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En SOCIÉTÉ NEUCHATELOISE DES SCIENCES NATURELLES BULLETIN TOME XLI: ANNÉES 1913-1916 + NEUCHATEL IMPRIMERIE WOLFRATH & SPERLÉ 1916 4 D MENT 2 RAR NT LAN AIO IAPAATEANE FRAME ny , t ES AD ET NE PE SAME SEVEN TER Eu VLre 1 Le 0e uns dis. AÉÉRC TE RES EU LORS TENUE MEURT es RECHERCHES SUR L'HONOLOGUE INFÉRIEUR DE L'UTÉRAMINE, LA PARAOKYBENEYLAMINE Par Le D' JAMES BURMANN (Laboratoires de chimie et physiologie de la Zyma, Aigle) INTRODUCTION En 1893, M. le professeur A. Gautier! isolait des produits de putréfaction des foies de morue, trois bases qu'il nomma tyrosamines car l’une d'elle représentait la p. oxyphényléthy- lamine obtenue jadis par Schmitt et Nase? en décarboxylant la tyrosine. Par un processus semblable les deux autres ptomaïnes dériveraient de tyrosines voisines. La découverte de la p. oxyphényléthylamine dans les extraits d’ergot de seigle comme celle de ses remarquables propriétés physiologiques n’ont pas tardé à orienter toute une série de recherches de ce côté-là. Tandis que certains auteurs s’appliquaient à obtenir ce corps naturel ou ses congénères par voie synthétique, d’autres s'oc- cupaient plus spécialement de l'influence que pouvait avoir leur structure moléculaire sur l'organisme. Après l’adrénaline, l’hordénine, la 8-imidazolyléthylamine, l’indolyléthylamine firent l’objet de nombreux mémoires. Cependant jusqu'ici l’étude de la plus simple des tyrosamines, le prototype de tous ces phénols à chaîne latérale aminée a été négligée quoique Tiffeneau s’en soit approché en créant les dé- rivés inférieurs de l’hordénine et de l’adrénaline. J’ai pensé qu'il était utile de combler cette lacune en cher- chant à préparer synthétiquement la plus simple des tyrosamines, l’homologue inférieur immédiat de l’utéramine, la paraoxybenzy- lamine, pour étudier ensuite ses propriétés. PREMIÈRE PARTIE Etude chimique. D'une façon générale, on peut faire dériver toutes les amines protéinogènes d’amino-acides. Elles en proviennent par la perte d’une molécule d'acide carbonique. Ainsi la tyrosine : donne l'utéramine : DH CH CHENE, l’histidine, la 8. imidazolvléthylamine, HC— NH, HC—— NH, Ï > >CH — || ? CH C—N C——N | COOH | CH, CH CH, CH, NH, NL 2 2 le tryptophan, l'indolyléthylamine. H — CH, CH Le [N- CE CH, NH, do NUE) ane A ‘ NIANTE N Le principe actif des capsules surrénales lui-même pro- viendrait de l’acide dioxyphényl a méthylamino-8B-oxypropio- nique, etc. Plusieurs de ces amino-acides générateurs sont connus et quelques-uns d’entre eux servent de point de départ à la pré- paration de ces amines. À la plus simple des tyrosamines correspond l’homologue inférieur de la tyrosine, ee, CO DB CE NE + tes préparé par Rabaut* à partir du nitrile de l’acide méthoxy- phénylaminoacétique. Cette tyrosine ne se laisse pas décarboxyler par les mé- thodes ordinaires car la p. oxybenzylamine qui en résulterait est une base très sensible à l’action de la chaleur et de l’oxygène. La para-oxybenzylamine DE CNE CHINE, a été obtenue pour la première fois par Salkowski* en 1889 en faisant agir l’acide nitreux sur la p. aminobenzylamine. Quelques années plus tard À. Gautier! la découvrait parmi les ptomaines résultant de la fermentation des foies de morue. C’est une base forte, bleuissant le tournesol et colorant en rouge la phénolphtaléine. Nous l'avons préparée facilement et avec un très bon ren- dement au moyen de l’aldéhyde anisique. Quelques réactions effectuées dans les mêmes conditions permettent de la différencier nettement de son homologue supérieur, l’utéramine. Réaction de Millon. a] À cc. sol. utéramine à 1°/, + 10 cc. réactif: coloration après o sec. b] 1 cc. sol. p. 0. benzylamine à 10/, + 10 cc. réactif : colo- ration après 30 sec. + Diazoréaction. (Pauly-Ebrlich.) a) 50 ce. chlorhyd. utéramine sol. 10/, + 5 cc. réactif: co- loration rouge. b] 50 cc. chlorh. p. oxybenzylamine sol. 1°/, + 5 ce. réactif : coloration jaune. PARTIE EXPÉRIMENTALE A) PARAOXYBENZYLAMINE Homologue inférieur de l’utéramine, OH.C; A, CHENE Après avoir cherché à préparer cette base au moyen de la p. oxybenzaldéhyde ou de l'alcool correspondant, j'ai trouvé qu'il était préférable de recourir à l’aldéhyde anisique, corps plus accessible d’ailleurs. D'autre part l’extraction du produit de réduction de la p. benzaldoxime est malaisée et l’action du chlorure de l’alcool p. oxybenzylique sur l’ammoniaque engendre des amines secondaires et tertiaires difficiles à éliminer. Ci-dessous nous exposerons la préparation des produits intermédiaires qui nous ont permis d’arriver à l’homologue inférieur de l’utéramine. Anisaldoxime. Para - métoxybenzaldoxime, CHOCO CE NSOE Nous avons obtenu cette oxime en dissolvant 136 gr. (1 M.) d’aldéhyde anisique du commerce préalablement rectifiée dans 300 cc. d'alcool et en ajoutant peu à peu une solution concentrée d’hydroxylamine préparée avec 70 gr. de son chlo- rhydrate et 150 gr. d’hydrate de sodium à 33!°/,. Le mélange s’échauffe et après quelques jours on concentre dans le vide pour chasser l’alcool. Le résidu repris par de l’eau et légère- ment acidifié est extrait à l’éther. Les solutions éthérées sé- chées sur du chlorure de calcium laissent après évaporation une masse sirupeuse qui cristallise lentement. Il est inutile de la purifier pour les traitements ultérieurs. Rendement voisin de la théorie. Anisamine. Para -métoxybenzylamine, CHSONCSECHÈNEÉS 30 gr. de l’oxime précédente sont dissouts dans 150 ce. d'alcool et 150 cc. d’acide acétique pur. On refroidit. Tout en agitant mécaniquement et maintenant la température basse (50-100), on introduit lentement, par petites portions, 1 !/, kg. d’amalgame de sodium à 31/,. Pendant le cours de l’opération il se sépare de l’acétate de sodium qu’on dissout au fur et à mesure avec un peu d’eau. La réduction terminée on dilue le tout par son double volume d’eau et après avoir séparé le mercure à l’entonnoir à robinet, on extrait à l’éther l’oxime non transformée. La solution aqueuse concentrée à basse pression est addi- tionnée d’un grand excès de soude caustique concentrée. La base qui se sépare sous forme huileuse est extraite à l’éther. On sèche sur de la potasse et rectifie dans le vide. L’anisamine distille à 1280 sous 10 mm. de mercure. Rendement moyen: 801/,. Paraoxybenzylamine. OH. C, H, . CH, . NH, Dans un ballon de 300 cc. surmonté d’un réfrigérant et d’un tube coudé pour recevoir l’iodure de méthyle, on intro- duit 10 gr. d’anisamine. On ajoute lentement et en refroidis- sant 30 gr. d'acide iodhydrique incolore à 50°/;*. L’iodhydrate cristallise. On chauffe une heure au bain d’huile à 1500-1600, puis on fait le vide pour chasser l’excès d’acide. Le résidu cristallin dissout dans un peu d’eau est mis à digérer avec un excès de chlorure d’argent fraîchement précipité qui le transforme en chlorhydrate destiné aux expériences physiologiques. On agite pendant une heure et filtre. La solution aqueuse incolore évaporée à sec dans le vide à basse température est " Pour décolorer les solutions d’acide iodhydrique du commerce il suffit de les saturer d'hydrogène sulfuré et d'éliminer le soufre par filtration sur asbeste. = AN reprise par l'alcool absolu. On précipite le chlorhydrate de paraoxybenzylamine par l’éther. On l’essore et le sèche à l'abri de l'humidité. Analyse : Dosage de CI. Substance 0.1602 gr. CI Ag obtenu 0.1438 gr. d’où CI — 22,201/;; calculé 22,221}. B) UTÉRAMINE OH.C, H,CH,.CH,.NH, . Le chlorhydrate de cette tyrosamine dont nous avions besoin pour nos essais comparatifs provenait de l’usine de produits chimiques Zyma $S. A., à Aigle. SECONDE PARTIE Etude physiologique. Les propriétés hémostatiques des amines sont connues. Les recherches de Dale ont permis d'établir que l’action vaso- constrictive est plus intense pour l’homologue supérieur que l’inférieur, autrement dit qu’elle est fonction de la longueur de la chaîne des atomes de carbone au bout de laquelle est fixé le radical NH. D'autre part cette action peut être modifiée par la présence d’un oxhydrile phénolique ou alcoolique, ou encore par la substitution d’un, voir les deux hydrogènes liés à l'azote par un alkyle (CH;, C H; etc.). C’est ainsi que l’adjonction en position para d’un oxhydrile à la phényléthylamine suffit pour quintupler son activité. Tous ces corps sont utilisés comme hémostatiques à cause de la vaso-constriction périphérique qu'ils engendrent. En examinant la structure moléculaire de ces médicaments on est frappé de la parenté étroite qui les lie, car le groupe- ment qui leur confère leur propriété est identique. Que ce soit de l’adrénaline, de la cotarnine, de l’hydrasti- nine, de l’utéramine, nous retrouvons invariablement chez tous la constitution générale : R.CH, CH, NH, SUD AA comme si la nature s'était plue à créer exclusivement des corps à chaine éthylique. En effet, on n’a jamais rencontré les homologues inférieurs de ces bases dont plusieurs sont totalement inconnues comme la B-imidazolyIméthylamine, l’indolyIméthylamine et toutes les R. méthylamines. Nous trouvons la seule exception chez les tyrosamines où la paraoxybenzylamine respectivement la p. oxyphénylméthy- lamine possède la plus courte chaîne latérale aminée ; encore est-elle la moins prépondérante parmi ces ptomaïnes. Nos recherches physiologiques se sont bornées à l'étude comparative des tyrosamines en Ce et C; sur: a) le système cardio-vasculaire, b] l'utérus. Ce mode de procéder permettait de fixer et de préciser les fonctions chimiques qui confèrent à ces alcaloïdes leurs pro- priétés vaso-constrictives, cardiotoniques et utéromotrices. D’après la règle générale établie par Dale’ on pouvait prévoir une vaso-constriction moins intense pour l’homologue inférieur. Pour l’utérus le radical cyclique paraît a priori devoir jouer un rôle plus important que le groupement aliphatique aminé. A ce propos nous ferons remarquer que deux corps ayant la même chaine latérale, la B-imidazolyléthylamine et la para- oxyphényléthylumine se comportent très différemment vis-à-vis des fibres musculaires. D’après nos recherches personnelles, le premier est, sous ce rapport, environ trois cents fois plus actif que le second. Comme les tyrosamines possèdent toutes le radical para- “ ss oxyphényl OHK /; nous avons cherché à déterminer quelle était l’action de ce reste sur l’utérus. Si pour cette étude spéciale la technique n'offre pas de très grandes difficultés, on enregistre parfois des insuccès. Nous croyons utile de mentionner à quelles causes ils sont dus. La confection des sérums de Ringer et de Locke doit être minutieusement faite à l’aide de corps chimiquement purs et une eau fraichement distillée dans un appareil de verre à l'exclusion des alambics de cuivre*. ° Sans m'en douter, il m’est arrivé à deux reprises d'employer des eaux distillées däns un appareil industriel. Les traces infinitésimales de cuivre qu’elles contenaient et qui provenaient du serpentin réfrigérant amenèrent en peu de temps la mort de l'organe. EVE La solution doit être faite peu de temps avant son emploi. Comme animal de prédilection on prendra le cobaye, encore faut-il qu'il soit adulte*, ou à la rigueur le lapin et le chat. Le rat présente une anomalie singulière car son utérus réagit souvent d’une façon inverse à celle que l’on observe généralement. L'influence d’un excitant abolit son rythme normal. L'inhibition qui en résulte est typique. Sur les animaux non gravides après anesthésie générale à l’éther, on pratique une large laparotomie, puis une hystérec- tomie bilatérale complète, du col cervical aux ovaires. On sectionne une des cornes de la matrice pour l’expé- rience immédiate, tandis que l’autre est plongée dans du sé- rum de Ringer, refroidi et maintenu à 0. Elle servira à des essais ultérieurs car dans ces conditions elle survit pendant plusieurs jours. Un segment d'environ 0,5 à 1 cm., ligaturé à ses extrémités par deux fils de soie, est solidement fixé au tube de l'appareil de Fühner. Un des fils est relié au fléau du myographe enre- gistreur. L’organe baigne complètement dans le sérum de Locke à une température constante, (400) oxygéné ou simplement aéré. Pour l'introduction de l’oxygène ou de l’air dans le bain, nous préconisons l’emploi d’une petite bougie en biscuit comme celle qu’on utilise en bactériologie pour les filtrations. Ainsi les gaz pénètrent dans le liquide sous un état de division extrême, ce qu'on ne saurait attendre d’un simple capillaire. Un siphon évacuera en temps utile le récipient qu’on rem- plira ensuite avec du sérum pur à 400. La substance à analyser est introduite dans le liquide, dont le volume a été préalablement mesuré, à l’aide d’une seringue à injection munie d’une longue aiguille. " Des femelles vierges de 3 mois et pesant en moyenne 200 gr. ne me don- nèrent aucun résultat. SEUL ARE Résultats des expériences physiologiques. a) Cœur, Comme l’utéramine, la p.oxybenzylamine à doses modérées est cardiotonique. Elle l’est cependant à un degré moindre comme je m'en suis rendu compte avec l’organe isolé. Sur le cœur de la grenouille on constate nettement les diverses phases caractéristiques engendrées par l’utéramine : augmentation de l’amplitude des battements cardiaques et diminution de leur fréquence (voir tracé 1). b) Système vasculaire, L’injection intraveineuse d’une solution à 1!°/, du chlorhy- drate de l’homologue inférieur de l’utéramine produit une vaso-constriction périphérique. Toutefois l’élévation de la pres- sion artérielle est plus faible (environ de moitié) que celle ré- sultant d’une même dose d’utéramine, ainsi que le témoigne le kymographe ci-dessous : Lapin 3200 er. Trachéotomie. Préparation d’une carotide. Injections dans la veine auriculaire Solutions à 1 1/,. Temps Injections Pulsations Pression sanguine Différence 2 h. 55” — 290 88 mm. Hg. 3 h. 4 cc. p. benzyl — — » 10 +1. 0090 — 252 98 » ouh. 0 — 432 90 » oh. 10 À cc. utéramine 288 86 » 18 + h:10°207 _. 276 104 » SEINE 17 — 144 100 » 3120" — 252 92 » 3 h. 20’ 30” 1 cc. p. benzy, — — » 12 2 DURE 14 — 220 104 » D MT 4 — 180 94 » Tué par section des carotides. Si l’action vaso-constrictive de la para-oxybenzylamine est moins énergique, les tracés 2, 3, 4, 5, présentent toutefois une grande similitude tenant de l’étroite parenté chimique des deux bases. CATAATZ D49717 po ÿo! T AHONV'Id "OSNOUTOABAJUI UO1J99UT ‘$ O0 2P UIdET "A[TP9JIG UOISSAAd e[ Ans ouIWEIHNp ‘89 [ 9P UOr9Y ‘HHdV4PONAM 00/ ‘229 : sur? ‘ou »} hl29 ro'Ÿ 88 86 | II HHONV'TJ "OSNOUT9ABAQUI UOTJO9ÏUT *S 0088 2P Urderz “opeugyie uorssoid eç ans ouiwerazuoqAxo ‘d op ‘89 T op uOr9Y ‘HHAVHDONAM — 16 — ec) Utérus, L'étude comparative de l’utéramine et son homologue in- férieur quant à leurs effets respectifs sur cet organe était intéressante car d’après ce qu’on pouvait supposer ils devaient être identiques. L’utérus du rat, très capricieux, ne nous a rien donné de net. Avec le cobaye nous avons obtenu de meilleurs résultats, et toute une série de recherches effectuées dans des conditions identiques nous permet d'avancer que l’utéramine et son ho- mologue inférieur provoquent des contractions utérines de même intensité (voir tracé 6). CONCLUSIONS La para-oxybenzylamine que nous avons préparée synthé- tiquement par une nouvelle méthode, a une action pharma- codynamique semblable à celle de l’utéramine (p. oxyphénylé- thylamine). Elle est cardiotonique et vaso-constrictive mais à un moindre degré, ce qui confirme la règle de Dale. Elle contracte l’utérus comme l’utéramine et aussi énergi- quement, ce qui nous permet de dire que, si l’action vaso- constrictive des amines protéinogènes relève surtout de la chaine latérale aminée, celle sur la matrice dépend exclusi- vement du radical où cette chaine est fixée. BIBLIOGRAPHIE ARMAND (GAUTIER. Les Toxines microbiennes el animales, Paris 1896. SCHMITT et NasE. An. 1895, 133, 214. RaBauT. Thèse de Toulouse, 1911. SALKOWSKY. Ber. 22, 2245. Daze, DixoN. J. of. Physiology, n° 1, jul. De H. Sazxowsky. Ber. d. deutschen Chem. Ges., 22, 2145. CORRE ————_———— Îñr— — [11 HE 1 s PLAN - EN è $ S renouille). [o4 D ( AMME R 41ARDIOG 1 C injection de l ar P ylamine produite atiques des cuisses. € v oxybenz de la p. e Action cardiotoniqu 1 eg. dans les sacs lymph 916. XLI, 1913-1 SC. nat., t. neuch. Soc. Dr JAMES BURMANN, — Bull. UOTE ATOUT G& SUP 9N]IP AULUEI9N P *6 ro'o aed aympoad uoryoeaquon (» ) ‘29 SaULWBSOIAY Sop oA1je21edW09 UO19Y "HAVE 44 W'IOSI SAUHL/(] LS o > È Ÿ ES Le) Bull. fwgo+o NY 77 297) Dr JAMES BURMAN NOTES MYCOLOGIQUES PAR Euc. MAYOR, Dr-Mén. Au cours des années 1912 et 1913, j'ai eu l’occasion de recueillir dans mes excursions botaniques un certain nombre de champignons ayant échappé à mes recherches antérieures. Quelques-uns, appartenant aux groupes des Péronosporinées, Ustilaginées, Urédinées et Erysiphacées, étant intéressants non seulement pour notre flore neuchâteloise mais encore pour la flore suisse en général, ce petit travail, tout en com- plétant mes deux publications antérieures sur le même sujet!, apportera aussi quelques indications nouvelles pour la flore générale. En effet, quelques parasites ont été recueillis sur des supports phanérogamiques non encore mentionnés dans la littérature et de ce fait du plus haut intérêt. PÉRONOSPORINÉES Ce sous-ordre, en ce qui concerne le canton de Neuchâtel, se trouve enrichi de trois espèces que je n’avais pas encore eu l’occasion de rencontrer au cours de mes herborisations, soit: Albugo Bliti (Bivona) Kuntze, Phytophthora erythroseptica Pethybridge, et Peronospora Phyteumatis Fuckel. Les autres espèces mentionnées ci-dessous ont été recueillies sur des supports phanérogamiques qui, jusqu’à maintenant, n'avaient pas encore été relevés comme servant d'hôtes à ces parasites, et constituent de ce fait des acquisitions nouvelles pour notre flore locale. ! Euc. Mayor. « Contribution à l’étude des champignons du canton de Neu- châtel purs. Soc. neuch. sc. nat., t. XXX VII, et «Notes mycologiques», idem, t, XXXIX. 8 BULL. SOC. SG. NAT. T. XLI ALBUGO CANDIDA (Persoon) Kuntze. Sur: Erophila verna (L.) E. Meyer. — Champs, Le Chanet au-dessus de Neuchâtel. 27 avril 1912. Sur: Arabis albida Stev. — Jardin de la gare de Cham- brelien. 5 juillet 1913. — Jardin botanique de l’Université à Neuchâtel. 25 juillet 1913. Sur: Arabis arenosa (L.) Scop. — Gorges du Doubs, che- min du Saut du Doubs à la Maison Monsieur. 28 septembre1913. Sur: Brassica oleracea L. — Jardins potagers à Neuchâtel, au Vausevon et à Peseux. 26 septembre 1913. — Jardins potagers à Saint-Blaise et près du lac de Saint-Blaise. 11 octo- bre 1913. — J’ai rencontré ce parasite sur un certain nombre de variétés cultivées de choux, mais surtout sur les choux- fleurs et les choux de Bruxelles. Sur: Brassica Rapa L. — Jardins potagers au Vauseyon (Neuchâtel). 26 septembre 1913. — Jardins potagers à Bevaix. 18 octobre 1915. Sur: Draba aisoides L. — Rochers, versant nord de Chas- seral. 293 août 1915. Sur: Lepidium Drabu L. — Neuchâtel, décombres au bord du lac à la Maladière. 3 juillet 1915. ALBUGO TRAGOPOGONIS (Persoon) S.-F. Gray. Sur: Centaurea Scabiosa L. — Chemin de Chambrelien au Champ-du-Moulin. 5 juillet 1913. Sur: Cirsium arvense (L.) Scop. — Bord de chemin à Montmirail près de Thielle. 13 juillet 1913. — Bord du lac entre Cortaillod et Bevaix. 16 juillet 1913. — Neuchâtel, décombres au bord du lac à la Maladière. 18 septembre 1913. ALBUGO BLiri (Bivona) Kuntze. Sur: Amarantus retroflexzus L. — Neuchâtel, bord du lac aux Saars. 28 août 1912. — Neuchâtel, décombres au bord du lac à la Maladière. 3 septembre 19H43. — Décombres au bord du lac à Monruz près Neuchâtel. 23 septembre 1913. PHYTOPHTHORA ERYTHROSEPTICA Pethybridge. Dans les tubercules de Solanum tuberosum L. — Kn automne 1912, mon attention a été attirée sur une maladie curieuse des tubercules de pomme de terre qui m'a été SA TON Le signalée par un jardinier de Bôle. IL avait remarqué qu'un grand nombre de tubercules rentrés en automne 1912 deve- naient plus ou moins impropres à la consommation, grâce à une maladie singulière. En effet, en fendant des pommes de terre, il avait observé qu’un certain nombre, au bout de quelques minutes, présentaient sur la surface coupée des taches plus ou moins grandes, colorées d’abord en rose puis en rose saumon, pour devenir d’un brun-rouge et enfin noires au bout de quelques heures. Je reçus de Bôle un certain nombre de ces tubercules malades et je pus constater de visu cette coloration anormale et si particuliére, due très vraisem- blablement à un parasite végétal. Je pensai alors être en pré- sence du vulgaire Phytophthora infestans, si répandu dans les cultures et qui, pour des causes que je ne saisissais pas très bien, se comportait d’une manière anormale. Un examen microscopique n’aboutit pas à me donner la solution du pro- blème, lorsqu’au commencement de l’année 1913 parut un fort intéressant travail de PEtTHyBrinGE! qui, depuis 1909, étudie une maladie des pommes de terre très semblable à celle que j'avais eu l’occasion de voir l’automne précédent. En effet, la description donnée par l’auteur de cette maladie nouvelle, due à un parasite nouveau qu'il appelle Phytophthora erythroseptica, correspond très exactement à ce que j'ai observé moi-même. Je n'ai malheureusement pas pu, n'étant pas outillé pour cela, refaire ses essais de culture afin d'obtenir les appareils reproducteurs typiques de ce champignon, mais, jusqu’à plus ample informé, Je crois pouvoir admettre que ce Mildiou observé en Irlande est le même que celui qui sévit abondamment dans tout le canton de Neuchâtel. D’après l'enquête que j'ai pu faire, il semble que cette intéressante maladie est apparue chez nous en 1912, du moins jusqu’à maintenant elle ne m’a pas été signalée antérieure- ment. En 1912, elle était très répandue dans toute la région de Bôle et du Val-de-Ruz; il est probable que dans tout le vignoble et ailleurs encore elle sévissait aussi. Elle pouvait cependant passer inaperçue parce que les tubercules atteints ne sont pas complètement impropres à l'alimentation, seules les parties malades prennent par la cuisson la consistance et le goùt des pommes de terre ayant gelé dans les caves. En 1913, j'ai de nouveau observé cette même maladie dans la région de Bôle et de Boudry, et j'ai eu l’occasion de la cons- 1 George-H. PETHYBRIDGE. «On the rotting of potato tubers by a new species of Phytophthora having a method of sexual reproduction hitherto undescribed. » The scientific proceedings of the Royal Dublin Society. Vol. XIII, n° 35, march 1913, p. 529-565. — 20 — tater fréquemment dans des pommes de terre amenées sur le marché de Neuchâtel et provenant de diverses régions du vignoble. Il serait intéressant de savoir d’où nous provient cette nouvelle maladie qui ne semble pas être indigène. D’après les quelques renseignements que j'ai pu avoir, la plus grande partie des semens employés dans les années 1912 et 1913 dans les régions contaminées, provenaient d'Allemagne où vraisemblablement règne ce parasite qui aurait été introduit en Suisse. Il serait du plus haut intérêt de savoir si ce nou- veau champignon a été rencontré ailleurs en Suisse et à l’étranger, ceci en vue de la prophylaxie. Pour le moment, cette curieuse maladie ne constitue pas un très grand danger pour l’agriculture, puisque les tubercules malades ne sont pas absolument impropres à l'alimentation, mais qui sait si d'ici à peu de temps on ne se trouvera pas en présence d’un redoutable adversaire qui s'attaque à toutes les variétés de pommes de terre, avec une plus grande prédilection, il est vrai, pour quelques-unes. PLASMOPARA NIVEA (Unger) Schrôter. Sur: Anthriscus silvester (L.) Hoffm. — Bois au-dessus de Rochefort. 15 juin 1915. BReMIA Lacrucæ Regel. Sur: Cirsium palustre (L.) Scop. — Forêts, pente sud du Mont-Racine, au-dessus de Montmollin. 42 octobre 1913. PERONOSPORA ALSINEARUM Caspary. Sur : Stellaria graminea L. — Près du lac de Saint-Blaise, dans les cultures. 11 octobre 1913. PERONOSPORA EFFUSA (Grev.) Rabenhorst. Sur: Chenopodium polyspermum L. — Jardin potager de l’'Hospice de Perreux sur Boudry. 19 septembre 1913. PERONOSPORA GRISEA Unger. Sur: Veronica Beccabunga L. — Fossé près du lac de Saint-Blaise. 9 septembre 1912. — Endroits humides près de la station du tramway à Areuse. 15 septembre 1913. RE PERONOSPORA SCHLEIDENI Unger. Sur: Allium Cepa L. — Jardins potagers près du lac de Saint-Blaise. 7 août 1912 et durant tout le mois d’août en 1913. — Jardins potagers à Cressier. 15 août 1912. PERONOSPORA PHYTEUMATIS Fuckel. Sur: Phyteuma orbiculare L. — Paâturages de La Tourne. 15 juin 1915. PERONOSPORA PARASITICA (Pers.) Tulasne. Sur: Arabis arenosa (L.) Scop. — Sentier des Gorges du Doubs entre le Saut du Doubs et la Maison Monsieur. 28 sep- tembre 1913. Sur: Sinapis arvensis L. — Neuchâtel, décombres au bord du lac à la Maladière. 20 septembre 1915. Sur: Thlaspi arvense L. — Champs à Lignières. 23 août 1913. USTILAGINÉES Des six espèces de Charbons citées ci-dessous, trois sont nouvelles pour la flore neuchâteloise, dont une, il est vrai, n’est pas à proprement parler indigène /Urocystis sorosporioides}, puisqu'elle à été observée sur une plante étrangère à notre flore et introduite du Valais dans un jardin. Les trois autres ne sont intéressantes que par leur support phanérogamique. Malgré des recherches attentives, le nombre des Ustilaginées neuchâteloises reste encore assez faible, aussi est-il très cer- tain que dans le courant de ces prochaines années j'aurai l’occasion de rencontrer un assez grand nombre de ces inté- ressants parasites, souvent difficiles à observer et à déceler. USriLAGo Levis (Kellermann et Swingle) Magnus. Sur: Avena sativa L. — Champs, Prise Imer sur Cor- celles. 17 août 1912. USTILAGO VIOLACEA (Persoon) Fuckel. Sur: Silene nutans L. — Noiraigue; sans indication de date (Monographie des Ustilaginées de la Suisse de Schellen- berg, p. 52), récolté par le prof. Ed. Fischer, de Berne. 22 TizLeriA TriTicr (Bjerkander) Winter. Sur: Trilicum monococcum L. — Champs à Chaumont. 27 septembre 1913. Urocysris CoLcicr (Schlechtendahl) Rabenhorst. Sur : Scilla bifolia L. — Taillis, vallon de La Goulette près de Saint-Blaise. 15 mai 1913. Urocysris CEPULÆ Frost. _ Sur: Allium Porrum L. — Jardin potager près du lac de Saint-Blaise. 25 juin 1913. UROCYSTIS SOROSPORIOIDES Kœærnicke. Sur: Thalictrum fœtidum L. — Jardin, Cure de Dombresson. Juillet 1912. Les plantes malades proviennent du Valais et ont été plantées il y a quelques années déjà dans une rocaille (comm. prof. Spinner). URÉDINÉES Ce groupe de champignons si captivant au point de vue biologique et peut-être aussi celui qui m'intéresse le plus, m'a donné l’occasion d’observations nouvelles au cours de ces deux dernières années, observations qui sont consignées ci- dessous. On sera peut-être étonné de voir que j'ai pu mettre la main sur neuf espèces nouvelles pour notre canton, ce qui est en effet assez considérable, mais montre bien encore une fois de plus combien ces études sont fructueuses et réservent d’agréables surprises, puisqu'il reste toujours des espèces intéressantes à rechercher et à trouver. De ces neuf espèces nouvelles pour notre flore locale (Uromys Croci, Rumicis et striatus ; Puccini Hypochæridis, Porri, Ari-Phalaridis et alpinæ- coronala ; Milesina vogesiaca; Melampsora Ribesüi-auritæ), de beaucoup la plus intéressante est celle recueillie au Creux-du- Van, cette mine inépuisable de richesses, sur Dryopleris acu- leata, ssp. bobatum, qui est aussi nouvelle pour la flore suisse. Quant aux 21 autres espèces dont il sera question plus bas, elles ont été recueillies sur des hôtes phanérogamiques, inté- ressants non seulement pour notre flore neuchâteloise, mais également pour notre flore helvétique et même pour la flore générale. Urouyces Liz (Link) Fuckel. Sur: Lilium bulbiferum L., ssp. croceum (Chaix) Schinz et Keller. — Téleutospores. Jardin, Chaumont Nagel. 5 juillet 4912. — Æcidies et téleutospores. Même station. 2 mai 1913. Sur: Lilium candidum L. Téleutospores. Jardin, Chau- mont Nagel. 5 juillet 1912. — Æcidies et téleutospores. Même station. 20 mai 1913. Dans le jardin, les deux supports pha- nérogamiques sont à proximité immédiate l’un de lautre. UrouyYcEes CRoCI Pass. Sur: Crocus albiflorus Kit. — Téleutospores. Pâturages, La Tourne. 15 juin 1913. Urouyces Rumicis (Shum.) Winter. Sur: Rumex crispus L. — Uredos et téleutospores. Neu- châtel, bord du lac aux Saars. 30 août 1912 et septembre 1915. — Neuchâtel, décombres au bord du lac à la Maladière. 45 octobre 1913. Sur: Rumex obtusifolius L. — Uredos et téleutospores. Bord du lac entre Auvernier et Colombier. 7 septembre 1915. — Neuchâtel, décombres au bord du lac à la Maladière. 23 septembre 1913. Sur: Rumex Patientia L. — Uredospores. Jardin à Cor- celles. Octobre 1877 (ex-herb. B. Jacob). Cette espèce a été trouvée dans l’herbier Jacob, actuellement entre les mains de M. Moreillon, inspecteur forestier à Montcherand sur Orbe. UROMYCES APPENDICULATUS (Pers.) Link. Sur: Phaseolus vulgaris L., var. nanus. — Uredos et téleu- tospores. Jardins potagers à Saint-Blaise et près du lac de Saint-Blaise. 9 septembre 1912. UROMYCES STRIATUS Schræter. Sur: Medicago lupulina L. — Uredospores. Décombres au bord du lac entre Monruz et Port d'Hauterive. 25 septembre 1912. — Bord du lac à Colombier. 2 juillet 1915. UROMYCES GENISTÆ TINCTORIÆ (Pers.) Wint. Sur: Genista tinctoriu L. — Uredos et téleutospores. Pâtu- rages de la Grande Sagneule, versant nord du Mont Racine. 12 octobre 1915. 2% UroMYcEs GRAMINIS (Niess].) Dietel. Sur : Laserpilium Siler L. — Pycnides. Chemin de Cham- brelien au Champ-du-Moulin. 26 juin 1912 (espèce recueillie et donnée par M. le prof. Ed. Fischer, de Berne; voir Bulletin de la Société botanique suisse, t. XXII, 1913). — A la même station, le 7 juillet 1943, j'ai recueilli des pycnides et des æcidies bien développées. PucciniA MENTHÆ Pers. Sur: Origanum Majorana L. — Uredospores. Jardin à Neuchâtel. 24 août 1912. PucciniA HypocHÆRripis Oudem. Sur: Hypochæris radicata L. — Uredos et téleutospores. Route de Chambrelien à Bôle. 16 août 1913. PUCCINIA GRAMINIS Pers. Sur: Calamagrostis varia (Schrader) Host. — Uredos et téleutospores. Eboulis au pied des rochers du Creux-du-Van. 19 septembre 1913. PucciNIA ARENARIÆ (Schum.) Winter. Sur: Stellaria nemorum L. — Téleutospores. Forêts près de la Fontaine-Froide (Creux-du-Van). 19 octobre 1913. PuccniA Porri (Sow) Winter. Sur : Allium Schœnoprasum L. — Uredos et téleutospores. 4 août 1912 et 7 juin 1915. Sur : Allium vineale L. — Uredos et téleutospores. 2 sep- tembre 1912. Sur: Allium purpureum W. K. — Uredos et téleutospores. 7 juin 1945. Sur: Allium obliquum L. — Uredos et téleutospores. 7 juin 1943. Sur: Allium Cepa L., f. proliferum (Schrader) Regel. — Uredos et téleutospores. 24 août 1912 et 7 juin 1913. Les cinq phanérogames ont été rencontrées malades dans le Jardin botanique de l’Université, à Neuchâtel, où elles se trouvent au voisinage immédiat les unes des autres. Le centre ue re d'infection est Allium Schœnoprasum, dont toutes les plantes sont abondamment attaquées, alors que sur les autres Allium l’infection est moins intense et infiniment plus discrète, sur- tout sur Allium purpureum. PuccixrA ALL (DC.) Rudolphi. Sur: Allium sativum L. — Uredos et téleutospores. Jar- dins potagers près du lac de Saint-Blaise. 27 juillet 1912. PuccCINIA ARI-PHALARIDIS Klebahn. Sur: Arum maculatum L. — Æcidies. Vallon de la Gou- lette près de Saint-Blaise. 4 mai 1912. PucciNIA MALVACEARUM Mont. Sur : Althaea officinalis L. — Téleutospores. Cultures près du lac de Saint-Blaise. 10 août 1912. Sur: Malva mauriliana L. — Téleutospores. Cultures près du lac de Saint-Blaise. 11 octobre 1913. PUCCINIA GLUMARUM (Schmidt) Erikss. et Henn. Sur: Hordeum murinum L. — Uredos et téleutospores. Neuchâtel, décombres au bord du lac à la Maladière. 29 mai 1913. — Bord du lac au Port d'Hauterive. 28 juin 1913. — Décombres à Beauregard près Neuchâtel. 2 juillet 1913. — Bord du lac à Auvernier. 2 juillet 1915. PUCCINIA CORONATA Corda. Sur : Agrostis alla L. — Uredos et téleutospores. Bord du lac entre Monruz et Port d'Hauterive. 23 septembre 1913. A côté d’un buisson de Rhamnus Frangula malade en mai et juin, je n’ai pas constaté dans le voisinage la présence de Rhamnus cathartica. Sur: Phalaris arundinacea TL. — Uredos et téleutospores. Bord du lac à Vaumarcus. 25 octobre 1913. À côté d’un buis- son de Rhamnus Frangula ; dans le voisinage, je n’ai pas relevé la présence de Rhamnus cathartica. PUCCINIA ALPINÆ-CORONATA Mübhlethaler. Sur: Calamagrostis varia (Schrader) Host. — Uredos et téleutospores. Chemin de Chambrelien au Champ-du-Moulin. 20 — 4% septembe 1913. À côté d’un buisson de Rhamnus alpina malade en juin. — Eboulis au pied des rochers du Creux-du- Van. 19 septembre 1913. À côté de nombreux buissons de Rhamnus alpina recouverts d’æcidies en juin et juillet. PHRAGMIDIUM SUBCORTICIUM (Schrank) Winter. Sur: Rosa rubiginosa L. — Forêts à Maujobia au-dessus de Neuchâtel. Cæoma le 10 juin, uredos et téleutospores le 17 octobre 1913. PHRAGMIDIUM FRAGARIASTRI (DC.) Schræter. Sur: Potentilla alba Fraguriastrum. — Uredos et téleuto- spores. Jardin botanique de l’Université à Neuchâtel. 20 sep- tembre 1912. CRONARTIUM RIBICOLUM Dietr. Sur: Ribes nigrum L. — Téleutospores. Jardins, les Plain- chis et les Frênes près des Hauts-Geneveys (Val-de-Ruz). 9 août 1912. — Jardin, Chaumont Nagel. 29 août 1912. — Jardin près du lac de Saint-Blaise. 9 septembre 1912. COLEOSPORIUM CAMPANULÆ (Pers.) Lév. Sur: Campanula pusilla Hænk. — Uredospores. Sentier des gorges du Doubs entre le Saut du Doubs et la Maison Monsieur. 28 septembre 1913. COLEOSPORIUM PETASITIS de Bary. Sur : Petusites albus (L.), Gärtn. — Uredos et téleutospores. Bois près de la Fontaine-Froide(Creux-du-Van).19 octobre 1913. — Bois, sentier de Rochefort à Tablette. 22 octobre 1913. PucciNiAsTRuM EpiLogir (Pers.) Otth. Sur: Epilobium hirsutum L. — Uredos et téleutospores. Bord du lac à Auvernier, près des bains des hommes. 20 sep- tembre 1913. (En compagnie de Epilobium roseum Schreber, également malade.) PORC PUCCINIASTRUM CIRCÆÆ (Schum.) Schræter. Sur : Circæa alpina L. — Uredospores. Forêts de la Grand°- Joux au-dessus des Ponts. 20 août 1911. Sur: Circæa intermedia Ehrh. — Uredospores. Sentier des gorges du Doubs, entre le Saut du Doubs et la Maison Mon- sieur. 28 septembre 1913. PUCCINIASTRUM GAL Link. Sur: Galium Mollugo L. — Uredospores. Sentier des gorges du Doubs, entre le Saut du Doubs et Moron. 28 sep- tembre 1913. MiLESINA KRIEGERIANA Magn. . our: Dryopleris Filix mas (L.) Schott. — Uredospores. Forêts près de la Fontaine-Froide (Creux-du-Van). 19 oc- tobre 1915. MILESINA VOGESIACA Syd. Sur : Dryopleris aculeata (L.) O. Kuntze, ssp. lobatum (Hud- son) Schinz et Tellung. -— Uredospores. Forêts près de la Fontaine-Froide (Creux-du-Van). 19 octobre 1915. Cette espèce, nouvelle pour la flore suisse, complète la série des Urédinées se développant sur les fougères et dont il ne reste plus que quelques-unes à trouver. J’ai recueilli Milesina vogesiaca à plu- sieurs endroits dans les forêts aux environs de la Fontaine- Froide, presque toujours au voisinage immédiat et en compa- gnie de Milesina Kriegeriana sur Dryopteris Filix mas et spinulosa. MELAMPSORA RIBESIH-AURITÆ Klebahn. Sur : Sulix Caprea L. — Uredos et téleutospores. Bois au- dessus de Rochefort, sur le sentier de Tablette. 12 octobre 1915. À la même station, depuis plusieurs années, j'ai observé en très grande quantité, en Juin, la présence de nombreux Cæoma sur les Ribes alpinum L. du voisinage. MELAMPSORELLA CARYOPHYLLACEARUM (DC.) Schrœæt. Sur: Stellaria nemorum L. — Uredospores. Forêts, Fon- taine-Froide (Creux-du-Van). 19 octobre 1943. ERYSIPHACÉES Cette famille, d’après mes observations de 1912 et 1913, ne se trouve enrichie d'aucune nouvelle espèce ; par contre, on verra dans Ja liste qui va suivre que j'ai eu l’occasion de recueillir des Oidium sur un assez grand nombre de plantes qui, jusqu'à maintenant, n'avaient pas été mentionnées parmi celles susceptibles, dans le canton de Neuchâtel, d’être infec- tées par ces parasites. Quelques-uns de ces supports phané- rogamiques sont également nouveaux pour la flore suisse, et certains même, à ma connaissance du moins, n’ont pas encore été mentionnés dans la littérature concernant ce sujet. SPHÆROTHECA HUMULI (DC.) Burr. Sur: Epilobium hirsutum L. — Bord du lac à Monruz près de Neuchâtel, 25 septembre 1912. Sur: ÆEpilobium montanum L. — Bois de Serroue sur Peseux. 10 septembre 1912. Sur: Potentilla reptans L. — Bord du lac à Monruz près de Neuchâtel. 25 septembre 1912. — Neuchâtel, bord du lac aux Saars. 21 juin 1913. — Bord du lac au Port d'Hauterive. 98 juin 1913. — Bord du lac, Auvernier et Colombier. 2 juillet 1913. — Bord du lac de Saint-Blaise et le long de la Thielle entre Thielle et Préfargier. 13 juillet 1913. Sur: Adenostyles alpina BI. Fing. — Chemin des Plan- chettes à Moron. 28 septembre 1913. Sur: Geranium rotundifolium L. — Neuchâtel, bord du lac aux Saars. 24 septembre 1913. SPHÆROTHECA Huxuri (DC.) Burr., var. FULIGINEA (Schlecht.). Sur: Euphrasia Rostkowiana Hayne. — Bois au-dessus de Bôle. 17 août 1912. Sur: Crepis biennis L. — Sentier des gorges du Doubs, entre le Saut du Doubs et la Maison Monsieur. 28 sep- tembre 1913. MicrosPHÆRA ALNI (Wallr.) Salm. Sur : Rhamnus cathartica L. — Taillis près du lac de Saint- Blaise. 11 octobre 1913. Eve C0 MERS EryYsSIPHE PozyGont DC. Sur: Alyssum calycinum L. — Neuchâtel, chemin des Valangines. 8 juillet 1912. Sur: Ononis spinosa Wallr. — Bord du lac à Colombier. 20 septembre 1912. Sur: Lotus corniculatus L. — Bord du lac à Colombier. 20 septembre 1912. Sur: Coronilla varia L. — Bord du lac à Colombier. 20 septembre 1912. — Haie aux Cadolles au-dessus de Neu- châtel. 22 juillet 1913. — Champs au Chanet sur Neuchâtel. 8 septembre 1913. — Bord du lac à Colombier. 7 septembre 1913. — Champs à Serroue sur Peseux. 20 septembre 1913. — Bord du lac à Vaumarcus. 25 octobre 1913. — Bord du ac entre Cortaillod et Bevaix. 18 octobre 1915. Sur : Papaver dubium L., ssp. Lecoquii (Lamotte) Rouy et Foucaud. — Décombres au bord du lac à Monruz près de Neuchâtel. 28 juin 1913. Sur: Dipsacus silvester Hudson. — Près de la Thielle à Epagnier. 13 juillet 1913. Sur: Medicago lupulina L. — Décombres à Beauregard près de Neuchâtel. 12 septembre 1913. Sur: Trifolium hybridum L. — Décombres au bord du lac à Monruz près de Neuchâtel. 23 septembre 1913. Sur: Galium Mollugo L. — Haies aux Planchettes près de La Chaux-de-Fonds. 28 septembre 1913. ERYSIPHE CICHORACEARUM DC. Sur: Aster novi-belqii L. — Jardins à Neuchâtel. Août à octobre 1912. Sur: Lithospermum arvense L. — Champs au Chanet au- dessus de Neuchâtel. 8 juillet 1913. Sur: Mentha aquaticu L. — Bord du lac entre Bevaix et Cortaillod. 18 octobre 1913. ErvYsiPpHE GALEOPSipiIs DC. Sur: Galeopsis dubia Leers. — Champs à Vaumarcus. 22 septembre 1913. ERYSIPHE Spec. Sur: Silene inflata Sm. — Taillis près du lac de Saint- Blaise. 25 juin 1915. À ces notes concernant uniquement le canton de Neu- châtel, je crois utile d'ajouter certains renseignements inté- ressant la flore suisse et qui résultent de diverses herborisa- tions. Je ne parlerai pas des riches matériaux recueillis depuis quelques années dans le canton du Valais, en compagnie des MM. Cruchet, car ceux que la question peut intéresser trou- veront tous les renseignements voulus dans les Bulletins de la Murithienne de ces dernières années. Dans Ja petite liste qui va suivre, 1l s’agit de quelques espèces intéressantes, soit par le support phanérogamique sur lequel elles ont été rencon- trées, soit par le fait qu’elles ont été observées pour la pre- mière fois dans la région du Jura (Puccinia Pyrethri et Ribis). PERONOSPORA TRIFOLIORUM de Bary. Sur: Melilotus albus Desr. — Bord du lac de Neuchâtel entre Grandson et les Tuileries de Grandson (canton de Vaud). 31 août 1912. PERONOSPORA SCHLEIDENI Unger. Sur: Allium ascalonicum L. — Champs près du Château de Montagny sur Yverdon (canton de Vaud). 3 août 1913. UROMYCES GENISTÆ TINCTORLE (Pers.) Winter. Sur: Cytisus sessilifolius L. — Uredospores. Pépinières d'horticulture entre Esserts et Montagny sur Yverdon (canton de Vaud). 27 septembre 1907. PucciNIA PYRETHRI Rabh. Sur: Chrysanthemum corymbosum L. — Uredos et téleu- tospores. Genève, La Jonction sur la rive droite du Rhône, au pied des falaises. 31 mai 1912. Cette espèce, à ma con- naissance du moins, n’a été rencontrée jusqu'ici que dans le canton du Tessin, sur les pentes du Monte (eneroso, où j'ai eu l’occasion de la récolter moi-même avec les MM. Cruchet. PuccinIA RtBis DC. Sur: Ribes petræum Wulf. — Téleutospores. Korêt, Col des Etroits entre Sainte-Croix et La Chaux (canton de Vaud). Août 1912, leg. Meylan (La Chaux), comm. D. Cruchet. Cette espèce, à ma connaissance, est une acquisition nouvelle pour la flore du Jura. MORE PuCCINIA ARENARIAE (Schum.) Winter. Sur: Ceruslium triviale Link. — Téleutospores. Clairières de bois, forêt de l’Etang au-dessus de Champvent près Yver- don (canton de Vaud). 27 août 1906. À Côté de Moehringia trinervia également malade. PuccinIA Poaruu Nielsen. Sur: Poa bullosa L. — Uredospores. Pelouses devant l’église de Montagny sur Yverdon (canton de Vaud). 25 mai 1912. PHRAGMiIDIUM RüBI (Pers.) Winter. Sur : Rubus dumetorum Weïhe. — Uredos et téleutospores. Lisière du Bois des Planches près de Montagny sur Yverdon (canton de Vaud). 5 juillet 1915. COoLEOSPORIUM MELAMPYRI (Rebent.) Klebahn. Sur: Melampyrum arvense L. — UÜredospores. Neuveville (canton de Berne). 5 août 1886. Ex-herb. Jacob. J’ai relevé cette espèce dans l’herbier Jacob, très aimablement mis à ma disposition par M. Moreilion, inspecteur forestier à Montche- rand sur Orbe, qui le possède actuellement. COLEOSPORIUM CAMPANULÆ (Pers.) Lév. Sur: Specularia Speculum À. DC. — Uredospores. Champs près de Montagny sur Yverdon (canton de Vaud). 1er juillet 1912, leg. D. Cruchet. Sauf erreur, ce support n’est mentionné jusqu'ici que dans le canton des Grisons et est nouveau pour la région du Jura. SPHÆROTHECA HuMULI (DC.) Burr., var. FULIGINEA (Schlecht.). Sur : Crepis fœlida L. — Talus de chemin de fer, près de la gare de Grandson (canton de Vaud). 14 septembre 1912. ERYSIPHE CICHORACEARUM DC. Sur: Cirsium palustre (L.) Scop. — Champs, près du Château de Chamblon sur Yverdon (canton de Vaud). 5 no- vembre 1911. x Contribution à la malacologie terrestre et fluviatile de la Bretagne De Saint-Brieuc à Plouha Par JEAN PIAGET La Bretagne, si curieuse par sa faune presque xérother- mique résultant d’un climat extrêmement sec, assez chaud et naturellement très maritime, est peu connue sous le rapport des mollusques extramarins. Cependant ces animaux sont la base la plus solide sur laquelle on puisse étudier la zoogéo- graphie d’une région. BouRGUIGNAT, en 1860, avait bien visité, en courant il est vrai, tout le littoral breton, mais dans son catalogue, déjà très complet, on ne trouve aucun renseigne- ment zoogéographique. Aussi m'a-t-il paru utile d'explorer en détail un petit territoire, pour pouvoir établir les différentes zones faunistiques de la contrée. Dans ce but, j'ai parcouru à pied toutes les localités que je mentionne, de Saint-Brieuc à Plouha, ainsi que les terres qui les relient. Cette étude comprend d’abord une partie faunistique donnant approximativement la faunule de chaque station, puis la liste des espèces trouvées, que j'énumère dans l’ordre de leur abondance. Vient ensuite une partie systématique, cata- loguant toutes les formes recueillies, en suivant la classifica- tion actuelle. Pour chaque espèce, on trouvera les nouvelles localités observées, la biologie dans les conditions bretonnes et la distribution en Bretagne. Je termine par des conclusions zoogéographiques, répartissant la faune de Saint-Brieuc à Plouha en zones d'habitation, et esquissant brièvement l’ana- lyse faunistiques de matériaux trouvés. 1 BOURGUIGNAT, J.-R. Malacologie terrestre et fluviatile de la Bretagne. Paris, chez Baïllère, 178 pages et 2 planches. I. PARTIE FAUNISTIQUE A. Etude des stations. Environs de Naint-Brieuc et du Légué, — Je ne fais que rapporter ici les observations que BOURGUIGNAT à faites dans cette station, la seule qu’il ait étudiée : Arion einpiricorum. Limax cinereus. Agriolimax agrestis. Hyalina cellaria. — Draparnaldi. Patula rotundata. Helix aspersa. Tachea nemoralis. — hortensis. Xerophila variabilis. — submaritima. Xerophila intersecta. — acuta. Buliminus obscurus. Cochlicopa lubrica. Clausilia bidentata. Odostomia cylindracea. Succinea putris. — Pfeifferi. Limnæa limosa. — truncatula. Planorbis rotundatus. Le Sépulcre, — Dans la lande : Hyalina subglabra. Arion hortensis. Patula rotundata. Helix aspersa. Tachea subaustriaca. Odostomia cylindracea. La Ville Comor, — Station au pied des falaises, presque au niveau du balancement des marées : Helix aspersa. Xerophila variabilis. Cæcilianella enhalia. Pupilla muscorum. — submaritima. Odostomia cylindracea. — _intersecta. Clausilia bidentata. — acula. Naint-Laurent. — Les deux premières espèces ont été trou- vées dans des conditions très humides et les quatre dernières sur la fhalaise, du côté du Roselier : a) Limnæa truncatula. Arion empiricorum. b) Helix aspersa. 3 Xerophila variabilis. — intersecta. Odostomia cylindracea. BULL. SOC. SC. NAT. T. XLI Pointe du Roselier, — Sur les falaises, dans des endroits extrêmement secs et chauds : Hyalina cellaria. Xerophila submaritima. — subglabra. — _intersecta. Fruticicola psaturochæta. Odostomia cylindracea. Helix aspersa. Plerin, — Trouvés dans la lande: Agriolimax agrestis. Helix aspersa. Arion empiricorum. Tachea subaustriaca. Patula rotundata. Xerophila intersecta. La Ville Herdoré. — Trouvés soit dans un ilot hygrophile, soit dans les endroits secs de la lande : Hyalina subglabra. Helix aspersa. — nitidula. Tachea subaustriaca. Fruticicola hispida. Odostomia cylindracea. Xerophila variabilis. Succinea Pfeifferi. — submaritima. Ancylus fluviatilis. — intersecta. La Ville Gaudin, — Dans la lande : Hyalina cellaria. Xerophila intersecta. — nitidula. — submaritima. Patula rotundata. Cochlicopa lubrica. Helix aspersa. Odostomia cylindracea. Kerpeux. Aux alentours du hameau, en partie dans la lande, en partie dans des endroits humides : Limax Sowerbyi. Helix aspersa. Hyalina subglabra. Tachea subaustriaca. Arion empiricorum. Xerophila intersecta. Comauton, — Quelques espèces près d’un ruisseau, d’au- tres dans la lande : Hyalina nitidula. Tachea subaustriaca. Patula rotundata. Xerophila intersecta. Fruticicola hispida. — submaritima. Helix aspersa. Limnæa truncatula. — 35 Sainte-Croix. Comme dans les stations précédentes, quelques espèces ont été trouvées dans la lande, d’autres dans un ilot hygrophile : Hyalina Draparnaldi. Patula rotundata. Fruticicola occidentalis. Helix aspersa. Succinea Pfeifferi. Limnæa truncatula. Ancylus fluviatilis. Les Rosaires, — Le long de la grève des Rosaires, presque au niveau du balancement des marées. Quelques espèces ont été trouvées dans un ruisseau : Hyalina nitidula. Crystallus cristallinus. Arion empiricorum. Vallonia pulchella. Xerophila variabilis. Helix aspersa. Cochlicopa lubrica. Cæcilianella acicula. Pupilla muscorum. Odostomia cylindracea. — submaritima. Limnæa limosa. — intersecta. — Balthica. 1 Daniels — truncatula. — acuta. Ancylus fluviatilis. Fruticicola hispida. La Ville Auvray. Dans la lande : Hyalina subglabra. nitidula. subnitens. Arion empiricorum. Patula rotundata. Fruticicola hispida. La Toisse, Vitrina pellucida. Hyalina Draparnaldi. cellaria. subglabra. nitidula. Helix aspersa. Tachea subaustriaca. Xerophila variabilis. submaritima. intersecta. Dans la lande: Patula rotundata. Helix aspersa. Tachea subaustriaca. Odostomia cylindracea. Tréméloir, — Ilot hygrophile : Limax cinereus. Hyalina cellaria. nitidula. radiatula. Tachea subaustriaca. Helix aspersa. Odostomia cylindracea. Succinea Pfeifferi. Ancylus fluviatilis. Pisidium nitidum. Pordie, — [lots hygrophiles ou dans la lande : Limax maximus. Tachea subaustriaca. Agriolimax agrestis. Xerophila intersecta. Arion empiricorum. — submaritima. Patula rotundata. Odostomia cylindracea. Helix aspersa. La Ville Rouault, — Dans la lande : Hyalina Draparnaldi. Tachea hortensis. — septentrionalis. — subaustriaca. — cellaria. Xerophila variabilis. — subglabra. — intersecta. Helix aspersa. Odostomia cylindracea. La Ville Louais. — Soit dans la lande, soit dans un grand ilot hygrophile auquel appartiennent en outre quelques espèces de la station suivante et la Tachea hortensis de la localité pré- cédente : Limax cinereus. Helix aspersa. Hyalina subglabra. Odostomia cylindracea. Patula rotundata. Succinea Pfeifferi. Tachea nemoralis. Limnæa limosa. Xerophila submaritima. Ancylus fluviatilis. — intersecta. Pisidium fossarimum. La Ville l'Evêque. — Près de la station précédente ou dans la lande : Vitrina pellucida. Helix aspersa. Hyalina subglabra. Tachea nemoralis. — nitidula. Xerophila intersecta. Arion empiricorum. Odostomia cylindracea. Patula rotundata. Falaises entre le Havre de Pordic et les Rosaires : Helix aspersa. Xerophila variabilis. Tachea subaustriaca. — intersecta. Pupilla muscorum. — acuta. Odostomia cylindracea. Falaises entre le Havre de Pordic et le Beaumadec : Hyalina subglabra. Tachea subaustriaca. Patula rotundata. Odostomia cylindracea. Helix aspersa. 91 — Le Beaumadec. — Ilot hygrophile situé dans un vallon arrosé par un petit ruisseau : Patula rotundata. Helix aspersa. Tachea nemoralis. Succinea Pfeifferi. Limnæa limosa. Ancylus fluviatilis. Pisidium fossarinum. Le Merle, — Au bord d’un ruisseau ou dans le cours d’eau même : Hyalina cellaria. subglabra. Crystallus crystallinus. Patula rotundata. Vallonia pulchella. Tachea nemoralis. Helix aspersa. Cochlicopa lubrica. Odostomia cylindracea. Limnæa vulgaris. Succinea Pfeifferi. Carychium minimum. Physa fontinalis. Ancylus fluviatilis. Sphærium rivale. Pisidium nitidum. Quévrau. — Dans la lande ou dans un ilot hygrophile : Patula rotundata. Xerophila variabilis. submaritima. intersecta. La Ville au Dor. dans la lande : Hyalina Draparnaldi. Fruticicola hispida. Patula rotundata. Tachea subaustriaca. Helix aspersa. Odostomia cylindracea. Balea perversa. La plupart hygrophiles, deux ou trois Helix aspersa. Xerophila intersecta. Odostomia cylindracea. Queray, — Ilot hygrophile, déterminé par la présence d’un ruisseau : Agriolimax agrestis. Vitrina pellucida. Hyalina Draparnaldi. Patula rotundata. Tachea nemoralis. Odostomia cylindracea. Succinea Pfeifferi. Buliminus obscurus. Balea Heydeni. Clausilia bidentata. Physa fontinalis. Ancylus fluviatilis. Pisidium nitidum. 38 — Trégomeur, — [lots hygrophiles : Hyalina subglabra. Vitrina pellucida. Agriolimax agrestis. Patula rotundata. Fruticicola hispida. Helix aspersa. Tachea nemoralis. Cochlicopa lubrica. Odostomia cylindracea. Equivy. — Station hygrophile au bord de l’Ic: Hyalina nitidula. — subglabra. Fruticicola hispida. Helix aspersa. Tachea nemoralis. Xerophila intersecta. Odostomia cylindracea. Limnæa limosa. Ancylus capuloïdes. — fluviatilis. Cours inférieur de l’Ic. — Soit dans la rivière elle-même, soit dans les stations sylvatiques des environs : Limax arborum. Hyalina subglabra. Arion empiricorum. Patula rotundata. Vallonia pulchella. Fruticicola hispida. Tachea nemoralis. — hortensis. Limnæa limosa. — peregra. — palustris. — turricula. — truncatula. — glabra. Planorbis rotundatus. — spirorbis. — albus. — stelmachætius. Ancylus capuloïdes. — fluviatilis. Cochlicopa lubrica. Odostomia cylindracea. Succinea putris. — Pfeifferi. — virescens. Carychium minimum. Physa fontinalis. Alexia denticulata et var. Velletia lacustris. Sphærium corneum. — rivale. — Draparnaldi. Pisidium amnicum. — elongatum. — fossarinum. — pusillum. — obtusale. — intermedium. Peringia ulvae. Hydrobia stagnalis. La Ville Biart, — Ilot sylvatique : Hyalina subglabra. — rotundata. Arion empiricorum. Helix aspersa. Tachea hortensis. — nemoralis. Odostomia cylindracea. Carychium minimum. DS PVO Gieler, — Soit dans un ilot hygrophile, soit dans la lande : Agriolimax agrestis. Tachea subaustriaca. Vitrina pellucida. Xerophila acuta. Hyalina cellaria. — intersecta. — Draparnaldi. — submaritima. Vallonia pulchella. — variabilis. — costata. Cochlicopa lubrica. Fruticicola rufescens. Odostomia cylindracea. Helix aspersa. Falaises entre le Beaumadec et Binic : ANRINE Draparnaldi. Patula rotundata. septentrionalis. Helix aspersa. — cellaria. Tachea subaustriaca. — subglabra. Xerophila intersecta. — nitidula. Odostomia cylindracea. — pura. Jardins de Binic donnant sur la Banche, — La plupart des espèces dans des endroits humides et abrités : Limax cinereus. Arion empiricorum. Agriolimax agrestis. — hortensis. Vitrina pellucida. Fruticicola hispida. Hyalina subglabra. Helix aspersa. — nitidula. Xerophila intersecta. — subnitens. Cochlicopa lubrica. La Banche, Au pied des falaises, à quelques mètres au- dessus du niveau du balancement des marées. Sous les cail- loux et sur les herbes, dans un milieu extrêmement sec et aride : Helix aspersa. Odostomia cylindracea. Xerophila intersecta. Clausilia bidentata. Tachea subaustriaca. Plage de l’Avant Port à Binic, — Dans les mêmes condi- tions que la station précédente : Hyalina Draparnaldi. Odostomia cylindracea. Helix aspersa. Vertigo pygmæa. Tachea subaustriaca. Clausilia bidentata. Xerophila intersecta. Ericia elegans. = AU — La Ville Garnier, — Quelques espèces dans un milieu humide, les autres presque sur la falaise, dans les endroits secs et chauds : Vitrina pellucida. Helix aspersa. Hyalina subglabra. Odostomia cylindracea. Arion empiricorum. Clausilia bidentata. Fruticicola hispida. Vertigo pygmæa. — _ psaturochæta. Ericia elegans. Xerophila intersecta. Bois de Bourgogne, — Grand ilot sylvatique, très humide : Limax tenellus. Patula rotundata. Hyalina subglabra. Punctum pygmæum. — radiatula. Arion hortensis. — nitidula. Acanthinula aculeata. Vitrina pellucida. Cochlicopa lubrica. Euconulus fulvus. Balea perversa. Notre Dame de la Cour. — Quelques espèces dans la lande, les autres dans un petit ilot hygrophile : Limax maximus. Fruticicola hispida. Agriolimax agrestis. Helix aspersa. Hyalina nitidula. Tachea subaustriaca. Arion empiricorum. Buliminus obscurus. Patula rotundata. Cochlicopa lubrica. Naïint-Pabin. — Dans la lande et au bord d’un ruisseau : Agriolimax agrestis. Patula rotundata. Vitrina pellucida. Helix aspersa. Hyalina Draparnaldi. Tachea subaustriaca. — nitidula. Xerophila intersecta. Arion empiricorum. Limnæa limosa. — subfuscus. La Ville Mello. — Ilot hygrophile : Limax arborum. Helix aspersa. Hyalina Draparnaldi. Xerophila intersecta. — nitidula. Limnæa truncatula. Crystallus crystallinus. Planorbis rotundatus. Arlon empiricorum. Ancylus fluviatilis. Tachea hortensis. Pisidium pusillum. — nemoralis. Sphærium Draparnaldi. PAM LS Lantic, — Dans la lande : Limax cinereus. Tachea subaustriaca. Agriolimax agrestis. Xerophila intersecta. Fruticicola hispida. Odostomia cylindracea. Helix aspersa. La Ville Josse, — Egalement dans la lande ou dans des ilots hygrophiles : Hyalina subglabra. Helix aspersa. — nitidula. Tachea subaustriaca. Arion empiricorum. Buliminus obscurus. Patula rotundata. Odostomia cylindracea. Fruticicola hispida. Chapelle Saïint-Jilles, — Dans la lande, en un endroit par- ticulièrement sec : Hyalina cellaria. Tachea subaustriaca. Patula rotundata. Xerophila intersecta. Helix aspersa. La Ville Jacob, — Dans la lande : Agriolimax agrestis. Helix aspersa. Hyalina Draparnaldi. Tachea subaustriaca. Patula rotundata. Odostomia cylindracea. Fruticicola hispida. Xerophila intersecta. Arion empiricorum. Gicquel, — Egalement dans la lande : Patula rotundata. Xerophila intersecta. Helix aspersa. Pupilla muscorum. Tachea subaustriaca. Odostomia cylindracea. Naint-Roch. — [lot hygrophile : Limax arborum. Tachea nemoralis. Arion hortensis. — hortensis. Fruticicola hispida. Odostomia cylindracea. Helix aspersa. Balea Heydeni. Xerophila intersecta. La Cour, — Dand la lande : Patula rotundata. Xerophila intersecta. Fruticicola hispida. — variabilis. Helix aspersa. Odostomia cylindracea. Tachea subaustriaca. 