebenda, 1620, S. 341.

12. Ebenda, 1615, S. 360. Ein M. der Str. U. Bibl. enthält diese Taxe.

13. Str. St. Arch. Strassburger Bürgerbuch 1, S. 9411, wonach C. Ringler noch am 19. Nov. 1611 lebt.

14. Str. St. Arch. N. 219, S. 4.

159

8 11. Zur Genealogie der Familie Ringler.

Wenn wir auch nicht mit absoluter Bestimmtheit Carl Ringler als den einen Verfasser unserer Chronik bezeichnen konnten, so ist doch die Möglichkeit so nahe liegend, dass einige genealogische Notizen über die Ringlers erwünscht sein möchten, zumal da der zweite Verfasser, Saladin, in diese Familie hineinheiratete.

Der Vater Carl Ringlers, Jacob Ringler, stammte aus Nürnberg‘. Er wurde am 24. Januar 1557 zu Strassburg mit Magdalena, Tochter des Altammeisters’ Jürg Leymer aufgeboten und heiratete sie am 1. Fe- bruar 1557°. Jacob Ringler ist Apotheker und wohnte zunächst in der Spiessgasse‘. Aber schon 1587 ist er Besitzer zweier schöner Häuser in der Oberstrasse und im Lucerngässlein'. Seine 11 Kinder sind:

1. Also auch die Faınilie Ringler ist eingewandert. Es müsste eine sehr interessante Untersuchung sein, nachzuweisen, wieviele der in Strassburg einflussreichen Familien eigentlich Urstrassburger waren, da wir so viele Einwanderer grossen Einfluss ge- winnen Sehen.

2. Ammeister 1556 und 1562.

3. Str. St. Arch. M. 106, S. 1.

A. Nachweisbar am 23. Okt. 1558. (Str. St. Arch. N. 213. S. 87.)

5. «Allmendibuch» der Stadt Strassburg von 1587 (geschr. von Jacob Meyer All- mendischreiber 1591) im Str. St. Arch. S. 180 u. 181. A. SevBoTH (Das alte Strass- burg vom 13. Jahrh. bis 1870. Strassburg, Heitz) hat diese Häuser identifiziert als Haus Nr. 149 der Langgasse (früher Oberstrasse) und als Haus \r. 4 der Laternen- gasse (früher Lucerngäßlein). Ersteres Haus hiess noch 1537 «zu der Swertzen». Es steht in unmittelbarer Nähe der Stelle, an der zu Ringlers und Saladins Zeit die Pfalz gestanden hat. Einmal schreibt ja auch Saladin: «als die alten Herrn den 13. Decembris (1620) wiederumb allein zuc deliberiren saßen, da sprang die fürgespante Kette vmb Neuner Zeit bey der Apotheckh von ihr selbst entzwei, welches viel für ein son- derliches Omen halten» (697).

Dieses Haus wird zuerst 1331 erwähnt, gehörte 1545 und 1560 einem Apotheker Jacob Schwegler, 1587 besitzt es Jacob Ringler, 1681 der Apotheker Peister; noch 1837 befindet sich in ihm eine Apotheke. Da Joh. Carl Saladin 1680 starb, so können wir vermutungsweise die Hausbesitzerreihe zwischen Jacob R. und Peister folgender- massen richtig ergänzen : Carl Ringler, Joh. Georg Saladin —1656, Joh. Carl Saladin 1656— 1680. Da die Pfalz ja längst weggebrochen ist, ist das Haus vom Gutenbergplatz aus ganz gut sichtbar und macht durch seinen edelen Giebel einen recht freundlichen Eindruck. In den unteren Räumen wird jetzt ein Herrenkonfektionsgeschäft betrieben. (Vergl. Seyboth 83/84.)

Über das Haus in der Laternengasse 4 s. Seyboth 73/74. Auch dieses könnte die Besitzerreihe Carl Ringler, Joh. Georg Saladin, Joh. Carl Saladin gehabt haben, da wir die Besitzer von 1587—1738 nicht kennen. Allerdings ist dieses bei dem Kinder- reichtum Jacob Ringlers nicht wohl anzunehmen.

B. XXII. (M.) il

460 4. Jacob, 23. Okt. 1558 (Str. St Arch. Nr. 213 S. 873)‘

2. Jörg, get. im Münster am 8. Febr. 1560” 3. Johannes, » » » 5. Okt. 1561" 4. Jacob, > , » 9. Mai 1563’ D. Magdalena, » » > » 44. Nov. 1569" 6. Barbara, > | p » 1. Dec 1566" 7. Carolus, > n » 15. Aug. 1568" 8. Daniel, >) > ) » 6. Juli 1570‘

6. Er starb vor dem 2. Mai 1563, da an diesem Tage ein zweiter Jacob derselben Familie getauft wurde.

7. Str. St. Arch. N. 213, 8. 127b. Georg Ringler aufgeboten mit Margaretha, Tochter des Jacob Wolff, am 28. Mai 1592. (Str. St. Arch. N. 247, S. 161, Nr. 493.) Dieser Ehe entsprossten 2 Kinder:

1) Felicitas, get. am 12. Aug. 1593. (Str. St. Arch. N. 247, S. 193, Nr. 1351.)

2) Georg Friedrich, get. am 19. Nov. 1594. (Str. St. Arch. N. 248, S. 32®, Nr. 179.)

Georg lebte noch beim Aufgebot seiner Tochter Felicitas am 16. Nov. 1617. (Str. St. Arch. N. 248, S. 396%, Nr. 1247.) Anfang 1620 wird jedoch seine Witwe wieder aufgeboten. (Str. St. Arch. N. 248, S. 4294, Nr. 1340.)

8. Str. St. Arch. N. 213, S. 160®. Johannes Ringler, Dr. med., verheiratet sich am 27. Januar 1590 mit Maria, Tochter des Altammeisters Joh. von Hohenburg. (Str. St Arch. N. 247, S. 119%, Nr. 365.) Ihre Kinder, zu St. Thomas getauft, sind:

1) Maria, 3. Nov. 1590. (Str. St. Arch., N. 247, S. 135, Nr. 966.)

2) Hans Jacob, 14. Febr. 1592. (Ebenda, S. 165®, Nr. 1140.)

3) Johannes, 30. Aug. 1593. (Ebenda, N. 248, S. 3, Nr. 1.)

1) Hans Friedrich, 4. Mai 1596. (Ebenda, S. 64, Nr. 368.)

5) Susanna, 29. Okt. 1598. (Ebenda, S. 108b, Nr. 673.)

6) Hans Carl, 12. Aug. 1600. (Ebenda, S. 142, Nr. 878.)

Johannes lebt noch beim Aufgebot seiner Tochter Maria am 7. Juni 1612 (Str. St Arch. N. 248, S. 329b, Nr. 990), wird aber beim Aufgebot seines Sohnes, des Apo- thekers Joh. Friedrich Ringler, am 17. Aug. 1623 (Str. St. Arch. N. 248, S. 468°, Nr. 1528) als schon verstorben bezeichnet.

9. Str. St. Arch. N. 213, S. 181».

10. Ebenda, S. 216°.

i1. Ebenda, S. 233b. Barbara verheiratete sich am 6. Dez. 1591 mit dem Handels- mann Matheus Grabestaden. (Str. St. Arch. M. 86, S. 24b, Nr. 66.)

12. Str. St. Arch. N. 213, S. 262b. Er ist der spätere Schwiegervater Saladins. (Näheres s. unten!)

13. Str. St. Arch. N. 213, S. 291%. Daniel Ringler verheiratete sich mit Barbara, Tochter des Nikolaus von Dürckheim des Jüngeren, am 16. Januar 1599. (Str. St. Arch. M. 51, S. 45, Nr. 1 und ebenda, N. 248, S. 112, Nr. 276.)

Von ihm sind im Taufbuch von St. Nicolaus (Str. St. Arch. M. 106) 8 Kinder von 1601—1615 verzeichnet. Er wird zuerst Handelsmann genannt; als seine älteste Tochter 162% heiratete (Str. St. Arch. N. 249, S. 5), ist er Dreizehner, und 1626, 163? und 1638 Ammeister der Stadt Strassburg.

161

9. Hans Jacob, get. im Münster am 13. April 1572' 10. Friedrich, » » » » 13. April 1574" 11. Heinrich, » » » 93. Okt. 1575"

Jacob Ringler ist 1587 noch am Leben'’; am 6. Dez. 1591 ist er aber schon tot". Sein Sohn Carl R., Schwiegervater Saladins, heiratete am 17. Nov. 1590 Margaretha, die Tochter des Adolph Kirchhoffer *. Ihre Kinder sind:

1. Magdalena, get. zu St. Thomas am 19. Sept. 1591 * 2. Joh. Friedrich » » » » » 10. Aug. 1592* 3. Carolus, get. zu Alt SL Peter am 18. Aug. 1594°! 4. Jacob, D 93 » » » » 9 Okt 1595*

L4. Str. St. Arch. N. 213, S. 3164

15. Ebenda, N. 214, S. 1%. Friedrich Ringler, Ilandelsmann, verheiratete sich am 8. Nov. 1597 mit Salome, Tochter des verstorbenen Ilandelsmanns Marx Grabissdade (Str. St. Arch. N. 248, S. 76b, Nr. 710 und ebenda, M. 86, S. 55, Nr. 5%, nachdem er mit ihr am 30. Okt. 1597 aufgeboten worden war. Seine 8 Kinder sind:

1) Magdalena, 20. Aug. 1598. (Str. St. Arch. N. 216, S. 131®.)

2) Friedrich, 2. Sept. 1599. (Ebenda, N. 248, S. 124, Nr. 739.)

3) Salome, 17. Aug. 1600. (Ebenda, S. 142, Nr. 880.)

4) Hans Jacob, A. Febr. 1602. (Ebenda, S. 172b, Nr. 1080.)

5) Anna Catharina, 23. Okt. 1603. (Ebenda, S. 196, Nr. 1297.)

6) Margaretha, 28. Mai 1606. (Ebenda, S. 238P, Nr. 1612.)

7) Barbara, 15. Nov. 1607. (Ebenda, 8. 260, Nr. 1778.)

8) Dorotliea, 12. Sept. 1609. (Ebenda, S. 280°, Nr. 1963.)

16. Str. St. Arch., N. 214, S. 31?.

17. Allmendtbuch 1587. S. 190 und 181. (Str. St. Arch.)

18. Str. St. Arch., M. 86, S. 24®, Nr. 66.

19. Ebenda, M. 86, S. 18®, Nr. 58.

20. Str. St. Arch., N. 247, S. 153, Nr. 1077. Sie ist die spätere Frau Saladins (s. oben!).

21. Str. St. Arch, N. 247, S. 172, Nr. 1203.

22. Ebenda, N. 171, S. 241. Carolus Ringler der Jüngere, Apotheker, heiratete cine Magdalena. Da diese Heirat in Strassburgs Kirchenbüchern nicht verzeichnet ist, also wohl auswärts stattgefunden hat, so kennen wir nicht den Familiennamen der Frau. Sie hatten folgende Kinder:

1) Margaretha, 6. Okt. 1616 (Str. St. Arch, N. 2i8, S. 391b, Nr. 2683), Patin: Salöme Ringler.

2) Magdalena, 9. Nov. 1618 (Ebenda, 8. A15b, Nr. 2875), Pate: Daniel Ringler.

3) Anna, 25. Mai 1623. (Ebenda, S. 474, Nr. 3363.)

4) Carolus, 14. Mai 1629. (Ebenda, N. 249, S. 78, Nr. 640.)

5) Carolus, 8. Jan. 1632. (Ebenda, S. 127, Nr. 907.)

23. Str. St. Arch, N. 171, S. 268. Auch Jacob ist Apotheker; er heiratete am 2. Nov. 1632 Anna Maria, Tochter des Jacob Kügler. (Str. St. Arch, M. 51, S. 136 Nr. 158 und ebenda N. 248, S. 469b, Nr. 1554.) Das erste Kiud wurde 28 Wochen nach dem Kirchgange gehoren ; Jacob schwur vorehelichen Verkehr ab, wurde meineidig befunden, deswegen musst er «vff große fürbitt ins Hauß schwören». (M. 51, 8. 52, Nr. 58.)

162

5. Salome, get. zu Alt St. Peter am 1. März 1597 6. Anna, » St. Thomas » 90. Mai 1599* 7. Hans Heinrich, » » > » 8. Febr. 1601* 8. Maria, u Ya ' » » 43. Mai 1602”

Ausserdem hatten sie noch eine Tochter Margaretha, deren Geburt aber in Strassburgs Taufbüchern nicht verzeichnet ist; sie muss also wohl auswärts geboren sein. Sie heiratete am 29. Nov. 1623 den Gold- arbeiter Jacobus Bauer”. Ein älterer Namensgenosse Carl Ringlers, Sohn des Lienhart Ringler, geb. am 20. Sept. 1551*, bedarf kaum der Erwähnung, da über ihn sonst nichts bekannt ist, als dass er geboren wurde. Wann der Schwiegervater Saladins, Carl Ringler, starb, ver- mögen wir nicht genau anzugeben, da Strassburgs Totenbücher erst ca. 1650 beginnen. Am 10. Okt. 1624 noch unter den Lebenden”, befindet er sich am 3. Nov. 1629 schon im Jenseits". Er war auch Mitglied des Rates, scheint jedoch ebenso wie sein Schwiegersohn nicht hervor- getreten zu sein”. Dass die Familie Ringler sehr angesehen in Strassburg war, zeigt neben den Patenlisten und Heiraten von Mitgliedern dieser Familie in den Adel auch der Umstand, dass Daniel Ringler zweimal Ammeister der Stadt wurde.

8 12. Der Maler der Saladinschen Chronik.

Neben einer Reihe von Namen haben wir auch wiederholt einen genannt, dessen Träger Mitarbeiter an der Herstellung unserer Clıronik war, den ihres Malers. Strobel hat uns, wie wir bereits sahen, überliefert,

24. Str. St. Arch., N. 171, S. 307. Salome wurde aufgeboten mit Paulus Schell am 10. Okt. 1624. (Str. St. Arch., N. 249, S. 4°.)

25. Str. St. Arch., N. 248, S. 120P, Nr. 705. Anna heiratete 1620 den Joh. Heinrich Schmidt. (Str. St. Arch., N. 248, S. 431°, Nr. 1380.)

26. Str. St. Arch., N. 218, S. 1546, Nr. 945.

27. Ebenda, S. 175®, Nr. 1110. Maria heiratete am 3. Nov. 1629 den Handelamann Gottfried von Brun aus Jena, (Str. St. Arch., N. 249, S. 73b.)

23. Str. St. Arch., N. 248, S. 349P, Nr. 1071.

29. Ebenda, N. 215, S. 27, Ar. 386.

30. Str. St. Arch., N. 249, S. 4b,

31. Str. St. Arch., N. 218, S. 4312 Nr. 1380.

32. Sebitzius, Nachruf auf Joh. Carl Saladin 1680 (Progr. funebr. Str. U. Bibl.) und Heinriei. Leichpredigt auf Marg. Otto 1678.

469

dass es ein Brentel gewesen sei', Obwohl er keine Quelle für seine Nachricht angibt, auch sie nicht aus einem Monogramm an den Malereien der Chronik ersehen konnte, so haben wir doch keinen Grund, Miss- trauen in diese Strobelsche Angabe zu setzen, zumal wir gewisse Bestätigungen dafür gefunden zu haben glauben. Unsere Chronik ist Jahr für Jahr mit den Wappen der Ammeister Strossburgs geschmückt bis zum Jahre 1616. Die folgenden Jahre bis 1621 entbehren dieser Zierde, nur leere Stellen zeigen an, wo der Maler’ sie anbringen sollte. Nun finden wir Blätter von Friedrich Brentels Hand gestochen in Esaias von Hülsens «Aigentliche wahrhaffte Delineatio . . . aller der fürst- lichen Aufzüg und Reutterspil ... in der herzoglichen Hauptstatt Stutt- gart», das 1617 schon erschienen ist, Also musste Brentel Anfang 1617 oder gar schon Ende 1616 nach Stullgart zur Anfertigung der Stiche gekommen sein. In derselben Stadt finden wir ihn noch am 4. Okt. 1618: und im Jahre 1619. In letzterem Jahre stach er die innere Ansicht des grossen Saales im Schlosse zu Stuttgart. Diese Notizen lassen uns vermuten, dass Brentel im Jahre 1617 und die folgende Zeit sich überhaupt nicht in Strassburg aufhielt, sondern ununterbrochen in Stuttgart weilte. Daraus erklärt sich dann auch, warum die Wappen von 1617 ab in unserer Chronik fehlen.

Ausserdem fand sich noch ein anderer, deutlicherer Beleg dafür, dass _Brentel der Maler der Saladinschen Chronik ist, den wir aber, da wir uns hier als Laien fühlen, mit Vorsicht wiedergeben wollen. Im städtischen Kupferstichkabinett zu Strassburg findet sich neben anderen Brentelschen Malereien auch ein farbiges Wappen, das ganz deutlich «F. Brentel» gezeichnet ist. Dieses ist nun zwar viel reicher als die Wappen unserer Chronik; es ist von einem schön ausgeführten Rahmen umgeben, entbehrt auch des llelmschmuckes nicht, seine Dimension ist grösser. Vorteilhaft für die Vergleichung aber ist, dass dieses Wappenschild eine Reihe Pfauenfedern trägt, die wir in unserer Chronik an mehreren Wappen genau beobachten konnten’. Diese Federn stimmen wenn

——

I. Es handelt sich selbstverständlich, wenn auch Strobel das nicht deutlich sagt, uur um den berühmten Strassburger Minialurmaler und Kupferstecher «Fridrich Brentels (so schrieb er seinen Namen, vergl. S. 35, Anm. 6; häufger finden wir F. Brentel, oder F. B.).

2. Vergl. S. 35, Anm 6,

3, Die Wappen der Chronik konnten zwar nicht unmitlelbar mit obigem Wappen verglichen werden, waren uns jedoch bei der über vier Monate dauernden Anfertigung der Kopie der Chronik sehr gut ins Gedächtnis übergegangen, so dass die Vergleichung ziemlich untrüglich sein dürfte,

4164

wir von der Grösse absehen vollständig miteinander überein. Auch die feinen Goldlinien, die den Wappen der Chronik ein so zierliches Gepräge geben, finden wir hier in derselben Ausführung wieder. Es kann also kein Zweifel bestehen: die Wappenschilde der Saladinschen Chronik sind von derselben meisterhaften Hand entworfen und ausge- führt wie das Wappen im Strassburger Kupferstichkabinett‘.

| $ 13. Zur Genealogie der Famille Brentel.

Über die Werke des berühmten Strassburger Miniaturmalers ist man in den Kreisen der Kunsthistoriker im allgemeinen unterrichtet. Auch finden sich in der kunsthistorischen Literatur manche Notizen über das Leben und die Genealogie Friedrich Brentels. Diese widersprechen sich jedoch und sind meistens unrichtig.

Nach der Nouvelle biographie generale (Tome 7°, Paris 1763 p. 326) soll Fr. Brentel 1580 oder 1586 zu Strassburg geboren sein; fürs erste Jahr beruft sie sich auf Descampes, fürs zweite auf Michel. W. Schmidt lässt ihn in der Allg. Deutschen Biographie (Leipzig 1876, Bd. III, S. 313/14) um 1575 geboren sein und 1601 Bürger in Strass- burg werden. Nach dem Allg. Künstlerlexikon (2. Aufl. v. Seubert, Stuttgart 1878, I. S. 175) ist er 1580 geboren und wurde im Jahre 1601 Strassburger Bürger‘. Hiervon ist kaum etwas richtig. Der Wahrheit am nächsten kommt A. W. Strobel in dem Anhang von

——. _—— a ——————————————

4. Ein bisher unbekanntes Werk Friedrich Brentels (oder eines Schülers) glauben wir in dem Buche der Ammeisterwappen, welches in der Str. U. Bibl. (M. L. Alsat. 612; aufbewahrt wird, wieder gefunden zu haben. Es umfasst in Oktavgrösse 9 Vorsteh- blätter (1—9), 22 bemalte und beschriebene Blätter (10—31), sodann zahlreiche Blätteı mit cingeklebten Wappen und Ex libris. S. 10 trägt color. Wappen der Stadt Strassbury, Ss. 11—12b Titelblatt und Vorrede, 13—15 leer; auf den Seiten 16—31 erblicken wir die helmlosen Wappenschilde der Ammeister von 1313—1628. Die Wappen der Jahre von 1336—1590, 1618 und 1626 ähneln in der ganzen Ausführung, ja sogar in der Grösse den Wappen der Saladinschen Chronik so sehr, dass wir beide Wappensammlungen demselben Meister zuschreiben möchten. Auch hier ist wieder auffallend die grosse Übereinstimmung in den feinen aufgezeichneten Linienornamenten. Ein abschliessende: Urteil wollen wir dem Kunsthistoriker keinesfalls vorwegnehmen; unser Zweck war, ihn aufmerksam zu machen. (Die Wappen der Jahre 1591—1617, 1619—1625, 1627— 1628 sind von weit ungeschickterer Hand ausgeführt.)

1. Im Jahre 1601 (1. Dez.) wurde allerdings ein Brentel durch seine Heirat mit Veronica geb. Muller, verwitweter Fuhrmann, Bürger Strassburgs, der ohne Angabe von Vermögen zur Zunft zur Lucern dienen wollte. Aber dieser hiess Gaspar, stammte aus Uln und war Môrtelknecht. (Str. Büurgerbuch Ill. 804.)

465

Schreibers Buch über das Strassburger Münster*. Die Zweifel über die Zeit der Geburt Friedrich Brentels vermögen wir leider nicht zu zer- streuen, da die Kirchenbücher seines Heimatortes, wie eine freundliche Mitteilung von dort uns besagt, im dreissigjährigen Kriege vernichtet wurden. Er ist wohl 1579 oder 1580 geboren. Einige Notizen über Brentels Leben und über die Genealogie seiner Familie wollen wir aus authentischen Quellen hier wiedergeben. Der Vater Friedrichs, Georg (nicht Friedrich’) «Brendtel», selbst ein Maler, stammt aus Laichingen (nicht Lauingen‘) im württemberg. Donaukreis. Er erkaufte das Strass- burger Bürgerrecht mit Unterstützung Bernhart Jobins am 6, Mai 1587 und erklärte seinen Beitritt zur Zunft zur Stelizen®. Als er nach Strass- burg kam, hatte er neben seinem Sohne Friedrich mindestens noch eine Tochter Regina, die am 1. Okt. 1610 den Maler Johannes Büler aus Niederehenheim heiratete’, dem sie dadurch am 6. Juni 1611 das Strassburger Bürgerrecht verschaffte”. Georg bekam in Strassburg mit seiner Frau Anna noch eine Tochter Euphrosyne, die am 8. Okt, 1592 in der Kirche Jung St. Peter getauft wurde‘. Diese heiratete den Schneider «Ehrhardt Lohmer von Allersperg» aus der oberen Pfalz und verschaffte ihm dadurch das Bürgerrecht am 31. Mai 1634°, Georg Brendiel ist am 1. Okt. 1610 bereits tot". Sein Sohn Friedrich ver- heiratete sich am 22. Februar 1601 mit Anna, der Tochter des ver- storbenen Rotgerbers Andreas Brackenhoffer". Kinder dieser Ehe sind: 1. Johann Friedrich, get. am 1. Januar 1602 2. Anna Maria, » » 17. Januar 1613",

2, Heinrich Scunermen, Das Münster su Strassburg, Karlsruhe und Freiburg, 1828. Diesem Büchlein ist 5. 71—90 ein «Verzeichniss der merkwürdigen Künstler der Stadt Strassburg und des Elsasses überhaupt, von A, Walth. Strobel» angehängt (S. 77).

3. So überliefert Dictionnaire biographique d'Alsace, Liste préparatoire p. 20, das seinen 1651 gestorbenen Sohn Joh. Friedrich nennt!

4. So will Strobel bei Schreiber und andere.

5. Str. Bürgerbuch, Ill. 469. (Str. St. Arch.)

6. Str. St. Arch., N. 248, S, 295», Nr. 856.

7. Str. Bürgerbuch, II. 934.

8. Str. St. Arch., N. 136, S. 105, Nr. 188,

9. Str Bürgerbuch, III. 139.

10. Str. St, Arch., N, 248, S, 295®, Nr, 856. (Vergl. oben $. 35, Anm, 7.)

11. Ebenda, M. 108, S. 84.

12. Ebenda, N. 248, S. 172, Nr. 1070,

13, Ebenda, 8. 350b, Nr. 2324. Diese Anna Maria hat sich später einen guten Ruf als Malerin erworben. Eine Geschichte des verlorenen Sohnes in 4 Bildern, im Strassburger Kupferstichkabinett aufbewahrt, trägt deutlich ihren Namen «Anna Maria Brendlerins, Sie verheiratete sich am 2. August 1630 mit dem Wappensteinschneider Hans Israel Schwartz von Augsburg, Sohn des Notars David Schwartz daselbst (Str. St. Arch., N. 249, 5, 89b), starb aber schon 1633 in ihrer Vaterstadt. (Strobel bei Schreiber, 5. 78/79.)

166

Bei der am 13. Sept. 1618 getauñen Susanna ist es zweifelhaft, ob sie eine Tochter oder eine Enkelin Friedrichs war. Zwar wird in dem Kirchenbuche «Friedrich Brentel der Maler» als ihr Vater angegeben", aber das Kirchenbuch ist um diese Zeit offenbar etwas nachlässig geführt. Als Mutter Susannas ist Barbara angeführt, ein Name, den gerade die Frau Johann Friedrichs, des Sohnes Friedrichs, trägt. Ausserdem wird Susanna bei ihrer Verheiratung am 5. Februar 1644 mit dem Würzkrämer Joh. Philipp Hirtz, Sohn des Bürgers Joh. Melchior Hirtz, «eheliche Tochter Johann Friedrich Brentels » genannt‘. Der letzte Eintrag im Kirchenbuche ist ganz sicher sorgfältiger als der obige. Johann Friedrich war aber bei der Geburt dieser Susanna noch nicht 17 Jahre alt. Diese Unwahrscheinlichkeit wäre zu heben, wenn man annehmen könnte, Friedrich habe eine zweite Ehe mit einer Barbara eingegangen und habe mit ihr obige Susanna bekommen. Dann müssten wir eine zweite Susanna als Tochter Johann Friedrichs annehmen, die 1644 heiratet. Nun fanden wir aber keine zweite Susanna Brentel, die um 1620 geboren wurde“. Auch liessen Johann Friedrich Brentel, der Sohn unseres Malers, und Barbara bereits am 23. April 1620 eine Barbara taufen'. Hier ist der Vater noch nicht ganz 4 Monate über 18 Jahre alt. Müssen wir einmal einen so jungen Vater annehmen, so dürfen wir ihm auch die 1'/, Jahre frühere geborene Susanna als seine Tochter zuschreiben'*. Friedrich Brentel starb zu Strassburg am 17. Mai 1651 und wurde am 20. Mai begraben ”.

Über Brentels Werke zu urteilen, ist Sache der Kunsthistoriker. Auf eine Seite der Brentelschen Tätigkeit wollen wir hier kurz aufmerksam machen, da diese in der Literatur noch nicht genannt ist, nämlich dass er zahlreiche Titelvignetten für Strassburger Druckereien (gezeichnet F. B.) stach, wie mehrere Exemplare im städtischen Kupferstichkabinelt zu Strassburg zeigen.

14. Str. St. Arch., N. 248, S. 414b, Nr. 2863. 15. Str. St. Arch., N. 239, S. 296. 16. Um dicse Zeit müsste sie geboren sein, da sie schon 164% heiratete. 17. Str. St. Arch., N. 248, S. 414b, Nr. 2863. 18. Kinder Joh. Friedrichs Brentel und Barbara sind also: '1) Susanna, get. am 13. Scpt. 1618. (?) 2) Barbara, get. am 23. April 1620. 3) Johann Friedrich, get. am 16. Juni 1622. (Str. St. Arch., N. 248, S. 460, Nr. 3272.) 4) Anna Maria, get. am 12. Februar 1624. (Ebenda, N. 247, S. 7b incl. 18: 19. Str. St. Arch., N. 250, S. 651.

167

8 14. Zeit der Niederschrift der Chronik.

Der Wert einer Geschichtsquelle ist abgesehen von anderen Faktoren um so höher, je näher nachweislich ihre Abfassung den erzählten Ereignissen steht. Wann unsere Chronik zu schreiben begonnen wurde, ist mit Sicherheit nicht festzustellen; doch ist die Wahrscheinlichkeit gross, dass im Jahre 1610 der Anfang damit gemacht wurde, da wir diese Zahl auf dem Titelblatt sehen. Am 14. Juni 1611 schrieb der erste Verfasser noch an der Chronik'. Die letzten Jahre vor 1611, nachweislich von 1609 ab, wurden erst 1611 nieder- geschrieben‘. Zwar werden manche Berichte des Jahres 1611 in der Gegenwart erzählt’, aber dieses Tempus finden wir schon in der Quelle des ersten Schreibers, die ihrerseits gleichzeitig ist. Wir sind also nicht genötigt anzunehmen, dass der erste Verfasser schon 1611 aufhörte zu schreiben. Er kann sehr wohl bis Ende 1613 an der Chronik geschrieben haben; denn erst Anfang 1614 setzt Saladin sie fort. Das sehen wir deutlich daran, dass er schon auf der zweiten Seite seiner Fortsetzung im Berichte über das Jahr 1611 eine Tatsache erwähnt, die im Dezember 1613 geschehen sei‘. Die Vorrede ist datiert vom 13. Februar 1614, sie scheint also eine der ersten Tätigkeiten Saladins an der Chronik zu sein®.

In der Vorrede gibt der zweite Verfasser an, dass er die Chronik «hinfüro so lanng» ihm «der liebe Gott daß Leben vnndt gesunden leib gönnen vnndt verleyhen würdt jährlichen zu continuiren» beab-

i. Ein an diesem Tage geschehenes Ereignis wird von ihm noch erzählt.

2. Die Krankheit von 1609 grassierte « auch das künfftige Jahr und ferners » (572) «bi ins 1611 Jahr» (584®).

3. «Die vbrigen Soldaten aber, die wollen nicht weichen, man gebe ihnen die vollige Zahlung, ist vielleicht die Vrsach, das ihnen der Elsasicher wein so wuhl auf der Zungen schmeckt, sie sollen noch auf 1500 stark sein, thun großen Schaden mit plünderen, brennen vndt rauben » (586).

1. a Den 31. Octobris 1611 wardt Harnischers Rechtfertigung erörtert... Vnd ibm also vfferlegt worden . . . auch solle er 10 meyl Wegs Stat vnndt Lanndt verschweeren, welcher aber durch große Furbitt der Churfürstin von Heidelberg Anno 1613 im 10bri ist wieder begnadigt vnndt wieder in die Stat kommen» (987).

5. Selbstverständlich ist das vierfache Register, vielleicht auf Rat des ersten Ver- fassers, von ihm vor der Vorrede geschrieben worden.

4168

sichtigte. Und so hat er es auch zunächst gehalten‘. Der Bericht über das Jahr 1615 ist aber sicherlich erst 1616 niedergeschrieben worden; denn Saladin beginnt die Erzählung der Ereignisse dieses Jahres mit der Erwähnung der vierten Wahl des Christoph Städel zum Ammeister, die erst 1616 stattfand. Diesen Irrtum, der sicherlich durch das Andenken an den gerade regierenden Ammeister erklärbar ist, sah Saladin jedoch bald, und er klebte vorsichtig über diese Notiz einen Zettel, der den richtigen Ammeister Ulricus Würsel trug. Das Jahr 4616 weist dann mit denselben (überklebten) Worten den richtigen Ammeister auf. Das Jahr 1615 ist aber nicht später als 1616 be- schrieben. Hat doch der Maler Brentel, der Ende 1616 oder spätestens Anfang 1617 schon in Stuttgart ist, das Wappen von 1616 noch gemalt. Also musste Saladin schon über das Jahr 1616 zu berichten begonnen haben, da sonst der Maler nicht gewusst hätte, wohin er das \Vappen setzen sollte.

Der Bericht über das Jahr 1619 scheint erst 1621 und der des Jahres 1621 erst 1623 niedergeschrieben zu sein. Im Jahre 1619 hat Saladin sich wiederholt verschrieben und die Jahreszahl 1621 geseizt, während wir im Jahre 1621 mehrmals die Zahl 1623 lesen, die aber mit einer einzigen Ausnahme wieder in die richtigen Zahlen verwandelt wurden. Im Jahre 1623 also hat auch Saladin die Feder, die mit so vielem Fleisse an der Chronik geschrieben hatte, aus der Hand gelegt-

Der Grund, warum er das Werk seiner Hände nicht weiter fortsetzte, könnte in den einbrechenden Wirren des 30 jährigen Krieges gesucht werden, scheint jedoch einfacher zu liegen. Die 161% eingebundene: Chronik war bis auf einen winzigen Rest vollgeschrieben. Ein Nach- binden von Blättern wäre sehr schwierig gewesen und hätte auch den Codex sehr unförmlich gestaltet.

6. Im Berichte des Jahres 1613 wirl zwar eine grosse Feuersbrunst von Magdebur: erwähnt, der über 100 Häuser zum Opfer fielen. Es ist jedoch hier nicht an den Brand vom 10.:20. Mai 1631 zu denken, denn damals blieben nur 10 Hütten stehen; die Stadt soll aber 36 000 Einwshner gehabt haben, die unmöglich in 500 Häusern. wohnen konnten. Es handelt sich also um einen Brand im Jahre 1613. Durch diese Bestimmung wird die Abfassung der Chronik nicht so spät verlegt.

7. Die auf dem Deckel stehende Jahreszabl 1614 rührt sicherlich vom Buchbinder hr.

IIL Kapitel. Quellen der Saladinschen Chronik. 8 45.

Charakteristik der Strassburger chronikartigen Geschichtsschreibung zu Beginn des 17. Jahrhunderts.

Hinter der von ganz Deutschland bewunderten starken Umwallung, von der herab das berühmte Strassburger Geschütz jedem, der die Ruhe der Stadt feindlich bedrohte, trutzig entgegenstarrle, sass um die Wende des 16. Jahrhunderts der Strassburger Bürger in behag- licher Wohlhabenheit, die er sich durch seinen Gewerbefleiss und durch den Handel erworben hatte.

In dieser politischen und materiellen Sorglosigkeit grilf er, nachdem er in der Chronik des Strassburger Kanonikers Jakob Twinger von Königshofen und deren Fortsetzungen Muster und Vorlage gefunden hatte, zur Feder, um seiner Familie und deren Nachkommenschaft die Begebenheiten in seiner geliebten und berühmten Vaterstadt aus alter und neuer Zeit in Form einer Chronik zu erzählen.

Keiner dieser Ghronikschreiber dachte wenigstens zunächst nicht daran, sein Manuskript durch den Druck zur allgemeinen Kenntnis zu bringen. Keinem von allen aber auch kam zum Bewusstsein, das die verherrlichte Vaterstadt zu Beginn des 17. Jahrhunderts bereits den Höhepunkt ihres Glanzes erreicht, ja fast überschritten hatte, wäre doch beinahe schon damals die stolze Feste dem stürmischen Werben des französischen Liebhabers zum Opfer gefallen.

Eine solche Strassburger Chronik zu schreiben machte man sich ziemlich leicht; man lieh vom Nachbar, Freund oder Verwandten dessen bereits mit Fortsetzungen versehene Handschrift der Königshofener Chronik und schrieb sie ab. Wo das Interesse an Strassburger Ge- schichte etwas stärker war, borgte man sich mehrere Handschriften zusammen, schrieb aus diesen eine grössere für sich aus und ergänzte sie durch die Erzählung und Schilderung des Selbsterlebten und Selbst- geschauten. Einen recht interessanten Einblick in diese Art der Ent- stehung einer Strassburger Chronik zu Beginn des 17. Jahrhunderts gewährt uns die versificierte Vorrede des Strassburger Buchbinders

170

die Edelsassische Chronik des Bernhart Hertzog, die 1592 zu Strassburg im Druck erschienen war, und wünschte sich daraus einen Auszug, der nur Strassburger Geschichte berücksichtigte. Da liess eines Tages eio Stifisherr aus fürstlichem Geblüte bei ihm eine Handschrift einbinden, die das Gewünschte enthielt. Leider konnte er aber wegen der Kürze der ihm zur Verfügung gestellten Zeit das Buch nicht durchlesen, und er klagte seinen Schmerz darüber einige Wochen später einem Freunde, der ihm zu seiner grössten Freude ein ähnliches von ihm gefertigtes Buch zur Abschrift leihen konnte. Später erhielt er noch 6 andere Handschriften, in denen er manches fand, was seine Chronik noch nicht enthiel. Das ganze brachte er in eine chronologische Ordnung. Darauf gab er es dem Magister Oseas Schad, der damals Pfarrer in Düttlenheim war, zum Durchlesen, verlieh es sodann an mehrere andere Leute zum Abschreiben und es hielt ihm häufig recht schwer sein Manuskript von den Kopisten wieder zu erhalten.

Auf diese oder ähnliche Weise sind zu Beginn des 17. Jahrhunderts in Strassburg sicherlich eine grosse Menge von Lokalchroniken ent- standen, die die Bestimmung halten, sich in der Familie des Verfassers weiter zu vererben und von ihr furtgeselzt zu werden. Eine Anzahl davon mag später der Bibliothek einverleibt worden und mit ihr 1870 zu Gruude gegangen sein Erhalten sind uns von jener Zeil neben anderen weniger wertvollen, vielfach anonsmen Handschriften’ die sor. Imlinsche Familienchronik’, die Chronik des Joh. Heinrich Gambs‘, das Chronikfragment des Rutzerbers Adam Schertz‘, die Städelsche Chronik‘. die Chronik Michel Kleinlawels, die Barthsldisch: Chronik’, sowie 2 anonyme Chroniken der Münchener Hof- und Suats-

m Den ——_—_—__—————_—————."————…—“T— a << ce __—

Neist Jiusrnat vos K. Ketss De Scriptoril .s. . So z.raaut von heuss. der ciren Teh daras veroffentlichte + Stassbürs L. *6. Jabrhs Colmar .s7: Sonderadlruck aus Asatia 3757. S 3—iie. Das bein let sich auf der Str. U. Ei.

à. Unver fentlichtes N. :3 ‘er Str. St BibL

>. Ei#ns0.

6. M ia der Sir. St Bil. telweisc versfeostlicht vou Heinrich Nea im Jo:r 4 s'Asses Lorraine INS. Nr SE

. Kern. Es sul dur. wiize Naron koi: -swe.s ler Verfasser gésernzcicEret se.

sinionz elirit Me Fen--aucs wisiergecelez wericc. die diese Harislnies ©

fur, DIET thgasaatal Jer, Pole. in er wir Lech, art dis Hazlschriti.nversloichäzl

JET LIT I IL A ec. ie dites bh or. Rie jezrunlen Nes LT - "

2. ie om m, : - wm. CDS „on. DBoäaflnü “42

A71 bibliothek*. Die , zweiffellos wichtigste und wertvollste aller dieser Chroniken ist die Saladinsche.

Wichtige politische Geheimaktionen werden wir vergebens in diesen städtischen Familienchroniken suchen. Von der Regierungspolitik der kleinen Republik wissen diese Chronisten nur soviel als ein friedlicher und ehrsamer Bürger wissen konnte und ohne Schaden der Regierung wissen durfte. Der Wert dieser Chroniken liegt vielmehr auf dem Ge- biete der Kulturgeschichte, der ja die neuere Geschichtsforschung mit Recht ihre besondere Aufmerksamkeit schenkt. Aus keiner anderen Quelle können wir uns aber besser über die sittlichen und sozialen Zustände einer Stadt unterrichten, keine malt uns getreuer das Spiegel- bild des früheren Lebens und Treibens, keine lässt uns wahrer die Stimmung der Bevölkerung, des einfachen wie des gebildeten Mannes erkennen, keine klärt uns besser auf über den Geist, der die Bewohner der Stadt beseelte und ihre Handlungen besiimmte, wenn nicht eine solche Chronik, die im Kreise der Familie entstanden, nicht zu fürchten brauchte, von der «fürsichtigen» und strengen Obrigkeit mit Beschlag belegt zu werden”. Vielfach enthalten diese Chroniken Notizen, die den Berichten unserer heutigen Sonntagsblätter über Stadt und Um- gegend ähnlich sind. Deshalb hat man auch die Chroniken Zeitungen früherer Zeit genannt, gewiss nicht mit Unrecht. Denn wie Historiker späterer Zeiten sich in vielen Dingen unserer heutigen Zeitungen als Geschichtsquellen bedienen werden, so ja in noch weit höherem Grade, da andere (Quellen häufig fehlen müssen wir diese Ghroniken als wichtige Quellen zur Kulturgeschichte älterer Zeit be- zeichnen.

Die Feststellung des Verhältnisses der zu Beginn des 17. Jahr- hunderts geschriebenen Chroniken, Chronikfragmente und chronikartigen Aufzeichnungen über Strassburger Geschichte zueinander und zu anderen Quellen ist eine sehr schwierige Aufgabe, die einer eigenen Unter- suchung wohl wert wäre. Zu Resultaten zu gelangen, die in jeder Weise unanfechtbar gesichert sind, das grenzt sehr hart an die Un- möglichkeit. Die Zahl der Handschriften ist zweifellos sehr gross

8. Codices germ. 956 und 1219, noch unveröffentlicht, doch nur Cod. 956 enthält bisher Unbekanntes; vergl. Meisren, Der Strassburger Kapitelstreit.

9. Vergl. auch A. Reuss, Kleine Strassburger Chronik 1424—1615, Strassburg 1899, VIHL—IX. Mit der dort gegebenen Charakteristik der chronikartigen Geschichts- schreibung in Strassburg sind wir vollständig einverstandun.

172

gewesen; leider befinden sich diese Familienchroniken teils im Besitze uns unbekaunter Familien, oder sind soustwie verschollen oder ver- loren. In der Beschiessung Strassburgs 1870 gingen sicherlich auch eine Anzahl Familienchroniken zugrunde. Bei den immerhin recht zahlreichen Handschriften, die reger Sammeleifer in Strassburgs Mauern wieder der wissenschaftlichen Forschung zugänglich gemacht hat, fehlen uns somit manche Binde- und Mittelglieder.

Ja wir können nicht einmal bei den uns bekannten Handschriften mit Sicherheit sagen, die eine ist früher, die andere später geschrieben; die eine ist in dieser oder jener Nachricht Original, die andere ist Kopie, da sie meist wörtlich übereinstimmen. Auch tragen sie kein Datum der Niederschrift, so dass wir nach ihrem zeitlichen Verhältnis auch ihr inneres Abhängigkeitsverhältnis beurteilen könnten. Die Saladin- sche Chronik ist die einzige, die ein bestimmtes Datum auf dem Titel- blatt trägt, und gerade hier mussten wir nachweisen, dass es in gewisser Weise gefälscht war. Die Anonymität der Handschriften ist ebenfalls ein erschwerendes Moment. Aus paläographischen Gründen eine Handschrift früher oder später anzusetzen ist bei der kurzen Spanne Zeit zwischen ihnen nicht möglich. Gangbar scheint uns schliess- lich nur der Weg, diese Chroniken in die chronologische Reihenfolge einzuordnen, die die letzten Jahre ihrer Berichterstattung vorzeichnet Aber selbst hierdurch sind wir vor schweren Missgriffen keinesfalls gesichert.

Wollten wir also eine kritische Vergleichung sämtlicher Strassburger Chroniken nach Königshofen zueinander wie wir gerne möchten hier vorausschicken, so wäre eine besondere weit ausholende Forschung nölig, um nicht auf dem schlüpfrigen Grunde der Hypothesen unser Gebäude zu errichten, das uns leicht noch während des Baues einstürzen könnte. Musste doch selbst R. Reuss, sicherlich der Berufenste hierin, nach 30 jähriger Beschäftigung mit der strassburgisch-elsässischen Ge- schichte bekennen, dass er es nicht wage, das Verhältnis dieser Chro- niken zueinander festzulegen".

Es soll also im folgenden nur unsere Aufgabe sein, das Verhältnis der Saladinschen Chronik zu verwandten Quellenpublikationen über Strassburger Geschichte und zu ihren cigenen direkten Quellen zu bestimmen.

10. De Scriploribus rer. Alsatic. historicis, p. 53.

173 $ 16. Verhältnis der Saladinschen Chronik zu verwandten Quellen- publikationen. A. Zu Königshofen.

Auf die Publikationen der lateinisch geschriebenen Quellen, deren Abfassung vor der Niederschrift der Chronik des Jacob Twinger von Königshofen liegt, brauchen wir hier nicht näher einzugehen. Einmal sind sie keineswegs direkte Quellen der Saladinschen Chronik gewesen, dann aber lassen sich auch enge verwandtschaftliche Beziehungen zwischen ihnen und unserer Chronik nicht herstellen.

Auch von der deutschen Chronik Closeners ist die Saladinsche keines- falls direkt abhängig, wie das an verschiedenen Stellen recht deutlich wird‘, Auch gab es nur eine Handschrift der Closener-Chronik, die aber zu Saladins Zeit von denen der Königshofer Chronik vollständig in den Hintergrund gedrängt worden war, und sich überdies wahr- scheinlich schon damals nicht mehr in Strassburg befand; sie tauchte erst 1820 in Linz wieder auf“. Dazu ist ferner Closeners Chronik so wenig verändert in die Königshofens übergegangen, so dass ein neuer Standpunkt für die Beurteilung der Saladinschen Chronik aus einer Vergleichung mit Closener schon voraussichtlich nicht zu gewinnen war. Closener scheidet also für unsere Betrachtung ebenso aus wie alle vorherigen Chronikschreiber.

Bei dem grossen Einfluss, welchen die deutsche Chronik? Jacob Twingers von Königshofen nicht nur auf die strassburgisch-elsässische

1. So z. B. lautet eine Stelle bei Closener (78): «nu was ein schulteide zu Kolmar der hies Johannes, und waz der gar wol gefrünt » (Closener ed. Hegel, 5. 78, 2, 25—26) bei Königshofen: “nu was ein schultheisse zu Kolmer genant Johans, wol gefründet, » (Hegel 656, Z. 1—2.) bei Saladin: “nun war ein schultheiß daselbst, genant Johan Wohlgefreundt,» (M. 39»), Hier ist ein Zurückgehen auf Ciosener vollständig ausgeschlossen, doch ein solches auf Königshofen sicher, 2. Vergl. Carl Heset, Die Chroniken der deutschen Städte, NU. Leipzig 1870, Fritsche Gloseners Chronik 1362, S. 10 f. 3. Die lateinische Chronik Königshofens, nur in dürftigen Fragmenten erhalten (herausgeg. von L. Dacueux, Fragments des anciennes Chroniques d'Alsace, Stras- bourg 1901, p. 1—20) hat keinen Einfluss auf die Saladiasche Chronik ausgeübt.

174

Historiographie, sondern auch auf die anderer Gebiete ausübte, wäre es sehr zu verwundern, wenn nicht innige Beziehungen der Saladinschen Chronik zu Königsbofen obwalteten. (Ob diese Beziehungen direkt oder indirekt sind, lassen wir zunächst unentschieden.) Und in der Tat, schon ein flüchüger Blick in den ersten Teil der Saladinschen Chronik zeigt uns ein gelreues Spiegelbild des Königshofer Berichtes. Eine genauere Vergleichung beweist, dass wir uns nicht getäuscht haben Fast alles, was wir bei Königshofen lesen, finden wir sach- und form getreu in der Saladinschen Chronik wieder‘. Kleinere Abweichungen, wi: orthographische Änderungen der Eigennamen, Abweichungen im Aos- druck, die sich durch die Weiterentwickelung der Sprache innerhalb zweier Jahrhunderte erklären’, Ausiassungen von Worten und Sätzen, die willkürliche Kürzungen darstellen, Veränderung von Zahlen, die auf Lesefehler zurückzuführen sind‘, sowie Missverständnisse des Kômgs- hofer Textes’ fallen selbstverständlich ausser Betracht.

Das nahe Verwandtschafis- und Abhängigkeitsverbältnis der Saladın- schen Chronik zu der Königshoiens darzuton, lassen wir hier einige Parallelstellen aus verschiedenen Kapiteln Königshofens und aus ver- schiedenen Zeiten folgen.,

Königshofen. Saladın.

«Dise künigin Samyramıs was Auch so war sie so unkensch,

auch als: unküsche, das sie iren das sie Ihren Sohn woltte zur Ehe

sun Treteta wol'e twinsen das er nehmen wmndi zwingen, das er ber

bi ır slieie.» 235. Hegel à 233. ibr lt schlafen. [ra si om a GI eZ las Zain a cal liıien he Li sch sraremasz ir Verdi Se SLLI INT Z Dr ms gl zit der vis Sblter Di Bars, sidamez IT a ILES NT: Lin 7 8_rle 2 dr Yissniaber misst 2.1 7.7 DINIRIDNITAT 21 MIT 8 712 Ir Te imirFr Sr = ns. Li LI AI IE: TIL IS = 5.7 E77 „II Sim LET. ALP L wit Die « Macs o nl. 022 Ze MALI IL = ISERE 5 Ati 11120 wrie Sal. Mi _- ST ESS 7 SL = SU TI LAS ie m TITI 2 Lese les VIOL ET Si Li €’! te L 3:08. 8 "II L : Arie „Iwarı ir su 12 fais bris Zen zıriranı rm 2 a! 2a SL. Di 27. TL a TI à - „In 2:1.» SLSLI2 X =. > > _ T 2. ue: Vi:

175

«Ze iungest wolte die künigin Semyramis nüt enbern, ir sun Tre- bela muste bi ir sloffen. Do floch er von ir und sahs in ein gros schif uf das mer, und kam zu jüngest, also es got wolte, da der Ryn in das mer flühsset, und do fur er den Ryn uf und kam uf die Musele und uf das velt do nu Triere ist. Do gefiel ime die gegene wol, wan gar schöne und lustliche was von welden, weiden und süsseme wasser und mit schönen hohen bergen umb- griffen, also werent cs muren. Do ging er us dem schiffe und ....» (ed. Hegel, S. 698 u. 699)

Die Übereinstimmung ist evident,

keineswegs von ihm wolt lassen, Ihren bösen lust zu verbringen da flohe er in ein schiff vnndt

kam zu Jüngst, als es Gott wolt, das das Wasser die Mußel in das Meer fleußt, da fuhr er auß dem meer die musel auf vnndt kam auf das feldt, da nun Trier ist, da ge- fiel ihm die gegendt wohl, dan sie gar schön vnndt lustig was, von wälden, Weiden vnndt fließenden Wasser vnndt mit schönen hohen- bergen vmbgriffen, als mit mawren, da gieng er aus dem Schieff vnudt ...»

(M. 40)

zumal hier Formen, die zu Saladins

Zeit nicht mehr gebräuchlich waren, übernommen sind, wie was = war,

Wälden = Wälder.

Es mag hier noch eine, die zeitlich letzte, vollständig übereinstim- mende Parallelstelle angeführt werden:

Königshofen.

«und vil andere stücke unde artickel wurdent beret und gesworn von herren und stetten zu haltende in disem lantfriden, also die briefe seitent die darüber gemaht wurdent. Doch weis got wol, wie es gehalten wart.» (ed. Ilegel, 854.)

1389.

Saladin.

evndl viellandere stuck vndt artickel wurden geredt vndt geschworen von herren vndt stetten zu halten in diesen landtfrieden, wie die brief so darvmb gemacht sein, außweisen. Gott weiß, wie es gehalten wardt.» (M. 123— 124.)

Diese Nebeneinanderstellungen sind willkürlich herausgegriffen, nur

als Beispiele der Abhängigkeit. In Wirklichkeit liesse sich beinahe die

ganze Chronik Königshofens auf die gleiche Weise neben die Saladinsche

stellen. Es ist also ganz unzweifelhaft, dass ein recht enges Abhängigkeits-

verhältnis der Saladinschen Chronik zu der Königshofener vorliegt. Schwieriger ist die Frage zu entscheiden, welcher Relation der

Königshofener Chronik die Saladinsche folgte. Eine Vergleichung zeigt,

dass Relation C, die Königshofen zuletzt geschrieben hat, zunächst nicht B. XXI. (M.) 12

176

in Betracht kommt. Denn in dieser trug Jacob Twinger später, als er Kanonikus von S. Thomas geworden war, von SL Arbogast nach: «und sin houbet gap sant Florencie den brüdern zu sant Thoman» (631).

Dieser Nachtrag fehlt bei Saladin.

Noch deutlicher zeigen dies folgende Parallelstellen:

Königshofen:

Rel. C. cerschlugent vil sinre Diener.» (821).

Rel. A—B. «erschlugent vil sinre rilter und knechte.»

Königsh. Rel. A—B.

«und machte das closter so riche das es zu eime bistum wart und allewegen in demselben closter ein bischof waz und ein appet und vil prelaten» (ed. Hegel, 638).

Saladın:

cerschlugen viell seiner rilter

vnd knechte.» (M 66b) Saladın:

«und machte das kloster also reich, das es zu einem Bistumb wardi, vndtallewegen in demselben Kloster ein Bischoff vnndt ein Abt vudt viel Prälaten waren» (M, 21.)

Ilier weicht Relation C. ganz erheblich ab, sie lautet nämlich: «und Theodricus der künig von Frangrich satle einen appet in dasselbe closter: der schreip sich etwenne appet etwenne bischof, und hies Tubanus von Schottenlant, und schreip sich etwenne appet und bischof mittenander » (ed. Hegel, 638). Auch der folgende Abschnitt Königshofens: «der erste bischof und appet zu Ilonowe» (639) steht nicht in Relation A—B, sondern nur in Relation C. Saladin bringt diesen Abschnitt nicht, er fährt vielmehr mit Relation A—-B fort: «Sus worent hie zwei bistum, eis zu Strosburg hic dissit Rynes, das ander zu Honowe ginesit Rynes».

Relation A u. B stimmen fast immer überein, sodass es nicht ganz leicht ist zu sehen, welcher von diesen beiden Saladın gefolgt ist. Doch scheint die Relation A diesen Vorzug gehabt zu haben, wie folgende Stelle zeigen möge.

Kônigshofen : Saladın:

el. CG. «zum ersten so hetlent [Geibler] gar kosper vanen uf 8 oder 10 von semyt und sydın» (ed Ilegel, 765.)

Rel. A. «vanen von samitluchern Die hatten gar kostliche fahnen

und von baldecken uf zehen oder acht vanen.» Rel. B. «von baldecken uf zehen.»

von samelttuechern vnndt von Bal- deckern wohl 8 oder 10 falınen. (M. 63)

177

Diese Beispiele beweisen, dass Relation C zunächst nicht in Betracht kommt. Aber schon bei dem 34. Bischofe Baltram (+ um 905) geht Saladins Bericht zweifellos auf Relation G zurück. Saladin nennt, über- einstimmend mit Rel. C. Baltram einen Bayer. In den Relationen A und B dagegen hatte Kônigshofen das lateinische «Noricus» übersetzt «von Norwege»*. Deutlicher dürfe noch folgende Nebeneinanderstellung ein Zurückgehen auf Relation C. beweisen:

Königslı. Rel. C.

«Er besserte und machte ouch diemuren vmb Mollesheim,Mutziche, Schirmecke, Dachenstein, Dambach, Benfelt zum heilgen crüze, Mar- koltzheim und Oberkirche.» Dazu fügte eine spätere Hand: ginsit Rines (667) jenseit des Reins» (48b).

Dieser Satz findet sich nicht in Relation A—B. Ilier ist sogar der Nachtrag einer späteren Hand in Rel. C in die Saladinsche Chronik übergegangen. Die Beispiele liessen sich noch mehren. Ein Zurück- gchen auf die Handschrift B ist erst gegen Ende klar nachweisbar, sodass zuletzt alle 3 Relationen auf die Saladinsche Chronik ihren Einfluss geltend gemacht haben. Wahrscheinlich ist Rel. B schon früher benutzt, aber der Nachweis dafür ist wegen ihrer Übereinstimmung mit A nicht wohl zu erbringen. Ein Beispiel, das auf ein Zurückgehen auf Rel. B schliessen lässt, sei hier angeführt.

Sal. «Er besserte und machte auch die mawren vmb Moltzheim, Mutzig, Schirmeck, Dachstein, Dambach,

Benfeldt zum heiligen Kreutz vndt Oberkirch

Königshofen Rel. B.

«also vor, und wart cin schade glich dem andern ufgeben und wurdent alle gefangen zu beiden siten lidig gelassen und wurdent do vier lantfriden gesworn.» (el. Hegel, 853).

In Relation A und C heisst die Stelle: «also vor.

vier lantfriden gesworn».

Saladın.

ewie vor, vndt wardt ein schadt gleich dem andern aufzehoben, auch alle gefangenen ledig gelassen vnndt wurden da vier landifrie- den gemacht vnndt geschworen.» (M, 123b,) Ouch wurdent do

Dass Saladins Bericht am Schlusse auf alle 3 Relationen der Königs- hofener Chronik zurückgelit, sehen wir an verschiedenen Beispielen,

ee nn mn

6. Vergl. Die Chroniken der deutschen Städte, IX, S. 613, z. 1% Anm. und daselbst

Anm. 4.

178

da wo Saladin nach einer Relation wiederholt, was er schon nach einer anderen berichtet hat, z. B.

Der Satz Saladins (122) «dessen die von Straßburg und ElsaG sehr erschracken, das die feindt also acht tage herrscheten» steht bloss in Rel. A u. B, nicht in C. Saladin beginnt den folgenden Abschnitt mit dem Satze: «Da die feindt also 8 Tage herrscheten», den er nur in C, nicht in A u. B fand.

Relation B ist gegen ihr Ende von Saladin stark bevorzugt, wie viele Beispiele zeigen. Auch Relation A erhält noch vielfach den Vorzug vor GC, bis mit dem Jahre 1390 beide Relationen A und B durch ihr Aufhören ausser Betracht fallen. Aber auch Relation C ist von hier ab für Saladin nicht mehr so reine Vorlage, wie es die Königshofer Chronik bis 1390 gewesen war.

Sachliche Übereinstimmung herrscht gewiss noch vielfach bei den folgenden Abschnitten. Aber der Wortlaut ändert sich häufig sehr beträchtlich z. B.

Königshofen:

«Darüber und über die urteil und auch über daz in kein fürgebot noch ladunge nie geschah, so det su derselbe Wiskle in des kuniges uhte in der stat Burgalis in Behem noch gotz gebürte 1390 jor, do nien doch die uf dem Ryne niergent anderswo ehten sol denne uf frenkeschem ertriche, also etliche sprechert.» ‘ed. Hegel, 682).

Saladin :

«Als nun die statt Straßburg in die ach erklärt wurdt meineten ettliche die reinischen stätte kündteu nirgends als auff fränkischen boden in die ach erkannt werden. . . . M, 125).

Dazu kommt, dass Saladin hier und da die Tatsachen anders darstelit als Königshofen, manches berichtet Saladin, was er in Königshofen uicht finden konnte, zahlreiche Namen lesen wir bei Saladin, die wir vergebens in Konigshofens Chronik suchen. Zur Erläuterung mögen folgend: kurze Beispiele angeführt werden.

Saladın:

In diesen 1391 jahr . . kalımen des königs rälh Herr Lamprecht von Biran bischoff zu Babenberg

. (M, 1206).

Königshofen:

«noch golz gebürte 1591 jor, des küniges rete her Lampretht Lischof zu Bobenberz, . . .3 (ed. Hegel, L83.

179

sherzog Ruprecht von Peyern der eilter und vil ander herren, » .... (683).

«grove Eberhart von Wurten- berg, juncher Johans von Liehten- berg» (684).

cherzog Rudolph von Bayern mit dem eltern Pfaltzgrafbei Rein und viell andere fürsten und herren » (126).

«graf Eberhardt von Würten- berg: Graff Sigmundt Gutten- becker von Bitsch, graf Haneman von Bitsch, graf

Philip von Nassau, herr Hein- rich von Lichtenberg» (126).

Aber nicht nur Namen, sondern auch Tatsachen berichtet Saladın mehr als Königshofen, z. B. fehlt in Königshofen der Saladinsche Satz:

«Da doch der feindt nicht anders meinete dan die bruck zu gewinnen, vndt nahmen, was darauf war vndt hatlen schon nächleins inwendig der Steinbrucken bestellt . . . (132).

Da sich diese Abweichungen und Zusätze von 1390 ab ständig zeigen und mehren, so ist sicher, dass von hier aus Saladin nicht mehr aus- schliesslich auf Königshofen fusst; ja es ist sogar anzunehmen, dass von 4390 ab Königshofen keinesfalls direkte Quelle Saladins gewesen ist. Wir werden sehen, dass wir sogar noch einen Schritt weiter gehen müssen.

Es finden sich nämlich auch Abweichungen zwischen Saladin und Königshofen in Partien, die vor 1390 liegen. Klaffend ist dieser Unter- schied in der Bischofsreihe vor allem der ersten Bischöfe bis zum neununddreissigsten (bezw. 38.) Ruthart (+ 950).

Kaum die Namen der Bischöfe stimmen überein, ihre Regierungs- zahlen, die bei Saladin sogar der erste Bischof besitzt, fehlen bei Königshofen oder weichen erheblich ab, z. B.

Königshofen: Saladın: 1. Amandus, 4. Amandus, T 640 2. Justus, | 9. Arbogast, 608 3. Maximinus, 3. Rodert, 663 4. Valentinus, A. Florenz, 675 5. Solarius, 5. Ansoaldt, 680 6. Arbogast, 668 6. Justus, 682 7. Florenz, 7. Maximinus, 688 8 Ansoaldus, 8. Valentinus, 691 9. Byulfus, 9. Solarius, 694

4180 Die Abweichungen sind manchmal noch stärker.

Auch da, wo die Schilderung über die Bischöfe ausführlicher wird, weicht Saladin wesentlich von Königshofen ab, z. B.

Königshofen: Saladin: «Brune wart bischof gemacht an «Bruno wardt in gemelten 1123 des vordern Cunen statt und was jahr zum bischoff erwellt, er war ein guter seliger man.» (646). ein goltsehliger man, gleichwohl

wardt er von kayser Lothario ver- trieben, jedoch auß furbitt der keyserin wiederumb in das bistumb gesetzt, wie lang er aber regieret vondt wan er gestorben findet man nicht eigendtlich geschrieben» (30).

Manchmal fehlt bei Königshofen die Jahreszahl, die wir bei Saladın finden. z. B.

Königshofen: Saladin. «Do men zalte noch gotz geburte «Als man zahlte 1245 wardı do wart das Ruwerincloster das kloster zum NRauwern aub- gestiftet und gemacht.» (741.) wendig der statt zum wasseneck

gestiffi vndt gebawen» (36.)

Dass die stoffliche Gruppierung der Königshofer Chronik bei Saladın in die chronvlogische Fulge umgewandelt ist, wurde bereits oben erwähnt.

Fügen wir noch hinzu, dass Saladin das Verzeichnis der Ammeister und ihre Wappen, die Namen der Städtemeister, den Schwörbrief von 1349, sowie einzelne Berichte über städtische Ereignisse nicht be Kôniyshofen finden konnte, so ergeben sich für uns nur zwei Mözlich- keiten. Entweder hat Saladin neben der Kônigshofer Chronik noch eine andere Quelle benutzt, oder Königshofen war seine direkte Quelle über- haupt nicht. Erstere Möglichkeit wird sich später von selbst widerlegen. ;s ist also sicher, dass der Saladinschen Chronik keine der Hand- schriften der Chronik des Jacob Twinger von Königshofen selbst vor- gelegen hat. Wir werden sehen, dass dieser Schluss seine Richtigkeit hat.

B. Verhältnis der Saladinschen Chronik zu Fortsetzungen Koenigshofens.

Bei der folgenden Untersuchung können wir uns wesentlich kürzer fassen, wird doch manches bei der Publikation des Textes der Saladin- schen Chronik seinen kürzeren Ausdruck finden. Bemerken müssen wir zu Beginn dieses Abschnittes noch, dass die Vorarbeit für ein

_ 18

Zurückführen der Saladinschen Chronik auf ihre primären Quellen, soweit sie nach Königshofen liegen, bisher noch ungelan ist. Die Fort- setzungen der Königshofer Chronik wurden bei ihrer Publikation fast nie oder nur oberflächlich auf ihre Quellen untersucht; es öffnet sich also hier dem elsässischen Geschichtsforscher ein Arbeitsgebiet, das ein ebenso interessantes, wie schwieriges Thema darstellt. Hier kann jedoch unsere Aufgabe nur darin bestehen, zu untersuchen, ob und in welcher Weise die Saladinsche Chronik von den publizierten Fortsetzungen Königshofens beeinflusst ist und inwieweit eine Publikation der Sala- dinschen Chronik überflüssig wird. 1. Das Verhältnis zu Joh. Jakob Meyer.

Das Verhältnis zu Joh. Jakob Meyer, von dem ja nur eine bruch- stückweise Kopie uns erhalten und publiziert ist', scheint auf den ersten Blick ziemlich eng zu sein, wie folgende Beispiele zeigen:

Meyer (47). Saladin (17).

«Sant Arbogast was der ander «S. Arbogast, der was der ander bischoff und was von Aquitania Bischoff zu Straßburg, vnndt was und kame in grosse hulde und von Aquitania, vndt kam in große heimlichkeit mit dem könige Da- huldt vnndt heimlichkeit mit den gobrecht, daß der könige mit vorgenanten König Dagoberto, das grosser freude begerte mit Sant der König mit grossen frewden Arbogast vil zu reden und zu begert, das er mit S. Arbogast offt sprechen und seinen wisen rhat zu möchle reden vndt sprechen vandi haben.» seinen weisen rath haben.»

Meyer (13). Saladin (237).

«Do man zalte MCCCCLXVIIT iore do wurdent die brücken die vor- mals hiessent die bedeckten bruck- hen mit den schwibogen zinnen und geweren als sie nu seit, an- ssefangen, und vollbracht in dem iore MCCCCLXKX.»

eln diesen 1468 jar wurden die brucken, so vor auch die gedeckten brucken geheissen, mit den schwiebogen, zinnen vndt gewehren wie sie iclzt sindt angefangen zu bauen vndt im jar 1470 voll- bracht.»

Auch hier zeigt sich Anlehnung sogar bis auf altertümliche Formen. Die kurzen lateinischen Stellen der Meyerschen Chronik werden selten, aber doch manchinal von Saladin übersetzt übernommen, wie wir an folgendem Beispiele sehen:

m nn mm

1. Herausgegeben von R. Reuss, La Chronique Strasbourgeoise de Jean-Jaques Meyer, Strasbourg, 1873.

182

Meyer (32).

«Bruno kam an des vordern bischofls statt unnd was ein golt- seliger mann, stunde dem bistumb wol vor, aber wilt lang das findet man nit geschrieben.

Eiectus est ab episcopatu ab Imp. Lothario cui summe invisus erat; reconciliatus tamen postea inter- cedentibus imperatricis precibus ac

Saladin (30b). «Bruno wardt . . zum bischoff erwehlt,

er war ein gottsehliger man, gleichwohl wardt er von kayser Lothario vertrieben, jedoch aub fürbitt der kayserin wiederumb in das bistumb gesetzt, wie lang er aber regieret .., findet man nicht eigentlich geschrieben.»

pristinae dignitati restilutus.»

Diese Übereinstimmungen finden aber nicht ständig statt. Zahlreiche, bald kleinere, bald grössere Abweichungen lassen sich nachweisen. Die stoffliche Anordnung Königshofens, von dem ja Meyer abhängig ist, ist noch nicht in die chronologische Reihenfolge Saladins übergegangen. Zwar nähert sich die Saladinsche Bischofsreihe, die, wie wir oben sahen, von Königshofen so stark abwich, bis auf kleine Unterschiede in den Jahrzahlen der Meyerschen Reihe, aber bei der Erzählung über die Bischöfe ist Saladin durchweg reicher. Auch viele andere Tatsachen berichtet Meyer wesentlich kürzer als Saladin, und recht zahlreiche Ereignisse der Saladinschen Chronik sind bei Meyer nicht erwähnt. Insofern können wir Teile der ja nicht vollständig erhaltenen Chronik Meyers durch partielle Veröffentlichung der Saladinschen Chronik wiederherstellen.

Dass Saladin die Meyersche Chronik nicht als seine direkte Vorlage benutzt hat, zeigt sich neben den oben angeführten Abweichungen uni Unterschieden, dass Meyer den Bischof Baldram, nach den Relationen A und B der Königshofer Chronik, von Norwegen stammen lässt, den Saladın übereinstimmend mit Relation G einen Bayer nennt. Es soll hiermit nicht gesagt sein, dass Meyer nur von einer Königshofer Rela- tion A oder B abhängig ist, können wir doch unzweifelhaft nachweisen, dass er sich auch der Relation GC bediente, was hier Jedoch nicht unsere Aufgabe ist.

9. Das Verhältnis zur Imlinschen Chronik.

Schon auf den ersten Blick zeigen sich längere wörtliche Überein- stimmungen zwischen dem publizierten Teile der sog. Imlinschen Familienchronik und der Saladinschen. Ein Beispiel mag die Art ihrer Übereinstimmung veranschaulichen.

183

Imlin (76/77).

«Anno 68 den 2 juni ist hertzog Johann Casimirus in der Wider- kunft auß Frankreich zu Straßburg eingeritten, lag in herrn Villigers hauß bey jungen S. Petter,

Da war der vertrag gemacht zwischen dem König von Franck- reich und Printz von Condé, und am samstag ritt er mit dem printz von Uranien, der vom König in Hispanien vertriben, wider der statt.»

Saladin (426b— 4927).

«Den 2 Junii dieses 1568 Jahrs ist herzog Johan Casimirus in der wiederkunfft ausz Franckreich zu Straßburg eingeritten, er lag in herr Villingers hauß bei dem Jungen S. Peter,

Da wart der Vertrag gemacht, zwischenn dem Konnig in Frannckh- reich vnnd Printzen von Conde vnndt am Sambstag rill er mit dem Printzen von Vranien wiede- rvmb auß der Statt.

So hat die Saladinsche Chronik den publizierten Teil der Imlinschen

Chronik bis zum Jahre 1584 in sich aufgenommen; was nach 1584 liegt (zwei Nachrichten aus 1587 ausgenommen), ging nicht in Saladins Chronik über. Auch sonst ist hie und da von Saladin eine Nachricht ausgelassen, hie und da etwas geändert worden. So heissen zum Beispiel bei Saladin die Zünfte: «Mörin, enker, freyburger», die bei Imlin «Salzmitter, schiffleut, weinleutt» genannt werden. Ein anderes Beispiel: Imlin (82).

«Den 28 brachmonat halt sich Reichshart Rebstock fraw selber gehenckt.»

Saladin (432).

«In diesen 1569 Jahr hatt sich Reichhardt Rebstocks wittwe ein Krempin am fischmarkt hinnder die Stuben thür an die handizwehl gehenckt, wardt doch von einer nachbawrin, so auch ein Krempin war, abgeschnitten, das sie noch athmete, Starb aber doch.»

Dieses Beispiel zeigt vor allem auch, worin der grosse Unterschied besteht. Die Saladinsche Chronik ist bedeutend reichhaltiger, nicht nur in der Detailschilderung einzelner Begebenheiten, sondern auch in der Anzahl der berichteten Tatsachen. Wir haben auf die Imlinsche Chronik noch bei den direkten Quellen der Saladinschen Chronik Bezug zu nehmen.

_ 184

3. Verhältnis zu den übrigen publizierten Fortsetzungen Königshofens. |

Alle übrigen bisher publizierten Fortselzungen Königshofens, wie Bühler’, Specklin*, die kleine Strassburger Chronik*, die kleine Münster- chronik*, sowie die Fragmente Strassburger Chroniken‘, kommen als direkte Quellen Saladins keineswegs in Betracht. Ja es lassen sich nicht einmal engere verwandischaflliche Beziehungen, wie wir sie bei Meyer und Imlin nachweisen konuten, herstellen. Auch die bisher veröffent- lichten beiden Relationen des bischöflichen Krieges (1592—93) haben auf Saladins weit ausführlicheren Bericht keinen Einfluss ausgeübt. Wo kleinere Übereinstimmungen hervortreten, ist die Tatsache, nicht die Entlehnung der Grund dazu.

Immerhin dürften jedoch manche Berichte über städtische Begeben- heiten deshalb, weil sie uns schon sachgetreu aus diesen Fortsetzungen Königshofens bekannt sind, bei unserer Publikation der Saladinschen Chronik ausgelassen werden können.

C. Verhältnis zur Edelsassischen Chronik Bernhart Hertzogs.

Bernhart Hertzog hat in seiner Chronik zuerst von allen Chronjsten wenn wir die Fasti consulares des Joh. Jacob Meyer hier abrechnen an der Spitze eines jeden Jahres die Namen der vier «Stättemeister» Strassburgs und den Namen des Ammeisters nebst dessen Wappen bis zum Jahre 1592. Dieser Kopf eines jeden Jahres ist mit Voranstellung des Ammeisternamens vor denen der «Stältemeister» in Saladins Ghronik übergegangen. Aber auch hier können wir die Vermittlung durch eine Handschrift noch nachweisen. Soweit die Hertzogsche Chronik als direkte Quelle in Betracht kommt, werden wir sie noch zu erwähnen haben.

Andere Drucke, die nicht direkte Quellen Saladins gewesen sind, die aber indirekten Einfluss ausgeübt haben, sind uns nicht zu Gesicht gekommen.

3. Herausgegeben von DacuEux, Fragments des anciennes Chroniques d'Alsace. |, Strasbourg, 1887.

ı. Herausgegeben von Rod. Reuss, Les Collectances de Daniel Specklin, im Bulletin de la Sociele pour la conservation des monuments historiques d'Alsace, XI, p. 157—360, und XIV, p. 1—178, 201—401.

5. Herausgescben von Rud. Reuss, Strassburg 1889.

6. Herausgegeben von DacnEux, Fragments de diverses vieilles chroniques. in Fragments (s. 0.) S. G1—211.

185

S 17. Die direkten Quellen der Saladinschen Chronik.

Die Saladinsche Chronik gibt bald deutlicher, bald versteckter ver- schiedene Quellen an. Es werden sogar Cicero, Isocrates, Xenophon, Meister IIugo von Florenz, die «Legent» von St. Arbogast, «Lamparten Historia», Sleidan, mehrere Drucke und «ettliche vralte geschriebene Chroniken» zitiert. Es wäre nun aber verkehrt, wollten wir annehmen, dass den Verfassern der Saladinschen Chronik alle diese Quellen wirklich vorgelegen hätten, und dass die Originale von ihnen benutzt worden wären. Fanden wir doch Saladins direkte Quellen und in diesen dieselben Zitierungen mit denselben Worten, denen wir dazu noch nicht einmal die Benutzung der zitierten Originale zutrauen möchten. Nur etliche geschriebene Chroniken, die aber durchaus nicht uralt sind, sondern erst von Zeitgenossen kompiliert und verfasst worden sind,. sowie die zitierten und nicht zitierten Drucke sind Quellen der Saladin- schen Chronik gewesen, wie wir im folgenden kurz nachzuweisen versuchen werden.

Die beiden Hauptquellen des ersten Verfassers unserer Chronik konnten in zwei handschriftlichen Codices der Strassburger Stadtbibliothek auf- gefunden werden, deren kurze Beschreibung und Charakterisierung wir hier vorausschicken, damit wir nachher mit wenigen Worten die Resultate der Quellenuntersuchung zusammenfassen können.

I. Beschreibung der handschriftlichen Quellen.

1. Die von Rudolph Reuss als Codex Bartholdianus bezeichnete Handschrift der Strassburger Stadtbibliothek! (M. 270, von Reuss zitiert als M. Nr. 706) ist ein Folioband, enthält 769 paginierte Seiten. Es ist eine Papierhandschrift in modernem einfachsten Einband des E. Piton, libraire à Strasbourg. Die einzelnen Seiten sind mit blassroten Strichen umrahmt, ein gleicher Strich am Rande entlang bildet mit den anderen ein längliches Rechteck, in dem die Überschriften abge- kürzt wiederholt sind. Die Handschrift ist offenbar abwechselnd von 2 Schreibern geschrieben, und zwar schrieb der erste Schreiber mit Aus- nahme der Randglossen die Seiten Il, 1—18, 91 —418, 446— 711, während der zweite die Seiten 19 —91, 419 —445, 724—769 beschrieb. Wahr-

u. nn nn nn .—

1. De Scriptoribus rer. Alsatic. hisloricis, p. 58. Dort siehe auch Näheres über den früheren Eigentümer Charles Bartholdy aus Colmar, nach dem sie genannt ist.

186

scheinlich haben Vater und Sohn diese Chronik verfasst, da die erste Schrift einem älteren, die zweite einem jüngeren Manne scheinbar zugewiesen werden muss. Mehr ist jedoch über die Verfasser der Chronik nicht auffindbar, da die Handschrift selbst nicht die geringste Andeutung darüber aufweist. Auf das Vorstehblatt bat cine spälere Hand (R. Reuss) geschrieben:

«Strassburgische Chronik nach Jacob Twinger von Königshofen von verschiedenen Händen fortgesetzt bis 1607.» Dieser Eintrag enthält jedoch zwei Unrichtigkeiten. Einmal handelt cs sich bloss um 2 Hände bei abwechselnder Arbeitsweise, dann aber reicht die Ghronik nur bis 1588.

2. Die zweite Hauptquelle der Saladinschen Chronik ist Cod. M. 272 der Strassburger Stadtbibliothek, ebenfalls eine Papierhandschrifi, Fol., gebunden in Holzdeckel, die mit dünnem, grünem Leder überzogen sind, der Rücken besteht aus Schweinsleder. Der Codex umfasst 1 Vorstehblatt, 27 Blätter, 359 Seiten, 133 unpaginierte leere Blätter, 1—158 Seiten, 159—166 leer, 167—179 wieder be- schrieben, 180—182 leer. Wenn wir von verschwindend kleinen Aus- nahmen absehen, ist die ganze Handschrift von ein und derselben Hand geschrieben. Das Vorstehblatt trägt den Vermerk: « Sum M. Osex Schadaei Argentinensis Diaconi ad D. Petrum Seniorem 1614.» Infolge dieser Notiz hielt man den Codex für die Chronik des Oseas Schad, die aber verloren gegangen ist. R. Reuss (p. 129) wies sie schon mit Recht dem Strassburger Buchbinder Michel Kleinlawel zu, nachdem er sie früher ebenfalls für das Werk des Schadäus gehalten hatte. Reuss führte jedoch nicht alle Gründe ins Feld. Kleinlawel nennt sich an keiner Stelle seiner Chronik direkt als Verfasser mit seinem Nameu. Die Vorrede verrät uns nur, dass der Verfasser ein Buchbinder war. Aus ihren Versen können wir jedoch vermuten, dass sie derselbe ge- schrieben hat, der 1625 eine Strassburger Chronik in Versen zu Strass- burg drucken liess, nämlich Michel Kleinlawel. Auch das auf Fol. 2 der Iandschrift vorausgeschickte Wappen zeigt rechts und links von einem mit Rosengirlanden umwundenen Spatenschaft die Buchstaben M und k, die auf denselben Namen hinweisen. Schliesslich beweist noch eine Randglosse, dass Kleinlawel der Verfasser ist. Der spätere Besitzer Schad schrieb nämlich eine Bemerkung an den Rand, die dem IHlaupitexte widersprach. Eine dritte unbekannte Hand strich diese Bemerkung durch und schrieb darunter: «Schadaeus irrt, Kleinlaugel hat recht.» Dieser letzte Eintrag ist paläographisch ungefähr gleichzeitig. Bemerkenswert ist noch, dass die Chronik Kleinlawels eine Reihe Wappen von Strass-

187

burger Bischöfen und Ammeistern in allerdings ziemlich roher Form aufweist.

Michel Kleinlawel (Kleinlagel, Kleinlaugel) wurde getauft am 1. August 1568, als Sohn des Eberhart Kleinlagel, Fischers bei der «oberen decken brück»', und der Agathe geb. Schann*, unter mehreren Ge- schwistern. Er wurde später Buchbinder, heiratete am 24. Juli 1599 Ursula, die Tochter des Dreierknechts Hans Schann°® und liess folgende Kinder laufen.

1. Philippus, am 18. Mai 1600! 2. Pia, » 1. Sept. 1601° 3. Magdalena, » 19. Juni 1603° 4. Hans Michel, » 11. Aug. 1605’ D. Magdalena, » 9. Juli 1607° 6. Ursula, » 13. Nov. 1608° 7. Hans Dauid, » 927. Okt. 1610.

Unter den Paten dieser Kinder sind recht vornehme Leute z. B. Graf Casimir von Erbach, eine Tochter des Stättemeisters Hans Philipp von Kettenheim, cine Frau des Stättemeisters Hans Philipp Böcklin und Stältemeister Josias Schoner.

Michel Kleinlawel starb zu Beginn des Jahres 1635. Nach seinem Tode wurden seine gesammelten Notizen über Strassburger Geschichte von der Obrigkeit beschlagnahmt".

Die Geschichte seiner prosaischen Chronik haben wir teils schon oben bei der Charakterisierung der Strassburger Geschichtsschreibung erwähnt, Schon im Jahre 1613 machte Oseas Schad, damals Pfarrer in Düttlen- heim unserm Kleinlawel für seine Chronik ein Kaufangebot. Doch der Chronist dachte nicht daran, sich von seinem Werke zu trennen. Im

1. Taufbuch von St. Wilhelm (Str. St. Arch. ILE, 130.)

2. Ebenda, 1. 30.

3. Hochzeitsbuch von St. Wilhelm. Str. St. Arch., M. 108, S. 59.

4. Taufbuch von Jung St. Peter. Str. St. Arch, Nr. 137, S. 88, Nr. 65. 5. Ebenda, S. 132, Nr. 127.

6. Ebenda, S. 189, Nr. 116, gest. vor 9. Juli 1607.

7. Str. St. Arch. Nr. 137, S. 252, Nr. 111.

8. Ebenda, S. 310, Nr. 91.

9. Ebenda, S. 334, Nr. 168.

10. Ebenda, S. 423, Nr. 143. 11. Protoc. der XII. vom 5. März. 1635. Vergl. R. Reuss, Kl. Strassburger Chronik 1424—1615, VII.

188

Jahre 1614 versuchte ein katholischer Probst aus einem Kloster die Chronik käuflich zu erwerben, aber vergebens, da Kleinlawel nicht wünschte, dass sie in «papistische» Hände komme. Nun bot er selbst, um der Gefahr zu entgehen, durch das ständige Ausleihen an Kopisten seine Chronik einmal zu verlieren, diese dem Oseas Schad, der in- zwischen Diakon zum Alten St. Peter in Strassburg geworden war, gegen ein Ehrengeschenk an, das ihm auch zu teil wurde. So kam der Codex 1614 in den Besitz des Schadaeus". Schadaeus selbst hat nicht viel daran geschrieben, er machte eine Reihe Randglossen. Auch dürfie der «Bericht von dem Ministerio zu Strassburg » von 1531 --1613, eine Art Strassburger Kirchengeschichte (Seite 141 158 im Appendix', ihm zuzuschreiben sein. Die letzte Eintragung lautet: «Im Mai 1613 dankt Johann Frey helffer zum alten St. Peter ab, an seine statt ward den 24. May helfler M. Oseas Schad M. Eliae Sohn gewessner Pfarrer zu Düttlen. »

Über den Inhalt dieser beiden Iandschrifien zu referieren können wir mit gutem Grunde hier übergehen, da wir sonst nur den bereits skizzierten Inhalt der Saladinschen Chronik wiederholien.

So interessant und wichtig eine Untersuchung über das Verhältnis der Vorlagen der Saladinschen Chronik zu ihren eigenen Quellen auch sein mag, so konnten wir doch nicht in einer einigermassen abgegıenzten Zeit darauf des näheren eingehen; es bedarf dies einer eigenen Arbeit. Nur auf die allernotwendigsten Andeutungen über die Hauptquellen dieser Saladinschen Vorlagen müssen wir uns hier beschränken.

Der Codex Bartholdianus zeigt viele und längere Übereinstimmungen mit der Imlinschen Chronik. So sind z. B. vollständig übereinstimmend die Berichte über den Krieg mit Zürich 1351 —1354 ıImlin, S.205— 208", Cod. Barth. 158— 163). Ebenso stimmen überein die Relationen des Kampfes Karls des Kühnen mit den Schweizern 1386 (Imlin, S. 208—9211, Cod. Barth. 152-—158) und die Schilderung des schwäbischen Krieges (Imlin, S. 214» --222, Cod. Barth. 166— 1871.

Auch der Imlinsche Bericht über das ganze 16. Jahrhundert findet sich im Cod. Bartholdianus wieder. Trotzdem ist weder die Imlinsche Chronik Vorlage des Cod. Barth. gewesen, noch umgekehrt. Hätte doch merkwürdigerweise der Codex Bartholdianus nur den einen Schreiber der [mlinschen Chronik benutzt, den andern vollständig unbeachtet

12. Über Schadaeus vergl. ManriN, Allg. deutsche Biographie, Bd. 30 ‘Leipzig, 1890), S, 495.

= "48

gelassen, und bei umgekehrtem Verhältnis hätte die Imlinsche Chronik eklektisch verfahren, was ebenfalls sehr sonderbar wäre. Es ist deshalb anzunehmen, dass dem einen Schreiber der Imlinschen Chronik dieselbe Quelle vorlag, die auch dem Cod. Barth. vorgelegen hat". Eine zweite Vorlage des Cod. Barth. ist das M. 277 der Str. U. Bibl. Folio, 15% pagi- nierle Blätter, von zwei Händen geschrieben und zwar ebenfalls abwech- selnd; die beiden ersten Blätter fehlen. Der erste Schreiber schrieb 3—7 (bricht mitten im Wort ab) und 119—154, der zweite setzt das abge- brochene Wort Seite 7 fort und schreibt bis 118. Diese Chronik reicht bis 1462, ist jedoch etwas später geschrieben. Über die beiden Verfasser vermögen wir nichts zu sagen. Dass Cod. Barth. dieser Handschrift folgte, zeigt sich vor allem da, wo Saladin den God. Bartlı. verlässt, um sich anderen Quellen anzuschliessen. Z. B, folgt bei Saladin (15°) nacl dem Abschnitt «Sürburg das stiffl» sofort der Abschnitt «Wo der nahm Elsaß herkomt». lin Cod. Barth, (17—19) kommen erst die Abschnitte; «Closter Schwarzach, Erstein das Kloster... etc. Diese Reihenfolge finden wir genau im M. 277 der Str. U. Bibl. wieder. Auch sonst stimmt die Reihenfolge der Abschnitte mit der des Cod. Barth. überein, auch mit wörtlicher Kongruenz des Textes. Selbst da, wo das M. 277 nach dem «Auflauff der Handwerker 1333» ein Einschiebsel macht, folgt Cod. Barth. wortgetreu. Auch wo Saladin Überschriften gegen Cod. Barth. einsetzt oder fortlässt, stimmen Cod. 277 und Cod. Barth. genau überein.

Bei dem Suchen nach den Quellen der Chronik des Michael Klein- lawel waren wir nicht von demselben guten Erfolge begleitet. Klein- lawel gibt die Zahl seiner Quellen mit 7 Handschriften an. Ausserdem hat er Bernhart Ilertzogs Edelsassische Chronik gekannt und benutzt. Aus letzterer stammen vor allem die Namen der Stätte- und Ammeister, sowie deren Wappen, die hie und da den Ammeisternamen begleiten. Auch ist Kleinlawels Chronik in der Weise mit Johann Jacob Meyer verwandt, wie wir diese Verwandtschaft zwischen Meyer und der Saladin- schen Chronik oben festgestellt haben.

13. Auch an der Imlinschen Chronik waren zwei Schreiber abwechselnd tätig. Der erste Schreiber fing wieder auf derselben Seite an, wo der zweite aufgehört halte. Infolgedessen ist eine Benutzung der Imlinschen Chronik durch den Cod, Barth. ausge- schlossen. Diese abwechselnde gleichzeitige Tätigkeit zweier Männer an einer Chronik findet sich gegen Ende des 16. Jahrh. sehr häufg in Strassburg. Der Eintrag auf dem Vorstehblaite über Abfassungszeit ist irrig.

190

IL Quellen.

Das ganze Titelblatt (V) stimmt wörtlich mit dem der geschriebenen Chronik des Michel Kleinlawel überein. Kleinlawel ist hier aber Que:le, Saladin Kopie, und nicht umgekehrt‘. Der Unterschied in beiden Titel blättern besteht nur darın, dass das Kleinlawelsche keinen Verfasser und keine Jahreszahl angibt.

Das Titelblatt der Saladinschen Chronik ist, wie oben nachzewiesen wurde, von dem zweiten Verfasser Saladin geschrieben. Da Saladın aber die Kleinlawelsche Chronik von 1611—161$ nicht benutzte, so wäre es sehr merkwürdig, wenn er bloss das Titelblatt abzeschrieben hatte Es ist deshalb anzunehmen, dass der erste Verfasser, von dem wir unzweifelbaft nachweisen können, dass er die Kleinlawelsche Chronik benutzte, das Titelblatt bereits dieser entnommen hat Saladın lat dann dieses hinweggenommen, und in Verbindung mit dem Maler em schöneres an seine Nelle gesetzt, wobei er den Text des entfernten Blattes ziemlich setreu kopierte?. Das Zitat auf dem Titelblatt: «Cicero: Tempora praetenti qui non cognouent aeui. Hic vilam pueri semper inertis azıt, hat Saladin dem Titelblatt der «Tabulae Chronologicæ) (Geschichtstabellen des Pantakon Candidus, Pfarrers zu Zweibrücken, estnommen, die 10612 zu Strassburg im Druck erschienen waren’. Wie gross der Abschreibeirieb Saladin: war, zeist deutlich die Vorrede XI—XIL Diese it, abgeseben von vielen Audassungen und kleinen Änderungen, sszusazen wörtlich abgeschrieten aus der Vorrede des Bernhart Hartz: ru seiaer E:’eisassischea Chronik TI—IU:, die 15%

_

au Strasstors ceïiracat ware Mt d. wo wir sicherich di

Le 12 Im iisereı Liane ler deiier Sri wralzer 2 Nat Tire an Lacie. vis. well Lin Nan ei. Les Verfimers SSL St eg Dil a52 26: [2 12! 2 et VIT: m m Sat s'ALAUS Et LS :1 Ke DINMDTSs ET NV izssc oser Rent re gaicactt fair. os La ır az Pass ii les stat we leript See zur. ler Sa.

= Kelllavs sis Sr TIC

ï

1!

l

#, } i 2 j à Im 4 lu pe

Ke vis Li Intern mi Laser Drei I. Wr ler Lier NII Lan le SITE ASK een, Zn Les cata au Tes ae 7 zu eur u Pr BE rd am sau. ——

LU I: Sur ZLSS SE zn Diem: Lis Dim sue Dessen æiarass [. Lion samler Lie [ere Zerizsiie elugaen mine R'r Dei em TEISLAI 7 der Cat ie: Dingen a 2 IT oa an Kin ar en in

tie 222 se sin Usines Dep a Der ms'iledtene frise 2:

Seil 2:7 at LT IT LAT NT à EL AR uit ee er 2: | Un

191

Individualität des Schreibers herauszuhören glauben, nehmen wir mit Staunen wahr, dass auch diese Stellen bereits in Hertzogs Chronik ge- druckt waren‘. Eine lateinische Randglosse Hertzogs (Historiae sunt libri judiciorum Domini) weiss Saladin unübersetzt in seinen Text zu bringen. Dagegen stossen wir auf 2 andere längere lateinische Sätze in der deutschen Vorrede, die nicht aus Hertzogs Chronik genommen sind. In dem einen preist Cicero die Eigenschaflen der Geschichte, in dem anderen wird die Notwendigkeit und Nützlichkeit der Kenntnis der Geschichte in schönen Worten auseinandergesetzt. Diese beiden Sätze finden sich wörtlich in der bereits zitierten Vorrede des Panta- leon zu seinen Tabulae chronologicae.

Wir sehen also, Saladin benutzt zur Ausschmückung seiner Chronik Werke, die ihm inhaltlich für den Text nichts mehr bieten konnten. Auch das Zitat des Meisters Hugo von Florenz entstammt dem bereits 1588 abbrechenden Cod. Barth., nicht direkt einer Königshofer Hand- schrift’. Das zeigen die Formunterschiede zwischen Saladin und Königs- hofen, das schliesst vor allem unser obiger Beweis aus, dass Königs- hofen nicht direkt von Saladin benutzt wurde. Da der zweite Schreiber Saladin sonst nichts aus dem Codex Barth. geschöpft hat, so dürfte dieses Zitat indirekt auf dem Umwege über den ersten Schreiber, der ja nachweislich diesen Godex benutzte, in unsere Vorrede gelangt sein. Dann müssten wir diesem ersten Schreiber aber nicht bloss die Über- lieferung des Titelblattes, sondern auch einen Entwurf zu einer Vor- rede zuschreiben, die aber sicherlich nicht genau so lautete, wie die uns jetzt vorliegende. Denn einmal hat der erste Schreiber Bernhart Ilertzog, der ihm doch manches über die Strassburger Geschichte hätte bieten können, nicht direkt benutzt; nur der Kopf eines jedes Jahres gelangte über Kleinlawel aus Hertzog zu ihm. Warum sollte er dann gerade die Vorrede, die Kleinlawel nicht hat, aus Hertzog geschöpft haben? Ausserdem findet sich in seinem Teile der Chronik nichts latei- nisches, sodass wir vermuten dürfen, er habe überhaupt kein Latein verstanden. Bei dieser Vermeidung des Lateins wäre es sehr zu ver- wundern, dass er gerade die lateinisch geschriebenen Tabulae Chrono- logicae des Pantaleon unübersetzt benutzt hälte, Die lateinischen Stellen

4. Man wird mein Chronikschreiben «vngetadeldt nicht füruber pabicren laben, sondern (wie ich selbs muß bekennen) es dahin deuten, dab Cronicen zu schreiben nicht mein Beruf! vnndt daß ich anderer mir aufferlegten Geschefften billicher solle abwarten.» (Saladin XII, Hertzog II.)

5. Vergl. Die Chroniken der deutschen Städte, VIII (C. Hegel.) 5. 231.

D. XXIL (M.) 13

I

192

des Titelblattes und der Vorrede, sowie die Benutzung Bernhaït Hertzogs gehen also erst auf den zweiten Schreiber Saladin zurück.

Die 5 Zeilen, in denen Saladin sagt, dass er von Jugend auf Lust zu Ilistorien gehabt und sich deshalb vorgenommen habe, aus etlichen wahrhaften Chroniken diese Strassburgische Chronik zu schreiben, und so lange jährlich fortzusetzen, als ihm Gott Leben und Gesundheit ver- leihe, müssen wir als sein einziges geistiges Eigentum an der Vorrede bezeichnen.

Die Überschrift auf dem Kopfe jeder Seite «Strassburgische Cronica» ist sicherlich eine Nachahmung der Chronik Kleinlawels. Hier hat jede Seite den Kopf «Strassburger Chronica». Die 1625 erschienene Vers- chronik Kleinlawels trägt den genauen Kopf der Saladinschen Chronik «Strassburgische Cronica». Diese Überschrift einer jeden Seite wurde dann auch von dem zweiten Schreiber beibehalten. Der von den zweiten Schreiber der Chronik vorausgeschickte Abschnitt:

«Was in der Statt Straßburg vornelimlich zu merken ist vnndt der bezürckh wieviel gaßen vnndt heußer auch deroselben namen» stimmt wort- und formgetreu mit demselben Abschnitte der oben charakterisierten prosaischen Chronik des Michel Kleinlawel überein. Nun steht aber dieser Abschnitt bei Kleinlawel im Appendix 167—179. Wir werden jedoch noch näher sehen, dass weder der erste, noch der zweite Verfasser der Saladinschen Chronik diesen Appendix benutzt hat; er war höchst wahrscheinlich noch nicht geschrieben, als der Codex unserm ersten Verfasser vorlag. Also dürfte auch obiger Abschnitt nicht aus Kleinlawel geschöpft sein, zumal sich eine kleine Abweichun; in der Reihenfolge der Tatsachen bemerkbar macht‘. Aber ganz das- selbe oder etwas sehr Ähnliches findet sich in mehreren Strassburger Handschriften, z. B. im M. L. Alsat. 606 der Str. U. Bibl., 3 pagi- nierte Blätter; cs enthält: «Verschiedene Ausmessungen in Straßbur; vom Jahre 1580» und «Anzahl der Gaßen vnd läusser». Alles ist gcgen Saladin-Kleinlawel stark gekürzt. Auch gehören hierher die Seiten 19—24 des Msc. 3463 der Str. St. Bibl. Am wichtigsten jedoch ist das M. L. Alsat. 595 der Str. U. Bibl., nur 2 beschriebene Blätter, mit dem Titel: «Bericht wegen der Kirchspiehl, gaßen vnd Häußer m Straßburg». Darin heisst es: «Anno 1980’ hatt man aus Erkandtnub

6. Die Notiz über Ausmessung und Einkommen der Rheinbrücke steht bei Saladin am Schlusse, die wir bei Kleinlawel in der Mitte finden. 7. Saladin, 3: «beschehen im iulio anno MDLXXX.»

193

der Herren XV. alle gaßen vnndt häuber der Statt Straßburg beschriben, vndt ist solche haußsuchung zu verrichten aufgetragen wordten, Herren Nicolaus Götzen, vnt H. Heinrich Seuplen, beeden alten Rathsverwanthen, beneben Conradt Füchben, dem Notario Publ., welche solches nach den siben Kirchspiehlen, vnndt dero quartieren, auf dz fleisigste innerhalb 12 tagen verrichtet haben, auch eine ordentliche beschreibung darüber gemacht, dieselbe hatt sich erfunden, wie hiernach summarisch erfolgt».

Es ist in der Tat ein summarischer Auszug aus der Vorlage dessen, was Saladin und Kleinlawel geboten haben. Am Schlusse dieses Manus- kriptes steht noch:

«Vorstehende Specification aller gaßen vnndt häuber so sich in der Stalt Straßburg befindten, ist extrahiert auß einem in folio geschrie- benen, vandt in weiß pergament gebundenen buch so in alhiebigem Archivo verwahrlich enthalten würdt”,

Dieses Buch ist so glauben wir annehmen zu dürfen nicht nur die Quelle des unbekannten Schreibers des M. 595 der Str. U. Bibl,, sondern wurde auch sowohl von Kleinlawel als auch von Saladin direkt benutzt. In der gedruckten Literatur existiert diese «Specifications noch nicht; ihre Veröffentlichung dürfte also die Wissenschaft interessieren.

Fast alles, was uns der erste Schreiber der Saladinschen Chronik von der Gründung Strassburgs ab bis zum Juni des Jahres 1611 (von Seite 9a—585b) berichtet, ist der Chronik Michel Kleinlawels und dem Codex Bartholdianus entnommen’. Und zwar benutzte er bald den einen, bald den andern nebeneinander, ja manchmal ist der kurze Bericht einer unwichtigen Tatsache zur Hölfte aus der einen, zur Hälfte aus der anderen Chronik entnommen. Es macht sich in der Saladinschen Chronik sehr klar das Bestreben bemerkbar, möglichst reichhaltig an Material, und möglichst genau in der Detailschilderung zu sein, ein Bestreben, das den Wert der Chronik sehr erhöht. Deshalb verlässt Saladin die eine Quelle, wenn die andere reichhaltiger und ausführlicher ist, wie wir das beinahe auf jeder Seite der Chronik beobachten können, das aber sehr deutlich wird bei grösseren Abschnitten, wie dem Armen-Gecken-Krieg, oder dem Kampf Karls des Kühnen mit den Schweizern, oder dem bischöflichen Krieg, wo er gar alle beiden Quellen verlässt, um einer anderen reichhaltigeren zu folgen.

Es hat wenig Zweck, hier die genaue Vergleichung der Saladinschen

8. Ist jetzt verschollen; im Str. St. Arch. belindet es sich nicht mehr, 9. Die Ausnahmen werden unten noch berührt,

194

Chronik vollständig anzuführen. Vielfache Wiederholungen dessen, was wir über Saladins Verhältnis zu Königshofen oben angeführt haben, wären unvermeidlich. Können wir doch die Chronik Kleinlawels eben- sowohl wie auch den Cod. Bartholdianus in ihren ersten Teilen bis ca. 1400 modifizierte Handschriften Königshofens nennen, deren Haupt- unterschied von Königshofen darin besteht, dass sie die stoflliche Gruppierung der Königshofer Chronik in eine chronologische Folge der Ereignisse aufgelöst haben. Nur gleichsam als Belege unserer Be- hauptung wollen wir hier an den ersten Seiten der Saladinschen Chronik die Art der Quellenbenutzung demonstrieren.

Saladins Seiten 9—11 stammen wörtlich aus dem Codex Bartholdianus 1—6, doch wendet Saladin auf Seite 9b kleine Kürzungen an. Seite 12 der Saladinschen Chronik findet sich nicht im Cod. Barth., ist dagegen wörtlich der Chronik Kleinlawels (S. 4) entnommen. Die Seite 13 stammt wieder wörtlich aus dem Cod. Barth. 10—11 und während ein Teil der Seite 13b aus Kleinlawel abgeschrieben wurde, rührt der Schluss der Seite 13b und die Blätter 14 u. 15 wieder vom Cod. Bartholdianu: her (12—16). Hier findet sich aber schon ein längerer Zusatz Saladins, der weder im Cod. Barth., noch in Kleinlawels Chronik steht, aber auch überhaupt in keiner Handschrift und in keinem Drucke zu finden is. Ebenso stimmt die Bischofsreihe Saladins ebensowenig oder noch weniger mit seinen sonstisen beiden Vorlagen überein, wie sie nicht mil Kônigshofen und Mever übereinstimmte. So bringt z. B. der Coder Bartholdianus (S. 23: als Nachfolger des hl. Amandus folgende Namen:

«S. Justus

S. Maximinus S. Valentinus S. Salarıus

Diese Namen lässt Saladin zunächst aus und folgt einer uns unbe-. kannten Quelle, nennt Arbogast den zweiten Bischof, den Cod. Barılı. nach Königshofen schon den sechsten nennt.

Abgesehen von dieser Bischofsreihe, können wir auch manche ander: kleinere Nachrichten nur durch die Annahme der Benutzung einer us: unbekannten Quelle erklären.

Von dem -+. Bischofe ab schliesst sich jedoch Saladın wieder enzer an die genannten Quellen an, und zwar ist von hier ab Hauptquelle die Chronik Kleinlawels. Gerade hier beim Bischof Wernharius befindet sich auch das erste Wappen kleinlawels in einer allerdings recht rohen Form. Die Seiten 26:—33 Saladins stehen genau bei Kleinlawel 27—35.

Bischoff vun Straßburg.»

= 195

Dazwischen sind auch wieder kleinere Abschnitte dem Codex Barth. entnommen, wie z. B. «S. Walpurg das SuM 1074, Vögel werden wildt 1087» und «ein Astronomus schreibt ein schrecklich Wetter». (Sal. 32b, God. Barth. 40.)

So geht es weiter Jahr für Jahr, Seite für Seite, bald ist der Codex Bartholdianus benutzt, bald die Chronik des Strassburger Buchbinders, bald auch was jedoch abgesehen vom Anfang jetzt sehr selten vor- kommt ein uns unbekanntes schriflliches Denkmal.

Wir wollen im folgenden nur kurz angeben, welchen Quellen die grösseren Abschnitte der Saladinschen Chronik entlehnt sind. Aus dem God. Bartholdianus :

«Des Bischofs Streit mit dem Tumbherren 1328», zur Hälfte die Judenverfolgung und anschliessende Ereignisse 1349, der ausführliche Bericht über die Geissler 1349, nach Königshofen, der Zug vor Zürich 1351, 52—54, die Einfälle der Engländer ins Elsass 1365 und 1375, der Krieg des Herzogs Karl von Burgund mit den Schweizern 1386, der schwäbische Städtekrieg 1387—88, der Bischofskrieg 1389 und 1392, die gar selır ausführliche Schilderung der verheerenden Züge der sogenannten Armen Gecken 1439, 1444—45, ein Zug vor Paris 1465, Zug vor Waldshut 1468, des Herzogs von Burgund Hochzeit 1468, von dem Bundschuh 1493.

Aus Kleinlawels prosaischer Chronik stammen die längeren Abschnitte:

«Krieg Strassburgs mit Bischof Walther von Geroldseck 1260—62, Aufruhr zwischen den Geschlechtern Zorn und Müllenheim, und Ände- rung der Stadtverfassung 1333, die Judenverfolgung 1349 zur Hälfte, Änderung der Stadtverfassung und Schwörbrief 1382, Beitritt Strass- burgs zum schwäbischen Städtebund 1382, Anfang des Bischofskrieges und Achtserklärung über Strassburg 1388, Änderung der Stadtver- fassung und neuer Schwörbrief 1419, der Wasslenheimerkrieg 1447/48, der Burgundenkrieg 1469—1477, Erneute Änderung der Stadiverfassung und neuer Schwörbrief 1482, daran anschliessend, die Ordnung des Magistrates der Stadt Strassburg und der Zünfte mit den Zunftwappen.

Die Berichte über das 16. Jahrhundert sind bald aus diesem, bald aus jenem der beiden Godices gezogen. Hie und da fanden sich jedoch auch Sätze, die wir auf keine der beiden Quellen zurückzuführen ver- mögen. Diese mit Quellen nicht belegbaren Sätze werden gegen das Ende des Jahrhunderts etwas reichlicher.

Die Verhandlungen und Zwistigkeiten der Stadt beim Regierungs- antrilt des Bischofs Johann von Manderscheid stehen nicht im Codex

196

der Chronik Kleinlawels, und im Codex Bartholdianus stehen sie nur teilweise genau, weichen im übrigen sehr ab. Die längeren Pasquille, die dieser Codex über die katholischen Capitulare enthält, finden sich wörtlich in der Saladinschen Chronik wieder', die dem Cod. Barth. bis zu dessen Schlusse 1588 getreu folgt. Dieses scheint uns nicht unwichtig zu sein, da der Codex Barth. wahrscheinlich noch vor 1592 geschrieben bezw. abgeschlossen wurde; er konnte also für die unmittelbar vorher- gehende Zeit einen zuverlässigen Bericht geben.

Der kurze Auszug aus den Freiheiten der Stadt Strassburg 1579 ist eine getreue Abschrifi des im gleichen Jahre im Drucke verôffent- lichten Mandates der Strassburger Obrigkeit‘.

Die Imlinsche Chronik und die des Johann Jakob Meyer haben ihren indirekten Einfluss bis in die Schilderung des Strassburger Kapitel- streites beibehalten. Aber die Berichte der Saladinschen Chronik weichen duch in manchen Dingen recht erheblich ab, und was noch wich- tiger ist sie zeigen wesentliche Zusätze, die in keiner Quelle nach- gewiesen werden konnten.

Die ausführliche Schilderung des bischöflichen Krieges 1592—93, die über ein ganzes Jahr hin die Ereignisse eines jeden Tages erzählt, ohne einen zu überspringen, findet sich nicht in Kleinlawels Chronik, sie stimmt auch ganz und gar nicht überein mit den beiden veröffent- lichten Relationen desselben Krieges’, die sie an Reichhaltigkeit bei weitem übertriM. Sie ist auch viel ausführlicher als eine vierte Relation des Bischofskrieges, die in einem M. der Str. U. Bibl. (L. Alsat. 59%) enthalten ist. Diese vier Relationen sind alle voneinander verschieden. Aber es gibt noch eine fünfte sehr ausführliche Schilderung obigen Krieges, die ebenfalls bisher nur handschrifllich vorliegt Und diese stimmt kleine, mehr äusserliche Abweichungen abgerechnet wörtlich mit der Saladinschen Relation überein. Die Chronik, die diese fünfte Schilderung enthält, ebenfalls Eigentum der Str. U. Bibl. (L. Alsat. 286), reicht bis zum Jahre 1626. Daraus will Rud. Reuss schliessen,

1. Diese Pasquille stehen auch im Appendix der Kleinlawelschen Chronik. dieser ist jedoch sonst nicht benutzt, und es finden sich auch kleine Abweichungen wie « Tagen » für «Jahren ».

2. Original im Str. St. Arch., Mand. und Ordnungen 18, I., 5—9.

3. Stropet, in Dannbachs Wochenblatt, 1339. «Chronik des Krieges der toit Strasshurg» that uns nicht vorzelezen) und wiederholter Abdruck derselben Relation in Stobers Alsatia, 1861, S. 9—51. Die zweite Relation ist veröffentlicht von R. Rærss, Beschreibung des bischöflichen Krieges unno 1592, Strassburg 1878.

197

dass die Chronik auch um diese Zeit geschrieben sei. Sie ist aber sicherlich ungefähr 100 Jahre später geschrieben. Das beweist die Schrift, das beweist auch vor allem die Nennung Ludwig XV. 1711 in der der Chronik vorangehenden Tabelle, die ganz offenbar (gegen Reussens Annahme) von derselben Hand und zu derselben Zeit wie die übrige Chronik geschrieben wurde. Da diese Chronik sonst die Sala- dinsche nicht benutzte, so dürfte sie auch ihren Bericht über den bischöflichen Krieg nicht aus Saladin geschôpft haben. (Sie dürfe selbst eine genaue Abschrift einer älteren Chronik sein, die allerdings ca. 1626 geschrieben sein könnte.) Es ist also anzunehmen, dass dieser Chronik dieselbe Quelle vorgelegen hat wie der Saladinschen.

Für die folgende Zeit 1593—1609 lehnt sich unsere Chronik wieder recht eng an die Kleinlawels an. Saladin ist jedoch an manchen Stellen reichhaltiger; manche Jahrzettel Saladins finden sich nicht bei Kleinlawel. Diese Jahrzettel oder statistische Aufzeichnungen über Geburten und Todesfälle, Heiraten, Armenpflege, Ein- und Ausfuhr von Landespro- dukten wurden von dem Altammeister bei seiner Abdankung verlesen und sodann meist dem Druck übergeben‘, deshalb können sehr leicht diese offiziellen Exemplare selbst direkte Vorlage der Saladinschen Chronik gewesen sein.

In der Schilderung des Krieges vom Jahre 1610, der doch zur Zeit, als der erste Verfasser an unserer Chronik schon schrieb, tobte, kommt merkwürdigerweise ebenfalls wortgetreu aus Kleinlawels Chronik. Diese ist sicherlich Originalbericht.

Bis zum 14. Juni 1611, dem letzten Tage, über den der erste Schreiber unserer Chronik berichtet, ist Kleinlawel seine Quelle geblieben.

Somit nehmen wir Abschied von der Quellenuntersuchung über den ersten Verfasser, um nun zu sehen, welchen Quellen der zweite Schreiber, Saladin, folgte. Die Quellen des zweiten Verfassers sind, soweit die Titelsachen und die Einleitung über die Strassburger Sehenswürdig- keiten in Betracht kommen, bereits oben genannt. Für seine Fortsetzung von 1611—1621 sind sehr wenige Vorlagen anzugeben; handschriftliche Quellen scheint er dafür überhaupt nicht benutzt zu haben. Nur gleich- zeitige Drucke, meist Flugblätter, und vor allem gedruckte Mandate der Strassburger Obrigkeit, die teilweise auf dem Strassburger Stadtarchiv

4. Eine Reihe Originale befanden sich früher auf dem Str. St. Arch,, sind jedoch dort jetzt nicht mehr vorhanden. Die Jahrzettel unserer Chronik gewinnen dadurch an Wert,

198

noch zu sehen sind, sind wort- und manchmal sogar auch formgetreu' in Saladins Chronik niedergeschrieben. Diese Quellen werden in jedem einzelnen Falle klarer und kürzer bei der Edition selbst angegeben. Nur auf einzelne Abschnitte müssen wir hier ganz kurz eingehen.

Der Bericht Saladins: |

«Was man für Ceremonien gebraucht bey der Crônung deb Ertz- hertzogen Mathias zue Frannckhfurt am Meyn 1612 » ist sicherlich einem Drucke entnommen, da Saladin einen solchen angibt. Die beiden in der Frankfurter Stadtbibliothek aufbewahrten Drucke sind es jedoch nicht gewesen.

Der «Bericht eines regierenden Herrn Ammeisters, weßen er sich vom Schwörtag an vnndt durchs gantze Jahr zu uerhalten, waß sein Ampt betriflt ..., der dem Ammeister Wolff Grienenwaldt (1619) ist ertheilt worden» entstammt sicher einer der nicht seltenen Hand- schriften, die über denselben Gegenstand mit denselben Worten ge- schrieben wurden. Uns kamen noch mehrere Handschriften in der Strassburger Universitäts- und Landesbibliothek ®, zwei in der Stadt- bibliothek zu Strassburg” und eine in der Stadtbibliothek zu Colmar! zu Gesicht. Einige sind später geschrieben als die Saladinsche Chronik. Welches von den anderen Manuskripten Saladins Vorlage direkt beein- flusst hat, lässt sich bei ihrer grossen Übereinstimmung nicht ent- scheiden. Die uns bekannten Handschriften scheinen Saladins direkte

5. In dem Mandat des Pulvers halber vom 4. Juni 1617 (Str. St. Arch., M. u. 0. VII, S. 168—169) sind die Anfänge jeden Abschnittes (Fürs erste, fürs dritte) mit viel höheren Typen gedruckt. Diese Worte sind bei Saladin durch grössere Buchstaben bezeichnet.

6. a) M. L. Alsat. 616 «Bericht daß Ammeister Ampt zu Straßburgkh belangendt: 4°, 107 Seiten. Ausdrücke weichen vielfach von den Saladinschen ab. Z. B. hat dieses M.: Unterschultheiß für Saladins Büttel oder statt für Saladins ort.

b) M. L. Alsat. Gl Folio, 113 Blätter « Ammeisterbuch », ist spätere Kopie, zur Zeit des Beginns der französischen Herrschaft geschrieben.

c) M. L. Alsat. 610, 4°, 70 Seiten « Ammeisterbüchlein »; von diesem M. gilt da<- selbe wie von b.

7. a) M. 346a (letzter Teil von «Hannd Ernst Schreiber am Steinstraßerthor » aus den Jahren 1652 und 1653.

b) «Ammeisterbüchlein» (M. 336%), ebenfalls erst unter franz. Herrschaft geschricben.

8) M. 536 « Ameisterbüchlein, Bericht das Ammeisterampt belanngendt » geschrieben von Hans Hammerer, Altammeister, zwischen dem 27. März 1570 und 1571. Dies dürfte wohl das ursprünglichste M. über diesen Gegenstand sein, mag also für alle anderen Vorlage geworden sein. Die beigegebenen Fasti consulares sind von Späteren bis 1789 fortgesctat.

== 490) =

Vorlage nicht gewesen zu sein. Es mag jedoch eine grosse Anzahl Manuskripte über diesen Gegenstand gegeben haben, aus deren einem Saladin schôpfe. Die uns bekannt gewordenen Handschriften beginnen alle mit dem Donnerstag nach dem Neujahrstag und holen den Mitt- woch davor nach. Saladin beginnt jedoch: «Auff den Mittwoch vor dem Churtag ...» Im übrigen herrscht Übereinstimmung mit kleinen Abweichungen.

Der Bericht über die Bürgerrebellion zu Frankfurt a/M. im Jahre 1614 und über die Hinrichtung der Rebellen 1616 ist einem Niegenden Blatte entnommen, das in letzterem Jahre gedruckt worden war’. Saladın gibt sogar die Erklärung der diesem Blatte beiliegenden Kupferstiche wieder, was uns recht eigentümlich vorkommt, da die Chronik diese » Stiche nicht enthält.

Aus der sogenannten Frankfurter Messrelation von 1615 stammt die Epistola apologetica gegen ein dem Strassburger Rate am 5. Juli 1615 dediziertes arianisches Buch.

Für ca. 20 Mandate, die wir in Saladins Chronik erblicken, konnten wir die Originale, aus denen sie geschöpft sind, im Strassburger Stadt- archiv nachweisen. Die einzelnen Belege sind bei der Publikation an- geführt. Manche von Saladin überlieferten Mandate konnten im Ori- ginale nicht mehr aufgefunden werden. Da aber Saladin sich bei deu aufgefundenen sehr treu an die Vorlage gehalten hat, so können wir diese Treue auch bei den jetzt im Original verlorenen Mandaten an- nehmen; und diese Originale werden gerade durch Saladin deshalb vollgüllig ersetzt.

Den oben näher gekennzeichneten Ulk auf die Union und ihr schmäh- liches Ende (fol. 708) hat Saladin einem Drucke entnommen, was wir bei Saladin selbst sehen können". Nun sind aber zwei ganz gleich- lautende nur typographisch von einander abweichende Drucke aus den Jahren 1621 und 1622 vorhanden. Ganz sicher ist jedoch, wie neben der Angabe des Druckjahres die Anlehnung an die Typen deutlich zeigt, der Druck vom Jahre 1621 Vorlage gewesen". Für das vierfache Register am Schlusse der Chronik brauchen wir nicht nach direkten

9. Ein Originalexemplar mit Kupferstichen findet sich in der Frankfurter Stadt-Bibl.

10. «Gedrukt MDOXXI ».

11. Beide Drucke scheinen sehr selten zu sein. In Strassburg ist keiner. Den Druck von 1621 besitzt in einem Exemplar die Kgl. Bibl. zu Berlin (Flugschriften 1621, 93 [G. 7153, 3]); der andere Druck konnte in der Frankfurter Stadtbibliothek eingesehen werden.

900

Vorlagen zu suchen, wollen jedoch die Möglichkeit eines Einflusses Michel Kleinlawels durch das seiner Chronik vorausgeschickte drei- fache Register nicht in Abrede stellen. Da der Schreiber dieses Sala- dinschen Registers Kleinlawel ziemlich sicher nicht benutzte, so musste dieser mögliche Einfluss auch durch den ersten Schreiber vermiltelt werden, der vielleicht einen Anfang zum Register im Konzepte gemacht hatte. Hauptsächlich ist ja auch der Text des ersten Schreibers registriert, während die Register über den letzten Teil des zweiten Schreibers überhaupt nicht mehr geführt wurden, auch sind sie schon vorher unvollständig.

Somit hoffen wir die auffindbaren Quellen der Saladinschen Chronik, soweit sie nicht in der Edition ihren kürzeren Ausdruck finden, genannt zu haben. |

8 18. Verlorene Quellen der Saladinschen Chronik.

Wir sahen schon oben, dass die Bischofsreihe der Saladinschen Chronik nicht mit der Königshofens übereinstimmt, dass aber eine grosse An- näherung hierin an Johann Jacob Meyer stattfand, ohne vollständige Übereinstimmung zu erlangen. Eine Quelle, die die Bischofsreihe genau wie Saladin übermittelt, konnte nicht aufgefunden werden. Da aber unmöglich der Verfasser unserer Chronik Zeitgenosse jener Bischöfe sein konnte, so muss er also eine Quelle benutzt haben, die heute verloren oder wenigstens verschollen ist. Grosse Bedeutung vermögen wir jedoch dieser Quelle für jene Zeit nicht zuzuschreiben, da die Namen der Bischöfe z. T. in das Reich der Sage zu verweisen sind und ihre Regierungszablen auf willkürliche Kombinationen zurückgehen, ebenso wie die Zahlen bei Meyer und anderen.

Auch die sehr ausführliche Schilderung des bischöflichen Krieges 1592—93 ist, wie wir oben schon berührten, noch nicht als wirklicher Eigenbericht der Saladinschen Chronik anzusprechen. Konnten wir doch nachweisen, dass der erste Verfasser unserer Chronik auch noch nach 1593 sogar bis zu dem Jalıre 1611, also bis zu dem Momente, wo er selbst die Feder niederlegte, sehr getreu einer Quelle gefolgt ist. Es

12. Von den 713 Blättern sind als die letzten registriert: beim ersten Register 496, 499, (also über 200 sind nicht registriert), beim zweiten Register 675, 686, beim dritten 675, 636, beim vierten 697 und 608, selbst hier sind noch 15 Blätter uber» haupt nicht registriert.

91

ist deshalb auch anzunehmen, dass für die vorhergehende Zeit

von 1592/93 ihm ein handschriftliches Denkmal als Vorlage gedient gi

Über diese Chronik des bischöflichen Krieges und ihre Entstehun können wir manches aus ihrer Wiedergabe bei Saladin Be Einmal muss der Verfasser ein protestantischer Bürger Strassburgs ge- wesen sein; das zeigt seine Parteistellung auf Seiten des protestantischen Strassburger Bischofs. Auch nennt er die Strassburger «die Unsern», die Lothringer dagegen die Feinde. Ausserdem hat er zur Zeit, als der Krieg toble, in Strassburg selbst geweilt, wie das an vielen Stellen recht deutlich wird'. Sodann berichtet er auch gerade über Gescheh- nisse in Strassburg recht ausführlich und genau. Was er über die Ereignisse im Felde schreibt, übermittelt er uns so, wie es ungefähr in die Stadt berichtet wurde. Dieses Berichten vom Felde in die Stadt wird sogar ausdrücklich manchmal angeführt.

Seine Parteistellung veranlasst ihn jedoch keineswegs, einen weniger objektiven Bericht zu geben. Die Grausamkeiten seiner Strassburger Landsleute missbilligt er ebenso, wie die Unmenschlichkeiten des rohen lothringischen Kriegsvolkes. Allerdings entschuldigt er Strassburgs Vorgehen durch das der Feinde. Auch drückt er sich am Schlusse ziemlich pessimistisch über den Erfolg des Krieges aus, er habe viel Geld gekostet und keinen Nutzen gestiftet.

Wenn uns auch der Verfasser sehr gut über die in Strassburg herrschende Erregung und Stimmung des Volkes unterrichtet, so gewährt er doch dem Stadtklatsch und unsicheren Nachrichten keine Aufnahme, was recht klar Bemerkungen zeigen wie: «Ettliche glaubwürdige personen von Landtvolck sagten» und andere mehr.

Wir vermögen uns den Verfasser aber noch näher zu rücken. Dass der Bericht über den Krieg an jedem einzelnen Tage aufgezeichnet wurde, bedarf kaum noch des Beweises. Sind doch über ein ganzes Jahr die oft recht zahlreichen Tatsachen mit genauer Detailschilderung eines jeden einzelnen Tages dieses Jahres wiedergegeben. So finden sich denn auch Berichtigungen des vorher Geschriebenen an einem folgenden Tage. So wird z.B. an einem Tage berichtet, dass sämtliche Knechte einer Abteilung gefangen wurden, an einem späteren Tage lesen wir jedoch, dass ein Teil davon in die Stadt kam, es erfand sich also, dass die Zahl der Gefangenen kleiner war. Die Gleichzeitigkeit der

I. «Man konnte jeden Schuß in Straßburg hören, auch zitterten die Fenster darvon.» (536)

Niederschri wird auch noch durch mehrmalige Anwendung des Gezen- waristempus in der Erzählung bewiesen °.

Der Verfasser ist ausserdem ausserordentlich gut unterrichtet über die Bewegungen der Truppen im Felde, über die Scharmützel, über die Intentionen der Heerführer, über Dinge, die nur nach seiner eigenen Wiedergabe durch eine geheime Nachricht an den Ammeister oder an die höchste Obrigkeit der Stadt, den Rat oder das Kriegsministerium, die Älller, gelangte. Auch kennt er die Uneinizkeit der Regimentspersonen vom 12 Juli 1592. die doch. um Aufruhr zu vermeiden, ehe sie in die Öffentlichkeit drang, beigelegt wurde. Dies alles lässt bei der tagebuch- arligen, sofortigen Aufzeichnung darauf schliessen, dass der Verfasser zur Zeit des Krieges ein obrigkeitliches Amt der Stadt Strassburg begleitete; denn so schnell drangen keinesfalls die berichteten Dinge, deren Geheimhaltung manchmal recht wichüg war, unter das Volk Fur die Berichte des Februar 1593 ist unsere Relation auflallend dürfüg gegen die beiden veröffentlichten. War der Schreiber 1593 nicht mehr in dem obrigkeitlichen Amte, war er nicht mehr in einem so einfluss- reichen? Diese Vermutung hat sehr viel Wabrscheinliches, doch wollen wir hier nicht weilläufiger sein, so gerne wir unsere Vermutung noch kräfliger stützien. Wir wagen es ja auch nicht mit aller Bestimmtheit den Namen des Verfassers zu nennen, obwohl alle Anzeichen auf den Ammeister des Jahres 1592 selbst, auf Abraham Held, hinzuweisen scheinen’. Steht doch auch vor allen Dingen diese merkwürdige kurze Notiz, wie wir sie nie in der gleichen Weise in der ganzen Chronik finden, dazu noch ganz aus dem sonst so streng gewahrten chronologischen Zusammenhang herausgerissen, zu Bezinn des Berichtes über den bischöf- lichen Krieg, also zu Beginn des Jahres 1592:

«MH. Abraham Heldt gestorben. Adij 27. Septembris Anno 1594». Diese beiden Zeilen sind dazu noch in der Chronik unterstrichen. wohl ebenfalls nach der Vorlage. Diese Notiz ist an dieser Stelle gar nicht zu erklären, wenn wir nicht annehmen, dass sie ın der Vorlage ebenfalls an dieser Stelle gestanden hat. Dann ist aber auch die Vermutung sehr nahe. dass ein Glied der Familie Hel- oder ein anderer Besitzer der Vorlage diese Noliz auf den Anfang des Manuskriptes gesetzt hat, als der Verfasser gestorben war.

2. sAuch soll der Tarin bi an Nancij streifen » .533, «\nndt auf heutt dato zu Lichtenaw sambtlich an.komm=ne. :°\l) 3. A. Hell war Ammeister 1525. 157, 1530 u. 1592.

903

Könnten wir noch Beziehungen des Ammeisters Abraham Held zu dem Kochersberg nachweisen, so würden wir keinen Augenblick mehr zaudern, ihn für den Verfasser zu erklären, ist doch das Wort Kochersberg fast überall, wo wir darauf in dem Berichte stossen, unterstrichen, woraus ein besonderes Interesse an diesem Orte spricht.

Mag nun Held der Verfasser sein oder nicht, so viel ist jedoch sicher, dass ein einflussreicher und mit dem ganzen Hergange wohlvertrauter Mann und gewissenhafter Berichterstatter diese Vorlage der Saladinschen Chronik geschrieben hat, und zwar mit den Ereignissen unmittelbar gleichzeitig. Da wir die Treue unserer Chronik gegenüber ibren Quellen kennen, so liegt auch das dürfen wir mit Sicherheit annehmen in seinem Berichte über den bischöflichen Krieg eine getreue Wieder- gabe jener so sehr wichtigen Quelle vor.

Aber noch eine dritte verlorene Quelle müssen wir hier nach- weisen,

Alle oben gekennzeichneten Nachträge Saladins zu dem Texte des ersten Schreibers sind einer Handschrift entnommen, von deren Existenz wir jetzt nichts mehr wissen. Um die jährlichen Preise aus den städtischen Marktzetteln‘, die Woche für Woche die Preise für Weizen, Roggen, Gerste uud Hafer angaben, zu extrahieren nach Art, wie es Hanauer in seinen «Études économiques» gemacht hat, nahm sich unser Chronist sicherlich nicht die Zeit. Diese Marktzettel beginnen auch erst mit dem Jahre 1563, bei Saladin stehen jedoch die Preise der Frucht schon aus früherer Zeit verzeichnet. Der Preis des Weines aber, der Saladin ganz offenbar mehr interessiert als der Fruchtpreis, ist in diesen Marktzetteln überhaupt nicht angegeben. Sie enthielten ja auch nicht die kleineren sonstigen Notizen der Saladinschen Nachträge. Deshalb können diese Marktzettel ebensowenig Quelle der Nachträge gewesen sein, wie es eine andere jetzt noch erhaltene Handschrift war. Die Quelle ist also als verloren oder mindestens als verschollen zu betrachten. Wenn wir auch über diese verlorene Quelle nicht so Wichtiges zu sagen vermögen, wie über die Quelle des Berichtes des bischöflichen Krieges, so wissen wir doch mit Bestimmtheit ihren Entstehungsort. Es ist zweifellos, dass sie in der Strassburger Herrschaft Barr entstanden ist. Wird doch in den Nachträgen jedesmal vermerkt, dass der angegebene Preis des Weines auf dem Schlage zu Barr

i. Aufbewahrt im Archiv des Thomasstifles (Abteilung des Str. St. Arch.).