42 Entre Binic et Etables, — Sur les falaises, en pleine séche- resse et exposition au soleil : Patula rotundata. Helix aspersa. Tachea subaustriaca. Odostomia cylindracea. Clausilia bidentata. Xerophila variabilis. — submaritima. — _intersecta. Ericia elegans. Etables. — Environs du village, soit dans la lande, soit dans un îlot hygrophile: Agriolimax agrestis. Vitrina pellucida. Arion empiricorum. Crystallus crystallinus. achea nemoralis. — subaustriaca. Xerophila submaritima. — _intersecta. Hyalina subglabra. — nitidula. — subnitens. — _ pura. — radiatula. Helix aspersa. Odostomia cylindracea. Clausilia bidentata. Au pied des falaises, jusque presque au niveau du balan- cement des marées : Hyalina cellaria. Arion empiricorum. — Draparnaldi. Xerophila intersecta. — subglabra. — acuta. — nitidula. Cæcilianella enhalia. Odostomia cylindracea. Clausilia bidentata. Ericia elegans. Patula rotundata. Fruticicola hispida. Helix aspersa. Tachea subaustriaca. Grottes du littoral. — A Binic, dans une grotte profonde d’une dizaine de mètres, haute d’environ 1,50 et large d'à peine 1 m. Peu après son orifice, elle devient complètement privée de lumière, par le fait d'un circuit. Ses parois sont suintantes, dépourvues de végétation et habitées par des araignées, des cloportes — dont quelques-uns extrêmement pâles — et quelques insectes : Hyalina speicola nov. var. et Limnæa spelæa. À Etables, dans une excavation analogue, très sombre et baignée par l’eau de mer au moment des fortes marées, ainsi que la grotte précédente : Limnæa truncatula. ROC DE Eimoron. — Dans la lande, dans une station extrêmement sèche et chaude : Fruticicola occidentalis. Xerophila intersecla. Xerophila submaritima. Tachea subaustriaca. La Ville Durand, — [lot hygrophile : Limax cinereus. Helix aspersa. Agriolimax agrestis. Fruticicola hispida. Hyalina subglabra. Patula rotundata. Vitrina pellucida. Tachea nemoralis. Crystallus crystallinus. Xerophila intersecta. Arion empiricorum. Cochlicopa lubrica. — subfuscus. Odostomia cylindracea. — hortensis. Plourhan., — La plupart des formes ont été trouvées dans un ilot hygrophile : Agriolimax agrestis. Fruticicola hispida. Hyalina subglabra. Helix aspersa. — Draparnaldi. Tachea nemoralis. Arion empiricorum. Limnæa peregra. — hortensis. — truncatula. Patula rotundata. Planorbis spirorbis. Le Chanet. — Dans la lande et près d’un ruisseau : Limax arborum. Tachea subaustriaca. Vitrina pellucida. Xerophila submaritima. Patula rotundata. — variabilis. Helix aspersa. — _intersecta. Bringolo. — Dans la lande : Agriolimax agrestis. Xerophila intersecta. Arion hortensis. — submaritima. Fruticicola hispida. Cochlicopa lubrica. Helix aspersa. Kergrain. — Ilot hygrophile et dans la lande : Limax tenellus. Arion empiricorum. — Sowerbyi. — subfuscus. Agriolimax agrestis. — hortensis. Patula rotundata. Helix aspersa. RL de Bobihen., — Idem : Agriolimax agrestis. Tachea nemoralis. Arion subfuscus. Xerophila intersecta. Patula rotundata. Helix aspersa. Fruticicola hispida. | Limnæa glabra. Bois de la Salle, — En pleine forêt, dans des endroits très humides et couverts: Limax cinereus. Patula rotundata. Vitrina pellucida. Arion empiricorum. Hyalina subglabra. — subfuscus. — cellaria. — hortensis. — nitidula. Tachea nemoralis. — pura. Buliminus obscurus. — viridula. Cochlicopa lubrica. Crystallus erystallinus. Carychium minimum. Punctum pygmæum. Pléguien, — Dans la lande ou au bord des ruisseaux : Limax Sowerbyi. Helix aspersa. Agriolimax agrestis. Tachea subaustriaca. Vitrina pellucida. Cochlicopa lubrica. Hyalina subglabra. Odostomia cylindracea. Arion empiricorum. Planorbis rotundatus. Patula rotundata. Kervénec, — [lot hygrophile : Hyalina subglabra. Helix aspersa. Arion empiricorum. Tachea nemoralis. — subfuscus. Odostomia cylindracea. Patula rotundata. Bois du Lisandré. — Forêt très humide et sombre : Limax maximus. Hyalina cellaria. — cinereus. — subglabra. — tenellus. — nitidula. Vitrina pellucida. — subnitens. Crystallus crystallinus. — pura. pseudohydatinus. — viridula. Euconulus fulvus. Fruticicola hispida. Patula rotundata. Tachea hortensis. Arion empiricorum. Buliminus obscurus. — subfuscus. Cochlicopa lubrica. — hortensis. Odostomia cylindracea. A la lisière des bois, dans plus chauds vit: 45 des endroits mieux exposés et Balea Heydeni. Entre Etables et Portrieux, exposition au soleil : Vitrina pellucida. Hyalina radiatula. Fruticicola oceidentalis. psaturochæta. Helix aspersa. De Portrieux à Saint-Quay. que la station précédente : Hvalina cellaria. subglabra. nitidula. Fruticicola psaturochæta. Helix aspersa. Tachea subaustriaca. Arion hortensis (un seul exemplaire mort). Portrieux, Agriolimax agrestis. Hyalina nitidula. Arion empiricorum. — Sur les falaises en pleine Xerophila intersecta. acuta. Odostomia cylindracea. Clausilia bidentata. Ericia elegans. — Dans les mêmes conditions Xerophila intersecta. variabilis. submaritima. acuta. Cæcilianella enhalia. Odostomia cylindracea. Clausilia bidentata. Ericia elegans. Dans la lande : Helix aspersa. Tachea subaustriaca. Odostomia cylindracea. Naint-Quay, — Ilot hygrophile : Limax maximus. Agriolimax agrestis. Vitrina pellucida. Hyalina cellaria. nitidula. Frulicicola hispida. Arion empiricorum. subfuscus. Helix aspersa. Tachea subaustriaca. Xerophila variabilis. intersecta. Les deux Arion vivent ensemble, mais les jeunes empiri- corum sont très différents des subfuscus par leur sculpture grossière. Beaugouyan, Hyalina cellaria. nitidula. Arion subfuscus. Dans un îlot hygrophile ou dans la lande : Xerophila submaritima. Odostomia cylindracea. Limnæa peregra. Helix aspersa. Patula rotundata. Planorbis rotundatus. Plouha, — Soit dans un ilot hygrophile, soit dans les en- droits extrêmement secs de la lande (Fruticicola occidentalis en particulier) : Agriolimax agrestis. — reticulatus. Vitrina pellucida. Hyalina cellaria. Arion empiricorum. — subfuscus. Fruticicola occidentalis. Fruticicola hispida. Helix aspersa. Tachea subaustriaca. Xerophila intersecta. Cochlicopa lubrica. Odostomia cylindracea. Ancylus fluviatilis. Tréveneue., — Grand ilot hygrophile : Limax arborum. Agriolimax agrestis. — reticulatus. Hyalina subglabra. Crystallus crystallinus. Arion empiricorum. — subfuscus. — hortensis. Patula rotundata. Fruticicola rufescens. — hispida. Tachea nemoralis. — hortensis. Helix aspersa. Cochlicopa lubrica. Carychium minimum. Port-André. — Endroits très secs et chauds de la lande : Hyalina nitidula. Patula rotundata. Fruticicola occidentalis. Tachea subaustriaca. Helix aspersa. Cochlicopa lubrica. Odostomia cylindracea. De Saint-Quay au Palus. — Le long des falaises, par la pointe du Bec de Vir: Vitrina pellucida. Hyalina cellaria. — subglabra. Fruticicola occidentalis. Helix aspersa. Tachea subaustriaca. Xerophila intersecta. — acula. Odostomia cylindracea. Cochlicopa lubrica. Le Palus. — Jusqu'au niveau du balancement des marées, parmi les Crèthmum marilimum : Vitrina pellucida. Hyalina cellaria. — subglabra. Fruticicola occidentalis. Helix aspersa. Tachea subaustriaca. Xerophila intersecta. Odostomia cylindracea. Clausilia bidentata. Alexia ringicula. B. Faune de quelques formations quaternaires récentes. Binie, — Ce dépôt, ainsi que les suivants, est constitué par des amas terreux, situés dans les champs : Helix aspersa. Tachea subaustriaca. Xerophila submaritima. Pupilla muscorum. —— intersecta. Planorbis rotundatus. “La Ville au Dor: Limax maximus. Patula rotundata. Vitrina pellucida. Tachea subaustriaca. Hyalina Draparnaldi. — hortensis. — nitidula. Odostomia cylindracea. Quévrau : Xerophila variabilis (minor). Helix aspersa. — intersecta. Les Rosaires : Helix aspersa. Xerophila subrmaritima. Fruticicola hispida. — acuta. Vallonia pulchella. Pupilla muscorum. Cæcilianella acicula. La Toisse : Hyalina subglabra. Tachea subaustriaca. Patula rotundata. Xerophila intersecta. Fruticicola hispida. Limnæa truncatula. Helix aspersa. Saint-Jilles : Agriolimax agrestis. Xerophila variabilis. Helix aspersa. — _intersecta. Tachea subaustriaca. Etables : Helix aspersa. Clausilia bidentata. Tachea subaustriaca. Ericia elegans. Xerophila intersecta. Portrieux-Naint-Quay : Hyalina cellaria. — subglabra. — nitidula. Fruticicola psaturochæta. Helix aspersa. Tachea subaustriaca. Cæcilianella enhalia. © O0 I O OT CO NO Xerophila variabilis. submaritima. intersecta. acuta. Odostomia cylindracea. Clausilia bidentala. Ericia elegans. C. Catalogue des formes récoltées, dans leur rang d’abondance. . Helix aspersa. . Arion empiricorum. . Tachea subaustriaca. . Xerophila intersecta. . Patula rotundata. . Odostomia cylindracea. . Agriolimax agrestis. . Hyalina nitidula. . Fruticicola hispida. . Xerophila submaritima. . Tachea nemoralis. . Limax cinereus. . Ancylus fluviatilis. . Hyalina subglabra. . Cochlicopa lubrica. . Hyalina Draparnaldi. . Vitrina pellucida. . Limnæa limosa. . Hyalina cellaria. . Succinea Pfeiffer. 1. Pisidium pusillum. . Sphærium rivale. . Limnæa truncatula. . Xerophila acuta. . Limnæa palustris. . Sphærium corneum. . Crystallus crystallinus. . Planorbis rotundatus. . Arion hortensis. . Pisidium fossarinum. . Planorbis albus. . Tachea hortensis. . Alexia denticulata. . Peringia ulvæ. . Vallonia pulchella. . Physa fontinalis. . Pupilla muscorum. . Hyalina radiatula. . Ancylus capuloides. . Pisidium amnicum. . Hyalina septentrionalis. . Buliminus obscurus. . Hyalina subnitens. . Limnæa glabra. . Limax arborum. . Planorbis spirorbis. . Ericia elegans. . Cæcilianella enhalia. . Arion subfuscus. . Fruticicola psaturochæta. . Cæcilianella acicula. . Succinea putris. . Limnæa peregra. . Sphærium Draparnaldi. . Pisidium nitidum. . Fruticicola occidentalis. . Amalia Sowerbyi. . Vertigo premæa. . Balea Heydeni. . Carychium minimum. 61. Limnæa turricula. 74. Limnæa Baltnica. 62. Planorbis stelmachætius. 75. Fruticicola rufescens. 63. Pisidium obtusale. 76. Limnæa spelæa. 64. Vallonia costata. 77. Hyalina speicola. 65. Limax tenellus. 78. Pisidium intermedium. 66. Hyalina viridula. 79. Alexia Armoricana. 67. Euconulus fulvus. 80. Xerophila Danieli. 68. Balea perversa. 81. Alexia ringicula. 69. Pisidium elongatum. 82. Crystallus 70. Agriolimax reticulatus. pseudohydatinus. 71. Limnæa vulgaris. 83. Acanthinula aculeata. 72. Punctum pygmæum. . Hydrobia stagnalis. 73. Succinea virescens. II. PARTIE SYSTÉMATIQUE CI. GASTROPODA. S. Cl. Pulmonata. Ord. STYLOMMATOPHORA. Fam. Vitrinidæ, Gen. Limax Müll. 1. LIMAX (HEYNEMANNIA) MAXIMUS L. Biologie. — Dans les lieux humides de la lande et des forêts, sous les pierres, le bois mort et sur les vieux troncs. Habitat. — Pordic, Saint-Quay et au bois du Lisandré; subfossile à la Ville au Dor. Distribution. — BOURGUIGNAT ne distingue pas le type ma- æimus de la var. cinerea. Il signale sa Limax cinereus au Mor- bihan, au Finistère (rare, se trouve aux environs de Morlaix), près de Saint-Brieuc et un seul exemplaire à Saint-Malo. Var. CINEREA Müll. Biologie. — Sous les pierres, dans les forêts ou les jardins. Habitat. — Saint-Brieuc, la Ville Louais, Tréméloir, Binic (jardins de la Banche), la Ville Durand, Lantic, Notre Dame de la Cour, bois de la Salle et bois du Lisandré. 4 BULL. SOC. AC. NAT. FT. XLI — 00 — 2. Limax (HEYNEMANNIA) TENELLUS Nils. Biologie. — Dans les forêts, sous les pierres et le bois mort. Habitat. — Bois de Bourgogne, Kergrain et forêt du Lisandré. Distribution. — Cette espèce n’est pas signalée en Bretagne par BOURGUIGNAT. 3. LIMAX (SIMROTHIA) ARBORUM Bouche-Cantraine. Biologie. — Dans les endroits très humides, sous les pierres, le bois mort, sur les vieux troncs. Habitat. — La Ville Mello, sur les bords de l’Ic (dans son cours inférieur), au Chanet et à Saint-Roch. Distribution. — Pas plus que le précédent, ce mollusque n’a été trouvé en Bretagne par BOURGUIGNAT. On l’a signalé dans le Morbihan. Gen. Amalia Moq. Tand. 4. AMALIA SOWERBYI Fér. Biologie. — Dans la lande, sous les pierres et les ajoncs. Habitat. — Kerpeux, Pléguien et Kergrain. Distribution. — Cette espèce, d’origine hibérique, parait avoir suivi les côtes océaniques jusqu’en Grande Bretagne, au temps où ce dernier pays faisait encore partie du continent. En Bretagne, elle a été recueillie dans le Morbihan, en parti- culier aux environs de Vannes. Gen. Agriolimax Simroth. 9. AGRIOLIMAX AGRESTIS (L.). Biologie. — Dans la lande ou les jardins, sous les pierres, le bois mort; parfois dans les forêts sous de vieux troncs. Habitat. — Saint-Brieuc, Queray, Trégomeur, Binic (et sur la Banche), Gielier, Saint-Jilles, la Ville Jacob, Etables, Pordic, Plourhan, la Ville Durand, Bringolo, Kergrain, Bobihen, Lantic, Pléguien, Notre Dame de la Cour, Saint-Pabin, Trévéneuc et Plouha. Subfossile à Saint-Jilles. Distribution. — Commune un peu dans toute la Bretagne. Var. RETICULATA Müller. Variété vivant dans les mêmes conditions que le type, trouvée à Trévéneuc et à Plouha. NE QE Gen. Vitrina Drap. 6. VITRINA PELLUCIDA (Müll.). Biologie. — Dans la lande : sous les pierres, dans de vieux murs, au pied des haies. Dans les forêts: sous le bois mort, les feuilles sèches, contre les rochers humides, etc. Habitat. — Queray, la Toisse, Trégomeur, Binic (sur la Banche), la Ville Garnier, Gielier, la Ville l’Evêque, le Chanet, la Ville Durand, Saint-Pabin, Pléguien, bois de Bourgogne, forêt du Lisandré, bois de la Salle, Etables, falaises entre Etables et Portrieux et entre Saint-Quay et le Palus, Saint- Quay, Plouha ; pied des falaises au Palus. Subfossile à la Ville au Dor. Distribution. — Cette espèce n’est pas signalée par Bour- GUIGNAT, mais il est fort probable qu’elle est identique à sa Vitrina major, commune dans toute la Bretagne. La station la plus rapprochée de notre territoire est Dinan et ses environs. Gen. Hyalina Fér. 7. HYALINA (EUHYALINA) CELLARIA Müll. Biologie. — Sur les falaises : sous les pierres et au pied des buissons d’ajoncs. Au pied des falaises, parfois jusque pres- qu’au niveau du balancement des marées : parmi les crithmes (Crithmum maritimum) et sous les cailloux. Dans les forêts ou dans la lande : sous le bois pourri, les feuilles mortes, etc. Habitat. — Saint-Brieuc, la Toisse, Tréméloir, pointe du Roselier, la Ville Gaudin, le Merle, Gielier, Saint-Jilles, la Ville Rouault, pied des falaises à Etables et au Palus, Saint- Quay, bois du Lisandré, de la Salle; falaises entre le Beau- madec et Binic, entre Portrieux et Saint-Quay et de là au Palus ; Beaugouyan et Plouha. Subfossile entre Portrieux et Saint-Quay. Distribution. — Par places : signalée par BOURGUIGNAT dans le Morbihan, le Finistère, à Saint-Brieuc et à Dinan. 8. HYALINA (EUHYALINA) DRAPARNALDI Beck. Biologie. — Sur les falaises ou à leur pied ; dans la lande, sous les pierres, le bois mort, les buissons, les ajoncs, etc. Habitat. — Saint-Brieuc, la Toisse, Sainte-Croix, la Ville au Dor, Queray, Gielier, la Ville Jacob, la Ville Rouault, Plourhan, LA PORTA Saint-Pabin et la Ville Mello; falaises entre le Beaumadec et Binic ; au pied des falaises à Binic (plage de l’Avant Port) et à Etables. Distribution. — Signalée dans les cinq départements de la Bretagne. Var. SEPTENTRIONALIS Bourg. Biologie. — Dans les endroits assez secs, ordinairement sous de grosses pierres, ce qui semble produire leur forme déprimée. Habitat. — La Ville Rouault et sur les falaises entre Binic et Beaumadec. 9. HYALINA (EUHYALINA) SUBGLABRA Brot. Biologie. — Un peu partout, sous les pierres, le bois mort, dans les vieux murs, etc. Habitat. — La Toisse, le Sépulcre, Trégomeur, pointe du Roselier, la Ville Herdoré, Kerpeux, la Ville Auvray, le Merle, Binic, la Ville Garnier, la Ville Rouault, falaises entre le Havre de Pordic et le Beaumadec et entre le Vallon et Binic; le long de l’Ic, la Ville Louais, la Ville l'Evêque, Etables, Equivv, Plourhan, la Ville Josse, la Ville Durand, Pléguien, Kervénec, forêt du Lisandré, bois de la Salle, Tréveneuc, bois de Bour- gogne ; falaises de Portrieux à Saint-Quay et de là au Palus ; pied des falaises à Etables et au Palus. Subfossile à la Toisse et entre Portrieux et Saint-Quay. Distribution. — La localité originale de cette espèce est Vannes (Morbihan); elle a été recueillie également par Bour- GUIGNAT dans le Finistère et les Côtes du Nord. Ce mollusque est du reste largement distribué en France et dans l'Europe centrale. On l’a même — à tort — identifié avec la Hyalina Helvetica Blum, du Jura suisse, forme assez différente. Var. SPEICOLA NOV. var. Animal pallidius. — Testa minor typo, multo depressior, fragi- lior et pallidior. Animal effilé, blanc jaunâtre, pâle, ardoisé en dessus, lisse, à peine un peu rugueux en dessus. Tentacules très courts, les inférieurs fortement renflés à leur sommet, deux fois moins longs que les autres, blanchâtres ; les supérieurs noirûtres, également très renflés, portant des yeux extrêmement petits, non visibles à l’œil nu. Queue très courte, effilée. Manteau unicolore, jaunûtre. | OL (db) Certains exemplaires sont presque complètement blan- châtres. Coquille beaucoup plus petite que le type, passablement plus déprimée, à peine convexe en dessus, très comprimée en dessous, à ombilic passablement moins ouvert, à test brillant, très transparent, très fragile, un peu corné en dessus, blanchâtre en dessous, orné de stries minuscules, visibles seulement à la loupe. Cinq tours de spire presque plans, séparés par une suture à peine marquée, s’accroissant assez régulièrement et Riad plutôt rapidement, le dernier passablement nid plus grand — mais moins que chez le type — non déclive ni dilaté. Ouverture oblongue, presque horizontale et très échan- crée. Péristome simple, aigu et fragile. Diamètre 5 mm. Hauteur 4mm,5. Cette nouvelle variété a été trouvée dans une grotte à Bimic, dans les conditions biologiques indiquées plus haut (partie faunistique). 10. HyaLiNA (PoLrrA) NITIDULA Drap. Biologie. — Sous les pierres, le bois mort, au pied des haies d’ajoncs et parfois jusqu’au niveau extrême du balance- ment des marées. Habitat. — La Toisse, Comauton, Tréméloir, le long de la plage des Rosaires, falaises entre le Beaumadec et Binic, à Binic même (sur la Banche), la Ville l'Evêque, Etables (envi- rons du village et au pied des falaises), Equivy, la Ville Josse, la Ville Gaudin, la Ville Herdoré, la Ville Auvray, Saint-Pabin, Notre Dame de la Cour, la Ville Mello, bois de Bourgogne, falaises entre Portrieux et Saint-Quay (et aux environs de ces deux villages), forêts du Lisandré et de la Salle, Beaugouyan et Port-André. Subfossile à la Ville au Dor et entre Saint- Quay et Portrieux. Distribution. — Signalée seulement au Morbihan et au Finistère, par BouRGuIGNAT. Il n'a pas trouvé la variété sui- vante, mais mentionne son Zonites nitens aux Côtes du Nord (environs de Dinan). Var. SUBNITENS Brgt. Variété vivant sensiblement dans les mêmes conditions que le type et trouvée à Binic (la Banche), Etables, la Ville Auvray et au bois du Lisandré. LE SE 41. HyALINA (POLITA) PURA Ald. Biologie. — Sous les pierres et le feuillage mort. Habilat. — Falaises entre Binic et le Beaumadec, Etables, forêts du Lisandré et de la Salle. Distribution. — N'a été trouvée par BOURGUIGNAT qu'aux environs d’Auray. Il ne signale pas la variété suivante. Var. VIRIDULA Mke. Biologie. — Dans les endroits très couverts, sous les feuilles mortes et le bois pourri. Habitat. — Dans les forêts du Lisandré et de la Salle. 12. HYALINA (POLITA) RADIATULA Ald. Biologie. — Dans la lande et les bois, sur les falaises : sous les pierres, dans les vieux murs, au pied des haies, etc. Habitat. — Tréméloir, Etables, bois de Bourgogne ; falaises entre Etables et Portrieux. Distribution. — Trouvée par BOURGUIGNAT aux environs de Vannes, Quimper et Morlaix. Gen. Crystallus Lowe. 43. CRYSTALLUS CRYSTALLINUS (Müll.). Biologie. — Bien que cette espèce préfère les lieux humides, elle peut cependant habiter certains endroits très secs et chauds, sous les pierres, elc. Habitat. — Le long de la grève des Rosaires, le Merle, Etables, la Ville Durand, la Ville Mello, bois de la Salle et forêt du Lisandré. Distribution. — Cette espèce n’est signalée dans la Malaco- logie de la Bretagne qu'aux environs de Brest. 1%. CRYSTALLUS PSEUDOHYDATINUS Brot. Var. EXÆQUATA Loc. Biologie. — Dans les bois, sous les pierres et le feuillage mort (rare). Habitat. — Forêt du Lisandré. Distribution. — On a signalé dans le Finistère une var. radina de cette même espèce, mais le type de ce mollusque ainsi que la variété de Locard ne paraissent pas avoir été trouvés en Bretagne. Fam. Naninidæ. Gen. Euconulus Fitz. 45. EucoxuLzus FuLvUuSs (Müll.). Biologie. — Dans les bois, sous le feuillage mort et les troncs pourris; sous les pierres humides. Hubitat. — Forêts du Lisandré et de Bourgogne. Distribution. — BouRGUIGNAT n’a trouvé ce mollusque qu'aux environs de Brest et de Morlaix (Finistère). Fam. Arionidæ. Gen. Arion Fér. 16. ARION EMPIRICORUM Fér. Biologie. — Partout, dans la lande, au pied des falaises, dans les bois, sous les pierres, au pied des haies, sur les champignons, etc. Habitat. — Saint-Brieuc, Plerin, Saint-Laurent, Kerpeux, la Ville l'Evêque, Binic (la Banche, etc.), (mut. awrantiaca), plage des Rosaires, la Ville Garnier (m. atra), cours inférieur de l’Ic, la Ville Biart, la Ville Jacob (m. virescens), Etables (jusqu’au pied des falaises), Pordic, Plourhan, la Ville Josse, la Ville Auvray, Saint-Quay, Portrieux, la Ville Durand, Ker- grain, Pléguien, Kervénec, Saint-Pabin, la Ville Mello, Notre De de la Cour, Trévéneuc, forêts du Lisandré et bois de la alle. Distribution. — Très répandu dans toute la Bretagne. 47. ARION SUBFUSCUS (Drap... Biologie. — Dans les lieux humides, les bois, le bord des ruisseaux, sous les pierres et le bois mort, etc. Habitat. — Saint-Quay, la Ville Durand, Kergrain, Bobihen, Pléguien, Kervénec, bois du Lisandré, bois de la Salle, Saint- Pabin, Beaugouyan, Tréveneuc et Plouha. Distribution. — Trouvé à Dinard et à Paramé par l’auteur de la Malacologie de la Bretagne. 18. ARION HORTENSIS Fér. Biologie. — Dans les endroits humides, sous les pierres, le bois mort, sur les plantes potagères, etc. Au Sépulcre j'ai trouvé cet Arion — comme du reste tous les Limaciens bre- — 96 — tons — à l’intérieur d’une très grosse motte de terre, dans une grande cavité circulaire. Ce fait arrive parfois dans les endroits très secs et on trouve les assemblages les plus divers d’Arions et de Limaces dans un seul canal souterrain. Sur les falaises entre Portrieux et Saint-Quay je n’ai trouvé qu'un seul individu, desséché par le soleil. Habitat. — Le Sépulcre, Binic, Saint-Roch, Plourhan, fa- laises entre Portrieux et Saint-Quay, la Ville Durand, Bringolo, Kergrain, forêt du Lisandré, bois de la Salle, Trévéneuc et bois de Bourgogne. Distribution. — Signalé dans la Loire inférieure, le Morbi- han et l’Ille et Vilaine. Fam. Polyplacognatha. Gen. Punetum Morse. 19. PUNCTUM PYGMAEUM Drap. Biologie. — Dans les forêts, sous les feuilles mortes et le bois pourri. Habitat. — Bois de la Salle et de Bourgogne. Distribution. — Existe certainement ailleurs en Bretagne, mais n’y a pas élé trouvé par BOURGUIGNAT. Fam. Patulidae. Gen. Patula Held. 20. PATULA ROTUNDATA (Müll.). Biologie. — Un peu partout, mais de préférence dans les endroits humides : sous les pierres, le bois mort, au pied des haies, etc. Habitat. — La Ville au Dor, Quévrau, le Merle, falaises entre Binic et le Beaumadec, le long de l’Ic, la Ville Biart, chapelle Saint-Jilles, la Ville Jacob, vallon du Beaumadec, de là au Havre de Pordic (par les falaises), la Ville Louais, la Ville l'Evêque, la Toisse, Saint-Brieuc, Comauton, le Sépulcre, Trégcomeur, Pordic, la Cour, falaises entre Binic et Etables, pied des falaises sur la grève d’Etables, Gicquel, le Chanet, Plourhan, la Ville Josse, la Ville Gaudin, Plérin, Sainte-Croix, la Ville Auvray, la Ville Durand, Kergrain, Bobihen, Pléguien, Kervénec, forêts du Lisandré, de la Salle et de Bourgogne, Saint-Pabin, Notre Dame de la Cour, Beaugouyan, Trévéneuc et Port-André. Subfossile à la Toisse et à la Ville au Dor. Distribution. — Très commune dans toute la Bretagne. ET RÉ le Fam. Helicidae. Gen. Vallonia Risso. 21. VALLONIA PULCHELLA Müll. Biologie. — Sous les pierres, dans les lieux un peu humides. Habitat. — Le long de la grève des Rosaires, le Merle, Gielier et près de l’Ic dans cours inférieur. Subfossile aux Rosaires. Distribution. — Le type de cette espèce est signalé par BourGuIGNAT dans le Morbihan, le Finistère et les Côtes du Nord (Dinan), de même que la variété suivante : Var. COSTATA Müll. Biologie. — Sous les pierres ; supporte une sécheresse plus grande que le type pulchella. Habitat. — Gielier. Gen. Fruticicola Held. 22. FRUTICICOLA (FRUTICICOLA) RUFESCENS (Penn.). Biologie. — Sous les pierres, le bois mort et le feuillage pourri, aux endroits très humides (rare). Habitat. — Gielier et Trévéneuc. Distribution. — Signalé dans le Morbihan et Côtes du Nord. 23. FRUTIC1COLA (FRUTICICOLA) HISPIDA (L.). Biologie. — Sous les pierres, parmi les herbes, le bois mort, au pied des ajoncs, etc. Habitat. — Binic (la Banche), la Ville au Dor, les Rosaires, le long de l’Ic (cours inférieur), la Ville Jacob, la Ville Garnier, La Cour, Comauton, Trécomeur, Equivy, Saint-Roch, Plour- han, la Ville Josse, Lantic, la Ville Herdoré, la Ville Durand, Bringolo, Bobihen, forêt du Lisandré, Notre Dame de la Cour; pied des falaises à Etables; Plouha, Trévéneuc. Subfossile à la Toisse et aux Rosaires. Distribution. — Très commune dans toute la Bretagne. 24. FRUTICICOLA (HYGROMIA) OCCIDENTALIS Recluz (— HELIX REVELATA Fér.). Biologie. — Dans la lande ou sur les falaises, dans les lieux très secs et chauds, sous les pierres; au pied des falaises, parmi les Crithmes. Habitat. — Sainte-Croix, Eimoron, falaises entre Etables et Portrieux et entre Saint-Quay et le Palus, Plouha, Port- André; au Palus, jusque près du niveau du balancement des marées. Distribution. — Cette espèce, d’origine hibérique, suit les côtes océaniques jusqu'en Loire inférieure, Morbihan et Ille et Vilaine. On en a décrit plusieurs variétés, en particulier l’'Helix ptilota de BourGuIGNAT, très voisine de certains de mes exemplaires du Palus. 25. FRUTICICOLA (HYGROMIA) LANUGINOSA Boissy var. PSATUROCHÆTA Bourg. Biologie. — Je n’ai trouvé cette espèce que sur les falaises, sous les pierres et au pied des ajoncs, dans les lieux fort secs et exposés au soleil. Habitat. — Pointe du Roselier, la Ville Garnier (à quel- ques mètres de la falaise), falaises entre Etables et Portrieux et de là à Saint-Quay. Subfossile entre Portrieux et Saint-Quay. Distribution. — Cette espèce méridionale n’est représentée en Bretagne que par la variété de BOURGUIGNAT, découverte par lui à Morlaix. Gen. Helix L. sensu stricto. 26. HELIx (CRYPTOMPHALUS) ASPERSA Müll. Biologie. — Presque partout (sauf dans les forêts), sur les rochers, les arbres, les plantes, sous les pierres, le bois mort, etc. J'ai trouvé un exemplaire sénestre à Binic. Habitat. — Saint-Brieuc, la Toisse, Comauton, le Sépulcre, Tréméloir, Trégomeur, la Ville Comor (jusqu’au pied des fa- laises), Saint-Laurent (sur les falaises), pointe du Roselier, la Ville Gaudin, la Ville Herdoré, Plérin, Kerpeux, Sainte-Croix, le long des Rosaires, de là au Havre de Pordic et au Beau- madec, la Ville Rouault, la Ville Louais, la Ville l’Evêque, falaises entre le Beaumadec et Binic, pied des falaises à Binic, la Banche, la Ville au Dor, Quévrau, le Merle, grève de l’Avant- Port, la Ville Garnier, Gielier, le long de l’Ic, la Ville Biart, Chapelle Saint-Jilles, la Ville Jacob, falaises entre Binic et Etables, de là à Portrieux, à Saint-Quay et au Jalus, Etables même (jusqu’au pied des falaises), la Cour, Pordic, Equivy, Gicquel, Saint-Roch, le Chanet, Plourhan, la Ville Josse, Lantic, la Ville Auvray, Saint-Quay, Portrieux, la Ville Durand, Bringolo, Bobihen, Kergrain, Pléguien, Kervénec, Saint- Pabin, Notre Dame de la Cour, la Ville Mello, Beaugouyan, Tréveneuc, Port-André, Plouha et le Palus. Subfossile à Binic, Quévrau, aux Rosaires, Saint-Jilles, la Toisse, entre Etables et Portrieux et de là à Saint-Quay. Distribution. — Extrêmement abondante dans toute la Bretagne. Gen. Tachea Leach. 27. TACHEA HORTENSIS (Müll.). Biologie. — Dans les lieux humides, sous les pierres et le bois mort, au bord des ruisseaux et dans les forêts. Habitat. — Saint-Brieuc, le long de l’Ic dans son cours inférieur, la Ville Biart, la Ville Rouault, la Ville Mello, Saint- Roch et dans la forêt du Lisandré. Subfossile à la Ville au Dor. Distribution. — Signalée dans la Loire inférieure, le Mor- bihan, le Finistère et les Côtes du Nord. 28. TACHEA NEMORALIS (L.). Biologie. — Dans les lieux humides, sur les plantes et sous les pierres. Habitat. — Saint-Brieuc, la Ville Louais, la Ville l’'Evêque, le Beaumadec, le Merle, Queray, Trégomeur, Equivy, le long de l’Ic, la Ville Biart, la Ville Mello, Saint-Roch, KEtables, la Ville Durand, Plourhan, Bobihen, bois de la Salle, Kervénec, Tréveneuc. Distribution. — BOURGUIGNAT dit cette espèce très commune partout, mais il ne mentionne pas la variété suivante, de beaucoup plus abondante que le type. Var. SUBAUSTRIACA Bourg. Biologie. — Commune dans les lieux secs, le long des plantes, contre les rochers, au pied des ajoncs, etc. Habitat. — Plérin, la Ville Herdoré, Kerpeux, Comauton, la Ville Auvray, la Toisse, Tréméloir, Pordic, la Ville Rouault, le Havre de Pordic, de là aux Rosaires d’une part, au Beau- madec d'autre part, la Ville au Dor, Gielier, falaises entre Binic et le Beaumadec, sur la Banche, plage de l’Avant-Port, Notre Dame de la Cour, Saint-Pabin, Lantic, la Ville Josse, Saint-Jilles, la Ville Jacob, Gicquel, la Cour, de Binic à Etables, pied des falaises à Etables même, Eimoron, le Chanet, Pléguien, de Portrieux à Saint-Quay par les falaises, aux en- — OÙ — virons de ces deux mêmes villages, de là au Palus, Port- André, Plouha et au Palus même. Subfossile à Binic, la Ville au Dor, la Toisse, Saint-Jilles, Etables et entre Portrieux et Saint-Quay. Gen. Xerophila Held. 29. XEROPHILA (HELIOMANES) VARIABILIS Drap. Biologie. — Dans les endroits très secs et chauds, sur les ajoncs, les roches, etc. Sur les falaises : le long des herbes. Habitat. — Saint-Brieuc, Quevrau, les Rosaires, Gielier, falaises entre les Rosaires et le Havre de Pordic, la Ville Rouault, falaises entre Binic et Etables, la Cour, le Chanet, la Ville Comor, Saint-Laurent (falaises), la Ville Herdoré, la Ville Auvray, falaises entre Portrieux et Saint-Quay. Subfossile à Quévrau (f. minor), Saint-Jilles et entre Portrieux et Saint- Quay. Distribution. — Cette hélice, qui est l’Helix lineata de BOURGUIGNAT, a été trouvée dans les cinq départements de la Bretagne. 30. XEROPHILA (HELIOMANES) SUBMARITIMA Desm. Biologie. — Dans les endroits secs et bien exposés, le long des plantes, parfois sous les cailloux. Habitat. — Saint-Brieuc, la Ville Comor, Pointe du Rose- lier, la Ville Herdoré, la Ville Gaudin, Comauton, les Rosaires, la Ville Auvray, Pordic, la Ville Louais, Quévrau, Gielier, falaises entre Binic et Etables, Etables même, le Chanet, Bringolo, de Portrieux à Saint-Quay, Beaugouyan. Subfossile aux Rosaires et à Binic. Distribution. — Egalement commune dans les cinq dépar- tements. 931. XEROPHILA (STRIATELLA) INTERSECTA Poir. Biologie. — Cette espèce est de beaucoup la moins xéro- philienne de nos cinq représentants du genre. Il est fréquent de la rencontrer dans les lieux humides, sous des cailloux, en compagnie de Fruticicola hispidu ou d’autres. Elle supporte cependant très bien le sec et vit très bien sur les falaises, en plein soleil, le long des tiges desséchées, etc. Habitat. — Saint-Brieuc, la Ville Comor, Saint-Laurent, pointe du Roselier, Plérin, la Ville Herdoré, la Ville Gaudin, Kerpeux, Comauton, les Rosaires, la Ville Auvray, Pordic, POSE la Ville Rouault, la Ville Louais, la Ville l’Evêque, falaises entre le Havre de Pordic et les Rosaires, Quévrau, la Ville au Dor, Equivy, Gielier, entre le Beaumadec et Binic, sur la Banche, au pied des falaises de l’Avant-Port, la Ville Garnier, Saint-Pabin, la Ville Mello, Lantic, Saint-Jilles, la Ville Jacob, Gicquel, Saint-Roch, la Cour, falaises entre Binic et Etables, Etables même jusque sur la grève, Eimoron, la Ville Durand, le Chanet, Bringolo, Bobihen, falaises entre Etables et Por- trieux, de là à ©Saint-Quay, dans ce village même, de là au Palus, Plouha, pied des falaises du Palus. Subfossile à Binic, la Toisse, Saint- Jilles, Etables, et entre Portrieux et Saint- Quay. Distribution. — Espèce répandue dans le Morbihan, le Finistère, les Côtes du Nord et lIlle et Vilaine. 932. XEROPHILA (STRIATELLA?) DANIELI Bret. Biologie. — Dans les endroits arides et très exposés au soleil, le long des plantes halophiles (Panicaut maritime, etc.). Habitat. — Le long de la grève des Rosaires. Distribution. — Cette espèce n’est signalée qu’à Brest par BOURGUIGNAT et dans des conditions analogues aux nôtres. Ce n’est sans doute qu’une simple variété locale, mais je ne sais trop à quelle espèce la rattacher. D’après les rapprochements de LocARp, elle appartiendrait au sous-genre Striatella. Peut- être est-ce une petite forme de la Xerophila submaritima, voi- sine de la var. Sylvæ de SERVAIN? J'ai trouvé ce dernier mollusque non loin de là, au Val André, c’est-à-dire en dehors des limites de mon catalogue. 33. XEROPHILA (COCHLICELLA) ACUTA (Müll.) Biologie. — Dans les lieux très chauds et secs, le long des ges de végétaux, parmi les herbes, etc. Habitat. — Le Légué, la Ville Comor (au pied des falaises), le long de la grève des Rosaires, de là au Havre de Pordic, Gielier, au pied des falaises d’Etables, de là à Portrieux, puis à Saint-Quay et au Palus. Subfossile aux Rosaires et de Por- trieux à Saint-Quay. Distribution. — Signalée par places, dans les cinq dépar- tements. 1 En compagnie des Hyalina subglabra, Vitrina pellucida, Tachea nemo- ralis et var. subaustriaca, Helix aspersa, Xerophila intersecta, Pupilla muscorum, Clausilia bidentata et Ericia elegans: ces formes vivaient au pied des falaises, parmi les Crithmes maritimes. — 62 — Fam. Buliminidæ. Gen. Buliminus Ehr. 934. BULIMINUS (ENA) oBscurus (Müll.). Biologie. — Dans les lieux humides, sous les pierres, le feuillage mort, sur les vieux troncs, etc. Habilat. — Saint-Brieuc, Notre Dame de la Cour, la Ville Josse, bois de la Salle et forêt du Lisandré. Distribution. — Signalé dans le Morbihan, aux environs de Dinan et dans l’Ille et Vilaine. Fam. Cochlicopidæ. Gen. Cochlicopa Risso. 39. COCHLICOPA LUBRICA (Müll.). Biologie. — Habite de préférence les endroits humides, sous les pierres, mais supporte cependant une sécheresse assez considérable. Habitat. — Saint-Brieuc, la Ville Gaudin, le long de la srève des Rosaires, le Merle, Trégomeur, sur les bords de l’Ic dans son cours inférieur, Gielier, Binic, bois de Bour- sogne, Notre Dame de la Cour, la Ville Durand, Bringolo, bois de la Salle, Pléguien, forêt du Lisandré, Plouha, Trévé- neuc, Port-André, sur les falaises entre Saint-Quay et le Palus. Distribution. — Cette espèce a été recueillie par Bour- GUIGNAT dans le Morbihan, le Finistère, les Côtes du Nord et l'Ile et Vilaine. Gen. Cæcilianella Stabile. 36. CÆCILIANELLA ACICULA (Müll.). Biologie. — Je n’ai trouvé cette espèce, ainsi que sa variété halophile, que près de la mer, au pied des falaises, parmi les herbes et les Crithmes. Habitat. — Le long de la grève des Rosaires où elle se trouve aussi à l’état subfossile. Distribution. — L'auteur de la Malacologie de la Bretagne n'a pas trouvé le type de cette espèce. Il signale seulement sa Cæcilianella enhalia à Cancale, presque au niveau du balance- ment des marées. Var. ENHALIA Bourg. Variété recueillie au pied des falaises à la Ville Comor, à Etables et entre Portrieux et Saint-Quay. On trouve des indi- vidus subfossiles dans cette dernière station. Fam. Pupidæ. Gen. Pupilla Leach. 31. PUPILLA MUSCORUM (C. Pfr.). Biologie. — Parmi les herbes, sous les pierres, etc. Habitat. — La Ville Comor (pied des falaises), les Rosaires, Gicquel. Subfossile à Binic et aux Rosaires. Distribution. — Trouvé par BOURGUIGNAT seulement dans l'Ille et Vilaine. Gen. Odostomia Flem. 98. ÜDOSTOMIA CYLINDRACEA (Da Costa). Biologie. — Un peu partout, dans les endroits très secs comme dans les lieux humides, rarement dans les bois, sur les falaises et jusque près du niveau du balancement des ma- rées : sous les pierres, le bois mort, parmi les herbes, au pied des buissons d’ajoncs, etc. Habitat. — Saint-Brieuc, le Sépulcre, la Ville Comor, Saint-Laurent, pointe du Roselier, la Ville Herdoré, la Ville Gaudin, le long de la grève des Rosaires, la Toisse, Trémé- loir, Pordic, la Ville Rouault, la Ville Louais, la Ville l'Evêque, falaises entre le Havre de Pordic et les Rosaires d’une part, le Beaumadec d’autre part, le Merle, Quévrau, la Ville au Dor, Queray, Trégomeur, Equivy, sur les bords de l’Ic, la Ville Biart, Gielier, falaises entre le Beaumadec et Binic, sur la Banche, sur l’Avant Port, la Ville Garnier, Lantic, la Ville Josse, la Ville Jacob, Gicquel, Saint-Roch, la Cour, falaises entre Binic et Etables, Etables même jusqu’au pied des falaises, la Ville Durand, Pléguien, Kervénec, forêt du Lisandré, falai- ses d’Etables à Portrieux, à Saint-Quay et de là au Palus, Portrieux même, Beaugouyan, Plouha, Port-André et pied des falaises au Palus. Subfossile à la Ville au Dor et entre Portrieux et Saint-Quay. Distribution. — Très répandu dans les cinq départements bretons. Gen. Vertigo Müll. 939, VERTIGO (ALÆA) PYGMÆA Drap. Biologie. — Parmi les rocailles, sous les pierres. Habitat. — La Ville Garnier et au pied des falaises de l’Avant Port (à Binic). Distribution. — BOURGUIGNAT n’a pas recueilli cette espèce en Bretagne, mais elle a été signalée au Finistère. Gen. Acanthinula Beck. 40. ACANTHINULA ACULEATA (Müll.). Biologie. — Dans une forêt, sous les feuilles mortes. Habitat. — Bois de Bourgogne. Distribution. — Signalée aux environs de Morlaix. Fam. Clausiliidæ. Gen. Balea Prid. 41. BALEA PERVERSA (L.). Biologie. — Dans les endroits très humides, contre les vieux tronc, dans de vieux murs, etc. Habitat. — Quévrau et dans le bois de Bourgogne. Distribution. — Signalée dans le Morbihan et lIlle et Vilaine. La var. Deshayesiana à été trouvée au Finistère. 42. BALEA HEYDENI V. Maltz. Biologie. — Cette espèce ne craint pas la sécheresse, se trouve sur les vieux murs, sous les pierres, etc., parfois à la lisière des forêts. Habitat. — Quéray, Saint-Roch et à la lisière du bois du Lisandré. Distribution. — La forme que j'ai recueillie est identique au tvpe du Portugal (Cintra, etc.), dont je possède deux exemplaires de la collection de LOCARD, que m’a communi- qués M. DE MONTEROSATO. Elle a été trouvée également au Poulliguen (Loire inférieure). D’après le savant malacologiste de Palerme ce serait peut-être la Balea lucifuga trouvée par BOURGUIGNAT au Finistère. Gen. Clausilia Drap. 43. CLAUSILIA (CUSMICIA) BIDENTATA (Strom.). Biologie. — Sous les pierres et le bois mort, dans les landes, sur les falaises et souvent jusque près du niveau du balancement des marées. Habitat. — Saint-Brieuc, la Ville Comor, Queray, sur la Banche, sur l’Avant Port (Binic), la Ville Garnier, Etables (jusqu’au pied des falaises), falaises entre Etables et Portrieux et de là à Saint-Quay, le Palus. Subfossile à Etables et de Portrieux à Saint-Quay. Distribution. — Répandue dans les cinq départements. Fam. Succineidæ. (ren. Succinea Drap. 44. SUCCINEA (NERITOSTOMA) PUTRIS (L.). Biologie. — Sur les bords des ruisseaux, le long des roseaux et des iris. Habitat. — Saint-Brieuc et au bord de l’Ic dans son cours inférieur. Distribution. — Signalé dans la Loire inférieure, le Mor- bihan et le Finistère. 45. SUCCINEA (AMPHIBINA) PFEIFFERI Rossm. Biologie. — Comme l’espèce précédente. Habitat. — Le long de l’Ic (dans son cours inférieur), la Ville Herdoré, Sainte-Croix, Tréméloir, la Ville Louais, le Beaumadec, le Merle et Queray. Distribution. — Trouvée dans le Morbihan, le Finistère, les Côtes du Nord et l’Ille et Vilaine. Var. VIRESCENS Morelet. Le long de l’Ic et de ses affluents. Ord. II. BASOMMATOPHORA. S. Ord. Terrestria. Fam. Auriculidæ. Gen. Carychium Müll. 46. CARYCHIUM MINIMUM Müll. Biologie. — Dans les endroits très humides, sous les pierres, le bois pourri, etc. D BULL. SOC. SC. NAT. T. XLI — 66 — Habitat. — Le Merle, le long de l’fc, la ville Biart, bois de la Salle et Trévéneuc. Distribution. — Trouvé au Finistère par COLLARD DES CHERRES. Gen. Alexia Leach. #7. ALEXIA DENTICULATA Mont. Biologie. — Au niveau supérieur du balancement des ma- rées, sous les pierres et parmi les détritus marins: varechs, fucus, etc. Ce mollusque est baigné par l’eau de mer environ une neure à chaque marée. Habitat. — À Binic, sur les bords des flaques saumätres de l’Ic. Distribution. — Cette espèce peu connue est signalée dans la région armoricaine, sur le littoral de la Manche. La var. Armoricana vit dans la même contrée mais est plus rare. Enfin la var. ringicula n’a été trouvée qu’à Arradon (Morbihan) où elle est rare. Var. ARMORICANA (Loc.). Cette variété a été recueillie à l’état bien typique dans la même station de Binic. : Var. RINGICULA (Bourg.). Trouvée au Palus et à Binic, dans les mêmes conditions. S. Ord. II. Aquatilia. Fam. Limnæidæ. Gen. Limnæa Lam. 48. LIMNÆA (GULNARIA) LIMOSA (L.) sensu latrore. Biologie. — Dans les ruisseaux et les marécages, sur la vase ou les plantes aquatiques, sous les pierres, etc. Habitat. — Saint-Brieuc, plage des Rosaires, la Ville Louais, le Beaumadec, Equivy, dans le cours inférieur de l’Ic, Saint- Pabin. Distribution. — Très répandue dans les cinq départements. La subsp. peregra n’a été trouvée par BOURGUIGNAT qu'au Morbihan. Les autres variétés n’ont pas été signalées. Var. VULGARIS Kob. Variété trouvée au Merle, dans un ruisseau bourbeux. Eee Var. BaLrHicA (Linné). Variété saumâtre, trouvée en dessous du niveau supérieur des marées, dans un ruisseau plein de détritus marins, aux Rosaires. Subsp. PEREGRA (Müll.). Sous-espèce vivant dans les mêmes conditions que le type, dans l’Ic, à Beaugouyan et à Plourhan. 49. LIMNÆA (LIMNOPHYSA) PALUSTRIS (Müll.). Biologie. — Dans les ruisseaux très lents et marécageux. Habitat. — Cours inférieur de PIc. Distribution. — Probablement répandue dans toute la Bretagne. Var. TURRICULA Held. Variété trouvée avec le type. J'ai recueilli en outre un exemplaire mons- trueux, contracté, à ouverture ample et bordée de rose. Cette forme rappelle certaines Limnæa palustris à aspect de L. peregra, trouvées dans le sud de l’Allemagne (var. peregriformis, etc.). Fi 90. LIMNÆA (OMPHISCOLA) GLABRA (Müll.). À Biologie. — Dans les ruisseaux très marécageux. Habitat. — Dans le cours inférieur de l’Ic et à Bobihen. Distribution. — BOURGUIGNAT n’a trouvé cette espèce qu’au Morbihan. O1. LIMNÆA (FOSSARIA) TRUNCATULA (Müll.). Biologie. — Dans les endroits marécageux des ruisselets, parfois contre les rochers humides. Habitat. — Saint-Brieuc, Saint-Laurent, Comauton, les Rosaires, Sainte-Croix, ruisseaux affluents de l’Ic, Plourhan, la Ville Mello, dans une grotte sur la plage d’Etables. Sub- fossile à la Toisse. Distribution. — Commune un peu partout. Var. SPELÆA Guén. Biologie. — Dans une grotte obscure, contre les rochers humides. Habitat. — Sur la Banche, à Binic. Cette forme bretonne ne diffère pas du type de Lourdes. EN Ve Fam. Physidæ. Gen. Physa Drap. 52. PHYSA FONTINALIS (L.). Biologie. — Dans les ruisseaux, sous les pierres. Habitat. — Le Merle, Queray, dans l’Ic (cours inférieur). Distribution. — Signalée dans le Morbihan et à Dinan. Fam. Planorbidæ. Gen. Planorbis Guett. D3. PLANORBIS (GYRORBIS) SPIRORBIS (L.). Biologie. — Dans les parties lentes des ruisseaux, sur les plantes aquatiques. Habitat. — Bien typique dans le cours inférieur de l'Ic; Plourhan. Distribution. — Existe certainement ailleurs en Bretagne, bien que BOURGUIGNAT ne l’y signale pas. 54. PLANORBIS (GYRORBIS) ROTUNDATUS Poir. Biologie. — Dans les ruisseaux, sur les plantes aquatiques ; dans les marécages, parmi les Lemna. Habitat. — Saint-Brieuc, cours inférieur de l’Ic, la Ville Mello, Pléguien, Beaugouyan. Subfossile à Binic. Distribution. — Dans les cinq départements bretons. 55. PLANORBIS (GYRAULUS) ALBUS (Müll.). Biologie. — Dans une rivière, sous les pierres et sur les plantes aquatiques. Habitat. — Dans la partie inférieure de l’Ic. Distribution. — Trouvé dans le Finistère, les Côtes du Nord (Guingamp) et lIlle et Vilaine. La var. slelmachætia a été découverte tout d’abord à Dinan. Var. STELMACHÆTIA Brat. Bien typique dans l’Ic, avec le PI. albus. Fam. Ancylidæ. Gen. Ancylus Geoffr. 56. ANCYLUS CAPULOIDES Jan. Biologie. — Dans les parties rapides des rivières, sous de gros cailloux. RCD 0 SE Habitat. — A Equivv et dans le cours inférieur de lIc. Distribution. — Existe certainement ailleurs en Bretagne, mais n'est pas mentionné par BOURGUIGNAT. 97. ANCYLUS FLUVIATILIS (Müll.). Biologie. — Dans les ruisseaux, sous les pierres immergées. Habitat. — La Ville Herdoré, Sainte-Croix, les Rosaires, Tréméloir, la Ville Louais, le Beaumadec, le Merle, Queray, Equivy, cours inférieur de l’Ic, la Ville Mello, Plouha. Dans les eaux saumâtres aux Rosaires (avec la Limnæa Balthica) et à Binic (avec Peringia ulvæ). Distribution. — Signalé au Morbihan, Finistère, Côtes du Nord et Ille et Vilaine. Gen. Velletia Gray. 98. VELLETIA LACUSTRIS (L.). Biologie. — Dans une rivière, sous les pierres plates. Habitat. — Cours inférieur de l’Ic. Distribution. — Trouvé au Morbihan et au Finistère. S. CL Pneumopoma. Fam. Cyclostomatidæ. Gen. Ericia Moq. Tand. 99. ERICIA ELEGANS (Müll.). Biologie. — Dans les endroits arides et exposés au soleil, parmi les herbes, sous les pierres, etc. Habitat. — Sur l’Avant Port (Binic), la Ville Garnier, falaises entre Binic et Etables, de là à Portrieux et à Saint-Quay. Subfossile entre Portrieux et Saint-Quay et à Etables. Distribution. — Signalée au Morbihan, au Finistère et dans l'Ille et Vilaine. S. CI. Branchiata. Fam. Hydrobiidæ. Gen. Hydrobia Htm. 60. HYDROBIA STAGNALIS (Baster). Biologie. — Dans les eaux saumâtres, sur la vase et sous les cailloux. — 70 — Habitat. — À Binic, dans les marécages des bords de lIc. Distribulion. — Répandue sur le littoral de la Manche et bien plus au Nord. Gen. Peringia Paladilhe. O1. PERINGIA ULVÆ (Penn.). Biologie. — Dans les eaux saumâtres, sous les pierres im- mergées. Habitat. — À Binic, en compagnie de l’espèce précédente. Distribution. — Assez abondante le long du littoral breton, baigné par la Manche. Pour la détermination de ces deux espèces critiques, je me suis servi de la remarquable étude de M. DorrFus, parue en 4912 dans le Journal de Conchyliologie". CI. ACEPHALA. Fam. Sphæriidæ. Gen. Sphærium Scop. 62. SPHÆRIUM CORNEUM (Müll.). Biologie. — Knfouie à quelques centimètres de profondeur dans la vase, aux endroits calmes des ruisseaux. Habitat. — Dans le cours inférieur de l'Ic. Distribution. — Le type de cette espèce n’est signalé par BourGUIGNAT que dans lIlle et Vilaine, mais il a trouvé la var. rivale au Morbihan, au Finistère et dans les Côtes du Nord. Var. RIVALE (Drap.). Variété vivant dans l’Ic avec le type, ainsi que dans un ruisseau au Merle. 63. SPHÆRIUM DRAPARNALDI Cless. Biologie. — Dans les mêmes conditions que l’espèce pré- cédente. Habitat. — La Ville Mello et dans lIc. Distribution. — N'a pas été recueilli par BOUGUIGNAT en Bretagne. 1 Dozzrus, Gustave-F, « Recherches critiques sur quelques genres et espèces d'Hydrobia vivants ou fossiles.» Journ. Conchyl., vol. 59, pp. 179-240, pl. 4-6. A TA Gen. Pisidium C. Pfr. 64. PisIpIUM (FLUMININEA) AMNICUM (Müll.). Piologie. — Dans les eaux très courantes, enfouie dans la vase. Habilat. — Cours inférieur de l’Ic, avec la var. elongata Baud., trouvée dans les mêmes conditions. Distribution. — Signalé dans le Morbihan et les Côtes du Nord (Dinan). 65. PisipIuM (FOSSARINA) INTERMEDIUM Gass. Biologie. — Dans la vase des ruisseaux tranquilles. Habitat. — Dans les petits ruisselets affluents de l’Ic, à sa partie inférieure. Distribution. — N'a pas été recueilli en Bretagne par Bour- GUIGNAT. 66. PisipiuM (FOSSARINA) FOSSARINUM CI. Biologie. — Paraît préférer les cours d’eau rapides, enfouie à la manière de ses congénères. Habitat. — La Ville Louais, le Beaumadec et dans le cours inférieur de l’Ic. Distribution. — Signalé dans le Morbihan, le Finistère et l’Ille et Vilaine (sub. nom. Pis. Casertanum Poli). La sous- espèce pusilla est connue du Morbihan et de l’Ille et Vilaine. Subsp. PUSILLA (Grm.). Biologie. — Dans tous les ruisseaux. Habitat. — Cours inférieur de l’Ic et dans les affluents, la Ville Mello. 67. Pisiprum (FOSSARINUM) OBTUSALE C. Pfr. Biologie. — Paraît vivre plus spécialement dans les eaux rapides. Habitat. — Cours inférieur de lIc. Distribution. — Signalé aux environs de Brest (Finistère). 68. PisiDIuM (FOSSARINUM) NITIDUM Jenn. Biologie. — Habite sans préférence les eaux calmes et courantes. Habitat. — Tréméloir, le Merle et Queray. Distribution. — N'est pas signalé en Bretagne par Bour- GUIGNAT, du moins à l’état typique, car le Pis. pulchellum, trouvé au Finistère, n’est qu’une variété allongée de cette espèce. SR Nos PORT PL ru Den © Ü D En —= /:BoIs LEGENDE: Fou \[USANRÉ 1e EU KERVENEC \) TREVENEUC —— ZONE HYGROPHILE o BEAUGDUYAN = OR EciEN® ® San ESS Zone pes FALAISES BOBIHEN Quay , 5 — QD Zonr HALOPHILE © KERGRAIN PORTRIEUXY * LA V.DuRANDÉ? ZONE SAUMATRE = BRINÇOLO NDDE LA LAVJ0sse C?PLOURHAN O Iuor MERIDIONAL CAS LE CHANET erro etats es Le PAT # ST. JILLES ne. 