9094

erzielt wurde’. In Barr, das Ilauptweinlieferant Strassburgs war, schrieb man eben die Preise des Weines Jahr für Jahr auf. Diese Aufzeichnungen entbehren sicherlich nicht eines gewissen offiziellen Charakters. Zu den Preisen des Weines setzte man dann auch die Preise der Frucht und kleinere Notizen über geschichtliche Vorgänge; ähnlich unseren mittel- alterlichen Annalen, aber mit noch mehr lokaler Färbung, mag also diese Quelle ausgesehen haben. Gewiss war sie auch noch viel reich- haltiger als Saladins Auszüge, zumal Saladin nur da seine Nachträge anbringen konnte, wo der erste Schreiber Platz dafür gelassen hatte, Auch dieser Quelle dürfen wir hohe Bedeutung wegen ihres Charakters beimessen. Die Saladinschen Auszüge, auf deren Treue wir uns ver- lassen können, haben uns somit einen recht interessanten Beitrag zur . Wirtschafisgeschichte des 16. Jahrhunderts aus dieser leider verloren gegangenen Quelle glücklich erhalten.

8 19. Eigenberichte der Saladinschen Chronik.

Wir haben sie oben schon genannt, die beiden Ereignisse, die das politische Interesse der Strassburger überall da, wo es noch schlief, weckten, das erweckte hoch spannte und das hochgespannte auf lange Zeit hin in dieser Spannung hielt: es sind der Strassburger Kapitelsıreit mit dem Diebskrieg und der bischöfliche Krieg von 1592/93, dessen letzte Ausläufer noch in das Jahr 1010 reichen. Die Geschichtsschreib- ung folgte diesen Ereignissen auf dem Fuss. Eine grosse Zahl Flug- schriften, die meist ephemeren Charakter tragen, entstanden, von denen uns auch heute noch eine ganze Reihe erhalten sind‘. Aber auch die

5. Noch beweisender für die Entstehung der Quelle in Barr sind die Stellen, wo Saladin ohne neue Überschrift in unmittelbarem Zusammenhange mit dem Texte des ersten Schreibers Barrer Ereignisse erwähnt. Z. B. Über die Pest vom Jahre 1563 berichtet der erste Schreiber: «In diesen 1563 Jahr kahm . . eine Pestilentz, das da sturben in den Sterben 1559 jung vnd alt . . . das blattners Hauß an dem Staden bei S. Clauß starb gar auß.» Hier fügt Saladin unmittelbar an. «Zu Barr starben 61% Personen gestorben » (113®). Ebenso geschieht es bei dem Sterben von 1582,33. Der erste Verfasser schreibt . . , , es starben «zu Straßburg an Jung und alt in der Statt undt im Spittal 1816 personen daran»; Saladin setzt wieder unmiltelbar hinzu: «Zu Barr starben 111 Personen» (469b.)

1. Vergl. E. GPRÔRER, Strassburger Kapitelstreit und Bischöflicher Krieg im Spiegel der elsässischen Flugschriften-Lileratur 1569-1618, (Strassburger Beiträge zur neueren Geschichte. Herausgegeben von Martin SPAHn, I, 2), S. 103— 121. Vergl. dazu A. Meister in der Deutschen Lit. Zeitung vom 25. Januar 1908, S. 234.

—" 00%

Familienchroniken jener Zeit zeigen recht deutlich, wie lebhaften Anteil an allen diesen Ereignissen der Strassburger Bürger nahm. Gerade nach dieser Zeit sind viele solcher Chroniken entstanden. So können wir denn auch in gewisser Weise mit der Erzählung jener Ereig- nisse Eigenberichlerstattung der Saladinschen Chronik annehmen, nicht als ob dem ersten Verfasser für diese Dinge keine (Quellen vorgelegen hätten, diese konnten wir ja bis zum Schlusse seiner Tätigkeit an der Chronik nachweisen aber es ist beinahe mehr als mutmasslich sicher, dass der Schreiber schon um 1590 in einem urteilsfähigen Alter stand, und war der erste Verfasser Carl Ringler, so war er ja auch schon verheiratet. Er konnte also die meisten der erzählten Tat- sachen an seinem Gedächtnisse auf ihre Richtigkeit prüfen, und er hat sicherlich nichts in seine Ghronik geschrieben, von dem er überzeugt war, dass es direkt falsch war. Auch konnten wir einige kleinere Notizen aus jener Zeit nicht mit Quellen belegen, sie also müssen Eigen- berichte des ersten Verfassers aus seinem Gedächtnisse sein. Zusammen - hängende Eigenberichterstattung vermögen wir jedoch keinesfalls dem ersten Schreiber zuzusprechen, da er seinen Quellen folgte bis zum Schlusse seiner Arbeit.

Aber die Berichte über die Zeit von 1611—1621 sind fast aus- schliesslich Eigenberichte Saladins in der Weise, dass er das Selbst- geschaute und Selbsterlebte dieser Zeit seiner Chronik anvertraute. Dass wir ihm die Ireue Benutzung einiger weniger Flugschriften und Mandate nachweisen konnten, gereicht der Chronik nur zum Vorteil, da wir daraus schliessen können, dass er auch die jetzt verloren ge- gangenen Mandate und Jahrzettel recht getreu abgeschrieben hat. Da dieser Abschnitt über die letzten 10 Jahre ständig reichhaltiger wird, da er uns immer mehr Notizen für die Kenntnis des wirtschaflichen Lebens in Strassburg übermittelt, da er die sozialen und siltlichen Zustände in der Stadt zu Beginn des 30 jährigen Krieges immer. ge- nauer und ausführlicher schildert, so bekommen wir ein sehr gelreues Bild über den kulturellen Zustand Strassburgs vor Beginn des gewal- tigen Krieges, der so viele kulturellen Keime und Früchte auf lange Jahre hin zerstörte. Der hohe Wert gerade dieses letzten Teiles für die historische Erkenntnis liegt klar auf der Hand und bedarf keines Beweises mehr.

906 Schluss.

Wert der Saladinschen Chronik.

Der Wert einer Geschichtsquelle wird in erster Linie darnach be- stimmt, ob die berichteten Tatsachen bisher schon bekannt oder noch unbekannt waren. Erst die bisher unbekannten Tatsachen werden auf das Vorhandensein anderer Faktoren ihrer Wichtigkeit untersucht. Die ältesten d. h. ersten Teile der Saladinschen Chronik von Gründung Strassburgs bis Ende des 14ten Jahrhunderts sind uns fast vollständig sach- und formgetreu durch die Ausgaben der Königshofer Chronik bekannt geworden. Die wenigen Tatsachen, die Saladin aus dieser Zeit mehr bringt als Jacob Twinger, sind uns bereits in den Publikationen der Fortsetzungen Königshofens vor Augen getreten. Was die Ab- weichungen von allen diesen in der Bischofsreihe angeht, so glauben wir am besten zu tun, diese nicht der Öffentlichkeit zu übergeben, da sie historisch beglaubigter Grundlagen entbehren.

Auch über die beiden folgenden Jahrhunderte (1390—1590) sind wir durch die publizierten Fortsetzungen Königshofens teilweise mit den- selben Worten und in derselben Form unterrichtet. Aber die Saladinsche Chronik bringt über diese Zeit doch recht viel Neues gegenüber diesen Fortsetzungen. Wir sind also in der Lage, ziemlich umfangreiche Partien dieser beiden Jahrhunderte als bisher in dieser chronikartigen Form unbekannte Tatsachen zu publizieren. Wenn auch diese Teile nicht direkt verlorene Partien der Chronik Johann Jacob Meyers und der Collectanea Daniel Specklins sind wir wollen dies durchaus nicht in Abrede stellen —, so werden sie doch viele verlorenen Teile dieser Chroniken glücklich und vollständig ersetzen.

Dass die Berichte von 1592 bis 1621, sowie die Nachträge des zweiten Schreibers Saladin zu dem Texte des ersten Verfassers unverkürzten Abdrucks in hohem Masse wert sind, bedarf nach unseren obigen Aus- einandersetzungen über diese Teile keiner weiteren Darlegung.

Wenn wir uns auch in vorliegender Einleitung manchmal wegen Mangels an Material auf das etwas schlüpfrige Gebiet der Hypothesen begeben mussten kein Quellenkritiker kann dieses Gebiet ja ganz vermeiden —, so glauben wir doch durch unsere Arbeit einen der Wissenschaft vielleicht nicht unwillkommenen Beitrag zur Geschichte der strassburgisch-elsässischen Historiographie zu Beginn des 17. Jahr- hunderts geliefert zu haben.

> 0 oe

| Ju f u

| 5

FRAGMENTS DES ANCIENNES CHRONIQUES D’ALSACE. :

FRAGMENT DE L'ARMORIAL DE LUCK :

LES INGOLD.

PUBLIÉ ET ANNOTÉ

Par A. M. P. INGOLD.

8. XXIL (M.) 14

Armoiries actuelles de la famille Ingold

avec la modification de 1466.

AVANT-PROPOS.

ALES Te

La Sociélé pour la conservalion des monuments historiques d’Alsace avait, dès 1868, pris sous son patronage un Comité qui se proposait de publier successivement les chroniques d'Alsace restées manuscrites et dont la plupart, ou du moins les plus importantes, étaient conservées à la bibliothèque de la ville de Strasbourg. «On sait quel fut, deux ans plus tard, le sort de cette bibliothèque : sauf la grande Chronique de Kæ- nigshoven qui, à ce moment même, s’imprimait à Leipzig, toutes les principales chroniques strasbourgeoises disparurent pour toujours avec la Herrade et tant d’autres manuscrits pre&cieux'.» Réduite «à en re- cueillir les fragments épars et à glaner dans un champ naguère couvert d'une si riche moisson»*, notre Société reprit cependant le projet de 1868 et publia, de 1887 à 1889, toute une serie’ d'importants docu- ments sous le titre de Fragments des anciennes chroniques d'Alsace.

Le document que nous mettons au jour se rattache d’une certaine façon à cette collection. C'est aussi un fragment d’une des richesses disparues dans la néfaste nuit du 24—%5 août 1870, non pas, il est vrai, d'une chronique proprement dite, mais d'un recueil également précieux pour l’histoire de notre pays. Ce manuscrit, appelé vulgaire- ment l’Armorial de Luck‘, comprenait une trentaine de forts volumes in-folio de matériaux sur les principales familles d'Alsace, volumes qui, malgré leur état un peu informe, élaient toujours consultés par les personnes qui faisaient des recherches sur l’histoire des familles de notre pays. Leur perte est irréparable, comme le dit avec raison M. Kindler de Knobloch’. Aux pages 184—186 d'un de ces volumes,

1. Chanoine Dacueux, La petile chronique de la Cuthédrale. Avant-Propos.

2. Ibid.

3. En tout quatre volumes.

4. Sur ce Gall Luck on trouvera quelques renseignements dans L'Alsace au dix- septième siècle, de M. Reuss, Il, p. 214 et 217. Ni LEHR, A/sace noble, ni VACHON, Inventaire des Œuvres d'art détruiles, ne parlent du manuscrit de Luck.

5. Das goldene Buch von Strassburg (Vienne, 1885) p. 5. L'auteur a inséré dans cet ouvrage une notice sur la famille Ingold, p. 135—136 et planche 202.

210

intitulé Genealogie und Wappen aller vornehmer Burger Geschlechter, se trouvait le morceau qui suit et dont mon père avait fait faire en août 1868 une copie vidimée!.

Ces quelques pages ne concernent que notre famille. Mais comme elle fut, dans le cous des siècles, alliée à un grand nombre de familles importantes du pays, elles ont, croyons-nous, un caractère assez général pour mériter de voir le jour. Peut-être provoquerons-nous ainsi la publication de fragments analogues, conservés sans doute dans des archives particulières d'Alsace, et pourra-t-on reconstituer ainsi, en partie du moins, l’un des plus précieux trésors disparus en 1870.

Ce fragment de Luck se compose de quatre parties. La première va, avec assez d'ordre, de 1353 à 1624 (I). La seconde est un tableau généa- logique de la descendance de Nicolas Ingold et de sa femme Ursule de Truchtersheim (II). Vient ensuite un fragment de généalogie de quelques familles alliées aux Ingold (les Mollinger, les Vogler), fragment si mal disposé, que nous sommes obligé de l’omettre. Enfin, dans une qua- trieme partie (Il), Luck complète les notes du premier paragraphe.

Çà et nous avons ajouté quelques courtes explications du texte, prises souvent dans d’autres passages de l’Armorial de Luck, et en appendice (IV), un tableau généalogique donnant la continuation du premier tableau pour la branche haut-rhinoise de la famille Ingold, à

laquelle nous appartenons*. A. M. P. IncoLo.

1. «Le soussigné, conservateur de la Bibliothèque de la ville de Strasbourg, certifie véritable et conforme au texte original le présent extrait d’un volume manuscrit intitulé Genealogie und Wappen aller vornehmer Burger Geschlechter, feuillets 184, 185 et 186, volume faisant partie de la collection de l’Armorial de Luck.

Strasbourg, 27 août 1868.» Signé: Aug. SauM, bibliothécaire. (L. S.)

2. Les quelques armoiries que nous reproduisons avec le texte de Luck sont les seules que contenait le manuscrit.

Nous respectons absolument l'orthographe, parfois fantaisiste, de Luck.

Ingoldt.

1353. Conrad filius Nicolai Ingoldti.

Conradi Ingoldti uxor. 1389. Johan Ingoldt et ejus filia Dina Ingoltdtin et Barbara Bügin. 1460. Claus Ingoldt!. 67. 68. 1518. 21. 22. ER ER 1491. Heinrich Ingoldt. 92. 1502. 7. 8. 11. 12.

1513. Mathias Ingoldt. =. der Bürger- 1519. Friederich Ingoldt. = grossen 1545. Philippus Ingoldt. alh“ à eir.

mn = = mm nn nn ee mn

1. Dans quelques autres notes, prises autrefois par mon père à un autre endroit de l'ouvrage de Luck, un Claus I. de Haguenau devint en 1340 bourgeois de Strasbourg.

Dans la collection Heitz figurait sous le 5320 (p. 323) un «Contrat de vente pour biens à Haguenau entre CI. 1., fabricant de drap à Haguenau, ct Porthentz, tonnelier», daté de 1:05.

2. Sur le grand Sénat voir MÜLLER, Le magistral de la ville de Strasbourg, p. 1.

9/2

1307. Heinrich Ingoldt curator Pauli Claus Mügij' 6lij | Ursula von Moltzheim® Friderich Ingoldts hauszfrau. Hans Ingoldt, so man den edlen Ingoldt nente, wahr anduer ‚der Rüitterschafft im Rath allheir. In dem Closter zu den Reweren’ steht Ingoldt und Dedinger Wapen in den Fensteren darbeij steht Ilans Ingoldt in dem anderen Fenster darneben wider umb Daniel Ingoldt. 1419. Heinrich Ingoldt zu Hagenau.

1413. Heinrich Ingold von wegen der Statt Hagenau auf deu Taz zu Nurenberg alsz Kaijser Sigmundt wider die Hussiten in Böhmen ziehen wolte.

1436. Heinrich Ingoldt schoffen zu Hagenau | A? 1.... obiit Catha- obiit 1439. rina zum Helffanth‘

1444. Hans Ingoldt burger zu Hagenau hatte | Ineitorie Laut Erik Margred Conradi Grümmels tochter. S. Thomæ.

1446. Claus Ingoldt et ...... Grempin, Johannis Grempii schwester.

1453. Cuntz Ingoldt.

1454. Hans Ingoldt schöffen zu Hagenau' et 55 d. ubergab sinn m- sigel 1455 auf Lunae post Viti Modesti.

1457. Obiit frau Catharina . .... Hans Ingoldis in der oberen Strassen hauszfrau.

1458. Johan Ingoldt priester und Caplan des heiligen Creutzes Münster zu Andlau.

1460. Obiit Elsa Ingoldtin Claus Ingoldti desz Kauflmans mutter domi- nica ante Dionisij. «odem Claus Ingoldt in dem groszen Rath beij den Kiämeren et 64. 08.

m

1. Famille noble d'Alsace. Voir SCH-EPFLrs-Ravenez, IV, 523. 53, 531, et V, 8%: KISDLER DE ÄNOBLOCH. p. 26, et surtout Mirgisches Familien-Buch, Mulhouse, 1°:!.

2. Idem. Voir ibid IV, 336, et V, 6235, et B. Herrzo:, V, p. 192; KRINSOLER DE Äyo- BLOCH, p. 252.

3. Sur ce couvent voir Msafia sera. II, 357.

à. Famille noble d'Alsace. Cf. B. HERTZOS, X. p. . «Schöffen des Kaijserlichen Lan-isgericht zu Hazenaw”. (Notes de Luck. Ce Jean Inz-!l pourrait étre aussi celui à qui l'évêque Albert de Bavière “on:a en 1472 des lettres d’investiture de l'office d= mocnayeur. ıPubliees dans LEvRAcLT. Essai sur Tancienne monnc'e de Xr:shourg. p. 417. Cet auteur dit à cette occasi:2 qu'ron peut Consiièrer ces lettres comme des i-itr:s de noblesse achetées par fs baurs-ois à Sa chancelieris épis orale”.

Ti Qt

= Hin

65. Obiit Hans Ingoldt canoni st sp eh en Zu St. Walburg in dem Hage-

1462. Matheus Schwab Claus Ingoldts N RE | Be eutzgang ligt stieffsohn. ein Grabstein mit Ingolt Wapen

1461. Obiit Heinrich Ingoldt. se = ARS darüber

1465. Claus Ingoldt et Hans ejus filius. |" und Due

1466. Claus Ingold et ejus filij Joh. et Conrad.

1472. Claus Ingoldt diszer führte in seinem Wapen unden 3 Gruene- berg'; gehört aber auch under dieses Geschlecht. Obiit 1474 feria à post Laetare.

1477. Bernhardt Wurmbser curator Claus Ingoldts zweijer Kinder Mariae et Daniels.

Maria Ingoldtiin et Hans Wilhelm von Rothweil eheleuthe. Hans Ingoldt ihr Bruder und Heinrich Ingoldt ihr Vetter.

1353. Conrad Ingoldt et Barbara Bugin von Basel obiit ut dictum laut Epithaphij S. Thoms*. Disze führten in ihrem Wapen ein Rappenkopfl.

1483. Wardt Heinrich Ingoldt Claus Ingoldis seelig sohns Vogt. Eodem OBS. des uxor Conradi Ingoldt.

1486. Conrad Ingoldt vicarius im Münster, 1487 Heinrich Ingoldt. Wendeling Kern und Anna Ingoldtin eheleuthe laut Epithaphij zu Eschau. 1488 Heinrich Ingoldt 3tr auff dem Pfennigthurm allheır.

1490. Heinrich Ingoldt et Clara Gerbottin ejus uxor. Haben den Altar in S, Barblen Kirch machen lassen. Ihr Wappen sindt in gemelter Kirch in den fenstern undt mauren. Haben in den Strassen in dem Hausz zur Kelten gewohnt".

I. En effet dans les Lettres d’armoiries accordées à N. Ingold par l'empereur Frédéric, le 19 juin 1466, trois monticules de sinople sont ajoutés aux armoiries primitives de la famille. J'ai publié ces lettres d'après l'original, encore conservé dans nos archives de famille. (Miscellanea alsatica, Il, 139.)

2. Sur les épitaphes de membres de la famille Ingold qui existaient à Saint-Thomas, voir SCHNEEGANS, L'église Saint-Thomas, qui dit que «la munificence avec laquelle les Ingold avaient doté les autels, institués par eux à Saint-Thomas, de prébendes et de vicairies, ft pendant longtemps révérer leur mémoire dans cette église», Aujourd'hui une seule de ces tombes est visible, celle de Conrad Ingold, dans le transept droit.

3. Il ne reste rien de l'ancienne église de Sainte-Barbe, ni du vitrail en question. Par contre H. Ingold et sa femme figurent aussi sur un des tableaux du pourtour du

chœur de Saint-Pierre-le-Vieux. Cfr. Miscellanea alsatica, II, 143, ce lableau est :

reproduit en partie.

214

491508 wardt herr Heinrich Ingoldt zu einem herr Ammeister erwölt ahn herr Jacob Weisbachs statt. Halt 2 mal regirt 1509 und 151 1.

4491. Heinrich Ingoldt in dem groszen Rath zum Spiegel all- heir, und 92. 1502 7. 8. 11. 12.

1495. Hans Ingoldt. eodem obiit Clara Gerbottin Heinrici Ingoldi uxor. eodem obiit Hans Ingoldt im groszem Rath zum Spiegel. 14%. 1501. 15. 16. | 1497. Mattis Ingold 3ter auf dem Pfennigthurm allhier.

1496. Obiit Brigitta Ruhlmännin oder Dedingerin uxor Johann Ingoldts civis Argentorati die Jovi post Ulrici.

1498. Ilans Ingoldt vicarius chori hoher Stift Straszburg-

1499. Obiit Johan Ingoldt vicarius chori Ecclesiae maioris Arg. feria 2 post Jacobi.

4500. Conrad Ingoldi. 1503 obiit Daniel Ingoldt civis Argentorat lunae post Mathei.

Eodem Conrad Ingolat.

1506. Validus Conrad Ingold. Eodem Ileinrich Ingold erga dominum Georgium Ebel conventualem S. Arbogasti filius Johanni Ebel: de Hagenoe ab ipso et Brigittae Ingoldin ejus uxore el sorore Heinrici Ingoldts procreatus?.

1507. Obiit Hans Ingoldt senior civis Argentorati Jovis post Othmarı erat pulsus magnus’.

Eodem ovbiit ejus uxor Brigitta Dedingerin. Grabstein in der Pfarrkich zu S. Thoma.

1508. Hans Ingoldt, Bläs Doldt sinn Schwer. Margared Doldin ejus filia Ingoldi uxor.

1509. Johan Ingoldt iunior et mercator. Eodem Conrad Ingoldt et Barbara Bugin ejus uxor. Eodem obiit Conrad Ingoldt civis Argentorati vigilia Joannis Baptistae.

Eodem Hans Ingold 3ter in der Muntz zu Strasburg.

a

1. B. Hertzoc, VIN, p. 91 et 92, qui donne à cette occasion les armoiries de H. Ingold. C'est pendant qu'il était pour la troisième fois ammeistre régent de Stras- bourg, que H. Ingold eut l'occasion de donner à Erasme ‘la plus belle hospitalitr dont on put honorer l'illustre voyageur. Méscellanea alsatica, N. p 113.

2. «1506. Validus Conrad Ingoldt et Heinricus Ingoldt cujus soror Brigitta nupsit Johannem Ebelen de Hagenau et genucrunt Gcorgium conventuatem S4 Arbogasli.s Notes de Luck.)

3. Sic. Phrase incompréhensible, sans doute mal lue dans Luck par le copiste.

45

1610. Obiit den 12 julii Philippae Ingoldt et ejus uxor fuit Felicitas Messigerin, Lucae consulis filii zeugte mit ihro Franciscum Rudolphum, XVII virum, diszer hatte zum Weib Salome Widin 1597. Natus est Ingoldt 1572 den 24. August. zeugte 9 Kinder: 1. Philippum. 2. Fridericum. 3. Franciscum Rudolphum. 4. Foelicitatem. 5. Foelicitatem'. 6. Catharinum uxor Joh. Fran- cisci Koenigs prefecti in Wasselnheim. 7. Salome uxor Johan Caspari Voglers V. J. Doctor. 8. Dorothea uxor Ernesti Fridericı Mollinigeri. 9. Mariam".

1632. Obiit Elias Habacuc Ingold XV" Francisci Rudolphi Ingolds XIII viri et scolarchae frater. Natus est Elias Habacuc XV vir Argentinae 1573. a Philippo Ingold et Foelicitate Messingerin. Matrimonio sibi juxit’ Annam Joh. ab Hoenburg consulis filiam ex qua suscepit 41° Johannem Philippum Ingoldt jam Kornmeister, ejus uxor Susanna Falckin. Mariam uxor Joh. Friderici a Gottesheim quaestoris S. Nicolai et Mathei in undis. Anna uxor Alberti Wesners pharmacopolae. Foelicitatem uxor secunda Joh. Gollen senatus maioris assessoris. 1604 den 12 Mai) prefectus fuit auf Herrenstein. 1629 den 21 8bris ist er schöffel worden und 1630 XV vir den 16 8bris. Auch oberherr zu den Blumen undt Pfleg zu Barr und im Waiszenhausz‘.

1513. Mathias Ingoldt im groszen Raths. | 1514. Claus Ingoldt 3er in der Muntz zu Straszburg.

1516. 8 Joh. Ingoldt 6 post Laetare, hatte zum Weib Margred Doldin Blasij Dold tohter.

vo... David Ingoldt ist ein Münch geweszen vermög desz fensters im chor zu S. Barblen”’.

v

I. Cette seconde Félicité mourut aussi prématurément. Cfr. Lacrymae fusae super obilum praematurum.... Felicitatis.... Dni. Fr. R. Ingoldt filiae pientissimae.... Argentorali, typis Rihelianis, 1612. In-i° de 16 ffnn.

2. Sur Fr. Rodolphe Ingold, cfr. Miscellanea alsatica, III, 275, est reproduit son portrait d’après la gravure d’Aubry, la même que nous donnons en tête de ces pages.

3. Le 23 août 1598. (Registres de l’état civil: paroisse de Saint-Pierre-le-Jeunc.)

4. Luck, à un autre endroit, donne encore ce détail: «In Hispaniaın, Galliam et Portugalliam perlustravit.» |

5. «1489. Daniel Ingoldt.» (Notes de Luck.) C'est vraisemblablement la date de la mort du célèbre dominicain, sur lequel il y a une notice de mon père dans les Miscellanea alsatica, IL, p. 269.

216

1518. Ursula von Druchtersheim Nicolai Ingoldt vidua ounc Wolfgang Wurmbsers hauszfrau ligt begraben zu Eschau da auch ihr sohn Hans Ingoldt begraben welcher Ursulam Prechterin zu Ehe gehabt und gestorben 158%.

NB. Ingoldt Wapen schild mit den 3 gelben Berglen belündi sich nebend Muhler Schildt auf der Rechten seiten zu den Guten leüthen undter einem alten Gemält.

co... Friderich Ingoldt und Jacobus gebrüder. Anna Ingoldtin filia Conradi Ingoldis uxor Jacobi Freverlaus Ecelesiae Argent. procurator. Eodem Claus Ingoldt im groszen Rath bev den Freiburger.

1519. Mattias Ingoldt und Heinrich Ingoldt von Hagenau Eodem wahr Friderich Ingoldt im groszen Rath zum Spiegel und 29 und 30.

1520. Obut Matheus Ingoldt lunae post Simon Judse. ---... obiit Agnes Breuningin relicta quondam Matteae Ingoldi die martis post Martini.

1520. Jacob Ingoldt civis Argentinensis. Eodem Jacobus Ingoldt et Veronica Mügin'! ejus uxor.

1521. Claus Ingoldt im graszen Rath bev der Tucheren et 1,22 obiit Margaretha Argin uxor Friderici Ingoldt die mercuni prit Mariae Magdalenae. EoJem Agnes Inzoldtin filia Mathis Inzuläts uxor Johannis Iagolit deren Schwester hatte Johan Philipp von Müllenbheim:.

1,23 Obut Heinrich Ingold alt Ammeister. Testat dasz man ihn in dass Grab der trau Clara Gerbottin seine Hauszfrau selig lit zu S. Thoma }ev S. Linnhardts Altar, der Ingolden Altar z:- nandt, bezrabe. Undt bitt Hans Ebel weilendt Hans Ebels un] Brizittas Ingoltin seiner Schwester seliz Sohn, dasz er ihr den Leibiall «ll halten lassen. Eodem Georg Ebel praeposit:: S. Arbozast frau Brizittas logolun Henrici sororıs flius

152}. Obüt Jacobus Ing:lit civis Argentinensis die Corporis Christi.

tant. 2378. CLR Dep. nirı M2, Jasobi Taxi viizz » ıNot2s de Lisa. JL. Bares nantes des 22210! ives les de Walde cf le Fımslienhuch der Freins. 00. Momen-Rt se; Ta le ar: ia M2 Strasicore. 18T. 5 =

1564.

1565.

1507.

17

Obiit providus vir Jacobus Ingoldt XV vir Argent. ante 3 Regum die veneris.

. Friderich Ingoldt et Ursula Ludovici von Moltzheim et Annae

Mürschlerin tohter et Eheleuthe.

. Georg Friderici Ingoldi Sohn von Johannae Eblerin. Hans

Ebels tohter.

Ursula filia quondam Friderici Ingoldi. Eodem Ursula Ingoldin filia Friderici vendidit Georg Ingold aliquod.

Ursula filla Jacobi Ingoldi et Veronicae Mügin. Eodem Anna Ingoldin uxor Wendelini Kernen.

Georg Ingoldt.

Philipp Ingoldt et Catharina Eblerin filia Hans Ebels et Susannae Prechterin.

Eodem Florentz Ingoldt' Jacob Ingolds et Veronicae Mügin Sohn.

. Philips Ingoldt im- groszen Rath zum Spiegel et 1558.

Hans et Philippus Ingoldt brüder. Vide Ingoldt in Familia a Kipssen apud B. Hertzog, lib. 9. fol. 167.

Anna Ingoldtin Sebastiani Weidmans civis Argentinensis vidua. Eodem Philip Ingoldt der Eltere burger zu Straszburg und Georg Ingoldt sein Vetter.

Friederich Georgij Ingoldts sohn hielt Ilochzeit mit Jungfrau Ursula von Moltzheim. Vide supra.

Anna Ingoltin legavit Rosinae Reiffin Johan Reiffen tohter ein vergültenen Becher. Eodem Georg Ingoldt im groszen Rath zum Spiegel und 1564.

Jungfrau Salome Ingoldin Georgij filia 1567 Johan Ingoldt senior.

1572. Philips Ingoldt mercator undt dessen Creditorem Jacob Wolff

1586.

1580.

von Schöneck sein Schwager.

den 22 Aprilis obiit Ursula Ingoldin Friderich Ebels wittib umb 7 Uhren vohrmittag.

Hans Ingoldt der jüngere.

1. «1557—58. Flor. Ingold im grossen Rath.» (Notes de Luck.)

218

1582. Veronica Ingoldin hielt Hochzeit den 15 Maij mit | Muller in Jacob Messingers seines Schwagers behauszu

1585. Hans Ingoldt iunior dienete zum Hohensteg dessen Suzanna Tuckmändlerin nahm ihr tohter Dorotheam von enburg zeugle 2 Söhne undt 3 töchter. Hans Wilhelm | der Fürstenbergishe Amptmann'. Dorothea Ingoldin obiit standts. Rosina Ingoltin verheürathet sich mit ......

Anno 1620 16 8br. wardt herr Elias Habacuk Ingoldt zu eineı erwölt ahn statt herr Heinrich Widen.

Anno 1633 13 bris obiit Maria Ingoldin dni. Francisci Ru Ingoldi XIII viri et scholarchae filia aetat. 18, mens. 8,

Anno 1632 11 non. Xbris. Nupt. celeb. Casparus Vogler doc Salome Ingoldin.

NB. Die Vogler führen in ihrem Wapen einen gelben mit offenen flüglen in blauwen Feld undt auff gelben Ast stehendt. Dieses doctor Vogler Mutter | ihrem Wappen 3 gelbe Eijchlen mit grünen hülfen.

1624 die 19 februarii obiit frau Felicitas Messingerin. Nata patre viro ampliss. prudent. dn. Luca Messingeren lib. Reipub. Argent. consule merilissimo; mater Catharina W cognomento Schôneckerin. Nuptias celebr. 1568 n 8bris 19 cum Domino Philippo Ingoldo, zeugte mit ihm 3: undt 1 tochter nemblich: Philippum, Catharinam, Franci Rudolphum et Eliam Habacuk, quorum 2 priores praecoci morte absunti sunt. Vidi Programma funebre e uti dictum.

1642 3 janv. obijt Franciscus Rudolphus Ingold XII vir et scl cha. Natus 1572 24 augusli, patre Philippo Ingoldt, : Foelicitate Moessingerim. Nupt. celebr. 1537 cum Salome \

{. Ce Jean Guillaume Ingold samtmann zu Donaucschingen» épousa une de Vo (Cfr. le journal de leur beau-frère J. J. de Staal, de Soleure, publié en 1% A. Hartmann.)

J. G. Ingoldt devint ensuite «prefectus in Kientzheim» en 1618. Un acte de des Archives de Colmar le qualilic de «Wohl edel gestrenck Juncker J. W. I sraflicher Furstenbergischer Rath und Oberamptmann in kKiensheim». (Ci tableau généalogique de Luck.) Cette branche de la famille Ingold resta en laute-Alsace, à Ingersheim ensuite, puis à Wattwiller, Cernay, Soulzm Colmar.

919

ex qua suscepit 3 filios et 6 filias. Scabinus electus 1608. Zum Spiegel. Assess. sen. minoris 1605. 3 jan. 1607. 8 jan. Triumvis ararij publici. 1608. XV vir electus in locum Ulrici Mürschels 27 febr. 1610. 23 maij. XIII vir electus in locum Matthiae a Gottesheim undter der freyburger Zunffi zum Ober- herren aber der 28 julij. 1610 den Spiegleren wider gegeben. 1620 27 bris Scholarcha. Vide ejus Programma funebre eodem ut supra!

1. Laudatio posthuma que illustris viri Francisci Rudolphi Ingoldi.... Patriae et Scholarum patris memoriam publica pielate honoravit Academia.... Argentorati, typis Mulbii, 1642. (Portrait gravé par Aubry.

IX.

4400 obiit honestus ac providus vir Conradus Ingoldt civis Ar- gent. filius Nicolai Ingolds. Pre- bendarii hujus altaris.

AP 1465 8 idus Julij obiit honora- bilis vir Dnus. Johannes Ingold canonicus Surburgensis. Chron. Bernh. Hertzogs 1. 3. p. 61.'

1483 21 janv. obiit honesta Bar- bara Bügin Conradi Ingoldts uxor. Dabey diszes Wapen.

SE

Dise folgende Ingold wahren 3 desz Stalls.

1483 Heinrich Ingoldt 3 desz Stalls. |

1519 Jacob Ingoldt, ibidem.

Ao 1553 Florentz Ingold, ibidem.

A0 1556 Georg Ingoldt, ibidem. Folgende wahren 3. Auff dem Pfennigthurm.

1506 Friderich Ingoldt.

1507 Frantz Rudolph Ingoldt.

A0 1545 auf den 7 Tag desz Brachmonats da starb die Ehrenreiche fraw Ursula von Truchtersheim. Erstlich desz Ehren hafien weiszen herren Claus Ingoldis noch gon desz edlen undt besten Juncker Wolff Wurmbsers verlassene wittfraw deren Gott gnädig sey. Dabei stehet erstlich der Ingoldt Wapen, darneben der Wurmser Wapen undt undter disen beyden Wapen diszes Wapen in Stein gehauwen. Welches Epitaphium oder Grabstein zu Eschauw in d. Kirch zu sehen ist.

4400 obiit providus vir Johannes Ingold a. Argentina hujus altaris fundator. Orate pro eo.

Dabey steht der Ingoldt und Dedinger Wapen gemalt. Diszes Epitaph. ist in St. Thomaskirch zu Straszburg.

1552 9 julij ® Anna Ingoldin uxor ornatissimi viri Wendelini Kernen, chori majoris ecclesiae Argent. oeconomi.

Dabey disze Wapen.

I. On a voulu l'identifier avec le dominicain Ingold, mais à tort croyons-nous.

994

49577 25 maij auf Urbani 9 Hans Ingoldt senior in der Münstergassen wohnhaf.

A0 15... hat her Maximilianus Herr zu Barr Philipp Ingolden Seinen gebührend Theil an der Hersschañt Barr versetzt, für undt vmb 000 Gulden Straszburgerwehrung.

1548 haben ihr Burgerrecht aufgesagt zu Straszburg, weil die Schöffen des Interim nicht ahnnehmen wolten, sondern solches für die Gemeine weiszeten, Philips Ingoldt, Jacob Ingoldt, Georg Ingoldt, Hans Ingoldt, Jacob Ingoldts Sohn, Hans Ingoldt.'

À° 1507 18 Ybris obiit honestus ac providus vir Johannes Ingoldt civis Arg. Laut Grabsteins in S. Thomas Kirch allheir ; darauf Ingold und Dedinger Wapen.

Die Falcken führen in weissem Schild ein rotes Hertz darauf ein weisz + ausz dem Hertzen 3 greine Cleblättlein ahn stielen, auf dem Helm 2 weisse Büffelshörner darzwischen ein gleiches Hertz. Die Ilelm deckel rot u. weisz zu dem llelm.

A°1514. Mathis Ingoldt undt Agnes Breünigin Eheleuthe. Dero Wapen ist diszes

=

A°1593. 18 Aug. 9 Dorothea Widin, Florentz Ingoldts vidua.

A9 1624 24 febr. nupt. celebr. Daniel Pullianer cum Susanna Ingoldin.

1631 5 junij obijt Anna a Hoenburg, vidua Elias Ilabacuc Ingoldis XV viri.

A0 1587 11 Xbris nupt. celebr. Friderich Ingold, Georgij senioris filius, cum Foelicitas Sensenschmidin, des Johannis Sensenschmidts undt Catharinae Wölffin filia.

1573 15 julij ist Anruffung Ingoldischer Creditoren. Hans undt Philips Ingoldt bede Vetteren Schuldhalben in Thurn kommen, undt hat herr Georg Ingold der alt versprechen müssen bisz er weder

1. A la tête des citoyens qui abdiquerent ainsi leurs droits était Henri de Mullen- heim. (J. M. Pastorıus, Von den Ammeistern der Stadt Strassburg, p. 169.)

9922

Guth noch Blut, verenden wolle, od. ausztretten. Sie sollen dem Bischoff von Straszb. 8000 gulden p. rest einer mehreren Schuld schuldig sein geweszen. Dessweg auch d. Bischoff gedachten, Philips Ingold sein Schlösslein zu Bishem' allhier mit gewörler Ilandt eingenomen den 18 julij 1573. alle gemach undt trög eröffnet. undt wasz darin inventirt. Auch der Ingoldischen alle ihre gefäll so sie in dem Bistumb gehabt arrestirt. Esz hatt aber die Statt Straszb. bey dem Bischoff für den Ingold inter- cedirt. Wie wohl vergäblich deszwegen die Statt dasz Schlôss- lein mit gewalt wider umb eingenomen 24 august. 1573 undt dem Ingolden restituirt.*

1. «Am Berg unweit von Roslieim.» Scha&kuaNs, Strassburgische Geschichten, p. 9. C'est le Bischenberg se trouve aujourd’hui un couvent de Rédemptoristes.

2. Sur toute cette histoire voir l'ouvrage de Schnecgans cité plus haut.

PITON (Strasbourg illustré, 1, p. 203) la raconte ainsi: -Les Ingold, qui avaient un grand commerce d'ttoffes et de soieries, firent faillite en 1575, ct un des leurs fut incarcéré et mourut en prison. A l'actif de leur fortune figurait le château de Rosheim et au passif une somme de 10000 florins due à l'évêque Jean de Manderscheid. Le prélat, pour se mettre à couvert de sa créance, s’empara de suite de ce château, mais le sénat ne voulut pas admettre cette prétention de sc faire ainsi justice soi- même. L’ammeistre Carl Lorcher fit partir dans la nuit du 24 août un corps de 400 hommes avec 80 chevaux et 6 pièces d'artillerie, qui s’empar&rent sans peine du château à la pointe du jour, y mirent garnison au nom de la ville de Strasbourg et revinrent le soir de leur expédition, ramenant comme prisonnier le nouveau chätelain qui fut logé sur parole d'honneur à l'auberge du Cerf. Le château fut vendu au nom des nombreux créanciers avec lesquels l'évêque entra en partage pour le montant de sa créance.»

Claus Ingoldt und Ursula v. Truchters- heim.

1. On ren

s Ingoldin. 2. Foslieitas Ingoldin. (4 1626, 3 junij. 3. Catharins Ingoldin h. Frants Koenigs. 9 1636, 7 7bris. 4. Philippus Ingeld. 0. 5. Friderioh 6. Frants Rudolph Ingoldt. 9. 7. Salome Angel in, uxor Joh. Caspari » j. v.d. 9 1655, 10 juli). 8. Dorothea Ingeldin uxor Ernst. Friderioh Mollin-

dv. 1. Nupt. 1639 7 8bris. 9. Maria Ingoldin. 9 1633, 13 7bris.

ilipp Ingoldt, Kornmeister und Susanna Falkin. 3. Maria Ingoldin uxor derioi a Gottesheim questor. 8. Nicolaij in Undis. 3. Anna Ingoldin uxor

Wesners XVr. 4. Foclicitas Ingeldin uxor Johanni Gollen, asess. Sen. Argentinae.

goldin. n. 1576. Joh. Wilhelm Ingold?) prefectus in Küntzheim

. —- Rosina Ingoldin. Elisabetha Ingoldin. Carolus Julius Ingoldt. acob, n. 1577. "

alokin u. Joh. Goll, senatus maioris assessor.

alok u. Anna Maria Grünwaldin. ok u. Joh. Philippus Ingoldt, Elise Habaouk Ingoldts, XV viri, filius.

la 1657, 12 decembris.

e la descendance de ce Jean-Gulllaume Ingold jusqu'à nos jours.

| Alexandre Ingold.

Napoléon Ingold Marie Anne Ingold.

ép. Marie Anne Wittmer. Justine Ingold. Caroline Ingold.

Caroline Anne Ingold ép. Joseph Henri Baur.

Eugène Ingold. Victor Ingold. Palmyre Ingold.

Pierre Alexandre Ingold ép. Marie Susanne Lacroix.

1. Bernard Ingold curé de Stafelfelden. 2. Marie Anne Ingold ep. Fr. Joseph Jecker.

3. Barbe Ingold

ép. Nicolas Klein.

4. Joseph Ingold

ép. Marie Anne Bichler.

5. Blisabeth Ingold cp. Théophile Charlot. 6. Dominique Ingold

3 1. Victor Ingold | épouse Catherine Braun. | ép. Marie Butsch.

| Caroline Ingold.

Ferdinand Ingold Armand Ingold.

Célestin Ingold Pierre Ingold. mort pour la patrie en 1870.

2. Armand Ignace Ingold Angel Ingold. ep. Pauline Freund A. M. P. Ingold. Henri Ingold. Thomas Ingold.

et N** 90 Em, Richart Hub.Ingold) Francois Ingold. (161 ep. Louise Thouvenin. |) Maurice Ingold.

Jean

3. Angelique Ingold religieuse du Sacré-Cœur. 4. Célestine Ingold religieuse du Sacré-Cœur. 5. Virginie Ingold (1822—321.

6. Delphine Ingold (182i—62).

7. Léopold Ingold mort le jour de sa naissance 28 août 1827.

ép. Marie Reymann. | Fernande Ingold.

Paul Ingold Marie Louise Ingold | ep. Georges Remond.

a n ee A ee ann ame ee ee mn °

Nachtrag

zum Urkundenbüchlein

der

ehemaligen Ritterburg zu Dehlingen (U.-E.).

Im November 1902 machte mich Herr Oberstleutnant Kindler von Knobloch, bei Würzburg in Unterfranken wohnhañ, durch Vermit- telung der Kais. Universitäts- und Landesbibliothek von Strassburg, auf einige mir unbekannten Urkunden des adeligen Geschlechtes von Dehlingen, die in den Archiven zu Strassburg und in der Schloss- bibliothek zu Osthausen bei Erstein liegen, gütigst aufmerksam. Diese neuentdeckten Dokumente sollen als Nachtrag zu meinem Urkunden- büchlein der ehemaligen Ritterburg zu Dehlingen! dienen. Dem Herrn von Knobloch spreche ich hier nochmals meinen besten Dank aus.

Jos. L£vr.

1. S. Mitteilungen der Gesellschaft für Erhaltung der geschichtlichen Denkmäler im Elsass, Band XX, Il. Lieferung.

B. XXII. (M.) 15

994

1. Johann von Lupfenstein und Johann von Dehlingen, Edelknechte gesessen zu Zabern, vergeben den Schwestern in dem Golles- hause! «bi Stickelburnen»* zum Seelgerälte 2 Ohm Weingelds im Banne von Zabern, 1863. Jan. 13.

Kunt sie gedon aller mengelichen an disem briefe, daz ich Johannes von Lupphenstein und ich Johannes von Delingen edelknethe gesessen Zaberne got anegesehen hant und geben hant reth und redenlichen vur uns und unsere forderen selen ane allez widerrüffen den erberen sweistern und iren nochkummen, die do wonende sint in dem golzhuse bi Stickelburnen cimme reihen selgerethen eweklichen zwene amen wingeltez alle jar ierlichen herbeste gende ane allen verzoug, also wir su ligende heittent mit allen rehten uf disen güteren, die hie noch geschriben stont und sint gelegen in dem ban Zaberne item uffen zwo viergezal reben an der winterhalden, jeweder site nebent Zurnen und stosset uf Duczers myre. Item uf ein halben acker reben in der ewen nebent Gütkint Lorer und stosset uf der Melerin grozstücke und sulent die egenant sweisteren und ire nochkummen die zwene amen wingellez gemeinlichen bruchen und sulent uns die selen bitten und sol ich Johannz von Lupphenstein und ich Johannes von Delingen wir oder unsere erben an dem wingelte nyt iren in dieheine wiz. Und diz wor sie und steit urkunde, so han: ich Johannez von Lupphenstein und ich Johannes von Delingen unsere ingesigele an disen brief gehenket uns und unserer erben übersagende und steit habende dirre vurgeschribener dinge, der wart geben an dem nehesten fritage nach dem zwolfien lage in dem jare, do man zalet von golles geburt dritzenhend hundert sechzig drü jar.

Strassburger Bez.-Archiv, G. 5726 (8).

Mit Siegel der Aussteller.

-

1. Es war das Beghinenkloster von Zabern. In einer Urkunde des Zaberner Spitals von 1405 steht: «Eyne Hofestat mit allem gebü. . . gelegen in dem kleinen stetteln by Stikelburne eiasit, do man in der beginen hus geit, die ander sit stossende an der vorgenannten Eylse hus.» Und im Katalog des Kollegiatstifts lesen wir: « 1363 Beginen: Herr Joh. von Lupstein und Joh. von Dellingen, Edelknecht, vermachen denen ? Ohm Wein auf Güther zu Zabern. »

2. Dieser Born wurde später Beghinenbrunnen genannt. Gütige Mitteilungen des

Hrn. Pfarrers Adam von Zabern.

2. Johann von Dehlingen, Ritter, m Ankara wohndaf, vrkaf À Zinse in Wolfgangsheim', 1369, Jan. 17. |

Coram nobis iudice curie Argentinensis conslilutus Fo de Delingen armiger residens in opido Zabern Argentinensis dyocesis pro se el suis heredibus universis vendidit, tradidit et libere resignavit Johanni filio quondam Dieimari, dicti Vettersun de Westhofen, auri- fabro Argentinensi presenti coram nobis et sibi et suis heredibus ementi annuos sex° florenorum auri de Florencia bonorum et lega- lium iustum et sufficiens pondus habencium super bonis viniferis subseriplis, quas quidem reddilus ipse vendilor pro se et suis here- dibus universis solvere, dare et suis perieulis, laboribus, dampnis et expensis in civitatem Argenlinensem presentare singulis annis in festo sancli Martini episcopi ipsi emptori et suis heredibus de bonis sub- scriplis et eadem bona in cullura bona conservare et lenere promisit ipseque vendilor pro se et suis heredibus universis bona subnotala obnoxia esse voluit el obligata eidem emptori el suis heredibus pre- dictis redditibus solvendis et presentandis in modum antedictum ila videlicet quod si ipse venditor vel eius heredes anno aliquo lermino predicto in solucione et presentacione dictorum reddituum faciendis ut premillilur existerent negligentes aut bona subscripta in cultura bona non conservarent, quod tunc exartacionis finem debeant sabia- cere et nichilominus emplor predictus el eius heredes et coadiulores eorundem mediante iudicio seculari et sine iudicio dictum venditorem el eius heredes necnon ipsius el eius heredum inmobilia et mobilia bona quocumque nomine nuncupala, ubicunque locorum sita sunt, reperla fuerint vel inventa, apprehendere, occupare, invadere et inpi- gnorare valeant semper usque ad assecucionem plenam reddituum neglectorum pace lerre generali vel privata, iure municipali et civili, eonsueludinibus, statulis, civilegiis et libertatibus civilatum, opidorum terre el locorum quorumeunque indicio ecclesiastico et seculari necnon omnibus et singulis presidiis et libertatibus aliis quibuscumque non obstantibus in premissis ullo modo, quibus omnibus et singulis quoad omnia et singula in presenti instrumento contenla dielus venditor pro se et suis heredidus universis renunciaverit et renunciat per (|) pre- sentibus expresse. Et si insuper solucio et presentacio reddituum prescriptorum umquam per integrum annum immediale dictum ter-

I. Wolxheim bei Molsheim oder Wolfgangsheim bei Neubreisach. KxosLocH, Das goldene Buch von Strassburg, 436 und 37.

996

minum subsequentem, ita quod unus census alium attingeret, protra- herentur, quod tunc licitum sit emptori predicto et suis heredibus ac coadiutoribus eorundem, si voluerint, auctoritate ipsorum propria ac mediante iudicio ecclesiastico et seculari et sine iudicio subscripta bona ad se vocare et altrahere necnon cum ipsis disponere et ordinare pro sue libilo voluntatis contradiccione ipsius venditoris eiusque here- dum aut aliorum quorumcunque aliqualiter non obstante. In quorum quidem bonorum subscriptorum attraccione, disposicione et ordinacione dictus vendilor promisit per iuramentum ab ipso corporaliter prestitum coram nobis et sub omnibus penis antedictis pro se et suis heredibus universis emptorem prediclum et suos heredes ac coadiutores eorun- dem nullatenus impedire, impelere, vexare, occupare vel molestare aut hoc fieri procurare per se vel per alios quoquomodo in iudicio vel extra et omnes expensas et dampna, quas et que occasione huius- modi bonorum attraccionis necnon exarlacionis, apprehensionis, occu- pacionis, invasionis et pignorum capcionis, de quibus prefertur, empto- rem predictum et suos heredes ac coadiutores eorundem modum in quemcunque in iudicio vel extra conligerit sustinere illas et illa eisdem dictus venditor pro se et suis heredibus universis solvere et refundere totaliter promisit. Super quibus quidem dampnis et expensis ipsius emptoris et eius heredum simplicibus verbis standum erit atque cre- dendum. Et hane vendicionem dictus venditor confessus est se fecisse pro precio sexaginta florenorum duri de Florencia bonorum et lega- lium iustum et sufficiens pondus habencium, quos florenos venditor ipse confessus est se ab emptore predicto plene et integraliter rece- pisse sibi numeratos, ponderatos, traditos et solulos fore ac in usus suos totaliter convertisse, constituentes se idem venditor et suos heredes universos warandos et debitores principales dictorum reddituum super bonis subscriptis in modum pretacitum annuatim solvendorum et pre- sentandorum et quod de ipsis bonis non plus debetur quam census sive legata de ipsis antiquitus debili et cedendi annualim ei quod alias nulli sint obnoxia, vendita, alienata vel obligata et non sint dutalia nec feudalia bona subnotata, quod eciam ipse venditor asseruil sic esse per dictum suum iuramentum erga dictum emptorem et suns heredes universos adversus omnem hominem, ut est iuris. Transtulit eciam venditor antediclus pro se et suis heredibus per calami por- reccionem, ut est moris, in prefatum emplorem presentem et reci- pientem omne ius, possessionem, proprietalem et dominium vel quasi, que sibi in dictis redditibus competebant aut compelere poterant modo

927

quo vis sic eciam, quod anno quocunque, quo dominus vendilor et eius heredes voluerint ante festum purificacioni sanclissime virginis Marie ab eodem emptore et suis heredibus cum sexaginta florenis auri de Florencia bonis et legalibus iustum et sufficiens pondus habentibus reemere valeant redditus antedictos, ita lamen si ipsa reempcio acci- derit post idem purificacionis festum, quod tunc pro illo tantum ipsi emplori et suis heredibus cedant et cedere debeant redditus memorati. Renunciavit quoad premissa venditor sepedietus pro se el suis here- dibus universis excepcioni florenorum non numeralorum, non ponde- ralorum, non traditorum, non plutorum, non receplorum ac in utili- latem suam non conversofum, doli mali accioni in factum benefñcio reslilucionis in integrum et quo deceptis ultra dimidium iusti preeii subvenitur! omnique iuris auxilio canonici et civilis, consueludinibus et statulis tam publicis quam privatis, excepcionibus et defensionibus aliis quibuscunque, quibus iuvari posset adveniendum contra premissa el premissorum aliquid quocunque modo in iudicio vel extra imposte- rum vel ad presens. Speeificacio vero bonorum, super quibus vendili sunt redditus prescripti, de quibus prefertur, est hec et sila sunt in banno ville Wolfgangesheim in hunc modum. Primo videlicet una vierdegezal in Huspfirgel nebent Ebelin Kelter eine site und ander site nebent Henselin Sigemor. Item '/, acker und ‘/, vierdegezal nebent hern Burchart von Mülnheim eine site und ander site nebent Wilhelm von Eiche. Item 1 vierdegezal an dem setzewege nebent Dielman. Item ‘/, acker Sultzebrucke nebent Ülrich Löselin und ander site nebent Peter Ripelin. Item ‘/, acker an der banscheiden. Item ‘/, acker in der halden nebent dem Lappen und ander site nebent juncfrowe Kathe- rinen von Wolfgangesheim. Item 1 zwetteil an Horngassen nebent Henselin Völtschen und nebent Ebelin Ketter. Item '/,"zweiteil an dem diebewege nebent dem spittal. Et in testimonium premissorum sigillum curie Argentinensis ad peticionem venditoris et emptoris prescriptorum presenlibus est appensum. Actum XVI Kalendas februarii anno domini m? trecentesimo sexagesimo nono.

Strassburger Bez.-Archiv, G. 3753 (fol. 40 —4).

I. Unleserliches, verwischles Wort.

998

3. Johann von Dehlingen, Edelknecht, verselzi 16 Viertel Korngeldes in Gotlesheim. Mit ihm siegell als Milschuldner sein Valer Johann von Dehlingen, der Alte. 1372. Freitag vor St. Johann Baplıs im Brachmonal.

Ich Johans von Dehlingen, der Jünge ein edelkneht, dün künt aller mengelichem, das ich mit wol bedahten müte und mit güten willen versetze und verselzet han, vür mich und mine erben Jeckeln dem schultissen zu Lützelnstein und Engelin von Sarbürg siner elichen fröwen unde sinen erben seszehen viertel korn geltes ierlicher gülten balp rocke, halp habern, die do gelegen sint zu Gottensheim in dem banne umb driszig pfünde genger und geber pfennige strassburger die mir der vorgät Jeckel schultisse in baren und in gereiten pfennigen gelügen und bezalt nat. Und die selbe pfennige gantz und gar ın mynen nütz bewant unde bekeret sint und die vorgät suma km gülte globen ich vür mich und myn erben mit truwen in eyns rehten eydes stat dem vorgñt Jeckeln schultissen, Engelin siner elichen fröwen oder sinen erben oder dem der disen brief von sinen wegen inne hat gegen Nüwilre in die siat entwertende ane allen ıren schaden aller ierlich zwischan den zwein unsern frowen dagen, der eren und der jüngerin ane alles sümen min oder minre erbeu; ouch pymme ich üf min truwe und üf minen eit daz das vorgät korn unbe- kummert und unverseret ist von aller mengelichem und min eygen und min erbe ist und ich es von keim herren zu lehen han. Und des zu merre sicherheit so han ich gesetzet zu werbürgen und zu mit- schüldener dem vorgät Jeckeln schültissen, Engelin siner elichen frowen oder sinen erben minen lieben vettern Johans von Delingen den alten. Und ich Johans von Delingen der alte dürg bette willen mins vorgülen vetlern Johanses so erkenne ich mich und veriehen üffeliche in disem brief: das ich bürge und mitschüldener bin geyin dem vorgät Jeckeln schülüssen, Engelin siner elichen fröwen und sinen erben in aller der massen als min egñt vetter Johans von Delingen der jünge sich verbünden und globet het Ouch weres das dem vorgñt Jeckeln schültissen, Engelin siner elichen fröwen oder sinen erben an der jerlichen korn gülte abeginge und in nuht geenl- wertet würde und bezalt zu dem ziele also vor bescheiden ist, so sol der vorgüt Jeckel schültisse, Engelin sine eliche vrôwe oder sin erben oder der disen brief von sinen wegen jnne hat friliche anegrifen mil zerihte oder ane gerihte an unser oder an unsere erben güt udn pfande ligende oder farende ws oder an wellen stetten si dic haben mügent, und mügent das dün also dicke und also lange untz in ganlı volle und bezalünge beschicht der vorgñten summa korn gülte; un! nement sie des pfendens und anegrifens den heynen schaden in wellen

weg das were den globen wir in üf rihtende glicherwis also das houbteül mit truwen in unsers rehten eydes stat ane alle geverde. Ouch ist bedingeclich bereht wenne oder welles iares ich Johans von Delingen der iünge oder min erben kumment vür der liehtmessen und bezalent dem egüt Jeckeln schültissen, Engelin sinen fröwen oder sinen erben oder dem- der disen brief von sinen wegen innehat, drissig pfünde strasbürger plennige einen mal und mittenander so sol die vorgät korn gülte dar nach in dem iare mir oder minen erben gevallen sin. Kummen ich oder min erben aber nah der lichtmessen so ist die vorgät korn gülte dem egñt Jeckeln schultissen, Engelin siner elichen fröwen oder sinen erben oder dem der disen brief von sinen wegen inne hat das iar gevallen. Wider alle dise vorgeschrieben ding sol uns nuht schiermen weder geistlich noch weltlich gerihte noch kein lantfriede noch stette noch bürge noch landes friheit noch keiner hânde dinge domitte wir oder unsere erben uns woltent oder mohtent behelfen wider dise vorgeschrieben ding. Alle dise vorge- schrieben ding globen wir stete haltende vür uns und unsere erben mit güten truwen in eyns rehten eydes stat und ane alle geverde. Und das eime vesten ürkünde so han ich Johans von Delingen der jünge houbtschüldener und ich Johans von Delingen der alte bürge und mitschüldener unsere ingesigele au disen brief ge- hencket uns und unsere erben zübersagende aller diesen vorge- schrieben dinge, der do gegeben wart an dem nesten frilage vür sante Johans batisten dage in dem brachmonden do man zalle von goltes gebürte drüzehenhundtert und zwei und sibentzig jar.

Abschrift einer Pergament-Urkunde des St, Thomas-Archivs zu Strasshurg (Gemeinde Gottesheim), siehe auch unter Haute-École, Barfüsser, Ne- gistranden III fol. 39, Jahr. 1372. Die an der Urkunde hängenden beiden Siegel sind stark verletzt, auch sind die Schriftzeichen auf den letzteren nicht mehr leserlich. Über dem Wappen bemerkt man einen Helm mit Busch und einen Zweig.

_— 930

4. Katharina von Telingen vermacht ihrem Verwandten Rudolph auf Lebenszeit die Hinterlassenschaft des Rillers Konrad von Schweinheim', 1413, Marz.

Katharina de Telingen relicta q. Conradi de Schweinheim, nuncupaüi de Steinbach, armigeri', de vero affectu ergo Rudolphum, adhuc minorem filium naturalem fratris Conradi de Steinbach, camerarii conventualis monasterii in Morsmünster, ord. S. Bened. Arg. dyoc.’ filii ipsius Catharinae et donavit eidem Rudolfo, ad dur. vitae ejusdem R. bona seq. A. XIV Kl. Marti 1413.

Collectanea genealogica II, fol. 244, in der Bibliothek des Barons Herrn Zorn von Bulach im Schloss zu Osthausen.

1. Ihr Gatte, der 1413 starb, hiess auch Konrad von Schweinheim. SCHOEPFLIX- Raven&z, L'Alsace illustrée, N, 719.

2. KINDLER VON KNOBLOCH, Das goldene Buch von Strassburg, 341 und 42.

3. Gegen 1115 stand Konrad IV von Steinbach als Abt dem Kloster Maursmünster vor. Revue cath. d'Alsace, nouxelle série, III, 764.

Une page de l'histoire du Hortus Deliciarum.

Au cours de mes recherches sur l'histoire de la Révolution en Alsace, jai rencontré dans les procès-verbaux du Directoire du département du Bas-Rhin, aux Archives de la Basse-Alsace, un passage curieux, concernant le manuscrit de Herrade de Landsperg et ses pérégrinations durant la période révolutionnaire. Vu l'intérêt si légitime quinspira toujours aux archéologues et aux savants de notre province le Hortus deliciarum, et le soin pieux avec lequel la Sociélé des monuments historiques en particulier a recueilli tont ce qui nous reste aujourd’hui de celte œuvre remarquable de l’art alsacien du moyen-âge, j'ai pensé qu'on ne serait pas fâché de voir reproduit au bulletin de notre société ce document quasi officiel. Il nous permet de conslater, ou plutôt d’entrevoir, par quelles péripéties passa de 1793 à 1795 le précieux manuscrit de l’abbesse de Hohenbourg après avoir quitté la bibliothèque des Chartreux de Molsheim, et avant d’être incorporé définitivement dans la bibliothèque de la ville de Strasbourg, pour y resler jusqu'à l'heure néfaste il périt avec elle dans les flammes.

Il est désormais certain que, lors de la saisie des biens ecclésias- tiques, le prieur du couvent des Chartreux de Molsheim remit lui- même le Horius au citoyen Widenloecher, alors commissaire du district pour la réception de ces biens; celui-ci le déposa au local des séances de l'administration du district de Strasbourg, et de il fut dirigé sur l'ancien séminaire épiscopal, l’on réunissait alors les bibliothèques des ordres religieux supprimés et celles des émigrés confisquées au profit de la nation. Pendant qu'il s’y trouvait, une tentative fut faile pour le ramener entre les mains d’un particulier : le «citoyen Charles Landsperg» ci-devant baron de ce nom réclama le précieux volume comme ayant toujours appartenu à sa famille. Le Directoire du district de Strasbourg, par un arrêté, du 4% brumaire, an Ill, lui demanda de prouver la véracilé de cette affirmation, et le baron fut assez heureux à tort ou à raison pour convaincre l’administra- tion que le Hortus deliciarum n'avait été que prélé jadis par ses ascendants aux Chartreux. Un nouvel arrêté du District, du 19 bru- maire, ordonna donc au cituyen Keil, professeur au Collège national,

te

934

tration du district le manuscript en question, pour être réintégré dans la Bibliothèque nationale; un arrêté du 26 ventôse, rendu par ce mème district, par lequel il a été donné acte au citoyen Charles Landsperg de la remise dudit manuscript qui restera déposé au secrétariat du district; la délibération prise par le district de Strasbourg, le 27 ven- (ôse, qui nomme les citoyens Jérémie Oberlin et Blessig, professeurs, pour examiner le dit manuscript et vérifier les altéralions qu’il parait avoir éprouvées; vu enfin la délibération prise par les administrateurs du département, le 1er de ce mois;

Considérant qu'il conste par des ouvrages imprimés dès le commen- cement du dernier siècle, que le manuscrit dont s’agit était alors déjà déposé aux archives de Saverne, d’où il a été transféré à celles des Chartreux de Molsheim et qu'il résulte de la déclaration faite par le citoyen Widenloecher que ce manuscript faisait partie de la bibliothèque de la même Chartreuse; que lors de la suppression de ce monastère, le prieur chargea le citoyen Widenloecher d’en faire la remise au district de Strasbourg, comme étant une propriété du dit monastère; que con- sequemment il est évident que ce manuscript, que l’on a cherché à soustraire, doit être présumé une propriélé nationale; considérant que par la délibération prise le 27 ventôse dernier par le Directoire du district de Strasbourg, il appert que Louis Rumpler, qui a été posses- seur momentané de ce manuscript, est soupçonné de lavoir dégradé par plusieurs inscriptions faites de sa main, et que la loi du 14 fruc- tidor II ayant dicté la peine contre ceux qui seront convaincus d'avoir par malveillance détruit ou dégradé des monuments des sciences et des arts, il convient que ce fait soit constaté; considérant encore que les délibérations du district précitées, n'ayant pas été soumises à l’ad- ministralion du département, à laquelle la loi a plus particulièrement attribué la surveillance des domaines nationaux et doivent être envisa- gées comme nulles et non avenues;

Arrête en séance publique que la délibération prise par le Directoire du district de Strasbourg, le 1er brumaire dernier, qui a envoyé le ciloyen Landsperg à une preuve de la propriété du manuscript qu'il réclamait et, à défaut, à une affirmation par devant le juge de pair; celle prise le 19 du mois, qui autorise le citoyen Keil à délivrer au citoyen Landsperg le susdit manuscript, seront rapportées pour demeurer sans effet; en conséquence, que le même manuscript intitulé Horlus deliciarum sera regardé propriété nationale et comme telle réintégrée dans la Bibliothèque du district, après néanmoins qu'il aura été examiné

935

et vérifié par les citoyens Jérémie Oberlin et Blessig, professeurs, à l'effet de constater les altérations qui peuvent y avoir été faites, dont ils dresseront un procès-verbal circonstancie, qui sera de suite adressé à l'administration du département pour être sur le vu d’icelui statué ce que droit, sauf au citoyen Landsperg s’il se croit fondé à faire valoir ses réclamations devant tel tribunal qu’il appartiendra. » Rop. REuss, correspondant de l'Institut.

Grabstätten in der Klosterkirche St. Maria zu Niedermünster.

Nach Beendigung der Aufdeckungsarbeiten der Klosterkirche St. Maria zu Niedermünster in den Jahren 1902 und 1903 lag es in der Absicht, die aufgefundenen Grabplatten zu heben und zu untersuchen, ob in den Grabstätten Inschrifttafeln oder Beigaben vorhanden sind. Aus verschie- denen Gründen musste diese Arbeit verschoben werden, und erst im . Herbst des vergangenen Jahres wurden die Gräber innerhalb des Kirchenraumes geöffnet. Diese sind die Grabstätten der Äbtissinnen gewesen, wie mehrere Inschriften auf den Grabplatten es bekunden. Als Ossuarien für die Klosterschwestern wurden die kleinen Räume in den Aussenarmen des Querschiffes neben den zur Krypta hinabführenden Treppen und den Aussenmauern benulzt; nur der südliche Raum ist aufgedeckt und untersucht worden. Der Sage nach sollen in der Krypta die Begräbnisstätten der fünf Ritter gewesen sein, die das Kamel mit dem Kreuze auf seiner Wanderung begleitet haben und die später heilig gesprochen wurden. Im Vorhof zum Eingang auf der Nordseite sind Klosterangehörige begraben worden; hier liegen fünf Grabplatten, die bisher noch nicht aufgedeckt worden sind. Die eine derselben trägt die Inschrift:

Anno Dmi MCCCLX: XIII Kl. Augusti obiit Anna soror Nicolai de Bibelnk' Villici. i. Gert.

Für diejenigen, die in dem Spital gestorben sind und nicht zum Kloster gehört haben, sind die Beerdigungsstätien in der Umgebung der St. Nikolauskapelle gewesen, die als Friedhofskapelle und Leichen- halle gedient hat, woraufhin auch die doppelte Altaranlage deutet.

Von verschwundenen Grabstätten und Grabsteinen sei hier zunächst die der Äbtissin Willeburgis erwähnt. Sie soll am Kreuzgang, neben dem Eingang zur Kirche, auf der Südseite begraben liegen: «Allwo unter dem Gewölb an einer steinenen Saul in lateinisch gebundener Red eingehauen ware, was gules dieselbe für das Closter gethan, und wie

I. Bibelnheim, vergl. L. WALTER, Un village disparu. Monographie de Bibelnheim. Molsheim, 1890.

sie dasselbe in den Jahren 1256 und 1257 wiederum auffgerichtet habe'.» Die Inschrift lautet nach Bruschius, Chronol, Monast. Gern. pag. 596 : In ambitus enim ingressu et saxea quadam columna sic legitur:

Anno ab incarnatione Domini, M. CC. LVL.

Constructum tale constat nobis laqueare,

Tempore praelatae Willeburgis vocitalae,

Quae Christo grata maneat cum plebe beala:

Hoc opus ad metam studuit quae ducere laetam,

Centeno fructu benedicetur sine luctu.

In ipso vero ambitu, sub saxea testudine Llalis. adhuc superstes est

inscriplio de illa ipsa Abbatissa Wilburgi. Anno ab incarnatione Domini M. CC. LVII. Ad metam ducta sunt hic laquearia strucla Tempore praelatae Willeburgis vocilalae, Quae cunctis grata, fit caelicolis sociata Et plebs dans gratis operi studium pietalis, Fructum centenum sine luctu portet amoenum.

Diese Grabstätte konnte wicht mehr aufgefunden werden; ebenso ist der von Boeswillwald in seinem «Rapport sur les fouilles exécutées à l'église de Niedermünster» vom 25. September 1845 an das Ministère de l’intérieur erwähnte und von dem Architekten Cron noch 1850 ge- zeichnete Sarkophag* verloren gegangen. Der Sarkophagdeckel zeigt das Wappen der Familie von Buchegg und das der Familie Senn von Münsingen. Die am Kopf- und Fussende angebrachten Figuren tragen den Gharakter von ornamentalem Dekor, wenngleich das Kreuz am Kopfende inmitten von sechs stilisierten Hügeln auf den ersten Blick auf das Wappen der Familie von Landsberg schliessen lässt”. Nach Boeswillwalds Angabe wurde der Sarkophag, der in Sandstein ausgeführt war, in der Krypta gefunden, konnte jedoch wegen Mangel an Mitteln nicht voll- ständig ausgegraben werden. Auch die beiden Grabplaiten‘, die Cron

1. Ausrecht, Dionysius, History von Hohenburg oder St. Odilienberg. Schlelistadt, 1751, pag. 329,

2. Denkmal-Archiv zu Strassburg U, V 9, Nr, 30.

3. Originalzeichnung von Ed, Cron, Bauführer am Strassburger Münster, Denkmal- Archiv Z, Nr. 1412,

4. Originalzeichnung der Grabplatte Fig. 3. Denkmal-Archiv zu Strassburg 7, Nr. 1489, Fig. à. Originalzeichnung im Archive de la commission des monuments hisloriques in Paris, und Kopie im Denkmal-Archiv zu Strassburg Z, Nr. 2356.

938

noch 1850 an Ort und Stelle gezeichnet hat, sind nicht mehr bei den Aufdeckungsarbeiten gefunden worden.

Der oben erwähnte Kreuzgang und die Stelle, wo die Grabstätte der Äbtissin Willeburgis gewesen sein soll, lag auf der Südseite der Kirche, und hier sind die Abbruchsarbeiten am verheerendsten gewesen. Im Jahre 1838 waren die Ruinen im Besitz zweier Handelsleute, Salomon Wertheimer aus Ottrott und Hembacher aus Reinhardsmünster. In diesen Jahren 1838 bis 1841 wurden der Chor, das Querschiff und die südliche nach dem Kreuzgang zu gelegenen Mauern abgerissen, letztere bis auf die Fundamente. Die Steine wurden zu 5—6 Fr. für den Wagen verkauft, und der Architekt Ringeisen, der damals «architecte Je l’arrondissement» war, erzählt in einem Bericht vom Jahre 1841, wie die Leute ein eigens dazu erfundenes Verfahren, auf das sie sehr stolz waren, hatten, um die Säulen und die Mauern umzulegen und die Steine zu lösen. Wenn die Säule mit der Inschrift nicht ganz zerschlagen ist, so ist die Inschrift auf einer Säulentrommel von rotem Vogesensandstein oder an einer Säulenbasis aus gleichem Material in der Umgebung von Niedermünster in Bauten, die in den Jahren 1838—1842 ausgeführt! sind, namentlich in den Fundamenten, zu suchen.

Über die Stelle, wo die beiden letzterwähnten Grabplatten gefunden sind und über deren Verbleib ist nichts bekannt Auf Boeswillwalds Veranlassung wurde im Jahre 1844 von der Regierung eine Summe von 900 Fr. für Nachgrabungsarbeiten bewilligt, die planlos und ohne genügende Leitung ausgeführt wurden. Man grub unterhalb des Chores, um in die Krypta zu gelangen, von unten her, mehr nach Schätzen suchend, als wissenschaftlich und technisch geleitet. Die Folge davon war, dass die Krypta gänzlich zusammenstürzte; man gab endlich die Ruinen als unrettbar und dem Üntergange geweiht auf und beschränkte sich auf den Wiederaufbau der zum ehemaligen Kloster gehörenden St. Nikolauskapelle. In den Jahren 1848—1850 wurde durch den Archi- tekten Ed. Cron, der das Bauamt des Strassburger Münsters unter Klotz leitete, die Kapelle unter Boeswillwalds Aufsicht mit einem Kostenauf- wand von 13500 Fr. wieder hergestellt. Es liegt die Vermutung nahe, dass bei diesen Arbeiten die Grabplatten und der Sarkophag nach Paris in die mittelalterlichen Lapidar-Museen gekommen sind.

Im Innern der kirche sind sieben Grabstätten vorhanden, die in Gegenwart einer Kommission geöffnet werden sollten. Am Tage vor der Öffnung der Gräber wurden die Vorbereitungen zur Freilegung und Hebung der schweren Grabplatten gemacht. Eine Einsenkung des Platten-

939

bodens vor den Treppenstufen, die aus dem Kirchenschiff zur Vorhalle führen und genau in der Axe des Mittelschiffs liegt, liess vermuten, dass hier der ausgemauerte Wasserzuführungskanal zu dem Becken vor dem Fronaltar zu suchen sei. Beim Aufheben der Platten, die auf einem Steinfalz zu liegen schienen, zeigte sich jedoch, dass hier ein gemauerles Grab mit ausgebildetem Kopf- und Fussende vorhanden sei,

Die Deckplatte, ohne Inschrift und Dekor, war in drei Teile ge- sprungen, und veranlasste dadurch die Senkung im Fussboden. Die Länge der Deckplatte beträgt 2,30 m, die Breite 0,90 m; die Masse des Grabraumes sind: 2,00 m lang und 0,57 m breit; das Kopfende war auf 37 cm eingeengt bei einer Länge von 27 cm, sodass auf jeder Seite ein Vorsprung von 10 cm die Kopfnische bildete. Die Wandungen an Jen Längsseiten, dem Kopf- und Fussende sind von grobbehauenen Sandsteinen gemauert; der Fussboden ist mit Bodenplatten belegt. Durch die fortdauernde Bewegung des Erdreichs, veranlasst durch die umgebenden kleinen (Quellen, ist das Grab ganz mit durchnässter Erde zugeschwemmt. Es fanden sich in demselben menschliche Gebeine, zwei Schädel, von denen der eine etwa in der Mitte, der andere am Fuss- ende lag. Dieselben sind ganz in Stücke zerbrochen, Kiefer und Zähne fehlen; die Knochenmasse selbst ist fast ganz zerstört. Die Knochen lagen in dem Schwemmboden in allen Höhenlagen. Beigaben und Schmuckgegenstände sind nicht gefunden worden. Nach den schlanken Beinknochen zu urteilen, rühren die Skelette von jugendlichen Frauen- personen her. Die Lage der Skelette war von Westen nach Osten.

Am Donnerstag den 5. September 1906 sind die 7 Gräber im Innern der Kirche geöffnet worden, worüber ein amtliches Protokoll aufge- nommen ist, dem das Nachfolgende entnommen ist. Als Vertreter der bischöflichen Behörde waren anwesend: die Herren Direktor Caspar vom Odilienberg, der Geheimsekretär Dr. Hommel, am Nachmittage Bischof Dr. Fritzen und viele geistliche Herren; ferner der unter- zeichnete Konservator der geschichtlichen Denkmäler im Elsass und der die Arbeiten leitende Architekt und Denkmalpfleger Salomon.

Grab I. Das Grab ist in der Vorhalle' gelegen und mit einer schweren Deckplatte (Fig. 1) geschlossen. Auf der Platte befinden sich zwei Kreuze, die durch eine stilisierte Figur verbunden oder getrennt werden; das obere nach allen vier Seiten gleichseitige Kreuz hat die Form des

1. Vergl. den Grundriss Tafel X in der Monographie Die Klosterkirche St. Maria zu Niedermünster im Unter-Elsass, von F. Wolff. Strassburg, 1904. B. XXII (M.) 16

940

arianischen Kreuzes, das untere, den Charakter eines Vortragkreuzes Die Grabplatte ist unbeschädigt und ruht ohne Untermauerung auf auf- geschüttetem Boden. In demselben und in der Umgebung wurden viele menschliche Knochen gefunden, darunter fünf Schädel. Die Knochen liegen ohne Ordnung herum, so dass zu bestimmende Nachbestatt- ungen nicht festgestelll werden können. Die gleich unter der Platte sich zeigende dunkle mit Kohlen- | = resten vermengte Erde am Fuss- :‘ ende stammt von einem Feuerherde |: her, der über dem Grab in der Vorhalle während der letzten Jahr- zehnte gestanden hat Der ehema- lige Pächter hatte hier einen Ilerd aufgestellt, da er die Vorhalle als Waschküche benutzte. In einer Tiefe von 1,10 m lagen die noch unberührten Gebeine der hier Be- statteten von Westen nach Osten gerichtet, also nach dem Hauptaltar sehend. Der Körper war auffallend klein 1,35 lg. und die schon sehr zersetzten Knochen zeigten eine tiefe rostbraune Farbe. Beigaben sind nicht gefunden worden.

es _

nn m | -

pl

il

Fig. 1.

Grab Il. Das Grab liegt in dem dritten, dem letzten Joche des Mittel- schiffes vor den Treppenstufen, die auf der Südseite zur Vierung führen. Die liegende Deckplatte (Fig. 2) zeigt oben das Wappen der Familie von Buchegg und unten dasjenige der Familie Senn von Münsingen. Auf der Platte stand vor dem Zusammenbruch der Kirche aufrecht an der Wand auf zwei kleinen Unterstützungen ruhend die Grabplatte (Fig. 3) der Margaretha Senin, Äbtissin von Niedermünster, + 1360. Die Inschrift auf dem Grabstein lautet:

+: © Marga / Senin Abatissa inferioris monasterii. Hohenburg.

Anno Dni. MCCCLX.

Die liegende und stehende Platte bezeichnen nach Wappen und

Inschrift ein und dieselbe Äbtissin; es ist die Margaretha Senin', die

1. Nicht Margaretha von Senon; der oben erwähnte Sarkoplıag zeigte dieselben Wappen, sodass noch eine zweite Beerdigung einer Person aus dem Hause der Buchegg und Senn von Münsingen hier stattgefunden hat.

UN.

urkundlich als solche seit 1351 vorkommt. Sie stammt aus einer Schweizer Familie, ihre Mutter war Johanna von Buchegg und ihr Vater der Ritter Burkhard Sennen von Münsingen. Sie ist eine nahe Verwandte des Bischofs Berchtold von Buchegg + 1353. Die Platte ist in drei Teile gesprungen | _ und liegt jetzt in der | == m —— 1) Vierung neben dem {| Hauptaltar auf dem | | Boden. Nach Entfer- ||

ES

| F0 M Un |

| + | u

KULA

|

| ( it

der eigentlichen Grab- {| stätte, zeigten sich etwa El 35 cm unter dem Kir- | chenfussboden Reste eines 30 cm starken || gemauerten Gewölbes, j{ das nach der Nordseite || zu ganz eingefallen ist. 31 Die Südseite, die in | Verbindung mit der fi Mauer der Schiffswand steht, hat sich erhalten. | Dieses Gewölbe diente augenscheinlich zur Unterstützung der schweren auf der Grabplatte stehenden Memorientafel der Margaretha Senin. In einer Tiefe von 1,20 m lagen die Gebeine der Bestatteten von Westen nach Osten gerichtet. Ungefähr 30 em ober- halb des Gerippes zeigte die Erde eine Färbung, die auf Vermoderung von Holz schliessen liess; ferner wurden drei eiserne Nägel gefunden, die die charakteristische Form der Sargnägel haben. Es ist also anzu- nehmen, dass der Leichnam in einem llolzsarg ohne metallische Be- schlagleile gelegen hat. Beigaben sind nicht gefunden worden. Auch hier hat keine Untermauerung des Sarges statigelunden; das auffallend grosse Gerippe lag unberührt auf dem gewachsenen Boden.

PEST:

1 ]

ne

AS SOUS VU EURE DUT UNS =

EE

T-RORENBVRG-AINO-D HOIHDJUF-KSSTSFITKE

À B

UL

à À | Ile |! || a ul Ir er 18 pe mms D > E23 = |

Fig, 3.

Fig. 4.

Gräber Ill u. IV (s. Tafel D). Die beiden Gröber liegen nebeneinander vor den beiden noch erhaltenen Stufen des Hochaltares in der Vierung. Das Grab IE hat eine vorzüglich erhaltene Deckplatte (Fig. 4), die in dem figürlichen und ornamentalen Schmuck sehr scharf ausgearbeitet

242

ist. Die Inschrift zeigt an, dass hier die Begräbnisstätte der 1514 ge- storbenen Abtissin Ursula zu Tribel ist. Sie lautet:

Anno Dni. Miles. quingentes. decimo quarto 3 nonas aprilis obiil

graliosa et nobilis dno. Ursula zu Tribel. Abba. J. most. s. di.

Das linksseitige Wappen auf dem Stein ist das Wappen der Tribel, ein dreimal sparrenweise gebrochener silberner Querbalken, des Vaters der Äbtissin, der Vogt von Rufach war; auf der rechten Seite ist das Wappen ihrer Mutter, einer Babst von Bol- senheim, das Brustbild eines Papstes mit der Tiara; zwischen beiden Wappen ist ein sorgfältig gemeisselter Äbtissinnenstab an- gebracht. Die grosse 30 cm dicke und sehr schwere Deckplatte lag ohne Untermauerung frei auf dem aufgeschütteten Boden. In demselben sind keine Knochen gefunden worden, viel Steinschutt und rötlich ge- färbte Erde. Die Gebeine lagen unberührt in einer Tiefe von 1,20 m von Westen nach Osten gegen den Ilochaltar sehend (s. Tafel I); das Gebiss ist tadellos erhalten. Beigaben sind nicht gefunden worden.

Nach einer Urkunde soll neben der Äb- tissin Ursula zu Tribel die Äbtissin Rosina vom Stein, die letzte der Äbtissinnen von Niedermünster, + 1534, mitten im Chor vor _ dem Ilochaltar beerdigt sein. Die bezeich-

Fig. 5. nele Stelle ist ganz eingesunken und die Fussbodenplatten waren gesprungen und mehrfach durchgebrochen. Nach dem Forträumen der Bodenplatten zeigte sich der Boden ebenso wie bei der benachbarten Grabstätte der Ursula zu Tribel als Füllboden ohne Gebeine. Erst in einer Tiefe von 1,10 m etwas höher, als die des nebenliegenden Grabes lagen die Gebeine, aber in umgekehrter Richtung von Osten nach Westen (s. Tafel I) mit dem Kopf zu Füssen des Iochaltars. In der Höhe der Brust, über die die Arme gekreuzt lagen, wurde ein Stück Gewandstoff und 8 kleine metallene Gewandringe gefunden. Das Stückchen Stoff ist grobes Linnen, in welchem vermutlich die Tote beigesetzt war und die Ringe dienten zur Befestigung eines Gewandstückes, wie die mit einem Faden angenähten Stoffreste zeigen. Weitere Beigaben sind nicht gefunden worden.

943

Gräber V, VI und VII (s. Tafel II). Diese Gruppe von Gräbern, die letzten, die geöflnet wurden, liegt in dem nördlichen Querarm der Vierung, dicht vor einem Altare, der als der Oswaldaltar bezeichnet wird. Das Wappen auf der Grabplatte (Fig. 5) ist das der Familie Landsberg, die daneben liegende Grabplalte zur rechten ist schmal und durchgebrochen ; sie zeigt ein Reliefkreuz, dessen Längsbalken im Boden stehen kann (Fig. 6). Die unverkennbare Ähnlichkeit in der Zeichnung mit dem berühmten Kreuze von Niedermünster lässt auf die Be- gräbnisstätte der Wiederher- stellerin des Kreuzes Äbtissin Edelindis von Landsberg schlies- sen. Aus der Familie der Lands- berg ist als Äbtissin nur Ede- lindis, eine Verwandte und Zeit- genossin der Herrad zu nennen. Sie amtierte von 1175 bis nach 1223. Herrad von Landsberg war Äbtissin in Hohenburg und starb am 23. Juli 4195. Ein weiteres Mitglied der Familie Landsberg war Gisela, die als Fig. 7.

Fig. 6. Canonissa von Niedermünster 1336—1340 genannt wird. Ir dem Kirchenraum selbst sind nur die Gräber derÄbtissinnen gefunden, wie die Inschriften auf den Grabplatten besagen, während die anderen zum Kloster Zugehörigen, ebenfalls nach Aussage der Inschriften, im Vorhofe am Eingange zum nördlichen Seitenschilf begraben liegen. Aus diesen Daten könnte man die Vermutung aufstellen, dass hier die Äbtissin Edelindis von Niedermünster (Grab V) und die Äbtissin Herrad von Landsberg von Hohenburg (Grab VI) begraben wären. Das würde zur Folge haben, dass der vor den Gräbern stehende Altar der heilige Kreuz-Altar gewesen wäre. Hierfür spräche die grosse Offuung auf der umgeslürzten Altarplatte; dagegen jedoch spräche, dass der sich im Gurtbogen wölbende Raum hinter dem Altar nicht Hinterwand genug für die Aufstellung des grossen Kreuzes gäbe. Die letzte Grabplatte auf Grab VII (Fig. 7) zeigt auf der Ansicht das Wappen der Familie Beger. Aus dieser Familie war Glaranne Beger Äbtissin von Niedermünster in der Zeit von 1460— 1473.

Tafel L

a

Niedermünster. Gebeine der Gräber Nr. III u. IV.

Gebeine der Gräber Nr. V- VIL

Niedermiünster.

GESELLSCHAFT

FÜR RÜUHALTUNO DER GESCHICHTLICHEN DENKMALER IM ELSASS, 2 7 on

Vorstands-Sitzung vom 29. April 1903, Vorsitzeuder : Kanonikus Keller.

Eatschuldigt: die Herren Becker, Bourgeois, Himly, Ingold, Klem.

Neue Mitglieder : die Herren Eugen Kühlmann und Ruhlmann,

Verstorben : die Herren Kanonikus Dacheux, Mgr. Schmitt, Generalvikar.

Der Präsident widmet dem verstorbenen frü- heren Präsidenten der Gesellschaft, Kanonikus Dacheux, einen kurzen, tief empfundenen Nach- ruf. Die Anwesenden erheben sich zu dessen Ehren.

Im Nachlass des Herrn Dacheux fand sich ein Manuscript: Répertoire des matières archéolo- giques des Bulletins de la Société des Mon, hist. von dem früheren Mitglied Aimé Reinhard. Wegen der Kosten der Drucklegung soll man mit der Eisässischen Druckerei und Verlagsanstalt in Ver- bindung treten.

Der Statthalter hat der Bibliothek das Werk von Prof. Brück über die altelsässischen Glasge- mälde geschenkt, Der Dank der Gesellschaft wurde bereits ausgesprochen.

In Zellenberg wird die gesprungene Glocke durch Herra Durand-Chambon nach dessen eige- ner Methode repariert werden.

Auf die Anfrage des Unterstaalssekrelärs Ex. von Köller, wie es mit der Veröffentlichung des Werkes von Herrn Naue steht, wird mitgeteilt, dass 22 Bogen bereits gedruckt, etwa 12 Bogen noch ausstehen, sodass das Werk im Herbst wird erscheinen können.

B. XXII. (8.-B.)

SOCIETE FOUR LA CONSERVATION DES MONUMENTS HISTORIQUES D'ALSACE. | Oh ı u à Séance du Comité du 29 avril 1903. u Présidence de M. le chanolae KELLER.

Excusés: MM. Becker, Bourgeois, Himly, Ingold, Klem.

Nouveaux membres: MM. Eugène Kühlmann et Ruhlmann.

Defunts: MM. le chanoine Dacheux, Mgr. Schmitt, vicaire général.

Le Président rappelle le souvenir de M. le chanoine Dacheux, le successeur de M. D. Straub dans la présidence de notre Société. Les membres du Comité se lèvent en l'honneur du regretté défunt.

Dans les papiers de M. Dacheux se trouvait un manuscrit ayant pour auteur un membre de la Société, feu M. Aimé Reinhard. Il porte le titre: Répertoire des matières archéologiques du Bul- letin de la Société des monuinents historiques. On se mettra en rapport avec l'Impr, Alsacienne pour savoir quels seraient les frais d'impression.

Le Statthalter a remis à la bibliothèque l'ou- vrage du prof. Bruck sur les vieux vitraux en Alsace. Remerciements.

La cloche félée de Zellenberg sera restaurée par M. Durand-Chambon d'après sa propre mé- thode.

Son Excellence M. de Köller, secrétaire d’État, s'est informé si l'impression de l'ouvrage Naue avance. On a pu répondre que ?2 feuilles sont imprimées, il en reste encore 12 feuilles, l'ouvrage doit paraitre en automne.

96

Landeskonservator Wolff bitlet, in das Ver- zeichnis der dem Staate gehörigen Stücke unseres Museums aufzunehmen: zwei Steingräber, acht Gegenstände aus den Ruinen der Frankenburg. Herr Wolff ladet die Vorstandsmitglieder zur Be- sichtigung von zwei in Saal 5 des Denkmalsarchivs aufgestellten fränkischen Grabsteinen aus Berg- heim ein.

Dem Bürgermeisteramt der Stadt Strassburg wurde der Bericht über die Verwendung des städtischen Zuschusses am 25. April zugesandt.

Die Eisenbahnverwaltung überwies vom Neu- bau des Colmarer Bahnhofes 9 keltische Roh- eisenbarren.

Bezüglich der Ruine Klein-Hohneck wurde bei Herrn Dacheux ein Aktenstück gefunden, das zeigt, dass 5/17 der Gesellschaft gehören. Eine Antwort ist noch nicht eingelaufen. Herr Klem wird mit Herrn Regierungsrat Sommer in Colmar darüber konferieren.

Für die Bibliothek wird ein Exemplar des Wer- kes Aunsthandbuch für Deutschland angeschaffl.

Herr Gerock, Apotheker, schenkt der Gesell- schaft eine Notiz über Das Kartenwesen im Elsass.

Mit der Zeitschrift Notes d’art et d'archéologie, Revue de la Société de Saint-Jean, Redaktions- sekrelär André Girodie, wird der durch Herrn Dr. Bucher angeregte Austausch der Schriften beschlossen.

Aus dem Nachlass des Domkapilulars Dacheux kam in das Archiv unserer Gesellschaft ein Auto- graph des Prinzen Rohan-Rochefort.

Mitglied Winterhalter zeigt Photographien von Öfen aus dem Nachlasse des Notars Dangelser in Andlau, die zum Verkauf ausgeboten sind. Auschlagpreis: 1 000 .#

Prof. Martin schenkt der Gesellschaft die Samm- lung der Westdeutschen Zeitschrift für Kunst und Wissenschaft.

Die Abteilung für röm. Altertum hat von Dr. Sorgius in Schiltigheim mehrere römische Fund- stücke erhalten; von der Braucrei Freysz in Kö- nigsholen einen römischen Tischfuss. Der mero-

Le conservateur M. Wolff prie de vouloir a ter à la liste des objets appartenant à l'É& déposés dans notre musée deux sarcophase huit autres objets provenant du château Frankenbourg. M. Wolff invite les membres Comité à visiter les deux sarcophages de la riode franque provenant de Bergheim, qui ı exposés dans la salle 5 du Denkimalarchir.

On a expédié à la mairic de la ville de & bourg le compte rendu de l'emploi des sub: lions accordées.

L'administration des chemins de fer a fait poser dans notre musée 9 barres de fer celli. provenant de la construction de la gare Colmar.

Dans les papiers de M. Dacheux s'est trx une pièce qui dit que 5/17 du château du P Honack sont propriété de la Société. La rép de Lapoutroie n'est point encore arrivée. Mi en conférera avec M. Sommer, conseiller du. vernement à Colmar.

On achètera pour la bibliothèque louvr Kunsthandbuch für Deutschland.

M. Gerock, pharmacien, donne une notice le jeu de cartes en Alsace.

L'échange proposé avec la revue: Notes ı et d'archéologie, revue de la Société Saint-) secrélaire M. André Girodie à Paris, est admi

Une lettre autographe du prince Roban-Ro fort nous est arrivée de la succession M. Dacheux.

M. Winterhalter montre des photographies plaques de poêle appartenant à feu M. Danzel polaire à Andlau. Prix demandé: 1 000 .#

La collection de la revue Westdeutsche 2 schrift für Kunst und Wissenschaft est donn notre bibliothèque par le prof. Martin.

La section des antiquités de notre mus reçu de M. Sorgius, de Schiltigheim, plus objels romains. La brasserie Freysz, de Kön hofen, a donné un pied de table romaine.

98

Ein Gipsabguss des grossen Kruzifixes von Baden, der Eigentum der Stadt Strassburg, wird unserm Museum überwiesen.

Ein fränkischer Sarg mit Kreuz, der in Breusch- wickersheim im Besitze von Bauern, soll in das Museum überführt werden.

Zwischen Scherweiler und Dambach wurde ein römischer Meilenstein gefunden, für dessen Auf- stellung 40 .& bewilligt wurden.

Hr. Theophile Lienhart hat seine römischen Funde dem Museum, unter Vorbehalt der Eigen- tumsrechte, überwiesen.

Hr. Winterhalter regt an, eine neue Folge der Mitteilungen zu beginnen.

Schatzmeister Himly referiert über die finan- zielle Lage. Am 1. April 1903 besass die Gesell- schaft an Barvermögen : 6 000 .#.

An Verpflichtungen : 6000 .# Rlsäs. Druckerei, 1500 .4 für das Werk Naue, 2500.# Varia, 400.# Grundkarten, zusammen 10 400.4.

- Ein diesbezüglicher Bericht soll an die Regie- rung eingereicht werden.

Schluss der Sitzung : 4 Uhr.

Vorstande-Sitzung vom 24. Juni 1903. Vorsitzender : Kanonikus Keller.

—— |

Anwesend die llerren: Bourgeois, Ficker, Forrer, Henning, Klem, Martin, Müller, Ott, Salo- mon, Schickele, Seyboth, Winterhalter.

Enischuldigt die Herren : Becker, Binder, Himly, Ingold, Lempfried, Schlosser.

Ausgeschieden: Hr. Tornow, Konservalor in Lothringen.

Der Präsident teilt nochmals das Schreiben des Ministeriums mit, laut welchem dieses für den 1. August einen Zuschuss von 5000 .# unter ge- wissen Bedingungen gewährt. Hr. Himly knüpfte daran Erklärungen über den Stand der Kasse.

Die 5. Grundkarte Markirch-Gebweiler ist fer- liggestellt und soll in den nächsten Tagen ein- treffen.

Une imitation en plâtre du grani Bade est déposé au musée par la vill bourg.

Une pierre tombale ornée d'une ı ellement à Breuschwickersheim doit portée au musée.

Une pierre milliaire romaine a entre Scherwiller et Dambach. Accc pour la placer.

M. Théophile Lienhart dépose au objets romains en réservant ses droi priété.

M. Winterhalter propose de comm nouvelle série du Bulletin.

M. Himly, caissier, rend compte de | financière. Au 1* avril la Société avait u de 6 000..#, par contre elle devait 6 00: primerie Alsacienne, 1500 pour Naue, 2500 varia et 400 .# pour les c toriales, un total de 10400 de compte rendu doit être adressé au ment.

Clôture de la séance à 4 heures.

Séance du Comité du 24 juin 19 Présidence de M. le chanoine KELLI

Presents: MM. Bourzeois, Ficker, Fo ning, Klem, Martin, Müller, Ott, Salomon Seyboth, Winterhalter.

Excusés: MM. Becker, Binder, Himl Lempfried, Schlosser.

Démissionnaire: M. Tornow, conser Lorraine.

Le Président communique une lettr: vernement, promettant pour le août venlion de 5 000 .#, à certaines conditi

M. Ilimly, caissier, fournit des explic: la situation financière de la Société.

La cinquième carte territoriale: Sai aux-Mines à Guebwiller est terminée et: dans quelques jours.

= 99

Der Präsident macht Mitteilung von den Ver- handlungen, die Burgruine Klein-Hohneck betref- fend, zwischen dem Amtsgericht von Schnierlach, das unsere Anträge auf Eintragung des Eigentums der Gesellschaft in das Grundbuch zurück weist und der Gesellschaft, resp. dem Hrn. Präsidenten, Hrn. Klem und Regierungsrat Sommer-Golmar.

Die Eintragung der Gesellschaft in das Vereins- register wird angeregt.

Der Druck des Werkes von Naue geht sehr langsam voran (60 S.). Für eine weitere Karle vom Hartwald werden 140 .# bewilligt.

Die Generalversammlung wird auf den 8. Juli ‚festgelegt. Ausscheidende Vorstandsmilglieder sind die Herren Binder, Ficker, Glück, Marlin. Verstorben ist Domkapitular Dacheux (1 Jahr). “Ausgelreten Hr. Stamm (2 Jahre). Als Ersatz für die Letztgenannten werden vorgeschlagen die Herren Jehl und Kærtgé. Landeskonservator Wolff wird einen Vortrag über Niedermünsler halten.

Von Hrn. Klem wurde ein römischer Stein aus der Umgegend von Romansweiler geschenkt.

Mitglied Schlosser schenkte eine Studie über das verschwundene Dorf Trinslingen.

Prof. Ficker beantragt, dass man die Wand hinter dem Kruzifix aus Baden abtönen lasse: Zustimmend,

Für in Aussicht stehende Arbeilen in Mundols- heim, wo neolithische und La-Tène-Funde gemacht wurden, in Strassburg in der Kalbsgasse resp. Luxhofgasse, wo eine doppelte römische Mauer verschiedenen Alters festgestellt wurde, wird eine Aufnahme von 1000 .Æ# beim Deposilenfonds be- willigt.

Das Repertorium von Reinhard kann nach dem ‚Urteil von Prof. Henning nützliche Dienste leisten,

Der neue Band der Milteilungen wird bringen: eine Abhandlung über die Trachlen im Hortus deliciarum, das Nekrologium des Klosters Pairis von Glauss, Geschichte der Zaberner Franziskanerrekollekten von A. Adam.

Schluss der Silzung : 3”/, Uhr.

Les négociations relatives au droit de propriété de la Société sur le château Petit-Honack n'ont pas abouti. Le juge de paix de ge refuse d'inscrire la Sociel& comme

On fait la motion d'inscrire la Société dans le Vereinsregister pour lui assurer les droits d'une personnalité juridique.

L'impression de l'ouvrage Naue n'avance que lentement. On vote 140 .# pour y ajouter une carte de la forêt de la Hardt,

L'Assemblée géuérale est fixée au 8 juillet. Membres sortants: MM. Binder, Ficker, Glück, Martin. Sont à remplacer : M. le chanoine Dacheux (1 an) décédé et M. Stamm (2 ans). On propose pour remplacer les deux derniers: MM. Jehl et Kærtgé. M. Wolf, conservateur, fera une confé- rence sur Niedermünster.

M. Klem donne au musée une pierre romaine des environs de Romanswiller,

M. Schlosser remet pour la bibliothèque son Étude sur le village disparu de Trinslingen.

M. Ficker propose de faire peindre en couleur mate le mur du musée qui se trouve derrière le grand Christ de Bade. Accepté.

On accorde un crédit de 1000 .# à M. Henning pour des fouilles à Mundolsheim, l'on a trouvé des objets néolithiques et de la période La Tène, ainsi qu'à Strasbourg, l'on a conslaté dans la rue du Luxhof le mur romain, composé de deux parties de différent âge.

M. Henning est d'avis que le Répertoire de | M. A. Reinhard pourra rendre de bons services.

La prochaine livraison du Bulletin renfermera une Étude sur les costumes du Hortus delicia- rum, le Nécrologue du couvent cistercien de Pairis, par l'abbé Clauss, l'Histoire des Récollets de Saverne, par l'abbé Adam.

Clôture de la séance: 3°/, heures.

30 +

Generalversammlung vom 8. Juli 1903.

Vorsitzender : Kanonikus Keller.

Anwesend : 50 Mitglieder.

Entschuldigt: Ehrenpräsident Halm, Bezirks- präsident des Unter-Elsass.

Präsident Keller eröffnet die Versammlung mit folgender Ansprache:

Meine Herren!

Die Mitglieder der Gesellschaft, welche heute, trotz der schlechten Witterung, hierher gekom- men sind, um ihre Sympathie für die Erhaltung unserer geschichtlichen Denkmäler zu bekunden, heisse ich herzlich Willkommen. Ich danke Ihnen, meine Herren, und bitte Sie diesen Eifer zu be- wahren und auclı auf andere zu übertragen, denn der unerbittliche Tod hat in diesem letzten Jahre unsere Reihen sehr gelichtet. Ich habe heute die traurige Pflicht einen wohlverdienten Nachruf dem Herrn Domkapitular Dacheux zu widmen, welcher während neun Jahren das Amt des Präsi- denten unserer Gesellschaft bekleidete, und in der Nacht vom 7. zum 8. März das Zeitliche ge- segnet hat. Herr Dacheux war eine hervorragende, eigentümliche und geistreiche Persönlichkeit, dem die Wohlfahrt der Gesellschaft sehr am Herzen lag. Wie schr er sich um dieselbe be- mühet, dafür zeugen die mancherlei Abhand- lungen und Veröffentlichungen von Chroniken, mit welchen er unsere Mitteilungen bereichert hat, sowie die beträchtliche Zahl der Mitglieder, die er für die Gesellschaft geworben hat. Ein tückisches Übel, welches nach und nach seine hohe Geistesfähigkeiten verdunkelte, und ihm teilweise sogar die Sprache nahm, zwang ihn leider in der General-Versammlung im Jahr 1900 eine Wiederwahl als Präsident abzulehnen. Zur Ehrung des verstorbenen Ehrenpräsidenten, dessen hohe Verdienste in dankbarem Andenken in der Gesellschaft verbleiben werden, bitte ich die Herren sich von ihren Sitzen zu erheben!

Meine Herren, vor 2 Jahren, in der General- Versammlung vom 10. Juli 1901, habe ich Ihnen von der finanziellen Lage der Gesellschaft ge- sprochen und Ihnen mitgeteilt, dass der Kaiser- che Herr Statthalter, zur Tilgung der vor-

Assemblée générale du 8 juillet 1903. Présidence de M. le chanoine KELLER.

Présents: 50 membres.

Excusé: M. Halm, préfet de la Basse-Alsa

M. le Président ouvre la séance en pronc l'allocution suivante :

Messieurs,

Permettez-moi de souhaiter la bienvenue tous, qui ne vous êtes point laissés retenir mauvais temps pour témoigner votre. pour la conservation des monuments hist en Alsace. Je vous en remercie, conservez et communiquez-le à d'autres personnes que la mort a décimé nos rangs pendant | écoulée. Je remplis un devoir bien trisle e pelant à votre souvenir M. le chanoine Da qui a été durant 9 ans le Président de Société et que la mort nous a enlevé dans du 7 au 8 mars. M. Dacheux était une peı lité marquante, originale, pleine de ta d'esprit. Vous savez tous combien notre lui tenait à cœur. Comme preuve de ses I dans la Société resteront toujours les nom! études et les fragments des chroniquesstr geoises dont il a enrichi notre Bulletin; temps il a gagné un grand nombre de no membres. Un mal perfide affaiblit peu à hautes qualites de son esprit et le privap en partie de l'usage de la langue. C'est p motifs qu'il déclina dans l'assemblée plen 1900 une réélection comme Président d Société. Il fut alors nommé Président di Je prie ces Messieurs de se lever, pour | la mémoire de notre regrelté Président d'h dont on gardera bon souvenir dans notre

Messieurs, il y a deux ans, dans l'as générale du 10 juillet 1901, je vous ai en de la situation financière de notre Société. ai communiqué que le Statthalter nousal venir l'assurance de fournir un subside

_ 3

mehrere Bohrungen zuerst erweitert worden war, einem heftigen Kohlenfeuer ausgesetzt, bis zu etwa 800° Celsius, die beschädigte Stelle aber. durch besondere Einrichtung noch mehr, beinahe bis zum Flusspunkt erhitzt. Nicht weit von der Glocke, in einer anderen Vertiefung des Bodens befand sich der Schmelztiegel, in welchem eine gewisse Masse von Erz bis zur Flüssigkeit erhitzt wurde. Halb 3 Uhr nachmittags war der feier- liche Augenblick der Ausführung gekommen, und es war wirklich ergreifend zu sehen, wie der Meister, nur von einigen gutwilligen aber doch nicht eingeübten Arbeiter des Dorfes unter- stützt, kaltblütig, obschou in Schweiss gebadet, mit kunstfertiger Gewandtheit den glühenden Schmelztiegel aus der Grube herausnahm, an eine geeignete Tragbahre befestigte und dann das flüssige Erz in drei oder vier Zügen an der beschädigten Stelle eingoss.

Die Operation war vollendet, den Erfolg konnte man nur nach dem Erkalten der Glocke fest- stellen. Zu diesem Zweck wurde sofort das Feuer mit Lehm bedeckt. Tags darauf, um 3 Uhr, erhielt ich ein Telegramm mit den Worten: «Vollständig gelungen, Ton klangvoll.» Die Glocke war also bereits erkaltet und konnte aus der Grube herausgezogen werden. Am dritten Tag kam noch folgendes Telegramm:

Zu Zellenberg im Rebenland Erlönt heut von der Höhe, Gesundet nou durch Meisterhand, Die Glocke klar wie ehe!

Die Glocke hing also schon wieder an ihrem alten Platze; mit verjüngter Kraft verkündete sie das Lob des Meisters, der sie geheilt, und mit ihr frohlocken alle Glocken des Landes, weil man auf diese Weise ihnen das Leben verlängern und erhalten kann! Nicht nur in ökonomischer Hin- sicht ist dieser glückliche Versuch ein wichtiges Ereignis, auch vom archeologischen Standpunkt ist dies in besonderer Weise der Fall, weil auf diese Weise die noch bestehenden alten Glocken erhalten werden können und nicht dem Umguss unterworfen sind, wie die alte Glocke von Lautenbach und so viele andere. Unserer Gesell- schaft gereicht es also zum Lob, zu diesem Erneuerungswerk kräftig beigetragen zu haben.

le moment solennel était arrivé. Il était saisis de voir le maître, aidé de quelques ouvrien village, qui étaient pleins de bonne volonté, ı qui n'étaient nullement préparés pour ce mé: lui-même, de sang-froid, mais inondé sueurs sorlir le creuset du sol et de verse liquide en trois ou quatre traits dans la endommagée.

L'opération était terminée. Pour juger du su il fallait laisser refroidir la cloche. On co: immédiatement le feu de terre glaisc. Le le main à 3 heures je reçus le télégramme sui\ Parfaitement réussi, lon sonore. Le trois jour un télégramme poétique suivit :

A Zellenberg, au pays des vignes, On entend de la tour la cloche. Guérie par la main d'un maitre, Comme autrefois son son est clair.

La cloche a repris son ancienne place; r nie, elle annonce la gloire du maitre quila a et avec elle jubilent toutes les cloches du dont on peut de cette façon prolonger et cons la vie.

Cet essai heureux est un événement imp non seulement au point de vue économiq financier, mais surlout au point de vue arcl gique, puisqu'on pourra conserver de celle les anciennes cloches qui existent encore, par ex. la cloche de Lautenbach et tant d'a C'est un honneur pour notre Société d'a contribuer à cette œuvre de conservation.

DIUE IE

RR

Schriftführer Dr. E. Müller verliest den Jahres- bericht 1902— 1903.

Herr Himly, Kassierer, gibt Aufschluss über die finanzielle Lage der Gesellschaft,

Konservator Prof. Wolff hielt einen interes- santen Vortrag über die in der jüngsten Zeit freigelegten Ruinen der alten Kirche von Nieder- münster.

Die Neuwahlen zum Vorstand ergaben folgendes Resultat: Wiedergewählt wurden die Herren; Binder (43 Stimmen), Martin (43), Glück (43), Ficker (39), Lempfried (37), Jehl (43), Kærtgé (30). Hr. Lempfried ist für 2 Jahre, Hr. Kærtgé für 1 Jahr gewählt.

Präsident Keller wurde durch Akklamation wiedergewählt,

Vorstands-Sitzung vom 14, Oktober 1903. Vorsitzender: Prälat Keller.

Anwesend die Herren Vorslandsmitglieder.

Eatschuldigt : die Herren Ingold, Klem, Lemp- fried.

Neue Mitglieder: Prof. Dr. Morning, Frau Pfr. Röhrich, Vikare Göltgens und Langhäuser in Königshofen.

Ausgetrelen: die Herren Pepin, Nolar a. D. in Gebweiler, Dr. v. Niederhäusern in Bern.

Verstorben : Hr. Himly, Kassierer.

Der Präsident widmel dem verstorbenen Kas- sierer Himly einen kurzen Nachruf, in dem er dessen selbstloses Arbeiten in kritischer Zeit für die Gesellschaft betont. Die Anwesenden erheben sich zu dessen Ehren.

Nach der Leklüre des Protokolles der Generäl- versammlung wird zur Bildung des Ausschusses geschritten. Die früheren Mitglieder werden wiedergewählt. Herr Fabrikant G. Winterhalter tritt an Stelle von Hr. Himly.

Der von der Regierung bewilligle Zuschuss von 8000 .# zur Tilgung der Schuld der Gesellschaft

Le secrétaire, M. le professeur Müller, lit le rapport de l'exercice 1902—1903.

M. Himly, trésorier, donne communication de la siluation financière de la Société de 1902 à 1903.

M. le professeur Wolff, conservateur, fait une conférence intéressante sur l'ancienne église de Niedermünster, dont les ruines ont été déblayées dans les derniers lemps.

Les élections amènent le résultat suivant: Réélus: MM. Binder (43 voix), Martin (43), Glock (43), Ficker (39). Nouvellement élus: MM. Lempfried (37), Jehl (43), Kærtgé (30).

M. Lempfried est élu pour 2 ans, N. Kærlgé pour I année.

L'ancien président, M. le chanoine Keller, a été réélu par acclamation.

Séance du Comité du 14 octobre 1903, Présidence de Mgr. KELLER.

Présents: les membres du Comité. Excuses: MM. Ingold, Klem, Lempfried.

Nouveaux membres: M. Horning, professeur’ Me Röhrich, l'abbé Göltgens et l'abbé Langhäuser, vicaires à Königshofen.

Démissionnaires: M. Pépio, nolaire à Gueb- willer, le D" de Niederhäusern à Berne.

Décédé : M. Himly, caissier.

Le Président rappelle la perte que la Société et le Comité éprouvent par la mort de notre regrelté caissier, M. Himly. Les présents se lèvent pour honorer la mémoire du défunt,

Après la lecture du procès-verbal de l'Assem- blée générale on procède à la formation du bu- reau. Les membres sortants sont réélus. M. C. Win- terhalter remplace M, Himly dans les fonctions de caissier,

Le gouvernement a fail verser la somme de 5 000 .# pour l'extinction des delles de la Société,

_ 3

ist ausbezahlt worden. Es wird der Regierung im

Namen der Gesellschaft der Dank ausgesprochen.

Die Kirchenfabrik von St. Pilt verlangt die Rückgabe des seit 1895 im Museum befindlichen, ihr zugehörenden Reliquienschreines.

Für die nächste Lieferung der Mitteilungen sind cingelaufen : der Nekrolog der Cisterzienserabtei Pairis von Glauss, eine Studie von Pfr. Adam über Gewohnheiten und Bräuche in Jeltersweiler.

Für die Bibliothek schenkte Hr. Ingold : Histoire de l'édition bénédictine de St-Augustin und klei- nere Notizen.

Mitglied Bourgeois regt die Frage der Schaffung einer Vorstandssektion in Golmar erneut an.

Assistent Weigt wurde miteinem provisorischen Gehalte von 1500 .# für das Museum angestellt. Prof. Henning beantragt Erhöhung auf 1800 .4.

Schluss: 4 Uhr.

Vorstauds-Sitzung vom 27. November 1903. Vorsitzender: Prälat Keller.

Entschuldigt: die Herren Vorstandsmitglicder Becker, Bourgeois, Ficker, Glück, Lempfricd, Seyboth, Winkler.

Ausgetreten: Hr. Dr. Eug. Waldner, Stadtarchivar in Colmar.

Der Präsident teilt mit, dass der Bezirkspräsi- dent des Ober-Elsass den gewohnten Zuschuss von 400 .& überwiesen hat. Dank der Gesellschaft.

Die Bollandisten in Brüssel begehren Austausch ihrer Acta Bollandiana mit den Mitteilungen. Bewilligt.

Die Gesellschaft für Geschichtskunde in Frei- burg i.B. begehrt Zusendung der ältern Jahrgänge unserer Mitteilungen. Bewilligt.

Die in unserer Bibliothek fehlenden Nummern der Revue d’Alsace werden soweit möglich durch Herrn Inzold nachgeliefert werden.

Ein Schreiben der Landesverwaltung (6. Nov.) fragt an, wie weil der Druck des Werkes von Naue vorangeschritten. Der Text ist gedruckt, die ver- schiedenen Register sind noch anzufertigen.

Remerciements au gouvernement pour ge silé.

La fabrique d'église de Saint-Hippoipt- mande la restitution de son relijuaire, q trouve depuis 1895 au musce.

Pour la prochaine livraison du Bolleiin, I Clause a envoyé le Nécrologque du crurentc cien de Pairis, l'abbé Adam, de Saverne, Étude sur les us et coutumes de Jederswül,

M. Ingold donne à la bibliothèque son Ih de l'édition bénédictine de Saint-Auqustin et petites notices.

M. Bourgeois revient à la proposition de une section du Comité de notre Société a C,

M. Weigt, assistant du musée, a été ei provisoirement avec un trailement de 13: M. Henning propose d'augmenter à 1 800 .4

Clôture de la séance à 4 heures.

Séance du Comite du 27 novembre 199: Présidence de Mgr. KELLER.

Excusés : MM. Becker, Bourgeois, Ficker, ( Lempfried, Seyboth, Winkler.

Démissionnaire : M. Eug. Waldner, arch de Colmar.

Le préfet de la Haute-Alsace a fait remet subvention traditionnelle de 400 .# Rem ments.

La Société des Bollandistes, à Bruxelle: nande l'échange des Acta Bollandiana notre Bulletin. Accordé.

La Société d'histoire, à Fribourg {Bade mande les premières années de notre Bu! Accordé.

Les numéros de la Revue d'Alsace, qui quent dans notre collection, seront fournis, : qu'il est possible, par M. l'abbé Ingold.

Une lettre de l'administration demand: renseignements sur l'impression de l'ourra Naue. Le texle est imprimé, les tables analyı sont encore à faire.

Für den Restbestand des Hortus deliciarum hat die Buchhandlung Schlesier-Schweikardt + 1000 .4 ausbezahlt.

Hr. Ingold wird beauftragt, festzustellen, ob die Burgruine Wineck-Kalzenthal als Eigentum der Gesellschaft eingelragen ist (Mitteil. Il. Folge, XIIL Bd., 8. 53).

Hr. Ficker regt an, aus den im Besitze des Museums befindlichen Ofenkacheln einen Ofen herzustellen. Die Ausführung würde etwa 600 .# kosten.

Prof. Henning wünscht einen Schreibtisch mit ‚verschliessbaren Fächern.Kostenanschlag 150 bis 200 „#. Über den merovingischen Helm von Baldenheim wird Prof, Henning in den Mitteilungen eine Untersuchung veröffentlichen.

_ Für Ausgrabungsarbeilen werden 500 .# be- willigl.

Schluss: 4 Uhr.

F EE LE LABELS SZ.

E æ

Vorstands-Sitzung vom 20. Januar 1904,

Vorsitzender : Prälat Keller,

Entschuldigt: die llerren Bourgeois, Ficker, Kocrtgé, Lempfried, E. Müller, Ott, v. Schlum- berger, Winterhalter.

Neue Mitglieder: Abbé Walter-Markolsheim.

Ausgetreten : die Herren Klein, Pfarrer in Rhei- nau, Schmittbühl, Kantonalarzt in Schirmeck.

Der Präsident teilt mit, dass das Ministerium das Werk von Hr. Kassel-Hochfelden über die Ofenkacheln geschenkt hat, Dank des Vorstandes. Dr. Forrer hat zwei Abhandlungen geschenkt.

me Die Verwaltung hat Fundstücke aus den Ruinen = der Burgen von Hohnack und Pfirt durch Landes- konservator Wolff unserm Museum überwiesen.

Br

= Bezüglich eines Kopfes aus der Bronzezeit, der

= aufstlädtischem Boden gefunden und von Dr.Forrer

= erworben, erklärt sich der lelztere, nach voraus- “gegangener Korrespondenz mit dem Bürger- meisteramt, bereit, denselben dem Museum zu schenken.

r u:

= se

La librairie Schlesier-Schweickhardt a payé 1000 pour les exemplaires du Hortus deli- ciarum qu'on lui a cédés.

M. Ingold est chargé d'établir si le château de Wineck-Katzenthal est inscrit comme proprièlé de la Société. (Bulletin, série I, vol. 13, p. 53.)

M. Ficker propose de ER un po@le com- plet avec les plaques que possède notre musée, Dépenses approximatives: 600 .# »

M. Henning demande une table avec tiroirs à clef. Dépenses : 150—200 .#

Une élude sur le casque mérovingien sera publié par le même dans le Bullelin.

On vole un crédit de 500 .# pour des fouilles à faire. Clôture de la séance à 4 heures,

Séance du Comité du 20 Janvier 1904, Présidence de Mgr. KELLER.

Excuscs: MM. Bourgeois, Ficker, Koerlgé, Lempfried, E. Müller, Ott, de Schlumberger, Winterhalter.

Nouveaux membres: M. l'abbé Walter, de Markolsheim.

Démissionnaires: MM. Klein, curé de Rhivau, Schmittbühl, médecin à Schirmeck.

Le Président fait savoir que le ministère a donné à notre bibliothèque l'étude de M. Kassel, de Hochfelden, sur les plaques de poéle. M. Forrer remet deux notices. Remerciements.

Le gouvernement a fait déposer dans notre musée par M. le conservateur Wolff des objets trouvés dans les ruines des châteaux de Hohneck et Ferrelle.

Une têle de bronze a été trouvée sur terrain municipal et acquise par M. Forrer. Après une correspondance avec le maire, M. Forrer déciare céder la pièce à notre musée.

36

Vom Werke Naucs fehlen noch die Tafeln, der Text ist gedruckt.

Die Studie von Walter über die Franziskaner- minoriten in Rufach kann in die in Vorbereitung begriffene Lieferung der Mitteilungen nicht mehr aufgenommen werden.

Schluss der Sitzung: 4 Ulır.

Vorstands-Sitzung vom 2. März 1904. Vorsitzender: Prälat Keller.

Entschuldigt die Herren : Becker, Klem, Kærtgé, Martin, Winterhalter.

Neue Mitglieder: Hr. Eduard Birckel von Rei- chenweier.

Der Präsident teilt mit, dass in Reichenweier eine Gesellschaft für Erhaltung der dortigen Alter- tümer gegründet wurde.

Der Pfarrer von Ostheim übersendet die Photo- graphie eines armlosen Kruzifixes aus der dor- tigen Pfarrkirche. Die Kirchenfabrik würde den- selben au die Gesellschaft abtreten.

Das Reliquiar von St. Pilt ist am 12. Februar von Pfarrer und Kirchenschaffner abgeholt worden.

Die Tafeln zum Werke von Naue werden bis Juni vollendet sein. Ir. Winterhalter schenkt einen Januskopf.

Die Untersuchung von Hrn. Forrer über den Bronzekopfwirdindie Mitteilungen aufgenommen.

Vorstands-Sitzung vom 27. April 1904.

Vorsitzender: Prälat Keller.

Anwesend: die llerren Binder, Forrer, Henning, Jehl, Klein, Korrtge, Lempfried, Salomon, Seyboltlı, Winkler, Winterhalter.

Entschuldigt : die Herren Becker, Ingold, Martin.

Tauschvorschlag betreffend Veröffentlichungen durch den Wormser Altcrlumsverein. Ange- nommen.

L'ouvrage de Naue est imprimé, les pla manquent encore.

L'étude de M. Walter sur les Recollel Rufach ne peut plus étre insérée dans la chaine livraison du Bulletin.

Clôture de la séance à 3 heures.

Séance du Comité du 2 mars 1904. Présidence de Mgr. KELLER.

Excusés: MM. Becker, Klem, Kærtgé, 4; Winterhalter.

Nouveau membre : M. Ed. Birckel, de Ri Wyr.

Le Président fait savoir qu'une Société ar logique de Richenwyr a été fondée et a son premier rapport.

Le curé d’Ostheim envoic une photogr d'un Christ en pierre, sans bras, appartenan fabrique d'église. La fabrique le céderait Société.

Le reliquaire de Saint-Hippolyte a été re N. le curé et au trésorier de la fabrique d endroit, le 12 février.

Les planches de l'ouvrage Naue seront I nées au mois de juin.

M. Winterhaller donne au musée une Janus.

La notice de M. Forrer sur la Tete de b paraîtra dans le Bullelin.

Séance du Comité du 27 avril 1904. Présidence de Mgr. KELLER.

Présents: MM. Binder, Forrer, Henning, Klem, Kærigé, Lempfried, Salomon, &e: Winkler, Winterhalter.

Excusés : MM. Becker, Ingold, Martin.

L'échange des Bulletins, proposés par la & d'archéologie de Worms, est accepté.

ue” MN mn

Für den steinernen Christuskopf des 16. Jahr- hunderls aus Ostheim werden 500 .# verlangt. | Abgelehnt.

Ein Schreiben des Hrn. Kanonikus Räss bezög- lich des Loewertor in Rosheim wird verlesen und an den Landeskonservator H. Wolff über- wiesen.

Mitglied Prof. Henning schlägt für das Bulletin “eine Reproduktion in Farbendruck des Mero- “winger Helmes vor, sowie 8 weitere Tafeln ver- ‚schiedene Fundgegenstände darstellend. Kosten- -anschlag circa 520 .4

Der Vorsitzende schenkt der Gesellschaft eine - Gipsstatuette : sitzende Madonna mit Kind aus dem 14. Ihdt., Faksimilie eines Elfenbeines, das im

- Besitze des Pfarrers Bauer in Cleve, ferner eine >

" Holzstatuette, den hi. Bernhard darstellend, um das Jahr 1700. Dank.

- Mitglied Forrer übergibt ein Geschenk des Hrn. Paul Girod: Les stations de l'âge du Renne. ‚Dank. |

Prof. Henning wird für laufende Arbeiten ein Kredit von 500 .# bewilligt. Scliluss der Sitzung: 4 Uhr.

Vorstands-Sitzung vom 15. Juni 1904. Vorsitzender : Prälat Keller.

Anwesend die Herren: Binder, Forrer, Henning, Kærigé, Salomon, Martin, Winterhalter.

= Eatschuldigt die Herren: Becker, Bourgeois, Ficker, Ingold, Lempfried.

Ausgetrelen die Herren: Baron v. Müllenheim, z. Zt. in Hannover, Lacomble, Rentmeister in SL. Die.

DerPräsident teilt mit, dass die Landesregierung

für das Rechnungsjahr einen Zuschuss zon 3000.#, der Bezirk Unter-Elsass einen Zuschuss von 800.# ‚bewilligt. Dank. " Das Bürgermeisteramt biltet um Bericht über ‚die Verwendung des städtischen Zuschusses für ‚1903. Gesuch des Vorstandes um weitere Bewilli- gung des Zuschusses.

Pour la tête de Christ en pierre, appartenant à la fabrique d'église d'Ostheim et remontant au 16° siècle, l'on demande 500 .# Refusé. ,

Une lettre de M. le chanoine Räss concernant la porte Löwe à Rosheim sera transmise à M, Wolf, conservaleur.

M, Henning propose de faire accompagner le texte de l'Étude sur le casque mérovingien d'une reproduction en couleur, d'y ajouter huit autres planches, reproduisant d'autres objets trouvés. Les frais monteraient à 520 .#

Le Président donne au musée une slaluelle en plâtre, fac-simile d'un ivoire du 14*siècle, repré- sentant la Vierge avec l'Enfant. L'original appar- tient à M. Bauer, curé à Cleve (?). Le même donne une statuelte en bois, représentant saint Bernard, des années 1700. Remerciements.

M. Forrer transmet l'ouvrage de Paul Girod: Les Stations de l'âge du renne. Remerciements,

Sur la proposition de M, Henning, l'on vote un crédit de 500 .# pour différents travaux.

Clôture de la séance à 4 heures.

Séance du Comité du 15 juin 1904, Présidence de Mgr, KELLER.

Présents: MM. Binder, Forrer, Henning, Koertgé, Marlin, Salomon, Winterhalter.

Excusds; MM, Becker, Bourgeois, Ficker, Ingold, Lempfried, Ott,

Demissionnaires: MM. le baron de Müllenheim, à Hanovre; Lacomble, receveur des finances à Saint-Dié.

Le Président donne communication que le ministère d'Alsace-Lorraine vient d'accorder une subvention de 3000 .#, le département de la Basse-Als. une somme de 800 .# Remerciements.

Le maire de Strasbourg demande un compte rendu de l'emploi du subside municipal en 1903.

38

Eine Mitteilung des Landeskonservalors Wolf kündigt die Einsetzung von staatlich ernannten Denkmalpflegern im Elsass an.

: Das Museum der Stadt Metz schickt einen Bericht über die Jahre 1902 und 1903.

Vom Wörterbuch der Elsässischen Mundarten überweist das Ministerium Bd. Il Lief. 1.

Eine Einladung zur Vorbesprechung über den VIII. Internationalen Kongress, der im September tagt, wird vorgelegt.

Das Bürgermeisteramt Strassburg teilt eine Verfügung der Regierung mit, ein Verzeichnis wichtiger Funde baldmöglichst einliefern zu wollen. Das Verzeichnis unseres Bestandes ist jedermann zugänglich und dem Bürgermeisteramt mitgeleilt worden.

Die Generalversammlung wird auf Mittwoch, den 12. Juli anberaumt. Dieselbe wird im Union- saale stattfinden. Pfarrer Walter von Neuweiler hat den Vortrag über Geschichte und Altertümer von Neuweiler übernommen.

Austretende Vorstandsmitglieder sind die Herren: Henning, Kurtz, Salomon, Winkler. Herr Korrtge, der in der letzten Generalversammlung blos für 1 Jahr gewählt wurde, muss neu gewählt werden.

Schluss: 4 Uhr.

| Une communication de M. le conserva Wolff annonce l'institution de Denkmalpf nommés par l’Élat.

Le musée de la ville de Meiz a envoré rapport des années 1902 et 1903.

L'administration a fait reincttre pour n bibliothèque le vol. II, livraison 1 de l'Jdia alsacien.

Une invitation à prendre part à une confén relative aux préparatifs du congrès internal des savants, qui aura lieu au mois de septen a été remise.

La ville de Strasbourg communique une c laire du gouvernement, qui demande qu objets trouvés dans les fouilles doivent lui «notifies incessamment. La liste de ces obje notre musée est accessible à tout le mon sera communiquée au gouvernement.

L'Assemblée générale de la Sociélé est au mercredi 12 juillet. Elle aura lieu da salle de l'Union. M. le curé Walter donnera conférence sur Thistoire et les monumen! Neuweiler.

Membres sortants du Comité: MM. He Kurz, Salomon, Winkler. M. Koertge, qui n élu à la dernière Assemblée générale que une année, doit être également réélu.

Clôture de la séance à 4 heures.

Gencralversammiung vom 13. Juli 1904. Vorsitzender: Prälat Keller.

Anwesend: 44 Mitglieder.

Entschuldigt : der Herr Bezirkspräsident.