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Son climat, naturellement très maritime, laisse ces caractères assez constants pendant toute l’année. Le terrain, surtout siliceux, est recouvert d’une végé- tation assez car actéristique, composée essentiellement d’ajoncs [Ulex europæas]/, de genêts à balais {/Sarothamnus scoparius], de grandes fougères (Pteris aquilina), de digitales pourpres, de Chätaigniers” (Castanea vulgaris], etc., c'est-à-dire de plantes exigeant peu d'humidité et partant peu favorables au dévelop- pement des mollusques. Il est de fait que cette zone, par la composition de son sol autant que par ses conditions climaté- riques ou botaniques, est très peu propice à ces animaux et n’héberge guère que des espèces très résistantes ou des élé- ments xérophiliens adaptés à cette ambiance. De plus, chaque forme n’est répandue qu’en peu d'individus et ceux-ci sont le plus souvent isolés. On comprend, dès lors, la pauvreté de la faune bretonne, étant donné que la zone des landes est de beaucoup la plus considérable, la région sylvatique n'étant distribuée que par ilots solitaires et deux des zones maritimes ne représentant en quelque sorte que des appauvrissements de la faune de l’inté- rieur des terres. Les espèces de la zone des landes sont répandues surtout sous les pierres et le bois mort. Les formes méditerranéennes vivent de préférence le long des plantes, parfois contre les rochers arides. Enfin, les petites variétés telles que l’Odostomia cylindracea sont distribuées un peu partout, sous les plantes comme sous les pierres, dans les interstices des rochers, etc. Les étendues couvertes d’ajoncs sont peut-être les plus pauvres, ne pouvant guère contenir que des Xerophila ou des Helix aspersa. PAL M J'ai trouvé, jusqu’à présent, les espèces suivantes dans la zone des landes : Limax Sowerbvi. Vitrina pellucida. Agriolimax agrestis. Hyalina Draparnaldi. Hyalina cellaria. — nitidula. —- subglabra. Arion hortensis. Arion empiricorum. Fruticicola hispida. Patula rotundata. Helix aspersa. Fruticicola occidentalis. Xerophila variabilis. Tachea subaustriaca. — intersecta. Xerophila submaritima. — acula. Cochlicopa lubrica. Odostomia cylindracea. Vertigo pygmæa. Pupilla muscorum. Ericia elegans. Balea Heydeni. Nous verrons plus loin les critères justifiant la distinction de chacune des cinq zones d'habitation. IL, Zone sylvatique ou hygrophile, — Dans un pays de montagnes, le Jura par exemple, la région des forêts forme un tout infiniment plus homogène que dans notre partie de la Bretagne, et ceci provient du fait que dans le premier cas les bois sont superposés à une région inférieure et que la ligne de démarcation est à peu près fixée par une limite d’al- titude. En Bretagne, au contraire, ce dernier facteur ne joue aucun rôle et les forêts sont répandues, soit là où la main de l’homme les a respectées, soit dans des endroits naturellement humides, sur les bords d’une rivière par exemple. La zone sylvatique qui, jadis, était sans doute un ensemble compact, n'est plus, ensuite de ces faits, qu’une série d’ilots, parfois très nets comme dans le cas des bois du Lisandré ou de la Salle, mais le plus souvent assez indistincts. Ce peut être, par exemple, tel bosquet très ombragé et humide, déterminé par la présence d’un petit ruisseau, ou encore tel marécage au bord duquel vivent quelques espèces très hygrophiles. Ainsi constituée, la zone sylvatique serait assez difficile à établir, si, contrairement à la région précédente, elle n’était caractérisée par un bon nombre d’espèces très spéciales, appa- rues plus ou moins pendant la grande période sylvatique par où a passé toute l’Europe. Ce sont en particulier les Limar tenellus, Euconulus fulvus, Arion subfuscus, Punctum pygmaæum, etc. Au reste, voici toutes les formes recueillies dans la zone sylvatique ou hygrophile: Limax maximus. Hyalina cellaria. — tenellus. — subglabra. — cinereus. — nitidula. — arborum. — subnitens. Agriolimax agrestis. — pura. — reticulatus. — viridula. Vitrina pellucida. — radiatula. Crystallus crystallinus. Arion empiricorum. — pseudohydatinus. — hortensis. Euconulus fulvus. Patula rotundata. Arion subfuscus. Fruticicola rufescens. Punctum pygmæum. Tachea nemoralis. Fruticicola hispida. Buliminus obscurus. Tachea hortensis. Acanthinula aculeata. Cochlicopa lubrica. Odostomia cylindracea. Balea perversa. Balea Heydeni. Clausilia bidentata. Succinea putris. Succinea Pfeiffer. — virescens. Carychium minimum. On se sera rendu compte, à lire la liste des espèces ci- dessus, que la zone des forêts est beaucoup plus riche que la région précédente. Cela est vrai pour les espèces comme pour le nombre des individus. Nous verrons même que c’est la région la plus peuplée de toutes, malgré son peu d’étendue. La biologie des espèces sylvatiques n’a rien de bien parti- culier en Bretagne. Comme ailleurs, c’est sous les pierres humides et sous le bois mort que se trouvent la plupart des formes. Bon nombre de petits mollusques vivent dans les feuilles sèches, sous la mousse, sous l’écorce, etc. À noter cependant le fait qu’à cause de la pénurie des forêts, certaines espèces sylvatiques vivent en dehors des bois proprement dits, dans les lieux humides, sur un vieux mur, etc. À propos de cette zone hygrophile, disons quelques mots de nos mollusques aquatiques, dont six seulement vivent dans des régions différentes. Ces exceptions sont les trois espèces saumâtres (Alexia, Hydrobia et Peringia), la Limnæa truncatula trouvée dans des grottes du littoral, ainsi que les Ancylus [luviatilis et Limnæa Balthica, qui arrivent par places jusque dans la zone submaritime. Au sujet des espèces aquatiques habitant en propre la région hygrophile, il convient de faire quelques remarques. Tout d’abord à noter l’absence, du moins dans notre territoire, de toute grande mare ou laguet. Tout au plus existe-t-il deux — 10 — ou trois étangs artificiels situés dans des propriétés particu- lières. Ce fait nous prive naturellement d’un certain nombre de formes, spécialement des grandes Limnées, de divers Planorbes et surtout des Naïades, tous si communs ailleurs. Il résultera en outre de ce même caractère des habitudes bio- logiques curieuses; c’est ainsi que la Velletin lacustris a été trouvée, contrairement à ce qui se produit généralement, dans l’Ic lui-même, petite rivière au cours rapide. Mais, telles qu’elles sont, nos espèces d’eau douce peuvent se répartir en deux catégories, celles qui habitent les rivières et celles qui se plaisent dans les marécages et les ruisseaux bourbeux. Parmi les premières on peut signaler les Limnæa limosa, Planorbis albus et stelmachætius, Ancylus fluviatilis et capuloides, Sphærium rivale et Draparnaldi, Pisidium amnicum (surtout la var. elongata), fossarinum et obtusale. Des seconds, les plus importants sont les Limnæa peregra, palustris (et var. turricula), truncatula et glabra et le Sphærium corneum. Les Planorbis rotundatus et spirorbis, ainsi que les Pisidium pusillum et #titidum vivent dans les deux sortes de conditions, sans pré- férences bien marquées. 1] est vrai que les différences sont souvent insensibles et qu’un même ruisseau peut être maré- cageux par places et très rapide en d’autres. Ce que nous venons de dire ne se rapporte naturellement qu’à notre petit territoire breton. Nous verrons plus loin les conditions biologiques dans lesquelles vivent en eaux saumä- tres les Limnaæa Balthica et Ancylus fluviatilis. III. Zone des falaises. — Cette région, bien caractéristique de Ja contrée, forme un tout assez bien délimité. Au point de vue botanique elle serait caractérisée par l’absence de toute culture, des arbres, des digitales, etc. et par l’abondance d’une végétation xérophilienne composée d’ajoncs, de ronces, de genêts et de fougères à l’aigle. Suivant l’exposition, la falaise peut être influencée par les vents ou au contraire présenter une température extrêmement chaude. Mais toujours et par- tout la sécheresse est très grande, encore bien plus considé- rable que dans la lande. La population malacologique de la falaise sera donc essen- tiellement xérothermique ou encore composée d’éléments ubiquistes qui résistent à toutes les conditions. Les espèces méditerranéennes sont les plus curieuses à observer à cause de leur habitat presque paradoxal ; elles prédominent du reste sur les falaises, du moins par le nombre des exemplaires. En particulier, la petite Fruticicola psaturochæta parait être la caractéristique de cette zone, ne s’avançant qu’à environ 300 mètres à l’intérieur des terres (et seulement à la Ville Garnier) et n’atteignant pas la région suivante. Mais il est possible que des recherches plus approfondies rendraient ce fait contestable. La spécialité de la région deviendrait dans ce cas purement négative, comme cela arrive chez certaines zones des Alpes, très élevées au-dessus des forêts. La biologie des espèces de la falaise est souvent assez par- ticulière. Ces formes profitent du moindre avantage, se trou- vant par exemple en masse sous tel caillou plus humide, alors que les alentours sont dépourvus de tout mollusque. Elles vivent principalement sous les amas de ronces ou de grandes fougères, parfois contre les rochers, dans de vieux murs ou sous les pierres, presque toujours enfouies dans le sol, loin d’une chaleur ou d’une sécheresse trop considérables. Quel- ques formes méridionales, il est vrai, ne redoutent pas les ardeurs du soleil et passent impunément leur existence sur les plantes desséchées, en pleine chaleur. On trouve sur les falaises, de Saint-Brieuc à Plouha, les mollusques suivants : Vitrina pellucida. Fruticicola occidentalis. Hyalina cellaria. — _psaturochæta. — Draparnaldi. Helix aspersa. — subglabra. Tachea subaustriaca. — nitidula. Xerophila variabilis. — Cpurd — submaritima. — radiatula. — _intersecta. Arion hortensis ? — acuta. Patula rotundata. Pupilla muscorum. Odostomia cylindracea. Clausilia bidentata. Ericia elegans. IV. Zone halophile ou du pied des falaises. — Ce nom de zone du pied des falaises n’est pas rigoureusement exact, car il peut arriver, comme aux Rosaires, qu’il y ait toute une région de cette sorte, sans qu’il y ait de falaises en dessus; mais c’est là l'exception et l’épithète reste admissible. Cette zone est bien caractérisée, au point de vue botanique, par l'absence, pour ainsi dire complète, des plantes indiquées dans la région précédente et par la présence de deux espèces halo- philes, le Panicaut maritime /Eryngium marilimum) et le Crithme /Crithmum maritimum/, communs aux Rosaires, à l’Avant Port de Binic, au Palus, etc. Au point de vue clima- térique, cette zone est, par son exposition, moins chaude que la précédente, mais sa caractéristique est une atmosphère imprégnée de salure marine, très humide, mais d’une humi- dité spéciale, qui n’est pas celle qui convient aux mollusques. Souvent encore un sable fin, charrié par le vent de mer, vient présenter un obstacle de plus à la vie de ces animaux. Du reste, le faciès des deux plantes mentionnées est là pour montrer les difficultés d'existence qu’on rencontre dans cette région. C'est à cause de ces conditions défavorables que la zone du pied des falaises n’est pas continue, tout le long du litto- ral, mais qu’on ne l’observe au contraire que par intermittence, parfois, il est vrai, jusqu’au niveau du balancement des ma- rées. La biologie des formes qui l’habitent est peu variée: la plupart vivent sous les pierres. parmi le peu de végétation. Quelques espèces, l’Helix aspersa en particulier, se trouvent directement sur les plantes ou sur le sol. Enfin, j'ai trouvé trois mollusques dans des grottes obscures et assez profondes, probablement forées par la mer et où les fortes marées d’août et septembre pénètrent constamment. Voici les mollusques habitant la zone halophile du pied des falaises : Hyalina Draparnaldi. Vallonia pulchella. — cellaria. Helix aspersa. — subglabra. Tachea nemoralis. — nitidula. — subaustriaca. Crystallus crystallinus. Xerophila variabilis. Patula rotundata. — submaritima. Arion empiricorum. — Danieli. Fruticicola hispida. — intersecta. — occidentalis. — ‘acuta: Vitrina pellucida. Odostomia cylindracea. Cochlicopa lubrica. Vertigo pygmæa. Cæcilianella acicula. Clausilia bidentata. — enhalia. Ericia elegans. Pupilla muscorum. Dans les grottes vivent les Hyalina speicola. Limnæa truncatula et var. spelæa. J'ai trouvé en outre un exemplaire mort d’Alexia ringicula parmi les Crithmes de la grève du Palus, mais ce fait est exceptionnel. des AIO EE V. Zone saumâtre ou submaritime, — Cette dernière région est peu importante en étendue mais comprend un certain nombre de genres absolument spéciaux. Elle ne s'étend que par places, rarement directement au bord du rivage, mais dans l’intérieur, là où la mer peut pénétrer en remontant le lit des cours d’eau. Dans ces endroits, le sol, très boueux et garni de plantes halophiles caractéristiques — la Salicorne par exemple — est à marée basse tantôt recouvert d’eau douce, tantôt laissé à sec, tantôt parsemé de flaques salées. À marée haute le flux remonte insensiblement en recouvrant peu à peu le tout, pendant l’espace d’une heure environ, pour redescendre ensuite. Dans cette zone saumâtre, chaque espèce a à peu près sa biologie propre : la vase est garnie de Peringia ulvæ, qui vivent parfois sous les pierres immergées, dans les flaques salées ou même d’eau douce, en compagnie d’Hydrobia stagnalis. Sur les talus, à l’extrême limite du balancement des marées, on trouve sous les pierres et les détritus végétaux marins, les Alexia denticulata et ses variétés Armoricana et ringicula. Ces trois espèces sont spéciales à la zone: on peut donc hésiter à les considérer comme extramarines, car il serait plausible d’ad- mettre le contraire. Cependant ces formes ne descendant pas en dessous de cette région saumâtre et remontant souvent fort loin à l’intérieur des terres, il m'a semblé indiqué de les cataloguer dans mon travail. À côté de ces formes, j'ai trouvé dans cette même zone deux espèces fluviatiles, l’Ancylus fluviatilis et une var. de la Limnæa limosa!, vivant aux Rosaires dans de curieuses con- ditions : elles étaient établies dans un ruisseau sur la grève même, un peu en dessous du niveau du balancement des ma- rées et parmi les mêmes crustacés et turbellaires qui étaient abondants à Binic, dans les eaux saumâtres à Peringia. La Limnée appartient à la forme nommée par LINNÉ Limnæa Balthica, connue par son habitat dans les eaux salées des bords de la Baltique. Ces formes paraissaient se nourrir de détritus marins, de varechs et d’autres, abondants en cet endroit, et étaient fort prospères, étant donnée la quantité d’œufs déposés sous les cailloux. J'ai retrouvé un Ancylus fluviatilis dans la station saumâtre de Binic. x x 1 Près de l'embouchure de l’Escaut. dans l'étang saumâtre de Kaasjes, M. J. Lorié a même trouvé les Limnæa limosa, Planorbis glaber et corneus, etc., vivant en compagnie d'espèces marines telles que Mya arenaria, Cardium edule, Scrobicularia piperata, Tellina Balthica et de l'Hydrobia stagnalis (DoLLFUs). LEVQTS D’après ces quelques données on se sera rendu compte qu'au fond il n’y a que très peu de différences entre les mol- lusques habitant chaque région. Il est vrai que la distinction entre les cinq zones sont surtout climatériques ou botaniques. Mais il est cependant des critères malacologiques suffisants, sur lesquels nous allons insister maintenant. Tout d’abord, deux mots pour caractériser chacune au moyen de quelques plantes. Inutile de s’appesantir sur la flore de la région svlva- tique, absolument distincte des quatre autres. La lande est riche en Pteris aquilinu, Ulex europæus, Sarothamnus scoparrus, Digilalis purpurea, Castanea vulgaris, ete., dont les trois pre- mières seulement se retrouvent sur les falaises, à l’exclusion des deux autres. La zone halophile est bien spéciale par les deux végétaux cités plus haut, qui, dans notre contrée du moins, font défaut ailleurs. Enfin la zone saumâtre est la mieux caractérisée, par quelques végétaux, la Salicorne, la Sulsola soda, plusieurs autres Chénopodiacées, etc. Pour ce qui est des mollusques, la zone sylvatique est également très bien caractérisée par bon nombre d'espèces manquant au reste du pays. Ce sont les Limazx tenellus, Limax arborum, Hyalina viridula, Crystallus pseudohydatinus, Euconu- lus fulvus, Arion subfuscus, Punctum pygmæum, Fruticicola rufes- cens, Tachea hortensis, Buliminus obscurus, Balea perversa, Acan- thinula aculeata, Carychium minimum. Plus difficile est la distinction entre les autres zones. Pro- cédons par élimination. La zone du pied des falaises parait avoir les Cæcilianella enhalia et Xerophila Daniel: comme assez spéciales, de même peut-être que la Cæcilianella acicula, du moins dans notre territoire. Il est du reste facile de distinguer la zone des falaises de la zone halophile par le fait que cette dernière contient les Crystallus cr ystallinus, Vallonia pulchella et peut-être Arion empiricorum, que je n'ai pas trouvés dans la première. La zone des falaises peut compter la Fruticicoln psaturochæta comme caractéristique ; elle diffère en outre de la zone halophile par la présence des Hyalina pura et radiatula. La zone des landes ne peut se caractériser que par la Limax Sowerbyi, mais elle se distingue de la région des falaises par ses Agriolimax agrestis, Arion empiricorum, Fruticicola hispida, Vertigo pygmæa et Balea Heydeni. On la différenciera de la région du pied des falaises par les Arion hortensis et Balen Heydeni, sans doute absents de cette dernière. Enfin, la zone saumâtre est suffisamment spécialisée par les genres Alexia, Peringia et Hydrobra. * er Il eût été intéressant de faire une comparaison entre les mollusques quaternaires et les espèces actuelles, afin de rechercher l’époque où sont apparus dans la contrée les der- niers éléments méditerranéens. Mais malheureusement je n'ai pas réussi à découvrir des gisements suffisants pour cette étude, les gisements fossilifères que j'ai pu visiter ne datent que d’une origine très récente. Il serait hasardeux de tirer des conclusions de ces quelques données, aussi me bornerai-je à attirer l’attention sur deux ou trois points. Voici d’abord la liste des espèces trouvées dans les dépôts de la région : Limax maximus. Hyalina Draparnaldi. — subglabra. — cellaria. — | nitidula. Tachea subaustriaca. — hortensis. Xerophila intersecta. — submaritima. Cæcilianella acicula. — enhalia. Odostomia cylindracea. Agriolimax agrestis. Vitrina pellucida. Patula rotundata. Helix aspersa. Fruticicola hispida. — psaturochæla. Vallonia pulchella. Xerophila variabilis. 1 aCuta;: Pupilla muscorum. Clausilia bidentata. Limnæa truncatula. Ericia elegans. Planorbis rotundatus. Nous pouvons déjà relever de ce catalogue le fait que les éléments méditerranéens étaient déjà répandus lors de la for- mation de ces gisements. Je n’ai par contre pas trouvé d’es- pèces hibériques. En outre le climat était également très sec et chaud, comme l’indique la présence de la variété amoindrie de la Tachea nemoralis, que j'ai recueillie à l’exclusion du type. À noter encore l’abondance particulière des Xerophiles et des Helix aspersa, dont les nombreux exemplaires prédominent de beaucoup dans les dépôts. * * Maintenant que nous avons étudié aux points de vue fau- nistique et systématique la faune malacologique de Saint-Brieuc à Plouha, il peut paraître intéressant d'en esquisser l'analyse zoogéographique. Du reste cette recherche est facilitée par l’étude des habitudes biologiques. Il est naturel en effet que les espèces caractéristiques de la région sylvatique soient des éléments septentrionaux dont l’introduction remonte aux plus anciens peuplements de la contrée, avant même et pendant la 6 BULL. SOC. SC. NAT. T. XLI période des forêts. Au contraire, les espèces de la lande, affectionnant les lieux arides et chauds, seront plus naturelle- ment des éléments méditerranéens, d’une immigration plus récente, apparus à l’époque où le climat de ja Bretagne s’adoucissait de plus en plus. On à donné à cette dernière période le nom d’ère xérother- mique, en supposant qu’elle ait vraiment présenté un contraste climatérique, autant avec les temps précédents qu'avec l’époque postérieure. Mais certains naturalistes pensent qu’il s’agit au contraire d’une évolution progressive si intensible qu'il faut se garder de subdiviser avec trop d’absolutisme. Enfin, on pourra reconnaitre à la biologie très variable de telle espèce habitant impunément les falaises, la lande et la forêt, les éléments ubiquistes de la faune bretonne, éléments répandus pour le moins dans toute l’Europe septentrionale. Nous n’allons pas, naturellement, analyser chaque forme l’une après l’autre ; étant donné la petitesse du territoire étu- dié nous nous bornerons à mentionner les formes les plus caractéristiques. Des espèces ayant probablement apparues en Bretagne au début de la période sylvatique, on peut citer l’'Arion subfuscus, largement distribué dans les forêts d'Europe, en particulier dans les Alpes où il atteint le maximum de l’eu- koumène hypsométrique, à près de 3000 mètres (par exemple au Valais : 2735 mètres). Les Limax arborum et Limax tenellus semblent appartenir à cette catégorie ainsi que les £uconulus fulvus, Puntum pygmæum, etc.?. La Fruticicola rufescens est plus spécialement occidentale, de même, sans doute, que le Crys- tallus pseudohydatinus. Les Tacheu au contraire sont d’une ori- gine très orientale, mais sont d’une apparition bien posté- rieure; on sait en effet que ce sont les espèces les plus récemment immigrés qui sont presque toujours les plus abon- dantes (cf. l’Helix aspersa). Les éléments sylvatiques sont du reste très apparentés aux espèces ubiquistes, dont on peut citer les Zimax maximus, Agriolimax agrestis, Vitrina pellucida, Hyalina cellaria et radia- tula, Crystallus crystallinus, Euconulus fulvus, Punclum pyg- mæum, Patula rotundata, Vallonia pulchella, Buliminus obscurus, Acanthinula aculeatu, Cochlicopa lubrica, Cæcilianella acicula, Pupillu muscorum, Succinea putris et Pfeifferi, Carychium mani- L La LOTO tenellus est répandue en particulier jusqu'assez haut dans les Alpes: à 2200 mètres au Valais, etc. 2 Ces formes atteignent facilement 2500 mètres dans les Alpes suisses et vivent dans ce pays depuis une époque où les conditions étaient extrêmement dures, par suite des dernières invasions glaciaires. a — €) — mum, Limnæa limosa, palustris et truncatula, Ancylus fluviatilis etsans doute Physu fontinalis, Planorbis albus, Fruticicola hispida, Hyalina pura, Vertigo pygmæa, Balea perversa et Arion empiri- corum. La Limnæa glabra est également fort disséminée dans la région septentrionale, etc. Mais ce qui caractérise le mieux la faune malacologique de Bretagne, c’est l'influence méditerranéenne, à la fois méri- dionale et hibérique. Un grand nombre d’espèces ont remonté tout le littoral jusque bien au-delà de notre territoire. Les unes ont laissé par ci par là des ilots séparés, les autres, au contraire, sont largement distribuées dans tout le pays. Ainsi les Helix aspersu et Xerophila intersecta sont extrêmement répandus partout. Les £ricicia elegans, Xerophila variabilis et X. submarilima sont assez abondantes. Les Xerophila acuta et Danieli ainsi que la Fruticicola lanuginosa sont par contre les éléments méridionaux les plus rares et les plus halophiles. BOURGUIGNAT à en outre trouvé un grand nombre de ces espèces, dont les plus remarquables sont les Xerophila sphærita et arenosu. Des éléments hibériques! il faut citer la Limax Sowerbyi, la Balea Heydeni et la Fruticicola revelata, dont j'ai indiqué la distribution le long du littoral océanique. D’autres exemples ont été observés par l’auteur de la WMalacologie de la Bretagne, en particulier ceux de la Testacella maugei et de l’Ancylus strictus. Enfin à noter une forme très halophile et venant du nord de l’Europe, c’est l’Hydrobia stagnalis, des côtes de Suède, de Norvège, de Hollande et Belgique, de Grande-Bretagne et d'Allemagne, descendant jusqu’au Portugal. Sans insister, remarquons que la Limnæa Balthica a une distribution iden- tique, toutefois sans dépasser la Bretagne. 1 Ces quelques espèces portugaises sont caractéristiques de la faune que P. Fiscxer (Man. de Conch., p.202) appelle «sous-région occidentale ou atlan- tique » (de la région circaméditerranéenne). STABILISATION DE SOLUTIONS MÉDICAMENTEUSES Par LE Dr James BURMANN La dissolution d’un corps modifie toujours son état molé- culaire primitif et selon sa nature il sera ionisé, hydrolysé, saponifié, etc. C’est en solution qu'il acquerra le maximum de «récepti- vité» vis-à-vis des agents physiques, chimiques ou biologiques, indifférents tant qu'il est anhydre. Certains principes médicamenteux (alcaloïdes, glucosides), stables à l’abri de l'humidité, s’altèrent assez rapidement en milieu aqueux et perdent ainsi leur activité primitive. Quelques-uns sont si sensibles que le praticien doit les dis- soudre avant leur emploi ou recourir aux solutions récentes (Salvarsan, etc.). Quant aux préparations commerciales, elles ne possèdent souvent qu’une valeur relative quoiqu'on ait cherché à éliminer les causes immédiates de leur altération. Des récipients spéciaux diminuent l'influence de l’alcalinité des verres ordinaires; des ampoules ou flacons de couleurs, celle de la lumière; la stérilisation par la chaleur ou l’ultra- filtration, celles des microorganismes. Maigré ces multiples précautions on ne parvient pas tou- jours à maintenir longtemps des solutions de principes actifs facilement oxydables qui peu après leur conditionnement à l'air libre, rosissent, jaunissent ou brunissent, car des traces infinitésimales d'oxygène opèrent ces profondes transforma- tions qu’on peut suivre colorimétriquement. Ainsi en admettant l’emploi d’une eau qui renferme envi- ron 10 cm d’oxygène (0+,0143) par litre, pour dissoudre Ugr,1 d’adrénaline (sol. 1/10000), on voit que cette quantité d'oxygène n’est pas négligeable, puisque seulement 5°m°,6 (Ogr,008) suffiraient pour fixer un atome d'oxygène à 0,09 (t} M.) d’adrénaline. RON PEL Rappelons en passant que beaucoup de produits opothé- rapiques (thyroïde, hypophyse, surrénales) contiennent des oxydases très actives qui favorisent et accélèrent l’action de l'oxygène. L’extraction de certaines substances médicamenteuses déli- cates réclame des précautions infinies. Les réactifs chimiques violents sont exclus, la chaleur évitée, les fermentations et autolyses paralysées. Il arrive parfois que dans le cours compliqué d’un long processus, un autre facteur intervient et d’autant plus fâcheu- sement que c’est vers la fin des opérations qu’on s’en aperçoit. Nous avons parlé de l’air en présence duquel on a procédé aux phases du pulpage, de macération, d’agitation, etc., et pendant lesquelles et sans s’en douter, on a tout fait pour favoriser son action destructive. Takamine, pour isoler le principe actif des capsules sur- rénales dut s'adresser à l'huile, dont la mince couche sur les solutions aqueuses, les protégeait plus où moins du contact de l’oxygène. Si ce procédé est simple pour extraire un corps d’une plante ou d’un organe, il n’est guère applicable quand ce der- nier doit être conservé à l’état dissout pour son usage théra- peutique. Théoriquement, il semble facile de réaliser des conditions telles, que des manipulations se fassent à l’abri de l’air. Industriellement c’est plus compliqué, très onéreux, voire même impossible si l’on doit opérer dans un vide absolu. *+ En 1908, nous avons résolu ce problème lors de nos recherches sur les principes immédiats de plantes fraiches, riches en oxydases et cette méthode réservée à ces seules fins a été généralisée et étendue aux solutions de corps «hypé- roxydables » destinés aux usages médicaux. Disons-le d'emblée, nous avons trouvé dans le gaz carbo- nique pur, toutes les conditions requises pour protéger nos liquides, car nous avons utilisé à la fois sa densité, sa solubi- Nté, son innocuité, sa faible réactivité et son bon marché. A l’aide d’un appareil simple dont nous donnons la deserip- tion et le mode d'emploi ci-après, on peut désormais conser- — 86 — PLANCHE II Appareil à stabiliser les solutions médicamenteuses. D' JAMES BURMANN. D Pr ver indéfiniment des préparations très altérables, comme celles d’adrénaline, utéramine, alypine, novocaïne, cocaïne, hypo- physine, etc., dont la sensibilité vis-à-vis de l’oxygène tient surtout aux oxhvdriles phénoliques de leur molécule. Afin de mieux faire ressortir les résultats de notre procédé, nous illustrons ce mémoire d’une planche représentant les photographies en couleurs de trois solutions de corps choisis expressément parmi les plus sensibles qui soient sous ce rapport : a] Une solution d’indigo, décolorée exactement par l’hydro- sulfite de sodium. b] Une solution neutre à 2°/, de pyrogallol. c] Une solution à 1!/,, d’adrénaline. Après dissolution rapide de chacune de ces substances nous avons prélevé trois parts. La première a été traitée selon notre système ; avec la seconde on a rempli les ampoules à l'air libre, quant à la troisième, avant son conditionnement elle a été saturée d'oxygène pur. Trois mois après nous avons fait reproduire photographi- quement, par Sadag (Genève), les ampoules dont les degrès de coloration expriment ceux d’altération. Les témoins de gauche, incolores, attestent bien toute la valeur du procédé. x * + Notre appareil se compose d’un récipient en verre résis- tant R (voir figure) destiné à recevoir la solution à stabiliser, préalablement purgée d’air par ébullition dans le vide. Au moyen de la bougie en terre poreuse (b) et en desser- rant la pince de Mohr (p), on sature le liquide de gaz carbo- nique pur (100 0/,) provenant d’une bombe B munie d’une soupape de réduction (r). On maintient la pression à environ !/,, à !/, d’atmosphère et on remplit les ampoules à l’aide de la pince (p”) et de l'aiguille (a). On chasse l’air du col avec du gaz carbonique au moyen de l'aiguille (p”) et maintenant l’ampoule verticale on la scelle à la flamme du chalumeau. Ce procédé simple et pratique — puisque une ouvrière peut conditionner 1000 ampoules par jour — soustrait à l’action 1 En tenant compte des mesures de stérilisation qu'on doit prendre ordinai- rement. HORDE néfaste de l’air certaines solutions instables en présence de traces d'oxygène. [Il nous a paru être assez intéressant pour faire l’objet de la présente communication comme celui d’une demande de brevet. PLANCHE I PLANCHE II en couleurs B Bombe d’acide carbonique. a) Indigo. I Soupape de réduction. b) Pyrogallol. m Manomètre. c} Adrénaline. R Récipient, I Solutions stahilisées. p p'p'' Pinces de Mohr. II Solutions aérées. a a!’ Aiguilles. IT Solutions oxygènées. b Bougie en porcelaine poreuse, UNE PLANTE RARE POUR LE JURA ASPERULA GLAUCA (L.) BESSER Par H. SPINNER, PROFESSEUR Cette Rubiacée présente un intérêt particulier à divers points de vue. Tout d’abord sa position dans le genre Asperula n’est pas encore très nette. En effet, le caractère spécifique le plus apparent qui sépare ce genre des Galium, c’est le fait que chez les aspérules, le tube de la corolle doit être au moins aussi long que les dents coronales; or chez l’espèce qui nous occupe, le tube est plus court. C’est pour cette raison que Linné en avait fait Galium glaucum, puis que Marschall de Bieberstein la dénomma Asperula galioides. Le fait est que cette belle plante est, pour qui n’est point prévenu, facile à confondre avec Galium Mollugo L. Ce n’est que de près qu'Asperula glauca se distingue par la couleur bleuâtre de son feuillage et la teinte plus pure de ses fleurs. Le nom de Galium glaucum L. se retrouve dans les ouvrages suivants : LAMARCK, Flore française, 1798; Rorx, Tentamen Floræ Germanicæ, 1788; HOrFMANN, Flora Germanica, 1800; LAMARCK et DE CANDOLLE, Flore francaise, 1805; GRENIER et GoDRroO“, Flore de France, 1852. Asperula galioides M. B. est employé par: GAUDIN, Flora helvetica, 1828 ; MurTez, Flore française des herborisations, 1835 ; KocH, Synopsis Floræ Germanicæ et helveticæ, 1843; GopEr, Flore du Jura, 1852; Ducommux, Taschenbuch für den Schweizer Botaniker, 1869; ARCANGELI, Compendio della Flora italiana, 1882; Nyman, Conspectus Floræ Europææ, 1878-1882; GIBELLI, Com- pendio della Flora italiana, 1886; Rouy, Fiore de France, 1903; BONNiER, Flore complète de France, 1907; GaRCkE, {lustrierte Flora von Deutschland, 1912. Enfin, l'appellation d’Asperula gluuca Bess. est utilisée par: SCHMALHAUSEN, Flore de lu Russie moyenne et méridionale, 1877 ; GRENLI, Flore de la Suisse, 1898; GRADMANN, Pflanzenleben der Schwäbischen Alb, 1900 ; Scxinz und KELLER, Flora der Schweiz, 1913; Her, Ulustrierte Flora von Mittel-Europa, 1914. ES TRE D’après Rouv, Asperula glauca se rencontre dans l'Europe centrale et orientale, en Asie Mineure, en Arménie, au Caucase et en Sibérie. D’après Hegi et Nyman en voici la distribution européenne: Espagne (Castille, Aragon, Catalogne); France (sauf le Nord et le Nord-Est, d’après Bonnier); Belgique (rare); Allemagne (sauf le Nord); Suisse (très rare); Italie continentale; Autriche- Hongrie ; Balkans (sauf la Grèce et la Macédoine); Russie moyenne et méridionale. Asperula glauca est un type parfaitement xérophile. Des plateaux de l'Asie occidentale, elle a passé dans la péninsule balkanique et dans les steppes pontiques, puis de là en Italie et en Hongrie, et enfin s’est irradiée jusqu'aux régions sou- mises au climat atlantique humide qui l'a arrêtée. Partout, elle se rencontre de préférence sur les rochers calcaires, sur les coteaux pierreux ensoleillés; toutefois Lamarck et de Can- dolle disaient: lieux pierreux et ombragés. En Suisse, la plante parait s’être introduite par deux routes, la voie danubienne et la voie rhodanienne. Elle abonde dans le Jura souabe et de là a pénétré par Bâle, Schaffhouse, la vallée du Rhin qu’elle a remontée jusqu’à Coire, Reichenau et Tiefenkastel. En France, on la rencontre surtout au Midi, dans le Dauphiné, le Lyonnais; elle est remon- tée le long du Rhône par (renève, jusqu’à Aïgle et dans le Valais central. Des irradiations se sont produites et, aujour- d’hui, la plante très sporadique, souvent fugace, a été vue à Berne, à Zurich, à Berthoud, à Fribourg, au pied du Pilate. Le long du Jura, entre le Léman et Schaffhouse elle n’a été signalée qu'à Granges et à Neuchâtel. Un peu partout, on a parlé de stations adventives. Qu'en est-il pour les nôtres? Et tout d’abord où se trouvent-elles ? M. Eug. Sire, mort en 1913, nous certifiait qu'il en connais- sait plusieurs sur le versant méridional de Chaumont, mais n’en donna jamais la position précise. La première qui fut scientifiquement contrôlée se trouvait aux Cadolles, sur Neu- châtel où M. Jordan, pharmacien, la découvrit vers 1900. Elle se trouvait à environ 985 m. d’altitude, sur un coteau sec, à sol argilo-sablo-calcaire, d’origine morainique, dans un pâtu- rage exposé au soleil et fauché chaque année. En 1905, il n°v avait plus qu’une touffe de la plante et en 1907 tout avait dis- paru. Le verger des Cadolles est fréquenté par un public tou- jours plus nombreux, et Asperula glauca se trouvait malheu- reusement sur un des nombreux sentiers que les promeneurs traçent dans le pré. Je croyais donc devoir rayer la plante du nombre des espèces neuchâteloises. Mais, en 1913, étudiant la florule de la colline du Chanet, je la retrouvai en deux endroits. Tout d’abord dans un pré sec, exposé en plein midi, à sous-sol morainique aussi argilo- sablo-calcaire, à 965 m. d'altitude, en touffes nombreuses, vigoureuses, richement fleuries, atteignant jusqu’à 60 et 70 cm. de hauteur; puis, plus haut, au bord d’un chemin de forêt, à 600 m. d'altitude, dans un bois de pins et de chênes, en un endroit découvert, deux touffes de 35 cm. de hauteur. Voilà pour le terrain et l'exposition. Voyons maintenant les composants des associations formant la végétation ce ces stations : Aux Cadolles nous avions : Bromus erectus, Festuca ovina, Potentilla Tabernæmontani, Plantago media, Carex caryophyllæ, Anthyllis vulneraria, Andropogon [schæmon, Arabis hirsuta, Asperula glauca, Campanula rotundifolia, Galium Mollugo, Helianthemum Chamæcistus, Hieracium Pilosella, Myosotis hispida, Saxifraga tridactylites, Silene vulgaris, Veronica spi- cata, Thymus serpvllum, Kæleria cristata, Anthoxanthum odo- ratum, Carex montana. Aux Chanet l'association est la suivante : Bromus erectus, Vicia Cracca, Coronilla varia, Festuca duriuscula, Helianthe- mum Chamæcistus, Silene vulgaris, Stachys rectus, Centaurea scabiosa, Galium Mollugo, Potentilla Tabernæmontani, Anthyl- lis vulneraria, Asperula glauca, Salvia pratensis, Medicago sativa, Convolvulus arvensis, Thymus serpyllum, Silene nutans, Medicago Lupulina, Plantago lanceolata, Sanguisorba minor, Sedum acre, Dactylis glomerata, Poa pratensis, Hypericum perforatum, Euphorbia cyparissias, Sedum album, Papaver Rhœæas, Ajuga chamæpvtis, Melandrium album, Satureja clino- podium, Anagallis arvensis, Capsella Bursa pastoris, Scabiosa Columbaria. | La formation est ouverte, entre les touffes du gazon se trou- vent souvent des mousses ou des lichens /Peltigera). D’après Hegi, nous trouvons dans la région des collines de l'Elbe, près de Meissen : Anthoxanthum odoratum, Andro- pogon Ischæmum, Anthericum Liliago, Anemone nigricans, Asperula glauca, Clematis recta, Cytisus nigricans, Peuceda- num Cervaria, Verbascum Lychnitis, Odontites lutea, Centaurea Rhenana, Lactuca perennis, etc. Sur les montagnes qui encadrent le bassin de Vienne : Kœæ- leria gracilis, Festuca sulcata, Avena pratensis, Carex mon- tana, C. humilis, Dianthus Carthusianorum, Anemone grandis, 92 A. nigricans, Adonis vernalis, Ervsimum canescens, Geranium sanguineum, Trifollum alpestre, T. ochroleucum, Cvtisus nigricans, C. Ratisbonensis, Coronilla varia, Laserpitium lati, folium, Veronica Teucrinm, Asperula glauca, Phyteuma orbiculare, Centaurea variegata, C. Rhenana, Hieracium Bau- hini., etc. Gradmann, dans sa flore du Jura souabe, range notre espèce dans les plantes d’éboulis à côté de: Anthemis tinctoria, Arabis hirsuta, Carduus defloratus, Crepis alpestris, Polygo- natum officinale, Teucrium Botrys, T. Chamædrys, T. mon- tanum, Thlaspi montanum, Vincetoxicum officinale, Melica cilata, Sesleria cœrulea. Hesoï indique pour les pâturages rocailleux de la Haute- Alsace: Carex humilis, Hutchinsia petræa, Anemone Pul- satilla, Linum tenuifolium, Potentilla cinerea, Rosa pimpi- nellifolia, Peucedanum Alsaticum, Geranium sanguineum, Asperula glauca, Orobanche amethystina, Aster Lynosiris. etc. Christ, pour l’Isteinerklotz près de Bâle donne les accom- pagnants principaux suivants: Siipa pennata, Melica ciliata, Alyssum montanum, Dictamnus albus, Trinia vulgaris, Litho- spermum purpureo cœruleum, Staphylea pinnata, etc. Comme il est facile de s’en rendre compte, nos stations neuchàteloises paraissent des mieux caractérisées tant par leur exposition, que par leur sol et par leurs associations végétales; par conséquent nous sommes fondés à croire qu’elles sont parfaitement naturelles et qu’il n°v a point lieu de les taxer d’adventives. Nous ignorons parfaitement l’année de l'apparition de la plante au Chanet, mais ce qui est certain, c'est que de mémoire d'homme, le terrain où elle se trouve n’a pas changé de destination, il a toujours été un pré fauché régulièrement. Par quelle voie Asperula glauca a-t-elle pénétré dans le Vignoble neuchätelois? La station suisse la plus anciennement connue paraît être celle du Creux de Genthod, près de la maison Lullin (Genève), signalée en 1768 par Haller dans Historia Stirpium Indigenarum. Helvetiæ, puis rappelée par Lamarck et de Candolle en 1805 et par Gaudin en 1828. Il semblerait donc que la voie rhodanienne füt la première à amener la plante en Suisse, mais il parait non moins évident que ce fut surtout la vallée du Rhône qui en bénéficia, car, tandis qu’assez nombreuses sont les stations valaisannes, le Jura vaudois ignore l’Aspérule glauque, si ce n’est son appa- rition accidentelle à la gare d’Allaman et au bord d’une route à Rolle (Godet 1869). En 1843, Koch indiqua la station de Bingen, près Bâle, dérivant sans doute de celle badoise de l’Istein connue depuis fort longtemps (Haller 1768). En 1869, Ducommun ne connait encore que celles-là; Gremli, en 1898, y ajoutait Schaffhouse et Berthoud, tandis qu'aujourd'hui la plante est signalée un peu partout en Suisse, mais très dispersée. Il semble donc certain que l'immigration par la voie danu- bienne s’accomplit sensiblement plus tard. Hegi considère que seules les stations rhodano-lémaniennes, rhétiques et jurassiques orientales rentrent dans l’aire géogra- phique de l’espèce, celles du Plateau et du Jura central seraient adventives ; Schinz el Keller émettent une opinion identique. Il semble, au premier abord, qu'ils aient parfaitement raison, car toutes ces dernières stations sont en effet celles d’anthro- pochores, ainsi, route près de Montbovon (Cottet), barrage près Fribourg (Wilczek), gare d'(Ensingen (Soleure, Lüscher), Leuzingen (Soleure), adventif (Probst 71913), Zurich, près de la gare (Thellung 1885), etc. La multiplicité et la multiplica- tion de ces stations, où malgré le caractère adventif la plante se maintient parfois depuis 30 ans, nous démontrent qu’As- perula glauca à trouvé un milieu à sa convenance dans notre pays. Comme Hesi le dit fort bien, son aire de dispersion cor- respond assez bien avec celle de la culture de la vigne et il est probable qu’elle continuera à se répandre chez nous. Ensuite, on abuse peut-être du mot adventif? Nous sommes de l’avis de Rübel, lorsque dans son résumé de phytogéogra- phie écologique, il dit que l’action du «zoon » homme sur la dissémination des graines ne doit pas être jugée autrement que celle des animaux proprement dits. En effet, peu nous importe, qu'une semence nous soit arrivée de loin collée à la patte d’un oiseau de passage ou accrochée à un colis trans- porté par chemin de fer, car l’homme fait partie intégrante de la nature. Nos Rubiacées en général sont des zoochores, c'est-à-dire que leurs fruits, plus ou moins hérissés, sont des- tinés à être disséminés par les soins des animaux, homme y compris. C’est pourquoi, dès l’extension de notre réseau des chemins de fer, Asperula glauca a apparu à tant de stations nouvelles, surtout aux environ des gares. Elle a trouvé là un terrain vierge où elle à pu prendre pied, sa multiplication sou- terraine par rejets stériles l'avantage dans la lutte pour l’exis- tence et c’est ainsi qu’elle peut s’y maintenir. Rappelons du reste que de telles stations sont d’un type parfaitement slep- pique, puisqu'elles sont des formations ouvertes, généralement — 94 — rocailleuses, arides et propres seulement à héberger une végé- tation xérophile. Notre station du Chanet nous parait donc constituer le jalon méridional extrême de l’irradiation jurassique venue de Schaffhouse, puisque la plante manque totalement de Neuchâtel au Léman. Asperula glauca y a trouvé des con- ditions d’existence toutes semblables à celles des collines pontico-danubiennes et s’y est développée admirablement maloré la concurrence d'espèces, non moins bien adaptées, elle fait partie intégrante de l'association, le mot «adventif» n’a donc rien à voir ici. Cette superbe station est du reste menacée, une partie a déjà souffert du transport de matériaux de construction et ce qui en reste est englobé dans le réseau des terrains à bâtir. On pourrait se demander pourquoi Asperula glauca n’est pas plus répandue aux environs de Neuchâtel alors que les garides y occupent tant d'espace. C’est que venue très tard, elle n’a plus guère trouvé de places vides dans ces parages, et là où la formation est très ouverte, comme dans les nombreux «lapiez» de Tête-Plumée, la roche est à nu. Or, notre plante demande un sol assez profond et les terrains de ce genre sont occupés habituellement par des cultures fermées à Asperula. Un fait intéressant à signaler encore c’est l'absence d’As- perula cynanchica des associations où se rencontre Asperula glauca, 1l semble que ces plantes s’excluent l’une l'autre. La première est abondante aux environs de Neuchâtel, elle y est indigène puisque sa patrie c’est l’Europe centro-méridionale. Nous avons là un de ces cas nombreux d'espèces d’un même genre qui ne sauraient croitre côte à côte. Asperula glauca du Chanet appartient à la var. & grandi- [lora Rouy. LES REPRESENTANTS DU GENRE LEPIDIUM L. DANS LE CANTON DE NEUCHATEL Par H. SPINNER, PROFESSEUR En 1852, Godet indiquait : Lepidium sativum L. Subspontané aux environs des habi- tations. L. cumpestre R. Br. Commun dans les endroits cultivés. L. graminifolium L. Citée par d’Yvernois, mais pas retrouvée. L. ruderale L. Douteuse pour le domaine jurassique. En 1869, Godet n’ajoutait rien à ces données neuchâte- loises. Qu'en est-il aujourd’hui ? L. sativum se rencontre subspontané particulièrement au Vignoble et au Val-de-Travers (Couvet 750 m., Lerch). L. campestre se rencontre des bords du Lac jusqu'aux Montagnes (1200 m., à la Joux du Locle). L. graminifolium a été retrouvé par M. Wirth, dans un bosquet près d’Areuse durant l'été 1913. L. ruderale paraît s'être introduit subitement et rapidement à partir de 1885. La plante est excessivement commune sur les terrains vagues des bords du lac, elle est remontée le long des lignes du “chemin de fer. Lerch l’a trouvée à la sare de Travers en 1887; on ne l’a pas encore signalée au Val- de-Ruz et aux Montagnes. L. Draba L. n’était signalée en 1869 que dans le Jura français et à Aarbourg. Aujourd'hui cette espèce a envahi notre région tout le long des chemins et des voies ferrées. On la rencontre dans le Vignoble. au Val-de-Ruz (Valangin, par le tramway); à Chambrelien, près de la gare; à Travers, près de la gare (Lerch) ; aux Monts du Locle, à 980 m. (Thiébaud). Nous avons là un nouvel exemple d’invasion d’espèces steppiques anémochores primitivement zoochores et surtout anthropochores secondairement. — 96 — L. ruderale recherche les terrains arides, ammoniacaux. Jusque vers la moitié du XIXme siècle il n’a pas existé en Suisse, mais depuis, par la voie rhodanienne et la trouée de Belfort-Bâle, il a pénétré chez nous et aujourd’hui on le ren- contre partout où ont pénétré les chemins de fer. (Bernina 2081 m. Thellung.) Sa patrie est sans doute l'Asie Mineure. L. Draba, subsp. eu-Draba Thellung, est originaire des steppes pontiques et méditerranéennes. Il a apparu pour fa première fois en Allemagne, à Ulm, en 1728; en Suisse prés de Baden, en 1842. Il a pénétré chez nous par la voie rhoda- nienne et par la voie danubienne et s’est répandu encore plus rapidement et plus complètement que L. ruderale. La station la plus élevée est à Salastrains près de Saint-Moritz, à 2100 m. (Thellung). MÉLANGES MYCOLOGIQUES PAR Euc. MAYOR, Dr-Mén. Au cours de recherches faites sur des plantes acquises ces dernières années par l’Herbier de l’Institut botanique de l’Uni- versité de Neuchâtel et très obligeamment mises à ma dispo- sition par M. le professeur SPINNER, j'ai pu mettre la main sur un certain nombre de champignons parasites recueillis accidentellement en même temps que les phanérogames. Ces parasites appartiennent à l’ordre des Urédinées et quelques- uns présentent un certain intérêt soit en eux-mêmes, soit au point de vue de leur répartition géographique, soit au point de vue de leur support phanérogamique. Ces espèces pro- viennent des pays les plus divers et je les passerai en revue suivant l’ordre des collections qui ont été soumises à mon examen. Dans une collection de plantes provenant de l'Egypte et récoltées par M. DumonrT, un de nos concitoyens établi depuis un certain nombre d'années à Alexandrie, je n'ai trouvé qu’une seule plante malade. Il s’agit de Puccinia Crucianellæ Desm., trouvé sous sa forme téleutosporée sur Crucianella herbacea Forsk.; ce champignon a été récolté le 4er mai 1909 à Siouf (Alexandrie). D’après Sypow!, ce parasite n’est men- tionné qu’en Palestine sur Crucianella herbacea var. strictior et de ce fait mérite de retenir l’attention comme contribution à l’étude des Urédinées de l'Egypte. Parmi les plantes recueillies en été 1911 par M. le profes- seur MATTHEY-DuprAz de Colombier au cours d’une croisière au Spitzberg, une seule a été trouvée malade, Saxifraga hiera- cifolia Waldstein et Kitaibel, porteur de Puccinia Saxifragæ Schlecht. Ce parasite, trouvé sous sa forme téleutosporée, à été récolté le 29 juillet 1911 sur le Vorland du Port Müller, dans la Baie Müller, aux abords de la Pierre Remarquable, par environ 7917’ de latitude nord et 12 de longitude E. Gr. 1 Sypow P.et H. Monographia Uredinearum, vol. I, p. 210. 7 BULL. SOC, SC, NAT. T. XLI — 98 Cette espèce est intéressante par le fait qu’elle a été recueillie dans les régions arctiques où jusqu’à maintenant, à ma con- naissance du moins, on ne l’avait pas encore mentionnée ; jusqu'ici sa limite septentrionale était la Norvège !. Dans un lot de plantes provenant de la Russie méridionale, de la région du Don près de Novotscherkassk, j'ai pu observer quelques plantes attaquées par des Urédinées dont quelques- unes sont intéressantes par leur support phanérogamique. Ces parasites sont au nombre de neuf. UrouycEs Limoxir (DC) Lév. Sur : Statice latifolia Sm. L?, IT et IT. — 31 juillet 1911: in steppis. PucciNIA PIMPINELLÆ (Str.) Lk. Sur: Pémpinella Tragium Vill. I et IE. — 26 juillet 1911 : in declivio lapidoso. PUCCINIA ABSINTHIT DC. Sur: Artemisia procera Willd. IT et IT. — 13 août 1910: in pratis. PucciNiA CENTAUREÆ Mart. Sur : Centaurea Sulonitana Vis. Il et IE. — der août 1911 : in declivio plus minusve lapidoso. PucciNIA ASTERIS Duby. Sur : Aster acer L. II. — 9 août 1910: In declivio, solo denudato. PUCCINIA NIGRESCENS Kirchn. Sur : Salvia verticillatu L. TT. — 3 juin 1910 : ruderalis. PucciNIA EREMURI Komarov. Sur: Eremurus spectabilis M. B. IT. — 12 mai 1911: in declivio plus minusve lapidoso. PucciniA CESATI Schræt. Sur: Andropogon Ischœmum L. let IT. — 9 août 1910: in declivio. 1 Sypow P.et H. Monographia Uredinearum, vol. I, p. 500. 2 Le chiffre I indique que le parasite a été trouvé sous sa forme aecidios- porée, II sous sa forme uredosporée et IIT sous sa forme téleutosporée. 2100 PUCCINIA PERMIXTA Syd. Sur : Diplachne serotina Link, ssp. chinensis Aschers et Gr. IT et III. — 27 juin 1910 : in declivio. Parmi un certain nombre de plantes provenant des Philip- pines!, j'ai eu l’occasion d'observer quelques champignons présentant un certain intérêt au point de vue de l'étude de la mycologie de ces contrées lointaines. Deux de ces parasites ne se trouvent pas mentionnés dans la littérature que j'ai con- sultée ? et leur étude m'a conduit à estimer qu’il s’agit de parasites non encore décrits. UROMYCES PSEUDARTHRIÆ Cke. Sur feuilles de Pseudarthria viscidu W. et À. II. — Bago, Negros, avril 1910, n° 212. Cet uredo correspond très bien avec celui décrit par Sypow sur Pseudarthria Hookeri du Togo et qu’il attribue, avec quelques doutes d’ailleurs, à cette espèce. UROMYCES LINEARIS B. et Br. Sur feuilles de Panicum repens L. IT. — Manila, Luzon, février 1910,en0 182. Ces uredos correspondent très bien à la description de cette espèce, faite d'après des échantillons se développant sur le même support phanérogamique. Ce para- site est déjà mentionné dans les Philippines et sur le même support. UromYcEs ERIOCHLOÆ (Syd.) Syd. et Butl. Sur feuilles de Æriochloau ramosa Retz. O. K. II. — Anti- polo, prov. Rizal, Luzon, novembre 1909, no 195. UromMYcEsS EÉLEOCHARIDIS Arth. Sur tiges et feuilles de Æleocharis equisetina Pres]. IT. — Manila, Luzon, août 1910, n° 531. UROMYCES CARICIS-RAFFLESIANÆ n0%. spec. Sur feuilles de Carex Rafflesiana var. continua Keck. TIT. — Benguet, subprov. Luzon, juin 1911, n° 564. 1 Philippine plants. Prepared by the Bureau of Science, Manila, under the direction of E.-D. Merrill. ? Grâce à l'obligeance de M. le prof. Ed. Fischer, de Berne, auquel je tiens à exprimer ma plus” vive reconnaissance, j'ai pu avoir sous les yeux la littéra- ture à peu près complète du sujet. — 100 — Amas de téleutospores à la face inférieure des feuilles, peu nombreux et disséminés, irrégulièrement disposés, non con- fluents, grossièrement arrondis ou un peu allongés, petits, à peine 1 mm. de diamètre en moyenne, d’un brun un peu Jjaunâtre, nus de très bonne heure et sans rebord épidermique, ne faisant pas de taches spéciales sur les feuilles, un peu com- pacts. Téleutospores ovoides ou ovoides-ovalaires, 21-26 y X 17-21 &, d’un brun jaunâtre päle, arrondies aux deux extré- mités ou un peu atténuées à la base ou un peu en pointe à l'extrémité supérieure: pore germinatif apical; membrane lisse, en moyenne 2 & d'épaisseur, fortement renflée à l’extré- mité supérieure où elle mesure jusqu’à 7 & d'épaisseur; pédi- celle persistant, hyalin, jusqu’à 70 & de longueur sur 5-7 & de largeur à son insertion et 3-4 & à sa base. tir Uromyces Caricis-Rafflesianæ, nov. spec. Téleutospores. Gross. 500. ___ ——S Cette espèce se distingue facilement des autres déjà décri- tes sur les Carex soit par ses caractères macroscopiques, soit surtout par ses caractères microscopiques, aussi n'est-il pas nécessaire d’insister sur les nombreuses différences morpho- — 101 — logiques qui la caractérisent. Dans les échantillons que j'ai étudiés, je n’ai pas observé la présence d’uredospores ; cepen- dant je ne crois pas qu’on se trouve en présence d’un parasite ne possédant que des téleutospores. Il doit s'agir d’une espèce où on observera un jour des uredos et peut-être même, par la suite, démontrera-t-on que cet Uromyces est hétéroiïque. Soris teleutosporiferis hypophyllis, paucis, sparsis, non confluen- tibus, rotundatis vel parum oblongis, minulis, vix 1 mm. diam., brunneo-flavidulis, mox nudis, compactrusculis. Teleulosporis ovor- deis vel ovoideo-ovalibus, 21-26 X17-21u, pallide brunneo- flavidulis, utrinque rotundatis vel interdum basi vel apice parum altenuatis ; poro germinativo apicali ; membrana levi, 2 y crassa, apice usque 7 à incrassala; pedicello hyalino, persistenti, usque 70 w longo, 5-7 p lato in parte superiore et 3-4 x in parte inferiore. PUCCINIA HETEROSPORA Berk. et Curt. Sur feuilles de Sida mysorensis W. et À. III. — Montalban, prov. Rizal, Luzon, janvier 1910, no 76. Déja mentionné aux Philippines sur la même plante. PucciniA CONGESTA B. et Br. (— P. Sozmsnr P. Henn.) Sur feuilles de Polygonum benguentense Merr. IT. — Benguet, subprov. Luzon, mai 1911, n° 768. La description de ce para- site, déjà mentionné aux Philippines sur deux Polygonum, correspond bien à ce que j'ai observé. PucaniA Duraiæ Ell. et Tracy. Sur feuilles de /schaemum intermedium Brongn. Il. — Manila, Luzon, octobre 1909, no 102. PUCcINIA vERSICOLOR Diet. et Holw. Sur feuilles de Andropogon contortus L. II. — Bosoboso, prov. Rizal, Luzon, octobre 1909, no 115. UrEDO Rosrruprr P. Henn. Sur feuilles de Fuirena glomerata Lam. — San Pedro Ma- cati, prov. Rizal, Luzon, octobre 1909, no 503. Cet Uredo est déjà mentionné aux Philippines sur le même support phané- rogamique. UREDO DIGITARIÆ-CILIARIS Spec. nov. Sur feuilles de Digitaria ciliaris Pers. — Montalban, prov. Rizal, Luzon, novembre 1909, no 147. THE Amas d’uredos sur les deux faces des feuilles, isolés, irré- gulièrement disposés, assez souvent un peu confluents, petits, 1/,-°?/, mm. de diamètre en moyenne, arrondis ou souvent un peu allongés dans le sens des feuilles, ne manifestant pas leur présence par des taches spéciales, Lruns, d’abord recouverts par l’épiderme qui éclate de bonne heure sans former toujours un rebord net. Uredospores ovoides ou ovoides-elliptiques, 23-28 pu X 18-21 &, ou subglobuleuses, 21-26: de diamètre, d’un brun pâle; pores germinatifs au nombre de deux, équa- toriaux, souvent recouverts d’une petite papille hyaline; membrane d’égale épaisseur partout, environ 1x, échinulée à épines courtes et assez espacées. Uredo Digitariæ-ciliaris, nov. spec. Gross. 