Neue Mitglieder: Universitätsprof. Dr. Clemens Biumker, Wenkerstrasse 8, wird zur Aufnalıme vorgeschlagen und aufgenommen.

Ansprache des Vorsitzenden.

Ergänzungswahlen für den Vorstand. Es werden gewälllt: die Herren Salomon mit 43,Kurrtge mit

Assemblée générale du 13 juillet 1904. Présidence de Mgr. KELLER.

Présents: 44 membres. Excusé : M. Halm, préfet de la Basse-Alsa

Nouveau membre: M. Clemens Bäumkeı fesseur de l'Université.

M. le Président prononce une allocution avoir souhaité la bienvenue aux membn sents.

Élections des membres du Comité. Son NM. Salomon (43 voix), Kaerige (40), Ga

ass mit 38, Henning 34, Clauss 28 Stimmen. lerren Kurz und Winkler wurden durch die in Gass und Glauss ersetzt.

» Wiederwahl des Vorsitzenden Prälal Keller gt durch Akklamation.

r Bericht über die Tätigkeit der Gesellschaft (Ihre 1903—1904 wird an Stelle des durch kheit am Erscheinen verhinderten Schrift- rs Dr. E. Müller durch Prof. Dr, Martin ver-

Geschäftsbericht 1903—1904.

1 I. April 1903 zählte unsere Gesellschaft ditglieder,; davon hat sie im vergangenen ıäflsjahre 7 Mitglieder durch den Tod und lurch freiwilliges Ausscheiden verloren. m Verluste entspricht ein Gewinn von 5 a Mitgliedern, so dass wir leider auch dieses einen Abgang von 19 Mitgliedern zu ver- nen haben.

den Vorstand wurden an Stelle des ver- enen llerrn Kanonikus Dacheux und des aus- üedenen Herrn Stamm die Herrn Jehl und gewählt. Kurz darauf hatten wir den Tod ‘es geschälzten Kassierers, des Herrn Himly klagen, an dessen Stelle Herr Winterhaller Das Bureau wurde per Akklamation wieder hit.

ır erfreulich gestaltete sich in Folge der enswerten Unlerstülzung seitens der staal- a und städtischen Behörden die finanzielle der Gesellschaft.

ser Museum erfuhr sowohl in seiner älteren uch in seiner miltelalterlichen Abteilung ganz bedeutende Bereicherung.

erwiesen wurden: seilens der Regierung durch Herrn Landes- ırvalor Wolff römische Funde aus dem Ge- lewald bei Ungersheim: Zwei Sigillata- hen, ein Topf, eine grosse zweitcilige Hand- e aus rolem Sandstein und zwei Münzen. seitens der Eisenbahnverwaltung neun nlaschen», die bei Bauarbeiten am Kolmarer hof gefunden wurden; ferner zahlreiche storische Funde aus der neolithischen Hall- und la Ténezeit, die bei dem Neubau des erbahnhofes in Strassburg, meistens unter ‘ht des Museums, ausgegraben wurden.

Henning (34), Clauss (23). MM. Kurtz et Winkler ont été remplacés par MM. Clauss et Guss, les autres membres appartenaient déjà au Comité.

Mgr. Keller est réélu Président par voix d'acela= mation.

M. Martin, professeur, donne communication du rapport de l'exercice 1903—1904 en rempla- cement du premier secrétaire, M. le professeur E. Müller, empêché par la maladie.

Rapport de l'exercice 4903—1904. Membres: Le 1" avril 1903 notre Société comptait 473 membres, La mort lui a enlevé 7, 17 autres ont donné la démission. Celle perte n'a élé compensée que par l'admission de 5 nouveaux membres, de sorte que la Sociélé a subi une di- minulion réelle de 19 participants.

Comité: Feu M. le chanoine Dacheux et M. Slamm, démissionnaire, ont élé remplacés lors des élections par MM. Jehl et Kærigé, La mort nous a enlevé bientôt après M. Himly, notre sym- pathique caissier, qui a été remplacé par M. Win- terhalter. Les membres du bureau précédent ont été réélus par voix d'acclamation.

La situation financière s'est améliorée consi- dérablement grâce aux allocations de l'État, des départements et de la ville de Strasbourg.

Le musée s'est considérablement enrichi dans les deux sections de l'antiquité et du moyen âge.

Seclion de l'antiquité : Le gouvernement a fait déposer par M. Wolff, conservateur, des pièces romaines, trouvées dans la forêt communale d'Ungersheim: deux petites tasses en Terra Sigil- lala, un vase, un grand moulin à bras en grès rouge et deux monnaies. L'administration des chemins de fer a remis neuf barres de fer celti- ques, trouvées pendant les travaux pour la nou- velle gare de Colmar. Des pieces néolithiques, remontant aux périodes de Hallstait et de La Tène, ont élé trouvées pendant les travaux pour la nouvelle gare des marchaudises à Strasbourg.

40

3. seitens der Fortifikalionsverwaltung eine Anzahl römischer Scherben, welche beim Erd- aushub zur Anlage eines Forts bei der Schachen- mühle in Neudorf gefunden wurden.

An Geschenken erhielt das Museum:

Von Herrn Stromeyer-Lauth, Kaufhausgasse 1-3, eine fränkischeUrne, aus Bruchstücken zusammen- gesetzt, und Bruchstücke zweier gleicher Exem- plare, gefunden in der Kiesgrube Urban in Grafenstaden und einen gehenkelten röınischeu Krug, wahrscheinlich aus Strassburg.

Von Herrn Dumont-Schauberg, Besitzer der Strassburger Post, zahlreiche römische Sigillata- Scherben aus der Marbacher Gasse.

Von Herrn GC Winterhalter ein Köpfchen aus Bronze mit Doppelgesicht.

Von Herrn Dr. Forrer ein Balsamgefäss aus Brouze in Form eines Nubierkopfes, gefunden hinter der Aubette bei Kanalisationsarbeiten, und eine grosse Anzalıl Funde aus prähistorischen römischen und fränkischen Gruben und Gräbern ausAchenheim und Stützheim, sowie ein römisches Skulpturstück, Fragment eines Gigantenreiters, gefunden in der Heiligenlichtergasse in Strass. burg.

Von Herrn Dr. Erdmann Lehrer am protestan- tischen Gymnasium, einige spätrömische Sigillate vom Fortneubau in Neudorf.

Von Herrn Baurat Winkler in Colmar Scherben von Gefässen der Hallstattzeit, gefunden in Robrschweicr.

Von Frau Kehrt in Hônheim durch Vermittelung des Herrn Dr. Sorgius aus Schiltigheim, die Aus- beute eines fränkischen Frauengrabes: ein eisernes Messerchen und Ringe, Kleingegenstände aus Bronze und einen guterhaltenen Topf, sowie aus einer andern Grube einen beinernen Kamm.

Von Herrn Vikar Göttgens aus Königshofen einige römische Fundstücke.

Von Herrn Oberapotheker Ortlieb aus Strass- burg verschiedene römische Funde aus dem Boden des Bürgerspitals.

Die Kanalisationsarbeiten in Strassburg ergaben eine Reihe interessanter Funde. Untersucht wurden: Dornengasse, Kettengasse, Barbara- gasse, Gewerbslauben, Hoher Steg, Kleine und Grosse Kirchgasse, Thomannsgasse, Jung St. Peler-

x

L'admioistration des fortifications a don musée des fragments de tuiles et de vases, a découvert lors de la construction d'un petit près de la «Schachenmühle » à Neudorf i4 bourg).

Dons : M. Stromeyer-Lauth a donné une ı de la période des Francs, urne composée del ments et des fragments de deux autres u trouvées dans une carrière de gravier à Gn staden, une cruche romaine à anse, probables de Strashourg.

M. Dumont-Schauberg, propriélaire de Strassburger Post, a fait don de nombreux | ments de Terra Sigillata, provenant de la Marbach. M. C. Winterhalter une petite tèu bronze à double face. M. Forrer un va baume en bronze, ayant la forme d'une t& Nubien. Cette pièce a été mise à jour den l'Aubelte lors des travaux de canalisatioe. série d'objets trouvés dans des fosses ei to romaines ou franques à Achenheim et Stüts Une pièce romaine sculptée, fragment dung: trouvée dans la «Heiliglichtergasses. M. Erde instituteur au Gymnase protestant, a donné restes de Terra Sigillata, trouvés lors de la struction du fort de Neudorf.

M. Winkler, conservateur en retraile, a & des fragments d’urnes, appartenant à la pér de Hallstatt, trouvés à Rohrschwihr. N" Keb: Hönheim, a donné par l'entremise de M. le teur Sorgius, à Schiltigheim, les objets tro dans une tombe de femme de la période fran un petit couteau de fer, des anneaux, des ol en bronze, un pot bien conservé; d'une a tombe, un peigne en os. M. l'abbé Göttgens. Königshofen, quelques pièces romaines.

M. Ortlieb, pharmacien en chef des hôpil civils, a remis plusieurs objets romains Ira sur Île terrain de Fhôpital.

L'on a fait surveiller les travaux de la ca sation dans une série de rues: rue des Bpi rue de la Chaîne, rue Sainte-Barbe, rue des cades, Haute-Montée, petite et grande rue l'Église, rue Thomann, place Saint-Pierre-le-le

= 4.

5, Tribunalgasse, Fadengasse, Krebsgasse, Itigheimergasse, Broglieplatz, Münstergasse Seitengässchen, Brandgasse, Luxhof- und merleutgasse, Pergamentergasse, Judengasse Seitengassen, Spiessgasse, Schneidergraben, Ischmiedgasse, Bürgerspital, Schiffleutstaden, ausstaden, Weissthurmstrasse, Grosse Renn- e, Fischergasse und Akademiestrasse. nter den interessantesten Funden sind her- wheben: ein schönes fast ganz erhaltenes mplar eines zweiheukeligen frührömischen ges mit Goldglimmerplättchen bedeckt, aus Keltengasse ; ein gut erhaltenes römisches aus der Thomannsgasse ; eine Backsteinplatte eingeritzter Aufschrift: Leg. IL, sowie Sigil- mit Stempeln des Abius und Xantus, gefunden der Münstergasse, drei grosse profilierte ızebeschlagstücke; ein kleines Doppelfüllhorn Bronze aus der Goldschmiedgasse ; ein in eschwemmtem Schlamme liegendes prähisto- hes Gefäss im Grünen Bruch; Backsteinplatten Liegelstücke mit dem Stempel der 8. Legion, ı linke Hand aus Bronze von einer über- ssl Figur, bereits in alter Zeit ver- amelt, in einer Brandschicht mit zahlreichen izegegenständen aus der Nähe des Hotels zur t Paris. urch Tausch erhielt das Museum von Herrn rapotheker Ortlieb römische Funde aus dem gerspilal. on Herrn Seeger zwei prähistorische Töpfe Mülhausen. ie Ausgrabungen auf dem Eisenbahnterrain Mundolsheim, welche von unserem Assistenten rn Weigt überwacht wurden, nahmen ihren . Es ist eine grosse Anzahl von Wohn- ben der neolitischen Zeit zu Tage gekommen,

ie unter Professor Fickers Leitung stehende istliche Abteilung unserer Sammlung hat in em Jahre zahlreichere Eingänge als sonst zu jeichnen.

ie Regierung überwies durch den Landes- servator verschiedene Kleingegenstände von - Frankenburg, den Burgruinen Hohenack Pfirt, sowie die Funde beim Neubau im Hofe bischöflichen Palais in der Brandgasse.

B, XXIL, (8.-B.)

rue du Tribunal, rue du Fil, rue de l'Écrevisse,

rue de Schiltigheim, place du Broglie, rue du Dôme, rue du Luxhof, rue des Charpentiers, rue du Parchemin, rue des Juifs, rue des Hallebardes, rue des Orfèvres, fossé des Tailleurs, Hôpital civil, quai des Bateliers, quai Saint-Nicolas, rue

de la Porle blanche, grande rue de la Course, rue des Pécheurs et rue de l'Académie,

Relevons parmi les pièces trouvées les plus remarquables : un bel exemplaire, bien conservé, d'une cruche romaine à deux anses, ornée de paillettes d'or micacé, provenant de la rue de la Chaine, une hache romaine de la rue Saint- Thomas, une pierre en briques portant l'inscrip-

tion «Leg. Ile, des luiles de Terra Sigillata avec

les sceaux de Abius et Xanlus, tirées de la rue du Dôme, trois garnilures de bronze, un cornel doublé en bronze, de la rue des Orfèvres, un vase préhistorique, liré du limon d’alluvion, provenant du Marais-Vert, des briques et des tuiles portant le sceau de la huitième légion, une main gauche en bronze d'une figure dépassant la grandeur naturelle. Cette main était déjà mutilée de vieille date el se trouvait dans une lombe de cendres avec d'autres objets en bronze à proximité de l'hôtel de la Ville de Paris.

Par voie d'échange le musée a obtenu de M. Ortlieb, pharmacien en chef, des pièces romaines trouvées sur le terrain de l'hôpital civil,

De M. Sceger, deux vases préhistoriques de Mulhouse.

Les fouilles sur le terrain de l'administration des chemins de fer près de Mundolsheim, qui sont surveillées par notre assistant, M, Weigt, continuent régulièrement. On a découvert un grand nombre de fosses d'habitations humaines de la période néolithique,

La section chrétienne du musée s'est enrichie sous la direction de M. le prof. Ficker durant celte année plus que d'habitude,

Le gouvernement a fait déposer par le conser- valeur Wolff dans le musée de menus objets provenant de la Frankenburg, des ruines des châteaux de Hohnack et de Ferrette, et les objets trouvés lors de la construction de l’évéché dans la rue Brüûlée,

4

_ 9

An Geschenken gingen der Gesellschaft zu :

Von Herrn Amtsrichter Dr. Neidhardt in Mar- kolsheim cine eiserne Fussfessel, gefunden in Elsenheim, ein Siegelring aus Bronze mit dem Zunflzeichen der Zimmerleute, gefunden in Baldenheim.

Architekt Wieger aus Strassburg überwies dem Museum eine mächtige steinerne Eckkonsole von 1764 mit den Emblemen der Küferzunft; Herr Gharles Hahn aus Strassburg den Mittelstein des Thorbogens von dem abgebrochenen Hause Bar- baragasse 13 mit der Jahreszahl 1673 mit den Zeichen der Metzgerzunft; Vergolder Lang in der Finkweilergasse einen in seinem Hofe gefundenen Topf aus gotischer Zeit.

Herr Brauereidirektor Halt (Braucrei zur Hoff- nung) eine mittelalterliche steinerne Reibschale, gefunden in der grossen Kirchgasse.

Die Herren Bürgermeister von Vendenheim, der evangelische Pfarrer Heinrich Schien daselbst überwiesen eine sehr schöne polychromierte spätgotische Grabnische mit eiserner Doppeltüre und Malereien auf dem inneren Grunde.

Zur Aufbewahrung, unter Wahrung des Eigen- tumsrechtes, wurden dem Museum übergeben durch Veriittelung des Herrn Direktors Lamb von den Klar-Eis-Werken zur Dunzenmühle eine Sammlung vonaltertümlichen Kleingegenständen, die beim Wasserbau 1902 aus der Il gehoben wurden. Bemerkenswertsind darunter: eine kleine Madonnafigur des XVII Jahrh., das Bruchstück einer Stationstafel, Gläser und Spieltöpfe des XV. Jahrh., verschiedene weisstonige Pfeifen und guterhaltene Werkzeuge.

Durch Ankäufe konnten unterm Besitz gesichert werden:

Silbergegenstände aus dem Scharrachberg- heimer Funde, eine sehr interessante romanische Bronzeschnalle des XL Jahrh. aus Molsheim; einige eiserne Ofenplatten in Strassburg, ver- schiedene keramische Altertümer. Namentlich aber verdient der Erwerb mehrerer staluarischer Bildwerke Erwähnung, einiger steinerner aus guter gotischer Zeit und verschiedener Holz- schnitzereien aus dem XVH. und XVIIE Jahr- hundert, dazu ein Bildstock in charakteristischen Spälrenaissanceformen. Dagegen mussie wegen zu holier Forderungen der Ankauf des in Ostheim

Le musée a reçu comme dons:

De M. Neidhardt, juge de paix à Markolshen une chalne de pied en fer, trouvée à Elsenhen un anneau en bronze, portant le sceau des cha. pentiers, trouvé à Baldenheim. M. Wieger, ardı- tecte de Strasbourg, a remis une grande cons de 1764 avec les armoiries de la corporation és tonncliers. M. Charles Hahn, de Strasbourg, a donné la clef de voûte de la porte d'entrée del maison démolie rue Sainte-Barbe 13, portant k chiffre 1673 et les armoiries de la corporate des bouchers. M. Lang, doreur, a donné un vae gothique trouvé dans sa maison, rue Fiakwilker. M. Haut, directeur de la brasserie de l’Esperan«,

" a amené un vase à pilon en pierre du moyen ge,

trouvé dans la grande rue de l'Église.

M. le maire et le pasteur de Vendenheim, Bern Schien, ont remis une belle niche. de tombe polr- chromée et appartenant à la dernière perinde gothique. Elle avait porte double et le mor à fond était peint. M. Lamb, directeur de la fabrique de glace «zur Dunzenmühlee, a déposé, en réser- vant le droit de propriété, une collection de menus objets qui ont été trouvés dans li lon des travaux de 1902. A faire remarquer das cette collection: une petite figure de madone da 17° siècle, un fragment d'un tableau de chemm de croix, des verres et des pots du 18° siècle, des pipes d'argile blanc et des outils bien concerné:

Par achat on a pu assurer au musée des fies en argent provenant des fouilles de Scharracr bergheim, une agrafe romane en bronze du {! siècle, de Molsheim, quelques carreaux de px en fer de Strasbourg, quelques pièces antiques en céramique. Une mention spéciale est due au objets sculptés. Des statues en pierre de la m riode gothique ct différentes sculptures du 1e 18° siècle, une statuette ayant les formes mar- quantes des derniers temps de la Renaissane. L'achat d'un crucifix d'Ostheim a étre sus pendu, vu le prix demandé. Le beau reliquaire de Saint-Hippolyte, qui était longtemps un ome ment de notre collection, a être rendu à ses

+

ehobenen Christusbildes unterbleiben, und schöne Reliquienschrein von S. Pilt wurde, dem er lange Zeit cine Zierde unserer lung gewesen war, wieder zurück verlangt, ass er dem grossen Kreise der Besucher res Museums und damit überhaupt einem rn Kreise entzogen ist. e Funde, die bei den Kanalisationsarbeiten ıcht wurden, haben uns manchen wertvollen ıchs gebracht. Sieht man auf die Zahl, so m oben an die Erzeugnisse der keramischen it. Unsere stattliche Kollektion von Ofen- eln ist ebenso wie die der Bodenfliesen erum durch anmutige Muster bereichert len und fanden gule Ergänzung durch schönste issancearbeit (Griffe an einer Schüssel), die inem Umbau in der Nussbaumgasse entdeckt le. Auch die golischen Grabsteine felılten t den Funden dieses Jahres nicht. Wertvoller liese Bruchstücke ist eine aus vorgotischer stammende Bleimedaille mit dem Agnus Dei, aden in Bürgerspital. in den mannigfachen andern Kleingegen- len sei nur noch ein Frauenfigürchen mit e aus gebranntem Ton erspielzeug, weil es unsere Sammlung cher Genrefigürchen glücklich ergänzt. t durch Tausch konnten wir einige Er- ‚ungen machen. ge auch das Jahr 1904/05 wie das ver- ne Jahr unler guten Zeichen stehen. n verdiensivollen Leitern unseres Museums, erren Professoren Henning und Ficker sei it der Dank der Gesellschaft ausgesprochen. Bibliothek der Gesellschaft erfuhr durch Schriflenaustausch ihre hauptsächlichsle hrung. Dem Schriflenaustausche ist im aufenen Jahre neu hinzugetreten die Société landistes in Brüssel. Dieselbe übergab ein diges Exemplar der Acta Bollandiana hielt ein vollständiges Exemplar unseres in, Unter einigen kleineren Ankäufen für ibliothek ist zu erwähnen das Kunsthand- für Deutschland. Willkommene Bücher- nke gingen ein von Herrn Kommerzienrat tmann in Monsweiler, Herrn Abbé J. M. P. in Colmar, Prof. Martin in Strassburg sowie von dem kais. Ministerium und dem kais,

hervorgehoben,

propriétaires. Les visiteurs de notre musée et les amis des arls le constateront avec regret. eu 1

Les fouilles failes pendant les travaux de cana- lisation nous ont amené maintes pièces remar- quables. Quant au nombre, l'art céramique tient la première place. Notre collection de carreaux de poële et de carreaux de dallage s'est enrichie par des échantillons remarquables. Elle a été complétée par de belles pièces de Renaissance trouvées dans la rue du Noyer. Les pierres tom- bales gothiques ne faisaient point défaut. Plus importante est la découverte d'une médaille en plomb portant l’Agnus Dei, sur le terrain de l'hôpital civil et antérieure à la Gothique.

Relevons dans le nombre des petits objets: une figurine de faune avec colombe en argile cuit. Elle complète d'une façon heureuse notre collection de figurines gothiques. Par voie d'échange le musée a fait également plusieurs acquisitions. Puisse l’année 1904 à 1905 s'ouvrir sous des auspices aussi favorables comme l'année précédente.

Le dévouement des directeurs de notre musée, MM. les professeurs Ficker et Henning, méritent tous les remerciments de la Société.

La bibliothèque s'est accrue par l'échange des publications avec d'autres sociétés. La Société des Bollandistes à Bruxelles a envoyé un exem- plaire complet des Acta Bollandiana et a reçu en retour la collection complète de notre Bulletin. Parmi les livres achetés, il faut citer le Kunst- handbuch für Deutschland. La bibliothèque a reçu des livres en don de MM. Christmann à Mons- willer, l'abbé Ingold à Colmar, le prof. Martin à Strasbourg, du Ministère d'Alsace-Lorraine et du Denkmalarchiv. La reliure des livres, restée en souffrance depuis quelques années, a fait un grand pas en avant.

Li

Denkmalarchiv. Erwähnt möge ferner noch werden, dass die seit einer Reihe von Jahren rückständig gebliebenen Einbände der Bücher im abgelaufenen Jahre zum grössten Teil herge- stellt worden sind. Die noch unerledigt geblie- benen Binbände sollen nach Tunlichkeit bald- möglichst angefertigt werden.

Die in Aussicht gestellte Veröffentlichung der Arbeit des Herrn Naue konnte leider misslicher Umstände halber noch nicht ganz zum Abschlusse gebracht werden. Der Text liegt indessen bereits gedruckt vor und hoffen wir, das interessante Werk den Subskribenten in nächster Zeit über- geben zu können.

Von unseren Milleilungen ist soeben eine neue Lieferung mit einer Reihe historischer und archäologischer Arbeiten fertig geworden. Hoffen wir, dass das nächste Jahr uns neue wichtige Aufgaben und neue eifrige Mitarbeiter aus den Reihen elsässischer Altertumsfreunde und nicht minder günstige Ergebnisse derSammlungs- und Forschungsarbeit unserer Gesellschaft bringen wird.

Der Kassenbericht wurde durch den Schatz- meister Herrn Winterhalter verlesen.

Über Neuweilers Vergangenheit u. Denkmäler hält Kantonalpfarrer Walter einen interessanten Vortrag.

Schluss der Versammlung um 4'/, Uhr.

Vorstands-Sitzung am 12. Oktober 1904.

Vorsitzender: Prälat Kellor.

Anwesend : die Herren Binder, Bourgeois, Clemm, Forrer, Henning, Ingold, Kærtgé, Martin, Salomon, Seyboth, Winterhalter.

Entschuldigt: die Herren Becker, Clauss, Jehl, Lempfried.

Das Protokoll der Generalversammlung wird verlesen.

Das Bureau wird gebildet aus den Herren Prä- lat Keller als Präsident, Herr Salomon als Vize- präsident, Herr Gass als erster, Herr Martin als zweiter Schriftführer, Herr Winterhalter als Kas-

L'ouvrage promis de M. Naue n'a pu être au public, à notre grand regret. Le texte primé en grande partie, n'a pu être termin suile de la maladie de son auteur. Nous esp pouvoir le mettre bientôt entre les main: souscripteurs.

Une nouvelle livraison de notre Bulletin ı de paraître, qui renferme une série d'études loriques et archéologiques. Puisse la nou: année nous amener, avec les travaux à accom de nouveaux collaborateurs dans le nombre amis de notre passé historique et archéologi et puisse-t-elle devenir féconde en résultats | reux pour Ja Société.

M. Winterhalter donne le rapport financier.

M. le recteur Walter fait ensuite une con rence très intéressante et bien documentée ı l'histoire et les monuments de Neuwiller.

Clôture de la séance à 4 '/, heures.

Séance du Comité du 12 octobre 1904. Présidence de Mgr. KELLER.

Présents: MM. Binder, Bourgeois, Forrer, He ning, Ingold, Klem, Koertge, Martin, Saloux Seyboth, Winterhalter.

Excusés: MM. Becker, Clauss, Jehl, Lempfri

Lecture du procès-verbal de l’Assemblée göı rale.

Élection du bureau du Comité: Mgr. kel président; M. Salomon, vice-président: M. Ca premier secrétaire; M. Martin, second secrétair M. Winterhalter, caissier; MM. Ficker et Hennin

a

sierer, die Herren Henning und Ficker als Kon- servatoren. Dr. Gass trilt in provisorischer Weise an die Stelle des durch Krankheit verhinderten bisherigen ersten Schrififührers, Dr. E. Müller.

Als Lieferung 2 des Bandes XXII der Mittei- lungen soll eine Arbeit von Prof, Dr. Henning über den frühmittelalterlichen Helm von Baldenheim erscheinen.

Als Beihilfe für Ausgrabungen bei Plirt werden Herrn Guttmann-Mülhausen 300 .# bewilligt. Lehrer Buhl in Colmar werden für Ausgrabungen gleichfalls 100 .# bewilligt. Herr Ingold-Colmar legt die Skizze eines Berichtes mit photographi- schen Aufnahmen des Herrn Buhl vor.

Das Gesuch des Herrn Gröbbeln, Direktor des Museums in Sigmaringen, bezüglich des früh- miltelalterlichen Helmes ist durch Einvernehmen mit Prof. Henning erledigt.

Herr Abbé Ingold schenkt der Gesellschaft : 1) La mére de Rosen, visitandine, ?) Journal du Palais du Conseil Souverain d'Alsace, par M. A. Holdt. Herr Bourgeois schenkt seine Notice historique sur l'ancienne église paroissiale de St-Louis à Sainte-Marie-aux-Mines. Beiden Schenkgebern wird der Dank der Versammlung ausgedrückt.

In Baldenheim sind Wandmalereien in der Kirche aus dem 15. Jhdt. entdeckt worden. Über diese und andere Altertümer der Kirche erstattet ein Brief des dortigen Pfarrers Bergantz Bericht,

Herr Landrat Schober in Breslau sendet eine Anfrage, ob in Hüningen ein Denkmal an den Übergang der Russen im Jahre 1814 bestehe?

Herr Henning zeigt einen Beschlag der Schwert- scheide vor, die im Illschlamme gefunden worden ist und erläutert den wichtigen Fund aus römischer Zeil.

Herrn Weigts, des Assistenten, Gehalt wird auf 2000 .# erhöht. Wegen der Unfallversicherung für seine Person sollen Erkundigungen eingeholt werden.

conservaleurs. M. le prof. Gass remplace provisoi- rement M. E. Müller, malade.

La deuxième livraison du volume 22 du Bul- lelin renfermera une étude du prof. Henning sur le casque de Baldenheim, remontant aux com- mencements du moyen âge.

Pour des fouilles près de Ferrelle, une subven- tion de 300 .# est accordée à M. Guttmann, insti- tuteur à Mulhouse. M. Buhl, instituteur à Colmar, reçoit une allocation de 100. pour des fouilles à exécuter. M. Ingold (Colmar) soumet une esquisse d'un rapport avec des reproductions photographiques sur les fouilles déjà faites par M. Buhl.

M. Henning s'est chargé de répondre à la demande du directeur du musée de Sigmaringen, demande concernant le casque de Baldenhein.

M. l'abbé Ingold fait don à la bibliothèque de la Société de son étude sur La Mère de Rosen, du Journal du Palais du Conseil souverain d'Alsace, par M. A. Holdt. M. Bourgeois donne un exem- plaire de sa Notice historique sur l'ancienne église paroissiale de Saint-Louis à Sainte-Marie- auz-Mines. Le Gomité exprime ses remerciements aux deux donateurs,

Une leltre du curé Bergantz, de Baldenheim, donne des détails sur les peintures du quinzième siècle, découvertes dans l'église paroissiale.

M. Schober, Landrat à Breslau, demande s'il y a à Huningue un monument commémoratif du passage du Rhin par les Russes en 1814.

M. Henning montre et explique la garniture d'un fourreau d'épée de l'époque romaine, trouvé dans le limon de l'IL

Le traitement de M. Weigt, assistant du musée, est augmenté à 2000 .# Des informations doivent être prises sur le cas de son assurance contre les accidents.

UK

Der römische Meilenstein auf dem Galgenbühl bei Dieffenbach ist durch die Regierung kosten- los wiederhergestellt worden. Die Gesellschaft hatte dafür 40 .# bewilligt.

Neuaufnahme von Mitgliedern. Durch Ilerrn Winterhalter werden zur Aufnahme vorgeschla- gen : die Herren Obrecht Eduard, Abt des Trap- pistenklosters in Gethsemane, Jundt Karl, Kauf- mann in Barr.

Austritt: Herr Jetensberger-Bornand in Mül- hausen.

Schluss der Sitzung : 4 Uhr.

Vorstands-Sitzung vom 23. November 1904. Vorsitzender: Prälat Kellcr.

Anwesend: die Herren Becker, Clauss, Ficker, Forrer, Gass, Henning, Jehl, Ingold, Martin, Ott, Schlosser, Seyboth, Winterhalter.

Entschuldigt: die Herren Binder, Kiem, Kærtgé, Lempfried, Salomon, Schickele.

Das Protokoll der letzten Vorstandssitzung vom 12. Oktober wird verlesen.

Neue Mitglieder: Stadipfarrer Pesseux in Thann und Leutnant Deis des Infanterie - Regiments Nr. 108 in Strassburg wurden zur Aufnahme vor- geschlagen und der Vorschlag angenommen.

Gymnasial-Oberlehrer Reumont in Montigny (Metz) erklärt seinen Austritt.

Der Vorsitzende macht Mitteilung von der Klage des Herrn E. Lehr in Lausanne, eines der ältesten Mitglieder der Gesellschaft, dem seit zwei Jahren kein Mitgliederbeitrag einverlangt, seit Bd. XXI, Lieferung 1 keine Mitteilungen zuge- sandt wurden. Der Wunsch des Herrn Lehr wird erfüllt werden. Prof. Ficker erwähnt, dass der Name des auf seinen Vorschiag zum korrespon- dierenden Mitgliede ernannten spanischen Ge- lehrten im leizten Mitgliederverzeichnis fehlt.

Der Vorschlag des Hauptmanns Espérandieu : Austausch der Mitteilungen mit der von ihm ge- leiteten Zeitschrift Revue epigraphique, leih- weise Überlassung der in den Mitteilungen zum Abdruck gekommenen Clichés aus dem römischen

La pierre milliaire romaine sur le Galgenbauy près de Dieffenbach, a été remise aux frais à gouvernement. La Société avait alloué 40 4

Nouveaux membres: M. Winterhalter propos à l'admission MM. Obrecht Édouard, abbé de b Trappe Getsemani (États-Unis), Jund Charles, œn. merçant à Barr.

Démission: M. Jetensberger-Bornaud, à Ms house.

La séance est levée à 4 heures.

Séance du Comité du 23 novembre 1904 Présidence de Mgr. KELLER.

Presents: MM. Becker, Glauss, Ficker, Forrer, Gass, Henning, Ingold, Jehl, Martin, Ott, Schlosser, Seyboth, Winterhalter.

Excusés: MM. Binder, Kiem, Koertgé, Lemp- fried, Salomon.

Lecture du procès-verbal de la dernière séance du 12 octobre.

Nouveaux membres: MM. Pesseux, curé de Thann; Deis, lieutenant au 108° régiment 4 Strasbourg, sont proposés et reçus.

Démission : M. Reumont, professeur au collège de Montigny.

M. le Président donne communication d'une réclamation de M. E. Lehr à Lausanne, un des plus anciens membres de la Société, auquel on n'a plus demandé de cotisation depuis deux ans et qui n'a plus reçu le Bulletin à partir du w- lume 21, 1" livraison. M. Ficker rend attentif que le nom du savant espagnol, nommé membre correspondant de la Société, ne figure point dans la liste de nos membres.

Le capitaine Espérandieu, à Paris-Clamar! propose l'échange de notre Bulletin avec la Rerue épigraphique qu'il rédige. Acceplé. Les clichés concernant la Gaule romaine, reproduits dans notre Bullelin, n'existant plus, il est impossible

4 Elsass, Überlassung früherer Jahrgänge der

"Mitteilungen, wird dahin erledigt, dass die noch vorhandenen Doppelexemplare der früheren Jahrgänge ihm zum Preise von 4 .# per Band überlassen werden können. Die bezeichneten Gliches existieren nicht mehr. Ein Austausch mit ‚der Revue épigraphique ist erwünscht.

Die Anfrage des Buchhändlers Bär-Frankfurt, ober Bd. XX 2. Lief. und Fortsetzung der Mit- "” leilungen beziehen könne, wird beantwortet, dass der Bezug zum halben Preise erfolgen könne.

prof. Henning befürwortet den Vorschlag der | rümisch-germanischen Kommission des Kuiserl. Archäologischen Instituts den Austausch der à Jahresberichte des Instituts mit den Mitteilungen der Gesellschaft, eventuell der Überlassung der Mitteilungen an einzelne Mitglieder des Archäo- logischen Instituts um geringeren Preis. Der Vor- schlag wird angenommen.

Die Redaktion der Annales de l'Est et du Nord, die bisher unter dem Titel Annales de l'Est er- schienen, wünscht den bisher bestehenden Aus- lausch beizubehalten. Bewilligt.

Prof. Henning berichtet über die von Herrn " Naue gelösten Preisaufgabe beireffend tamuli der Stein- und vorrömischen Zeit im Elsass, Das Werk wird etwa 500 Druckseiten umfassen, zur Erläu- ferung etwa 17 Tafeln über die Keramik und ebensoviele über die Ringe bringen. Von der Re- - produktion der Fibeln wird wegen des hohen - Kostenpunktes abgesehen. Von dem Werke sollen " 4500 Exemplare gedruckt und zum Preise von > 3 .4 den Mitgliedern überlassen werden. Dem > Verfasser sind 50 Freiexemplare zu überlassen.

Prof. Ficker berichtet über das Grucifixbild © von Ostheim, dessen Erwerb für die Gesellschaft "wegen seines künstlerischen Wertes wichlig sei. © Prof. Ficker erhält den Auftrag, wegen Ankauf © desselben zum Preise von 100-150 .# Unter-

handlungen anzuknüpfen. Mitglied Clauss über- nimmt die Vermittlung. Über die Fresken in © der Pfarrkirche zu Baldenheim, die aus dem An- « fange des 16. Jahrhunderts stammen, hat Prof. - Ficker dem Landeskonservator Wolf Mitteilung © gemacht. Sie sollen nach Möglichkeit erhalten » werden.

EE

de les meure transitoirement à sa disposition, on mettra à sa disposition les volumes parus du Bulletia à raison de 4 „4 par année autant qu'il existe encore des exemplaires doubles. ——

Le libraire Bar, à Francfort, recevra le volume 21, livraison 2, du Bulletin à moitié prix. : |

M. Henning appuie la proposition de la Com- mission de l'Institut archéologique impérial d'échanger les bulletins des deux sociétés, de laisser même, le cas échéant, notre Bulletin aux membres de l'Institut archéologique à um prix réduit. Accepté.

On continuera l'échange avec les Annales de l'Est et du Nord, qui pasaissaient jusqu'ici sous le titre Annales de l'Est.

M. Henning rend compte de l'ouvrage de M. Naue. Le livre aura à peu près 500 pages, 17 planches pour illustrer la partie de céramique el autant de planches pour les anneaux. Pour éviter de plus grandes dépenses, on ne reproduira point de fibules. On imprimera 400 exemplaires, qu'on mellra à la disposition des membres de la Société à raison de 4.# L'auteur recevra o0 exemplaires gratuilement.

M. Ficker est chargé par le Comité de conduire les négociations pour l'achat du Christ d'Ostheim, qui a une grande valeur artistique. On alloue une somme de 100 à 150 .# M. Clauss se charge de servir d'intermédiaire. M. Ficker a conféré avec le conservateur M. Wollf au sujet de fresques du seizième siècle, découvertes dans l'église de Baldenheim. L'on prendra des mesures pour leur conservalion,

48

Herr Kuhff hat der Gesellschaft die römische Inschrift geschenkt, die bei Grabungen in seinem Keller in einer Tiefe von 5 m gefunden. Dieselbe wurde von Prof. Neumann untersucht und enthält gallische Gölternamen, vielleicht aus der Zeit des Kaisers Pertinax.

Für Grabungen auf dem Jung St. Pelerplatz, zur etwaigen Aufdeckung der seinerzeit in der Blauwolkengasse gefundenen Rômerstrasse, werden 60 .# bewilligt.

Für Ergänzungsausgrabungen vor dem Hötel Rothes Haus, wo bei dem Neubau das grosse rö- mische Bild gefunden worden war, wird für die nötigen Auslagen Indemnität gewährt.

Prälat Keller teilt mit, dass in der Familie de Dartein in Ottrott ein Album mit 48 Zeichnungen vom Odilienberge und seiner Umgebung, aus dem Jahre 1836 vorhanden ist. Die schönen Zeich- nungen sind von Athalin-Colmar. Von dem Album wurden nur 20 Exemplare gedruckt. Dasselbe liesse sich vielleicht für 20 .4# für die Gesellschaft erstehen. Prälat Keller wird mit der Verhandlung beauftragt.

Schluss der Sitzung um 4 Uhr.

Vorstands-Sitzung vom 18. Januar 1905.

Vorsitzender: Prälat Keller.

Anwesend die Herren: Becker, Binder, Ficker, Gass, Henning,Koertge,Martlin, Salomon, Schickelé.

Entschuldigt die Herren: Bourgeois, Clauss, Forrer, Ingold, Seyboth, Winterhalter.

Das Protokoll der Vorstandssitzung vom 23. No- vember wird verlesen.

Die Gesellschaft bedauert den Verlust ihrer in der Zwischenzeit verstorbenen verdienstvollen Mitglieder : Bibliothekar Gény-Schlettstadt, Notar Ritleng-Strassburg, Pfarrer Walter-Neuweiler.

Ausgelreten sind aus der Gesellschaft die Herren: Pfleger, Lehrer in Isenlieim, Herren- schneider in Weyer a. d. Lande, Walz, Bibliv- thekar in Colmar.

M. Khuff (Strasbourg) a fait dor d'une inscriplion romaine, trouvée à une profondeur de 5 mètres. Elle par le prof. Neumann et contient dieux gaulois (Marti Longetio) et ment du temps de l'empereur Per!

Une somme de 60 .# est accorc des fouilles sur la place Saint-P afin d'y retrouver la route romai précédemment constaté des traces la Nude-Bleue.

La Société portera les frais des devant l'hôtel de la Maison-Rou trouvé une grande peinture romai

Le Président communique que ( de Dartein, à Ottrott, se trouve u 48 dessins du Mont-Sainte-Odile e rons. L'album n'a été tiré qu'à 20 les dessins très fins ont pour au (Golmar). Peut-être pourrait-on ac plaire de la famille au prix de 20 est chargé de l'achat.

Clôture de la séance à 4 heurcs

Séance du Comite du 18 Jan Présidence de Mgr. KELL

Presents: MM. Becker, Binder. Henning, Koertgé, Martin, Salomo

Excusés : MM. Bourgeois, Forrer, Winterhaller.

Lecture du procès-verbal du 2:

Membres défunts: Trois membı ont été enlevés depuis la derniè Gény, bibliothécaire à Schlettstac notaire à Strasbourg, Walter, cui

Demissions : MM. Pfleger, institu Herrenschneider, à Wihr-sur-Plaiı thecaire à Colmar.

sx

Der Vorsitzende macht Milteilung von der Gründung des Hohkönigsburg-Vereins und bringt die zugesandien Aufrufexemplare zur Verteilung.

Dem Mitgliede Christmann wird der Dank der Gesellschaft ausgesprochen für die von ihm ge- schenkten photographischen Aufnahmen.

Der vom Freiburger (i. Br.) Verein Schau-ins- Land angeregte Austausch seines gleichnamigen Organes mit den Mitteilungen wird bewilligt.

Das in der Zwischenzeit erworbene Album Atha- lin wird vorgelegt und findet allgemeine Billi- gung.

Die Eintragung der Gesellschaft in das Vereins- register wird angeregt,

Der Präsident teilt mit, dass das vom verstor- benen Mitgliede Reinhard verfasste Reperlorium der archäologischen Gegenslände, die in den Mitteilungen behandelt wurden, in der Druckle- gung rasch vorauschreitet und in wenigen Wochen beendigt sein dürfte.

Von Mitglied Guttmann ist eine Liste der bei den Ausgrabungen bei Pfirt gefundenen Gegen- slände eingelaufen. Prof. Henning schlägt vor, die gefundenen Skelelte, soweit sie keine kostbaren Beigaben haben, direkt der Anatomie zu über- weisen. Wegen Reproduktion der Fundstücke soll Herr Gullmann zunächst mit der Gesellschaft in

. Verhandlung treten,

Prof. Henning teilt mit, dass die Drucklegung

* seines Aufsalzes über den merowingischen Helm

durch Auflindung eines neuen Helmes etwas ver- zögert wurde.

Von dem Werke Naue’'s über die tumuli legt

Le Président fait part de la fondalion d'un Hohkönigsburg-Verein et distribue les cireu- laires respectives,

Le Comité exprime des remerciements à M. Christmann, membre, pour le don d'un certain nombre de vues photographiques.

L'échange proposé avec le Bulletin de la So- ciété de Fribourg-en-Brisgau, qui porte le nom Schau-ins-Land, est accepté.

L'album Atthalin acheté depuis la dernière séance est montré aux membres du Comité et trouve leur approbation.

On demande l’inscriplion de notre Société dans le Vereinsregister introduit par le nouveau code civil.

M. le Président annonce que l'impression du Répertoire des matières archéologiques contenues dans notre Bulletin, rédigé par feu M. A. Reinhard, avance el qu'il pourra étre lermind dans quelques semaines.

M. Gutmann a envoyé une liste des objets trouvés lors des fouilles faites près de Ferrette, M. Henning propose de transmettre directement à l'Anatomie les squeleltes trouvés, en lant que d'autres objets précieux n'ont point été trouvés avec les ossements.

L'impression de l'étude du prof. Henning sur le casque mérovingien de Baldenheim, a élé retardée par la découverte d'un casque de la même époque en dehors de l'Alsace.

M. Henning présente les premières épreuves

Prof. Henning die ersten-Druckbogen vor. Auf das Tilelblalt soll der Zusalz beigefügt werden: «mit Unterstützung der Regierung. Preisge-

de l'ouvrage de Naue sur les tumuli, L'addition suivante doit être ajoutée au titre: «avec l'appui du gouvernement. Couronné par la Société des

krönt von der Gesellschaft für Erhaltung der historischen Denkmäler.»

Die bei den Grabungen auf dem Jung St. Peter- platze in Strassburg gefundenen römischen Münzen (145 Stück) wurden der Landessammlung überwiesen. An die Stadtverwaltung soll die Bitte gerichlet werden, die bei den Grabungen der

Mon. Hist. en Alsace»,

Les mounaies romaines (143 pièces), trouvées lors des fouilles faites sur la place Saint-Pierre- le-Jeune, seront remises à la collection de monnaies de l'État. On adressera une demande à la Ville de vouloir bien prendre à sa charge les dépenses

—_ 5

Gesellschaft erwachsenen Auslagen in der Höhe von .& 64,50 zurück zu erstatten.

Dem Assistenten des Prof. Henning werden für die bei den Grabuugen in Königshofen, Mundols- heim notwendigen Gänge ein Zuschuss von 100 .& zu einem Fahrrade bewilligt.

Prof. Henning teilt ferner mit, dass die für Grabungen bei Jung St. Peter in Strassburg be- willigte Summe verausgabt ist, während die Grabungen beim Hötel Rotes Haus noch nicht unternommen wurden.

Zur Aushilfe im Museum an den Besuchstagen soll dem Diener der Sohn des Schlosspfüriners beigesellt werden, wofür eine Entlohnung pro Stunde stallßnden soll.

Schluss der Versammlung 3}, Uhr.

Vorstands-Sitzung vom 15. Februar 1905. Vorsitzender: Prälat Keller.

Anwesend die Vorstandsmitglieder : Binder, Clauss, Ficker, Gass, Henning, Jehl, Ingold, Klem, Koerigé, Ott, Salomon, Schickelé, Seyboth, Wioterhalter.

Entschuldigt: die Herren Becker, Bourgeois, Forrer.

Gestorben: Mitglied Schwab-Berlin.

Prof. Ficker befürwortet warm den Beitritt der Gesellschaft zum neugegründetea Hohkönigsburg- Verein. Er weist darauf hin, dass die Hohkönigs- burg ein geschichtliches Denkmal ersten Ranges im Lande sei, dass der neugegründete Verein nicht eineu Neubau, sondern Erhaltung und Aus- schmückung des Bestehenden bezwecke, dass die lothringische Schwestergesellschaft bereits ihren Beitritt zum Hohkönigsburg-Verein erklärt, sich zu einem Jahresbeilrar verpflichtet und die Aus- rüstung eines Zimmers auf der Hohkönigsburg übernommen habe. Mitglied Ficker regt die Über- lassung der Zeichnungen der Hohkönigsburg aus der Hand des Architekten Ringeissen, die im Be- sitze der Gesellschaft sind, an den Hohkönigs- burg-Verein an. Die Diskussion, in welcher der

de 64,80 failes par la Sociele à celle ca sion.

Une somme de 100 .# est allouée à L Ven assistant au musée, pour l'achat d'un velocipté les courses que nécessitent les fouilles à König hofen, Mundolsbeim rendent cette depen:e nice saire.

L'argent voté pour les fouilles sur la ple Saint-Pierre-leJeune est dépensé, les fouile devant l'hôtel de la Maison-Rouge n'ont pa encore pu être commencées.

Le fils du portier du Château aidera à larenis notre surveillant les jours noire muse est accessible au public. Il sera payé à l'heure.

Clôture de la séance à 3'/, beures.

Séance du Comité du 15 fovrier 1905. Présidence de Mgr. KELLER.

Présents: MM. Binder, Clauss, Ficker, Las, Henning, Ingold, Jehl, Klem, Koertgé, Où, Salo- mon, Schickele, Seyboth, Winterhalter.

Excusés : MM. Becker, Bourgeois, Forrer.

Membres défunts: M. Schwab, à Berlio.

M. Ficker recommande vivement l'inscriptio: de notre Société comme membre du Hohköniz«- burg-Verein, nouvellement fondé. Il fait ressortir que le «Hohkönigsburg» est un des monument historiques les plus importants de notre pass, k nouvelle Société a avant tout pour but de con- server et de décorer le château, que notre Socit- sœur de la Lorraine allemande, s'est déja fait inscrire et a pris à sa charge la décoration d'une salle. M. Ficker propose de faire remeitre au nouveau Verein les dessins de la Hohkönigsburg de l'architecte Ringeissen, que possède not Société. La discussion ayant fait ressortir que le Hohkönigsbury-Verein ne pourra point faire de la concurrence à notre Société, toules réserves étant faites pour le principe de la reconstruction de

HN

ke einer etwaigen Konkurrenz zwischen euen Verein und der Gesellschaft ausge- ‘en, in welcher ein Vorbehalt bezüglich des pes des Wiederaufbaues geschichtlicher ler geltend gemacht wird, führt zur ein- igen Annahme der Beitrittserklärung und Jahresbeitrages der Gesellschaft zum Hoh- sburg-Verein. Die Fixierung der Höhe des beitrages bis zu 50 .# bleibt dem Präsi- ı überlassen,

alte romanische Kapelle in Eichhofen, die ıpst Leo IX eingeweiht und seit dem Neu- er Pfarrkirche vernachlässigt ist, soll ver- werden. Für den Ankauf derselben durch rchenfabrik, die finanziell nicht gut gestellt rd ein Zuschuss der Gesellschaft, von elwa f, für später in Aussicht gestellt,

Präsident weist darauf hin, dass die Kapelle chael in Lauterburg, aus dem 14. Jahr- rt, einer Restauration bedarf.

demselben Falle befindet sich die alte irche in Lauterbach.

das bevorstehende Jubiläum der Gesell- regt Prälat Keller die Einsetzung einer mmission an. Dieselbe wird gebildet aus lerren: Präsident Keller, Binder, Ficker, ‘, Gass, Henning, Jehl, Seyboth, Winter-

rer Bühl-Golmar hat Notizen eingesendet ie von ihm vorgenommenen Ausgrabungen.

d ihm der Dank der Gesellschaft ausge-

‘en und dieselben an die Komitemitglieder It,

lied Klem zeigt eine Aufnahme des freige- Johanniterportals in Colmar (aus der Mitte \. Jahrhunderts). Dasselbe soll zugleich mit Vekrologium der Johanniter in den Mittei- ı reproduziert werden.

died Henning zeigt aus dem Besitze von Schlumberger-Paris einen alten griechischen el mit Kreuz und Inschrift: Ulphilas. (Ob n- oder Ziegelstempel ist nicht klar.)

rlied Winterhalter teilt mit, dass die ange- Eintragung der Gesellschaft in das Vereins- :r für dieselbe ohne praktischen Nulzen sei.

la Hohkönigsburg, l'on vote unanimement l'adhé- sion de notre Société comme membre du Hoh- königsburg-Verein et on laisse à M. le Président le soin de fixer le taux de la cotisation à verser jusqu'à la somme de 50 .#

La chapelle romane d'Eichhofen, bénie par le pape Léon IX, a été négligée depuis la construc- tion de la nouvelle église paroissiale. Elle doit être vendue. La fabrique de l'église paroissiale n'ayant pas les fonds nécessaires, le Comité pro- met un secours en argent de 200 .# pour plus tard,

Le Président fait remarquer que la chapelle Saint-Michel, à Lauterbourg, remontant au qua- torzième siècle, devrait étre restaurée.

L'ancienne collégiale de Lautenbach est dans la même situation.

Sur la proposition du Président, on forme une commission pour la préparation du jubilé de notre Société, fondée il y a bientôt cinquante ans, Elle se composera de MM. Keller, président, Binder, Ficker, Forrer, Gass, Henning, Jehl, Sey- both, Winterhalter,

M. Bübl, instituteur à Colmar, a envoyé une notice sur les fouilles faites par lui, qu'on distri- bue aux membres présents.

M. Klem montre une reproduction du portail nouvellement dégagé de Saint-Jean, à Colmar, portail remontant au milieu du qualorzième siècle. La vue doit étre insérée dans le Bulletin avec le nécrologe de Saint-Jean.

M. Henning montre un sceau grecque très an- cien porlant une croix et l'inscription aUlphilas». La pièce si intéressante appartient à M. Schlum- berger, de Paris.

M. Winterhalter déclare que l'inscription de notre Sociélé dans le Vereinsregister n'a point de valeur pratique,

59

Mit der Strassburger Druckerei und Verlags- anstalt soll ein Tarif für die Veröffentlichungen der Gesellschaft vereinbart werden.

Auf Anregung des Präsidenten wird dem Vor- standsmitglied Herrn Seyboth, der vor kurzem zum Ritter der französischen Ehrenlegion ernannt wurde, vom Vorstande zu dieser Auszeichnung bestens gratuliert.

Schluss 4 Uhr.

Vorstands-Sitzung vom 12. April 1905. Vorsitzender : Prälat Keller.

Anwesend die Vorstandsmitglieder : Binder, Bourgeois, Forrer, Jehl, Klem, Koertgé, Ott, Sa- lomon, Schickelé, Seyboth, Winterhalter.

Entschuldigt die Herren: Gass, Henning, In- gold, Lempfried, Martin.

Aufnahme: Kantonalpfarrer Zugmeyer - Neu- weiler.

Austritt: Pfarrer Sigrist-Bitschhofen.

Der Präsident teilt mit, dass laut Schreiben des Herrn Gutmann-Mülhausen, die bei den Ausgra- bungen in Köstlach gefundenen Gegenslände dem Museum der Gesellschaft als Staatseigenlum zu- gewiesen wurden.

Eine Anfrage des Herrn Gutmann, ob seine Studie über Larga in den Mitteilungen aufge- nommen würde, wird dahin entschieden, dass das Manuskript vorerst dem Vorstande unter- breitet werden soll.

Vom Bürgermeisteramte Strassburg wurde der Sammlung der Gesellschaft ein Frauenkopf in Stein als städlisches Eigentum zugewiesen.

Die Restaurieruug der Grabgewölbe in Luppach ist fertiggestellt. Die Bitte der Ortskrankenkasse Mülhausen um Aufnahme derselben unter die klassierten Denkmäler soll dem Landeskonser- vator übermiltelt werden.

Zwei alemannische Henkelgefässe, die bei einem Strassburger Antiquar um den Preis von 10 .4, von den Vorstandsmitgliedern Forrer und Winterhalter erstanden wurden, werden um den- selben Preis von der Gesellschaft übernommen.

Un tarif doit être établi avec la Strass! Druckerei und Verlagsanstalt pour les pu tions de la Société.

Le Comité, sur la proposition du Pre félicite son membre, M. Seyboth, de sa n tion récente comme chevalier de la | d'honneur par le gouvernement français

Clôture de la séance à 4 heures.

Séance du Comité du 12 avril 19605. Présidence de Mgr. KELLER.

Présents: MM. Binder, Bourgeois, Forrer Kiem, Koertgé, Ott, Salomon, Schickelé, Se Winterhalter.

Excusés : MM. Gass, Henning, Ingold, Lem Marlin.

Nouveau membre: M. Zugmeyer, curé d weiler.

Démission : M. Sigrist, curé de Bitschhof

Le Président donne lecture d'une let N. Gutmann disant que les objets trouvés! fouilles faites à Köstlach sont remis au mu notre Société comme propriété de l'État.

On répond à la demande de M. Gutman sérer son étude sur Köstlach dans le Bulle le priant de vouloir bien soumettre préalab son manuscrit au Comité.

La mairie de la ville de Strasbourg a f poser dans notre musée une tele de fem pierre.

La restauration de la chapelle de Li étant terminée, l'Ortskrankenkasse de Mu désire qu'elle soit mise au nombre des ments classés. Le Comité appuie cette de auprès du conservateur M. Wolf.

Deux vases à anse du type allemanique : chez un antiquaire de Strasbourg par MX et Winterhalter sont acceplés par le Com même prix, pour le musée.

Ein Antrag des Pfarrers Herzog-Andlau betr. Übernahme auf Rechnung der Gesellschaft der Kosten einer vom Landeskonservator angereglen Verlegung der Grabplatten in der Stiftskirche zu Andlau, wird in der Weise erledigt, dass Komile- mitglied Winterhalter beauftragt wird, sich nach Andlau zu begeben und über die Angelegenheit Bericht zu erstalten.

+ Die gotische Kapelle von St. Pierre-sur-l'Ale (Markirch) soll auf Anregung des Vorstandsmit- ‚gliedes Bourgeois unter die klassierten Denkmäler aufgenommen werden. Die Stadtverwaltung möge ein diesbezügliches Gesuch an den Landeskon- servator, Herrn Wolff, richten.

Der von der Société Savoisienne d'histoire et d'archéologie in Chambéry angeregte Austausch der beiderseiligen Veröffentlichungen wird be- willigt,

Die Zuschrift des Bibliothekars vom Frankfurter ‚Verein für Geschichte und Artertumskunde betr. die sehjende Lieferung ? des Bandes 21 der Mit- | wird zur Kenntnis genommen und der cn Versehen der Druckerei entstandene Irrtum besciligt werden. Kantonalpfarrer Adam-Zabern, der eine Studie über Hohbarr fertiggestellt hat, wird gebeten über dieses Thema in der nächsten Generalversamm- lung einen Vortrag zu halten. Die Studie wird in die Mitteilungen aufgenommen werden.

Schluss 4 Uhr.

Vorstands-Sitzung vom 11, Mai 1905, Vorsitzender: Prälat Keller.

Anwesend die Vorstandsmitglieder : Binder, Clauss, Ficker, Forrer, Gass, Ingold, Klem, Martin, Salomon, Schlosser, Winterhalter.

Entschuldigt: die Herren Becker, Bourgeois, Jehl, Koertgé, Seyboth, Schickelé.

Austritt: Ernst Kratz.

Der Präsident teilt mit, dass die Gesellschaft

für ihren Zweck erneut eine Staatsbeihilfe von 3000 .# erhalten hat, wofür der Regierung der

ms Bu

M. Herzog, cur& d’Andlau, BPORORR. As Bocki6 de couvrir les frais de pierres tombales, se trouvant dans la nef. de, l'ancienne église collégiale. L'idée de cette translation a été donnée par le conservateur Wolf. M. Winterhalter est chargé de prendre des informations à Andlau

et de rendre compte au Comité.

M. Bourgeois propose de faire recevoir dans le nombre des monuments classés la chapelle go- thique de Saint-Pierre-sur-l'Ale (Sainte-Marie-aux- Mines). L'administration municipale de Sainte- Marie-aux-Mines doit adresser une demande res- peclive au conservateur Wolf.

L'échange des Bullelins proposés par la Société savoisienne d'histoire et d'archéologie, à Cham- béry, est accepté.

La réclamation du bibliothécaire de la Société d'histoire et d'archéologie de Francfort, concer- nant la livraison ? du volume 21 du Bulletin, est occasionnée par une erreur commise par l'impri- merie, L'erreur sera réparée.

M. Adam, curé de Saverne, a termine une étude sur le Hohbarr. On le priera de faire une confé- rence sur ce sujet dans la prochaine Assemblée générale. L'étude sera insérée dans le Bulletin.

Clôture de la séance à 4 heures.

Séance du Comité du 17 mai 1905. Présidence de Mgr. KELLER.

Présents : MM. Binder, Glauss, Ficker, Forrer, Gass, Ingold, Klem, Martin, Salomon, Schlosser, Winterhalter.

Excusés: MM. Becker, Bourgeois, Jehl, Koertgé, Seyboth, Schickelé.

Démission : M. Ernest Kratz.

Le Président fait part que la Société vient de recevoir une subvention de 3 000 .# du gouver- nement. Le Comilé exprime sa reconnaissance

u

gebührende Dank ausgesprochen wird. Der Mit- gliedsbeitrag der Gesellschaft zum Hohkönigs- burg-Verein wird auf 40 fixiert.

Da Herr Gutmann-Molhausen seine Forschungen über Larga mit Beihilfe der Gesellschaft ausge- führt, seine Studie aber anderswo veröffentlicht, wird er gebeten derGesellschafteinen Bericht ein- zusenden.

Mitglied Winterbalter hat die Grabplalien in Andlau besichtigt, ihre Verlegung ist notwendig, die Gesellschaft bewilligt zu den Kosten einen Zuschuss von 100 .#

Mitglied Ficker berichtet über die Anregung des Herrn Rouge, den gotischen Taufstein im Pfarrgarten in Mutzig zu reproduzieren, eventuell den Taufstein für das Museum zu erwerben. In Zellweiler soll dasselbe womöglich für den ro- manischen Taufstein geschehen.

Eine Zuschrift des Herrn Baron Grouvelles-Ost- hofen, betreffend die von Verwandten beabsich- tigte Translation zweier Grabsteine der Familie Scherb, auf dem Kirchhofe in Westhofen, zu deren Restauration die Gesellschaft vor mehreren Jahren einen Zuschuss spendele, bietet keinen Anlass zum Eingreifen der Gesellschaft.

In Hüningen beabsichtigt das Bürgermeisteramt die Restauration der Denkmäler der zwei Generäle Abbatuzzi und Cherrin. Mitglied Klem übernimmt es, an Ort und Stelle die Denkmäler zu besich- tigen. Die Gesellschaft bewilligt einen Zuschuss von 100 .#, wenn Herr Klem es für angezeigt erachtet.

Vom Bürgermeisteramt Strassburg ist eine Ver- fürung der Baupolizei eingelaufen, laut welcher in Zukunft bei Niederreissung oder Umbau alter Gebäude der Gesellschaft davon Anzeige gemacht wird. Zwei solcher Anzeigen betr. Langstrasse Nr. 47 und Gewerbslauben sind bereits einge- laufen. Architekt Saloınon wird beauftragt die betreffenden Gebäude jedesmal zu inspizieren, um eventuell nötig werdende Vorschläge zu machen oder Einwendungen zu erheben.

pour ce secours généreux. La Sociélé comme membre du Hohkôü: est fixée à 40 .#

N. Gutmann ayant fait ses foui romain de Larga, avec l'appui d lui demandera un compte renc oblenus.

M. Winterhalter a vu les pierre l'église d’Andlau. Le Comité acı trauslation une subvention de 10

M. Ficker rend compte de la M. Rouge de reproduire le vieu) thique qui se trouve dans le jard de Mutzig. Il suggère l'idée de l'a musée de la Société. La même faite concernant le baptistère rom

Le baron Grouvelle, d’Osthofeı que des parents de la famille Sc de transférer deux pierres tomba sur le cimetière de Westhofen. L; fourni, il y a plusieurs années, ı pour la restauration de ces monut ron demande s'il n'y a pas licu d Comité ne voit pas de raisons su intervention.

La ville de Huningue songe à lransférer les monuments des g tucci et Cherrin. M. Klem se charg enquête sur place. La Société est corder, le cas échéant une somme

La mairie de Strasbourg donne c d'une ordonnance de la police des vertu de laquelle toute démol d'anciens bâtiments, à Strasbourg, muniquée à la Société. Deux avis, ı maisons Grand'rue, 47, el rue des 4 sont déjà arrivés. M. Salomon, : chargé de visiter les bâtiments i présenter des observations contre s'il y a lieu.

ied Ficker leilt mit, dass er mil der Samm- r erhaltenen Inventare aus dem 16. Jabr- im Elsass beschäftigt ist. Es haben sich Hand des früheren Stadtbibliothekars Jung ihm eigenhändig angelegten Kataloge heren Stadt- und Universitätsbibliotliek n, während die ofiziellen Kataloge im 870 zerstört wurden. Beide Veröffent-

n sollen iu den Mitteilungen der Gesell- nd zwar als selbständige Bände erscheinen.

ed Ficker war persönlich in Dachstein : - und Johannes figuren stammen aus dem des 16. Jahrhunderts, sie haben einen n etwa 80 .# Sie gehören der Kirchen-

Schlosser berichtet, dass bei den eitungsarbeiten für Mackweiler, sich eine aus römischer Zeit gefunden, die auf sein n in einer Länge von 8 m freigelegt die römischen Leitungsröhren sind unten on 20 waren nur 5 unversehrt.

ied Henning teilt mit, dass die beiden

welche bisher die Aufsicht im Museum zurückgetreten sind, sie sind durch zwei ersetzt, die aber vorläufig nur provisorisch At sind.

Sparsamkeilsgründen wird beschlossen, ! Einladungen zu den Vorstands- und Ge- rsammlungen nicht mehr wie bisher durch astinger, sondern durch den Schriftführer werden sollen. Für die Arbeit der Ver- r. der Milteilongen soll Herrn Hohmann ein s bewilligt werden, Herrn Fastinger wird ık der Gesellschaft für die langjährige ng der Einladungen und Versendung der lionen der Gesellschaft ausgesprochen,

ed Ingold schenkt der Gesellschaft seine ber die Familie Ingold.

ss der Silzung : 4 Uhr.

ae

N. Ficker fait savoir qu'il s'occupe de collec- tionner tous les inventaires du seiziöme siècle en Alsace, On a retrouvé les de la bibliothèque de la ville et de l'Académie de Strasbourg, écrits par M. Jung, autrefois biblio- thécaire. Les catalogues officiels ayant été dé- truits en 1870, la valeur de ces catalogues est d'autant plus grande, Le Comité propose de faire paraître ces deux publications, séparément du Bulletin, aux frais de la Société.

M. Ficker a vu à Dachstein des figures de Marie et de saint Jean appartenant au commencement du seizième siècle, Elles appartiennent à la

fabrique d'église et ont une valeur approximative de 80 .M

M. Schlosser rapporte que pendant les travaux pour la conduite d'eau de Mackwiller, on a trouvé une conduite du lemps des Romains. Celle-ci a été mise à jour sur un parcours de 8 m. Les tuyaux romains ont une base plate. Sur 20 luyaux découverts, il n'y avait que trois qui élaient intacts.

M. Henning fait savoir que les deux surveil- lants de notre musée, ayant donné leur démis- sion, ils ont élé remplacés par deux autres, qu'on a engagés provisoirement.

Pour raison d'économie, l'on décide que les invitations pour les séances du Comité ne seront plus faites par M. Fastinger, mais par le secrétaire. Les invitations pour l'Assemblée générale et l'expédition des bulletins seront faites par M. Hohmann, auquel on accordera une indemnité, On remercie M. Fastinger des services qu'il a rendus depuis de longues années à la Société en soignant les invilalions el en expédiant les publi- calions.

M. Ingold remet un exemplaire de son étude sur la famille Ingold.

Clôture de la séance à 4 heures.

56

Vorstands-Sitzung vom 28. Juni 1905. Vorsitzender: Prälat Keller.

Anwesend die Vorstandsmilglieder : Becker, Binder, Forrer, Gass, Henning, Jehl, Klem, Koertgé, Martin, Salomon, Winterhalter.

Entschuldigt: die Herren Bourgeois, Clauss, Ingold, Lempfried, Ficker, Ott, Schickelé, Seyboth.

Gestorben : Mitglied Saile-Golmar.

Ausgetreten: Munsch Philibert-Fessenheim

(Ober-Elsass).

Neue Mitglieder : die Herren Kommunalarchit, Klein-Strassburg u. Roth, Schuhschäftefabrikant- Strassburg, vorgeschlagen von Herrn Winter- halter, Knauth, Dombaumeister-Strassburg und Abbé Nehr, bischöflicher Ordinariatssekretär- Strassburg, vorgeschlagen vom Präsidenten Keller, die Universitätsprofessoren Fahrner, Schäfer, Zahn, vorgeschlagen von Dr. Gass.

Mitglied Klem berichtet über seinen Besuch in luningen, die Statue des Generals Cherrin bedarf einer Restauration, zu der die Gesellschaft einen Zuschuss von 150 .# gewährt.

Pfarrer Hertzog-Andlau teilt mit, dass die Ver- legung der Grabplalten Kosten verursache, welche weder Gemeinde noch Kirchenfabrik tragen kön- nen, dass der abgenülzte Zustand der Platten auch bei ihrer Verlegung jeden künstlerischen oder geschichlichen Wert ausschliesse. Man be- schliesst, die Sache auf sich beruhen zu lassen.

Mitglied Henning legt das Werk von Naue: « Die Denkmäler der vorrömischen Metallzeit im Elsass» vor, das nach vieler Arbeit und mannigfa- chen Verzögerungen vollendet ist. Dem Verfasser soll der Dank der Gesellschaft ausgesprochen werden. Die Subskriptionsliste weist 150 Namen auf, denen das Werk zum Preise von 3 .# zu- steht. Für den Verkauf im Buchhandel wird der Preis auf 20 .# festgesetzt. Über die Art und Weise des Vertricbes, resp. des Kommissionsver- lages wird man sich in einer spälern Sitzung einigen.

Zur Festfeier der Enthüllung einer Gedenktafel zu Ehren der Gattin Herders, Marie Caroline von Herder, geb. von Flachslanden, die in ihrem Ge-

Séance du Comité du 28 | Présidence de Mgr. KEL

Présents: MM. Becker, Bindeı Henning, Jehl, Kiem, Koertgé, K Winterhalter.

Excusés: MM. Bourgeois, Claus: Lempfried, Ott, Schickelé, Seybotl

Membres défunts: M. Saile, à C Démission : M. Munsch Philiber!

Nouveaux membres: MM. Klein la ville de Strasbourg, et Rotl chaussures, proposés par M. Knauth, architecte de la cathé Nehr, secrétaire de l'évêché, pr Keller; MM. Fahrner, Schäfer, Za de l’Université, proposés par M. G

M. Klem rend compte de sa vis La statue du général Cherrin | restauralion; le Comité accorde 150 &

M. Herzog, d’Andlau, fait savo lation des pierres tombales occ frais que ni la commune ni la fa ne pourront porter. Les pierres detcriorees que leur translation n sauver.

M. Henning présente l'ouvrage Denkmäler der vorrömischen Elsass, travail remarquable, qui tards par la maladie de l'auteur. Let sa reconnaissance à l'auteur. L'imp expédier directement les 50 exem] La liste des souscripteurs compte qui reçoivent l'ouvrage à raison de vente en librairie est fixé à 20 la vente sera fixé dans une séance

M. le professeur Martin est cha senter notre Société à l'occasion : sera donnée à Riquewihr le 9 ju

burtsort Reichenweyer am 9. Juli 1905 stalt- findet, wird das Vorslandsmitglied Prof. Martin delegiert.

Ein Antrag des Mitgliedes der Gesellschaft, Herrn Rouge-Andlau, zwecks farbiger Reproduk- tion der Münstergobelins, der Fresken von Huna- weier u. 8. w. wird zur Kenntnis gebracht, dessen teilweise Berechtigung anerkannt und über die Möglichkeit der Ausführung diskutiert.

Assistent Weigt legt einen kürzlich für die Ge- sellschaft erworbenen Dachreiter aus Dachstein vor.

Herr Weyrich schenkte Figurenformen aus dem 17. Jahrhundert, die beim Neuen Markt gefunden wurden.

Eine romanische Brosche, ein golischer Ring

mit Initialen und andere Objekte wurden beim

Neubau der alten Münze ausgegraben und in das Museum der Gesellschaft verbracht.

Der Schlossherr in Breuschwickersheim | schenkle einen gut erhaltenen fränkischen Sar- » kophag mit Kreuz.

Dr. Bucher schenkte eine Bronzekanne; ein | Gebetbuch (Manuskript) aus dem Ende des 15. Jahrhunderts, wurde durch seine Vermittlung | Vorstandsmitglied Winterhalter übergab dem Museum silberne Sporen. Dr. Forrer schenkte eigenartiggeformte Knöpfe. Herr Schlosser schenkte ? tönerne Röhren aus der neu aufge- " deckien römischen Wasserleitung von Mack- * weiler. à. Herr Lehr schenkte ein Exemplar seiner Studie: 2 Les monnaies des landgraves autrichiens de la -

Haute-Alsace; Dr. Forrer seine Studie: Der M Steinhammer von Fort St. Blaise bei Metz. Die Regierung die IV. Lieferung des Wörterbuches u der elsässischen Mundarten von Lienhart und Martin. Allen Schenkgebern wird der Dank der Gesellschaft ausgesprochen.

Die Generalversammlung der Gesellschaft wird

M auf Donnerstag, 20. Juli verlegl. Aus dem Vor- stande scheiden aus die Herren: Forrer, E. Müller, Seyboth, Schlumberger und Präsident Keller. Als

B- XXII. (8.-B.)

<=

placera une plaque commémorative de l'épouse du poèle Herder, Marie-Caroline de Herder, née de Flachslanden, à Riquewihr.

Une motion de M. Rouge (Andlau) demande la reproduction en couleurs des gobelins de la cathédrale, des fresques de Hunawihr, etc. Le Comité en prend connaissance et discute la pos. sibilité et l'opportunité de son exécution.

M. Weigt, assistant du musée, soumet une tuile faitière en forme de figurine, achelée récemment pour la Sociëté à Dachstein.

M. Weyrich fait don à la Société des moules pour figurines, probablement du quinzième siècle trouvées sur le marché du Temple-Neuf.

La démolition de l'Ancienne Monnaie a enrichi notre musée d'une broche de l'époque romane, d'un anneau gothique portant des initiales et d'autres objets.

Le chätelain de Breuschwickersheim a fait don d'un sarcophage de la période franque, portant une Croix.

M. Bucher a donné un vase en bronze, Un livre de prières, manuscrit de la fin du quinzième siècle, a été acheté par son entremise.

M. Winterhalter a remis au musée des éperons en argent, M. Forrer des boutons d'une façon originale, M. Schlosser a fait entrer dans le musée deux luyaux en argile de l'aqueduc ro- main, récemment mis à jour à Mackwiller.

Dons à la bibliothèque : M, Lehr, un exemplaire de son étude: Les monnaies des Landgraves autrichiens de la Haute-Alsace; M. Forrer, son elude: Le marteau de pierre du fort Saint-Blaise (Metz); le gouvernement, la 4”* livraison de l'Idioticon alsatique, publié par Lienhart et Martin.

Remerciements du Comité à tous les donateurs.

L'Assemblée générale est fixé au jeudi 20 juil- let. Membres sortants du Comité: MM. Forrer, E. Müller, Seyboth, Schlumberger et le président Mer. Keller. La réunion devra se faire dans la

5

Versammlungsort wird das Katholische Kasino in Aussicht genommen und der Schriftführer beauf- tragt von dessen Präsident, Dr. Burguburu, die Erlaubnis zu erwirken.

Im Laufe der nächsten Woche soll eine Silzung des für die Vorbereitung der Jubiläumsfeier er- nannten Komitees stattfinden, das zu gleicher Zeit über Preis und Kommissionsverlag von Naucs Werk endgültig beschliessen soll.

Schluss der Sitzung 4 Uhr.

salle du Casino catholique. chargé d'obtenir l'autorisat M. Burguburu, président du C:

Dans le courant de la sema lieu unc séance de la commis ration du jubilé. En même ten nilivement le prix et la façon vrage de M. Naue.

Clôture de la séance à 4 he

ln m min en te ete

Festausschuss zur Vorbereitung des Jubiläums der Gesellschaft.

Sitzung vom 5. Juli 1905.

Vorsitzender : Prälat Keller.

Anwesend die Herren: Forrer, Gass, Henning, Winterhalter.

Entschuldigt die Herren : Binder, Jehl, Seyboth, Ficker.

Das Jubiläum des 50jährigen Bestandes der Gesellschaft soll in einer dem Charakter der Ge- sellschaft entsprechenden würdigen Weise ge- feiert werden. Es werden die verschiedensten Anregungen u. Vorschläge geinachl: Herausgabe eines zusammenfassenden Berichtes über die Tä- tigkeit der Gesellschaft; eines Führers durch das Museum mit Reproduktionen der wertvollsten Gegenstände desselben, von Ansichtspostkarlen mit Moliven aus dem Museum, eines Albums mit einer Übersicht der charakteristischsten Gegen- stände der römischen wie der mitlelalterlichen Sektion, Festversammlung verbunden mit Gene- ralversammlung, Festbankelt mit Ausflug nach einer historisch-archäologisch bedeutsamen Stätte des Landes: Hohbarr, Odilienberg, Hohkönigs- burg und Schlettstadt. Am meisten Anklang fand die Idee der Herausgabe eines Albums mit kurzem, erläulerndem Texte. Über die Art und Weise der Ausführung desselben, über die Be- rücksichtigung, welche den beiden Sektionen des Museums im Album zuleil werden soll, wird man sich später schlüssig werden.

Dr. Forrer teilt nach deın ilım gewordenen Auf- trag mit, dass für den Kommissionsverlag von

Commission pour la 3 du Jubile.

Séance du 5 juillet Présidence de Mgr. K

Présents: MM. Forrer, Gass, halter.

Excusés : MM. Binder, Jehl, I

Le jubilé de la fondation de le 5 decembre 1855, doit & facon digne et conforme at Société même. Ge principe ur idées et les propositions les ] gissent pour sa réalisation : esquisse historique sur le tra la Société, publication d'un renfermant des reproductions : remarquables, carles de vues les sujets seraient tirés du mt nissant un aperçu général de caractéristiques, tant de la sec de la section du moyen âge, unie à l'assemblée générale, b historique ou archéologique : Sainte-Odile, Hohkônigsbourg L'idée d'un album, contenant d explicatif, réunissait toutes les idée admise, le choix des su reproduction, la proportion à deux sections du musée, sero rement.

M. Forrer est entré en relatio d'édition Schlesier-Schweikharc

Naues Werk, er mit den Verlagshandlungen von Schlesier u. Schweikhart, und mit Trübner ia Verbindung gelrelen sei. Die erstere verlange eine Provision von 40 °/,, die letztere eine solche von 50°,, wobei zu berücksichligen, dass die letztere Firma einen kosmopolitischen Absatzkreis bei ihren grossen Verbindungen besitze. Mitglied T Dr. Henning wünscht, dass man vor Abschluss vorerstnoclheinmal mitder Strassburger Druckerei und Verlagshandlung Rücksprache nehme. Der Ladenpreis wird endgültig auf 20 .# festgeselzl.

Schluss 4'/, Uhr.

Generalversammlung vom 20. Juli 1905. Vorsitzender: Prälat Keller.

Anwesend waren 45 Mitglieder. Der Ehren- präsident der Gesellschaft, Bezirkspräsident Halm hatte sich schriftlich entschuldigt.

Nach einer kurzen Ansprache des Vorsitzenden wurde sofort zur Ergänzungswalil des Vorstandes geschritlen. Gewählt wurden die Herren Exzellenz Jean v. Schlumberger mit 45 Stimmen, Dr. Forrer mit 45, Prof. E. Muller mit 45, Prälat Keller mit 44, Direktor Seyboth mit 40 Stiinmen, sämtliche Herren gehörten bereits dem Vorslande an.

Prälat Keller wird per Akklamation zum Prü- sidenten erwählt.

Der Schriftführer, Dr. Gass schritt hierauf zur Verlesung des Geschäftsberichtes für das Vereins- jahr 1905— 1906, der den Anwesenden einen Einblick in die Tätigkeit des Vorstandes und seiner Arbeiten gewährte.

Geschäftsbericht 1904—1905.

Die Gesellschaft hatte am 1. April 1904 einen Mitzliederbestand von 454 Personen. Davon gingen im Laufe des Jahres 29 Mitglieder; 11 durch Austritt, 18 durch den Tod, verloren. Dieser verhältnismässig starke Ausfall wurde durch den Eintritt von 5 neuen Mitgliedern nur zum Teile ersetzt, sodass der Besitzstand an Mil- gliedern am 1. April 1905 430 betrug. Eine be- sondere Erwähnung verdienen unter den Ver- storbenen der durch seine Altertumssammlungen

sAuH a EP mE m 0

rn...

= Min

savoir à quelles conditions elles accepteraient la vente du livre de Naue. La maison Schlesier- Schweikhardt demande une provision de 40°}, la maison Trübner 50°, Il faut tenir compte que la dernière maison a, par ses relations com- merciales, une clientèle internationale. M. Hen- ning désire qu'avant de conclure qu'on traite encore avec l'imprimerie strasbourgeoise. Le prix de vente en magasin est fixé définitivement à 20.4

Clôture de la séance à 4 '), heures.

Assemblée générale du 20 juillet 1905. Présidence de Mgr. KELLER,

Présents : 45 membres. Excusé: M. Halm, préfet de la Basse-Alsace président d'honneur de notre Société.

Le Président souhaite la bienvenue aux mem- bres et prononce une pelile allocution de cir- constance,

Élection des membres du Comité: Sont réélus MM. Jean de Schlumberger (45 voix), Forrer (45), E. Müller (45), Mgr. Keller (44), Seyboth (40).

Mgr, Keller est réélu président par acclama- lion.

Le secrétaire, M. Gass, donne lecture du rap- port de l'exercice 1904-1905.

Rapport de l'exercice 1904—1905,

Membres : La Sociélé comptait au 1* avril 1904: 454 membres. Durant l'année, 11 membres ont donné la démission, 18 nous ont été enlevés par la mort. Gelte perte de 29 adhérents n'a été com- pensée qu'en partie par la réception de 5 nouveaux membres, de sorte que la Sociélé comptait au I avril 1905: 430 membres. Parmi les défunts méritent une mention spéciale: M. Ritleng aine, le collectionneur bien connu; M. Gény, bibliothé- caire de Schleltstadt, enlevé prématurément;

60

bekannte Strassburger Notar Ritleng der ältere, der allzufrüh hinweggeraffie Schleitstadter Biblio- thekar Dr. Gény, der elsässische Geschichls- forscher Ch. Hoffmann und der Redner unserer leizten Gencralversammlung, Pfarrer Walter- Neuweiler.

In den Vorstand wurden durch die General- versammlung neu gewählt an Stelle der aus- scheidenden Herren Kurtz und Winkler die Herren Clauss und Gass. Das Bureau des Vorstandes wurde aus den früheren Mitgliedern gebildet. An Stelle des durch Krankheit behinderten Dr. Eug. Müller übernahm Dr. Gass provisorisch das Amt eines Schriftführers.

In dankenswerter Weise haben staatliche und städtische Beliörden durch ihre Unterstützung während des Geschäftsjahres der Gesellschaft die Erreichung ihres Zieles und die Erledigung ihrer Arbeiten erleichtert.

Das Museum der Gesellschaft erfuhr in seinen beiden Abteilungen, Altertum und Mittelalter, neue Bereicherung.

Die Täligkeit der älteren Abteilung war auf dem Gebiete der Stadt Strassburg eine zersplilterte wegen der zahlreichen Hausanschlüsse an die Kanalisation, die es in den verschiedensten Quar- tieren zu überwachen galt. Strassburgs römische Strassenzüge wurden dabei mannigfach konsta- tiert, ebenso die römische Stadtmauer. In der Langstrasse fand sich innerhalb des Strassen- körpers, 2,50 m lief, ein Ziegelstück mit dem Stempel der XXII Legion, die hiermit zuerst in Strassburg nachgewiesen wird.

An Einzelfunden seien erwähnt: eine Bronze- statue der Diana von guter Arbeit, aus der Gold- schmiedgasse, eine Goldmünze des Nero, aus der Neukirchgasse ; vom Jung St. Peterplatze 145 Sil- berdenare der späteren römischen Zeit mit einer Reihe wertvoller Stücke, welche der Landes- samınlung überwiesen wurden. Vom Weissturm- tor stanımt ein römisches Eisenschwert mit reich- verzierter Scheide aus Bronzeblech. Auf derselben sind dargestelll: ein grosses von ciner Faust ge- haltenes Fulmen, geflügelte Greife, ein Adler, der

M. Ch. Hoffmann, l'historien avanlager connu, et M. Walter, curé de Neuwiller, I de notre dernière Assemblée générale.

Comité: À la place de MM. Kurz et W membres sortants, l’Assemblee générale MM. Clauss et Gass. Les membres du bure cédent ont été réélus. M. le professeur RB. étant malade, M. Gass a été provisoiremet gné pour remplir les fonctions de secrétai

Subventions: Le gouvernement d’Alsa raine, les départements de la Haute- et Basse-Alsace, la ville de Strasbours ont les travaux de la Société en accordant de ventions. La Société leur exprime ses ret ments pour ce concours généreux.

Le Musée s'est enrichi dans ses deux 4 de l'antiquité et du moyen âge.

Section de l'antiquité: Le travail était q peu éparpillé à cause de l'adjonction de breuses maisons à la canalisation qu'il sa de surveiller dans les différents quartiers rencontré à plusieurs endroits les routes roi et la fortification romaine de la ville. D Grand'rue, on a mis à jour dans une proft de 2,50 m une tuile portant le sceau de la sion romaine. Gest la première trace de légion à Strasbourg.

En détail, on a trouvé: une statue de la Diane en brouze d'un bon travail (rue d fevres), une monnaie d'or de Neron {r Temple-Neuf). Sur la place Saint-Pierre-le- on a mis à jour 145 deniers en argent, : tenant à la dernière période romaine; des rares figuraient dans le nombre; le tout remis à la collection de l'Université. Dev: Porte Blanche, on a trouvé un glaive roma fer avec fourreau de bronze richement d Citons parmi les figures des vieillardes porta

4 =

ı Hasen gepackt hält u. a. Ausserdem enthält ie Inschrift des Waffenschmiedes: A. Novienus Pudes ad ara F.

e Ortsbezeichnung ad ara(m) deutet eher auf à Platz innerhalb der Stadt als auf die ara rum (Köln). Das von unserm Assistenten, n Weigt, geborgene Stück, das noch aus r römischer Zeit stammt, ist eine äusserst volle Bereicherung unserer Sammlung. n besonderes Interesse boten die Funde in

Bruderhofgasse. Verschiedene römische :nbasen, die sich z. Z. noch in situ befinden,

sonstige Säulenbruchsiücke mögen, wie a früher analoge Funde von da, zu dem rö- hen Prälorium gehört haben, das einer en, leider verlorenen Handschrift zufolge, in x Gegend zu suchen ist. Auch die Spiessgasse » römische Baureste. Der Güte des Herrn [verdanken wir einen Stein mit römischer ırift von seinem Anwesen in der Blauwolken- lu

MARTI EITTIO. COND. LOVCET [io] OLLL F. EQ. AL Y.S, L. L. M A. PERI. TREV.

‘se dem Mars Loucelius gewidmele Inschrift ıgt zum ersten Male die Ala Petri(ana) in ‘er Stadt.

ılreiche Einzelfunde verschiedener Zeiten Englischen Hofe, der Alten Münze und ande- eilen der Stadt reihen sich an.

ch aus Königshofen stammen wertvolle &. Von besonderem Interesse und ein Uni- in unserer Sammlung ist eine grünglasierte, “ierte römische Schale, welche das Museum anderen frührömischen Gegenständen ı Tausch von dem dorligen Kapuzinerkloster ‘b. In Schiltigheim, Hönheim, Wanzenau inderen Orten wurden Grabstälten verschie- * Zeiten beobaclılet. Besonders hingewiesen if die neolitischen Funde von Mundolsheim, ve in unserem Lande einen bis dahin nicht jewiesenen Typus dieser ältesten Zeil reprü- ren. Die zahlreichen Wohngruben, welche bst bei der Erweiterung der Bahngeleise Vorschein kamen, wurden von unserem enten eingehend untersucht und vermessen,

ailes, un aigle qui tient dans ses griffes un lièvre,

etc. Il nous fait connaître le nom de l'armurier: A. Novienus Pudes ad ara P.

La désignation ad ara indique plutôt une place

dans la ville que la ara Ubiorum (Cologne). Cette

pièce qui date encore de la période classique est un bijou pour notre musée,

Les objets lrouvés dans la rue des Frères méritent une altention spéciale. Plusieurs socles de colonnes romaines, qui son encore en place, des restes de colonnes qu'on y a mis à jour témoignent, comme d'autres objets trouvés pré- cédemment, en faveur du prétoire qui, selon un manuscrit qui est malheureusement perdu, se trouvait dans celle contrée. La rue des Halle- bardes a fourni également des restes de cous- tructions romaines. Nous devons à l'obligeance de M. Kuhff une pierre avec inscription romaine, trouvée dans sa propriété rue de la Nuée-Bleue.

MARTI EITT10. COND. LOVCET[io] OLLL F. EQ. AL. V.S. L, L. M. A. PERI. TREV.

Cette inscription relative à Mars Loucetius est la première preuve en faveur de l'Ala Petri(ana) dans notre ville. Plusieurs autres objets décou- verts pendant la démolition de l'hôlel d'Angle- terre, de l’Ancienne-Monnaie ou trouvés sur d'autres poinis de la ville seraient à ajouter. Königshofen a fourni plusieurs pièces remar- quables, Par voie d'échange, on a obtenu du couvent des Capucins un vase romain orné de figures et d'un vernis vert. C'est un unicum de notre collection. A Schiltigheim, Hönheim, Wanze- nau, on a fouillé des tumuli de différentes pé- riodes. A Mundolsheim, on a découvert des objels de la période néolithique d'un cachel inconnu jusqu'ici. Notre assistant a visilé et examiné mi- oulieusement les nombreuses [osses d'habitation qui ont été mises à découvert par la construction

de la nouvelle gare des marchandises. L'inven-.

taire et le classement de ces objets dans le musée a fait des progrès.

69

“Die Inventarisierung und Aufstellung der Funde innerhalb des Museums selbst hat weitere Fort- schritle gemachıt.

Für die Zeit des Mittelalters und der Neuzeit ergaben die Ausschachtungsarbeiten in Strass- burg ebenfalls ınanclıes Bemerkenswerte und ergänzen die gemachten Funde in willkommener Weise das bis dahin Gewonnene.

Zahlreiche Fragmente von Ofenkacheln, grün- glasiert, mit figürlichen Darstellungen, auch Köpfchen fanden sich am Nikolausstaden und am Alten Ferkelmarkt. In der Brandgasse (Bischöfl. Ordinariat) und in der Feggasse kamen Töpfe aus grauem und aus weissem Ton (XIV. Jahrh.) zu Tage. In der Blauwolkengasse fanden sich golische Fliessen. An der Ecke der Stephansgasse und des Stephansstadens (Bischöfl. Gymnasium) fanden sich Stücke einer gotischen Grabplatte des XIV. Jahrhunderts mit Inschrift. In der Grossen Renngasse wurde ein gotischer Dolch mit hölzer- nem Stichblatt und Griff, am Weissturmtor eine zinnerne Feldflasche aus ziemlich früher Zeit gefunden. Die Skulptur ist vertreten durch einen Frauenkopf aus rotem Sandstein aus gut gotischer Zeit (Müllergässchen), die Architektur durch ein gotisches Kapitäl aus der Blauwolkengasse, die Malerei durch die in der Brandgasse 4 und Blau- wolkengasse 15 aufgedeckten Wandmalereien des XV]. Jahrh., die sich den ähnlichen früheren an die Seite stellen, und die wenigstens durch Kopie erhalten werden konnten.

Seitens der städtischen Verwaltung wurden dem Museum überwiesen: die schöne Evangelisten- figur vom äusseren der protestantischen Jung St. Peterkirche mit einer Anzalıl Bautrümmer aus derselben Kirche, ebenso ein spätgotisches Wasserbecken. Beim Abbruche der Alten Münze wurden viele und zum Teile recht wertvolle Funde gemacht. Sporen, Schnallen, Messer, Buchschlies- sen, Schlüssel, zumeist aus gotischer Zeit. Auch drei goldene Ringe, der eine mit gotischer In- schrift, fanden sich. Die Verwaltung der Klareis- werke zur Dunzenmühle hat, unter Vorbehalt des Eigentumsrechtes, zahlreiche interessante mittel- alterliche Funde dem Museum überwiesen, und das elsässische Elcktrizitätswerk (0. Schulze) hat in dankenswerter Weise einen spätgotischen

Section chrétienne: Les Ir: tion & Strasbourg ont comple lement cette partie du musée.

Au quai Saint-Nicolas et au Cochons, on a trouvé nombre carreaux de poêles en vert figures. Dans la rue Brûlée (co ché), dans la rue des Balayeur: des pots d'un argile gris et I siècle). Des carreaux gothiqu été fournis par la rue de la Nt de la rue Saint-Étienne et du on a découvert une pierre ton quatorzième siècle avec inscı rue de la Course a fourni un | avec fourreau et manche en bo un bidon en étain d'un âge av est représentée par une tête « rouge remontant à l'époque Moulins). Un chapiteau gothiqu la partie de l'architecture. La ; sentée par des peintures mu siècle dégagées dans la rue B de la Nuée-Bleue, 15. Elles or vées par des copies.

La ville a fait remettre au statue d'un évangéliste qui se rieur de l'église protestante Sai Item des fragments de la mem« gothique. Lors de la démolitit Monnaie, on a trouvé des épert teaux, des agrafes de livres, de: principalement à la période anneaux d'or, dont l'un avai gothique, s'y trouvaient meles. de la fabrique de glace zur déposé au musée, en faisant le droit de propriété, une série sants du moyen âge. La fal d'électricité (0. Schulze) a don

fontaine de la dernière période

DE

inenslein geschenkt, der aus der Antoniter- re (Regenbogengasse) stammt, Herr Korb- nfabrikant Weyrich schenkte zwei in seinem ie gefundene Tonmodelle zu Figuren des XV. XV. Jalırh.

ı Breuschwickersheim wurde auf dem früher b Sturmschen Besitztum ein frühmittelalter- ır Steinsarg (mit Kreuz und Namen GOSO) nden, den der Besitzer, Herr Mehn, schenkte. ırch Vermittlung des Herrn Dr. Bucher er- » die Gesellschaft ein spätgotisches, deut- s Gebetbuch, eine Bronzekanne des XVI. h. Verschiedene Werke der kirchlichen ik wurden erworben: ein spätgotischer ifixus, dazu aus einer Kreuzigungsgruppe Deutschland stammend, Maria und Johannes, erdem aus Ergersheim eine hochgotische nnisfigur und mehrere hölzerne Engels- ven des XVIIL Jahrlı. Einige Prozessions- nen, ein Kastenschloss, ein Brunnenrohr schliesslich eine eiserne Ofenplatte (mit leon zu Pferde) vervollständigen den Zu- ıs, den unsere Sammlung im verflossenen » erhalten hat.

ıs erfreuliche Bild des Zuwachses, den unser um im laufenden Jalıre erfahren, das nur Umrisse geboten werden konnte, ist der » Beweis für die Hingebung und Sorgfalt der die beiden Leiter unseres Museums, Herren Ficker und Henning, unterstützt von n Assistent Weigt, ihre Obliegenheiten er- n. Ihrem Verdienste gebührt öffentliche kennung und der Dank der Gesellschaft. e Bibliothek der Gesellschaft erfuhr ihre Imässige Vermehrung durch den Schriften- tusch mil anderen gelehrten, archäologi- a und historischen Gesellschaften. Der Aus- ‘h wurde neu eingeleitet mit dem Paulus- um in Worms und der Revue épigraphique aris. Die Gesellschaft ist dem neugegrün- a Hohkönigsburg-Verein als Mitglied bei- ten,

8 literarische Veröflentlichung der Gesell- ft ist erschienen das grundlegende Werk Naue: Denkmäler der vorrömischen Me- eit im Elsass. Im Drucke und in Vorbe- ng sind ein Repertoire des verstorbenen iedes Aimé Reinhardt für die älteren Jahr-

nant de l'église Saint-Antoine (rue de l'Arc-en-Giel). M. Weyrich, fabricant, a remis au musée deux formes en argile pour figures du quinzième ou seizieme siècle. M. Mebn, propriétaire d'un enclos à Breuschwickersheim, qui appartenait autrefois à Jacques Sturm, a donné un sarcophage, qu'on y avait trouvé, de la première période du moyen âge. Il était orné d'une croix et porlait

lion suivante: GOSO. Par l'entremise de M. le docteur Bucher, la Société a pu acquérir un livre de prières en allemand, manuscrit gothique, et un vase en bronze du quinzième siècle. Le musée s'est enrichi de différents objets de sculpture

religieuse: un crucifix de la dernière période

gothique, des statues de Marie et de Jean prove- nant d'un groupe de crucifix allemand; une statue gothique de Saint-Jean, achetée à Ergersheim, plusieurs figures d'anges du dix-huitième siècle. Plusieurs lanternes pour procession, une serrure d'armoire, un luyau de fontaine, un carreau de poële avec la figure de Napoléon à cheval, com- plètent l'enrichissement de notre musée durant l'année passée,

Get agrandissement de notre musée est une preuve de plus du dévouement et des soins que les conservateurs MM. Ficker et Henning, assistés de M. Weigt, ont apporté dans l'exercice de leurs fonclions.

La bibliothèque s'est accrue régulièrement par l'échange des publications avec d'autres sociétés d'histoire et d'archéologie, Durant l'année, on est entré en échange avec le Paulusmuseum de Worms et la Revue épigraphique de Paris, Notre Société s'est fait inscrire membre du Hohkünigs- burg-Verein. La Société a fait paraitre l'ouvrage important de Naue : Denkmäler der vorrömischen Metallzeit im Elsass. Sous presse: Le Repertoire des matières archéologiques traildes dans le Bulletin de la Société (série 1, vol. 1 série II, vol. 19). La livraison 2 du vol. 21 de notre Bul- letin qui va paraitre renfermera une élude du prof. Henning sur le casque mérovingien de Baldenheim et d'autres petiles études.

u

gänge bis in die neuere Zeit unserer Mittei. lungen. Eine Studie von Prof. Dr. Henning über den merovingischen Helm, mit einigen kleinern Abhandlungen wird die 2. Lieferung des XXI. Bandes der Mitteilungen bilden, welche baldigst erscheinen soll.

Der Vorstand hat in 10 Sitzungen im Laufe des Jahres die laufenden Geschäfte erledigt, Anfragen beantwortet, Anträge auf Unterstütz- ungen zu Nachforschungen, Restaurationsarbei- ten geprüft und je nach den Gutachten oder nach den Kräften der Gesellschaft unterstützt oder an die zuständigen Instanzen überwiesen. Das Bestreben, die archäologischen Überreste der Vergangenheit zu sammeln, die historischen Denkmäler nach Möglichkeit zu erhalten, findet in den Sitzungsprotokollen ein beredtes Zeugnis.

Hoffen wir, dass das fünfzigste Jahr des Be- standes der Gesellschaft ihr neue Freunde und Mitarbeiter zuführen, dass das Bestreben, die monumentalen Zeugen der herrlichen Vergan- genheit unseres Elsass zu erhalten, in immer weiteren Kreisen Verständnis und Unterstützung finden wird!

Den Kassenbericht erstattet Herr Winterhaller. Die Einnahmen belaufen sich auf 21 284,61 .#, die Ausgaben auf 13 577,18 .#, Auslage für Naue 6 208,25 .#, bleibt ein Vermögen von 7 368,63 .#

Pfarrer Adam-Zabern hält hierauf einen Vortrag über die mittelalterliche Bischofsveste Hohbarr, die von eingehenden Studien zeugt und manche traditionelle Auffassung richtig stellt. Der Vortrag wird in den Mitteilungen zum Abdruck gelangen.

Als neuc Mitglieder melden sich beim Schlusse der Versammlung: die [ferren Beck, Vikar in Kôünigshofen, Zilvogel, Vikar in Maursmünster.

An die Generalversammlung schloss sich sofort eine Vorstandssitzung, in welcher der bisherige Ausschuss des Komites einslimmig neu gewählt wurde: Archilekt Salomon als Vizepräsident, Dr. Gass als erster, Direktor Seyboth als zweiter Schriftführer, Herr Winterhalter als Kassierer.

Schluss der Versammlung um 4'/, Uhr.

Le Comité s'est réuni 10 fois pour traite affaires courantes. Il a répondu aux diffén questions posées, il a accordé des subven pour des fouilles proposées, il a sccouru de treprises de restauration d'objets archéologi Les procès-verbaux des séances du Comité nissent la preuve que le Comité a cherc collectionner les restes de notre passé, à co: ver les monuments historiques.

Espérons que le jubilé de l'existence d séculaire amènera à la Société de nour amis et collaborateurs. Puisse l'effort d Société de conserver les monuments témoin passé glorieux de notre pays, trouver tou un accueil et un appui sympatbique au a de notre population.

M. Winterhaller, caissier, donne commu tion de la situation financière. Les recette l'année montent à 21 284,61 .#, les dépen 13 577,18 .#, reste un avoir de 7 368,63

M. Adam, curé de Saverne, fait une belle ference sur le château espicopal de Hol L'exposé de l'oralteur témoigne de lonsues é et corrige en plus dun point les donnéc avaient cours jusqu à notre époque. La « rence paraîtra dans le Bulletin.

MM. Beck, vicaire à Königshofen, et Zit vicaire à Marmoutier, se font inscrire membres de la Société.

L'Assemblée générale est suivie immé ment d'une séance du Comité, les me: du bureau précédent sont réélus à l’unan MM. Salomon, vice-président; Gass, premi eretaire; Scyboth, deuxième secrétaire: M halter, caissier.

Clôture de la scance à 4 'J, heures.

Vorstands-Sitzung vom 16. August 1905.

Vorsitzender: Prälat Keller.

anwesend: Die Herren Binder, Ficker, Gass, , Ott, Salomon, Schickelé, Winterhalter. ntschuldigt: Die Herren Forrer, Henning, in.

er Präsident eröffnet die Sitzung mit dem veis, dass dieselbe noch vor Beginn der Ferien spezielle Anregung voa Prof. Ficker anbe- ot wurde, um die Vorarbeiten für dasJubiläum à zeitig genug in Angriff nehmen zu können,

er Präsident teilt weiter mit, dass der Biblio- ‚ar der Société Savoisienne d'histoire et dar- ‚logie, Herr Chaudel, ein geborener Elsässer, Absendung von 17 Bd. Veröffentlichungen er Gesellschaft durch Vermittlung des Minis- ams des öffentlichen Unterrichtes in Frank- h ankündigt.

ine Eröffnung des Rürgermeisteramtes der It Strassburg setzt die Beihülfe zu den Ar- en der Gesellschaft auf 1500 .# fest. Dank der !llschaft.

rof. Ficker betont die Notwendigkeit für herzustellende Jubiläumsalbum einer festen ndlage für die Auswahl, die Anordnung, die roduklion der Gegenstände des Museums, Die unehmenden Stücke müssten einen allgemein rakteristischen Wert besitzen, der beizufü- de Text kurz und prägnant sein, das Format hesten Quarlformat, wie dies in England und okreich gebräuchlich sei. Prof. Ficker ist be- lich der Reproduktion bereits mit den Firmen st, Fischbach, Krämer in Verbindung getre- während eine Rückäusserung vom Hause lias noch aussleht. Prof. Henning möchte für römische Abteilung etwa 50 Tafeln, Prof.Ficker a 25. Ohne bindende Beschlüsse zu fassen, d der Grundsatz aufgestellt, dass beide Seklio- ı des Museums verhältnismässig gleichmässig Album vertreten sein sollten und das Album etwa 100 Tafeln zu beschränken. Prof. Ficker ascht, dass man sowohl den Rahmen wie die wahl nicht zu eng halte, da vielleicht die letzte egenheit geboten sei, das Museum in seinem len Charakter wiederzugeben.

Séance du Comité du 16 août 1905. Présidence de Mgr. KELLER.

Présents: MM. Binder, Ficker, Gass, Jehl, Ott, Salomon, Schickelé, Winterhalter. Excusés : MM. Forrer, Henning, Martin.

Le Président ouvre la séance en déclarant qu'elle a été convoquée à la demande de M. le professeur Ficker avant l'ouverture des vacances, pour que les travaux préparaloires du jubilé puissent étre commencés.

Le Président ajoute que M. Chaudel, bibliothé- caire de la Société savoisienne d'histoire et d'ar- chéologie, Alsacien de naissance, annonce l'envoi de 17 volumes des publications de la Société savoisienne, envoi qui doit nous parvenir par l'entremise du ministère de l'instruction publique en France.

Un communiqué de la mairie nous annonce une subvention de 1500 .# de la ville de Stras- bourg. Remerciements de la Société.

Le professeur Ficker traile la question de l'album projeté pour la fête du jubilé. II fait res- sorlir la nécessité de suivre des principes fixes dans le choix, la disposition, la reproduction des pièces du musée, Les objets à reproduire de- vraient avoir une valeur générale, un cachet remarquable, le texte explicatif devrait étre court et précis, le format in-quarto comme c'est recu en Angleterre et en France. M. Ficker est entré en pourparler avec les maisons Benst et Fischbach, à Strasbourg, Krämer, à Kehl; une réponse de la maison Manias n'est pas encore arrivée.

Vu les richesses de sa section, le professeur Henning désirerait un plus grand nombre de planches (50), le professeur Ficker pourrait se contenter d'un nombre plus restreint (25), Sans prendre des résolutions fixes, on établit le prin- cipe que le nombre des planches de l'album ne doit point dépasser le chiffre de cent, les deux seclions devraient y être représentées selon la valeur proportionnelle, M. Ficker désire qu'on laisse une certaine latitude pour le choix et pour

——

66

Vorstands-Sitzung vom 25. Oktober 1905.

Vorsitzender : Prälat Keller.

Anwesend die Vorstandsmitglieder : Binder, Forrer, Gass, Henning, Kærtgé, Ingold, Jehl, Klem, Schlosser, Salomon, Martin, Winterhalter.

Entschuldigt die Herren: Becker, Bourgeois, Glauss, Lempfried, Ott, Seyboth, Schickelc.

Neue Mitglieder: Baron v. Türckheim, Pfarrer Dentel-Walburg.

Auf Vorschlag von Rechnungsrat llohmann wird beschlossen, den neu aufgenommenen Mit- gliedern durch Zirkular von ihrer Aufnahme Kenntnis zu geben.

Exzellenz Staatssekretär von Köller dankt der Gesellschaft für die Übersendung von Naue's Werk. Prof. Henning schlägt vor, ein Exemplar von Naue an das archäologische Reiclısinstitut in Frankfurt zu übersenden, wofür er die Zustim- mung erhält. Die Frage des von Naue veranstal- telen Auszuges aus seinem Werke, die sogenannte Typologie, wird von Prof. Henning als für die Gesellschaft irrevalant betrachtet.

Der Bezirkspräsident von Colmar hat für die Aufgaben der Gesellschaft einen Zuschuss von 400 .# bewilligt (fur das laufende Jahr), wofür ihım der Dank des Vorstandes ausgesprochen wird. |

Hauptlehrer Gutmann-Mülhausen hat ein Ver- zeichnis der von ihm bei den Grabungen in kKöstlach gefundenen Gegenslände, die er an die Gesellschaft eingeschickt, gesandt. Es wird das Verzeichnis der nicht übersaudten Gegenstände gleichfalls gewünscht.

Über die neu aufgedeckten Gemälde der Kapelle in Scherweiler, berichtet Präsident Keller, dass Konservator Wolff dieselben untersucht und so weit tunlich für deren Erhaltung gesorgt, von allen Gemälden Aufnahmen gemacht habe.

le nombre, puisque c’est pe occasion de donner une vue c téristique de notre musée.

Séance du Comité du 25

Présidence de Mgr. E

Préseuts: MM. Binder, For!

Koertge, Ingold, Jehl, Klem. Schlosser, Winterhalter.

Excusés. MM. Becker, Bour: fried, Ott, Seyboth, Schickelé.

Nouveaux membres :. M. le heim, Dentel, curé de Walbou

Sur la proposition de M. H: bres nouvellement reçus serot laire de leur réception par le

Le Président donne com lettre de Son Excellence le M. de Köller, qui remercie la d'un exemplaire de l'ouvrage position de M. Henning est acc un exemplaire du même livre rial d'archéologie, à Francfoi M. Henning, l’extrait de cet M. Naue, la typologie, n'a p pour notre Société.

Le préfet de la Haute-Als: Société une subvention de 400 du Comite.

M. Gutmann a envoyé une trouvés à Köstlach et transmis désire également une liste des pas entrés dans notre musée.

Le Président rapporte que Wolf a examiné les peintures r vertes dans la chapelle de Scl fait des reproductions et soig faire se peut, pour leur conser\

==

die Kapelle in Fouday soll Salomon junior ht erstatten.

of. Henning berichtet über die neuesten le bei den Ausgrabungen in Grafenstaden: rallisches Eisenschwert mit Scheide (Latène- ert), eine kunstvolle Dekorativ-Brosche, sche Urnen, Fibeln, Spangen. Die Gegen- \e werden vorgelegt; die Kosten belaufen auf 60.% Ein gallisches Latèneschwert wurde lem Weissturmtor gefunden. In Limersheim en eine Reihe (30 Stück) Krüge aus dem hdt, gefunden.

rr Forrer teilt mit, dass der Gesellschaft aus ammlung Ritleng aîné einige Stücke: eine espitze, ältere Steine überlassen wurden.

& Gesellschaft subskribiert auf das vom témitglied Ingold aus dem’ Nachlasse von ann herausgegebene Werk : «L'Alsace avant ‘volution.v

of. Henning meldet einen literarischen Bei- über die Inschriften des Museums der Gesell- t von Prof. Domaszewski-Heidelberg an.

of. Henning beantragt die Erhöhung des Ge- s(2000.4) des Museumsassistenten Hr, Weigt, ler Bitte ilım das Anfangsgehalt des früheren ‚enten (2400 .#), Hr. Welker, zuzuweisen. rage wird nicht entschieden; aber angeregt er Stadtverwaltung von Strassburg, dieihren ıuss herabgesetzt, in Verbindung zu treten, urch Beibehaltung der früheren Zuschuss- 1e, die in eine ständige umzuwandeln wäre, üsung dieser Frage näherzutreten.

iluss : 4'}, Uhr.

orstands-Sitzung vom 6. Dezember 1905. Vorsitzender: Frälat Keller.

wesend die Vorstandsmitglieder : Herren »r, Bourgeois, Ficker, Forrer, Gass, Henning, Klein, Salomon, Schickele, Seyboth, Winter- r. tschuldigt: die Herren Binder, Ingold, Koertge, LE

M. Salomon fils est prié de faire au Comile un petit rapport sur l'église de Fouday.

Le professeur Henning rend compte des fouilles faites récemment à Grafenstaden. On y a trouvé un glaive gaulois avec fourreau, une broche romaine artistique, des urnes, des fibules, des agrafes romaines. Les frais montent à 60 .# Un autre glaive de la période La-Tene a été mis à jour devant la Porte-Blanche. À Limersheim, on a découvert une série de cruches (30) du dix- huitième siècle.

M. Forrer annonce que la Société a reçu plu- sieurs objets de la collection Ritteng aîné, entre autres des pierres, la pointe d'une cassette.

Le Comité souscrit à l'ouvrage posthume de M. Hofmann: L'Alsace avant la Révolution, pu- blié par M. l'abbé Ingold.

M. Henning annonce une élude (pour le Bul- letin) du professeur Domaszewski, à Heidelberg, sur les inscriplions qui se trouvent dans le mu- sée de la Société.

M. Henning demande d'augmenter le traite- ment de l'assistant du musée, qui était jusqu'ici de 2 000 .#, à 2 400 .# M. Welker élait le premier assistant et avait celle dernière somme. La ques- tion n'est point décidée, parce que la ville de Strasbourg a diminué le chiffre de son allocation. On propose de se mellre en rapport avec l’admi- nistration municipale, pour que celle-ci en reve- nant à son chiffre d'autrefois, qu'il faudrait trans- former en subvention fixe, fournisse les moyens de faire droit à la demande de l'assistant.

Clôture de la séance à 4 !/, heures.

Séance du Comité du 6 décembre 1905. Frésidence de Mgr. KELLER.

Présents : MM. Becker, Bourgeois, Ficker, Forrer, Gass, Henning, Jehl, Klem, Salomon, Schickelé, Seyboth, Winterhalter.

Excusés: MM. Binder, Ingold, Koertgé, Marlin.

68

Neue Mitglieder: Herr Lutz, protestantischer Pfarrer in lllzachı,

Ausgetreten: Herr Schaaf-Ammel aus Strass- burg.

Prälat Keller teilt mit, dass die Société Savoi- sienne d'histoire et d'archéologie in Ghambery durch ihren Präsidenten Herrn Louis Chaudel für die Übersendung der Mitteilungen der Gesellschaft dankt und ihrerseits die Übersendung der ersten Serie ihres Bulletins bewilligt hat. Die von der Société Savaisienne gewünschte Überlassung des Werkes von Naue zum Subskriptionspreis (3.#) wird bewilligt. Das Kaiserliche Archäologische Institut in Frankfurt dankt für die Widmung des Naue’schen Werkes durch die Gesellschaft.

Professor Henning übernimmt es, eine Notiz über das Werk Naue's für die Presse, Rechnungs- rat Hohmann soll eine ähnliche für den Buch- handel besorgen.

Zur Restauration eines wertvollen Antipendiums der Pfarrkirche von Gertweiler, das, nach dem Urteile des Prof. Feuerstein von der Münchener Akademie, vielleicht von Mignard stammt, be- willigt die Gesellschaft, auf Antrag des Mitgliedes Rouge, einen Beitrag von 40 .#

Über die Eingabe von Vorstandsmitgliedern zur Erhaltung des alten Hauses Ecke Pflanzbad und Müllergässchen, ist vom Bürgermeisteram! der Stadt Strassburg noch keine offizielle Ent- scheidung getroffen worden. Prof. Ficker wünscht lebhaft die Erhaltung des Hauses, da dasselbe nicht allein archäologisch und malerisch interes- sant, ein Bürgerhaus des 16. Jhdts., sondern auch zur Wahrung des alten Stadtbildes von Be- deutung ist.

Pfarrer Lutz-Illzach hat bei Gelegenheit seiner Studien über die Symbolik der gemalten Fenster der protestantischen Tlauptkirche in Mülhausen, in München eine Handschrift des Speculum hu- manae Salvationis mit 100 Federzeichnungen ge- funden, welche nicht nur, über die Symbolik der Mülhauser Glasfenster, sondern auch anderer Kirchen Aufschluss verbreiten. Die Handschrift stammt nach den ergänzenden Mitteilungen von Prof. Ficker aus dem 14. Jhdt. und zwar aus dem Hause der Johanniter von Schlettstadt. Bei einer

Nouveau membre: N. Lutz, Démission : M. Schaaf-Amm

Le Président communique voisienne d'histoire a transmi pour l'envoi de notre Bullet son secrétaire. Elle enverra mière série de son Bulletin. C ciété savoisienne l'ouvrage « Le professeur Henning prép: cet ouvrage pour la presse. M gnera une autre pour la librai

La Sociélé accorde une som réparer un antépendium de l'é Gertwiller, antépendium qui Mignard, d'après l'avis du pein Munich.

La pétition présentée à la m servation de la vieille maison aux-Plantes et de la rue des encore recu de réponse. M. Fi ment la conservation puisque marquable au point de vue pittoresque. C'est une maiso seizième siècle, qui contribue vieux Strasbourg son cachet.

M. Lutz, pasteur d'Izach, a en faisant des études sur le vitraux de l'église protestante Mulhouse, un manuscrit du Spe Salvationis renfermant 100 des Ce manuscrit jette un nouveau | bolisme des vitraux de l'église manuscrit dale du qualorzième tenait autrefois à la maison d Saint-Jean, à Schlettstadt.

La reproduction du manuscı

ervielfältigung auf dem Wege der phologra- Jhischen Reproduktion würde das Exemplar auf twa 60.4 (bei 50 Exemplaren; zu stehen kommen. ie Gesellschaft stimmt der Neuausgabe zu und abskribiert auf ein Exemplar. Prof. Henning wünscht, dass die Ausgrabungen beim Hôtel Rotes Haus zu Ende geführt werden. Die Militärverwaltung hat für die vor dem Weissturmtor gefundenen Gegenstände die erho- jenen Eigentumsansprüche zurückgezogen. Prof. Ficker regt die Erwerbung für die Gesell- ‚schaft des altromanischen Taufsteines in Zell- ler und des alten golischen Taufsteines in ulzig an, Dr. Gass übernimmt es, die nötigen ırhandlungen anzuknüpfen. Mitglied Klem gibt Auskunft über einen alten, romanischen Taufstein ‘in Gildweiler. Mitglied Bourgeois bittet, die Gesellschaft möge ie Durchführung der Klassierung der Kirche Pierre-sur-l'Ate bei Markirch anregen.

Die Erhöhung des Gehaltes des Museumsassis- enten führt zu einer regen Diskussion. Nach reiflicher Prüfung wird mit Rücksicht auf die finanzielle Lage der Gesellschaft beschlossen, em Via die Summe von 400 .# zu seinem gen Gehalte von 2000 .#, als persönliche, der Zeit widerrufliche Zulage zu gewähren,

d Schluss der Sitzung : 4 Uhr.

#

Vorstands-Sitzung vom 24. Januar 1906. Vorsitzender: Prälat Keller.

_ Anwesend: die Herren Ficker, Forrer, Gass, Henning, Ingold, Salomon, Schickelé, Winter-

Enischuldigt: die Herren Clauss, Jehl, Klem, certge, Ott, Seyboth.

Neue Mitglieder: Pfarrer Schweitzer an SL. | n-Strassburg, Weber, Fabrikdirektor,

F - Ausgetreten: Herr Meyer, Apotheker in Weis- senburg.

typie ferait monter le prix d'un à 60 .# La So) Sun pets de PEN EE

M. Henning exprime le désir de voir terminer les fouilles devant l'hôtel de la Maison-Rouge.

L'administration militaire a retiré ses préten- tions de propriété sur les objets romains trouvés devant la Porte Blanche.

M. Ficker revient à sa proposition d'acquérir pour la Société le baptistère roman de Zellwiller et le baplistère gothique de Motzig. M. Gass est chargé des négociations, M. Klem donne des ren- seignements sur un baplistere roman de Gild weiler (Haute-Alsace).

M. Bourgeois revient à la proposition de faire admettre la chapelle de Saint-Pierre-sur-l’Ate (Sainte-Marie-aux-Mines) dans le nombre des monuments classés,

L'on discute la question de l'augmentation du traitement de l'assistant au musée. Après mûre réflexion el eu égard à la siluation financière de la Société, l'on décide d'accorder à M. Weigt un supplément de 400 .# à titre personnel et tou- jours révocable. Ses gages monleraient ainsi à 2 400 .#

Clôture de la séance à 4 heures.

Séance du Comité du 24 janvier 1906. Présidence de Mgr. KELLER.

Présents: MM. Ficker, Forrer, Gass, Henning, Ingold, Salomon, Schickelé, Winterhalter.

Excusés : MM, Clauss, Jehl, Klem, Koertgé, Ott, Seyboth.

Nouveaux membres: M. Schweitzer, pasleur de Sainte-Aurélie (Strasbourg); M. Weber, directeur de fabrique, Mutzig.

Démission: M. Meyer, pharmacien à Wissem- bourg.

70

verstorben : Vorstandsmitglied C Binder. Prälat Keller ehrt das verstorbene komitemit- glied durch einen Nachruf, der die persönliche Liebenswordizkeit. die edlen Charaklereigen- schaften wie die eifrize Anteilnahme des Ver- ewigten an den Arbeiten der Gesellschaft und an den Sitzungen des Vorstandes hervorbebt Die Anwesenden ehren sein Andenken durch Erheben von den Ntzen.

Präsident keller teilt mit, dass durch Ver- mittlune des Herm L. Chaudel in Chamkrrr. unsere Gesellschaft die erste Serie ‘?5 Bände: der Mzminres der Soriele saroisienne erhalten habe.

Der Pfarrer von Gertseiler dankt für die Bewillizunz eines Zuschuses von 40 zur Reparatur des Anfig-rdisms in der Pfarrkirche.

Der Pfarrer von Westhofen macht Mitteilung über ein gemaltes Kirchenfenzier an: der ehe- malısen Pfarrkirche, au: dem XIV. Jahrhundert sammend. da: in Privatbesitz übergegangen. Es wird leschlossen, dasselbe für da: Museom der Gesellschaft zu erwerben.

Pfarrer Unzerer von Lampertheim teilt mit das beim Bau der protestantischen Kirche. im Jahre 1%7. eine Grabpla:te au: dem Jahre 1303, wi der I2schr. Kosizusde v52 Bereit W:2- 272 der Lire cod Sar Eîrger. vers eude” virée Deste enthält das Wizsen Ser Ber- sel anifirıer © à \ii Zorn Si wind: Late im Swan Sims Kerr LIFE maire ide ir Sauer vera fir Se AuTEII: NS Prii Forges sri less’ Carr Se Via onze 12

Sur un une ee

= - u

Tamer

DT nn pe és = “m a Ts SE SE ee - += Bo un >»... He. zralı Briie. en ne > - w - . = N Lege Wir Zi: Wzripelse 2-22 is url

I =! ADSL, ca LI

a a War realen

- - > 9% -

2" nd > À .- - © Wen ausm 8m Ammitoıze

eurer Neil -Weiseiioee 2215 2: 228: -.. L Le Le. . u om _ - _, SE II DES DATE I ziel 22 Wisæe- loss 7 Leftiet Lys Prier as Tizfessis in ee Nasri es Zero ler Save, Le __aTır Wlrl2 Lis lentgiz Les aie Lege wel

Defunt: M C_ Binder. memubr: da Cac

Le Président rappelle la perte que ie éprouve par la wort de M Binder. Le des gagner toutes les srmja.bie: Far 500 az par ses belle: qualïé: d+ caracière. far licipation fiel: anx travaux de = S0Ork séances du Cmié On bumsse L mem regretié defun: en se ievant

Le Président aan -2ce que la premär des Mémoires de ia Sac2éié sat oimenne est (25 vol: pur l'entremise de M Chandel

Le curé de Gertsiller esprime ses ru meats pour ia smbven1-52 de il -4. arcım le Soité pour la resacra 7 de 1 Anicge

Le pasteur de Westhokm rend aire: vitrail du quatorrème scie provenant ( canne er.ise parvis.2ie. à jasse enire la dua partrulies. esai-ra de l'acquér: ke more

XL Cagerer. pasteur de Lamgertbem fs que. lors de La déms-.ïisn de lances ea 1875. use pierre 1om'ale de l'année portan: u=e iiserif-i>3 eu ve à Cie berzeit bienfairine Se co et 2er ba a ixaru Ele ss aan Bertztt das Zscre de cie vr Ar ‚3.208: recherche 22 a fm: ‚ar retrocr rierre dis leästie à Cu Ts Co gr pro:rrlaire dem 3: n: 4 Wi ie de ige.

Er Lizcerbez = Serameier. ı I à D'Outé el ‘7 19 kb: Le des restes d'Iz =z7. = 12a | das Latin D Or avai 222722 à Ca viare mu ıEuorıss_ m Lis . Wen !2 sommer à 2 Miss

fe. D -+ ts ca =

-. _ . RU ST

M O Sesbar. 3 Wie 'exre. 12-202 or u IQ = Su 8 ver: Aria de ja mas ‘ol eier: Muse Rire ZE (e ess Ze 227: 227 amer de ee D. MERS. LE Stic

71

hın ein anderes Bassin liefern würde. Vinterhalter wird beauftragt, diesen Tauf- u besichtigen.

Taufstein im Pfarrgarten von Zellweiler :h Aussage des Dorfpfarrers so defekt, ich der Transport nicht melır bewerk- n lässt. Präsident Keller wird von dem- eine photographische Aufnahme machen.

Chore der St. Magdalenenkirche ist durch ung des Getäfels eine steinerne Inschrift egt worden, mit dem Namen Conrads von deim, Animissarius von St. Thomas. Mit- Schickel& beantragt, die Aufnahme resp. ansporlierung des Steines. Prof. Ficker mat es.

lied Christmann aus Zabern soll einen | einsenden über die ausscrordentliche ız der Strasse, ob dieselbe mit der be- ten unterirdischen Verbindung zwischen ; und Veste Hohbarr in Verbindung ge- werden kann.

Henning teilt mit, dass man bei den bungen bein Hotel Rotes Haus in Strass- in Stück Enzianfries gefunden habe. Bei rabungen selbst stiess man auf einen , sodass die Arbeiten dort eingestellt ı musslen.

. Martin schenkte der Gesellschaft, unter wöhnlichen Bedingungen, für das städli- Museum, 2 Goldringe, herrührend von bungen in Sesenheim.

. Ficker weist darauf hin, dass der Umbau otestantischen Pfarrkirche in Sesenheim t sei. Die Kirche enthalte wertvolle alte : ein Grabstein des Grafen von Flecken- -1558, ein gewölbtes Chor, ein alter Turm rof. Ficker wird gebeten, die Angelegen- 1 Auge zu behalten und eventuell darüber ‘ichten.

Bürgermeisteramt Strassburg hat mitge- lass das Haus Nikolausstaden Nr. 22 ab- ın werden soll. Vizepräsident Salomon lasselbe besichtigen.

uss der Sitzung: 3°/, Uhr.

céderait le bassin en question contre un bassin moderne. M. Winterhalter est chargé de contrôler ces renseignements.

Le baptistère roman de Zellwiller est tellement délabré, qu'au dire du curé, il n'est plus trans- portable. Mgr. Keller en prendra une photo- graphie.

La destruction de la boiserie du chœur de l'église Sainte-Madeleine (Strasbourg) a mis à jour une inscription sur pierre relative à Conrad de Pfetlisheim, animissarius de Saint-Thomas. : M. Schickelé suggère l'idée d'en faire une repro- duction ou de transporter la pierre dans notre musée. M. Ficker s'en charge.

On prie M. Christmann, de Saverne, d'envoyer un petit rapport sur le fait d'un enfoncement de la roule, enfoncement qui est mis en rapport avec un prélendu souterrain entre le château épiscopal et le Hohbarr.

M. Henning rapporte que les fouilles devant l'hôtel de la Maison-Rouge ont mis à jour une frise romaine remarquable. Les fouilles s'étant heurlees à un canal souterrain, on a les cesser.

M. Martin dépose dans le musée deux anneaux d'or provenant de fouilles faites à Sesenheim.

N. Ficker attire l'attention sur le projet d'une restauration de l'église de Sesenheim. L'ancienne église renferme des pièces précieuses: un sarco- phage du comte de Fleckenstein (+ 1558), un chœur voûté, une ancienne tour, etc. M. Ficker est chargé de suivre ce projet et de rendre compte à l'occasion.

Un avis de la mairie étant arrivé que la mai- son, quai Saint-Nicolas, 22, doit être démolie, M. Salomon est chargé de la visite.

Clôture de la séance à 3 :/, heures.

79

Vorstands-Sitzung vom 14. März 1906.

Vorsitzender: Prälat Keller.

Anwesend: die Herren Ficker, Forser, Gass, Jelil, Klem, Karrige, Martin, Seyboth, Salomon.

Entschuldigt : die Herren Bourgeois, Glauss, Ingold, Winterhalter.

Neues Mitglied: Werner, Georg, Geschäfts- agent in Mülhausen.

Ausgetreten: Ancel, Heinr., Förster in Thann; Adam, Eugen, Pfarrer in Metzeral.

Präsident Keller teilt mit, dass Dankschreiben eingelaufen sind: vom Direktor der Landes- bibliothek, Dr. Euting, für die Überweisung eines Exemplars des Repertoire an die Landes- bibliothek; von Assistent Weigt, für die Be- willigung der Zulage.

Pfarrer Stephan-Weissenburg teilt mit, dass die Nachrichten über den von ihm erwähnten alten Taufstein der Stiftskirche sich in der Studie von Dr. Ollayer über die Stiftskirche von Weissenburg befinden. Ihre Zuverlässigkeit ist aber nicht festgestellt.

Direktor Lempfried vom Gymnasium Hagenau erläutert an der Hand von photographischen Aufnahmen und Zeichnungen die Bedeutung des Reliefsteins im Pfarrgarten von St. Georg in Hagenau. Er deutet die Darstellung als Bega- bung des Klosters Neuburg durch Kaiser Fried- rich 1., an dessen Seite der Gründer Neuburgs, Reinhold von Lützelburg, sich befindet. Die Kirche wird durch einen Cisterzienser Maria gewidmet, hinter dem der Bischof sich befindet. Das Original ist dem Museum in Hagenau zu- gewiesen. Zur Herstellung eines Abgusses für die Gesellschaft wird ein Zuschuss von 60 . bewilligt.

Professor Ficker teilt mit, dass die Aufnahmen aus seiner Abteilung des Museums für das Jubi- läum beendet sind. Professor Müller, Biblio- thekar an der Landesbibliothek, hat sich bereit erklärt, die Münzen, die im Besitze der Gesell- schaft sind, festzustellen und zu ordnen. Abzüge der neuentdeckten golischen Fresken

Séance du Comité du Présidence de Mgr.

Présents: MM. Ficker, Forı Koertgé, Martin, Salomon, Se

Excusés: MM. Bourgeois, CI halter.

Nouveau membre: M. We d'affaires à Mulhouse.

Démissions: MM. Ancel He à Thann; Adam Eugène, curt

Le Président donne conna de remerciements de la part teur de la bibliothèque univer du Répertoire de M. Reinhard remercie pour l'augmentatiot

M. Stephan, curé de Wisse renseignements sur l’ancien t collégiale d'une étude du di renseigaements demandent à

M. Lempfried, directeur du nau, présente des reproductio d'une remarquable pierre en au jardin du presbytère de Haguenau. M. Lempfried don: intéressante des figures. Elle une donation au couvent de N pereur Frédéric Barberousse. reur, on voit Reinald de Lutze du couvent. L'église est dédic moine cistercien, derrière Ic évêque comme représentant di pierre est déposée au musée Société accorde une somme d tenir une imitation en plâtre.

La reproduction des piec« chrétienne du musée, destinés dans l'album du jubilé, est ter fesseur Ficker.