900. Soris uredosporiferis amphigenis, spursis, sæpe parum con- fluentibus, minutis, cu. 1/,-°], mm. diim., rotundatis vel parum oblongis, brunneis, primo epidermide lectis dein nudis, pulveru- lentis. Uredosporis ovoideris vel oroideo-ellipsoideis, 23-28 y» X 18-21 w, vel subalobosis, 21-26 » diam., pallide brunners ; poris germinalionis 2, æquatoriulibus ; membrana 1 x crassa, minule sparseque echinulata. ERYSIPHE PoLYGONI DC. Sur feuilles de Cantharospernum scarabaeoides (L.) Baïll. — San Pedro Macati, prov. Rizal, Luzon, novembre 1909, no 20. A Au cours d’un séjour aux Etats-Unis d'Amérique, dans l'Etat du Maine, ma sœur, Mlle F. Mayor, a recueilli à mon intention quelques champignons qui présentent un certain intérêt et que Je crois intéressant de mentionner ici. PUCCINIA CARICIS-SOLIDAGINIS Arth. Sur: Solidago graminifolia (L) EI. I. — Bord de chemins, Waterville, Maine, 25 juin 1911. PUCCINIA OBSCURA Schræt. Sur: Luzula campestris (L) DC. IL. — Dans les prés, Water- ville, Maine, 28 juin 1911. PUCCINIA EMACULATA Schw. Sur: Panicum capillare L. IT et III. — Bord de chemin, Waterville, Maine, 28 juin 1911. COLEOSPORIUM SOLIDAGINIS (Schwein.) Thümen. Sur : Solidago canadensis L. IT. — Bord de chemins, Water- ville, Maine, 28 juin 1911. ERYSIPHE PoLyGont DC. Sur: Polygonum spec. (vraisemblablement Polygonum avi- culare L. ou espèce très voisine). — Bord de chemins, Water- ville, Maine, 26 juillet 1911. Enfin, dans la première semaine de juin 1912, au cours d’une excursion en Savoie et en Dauphiné, j'ai pu observer et récolter un certain nombre de champignons dont quelques- uns sont intéressants pour cette région de la France. MELANOTÆNIUM ENDOGENUM (Ung.) de Bary. Dans les tiges de Galium Mollugo L. — Chemin entre Talloires et Menthon, au bord du lac d’Annecy. UROMYCES INÆQUIALTUS Lasch. Sur : Silene nutans L. T, IT et IIT. — Thônes près d'Annecy, chemin de l’Ermitage. — 104 — UROMYCES GRAMINIS (Niessl.) Dietel. Sur: Laserpilium Siler L. 1. — Thônes près d'Annecy, chemin de l’Ermitage. PUCCINIA ASARINA Kunze. Sur: Asarum europæum L. TT. — Taillis au bord du Nom, à Thônes près d'Annecy. PUCCINIA LACTUCARUM Sydow. Sur: Lactuca perennis L. I, Il et III. — Thônes près d’An- necy, chemin de l’Ermitage. PucciniA Picrinis Hazsl. Sur: Picris hieracioides L. IT et III. — Vizille près de Gre- noble. PucciniIA ALLIH (DC) Rudolphi. Sur: Allium oleraceum L. TT et IT. — Lavagny près d’An- necy. Sur: Allium pulchellum Don. IT et IT. — Chemin de Gre- noble à La Bastille. PucainiA CariciS (Schum.) Rebent. Sur: Urtica dioica L. 1. — Thônes près d'Annecy, caemin de l'Ermitage. PUCCINIA CARICIS-MONTANÆ Ed. Fischer. Sur : Centaurea Jacea L. 1. — Talloires au bord du lac d'Annecy. PuccinrA Buxt DC. Sur: Buzus sempervirens L. TIT. — Duingt au bord du lac d'Annecy. PuccINIA MALVACEARUM Mont. Sur: Malva silvestris L. III. — Talloires au bord du lac d'Annecv et Lavagny près d'Annecy. Sur: Althæa hirsuta L. III. — La Bastille au-dessus de Grenoble. — 105 — PUCCINIA ANNULARIS (Strauss) Schlecht. Sur: Teucrium Chamædrys L. TT. — Thônes près d'Annecy, chemin de l’Ermitage. PuocciniIA AzLLui-PHALARIDIS Klebahn. Sur : Allium ursinum L. 1. — Gorges du Fier près d'Annecy. PuccniA AGRoPyRi Ell. et Ev. Sur: Clematis Vilalba L. 1. — Talloires près d'Annecy et Abbave de Hautecombe (lac du Bourget). MELAMPSORA EUPHORBIÆ-DULCIS Otth. (F. ssp. EUPHORBIÆ-STRICTÆ W. Müller). Sur: Euphorbia stricta L. IT. — Abbaye de Hautecombe au bord du lac du Bourget. SPHÆROTHECA EUPHORBIÆ (Cast.) Salmon. Sur: Euphorbia Cyparissius L. — Crêt du Maure au-dessus d'Annecy. MICROSPHÆRA QUERCINA (Schwein.) Burril. Sur: Quercus pedunculata Ehrh. (Oidium). — Taillis à An- necy et environs, Thônes, Talloires, Duingt et Menthon. ERYSIPHE PoLYGon: DC. Sur: Genista saggittalis L. — Crêt du Maure au-dessus d'Annecy. Sur: Galium Aparine L. — La Bastille au-dessus de Gre- noble. ERYSIPHE CICHORACEARUM DC. Sur: Lactuca perennis L. — Thônes près d'Annecy, chemin de l’'Ermitage. LE SEGMENT BUCCO-CŒSOPHAGIEN DE SPELERPES ADSPERSUS FETERS- Par Jonx LEUBA, LICENCIÉ ÉS-SCIENCES INTRODUCTION Au cours du voyage d'exploration scientifique qu'il fit en Colombie, en compagnie du D' Mayor, en 1910, le professeur Fuhrmann à recueilli un grand nombre d'individus de Spelerpes adspersus, qu'il fixa aussitôt par de l'alcool à 95°; ils furent déter- minés par PEraAccal. Ils proviennent du haut plateau de Bogota, et surtout de la petite vallée du Rio $S. Cristobal (altitude 2600 m. environ). Le peu de temps dont disposaient les explorateurs ne leur a pas permis de faire des observations suivies sur le mode de vie de ces animaux. Durant le jour, ils se tiennent immobiles sous des pierres; ils ne sortent que la nuit pour chasser les insectes. Leurs mouvements sont très lents, mais cette lenteur dans leurs déplacements est compensée, à la chasse, par une projection extrèmement rapide de leur langue. On ne sait rien ni de leur mode de reproduction, ni de leur développement. Spelerpes adspersus, comme tous les Plethodontines, ne pos- sède pas de poumons; cette particularité suffit déjà, à elle seule, à le rendre intéressant; de plus, pourvu comme son congénère européen d’un appareil lingual protractile, à l’aide duquel il capture les Insectes, il excite également par là la curiosité. Aussi, ne saurions-nous assez remercier le professeur Fuhr- mann de nous avoir confié son matériel, lorsqu'il nous à con- seillé d'entreprendre cette étude. 1 Peracca, M. G. Reptiles et Batraciens de Colombie, in: Funruanx et Mayor, Voyage d'exploration scientifique en Colombie. Mém. Soc. Sc. nat. de Neuchâtel, t. V, 1914, p. 9%. — 107 — Le manque de temps ne nous a pas permis de faire une monographie complète de Spelerpes adspersus ; nous avons limité notre étude à la région antérieure du corps, et nous décrirons successivement dans cinq chapitres: I. La morphologie générale de la cavité buccale, du pha- rynx, et de l’æœsophage. IL. La structure histologique de leur muqueuse. III. La peau. Dans un IV chapitre, nous exposerons nos idées sur la respiration des Batraciens apneumones, de Spelerpes adspersus en particulier. Enfin, dans un Ve chapitre, nous décrirons l'anatomie de l'appareil lingual et son mécanisme. — 108 — CHAPITRE I MORPHOLOGIE DU SEGMENT BUCCO-ŒSOPHAGIEN. La forme généraie de la portion du canal alimentaire com- prise entre le museau et le cardia peut se ramener à celle d’une raquette, dont le manche serait constitué par l’œsophage, l'élargissement par le pharynx et la cavité buccale, le maximum de largeur se trouvant au niveau des commissures. Le plancher (pl. 1, fig. 1) est limité en avant par le rebord du maxillaire inférieur; ce rebord, arrondi et lisse, est peu sail- lant; les dents du maxillaire inférieur se disposent, immédia- tement en arrière de lui, en une seule rangée, continue et régulière ; nous en avons compté 48 chez des individus adultes. Le milieu de la cavité buccale est occupé par le volumineux plateau de la langue /{.), dont les dimensions atteignent, chez les adultes, 5 mm. de longueur sur 3 de largeur. Sur le vivant, il est probable que ces dimensions sont un peu plus grandes, car le plateau est dans un certain état de turgescence qui disparait à la fixation. Si on soulève le plateau lingual, on découvre une large et profonde dépression, suivant l’axe médian. La moitié antérieure de cette dépression forme une gouttière arrondie, inclinée d'avant en arrière, déterminée par le piston lingual au niveau de son insertion au plateau. Dans sa moitié postérieure, la gouttière est fermée en un canal complet par un pont musculaire /pt.), légèrement con- vexe dorsalement ; le bord libre de ce pont est échancré; en arrière il se confond avec la muqueuse de la cavité buccale. Deux bombements longitudinaux flanquent la gouttière médiane ; ils sont déterminés par le passage, au-dessous de la muqueuse, des muscles génio-hyoïdiens /gh.). Immédiatement en arrière des commissures, le canal digestif se rétrécit légèrement: sa paroi est tout à fait unie sur une certaine étendue. Cette plage unie est bientôt inter- rompue par l’apparition de replis, au niveau desquels le tube digestif se rétrécit fortement : sa section n’est plus que le tiers environ du plus grand diamètre, au niveau des commis- sures labiales. La forme de ces replis, leur amplitude et leur étendue, varient suivant le degré de développement des individus. — 109 — Chez les jeunes, ayant la moitié de la taille d’un adulte, ces replis présentent un aspect très caractéristique; ils sont au nombre de quatre, à contours arrondis, et délimitent trois profonds sillons: l’un tout à fait médian {F. tr.), les deux autres, latéraux et symétriques. Le premier est évasé dans sa partie antérieure; étroit et profond en son milieu, il s’efface sraduellement en arrière. Sa longueur totale ne dépasse pas 1 mm. La position de ces sillons, telle qu’elle est démontrée par la reconstruction plastique, est des plus significatives : 40 elle est comprise entre deux régions totalement dépour- vues de plis; 20 si nous essayons de la situer relativement à la même région topographique chez Trilon alpestris, nous voyons qu’elle correspond précisément à la région glottique. Nous avons fait une reconstruction graphique de la muqueuse ventrale du canal digestif antérieur chez Triton alpestris (p!. I, fig. 2). La comparaison desfig. 1 et2 montre que chez Triton le segment bucco-pharyngien est relativement allongé, tandis qu’il est plus ramassé chez Spelerpes adspersus. Mais, chez les deux espèces, ces sillons correspondent au niveau où le tube digestif se rétrécit brusquement; sur les coupes transversales, ils correspondent à des images topogra- phiques presque identiques, dans la région otique postérieure. Nous pouvons donc les homologuer avec certitude, et con- clure que les jeunes Spelerpes adspersus possèdent encore un «aditus ad luryngem » rudimentaire, autrement dit: une fente trachéale. Il serait très intéressant d'étudier, à ce point de vue, le développement larvaire, mais le matériel nous est inaccessible. Chez les adultes, la disposition que nous venons de décrire perd un peu de sa netteté; cependant, les replis, au nombre de six, dessinent encore un sillon médian assez bien indiqué en avant, et quatre sillons latéraux, deux de chaque côté de lui. Mais ils n’ont nullement l'allure symétrique et régulière qui fait le caractère de ceux des jeunes, et ils ne tardent pas à être confondus avec les replis de l’œsophage qui les con- tinuent directement; cela fait que chez les adultes, ces replis ne se distinguent pour ainsi dire pas de ceux de l’æsophage. WiLpER (47)! décrivant le Plethodon erythronotus avait fait remarquer déjà la tendance de ce qu’il appelle la fente glot- 1 Les chiffres placés après les noms d’auteurs renvoient à l'index bibliogra- phique, p. 144. ND — tique à se confondre avec les replis de la muqueuse œsopha- gienne. Quant à la signification des sillons qui accompagnent latéralement la fente trachéale, nous pensons qu'il faut la chercher dans l’insertion des muscles respiratoires du pharynx, sur lesquels nous reviendrons quand nous décrirons la struc- ture de la muqueuse. Nous insistons sur le fait que, chez les jeunes, la fente trachéale est séparée des replis de la muqueuse du cardia par un espace lisse et dépourvu de plis. Chez les adultes, nous avons vu qu'ils sont en continuité immédiate avec eux. Les replis de l’œsophage sont très élevés, et délimitent des sillons profonds. Le plafond du segment bucco-æsophagien montre une topographie plus simple que le plancher; examinons-le ren- versé, comme le montre la figure 5, pl. I. Antérieurement, sa limite est donnée par le bord de la mâchoire supérieure, que dépasse, en avant, le museau. Nous y voyons, d'avant en arrière, les dents intermaxillaires, [d. im.) — au nombre de trois — et les dents du maxillaire supérieur /dms.], — au nombre de quatre de chaque côté; — puis un palier étroit, peu étendu, coupé en arête vive dans la région médiane, et s’atténuant latéralement, en avant des choanes; il est occupé, dans la position naturelle, par le bord antérieur de la mâchoire inférieure. Immédiatement au-dessous de ce palier, sur la ligne mé- liane, s’ouvre un petit orifice; c’est le débouché du canal excréteur de la glande intermaxillaire /gl.im.]. De chaque côté de cet orifice, un peu en retrait de lui,.s’ouvrent les choanes /ch.], allongées transversalement, avec une légère obliquité d'avant en arrière. Du bord externe des choanes, convergeant en arrière vers la ligne médiane, se devinent deux saillies arrondies, peu marquées, dues aux os palatins; la forme de ces saillies est soulignée par une rangée de dents palatines, au nombre de six à huit {d. pa.) de chaque côté; on peut la comparer à celle d’un accent circonflexe renversé; l’espace compris entre le circonflexe et le maxillaire supérieur correspond aux vomers. En arrière des palatins, la charpente du plafond de la cavité buccale est formée par le parasphénoïde, sur la ligne médiane; celui-ci porte un grand placode dentaire {pld.), 1 Nous n'avons pu retrouver chez aucun individu, même jeune, les tenta- cules nasaux caractéristiques des jeunes Spelerpes: les tuberculés qui termi- nent le museau, immédiatement au-dessous des narines, sont peut-être un reste de ces tentacules, qui disparaîtraient plus tôt chez l'espèce Spelerpes adspersus ? SR QUE dont la forme et la structure seront décrites à propos de la muqueuse. À partir du milieu des bords du placode, jusqu'aux os palatins, la voûte buccale, non soutenue par des pièces squelettiques, se laisse déprimer par les bourrelets latéraux de la langue /bl.]; ces derniers paraissent eux-mêmes for- més par la compression qu'exerce le parasphénoïde sur le plateau lingual. A l'extérieur de ces impressions linguales, les globes ocu- aires dessinent un bombement volumineux de la voûte buc- cale /oc./: La région postérieure correspond exactement, comme forme, à celle décrite au plancher, la fente trachéale en moins; les replis de la muqueuse œsophagienne s’v développent en même temps que sur le plancher. Cela est vrai, du moins, pour les jeunes; chez les adultes, les replis de la muqueuse œsopha- gienne se dessinent déjà immédiatement en arrière de la fente trachéale. Wi£DeRSHEIM (45) a décrit chez Spelerpes fuseus un repli très marqué de la muqueuse dorsale, vis-à-vis de la région de la oglotte; ce repli, qui lui « rappelle d'une façon remarquable la luette humaine», est dirigé en avant, et pourrait fermer complètement l'entrée de l'æsophage. Nous avons retrouvé ce même repli chez Spelerpes adspersus ; peu marqué chez les jeunes, il remplit chez les adultes la lumière du pharynx fvph.]; sur les coupes transversales, il peut en imposer pour un dédoublement du pharynx en œæso- phage et trachée; en effet, cette formation curieuse est en regard de la fente trachéale ; ajoutons qu’à ce niveau, l’épithé- lium est très élevé, plus ou moins fusiforme, tandis qu'au plafond, il est polvédrique et beaucoup plus aplati. Mais cette image ne peut se voir que sur un petit nombre de coupes, la valvule n'ayant guère plus de 3 millimètres de hauteur. La signification de ce repli est obscure; sa situation, très distante des choanes, ne permet pas, semble-t-il, de l’homo- loguer à la luette humaine, avec qui la ressemblance que lui trouve WIEDERSHEIM pourrait laisser sous-entendre un rappro- chement. Nous l’appellerons valvule pharyngienne, sans émettre d'opinion sur sa signification anatomique. Il est possible que ce soit là une disposition particulière aux Urodèies sans poumons ; nous verrons, en effet, que cette valvule marque la fin des incrustations capillaires de la mu- queuse pharyngienne; et il se pourrait que sa présence à ce niveau fût en relation avec la fonction respiratoire du segment bucco-pharvngien. PME Nous nous bornons à émettre cette supposition, ne voulant pas tirer une conclusion physiologique d'une simple consta- tation anatomique. CHAPITRE II STRUCTURE HISTOLOGIQUE DE LA MUQUEUSE. La conformation de la muqueuse buccale des Spelerpes n’a pas retenu l’attention des zoologistes ; l'intérêt de la plupart des auteurs qui se sont occupés de ces Salamandrides s’est porté surtout sur le cœur, les vaisseaux et la physiologie de la respiration; or, cette étude histologique nous a fourni plusieurs observations intéressantes chez Spelerpes adspersus. WIEDERSHEIM (45), décrivant le tractus intestinal de Geotriton fuscus dit que «la cavité buccale, le pharynx et l’æsophage possèdent un épithélium cylindrique très élevé, à gros noyaux ovalaires:; les cellules prennent ça et là un aspect fusiforme et portent des cils vibratiles très résistants ». Nous n'avons pas retrouvé pareille uniformité dans la muqueuse de Spelerpes adspersus; au contraire, l’aspect de l’épithélium varie sensiblement suivant les différents segments: le passage de l’une à l’autre forme d’épithélium se fait d’une manière graduelle, et chaque forme est localisée en des plages plus ou moins bien délimitées. A travers ces variations, un caractère commun ressort cependant, et il est très frappant: c’est le faible degré de différenciation des épithélium, et leur épaisseur remarquable. Les cellules de l’épithélium bucco-pharyngien de Spelerpes adspersus sont plus volumineuses, leurs contours plus indécis, leurs noyaux plus gros que chez Triton alpestris; la structure du protoplasma est aussi plus simple : on n’y voit pas de granulations ni de formations spéciales. Les profils introduits dans les fig. 1 et 2, pl. [, permettent d'apprécier la différence que présentent, au point de vue de l'épaisseur, l’épithélium de Spelerpes adspersus et celui de Triton alpestris. Pour plus de commodité, nous donnerons tout d’abord une indication sommaire des rapports de la muqueuse avec les plans sous-jacents, afin de pouvoir étudier ensuite plus spé- cialement les épithélium. — 113 — Rapports de la muqueuse. Sur le plancher de la cavité buccale, la muqueuse n’est que la continuation de la peau de la mandibule, sur le bord de laquelle elle est fixée très solidement par un tissu conjonctif dense. Entre les branches de la mandibule, la muqueuse repose, latéralement, par l'intermédiaire d’une faible couche de tissu conjonctif très riche en vaisseaux sanguins, sur les muscles génio-hyoïdiens (pl. V, fig. 12,epm.); au milieu du plancher, elle est, sur un espace étroit, en rapport direct avec le tissu conjonctif de la peau, au chorion de laquelle elle se soude plus ou moins intimement. Plus loin, elle se continue autour du piston de la langue : elle revêt alors l'aspect d’une sorte de gaine séreuse, en se modifiant d’une manière curieuse que nous étudierons à propos de la langue. Sur le pont qui ferme la gouttière du piston, elle repose sur la face supéro-externe des cornes pos- térieures de l’hyoïde, et, entre ces dernières, sur le muscle du pont (pl. V, fig. 13, epb.). Au niveau de la fente trachéale, apparait la première tunique musculaire propre du tube digestif, sous la forme du muscle strié que WiLEr (48) a décrit comme feuillet muscu- laire pharyngo-œæsophal (pl. V, fig. 14, fmpo.). Ce muscle ne fait pas le tour complet du tube digestif, il ne se trouve que sur sa face ventrale; nous avons déjà vu que son insertion au chorion de la muqueuse peut expliquer les deux plis entre lesquels passe la fente trachéale. Un peu en arrière de la fente tra- chéale, la tunique se complète dorsalement, et nous avons 2 muscles: un dorsal et un ventral, s’insérant, comme 2 san- gles distinctes, par leurs extrémités, sur 2 raphés latéraux que WILDER homologue a priori au quatrième épibran- chium. Pour nous, ce raphé, qui est d’ailleurs très peu marqué, du moins chez notre espèce, a la même signification que ceux sur lesquels s'appuient les sphincters et les orbiculaires chez les autres Vertébrés. D'ailleurs, un raphé tout à fait analogue à celui-ci se trouve dans le pharynx des Mammifères. La tunique musculaire possède, outre ces muscles circu- laires, une mince couche de fibres striées longitudinales internes. L'importance de la musculature diminue à mesure que l'on se rapproche de l’estomac, où elle est relativement mince. Un fait digne de remarque est la présence de fibres striées 8 BULL. SOC. AC. NAT. T. XLI 2 le jusqu’au tiers antérieur de l’estomac. Le mode d'alimentation! est probablement pour quelque chose dans cette particularité ; et celle-ci serait peut-être à rapprocher du fait que la muscu- lature de l’œsophage est striée jusqu’au cardia chez certains Mammifères (tels que les chiens) qui avalent des aliments volumineux et durs; la striation de la musculature d’une partie de l’estomac chez Spelerpes udspersus ne serait ainsi que l’expres- sion particulière d’un phénomène d’adaptation général. Au plafond de la cavité buccale, la muqueuse adhère très fortement aux pièces osseuses sous-jacentes; sur le bord pos- térieur des vomers, on la voit pénétrer dans les choanes, accompagnée d’une riche vascularisation ; dans l’espace com- pris entre la branche postérieure du maxillaire supérieur, les processus ptérygoides et le sphénoïde, espace occupé par l'œil, la muqueuse possède un chorion très épais. Quant au segment situé en arrière de la valvule, sa structure est iden- tique à celle de la portion ventrale. Structure de lépithélium. Dans son ensemble, l’épithélium bucco-pharyngien du Spelerpes adspersus montre une tendance à s'élever au fur et à mesure que l’on se rapproche de la fente trachéale, où il atteint son maximum d’élévation. Sur le bord des mandibules, il est pavimenteux stratifié, a trois ou quatre assises de cellules et continue directement l’épithélium cutané. Sur le plancher, immédiatement en dedans des formations dentaires, cet épithélium pavimenteux passe sans transition à un épithélium cilié, qui s’étend sur la partie antérieure, jusque dans la région commissurale. On y compte trois à quatre assises cellulaires ; les cellules de lassise superficielle sont prismatiques allongées, surmontées d’un plateau porteur de cils vibratiles très apparents; immédiatement en avant du plateau lingual, elles deviennent massuées, et conservent leurs cils vibratiles (pl. IT, fig. 6) ; les assises profondes sont formées de cellules à contours indistincts, plus ou moins polyédriques. En arrière des commissures, dans la gouttière qui reçoit, à l’état de repos, le piston de la langue, les cils vibratiles disparaissent peu à peu; les cellules de l’assise supérieure restent massuées, avec une tendance de plus en plus marquée 1 Nous avons trouvé dans l’estomac d'un Spelerpes adspersus adulte un Coléoptère à carapace chitineuse très épaisse, et de plus d’un centimètre de lon- gueur. — 115 — vers l’allongement à mesure que l’on se rapproche de la fente trachéale; dans cette région, on n’observe plus qu’une toute petite bande ciliée longitudinale, sur les bords de l’arrière- cavité buccale, au niveau des replis latéraux de la muqueuse. Le chorion de la muqueuse du plancher est très riche en vaisseaux sanguins; l’épithélium repose sur un réseau vascu- laire très dense, et il est pénétré par des expansions capil- laires de ce dernier. Nous décrirons spécialement plus loin, cette «vascularisation » de l’épithélium. Au plafond de la cavité buccale, l’épithélium cilié forme une plage bien délimitée, immédiatement en avant des pre- mières dents du parasphénoïde, jusqu'aux dents maxillaires et intermaxillaires ; l’ouverture des choanes est comprise dans cette zone, et l’épithélium cilié pénètre dans leur cavité. A partir du commencement du placode dentaire du parasphé- noïde, les cellules superficielles tendent à s’arrondir à leur extrémité ; mais une bande ciliée persiste latéralement jusqu’à la fin du placode dentaire du parasphénoïde. L'épithélium du plafond de la cavité buccale est partout pénétré, comme au plancher, par des capillaires sanguins très abondants (pl. III, fig. 7). Dans son ensemble, il se distingue de l’épithélium du plancher par un aplatissement plus marqué de ses cellules et une moindre épaisseur. L’épithélium a son maximum d’épaisseur au niveau de la fente trachéale ; les cellules y sont très étroites, filiformes, et occupent presque toute la hauteur de l’épithélium ; l’æsophage ne possède plus qu’une à deux assises de cellules en forme de massue; nulle part, dans tout le segment antérieur du tube digestif, les cellules caliciformes ne sont aussi nombreuses que chez Trilon; on en trouve ça et là dans l’épithélium buccal, au niveau de la couche moyenne de l’épithélium. À tous les niveaux, on observe dans l’épithélium de nombreuses figures de caryocinèse. Avant de passer à la description de la vascularisation des épithélium, nous aimerions dire quelques mots sur les forma- tions dentaires. L'étude des dents des Amphibiens a été extrêmement bien faite par O. HERTwWIG (22-923), de sorte que nous pouvons nous dispenser de décrire en détail leur structure; ce sont de petits cônes de dentine bicuspidés, correspondant en tous points à la description qu’en a donnée HERTwIG. Mais il y a un point sur lequel nous voulons insister avec lui: les dents ont des rapports beaucoup plus importants avec l’épithélium qu'avec le tissu conjonctif de la muqueuse. — 116 — La formation la plus intéressante est le placode dentaire du parasphénoïde (pl. IL, fig. 3, pld.) : c’est une plaque de tissu osseux spongieux, criblée de trous, apposée au parasphénoïde, et soulevée à des intervalles réguliers en des socles qui portent les couronnes des dents; celles-ci se développent dans des invaginations de l’épithélium buccal; tout le long des bords du placode, ces invaginations dessinent une sorte de mur dentaire faisant, qu’au total, le placode est enchässé dans un repli dorsal de la muqueuse (pl. V, fig. 15, md.). Les dents du parasphénoïde n’ont pas une répartition quelconque; elles sont disposées en rangées régulières dessinant des chevrons à angle très ouvert; leur pointe, double, fait une très légère saillie dans la muqueuse. Nous avons compté jusqu’à 91 dents chez un adulte. Un fait est remarquable, c’est que les dents ne sont pas portées directement par le parasphénoïde : elles s'élèvent sur un socle d’os spongieux qui parait manifestement formé par la soudure des plaques basales des dents. Vascularisation de lépithélium. WiLDER (47) a été le premier, en 1893, à signaler l'existence de Batraciens sans poumons; il concluait de ses premières observations que «l'existence de tels animaux n’est possible qu’en admettant qu'ils soient capables de pourvoir au besoin d'oxygène par un mode autre que le mode ordinaire: qu'ils ont une respiration cutanée, alliée, probablement, à la respi- ration par la muqueuse intestinale ». Mais c’est BeraGE (3) qui, le premier, en 1898, a constaté la pénétration des capillaires sanguins dans l’épithélium de la cavité buccale de Spelerpes fuscus. Il décrit avec beaucoup de détails la vascularisation de l’épithélium bucco-æsophagien de cette espèce, «qui possède, dit-il, un réseau capillaire avec des renflements singuliers, donnant à ces capillaires une appa- rence variqueuse; ces renflements pénètrent jusque dans la couche superficielle de l’épithélium». L’injection de masses colorées dans le système circulatoire lui permet de préciser les aires vasculaires des épithélium et les dimensions des capil- laires!. De son côté, MAURER (34), en 1898, découvre avec surprise 1 LANGER (27) avait déjà vu de tels renflements dans les capillaires de la cavité buccale et de l’æsophage chez la Grenouille, mais sans parler de leur rela- tion avec la muqueuse; il se bornait à présumer que les renflements pénètrent très haut dans la muqueuse. — 117 — des capillaires intraépithéliaux dans la peau de jeunes Anoures, à la fin de la période larvaire. En 1900, Anne-Ida BarRoWS (2) renouvelle les observations de BETHGE chez Desmognathus fusca. Tous ces auteurs insistent sur un fait, qui est fondamental : la pénétration des capillaires sanguins dans l'épaisseur de l’épithélium. Ce fait de la vascularisation d’un épithélium est en effet bien propre à retenir l'attention; c’est là un phéno- mène rare, et si peu entré encore dans la conception que l’on se fait d’un épithélium, qu’à notre connaissance il n’est signalé dans aucun traité général d’histologie. Ajoutons que Mossisovics (36) l’a constaté dans le revête- ment cutané de certaines espèces de Lombricinées. GaD décrit, en 1890, des capillaires sanguins dans l’épithélium du plancher du IVme ventricule chez le Crapaud; la même année, LAGUESSE en observe dans l’épithélium intestinal de Protoplerus, et RANvIER découvre un réseau capillaire dans la Stria vascularis du canal cochléaire du Cochon d'Inde. Mais il est un point qui n’a pas été relevé jusqu'ici et sur lequel, avant toutes choses, nous tenons à insister: chez les Batraciens, les capillaires sont au contact direct des cellules épithéliales, sans l'intermédiaire d’un périthélium; les cellules épithéliales sont appliquées directement sur la paroi endo- théliale des capillaires. Nous pensons que ce fait est d’une importance capitale dans l'interprétation physiologique de ces capillaires. Disons tout de suite qu’il ne s’agit pas, chez Sper- lepes adspersus, d’un véritable réseau capillaire intraépithélial, mais de culs de sac vasculaires incrustés entre les cellules. Nous reviendrons sur ce fait dans le chapitre qui traite de la respiration. Il ne nous à pas été possible de pratiquer des injections de masses colorées dans le système circulatoire, tout notre matériel ayant été fixé; c’est très regrettable, car il nous paraît y avoir des divergences assez notables entre l’étendue des zones vascularisées que décrivent les auteurs précités, et nos propres observations; peut-être ces divergences ne sont-elles qu'apparentes, et dues à la signification imprécise qui est donnée par les différents auteurs au mot œsophage. Sur les coupes sériées, à 10 x d'épaisseur, les capillaires de la muqueuse ne se voient pas toujours nettement; on n’a, pour les déceler, que la présence des hématies, reconnaissables à leur noyau ovalaire allongé, très fortement coloré, entouré d’une mince zone de protoplasma presque incolore, et les noyaux des cellules endothéliales, quand ils sont intéressés — 118 — par la coupe ; en revanche, sur les coupes épaisses, les images des capillaires se lisent beaucoup plus facilement. Les coupes paramédianes sont les plus favorables à l’obser- vation, car elles atteignent les vaisseaux dans une direction plus longitudinale. La répartition du réseau capillaire n’est pas uniforme : ce réseau est extrêmement dense dans la zone ciliée du plafond buccal; les capillaires forment là une nappe presque ininter- rompue, incrustée entre les pieds des cellules irrégulièrement polyédriques de la couche basale. Nous voyons ces capillaires pousser des prolongements sacciformes entre les cellules de la couche moyenne, et s’introduire jusqu’à la base des cellules prismatiques ciliées, ainsi que l'avait déjà montré Anne Bar- ROWS (2) chez Desmognathus (pL. IT, fig. 7). D’assez larges espaces intercellulaires aboutissent à ces prolongements capillaires, mettant ces derniers en rapport direct, pour ainsi dire, avec la surface de l’épithélium. Dans les fig. 6 et 7, pl. III, ces espaces sont très larges ; il est très possible qu'ils aient été exagérés par un artifice de technique. Ce réseau se continue en arrière, avec une densité un peu moindre, jusqu’à la valvule pharyngienne ; nous le retrouvons même sous l’épithélium qui recouvre le placode dentaire du parasphénoïde ; à partir de la valvule, les incrustations capil- laires se font de plus en plus rares, et dans l’œsophage, on ne voit plus que quelques capillaires sporadiques sous la couche basale. En revanche, nous retrouvons ce réseau, avec un dévelop- pement égal à celui qu’il présente dans la partie antérieure du plafond buccal, sur tout le plancher, sauf dans la région médiane où repose le piston lingual; la pénétration des capil- laires dépasse rarement, en dehors de la zone ciliée, les cel- lules de la couche moyenne de l’épithélium (pl. IT, fig. 5 et 6). Les dernières incrustations se voient à l’entrée de la fente trachéale. En arrière de la fente, dans l’œsophage, les capil- laires sont rares, et ils ne pénètrent pas au-delà des cellules de la couche basale; on ne peut donc plus parler, à ce niveau, d’une véritable vascularisation de l’épithélium. L'importance du réseau vasculaire du tube digestif de Spelerpes adspersus cesse donc à partir du pharynx. (Nous appelons pharynx la portion du tube digestif com- prise entre le quart postérieur du placode dentaire du para- sphénoïde et la fente trachéale; l’æsophage est limité, dès lors, au court segment qui va de la fente trachéale aux premières glandes de l’estomac.) NU = En résumé, l’épithélium est vascularisé au maximum dans la cavité buccale, exception faite du placode dentaire du para- sphénoïde, au niveau duquel l’épithélium n’est pas fortement pénétré par les capillaires; il l’est moins dans le pharynx; et on ne peut plus parler de vascularisation de l’épithélium dans l’æsophage. Chez les jeunes individus, il faut remarquer que la vascu- larisation des épithélium est beaucoup moins développée. Nous exposerons, dans un chapitre spécial, nos idées sur la signification fonctionnelle de cette « vascularisation ». Glandes de la cavité buccale. Nous avons déjà vu plus haut que les cellules caliciformes sont rares; peut-être le sont-elles moins, en réalité, que nous ne l’avons observé, car il n’est pas impossible que la fixation ait été quelque peu défectueuse à leur endroit. Quand nous avons pu les reconnaitre avec certitude, elles occupaient tou- jours la partie moyenne de l’épithélium, et étaient très volu- mineuses; leur noyau a la forme d’une cupule et pourrait être confondu facilement, si ce n'étaient ses dimensions beau- coup plus grandes, avec le noyau d’une cellule endothéliale. Si les cellules caliciformes sont peu nombreuses, en revanche la glande intermaxillaire atteint un développement qu’on ne lui trouve pas chez le Triton ulpestre. Klle occupe tout le cavum intermaxillaire (pl. V, fig. 12, pl. VI, fig. 16, glim.), d’où elle déborde, en avant, jusqu’à la peau du museau, et, dorsalement, jusqu’à la hauteur des narines. C’est une glande ramifiée, se rapprochant beaucoup du type tubulo-acineux; les cavités sécrétantes sont enveloppées d’une atmosphère légère de tissu conjonctivo-vasculaire; les coupes les montrent formés de cellules à protoplasma sombre, finement granuleux, avec un novau sphérique, volumineux, occupant leur base. Leur pro- duit de sécrétion, dont nous ignorons totalement la nature, est collecté par un canal qui débouche dans la cavité buccale, entre les vomers (pl. Il, fig. 3, glim.). CHAPITRE III LA PEAU. Le revêtement cutané de Spelerpes adspersus est entièrement lisse ; on n’y voit aucune saillie, aucune émergence des glandes cutanées. Un seul repli se remarque, chez tous les individus fixés, sur la face ventrale, à l’insertion de la tête au tronc. La queue, cylindrique, porte quelques replis circulaires lui donnant un aspect annelé. La couleur, chez les individus vivants, est, selon les indications que nous a fournies M. le professeur Fuhrmann, d’un beau noir. Chez les individus fixés, la teinte générale de la peau est un brun très foncé, presque noir, sur tout le dos; quelques petites marbrures gris-clair se voient çà et là. Le ventre est de teinte pâle, grisätre. Les coupes (pl. IV, fig. 10) montrent un épithélium pavimen- teux stratifié assez épais. On y compte deux à trois assises de cellules, sauf dans les régions cervicale et cloacale, où elles se réduisent à deux assises, et même à une seule; nous ver- rons plus loin que dans ces régions, les capillaires cutanés ne sont parfois séparés de la surface que par une seule cou- che de cellules épithéliales très aplaties. Les noyaux de toutes ces cellules sont volumineux et ont un aspect vacuolaire: la chromatine est, en effet, condensée en un amas au pôle pro- fond du noyau, tandis que tout le reste est formé d’un proto- plasma très clair, peu coloré, contenant quelques granulations. Une cuticule relativement épaisse, — assez épaisse pour constituer un obstacle au «microtomage» fin — surmonte tout l’épithélium cutané; elle est formée de cellules polvgo- nales, à novau très aplati; cette cuticule représente la couche de desquamation dont l’animal se dépouille lors des mues périodiques. L’épaisseur totale de l’épithélium cutané est de 3) à 40 y. Elle est sensiblement plus forte que celle de Triton alpestris, chez qui nous avons mesuré 24 & en moyenne. De l’épithélium dépendent les glandes cutanées, nom- breuses, enfoncées dans l'épaisseur du derme, et débouchant à l'extérieur chacune par un court canal. Nous n'avons vu nulle part de mamelons ou de soulèvements de la peau à leur niveau, comme c'est le cas chez Salamandrina perspicillata où chez les Anoures. Nous décrirons à part ces glandes, ne vou- lant pas séparer le principal organe respiratoire de son support conjonctivo-vasculaire. L’épithélium cutané repose sur une couche de tissu con- jonctif d'épaisseur variable, suivant les régions. A la tête, il est soutenu par un chorion dense, et adhère très fortement aux pièces osseuses sous-Jacentes; partout ailleurs, sauf dans la région abdominale, la peau adhère aux muscles sous-jacents, de telle manière qu'on ne peut presque pas l’en séparer; adhérence est particulièrement forte au plancher de la cavité buccale, le long de la colonne vertébrale, et sur toute l’étendue de la queue. Sur toute la longueur du corps, du museau à l'extrémité de la queue et des pattes, le chorion amène à l’épiderme un riche réseau vasculaire; les vaisseaux se disposent entre les glandes, au contact immédiat de l’épithélium, dans lequel ils paraissent s’enfoncer (pl. IV, fig. 10); l’épithélium est en effet plus mince, à leur niveau, mais nous n’avons vu que très rarement les incrus- tations capillaires pénétrer jusqu’au voisinage de la cuticule, ainsi que l’ont observé FUHRMANN (17) chez les Thyphlonectes, P. et F. SarrasiN (40) chez Zchthyophis, DEspax (12) chez l’'Euprocte des Pyrénées. Chez Spelerpes adspersus, cette disposi- tion ne s’observe que dans la peau de la région cloacale et des parties latérales du cou. Les capillaires sont nus et entourés de pigment, surtout abondant dans la partie qui est en rapport avec le chorion; les cellules épithéliales s'appliquent immédiatement sur eux, comme nous l’avons vu pour les capillaires de la cavité buccale. Leurs dimensions sont assez constantes. Leur diamètre varie entre 24 et 32 u!; il atteint 48 à OÙ x au niveau des ren- flements qu’il porte de distance en distance. Ces renflements, signalés pour la première fois par BETHGE (3), sont identiques, comme forme et comme disposition, à ceux que présente le réseau capillaire de la muqueuse buccale, mais ils n’atteignent pas les dimensions qu’on observe dans cette dernière région. Le chorion lui-même est formé de cellules et de fibres conjonctives. On peut y distinguer trois couches: une interne, la plus épaisse, formée de fibres conjonctives collagènes, stratifiées en une lame compacte bien individualisée (pl. IV, fig. 10, chi.); de cette couche partent des faisceaux dans deux directions opposées; les unes se rendent en profondeur, au tissu conjonctif des formations squelettiques et musculaires voisines, les autres gagnent directement la couche moyenne, qu’ils traversent perpendiculairement, et s’épanouissent gra- duellement dans la couche externe (pl. IV, fig. 10, as.). Dans la couche moyenne (pl. IV, fig.10, chm.), sont incluses 1 Chez Triton alpestris, il est de 16 en moyenne. les glandes cutanées; cette couche, beaucoup moins épaisse que la première, est formée de fibres collagènes enchevêtrées en un réseau irrégulier, dont la structure est rendue confuse par les nombreuses accumulations de pigment déposées à ce niveau. Enfin, la couche externe (pl. IV, fig. 10, chs.), sur laquelle repose l’épithélium, est constituée par une lame de fibres collagènes stratifiées; c’est elle qui forme le squelette mou du système vasculaire cutané. Glandes cutanées. À part une différenciation intéressante dans la peau de la tête, les glandes cutanées de Spelerpes adspersus sont d’une remarquable uniformité, aussi bien au point de vue de leur structure histologique qu’au point de vue de leur répartition. Glandes du tronc. — (PI. IV, fig. 10.) Spelerpes adspersus ne possède pas de glandes cutanées unicellulaires ; toutes sont plu- ricellulaires. Ce sont des glandes assez régulièrement sphéri- ques; leur pôle oral est situé immédiatement au-dessous de l’épithélium cutané, que traverse leur canal excréteur; le corps des glandes git dans l’épaisseur de la couche movenné du derme; il est entouré de pigment plus ou moins dense /p.): le réseau capillaire cutané tisse ses mailles entre leur pôle superficiel et l’assise la plus profonde de l’épiderme. Réparties uniformément sur toute l'étendue de la peau, elles sont de dimensions variables, selon la phase physiologique dans laquelle la fixation les a surprises; les unes sont petites, d’un diamètre de Omm,06 environ (A); elles possèdent une cavité de sécrétion nettement dessinée, et délimitée par des cellules nombreuses, à noyaux petits; les cellules contiennent des granulations très fines, transparentes, légèrement colorées en rose par la picrofuchsine. Les autres sont beaucoup plus volumineuses; elles atteignent un diamètre de Omm,13 (C). Leur lumen est entièrement obstrué, soit par les cellules sécrétantes, démesurément bourrées de grains de sécrétion, soit par des débris de ces cellules en voie de désagrégation. Leurs noyaux sont énormes. Au pôle oral, sont tassées quel- ques petites cellules ne renfermant aucune sécrétion. Entre ces deux dimensions extrêmes, on peut voir tous les intermédiaires ; en effet, nous sommes ici en présence de deux phases de lPactivité glandulaire; les grosses glandes sont les glandes âgées, arrivées au terme de leur évolution physiolo- sique ; les plus petites sont de jeunes glandes, qui ne font que 123 — commencer leur fonction; entre les deux se placent les élé- ments dont l’évolution est plus avancée que celle des dernières. Les éléments cellulaires qui constituent ces glandes ont tous une origine identique: ils sont fournis par une prolifé- ration de l’épithélium cutané; disposés tout d’abord à la nais- sance du canal excréteur, ils passent peu à peu à la périphé- rie de la glande et deviennent éléments glandulaires. Ce sont ces cellules que l’on voit, dans les glandes âgées, tassées au pôle oral, et que HEIDENHAIN (21) a appelées Aemenzellen (K et K’). Le mode de sécrétion étant du type holocrine, au fur et à mesure que s’opère la fonte des cellules remplies ‘de gra- nulations — cellules géantes de Leydig (1) —, les Kiemenzellen (cellules de remplacement) tendent à reconstruire une nouvelle cavité sécrétante. Les processus de destruction et de régéné- ration ayant lieu simultanément dans une même glande, on peut voir, dans une série de coupes, les deux phases se chevaucher : au fond de la glande, on observe des cellules âgées, non encore éliminées, et remplissant tout le fond; au pôle excréteur, des cellules jeunes, qui reforment une cavité sécrétante. Quand les dernières cellules âgées ont été évacuées, il ne reste plus qu’une petite cavité sécrétante, tapissée de cellules jeunes. Nous n'avons pas fait de colorations spéciales des grains de sécrétion. Dans les coupes colorées à la picrofuchsine, la sécrétion à son premier stade se montre sous forme de gra- nulations très fines, transparentes, et ayant pris une très légère teinte rosée; dans les cellules âgées, les granulations sont très volumineuses, sphériques, en nombre énorme, et de coloration jaune. Ce sont ces dernières granulations qui domi- nent dans les cellules géantes de LEYDIG : cependant, on y voit parfois quelques cellules géantes à gros novau, avec une sécré- tion pâle et transparente. Celles-ci “correspondraient aux cel- lules à sécrétion muqueuse, tandis que les autres seraient des cellules à sécrétion venimeuse, conformément aux deux types établis par NicoGLu (38). Nous avons pu reconnaitre avec certitude, sur quelques coupes, des fibres musculaires lisses appliquées contre les glandes ; mais ces éléments sont, en général, très difficilement visibles. Glandes cutanées de la tête. — Elles ont exactement la même structure et la même disposition que celles du tronc, dont elles ne se distinguent que par leurs dimensions légèrement plus grandes. Parmi elles, un groupe de glandes mérite une description spéciale; c’est celui qui est massé dans la peau du plancher de la cavité buccale, immédiatement en arrière de la symphyse mentonnière. Chez certains individus, la peau le laisse trans- paraitre sous forme d’une tache claire, à contour plus ou moins régulièrement circulaire (pl. IT, fig. #, glm.). Sur les coupes (pl. IV, fig. 9), on aperçoit une série de cavités sécré- tantes sacciformes. à grand axe dirigé perpendiculairement à la peau; chacune de ces glandes débouche dans l'épiderme par un canal excréteur propre. Le contour des cavités de sécrétion est dessiné par les noyaux des cellules sécrétantes, noyaux de petite taille, de forme très irrégulière, et fortement colorés. Les cellules glandulaires sont allongées vers la lumière de la glande ; leurs limites sont marquées par une ligne très réfrin- gente; elles sont bourrées de grains de sécrétion extrêmement fins, transparents, presque incolores. L'aspect général de ces glandes ne saurait être mieux comparé qu’à celui d’un mor- ceau de verre dépoli craquelé. Entre les cavités sécrétantes, quelques fibres conjonctives, de nombreux capillaires, accompagnés de pigment; ça et là, en cherchant attentivement, on trouve une fibre musculaire lisse, à gros noyau allongé, tendue sur la glande suivant son grand axe (pl. IV, fig. 9, m.). La forme de cette glande rappelle celle de la glande paro- tidienne de Salamandra maculosa; mais son développement est ici beaucoup plus considérable, et, de plus, sa situation est très différente; WIEDERSHEIM a proposé de l’appeler glande sous-matillaire; sa position ne justifie pas cette dénomination, car la glande sous-maxillaire est située dans l’angle de la mâchoire inférieure, chez les Vertébrés qui en possèdent une. Nous proposons de l’appeler groupe mentonnier des glandes cutanées, ou, plus simplement, glande du menton, sans cher- cher à tout prix à l’homologuer à des formations glandulaires d’autres Vertébrés. Nous ne sommes pas d'accord non plus avec WIEDERSHEIM, quant à la fonction présumée de cette glande; cet auteur veut y voir un organe annexé à la langue; son produit de sécrétion, qui serait irritant, jouerait un rôle dans la capture des Insectes ; et il se demande si l’animal enduit d’abord sa langue du pro- duit de sécrétion, pour le projeter ensuite sur la proie visée, ou si le liquide sécrété n’est pas, plutôt, projeté en même temps que la langue sur la proie. 1Toc. cit., p: 180; Ces deux processus nous sont également inconcevables; les canaux excréteurs débouchent, en effet, perpendiculaire- ment à la peau (pl. IV, fig. 9, ca.); à elle seule, la direction de ces canaux exclut donc la possibilité d’une projection de liquide dans le sens où se fait la protraction de la langue, puisque celle-ci se fait parallèlement à l’axe du corps. En outre, il est absolument impossible à l’animal de passer sa langue sous son menton, portée qu’elle est par un axe rigide. Il faut, pour que WIEDERSHEIM ait ainsi compris la fonction de cette glande, qu’il n’ait pas vu les canaux excréteurs débou- cher à l’extérieur, et qu’il ait considéré la glande du menton comme appartenant à la cavité buccale. Cela expliquerait en même temps pourquoi WIEDERSHEIM l’a nommée sous-maxil- laire, malgré la différence des rapports topographiques qu’elle présente avec cette dernière. Il nous paraît logique d'attribuer à cet organe non pas un rôle offensif, mais un rôle défensif. On sait en effet que cer- tains animaux, tels que les Ophidiens, qui font des Batraciens leurs proies, ont coutume de les saisir par la tête. Si le pro- duit de sécrétion de la glande du menton a réelleinent une action irritante, et s’il est, de plus, venimeux, comme c'est le cas chez Spelerpes fuscus, il pourrait, en s’écoulant dans la bouche de l’agresseur, causer à ce dernier du dégoût et lui faire rejeter sa proie. La glande du menton constituerait ainsi un excellent organe de défense. Ne sachant rien de la nature du sécrétat de cette glande, nous devons nous borner à émettre cette idée sans pouvoir la démontrer. En ce qui concerne le développement des glandes cutanées, nous n’avons pu tirer que des renseignements fort incomplets du matériel dont nous disposions ; ils nous ont été fournis par une série de coupes médianes d’un jeune individu, d’une longueur de deux centimètres environ (longueur mesurée du museau à la naissance de la queue). C’est à la tête qu’apparaissent en premier lieu les glandes cutanées; à ce stade de deux centimètres, elles sont déjà en activité sécrétoire, aussi bien sur la partie dorsale que sur la partie ventrale. Dans cette dernière région, il est intéressant de noter que le groupe mentonnier ne se difiérencie pas encore des glandes cutanées des autres parlies du corps; ce n’est que plus tard que ses cavités sécrétantes prennent une forme ellipsoide, et que leur mode de sécrétion varie. La glande du menton n’est donc pas autre chose qu'une glande cutanée ordinaire qui a évolué d’une manière particulière, et dont le mode de sécrétion a changé l’aspect. SAR 2 Sur le dos, on voit l’ébauche de nombreuses glandes, très aplaties, et comme étalées en surface; quelques-unes possèdent déjà une cavité de sécrétion bien délimitée. A la face ventrale du corps, aucune glande n’est encore développée; mais on voit çà et là des cellules épithéliales pro- liférées de l’épiderme, restant très près de lui, et encerclées de pigment. C’est peut-être là le premier stade de la formation de ces glandes. Nous n'avons pu poursuivre avec plus de détails le processus de leur développement. CHAPITRE IV CONSIDÉRATIONS SUR LA RESPIRATION DES SALAMANDRIDES APNEUMONES, DE SPELERPES ADSPERSUS EN PARTICULIER. N'ayant eu entre les mains que des animaux fixés, nous ne pouvons tirer, de l’étude de leurs tissus, des conclusions rigoureuses quant à la valeur relative des différents lieux d’hématose; mais en comparant les observations des auteurs qui ont étudié les Salamandrides apneumones, et les nôtres propres, nous pouvons arriver à des conclusions approchées. Îl est généralement admis que la cavité buccale, le pharynx, et même, chez certaines espèces, l’æsophage, sont le siège d’une hématose, dont la valeur n’a pas encore été déterminée avec précision jusqu’à aujourd'hui, puisqu’en somme l’exis- tence même d’un échange d’oxygène et de gaz carbonique entre le sang et l’air, au niveau de ces régions, n’a pas été démontrée avec une certitude absolue. CAMERANO (10) est le premier qui tenta des expériences sur Spelerpes fuscus et Salamandrina perspicillata. Avant immobilisé le plancher de la cavité buccale de ces animaux, puis obturé, au moyen d’un corps gras, la fente buccale et les ouvertures nasales, il amena leur mort au bout d’une vingtaine d’heures; les expériences avaient lieu à l’air libre, et à une température oscillant entre +150 et + 2%. CAMERANO en conclut que «chez Salamandrina perspicillata et Spelerpes fuscus, la respiration pulmonaire est remplacée par la respiration bucco-pharyngienne, et que, par conséquent, la respiration cutanée n’est d’aucun secours efficace ». Cette conclusion nous parait mal fondée; en effet, les expé- riences de CAMERANO sont critiquables à plusieurs points de vue. Tout d’abord, les animaux étaient soumis à une tempé- rature trop élevée ; GOGG&10 (18), expérimentant sur les mêmes espèces et de la même manière, mais à une température de +110 à +120 seulement, put maintenir des Spelerpes fuscus en vie pendant 15 jours, par le seul secours de la respiration cutanée. De plus, CAMERANO n’a pas fait l'expérience inverse, qui aurait consisté à empêcher la respiration cutanée, en ne permettant que la respiration bucco-pharyngienne. D'accord avec BETHGE (3), SEELYE (44) et ANNE BARROWS, nous pensons donc que la conclusion de CAMERANO est à rejeter définitivement. | BETHGE a déjà critiqué les conclusions de MaRcacGCr (35), tendant à attribuer à la respiration bucco-pharyngienne une importance beaucoup plus grande qu’à la respiration cutanée. Nous sommes du même avis que BETHGE, relativement à cette conclusion, qui repose sur une interprétation erronée de dosages de CO,. Les expériences de SEELYE et ANNE BARROWS (44) sur Des- mognathus fusca furent menées d’une manière plus rationnelle que celles des auteurs précités, car elles portèrent successive- ment sur la perméabilité, aux vapeurs de chloroforme, de l’épithélium cutané et de l’épithélium bucco-pharyngien. De plus, un Urodèle pulmoné était soumis aux mêmes épreuves, comme témoin. Ces expériences consistaient à enfermer, durant un temps déterminé, tantôt la tête, tantôt le corps de ces animaux, dans un tube de verre contenant des vapeurs de chloroforme. Mais ces expériences ne fournissent pas une appréciation quantitative définie de la valeur respiratoire du segment bucco- pharyngien, relativement à celle de la peau. Elles démontrent seulement que, d’une part, l'absorption des vapeurs de chlo- roforme par le segment céphalique est plus intense chez un Urodèle pulmoné que chez Desmognathus, et, d'autre part, que la peau de Desmognathus est sensiblement plus perméable que la peau d’une espèce pulmonée. Il y a, en outre, dans la première série d'expériences, une cause d'erreur appréciable, provenant du fait que le Desmogna- thus dont on engage la tête dans un tube de verre renfermant des vapeurs de chloroforme, absorbe ces vapeurs par la peau de la tête en même temps que par la muqueuse bucco-pharyn- gienne; or cette absorption cutanée n’est nullement à négliger, la peau de la tête étant richement vascularisée, et son aire, supérieure à celle de la muqueuse de la bouche et du pharynx. — 128 — Cela fait, qu'en définitive, la respiration bucco-pharyngienne n'est pas rigoureusement démontrée. Dans cet ordre de faits, ce sont les expériences de KzuG (26), sur le Crapaud, qui fournissent les renseignements les plus précis, car KLUG dose, au moyen d’eau de baryte, le CO, exhalé par la peau d’une part, et, d'autre part, celui qui est fourni par la respiration pulmo-bucco-pharyngienne. KLUG trouve ainsi que le rapport de la respiration pulmo- bucco-pharyngienne à la respiration cutanée est de 1 à 3. Ce résultat est intéressant, encore que l’on puisse reprocher à KLUG de n'avoir pas retranché, dans son caleul, le CO, exhalé par la peau de la tête seule; mais il a été obtenu chez un Crapaud, et n’est pas d’un secours immédiat dans la question qui nous occupe. Toutefois, si l’on tient compte du fait démontré par Dis- SARD (16): que les échanges respiratoires des Batraciens ont leur minimum d'intensité en milieu liquide, et leur maximum dans l'air; et de celui démontré par PAUL BERT : que les Gre- nouilles privées expérimentalement de leurs poumons se maintiennent vivantes dans l’eau pendant un temps très long, on peut conclure, logiquement, que les poumons des Batra- ciens à vie aquatique sont plus des organes hvdrostatiques que des organes d’hématose ; (cela est d’ailleurs confirmé par la structure largement vacuolaire de ces poumons). Dès lors, il parait très probable que la muqueuse bucco-pharyngienne entre pour une part dans la production du CO, mesurée par KLUG. Il serait cependant nécessaire de répéter les expériences de KLUG un grand nombre de fois chez différentes espèces d’Urodèles, et particulièrement chez les Urodèles apneumones. Ces expériences présentent des difficultés techniques très grandes, mais qui ne sont pas insurmontables, et ne manque- ront pas d’exciter l’ingéniosité des physiologistes. Plusieurs faits de structure créent une très forte présomp- tion en faveur de la respiration bucco-pharyngienne chez les Urodèles apneumones. Ce sont : 1° la persistance de l’artère pulmonaire, se ramifiant dans la muqueuse du tube digestif; 20 la persistance des muscles respiratoires décrits par WiLDER (49), muscles constricteurs et dilatateurs du pharynx; 930 la mobilité du plancher de la cavité buccale, et les mou- vements de va et vient de ce plancher, rendant possible la ven- tilation de la cavité; de plus, les Salamandrides apneumones, — 129 — comme les Urodèles pulmonés, possèdent un appareil muscu- laire spécial, annexé aux narines, et fonctionnant comme obturateur et dilatateur des narines; 4 enfin, l’existence d’un réseau capillaire très dense, au contact immédiat de la couche basale de l’épithélium bucco- pharyngien. En décrivant ce réseau à propos de la structure de l’épi- thélium, nous avons laissé volontairement de côté un point intéressant, sur lequel nous aimerions nous arrêter d’une manière toute particulière. Tous les auteurs qui ont étudié les Batraciens au point de vue de la respiration sont unanimes à parler d’un réseau capil- laire intra-épithélial dans la muqueuse bucco-pharyngienne, autrement dit, d’une vascularisation de l’épithélium. A notre avis, il ne peut être question, ici, d’une véritable vascularisation, car le réseau capillaire, qui fait la vasculari- sation, n’est pas intra-épithélial, mais sous-épithélial; chacun des capillaires est engainé, il est vrai, dans une gouttière de l'épithélium, mais les ramifications de ces capillaires, leurs anastomoses, se font seulement sous la couche basale. Seuls, pénètrent dans l'épaisseur de l’épithélium les renflements de ces capillaires; ces renflements se terminent en culs-de-sac, et ne s’anastomosent pas; en un mot, ils ne forment pas un réseau. Ce n’est donc pas une véritable vascularisation de l’épithélium en présence de laquelle on se trouve, et cepen- dant, c’est quelque chose de plus qu’un simple réseau sous- épithélial. La signification morphologique de ces renflements est obscure; pour JosEPH (%5), ils n’ont pas d’autre signification que celle d’anses vasculaires se rendant à des papilles, et dont les deux parois internes se seraient soudées. Cette hypothèse est intéressante; elle est même très vraisemblable, mais elle n’est pas démontrée. Leur signification physiologique n’est pas beaucoup plus claire ; il est tout naturel de supposer que de telles formations, en contact intime avec les cellules épithéliales, pénétrant assez haut dans l’épithélium et aboutissant très souvent à des espaces intercellulaires, favorisent la respiration. Mais ces renflements ont un diamètre beaucoup plus considérable que celui des capillaires dont ils émanent; leur section laisse voir = 1 BrRuNER H. L. (7). Nous avons constaté la présence de cet appareil chez Spelerpes adspersus. 