M. Müller, bibliothécaire de I l'Université, a acceplé d'exami en ordre les monnaies que pos

ler St, Nikolauskirche zu Strassburg, sowie ' Originalzeichnung der Kirche von Sesen- a aus der Zeit Gathe's, werden von Prof. er vorgelegt. Der Eigentümer des Grab- es der Kunigunde von Berstett in Lampert- n verweigert die Herausgabe.

ezüglich der Inschrift in St. Magdalena, teilt

ktor Lempfried mit, dass in der Gymnasial-

lle zu Hagenau, die früher zum dortigen

erinenkloster gehörte, sich gleichfalls ein

1 mit er Inschrift Conradi de Pfettisheim, , befinde,

r. Forrer ist es gelungen festzustellen, dass Abendlande bereits in vorrömischer Zeit aizische Masse und Gewichte verwendel den. Zahlreiche Messungen und Wägungen ümischer Funde in Italien, der Schweiz, ss-Lothringen, Deutschland, und ihr Ver- ch mit den orientalischen Massen und Ge- ten, lassen die Identität zwischen Wert e, Barren, Talent) und Gewicht erkennen. “hluss der Sitzung: 4 Uhr.

Vorstands-Sitzung vom 2. Mai 1906. Vorsitzender: Prälat Keller. nwesend: die Herren Clauss, Ficker, Forrer, ;, Henning, Klem, Kærtgé, Martin, Salomon, ickelé, Schlosser.

ntschuldigt: die Herren Ingold, Lempfried, Seyboth.

usgetreten : Pfarrer Karrer in Wasserburg. räsident Keller macht Mitteilung vom reiben des Bürgermeisteramtes Strassburg April 1906), welches die Erfordernis in merung bringt, über die Verwendung des tischen Zuschusses an die Gesellschaft eine heinigung einzusenden. Es wird darauf gewiesen, dass ein allgemeiner Ausweis aits eingesandt wurde, wobei bemerkt wurde, à die einzelnen Belege bei Rechnungsrat mann stets zur Einsichtnahme bereit liegen. aurat Winkler in Colmar macht durch reiben vom 8. April den Vorschlag, die B. XXII, (8.-B.)

M. Ficker presente des reproductions des fresques récemment découvertes dans l'église Saint-Nicolas, de Strasbourg. Le même montre un dessin de l'église de Sesenheim remontant au temps de Gæthe. Le propriétaire de la pierre

tombale, relative à Cunégonde de Berstelt, refuse de la céder.

N. Lempfried fait savoir que dans la er du collège de Haguenau, qui servait autrefois aux Madelonnelles, se trouve également une inscription de Conrad de Pfettisheim, comme dans le chœur de Sainte-Madeleine, à Strasbourg.

M. Forrer a réussi à élablir qu'on employait déjà à l'époque préromaine, dans l'Occident, des poids et des mesures phéniciennes, De longues recherches et comparaisons entre des objets trouvés en Italie, Suisse, Alsace-Lorraine, Alle- magne, compurés avec les poids et mesures orientaux, établissent l'identité de la valeur et du poids (mines, barres, talents).

Clôture de la séance à 4 heures.

Séance du Comité du 2 mal 1906. Présidence de Mgr. KELLER,

Présents: MM. Clauss, Ficker, Forrer, Gass, Henning, Klem, Koerlgé, Martin, Salomon, Schic- kelé, Winterhalter.

Excusés: MM. Ingold, Lempfried, Olt, Seyboth.

Démission : M. Karrer, curé de Wasserbourg.

Le Président communique un avis de la ville de Strasbourg (20 avril 1906) rappelant l'obli- gation d'envoyer un comple rendu sur l'emploi de la subvention que la ville accorde à la Société. Ou fait remarquer que le compte rendu général a déjà été expédié et qu'on peut loujours prendre connaissance des dépenses en détail chez M. Hoh- mann,

M. Winkler, conservateur en retraite à Colmar, propose de tenir la prochaine Assemblée géné- 6

74

Generalversammlung im laufenden Jahre in Colmar abzuhallen. Mitglied Gutmann wäre bereit, den Vortrag zu übernehmen. Herr Klem unterstützt den Vorschlag, um das Interesse für die Gesellschaft im Oberelsass neu zu beleben. Mit Rücksicht auf das fünfzigjährige Jubiläum der Gesellschaft, das auf das Jahr 1906 fällt, wird beschlossen, im nächsten Jahre der Ein- ladung nach Colmar Folge zu leisten.

Als günstigste Zeit für die Feier des Jubi- läums wird der 1. August bestimmt.

Für die Ausführung des Jubiläums-Albums werden Probetafeln von Prof. Henning vorge- legt. Nach eingehender Diskussion über Papier, Format, Text und Herstellung der Tafeln, wird auf Antrag einstimmig beschlossen, dass die Firma Beust Verleger des Albums, die Firma Fischbach den Druck des Textes, die Firma Manias die Herstellung der Lichttafeln der älteren von Prof. Henning besorgten Abteilung, die Firma Krämer in Kehl die Herstellung der mittelalterlichen Abteilung von Prof. Ficker übernehmen solle. Das Format soll 38—30 Cen- timeter, das Papier matlweis, nach dem Muster der vorgelegten Probetafeln verwendet werden. Die Tafeln der beiden Abteilungen sollen selb- ständig numeriert werden, um das Fortschreiten der Arbeiten zu erleichtern. Die Auflage soll 800 Exemplare zählen. Dr. Forrer regt an, die beiden Abteilungen getrennt in den Buchhandel zu bringen. Zur Erledigung der Arbeiten sollen Präsident Keller, die Professoren Dr. Ficker und Dr. Henning, und Schriftführer Gass zu einer besondern Kommission zusammentreten.

Für die bevorstehende Versteigerung der Sammlung Ritleng wird Prof. Dr. Ficker ein Kredit von 500—800 .# bewilligt, um einzelne besonders charakteristische Stücke, wie z. B. eiserne Ofenplatten u. a. zu erwerben.

Dr. Forrer wird der Dank der Gesellschaft für den von ihm verfassten und geschenkten Katalog der Sammlung Ritleng ausgesprochen.

Prof. Dr. Henning berichtet über die Ent- deckung des ersten Turmes der allen römischen Stadtbefestisung Strassburgs, gelegentlich des Neubaus der Löwenbrauerei an den Gewerbs-

rale à Colmar. M. Gutmann 8: conference M. Klem appuie dans le but de faire revivre Société dans la Haute-Alsace. la Société célèbre son jubile, ı ner suite à l'invitation de M. W prochaine,

La fête du jubilé, avec l'as doit être célébrée à Strasbourg

M. Henning présente des épr de l'Album. Après une longue papier, le format, le texte e planches, on décide que la ma chargée de l'édition de Album bach imprimera Île texte exp Manias se chargera des plant romaine, la maison Krämer à | de la Partie du moyen âge. L 38/30 centimètres, le papier blanche-mate, chaque partie planches indépendamment de mera 800 exemplaires. M. F vendre chaque partie séparé: Ficker, Forrer, Henning et ( encore pour deliberer et deci concernant l’Album.

Un crédit de 500—800 .# est: pour acheler à la vente immine tion Ritleng un certain nombre p. ex. des carreaux de poêle en

M. Forrer ayant remis un exe logue de la collection Ritleng, < le Comité lui en exprime ses reı

M. Henning rend compte de récemment faite, d'un mur et d’u sur l'emplacement du Löwenbr. cades. La tour, qui faisait parti

—_ 75

2. Jauben. Der Turm, der freigelegt und auch für

F* die Zukunft zugänglich bleibt, ist etwa 3 Meter

“hoch. Das Mauerwerk zeigt doppelte Struktur.

# Die jüngere Mauer hat Gusswerk, während die

+ hintere ältere Mauer regelinässigere Schichtung

'z aufweist. Die Gesellschaft spricht der Bauleitung sowie den Direktoren der Löwenbrauerei Dank aus für ihr Entgegenkommen bei den Arbeiten und für die Erhaltung des interessanten Denk- mals aus römischer Zeit.

Assistent Weigt zeigt mittelalterliche Funde aus der nämlichen Baustätte vor: romanische Schuhe aus Leder (13. Jahrh.), hölzerne Teller mit Brennstempel.

Prof. Henning legt zwei schöne Hallstattringe, die von Stephansfeld herrühren und durch Dr. Bostetter-Brumath erworben wurden, vor.

# Von Dr. Neidhardt-Markolsheim hat das Mu- 4 seum, als Depot, Funde aus Heidolsheim aus der 4 La Töne und fränkischen Zeit erhalten.

: Dr. Sorgius-Schiltigheim hat neolithische und merovingische Funde als Depot überwiesen.

Schluss der Sitzung: 3 °/, Uhr.

+ re

Kommissions-Sitzung vom 21. Mai 1906. Vorsitzender: Prälat Keller.

Anwesend: die Herren Ficker, Gass, Henning, Winterhalter. |

Präsident Keller teilt mit, dass er mit dem Verleger Beust wegen des Jubiläumsalbums Rück- sprache genommen. Dieser wünscht zu wissen, um seine Bestellungen maclıen zu können, wel- ches Papier für den die Lichttafeln begleitenden Text verwendet werden soll.

Prof. Ficker wünscht matles Papier, Prof. Hen- ning zeigt Aufnahmeproben ınit Papier aus der Neuen Papiermanufaktur Ruprechisau vor. Es wird beschlossen, das Papier aus der Neuen Pa- Diermanufaktur Roprechtsau zu wählen, nach der Vorlage.

Über den Stand der Arbeiten berichtet Prof. Kicker, dass die Aufnahmen aus seiner Abteilung

fortificalion romaine de la ville, a une hauteur de 3 mètres. Elle est dégagée maintenant et restera à l'avenir accessible. Le mur est double; la partie la plus jeune est construite en fonte, la partie la plus ancienne est disposée par couches de pierres. La Société exprime aux directeurs et aux architectes du Löwenbräu ses remerciements pour leur prévenance et pour la conservation de ce monument de la domination roınaine à Stras- bourg.

L’assistant Weigt montre des objets du moyen âge qu'on a trouvé sur le même emplacement : des souliers en cuirs du treizième siècle, des assielles en bois avec sceau.

M. Henning dépose deux anneaux de la période de Hallstatt qui ont été trouvés à Stephansfeld. On exprime à M. Bosiciter, de Brumath, qui a donné ces pièces au musée, des remerciements.

M. Neidhardt, de Markolsheim, a déposé au musce des objets trouvés à Heidolsheim, appar- tenant aux époques La Töne et franque. Le doc- teur Sorgius de Schiltigheim a confié au musée des pièces néolithiques et mérovingiennes.

Clôture de la séance à 4°], heures.

Séance de la Commission du Jubilé du 21 mai 1906.

Présidence de Mgr. KELLER.

Présents: MM. Ficker, Gass, Henning, Winter- halter.

Le Président a conféré avec M. Beust, éditeur, au sujet de l'Album. M. Beust, pour pouvoir prendre ses précautions, désire savoir quel papier sera choisi pour le texte explicatif qui accompagnera les planches.

M. Ficker désire du papier mat. M. Henning montre des échantillons de papier sortant de la nouvelle manufacture de la Robertsau. On fixe le choix sur le modèle de la Robertsau.

M. Ficker a terminé les reproductions, il aura une quarantaine de planches. M. Henning est au

76

bereits abgeschlossen, Prof. Henning ist mitten in der Arbeit. Prof. Henning wird 60 Tafeln, Prof. Ficker deren 40 erhalten.

In Bezug auf die Abgrenzung der beiden Ab- teilungen erklärt sich Prof. Henning damit ein- verstanden, dass Prof. Ficker die ältesten christ- lichen Gegenstände wie z. B. der altchristliche Becher, Ziegelstempel und Fibeln in seiner Abtei- lung auch seinerseits reproduziere.

Schluss der Sitzung: 4 Uhr.

Vorstands-Sitzung vom 13. Juni 1906. Vorsitzender: Prälat Keller.

Anwesend: die IIerren Vorstandsmitglieder Forrer, Ficker, Gass, Henning, Ingold, Jelıl, Klem, Kærtgé, Martin, Ott, Schickelé, Winterhalter.

Entschuldigt: die Herren Bourgeois, Lempfried, Salomon, Seyboth.

Neue Mitglieder: Alb. Späth, Direktor der Port- land-Zementfabrik in Heming (Lothr.) Strassburg, Robert Schützenberger, Bankdirektor der Allge- meinen Elsässischen Bankgesellschaft.

Ausgeschiedene Mitglieder: Fritsch M., Vikar in Bühl (O.-Els.), Heckmann A., Anstaltsgeistlicher, in Molsheim.

Präsident Keller gibt der Versammlung Kennt- nis von einer Eingabe, welche besseren Schutz für das romanische Haus in Roslieim verlangt, Die Diskussion ergibt, dass die früher für Erhal- tung dieses Hauses bewilligte Summe von 100.4 bisher noch keine Verwendung gefunden. Hr. Winterhalter übernimmt es die Angelegen- heit in die Hand zu nehmen.

Dr. Gass teilt mit, dass laut Kirchenfabrikrats- beschluss von Mutzig der dortige gotische Tauf- stein der Gesellschaft überlassen werden sollunter der Bedingung, dass die Gesellschaft dafür Ersatz schafft.

Die Einladung des Deutschen Geschichts- und Altertumsvereins zur Generalversammlung des Verbandes in Wien (1906, 25.—28. Sept.), wird zur Kenntnis genommen und die Anregung ge- sehen, Dr. Wolfram von der Lothringischen

travail, il lui faudra u

planches.

On s'accorde à limiter | façon à ce que M. Ficker pu certaines pièces de la sectio cachet chrétien, p. ex. le go briques, des fibulcs.

Clôture de la séance à 4H

Séance du Comité du Présidence de Mgr.

Présents: MM. Ficker, Fo Ingold, Jehl, Klem, Kærtgé, ! Winterhalter.

Excusés : MM. Bourgeois, I Seyboth.

Nouveaux membres: MM. . teur de la fabrique de cimen Schützenberger, directeur de

Démissions: MM. Fritsch, vi Alsace), Heckmann, aumônier

Le Président donne commu qui demande une protection la maison romane de Roshein de la Socièté. Il résulte de antérieurement on avait allou lion une somme de 100 .# 1 dépensés. M. Winterhalter s’eı

M. Gass communique la conseil de fabrique de Mutzig, ciété le baptistère gothique au tère contre compensation.

Une invilalion de faire représ à l'assemblée générale des Sc d'histoire et d'archéologie, Vienne (1906, 25—28 septen On priera M. Wolfram, le délé

_ 77

vestergesellschaft, möchte unsere Gesellschaft lien vertreten.

r verhältnismässig hohe Kostenanschlag für ubiläumsalbum führt zu einer lebhaften Dis- ion, bei welcher ein Vertreter der Verlags- ıhandlung Beust fachmännischen Aufschluss Prof. Ficker wünscht, dass man Einsparungen ıe an dem Anschlage der Mappenpreise 0 .#), dass man event. das Werk den Mit- ern nicht vollständig gratis überlasse. of. Henning schliesst sich den Ausführungen s Kollegen an und wünscht Ersparnisse nicht :r Zalıl der Tafeln, aber nötigenfalls an Kar- Papier, Text, selbst event. durch Verzicht ie geplanten Farbendrucke. Prof. Martin ,„ da es sich um ein monumentales Werk le, sich nicht zu sehr durch finanzielle Be- en bestimmen zu lassen. Statthalter wie 2rmeister würden für eine derarlige bedeu- ‚volle, für das Land wie für die Stadt gleich ige Veröffentlichung gewiss, eintretenden 3 einen Zuschuss gewähren.

ch Anhörung der fachmännischen Ausfüh- nn des Vertreters des Verlages Beust wird lossen: das Jubiläumsalbum wird in 500 plaren hergestellt. Die Zahl der Tafeln be- 100, wovon 60 auf die ältere Abteilung von Tenning, 40 auf die Abteilung von Prof. Ficker len. Die Gesamtkosten für Aufnahme, Her- ng, Papier, Mappen, Farbendruck ergeben ischlage 9000 .4 Diese Ausgabe soll auf zwei äftsjahre verteilt werden. Nur jenen Per- , die zur Zeit des Jubiläums Mitglieder sind, as Album als Gratisgabe zugestellt werden. * eintretende Mitglieder können, soweit der ‚reicht, das Album zu einem festzustellenden tionspreise erhalten.

Erledigung der nötigen Vorarbeiten wird biläumsfest, das zu gleicher Zeit als General- amlung für das laufende Geschäftsjahr Ende Dezember abgehalten werden.

luss der Sitzung : 4'], Uhr.

lorraine, de représenter en même temps notre Société.

Une vive discussion s'engage à propos du devis des frais pour l'impression de l'Album. Un repré- sentant de la maison Beust assiste et donne des renseignements techniques. M. Ficker propose de faire des économies sur la somme prévue pour les cartons (2 400 .#}. Peut-être pourrait-on de- mander une somme minime aux membres, vu la valeur de l'Albuw. M. Henning croit qu'il y aura moyen de réduire le nombre des planches, de renoncer même aux reproductions en couleur prévues, en tout cas, de diminuer les frais des cartons, du papier, de réduire le texte. M. Martin fait remarquer qu'il s'agit d'une œuvre monumen- tale et que les considérations financières ne de- vraient point jouer un rôle prépondérant. Le Statthaller, comme le maire de Strasbourg, accor- deraient certainement, le cas échéant, une subven- lion, puisqu'il s'agit d'une œuvre qui intéresse également l'Alsace et la ville de Strasbourg.

Après les explications du représentant de la maison d'édition Beust, l'on décide: l'Album du Jubilé sera imprimé en 500 exemplaires. Le nombre des planches sera de 100, dont 60 de la section du professeur Henning, 40 pour la section du professeur Ficker. Le devis de tous les frais pour la reproduction, l'exécution, le papier, les cartons, les planches en couleur est de 9000 .# Le paiement de celte somme doit être divisé sur l'année courante et l’année 1907. Les personnes qui sont membres de la Société au moment du jubilé recevront un exemplaire gratuit, les per- sonnes qui entreront plus tard pourront l'obtenir à un prix réduit aussi longtemps quil y a des provisions.

Pour terminer les travaux préparatoires, la fête du jubilé, qui sera en même temps l'assemblée générale pour l'année courante, sera remise au mois de décembre.

Clôture de la séance à 4 'J, heures.

—_ 7

Vorstands-Sitzung vom 24. Oktober 1906.

Vorsitzender: Prälat Keller.

Anwesend: die Herren Vorslandsmitglieder

Bourgeois, Glauss, Ficker, Forrer, Gass, Henning,

Jehl, Kurrtge, Ott, Salomon, Schickelé, Win- terhalter.

Entschuldigt: die Herren Ingold, Klem, Lemp- fried, Martin, Schlosser, Seyboth.

Gestorben : die Herren Ingold, Ehrennolar 91 Jahre alt, das älteste Mitglied der Gesellschaft ; Fahrikant Blech, in Markirch.

Neue Mitglieder : Beemelmarns, Amtsrichter, Ensisheim; Ebel, Kunstmaler, Fegersheim; Doktor Grober, Direktor des Lyzeuns, Strassburg; Gurv, Direktor der Allgemeinen Elsäss. Bankgesellschaft; Gutig, Kassenbeanter d. Spitalverwaltung, Strass- burg; Knecht, Zeichner, Müllausen; Lenel, Doktor Walther, Universilätsprofessor, Strassburg, Koch- staden 4; 1ssele, Pfarrer, Oberehnheim; Dr. Ortlieb, Direktor des Bürgerspitals, Strassburg, Dr.Sorgius, Kreisarzt, Schilligheim; Schweizer, Inhaber des Hauses Manrique; Dr. Wolfram, Archivdireklor, Metz.

Vorstand: Eine Milteilung des Vorstandsmil- #liedes Schlosser-Drulingen, nicht mehr in den Vorstand gewählt zu werden, führt zum Beschlusse Herrn Schlosser zu bitten, weiterhin im Vorstände mitwirken zu wollen.

Eingelaufen für die Mitteilungen eine Notiz von Irn. Rabavoie über die Kirche von Fouday.

Geschenkt wurden an die Bibliothek der Ge- sellschaft: Les verrieres de l'ancienne église St.-Etienne à Mulhouse, par J. Lutz; Jahresbericht des Vereins zur Erhaltung der Altertümer in Weissenhurg und Umgegend, 1906; Les roches d cupules et à yraviers dans la Savoie, par L. Ghaudel.

Herr Mathis, Plleger der historischen Denkmäler in Niederbroun, hat einen Grabstein eines Strass- burger Ammeisters an das Museum der Gesellschaft geschenkt durch Konservator Wolff, dessen In- schrift er kennen möchte.

Séance du Comité du 24 Présidence de Mgr. 1

Présents : MM. Bourgeois, CI Gass, Ilenning, Jelıl, Kærtgé, ckelé, Winterhalter.

Excusés: MM. Ingold, Klem Schlosser, Seyboth.

Membres défunts: MM. Ing traite à Golmar, âgé de 91 an d'âge de la Socicté; Blech, Maric-aux-Mines.

Nouveaux membres: NM. de paix à Ensisheim; Ebel, p: gersheim; le docteur Grober, de Strasbourg; Gury, directeu n6rale alsacienne de banque; hôpitaux civils; Knecht, dess VW. Lenel, professeur de l’Univ d'Obernai: Ortlieb, directeur le docteur Sorgius, médec Schweizer, directeur de la Wolfram, directeur des archiv à Metz.

M. Schlosser, membre sort: savoir qu'il désire ne pas elr M. Chlosser de revenir sur sa

M. Rabavoie a envoyé une l'église de Fouday, qui ser Bulletin.

Dons à la bibliothèque: Les cienne église Saint-Étienne à Lutz. Compte rendu de la Soci valion des antiquités à Wis: les environs pour l'année 15 cupules el à graviers dans L. Chaudel.

M. Mathis, conservateur des riques à Niederbronn, à fait re par l'entremise du conservaleu: une pierre tombale d'un Ainmei: dont il aimerait connaître l'insc

= Ww=

‚necht-Mülhausen begehrt einen Zuschuss insfehreng von Grabungen nach dem Kampf- z zwischen Ariovist-Giesar. Das Gesuch wird

osheim : Kantonalpfleger Laugel in St. Leon- 1 befürwortet eine Restauration des der Ge- schaft gehörigen Hauses (Dielen, Balken, pen, Eingang). Herr Kaurtgd erinnert daran, er den Grundriss in der Elsässischen Illus- ten Rundschau veröffentlicht habe. Die ven Koertge, Salomon, Winterhalter, sollen an und Stelle mit Herrn Laugel sich über die zen, stylgerechten Restaurationen infor- fl.

r den Verbleib des Hortus Deliciarum wäh- ‚der Revolution teilt Hr. Rud. Neuss eine »ssante Notiz aus dem Protokolle des Direc- du Bas-Rhin mit. Die Notiz wird in den ilungen der Gesellschaft veröffentlicht en.

if Anfrage des Bürgermeisters von Hüningen, :inen Beitrag zu den Kosten der Restauration Verselzung der Denkmäler der beiden Gene- Cherrin und Abbalucci wird ein Zuschuss von —200 .# bewilligt.

ı der Zuschuss der Stadt Strassburg für die an der Gesellschaft nur 500 .# beträgt, soll ut um Zuwendung des bisherigen Zuschusses ten werden, mit Hinweis auf die der Gesell- ft durch die Ausgrabungen in der Stadt und usgabe des Jubiläumsalbums entstehenden gen.

ir das Jubiläumsalbum hat Prof, Henning die n (65) hergestellt, der Text ist noch nicht kferlig. —- Prof. Ficker hat die Tafeln (48) kfertig, ebenso den Text. Die durch Aul- ıe neuer Tafeln entstandenen Mehrkosten le Prof. Ficker durch Verzicht auf farbige »duktion auszugleichen.

s Fest soll, wenn möglich, am 5. Dezember halten und bis dorthin das Album zur Gratis- ilung an die Mitglieder bereit sein.

ıluss der Sitzung: 4 Uhr.

M. Knecht, de Mulhouse, demande un sécours

pour exécuter des fouilles, afin de retrouver le champ de bataille entre César et Arivioste. Refuse,

M. Laugel, député du Landesausschuss, fait des instances pour la restauration de la maison romane de la Société, à Rosheim (planches, poutres, escaliers, entrée). M. Koertge rappelle qu'il a publié un croquis de cette maison dans la Revue alsacienne illustrée. NM. Koertgé, Salo- mon, Winterhalter, iront sur place et debattront avec M. Laugel les travaux nécessaires à exécuter.

M, Reuss envoie une notice sur le Hortus deliciarum pendant la Révolution. Elle repose sur un procès-verbal du directoire du Bas-Rhin. La notice paraitra dans le Bulletin.

A la demande du maire de Huningue, le Comité répond que la Société accorde une subvention de 150 à 200 .# pour la restauration et la trans- lation des monuments Abbatlucei el Cherrin.

La subvention de la ville de Strasbourg n'étant que de 500 .#, l'on propose de faire une nou- velle demande pour le maintien du chiffre des subventions précédentes, vu les frais occasionnés par les fouilles en ville et par la publication de l'Album pour le jubilé,

M. Henning a terminé les planches (65) de sa section, le texte est en préparation, M. Ficker a termine les planches (48) et le texte, Le nombre des planches ayant dépassé le chiffre fixé, M. Ficker a cherché à en couvrir les frais en renonçant à reproduire certaines pièces en cou- leur.

La fête du jubilé avec l'Assemblée générale doit avoir lieu le 5 décembre. L'Album devra être prêt pour être distribué aux membres.

Clôture de la séance à 4 heures,

80

Jubiläßms- u. Generalversammlung vom 20. Dez. 1906. Vorsitzender : Prälat Keller.

Anwesend waren rund 60 Mitglieder, unter ihnen die beiden Bischöfe Dr. Fritzen und Dr. Frhr. Zorn von Bulach, der Bürgermeister der Stadt Strassburg, der Rektor der Universität, Prof. Dr. Smend.

Wegen anderweitigen Verpflichtungen hatten sich entschuldigt: Se. Durchlaucht der Kaiserliche Statthalter von Hohenlohe -Langenburg, der Staatssekretär von Köller, Bezirkspräsident Halm, kreisdirektor von Gemmingen.

Präsident Prälat Keller eröffnet die Sitzung um 3 Uhr 10 Min. mit einer herzlichen Begrüssung der Erschienenen, gedenkt der im Laufe des Jahres verstorbenen Mitglieder, Pfarrer Adam- Zabern, Konservator Binder und Ehrennotar In- gold, zu deren Ehren die Versammlung sich erhebt.

Der Präsident bietet hierauf einen kurzen Rückblick auf die Geschichte und Arbeiten der Gesellschaft in den 50 Jahren ihres Bestehens.

Der Schriftführer, Dr. Gass, verliest einen ein- gehenden Bericht über die Arbeiten der Gesell- schaft im Berichtsjahre 1905 1906.

Prof. Dr. Ficker erläutert in ebensn schöner wie übersichtlicher Weise den von ihm im Auf- trage der Gesellschaft bearbeiteten Il. Teil der Denkmäler der Elsässischen Altertums-Samnı- lung, der den Mitgliedern als Jahres- und Jubi- läumsausgabe überreicht wird.

Schatzmeister Winterhalter verliest den Kassen- bericht, laut welchem die Gesamt-Einnahmen 27 212,75 .4, die Gesamt-Ausgaben 21 566,45 .# betrugen, mithin ein Überschuss von 5 646,30 verblieb, der durch die Ausgaben für das Jubi- läums-Album in Anspruch genommen werden wird.

Bei den Ergänzungswahlen für den Vorstand werden von den ausscheidenden Komiteemit- gliedern neu gewählt die Herren: Becker mit 50, Clauss 49, Schickelé 51 Stimmen wiedergewählt. Neugewählt werden die Herren: Knauth, Dom-

Assemblée générale et Jubilaire du 20 des. | Présidence de Mgr. KBLLER.

Présents environ soixante membres, | lesquels les deux évêques, Mgr. Fritzen et Zorn de Bulach, M. Schwander, maire de bourg, le professeur D’ Smend, recteur de | versité de Strasbourg.

Se sont excusés : Son Altesse le prince di henlohe-Langenbourg, gouverneur d'Alsace raine, Son Exc. M. de Kæller, secrétaire « M. Halm, président de l'arrondissement Basse-Alsace, M. de Gemmingen, Kreisdirek! Strasbourg-campagne.

Mgr. Keller ouvre la séance et prononce cution dont nous donnons le texte plus bas

Le secrétaire, M. Gass, donne ensuite | du rapport des travaux de la Sociélé pe l'année 1905—1906.

Le conservateur du musée de la Société professeur Ficker, donne des explication cises et intéressantes sur les planches ll partie des Denkmäler der Elsässischen tums-Sammlung, publiée par lui. Cette pa l'ouvrage est remise aux membres coınu jubilaire.

M. Winterhalter, trésorier, donne comm tion du compte rendu financier.

Aux élections pour les membres du | sont réélus les membres sortants: MM. (50 voix), Glauss (49), Schickelé (51) Élu la première fois: MM. Knauth, architecte cathédrale (53), Kessler, fabricant à Soulzm:

baumeister (53), Kessler (53), Laugel, Landesaus- schussabgeordneter (53 Stimmen). Die Wiederwahl des Präsidenten, Prälat Keller, ‚erfolgte einstimmig. Die nach Schluss der Versammlung abgehaltene ilzung der Komitcemilglieder ergab die ein- slimmige Wall des früheren Bureaus.

h Ansprache des Präsidenten. ÿ Hochanscholiche Versammlung! Verschiedene Umstände haben uns dieses Jahr = ht erlaubt, wie sonst, in der Sommerzeit unsere Plenarversamınlung abzuhalten. Es ist eben dieses

Jahr ein aussergewöhnliches für uns, weil wir das fünfzigjährige Gedächtnis der Gründung der

Gesellschaft feiern, und weil der Vorstand bei

dieser Gelegenheit den Mitgliedern eine ausser-

ordentliche Gabe überreichen wollte, so geschah, was gewöhnlich geschieht, wenn man etwas | Grosses leisten will: es forderte mehr Zeit als wir anfänglich geglaubt.

Heule nun, als Präsident der Gesellschaft, und ich darf hinzufügen, als langjübriges Mitglied - derselben, vielleicht jetzt das älteste, denn mein

Eintritt geht bis zum Frühling 1863 zurück, habe

ich die Ehre, die hohen Gäste und alle Mitglieder

herzlich zu begrüssen, und ihnen zu danken, dass Sie, ungeachtet der kalten Jahreszeit, zu dieser Versammlung erschienen sind.

Bevor wir aber von unserem Jubiläum sprechen, lassen Sie mich, unserem alten und frommen Gebrauche gemäss, der teueren Mit- glieder gedenken, welche im letzten Jahre das Irdische gesegnet haben.

Ich erwähne vorzüglichdrei Herren, welche der Gesellschaft besonder ienste geleistet, näm- lich: Herr Kanonikus Adam, Pfarrer in Zabern; Herr Gamille Binder, KonMérator des städtischen Kunstmuseums; und Herr Ingold Vater, Ehren- Notar. Kanonikus Adam hat in der letzten Plenarversammlung, Ende Juli 1905, einen inhalts- reichen und interessanten Vortrag über Hoh-Barr gehallen, den wir in unseren Mitteilungen ver- öffentlichen werden. Viele ‚andere Arbeiten auf dem Gebiete der Geschichte, die er neben seinen eigentlichen Amtspflichten vollendet, und sowohl

A

ei député au Landesausschuss à St. Leonard (53)

Mgr. Keller est réélu Président par ncclama- Dans la séance suivante du Comité, les membres du bureau précédent ont été réélus à l'unani- mild Allocution de M. le Président. Messieurs,

Des circonstances diverses nous ont emp&ches cette année de célébrer comme d'ordinaire notre Assemblée générale dans le courant de l'été. C'est que la présente année est pour nous une année exceptionnelle: c'est le jubilé de cinquante ans depuis la fondalion de la Société. A cette occasion le Comité décida d'offrir aux membres de la Société un don, un souvenir exceptionnel, et il arriva ce qui arrive ordinairement quand on veut faire grand, la préparation du souvenir exigea plus de temps que nous ne l'avions pensé.

Aujourd'hui donc, en qualité de Président de la Société et aussi comme l'un des plus anciens membres, peut-être le plus ancien, car mon diplôme d'entrée remonte jusqu'au printemps de 1863 j'ai l'honneur de saluer les hôles illustres qui ont bien voulu rehausser notre fête par leur présence, ainsi que les membres de la Sociélé venus en grand nombre malgré l'hiver de toutes les parties de l'Alsace,

Mais avant de parler de notre jubilé, permettez- moi, Messieurs, selon notre vieil et pieux usage, de rappeler à votre souvenir les chers membres qui ont quilt& ce monde depuis notre dernière Assemblée générale, Je mentionnerai particuliè- rement trois collögues qui ont rendu à la Société des services signalés : M. le chanoine Adam, curé de Saverne; M. Camille Binder, conservateur du musée des beaux-arts de notre Ville; et M, Ingold, père, notaire honoraire. Le chanoine Adam a fait à notre dernière Assemblée générale, fin juillet 1905, une très intéressante conférence sur Île Hoh-Barr, que nous publierons dans notre Bulle- tin. Une foule d'autres notices du domaine de l'histoire, publites soit dans notre Bulletin, soit dans d'autres feuilles, témoignent de son aptitude spéciale et de son activité,

| x

8

in unseren Mitteilungen als in anderen Blättern herausgegeben, bekunden seine besondere Be- gabung und seine Tätigkeit.

Kurz nach dem Ableben des Herrn Adam ver- lorcn wir Herrn Camille Binder, Mitglied des Vorstandes, ein wegen seiner Dienstfertigkeit und seiner Erfahrung ih Kunst und Geschäftsführung allgemein geliebter und geschätzter Kollege.

Der dritte Verlust ist der des Herrn Ingold Vater, früher langjähriges Mitglied des Vor- slandes, dem wir eine Menge wissenschaflicher Ablıandlungen archäologischen und geschicht- lichen Inhaltes, besonders für die Gegend von Sennheim, das Ochsenfeld, das Schlachtfeld Cäsars gegen Ariovist, verdanken; diese Abhand- lungen sind leider zerstreut in verschiedenen Zeitschriften, und es ist zu wünschen, dass dic Söhne des verewiglen Greises, als würdige Nach- folger ihres Vaters, dieselben in einem Sammel- band herausgeben.

Um das Gedächtnis dieser Herren und der übrigen verstorbenen Mitglieder der Gesellschaft zu chren, bitte ich die Herren, sich von ihren Sitzen erheben zu wollen!

Geschichte.

Nun, meine Herren, werfen wir einen kurzen Blick auf die fünfzig Jahre des Bestehens unserer Gesellschaft. Am 5. Dezember 1855 ist die Gesell- schaft für Erhaltung der geschichtlichen Denk- mäler im Elsass gegrüudet worden. Auf den Aufruf von Herrn L. Spach, dem damaligen Depar- temental-Archivar des Niederrheins, halten sich etwa 60 Mitglieder versammelt: Statuten wurden festgesetzt, [err Spach wurde zum ersten Präsi- denten gewählt, und die Herren Piton, Jung, Heitz, L. Levrault, Klotz, Dombaumeister, Abbe Straub, V. Guerber, Baron v. Ring und Drion bildeten das erste Comité oder den Vorstand.

Dazu traten slalulengemäss in der General- versammlung vom 11. Februar 1856, an der ungefähr 80 Mitglieder teilnahmen, die Herren Gencralvikar Schir, Bildhauer Grass, Dr. Eissen, Glasmaler Petit-Görard, Arth aus Zabern, Ohleyer aus Weissenburg, Coste aus Schletistadt und Baron Mathieu de Faviers von Kienzheim. Auch

Peu de temps après la mort de M. Adam, » avons encore perdu M. Camille Binder, men! du Comité, qui par son caractère serviable, com aussi par ses connaissances arlisliques et par! expérience dans l'administration, avait gx l'amitié et l'estime de nous tous.

Une troisième perle à enregistrer est celle M. Ingold père, pendant de longues an membre de notre Comité, el à qui nous den un grand nombre de notices archéologiques historiques concernant surtout la contrée Cernay, l'Ochsenfeld, le champ de bataille César contre Ariovist; ces notes sont malheer sement dispersées dans diverses feuilles per diques et il est à souhaiter que les fils du ve: rable vicillard décédé réunissent ces notes épan en un volume.

Pour honorer la mémoire de tous les memk défunts de notre Société, je vous prie, Messies de vous lever de vos sièges.

Histoire de la Société.

Et maintenant, Messieurs, jetons rapideme un regard sur les cinquante années qui & #0 écoulées depuis que la Société existe. Cest 5 décembre 1855 que la Société pour la cons vation des monuments historiques d'Alsace a fondée. Environ 60 membres se réunirent l'appel de M. Louis Spach, alors archiviste département du Bas-Rhin. On rédigea des statu: M. Louis Spach fut élu président et NN. Pito Jung, Heitz, L. Levrault, Klotz, l'abbé Strau Victor Guerber, le baron de Ring et Drion fo merent le premier Comité.

Conformément à l'article transitoire des statu celte liste fut complétée le 11 février 1856, à deuxième Assemblée générale, composée d’en: ron 80 membres, et l'on y ajouta les noms MN. le vicaire général Schir, Grass, Rissen, Peu Gérard, Arth (de Saverne), Ohleyer (de Wisen bourg), Coste (de Schlettstadt), et le baron Math

=

e hierbei die Geschäftsordnung des Vor- es festgeslellt. » junge Gesellschaft wuchs rasch heran, am des ersten Jahres zählte sie schon 230 Mit- er, und ein Jahr später verstärkte sich der and um 7 Mitglieder aus dem Ober-Elsass: aren die Herren Gérard, Rechtsanwalt am arer Appellationsgericht; Hartmann, ehema- Pair de France; Reville, Rat am Appella- gericht; de Lasablière, Professor am Kolle- zu Mülhausen; llamberger, Kammerpräsi- am Appellationsgerichte; Liblin et J, Chauf- Advokat, welcher allein 36 Mitglieder zur thme vorgeschlagen. Jahr 1865, zwei Jahre nach meiner Auf- ie, erreichte die Gesellschaft die Höhe von Mitgliedern und hielt sich auf derselben e Jahre hindurch. kam nun der Krieg von 1870, und seine wirkungen wurden für die Gesellschaft ver- nisvoll. Als am 6. März 1873 die erste Gene- rsammlung wieder gehalten wurde, zählte nur noch 123 Mitglieder. rr Spach, der seit der Gründung ununter- en Präsident der Gesellschaft geblieben war, dann sein Amt nieder; und da Baron von senburg, der allgemein bezeichnele Nach- r, dasselbe zu übernehmen sich weigerte, lie Wahl der Versammlung auf Dr. Eissen. ı 19, November 1874 wurde Herr Kanonikus b zum Präsidenten gewählt. Ihm gelang es, Gesellschaft einen neuen Aufschwung zu a. Die Zahl der Mitglieder stieg wieder nach aach bis auf 372 im Jahr 1883. Dann sank ieder, sodass sie im Jahr 1892 bis auf 283 len war. Heute, 20. Dezember 1906, infolge eicher Sterbfälle, sind wir nur noch 390 Mit- er, während wir eine zeillang 550 waren. bitte ich dringend unsere jetzigen Mitglieder e Propaganda zu machen und im Kreise Bekannten neue Bundesgenossen zu er- en. Wenn viele handeln würden wie einst Chaulfour, der allein 36 in kurzer Zeit vor- g, wäre die Gesellschaft bald zahlreicher,

i 27. November 1891 entriss ein plötzlicher der Gesellschaft ihren langjährigen Präsi- 'n, Herrn Generalvikar Straub. Eine ausser-

de Faviers (de Kienzheim) Dans cette séance fut arrêté le réglement intérieur du Comité.

La nouvelle Société progressa rapidement. À la fin de la première année elle complait déjà 230 membres, et l'année suivante le Comité s'accrul de 7 membres de la Haute-Alsace: MM. Gérard, avocat à la Cour impériale de Colmar, Hartmann, ancien Pair de France, Réville, cou- seiller à la Cour, de Lasablière, professeur au

collège de Mulhouse, Hamberger, président de chambre à la Cour, Liblin et Ignace Chauffour, qui à lui seul avail fait inscrire 36 membres.

En 1865, deux années après mon entrée dans la Société, le nombre des membres s'éleva jusqu'à 499, et ce chiffre se maialint quelques années.

Mais la guerre de 1870 et ses suites furent falales à la Société. Lorsqu'en 1873 on put con- voquer une Assemblée générale, il ne restait plus que 123 membres.

M. L. Spach, qui avait été président depuis l'origine, donna sa démission, et le baron Pierre de Schauenburg ayant refusé de lui succéder, le choix de l'assemblée tomba sur le Dr Kissen.

Le 19 novembre 1874 la présidence fut devolue à M. le chanoine Straub. Il réussit à donner une nouvelle impulsion à la Société. Le chiffre des membres remonla peu à peu; en 1883 il était de 372.

Puis survint une nouvelle baisse, et en 1892 il se trouvait réduit à 283. Aujourd hui, 20 dé- cembre 1906, par suite de nombreux décès, nous ne sommes plus que 390 membres, alors que nous élions pendant quelques années 550. Aussi je prie avec instance les membres actuels de faire bonne propagande dans le cercle de leurs amis pour nous amener de nouvelles recrues. Si plu- sieurs imilaient le zèle de M. J. Chauffour, qui en peu de temps présenta 36 nouveaux membres, nos rangs seraient bientôt serrés.

Le 27 novembre 1891 une mort subite enleva à la Société son Président, M. le vicaire général Straub, Une Assemblée générale extraordinaire

ET 2

en Orten slallgefunden und zu herrlichen en, die jelzt das Museum schmücken, ge- rt

lie Einzelheiten dieser Arbeiten, sowie die ungs-Protokolle, mil einer Menge wertvoller mben für die elsässische Archäologie und Ge- ichte, nebst einer Reihe grösserer, von Mit- dern der Gesellschaft verfasster Aufsätze sind Dffentlicht worden in den Mitteilungen der ellschaft, die zwei Abteilungen bilden: die e von vier Bänden in Oklavformat, die zweite 22 Bänden in Quartformat mit vielen Tafeln,

iin verstorbenes Mitglied des Vorstandes, Herr Reinhard, hat sich der grossen Mühe unter- en über den Inhalt unserer Milteilungen ein iertorium aufzustellen, das anzeigt, in welchem d, auf welcher Seite, ob in den Protokollen r in einer besonderen Abhandlung der Gegen- ıd, das Material, das man sucht, zu finden ist. \urz vor seinem Tode hatte Herr Reinhard sein rk vollendet und zu Herrn Dacheux gelragen. ser war aber damals schon so krank, dass er !infach auf die Seite legte und nicht davon ich. Erst nach seinem Tode fand ich es in er Bibliothek und habe es mit dem freund- en Beistand unseres Schriftführers, Herrn Dr. s, veröffentlicht. Dieses Repertorium umfasst

Bände unserer Milicilungen bis zum neun- nten inklusive, und ist ein nützliches Hand- ‚Nachschlagebuch, welches beim Suchen nach ı in so vielen Bänden zerstreuten Material » kostbare Zeil erspart.

Naue:

in anderes Buch, das die Gesellschaft ausser- » unseren Milleilungen, mil Unterstützung der en Regierung veröffentlicht hat, ist das Werk W. Naue über «Die Denkmäler der vorrö- chen Metallzeit im Elsass, auf Grund der imlungen Elsässischer Altertümer, besonders Sammlung des Herrn Nessel in Hagenau», wissenschaflliches Werk von hohem Werte, welchem alle Tumuli des Elsass mil ihren den beschrieben sind.

en beaucoup d'endroits et ont mis Fier marquables trouvailles qui M aiatenant musée, Les délails de ces travaux, les

des séances du Comilé, une fou

précieuses pour l'archéologie et ee ciennes, enfin un grand nombre de mémoires composés par des membres de la Société ont été publiés dans les Bullelins de la Société, qui for- ment deux séries: la première de quatre volumes format in-8°; la seconde, de vingt-deux volumes in-4° avec beaucoup de planches et gravures,

Répertoire.

Un membre défunt de notre Comité, M. Aimé Reinhard, s'est donné la grande peine de dresser un répertoire des malières contenues dans le Bulletin; ce répertoire indique le volume, la page le sujet ou la matière que l'on recherche a été trailé, soit dans les procès-verbaux, soit dans un mémoire spécial, leu avant sa mort, M. Reinhard avait achevé son œuvre et l'avait portée à M. Dacheux. Notre ancien président élait alors déjà bien malade, il mit le répertoire de côté et n'en parla point. Ce n'est qu'après sa mort que je le trouvai dans sa bibliothèque, et grâce au concours bienveillant de M. l'abbé D’ Gass, notre secrétaire, j'ai eu l'avantage de publier ce travail que l'on croyait perdu. Ce répertoire embrasse lous les volumes de nolre Bulletin jusqu'au dix-neuvième inclusivement, c'est un livre bien utile à consulter pour éviler une perte de temps dans la recherche des articles dispersés dans un si grand nombre de volumes.

Ouvrage de M. Naue.

Un autre livre publié par la Société, avec le concours du gouvernement, en dehors du Bulle- tin, c'est l'ouvrage de M. W. Naue: Die Denkmäler der vorrömischen Metallzeit im Elsass, auf Grund der Sammlungen Elsässischer Altertü- mer, besonders der Sammlung des Herrn Nessel in Hagenau, ouvrage scientifique de haute valeur, sont décrits lous les tumuli de l'Alsace aver les objets qu'on y a trouvés.

86

Museum.

Das Wort Fund führt uns unmittelbar zu unserm Museum, wo so viele Funde aufbewahrt werden.

Schon vor Anno 1870 hatte die Gesellschaft ein Museum gegründet, welches allmählich heran- gewachsen war, und verschiedene Gegenstände enthielt, sowohl aus der vorchristlichen Zeit, als auch von späterer, miltelalterlicher Herkunft. Seit dem kriege aber, infolge der Erweiterung der Stadt und der Kanalisation, sind hierselbst eine Menge Kostbarer Gegenstände gefunden worden, die das Museum beträchtlich bereichern. Denn das Museum enthält nicht bloss was Eigen- tum der Gesellschaft ist, sondern auch die gefun- denen Gegenstände, die dem Staate oder dem Bezirk oder der Stadt Strassburg angehören.

Ich erachte es hier als Pflicht, den Konserva- toren des Museums, Herrn Prof. Ficker für die christliche Zeit, und Herrn Prof. Henning, mit seinem Assistenten, Herrn Weigt, für die vorchrist- liche Zeit, den Dank der Gesellschaft öffentlich auszusprechen für diegrossen Bemühungen denen sie sich dieswegen unterworfen.

Die Mitglieder werden heute noch sich einen Begrilf machen können von diesen Bemühungen, und zugleich Einsicht gewinnen in die Reich- haltigkeit des Museums, denn der Vorstand hat beschlossen, als Jubiläums-Andenken die schönsten und wichtigsten Stücke in Lichtdruck „u reproduzieren und den Mitgliedern zu über- reichen. Das Werk bildet zwei Albums: das eine für die Gegenstände der vorchristlichen Zeit, das andere für das Mittelalter. Das erste konnte leider zum heuligen Tag nicht vollständig fertiggestellt werden; das zweite hingegen ist vollendet, und Herr Prof. Dr. Ficker wird uns in seinem Fest- vortrag das Vergnügen machen, die Bilder des Albums zu erklären und die Bedeutung des Mu- seums darzulegen.

Hortus deliciarum.

Es bleibt mir noch übrig von einem Werk zu sprechen, welches unstreilig die wichligste Leistung der Gesellschaft zu nennen ist, ich meine die Veröffentlichung der Zeichnungen aus dem berühmten Hortus deliciarum der Äbtissin Her- rad von Landsperg.

Musce.

Les mols objets trouvés ı transition à notre musée, o de trouvailles. Déjà avant l'a avait fondé un musée qui s et renfermait divers objets, | tique, antérieure au chrislia du ınoyen äge. Mais depuis de l'élargissement de la ville on a trouvé ici même unc fc qui ont considérablement at musée.

Le musée renferme non . qui sont la propriété de la : des antiquités, des trouvaille à l'arrondissement ou à la

Je tiens à exprimer ici pu naissance de la Société a musée, si généreux dans | leur charge, à M. le prof. F chrétienne, ct à M. le prof. I lant, M. Weigt, pour la parti

Les membres présents p aujourd'hui même les grande ces Messieurs ont se sou temps se faire une juste idé musée, car le Comité a voulc celle fête jubilaire en faisant les plus belles et les plus im gravure pour les donner membres de la Société. L' albums: l'un pour les objet quite, l’autre pour le moyen regret, le premier album n'a] celle fête, mais le second « prof. Ficker se fera un plaisi: les planches de son album et prendre l'importance du mus

Hortus delicia

ll me reste maintenant ent œuvre qui est sans Conlred plus imporlante de la Société, production des dessins du

_ciarum de l'abbesse Herrade

,

as kostbare Original, aus dem XII Jahrhun- ‚ist bekanntlich durch den Brand der städli- n Bibliothek verloren gegangen, und mit selben auch die einzige vollständige Text- hrift, welche die Molsheimer Karthäuser be- t halten ; aber seit Engelhardt im Jahr 1818, nach ihm andere Schriftsteller das Werk der ssin bekannt gemacht, hatlen manche stler zu verschiedenen Zwecken viele Male- a der berühmten Handschrift durchgezeich- und unsere Gesellschaft für die Erhaltung geschichtlichen Denkmäler im Elsass fasste h im Jahr 1873, in der erslen General-Ver- nliung nach dem Kriege, den Entschluss, den aligen Kassenbestand von 12000 .# aus- esslich auf die Reproduktion der Pausen zu renden, die sich von dem archäologisch so ligen und dem Lande so teuer gewordenen ke noch finden würden, Der verdieustvolle mikus Straub übernahm es, die Herausgabe vesorgen und den erklärenden Text zu eiben.

| war dies eine schwierige und langdauernde il. Die erste Lieferung erschien im Jahr \, die letzte im Jahr 1899, also nach einem chenraum von zwanzig Jahren! Kanonikus ıb konnte nur die vier ersten Lieferungen je zehn Folioblältern veröffentlichen. Nach en plützlichem Tode, im November 1891, sind n weitere Lieferungen, Einleitung und In- verzeichnisse nicht milgerechnet, erschienen, beinalıe das Doppelte erreicht wurde von was man ursprünglich hoffen konnte.

ider fehlt noch Vieles! Von den 336 Dar- ıngen, die Herradens Lustgarten schmückten, on uns 104 vollständig und von 23 anderen n wir nur Fragmente. Doch weil wir die hzeichnungen aller grossen Minialuren be- 1, ich meine jener, welche, wie der Stamm- ı Ghristi, das apokalyplische Weib usw. die : Folioseile einnalımen, so können wir sagen, wir zwei Drilteile des Originals besilzen; lurch die Veröffentlichung der Überreste des ıs deliciarum hat sich gewiss unsere Ge- haft um die ganze gelelirte und kunstlie- » Well ein grosses Verdienst erworben.

ine Herren! Ich habe versucht, Ihnen in 'n Worten einen Überblick zu geben über

Le précieux original du XIl* siècle a été, comme l'on sait, détruit en 1870 dans l'incendie de la Bi- bliothèque de la Ville, et avec l'original périt éga- lement l'unique copie complete du texie soignée par les Chartreux de Molsheim. Mais, depuis que M. Engelhardt en 1818, el après lui d'autres écri- vains avaient fait connaitre la valeur de l'œuvre de l'abbesse Herrade, beaucoup d'artistes, pour des buts divers, avaient calqué bon nombre de miniatures da célèbre manuscrit.

Notre Société pour la conservalion des mouu- ments historiques d'Alsace prit dès 1873, à la première Assemblée générale après la gnerre, la détermination d'employer exclusivement une somme de 12 000 .#, alors en caisse, à repro- duire tous les calques que l'on pourrait trouver de celle œuvre si importante au point de vue arhéologique et si chère au pays.

M. le chanoine Straub se chargea du soin de la publication et se déclara prêt à écrire le texte explicalif, C'était un travail dificile et de longue haleine. La première livraison parut en 1879, la dernière en 1899, après un intervalle de 20 ans. M. le chanoine Straub ne put faire paraitre que les quatre premières livraisons, chacune de dix feuilles in-folio. Après sa mort subite en novembre 1891, j'ai publié sept autres livraisons, non com- pris l'introduction et les tables des matières, de sorte que l'on a atteint presque le double de ce que l'on avait d'abord espéré.

Il nous manque cependant encore beaucoup! Des 336 miniatures qui ornaient le Jardin des délices d'Herrade, 104 nous font complètement défaut, et de 23 autres nous n'avons que des fragments. Toutefois, comme nous possédons toutes les grandes miniatures, je veux dire celles qui, comme l'arbre généalogique du Christ, la Femme de l'Apocalypse, etc,, remplissaient loule la page in-folio, nous pouvons dire que nous avons les deux tiers de l'original, et cerlainement notre Société a bien mérité du mondè savant et artistique en publiant ce qui nous reste du pré- cieux manuserit.

Messieurs, je viens d'essayer de vous donner eu peu de mots un aperçu de l'activité, des tra-

88

die Tätigkeit, die Bemühungen und die Erfolge der Gesellschaft während der 50 ersten Jahren ihres Bestehens. Was dieselbe bisher Gutes, Schönes und Nützliches für Kunst und Wissen- schaft in unserem engeren Vaterlande geleistet hat, lässt uns mit Vertrauen in die Zukunft schauen, wo es noch Vieles zu entdecken, zu be- schreiben und zu bewahren geben wird!

Und so darf ich schliessen mit dem Wunsche: Die Gesellschaft für die Erhaltung der geschicht- lichen Denkmäler des Elsass, sie möge weiterhin leben, wachsen und blühen.

Vivat! Crescat! Floreat!

Geschäftsbericht 1905 —1906.

Im Laufe des Berichtsjahres hat sich der Mit- gliederstand der Gesellschaft in nachfolgender Weise verschoben. Am 1. April 1905 zählte die Gesellschaft 430 Mitglieder. Von diesen sind bis zum 1. April 1906 ausgeschieden: durch den Tod 15, durch freiwilligen Austritt 17 Personen, im Ganzen 32 Personen. Unter den Verstorbenen verdienen ein Wort spezieller Erwähnung, der Redner der vorjährigen Plenarversammlung, der namentlich um die Erforschung der geschicht- lichen Vergangenheit Zaberns so verdiente Kano- nikus und Stadtpfarrer Adam von Zabern. Voll Interesse für die geschichtliche Vergangenheit des Landes, verwandte Domkapitular L. Räss die letzten Jahre und die letzten Kräfte eines durch Krankheit schwer heimgesuchten Lebens auf die Sammlung und Herausgabe der Erinnernngen an seinen grossen Oheim, Bischof Dr. Räss. Durch Eintritt von 18 neuen Mitgliedern wurden die entstandenen Lücken zum Teile ausgeglichen, sodass die Gesellschaft am 1. April 1906 416 Mit- glieder zählte.

Durch die General-Versammlung vom 20. Jali 1905 wurden die statulengemäss ausscheidenden Vorstandsmitglieder, die Herren Prälat Keller, Dr. Forrer, Prof. Dr. Eug. Müller, Direktor Sey- both und Exzellenz von Schlumberger erneut in den Vorstand gewählt. Prälat Keller wurde per Akklamation erneut zum Präsidenten ernannt. In der anschliessenden Vorstands-Sitzung wurde der bisherige Ausschuss des Vorstandes, bestehend aus den Herren Architekt Salomon als Vizepräsi-

vaux et des succès de la Société pendan! cinquante premières aunées de son exisk Ce qu'elle a produit jusqu'ici de bien, de be; d'utile nous permet de jeter un regard con sur l'avenir, il y aura encore beaucoup à couvrir, à décriré et à conserver: El ainsi je en terminant exprimer le vœu: Que la % pour la conservation des monuments histori d'Alsace reste bien vivace, qu'elle se dérvel et qu'elle fleurisse !

Vivat! Crescat! Floreat!

Rapport de l'exercice 1905-—1906.

Le nombre des membres de la Société a pendant l'année les changements suivants 1* avril 1905, la Société avait 430 men Sont décédés jusqu'au I" avril 1906 : 15 mem {7 membres sont sortis, en tout une per 32 membres. Parmi les défunts méritent une tion spéciale: M. le chanoine Adam, curé d verne; il était l’orateur de notre dernière A blée générale et a bien mérité par ses reche sur le passé de Saverne. M. le chanoine neveu de Mgr. Räss, a consacré les den années et les dernières forces d'une vie éprouvée par la maladie à recueillir et à m les souvenirs de son grand-oncle.

La perte de 32 membres n'a été comp qu'en partie par la réception de 18 nou membres, de sorte que la Sociélé ara 1 avril 1906 : 416 membres.

Aux élections de l'Assemblée générale 20 juillet 1906 furent réélus les membre Comité: Mgr. Keller, le docteur Forrer, \. Muller, professeur, M. Seyboth, directeur dem et M. Jean de Schlumberger.

Mgr. Keller fut élu président par act lion.

Dans la séance suivante du Comité, les mer du bureau sortant furent réélus à l'unani M. l'architecte Salomon, vice-président, M. le

89

Dr. Gass, als erster, Direktor Seybolh als 'r Schriftführer, Fabrikant Winterhalter als rer, einslimmig wiedergewählt. Landesverwaltung, die Bezirke des Unter- ber-Elsass, die Verwaltung der Stadt Strass- haben in anerkennenswerter Weise durch ırung von Zuschüssen der Gesellschaft die führung ihrer Arbeiten erleichtert und er- cht. } Komiteesitzungen, zu welchen 2 besondere ıissionssilzungen traten, hat der Vorstand im zugewiesene Aufgabe erledigt. Wie ein Faden zog sich durch alle Versammlungen hema des bevorstehenden Jubiläums. Von Gedanken, die Mitglieder durch eine Fest- zu erfreuen, bis zur Bestimmung der Natur les Charakters dieser Festgabe als Jubi- salbum, das den Mitgliedern die Kenntnis as Verständnis für die schönsten und cha- istischsten Stücke des Museums der Gesell- ‚ermöglichen oder erleichtern sollte, von chwierigkeiten der Auswahl und der photo- ischen Reproduktion bis zur Bestimmung apier, Format und Feststellung der Auslagen, tunlichster Rücksichtnahme auf die finan- Lage der Gesellschaft, war für den Vorstand, peziell für die beiden Herausgeber die Pro- en Dr. Ficker und Dr. Henning ein weiter, werlicher Weg, der nicht ohne Doruen Semeinsame Arbeit und Aufopferung für die Sache haben es ermöglicht, die eine Hälfte, ıe das christliche Mittelalter umfasst, für die se festliche Gelegenheit fertig zu stellen, er andern Hälfte, welche die vorchristliche ımfasst, sind die 65 Tafeln festgestellt, der ist zur Zeit in Arbeit. sp der Vorbereitung des Jubiläums wurden re Arbeiten keineswegs vernachlässigt. In auptstadt Strassburg, wo die früheren Jahre ı die Kanalisationsarbeiten so reiche Aus- ' gebracht halten, förderten Grabungen auf Kleberplatz, vor dem Hotel Rotes Haus, ein eines römischen Enzianfrieses zu Tage. ıe grössere Überraschung brachte der Ab- ı des Hauses Gewerbslauben Nr. 47—49. lem hinteren Teil des Grundstückes, dem irchplatz zu, wurde ein Teil der römisch®n tigungsmauer Strassburgs freigelegt, ein XXII, (8.-B.)

teur Gass, secrétaire, M. Seyboth, deuxième secré- taire, M. Winterhalter, caissier.

Le Ministère d’Alsace-Lorraine, les arrondis- sements de la Basse et de la Haute-Alsace, la ville de Strasbourg, ont facilité à la Société l'exé- cution de ses travaux en accordant les subven- tions traditionnelles. Le Comité exprime sa recon- naissance.

Le Comil& pour sufire à sa lâche a tenu huit séances, auxquelles sont venues s'ajouter deux séances de commission. La préparation du jubilé occupait le Comité dans toutes ces réunions, En partant de l’idée de remeltre aux membres un souvenir du jubilé, il y avait un long chemin à parcourir jusqu'à l'exécution de cet album qui contient les pièces les plus remarquables et les plus caractéristiques du musée de la Société. Le choix des pièces, leur nombre, la détermination du papier, du format, le nombre des exemplaires à imprimer, la question des dépenses n'était point sans diflicultés et sans épines ni pour les membres du Gomilé ni pour les auteurs, MM. les professeurs Ficker et Henning. L'union et le dé- vouement commun ont puissamment contribué à mener à bonne fin la partie qui concerne le moyen âge pour la solennité d'aujourd'hui. Pour la première partie, qui comprend les pièces rela- tives à l'époque préhistorique, celtique, romaine et mérovingienne, les 65 planches sont lerminées, le texte est en préparation.

Les préparatifs du jubilé n'ont point fait négliger les autres devoirs et travaux de la Sociélé. A Strasbourg, dans ces dernières années les travaux de canalisalion avaient mis à jour de nombreux objets, des fouilles faites devant l'hôtel de la Maison Rouge, sur la place Kléber, ont fait trouver un morceau d'une frise romaine. La démolition de la maison 47—49, rue des Ar- cades, amenait une surprise, Sur la partie du ter- rain attenant à la place du Temple-Neuf, l'on a pu dégager une partie notable du mur d'enceinte de la ville, remontant à l’époque romaine. Le

7

90

circa 24 m langes Stück der Südwestfront der Kastellbefestigung mit Turm. Die römische Mauer war stellenweise noch etwa 1,50 m über der Erde erhalten. Durch die Ausschachtungsarbeiten wurde dieselbe in einer Höhe von 4 m über dem alten römischen Niveau freigelegt; dabei kam die Rundung eines 3 m hoch erhaltenen Turmes zu Tage. Seit Silbermann, im Jahre 1753, einen rö- mischen Turm der Nordwestseite untersuchte, bot sich hier zum erstenmale wieder Gelegenheit zu einem derarligen Studium. Wie in den letzten Jahren mehrfach, zeigten sich an der neuen Fundstelle zwei Mauern verschiedenen Alters. Die ältere, hintere Mauer war 90 cm, die vordere, jüngere Mauer 2,50 m stark, sodass sich eine Gesamtstärke von 3,60 m ergab. Ein dreistufiger Sockel vermittelte auf beiden Seiten den Übergang zwischen dem aufsteigenden Mauerwerk und dem etwa 30 und 50 cm vorspringenden Fundamente. Die Front der ältesten Anlage war geschmückt mit zwei horizontalen Bändern, die den Stempel der 8. Legion tragen. Sie wies eine merkwürdige Verkleidung der Fugen durch erhöht aufgesetzte Leisten aus Mörtel auf. Die Front der späteren Mauer hingegen hatte verliefte Fugen und keiner- lei Schmuck. Ebenso war der vor der jüngeren Mauer stehende Turm beschaffen. Er hatte bei halbrundem Grundriss eine Basisbreite von 6,75 m und stand 3,74 m über die Mauer vor. In seinem Inneren zeigten sich an zwei Stellen (runde) Ka- näle von 30—40 cm Durchmesser, die, wie aus erhaltenen Spuren deutlich hervorgebit, die Hölzer starker Balkenreste trugen, welche wahrscheinlich eine Festigung des Turmes bezweckten. Vor der römischen Mauer kamen zwei Graben zu Tage, von denen keiner dıe typischen Merkmale einer römischen Anlage aufwies. Der grössere liegt etwa 15 m von der Mauer entfernt und hat ver- mutlich bereits in vorrömischer Zeit als natür- licher Wasserlauf bestanden. Die Untersuchungen fanden durch das bereitwilligste Entgegenkommen der Baugesellschaft(Akliengesellschaft Löwenbräu in München) und durch die persönliche Ünter- stützung der leitenden Architekten, der Herren Dietze und Röhrl, bedeutende Förderung.