9 BULL. SOC. SC. NAT. T. XLI — 130 — souvent # à à hématies de front dans leur cavité; or la condi- tion essentielle pour que les échanges entre l’air et les héma- ties se produisent d’une manière efficace, c’est que les hématies soient appliquées par toute leur surface contre la paroi des capillaires, en passant une à une dans leur canal; cette con- dition n’est pas réalisée par ces renflements, dont le diamètre atteint parfois 50 y, et dans lesquels plusieurs hématies entrent de front. Il en résulterait, théoriquement, que ces renflements ne favorisent pas la respiration. Le diamètre des capillaires de la muqueuse bucco-pharyn- gienne aussi bien que celui des capillaires cutanés est quatre fois plus grand chez les Salamandrides apneumones que chez les pulmonés; et puisque chez les premiers il n’existe pas, en dehors de la peau et de la cavité bucco-pharyngienne, d'organes aptes à remplir la fonction respiratoire, on est cependant bien obligé d’admettre que ces capillaires de gros calibre permettent des échanges suffisants!, quoique leur morphologie paraisse si peu propre à ces échanges. Il y a, en faveur de cette idée, un argument d’une certaine valeur fourni par une observation de MAURER (34): chez les Anoures, le réseau capillaire cutané forme, pendant la méta- morphose, des renflements qui s’enfoncent dans l’épiderme, jusqu’à la base des cellules les plus superficielles ; la métamor- phose terminée, on ne voit nulle trace de ces incrustations capillaires par les méthodes histologiques ordinaires. L’appa- rition de ces poussées vasculaires intra-épithéliales coïncide avec l'installation des processus de phagocvtose et de trans- formation lymphocytaire des branchies, c’est-à-dire avec un mo- ment où la respiration pulmonaire ne fonctionne pas encore; dès que celle-ci est effective, les incrustations capillaires de l’épithélium cutané redeviennent invisibles. Il ne serait donc pas impossible que ces renflements suppléassent momentané- ment aux échanges respiratoires pulmonaires, et que le rôle des incrustations capillaires de Spelerpes fût analogue. Tous les faits de structure énumérés plus haut donnent à penser, disions-nous, que la respiration bucco-pharyngienne existerait réellement. Mais ce mode de respiration n’est pas la propriété exclusive des Salamandrides apneumones: les Anoures possèdent aussi des incrustations capillaires — à un degré moindre que les Spelerpes — dans l’épithélium de la 1 Il faut aussi faire intervenir ici la qualité des épithélium qui recouvrent le réseau vasculaire, ceux-ci pouvant être, chez les Apneumones, plus perméables aux gaz que chez les espèces dont le réseau capillaire est de plus petit calibre. (Expériences de SEELYE et Barrows sur Desmognathus.) HV cavité buccale et du pharynx!; et, si l’on conclut de l’anatomie à la physiologie, la conclusion doit s'appliquer aussi bien aux Salamandrides apneumones qu'aux Anoures; dès lors, on n’a plus le droit de parler du «poumon pharyngo-æsophagal »? des Salamandrides apneumones. D'ailleurs, que représente l’aire vasculaire de l’épithélium bucco-pharyngien, relativement à la surface totale de la peau? Bien peu de chose! Or, toute la peau des Spelerpes est riche- ment vascularisée ; le réseau capillaire cutané est très dense ; il porte aussi des renflements, et les capillaires sont en contact direct avec l’épiderme, dans lequel ils s’impriment. D'autre part, et c’est là un point curieux au milieu des différences anatomiques entre les Batraciens pulmonés et ceux qui sont dépourvus de poumons, le diamètre des capillaires cutanés est plus grand chez les Urodèles dépourvus de poumons que chez les formes pulmonées. À densité égale de réseau capillaire, cette différence de diamètre serait vraisemblable- ment un très grand désavantage pour les Spelerpes. Au point de vue de l'absorption de l’oxygène, la surface des hématies peut aussi avoir sa signification ; or, cette surface nous à paru un peu plus considérable chez Spelerpes adspersus que chez Triton alpestris ; tandis que nous avons mesuré, chez le premier, 18 x en moyenne pour le plus grand diamètre des hématies, nous n’avons trouvé que 16 chez Triton; nous ne pouvons attacher une valeur absolue à ces chiffres, le mode de fixation ayant pu altérer les dimensions réelles?; mais si nos mesures correspondent à la réalité, ce plus grand diamètre des hématies chez Spelerpes pourrait compenser partiellement l'élargissement des capillaires, maïs aux dépens du rapport de la surface respiratoire au volume de l'hématie. Il y a donc de nouveau contradiction entre la morphologie et les nécessités théoriques d’un échange respiratoire intense au niveau de la peau. Toute cette question n’est pas encore clairement résolue, et nécessite des recherches physiologiques. Néanmoins, de tout ce qui précède, nous croyons pouvoir tirer les conclusions suivantes à l’égard de Spelerpes adspersus : 10 Il y a de très fortes présomptions en faveur d’une respi- 1 LANGER (27). ? WiLper, H.-H. The pharyngo-æœsophageal lung of Desmognathus. Americ. naturalist, vol. 35, 1901, p. 183. 8 Nos Spelerpes ont été fixés par l'alcool à 95°; le Triton alpestre par le sublimé acétique, à 10/, d’acide. ration par la muqueuse bucco-pharvngienne, analogue à celle de la peau, et complémentaire de celle-ci; 20 Il ne peut être question d’une respiration œsophagienne, puisque cette espèce ne possède pas de réseau vasculaire sem- blable à celui du pharynx dans la muqueuse de l’æsophage : 30 Le concours effectif de la peau, dans la fonction respi- ratoire, l'emporte de beaucoup sur celui de la muqueuse bucco-pharyngienne, [a surface totale de la peau représentant approximativement 15 à 20 fois la surface des épithélium vascularisés du segment antérieur du tube digestif. La respi- ration de Spelerpes adspersus — et de tous les Salamandrides apneumones! — est donc, avant tout, cutanée. La morphologie des organes respiratoires de Spelerpes adspersus implique, semble-t-il, une intensité faible des échanges respiratoires; 1l est probable que l’hématose se trouve dans un état d'équilibre fragile, qui concorde assez bien avec une certaine paresse de l’animal, et la lenteur de ses mouvements. Il y a lieu de penser que l’animal ne recourt à la respira- tion bucco-pharyngienne que secondairement, et seulement lorsqu'il augmente ses oxydations en se déplaçant; la muqueuse bucco-pharyngienne interviendrait alors, ainsi que BABAK (1) en a déjà émis l’idée, comme un régulateur de la respiration. Aussi longtemps que l'animal se tient tranquille, sous les pierres qui font son abri habituel, la respiration cutanée lui suffirait, mais dès qu’il se meut, il recourrait à la respiration bucco-pharyngienne; celle-ci apporterait à la respiration cuta- née un léger appoint lui permettant de compenser l’augmen- tation d'intensité des échanges. CHAPITRE V APPAREIL LINGUAL. Le genre Spelerpes est intéressant au plus haut degré par ce fait, qu’à l'instar des Caméléons, des Pics, des Fourmiliers, il possède une langue protractile, à l’aide de laquelle il atteint 1 On peut même dire : de tous les Batraciens. RP à distance les Insectes qui font sa nourriture. L'appareil lin- gual (pl. I, V, VI, fig. 1, 13, 15, 16) se compose d’un plateau volumineux /{pl.] inséré, par sa partie antérieure, sur une tige squelettique et musculaire, le piston (pl. I, fig. 4, p., pl. V, VI, fig. 13, 15, 16, bh., mr.); le plateau est tout à fait libre dans sa partie postérieure et peut exécuter un mouvement de bascule à l’extrémité de son support. La tige de la langue s'enfonce dans la gouttière que nous avons décrite au plan- cher de la cavité buccale, et glisse dans une gaine comme un piston dans un cylindre. Cette comparaison n’est pas tout à fait exacte, car la membrane qui revêt le piston est une membrane prépuciale extensible; fortement plissée à l’état de repos, elle peut s'étendre aussi loin que l'exige la projection de la langue (pl. VI, fig. 16, pr.). Le glissement du piston dans la gaine est favorisé par la sécrétion de nombreuses glandes tubuleuses, réparties sur sa face ventrale (pl. VI, fig. 16, g/b.). L'appareil est complété par un squelette sur lequel s’insèrent des muscles protracteurs et rétracteurs. La description anatomique de cet organe curieux à été très bien faite par WIEDERSHEIM (45); il n’y a pas de diffé- rences essentielles entre les observations de cet auteur chez Spelerpes fuscus et les nôtres chez Spelerpes àdspersus; nous nous bornerons donc à donner un aperçu de sa structure his- tologique et anatomique, qui offre plusieurs détails intéres- sants, tout en relevant ce qui, au point de vue anatomique. ne concorde pas avec la description de WIEDERSHEIM pour Spelerpes fuscus. Le plateau de la langue est une masse glandulo-musculeuse, revêtue d’un épithélium. Sa forme est déterminée par la topo- graphie de la cavité buccale (pl. I, fig. 4, L.). Sa face supérieure est déprimée en son milieu par le placode dentaire du paras- phénoïde; ses faces latérales sont concaves, élant appliquées sur les deux bourrelets que font, au plancher, les muscles génio-hyoidiens. Sur les coupes, nous le voyons formé en majeure partie par des cavités glandulaires tubuleuses, à cellules claires; ces glandes débouchent par de nombreux canaux excréteurs, sur toute l’étendue de la face dorsale du plateau; entre les glandes se glissent les fibres musculaires striées intrinsèques du plateau (pl. VI, fig. 16, m2l.), insérées en éventail sur l’extrémité antérieure du basi-hyal. Un squelette léger est donné au plateau par les deux petites cornes que WIEDERSHEIM nomme cornes antérieures du basi-hyal. Ce sont deux petites pièces cartilagineuses, articulées au basi-hyal d’une part, et se perdant, d'autre part, dans la partie anté- rieure du plateau, dont elles atteignent presque les bords. (PI. VI, fig. 15, chh.) L’épithélium présente deux différenciations intéressantes : sur la face dorsale du plateau, il est très élevé, fortement plissé; on y compte deux à trois assises de cellules, dont les plus superficielles sont allongées et massuées. Sur toute la face ventrale, l’épithélium se réduit à une seule couche de cellules très aplaties, formant une membrane absolument comparable à une séreuse; c’est sous cet aspect que l’épithé- lium de la langue revêt le piston (pl. II, fig. 8, #ep.) et se continue directement avec le repli prépucial de ce dernier. De son côté, l’épithélium du plancher de la cavité buccale ne reste pas indifférent; le frottement que la langue exerce sur lui dans ses rapides mouvements de propulsion et de rétraction, a déterminé une adaptation équivalente; et nous voyons l’épithélilum qui revêt le pont musculaire tendu entre les bords internes des cornes postérieures de l’hyoïde, réduit à une membrane extrêmement mince, comprenant une seule assise de cellules très aplaties. Pièces squelettiques. Nous avons fait une reconstruction graphique du squelette de la langue chez un jeune Spelerpes adspersus (pl. VI, fig. 15) ; l'image que nous avons obtenue est très semblable à celle que donne WIEDERSHEIM pour Spelerpes fuscus, avec cette différence que chez notre espèce, tout l'appareil est plus ramassé sur lui-même; nous en référons, pour la désignation des différentes pièces de ce squelette, à l’autorité de WIEDERSHEIM. L’axe principal de l’appareil squelettique est formé par le basi-hyal qui donne la rigidité au piston de la langue /bh.): son extrémité antérieure pénètre jusqu’à la base du plateau; c’est à ce niveau que s’articulent les petites cornes qui forment le squelette du plateau. Nous n'avons pu distinguer les pièces que WIEDERSHEIM homologue aux segments antérieur et postérieur de la copula. Pour le reste, la conformation du basi-hyal est tout à fait identique à celle de Spelerpes fuscus. A l'extrémité caudale du basi-hyal, s’articulent deux pièces squelettiques, représentant les segments ventraux des premier et second arcs branchiaux (L ab., IT ab.); chez Spelerpes fuscus, à l’inverse de ce que l’on observe chez les autres Batraciens, — 135 — ces deux pièces sont de dimensions égales; de plus, les deux arcs se soudent à leur extrémité caudale. Chez Spelerpes ads- persus, le second est beaucoup plus fort que le premier ; comme chez Spelerpes fuscus, le deuxième arc paraît se conti- nuer dans une baguette cartilagineuse très allongée (IT ep.), contenue dans un manchon musculaire bizarre dont nous nous occuperons plus loin. Les rapports de ce cartilage avec les organes voisins sont identiques chez les deux espèces: nous le voyons passer sur le dos, et se placer à côté de la colonne vertébrale, dans l’ensellure que forme l’humérus avec l’os sus-scapulaire. La réunion de ces deux pièces, arc et baguette, de diamètre égal, se fait par du tissu fibreux dense, immédiatement en arrière de la soudure des deux arcs bran- chiaux. Dans toute la série, on ne retrouve rien d’analogue à cette formation curieuse; elle représente peut-être, selon WIE- DERSHEIM, la partie dorsale du premier ou du deuxième arc branchial ; cet auteur est plutôt enclin à l’homologuer au pre- mier arc, «quoique ses rapports avec le deuxième soient beaucoup plus marqués ». Nous ne voulons pas conclure de sa disposition, contre WIEDERSHEIM, que la baguette cartilagineuse doive être homo- loguée au segment dorsal du deuxième are branchial, et non à celui du premier; mais nous pensons que son calibre, le même que celui du deuxième arc, et sa réunion à ce dernier, sont une présomption en faveur de cette idée. C’est l’embryo- logie qui, en dernière analyse, tranchera la question. Pour la commodité de la description, nous désignerons cette pièce sous le nom de deuxième épibranchium, tout en maintenant la réserve ci-dessus. La forte réduction qu’a subie le premier arc branchial s'explique par le fait que c’est le second qui porte presque tout l'effort dans la protraction de la langue. En dehors des arcs branchiaux, latéralement, se disposent les cornes postérieures (WIEDERSHEIM) de l’hyoïde (pl. V,VI, fig. 14, 15, 16, L.). Ce sont deux lames cartilagineuses aplaties, en posi- tion oblique; elles forment les arcs-boutants du pont muscu- laire! tendu entre leurs bords supéro-internes (pl. V, fig. 13, h.) et se terminent par un crochet en dehors. Les pièces squelettiques de la langue sont enveloppées d’une différenciation du tissu conjonctif, sous forme de gaines, grâce auxquelles elles peuvent glisser facilement, dans les mouvements de protraction et de rétraction. 1 Voir page 108, 5me alinéa. — 136 — Topographiquement, il y a lieu de distinguer deux gaines: 10 La gaine séreuse de l'épibranchium IT; 20 Le prépuce du piston linqual; nous avons déjà vu que ce dernier n’est pas une véritable séreuse, mais qu'il forme des replis extensibles, en continuité avec l’épithélium de la cavité buccale (pl. V, VI, fig. 13, 16, pr.). Au niveau des arcs branchiaux, la paroi de cette gaine, d'apparence séreuse, s’épaissit et forme autour du squelelte cartilagineux de la langue, un squelette fibreux sur lequel viennent s'insérer les muscles voisins (pl. VL fig. 15, gf.). C’est ainsi que les muscles cérato-hyoïdiens interne et externe s’insèrent non pas directement sur le IT arc branchial, mais à quelque distance de lui, ainsi que cela ressort de la figure 15. A l’extrémité postérieure du basi-hyal, la gaine se bifurque et parait se continuer dans les deux longs culs-de-sac musculaires qui contiennent l’épibranchium If. Appareil musculaire. De l’appareil musculaire, nous ne voulons reprendre que quelques points, la description de WIEDERSHEIM concordant entièrement avec ce que nous avons pu observer chez Spelerpes adspersus. La figure 15 (pl. VI), montre les rapports généraux des pièces squelettiques de la langue et des muscles qui s’y insèrent. Cette image, obtenue au moyen d’une reconstruction graphique — Ja friabilité des tissus ne nous a pas permis de faire une dissection — ne tient compte que de quelques-uns des muscles de l'appareil lingual. Nous renvoyons, pour la description générale, à la monographie de WIEDERSHEIM (45). Les muscles se divisent, au point de vue fonctionnel, en deux groupes d'importance très inégale : les muscles protrac- teurs, nombreux, avant une disposition complexe; et les muscles rétracteurs, au nombre d’une seule paire. Muscles protracteurs. — Le muscle mylo-hyoidien (pl. V, VI, fig. 13, 15, mh.). Tendu sous la peau, entre les branches du maxillaire inférieur et une aponévrose médiane, il forme une sangle qui, par sa contraction, soulève et porte légèrement en avant la langue. Sa portion postérieure (pl.VI, fig. 15, #h’), à direction plus oblique, correspond au temporo-angulaire de DUGES. AN — Sous cette sangle musculaire superficielle se trouvent un certain nombre de muscles dont les homologies ne sont pas encore nettes; ce sont: Le sterno-hyoidien (DUGÉS et RUSCONI); le génio-branchial (HUMPHRY) ; le génio-hyoidien (pl. V, VE, fig. 12, 13, 15, 16, 9h.); l’'adducteur des arcs branchiaux (WIEDERSHEIM) ; le cérato-hyoidien interne (LÉON VAILLANT) et le céralto- hyoidien externe (pl. VI, fig. 15, chi., che.); ces deux derniers muscles s’insèrent, d’une part, sur la grande corne de l’hyoïde, et, d'autre part, sur la continuation du fourreau musculaire qui contient l’épibranchium IT (pl. VI, fig. 15, ch’, che); le muscle du fourreau (pl. V, VI, fig. 14, 15, 16, mf.), forma- tion sans analogie avec aucun muscle dans la série animale; enfin, le pont musculaire tendu entre les bords libres des cornes postérieures de l’hyoïde, et que l’on pourrait appeler hyo-hyoidien (pl.V, fig. 13, kh.). Muscles rétracteurs. — Il n’y en a qu'une paire : les muscles rétracteurs de la langue (pl. V, VE, fig. 13, 14, 15, 16, mr.); ce sont deux longs cordons musculaires, cylindriques, s’insérant d’une part à la ceinture scapulaire, d'autre part au plateau de la langue. Ce sont ces deux muscles qui forment la partie charnue du piston lingual ; ils sont plus ou moins confondus à ce niveau (pl. V, fig. 13, mr.). A la base du piston lingual, ils passent au-dessus du I are branchial et se glissent dans l’espace compris entre les [I et IT arcs branchiaux; de là, ils gagnent la face ventrale du corps, en passant au-dessous du II arc, et se prolongent ventralement, immédiatement au- dessous de la peau. Il est intéressant de noter que tout le long de leur trajet en compagnie du basi-hyal, ces muscles sont revêtus d’un épithélium très aplati, tout à fait comparable à une séreuse, et qui n'est rien autre que l’épithélium des culs-de-sac pré- puciaux; les rapports entre l’épithélium et les fibres muscu- laires sont si intimes, que ces dernières paraissent faire les frais de ce revêtement, en se transformant en cellules myo- épithéliales (pl. IT, fig. 8, mep.). A part leur grande longueur, les muscles rétracteurs ne présenteraient aucun intérêt spécial, s'ils n’étaient engainés, au niveau de toute la moitié postérieure du basi-hyal, par un muscle circulaire à fibres lisses énormes; ces fibres prennent — 138 — une direction longitudinale au niveau de la moitié antérieure du basi-hyal, et vont se terminer à la base du plateau lingual ; cet engainement bizarre d’un muscle strié par un muscle lisse a déjà frappé WIEDERSHEIM, qui l'interprète, non à tort, croyons-nous, comme un moyen de fixer les muscles rétrac- teurs dans l’axe du piston Jlingual. Mais WIEDERSHEIM lui attribue encore une autre fonction : celle de faire basculer, par le moyen de ses fibres longitudi- nales, le plateau lingual sur son axe. Nous arrivons difficile- ment à concevoir comment ces fibres lisses parviendraient à opérer ce mouvement, qui est un mouvement très rapide, inconciliable par conséquent avec la lenteur ordinaire de con- traction des fibres musculaires lisses ; nous le concevons d’au- tant moins que le plateau lingual possède des fibres intrin- sèques striées, s’insérant sur l'extrémité du basi-hyal et sur les deux cornes cartilagineuses qui le terminent, fibres qui peuvent remplir cette fonction avec beaucoup plus de rapidité. Nous pensons qu’il faut attribuer à cette gaine un autre rôle : celui de comprimer lentement les glandes situées sur la face ventrale du piston lingual (pl. VI, fig. 16, glb.), et d’en exprimer le produit de sécrétion, qui a probablement un effet lubréfiant. Pour terminer cette énumération, très sommaire, nous voulons revenir sur le muscle du IT épibranchium que nous n'avons fait que nommer: le muscle du fourreau, dont la structure est des plus intéressantes. Nous avons vu plus haut que le IT arc branchial se continue en arrière par une baguette cartilagineuse très grêle, qui se dirige dorsalement, et vient se placer de chaque côté de la colonne vertébrale; ce cartilage est contenu librement dans un fourreau musculaire, continuant la gaine fibreuse que nous avons décrite précédemment; cette disposition est visible sur la figure 15 (pl. VD, où nous avons réséqué la gaine pour montrer ses rapports avec le squelette. La section transversale de ce muscle (pl. IV, fig. 41) est à peu près un ovale allongé; on peut donc lui considérer deux faces : dorsale /A) et ventrale {B); et deux bords: interne /C/ et externe /D). En passant sur le dos, le muscle se tord sur lui-même: sa face dorsale devient supéro-interne, et sa face ventrale, inféro-externe. Sa structure est la même d’une extrémité à l’autre: au milieu, dans la cavité du fourreau /cav.), le cartilage de l’épi- branchium IT //1 ep.]; rappelons que la paroi musculaire et le cartilage sont tapissés d’un endothélium. La cavité est plus — 139 — ou moins visible, selon l’état de rétraction des fibres muscu- laires dans les différents segments; la paroi interne est par- fois appliquée étroitement contre le cartilage, mais jamais on ne voit de fibres musculaires prendre insertion directement sur lui. Ce qui frappe, avant toutes choses, dans les coupes trans- versales de ce muscle, c’est la présence de deux cloisons conjonctives spiraloïides emboitées, et dessinant des courbes parfaitement régulières /in.]. À leur émergence sur la mince aponévrose externe du muscle, elles dessinent des raphés nettement visibles à la loupe frad., rav.]. WIEDERSHEIM! décrit deux raphés dorsaux et un raphé ventral, mais il n’a probablement pas pratiqué de coupes microscopiques du muscle, car il n’a pas saisi l’origine de ces raphés, ni leur forme. Nous nous sommes efforcé d'analyser dans le détail la structure de ce muscle, afin d'arriver à une interprétation satisfaisante de son mécanisme intime. | Les lignes d'insertion spiraloïdes que montrent les coupes transversales sont les sections de cloisons aponévrotiques intra- musculaires, délimitant quatre corps de fibres: 10 2 corps centraux (fig. 11, pl. IV « ef 8); (ils correspondent au plan profond de WIEDERSHEIM) ; 20 2 corps latéraux (y et à ); (plan superficiel de W1E- DERSHEIM). Le mode d'insertion des fibres musculaires est le même dans chacun de ces groupes. Examinons-le dans l’un d’eux, le groupe «, par exemple. Ainsi que cela ressort de la figure 11, planche IV, les fibres ne sont pas toutes coupées sous le même angle: à gauche du raphé ventral, elles sont obliques d’arrière en avant et de dedans en dehors, et font un angle de 30° environ avec le plan transversal du muscle ; à mesure que l’on se rapproche de la gaine interne, leur obliquité augmente graduellement, et à partir du moment où les fibres s'appuient directement sur la gaine interne du fourreau, elles deviennent presque parallèles à l’axe du cartilage. De plus, les fibres ne sont pas tendues directement d’une cloison à l’autre, mais leur trajet suit une ligne hélicoïdale dans la majeure partie de leur lon- sueur; au moment où leur extrémité céphalique aborde une 1 WiepersHEIM décrit deux plans de fibres, un superficiel et un profond disposés en chevrons entre des raphés fibreux. cloison, elles prennent une direction sensiblement transver- sale. (Nous verrons l’importance de ce détail au point de vue de leur action.) Si l’on fait abstraction de la partie céphalique des fibres, le faisceau qu'elles constituent affecte une disposition hélicoï- dale très nette. Les éléments du groupe £ répètent exactement la même disposition, mais en sens inverse: les fibres du groupe # sont dirigés d’arrière en avant et de dedans en dehors; celles du groupe $ sont dirigées d’arrière en avant, mais de dehors en dedans. Enfin dans les groupes 7 et à, les fibres sont, comme dans 8, dirigées d’arrière en avant; mais leur orientation dorso- ventrale est inverse dans les deux groupes: les fibres du groupe y ont leurs insertions caudales du côté ventral, et leurs insertions céphaliques du côté dorsal, et vice-versa pour le groupe à. En résumé, on peut dire que le muscle du fourreau est com- posé de quatre faisceaux hélicoïdaux, entrecroisés deux à deux. Le muscle étant ainsi défini, il devient possible d'analyser son mécanisme. Pour cela, il faut déterminer, avant tout, les points fixes sur lesquels s'appuient les fibres musculaires. Il n’y en a point: le muscle s'appuie sur lui-même. Mais il est fixé, dans son ensemble, par sa partie antérieure, à la gaine fibreuse où nous avons vu s’insérer les muscles cérato-hyoïdiens interne et externe, exactement comme le muscle cardiaque est suspendu à l’anneau fibreux de la base du cœur. Partout ailleurs, le muscle du fourreau est entièrement libre; à son extrémité postérieure, il est bien réuni à la peau du dos par un léger conjonctif, mais cette réunion est si lâche, que le muscle tombe dès qu’on soulève le volet cutané ménagé pour le mettre à découvert. Il flotte dans une atmosphère de tissu conjonctüif lâche fortement infiltré de graisse, qui lui laisse toute liberté de mouvement. Voyons, dès lors, ce qui se passe quand un des groupes de fibres, le groupe 8 par exemple, se contracte. Toutes les fibres sont dirigées d’arrière en avant; en se raccourcissant, elles portent en avant l'extrémité postérieure du muscle, puisque leur point fixe commun est en avant. Mais nous avons vu qu’elles ne font pas toutes le même angle avec le plan transversal du muscle: pour chacune d'elles, la protraction sera donc proportionnelle à cet angle; le maximum de pro- traction sera obtenu par les fibres proches de la gaine interne — AM — du muscle, qui font avec le plan transversal un angle voisin de 90, le minimum par les fibres les plus externes, dont l’angle ne dépasse pas une trentaine de degrés. C’est là une première action de ces fibres, et la plus im- portante. Elles en ont une seconde : par leur disposition héli- coidale, elles tordent le faisceau sur lui-même; dans le groupe 8 qui nous occupe, cette torsion se produit de droite à gauche. La torsion sera inversement proportionnelle à l'angle que font les fibres avec le plan transversal. Le maximum est obtenu par les fibres qui font avec le plan transversal l'angle minimum et par la portion antérieure des fibres les plus longitudinales. Si toutes les fibres du muscle du fourreau avaient même direction, la résultante de leur contraction simultanée serait un raccourcissement du muscle dans son ensemble, accom- pagné d’un mouvement de torsion énergique sur lui-même. Mais nous avons vu que les fibres du groupe « ont une direc- tion exactement inverse de celles du groupe 8; les premières tendent à tordre le muscle de gauche à droite, les secondes de droite à gauche; ces deux groupes sont donc antagonistes au point de vue torsion : leurs actions s’annulent. En revanche, les groupes y et à tordent tous deux le muscle de droite à gauche : leurs actions de torsion s’additionnent; il en résulte que le muscle du fourreau doit présenter, au mo- ment de sa contraction, une légère torsion de dehors en dedans, relativement au plan médian de l’animal. Ce mouvement est comparable à celui que décrit la pointe du cœur pendant la systole ventriculaire ; il n’est que le résultat d’une disposition particulière des fibres musculaires, et ne joue pas un rôle immédiat dans la protraction de la langue. Mais il a un effet secondaire : celui de rétrécir la cavité du fourreau et de favo- riser l’expulsion du cartilage épibranchial qui s’y trouve com- primé. Le Il épibranchium est en effet contenu librement dans le fourreau musculaire; il peut y glisser avec une grande aisance ; étant conique, il échappe à la pression de la paroi du fourreau, de la même manière qu’un poisson glisse dans la main qui cherche à l’étreindre. En résumé, le fourreau musculaire du IT épibranchium agit suivant deux modes : 40 Le point fixe de toutes ses fibres étant en avant, et sa partie postérieure étant libre, il pousse avec violence le IT épibranchium en avant. 20 L’expulsion du IT épibranchium est favorisée par une action compressive des fibres, tendant à rétrécir la cavité du fourreau. L’énorme développement du muscle confère à ce méca- nisme une rapidité et une puissance d’action très grandes. Nous pensons que cette action est absolument comparable à une systole cardiaque; dans les deux cas, les fibres mus- culaires s'appuient sur elles-mêmes, tout en étant portées dans leur ensemble par un point fixe dont elles se rapprochent en se contractant. Dans les deux cas, aussi, il y a une action systolique, s’exerçant sur des corps incompressibles — carti- lage ou sang, solide ou liquide — contenus dans la cavité du muscle. Il serait intéressant de connaitre les adaptations successives grace auxquelles un mécanisme si complexe a été réalisé: nous ne pouvons rien conjecturer à ce sujet. WIEDERSHEIM estime que le muscle du fourreau doit pou- voir fonctionner aussi bien comme rétracteur que comme protracteur ; cette fonction serait dévolue «avec beaucoup de probabilités, aux fibres de la couche profonde » (fibres des groupes « et $); nous venons de démontrer que toutes les fibres sont protractrices; cette interprétation perd donc tout fondement. Théoriquement, la possibilité d’une action de rétraction n’est cependant pas exclue; mais il n’est pas nécessaire de faire intervenir pour cela un groupe spécial de fibres : la systole du muscle pourrait en effet être suivie d’une diastole, qui aspirerait le cartilage. Nous pensons qu’il est préférable d’attribuer la fonction de rétraction aux deux puissants muscles rétracteurs qui vont de la ceinture scapulaire à l'extrémité céphalique du basi-hyal. Pour terminer ce chapitre, nous voudrions donner une idée d'ensemble du mécanisme moteur de la langue. a] Protraction. — Klle peut être décomposée en trois temps : 10 L'appareil lingual tout entier est porté en avant par les muscles génio-hyoïdiens, qui tirent sur l’hyoïde; en même temps, les cérato-hyoïdiens tirent en avant la gaine fibreuse à laquelle est suspendu le fourreau musculaire du IT épibran- chium; celui-ci bénéficierait donc, avant sa contraction, d’un double transport en avant: de celui des génio-hyoïdiens, et de celui des cérato-hyoidiens. 20 Le fourreau musculaire, en se contractant énergique- ment, expulse le IT épibranchium; celui-ci s'appuie sur le — 183 — second arc branchial, qui transmet la poussée au basi-hyal, axe rigide du piston lingual; en même temps, les adducteurs des arcs branchiaux (que nous n’avons pas figurés sur notre dessin) rapprochent les arcs branchiaux de la ligne médiane; 9° enfin, les fibres musculaires intrinsèques du plateau lingual font basculer le plateau sur le basi-hyal. b] Rétraction. — L'appareil est ramené en arrière par les longs muscles rétracteurs. Ainsi compris, Ce mécanisme, quoique très complexe, est d’un principe relativement simple; il diffère totalement de ceux qui ont été décrits chez les Anoures, les Pics et les Camé- léons, et 1l est, croyons-nous, unique dans la série des Verté- brés. - 144 — BIBLIOGRAPHIE . BABAK, Edw. Neue Unlersuchungen über die Atembewegungen der Urodelen, mit besonderer Berücksichtigung der lungen- losen Salamandriden. Arch. für die ges. Physiologie des Menschen und der Thiere, Bd. CLIII, 1915, pp. 441-474. . BARROWS, A.-T. Respiration of Desmognathus. Anat. Anzeiger, Bd. XVIII, 1900, pp. 461-464. . BETHGE, Em. Das Blutgefüsssyslem von Salamandra maculosa, Trilon laeniatus und Spelerpes fuscus. Zeïitschr. für wiss. Zoologie, Bd. LXIII, 1898, Heft 4, pp. 680-707. . BORN, G. Die Nasenhühlen und der Thräünennasengang der Am- phibien. Morph. Jahrb., Bd. II, 1876. . BOULENGER, G.-A. 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LÉGENDE. bl. cul-de-sac de la langue. br. bronches. cm. commissure labiale. d. dents du maxillaire inférieur. ftr. fente trachéale. gh. bombement du muscle génio-hyoïdien. ( langue. mx. bord de la mâchoire, 0e. œsophage. p-. piston de la langue. ph. pharynx. pt. pont. re replis de l’œsophage. sd. sillon dentaire. tn. Mtrachée: PISE 5 ne “ ere US TNT \ \ do \ dde et de \f f] je De 1, W/4 | Jin ] J! LÉ ns — 150 — PLANCHE II Fig.3. Platond du segment bucco-æsophagien de Spelerpes adsper- sus jeune; photographie réduite d’une reconstruction en cire de l’épithélium; grossissement: 22 diamètres. Fig. 4 ‘Tête de Spelerpes adspersus, Vue par sa face ventrale; grossissement: 2 diamètres. LÉGENDE. bl. impressions des bourrelets de la langue. ch. choanes. COM. commissure labiale. d.im. dents intermaxillaires. d.ms. dents du maxillaire supérieur. d.pa. dents palatines. gl.im. canal excréteur de la glande intermaxillaire. gl.m. glande du menton. 0e. œsophage. oc. bombements oculaires. ph. pharynx. pld placode dentaire du parasphénoïde. vpA. valvule pharvngienne. PI. IL. PLANCHE II Les figures 5, 6, 7 et 8 de la planche IIL, 9 et 10 de la plan- che IV, ont été dessinées avec l’oculaire à dessiner Leitz, objectif Zulauf n° 7. Les figures 5, 8, 9 et 10 ont été réduites de moitié; leur grossissement est de 160 diamètres; les figures 6 et 7 ont été réduites de !/3; leur grossissement est de 215 dia- mètres. Fig. 5. Spelerpes adspersus adulte. Muqueuse ventrale du pha- rynx, en avant de la valvule pharyngienne. Fig. 6. Spelerpes adspersus adulte. Muqueuse du plancher buccal, en avant de la langue; coupe paramédiane. Fig. 7. Spelerpes adspersus adulte. Muqueuse du plafond buccal, entre les choanes. Fig. 8. Spelerpes adspersus adulte. Repli prépucial et revête- ment séreux du piston de la langue; coupe médiane. LÉGENDE. cap. Capillaires sanguins. ch. chorion de la muqueuse. end. cellules endothéliales des capillaires. ep. épithélium de la muqueuse. exp. et r.cap. expansions des capillaires dans la couche moyenne de l’épithélium. int. espaces intercellulaires. : figure de caryocynèse. m. fibres musculaires striées du pharynx. mep. revêtement myoépithélial du piston. mr. fibres striées des muscles rétracteurs de la iangue. rp. repli prépucial du piston lingual. PI. III. CORRE PUR “fr EU Fig. 9. Fig. 10. A TAN El PLANCHE IV Spelerpes adspersus adulle.:Glande du menton. Spelerpes adspersus adulle. Peau du dos, coupe para- médiane. LÉGENDE. A. glande jeune. De glande au début de son activité sécrétoire. (Se. glande en pleine activité. as. faisceaux conjonctifs ascendants. C&. canal excréteur. cap. capillaires sanguins. Caps. cavité sécrétante. chi..chm.,chs. couches inférieure, moyenne et supérieure du chorion. CON). conjonctif lâche. UE cuticule. ep.,epc. épithélium cutané. ep. gl. épithélium glandulaire. K.et À" Kiemenzellen (cellules de remplacement). : cellule géante de Leydig. m. noyau d’une fibre musculaire lisse. D. pigment. Fig. 11. Spelerpes adspersus adulte. Section transversale du muscle du fourreau. Oculaire à dessiner Leitz: objectif Zu- lauf n° 3 A; réduction de 2; grossissement de 50 diamètres. O2 TO LÉGENDE. face dorsale. face ventrale. bord interne. bord externe. groupes centraux des fibres musculaires. groupes latéraux » » cavité du fourreau. cartilage de l’épibranchium II. cloisons aponévrotiques intramusculaires. périchondre. raphés dorsaux. raphé ventral. PI IV. pe Art 7 x Ÿ + 22 % L cucak | le Le mont hs D LS ne 2 om -4 | : . v À ser on UNIT ei a NU TRS EUR LE RSS ns 1h ÿ1 UAsvi 4 à K ++ DEC 221, 4 "+ » 14 # À pe Lao" pi LU là TES CP EX { {} ï VIF MI4rE6) foutre 1: 0 : AUEHTEN Hein HE Ans AGIT 4 or OL PEUT L HUE EE + el PÉTRAITEAE CSrIA #94 #5 s " D Lai] [1 RTE — 156 — PLANCHE V Fig. 12, 13, 14. Spelerpes adspersus jeune. Sections transversales de la région céphalique: fig. 12, au niveau des choanes; fig. 13, au niveau des commissures labiales; fig. 14, dans la région de la vésicule auditive. Grossissement: 16 diamètres. LÉGENDE. l ab. premier arc branchial. au. vésicule auditive. bh. basi-hyal. can. cavité nasale. cb. cavité buccale. ch. choanes. CM. commissure labiale. cn. capsule nasale. dig.p. muscle digastrique du pharynx. diL. muscle dorso-laryngé. Il ep. deuxième épibranchium. epb. et epm. épithélium de la cavité buccale. fm.po. feuillet musculaire pharyngo-æsophagal. gh. muscle génio-hyoïdien. gl.im. glande intermaxillaire. 9. gaine du piston lingual. h. hyoïde. hh. muscle hyo-hyoïdien. [. langue. lo. lobes olfactifs. M. cartilage de Meckel. md. mur dentaire. ml. muscle du fourreau. mh. muscle mylo-hyoïdien. mr. muscle rétracteur. max. maxillaire inférieur. ph. pharynx. pld. placode dentaire du parasphénoïde. p. pt. processus ptérygoïde. pr. replis prépuciaux du piston lingual. ps. parasphénoïde. rl. récessus latéral de l’organe olfactif; (organe de Jacobson) ? TD: bord antérieur du repli palpébral. tg. tégument. br. fente trachéale. IN quatrième ventricule du cerveau. vo. vomer. PÉ"VE rer H -----# £ CORNE Dit en à Z £ ES are 2 Dee CH Fig. 15. — 158 — PLANCHE VI Spelerpes adspersus jeune. Reconstruction graphique du squelette et de quelques-uns des principaux muscles de la langue; l'appareil est vu par sa face ventrale. (Grossisse- ment: Fig. 16. 2l/2 diamètres. Spelerpes adspersus jeune. Stéréogramme demi-schéma- tique du segment bucco-æsophagien, d’après des dessins, exécutés à la chambre claire, d’une coupe légèrement para- médiane et d’une coupe transversale. Grossissement: 8 dia- mètres. LÉGENDE. I ab., II ab. premier et deuxième arcs branchiaux. cbh. che. che". chi. chi’. cph. cpn. egf. enc. epc. gT. hyp. inrn. mh. mh". mil. mp. mat. oc. pa. pl. 1e cornes antérieures du basi-hyal. muscle cérato-hyoïdien externe. son insertion à la gaine fibreuse. muscle cérato-hyoïdien interne. son insertion à la gaine fibreuse. muscle constricteur du pharynx. capsule nasale. entrée de la gaine séreuse du piston. encéphale. épithélium cutané. gaine séreuse, réséquée : à gauche dans toute sa partie posté- rieure, à droite au niveau de son épaississement, pour mon- trer l’épibranchium If y contenu. glandes de la base de la langue, se continuant à la face ven- trale du piston. glandes cutanées. glandes du menton. hyoïde (dans la fig. 15, il a été réséqué du côté gauche pour montrer le muscle cérato-hyoïdien externe). hypophyse. os intermaxillaire. muscle mylo-hyoïdien, réséqué. muscle temporo-angulaire. muscle intrinsèque strié du plateau lingual. muscle du pont (muscle hyo-hyoïdien). maxillaire inférieur. bombement oculaire. os palatin, avec ses dents. plateau lingual (dans la fig. 15, c’est sa projection qui est indiquée par la ligne pointillée). raphé ventral du muscle du fourreau. vph. et lu. valvule pharyngienne. Pour les autres lettres, voir la légende de la planche V. —Ο{ — PI. VI. LATE : & FRS MR TU 5 Fig. 15. GUILLAUME RITTER Ingénieur à Neuchâtel 1835-1912 Avec Guillaume Ritter, décédé dans sa propriété à Monruz, près Neuchâtel, le 14 septembre 1912, a dis- paru, beaucoup plus tôt qu'on ne l'aurait attendu de sa constitution robuste, une des figures les plus marquantes de notre ville. Ritter était répulé bien au delà des frontières de notre canton et de la Suisse comme l'ingénieur génial aux conceptions larges et téméraires, hautement ap- précié dans notre cité pour tout ce qu'il a contribué à son progrès dans divers do- maines. Il était aimé et res- pecté de tous ceux qui l’approchaient pour l’amé- nité de son caractère, son désintéressement et sa bonté de cœur qui s’alliaient à mer- veille à une exubérance de tempérament, un enthousiasme pour tout ce qui est beau et bon et une franchise parfois vive, mais toujours bienfaisante. Guillaume Ritter fut l’un des membres les plus zélés de la Société neuchâteloise des sciences naturelles. Rècu membre actif en 1857, il le demeura jusqu’à sa mort, c’est-à-dire pendant 99 ans. Les nombreuses contributions qu’il fournit à notre bulletin et dont la liste est annexée à ces lignes, font foi de son activité. Malgré le retard causé par des circonstances spé- * ciales, nous devons une place à sa mémoire. Nous le faisons — 160 — en reproduisant la nécrologie déjà parue dans le Bulletin de la Société helvétique des sciences naturelles. Né le 13 août 1835 à Neuchâtel où son père, d’origine alsacienne, était établi comme entrepreneur, Guillaume Ritter fit ses études à l'Ecole Centrale de Paris, d’où il sortit en 1856 premier de sa section avec le diplôme d'ingénieur cons- tructeur. Refusant alors des offres avantageuses et n’écoutant que son cœur, il vint se fixer à Neuchâtel où les affaires de son père réclamaient sa participation. Dans cette première période de son activité se place l'alimentation de la ville de Neuchätel par l’eau du Seyon qui fut essentiellement son œuvre et in- dique la voie dans laquelle devaient se diriger la majorité de ses plus importantes entreprises futures. En 1866 il se maria avec Mlle Joséphine Ducrest de Fri- bourg. Cette union l’ayant mis en relation suivie avec la ville de Fribourg, il vint s’y fixer en 1869 afin d’y poursuivre le grand projet qu'il avait conçu de l’utilisation des forces de la Sarine et des richesses forestières du canton. La lutte qu'il eut à soutenir pour faire adopter ce projet, est caractéristique pour son énergie. À la séance du Grand Conseil, dans laquelle le jeune in- génieur avait été appelé à exposer ses projets, un des hauts magistrats du pays l'avait interrompu en s’écriant: «Mais vous ne connaissez pas la Sarine ; la Sarine est un torrent!» « Peut-être, lui répondit l'ingénieur dans un mouvement de belle audace, mais la Sarine non plus ne me connaît pas!» Les entreprises des « Eaux et Forêts» de Fribourg avaient, au début, à lutter contre des difficultés financières dont Ritter lui-même assuma la plus grosse part. Au point de vue tech- nique, elles peuvent être citées comme une des œuvres indus- trielles les plus belles de ces temps-là eg Suisse. À la même époque, Ritter fut appelé à doter d’eau potable la ville d'Avignon, entreprise qui fut couronné du succès le plus complet et si l’on peut voir dans l’antique cité des Papes, sur le rocher des Doms de gracieuses pièces d’eau, et sur la place de l’Horloge une magnifique fontaine monumentale, c'est grâce aux travaux de Guillaume Ritter. Rentré à Neuchâtel en 1876, Ritter continua à vouer ses forces principalement à des entreprises hydrauliques et il ne tarda pas à étonner le public et les autorités de notre canton par ses projets dont l’envergure et la hardiesse de conception suscitaient l’admiration, mais qui effarouchaient quelque peu la prudence neuchâteloise. C’est à La Chaux-de-Fonds, la — AG — grande cité montagnarde, située à 1000 mètres d'altitude, habituée à d’âpres luttes et nourrie d'esprit d'entreprise, que les offres de Guillaume Ritter trouvèrent d’abord un accueil favorable. Le projet téméraire, consistant à déverser à La Chaux-de-Fonds 3-4000 litres-minute d’eau puisée dans les Gorges de la Reuse et élevée à une hauteur de 500 mètres, fut exécuté ; l’œuvre fut inaugurée en 1887 et fonctionne dès lors pour le plus grand bien de la ville, à la prospérité crois- sante de laquelle elle a contribué pour une large part. Elle valut à Ritter la bourgeoisie d'honneur de La Chaux-de-Fonds et par suite la nationalité suisse. Si depuis la même année, la ville de Neuchàtel, elle aussi, est alimentée d’eau provenant de sources des Gorges de la Reuse, c’est également en grande partie le mérite de Guil- laume Ritter. Nombreuses sont les communes du canton et du dehors qui lui doivent leur alimentation d’eau. En fait de grands projets auxquels Guillaume Ritter a con- sacré beaucoup de temps et de forces, mais qui n’ont point été exécutés, nous citerons l’utilisation des eaux d’égout de La Chaux-de-Fonds pour lirrigation du Val-de-Ruz et du vallon de Saint-Imier, de celles de Neuchâtel pour l'irrigation du grand marais du Seeland, et le projet grandiose d’alimenter la ville de Paris en eau potable puisée dans le lac de Neu- châtel. Ce dernier projet, que Ritter a poursuivi pendant plus de 25 années (sa dernière lettre ouverte, adressée au Conseil Municipal de Paris, est datée de 1911) en l’approfondissant sans cesse, comporte outre l’alimention de Paris, celle de toute la contrée s'étendant de la frontière française à la capi- tale, et de Paris au Havre; il prévoit un prélèvement de 2 millions et demi de mètres cubes d’eau par jour et fait appel à un capital de 4 milliard. Il est aisé de concevoir les raisons très sérieuses qui ont été opposées, chez nous, à ce dernier projet. Mais il faut con- venir que le raisonnement motivant le froid accueil, si souvent réservé aux projets de Ritter, n’était pas toujours purement objectif. Ces projets étaient présentés dans un langage enthou- siaste, avec le ton d’une conviction absolue ayant l’air de se jouer des difficultés ou de les ignorer, et cet optimisme, au lieu de se communiquer, engendrait plutôt de la méfiance chez les prudents Neuchâteloïs. Cet optimisme, qui ne se décourageait devant aucun obstacle, était allié chez Ritter avec une conception idéale de toutes choses qui se manifestait aussi dans la façon de com- 11 BULL. SOC. SC. NAT. T. XLI HEC r ere prendre ses projets. Leur côté scientifique l’intéressait autant que leur côté industriel. Le Bulletin de La Sociélé neuchäteloise des sciences naturelles en fournit la preuve: Ses volumes de 1857 à 190% contiennent plus de cinquante communications, grandes et petites, traitant, outre les questions concernant ses projets industriels et celles d'hydrologie s’y rapportant, des sujets de géologie, de paléontologie, de préhistoire, de météo- rologie, etc., et la part active qu'il prenait aux discussions témoigne de l'intérêt qu’il portait aux matières les plus diverses et de sa compétence dans des domaines variés. Guillaume Ritter était un artiste. Non seulement, il possé- dait une galerie de tableaux d’une grande valeur, mais il peignait lui-même et l’on est stupéfait devant le grand nombre de peintures de toutes les dimensions que son activité dévo- rante lui à laissé le loisir de produire. Ces tableaux, d’un cachet très personnel, d’un coloris chaud et original, d’une justesse remarquable de ton et de perspective, représentent pour la plupart des vues du lac et des environs de Neuchâtel. Ritter ne tenait pas à se mêler de politique. La façon dont se pratique généralement la lutte entre les partis, n’était pas de son goût. Il accepta pourtant l’appel que lui adressa, lors de sa fondation, le parti indépendant el siégea au Conseil général de la commune de Neuchâtel de 1903 à 1912 et au Grand Conseil du canton de 190% à 1910. Guillaume Ritter est resté toute sa vie fidèlement attaché à la religion catholique et il a rendu à sa paroisse des services signalés. La grande église catholique de Neuchâtel, inaugurée en 1906, est son œuvre. De la part d’un homme à l'esprit ouvert, passionné pour le progrès dans tous les domaines, aimant à discuter toutes les questions sans parti pris, le fait de l'attachement à un culte aux doctrines immuables, peut surprendre et semble poser un problème psychologique qu’il ne nous appartient cependant pas d'aborder ici. De toutes manières, de la part d’un homme sincère, le fait d’avoir résolu la question de l'attitude à prendre à l’égard de l’inconnaissable en acceptant fidèlement et sans les discuter, les doctrines consolatrices professées par les ancêtres, nous parait constituer l’un des traits les plus carac- téristiques de cette riche et belle nature. Ritter fut le plus tendre des pères de famille. Son activité industrielle dévorante ne l’avait point empêché de se vouer avec beaucoup de soin à l'éducation de ses onze enfants et c’est entouré des siens, en faisant de la peinture ou de la mu- sique ou en cultivant son jardin, qu’il se délassait des fatigues — 163 — professionnelles. Aussi ne put-il supporter la douleur éprouvée par la mort d’une fille et surtout par la perte de sa compagne tendrement aimée ; sa vigoureuse constitution, déjà ébranlée, se brisa. Il s’en alla après une courte maladie, laissant là tra- vaux et projets, et sans avoir pu s’accorder un repos qu’il eût bien mérité, si tant est que son besoin d'activité aurait pu s’en accommoder. Il vivra longtemps dans ses œuvres. O. BILLETER. Vol. XIIL. XIII. XIIT. XXXII. SABRE PRINCIPALES PUBLICATIONS DE G. RITTER Bulletin de la Société neuchâteloise des sciences naturelles. Année. 1882. 1885. 1853. . 1886. . 1887. 1857: . 1888. TI. 1858. 1889. 10: . 1889. . 1839. . 1839. . 1890. . 1890. JHiesh . 1892. . 1893. . 1896. 4807: - 1898 . 1899. . 1902. . 1902. 1904. Utilisation rationnelle des forces hydrauliques de la Reuse. Sur l’hydrologie des Gorges de la Reuse et du bassin de Noiraigue. Proposition d'élaborer un plan des restes d’habi- tations lacustres. Alimentation d’eau pour Neuchâtel et La Chaux- de-Fonds au moyen des sources du Champ-du- Moulin. Le lac glaciaire du Champ-du-Moulin. La révolution agricole du Val-de-Ruz. Projet d'alimentation de la ville de Paris, au moyen d’une dérivation des eaux du lac de Neuchâtel. Projet de doter la ville de Neuchâtel d’une force motrice provenant de la Reuse. Projet d'utilisation des eaux d’égoùt de La Chaux- de-Fonds. Publié par la Société neuchâteloise d'agriculture et de viticulture. Cernier. Formation de quelques sources du Jura neuchä- telois. Les sources du val de Saint-Imier. Notice sur la formation des lacs du Jura. Sur une vertèbre de Plésiosaure. Sur un projet de tramways entre la ville de Neu- châtel et la gare. La phase jovienne en géologie. Sur l’époque quaternaire. Les forces motrices du Jura. Sur l'hydrologie des sources néocomiennes. La Raisse. Sur l'utilisation rationnelle des forces motrices hydrauliques. Formation des grands lacs quaternaires du Jura. Sur les forces motrices du Seyon. Sur la disparition des falaises de la rive sud du lac de Neuchâtel. Observations et particularités techniques. géolo- giques et hydrologiques rel. à l'établissement du grand barrage de la Sarine. Sur les eaux d'alimentation du canton de Neuchâtel. X LOUIS ISELY Le 27 août 1916 mourait en notre ville M. Louis Isely père, professeur honoraire de l’Université. Né le 11 avril 1854, il fit ses classes à Neuchâtel, où son père, Jean-Pierre Iselv, autodidacte de grand savoir avait été nommé en qualité de professeur de mathéma- tiques et de sciences natu- relles. En 1870 déjà, il passait avec succès ses examens de bachelier ès sciences; après avoir en- seigné quelques temps dans divers instituts, il se ren- dit à Zurich. Au bout de 31/, années d’études, au cours desquelles il se fit remarquer par son zèle et son intelligence, il obtint le premier diplôme du Poly- technicum fédéral, c'était en 1877. En février 1878 il fut appelé comme professeur de dessin mathématique au gymnase péda- gogique de Neuchâtel; peu après, par suite de la démission de M. Vielle, professeur de mathématiques au gymnase can- tonal et à l’Académie, il était demandé pour remplir ce poste devenu vacant; à ce poste s’ajoutaient quelques heures au collège latin, obtenues précédemment. Les caractéristiques de son enseignement furent la clarté et la simplicité; j’en appelle ici aux nombreuses générations qui eurent le privilège de lavoir pour maitre ou comme professeur, car il savait aussi bien se mettre à la portée des petits élèves du collège classique qu’à celle des étudiants de l’Académie. Homme de cabinet, il se tenait constamment au courant des publications et des théories nouvelles, aussi bien son 4 PAOON x enseignement resta-t-1l jusqu’à la fin vivant et actuel. Mais, seules les mathématiques ne laccaparaient point complète- ment; sa mémoire et ses connaissances diverses me rempli- rent souvent d’étonnement et d’admiration. En histoire et en géographie, sa science était parfaite; de plus il adorait la prose et la poésie, tous ses écrits en portent du reste la trace. Sa bibliothèque était aussi fournie au point de vue littéraire qu'au point de vue scientifique, et certains bouts rimés qu’il composa avaient une saveur et une fraicheur toute parti- culière. Il était la démonstration vivante de cette idée, qui parait une anomalie à certaines personnes, les mathématiques et les lettres sont deux sœurs très intimes. Homme modeste, il se tenait plutôt à l’écart de la société, surtout à la fin de sa vie, ce dont sa famille ne se plaignit jamais, bien au contraire. Malheureusement, la neurasthénie, conséquence fatale de l’enseignement tel qu'il est pratiqué chez nous, le gagnait peu à peu. Les réformes, que l’on crut splendides en haut lieu, lui firent quitter premièrement le collège latin, puis le gymnase cantonal. Après plus de trente ans de dévouement et de travail consciencieux, il fut averti que son contrat «de louage de services» était rompu, et cela sans un mot de remerciement. Cette manière de procéder, si peu respectable et si cava- lière — on serait certainement plus poli dans une monarchie — lui fut extrêmement pénible et risqua de lui être fatale. Dégoûüté de l’enseignement, on le serait à moins, il démis- sionna peu après de la chaire de mathématiques de l'Université. En récompense, bien méritée de tout ce qu'il fit pour déve- lopper les sciences exactes à l’ancienne Académie et à la nou- velle Université, cette dernière lui conférait le grade de pro- fesseur honoraire. Malheureusement, ses trente années d'enseignement avaient fatigué son corps, mais son esprit conserva jusqu'à la fin sa grande puissance. Pendant les cinq années de repos qu'il vécut encore dans son pays d’origine, la botanique et la litté- rature furent ses grandes amies. Puis le mal le terrassa et cette belle intelligence s’éteignit; sur son lit de mort sa tête enfin reposait en paix. M. Louis Isely fit partie de plusieurs sociétés et commis- sions d'éducation de notre ville. Bon patriote, la politique joua un assez grand rôle dans sa vie durant quelques années. Parmi toutes les sociétés, celle qu’il fréquenta le plus sou- vent, fut la société des sciences naturelles de notre ville; il en fit partie dès 1881. — 167 — Nombreux sont les travaux qu'il y présenta et que publia le bulletin de la société. Il serait difficile, voire même impos- sible, de donner ici un aperçu même très abrégé de ses prin- cipaux ouvrages. Je me contenterai de les indiquer sommaire- ment, en renvoyant le lecteur aux numéros du bulletin où ils furent imprimés. Ce sont : 1. La géométrie de la sphère et l’hexagramme mystique, t. XII, 3me cahier, 1882. 2. Nouveaux principes de trigonométrie, t. XIII, 1885. 3. Essai sur l’histoire des mathématiques dans la Suisse française, XIV, 1884. 4. Courbes et équations de mortalité, t. XVII, 1889 9. Application du principe de dualité à l’étude des trièdres, tx R1802; 6. Propriétés harmoniques des miroirs et des lentilles, t. XXI, 1893. 7. L'enseignement des mathématiques dans la première Académie de Neuchâtel, 1894. 8. Les femmes mathématiciennes. Conférence académique. 9. Les connaissances mathématiques et astronomiques des anciens Egyptiens, t. XXIITI, 1895. 10. La géométrie non enclidienne, t. XXIV, 1896. 11. Lettres inédites de Louis Agassiz, t. XXIV, 1896. 12. Problèmes de géométrie analytique à deux dimensions, 4897. Ouvrage traduit de l'allemand. 13. Epigraphes tumulaires de mathématiciens, t. XXVII, 1899. 1%. Histoire des sciences mathématiques dans la Suisse française, 1 vol. in-80 de 215 pages, 1901. — Ce livre, fortement documenté, est le fruit d’un travail de plus de quinze années. En compulsant les annales et les archives des divers cantons de la Suisse romande, son auteur réussit à rassembler des matériaux précieux sur la vie et les œuvres de plus de cent géomèêtres ayant honoré leur pays par leurs recherches labo- rieuses et désintéressées dans le domaine du raisonnement. Cette pléiade d’homines illustres comprend des noms dont les nations les plus favorisées se montreraient fières, tels ceux d’Argand, de Bertrand, de Bourguet, de Cramer, de J.-P. de — 168 - Crousaz, de Lhuilier, de Mallet, de Souvey, de Sturm et bien d’autres. Aucune région de la Suisse romande n’a été oubliée. M. Jacques Boyer, qui a donné du développement des mathé- matiques à travers les âges un résumé si succinct et si fidèle, convient dans le numéro du 28 février 1902 de la Revue géné- rale des sciences pures et appliquées que cet ouvrage «apporte d’utiles contributions à l’histoire générale des sciences ». 15. Diverses communications insérées dans l’Educaleur, Ve bulletin de la Société des sciences naturelles, à Neuchätel, les Archives des sciences physiques et naturelles, etc. 16. Traité de géométrie rationnelle. 17. Les origines de la théorie des fractions continues, t. XXXII, 1905. 48. Leibniz et Bourguet. Correspondance scientifique et philosophique, t. XXXIT, 1905. 19. Cinq lettres inédites de Bourguet. 20. Lie et son œuvre, t. XXXIIT, 1906. 21. Discriminents et solutions singulières, 1. XXXIV, 1907. 29, Les progrès de la géométrie et l’enseignement moderne. 23. Pascal et ses détracteurs. 24. Géométrographie. Tous ces travaux sont empreints de la même originalité et de la même élégance du style. Dans leur grande diversité ils nous montrent, quoique bien imparfaitement, la profondeur et la solidité de son savoir. En le possédant, nous ne savions tout ce que nous avions, c’est en le perdant que nous voyons tout ce qui disparait. Qu'il me soit permis, en terminant, de remercier le comité de la Société des sciences naturelles de m'avoir accordé sa confiance en me demandant de publier ces quelques lignes et de m'avoir donné l’occasion de rendre hommage à celui qui fut tant pour moi, et de faire connaître d’un peu plus près cet homme modeste dont la vie fut une belle ligne droite, entrecoupée de douces joies et de saines espérances. Octobre 1916. IseLy Louis fils, professeur. Xe — EXTRAIT DES PROCES-VERBAUX DES SEANCES ——— 202 — Année 1913-1914 SÉANCE DU 7 NOVEMBRE 1913 Présidence de M. MAYOR M. le PRÉSIDENT annonce qu'aujourd'hui, la Société compte 262 membres, en augmentation de 60 sur le 1 janvier 1913. Il est donné lecture de la lettre par laquelle M. le Prof. Schinz, de Zurich, remercie pour l’honorariat. M. G. DruPasquier présente une Nouvelle application de l’ana- lyse à la théorie des assurances. M. TH. DEcacHaux traite des Poleries anciennes de Colombie rapportées par MM. Fuhrmann et Mayor. M. Pauz BüHLer nous décrit un pli faille qu’il a découvert près des Convers. SÉANCE DU 21 NOVEMBRE 1913 Présidence de M. JAQUEROD MM. D' ANDRÉ Morez, médecin à Neuchâtel, D' G. REUTTER, médecin à Peseux, et PAUL DE PuRrY, banquier à Neuchâtel, sont reçus en qualité de membres actifs. Notre Société étant invitée à participer à l'inauguration du médaillon F.-A. Forel, à Lausanne, nous déléguons M. BILLETER pour nous y représenter. M. JEAN PrAGET nous fait part du résultat de ses études sur la zoogéographie terrestre el fluvialile de la Bretagne (voir page 3). M. le Prof. BILLETER traite de l’utilisation industrielle de l'azote atmosphérique et accompagne sa causerie de nombreuses expé- riences. — 170 — SÉANCE DU 5 DÉCEMBRE 1913 à l'Observatoire de Neuchâtel Présidence de M. MAYOR Mie Baczynska, Dr ès sciences, est reçue en qualité de mem- bre actif. M. le PRÉSIDENT nous annonce un beau don de fr. 1000 de la part de M. Antoine Borel, de San-Francisco, dans le but de nous aider à la publication du Vme volume des Mémoires. Le temps abominable ayant empêché une nombreuse assem- blée de se rendre au Mail, les membres courageux que rien n’a pu arrêter jouissent d'autant plus à leur aise des aimables explications de M. le directeur ARNDT. Photographies lunaires, lunette équatoriale, sismographe, nouvelle lunette méridienne, récepteur des signaux radiotélégraphiques de la Tour Eiffel, service chronométrique sont tour à tour détaillés et démontrés. M. Arndt termine en exprimant le désir que nous possédions bientôt une station de T. S. F. sur la tour de Chaumont. SÉANCE DU 19 DÉCEMBRE 1913 Présidence de M. MAYOR M. F. pe RouGEMoONT résume les observalions pluviométriques qu’il a faites à Dombresson, de 1893 à 1912. “aqjueaes juoumjosqe sud sind ou of forme oun no osuvo oun anod ‘oub soagiyo soj juonbrpur uorusotiaqur.p syuiod syod ac ‘saquesqyns sa} Ju0oS soypo ‘souuo4out sajdurts 9p JIBRS JL OWWO9 J0 OUWUWOS U9 SIBUL { 2[quy201dout ayuensai oun I osnaMosri onbyqueros opuioexa UN D9AU SOJIR} 079 sinofnoy Std JUOIL SUOTJBAIOSGO SOrT voor | gr‘oc | go‘ez | oo‘éé | os‘ss |os‘zor | o‘c6 | og‘err | cg'8z | o6‘os | gc‘oz | Gy'ez | 0g'o8 | min OSGIG | & £G6T | & ELGT | SGLEF | EYOLT | L FIG | € GEST °/1 9988 TLGT 6197 |°/1 F8Gr | 8 LIST hO79r | (FX OLTF| 89 08 | GGT | 89 OST GI 86 16 88 981 | Y9 007 | CY6T SIOr| SGr €6 [hrtr | 98 OV GG | G£H 19 0Y LOFAILE 80 MOT 167 _ GGZT| LT 698 8 98 | 96 y8r |‘: T9T | 98 8L 87 99 9£G | 0167 LOT 897 |60G | 6106 [007 ho) |, €vr | 797 5/1 LE GP 2m or GG 8 6067 5/1 GITE [f/r 06 66 GI OT 8Ir [68 | OST 162 6606 25 7Le OYI LG 8067 ‘686 | 61 | &ST |‘/:L6 IG 6 88. /i1#r | SL 19 LS gg | 99 L067 “#16 | 80r | Or |‘/1€9 6 6G 6G |/10 901 L9 69 66 |‘/186 9067 98TF [°/1 LG yat |. GG ÉÉRAEROOrN) RE le 2 COHAIEe CTEn nIPE Or | 98 89 | S067 C06 T8 8 |f/rGG Or (906r hr (169 | zIy |f/60 97 SLT Gy ÿ06Y YLS rés C8 897 | TG LG 18 Cy yG 8 C9 y OL 067 8GIT| SET 99 G8 Ty YYT 06 TG LV L9 6SF | £8 ras) t06Y GYSYI 68 (1 86 861 c6 8cI 6LG | Gy LG 68 €L 99 7067 8101 #97 La 6G GY GeCeN COL 16 98 GL 6y FE Gr | 0067 GG6 GG 8r 6L GG 60G |&Fr9 86 89 GT \4 VC 81G | 6687 968 | 48G | & 8 VEr | © 468 |480g Gr GGE ÿL 59 |40S |4£c | 8687 19071 92 y y GET ys F8 GIE 6G ET} LOT | SGGT LG | L681 8LYT| 06 vY 606 | G£8 IST LOT 6tG | 6€ 98 GGT | VE ve 9687 GIOF| OLr 66 S8r | G VYT y8 69 69 y | LOS GTS GI | G687 866 [GG | 496 9G1 | 6 16 L£T C6 OF GG 88 0G ce | Y68r GOL vY vs C8 OL éd LOT ye 8£ 0 dé (A cG | £687 Ah mL on un Péssgle ee ht SU 18107 2141999 (T 91QU9IAON 9140720 asquo)dog nov perim£ umf£ | IeN IHAVY SI8N JOTIA9N JoTAURB ( saquuy EEE GIGT-EGS8T SoouUE OZ S2I JUepued UosSSa1QUOG € S971E} SNDOIHLAIAMNOIAN T4 SNOILVANHISTFO NTI Donc la moyenne générale de la pluie tombée pendant ces 20 années a été par an 1064 mm. par mois 88.66 » le maximum absolu a été en 1896 avec 1478 mm. le minimum » » D 19920» 702 » L'ordre des mois quant à l’abondance de l’eau tombée en moyenne a été le suivant : 1. Juin avec une moyenne de 11.30 mm. 2, Août » » » » 107.20 » 3. Octobre » » » » 99.00 » 4. Décembre » » » » 96.15 » 5. Juillet » » » 20002 1000 6. Septembre » » » PROD 20 7. Avril . » » » 80,90 » 8. Janvier » » » » 80.50 » 9. Novembre » » » D of) 5) 10. Mai » » n » 18:59 0% 11. Mars » » » pu #70:59 1» 12. Février » » » DARNID2 40 ie Les mois avec des totaux de plus de 200 mm. sont: Janvier (2 fois) en 1889 avec 218 mm. et 1910 avec 236 mm. Avril (1 fois) en 1901 » 217 » Juin (2 fois) en 1896 » 223 » » 1901 Dh 2100 Septembre (1 fois) en 1896 » 232 » Octobre (2 fois?) en 1896 » 209 » » 100 DIR SE? Novembre (1 fois) en 1910 » 269 » Les mois avec des totaux inférieurs à 10 sont : Mars en 1899 avec 4 mm. Avril en 1893 » O0 » Septembre en 1895 » 9 » et Octobre en 1897 » 4 » le maximum absolu a été 279 (juin 1901) le minimum » » 0 (avril 1895) Neuchâtel, 19 décembre 1913. F. DE ROUGEMONT. Il donne ensuite des détails circonstanciés sur l'orage de srèle qui dévasta ce village le 19 août 1890. M. JaquERoD en profite pour exposer les théories les plus modernes sur la formation de la grêle. M. ARGAND traite des progrès récents de la géologie africaine. AS 2 ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DU 9 JANVIER 1914 Présidence de M. MAYOR À. AFFAIRES ADMINISTRATIVES M. le PRÉSIDENT ouvre la séance en félicitant notre collègue, M. le Prof. Argand pour la distinction dont il a été l’objet au congrès international de géologie à Ottawa. Le prix Spendia- roff, qui lui à été décerné, est distribué tous les quatre ans au géologue dont les travaux ont été les plus marquants. MM. Maurice DELACHAUX, technicien-imprimeur à Neuchâtel, et HENRI MATTER, professeur à Cernier, sont reçus en qualité de membres actifs. M. Mayor lit ensuite le rapport présidentiel pour 1915. M. Konrap présente le rapport de caisse pour 1918 et le projet de budget pour 1914, soit: Résumé des comptes de 1913 RECETTES : Solde au 1‘ janvier. Espèces en caisse Fr. 387.98 Caisse d'Epargne » 1196.06 Fr. 1584.04 Cotisations des membres et finances 'ENEÉCMLR, VON UNE AMEN ARS. » 1893.— SUDVENTIONSORBTAL USENET STORE Commune . . PP A7 OMAN ENLOOE Vente de bulletins et mémoires . . » 80.— Dons : Société académique . . . . » 500.— DIVÉES 2 ER RE Se 2 NP ER EST EE) RS ROME Recettes diverses . . DANS NE PERRET CERTES 2317.10 Intérêts avoir Caisse d'Epargne ES ar ce ME AT NU 15.42 Rotalt "2204 cr TOM DÉPENSES : Impression Bulletin 1911-1912, solde. . . . . . Fr. 1141.65 » des, Mémoires,,à comptent 4tat rs aAe0B0Ie » diverses (convocations: etc he ter 42 Ata 46.75 Ports etuaranéhisSeMENES re NET an ee TIC Ven 142.18 Traitements rer Salaires Ari eee SR CUS RES DE) 180.— Frais diVCrS ete RS 197.05 Solde au 31 décembre: espèces en caisse Fr. 42.80 Caisse d'Epargne » 209.15 » 251.95 Total: 45 20e Te Neuchâtel, le 7 janvier 1914. Le caissier : E. BAULER. — 174 — Budget pour 1914 ECETTES : Cotisations des membres et finances d'entrée . . Fr. 1900.— Subventions cantonale et communale . . . . . » 1100.— Vente de Bulletins et Mémoires: : . 4. » 80.— Dons dela Societe ArAdemIqQUue 2 PALONERSNC RTS 500.— , Te AITEL SE PANNE NOUMNOU LITE, PR ENS REREES » 100.— Défcitide Texercicer Mis Ja DEEE ET A RRORTANE » 1950.— Totale... Nr «pl DÉPENSES : Impression du Bullelin . . . . . Fr. 2000.— » des Mémoires, deuxième à compte. . .» 3000.— » diverses . . HONTaT Aal Rep tr » 100 — Ports et affr anchissements SOS CRIE AMMEAST » 150.— Mraitémentstetisalaites 0 ee Ce ee » 180.— HÉAIS VERS et. NDS ARE" AE PEU Near ae » A0 Total #28: CRE 6690 Après le rapport de la commission de vérification des comptes par M. Hermann Russ, la gestion du Comité et les comptes sont approuvés. Le Comité est constitué comme suit pour une nouvelle pé- riode bisannuelle : Président : MM. le Prof. Dr AD. JAQUEROD. Vice-président : PAUL KONRAD, géomètre. ASSeSSeUrS : Dr'-méd. RoBerTt-Tissor, à La Ch.-de-Fonds. Dr FÉLIx BÉGuIN. directeur des Ecoles primaires. Dr EMILE PIGuET, professeur, à Neuchâtel. A. MATHEY-Dupraz, prof., à Colombier. Notre dévoué et vénérable caissier, M. BAULER, en charge depuis vingt ans, demandant à être remplacé pour raison d'âge, la nomination d’un titulaire est renvoyée à plus tard. MM. Acr. BüzBERGER et Oscar Bossy sont nommés en qua- lité de vérificateurs de comptes. B. COMMUNICATION SCIENTIFIQUE M. SPINNER traite de la flore médilerranéenne. — 175 — SÉANCE DU 23 JANVIER 1914 Présidence de M. JAQUEROD M. BAULER refusant toute réélection, nous le remplaçons par M. ALFRED BüZBERGER, fondé de pouvoirs à la Banque DuPas- quier & Montmollin. Ce dernier est remplacé en qualité de véri- ficateur des comptes par M. ROBERT BISCHOFF, ingénieur-élec- tricien. M. EMMANUEL DE MARGERIE, géographe à Paris, est reçu en qualité de membre actif. M. OrrTo BILLETER expose les travaux qu'il à faits en colla- boration avec Mile BuLYGHIN et M. JaquESs BoNHÔTE sur la recherche de l’arsenice. M. A. MaATHEY-DUPRAZ résume ses observations sur la 500- géographie mammalogique des Gorges de la KReuse. SÉANCE DU 6 FEVRIER 1914 Présidence de M. JAQUEROD MM. PERRET-PETER, négociant à Neuchâtel, et JAQUES Bo- HÔTE, chimiste à Peseux, sont reçus en qualité de membres actifs. M. O. FuHRMANN traite de quelques nouveaux cestodes d’oi- seaux étudiés par Mle BaczyNsKka. M. SAMUEL DE PERROT résume ses observations sur l’hydro- logie neuchäleloise pour la période 1908-1913. SÉANCE DU 20 FÉVRIER 1914 Présidence de MM. JAQUEROD et KONRAD Mie SOPHIE SIEJANOWSKA est reçue en qualité de membre actif. M. ARGAND traite de la mesure du lemps en géologie, et M. JaquERoD parle du néon et de ses applications pratiques. SÉANCE DU 20 MARS 1914 Présidence de M. JAQUEROD MM. ALBERT THOMANN, ingénieur à Neuchâtel, et RODOLPHE FREY, technicien-dessinateur à Peseux, sont reçus en qualité de membres actifs. M. BILLETER communique un travail de M. J. BURMANN sur la paraoxzybenzylamine. M. P. Koxrap parle du futur tramway de La Neuveville. Penh SÉANCE DU 17 AVRIL 1914 Présidence de MM. JAQUEROD et KONRAD M. Pauz Vouca, prof. à Neuchâtel, est reçu en qualité de membre actif. M. Sriner traite de l’ascension de la sève dans les végélaux, et M. JaqueroD expose les dernières théories swr la réalilé moléculaire. SÉANCE DU 2 MAI 1914 Présidence de M. JAQUEROD M. SraxisLas LENCEWICZ est reçu en qualité de membre actif. M. JEAN PraAGeT traite de la zoogéographie des Mollusques du Jura; M. ARGaND parle des déformations du Globe. SÉANCE DU 15 MAI 1914 Présidence de M. JAQUEROD M. CHARLES SEINET, négociant à Neuchâtel, est reçu en qua- lité de membre actif. M. H. BüuLer traite de rois glaciers jurassiens ; M. À. BER- THOUD expose les découvertes les plus récentes faites dans le domaine de la radioactivité. SÉANCE DU 29 MAI 1914 Présidence de M. JAQUEROD Il est d’abord annoncé que l'assemblée annuelle publique aura lieu à Colombier le samedi 27 juin, puis M. O. FUHRMANN démontre et projette des préparations anatomiques transparentes et des organismes microscopiques d’eau douce. Ensuite M. Brz- LETER fait une conférence sur les solutions colloïdales avec démonstration. SÉANCE DU 12 JUIN 1914 Présidence de M. JAQUEROD Le PRÉSIDENT expose le programme de la prochaine assem- blée publique, puis M. Ep. BÉRANECK fait une conférence sur les chromosomes X. RÉUNION D'ÉTÉ A COLOMBIER, LE 27 JUIN 1914 C’est dans la grande salle du bâtiment des postes que se tient notre séance. Le Président, M. JAQUEROD, l’ouvre en regrettant la quasi absence de tout indigène, puis proclame la nomination de deux honoraires, tous deux professeurs de physique, MM. CH.-Euc. Guye, à Genève, et PIERRE WEiss, à Zurich. M. Jaquerod traite ensuite de l'aurore boréale tant au point de vue historique qu’à celui de la science; il est suivi par M. ARGAND, qui présente de superbes clichés géologiques, et enfin M. Marnaey-Dupraz termine la séance par une communication sur la biologie des grèves du lac. Après la séance, nous allons visiter les casernes de Colom- bier, l’ancienne et la nouvelle, sous la conduite d’un aimable capitaine. Le confort de l’une fait ressortir la décrépitude de l'autre. Le banquet traditionnel se passe à l'Hôtel de la Couronne. M. Jaquerod salue les autorités de Colombier, M. le Dr Roulet lui répond en acclamant la science en notre personne. ; Année 1914-1915 SEANCE DU 6 NOVEMBRE 1914 A. AFFAIRES ADMINISTRATIVES Le PRÉSIDENT présente le volume V des Mémoires. Cet ou- vrage, qui fait le plus grand honneur à ses auteurs, est en même temps glorieux pour la Société. IL compte 1200 pages, 732 figures, 34 planches hors texte et 2 cartes. La note est éle- vée, nous avons à payer près de 15000 francs sur lesquels 7000 francs sont déjà versés. Nous pensions demander des sub- vensions Spéciales aux autorités fédérales, cantonales et com- munales, mais vu les temps difficiles, nous nous sommes bornés à leur envoyer un exemplaire à chacune en insistant sur la conservation des subventions ordinaires. Auprès du Conseil fé- déral nous avons pris rang pour plus tard et reçu une réponse très encourageante du Département de l'Intérieur. Ce volume remplacera les Bulletins de 1915 et de 1916, celui de 1917 renfermera donc les travaux de trois ans. Les membres recevront le volume des Mémoires en deux fois, mais toutefois ceux qui le désirent le recevront en une fois contre paiement de deux cotisations. 12 RULL. SOC. SG. NAT. T. XLI Éna +" tag Il est donné lecture des lettres de remerciements de nos deux nouveaux honoraires: MM. C.-E. Guye et P. Weiss; puis de celles de nos mécènes au recu du volume des Mémoires. B. COMMUNICATIONS SCIENTIFIQUES M. O. BILLETER parle sur wn nouveau cas d’'auloxzydaltion, et M. O. FunrMANx sur un mollusque rare provenant des Élals-Unis. SÉANCE DU 20 NOVEMBRE 1914 Présidence de M. JAQUEROD M. H. SPinner traite de la flore des steppes. et M. L. DE Mar- VAL résume ses observations sur la colonisation au Brésil. SÉANCE DU 4 DÉCEMBRE 1914 Présidence de M. KONRAD, vice-président A. AFFAIRES ADMINISTRATIVES M. le PRÉSIDENT rappelle la mémoire de notre membre ho- noraire, le Prof. ARNoOLD LanG, de Zurich. L'assemblée se lève en son honneur. Il est ensuite donné connaissance de la démission de M. le D' PETTAVEL, conseiller d'Etat, mais par contre nous re- cevons en qualité de membre actif M. SAMUEL GAGNEBIN, Stud. scienc. B. COMMUNICATIONS SCIENTIFIQUES M. TH. DELACHAUx traite des serrures en bois de la Suisse, MM. Weger et Vouca parlent de /a répartition des sexes chez les poissons. SÉANCE DU 18 DÉCEMBRE 1914 Présidence de M. JAQUEROD M. le Prof. ARGAND présente wn plan de l'extrémité du glacier du Rhône levé en 1848 par M. Henri-Louis Oz. Le D° Otz à bien voulu offrir au laboratoire de géologie de l’université un plan manuscrit du front du glacier du Rhône, levé en 1848 par feu M. Henri-Louis Otz, ancien géomètre can- tonal, membre de la Société et compagnon de Dollfus-Ausset dans ses recherches glaciologiques. Grâce à la libéralité du Dr Otz, les spécialistes pourront désormais consulter un docu- ment original très précieux pour la connaissance des oscilla- tions du glacier du Rhône au XIX=e siècle et pour l'histoire des changements topographiques qui en sont résultés. Cette carte, que le prof. Argand présente à la Société, est établie à l'échelle de 1: 2000. L'ancienne « Auberge du Rhône » y est figurée, ce qui permet de repérer les détails de la topo- graphie. Trois arcs morainiques frontaux se développent en avant du glacier; le Rhône naissant les franchit en des points situés à 40, 160 et 240 mètres en amont du repère. Le front du glacier se trouvait à 500 mètres du repère; le fleuve en sortait par deux arches de glace situées près des berges gauche et droite et distantes de 240 mètres. L’arche de droite était simple, celle de gauche, par contre, présentait uue double ouverture. M. A. JaquERoD traite de l'émanalion du radium avec dé- monstration. ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DU 15 JANVIER 1915 Présidence de M. JAQUEROD, président À. AFFAIRES ADMINISTRATIVES M. JaQuERoOD lit le rapport suivant : Rapport présidentiel sur l’année 1914. L'année qui vient de s’écouler restera tristement célèbre dans les annales de l'humanité. Les terribles événements dont elle à été le témoin n’ont pas eu cependant — jusqu'ici du moins — sur la marche de notre Société, la répercussion qu'on aurait pu craindre. Nous nous sommes efforcés, comme il était de notre devoir, de continuer nos travaux et de tenir nos séances comme à l’or- dinaire, et l’on peut dire que, sauf en ce qui concerne le recru- tement des membres, et abstraction faite d’un état financier défavorable, justifié d’ailleurs par une publication importante, l’année 1914 à été une année normale. Nous avons tenu 15 séances et entendu 29 communications, se répartissant comme suit : Zoologie 8, chimie 5, géologie 5, physique 4, botanique 8, hydrologie 1, ethnographie 1, divers 2. Notre séance générale d'été, tenue à Colombier, a été favo- risée par un temps déplorable, mais par un accueil charmant des autorités communales et militaires de l'endroit. Persuadés qu’une société comme la nôtre, formée d'éléments assez disparates et comptant très peu de spécialistes d’une même branche, est avant tout une association d'instruction mu- tuelle, nous avons essayé d'introduire à chaque séance, à côté de l’exposé des recherches personnelles d’un de nos membres, une causerie d'intérêt général, tenant lieu de mise au point d'un sujet à l’ordre du jour, et permettant à chacun de nous de se tenir plus ou moins au courant de la marche générale de — 180 — la science. Cette manière de faire ayant, semble-t-il, rencontré l’assentiment général, nous continuerons dans la même voie et chercherons même à étendre le domaine de ces exposés. À cet effet, nous serons reconnaissants à quiconque voudra bien s’ins- crire pour nous présenter un travail, qui n’a nul besoin d’être personnel. Il est en effet difficile au président d'atteindre tous ceux qui auraient quelque chose d’intéressant à dire, et la charge retombe perpétuellement sur les mèmes. Tous auraient à gagner à plus de diversité. Nous avons reçu 12 nouveaux membres actifs et 2 hono- raires (MM. Pierre Weiss, à Zurich, et CH.-EUGÈNE GUYE, à Genève), et avons en revanche à déplorer la perte de 3 mem- bres actifs et d’un membre honoraire, le Prof. ARNOLD LanNG, à Zurich. Le nombre des admissions n’est certes pas celui qu'avait laissé espérer l’année 1913, de glorieuse mémoire, où nous avions recu 64 candidats. Les temps sont durs, et nous devons nous préparer à une année encore plus mauvaise à cet égard. C’est une raison de plus pour les membres actuels de rester fidèles au poste, et de ne pas chercher à équilibrer leur bud- get personnel par la suppression de la modeste cotisation an- nuelle qu'ils versent à notre Société. Un certain nombre de démissions ont déjà été envoyées à notre Comité. Inutile de dire qu'il fera son possible pour obtenir des récalcitrants le retrait de ces démissions, et pour prévenir le retour trop fré- quent de ces fâcheuses manifestations. Vous verrez, en enten- dant le rapport de notre caissier, que la situation financière est loin d’être brillante; elle deviendrait inquiétante si la manie de la démission prenait une tournure épidémique. L'événement marquant de 1914 — j'entends pour notre So- ciété, et non pour le genre humain pris dans son ensemble — a été la publication du volume V des Mémoires. Depuis 1875, aucun exemplaire de cette collection n'avait vu le jour. Il à fallu le fait nouveau du voyage d'exploration en Colombie de MM. Fuhr- mann et Mayor, et la remarquable richesse des matériaux rap- portés par eux pour nous engager à nous lancer dans cette entreprise. Le volume V qui en est le fruit, gros in-quarto de 1200 pages, ne compte pas moins de 732 figures, 54 planches hors texte et 2 cartes. Il contient des notices scientifiques d’un grand nombre de savants suisses et étrangers, la description de 185 espèces animales nouvelles et 160 espèces végétales nou- velles. Il fait le plus grand honneur, non seulement à ses au- teurs responsables et à leurs collaborateurs, mais encore à la maison Attinger Frères, qui y a mis tous ses soins d'éditeurs consciencieux, et à notre Société, qui peut être fière de reven- diquer le titre de marraine de ce bel ouvrage. Le revers de la médaille est son prix élevé, qui est près de trois fois celui qui avait été devisé. Alors même que les édi- teurs ont pris à leur charge une partie des frais, il ne nous restait pas moins de 14000 francs en chiffres ronds à débour- — AS — ser pour solder la note. 6000 environ ont été versés grâce à l’aide généreuse de donateurs, que nous avons grand plaisir à remercier encore une fois aujourd’hui. 8000 restent à trouver. Nous avons décidé, pour faire face à cette dépense imprévue, de ne pas publier notre Bulletin deux ans durant. Les membres de la Société recevront en 1914 et 15, en deux fascicules, le volume V en question; ils n’y perdront certainement rien. Pour le reste, nous avons renoncé, vu la très grande crise écono- mique que traverse notre pays, à nous adresser aux autorités fédérales, cantonales et communales ; sitôt que les circonstances le permettront nous chercherons à obtenir des subventions des autorités en question, et nous avons bon espoir d'y réussir. Nous osons en outre espérer que les personnes généreuses qui s'intéressent à la vie scientifique de notre canton, ne nous abandonneront pas plus que par le passé. En résumé, l’année écoulée peut être qualifiée de féconde en ce qui concerne l’activité scientifique de notre Société; pour ce qui est du point de vue matériel — qu'il n’est hélas! jamais possible de négliger — l’année 1914 est lourde, et l’avenir bien incertain. Ayons confiance malgré tout; continuons à travailler avec courage en faisant des vœux pour que 1915 voie s'ouvrir, pour la grande société humaine comme pour notre petite So- ciété, une ère de prospérité. M. BüzBERGER, caissier, présente le rapport de caisse pour 1914, et le projet de budget pour 1915. Cemp'estde exercice 1944 RECETTES : COTSATONS A SEAL ER TE A RSR ER SET RES Entrées Leone Li spa UNE MANS » VO MR rTAMTISE Subventions FE TS ENV NON PRE UER PRAAL EC TOUS Bulletins ventes . . . . JON OEIOMMRNS Er 2: » 306.80 Intérétstosefet Sabot een ER RS TnS, » 21.06 OAI CUT. | ET 0000260 Solde de 1915 reportétazmtée Je probe el role 251.9 Fotaloiso x 1yatErra83887:49 DÉPENSES : ÉUUIOLE TONER tee Er: O0 tome: 40: L: 0 Fepatonce, a 7 » 825.45 Fr. 1946.65 MéMOITes 2 7 SP PERS 2 NS EUR ES » 1134.50 DELLE LE ALLO DE ve PR RE LE 1 22 ele ue ee » 243 ,— ÉONGEAHIEES 20 ec LSDRRE RE ET CE NSS NU RUE SNS » 80. — Lotalis vanter FrmedOdats laissant un solde actif de 435 fr. 64. — 182 — Budget pour 1915 RECETTES : COTISATIONS HE LLSUAN SANT A A0PT ALL NO CNE ONT/7aRE SUPVENATIONSX LME ZEN XML NES AT EURE EE » 10600. — Bulletin) ventes tra Lo Gi AN REEL AIEN EEMETENRRR » 36.— NVBFÈLS LL LRANEMENEREr ITR PELLE DD AT: T CROP » 20. — TOTAL PRE CRE. SEA EE DÉPENSES : Bulletin tome 40, 50 o-- Nuit À (ét URESS D DIT ICA ANUS Mémoires . . AGDE EE ART APRES) 5 Ov , 1800.— Honoraires. . HELP UP A: » 96. — Administration et imprévus ASH ERTQEU ASUS AND 434. — Total ani Fr BAD Dettes de la Société, reportées sur exercices ultérieurs (1916 et suivants): Bulletin tome 40 (some 50 flo) Ji déh. tuéetur el EE MA00 SE Mémoires (solde). . Saba toea atitier0 "BAUOEE TOP AEOTE VE SEr 700 M. BiscHorr présente le rapport de la Commission de véri- fication des comptes de 1914, concluant à leur adoption. Cette proposition est adoptée et la gestion du Comité pour l'exercice écoulé est approuvée. Le projet de budget pour 1915 est adopté. M. SpINNER présente le rapport de la Commission cantonale pour la protection des monuments naturels el préhistoriques. Rapport de la Commission pour la protection des monuments naturels el préhistoriques sur l'exercice 1914. Monsieur le Président et Messieurs, Les principaux objets des délibérations de notre Commission pendant l’année 1914 ont été la protection de la flore, celle des blocs erratiques et notre participation à l'Exposition nationale à Berne. La question de la protection de la flore a été réglée par un décret du Conseil d'Etat en date du 28 janvier 1913. Ce décret concerne 23 espèces qu'il est interdit d’arracher, de détruire, de vendre et de cueillir en masse. Du reste, les nombreuses observations faites particulièrement par M. Auguste Dubois ont démontré que nos plantes rares ne sont pas en diminution et — 183 — que l’éducation du public est la meilleure des mesures pré- ventives. Notre participation à l'Exposition du Naturschutz, à Berne, s’est affirmée par l'envoi de 4 cartes et de 36 photographies, soit: Une carte de la répartition des blocs erratiques, remar- quables par leur volume ou par leur situation; une carte de la répartition des espèces rares de la faune neuchâteloise; une carte floristique indiquant les stations des plantes protégées; une carte du Creux-du-Van montrant la réserve botanique appartenant au Club jurassien, avec les stations végétales inté- ressantes; des photographies de sites, de blocs et d’arbres remarquables. Dans ses dernières séances la Commission a repris l'étude de la protection des blocs erratiques. Ensuite d’une demande de la Commune de Valangin et de l'intervention du Conseil d'Etat nous avons décidé d’en finir enfin avec cette question pendante depuis une décade. M. le Prof. DE TRIBOLET s’est mis énergique- ment à l'ouvrage qui, aujourd'hui, est en fort bonne voie. Nous osons espérer, sérieusement cette fois-ci, qu'un catalogue complet des blocs protégés dans notre canton pourra être établi dans le courant de l’année prochaine. Nous sommes très redevables aux Amis de la Nature qui ont travaillé au relevé de tous les blocs de quelque importance sur la carte au 1:25 000. La Commission : Prof.-D' H. SPINNER, président, à Neuchâtel. Prof.-D' M. DE TRIBOLET, vice-président, à Neuchâtel. MAURICE BOREL, cartographe, secrélaire, » AuG. Dugois, prof., à Neuchâtel. HENRI MOULIN, pasteur, à Valangin. JACOT-GUILLARMOD, inspecteur-forestier, à St-Blaise. D' EMILE PIGuET, prof. à Neuchâtel. Prof.-D' OTro FUuHRMANN, à Neuchâtel. Prof.-D' EMILE ARGAND, » Dr Pauz VoucaA, prof. » B. COMMUNICATIONS SCIENTIFIQUES M. FüuHRMANN traite de la reproduction chez les Protozoaires. SÉANCE DU 29 JANVIER 1915 Présidence de M. JAQUEROD M. Remy, de la Tour de Trême, est admis au nombre des membres actifs. M. G. DuPASQUIER traite du grand théorème de Fermat, et M. G. RŒSSINGER résume ses #mpressions sur les rapports entre l’homme et le sol dans le Midi, à Majorque en particulier. nr T ut SÉANCE DU 12 FEVRIER 1915 Présidence de M. JAQUEROD M. DE Mapay, professeur à l'Université de Neuchätel, est reçu en qualité de membre actif. M. MatHey-Dupraz résume les observations qu'il à faites sur la faune des environs du Bosphore durant son séjour à Scu- tari d'Asie. M. CH.-A. MicHEez traite de la fabrication des faïences el por- celaines et plus spécialement des procédés utilisés à l'obtention des craquelés et flambés, le tout avec nombreuses pièces à l'appui. SÉANCE DU 26 FEVRIER 1945 Présidence de M. JAQUEROD M. Ivaxorr, actuaire, à Colombier, est reçu en qualité de membre: actif. M. Mayor présente un exemplaire de Scandix Pecten Veneris et un autre de Ranunculus Arvensis trouvés dans les champs à Perreux, et annonce que Galinsoga parvifiora qu'il avait signa- lée aux Saars, a envahi tout le littoral jusqu’au petit lac de Saint-Blaise. Il traite ensuite des champignons inférieurs nou- veaux, intéressants pour notre canton, et spécialement des genres hypogés Tuber, Elaphomyces, Gautieria. De ce dernier genre, très rare et encore mal défini, il en à été trouvé aux Ponts par M. J.-Ed. Matthey, et au Chanet de Neuchâtel par M. Quinche, instituteurs. M. Pauz Vouca résume ce que l’on sait sur l’utilisation de l'or et du cuivre par les néolithiques. SÉANCE DUÜU 12 MARS 1915 Présidence de M. JAQUEROD Il est annoncé que M. Louis ISELY père, est rentré dans la Société en qualité de membre actif externe. M. E. Piquer présente un nouveau volume du Catalogue des Invertébrés de la Suisse, soit celui qui traite des OUligochètes et qu'il a composé en collaboration avec M. BReTSCHER. Il parle ensuite du sens de l'orientation chez les fourmis. MM. A. Ivanorr et CH. BoreL traitent de l'assurance du risque de guerre. SÉANCE DUF26 MARS. TOITS Présidence de M. JAQUEROD M. A. BERTHOUD résume tous les derniers travaux qui ont traité des poids atomiques, et M. JAQUEROD ceux qui ont paru sur les rayons posilifs. SÉANCE DU 6 MAI 1915 Présidence de M. JAQUEROD La séance réglementaire du vendredi 7 mai a été remplacée cette semaine par une visite à l'hôpital de la ville aux Ca- dolles, jeudi dernier. Une quarantaine de membres avaient répondu à l'invitation du Comité. Fort aimablement reçus par les docteurs E. Bauer et W. de Coulon, nous avons parcouru sous leur conduite les différents bätiments du nouvel hôpital. D'un bout à l’autre de notre visite, qui n’a pas duré moins d'une heure et demie, les explications les plus claires et les plus détaillées nous ont été données par MM. Bauer et de Cou- lon, et chacun à pu se rendre compte du fait que les installa- tions répondent aux dernières exigences de la science moderne, et que l'hôpital de la ville de Neuchâtel est certainement l’un des mieux installés qui existent. Par cette belle soirée de printemps, le pare qui entoure l'hôpital a fait l'admiration de tous les visiteurs, et la vue unique dont on jouit de là-haut, par dessus les grands pins, n’a pas été le moindre attrait de cette intéressante visite. SÉANCE DU 21 MAI 1915 Présidence de M. JAQUEROD M. O. BILLETER, au nom de M. BuRMANN, présente quelques produits chimiques nouveaux pour l’industrie suisse. M. FunRMANN parle des poissons électriques en général et présente un exemplaire vivant de Malopterus electriceus Sur le- quel on expérimente. SÉANCE DU 4 JUIN 1915 Présidence de M. JAQUEROD M. Louis BAUMANN, directeur de l'Ecole normale cantonale, est reçu en qualité de membre actif. M. JaquEerRoD donne quelques renseignements au sujet de l’assemblée annuelle qui aura lieu à Noiraigue le 19 courant. —— 186 — M. P. Konrap parle des divers essais entrepris pour la des- truclion des mauvaises herbes des voies de chemins de fer et de tramways. M. E. ARGAND fait une communication sur les plis lransver- saux des Alpes occidentales et sur la tectonique du Tessin sep- lentrional. REUNION D'ÉTÉ A NOIRAIGUE LE 19 JUIN 195 Présidence de M. JAQUEROD À 9 heures, séance publique à la Halle de Gymnastique, 80 personnes y assistent. A. AFFAIRES ADMINISTRATIVES Sont reçus en qualité de membres actifs: MM. GUILLAUME DE MONTMOLLIN, Dr ès sc., à Neuchâtel; WILLIAM BÉGUIN, prof. à La Chaux-de-Fonds; ALoïs NERGER, jardinier à Colombier ; RaouUL STEINER, prof. à La Chaux-de-Fonds; LÉON VaGLio et JEAN GRISE, instituteurs aux Verrières; JEAN PERRET, institu- teur aux Bayards; PAUL PIERREHUMBERT, étudiant, aux Ver- rières; MARC JACOT-GUILLARMOD, vétérinaire aux Verrières. L'assemblée acclame comme membre honoraire, M. le Prof. D: SrupeRr, prof. de zoologie à l'Université de Berne. MM. JaqueroD et BILLETER sont désignés comme délégués à l’assemblée préparatoire de la séance annuelle de la Société helvétique des Sciences naturelles, qui aura lieu à Genève du 11 au 14 septembre prochain. B. COMMUNICATIONS SCIENTIFIQUES M. JAQUuEROD parle du bruit du canon. M. G. RœssiNGEr traite de WNoiraigue et de ses montagnes. M. J. JeaNPRèTRE parle de la recherche des sources par la baguelte divinatoire. M. A. NERGER en fait la démonstration sur le terrain. Il suit à la piste la canalisation d’eau du village, retrouve des sources perdues et en découvre de nouvelles au moyen de sa montre fonctionnant comme pendule ou au moyen d'une baguette flexible. A midi et demi, le banquet réunissait plus de 60 convives à l'Hôtel de la Gare. Au nom des autorités, M. le pasteur Vuithier nous souhaite la bienvenue, puis M. JAQUEROD lui répond, M. CRELIER, délégué de la Société sœur bernoise nous en apporte tous les VŒuUX, enfin nous entendons notre nouveau membre, M. A. NERGER. Après midi, le temps défavorable contrariant la course pré- vue au Creux-du- Van, les membres encore présents s’en vont faire visite aux mines et aux usines du Furcil. Me AM Année 1915-1916 SÉANCE DU 29 OCTOBRE 1915 Présidence de M. JAQUEROD A. AFFAIRES ADMINISTRATIVES M. le PRÉSIDENT ouvre la séance en constatant que l’hor- rible guerre qui ensanglante l’Europe n'empêche heureusement point la science d'exercer son attrait. En effet, l'assemblée est bien revêtue et 5 candidatures sont présentées. Il rappelle ensuite qu'à l’assemblée annuelle de la Société helvétique des Sciences naturelles, tenue à Genève, deux nou- velles commissions ont été instituées renfermant toutes deux de nos sociétaires; la commission scientifique du Parc national suisse avec MM. Fuhrmann et Spinner, et la commission phy- togéographique suisse avec M. Spinner. B. COMMUNICATIONS SCIENTIFIQUES M. Sriner présente un travail de M. Dziubaltowski sur la Flore de la Pologne méridionale. Cette communication est suivie d’une discussion à laquelle prennent part MM. ArGaxp et LENCEWIeZ. M. Funrmans traite des anomalies dans les phénomènes de fécon- dation dans le règne animal. SÉANCE DU 12 NOVEMBRE 1915 Présidence de M. JAQUEROD MM. Gusrave Juver, étudiant, CHarzes Capr, assistant au labo- ratoire de physique de l'Université, D' CasEeLmann, bactériolo- giste, tous à Neuchâtel, CH. Borez, étudiant, à Cortaillod, ERNEST RuFENER, étudiant, à Peseux, et Eric CLAUSEN, D' ès sc. à La Neuveville, sont reçus en qualité de membres actifs. M. pe TriBocer fait l'historique de la question des blocs erra- tiques dans le canton de Neuchâtel, puis M. A. Reymon» traite des connaissances astronomiques au moyen âge et du procès de Galilée. SÉANCE DU 3 DÉCEMBRE 1945 Présidence de M. JAQUEROD MM. le D' Küane, médecin à Neuchâtel, et M. BAuuE, instituteur à La Chaux-de-Fonds, sont reçus en qualité de membres actifs. M. Weser traite des phénomènes de régénération chez les ani- maux. M. Tu. Decacaaux lit une lettre de M. Ernesr Goper, ingé- D, | Get nieur à Huaron, au Pérou, dans laquelle il donne des détails scientifiques de toute espèce sur la région haut-andine qu'il habite en ce moment. SÉANCE DU 17 DÉCEMBRE 1915 Présidence de M. JAQUEROD MM. Bernarp WAvRE et ANDRÉ BoNHÔTE, chimistes à Neuchâtel, sont reçus en qualité de membres actifs. M. À. BerrHoup expose les résultats obtenus par le prof. Mou- reux dans ses recherches sur les gaz rares des sources thermales. M. E. JeanricHarp, du Locle, traite des vacuoles ou galels creux du Jurassique supérieur, gisement des Varodes sur Le Locle. Les galets exposés par M. JeankRichard ont été recueillis dans le Portlandien dolomitique. La question se pose de savoir s'il s’agit de concrétions ayant rempli un vide préexistant ou s’il s'agit d’un phénomène de remplacement intramoléculaire de la substance primitive. C’est pour cette alternative que se pro- nonce M. ArGaD après examen des échantillons. ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DU 14 JANVIER 1916 Présidence de M. JAQUEROD, puis de M. KONRAD A. AFFAIRES ADMINISTRATIVES M. Jaquerop lit le rapport présidentiel sur l'exercice 1915. M. Srnxer lit le rapport de la Commission pour la protec- tion des monuments naturels et préhistoriques. Rapport de la Commission pour la protection des monuments naturels el préhistoriques sur l'exercice 1915. Monsieur le Président et Messieurs, L'année 1915 à été entièrement remplie par les recherches de M. de Tribolet sur les blocs erratiques à protéger. Notre dévoué géologue vous a, en séance du 12 novembre 1915, exposé très en détail le résultat de ses recherches; nous n’yérevien- drons pas, si ce n’est pour lui réitérer ici l'expression de notre reconnaissance pour l’ardeur qu’il a mise à réaliser enfin cette œuvre que tant d’autres avaient commencée sans parvenir à la mener à chef. Notre canton est actuellement le seul où flore, faune et témoins des âges géologiques écoulés soient protégés d’une façon effective. Nous pouvons en être fiers. Au nom de la Commission: Le président, Prof. D' H. SpiNnEr. 7 Le M. BüzseRGER donne connaissance du rapport de caisse et M. Biscuorr de celui des vérificateurs de comptes. La gestion et les comptes sont approuvés à l’unanimité, ainsi que le projet de budget pour 1916. Comptes de l'exercice 19419 RECETTES : Cotisations : 153 internes 1915 EPA F4 PES RON PE M À] 572 EE 39 » 1915/16 » » 16.— » 624. — 86 externes 1915 +.» 4, 5.:— » 430. — D » 1915/16 » » 10.— » 50.— Entrées: 15 à fr. 5.— 10 gratuites (Noiraigue) Subventions : Etat de Neuchâtel . » 3)0.— Commune de Neuchâtel » 750. — Troisième annuité Sté Académique » 500. — Vente de volumes par M. D' Fuhrmann . Intérèts . NN SNS LUE Solde reporté de 1914 . ire Total DÉPENSES : Expéditions et débours . . . . Er. 94.30 Frais de convocations, administra- RON LEA UN RUET EURE LEE LE ER 391.47: FOROPAITES HE ENT ENRRR EEE Lan Les 66.— Excédent des recettes sur les dépenses Consacré pour: Note Wolfrath & SPÉELES ave 0e Oo ET: LRO0 Note P. Attinger » 1800.— » » » 400 ST laissant un solde disponible de constitué par carnet de la Caisse d'Epargne . Solde en caisse DO RE AA AEU ER Total Passif: Solde note Attinger . . Kr. 6000.— » »' =" Wolfrath "2 D. LPS Actif: comme ci-dessus. Dettes de la Société au 31 Fee 1915 2168. 75. 491. .. 9905. 605. 226. 349. 605. 1124. 605. . 6518. 45 17 28 45 15 ou 70 Budget pour l'exercice 1916 RECETTES : Cotisations : 179 internes (effectif au 51 décembre) 39 payées par avance en 1915 ADAM SELS OR OMANTE= 86 externes 5 payées en 1915 OL aÉps 5 Le URI » 405. — Entrées : 10 à fr. 5— Subventions ! Vente de volumes Intérêts . ANT DL LAMY LOMME Total des recettes DÉPENSES : Frais de convocations, administration, honorai- res, etc. Na des pire ni Ft ar Excédent de recettes plus soide de 1915 (ormantnAdiSponiNie rer UE UNE RUE. devant servir pour Fr. 1125.15 au paiement du solde de la note Wolfrath&Sperlé » 2000.— à compte sur les Mémoires. laissant un solde en caisse de Le passif de fr. 7124.15 est ainsi ramené à . L’actif (représenté par le solde en caisse) est de Dettes de la Société au 31 décembre 1916. Neuchâtel, le 14 janvier 1916. Le Caissier. Le Comité pour 1916-1917 est constitué comme suit: Président : MM. Pauz Konrap. Vice-président : HENRI SPINNER. Caissier : ALFRED BÜZBERGER. Autres membres : EMILE PiGuer. A. Maruey-Dupraz. EMILE ARGAND. Dr Rogerr-Tissor, à La Chaux-de-Fonds. — 191 — MM. Kuwz et Micnez sont nommés en qualité de vérificateurs de comptes. M. Koxrap prend la présidence, remercie l’assemblée et forme les meilleurs vœux pour la prospérité de la Société. B. COMMUNICATIONS SCIENTIFIQUES M. Maruey-Dupraz parle des diverses espèces de moueltes el goélands qui se rencontrent sur notre lac. Une race particulière du goéland argenté, le Larus argentatus eachinnans mérite une mention spéciale. C’est une forme méditerranéenne qui vient parfois s’égarer jusque chez nous. Cet hiver, l’orateur en a vu cinq gros exemplaires dans la baie d’Auvernier. M. ArGaND résume tous les travaux ayant contribué aux progrès récents de la géologie des Grisons. SÉANCE DU 28 JANVIER 1916 Présidence de M. KONRAD M. le PRéÉsipenr souhaite la bienvenue à MM. Cvijic et Jovicic, professeurs de l’université de Belgrade, réfugiés à Neuchâtel. Il annonce ensuite la constitution définitive du Comité. M. le D' Piauer a été nommé secrétaire-correspondant, tandis que MM. Srinner et FuxrmANN restent respectivement secrétaire- rédacteur et archiviste. La partie scientifique est remplie par une conférence de M. G. Du Pasquier sur la meilleure base du système de numération. Après un examen serré des avantages et des inconvénients des divers systèmes, le conférencier se “décide pour la base 4. Elle serait l'idéal pour la démocratie des calculateurs, tandis que les mathématiciens en utiliseraient les puissances. Une discus- sion à laquelle prennent part MM. BizceTer, DE MARVAL, STROELE, SPINNER, DE PERROT fait voir que l'assemblée pencherait plutôt pour la base 6. Tout le monde serait d'accord pour détrôner la base 10, mais qui commencera ? SÉANCE DU 11 FEVRIER 1916 Présidence de M. Konrad M. Marcez DE CouLon, journaliste à Neuchâtel, est reçu en qualité de membre actif. M. Louis MarTENET expose avec démonstration les progrès réalisés dans la fabrication des lampes électriques à incandescence. Il fait l'historique de la question dès 1879, où Edison construisit ME UE sa première lampe à filament de charbon, jusqu'aujourd’hui, où les lampes ‘'/ watt sont en train de supplanter toutes les autres marques à filament métallique. M. P. Koxrap traite ensuite de notre flore mycologique el de la cucilletle des champignons en 1915. 11 montre les progrès faits dans la connaissance des champignons à chapeau depuis 1870. A cette date le catalogue de Favre et Morthier en indiquait 900, aujourd'hui on en mentionne plus de 1650. Cette richesse est due à la situation centreuropéenne de notre région. Sur ce nombre 5 seulement sont mortels, une dizaine sont dangereux, une cinquantaine sont suspects. M. Konrad passe ensuite en revue les mois de l’année 1915 au point de vue mycologique: juin, août et octobre en furent les meilleurs. SÉANCE DU 25 FEVRIER 1916 Présidence de M. KONRAD M. le PrésibeNT annonce que la circulaire lancée parmi nos membres pour une souscription destinée à amortir nos dettes, a recu un excellent accueil: 600 francs déjà sont souscrits et nous pouvons nous attendre à plus encore. Il est ensuite procédé à la réception en qualité de membre actif de M. ARMAND GaILLE, pharmacien à Saint-Aubin, et à la réadmission de M. le D' Srrouz, chimiste. M. Maruey-Dupraz traite de l’Hisloire naturelle du Spitzberg telle qu'elle était connue au milieu du 18" siècle, d’après un traité paru à Yverdon en 1764. La comparaison avec nos con- naissances actuelles permet de constater de grands progres, surtout dans la connaissance de la flore, puisqu’au lieu de 12 plantes on en a reconnu près de 150. Le monde des oiseaux a peu varié. La présence des rennes y était déjà constatée, ce qui va à l’encontre des théories de Nordenskiüld en particulier. M. Cn.-Arr. Micnez nous fait ensuite l’histoire de la porcelaine tendre avec présentation de nombreux spécimens. Une fois de plus nous avons pu constater tout ce que nous devons à l'Ex- trême-Orient. Tandis qu’en Chine on fabriquait déjà des mer- veilles, on ne savait en Europe que produire de grossières faïences. SÉANCE DU 10 MARS 1916 Présidence de M. KONRAD M. Syôsrepr, industriel à Serrières, est reçu en qualité de membre actif. M. J. Bécun, architecte à Neuchâtel, rentre dans la Société. — 4193 — M. le PrésibENT annonce que la souscription a atteint aujour- d'hui le beau chiffre de 1015 francs et qu’elle continue. M. Srinner rapporte sur l’activité de la Commission d’études scientifiques du Parc National. Des sous-commissions ont été nommées pour organiser les recherches géologiques, météorolo- giques, botaniques et géologiques. Ses travaux commenceront cette année-même. M. M. pe Monrmozu traite des munitions et des explosifs. I] en fait un court historique et insiste particulièrement sur le matériel employé aujourd’hui par les belligérants. Il montre la spécialisation de certains produits et la difficulté qu'il y a à en improviser la fabrication. Enfin il prouve la quasi impossi- bilité qu'il y à pour un camp à distancer l’autre dans le per- fectionnement des poudres et des explosifs. SÉANCE DU 24 MARS 1916 Présidence de M. KONRAD MM. Grosseax, prof. à Bienne, et PauL CHATELAIN, directeur de la Banque Cantonale Neuchâteloise, à Neuchâtel, sont reçus en qualité de membres actifs. M. le PRÉSIDENT annonce que l’assemblée annuelle de la So- ciété helvétique des Sciences naturelles aura lieu cette année à Schuls-Tarasp. . M. le Dr Euc. Mayor parle ensuite du Meldiou de la vigne et de son traitement. Il insiste tout particulièrement sur les expé- riences de Müller-Thurgau et voudrait voir nos vignerons en tirer les conclusions nécessaires, c’est-à-dire sulfatage par des- sous et incinération des feuilles en automne. M. Paur Vouca présente une épée de bronze préhistorique d'origine incertaine et cherche à la déterminer par des pro- cédés purement ethnographiques. [1 la rapproche du poignard égéen à poignée triangulaire. SÉANCE DU 7 AVRIL 1916 Présidence de M. KONRAD MM. CHARLES ScaNEipER, licencié ès-sciences, HENRI CHÉDEL, avocat et notaire, Hueues pe MonrmoLuiN, étudiant chimiste, les trois à Neuchâtel; Max Fazzer, avocat et notaire à Peseux, et D' Apozrxe Borez, de la Fabrique de câbles électriques à Cor- taillod, sont reçus en qualité de membres actifs. 