Die Eigentümer taten ein weiteres. Auf unsere Verwendung hin, wurde der Turm mit einem Stücke der Mauer erhalten, obschon dadurch eine

mur avait 24 mètres de longueur et se t du côté sad-ouest de l'ancien Castel romai suite des travaux de déblaiement, Ton a gager le mur, qui avait 4 metres de haoke dessus du niveau de l'époque romaine, au-dessus du niveau actuel. En même tem, a trouvé les restes d'une tour romaine, qu encore 3 mètres de hauteur. Depuis Silbe qui avait visité et étudié une tour roma côté nord-ouest de la ville, l'on avait ici | mière fois l'occasion de faire une étude as de visa. Comme on en avait déjà fait Fexp plusieurs fois dans les dernières années, était composé de deux parties d'âge di La partie la plus ancienne avait 0,90 m;k la plus récente avait une largeur de 2,50: geur totale du mur 3,40. Trois marches re les fondements, qui ressortaient des deux de 0,30 ou de 0,50 m au mur. La façade partie la plus ancienne était omée ée bandes horizontales portant le sceau de | ième légion romaine. Les jointures du mor remarquables par des morceaux de mort sortant. La façade du mur plos jeune su traire avait des jointures creuses sans ornement. La tour placée devant cette parti la même construction, elle avait à sa bes largeur de 6,75 m et dépassait le mur de 3 À l'intérieur, on remarquait à deux endroits rents des creux d’un diametre de 0,30—0, qui portaient autrefois de fortes poutres, des à rendre la tour plas solide. Devant le mur raissaient deux fosses, dont aucune nav caractère d'une construction romaine. La grande était éloignée de la tour de 16 servait probablement avant l'époque roma un cours naturel d'eau. Les rechercbes ot généreusement appuyées et secondees p brasserie Löwenbräu, à Munich, proprittai terrain, et par ses architectes MM. Dietze et) Sur la demande de la Société, la tour rot avec une partie du mur a été consertée m les modifications devenues nécessaires du } primitif de la cave. Notre Societé remert direction du eLöwenbräus comme ses archis pour cetle façon-modèle de contribuer à k servalion de monuments historiques.

=

igreifende mit materiellen Kosten verbun- Änderung der Kelleranlage nötig wurde. ind der Löwenbrauerei in München sowie | beiden Architekten für diese vorbildliche ler Denkmalerhaltung und Denkmalpflege Danke verpflichtet.

i der Entfernung des Getäfels von den Mauern hore der alten St. Magdalenenkirche, wurde Inschrift eines gewissen Gonradi v. Pfettis- , animissarius an St. Thomas, freigelegt. der Gymnasialkapelle zu Hagenau, die früher dorligen Reuerinnenkloster diente, ist eine he Inschrift: Conradi de Pfettieheim, Argen- sis, erhalten.

n den neuentdeckten gotischen Fresken in fikolaus legte Prof. Ficker Reproduktionen

r Erhaltung des alten Hauses Ecke Pllanzbad Müllergässchen richtete der Vorstand der (lschaft eine Eingabe an das Bürgermeister-

isserhalb Strassburgs beteiligte sich die Ge- chaft durch Gewährung von Zuschüssen an Ausgrabungen des Hauptlehrers Gutmann, t dem römischen Larga bei Köstlach, an der auration und Verlegung der Denkmäler der irale Abbatucei und Cherrin in Hüningen, an Restauralion des Antipendiums in Gertweiler. angeregte Verlegung der Grabplatten in der kirche in Andlau scheiterte, trotz einer von Gesellschaft bewilligten Beihilfe, an dem gel genügender Mittel und an der Fragwür- eit des künstlerischen Interesses. An Stelle geplanten Erwerbes des altromanischen Tauf- tes in Zellweiler, musste man sich mit einer ographischen Aufnahme begnügen, da sein kter Zustand einen Transport ausschloss. klicher war man in Mutzig, wo die Kirchen- ik bereitwilligst auf den Vorschlag, den goti- nm Taufstein im Pfarrgarten der Gesellschaft jedieren, einging. Die geplante Akquisition r Grabplatte der Kunigunde von Berslett, aus alten Kirche von Lampertheim, zerschlug

an der hohen Forderung des derzeiligen intümers. Für die Herstellung eines Abgusses alten Reliefsteines im Pfarrgarten von St. rg zu Hagenau, welchen Gymnasialdirektor Vorstandsmitglied Dr. Lempfried in ebenso

Lorsqu'on a enlevé les boiseries du chœur de l'église Sainte-Madeleine, une inscription se rap- portant à Conrad de Pfeltisheim, animissarius de Saint-Thomas, a été dégagée. Une inscriplion analogue se trouve dans la chapelle du college de Hagenau, chapelle qui servait également au- trefois aux Madelonneltes, A Saint-Nicolas, des fresques gothiques ont été retrouvées. Le Comité a adressé une demande à la mairie pour la conservation de la vieille maison, sise au coin des rues Bain-aux-Plantes et ruelle des Moulins.

En dehors de Strasbourg, la Société a secondé par des subventions les fouilles faites par M.Gut- mann, instituteur en chef, pour retrouver le castel romain Larga, près Küstlach. La Société a fourni des subsides pour la restauralion et la translation des monuments des généraux Abbatucci et Cher- rin à Huningue, pour la restauration d'un anti- pendium appartenant à l'église de Gertwiller. Le transfert projeté des pierres tombales, recouvrant des tombes dans la nef de l'église d'Andlau n'a point été exécuté, malgré un secours en argent accordé par notre Société, parce qu'il a été im- possible de trouver les ressources nécessaires et parce que des doutes ont surgi sur la valeur artistique et historique de cette opéralion, Au lieu de l'acquisition du baptistère romain de Zellwiller, l'on a se contenter d'une repro- duction photographique; le délabrement du bap- lisière étant tel qu'il exclul toute idée de transport. Le Comité était plus heureux à Mutzig, le conseil de fabrique a accepté la proposition de céder contre compensalion le vieux baptistère gothique, qui se trouve au jardin du presbytère. L'achat d'une pierre lombale avec inscription relative à Cunégonde de Berstett, provenant de l'ancienne église de Lampertheim n'a pu étre réalisé, vu le prix demandé par le propriétaire

99

überraschender wie begründeter Weise als Grün- dung und Begabung des Klosters Neuburg durch GrafReinhold von Lützelburg und Kaiser Friedrich Rothbart gedeutet hat, wurde eine Summe ausge- worfen. Mit der Aufsicht über Erhaltung der älteren Stücke, wie Grabstein der Fleckenstein, mittelalterlicher Turm, gelegentlich des Umbaues der Kirche von Sesenheim, wurde ein Vorstands- mitglied betraut. Die Vermulung, der Taufstein der alten Stiftskirche von Weissenburg diene in einem Privathause als Bassinbehälter, erwies sich nicht genügend begründet. Die Klassierung der Kapelle Saint-Pierre-sur-l'Ale bei Markirch und der gotischen Klosterkapelle bei Luppach, wurden durch die Gesellschaft angeregt. Die neuent- deckten Gemälde in der Kapelle von Scherweiler wurden durch den Präsidenten visitiert und die Herausgabe des Speculum Humanae Salvationis, nach einer Handschrift aus dem XIV. Jahrhundert, aus dem Schlettstadter Johannilerkloster, durch das Mitglied Pfarrer Lutz-lllzach unterstützt.

Diese summarischen Daten ermöglichen einen Einblick in die vielseitige, und ohne die gebotene Bescheidenheit zu verletzen, dürfen wir sagen, segensreiche Tätigkeit, welche die Gesellschaft im verflossenen Betriebsjahr in Stadt und Land zur Entdeckung und Erhaltung der geschicht- lichen Denkmäler entfaltet hat.

Das Museum der Gesellschaft hatte in seinen beiden Abteilungen, vorchristliche und christliche Zeit, neue Zugänge zu verzeichnen:

A. Abteilung der vorchristlichen Zeit.

Aus der neolithischen Zeit wurde von Dr. Sor- gius ein in Schiltigheim gefundenes Gefäss spiral- verzierter Keramik geschenkt, welches den orien- talischen Einfluss auf die älteste Kultur unserer Gegend bezeugt. In Bischheim und Hönheim wurden dekorierte Scherben von Gefässen des Ersteiner Typus gefunden.

Aus der Bronzezeit lieferte Schiltigheim in der Sammlung bisher noch nicht vertretene, z. T. de- korierte Gefässe. |

actuel. Une somme a été votée pour faire | lage d'une pierre en relief, se trouvant au du presbytère de Saint-Georges à Ha M. Lempfricd, directeur du collège de Hay ei membre de notre Comité, a démontré ı figures de cette pierre se rapportent à la tion du couvent de Neubourg par le comte} de Lutzelbourg et l'empereur Frédéric rousse. Un membre du Comité a été cha veiller à la conservation des pierres to des Fleckenstein et de l'ancienne tour p les travaux de reconstruction de l'égl Sesenheim. La supposition que le baptist l'église collégiale de Wissembourg sert : d’hui de bassin dans une maison privée d méme ville, n'a pu être suffisamment dém La Société a demandé le classement de | pelle Saint-Pierre-sur-l'Ate, près Sainte-Mar Mines, et de la chapelle gothique de ! couvent de Luppach. Le président a exam peintures découvertes dans la chapelle de weiler. La Société a aidé à la publicati Speculum humanae salvationis, faite par ses membres, M. le pasteur Lutz d’lilzach, ı un manuscrit du couvent de Saint-Jean à S stadt, manuscrit du scizième siècle, qui se à Munich.

Ces indications sommaires suffisent pour de l'activité que la Société déployée duran née passée dans la ville de Strasbourg c dans le reste du pays pour la conservati nos monuments historiques.

Le Musée de la Société a fait durant I passée les acquisitions suivantes:

A. Section antique.

Temps néolithiques. M. le docteur & a fait don d'un vase céramique, avec orne en spirale, trouvé à Schiltigheim. Cette orn tation témoigne de l'influence de l'Orne notre civilisation primitive. A Bischheim e heim, on a trouvé des débris de vases du d'Erstein.

Temps de bronze. Schiltighein a! des vascs décorés, dont le type n'était past représenté dans notre collection.

93

; der Halistaltzeit schenkte Dr. Bosteller- ath zwei schön dekorierte, wohlerhaltene, ene Armbänder aus Stephansfeld, die an- ıend aus Flachgräbern stammen. Gefässe ıllstatt- und La Tene-Zeit kommen aus einem r Ausbeutung begriffenen Gräberfeld bei h. * Früh-La Tene-Zeit gehören zwei verzierte änder mit offenen Knopfenden an, die bei analisation unmittelbar vor dem Weissturm- 70 m in alluvialem Rheinkies gefunden ın. Das Wirkungsfeld des Rbeines reichte, las Vorhandensein dieses Kieses erkennen in vorrömischer Zeit bis an die Königs- er Lüssstrasse. tsrichter Dr. Neidhardt aus Markolsheim ab dem Museum als Depot einen bei Hei- eim gefundenen verzierten Armreif. ch freundliche Vermittlung des Herrn Dr. r-Strassburg erwarb das Museum einen erzierten Halsring aus Herlisheim (Ober- ). Der Ring ist offen, mit beweglichem Ein- das Verschlussstück schmückten ehemals ei runden Scheiben eingeselzte Pasten. vorzüglich erhaltenes La Tène-Schwert, e Klinge in Scheide aus Bronzeblech, ıt aus der Kiesgrube Wack beim Schafhardt- | Grafensladen. Dasselbe war nach Aussage rbeiter 1 m(?) tief in der Oberfläche von kies eingebettet. Der Rhein fliesst jetzt 5 km ten der Fundstelle, reichte demnach in vor- cher Zeit bis hierher, während die Römer wassersichere Orte vorfanden, da die Hu- :hicht über dem Kies ein römisches Brand- rfeld enthält. römische Periode ist durch Funde ver- , welche meist aus Strassburg und Königs- durch städlische oder private Bautätigkeit zlicht wurden. * Freilegung und Erhaltung eines Teiles der chen Befestigungsmauer mit Turm an der estfront, gelegentlich des Neubaues der nbräugesellschaft, Gewerbslauben 47—49, 8 bereits oben gedacht. Vor der Aubette en die Kanalisationsarbeiten Reste von Sigillata-, Terra Nigra- und anderen Ge- ı. In einer Tiefe von 4—5 m fanden sich lfürmige Brandgruben, wie früher beim

Temps de Hallstatt. M. Bostetter, de Bru- math, a fait don à la Société de deux bracelets en bronze bien décorés et bien conservés, trouvés dans des tombes de Stephansfeld. Des vases ap- partenant aux périodes de Hallstatt et de La-Tène nous sont arrivés de Rufach d'un cimetière qu'on a découvert.

Temps de La Tène primitive. Deux brace- lets ornés de boutons ont été trouvés lors des travaux de canalisation devant la Porte-Blanche, dans une couche de gravier du Rhin, à une pro- fondeur de 2,70 m. Le Rhin, comme cette dé- couverte le prouve, allait donc à l'époque indi- quée jusqu'au terrain de glaise de Königshofen. M. Neidhardt, juge de paix à Markolsheim, a dé- posé au Musée un bracelet avec ornements trouvé à Heidolsheim. Par l'entremise de M. le docteur Bucher, à Strasbourg, notre musée a pu acqué- rir un bracelet richement orné de Herlisheim (Haute-Alsace). Un glaive très bien conservé, lame en fer, fourreau en bronze, provient de la carrière de gravier près de la ferme Schafhardt, à Grafenstaden. Les ouvriers l'ont trouvé dans une couche de sable du Rhin à une profondeur d'un (?) mètre. C'est la preuve que le Rhin, qui est aujourd'hui à une distance de 5 kilomètres, arri- vait jusque dans la période preromaine, pen- dant qu'à l'époque romaine il y avait déjà du terrain solide, puisqu'au-dessus du gravier l'on a trouvé des tombes romaines.

La période romaine est représentée par des objets trouvés en grande partie soit à Strasbourg soit à Königshofen, par suite des constructions publiques ou privées.

La découverte et la conservation d'une partie des fortifications romaines de la ville du côté sud-ouest: partie du mur avec les restes d'une tour, a été déja rapportée plus haut (Löwenbräu, rue des Arcades, 47-49). Les travaux de canali- sation ont fait trouver devant l'Aubelte de la Terra Sigillata, de la Terra Nigra et des restes de vases. Dans une profondeur de 4 à 5 mètres, l'on a mis à découvert des tombeaux en forme

94

Baue der nahen kleinen Metzig. Eine derselben enthielt, neben Scherben ältester Zeit, 4 Gewichte aus gebranntem Tone, in der Form von viersei- tigen, abgestumpfter Pyramiden. Aus demselben Kanalschacht rührt ein Bronzegriff in Form eines Löwenköpfchens. In der Blauwolkengasse fanden sich auf dem Bauplatze, Haus Nr. 16, frühe Sigillaten und Terra Nigra, in einer Tiefe von 7m ein grosses Holzfass von 1,90 m Höhe. Beim Umbau des Europäischen Hofes (Blauwolken- gasse 19) wurden, ausser Bruchstücken von fein- ster Terra Sigillata, erhoben: eine Gewichtsurne aus feinem grauen Tone, eine grosse Urne mit Kuochenresten aus einem früheren Brandgrabe. An Gegenständen aus Bronze ergaben sich eine frülıe Fibel, eine leider verstümmelte Merkur- statuetle, ein grosser hohler Knopf, verschiedene Münzen. Beim städtischen Neubau, Brandgasse Nr. 4, wurden entdeckt: ein teilweise erhaltener Sigillatabecher mit figärlicher Darstellung der Diana, ein Lämpchen aus Ton, mit einem sprin- genden Hirsch auf dem Deckel verziert, Münzen, Ziegel mit dem Stempel der VIII. Legion, sowie zwei römische Geschützkugeln aus rotem Sand- stein. Vom Schlossplatz, vor dem Lyzeum, stammt eine Anzahl frührömischer Funde: eine Münze des Augustus, Sigillata mit dem Stempel des Alecius, ein kleines Bronzekesselchen, Mauer- reste aus Basalt. Der Neubau der Thomas- schule, auf dem Terrain der Alten Münze, brachte u. a. drei römische Fibeln, ein Lämpchen, eine prächtige, dekorierte Flasche aus Terra Nigra, und damit zugleich einen neuen Beweis für das Alter römischer Ansiedelungen ausserhalb des Kastrums. -— Aus Strassburg, angeblich vom Terrain des Bürgerspitals, kommt ein wertvoller, grösserer, robenumkränzter Dionysoskopf, welcher von Dr. Forrer erworben und in hochherziger Weise der Gesellschaft als Jubiläumsyabe ge- schenkt wurde, wofür auch an dieser Stelle dem Schenkgeber der gebührende Dank ausgesprochen Bei.

In Aönigshofen wurden bei den Kanalisations- arbeiten entdeckt: eine frührömische Tongrube mit interessanten Gefässen, Gewandnadeln, eine Münze des Tiberius, ein besonders beachtens- wertes eisernes Gilterfenster von grösserem Uimn- fang u. a. ın.

de four, comme précédemment sur l'empla des Petites-Boucheries. L'une de ces fusse tenait des morceaux de brique très a quatre poids de mesure en forme de pyı carrées. Du même endroit provient une L bronze, ayant la forme d'une petite tête « Dans la rue de la Nuée-Bleue, sur le de la maison 16, on a trouvé des m de Terra Sigillata et de Terra Nigra; à profondeur de 7 mètres, l'on a mis à, grand tonneau en bois d'une hauteur de Lors des travaux de transformation a Il l'Europe (rue de la Nuée-Bleue, 19) lon: avec des morceaux de Terra Siyillata vs de balance pour poids, une seconde u tenant des restes d’ossemenis. Aux te bronze appartenaient une fibule, une p tuette de Mercure, malheureusement mu grand bouton, différentes monnaies. la construction du bâtiment municij Brûlée, 4, ont été découverts: un go Terra Sigillata avec représentalion de | Diane, une petite lampe en argile dont vercle était orné d'un cerf saillant, des m des briques avec le sceau de la huitième deux boulets de grès rouge. Sur la | Château, devant le lycée, se trouvaient u naie de l'empereur Auguste, de la Terra. avec le sceau d'Alecius, un petit vase en des restes de mur en basalte. La con de l’école Saint-Thomas nous amenait ent trois fibules romaines, une petite lan bouteille en Terra Nigra très bien or objets fournissent en même temps une

preuve en faveur de l'âge des établi romains en dehors du Castrum. M. le Forrer a fait don à la Société, à l'occ jubilé, d'une grande et précieuse téte du [ orné de branches de vignes; elle doit a trouvée sur le terrain de l'Hôpital civil. L lui en exprime tous ses remerciements.

A Königshofen, l'on a trouvé par : travaux de canalisation une carrière di la première période romaine, conte! vases, des agrafes, une monnaie de le! Tibère, une pièce remarquable d'une fen forme de treillis.

95

r Ausbeute des Brandgräberfeldes beim fhbardthofe bei Grafenstaden gehören: eine erte Schüssel aus Terra Sigillata, eine Bronze- von eigenarliger Form, die sie zum Unikum t. Sie ist mit gelb-weiss-rotem Email ver- eine mit Silber eingelegte Bügelfibel, dünne inge, ein Kettchen aus Bronze und verschic- Münzen, 3 der merovingischen Zeit stammen aus burg: in der kleinen Renngasse freigelegte 'r, ebenso auf dem Aurelienplatze und in Aureliengasse, sowie in Königshofen, die lschnallen, Bronzebeschläge, Perlen aus Ton, Bernstein, altertümliche Urnen zu förderten. Als Geschenk des Herrn Dr. in Iltenheim ging ein verziertes Gefäss aus ı Merovingergrabe bei Fürdenheim ein. In rn bei Baldenheim wurden Gürtelzungen, ‘ebeschläge, die Herr Dr. Neidhardt dem ım als Depot hinterliess, gefunden. ; Fülle der in der letzten Zeit angehäuften > des Museums ist eine derartige, dass ihre nalische Ordnung noclı geraume Zeit erfor- wird, bis sie dem wissenschaftlichen Stu- zugänglich gemacht werden kann.

B. Abteilung der christlichen Zeit.

':h die Abteilung unseres Museums für die liche Zeit verdankt den Abbruchsarbeiten, wuten, und der zu Ende gehenden Kanalisa- verschiedene Zugänge. Die Münchener ıbräu-Gesellschaft überliess von dem Ab- e der Häuser, Gewerbslauben 47—49, ver- lene interessante Architektur- und Einrich- itücke, darunter ein grosses Renaissance- rund einen Kamin Louis XV. mit Spiegel- . An verschiedenen Stellen wurden Kacheln den, die interessantesten beim Schleifen des 3 zwischen Spitaltor und Elisabethengasse. Neubau des Volksbades am Nikolausring ı an 60 Pfeifenköpfe aus weissem Tone zu Ein gravierter Dolch mit Holzgriff fand sich r Kanalisation.

ıerkenswert ist ein Fund aus Melsheim, der ınzahl Krüge, teilweise glasiert, aus dem XVil. Jahrh. unserer Sammlung brachte. abungen in Mundolsheim wurde ein früh- ılterlicher Steinsarg mit Deckel gefunden

A Grafenstaden, à la ferme Schafhardt, l'on a trouvé dans le cimetière déjà mentionné une écuelle de Terra Sigillata, une fibule en bronze, unique jusqu'ici, puisqu'elle est ornée en émail d'une couleur jaune, blanche et rouge, une fibule incruslée d'argent, des bracelets, une chainelte en bronze.

L'époque mérovingienne est représentée à Strasbourg par des tombeaux mis à déçouvert daus la pelite rue de la Course, dans la rue el sur la place Sainte-Aurélie. A Königshofen, éga- lement des tombes, des agrafes de ceinture, des garnitures de bronze, des perles en verre, en argile, de l'ambre jaune. M. le docteur Wick, à Iltenheim, a fait don d'un vase décoré provenant d'une tombe mérovingienne à Furdenheim. A Baldeuheim, l'on a mis à jour des parties de cein- ture, des garnitures de bronze, déposées dans notre musée par le docteur Neidhardt.

La foule des objets accumulés dans notre musée est tellement grande, que leur classement méthodique demandera un certain laps de temps, avant qu'on puisse les rendre accessibles aux études scientifiques.

B. Section chrétienne.

Celte partie de notre musée s'est également enrichie de différentes pièces par suite des travaux de démolition, de reconstruction, de canalisation. La brasserie Löwenbräu a fait remettre différentes pièces intéressantes provenant de la démolition des maisons rue des Arcades, 47-49, parmi les- quelles nous citons une grande fenêtre style Renaissance et une cheminée Louis XV. Des car- reaux de poêle intéressants proviennent de la démolition du rempart entre la porte de l'Hôpital et la rue Sainte-Elisabeth. La construction du aVolksbad» au boulevard Saint-Nicolas a mis à jouf 60 têtes de pipes d'un argile blanc. La cana- lisation a fait trouver un poignard incrusté avec une manche en bois.

À Melsheim, l'on a découvert une série de cruches vernies du seizième et dix-septième siècle. Des fouilles faites à Mundolsheim ont amené à notre musée un sarcophage en pierre avec couvercle. Notre collection de carreaux de dallage

96

und erworben. Die Sammlung von Fliesen hat durch den Erwerb eines in situ erhaltenen Fuss- bodens in der Stephansgasse gewonnen. In Andlau wurde ein Fayenceofen (in weiss u. blau) des XVIII Jahrh. mit eisernem Untersalze er- worben, dessen Platten seltene Darstellungen, die in ihrer Form in das XVI. Jahrh. zurückgehen, zeigen. Ergänzend trat hinzu eine eiserne Ofen- platte (mit dem Kreuze der Ehrenlegion ?) aus dem alten Schloss von Strassburg. Sehr wertvoll ist eine Pietä, eine bemalte gotische Holzgruppe, die angeblich aus Ammerschweiher, aus der in den 30. Jahren zerstörten St. Barbarakapelle stammt. Sie ergänzt in glücklicher Weise den Bestand unserer Skulpturen. Soweit es mit den bescheidenen zur Verfügung stehenden Milteln möglich ist, wnrden die sich bietenden Gelegen- heiten benutzt, um die andern Bestände zu cr- gänzen. Kleinere buntbemalte Gläser (XVIII. Jhrh.), einige Bauernellen, ein Madonnafigürchen in Ton (XVII. Jahrh.) und ein Diamantkästchen von 1570 wurden gekauft. Aus der Sammlung Rilleng wurden ein Zinnschälchen von 1536, sclıwarz glasierte Ofenkacheln (XVII Jhrh.) und eine Strassburger Puppenstatue (XVIII. Jhrh.) als kul- turgeschichtliches Illustrationsstück erworben. Zwei Mitglieder unseres Vorstandes, die Herren Prof. Dr. Ficker und Dr. Forrer haben dafür Sorge getragen, dass das archäologisch wertvollste Stück der Sammlung Ritleng, der zinnerne Palmesel aus dem Kloster Unterlinden, im Lande geblieben ist. Sie haben das von ihnen erworbene Kunst- werk der Stadt überlassen und diese hat es unserer Sammlung zur Aufbewahrung übergeben.

Die Bibliothek der Gesellschaft zählt rund 2500 Bände. Diese Bücherbestände setzen sich vorzugsweise aus Serien von Veröffentlichungen wissenschaftlicher Vereine und gelehrter Gesell- schaften zusammen. Einzelschriften sind vorzüg- lich in der elsass-lothringischen Sektion vertreten. Ältere Serien von Zeitschriften sind im Laufe des Jahres gebunden worden mit der Absicht, allmäh- lich die sämtlichen Bestände binden zu lassen.

Im Schriftenaustausch steht unsere Gesell- schaft zur Zeit mit 75 wissenschaftlichen Vereinen, Akademien, gelehrten Gesellschaften. Davon ent- fallen auf Elsass-Lothringen und Deutschland 28, Frankreich 30, Schweiz 9, Belgien 3, Österreich 2,

a été enrichie par l'acquisition d'un planck carreaux de la rue Saint-Etienne. Un po& fayence a été acquis à Andlau. Il date du huitième siècle, les couleurs sont blanches, b jaunes, le socle est en fer, les figures de reaux rappellent les formes du seizième : Un carreau de poêle en fer, orné dune; vient du château des Rohans à Strasbou Une Pièta gothique d'un grand prix doit pre de la chapelle de Sainte-Barbe à Ammersd détruite dans l’année 1830. Elle complète façon heureuse notre collection de scuig Autant que les ressources modestes le pe taient, les différentes occasions qui se préses ont été saisies pour rendre plus complèt autres parties du musée. L'on a acheté des! de différentes couleurs du dix-huitième ı quelques mesures de longueur (aunes) de une figurine de la Madone, une casselle de Par la vente de la collection Ritleng sont ı dans notre musée une petite coupe en ét 1536, des carreaux noirs vernis d'un pot dix-septième siècle, un modèle de poupée gine strasbourgeoise du dix-huilieme | MM. Fischer et Forrer, membres de notre C ont fait les démarches nécessaires pour ( pièce la plus précieuse de la collection Ri le sPalmesels en étain, provenant du ct d'Unterlinden, ait pu étre conservé dans pays. La ville de Strasbourg a fait depe «Palmesel» dans notre musée.

La bibliothèque de la Société compte ap mativement 2 500 volumes. Elle se compo cipalement des séries des périodiques des tés savantes avec lesquelles notre Société éc les publications. Les autres ouvrages se portent spécialement à l’Alsace-Lorraine. I l'année écoulée, l'on a fait relier une part revues, le reste sera relié au fur et à mesu les ressources le permettront.

Notre Société échange ses publications 75 sociétés savantes ou académies, dont trouvent en Alsace-Lorraine et en Allen 30 en France, 9 en Suisse, 3 en Belgique. Autriche, 2 en Suède, ] en Russie. Pendant

toire et d'archéologie in Chambéry, die Pl grayloise in Gray, die Notes d'art et d’ar- ogie, von Girodic in Paris. Verôffentlichungen unserer Gesellschaft ausser dem Jubiläumsalbum erschienen, als | chlagewerk : Das Répertoire des matières écologiques traitées dans le Bulletin de la ‘td pour la conservation des monuments ques d'Alsace, von dem verstorbenen Mit- | Aime Reinhard. Zum Versande bereit liegt Lieferung des XXI. Bandes der Mitteilungen, en ebenso interessanten wie wichtigen Stu- von Prof. Dr. Henning über den Helm von enheim, Neue Inschriften aus Strassburg, Prof. Domaszewski und den Urkunden zur vichte der Reichslandvogtei im Elsass, von Dr. Becker, womit die Belege über dessen suchungen über die Reichslandvogtei der tlickeit zugänglich, seine Arbeiten auf diesem ete zum Abschlusse gebracht werden. ir Rückblick auf die rege Tätigkeit, welche re Gesellschaft im letzten Jahre ihres halb- lertjährigen Bestandes aufzuweisen hat, mag ‘in Betracht kommenden Faktoren ein Be- dafür sein, dass sie auch im neuen Halbjahr- lert, in das sie hineintritt, weit davon sich h die Last der Jahre beschwert zu fühlen, mit idlicher Kraft und ungebeugtem Mute sich ‚ösung ihrer Aufgabe: Erhaltung, Sammlung, erlung der monumentalen Schätze unseres ses widmen wird. Möge sie zur Durchführung edlen Aufgabe sich der weiteren Unter- ıng und Sympathie aller jener Kreise er- n, die ihr in den ersten fünf Dezennien so lich zuteil geworden sind. Das walte Gott ihre unseres Landes, zum Nutzen unseres >, zur Förderung von Kunst und Wissen- t, zur Freude und zum Stolze aller Gönner Mitglieder unserer Gesellschaft !

ne

Chambéry, la Société grayloise à Gray, avec la revue: Notes d'art et d'archéologie, à Paris.

En dehors de l'album du Jubilé, la Jonas æ fait paraître les publications suivantes: Le toire des matières archéologiques, traitées le Bulletin de notre Société (jusqu'au vol. 19 de la série II), ouvrage posthume de nolre membre Aimé Reinhard. La deuxième livraison du vo- lume 19 de notre Bulletin est prête pour l'expé- dition. Elle contient une étude intéressante sur le casque mérovingien de Baldenheim par le professeur Ilenning, une étude sur les inscriptions de notre musée par le prof. Domaszewski, les documents de l'histoire de la «Reichslandvogtei» en Alsace par le prof. Becker.

Cet exposé de l'activité de notre Société pen- dant la derniére année de son existence demi- séculaire peut fournir à tous ceux qui s'inlé- ressent à la Société la preuve qu'à l'avenir comme par le passé, loin de se sentir fatiguée par le

nombre des années, elle se dévouera avec une

ardeur juvénile et un courage inlassable à la conservation, collection et exploration des nom- breux monuments historiques de notre Alsace. Puisse la Sociélé trouver pour la réalisation de ce but l'appui et les sympathies de tous ceux qui l'ont soutenue largement durant les dix premiers lustres passés. Plaise à Dieu que ce vœu se réalise pour l'honneur de notre pays, le bien de notre peuple, le progrès des arts et des sciences, la joie et la gloire des protecteurs et dés membres de la Société!

| E

| 98

Vortrag von Prof. Dr. Ficker.

Fur die Feier ihres 50jährigen Bestehens hat im Sommer 1905 die Gesellschaft für Erhaltung der geschichtlichen Denkmäler im Elsass die Herstellung einer Festgabe beschlossen, in der die denkwürdigsten und schönsten Denkmäler der Elsässischen Altertumssammlung vereinigt werden sollten. Der zweite Teil dieses Werkes, welcher die Denkmäler der christlichen Zeit um- fasst, ist fertiggestellt worden, und ich habe den Auftrag, ihn heute der festlichen Versammlung vorzulegen.

Die Festgabe ist im Laufe der Arbeit in grös- seren Rahmen gestellt worden, als ursprünglich beabsichtigt war. Immerhin ist, was hier ver- einigt ist, nur eine Auswahl, und die Absicht, die dabei geleitet hat, ist nicht, hier eine geschlos- sene wissenschaftliche Verarbeitung, sondern eine Darbietung vou bemerkenswerten Denkmälern für die in der Gegenwart in lebendigem Flusse befindliche Arbeit an den Denkmälern zu geben, zugleich aber damit auch einen Beitrag zur Gc- schichte der archäologischen Arbeit, die im Kreise der Gesellschaft für Erhaltung der geschichlichen Denkmäler im Elsass getan worden ist. Mehr als ein Menschenalter liegt zwischen dem Hervor- holen der wenigen Trümmer von Denkmälern aus dem Brandschutte der alten Dominikaner- kirche, die einst die Strassburger Sammlungen barg, und dem Ende der Kanalisation in Strass- burg, welche mit ihrer archäologischen Ausbeute für die Kenntnis der Vergangenheit und für die Bereicherung unserer Sammlung überaus wichtig gewesen ist.

Die Altertumssammiung der Hauptstadt eines kulturalten und denkmälerreichen Landes soll möglichst vollständig das Bild der gesamten geschichtlichen Entwicklung wiedergeben. Unsere Sammlung ist freilich weit entfernt davon, trotz- dem sich in ihr staatliche Bestände, ein Teil der städlischen und verschiedene private Depositen

mit dem Eigentum der Gesellschaft vereinen.

Darum zeigt auch unsere Festgabe nicht nur was wir haben, sondern auch was wir nicht haben.

Wieviel haben wir verloren! Und unter welch ungünstigen Umständen hat die Sammlung bei- nahe immer bestanden und besteht sie noch!

Wieviel könnten wir bei g nissen besitzen! Kostbare D: durch den Brand der alten stört worden. Das Wenige, wa gerettet werden konnte, bild: Grundstock unserer Sammluı ist Manches verloren gegangı der Sammlung abgegeben \ grossen Gemälde, die einst ausmachten, zieren jetzt die sammlung, und die Gesellsc zusammen, über die der Staa dorthin auch die ihr gehöre überlassen, weil sie dort gan kommen. Dieschönen mittelal sind bei dem letzten Umzuge der Akademie) unter die Ver' hauses gekommen, weil sich I im Alten Schlosse faud. Ver was einst unser Museum w gänglich machte, ist wieder i heit dörflicher Existenz zuı wird man nur beklagen kOar das bloss lokal Wichtige an : soll, das allgemein Wertvol fester Teil eines alten grösser an dem Mittelpunkte des Lan des Ganzen gestellt, sollte & ddenden, erzieherischen Aufgal dienstbar gemacht werden. D: Rheinebene fliessen die Flo: lange parallel neben einande lich zu einem grossen Strome fast dreissig Jalıre her, dass de und verständnisvolle Bearbeilt Altertümer hochverdiente fri Domherr Straub, für die Ver schiedenen Sammlungen in St Ganzen das Öffentliche Interes Unsere Sammlung würde ganz anders darstellen, wen mittelalterliche und neuere A rünstige und gesicherte Räum« Die Absicht, eine Anzahl von S vereinigen, wie cs z. B. für ı von alten Taufsteinen zeplan schützt im Lande verstreut s Platzmangel, gerade so wie d

Bey:

elalterlichen Grabdenkmäler, Wie viel wäre srer Sammlung zugewendet, wenigstens zur tellung überwiesen worden hier in unserem de, das, trotzdem schon unendlich viel nach värls gegangen ist, immer noch über einen sen Reichtum wertvollster kulturgeschiclıt- er Beslände verfügt, wenn wirklich würdige die Aufstellung lohnende Räume vorhanden en! Wie weil steht unser Land hinter andern dern, wie weit Strassburg zurück hinter an- 3n, nicht nur grösseren, sondern auch viel neren Städten mit ihren schönen, das Ganze sinigenden Sammlungen! o kann unsere Festgabe nur ganz Unvolletän- :5 bieten. Gewisse Bestände z. B. Porzellan ‚Glas waren durch Deposita so ergänzt worden, ; auch hier etwas Geschlossenes hätte vorge- werden können. Das, was das Museum halte, ügle nicht im entfernlesten, es ist darum 'gelassen worden. Um so mehr sind wertvolle rlassungen auch ausser denen von Staat Stadt an die Sammlung mit Dank zu be- ssen und um so willkommener ist der reiche ag gewesen, welcher die Aufgrabungen bei srenheit von Neubauten und besonders der alisation der alten Stadt Strassburg ergeben en. Essei auch hier mit Dank festgestellt, dass der Stadtverwaltung der Gesellschaft die nd- : Unterstützung, auch durch die Gewährung : Geldmitteln zur Verfügung gestellt worden diese Grabungen archäologisch zu verwerten, auch vom Land und den Bezirken die Arbeiten Gesellschaft gefördert und freilich nur in cheidenem Umfange die Erwerbung von kmälern ermöglicht und damit deren Ver- ben im Lande gesichert worden ist, Venn unsere Festgabe von dem Gefundenen einen kleinen Bruchteil vorführen kann, so a sie damit doch zugleich zeigen, wie durch zfälliges Sammeln der Brocken doch wenig- ıs auf einzelnen Gebielen ein Ganzes gewonnen ‘den kann, das durch Reichtum und Mannig- igkeit überrascht, und dass hier gerade in der telalterlichen Kleinkunst Stücke geborgen 1, die wohl ihres Gleichen suchen. las Zweile soll die Denkmäler der christlichen | darbielen, dabei ist freilich abzuziehen, dass Denkmäler des frühen Mittelalters, soweit sie

nicht ausgesprochen und deutlich christliche Embleme tragen, hier ausgeschlossen sind. Für die geschichtliche Betrasbtung beginnt natürlich das Mittelalter mit dem entscheidenden Eintreten der neuen Völkerelemente in die geschichtliche Bewegung und das Elsass ist schon vor Karl d. Gr, ein christliches Land gewesen. Aber nach der überkommenen Einteilung unserer Sa gehören die fränkischen, me sischen un karolingischen Funde noch in die ı Abteilung

die vorchristlichen Denkmäler, Immerhio konnle bei der Abteilung «Christliche Zeit» das ausge- sprochene Christliche nicht völlig ausgeschlossen, es musste wenigstens auf die Anfänge bingezeigt werden und um so mehr als diese christlichen Anfänge hier in besonderer Weise merkwürdig und lehrreich sind. Den Anfang macht das kost- bare Glasgefäss aus konstantinischem Zeitalter. Es steht jetzt fest, dass es vom Niederrhein, aus Köln stammt. Vor 1870 hatte die Sammlung noch jenes Bronzegefäss mit christlicher Inschrift, das aus dem Süden gekommen ist. Jetzt haben die Funde aus der altchristlichen Zeit die Fibel mit dem Bilde des Königs Salomon gebracht, die alexandrinischer Import ist. Die altchristlichen Ziegelstempel mögen in elwas entschädigen für den Verlust des Stempels mit dem Namen des Bischofs Arbogast. Die monumentale Kunst des Mittelalters beginnt mit dem Firstauge aus Berg- holzzell und mit den Überresten aus der Kirche zu Mutzig, es folgen die Kämpfersteine von Eschau, Grund- und Schlusssteine, Firstfiguren, Haus- und Torschmuck. Für die Plastik ist es mir eine be- sondere Freude, zum ersten Male wieder einem weiteren Kreise die Köpfe vorlegen zu können, die in der französischen Revolution am Münster herabgeschlagen, später in derDominikanerkirche geborgen und aus deren Trümmern wieder ge- rettet worden sind, wie die grossen romanischen Taufsteine und wohl auch ein Teil der Grabmäler, die fast ein Jahrlausend umspannen. Die Glasge- mälde sind der beste Schmuck unseres Museums : das grosse, für welches das Freiburger Münster ein ganz ähnliches aufweist, die Ornament- und Pigurenfenster aus dem XIV. und XV. Jahrhundert und die Kabinetscheibe mit dem hl. Martin aus dem XVI. Für die Hausbemalung geben die Fresken aus der Kurie zum «Römer» eine gnle

100

Probe, und inhaltlich ist das Bild mit dem Kreuze als Lebensbaum ausserordentlich interessant.

Die Abteilung «Kleinkunst, Kunstgewerbe» be- ginnt mit Schmuckstücken, die fast alle aus den Grabungen der letzten Jahre stammen. Auch den zinnern Palmesel (aus der Sammlung Ritleng) hat die Stadt der Sammlung zur Aufstellung über- wiesen, das XVI. Jh. ist durch die Fiötnerschen Plakette, das XVII. Jh. durch die Medaillen des 30jährigen Krieges vertreten, die Waffen, dio Metallgefässe, Beschläge, Gitter, Schlüssel, Löffel, Gewichte verteilen sich auf einen grossen Zeit- raum: namentlich der romanische Türklopfer aus Andlau und das farbige Gitter der Werner aus Vendenlieim sind des Hervorhebens wert. Die Möbel sind durch einige gute Stücke vertreten: die Truhe des XV. und des XVII. Jh., der Schrank von 1638 ist der elsässische Normalschrank, während der Prachtschrank von ca. 1700 von auswärts stammt. Auch die Diamantköfferchen (unterschiedliche) fehlen nicht. Von der Schnitzerei sind nur sehr geringe Proben da. Eine besondere Abteilung bildet die Keramik. Ihr gehören weit- aus die meisten Funde an. Hier lässt sich daher am besten ein vollständiges Bild der Entwicklung gewinnen und hier, in dieser seit uralter Zeit gerade in der Rheinebene geübten Kunst, ist die Kontinuität bis in die römische Zeit, ja darüber hinaus, offenkundig. Die Entwicklung des Ge- schirrs, eine Reihe von Spiel-, Devotions-, Kupfer- figuren verschiedener Zeiten, zum Teil wirkliche, gotische Tanagrafiguren, Tonreliefs, unter denen auch die Züricher Hirscbreifahrt nicht fehlt, Flie- sen, darunter ein Stück eines vollständig gefun- denen Fussbodens und namentlich Kacheln bringen die Tafeln: die Entwicklung der Kachel- form, die Kachelsimse, die kacheln mit architek- tonischen Formen, welche den Wiederhall der kirchlichen Architektur im Hause darstellen, und dem in den figürlichen Kacheln vom XV.— XVII. Jh., von Bruchstücken bis zum völligen Fayenceofen lassen schon die Probe erkennen vom Reichtum an Motiven, dem phantastischen und heraldischen, dem novellistischen, geschicht- lichen und legendarischen, heiligen und pro- fanen.

Mit einer Tafel «Kulturgeschichtliche Merk- würdigkeiten» der Puppenstube, die in das

Strassburger Wohnen und Lel hineinsehn lässı, und den : Kräuselhörnern schliesst unser

Wie bruchstäck weise sie au sind, so vertreten die Denkm grossen geschichtlichen Period gehabt hat bis zum Zusamme Verhältnisse in der französisch

die ersten christlichen Anfä mäler sogleich die geschicht| Elsass deutlich kennzeichnen : von Ost und West kommen d Einwirkungen ;

die Anfänge des kirchliche Übergang der römischen Form Kultur an die Kirche; die Spu mönche im Lande;

die grossen Inkunabeln di: Kunst, gerade aus ihrer Blüte z staufen;

die mittelalterliche Kunst au Fragmente vom Münster. Die auch die Geilers redet zu uns.

Dann das XVI. Jahrhundert von Persönlichkeiten, mit sein: lerischen Schaffen :

Schongauers Nachwirkunge: dungs und Stimmers lassen sic

die Zeit des grossen furcht Übergang an Frankreich und hundert mit seiner geschickte

Den Tafeln unseres Werkes schöne Totenbildnis aus der ! Schlettstadt, das mit jener Maje: mit der nur der Tod schmückt. nis, das eine ergreifende Verl Requiescit in pace und des Viv Symbol unserer Denkmäler seir sic uns sein können. Wohl ist ı längst Entschlafenen. Aber wel es und welche Erhebung gibt esin ehrfürchtiger Betrachtung ı zu erwecken vermögen! So ve Denkmäler, die stummen, zu die Steine reden heissen. Sie s serer Geschichte und eines vc Gütern der Menschheit. So ge: der sie zu Eigennulz und Ruhm

101

ırktschreierischer Reklame missbraucht, der enten Verachtung preisgeben, so gewiss en diese Zeugen und Teile lebendigen Ge- ıens den, der lebendiges Werden verstehen sich von der Geschichte höher führen lassen reich und sicher im Strome des Geschehens. las Geschlecht wächst zukunftskräftig heran, eine Wurzeln lief in den heimischen Boden

senkt, das lief mit seiner Geschichte verwachsen ist. Ich wüsste keine Gegend unseres Vaterlandes, die so reich an Denkmälern wäre, wie das Elsass. Möchten die Denkmäler immer lauter zu dem Geschlechle unserer Tage reden und möchte an ihnen sich immer fester heranbilden treuer, sicherer, zukunftsstarker geschichtlicher Sinn!

102

Rechnung für 1903/04.

EINNAHMEN.

A. Ordentliche Einnahmen.

A KaPiTEL 1. Beiträge der Mitglieder, 455 à 8.4 . . . . ... 3,640 > Il. Conto-Corrent-Zinsen . ............... 952 35

» II. Zuschüsse: a) von dem Kais. Ministerium... 3,000 bD) » der Stadt Strassburg. ... 3,900 c) » dem Bezirk Unter-Elsass . 800 » » Ober-Elsas.. 400 7,700

Summe der ordentlichen Einnahmen . . - 11,592 33

B. Ausserordentliche Einnahmen.

1. Rechnungsüberschuss von 1902/03. . . .. 6,790 38 9. Verkauf des Horus... ........... 1,000 3. Ausserordentlicher Zuschuss vom Kais. Mini- sterium.................... b,000 4. Unvorhergesehene Einnahmen. . . ..... 121 35

Summe der ausserordentlichen Einnahmen . . . 12,911 63

Summe aller Einnahmen . . . 24,503 6

103

Compte rendu des Recettes et des Dépenses | de l'exercice 1903/04.

RECETTES.

A. Recettes ordinaires.

CnariTRE L Cotisations des membres de la Société, 455 à 8.# 3640

> Il. Intérêts des fonds déposés à la banque . . . ... 952 33 » II Subventions: 4 a) du Ministère impérial . . .... 3,000 b) de la ville de Strasbourg. . .. 3500 c) de la Basse-Alsace . . . . . . .. 800 d) de la Ifaute-Alsace. . . . . ... 400 7,700 Total des recettes ordinaires . . ... 11,992 33

B. Recettes extraordinaires.

M Reliquat de l'exercice 1902/05 . . ... .. 6,790 98 90 Vente du Horlus ............... 1,000 —- 30 Subvention extraordinaire du Ministère . . 5000 4 Recettes non prévues ............ 121 35 Total des recettes extraordinaires. . . . . - 12911 63

Total de toutes les recettes . . . . . 24,503 96

104

AUSGABEN.

A. Fortdauernde Ausgaben.

KariTEL I. Verwallungskosten. A 1. Beaufsichtigung des Museums. . . ..... 466 25 u) Besoldung des Assistenten. . ........ 1,050 3. Hilfeleistungen bei den Bureau-, Kassen- u. Bibliotheksgeschäften............. 372 4. Portokosten und Bureaubedürfnisse .... 277 33 9. Unterhaltung des Museumslokals und des Mobiliars sowie Feuerversicherung. . .. 870 58 6. Für die Bibliothek . ............. 677 39 Summe Kapitel I... . . ..

KariTEL IL Ausgrabungen, Unterhallung von Denkmälern und Erwerbungen für das Museum.

4313 35

1. Ausgrabungen ................. 1,101 59

2. Unterhaltungsarbeiten an Denkmälern . .. 1,149 10

3. Erwerbungen für das Museum . ...... 317 50 Summe Kapitel I. ...... 2,908 19 KAPiTEL Ill. Veröffentlichungen der Gesellschaft ........ 9,995 39 Summe der fortdauernden Ausgaben . . . 9,107 13

B. Ausserordentliche Ausgaben.

1. Druckkosten für Mitteilungen und Hortus. 5,000

2. Herstellung von Grundkarten . . ...... 619 80 Summe der ausserordentlichen Ausgaben . . . . . 9,619 80

Summe aller Ausgaben . . ....

14,726 93

Die Einnahmen betragen . . . . . .. 24,503 96

Verbleibt Ueberschuss der Einnahmen . . . ..

9,711 03

105 --

DÉPENSES.

À. Dépenses ordinaires.

CHAPITRE I. Frais d'administration. A M Pour les gardiens du Musée . ....... 466 25 Traitement de l'assistant. . . . ....... 1,650

Allocations pour divers services du bureau, de la caisse et de la bibliothèque. . .. 972

4 Frais de bureau, d’affranchissement ct de

port. .....................: 277 33 Assurance contre l'incendie et entretien du local du Musée et du mobilier . . . . . . . 87058 Pour la bibliothèque . ............ 677 39 Total du chapitre I....... 4,313 99

CHAPITRE Il. Fouilles, enirelien de monuments ct acquisilions pour le Musée.

40 fouilles. .................... 1,101 59 2 Travaux d'entretien à divers monuments. 1,149 10 Acquisilions pour le Musée ......... 317 50 Total du chapitre I ...... 2,568 19 CHAPITRE Il. Publications de la Sociélé . . .... | so. 2,225 39 Total des dépenses ordinaires . . . . .. 9,107 15 B. Dépenses extraordinaires. Pour le Bulletin et le Horlus . . ..... 5,000 9% Grundkarten .................. 619 80 Total des dépenses extraordinaires . . . . .. 2,619 80 Total de toutes les dépenses . . . . .. 14,726 93 Les recettes se sont élevées à. ............ 94,503 96 D'où résulte un excédent de recettes de. ...... 9,777 03

B. XXII. (8 -B.) 8

4106

Rechnung für 1904/05.

EINNAHMEN.

A. Ordentliche Einnahmen.

k KariTEL I. Beiträge der Mitglieder, 430 à 8 .#. . . . . .. AH) » HN. Conto-Corrent-Zinsen ................ 307 58 » All. Zuschüsse : Æ

a) von dem Kais. Ministerium . . . 3,000

b) » der Stadt Strassburg. . .. 3,500

c) » dem Bezirk Unter-Elsass. . 800 d) » » » Ober-Elsass .. 40 7,700

Summe der ordentlichen Einnahmen . . . 11,907 58

B: Ausserordentliche Einnahmen.

Rechnungsüberschuss aus 4903/04 ..........

Summe aller Einnahmen . ..... 21,984 vl

107

Compte rendu des Recettes et des Dépenses de l'exercice 1904/06.

RECETTES.

À. Recettes ordinaires. M

CHAPITRE |. Cotisations des membres de la Société, 430 à 8.# 3,440

» I. Intérêts des fonds déposés à la banque. . . .. 367 58 » Il. Subventions: 7 a) du Ministère impérial . . . ... 3,000 b) de la ville de Strasbourg. . .. 3,500 c) » Basse-Alsace . . . . . . .. 800 d) » Haulc Alsace. . . . . . .. 400 7,700 Total des reccttes ordinaires . . . . . .. 11,507 58

B. Recettes extraordinaires.

Reliquat de l'exercice 1903/04. ............ 9,777 03 Total de toutes les recettes . . . ... 21,284 61

10x

ACSGABENX. A. Fortdauernde Aasgaben

Aapires L Verte diunydosden. A 1. Beaufsichtigung des Museums ........ 41 51 2 Beswldunz des Assistenten . - . - . ..... 1.0 Ihife!eistungen Lei deu burcau-, Kassen- u Bibliöthekszeschäften. ...... -.. .. 312 Porti, Frachten um} bureaubedürfnssse . . . 3317 Unterbsltung des Muscun:slukals und des Mohllärs s.wie Feuerversichening. ... 301% 6. Für die Bilhothék - ............. 26 -n)

Ce

Aaritez IL Ausmotenyen, Urterhallungsarbeien an Ivxl- wiilern und Erwe langen fur das Muszum.

2 Unterbalung an Denknslern. ........ st 21 a Enr ces für as Nuse:m ...-....

Sun: K:; de: I...

Rarirsz DI. Ver Ansehen ver Gedleihn: . . . .... .

Sezme der Sortdauerndes Aosrai-s . ..

B. Assserördentliche Auszaben

Zr H-ısi...uug Is Nersss ne oo .0.0.0.20220200..

.. . nsc »

109

DÉPENSES.

A. Dépenses ordinaires.

CuariTRE L Frais d’udministralion. À 4 Pour les gardiens du Musée . ........ 441 50 Traitement de l'assistant . .......... 1,900 3 Allocations pour divers services du burcau, de la caisse et de la bibliothèque . . . . . 372 Frais de bureau, d’affranchissement ct de port.........,............. 419 17 Assurance contre l'incendie et entretien du local, du musée et du mobilier. .. ... 970 17 Go Pour la bibliothèque . . ........... 976 50 Total du chapitre PF. ...... 3,7139 14

Cuarırne IT Fouilles, eutrelien de monuments el ucquisilions pour le Musée.

Fouilles. .................... 1,148 05

29° Travaux d'entretien à divers monuments .. 499 91

Acquisitions pour le Musée. . ........ 268 Total du chapitre I. ...... 1,915 96 CHAPITRE III Publications de la Sociélé. ............ 1,753 03 Total des dépenses ordinaires . . . . . .. 7,407 43

B. Dépenses extraordinaires.

Pour l'ouvrage de M. Naue.................. 300 Total de toutes les dépenses . . . .... 7,707 43

Les recettes se sont élevées à. . . . . . . . . .. 21,284 61

D'où résulte un excédent de recettes de. ....... 13,577 18

Des dépenses non soldées s'élèvent à . ....... 6,208 55

Le saldo effectif est donc de . . . .. 7,368 63

110

Rechnung für 1905/06.

ÉINNAHMEN.

\. Ordentliche Einnahmen.

A KAPITEL 1. Beiträge der Mitglieder, All à 8.4 ....... 3,288 » JL Conto-Corrent-Zinsen ................ AUS 7

» II. Zuschüsse: 4 a) von dem Kais. Ministerium... 3,000 b) » der Stadt Strassburg. . .. 2,000 c) » dem Bezirk Unter-Elsuss . 800 d) » » Obcr-Elsass. . A00 6,20

us CS |

Summe der ordentlichen Einnahmen . . ..... 10,196 5

B. Ausserordentliche Einnahmen.

I. Rechnungsüberschuss aus 1904/0535. . . . . 13,577 18 2. Verkauf des Hortus, letzte Rate . ..... 1,000 d. » von Millellungen........... 30 des Werkes «Naue» ........ 909 9. Zuschuss des Kais. Ministeriums zur Iler-

stellung des Werkes «eNauo ...... 1,500

Summe der ausserordentlichen Einnalımen . . . 17,016 18

Summe aller Einnahmen ....... 97,212 7

111

Compte rendu des Recettes et des Dépenses de l'exercice 1905/06.

RECETTES.

A. Recettes ordinaires.

CnaPiTRE ]. Cotisations des membres de la Société, 411 à 8.# 3,288

» If. Intérêts des fonds déposés à la banque . . . ... 708 57 » III. Subventions: Ai a) du Ministère impérial . . . . .. 3,000 b) de la ville de Strasbourg .... 2,000 -- c) de la Basse-Alsace. . . . . . .. 800 d) de la Haute-Alsace . . . . . .. 400 6,200 Total des recettes ordinaires . . . ...... 10,196 57

B. Recettes extraordinaires.

Reliquat de l'exercice 1904/05 . . ..... 13,577 18 % Vente du Hortus ....... errrene 1,000 3°» de Bulleins.............. 30

49» d'exemplaires de l'ouvrage de Nauc. 909

Subvention du Ministère pour l'ouvrage de Naue.s................... 1,500

Total des recettes extraordinaires . . . . . .. 47,016 18

Total de toutes les receltes . . . . . .. 27,212 75

112

AUSGABEN.

A. Fortdauernde Ausgaben.

KAPiTEL 1. Verwallungskosten. A 1. Beaufsichtigung des Museums... ..... 455 75 2. Besoldung des Assistenten... ....... 2,133 28 3. Ililfeleistungen bei den Bureau-, Kassen- u. Bibliotheksgeschäften . .........., 382

4. Porti, Frachten und Büreaubedürfnisse . . 630 22.

9. Unterhaltung des Museumslokals und des Mobiliars, sowie Feuerversicherung . . . 101 35 6. Vermehrung der Bibliothek ......... 231 14 Summe Kapitel I.......

Karıten. I. Ausgrabungen, Unlerhallung von Denkmälern und Erwerbungen für das Museum.

4. Ausgrabungen ................. 1,309 40

9. Unterhaltung von Denkmälern . . ..... "997 31

3. Erwerbungen für das Museum . ...... 973 40 Summe Kapitel I. ......

Kaprren II. Veröffentlichungen der Gesellschaft . . . . . ...

Summe der fortdauernden Ausgaben . . .

DB. Ausserordentliche Ausgaben.

1. Druck des Werkes von Naue........ 4265 95 2. Ankauf von Wertpapieren .# 10,000, 3'/,%%__99%4 45

Summe der ausserordentlichen Ausgaben . . .

Summe aller Ausgaben . ..

Die Einnahmen betragen... ....

Einnahmeüberschuss . . .

_ 13

DÉPENSES.

A. Dépenses ordinaires.

CHAPITRE |. Frais d'administralion. | M A Pour les gardiens du Musée . . . ...... 455 75 20 Traitement de l'assistant. . . . ....... 2,133 28 Allocation pour divers services du burcau, de la caisse et de la bibliothèque . . ... 382 30 Frais de bureau, d’affranchissement et de port ..................... 630 22 Assurance contre lincendie et entretien du local du Musée et du mobilier . . ... 101 35 Pour la bibliothèque . . ........... 231 14 Total du chapitre F....... 3,933 74 CHAPITRE II. Fouilles, entrelien de monuments el acquisitions pour le Musée. Fouilles..................... 1,309 40 20 Travaux d'entretien à divers monuments. 597 31 Acquisitions pour le Musée . . . ...... 973 40 Total du chapitre I... 2,880 11 Cnarırae IIL Publications de la Seile... ........ 562 90 Total des dépenses ordinaires . .. 7,376 75 B. Dépenses extraordinaires. 40 Pour imprimer l'ouvrage de Naue. ... 4265 95 90 Achat de titres 10,000 .# 3'/,°/, . . . - - 9,924 45 Total des dépenses extraordinaires . . . 14,189 70

Total de toutes les dépenses . . . 21,566 45

Les recettes se sont élevées à..............

D'où résulte un excédent de recettes de... .....

27,212 75 5,646 30

7 Um ha 1 ep. r N

Petite notice archéologique sur l’église de Fouday (Ban de la Roche).

Le clocher de l'église de Fouday est une tour carrée, percée à sa partie supérieure d'ouvertures géminées en plein cintre et à sa partie inférieure d'ouvertures également cintrées et s’&vasant à l'intérieur, mais dont l'une a été agrandie et a reçu une forme ogivale à l’exté- rieur. Cette tour paraît remonter au douzième siècle, étant du style roman secondaire ou de transition, tandis que la nef a élé rebâtie en 1777 aux frais du patron de l'église, le baron Jean de Dietrich, seigneur du Ban de la Roche, ainsi qu'en témoigne un tableau comme- moratif de l'inauguration placé au pied de la chaire.‘

La partie inférieure de la tour formait le chœur de l’ancienne église dédiée à S! Jean-Baptiste dont le chef en effigie était l'objet d’une vénération particulière. Ce chœur a trois petites fenêtres, et un arc triomphal gothique, reposant sur deux piliers très bas, encadre l'entrée. Les arcs-doubleaux de la voûte en plein cintre s'appuient sur quatre pelites colonnes sans chapiteaux. Ce lieu devait être le chœur ou abside, puisqu'on y voit une crédence et une piscine d’un côté et un reconditoire de l’autre, Il y a en effet sur l'appui de la fenêtre du côté droit une cuvette taillée dans la pierre avec un trou au milieu, et tout près de cette fenêtre une pierre en saillie à la portée de la main; ensuite il y a, dans le mur du fond à gauche, une ouverture carrée d’un demi-mètre, qui traverse le mur de part en part et qui est fermée à l’extérieur et à l'intérieur: à l'extérieur, par une pierre de taille, dont le centre est percé à jour en forme de rosace et muni de deux barres de fer en sauton; et à l'intérieur du chœur, par une porte en fer battu, bien ouvragé, avec verrou à serrure, laquelle est adaptée à une grande pierre sculptee avee colonneltes torses et frontispice dans le style flamboyant et par conséquent encas- trée dans le mur au quinzième siècle seulement. Cette ouverture pra- tiquée dans la muraille était ce qu’on appelait en latin le deposilorium, sacrarium, armarium, recondilorium, en allemand Sacramenthäuschen,

1. En haut de la chaire, près de l'appui, se trouve le sablier d’Oberlin.

B. XXII. (M.) 2

16°

On y conservait autrefois le très-saint sacrement dans un tabernac+, lequel pouvait étre entrevu du dehors et adoré par les passants. Toat à côté de ce reconditoire est peint sur le mur saint Jean-Baptiste tenant en main l'agneau de Dieu comme pour indiquer en cet endrii la présence réelle de Jésus.

La voûte et les murs de ce sanctuaire étment tout couverts d’ara- besques, d'étoiles, de banderolles, d'animaux symboliques, de saints personnages, de scènes diverses. M Freund, pasteur de Fouday, a essaye de faire reparaître ces peintures. Malheureusement à cause de l'humidité, qui a boursouflé le crépi en mamts endroits, il ne lui a pas été possible. malgré les soins délicats qu'on a apportés à ce travail, de remettre entiérement au jour ces peintures Anssi sommes-nous rédufs à des conjectures pour spécifier certains sujeis:

Les teintes ocreuses rougeälres dominent dans ces fresques surtout dans les larges bordures des fenêtres; et toutes les couleurs son! males sans vernis ni encaustique. Avant d'examiner les fresques des murs »t de la voûte, considérons celles de l'arc triomphal A gauche. en entrant, est représenté saint Pierre avec deux grandes clefs 3 pr gnée en losange, et à droite une femme avec un voile blane sur L tête, et une crosse ou cambuca dans une main, une boule ou vase dans l'autre, et sous ses pieds une inscription dont il reste les lettres NCT . . . DILIA ‘santa Odiln:.

Sur Îl+s quatre murs du chœur, on distingue plus ou moins les sup: sulvanls:

Che Su’. sir le mur qui sépare le chœur de la nef, est représez'és d'un sôté sainte Ricbarde d’Andlau, avec couronne. scegtre. chevelur: flottante, tenant en main un petit objet et avant à ses pieds non fa losrse lezenlaire, mais uce inseripuion les premières lettres Je son nom sont encore lisibles: de l'autre côté da même mur, :: saint vêtu d'un amp!» manteau et d'une robe bordée en bas d'or: large band:. et avant dans sa main gauche un serpert se tordart. lequel ;ers-nna:e pourrait être saint Patrice qui suivant la légenk. extérmina les serpents venimeux en Irlande. patrie de notre sait Florent de Haslach: car on lit au-dessous de l'image les lettres PAT, restes d'une inscription.

Sur ie mur Nord, faisant face à Fentree du chœur, on voit pen! à gaucL2 de la fenêtre du milieu, saint Jean-Baptiste menticns:, et 3 drite une samte assise les jamles croisées et la tète aspuré au pied June grande ercix probablement sainte Marie-Madelsine.

18°

En général, quelques-uns de ces sujets sont pour l'époque bien exécutés, les poses naturelles, les draperies souples, les corps propor- tionnés, les visages réguliers. Il est regrettable que l’état actuel de dégradation ne permette pas de restaurer les fresques des murs; mais pour celles de la voüte et de l'arc ogival de l'entrée, pareil travail devrait être entrepris.

Devant le seuil du chœur était couchée à fleur de sol une grande “erre tombale, dont l'inscription très usée par les pieds des passants n'est guère lisible aujourd'hui. Elle a été relevée, il y a quelques années, par M. le pasteur Hoffet, et dressée contre le mur au-dessous du repositoire sus-mentionné. Elle portait linseription suivante: «Juncker Jorg Geruthens von Rotzssamhussenen 1491». C'est sous ce Gérothée de Rathsamhausen en 1471 que fut détruit le château de la Roche, parce qu'il était occupé par trois brigands

Une autre tombe, plus moderne et plus célèbre, est celle de cspapa Oberlin» dont la dépouille mortelle repose près de l'église, au cimetière de Fouday. Un médaillon enchasse dans la pierre sepulcrale et repro- duisant son fin profil est l'œuvre du seulpteur strasbourgeois Ohmacht. Je passe sous silence les tsmbes de Daniel Legrand, Louise Ncheppier. L'éclise de Fouday a assez de titres pour être visitée.

(1. RABAVOIE, curé de Bliensbach.