13 RULL. SOC. SC. NAT. T. XLI — 194 — M. Konrap rappelle la fondation de l'Observatoire en 1858, et la première invitation adressée à notre Société en 1861 déjà. Il remercie vivement M. Arndt de bien vouloir nous recevoir à nouveau et exprime sa satisfaction de voir une assistance aussi nombreuse. M. le Dr" L. Annpr, directeur de l'Observatoire, présente en- suite une communication sur: Ce que nous savons de la lune el de quelques planètes, et expose les diverses théories admises aujourd'hui par les astronomes au sujet de la composition et de la géographie lunaire. M. Arndt présente les grandes pho- tographies lunaires, cartes topographiques d’une grande netteté, et en donne l'explication. M. le prof. ARGAND reprend quelques-unes des idées exposées par M. Arndt et montre entre autres que la topographie lunaire et la topographie terrestre, contrairement à ce qu’admettent les astronomes, présente de grandes analogies. Il expose le point de vue géologique de la question, tandis que M. le professeur JAQUEROD explique diverses questions purement physiques. Après la conférence, visite de l'Observatoire pour ceux qui ne le connaissaient pas encore, et observation de la lune au grand réfracteur. Le temps peu favorable empêcha de longues obser- vations. SÉANCE DU 5 MAI 1916 Présidence de M. KONRAD M. le PRéÉsipenr fait tout d’abord part à l'assemblée du pro- duit réjouissant de la souscription à ce jour : 1802 francs dont 1527 francs de versements uniques et 275 francs de versements échelonnés. Il est ensuite passé à la réception de deux membres actifs: Mie CLAUDINE DE PERREGAUX, étudiante en médecine, et M. CHaRLes Rugui, négociant, tous deux à Neuchâtel. M. Maurice Taiégaup nous présente son Catalogue des Cope- podes de la Suisse. Ce travail résume 200 travaux divers et de nombreuses observations personnelles de l’auteur. Il indique pour notre pays 56 espèces de copépodes, contre 72 en Alle- magne et 70 en Scandinavie. M. Auc. Dupors traite des nouvelles fouilles à opérer dans la grotte de Cotencher. Cette caverne a reçu la visite du D' Lardy, de Genève, qui a présenté sur ses recherches un travail à la séance annuelle de la Société helvétique des Sciences natu- relles, à Genève, en septembre 1915. M. Dubois combat les con- clusions de ce mémoire. Contrairement à M. Lardy, il ne croit pas que l’homme ait laissé de ses traces à Cotencher; quant aux débris d'Ursus spaelens ils doivent provenir d'animaux qui y sont morts de vieillesse, et non de bêtes trainées là comme — 195 — gibier. Sur la suggestion de M. le prof. Stæhlin, de Bâle, M. Dubois va entreprendre des fouilles systématiques à Coten- cher. La Société des Gorges de la Reuse fournira les 600 francs nécessaires, puisque notre caisse ne saurait actuellement accor- der le moindre subside. Comme Cotencher est la seule caverne du Jura suisse qui ait fourni des restes indubitables de l’Ursus spaelens, à côté de ceux d’une vingtaine d’autres vertébrés, il y a lieu de supposer que les recherches de M. Dubois donneront des résultats re- marquables. SÉANCE DU 20 MAI 1916 AU MUSÉE D'HISTOIRE NATURELLE Présidence de M. KONRAD Il est tout d’abord procédé à la réception des personnes suivantes en qualité de membres actifs: MM. ne PEYER, ingé- nieur, PauL SruckEr, ancien industriel, EMILE GFELLER, statisticien, à Neuchâtel; ERNEST DE MONTMOLLIN, viticulteur à Auvernier, et Dr Weger, médecin à Colombier. Ensuite M. le prof. FunRManw, conservateur du Musée d'His- toire Naturelle, dans un rapide exposé de l’histoire de cette institution, fait ressortir la part qui revient à chacun de ceux qui l'ont dirigée, Louis de Coulon, puis Paul Godet et lui-même. Après sa conférence, M. Fuhrmann conduit l’assemblée dans les divers locaux qui ont été aménagés à nouveau. Aujourd'hui on cherche à donner plus d’air, plus de lumière, on desserre les collections, qui paraissent plus intéressantes pour le pro- fane. Chacun admire particulièrement les riches collections d'œufs et de mollusques qui font la gloire de notre Musée. SÉANCE DU 2 JUIN 1916 Présidence de M. KONRAD Ensuite d’une demande de la société bernoise des Sciences naturelles, nous tiendrons une séance commune, le dimanche 10 juin à l'Ile de Saint-Pierre, et nous renverrons les Brenets à l’année prochaine. Le voyage à l'île se fera par bateau spécial. La Société helvétique des Sciences naturelles se réunira en ae à Schuls-Tarasp, nous y déléguons MM. Fuarmann et PINNER. EN AE M. H. Sriwner signale une nouvelle station neuchäteloise d'Asperula glauca Bess; c’est pour le moment la seule, car la plante a disparu des Cadolles où M. Jordan l'avait trouvée. Asperula glauca est abondante au Chanet du Vauseyon, où elle a trouvé une localité d’allure tout à fait steppique (voir page 89). M. Maurice Vouca présente le nouveau concordal sur la pêche dans le lac de Neuchâtel. I fait l'historique de cette législation et relève les nombreux avantages du concordat intercantonal de 1916, destiné à réprimer de nombreux abus et de multiples négligences. SÉANCE ANNUELLE D'ÉTÉ DU 18 JUIN 1916 A L'ILE DE SAINT-PIERRE en commun avec la Société bernoise des Sciences naturelles Présidence de MM. Prof. D' STRASSER et KONRAD, présidents Contrarié par un temps affreux, le départ ne réunit, au port de Neuchâtel, que 27 participants (dont 6 dames), au lieu des 45 inscrits. Course très agréable jusqu’à lile par un temps qui s’éclaircit peu à peu et arrivée à l’île par le soleil. Nous som- mes reçus au débarcadère par nos collègues bernois, au nombre d'une trentaine environ. A 10 h.!/, séance commune présidée par le D" Strasser, de Berne, président de la Société bernoise. Remercie les Neuchä- telois d’avoir accepté l'invitation malgré les arrangements déjà pris et salue les délégués des Sociétés sœurs (vaudoise, soleu- roise, de Géographie de Berne). M. Konrap remercie à son tour pour l’organisation de la journée, dont tous les détails ont été réglés par nos collègues bernois. A. AFFAIRES ADMINISTRATIVES Mie Lesquereux, de La Chaux-de-Fonds, est admise immé- diatement comme membre actif de notre Société. MM. les Drs M. Luceow, de Lausanne, et Srrasser, de Berne, sont nommés par acclamation membres honoraires de notre Société. Après avoir remercié, M. Strasser annonce que la Société bernoise unanime a décidé de nommer membres correspondants, MM. les Dr Funrmanx et Maxon. B. COMMUNICATIONS SCIENTIFIQUES M. le Dr L. Collet, directeur du service fédéral des eaux, nous entretient du Della de l'Aar dans le lac de Bienne. Il ex- pose le point de vue historique de la question et les diverses hypothèses expliquant la formation de nos lacs jurassiens. AO — M. Collet donne ensuite des détails sur la manière dont on procède pour exécuter les levers en question et sur les calculs et les travaux qu'il faut effectuer. Il indique les chiffres se rapportant au transport des matériaux charriés pendant les diverses périodes étudiées. M. ArGanp discute les hypothèses admises pour expliquer la formation des lacs jurassiens. D’après lui la seule admissible est la théorie glaciaire. M. Argand expose le point de vue géo- logique de la question. M. Funrmann fait ensuite une conférence en allemand sur: Das Plankton des Neuenburger-, Bieler- und Murtensees, dans la- quelle il rappelle l’origine de la limnologie lacustre et les divers travaux déjà effectués. Après avoir mentionné ce que divers pays ont fait pour favoriser l'étude de leurs lacs, M. Fuhrmann cite la création des stations de Genève, Lucerne, Davos, grâce à de généreux donateurs, et annonce que tout dernièrement encore de généreux Neuchâtelois viennent de per- mettre au laboratoire de zoologie de l'Université l'achat du bateau et des instruments modernes nécessaires à une étude sérieuse du lac de Neuchâtel, l’un des moins connus des lacs suisses. M. Fuhrmann donne ensuite des détails sur la compo- sition du plankton, sur les variations saisonnières, diurnes et nocturnes, etc. ete. et émet en terminant le vœu que des mé- thodes scientifiques semblables soient bientôt employées pour une étude uniforme de tous les lacs suisses. M. Studer, prof. à Berne, remercie M. Fuhrmann et présente le nouveau catalogue des oiseaux de la Suisse, de Studer et von Burg. Un banquet très animé, d’une soixantaine de couverts, a fait suite à la séance commune. M. Konrad, dans un discours très applaudi, souligne l'importance de réunions semblables, entre collègues de la Suisse romande et de la Suisse alémanique, réunions dont il ne peut résulter qu’une meilleure entente et un sérieux progrès dans les travaux accomplis de part et d'autre. Le D' Pfähler, délégué soleurois, souhaite de plus étroites relations entre Neuchâtel et Soleure, et rappelle qu'autrefois ces relations existaient pour le plus grand bien de tous et des Soleurois en particulier. M. Michel, secrétaire du Musée historique de Neuchâtel, fait une très intéressante causerie intitulée: Quelques mots sur l'Ile de Saint-Pierre et le séjour de J.-J. Rousseau. Enfin le D' Gross, de Neuveville, contemporain de Desor, rappelle de charmants vieux souvenirs et porte son toast aux dames, qui n'ont pas craint de venir assister à notre réunion malgré le temps affreux du matin. Le reste de l'après-midi est consacré à des excursions dans l’île après avoir posé devant l'appareil photographique du Dr Gross. À 5 heures, les Bernoïis prennent le bateau pour Bienne, et à 6 heures nous nous embarquons à bord du Neuchâtel pour arriver, par un temps superbe, vers 8 heures à Neuchâtel. TABLE DES MATIÈRES DES PROCÈS-VERBAUX DES SÉANCES A. AFFAIRES ADMINISTRATIVES Admissions . . 169, 170, Démissions et décès . Nominations . . At a het ke ANA di AT: ADR EURE Rapports statutaires LIA7SSATO MST, 18257485, 188 ASS 410 Affaires financières 170, 173, 177, 181, 182, 189, 190, 192, 193, D'IVNETS ET ER men cn» mellurae1(L0Ds AVe ST BD Ir A0 B. COMMUNICATIONS SCIENTIFIQUES 1. MATHÉMATIQUES ET MÉCANIQUE G. Du Pasquier. -- Nouvelle application de l'analyse à la théorie des assurances . SARL, CRUEL fe RC EUR — Le grand théorème de Fermat . 3 : A. Ivanofj. — L'assurance du risque de guerre À G. Du Pasquier. — Les systèmes de numération . 2. Physique A. Jaquerod. — Le néon . — La réalité moléculaire . — L'aurore boréale . — Les rayons positifs . — Le bruit du canon . 3. ASTRONOMIE ET MÉTÉOROLOGIE L. Arndt. — Installations de l'Observatoire de Neuchâtel . F. de Rougemont. — Observations PNEUS à Dom- bresson S. de Perrot. — Hydrologie neuchâteloise pour 1908- 1913 . A. Reymond. — L’astronomie au IRes de Galilée . : L. Arndi. — La Lune . é … CHIMIE O. Billeler. — Utilisation industrielle de l'azote Pre rique . HENRI IN SAGE LL SMIET:: — Recherche de l'arsenic 3 J. Burmann. — La paraoxybenzylamine , A. Berthoud. — La radioactivité . O. Billeter. — Solutions colloïdales . — Nouveau cas d’autoxydation . 173, 174, 175, 176, 178, 183, 184, 186, 187, 188, 191, 192, 193, 194, 195, Pages 185 196 178 191 193 194 195 — 199 — A. Berthoud. — Les poids atomiques . 5 J. Burmann. — Produits chimiques nouveaux . ; A. Berthoud. — Les gaz rares dans les eaux ther males . D. GÉOLOGIE ET PALÉONTOLOGIE P. Bühler. — -Pli faille près des Convers . È E. Argand. — Progrès récents de la géologie afric aine . — La mesure du temps en géologie . — Les déformations du globe . H. Bühler. — Trois glaciers jurassiens . E. Argand. — Clichés géologiques . . | — Un plan de l'extrémité du glacier du Rhône . — Tectonique du Tessin septentrional . G. Ræœssinger. — Noiraigue et ses montagnes . à M. de Tribolet. — Les blocs erratiques neuchâtelois . E. JeanRichard. — Galets creux des Varodes . E. Argand. — La géologie des Grisons . L. Collet. — Le delta de l’Aar dans le lac de Bienne . . ZLOOLOGIE J. Piaget. — Zoogéogr "en Fe la Bretagne . à A. Mathey-Dupraz. — Mammalogie des gorges de la Reuse O. Fuhrmann. — Nouveaux cestodes d'oiseaux . : J. Piaget. — Zoogéographie des mollusques du Jura . O. Fuhrmann. — Préparations anatomiques transparentes E. Béraneck. — Les chromosomes X . . 27 EL 0e We A. Mathey-Dupraz. — Biologie des grèves du lac. O. Fuhrmann. — Un mollusque rare des Etats-Unis . M. Weber. — La répartition des sexes chez les poissons . O. Fuhrmann. — La reproduction chez les protozoaires . A. Mathey-Dupraz. — La faune des environs du Bosphore E. Piguet. — Les oligochètes de la Suisse . O. Fuhrmann. — Les poissons électriques . — Anomalies dans la fécondation nt): M. Weber. — La régénération chez les animaux . A. Mathey-Dupraz. — Mouettes et goélands . . — L'histoire naturelle du Spitzberg au XVIIIe siècle M. Thiébaud. — Les copèpodes de la Suisse . à el O. Fuhrmann. — Le plancton de nos lacs . 7. BOTANIQUE H. Spinner. — La flore méditerranéenne . ET — L'ascension de la sève dans les végétaux . — La flore des steppes . E. Mayor. — Stations nouvelles de plantes neuchâteloises P. Konrad. — La destruction des mauvaises herbes . S. Dzinbaltowski. — La flore de la Pologne méridionale . P. Konrad. — Notre flore mycologique . | E. Mayor. — Le mildiou de la vigne . H. Spinner. — Stations neuchâteloises d’ Asperula glauca 8. ARCHÉOLOGIE ET ANTHROPOLOGIE Pages Th. Delachaux. — Poteries anciennes de Colombie . . . . 169 — Les serrures en bois de la Suisse . . lé nr TE P. Vouga. — L'or et le cuivre chez les néolitiques A a À — Une épée de bronze préhistorique . . as dit199 A. Dubois. — Les fouilles de la grotte de Cotencher . . . 194 9. Divers P. Konrad. — Le futur tramway de La Neuveville . . . 175 L. de Marval. — La colonisation au Brésil . . . . . . 178 G. Ræssinger. — L'homme et le sol . . . 185 Chs-A. Michel. — La fabrication des faïences et porcelaines 184 J. Jeanprétre. — Les sourciers et leur baguette . . . . . 186 E. Godet. — La région de Huaron (Haut-Pérou) . . . . . 188 L. Martenet. — Les lampes à incandescence . . M UEMEN EEE Chs-A. Michel. — L'histoire de la porcelaine tendre . . . 192 M. de Montmollin. — Munitions et explosifs . . . 1N-198 O. Fuhrmann. — Le Musée scientifique de Neuchâtel . . . 195 M. Vouga. — La pêche dans le lac de Neuchâtel . . . . 196 TABLE DES MATIERES DU LOMPE ECLAI James Burmann. — Recherches sur lhomologue inférieur de l’utéramine, la paraoxybenzylamine . #6 Eug. Mayor. — Notes mycologiques zac, 17 Jean Piaget. — Contribution à la malacologie terrestre et fluviatile de la Bretagne . . 32 J. Burmann. — Stabilisation de solutions médicamenteuses 84 H. Spinner. — Asperula glauca (L.) Bess. . . se 39 — Le genre Lepidium dans le canton de Neuchâtel . . 95 Eug. Mayor. — Mélanges mycologiques . . 97 John Leuba. — Le segment bucco- œæsophagien de > Spelerpes adspersus,' Peters” : ”. : : 7 cumiee 00 O. Billeter. — Guillaume Ritter, nécrologie tot NORMES L. Isely fils. — Louis Isely, nécrologie : .:. : : . . 165 Extraits des procès-verbaux des séances . . RE: :-169 Annexe au rapport du directeur de l'Observatoire cantonal de Neuchâtel : Observations météorologiques faites en 1913, 1914 et 1915. L. Arndl. a &£E OBSERVATIONS MÉTÉOROLOGIQUES FAITES A L'OBSERVATOIRE CANTONAL DE NEUCHATEL PUBLIÉES PAR LE Dr L. ARNDT, directeur de l’Observatoire a —— Nous publions dans les pages suivantes Iles observations météorologiques faites à l’Observatoire de Neuchâtel pendant l’année 1913. Aucun changement n’a été apporté dans les publications des tableaux, ni dans les autres dispositions. Les observations sont faites à l’heure moyenne de Neuchâtel, qui retarde de 32 m. 105. sur l’heure de l’Europe centrale. Le caractère général du temps en 1913 ressemble à celui de 1912. Si les moyennes annuelles des différents éléments climatologiques ne s’écartent pas beaucoup des valeurs nor- males résultant des observations météorologiques que nous fai- sons à l’Observatoire depuis 1864, il y a, cependant, dans les moyennes mensuelles des écarts assez considérables qui se compensent dans les moyennes annuelles. C’est surtout dans le régime des pluies que nous constatons ces écarts. Les mois de janvier, septembre et novembre étaient particulièrement pluvieux; la quantité de pluie recueillie dans chacun de ces mois dépasse près de 60 mm. la quantité moyenne des cinquante- un ans d’observations. Par contre, le mois de juin, qui est le mois le plus pluvieux dans notre cortrée, nous a laissé un déficit de 60 mm.; les pluies des mois d’avril, mai et décembre sont. également restées inférieures à la quantité moyenne de ces mois. < Quant à la température, nous constatons un excès sur la normale pendant les mois de janvier, de mars et, en particu- lier, de novembre. La température des mois de juillet, avril et septembre est restée en dessous de la valeur normale. END Le Le nombre total d’heures d’insolation en 1913, qui est de 1580,15 heures, est de 26 heures supérieur à la moyenne (1553,1) des onze dernières années, depuis que l’héliographe est installé à l’Observatoire. TEMPÉRATURE MOYENNE 3 £ 2 £ FE © © = = = £ = & = “© © =] es Æ © - = œ © Ù = — © = Fe) = A [æ) a 3 ALTITUDE 488 m. | 1127 m. | 800 m. | 986 m. | 1077 m. 1913 Q) o o) o 0 Janvier 20 07 0.9 ES O.2 Février RS blree2 OHMIEREO | =2 I Mars. 6.2 ES 4.6 32 LAS Avril 8.4 4.0 É:2N | 246 3-3 Mai . 122 20 8.4 10.8 9.6 8.0 Juin . 16.2 ITS 13.8 12/0 M MI07S Juillet . 1524 | 10.8 € AU A) 10.3 Août. 4 167 SO 14.6 13.6 DENT Septembre . 13:23 10.1 VE 10.7 9.3 Octobre . 9.9 | 8.4 8.7 | 8.3 222 Novembre . DEA 4.0 S:2 S-0 4.0 1 Décembre . . . RE RSS a SA DAS GES Année . 9-27 | 6.0 Te 6.5 Fe: | Réunies par saisons, nous trouvons les moyennes suivantes : HIVER PRINTEMPS ÉTÉ AUTOMNE 1913 Déc., janv, févr. Mars, avril, mai Juin, juill., août SepL., octob., nor. Oo [e] oO [e] Neuchâtel 01 1.8 9.9 16.1 AU Chaumont enr 0.4 53) 11.8 25 Cerner ser "EUR 0.4 HP. 13.8 8.4 La Chaux-de-Fonds —(f) 2 5.9 1225 8.0 La-Bréyine- W} € —1.9 4.3 14: 1 6.9 En comparant ces chiffres aux moyennes normales, nous constatons un hiver chaud, un printemps et automne doux et un été plutôt frais. Lg + UE sn Les températures extrêmes ont été observées, en 1913, comme suit : Le maximum absoln : Le minimum absolu : A Neuchâtel . . . 27.21e 9! août — 6.9 le 20 février. CHAUMONT AIO) — 11.6 » 31 décembre. Cernier . . . . 925.4 » 18 juin — 10.0 » 22 » La Chaux-de-Fonds 95.4 » 29 août — 10.8 » 93 » 97 LaNBrEVINe ee m2 OS 98 | août "15405093 » 29 La variation de la température moyenne d’un jour à l’autre, était en 1913 beaucoup moins forte que pendant les années précé- dentes; nous n’avons pas constaté un brusque changement de température. La plus grande différence entre les températures extrêmes du même jour fut observée le 16 juin, où le maximum était 290,0 et le minimum 120,2. Depuis le milieu du mois d’avril, la température est montée lentement mais graduellement jusqu’au 30, où nous observons un maximum de 230,5; mais déjà le lendemain un retour de froid se fait sentir qui se maintient pendant la première décade du mois de mai. La température la plus basse de cette période (2°,3) fut observée le 6 mai. Après quelques jours de réchauffement (en particulier les 9 et 10 mai), un nouveau retour de froid est constaté au commencement de la troisième décade avec un minimum de 3,0 le 21. Les nombres des jours d’été, des jours d’hiver et des jours de gelée ont été, à peu de chose près, les mêmes qu’en 1912. Nous avons compté 26 jours d’été, pendant lesquels la tempé- rature a atteint ou dépassé 25°, savoir: en mai 5 jours, en juin 6, en juillet 4, en août 9 et en septembre 2. En 1913 nous n’avons pas eu une période de chaleur proprement dite. La moyenne diurne de la température n’est restée au-dessus de 200 que pendant deux jours consécutifs. Les jours pendant lesquels la température est restée en dessous de 0 degré, ou jours d’hiver, étaient de 11 au total (3 en janvier, 1 en février et 7 en décembre). Outre ces jours d’hiver, nous avons compté 74 jours de gelée, pendant lesquels le minimum a atteint un chiffre en dessous de 0 degré : janvier 19, février 21, mars 12, avril 5, décembre 17. La dernière gelée a eu lieu le 16 avril, et la première de l’hiver suivant, le 5 décembre. Nous ne comptons en 1913 qu’une seule période de froid consécutif (5 jours), pendant laquelle la température est restée constamment en dessous de 0 degré (du 19 au 24 décembre). Outre cette période, nous constatons une période de 6 jours (du 15 au 21 février) pen- dant laquelle la température moyenne de la journée est restée en dessous de 0 degré. EE EEE mm g Jours | Jours | Jours Dernière Première Plus longue | se CRE MERE, PUS gelée gelée pér. de froid | | | Nombre : | de jours Hoi | 1901 | 38 33 65 | 19 avril | 2 nov. | 42 II 1902 | 33 26 49 | 19 mars | 47 » |10 XII 1908 | 41 24 63 | 96 avril | 17 » |142 I 1904 | 66 17 GR TRS AE TN MISE: à ARS 11 4905 | 58 |-90 | 107 9 » 180CEt MEME 1906 116542) Wap 5e D 2 nov. | 8 XI 107 srl fn es CAE SATA 6 TER 1908 | 47 | 929 | 74 | 93 avril | 23 oct. | 8 x | 1909 29 110 33 74 3 mai 6 nov. | 16 IetIl! 1O1OPA PH DRE RL RQ MNT SR 10) ETAT | 1911 TA NDS 55 15 avril S'HOVS | OAI 1912 | 93 11 79 17 avril 9 nov. | 7 XI | 1913 | 96 11 74 | 16 avril Bidée:?, |476 24m a En 1913, la pression atmosphérique à l'Observatoire a oscillé entre 733wm,9 et 702mm,4, ce qui donne une amplitude annuelle de 31mm,5; la valeur moyenne de la pression atmosphérique était de 720mm,5. La plus haute pression fut enregistrée dans la journée du 9 février, par un temps clair avec assez forte bise, La dernière décade du mois de décembre était particulièrement intéressante par Ja succession rapprochée de deux maxima et deux minima de pression atmosphérique. Le 21 décembre vers midi le baromètre-enregistreur de l'Observatoire marquait 732mm 1, le 24 vers le soir 711mm,9, le 26 dans la matinée 730mm,9 et le 28 dans l’après-midi 702mm,4, minimum le plus bas de l’année et accompagnée d’une très forte tempête de S.W. avec relativement peu de pluie (6mm), Le minimum de l’humidité relative de l’air (23°/,) fut en- registrée vers le soir du 16 mars et dans l’après-midi du 10 juin par un temps clair avec assez fort joran. — 9 La fréquence de la direction du vent fut constatée comme suit, en l’exprimant en ©/, des nombres d’observations : Neuchâtel Chaumont Cernier La Chaux-de-Fonds N 130/, 1, 10/9 304, NE 20 » 2 » D 18 » E 12 » 0 » 2 » 4 » SE 5 » 2 » 3 » 3 » S 2 » 1» Er 19 » SW 19 » 16 » 19 » 38 » W 9 » 13 » 4 » L >» NW 15 » 4 » 7% D » Calmes 6 » 57 » 58 » 14 » L’année 1913 fut une année moins pluvieuse que 1912. A Neuchâtel, la quantité d’eau tombée sous forme de pluie ou de neige dépasse la normale de 29m; on a recueilli dans les cinq stations principales de notre canton: A Neuchâtel 967mm: 130 jours de pluie = 1mm,0 Chaumont DUT ) » Cernier 1915 » 144 » » La Chaux-de-Fonds 1351 » 157 » » La Brévine . 1430 » 160 » » Les plus fortes chutes de pluie en 24 heures ont été notées comme suit: A Neuchâtel. 55nm Je 12 novembre Chaumont. 43/5 ur 012 » Cernier CT PME 40 » La Chaux-de-Fonds. 46» » 12 » La Brévine 42 » » 30 juillet Nous avons compté, à Neuchâtel, 12 jours de neige et 5 jours avec de la neige mêlée de pluie. Un seul jour nous a laissé une couche de neige mesurable, c'était le 13 avril avec une couche de 2 cm., la dernière neige de la saison; en automne, les premiers flocons arrivaient le 5 décembre. Les plus longues périodes de pluie furent notées comme suit : en janvier 6 jours avec 55mm de pluie, en février 5 jours avec 45mm, en mars à jours avec 54mm, en avril 5 jours avec 28mm, en mai » jours avec 10mm, en juillet 7 jours avec 16mm, en août 7 jours avec 25mm, en septembre 7 jours avec 46mm, en octobre 5 jours avec 25mm, en novembre 6 jours avec 29m et 7 jours avec 8imm, Les plus longues périodes sans pluie RU ee étaient de 17 jours au mois de février, de 8 jours au mois de mars, de 8 jours au mois de juin et de 8 jours au mois de septembre. La succession de jours sans pluie avait une durée moyenne de 2,8 jours, et les périodes de pluie étaient en moyenne de 2,6 jours. Les plus longues périodes pendant les- quelles le soleil n’était pas visible furent de 7 jours en janvier et 8 en décembre. Le nombre total de jours sans soleil était de 88. En 1913 nous avons compté 17 jours (7 en janvier, 1 en février, 1 en mars, 2 en septembre, 2 en octobre, 1 en no- vembre, 3 en décembre) avec un brouillard plus ou moins dense sur le sol pendant toute la journée, 36 jours (2 en janvier, 5 en février, 1 en mars, 2 en mai, 2 en juillet, 8 en septembre, 10 en octobre, 6 en novembre) avec du brouillard le matin jusqu’à 10 heures environ. La chaîne des Alpes était visible pendant 34 jours (janvier : — ; février : 3 jours; mars: 11; avril: 3; mai: 4; juin: 1; juillet: —: août: 1; septembre: —; octobre : 2; novembre : 3; décembre: 6). A Neuchâtel, nous avons noté, en 1913, 44 jours avec des manifestations électriques dans l’atmosphère. Ces jours d’orage se répartissent sur les différents mois comme suit: avril: 4; mai: 7; juin: 8; juillet: 6; août: 10; septembre: 5: octobre: 2; novembre : 2. Parmi ces 44 jours d’orage, nous en avons noté 10 au cours desquels les orages ont traversé la ville ou ses environs immédiats. Le premier orage de l’année fut constaté le 22 avril et le dernier le 142 novembre. La durée d’insolation, exprimée en heures, a été enregistrée comme suit : 1913 Janvier Février Mars Avril Mai Juin Neuchâtel . . . 929.0 139.2, 133.1 146.1; 226.8; 212.1 La Chaux-de-Fonds 62.5 151.4 100.5 107.9 168.2 133.2 1913 Juillet Août Septemb. Octob. Novemb. Décemb. Neuchâtel . . . 194.8 933.7: 117.2 94.6 31.4, 29.9, La Chaux-de-Fonds 146.8 218.8 147.8 140.1 48.7 64.4 Pour les saisons nous trouvons : HIVÉR PRINTEMPS ÉTÉ AUTOMNE 1913 Déc, janv, févr. Mars, avril, mai Juin, jaillet,août Sept, oclob., nor. heures heures beures heures Neuchälele sens 200.3; 506.1 640.6; 243.3 La Chaux-de-Fonds 304.0 376.6 498.8 336.6 La durée totale d’insolation en 1913 était : A Neuchâtel. . . . . 1580.1:; heures La Chaux-de-Fonds. . 1490.3 » C‘o6pil z 1'pv| 9°g8 |v'161 |6'6€1 |o'gvr |o'LSr 9"eSrlL'tSr|S'6trlL'1z1|S 16 |t'S | t'e7| g'o | : euros ÿ'vo — | — | — |1'o |6°S 0‘p 9 0 0 TT MO TE O MONT — | — | — "| = |erque9s9 L'ey — | — | — |L'o |1r'< o°S 9'9 194. Gr! 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LUE fine intermittente mêlée de flocons de neige jusqu'à midi. , neige intermittente le matin et pluie intermittente mêlée de flocons de neige par moments à partir de 10 h. , brouillard épais sur le sol le matin, plus faible à 1 h. ; pluie fine intermittente dès #4 h. %. , pluie fine intermittente jusqu'à 11 h. ; vent NE dès 6 h. #5. gouttes de pluie fine par moments dans la soirée. pluie fine intermittente jusqu'à 7 h. m.; brouillard sur le sol. temps brumeux. pluie intermittente jusqu'à 4 h. % s. et grésil à 7 h. # ; soleil visible par moments l'après-midi ; le vent tombe vers le soir. JANVIER 1913 NEUCHATEL (OBSERVATOIRE) RIQUE ATMOSPHH SSION Êl n PRE l 700mm Thermomètre humide — La = nm mm = " e _ en € Î = - A di OO © O © A OO OO El tn em (ON O0 NO 4 = CO 4 Pme OO OO 0 En t= © l= © £ RP RE RL A TEL EME ai2 : LE D TELE INAENE CRT Br . 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LFELEVMINE 1919 NEUCHATEL (OBSER VATLIOIRE) d " = e = ie de HA QC) OO C0 KO KO ON Q AO Aa tn en LA ON fes nn CN NO te NO | la Æ B co O On tm oO OO mA mm OO 00 en mm On AD NO CO en A en 4 OC 100 re” Ai NM MMM OO Om et et et et OO ON ON CO Em mt Lai | Ce] D | © ; OT LS en O EC LA en en O en mn IC ON © mm 1520 NO © mn 0 ND | 2 = £ Je ROUE PRE ie) E5 Dit .à Die. er RER SIT . + [STE mon O m0 00 mena m OÙ À n D + 2 ER © + HA © mano | en Fun NN MMA MMM me EE ON OI ON ON ON = = ni ë S É - >- = a. = , . © nm 0 Em ts 00 Où MO mn NN MN Dm O RAIN A CG LS 2 t = E . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . £ OO NH U TH DOMA nm OC mm m OO Lt AO ECO 2 em CO O0 | er = OO QU Q A en en en 0 OÙ QU OÙ ON ee ee ee et OÙ OÙ OÙ CU mt 4 | oi | L Ê : ON EAN O co 00 en HOT RO RUN Om O Em Eu ON AO T < E- =] RAS AU STORES LENS ORNE RSR CR EEE RC OT LT CR OM Me T° . t- 4 M MO ON D mn 2 Mmmm OO + m0 10 DR QI LS en 01 ON ma0 | ] E = | + = SF mA QG m1 © \O GNO 10 en A © OO mn MON HUMAN | T= © . . 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nuages orageux au NW et éclairs par moments vers 8 h. %# s. pluie faible pendant la nuit et forte pluie d'orage dès 4 h. 20 s. ; très fort Joran depuis 2 h. # à 6 h. % ; orage au NW à 3 h. %, éclate sur nous à 4 h. % et dure jusqu'à 4 h. #. pluie pendant la nuit et pluie intermittente dès 11 h. m. brouillard épais sur le sol jusqu’à 8 h. 30 m. , pluie intermittente jusqu'à #4 h. % s. le ciel se couvre complètement vers 9 h. m.; gouttes de pluie et quelques forts coups de Joran le soir. pluie pendant la nuit et gouttes de pluie dans la soirée ; orage au S vers 12 h. > m. pluie intermittente dans la matinée, les Alpes en partie visibles. toutes les Alpes visibles vers le soir. fort Joran à partir de 11 h. m. toutes les Alpes visibles vers le soir ; quelques gouttes de pluie à8h. %s. pluie fine depuis 6 h. 20 à 6 h. 50 m.: les Alpes visibles vers le soir. , temps orageux au NW de 3 h. à 5 h. avec gouttes de pluie par moments dès 3 h. #. orage au NW depuis 6 h. à 7 h. ; le temps reste orageux au SE et au SW pendant toute la soirée. coups de tonnerre au N avec quelques gouttes de pluie à o h. m.; faibles averses vers 7 h. % et 10 h. *% m. temps orageux au SW et au NW de 2 h. à #4 h. avec courte averse à 2 h. %. por bl'er/lor gr/lo/ "er 6z'or 1+tr'6 ve à A LE V£'gr | oo'£ fSr*€r |6o*cr |1g'or |9S'or ‘lg T'QI FE OR ON | Q'Pi Dont o°S1 O°QT 6't1 £ ‘oz | g'91 LiLE ONOTMUTE Ç*61 | L'er 1‘0z | o‘ot CS: CA: Q'Pi HOT 9'TI ÿ*oT S'61 6° £r g'lr lof ere | L'or Stes Po PT ONE) ‘gi T'YI EROTICA APN EU O TRI GE DS Mo°cr cha ANT F'£i t'Lt g'£i AA EN g'£1 O'LI CAE lSoMTrE 0r g°'ha | S°rc ABS AE] ES AS T'QI O°£1 OUT 6'o1 t'61 | OUT ST St e 6e. lez Qo'9z | o'f1 o°(1 pol Horn Guice 66 (HOT | S°ai T'ÿr pr | 9T ES 19" | CSSS AIRAE ET er ONU GMT DT ÿ'o1 Enon 9'$I (Dh 1 « A2 de US O‘9tT MORTE U EOÈOS Par T'II O°‘FI 28 à or 6'o1 SG O'S1 1NOG G"r1, IVz SCENE | F2 4 ARE ACT A8 re Ro) Q'oI ('o1 o'e QI Pa ne jen GE QUOT OTMINEE GÉrulrRiSee th ec Rocca Qu Pur z'e O'RI 6:ÿ £'ci Pour L'S1 6:6 TT c'e 618-066 EL LERE IG Q t'e TT S'9 0'61 o'£ PQ PRE O'gI L'e We route re Monte REA AO es 9°Q IE) p' 1 OT F'o1 Get 9D'ÉI £'Q OT 6:61 Trac il SGL AG QT LG pal 189 T'9 ARE Are) O‘OI 6°@ J'II 9'6 6I SCA rm ri er eral Dé 0°'6 O'‘II 66 o‘(1 F'6 Crete RCET Cantet T'O1 | ç1 CARRE OP NC Ser EG ET D ÇAnt O‘II 9°£I ENT O'61 F'6 9'pI PT] T'QI CET AT T'tI Poe) PET RQ GT SET LATE g° SI QI CE o°6 l'OI e° Si Q'61 CACTMIRO C2 | cor No AT |Bawar pci Q°II LA 2 OMNT O'RI l'OI SRE Luc p'or Carrer SI RON | 0) ce ETC 1 ro T2 OT: (ET OCT HOT 9'GI C6 Q'PI (ei 2 O‘QI Sens | fr 0‘61 | MOT NON RS OTSINOQNTT HNATAT 9°CI F°Q (‘61 ça 0 2 G:ÿ1 1'QI 66 £1 on c:61|.9%67 l'osrc | z'e O'Q AE c'r O°4 NN Chr LA À t'or g'? 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Joran le soir. quelques gouttes de pluie à 10 h. % m. et pluie fine inter- mittente dès 5 h. 4. pluie intermittente jusqu’à 9 h. m. et à partir de 5h. %s.; quelques éclaircies l'après-midi. 7, pluie fine intermittente jusqu'à 11 h. * m. 8, gouttes de pluie par moments à partir de 9 h. # et pluie . intermittente depuis 2 h. % à 6 h.s. gouttes de pluie à 10 h. %# m. pluie fine intermittente depuis 6 h. % m. à 5 h.s. pluie intermittente jusqu'à 9 h. % m. nuages orageux à l’ouest à 1 h.; fort Joran de 6 h. à 8 hi. s.; gouttes de pluie par moments dès 6 h. *% ; éclairs au NW vers 8 h. %# 5. pluie fine intermittente jusqu’à 1 h. averses par moments et pluie intermittente dès 5 h. % s. pluie pendant la nuit et gouttes par moments le matin. pluie fine intermittente à partir de 9 h.s. pluie fine intermittente jusqu'à 11 h. % m. et dès 7 h. 4 Ss.; très fort Joran vers le soir. , pluie fine intermittente jusqu'à 11 h. !% m.; fort Joran l'après-midi. assez fort Joran.à partir _.de 5. h. s. fort Joran le soir, surtout à partir de 7 h. # ; orage à l’ouest à 8 h. s., éclate sur nous vers 8 h. %#, avec forte pluie, et dure jusqu'à 8 h. 50. pluie intermittente pendant la nuit et à partir de 2h. # s. pluie fine intermittente jusqu'à 11 h. m. et de 5 h. % à 6 h. % ; soleil visible un instant vers 4 h. % s. un crage éclate subitement vers 5 h. %# s. avec violence et très forte pluie et dure jusqu'à 6 h. # ; temps orageux au SE dès 8 h. % s. . brouillard épais sur le lac et par moments sur le sol jus- qu’à 8 h. m. ; orage au S vers 2 h. % avec averse à 2 h. #1 ; éclairs au sud entre 8 h. % et 9 h. % s. brouillard épais sur le lac et par moments sur le sol jus- qu'à 9 h. m.; coups de tonnerre au NW de 1 h. 10 à 1 h. % avec quelques gouttes de pluie à 1 h. %. orage au NW de 3 h. # à 4h. % avec courte averse à 4 h. # s. ; très forts coups de Joran de 4 h. à 5 h. ; éclairs au $S. dès 4 1 gouttes de pluie fine par moments le matin et averses à 10066 SE CORTO TS STONE DTENO EAU CN GROTTES 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soirée. les Alpes visibles l'après-midi. pluie intermittente jusqu'à 6 h. % m.; brouillard sur Chau- mont à 7 h. pluie faible pendant la nuit ; fort Joran à partir de 3 h.s. pluie fine intermittente tout le jour. brouillard sur l’autre rive du lac à 7 h. m. quelques gouttes de pluie vers 5 h. %# s. et averse à 7 h.; coups de tonnerre au NW de 5 h. 40 à 6 h. % s.; éclairs au SARA OMITIEN RTS: temps orageux au NW de 7 h. à midi; pluie d'orage inter- mittente de 7 h. m. à 4 h. s. ; éclairs à l’est à 9 h.s. pluie fine intermittente tout le jour; quelques coups de tonnerre vers le matin ; soleil depuis midi à Î h. pluie pendant la nuit ; le ciel s’éclaircit complètement vers le soir, fort Joran dans la soirée. quelques gouttes de pluie à 10 h. % m. et averses inter- mittentes depuis 12 h. à 7 h. s. ; temps orageux au N l’après- midi. pluie pendant la nuit ; orage au NW à 12 h. % m. temps orageux au N pendant tout l'après-midi; vers 6 h. l'orage venant du S passe sur la ville avec très forte pluie mêlée de grêlons à 5 h. 20 ; pluie d'orage de 3 h. à 6 h. % ; pendant toute la soirée le temps reste orageux dans pres- que toutes les directions ; de nouveau quelques gouttes de pluie à8h. %#s. pluie pendant la nuit et averse à 5 h. # s.; coups de ton- nerre au SW vers 4 h. % s. pluie pendant la nuit. 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h. s.; à 7 h. %# l'orage éclate sur nous avec violence et dure jusqu’à 8 h. % ; les éclairs se suivent presque sans interruption ; l'orage passe ensuite vers le NE. pluie intermittente jusqu'à 10 h. m. et de6h Z# à8h.s. pluie fine intermittente jusqu'à 6 h. m. temps brumeux à partir de 6 h. % m.; pluie fine depuis 6hRzRernrs pluie fine intermittente jusqu'à 6 h. *% m. et quelques gouttes après 9 h. s. temps brumeux le matin; coups de tonnerre au NW et au SW de 2 h. à 4 h. % ; pluie d'orage intermittente de AN ATATARNAZES: un orage venant de l’ouest éclat sur nous vers # h. m. avec forts coups de tonnerre et forte pluie; nouvel orage à l'ouest à 6 h. %# m., allant vers le SE ; pluie intermittente jusqu'à 4 h. s.; Joran le matin ; le ciel s’éclaircit dans la soirée. temps brumeux le matin ; soleil perce après 9 h. , pluie fine intermittente jusquà’ 1 h. % ; temps brumeux le matin. pluie intermittente jusqu'à 6 h. # m. et à partir de 2 h. 20 ; un orage éclate à 2 h. 20 et dure jusqu'à 3 h. avec forte pluie. pluie intermittente jusqu'à 9 h. % m. et de 2 h. à 4 h. # s.: soleil par moments dès 10 h. %. temps brumeux le matin; soleil visible par moments de 11h. à 2h. % ; pluie fine intermittente à partir de 1 h. pluie intermittente jusqu'à 7 h. m. pluie jusqu'à 10 h. m. pluie fine intermittente depuis 1 h. % à 6 h.s. pluie pendant la nuit et pluie fine intermittente depuis midi à 9 h.; ciel clair par moments le soir. pluie pendant la nuit. , brouillard sur le lac et en bas Chaumont ; soleil perce vers midi. , temps brumeux ; soleil par moments entre 3 h. et 4 h. temps brumeux ; soleil par moments entre 11 h. et 12 h.; le ciel s’éclaircit complètement l'après-midi. brouillard en bas Chaumont le matin. temps brumeux le matin; pluie fine intermittente depuis 10 h. m. à 6 h. s.; le ciel s'éclaircit dans la soirée. 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REMARQUES NOVEMBRE 1913 faible brouillard sur le sol jusqu’à 9 h. % m. et pluie fine intermittente à partir de 9 h. %# m. pluie pendant la nuit ; toutes les Alpes visibles vers le soir. brouillard sur le sol par moments jusqu'à 8 h. # m. pluie fine intermittente tout le jour. pluie pendant la nuit et à partir de 4 h. #% s.; soleil le matin. pluie pendant la nuit et à partir de 7 h. % s.; gouttes de pluie par moments dans la matinée. pluie intermittente tout le jour. pluie fine pendant la nuit et à partir de 5 h. s.; forts coups de vent W dès 5 h.s. pluie intermittente jusqu’à 7 h. m.; les Alpes visibles. toutes les Apes visibles l'après-midi. pluie fine intermittente tout le jour ; brouillard sur le sol par moments jusqu'à 9 h. m.; orage au NW à 9 h.s. pluie intermittente tout le jour ; brouillard sur le sol par moments à partir de 7? h. m. ; orage au SW à 11 h.s. pluie intermittente jusqu'à 2 h. , pluie fine intermittente à partir de 7 h.s. , pluie fine intermittente tout le jour. pluie fine intermittente tout le jour. pluie fine intermittente jusqu'à 7 h. m. pluie fine pendant la nuit et de 12 h. 50 à 1 h. % ; le ciel s'éclaircit vers le soir. brouillard sur le sol par moments. brouillard épais sur le sol, le matin surtout. brouillard épais sur le sol par moments jusqu'à 9 h. m. et sur Chaumont à 1 h. pluie fine à partir de 12 h. #. pluie fine intermittente jusqu'à 9 h. m.; neige sur Chau- mont ; soleil visible pendant quelques instants l’après- midi ; vent NE à 4 h. % ; le ciel s’éclaircit vers 9 h. s. le ciel s'éclaircit dans la soirée. pluie intermittente depuis 10 h. #% m. à 8 h.s. pluie fine intermittente depuis 8 h. # m. à 7 h.s. pluie fine pendant la nuit. brouillard en bas Chaumont. NOVEMBRE 1913 NEUCHATEL (OBSERVATOIRE) @ = ; eu ta E SRE NO CET ESCe OP PR PT EN RE ET ENS An ONO | + =) = g mem O tm en A ON ISO ON AO el CO D ON OA = Q © IS OO QC | © = NN UE AM A A4 bd 4 nd et um NN im mm eo «M 1! Le | 2 | = 1 = = ——————— ee ———— 1= 5 men O RAC tem oi © Un tr | , . . . . . . . . . . . | . a + © Où ++O co oo mo |«4i © à Q en OÙ OÙ OÙ OÙ OÙ OÙ OÙ Q mm el | a A Ë lt EE © LT 2 = = . RES «fee ONE: NO NON AO ERRONÉE STE ONCO ON: ‘ONcD (OO PRE eOe LA ENEN CE CS = < LI cS+moum+roc RO manne Ragatéare ax mm | A D ON OO © ANA ME EH Em 4 4 OÙ OÙ OÙ OÙ QU OÙ OÙ OÙ #4 OÙ OÙ OÙ 1 1 1 | un | mn 2 s - DU - UE - SL —— — =. mon Rec mn OO 2 + en GR en O 10 CO 0 D ID F-en\0 OA | 8 4 IDR RSA ONE nm O en HO D ONO OO, fr no LacO NES Où O la OO OÙ OÙ M M ME M EE 4 4 OÙ OÙ OÙ OÙ OÙ QG OÙ 4 OÙ OÙ OÙ O1 er | | 1 © | = 4 Oo « ES 100) MIENNIORF A HO m1 Men Dm i0 + © O Mmei mi ei | + £ 5. 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ARNDT, directeur de l'Observatoire Jk Les observations météorologiques faites en 1914, dont nous publions les résultats dans les pages qui suivent, n’ont pas subi de modifications. Les explications données dans les publications antérieures au sujet des résumés, Se rapportent également à l’année 1914. Toutes les indications d’heure dans cette publication sont faites à l’heure moyenne de Neuchâtel, qui retarde de 32 m. 10 s. sur l’heure de l’Europe centrale, heure légale en Suisse. Le trait caractéristique de l’année 1914 est l’abondance de pluie. Le total de l’eau recueillie à l'Observatoire en 1914 est de 1232 mm., dépassant de 291 mm. la quantité moyenne de cinquante ans d’observations et classant l’année 1914 parmi les années les plus pluvieuses. La quantité maximum d’eau recueillie chez nous était de 1393 mm. en 1910. C’étaient en particulier les mois de mars, mai, juillet, août et décembre qui étaient abondants en pluie. Par contre, les mois de juin et d'octobre étaient relativement secs. La température moyenne de l’année, qui était de 80,7, reste de 0,2 en dessous de la température normale. Le mois de janvier avec une température moyenne de -3°,5, était particu- lièrement froid (la température normale de ce mois est de -0o,8), tandis que la température du mois de décembre (3°,5) était plus élevée que la température normale observée pour ce mois. La durée totale d’insolation, qui est de 1535 heures, se rapproche de la valeur moyenne des douze dernières années. Les autres éléments climatologiques ne présentent pas de différences importantes avec leurs moyennes respectives. TEMPÉRATURE MOYENNE = : < 4 87 É 2 n 5 £ PE | = = 24 £ 206% 3 2 5 Se £ 4 À © 2 D 4 æ æ T = ns ALTITUDE 488 m. 488 m. 1127 m. 800 m. 986 m. | 1077 m. 1914 0 o o o o Janvier CURE 08 1-3 SE Sol SU 770 HÉVHEr ES. 2 1.0 2.0 2.4 1.9 Mars nn 2) se 0.6 3.3 1.9 ANT. 2 > 8.8 10.7. 720 8.9 FN Mais. 47 2 INNT2 70 11.2 6.3 9.4 7.8 JUNE 0 16.5 1562 10.5 1 PT 11.8 Juillet ue AluPbes 16.5 1220 A EST 1325 AOUT EU 17.8 1774 13.9 MSC 14.6 Septembre . | 14.5 13 20 1020 ALT AN 107 Octobre . . 8.8 8.8 5-9 6.9 6.4 Novembre . AT 3.6 0.9 2.0 LU r 1 Décembre O 2 0.2 | 1.4 1.6 Année . 8.9 8.7 53 | 6.8 5-9 4.5 Réunies par saisons, nous trouvons les moyennes suivantes : HIVER PRINTEMPS ÉTÉ AUTONNE 1914 Dée., janr., févr. Mars, avril, mai Juin, juill., août Sepk,, oclob., nor. [eo] o o o Neuchâtel . . . + 0.1 9.0 16.4 8.8 Chaumont — 1.5 4.6 49:41 5.6 PERMIS STE — 1.4 72 14.1 6.8 La Chaux-de-Fonds — 9.5 DT 193-9 6.2 Ha PBréymer 1.7 — 4.9 4.3 11.6 4.9 On voit d’après ces chiffres que les températures des saisons ne présentent pas de grandes anomalies par rapport à la tem- pérature normale ; le printemps était un peu plus chaud et l’été un peu plus frais que ces saisons ne le sont en moyenne. MCE. Ce Les températures extrêmes ont été observées, en 1914, comme suit : Le maximum absolu : Le minimum absolu : À Neuchâtel . . . 929.6 le 1 juillet — 10.0le14 janvier. Chaumont D INIe 04 Un NE 14 Os se ? Cernien PROG CMP AU 9 5018 » La Chaux-de-Fonds 926.1 » 12 » — 598 Jul » La Brévine. . . 925.0»19}» —2%.8»9% La variation de la température moyenne d’un jour à l’autre, tout en restant faible en moyenne (1°,7), était quelques fois assez prononcée. Après une période de froid assez intense au commencement de janvier, nous constatons pendant trois jours un réchauffement subit, suivi d’un brusque refroidissement où le thermomètre accuse en deux jours une différence de tempé- rature de 16°,5 entre les extrêmes. Cette période de froid continue jusqu’au 9 février. A partir de cette date, la tempéra- ture remonte lentement jusque vers la fin d’avril, où nous constatons le 29 un maximum de 23°,2. Comme en 1913, la rechute de la température se fait sentir déjà le lendemain et continue pendant la première moitié du mois de mai avec un minimum de 0°,5 le 10 mai. Après un réchauffement assez prononcé pendant lequel, les 22 et 23 mai le thermomètre maximum montre 260,0, un nouveau retour de froid est constaté vers la fin de ce mois, où le 29, le thermomètre minimum marque 3°,6. La plus grande âifférence entre les températures extrêmes du même jour fut observée le 28 juin avec un maximum de 28°,4 et un minimum de 11°,7. Nous avons compté 28 jours d’été, pendant lesquels la tem- pérature a atteint ou dépassé 250, savoir : en mai 3 jours, en juin 5, en juillet 8, en août 9, et en septembre 3. Ces jours n’étaient en général pas isolés, mais ont formé des périodes de chaud, ainsi du 26 juin au © juillet, du 11 au 16 juillet, du 10 au 15 août et du 29 août au au 10 septembre. Les jours pendant lesquels la température est restée en dessous de Ô degrés, ou jours d’hiver, étaient au nombre de 33 au total (22 en janvier, 7 en février, 2 en novembre et 2 en décembre). Les périodes de froid consécutif ont eu lieu du 1 au 5 janvier (5 jours) et du 12 janvier au 9 février. Cette der- nière période était coupée par un jour (le 26 janvier) où la en, D as température moyenne de la journée était 0,1. Outre ces jours d'hiver, nous avons compté 47 jours de gelée, pendant lesquels le minimum a atteint un chiffre en dessous de O0 degré: jan- vier 8, février 8, mars 8, octobre 1, novembre 10, décembre 12. La dernière gelée a eu lieu le 29 mars, et la première de l'hiver suivant, le 12 octobre. Jours Jours Jours Dernière Première >Jus lon Annse M es Le) gelée gelée ee SA Le EX | ET 1901 | 38 | 33 65 | 19 avril 2 nov. | 12 II 1902 99 26 49 | 19 mars 47/20 10 XII 1903 | 41 24 63 | 96 avril | 17 » |142 I 19040! 66 4700064 10 3 0 45 5» DOUTE 1905 2 SSD MOT 9 » TOC EEE 1906 | 63 | 2% 72 5 » 24 nov. | 8 XI 1907 | 43 17 73 2 mai 150 2044 IT 1908 47 29 74 23 avril 294001. MS XIT 1909 | 29 | 33 | 74 8 mai | 6 nov. | 161etll| 1910 | 95 Buse 84 3 mai 11 nov Al ET. TON 49141 | 74 | 93 | 55 | 15 avril 8 nov Di 1912 | 93 11 79 | 17 avril 2 nov TS 1913 | 96 | 11 74 | 16 avril 5 déc 6 Il 1914 | 98 | 33 | 47 | 99 mars | 12 oct. | S IetIl| En 1914, la pression atmosphérique à l’observatoire a oscillé entre 733wm,8 et 695mm.0, ce qui donne une amplitude annuelle de 38mm, 8 : la valeur moyenne de la pression atmos- phérique était de 719mm,0, La plus haute pression fut enre- gistrée vers midi du 25 janvier par un ciel couvert, léger brouillard sur le sol et faible bise. Le minimum de la pression fut observé le 22 février vers 7 h. du soir; pendant la matinée de ce jour, le sol était couvert par un brouillard épais qui s’est levé vers 2 h.; lorsque la pression arrive vers son minimum, on constate pendant quelques heures de forts coups de vent d’ouest accompagnés de pluie intermittente. Au point de vue hygrométrique le mois d’avril était le mois le plus sec de l’année. Le minimum de l’humidité relative de l’air (22 0/,) fut enregistré dans l’après-midi du 20 avril. - La fréquence de la direction du vent fut constatée comme suit, en l’exprimant en °/, des nombres d’observations : Neuchâtel Chaumont La Chaux-de-Fonds N 8.9 0), 1.4 0 3.9. 0/ NE 24.4 » 0.4 » 23 10» E 8.3 » O5» 4.8 5» SE Eau 11257 0) A8 » S 21 0.9 » OIL > SW 19.4 » 1210 36.6 » W 9.2 » 10.6 » 1.4 » NW 19/05 DIN 210% Calmes 97 0 69.4 » 7.3 » Nous avons déjà fait remarquer que l’année 1914 était une des années les plus pluvieuses ; cinq années seulement ont eu une quantité de pluie plus élevée, ce sont 1910, 1879, 189%, 1880 et 1877. A Neuchâtel, la quantité d’eau tombée sous forme de pluie ou de neige dépasse la quantité moyenne de cinquante ans d’observations de 291 mm; on a recueilli dans les cinq stations principales de notre canton : À Neuchâtel . . . 1239mm; 137 jours de pluie = 1mm,0 Chaumont ENS ENS » ) Cernier . . 1520 » 146 » » La Chaux-de- Fonds 1762 » 164 » » Pare vnme er DR » » Les plus fortes chutes de pluie en 24 heures ont été notées comme suit: A Neuchâtel. . . . 48mm Je 15 août CHAUMONT NMAONE LT DNS IEEE Cernier . 41 » DR Un La Chaux-de- onde pre T5 te) La’brévines Sur 46 » » 15 juillet Nous avons compté, à Neuchâtel, 9 jours avec «flocons de neige », 13 jours de neige DB dits et 10 jours avec de la neige mêlée de pluie. Le 3 janvier nous avons mesuré 3 em. de neige, le 7 janvier la couche de neige fraîchement tombée mesurait 10 cm., à laquelle s’ajoutait le 12 janvier une couche de neige de 5 cm. La dernière neige du printemps tombait le 27 mars; en automne, les premiers flocons arri- vaient le 15 novembre. Les plus longues périodes de pluie furent notées comme suit: en mars 16 jours avec 168 mm. de pluie, en mai 10 jours avec 98 mm., en juin 9 jours avec 26 mm., en septembre 7 jours avec 54 mm., et en décembre 8 jours avec 78 mm. Les plus longues périodes sans pluie étaient de 15 jours aux mois de = D" janvier-février, de 13 jours au mois d’avril, de 8 jours au mois d’août, de 10 jours au mois de septembre et de 12 jours au mois d’octobre. Les plus longs intervalles peasdant lesquels le soleil n’était pas visible, étaient de 19 jours au mois de janvier et 10 jours au mois de février. Le nombre total des jours sans soleil était de 115 jours. En 1914, nous avons compté 9 jours (1 en janvier, 7 en février et un en novembre) avec un brouillard plus ou moins dense sur le sol pendant toute la journée, 13 jours (2 en janvier, 2 en février, À en août, 1 en septembre, 3 en octobre, 3 en novembre, 1 en novembre et 1 en décembre) avec du brouillard le matin, et 5 jours (3 en janvier et 2 en février) avec du brouillard le soir. Quant à la transparence de l’atmos- phère, nous avons noté 4 jours pendant lesquels la chaîne des Alpes était visible (janvier: —; février : 4: mars: 4; avril: 11; mai: —; juin: 1; juillet: 3; août : 6; septembre: 7; octobre: 2; novembre : 2; décembre: 9). Des manifestations électriques dans l’atmosphère ont été observées pendant 42 jours, qui se répartissent sur les différents mois comme suit: février: 2; mars: 1; avril: 1: mai: 4; juin : 1; juillet: 9; août: 10 ; septembre : 4. Parmi ces 42 jours d’orage, nous en avons noté 19 au cours desquels les orages ont traversé notre contrée. Celui du 15 août était particulière- ment violent et nous a laissé une quantité de pluie exception- nellement forte. Le premier orage éclatait chez nous le 25 mars: les 18 et 26 février des éclairs furent déjà observés. Le dernier orage de l’année fut noté le 16 septembre. La durée d’insolation, exprimée en heures, a été enregistrée comme suit : 1914 Janvier Février Mars Avril Mai Juin Neuchâtel . . . 17.3 40.9 101.1, 204.4, 134.6, 229.4 La Chaux-de-Fonds 90.2 90.0 84.7 199.6 99.8 166.9 1914 Juillet Août Septemb. Octob. Novemb. Décemb. Neuchatel ut MMS ESS 021 2. 17704 400 652 70 AS La Chaux-de-Fonds 148.6 930.2 180.8 117.6 96.3 70.0 Pour les saisons nous trouvons: HIVER PRINTEMPS ÉTÉ AUTOMNE 1914 Déc, jauv., févr. Mars, avril, mai Juin, juillet,aoùt Sept, oclob., por. heures heures heures heures Neuchâtel . . . 88.4: 440.2 649.7 339.7, La Chaux-de-Fonds 944.6 384.1 DA #I 394.17 La durée totale d’insolation en 1914 était : A Neuchâtel. . . . . 1535.92; heures La Chaux-de-Fonds. . 1574.7 » | L-vlSilr'o | 1:97 | 9661 0°v6 | 9961 | S'ASr | g"oSr | 6"cgr |f"691|£"ESrl9" Epic Ezr1|g V6 | 1'#9 |o'cE| g'o |” swwos o'oL T0 ME 0010 "6 00" 6 | 0 0rS 0e Cm Re 91{W999( £°96 ONE AE or LEZ do TT or Er, 1010 mn ISERE RE AT 91QU9AON gLir = —|10o |-e°2 fr'er |ier |f"ér | 1er 9 crc Er (gr GO DONS Géoorele 2x0 |c'9 oct | l'or |/-or |K-/re/r:/r0\c 161, 0/67, 76720 OS RS "quads cote leo ché Gr np or ErorT 'o QT) 6gr | ET CZ ECM AIG M) OCR ON | CERTA OM EUR grern | )6€ |o°e | S'6 lo'or |L'or | éxor | Fer gr Error terre er ever EC ACE SEC SCT bRoor | 02 0"or 1e ET SET SRE TE CPE SCT eNO PTT |O TT DE OT TETE GROS 0 er Fe EAT c: 67 EP 'ONPSEAATTNf 0" 66 ed A A 20 AE Me 2 A A 0 CS aa Co 1:61 162 ro po Nsg cn OT AR CENT 9661 | — |Zre)forl 1 on er Ar N6-ort | 0161) Pier nr) Eos re STE ON L're te VO NRA OREoSS NESNOEG (“or ÿ'or. 6: 6" 4 Cp el Re ON ER STE NT 006 (ARS EN GOT DA LION CET NCIS ONE OT SES EE ° “JOUA9A T'06 — — te lo oo Ce OA | ENT E) 0 CT ASE LES [Gre = = = — * ‘JOIAUE SONORE MO X OVETONR EN ETIONTE FACE CTI OST ACTE EL] z'go1| z'gzr| L'opilfo'oSr|fg" ESrL'bSrgotr|S"EEr pez1|*S "06|%/'09|1'gc| g'o | ” ewuwos RELiV — — — |zc'o AE AC HO mATES OURIROQ NON) 21qU999(] DRE 9°0 Ge COMORES TC) RCE 72) TEE — | — | — | o1quaa4oN Door td ra onda) on) En | CNET RON) EG ETES 1°O | — | — | 29140100 Pb pro RG Te non 6 61 O7 20167 0167) SEA pe — | — “quojdos Pancallo on cor Néon 01e Gor 6e néon oc) 26r ER “o‘vr|S6'+ | — ° * ‘nov roboo nl oo Lo: cor er) toc r re | 20 Gr O ET EST Sox AA Leo ESTHER roc hotric prlro-prlsor |fruor 6/2 67 | Cort er 27 GRSTMONST gc1|°0" 60 RATE Dr oo Tr On RO oO) STE ner re) ST CS ET SEX OROMÉDÉNIRE PAPA TA ÉÆrocte lotion orne Enr Te Er once 6r) 90) 2667 FOTO M SO RS PTT AN ot loco e6 torora Mo om oo br:cr) 0/11 6 on) COR ER NE ER 6*ot — | — | £ol1'z 1e eo ACC | ON ee OA CE — | — | —- | : “JAN CL — | — | — | ro |fT'1 NCA E EE oct | 6067) OT) NO - - * ‘JOIAURS A D gl lu-9 ls: | 9-r F-E 6-8 ar | 1er |er-rr | 11-01 | o1-6 | 6-8 | 8-2 | 2-9 | 9-9 | c-+ SION + | a[EJ0] a9anf (exroquaaesqO) "IHLVHONUHN — FIGI I#NIH Y#Vd SATI13NSNIMN SAIMMNOS — NOILVIOSNI.G 33u4nq | 6Gi | POEr | 'ÉZT ITS “ler | Lire! obr | Sr | vor | 66r | 9e losz D ©: ©: Snossa([-J014 rx | c2gx | ogr | oor | cb | 66r | £4r | gve | SSx | oSr | S6 | pcs 7 7 © SIONITAIUN rt | L£x | Lozt DOUCE | Zoraer Too 06 oor | C2 mr Fe ; * ‘ * UBURIEA 1ÿ | £Sr | ozSr | g9r | 16 | 67 6£ 1Q1 | 107 | 94 | oSr | Se zOT | 6£ 00 < OO TOITS) |6hr g£cr lofr | OZ | 62 | gcr | og1 | 1gr | F8 | oor | to | Séz | 6c oP£ : : ‘ : UOSSAIQUO(] Lr | Sr | Sgcr À rot | 99 | z£ 901 997991 /Lc4 | ohr | ve, | zic Me fau DORE TOUTE) 6€ | A6 | br | ver | £6 | gg | £or | 6h Op TN et T6 ro za NES OTOI ER STUOAN SONT 9P | 691 | £o£r | Lx | for | 1S | SEr | cér | Sc | 1a1 | 691 | 66 | Loc | 6€ Lot $ ‘ OUIA9I] CT Lr | 6Sr | £obr À ggr | IO1 | 9 | Lit | hr | o91 | Se | Per | 68 | zec | 6r €vl ©) °° IAE) Ql cor | 9écr | Er | 14 | O6 | 94 | £gr | oSr | 99 | oct | o/ |'o6z | 6P oo (‘IBAI9SH{O) [9JR49noN o£ |€Sr | 56 | £or | CASE a el ocre Zi Lot | ïS | 991 | of ON) ! * * SOJIIMOS Lt | © 1% © 10 © O E : Ë | 7 De OO \O 43% e DR eo OO NO © D + eZ " ONE NO SES £ : - : : à = ce" OO x « + Eee OS a MEME TR x NET ONE 2 5 Me Le RES EM TE MAT = Lo \O \©O er HO en Je £ ASE SIN NO A 2 &) Ÿ ON 2 = Fo relecture toi ent Reel 0 00.© © Se É : ; l ( 1 Q \O [= FAO = < RE É | ae 1 ( OO mu Tor = É EIAUEU CA REC EAU PER: Re | | Le? | Le! 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FEVRIER 1914 NEUCHATEL (OBSERVATOIRE) " n PRESSION ATMOSPHERIQUE > LVL RATURE DE L'AII 1MPE TE . 1" = r = d'A OO D END SL 2 — fs à © + + " £ + O co em A © © OO © em EE NO © © © En © © D | © = . . . . . . . . . . . . . . * . . . . . . . . . . . . L - ; £ Nm = LT ” = = | 7 8 © Oro I TAN = en 0 © ro A © += 1 ms OO il ln > | Le mai a a NOUNOU mm mDOTCTOCO "1 _ Ca © = ; | - NO Ar _ à O SO mel f\0O OC mt | : = de EEE IVe QT OUT I US CRU . = + S Fr [er] O OA en M OA en O1 © = eo, Anr | L ON om 4 1m 1m 2 æ D) O =" 1 en — E L= Ë © Z : . Wso0 Nm OO Am DIN mm DADummmE Le 7 £ Eee RN TS Le Mons lie) le RON TETTIO TL COMOTe C — 2 OO D Dm mm mm M mA LA MERE O0 en © ANA = m5 DO OCOOm mA £ © —— = —-, " —+ —+ —” + rs = . . MAO FO RRN RO FA LANO S AR MAlmmAOmA ee nm + HO HO HS OÙ OÙ OÙ Q Q cn | 12 = D'OR RTE TRAIT ! 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fort Joran jusqu'à 8 h.s. , toutes les Alpes visibles ; forts coups de vent d'Ouest de- puis 3 h. # à 5h. %5s. , toute les Alpes visibles jusqu'à 8 h. m. ; pluie intermittente jusqu'à 6 h. %# s. assez fort vent NW l'après-midi. toutes les Alpes visibles le matin ; vent d'Ouest à partir de 8 h. m. ; gouttes de pluie à 9 h. %# s. , pluie fine intermittente jusqu'à 8 h. m. et quelques gouttes de pluie à 7 h.s. , brouillard sur le lac et par moments sur le sol jusqu’à 8 h. #, ouragan d'Ouest à partir de 5 h. %#, mêlé de très forts coups de Joran ; pluie intermittente dès 6 h. % s. , pluie fine intermittente depuis 9 h % m. à 3 h.; soleil par moments l’après-midi. pluie intermittente depuis 7 h. % m. à 6 h. s.; ouragan du SW entre 4 h. %# et 6 h. s. pluie pendant la nuit et par moments dans la matinée mêlée de neige en gros flocons jusqu'à 1 h. ; le ciel s’éclair- cit en partie l'après-midi et complètement après 7 h. % s. gelée blanche le matin ; pluie fine intermittente à partir de 4h. % $., neige en gros flocons dès 9 h.s. neige pendant la nuit ; les Alpes sont visibles le matin et le soir, forts coups de vent NW vers le soir. pluie intermittente tout le jour. pluie fine intermittente pendant la nuit et à partir de 3 h. s.; grésil par moments dans la matinée et surtout à midi. pluie pendant la nuit. pluie intermittente jusqu’à 9 h. m. RE depuis 7 h. % à 9 h. % m. et pluie intermittente dès 14 S. pluie intermittente tout le jour; un orage éclate subite- ment au SW avec assez forte pluie depuis 8 h. *# à 9 h. 105. pluie intermittente tout le jour ; Chaumont blanc de neige jusqu’au bas le matin. pluie intermittente tout le jour mêlée de neige par mo- ments ; soleil visible pendant quelques instants l’après- midi ; le vent d'Ouest tombe dans la soirée. pluie pendant, la nuit. gelée blanche le matin ; les Alpes visibles à travers la brume l'après-midi, le ciel se couvre dans la soirée. quelques gouttes de pluie contre le matin. bind FA Sa LVALIRAS 0 7 Le À oi Le Le du cum © Lei roi LA] Lu LU] t4 a | IMorofmllo: 6er true} Co" o o'l t'OI pure PE Co Ç ace 1£ |" Grue | L'6c | z°4z | 6bz | z'9 LES L°o (a S'£1 (he £ Qu Of AIEUIPA TE) 008 l'IE IQOLE SUE CS PHOTO (DA 0 Ex) lo TS S°Q So GT Pre Nero 1e. 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Alpes visibles ; Joran le soir. Joran l'après-midi. pluie fine intermittente depuis 8 h. % à 11 h. %# m. faible brise SE sur le lac. courte averse vers 4 h. % m.; le ciel se couvre vers 5 h. # et s'éclaircit de nouveau dans la soirée ; coups de tonnerre au SE vers 7 h. et éclairs à 9 h. pluie intermittente jusqu'à 6 h.% m., depuis 10 % à 11 h. et à partir de 7 h. %# soir. y 9'9OT “Ut I Lai] auuaion “ut ‘4 6 | UT ‘ L Le PAS em + Hp im ni Lai EsO [ei eo Lei | oi = . A "uw “ut uw0OL HADdIMAHASONLV NOISSHHA Q9° 1TLItT' cell 96" L ES æ auuoion D em en Cned FA ® Lei | = — nm RER ER = ON er °> ‘4 6 [e Û UT aplung 21}QUTOWAO Lei | (so + mio 0 Le PIGT 'TIIHAV [ei € ec + oO mm ECO 1 O ENS ENENSNERNTS WIXUN EE © \O . . . TO A el otre e EH RE cn . . . 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Pluie fine intermittente jusqu'à 8 h. m. et dès 8 h. % s.; coups de tonnerre au Sud et SW depuis 4 h. # à 8 h.s. pluie fine pendant la nuit et assez forte pluie intermit- tente depuis 8 h. %# à 12 h. #% m.; brouillard sur Chau- mont depuis le matin jusqu'à 1 h. #% ; soleil visible par moments l’après-midi. gouttes de pluie fine à 8 h. % m. et vers 12 h. # ; fort Joran à partir de 4 h. % ; soleil vers le soir et le ciel s’éclaircit dans la soirée. coups de tonnerre éloignés à l'Est après 12 h. % et ensuite le temps est orageux dans toutes les directions jusqu'à 8 h. s.; gouttes de pluie par moments l'après-midi et pluie d'orage intermittente depuis 5 h. #4 à 8h s. nuages orageux au Nord à 1 h. # ; fort Joran le soir. nuages orageux au NW et NE à 1 h. %. 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Alpes en partie visibles à 1 h.; le ciel se couvre l’après- midi ; gouttes de pluie vers 3 h. %# et averse à 7 h. %4 58. pluie pendant la nuit ; éclaircie vers 11 h. m.; gouttes de pluie à 3 h.s. Alpes en partie visibles vers le soir. pluie intermittente de 8 h. à 12 h. m. et dès 5h. % s. forte pluie pendant la nuit et pluie intermittente à partir de 11 h. m.; un orage de courte durée éclate sur nous à 7 h. 10 s. et se dirige vers l'Est ; le ciel s’éclaircit ensuite. , Alpes en partie visibles ; pluie intermittente dès 7 h. s. Brouillard en bas Chaumont ; pluie intermittente jusqu'à 9 h. # m. ; orage vers 3 h. %# s.; Alpes visibles vers le soir ; le ciel s'éclaircit complètement dans la soirée. assez forte bise pendant la matinée. le ciel se couvre dans la soirée. assez fort Joran le soir ; nuages orageux au NW à 1 h.; éclairs au Sud et au NW après 8 h. % s. ; quelques gouttes de pluie vers 9 h. s. et un orage éclate au NW vers 9 h. % s. et ensuite le temps reste orageux dans toutes les directions jusqu'à minuit. pluie d'orage pendant la nuit et de 1 h. 10 à 1 h. * ; quel- ques coups de tonnerre au Nord vers 12 h. #. pluie faible pendant la nuit ; brouillard sur le lac et par moments sur le sol jusqu'à 8 h. matin ; Joran le soir. brouillard sur le lac à 6 h. m.; coups de tonnerre au NW dès 11 h. % m.; l'orage passe au Nord vers 1 h. et dure jusqu'à 2 h. ; pluie d'orage depuis 1 h. 20 à 2 h. # et pluie fine intermittente dès 4 h. % s. pluie fine intermittente de 5 h. 4 à Gh.%s. pluie pendant la nuit. coups de tonnerre au SE depuis 3 h. % à 5 h. # ; quelques gouttes de pluie entre 6 h. %# et 7 h. # s. gouttes de pluie fine par moments de 5 h. % à 7 h. # m. et pluie intermittente de 4 h. % à 5 h. % ; forts coups de vent d'Ouest entre 3 h. # et 4 h. %# s. pluie intermittente tout le jour. pluie intermittente jusqu'à 4 h. % s.; brouillard sur Chau- mont ; soleil perce dès 5 h. % s. soleil visible par moments. gouttes de pluie fine par moments l'après-midi et pluie fine intermittente dès 4 h. % s. pluie pendant la nuit et à partir de 10 h. m. pluie pendant la nuit et à partir de 11 h. m.; brouillard sur Chaumont à 1 h. pluie jusqu’à 7 h. m. et à partir de 10 h. % ; brouillard sur Chaumont le matin et soleil par moments le matin. pue TEE 2 h. % ; soleil perce par moments à partir e ÏL: brouillard sur le lac jusqu’à 9 h. %# m. ; coups de tonnerre au Nord vers, 4 h. # s. et après 5 h. l'orage passe au Sud- Est par notre horizon et dure jusqu'à 7 h. avec pluie de °h #à7h%s. brumeux jusqu’à 8 h. m. 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Ë : ee : PRE NUE UN top | 46 “} da apr V NOISS# Hd ULVUT HA AYNALVHTANAL PIGT LATIINL — SHTIHASNAMN SHANNHAOM REMARQUES AOÛT 1914 _ brouillard sur le lac à 7 h. m. 2, Alpes bernoises et fribourgeoises visibles le matin ; quel- ques gouttes de pluie après 3 h. #%. les Alpes visibles le matin ; coups de tonnerre au SE de- puis 5 h. # à 5h. % s. et quelques gouttes de pluieà 5h a. pluie intermittente jusqu'à 7 h. m. et à partir de 12 h. #. coups de tonnerre au Nord après 12 h. *% avec quelques gouttes de pluie à 1 h. ; nouvel orage au NW à 3 h. # et à partir de 5 h. et pendant toute la soirée le temps reste ora- geux dans toutes les directions. pluie intermittente jusqu'à 11 h. % ; soleil visible l’après- midi. les Alpes visibles jusqu'à 6 h. % m.; quelques gouttes de pluie vers 9 h. % s les Alpes visibles ; Joran dès 6 h. #5 toutes les Alpes visibles. toutes les Alpes visibles le matin ; Joran le soir; éclairs lointains au SW pendant toute la soirée. éclairs lointains au SW le soir. nuages orageux l'après- midi. , gouttes de pluie après 6 h. #,7 h. # et averse à 9 h. # m.,; à 8 h. # un orage monte au SW et à partir de 10 h. le temps est très orageux partout et reste ainsi jusqu'à #4 h. ; l'orage passe par notre horizon à midi avec une pluie excessiv è- ment forte et dure jusqu'à 12 h. #%. soleil visible par moments jusqu'à 9 h. et pluie fine inter- mittente à partir de 10 h. % m. pluie intermittente tout le jour ; brouillard sur Chaumont le matin, soleil visible par petits instants dans la matinée. pluie fine intermittente jusqu'à 7 h. m.; soleil visible un instant après 2 h., gouttes de pluie fine à 5 h. s.; le ciel s'éclaircit dans la soirée. coups de tonnerre au Nord à 2 h. #% et à 6 h. % et très forte pluie à partir de 6 h. 20 s. mêlée de quelques grêlons à 6 h. 50. pluie intermittente jusqu'à 1 h. # ; brouillard en bas Chau- mont le matin ; soleil par moments dès 2 h. brouillard en bas Chaumont et sur le lac à 7 h. m.; coups de tonnerre au SW à 2 h.; le ciel s’éclaircit dans la soi- rée ; pluie fine intermittente depuis 10 h. % m. à 2 h. %. rosée ; faible brouillard sur de sol de 6 h. % à 8 h. # m. rosée ; nuages orageux au NW vers le soir. rosée ; coups de tonnerre au NW vers 1 h. pluie fine intermittente à partir de 5 h. # s pluie fine intermittente jusqu'à 12 h., brouillard sur Chau- mont le matin. pluie fine intermittente jusqu'à 7 h. *% m.; brouillard sur Chaumont le matin et à 1 h. rosée le matin. rosée le matin, brouillard sur le lac le matin; Joran à 6 h. % soir. 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REMARQUES SEPTEMBRE 1914 rosée le matin. soleil perce vers 10 h. rosée le matin. brouillard épais sur le sol jusqu’à 8 h. *% m.; soleil perce par instants à partir de 9 h. % et le ciel s’éclaircit après 10 h. m. rosée. rosée ; brise SW sur le lac à 1 h. rosée ; brouillard épais sur l’autre rive du lac le matin. rosée ; quelques gouttes de pluie vers 4 h. *% s. et forte pluie d'orage intermittente à partir de 7 h. % s.; orage lointain au SW dès 6 h. % et à partir de 7 h. %# le temps est orageux dans toutes les directions et de 8 h. #4 à 9 h. # l'orage éclate sur nous avec forte pluie. pluie intermittente jusqu'à 7 h. % m.; le ciel s’éclaircit vers 9 h. m. et se couvre de nouveau à 4 h. s.; fort vent SW à 5 h. et orage avec forte pluie dès 5 h. % s. pluie intermittente jusqu'à 10 h. m. et courte averse à 1 h. *% ; les Alpes en partie visibles et quelques éclaircies dans la matinée, clair l'après-midi. brouillard sur le lac à 7 h. m., court orage vers 2 h. #% avec pluie de 2 h. à 3 h.; vers 5 h. % le ciel se couvre; fort vent SW et pluie intermittente à partir de 6 h.s. pluie intermittente jusqu'à 7 h. et de 1 h. à 6 h. s.; éclair- cies dans la matinée. pluie intermittente jusqu'à 9 h. %# m.; très fort vent NW le matin. pluie vers 3 h. s. ; basses Alpes visibles l'après-midi. toutes les Alpes visibles. les Alpes visibles le matin; coups de tonnerre vers 10-h.. 248: pluie fine depuis 9 h. % à 10 h. m. pluie intermittente à partir de 7 h. m. avec très fort vent le matin. ie intermittente tout le jour ; neige sur les sommets du ura. pluie intermittente jusqu'à 8 h. m. pluie vers 6 h. % du soir. brouillard sur le lac à 7 h. m.; toutes les Alpes visibles l'après-midi. brouillard sur le lac à 7 h. m.; toutes les Alpes visibles l'après-midi. les Alpes visibles le matin. ARS 2 LIL LA AR 2 LIL AR L2.) DA AR 2. er .. D O\ # Lo 4 CO . La — — Loi Lei [a — mor a DE ei £I S — A" e2 MmiO La 20 # — _ A in , © a M = m4 CUS mi pe A 4 A" " + Lai TOM CIS di . — . Le 4 NN mm OO À O mm A \O . : EL en © An — +: © Lai dE . Le) [ei Tea ES — [ail (o» a a . KO — + aie , © Ta ©) 1" + A ++ +: Las. Lei re THON Eu a O — co MMM TT [al — [ai Am a aa e © = Qi >. æ NN a a = "| sai m A (ai NO EE 1 2 Q OO . . OASIS SO (ail \O en eo © ON — [ai NN ol Le 6*6 9°6 g'£i T'OI1 | g'9 g'il oi OMR o'61 Lai © . a a um 4 SO (°» nl (oil ON O — . Tu me Lai Lei — . A" D Les em en en en ( \O La RER Eee PE nm 0 © or me TT OO [a [oil . \O (ai ra) en 4 cr . [e) [a KO . ON ce \O . 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FIGE HAHAMNHAON (HHIOLVAHAS4O) THLVHIAHN | euwuog | owuuwog CALAIS LC AO NE g°2 s'g 9'FTe 1/98 |8°82 £'os RITES : ONE J Q ÿ OI I IN IPS O IN 68 6g 98 6 6 6 OI I MN I MS I MN re Le GL ; à OI OI OI OI PIN ATNIN O IN OO1 OO1 OO1 ÿ'o ; 9 € OI ÿ OMMEN T IN TLATN ro) OOI QQ ; Ge 9 [e) 6 OI OM ON TIN TE 06 96 QL dc: £ OI OI 6 OI I MN I MS TNT 172 çQ 09 OI OI OI OI TRAIN I AN ON L6 96 SG PRET OI OI OI OI I MN I MN MENT S6 OO1 £G ÿ'o ; OI OI OI OI TS UN T AN I FN Lg LQ VS ; GE L L L Q ee AN Tt IN SN UP 69 OL 3 OS L 8 9 8 EAN ONE ARC T Le) 19 £9 *6°9 € 0 L € £ AN | T AN | ï EN 19 99 æ) ; ARE 4 L 6 9 9 TAN IN CÉTN L9 SZ eS : CD 6 Q OI OI t AN Tt AN T AN OL | 99 t LRO OI OI OI OI CONS £ MS £ MS do) do £G SE CAE 9 OI € ç T M T MS I MN 94 L6 96 S°e $r°O 6 9 OI of TAN ce £ MS 1 cou À Te LPO L OI £ 6 € MN ze AU CA HIT Q6 VEN 4 1 < 9 OI S £ T MN | T MN T MN 08 06 EDF) Du Éd À ç 9 OI GS 'ÈN TAG I MN 07 41603 ET o ; f 2 € 6 OI DC N RC Le I MN 68 11] 96 1Q : Sn 4 L 6 € 6 ON I CYAN (T 6 17 < ; L t 6 OI TAN ET Ji ÉËT SR Der L £ : OI OI OI OI O IN 1 SN OENT 68 £s 6g : ; OI OI OI O1 I AN FUME OMAN F6 té do mi 9 t S OI O MN I MS 1 IN (6 66 9e O"£ Ë 6 ( OI OI ON TA TO ANT 06 t6 9e (M) rade 6 OI lé OI O IN RES, FAST 99 98 gL (@re OT O1 DT NOR CIO 0 MS Te) TETIN 6 CRIS : Spy ( A £ OI I MEIN I MS 1» AN 16 £6 £e “LU saint | dE LE e ouuaLon ‘4 6 AU ‘4 L ‘4 6 | uT ‘A Z ouuoto Mb CE HT Seal ÉE ce] à s 187 € 007 = “N SUBS = 4 RD F RS He En +| © 2 eu , LNHA GALLVIAY HLICINAH 5 © ALISOTNAAAN SO HA m HA ON om sinof ue — || Det ER _ . 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QE'LTL Pr LILIVE LT£ILS "Lil 69"z |of°c Sg*£ OI'T 08" S Pr'o 169'£€ Cr'E Li vg'T AU ST NOTES NTM AT or ee |INQ ET =) NÉ" or) MEME AO Et OR RE OROIATAIOE | IE LE Détente: v'hPatlro pe GX 0! 9'I - ‘= (SET 0) PA Q'1-| 0'I ÉROEINNE 6'o Of gr eivi| L'or 1,9" Sr) 6241 O'I De 6'1 LAS 9'I g°£ p°z GDS SA 6T STATE OT INR STEP SNONTAINONE “ol ‘| Q°0 OÙ O'‘I1-| o'# HN T°} Q'O QT oee l£ror |hreee Fos el /01-1|prao= ‘0 RE AES) TOR PA AE TE 01 OMC AE OùZr ride | Tr Es oz «Ages EE | ST AE Yo) (D tant NAT (a) CN |E Oo) OUTEr SECTE (HO NOT TE | SparhO Te RON OMMINO OAI are 101020 2/0 ÿ‘o -| t'o T'O 9'0 S&O ST STE ET ONCE MORE LT 1:00 = MR ONE INOIT (DC ] 20 [Care] So) | LE Solo ter MOT FE LI ToNTe Nr OT D a OC LOS D | eu Br -2) RÉ nl |INO TIENNE OS AO NET | ETS TN MOTS PO RE | MR O PLOM=-IN OT OL 5 PS0) CIS MOËO TOMATE So 21 | EI LA Gi LR CN en PAGE GNT T'O Poe (SOA C'9 0) G'£ ST 1 DS) CAD IT AS 1 CNE à 9 CAO Ca 2 où £ RC SORT DS 6*0 at ÿ'£ (A0 OT OT AC 3 | PS LS 9 ECG 5 A (ci 0‘ mue OùL HAT SNS ET on OS Lis 61 GB Or | Lee Lontz AO SON ES CET OBTEAOTAE NCIS (0) CAO |NONT V'1 = | QI ROC OC | PAT |ROLSZ SAT Q'o = | o'< p'c (ENS OO TRUE 0'0 GE Q°£ UE arab re.| TOI | gra CNE ne P'r PAS Aie) 0° rs DE 9° (Sr: (Cp: roralts- Cr | 6%60: | o'eo | "Cup Ce Po Obs T'Q Sue L'S GLS ol our SI Lrendlrorko:| 9#%o.|.6"col GS CAC ve £ Oo‘ 10 LA v'£ Ia VAN FI o°/0 -+o | SON et O RENE Q'£ Ld TÈN ii Do) Or Ta Cor 9'S pc £T 92/0 12/90 | 2/0 | o:c01| y v:ÿ N SIC Où TEST le SR (CR LME TI née nr PET Tr" Gr O7 PRE t Q'I OM GA R% OùS Ne O'T II 2 |E ROMA NT 1 ONE 1°Ÿ Se P GS 9°S 9'I Css Q'T CR SA OI Pere OMEGA g'£ s GE ç°< V'c c'p 6°€ Te QUE 6 AL SA ON 0 Pa 9 Cp TC 0 ER A (SP II 0°6 O°S1 ONE V'II S°e o'S1 L'or |eg SON eo OT Er" 0. 6 0°6 OI (Sr ‘VI 1° SET GTI SO NE ç'6 L 9 GOT OTANSPEOT AE QT 9'F °9 0'9 9'6 O'r OZ 6°r 0'6 Où 9 ASE CT A QU | MONT (re) 26 *9 Ale) S°e Oe (50/2 GE (401) T'e K ve Te ei AT 9° € GE e4 AE V'£ g'£ Q € Où F giace|hgr6enl Eee cel AGE Q°Ÿ 9 cu (oo no) A RS SHOL SIMON £ 9Lrr | -0"gc | roc | 207 7 CS OùG 9 1° O'OI Gite 9 Q°<£ O'OI v°S T PASS 20 |A ACT CARE NC LETTRES ENS LA AL) 9°6 ÿ'o-{| v'S$ 1°Q (AA (re I ‘ut | “Ur | “Ut ‘Ut (eo Oo o Le (e] (9) Lo] Le Le] o PER OP ARE CRUEL SR Te VAN UE RER CRETE REP PRES UL De 0 À | RER Re re auua ion | ‘U 6 ‘UTI A1). 2 auuaion ‘4 6 u I © pa) "UIXEN “UTUUN ‘4 6 «I A (02 Fan = el + uw002 aplunty 21J9WUOUHOUT, “UX9 UMeU], 298 919 WOW, Ê æ@ HNdINAHASONIY NOISS4Ud PIGI HAHANAHIAHA AIV/I AQ AHALVUAAHANAL (AHIOLVAHAS4HO) 'TALVHONHN auumos eumuos MA LD CL ONE Ac ET A A Se A ut . : OI OI 6 OI TARN O OAIN Le ç/ QQ 96 1€ s NT 9 8 8 9 Q Oo N 1 I MN T8 LS | L9 £6 OË re EE Q L L O1 T MS € TIN oL OU ERES 24 6 1'QC ° OI OI OI OI T MS I O FIN L6 V6 06 OO QT S°O | L 12 Q ç I MN I VAN £6 (6 6Q 96 Le k A te 9 £ S OI O MN I IN 06 06 06 £Q OT s OI OI OI OI CAN £ DEN (4 VL SL BL Se : ; OI OI 6 OI £ ‘AN t CT NT ÇL 42 L9 98 VT s OI OI OI 6 TAN I ISIN PG 6Q V6 Q6 CT s b'o ! 9 Q 0) es AN I 1 NT LG 06 96 LG ie Où 9 F 9 Q I MN £ t MS t El, 19 GL IT O°II OI OI OI 6 CRANS I I IN Qo £O ce 6Q OT le 610 6 OI 6 6 1 MN £ £ MS Se To VS 06 GI En ; L S OI 9 LE AN I ON z6 SG O8 96 QI ; 9 t 6 Q Li NT I I MN SL 98 £9 LL UT 9'0 O'1 L 9 Q /, I MN T € MS 1Q 62 TQ 1Q O1 OUT (o Q 6 L T MS Le I MN OQ 16 SE £L SI ESS à O1 OI OI OI I MN O ON Q6 LG LG OOI pi SE) ME) Q OI Q L DAROUNT I I MN 16 £G 6Q SG (A DÉZ : OI OI 6 OI DALN I I MN 96 Q6 £6 LG TI CR OI OI OI OI OÙ NN I I MS F6 SG 06 96 II O°'S | 6 Q OI OI ON I I MN 96 SG Q6 96 OI OT k 6 Q 6 G I N I LIN 66 06 Q6 OOI 6 159 ç OI t cé I MN t T MS 6L tO L9 GL Q “9” S 8 Q 9 of I MS.|IT I MS 94 89 SL 98 L Q°'T 6 OI L 6 I MN I I MS Fe 6 t Se 9 L'£ o1 O1 6 O1 LA NS NME t MS IS 98 IS 9L S 9'0 3 OI OI OI OI O MN ANR 1 FN 96 LG do) Q6 P Q'I Vas 6 OI OI 9 I MN £ MS I M t r6 t 69 £ AE t (e) O 9 O 4) TUATE O MN 1L 1L 19 og t É [A 0) 6 6 6 Q oe LN I MS [ SN SZ 19 L9 96 I “Uu S941n9{] 2 Ë je Œ & auusLon ‘1 6 ATATI a, ‘4 6 AT 2nt y} auuoon ‘U 6 A | A ess 25 " = 2 1 SE a 3 Ra < 9ISUOQUI J9 UOIJDOAI(T °/, u9 5 d HE: 5 É Min LAN ENTTA HALLV'IUY ALITNAH ( ŒLISOTAIHN | EBETCT MINT TAINENNICT (AATTIOTV ANACTO) MAT VYEHNNMIN — — — — — — — ENG TT NO TTREAT T | (Q ( L£ ch T S p O EE SpuOy-9p-Xneu”) ET | — — — — — — NT Dos * * * JO[U9r) BAC) (Q) OI Te T (e) O (e) O Ù a AUOUNEU") |. QUE 91 9 (@}: O I F PI OI * (9110)PAI9IS{O) [9YRU9N9N QI LS) | ‘MN ‘MA ‘MS 'S gt ‘AN N ——————— ———— _ _— Û _ | ENA NA AONHNADdAA SR — | Lot — ON |RO NT (or |Moso LL 0@ OL 1Q 24 1 CO NOSTTA ONE 1/1 Oo 02 6:9 Toi CO ) QL G6L CL TQ ° SpuOyJ-9p-Xnet}) ET | QOI — 1O 1'9 (eYz 9°9 — PR PROS RE LP ES TEEN) | 191 — (A4 6°9 g'L OYe — — — — CE TO UITNETTE) c£I RC" LP 9°$ £o F°e 10 SQ Lg OQ QQ * (91107BA49S{0) [9YRU9N9N ut Soinaff —_—————— re | ee | ee awuwuos auumos NU ‘4 6 dE Xi ‘Â0N ‘4 6 ATTAT L'on | (eStou ‘amçd fi < FTOSN j (ägu ‘emd) | NOILVTOSNI A SLLISOA AN MALLVIUY HLITINNH °aquo) nv CERN — Q J'II pou or t'o 0'0 ee L'o - | Alor RU, NET OUT ICE o'p29 ÿ, TA PT V'11 - OM ay p'£ S'0 986 ° ‘ ‘ Spuoy-ep-Xneur) PT — L ÿ'Il bn Rare P'I 6*o o°£ 9'0 008 ee ER AIN) 6° T99 L ciQ FT O'Q - c'O T°O - Gear £'o - Lex 5 ir ° ‘: juowuneu) FZTZ, Q O°SI 1£ PE GIE ICQ ok Où Qu * (2110}PAIIS(O) [97RU2N9N “ui Le) Oo 0 o 0 Oo ‘ul Û nr x mtrtr\e/ | SIANNHAON pre pere MALE x 4 6 AU aise | WLV = a : — - a apny}lV NOISSHHd AYALVUAANUL oo PIGT AHANAOIHA — SHTIHASNAM SHNNHAOM OBSERVATIONS MÉTÉOROLOGIQUES FAITES A L'OBSERVATOIRE CANTONAL DE NEUCHATEL PUBLIÉES PAR LE D' L. ARNDT, directeur de l'Observatoire + € +— Les pages suivantes contiennent les observations météorolo- giques faites à l'Observatoire pendant l’année 1915. Aucun changement n’a été apporté dans les publications des tableaux, ni dans les autres dispositions. Les indications de l’heure sont faites à l’heure moyenne de Neuchâtel qui retarde de 32 m. 10 s. sur l’heure de l’Europe centrale. Quoique la température moyenne de l’année 1915 soit exacte- ment la même (80,9) que la moyenne des températures des années 186% à 1914, température que nous pouvons considérer comme la température normale de Neuchâtel, il y a, cependant, des différences assez considérables entre les températures des divers mois et leurs températures normales. Les mois de jan- vier, mai, juin et surtout décembre étaient plus chauds que d'habitude; par contre, les mois de mars, avril, juillet, août, septembre, octobre et novembre nous ont laissé un déficit de température. Dans les saisons ces différences s’effacent un peu et nous constatons en 1915 un hiver doux, un printemps nor- mal, grâce au mois de mai, qui compense les mois de mars et d'avril, un été également normal, grâce au mois de juin, qui compense les mois de juillet et d’août, et un automne froid. Le mois de décembre, dont la température normale est 00,4, était particulièrement chaud (50,1). Quant à la pluviosité, l’année 1915 se classe parmi les années pluvieuses : la hauteur d’eau recueillie dépasse la normale de 185 mm. Les mois de juin et d’octobre étaient relativement secs. Le nombre de jours avec une quantité de pluie appré- ciable au pluviomètre était de 189 en 1915. Le nombre d’heures pendant lesquelles le soleil a brillé était de 1596,7;, dépassant de 40,3 heures la moyenne des quatorze dernières années. TEMPÉRATURE MOYENNE = | Le | = 8 28 S Ê pe AOL | = £ = LA = = £ EE £ £ E 2& S ns) © 5) cts Er 5 Po 3 = = Æ à | Æ D ° D 18 + O7 A À © A [æ) x a a TT | _ ALTITUDE 488 m. 488 m. 1127 m. 800 m. 986 m. 1077 m. 1915 o 0 0 o Janvier . . |- 0.9 D 3-0. 0 Tes Février . . 1.0 NN ONE REA SM A Pa Mars: raser 423 > MI AO ON LEE ANDILEE: CE 8.9 FES 2.9 S.À MAT 7-02 0 DST 11.0 1325 UNE ECS 18.4 13.9 16.3 AUTLTE LEE 18.7 17.4 | 12 8 14.8 NOTES PAM 17.8 16.5 1 13.0 Septembre . 1454 Toy O2 10.8 Octobre | 8.0 7e2, 3. 6 Sell Novembre . 4.1 2 DATE OR | 1808 Décembre . 0.4 Se 2 | ae Année . . . 8.9 8.9 $.0 | 6.8 | PIS NE Réunies par saisons, nous trouvons les moyennes suivantes : ILYER PRINTEMPS ÉTÉ AUTOMNE Dée., janv., févr. Mars, avril, mai Juin, juill., août Sept, oclob., nor. Neuchâtel 0 0 0 0 Moyenne 1864-1914 0.2 8.7 (Per ro LE | 1915 Neuchâtel . .. : . 1.8 8.7 17.4 7.4 Chaumont en. — 9.1 4.4 12.9 4.0 Cernieriemts eu —0.4 6.7 15.0 5) La Chaux-de-Fonds 1070 5.4 14.1 4.6 LatBrévine, . 1: 11. — 9,1 3.9 42,8 3.4 Les températures extrêmes ont été observées, en 1915, comme suit : Le maximum absolu : Le minimum absolu : À Neuchâtel . . . 30.0 le 14 juin — 10.7 le 20 janvier. , 19, 21, 29 janvier. il eue at 22. 8%on 42 5 — 12. Vo Canon éton A8 * 2 t 27, 28 novembre. CRE OR, RETARDS SES 21" TANVIET La Chaux-de-Fonds 923.9 » 7juillet — 18.6 » 20 » La Brévine ./".- . .93.7/» 19 juin = 26°6 » 20 » La température la plus élevée que nous ayons observée à l'Observatoire depuis 1864 est 340,5 le 30 juin 1911; la tempé- rature la plus basse — 160,9 fut notée le 21 janvier 1880. Si nous suivons la marche de la température d’un jour à l’autre, nous constatons qu’en 1915 les variations de la tempé- rature moyenne, d’un jour à l’autre restent en général faibles et que les périodes d’un refroidissement ou d’un réchauffement continu ne dépassent pas quatre jours; c’est au mois de jan- vier (— 50,7) et au mois de décembre (— 6,0) que nous avons noté la plus forte variation. Abstraction faite de quelques jours dans la seconde décade du mois de mars, la température au printemps est restée au-dessous de 60, température à partir de 4 laquelle la végétation se développe, et ce n’est que vers la fin du mois d’avril que la température monte d’une manière cons- tante, Le mois de mai montre dans les températures moyennes journalières une constance très remarquable avec une légère tendance de monter vers la fin du mois: pendant tout ce mois, la température n’est pas descendue au-dessous de 50,5, La première moitié du mois de juin nous montre une augmen- tation accentuée de la température et une période de quinze jours de température élevée. La température des mois d’avril, de mai et de juin était donc très favorable à un développement graduel de la végétation. Le mois de novembre était particu- lièrement froid. Vers le milieu de ce mois, la température des- cend graduellement avec un minimum de — %,4 le 29. Après un réchauffement au commencement du mois de décembre, une nouvelle vague de froid se fait sentir pendant la seconde décade pour faire place à un nouveau réchauffement vers la fète de Noël. En 1915, nous avons compté 28 jours d’été pendant lesquels la température a atteint ou dépassé 250, savoir : en mai 2 jours, en juin 14, en juillet 6 et en août 6. Les jours pendant les- quels la température est restée au-dessous de zéro degré, ou jours d’hiver, étaient de 15 au total (7 en janvier, 2 en février, 4 en novembre et 2 en décembre). Outre ces jours, nous avons compté 79 jours de gelée où le minimum de la température était descendu au-dessous de 0 degré. La dernière gelée a eu lieu le 16 avril, et la première de l'hiver suivant, déjà le 28 octobre. La plus longue période de froid, pendant laquelle la moyenne diurne de la température est restée au-dessous de 0 degré, a eu lieu du 17 janvier au 7 février; un jour avec une moyenne de 00,2 a coupé cette période. Pendant cette série de jours, nous avons noté 4 jours consécutifs où le maximum de la température aussi est resté au-dessous de zéro degré. En novembre, nous avons compté une période de froid de 6 jours, pendant laquelle le maximum est resté 3 jours consécutifs au-dessous de zéro degré. Yates qe ose tee Dernière Bremièm Plus longue war. > 95°/mar, < 0°|min. < 0° gelée gelée pér, de froid | | | | | Du Mois 1901 | SONO 65 | 19 avril PP DONA CADET 1902 39 26 49 | 19 mars A7 me elOMEXII 1903 | 41 24 CR anne PAUL pe 1220 1904 66 17 64 | Le) ASS PSS OUT RE 1 1905 58 20 OT OM 18 oct. D 1906 63 24 FAN OUTRE | | 91 nov. 8 XII 1907 43 | 17 TE | MONDE to nie, TS, PEL 1908 AT 99 74 | 23 avril 27 06.140: XI 1909 29 33 FRS me |"-6Vnot. | 16 TEL Il 1910 | 95 5 CAM ADO 7N A 1911 74 23 55 | 15 avril | 8 nov. | EAN | 1912 23 | PA PT9 TEA vu |." 9 mov CIC EEXII 1913 DE 44 74 16 avril | 5 déc. | 6 Il 1914 28 33 47 29 mars | 12 oct. | 28 LetIl 1915 | 98 15 79 16 avril | 928 oct. | 19 TetIl La pression atmosphérique à l'Observatoire a oscillé, en 1915, entre 731mm,5 et 696mm{, ce qui donne une amplitude annuelle de 35mm,5. La moyenne annuelle de la pression était 718mm,1. La plus haute pression fut enregistrée le 21 novembre vers 10 heures du soir, par un temps sec, faible vent NE et ciel couvert. Les plus basses pressions de l’atmosphère furent observées en janvier et février. Le 22 février, entre 3 et 4 heures de l’après-midi, le baromètre enregistreur de l’Observa- toire marquait 696mm,0. Cette dépression nous a amené une couche de neige de 7 cm. d'épaisseur. Le gradient de la dépression du 21 janvier qui avait occasionné une couche de neige de 5 cm., était très prononcé. En 37 heures, le mercure du baromètre est descendu de 729mm,5 à 698mm,1; cette varia- tion de pression de 31,4 a provoqué dans la marche de quel- ques-unes de nos horloges de haute précision et des chrono- mètres une perturbation assez considérable. = Des Le minimum de l’humidité relative de l’air (220/;) fut enre- gistré les 20 et 21 avril dans l’après-midi, par un temps de fœhn. La fréquence de la direction du vent fut constatée comme suit, en l’exprimant en ‘/, des nombres d’observations : Neuchâtel Chaumont La Chaux-de-Fonds N 10 0, 2 0, % 0/0 NE 24 » 0 » 25 >» E 19 » 0 » 3 p» SE Fe) Ü » 4 » S 2» 0 » 19 » SW 145 » 11520) 32 » M (He 9 » 4 » NW 19» 4 » 4 » Calmes 8 » 68 » 9 » L’année 1915 fut une année pluvieuse par rapport à la quan- tité d’eau recueillie (1132mm), La hauteur moyenne d’eau tombée sous forme de pluie et de neige à l’Observatoire pendant les années 186% à 1914 est de 947mm, L’année la plus sèche était 1871 avec 630mm;: l’année la plus pluvieuse était 1910 avec 1393mm, Dans les cinq stations principales de notre canton on a recueilli : À Neuchâtel . . . 1132um: 140 jours de pluie = 1mm0 Chaumont MM TI pero » » Cernens te 204390 4158 » » La Chaux-de-Fonds 1751 » 174 , » DamBrévinentermet5 51e 0172 » » Les plus fortes chutes de pluie en 24 heures ont été notées comme suil: A Neuchâtel. . |. . 57mm le 5 novembre ChatmOont PME ETS MEME » CéreR ME MEME ne, FE aVril La Chaux-de-Fonds. 63 » » 7 » La Brévine . . . 50» » :5 novembre LOU RER Nous avons compté, à Neuchâtel, 25 jours de neige, 10 jours où des flocons de neige ont été observés, et 10 jours avec de la neige mêlée de pluie. Des couches de neige ont été mesu- rées : » cm. le 5 et 10 cm. tombée dans la nuit du 25 au 24 jan- vier ; 10 cm. le 1er février, 7 cm. le %3 février, 2 cm. le 2 mars et 4 em. le 27 novembre. La dernière neige du printemps est tombée le 24 avril; en automne la première neige arrivait le 14 novembre. Les plus longues périodes de pluie furent notées comme suit : en janvier 7 jours avec 40mm de pluie, en mars 7 jours avec Slmm, en avril 10 jours avec 74mm, en juin 8 jours avec 28mm, en septembre 7 jours avec 31mm, en novembre 7 jours avec 52mm, en novembre-décembre 14 jours avec 106mm et autour de Noël 6 jours avec 37mm, Le nombre total des jours où nous avons recueilli une quantité d’eau appréciable au pluviomètre était 189 en 1915. Les plus longues périodes sans pluie étaient de 8 jours au mois d'avril, 7 jours au mois de mai, 7 jours au mois de juin, 10 jours au mois de septembre et 10 jours au mois de novem- bre. Les plus longues périodes pendant lesquelles le soleil n'était pas visible furent de 7 jours en février, 7 jours en novembre-décembre, 5 jours en décembre. En 1915 nous avons compté seulement 4 jours (2 en février et 2 en novembre) avec un brouillard plus ou moins dense sur le sol pendant toute la journée, 22 jours (dont 10 en septembre, 4 en octobre et 2 en novembre) avec du brouillard le matin jusqu’à 10 heures environ. Le brouillard d’automne se forme généralement vers 1 h. du matin sur le lac et monte lentement une centaine de mètres au-dessus de son niveau. La chaîne des Alpes n'était visible que pendant 12 jours (3 en janvier, 2 en février, 4 en mars et 3 en juillet). En 1915 nous avons noté 41 jours avec des manifestations électriques dans l’atmosphère. Ces jours d’orage se répartissent sur les différents mois comme suit: avril: 4; mai: 6; juin: 14; juillet: 6; août: 8; septembre: 2; décembre: 1. Parmi ces 41 jours d’orage, nous en avons noté 4 (les 4 et 23 juin, le 13 juillet et le 1er août) au cours desquels les orages ont tra- — 8 versé la ville ou ses environs immédiats. Le premier orage fut constaté le 27 avril et le dernier de l’année le 1er décembre. Le nombre d’heures pendant lesquelles le soleil a brillé, à été enregistré comme suit: 1915 Janvier Février Mars Avril Mai Juin Neuchâtel . . . 38.5; 44.8, 98.8, 168.4 202.3 237.7 La Chaux-de-Fonds 27.8 73.3 107.0 146.2 188.5 190.8 1915 Juillet Août Septemb. Octob. Novemb, Décemb. Nenchätel."" 1 240,7098 8.1 19553, 101-982-0007 2070 La Chaux-de-Fonds 226.3 218.2 182.0 100.9 86.3 36.3 Pour les saisons nous trouvons : HIVER PRINTEMPS ÉTÉ AUTOMNE 1915 Dée., janv, févr. Mars, avril, mai Juin, juillet, aoûl Sept. oclob, vor. heures heures beures heures Neuchâtel . . . 430.7 469.3 741.2 * 979.1 La Chaux-de-Fonds 171.1 A44A .7 635.3 369.9 La durée totale d’insolation en 1915 était: A Neuchâtel: - :. . ... 1596,7; heures La Chaux-de-Fonds. . 1583.6 » oO TON |Z 0 | 072 oo Nez Er on oo mire oo oo en MEONIIOMEZ cop 9'e | ‘ awuuwog (l | TS te _— —, oz |o‘9 t'9 12 9°" "9 TON OM EE — 10 — — | 914999 £'98 2e UN Su org L'air Léncr Sn Jr emdien lot re ao - |: — | 91{WS8A0N 6001 | — | — | — | ++ |1'9 ÉeOMIIO"É C8 0 Le nr et RE A 0 — ° 94140790 O'TeI Pro ôter Sr) cor rer rIÉMAIT I OTAI0 Te | TEA ANA Te PE TA RES — ‘qua)dog TIQUE Sn EEE 2 D CO A © 2e OS 0 I à QU EX PES OR KR PARA ES A ET A etc Gogeloe | € 6110"S1) c'g1 | Soc |Y'or1 lo'2r |o*gr Jcr£n|£" gr |6 5/10) TEEN ET EPP SSI Ent 91061 rot | S49n | GOT | Sri rt re éE l'OnET NP Er Pere 21e" Se 1:0 momo PO TEINONES) PRESENT GOGT en) PES A9 or] Er pré | CP Pr |Ebr |c'Sr (gr. |g"01 | TS TA GE Te ER) GR SOC T'OpI = A Sn A: O Or EME 'OTET PT PE |O pr |[T'Sr LOST PPT en | OT ON OR Rte o’Lor = NOTE ÉroË | Lrre er Er GEL | Cérr 96 1660 Ermhr/0ra0 PRIT ° “SICPN C-C/ — | — | gt |6:9 |o‘or |6*6 OIL NP IT ON|TTEMÉSEMENC + RE Pen Q' LT — | 1, 260: LION 6°F pp (50 Bi 200) enr) LEE 0) — — — — ‘JOIAURF SŒNOH-HA-XAVHO VIT — SIGT fL:96$11°6°h | p'eplfg'cglfo'orr| F'ecrl"L'Pri| 6*o91|L'zorlo'cor|S"ESr rés re1| S:16|“z'09] 616 6"z | swuuwos rare |, | 28 À Gr — | - 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Pas HS pendant la nuit et quelques gouttes après 7228. 22, neige fine à partir de 4 h. 4 s. neige pendant la nuit et des flocons par moments tout le jour ; environ 7 em. à 7 h. m. Huspne de neige très fine par moments depuis midi à pluie fine intermittente depuis 10 h. % à 12 h. # et des gouttes par moments dans la soirée. J'SIC MO STE) ET STLI STATE" O0 F‘o eu o'o-t L'< dia LA Sd péri Li parer ru) au — ——— ||. —| —— — - — — ———— ———— |] — | —— — —— | —— —— Le e'6r | S'g1 | RO InS OBr PUS] 9'T (3: GO ESP Se PAUE o' ("6 (A 4 QT Ogc N'r'he | Sigc cle | Crée ace) of LE SC to Etgi- fée = | MOMENT Pole ou | Sen atome) noue ro Mra-N ROUTES | MINT JEAN ON ||NCS NAT EE NAT c'T-| 97 poec | She | boie | Sroc | 11 - OMS OU g'r-| ÿ'£ - | o'o ONOEN EE CAN Ce CIS QT PORN CTE MEET CT OT 1°O OT IN GNT NONO 9'O = | v'z 0'O Pa PLONIIRE TT CR CON NO UrO Po 0'‘0 ta «0 EE | A: (Do) QE lAEto Cr L:e69 || 6°869| 9°969! 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Zs. DRE fine intermittente jusqu’à 7 h. m. ; forte bise l’après- midi. pluie fine intermittente tout le jour ; temps brumeux. pluie intermittente mêlée de flocons de neige tout le jour : soleil visible par instants entre 7 h. # et 8 h. # ; neige à partir de 4 h. % 5. neige très fine intermittente jusqu'à 4 h.s. pluie fine intermittente à partir de 3 h.; temps brumeux, brise SW sur le lac à 5 D. s. flocons de neige fine contre le matin et par moments dans la matinée. e 2 À “ut auua£oyy HADINHHASONLY NOISSUUA SI6I SHVN IV I A4 AUALVUAAAINAL Lai cn er\O = [ail 0 [ai 1 PF ne +9 Le] P'LILIrT été ce ATAIrO )9'0 ii A zc'o - [os DOS ON ATOM ST D'I (ay Lo) SFA RO OL MA QOAN GET co SAC T'O- 620 | 9:e0 l'o°20 |: So - DPI IE (AE 9°90 | S:Fo | 9°£o po LS ŒuLe Q'O - po | -c'90 |" r'90:| Z"z CT éu 6'1 cool LATE RE PE tu O°'Q sous O on NA UT RANOT 9°) FRS HT 6'1 ÿ ceci Ger éternité ai CET 2 I lac |Obre ANS" Ce v'L OS INION OM 9 oo. |PONTa Lo per TT tr ONG ÉHÉRAIUTE Co TOUT AS OX PTE NEC SES) VD 9°£-]1 0 [AOSA MEMOIRE C'1- Car] ON A PUTAIN (SEX SC 0 a EL 0 VON LS 0 Taie p: S £ 19 LT 9 990 | geo | L'or Ce) c'V ei 6'o Q over res GrnlNo Tale ORNE TEA LES (01 Co on dc EE 20 Pr Q'T O'OI o°£ S Gérez NV ce Q'i Q°€ MO GO: ï Lx | MrehorceneR ol ea Où 0'0 £ Guée-l£sGe bo £z) 1 Sel LUS PHARE où hPères Mer O IE QUO ONE TAN ‘cz -| o AOTIRON OT IPC OS 9°T - QUAI (°F - £ eu roc O0 | or CRC EE) Q'C-T 0e Qu 61e NON PTE] ETS F'r - A OST PO C) St -| 9 CEST IAONONM ISO LPO AÈEMNE zc'i -| 6 Por) MEAT A) MÉMACT LA (re D) CAT £ LC D 1 OT OC CS 1) EN 1 £'Q où Q FT |Shs oct |NONSE ST CET p'o1 0‘0 9 CA ELEC LOC COTE: Q:O — | 26 CAN M" VER one |Hortralionae Luo OUEN CO TN oùre IMG Gr Ma TIR OO eo -| 9’ (8 1] |le dre ea |A LA: ae oùa CO Ce ‘ut “UItU ‘uu 0 Le) 0 0 —— a — ‘U 6 | ‘UT ‘U L auuaSort tp) “LUIXBN ‘UIUIN Jouuoio + uu002 opluny AUOT, “UX0 uoq], fo)D Q'} o'£ Gp Q'O Tan 0°0 (0 Ir + (re VON: 6" be) BL 1°6 F'Q DATI 9°6 (‘pr NO CHU c'y Q"S 9°0 LIRE Eure 0'‘9 0'6 CHE G'} HO c°# Ç°e GS t110 KENC 6:Y For Ç°L GNT (ee 0'0 CO - AD || Mo) 20) (ee RE En = (Gare A KE (19 ou 2 1'Q 6*6 CS pol ONG (ADN (EE 1 AO RE: (GE Le Oo "U 6 uTI 298 91}9WOUAHOUT, (HHIOLVAHHS4O) 'IALVHIQUHN HR a Am —+ CR 0) Nm mena e mn” © Fr © © NI = SN } __ = © 1 An el 1 u 2 = GO ananas en F NO a Re) 4 sino f auwuos £°S9 ‘W9pus[ np ‘U ‘Q LE SOUL Lei . ” 2 8 O (e] ‘U Ya ua 99 quo nef 7 awuuu06 58’ 86 pp G\ 2 \O em a sainol| © [= ce I @+ œ uOIJB[OSUT, p RO (‘9 (° 1'$ (OX > LA re Sc ee) 1°(Q 8 8 6 9 CH | er PNR gl te 09 16 OI 6 OI OI I MN I AN l qN Le ge Og 6 OI OI OI O1 DENT I AN ES IN ee re SQ 96 O1 OI OI 6 T IN TAN I AN L6 @6 96 96 O1 OI OI OI TAN 1° ANT 96 e6 £6 96 ll £ Q 6 TN t N L'GIN O8 9L L 06 6 8 Q OI O MN I MS I MN 68 16 QL 96 OI 6 O1 OI I MN 1 MS TN QQ 96 Q/ 68 9 6 CRD 6 I MN I S I MN ÿL UE GS NE, 9 6 6 O I MN I MS EN 89 GE £S SZ O O 010 CENT En DT CRT cr Q£ S£ 9 ( 0 9 6 TO IN En ATEN 9. 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Joran à partir de 6 h. nuages orageux au NW à 1 h. et quelques gouttes de pluie à 1 h. © ; pluie fine dès 9 h. s. pluie fine intermittente tout le jour. pluie fine intermittente jusqu’à 7 h. # m.; brouillard en bas Chaumont le matin. pluie fine intermittente mêlée de neige jusqu’à 10 h. et pluie fine intermittente de 12 h. à 4 h. %# ; soleil visible par moments de 9 h. # à 11 h, %# et vers le soir. premier chant du coucou; nuages orageux au Nord et coups de tonnerre à 1 h. # et au! SW à 5 h. *# avec pluie d'orage intermittente de 5 h. # à 6h. # ; forts coups de vent NE de 5 h. #4 à 6 h. #58. nuages orageux au Nord à 1 h. ; coups de tonnerre lointains au SE de 4 h. # à 7 h. # et au SW entre 8 h. et 8 h. # avec averse à 8 h. A orageux au Nord à 1 h. et coup de tonnerre vers nuages orageux au Nord à 1 h. et coup de tonnerre lointain au SW de 5h. à 6h. # ; assez fort Joran dans la soirée. QI AdIHAHASONLV NOISSAUd Q"OIE] J'SIC] G'QTE o‘1t C°ot 008 |'AUTE Le | o'rz | g'ic | F'ec £'iT | go Sim QUE gr | 9er | r'er | 9'e1 GPOUNIPQN AT MC GTSIEOSO rar PO QT "OO Te EN N 9°Fi DAS | A à a Pa 2h 1°Ÿÿ] S'PIr-| CMS IP D'or St Cr | 207 EPA 9°QI | non Moser ber | Co ae} M TE l'QI | o'R1 | 6°g1 9'OT OI OT |FONaG ESPe Are | Cr prs Er Cr SN LA sos re) MON ONT 0091 AP 2T | er Cr | ct P'oudirontr JC EGrQT P° IT l'O Cr) Sc STE ET 7 A ba 2 CC dér AMeQu or IE GOT ‘61 ose) cr OI Q°£r | r'4 OT ASS Qi 00 SON PQ IEELQO SU COSTA AO TE ANT OL TEST | LE IRONQT Pormalloren Cire SQUnr Ebe l'otre | Lee Sue fupenironoc ronrem 016 c TS OMeaiRr ce. pe nc “ut | "uul “ui MILLAU | ouuaion ‘U 6 ‘UT 192 + wuwu0OL en eo 0 ouuoaÂo tt land dé 97) C'ot LE D'OI SOU Q'OI TS Q'Q TON Q'0 O'II Q'9 8'S8 A + QT Q"€ OM ES HAET A T'Q CAT & Q IMIONCI Aya BNC SE | 88 0/7 «Pa o rc 9° re ei GT | CAB ET TaseS I - en PT Be (oyDb: O'T GET 0° OUT AD: AQTE Q 9 GS QE Are Q'9 9'6 0'9 Q'Î OT Q°£ PET A Ce AN 0 0 nil 65 LIT o'Î La Le P'Q SAT 0°) 0°6 6'GI 9 *Q EYE C*61 Lips P'Q LRO lAQK Gi O‘91 IL: o‘| OùET (be Q'I Pins) CS pure HE crc (A 2 DOTE ITrONS 9° C‘o1 1'Q 6° O‘QI ok A coll CAD: 9° S IOTAT 0'9 KO ZHON SLR Q'I GT 9*0 - O°T OT |MNOE al Q°06 ch 9g'1 F'oi D Al LE OO QUO CR) £'Q SO - O'I PS 0'0 O°T O°Q to My 'à r'9 Eve GE Q°6 le pc Q°Q OU 0) ES SES Q°T 9'9 Por O'T 9° ‘0 - AO: 6°6 ONG TONI ON O'I- Lo) Le] 0 AUTONE) ‘UIXUN “UTUTN apiUNI 21}9 WOW L QIG6T "TIHAV *AJX0 ‘UM, ouuo ox | AD G$S'OT | 92° O‘9I PO AIMONÉ GS S'SI (oh Q'ÿI S'e1 9'Q L'o1 Colt 9°6 Se Sr LAN 1°6 HT ge LAN à ts 1 ‘9 lue (ei C9 op DEC mas 9°L Q'0 O ‘91 6'Q AE | ee L°9 6°6 C'ot SEX L'6 TA CL Q'TI p°(1 (ein CA CHÉT (ce Lg OS Pine 0'6 OT OM Q'6 oz (ob 9'9 TNT GA J'I Où (OO 91 SAT SE LS LES 9'6 QE Hit Q 9° S'e Ge R 00 Aie) CS AU GC 20 Sie LNDe (5) O'T Q°T CS (A6) O0 0 0 au C UT 2 AIVUT AG AUNALVUAMANAL 09S 91} OUT, (HHIOLVAMHASHO) IHLVHONAN GO O ON on a «a M ON em TT MO CS SENS ETS La) Lo b'egipl'9 api fe A O'gL NS PL INSEE GTA ALAN € 9 £ O CAN I O IN LS y Fr 1 Of | “66 O € 6 I M I I MS 89 99 LL re 67 ae) LT 08 à ç l ÿ È CON I 1 AN Q9 6 LS Le QT Det GET £ F £ T I MN 1 I SN SZ LE £9 re LT RP Q 9 LR MOT DEN OS DS I AN ÿL Ê £9 Qc 9T QE ç Lé £ 6 TAN I l' AN 122 CA LS £6 Le AT g‘o 6 Q OI OI DEN I DEN QQ 06 1@ r6 Vz DZ $£*o OI OI OI OI LUN I Ne IN £Q te (sr C6 he CS : OI OI O1 OI Il AN I I AN z6 68 £6 C6 Ge Gt L'/0r 6 OI 6 Q TN I IN tL OQ £S | t IT “6° 6 ç S ÿ 9 [ON I I MN T9 C1 zS QQ OT < 7 D) Ç T 9 9 O MN I I MN TA el 6 66 61 È 40 F O € Q TOUTN ADR: CNE OL TL 09 el QI ‘ TOR t (e) Î | £ tIN TS AA 6 2 4 OS £e dre Q'II I () I € I MN as LS Es 01 14 Gr 16 91 “S°L 9 ° AT ei LAN CAN ETS NEnNEECS 99 9$ DECO CL ç O Q L EN MTS I MN 14 (L A (a VI ; #66 Ç 6 9 O EAN Cm DT L9 ££ (44 re €r LAN) LA ç T ÿ Q t SN RE I N OL 09 99 re tI Are 64 Q OI Q £ ISIN DEN I IN GS 16 AA tQ II 0°9 6 6 OI 6 I MN EU MN TEA 6 te re 68 OI Ets C#56 6 OI L 6 EAN t MS I MS 68 O01 SL 16 6 cHet OI 6 OI OI GA RAN I M AR ee 06 06 Se @ £'oc ; 6 8 OI OI € M NI CEUX Le 91 F6 06 L Lao u OM IMG 6e 9 O 6 OI I MN I MN I MS re 1 vL L6 9 Ç-+ PQ e F O @ ç I MN I MS I MS çL QL 9 t S L'Y OI OI ol OI (AN I MS I MS £6 tÔ F6 £6 ÿ pas OI OI OI OI IMRAN TAN Le EN eg LG BL 16 € ; ET SON 9 O L OI 1 AN t IN CA: QC 72 o 1Q t : Ad) 9 9 9 S T IN CAN Co SL Ç£ Mo) re I “UU saxnat] | & s = 2 euuaLon | ‘6 DTA Ty ‘1 6 CRT TTL auu9$on ‘U 6 AUTET À| 2) HUE a : al ë & JIUJ-B-n07 = EN suBs = ( SRE ERP SRE NUS 5 EL &| © Sn LNHA HAILY'IAU ALIOINAH CIGL 'TIIMAY (AMHIOLVAMASHO) TIHLVHONAN | | ; 1 | | ; | WE. 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Joran le soir. le ciel se couvre vers le soir ; fort vent d'Ouest de 4 h. à 6 h. Z s.; coups de tonnerre au SE et S de 5 h. X à 9 h. a temps très orageux, surtout entre 7 h., % et 9h: 7. brumeux à 7 h. m.:; fort Joran de 3 h. à 6 h. 2% s. ; quel- ques coups de tonnerre au Sud vers 4 h. # s. et gouttes de pluie à 5 h. :; éclairs au S et au NW après 9h.%Ss. quelques gouttes de pluie vers 3 h. # et 4h. #5. temps orageux au NW de 8 h. à 9h. As. quelques gouttes de pluie à 2? h. % ; coups de tonnerre au SE à 3 h.; Joran l’après-midi, le ciel se couvre vers 3 h. %# s.; coups de tonnerre au NW et au N de 4 h. à 5 h. % ; forts coups de Joran de 4 h. # à 6 h. Y. quelques coups de tonnerre au N à 10h. # m.et5 h. #5. quelques coups de tonnerre au N vers 12 h. coups de tonnerre au SW de 10 h. > à 11 h. # du matin et à 3 h. # de l’après-midi ; pluie d'orage de 11 h. à midi; quelques grêlons tombent à 6 h. 35. ciel s’éclaircit l’après-midi. quelques gouttes de pluie après 11 heures et après 6 h. #. coups de tonnerre au SW vers 10 h. % et courte averse à 11 h. et quelques gouttes de pluie à 1 h. # et 4 h.; un orage éclate subitement à 7 h. avec pluie et dure jusqu’à 8 h. ; nouvel orage au SW dès 8 h. *, éclate sur nous après 9 h. # avec forte pluie et dure jusqu’à 9 h. #. brouillard en bas Chaumont ; quelques coups de tonnerre au NW à midi. gouttes de pluie vers 11 h. m.et6h. %s. assez fort Joran vers le soir. gouttes de pluie vers 9 h.s. gouttes de pluie à 6 h. # m. . sé du vis ET PP REV TEE 9°614|| L‘6r14] z'61/] o‘ozél L'(1 7 DÉRRIO PI l'PT g'zr [cl'gr |ozc'£r |6S°cc |g£'or ['hoy LOT "07 le or 16 P'II T'OI Q'II Ch: Q‘OI OT 9'TI de: ent ON g'aI | ÉVOrT lEton PS 2T Sfrr T'tI 9'£I Q'II A NA S'o1 b'oi 6"Yt SAGT (ES A Te o‘on AS hor A0 O'RI EE LS Cp 9'£1 OT ÉRCT 1'OI Q'yI P'e1 CASTRO e'gr | 9'gr | o'gr | 861 | s'or LIST (RQ cuoi O0‘9T 6'tI o'61 Yo) GE 9'e1 | Ze toc || ÿ:'oz | o‘oc l'9"0z Q'OI l'OI Q'QI 9°S1 o° ST Oo'‘PI ISOC SOU g°£c Gien 9T ; L°£1 | CGT "GOT I ROÈON pu ÇUi £°pi L'91 A2 ac SET GEL NOT 6'ot POS CE Gior | S'Grsl PaoT 0 GR IS EST EG: 9'9I g'£1 ASE OM Sorel TO 1'GI GMT Pa L°e1 | 116140 "or. 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Alpes visibles à 1 h.:; assez fort vent SW le soir. gouttes de pluie entre 8 et 9 h. m. et 7 h. et 9 h.s.; petite averse à 11 h. Z# m. le ciel s’éclaircit vers 11 h. m. et se couvre le soir ; gouttes de pluie vers 9 h. s.; éclairs et coups de tonnerre au Sud et éclairs à l'Est. brouillard en bas Chaumont, pluie d'orage de 11 h. 20 à 2 h. # et petite averse vers 4 h. % ; ciel s’éclaircit le soir. contour des Alpes visibles à 1 h. Alpes visibles ; fort Joran l'après-midi et le soir. gouttes de pluie vers 7 h. et 11 h. 10 m.:; pluie intermit- tente de 3 h. à 5 h. ; pluie d'orage de 7 h. à 9 h., orage de 7 h. à 8 h.; éclairs et coups de tonnerre au SW pendant La soirée. pluie pendant la nuit ; le ciel s’éclaireit vers 11 h. m. , Alpes visibles dans la matinée ; pluie intermittente de 1 h. à 9 h. ; le ciel s’éclaircit vers 10 h quelques gouttes de pluie fine vers 9 h. m. et 4 h. DCE soleil par moments le matin et l’après-midi ; les Alpes visibles. pluie intermittente de 6 h. À m. à 6 h.s. pluie fine intermittente jusqu’à 7 h. m. , assez fort Joran à partir de 3 h. ? faibles brises SE et SW sur le lac à 7 h. m. ; pluie fine de 12 h. % à 1 h. et pluie d'orage à partir de 3 h. Z ; orage au SE de 3 h. 4 à 6 h. : fort Joran de 3 h. à 8 h. soir. pluie fine intermittente jusqu'à 7 h. m. et de 4 h. 4 à 5 h. s.; quelques gouttes à 1% pluie intermittente jusqu’ Re h. m. et de 9 h. # à 10 h. m. pluie fine intermittente jusqu’à 7 h. m. et quelques gouttes à 3 h. s.; faibles brises E sur Te lac à 7 h. m. et W. à pluie fine intermittente jusqu'à 11 h. m. et à partir de 2 % ; coups de tonnerre au NW à 5 h. et au SE après pc pluie intermittente jusqu’à 7 h. * m.: le ciel s’éclaircit complètement après 7 h. # m. et se couvre de nouveau après 8h. # s. soleil à partir de midi. brise Est sur le lae à 7 h. m.: Joran l’après-midi. Li "59 PARU out) bite Ai | - | Le à ARTE FES p'oc£|| F'oz£i c'ocl, 9‘ocls 9° AE MTS OT 9°£1 p'cc 8‘II1 [O9'L1 |o9'‘91 Io6‘oz |SS'St |A 9'6 DCS M LEA OX oi EE CU SET VII OPI P'Il OUT S°Q RS Co) 2 DATE en 1£ AA Met oc |erT OA Q'OI Ce) SEAT G'1T O'II S°67 OM t'61 SyI Of 6‘ ct A de | nes] Se SAME LE 1'OI O°TI INATE 66 6: S1 OUT p'O1 RÉTL OT £'ve yep Cze lt OST Sa ONE CNET LATE Q'II 991 O'9I 1'OT OSÉRIE OT p'oi ‘er | Ser | rer À z'or Q'91 GEL 2 V'Te LT SO CT (‘oz OMR UT z'61 OI S OT AAMOU LT TI P'hi LA AS L'Q1 P°r1 PS1 TOI 6'o1 ONAMINOT Q‘A1 Son TR OQTSIAQPOT Teil 6'ot 9'TI REA: EMOIT SATA L'yi Q'pI 1 ‘OI el (z T'LI TX le Lrel "or | :9" 64 Q°TI ACT Q°CI 1NOG (on O‘91 ON O'GI PNR OTEN AUIC 6"£T Gr POPGEA LT A GEST V'&I O'GI F'or chÿa TA DT Q'CI (Parc OùGTAIMNET 6'61 OUR OT PTS MOOD LAQT £"or O‘PI LG LA L'61 9'QI (Ce PATATE ECC 6"ot “te. 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W. entre DA let Het pluie intermittente de 4 h. # à 8 h. m. et 11 h. # à 4 h. #2 s. : quelques gouttes de pluie entre 7 h. # et 8 h. % 5. gouttes de pluie à 6 h. m. ; assez fort Joran l’après-midi. toutes les Alpes avec Mont Blanc visibles tout le jour et surtout le soir. toutes les Alpes avec Mont Blanc visibles tout le jour. les Alpes visibles avant 6 h. m.; quelques gouttes de pluie vers 8 h. m. ; éclairs à l'Est vers 9 h.s. assez fort Joran l’après-midi. pluie intermittente jusqu'à 12 h. #. pluie intermittente jusqu’à 7 h. m. et forte averse à 11 h. 4. assez forte Joran l’après-midi. gouttes de pluie à midi et 12 h. X. pluie intermittente depuis 9 h. *# m. à 4h. 25. forte rosée le matin. assez fort Joran à partir de 4 h. % s. Joran vers le soir. le ciel se couvre vers 12 h.; pluie fine intermittente à partie de 5 h. % s. et assez forte averse après 10 h. #2 s. ; éclairs à l'Est vers 9 h. s. et coups de tonnerre après 10Nh 72 pluie fine intermittente jusqu'à 10 h. m. et quelques petites averses de 1 h. * à 6 h. Joran à 6h. %s. coups de tonnerre éloignés au NW l’après-midi. quelques gouttes de pluie à 6 h. Z s.; éclairs au NE et SW dans la soirée. quelques gouttes de pluie à 7 h. m. et pluie intermit- tente à partir de 8 h. m. ; temps orageux à l'Ouest depuis GENS ARSC HE pluie intermittente jusqu’à 1 h. bc nes LR L. u vas “ 10 VU Ua Cu 1 8 21 ts UC L 6'et CES SO A O'9OI ‘OI 6° | S F © 1" EH en ol mm € 6 I L'ot P°Pr Oo G'o1r Q'OI 9°S1 o'AT (AR K 6 ” e ES ®) HO En nm mn E00 CO uC J [ Un 4 a ” En = _ [ai sx [a "OI — — s'umn\O ER00 a Am + 12 20 N oo ao Am 17 LP 12 \O A 4 = = ON en 9D'‘OI O en A 2m en en en ISO OC Le | A © = La | 2 C0 La O0 nm a S CO 0 A oi — r S) rs Un ol e = + © © © — 9'0Tt OCTT ce) — s] ce . = 4 res ol "SO ce " — =” Loi | IA mi = " © o°61 | L'e . co —+ TH LA LA LA en (I Mme mm nm nm OC © — . RE SN . - M" e M J si Lei ” — mt F e Te O‘'OI KE NO Q'OI ÿ: *QI OTRIET um . (°2 — = F 2 La _ oi en ol . 1 EE em DA ODA A A A A A A 4 4 A 0 A Def DA ed ef 1 bed De D bed bed be D ni ot SO — — ms Eu en em MN ol OX us on An . ” © La ON © 00 . Où en Del oùre ol ON NO EsO . 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À. brouillard épais sur le sol jusqu'à 8 h. # ; vent du SW dès 3 h. * et pluie intermittente à partir de 11 h. pluie intermittente pendant la nuit et à partir de ? h. * : soleil par moments jusqu'à 1 h. #. pluie fine intermittente jusqu’à 10 h. m. et des gouttes par moments l’après-midi ; très fort vent d'Ouest pendant la nuit ; soleil visible un instant vers le soir. pluie fine intermittente jusqu'à 4 h. %# s.: soleil par moments. vent du SW de 9 h. % à 11 h. m. et de nouveau un moment l'après-midi ; pluie intermittente à partir de 11 h. m. . pluie intermittent jusqu'à ? h. # s. Gr 01 O'OI _ £'ozll S'oci p°cI Gp k°/o ODA LOT OARO LSEX PET NON FIAT OT TROT CeII |INO*OTAIESE O0 C*60 EA0O | 060% |#O20T Fr T'er |. 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L 5. soleil visible par petits instants vers 11 h. et 1 h. pluie fine intermittente de 5 h. à 8 h. #. averse après 9 h. soleil depuis 9 h. % à 3 h. brouillard en bas Chaumont. brouillard milieu de Chaumont le matin. pluie fine intermittente jusqu'à 8 h. m. et des gouttes par moments vers le soir. gelée blanche le matin. quelques gouttes de pluie pendant la nuit et de 5 h. à DUT USE gouttes de pluie fine par moments l’après-midi. / 2 *“6tL # at Dre: L°Yt 6G°FI O'OI SANT S'OI 6'01 O'TT c'et QE À “ p'O1 L'oc Q°TT O'£T r'oT (AR Q're SONT PAL J'SI O'OI Si 2 ASS Pa OIE T OT L'0t 17ET ÿ'06: O'QI "WU euusion F 4 5141 0'6121 £'61 VO + O'Q QI IPONETA I OMS Où T'9 MAMIE RICr II" CI ap GuiÉ T') LADA 0 eo à L'PI 1°Ÿ 9°$ 6° Ohr I APPAlEnOT GET QE (ee LE" |"6 91m |PerQI Q'T Q'0 o° c'ox | 0 Sr 262 c'Ÿ p'£ Sy LT: rosore lire Q'L (EE: 0'‘6 Prorelo)ocr Crest t'9 ADT/ over oùre| ac uen | Or 9°} ESS Étesrleci tes No sal CES z'6 Gras |rO re | SOÛTE oO No) O'OI IN0e | RONQIS) = 0801 62 pr / O'OI GOT NOSR LA ETE ETAO Te) AE per l'arc Se le ES 9'9 créent rer apeer te Tel Q°9 pr emoc-|5/ 161 pe CHE OL Sc O1 |"Rro1-|= (61 0'6 r'9 DAT Sci arte | ce 0ç'6 0'6 Q'TI Oracle z 1 ec or | Sotc CET Paco RO OC MONO Q'OI 9‘'OI LOTIR) ES ROIT T'Q 9'Q F'6 cr Porc oi | <9°/ az: L'6 SN 22 PP 2 Re Gr 0° OS T'Q Perry ESC Eos O°R L'9 NT étoz | Lire apr | 56 “0 Q°r g'l offrir Sorcel are TAC pe (A Qt0z1| OCTO OZ SO LS 9°9 LOS | ÉtOSR AP Te AO || AO ARTE ofec 400 | 020201 859 0‘) VAGUE SO | oNQrA| EE" OI tT'9 0°9 LATE CHOTMIE CN ATN EC SONT ENT CU 9° ‘uw “UT ‘ut Le] 0 O0 ‘U 6 Ai: (0 auuakort ‘4 6 Ain: + 00! opINt 21)2WOWAIT, CUS LOI Len TO 0 V0 19'9 C°z 9°Q | ÿ'I Q°( 99 p*< 9°Q AN < GET A4 Q'T o'Q Er SOS DNS CARLA 10 (AE ON L°Y GO 6'& L#0 6°F 9°T gel elle po dee lé OùZ S‘o1 1'°9 LA] T'Q 0° Q'6 Rod A Axe) ab 6°9 (AG (° S LA F'9 Al (EE tT'e L'9 Te) CANON 1'9 6'@ cac CAT. 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L neige fine intermittente jusqu’à 12 h.; soleil perce vers 12 h. ; assez fort Joran de 2 h. à 6 h. *2. environ 4 em. de neige tombée pendant la nuit. pluie tout le jour, brouillard sur le sol par moments l'après-midi et le soir. 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L Alpes visibles par moments. pluie fine intermittente tout le jour. pluie fine intermittente tout le jour; soleil visible par petits instants le matin. pluie fine intermittente tout le jour. pluie faible pendant la nuit et de 2 h. *# à 8 h. s.; fort vent d'Ouest de 12 h. # à 6 h. s. pluie intermittente à partir de 11 h. ? m.; toutes les Alpes visibles le matin. neige très fine intermittente jusqu'à 8 h. m.; le ciel s’éclaircit en partie et pour un moment vers le soir. toutes les Alpes visibles vers le soir. brouillard sur Chaumont ; le ciel s’éclaireit après 5 h. s. et se couvre de nouveau après 8 h. # s. vent d'Ouest depuis 11 h. à 12 h. # m.; temps brumeux ah: gelée blanche le matin. neige fine intermittente à partir de 5 h. #4 s.; assez forts Loue de vent d'Ouest dès 8 h. s.; environ 2 cm. de neige a 90h. neige fine intermittente jusqu'à 9 h. m. et ensuite pluie fine intermittente tout le jour. pluie fine intermittente pendant la nuit et de 12 h. * à 6 h. % $. pluie intermittente tout le jour. pluie fine intermittente tout le jour. pluie fine intermittente jusqu’à ? h. % s. 4 m.: les Alpes 28. : les . le ciel s’éclaircit dans la soirée. brouillard sur le sol tout le jour, se dissipe par moments D à et le soir ; pluie intermittente depuis 6 h. #% à FER brouillard épais sur le sol tout le jour, se dissipe un petit instant vers 10 h. % m.; pluie fine intermittente pendant la nuit et à partir de 5 h. 205. pluie fine intermittente pendant la nuit. 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Coulon: Description de quelques animaux nouveaux, etc. Vol. 11, 1839, avec vingt-six planches, à 5 fr. l’exemplaire, ren- fermant entre autres: Nicolet: Essai sur la constitution géologique de la vallée de la Chaux-de-Fonds. Godet : Enumération des végétaux vasculaires du canton de Neuchâtel. Tschudi: Classifi- cation des Batraciens. Agassiz: Mémoire sur les moules de mollusques vivants et fossiles. A. de Montmollin : Note explicative de la carte géologique du canton de Neu- châtel, etc. | Vol. HI, 1845, avec seize planches, à 5 fr. l’exemplaire, renfermant entre autres: Lesquereux: Recherche sur les marais tourbeux et Cata- logue des mousses de la Suisse. Agassiz et Vogt: Anatomie des Salmones. Guyot: Notice sur la carte du fond des lacs de Neuchâtel et Morat, etc. Vol. IV, première partie, 1859, avec sept planches, renfermant: Desor et Gressly: Etudes géologiques sur le Jura neuchä- telois, etc. Vol. IV, deuxième partie, 1874, avec quinze planches, renfermant : Desor et Favre: Le bel âge du bronze lacustre en Suisse. De Loriol: Description de quelques Astérides du terrain néocomien. De Tribolet: Recherches géologiques et paléontologiques dans le Jura neuchâtelois. Chaque partie se vend 2 fr. 50. à Ë & à 3 « “> # À # % Gp l VOA) PPT EU PT OR LMD ee + 2 Plusieurs collections complètes du Bulletin à partir du t. IV, à raison de 1 îr. le volume pour les membres de la Société et de 3 îr. pour les étrangers. 30 Notes laissées par L. Couleru sur les papillons qu'il a observés dans les cantons de Neuchâtel et de Berne, de Saint-Blaise à la Neuveville et de Jolimont à Chasseral, de 1829 à 1850; prix 1 fr. 4o Catalogue des Lépidoptères du Jura neuchâtelois, par Frédéric de Rougemont, avec deux planches en couleurs peintes par Paul Robert; prix 7 îr. 50. 5o Ta des matières des Mémoires et Bulletins pour 183 5 97, par Jean de Perregaux; prix 2 îr. PPT TE CRT PRET Fe LARLILAI M itlerte 00 RAM pate 0 dy ir! AU! CIO .. INH LIBRAR 1 y ue NH LIBA e { « rie ge rs pet rt GOUUE abris Né: 10 0 13 56 8 1 rs LLARALLA: [RALERARARARLE CRIE OCCRRALELZ hivisse Mot vomnimesséemsets CRETE NATRRERAREAREZ: v6 = sjrust unriesse snmnbs ss usivoton RRRENARRLAE mt oreemst CRENNENAILEILE . ns spé LORIE à salé tape #11 500) she rià 0 SUN bSeibiobele ner die Siele pepe elsié dia jé 80e ,0 8104 CELA 0: » 'RLRTIR III TTALRRELAEZ CRANEMALAELLR.S . s... osent e PPS ICE IE CRRLAERPARAAE) COCO d618.418 81018 16e ss. 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